/ 185
1 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
ET DE CASTRO ) malade est venu consulter, parce qu'il souffre de douleurs dans les membres inférieurs, surtout dans les j
dans les membres inférieurs, surtout dans les jambes et les pieds, douleurs qui durent depuis quelques mois, l'empêchant de
tique a été suivi d'amélioration évidente et rapide, en tant qu'aux douleurs des membres et aux altérations osseuses. Observ
des maladies communes à l'enfance. Il y a quatre ans ont apparu des douleurs abdominales intenses, par accès courts, se répé
effet ne pas pouvoir faire le mouvement ordonné en se plaignant de douleur et de faiblesse lombaire ; mais on arrive tout de
ts ne paraissent pas être très douloureux, ils ne provoquent qu'une douleur lombaire vague et mal localisée. On a l'impressio
reuse dans la plupart des cas, quelquefois elle détermine une vague douleur au niveau de la colonne dorsale inférieure et l
aires lom- baires sont nettement douloureuses, elles réveillent une douleur sourde, profonde, qui se propage dans quelques
rofonde, qui se propage dans quelques cas en avant en ceinture. Les douleurs spontanées apparaissent au même niveau sous l'inf
s ecchymoses lombaires sans plaie ni fracture. Dans tous ces cas la douleur lombaire était le symptôme prédominant et const
calmant petit à petit, pendant plusieurs mois de suite. C'était une douleur violente, continuelle, exagérée par le moindre mo
mbes. Le moindre mouvement ou changement de position provoquait des douleurs insupportables. Au bout de deux à trois semaine
it des douleurs insupportables. Au bout de deux à trois semaines la douleur devenait moins intense et c'est à ce moment, en s
ction. Nous avons vu que nos malades étaient obligés, à cause de la douleur , de rester couchés pliés en deux, « la tête ent
resque de l'un d'eux, on peut supposer que pendant cette période de douleur , les muscles immobi- lisés par la souffrance se
évolution des phénomènes douloureux est heureusement favorable.' La douleur va en s'amendant spontanément. La motilité rest
hère à l'ongle qui l'attire à mesure qu'il croît, causant ainsi une douleur déplus. Fréquemment l'extrémité des doigts devi
ant plusieurs mois, toute tentative d'extension provoquant une vive douleur à la face antérieure du membre. 3. Attitude act
de ce muscle suffisante à étendre la deuxième phalange du pouce. La douleur légère, dont le trajet semble être celui du média
ésion des fibres envoyées dans ce nerf par la huitième paire. Cette douleur , quoique présentant le caractère radiculaire (exa
n se cogne le coude, dit-il. « Il dut là- cher son fardeau, » Cette douleur ne dura pas plus de deux jours. Par contre, ses
ance, provoquer l'extension complète des trois derniers doigts sans douleur et la flexion com- plète de leurs phalanges ave
oigts sans douleur et la flexion com- plète de leurs phalanges avec douleur au niveau du dos de ces phalanges. Les mêmes mo
m- bricaux et interosseux, qui détermine l'attitude actuelle. Les douleurs , au niveau du dos des phalanges, lorsqu'on essaie
tion que la main et les doigts ont l'attitude actuelle. ^Jamais de douleur . 3. Altitude actuelle. - La main est en flexion
euxième phalange sur la première est impossible ; elle provoque de la douleur le long des tendons des muscles extenseurs. La
tenseurs. La flexion en est possible, quoique produisant une légère douleur au même niveau. L'extension de la dernière phal
ne ' résistance que l'on peut vaincre, mais en déterminant une vive douleur tou- jours sur le tendon des muscles extenseurs
est sensiblement égale des deux côtés. Le froid détermine un peu de douleur dans les doigts. La main malade perd plus rapid
iéger sur la paume des doigts, et en même temps, on détermine de la douleur dans les interligues palmaires méta- carpo-phal
ale qui butte contré la cavité glénoïde, et le ma- lade éprouve une douleur dans le trapèze au niveau de son bord supérieur;
ements ; toutefois la flexion forcée des doigts détermine un peu de douleur au niveau de la cica- trice comme s'il y avait
obstacle au niveau du carpe. Le malade éprouve en même temps de la douleur dans les tendons fléchisseurs, et la première pha
éger refroidissement habituel de la main. Le froid y provoque de la douleur ; à la sortie de l'immersion dans l'eau chaude, l
ésie dans le tiers externe du dos et de la paume de la main. Pas de douleur subjective. 104 LAIGNEL-LAVASTINE ET PAUL COURB
re. Main malade considérablement plus roide. Le froid détermine des douleurs dans la main elle-même. Elle se refroi- dit plu
ppliquée jusqu'à cyanose : la contraction cède com- plètement, sans douleur . En résumé, la blessure siégeant dans le territ
rent tués par le projectile, et il apprit qu'il était blessé par la douleur locale et en voyant le sang couler. 2. Conséq
ain se mit dans l'attitude qu'elle a actuellement et qui calmait la douleur causée par le moindre mouvement. Le malade fut
outes ces attitudes est possible, mais en déterminant une -certaine douleur qui siège toujours au niveau des tendons extens
0° sans être incommodé. Il a habituellement, non pas exactement une douleur , mais comme une courbature à l'intérieur de tou
uction de toutes ces attitudes est possible, mais en provoquant une douleur surtout dans la région du premier métacar- pien
par hypoesthésie organique : III, XV. 2° Sensibilité subjective. Douleur excessive pendant la réduction : XI, X, VI ; do
té subjective. Douleur excessive pendant la réduction : XI, X, VI ; douleur pendant l'effort : 1 ; douleur sourde continuelle
e pendant la réduction : XI, X, VI ; douleur pendant l'effort : 1 ; douleur sourde continuelle : 4.Y. Dans tous les autres
pouce et d'extension de la main. Bien que le malade n'accuse pas de douleurs au repos, tout contact, toute pres- sion, surto
dius et l'an- nulaire ; on peut fléchir le poignet. Il n'y a pas de douleur au repos, mais tout contapt ou toute pression d
lus du 2e au 5e, en poing demi- fermé. Matrice des ongles épaissie. Douleurs à la pression (PI. XXVIII, E). Passivement les
ne comportent que d'une façon assez peu fré- quente, d'une part des douleurs , d'autre part des troubles vaso-moteurs, sécrét
gles incurvés et bombés, leur matrice sail- lante ; il n'y a pas de douleurs spontanées, mais la sensation de froid à la mai
En somme, lésion incomplète du médian. En outre, le malade a des douleurs à peu'près continuelles dans les trois premiers
es douleurs à peu'près continuelles dans les trois premiers doigts, douleurs qui s'exagèrent quand le bras est pendant et sur
pas la lésion vasculaire indispensable pour déterminer les grosses douleurs de certaines bles- sures nerveuses ; nombreux s
e. Peut-être peut-on alors attribuer plus ou moins complètement les douleurs à une irri- " tation des filets sympathiques in
lets sympathiques intratronculaires. En tout cas, il semble que les douleurs caùsalgiques sont un signe à peu près certain d'u
n médicale de la IV° armée, il y avait eu pendant de longs mois des douleurs à forme nettement causalgique dans le domaine d
ec ses deux bouts écartés ; dans ce cas exceptionnel, la genèse des douleurs nous paraît actuellement fort mal explicable.
ésumé, dans la genèse des troubles vaso-moteurs comme des gros- ses douleurs causalgiques consécutifs aux lésions des nerfs, l
sures du nerf radial ne déterminent que très exceptionnellement des douleurs vio- lentes. C'est ce qu'ont fait très exacteme
s'est manifestée que par un certain degré de contracture et par des douleurs très vives, ayant tous les caractères de la cau
sie. La palpation.de la cicatrice d'entrée de la balle provoque une douleur qui s'irradie à la région dorsale de l'avant-br
nsibilité doulou- reuse sur le bord cubital. En outre, il y a des douleurs spontanées continuelles sur la face dor- ' sale
nées continuelles sur la face dor- ' sale de la main et des doigts, douleurs très vives de brûlures, de piqûres d'épingles,
s, douleurs très vives de brûlures, de piqûres d'épingles, etc. Ces douleurs siègent sur le territoire radial et empiètent s
trépidation, le bruit, l'appui brusque sur le talon déterminent des douleurs . Le malade souffre également quand il avale des
t d'ensemble de l'extrémité, une peau fine, lisse et moite, surtout douleurs violentes, persistantes, continues et paroxysti
l'importance diagnostique de ce signe organique dans les cas où la douleur est presque le seul symptôme. Depuis lors, nous
atique était altéré, avec ou sans blessure extérieure, avec ou sans douleurs ou paralysie concomitante ; il faut et il suffi
s souvent des troubles vaso-moteurs et trophiques variés. Quant aux douleurs , elles sont presque toujours localisées à l'ext
ied elles frappent surtout la plante, comme à la main la paume. Ces douleurs affectent généralement le type causalgique, sensa
e main- tenir le pied malade constamment mouillé et qui calmait ses douleurs en sè mouillant continuellement l'autre pied. E
pied est en général plus ou moins propor- tionné à l'intensité des douleurs , il paraît en effet tout à fait sans rapport av
us ont été ainsi envoyés pour expertise médico-légale à la suite de douleurs qui avaient paru anormalement persistantes ; il
usé au 20e jour d'une blessure au creux poplité, dans un cas où les douleurs accusées étaient vives, mais où la paralysie étai
était extrêmement atténuée et très limitée. Dans ce cas d'ailleurs, douleurs et parésie avaient presque disparu après deux m
eau de la fesse, mais sans qu'il y ait eu de plaie extérieure ; les douleurs étaient très vives et les troubles trophiques c
modérée, mais encore très nette, dans un cas de gelure du pied avec douleurs vives et persistantes dues certainement à une n
nditions la lésion de la branche interne du sciatique détermine des douleurs vives, à caractère plus ou moins causalgique ;
il est bien 138 - - LÉRI' < - évident d'ailleurs que ces vives douleurs ne se produisent pas dans les sections complète
ns de la branche interne du sciatique aussi bien avec un minimum de douleurs qu'avec un minimum de paralysie : plusieurs malad
itudinal. La blessure siégeait au tiers supérieur de la cuisse; les douleurs et la paralysie étaient extrêmement prononcées. L
le cas C, le sciatique avait été louché dans le creux poplité ; les douleurs étaient vives, mais la paralysie presque nulle ;
petit névrome et recouvert de grosses veines con- gestionnées ; les douleurs s'atténuèrent légèrement, puis disparurent lent
lessure du scia- tique à la partie inférieure du creux poplité; les douleurs furent vives, mais pendant quelques semaines se
ncée. La figure a montre le pied effilé dans un cas de gelure, avec douleurs névritiques intenses persistant un an après le
t produit qu'une paralysie très légère et presque 140 LÉRI pas de douleurs ; le malade fut renvoyé au front ; il en fut évac
ère près de deux ans auparavant ; il n'y avait presque pas eu ni de douleurs ni de paralysie, et le malade était retourné au
goutteux. Elle survient aussi lentement, progressivement, avec des douleurs nulles ou modérées. (i) ANDRÉ LEFti, La nodosit
space de six mois el demi environ. -Elles ont été ac- compagnées de douleurs modérées, surtout nocturnes, passagères et récidi
ère, ne paraissent pas gonflés ni épaissis. Les déformations et les douleurs ont pro- duit une gêne fonctionnelle de la main
les articula- tions interphalangiennes des trois derniers doigts ; douleurs modérées, remontant surtout le long du cubital.
aides et ne fonctionnent que très diffici- lement en provoquant une douleur assez vive par suite de la distension des tégu-
nne de la région fron- tale supérieure. Il ne sentit pas la moindre douleur , ne perdit pas connais- sance, à peine y eut-il
rragie et il continua à jouer. Peu d'heures après il eut une légère douleur dans l'oeil droit, douleur qui disparut spontaném
er. Peu d'heures après il eut une légère douleur dans l'oeil droit, douleur qui disparut spontanément. Un mois environ aprè
lure d'un fatigué. 16 heures, il se plaint de céphalée vive et de douleurs abdominales. T. : 41 ? 18 heures, douleurs ép
de céphalée vive et de douleurs abdominales. T. : 41 ? 18 heures, douleurs épigastriques extrêmement violentes. Deux grands
sons. Etat subsyncopal. P. : 56-60. 19 heures, céphalée violente, douleur extrêmement vive dans la zone épi- gastrique, e
aplati, geignant. Céphalée. Réflexes normaux ; pas trace de Kernig. Douleurs vives , exagérées par la pression, dans les zon
exagérées par la pression, dans les zones hépatique et épigastrique. Douleurs diffuses ; tous les mouvements sont douloureux.
e violente. Dans les régions épigastrique et hypogastrique droites, douleurs très exagérées par la pression. 3. T. : 35°3 à
fraîche. Langue blanche, épaisse. Malade gei- gnant ou sommeillant. Douleur hypogastrique avec exacerbation déterminant des
al du Bon-Pasteur. Localité de contamination. - Courbes... Début. Douleurs dans les jambes depuis le 16 mai. Fièvre dès le d
Fièvre dès le début à 39°. Céphalée vive. Symptômes à l'entrée. - Douleur des masses musculaires sans gonflement des arti
sseuse conservées. La piqûre, même péné- trante, ne provoque aucune douleur . Sensibilité thermique normale. Sens musculaire
ent, il lui est impossible de s'asseoir. Dans la posi- tion assise, douleurs dans les masses musculaires des deux cuisses. P
sise, douleurs dans les masses musculaires des deux cuisses. Pas de douleur à la palpation des masses musculaires. Abolitio
; dans les autres régions, sensibilité musculaire conservée. Pas de douleurs à la pression des muscles ; atrophie musculaire ;
A 19 h. 1/2, respiration à 26, facile. Ne se plaint de rien, sauf douleurs musculaires dans les mollets. Lagophtal- mos. O
é de contamination. Hoé... Début. Du 1er au 6 mai. T. de 38° à 39°, douleurs dans les jambes ; le malade pouvait remuer les
hôpital de du 6 au 15. Température abaissée. Symptôme à l'entrée. Douleurs très violentes dans les masses muscu- laires. T
e. Douleurs très violentes dans les masses muscu- laires. T. : 37". Douleurs au niveau des articulations, notamment dans les
7. - Etat saburral des voies digestives. Montée de T. : 37°5. Les douleurs à la pression des masses musculaires sont moins v
douleurs à la pression des masses musculaires sont moins vives. La douleur du tibia existe toujours. La jambe droite peut
'asseoir. Mouvements de tète faciles. Sensibilités normales, sauf douleurs diffuses dans les membres inférieurs. Atrophie
de cantonnement. - Champ... Début. -Il Il a trois semaines, par des douleurs spontanées, survenues rapi- 204 ÉTIENNE demen
nues rapi- 204 ÉTIENNE dement dans les genoux et dans les jambes; douleurs osseuses lancinantes, surtout nocturnes. Les do
s les jambes; douleurs osseuses lancinantes, surtout nocturnes. Les douleurs s'accompagnent de raideur des jambes et de diff
es inférieurs sont en contracture, les pieds en équinisme. Aucune douleur à la palpation des masses musculaires. Seule, la
t resté négatif. Marche de la maladie. - 30 mai. - Même état, mêmes douleurs surtout nocturnes. Toujours fortes contractur
, rétention d'urine, tempé- rature. 31. Au matin, disparition des douleurs des membres inférieurs. La con- tracture est tr
core hésitante, mais parfai- tement souple. 1er juin. Plus aucune douleur . Souplesse parfaite dans les deux jambes. Réfle
- Le 28 avril, brusquement, presque en plein travail, apparition de douleurs violentes dans les jambes ; impossibilité subite
e malade ne pouvait plus se tenir debout, les jambes fléchissaient. Douleurs très vives, comparées à celles provoquées par des
amaigries, les masses musculaires des mollets sont amollies. Pas de douleurs à la palpation. Douleurs à la percussion le long
culaires des mollets sont amollies. Pas de douleurs à la palpation. Douleurs à la percussion le long du tibia. Douleurs spon
douleurs à la palpation. Douleurs à la percussion le long du tibia. Douleurs spontanées nocturnes dans les genoux et dans les
roscopique. Marche de la maladie. 1er juin. Nuit calme, sans aucune douleur . La contracture des jambes est moindre, les mou
es trépidations du pied. La démarche est plus aisée. 2. - Plus de douleur . Réflexes normaux. 3. - Quelques douleurs la nu
plus aisée. 2. - Plus de douleur. Réflexes normaux. 3. - Quelques douleurs la nuit. Réflexes un peu plus marqués à droite.
un peu marqué; ébauche de quelques tré- pidations du pied. Plus de douleur . La marche est plus ferme, plus assurée. 1 : 3.
e contamination. Hoév... Début. Brusque le 7, par de la fièvre, des douleurs très vives dans les jambes, empêchant tout mouv
soir, puis de 37° à 38° et 39o le 14 au soir. Symptômes à l'entrée. Douleurs dans les zones articulaires, surtout dans les m
en à gauche et à droite. Pas de phé- nomènes du pied. - Violentes douleurs spontanées dans le tibia et dans les masses muscu
contact de la couverture. 18. - Réflexes rotuliens exagérés. 19. Douleurs osseuses et articulaires, nocturnes surtout. Ex
ouloureuse des membres infé- rieurs, empêchant le mouvement. Aucune douleur ailleurs. 30. Réflexe rotulien fort, surtout à
tile conser- vée. Sensibilité normale au niveau des cuisses. Pas de douleurs à la pression dans les mollets. Mollets mous ;
nt. La sensibilité à la piqûre existe, bien atténuée. 8. - Pas de douleurs dans les membres, jambe engourdie, sans force.
érature vers 38° tous les soirs. Symptômes à l'entrée (10-jour).- Douleurs nocturnes dans les masses mus- culaires et dans
ale. Marche pénible, hésitante avec flottement sur les jambes, sans douleur . Le mouvement d'élévation de la jambe au-dessus
mai 1916. - Localité de contamination. - Hoév... Début. Le 2 mai, douleurs dans les jambes avec faiblesse. Du 15 au 30, la
rs 37°2, 37°3. Fièvre plus violente au début. Symptômes à l'entrée. Douleurs lancinantes dans les jambes et les pieds, surto
pérature se tient entre 38° et 38°4, puis elle s'abaisse. 19 mai. Douleurs vives dans les muscles des jambes, du genou, au b
Localité de cantonnement. Hoév... Début. - Vers le 10 mai, par des douleurs dans les jambes, au niveau de la crête du tibia
ement sur les jambes. Symptômes à l'entrée. - Sensation de fatigue. Douleurs dans les membres inférieurs. Céphalée. Exagérat
: '36°8. Pouls biféminé à 7 h. Etat psychique flou ; nuit agitée. Douleurs dans les jambes et dans les cuisses. Douleurs à l
e flou ; nuit agitée. Douleurs dans les jambes et dans les cuisses. Douleurs à la pression dans la masse musculaire. Céphalé
sensibilité plantaire. ' Céphalée intense. Le malade se plaint de douleurs lancinantes dans les membres inférieurs. Mass
ans les membres inférieurs. Masses musculaires très douloureuses. Douleurs musculaires dans la région fessière. , En rai
Douleurs musculaires dans la région fessière. , En raison de ces douleurs , on ne peut pas explorer pour le signe de Kernig.
in. 8. Céphalée moindre. Le malade se trouve un peu mieux et' les douleurs musculaires semblent moins aiguës. Langue toujo
e. 15. - La céphalée persiste, mais beaucoup moindre, ainsi que les douleurs des jambes. Constipation. , 19. - Dans les ma
on. , 19. - Dans les masses musculaires des membres inférieurs, les douleurs sont bien moindres, les réflexes rotuliens exag
épileptoïdes du pied des deux côtés. \ Le malade ne peut marcher. Douleur à la pression de la colonne lombo- sacrée. La c
s les membres supérieurs. Quand le malade s'asseoit, il éprouve une douleur dans la région lombaire. 22. Epistaxis peu abon
37°8. Symptômes à l'entrée. - T. : 37°8. P. : 88. Céphalée. Légères douleurs dans le pied gauche et dans le genou droit. 2
e saburrale. Anorexie. Constipation. Marche de la maladie. 31 août. Douleurs dans le pied gauche le genou droit et le coude
1" septembre. Langue blanche, humide. Bruits cardiaques normaux. Douleur dans le membre inférieur droit et dans le coude d
x. Sensibilités normales. 13. Urines couleur normale. Sueurs. 20. Douleur dans les tibias. Sueurs (n'en avait jamais avan
ans l'observation V, presque en plein travail, apparition subite de douleurs violentes dans les deux jambes avec impossibilité
dans l'observation VI, le 7 mai, apparition brusque de fièvre et dé douleurs très vives dans les jambes empêchant le mouvement
es jambes empêchant le mouvement ; dans l'observation VIII, le mai, douleur et faiblesse dans les jambes (de même dans les
à 16 heures subitement, il se plaint d'une céphalée atroce ; d'une douleur épigastrique extrêmement violente ; état subsyn
pe pseudo-méningitique. Parfois, l'invasion est moins violente, les douleurs et l'état spastique succédant à la période de f
rs 37° ou 37°3 (obs. X). La phase d'invasion éclate souvent par des douleurs vives dans les mus- cles des jambes ; douleur o
late souvent par des douleurs vives dans les mus- cles des jambes ; douleur osseuse parfois (obs. X et V) ; souvent à exacer-
X et V) ; souvent à exacer- bation nocturne (obs. IV, V, VII). La douleur est parfois extrême. Dans l'observation I, une do
V, VII). La douleur est parfois extrême. Dans l'observation I, une douleur de côté simule celle de la colique hépatique ou
ule celle de la colique hépatique ou de la pancréatite suraiguë. La douleur peut aller jusqu'à déterminer d'emblée une impote
ou moins complète (obs. III, VI, VIII). Dans l'observation IV, des douleurs spontanées, lan- cinantes, à exacerbation noctu
, le mai, le malade ne peut se lever à cause de la faiblesse et des douleurs des jambes. Dans l'obser- vation V, apparition
l'obser- vation V, apparition subite, presque en plein travail, de douleurs très violentes dans les jambes, avec impossibil
e paralytique vraie avec l'im- potence résultant de l'intensité des douleurs dans les membres inférieurs. La distinction est
die a évolué en deux périodes : la première, caracté- risée par des douleurs extrêmement vives, empêchant les mouvements, le
tiques envahissants dans l'observation IL Dans l'observation I, des douleurs , intolérables d'abord, sont encore intenses, av
servées dans un seul cas (obs. II), coïncidant au Se jour, avec des douleurs encore persistantes dans les masses musculaires
ntraire, à la piqûre et à la pression dans l'obser- vation V. Les douleurs spontanées les plus fréquemment observées sont le
. Les douleurs spontanées les plus fréquemment observées sont les douleurs des membres, notamment des membres inférieurs, pa
férieurs, parfois des membres supérieurs et inférieurs (obs. XII) ; douleurs musculaires sur- tout (obs. II, III, VI, VII, V
ois au point de rendre intolé- rable le contact des draps du lit. Douleurs osseuses, seules ou combinées aux douleurs muscul
ontact des draps du lit. Douleurs osseuses, seules ou combinées aux douleurs musculaires, notamment localisées au tibia (obs
s, notamment localisées au tibia (obs. IV, V, VI, VII, X, XII). Ces douleurs 220 ÉTIENNE osseuses sont souvent à exacerbat
s. V et X), violentes au point d'empêcher tout repos. Le type des douleurs a été signalé comme crampe dans une obs., ou do
Le type des douleurs a été signalé comme crampe dans une obs., ou douleurs lancinantes (obs. IV, V, VIII, XI), douleurs plus
ampe dans une obs., ou douleurs lancinantes (obs. IV, V, VIII, XI), douleurs plus vives (obs. V). En aucun cas, la pression
s, la pression au niveau des émergences nerveuses n'a ren- forcé la douleur notablement plus que la pression des muscles ou d
dans l'observation I, signalées à la phase d'invasion, simulant les douleurs de la cholécystite ou de la pancréatite aiguës,
38° et 39e jours de la maladie, accompagnée d'une recrudescence de douleurs dans les membres. Même incident à 38° au 23e jo
certaine hypertension consécutive. Mais l'intensité et le type des douleurs se rapprochent fort du type polynévrite, et font
r le rôle de l'élément névrite combiné dans la détermination de ces douleurs musculaires et osseuses. Le groupement des symp
ifficile d'affirmer si l'impotence tient à la paralysie et non à la douleur , quand souvent on pense à la possibilité d'une mé
fréquentes, la céphalée, le ralentissement du pouls, et surtout les douleurs des membres et le long des tibias. Mais la circ
entrée à la clinique. Le malade raconte que depuis un mois il a des douleurs des jambes lors des mouvements ou des efforts,
urs des jambes lors des mouvements ou des efforts, mais surtout des douleurs nocturnes. Pas de cé- phalalgie. Depuis une sem
iodure de potassium. Etat à l'entrée à la clinique. Il se plaint de douleurs des jambes. On ne trouve aucune éruption syphil
force des mouvements est normale. Les mouvements ne causent pas de douleurs ; pas de douleur à la pression. Réflexes rotulien
nts est normale. Les mouvements ne causent pas de douleurs ; pas de douleur à la pression. Réflexes rotuliens normaux. « Ré
njec- tions) ( ? ). . 18. Le malade est revenu à la clinique. Les douleurs des jambes ne sont pas diminuées. Les éruptions
que la pression au côté antérieur du coccyx et du sacrum cause des douleurs assez intenses. Ni gonflement ni autres altérat
(à 60°), et la pression sur le grand nerf sciatique cause un peu de douleur . Pas de troubles de la motilité aux jambes. Sen
de troubles de la motilité aux jambes. Sensibilité au tact et à la douleur normale. Réflexes rotuliens et plan- taires nor
6. - Dès l'entrée à la clinique, le sommeil a été très mauvais. Les douleurs aux cuisses et à la partie inférieure du dos on
les muscles des membres inférieurs. La sensibilité au tact et à la douleur est normale. Maintenant pas de réflexes rotulie
de réflexes des tendons du poignet. Cet après-midi, le malade a des douleurs très intenses dans les jambes, et il se tourne da
se lamente tout haut. Sédation par la morphine. 10. - Aujourd'hui, douleurs très fortes, localisées au côté postérieur des
il n'y a pas de trouble de conscience. Quelquefois il se plaint de douleurs fortes. 16. - En faisant l'analyse de l'urine p
nerfs sciatiques et même à côté de ces troncs nerveux provoque des douleurs . Cela n'est pas le cas pour la colonne vertébra
crum. En faisant l'examen du rectum, on ne trouve pas maintenant de douleurs par pression. Pas de signe de stomatite. 19. L'
nt, il ne répond presque jamais. Aujourd'hui il ne se plaint pas de douleurs , et il n'y a pas nécessité de lui donner de la
miné surtout par les symptômes du côté des nerfs périphériques. Les douleurs des jambes ont été le phé- nomène le plus impos
qui est du cas de Grosz (signes de névrite d'un cubi- tal avec des douleurs spontanées, fortes, des douleurs à la pression de
de névrite d'un cubi- tal avec des douleurs spontanées, fortes, des douleurs à la pression de l'olécrâne du même côté et ens
es douleurs à la pression de l'olécrâne du même côté et ensuite des douleurs fortes d'un nerf sciati- que poplité externe),
urs. Cependant, presque pas de parésie, mais de l'anesthésie et des douleurs . Bientôt guéri'par l'usage de mercure. Les symptô
Symptômes de polynévrite, plus pro- noncés aux membres supérieurs. Douleurs fortes aux membres supérieurs. Paralysie unilat
s jambes, marche difficile et avec des jambes écartées, quelquefois douleurs aux jambes, pas d'anesthésie ailleurs, mais la se
s urines et d'ailleurs le tableau clinique d'une poly- névrite avec douleurs très vives dans les jambes. Depuis, guérison cons
Aussitôt qu'il eut fini ce traitement, la polynévrite apparut. Les douleurs étaient très fortes. Le malade fut traité encor
se, une albuminurie légère et des symptômes de polynévrite avec des douleurs si vives qu'il ne put dormir. Depuis la suppres
raitement, puis il a pris encore 9 frictions. Pendant ce temps, des douleurs intenses ont commencé aux jambes. Le malade était
entre les deux séries. Pendant la deuxième série (en février), des douleurs généralisées ont com- mencé. Le malade est deve
temps. En juillet de la même année, sont encore une fois venues des douleurs vagues et une asthénie générale. Quelques jours p
perai en quelques mots. Le malade est venu à la clinique à cause de douleurs fortes aux jambes. Il pouvait parler de la prem
rvice à la clinique, cette fois ont hésité pour l'explica- tion des douleurs entre un processus syphilitique (par exemple une
ou une polynévrite due à une intoxication mercu- rielle. Comme les douleurs étaient le phénomène dominant du tableau cliniq
p d'hésitation, que la syphilis était la cause la plus probable des douleurs . En conséquence, ils ont donné de nouvelles inj
our le diagnostic de cas de cette espèce. Nous avons trouvé que des douleurs très fortes ont été décrites pour les cas de po
core un exemple d'une polynévrite mercurielle non douteuse avec des douleurs très fortes et, en conséquence, nous pouvons co
ence, nous pouvons conclure qu'il est probable que l'apparition des douleurs fortes peut quelquefois former un symptôme de l
oly- névrite peut être caractérisée quelquefois par l'apparition de douleurs très fortes, il sera peut-être à l'avenir moins
es, et on est venu au résultat qu'il n'était pas impossible que les douleurs fussent dues à un processus morbide de nature s
t le pavé, le bras fut légèrement tiraillé. Le malade ressentit une douleur assez vive à la main, remontant le long du bras g
cheval et continua son service ; une demi-heure on une heure après, douleurs et engourdissement avaient complètement dis- pa
i hypoesthésie au contact ou à la piqûre ; le malade n'a jamais eu de douleurs . Inexcitabilité faradique et galvanique complèt
ment res- senti le tiraillement du plexus brachial sous forme d'une douleur ascen- dante de la main à l'épaule et d'un engo
ment et affaiblissement ont progressé, et en même temps il a eu des douleurs , gênantes, mais pas très intenses, sur tout le
s aller consulter le médecin du corps. Mais ces temps derniers, les douleurs sont devenues plus vives et l'impotence du bras
il puisse dire si cette impotence était entièrement due on non aux' douleurs ; il a dû se faire évacuer. Quand on l'examine,
; il a dû se faire évacuer. Quand on l'examine, on constate que les douleurs qu'il accuse sont très mal localisées, elles si
st-à-dire aux muscles dépendant du plexus brachial supé- rieur. Les douleurs diffuses et persistantes de l'épaule chez un homm
mbe sur l'épaule gauche, le bras porté en arrière ; il eut quelques douleurs , mais ne consulta pas de médecin ; au bout de 8 à
s de médecin ; au bout de 8 à 10 jours, il retourna en classe, sans douleur , sans paralysie aucune. Depuis bien longtemps i
lée vint recouvrir son pied droit. Il resta debout, il eut quelques douleurs à la face externe du pied droit, jamais très vive
à la piqûre de la plante du pied droit. Le malade n'a jamais eu de douleurs proprement dites, mais assez souvent des crampe
fance et une jeunesse heureuses. Il y a six mois, elle a été prise de douleurs d'intensité variable aux épaules et à la poitri
s, surtout la nuit, très violentes. Après quelques semaines de. ces douleurs , la malade ne pouvait plus déverses bras jusqu'
elle a commencé à engraisser et en même temps elle res- sentait des douleurs vagues plus accentuées aux membres inférieurs et
leurs spontanées principalement au commencement de la maladie. Ces douleurs augmentaient avec les mouvements et on ne pouva
les mouvements et on ne pouvait la toucher, si grandes étaient les douleurs . Le 8 avril 1915, elle a été opérée et le chiru
inésie. Il n'y a pas d'ataxie, d'apraxie ni d'agnosie. Sensibilité. Douleurs vagues au membre inférieur gauche. Douleurs bien
d'agnosie. Sensibilité. Douleurs vagues au membre inférieur gauche. Douleurs bien prononcées dans les parties oedématiées. A
tissu-cellulaire adi- peux dans certains régions, et la présence de douleurs dans ces régions, douleurs qui sont spontanées
dans certains régions, et la présence de douleurs dans ces régions, douleurs qui sont spontanées ou provoquées. ' Le syndrom
MÉTHODIQUE DE sauvages 299 « Ceux qui ont une asthénie sentent des douleurs vagues et légères dans les membres pour peu qu'
t de la malade, le Dr Sousa Neves, je dois ajouter qu'elle a eu des douleurs de l'oreille droite par lancées'qui dataient de
Réflexes pupillaires paresseux à la lumière. La sensibilité à la douleur , autant qu'il me fut possible de m'en rendre co
t un examen de l'oreille droite (Dr Mello). Le tympan était normal. Douleur plus vive il la hauteur de l'apophyse'mastoïde
22 novembre 191 't. - La malade a pendant 4 ou 5 ans souffert de douleurs de tôle migrai- neuses typiques. Sa mère et une
milieu de ses déjections, étonnamment abattue. Se plaint de fortes douleurs de tête. Le médecin appelé a pu constater un pe
t à fait désorientée au sujet du temps et de l'espace. Se plaint de douleurs de tète. Bâille de temps en temps. Importante r
ire, la malade s'est sentie subjectivement soulagée - avec moins de douleurs de tète. Cependant elle est toujours apathique et
t, moins désorientée. Cependant, toujours apathique, avec de fortes douleurs de tête. Absolument aucune flaccidité du bras g
patiente peut donner des renseignements perceptibles. Toujours des douleurs de tèle, mais légères. La température du soir : 3
la poitrine, mais y arrive à peu près sans marquer de sensations de douleur . Pression du sang : 135 millimètres mercure.
la jambe gauches, ainsi que de la partie gauche de la face. Aucune douleur de tète, Aucun indice d'hémianopsie.'La tempéra
portante auparavant. Les deux derniers jours elle s'est plainte de douleurs de tête. Ce jour-là, durant un trajet en automo
, et s'est plainte de forts bourdonnements d'oreilles et de grandes douleurs de tête. Au bout de quelques minutes, elle a pe
nérienne. Les cinq dernières années, il a souvent souuért de fortes douleurs de tête, pas nocturnes, localisées dans le fron
est né 2 mois trop tôt. Le 12 mars, après quelques heures'de fortes douleurs de têle, le malade a zizi INGVAR eu, pendant
gauche de la bouche. Il est resté couché une semaine avec de fortes douleurs de tête et des douleurs dans la nuque. Il répond
est resté couché une semaine avec de fortes douleurs de tête et des douleurs dans la nuque. Il répond bien, quand on lui par
e du 23. Les derniers jours avant son entrée à la cli- nique aucune douleur de tète spéciale, mais il s'est plaint d'une gran
mes graciles, mais normalement construit. Teint blême. Se plaint de douleurs de tête. Est éton- namment hébété et indifféren
e, tardif aussi bien dans ses réponses que dans ses mouvements. Ses douleurs de tête se sont un peu diminuées. La raideur de
40 globules blancs par millimètre cube. 30. Le patient se plaint de douleur de tête. Le phénomène de Babinski se produit en
: 37°. Le pouls : 80. - 2 avril. Le patient ne se plaint plus de douleurs de tête, mais de douleurs dans le bas du dos. L
2 avril. Le patient ne se plaint plus de douleurs de tête, mais de douleurs dans le bas du dos. La raideur de la nuque touj
tre cube. il heures du soir. Le patient, qui s'est plaint de fortes douleurs de tête immédiatement après la ponction lombair
res manifesta lions de l'irritation nerveuse et en particulier à la douleur . , Les troubles de la sensibilité en paieil,cs
ent la lésion du plexus brachial est démontrée par l'exis- tence de douleurs sur le trajet des troncs nerveux. Dans des cas as
trajet des troncs nerveux. Dans des cas assez rares (obs. IV),,les douleurs sont sponlanées. Elles passent alors pour des d
bs. IV),,les douleurs sont sponlanées. Elles passent alors pour des douleurs rhumatismales, sont exagérées par les changements
sur l'avant-bras et de l'avant- bras sur le bras. Parfois encore la douleur provoquée parcelle manoeuvre retentit jusqu'au
'a, d'autre part, comme base clinique qu'un phénomène subjectif, la douleur . 1° La détermination du rapport des seuils de T
laires. L'hyperesthésie atténuée des troncs nerveux, l'existence de douleurs pseudo-rhumatismales achèvent, dans certains ca
in et Barré, les manifestations irritatives sont patentes. Outre la douleur , on constate des contractures importantes, de l
culaire, les troubles trophiques cutanés et ostéo-articulaires; Les douleurs sont légères et demandent à être recherchées, l
muscles périscapulaires, trapèze, deltoïde, grand pectoral, biceps. Douleurs spontanées légères. Au- cune modification des r
du plexus brachial (C V et C VI) est démontrée cliniquement par la douleur à la pression des divers éléments du plexus brach
l'a serrée et le bras entier a été entraîné et fortement tiraillé. Douleurs et gêne consécutive dans le bras. Augmentation pr
s ont une consistance nettement diminuée. Le blessé accuse quelques douleurs spon- tanées dans le membre atteint, sous forme
? romeal. La participation du plexus brachial est manifestée par la douleur à la pression au niveau des divers éléments de
lexus brachial est mise eu évidence cliniquement par l'existence de douleurs à la pression au niveau du point d'Erh, du mé-
autres éléments nerveux ne sont pas. douloureux. Il n'existe auc ne douleur spon- tanée. .. La participation du plexus br
main). v Participation du plexus brachial démontrée par de légères douleurs spon. tanées et une forte hyperesthésie des tro
vement, surtout difficile au milieu de sa course, provoque quelques douleurs . A signaler enfin comme autre trouble moteur un
à une légère contracture de défense des muscles élévateurs contre la douleur . Aucun autre trouble organique nerveux n'est à
- La participation du plexus brachial est rendue manifeste par les douleurs spontanées et provoquées, surtout par celles-ci
r le froid. La chaleur lui convient mieux. Mais ce sont surtout les douleurs provoquées qui sont caractéristiques. Tout mouv
par exemple la flexion de l'avant- bras sur le bras, détermine des douleurs le long des racines du plexus brachial depuis l
du plexus brachial met aussi en lumière l'origine ner- veuse de ces douleurs . Le point d'Erb, le circonflexe, le médian, sont
Observation V (PI. LXII). J... Joseph. Traumatisme violent du bras. Douleurs consécutives de l'épaule et de la main. Trouble
ales. Participation du plexus brachial démontrée par l'existence de douleurs à la pression au niveau du point d'Erb et du tr
un oedème notable pendant plu- sieurs semaines et reste le siège de douleurs d'abord et surtout au niveau de l'épaule, plus
ployé au bureau du sergent-major. Il y fait de son mieux, mais des douleurs spontanées comparables à des coups de poignard
e sont normales. La sepsibilité subjective est fort atteinte et des douleurs spontanées du type fulgurant éclatent sur le tr
valeur fonctionnelle. 3° Des troubles de la sensibilité subjective ( douleurs fulgurantes) sans trouble de la sensibilité obj
s les membres inférieurs et dans la partie inférieure du tronc, des douleurs assez mal définies, distribuées sur- la totalit
- la totalité des' membres, sans localisation articulaire spéciale. douleurs surve- nant par crises assez violentes, réveill
e- nant par crises assez violentes, réveillées par le froid humide, douleurs brus- ques, rapides, passagères, affectant parf
leurs brus- ques, rapides, passagères, affectant parfois le type de douleurs fulgurantes. Ces douleurs ont persisté, par cri
passagères, affectant parfois le type de douleurs fulgurantes. Ces douleurs ont persisté, par crises plus ou moins espacées,
eu de noter que ce traitement spécifique demeure sans effet snr les douleurs des membres infé- rieurs. A l'âge de 57 ans;
consiste en une certaine gêne douloureuse dans les mouvements, sans douleurs spontanées, ni diurnes ni nocturnes ; aux coudes
; à aucun moment de l'évolution, le sujet n'a jamais pré- senté de douleurs spontanées. Les tissus péri-articulaires sont peu
point, sur les condyles tibiaux ou fémoraux, on ne détermine aucune douleur à la pression; l'exploration osseuse fut beauco
la main, toutefois ils peuvent être très facilement, et sans aucune douleur , ramenés en bonne position. Là laxité articulaire
les mouve- ments, et qui depuis longtemps ne s'accompagne d'aucune douleur spon-/ / tanée ou provoquée- Bien que l'arthr
e trace de fongosités ; aucune abcédation ne s'est produite; aucune douleur ne s'est manifestée et la palpation profonde comm
diffère encore de la description classique par l'absence totale de douleurs . Ce fait pourrait être expliqué par l'absence d'o
ée à l'hôpital parce qu'elle ressentait dans ces derniers temps des douleurs abdominales. Il y a cinq ans qu'elle avait comm
violente et rapide. Au moment où nous avons observé la malade, les douleurs avaient diminué d'intensité,' et pris un caractèr
des ecchymoses, des contusions, des signes organiques, tant que les douleurs sont très vives, il faut conseiller le repos, l
a dou- leur. C'est un fait d'observation banale que, pour calmer la douleur dor- so-lombaire ou abdominale, l'homme instinc
ire j'en connais qui durent depuis le mois d'août 1914 alors que la douleur a beaucoup diminué ou même disparu ? On a parlé d
rait, à mon avis, invoquer avec plus de vraisemblance là peur de la douleur . Un blessé qui, dès le débul, a souffert dans l
on dorso-lombaire, qui a courbé et immobilisé son troncpourcalmerla douleur , qui sait par expérience que les mouvements et
que les mouvements et surtout l'extension du rachis exagèrent cette douleur , qui souvent souffre encore longtemps après le
longtemps après le début du traumatisme, peut bien avoir peur de la douleur , peur de l'exagérer si elle existe encore, de la
somme toute, d'électrothérapie persuasive. Sous l'in- fluence de la douleur électrique douleur très supportable, nous nous
trothérapie persuasive. Sous l'in- fluence de la douleur électrique douleur très supportable, nous nous en sommes assurés p
aitement tant que la guérison ne sera pas obtenue, la crainte de la douleur électrique produise chez lui un effet salutaire
. Il a cherché à se redresser, mais n'a pas pu le faire à cause des douleurs lombaires. Depuis ce moment il est resté courbé
debout, mais il peut fléchir et mouvoir latéralement le tronc, sans douleur . On remarque trois plis transversaux sur l' l'a
inutes. Lorsqu'il revint à lui, il éprouva des maux de tête, et une douleur si vive, au niveau de la région inguinale gauch
ant les trois premiers jours, il aurait eu de la pollakiurie et des douleurs dans le bas ventre. Il aurait remarqué, à ce mo
ement, appuyé sur deux cannes. Il est un peu moins courbé, mais les douleurs dans la région lombaire et dans la Iranche persis
la jambe sur la cuisse est incomplète, et l'adduction provoque une douleur dans la hanche. Les autres mouvements sont normau
ait en flexion à droite et à gauche. Le sujet se plaint de quelques douleurs intermittentes dans la région lombaire , lorsqu
à lui qu'à l'hôpital de Châlons. Il a éprouvé à ce moment une forte douleur dans le dos et les reins, ainsi que des maux de
ation pathologique. La percussion des vertèbres réveille une petite douleur au niveau des régions cervicale et lombaire. Au
ouvements de la tête s'exécutent normalement avec souplesse'et sans douleur . Du côté du troue, la flexion et les mouvements d
lexes radiaux et tricipitaux sont normaux. Le blessé se plaint de douleurs dans le rachis, à la région lombaire, et de que
nce et a voulu se relever. Mais il n'a pas pu, à cause de violentes douleurs dans le dos. Il s'est traîné au poste de secour
gardé le lit, où il restait toujours couché sur le côté à cause des douleurs dorso-lombaires. Après un examen radiographique q
oureuse, mais celle de la colonne vertébrale révèle quelques vagues douleurs , au voisinage des 8e, 9" et 10e vertèbres dorsa
de troubles moteurs ni sensitifs. Le malade se plaint seulement de douleurs et de fai- blesse dans les reins, disant qu'il
OUQUES ET MÉGEVAND, 31»e° NAIDITCH ET RATHAUS il éprouvait de vives douleurs dans les reins et dans le bas-ventre. Sorti du
ement. Il s'y est couché sur le côté, en chien de fusil, à cause de douleurs lombaires. C'est ainsi qu'il est arrivé au poste
s, ni vaso-moteurs. Le sujet se plaint de faiblesse des reins et de douleurs dans la région sacro-lombaire. Il dit qu'il y sou
t. Il a essayé de se redresser, mais n'a pas pu, à cause d'une vive douleur dans la région lombaire. Soutenu par ses cama
ans la position courbée. Aussitôt après l'accident, il a ressenti une douleur dans la région lombaire gauche. Cette douleur a
nt, il a ressenti une douleur dans la région lombaire gauche. Cette douleur a persisté pendant dix mois, - 1- TRAITEMENT
se retournait du côté gauche, il était réveillé immédiatement par la douleur qu'il compare à un point de côté. Au bout de di
a douleur qu'il compare à un point de côté. Au bout de dix mois, la douleur commence à diminuer peu à peu et finit par disp
est revenu à lui. Il se sen- tait meurtri partout et éprouvait des douleurs assez vives dans les reins. Il n'avait ni ecchy
l où il est resté une quinzaine de jours. C'est là, dit-il, que, la douleur dorso-lombaire persistant, il s'est plié davantag
Aucun de ces traitements n'a amené de changement dans son état. Les douleurs , assez'fortes pendant le premier mois,-se sont pe
s d'anesthésie. Comme troubles de la sensibilité subjective, pas de douleurs sauf dans la région dorso- lombaire, où de temp
de temps en temps le malade accuse une gêne plutôt qu'une véritable douleur . ' Le 22 octobre 1916, traitement électrique (c
nnaissance pendant 10 à 15 minutes. Revenu lui, il ressent une vive douleur dans la région lombaire, et ne peut redresser son
'de secours, on ne peut pas l'allonger sur un brancard à cause des douleurs , et c'est sur TRAITEMENT DE LA CAMPTOCORMIE PAR
nt une heure ou deux. Il dit que la station debout augmen- tait lés douleurs lombaires. On le traite par le massage et les ven
endant 10 jours, tout à fait redressé. On le lui enlève à cause des douleurs qu'il éprouvait dans la région lombaire. A pein
aucune déformation appré- ciable. La percussion ne détermine aucune douleur ni sur les vertèbres, ni sur les masses muscula
même au niveau des membres inférieurs. Ici cependant il accuse une douleur dans la région lombaire, à chaque mouvement. Le
ms, Rouen et Trouville. A Trouville, il a encore vomi du sang ; ses douleurs dans la région lombaire étaient si vives qu'on
ud et l'électricité. L'incurvation du tronc a un peu diminué et les douleurs lombaires ont presque disparu ; il souffre enco
use, mais la percussion sur la colonne lombaire provoque une petite douleur . TRAITEMENT DE LA CAMPTOCORMIE PAR L'ÉLECTROTHÉ
on du tronc et les mouvements de laté- aralité se font bien et sans douleur . Tous les mouvements de la tête se font normale
subjective, sauf quelques céphalées très rares et quelques va- gues douleurs à la région lombaire, aux changements de temps se
essayé de se redresser mais n'a pu le faire, à cause des violentes douleurs ressenties dans la région lombaire et de trembl
était toujours incurvé et il souffrait dans la région lombaire; ces douleurs lombaires persistèrent assez vives pendant cinq
la morphologie dorso-lombaire. La percussion du rachis provoque une douleur dans la région ~ dorso-lombaire; la masse commu
NAIDITCH ET RATHAUS sujet éprouve dans la région dorso-lombairé une douleur qu'il compare à un tremblement. Les mouvements
ents de latéralité se font également bien et pro- voquent aussi une douleur dans la même région. La motilité des membres in
ie : ni superficielle, ni profonde. Le blessé se plaint de quelques douleurs lombaires, de temps en temps, surtout aux changem
était courbé. Il a voulu se redresser, mais n'a pas pu, à cause des douleurs éprouvées dans la région lombaire : il avait du
douleurs éprouvées dans la région lombaire : il avait du reste des douleurs un peu par- tout et se sentait complètement bri
Il est resté alité les dix premiers jours, se plaignant beaucoup de douleurs dans la région lombaire et de céphalées. Il était
décubitus dorsal et l'allongement des membres provoquaient une vive douleur sacro-lombaire. Il se lève le onzième jour, mai
redresser, mais incomplètement, et ce mouvement s'accompagne d'une douleur dans le rachis, au niveau de la région lombo-sa
le une TRAITEMENT DE LA CAMPTOCORMIE PAR f ? LEC1'HOt'H$RAPJE 435 douleur dans la région lombaire et sacrée : de même la ma
lité des membres inférieurs est normale : à signaler simplement une douleur surtout à droite, pendant la flexion des cuisse
i super- ficielle ni profonde. Le malade se plaint d'éprouver une douleur variable d'intensité dans la ré- gion lombaire
soupe. Ce n'est que quelques heures plus tard qu'il a ressenti des douleurs dans le dos. Il continue son service, malgré le
senti des douleurs dans le dos. Il continue son service, malgré les douleurs , pendant cinq semaines encore. Ce n'est qu'au b
rer à l'hôpital Itollin, avec le diagnostic : embarras gastrique et douleurs . 11 était très courbé. Pendant son séjour à l'h
par contre celle des masses musculaires sacro-lombaires révèle des douleurs des deux côtés. ' Le 29 janvier 1917, traitemen
exécute avec une souplesse parfaite, en accusant cependant quelques douleurs ^ dans la région lombaire. Ce malade va être sou
tait fortement plié en avant. Il ressentait en même temps de fortes douleurs dans le dos et la région lombaire. Il n'avait p
de troubles organiques moteurs ni sensitifs, à part quelques vagues douleurs , aux changements de temps, dans la région lomba
ce jour donné des guérisons rapides et durables. Le souvenir de la douleur électrique et la crainte de cette douleur, au c
rables. Le souvenir de la douleur électrique et la crainte de cette douleur , au cas de rechute, produisent probablement un ef
ulants ou sédentaires, se faisaient forts d'ex- tirper avec ou sans douleur cette pierre parasite. Une légère inci- sion du
2 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
ment dans un point de son étendue. Alors, il se produit, et cela sans douleur , sans réaction d'aucune espèce, une chute du doig
armons aussitôt d'une épingle et nous l'enfonçons « sans éveiller cle douleurs dans divers points de la main « et de l'avant-bra
crite. Les trois phénomènes prédominants sont : 1° Tout d'abord des douleurs ; 2° Une parésie avec analgésie d'un côté, puis d
sie peuvent être quelquefois primitives, c'est-à-dire antérieures aux douleurs . Enfin, d'autres troubles tro-phiques surviennent
paux symptômes avec quelques détails. Tout d'abord, nous trouvons des douleurs qui précèdent généralement l'apparition de la par
énéralement l'apparition de la parésie et de l'analgésie. Ce sont des douleurs névralgi-formes. Puis vient la parésie avec atrop
n même temps une analgésie et une anesthésie, portant sur le tact, la douleur et la température. M. Morvan le dit expressément
omyélique de l'anesthésie. Les sensations de tact sont conservées, la douleur n'est point perçue autrement que comme contact, m
eu chez un malade, à une certaine époque, des panaris accompagnés de douleur . Aux panaris viennent s'ajouter un certain nomb
ent disparues. De ceb'trois panaris, le premier s'était accompagné de douleurs extrêmement vives, qui empêchaient le malade de d
ue celles-ci saignaient, s'ulcéraient sans qu'il ressentît la moindre douleur . Cela se passait après l'évolution et la guérison
ique pas très affiné. Fij. 6 et 7. — Hémianalgésie gauche. Pas de douleurs , sauf une céphalée très vive, presque constante.
en passant sur ce fait, que cette fracture s'accompagnait d'une vive douleur et que l'application de ce premier appareil, ains
cas de paralysie hystéro-traumatique. Un élément sensitif quelconque, douleur , engourdissement, consécutif soit au traumatisme,
nt sur la ligne médiane, auniveau du médian, est très douloureuse. La douleur est locale et n'irradie pas dans les doigts. La d
uloureuse. La douleur est locale et n'irradie pas dans les doigts. La douleur à la pression sur le médian, jointe à la déformat
ents, sans siège précis, dans la main malade. « La sensibilité à la douleur est absolument disparue dans toute la main, à l'e
rcostaux. La sensibilité à la chaleur et la sensibilité profonde à la douleur n'ont pas été notées. « Il n'existe pas de trou
r tout entier est le siège d'une anesthésie complète au contact, à la douleur , au froid et au chaud, se terminant en haut par u
i n'est point la règle en pareil cas. Le malade ne se plaint pas de douleur . En aucun point du membre vous ne constatez d'atr
des de la sensibilité. La sensibilité au toucher y est conservée ; la douleur , au contraire, n'est plus perçue que comme contac
rès évidente de la sensibilité générale pour tous ses modes (contact, douleur , température) dans toute la moitié droite du corp
e de la digestion. La nuit il avait des étouffements, souffrait d'une douleur dans le flanc gauche (siège actuel d'une zone hys
Rendu) fait défaut (1). Etat actuel. — Anesthésie pour le tact, la douleur et la température dans la moitié gauche de la fac
Möbius, Hasner, Senator, Saundby, Parinaud et Marie, etc.. Période de douleur ; période de paralysie portant sur tous les filets
qui ne figure pas dans les autres dénominations, à savoir l'élément douleur , lequel joue, dans l'espèce, un rôle considérable
u reste ce qu'on entend par migraine: migraine, hémicranie, c'est une douleur de tête non toujours, tant s'en faut, unilatérale
n faut, unilatérale, contrairement à ce que le terme semble exprimer; douleur revenant par accès et compliquée le plus souvent
ément paralysie à considérer clans la migraine ophthalmoplégique ; la douleur , l'hémicranie, la migraine en un mot est là, touj
n. Voici comment les choses se passent : c'est, remarquez-le bien, la douleur , et souvent une douleur intense, atroce, disent q
ses se passent : c'est, remarquez-le bien, la douleur, et souvent une douleur intense, atroce, disent quelques-uns, qui. ouvre
leur intense, atroce, disent quelques-uns, qui. ouvre la scène; cette douleur est une hémicranie par excellence, elle reste loc
t à l'occiput, tantôt à la nuque ou encore sur les deux à la fois. La douleur s'accompagne d'ailleurs généralement, comme dans
l'on appelait autrefois un phénomène critique. Oui, je le répète, la douleur et aussi le malaise et les vomissements disparais
ans, accès toutes les 4 eu 6 semaines. Ils durent de 3 à 4 jours. La douleur occupe Je côté gauche, elle s'accompagne de friss
; durée de 3 à 6 jours environ, mensuels. Début à l'âge de 13 ans. La douleur et l'ophthalmoplégie siègent à gauche. Il y a du
et de vomissements. Sa durée est de 8 à 10 jours; pendant ce temps la douleur est constante, mais elle est surtout intense le m
rares. les intervalles ne sont pas toujours parfaitement libres, la douleur apparaît parfois dansées intervalles à l'état rud
à l'époque tardive de l'apparition des règles, à l'âge de 23 ans. La douleur , dans ces accès, était bilatérale, elle s'accompa
, dans le plus récent d'entre eux qui a eu lieu en février 1890. La douleur occupe d'abord la moitié droite de la région occi
a région occipitale, dans l'étendue de la paume de la main. C'est une douleur profonde qui n'est pas exaspérée par les attouche
es vomissements, qui déjà s'étaient manifestés dès l'apparition de la douleur occipitale, se montrent plus intenses. Uniforméme
ures ; la malade a de la peine à s'endormir ; le matin, au réveil, la douleur reparaît; elle est d'abord très supportable; mais
iodiques dont parle M. Senator dans son fort intéressant mémoire : La douleur de tête, en effet, reparaît par moments, à titre
etc., etc., a persisté pendant une vingtaine de jours; après quoi, la douleur ayant complètement cessé d'exister , sont apparus
périodiquement les fluxions. Où siègent les unes et les autres ? Les douleurs de la période hémicraniquo établissent suffisamme
à souffrir de migraines qui revenaient environ deux fois par mois. La douleur migraineuse était suivie de vomissements et quelq
end à la région pariétale et enfin à la profondeur de l'orbite. Cette douleur s'accompagne de nausées et de vomissements intens
r vers cinq ou six heures et atteint son maximum vers 9 heures. Cette douleur s'est reproduite tous les jours, exactement avec
es mêmes caractères, environ pendant un mois. Au bout de ce temps, la douleur ayant cessé tout à coup de paraître, survient une
de ce temps, en février, a eu lieu la 2e attaque qui commence par des douleurs de même localisation et de même intensité que la
s; même caractère vespéral et nocturne. Au bout de trois semaines, la douleur cesse et est remplacée par une paralysie oculo-mo
il n'y a pas eu de nouveaux grands accès ; mais, très fréquemment, la douleur de tête reparaissait, parfois avec nausées et vom
a mère ; elle fut prise ce jour-là de son 3e grand accès. Violentes douleurs de tête localisées à droite dans les régions indi
propos des deux premières attaques. Vomissements ; exaspération de la douleur vers le soir. Cette période douloureuse a duré ju
ze jours après, le ptosis commence à diminuer graduellement. Mais les douleurs reparaissent de temps en temps, suivies d'une réa
spinale. Pas de troubles de la sensibilité cutanée au contact, à la douleur , à la température. Pas de douleurs fulgurantes. P
ensibilité cutanée au contact, à la douleur, à la température. Pas de douleurs fulgurantes. Pas de signe de Romberg. Rien du c
épaules, les mains, les cuisses, les jambes ; elle y cause tantôt une douleur et tantôt une enflure, dont celle des jambes est
sèche et froide. De plus il existait une hyperesthésie exquise et des douleurs spontanées dans la jambe et le pied. Ces phénom
sans traumatisme, la malade est tenue éveillée toute une nuit par des douleurs vives dans le bras, l'avant-bras et les jointures
e soude et l'antipyrine. Mais tout cela ne produit point d'effet, les douleurs et le gonflement persistent et enfin, au bout de
furent appliquées, lamalade ne les sentit pas, elle n'éprouva aucune douleur , ce qui montre bien qu'il y avait déjà tout au mo
existe une anesthésie pour tous les modes de la sensibilité, contact, douleur et température, remontant sur le bras jusqu'aux e
usqu'à un travers de main au-dessus du poignet, pour le tact. Pour la douleur , l'analgésie remonte à un travers de main plus ha
ge de bois dont un lourd morceau vint heurter le dos de la même main. Douleur très vive dans la main et dans le bras. Pas de pe
vants, pendant 4 ou 5 jours, elle continua de travailler, bien que la douleur fût assez vive et que la main se fût mise à gonfl
Tout cela dura un mois environ. Au bout de ce temps, voyant que la douleur persistait et que la déformation (poing fermé) ne
temps, pas d'attaques de nerfs, pas de perte de connaissance, pas de douleurs de ventre. Etat actuel. — 8 décembre 1889. — Ce
e dans la région anesthésique. Anesthésie complète pour le tact, la douleur , la chaleur dans toute la longueur du membre supé
e complète pour tous les modes de la sensibilité, tact, chaud, froid, douleur . Goût : Aboli à droite. — Vue : Rétrécissement
e hystérique avec crachements de sang, toux fréquente, expectoration, douleurs intercostales. Dans la suite la malade quitta l
t qualifiée par son médecin, tantôt d:aiguë, tantôt de chronique. Les douleurs d'estomac se répercutaient dans le dos et en un p
perdu connaissance. Elle se coucha tout de suite, avec une violente douleur dans le côté et également dans le ventre et dans
lle vomissait tout ce qu'elle prenait. Il existait aussi une certaine douleur dans le genou, mais qui attirait moins l'attentio
ans le genou, mais qui attirait moins l'attention que les autres. Les douleurs de ventre et de côté ont duré environ 5 mois. L
lon presque contre la fesse et il était impossible de l'allonger. Des douleurs vives se faisaient sentir dans le genou et la han
quatre vésicatoires. Cela dura 4 mois 1/2 à 5 mois. Puis, à cause des douleurs violentes, on fit usage de laudanum, enfin d'un b
ayant sans doute reconnu la véritable nature de sa maladie (1). Les douleurs de hanche, qui se confondaient d'abord, au dire d
e hanche, qui se confondaient d'abord, au dire de la malade, avec les douleurs de côté du début, n'ont pas cessé pendant tout le
cuisse, cette différence n'est plus que de 1 centimètre à peine. La douleur est vive à la partie interne du genou, au niveau
ssion profonde. Il est remarquable que, quand on plie le genou, cette douleur n'est pas limitée à l'articulation, mais s'étend
ent depuis cette époque. Flueurs blanches dans l'intervalle. Pas de douleurs de ventre spontanées. Pas d'ovarie. Pas de zones
e au niveau des articulations malades. Sensibilité diminuée pour la douleur , le chaud et le froid dans toute l'étendue du mem
lissé et est tombée sur le côté malade. Elle se plaint d'une violente douleur à la hanche. On n'observe pas de contusion, pas d
contusion, pas d'ecchymose. La malade ne peut localiser exactement la douleur . Les mouvements sont douloureux comme précédemm
ment la douleur. Les mouvements sont douloureux comme précédemment. Douleur vive à la pression dans la région de la cuisse.
a trente-quatre heures et on fut obligé d'employer le forceps. Pas de douleurs ni de crampes dans le3 jambes pendant le travail.
ête fœtale. Cette compression s'est manifestée ultérieurement par des douleurs et de l'engourdisse-ment dans les deux membres in
nt pénible ; plusieurs applications de forceps. Après l'accouchement, douleurs continues avec exacerbations très vives dans le m
s vives dans le membre inférieur gauche, surtout dans la fesse. Les douleurs se localisent rapidement au pied gauche, aux orte
tale de ce nerf n'a duré que peu de temps, il est vrai, et bientôt la douleur a occupé seulement le domaine du nerf sciatique p
tions, ainsi que les contractions utérines, s'accompagnaient de vives douleurs dans la fesse et le membre inférieur du côté gauc
assez mauvais état, resta inerte dans son lit, se plaignant de vives douleurs dans le membre inférieur gauche et la fesse. Ces
nt de vives douleurs dans le membre inférieur gauche et la fesse. Ces douleurs se localisèrent bientôt dans le pied gauche et le
faiblissement de la sensibilité à la face plantaire du pied. Pas de douleur à la pression. Douleur spontanée, continue, profo
sibilité à la face plantaire du pied. Pas de douleur à la pression. Douleur spontanée, continue, profonde, entrecoupée d'élan
jambe et la cuisse pouvaient remuer, mais non le pied ni les orteils. Douleurs spontanées le long de la jambe, jusqu'à l'extrémi
ns obnubilée à cette époque, car l'électrisation ne provoquait pas de douleurs . Dix mois plus tard (avril 1875), elle peut mar
oforme. La malade dit que pendant le travail elle ressentait de vives douleurs dans les deux membres inférieurs, mais qu'après l
de la voûte plantaire est un peu moins sensible au chatouillement. Douleurs dans le pied depuis le début de la maladie, conti
ève et passe la journée aux Halles à travailler debout. Le soir même, douleurs abdominales et frisson. Les jours suivants : fi
s ; application de vésicatoires sur le côté gauche de l'abdomen. Puis douleurs dans la jambe et le pied gauches qui « étaient co
3). —Etat général mauvais; frissons, fièvre, amaigrissement prononcé. Douleurs vives dans l'abdomen avec irradiations dans le me
nts de latéralité nuls. Sensibilité au froicl, à la chaleur et à la douleur abolie « dans toute l'étendue de la face antéro-e
l'arcade crurale, etc..) Incision. — Le lendemain de l'opération les douleurs ont diminué. Quinze jours après, les muscles ex
de un seul jour. Il n'a jamais eu de rhumatisme aigu ni chronique, ni douleurs d'aucune sorte en dehors de celles dont nous allo
ue, ni au froid, ni à l'humidité. La maladie dura un mois environ. La douleur était localisée aux reins et à la partie supérieu
à la partie supérieure de la fesse gauche. Il n'y eut point alors de douleurs dans la cuisse ni la jambe. Le traitement consist
ns à l'aide de l'alcool camphré. Dans les années qui suivirent, les douleurs sciatiques revinrent en tout trois fois, à peu pr
t pu lui donner naissance. Il est absolument formel sur ce point. Les douleurs revenaient tantôt l'été, tantôt l'hiver ; la dern
ois elles commencèrent en novembre 1888. A la deuxième attaque, les douleurs , qui étaient restées la première fois limitées à
essier, péronier, malléolaire étaient douloureux constamment ; et les douleurs réunissaient ces points dans les paroxysmes. C'
douleurs réunissaient ces points dans les paroxysmes. C'étaient des douleurs continues, sourdes, sans élancements, du moins da
lit. La dernière attaque disparut le 25 décembre 1888. Aussitôt les douleurs cessées, le malade s'aperçut qu'il existait une f
ôté sain. Les phénomènes douloureux n'existent plus aujourd'hui. La douleur spontanée, sur le trajet du sciatique, a complète
ue, a complètement disparu. A la pression, dans les mêmes régions, la douleur est à peu près nulle, sauf peut-être un peu au ni
-être un peu au niveau du point péronier. Il n'existe pas non plus de douleur à la pression des masses musculaires du mollet. U
e gauche sont distribués de la façon suivante : 1" Sensibilité à la douleur . — Il existe une zone d'analgésie commençant au-d
soixante-quinze ans. Elle avait été at teinte pendant longtemps de douleurs , dont la malade ne sait pas définir la nature. Le
ense. A la même époque elle fut prise, sans cause occasionnelle, de douleurs dans le genou gauche, douleurs absolument limitée
ut prise, sans cause occasionnelle, de douleurs dans le genou gauche, douleurs absolument limitées à cette région. Ces douleurs
ans le genou gauche, douleurs absolument limitées à cette région. Ces douleurs ont duré six mois environ, sans qu'elle fût oblig
on, sans qu'elle fût obligée de rester couchée. L'hiver suivant les douleurs du genou ont reparu et se sont propagées à la che
a cheville. Cette région était enflée et violacée. A ce moment pas de douleurs à la cuisse ni à la fesse. Depuis l'âge de ving
nça dans le côté droit, puis se reporta vers l'omoplate; et enfin les douleurs se fixèrent à la tête, toujours à droite. Jamais
ais par contre, immédiatement après, le jour même, elle ressentit une douleur très aiguë dans tout le membre inférieur gauche,
auche, le long du sciatique. Tout le membre a été pris d'emblée. A la douleur s'ajouta une faiblesse du membre, telle que la ma
de ne pouvait se tenir debout, la jambe ployant sous elle. Ces fortes douleurs ont duré environ trois mois, puis elles se sont c
is, et enfin, il y a quinze mois, le dernier. Pendant six mois, les douleurs ont été intolérables. Puis intervint un mois de r
té intolérables. Puis intervint un mois de relâche pendant lequel les douleurs étaient bien moins vives. Elles reprirent ensui
ernier). Pendant les intervalles, elle n'est jamais complètement sans douleurs ; le moindre froid, un faux pas suffisent pour les
sans obésité ni maigreur exagérées. Le visage porte l'empreinte de la douleur . Elle se plaint de souffrir dans tout le membre i
ns tout le membre inférieur gauche, sur le trajet du sciatique. Ces douleurs changent continuellement de place, par moments el
au mollet, ou enfin au pied. Actuellement, elle se plaint surtout de douleurs vives au mollet. Les régions douloureuses à la
gauche l'extension est nulle, la flexion est affaiblie à cause de la douleur , l'adduction et l'abduction presque nulles ; à la
e de syringomyélie. Sensibilité au tact conservée. Sensibilité à la douleur conservée à la cuisse, atténuée à la face externo
a été atteint d'eczéma en 1870, souffre depuis environ quinze ans de douleurs vagues dans les membres inférieurs et particulièr
e droite. La sciatique actuelle a débuté il y a dix-huit mois par des douleurs suivant le trajet du nerf, accompagnées de sensat
marche était encore facile, lorsqu'il y a quatre mois l'intensité des douleurs la rendit presque complètement impossible. Le tra
ire (milieu de la plante du pied). Dans l'intervalle de ces points la douleur est plus vague, quoique non complètement absente.
loppée sur un terrain manifestement arthritique comme l'attestent les douleurs vagues musculaires et l'eczéma dont le malade a é
pause à cinquante-quatre ans. Variole à quatre ans. A vingt-deux ans, douleurs rhumatoïdes dans l'épaule et le coude, du côté dr
, douleurs rhumatoïdes dans l'épaule et le coude, du côté droit ; ces douleurs ont persisté pendant quatre ans. En 1855, au mois
rsisté pendant quatre ans. En 1855, au mois de janvier, apparition de douleurs dans la jambe droite, très vives au niveau du mol
lade ne peut le poser à terre, elle est obligée de garder le lit. Ces douleurs ont duré pendant une année ; après quoi, elles on
quoi, elles ont diminué mais sans disparaître. Trois ans après, les douleurs s'étendent à la cuisse. Il paraît donc établi que
ès, les douleurs s'étendent à la cuisse. Il paraît donc établi que la douleur a été en remontant. Les points douloureux sont pl
le point trochantérien ; un point au niveau de la région sacrée. Ces douleurs ont persisté, avecexacerbations une ou deux fois
Boulogne), le 22 avril 1890, pour la difficulté de la marche, et les douleurs qu'elle ressent dans le membre inférieur droit.
aire, plantaire, quelques irradiations douloureuses au mollet, et une douleur au niveau de la région sacrée. Elle se plaint d
itive du sciatique poplité externe) et une hypoesthésie au tact, à la douleur et à la température, dans toute l'étendue du memb
e tombe et frotterait sur le sol sans le steppage. Mais à cause de la douleur que provoque la pression du pied sur le sol, elle
en vite son pied gauche Fig. 27 et 28. — Ancsthésie au tact et à la douleur chez la malade de l'Observation X. (Les stries
. ) en avant pour rester le moins longtemps possible, à cause de la douleur , appuyée sur le pied droit. Dans la progression d
Vers le milieu de décembre 1885, il ressent pour la première fois une douleur au-dessus du sacrum. Il était à cette époque fact
2 janvier 1886, au sortir du lit, il éprouve subitement une violente douleur qui, suivant la partie postérieure de la cuisse,
de la jambe et gagne le bord externe du pied. Peu de jours après, la douleur est tellement forte qu'elle lui arrache des cris
oite fléchit, se dérobe, si bien qu'il tombe à terre. Ce n'est pas la douleur qui le fait tomber, mais la faiblesse delà jambe
nsultation de la Salpêtrière. Etat actuel. — Le malade se plaint de douleurs qui suivent le trajet du sciatique, douleurs « en
— Le malade se plaint de douleurs qui suivent le trajet du sciatique, douleurs « en coup de canif » plus fortes au début et à la
nuit quand il se réveille couché sur le côté droit, il ressent des douleurs « en trait, en éclair » qui partent en même temps
tries simples indiquent les points où le frôlement n'est pas perçu,la douleur , le chaud et le froid perçus comme simples contac
ent conservé la sensibilité tactile, mais a perdu la sensibilité à la douleur , à la chaleur et au froid; la seconde, limitée à
ocateur et la névrite, que rendent incontestable les caractères de la douleur , la longue durée de l'affection, Fanes-thésie du
st possible que son développement ait eu pour cause occasionnelle les douleurs , la misère, les souffrances de tout genre endurée
ron, elle a souffert d'un point douloureux dans le côté droit ; cette douleur fut traitée par son médecin comme affection du fo
mettait sur le compte de son métier. Elle s'est plaint fréquemment de douleurs de tête. Elle aurait eu aussi des fièvres intermi
de la maladie. — Vers le mois de mai 1890 apparaissent les premières douleurs dans la jambe droite. Ce sont d'abord comme des c
et une certaine faiblesse, une maladresse du pied droit. Bientôt, la douleur se localise nettement au creux poplité (nerf popl
ndre fort pénible la manoeuvre de la machine à coudre; la nuit, cette douleur l'empêchait de dormir. Mais, de crainte de perdre
qu'elle a de la peine à le redresser; elle se plaint également d'une douleur siégeant au niveau du tendon d'Achille. En sept
e douleur siégeant au niveau du tendon d'Achille. En septembre, ses douleurs sont si vives qu'elle doit quitter son travail; e
e, entre l'ischion et le grand trochanter. Pendant trois semaines, la douleur est extrêmement vive et la malade ne peut absolum
lade ne peut absolument pas s'asseoir sur la fesse droite. Toutes ces douleurs , que la malade localise bien sur le trajet du sci
la traita pour une paralysie et l'électrisa tous les deux jours. La douleur diminua peu à peu en quittant d'abord la région f
mbre inférieur droit. — La malade fléchit et étend sans peine et sans douleur la cuisse sur le bassin et la jambe sur la cuisse
ade assise peut s'appuyer aujourd'hui sur sa fesse droite sans grande douleur , mais le poids du corps porte surtout sur la fess
s sont normaux. Il n'y a pas de rétrécissement du champ visuel. Les douleurs sur le trajet du sciatique ont presque complèteme
és que les extenseurs. Le malade se plaignait, en outre, de violentes douleurs dans les jambes, survenant la nuit principalement
l'esprit en face de cet ensemble symptomatique, démarche de stepper, douleur , atrophie musculaire, pied violacé et œdémateux,
e la pression des masses musculaires ne semblait occasionner qu'une douleur insignifiante et que les réflexes rotuliens n'éta
de l'asile de Vincennes lorsqu'il fut pris, sans cause apparente, de douleurs violentes dans le membre inférieur gauche. Ces do
apparente, de douleurs violentes dans le membre inférieur gauche. Ces douleurs , presque continuelles, suivaient exactement le tr
nt manifestes. Au bout de deux mois, c'est-à-dire il y a un mois, les douleurs s'étendirent au membre inférieur droit, affectant
ai dit que, sous l'influence de l'antipyrine et de l'acétanilide, les douleurs se sont calmées, et que le malade a retrouvé le s
j'ai constaté la conservation des réflexes patellaires, l'absence des douleurs à la pression des masses musculaires. J'ajoute qu
mine affectent plutôt les membres supérieurs et n'occasionnent pas de douleur . Le diabète peut bien, à la vérité, donner lieu
ral est meilleur, et en l'absence de signe de carcinose viscérale, de douleur et de déformation spinale, il ne peut plus en êtr
Oui, il existe des sciatiques doubles non symptomatiques. Puisque les douleurs peuvent gagner la sphère du crural, des différent
s rare de voir les deux jambes atteintes; seulement, dans ces cas, la douleur d'un côté est tellement faible qu'elle passe inap
muscles innervés par le péronier (V. plus haut le n° VII) et que, la douleur disparue, cette paralysie persistante était capab
et mange bien ; enfin l'aspect cachectique, créé sans cloute par les douleurs et l'insomnie, s'efface de jour en jour. Est-ce à
re question ici de névrites périphériques. Il n'y a, en effet, aucune douleur spontanée, ou à la pression des muscles, aucune p
modifiée. Elle resta stationnaire. Il n'y avait alors ni céphalée ni douleur périorbitaire. Pas de douleurs fulgurantes. Pas d
aire. Il n'y avait alors ni céphalée ni douleur périorbitaire. Pas de douleurs fulgurantes. Pas de vomissements. Le 4 novembre
on ne constate de troubles de la sensibilité, ni au contact, ni à la douleur , ni à la température. Le sens articulaire et musc
e et musculaire est partout conservé. Le malade n'a jamais éprouvé de douleurs vives, sinon de temps en temps dans les épaules e
l'état actuel, du moins dans l'histoire du malade, l'existence de ces douleurs violentes qui caractérisent l'une des périodes de
les cornes postérieures servent de conducteurs aux sensibilités à la douleur et à la température, tandis que la sensibilité au
des membres supérieurs, en commençant par l'extrémité. A la suite de douleurs rhumatoïdes prodromiques, il se produit une faibl
panaris dans leur évolution, remarquez-le bien, n'ont produit aucune douleur . Les incisions diverses qu'on a pratiquées, l'o
anaris se sont produits sans cause occasionnelle appréciable, et sans douleur , je le répète. Il existe d'ailleurs une paréso-an
nstftu-tionnel. — Névralgies diabétiques symétriques et unilatérales, douleurs à caractère fulgurant; absence des réflexes rotul
serve et non l'ataxie vraie. Observation de paraplégie diabétique : Douleurs à caractère fulgurant; démarche de stepper; paral
d, qui indique le caractère fulgurant que peuvent parfois revêtir ces douleurs et mentionne l'action favorable du salicylate de
. (Cas de Rosens-tein.) A côté de ces névralgies dans lesquelles la douleur est généralement continue, il faut placer, toujou
il faut placer, toujours dans le symptomatologie du diabète, d'autres douleurs localisées plus ou moins exactement sur le trajet
de fulgurations revenant par accès, de façon à simuler assez bien les douleurs fulgurantes de l'ataxie locomotrice. Il y a longt
hui un fait bien établi. Mais si l'on peut voir dans le diabète des douleurs fulgurantes analogues à celles de l'ataxie, on pe
. Mais pourquoi ne pas dire que l'existence, chez les diabétiques, de douleurs fulgurantes analogues à celles que l'on rencontre
ns de dire, c'est que chez un diabétique, vous pouvez trouver : l°des douleurs fulgurantes et diverses dysesthésies, 2° l'abolit
'il simule la démarche tabétique. Dans ces conditions, la présence de douleurs fulgurantes et du signe de Romberg, l'absence des
de ressemblance avec la paraplégie diabétique. Là aussi il existe des douleurs fulgurantes, des analgésies, l'abolition des réfl
ces pseudo-tabes, on rencontre l'absence des réflexes rotuliens, des douleurs plus ou moins fulgurantes, et enfin un syndrome m
queur de Fehling). Le malade se plaint en outre, depuis 18 mois, de douleurs à caractère fulgurant ne le réveillant jamais pen
vient o ou 6 fois par jour et n'est pas suivi d'hypéresthésie. Pas de douleurs dans les jambes, mais il se produit facilement dè
us les couvertures, ils lui brûlent et il est obligé, par suite de la douleur que cela lui fait éprouver, de les exposer de nou
ments existent aussi de temps en temps aux membres supérieurs. Pas de douleurs à ce niveau. Pas de maux de tète. Rien du côté de
côté de l'estomac. Troubles de la miction assez nets : quelques rares douleurs en urinant; quelquefois s'il ne se présente pas a
objets rapprochés. La sensibilité parait normale au contact et à la douleur . Faiblesse générale extrêmement prononcée. Amai
eu une période de huit jours environ pendant laquelle il souffrait de douleurs violentes dans l'oreille. Puis celles-ci cessèren
phénomène a persisté, presque aussi intense qu'au début. Bien que les douleurs spontanées aient à peu près complètement disparu,
out ne se sont jamais présentées sous l'aspect si caractéristique des douleurs fulgurantes du tabès, le malade continue à souffr
ez notre homme, mais qui a complètement disparu aujourd'hui, et de la douleur à la pression des muscles du mollet, qui persiste
d il existe une anesthésie absolue pour le tact, la température et la douleur , dont la distribution est fort intéressante dans
ser, et qui a des pituites matinales, des cauchemars nocturnes et des douleurs dans l'hypochondre droit. Notre malade appartient
staxis fréquentes et très abondantes; migraines caractérisées par une douleur frontale (sus-orbi-taire), débutant à n'importe q
que menstruelle. Outre ces migraines, la malade présentait encore des douleurs assez singulières de la face qui s'accusaient qua
loureux du même côté. Un an après, en 1888, au mois de juillet, ces douleurs se transformèrent en hypéresthésie exquise, local
ujourd'hui de nombreuses cicatrices) ne réveillaient aucune espèce de douleur ; il y aurait donc eu hémianesthésie douloureuse,
e de douleur; il y aurait donc eu hémianesthésie douloureuse, car les douleurs subjectives persistaient toujours. Cette hémipl
ujours encore quelque chose : un jour des migraines, le lendemain des douleurs dans les reins, etc. Elle a depuis consulté diver
renferment ni sucre ni albumine. De temps en temps, elle se plaint de douleurs dans les membres du côté droit, de migraines, de
e dans le reste du corps pour tous les modes de sensibilité (contact, douleur , température). Pas d'anesthésie pharyngée. La sen
s peine, il ressent dans le dos, entre les deux épaules, une violente douleur avec une sensation de suffocation qui l'oppresse
n de suffocation qui l'oppresse pendant dix minutes. Il se couche, la douleur devient moins aiguë, et le lendemain matin, vou
li pour soulever un fardeau très lourd ; il en était résulté une vive douleur le long du rachis, et une parésie des membres inf
ait à peine modifiée, la sensibilité thermique et la sensibilité à la douleur étant absolue. — (A. Sass. Deux cas de lèpre nerv
est arrivé il y a un an, quand B... soulevant un poids a éprouvé une douleur vive au niveau du rachis. L'os s'était effondré,
Le malade (chose curieuse) n'accuse aucun trouble fonctionnel, aucune douleur , aucune limitation dans les mouvements du cou. Il
mentaux de la période praataxique : ni les phénomènes visuels, ni les douleurs fulgurantes, ni le signe de Romberg, rien enfin.
six ans environ. Cette application d'un fer chaud n'a pas produit de douleur vive, tandis que les pointes de feu prescrites, i
e feu prescrites, il y a quinze ans, par M. Charcot, provoquaient une douleur véritable. La sensibilité à la douleur, sans êt
M. Charcot, provoquaient une douleur véritable. La sensibilité à la douleur , sans être complètement abolie, ne subsiste qu'à
ait à cette époque et encore aujourd'hui, quoique plus faiblement, de douleurs siégeant au niveau de la région temporale, douleu
us faiblement, de douleurs siégeant au niveau de la région temporale, douleurs presque permanentes, s'exaspérant vers cinq ou si
r le gros orteil gauche: cet orteil est tuméfié, violacé. Au matin la douleur s'apaise pour reparaître la nuit suivante avec la
gène dans le flanc gauche. La compression de ce point détermine de la douleur , un serrement du cou, un sifflement dans les orei
fut prise un jour, sans cause apparente, de maux de tête affreux. La douleur , localisée à l'origine dans la région pariétale g
tre ou cinq fois dans la nuit. Au bout d'une huitaine de jours, cette douleur vespéro-nocturne ne resta pas localisée à la régi
. Après une nuit d'agitation extrême, le matin, vers sept heures, les douleurs se calmaient et la journée se passait dans un end
mois une céphalée très spéciale, essentiellement caractérisée par une douleur vespérale et nocturne, atroce, locale d'abord, si
eau sédative en permanence. Quelles étaient les irradiations de cette douleur , quel en était le siège précis? C'est ce qu'il no
durant deux mois environ, ce malade a éprouvé dans les mollets des douleurs atroces, à caractère nocturne. J'ignore quelle es
gnification exacte. Ce n'est pas là assurément le lieu d'élection des douleurs ostéocopes, mais ce caractère nocturne n'en est p
d'une céphalée violente, qui dura une quinzaine de jours. C'était une douleur continue, beaucoup plus vive cependant de six heu
hie plus ou moins prononcée. D'autre part, les troubles vésicaux, les douleurs , les anesthésies qui n'appartiennent pas davantag
tion de phénomènes tabétiques. Ici vous verrez figurer au tableau les douleurs fulgurantes, le signe de Romberg....., l'incoordi
ondait juste et sans délire..... Dans la journée du 25 juillet, les douleurs rhumatismales reparurent aux articulations des de
un peu de fièvre....., le lendemain il n'y avait plus qu'un peu de douleur au poignet gauche, et, le surlendemain, toute dou
qu'un peu de douleur au poignet gauche, et, le surlendemain, toute douleur avait disparu. » Ecoutez attentivement, je vous
rquée d'enfantillage. Le 30 juillet, il y eut retour très accentué de douleurs rhumatismales qui se généralisèrent les jours sui
bre environ, date à laquelle de nouveaux phénomènes survinrent. Des douleurs de tête apparurent, assez nettement localisées au
, à la moitié gauche du front et au-dessus de l'œil du même côté. Les douleurs de tête ne se manifestèrent pas particulièrement
on de la sensibilité pharyngée ; diminution de l'ouïe du côté droit ; douleur provoquée par la pression de la région ovarienne
ir du moment où elle a commencé à être réglée, M«e X... a souffert de douleurs très vives dans le bas-ventre à chaque période me
lque temps après l'accouchement, survint un gonflement du ventre avec douleur dans le flanc gauche. Ce gonflement d'abord inter
temps. La malade poussait des cris aigus, se plaignait d'une violente douleur au cœur et à l'estomac. De plus, les membres supé
à l'avance, car elles sont précédées, pendant tout ce temps, de vives douleurs dans la tête. Elle ne tombe pas par terre, mais r
pes battent avec force. A ce moment, elle éprouve à l'épigastre une douleur plus ou moins violente, avec sensation d'une poch
mbes enflées pendant quelques jours. En même temps, elle souffrait de douleurs vagues qui changeaient continuellement de place,
reins. On ne peut guère être renseigné par elle sur la nature de ces douleurs . Elle a toujours été sujette à des flueurs blan
ud et au froid. Mais il n'en est pas de môme pour la sensibilité à la douleur , et il existe, sinon une analgésie, du moins une
nt dite, donne lieu néanmoins à la production de l'aura, hystérique : douleur au cœur épigastrique, constriction du pharynx, se
ent par s'enflammer et du gonflement survint avec de la fièvre et des douleurs épouvantables à chaque crise. On fut obligé de ma
ius, Ilasner, Senator, Saundby, Parinaud et Marie, etc.... Période de douleur ; période de paralysie portant sur tous les filets
onstitutionnel. — Névralgies diabétiques symétriques et unilatérales, douleurs à caractère fulgurant; absence des réflexes rotu-
serve et non l'ataxie vraie. Observation de paraplégie diabétique : Douleurs à caractère fulgurant; démarche de stepper; paral
00; Amyotro-phie dans la—,400,412; Troubles vésicaux dans la —, 400 ; Douleurs fulgurantes dans la—,400 ; Anesthésies dans la —,
3 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
ation du sein gauche ; depuis la mois de juin la malade seutant des douleurs le long du membre supérieur droit. Depuis 5 sem
des douleurs le long du membre supérieur droit. Depuis 5 semaines, douleurs en ceinture ; elles atteignent les plis de l'aine
Quand on appuie sur toute la colonne vertébrale, la malade sent la douleur dans ces mêmes vertèbres. La malade ne peut pas
'hôpital le 21 mai 1908. Il est malade depuis 7 moi. Il a de fortes douleurs , surtout dans la région de la XIe côte. Elles d
rax et de là s'irradient en arrière vers la colonne vertébrale. Les douleurs sont vives, presque constantes, elles augmenten
sorte que le malade ne dort pas depuis quelques mois. A côté de ces douleurs , le malade se plaint de douleurs symétriques du
epuis quelques mois. A côté de ces douleurs, le malade se plaint de douleurs symétriques du côté gauche, mais elles sont plus
leurs symétriques du côté gauche, mais elles sont plus faibles. Les douleurs augmentent quand le malade bouge, quand il se lèv
il se lève du lit,ou quand il se courbe. Pendant l'accès de fortes douleurs du côté gauche, le malade sent parfois une étra
fortes douleurs du côté gauche, le malade sent parfois une étrange douleur . comme si l'on cassait sa hanche droite et sa gau
ossible jusqu'aujourd'hui; il ne se fatiguait pas et n'avait pas de douleurs dans les membres inférieurs. Pendant ces dernière
laire normale, excepté les muscles fléchisseurs de la hanche (forte douleur ). Les réflexes patellaires sont faibles des deu
espace qui sépare la ligne axillaire antérieure et postérieure. Des douleurs siègent aussi dans les Ve et VIe espaces interc
spondantes (entre la ligne axillaire antérieure et postérieure), la douleur la plus forte est en dehors du mamelon droit. D
Xe espace inter- costal gauche. 29 mai. Le malade ne sent plus de douleurs du côté gauche, à droite elles persistent. kid
elles persistent. kid 4Juin. -Le malade se plaint de très fortes douleurs en ceinture. Elles pas- sent sous l'ombilic et
des deux côtés). 0 Il iyin. Pendant 4 jours, le malade souffrait de douleurs dans la région supérieure de l'abdomen, sous le
vertébrale n'est pas douloureuse. 15 juin. - Le malade se plaint de douleurs en ceinture au-dessous de la XIIe côte ; les do
se plaint de douleurs en ceinture au-dessous de la XIIe côte ; les douleurs partent de la colonne vertébrale, vont en avant e
Prof. Oppenheim, qui nota (le 25 août 1908) les choses suivantes : douleurs dans la région dorsale inférieure, le dernier t
te est d'être couché sur le dos. Les compresses chaudes calment les douleurs , qui sont si fortes et si constantes que le malad
alade reçoit tou- tes les 3-4 heures une injection de morphine. Les douleurs ne sont pas bien localisées. La région la plus
férieure de la colonne vertébrale (lombo-sacrée). En outre il a des douleurs dans les hypochondres surtout à droite et des d
tre il a des douleurs dans les hypochondres surtout à droite et des douleurs en ceinture. La colonne vertébrale est arquée a
t sa mort) ressent dans la ré- gion de la XIe côte droite de fortes douleurs qui s'irradient vers la colonne vertébrale. Les
de fortes douleurs qui s'irradient vers la colonne vertébrale. Les douleurs sont presque constantes, augmentent la nuit. Du
ouleurs sont presque constantes, augmentent la nuit. Du côté gauche, douleurs semblables, mais moins fortes. Pendant les crises
Pendant les crises dou- loureuses,la cuisse droite estle siège des douleurs rappelant celles des frac- tures. Dans les dern
roit. Pendant son séjour à l'hôpital, le malade a éprouvé de fortes douleurs des deux côtés, sous les côtes, dans différente
s les côtes, dans différentes régions de l'abdomen (de même que des douleurs en ceinture). Le réflexe du tendon d'Achille droi
tie de l'hôpital (4 semaines de séjour), il commença à éprouver des douleurs sous la XIIe côte ; de la colonne vertébrale elle
us son lit, quoique la marche lente soit encore possible. Une forte douleur dans la partie inférieure de la colonne vertébral
a partie inférieure de la colonne vertébrale, dans les côtés et des douleurs en ceinture. Tous les 3-4 heures, des injections
nne vertébrale au niveau de la XIIe ver- tèbre dorsale provoque des douleurs . La colonne est immobile. La pression sur les d
e le plus souvent dans les caries. On ne pouvait non plus noter des douleurs bien localisées et limitées, ce n'est que quel-
et limitées, ce n'est que quel- ques semaines avant la mort que la douleur a atteint son point culminant dans la région de
t dans la région de la XIIe vertèbre dorsale. De ce point aussi les douleurs s'irradiaient vers les dernières côtes, surtout
DE LA COLONNE VERTÉBRALE 55 Il y a 15 mois, la malade ressentit une douleur dans la région lombaire et des douleurs en cein
ois, la malade ressentit une douleur dans la région lombaire et des douleurs en ceinture dans le ventre. Au début les douleurs
n lombaire et des douleurs en ceinture dans le ventre. Au début les douleurs étaient d'une moyenne intensité mais stables. P
et les membres inférieurs. Elle marche difficile- ment à cause des douleurs qui augmentent-par le mouvement. Il y a 6 ans,
tension de la cuisse et de flexion du genou (il est possible que la douleur plus forte du côté droit explique ce mouvement af
appui, tient raide sa colonne vertébrale. Quand elle se penche, la douleur dans la région lombo-sacrée augmente. La pressi
ertébrale depuis les dorsales moyennes vers le bas est douloureuse. Douleurs spontanées dans le sacrum (qui de là vont en ce
vec un couteau) ». Tout le membre inférieur droit lui fait mal. Les douleurs , nocturnes l'empêchent de dormir, elles sont de
t le séjour à l'hôpital, la malade souffrait énormément à cause des douleurs qui ne se calmaient qu'avec la morphine. Un certa
lantaire indéfini. La sensibilité est conservée. La malade gémit de douleurs . Elle tente de se suicider (en vaiu). Douleurs
. La malade gémit de douleurs. Elle tente de se suicider (en vaiu). Douleurs dans le dos, en ceinture et aux membres inférie
. La dose de 0,015 de morphine suffisante autrefois pour calmer les douleurs doit monter à présent à 0,025 sans grand effet.
15 mois, la malade âgée de 43 ans éprouve pour la première fois des douleurs persistantes dans la région sacrée qui s'irra-
la région sacrée qui s'irra- diaient vers la région abdominale. Les douleurs envahissaient peu à peu les membres supérieurs
ance des orteils de s'étendre), te signe de Lasègue des deux côtés. Douleurs à la palpation de l'os sacré, des fesses et des
ypo- chondre droit). La malade immobilise sa colonne vertébrale. La douleur augmente quand la malade s'abaisse. La malade s
douleur augmente quand la malade s'abaisse. La malade se plaint de douleurs extrêmement fortes dans toute la' colonne verté
rit sa sensation : « comme si l'on coupait avec des couteaux ». Les douleurs s'arradient vers les hypocbondres et l'abdomen. L
». Les douleurs s'arradient vers les hypocbondres et l'abdomen. Les douleurs TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE
dant son séjour à l'hôpital, est apparu le gonflement des pieds. La douleur de la colonne vertébrale commence à se localise
. Tout le temps pendant son séjour l'hôpital la malade gémissait de douleurs . Une tentative de suicide à cause des douleurs
malade gémissait de douleurs. Une tentative de suicide à cause des douleurs intolérables. De temps en temps des soubresauts
d'une tumeur des vertèbres. En faveur de ce diagnostic partent les douleurs incessantes dans toute la colonne vertébrale, s
e vertébrale, s'irradiant vers les membres inférieurs et l'abdomen, douleurs qui ne la quittaient pas un instant,même sous l
mpérature, et de tout changement dans la co- lonne vertébrale ; les douleurs dans le cas de tuberculose rarement attei- gnen
séjour à l'hôpital, on constatait outre les symptômes précités, une douleur localisée dans les Ile et IVe vertèbres dorsale
augmentait toujours. Un peu plus tard apparurent les 58 FLATAU douleurs et une certaine immobilité de la nuque. Depuis un
certaine immobilité de la nuque. Depuis un an le malade ressent des douleurs dans la colonne vertébrale, qui s'irradient dans
s la colonne vertébrale, qui s'irradient dans les hypochondres. Les douleurs étaient plus fortes dans la position assise, dans
vements de la colonne vertébrale sont limités, le malade la ménage ( douleurs 1). Mouvements de la tète exécutés avec atten-
1). Mouvements de la tète exécutés avec atten- tion et avec peine ( douleurs 1). La douleur atteint le maximum d'intensité qua
de la tète exécutés avec atten- tion et avec peine (douleurs 1). La douleur atteint le maximum d'intensité quand le malade
rémasté- riens très vifs. ' 1er octobre. - Le malade se plaint de douleurs le long de la face postérieure de la cuisse et
s patellaires faibles. 26. - Le 'malade gémit sans cesse à cause de douleurs dans la région de la nuque et du dos. Autour de
pâtée. Quand le malade, reste un peu longtemps assis il éprouve des douleurs dans la partie dorsale su- périeure. Le réflexe
l'hôpital dans le même état. Pplaintes constantes contre les fortes douleurs de la nuque. Le malade reste toujours couché. T
uis deux ans, une autre tumeur sur la région supérieure du sternum. Douleurs de la nuque, une certaine immobilité de la colonn
fortes dou- leurs dans la région moyenne de la colonne vertébrale, douleurs en cein- ture sous les côtes. Etat actuel. -
res dorsales supérieures. Le ma- lade ménage sa colonne vertébrale ( douleurs ! ). Maximum de douleurs pendant l'abaissement
Le ma- lade ménage sa colonne vertébrale (douleurs ! ). Maximum de douleurs pendant l'abaissement de la tête. Pas de change
lle droit disparaît (abdominaux très vifs), et qu'il intervient une douleur le long de la face postérieure de la cuisse, de l
très douloureuse, molle, la flexion du pied droit, affai- blie. Les douleurs de la nuque le font gémir. Dans ce cas, la tume
aux phénomènes nerveux on peut les expliquer facilement. Les fortes douleurs dans la région de la nuque, l'immobilisation de l
60 FLATAU vertébrale pendant les mouvements, l'irradiation des douleurs étaient produites soitpar la compression des ne
lition du réflexe achilléen, l'affaiblissement du pied droit et des douleurs le long de la face postérieure de la cuisse, de
ue de cheval. Par suite de cette compression pouvait bien naître la douleur de la face postérieure de la cuisse et de la jamb
ation de la tumeur n'a pas été constatée et le malade n'a pas eu de douleurs dans cette région (l'examen par la voie anale n
ans, s'adressa à moi au mois d'août 1904. Il y a 3 ans il avait des douleurs du ventre. Cet état dura deux ans, puis les dou
s il avait des douleurs du ventre. Cet état dura deux ans, puis les douleurs disparurent. Il y a 6 mois il a ressenti une doul
ans, puis les douleurs disparurent. Il y a 6 mois il a ressenti une douleur au sacrum ; elle a envahi le membre inférieur d
le membre inférieur droit (face antérieure). Une semaine après, ces douleurs ont passé. A leur place ont apparu les douleurs
semaine après, ces douleurs ont passé. A leur place ont apparu les douleurs dans le pli de l'aine gauche s'irradiant vers l
che et vers la face anté- rieure de la cuisse. Depuis deux mois ces douleurs se sont propagées dans la région de la jambe ga
uche le long de sa face autérieure. A ce moment il n'y avait pas de douleurs au sacrum ni dans la jambe droite. Ce n'est que d
ni dans la jambe droite. Ce n'est que depuis quelques jours que les douleurs de la cuisse droite réapparurent et en plus des
rs que les douleurs de la cuisse droite réapparurent et en plus des douleurs du genou droit et du sacrum (sensation de chaleur
ntenant 143 livres. Durant les deux derniers mois, il calmait ses douleurs par des injections de morphine à hautes doses.
région sacrée et la face antérieure delà cuisse droite. (Quant aux douleurs du ventre qui ap- parurent quelques années aupa
r nature.) Lesdouleurs disparurent, à leur place le malade a eu des douleurs dupli de l'aine gauche, de la fesse gauche, à l
eure de la jambe gauche et au dos du pied. Quelques mois après, les douleurs du côté droit sont de nouveau réappa- rues : au
tèbres lombaires est palpable à travers les parois abdominales. Des douleurs fortes et constantes. La morphine se donne plusie
omprimait les racines lombaires, du côté gauche principalement. Les douleurs localisées surtout à la face antérieure des deux
Enfin contre cette dernière supposition parle l'absence absolue de douleurs et de troubles sensitifs sur la face postérieure
service du Dr Sawicki. Il y a deux mois et demi elle a ressenti des douleurs au sacrum. Pendant TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈR
la marche elles se calmaient et s'exaspéraient la nuit. Au début les douleurs restaient strictement localisées sans se propag
urs restaient strictement localisées sans se propager ailleurs. Les douleurs la tour- mentaient toujours, elles ne cessaient
ne cessaient parfois que pour 1 ou 2 heures. Il y a 3 semaines, les douleurs du sacrum commencèrent à se propager vers le mem-
che, vers le genou, le long de la face postérieure de la cuisse. La douleur a atteint le maximum d'intensité dans la région d
sur la face postéro-interne de la cuisse gauche. Depuis 4 jours, les douleurs ont envahi tout le membre inférieur gauche. Pre
auche. Presque simultanément le mem- bre est devenu oedémateux. Les douleurs au sacrum se calmèrent un peu. Le membre supéri
sacrum se calmèrent un peu. Le membre supérieur droit est libre des douleurs jusqu'à présent. Il y a trois semaines elle a e
de la hanche sont conservés mais très limités et faibles. De fortes douleurs accompagnent l'abduction de ce membre. Au genou
olume, dure, mobile. Résumé. Il y a 2 mois et demi apparaissent des douleurs au sacrum. Depuis 3 semaines ces douleurs comme
et demi apparaissent des douleurs au sacrum. Depuis 3 semaines ces douleurs commencèrent à se propager vers la face postéri
ropager vers la face postérieure de la hanche gauche. Le maximum de douleur siège dans la région de la fesse gauche et sur
o-interne de la partie supé- rieure de la hanche. Successivement, douleurs dans tout le membre gauche et gonflement de ce
e tumeur de l'os sacré, dans sa moitié gauche principalement. Les douleurs du sacrum, de la face postérieure de la hanche ga
ceinture. La colonne vertébrale ne présente pas de déformation. La douleur apparaît quand on comprime la Ire. vertèbre lomba
oite. Sensation de constriction en ceinture au niveau de l'ombilic. Douleurs à la palpation des vertèbres lombaires inférieu
jambes sont devenues faibles, il était forcé de se servir de canne. Douleurs du sacrum et sensation de serrement du ventre.
17 mars 1907. Il est malade depuis 10 ans. Il a ressenti alors des douleurs du côté droit au- dessus des côtes et en même t
oit au- dessus des côtes et en même temps commençait à boiter. La douleur du côté gauche de même que l'affaiblissement de l
ut être étendue seulement jusqu'à l'angle droit (plus loin apparaît douleur et résistance). Les muscles adducteurs de la cu
stomac, les reins, etc. Il faut toujours se rappeler que les fortes douleurs de la colonne verté- brale (ou de la région des
la cicatrice post-opératoire après l'ablation du sein et les fortes douleurs éprouvées dans la colonne vertébrale sont telle
l'observation II). Quant aux autres symptômes il faut mentionner la douleur des vertèbres à la palpation. Néanmoins ce cara
étendue (Bruns). Schlesinger attire l'attention sur ce fait que la douleur est provoquée non par la compression sur la ligne
out au débutatli. rer l'attention sur leur valeur diagnostique. Les douleurs sont tellement fortes et pénibles qu'on ne peut
en pleine santé psychique voulait attenter à ses jours... tant ses douleurs étaient atroces. Fort rarement les douleurs sont
à ses jours... tant ses douleurs étaient atroces. Fort rarement les douleurs sont insignifiantes (Oppenheim).Il peut arriver
ait des périodes d'accalmie (Mun- delius), mais leplus souvent les douleurs sont constantes. A ces malades on doit donner l
ois par jour dès quelques mois avant sa mort. Il y a des cas où les douleurs disparaissent pendant un certain temps, TUMEURS
uefois elles sont provo- quées par un effort musculaire (Bruns).Les douleurs siègent dans la colonne vertébrale et se propag
umeur vertébrale (Charcot). Minor et d'autres font remarquer que la douleur dans la région sciatique peut être le premier s
er du sein dans les vertèbres. Dans le cas décrit par Friedeberg la douleur sciatique-fut le premier symptôme d'un échinoco
sthésie générale de la peau. Le simple toucher leur fait mal. Les douleurs peuvent siéger dans d'autres endroits que la colo
er- tébrale. Il n'est pas rare que les malades ne ressentent pas de douleurs dans les vertèbres, mais dans les espaces inter
espaces intercostaux (obs. III) ou dans les membres. Quelquefois la douleur apparaît dans les vertèbres à une période avanc
nt un temps assez long ne présente d'autres symptômes que de fortes douleurs caractéris- tiques. Dans quelques cas nous avon
musculaire, sans troubles sensitifs ou sphincte- riens ; à côté des douleurs c'était l'unique symptôme qui indiquât l'exis-
ission. Ainsi par exemple dans un cas (obs. V) après deux années de douleurs il est survenu une accalmie de six mois. Oppenh
. Oppenheim dit que dans le cas de sarcome cette période exempte de douleurs peut durer encore plus long- temps, quelques an
Dans le cas décrit par Bliss le malade res- sentait auparavant des douleurs de la colonne vertébrale et de la raideur de la
ur de la nuque. Tout d'un coup il éprouve la sensation de froid, la douleur et une paraplégie complète s'établit (sarcome d
ne se produit pas, dans le cancer, assez souvent). L'apparition des douleurs des corps vertébraux, qui restent indolores à l
la palpation parle plutôt en faveur du cancer. Les 80 O FLATAU ' douleurs apparaissant à la compression de la région voisin
à la compression de la région voisine de la colonne vertébrale sans douleurs des corps vertébraux mêmes et sans douleurs pen
colonne vertébrale sans douleurs des corps vertébraux mêmes et sans douleurs pendant les secousses rapides imprimées à la co
out osseuses. Tare héréditaire dans l'une ou l'autre direction. Les douleurs radiculaires pendant de longues années parlent
e verté- brale sans pénétration dans le canal rachidien. Les fortes douleurs en ceinture que le malade a éprouvées doivent ê
umeurs verté- hrales, tandis qu'ils constataient pendant la vie les douleurs à type radi- culaire. ITL- Les lumeurs vertéb
tus. Danslesecond, sarcome du sacrum. Opération, six mois plus lard douleurs dans l'omo- plate gauche, dans les espaces inte
, complications). Dans certains cas (celui de Kron par exemple) les douleurs apparaissaient le lendemain de l'opération et l
pal- liative une section des racines postérieures, pour calmer les douleurs Quant à la valeur de cette méthode elle est enc
encore, que dans notre service on a employé comme moyen calmant les douleurs une compresse électrique permanente (le long de
nt électrique par un long câble. La chaleur calmait parfaitement la douleur . - - (A suivre.) (/4 suivre.) SOCIÉTÉ DE NEUR
u quadriceps, ou dans la sciatique,comme expression de défense à la douleur , et, bilatéralement, dans les affections doulou
la sensibilité était nor- male. Le malade ne se plaignait d'aucune douleur ; il avait bonne mine et ainsi que ses compagno
'existe aucun degré d'anesthésie thermique. - La sensibilité à la douleur paraît encore bien conservée. Pour ce qui a trait
iste aucun signe de thermo-anesthésie ; de même la sensibilité à la douleur parait encore bien conservée ; il semble toutefoi
ective aussi n'est pas troublée. Elisabeth ne se plaint t jamais de douleurs . La palpation sur le trajet des troncs nerveux es
s étendus on peut observer un cortège des symp- tômes tabétiformes ( douleurs , anesthésies, troubles trophiques, troubles de
ids du corps est de 69 kilos. 15 septembre. M. A. se plaint d'une douleur violente localisée à l'épaule droite au niveau
ée. Mêmes idées délirantes de négation et d'immortalité. 20. Même douleur localisée à l'épaule droite ; parésie du bras dro
Le poids du corps est de 65 kilos. 20 octobre. - M. A. se plaint de douleurs comparables à un arrachement dans les membres d
pouvoir bouger les doigts de la main droite et d'éprouver de fortes douleurs dans tout le membre supérieur droit. Pas de tro
lations paraissent gonflées. La température de la main est normale. Douleurs violentes dans tout le mem- bre droit qui est p
e. Douleurs violentes dans tout le mem- bre droit qui est parésié ; douleurs moins violentes dans le membre inférieur droit.
ensation de brûlure. Sous l'influence d'un enveloppement ouaté, les douleurs diminuent légèrement d'intensité. Les ongles de
vant-bras, du bras et de l'épaule ne présentent aucune atrophie. La douleur localisée à l'articulation scapulo-humérale est t
che à tromper toute surveillance. Il se plaint continuellement. Les douleurs de la main droite et de l'épaule sont toujours
encore peu étendus. On note encore du tremblement intentionnel. Les douleurs sont moins vives. Les troubles tro- piques sont
janvier 1904. Les troubles mentaux sont en voie de disparition. Les douleurs au niveau de l'articulation scapulo-humérale et a
n délire d'énormité. Cinq mois après le début des troubles mentaux, douleurs violentes localisées à l'articulation scapu- lo
érieur droit avec scotome scin- tillant. Un an après survinrent des douleurs très vives dans l'épaule et les phalanges droit
lle a éprouvé des crises pénibles dans la région précordiale et des douleurs entre les omoplates; puis toux et oppression. On
exsudat pleurétique qu'on ponctionna. Amélioration, puis de nouveau douleurs dans la poitrine et oppression. Au mois de septem
e diminua pas, les points de côté persistèrent. Il est apparu de la douleur au dos. Deux semaines plus tard les membres infér
malade avait constamment la sensa- tion de froid aux jambes et des douleurs qui apparaissaient et croissaient par accès. Le
téral et réflexes du tendon d'Achille abolis. Sensation de froid et douleurs paroxystiques aux jambes. Les sphincters fonction
s, est entrée à l'hôpital le 7 septembre 1905. Il y a dix semaines, douleurs dans la région occipitale. En même temps, gon-
supérieur droit. En même temps le membre est devenu le siège d'une douleur s'irra- diant vers l'omoplate. Le membre était
is deux jours la main gauche tremble. Hier la malade a ressenti une douleur et de la raideur de la main gauche. Une demi- h
La tête peut exécuter des mouvements bien limités sans provoquer de douleurs . Les fentes palpébrales et les pupilles sont norm
t d'une femme de 45 ans, qui ressent dix semaines avant sa mort des douleurs et des élancements derrière la tête. En même te
ut le membre supérieur droit devient raide, la malade y ressent des douleurs et le membre s'affaiblit peu à peu. Quelques jo
ptysie de peu de durée, sans récidive. 1 mois 1/2 plus tard, fortes douleurs brûlantes dans la région du sein droit. Les dou
s tard, fortes douleurs brûlantes dans la région du sein droit. Les douleurs au début n'ont pas eu le caractère continu, elles
ait des bains sulfureux. Après ce trai- tement son état empira. Les douleurs dans le sein droit sont devenues plus fortes, p
lade fut ins- tallé dans un sanatorium. Son état s'aggrava bientôt. Douleurs toujours plus fortes, presque constantes et se
fortes, presque constantes et se propageant vers l'épaule droite. Les douleurs du sein avaient un caractère brûlant, celles de
perçant. Après sa sortie du sanatorium il marchait avec peine. Les douleurs atteignaient leur maximum dans la position couc
s IVe-Vle vertèbres dorsales. Le malade se plaignait constamment de douleurs très fortes dans les régions mentionnées. Injec
ressenti un engourdissement de tout le membre inférieur gauche. Les douleurs augmentaient dans la marche à tel point que le ma
LONNE VERTÉBRALE 155 La tumeur (le lymphosarcome ? ) provoquait des douleurs localisées au début dans la région mammaire dro
ntré à l'hôpital le 14 juin 1905. Le malade a eu il y a six ans des douleurs dans l'hypochondre gauche et le flanc gauche. E
d'avril les points symétriques du côté gauche sont douloureux. Les douleurs sont devenues très fortes depuis une semaine, l
st devenu plus faible. 27 juin. - Pouls 120. Le malade se plaint de douleurs dans la région lom- baire. Affaiblissement géné
avant que la maladie soit définiti- vement installée; c'étaient des douleurs dans l'hypochondre gauche. Elles ont duré un an
venus compréhensibles et assez explicables. Nous sous-entendons les douleurs qui dépendaient probable- ment de la tumeur. '
volume d'un citron. Depuis elle croissait vite. Depuis une semaine, douleurs dans l'épaule et le bras gauches et affaiblisse
ment de la force musculaire du membre. Pendant que persis- tent les douleurs , intervient l'engourdissement de la moitié gauche
r située du côté gauche du cou, la malade- commença à ressentir des douleurs , de ce côté, dans le membre supérieur et sur le
uvait ni marcher ni s'asseoir sans aide. Maintenant elle n'a pas de douleurs dans la nuque, mais se plaint de fortes douleur
nt elle n'a pas de douleurs dans la nuque, mais se plaint de fortes douleurs dans la moitié gauche du tronc et d'une sensation
le et en avant. Les mouvements pas- sifs s'accompagnent d'une forte douleur de la nuque. Les vertèbres cervicales ne sont p
resser (avec de la peine). Réflexes abdominaux abolis. 26 août. Les douleurs du dos et de la nuque persistent toujours. La for
iration par le nez qui est devenue difficile. 6 septembre. - Fortes douleurs du dos et de la tète. Rétention d'urine. Fièvre
ifs. Au plantaire, extension de tous les orteils. 17 septembre. - Douleurs du cou et de la tête. Rétention de l'urine et d
ois après sont apparus les premiers symptômes nerveux sous forme de douleurs dans l'épaule et le bras gauches et un affaibli
s inférieurs a atteint un tel degré que la malade ne marchait plus. Douleurs du côté gauche du tronc. L'atrophie musculaire
ogiques. Les phénomènes par exemple du côté des membres inférieurs ( douleurs , etc.) et de la partie inférieure du tronc étaien
rfs et les plexus nerveux périphériques ; alors nous constatons des douleurs dans un membre supérieur, douleurs fortes, s'ir
ques ; alors nous constatons des douleurs dans un membre supérieur, douleurs fortes, s'irradiant vers les doigts, l'engourdi
rtes, s'irradiant vers les doigts, l'engourdissement du membre, des douleurs de la nuque et de l'occiput entre les omoplates
Bientôt l'affaiblissement de tout le membre supérieur s'ajoute aux douleurs (quelquefois les deux phénomènes sont simultanés)
IX) l'affaiblissement des membres inférieurs (après la période des douleurs dans la partie supérieure du corps) durait à pe
lite subaiguë (diplopie, troubles de déglutition et de mastication, douleurs des mains, démarche incertaine, incontinence d'
istinguer celles qui sont indolores et celles qui s'accompagnent de douleurs et d'hyperesthésies. Indolores, elles ne pourra
ète du membre inférieur. Lorsque les contractures s'accompagnent de douleurs , le diagnostic, plus difficile,-se pose avec la
s tissus en- flammés, est d'autant plus délicat que précisément les douleurs rendent l'examen très difficile. Ces cas, décri
tes les hypothèses de lésion organique possible. La diffusion de la douleur , im- possible a localiser en aucun point précis
attention sur le pied, lorsqu'il s'agit de la hanche ; l'absence de douleurs dans les petits chocs a distance 'retentissant
tions électriques... tout cela permettra de se rendre compte que la douleur n'a pas de substratum organique. Enfin toutes l
ypothyroïdien en soulevant un fût le 17 août 1905, ressent une vive douleur au niveau de la paroi abdominale. A partir de c
cisé-' ment à la toxi-infection lépreuse ; il se plaint souvent des douleurs sour- des et tenaces des névrites lépreuses; il
l'âge d'environ 38 ans, il fut atteint de troubles intestinaux avec douleurs , constipation et fièvre légère ; durée vingt jour
son fait même, notamment lorsqu'elle n'est pas accompagnée par des douleurs d'une certaine intensité, et, par consé- quent,
ouvements des articulations sont bien conservés et ils se font sans douleurs et sans craquements. Aucun signe de rachitisme.
gmentation de volume du squelette crânien a été accompagnée par des douleurs tantôt légères, tantôt violentes, localisées surt
is le manque d'hyperostoses dans le voisinage des articulations, de douleurs , d'hydarthrose, de craque- ments,etc... d'un cô
ue, commença à se plaindre de faiblesse générale, de céphalée et de douleurs aux os. Malgré un traitement avec injections de
et devint spasmodique. Un an après l'infection, il se manifesta des douleurs aux membres de droite, des dysarthries, des tro
dure de potassium. Lorsqu'on cessa les injections, la céphalée, les douleurs ostéocopes, l'éruption en forme de roupie réapp
on d'une nouvelle récidive (octobre 1905) apparut une très violente douleur de la tête et des yeux et parfois de l'amblyopie.
on durait encore que vers la seconde moitié de juin, apparurent des douleurs ostéocopes et de la céphalée, le soir, ayant so
e jours après réap- parurent de nouveau ensemble la céphalée et les douleurs ostéocopes, avec de 296 COSTANTINI légères él
et les mouvements passifs. La percussion sur le crâne éveille de la douleur , surtout en correspon- dance avec la région par
é à prendre de l'iodure, il a été de nouveau pris de céphalée et de douleurs ostéocopes, et la faiblesse de ses membres de g
n abondance. Quatorze mois environ après l'infection apparurent des douleurs ostéocopes contre lesquelles il fit une cure de i
les miens mêmes. Dans'mon pre- mier cas, en effet, la céphalée, les douleurs ostéocopes, les symptômes de parésie, s'aggravè
marche de la maladie dans mon second cas. Là, le patient, frappé de douleurs ostéocopes 14 mois après l'infection, commença à
été bieu portant. Au mois de février 1899, il a eu des très fortes douleurs dans la région lombaire. Elles ont duré six sem
ps et réapparues au mois de juin et depuis ne le quittent plus. Les douleurs sont très intenses et le malade en souffre énormé
enses et le malade en souffre énormément. Depuis quelques.semaines, douleurs en ceinture dans la région inférieure de l'abdo
ominaux sont absents. Pas de contractures. Le malade souffre de douleurs dans les Ile et 1110 vertèbres lombaires. Celles-
est abolie ou troublée. Constipation. Il urine avec difficulté. Les douleurs dans la région lombaire supérieure sont très fort
peu après l'administration de phénacétine avec de la codéine). Les douleurs siègent en ceinture au-dessous des côtes. - 29.
t en ceinture au-dessous des côtes. - 29. L'état reste le même. Les douleurs lombaires sont très fortes, .surtout pendant le
ont douloureuses il la pression. Quand on le secoue, il ressent une douleur modérée dans la région lombaire supé- rieure. L
surtout au centre, dans la substance grise. Résumé. Dans ce cas les douleurs furent le premier symptôme. Elles TUMEURS DE LA
-dessus de l'ombilic. Rétention de l'urine et des matières fécales. Douleurs dans les vertèbres lombaires supérieures et en
bres lombaires supérieures et en ceinture au-dessous des côtes. Les douleurs augmentent pendant les mouvements. Les vertèbres
a moelle. Le cas présent n'était pas difficile à diagnostiquer. Les douleurs fortes, pénibles, continues qui durèrent tout l
'hôpital le 25 août 1903 (1). Le malade en pleine santé ressent des douleurs dans l'hypochondre droit. Les douleurs augmente
en pleine santé ressent des douleurs dans l'hypochondre droit. Les douleurs augmentent la nuit, mais ne sont pas influencées
é. Il est à noter que .même à une période avancée de la maladie les douleurs n'étaient pas très intenses, elles occupaient l
plan dans le tableau cli- nique. Après trois semaines de durée des douleurs , l'affaiblissement des mem bres inférieurs a pr
llaire est devenue plus vraisemblable du moment qu'on a constaté la douleur à la pression et au courant galvanique de la IV,
inférieur de l'omoplate en arrière. Pas de zone d'hyperesthésie. Les douleurs ne sont pas trop intenses,localisées comme touj
ablement par une tumeur. Riais il nous manquait toujours les fortes douleurs qui accompagnent ordinairement la tumeur. En no
encore une vertèbre et à inciser la dure-mère. L'absence des fortes douleurs . si caractéristiques pour l'affection nous priv
M. Clarke, Jaffe, Bailey, Schuttze et d'autres, nous savons que les douleurs peuvent être au second plan et manquer totalement
e put-elle se lever et rentrer à la maison. De ce moment datent les douleurs au dos et au sacrum. Il y a un an elle a commen
mois, elle garde le lit, ne peut ni marcher, ni rester debout. Les douleurs au sacrum et surtout dans les membres inférieurs
épingles sous la peau des membres infé- rieurs. De temps en temps, douleurs en ceinture un peu au-dessous de l'ombilic et d
omissements. Jamais perte de connaissance. Elle dormait bien si les douleurs le lui permettaient ; elle ne se plaignait pas de
ladies nerveuses ou psychiqucs. A pré- sent la malade se plaint des douleurs au sacrum et aux membres inférieurs et de contr
giques. La pression des points du nerf trijumeau ne provoque pas de douleurs , la percussion de la tête est indolore. Membres
seurs du genou gauche. Troubles sensitifs : à gauche le toucher, la douleur , le chaud et le froid sont moins bien sentis ; à
malade renouvelle ses plaintes de sensation du froid aux pieds, de douleurs dans le côté gauche et dans la région gastrique.
En général elle se sent bien. 1 31 janvier 1906. Souvent il y des , douleurs en ceinture au-dessous de l'ombilic, et des con
do- minaux sont abolis. Légère retention de l'urine ; constipation. Douleurs en ceinture dans le bas-ventre.La colonne verté
t dans la partie dorsale moyenne. La sensibilité au toucher et à la douleur est conservée dans les deux membres, mais la doul
toucher et à la douleur est conservée dans les deux membres, mais la douleur est un peu affaiblie sur la jambe gauche. La se
ant l'opéralion), elle ne pouvait ni rester debout ni marcher ; les douleurs continues des membres infé- rieurs et de l'abdo
'abdomen sont apparues ; de temps en temps aussi apparais- sent des douleurs en ceinture dans la région ombilicale et des cram
e ne fut qu'affaiblie au membre inférieur gauche; on constata de la douleur à la pression, dans la région des vertèbres dor-
ncé de la malade. De même la tuberculose pouvait être éliminée. Les douleurs très fortes, l'âge de la malade, l'absence de s
e tumeur médullaire.En faveur de ce diagnostic parlaient les fortes douleurs permanentes ou qui s'exacerbaient, le développeme
en premier lieu la limite supérieure de l'anesthésie et la zone des douleurs en ceinture. En nous servant des schémas corres
al le 16 juillet 1907. Il y a 2 ans 1/2, la malade a ressenti une douleur dans la région inférieure et externe de la moit
de l'abdomen et dans la région de la crête - iliaque gauche. Cette douleur n'était ni très forte, ni stable. Elle venait p
sparaissait tout à fait sous l'influence des compresses chaudes. La douleur existait quelques semaines et puis a disparu co
complètement. Mais à ce moment la malade com- mençait à souffrir de douleurs assez vives dans la région de l'articulation du
et que la paraplégie l'a frappée tout d'un coup. A ce moment aucune douleur ou paresthésie dans les membres inférieurs ou le
ans la moitié gauche de l'abdo- men et dans les deux hanches et des douleurs dans le sacrum et le côté gauche c Les troubles
uchée sur le côté gauche parce qu'im- médiatement apparaît une vive douleur . De même il lui est difficile de rester étendue
froid comme le chaud).. 27 juillet.- Cette nuit un accès de fortes douleurs dans l'hypochondre gau- che. L'accès a duré que
a malade urine difficilement. Constipation. 9 décembre. De fortes douleurs dans les jambes et sensation de cons- triction
ées dans les muscles des jambes, surtout à droite. 31. - Accès de douleurs dans le côté gauche au-dessus de la crête ilia-
ès de douleurs dans le côté gauche au-dessus de la crête ilia- que, douleurs et engourdissement dans les membres inférieurs su
du biiodure de mercure à 4 0/0 (8 fois). 11. La malade se plaint de douleurs dans la fesse gauche. Plus de dou- leur dans le
mineux restent sans effet apprécia- ble. Dans le genou droit fortes douleurs de brisement, engourdissement et douleurs dans
ans le genou droit fortes douleurs de brisement, engourdissement et douleurs dans tous les orteils droits, sensation de brûlur
ite). 2 mai. Il y a trois jours, la nuit, elle ressentait de fortes douleurs dans le ventre (surtout à droite), sous le rein
et dans les jambes. Elle ne dor- mit pas de toute la nuit.Hier les douleurs se sont calmées un peu.Aujourd'hui, engourdisse
nstipation. L'urine vient diffi- cilement. - 4. Cette nuit fortes douleurs dans l'hypochondre gauche et dans le bas-ventre
x étant couchée sur le côté droit ; sur le gauche, elle ressent des douleurs , de même que la position étendue sur le dos pro
s douleurs, de même que la position étendue sur le dos provoque les douleurs . La malade peut être assise mettant les jambes
Constipation. Les troubles sensitifs sont les mêmes. Le maximum de douleurs est au niveau des Ve et VIe vertèbres dorsales
général est considérable. Le pouls est régulier, mais peu tendu.Des douleurs moyennes dans le sacrum et le bas-ventre. Les j
sont les mêmes. Une grande escarre sur' la fesse droite. Des fortes douleurs dans la moitié gauche. Des crampes dans les jam
é. Dans ce cas, il s'agit d'une femme de 44 ans, qui a ressenti des douleurs deux ans et demi avant son entrée à l'hôpital. Le
nti des douleurs deux ans et demi avant son entrée à l'hôpital. Les douleurs ont débuté par la moitié gauche du bas-ventre e
oitié gauche du bas-ventre et par la région de la crête iliaque. La douleur n'était pas forte et venait par accès. Puis est v
oureuses dans la moitié gauche de l'abdomen, dans les deux cuisses, douleur au sacrum et dans le côté gauche. Constipation,
carre. Pendant son séjour à l'hôpital, elle a ressenti des accès de douleurs très fortes, tantôt dans l'hypochondre gauche,
des contractions spontanées des jambes surtout de la droite. Les douleurs sont surtout fortes la nuit. Incontinence, ensuit
arsenicales ne donnent aucune, amélioration. La malade se plaint de douleurs brisantes dans le genou droit; d'une sensation de
sthésies n'atteignaient pas un tel degré. Accès nocturnes de fortes douleurs dans le ventre, surtout à droite ; douleurs sou
cès nocturnes de fortes douleurs dans le ventre, surtout à droite ; douleurs sous le sein droit. Contractions spontanées dans
saient éliminer ces maladies. L'évolution de la maladie, les fortes douleurs revenant par accès, les contractions spontanées
accident elle marchait bien (Auparavant elle souffrait seulement de douleurs . la jambe gauche était légèrement affaiblie). U
nait déplus en plus faible. Vomissements après chaque repas. Fortes douleurs dans ]'hypochondre gauche et dans la moitié gauch
0 dans le service des maladies internes (1). Le malade se plaint de douleurs dans les membres supérieurs : ce sont des sensa
érieurs : ce sont des sensations de brûlure et des picotements. Les douleurs naissent dans la partie supérieure de la colonn
es mains quoique avec une certaine difficulté. Il n'avait, point de douleurs dans les jambes. La force musculaire dans les bra
échis au coude et rapprochés vers le tronc (dans cette position les douleurs sont moindres). Doigts fléchis. Muscles inter-
est douloureuse à la pression. Quand on fait asseoir le malade, les douleurs dans les bras apparaissent. Les mouvements de l
éflexes abdominaux et crémastériens sont abolis. 13 janvier. Fortes douleurs dans les bras, sensation de brûlure comme si l'
e normale. Constipation. 15. Incontinence de l'urine (la nuit). Les douleurs sont les mêmes. La sensibilité tactile est asse
mbres inférieurs et supérieurs dans leur région du coude. 16. Les douleurs des bras diminuent. Il ne peut pas marcher. Les r
des jambes. 20. Escarre fessière. 22. Le ventre est ballonné. Des douleurs courtes, des tiraillements pas- sent dans les j
ouleurs courtes, des tiraillements pas- sent dans les jambes. 24. Douleurs brûlantes aux mains. Rétention de l'urine et des
x mains. Rétention de l'urine et des matières fécales, 26. Pas de douleurs . Ventre ballonné. Hoquets. Pouls petit, rapide. L
'agit dans ce cas d'un malade de 49 ans qui a ressenti au début des douleurs dans la partie supérieure de la colonne vertébral
rtie supérieure de la colonne vertébrale et dans les omoplates. Les douleurs depuis ces parties se propageaient jus- qu'aux
uscles triceps abolis. Pupille droite plus large que la gauche. Les douleurs des membres supérieurs tantôt croissaient, tantôt
ion connue sous le nom de pachyménillgite cervicale hypertrophique ( douleurs irradiantes de la colonne vertébrale vers les 3
1906. il y a trois ans, la malade commençait à éprouver une vive douleur dans la jambe droite ; la douleur ne la quittai
de commençait à éprouver une vive douleur dans la jambe droite ; la douleur ne la quittait pas jour et nuit. La malade pouvai
t pas jour et nuit. La malade pouvait encore marcher en boitant. La douleur se localisait au début dans la jambe, puis a en
s l'articulation de la hanche sont limités depuis '' trois ans. Les douleurs de la jambe droite persistent jusqu'au moment act
lisés dans la moitié gauche (dans la région' fronto-temporale), les douleurs de l'épaule et du côté gauche. Il y a deux ans,
inq mois). Jamais de vomissements. A présent la malade se plaint de douleurs de la moitié-gauche de la tête. Elles sont plus
moitié-gauche de la tête. Elles sont plus fortes la nuit. Outre cela, douleur de toute la jambe gauche, sensation de tiraille
peut pas être soulevé même jusqu'à la ligne horizontale à cause des douleurs . D'autres* mouvements de ce membre (au coude, à
ude, à la main et aux doigts) sont également affaiblis (à cause des douleurs comme elle dit). La sensibilité est intacte. Les'
impossibles, mieux conservés sont ceux de l'articulations du genou ( douleurs ). Le cou-de-pied droit se meut avec facilité. Du
up plus larges et 356 FLATAU faciles qu'à gauche (il n'y a pas de douleurs tellement fortes). Les réflexes patellaires et
ux de tête et de vertiges, de bourdon- nements d'oreille, de fortes douleurs des membres inférieurs et désarticulation de la
Le trai- tement spécifique a donné seulement l'amoindrissement des douleurs pendant un certain temps et l'amélioration de l
est tombée en voulant quitter le lit et ne put se relever seule. La douleur de la jambe droite est réapparue, puis aussi la
r seule. La douleur de la jambe droite est réapparue, puis aussi la douleur sous le genou gauche. Depuis ce moment la malade
évrier 1907, qu'elle pouvait lentement traverser la chambre. Fortes douleurs dans les deux membres inférieurs, surtout dans le
es inférieurs, surtout dans le droit, . Depuis quelques semaines, douleurs dans le membre supérieur gauche. Dou- leurs dan
bres supérieurs. Le membre gauche est soulevé avec peine à cause de douleurs dans l'articulation de l'épaule. Les autres mouve
ès douloureux ; le moindre mouvement ou faible toucher provoque des douleurs . Les réflexes sont assez vifs. Membres inféri
érieurs. Quand elle soulève le membre droit, elle ressent une forte douleur dans l'articulation de la hanche et dans tout le
e la hanche et dans tout le membre. En ré- pétant cela à gauche, la douleur \ se limite au-dessous du genou. Les mouve- men
s, la malade les exécute lentement, avec peine, en se plaignant des douleurs . Les deux membres sont faibles, mais plus forte-
e, mais avec des grandes précautions, lentement, en se plaignant de douleurs . Sa marche rappelle celle des mala- des souffra
olontiers couchée sur le dos. Elle pleuré souvent, se plaignant des douleurs . On lui a administré les frictions mercurielles
tal, mais y est retournée au mois de juin. Depuis un certain temps, douleurs en ceinture dans la moitié inférieure du tronc
contact est dou- loureux). La veille de sa mort la malade a eu des douleurs paroxystiques au ventre. Le lendemain elle a pe
nsai même pas à une affection médullaire. La malade se plaignait de douleurs (les membres inférieurs et de raideur des articul
ulation de la hanche droite étaient presque impossibles à exécuter ( douleurs ). La sensibilité du corps n'était pas troublée
itement spécifique la malade éprouva toujours une amélioration, les douleurs devenaient plus faibles et elle marchait mieux.
xpliquer les différents symptômes cliniques : les fortes et tenaces douleurs des membres inférieurs, les douleurs en ceintur
niques : les fortes et tenaces douleurs des membres inférieurs, les douleurs en ceinture, du côté, les paresthésies (la sens
affaiblissement des membres inférieurs dépendait, non seulement des douleurs , mais aussi de la compression de la moelle. En to
eur (fig. A), la colère (fig. B), la tristesse (larmes, fig. C), la douleur physique (fig. E), la joie (fig. D) et on constat
tion et à la simulation, désirelux 'émouvoir leur entourage par des douleurs fictives. Le gérant : P. Bouchez. lump. J. lh
3, la colère. - C, la tristesse avec larmes. - D, la joie. - 1 : , la douleur plnsique. V, le sujet à l'état normal. Masson
colorées en jaune, et que, depuis cinq ou six ans, il souffrait de douleurs dans les os, par accès graves qui souvent l'ont o
ui jouissait d'une bonne santé jusque-là, a commencé à éprouver des douleurs d'estomac, qui se déclaraient en dehors de tout
rs de toute question de nourriture. Notre sujet ne peut dire si ces douleurs qui n'étaient pas accompagnées de vomissements,
ments, étaient plus fortes le matin ou le soir. Après deux ans, les douleurs cessèrent, à la suite d'une cure qu'elle ne sai
s tard (1897), vers 28 ans, la femme G... commença à se plaindre de douleurs dans les membres inférieurs, localisées plus sp
les membres inférieurs, localisées plus spécialement dans le genou, douleurs de caractère lancinant, qui augmentaient suivan
hé- riques, et qui étaient plus fréquentes la nuit que le jour. Ces douleurs , d'a- bord rares et légères, ont été en s'aggra
ialement aux mains. Peu de mois après la première apparition de ces douleurs (1898), la patiente s'aperçut qu'elle était dev
porter. En février d909, à la suite d'un effort, elle ressentit une douleur dans la région lombaire. Deux jours après, elle
ressions, un poids l'eut entrai- née vers le sol. En même temps les douleurs de la région lombaire se firent plus intenses,
région lombaire se firent plus intenses, et prirent le caractère de douleur en ceinture, si bien qu'elle recourut à un chir
1 jours de séjour à l'hôpital, la malade retourna chez elle. Mais les douleurs lombaires ne retirèrent aucune amélioration de
es mouvements du tronc. A peu près à l'époque de l'apparition des douleurs en ceinture, la patiente commença à être sujett
en temps, dans ces derniers mois, la malade a éprouvé des crises de douleurs à l'estomac, crises qui disparaissent après le vo
ce sujet, daterait seulement de l'époque où se sont manifestées les douleurs lombaires, pour lesquelles elle fut opérée de nép
ntiels. Parmi les symptômes relevés, les plus importants sont : les douleurs lancinantes, les crises gastriques, la faibless
polynévrite serait enfin principalement le fait de l'absence de la douleur à la pression des troncs périphériques, la mani
des vertèbres, parce qu'ils sont ordinairement précédés de cruelles douleurs dans la vertèbre lésée, douleurs que noire mala
ordinairement précédés de cruelles douleurs dans la vertèbre lésée, douleurs que noire malade n'a jamais ressenties à cet en
ir qu'il s'agit de mal de Poil, parce que la malade n'accuse aucune douleur à la pression, en aucun point de la colonne ver
, en aucun point de la colonne vertébrale, qu'elle n'a jamais eu de douleurs spontanées du côté des vertèbres. De plus, l'ex
senter quelque intérêt, est la possi- bilité d'un rapport entre les douleurs lombaires dont se plaignait la pa- tience penda
tion contemporaine de la déformation de la colonne vertébrale'. Ces douleurs lombaires, comme cela résulte de l'histoire cli
stamment même après la néphro- pexie. Ne pourrait-on penser que ces douleurs spéciales étaient dues à une compression ou à u
ité des cas rapportés par les auteurs, il n'est pas fait mention de douleurs spéciales lombaires, dont se seraient plaint le
vrai que dans le cas par eux étudié, Lejonne et Gougerol parlent de douleurs vagues du côté du rachis, douleurs qui auraient p
, Lejonne et Gougerol parlent de douleurs vagues du côté du rachis, douleurs qui auraient pré- cédé la déformation, et qui a
rne, on n'arrive pas à la rectitude, car la malade accuse un peu de douleur ; il n'y a ni douleur provoquée, ni empâtement,
à la rectitude, car la malade accuse un peu de douleur; il n'y a ni douleur provoquée, ni empâtement, ni ganglions inguinaux.
uâtre et fétide. Cette diarrhée persista et s'accompagna bientôt de douleurs abdo- minales violentes et d'un état fébrile. Q
tion exécutée dans notre service. Ces symptômes consistaient en une douleur de la jambe gauche, puis de tout le membre infé
et enfin de toute la moitié gauche du'corps. Trois jours plus tard, douleurs de la jambe droite. L'affaiblissement graduel des
s dans les orteils du côté gauche. Au cours de la maladie, fortes douleurs dans le membre inférieur gauche, dans le côté g
ent dans l'occiput gauche. Deux à trois mois avant l'opération, les douleurs ont passé dans l'hypochondre droit et dans la rég
. Il y a trois ans, le malade a pris froid, et a ressenti une forte douleur de la nuque, qui dura deux semaines. En même te
ermanent du membre inférieur gauche, allant toujours en augmentant. Douleurs constantes dans la nuque et dans le membre supé
sensation de tiraille- ment et de crampe dans la jambe gauche et de douleurs intenses nocturnes dans la région de la nuque.
e et de douleurs intenses nocturnes dans la région de la nuque. Ces douleurs siégeaient aussi au cou, serraient la gorge et
mouvements de la tête en avant sont bons, en arrière * impossibles ( douleurs ), la rotation est conservée, les mouvements latér
ation est conservée, les mouvements latéraux sont accompagnés d'une douleur dans la tempe et l'occiput. Les mouvements des
es des jambes. Rétention, parfois incon- tinence de l'urine. Pas de douleurs . On pose comme diagnostic probable : tumeur dan
ation de la moelle. Période post-opératoire sans complications. Les douleurs de la nuque ont dirninué et la transpiration exa-
la maladie a évolué en 3 ans. Au début elle pro- duisait de fortes douleurs de la nuque et de la difficulté d'uriner. Un mois
. Il y avait donc le type de Brown-Séquard légèrement esquissé. Les douleurs se localisaient dans la nuque, au cou, dans la
ve qui n'a pas permis de constater de tumeur. Après l'opération les douleurs ont disparu de même que la transpiration de la
ique de la maladie, dans lequel au premier plan ressortent : 1° les douleurs ; 2° la paralysie toujours croissante et débuta
lète. Le premier stade radiculo-segmentaire est caractérisé par les douleurs radiculaires, les anasthésies et les atrophies.
leurs radiculaires, les anasthésies et les atrophies. ' Quant aux douleurs , elles constituent sans doute un des symptômes
e la queue de cheval comme cela ressort du travail de Cassirer. Ces douleurs sont tellement pénibles qu'elles domi- nent au
frappent qu'un côté du corps. Il y a des lieux d'électicn pour ces douleurs , parmi lesquels la région de l'hypochondre. Out
s, parmi lesquels la région de l'hypochondre. Outre ces régions les douleurs peuvent siéger partout ; dans les membres aussi
vertèbres et les segments distaux des membres. Parfois on note les douleurs en ceinture. Dans cer- tains cas les douleurs s
. Parfois on note les douleurs en ceinture. Dans cer- tains cas les douleurs siégeaient dans des régions tout à fait imprévues
ns le cas de Starr (fibrome dans la moelle dorsale supérieure), les douleurs siégeaient dans la région du coeur ! Les douleurs
supérieure), les douleurs siégeaient dans la région du coeur ! Les douleurs dans l'hy- pochondre s'expliquent par le fait q
les tumeurs localisées ailleurs dans la moelle, donneront d'autres douleurs radiculaires. Il faut insister sur deux points
sur deux points d'une importance énorme : 1° il y a des cas où ces douleurs sont très faibles ou même tout à fait absentes ;
es comprimés par la tumeur. Il existe toute une série de cas où les douleurs étaient tout à fait ab- sentes (Clarke, Bailey,
eur siège en avant ou sur la ligne médiane. Dans certains cas les douleurs étaient tellement faibles qu'elles consti- tuai
res enfin, on attirait spécialement l'attention sur le fait que les douleurs névralgiques au début faisaient complètement dé
(Stertz, Oppenheim). Il y a des observations qui démontrent que ces douleurs quoique très faibles peuvent s'exagérer pendant
XV). Arrivons au point 2) mentionné ci-dessus, c'est-à-dire que les douleurs ne sont pas radicuio-segmentaires, mais distale
siégeaitdans le VIIIe segment cervical et Ier dorsal ; pourtant la douleur primitive est apparue dans le pied gauche. Dans
niveau des VIlle-IXe racines dorsales), le ma- lade ressentait des douleurs à l'épigastre, dans les vertèbres dorsales in-
hie de 1907) la tumeur siégeait dans la moelle dorsale moyenne, les douleurs , principalement dans les jambes. Dans le cas de
ipalement dans les jambes. Dans le cas de Heilbronner également les douleurs irradiaient vers les jambes, bien que la tumeur s
resthésies (thermiques) sont apparues aux jambes, etc. Parfois les douleurs irradiaient dans le sens ascendant ; ainsi par
nuque et de l'occiput. Dans notre XXIE observation égale- ment,les douleurs frappaient la région de l'occiput (tumeur dans la
ion des longues voies sensitives par la tumeur et la production des douleurs (Bruns l'explique par la voie de la projection
urs (Bruns l'explique par la voie de la projection périphérique des douleurs ). Dans certains cas, les douleurs elles paresth
de la projection périphérique des douleurs). Dans certains cas, les douleurs elles paresthésies changent souvent de place. D
ns l'hypochondre et différentes régions des membres inférieurs. Les douleurs s'exacerbaient la nuit et étaient les plus pénibl
énibles dans la position couchée sur le côté (gauche). Toutes ces douleurs et paresthésies constituent généralement la pério
es écrits Dans le cas de Schmoll (tumeur de la queue du cheval) les douleurs radiculaires duraient depuis 3 ans et demi sous
s douleurs radiculaires duraient depuis 3 ans et demi sous forme de douleurs se produisant pendant la défécation et irradian
défécation et irradiant dans les jambes. Dans le cas de Raymond ces douleurs constituèrent pendant 8 ans l'unique symp- tôme
nlervenir. Mais, comme nous l'avons déjà dit, dans certains cas les douleurs restent 'longtemps l'unique symptôme morbide. O
tion électrique. Dans un cas de Schultze ce stade dura 3 ans. Les douleurs ne sont pas stables. Assez souvent encore on pont
. Dans le cas de Klieneberger (tumeur de la queue de che- val), les douleurs duraient-au début 4 semaines, puis disparaissaien
disparaissaient. Dans le 11, cas de Schultze (travail de 1903) les douleurs duraient 7 ans, la rémission était de 2 ans, da
duraient 7 ans, la rémission était de 2 ans, dans son IVe cas, les douleurs étaient très fortes au début puis disparaissaie
souvent encore, on peut noter des différences dans l'intensité des douleurs . Les douleurs réunies à d'aulres symptômes peuv
on peut noter des différences dans l'intensité des douleurs. Les douleurs réunies à d'aulres symptômes peuvent dnrer très l
tôme bien pénible pour les malades, peut-être au même degré que les douleurs . Ces contractions apparaissent aussi bien le jo
dent pour- tant de la localisation de la tumeur, il faut compter la douleur de la co- tonne vertébrale la où siège la tumeu
LA COLONNE VERTÉBRALE 471 1 souvent que les malades localisent leur douleur dans une vertèbre pour un jour et la disent cha
e pour un jour et la disent changer de place le'second jour ; cette douleur dispa- raît même parfois entièrement. Le cas de
entièrement. Le cas de Rester est intéressant sous ce rapport : la douleur siégeait au début entre les VILLE et Xe vertèbres
ribue une trop grande im- portance à ce symptôme. Ce n'est qu'une douleur constante et bien localisée dans les vertèbres
s notre observation XXI, après la ponction lombaire disparurent les douleurs et les paresthésies. Une fois le diagnostic de
faut alors prendre en considération les symptômes radiculaires (les douleurs , les anesthésies segmentaires et les atrophies mu
début de la maladie (la limite de l'anesthésie, la localisation des douleurs radiculaires) n'ont pas toujours une importance a
e on a des symptômes radiculaires au cou et aux membres supérieurs ( douleurs de la nuque, irradiant dans les bras, atrophies
a tumeur occupe la moelle cervicale supé- rieure peuvent naître des douleurs de la région occipitale (Pulnam- Krauss-Park, S
r localisée dans la moelle dorsale donne un tableau clinique où les douleurs névralgiques et les paresthésies jouent un rôle i
douleurs névralgiques et les paresthésies jouent un rôle important ( douleurs intercostales, sensation de la ceinture, douleurs
n rôle important (douleurs intercostales, sensation de la ceinture, douleurs au dos, dans les hypochondres ou au ventre). Ra
rsales antérieures). Si la tumeur siège dans la moelle lombaire les douleurs sont la plupart du temps unilatérales dans la r
la moelle lombaire. Les tumeurs de la moelle sacrée provoquent des douleurs dans la région sacrée, dans l'os du sacrum, dan
ace postérieure des membres inférieurs. Il est exceptionnel que ces douleurs soient stricte- ment localisées (Behn-Laquer),
rlent le développement lent de la maladie, des accès de très fortes douleurs dans la région de la vessie et du plexus sciati
atifs, l'installation graduelle de paralysies (après une période de douleurs ), les troubles des fonctions génitales aussi bien
ment rapide du tableau clinique, par l'absence presque complète des douleurs , l'appari- tion précoce des anesthésies qui peu
pinion de Bruns, pour l'a(rection de la queue de cheval parlent les douleurs bilatérales depuis le début de la maladie, leur
e le plus caractéristique pour la tumeur de la queue de cheval, les douleurs , peut manquer quelquefois (Volhard). Dans d'autre
peut manquer quelquefois (Volhard). Dans d'autres 476 FLATAU les douleurs apparaissent pour disparaître dans la suite et ne
ême pendant quelques années. Dans un cas décrit par Klieneberger la douleur a débuté par la plante des pieds, puis elle a d
nge molle où des racines postérieures peuvent naître de très fortes douleurs qui alors font penser à une tumeur méningée. ,
tra-médul- laire les symptômes suivants : une intensité moyenne des douleurs , un tableau clinique rappelant la myélite aiguë
oelle par les symptômes suivants : les premières provoquent plus de douleurs , tandis que les phénomènes médullaires apparais
parlent : une longue durée (quelques mois ou quelques années), des douleurs radi- culaires, vertébrales (surtout dans les c
ncontre souvent un parcours lent, absence de stade névralgique, des douleurs des vertèbres, la dissociation de la sensibilité.
, Quensel, Flatau-Sterling, Stertz et d'autres). D'autre part les douleurs peuvent exister aussi dans les tumeurs intra- m
Rosenthal, Thielen, Saecker, Roux-Paviot, Gill et d'au- tres) ; ces douleurs sont même très intenses. Ainsi par exemple dans l
ns le cas de Glaser (angiosarcome central) sont apparues des fortes douleurs et des paresthésies pénibles. Les douleurs peuv
sont apparues des fortes douleurs et des paresthésies pénibles. Les douleurs peuvent prendre la place domi- nante dans le ta
ace domi- nante dans le tableau clinique. Dans un cas de Batten les douleurs ont duré 10 mois (tumeur intraméduliaire). Qu
ait atypique et de l'autre que la tumeur méningée peut évoluer sans douleurs ou avec des douleurs minimes. Actuellement il est
autre que la tumeur méningée peut évoluer sans douleurs ou avec des douleurs minimes. Actuellement il est prouvé que la sclé
type Brown-Séquard (Bruns) ou s'accompagnait d'accès de très fortes douleurs . Nonne a décrit un cas de sclérose en plaques o
té seule- ment. Dans un de ces cas la malade se plaignait de fortes douleurs dans la zone brachiale, et ces douleurs repouss
lade se plaignait de fortes douleurs dans la zone brachiale, et ces douleurs repoussaient au second plan le tableau de la sc
ÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 479 2° Il est fort rare de voir des douleurs considérables dans la sclérose en plaques. Les
ques. Les plaintes des malades au début font penser qu'il s'agit de douleurs plus considérables qu'elles ne le sont en réalité
lades souffrent bien plus de différentes paresthésies que de vraies douleurs . Ils se plaignent précisément de sensation de b
les, etc. De temps en temps les malades se plaignent de très fortes douleurs ressemblant à des tirail- lements. Une de ces m
sclérose en plaques du type médullaire) se plaignait de très fortes douleurs des bras, qui duraient des semaines entières. L
s bras, qui duraient des semaines entières. La malade comparait ces douleurs à des douleurs lan- cinantes. Les accès en géné
aient des semaines entières. La malade comparait ces douleurs à des douleurs lan- cinantes. Les accès en général rappellent
s à des douleurs lan- cinantes. Les accès en général rappellent les douleurs arthritiques et su- bissent l'influence du mauv
rown-Séquard. 4° Un point doit être souligné : pendant les accès de douleurs , les por- teurs de tumeurs restent au lit de le
hent et se promènent (même ceux qui souffrent de paresthésies et de douleurs ) ! Dans un but diagnostique nous avons examiné
s vertèbres, on peut observer le syndrome de Brown-Séquard avec les douleurs radiculaires (Bruns). Boettiger a décrit un cas
ATAU ne présentait aucun signe de tuberculose). Bruns pense que les douleurs radiculaires de très longue durée (quelques ann
ne se rencontrent pas dans la carie vertébrale. D'après Gowers les douleurs radiculaires sont très fortes dans la carie ver
ns un de nos éas, observé très longtemps chez nous à l'hôpital, les douleurs persistèrent avec des intervalles pen- dant deu
encontrer les symptômes radiculaires, la raideur de la colonne, les douleurs accompagnant les mouvements ac- tifs, l'éternûm
culaires, surtout de la part des racines postérieures, l'absence de douleurs pénibles (excepté les cas où la pachyméningite
ébrales, et tout spécialement des tumeurs extramédullaires sont les douleurs très intenses et l'évolution graduelle toujours
tion du réflexe à la convergence. Mydriase. Troubles sphinctériens. Douleurs fulgurantes, crises gastriques. Affaiblissement d
tion avait débuté à t'age de 22 ans par des crises gastriques, les douleurs fulgurantes apparurent à t'age de 26 ans : la m
orables la restitution des fonctions est très rapide. De même les douleurs disparaissent vite, dans les premiers jours après
ès l'opération, surviennent des pares- thésies bien pénibles ou des douleurs irradiantes (dans notre XXobser- vation, dans l
reviennent de nouveau, les phénomènes spastiques s'accentuent, les douleurs réappa- raissent el l'état général devient mauv
4 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
me que la maladie, encore à ses débuts, est marquée seulement par des douleurs fulgurantes, on trouve, dans certains points bien
les, de produire les symptômes de ,'ataxie (incoordination motrice et douleurs fulgurantes) dans les membres supérieurs. Or, cet
M. Pierret. Chez cette femme, l'incoordination motrice, ainsi que les douleurs fulgurantes, avaient existé à un haut degré dans
qu'elle s'observe dès le début de l'affection, même à l'époque où les douleurs fulgurantes composent à elles seules tout le tabl
troites, très minces, tant que la symptomatologie en est ré-duite aux douleurs fulgurantes, s'élargissent à la fois en dehors et
uquel nous avons déjà fait allusion *. L'ataxie, caractérisée par des douleurs fulgurantes vives et une incoordination motrice t
les ; leurs rapports avec la sclérose des cordons posté-rieurs. — Des douleurs fulgurantes et des crises gas-triques. Sommaire
que de l'ataxie locomotrice progressive. — Période prodromiquc ou des douleurs fulgurantes. — Période de la maladie constituée o
tituée ou de l'incoordination tabétique. — Période paralytique. Des douleurs fulgurantes. — Leurs variétés : douleurs terebran
— Période paralytique. Des douleurs fulgurantes. — Leurs variétés : douleurs terebrantes ; — douleurs lancinantes ; — douleurs
Des douleurs fulgurantes. — Leurs variétés : douleurs terebrantes ; — douleurs lancinantes ; — douleurs constrictives. — Des dou
— Leurs variétés : douleurs terebrantes ; — douleurs lancinantes ; — douleurs constrictives. — Des douleurs fulgurantes symp-to
erebrantes ; — douleurs lancinantes ; — douleurs constrictives. — Des douleurs fulgurantes symp-tomatiques dans la sclérose en p
nérale progressive et l'alcoolisme chronique. — Symptômes viscéraux : douleurs vesicales, uréthrales; ténesme rectal. Des cris
5 ans par exemple ? Peut-être vaudrait-il mieux l'appeler période des douleurs fulgurantes. Ces douleurs, en effet, sont inconte
tre vaudrait-il mieux l'appeler période des douleurs fulgurantes. Ces douleurs , en effet, sont incontestablement l'un des phénom
quée) ; 2° Les symptômes spinaux représentés, à cette époque, par les douleurs fulgurantes. Dans la seconde période, dite de l
iques persistent et peuvent se montrer aggravés, plus accentués ; les douleurs fulgurantes, parfois, sont devenues plus intens
ourquoi, Messieurs, nous allons nous efforcer de vous montrer que les douleurs fulgurantes et les symptômes céphaliques peuvent
qu'elle est et de la dénommer. Arrêtons-nous, en premier lieu, aux douleurs fulgurantes, réservant, pour une époque prochaine
de cette étude, de vous rappeler que, pendant de longues années, ces douleurs peuvent composer à elles seules, toute la symptom
mposer à elles seules, toute la symptomatologie de l'affection. Les douleurs fulgurante s se rencontrent d'ailleurs dans la tr
nsi, d'a-près une statistique de M. Cyon, qui comprend 203 cas, les douleurs fulgurantes ont été notées expressément dans 138;
égories : Io Douleurs terebrantes. Dans cette première variété, les douleurs sont comparées par les malades à celles que déter
ard, auquel on imprimerait en même temps un mouvement de torsion. Ces douleurs sont limitées à un point et siègent le plus ordin
argnent toujours le corps des membres. En général, dans un accès, les douleurs terebrantes alternent en différents endroits et o
ereslhésie plus ou moins prononcée : le moindre frôlement exaspère la douleur , tandis qu'une pression un peu forte amène du sou
tête, le tronc, ne sont pas, tant s'en faut, toujours respectés. 2° Douleurs lancinantes. Dans la deuxième variété, qui, du re
ème variété, qui, du reste, coexiste d'habitude avec la première, les douleurs méri-tent, à proprement parler, le nom de douleur
c la première, les douleurs méri-tent, à proprement parler, le nom de douleurs fulgurantes. Elles semblent suivre le trajet d'un
e des éruptions cutanées se manifestent le long des nerfs où siège la douleur . C'est ce qui a ]ieu chez une malade nommée Magda
ices dues à ces lésions qui remontent déjà à quatre ou cinq ans. 3° Douleurs constrictives. En outre des douleurs fulguran-tes
déjà à quatre ou cinq ans. 3° Douleurs constrictives. En outre des douleurs fulguran-tes, il y a à étudier dans l'ataxie, les
outre des douleurs fulguran-tes, il y a à étudier dans l'ataxie, les douleurs constrictives ; ces douleurs surviennent soit en
tes, il y a à étudier dans l'ataxie, les douleurs constrictives ; ces douleurs surviennent soit en même temps que les précé-dent
emble que, sur certains points, le membre soit saisi dans un étau. La douleur inté-resse-t-elle le tronc? Les malades la compar
étreinte qu'occasionnerait une cuirasse ou un corset trop serrés. Les douleurs constrictives s'exaspèrent fréquemment dans le te
ment dites. Nous résumerons, en quelques mots, la caractéristique des douleurs fulgurantes : Io La fulguration douloureuse, co
stituer des accès qui se prolongent pendant 4, 5 ou 8 jours ; 3° La douleur atteint son maximum d'intensité, surtout durant l
ssions qui séparent les accès peuvent être par-faitement libres ; les douleurs constrictives font seules excep-tion à la règle e
nombreux qu'il m'a été donné d'observer me portent à admettre que les douleurs fulgurantes, lorsqu'elles se présentent sous les
isceaux médians (cordons de Goll) peuvent être sclérosés sans que les douleurs fulgu-rantes s'en suivent, et que, d'un autre côt
les douleurs fulgu-rantes s'en suivent, et que, d'un autre côté, ces douleurs exis-tent, alors que la lésion scléreuse est rest
ns exter-nes serait donc, vous le voyez, le substratum anatomique des douleurs fulgurantes. Yous ne vous étonnerez pas, d'aprè
s. Yous ne vous étonnerez pas, d'après cela, Messieurs, de voir les douleurs fulgurantes figurer de temps à autre dans la symp
ois à des intervalles beaucoup plus éloignés encore ; 6° Tantôt les douleurs fulgurantes sont d'une intensité modérée, et il f
s cette affection, divers symptômes tabétiques, et en particulier les douleurs fulgu-rantes, viennent se surajouter aux symptôme
ypochondrie. Ces deux malades se plaignaient plus particulièrement de douleurs , revenant par accès, en tout comparables à celles
es des faisceaux postérieurs fussent déjà atteintes à l'époque où les douleurs fulgurantes constituaient à peu près seules toute
leau clinique de l'alcoolisme chronique rappellent la description des douleurs fulgurantes : ainsi Magnus Huss a insisté sur les
iption des douleurs fulgurantes : ainsi Magnus Huss a insisté sur les douleurs lancinantes, parfois très pénibles, dont se plaig
lus saillants de cette forme pathologique paraît être l'exis-tence de douleurs revenant par accès, et que les malades comparent
par accès, et que les malades comparent à des chocs électriques. Les douleurs existent seu-les pendant longtemps avant que des
ra sans doute découvrir quel-que jour. J'ai observé quelquefois des douleurs fulgurantes compara-bles à celles de l'ataxie, da
ive des cordons postérieurs, pouvant rendre compte de la présence des douleurs spécia-les. En dehors des cas qui viennent d'êt
jours fait aisément, en tenant compte des symptômes concomitants, les douleurs fulgurantes pour-ront être rapportées, presque à
, fort souvent la situation se trouve simplifiée par l'adjonction aux douleurs fulgurantes de certains symptô-mes qui, comme cel
Dans ce groupe de symptômes viscéraux, je signalerai tout d'abord les douleurs vésicules et uréthrales qui se manifestent quelqu
et uréthrales qui se manifestent quelquefois au moment où régnent les douleurs fulgurantes, et qui s'accompagnent d'un besoin d'
esoin d'uriner fréquemment, la mixtion étant d'ailleurs l'occasion de douleurs vives dans le canal. Je mentionnerai en second
de douleurs vives dans le canal. Je mentionnerai en second lieu les douleurs d'un caractère particulier, dont le rectum est le
est le siège, et qui surviennent dans les mêmes circonstances que les douleurs vesicales. Chez un malade, M. C, qui a présenté c
que les douleurs vesicales. Chez un malade, M. C, qui a présenté ces douleurs rectales dans leur type de complet développement,
; il s'y adjoignait habituellement un besoin fré-quent d'uriner, avec douleurs durant l'émission. Pendant plu-sieurs mois le cat
nature du mal. Ce n'est que beaucoup plus tard, que l'apparition des douleurs fulgu-rantes vint éclairer la situation. VII.
ous les symptômes viscéraux qui peuvent se montrer dès la période des douleurs fulgurantes, un des plus remarquables à la fois
s. Tout à coup, le plus souvent à l'époque même où règne une crise de douleurs fulgurantes occupant les mem-bres, les malades se
uleurs fulgurantes occupant les mem-bres, les malades se plaignent de douleurs qui, partant des aines, semblent remonter de chaq
ir se fixer à la région épigastrique. Simultanément, ils accusent des douleurs siégeant entre les deux épaules, les-quelles s'ir
e de la maladie et eu consti-tuer pendant de longues années, avec les douleurs fulguran-tes, toute la symptomatologie. Quand l'a
contraire, souvent, jusqu'à la ter-minaison fatale, à chaque accès de douleurs fulgurantes. Tel a été, entre autres, le cas d'un
je viens d'indiquer ; il souffrait en même temps dans les membres de douleurs paroxystiques peu accentuées d'ail-leurs. Je ne c
ssait d'un jeune médecin, qui, en outre de ces crises, présentait des douleurs fulgurantes et une hydarthrose de l'un des genoux
s mois plus tard. Tout cet ensemble de symptômes — crises gastriques, douleurs fulgurantes, arthropathies, qui n'ont en apparenc
ctuellement âgée de 46 ans, souf-fre depuis une douzaine d'années, de douleurs fulgurantes revenant par accès, et qui se montren
ent d'une inten-sité extrême, et lorsque la malade'est en proie à ces douleurs , elle pousse des cris, se tord et prend les attit
ans ce cas par l'existence d'un strabisme qui date de l'époque où les douleurs fulgurantes ont commencé à paraître. Il n'y a pas
de l'œil consiste en une atrophie nacrée des papilles ; les accès de douleurs fulgu-rantes se sont montrés chez elle depuis une
lles s'accompagnent de vomissements. Ce siège, assez exceptionnel des douleurs fulgurantes à l'occiput et à la nuque, mérite d'ê
t ici encore d'une atrophie nacrée des nerfs optiques. Les accès de douleurs fulgurantes qui occupent les points du corps les
es. Dès les premières périodes, ainsi que nous l'a-vons dit déjà, les douleurs fulgurantes, seule représentation, à cette époque
—peuvent précéder parfois, dans l'évolution du processus morbide, les douleurs fulgurantes elles-mêmes, et se montrer ainsi com-
sent, pour les uns, par un état paralytique, pour les autres, par les douleurs . Mais, de tous les nerfs crâniens, les nerfs opti
rière, comme aveugle, en 1855. Les troubles de la vue, accompagnés de douleurs de tête, ont paru en 1850. D'abord limités à l'œi
eulement, c'est-à-dire dix ans après le début des phénomènes, que les douleurs fulgurantes se sont manifestées pour la première
nifestées pour la première fois. Elles se sont bientôt compliquées de douleurs en ceinture ; la maladie, depuis ce temps, est re
abord à gauche, puis à droite. Trois ans plus tard, elle fut prise de douleurs fulgu-rantes dans la tête et les muscles, douleur
elle fut prise de douleurs fulgu-rantes dans la tête et les muscles, douleurs auxquelles s'asso-cièrent des crises gastriques.
e cela même, ils méritent, eux aussi, d'être relevés. Telles sont des douleurs de tête continues ou à peu près et qui siè-gent p
peu près et qui siè-gent principalement au front et à la nuque. A ces douleurs s'associent, dans bien des cas, des fulgurations
irait l'arrachement du globe oculaire. Si l'on fait abstraction des douleurs de tête, qui sont un symptôme assez banal, les ph
dou-leurs dans les globes oculaires, cécité absolue des deux côtés ; douleurs à la nuque à peu près constantes, paraissant se r
éritables crises gastriques et; «'accompagnant d'une exaspération des douleurs céphaliques, enfin fulgurations douloureuses dans
et le front, à peu près continue, mais s'exaspérant par accès ; — des douleurs vives dans les yeux, sujettes à des temps d'arrêt
..., et persistant quelquefois pendant quelques jours , — enfin des douleurs dans les membres. Ces douleurs, qui forment l'e
pendant quelques jours , — enfin des douleurs dans les membres. Ces douleurs , qui forment l'exception à la règle que je si-gna
si-gnalais en commençant cette leçon, à propos de la description des douleurs tabétiques, offraient, à s'y méprendre, le cachet
on des douleurs tabétiques, offraient, à s'y méprendre, le cachet des douleurs fulgurantes. Plus de vingt fois, dans l'observa-t
it sincère de la malade, enregistré au moment même des accès, que ces douleurs se montrent tout à coup, comme des éclairs, qu'el
'une sorte de ressaut du membre où elles sévissent. C'est lorsque ces douleurs , ainsi que la céphalalgie, s'exaspèrent, que surv
accès de vomissement. A tous ces symp-tômes, nous devons ajouter une douleur vertébrale se répan-dant autour du tronc et simul
r une douleur vertébrale se répan-dant autour du tronc et simulant la douleur en ceinture. Ces douleurs, de caractère particu
répan-dant autour du tronc et simulant la douleur en ceinture. Ces douleurs , de caractère particulier, si remarquablement acc
urs cérébrales. Ainsi, sur 233 cas, M. Ladame a mentionné 23 fois des douleurs rhu-matoïdes dans diverses parties des membres. I
ant ; cependant cet auteur signale, sans y insister, il est vrai, des douleurs plus ou moins vives revenant par accès, et couran
autres affections vis-cérales qui peuvent encore, dans la période des douleurs ful-gurantes, coexister seules avec ces douleurs.
dans la période des douleurs ful-gurantes, coexister seules avec ces douleurs . A. C'est ainsi qu'il n'est pas exceptionnel de
malade, M. C..., dont nous vous avons déjà parlé : avant même que les douleurs fulgu-rantes n'eussent apparu, il ressentait de t
stin a existé chez ce malade pen-dant près de huit mois avant que les douleurs des membres ne se fussent déclarées. On compren
t le genou, avait paru plus tôt encore — dès les premiè-res crises de douleurs fulgurantes. De même que dans le der-nier cas, l'
la maladie n'était symp-tomatiquement constituée que par des accès de douleurs ful-gurantes et des crises gastriques, le docteur
use appréciable, ce sont ses propres expressions. Il n'y avait pas de douleur locale et, bien qu'un peu gênée, la marche était
s ai présentée et qui, elle aussi, avait des crises gastriques et des douleurs fulgurantes et marchait sans incoordination lorsq
de tout le membre et, malgré cela, la malade ne se plaignait d'aucune douleur ; la température rectale n'était pas élevée ; le
observation mérite dès main-tenant d'être relevé : c'est l'absence de douleurs et de réaction fébrile. Sans être de règle absolu
e que ce membre était presque le double du membre opposé l. Outre une douleur vive des parties affectées, on nota une élévation
ette arthropathie ne s'accompagne le plus souvent ni de fièvre, ni de douleurs ; ce n'est que par exception que ces symptômes so
le plus ordinairement alors que la symptomatologie en est réduite aux douleurs fulgurantes. L'incoordination, il est vrai, ne ta
més sous le poids de la colonne vertébrale sont le point de départ de douleurs très vives, mais encore ils peuvent amener un aff
le mal vertébral cancéreux. Paralysie douloureuse des cancéreux. — Douleur ; ses caractères : par-oxysmes. — Hyperesthésie t
nombre et qui peuvent devenir, dans l'état pathologique, le siège de douleurs vives. Puis vient la couche cellulo-grais-seuse (
dire lorsqu'elle est enflammée, la dure-mère peut devenir le siège de douleurs vives. Quant à Yarachnoïde, elle n'a pas de nerfs
us venons d'énumérer pourront toutes traduire leur souffrance par des douleurs plus ou moins vives. Toutefois, j'ai négligé à de
tt ou du cancer vertébral ; 3° sans négliger enfin l'exis-tence d'une douleur locale correspondant au lieu où siège la lésion e
elle épinière. Aussi M. Cruveilhier a-t-il pu dire avec raison que la douleur vive est un symptôme des lésions extra-spinales e
gresse sous l'influence d'une lésion traumatique. Le ca-ractère de la douleur est le même (Buming pains). L'absence de points d
illeurs, est toujours le même, quel que soit le point de départ de la douleur : celle-ci s'irradie suivant la direction des ner
ériphérique. A la pression, on observe quelques va-riétés : tantôt la douleur se montre circonscrite dans une région plus ou mo
oute l'étendue de son parcours. A. Tumeurs intra-rachidiennes. — La douleur pseudo-né-vralgique précède, ici, comme c'est la
ement à l'action de la cause irri-tante. En pareille occurrence, la douleur occupe souvent une région très limitée : c'est un
ne qui sont douloureux et non pas une surface. Le domaine où règne la douleur est, toutes choses égales d'ailleurs, d'autant pl
, d'autant plus circonscrit que la tumeur est moins volumineuse. La douleur , bien entendu, siège à droite si la tumeur est à
cervical. Pendant trois mois, on n'observa pour tout symptôme que des douleurs s'irradiant dans le bras, la main et l'épaule du
eutsches Archiv fur klinische Medicin, vol. V, p. 180, 1869.) de la douleur irradiée. Ce qui est important, c'est que, à un m
se, Mes-sieurs, de vous dire que, selon le siège du mal vertébral, la douleur en ceinture ou l'apparence d'une névralgie brachi
lement, qu'il est juste de dire avec Hawkins, Gull el Leyden, que les douleurs , dans le cancer vertébral, sont presque caractéri
s. En dehors de cette circonstance, le cancer vertébral n'a plus de douleurs qui soient propres, ou, autrement dit, le can-cer
Krankenh, Zu Hamburg. In Berlin Klin. Wochens., noS 35 et 3o, 1870. douleurs que celles qui se développent en conséquence de t
s vertébraux qui amènent la compression de la moelle, à peu près sans douleurs prédominantes ; — 3J enfin, le cancer vertébral,
ramollissement et l'af-faiblissement des vertèbres, est la source de douleurs dont le caractère est presque spécifique. Cet aff
conséquence, qu'une hémi-para-plégie douloureuse ; ou bien encore les douleurs et les phéno-mènes concomitants pourront occuper
tera sur la région verté-brale cervicale. D'autres fois, enfin, les douleurs se montreront exclusive-xnent circonscrites à la
il y a lieu de relever, en pareil cas, les symptômes suivants : Des douleurs vives existent : les unes étreignant la partie in
telle que le moindre attouchement se montre des plus pénibles. Les douleurs en question sont permanentes ou à peu près ; mais
s soient d'ailleurs actifs ou passifs, provoquent l'apparition de ces douleurs ou les exaspèrent. 11 en est de même, à plus fort
ndrissement de la force musculaire, car, au lit, dans le temps où les douleurs ne sont pas trop vives, les mouvements des membre
ibli, comme dans les conditions norma-les. Lors des paroxysmes, les douleurs sont véritablement atro-ces. Les malades les comp
es de substances narcotiques. Il y a lieu de faire remarquer dans ces douleurs des amendements sponlanés, et dont la raison phys
sous forme de plaques et qui se développe malgré la persis-tance des douleurs dans le domaine des nerfs affectés (anesthe-sia d
nt décrire à la colonne vertébrale une courbure à grand rayon, qu'une douleur locale vertébrale que provoque ou qu'exaspère trè
endement mis en œuvre. Frappé du caractère spé-cial que présentait la douleur , et me remettant en mémoire les faits observés à
s. D'un autre côté, il ne faudrait pas aller jusqu'à croire que les douleurs du mal vertébral cancéreux, alors même qu'elles s
i bien que celles des adultes, rappelle parfois, par le caractère des douleurs dont elle s'ac-compagne, lasymptomatologie dumal
ypertrophique, dans la première période, s'accompagne, elle aussi, de douleurs assez analogues; on peut en dire autant de cette
dant plusieurs mois, comme c'est l'habitude, ont été précédés par des douleurs pseudo-névralgiques simulant une névralgie interc
vait éprouvé pendant plusieurs mois, dans les parois thoraciques, des douleurs localisées sur le trajet des nerfs intercostaux,
ostale. Plus tard, en raison de la persistance et du caractère de ces douleurs , on avait émis l'o-pinion que la névralgie élait
ance grise (picotements, fourmillements, sentiment de constriction, douleurs articulaires, etc.), ouvrent la marche. IV. L
essieurs, par l'en-semble des symptômes suivants : A l'origine, une douleur vive occuperait le trajet des troncs nerveux comp
, vous le savez, l'impuissance motrice est précédée et accompagnée de douleurs vives (pseudo-névralgies) suivie, tôt ou tard d'a
lés, longtemps avant l'apparition de la paraplégie. Combinés avec les douleurs névralgiques qui, en pareil cas, occupent naturel
à Gny's Hospital, se plaignait de toux et de dyspnée accompagnées de douleurs dans la partie supérieure du dos ainsi que dans l
uloureux (arthropathies spinales ?) en même temps que s'exaspérait la douleur thora-cique ; puis le mouvement commença à s'affa
instant. Il dut rester plusieurs semaines au lit, se plaignant d'une douleur vive au cou et d'une gêne marquée dans les mouvem
aturellement dans l'histoire des lésions des nerfs périphériques. Les douleurs pseudo-névralgiques, la paralysie motrice et l'an
s soit du rectum soit de la vessie l. Existe-t-il, à l'origine, des douleurs , des fourmillements in-diquant une participation
ficulté à mouvoir ses mem-bres. Une heure après, elle se plaignait de douleurs dans la région cervicale postérieure, de fourmill
e la paralysie infantile. Pour en revenir au cas de M. Duchenne, la douleur s'était à peine montrée que les quatre membres ét
ête iliaque. Il paraît certain que ce zona ne s'est pas accompagné de douleurs localisées sur le trajet des nerfs. Sans avoir
douleurs localisées sur le trajet des nerfs. Sans avoir ressenti ni douleurs ni fourmillements, le 1er oc-tobre, en se levant
x qui caractérisent la sclérose des zones radiculaires postérieures — douleurs ful-gurantes spéciales, incoordination motrice, e
ris à tort dans la description de l'atrophie musculaire vulgaire. Les douleurs spontanées, continues et névralgiques, les douleu
ire vulgaire. Les douleurs spontanées, continues et névralgiques, les douleurs paroxys-tiques fulgurantes, mentionnées par quelq
à l'atrophie simple. Il en est de même, d'après mes observations, des douleurs provoquées par la pression qui traduisent une exa
et avoir éprouvé pendant longtemps des four-millements ainsi que des douleurs {electric pains) dans les membres inférieurs, pré
gauche. — Embarras de la parole à peu près à la même époque. — Pas de douleurs , pas de contracture dans les membres. — État actu
alades éprouvent, ou aient éprouvé dans les membres affectés : 1° des douleurs spontanées plus ou moins vives, des engourdisseme
s vives, des engourdissements ou des fourmillements ; 2° et aussi des douleurs provoquées par la pression ou la traction des mas
l'extension sans employer une certaine force et sans provoquer de la douleur . Il en est de même du poignet qui, lui aussi, e
llés vers la paume de la main (Fig. 23). Ces attitudes forcées, les douleurs produites lorsqu'on essaie Charcot. Œuvres comp
de la raideur des muscles du cou; ils ne peuvent, sans effort et sans douleur , la fléchir où l'étendre, la tourner soit à droit
ne saurait être trop mise en relief. Il s'agit, en premier lieu, de douleurs extrêmement vives qui occupent la partie postérie
de la tête et se répandent aussi dans les mem-bres supérieurs. Ces douleurs sont accompagnées d'une sorte de rigidité, sur-to
s le siège d'aucun gonflement. On note encore, concurremment avec ces douleurs qui, par mo-ments, peuvent se montrer très vives,
faut ajouter que les symptômes de la sclé-rose postérieure tels que : douleurs fulgurantes, troubles ocu-laires, incoordination
ments. En même temps que progressait la paralysie des mouvements, des douleurs plus ou moins vives, et des fourmillements incomm
-hypertrophique. L'â^e relativement avancé du sujet, l'existence de douleurs vives et de four-millements dans les membres, les
dorsal ataxiqne, s'at-taque tout d'abord au système spinal sensitif ( douleurs fulgu-rantes, plaques d'anesthésie et d'hyperesth
d'où l'affection tire son nom, des troubles divers delà sensibilité : douleurs fulgurantes et terebrantes revenant par accès et
ans ses divers modes, non plus que de la sensibilité profonde; pas de douleurs lombaires -pas de douleurs en ceinture, pas de fo
lus que de la sensibilité profonde; pas de douleurs lombaires -pas de douleurs en ceinture, pas de fourmillements, d'en-gourdiss
u'ils doivent être évidemment relé-gués sur le second plan ; — pas de douleurs fulgurantes ou terebrantes. D'un autre côté, les
it couler le long de son dos. A cette sensation a succédé bientôt une douleur assez vive, accompagnée d'un sentiment de constri
ment de constriction et occupant à la fois le dos et les reins. Cette douleur , qui se répand sous forme de ceinture de chaque c
catégorie que nous envisageons, serait d'au-tant plus grand, que ces douleurs se manifestent déjà à titre de prodromes, avant m
pourrons relever alors, dans l'histoire de la malade, l'existence de douleurs cervicales et dorso-lombaires, de vertiges, une a
sion des accidents spinaux. — Symptômes : fourmillements, anesthésie, douleur dorso-lombaire et en ceinture. — Paraplégie avec
d'une anal-gésie occupant surtout les extrémités de ces membres ; la douleur dorso-lombaire et la douleur en ceinture font rar
rtout les extrémités de ces membres ; la douleur dorso-lombaire et la douleur en ceinture font rare-ment défaut. Une paraplégie
e du col du fémur, terminée par pseudarthrose, avait été l'origine de douleurs permanentes vives occupant dans toute sa longueur
sse gauche. Depuis plusieurs mois, il ressentait dans son moignon des douleurs vives, des fourmillements et parfois des soubresa
lorsqu'un jour, en août 1875, survinrent la paralysie vésicale et des douleurs lombaires. Peu après, des fourmillements et des s
troubles trophiques d'aucun genre ; on note expressément l'absence de douleurs dorsales et de toute espèce de sentiment de const
outre la parésie des membres inférieurs, on avait noté l'existence de douleurs vives sur le trajet des deux nerfs sciatiques. Le
à part plusieurs interruptions de quelques jours, nécessitées par des douleurs gastriques, pendant toute la durée du mois de mai
gée de 60 ans environ. Elle souffre depuis une quin-zaine d'années de douleurs vagues occupant toute l'étendue du membre supérie
é suivies de vomissements. Si j'insiste sur la description de cette douleur de tête, c'est que vous retrouverez le même phéno
s par les auteurs qui se sont occupés de ces questions : « Lorsque la douleur de tête, dit entre autres M. Buzzard, est associé
ment te-nace, des taches (?) sur le front, le psoriasis palmaire, des douleurs rhumaloïdes intenses et prolongées, une anémie pr
l commença à ressentir très fréquemment, presque habituel-lement, des douleurs de tête qu'il croyait être des migraines et qui o
e, comme il a été dit, sur un point de la région pariétale droite. La douleur , à ce moment, prend le caractère pulsatif, et, au
es du côté gauche. Cette disposition alterne des convulsions et de la douleur de tête, ainsi que la localisation de celle-ci su
théorie. Vous avez vu, en effet, dans notre première ob-servation, la douleur de tête prémonitoire et les convulsions 1 Voir
a- 1 Dans plusieurs cas d'épilepsie partielle que j'ai observés, la douleur de " ête prémonitoire des accès était localisée s
iétale d'un côté, l'autre sur la région temporale de l'autre côté. La douleur pariétale occupait toujours, dans ces cas, le côt
reprises s'était montrée dans le cou-rant de l'année. En outre de la douleur de tête, il y avait des troubles dys-peptiques tr
disparu vers l'âge de 35 ans (1850), époque à laquelle ont apparu les douleurs fulgurantes, qui mar-quent le début de la maladie
leurs fulgurantes, qui mar-quent le début de la maladie actuelle. Ces douleurs ont occupé tout d'abord les membres inférieurs, l
oublé de volume. Cette enflure ne s'accompagnait ni de rougeur, ni de douleur ; elle n'empêcha pas C... de continuer, comme par
ait raccourci. Il s'était produit, pendant la nuit, dans le lit, sans douleur , une luxation de la hanche droite. La marche, à
. Elle éprouvait, comme par le passé, de temps a autre, des crises de douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs. Ces dou-
très bien.de ses membres supérieurs, qui n'étaient le siège d'aucune douleur ; quant aux membres inférieurs, où les douleurs fu
aient le siège d'aucune douleur; quant aux membres inférieurs, où les douleurs fulgurantes continuaient à se produire de temps e
ur l'embrasser, et dans ce moment le fémur gau-che se fractura. Les douleurs fulgurantes commencèrent à se montrer dans les me
t-bras droit s'est fracturé à son tour vers la partie moyenne. Aucune douleur ne s'est fait sentir au moment où la fracture est
t pas présenté de gonflement, et la malade n'y avait res-senti aucune douleur . Vers la même époque, des troubles de la vision
uble de la défécation. La malade a éprouvé, à plusieurs reprises, des douleurs fulgurantes occupant la partie inférieure du rect
es occupant la partie inférieure du rectum et les grandes lèvres. Ces douleurs sont, en général, moins intenses que celles qui s
s, comme les mouvements spontanés, se font d'ailleurs absolument sans douleur . Sur les membres la malade perçoit le contact,
droite s'accusent déplus en plus ; on n'observe sur cette jointure ni douleur ni gon-flement. 15 décembre. — C... a remarqué
s mouvements spontanés ou provoqués n'y pro-duisent d'ailleurs aucune douleur *. i Cette malade est morte en 1876, de la rupt
iques, la maladie spinale n'étant représentée là que par des accès de douleurs fulgu-rantes ; et, pour ce qui est du membre infé
es auteurs, — les symptômes tabétiques et en particulier les accès de douleurs fulgurantes. Je citerai, entre autres, à titre d'
on est une femme, âgée de 58 ans, qui se réveilla, un matin, avec une douleur assez vive siégeant à la nuque, et une contrac-tu
t le siège de phénomènes singuliers. 11 s'agit de véritables accès de douleurs s'accompagnant de secousses musculaires violentes
immédiatement menaçant. Il y a un an environ, la malade a éprouvé des douleurs au cou, sur les côtés de la colonne vertébrale, d
e la colonne vertébrale, dans les masses latérales. Aujour-d'hui, ces douleurs ont disparu, mais de semblables sont surve-nues d
aient librement. Cependant la malade accusait toujours l'existence de douleurs survenant par accès au niveau du cou, du dos, des
normale. La pression sur les masses mus-culaires ne détermine pas de douleurs . Vintelligence est parfaite-ment conservée. Pen
ependant quelques phénomènes insolites se sont mon-trés : ce sont des douleurs dans certaines parties du corps, puis des secouss
esse des membres inférieurs. — Vers le 20 septembre, elle éprouva des douleurs dans les mains, et, à partir de cette époque, les
la sensibilité aux membres infé- rieurs, où la malade n'éprouve ni douleurs , ni crampes, ni four-millements. La sensibilité é
ents. En même temps que progres-sait la paralysie des mouvements, des douleurs plus ou moins vives et des fourmillements incommo
do-hyperfrophique. L'âge relativement avancé du sujet, l'existence de douleurs vives et de fourmillements dans les membres, les
nales,' leurs rapports avec la sclérose des cordons postérieurs.— des douleurs fulgurantes et des crises gastriques. Sommaire.
ue de l'ataxie locomotrice progressive. — Période prodro-mique ou des douleurs fulgurantes. — Période de la maladie constituée o
tituée ou de l'incoordination tabétique. — Période paralytique. Des douleurs fulgurantes. — Leurs variétés : douleurs terebran
— Période paralytique. Des douleurs fulgurantes. — Leurs variétés : douleurs terebrantes; — douleurs lancinantes ; — douleurs
Des douleurs fulgurantes. — Leurs variétés : douleurs terebrantes; — douleurs lancinantes ; — douleurs constrictives. —Des doul
. — Leurs variétés : douleurs terebrantes; — douleurs lancinantes ; — douleurs constrictives. —Des douleurs fulgurantes symptoma
terebrantes; — douleurs lancinantes ; — douleurs constrictives. —Des douleurs fulgurantes symptomatiques dans la sclérose en pl
nérale progressive et l'alcoolisme chronique. — Symptômes viscéraux : douleurs vesicales, uréthrales ; ténesme rectal. TROISIÈ
e mal verté-bral cancéreux. Paraplégie douloureuse des cancéreux. — Douleur ; ses caractères; pa-roxysmes. — Hyperesthésie tég
ière ; — des nerfs périphéri-ques. — Symptômes : Période douloureuse ( douleurs cervicales, rigidité du cou ; fourmillements et e
sion des accidents spinaux. — Symptômes : fourmillements, anesthésie, douleur dorso-lombaire et en ceinture. — Paraplégie avec
Achromatopsie, 50. Actions à distance, 23. Alcoolisme chronique ( Douleurs ful-gurantes dans T), 33. Amaurose tabétique, 4
r Anesthésie, Arthropathies, Atrophie musculaire , Crises 6astriques, Douleurs fulguran-tes, Tabes dorsal spasmodique, Vertige).
Dégénérations secondaires, 24, 25, 139, 240, 268. Diplopie, 43. Douleurs fulgurantes, 27, 29 ; -terebrantes, 30 ; — lancin
m Mal vertébral cancéreux, 94. (V. Pseudo^névralgie ) Mal de Pott. douleurs fulgurantes, 34; — Causes de la paraplégie, 93 ;
. — consécutive aux maladies des voies urinaires, 326; — partielle, douleurs fulgurantes, 34, 144, — spontanées, 129,1?0. — Tr
ysie agitante, 371. — Par com-pression, 125. — Générale progres-sive, douleurs fulgurantes, 33; — lésion de la papille optique,
7. Rectum (Troubles du) dans la com-pression de la moelle, loi. (V. Douleurs .) Réflexes (Exaltation des phénomè-nes), 128, 1
tabès spasmodi-que, 32ù. — Deux cas 439. — En plaques, 6, 25, 320. — Douleurs ful-gurantes, 33— Amyotrophie, 217. — Trémulati
tiques (Symptômes), 4, 12. Température: crises gastriques, 37 : — Douleurs fulgurantes, 66. — Arthropathies, 67 ; — Hémipara
5 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
la mort de son grand-père ; cette jeune fille a ressenti aussitôt une douleur prœcardiaque très vive et 15 jours après une autr
ssitôt une douleur prœcardiaque très vive et 15 jours après une autre douleur à la région présternale supérieure, principalemen
u niveau de l'articulation sterno-claviculaire droite. Cette dernière douleur a été dès son apparition d'une intensité telle qu
frôlement déterminait des cris. Trois jours après le début de cette douleur , est survenue la première attaque suivie depuis d
rps entier est raide. Je lui fais la suggestion de ne plus avoir de douleur sternale, ni d'at- taques, ni de raideur et d
de lèvres qui indique qu'elle entend ma voix. De plus, elle a la même douleur et autant d'attaques. L'idée me vient que son éta
apier sur laquelle j'avais écrit « Vous n'aurez plus de crises, votre douleur cessera dès votre sortie de chez moi. » - A la
le lendemain, sa mère m'apprend avec joie que sa fille n'a plus eu de douleurs ni d'attaques. Dans la quatrième séance je reno
Auguste Voisin : Mélancolie avec hallucinations — Accouchement sans douleur pendant l'hypnose après la guérison. Azoulay: L
plexion assez délicate, ce garçon, cordonnier de son état, accuse une douleur abdominale et une douleur thoracique. La première
garçon, cordonnier de son état, accuse une douleur abdominale et une douleur thoracique. La première date de la mi-août. Après
août. Après avoir travaillé dans un marais, il ressentit, dit-il, une douleur abdominale, affectant la forme de coliques contin
anorexie; au bout de huit jours, vomissements bilieux et ligneux ; la douleur augmenta et le malade, ne pouvant plus marcher, é
hôpital à avoir trois ou quatre selles diarrhéiques par jour. Les douleurs vives continues avaient disparu; mais de temps en
e jeudi et le vendredi de chaque semaine, à huit heures du matin, une douleur très vive se manifestait à droite de l'ombilic su
c sur une étendue circulaire comme une pièce de cinq francs, et cette douleur durait jusqu'à dix heures au moins, d'autrefois j
22 novembre, il se refroidit, eut des frissons, de la toux ; alors la douleur revint à droite de l'ombilic à neuf travers de do
lancinante, comme si on enfonçait, dit-il, des queues de lime. Cette douleur persiste depuis. En même temps qu'elle, survint
douleur persiste depuis. En même temps qu'elle, survint, le 22, une douleur soudaine dans la fosse sous-épineuse gauche; cett
le 22, une douleur soudaine dans la fosse sous-épineuse gauche; cette douleur devint plus vive le 23, et passa sous l'aisselle
s'impose ; il y aune indurafion tuberculeuse des deux sommets. La douleur thoracique est due à cette localisation, peut-êtr
eut-être à une pleurésie sèche concomitante. Restait à savoir si la douleur abdominale était due à un processus de même natur
loureuse suggérée par l'idée de nouveauxlombrics. La surcroissance de douleurs a l'évacuation des vers, et leur exsurbation depu
s a l'évacuation des vers, et leur exsurbation depuis la fièvre et la douleur thoracique, pouvaient donner l'idée d'une cause o
roubles digestifs, la régularité des selles, le retour périodique des douleurs le jeudi et le vendredi, leur absence complète da
à ce nivea'u. Je presse alors celte région et le malade accuse de la douleur . Alors je précise moi-même arbitrairement le sièg
ouleur. Alors je précise moi-même arbitrairement le siège exact de la douleur et montrant un point placé à trois travers de doi
ravers de doigt de l'ombilic à sa droite, je dis : C'est là qu'est la douleur la plus vive. Au-dessous le ventre est sensible,
a plus vive. Au-dessous le ventre est sensible, mais ce n'est pas une douleur aiguë comme là! Cela dit, je presse le point sugg
urs je ne détermine pas de réaction douloureuse, Je dis alors : Cette douleur doit se propager quelquefois vers Thypogastre, et
re, et quand vous urinez, vous avez mal. L'enfant répond enfin que la douleur s'étend quelquefois vers l'hypogastre où elle don
on. C'en était assez d'ailleurs pour le diagnostic du malade et de la douleur abdominale. Le malade était très-suggestible ; la
t de la douleur abdominale. Le malade était très-suggestible ; la douleur était le résultat d'une auto-suggestion, dont l'i
gestion, réveillait la sensation. Pourquoi, pendant quelque temps, la douleur s'est-elle manifestée le jeudi et le vendredi à j
t des malaises digestifs, a pu greffer de nouveau sur ces malaises la douleur abdominale continue. Je vous ai dit alors : Cet
laises la douleur abdominale continue. Je vous ai dit alors : Cette douleur est très facile à enlever. L'enfant étant certain
e à enlever. L'enfant étant certainement très suggestible, puisque sa douleur lui est suggérée par une oppression, je vais l'en
rée par une oppression, je vais l'endormir pour le débarrasser de ses douleurs . Je dis à l'enfant: Tu seras bien content si je t
is à l'enfant: Tu seras bien content si je t'enlève immédiatement ces douleurs , et cela sans opération, sans même te toucher. Il
sommeil était complet. Je suggérai alors la disparition complète des douleurs abdominales et thoraciques; je pressai les région
s'il y en avait, étaient tués et que rien ne ferait plus paraître la douleur , qu'il dormirait toute la nuit et serait tout à f
, ne savait pas que je lui eusse parlé. Il ne sentait plus du tout la douleur abdominale et on pouvait palper et presser tout l
n pouvait palper et presser tout le ventre sans le réveiller. Mais la douleur thoracique subsistait encore. J'ajoute que le
-t-elle un état anormal? L'idée des lombrics a déterminé chez lui des douleurs abdominales, à l'état de veille et de conscience
ureux et des irradiations vers l'hypogastre, avec souvenir fictif des douleurs au début de la miction, sans hypnotisme, par simp
t voyons la suite de l'observation. Après cette première séance, la douleur abdominale a complètement disparu ; elle n'a plus
; elle n'a plus jamais reparu, ni spontanée, ni à la pression. Cette douleur était donc purement suggestive et sans rapport av
purement suggestive et sans rapport avec l'affection thoracique. La douleur de la fosse sous-épineuse et de l'aisselle gauche
, après la conférence, l'enfant ne la sent presque plus. C'est là une douleur de cause organique, plus résistante, bien que cep
dormir, et le lendemain 26, l'enfant va bien et dit ne plus sentir la douleur que lorsqu'il tousse. La température, le soir, s'
matin elle est à 37°, 4. — Je prescris de nouveau la phénacétine. Les douleurs thoraciques qui n'existent plus que par la toux s
te normale, grâce à la phénacétine, le 28 et le 29. Le 28 au soir, la douleur a été un peu plus vive dans la fosse sous-épineus
. Mais elle peut, comme elle l'a fait chez notre enfant, supprimer la douleur , modérer la toux, restaurer le sommeil, rétablir
oir même du jour où nous avons enlevé d'une façon si merveilleuse les douleurs abdominales, notre chef de clinique a essayé en v
que la maladie reste guérie définitivement. Je veux vous enlever les douleurs de la poitrine comme je vous ai enlevé les douleu
vous enlever les douleurs de la poitrine comme je vous ai enlevé les douleurs abdominales. Dormez, mon enfant. Mais sa face ne
ait très bien, nullement fatigué, j'insistai sur la disparition de la douleur thoracique, et au bout d'une minute, il était pri
minute, il était pris de nouveau en sommeil profond. Au réveil, cette douleur avait disparu;et il ne se souvenait de rien. Je
é cela, je parvins tous les jours à le mettre en hypnose profonde. La douleur abdominale n'existait plus ; on pouvait palper et
ns réveil 1er aucune sensibilité. La toux n'existait presque plus. La douleur scapu-laire ne se manifestait plus que pendant la
de la nuit était excellent. Le 30 novembre au soir il eut encore une douleur un peu plus vive vers l'angle de l'omoplate ; la
nce, de ne plus écouter sa sœur. Cependant, malgré la suppression des douleurs et le bon sommeil de la nuit, la physionomie cons
rès le déjeu-ner, à dix heures du matin, l'enfant avait été repris de douleurs abdominales: ces douleurs devinrent plus vives ve
ures du matin, l'enfant avait été repris de douleurs abdominales: ces douleurs devinrent plus vives vers une heure; c'étaient de
r, tant ils s'échappèrent vite. La nuit, il ne put dormir à cause des douleurs diffuses dans tout l'abdomen, mais plus spécialem
nt localisées à droite et un peu au-dessus de l'ombilic. Le matin les douleurs persistent dans cette région. Je les localise d'u
Je vais de nouveau t'endormir comme l'autre jour pour t'enlever cette douleur , et cette fois-ci ce sera définitivement. J'éprou
isse aller à contre-gré. Je m'efforce par suggestion à neutraliser la douleur abdominale, je n'arrive pas aussi facilement que
'efforce de la maintenir J'insiste ; j'affirme avec conviction que la douleur va se dissiper, que dans trois minutes il ne sent
liquée sur la région sensible ; je suggère la chaleur qui remplace la douleur . Puis, après quelques minutes, je vous montre qu'
oue qu'il ne sent plus rien. Au réveil, il constate que, en effet, la douleur a complètement disparu, mais il dit : Elle revien
i suggère de dormir une heure et je m'efforce de lui persuader que la douleur ne peut pas revenir. En réalité je n'espérais p
ne l'entende pas: Voici ce qui va arriver. Il évoquera de nouveau sa douleur . Un de ces jours, il va quitter l'hôpital, convai
c d'autres malades. Je lui demande comment ça va. Il me montre que la douleur est revenue. Le soir, la température s'élève de
ain 5, au matin, elle est à 37°,8. Dans la journée, il a eu de fortes douleurs ; elles ont augmenté après le repos du soir. Il n
e lit, qui, tuberculeux aussi et souffrant depuis des années de vives douleurs des membres, se trouve aujourd'hui délivré de ses
s de vives douleurs des membres, se trouve aujourd'hui délivré de ses douleurs et en bonne voie de guérison. Ce voisin ajoute mê
la faveur de l'état de conscience nouveau ainsi créé, neutraliser la douleur , tant qu'existait cet état. Mais aussitôt le suje
me musculaire, le lumbago, le torticolis, et dans tous les cas où les douleurs rhumatismales siègent dans les muscles. Dans le
ak. Par le massage, on fait disparaître la fatigue, et on diminue les douleurs . Thomsen, en Malaisie, note qu'on emploie le pétr
tion s'accusa de jour en jour ; à la suite de la première séance, les douleurs rachidiennes disparurent. Le lendemain, la malade
nua pendant deux mois, mais de grands froids étant survenus, de vives douleurs apparurent dans le membre, en même temps qu'il bl
ps qu'il bleuissait, s'œdémaliait et perdait sa force. Rapidement les douleurs remontaient jusqu'à la nuque et nécessitaient une
s, la chaleur et les applications de gaïacol calmaient rapidement les douleurs et, après quelques jours, le malade pouvait rendr
eut aussi de grandes préoccupations, de sorte que, graduellement, ses douleurs reparurent ainsi que ses pertes et qu'il dut rent
le 25 avril. Il était alors dans un état plus pénible que jamais. Ses douleurs rachidiennes et cervicales étaient très vives, so
me côté très élevée. Le bras et Pavant-bras étaient le siège de vives douleurs et ne pouvaient exécuter ni supporter aucun mouve
que je voulais prendre et son état ne se modifia pas ; toujours même douleurs . Ce n'est que le quatrième jour que furent pratiq
bord fait sur la nuque, en deux jours ils diminuèrent notablement les douleurs et permirent le redressement de la tête, qui rest
pour faire cesser cette contracture. Il ne restait plus alors que les douleurs dorso-lom-baires qui furent combattues et vaincue
ont la vitalité était encore incomplètement rétablie, a été repris de douleurs , de cyanose, de parésie, tandis que, sous l'i
arues l'insomnie et l'irritabilité spinale se traduisant par de vives douleurs le long du rachis, des contractures, la trépidati
J'ai guéri par des médications inertes, nombre de sujets affectés de douleurs , d'insomnie, d'aphonie nerveuse, etc., qui ne vou
persuasion, à briser cette résistance, à neutraliser, par exemple, la douleur qu'ils accusent. Mais lorsqu'ils sont réveillés e
ne persiste pas ; l'auto-sug-gestion reprend le dessus et régénère la douleur . Tel était le cas du garçon que je vous ai montré
uleur. Tel était le cas du garçon que je vous ai montré qui avait des douleurs abdominales engendrées par l'idée du ver intestin
l'idée du ver intestinal ; je l'endormais malgré lui ; j'enlevais sa douleur malgré lui. Mais, une fois réveillé, son imaginat
lui. Mais, une fois réveillé, son imagination évoquait de nouveau la douleur . Les autres, même pendant l'hypnose, ne laissen
r. Les autres, même pendant l'hypnose, ne laissent pas déraciner la douleur ; ils s'endorment avec l'idée consciente ou incon
de la conserver; ils sont suggestibles pour tout, excepté pour cette douleur ; leur esprit reste en éveil sur le phénomène morb
e. Il est venu hier à la consultation, accusant depuis huit jours une douleur abdominale des deux côtés de l'ombilic ; elle est
meil profond, avec amnésie au réveil. Interrogé sur la cause de cette douleur pendant son sommeil, il l'a rapportée à un effort
portant une lourde charge. Je lui ai suggéré la disparition de cette douleur . Au réveil, il ne la sentait plus et ne l'a plus
eutique ; elle a permis d'enlever instantanément et définitivement sa douleur . Voici l'autre jeune homme, qui est entré à la
nse-t-il, étant en sueur ; il grelotta et ressentit tout de suite une douleur poignante qui traversa transversalement l'abdomen
Le 8 décembre, il dut arrêter son travail, et ressentit en outre une douleur à la région lombaire. Il n'a pu dormir depuis le
ir; les urines étaient chargées à son entrée. Il accuse surtout une douleur abdominale vive, spontanée et à la pression, au n
à la pression, au niveau et au-dessous de la région ombilicale. Cette douleur est très vive à la pression. Je la localise à vol
présente aucune tumeur. 11 répond, sur ma demande, qu'il n'a pas de douleur en urinant. L'appétit est médiocre ; les digestio
es selles normales. En outre, céphalalgie frontale et bi-temporale et douleur à la nuque. L'examen du thorax ne présente rien d
e civile. Il y a deux ans, il a eu déjà l'influenza avec céphalalgie, douleurs abdominales et diarrhée pendant quinze jours. J
éveil, le Ï0 décembre; mais je lui suggère en vain la disparition des douleurs . J'applique les mains sur la région douloureuse,
gé pendant son sommeil, il dit avec insistance qu'il sent toujours la douleur . Le lendemain 11, la douleur de tête a presque
avec insistance qu'il sent toujours la douleur. Le lendemain 11, la douleur de tête a presque disparu; mais, à l'abdomen, ell
Chose singulière! Il a un frère qui est couché au service et qui a la douleur à la même région. Il a voulu se lever hier, mais
ête lui a tourné. Nouvelle suggestion. Le 12, il accuse toujours sa douleur à la partie inférieure du ventre, surtout à l'ain
tre en sommeil profond ; mais on ne peut lui dé suggestionner ses douleurs ; on voit que son idée est faite ; il s'entête à
e que je lui ai donnée le 9, quand je lui ai demandé s'il avait de la douleur en urinant? Les douleurs abdominales sont plus
9, quand je lui ai demandé s'il avait de la douleur en urinant? Les douleurs abdominales sont plus vives ; il les indique à la
st une neurasthénie qui parait se généraliser. Il accuse en outre une douleur dans la colonne vertébrale, depuis le sacrum jusq
. 11 dit que, depuis un mois, il a tous les $ ou 3 jours de violentes douleurs dans le genou droit ; d'autres fois il aurait de
sent encore une constric-tion laryngée. Quand il a mangé, il sent une douleur dans la région épigastrique, « comme si cela ne p
son sommeil: « Je vois bien, mon ami, que je ne peux pas enlever tes douleurs par la suggestion. Tu as une influenza; cela guér
t seul. Tu as une bonne nature ; tes organes ne sont pas malades. Les douleurs nerveuses que tu as guériront toutes seules. Il f
ession. Il a toujours un peu de contriction à la gorge. Il a moins de douleur en urinant. Le 18, il dit qu'il a pu dormir la
le mal de tête est moins violent. Il a eu hier dans l'après-midi une douleur autour de la rotule droite; il nous montre une bo
énérale, mais il n'a dormi que jusqu'à minuit. II accuse toujours des douleurs sus-inguinales; sa bosse l'inquiète toujours. Cep
ces cas. Le 21, il dit avoir dormi cette nuit La tête va mieux. Les douleurs de ventre sont également moins fortes. J'évite d'
veiller par la pression. Le 22, le mal de tête disparait un peu; la douleur de ventre a presque disparu. Le ventre n'est plus
passé, ainsi que le mal de ventre. Mais il accuse, depuis le 2i, une douleur dans les mollets, surtout quand il est levé. A la
très douloureuse, jusque dans leur quart inférieur. Je dis que cette douleur est liée à la maladie et qu'elle disparaîtra comm
malgré les pilules. De plus, il a mal au larynx quand il respire. Les douleurs dans les jambes existent toujours; de plus, les g
; les mouvements de l'articulation sont libres et ne révèlent pas de douleur . Il accuse aussi un point sous le mamelon droit.
et, de plus, une névropathe accomplie, a, depuis quelques jours, des douleurs vives de pseudo-sciatique dans les deux membres i
es deux membres inférieurs. Je me contente d'affirmer que ce sont des douleurs rhumatismales nerveuses qui ne sont pas inquiétan
fin. 28. Hier, le malade accusait de nouveau son mal de tête et ses douleurs de mollet. Aujourd'hui, point sous le sein droit,
te et ses douleurs de mollet. Aujourd'hui, point sous le sein droit,, douleurs au front, à l'occiput, à la face postérieure des
, douleurs au front, à l'occiput, à la face postérieure des jambes-La douleur de ventre a disparu. Il a pris hier six pilules s
les supprimer, puisqu'elles ne font plus rien. Je dis que, malgré ses douleurs , il peut se lever, s'il veut; la maladie va se te
a se terminer. Le 29, il va un peu mieux d'une façon générale. La douleur des jambes a un peu diminué. J'affecte maintenant
enant de passer vite devant son lit, en disant : « Cela va mieux. Les douleurs diminuent. » Je ne lui prescris rien que de bien
u pourras refaire de la bonne confiserie. » Le 30, il va mieux. Les douleurs ont notablement diminué. Les jours suivants, il c
dans tout le corps, principalement dans les jambes, mais n'a plus de douleurs . Il reste levé toute la journée. Je prescris des
onsidérant comme convalescent. On ne détermine plus d'ailleurs aucune douleur à la pression. Le malade quitte l'hôpital, guér
tion naturelle de la maladie : mais j'ai vu si souvent les symptômes, douleur , vertige, maux de tête, atonie morale et physique
de le reprendre, mais dut arrêter de nouveau. Depuis trois jours, la douleur abdomidale est devenue plus intense, il ne peut s
une pleurésie qui dura plus de deux mois ; depuis, il a conservé une douleur à la partie inférieure de l'aisselle. De plus, du
puis trois jours. Il a une bonne selle à la suite d'un lavement. La douleur abdominale continue, intense, les jours suivants,
pétit redevient normal ; la digestion est bonne. La persistance de la douleur en l'absence d'autre trouble fonctionnel nous fai
'influenza. L'entrée au service de son jeune frère présentant la même douleur avec les mêmes caractères de ténacité vient corro
n sommeil profond, avec amnésie au réveil. Mais il accuse toujours la douleur et ne se laisse pas désuggestionner. La suggestio
à minuit et de 2 à 5 heures. Mais si on l'interroge relativement aux douleurs , il dit ressentir encore par moments des élanceme
Le soir, dit-il, le ventre enfle beaucoup. Après le repas du soir, la douleur abdominale serait beaucoup plus forte pendant une
; et pendant le sommeil suggéré, je m'évertue à lui persuader que la douleur doit forcément disparaître. Il répond toujours av
rs mal ; il semble irrité de ce que j'ai l'air de supposer que la douleur pourrait ne pas exister. Je lui fais une admone
la selle, puisque je ne constate aucune lésion, il est certain que la douleur est purement nerveuse ; que s'il veut bien m'écou
se, vexé de mon admonestation et de la façon légère dont je traite sa douleur , il quitte l'hôpital le 15 décembre. J'apprends
ends par son frère, qui quitte l'hôpital guéri le \ 1 janvier, que sa douleur abdominale existe toujours. L'existence de doul
janvier, que sa douleur abdominale existe toujours. L'existence de douleurs analogues chez les deux frères montre bien qu'ell
priori est loin d'être exacte. Quand-je neutralise par suggestion une douleur que je produis en perçant la peau, en introduisan
pingle dans la narine, en électrisant, quand le chirurgien opère sans douleur grâce à l'analgésie suggérée, c'est bien une doul
rgien opère sans douleur grâce à l'analgésie suggérée, c'est bien une douleur réelle, ce n'est pas une douleur fictive que je s
l'analgésie suggérée, c'est bien une douleur réelle, ce n'est pas une douleur fictive que je supprime. Ce simple fait d'observa
nes par auto-suggestion, d'origine centrale, mais qu'elle s'étend aux douleurs réelles et qui reconnaissent une cause organique
us apprend aussi que le seul fait de l'abolition par suggestion d'une douleur ou d'un autre trou- ble, n'implique pas à cou
leur ou d'un autre trou- ble, n'implique pas à coup sûr que cette douleur soit purement auto-suggestive. Les crises d'hysté
à extérioriser dans l'abdomen une sensation qui n'est qu'un réveil de douleur , souvenir créé parle sensorium, c'est là une auto
Cinq ou six mois après son début, se développèrent en même temps des douleurs dans la jambe gauche avec crampes nocturnes dans
Les urines ne sont pas albu-mineuses. Le malade accuse surtout des douleurs ; d'abord un point qu'il indique dans la région in
de dehors en dedans jusqu'à l'épitrochlée. Enfin, il indique de la douleur dans toute la jambe gauche, à sa face postérieure
che, à sa face postérieure ; plus marquée autour des malléoles. Cette douleur est très vive; le malade la compare à une sensati
e très intense des mollets qui dure environ cinq minutes. Quand cette douleur est très forte ou quand il a une crampe, il sent
mme du velours ; il pourrait alors la pincer sans y déterminer aucune douleur . Il n'a jamais eu de douleur dans la jambe droite
alors la pincer sans y déterminer aucune douleur. Il n'a jamais eu de douleur dans la jambe droite. — Depuis 8 mois, ces sensat
e ans, a une évolution lente et chronique. Quelle est la nature des douleurs des membres greffés sur la maladie ? Sont-elles r
ulations ne sont ni gonflées, ni sensibles dans leurs mouvements. Les douleurs sont fixes, non mobiles, ni erratiques comme cell
bles et tangibles. Donc aucune de ces lésions ne peut expliquer les douleurs spéciales qu'accuse cet homme depuis quatre ans.
uis quatre ans. On sait que la diathèse tuberculeuse crée souvent des douleurs variables qui sont tantôt de vraies névralgies, t
s douleurs variables qui sont tantôt de vraies névralgies, tantôt des douleurs musculaires ou myalgies, tantôt des douleurs osse
s névralgies, tantôt des douleurs musculaires ou myalgies, tantôt des douleurs osseuses, fibreuses ou intéressant divers tissus,
ts douloureux de siège et d'intensité variables ; j'ai appelé sur ces douleurs variables l'attention dans une thèse qu'un de mes
ections toxiques et infectieuses. Chez notre homme, l'invasion de ces douleurs a précédé de peu de temps la toux initiale de la
soit comme intoxication, dégénérer en névropathie. Actuellement, les douleurs continues et persistantes chez lui, quelle qu'ait
leur cause au début, rhumatisme, névrite, ou toxine, actuellement ces douleurs peuvent être qualifiées de névro-pathiques. La
rs peuvent être qualifiées de névro-pathiques. La continuité de ces douleurs , leur fixité, en l'absence de toute lésion, alors
re ans, la toxé-mic ne saurait être constante, mo font penser que ces douleurs , quelle que soit leur origine, sont retenues dans
avec amnésie au réveil ; je lui suggère la disparition totale de ses douleurs . Le soir, il prend encore la même potion à 9 heur
Alors il prend le reste et se rendort jusqu'à 4 heures du matin. Les douleurs ont à peu près disparu : il n'accuse plus que la
/2, mais se réveille définitivement à une heure 1/2. Il n'a pas eu de douleurs hier, ni de crampes dans la nuit. Mais depuis c
ampes dans la nuit. Mais depuis ce matin, 28, il sent de nouveau sa douleur habituelle du poignet au coude, bien moins vive c
ibilité. II continue à bien dormir les nuits suivantes et n'a plus ni douleurs ni crampes. Les nuits continuent à être bonnes.
lus ni douleurs ni crampes. Les nuits continuent à être bonnes. Les douleurs n:ont plus aucune tendance à revenir. Pour enraye
ffection est susceptible de redevenir stationnai re. Voilà donc des douleurs avec crampes datant de près de 4 ans, qui depuis
notre homme le sommeil, la confiance, l'appétit, en lui enlevant les douleurs persistantes, j'ai renforcé son organisme et dimi
t le hem caractéristique continu avec des chatouillements et même des douleurs qui peuvent engendrer un véritable état hypochond
anes-thésie, la^sensibilité cutanée est normale au toucher comme à la douleur ou aux modifications de température. Les fonction
ment tranformé. On ne put remarquer un atome de fièvre, ni l'ombre de douleurs les jours suivants. L'appétit était déjà revenu c
se réveillant elle se sentira déjà meilleure, qu'elle n'aura plus sa douleur du côté droit, qu'elle sera plus sensible aux poi
ontente. L'enfant dit qu'elle se trouve mieux, elle ne sent plus sa douleur de côté, elle est plus sensible aux points anesth
Rueff. Ainsi nous pouvons ignorer noire faim et notre soif, notre douleur même, si nous avons une forte préoccupation ; et
ynesthésie délicieuse que l'on retrouve avec bonheur, au sortir d'une douleur , d'une rage de dents et d'une forte migraine, que
té ; et nous sommes si habitués à n'apprécier que les troubles et les douleurs , que quand nous souffrons, nous aspirons « à n'av
upable, et dans le genre qui pouvait me causer le plus de honte et de douleur , puisque c'était celui qui déplaisait le plus à l
fut ainsi voilée, elle n'eut plus ni syncopes, ni sueurs profuses, ni douleurs épigastriques, ni aucun trouble fonctionnel ; sa
mois après, on l'envoie chercher. La patiente était en travail ; les douleurs étaient violentes, absolument semblables aux doul
n travail ; les douleurs étaient violentes, absolument semblables aux douleurs de l'enfantement. Cependant, comme rien ne bougea
chait tranquillement, quand, tout d'un coup, elle ressentait une vive douleur dans le genou, ses jambes fléchissaient involonta
ant successivement les deux yeux à quelques années d'intervalle : les douleurs de tête qui avaient accompagné la perte de la vis
ant la nuit. Une autre réve que la foudre la frappe et conserve une douleur persistante dans le point supposé atteint. Une
mouvement dans les membres inférieurs, ainsi que celle du rectum, des douleurs très vives dans toutes ces parties, de Pérysipèle
sée des membres droits et y éprouvait, au moindre mouvement, de vives douleurs . Elle ne pouvait élever son bras plus haut que l'
en vous tout son espoir. Voyez ce que vous pouvez faire sur l'élément douleur . Observation : le père a tout fait pour guérir sa
ait se laver ; les mouvements se font presque sans difficulté et sans douleur ! Comme il n'y avait pas d'autre témoin de cette
violent mal de tête et dérangé de l'estomac. Je ne ressentais aucune douleur aux jambes. Ceci avait commencé le 12 août 1880.
ications ne sont pas aussi la source des idées fixes, des manies, des douleurs dans beaucoup de cas ; ainsi, à la suite d'une fr
uspendue ou détruite, l'acte deviendrait machinal, inconscient. Une douleur résultant d'un traumatisme ou d'une maladie reste
e nerf qui a été atteint, d'où l'idée fixe ou souvent réveillée d'une douleur . En réalité, les maladies qu'on appelle imaginair
on y parvenir? La piqûre de morphine que l'on fait pour supprimer des douleurs , peut agir localement sur les fibrilles et les ce
érale sur les centres de la moelle ou du cerveau, sur le centre de la douleur qui est en rapport avec le centre correspondant à
moindre entre ces centres, et que, dans certains cas, elle guérit la douleur en supprimant des liens trop intimes. Ce que peut
s nerveux qu'entraîne la vieillesse, les idées fixes, les manies, les douleurs . Nous avons établi des points de comparaison entr
coup de mal pour mettre sa main sur la tête ; il ressentait alors des douleurs vives dans le poignet, le coude et l'aisselle ; i
était anormal, d'où la disparition des raideurs, des paralysies, des douleurs . Voici comment s'exprime M. le professeur Bernh
és. Si le patient croit que, par de tels moyens, il puisse guérir, la douleur cessera ; s'il n'en croit rien ou qu'à l'entour d
nte et un ans, manifestement hystérique, ressent depuis trois ans des douleurs dans la région mammaire gauche, qu'elle attribueà
hargée, fut atteinte d'influenza en février 1895 (fièvre, abattement, douleurs dans la nuque, le dos). Pendant 3 ou 4 jours, ell
spiration chez les hypnotises. — L'hypnotisme et la psychologie dc la douleur . Mardi 5 Mai. — Application de la suggestion à
a montré que bon nombre de phénomènes morbides chez les hystériques, douleurs , paralysies, changements d'humeur, aversions et a
rité, elles se dilatent légèrement. Le malade ne se plaint d'aucune douleur dans la tête et prétend ne rien voir ni distingue
la tête, surtout dans les régions frontale et temporale droites. Ces douleurs commençaient par une sensation de gonflement à la
ait fléchi et douloureux. Tout le temps que dura cette paralysie, les douleurs névralgiques de la tête et des espaces intercosta
ans, elle alla de maison en maison, changeant souvent, parce que ses douleurs l'empêchaient de faire le travail qu'on lui impos
e fut atteinte de névralgies vagues, de maux de tête, de dents, et de douleurs intercostales ; elle toussait presque continuelle
piqûre à l'avant-bras gauche. Pas de stigmates sus et sous-mammaires. Douleur éliaque des deux côtés. Douleur dans le côté droi
s de stigmates sus et sous-mammaires. Douleur éliaque des deux côtés. Douleur dans le côté droit du thorax. Pas de zones hystér
la moitié droite du thorax. 29 Octobre 1893.— Pas d'anesthesie à la douleur , au tact. Conservation du réflexe palpébral. Cons
classes aisées sont beaucoup plus sensibles à la localisation et à la douleur que les ouvriers. 3° Les jeunes femmes des clas
à la localisation et à la chaleur, mais beaucoup plus sensibles à la douleur que les jeunes hommes des mêmes classes. 11 a d'a
a d'ailleurs été constaté déjà que la femme était plus sensible à la douleur que l'homme, d'où il ne résulte pas nécessairemen
ne résulte pas nécessairement que la femme ne puisse endurer plus dc douleur que l'homme. 4° Les garçons sont plus sensibles
st plus sensible aussi bien à la localisation et à la chaleur qu'à la douleur . SOCIÉTÉS SAVANTES Société de Médecine et de
ision. Je l'hypnotisais de temps à autre, lorsqu'elle se plaignait de douleurs dc tète. En mai 1894, je la rendis à son mari q
eures du matin, je fus appelé auprès de M"" Ch..., qui était prise de douleurs depuis 2 heures. En arrivant, je la trouve dans l
res. En arrivant, je la trouve dans la salle de travail, souffrant de douleurs vives qui lui arrachaient des plaintes. La sage-f
st un peu ditlicile à obtenir, à cause de la répétition fréquente des douleurs ; cependant, au bout de trois minutes au plus, el
le travail s'est fait d'une façon normale. Elle manifestait de vives douleurs , et, pendant ces douleurs, elle n'a pas cessé de
ne façon normale. Elle manifestait de vives douleurs, et, pendant ces douleurs , elle n'a pas cessé de crier. Revenu le lendema
e Père tout-puissant, qui doit nous enlever toutes nos souffrances et douleurs physiques si nous avons foi en lui ». Le médeci
6 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
tics convulsifs avec des cris fort singuliers paraissant exprimer la douleur . La mère m'apprit que ces cris étaient l'imitat
côté. Aujourd'hui, le malade se présente à nous comme atteint d'une douleur occupant le trajet du nerf sciatique gauche, data
pant le trajet du nerf sciatique gauche, datant de cinq ans environ ; douleur , peut-être, actuellement amoindrie, mais qui entr
s'assied pas sur la fesse du côté gauche, parce que cela exaspère sa douleur , il s'assied sur la fesse droite. Vous remarque
est de diminuer autant que possible le travail du membre où siège la douleur en faisant porter sur d'autres membres le poids d
ement dite ; l'autre maligne, grave au premier chef, dans laquelle la douleur occupe le nerf en quelque sorte d'une façon perma
ayant présenté pendant cette longue période des hauts et des bas. La douleur aujourd'hui étant devenue à peu près permanente ;
n (e), un point rotulien externe (qu'il ne faut pas confondre avec la douleur du genou qui s'observe dans les maladies de l'art
xterne. AN. Anesthésie. on lui fait ressentir à un moment donné une douleur vive entre le grand trochanter et l'ischion, doul
moment donné une douleur vive entre le grand trochanter et l'ischion, douleur qui résulte évidemment de la distension que " dan
ent brusque d'abduction ou d'adduction à la jointure, il n'y a pas de douleur produite et l'on ne perçoit pas de craquements. C
perçoit pas de craquements. Ce dernier caractère joint à l'absence de douleur rapportée au genou, à l'absence de douleur provoq
ctère joint à l'absence de douleur rapportée au genou, à l'absence de douleur provoquée par la percussion du grand trochanter,
agnées de mouvements convulsifs, sont précédées de l'apparition d'une douleur dans la régionhypéresthésiquedu flanc gauche et,
quatre mois ; elle est restée au lit pendant un mois, elle avait des douleurs dans les cou-de-pieds surtout et dans les genoux
ples du genre les cas où les malades éprouvaient dans les membres des douleurs vives et soudaines, en même temps qu'ils marchaie
sur le genou gauche. Au moment de sa chute il ne ressentit pas grande douleur , et il put même continuer à faire son service, un
quatrième jour, la fièvre ayant cessé, et la tuméfaction ainsi que la douleur s'étant considérablement amendées dans le genou,
il, et la gêne qu'il éprouvait pour marcher, il l'attribuait non à la douleur mais à la faiblesse du membre. C'est six semain
e de la cuisse, était poussée déjà au plus haut degré. Toute trace de douleur était disparue dans le genou et cependant l'impui
que la distorsion des traits de la face il y avait au début quelques douleurs derrière l'oreille gauche (1). M. Charcot : Vou
rs dans ces moments-là la tête à moi. M. Charcot : Avez-vous eu des douleurs d'oreille, des écoulements? Le malade : Non, mo
ment des paraplégies par névrite périphérique sans anesthésie et sans douleur . Tous les symptômes plus haut signalés, y compr
C'est ainsi qu'alors le malade souffrait surtout dans les jambes de douleurs vives et rapides rappelant jusqu'à un certain poi
s tendons et les muscles, des jambes surtout, sans provoquer une vive douleur . Enfin les jambes et les pieds étaient chauds, œd
1880, à l'âge de 20 ans, surviennent dans les membres inférieurs, les douleurs , les picotements, les crampes, surtout nocturnes,
ré pendant près d'un mois à peu près complètement confiné au lit. Les douleurs à la pression étaient vives, ainsi que les douleu
nfiné au lit. Les douleurs à la pression étaient vives, ainsi que les douleurs nocturnes ; la tuméfaction des pieds et des jambe
ureux amenèrent assez rapidement une amélioration très notable. Les douleurs cessèrent, l'impuissance motrice disparut en gran
t, et il ne peut expliquer par aucune raison cet acte stu-pide. Les douleurs dans les jambes et les cuisses, les pituites, les
voit qu'il va avoir son attaque ; le premier signe précurseur est une douleur vive qu'il ressent dans le côté droit du tronc, a
oureuse. En effet, le dimanche 3 juin il avait, le soir, ressenti une douleur dans la profondeur de l'oreille externe droite et
de ce malade dans la leçon du 18 juin 1888 : « Chez notre malade, les douleurs de l'oreille et des dents n'ont pas été intenses;
uit jours a souffert d'un coryza avec mal de tête et en même temps de douleurs derrière l'oreille du côté droit. La paralysie fa
on vingt-deux jours ; quinze jours auparavant, s'étaient montrées des douleurs articulaires avec gonflement occupant les deux co
e quinzaine auparavant, il avait été repris pendant quelques jours de douleurs articulaires, avec gonflement dans les deux cous-
les. Àu malade : Voua avez eu la goutte deux fois? Où siégeaient la douleur et le gonflement. Le malade : Oui, monsieur, ch
so phalangiennes des gros orteils.) M. Charcot : A quelle époque la douleur était-elle surtout vive ; la nuit ou le jour? L
t-cinq jours qui ont suivi l'accident, il ne ressentit, —- à part les douleurs liées aux contusions, — aucun malaise nerveux, et
'est alors que commencèrent à se produire dans le membre paralysé des douleurs extrêmement vives paraît-il, et qui ont occupé à
quées à plusieurs reprises. L'enfant se souvient parfaitement que ces douleurs qu'il qualifie d'atroces, revenaient par accès su
nze jours en tout. Depuis longtemps, il n'y a plus sur ces régions de douleurs spontanées; mais même encore aujourd'hui,trois mo
sciatique (1) entre le trochanter et l'ischion. L'existence de cette douleur méritait certainement d'être signalée, messieurs,
i ne rendent pas compte de ce qu'ils éprouvent. Le fait est que ces douleurs qui précèdent quelquefois de quelques jours le dé
dues en tout cas à 1. On éveille dans le membre paralysé un peu de douleur par la pression sur les points suivants : 1° Au n
la paralysie s'est étendue au membre supérieur droit. Aucune trace de douleurs . Mais, par contre, une paralysie vésicale dont il
die. A la malade : Veuillez nous parler, je vous prie des premières douleurs que vous avez éprouvées. La malade : Vous voule
monsieur ; c'est le commencement de mon mal ; j'ai eu alors d'atroces douleurs dans le dos ; cela est venu tout d'un coup, un be
ucher même légèrement, même et surtout en frôlant, sans provoquer une douleur affreuse. M. Charcot : Peut être même que là un
ne me touchât. M. Charcot: Dans quelle partie du dos siégeait cette douleur ? y avait-il dee élancements suivis de calme, ou
était-ce tout à fait continu ? La malade : Je ne puis préciser ; la douleur , il me semble, était partout dam le dos. Il y a
der laissons parler les faits. A la malade : Combien de temps cette douleur a-t-elle duré ? La malade: Quatre jours, monsie
elle duré ? La malade: Quatre jours, monsieur, après cela la grande douleur s'est apaisée ; mais pendant bien longtemps encor
t: Veuillez remarquer,messieurs,cette « installation définitive » des douleurs en ceinture : cela est fort significatif dans l'e
esprit le diagnostic. Je me suis assuré, messieurs, qu'avant cette douleur du dos dont elle vient de nous donner la descript
affection. A la malade : Parlez-nous de ce qui s'est passé après la douleur du dos. La malade : Quelques jours après, j'ai
malade : Quelques jours après, j'ai commencé à ressentir d'affreuses douleurs pareilles à celles que j'avais eues dans le dos,
yons, ne mêlons pas tout, procédons par ordre; parlez-moi d'abord des douleurs des jambes, puisqu'elles sont les premières en da
elles sont les premières en date, voulez-vous nous dire quel genre de douleur c'était ; les éprouvez-vous encore aujourd'hui qu
uleur c'était ; les éprouvez-vous encore aujourd'hui quelquefois, ces douleurs ? Lamalade : Non, monsieur, je ne les ai pas au
us pourrez nous les décrire ? La malade : Oh! monsieur, ce sont des douleurs tout à fait pareilles à celles que j'ai eues dans
ans les mollets et dans les cuisses. Quelquefois il me semble que les douleurs se rejoignent. M. Charcot : Vous m'avez dit que
ue les douleurs se rejoignent. M. Charcot : Vous m'avez dit que ces douleurs , vous les ressentiez encore aujourd'hui ; naturel
nt par accès de temps en temps ; combien de temps durent les accès de douleurs ? La malade : Monsieur cela dure habituellement
y a pas longtemps, je suis restée huit jours sans dormir, à cause des douleurs . M. Charcot : Et les coups de couteaux, sur le
t à fait la même chose que ce que j'ai éprouvé dans le dos. Quand les douleurs sont apaisées, la peau devient extrêmement sensib
ourd'hui je me sens parfaitement bien ; je n'éprouve aucune espèce de douleur ; mais elle reviennent tous les dix, douze ou quin
puis douze ans. M. Charcot : Veuillez retenir ceci, messieurs : les douleurs ressenties autrefois dans le dos, elle les a ép
plus avant. A la malade : Vous nous avez dit tout à l'heure que les douleurs des membres inférieurs ont plus tard envahi les a
peut-être. M. Char coi : Pouvez-vous nous dire précisément, où les douleurs siègent dans les mains; d'abord, existent-elles d
ais jamais dans les deux à la fois. M. Charcot: Et comment sont les douleurs dans les mains? sont-elles aussi fortes que dans
'occasion d'appeler votre attention sur ces engourdissements, sur ces douleurs fulgurantes, localisés dans le domaine cubital, o
ue et fort important à relever, dans certains cas par exemple, où les douleurs fulgurantes ne se sont pas montrées encore dans l
cuisses, les pieds ni les jambes. Il est possible, en effet, que ces douleurs fulgurantes du domaine cubital précèdent de plusi
mbres inférieurs. Vous comprendrez par là que l'existence précoce des douleurs cubitales associées à quelques autres symptômes d
on apparition en 1882, il y a six ans décela, six ans après celle des douleurs fulgurantes. A la malade : Contez-nous l'histoi
é bien des fois. La malade: Monsieur, je vous l'ai dit, ce sont les douleurs des membres qui déterminent ces vomissements. Qua
douleurs des membres qui déterminent ces vomissements. Quand j'ai ces douleurs , je vomis ; je ne vomis pas quand je n'ai pas de
nd j'ai ces douleurs, je vomis ; je ne vomis pas quand je n'ai pas de douleurs . M. Çharcot: Est-ce des douleurs dans le dos ou
ne vomis pas quand je n'ai pas de douleurs. M. Çharcot: Est-ce des douleurs dans le dos ou dans les jambes dont vous parlez ?
ns les jambes dont vous parlez ? La malade: Je n'ai plus souvent de douleurs dans le dos, bien que mon dos soit encore souvent
soit encore souvent sensible au moindre attouchement ; mais c'est des douleurs des jambes dont je parle ; ce sont ces douleurs q
ment ; mais c'est des douleurs des jambes dont je parle ; ce sont ces douleurs qui souvent occasionnent mes vomissements. M. Ç
e que l'apparition des vomissements coïncide avec celle des crises de douleurs fulgurantes dans les membres. Je ne vous ferai
fre que des efforts que je fais ; c'est dans les membres que j'ai des douleurs . M. Çharcot : Est-ce que vous avez souvent ces
vide. De temps en temps mes jambes fléchissent tout à coup, même sans douleurs , au niveau du jarret et je suis menacée de tomber
gnon a commencé en 1882, c'est-à-dire cinq ans après l'apparition des douleurs fulgurantes tabéti-tiques, a éprouver ce qu'elle
é de quarante-cinq ans, bien portant, a eu, à plusieurs reprises, des douleurs dans diverses jointures sans être jamais obligé d
e temps en temps, il s'était produit un peu de rétention d'urine. Les douleurs en cein- 1. Il n est pas question dans. l'obser
ssivement, en même temps du reste que la rétention d'urine et que les douleurs thoraciques. En juillet 1870, la malade était sur
a maladie spinale, est venu nous trouver ces jours-ci se plaignant de douleurs vives dans le dos, autour de la base de la poitri
nant de douleurs vives dans le dos, autour de la base de la poitrine; douleurs comparables, disait-elle, à celles dont elle avai
le savez, suivant le siège qu'occupe la pachyméningite, sous forme de douleurs en ceinture double ou unilatérale, sous forme de
y a un mois environ, et pour lesquels elle est venue nous consulter. Douleurs dans le dos au niveau de la gibbosité et de chaqu
bbosité et de chaque côté de la poitrine sous forme de ceinture ; ces douleurs augmentent par la flexion de la t. Leçons sur l
ut les tenir élevés comme pour se peigner, et dans ces mouvements les douleurs du dos et de la poitrine augmentent. Pas de troub
es racines du plexus brachial— eussent été précédés nécessairement de douleurs pseudo-névralgiques vives, lesquelles font absolu
somme, messieurs, il n'est guère, chez elle, que la rachialgie et les douleurs en ceinture qui paraissent devoir être rattachées
ement à l'élément organique, et encore faut-il faire remarquer que la douleur accusée au niveau de la gibbosité n'est point exa
atiquée à l'aide du marteau de Skoda et que, sur certains points, les douleurs thora-ciques sont très superficielles, réveillées
taine mesure des lésions organiques spinales, la malade a éprouvé des douleurs rachialgiques et en ceinture, en même temps qu'el
en même temps qu'elle sentait les membres inférieurs s'affaiblir. Ces douleurs , cette parésie amplifiées par l'imagination, ont
re assez forte, les jambes traînantes, surtout la droite. Ce sont les douleurs dont il souffre et qu'il localise dans l'épine, à
t dans la région lombaire, qui semblent commander cette attitude. Ces douleurs paraissent très vives; elles se font sentir spont
e; ces mouvements sont d'ailleurs extrêmement limités en raison de la douleur intense qu'ils déterminent, lorsqu'ils sont pouss
rale, 1888, p. 14(3. 2. Lannelongue, loc. cit. 27 caractère des douleurs qu'il ressent, de leur exacerbation sous l'influe
. Il n'est pas nécessaire en effet chez notre homme pour provoquer la douleur rachiclienne d'exercer à l'aide du doigt,avec une
ttouchement, un frôlement suffisent, vous le voyez, pour éveiller une douleur vive et, si peu qu'on insiste, pour arracher des
ste là non seulement sur le rachis, mais encore partout où s'étend la douleur spontanée, une « hyperesthésie exquise » poussée
pression même très légère de ce repli cutané suffît pour produire la douleur ; une pression un peu forte la porte au plus haut
doigts, la sensation produite chez le patient n'est pas seulement une douleur locale plus ou moins vive, qu'il compare générale
surtout à droite au voisinage de la zone hyperesthésiée, éveillent la douleur la plus vive, et, dans la marche, ce sont en part
ffreux et quelques jours après, fin août, il commença à ressentir les douleurs lombaires dont il souffre encore aujourd'hui et q
desquelles l'hystérie s'est manifestée chez notre homme. Ce sont les douleurs rachialgiques qui ont paru en premier lieu, et vo
e aura prémonitoire; nous en avons déjà parlé à propos de l'étude des douleurs rachidiennes et j'ai montré laque cette aura se m
ogènes que nous avons décrites à propos de la rachialgie simulant les douleurs du mal de Pott. D'autres plaques de même caractèr
u corps, principalement sur le côté droit. Il est remarquable que les douleurs qui, sans provocation, existent à peu près consta
marche un peu moins mal qu'autrefois, ce qui semble indiquer que les douleurs rachidiennes se sont atténuées ; le sommeil n'est
prochement, il existait, comme chez ce dernier, une rachialgie et des douleurs en ceinture qui avaient fait croire également à l
corset de Sayre. Au bout de quelques jours, ce malade annonça que les douleurs fulgurantes très vives, siégeant dans les membres
st relative à un homme âgé de 49 ans. Pas de syphilis antérieure. Les douleurs fulgurantes sont dites « atroces ». Douleurs en c
syphilis antérieure. Les douleurs fulgurantes sont dites « atroces ». Douleurs en ceinture permanentes très pénibles. L'incoordi
sible de se tenir sur un seul pied, pendant deux minutes environ. Les douleurs fulgurantes sont devenues beaucoup plus rares et
nt a été terminé, les résultats obtenus étaient les suivants : Io les douleurs fulgurantes avaient complètement cessé d'exister
s qui étaient très pénibles ont complètement disparu. Disparition des douleurs en ceinture. Retour de la sensibilité normale ; 4
t obligé de faire tous les jours des courses de 3 à 5 kilomètres. Les douleurs fulgurantes n'ont pas reparu. Le second malade
'uriner ; ils se répètent quarante fois dans les vingt-quatre heures. Douleurs fulgurantes intenses à retours fréquents, douleur
ngt-quatre heures. Douleurs fulgurantes intenses à retours fréquents, douleurs en ceinture ; crises gastriques très violentes. A
ales : myosis, pupilles paresseuses. Au bout de 22 suspensions, les douleurs .fulgurantes avaient déjà perdu beaucoup de leur
x pieds. Les résultats obtenus ont été satisfaisants. Disparition des douleurs fulgurantes ; retour très prononcé de la puissanc
le même succès. Les résultats sont favorables en ce qui concerne les douleurs fulgurantes et aussi l'affaiblissement des foncti
r sans se plaindre : mais en réalité l'opération ne doit entraîner ni douleur , ni fatigue,sous peine d'être inefficace. Les s
ainsi conçue : début de la maladie il y a cinq ans par des crises de douleurs fulgurantes très vives. Il y a deux ans, fracture
out ou qu'il marche, ses jambes se dérobent sous lui tout à coup. Les douleurs fulgurantes, depuis quelque temps, sont devenues
et dans la miction. A partir de cette époque, et pendant un mois, les douleurs fulgurantes n'ont pas reparu. Elles sont revenues
toujours absents. Le malade fait remarquer qu'il n'a pas ressenti ses douleurs , bien que le temps soit fort humide. M. Charcot
rs, bien que le temps soit fort humide. M. Charcot, au malade : Les douleurs dont vous souffriez étaient-elles très vives ; de
M. Ciiarcot : Voulez-vous me dire ce qui s'est passé à l'égard de ces douleurs depuis que vous suivez le traitement? Le malade
ces douleurs depuis que vous suivez le traitement? Le malade : Les douleurs ont disparu après trois ou quatre suspensions. El
certes un résultat intéressant. Vous n'ignorez pas que lorsque leurs douleurs sont vives, les ataxiques sont exposés à contract
mère emportée ; un frère suicidé ; syphilis à l'âge de 20 ans. Les douleurs fulgurantes ont commencé à se produire il y a cin
,il s'est rendu à pied de la place d'Italie à Auteuil sans canne. Les douleurs fulgurantes sont,après quelques oscillations, dev
en exact ? Le malade : Oui.monsieur, certainement ; je n'ai plus de douleurs maintenant depuis près de deux mois. Autrefois j'
ultés dans la marche. Dérobement fréquent des membres inférieurs. Les douleurs fulgurantes n'ont commencé à s'accuser qu'il y a
s se servir de sa canne, ses jambes ne se dérobent plus sous lui. Les douleurs vives ont disparu, elles ne sont plus représentée
y a déjà un mois que je viens seul. M. Gharcot : Parlez-nous de vos douleurs , de vos urines, Le malade : Je n'ai plus la sen
: Je n'ai plus la sensation de coton sous les pieds. Je n'ai plus de douleurs mais j'éprouve quelquefois encore une espèce de c
on. L'incoordination motrice des membres inférieurs est très marquée. Douleurs fulgurantes peu intenses, mais il y a sensation d
e. Signe de Westphal, signe de Romberg, signe d'Argyll Robertson. Les douleurs fulgurantes se sont manifestées, pour la première
faisait autrefois, il se fatigue moins. Après la sixième séance, les douleurs ont cessé d'exister,les pieds sentent mieux lesol
irement marqué par un retour de l'incoordination motrice, un accès de douleurs fulgurantes plus intenses que jamais, et une chut
uente du tabes et qui impressionne si fâcheusement les malades. Les douleurs fulgurantes doivent être citées parmi les symptôm
mières séances. Il a été facile à apprécier dans plusieurs cas où les douleurs étaient devenues presque continues et empêchaient
nous a pas paru devoir être uniquement attribuée à la disparition des douleurs fulgurantes. Après tout ce qui précède, messieu
ant été assez restreint. Au contraire,l'incoordination motrice, les douleurs fulgurantes, les troubles vésicaux divers, la fai
avait été malade lorsque, il y a dix ans, il a commencé à souffrir de douleurs dans les jointures dont la description ne laisse
n ne laisse subsister aucun doute sur la nature de l'affection. Ces douleurs articulaires en effet, ont eu pour caractère de s
t douloureuses etgonflées. C'est au gros orteil du côté gauche que la douleur s'est localisée, lors du premier accès, puis ça a
nus plus tard le siège du mal. Le malade insiste sur ce fait, que les douleurs , pendant les accès, se montraient intenses tout p
défaut chez lui, mais il n'a jamais rien ressenti qui ressemble à des douleurs fulgurantes; la vessie fonctionne normalement; pa
e la peau et sa coloration sont normales. La malade n'y accuse aucune douleur , fulgurante ou autre, aucune sensation de constri
sie. Toutes les excitations cutanées sont perçues normalement; pas de douleur à la pression. Le sens musculaire est parfaitemen
; aucun trouble fonctionnel,soit de la vessie, soit du rectum; pas de douleur en ceinture on rachialgique. Lorsqu'on prend la m
ée. Il y a trois ans, sont survenus dans les membres inférieurs des douleurs fulgurantes caractéristiques assez vives et reven
des attaques hystériques assez bien formulées, précédées d'une aura : douleur de tête et battements clans les tempes, sifflemen
e, conduit à Alfort le chien avait été déclaré non enragé. Malgré des douleurs assez vives qu'il ressentait dans le bras droit,
ent à ce qu'il avait espéré, sa plaie n'est nullement cicatrisée, les douleurs sont encore fort intenses et il s'est produit du
ouble.Enfin, au bout d'un mois la plaie et les abcès sont guéris, les douleurs ont cessé et il essaie de retourner à sa besogne
que : Céphalée toujours présente, ne s'élevant jamais au taux d'une douleur vive; elle siège sur la région frontale et à l'oc
'une exaspération de la céphalée. Il est à remarquer qu'en général la douleur de tête s'atténue temporairement ainsi que les au
nt, pas d'analgésie ou d'anesthésie sous une forme quelconque; pas de douleurs autres que celles que provoquent des crampes qui
re blessure qu'une bosse sanguine, siégeant à la région lombaire ; la douleur produite par cette contusion a nécessité le séjou
rant cette période, une conjonctivite de l'œil gauche et une certaine douleur siégeant à la face interne de la cuisse du même c
e cle la main gauche donne en effet 21. Le malade se plaint plutôt de douleurs que de faiblesses dans son membre inférieur gauch
s faible de ce côté, normal à droite. Hémianesthésie gauche totale ( douleur , température, contact).Hémianes-thésie sensoriell
clinique important que cette régurgitation se fait sans nausées, sans douleurs , à peu près sans malaises. Pendant les deux moi
robement des membres inférieurs déterminé lui-même par l'action d'une douleur vive et soudaine ressentie dans l'un des genoux.
sentie dans l'un des genoux. La malade est coutumière du reste de ces douleurs brusques et violentes et, à plusieurs reprises dé
membres inférieurs. Nous rechercherons tout d'abord ce que sont ces douleurs que la malade connaît depuis longtemps pour les a
ot, à la malade. — Quand avez-vous ressenti pour la première fois vos douleurs dans les jambes? La malade. — Monsieur, il y a
1872. — Leçons sur les maladies du système nerveux, t. I p. 320 — La douleur iliaque dite ovarienne des hystériques a réelleme
vif. M. Charcot. — Voilà qui rappelle la description classique des douleurs fulgurantes tabétiques. Procédons, et voyons si c
tres circonstances. (A la malade) Avez-vous quelquefois de semblables douleurs dans les mains, dans les bras ? La malade. — Ou
aine cubital ; c'est là vous le savez, un siège presque classique des douleurs fulgurantes dans le tabès. (A la malade) Est-ce q
de) Est-ce que vos jambes fléchissent quelquefois quand vous avez vos douleurs ? La malade. — Oui, quand les élancements sont f
menacée de tomber; mais quelquefois aussi mes jambes fléchissent sans douleurs . J'ai aussi parfois de grands élancements très vi
it tout à coup dans les genoux, surtout dans le gauche, de très vives douleurs fulgurantes ; aussitôt elle pousse un cri, ses ja
i que, dans toute son étendue, le membre correspondant. Seulement les douleurs fulgurantes y reparaissaient de temps à autre. D'
on leur imprime ou qu'on essaye de leur impriser ne provoquent aucune douleur . Ou reconnaît, du même coup, dans cette explorati
ndes. 38 L'anesthésie cutanée qui porte à le fois sur le tact, la douleur et les autres modes de la sensibilité, est limité
t tordre, distendre les jointures restées libres sans produire aucune douleur ; l'on peut constater en même temps que lorsque s
e d'un fou rire que rien ne justifie. En ce temps-là, s'établit une douleur dans le côté gauche du ventre (ovarie) qu'elle n'
l. A l'âge de 37ans,apparaissent|les premiers symptômes tabétiques; douleurs fulgurantes, diplopie, etc., et depuis cette époq
indres efforts, lorsqu'il essaye de se livrer à un travail manuel, de douleurs dans la région sacrée et d'une grande fatigue dan
ans la région sacrée et d'une grande fatigue dans les jambes ; pas de douleurs de tête cependant; mais le sommeil est souvent ag
vertiges, des faiblesses survenant dans les membres inférieurs et des douleurs sacro-lombaires (plaque sacrée) qui se montrent à
haut d'un échafaudage, que le dernier enfin a été à la fois saisi de douleur etd'effroià la vue du cadavre de son fils ? Evide
nsible, goût affecté, hémianesthé-im gauche. Hémiplégie gauche avec douleur à la cuisse, blepharospas-me û gauche, langue tir
« Où me menez-vous ? — Mais chez moi, à la Chapelle, ma femme est en douleurs . — Votre femme ? Je ne la connais pas ! Comment s
ans de cela, des accidents gastriques en apparence des plus graves : douleurs cardialgiques très vives ; vomissements incessant
e n'a pas encore paru et que j'appelais, à l'époque, la « période des douleurs fulgurantes ». On a proposé tout récemment pour d
t les caractères que je vais indiquer ; il souffrait en même temps de douleurs paroxystiques, peu accentuées d'ailleurs. Je ne c
issait d'un jeune médecin qui, en outre de ces crises, présentait des douleurs fulgurantes et une hydarthrose de l'un des genoux
période préataxique du Tabès, 1885. symptômes — crises gastriques, douleurs fulgurantes, arthropathies qui, en apparence, n'o
ritable jour. J'ai encore vu les crises gastriques coexister avec les douleurs fulgurantes, pendant plus decinqans, sans accompa
ur le moment, — sont essentiellement constituées ainsi qu'il suit : a douleurs cardialgiques violentes souvent atroces, s'irradi
ut s'étendre à trois, cinq, huit, ou quinze jours, rarement plus, les douleurs et les vomissements sévissent sans cesse,et sans
ingestion d'un liquide quelconque, exaspèrent les vomissements et les douleurs , et voici qu'un beau jour, sans que rien l'ait pu
gastrique, en outre de la prostration déterminée par l'intensité des douleurs , la répétition incessante des vomissements, et la
aire reconnaître pour ce qu'elles sont. C'est ainsi que les crises de douleurs fulgurantes, les crises vésicales, tantôt coexist
us la forme d'incoordination motrice et c'est alors seulement que les douleurs de caractère fulgurant furent pour la première fo
n en faveur de l'opinion qu'il soutient, et j'y ai vu signalées « des douleurs rapides dans les membres », accompagnant ou suiva
des intervalles parfaitement libres de tout accident nerveux ; pas de douleurs fulgurantes. Les réflexes rotuliens ont persisté
let 1889, p. 38). tensité insolite des divers symptômes : ainsi les douleurs gastriques ou d'autre siège peuvent se montrer vé
s leur caractère de périodicité, ne sont plus représentées que par la douleur , ou, pour le moins, les vomissements font défaut
a bien décrit les cas de ce genre, par la « succession d'une série de douleurs véritablement crampoïdes, c'est-à-dire par des se
e stomacale, de crampe d'estomac suivant l'expression habituelle. Ces douleurs sont des plus pénibles, aiguës, atroces même en q
. 207. 4fi âgé de 40 ans qui, depuis quinze ans était sujet à des douleurs fulgurantes. Il présentait, depuis quatre ans, de
fois seulement par année. Celles-ci consistaient dans la présence de douleurs épigastriques très vives avec inappétence, le tou
vomissements et autres accidents de la crise persistant, ce sont les douleurs qui font défaut. Vulpian a fait allusion aux cas
d'isolement, pendant sept ans. Ce n'est que depuis quatre ans que les douleurs fulgurantes sontvenues s'y adjoindre. Les crises
n sentiment de pesanteur à la région épigastrique bientôt suivi d'une douleur vive que le malade compare à celle que produirait
conduisent à ceux où les accidents vulgaires de la crise à savoir,les douleurs , les vomissements, l'inappétence, etc.,etc., s'ét
matin, en se réveillant, il a ressenti tout à coup dans le ventre des douleurs vives qui ont remonté vers l'estomac et s'y sont
vives qui ont remonté vers l'estomac et s'y sont fixées. Bientôt, ces douleurs ont été accompagnées de vomissements noirs, coule
leurs ont été accompagnées de vomissements noirs, couleurde suie. Les douleurs étaient à peu près incessantes ; les vomissements
res. Tout cela a persisté pendant dix ou douze jours. Après quoi, les douleurs ont cessé, ainsi que les vomissements; mais il es
la crise, ne venaient pas toujours tout de suite. J'avais d'abord des douleurs de ventre remontant à l'estomac, puis survenaient
issements glaireux, jaunes, puis noirâtres se montraient ensuite. Les douleurs et les vomissements sévissaient dans toute leur f
ement ; mais, pendant dix jours, j'avais encore de temps en temps des douleurs et des vomissements de telle sorte que je n'étais
tains ataxiques, des ecchymoses cutanées, en conséquence des accès de douleurs fulgurantes (2) ?... S'adressant au malade : Voul
. 2. J. Straus. Des ecciiymoses tabétiques à la suite des crises de douleurs fulgurantes. Archives de neurologie 1880-81, ¹ 4,
uée par des lavages de l'estomac qu'on me faisait à cette époque. Les douleurs ont été terrible s ; j'ai eu des vomissements noi
ère utile d'insister. Je ferai remarquer seulement que l'existence de douleurs fulgurantes parfaitement accentuées, remarquée po
sol en frappant du talon. Le signe de Romberg est très accentué. Les douleurs fulgurantes occupent non seulement les membres in
upérieur droit et dans la cuisse ainsi que le genou du même côté, des douleurs vives accompagnées d'un sentiment d'engourdisseme
ù il entre encore à l'hôpital. Il y éprouva quelque soulagement de sa douleur sous l'influence de bains de vapeur locaux qui lu
août. A cette époque, ce membre était, comme on l'a dit, le siège de douleurs et d'engourdissements qui ont disparu depuis. La
end non seulement de la rigidité des articulations, mais encore de la douleur qui, à chaque pas, se fait sentir dans le genou
boiterie date des premiers jours de la maladie ; dans ce temps-là les douleurs occupaient, Pig. 72. Fig. 73. semble-t-il, to
ent parétique, tandis que l'action du froid humide y a occasionné des douleurs « rhumatoïdes ». Celle-ci et celui-là, conforméme
l. 11 éprouve depuis quelques années dans les membres inférieurs, des douleurs très violentes, apparaissant brusquement et reven
araissant brusquement et revenant sous forme d'accès : parfois si ces douleurs le prennent pendant qu'il marche, les jambes fléc
chez moi comme une idée fixe,j'y pensais nuit et jour.» D'ailleurs la douleur produite par les plaies, la gêne et le sentiment
ovoquer chez le malade une grande fatigue, des lourdeurs de tête, des douleurs dans les orbites. J'avoue que ces essais ont été
es membres inférieurs, elle a le plus souvent manifesté des signes de douleur ; c'est qu'en effet, ces membres sont douloureux,
loureux, hyperesthésiés. et il y a à distinguer, sous ce rapport, les douleurs ou sensations pénibles, anomales en tout cas, qui
riarticulaires et de la rétraction des tendons. Pour ce qui est des douleurs provoquées, elles se manifestent par un simple co
du tabès. Remarquez en particulier chez notre malade le caractère des douleurs qui ne rappelle en rien la description classique
ère des douleurs qui ne rappelle en rien la description classique des douleurs fulgurantes; l'absence des troubles vési-caux, la
Anesthésie généralisée pour le contact, Fig. 83 — a. Anesthésie. la douleur , le chaud et le froid. b. Hypoanesthésie. 6. Pl
s qu'il tressaille le moins du monde. Il ne sent ni le contact, ni la douleur , ni la température. Cette ampoule que vous aperce
grande hystérie; c'est alors que sont apparues cette anesthésie, ces douleurs de ventre, ces crises qu'il ne connaissait pas au
morphinomanie. Et d'abord, qu'est-ce qu'un morphinomane ? Pour une douleur quelconque, un individu se fait une injection de
it à continuer. Sa sœur l'a encouragé et il a fini par s'y faire. Les douleurs ont disparu, mais il est devenu morphinomane. Il
, car bien que le coup ait été assez fort, je n'avais ressenti aucune douleur ; alors je me suis pincé la peau de toutes mes fo
contre un meuble, assez durement et n'ayant cependant éprouvé aucune douleur ; à la suite de quoi s'étant pincé vigoureusement
la fois et à peu prés au même degré sur le tact, la sensibilité à la douleur et à la température. Les notions du sens musculai
puis, un certain nombre de symptômes d'ordre neurasthénique, tels que douleur en casque, la plaque sacrée, la dyspepsie nerveus
tantôt un grognement d'impatience, et tantôt un cri provoqué par une douleur soudaine. Il arrive parfois que c'est un juron qu
de rigidité des membres ; le phénomène du pied n'existe pas ; pas de douleurs dans ces membres; pas de troubles urinaires, etc.
uvent considérer les circonstances concomitantes: c'est ainsi que les douleurs de tête fixes et intenses, accompagnées de vomiss
t à la transmission des divers modes de la sensibilité, chaud, froid, douleur , occupent dans ces régions-là des départements di
-Aran ; b. les symptômes poliomyéliques postérieurs : anesthésie à la douleur , au chaud, au froid, sans participation de la sen
iellement, dans la perte plus ou moins complète delajsensibilité à la douleur , au chaud et au froid,—lasensibilité tactile, le
'une façon prédominante, à la fois une perte de « la sensibilité à la douleur et de la propriété d'apprécier les différences de
ge de ce qui se voit dans la lèpre anesthésique, peuvent aboutir sans douleur , à la perte d'un ou de plusieurs des doigts de la
ellement chez les malades sans qu'ils en aient été avertis par aucune douleur . C'est une question fort discutée encore que ce
sidérose latérale amyotrophique mais il ne s'agit toujours là que de douleurs plus ou moins vives, constam 1. M. Gharcot a ré
ires, pupillaires ou autres, propres aux tabétiques, non plus que les douleurs vives occipitales, cervicales et frachiales qui m
phie musculaire progressive du Fig, 108 Fig, 1Q9 Sensibilité à la douleur . Analgésie généralisée. type Aran-Duchenne ;
erçues seulement comme phénomène tactile ; ils ne provoquent point de douleur . Seules les excitations fortes des membranes urét
ngue peuvent par contre être pincées, tiraillées, piquées sans que la douleur s'ensuive (fig. 108 et 109). Les titillations du
contact; il n'y a pas trace d'une impression soit de chaleur, soit de douleur . La même chose a lieu sur toute l'étendue des jam
osent à peu près exactement,tandis que l'insensibilité cutanée à la douleur occupe à peu près indistinctement toutes les part
dans son lit lui a occasionné, sans qu'il en ait ressenti la moindre douleur , une brûlure au 3e degré de la plante du pied dro
u froids. Si les cornées comme les conjonctives sont insensibles à la douleur , elles perçoivent cependant les impressions therm
tronc en arrière,il y a seulement obnubilation de la sensibilité à la douleur ; L'exploration de ce mode de la sensibilité répét
on,l'application d'un morceau Fig. 118 i'jg. 119 Sensibilité à la douleur . de glace sur la partie supérieure du doset sur
n jour à l'autre relevées à propos de la sensibilité au froid et à la douleur . (Voy. les fig 122 et 123.) On voit, en compara
entiment habituel de courbature, de faiblesse générale, avec quelques douleurs passagères à la nuque qui paraissent avoir peu fi
ent chez les hystériques, sur tous les modes de la sensibilité, tact, douleur , sensibilité au chaud et au froid. Eh bien, quelq
6, il s'en trouve 2 qui ont conservé [la sensibilité au tact et à la douleur , mais qui ont perdu la sensibilité thermique.^Ce
que seule la sensibilité tactile est préservée, les sensibilités à la douleur , au chaud et au froid étant éteintes absolument o
élicates, sont perçues normalement; par contre, les sensibilités à la douleur (piqûre, pincement),à la chaleur (plaque du therm
mouvement, main et poignet, était absente dans tous les modes, tact, douleur , sensibilité au froid et au chaud. La durée de ce
ntrairement à ce qui a été observé la première fois, sensibilité à la douleur ,au chaud et au froid,totalement abolies, notions
ambe gauche. Ces blessures ne saignaient pas, ne lui causaient aucune douleur ; il avait conservé la liberté et l'énergie de tou
absolue dans toute la moitié droite du corps pour la sensibilité à la douleur , lasensibilitélhermique et le sens musculaire. Pa
On peut comprimer fortement le testicule droit sans provoquer aucune douleur . Sens. — L'ouïe et l'odorat sont affaiblis notabl
iatement au-dessus du pli de Faine, le malade accuse d'abord une vive douleur , puis il sent comme une boule qui lui monte du ve
n doute. Une hemianesthésie droite totale absolue pour le toucher, la douleur , la sensibilité thermique et le sens musculaire,
'hui âgée de 62 ans ; elle a eu cinq enfants, a souffert autrefois de douleurs rhumatoïdes. Elle a habité pendant vingt-quatre a
dans l'arrière-boutique. Il y a six ans de cela, elle a été prise de douleurs névralgiques dans les membres supérieurs, dans le
survenus des vomissements fréquents se produisant sans effort et sans douleur et évidemment de nature névropathique, des accide
tordre les doigts, les tirailler sans que le malade accuse la moindre douleur . , Le sens musculaire est très compromis. Le ma
- Sensibilité au tact.......... 504 Fig. 108,109 — Sensibilité à la douleur ....... 505 Fig. 110, 111 — — àlachaleur........
g. 116, 117 Sensibilité au tact......... 512 Fig. 118, 119 — — à la douleur ...... 513 Fig. 120, 121 — — au froid ... .... 5
, 339. — et arthropa-thie, 336. — et crises laryngées, 336, 345. — et douleurs fulgurantes, 333, 334. — et suspension, 202. — Pé
athologie), 334. — (Terminaison), 336. Cruveilhier, 412. Cubital ( Douleurs du nerf), 155, 278. Cyon, 227. D Damaschino,
euses. —(Voy. attaques de sommeil), 63. Double personnalité. 327. Douleurs . —dans la paralysie alcoolique, 87. _ en ceinture
. _ en ceinture, 153. — Fulgurantes et crises gastriques, 333, 334. Douleurs fulgurantes, 154. — Fulgurantes et suspension, 21
leurs fulgurantes, 154. — Fulgurantes et suspension, 211, 213, 216. Douleurs goutteuses, 224. Dreschfeld, 475. 76 Dubois
xophthalmique. — Voy. Basedow (Mal. de). Gombault, 498. Goutte. — Douleurs , 224. — Otite, 224. Gowers, 182, 321. Grasset, 36
romure de Pot.), 322. Hystérie et mal de Pott, 186, 189, sq., 194. — Douleurs lombaires, 190. — Sensibilité du raclais à la p
Paralysie alcoolique. —(Amnésies dans la), 389. — Diagnostic, 388. — Douleurs , 87.— et névrite périphérique, 385. — et rétrac
lté du diagnostic au début, 189,191. Pott (Mal de) et hystérie. — Douleurs lombaires, 190. — Sensibilité du rachis à la pres
tique. — Bénigne, 25. — (Déformation du tronc dans la), 19, 22, 27.— ( Douleur dans la), 25. — Formes, 25. —Historique, 24. — Ma
17. — Dans le tabès, 199, sq. — et Démar che tabétique, 201, 202. — Douleurs fulgurantes, 201, 202, 210, 211, 212, 213, 214, 2
278. 279. — Diagnostic avec abasie, 366. — Diplopie, 155, 164, 278. — Douleurs cubitales, 155, 278. — Douleurs fulgurantes, 154,
ie, 366. — Diplopie, 155, 164, 278. — Douleurs cubitales, 155, 278. — Douleurs fulgurantes, 154,201, 277, 278, 279. — Champ visu
7 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
athèse arthritique. Début il y a quinze ans, à retours périodiques, douleur de tète fréquen- te, accès de fièvre mal analys
fièvre mal analysés ; mais, à l'âge de vingt ans il remarque que la douleur de tète s'accompagne de certains troubles de la v
e par la disparition du scotome et de l'hémiopie; remplacée par une douleur de tète qui siège au-dessous du 6 NOUVELLE ICON
e froid. Cela dure peut-être une heure environ. Pendant ce temps la douleur de tète augmente, elle devient très pénible ; l
durables et par conséquent grades. Il n'est pas en effet, à part la douleur hémicrànienne et le scotome scintillant, accident
, dans ce même côté droit, au niveau de la région deltoïdienne, une douleur conlusive et cons- tata, dans 'cette région, de
a région delloïdienne du côté gauche était également le siège d'une douleur coiiiusivé, mais moins forte que du côté opposé.
et pondant toute la nuit suivante. Le lendemain, 15 septembre, les douleurs de la région del- toïdienne s'atténuèrent, mais
a nuit, et empêchèrent encore le malade de dormir. Depuis lors, ces douleurs sont restées exclu- sivement nocturnes et tolér
a sensibilité, les troubles objectifs commencent il s'atténuer. Les douleurs , spontanées ou provoquées, ont disparu. J'ajout
. En raison du profond sommeil du sujet, la compression, malgré la douleur qui en résulte, se prolonge assez' longtemps po
es des deltoïdes. Enfin l'existence de troubles de la sensibilité : douleurs , hy- poestllésie, plaident encore contrecette h
se vésicale. Il éprouvait en outre dans les membres inférieurs, des douleurs que l'on avait attribuées au rhumatisme pendant p
s forme de crises légères. La sensibilité au simple contact et à la douleur était émoussée, et par places très affaiblie au
Homberg, d'Argyll Roberston, et de West pliai, troubles urinaires, douleurs fulgurantes, incoordination motrice ; il n'étai
UN ALGÉS1MÈTRE APPAREIL POUR MESURER LA SENSIBILITÉ DE LA PEAU A LA DOULEUR . par A. MOCZVTKOWSKI, Professeur des maladi
suite de ce défaut, il devient tout à fait impossible de mesurer la douleur . Les tentatives faites pour éviter ces obstacle
e tout le monde. S'il traduit en effet en chiffres les degrés de la douleur cutanée, il a cepen- dant le défaut essentiel d
cutanée, il a cepen- dant le défaut essentiel de ne pas exprimer la douleur d'un point de la peau, puisque la surface de la
difficile de juger par laquelle des deux surfaces de la rainure la douleur a été perçue. D'un autre côté la rainure de l'a
ires de la peau très différents d'après 'leur susceptibi- lité à la douleur . La grandeur du pli, la profondeur â laquelle c
plus exacts, mais aussi plus faciles à contrôler. On croyait que la douleur 42 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE pr
PÊTRIÈRE provoquée -par le courant faradique était équivalente à la douleur de .cause mécanique. Il n'en est rien, puisque
pingle ou d'une aiguille une idée sur l'état de la sensibilité à la douleur de la peau, mais quand cette sensibilité n'est
possédons pas de méthode pratique pour mesurer la sensibilité à la douleur de la peau (1). Voilà pourquoi jusqu'à présent
'épingle sont l'instrument usuel de l'examen de la sensibilité à la douleur cutanée. Malheureusement t on se sert encore so
ision, jusqu'à ce que le malade accuse net- tement une sensation de douleur . Pour contrôler les indications du malade, on t
nt par suite de la période latente, qui précède la perception de la douleur . Une - Fig. 2. , 44 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
g. 2. , 44 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE fois perçue la douleur persiste pendant un certain temps,si on n'augment
la peau se reposer au moins pendant une ai deux heures. Parfois la douleur persiste après la piqûre pendant plusieurs minu
dans le voisinage de la première, on a il faire à une perception de douleur compliquée, qui est le résultat de deux piqûres.
qûres. Tous les endroits de la peau ne donnent pas une sensation de douleur de la même qualité. Dans les plis entre les pha
is entre les phalanges des doigts du côté de la paume de la main la douleur est très vive, sur le sommet du pouce elle est
du pouce elle est très faible. A la surface externe des cuisses la douleur est aiguë et désagréable. Par conséquent il est
les mois : « ça fait mal ». Si la piqûre est forte et prolongée, la douleur , après avoir atteint son maximum pour la longue
et analgé- sique de la pression. Cependant la première sensation de douleur aura produit assez d'impression, pour pouvoir ê
des piqûres consécutives. Si avec l'augmentation de la pression la douleur au lieu de diminuer augmente, cela prouve qu'on
L'in- tensi té de la pression est sans influence sur la force de la douleur . En adap- tant un dynamomètre à mon appareil je
50 et 600 grammes n'avaient aucune influence sur l'intensité de la douleur . Ce phénomène s'explique du reste facilement. A
ns la largeur. Ces deux raisons sont une cause d'augmentation de la douleur . Avec l'algésimètre les choses se passent autre
e peut donner lieu à deux sensations distinctes : la pression et la douleur , qui se manifestent diffé- remment dans différe
mment dans différentes circonstances : la pression peut diminuer la douleur , et la douleur peut faire disparaître la sensatio
érentes circonstances : la pression peut diminuer la douleur, et la douleur peut faire disparaître la sensation de pression.
ques -distinctes, mais situés dans le voisinage. Entre la sensation douleur et la sensation tactile, il n'existe que des diff
pe ne me parait pas extraordinaire. En mesurant la sensibilité à la douleur par le courant induit, on se sert bien de la di
tions, je puhlierai un tableau topographique de la sensibilité à la douleur de toute la surface cutanée. Pour le moment je
nt, il n'existe au- cune relation constante entre la sensation à la douleur et les sensations thermiques, tactiles, de l'es
acent qui en différents endroits agit sur l'impressionnabilité à la douleur : plus la couche sous-jacente est ferme, plus v
douleur : plus la couche sous-jacente est ferme, plus vive sera la douleur . L'épaisseur de la couche épidermique a une gra
oportion inverse. Les membranes muqueuses sont moins sensibles à la douleur que la peau. Leur sensibililé est sujette à d
ôtés. La ligne médiane antérieure du tronc est moins sensible il la douleur que la ligne médiane postérieure. Aux pulpes
eut pas en même temps examiner la faculté du malade de localiser la douleur . Par suite d'une épaisseur relativement forte de
temps. Enfin l'appareil n'effraie pas les malades qui craignent la douleur . SUR L'I,PIDIlYIlC SKIN DISE A SE. ÉTUDE CLIN
maladie). Faiblesse extrême. Le malade ne peut avaler à .cause des douleurs qu'il éprouve à la langue et dans la gorge. Tem
uvé, en même temps, dans la région deltoïdienne correspondante, une douleur contusive et y a vu de grandes secousses fascicul
ndes secousses fasciculaires. Il a également au réveil ressenti une douleur analogue, moins vive toutefois, dans la région
paraître la nuit suivante, et troubler le sommeil. Depuis lors, les douleurs ont ainsi reparu toutes les nuits, assez sourdes,
portants. Son enfance fut assez mala- dive. A la suite de violentes douleurs dans les membres, des abcès sont survenus. On e
nt ont pour siège principal le membre inférieur gauche. Ce sont des douleurs lancinantes qui, partant de la racine du membre
efois, elles persistent pendant 8 à 15 jours, Indépendamment de ces douleurs lancinantes, elle éprouve des douleurs en ceint
jours, Indépendamment de ces douleurs lancinantes, elle éprouve des douleurs en ceinture, au niveau de la région lombaire.
urs en ceinture, au niveau de la région lombaire. En outre de ces douleurs spontanées, il existe une hyperesthésie cuta- n
la cuisse et notamment du quadriceps crural provoque également des douleurs . Il existe chez cette femme d'autres troubles d
sur le bassin s'exécutent également sans difficulté, mais non sans douleur . Les mouvements d'adduction et d'abduction de la
ive très manifeste. L'exécution de tous ces mouvements provoque des douleurs ainsi qu'un état de contracture dû quadriceps cru
nce d'urine; anesthésie coïncidant avec de l'hy- peresthésie et des douleurs spontanées du membre inférieur gauche, de la ré
e droite à gauche. , i Au mois de janvier 1892, survinrent quelques douleurs vagues dans la région lombaire et dans le membr
. Réflexe patellaire gauche un peu diminué, le droit, est normal. Douleur à la llexion de la jambe sur la cuisse. Hyperesth
fut ainsi jusqu'au 24 mai. A cette épo- que, sans cause connue, les douleurs vives, qui s'étaient atténuées, revin- rent dan
e et la marche fut presque impos- sible. On note, le 13 juin, des douleurs dans les -deux cuisses, qui tendent à prendre u
ses, qui tendent à prendre un caractère fulgurant et, en outre, des douleurs en ceinture dans la région lombaire, surtout à
douleurs en ceinture dans la région lombaire, surtout à gauche. Ces douleurs semblent partir de la 3e vertèbre lombaire et s
ue,' depuis cette époque, se sont produits des haut et des bas, des douleurs plus ou moins vives, que la marche a été-plus ou
'agit d'une jeune fille de 19 ans, entrée dans mon service pour des douleurs violentes dans le membre inférieur droit. 1. -
rs violentes dans le membre inférieur droit. 1. - A son entrée, les douleurs étaient atroces; le moindre mouvement les augme
il existait dans presque toute l'étendue de cette jambe droite une douleur sourde, profonde, pénible, qu'exagéraient les m
à dès intervalles variant de quelques secondes à 2 ou 3 minutes, la douleur s'exagérait d'elle-même et cette crise de vives
nterne du mollet droit, augmentait singulièrement l'intensité de la douleur . La pression profonde paraissait plutôt l'atténue
se de la violence des SUR LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE C EVAL 73 douleurs , je ne pus étudier la force du membre infé ienr d
cidents actuels, nouvelle clrute sur lecoc- cyx. Elle ressentit des douleurs assez vives dans la région des fesses, pen- dan
rée à l'hôpital (9 octobre 1883), qu'elle commença par éprouver une douleur dans la jambe gauche qui apporta une gêne assez
subitement, tandis qu'elle marchait dans la rue, elle fut prise de douleurs très vives dans la cuisse droite. Il lui fut impo
'3, la malade allait beaucoup mieux, mais elle éprouvait encore des douleurs assez vives dans la cuisse droite et au niveau
tracer ont enlre eux des points de ressemblance : f L'intensité des douleurs siégeant dans un seul membre inférieur-et dans
les sont donc les affections dans lesquelles vous voyez dominer des douleurs ou de l'atrophie musculaire ayant pour siège le m
r, il s'agit là de maladies aiguës, fébriles, se traduisant par des douleurs à siège bien déterminé. Avec un peu d'attention
res différentiels tout aussi tran- chés, qui sont : le trajet de la douleur , le caractère de celle-ci (douleur' sourde avec
du mardi (1888-1889). C'était un homme de 24 ans, qui éprouvait des douleurs très vives dans la partie inférieure de la régi
les cas que je viens de passer en revue ont comme trait commun des douleurs siégeant dans la région lombo-sacrée ou dans l'un
bord, en rade de Toulon, il fut pris pendant la nuit d'une violente douleur dans la région des lombes, et d'une fièvre assez
s incontinence. Au mois de septembre 1894, il a été en proie il des douleurs dans les cuisses, les mollets, il duténesme anal
llement, la pression des muscles des mollets développe chez lui des douleurs , une sensation de brûlure, de pétillement au nive
remière maladie, même au début, nous constatons, indépendamment des douleurs fulgu- rantes, l'abolition du phénomène du geno
ulement' par de l'a- trophie musculaire, ou par les deux à la fois, douleurs et atrophie occu- 78 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
nsibilité. A. TROUBLES DE la sensibilité. a) 77eh ? e.S ! <M ; douleurs . Quand il s'agit d'une affection sponta- née, n
heval, le premier symptôme, en date, consiste, presque toujours, en douleurs assez caractéristiques quant à leur siège et qu
ractéristiques quant à leur siège et quant à leur expression. Ces douleurs , le plus souvent, sont localisées par les malades
obligé, nuit et jour, de changer incessamment de position, tant les douleurs devenaient violentes, lorsqu'il était resté ass
e partie du corps, pendant quelque temps. Il est fréquent que les douleurs s'atténuent ou s'apaisent pendant des SUR LES a
nt. Elles peuvent avoir une durée très longue. Indépendamment des douleurs proprement dites, on a observé, chez quelques m
s seulement gênée par la parésie motrice ; elle peut l'être par les douleurs dont je vous parlais il y a un instant, et qui,
On les transporte au lit et déjà ils se plaignent de ressentir une douleur plus ou moins violente dans le bas du dos. Puis
'affection n'a pas une origine traumatique, il est de règle que les douleurs ouvrent la marche, avec les caractères que vous l
queue de cheval. Une fois la maladie constituée ad integrum, les douleurs passent habi- tuellement par ces phases d'exace
omatiques se rapportent ci peu près exclusivement au traitement des douleurs . Vous recourrez, avec plus ou moins de suc- cès
isme). A quel titre agit au juste l'électricité, dirigée contre les douleurs et les autres manifestations des affections de
linisation, a quelquefois donné de bons résultats : atténuation des douleurs ; diminution de l'anesthésie et de la paralysie
. Enfin, il peut se faire que le malade se plaigne d'é- prouver des douleurs contusives ou térébrantes au siège, avec irradia-
ez une simple compression de la queue de cheval, dans le cas où les douleurs , première manifestation en date, atteignent une
e l'urine, indépendamment de l'incontinence et de la rétention, des douleurs , le malade avait eu des hématuries (traumatique
e qu'un résultat pal- liatif, par exemple celui de faire cesser des douleurs dues à une compression dont la cause peut être
ents après une contusion du sein. Le gonflement de cet organe et la douleur qu'elle y ressentait coïncidaient toujours avec l
s du sein, a relaté plusieurs de ces cas. La malade se plaint d'une douleur sié- geant dans le sein et la moindre pression
ents ne se produisent pas, mais, c'est à peine si elle accuse de la douleur . Cette hyperesthésie ne se limite pas au sein,
prédis- posées à l'hystérie. Dans ces cas dont il est question, la douleur et la sen- sibilité sont bien moindres que dans
ut faire que ces sensations vagues se transforment en une véritable douleur . C'est alors que l'assurance, de la part du méd
de l'orga- ne, rendra la malade heureuse et fera disparaître toute douleur , mais cette (1) Brodie, Leçons sur les affectio
de vingt-trois ans, l'autre de trente-cinq ans, qui éprouvaient des douleurs intolérables au sein gauche, et auxquelles des
is, in FmuenG1'tz, Berlin, 1887, t. II, p. · 315. · (1) Féré, LeS douleurs hystériques et la simulation. Ri'Visla de NeUl'ol
ques ; un peu avant les règles, la mamelle est alors le siège d'une douleur et d'une gêne. On constate une tension générale d
sidérables qui peuvent en doubler le volume, sinon plus. Souvent la douleur ne reste pas localisée ; outre les phénomènes de
e, soit sous forme de paroxysme convulsif ordinaire. Toutefois, les douleurs qui accompagnent le gonflement de la mamelle do
s. Pendant l'accès, il est presque impossible de palper le sein. La douleur qu'on détermine est alors beaucoup trop vive po
dit-il, donner à téter, « dès les premiers efforts de succion, une douleur extrêmement vive s'éveillait dans lesein donné à
ur extrêmement vive s'éveillait dans lesein donné à l'enfant; cette douleur devenait le prodrome d'une attaque de colvul- s
entra à l'hôpital Saint-Louis, dans le service de M. Péan, pour des douleurs dans le sein gauche. Le sein était notablement go
sités ». M. Péan fit une amputation partielle de l'organe, mais les douleurs persistèrent, s'exaspérant à l'occasion de cris
tomac qui porte à plomb sur un tas de pierres, ce qui lui cause une douleur si vive qu'elle en reste évanouie ». Au bout de
la guérir ni môme la soulager, son sein lui faisant toujours de la douleur et étant de plus en plus dur. «... On s'aperçut
llant, il sentit, au frottement de sa manche de chemise, une légère douleur sur le bord interne du petit doigt droit, douleur
emise, une légère douleur sur le bord interne du petit doigt droit, douleur qui reparut les jours suivants, sous l'influenc
sagréable, puis lorsqu'elles survenaient prenait le caractère d'une douleur en éclair remontant le long de la face interne
sous-du coude, une agglomération de petits ulcères superficiels. La douleur était conlinuelle et consistait en un fourmille-
ottement, d'un changement de température, d'un courant d'air, cette douleur locale prenait une intensité extrême et remontait
lètement anesthésique et thermanesthésique (fig. 15). Cependant les douleurs ne furent point améliorées : l'intensité de la
pendant les douleurs ne furent point améliorées : l'intensité de la douleur per- manente, l'intensité et la fréquence des c
tal,névrome que l'on fai- sait rouler sous le doigt sans la moindre douleur (fig. 17 et 98). En somme nous n'avions point a
t (lig. 24 et 25). Il n'y avait pas eu depuis la veille, la moindre douleur spontanée ou provoquée. Les mouvements ne se fa
e reste, il n'avait eu, depuis le jour de l'opération, ni crises ni douleurs spontanées ou provoquées et lui qui se faisait,
hé- rapeutique de notre intervention : dès le réveil du malade, ses douleurs avaient, confirmation heureuse de notre diagnos
éritablement stupéfait que ces mouvements puissent s'accomplir sans douleur . Cette guérison, immédiate et parfaite, date au
fruits sons un arbre, lorsqu'il ressentit brusquement une violente douleur dans la région .lombaire. Il tombe presque aussit
retient il lui, il se retrouve dans son lit, en proie à de vi- ves douleurs mal localisées. Il apprend alors de son entourage
e lucidité. Le malade fut conduit à l'hôpital de Chàteaudun. La les douleurs s'amendèrent, la marche redevint possible, de tel
près l'ictus initial, l'hyperesthésie du début avait disparu et les douleurs s'étaient circonscrites à la région des lombes. J
erbes, qui nécessité une altitude courbée excessive, réveillait ses douleurs lombaires. Je n'insiste, Messieurs, sur ces dét
tégrité de la motilité. Vous allez en juger. Cet homme se plaint de douleurs subjectives, localisées à la région lombaire et p
des aines et de t'hypogastre. Mais je me hâte- d'ajou- ter que ces douleurs , de caractère constrictif, sont sourdes et très t
ant au système nerveux central toutes les sensations extérieures de douleur , de tempéra- ture etc. Ce rôle important de l
2 ans d'un eczéma récidivant des doigts des mains. Anesthésie à la douleur des extrémités gauches. Faiblesse de la jambe g
ecté depuis 19 mis d'un eczéma du dessus des mains. Anesthésie à la douleur des extrémités supérieures. Un , . Fig. 46. Rét
du dessus des mains, des cuisses et des jambes. Anesthésie il la la douleur des extrémités supérieures et inférieures. (Fig.
s, est arrecté d'un eczéma ré- cidivant des mains. Anesthésie il la douleur des extrémités supérieures. Irrita- bilité géné
ans d'un eczéma récidivant de la paume des mains. Anesthésie il la douleur des mains et'des avant-bras ; de plus, une plac
années d'un eczéma récidivant du dessus des mains. Anesthésie à la douleur et anes- thésie tactile des extrémités supérieu
ans d'un eczéma récidivant de la paume des mains. Anesthésie il la douleur des mains, des bras, de la poitrine et des jamb
eczéma chronique des mains, des bras et des pieds. Anesthésie il la douleur du tronc et des extrémités. (Fig. foi-5) XII.
s les variétés de sensibilité, particulièrement insensibilité il la douleur dans les extrémités supé- rieures. Les courants
ésie, dans la majorité des cas, 7, on a ob- servé l'anesthésie à la douleur ; dans le plus petit nombre, 4, l'anesthésie a t
e sensibilité; enfin dans un cas l'anestllésie du sen- timent de la douleur et du loucher. Parfois, chez un môme malade, l'an
anorexie absolue. Puis, ont éclaté au niveau du sein de très vives douleurs que la malade compare à des piqûres d'aiguilles
d'aiguilles, à des élancements, des brûlures, des pointes de feu ; douleurs excessives, je le répète, auxquelles, après 24 ou
le, apparurent, partout où siège l'éruption acluelle, de très vives douleurs , semblables il celles ressenties au niveau du s
vives douleurs, semblables il celles ressenties au niveau du sein ; douleurs siégeant dans l'épaule gauche, dans l'lléulilllor
ns les lombes, l'abdomen du côlé gauche, dans la cuisse gauche. Ces douleurs ont précédé de 24 heures l'apparition de l'érupti
e. Depuis lors, la malade a été reprise à différents intervalles de douleurs violentes, toujours situées dans la moitié gauc
ouleurs violentes, toujours situées dans la moitié gauche du corps, douleurs dont certains paroxysmes ont été suivis de l'ap
i Il, au lIivcau t1e l'éininence lliénar, et cela toujours avec des douleurs aiguës faisant pres- que prévoir par leur siège
le' espace inter- métacarpien : le 21 janvier, après- de très vives douleurs au sein et il la cuisse, apparition d'un nouvea
eau du coude. Le 31 janvier, la malade a encore ressenti de grandes douleurs au ni- veau du sein ; mais ce dernier paroxysme
aiguës; les crises qu'elle a ressenties ont changé de caractères : douleurs sourdes, persis- tantes, continues, mais bien m
x, comme au bras, par exemple ; . -, 3° Caractère névralgique des douleurs accusées par la malade. Sans par- ler même de l
successives, a toujours élé celle du zona ;non plus encore que des douleurs posl-rruplires, qui ont été si accentuées sur not
d'extension qui sont très douloureuses. Le malade éprouve aussi de douleurs , spontanées dans les membres paralysés. Sauf cola
e légère attaque de rhumatisme, il se porte bien, ne ressent aucune douleur et fait même comme quincaillier de bonnes affai
rs sur le corps. A peu près à la même époque où il ressentait ces douleurs , il croit avoir hérité d'un cousin mort en Amér
orceaux de porcelaine. Huit mois après son arrivée en Amérique, les douleurs » de l'entre-côte et du fiel » augmentant, il a
lui couvrant le clos, la poitrine et une partie de l'abdomen. La douleur de rentre-Côte h persistant, il la double bientôt
ant pas un isolant convenable. A cette même époque, pour calmer ses douleurs de tête, il garnit de papier de verre son bonne
rammes. Quelques jours avant son départ d'Amérique, de peur que les douleurs augmentent par le fait de la traversée, il se c
où il portait tous ces isolants, son corps était moins sensible aux douleurs ; il en conclut due la diminution d'intensité d
ible aux douleurs ; il en conclut due la diminution d'intensité des douleurs était due à son système d'isolement contre les
rs avant son arrivée à l'Infirmerie spé- ciale, il constate que ses douleurs de tète, de l'entre-côte et des jambes augmente
il ajoute, la nuit, un masque en plomb pour le protéger contre les douleurs de l'angle de l'oeil, origine, d'a- près lui, d
rhume de cerveau. Depuis qu'il porte son casque et son masque, ces douleurs ont disparu. Contre les douleurs de « l'entre-c
orte son casque et son masque, ces douleurs ont disparu. Contre les douleurs de « l'entre-côte » et des épaules, il se décide
ant faire soupçonner une affection du système nerveux : paralysies, douleurs diverses, troubles des sphincters. Les membres
à l'habile homme qui se l'ait fort d'extirper la cause du mal sans douleur . Il y a là matière à plus d'une étude naturaliste
r chevelu, leur ablation facile, sans grands dangers et sans grande douleur autorisent à penser qu'il s'agit sur nos dessins
pées sans grande ell'usion de sang, sans dangers et sans trop vives douleurs . . r Un tel diagnostic peut salisfaire; mais
tent à la migraine, aux délluxions qui tombent sur les yeux, et aux douleurs précédentes d'une défluxion chaude ». « Semblab
t un mouvement subit. Si la cause vient du cerveau, les malades ont douleur et grande pesanteur de teste, bruit aux oreille
re la migraine l'incision de l'artère temporale du côté où siège la douleur . Ayant expérimenté sur lui-même ce mode de trai
ns qui tombent sur les yeux, narines, oreilles, luette, gosier; aux douleurs des dents, des gencives, de la gorge, sans oubl
des non moins disposés il assigner les causes les plus bizarres aux douleurs dont ils souffrent, et à subir tous les traitem
les dents, ou se soumettent à des opérations redoutables. Fous de douleur , la locution n'est pas une simple image ils s'a-
névralgies cruelles, parfois même véritables aliénés, qui, fous de douleur et affamés de soulagement, se pré- cipitaient,
a voir, la toucher, et le patient aveuglé par le sang, ahuri par la douleur , reste convaincu que ce maudit caillou sort vér
n derrière l'oreille du patient ligotté sur sa chaise et hurlant de douleur . Et même, derrière lui, un petit garçon prépare
humaines ; mais il est cuirassé contrera vue du sang et les cris de douleur . Tout en opérant, il doit conter à son client q
gémissements ; des larmes cou- lent de ses yeux ; les muscles de la douleur et de l'effroi se contractent : les sourciliers
chirurgien, et. enfin, au point de vue médical, l'expression de la douleur du patient, son curieux tigottage sur le siège op
, il n'y'eut pas de pronation du pouce. *" La malade ressentait des douleurs excessives dans les membres surtout Nouv. ICONO
ire. Le moindre frôlement des bras et des mains produisait de vives douleurs (hyperesthésie cutanée). Pendant la crise la
tériques. Sensibilité cutanée : sensation de contact con- servée. Douleur . Diminution générale sans hémianestllésie. Hypere
out le bas du corps. Le thorax au contraire est hyperesthésie et la douleur empêche la malade de respirer. Les membres supé
débarrassée de sa tétanie. Enfin, le 23 avril 1895 apparaissent les douleurs de l'enfantement; on l'en- voie au Pavillon d'a
r augmente de plus en plus. Tous ces phénomènes se sont passés sans douleur . Stigmates. - Côté gauche. Au niveau de la cuis
rligne du genou, abolition complète de la sensibilité au tact, à la douleur , à la température (thermo-custhésiomètro à 110";
transportent à grand'peine, il pousse des hurlements affreux, et la douleur apparemment lui fait perdre la tête, car il ne
ervir d'exemple pour prouver au public que l'opération se fait sans douleur et pour crier bien haut la guérison qu'elle pro
à pénétrer le sens du boniment. Celui-ci s'attendrit à l'idée de la douleur et du sang répandu; les yeux de celui-là brille
bistouri a lame très courte, il fait sur le front une incision. La douleur est vive, la femme LES OPÉRATIONS SUR LA TÊIE 2
re, les poings rele- vés à la hauteur des épaules et crispés par la douleur . Une serviette nouée (1);\0 91 du catal. 1892.
ondulés pendent en arrière. - L'extirpation ne se l'ait pas sans douleur : le patient hurle de tous ses poumons, ouvrant
nte. L'artiste s'est cerlainement appliqué à rendre le masque de la douleur avec toute l'exactitude possible, et il a parfa
du malade de Frans Hais le Jeune est simplement celle de l'extrême douleur . Il n'est pas impossible d'ailleurs que Frans H
façon à en donner le soupçon. Mais le client ne voit rien, car la douleur est vive ; il crie fort et serre convulsivement
imace de sa bouche et de ses yeux rendent admirablement la violente douleur qu'il éprouve : c'est, à très peu près, le faci
l'extirper avec effort. Comme lou- jours, cela ne se passe pas sans douleur , car le patient crie, grimace, serre les poings
ux client : il faut que chacun suppose que l'opération se fait sans douleur , (1) \' 347. ,310 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
lui becqueté les doigts ; mais il n'y prend garde, étant tout à sa douleur . Devant lui, debout, et penchée en avant pour r
. La ma- lade ressentait dans les mollets et dans les chevilles des douleurs assez aiguës, qui survenaient par crises et qui
s, qui survenaient par crises et qui ressemblaient assez bien à des douleurs fulgurantes, sauf qu'elles étaient moins rapides,
s les modes de la sensibilité sont également atteints : le tact, la douleur , la sensation de température, la sensibilité pr
s inférieurs ; puis, peu de temps avant la para- plégie définitive, douleurs paroxystiques dans les jambes. A part cela, l'é
passe environ sans aucun trouble de la santé, puis surviennent des douleurs , assez vagues d'abord, qui permettent à Sat... de
mais le forcent cependant à consulter plusieurs fois son médecin. Ces douleurs deviennent de plus en plus vives, en même temps
brachiale des radiaux, les hanches, les genoux étaient-le siège des douleurs . Sorti de la Pitié au bout de quelques jours il
Les troubles de la sensibilité subjective sont caractérisés par des douleurs , qui ainsi que nous l'avons vu, ont été le phén
endons des radiaux. Cette poussée symétrique cirac- térisée par une douleur spontanée très vive au niveau des gaines, douleur
- térisée par une douleur spontanée très vive au niveau des gaines, douleur que la pression et les mouvements de la main ex
e par une tuméfaction fluctuante des plus nettes. Remarquons que la douleur à la pression à ce niveau était d'autant plus fra
e la sensibilité cutanée abolie aussi bien pour le tact que pour la douleur et les sensations thermi- ques, et dont le mode
ttent de rattacher il l'hystérie les troubles vésicaux. Quant aux douleurs accusées par le malade au niveau des différentes
ence de rides. C'est un masque vide dont la vie semble absente : ni douleur , ni plaisir, absence de toute expression. Au fr
uellement, n'est que peu- atteinte. Dès le début sont survenues des douleurs très vives aussi bien dans les jointures que da
ccorde pas confiance, pour re- connaître une fracture totale, il la douleur dans la tète que l'on provoque en tirant sur un
8 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
che i, xxme livraison.; Fracture extracapsulaire du col du fémur. — Douleurs très vives. —• Mort le cinquième jour par suite d
le que de coutume. Un phénomène insolite fixa mon attention; c'est la douleur : elle était excessive, même indépendamment de tou
entation considérable du volume de la cuisse qui était infiltrée. Les douleurs et la tuméfaction persistèrent les jours suivans,
quième jour de la fracture, sans que je pusse me rendre compte ni des douleurs ni de l'augmentation considérable dans le volume
grand trochanter du côté droit, et depuis cette époque éprouvait une douleur très vive à la cuisse droite. Symptômes: raccourc
la malade présente tous les symptômes de la fracture du col du fémur. Douleurs vives à la région trochantérienne; raccourcisseme
tée par la rougeur de la face et un léger trouble dans les idées : la douleur trochantérienne est combattue par des cataplasmes
expliquer je reconnus que c'est à l'union de la tête avec le col) une douleur très vive, et parfois comme un coup de marteau.
alors, devient plus petit et très fréquent. La malade n'accuse aucune douleur ; elle s'éteint le 3o janvier en conservant toute
r de toutes les fonctions. Commémora-tifs.— H y a deux ans et demi, douleurs à la colonne cervicale avec engorgement des gangl
x, qui me paraissent le caractère pathognomonique de la goutte. Les douleurs articulaires rhumatismales ou goutteuses, long-te
mes, ne peuvent subir la moindre extension, sans causer de très vives douleurs . Or, il est quelquefois très difficile d'établir
ix-huit heures par jour. A [±i ans, ses maux de tête se changèrent en douleurs aiguës, dont la racine du nez était le siège prin
bruit de souffle. La malade se plaignait depuis quelque temps d'une douleur vive et continue à la partie supérieure du bras d
aient avec force. La malade dit, en outre, ressentir depuis un an une douleur très vive à la partie interne et inférieure delà
de lavoir jusqu'au mois de mars, où la malade le fit appeler pour une douleur très vive à la région du cœur, avec fièvre intens
pour une douleur très vive à la région du cœur, avec fièvre intense, douleur qui avait été précédée et s'accompagnait de doule
c fièvre intense, douleur qui avait été précédée et s'accompagnait de douleurs rhumatismales, occupant le bras et l'épaule gauch
de douleurs rhumatismales, occupant le bras et l'épaule gauches. Ces douleurs , qui occupaient la continuité des membres, qui n'
rtes saignées et à une application de sangsues. A la fin de mars, les douleurs avaient complètement disparu : il ne restait qu'u
d'avril, à la suite d'une longue course dans Paris, recrudescence des douleurs qui furent combattues par les mêmes moyens. Améli
s changement de direction du membre. La réduction fut laborieuse; les douleurs rhumatismales s'exaspérèrent de nouveau ; XXXII
tumeur pulsatile parut à l'épaule gauche, précédée et accompagnée de douleurs très vives, en sorte que, depuis cette époque, la
êmes, ne peuvent subir la moindre extension sans causer de très vives douleurs . La rigidité articulaire n'entraîne de déformat
ouls était petit et lent; il n'avait ni nausées , ni vomissemens , ni douleurs : faible, sec, pâle, épuisé , passant les jours e
a six mois que , sans causes connues, cet homme ressentit une légère douleur avec gonflement dan les testicules et surtout d
s, non bosselés, indolens à la pression, et ne sont le siège d'aucune douleur spontanée : ils soulèvent la langue, qui peut à p
nstipation invincible; les urines s'écoulent difficilement, mais sans douleur . « Sous les aisselles et au pli des aines, sur
ans, est malade depuis \[\ mois. Sa maladie a débuté par de violentes douleurs d'estomac, surtout après le repas et suivies de v
acide. Langue sèche. La malade ne peut rester couchée qu'adroite ; la douleur occupe toujours le rebord des fausses côtes gauch
rd des fausses côtes gauches. Toux dont les secousses déterminent une douleur vive à l'épigastre. 4 novembre : pour la premiè
ieux qui continuent les jours sui-vans. Stomatite pseudo-membraneuse. Douleur à l'épigastre. 9 novembre, dévoiement. Toux trè
ès fréquente, catharrale; pouls misérable.— Sentiment de faiblesse. — Douleur très vive à l'estomac. — La malade s'éteint le 15
ésence d'une ascite. L'état de la malade paraît d'ailleurs désespéré. Douleurs abdominales, fièvre lente, vomissemens très fréqu
mens du fœtus. Au moment présumé de l'accouchement, elle fut prise de douleurs tout-à-fait semblables à celles qu'une femme épro
tagea aussi son avis ; celui-ci la soigna pendant trois mois pour des douleurs de ventre très aiguës, qui cédèrent en partie aux
ès, elle fut atteinte d'ictère, et ressentit en même temps de grandes douleurs dans le ventre; elle fut alors confiée aux soins
ta assez bien depuis, jusqu'au 22 avril i83o,, où. elle ressentit des douleurs très aiguës occasionées par l'étranglement de la
devient petit, inégal, intermittent : le malade ne se plaint d'aucune douleur , et n'a pas la conscience de son état. Il succomb
cinq francs en bonne suppuration. L'enfant boit et dort bien. Plus de douleur lors « des évacuations alvines. Strophulus de div
i835, au soir, dans l'état suivant : l'abdomen est le siège de vives douleurs qui ne sont pas augmentées par la pression; les m
lon par cuillerées. Le 5 mars survint la période d'affaissement : les douleurs diminuèrent; les vomissemens, d'odeur stercorale
clures de boyaux avec coliques qui ne durent que deux secondes. Ces douleurs ont diminué graduellement, se sont concentrées da
le que toutes les 24 heures. Le ventre était souple, indolent, et les douleurs , pendant la digestion intestinale, étaient presqu
ublié par M. J. Cloqtiet (i) : un homme, âgé de yi ans, à la suite de douleurs sourdes dans le ventre, fut pris d'un dévoiement
: elle était exsangue, la face d'un jaune paille, se plaignant d'une douleur atroce à la région lombaire, sans aucune douleur
, se plaignant d'une douleur atroce à la région lombaire, sans aucune douleur à l'abdomen. Depuis la nuit précédente, elle souf
de n'était entrée à l'hôpital que la veille). Tranchées utérines avec douleurs hypogastriques, pour lesquelles on appliqua penda
, frisson de deux heures qui fut suivi d'une sueur abondante et d'une douleur vive aux fosses iliaques, douleur qui parut indiq
uivi d'une sueur abondante et d'une douleur vive aux fosses iliaques, douleur qui parut indiquer l'emploi de deux onces d'ongue
onguent napolitain dans la journée. Le neuvième jour, fièvre aiguë, douleur épigastrique diminuée. — Épreintes avec peu de ré
e reconnu, ou plutôt il ne l'est que par le liseret indiqué et par la douleur que cause le plus léger contact. La diarrhée est
manque, que l'érysipèle se manifeste alors par un liseret rosacé, la douleur et une légère tuméfaction œdémateuse; que le véri
anifeste à son plus haut degré. Lenteur et faiblesse du pouls, aucune douleur dans l'abdomen qui est déprimé; point de selles;
moges. Un paysan athlétique entre à l'hôpital dans l'état suivant : Douleur très vive à l'épigastre, abdomen affaissé, selles
la plus grande facilité. C'était à l'épigastre que se rapportait la douleur . J'ai déjà eu plusieurs fois l'occasion de faire
ur. J'ai déjà eu plusieurs fois l'occasion de faire remarquer que les douleurs du gros intestin se manifestaient souvent par une
er que les douleurs du gros intestin se manifestaient souvent par une douleur épigastrique : l'épigastre est le centre commun d
rique : l'épigastre est le centre commun de toutes les impressions et douleurs abdominales. Les follicules sont complètement étr
s l'affaissement le plus complet (état adynanique de Pinel); point de douleur ; prostration; langue sèche et noire; dents fuligi
ons eu des crises de dévoiement avec coliques, épreintes, météorisme, douleur de l'abdomen, de manière à faire redouter une pér
nt fétide, d'odeur cancéreuse, avait lieu constamment par l'anus ; la douleur n'était pas vive. Cette femme mourut d'une maladi
fécales rubanées, aplaties, qui lui causent beaucoup d'efforts et de douleurs . Douleur très vive à la région du sacrum que la m
ubanées, aplaties, qui lui causent beaucoup d'efforts et de douleurs. Douleur très vive à la région du sacrum que la malade fro
on; c'était en effet la région iliaque gauche qui était le centre des douleurs . C'était là que s'accumulaient les gaz et les mat
ncies sous la forme de bosselures extrêmement considérables. A chaque douleur , on sentait l'intestin se durcir à la manière de
lait en général qu'il fût énergique; les demi-moyens exaspéraient les douleurs sans produire aucune évacuation. Plusieurs fois l
uccomber, mais aussitôt que les évacuations avaient été obtenues, les douleurs cessaient complètement ; le malade revenait à la
s, souvent inutiles, un ténesme vésical porté au plus haut degré, des douleurs au bout de la verge; en un mot, tous les symptôme
céreuse du bas-fond de la vessie elle-même. Le malade mourut dans les douleurs les plus vives et le marasme le plus complet. A
ymptômes d'un étranglement interne, vomissemens, hoquets, météorisme, douleur abdominale très vive. A l'ouverture du cadavre, o
dant qu'elle avait un enfant sur les bras ; cette chute fut suivie de douleurs très vives au fondement, et de plusieurs abcès do
à une recrudescence de l'inflammation du rectum; voici ces accidens: douleurs extrêmement vives qu'elle rapporte aux parties gé
si la malade ne pouvait-elle aller à la selle qu'avec de très grandes douleurs , et cela toujours en dévoiement. Cette malheureus
à elle-même? mais elle périra infailliblement après un long cercle de douleurs . Tentera-t-on l'opération usitée pour les fistule
uatre jours après, la malade se plaignit de vomissemens bilieux et de douleurs très vives au bras gauche, sur lequel, par précau
rganes intérieurs. Le 28 juillet,la malade se plaignit d'une violente douleur décote, et, deux jours après , cette douleur se t
plaignit d'une violente douleur décote, et, deux jours après , cette douleur se transporta à la jambe avec tant d'intensité, q
ie, se vida, le 3i, par la plaie du cautère. Le soir du même jour, la douleur du bras était devenue plus forte que celle de la
nent à travers les parois abdominales amincies, et dans les momens de douleur , l'abdomen devient dur, bosselé. Efforts continue
la zone supérieure de la cavité abdominale, un embarras plutôt qu'une douleur , qui parfois dérangeait ses digestions et le ren
tions;mais, homme fort et courageux , il a cherché à triompher de ses douleurs . Il travaillait encore un mois et demi avant son
eurs colliquatives, fièvre hectique, infiltration générale, mort sans douleur bien prononcée et avec l'intégrité de son intelli
août i836). Un peintre en bâti mens entra dans un hôpital avec une douleur abdominale assez vive, surtout dans l'hypochondre
n. Cette jeune personne est entrée avec un ictère fébrile et avec une douleur de tête bornée à la bosse frontale. Une chute du
tous les assis-tans que le foie était exclusivement le siège de cette douleur . Une pression, exercée sous la dernière côte, aux
ptembre 18^7 : elle éprouvait une difficulté extrême de respirer avec douleur dans les hypo-chondres, surtout dans l'hypochondr
e' encore, pouls toujours misérable, filiforme, fuyant sous le doigt; douleur toujours très vive au-dessous de l'hypocondre dro
elle se releva très bien. Le sang était très couenneux. Le soir, la douleur a disparu; exaltation d'idées, sans délire, senti
iaque, hypogastrique. Nous rappelant alors que le siège principal des douleurs était l'hypo-chondre droit, nous nous dirigeâmes
e malaise, d'angoisse extraordinaires : il se plaignait surtout d'une douleur abdominale à droite, le long du rebord des fausse
ômes,le pouls étaitpeu fréquent et faible. L'anxiété permanente et la douleur qu'augmentait la pression le long du rebord des c
tion du foie et de la partie voisine de l'abdomen n'occasionne aucune douleur . L'ictère a complètement cessé. L'état général n'
aladie. Ici le diagnostic était facile. Le siège et la vivacité de la douleur , le développement aussi rapide que considérable d
de l'hépatite. J'ai quelques observations pratiques à faire sur la douleur et sur le développement du foie dans l'hépatite,
ur et sur le développement du foie dans l'hépatite, et d'abord sur la douleur . T II est rare que, dans l'inflammation du foie
sur la douleur. T II est rare que, dans l'inflammation du foie, la douleur hépatique atteigne le degré d'acuité dont il a ét
molécules du foie, met en lumière les nuances les plus légères de la douleur de cet organe. Parmi les exemples que je pourrais
la percussion portait sur la région du foie, la malade éprouvait une douleur très prononcée, qu'elle exprimait par un mouvemen
d'abord un prognostic fâcheux, et cependant la malade n'accuse aucune douleur dans la région du foie : l'exploration ordinaire
issiper complètement. La malade était sujette depuis long-temps à des douleurs obtuses du côté droit, qu'elle calmait à laide de
fébrile disparaît; à sa place, sentiment de débilité extrême. Aucune douleur , aucune intumescence à la région du foie ; la pre
tion, fréquence et petitesse du pouls, envies continuelles d'uriner , douleurs hépatiques, réapparition de l'ictère. Les sangs
ataplasmes, etc., diminuent la violence des symptômes, et enlèvent la douleur . Le 6 juin, diminution de l'ictère, mais prostr
ppétence , malaise général ; la fréquence du pouls persiste. Point de douleur , point d'augmentation de volume du foie. Stomatit
membres inférieurs s'infiltrent, et l'œdème devient général. Cris de douleur pendant la nuit, qui m'obligent à donner des caïm
t deux ou trois jours. Au commencement d'avril, M. G. ressentit des douleurs assez vives à la région lombaire et à la cuisse d
travail profond, de feu qui le dévorait, et parfois il disait que les douleurs étaient indicibles. Les douleurs présumées rhum
rait, et parfois il disait que les douleurs étaient indicibles. Les douleurs présumées rhumatismales, mais qui étaient évidemm
ule gauche et sur les muscles intercostaux du même côté : lorsque ces douleurs se réveillaient avec plus d'intensité, la respira
a respiration devenait très gênée : une fois, vers la fin de mai, les douleurs acquirent une si grande vivacité, qu'on fut oblig
on fut obligé de faire une application de i5 sangsues. Plus tard, ces douleurs disparurent; et dans les derniers jours de sa vie
, dont les parois sont spasmodiquement contractées. Pour diminuer les douleurs , le malade est obligé de se tenir couché et courb
nt aucune altération, seulement, l'expiration forcée produit de vives douleurs dans la tumeur, laquelle, dans ce cas, est probab
fois même, on est parvenu à la réduire par ce moyen; mais alors, les douleurs devinrent tellement intenses, qu'on se vit forcé
ermittente et rémittente dans la fièvre appartient à la pleurésie. La douleur locale ne doit pas exclure l'idée d'une pneumonie
plèvre dépasse les limites de l'inflammation du tissu pulmonaire, la douleur s'éveille à chaque inspiration, parce qu'à chaque
indiquait une fin prochaine, lorsque le malade se plaignit d'une vive douleur au creux de l'aisselle droite, où je reconnus une
, où je reconnus une inflammation phleg-moneuse. La tuméfaction et la douleur s'étendirent largement sous le grand pectoral en
circulation veineuse et lymphatique. A la phlegmasie se rapportent la douleur et la fièvre ; à l'obstacle mécanique de la circu
c plus ou moins d'intensité. Il est des malades qui n'accusent aucune douleur locale et chez lesquelles le mouvement fébrile es
pression morbide : il en est d'autres, au contraire, qui accusent une douleur plus ou moins vive à l'aine ou sur le trajet des
e ou sur le trajet des vaisseaux cruraux. Chez un grand nombre, cette douleur présente tous les caractères apparens d'un rhumat
variétés. Lorsque la phlébite occupe les troncs veineux seulement, la douleur est limitée au trajet de ces vaisseaux, et l'œdèm
itée au trajet de ces vaisseaux, et l'œdème est peu considérable ; la douleur et l'œdème s'étendent au contraire à tout le memb
ar l'œdème, comme celle qui survient après l'accouchement, œdème avec douleur le long du trajet des gros vaisseaux, et dont l'i
des troncs veineux, lorsque la phlébite est limitée à ces troncs, la douleur occupe, au contraire, tous les points de la circo
t et par le simple fait de la position, les membres se détuméfier, la douleur disparaître, et la veine fémorale se réduire à un
ec un œdème peu douloureux des membres inférieurs et chez laquelle la douleur était limitée au trajet de la veine fémorale, j'a
omplète de l'œdème ; la veine revient graduellement sur elle-même, la douleur disparaît. Après un mois de traitement, la malade
s jours après, il y avait encore œdème du membre inférieur, mais sans douleur : les veines superficielles ne se dessinaient plu
de l'application de quelques résolutifs; mais, dans d'autres cas, les douleurs sont tellement vives, la résolution si lente à s'
fût affaiblie par l'âge et par un catarrhe chronique, l'intensité des douleurs me força à faire pratiquer une petite saignée au
opre de la peau était complètement exempt d'infiltration sanguine. La douleur était celle d'une forte contusion. Les gencives é
ant le moitié inférieure de la jambe ganche. Il y avait en même temps douleurs vives, exaspérées par le moindre mouvement, par l
u repos, de la position horizontale et des cataplasmes émolliens, les douleurs diminuèrent avec le gonflement ; la couleur noire
ux ne fait découvrir aucune altération appréciable. L'intensité de la douleur , la chaleur de la peau et le volume du membre me
ement local qu'amena cette dernière évacuation fut très prononcé, les douleurs moindres, la tuméfaction sensiblement diminuée. A
nuée. Aux cataplasmes émolliens qu'avait nécessités l'intensité de la douleur , on fit succéder l'emploi de compresses imbibées
ttes d'eau-de-vie camphré. La couleur livide se circonscrivit avec la douleur au voisinage de l'articulation du pied et au dos
l'affaissement. La langue devint sèche, soif vive. En même temps des douleurs très intenses se manifestèrent dans tout le membr
urs très intenses se manifestèrent dans tout le membre inférieur. Ces douleurs étaient exaspérées par le moindre mouvement et av
rées par le moindre mouvement et avaient beaucoup d'analogie avec les douleurs d'un rhumatisme aigu. Le pouls devint misérable,
ues trouveront leur application plus tard, après la disparition de la douleur des accidens primitifs. Ce qu'il y a de certain,
it pas être éloignée! Le 3 décembre i836, la malade se plaint d'une douleur vive au pied droit. N'apercevant rien, je crus qu
'une douleur vive au pied droit. N'apercevant rien, je crus que cette douleur était le résultat de la même attitude long-temps
n cerceau pour garantir le pied. Le lendemain, la malade accuse une douleur très vive dans les muscles postérieurs de la jamb
ne douleur très vive dans les muscles postérieurs de la jambe droite, douleur que le moindre contact exaspère. En même temps, l
formée en un cordon dur et douloureux. Jusqu'au dernier moment, les douleurs ne perdirent rien de leur intensité, et ne cessèr
sans doute à la même cause qui fait que les amputés rapportent leurs douleurs aux membres qu'ils n'ont plus. Le 27 décembre,
e phlyetène sous laquelle le derme était noir. La malade se plaint de douleurs très vives à la jambe et principalement à son côt
uis quelques jours cette malade accusait, sous le nom de crampes, des douleurs très fortes à la même région. La face était bon
e sangsues Je long du côté externe de la jambe, siège principal de la douleur . Du reste, les battemens de l'artère fémorale p
1, la grangrène avait envahi le côté externe de la jambe, siège de la douleur et de l'application des sangsues. Le 14-) état
ues. Le 14-) état local toujours le même; mais à la suite d'atroces douleurs qui arrachaient des cris à la malade, et qui du r
1826, j'ai injecté de l'encre dans l'artère crurale d'un chien. Vive douleur immé-« diatement après l'injection : le membre es
lle; au moment de l'injection, l'animal n'a pas manifesté beaucoup de douleur ; mais une demi-heure après, les douleurs ont été
n'a pas manifesté beaucoup de douleur; mais une demi-heure après, les douleurs ont été si aiguës qu'il poussait, avec des cris p
que, dans la gangrène spontanée, le caillot a précédé la gangrène, la douleur vive que fait éprouver l'artère quelque temps ava
'un vaisseau rempli d'une injection solide. J'invoquerai cette même douleur pour prouver que l'oblitération des vaisseaux est
es vaisseaux est le résultat d'une véritable inflammation. Quant à la douleur atroce qui occupe les parties qui vont être frapp
vent aussi les malades rapportent aux parties gangrenées elles-mêmes, douleur que la moindre pression exaspère, elle me paraît
'indication de l'administration du quinquina me parut évidente. Cette douleur , qui précède la gangrène de quelques jours, qui l
de la mort, au moins chez quelques sujets, m'a été expliquée par les douleurs atroces qu'éprouva le chien dans l'artère fémoral
orps irritant qui arrêtait immédiatement la circulation du membre, la douleur était complètement nulle; lorsque, au contraire,
elle, lutte entre la vie et la mort, si je puis m'exprimer ainsi, les douleurs étaient très vives. On a pensé que la formation
ans, grand et fort, convalescent d'une fièvre légère, fut pris d'une douleur extrêmement vive dans la jambe droite qui devint
ches violettes au voisinage des malléoles. L'épiderme se détache. Les douleurs deviennent tellement intolérables que le malade n
uffrances Le cinquième jour,le pied paraît complètement gangrené. Les douleurs se concentrent dans la jambe. Le dix-neuvième jou
uelques faits semblent établir que les malades peuvent succomber à la douleur . J'ai vu plusieurs fois, en consultation, avec mo
excellent. Le malade s'est éteint comme s'il avait été épuisé par la douleur . L'ouverture du cadavre n'a pu être faite. L'ob
gnée générale dans le traitement de l'artérite, mais sans succès. Les douleurs atroces qui accompagnent cette maladie me paraiss
entiment et du mouvement sans changement de couleur à la peau et sans douleur notable. Or voici les caractères à l'aide desquel
s tout le membre inférieur du côté droit. La malade n'accuse aucune douleur : elle éprouve même un sentiment général de bien-
pincement, la piqûre, le chatouillement, ne sont pas perçus; mais une douleur très prononcée est déterminée par une pression ex
e lever pourj'se placerçsur le bassin et se plaignit de froid et de douleur dans tout le membre inférieur droit.—Le iermai, f
droit, et je recueillis les commémoratifs suivans : Depuis un an , douleurs dans les membres supérieurs qu'elle rapportait à
leurs dans les membres supérieurs qu'elle rapportait à la goutte. Ces douleurs étaient temporaires et se portaient d'un membre s
Saignée au bras qui fut couenneuse. Quatre heures après la saignée, douleur vive depuis le bout des doigts jusqu'au coude du
ibilité absolue d'étendre et de fléchir le poignet. Elle accusait des douleurs assez prononcées dans les doigts : je mis sur ma
e ; pourquoi une paralysie complète du sentiment et du mouvement avec douleur ; pourquoi ce mélange de paralysie et de douleur?
et du mouvement avec douleur; pourquoi ce mélange de paralysie et de douleur ? je pensai que cette paralysie avait son siège no
e 64 ans, fut reçu dans les salles de chirurgie d'un hôpital pour des douleurs lancinantes vives avec sensation de froid à l'ext
n se rappelle que la paralysie artérielle s'accompagne constamment de douleurs très vives et d'algidité; joignez à cela la doule
e constamment de douleurs très vives et d'algidité; joignez à cela la douleur et souvent la dureté le long du trajet du vaissea
tion douloureuse, une vive étreinte au niveau des dernières côtes. La douleur de constriction semble résider dans les nerfs int
spaces qu'ils parcourent : du reste, dans l'intervalle des crises, la douleur le long des nerfs intercostaux est permanente, ma
des nerfs intercostaux est permanente, mais tolérable. On dirait des douleurs de rhumatisme : c'était le nom (et cette erreur e
tait le nom (et cette erreur est bien commune) qu'avaient donné à ses douleurs et à sa maladie les médecins qu'il avait consulté
œur d'une part et la violence de l'impulsion d'une autre part. A la douleur latérale gauche, que le malade accusait les premi
rale gauche, que le malade accusait les premiers jours, a succédé une douleur latérale droite en bas, au-dessous de la mamelle.
ente par moment. Le malade ayant accusé, pendant plusieurs jours, une douleur sourde dans les espaces intercostaux, un engourdi
douloureux, plusieurs vésicatoires volans qui réussirent à enlever la douleur sans remédier à l'engourdissement ; les bronches
r sur la nécessité de donner, en pratique, une attention sérieuse aux douleurs dites rhumatismales, ayant leur siège le long du
ées dans le principe, se sont terminées d'une manière funeste. Le mot douleurs ou névralgies rhumatismales, appliqué à l'étude d
dois aussi faire remarquer que la nature purement rhumatismale d'une douleur n'est pas établie par le succès de l'application
r l'un des points affectés; car on a vu, dans le cas précédent, les douleurs intercostales, bien évidemment produites par là p
de rhumatismes, et c'était à cette cause qu'il rapportait toutes ses douleurs . Interrogé sur les antécédens, il nous apprend qu
remplacé par un sentiment de feu, qui occupe la moelle des os. « Les douleurs , dit le malade, sont tantôt froides, tantôt chaud
s mains. Quelquefois la nuit tout entière se passe dans de semblables douleurs et dans de semblables mouvemens, en sorte que je
de cette sensation de malaise général, le malade accuse deux grandes douleurs : i ° des douleurs dans les jambes, depuis les ge
de malaise général, le malade accuse deux grandes douleurs : i ° des douleurs dans les jambes, depuis les genoux jusqu'à la pla
livraison. â Le 21 juillet, pleurésie gauche, caractérisée par une douleur latérale très vive, une matité complète de tout l
e la paralysie, sous le rapport du mouvement ; diminution notable des douleurs . Le malade peut se soutenir et faire quelques pas
ait. Mais cette diminution dans la paralysie du mouvement et dans les douleurs , ne fut pas de longue durée. Le Ier septembre,
mbes ; d'autres fois, jambes glacées de froid. JNous avons vu que les douleurs froides et les douleurs chaudes s'étaient succédé
mbes glacées de froid. JNous avons vu que les douleurs froides et les douleurs chaudes s'étaient succédées pendant tout le cours
que temps. Les fonctions digestives sont dans le meilleur état. Nulle douleur . Point d'œdème. Le jeune malade n'a pas la moindr
pour ramasser quelque chose, il est très oppressé. Il se plaint d'une douleur cervicale qui remonte à l'invasion de la pleurési
: ce claquemeut est variable pour la force. Interrogé sur le genre de douleur qu'il éprouve, le malade dit qu'il lui semble avo
65 ans, qui, ayant été guéri d'ulcères aux jambes, devint sujet à des douleurs rhumatismales, et mourut subitement A l'ouverture
er, demande continuellement à changer de place: plaintes, cris, nulle douleur locale. La face, qui reste décolorée, contraste a
ux ans et demi ; que l'oppression et l'infiltration ont commencé sans douleur aucune, il y a sept semaines; qu'il a été saigné
c rougeur. La moindre pression , le moindre mouvement exaspéraient la douleur ; le pouls était large et mou. à quatre-vingt-hui
, moins riche en caillot que le sang de la première saignée. — Le 24, douleurs à l'articulation scapulo-humérale, au coude et
n notable dans la proportion du caillot.—Le 26, persistance des mêmes douleurs ; rétention d'urine, qui oblige de sonder le mala
urs suivans jusqu'au 6 juillet, l'état du malade paraît meilleur ; la douleur et la tuméfaction articulaires ont cessé complète
très fréquente chez les vieillards, et à laquelle ils succombent sans douleur , mais avec une extrême rapidité. La cause de la p
et de la tête; engourdissement de la peau de la face, et, par instans, douleur très vive à la cuisse gauche qui semble alterner
emens à la joue droite, d'affreux maux de tête qui alternent avec des douleurs non moins vives à la cuisse gauche. Les contracti
là saignée, la malade porte la main droite à la tête, en accusant une douleur atroce ; elle se plaint d etouffement, puis cesse
rfaite. Sommeil interrompu par des réveils en sursaut avec secousses. Douleurs aux changemens de temps. Pour commémoratifs, je
étraction des membres inférieurs persiste : la malade accuse de vives douleurs dans les membres inférieurs surtout dans celui du
de paralysie incomplète du mouvement des extrémités inférieures avec douleurs excessives dans ces mêmes extrémités. Comme cause
une paralysie non douloureuse, tantôt à une paralysie douloureuse. La douleur était bien plus vive et bien plus continue dans l
té que nous avons observée dans l'observation qu'on vient de lire. La douleur est donc dans cette maladie en raison inverse de
adie en raison inverse de la lésion de la moelle. La paralysie sans douleur suppose une solution de continuité complète de la
une solution de continuité complète de la moelle; la paraplégie avec douleur suppose, soit une irritation sans solution de con
solution de continuité incomplète de la moelle. La paraplégie avec douleur est un degré moins avancé que celle sans douleur.
La paraplégie avec douleur est un degré moins avancé que celle sans douleur . Une paraplégie douloureuse peut être encore cura
paraplégie douloureuse peut être encore curable ; une paraplégie sans douleur est marquée au coin de l'incurabilité. Dans la pa
Saint-Alexandre, n° 18, dans l'ét atsuivant: Paraplégie incomplète; douleurs très vives et presque continuelles dans les genou
ce, et pourtant elle redoute d'en changer, à cause du redoublement de douleur qui en est la suite inévitable. Les mouvemens a
emens communiqués sont également douloureux. Quant au caractère de la douleur , c'est un engourdissement ou fourmillement. Au
ribue à un refroidissement subit, par suite duquel elle a éprouvé une douleur avec tuméfaction à la région lombaire. Bornée d'a
faction à la région lombaire. Bornée d'abord à la région lombaire, la douleur s'étendit bientôt à la cuisse droite,puis à la cu
'influence du pincem nt , de la piqûre, du chaud , du froid , etc. La douleur coexiste souvent avec une diminution notable dans
côté delà sailliedes épines et l'opium à l'intérieur, pour calmer la douleur . La malade se trouva tellement soulagée qu'elle
bres supérieurs présentèrent ce singulier amalgame de paralysie et de douleur , qui m'avait si vivement frappé dans l'observatio
la région précordiale. Deux applications de sangsues enlevèrent cette douleur . Au "bout de trois jours, la malade se plaint d
rent cette douleur. Au "bout de trois jours, la malade se plaint de douleurs sourdes aux pieds, puis aux deux jambes. Ces doul
de se plaint de douleurs sourdes aux pieds, puis aux deux jambes. Ces douleurs ou plutôt cet engourdissement occupent surtout la
continuelle. Lorsque la malade s'assoupit, elle est réveillée par la douleur . Cette douleur commence au bout des pieds et mont
orsque la malade s'assoupit, elle est réveillée par la douleur. Cette douleur commence au bout des pieds et monte jusqu'à l'épa
et la paralysie musculaire me parait exclusivement déterminée par la douleur . En un mot, il n'y a paralysie que parce que la c
es mouvemens sont excessivement douloureux et arrachent un cri. « Les douleurs lardent toutes, disait-elle, les unes faiblement,
fortement. » 11 y a des momens où la jeune malade ne ressent aucune douleur : ce sont ceux où elle est dans l'immobilité la pl
ntaire ou involontaire, la moindre secousse, font pousser un cri. Les douleurs viennent par crises très intenses. Ces crises se
vertures, elle se plaignait que le poidsde ce cahier lui causait delà douleur ; que, lorsqu'on touchait le bois de son lit, elle
pendant la nuit que s'est paralysé ce membre supérieur à la suite de douleurs vives et de secousses convulsives. La journée du
crises (ce sont ses expressions) ; mais bien des crises sourdes, des douleurs sourdes comme si de petites bulles d'air avaient
es doigts seuls sont libres et non douloureux; car la paralysie et la douleur marchent toujours simultanément. La paralysie du
rs simultanément. La paralysie du mouvement paraît être l'effet de la douleur musculaire, et c'est là la grande différence qui
e la malade inspire fortement, elle pousse un cri, que lui arrache la douleur , et cette douleur est en rapport avec la dilatati
e fortement, elle pousse un cri, que lui arrache la douleur, et cette douleur est en rapport avec la dilatation du thorax. Cett
u thorax. Cette gêne de la respiration habituelle, poussée jusqu'à la douleur , a ce caractère particulier qu'elle fait éprouver
ion est plus considérable : la déglutition est un peu difficile. La douleur spinale persiste. Le moindre contact du membre pa
du membre paralysé est douloureux ; le moindre mouvement provoque une douleur vive ; le moindre bruit, une porte que l'on ferme
s'échapper. Les barres de la poitrine sont moins fortes qu'hier. La douleur dorsale ou spinale a persisté depuis le premier m
bord irritée et qui est maintenant comprimée. 11 juin; tête lourde; douleur légère derrière le cou: la malade souffre plus du
e me paraît consister dans l'impossibilité du mouvement à cause de la douleur , et dans la possibilité d'exécuter quelques mouve
de, qui ne peut les renouveler plusieurs fois de suite. Parfois les douleurs lui arrachent des cris:c'est lorsque les deux gro
, reste encore soustrait à l'empire de la volonté. Rien à droite. La douleur cesse, dans les membres, à mesure que ces membres
oir volontairement, en sorte que la paralysie paraît subordonnée à la douleur . La sensibilité douloureuse à la pression a cessé
coude du même côté. La malade a uriné volontairement depuis hier. La douleur dorsale ou spinale persiste. Le mieux semble dû à
revenu la nuit dernière dans le membre supérieur droit, à la suite de douleurs excessivement vives qu'elle a ressenties le long
oleil, et éprouva le soir du frisson, suivi de chaleur. Le 26 juin, douleurs dorsales très vives le long de l'épine: il lui se
ine: il lui semble qu'on lui casse l'épine par petits fragmens. Cette douleur , qui ne l'avait jamais complètement quittée et qu
elques cuillerées de potion calmante. Le 27, pour la première fois, douleur de tête, qui a redoublé le soir. Cette douleur oc
pour la première fois, douleur de tête, qui a redoublé le soir. Cette douleur occupe le sommet de la tête : les régions frontal
ontale et occipitale en sont entièrement exemptes. Le caractère de la douleur syn cipitale est celui d'un battement isochrone a
itale est celui d'un battement isochrone aux battemens du cœur. Cette douleur est très aiguë. Elle est piquante (c'est l'expres
ression dont se sert la malade) et la fait sauter dans son lit. Cette douleur l'obligea une attitude désordonnée qui rappelle c
se à courir dans la salle, ce dont elle ne se rappelle pas. Le 28: la douleur de tète a diminué; la douleur dorsale persiste. L
dont elle ne se rappelle pas. Le 28: la douleur de tète a diminué; la douleur dorsale persiste. La malade se plaint d'une doule
ète a diminué; la douleur dorsale persiste. La malade se plaint d'une douleur précordiale. Les jours suivans , disparition co
douleur précordiale. Les jours suivans , disparition complète de la douleur de tète, mais sentiment de tristesse, qui fait co
son séant, ployée en deux et dans une attitude très désordonnée. La douleur spinale qui d'abord était générale, est concentré
s frissons. La malade s'assoupit par mo-mens et est réveillée par les douleurs spinales. Jambes très lourdes, marche très péni
n lit. Emulsion nitrée, douze sangsues. 6 juillet et jours suivans: douleur dorsale, qui s'exaspère par la pression et même p
du dos. Insomnie. Lorsqu'elle s'assoupit, elle est réveillée par une douleur dorsale, semblable à celle que produisent des piq
ar l'effet de la contraction musculaire. Le genou est la limite de la douleur . Trois pilules de gomme gutte de deux grains. L
rt de volonté, elle parvient à soulever le membre, mais avec une vive douleur : elle croit qu'elle pourrait faire quelques pas,
croit qu'elle pourrait faire quelques pas, mais non sans une affreuse douleur . La jambe gauche est libre. Absence complète de d
une affreuse douleur. La jambe gauche est libre. Absence complète de douleur , lorsqu'elle est tranquille; parfois élancemens s
élancemens sans secousses.Insomnie,hallucinations, apyrexie complète, douleur de dos, douleur de tête frontale et syncipitale.
secousses.Insomnie,hallucinations, apyrexie complète, douleur de dos, douleur de tête frontale et syncipitale. Le i3,1a paral
os, douleur de tête frontale et syncipitale. Le i3,1a paralysie par douleur ou plutôt l'engourdissement douloureux de la jamb
ourrait remuer les membres, mais qu'elle ne le fait pas à cause de la douleur . La gaîté naturelle est revenue. Etat général trè
ment des orteils a cessé ; la jambe droite peut être mue sans trop de douleur . Les jours suivans, l'amélioration est rapide,
momens les deux points dorsaux indiqués, et, soit appréhension, soit douleur véritable, elle refuse d'y supporter la plus légè
et passe delà dans un autre membre; i° une paralysie des muscles par douleur dans la première période ; une paralysie des musc
taire, et par le fait d'un mouvement communiqué. En luttant contre la douleur , un grand effort de volonté peut dans la première
ode de la maladie produire la contraction musculaire, mais bientôt la douleur est telle, que la volonté ne peut rien sur les mu
ble), mais bien par l'endolorissement des muscles. La paralysie par douleur et avec douleur musculaire, douleur limitée au sy
par l'endolorissement des muscles. La paralysie par douleur et avec douleur musculaire, douleur limitée au système musculaire
t des muscles. La paralysie par douleur et avec douleur musculaire, douleur limitée au système musculaire, douleur répondan
et avec douleur musculaire, douleur limitée au système musculaire, douleur répondant en quelque sorte à tous les stimulans,
ingite rachidienne. Il est si vrai que la paralysie est causée par la douleur , que la paralysie n'est pas essentielle, si je pu
t pas essentielle, si je puis m'exprimer ainsi, qu'elle cesse avec la douleur , et que les malades recouvrent en vingt-quatre he
r il aurait dit que le pincement de la peau déterminait une excessive douleur . En attendant que de nouveaux faits soient recu
Aussi est-on obligé de la faire manger comme un enfant au berceau. Douleurs générales et dans les membres et dans le tronc; t
quarante-six ans; deux enfans. Il y a quinze mois, elle fut prise de douleurs aux chevilles, aux genoux, et de mouvemens sembla
es presque nulle ; perception extrêmement lente. La malade ne sent la douleur de la piqûre et du pincement que quelques seconde
été privée de l'odorat et du goût pendant six semaines, à la suite de douleurs de tête intolérables et d'étourdissemens. Diagn
la nuque. Le a5 décembre : frisson suivi d'une chaleur excessive ; douleur le long de l'épine du dos et surtout à la nuque:
excessive ; douleur le long de l'épine du dos et surtout à la nuque: douleurs aux mains, qui lui font éprouver un sentiment de
aux articulations des genoux, et je parvins à les fléchir, mais avec douleur ; cependant, comme ces manœuvres tourmentaient bea
gourdissement dans le pied et dans la jambe du côté droit. Eclairs de douleurs très vives , séparés par de longs intervalles. La
artie supérieure , et cependant la malade n'y a jamais éprouvé aucune douleur . L'abondance de la suppuration que four -nissait
iculation, les eschares au sacrum, qui se sont également formées sans douleur , ont amené un dépérissement rapide. La veille de
ut, elle fut prise dans les membres inférieurs d'engourdissement sans douleur : il lui semblait que la plante des pieds était e
exposés au froid et à l'humidité , tourmentés antérieurement par des douleurs qui avaient tous les caractères des douleurs rhum
s antérieurement par des douleurs qui avaient tous les caractères des douleurs rhumatismales. Indépendamment de la paraplégie, c
t paraplégique. La malade assure qu'elle n'éprouva aur-cune espèce de douleur par le fait de la fracture, ni au moment de sa pr
ité sous l'influence de tous les stimulans extérieurs s'accompagne de douleurs dans les os; douleurs continuelles sourdes, avec
e tous les stimulans extérieurs s'accompagne de douleurs dans les os; douleurs continuelles sourdes, avec exacerbation qu'elle r
rticulations du pied, du genou et de la cuisse. La malade compare ces douleurs à des milliers de camions , à un engourdissement
eu-près parfaite du mouvement aux membres supérieurs, érosion. Aucune douleur spinale. La sensibilité tactile du tronc est engo
volontaires. En opposition avec l'absence de mouvemens volontaires, douleurs très vives, continuelles aux pieds, aux jambes, a
bsence de myotilité; car ce chatouillement est perçu sous la forme de douleur . Je n'ai pas noté chez cette malade la lenteur de
ur de van Swiéten. Il y a trois ans qu'elle a commencé à éprouver des douleurs sourdes à la région lombaire, et de la faiblesse
, elle sentit un craquement à la région lombaire, et poussa un cri de douleur . C'est à cette époque et à cette circonstance que
ssion devint de plus en plus difficile et par la faiblesse et par les douleurs vives et continuelles, qui d'abord bornées à la r
t interne, que la malade n'a pas pu indiquer; mais la paralysie et la douleur firent sans cesse de nouveaux progrès. Les secous
'état de la malade resta stationnaire pendant une quinzaine de jours. Douleurs continuelles dans les reins , les cuisses, les ja
inuelles a succédé l'expression de la plus vive reconnaissance. Les douleurs à la région des eschares ont remplacé les douleur
onnaissance. Les douleurs à la région des eschares ont remplacé les douleurs des reins ; les douleurs des cuisses et des pieds
rs à la région des eschares ont remplacé les douleurs des reins ; les douleurs des cuisses et des pieds ont cessé. La malade ne
semens vert-pré, décomposition de la face, parfaite intelligence. Les douleurs cessent, et la malade succombe le i5 août, un moi
excessivement douloureuse. Pourquoi existe-t-il des paraplégies sans douleur et des paraplégies avec douleur? Je crois pouvoir
quoi existe-t-il des paraplégies sans douleur et des paraplégies avec douleur ? Je crois pouvoir conclure d'un certain nombre de
oit d'ailleurs que la paraplégie par compression n'est accompagnée de douleur que dans le cas où la cause comprimante agit lent
cale, par carie ou ramollissement des vertèbres, est tout-à-fait sans douleur . On conçoit, en outre, qu'arrive une période où l
ésenté planche vi est venu confirmer cette distinction, fondée sur la douleur . J'avais annoncé que la cause de la paraplégie ét
l'autopsie a parfaitement justifié mon diagnostic. En outre, comme la douleur avait disparu complètement ou presque complètemen
r convenablement l'épingle. Du reste, la malade ne se plaint d'aucune douleur . Myotilité. Le membre supérieur droit se meut a
u propre de la moelle, et je me fonde principalement sur l'absence de douleurs , de crampes, de secousses, de rigidité. Une paral
tains de remédier à cette maladie, la malade est prise, le 9 mars, de douleurs extrêmement vives au membre supérieur gauche, et
bien évident qu'il n'y a pas augmentation de la paralysie, mais bien douleur surajoutée. Je pense à i'arachnitis spinale aig
raison), présente une association singulière de la paralysie et de la douleur ; et je suis d'autant plus fondé à l'admettre, qu'
uis d'autant plus fondé à l'admettre, qu'au milieu de cette excessive douleur du membre par l'effet de la moindre pression et d
t la peau, au niveau de la région douloureuse, sans causer la moindre douleur . C'est cette opposition, ce contraste entre l'ins
heures. Evacuations alvines très abondantes. Les 10 et 11 mars, la douleur subsiste, mais elle ne dépasse pas le membre supé
s, le résultat d'une pleurésie. Le 19, mars, diminution notable des douleurs dans le membre supérieur gauche. Pour la première
ns le membre supérieur gauche. Pour la première fois, elle accuse des douleurs dans le membre inférieur du même côté ; on dirait
in le plexus brachial du côté gauche: rien. Je trouve la source de la douleur deltoïdienne dans une couche purulente, située so
né l'invasion d'une arachnitis spinale, à raison de la coïncidence de douleurs très vives produites par les mouvemens ou par la
onstance commémorative d'une anesthésie antérieure à l'invasion de la douleur , enlevait à ce symptôme une grande partie de son
'âge de 5i ans : depuis cette époque, écoulement blanc permanent sans douleur , et de temps en temps quelques pertes rouges. La
es premières dorsales. —Invasion subite de la paralysie à la suite de douleurs des épaules.—Péritonite tuberculeuse. Femme Vog
oici les commémoratifs qui me sont donnés par son fils. Il y a un an, douleur aux épaules et aux reins ; elles sont si vives, q
is, depuis le mois de décembre i83o, jusqu'au mois d'avril iS/Jo. Ces douleurs sont revenues il y a six semaines , mais elles n'
x. Huit jours avant son entrée, c'est-à-dire vers le i5 novembre, les douleurs se sont dissipées et ont été remplacées par la pa
lité des membres inférieurs. Cette paraplégie n'est accompagnée ni de douleurs , ni de crampes. Son fils me dit qu'elle se plaign
e se plaignait d'y éprouver un sentiment de brûlure. Relativement aux douleurs abdominales, j'apprends qu'elles ont précédé les
ivement aux douleurs abdominales, j'apprends qu'elles ont précédé les douleurs de la colonne vertébrale, et que les douleurs des
u'elles ont précédé les douleurs de la colonne vertébrale, et que les douleurs des épaules semblent une conséquence de la dispar
s douleurs des épaules semblent une conséquence de la disparition des douleurs de l'abdomen. Examen de la colonne vertébrale.
arition des douleurs de l'abdomen. Examen de la colonne vertébrale. Douleur par la pression au niveau des dernières vertèbres
r presque complètement l'action de la moelle, car il n'y avait aucune douleur . En outre, l'instantanéité de l'invasion de la pa
douleur. En outre, l'instantanéité de l'invasion de la paralysie, les douleurs dorsales qui avaient précédé, militent en faveur
ment des vertèbres par suite d'une altération de ces os. Quant à la douleur abdominale, je pus d'abord croire qu'elle était l
it le résultat de la distension de la vessie; mais l'étendue de cette douleur qui occupait tous les points de l'abdomen, le bal
vie. La péritonite chronique a précédé ; car la malade accusait des douleurs abdominales avant de souffrir de la colonne verté
ouleurs abdominales avant de souffrir de la colonne vertébrale. — Les douleurs des épaules étaient des douleurs spinales et para
frir de la colonne vertébrale. — Les douleurs des épaules étaient des douleurs spinales et paraissaient avoir coïncidé avec l'in
pour aller chercher fortune, et s'aperçoit pendant la traversée d'une douleur dans les reins. Arrivé à New-York, il veut travai
ppliquer contre les fesses : ces contractions ou crampes se font sans douleur ; pendant les premiers temps, elles étaient fort d
l'appétit est excellent. Le 20 mars, après la visite, fièvre vive, douleurs très intenses dans le membre supérieur gauche; ce
vre vive, douleurs très intenses dans le membre supérieur gauche; ces douleurs sont permanentes et augmentées par le mouvement.
es par le mouvement. Le 21 , à la fréquence de la respiration, à la douleur , je soupçonne une pleurésie, et en effet matité à
bilité tactile est presque complètement abolie. (1) Quelquefois des douleurs très vives sont développées par la contraction sp
s gestes approbatifs remplacent l'expression de l'impatience et de la douleur . Du reste, les excrétions alvines sont involont
ès des cas analogues, il est probable que son histoire est celle-ci : douleur occipitale habituelle permanente, ou rémittente,
u Gros-Caillou pour une blennorrhagie. Le 22 janvier, il se plaint de douleurs de tête et de trouble dans la vision. Le pouls ét
aignée de 12 onces, bain de pied synapisé. Il ne restait que quelques douleurs vagues dans la tête, lorsque le 1e1 février, à hu
vie , elle devint triste, somnolente, sans appétit, n'accusant aucune douleur . Je remettais de jour en jour l'exploration des o
e ou qu'on n'entre pas dans leur pensée; qu'ils expriment la joie, la douleur , la colère, lorsqu'ils entendent des discours pro
mprendre ce qu'on fait, sans savoir quel est le point de départ de la douleur . Le membre inférieur est sensible au chatouilleme
fais pour ramener la face à gauche sont infructueuses, à raison de la douleur . Voilà plusieurs fois que j'observe ce phénomène
uvement est automatique : je veux dire qu'il n'est pas la suite d'une douleur perçue, et les phénomènes de contraction paraisse
ellement le 10 avril i83 . Pendant la nuit qui suivit l'accouchement, douleurs abdominales très vives occupant surtout les reins
risson très violent, qui dura trois heures, et qui fut suivi de vives douleurs dans l'abdomen. Le 18, je trouvai tous les signes
ession, cris aigus : potion opiacée, qui calme. Les jours suivans, la douleur se concentre dans la fosse iliaque gauche: deux a
uit du 28 au 29, elle fut intense, accompagnée de vomis-semens. Cette douleur de tête consistait dans des élancemens extrêmemen
napismes aux pieds. Point de soulagement. Le soir, redoublement de la douleur , vomissement de tous les liquides ingérés. La nui
res, difficulté dans l'articulation des sons, bredouillement, cris de douleur . Le 3o,à la visite du matin, hémiplégie avec ri
muscles faciaux se contractent ; les traits se tirent et expriment la douleur . La malade paraît entendre; mais elle ne répond p
poings réunis, s'affaissa immédiatement et se flétrit. Dès ce moment, douleur de tête; du reste, toutes les fonctions s'exécute
2 ans, conducteur des Messageries, était sujet depuis vingt ans à des douleurs à l'oreille droite avec suintement purulent par l
nt purulent par le conduit auditif externe. Le 18 avril i83o, cette douleur est remplacée par une céphalalgie violente qui oc
aît seul indiqué. Saignée. Le 3o,au matin, diminution notable de la douleur ; elle se reproduit le soir avec beaucoup d'intens
sité. 20 sangsues à l'anus qui soulagent momentanément. Le 1" mai , douleur permanente alternativement faible et forte. Les p
ment faible et forte. Les plaintes sont excessives au plus fort de la douleur . Le malade jouit d'ailleurs de l'intégrité de tou
ne altération notable. Le moindre changement de position exaspère les douleurs : aussi le malade reste-t-il immobile au lit et d
fréquent. Nouvelle saignée. Les 2, 3 mai, soulagement notable : les douleurs reparaissent mais sans crise, le soir et la nuit
; il y a une sorte d'intermittence. Pilules de Méglin. Le 4 niai, les douleurs reviennent plus intenses que jamais : le teint es
ement notable : tantôt le malade se trouve bien, tantôt il accuse des douleurs intolérables, c'est surtout le matin que les doul
t il accuse des douleurs intolérables, c'est surtout le matin que les douleurs prennent de l'intensité. Le 11, la face présent
nt comme dans le chémosis. Le malade se plaignait en même temps d'une douleur très vive à la tempe et à la région sus-orbitaire
être la téte, qu'il lui semble que c'est la téte. Il n'accuse pas une douleur plus vive du côté gauche que du côté droit du cer
nce. Larges sinapismes aux mollets, potion éthérée. Le malade sent la douleur des sinapismes ; mais il ne sait à quelle partie
de quarante-cinq ans environ s'était plaint pendant quatre mois d'une douleur violente à la région occipitale, de douleur avec
pendant quatre mois d'une douleur violente à la région occipitale, de douleur avec rigidité des muscles de la nuque, douleur qu
région occipitale, de douleur avec rigidité des muscles de la nuque, douleur qu'augmentait la pression exercée sur cette régio
n kyste. 11 n'existait aucune autre altération dans le cerveau. Une douleur à la région occipitale, coïncidant avec une dimin
les deux mains. Point de déviation de la bouche. Elle n'accuse aucune douleur . La malade est souvent occupée à défaire son lit,
n semblable. Le i5 juin i835, une légère inflammation, accompagnée de douleurs assez vives, se manifesta autour de la végétation
ouvemens qu'on imprimait à cette végétation donnaient lieu à de vives douleurs . » Le malade raconta que cette production datai
ar, per sarcasmum dicilur. Un chirurgien consulté ayant excisé sans douleur la partie la plus excentrique de la tumeur, crut
Lorsqu'on différait trop cette opération, ce malheureux éprouvait des douleurs inouïes, ce qui arrivait aussi lorsque les specta
aire enlever par un chirurgien; ce qui fut exécuté facilement et sans douleur avec une scie. Il parut bientôt une nouvelle prod
eurtait la cuisse gauche dans la progression et causait de très vives douleurs dans la portion de peau qui lui servait de suppor
vre femme avait coupé elle-même sa corne à diverses reprises, mais la douleur de la résection l'obligea à y renoncer. En 1756,
rès sensible à la base. Ce malheureux ouvrier éprouvait de très vives douleurs au moindre ébranlement de la production. On conço
'elles siègent à une partie habituellement découverte, ou bien que la douleur qui résulte des ébranlemens exercés sur la peau d
rrompu par des crises de coliques et de vomissemens , accompagnées de douleurs abdominales très vives, pour lesquelles j'avais s
pratiquer une ponction; mais, au bout de quelques jours de durée, les douleurs très vives et les accidens symphatiques, suite pr
ar une violente colique néphrétique. Il la trouva au milieu d'atroces douleurs : elle poussait les hauts cris. L'abdomen, ballonn
gne blanche. Les urines étaient rares, peu abondantes, rendues sans douleur (on n'a pas noté leur qualité). Eructations sacca
enteuse. Dans l'intervalle des crises, il y avait absence complète de douleurs , et la santé redevenait parfaite. Le seul symptôm
par cette circonstance que la malade était exempte de toute espèce de douleurs lorsque la crise était passée; mais je ne puis pa
ntes , puis sanguinolentes. Les urines sanglantes sont expulsées avec douleur vive ; épuisement. Mort le if\ novembre. Ouvert
uvent de grandes difficultés à uriner, et rendait avec les plus vives douleurs du sable blanc mêlé de mucus, avec lequel il form
'ai déjà parlé, qui entrait de temps en temps à l'infirmerie pour des douleurs néphrétiques extrêmement intenses, pendant la dur
a région du flanc droit, tumeur qui disparaissait subitement avec les douleurs , à la suite de l'émission spontanée dune grande q
ée par l'agglomération de plusieurs tumeurs plus petites, causait des douleurs intermittentes : elle était sensible à la pressio
: elle était sensible à la pression. Depuis deux mois seulement, les douleurs avaient ete assez vives pour empêcher le malade d
breux malades dans la même salle, les influences morales tristes, les douleurs très vives supportées pendant les opérations, etc
, la malade est plus incommodée par le poids de la tumeur que par des douleurs proprement dites. Aucune cause connue, ni morale,
cquérir en très peu de temps un volume considérable et déterminer des douleurs qui dépendent bien plus encore de son poids et de
sus-claviculaire du volume d'un œuf de poule, et extrêmement dur. Les douleurs étaient peu vives, et la malade les comparait à d
ur noirâtre. On a peine à concevoir que la malade n'ait pas accusé de douleur au genou. La fig. i qui représente la région an
ort de cette femme, il existait depuis vingt ans et ne causait aucune douleur . La mamelle était réduite à une petite tumeur bie
ronique ou les deux altérations réunies. Elle succomba sans qu'aucune douleur , aucune lésion spéciale de fonctions m'eût éclair
six mois seulement l'origine de sa maladie ; elle souffrait d'atroces douleurs et prenait 18 grains d'opium par jour. — Elle suc
resque stationnaire jusqu'au 6 janvier i838. A cette époque, frisson, douleur très vive à la région du foie , oppression, toux
été naturel. La malade n'accusait d'ailleurs rien autre chose qu'une douleur dans les reins. Je la touchai, et je reconnus que
que lui causa cet affreux spectacle. Dans le mois de janvier i833, douleurs de reins qui ne l'empêchent pas de se livrer à se
semens, altération profonde de la face. Interrogée sur le siège de la douleur , elle montre la région ombilicale. L'invasion sub
t un étranglement. L'affaissement du ventre, le peu d'intensité de la douleur éloignent l'idée d'une péritonite. Je ne vois pas
rement semblables. Ainsi, chez une femme de 43 ans, qui éprouvait des douleurs atroces, surtout à la région hypogastrique, doule
ui éprouvait des douleurs atroces, surtout à la région hypogastrique, douleurs sur lesquelles l'opium n'avait aucune prise, et q
putée cancéreuse, qui mourut dans un dépérissement progressif et sans douleur notable, l'utérus vu par le bassin me parut très
e d'un hôpital du centre à la Salpêtrière comme cancéreuse incurable. Douleurs très vives; urines involontaires. Tout-à-coup, fr
elle a également soustraite, sont notés : écoulement utérin abondant, douleurs lombaires. On se contenta des moyens généraux ado
7 octobre i833 : l'appétit se perd : maigreur sans faciès cancéreux ; douleurs très vives dans les aines et t'hypogastre ; le to
en ne peut arrêter. Dans les derniers jours, vomissemeris, stomatite, douleurs abdominales, marasme, décomposition profonde des
ères fécales. Les urines sont rendues péniblement et souvent avec des douleurs expul-sives semblables à celles de l'accouchement
avec des douleurs expul-sives semblables à celles de l'accouchement. Douleurs à la partie interne des cuisses. Besoin de manger
ur une névralgie sciatique, puis pour un œdème douloureux spontané. Douleurs sciatiques très intenses. — Foyers sanguins sous-
tal de la Charité dans les premiers jours de septembre i84o, pour une douleur sciatique du côté gauche. La malade indiquait par
hancrure sciatique jusqu'au milieu de la cuisse. Elle raconte que ces douleurs , qui existaient depuis deux mois environ, étaient
de se coucher à terre, même dans la boue, jusqu'à ce que la crise de douleur fût passée. Je diagnostiquai une névralgie scia
s divisions. La phlébite est-elle limitée aux gros troncs veineux, la douleur ne dépasse pas le trajet de ces gros troncs veine
cas, au contraire, où la phlébite occupe les divisions veineuses , la douleur occupe tous les points correspondans. J'ai déjà d
le sano;. Enfin, je ferai remarquer que la maladie a débuté par une douleur sciatique indépendamment de tout autre symptôme;
ne douleur sciatique indépendamment de tout autre symptôme; que cette douleur sciatique ressemblait identiquement à celle de pl
même temps dans mon service; que l'absence d'écoulement, l'absence de douleurs utérines, l'absence de trouble quelconque dans la
cellulaire du bassin est une des causes les plus fréquentes de cette douleur dont le point de départ est le plexus sacré. (i
ade avait un écoulement abondant, mais non fétide; elle éprouvait des douleurs très vives dans les reins et à l'hypogastre. Le c
nt, en effet, diagnostique-t-on le cancer de l'utérus? est-ce par les douleurs plus XXXIXe LIVRAISON. I ou moins vives des l
eures et latérales, des régions postérieures des cuisses? Mais si ces douleurs révèlent le siège de la maladie, il s'en faut bie
t liée à la question de nature, je ferai remarquer que l'ensemble des douleurs que je viens d'indiquer appartient exclusivement
que je viens d'indiquer appartient exclusivement à l'utérus; que les douleurs de vessie qui pourraient simuler des douleurs uté
ent à l'utérus; que les douleurs de vessie qui pourraient simuler des douleurs utérines, sont plus locales, si je puis m'exprime
ement limitées aux régions de la vessie, et ne s'accompagnent pas des douleurs lombaire et sacrée, de douleurs le long des branc
vessie, et ne s'accompagnent pas des douleurs lombaire et sacrée, de douleurs le long des branches des plexus lombaire et sciat
s les maladies de l'utérus. J'attache une très grande importance à la douleur lombaire, et surtout à la douleur sacro-coccygien
che une très grande importance à la douleur lombaire, et surtout à la douleur sacro-coccygienne, pour le diagnostic des maladie
de l'utérus ait lieu sans que cette lésion ne soit accompagnée d'une douleur à la pression ou indépendante de la pression le l
de la pression le long de la colonne sacro-coccygienne : c'est cette douleur que j'ai coutume d'appeler le point dorsal utérin
t avoir lieu par la vulve ne sont pas des signes plus positifs que la douleur ; ils annoncent une lésion de l'utérus, mais ne pr
a maladie. Je dois dire aussi que la malade n'accusait presque aucune douleur et conserva sa gaîté jusqu'au dernier moment. Apr
ens inflammatoires subaigus du côté de l'abdomen, de fièvre lente, de douleurs ; je soupçonnai une inflammation du kyste, acciden
'un corps dur profondément situé. Du reste, la malade n'accuse aucune douleur : elle n'a jamais éprouvé autre chose qu'un sentim
dans l'état suivant dévoiement; abdomen très volumineux , météorisé ; douleur obtuse dans l'abdomen, douleur que n'augmente nul
abdomen très volumineux , météorisé ; douleur obtuse dans l'abdomen, douleur que n'augmente nullement la plus forte pression;
e qu'il pouvait y avoir ici une de ces phlegmasies chroniques et sans douleur du péritoine, qui sont si souvent méconnues. Un m
rations générales. Cas de fracture extra-capsulaire du col du fémur , douleurs très vives ..... --Fractures intra-capsulaires
1e liv., pl. m, p. 3.— L'épigastre est le centre commun de toutes les douleurs de l'estomac et des intestins. 38e liv. pl. n, m,
nt mort-né par apoplexie,venu par le sommet de la tête. Suspension de douleurs après la sortie de la tête. Sortie tardive du tro
chez un enfant morl-né venu par le sommet de la tête. Suspension des douleurs après la sortie de la tête. Sortie tardive du tro
iv., pl. v, p. 3. DOTHINENTÉRITE. 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. /. DOULEUR . Paralysie par douleur et avec douleur musculaire
HINENTÉRITE. 7e liv., pl. 1, n, m, iv, p. /. DOULEUR. Paralysie par douleur et avec douleur musculaire. 32e liv., pl. 1, n, p
liv., pl. 1, n, m, iv, p. /. DOULEUR. Paralysie par douleur et avec douleur musculaire. 32e liv., pl. 1, n, p. /0, n.— Distin
culaire. 32e liv., pl. 1, n, p. /0, n.— Distinction à faire entre les douleurs rhumatismales et les rachialgies. 40e liv., pl. n
lace qu'elles occupent. 8e liv., pl. 1, n, m, p. 4. — Hémiplégie avec douleurs excessives dans les membres et mouvemens épilepti
/2. — L'épigaslre est le centre commun de toutes les impressions et douleurs abdominales. 38e liv., pl. 11, ni, iv,p. 4. ËPÏ
e liv., pl. 1, n, p. 2. — Fracture ex-tra-capsulaire du col du fémur. Douleurs très vives. Mort le cinquième jour par suite d'un
ite sur-aiguë idiopathique. 40e liv., pl. 1, p. /. — Caractères de la douleur hépathique. 40e liv., pl. 1, p. 3. — Moyens de di
3e liv., pl. 1, n, p. 2. — Fracture extra-capsulaire du col du fémur. Douleurs très vives. Mort le cinquième jour, par suite d'u
iste-t-il une gangrène primitive de l'utérus? 37e liv., pl. n,p. 2. — Douleurs sciatiques très intenses. Foyers sanguins sous-cu
d'un foyer apoplectique. 8e liv., pl. 1, n, m, p. 4-— Hémiplégie avec douleurs excessives dans les membres et mouvemens épilepli
ce. 35e liv , pl.vi,/ . 4. —Pourquoi existe-t-il des paraplégies avec douleur el d'autres sans douleur. 35e liv., pl. vî,J . 5.
. —Pourquoi existe-t-il des paraplégies avec douleur el d'autres sans douleur . 35e liv., pl. vî,J . 5.—Degeneration ou transfor
des premières dorsales. Invasion subite de la paralysie à la suite de douleurs des épaules. Périlonile tuberculeuse. 38e liv., p
me puerpéral. 17 liv-, pl. m , p. i. — Péritonite puerpérale latente. Douleur excessive du pied. Etat ataxique. Pus et pseudo-m
eures. — Enfant mort-né, venu parle sommet de la tête. Suspension des douleurs après la sortie de la tête. Sortie tardive , du t
p. 3, H, — Observations. Fracture exlra-capsulaire du col du fémur. Douleurs très vives. Mort le cinquième jour, par suite d'u
Dans beaucoup de cas la paralysie n'est ni précédée ni accompagnée de douleurs dans les membres paralysés. 3e liv., pl. vi, p. 4
oblitération des artères. 27e liv., pl. v, p. 7, io. — Paralysie avec douleur musculaire. 32e liv. pl. 1, 11, p. fot 11. — Arrê
liv., pl. vt, p. 4. — Pourquoi existe-il des paraplégies avec et sans douleur ? 35e liv., pl. vi, p. 5. — Paraplégie par compres
R. RACHIALGIES. Distinction à faire entre les rachialgies et les douleurs dites rhumatismales. 40e liv., pl. n, ni, p. 3„ R
me puerpéral. 17° liv., pl. m, p. /. — Péritonite puerpérale latente. Douleur excessive du pied. Etat ataxique. Pus et pseudome
utifs des doigls. 34e liv., pl. i,p. 1.—Distinction à faire entre les douleurs dites rhumatismales et les rachialgies. = Péricar
nique de 1 uretère et du rein du côté droit. 37e liv., pl. 11,0. /. — Douleurs sciatiques très intenses. Foyers sanguins sous-cu
9 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
grossesse. Au quatrième mois, perte considérable accompagnée de vives douleurs lombaires qui se renouvellent a des époques irrég
nt a des époques irrégulières et sans cause connue. Le septième mois, douleurs utérines expultrices ; métrorrhagie au milieu de
éraux beaucoup plus intenses que dans les accouchemens ordinaires, de douleurs peu expultrices, tellement que dans l'un de ces c
rices, tellement que dans l'un de ces cas, au bout de quatre jours de douleurs très-vives, aucun travail ne s étant déclaré, des
es membres inférieurs; dévoiement; soif; langue lisse et pâle; aucune douleur . En explorant l'abdomen, qui est légèrement météo
s que, cinq mois auparavant, il avait éprouvé, sans cause connue, des douleurs autour de l'ombilic, bientôt suivies d'une hématu
s nausées et des vomissemens, la face pâle et décolorée exprimant une douleur sourde et profonde, l'état d'angoisse, la prostra
ainte du côté de la vessie. Il y a quatre ans, pour la première fois, douleurs lombaires qu'on attribuait à un rhumatisme. La ma
attribua à mno indigestion. Elle se plaignit en même temps d'une vive douleur dans la région iliaque et le flanc gauches. — i g
ndemain 25 sangsues. Soulagement. La malade boit de l'eau rougie, les douleurs reparaissent avec plus d'intensité. Aucun autre m
ssemens bilieux continuels, que n'explique point l'état de l'estomac; douleur concentrée dans la région du flanc, s'étendant da
oncentrée dans la région du flanc, s'étendant dans la région iliaque, douleur qui, au reste, deviendrait plus pathognomonique p
iron, entra à l'hôpital Saint-Antoine, service de M. Lullier-Winslow. Douleurs obtuses dans l'abdomen, qui est volumineux , et p
pouls médiocrement fréquent; sueurs abondantes presque continuelles; douleur rhumatismale assez vive à l'épaule gauche; d'aill
; douleur rhumatismale assez vive à l'épaule gauche; d'ailleurs nulle douleur . L'exploration la plus attentive des cavités thor
u et avec la plus grande attention et le thorax et l'abdomen : aucune douleur , aucun signe de lésion. Soupçonnant néanmoins l'i
position des traits, petitesse extrême du pouls. Je demande où est la douleur : J'étouffe, je meurs, voilà tout ce que me répon
e. Pansement des vésicatoires avec le sulfate de quinine. Le i4, la douleur scapulo-humérale, qui avait entièrement disparu l
s vomissemens persistent; la face est foncée en couleur et exprime la douleur , l'angoisse; la langue toujours rouge; la respira
aquelle j'aurais dû peut-être obéir plus tôt. Je ne pense pas que les douleurs aux articulations scapulo—numérales aient été pur
isé non-seulement par un sentiment de gêne, de tuméfaction et même de douleur à la rate accusé par des malades, mais par une au
s antiphlogistiques ou de toute autre médication, et par l'absence de douleur . Dans le cas qu'on vient de lire, bien que la r
uls médiocrement fréquent; sueurs très-abondantes le matin ; point de douleur : aucun organe ne donnant d'indice d'une lésion qu
— Les règles paraissent le soir. Pouls moins fréquent le i5; nulle douleur , mais sentiment de malaise. Le soir, défaillances
les jours précédens; de plus, l'estomac ne peut rien supporter : une douleur très-vive à l'épigastre est la suite de l'ingesti
eau fraîche blanchie avec du lait est la seule boisson qui passe sans douleur . — Vésicatoire à l'épigastre; deux demi-lavemens
etites plaques rouges date de l'époque où la malade a accusé une vive douleur dans l'estomac, c'est-à-dire du 19, immédiatement
ont la preuve de ce que j'avance. Je suis persuadé, et je le dis avec douleur , que cette malade eût été sauvée par le quinquina
buté par deux accès de fièvre tierce avant de devenir rémittente. Une douleur vive, augmentée par la pression, existait à l'épi
avec force, dans toutes ses régions, ne fait pas éprouver la moindre douleur . Tout avait été successivement employé, un grand
ur mort sur le champ de bataille. Revenu à lui, il ressentit une vive douleur à la région de l'estomac, mais ne fit aucun trait
ve douleur à la région de l'estomac, mais ne fit aucun traitement. La douleur se transforma en un sentiment habituel de gêne à
provoquent presque constamment ces vomissemens, toujours précédés de douleurs épigastriques, et toujours suivies de soulagement
ns Fhypochondre droit. La pression sur cette région n'augmente pas la douleur ; du reste, l'état général est aussi satisfaisant
bonpoint; gaîté; appétit très-bon; pouls naturel. La teinte jaune, la douleur , la circonstance commémorative d'un coup me port
octobre, quinze sangsues sur l'épigastre qui diminuent la gêne et la douleur . Le 8, quinze nouvelles sangsues. Cependant l'i
ral est excellent. Tremblement toute la nuit du 29 au 3o; coliques; douleurs dans tous les membres. Le 3o, soif vive, langue s
ques; douleurs dans tous les membres. Le 3o, soif vive, langue sèche, douleurs de coliques; les extrémités inférieures sont roug
mémoire peut lui fournir sont les suivans : il éprouva subitement une douleur vive au cou à la suite de laquelle il y eut de la
e la maladie qui l'amène à l'hôpital. L'invasion se manifesta par une douleur vive à la nuque, au niveau des troisième et quatr
s de cette partie; puis dans l'espace de trois ou quatre jours, cette douleur s'étendit aux extrémités supérieures et inférieur
était inclinée vers l'épaule droite et ne pouvait être dérangée sans douleur de cette position. D'ailleurs, point de réaction
éral toutes les fonctions internes se font bien, le malade accuse des douleurs très-vives dans le bras droit, principalement dan
beaucoup de détails , m'a dit qu'il avait éprouvé à cette époque une douleur vive à la nuque, une douleur vive avec paralysie
t qu'il avait éprouvé à cette époque une douleur vive à la nuque, une douleur vive avec paralysie des mouvemens de l'extrémité
osée; la paralysie n'est d'ailleurs jamais précédée ni accompagnée de douleurs dans les membres paralysés. Elle en est quelquefo
eurs exemples. L'apoplexie de la moelle s'est annoncée par une vive douleur à la nuque, laquelle s'est étendue aux épaules, a
et inférieures qui furent successivement paralysées du mouvement; la douleur survécut un instant à la perte du mouvement : c'é
L'apoplexie de la moelle, en effet, a été précédée et accompagnée de douleurs vives à la région qui en a été le siège et aux me
poplexie capillaire du cerveau est souvent précédée et accompagnée de douleurs vives à la tête, souvent encore de contractions s
au mois d'août 1808. Le lendemain de son arrivée, il se plaint d'une douleur à la colonne vertébrale, depuis les vertèbres cer
e vertébrale, depuis les vertèbres cervicales jusqu'au bas du sacrum, douleur qui l'incommodait depuis quelque temps. C'était u
sté une nuit et un jour sans dormir. Du reste, face naturelle, aucune douleur , aucun signe de maladie. M. Gauthier appelé pense
de leur éclat et de leur vivacité : la tête était pesante, mais sans douleur ; point d'étourdissement. Dans cet état, le malade
ment. Dans cet état, le malade se plaignait d'un sentiment général de douleur avec pesanteur et engourdissement. Il ajoute qu'i
mal, mais qu'il croyait que c'était un rhumatisme : il appelait cette douleur son bâton dorsal. Ce fut le dernier mot qu'il pro
instant. Cette lésion a été précédée pendant environ six mois d'une douleur dans le rachis, qui entraînait sans doute une gra
taphore très-expressive de bâton dorsal employée par le malade. Cette douleur , qui avait tous les caractères d'un rhumatisme, a
isse toujours la diagnostiquer? Nous trouvons pour tout caractère une douleur vive à la région de la moelle qui est le siège de
leur vive à la région de la moelle qui est le siège de l'épanchement, douleur que le malade conrpare à un rhumatisme, qui s'éte
s; gué-rison rapide. Il y a quatre mois environ, le 10 décembre 1828, douleur vive dans les parois de la poitrine provoquée par
. Le lendemain, l'épaule gauche est douloureuse; les jours suivans la douleur s'étend à l'épaule droite, aux aisselles et aux
on d'observer. bras ; c'était de l'engourdissement plutôt que de la douleur , il y avait même de longues rémissions. Il contin
n médecin qui lui prescrit des bains de vapeur à la suite desquels la douleur s'empara de toute l'étendue des parois thoracique
e mettre sur son séant, il éprouvait dans les premiers temps une vive douleur dans les parois du thorax, mais cette douleur ne
premiers temps une vive douleur dans les parois du thorax, mais cette douleur ne tarda pas à disparaître. Du reste, tranquillit
ire sous-ara chnoïdien, de même que dans l'apoplexie de la moelle, la douleur du racbis et des membres précède la paralysie du
écède la paralysie du mouvement et lui survit ; mais dans celle-ci la douleur est indépendante de tout contact, et ne tarde pas
ontact, et ne tarde pas à disparaître complètement; dans celle-là, la douleur est atroce et le moindre contact l'exaspère. J'
ais pendant qu'il était couvert de sueur, fut pris de paraplégie avec douleur extrêmement vive le long du rachis et des extrémi
rectum : le plus léger contact, le moindre mouvement exaspéraient la douleur ; c'était la première fois que j'observais une sem
e j'observais une semblable maladie. Je crus à un rhumatisme aigu. La douleur et la paralysie du mouvement se propagèrent aux e
smes, mot vague, mot vide de sens parce qu'on l'applique à toutes les douleurs musculaires ou articulaires avec ou sans inflamma
is que toutes les parties de l'arbre nerveux sont solidaires; que les douleurs , l'engourdissement qui se déclarent dans une éten
le membre inférieur gauche, et en partie les parois de l'abdomen; la douleur , fixée d'abord aux lombes, au niveau de l'origine
matières fécales. Peut-on méconnaître une maladie de la moelle ? Les douleurs qu'éprouve le malade, homme de l'art, sont appelé
s est apporté à la Maison royale de Santé dans l'état suivant : nulle douleur ; il n'en accuse aucune soit actuelle, soit antéri
ne et sèche : le pouls petit, grêle, fréquent : sueur froide : aucune douleur : selles fréquentes. L'affection de V intestin se
quer en doute les jours précédens, est manifeste. Le météorisme et la douleur me paraissent annoncer une péritonite très-aiguë,
ne affection de plus en plus grave. La contraction de l'abdomen, sans douleur notable, répond-elle à l'invasion de la péritonit
huit ans de service; grêle, mais fort; est sujet depuis dix ans à des douleurs qu'il qualifie de rhumatismales, et qu'il attribu
endant mobiles jusqu'à un certain point. Depuis dix-sept jours, vives douleurs dans presque toutes les articulations et plus par
hacun des genoux, les cataplasmes, le repos, la diète dissipèrent les douleurs articulaires et les symptômes fébriles; le dévoie
ui n'est point l'inflammation proprement dite, qui s'accompagne d'une douleur atroce, comme si on perçait les os avec une vrill
agités convulsivement dans leurs orbites ; un peu de surdité; aucune douleur . La main, portée sur l'abdomen, trouve le globe u
eulement ici que, six mois après la guérison, M. Lucas fut pris d'une douleur vive dans les parois de la poitrine, d'une diffic
fait une chute sur l'épaule, en patinant, il éprouva le lendemain une douleur dans cette région; que cette douleur, ou plutôt c
ant, il éprouva le lendemain une douleur dans cette région; que cette douleur , ou plutôt cet engourdissement, s'étendit aux deu
é figure 4, le malade succomba au bout d'un mois et demi environ. Des douleurs abdominales survinrent, l'engorgement augmenta; l
éfaillances. Le lendemain il se plaint de mal à la gorge et de fortes douleurs dans les membres. Le pouls est fréquent ; la peau
. Le pouls est fréquent ; la peau brûlante.—Le troisième jour, grande douleur a la gorge; déglutition et articulation des sons
blanches sur les piliers postérieurs.—Le quatrième jour au matin, la douleur à la gorge et la difficulté de respirer n'existen
Duméril, pour une pneumonie. A peine convalescent, il se plaint d'une douleur très-vive à la région du larynx, sans que l'explo
t des régions sus et sous-hyoïdiennes puisse rien faire découvrir. La douleur s'accompagna bientôt de gêne dans la respiration
alade assure n'exister que depuis un mois; toux râpeuse avec violente douleur de gorge ; oppression telle que la suffocation de
l présentait actuellement; la malade n'avait jamais accusé la moindre douleur , mais les digestions étaient pénibles et souvent
pière supérieure ne s'abaissait qu'au bout d'une ou deux secondes. La douleur causée par le pincement de la peau n'était pas no
a fréquence*, la respiration est naturelle. Le malade n'accuse aucune douleur . Pour commémorât! fs , j'apprends que cet homme é
décubitus constant sur ce côté, et pourtant la malade n'accuse aucune douleur . Les jours suivans l'érysipèle paraît diminué ; m
ls fréquent, moins développé que précédemment. Le malade se plaint de douleurs à la tête et partout le corps. (Nouvelle saignée,
de quatre poëlettes. — Le 26, supination, stupeur, immobilité; nulle douleur ; langue naturelle ; abdomen souple : point de vom
ns exciter la moindre plainte de la part du malade, sont enlevés avec douleur . Le corps papillaire, à nu, ne peut être touché s
r lui-même en arc de cercle dans son lit, il ne se plaignait d'aucune douleur et voulait qu'on lui fît continuellement la lectu
narticulés au malade. Si vous interrogez le malade sur le siège de la douleur , il semble réfléchir pour vous répondre, et indiq
evant les yeux qui l'empêchent de travailler; elle rapporte la légère douleur ou plutôt l'embarras qu'elle éprouve à la partie
u est tellement exaltée qu'on ne peut la toucher sans causer de vives douleurs manifestées par une grimace et par des cris. Poul
ration et la stupeur, tantôt un délire symptomatique, avec absence de douleur , ou d'autres symptômes locaux manifestes; dont la
le forme inflammatoire, adynamique ou ataxique, en l'absence de toute douleur locale. On ne peut donc, sans faire le sacrifice
aladies fébriles qui ont un point de départ évident, manifesté par la douleur et par une gêne plus ou moins grande dans les fon
r cette grande vérité, qu'il est un grand nombre d'inflammations sans douleur , sans symptômes locaux notables, et que ces infla
ouleur, sans symptômes locaux notables, et que ces inflammations sans douleur réagissent sur le centre cérébral, sur le centre
nctions d'une manière plus intense peut-être que les phlegmasies avec douleur . Enfin il est des inflammations qui, après avoir
e ces phénomènes, pour revêtir la même forme que les phlegmasies sans douleur , et réciproquement des phlegmasies sans douleur q
les phlegmasies sans douleur, et réciproquement des phlegmasies sans douleur qui revêtent, au bout d'un certain temps, la form
i revêtent, au bout d'un certain temps, la forme des phlegmasies avec douleur . XVII. Si la forme typhoïde est commune à toute
XVII. Si la forme typhoïde est commune à toutes les phlegmasies sans douleur , on peut dire qu'aucune ne la présente à un plus
te sur-aiguë elle-même, suite de perforation intestinale, a lieu sans douleur . La pression abdominale, soit antéro-posté-rieure
tance pour le diagnostic à l'existence comme à la non-existence de la douleur . L'anatomie pathologique explique en partie ce fa
se , sont contenus dans l'excavation du bassin ; mais l'absence de la douleur tient bien davantage au mode d'inflammation qu'à
lammation qu'à la circonstance anatomique que je viens d'indiquer. La douleur ne se manifeste franchement que lorsque l'inflamm
gmasies; l'état local et l'état général: or dans les phlegmasies avec douleur , c'est l'état local qui est la source ou plutôt l
régulateur des indications thérapeutiques; dans les phlegmasies sans douleur , c'est principalement l'état général, ou plus exa
vent funestes. L'état général, l'énergie de la réaction et surtout la douleur locale, quand elle existe, me faisaient insister
ont rendues involontairement. Constipation. Le malade n'accuse aucune douleur . L'abdomen est partout indolent sous la main qui
vité de l'altération et par la forme ataxique elle-même. L'absence de douleur locale s'observe très-communément dans ce genre d
uleur locale s'observe très-communément dans ce genre de maladie ; la douleur est toujours en raison inverse des phénomènes typ
on peut se rendre compte jusqu'à un certain point de cette absence de douleur , même sous l'influence de la pression, par la pos
èche; le pouls très-fréquent et très-petit. Le malade n'accuse aucune douleur ; mais la pression de l'abdomen paraît douloureuse
locaux ; et cependant l'abdomen a présenté du développement et de la douleur . Un pouls très-petit et très-fréquent, sans chale
: prostration musculaire; stupeur; langue rouge, un pen sèche; aucune douleur abdominale par la pression; diarrhée; pouls fréqu
ation du péritoine et de l'invasion de la péritonite. L'absence de la douleur abdominale n'est point en opposition avec cette m
oint en opposition avec cette manière de voir ; car il n'y a point de douleur perçue toutes les fois qu'existe le délire. Bien
de vingt-un jours. 11 raconte que le symptôme dominant avait été une douleur abdominale assez vive, qu'on avait traitée par de
traitée par des applications de sangsues et des émolliens, qu'à cette douleur a succédé un dévoiement considérable qui persiste
Le malade employait à la lecture tout le temps que lui laissaient les douleurs 7e. Livraison. Pl.4. MALADIES DE L'INTESTIN G
s que de coutume de la gêne occasionée par la position, et accusa une douleur assez vive au côté droit. Comme il se plaignait t
lque chose de forcé, de convuisif; du reste, langue naturelle; aucune douleur . Cet état se maintient presque identiquement le m
mple poids de la production cornée, ses ébranlemens occasionaient des douleurs très vives, et d'un autre côté, la malade se refu
es phénomènes étrangers au plus grand nombre des apoplexies, tels que douleurs très-vives dans les membres paralysés, mouvemens
e des tumeurs cancéreuses internes de la dure-mère. Hémiplégie avec douleurs excessives dans les membres et mouvemens épilepti
noï- VIIIe LIVRAISON. 2 dieu. Ces symptômes consistaient dans des douleurs atroces éprouvées par tout le corps, aussi bien d
our la fréquence. Le malade prenait quelques alimens. La violence des douleurs me parut indiquer des potions calmantes et des li
gauche par la plus grosse tumeur (1 hémiplégie était à droite ). Les douleurs si vives éprouvées dans les membres étaient le ré
ur sur le cerveau. Chose bien singulière! le malade n'accusait aucune douleur à la tête; et la douleur, dont le siège était bie
bien singulière! le malade n'accusait aucune douleur à la tête; et la douleur , dont le siège était bien manifestement dans le c
ité périphérique des nerfs, tout comme dans d'autres circonstances la douleur dans l'extrémité périphérique des nerfs est rappo
peut expliquer l'hémiplégie ; mais les accidens épileptiformes et les douleurs sont peut-être le résultat du ramollissement géla
œuvre du broiement. Dans chaque séance, la lenteur du traitement, les douleurs , l'hémorrhagie et les fatigues qu'elle causait au
stions. Elle me montra encore la région frontale comme le siège de sa douleur : je fus surpris le lendemain d'apprendre qu'elle
é de la peau est dans son état d'intégrité. Le malade n'accuse aucune douleur , bien qu'on l'interroge à plusieurs reprises à ce
ontinuaient à se livrer aux travaux de leur profession. Le retour des douleurs les force à entrer à l'hôpital. On reconnaît que
quantité de pus. Diminution de volume de l'organe, persistance de la douleur et de la dureté. Chez tous deux, extirpation. Voi
de cette maladie; ni excès, ni efforts, ni maladie syphilitique ; des douleurs vives avaient précédé pendant plusieurs jours. J'
suspendais tous ces moyens, quand il y avait de l'irritation et de la douleur , pour revenir aux cataplasmes émolliens, aux bain
oup, le 5 janvier 1822 , sans cause connue, frisson suivi de chaleur; douleur très-vive au testicule , au cordon et jusque dans
résolution ou amènera la fonte purulente de l'organe. La fièvre et la douleur augmentent les jours suivans. Le testicule et le
rme ovoïde, sans bosselures, sur sa mollesse, sur le défaut absolu de douleur . J'eus recours au signe pathognomonique de l'hydr
is semaines. La face prend un aspect jaunâtre; l'appétit diminue; des douleurs existent à la région fessière du côté malade. Le
e antérieure, fluctuation extrêmement manifeste; d'ailleurs, point de douleurs , point d'élancemens; la tumeur ne paraît incommod
oint d'engorgement manifeste des ganglions lombaires ou iliaques : la douleur fessière, qui s'étendait jusqu'aux lombes, pouvai
s celles des extrémités supérieures furent successivement le siège de douleurs , auxquelles succéda l'ankylose; la tête elle-même
adavre eût été insensible! Cependant,, au bout de plusieurs mois, les douleurs qui jusque-là étaient atroces au moindre contact,
ont plus ou moins douloureux ; et ces craquemens, cette rigidité, ces douleurs sont surtout considérables au moment où le malade
aigu, lequel parcourut successivement toutes les articulations ; les douleurs diminuèrent, mais ne se dissipèrent pas complètem
t mes conseils avec courage ; mais une augmentation de rigidité et de douleurs survenait à chaque fois qu'elle faisait un peu pl
raitement. Long-temps j'espérai qu'une ankylose mettrait un terme aux douleurs , comme dans le cas d'ankylose générale rapporté p
inverse aux articulations des doigts ; ces mouvemens réveillèrent la douleur et produisirent un craquement semblable à celui d
s, plus l'usure fera de progrès, et consé-quemment plus la gène et la douleur seront considérables. La cause de cette usure e
cette usure est l'inflammation chronique de la synoviale. Combien de douleurs articulaires permanentes, qu'on qualifie de rhuma
à cette usure ! Consulté dernièrement par une dame qui éprouvait des douleurs très-vives dans l'articulation du genou, aussitôt
je reconnus dans l'usure des cartilages articulaires la cause de ces douleurs : et aux sangsues, aux vésicatoires dont elle ava
l'articulation, et de s'arrêter à la manifestation de la plus légère douleur . Depuis ce moment, la malade ne s'aperçoit plus d
irconstance trop négligée peut-être, et qui explique en partie et les douleurs atroces qu'ils occasionnent et la gravité des sui
etait sur le verre et ne pouvait plus s'en détacher. Du reste, aucune douleur locale. La pression exercée sur tous les points d
des affaires; il n'a aucune inquiétude sur son état, n'éprouve aucune douleur , accuse seulement un sentiment de faiblesse qui b
it bizarre, tristesse insurmontable, digestion laborieuse, malaise ou douleur sourde à l'épigastre, et quelquefois douleur épig
n laborieuse, malaise ou douleur sourde à l'épigastre, et quelquefois douleur épigastrique extrêmement vive pendant le travail
la digestion ou même en l'absence de tout aliment dans l'estomac. La douleur épigastrique, ou plutôt sous-xyphoïdienne ou sous
omac : et en effet des vomissemens semblables à du marc de café ; une douleur épigastrique, parfois extrêmement vive; l'horreur
quelquefois sur les liquides aussi-bien que sur les solides. S'il y a douleur à l'épigastre , une application de sangsues sera
de lait. Rarement l'opium a-t-il été utile, même dans le cas de vive douleur . Le sucre doit être en général proscrit ; cependa
ée, au matin, ayant un sac de charbon sur les épaules3 il est pris de douleurs abdominales tellement vives, qu'il peut à peine g
pas que quelques onces de pain, un peu de lait et d'eau. Tout-à-coup, douleur atroce dans l'abdomen; les parois abdominales con
la suite de la disparition d'une dartre à la tète, de diarrhée et de douleurs à l'estomac et dans tout l'abdomen. Dès-lors le t
mois, lorsqu'après un dîner fort sobre, il ressentit tout-à-coup une douleur très-vive dans l'abdomen, accompagnée d'un malais
soir, en tirant ses bottes avec effort, il fut subitement saisi d'une douleur atroce à l'estomac, d'un tremblement général, d'a
a santé parût en souffrir notablement. Le i5 avril i83o, chaleur et douleur à l'épigastre; perte d'appétit. Il peut néanmoins
orts aigres, un sentiment de gonflement à l'épigastre, et souvent des douleurs aiguës. A la constipation, qui est l'état habitue
; car d'une part, il existe un très-grand nombre de phlegmasies sans douleur ; d'une autre part, il n'est pas rare de voir ces
n'est pas rare de voir ces abcès viscéraux précédés et accompagnés de douleurs assez vives. Ainsi, une douleur par la pression m
viscéraux précédés et accompagnés de douleurs assez vives. Ainsi, une douleur par la pression m'a permis de diagnostiquer, dans
iquent souvent de pleurésie locale ou générale, s'annonçant par de la douleur . Mais en général la phlegmasie est aussi latente
e le troisième jour de la blessure, et qui n'avaient manifesté aucune douleur , mouraient avec un grand nombre d'abcès dans la s
t encore sous le coup d'une inflammation violente. Indépendamment des douleurs excessives qui en résultent, on s'expose à transf
une rétention d'urine produite par le gonflement de la prostate. Des douleurs surviennent dans le membre inférieur et plus part
âle, le pouls petit, fréquent. La malade accuse une grande faiblesse. Douleur hypogastrique vive fixée dans le globe utérin, et
légère. Je diagnostiquai une phlébite wérine commençante ; car une douleur circonscrite à l'utérus, survenue après une déliv
e, chiendent edulcores nitrés , 3 pintes; diète absolve.) Le 3i, la douleur hypogastrique a diminué, le mouvement fébrile per
e; mais le pouls conserve toujours de la fréquence. Le 21, retour des douleurs hypogastriques qui s'étendent à tout l'abdomen. (
itale ij grains.) Plusieurs selles en diarrhée. Soulagement. Le 23, douleurs très-vives au niveau des fausses côtes gauches. L
ses côtes gauches. La malade assure qu'elle est sujette à ce genre de douleurs , qui cèdent toujours à l'application d'un vésicat
uenne grisâtre. Les muscles se rétractent. Le malade n'éprouve aucune douleur ni dans le thorax, ni dans l'abdomen ; la pressio
liques très fortes, qui se dissipèrent bientôt. Quatorze jours après, douleurs utérines aussi vives que celles de l'enfantement;
n'offrait d'ailleurs aucun signe de grossesse, expulsa, au milieu de douleurs utérines, d'efforts et d'une perte de sang, un co
ite, enfin, des vomissemens plus ou moins répétés, et quelquefois des douleurs vives, soit à la région du foie, soit à l'épigast
Malade depuis dix mois, il avait éprouve', à plusieurs reprises, des douleurs abdominales qu'on avait traite'es avec succès par
applications de sangsues furent tout aussi inutilement employées. Les douleurs à l'épigastre et à l'hypochondre droit ne cédèren
de bouillon, les exaspéraient. Le malade s'e'teignit au milieu de ces douleurs et dans le marasme, le 25 août , trente-sept jour
des tumeurs n'a subi la moindre altération. Le malade a succombé à la douleur et à l'inanition. Le foie figure' Pl. 3, appart
rs Limoges). Voici quel était son état au moment du départ : point de douleur ; mouvement fébrile continuel avec légère exacerb
te de l'épigastre et de l'hypochondre droit ne me font reconnaître ni douleur , ni tuméfaction» 30 juin. Les vomissemens devie
'ont lieu que tous les deux ou trois jours ; selles naturelles. Nulle douleur , et pourtant amaigrissement rapide; débilite' tou
lures. Du reste, une pression, même assez forte, ne de'termine aucune douleur .Les vomissemens cessent; les extrémités inférieur
issure de la face ; infiltration des extrémités supérieures; point de douleur - respiration naturelle, pouls peu fréquent mais
douces produisent un sentiment douloureux; le malade n'accuse d'autre douleur que celle de la bouche. Il s'éteignit le 28, à di
le oriri a XI1° LIVRAISON. 1 calculo vesicœ fellis, Baglivi); une douleur sourde et profonde dans l'hypochondre droit, doul
s, Baglivi); une douleur sourde et profonde dans l'hypochondre droit, douleur qui se propage du coté de l'épigastre, au col, à
lcr, qui rapporte ce cas, fait observer qu'il n'y avait ni ictère, ni douleurs à la région du foie, et émet à cette occasion ce
s est encore peu connue. Beaucoup d'ictères, fébriles accompagnées de douleurs vives à la région du foie, ne sont autre chose qu
imens venus du dehors. Au bout de 4 mois, vomissemens de glaires et douleur épigastrique, qui la forcèrent à venir à l'infirm
d'un ver qui monte à la gorge et qui redescend. Elle n'accuse aucune douleur dans le rachis; l'appétit persiste : elle mange e
té d'alimens. L'amaigrissement fut porté à l'état squélettique; soif, douleur d'estomac. Elle s'éteignit le a4 septembre i834,
ale. La femme en couches, comme l'amputé, est épuisée de fatigues, de douleurs , d'émotions de toute espèce. Le calme ou plutôt l
yens tous employés avec persévérance dès la première apparition de la douleur hypogastrique, que je dois d'avoir eu rarement à
it voir, pour la première fois, cette malade le 24. Elle accusait une douleur hypogastrique assez vive; pouls à 140, peu résist
néralement douloureux -, respiration courte, anxieuse, arrêtée par la douleur abdominale. (( La poitrine se ferme, disait cette
Le 8, sur le soir, après la visite, elle est prise de frisson et de douleur abdominale. On applique quarante sangsues sur Phy
tat. L'abdomen était volumineux, mais la malade ne manifestait aucune douleur par la pression. Je prescrivis, pour l'acquit d
janvier 1831 ( au plus fort de l'épidémie) ; le 20, elle éprouve des douleurs abdominales qui s'accompagnent de fièvre. La doul
lle éprouve des douleurs abdominales qui s'accompagnent de fièvre. La douleur et la fièvre persistent jusqu'au 25 qu'elle accou
sesse a été rendue très pénible par des vomissemens opiniâtres et des douleurs dans les reins et l'hypochondre droit : accouchem
après lequel la malade reposa parfaitement ; à cinq heures du matin, douleurs abdominales et sur-tout hypogastriques. Je vis la
quent à 180, et dépressible ; face altérée; la malade n'accuse aucune douleur ; cependant l'abdomen est médiocrement sensible à
soir, le pouls était toujours très fréquent, mais plus résistant; les douleurs abdominales presque nulles; plusieurs selles en d
nulles; plusieurs selles en diarrhée ; soif très vive. La nuit, les douleurs abdominales s'étant réveillées, elles ont été cal
sous la forme latente: c'est le plus généralement la péritonite sans douleur . Elle est peut-être moins grave que la péritonite
furent appliquées. Le 7, céphalalgie moindre; vomissements bilieux; douleur à l'hypogastre et à la fosse iliaque gauche; poul
rique. Les 8, 9, 10, point d'amélioration ; face altérée, jaunâtre, douleur légère et tuméfaction à la région 13e. Livraiso
blir d'après un seul fait. L'absence des signes de la péritonite, une douleur hypogastrique légère , des nausées , des vomissem
e, il se manifesta une perte considérable, précédée et accompagnée de douleurs hypogastriques et lombaires très vives. Depuis ce
ce moment, la tumeur a continué de s'accroître; l'hémorrhagie et les douleurs se sont renouvelées à des intervalles variables,
mbé, au bout de 48 heures, à une dernière hémorrhagie, accompagnée de douleurs excessives. Le globe utérin présente, à peu de
l s'est développé un corps fibreux tend à s'en débarrasser; de là les douleurs lombaires et hypogastriques semblables à celles d
urs lombaires et hypogastriques semblables à celles de l'enfantement, douleurs qui se renouvellent à des périodes plus ou moins
qui se calment par le repos et la saignée. Il y a sous le rapport des douleurs et par conséquent des contractions expultrices, d
meurs fibreuses très-volumineuses, entièrement exemptes de semblables douleurs , tandis que, par opposition, de très-petites tume
ui fut prise , dix-neuf jours après un accouchement très-pénible , de douleurs absolument semblables à celles de l'enfantement,
as respirer, en général, à fond : ils accusaient de la chaleur, de la douleur ou du malaise le long de l'œsophage et du pharynx
riques. Trois ou quatre vomissements. La malade ne se plaint d'aucune douleur autre que celle des crampes. Soif vive, toujours
résistant, Il y avait même de l'appétit. Le 14 , malaise général ; douleur à l'épigastre qui augmentait par la pression ; la
istant, mais d'ailleurs assez développé : la malade n'accusait aucune douleur ; point de soif ; point de vomissements: crampe lé
à peine humectée ; voix affaiblie ; pouls peu développera 110; nulle douleur . Prescription : Morceaux de glace. Eau de tille
ité de boisson est lourde sur l'estomac ; il y a malaise, quelquefois douleur à l'épigastre j inappétence. L'emploi persévérant
On venait d'appliquer quinze sangsues à l'hypogastre , à cause d'une douleur que la malade accusait dans cette région. Le po
re. Le pouls a pris un peu de corps ; sentiment de mieux être ; nulle douleur à l'épigastre; soif moins ardente. Prescription
douloureux; respiration lente; point de crampes dans les jambes, mais douleurs extrêmement vives sous les fausses-côtes ; cette
ambes, mais douleurs extrêmement vives sous les fausses-côtes ; cette douleur vient comme une crampe et provoque des cris, de
forts pour vomir; hoquets continuels; traits décomposés exprimant une douleur profonde; étouffement; froid; douleur vive à l'hy
traits décomposés exprimant une douleur profonde; étouffement; froid; douleur vive à l'hypochondre gauche; deux selles dans la
ées sans vomissement; bâillements et hoquets rares; disparition de la douleur et des crampes à l'hypochondre gauche ; la soif e
Les vomissements ont cessé, mais l'ingestion des boissons cause de la douleur . Respiration haute, lente et suspirieuse; voix to
ien, les intercotaux, les masséters. Les malades poussent des cris de douleur , la crampe passe d'une partie du corps à une autr
: le malade est pris immédiatement d'un froid algide : il n'y a nulle douleur , nul vomissement: à peine deux ou trois selles li
érence complète sur son état : crampes et coliques , voilà toutes les douleurs qu'elle accuse ; le pouls est misérable; la respi
paraissaient très gravement atteintes du choléra, ayant été prises de douleurs , accouchèrent heureusement; les symptômes bien lo
bsence de toute réaction; par cela même qu'une cholérique éprouve des douleurs utérines, son état n'est pas désespéré; joignez à
n'est pas rare de voir les cholériques ne manifester aucune espèce de douleur ; la douleur, qui est elle-même une expression de
re de voir les cholériques ne manifester aucune espèce de douleur; la douleur , qui est elle-même une expression de réaction, do
s puissent entraîner la mort, soit par leur continuité et l'excessive douleur qu'elles déterminent, soit par leur extension aux
res, au milieu de crampes générales, de cris perçants arrachés par la douleur , de déchirements inexprimables dans la poitrine;
mes aux extrémités, que la malade arrache à la première impression de douleur . Fumigations alcooliques toutes les 14e. Livrai
cholériques très nombreuses; vomissements; crampes dans les membres; douleurs vives à l'épigastre ; oppression; soif intense; l
t rouge ; grande soif. Quinze sangsues sur l'épigastre. Le soir, la douleur étant manifeste à l'hypogastre. Quinze sangsues s
uloureuse. 4° Irritants extérieurs. Les sinapismes, en raison de la douleur vive qu'ils provoquent et de la vive réaction qui
t formellement contre-indiquée au début de cette réaction. J'ai eu la douleur de voir plusieurs fois la réaction cesser immédia
me fait. Enfant mort-né -venupar le sommet de la tête. Suspension des douleurs après la sortie de la tête. Sortie tardive du tro
s, fut confié à une élève peu intelligente. La tête étant sortie, les douleurs cessent ; les épaules ne viennent pas. On va cher
reste elle était stupide, ne parlant jamais, n'accusant ni plaisir ni douleur , répondant seulement oui ou non, aux diverses que
abcès traumatiques du foie est extrêmement obscur. Quelquefois il y a douleur à l'hypochondre droit, à l'épaule du même côté; d
omissements, hoquets; ignorance complète de son état, stupeur; aucune douleur . Les jours suivants les symptômes vont croissant.
cri; mais si on la comprimait brusquement, l'enfant manifestait de la douleur : quelle est la cause de cette douleur ? Vient-el
nt, l'enfant manifestait de la douleur : quelle est la cause de cette douleur ? Vient-elle des téguments? Vient-elle de l'irrit
'affaissait par la compression et n'avait jamais fait éprouver aucune douleur . Lorsqu'on faisait tousser le malade, on voyait l
nt pour mort. Transporté dans un hôpital, il ressentit long-temps des douleurs à l'abdomen et sortit assez bien portant au bout
eu de ces cruelles alternatives, que ce malheureux expira, moitié par douleur et par efforts d'expulsion semblables à ceux d'un
s et impérieux d'uriner, avec contraction douloureuse de la vessie et douleur à l'extrémité de la verge. Les urines devinrent c
u malade ne fut pas sensiblement compromise. Au bout de ce temps, les douleurs devinrent tellement vives ettellement rapprochées
ment un effort, la marche, la secousse en voiture: du reste, point de douleur à proprement parler. Pour commémoratifs, je recue
fs, je recueillis que vingt ans auparavant, sans cause connue et sans douleur , M. L... a vu s'écouler une très grande quantité
coupée, avait aussi souvent reparu. Tout-à-coup elle est prise d'une douleur très vive à l'abdomen ; le moindre contact l'augm
ppui des considérations précédentes. Péritonite puerpérale latente. Douleur excessive du pied. Etat ataxique. Pus et pseudo-m
ouchement naturel le 4 septembre 1850. Le lendemain au soir, frisson, douleur abdominale légère, qu'on combat par un cataplasme
stitués. Soumise à mon observation le 6 septembre , elle présente : douleur hypogastrique légère, fréquence du pouls à 120. J
asmes ; bains de siège émollients. Le soir, la malade accuse une vive douleur dans le membre abdominal gauche. 40 sangsues sur
elle éprouve des élancements ; une pression, même légère, augmente la douleur . L'abdomen est ballonné, mais indolent. Du reste
ourtant n'offre aucune tuméfaction. Une potion calmante atténue cette douleur . La soif est toujours très vive. Le 9 , la mala
ade se trouve très bien, cause à merveille, et ne se plaint que d'une douleur au pied. Le pouls est à 100 pulsations et moins g
une conscience de son état. La malade demande à manger. Vomissements; douleurs à l'épigastre. Potion avec 12 gr. de camphre ; la
i ne permettaient pas le plus léger mouvement du membre sans de vives douleurs , étaient molles au centre et très dures à la circ
éral. On désigne généralement sous le nom de rhumatisme, toutes les douleurs , toutes les inflammations des muscles et des arti
iolence extérieure. La mobilité, voilà le caractère fondamental des douleurs rhumatismales : la délitescence avec métastase, p
voilà le caractère de l'inflammation du même ordre. Le siège de la douleur paraît être, soit dans les gros cordons nerveux l
tismale proprement dite), soit dans les nerfs musculaires, lorsque la douleur occupe les muscles eux-mêmes (névralgie musculair
), soit dans les nerfs cutanés, ou sensoriaux, ou viscéraux, quand la douleur occupe la peau, les organes des sens ou les viscè
ne s'était plainte que la veille: la malade accuse d'ailleurs peu de douleurs dans ce genou, qui est œdémateux plutôt qu'enflam
œdémateux plutôt qu'enflammé et supporte la pression sans la moindre douleur . Lesdeux genoux mesurés, donnent deux pouces de c
dans le cas d'oedème, proprement dit. D'une autre part, l'absence de douleur à l'articu lation du genou semblait repousser t
énotent toujours l'excessive gravité de la maladie. Le 22 mars, des douleurs plus vives se prononcent au genou ; de petites ph
du genou; la peau est à peine de couleur rosée. La toux provoque des douleurs dans la partie latérale droite du thorax. Dépéris
y satisfaire dans une rue écartée. Saisi par le froid, il éprouve une douleur vive dans toute la cuisse : on crut à une simpl
prouve une douleur vive dans toute la cuisse : on crut à une simple douleur rhumatismale. Bientôt des traces non équivoques d
19 janvier* 1852; l'accouchement est naturel. Quelques heures après, douleur hypogastrique très vive : 40 sangsues-Soulagement
ur Vabdomen avec axonge camphrée. Cataplasmes émollients. Le 21, la douleur de l'abdomen s'est dissipée ; elle se reproduit d
potion calmante. Le 25, pour la première fois, la malade accuse une douleur extrêmement vive à l'articulation du poignet : la
articulation du poignet : la tuméfaction n'est pas en rapport avec la douleur ; fréquence toujours considérable du pouls ; plai
ande quantité de pus. Depuis quelques jours, la malade accusait une douleur à la partie inférieure de la jambe et au pied : m
agnostiquer un étranglement interne. La malade qui n'éprouvait aucune douleur et ne soupçonnait nullement la gravité de sa posi
r, l'un de ses membres. XVIIIe LIVRAISON. 1 la paume de la main : douleur de rein que l'on attribue au décubitus dorsal : l
scence fut longue et pénible. En septembre, il ressentit de violentes douleurs dans le rein droit, douleur que son médecin avait
En septembre, il ressentit de violentes douleurs dans le rein droit, douleur que son médecin avait rapportée à une néphrite. C
'abdomen. Le commémoratif de la néphrite passa inaperçu, ainsi que la douleur de rein qu'accusait assez constamment le malade,
, symptôme que j'ai vu manquer rarement, et qui , coïncidant avec une douleur rénale, avec une tumeur appréciable par la région
it éprouvés ce malade. Il y avait absence de paralysie , absence de douleur crânienne , et le malade a succombé par suite de
ière opération , le malade , qui se plaignait depuis long-temps d'une douleur vive, lancinante intermittente, à la région occip
mbes , des bras, de tout le corps, et attribuait en grande partie ses douleurs à des vésicatoires appliqués la veille à la parti
ir chez des femmes qui, pendant leur vie, n'avaient accusé ni gêne ni douleur du côté de ces organes. Lorsque les kystes sont
tous les symptômes d'une seconde grossesse. Comme elle ressentait des douleurs assez vives dans la région hypogastrique et qu'el
es femmes grosses. Du 4e au 5e mois de cette grossesse présumée , les douleurs furent plus vives et les mouvements eurent lieu d
ranger. Un accoucheur consulté dissipa ses inquiétudes. Cependant les douleurs et les mouvements furent plus violents jusqu'à la
, de tous les symptômes précurseurs d'un accouchement prochain. Les douleurs se sont dissipées au bout d'un temps plus ou moin
attitudes. Au onzième mois de sa grossesse présumée survinrent des douleurs , mais légères, courtes et séparées par de longs i
appelé, ne trouvant aucun indice de travail, prescrivit le repos. Les douleurs cessèrent. La malade vécut encore 14 ans et demi,
e, vaquant à toutes les occupations domestiques et n'éprouvant aucune douleur : les menstrues n'avaient pas reparu. Elle succom
sieurs fausses couches, se crut grosse; elle éprouva, au 9e mois, des douleurs qui se dissipèrent. L'abdomen diminua de volume,
la malade l'opération césarienne: elle s'y refuse. Après huit mois de douleurs vives, mais passagères, et d'un épuisement qui fi
s jusqu'en 1828, époque à laquelle le malade commença à ressentir des douleurs lancinantes très vives. Plusieurs praticiens cons
mier espace interosseux. La cicatrice de la lere tumeur s'ouvrit; des douleurs lancinantes très vives se manifestèrent : une nou
extirpation qu'elles commencèrent à paraître. Le malade accusait des douleurs lancinantes dans ces tumeurs : des douleurs de mê
e. Le malade accusait des douleurs lancinantes dans ces tumeurs : des douleurs de même nature étaient également accusées dans l'
Le malade succomba dans un épuisement complet après plusieurs mois de douleurs très vives. Ouverture du cadavre. Les tumeurs s
main , ce « qui était indispensable pour bien opérer le toucher. Les douleurs augmentant toujours sans que rien ne se présente,
des tumeurs cancéreuses dans leur épaisseur : dans quelques cas, des douleurs ostéocopes très vives accompagnent leur développe
que, pl. vi, m6 livraison), fut pris six mois après l'opération d'une douleur très vive dans les parois de la poitrine, de diff
oitrine, de difficulté plus ou moins grande à lever les bras, puis de douleurs aux épaules et de paralysie aux extrémités inféri
n cancer à la mamelle qui n'avait point récidivé, et qui fut prise de douleurs très vives dans tout te bassin, avec impossibil
i le ramollissement cancéreux de ces os : la malade mourut épuisée de douleurs . A l'ouverture je trouvai les deux os coxaux inco
Hôtel-Dieu, s'en retourna de même, et qu'elle n'accusait alors aucune douleur dans les membres. Le 10 février i834, la malade f
e supérieure du fémur gauche. En même temps la malade accusa une vive douleur , en sorte qu'il est probable que cette nouvelle f
nt ulcéré et cicatrisé par places. La malade se plaignait beaucoup de douleurs dorsales, que j'avais combattues plusieurs fois a
si oppose seul une barrière. Bien que la malade n'eût accusé aucune douleur aux os du crâne, éclairé par un fait récent, je f
ier. Chute de neuf pieds de hauteur à trente-huit ans, et depuis lors douleurs vagues dans diverses parties du corps. A trente-n
re des Progrès de i835, tom. 1er, 8e année. par une pluie battante. Douleurs vives dans le tronc et le bras droit. Plus tard,
e battante. Douleurs vives dans le tronc et le bras droit. Plus tard, douleurs névralgiques dans le côté gauche de la téte et de
ème et dixième côtes. A son entrée à l'hôpital, le 26 juillet i834, douleurs névralgiques qui occupent le trajet des nerfs tem
ec expectoration muqueuse; mais elle était surtout tourmentée par une douleur qu'elle éprouvait dans le bras droit. Il n'y avai
'y avait en cet endroit ni rougeur, ni tuméfaction, ni chaleur, et la douleur n'augmentait pas à la pression ; de sorte qu'elle
rhumatismale. Diagnostic. — Gastrite chronique ; bronchite légère ; douleur rhumatismale. -Prescription. — Boissons émollie
de tisane placé sur la tablette de son lit, et que depuis ce temps la douleur numérale était plus vive. Dans la persuasion où l
vive. Dans la persuasion où l'on était du caractère rhumatismal de la douleur , on était bien éloigné de penser qu'une cause aus
bles. Une dizaine de jours après, elle se plaignit de nouveau de sa douleur , qui, loin de s'apaiser sous l'influence des cata
Elle rend parfaitement compte de son état, n'accuse aucune espèce de douleur et meurt immédiatement après la visite. Bien que
édiatement après la visite. Bien que cette malade n'eût accusé aucune douleur de tête, aucun affaiblissement des membres et n'e
indifférence complète sur son état et sur tous les objets extérieurs. Douleur à l'épaule droite; la tête est souvent tournée à
te ou à gauche, et si on essaie de la redresser, on cause beaucoup de douleurs . Le 9 mai : morosité portée à l'extrême; décubi
ait mangé sa soupe sans secours étranger, et n'avait jamais accusé ni douleur ni malaise. (Sangsues; sulfate de soude, 2 onces.
ndemain, nouvelle prescription d'huile douce de ricin. Diminution des douleurs et de la céphalalgie. Le 24 janvier, la malade es
ée de quatre-vingt-un ans, était très sujette aux étourdissemens avec douleur de tête et perte de connaissance. Deux fois dans
ment du bras ne détermine aucun mouvement; la figure n'exprime aucune douleur , mais la malade retire en haut l'épaule du côté o
re dans l'épigastre; son corps se couvre d'une sueur froide; syncope, douleurs excessives dans l'abdomen. J'arrive; à la décompo
die. Elle avait été prise dix-huit mois auparavant de vomissemens, de douleurs à l'estomac et de fièvre. Les vomissemens étaient
régurgitations d'eaux claires que la malade appelait des flumes : les douleurs épigastriques revenaient de temps en temps : elle
lui donnaient la sensation d'un animal qui rongerait l'estomac. Ces douleurs rongeantes, depuis long-temps assoupies, furent r
désagréable. La pression de la région épigastrique déterminait une douleur assez vive, mais on n'y sentait aucune tumeur (la
e épigastrique. Le 4 octobre, à 10 heures de soir, tout-à-coup vive douleur abdominale qui arrache des cris; agitation, angoi
ation d'estomac (i5 sangsues, cataplasmes sur l'abdomen). Le soir, la douleur semble diminuer avec les forces ; mort pendant la
semens. Entré à l'hôpital Beaujon en avril i833, il se plaint d'une douleur obtuse à l'épigastre et de battemens dans la même
elle, est restée pendant un an dans mes salles, dans l'état suivant : douleurs épigastriques extrêmement violentes qui lui arrac
e l'épigastre ; point raehidien correspondant : pendant les crises de douleurs , la malade ne supportait pas la moindre pression
ion sur l'abdomen, qui est quelquefois tendu et comme tympanisé : ces douleurs surviennent par crises de 10, 12 heures, et quelq
10 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
DE ET LA MARCHE DANS L'HEMIPLEGIE HYSTÉRIQUE. 3 La sensibilité à la douleur est abolie complètement dans tout ce côté (fig. 1
inappétence, des hématémèscs et du méloena. De plus, il éprouva des douleurs vagues avec prédominance dans la région lombair
HE DANS L'HEMIPLEGIE HYSTERIQUE. r. r laieryprincipalement en une douleur dorsale qui remontait jusqu'à la nuque et s'acc
s des bras et des jambes. Après cette première crise survinrent des douleurs abdominales avec météorismc, vomissements bilie
général persista environ pendant un mois et demi, s'accompagnant de douleurs en ceinture et entrecoupé par six crises convulsi
Au début de son séjour il dut rester au lit, souffrant beaucoup de douleurs lombaires et en ceinture. Le diagnostic de mal
lombaire. Pendant quatre mois il resta ainsi couché, souffrant des douleurs déjà décrites, sondé à plusieurs reprises pour de
; intégrité de la face. Aboli- tion complète de la sensibilité à la douleur , au froid, à la chaleur, perle des réflexes cut
onc tout simplement une conformation normale. Reste maintenant la douleur exquise dont cette saillie était le siège. Les
thésie telle que les passages du peigne et de la brosse causent des douleurs insupportables. Avec ces céphalées coïncide l'a
maxillaires inférieurs et la région lombaire sont aussi le siège de douleurs intenses accompagnées de fourmil- lement en ce
gmentant. Durant les quarante-trois jours qui suivent l'attaque les douleurs de la mâchoire et surtout des cuisses et de la tê
OGIQUE. 25 faiblesse excessive dans les jambes en même temps que de douleurs dans le cou-de-pied, le genou, le tibia et la h
n avant, appuyé sur un bâton ; cette altitude est nécessitée par la douleur des reins qu'il ressent et qui l'em- pêche de s
iculièrement, la plus légère friction de la peau détermine une vive douleur ; toute la région de la colonne vertébrale estdu
ée dans les mêmes zones et de la même façon que la sensibilité à la douleur . La sensibilité profonde est également très dim
t après que la malade les avait absorbés et cela sans efforts, sans douleurs . Il y avait aussi perte complète d'appétit. Au bo
évacuations n'étaient pas précédées de coliques, ni accompagnées de douleurs . Selon l'expression de la malade, « cela partai
elle a présentés; les vomissements incoercibles, sans efforts, sans douleurs , portant indistinctement sur tous les infesta, pu
venus des vomissements fréquents se produisant sans effotts et sans douleur et évidemment de nature névropathique ; des accid
ration. La malade marche seule et sans béquilles et n'accuse aucune douleur '. ' Quand M. Charcot présenta cette malade à s
epuis au moins dix ans elle accuse dans la fosse iliaque gauche des douleurs revenant par accès au cours desquels tantôt la se
is semaines au bout desquelles elle no put se lever ni marcher. Les douleurs de la fosse iliaque persistèrent avec I. Elle e
par une résistance élastique, et la malade accuse en même temps des douleurs très vives; il semble qu'en insistant on provoq
ntimètre à celles de l'autre membre. La jambe est aussi le siège de douleurs , non seulement lorsqu'on cherche à lui imprimer
encore la jambe malade offre depuis ce temps des troubles divers : douleurs , phénomènes vaso-moteurs, atrophie mus- culaire
main gauche à 45. La sensibilité est normale dans ses divers modes, douleur et température. Les sens musculaire et articula
usculaire, pas de phénomène du pied. - Le malade n'a jamais eu de douleurs ressemblant à celles de l'ataxie loco- motrice
e la force musculaire est conservée entièrement. Il n'existe aucune douleur . De même la sensibilité est parfaitement conser
est très émoussée suivant ses divers modes : froid, chaleur, tact, douleur àla piqûre ; de même pour la sensibilité articula
toujours été irrégulièrement, souffrant le plus habituelle- ment de douleurs et de divers troubles au moment de ses règles.
hénomènes persis- tent et s'aggravent, sans jamais s'accompagner de douleurs . Cependant, environ un an après, il se serait p
douleurs. Cependant, environ un an après, il se serait produit des douleurs et du gon- flement de la jambe gauche, accident
t apparus qu'il y a trois ans. A aucun moment ne se sont montrés ni douleurs ni troubles organiques. Etat actuel. Il s'agit
genou quand on dit â la malade de résister. - Sensibilité. - Pas de douleurs . Tous les modes de sensibilité et sens musculai
ation humide et froide. La période doulou- reuse duré six mois; les douleurs occupaient non seulement les membres inférieurs
On peut également noter que cette femme avait autrefois souffert de douleurs rhumatoïdes, sans cependant avoir subi une véri
ible, ce qui n'est pas, de constater, à un moment donné, soit de la douleur et du gonflement, soit un épanchcment ou des fr
Elle tombe et roule en bas de l'escalier. ' La malade n'accusait de douleur qu'à la partie supérieure et externe de la ; ja
e. \ Au niveau de la tête du péroné, point où la malade accusait la douleur , il y avait une légère tuméfaction. La fracture
en ait dû agir plus efficacement. » L'impotence de la jambe et la douleur se trouvent au début de toutes les observations
ambe et la douleur se trouvent au début de toutes les observations, douleur parfois très étendue, d'autres fois localisée à
e externe de la jambe porte à terre. , Il ressent immédiatement une douleur très forte siégeant entre le gros orteil et le
t entre le gros orteil et le deuxième orteil du pied gauche : cette douleur est tellement intense qu'il en a des sueurs fro
ion tibio-tarsienne, limités aussi à la flexion, ils provoquent des douleurs très vives irradiant jusqu'à la partie supérieure
à terre, la moindre pression sur un point quelconque détermine une douleur excessive et le poids même des couvertures est
des couvertures est très pénible. Il existe un point maximum de la douleur dans l'espace compris entre les deux premiers o
ouleur dans l'espace compris entre les deux premiers orteils; cette douleur est continue et très aiguë, comparable à un tir
point où la pression est très douloureuse. En même temps que les douleurs spontanées ressenties par le malade dans la pro
tanées ressenties par le malade dans la profondeur du membre et les douleurs à la pression il existe une zone d'anesthésie (
ce temps, la lièvre tombe, il recommence à dormir et à manger ; la douleur n'est plus aussi aiguë. Il reste encore couché
e trouble de la sensibilité. DES TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS. 79 Douleurs . - A l'heure actuelle, il n'existe plus de douleu
CONSÉCUTIFS. 79 Douleurs. - A l'heure actuelle, il n'existe plus de douleurs , ni sponta- nées ni à la pression. Troubles '
le des muscles extenseurs de la jambe, dans lequel existaient de la douleur et de l'amaigrissement. Rosentha12 rapporte d
firmer cette hypothèse de la lésion du tibial anté- rieur, c'est la douleur ressentie au moment même de l'accident au nivea
é est très émoussée suivant ses divers modes, froid, chaleur, tact, douleur à la piqûre. De même pour la sensibilité articu
. Brousse, loc. cil., p. h.l. Il peut également exister de véritables douleurs fulgurantes coïncidant ou non avec l'anesthésie
'ataxie ou au commencement de la seconde, c'est-à-dire à la fin des douleurs fulgurantes, au commencement de l'incoordination
quent de l'arthropatllie dans une période où le ma- lade souffre de douleurs fulgurantes ou de douleurs viscérales, gas- tra
ns une période où le ma- lade souffre de douleurs fulgurantes ou de douleurs viscérales, gas- tragiques par exemple, a été l
, de rou- 13G NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. gour et de douleur paraît être un caractère il peu près constant. »
comotrice a débuté il l'âge de vingt-huit ans : il cette époque les douleurs fulgurantes ont apparu pour la première fois. Ces
oque les douleurs fulgurantes ont apparu pour la première fois. Ces douleurs , très vives, passagères, revenaient par crises
. Le lendemain du jour où elle quitta l'hôpital, elle ressentit des douleurs aiguës au niveau de l'articulation Libio-tarsic
uvements de la marche. En mars 1888, la malade ressentit de vives douleurs d'estomac qui persis- tèrent plusieurs jours et
se. Etat de la malade à son entrée à l'hôpital (novembre z1887>. Douleurs fulgurantes et douleurs en ceinture; incoordina
son entrée à l'hôpital (novembre z1887>. Douleurs fulgurantes et douleurs en ceinture; incoordination des membres inférieur
ncore un peu dévié, les mouvements des articulations provoquent des douleurs ; enfin il existe autour de ces articulations de
t principal, lorsque le malade commence à marcher, de provoquer des douleurs ; le pied ne peut reposer' entièrement sur la pl
peut remplacer l'exercice modéré qu'on impose au malade, malgré la douleur , la difficulté de la station et la raideur des jo
lusieurs fois dans la journée par petites séances et limitée par la douleur éprouvée parle malade, on doit employer les man
te du pied, et à mobiliser les articulations dans tous les sens. La douleur excessive doit être considérée comme une limite
résentait une grande raideur, le moindre mouve- ment provoquait une douleur vive. Malgré cela, la mobilité revint petit à p
s de novembre 1885. Au mois de novembre 1885, la malade éprouve des douleurs extrêmement violentes dans les bras, les jambes
n dix centimètres. ' Dans la situation debout un peu prolongée, les douleurs deviennent in- tolérables, et la contracture au
n décembre 1886, on constate une différence dans les symptômes; les douleurs sont moins vives, la contracture semble avoir dis
tenue par un aide. Les pieds se redressent rapidement et, malgré la douleur et le gonflement avec rougeur de la peau qui gê
e existe depuis qu'il est malade. IV. Alex. P... n'a jamais eu de douleurs d'aucune sorte, ni de fourmil- lements, ni de p
coton, que le terrain s'enfonce sous ses pieds. Si on recherche la douleur en la provo- quant, on ne trouve nulle part d'h
utre, les apophyses épineuses, on voit que le malade n'accuse de la douleur que lorsqu'on arrive à deux points circonscrits
baire. Les mouvements de la colonne lombaire ne produisent aucu e douleur . L'éponge chaude la réveille exactement aux mêm
il avait, pour la première fois, éprouvé pendant la nuit une forte douleur de'tête; à celle occasion il vomit des matières
il vomit des matières verdâtres en assez grande abondance, puis la douleur cessa complètement. Six ou huit mois plus tar
uis la douleur cessa complètement. Six ou huit mois plus tard, la douleur de tête revint, mais c'était seulement le matin
gation et restait ainsi quelques jours indemne. Depuis six mois, la douleur se montre toutes les nuits quand il a dormi deu
ible (il est très affirmatif sur l'influence de la position). Cette douleur réside principalement au front et à la nuque, e
sur un oreiller. En outre de cette céphalalgie, il existe quelques douleurs dans les articulations scapulo-humérales (surto
Le malade se plaint en outre de craquements dans les genoux (pas de douleurs ); il ne peut plus les plier aussi complètement
r destruc- tion des nerfs que l'on appelle causalgie, à cause de la douleur , ou encore, mais moins exactement, à la colorat
amais de rétention, ni la moindre difficulté pour uriner; jamais de douleurs dans la miction; besoins réguliers. Bref, l'inter
out à relever les troubles de la sensibilité. Mon malade n'a pas de douleurs fulgurantes; il rentre par là dans la règle, po
ntaine de cas que j'ai ana- lysés, je n'en ai trouvé que six où des douleurs fulgurantes aient été nettement indiquées, et j
suis un des premiers à le signaler. Il est encore plus rare que les douleurs fulgu- rantes. C'est là encore une curieuse dif
à encore une curieuse différence avec le tabes commun. Rappelons la douleur provoquée au niveau des renflements cervical et
ement; puis il s'ac- quitta lui-même de ce soin. Il se plaignait de douleurs dans les aines, mais il pouvait marcher sans tr
s douloureuses sur le trajet des nerfs cruraux et sciatiques et des douleurs en ceinture au niveau des branches lombo-abdomina
7, le malade sortit de l'hôpital'. ° Ayant éprouvé de nouveau des douleurs dans les cuisses et dans les reins, au mois d'a
te attitude - et cette démarche si spéciales, l'absence complète de douleurs , soit à la percus- sion, soit spontanément, au
contribue encore à nous faire rejeter' l'idée d'un mal de Pott. Les douleurs irradiées sur le trajet des nerfs et les troubl
n de la Vénus hottentote. Enfin, si notre malade avait eu jadis des douleurs de sciatique, elles étaient maintenant disparue
é. En 1877 la,malade ressentit pendant plusieurs mois de très vives douleurs à la nuque. En 1880, douleurs névralgiques tr
endant plusieurs mois de très vives douleurs à la nuque. En 1880, douleurs névralgiques très vives dans le côté droit; ces d
u genou. La jambe droite était devenue plus raide à la suite de ces douleurs . Dans le mois de mars 1880, la malade se promen
s plus tard. Fracture du col du fémur gauche, en 1882. Plus tard, douleurs fulgurantes. Pertes des réflexes tendineux, sig
Le diagnostic d'ataxie locomotrice n'est pas douteux. Il y a un an, douleurs fulgurantes très violentes dans le membre inférie
urs fulgurantes très violentes dans le membre inférieur droit : les douleurs partaient des orteils et remontaient jusqu'à la p
jusqu'à la partie su- périeure de la cuisse. ' A la suite de ces douleurs , le deuxième orteil se déforma; cette déformation
s environ que le malade ressentit dans les membres infé- rieurs des douleurs lancinantes. Il a ensuite eu des douleurs en cein
membres infé- rieurs des douleurs lancinantes. Il a ensuite eu des douleurs en ceinture 198 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
IE DE LA SALPÊTRIÈRE. très vives également. Il a aussi ressenti des douleurs fulgurantes dans les membres supérieurs. Depu
à travailler; mais il dut entrer de nouveau il l'hôpital, pour des douleurs dans les membres infé- rieurs : il existait à c
ARTHROPATHIES. TABÉTIQUES DU PIED. 199 Vers 1886, il eut de fortes douleurs fulgurantes dans les membres infé- rieurs, et l
cinq ans, il a commencé à ressentir dans les membres inférieurs des douleurs fulgurantes. ' Aftrenle-cinq ans, après quelque
étaient gonflés, légèrement déformés. Il n'y avait vraiment pas de douleur ; les mouvements étaient plutôt gênés. Il dut
tte tumé- faction devint considérable. Le malade ressentit quelques douleurs sourdes pendant la marche, mais il n'avait pas
un enfant vers l'âge de trente ans. Vers cette époque, elle eut des douleurs très vives dans les membres inférieurs, et dut en
es membres inférieurs, et dut entrer à l'hôpital Lariboisière : ces douleurs survenaient brusquement et disparaissaient de m
nte-cinq ans, disparition des règles. A partir de cette époque, les douleurs fulgurantes reviennent plus fréquemment, les geno
à peu, et la marche est de plus en plus difficile. Il y a deux ans, douleurs vives dans la jambe droite et déformation consé-
bres déjà malades, frappés d'incoordination ou ayant présenté des douleurs fulgurantes. Disons, en terminant, que l'opinion
A SAL1'1 : 'l'IIII,I ? masque- vide, dont la vie semble absente; ni douleur , ni plaisir, absence de toute expression. Au fr
'immobilisèrent dans une gouttière de Bonnet. Le malade éprouva des douleurs vives au niveau du membre inférieur droit, doul
ade éprouva des douleurs vives au niveau du membre inférieur droit, douleurs qui commencèrent si apparaître peu de temps après
nt sur la masse musculaire : quelques picotements, pas de véritable douleur . Le sol était senti. Le malade raconte qu'il gu
stifs, cauchemars. Le membre malade s'affaiblit consi- dérablement. Douleur assez vive dans la région lombaire, à droite de l
anté générale, et C... éprouva, vers le membre inférieur droit, des douleurs fulgurantes qu'il avait déjà ressenties de temps
une grande intensité; et, à cette époque, apparaissent en outre des douleurs fulgurantes dans le membre supérieur droit. Il
s fulgurantes dans le membre supérieur droit. Il existait aussi une douleur sourde, continue, mal loca- lisée, dans le memb
an osseux sous-jacent à la masse musculaire sacro- lombaire. Pas de douleur à la pression. Le membre inférieur gauche n'off
uivants. Nous avons décrit, d'après l'interrogatoire du malade, les douleurs dont ce membre est le siège; les douleurs fulgu
rrogatoire du malade, les douleurs dont ce membre est le siège; les douleurs fulgurantes s'y montrent encore actuellement. .
nes digestifs. Enfin, douches sulfureuses et bains sulfureux. Les douleurs et les crampes disparurent rapidement. La force r
s, qui paraissent avoir été le siège d'une sclérose ascendante. Les douleurs fulgurantes, qui, d'abord localisées au membre
la ceinture. Une aiguille traversant le mollet ne provoquait aucune douleur . Atrophie musculaire très prononcée du membre i
t, reprise du travail (il travaille assis). Il se plaint surtout de douleurs qui surviennent de temps en temps dans le membr
lement à la cuisse, et plus encore à la face dorsale du pied. Cette douleur , plus fréquente par les temps humides, surprend
ent de la région dorso-lombaire quand survient la fatigue, et enfin douleur violente survenant fréquemment dans les talons
ndre aux deux premières vertèbres lombaires. Sensibilité. -Outre la douleur déjà décrite, diminution très notable de la sen
relativement légers, troubles de la sensibilité cutanée et quelques douleurs , enfin troubles de la nutrition musculaire plus
édecins, et n'indique que vaguement, et avec peu d'assu- rance, des douleurs dorsales ressenties à la suite de l'accident. Le
sibilité à la brûlure, faite quelque temps après, provoqua une vive douleur . Il y eut pendant quelques jours de la réten- t
ux cannes qu'il arriva à supprimer. Il éprouvait une sensa- tion de douleur obtuse au niveau des lombes, quand il était fatig
nd le malade commença à marcher. Il gêne beaucoup la marche par les douleurs qu'il provoque; il n'est pas douloureux spontaném
a gelure, et même à la chute du malade. - Le malade ne se plaint de douleurs d'aucune sorte, si ce n'est de céphalal- gies f
, exposé à de continuels courants d'air. Il souffrit à ce moment de douleurs lombaires assez vives, mais qui cependant ne l'
èrent successivement les membres supérieurs, le cou et la tête. Ces douleurs étaient intermittentes, comparables à des sortes
nuité des membres, et non dans les jointures. En même temps que ces douleurs , les forces du malade s'affaiblissaient gra- du
ité. - Il n'existe d'autres troubles de la sensibilité que quelques douleurs peu intenses et intermittentes au niveau des épau
les reparaissent. Elle reste couchée pendant trois semaines. Aucune douleur du côté des jointures. Elle remarqua en se leva
été alors de nouveau exposée aux courants d'air, elle fut prise de douleurs dans la tète, le dos et les bras. Il n'y avait
jusqu'au commencement de 1883. Depuis ce moment elle a été prise de douleurs violentes siégeant soit au niveau du bregma, so
soit au niveau des bosses pariétales, soit aux tempes. Souvent ces douleurs l'ont empêchée de dormir, et elles sont devenues
ion du côté droit que la malade accuse d'une façon per- manente une douleur assez intense. En somme, l'aspect général de la
out d'un séjour de quelques semaines à l'hôpital pendant lequel les douleurs de tête avaient été très violentes, la malade sor
le à la dilatabilité ? Enfin il ressent, j'oubliais de le dire, dés douleurs universelles, qu'il croit être des rhumatismes; m
ise, elle fut ascitique pendant quelque temps, et éprouva de fortes douleurs aux jambes qui lui rendirent dans la suite les
Depuis cette époque, ses souffrances et, en particulier, certaines douleurs lancinantes au niveau des articulations, ne l'a
rmittentes et fut pris d'une voracité extraordinaire et de quelques douleurs dans les os, les articulations et l'estomac. Les
a environ huit ans, c'est-à-dire à l'âge de trente-six ans, par des douleurs et de la faiblesse dans les mains. Les douleurs
te-six ans, par des douleurs et de la faiblesse dans les mains. Les douleurs ne se localisèrent pas aux seules articulations,
able oedème, car la pression ne formait pas de godet. Peu à peu les douleurs remontèrent dans les bras et se montrèrent tantôt
as et se montrèrent tantôt plus tantôt moins sur tout le corps. Les douleurs de tête furent particuliè- rement pénibles, ell
n indéniable. Il se tord dans des convulsions indiquant d'affreuses douleurs ; la face est rongée par des ulcérations qui ont
11 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
; cette luxation est complète et il est très-facile d'im-primer, sans douleurs , des mouvements très-variés à la fausse arti-cula
s jointures occu-pées par ces artbropathies ne sont le siège d'aucune douleur spon-tanée, et les mouvements même sont indolores
axie locomotrice progressive. — Fièvres intermittentes. — Chlorose. — Douleurs vagues dans la tête. — Raideur des pieds. — Doule
s. — Chlorose. — Douleurs vagues dans la tête. — Raideur des pieds. — Douleurs des genoux. — Faiblesse des jambes. — Douleurs fu
— Raideur des pieds. — Douleurs des genoux. — Faiblesse des jambes. — Douleurs fulgurantes. — Incoordination des mouvements. — P
ans ; les règles, peu abondantes, duraient trois à quatre jours, sans douleurs , et n'é-taient pas précédées ou suivies de perles
son dernier accouchement, qui a été pénible, la malade a éprouvé des douleurs vagues dans la tète : il lui semblait qu'on l'enl
ce qui rendait la marche plus difficile. Peu après sont apparues des douleurs dans les genoux et de la faiblesse dans les jambe
de deux mois, sans amélioration. Vers cette époque sont survenues des douleurs fulgurantes. Elles se montraient par crises, trav
me des éclairs. » D'un autre côté, elle ressentait dans les pieds des douleurs eonstrictives : son pied lui semblait pris dans u
ctives : son pied lui semblait pris dans un étau. Ces deux espèces de douleurs , qui exis!aient aussi bien à droite qu'à gauche,
gauche, disparaissaient rapidement. D'autres fois, elle éprouvait des douleurs fulgurantes, apparaissant par crises, occu-pant t
, mais de temps en temps, elle éprouvait dans les côtés du thorax des douleurs « comme si on lui enfonçait une côte.» Ces douleu
tés du thorax des douleurs « comme si on lui enfonçait une côte.» Ces douleurs , qui s'effaçaient très-vite, « la faisaient saute
La sensibilité aux contacts légers est abolie. La sensibilité à la douleur est notablement émoussée ; il ne paraît pas y avo
membres inférieurs, affectés au même degré, sont encore le siège des douleurs que nous avons mentionnées plus haut. Les crises
contact, à la température et au chatouil-lement. La sensibilité à la douleur est légèrement diminuée. Pas de retard dans la tr
du mois de juin 1868, la malade a éprouvé pendant plusieurs jours des douleurs lanci-nantes dans l'avant-bras gauche. Puis, un m
( /. (' s X (I II 0 S S C II Se) pâtement, des craquements, pas de douleurs . Rien dans le coude ni dans le poignet gauche, ni
ements; deux selles; miction normale. La sensibilité au contact, à la douleur , etc., est conservée. Rien d'extraordinaire vers
mu-lant celle de l'urticaire. Comme phénomène immédiat, on notait une douleur cuisante qui durait environ une dizaine de minute
xemple de rupture de l/ui'ÉRUS. Observation. — Grossesse à terme. — Douleurs . — Tentatives obstétricales; insuccès. —¦ Rupture
récédentes, car elle s'est accompagnée de sensations de pesanteur, de douleurs dans les 1 Voir Revue photographique, 1870, pag
'éprouvait aucun malaise, mais dans la nuit du 10 au 11, elle eut des douleurs très-fortes. A neuf heures du matin, le 11 octobr
e jour ses visites, et à chaque fois l'aurait touchée de nouveau. Les douleurs ont été très-fortes, le 11 et le 12 octobre, semb
remuer son enfant depuis un mois; et, enfin, ne pas avoir ressenti de douleurs vives, subites, durant les explorations dont nous
: l'influence du froid humide sur le développement de la maladie, les douleurs arti-culaires et musculaires, les lésions endopér
oelle sous-pé-rioslique et y déterminer une inflammation. Quant aux douleurs articulaires et musculaires, on sait qu'elles exi
ments fébriles un peu prononcés, et nous tâcherons de montrer que ces douleurs , quand elles sont très-vives, sont consécutives à
il se relève et continue de dan-ser, sans se plaindre ; le lendemain, douleurs intolérables ; des phénomènes typhoïdes survienne
arçon de 16 ans tombe en courant, la jambe porte; \e lendemain, vives douleurs . Entre, cinq jours après, à l'Hôtel-Dieu, présent
tation de la cuisse. — Un garçon de 19 ans tombe sur l'épaule gauche. Douleur très-vive. Le lendemain, fièvre, puis état ty-pho
de 21 ans, forgeron : longues fatigues du bras ; puis, à la suite des douleurs vives à l'extrémité supérieure du bras droit, le
s droit fortement tiraillé en amenant à lui un sac de poudre-Le soir, douleur , puis fièvre intense. (Chipault.) Ou bien ce so
ous avons l'action du froid humide. C'est un garçon de 9 ans, pris de douleurs dans la jambe gauche, après des courses pro-longé
che apparaît après un temps va-riable. Il faut bien distinguer ici la douleur immédiate qui suit l'application de la cause de c
Il dort la nuit, et c'est le lende-main, en voulant se lever, que la douleur survient. Les espaces de temps minimum entre ces
tl. Il se montre d'ordinaire sans accidents fébriles, sans rougeur ni douleur 8. Les malades que nous avons vues, et en particu
n malade chez lequel il y avait de la fièvre (120 puis.) et quel-ques douleurs vagues sur d'autres points. [Loc. cit., obs. II,
s. A cette époque de l'affection, pas plus qu'au début, on ne note de douleurs spontanées. Période de déformation. La maladie
ments; il n'est pas rare alors d'entendre les ma-lades se plaindre de douleurs dues au pincement de la synoviale par les corps
e. Enfin, tandis que, dans le rhumatisme, il y a de la rougeur, des douleurs vives, une augmentation de la température ;—dans
s voisines. L'erreur toutefois est courte. La rougeur, la chaleur, la douleur , la température d'ordinaire très-élevée, qui exis
vingt-trois ans, les pre-mières atteintes de la maladie actuelle. Les douleurs fulgurantes, la constriction à la base du thorax,
ueillie par mon ami C. Carville et par moi. n'a été suivie d'aucune douleur , l'articulation paraît mieux fonc-tionner. 24 f
traddite élec-trique des extenseurs, il survint, sans aucune trace de douleur ni d'inflammation, un gonflement de l'épaule droi
émateuse. Le 5 mars, il s'y est développé une eschare. Le 6 mars, une douleur vive se manifeste au genou droit, qui est tu-méfi
parues chez ce malade avec une promptitude remarquable. L'ab-sence de douleurs dans les autres jointures plaide en faveur de l'o
cervicale postérieure, s'irradient dans le bras et le coude; — 2° des douleurs vives dans le poignet et des craquements dans l'é
; 2° des crises gastriques. 1° Ses migraines s'accompagnent: (a) de douleurs occupant surtout la moitié droite de la tête et p
se retournent, dit-elle, le coude et l'épaule sont le siège de vives douleurs , puis surviennent des nausées bientôt suivies de
AUX H ÉMIMÉ LI E DE L'AVANT- BRAS GAUCHE plus, elle a éprouvé des douleurs abdominales. — L'accouchement (primiparité) a été
iliaque gauche. III. La rupture s'est effectuée sans déterminer de douleurs angois-santes, ni d'état syncopal, phénomènes fré
epuis un grand nombre d'années. Jamais, elles ne lui avaient causé de douleur ; la pression seule sur ces masses résis-tantes p
ourbes la partie la plus saillante, excision qui ne provoque aucune douleur et pas d'é-coulement de sang. Application de co
M. Labbé. — Il y a deux mois environ, ce jeune homme ressentit de la douleur dans l'œil gauche; bientôt une conjonctivite asse
l'iris ; elle s'avance sur le rebord pupillaire; — il n'existe aucune douleur spontanée, ni provoquée. Le 1er avril, on prati
t abolie. — Le malade quitte l'hôpital le 8 juin, n'é-prouvant aucune douleur , mais ayant le champ visuel tout à fait obtus du
aussitôt après le déjeuner, sans cause appréciable, il ressentit une douleur subite dans la région lombaire droite avec un bes
tante de 16 milles de sa résidence. Pendant son séjour à la ville les douleurs lombaires et les envies fréquentes d'u-riner pers
e fut tout ce jour-là. Estomac irritable. 2e jour : Pas de miction. Douleur lombaire modérée. Vomisse-ments. 5e jour : Le m
ire modérée. Vomisse-ments. 5e jour : Le malade est levé; calme, ni douleurs , ni vomissements, mais des nausées. Nul besoin d'
n ; région lombaire gauche indolore. Ni rétraction des testicules, ni douleurs au pénis. Pouls à 72. 4e jour : Deux onces envi
ce absolue ; vomissements, deux selles co-pieuses, provoquées. Aucune douleur aux lombes, etc. Céphalalgie peu intense ; pupill
pus dans la cavité articulaire restent le plus souvent latents. Nulle douleur n'en résulte. Du côté du tissu osseux, nous aur
est en tout temps plus froid que le gauche.—¦ Dans les temps humides, douleurs et craquements dans l'épaule, mais aucune douleur
les temps humides, douleurs et craquements dans l'épaule, mais aucune douleur le long du bras ni dans les autres jointures. Tou
opération, mais peuvent survenir dans toute opération sanglante : la douleur , l'hémorrhagie, l'inflammation de la plaie, la fi
epuis lors, elle a été en augmentant graduellement, lentement et sans douleur . Il l'attribue à l'habitude qu'il a de pres-ser f
ecchymotiques de la moitié infé-rieure de l'anneau vulvaire. — Soir : douleurs vagues au-dessus des aines. Caillots assez résist
éclare ne pas avoir eu de frisson et se plaint uniquement d'un peu de douleur dans la fosse iliaque gauche lorsqu'elle tousse.
Soir : P. 104; T. V. 40°,4. Pas de frisson. Rien autre chose que des douleurs , d'ailleurs légères, dans la partie inférieure du
re qui fournissait une suppuration iétide. Le malade ne ressentait de douleur que dans le point ulcéré. (Voy. Planche XX.) Su
mènes, les uns lo-caux, les autres généraux. Symptômes locaux. — La douleur est le phénomène initial. Elle apparaît tantôt br
t un temps plus ou moins long par une sensation de compression. Cette douleur est spontanée, continue, s'accroît la nuit, augme
. Si l'on porte les mains sur les parties malades, on détermine une douleur extrêmement vive ; il y a un peu de chaleur local
au moins rémission dans les phéno-mènes. Chassaignac a établi que les douleurs et les troubles géné-raux persistant après l'ouve
citerai à l'appui l'observation du premier mé-moire de Bœckel, où les douleurs reparurent après l'incision et où cependant le
'il se fasse, présente ce fait bien sin-gulier de ne provoquer aucune douleur , — ou bien des fractures diaphysaires assez rares
cause apparente quelquefois, un enfant se plaint tout à coup d'une douleur sur le trajet d'un os. Cette douleur devient très
fant se plaint tout à coup d'une douleur sur le trajet d'un os. Cette douleur devient très-vive; on ne peut toucher le siège du
face s'anime, le pouls s'élève, l'enfant est courbaturé, se plaint de douleurs dans les membres, les jointures. La soif est vive
r délire, il est agité. En même temps, l'état local se prononce. A la douleur se joint un peu de tuméfaction. L'enfant n'ose mo
ne description qu'on trouvera partout. Le début local consiste en une douleur plus ou moins intense que nous avons étudiée aux
hyperesthésie géné-ralisée (Louvet). Le malade se plaint beaucoup de douleurs dans les membres et dans tout le corps (Louvet);
de les pousse sans motif appré-ciable (Louvet).» Quinquaud note « des douleurs intolérables qui for-cent le malade à pousser des
ès, le malade ne pouvait mouvoir ni bras ni jambes, à cause des vives douleurs que provoquaient ces mouvements. Il y avait hyper
evenant douloureux par la moindre contraction musculaire. Outre ces douleurs provoquées, le malade accusait toujours des doule
ire. Outre ces douleurs provoquées, le malade accusait toujours des douleurs spon-tanées survenant d'une façon irrégulière et
ble tremblement musculaire concomi-tant et peut-être producteur de la douleur . Je regrette de n'avoir pas recherché si celte co
herché si celte concomitance était constante. Quoi qu'il en soit, les douleurs spontanées, l'hyperesthésie musculaire semblent é
troubles menstruels divers, dysménorrhée, ménorrhagie, etc., par des douleurs dans la région ovarienne et la tuméfaction de l'o
ennent douloureux, ils augmentent de vo-lume et forment tumeur. » —La douleur existe au niveau d'une des fosses iliaques : suiv
. Dans l'après-midi, les vomissements fécaloïdes re-viennent avec les douleurs dans l'abdomen ; le malade n'a pas eu de selles.
aux manœuvres de l'opérateur, le malade se trouve beaucoup mieux; les douleurs ont disparu; on le reporte au lit. Mais, dans le
la-die antérieure. Il n'est pas sujet aux migraines, n'a jamais eu de douleurs articulaires; de temps à autre, il a quelques mau
e frottement. (Voy. Planche XXII.) Le malade n'accuse qu'une faible douleur spontanée. Elle est aug-mentée quand il se livre
nt apparues à 16 ans; chaque époque était pré-cédée et accompagnée de douleurs abdominales, et l'écoulement sanguin était peu co
rche très-pénible. A ces phénomènes se joignaient de la céphalée, des douleurs à la gorge et de l'insomnie. Au bout de deux mois
nua d'étendue. Mais la malade se plaignait toujours de céphalée et de douleurs à la gorge, où, d'ailleurs, on ne découvrait pas
ù nous l'avons observée. 20 avril, matin. — La malade a éprouvé des douleurs depuis hier matin et elle n'a pas dormi durant la
aladie est fort variable. Dans les cas simples, le mal débute par une douleur plus ou moins vive, à laquelle vien-nent se joind
le. Mais si l'on remonte aux antécé-dents, on trouve bien souvent une douleur signalée au début, et cette douleur met sur la bo
dents, on trouve bien souvent une douleur signalée au début, et cette douleur met sur la bonne voie. Un examen complet du malad
int de fièvre intense, immobile dans son lit, se plaignant souvent de douleurs , poussant des cris aussitôt qu'on cherche à sou
les difficultés sont plus grandes. Le patient a pu avoir au début des douleurs contusives des membres, des jointures, qu'il vous
e la maladie, par un exa-men approfondi du malade, du siège exact des douleurs , de leurs caractères. Toujours il résultera de
ujours il résultera de cet examen quelques faits : localisation de la douleur en un point surtout, et depuis le début ; siège d
n de la douleur en un point surtout, et depuis le début ; siège de la douleur sur le trajet d'un os, ou indolence de l'articula
ral, n'arrêtent guère cependant les médullites ; elles en calment les douleurs , peu-vent ralentir le travail morbide, mais reste
sion large et profonde. L'émission sanguine qu'elle produit calme les douleurs , dégage les tissus, peut arrêter l'inflammation;
potasse, etc. Si l'état local ne cède pas à ce traitement, que les douleurs repa-raissent, l'indication n'a pas été suffisamm
de sang ; son ventre est le siège d'un ballonnement considérable avec douleur vive à la pression de la région ovarienne gauche
rable avec douleur vive à la pression de la région ovarienne gauche ; douleur d'un caractère spécial, s'ac-compagnant de sensat
malade reconnaissait comme précédant la plupart de ses attaques. Ces douleurs , comme d'ailleurs le ballon-nement et la rétentio
... Eh bien, Messieurs, ce ballonnement considérable du ventre, ces douleurs de la région ovarienne, cette rétention des urine
nt physiologiques et physiques. Dans les pre-miers, nous rangerons la douleur et la gêne occasionnées par la tumeur, ainsi que
stion des aliments dans la cavité stomacale, et si nous y ajoutons la douleur obtuse au niveau de l'hypochondre gau-che dont se
t spontanément, soit à la suite d'une contu-sion, il se développe une douleur vive dans l'hypochondre gauche; une fièvre intens
ment, d'abord cir-conscrite, puis étendue à tout le membre et par une douleur occu-pant le centre de la fesse droite; Le lendem
ical, 1866, p. 196. dissement avait diminué ; mais en revanche, les douleurs de nature lancinante avaient augmenté et envahi d
u'il importe aussi de mentionner, c'est la diminution remarquable des douleurs lancinantes qui coïncida avec l'apparition de l'é
oïncida avec l'apparition de l'éruption furonculeuse. Depuis lors les douleurs ont toujours été moins intenses. L'éruption fur
e autres.... « Les fumigations aromatiques sont utiles, lorsque les douleurs sont un peu calmées. Au début, quand les souffran
les deux jours. Jusqu'à la guérison des furoncles (20-25 août), les douleurs ont conservé les caractères qu'elles offraient le
ois par semaine. k septembre. On note une amélioration notable. Les douleurs sont moins fortes, les accès plus éloignés, la ma
ns, menuisier, se blesse avec un ciseau la région carpienne. Une vive douleur s'ensuit, puis un petit épanchement sanguin. On f
utérisation fut suivie d'une œdème blafard de la joue et plus tard de douleurs frontales et faciales du côté droit. Ce n'est,
nt-bras, ni les doigts. L'extension forcée des doigts ne cause aucune douleur . Parfois T... a des douleurs spontanées dans l'av
tension forcée des doigts ne cause aucune douleur. Parfois T... a des douleurs spontanées dans l'avant-bras ; dans certains mo-m
la partie inférieure de la région dorsale de la colonne verté-brale. Douleur au creux hypogastrique. Partout ailleurs la sensi
pouls est assez petit. — La malade a toujours, par in-tervalles, des douleurs dans le bras droit. Il n'y a pas de change-ment a
position intermédiaire. Veut-on aller plus loin, on est arrêté par la douleur . La main est à angle droit sur l'avant bras, le
s modes de sensibilité sont intacts. La malade se plaint seulement de douleurs dans les articulations métacarpo-phalangiennes, d
seulement de douleurs dans les articulations métacarpo-phalangiennes, douleurs qu'elle compare à des élancements et qui reviendr
rimés en sens divers, ne déterminent pas la moindre souffrance. — Les douleurs spontanées sont nulles; le malade n'é-prouve qu'u
un sentiment de tension, de plénitude, et s'accomplissait sans aucune douleur marquée. Depuis six mois, les tumeurs gardaient l
inspection, par la palpation et parla percussion ; 2° la sensation de douleur ou de pesanteur perçue dans le flanc, la fosse il
la rate, et, par suite, de constater l'augmentation de vo-lume. Les douleurs spontanées existent rarement dans l'hypérémie de
aiguë sont locaux ou généraux. Parmi les premiers, nous rangeons la douleur et la tuméfaction de l'organe se manifestant soit
ant soit à la vue, soit au palper, soit surtout à la percussion. La douleur , quelquefois vive, le plus souvent sourde et prof
he; la pression l'exaspère, dans quelques cas, elle la diminue. Cette douleur est continue ou intermittente. La tuméfaction d
ptômes aigus s'amendent au bout de 7 ou 8 jours ; la fièvre tombe, la douleur disparaît. Cette, époque paraît coïncider avec la
r quelque lu-mière ; le siège et l'étendue de la matité splénique, la douleur et l'absence de tout symptôme que l'on puisse rap
s troubles fonctionnels dont les viscères abdominaux sont le siège. Douleur sourde et obtuse, sensation de pesanteur, digesti
lmos avait mis à se développer; il n'avait jamais ressenti la moindre douleur . Dans les derniers temps ce-pendant, alors que no
; cinq heures plus tard, sentiment de cuisson au niveau de la tumeur, douleur très-supportable ; mêmes phénomènes au bout de 9
ayant 2 millimètres de largeur. Le pouls est à 64-68. 28 mai. — La douleur s'est un peu exaspérée durant la nuit ; néanmoins
2. — 29 mai. Des îlots noirâtres commencent à se dessiner çàet là. La douleur a été un peu plus intense. —29 mai. Nuit mauvaise
douleur a été un peu plus intense. —29 mai. Nuit mauvaise à cause des douleurs . Pouls, 80. 30 mai. — Nulle douleur. L'eschare
mai. Nuit mauvaise à cause des douleurs. Pouls, 80. 30 mai. — Nulle douleur . L'eschare atteint un centimètre d'é-paisseur aut
ujours joui d'une excellente santé, troublée il est vrai par quelques douleurs rhumatismales ; et 3e .r'KKE 12 ce serait dep
ment le début de cette affection. Chez le malade qui nous occupe, les douleurs qu'il prenait pour rhumatismales, dont il souffra
es, dont il souffrait depuis douze ans, n'étaient autre chose que les douleurs fulgurantes de l'ataxie. Subites et passagères, e
craquements très-remarquables, et qui, d'ailleurs, ne causent aucune douleur au malade. Le pouls est accéléré, circonstance
, le frôlement d'une barbe de plume ou d'un pinceau fin détermine une douleur exquise, tan-dis que la compression directe ne pr
première période et le commencement de la seconde, à l'époque où les douleurs fulgurantes et la constriction circulaire se comp
ment sans être jamais le siège d'aucune trace ni d'inflammation ni de douleur . 1 Nous croyons pouvoir attribuer cette augment
t que, à la suite d'un traumatisme violent, les malades éprouvent une douleur vive dans la région de l'hypochondre gau-che ; ce
vent une douleur vive dans la région de l'hypochondre gau-che ; cette douleur peut être suivie de syncopes, de convulsions légè
auma-tique, avec quelle intensité et de quelle manière elle a agi. La douleur devra être étudiée minutieusement dans son mode d
uité plus ou moins grande, dans son siège, dans sa constance. Cette douleur apparaît brusquement, augmente et se soutient or-
d'une violence extérieure sur l'hypochondre gauche, l'existence d'une douleur très-vive s'irradiant jusqu'à la fosse iliaque, l
calorique aux extrémités, s'il est possible. 11 devra aussi calmer la douleur : de là l'emploi de l'opium à doses élevées. Nous
ntre a commencé à grossir il y a deux mois, et cela sans la moindre douleur . Aujourd'hui, 8 mars, on constate que le ventre,
. L'œdème des membres inférieurs a presque disparu. L... se plaint de douleurs siégeant à la partie moyenne et externe de la c
'opération, P. petit, à 80; T. R. 56°,9. L'injection a occasionné une douleur très-vive, que le malade compare à des co-liques;
ventre augmente de volume (lm,02) et parfois est le siège de quelques douleurs . Constipation. P. 114; T. R. 57°,9. —Soir: P. 112
12 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dérable de cette dernière. Généralisation de l'anesthésie termique. Douleurs , pal-esthésies, etc. - Abcès. Mme L..., une A
cher plus vite, ce que la malade rattache à un refroidissement; des douleurs parurent dans différents endroits et persistère
e la face. De légères piqûres provoquent partout une sensation de douleur égale des deux côtés. Le loucher est normal e
artie dans les supé- rieurs (le biceps) et le dos, provoque une « douleur agréable ». Douleurs fréquentes spontanées, pas
rieurs (le biceps) et le dos, provoque une « douleur agréable ». Douleurs fréquentes spontanées, pas bien aiguës, s'éleva
pas bien aiguës, s'élevant de la nuque vers le sommet de la tête; douleurs dans la partie inférieure du dos et une douleur
mmet de la tête; douleurs dans la partie inférieure du dos et une douleur en ceinture dans la par- tie inférieure du vent
ces. Les mouvements de la colonne vertébrale ne provoquent pas de douleurs . Dans la tête, la malade éprouvait parfois un mal
ieurs et de la main gauche (CFC < AFC, contrac- ture lente). Des douleurs étirantes et parfois aiguës dans le dos, les re
con- traire l'atrophie des muscles de la main avait augmenté. Les douleurs dans les membres inférieurs spontanées et à la pr
vo- quait qu'une paresthésie agréable. Les sens du toucher, de la douleur et la sensibilité électro-musculaire restèrent sa
ins bien que les droits. A la face et au tronc, la sensibilité à la douleur est conservée ; sur la main DE LA GLIOMATOSE ME
ie, ni d'anesthésie thermique sur la langue. La malade se plaint dé douleurs spontanées conti- nues qu'elle éprouve dans tou
ement au point de troubler son sommeil. Dans la cuisse gauche, la douleur se répand par ondulations de haut en bas en ava
ans la cuisse droite, elle est plus faible. Par moments, il y a une douleur intense à la région analgésique de la nuque. Un
la région analgésique de la nuque. Un sentiment presque continu de douleur en ceinture existe dans le ventre et à la parti
la moelle et eût provo- qué l'atrophie des muscles delà main. Les douleurs dans le dos et les membres inférieurs, la sensi
dans le membre supérieur droit et la moitié du thorax du même côté. Douleurs . Neurasthénie. Constantin K..., diacre, âgé de
e éprouve une sensation difficile à décrire à l'épigastre; point de douleur à la pression, la langue est nette, pas de phén
lières : parfois la constipation al- terne avec la diarrhée. Pas de douleurs intestinales. des borbo- rygmes, etc. Rien d'an
s très inten- ses du côté gauche, sans nausées ni vomissements; les douleurs sont presque continuelles avec des rémissions i
, des paresthésies dans le membre supérieur droit et le thorax, des douleurs lancinantes, spasmodiques, moins fortes dans d'
e sens du tact et du lieu est partout normal. La sensibilité à la douleur n'est pas altérée non plus. La sensibilité ther
t malade sans pouvoir préciser le début de la maladie actuelle. Les douleurs du bras droit ont com- mencé il y a dix ans à p
e sus-indiqué avait existé seul pendant long- temps. Mais alors les douleurs , les paresthésies, les troubles vaso-moteurs de
aucun symptôme caractéristique de cette maladie, à l'exception des douleurs ; la ther- manesthésie viendrait-elle à manquer
trine et des membres supérieurs : 2-3°. Les réflexes cutanés à la douleur sont abaissés et les tactiles sont sensiblement
tions de sensibilité double dans le domaine de la zone soumise à la douleur sept observations prouvant des erreurs du jugem
dans lesquelles le simple contact de l'aiguille est perçu comme une douleur deux observations d'épuisement rapide de la sen
evanche des perversions de la sensibilité ; les différents modes de douleurs se traduiront par exemple par une seule modalit
e quarante-trois ans, atteint de crises extrême- ment violentes, de douleurs fulgurantes d'origine tabétique, subit sans suc
les deux jambes. Ces membres ont d'abord été le siège de violentes douleurs auxquelles succéda l'immobilisation par con- tr
ne contient ni albu- mine, ni sucre; abondance d'acides biliaires. Douleurs dans la région des reins. Cette combinaison de
ersisté dans ses objections ; et si la commission n'avait pas eu la douleur , vivement sentie par elle, de perdre son excellen
hyperesthésie, tantôt l'anesthésie, tantôt des perversions ou de la douleur ; leurs rap- ports avec les muscles volontaires
t jamais expiré au fond de l'eau ; ils remontaient, se plaignant de douleurs internes, au coeur en particulier, se cou- chai
début brusque, l'auteur cite comme accidents légers les puces, les douleurs nztcscu- laires ou les arthrites, les otites et
ologie sui- vante : toux, malaise général, perte de connaissance, douleurs fortes dans les omoplates, les lombes et les me
inférieurs viennent s'ajouter tantôt, quand le cas est léger, des douleurs dans les omoplates et les membres supé- rieurs
environ après son dépouille- ment, il est pris tout d'un coup d'une douleur atroce, accompagnée d'une sensation de brûlure
évitait les inspirations pro- fondes dans la crainte d'augmenter la douleur . En même temps, comme symptômes céphaliques, il
résente. Soudain le malade se sent affaissé sous lui ; se plaint de douleurs fortes aux lombes; il ne peut uriner; la déféca
Immé- diatement après l'enlèvement du casque, le malade sent des douleurs aux lombes, sa parésie légère des membres inférie
Dix minutes après l'enlèvement du casque, le malade est attaqué de douleurs aux lombes avec pression doulou- reuse dans le
lument en rien du deuxième. En effet, mêmes symptômes, c'est-à-dire douleurs lombaires, para- plégie complète, rétention d'u
te. La sensibilité examinée sous tous ses modes paraît annihilée ( douleur , température contact) au membre droit, surtout à
décompression brusque d'une demi-minute. Symptômes gastri- ques : douleurs ; gonflement de l'épigastre; nausées; éructations
inute. Dès qu'on lui enlève le casque, le malade est pris de fortes douleurs à la région gastrique, qui était si gonflée, qu
La sensibilité se trouve affectée seulement sous le rapport de la douleur , surtout à droite, mais non sous celui du contact
e d'une demi-minute. Pression douloureuse constrictive de la nuque; douleurs at'g'psM/edt'oe. Paraplégie des membres inférie
ssait et le serrait fortement : en même temps, il ressent de fortes douleurs à l'épaule droite : il n'a pas répondu à notre
lement qu'il était forcé de tenir son membre immobile à cause de la douleur . Bientôt après, une paraplégie survient : souda
s symptômes, c'est-à-dire, pression avec constriction à la nuque, douleurs à l'épaule droite et paralysie de trois membres c
rétention d'urine et une constipation opiniâtre. Le 11 octobre, la douleur de l'épaule droite et la pression dou- loureuse
de vingt minutes; décom- pression brusque moins de une demi-minute. Douleurs au- dessous de l'apophyse xiphoàde et aux lombe
après l'enlèvement du casque, le malade a été pris d'une très forte douleur au-dessous de l'apophyse xiphoïde et à la régio
pas faire des inspirations pro- fondes afin de ne pas augmenter la douleur épigastrique. Pas de perte de connaissance; pas
hasie ; enfin, aucun symptôme céphalique. Au bout d'une heure, la douleur de l'épigastre ainsi que celle des lombes ont c
ongé que dans les 5 immersions précédentes ; décompression brusque. Douleurs à l'estomac, gêne de la respi- ration et aphasi
eures sans rien sentir ; mais vers 5 heures du soir, il est pris de douleurs excessivement fortes, au point qu'il poussait d
essivement fortes, au point qu'il poussait des cris déchirants. Les douleurs occupaient les articulations de l'épaule et du
e celles de la hanche et du genou du membre infé- rieur gauche. Ces douleurs ont persisté toute la nuit avec une intensité s
ue le lendemain, vers 5 heures du soir. Il faut noter aussi que ces douleurs existaient seules et isolées de tout autre symp
ôt après l'enlèvement' du casque, à 5 heures du soir, il sentit des douleurs très fortes à l'épigastre, sans gonflement de l
e des inspirations plus ou moins profondes pour ne pas augmenter sa douleur épi- gastrique. Outre cette douleur, le malade
fondes pour ne pas augmenter sa douleur épi- gastrique. Outre cette douleur , le malade se trouvait dans l'impos- sibilité a
Pas d'aphonie. 168 CLINIQUE NERVEUSE. Au bout de dix minutes, ses douleurs ainsi que son trouble de langage ont complèteme
, décompression brusque une minute. Symptômes d'invasion : malaise; douleurs à l'hypogastre, qui monte et se localise à l'ép
prépare à quitter l'échelle du bateau pour se plonger, il sent une douleur à la région hypogastrique, et il penche le corp
hypogastrique, et il penche le corps en avant pour se soulager. La douleur , au lieu de rester stationnaire, monte vertical
e ; alors, il reprend aussitôt le bateau pour se déshabiller. Cette douleur qui était, d'après le dire du malade, semblable à
la même époque, le ma- lade urinait bien, toutefois avec une petite douleur à l'orifice externe. Le 9 novembre, le malade
s- sant des cris comme un enfant. Au bout de vingt minutes, cette douleur cesse pour faire place à un engourdissement siége
faire. Il n'y a rien du côté du rectum et des organes génitaux. La douleur de l'orifice externe du méat a été supprimée. P
it aussi paralysée peil- dttnt une demi-heure; rétention d'urines ; douleurs aux lombes. État actuel le 15 février 1884. Par
l régulier, il n'a eu aucun accident sérieux, sauf quelques petites douleurs , sans pouvoir apprécier les condi- tions qui le
La sensibilité n'était pas alté- rée. Le malade était tourmenté de douleurs lombaires, qu'il com- parait à des coups de poi
n. Le 22 août, le malade a pu marcher à l'aide d'un seul bâton. Les douleurs de reins reviennent de temps en temps, surtout
Sixième immersion; à peine touche-t-il le sol que l'intensité de la douleur du coude le force de remonter. Immédiatement ap
soir), perte de connaissance, êtourdissemenls. A 5 heures et demie, douleurs aux articulations des 4 membres jusqu'à minuit,
l'enlèvement du casque (il était 3 heures du soir), il est pris de douleurs très fortes et continues au coude droit. A ce m
malade n'avait pas d'autres symptômes. Sans tenir compte de cette douleur , il remet son casque pour opérer une sixième im
eur, il remet son casque pour opérer une sixième immersion. Mais la douleur qui augmentait d'intensité d'un instant à l'aut
ait une grande soif qu'on a pris garde de ne pas satisfaire; pas de douleurs ou de gonflement de l'estomac; pas de troubles
dire deux heures et demie après son accident, le malade est pris de douleurs générales telle- ment fortes qu'il poussait des
générales telle- ment fortes qu'il poussait des cris horribles; ces douleurs étaient plutôt localisées aux articulations des
les rares mouvements qu'il faisait ; pas de fièvre. La durée de ces douleurs a été de six heures et demie, c'est-à-dire, qu'el
ondeur, quinze minutes de séjour, une demi-minute de décompression. Douleurs intersca- pulaires, poids épigastrique, gêne de
e et l'enlèvement du casque (11 heures du matin), il est pris d'une douleur très forte et continue entre les omoplates. Bie
poids à la région épigastrique, avec gêne de la respiration. Pas de douleurs ou gonflement de l'estomac. Pas d'autres troubl
s seulement, la parésie reparait telle qu'elle était auparavant. La douleur interscapulaire et le poids épigastrique ont ce
enlève le casque, ce scaphandrier eL pris entre les omoplates d'une douleur tellement forte qu'il se débattait au point que
pour qu'il ne se fit pas du mal. Au bout d'un quart d'heure, cette douleur violente et continue a disparu tout à fait. Alors
192 CLINIQUE NERVEUSE. parmi nos observations ; tantôt ce sont les douleurs épigastriques qui gênent la respiration (OBS. I
tions plus ou moins profondes afin d'éviter l'exaspération de ces douleurs . Tantôt à l'élément de la douleur vient s'en aj
n d'éviter l'exaspération de ces douleurs. Tantôt à l'élément de la douleur vient s'en ajouter un autre, le gonflement gaze
servation I qui, à côté de sa gêne respiratoire occasionnée par les douleurs gastriques, sentait aussi sur la poitrine un po
faut. Pas- sons rapidement en revue ces différents symptômes. a.) Douleurs gastriques. C'est le symptôme le plus fréquent,
il était toujours accompagné d'autres symptômes gas- triques. Les douleurs gastriques ont été toujours intenses, parfois i
dernière observation, il faut signaler cette particularité que la douleur , ayant commencé par la région hypogastrique, vi
e fois (OBs. XII), isolé de tout autre symptôme gastrique. Pas de douleurs , pas de gonflement. Le malade res- sentait seul
e la cuisse gauche et le dos de la main gauche. La sensibilité à la douleur est abolie ou diminuée dans différentes régions
e la température; néanmoins il a vu des lésions de sensibilité à la douleur et à la température avec conservation du sens d
ême règle, que le changement de la sensibilité à la chaleur et à la douleur . Chez notre malade, par exemple (OBS.V), on obs
ire c'est une sensation de chaleur et de tiédeur, allant jusqu'à la douleur , une sensation de « cuisson froide », de constr
: elles se font sentir aussi dans les muscles, sous forme de légère douleur sourde, de constriction, de « douleur agréable
scles, sous forme de légère douleur sourde, de constriction, de « douleur agréable ». Les douleurs : tantôt elles sont le
ère douleur sourde, de constriction, de « douleur agréable ». Les douleurs : tantôt elles sont le résultat direct des pare
ntôt elles sont le résultat direct des paresthésies aggravées, de « douleur sourde », « dou- leur agréable », de « cuisson
de », « dou- leur agréable », de « cuisson »,, tantôt ce sont des douleurs excentriques dans les membres, la nuque et le t
excentriques dans les membres, la nuque et le thorax, rappelant les douleurs névralgiques; tantôt c'est une douleur locale s
et le thorax, rappelant les douleurs névralgiques; tantôt c'est une douleur locale siégeant dans les muscles atrophiés, les
mateuse atteint les enveloppes de la moelle. Nous avons vu que la douleur peut exister avec l'a- naque l'augmentation de
tème veineux (la toux, Féternuement, etc.), peut aug- menter les douleurs ; mais plus souvent on ne réussit pas à saisir l
ne réussit pas à saisir les moments provoquant ou entretenant ces douleurs , dont le caractère central est habituelle- ment
caractère central est habituelle- ment évident. La continuité des douleurs est différente ; parfois elles paraissent par a
sité pendant des jours, des semaines et des mois. L'intensité de la douleur était ordinairement moindre qu'on pourrait le s
e de l'épaule), limitant les mouve- ments et accompagnés parfois de douleur (Cas. III, cas de Remak). Dans l'OBSERVATION X
es de la peau etc., siège dans la diminution de la sensibilité à la douleur , ne permettant pas au malade de s'épargner à te
on du malade, épuisant son système nerveux, surtout au moment des douleurs , et agissant d'une manière dépressive sur son é
diminué d'une façon notable. Il a commencé alors à se plaindre de douleurs frontales s'accompagnant de vomissements et reven
ns la suite par la sclérose et l'atrophie des régions voisines. Aux douleurs fulgurantes, expression symptomatique de la local
utres symptomatiquement par des troubles sensitifs très mar- qués. ( Douleurs fulgurantes, etc.) Au niveau du bulbe, les fibr
temps, car ce qu'ils y voient alimente leur délire; ils ont soif de douleurs , de médecins, d'assistance ; dès qu'ils tendent
phalique, syphilis : puis, délire des persécutions avec plaintes de douleurs de tête et de battements de coeur. En janvier 1
pnée brutale, des battements de coeur, SOCIÉTÉS SAVANTES. 305 des douleurs de tête. Plus lai il, tremblement dans les bras e
la Société Médico-psychoiogiquc de Paris. D. GROUPE DE différentes douleurs ET de DIVERS autres symptômes sensitifs. Les do
E différentes douleurs ET de DIVERS autres symptômes sensitifs. Les douleurs sont de deux ordres : douleurs articulaires ou
RS autres symptômes sensitifs. Les douleurs sont de deux ordres : douleurs articulaires ou arthropathies douloureuses et d
eux ordres : douleurs articulaires ou arthropathies douloureuses et douleurs musculaires ou myopathies douloureuses. Les dou
ouloureuses et douleurs musculaires ou myopathies douloureuses. Les douleurs articulaires tantôt existent seules (OBs. XI),
es de dou- leurs musculaires (OBS. III). La même chose arrive aux douleurs musculaires. Les arthropathies peuvent se local
uvent se localiser à une seule articulation, comme par exemple, les douleurs que le malade de l'OBSERVATION III avait à l'ar
arder son membre dans l'immobilisation, afin de ne pas exaspérer la douleur . Elles peuvent par contre se généraliser et occ
S ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 347 Î avait seulement des douleurs à l'articulation du coude et bientôt après, fut
es douleurs à l'articulation du coude et bientôt après, fut pris de douleurs générales aux articulations des quatre membres,
qu'il faisait, fort rares d'ail- leurs, afin de ne pas exaspérer la douleur . Il n'y avait pas trace de fièvre. Ces arthropa
strictive à la nuque. Ceux de ]'OBSERVATION XII et XIII avaient les douleurs entre les omoplates et enfin celui de l'OBSERVA
plates et enfin celui de l'OBSERVATION IV les avait aux lombes. Les douleurs musculaires sont assez fortes, mais moins inten
ès de l'explosion de la paraplégie : de même à observation XIII, la douleur interscapu- laire est le seul symptôme du début
RVATION III, la pression douloureuse constrictive à la nuque et les douleurs à l'épaule droite, symptômes du groupe de dou-
la gêne de la respiration, symptômes du groupe respiratoire, les douleurs atroces épigastriques, la sensation de brûlure
NERVEUSE. la vessie, 3° du rectum, 4° des organes génitaux, et 5° douleurs aux lombes. 1). Symptômes sensilifs. La sensibi
faut mentionner le catarrhe vésical de l'OBSERVATioN VIII avec les douleurs de l'orifice externe. 3), Troubles du rectum. I
ance complète. Archives, t. XV. 23 354 ' CLINIQUE NERVEUSE. 5). Douleurs aux lombes. C'est un symptôme qui a existé chez
alades (OBS. I etX); celui de la dernière observation comparait ses douleurs à des coups de poignard, à chaque coup, il croy
résultent de la lésion des cor- dons postérieurs, c'est-à-dire les douleurs fulguran- tes, en ceinture, le signe de Romberg
s réflexes, épilepsie spinale aussi bien spontanée que provoquée. Douleurs fulgurantes, douleurs en ceinture, chatouillement
e spinale aussi bien spontanée que provoquée. Douleurs fulgurantes, douleurs en ceinture, chatouillement très fort si la pla
troubles du côté de l'estomac ou des organes respiratoires, pas de douleurs articulaires ou musculaires : par contre, il a
remblement plus ou moins fort. A 3 heures du soir, il était pris de douleurs qui occupaient les membres inférieurs et le dos
si de suite, jusqu'à 10 heures du soir, de sorte que l'accès de ces douleurs qui présentaient si nettement les caractères des
de ces douleurs qui présentaient si nettement les caractères des douleurs fulgurantes a duré 7 heures. Pendant deux mois de
nuit, de contractures passagères. Tous les dix ou quinze jours, les douleurs fulgurantes suivenaient au malade par accès d'u
motilité que des autres symptômes marchait à pas rapides, sauf les douleurs fulgurantes, qui ne cessaient pas de survenir ave
mmence- ment du mois de mars, le malade a commencé à souffrir des douleurs constrictives, à la base du thorax. Etat actuel
plus élémentaires. Le malade dit qu'au point de vue de ses accès de douleurs fulgurantes, il se trouve dans le même état. Il
urantes, il se trouve dans le même état. Il en est de même pour ses douleurs en ceinture. Il est pris très souvent d'un chat
pilepsie spinale aussi bien spontanée que provoquée. Les crises des douleurs fulgurantes surviennent plus rarement ; elles s
rement ; elles sont moins fortes et leur durée est plus courte. Les douleurs en ceinture sont moins constrictives et, de conti
mersion, faite dans les mêmes conditions que les trois précédentes. Douleurs ci l'épaule droite et illusions visuelles. Il e
45, intervalle de bien-être. De 4 heures 45 tu 5 heures, retour des douleurs de l'épaule; céphalalgie. De 5 heures à G heure
ousses. Exaltation des 7-éflexeg 7,ottilieî2s. Epi- lepsie spinale. Douleurs fulgurantes et constriclives. Perte de notion d
res symptômes céphaliques, pas de symptômes res- piratoires, pas de douleurs articulaires ou musculaires. Aussitôt après la
ès la décompression et l'enlè- vement de son casque, il est pris de douleurs très intenses à l'épaule DES ACCIDENTS PAR L'EM
andeur surnaturelle, mais ce scaphandrier, faisant bon marché de sa douleur et de son illusion, est redescendu une fois enc
ns. Le malade dit que, étant dans le fond, il était dél)arrassédosa douleur , mais non de son illusion visuelle, par suite d
céphalalgie intense qui siégeait surtout au sommet de la tête et de douleurs lancinantes à l'épaule droite. La céphalalgie e
et de douleurs lancinantes à l'épaule droite. La céphalalgie et les douleurs ont été de très courte durée, à peine d'un quart
barrassé de tout symp- tôme. Plus de symptômes céphaliques, plus de douleurs . Pas de symptômes respiratoires ou gastriques o
lations très marquées. Il se plaint avec amertume de deux sortes de douleurs : les unes qui viennent subitement, qui travers
et chaque fois, elles ont duré à peu près deux jours.) Les autres douleurs sont, dit-il, plus permanentes, plus lourdes, acc
la motilité et de la sensibilité aux membres supérieurs. Secousses. Douleurs en ceinture. Le 20 mars, clispa- iitio)2 de tro
s et rectaux. Contractures passagères. Le 25 mars première crise de douleurs fulgurantes. Le 15 mai, il a pu se tenir debout
r ci l'aide d'un appui. Etat actuel (20 et 21 juin 1884). Crises de douleurs fulgu- rantes. Crises gastriques. Douleurs en c
21 juin 1884). Crises de douleurs fulgu- rantes. Crises gastriques. Douleurs en ceinture. Signe de Romberg. Perte de notion
ne soif ardente, pas de gonflement de l'estomac, pas de gaz, pas de douleurs gas- triques. Impossible de rendre ses urines e
dre ses urines et ses selles. Pas de troubles respiratoires, pas de douleurs articulaires ou musculaires, à ce moment, pas d
ient et s'étendaient tout d'un coup. Il a commencé à se plaindre de douleurs constrictives à la base du thorax. Le 30 mars
n'oubliera jamais, car il a eu une crise douloureuse consistant en douleurs très intenses, qui parlaient avec la rapidité d
clair le long de ses membres inférieurs, il a été tourmenté par des douleurs fulgurantes toute la journée. Les douleurs en c
a été tourmenté par des douleurs fulgurantes toute la journée. Les douleurs en ceinture continuent; elles sont même plus fo
moment de notre visite, nous avons trouvé le malade en proie à des douleurs très intenses, qui, survenant subitement à ses
nt subitement à ses membres, lui font pousser un cri déchirant. Ces douleurs , après une durée momentanée, reviennent à des i
ne dépassaient pas deux minutes. En même temps, le malade avait des douleurs du même caractère, mais moins fortes et des vom
stomac. Il nous dit qu'il a eu, à plusieurs reprises, des crises de douleurs fulgurantes, très souvent accompagnées de crise
le 8 novembre 1882, qita- trième immersion. Après la décompression, douleurs dans l'aine gauche. Cinquième immersion, ébloui
té de marcher M l'aide d'un seul appui. Amélioration progressive, douleurs fulgurantes, secousses, contractures passagères.
nale ; tous ces symptômes sont bien plus marqués au membre droit. Douleurs fulgurantes, signe de Romberg, difficulté très gr
après la décompression et l'enlèvement du casque, il est pris d'une douleur légère dans l'aine gauche. Faisant bon marché d
'une douleur légère dans l'aine gauche. Faisant bon marché de cette douleur , il est redescendu pour la cinquième fois à une
n degré de pesan- teur de l'estomac ; en outre, le malade avait des douleurs intenses aux articulations des coudes des membr
it plus libre, mais, par contre, il a été plusieurs fois victime de douleurs fulgurantes qui ne sur- venaient pas par crise
être, après plusieurs essais, provoqué, mais pas très marqué. Les douleurs fulgurantes sont plus rares et moins intenses. Le
ême temps de décompression. Immédia- tement après la décompression, douleur lancinante subite et très vive au genou gauche,
t de selles suivie d'incon- tirzence. Le 10 juin, première crise de douleurs fulgurantes. - Le 3 juillet et dans la suite, c
de douleurs fulgurantes. - Le 3 juillet et dans la suite, crises de douleurs fulgurantes , secousses, contractures passagère
rieurs. Marche très difficile sans le concours de la vue. Crises de douleurs fulgurantes très espacées et de moindre intensi
taprèsfa décompression et l'enlèvement du casque, il est pris d'une douleur lancinante subite et très vive au genou gauche,
symptômes céphaliques, pas de troubles gastriques ou autres. Cette douleur aussi bien que la dyspnée aptes avoir duré une de
de fièvre. Le 20 juin, un nouveau symptôme se déclare; ce sont des douleurs très fortes qui sur- viennent subitement, elles
s n'ont cessé que le 23 juin. Le 3 juillet, une nouvelle crise de douleurs survient au malade, avec la même intensité, le
384 CLINIQUE NERVEUSE. pieds, contractures passagères, crises de douleurs fulgurantes, perte de notion de position de ses
es selles; pas de troubles des fonctions sexuelles. Les crises de douleurs fulgurantes ne manquent pas de tourmen- ter le
la décompression et l'enlèvement du casque, ci 10 heures du matin, douleurs lombaires très vives, aphasie motrice, vertiges d
A 10 heures et demie, disparition brusque et complète de l'aphasie, douleurs et vertiges. Un quart d'heure d'intervalle de b
Le 7 avril, il marche à l'aide d'un seul appui ; le soir, crise de douleurs fulgurantes pendant toute la îzztit. -Le 17 auril
du casque, il était 10 heures du matin, le malade a été atteint de douleurs très vives aux lombes, qu'il compare à des coup
mots et il parle comme avant son accident. Pas de vertiges, pas de douleurs lombaires; il se croyait sauvé et considérait l'a
beaucoup marché, dit-il, et s'étant fatigué, fut pris, le soir, de douleurs très intenses qui survenaient comme des éclairs e
lations; il n'a pas fermé l'eeil toute la nuit. De grand matin, les douleurs ont disparu. Les jours sui- vants, le malade av
blement rythmique, et à des intervalles variables, il était pris de douleurs fulgurantes qui ne duraient que quelques heures.
rité, il marche difficilement. Le malade est pris, maintes fois, de douleurs fulgurantes. Il n'y a pas d'atrophie musculaire
pas présenté de symptômes gastriques. D). Syndrome de différentes douleurs . Des symp- tômes qui appartiennent à ce syndrom
nt DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 391 de l'ordre des douleurs musculaires ou myopathies douloureuses, comme l
rdre des douleurs musculaires ou myopathies douloureuses, comme les douleurs lombaires très vives ; les autres sont de l'ord
les douleurs lombaires très vives ; les autres sont de l'ordre des douleurs articu- laires ou arthropathies douloureuses. L
rdre des douleurs articu- laires ou arthropathies douloureuses. Les douleurs articulaires tantôt se localisent à une seule a
ticulations des coudes et de la hanche gauche. L'intensité de ces douleurs a été toujours très grande; elles sont conti- n
isuelles, la perte de connaissance, la céphalalgie se combinent aux douleurs à l'épaule 393 »1 CLINIQUE NERVEUSE. droite.
syndrome gastrique par la pesanteur de l'estomac, le syndrome des douleurs par les douleurs dans l'aine gauche et aux arti
que par la pesanteur de l'estomac, le syndrome des douleurs par les douleurs dans l'aine gauche et aux articulations des cou
atomiques isolés pour la sensibilité tac- tile, thermique, et de la douleur , sans parler déjà de la direction que ces diffé
it le plus de probabilité. Mais nous savons que la sensibilité à la douleur et à la température peuvent être atteintes isol
siques isolées, en respectant partout les voies de sensibilité à la douleur . Il faut admettre que l'altération pathologiqne
on des nerfs qui ne servent qu'à conduire les impressions i de la douleur , ou bien déprimerait la conductibilité à I la d
ons i de la douleur, ou bien déprimerait la conductibilité à I la douleur (s'il n'existe pas des conducteurs spéciaux aux
cusée dans les membres infé- rieurs, un léger affaiblissement de la douleur , une diminution très accu- sée de la sensibilit
té, comme le démontre l'observation de 1-P C... (Observ. IV), les douleurs locales dans les nerfs, sans parler des douleurs
(Observ. IV), les douleurs locales dans les nerfs, sans parler des douleurs musculaires, ce qui s'en va de soi, n'excluent
tiques du côté de la sen- sibilité : des paresthésies cutanées, des douleurs le long des nerfs occipitaux, une humeur hypoch
ac- téristiques du tabès (oculaires, perte du réflexe ro- tulien, douleurs , ataxie, etc.) le diagnostic : tabes ; 2). Ther
erne suffisante; 3) dans différentes' pares- thésies indéterminées, douleurs , troubles de la sécré- tion sudorale et vaso-mo
n, apaisera-t-elle ncmvES, t. 1n 27 418 PATHOLOGIE NERVEUSE les douleurs etc. D'un autre côté, nous trouvons par- fois c
out à fait à la fin, les troncs nerveux sont atteints à leur tour : douleurs spontanées, réaction dégénéra- tive, troubles d
intervalles de quelques minutes. La crise s'annonce par une légère douleur spéciale, des tremblements de la peau, elle arr
13 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
on des mouvements qui sont propres à l'expression de la joie et de la douleur donne une physionomie étrange, qui s'éloigne d'au
nes qui trahissent la joie s'associer merveilleusement à celles de la douleur , pourvu que le mouvement fût modéré ; je reconnai
entement, de joie, qui ne pouvait cependant dissiper les traces d'une douleur récente ou les signes d'un chagrin habituel : ain
..........Muscle de la réflexion. Sourcilier...........Muscle de la douleur . Pyramidal du nez.......Muscle de l'agression.
ion....... Réflexion....... Méditation...... Contention...... Douleur ....... Agression., méchanceté ........ 2° Pa
rise agréable ...... Frayeur ....... Effroi........ Effroi avec douleur , torture....... Colère concentrée . . Colère
OUI LES PRODUISENT. Délire sensuel. . . . Extase........ Grande douleur avec larmes, affliction. . Douleur avec abattem
. . . Extase........ Grande douleur avec larmes, affliction. . Douleur avec abattement, désespoir. . . Mêmes muscles q
té. Dureté (agression Amour. Chagrin. Discorde. Avidité. Crainte. Douleur . Angoisse. Courage. Désir. Avarice. Curiosité
nt rapide et d'une grande profondeur, méchanceté, la souffrance, la douleur , la frayeur, la torture mêlée d'effroi, gagnent s
rbiculaire palpébral supérieur), de l'agression (le pyramidal), de la douleur (le sourcilier), de la joie ( le grand zygomatiqu
ions agressives. — N. Houppe du menton. — 0. Sourcilier, muscle de la douleur . — P. Pyramidal du nez, muscle de Y agression.—Q.
Je pouvais expérimenter sur cette région sans qu'il en éprouvât de la douleur , au point que je faisais contracter partiellement
11 annonce un instinct féroce ; c'est l'œil du tigre. MUSCLE DE LA DOULEUR (sourgilieb, 0, fig. 1). Figures 19, 20, 21, 22
ans la figure 23 ; regard en haut et en dehors, bouche entr'ouverte : douleur extrême jusqu'à l'épuisement ; le sujet parait su
. 5 et 10). A droite, contraction électrique légère du sourcilier : douleur . A gauche, abaissement spasmodique du sourcil e
e est excité faiblement chez une petite fille, sans être touché de la douleur qu'elle semble éprouver. Pour bien sentir l'expre
e regard un peu oblique en haut a donné naissance à une expression de douleur extrême et aiguë ; mais on remarque Les figures
ation, ces deux figures, dis-je, nous montrent une autre nuance de la douleur . La direction du regard de la femme qu'elles repr
fectée. Ces deux figures ne diffèrent entre elles que par le degré de douleur qu'elles expriment, par la direction du regard et
iers est assez énergique. C'est bien là en effet l'expression d'une douleur profonde. On sent, à la vue de cette figure, que
ur est-il ulcéré ? est-il tourmenté par une peine de l'âme ou par une douleur physique? C'est ce que cette expression ne peut d
qu'il en soit, et bien que tous ses traits semblent contractés par la douleur , on voit qu'il souffre avec résignation. C'est
n à l'aide des figures suivantes, pour ce qui a trait au muscle de la douleur , le sourcilier. Si l'on cache le front de la fi
ile encore à mettre en évidence dans la figure 21, où le muscle de la douleur a été excité des deux côtés à la fois. J'ai déjà
ient-ils! Et cette ligne naso-labiale, comme elle semble tirée par la douleur !... » Leur surprise était bien grande, lorsqu'il
é, sous l'influence des mouvements expressifs propres au muscle de la douleur , nous éprouvons une illu- sion qui tient à notr
La môme expérience, faite sur les autres figures où le muscle de la douleur a été excité partiellement, de manière à produire
a été excité partiellement, de manière à produire l'expression de la douleur , donne des résultats identiques. On peut encore
s avoir masqué le côté opposé, on n'y retrouve pas l'expression de la douleur , bien que son sourcilier soit électrisé partielle
figure aux figures 23 et 24, et vous verrez qu'elle n'exprime pas la douleur , comme ces dernières; on reconnaît seulement que
chez le même sujet, que la combinaison du muscle de la joie et de la douleur , à un certain degré de contraction, est inexpress
ison musculaire, représentée dans la figure /|5, exprime à la fois la douleur et l'abattement : c'est l'image du désespoir. M
tique : les larmes qui coulent alors ne sont certes pas des larmes de douleur . Elles sont même produites, dans certaines circ
re Zi9, parce qu'ici on sent que le sujet doit être tourmenté par une douleur aiguë et profonde qui lui arrache des larmes. C'e
vec abaissement volontaire de la mâchoire inférieure : effroi mêlé de douleur , torture. Dans la figure 6/i, la contraction du
e des moitiés de cette figure, on voitl'augmen-tation graduelle de la douleur et de l'effroi. EXPLICATION DE LA LÉGENDE. A.
nférieure et des sourciliers, produit une expression d'effroi mêlé de douleur extrême. Les figures 61, 62, 63, nous le montrent
l'expression de cette terrible émotion de l'âme s'ajoute celle de la douleur horrible de son supplice. — Cette expression doit
), copie du Laocoon de Rome, mais dont l'expression modifiée peint la douleur physique et les convulsions de l'agonie. Même mod
le sourcil uni n'offrent pas le modelé produit par le mouvement de la douleur . EXPLICATION DE LA LÉGENDE. Je prévois qu'au
nter le Scythe chargé par Apollon d'écorcher Marsyas, l'expression de douleur produite par la contraction du sourciller, telle
en effet, que le statuaire ait voulu nous montrer le Scythe saisi de douleur , de compassion, à la vue du malheureux dont il es
t ses membres, agités par des efforts convulsifs, trahissent seuls sa douleur physique. On ne voit sur sa face aucun mouvemen
face aucun mouvement convulsif ou spas-modique qui annonce l'horrible douleur que doit causer la morsure du monstre. La courb
ment de la tête de ces derniers donnent à son pleurer un caractère de douleur extrême. Enfin sa bouche entrouverte et son regar
t certainement, sur la face du Laocoon de Bruxelles, les signes de la douleur ; mais le mouvement convulsif de sa bouche et de s
convulsif de sa bouche et de ses lèvres lui donne le caractère d'une douleur physique, et la convergence de ses yeux nous le m
'intéressant spectacle de la » nature humaine livrée à la plus grande douleur dont elle » soit susceptible, sous l'image d'un h
de dire toutefois que cette faute ne modifie en rien l'expression de douleur morale chez le Laocoon, parce que le mouvement du
l'agitation de son âme. Pour exprimer sur la face de cette mère la douleur qui produit cette agitation générale, l'artiste a
ent cette obliquité plus ou moins grande du sourcil s'observe dans la douleur ; mais elle ne saurait sutïire à exprimer cette pa
ont? Rien n'est au contraire plus émouvant et plus sympathique que la douleur qui s'écrit ainsi sur un front jeune et habituell
....... 28 B. Expression...................... 30 V. Muscle de la douleur (sourcilier)............. 35 Légende des figure
g. 75. — Vue dans son ensemble : Religieuse prononçant ses vœux, avec douleur résignée à gauche, et seidement avec-tristesse à
ant les mêmes parties du côté opposé. Electrisation du muscle de la douleur (du sourcilier, voy. o, fig. 1), à gauche : regar
iales. Fig. 76. — Vue dans son ensemble : Même prise de voile, avec douleur profonde à gauche, et avec bonheur divin, extatiq
le côlé des figures, el non celui du lecteur. Prière dans l'extrême douleur , en cachant l'œil, le sourcil et le front, du côt
, le sourcil et le front, du côté gauche. La tête vue isolément : — douleur extrême, sans caractère religieux, en cachant com
nt de la même manière le côté opposé. Electrisation du muscle de la douleur (le sourcilier), à gauche ; — regard tourné en ha
ts (voyez, pour la description des lignes expressives du muscle de la douleur , le chapitre \ . partie scientifique). Si Ton r
rale de sa tète ajoutent un peu d'abattement et de découragement à sa douleur . Le vieillard montre plus de iermeté dans l'expre
douleur. Le vieillard montre plus de iermeté dans l'expression de sa douleur . Mais voyez la figure 76, dans son ensemble : l
ments; son regard, tantôt exta tique, peint maintenant la plus vive douleur . — Serait-elle victime d'une violence? Aurait-ell
n dehors et de haut en bas, et d'en gonfler la tête, pour répandre la douleur sur tous les traits, qui, par leur ensemble, peig
à leur faire rendre deux nuances ou degrés de la môme passion, de la douleur . La première exprime une douleur résignée; la s
u degrés de la môme passion, de la douleur. La première exprime une douleur résignée; la seconde, au contraire, montre la plu
commissures labiales sont au repos; ce qui donne à son expression de douleur de la tranquillité, de la résignation et un air d
contraction du sourcilier, clans la figure 76, donne un caractère de douleur aiguë à l'expression de la religieuse qui y est r
gure 76 prouve que rien ne saurait remplacer, pour l'expression de la douleur , la forme que prend le sourcil sous l'influence d
tout le monde connaît, on sent que Cléopàtre doit souffrir d'une vive douleur morale et physique; mais loin d'en trouver les si
dessinés obliquement, donnent à la Cléopàtre une belle expression de douleur . Pourquoi donc le Guide, à qui l'on attribue cett
cette belle figure, on remarque, en effet, une expression de profonde douleur à droite, et un regard extatique du côté opposé.
être gonflée. Telle est, à tous les âges, l'action du muscle de la douleur , du sourcilicr (voyez toutes les figures consacré
et ces lignes frontales, dessinés par la contraction du muscle de la douleur sur un front bien plus jeune que celui de la Niob
t la deuxième série. LÉGENDE. Fig. 79. — Bonheur maternel mêlé de douleur , ou étude psychique et esthétique de l'expression
mortelle ; — en cachant l'œil droit, même joie maternelle, unie à la douleur produite par la mort d'un autre enfant. Contrac
use crise, elle s'écrie : « Il est sauvé ! » Telle est l'émotion de douleur et de joie maternelles que j'ai essayé d'exprimer
est donc saisi à la fois par deux émotions contraires: la joie et la douleur . — C'est ce qui est exprimé sur la moitié gauche
dre, je développai modérément, à gauche, les lignes expressives de la douleur , en électrisant le sourcilier de ce côté, et puis
je produisis, de ce côté, cette expression touchante de joie mêlée de douleur .—Pour la compléter, il m'eût fallu rendre son œil
s qui trahissent la joie s'associer » merveilleusement à celles de la douleur , pourvu que le mou-» vement en fût modéré; je rec
e fois et en combien de circonstances cette sorte de conflit entre la douleur et la joie, d'où résulte la combinaison de contra
en lui tendant les bras, avec une expression de grande joie mêlée de douleur . Tci cette rencontre entre la joie et la douleu
ande joie mêlée de douleur. Tci cette rencontre entre la joie et la douleur , combinaison qui constitue une expression discord
ir son dernier enfant échapper à un danger de mort ne peut effacer la douleur profonde produite par la perte récente de son aut
let, qu'à sa première apparition sur la physionomie, les lignes de la douleur doivent avoir déjà disparu, en grande partie, pou
ti cette nuance ou cette forme de l'expression de la joie mêlée de la douleur . Loin de là, il a peint le sourcil à son maximum
z le Poussin, en électrisant simultanément au maximum le muscle de la douleur (le sourcilier) et le muscle de la joie (le grand
r) et le muscle de la joie (le grand zygomatique). La joie mêlée de douleur se montre, à des degrés divers, sur la physionomi
physionomie de la mère qui vient de donner le jour à un enfant. La douleur de l'enfantement cesse, en général, sitôt après l
général, sitôt après la naissance de l'enfant. Ce passage subit de la douleur la plus atroce au calme parfait est pour la mère
eusement son sourcil. Partout où il a voulu peindre énergi-quement la douleur , on remarque la même absence de modelé du front.
43). Mais quelquefois, surtout après un accouchement laborieux, les douleurs ne disparaissent pas entièrement; les signes s'en
uisent sur la figure de la mère par une expression d'abattement et de douleur . — Le désir de donner un premier baiser à son enf
i grand, qu'elle conserve à peine sur sa physionomie les traces de sa douleur physique. — Marie de Médicis, dans la Naissance d
te expression discordante de douce joie maternelle, unie à une faible douleur physique. — La courbe de son sourcil est interrom
s et produites à la fois par la joie, par l'attendrissement et par la douleur physique, résulte un ensemble harmo nieux, une
xpression discordante, à son degré le plus faible, du sourire môle de douleur physique, expression des plus gracieuses et des p
e modelé qui donne au regard de Marie de Médicis une légère nuance de douleur physique n'existe pas du côté gauche. En effet, l
, sa physionomie peint la joie maternelle pure, sans mélange d'aucune douleur , douce expression qui rappelle celle de Jeanne d'
c une expression double qui jette un peu d'indécision sur celle de sa douleur physique. ¦—• Cette expression double est analogu
rer avec le muscle de la joie, il faut, comme dans le sourire mêlé de douleur , que la contraction de ces muscles ne dépasse pas
fondra cette espèce de sourire mêlé de larmes avec le sourire mêlé de douleur , représenté sur le côté gauche de la figure 79. —
sépare de son époux avec de noirs pressentiments, sont des larmes de douleur . En traduisant donc l'expression composée avpuosv
n, et d'une émotion qui excite toujours la sympathie, l'émotion de la douleur ? — Je me suis figuré la Macbeth se précipitant su
ront, comme on l'observe sous l'influence du sourcilier, muscle de la douleur (voyez toutes les figures consacrées à l'étude de
s transversales médianes qui constituent les lignes secondaires de la douleur , expression toujours sympathique, diminue considé
s, de môme que le muscle sourcilier en élève la tête pour exprimer la douleur , on ne doit pas s'étonner qu'il puisse, comme ce
ations sur la figure 79, qui représente la joie maternelle mêlée de douleur (rire mêlé de larmes douloureuses), du coté gauch
14 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ès prononcés de ver- tige avec palpitations cardiaques, angoisse et douleurs irradiantes partant de la région précordiale. O
es. Après le vertige ce qui incommode le plus le malade ce sont des douleurs dans la région précordiale, qui l'angoissent be
qui parfois s'exaspèrent en véritables accès d'angor pectoris avec douleurs dans lei bras gauche. Les battements du coew' s
nés pour l'écriture, agraphie cérébelleuse). Il y avait parfois des douleurs dans le bras gauche. Les battements du coeur ét
qui consiste, comme l'on sait, dans la perte de la sensibilité à la douleur et à la température avec conservation de la sen
deux hémisphè- res cérébraux. L'abolition de la sensibilité à la douleur dans toute la moitié droite du corps, y compris
lité au contact était parfaitement conser- vée, la sensibilité à la douleur et à la température étaient complètement abolie
bre inférieur gauche, mais surtout avec des phénomènes douloureux : douleurs lombo-sacrées que le malade localise à la régio
se à la région comprise entre la 5° vertèbre dorsale et le coccyx ; douleurs dans les régions lombo-costales, sur les parties
s latérales de base du thorax; crampes dans les membres inférieurs, douleurs dans les masses musculaires, douleurs arthralgi
dans les membres inférieurs, douleurs dans les masses musculaires, douleurs arthralgiclues. ' NEUROFIBROMATOSE GÉNÉRALISÉE
rthralgiclues. ' NEUROFIBROMATOSE GÉNÉRALISÉE 27 En dehors de ces douleurs , FI... ne se plaignait d'aucun trouble viscéral.
nt peu marqués, ils se bornent à quelques tiraillements, à quelques douleurs passagères. Dans nombre d'observations, on trou
comme l'évolution des tumeurs se fait lenlement, sans déterminer de douleurs , les malades ne peuvent préciser ni l'époque de
en là l'anorexie vraie qu'il faut distinguer des anorexies dues aux douleurs provoquées par l'inges- tion des aliments, ou e
liées aux vomissements irré- sistibles qui suivent cette ingestion, douleurs et vomissements qu'on peut vraisemblablement me
yé il l'hôpital le 14 mars 1899 « en observation ». Il se plaint de douleurs diverses, abdominales surtout, et déclare que « s
r deux tantes maternelles vivantes. Mère âgée de 55 ans, souffre de douleurs rhumatismales depuis une trentaine d'années; l'
OIT ET n, BEII1\.\I1D pas couché), et que depuis il est sujet à des douleurs rhumatismales. Il a eu plusieurs ú ! enllo1'r !
es au nitrate d'argent et au perman- ganate dépotasse) ; malgré des douleurs très vives S...,,qui est tailleur, n'a pas inte
u café, ni du tabac. Depuis longtemps, S... était incommodé par des douleurs abdominales : la cystite les avait aggravées en
constate pour la première fois que, après un travail prolongé, ses douleurs sont plus vives et son ventre se ballonne. Malg
). Le 21 novembre, il se présente il la visite, se plaignant de ses douleurs dans l'abdomen. Admis à l'infirmerie, il en sorti
le G janvier, il y est admis dans un service de blessés. Malgré les douleurs dans le bas-ventre, et les autres troubles qu'i
membres inférieurs n'est plus que de la faiblesse. Il se plaint de douleurs au-dessous de l'ombilic et dans l'eslomac, d'au
int de douleurs au-dessous de l'ombilic et dans l'eslomac, d'autres douleurs dans les épaules, dort peu, semble digérer mal.
venant souvent demander des exemptions de ser- vice. Il invoque ses douleurs abdominales et le ballonnement, puis de- vinant
le ballonnement, puis de- vinant la méfiance du médecin, c'est les douleurs rhumatismales qu'il fait intervenir pour rester
gastre et dans le flanc gauche ; elle éveille au contraire une vive douleur à droite près de l'ombilic, on pourrait croire
tipation très opinàlre. L'appareil ! Jénito-urinaire est sain : les douleurs cystiques semblentavoir été un peu exagérées pa
pas constatés ; et S... a avoué avoir exagéré l'impor- tance de ces douleurs par crainte de n'avoir pas dans le ballonnement d
egré (tâche vaso-motrice sans bourrelet). Sensibilité. A part les douleurs déjà indiquées, S... n'accuse aucun trouble dan
ctivement une heure environ, plus tard il a allégué une gêne et des douleurs de plus en plus fortes, a protesté contre la ré
giter ses jambes, crisper ses poings, rouler des yeux furibonds, la douleur lui arrache des cris lamentables. On peut être
geur, solidement amarré sur le fauteuil chirurgical, qui soulage sa douleur en administrant une maîtresse giflle à l'aide qui
crainte de l'opération. Et il pense : S'il faut souffrir tant de douleurs , pour se faire retirer la pierre, il n'est pas
ien d'alléchant. A sa droite, on opère encore, et ce n'est pas sans douleur . Un gros homme est attaché sur la chaière par u
t parle corps, il ne peut songer à se débattre. Aussi l'excès de sa douleur se traduit-il de tout autre manière. Ce n'est p
n wonder AI ontloopt myn het stinckende sweet van oder. « Avec la douleur que j'éprouve, il n'est pas étonnant qu'une sueur
la chair de grosses épingles, sans qu'elle en ressentit la moindre douleur , et enfin revenant de sa létargie, il est certa
l'ont cru, bien qu'il soit fort pâle au visage, mais qu'il sent des douleurs dans la poitrine, et ailleurs, lorsqu'il vomit to
e se tenait péni- blement debout. Vomissements incessants, faciles. Douleurs dans tout le corps. - Le D' Isola l'adressa à m
t aussi à son entrée de céphalalgie frontale et occipi- tale. Cette douleur était assez forte pour réveiller la malade qui de
l incomplet. Le malade balbutie quelques paroles incohé- rentes. La douleur est perçue confusément et se traduit par des plai
ais elle a dû s'arrêter parce que son état s'est aggravé et que ses douleurs de tête sont devenues de plus en plus violentes.
e céphalalgie. Ne peut se tenir debout à cause d'hémiplégie gauche, douleurs vives à la nu- que ou dans les extrémités gauch
bès fi7 tèbre procidente, mais il n'y avait pas trace de la moindre douleur . L'au- teur concluait à une fracture vertébrale
te d'une barrique sur le vertex. A 39 ans, apparition des premières douleurs fulgurantes, faiblesse des membres inférieurs, ma
il commença à éprouver dans les pieds, les jambes et les cuisses des douleurs aiguës lancinantes ou térébrantes survenant tou
nant tous les mois ou tous les deux mois sous forme de crises : ces douleurs alternaient avec la sensation de lancement brus
erdit sa femme et son enfant et fut très alfecté par leur mort. Les douleurs dont il souffrait depuis dix ans 124 JEAN ABAD1
te spontanément et qui persiste encore. Vers la fin de 1882, sans douleurs vertébrales, préalables, il devient subi- temen
lités spéciales sauf de la vue très affaiblie. , Pas de crises de douleurs viscérales. Rien d'intéressant à signaler dans
, luxation spontanée de la hanche droite. Quelque temps après, sans douleur , sans traumatisme apparition brusque d'une gibb
leur, sans traumatisme apparition brusque d'une gibbosité.Crises de douleurs fulgurantes dansles membres inférieurs. Dix ans
u de temps après.' , En 1860, à l'âge de quarante et un ans, sans douleurs préalables, et sans traumatisme, C... eut un «
encore marcher avec une canne. ' Quelque temps après, sans aucune douleur encore et sans traumatisme, elle devint subitem
int subitement bossue. Vers la même époque, apparition de crises de douleurs fulgurantes parcou- rant les membres supérieurs
t d'autres fois dans un sens perpendiculaire à leur axe. En 1870, douleur sourde dans l'articulation coxo-fémorale gauche.
sible. Le 1er novembre 1885, après une chute sur le côté gauche,une douleur assez vive apparaît sans localisation précise d
tant au lit la malade ressentit un craquement accompagné d'une vive douleur dans la jambe gauche. Elle put s'accrocher à so
ans tous les sens. Les mouvements provoqués ne déter- minent pas de douleurs , mais ils sont accompagnés de raciements articula
ngle à sommet dirigé en arrière. La malade éprouve très souvent des douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs : la se
visuels. L'application d'un appareil plâtré est suivie de crises de douleurs fulguran- tes extrêmement violentes, imprimant
A 15 ans, chancre proba- blement syphilitique. A 27 ans, crises de douleurs fulgurantes dans les membres et le tronc; doule
7 ans, crises de douleurs fulgurantes dans les membres et le tronc; douleurs en ceinture. A 29 ans, troubles vésicaux. A 33 an
des membres et du tronc . Marche de plus en plus difficile. Quelques douleurs fidgurantes encore. Phénomènes acroparesthésiqu
et luxations consécutives . Sensibilité à peu pres normale. Quelques douleurs constrictives. Disparition du trouble des sphin
de craquements articulaires vertébraux dans les mouvements. Pas de douleurs vertébrales spontanées ou à la pression. Etat s
874, l'âge de vingt- sept ans, elle ressentit brusquement une forte douleur dans la jambe droite à type fulgurant, s'accomp
es rêves érotiques fréquents. De temps en temps se montraient des douleurs de ceinture et quelques dou- leurs fulgurantes
supérieurs et le tronc. , Deux ans après l'apparition des premières douleurs , survinrent des troubles de la vessie caractéri
de quelques heures. Il y a quatre ans, après une crise nocturne de douleurs fulgurantes extrême- ment violentes siégeant su
rdination motrice est telle que la malade me- nace de tomber. Les douleurs fulgurantes des membres inférieurs existent encor
es, ont augmenté de fréquence et d'intensité. Il en est de même des douleurs des membres inférieurs. Depuis deux ans en outre,
assées au niveau du collet, sans carie apparente et sans la moindre douleur : les racines subsistent pour la plupart, elles p
a percussion forte du creux épigastrique ne réveille pas la moindre douleur , la moindre sensation pénible. Insensibilité ov
moindre sensation pénible. Insensibilité ovarienne droite : un peu de douleur à la pression de la fosse iliaque gauche. Les
veau un léger retard dans la percep- tion des impressions. Quelques douleurs constrictives existent encore et revien- nent p
ouloureuse à la pression : elle n'a jamais été non plus le siège de douleurs spontanées. Les mouvements de redressement et d
rienne. Histoire de la maladie. - En 1896, il ressent les premières douleurs ful- gurantes dans les membres inférieurs et bi
l'inclinaison du bassin. b) Sensibilité. - Aux membres inférieurs, douleurs fulgurantes et sensation de boue molle sous les
ans traitement, il y a 3 ans environ. Peu après, elle a souffert de douleurs fulgurantes dans les jambes et dans les genoux
s. Nous relevons, dans notre examen, les particularités suivantes : douleurs en ceinture, fourmillement dans le petit doigt
aître. A 28 ans, c'est-à- dire depuis douze ans, sont survenues des douleurs en éclair dans les jambes. Mais ces douleurs, q
ns, sont survenues des douleurs en éclair dans les jambes. Mais ces douleurs , quoique violentes, étaient assez rares pour que
aller sur le vase, elle entend un craquement et ressent une petite douleur dans l'aine droite. Elle n'attache pas d'autre im
doigt et du bord cubital de l'avant-bras des deux côtés, enfin des douleurs fulgurantes. Pas d'ataxie. La radiographie mo
ressent dans les membres inférieurs, a intervalles éloi- gnés, des douleurs très passagères, mais très vives, en éclairs ; à
s sont appa- rues 16 ans, 12 ans, 3 ans et 2 ans après le début des douleurs fulguran- tes. Sans être un phénomène précoce d
anifesté chez ces malades d'une façon très anodine : quelques rares douleurs fulgurantes sur lesquelles ils n'atti- raient p
la paralysie dans la main gauche et ces troubles sont survenus sans douleurs , sans engourdissements. Le malade ne pouvait ma
t manger seul à cette époque. Pas de troubles de sphincters, pas de douleurs dans les jambes. La fièvre continue et avec elle
s rotulien et d'Achille ni signe de Romberg,ni signe de Lasègue, ni douleurs spontanées ou provoquées des masses musculaires
lexes osseux et tendineux du poignet sont abolis. On ne constate ni douleurs le long des trajets nerveux ou dans les masses
malade à garder le Iit.Le 11 octobre 1895,pa- ralysie flasque sans douleur des deux jambes et des deux bras mais beaucoup
Il n'existe ni troubles trophiques, ni troubles de sphinc- ters, ni douleurs subjectives et objectives le malade accuse une se
cale de 1859. Début en mars un mois après le chancre induré par une douleur sourde dans les jambes, au niveau des mollets e
nsulter en novembre 1895. Depuis 5 ou 6 mois, le malade ressent des douleurs dans les membres qui sont d'ailleurs faibles ;
des réflexes tendineux. Pas de réac- tion de dégénérescence. Pas de douleurs spontanées. Diminution prononcée de la sensibil
de prend syphilis en 1896. En 1897, éruption papuleuse disséminée ; douleur dans la sphère du cubital gauche. Diminution de l
Bientôt paralysie complète des 4 membres avec atrophie musculaire, douleurs la pression des troncs nerveux mais sans trou-
anvier, impossibilité complète de se tenir debout. Le 14 fé- vrier, douleurs dans les épaules avec parésie des muscles du tron
ces derniers muscles Abolition des réflexes rotulien et plantaire. Douleurs à la pression des masses musculaires et des nerfs
eut fléchir les jambes, le 27 remuer les orteils. Dispa- rition des douleurs au niveau des épaules. Le 15 avril, elle commence
un il un, sans aucun ordre régulier. En même temps se montrent des douleurs névralgiques intenses dans le domaine des diffé
nts nerfs rachidiens, avec hyperesthésie de la peau, ou parfois des douleurs en ceinture, signes de l'inflammation des racin
des mains, s'étendant au coude malgré le traite- ment spécifique : douleurs , élancements. En février 1883, douleur au talon
e traite- ment spécifique : douleurs, élancements. En février 1883, douleur au talon gauche, au genou et aux deux bras ; go
tance des troubles de la sensibilité. Insensibilité des 2 mains avec douleurs lan- cinantes s'accompagnant parfois d'engourdi
cinantes s'accompagnant parfois d'engourdissement. Deux mois après douleurs aiguës, avec gonflement du talon gauche, près d
n i un, sans ordre régulier, participations de différents crâniens, douleurs névralgiques intenses, en ceinture, douleurs de
e différents crâniens, douleurs névralgiques intenses, en ceinture, douleurs de la colonne vertébrale, etc. Enfin, sans nier
rapidement avec quelques fourmille- ments dans les extrémités, sans douleur à la pression des nerfs et des masses musculair
a syphilis tigrée de la moelle. La myélite aiguë se reconnaît à des douleurs lombo-dorsales, des troubles sensitifs Ù topograp
e Iymphadénome se distingue par la consistance des tumeurs, par les douleurs , les troubles fonctionnels et généraux et par la
aux habits troués, un vieux coutelas il la cein- ture, trépigne de douleur , crispe ses doigts et serre nerveusement son bo
n pauvre villageois assis sur un tonneau. Et l'homme, affolé par la douleur , ne s'aperçoit pas que, derrière lui, une jeune f
ue. Un patient lié à un fauteuil se débat sous l'im- pression de la douleur que lui cause le chirurgien qui l'opère ; derrièr
t la bouche fortement déviée et la langue tirée vers la gauche, des douleurs de tête très violentes, un délire assez vif, te
sser l'abduction jusqu'à l'horizontale, le sujet se plaignant d'une douleur en un point situé sur la face externe du moigno
ses contours) où la sensation était émoussée pour le toucher et la douleur . Pas d'anesthésie dans le territoire alimenté par
ature, mais quelque temps après il se développe une hémiplégie, des douleurs de tête apparaissent, des troubles de la parole,
emie quand il s'endormit. Il se réveilla à 6 heures avec de violentes douleurs de tête, des nausées, une sensation d'étourdiss
médecin lui enfonça des épingles dans la peau sans provoquer aucune douleur . Huit jours après, il présentait tous les sympt
Il n'y a plus de troubles de la sensibilité cutanée au tact et à la douleur . 240 RENÉ MARTIAL Cependant le malade éprouve
aisselles. Toutes ces tumeurs ont grossi sans provoquer de grandes douleurs . Le malade éprouvait seulement de la gêne. K.
. Une impotence pro- gressive des membres inférieurs accompagnée de douleurs fulgurantes a né- cessité son hospitalisation l
u'alors n'avait ja- mais souffert des dents, ressentit de violentes douleurs dans le maxillaire su- périeur droit, douleurs
ssentit de violentes douleurs dans le maxillaire su- périeur droit, douleurs s'irradiant dans toute la tête et dans la face, c
s dernières, la canine droite semblait l'être le plus. L'acuité des douleurs était telle que la malade ne pouvait dormir et qu
ener dans sa chambre en s'efforçant d'atténuer l'in- tensité de ses douleurs par la compression manuelle des régions endolorie
nt elle n'avait jamais eu ni attaques de nerfs, ni vomissements, ni douleurs viscérales. Le médecin appelé conseilla l'entrée
la malade avait de l'instabilité de la marche, éprouvait , de vives douleurs fulgurantes à partir du genou jusqu'aux pieds. De
e crises gastriques : vomissements alimentai- res incoercibles avec douleurs épigastriques angoissantes. Cet état a duré plu-
e sinus et lui imprimer des mouvements de rotation sans éprouver de douleurs . Par la piqûre on se rend compte en effet que l
alade peut encore enfiler une aiguille. Sensibilité générale. - Des douleurs fulgurantes parcourent les membres inférieurs d
ps elle souffre dans les bras, dans le tronc, mais sans éprouver de douleurs en ceinture. Parfois aussi crises gastriques. P
douleurs en ceinture. Parfois aussi crises gastriques. Pas d'autres douleurs viscérales. Céphalalgies fréquentes. Le décubit
oureux à la pression ; bien plus les attouchements occasionnent des douleurs qui persistent longtemps après le contact. Presby
ntiste chez lequel cette ma- lade avait été amenée par de violentes douleurs fulgurantes dans la sphère du trijumeau s'accom
nOENIG, obs. I.) SOMMAIRE. lloecke, 35 ans, boulanger. Depuis 1872, douleurs rhumatoïdes dans les membres inférieurs : pares
. Phénomène du genou manifeste. Ataxie des deux membres inférieurs, douleurs lancinantes dans les extrémités supérieures et
es et inférieures. Forte diminution de la sensibilité cutanée (à la douleur , au contact, à la pression) et de la sensibilité
sans dépla- cement de l'apophyse épineuse de la 5° lombaire. Pas de douleurs spontanées ou provoquées. Craquements d'intensi
En 1872, apparition, à la suite de refroidissements successifs, de douleurs « rhumatoïdes H dans les extrémités inférieures
ssifs, de douleurs « rhumatoïdes H dans les extrémités inférieures, douleurs progressivement accrues, envahissant bientôt le
baire. Il se redressa cependant aussitôt, sans ressentir la moindre douleur et put continuer son travail comme aupa- rava
male. Ataxie des deux jambes. Abolition ries réflexes rotuliens. Douleurs lanci- nantes dans les extrémités supérieures e
périeures et inférieures. Diminution de la sensibilité cutanée à la douleur , au contact, à la pression. Diminution de la se
de va-et-vient. Ces mouvements, même exagérés, ne provoquent aucune douleur : ils sont accompagnés chaque fois de craquements
RE. De Planque, 54 ans, conducteur des postes en retraite. En 1886, douleurs rhumatismales dans les jambes. Cinq ans après, fo
le corps, surtout dans les lombes. En 1887, en soule- vant un sac, douleur violente mais vite disparue dans la région sacrée
g. Dou- leurs lancinantes très vives dans les membres et le visage. Douleurs semblables dans le rectum et l'urèthre. Douleur
bres et le visage. Douleurs semblables dans le rectum et l'urèthre. Douleurs constrictives épigastriques. Douleurs fron- tal
dans le rectum et l'urèthre. Douleurs constrictives épigastriques. Douleurs fron- tales en casque. Crises gastriques. Paral
toise militaire, il mesure 1 m. 785 mm. Eu 1866, apparaissent des « douleurs rhumatismales » dans les deux jambes et dans le
utanée est il peu près normale, au toucher ; elle est diminuée à la douleur et encore plus affaiblie au chaud et au froid.
inuée à la douleur et encore plus affaiblie au chaud et au froid. Douleurs fulgurantes parcourant les membres inférieurs, ap
s, s'irradiant quelquefois aux épaules, à la face, au cuir chevelu. Douleurs térébrantes dans la région lombaire. Douleurs con
ace, au cuir chevelu. Douleurs térébrantes dans la région lombaire. Douleurs constrictives dans la région lombaire, la régio
n 1886, par dénutrition périostée, en six semaines, sans la moindre douleur . A part une légère contracture en flexion des q
smodiques, avec perte complète de connaissance et absence totale de douleur . Ces secousses atteignent de préférence les bras
sur une chaise longue, dans le décubitus dorsal, jusqu'à ce qu'une douleur fulgurante l'oblige à se tour- ner sur le côté
n peu forte ou la pression dans cette région ne détermine pas de la douleur mais fait naitre une sensation désagréable. Q
ROENIG, obs. 111.) SOMMAIRE. Ilezzz·i, 52 ans, camionneur. En 1865, douleurs fulgurantes de grande intensité, clans la jambe
ensation d'en- gourdissement et de picotements. En 1870, retour des douleurs , crises aiguës aux changements de température.
es écar- tées, talonnante. En 1883, en portant une caisse, violente douleur lombaire, qui disparut après quelques jours. De
ne de Romberg. Ataxie des deux jambes. Diminution re- marquable des douleurs , diminution plus légère de la sensibilité tactile
uable des douleurs, diminution plus légère de la sensibilité tactile. Douleurs lancinantes dans les deux membres inférieurs. A
tait de 1 m. 705. La maladie actuelle date de 1865. A cette époque, douleurs fulgurantes dans les deux jambes, surtout à gau
ur musculaire. En 1868, apparition de paresthésies dans les jambes, douleurs fulgurantes plus violentes. Depuis 1875, pert
ssant une caisse sur un évier, il glissa, et ressentit une violente douleur lombaire, il put néanmoins remonter sur son siè
apparition brusque de crises clitori- diennes. A 35 ans, premières douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs, lancin
e, pas de malformation thora- cique. Deuxième examen en mai 1899. Douleurs vertébrales constrictives. Déformation de la co
s la portion lombaire seulement. Pas de craque- ments articulaires. Douleurs vives à la pression et à la percussion. Mort en
-dire vers l'âge de vingt-deux ans, elle eut dans toute la tête des douleurs névralgiques, qui la forcèrent, dit-elle, à garde
Deux ans après les crises clitoridiennes, apparaissent les premières douleurs fulgurantes parcourant les membres inférieurs t
de haut en bas, particulièrement douloureuses dans les cuisses. Des douleurs lancinantes d'une intensité moindre se montraie
u des articulations. La malade éprouve encore de temps en temps des douleurs , franchement fulgurantes, survenant par crises
loignées et moins violentes qu'autrefois. Il existe encore quelques douleurs en ceinture. Elle a eu ces temps derniers des c
igastrique profonde. Insensibilité des régions ovariennes. Pas de douleur à la pression de la colonne vertébrale. Il n'y a
une partie de la nuit. A la suite de ces fatigues, apparaissent des douleurs parcourant de haut en bas la colonne vertébrale
la malade les compare alors elle-même il la pression d'un étau. Ces douleurs ne viennent pas par crises, elles sont continue
mêmes travaux et supporte les mêmes fatigues que précédemment. Les douleurs réapparaissent avec les mêmes caractères et persi
u corps se casse et se porte en avant. Dans une nouvelle période de douleurs plus intenses que les précédentes, elle est trans
la percussion, même légères, réveillent aux points traumatisés des douleurs intenses qui vont en s'irradiant. Nouv. Iconogr
ses d'une intensité inouïe. Crises gastriques, rectales, vésicales, douleurs fulgurantes, térébran- tes, constrictives, hype
amenèrent seu- lement quelques moments de répit. Au milieu de ces douleurs continuelles, remarquablement aiguës, se déclara
gastriques, calmées par les lavages d'estomac. A 38 ans, premières douleurs fulgurantes. Début de l'ataxie des membres inféri
e la miction, troubles de la vue. Inzpuis- sance génitale. Quelques douleurs constrictives. Usage et abus de morphine. A 50
rrégularités, nodosités nombreuses sur la crête lombaire. Jamais de douleurs spontanées ou provoquées . Correction des dévia
retour des crises. Un an après, à trente-huit ans, apparaissent des douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs bientôt
puissance génitale devient complète à partir de ce moment. Quelques douleurs constrictives du tronc font leur apparition. Dè
t 1896, le malade avait alors cinquante ans, très brusquement, sans douleurs nouvelles, sans exagération des douleurs ancienne
ns, très brusquement, sans douleurs nouvelles, sans exagération des douleurs anciennes,sans phénomènes aigus d'aucune sorte,
s nombreuses. La pression éner- gique ne réveille en aucun point de douleur spontanée. Le malade ne souffre jamais d'ailleu
race de syphilis. Abus des plaisirs véné- riens.A 45 ans, premières douleurs fulgurantes. Chute spontanée des dents. Ptosis
on angulaire. Pas de modifications apparentes des vertèbres. Pas de douleurs , pas de craquements articulaires. Colonne vertébr
ières atteintes de son mal : à cette époque, en effet, il fut pris de douleurs à type fulgurant, siégeant dans les pieds et le
nt, siégeant dans les pieds et les jambes, arrivant par crises. Ces douleurs n'étaient cependant jamais assez fortes pour néce
interne de l'oeil droit. L'année suivante, en 1882, survenaient des douleurs en ceinture, constric- tives, d'une grande inte
c- tives, d'une grande intensité. En même temps, s'installaient des douleurs gas- triques : une première crise dura trois jo
fit usage des eaux de Lamalou. Son état n'en fut pas amélioré. Les douleurs à type fulgurant avaient disparu depuis quelque t
pré- cédente, lorsque débuta, sans efforts, sans traumatisme, sans douleurs rachi- diennes non plus, une déviation de la co
sibilité des lèvres, des gencives, des joues est normale. Jamais de douleurs fulgurantes dans la tête ou dans la face : le mal
épaissie. La pression exercée le long de la colonne ne réveille ni douleur localisée, ni douleurs irra- diées, et en parti
exercée le long de la colonne ne réveille ni douleur localisée, ni douleurs irra- diées, et en particulier la région lombai
ent indolore. Jamais non plus, le malade n'a éprouvé à ce niveau de douleurs spontanées. Enfin les mouvements de redressemen
AIRE. Homme 59 ans. Pas de syphilis. Alcoolisme probable. A 41 ans, douleurs rhumatismales et crises gastriques. A 54 ans, dou
e. A 41 ans, douleurs rhumatismales et crises gastriques. A 54 ans, douleurs nettement ful- gitrantes, troubles des sphincte
thorax droit. Pas de modifications apparentes des vertèbres. Pas de douleurs . Pas de craquements. Immobilité complète de la co
est bien portant. Vers l'âge de quarante-quatre ans, apparurent des douleurs qualifiées de rhu- matismales par le malade, sa
les deux pieds, une lourdeur gênante dans la jambe droite, puis des douleurs véritablement fulgurantes dans les doigts du pi
pation opiniâtre. Les érections se suppriment à cette époque. Les douleurs fulgurantes augmentent de fréquence et d'intensit
: elles siè- gent de préférence dans le membre inférieur droit. Des douleurs constantes à type ardent se montrent des chevil
périeures et inférieures. Enfin le malade eut pendant longtemps des douleurs fulgurantes nocturnes, exactement locali- sées
ation,la percussion forte ne réveillent en aucun point du rachis de douleur localisée ou irradiée. Jamais les vertèbres n'ont
r localisée ou irradiée. Jamais les vertèbres n'ont été le siège de douleurs spontanées et le malade ne s'était jamais aperçu
ace de syphilis. Abus des plaisirs véné- riens. A 45 ans, premières douleurs fulgurantes. A 50 ans, chute de voiture, luxati
fissure probable du crâne, commotion cérébrale. Augmenta- tion des douleurs fulgurantes. A 51 ans, chute spontanée des dents.
vers l'âge de quarante-cinq ans, M. D... com- mença à éprouver des douleurs qu'il considérait comme rhumatismales, mais qui
qui étaient, bel et bien, d'après la description qu'il en fait, des douleurs fulgu- rantes : elles survenaient par crises, s
nnée qui le suivit, il perdit, l'une après l'autre, sans la moindre douleur ni trace de suppuration, toutes les dents de la
comme les femmes pour uriner : il ne peut pas uriner debout. Les douleurs fulgurantes existent encore et gardent leur extrê
bia, ou tirailler brutalement les articulations sans pro- voquer de douleur . Enfin, depuis une quinzaine d'années, il s'est
Syphilis à 25 ans, non traitée spécifiquement. A 40 ans, premières douleurs fulgurantes. A 50 ans, inclinaison du tronc en av
utation double, pas de récidives sur les moignons, conservation des douleurs fulgurantes dans les orteils-fantômes. A 58 ans,
c in- clinaison latérale possible dans une petite étendue. Pas de douleurs spontanées, à la pression ou à la percussion brus
t n° 26, service de M. le professeur Pitres le 4 novembre 1899 pour douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs. Son pè
ès sa syphilis, vers t'age de quarante ans, le malade ressentit des douleurs fulgurantes, siégeant principalement aux membre
..., a vu son genou droit grossir progressive- ment sans la moindre douleur et acquérir un volume inquiétant. Depuis un an,
gauche. Les réflexes iriens à la lumière, à l'accommo- dation, à la douleur , à la convergence sont normaux. Il n'existe pas d
de cette obser- vation. La sensibilité épigastrique profonde à la douleur est conservée. Les réflexes abdominaux supérieu
, le tiraillement, la dis- location de la jointure n'amènent aucune douleur . La force de résistance est très grande cependa
cchy- motique, survenue, dit le malade, après une violente crise de douleurs . Il n'existe pas de troubles trophiques apparen
archer les yeux fermés ou il reculons. Le malade ressent encore des douleurs il type fulgurant qui sillonnent les membres et
leurs il type fulgurant qui sillonnent les membres et le tronc. Ces douleurs laissent quelquefois comme trace de leur passag
semaines, reviennent maintenant tous les trois ou quatre jours. Ces douleurs ont pour siège principal les membres inférieurs,
onques. , La sensibilité cutanée au contact, à la température, à la douleur paraît dimi- nuée il gauche, mais très légèreme
ans, c'est-à-dire sept ans environ après l'apparition des premières douleurs fulgurantes, il s'aperçut d'une voussure de son d
n point, la pression ou la percussion fortes ne réveille la moindre douleur , la plus petite sensation désagréable. La vouss
ourbure. Cette manoeuvre ne réveille encore chez le ma- lade aucune douleur . Examiné dans la station debout (voir pl. XLII)
ticulaire vertébral. A aucun moment encore, le malade ne ressent de douleurs rachidiennes quelconques. ' A suivre.) NOU4.
a face, de la tête et du cou est normale sous tous ses modes, tact, douleur , température. Les sensibilités spéciales (vue,
; la sensibilité des membres supérieurs sous tous ses modes (tact, douleur , température) est normale. Les réflexes olécr
le il est venu consulter, à 4 ans. A cette époque, il a souffert de douleurs ;i la région précordiale, de pal- pitations, le
exagérés. La sensibilité olfactive est conservée, la céphalée, les douleurs de reins, les sensations de fatigue, un état ne
ri complète- ment, mais conservant une grande faiblesse et quelques douleurs diffuses, mal limitées dans la tête..... au moi
euvent exé- cuter des mouvements, surtout quand d'11 provoque de la douleur à leur niveau. L'insensibilité à la douleur, en
and d'11 provoque de la douleur à leur niveau. L'insensibilité à la douleur , en effet, est totale du coté paralysé..... Le ve
i en' apparence. Un an plus tard environ il était pris de violentes douleurs de tète et mourait d'un abcès cérébral ; Geschw
de liquide louche. Il est venu consulter à l'hôpital pour quelques douleurs qu'il éprouvait dans les jambes. Là on reconnut p
300. En rapport avec le diabète, on note un prurit cutané, quelques douleurs lan- cinantes dans les jambes, une sensation de
e quitte l'hôpital le 8 mai. Il y rentre le 18 mai, se plaignant de douleurs dans les membres inférieurs (1) Nous avons pu v
de étant plus pâle que l'oppo- sée. Il n'y avait aucune espèce de douleur , les articulations des doigts, du poignet, du c
e elaujourd'hui toute écriture est impossible non pas à cause de la douleur , mais parce que les mouvements ne se font plus.
de toutes les parties du corps resle négatif, le malade n'a aucune douleur , ne se plaint de rien que de son membre supérieur
de sa veste ; s'il tombe il ne peut se relever. Il n'y a pas eu de douleurs accusées durant tout le cours de la maladie. Et
r angle inférieur bascule en dehors. La sensibilité est normale, ni douleurs spontanées, ni troubles sensoriels. Les réflexe
l'histoire du tabes. Nous les avons rencontrées avec les premières douleurs fulgurantes, nous les avons vues d'autre part pré
te. L'équilibre vertébral n'est pas tout à coup rompu. L'absence de douleurs est la règle comme dans toute arthropathie taléti
insignifiant, d'un effort, il ressort un craquement lombaire : une douleur légère, rapide- ment dissipée, l'accompagne. Au
peu de place dans l'esprit des malades, préoccupés par ailleurs de douleurs fulgurantes de crises viscérales, de l'impossibil
de début, sans la moindre dou- leur. Il n'existe à aucun moment ni douleurs spontanées ni douleurs pro- voquées par la pres
dre dou- leur. Il n'existe à aucun moment ni douleurs spontanées ni douleurs pro- voquées par la pression ou par la percussi
à cette règle (obs. IX). Chez Marie M... en effet nous avons vu des douleurs vertébrales survenir par crises paroxystiques,
ait pour se retenir, il perçoit un craquement lombaire; mais aucune douleur n'apparaît à ce niveau et il continue son travail
e Kroenig, en hissant une caisse sur un évier, ressent une violente douleur lombaire qui persiste quelques jours et laisse
0STÉ0-ARTHR0PATH1ES VERTÉBRALES DANS LE TABES 4a t avant (obs. VI). Douleur lombaire, tressautement des vertèbres, sensation
és et rarement d'ailleurs, la pression du doigt réveille une légère douleur (obs. VI). Souvent ce n'est même pas une sensatio
rer cette excursion lombaire sans cependant faire naître la moindre douleur . Chaque déplacement vertébral était accompagné de
s. Une seule, la précédente, signale leur existence. L'ab- sence de douleur , au contraire, parait être la règle. La douleur n
nce. L'ab- sence de douleur, au contraire, parait être la règle. La douleur n'est ja- mais réveillée, nous l'avons vu, par
recte. Elle n'apparaît jamais non plus spontanément. Il n'existe ni douleur localisée, ni dou- leurs irradiées ; le malade
d'un léger traumatisme, un craquement lombaire apparaît, une légère douleur l'accompagne, une déviation de la colonne verté
lus d'une gibbosité lombaire qui ne lui procure jamais la moin- dre douleur . L'ataxie des membres inférieurs croit de jour en
pauvre diable, de mise fort simple, qu'il vient d'opérer, non sans douleur , car celui-ci appuie tris- tement sa main gauch
rai, rien n'est plus justement observé. Larmes et sourires, joie et douleur vont en se côtoyant dans le même rayon de lumiè
ucune maladie. Ses parents vivent encore; ils souffrent parfois- de douleurs rhumatismales; la mère n'a jamais fait de fauss
i en parlant, ni en mangeant ni même en buvant ; elle ne ressent de douleurs dans aucune partie du corps, pas même des maux
à des craquements dans les épaules ; et elle a souvent l'hiver des douleurs vagues. Elle fait remonter à cette époque la sail
tion, d'abord à droite, puis dans les deux membres in- férieurs, de douleurs fulgurantes. Quelques années plus tard, un peu de
7, début des arthropathies. Le genou gauche, insidieusement et sans douleur , augmenta de volume, à l'insu du malade, qui ne f
ropathie vertébrale apparait de dix à quinze ans après le début des douleurs fulgurantes, il faut cependant signaler la prés
'effondrement subit d'une partie latérale d'un corps vertébral. Une douleur l'accompagne, la cause en est à la compression mo
ssager, c'est plutôt un choc qu'une véritable compression, aussi la douleur est-elle vite dissipée. De plus les racines rac
n, trois éléments se surajoutent aux précédents, le traumatisme, la douleur et la localisation lombaire. Mais ils ont encore
ls ont encore des caractères spéciaux, le traumatisme est léger, la douleur est passa- gère, les lombes n'offrent encore au
thoracique et tous ces changements se font avec un manque absolu de douleurs . Cer- taines vertèbres disparaissent en partie,
t une gibbosité et des modifications osseuses secondaires, mais les douleurs spontanées pottiques suffisent à elles seules p
de traiter d'une manière aussi pénible un mal qui ne lui causait ni douleur , ni gêne, ni inquiétude. Nous avons pensé comme e
s souffrances de nos tabétiques une nouvelle cause d'embarras et de douleurs inutiles. UNIVERSITÉ DE LAUSANNE LABORATOIRE
roubles, La musculature est flasque La sensibilité de la peau (à la douleur surtout, la sensibilité électro-cutanée, et à u
cents pieds pour l'arrêter. En saisissant l'animal, il éprouve une douleur dans la région occipi- tale gauche. Cette doule
l, il éprouve une douleur dans la région occipi- tale gauche. Cette douleur persista, mais comme il ne souffrait pas davantag
, il y a environ cinq ans 180, aujourd'hui 160. La sensibilité à la douleur , à la main et à la cuisse droite sont très attein
on dans ces régions est bonne, mais imparfaite. La sensibilité à la douleur (piqûre ou brosse électrique) est un peu plus aig
nt plus molle à la pression et hyperesthésiée. C'est le point où la douleur a régné depuis l'accident continuellement pendant
ui dataitdu jour de l'accident. Observation XXV. HILTON, Repos et douleur , New-York-, 1877, p. 16-17. Il y a quelque temp
ments des doigts étaient possibles. La sensibilité au toucher, à la douleur et à la chaleur était conservée, la pa- ralysie
s. - - Sensibilité. - Le malade ressent dans tout le bras droit des douleurs qu'il compare à des coups d'épingle. L'avant-br
doigts du même côté ne donnent lieu à aucun phénomène subjectif, ni douleurs , ni fourmille- ments, zone d'hypoesthésie étend
main droite était plus malhabile que sa gauche. Il avait de fortes douleurs de tête, mais pas de fracture. Son médecin ordonn
est situé exactement dans la zone de Broca. Le malade se plaint de douleurs vives survenant par accès dans la main droite e
erminée par une pointe de fer. Aussitôt il n'avait ressenti que des douleurs qui ne l'avaient pas interrompu 550 RENÉ martia
ès une demi-année, seraient survenues des attaques pé- riodiques de douleurs de tête, pendant lesquelles il était souvent inco
Cependant le sens stéréognostique est conservé. La sensibilité à la douleur paraît exagérée du côté droit, mais le malade lo-
usieurs mois à St-Louis, se portant assez bien mais se plaignant de douleurs de tête et d'une sensation de travail- lement-d
urrier médical de Paris, t. XXIV, p. 19. 1871. HiLTOx. - Repos et douleur . New-York, p. 1C-i7. 1882. Durz.nrr. - Encéphal
it représenté par un homme occupé à panser une plaie. Ici, c'est la douleur d'une extraction de dent qui prend un sens allé-
rme très douloureuse j'ai Fm. 28. ' 596 MARINESCO pu calmer les douleurs du malade grâce à l'injection de cocaïne dans l
avait débuté d'une manière insidieuse pendant la gros- sesse, sans douleur , et avait eu des alternatives d'augmentation et d
evinrent raides, le dos se voûta petit à petit ; jamais il n'y eut de douleurs ou de troubles intellectuels ; au début de la m
s sûr est d'aller à l'arracheur de dents, Qui promet les tirer sans douleur ny tourment. Le principal intérêt de cette grav
leur douceur. Et s'ils ne se vantent pas à l'avance d'o- pérer sans douleur , du moins n'agissent-ils qu'avec sollicitude et a
nt «... comment on arrache les dents, ou [qui branlent, ou qui font douleur , ou qui sont trouées, ou font puanteur de bouch
il tient à s'assurer, avant de recourir au fer,du siège exact de la douleur . Et renversant en arrière la tête de son client
ve, assis dans un fauteuil, serrant les poings dans l'attente de la douleur su- raigue que produira le contact de la dent v
act de la dent vraiment atteinte, car, comme dit Ambroise Paré « la douleur de dents est la plus grande et cruelle entre to
la douleur de dents est la plus grande et cruelle entre toutes les douleurs , sans mort ». Cette scène est fort heureusement
crispe les poings, ferme les yeux et racle le sol de ses talons. Sa douleur doit être fort vive; mais il veut la supporter. E
e- pendant l'opération est terminée, sans instrument et sans grande douleur . Le gamin, qui a eu plus de peur que de mal, de
sait-il le secret de faire choir les dents sans instruments et sans douleur . , Sonnet de Courval (1) nous apprend qu'au déb
homme, sachant « tirer et arracher (les dents) sans exciter aucune douleur n'y mesme sans user d'aucun instrument ou polican
de dents « entreaultres immortelles passions desquelles l'homme ha douleur , est plus moleste... » ? ? Campé sur son cheval
ds friands des exhibitions sensationnelles qu'à couvrir les cris de douleur desopérés. Les âmes simples peuvent ainsi s'ima
âmes simples peuvent ainsi s'imaginer que l'extraction se fait sans douleur . Dans la seconde (fig. 3),le dentiste est accom
été mauvaises, ni que cette brutale extraction se soit passée sans douleur . Mais il est notoire que ce supplice valut à Ap
15 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
férieurs sans VI . 1 2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. douleur d'aucune sorte. Les jambes ne fléchirent pas sous
spamodique qu'on observe parfois, dans un autre groupe de cas, des douleurs fulgurantes res- semblant à s'y méprendre à cel
ques et amaigris est très douloureuse. Il n'existe cependant pas de douleurs spontanées. Absence absolue des réflexes rotuli
nance de la paralysie du côté des groupes exten- seurs, joints à la douleur qu'on provoquait en pressant les masses musculai-
ut- être les résultats de l'examen électrique. Mais il manquait les douleurs spontanées et elle niait tout alcoolisme. Enfin
e des membres inférieurs avec troubles vé- sicaux s'accompagnant de douleurs spontanées extrêmement vives qui gué- rit rapid
ade u'a pas remarqué que sa voix soit modifiée. La sensibilité à la douleur , il la température et il l'électricité est conser
deux marchent bien, sans ataxie et ne sont plus tourmentés par les douleurs caractéristiques. On dira peut-être que deux ca
pas trompée. La faradisa- tion de la région claviculaire calme les douleurs de la névrite brachiale si elle est faite du cô
nces facilitaient les mouvements et calmaient à un certain degré la douleur ; l'amendement n'était pas très considérable mais
ue nous avions nous-mêmes vivement désirée ne fut pas obtenue. Leur douleur s'en accrut d'autant et ils rentrèrent chez eux
et, qui exprime la puissance du prêtre, lui causa de monstrueu- ses douleurs qu'il exhala en hauts gémissements et soupirs. Le
e bornait de temps en temps à me cracher au visage avec mépris. Les douleurs qu'éprouvait le démon quand je le menaçais du S
ur sa poitrine un petit reliquaire. Il est impossfble de dépeindre la douleur que le méchant esprit devait souffrir. Le visag
Le visage de l'enfant était déchirant ; sur ses traits se lisait la douleur . Dans ces conditions, je conjurai le diable presq
du visage, avec de hauts gémissements et avec les signes d'une vive douleur , ad- juré d'abandonner l'enfant, le diable répo
entuée pour mériter le nom d'arthrite traumatique), c'é- taient les douleurs très vives dont se plaignait le malade, douleurs
), c'é- taient les douleurs très vives dont se plaignait le malade, douleurs qui siégeaient dans la partie antérieure de l'a
la plaie antibrachiale. Il était pansé tous les deux jours, car ces douleurs nous étonnaient un peu, et nous ' le suivions d
ts, le malade accuse, au niveau de la plaie, des élancements et des douleurs fulgurantes. Puis tout se calme et 8 jours aprè
porte \ sur les trois modes de sensibilité, à la température, à la douleur et au con / tact. C'est donc une anesthésie vra
ris analgésique est ordinairement indolent; il peut présenter de la douleur et un aspect enflammé qui lui a fait donner le no
ires ; les lésions sont généralement multiples, s'ac- compagnant de douleurs rhumatoïdes avec faiblesse et atrophie du mem-
sont dissociés, c'est-à-dire qu'il y a perte de la sensibilité à la douleur et à la tempéra- ture, avec conservation de la
la plupart des cas, ou bien, quand les névrites s'accompagnaient de douleurs trop vives (car il y a des névrites extrêmement
cutive à une plaie de la main, et dont la névrite s'accompagnait de douleurs atroces. Aujourd'hui, grâce à l'antisepsie, et
4 ans, pendant l'établissement de la mens- truation, ont débuté des douleurs dans la jambe gauche. Un peu plus tard, la jamb
elle a pu se lever et a repris peu à peu la faculté de marcher. Les douleurs qui n'ont jamais cessé, ont pris par la suite le
arsienne. Le gonflement articulaire progresse lentement sans aucune douleur et sans l'empêcher de marcher. En février 189
ques-unes si violentes que la malade croyait en mourir. Ce sont des douleurs en ceinture avec vomissements, et constipation. E
lis. Les troubles de la sensibilité sont trèsmarqués. Ce sont des douleurs fulgurantes dans les quatre membres, se mon- tr
existe une espèce de dysesthésie en bottine. La sen- sibilité à la douleur (piqûre, pincement) est abolie aux deux membres
se met en varus ou valgus. Tous ces mouvements ne provoquent aucune douleur . L'articulation tibio-tarsienne droite présente
bia, sans craquements, ni hydar- throse, ni mouvements anormaux, ni douleur . L'articulation tibio-tarsienne gauche affecte
ion, le pied se met en varus. Il n'y a ni rou- geur, ni chaleur, ni douleur . Les autres articulations ne présentent pas d'a
traitement ioduré. A 31 ans, sans cause appréciable surviennent des douleurs fulgurantes et térébrantes des membres inférieu
ent des douleurs fulgurantes et térébrantes des membres inférieurs, douleurs passagères revenant une à deux fois par mois et
ux fermés, le malade est incapable de marcher sans trébucher. Les douleurs fulgurantes des extrémités inférieures ont sensib
lie à la plante des pieds. Il en est de même de la sensibilité à la douleur . La notion de la position des membres est conse
s 1/2, celle du genou droit 35. Il n'ya pas d'hy- darthrose, pas de douleurs , pas de rougeur. Les mouvements passifs sont ac
t peut mettre la plante du pied sur le sol. Elle n'a jamais eu de douleur ni d'ataxie. Actuellement (février 1893) elle e
enseurs ne font pas saillie. Il n'y a pas d'ankylose, ni rougeur ni douleur . Le traitement par les injections Brown-Séquard e
cre induré un an auparavant. Paraplégie flasque à début subit, sans douleurs . Participation des sphincters. - 1J;lol't subite
hute sur le dos, a la suite de laquelle il aurait ressenti quelques douleurs en ceinture. Mais cet accident n'a pas eu d'aut
abolis : pas d'épilepsie spinale. La sensibilité au contact et à la douleur est conservée partout; mais la sensibilité à la t
les réflexes pupillaires sont conservés. Le malade n'a jamais eu de douleurs et ne souffre en aucune façon. Il présente actu
ette forme de ptosis est incomplète ; il y a de la photophobie et des douleurs fronto-pariétales du même côté que le ptosis. D
ur entourage et l'embarras du médecin quand il vient se joindre aux douleurs de tête de la somno- .lence, de la fièvre et de
odiques de l'hystérie : ils surviennent « brusquement et sans autre douleur que celle de l'acte même, ce qui les distingue de
892, notre petit malade qui se plai- gnait depuis quelques temps de douleurs de tête perdit tout à coup l'appétit ; il se mi
sensibilité au contrat coïn- cidant avec la perle des sensations de douleur et de température) sur les mem- bres inférieurs
brûle ses chairs jusqu'à la carbonisation, sans éprouver la moindre douleur . Cette brûlure fut longue à guérir. La zone d'a
ans cause connue, sans traumatisme antérieur, le malade ressent une douleur très légère et un engourdissement dans le gros
ecin, se creuse à ce niveau, non sans déterminer quelques violentes douleurs . Des applications phéniquées ont, à la longue,
es faces plantaires ; ils se formaient la nuit, sans occasionner de douleur , et s'accompagnaient parfois d'un léger mouvement
ade après cassure sans que cette ostéo- clasie ait causé la moindre douleur ; l'ulcère s'est cicatrisé quatre ou cinq jours
il son bord libre. Pied droit (fig. 7). Motitité normale. Quelques douleurs pendant la flexion ou l'extension forcée des or
de cloche; l'ongle très altéré est tombé à plusieurs reprises, sans douleur . Sur le bord externe du pied et un peu en arrière
atteint pas d'os dénudé. La flexion du pied est douloureuse; pas de douleurs spontanées. Les lésions gran- dissent en hiver.
ielle ; si on enfonce l'épingle dans les régions sous- cutanées, la douleur est réveillée par la piqûre. Celle-ci est perçue
ensitives. Les tes- ticules sont à peine sensibles à la pression. Douleurs spontanées. Sensation de constriction élastique d
jet fistuleux situé sur la pulpe; ce panaris évolue d'ailleurs sans douleur . L'examen du pus, pratiqué sur un très grand no
chémas ci-contre (fig. 13, J1), la sensibi- lité au contact et à la douleur persiste, mais il y a de l'analgésie. Les sensa-
X HANCHES S 145 Grand-père paternel mort à 75 ans, il aurait eu des douleurs rhumatoï- des dans sa vieillesse. Grand'mère
oir. Tôle lourde sur- tout frontale. La même année il éprouva une douleur dans l'aine du côté gauche. Avec quelques frict
Au môme moment ou un peu après le malade ressentit les premières douleurs en éclair ; elles le surprenaient soit dans la jo
ien entendu, bilatérale. Hyperesthésie cutanée pendant et après les douleurs (1). Vers 1887 ou 1888 (2). Il eut aussi vers c
et forcée de la cuisse gauche en dehors et il éprouva aussitôt une douleur assez vive dans l'aine de la hanche gauche, en
vertébrale. Au bout de 10 jours il fut pris la nuit d'une crise de douleurs dans le ventre, puis dans l'estomac. Il eut d'a
e. Mais il a eu là une crise de la gastrique bien caractérisée : la douleur le prenait des deux côtés du ventre au-dessus d
s lui au point qu'il mit un genou en terre. Il n'éprouva que peu de douleur à ce moment ; il put regagner à pied le chemin de
uisse et de la hanche augmenta sans que le malade éprou- veut de la douleur ou de la fièvre. De retour chez lui, le lendema
- bre inférieur droit (Il mai 1891). Il souffrit pendant 2 jours de douleurs très pénibles, mais fixées dans toute la jambe.
ette période il eut une crise de vomissements qui dura 7 à 8 jours. Douleurs dans le ventre et dans l'estomac ; vomissements g
mieux, mais en décembre 1891 il fut pris comme d'ordinaire par des douleurs de ventre puis des crampes d'estomac ; il eut d
us en plus fréquentes. Entre ces crises le malade a quelquefois des douleurs dans les épaules ou dans les reins ; mais ces d
lquefois des douleurs dans les épaules ou dans les reins ; mais ces douleurs ne sont pas aussi \ ives que les dou- leurs de
du d'avant en arrière sans d'ailleurs que le malade perçoive aucune douleur : il s'agit là d'une mobilité anormale. Il n'y
7e jour, la paralysie est absolue : en même temps survien- nent des douleurs .spontanées sous forme d'élancements. Pendant les
lité reste intacte sous tous ses modes ; mais le malade ressent des douleurs spontanées violentes qui, partant des pieds, re
Directeur. La Rédaction de l'Iconographie s'associe à la profonde douleur de sa Famille. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
Maux de tète tenaces, digestions pénibles, insomnies persistantes, douleurs erra- tiques dans le dos et les membres, etc.,
notre Sauveur mourir sur la croix entre deux voleurs, souffrant des douleurs infinies, je commençai mon voyage qui ne devait p
des portraits du Juif-Errant où l'artiste accentue l'expression de douleur et de lassitude (1), on est ici en présence d'un
ui sont l'empreinte laissée par les longues misères et les cruelles douleurs . (1) Personne ne l'a jamais vu rire, Chrysostom
8 ans auparavant : K la suite, violentes céphalées spécifiques, puis douleurs très intenses dans la région cervicale du rachi
sées dans la région oc- cipitale principalement. Puis elle a eu des douleurs très intenses dans la région delà nuque. Ou voi
a 3 semaines. Survient alors un grand affaiblissement général ; les douleurs cervicales reparaissent (1), la faiblesse des mem
r d'artillerie. (1) Il n'est pas spécifié dans l'observation si ces douleurs rachidiennes et les céplialées qui les ont préc
poesthésie dans tout le côté gauche. La malade se plaint surtout de douleurs spontanées dans la région de la nuque, avec irr
ui est arrivé hier. - 7. Plus de vomissements. Recrudescences des douleurs dans le cou et dans les deux épaules ; la malad
dromique consiste es- sentiellement en troubles de la sensibilité : douleurs rachidiennes plus ou moins irradiées ; fourmill
ici. Les troubles cérébraux graves ont disparu ou à peu près ; les douleurs céphaliques très atténuées commencent à s'ir- r
t les suivants. Semblable en cela aux céphalées qui ont précédé, la douleur rachidienne se produit principalement la nuit. Da
n cervicale, la rachialgie s'accompagne de raideur de la nuque avec douleurs irradiées dans le cou, dans les membres supérieur
peut se propager aux régions correspondantes du tronc sous forme de douleurs extrêmement violentes, comparables à des brûlur
sitôt son arrivée dans cette ville, elle ressent, sans fièvre, des douleurs intenses au niveau de la nuque, le long de la c
a colonne vertébrale, particulièrement dans la région lombaire. Ces douleurs irradiaient dans les deux côtés du thorax, par-
dos phénomènes oculaires, ptosis, myosis, diplopie. Octobre. Les douleurs des deux côtés du thorax sont atroces : la malade
es dans le membre inférieur gauche, et le mollet est le siège d'une douleur persistante. A cette époque, la jambe droite se
raplégie spinale avec hémianasthésie croisée). Vers janvier 1892, douleurs à la nuque surtout quand la malade retourne un
tite purulente. Par deux fois troubles cérébraux congestifs subits. Douleurs en cein- ture. La paralysie devient un peu mo
ternatives de rétention et d'incontinence d'u- rine. - - 25 juin. Douleurs de tète horribles du côté gauche. Sensation de to
Puis paralysie du moteur oculaire externe gaucho avec myo- sis. Les douleurs disparaissent le jour où s'établit la paralysie o
mais pas de trépidation de ce côté. Réflexes olécraniens normaux. Douleurs toujours très vives dans le côté droit au niveau
jours. Le 30 juillet l'état est le suivant : cessation complète des douleurs du côté ; la marche est meilleure. Mme M. peut
ainsi répétées chaque nuit pendant une période de 4 à 5 semaines. La douleur siégeait principalement dans la région occipita
mois de janvier 1893, les céphalées nocturnes ont rait place à des douleurs rachidiennes lombaires (l'une gra1l ! le jnt(,lIi
LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 223 Le malade éprouve toujours des douleurs nocturnes lombaires, telles qu'et- les ont été
ans l'é- tendue des deux membres inférieurs : contact, température, douleur , tout a été exploré négativement. La miction
x coudes et aux poignets, mais le malade n'y accuse ni faiblesse ni douleur . La sensibilité y est également normale. Rien d
s du soir jusque ers le le- ver du jour, il ressentait de violentes douleurs dans la colonne vertébrale. Beau- coup plus int
récédente. Tuméfaction indolente des ganglions de l'aine, suivie de douleurs à exacerbations nocturnes dans les crêtes tibiale
s tibiales, de céphalée 9 mois plus tard, raideur de la nuque, avec douleurs vives irra- diées dans les bras, les avant-bras
vulve. A quelque temps de là, elle ressentit dans les deux jambes des douleurs sourdes qu'elle localise d'une façon très préci
ocalise d'une façon très précise dans les deux crêtes tibiales. Ces douleurs étaient continues ; mais s'exagéraient le soir et
qu'elle n'é- tait pas sujette il la migraine antérieurement). Les douleurs dans les crêtes tibiales persistèrent plusieurs s
i maux de gorge, ni chute de cheveux. Eu juin 1891 survinrent des douleurs dans les membres supérieurs. C'étaient des doul
survinrent des douleurs dans les membres supérieurs. C'étaient des douleurs sourdes et profondes que la malade localise dans
elle mentionne très nettement le retour vespéral et nocturne de ces douleurs . Dans la journée elle était dans un calme relatif
eptembre et d'octobre 1891, la malade se rétablit complètement, les douleurs avaient entièrement disparu. A la fin de novemb
s avaient entièrement disparu. A la fin de novembre 1891, nouvelles douleurs , cette fois-ci partant très net- tement de la r
de regarder de côté. En janvier 1892 diplopie très nette ; puis les douleurs lancinantes gagnèrent les deux mains. Dans la m
main gauche en outre cette main a un peu maigri. A la même époque, douleurs très ives tout le long de la colonne vertébrale
s clans la région sternale. Jamais la malade n'a éprouvé la moindre douleur dans les membres inférieurs. Du côté de la vess
Vers la fin du même mois l'oeil gauche se ferme complètement ; les douleurs lancinantes augmentent d'intensité dans les membr
és et douloureux - occlusion complète de l'oeil gauche faiblesse et douleurs dans les deux mem- bres supérieurs avec atrophi
e à la contraction des muscles de la nuque. De plus on provoque des douleurs vives qui s'irradient dans la région sternalc, da
, au niveau des nerfs du plexus brachial que l'on provoque de vives douleurs . Elles s'irradient aussi vers les bras et vers
les yeux fermés. Sensibilité. Troubles subjectifs : La malade a des douleurs de deux sortes ; les unes sourdes et continues,
ILITIQUE 231 vements sont encore douloureux ; mais il n'y a plus de douleurs lancinantes spontanées. Les muscles de l'avant-
a flexion extrême de la tête seulement, la malade accuse une légère douleur il la nuque. L'atrophie des muscles de la mai
u côté de la colonne vertébrale et des membres supérieurs : plus de douleurs du tout. Dynamomètre, 19 kilog. il gauche, 20 ki-
oséole et des papules syphilitiques, éprouve un matin au réveil des douleurs dans la nuque, puis dans les deux épaules. Le cou
ictions mercurielles, tous les accidents cutanés disparaissent. Les douleurs , l'hyperesthésie cessent : il persiste seulemen
es engourdissements, des fourmillements des extrémités, parfois une douleur lombaire peu intense, et principalement des phé
rande violence ; et, après une période d'accalmie, apparaissent des douleurs sourdes dans la région lombaire et dans les mem
n, malaise général, perte d'appétit, mauvaises digestions. Puis des douleurs sourdes dans les reins et dans les mem- bres in
à se retourner sans aide dans son lil. Sensibilité. Le contact, la douleur , la température sont perçus partout sur le tron
s accentuée. Les réflexes plantaires sont très forts aussi. Comme douleurs spontanées, le malade accuse des douleurs sourdes
très forts aussi. Comme douleurs spontanées, le malade accuse des douleurs sourdes, peu in- tenses, à exacerbations, mais
mbaire). La par une pression même légère, le malade accuse une vive douleur . Comme phénomènes céphaliques, on note quelques
ui n'existait pas au début. Le malade se plaint maintenant de vives douleurs en ceinture et en particulier d'un point doulou-
ainsi aux jambes, alors même que le malade n'a pas conscience de la douleur causée par l'application de l'électrode. 29 aoû
ge plus; il a maigri; son teint est cachectique. Il se plaint d'une douleur sourde permanente tout le long de la colonne vert
raciques. Il éprouve en outre un peu de raideur de la nuque, et des douleurs profondes et continuelles dans les épaules et dan
spendues depuis 4 semaines, sont reprises. 15. Amélioration : les douleurs et la rigidité de la nuque ont disparu. Mais la
mois, parfois même d'années. Ce sont d'abord des paresthésics, des douleurs dans les membres inférieurs, dans le rachis ; d
é en avril 1891. Début des accidents en avril 1892 par de lé- gères douleurs dans les membres inférieurs et de la lenteur dans
il l'occasion de la maladie actuelle. En avril 1892, il ressent des douleurs sourdes dans les deux membres infé- rieurs, pri
e qu'à droite (sur la jambe et sur le pied). Le froid est perçu comme douleur et non comme froid daus ces parties, et même a
autre tare morbide, les accidents médullaires sont annoncés par des douleurs sourdes dans les extrémités ; puis survient de la
uloureux dans la région intersca- pulaire. Deux jours plus tard, la douleur augmentait d'intensité et gagnait toute la régi
ès gênés et très douloureux, comme s'il avait eu le torticolis. Ces douleurs étaient conti- nuelles ; mais à de certains mom
nt, l'état mental redevint ce qu'il était auparavant. Seulement les douleurs de tête firent place à des douleurs rachidienne
était auparavant. Seulement les douleurs de tête firent place à des douleurs rachidiennes dans la région dorsale et lombaire i
urs rachidiennes dans la région dorsale et lombaire inférieure. Ces douleurs étaient aussi violentes que celles de la région c
ma- ladie, en même temps qu'il ressentit pour la première fois des douleurs rachi- diennes. Il existe encore actuellement
s appréciables de la sensibilité : le contact, la tem- pérature, la douleur , sont parfaitement perçus et localisés. Le malade
nstant. II prétend éprouver tous les soirs dans les deux jambes des douleurs fulgurantes, qui s'ac- compagnent de contractio
Or les troubles vésicaux étant dans ce cas très peu importants, les douleurs peu intenses, et les troubles subjectifs de la
se aiguë. Le malade n'a jamais éprouvé d'autres souffrances que les douleurs de reins peu intenses qu'il avait déjà ressenti
nt intacte partout et con- servée dans tous ses modes. Les seules douleurs que le malade éprouve sont localisées le long de
o- lonne vertébrale et suivant les deux plis inguinaux. Ce sont des douleurs sour- des, continuelles, et assez peu intenses
e. Membres supérieurs. Le malade accuse une faiblesse et une légère douleur mal définie dans le membre supérieur droit, sur
ans, syphilitique depuis un an, éprouve pendant quelques jours des douleurs sourdes le long de la colonne vertébrale. Puis
e phase prodromique. Tel malade, pendant une se- maine, éprouve des douleurs sourdes le long de la colonne vertébrale. (Deje
n et prend un métier très pénible. Un mois plus tard il éprouve des douleurs lombaires, de la fai- blesse des membres inféri
r droit et dans la cuisse ainsi que dans le genou du même côté, des douleurs vives accompa- gnées d'un sentiment d'engourdis
il entre encore à l'hôpital. Il y éprouva quelque soulagement de sa douleur sous l'influence de bains de vapeur locaux qui
la partie postérieure, un peu au-dessus de la région occipitale. Douleurs vagues le long de la colonne vertébrale, se montr
on sacrée. Dans les membres, aux jointures et dans les muscles, des douleurs vagues, qui changent de place : « des rhumatism
nt dans chaque université une consultation pour son mal de tète, sa douleur de dos, ses points de côté. Ce fut en vain. Il
longue souffrance. Il ne tarit pas en histoires interminables sur ses douleurs et les traitements du'il a subis, s'attardant a
lieb 11f. LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE 287 Il accuse aussi des douleurs dans le dos et se plaint de points de côté très
partout, dans les jointures, dans les mas- ses musculaires ; et ses douleurs qui ne cessent jamais passent du bras à la jamb
de nouveau, sans trêve aucune. Il accompagne la description de ces douleurs erratiques d'une mimique des mains très mouveme
t depuis cette époque qu'il commença à ressentir l'aura classique : douleur au niveau du vertex, vertiges, bourdonnements d
, conservant continuellement une attitude de défense, à cause de la douleur . Cette douleur excitait déjà lors de la première
ntinuellement une attitude de défense, à cause de la douleur. Cette douleur excitait déjà lors de la première paralysie.
eur élastique. Les mouvements passifs sont difficiles à cause de la douleur et de la raideur. Les mouvements actifs ne dépa
e. . Sensibilité. Profonde, affaiblie dans tout le côté gauche à la douleur , abolie au membre supérieur. Anesthésie en manc
yélique sur le bras gauche. Le tact est bien conservé (pinceau), la douleur n'est pas perçue, - le froid et le chaud sentis c
gnalés à son premier voyage n'ont fait que s'accroître depuis. La douleur de tête « en casque » ne le quitte presque jamais
ent douloureuse. Il marche raidi et évite de ployer l'échiné. Les douleurs se retrouvent aussi dans les membres, mais légère
ères années. Elle souffrait souvent de maux de tète, et de quelques douleurs vagues dans le dos et les membres ; mais c'étai
le 20 ans, et c'est là qu'elle a commencé à ressentir les premières douleurs qui l'obsèdent aujourd'hui et qui rentrent toules
e (céphalée en casque, plaque occipitale). Elle accuse en outre des douleurs vives avec élancements dans tout le côté gau- c
- che de la face (oeil, oreille, front) et du crâne. Dans le dos, douleur sourde le long de la colonne vertébrale avec maxi
e la colonne vertébrale avec maximum dans la région lombo-sacrée. Douleurs vagues dans les membres, surtout le bras et la ja
ux qui a presque complè- tement disparu aujourd'hui. - Toutes ces douleurs sont plus vives les jours de pluie, et surtout d'
ôté droit (correspondant aux régions où s'accu- sent les plus vives douleurs ). Les sens spéciaux ne sont pas atteints d'une
le, causée par la vigilance des muscles vertébraux, pour éviter les douleurs . Les viscères sont normaux : coeur, poumons, fo
ée, et est revenue le 15 juin pour en exprimer sa satisfaction. Les douleurs ont diminué, et depuis qu'elle est il Paris, elle
faire intervenir comme dans l'observation de S..., ce fait que les douleurs dont il souffre sont moindres pendant la marche q
dice de la fréquente contraction des sourciliers, les muscles de la douleur . L'oeil est petit, triste, enfoncé, cerclé de r
e). Puis la rachialgie que les malades décrivent en se plaignant de douleurs dans le dos, entre les deux épaules, et au nive
adie pulmonaire grave quand elles siègent entre les omoplates ». La douleur (1) F. Levillain, La neurasthénie, A. lllaloine
se tourner trop vite : on dirait qu'ils ont peur de réveiller cette douleur par un mouvement trop brusque. Ils accusent aus
16 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e fille, lu crainte d'une grossesse si elle se mariait, à cause des douleurs de l'accouchement. Après son mariage, contracté
hez le mâle, une tuméfaction graduelle du prépuce et du pénis, sans douleur , accompagnée d'uréélirite catarrhale. Quelques
usculaires déterminèrent des symptômes de névrite du sciatique avec douleur intense, contractions, parésie, troubles parest
one des nerfs maxiliaires supérieur et inférieur du côté gauche. La douleur , modérée à l'état de repos, était intolé- rable
y eut point de changement notable. Au bout de ce laps de temps, les douleurs commencèrent à dimi- nuer et le le, janvier 190
s d'émergence des nerfs maxillaires supérieur et inférieur, mais la douleur à la mastication a disparu tout à fait. Comme c
t plus la chaleur à la main droite et pouvait la brûler sans aucune douleur , alors que la sensibilité tactile était conserv
obertson. M. Dejerine chez un sujet atteint de signe d'Argyll et de douleurs fulgurantes n'a pas trouvé de lésions. M. Bab
bres inférieurs. Cette amyo- trophie a évolué assez lentement, sans douleurs des nerfs ou des muscles à la pression, entraîn
ens, et hypoesthésie remontant jusqu'à la cinquième dorsale. Pas de douleurs ni de symptômes rondiculaires. Malgré le caract
ession tenace, tyrannique rend irrésis- tible par l'intensité de la douleur morale qu'elle provoque. » L'impulsion est à l'
cependant déjà dès l'âge de douze ans elle souffrait physiquement : douleurs à l'estomac, bouche pâteuse et d'autres sensati
physiques ouvrirent DES OBSESSIONS ET IMPULSIONS. 161 la scène : douleurs gastriques, ballonnement du ventre, inappé tenc
triques, ballonnement du ventre, inappé tence, bouffées de chaleur, douleurs dans la région ovarienne et une sensation doulo
vec sensation d'étouf- fement (boule hystérique) ; quelquefois, ces douleurs arrivaient à un tel point que la malade s'évano
était présente, se troubla, sentit une vive émotion et une profonde douleur du côté du ventre : elle dit qu'à ce moment sa
déplorable ; sa santé physique était profondément atteinte : vives douleurs dans le ventre, hyperesthésie dans la région de
s promenades améliorèrent encore son état, elle ne conserva que des douleurs dans les ovaires et un certain degré de ballonn
s pensées. Simultanément, elle souffre aussi du côté physique : des douleurs atroces et continuelles dans les régions ovarie
e qu'actuellement il ne lui reste que quelques troubles somatiques ( douleurs abdominales et mal de tête). DES OBSESSIONS E
ais il fait découvrir en revanche des signes bien nets d'hystérie : douleurs à la pression dans la région des ovaires, légèr
e, inappétence, constipation, sensation générale de faiblesse et de douleur le long de la moelle épinière. Dans cet état,
t la crise éclatait. Elle se caractérisait par un gonflement et une douleur dans le ventre, une sensation de boule hystériq
blyopie, et quelquefois les objets lui dansent devant les yeux ; -, douleur à la pression dans la région épigastrique et ovar
deux enfants dont une fille de ^quatorze ans, nerveuse, souffre de douleurs dans le ventre et par moments s'éva- nouit ; a
lui faire du mal, à la suite d'une entero- clysme, elle accuse des douleurs dans le rectum et qu'elle n'est plus en état d'
s optiques; il n'existe pas de' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 183 douleurs de tête; la syphilis est catégoriquement niée. Re
membre supérieur est restée flasque avec légère amyotrophie et des douleurs au niveau de l'épaule. Il y a eu, en outre, une
87 Picotement dans les fosses nasales suivi ou non d'éternuement, douleur vive à la nuque, puis chute en avant sans perte a
ras. Le sens musculaire est conservé ainsi que les réflexes. Pas de douleurs , pas d'atrophie. Devant ce tableau, M. Josseran
se la malade à exprimer par une mimique extrêmement dramatique, les douleurs dont elle se dit atteinte. En réalité, cette ma
En réalité, cette malade est incapable de préciser le siège de ses douleurs , qui d'ailleurs ne sont que l'hypertrophie ment
s, ou bien ce sont des gestes de défense pour se protéger contre la douleur . On peut présager, étant donné l'âge de la mala
mps en temps quelques phénomènes douloureux (hyperesthésie cutanée; douleurs dans les poignets). A ses derniers séjours, la
- nue avait augmenté de volume et était devenue le siège de vives douleurs . 0 Les premiers troubles mentaux remontent déjà
qu'auparavant ». C'est dans ces conditions, que M... poussé par les douleurs de plus en plus vives qu'il éprouvait, se décid
896, elle est prise deux ou trois jours de fièvre assez vive, d'une douleur très violente de tout le ventre, de vomis- seme
tait montrée le 25 mars 1900. Le 28 août elle tombe malade avec des douleurs dans le bas ventre. Le médecin qui la soignait
ssentit rien de mal jusqu'au mois d'octobre quand elle fut prise de douleurs dans le ventre, qui fut très tendu. A l'examen,
ar l'appen- ÉTUDE DES PSYCHOSES POST-OPÉRATOIRES. 235 dicile. Les douleurs cessèrent à l'administration des lavements et d
perfide. Après des questions répétées elle se rappela enfin que les douleurs avaient commencé à gauche et puis s'étaient étend
aient étendues à droite. Dès lors il était facile de saisir que les douleurs dans la cinquième semaine de la gravidité étaie
tablement une autonomie propre, affection dans laquelle le symptôme douleur tient sans doute une plus grande, place, mais o
entre les deux formes de névralgie faciale : d'une part, en effet, douleur continue avec paroxysmes momentanés, durée en q
e type léger de la névralgie faciale, ce qu'on observe, ce sont des douleurs continues ou bien des sensa- tions de lourdeur,
alade au moment d'un paroxysme, grimace provoquée uniquement par la douleur . Enfin, la névralgie type léger se localise le
le au contraire, la névralgie à type grave est caractérisée par des douleurs intermittentes, survenant à intervalles variabl
ens ma crise venir », et laissant après leur explosion, non pas une douleur continue mais un sentiment particulier d'endolo
d'ajouter que quelques malades attirent l'attention surtout sur une douleur continue : dans ce cas cette douleur occupe un
l'attention surtout sur une douleur continue : dans ce cas cette douleur occupe un point précis, toujours le même, et tout
el, à notre avis, les auteurs n'ont pas assez insisté, c'est que la douleur , quelle que soit sa forme, suit toujours le tra
ces crises précédées pendant quelques semaines ou quelques mois de douleurs vagues, continues ou périodiques, sans aucun ca
les points d'émergence est généralement assez douloureuse, mais la douleur n'est pas moindre si l'on comprime une autre ré
moindre si l'on comprime une autre région du territoire affecté. La douleur est parfois même plus marquée sur des points qu
sidéré comme du tic la grimace que fait le malade lorsque surgit la douleur . Les cas de tic vrai sont relativement peu fréq
e, cette augmentation de volume semble évoluer parallèlement à la douleur , et nous l'avons trouvée d'autant plus marquée
e ses grandes crises habituelles il souffrait à certains moments de douleurs sur- ajoutées revenant à heure fixe et cédant,
s névralgiques présentèrent pour nous la même signification que les douleurs flilpi- rantes. PARTICULARITÉS CLINIQUES DE L
l'électrothérapie : « Au bout d'un très petit nombre de séances les douleurs faciales, sciatiques, intercostales disparaisse
dix-huit ans. Un mois de traitement actif a fait disparaître les douleurs qui n'ont plus reparu depuis un an. ». Dans ses
comprises entre 15 et 20 milli-ampères ont chaque fois réveillé les douleurs les plus violentes. Ces faits d'intolérance o
a même parfois au moment des premières séances une augmentation des douleurs , fait sur lequel il y a lieu d'appeler l'attent
sieurs mois à raison de 8 à 10 par mois environ, alors même que les douleurs seraient devenues insignifiantes. Ces séances s
es parties douloureuses et on en diminue la surface à mesure que la douleur se circonscrit. J'ai employé comme pôle actif,
ndre, après un traitement régulier de deux mois environ, à voir les douleurs disparaître d'une façon définitive. Mais il n
iale de ce type nous ayions obtenu une sédation presque absolue des douleurs , nous ne consentons pas à reconnaître à la volt
che, il n'en est pas un, qui, au premier présage de réapparition de douleurs , ne soit revenu réclamer une nouvelle série de
s mouvements de la parole, de la mastica- tion ne provoquent pas de douleurs . Cette diffusion se ferait par les canaux osseu
cligner des yeux, il sent qu'on lui tire le ventre, il ressent des douleurs dans les membres, sa face est cyanosée, sauf au
troubles de la sensibilité cutanée avec retard des sensations et douleurs fulgurantes ; nystagmus dynamique ; myosis avec s
erd connaissance et revient à lui le lendemain. Il éprouve de vives douleurs au flanc gauche, à la tête et dans les jambes,
ue de Médecine 1899). Observation d'un cas de tabès avec absence de douleurs fulgu- rantes et d'incoordination motrice et do
de de ces accidents de trois ou quatre jours et sur l'intensité des douleurs localisées aux nerfs et aux muscles intéressés,
est pas non plus en relation avec l'existence ou non d'ataxie ou de douleurs fulgu- rantes ; elle ne pouvait donc être dans
eurs années, un « abcès dans le foie qui ne la laissoit jamais sans douleurs ». « En ces quatre années (fin 1657 janvier 166
ure des Religieuses, en 1661, elle tomba malade à l'extrémité de la douleur qu'elle ressentoit d'avoir été obligée de faire
les trois mois me suffiroient : je ne lui demandois pas d'être sans douleurs , mais qu'elles fussent telles que je pusse m'acqu
trois mois dans une parfaite santé : au bout de ces trois mois les douleurs ont recommencé, mais avec tant de modération, com
la marche inégale, les alternatives de reprise et de rémission, la douleur fixe et violente qui, sous peine de syncope, co
es avec un visage de mort, et passa toute la nuit « dans de grandes douleurs et de grands vomissemens 5 ». Le len- demain 3
it environ le dixième jour de la maladie, son état s'aggrava. « Les douleurs ne lui donnoient point de relâche, non plus que
alla assez bien, mais ensuite tout d'un coup tout s'arrêta, et ses douleurs augmentant, elle changea si fort en une heure, di
. » Les selles et les vomissements avaient cessé. Elle souffrait de douleurs intenses. Elle était sans forces, et avait gran
e. En 1661, la dysenterie se déclara chez elle à l'occasion d'une douleur morale. En 1662, ses abcès du foie s'accompagnère
plus grande joie qu'elle eût jamais éprouvée, mêlée avec une intime douleur de son péché nT. Elle continua d'ailleurs à le
appris que plusieurs-religieuses avaient signé le formulaire, « la douleur que j'en ressentis, écrit-elle encore, la crainte
rdinaire. Cette contrainte autant que les peines mêmes, jointe à la douleur que me cau- soient les signatures nouvelles que
ient fort gaies ». Chaque signature nouvelle la plongeait « dans la douleur extrême et le tremblement 6 ». Et, lorsqu'elle
race par laquelle on espéroit le salut d'Israël, tomber. C'est une douleur la plus sensible du monde B. » Suggestibilité
Denis. Au moment de quitter ses compagnes, « dans un mouve- ment de douleur et de tendresse qui me mettoit hors de moi- mêm
récidive plus ou moins sérieuse du côté opposé. Chez 5 'malades les douleurs n'ont pas dis- paru complètement, et chez 2 de
sensations désagréables dans les gencives en mangeant. Ces petites douleurs ont duré un mois. Elle habitait, nous a-t-elle
est le lendemain d'un bal, en 1897, qu'elle a éprouvé les premières douleurs avec tressaillement léger dans un côté de la fa
ec tressaillement léger dans un côté de la face, le côté droit. Ces douleurs étaient extrêmement intenses. Quinze jours aupa
antipyrine, de l'exalgine et d'autres médicaments qui calmèrent les douleurs tem- porairement, la malade s'est fait arracher
d'éthyle, elle est soignée pour rhumatisme cérébral. Néanmoins, les douleurs persistent violentes dans la région maxillaire su
ur, l'autre sur le sous-orbitaire. Le lendemain de l'opération, les douleurs ont réapparu aussi vio- lentes qu'auparavant.
aitement ioduré, mais cela sans aucun bénéfice. ' État actuel. La douleur se montre chez cette malade avec un double cara
cette malade avec un double caractère. C'est d'abord : -. 1° Une douleur violente en coup de fouet allant du menton à l'
. Lorsque se produit un bâillement ou que la ma- lade se mouche, la douleur survient atrocement violente, et il lui semble
s. Ensuite : 2° Une sensation pénible qui n'est pas une véritable douleur et que la malade compare à un fourmillement, à un
é- sente une teinte rouge notablement différente du côté sain. La douleur occupe les trois branches du trijumeau mais les m
s les maxil- laires paraissent être le trajet de prédilection de la douleur . Quand on recherche la douleur à la pression, o
être le trajet de prédilection de la douleur. Quand on recherche la douleur à la pression, on ne trouve que le point dentai
30°. Les périodes menstruelles d'avril, mai, juin, sont marquées de douleurs assez violentes. A partir du 20 juin 1900 (54 s
us de la lèvre supérieure. Juillet 1900. On continue le traitement. Douleurs insignifiantes et seulement au moment des règle
moment des règles. Août : on continue le traite- ment ; du 6 au 10, douleurs d'intensité moyenne, les règles sur- viennent l
ité moyenne, les règles sur- viennent le 20 août, mais sans grandes douleurs . Elle compte fin août 100 séances, prises d'une
'éprouve que des cuissons insignifiantes'; les règles viennent sans douleur . 340 CLINIQUE NERVEUSE. A partir de septembre
résiduelles parles séances de trente minutes. Elle prétend que les douleurs ont été plus courtes, durant à peine une second
la malade ait eue depuis le traitement. Toutefois, la violence des douleurs n'est pas à comparer avec leur intensité d'autref
s s'espacent peu à peu. 10 décembre. Amélioration très notable. Les douleurs ont presque entièrement cédé. Du 19 au 26 décem
r précaution huit à dix séances chaque mois. A partir de mars les douleurs ont de nouveau presque entière- ment disparu.
migraines excessive- ment légères, c'est depuis sa grossesse que la douleur qu'elle éprouve dans la tête a pris un caractèr
ut à fait au début, il est arrivé à la malade d'être en proie à ces douleurs pendant une période continue parfois très longu
; le plus souvent toutefois sur l'ophtal- mique. État actuel. -La douleur estréveillée parle froid, lalumière, la mastica
eur dans la tête, sensation indéfinissable de lourdeur au front. La douleur contourne le sourcil, puis se fixe au pourtour
mastoïdienne. Dans ce dernier cas, l'accès est bien plus atroce. La douleur siège profondément ; c'est « comme un creusemen
eil pour revenir deux jours après. A certains moments cependant, la douleur affecte le type nocturne, de sorte que la malad
ignaler qu'un certain degré de photophobie et d'acou- phobie. Les douleurs affectent tantôt un côté, tantôt l'autre. Elles s
ne amélioration très considérable, et à la fin de juillet 1900, les douleurs ont presque complètement disparu. En septembre,
'apparition du flux. En novembre et en décembre, il n'y a pas eu de douleurs , sauf quelques sensations pénibles au moment de
, et depuis cette époque, elle n'a plus jamais éprouvé que quelques douleurs venant, soit avant, soit après les règles, très
0t et de mars 1902. Toutes les autres périodes se sont passées sans douleur appréciable. Ces. III. 1-e L..., quarante-cinq
te des dents du côté malade, ainsi que des cheveux. Chez elle les douleurs ont disparu après la ménopause. Le début de la
ire inférieur, existant d'une façon continue sans crise aucune. Ces douleurs n'existaient qu'au moment des repas, ce qui ren
ises de névralgie faciale vraie. Un peu plus tard sont apparues des douleurs du côté opposé. Les crises se produisaient nuit
et arrive à une période d'acmé qui dure une minute entière. Puis la douleur décroit insensiblement. Elle ressemble, au dire
gion malade. Pas de tic d'aucune sorte. Au moment des règles, les douleurs deviennent plus fortes. La PARTICULARITÉS CLINI
traitement paraissait avoir son plein effet, la malade est prise de douleurs très violentes, avec gonfle- ment considérable
ques hépatiques qui dure quarante-huit heures. Depuis ce moment les douleurs ont complè- tement cessé du côté de la face, et
insi dire sans souf- france. Mais en mai, au moment des règles, les douleurs ont reparu avecleurintensité première. On fait
tes, mais la malade s'en trouve mal et accuse une recrudescence des douleurs . Elle ne veut plus se soumettre ces intensités.
ouve que les crises sont beaucoup moins longues qu'autrefois, les douleurs moins intenses. La période menstruelle n'a amené
a période menstruelle n'a amené cette fois aucune recrudescence des douleurs . 11 s'est produit unique- ment un léger gonflem
en août et septembre. Elle continue à venir de temps en temps. Les douleurs sont très 344 CLINIQUE NERVEUSE. supportables
ité. Les mois de décembre et janvier 1902 ont été marqués par des douleurs assez intenses. En février, l'état s'améliore à n
tat reste très amélioré, sauf peut-être au moment des règles où les douleurs réapparaissent, mais cela d'une façon très tolé
été malade. Le début de la névralgie remonte à seize ans, et les douleurs furent attribuées par lui à des névralgies dent
u maxillaire n'amena aucune amélioration. A partir de ce moment les douleurs présentent un caractère d'acuité extrême. Le ma
toutes les positions possibles pour obtenir quelque soulagement. La douleur existe d'une façon à peu , près constante; il y
pesant, puis surviennent quelques élancements, et insensiblement la douleur arrive à son acmé. Elle semble avoir pour point
RALGIE FACIALE. 345 provoque le retour et le réveil s'accompagne de douleurs répétées dont le malade compare la succession a
u 21 juillet. On prolonge les séances à trente-cinq minutes, et les douleurs cèdent bientôt à nouveau. Lelor août 1901, le
ndre quelques séances. Il se passe ainsi des semaines entières sans douleur , et quand celles-ci se produisent, elles ne son
es ou une heure de durée, cette période doulou- reuse se calme; les douleurs deviennent plus courtes et plus rares, et à la
er. En 1884, en se faisant la barbe, le malade res- sent une légère douleur au niveau de la région sous-orbitaire. Dans la
arition de ce point douloureux, le malade est pris subitement d'une douleur semblable aune décharge électrique 346 CLINIQUE
eur résultat. Au contraire, après ces différents traite- ments, les douleurs ont augmenté d'intensité, les décharges se sont
ité, les décharges se sont rapprochées et à partir de ce moment les douleurs sont telle- ment violentes que le malade ne peu
lagement, si ce n'est une intensité et une durée un peu moindre des douleurs . Les douleurs que, depuis cette époque, le mala
e n'est une intensité et une durée un peu moindre des douleurs. Les douleurs que, depuis cette époque, le malade éprouve, si
gent dans la région maxillo-temporale. Ce sont des élancements, des douleurs paroxystiques, intermittentes, la plupart très
temps de sa crise, il reste sous le coup d'une angoisse extrême. La douleur commence toujours par la branche sous-orbitaire,
é le nom- bre de crises, mais peut-être atténué leur intensité. Les douleurs cèdent parfois d'une façon à peu près complète
néral; ensuite une série de secousses, électriques, brèves, puis la douleur s'en va en fuyant progressivement. Cette crise
cède que pendant des périodes de deux à trois mois. En mai 1900, la douleur cesse jusqu'au 1er août 1900, à l'exception de
écédents héréditaires il y a lieu de signaler que son père a eu des douleurs fulgurantes et' d'autres signes tabétiques, que
80 en effet il a eu du ptosis à droite, et de 1893 à 1895, quelques douleurs fulgurantes pour lesquelles il a pris de l'iodure
après une crise douloureuse assez forte qui a duré quatre jours, la douleur n'est jamais revenue. Le malade pense que le ré
nts qu'il ressent ont une mollesse toute spé- ciale. En juin, les douleurs n'ont pas reparu, les fourmillements ont à peu
s six ans que la malade souffre dans la région droite de la face de douleurs qui, faibles au début, et ne donnant lieu qu'à
empe, ont gagné progressi- vement en intensité et en étendue. Les douleurs se présentent sous forme de crises à intervalles
odification dans son état. Enfin en septembre de la même année, les douleurs restées jusque-là tolérables sont devenues extr
s qu'autrefois, elle ne pouvait ni manger, ni parler, en raison des douleurs aiguës que soulevaient ces mouvements; actuelle
rend facilement quelques aliments et cause long- temps, sans ancune douleur . Malheureusement, la malade a con- tracté une b
e mois. D'ordinaire elles se présentent sous la forme de crises, de douleurs aiguës en coup de fouet, sans aura cependant, d
e crises, de douleurs aiguës en coup de fouet, sans aura cependant, douleurs que la malade essaie de maîtriser en maintenant
maintenant sur sa figure une immobilité absolue des traits. ' Les douleurs surviennent vers trois heures de l'après-midi, vo
lade de reposer. Vêts onze heures, le repos devient possible et les douleurs disparaissent jusqu'au lendemain matin, où elles
par crises et caractérisés par constipation opiniâtre, éructations, douleurs au creux épigastrique, douleurs abdominales, sort
onstipation opiniâtre, éructations, douleurs au creux épigastrique, douleurs abdominales, sortes de coliques, ressenties com
se produit au dire de la malade. Les crises sont plus rares et les douleurs moins violentes. Il se trouve que chaque jour a
e de l'amélioration, mais ce qui est assez singulier, c'est que les douleurs conservent leur même régu- larité, apparaissent
de la même année, sa mère nous dit qu'elle n'a plus ressenti aucune douleur depuis qu'elle est revenue chez elle. Le l01' j
e où il y aurait eu un violent courant d'air. Ce furent d'abord des douleurs peu intenses mais dont l'acuité augmenta progre
t que le moindre attou- chement ou le moindre mouvement amenait des douleurs atroces. A ce moment le malade redoutait la p
sité des dou- leurs. ' Il n'est resté après ce traitement que des douleurs venant à intervalles variables plusieurs fois p
froid subit et le temps humide provoquent à ce moment le retour des douleurs ou tout au moins une recrudescence très mar- qu
suffisait de se frapper légèrement le côté malade pour diminuer la douleur , le malade utilise ce procédé de pseudo-massage
utilise ce procédé de pseudo-massage pour prendre ses repas. Les douleurs changent souvent de type, affectant tantôt le typ
lair, tantôt sous la forme de pincements, tantôt sous la forme de douleurs en zig-zag, mais, caractère particulier, ces cris
tenu une très petite amélioration, le malade continuant à avoir des douleurs , consulte le PrBergonié qui lui conseille des c
(30 et 35 milli- ampères, traitement fait tous les deux jours). La douleur alors, de superficielle qu'elle était serait de
tement qui ne donna aucun résultat en ce qui con- cerne les grandes douleurs . Il faut ajouter qu'en dehors des accès ' Appli
l'antipyrine. Lorsque le malade vient nous trouver, il éprouve des douleurs violentes, non pas au point qu'il soit dans l'i
ne se passe aucun repas ou aucune conversation sans de nom- breuses douleurs . Le malade présente en outre du tic vrai, c'est
ctricité pendant plusieurs jours, et n'a pas continué à épronver de douleurs . Il s'est produit une petite crise cependant, v
satisfaisant, n'avoir plus que quelques sensations pénibles c des douleurs molles ro, dit-il, « mes nerfs paraissent engourd
douleurs molles ro, dit-il, « mes nerfs paraissent engourdis, et la douleur ressemble maintenant plutôt à un mal de dents qu'
t-à-dire à trois ans. Déjà il y a dix ans la malade se plaignait de douleurs lancinantes pénibles, dans la région oculaire,
antes pénibles, dans la région oculaire, survenant surtout la nuit, douleurs intermittentes et vagues qui se sont accompagnées
d'une durée de huit jours. Cette amblyopie aurait coïncidé avec des douleurs très violentes, et la malade soumise à l'obscur
oumise à l'obscurité guérit rapide- ment de celte complication. Ces douleurs vagues se sont localisées ultérieurement à la r
e s'est installée d'une façon plus franche, elle a commencé par des douleurs aiguës coïncidant géné- ralement avec la fin de
uleurs aiguës coïncidant géné- ralement avec la fin des règles. Ces douleurs étaient d'abord con- tinues et extrêmement viol
des sen- sations pénibles dans les jambes. La malade compare ses douleurs à des coups de marteau extrê- mement violents,
crise se termine généralement par un épiphora abondant. Lorsque les douleurs sont extrêmement violentes, elles s'accompagnen
l'eau, la mastication rappellent la crise. Le point de départ de la douleur , parait être le nerf sous-orbi- taire ; la doul
de départ de la douleur, parait être le nerf sous-orbi- taire ; la douleur descend en effet de ce point le long du sillon
pendant un mois et demi mais auquel ont succédé après ce temps des douleurs peut-être plus intenses* encore qu'auparavant.
(quelques semaines avant le traitement électrique actuel) que des douleurs moins accentuées qu'auparavant. C'est à cette é
e ne plus souffrir du tout et n'avoir à se plaindre que de quelques douleurs vagues dans les yeux. La malade éprouve de no
leurs vagues dans les yeux. La malade éprouve de nouveau quelques douleurs espacées pendant le mois de juillet 1901, et c'
de cette époque que nous faisons des séances de trente minutes. Ces douleurs diminuent vers la lin août et au commencement d
rement, demandant quelques séances au moment de la réapparition des douleurs et malgré noti conseil de se soumettre à un tra
après son mariage, brusquement pendant une nuit, elle est prise de douleurs en coup de marteau l'angle externe et supérieur
oup de marteau l'angle externe et supérieur de l'orbite gauche. Ces douleurs avaient une durée variable, mais présentaient c
ode de calme, elle-même plus ou ou moms longue. Six mois après, ces douleurs disparaissent, et pendant cette période de rémi
ant cette période de rémission la malade se marie. Réapparition des douleurs au 6e mois de la grossesse mais avec un aulre c
malade les compare à des tremblements électriques occasionnant des douleurs très vives « en charbon ardent, en lame de cani
che placée sur la région temporale gauche aurait beaucoup calmé les douleurs . Puis pendant une douzaine d'années, rémission.
uis pendant une douzaine d'années, rémission. En 1880, retour des douleurs avec les mêmes caractères pendant un an environ
A partir de 1893 retour définitif de la névralgie. Depuis 1893 les douleurs n'ont pas cessé, il n'y a pas de périodes de ré
ser, ni cracher. Elle ne peut se débarbouiller sans provo- quer les douleurs les plus atroces. Élut actuel. Les trois branch
ns les premiersjours de janvier cependanl, recrudescence légère des douleurs . Ces douleurs, assez violentes, de dix à quinze
ours de janvier cependanl, recrudescence légère des douleurs. Ces douleurs , assez violentes, de dix à quinze minutes de duré
eu marquée. La seconde partie de janvier et février se passent sans douleur notable. Le 10 lévrier, la malade déclare que d
lade déclare que depuis quinze jours elle n'a pas éprouvé une seule douleur et que les dernières qu'elle a ressenties étaie
t son départ; déclare ne plus rien ressentir, sauf quelques petites douleurs passagères et de durée extrêmement courte; se t
raitement qui a duré juste trois mois : hier et aujourd'hui, aucune douleur . Nous avons reçu d'elle quatre lettres : la pre
uelques dou- leurs, mais rares, et sans comparaison aucune avec les douleurs d'autrefois. Il est certain que si cette malade
LA NÉVRALGIE FACIALE. 357 depuis octobre, lanévralgie provoque des douleurs très intenses, moins violentes cependant que l'
un tamponnement fait pour épistaxis rebelle. En octobre 1901 les douleurs fugaces sont devenues beaucoup plus fréquentes,
l est parfois rendu impossible par la répétition et l'intensité des douleurs . Jamais il n'y a eu le moindre tic ; il n'y a p
algie était localisée sur le nerf sous-orbitaire, puis peu à peu la douleur a envahi tout le côté droit de la face. Hyper
ces, la malade éprouve un notable soula- gement et peut dormir, les douleurs ayant presque complètement cessé la nuit. Au bo
ue complètement cessé la nuit. Au bout d'un mois de traitement, les douleurs ont diminué très notablement de violence et les
s de traitement la malade déclare n'avoir plus que quelques petites douleurs passagères. A partir de juin la malade se trouv
jours. Au cours d'une grossesse, la malade aurait déjà éprouvé des douleurs faciales analogues, à celles qui la font souffrir
2), la malade res- sent de chaque côté de la région occipitale, des douleurs névral- giques plus accentuées à droite qu'à ga
douleurs névral- giques plus accentuées à droite qu'à gauche. Ces douleurs se sont ensuite localisées sur le sommet de la tè
e se coiffer). Enfin elles se sont fixées à la région frontale. Ces douleurs sont continues avec périodes d'exacerbation, co
'as d'aura dans tous ces accès. Au commencement du mois de mai, les douleurs ont complète- FIBROMATOSE-ET PARALYSIE GÉNÉRALE
LYSIE GÉNÉRALE. 359 ment cessé sur le sommet de la tête; seules les douleurs de la région occipitale droite et de la région
ps. La malade a été mise en traitement, et au bout d'un mois, les douleurs de la région frontale ont disparu presque complèt
comme symptômes cons- tants : la diminution de la sensibilité à la douleur et l'exagération de la tonicité musculaire. 6.
es traumatismes insigni- fiants des doigts suivis d'atrophies et de douleurs le long des tra- jets nerveux. L'infection est
s de localisation sont presque constantes. 2° La sensibilité à la douleur et à la chaleur thermique, mesurée à l'aide de
uil de la sensation de chaleur s'élève, le seuil de la sensation de douleur s'élève dans une proportion analogue; les courb
issait d'un malade tabétique depuis huit ans, aveugle, ayant peu de douleurs et sans incoordi- nation marquée. Dans les autr
par un cri qui n'était pas épileptique, mais plutôt provoqué par la douleur dans les muscles en contraction. La conscience
uë, et il a peur de mourir. Au début de décembre 1900, M. F... a la douleur de perdre sa mère et il en ressent un coup terr
Vergier de Hauranne, Gentien Thomas II du Fossé, plein d'une « vive douleurs », s'en vint exprès à Paris pour quereller cet
d'étranges angoisses, et sentoit même, si je l'ose dire, d'étranges douleurs . Car je croyois effectivement être en l'autre m
à soixante-quatre ans, après avoir souffert « pendant deux ans les douleurs les plus aiguës »2, « au- tant consumé par l'au
agdeleine signa le formulait antijanséniste, il en fut « pénétré de douleur »3. Son père, qui le destinait à l'état ecclési
uasi tout le gros os de la jambe qui était carié. Elle souffrit des douleurs presque incroyables, tant de son mal que des op
es Champs des Landres, lui « donna un baume qui calma peu à peu ses douleurs et la mit en état de pouvoir guérir de ce mal s
ta néanmoins un mauvais levain, qui lui causoit de tems en tems des douleurs insupportables. « Il lui semblait que ses nerfs
os étaient pénétrés de l'àcreté si cuisante de cette humeur'. » Ses douleurs ne cessèrent qu'à sa mort, qui survint en juin
e d'une plaque au membre inférieur droit. Il n'y a jamais eu aucune douleur ; les réflexes sont exagérés, il y a un clonus du
continuelle, résistant à toute médication analgésiante. Encore ici, douleurs vésicales, mictions impérieuses fréquentes, séc
out quelques jours avant l'écoule- ment qui était régulier, et sans douleur , ni troubles quelconques, une excitation sexuel
eur palpite, la face exprime la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 531 douleur , la terreur et l'angoisse : enfin, n'y pouvant pi
t de quelques heures. Quinze jours avant son entrée à l'hôpital les douleurs de tête sont devenues permanentes, avec exacerb
égrité de la racine des membres avec les particularités nouvelles : douleurs fulgurantes et narcolepsie ayant débuté dès l'o
é du nerf facial droit. Les mouvements des extrémités sont normaux. Douleurs dans la moitié droite de la tête. Sensibilité t
e longue durée, trouble de la déglutition, 550 SOCIÉTÉS SAVANTES. douleur dans la moitié gauche de la tête. Phénomènes stab
gauche. Affaiblissement de tous les réflexes tendineux. Parfois des douleurs fulgurantes dans la région de la branche II du
17 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
t disparues. De ces trois panaris, le premier s'était accompagné de douleurs ex- trêmement vives, qui empêchaient le malade
celles-ci saignaient, s'ulcéraient sans qu'il ressentît la moindre douleur . Ceci se passait après l'évolution et la guérison
one, ammoniaque). Il existe à droite, quoique pas très aigu. Pas de douleurs , sauf une céphalée très vive, presque constante.
tière de Bonnet; il se sentait tout courbaturé, et il éprouvait une douleur assez vive vers la partie moyenne du dos et au
cou » ; voici la description qu'il en donne : Ce sont des crises de douleurs à début subit. Tout à coup il éprouve une doule
nt des crises de douleurs à début subit. Tout à coup il éprouve une douleur rapide et violente qui commence dans le côté droi
reux se succèdent en suivant toujours ce même trajet. Il compare sa douleur à celle que produirait un couteau enfoncé dans la
sque continu de la partie moyenne du dos et de l'épaule droite, une douleur continue, contusive au niveau du cou- de-pied d
tion des téguments. Tout cela dure deux ou trois jours ; alors sans douleur locale, aux points précis où les bulles vont ap
ouvent. ' Ces divers troubles, faiblesse des membres du côté droit, douleurs dans la région dorsale et l'épaule droite, cris
ite à peu près totale pour les trois modes de la sensibilité (tact, douleur , tem- pérature) (fig. 5, 6, 7, 8). Le sens mu
ers l'âge de huit ans, la malade fut prise pour la première fois de douleurs articulaires, avec gonflement notable et immobili
ndes jointures d'abord et les petites ensuite devinrent le siège de douleurs presque con- tinuelles, de gonflements périarti
souvent d'ailleurs et, vers le matin, elle avait ressenti une vive douleur à la face interne de la jambe droite. Elle fut to
ée au membre inférieur qui avait été, pendant la nuit, le siège des douleurs spontanées qu'on observe parfois chez les hysté
ut à coup son fils, couvreur, tomber à ses pieds et se tuer net. La douleur qu'il ressent est tellement vive qu'il perd conna
s ces cas la para- plégie n'est pas le symptôme dominant. L'élément douleur prend la place la plus importante dans le syndr
et « s'attacha à la peau du sein ». Elle ne s'accompagna jamais de douleurs bien violentes, mais simple- ment d'élancements
e ce temps, elle fut obligée de s'arrêter et de prendre le lit, les douleurs devenant de plus en plus intenses et l'empêchan
lonne vertébrale, aucune faiblesse des jambes. C'était seulement la douleur qui l'obligeait à prendre le lit et à cesser tout
ser tout travail actif. Le séjour au lit amena une diminution de la douleur et la malade se releva, mais pour passer tout s
'appendice xyphoïde, dans la région épigastrique. En même temps les douleurs continuaient. Tandis qu'au début c'était une si
- 76 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SaLPTR($IiE. turc, ou encore des douleurs névralgil'ormes alternativement dans l'une et l
troubles vésicaux consistant en envies fausses d'uriner. Jamais de douleurs , de dysurie, de rétention ni d'incontinence d'uri
de dysurie, de rétention ni d'incontinence d'urine. Etat actuel. - Douleurs . Elles sont absolument continuelles, occupant p
à plusieurs matelas, le moin- dre trou dans son lit lui causant des douleurs violentes par distorsion de la colonne vertébra
violentes par distorsion de la colonne vertébrale. Aujourd'hui les douleurs en ceinture ont notablement diminué, mais celle
ge, beaucoup moins cependant que debout, position dans laquelle les douleurs sont les plus vives et qu'elle est incapable, p
cette raison, de conserver quelques minutes consécutivement. Ces douleurs sont réveillées par certaines manoeuvres, ainsi q
ourts, rapides, c'est-à-dire que la malade s'efforce, à cause de la douleur des reins, de rester appuyée sur un seul pied l
ié inférieure du tronc et les membres inférieurs. On provoque une douleur vive en percutant la région lombaire de la colo
jamais eu de vomissements, bien qu'elle ait éprouvé quelquefois des douleurs dans l'estomac. Elle a pris une teinte jaune pa
tente suit l'extraction des derniers ganglions axillaires. Puis les douleurs sourdes, la courbature indiquent l'envahissement
de compression des racines rachidiennes ont débuté à leur tour. Les douleurs ont changé de caractère : tandis qu'au début c'
nt nécessité les injections hypodermiques de morphine. De plus, les douleurs ne restaient plus localisées aux lombes, elles
i bien à la face qu'aux membres, au contact, à la température, à la douleur . Pas de troubles grossiers de la vision, de l'a
très nette de la sensibilité générale pour tous ses modes (contact, douleur , tempé- rature) dans toute la moitié droite du
. La pression exercée au niveau de ces points détermine d'abord une douleur très vive, puis le malade accuse une sensation
r fortement le testicule droit sans que le malade accuse la moindre douleur , le moindre contact. Il ne perçoit non plus ni
igure exprime l'attention, sinon l'anxiété; peut-être une pointe de douleur perce- t-elle dans la physionomie. C'est que
ion car il paraît que, cette fois, celle-ci ne s'est pas faite sans douleur , si nous considérons la physionomie de l'infortun
ce à quelqu'un qui ne lui est certainement pas indifférent; cris de douleur du patient; pitié ou raillerie des assis- tants
LLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. nution de l'ouïe du côté droit; douleur provoquée par la pression de la région ovarienn
du moment où elle a commencé à être réglée, Mme X... a souffert de douleurs très vives dans le bas-ventre à chaque période
ue temps après l'accouchement, survint un gonflement du ventre avec douleur dans le flanc gauche. Ce gonflement d'abord inter
mps. La malade poussait des cris aigus, se plaignait d'une violente douleur au coeur et à l'estomac. De plus, les membres s
l'avance, car elles sont précédées, pendant tout ce temps, de vives douleurs dans la tête. Elle ne tombe pas par terre, mais
pes battent avec force. A ce moment, elle éprouve à l'épigastre une douleur plus ou moins violente, avec sensation d'une po
es enflées pendant quelques jours. En même temps, elle souffrait de douleurs vagues qui chan- geaient continuellement de pla
eins. On ne peut guère être renseigné par elle sur la nature de ces douleurs . Elle a toujours été sujette à des flucurs blan
lité à la CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES. 115 douleur et il existe sinon une analgésie, du moins une di
dite, donne lieu néanmoins à la production de l'aura hystérique : douleur au coeur épigastrique, constriction du pharynx, s
ant la totalité des symptômes de leur maladie, particulièrement les douleurs fulgurantes, l'incoordination motrice, les trou
re, très remarquable. Les phénomènes ataxiques, la paresthésie, les douleurs lancinantes, ont été notablement améliorés. Dan
4 furent soumis exclusivement au traitement par la suspension; les douleurs furent diminuées, mais ce résultat ne fut pas per
du poids du corps. Parmi les symptômes locaux, ce sont surtout les douleurs , l'ataxie, l'incontinence vésicale, moins l'inc
heures. Le lendemain elle est paralysée des membres inférieurs sans douleurs ni paresthésie. En même temps la main droite se p
jambe droite. Le lendemain tous les membres sont paralysés. Pas de douleurs . Tem- pérature : m. 38°, s. 39°. Le 23, la para
ssion disparaît, et les troubles aug- mentent. Elle accuse quelques douleurs aux membres inférieurs, et à la partie inférieu
otable de son appétit et, à inter- valles variables, ressentait des douleurs vagues dans les membres. Tou- tefois, ces doule
, ressentait des douleurs vagues dans les membres. Tou- tefois, ces douleurs n'étaient- rien en- comparaison d'une céphalalgie
renant toutefois les devants dans l'hypertrophie générale. Quelques douleurs vagues dans les membres, plus tard une céphalalgi
ne grande impressionnabilité au froid. Elle éprouve quelquefois des douleurs dans les membres; quand elle est fatiguée, et e
e légers élance- ments dans les jambes et dans les pieds. Jamais de douleurs la nuit. Elle se plaint beaucoup d'une céphal
e, diurne et nocturne, consistant non pas en des élancements ou des douleurs aiguës, mais en une lourdeur et une sorte d'eng
courant d'air en chemin de fer, fut pris, deux jours plus tard, de douleurs vives dans le voisinage de l'oeil droit et dans
uait beaucoup du bras droit, elle éprouva pour la première fois des douleurs dans ce bras au niveau du biceps. Ces douleurs
la première fois des douleurs dans ce bras au niveau du biceps. Ces douleurs disparurent sans laisser de traces au bout d'une
usqu'en décembre. A cette époque, elle eut des envies de vomir, des douleurs épigas- triques et de la diarrhée. Peu à peu le
t de la main gauche augmente. La main droite est un peu oedémaliée. Douleur assez vive tout le long du trajet de la dernièr
pression épigastrique pendant les inspirations profondes. Très vive douleur sur le trajet de la septième côte. 15 mai. - Di
es courants électriques sont peu sentis dans cette région. Aucune douleur , aucune crampe ne se fait sentir dans les régions
trécis- sement pupillaire, ni de dilatation. On ne détermine aucune douleur en pressant le long de la colonne vertébrale.
de soubresauts. En explorant la colonne vertébrale, on réveille une douleur assez vive dans la région cervico-dorsale (irri
gulière les jours suivants. 18 janvier. - La malade se plaint d'une douleur très violente dans le bras droit. En faisant mo
pas de chute de la paupière. C'est en avril 1884 que les premières douleurs apparurent dans les membres infé- rieurs sous f
t par intervalle du salicylate de soude. En dépit du traitement les douleurs persistèrent, limitées aux jambes, plus particu
s. A trois reprises le pied gauche enfla sans cause apparente, sans douleur , sans rougeur ni fièvre notable ; il était gros
88 et dans tout le courant de 1889, le malade fut tourmenté par des douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs surve-
ses, huit à dix fois par jour ; chaque accès durait une seconde, la douleur passait rapide comme l'éclair suivant la partie e
e, l'a jambe et s'échappant par le talon ; il éprouva également des douleurs en coups d'épingle dans les mêmes régions. La
venir à Paris au débutde cette année. État actuel. - Les grandes douleurs fulgurantes ont disparu. Le malade ne se plaint
et ne reviennent qu'un petit nombre de fois dans lajournée. Pas de douleurs dans les membres supérieurs, de douleurs en cei
fois dans lajournée. Pas de douleurs dans les membres supérieurs, de douleurs en ceinture, de serrement de la poitrine. Pou
brûler d'autant plus vivement qu'il n'en est pas même averti par la douleur . Analgésie (Fig. 70, 71). - Elle est absolue po
perçue; à partir de la moitié supérieure de la cuisse et du bras la douleur qu'elle occasionne est vive sans être exagérée.
nd. Le malade sent avec retard le frémissement, mais ne sent pas la douleur dans les territoires déjà mentionnés. Une électro
de la conjonctive et de la cornée, dont le con- tact ne provoque ni douleur ni réflexe palpébral, bien qu'il soit perçu. Pa
220 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI'1;'l'I11LRE. fcrt autrefois de douleurs fulgurantes; aujourd'hui encore il a des élance
u froid et la conservation de la sen- sibilité à la chaleur et à la douleur , avait conclu que les impressions de douleur et
é à la chaleur et à la douleur, avait conclu que les impressions de douleur et de chaleur étaient transmises par la substance
cas de paralysie du sciatique poplité externe avec anesthésie à la douleur et à la température et conserva- tion delà sens
on de la sensibilité tactile avec altération de la sensibilité à la douleur et à la température. Cette dissociation syringo
. Il est juste encore d'ajouter que d'ordinaire la sensibilité à la douleur est atteinte en première ligne ainsi que le sens
nviron, date à laquelle de nou- veaux phénomènes survinrent. Des- douleurs de têtes apparurent, assez nettement localisées a
la moitié gauche du front et au-dessus de l'oeil du même côté. Les douleurs de têtes ne se manifestèrent pas particulière-
ectrique pour- suivi pendant deux mois, il obtint la guérison de la douleur et de la déviation. Il fait ensuite remarquer
ne pouvait étendre complè- tement sa jambe droite sans éprouver une douleur assez vive dans la fesse correspondante. Il n
t, ce mouvement d'extension réveillait dans la fesse une assez vive douleur . En septembre 1889, la douleur jusque-là' simpl
llait dans la fesse une assez vive douleur. En septembre 1889, la douleur jusque-là' simplement provoquée devient spontan
vigoureux. Il présente une sciatique du côté droit. très nette. La douleur affecte le siège et les caractères que nous lui
ue nous lui avons assignés plus haut. Les lieux d'élection de cette douleur sont classiques : émergence du nerf, fesse, poi
péronier, mollet. Au niveau des malléoles et du pied il n'existe ni douleur spontanée ni provoquée. C'est surtout à la fess
ontanée ni provoquée. C'est surtout à la fesse et au mollet que ces douleurs sont le plus vives, atroces parfois, à caractèr
ieurs fois dans la journée. Dans l'intervalle de ces paroxysmes, la douleur est très sourde; elle n'existe pour ainsi dire
réveille pas; la marche est également indolente et peu gênée par la douleur . Dans la station debout, le malade se présente,
possible de se coucher sur le côté droit sans réveiller aussitôt la douleur . Les mouvements de la hanche sont normaux et in
L'extension seule est douloureuse et reste inachevée à cause de la douleur qu'elle provoque. Si on veut essayer de la comp
n veut essayer de la compléter de force, le malade pousse un cri de douleur en portant la main à la fesse et en localisant
cas contraire, cette manoeuvre très redoutée du malade réveille la douleur , d'abord à la fesse, puis dans tout le trajet,
DE LA SALI');'fltIl : RE. Outre le signe de Lasègue qui réveille la douleur , outre les douleurs spontanées paroxystiques, o
: RE. Outre le signe de Lasègue qui réveille la douleur, outre les douleurs spontanées paroxystiques, outre la flexion inst
e sur la cuisse), dans une attitude favorable à la diminution de la douleur . ' Le pied du côté droit repose sur le sol par
de marche'sans boiter, avec une allure particulière; il marche sans douleur , mais il se fatigue assez vite; en outre, il se p
commencement de juillet 1890 elle avait complètement disparu. Les douleurs sciatiques avaient beaucoup diminué de fréquence
nuée. Voici du reste les détails : État actuel (1 août 1890). - Les douleurs sciatiques ne sont guéries qu'en apparence; ell
dre soi-même de force; il pousse aussitôt un cri et accuse une vive douleur dans la fesse correspondante, douleur qui se gé
tôt un cri et accuse une vive douleur dans la fesse correspondante, douleur qui se généralise rapidement le long du sciatiq
sciatique dans les points où il souffrait jadis. Au contraire, les douleurs spontanées qui s'étaient amendées progres- sive
hir sa jambe droite sur la cuisse, il le fait avec facilité et sans douleur jusqu'à ce que le talon vienne toucher la fesse
de. ' En résumé, au point de vue de la sciatique, si on excepte les douleurs provoquées par une manoeuvre spéciale, l'extens
la longue, elle finit par devenir pénible et par réveiller quelques douleurs sur le trajet du nerf. Cette difficulté de la sta
ait été gai toute la journée; le soir il a été repris d'un accès de douleur névralgique et il s'est mis à pleurer, non à ca
re 1886 par M. Charcot. Sciatique gauche. Début remontant àun an. Douleurs intenses depuis trois mois et déformation depui
jours). La médication fut reprise trois fois consécutivement; les douleurs allèrent en diminuant; le malade put marcher qu
A SALPËTIUËRE. lion avait complètement disparu en même temps que la douleur . » On peut donc considérer cette guérison comme
lus facile, ainsi que nous l'avons déjà montré, que de réveiller la douleur par des manoeuvres ordinaires. Celle-ci, du reste
paroxysmes classiques, aux points d'élection. En dehors de cette douleur provoquée ou spontanée, la sciatique est encore
atique, par un mouvement instinctif, dans le seul but d'atténuer la douleur , le tronc s'incline du côté opposé à la sciatique
ibilité de la guérison. Dans le second, l'explication est aisée. La douleur , cause première de l'attitude vicieuse, s'attén
essentiellement de la guérison ou du, moins de l'amélioration de la douleur sciatique; 4° Il est encore impossible de déter
avail ; dans quelques-unes, nous notons un début subit avec fièvre, douleurs abdominales (obs. IV, VII; VIII, IX, XII), vomi
près une marche excessive à travers champs, elle fut prise de vives douleurs dans le pied droit, qui se mit à entier; obligée
e trois mois. Et depuis cette époque elle a toujours ressenti de la douleur , des crampes dans les jambes avec fatigue rapid
disparut complètement, au bout, de deux mois, en même temps que les douleurs névralgiques. En 1879, elle est prise de métror
uleurs névralgiques. En 1879, elle est prise de métrorrhagies et de douleurs abdominales symptomatiques d'un corps fibreux d
s dans les deux pieds. En même temps elle ressentit quelques vagues douleurs rhumatismales dans les poignets et dans les épaul
s douleurs rhumatismales dans les poignets et dans les épaules. Ces douleurs s'accompagnèrent de gonflement des deux pieds; co
mphatiques. Pas de trouble trophique ni de la sensibilité, sauf une douleur exquise sur laquelle nous allons revenir. Imp
qûre, le chaud et froid sont normalement perçus. Mais il existe une douleur exquise que la moindre pression, le plus petit
acquitte elle-même de ce soin avec la plus grande précaution. Ces douleurs se calment lorsque la malade reste immobile, sans
, et parfois la nuit la privent de sommeil. Soit à cause de cette douleur , soit en raison de l'énorme volume des membres
droit. Après un intervalle de trois ans, deuxième accès précédé de douleurs névralgiques le long des sciatiques et localisé
l en soit, après une longue rémission de six ans, à l'occa- sion de douleurs rhumatismales articulaires est survenue un nouvel
tériels, nous avons mentionné dans notre observation l'existence de douleurs spontanées et provoquées, conti- nuelles, tolér
Frappé par le faciès du malade qui était venu le consulter pour des douleurs rhumatismales, Strumpeit l'inter- rogea et put
ite d'abord, à gauche ensuite; enfin perte de la mobilité des yeux. Douleurs de tête. A eu une fois pendant quelques jours d
innervés par le facial. Rien du côté des organes des sens. Quelques douleurs de tête. Santé bonne. Syphilis douteuse. 1. Rot
ion cardiaque. - Jamais d'oedème des membres inférieurs. - Quelques douleurs dans les articulations. - Le malade urine assez
nt intéres- sante à cet égard : « Pcrrot, dit-il, ne ressent pas de douleur , mais il 1. Slcillheim, Nucledre LlI/UIIUn[) de
e qu'à droite. . Actuellement le malade commence à se plaindre de douleurs de tête et de difficulté de la marche (lourdeur
um ni vomissements. Plus lard seulement survinrent quelques légères douleurs occipitales. Pas de changement jusqu'au quatorz
odifiée. Elle resta stationnaire. Il n'y avait alors ni céphalée ni douleur périorbitaire. Pas de douleurs fulgurantes. Pas
re. Il n'y avait alors ni céphalée ni douleur périorbitaire. Pas de douleurs fulgurantes. Pas de vomissements. Le 4 novembre
18 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
me des conduits excré-teurs des reins qui peuvent subir, presque sans douleur , le contact des graviers urinaires ; aussi, les v
ue sans douleur, le contact des graviers urinaires ; aussi, les vives douleurs de la colique néphrétique sont-elles presques inc
401.) «Le fait est vrai pour les coliques avec tout leur appareil de douleur ; mais il faut tenir compte aussi de la diminutio
de la diminution de sensibilité ; et il n'est pas rare d'observer des douleurs sourdes dans la région gastro-hépatique, douleurs
rare d'observer des douleurs sourdes dans la région gastro-hépatique, douleurs que les malades apportent toujours à des causes i
illette, et nous ajouterons que d'après nos propres observations, des douleurs sourdes peuvent aussi coïncider plus souvent chez
marche trompeuse, qui ne sont accompagnées ni de vomissements, ni de douleurs violentes, ni de dyspepsie, au moins avouée. (Gil
istoire des fièvres paludéennes ; enfin, le malade est en proie à des douleurs presque continues, avec des alternatives de rémis
— Gravellc microscopique. — Goutte aiguë. — Prodromes. — Invasion des douleurs articulaires. — Symptômes généraux. — Caractères
tout pendant l'intervalle des accès ; on voit alors se manifester des douleurs rhumatoïdes dans les masses musculaires, et les a
ns qui sont le siège do prédilection des accidents fluxionnaires. Ces douleurs se mon-trent brusquement sous forme d'élancements
nes tout à fait insolites dans l'expérience du sujet; une angine, une douleur sciatique ou musculaire, par exemple.Mais il faut
brusquement, et d'une manière complètement imprévue. L'invasion des douleurs articulaires est soudaine et violente ; elle a pr
sque toujours lieu pendant la nuit. Le malade ressent tout à coup une douleur caractéristique, comparée par les uns à une morsu
par le refroidissement, des sédiments abondants. Vers le matin, la douleur et la plupart des autres symptômes s'amendent, po
les suivants : Io L'invasion brusque, et le caractère spécial de la douleur . Un Français cité par Watson (1), comparant cette
ut offrir des variétés. L'intensité des symptômes principaux, de la douleur , de la réaction générale, peut se trouver singuli
articulations; mais les symptômes locaux deviennent moins aigus ; les douleurs sont moins vives; enfin, comme nous l'avons déjà
e i. M. Bail a connu un goutteux qui ne pouvait jamais éprouver une douleur , môme passagère, sur un point quelconque, sans qu
par des applications astringentes, on voit quelquefois reparaître les douleurs articulaires au niveau de l'ulcération, ou sur un
u, Potton de Lyon). On voit alors céder, comme par enchantement, la douleur et la tumé-faction des jointures ; déjà le malade
nonce sous la forme cardialgique ou spasmodique ; il existe alors une douleur vive avec sentiment de crampes à la région épigas
nd cas, la maladie prend une forme inflamma-toire. Il existe une vive douleur épigastrique, surtout à la pres-sion ; des vomiss
qu'il n'y ait point d'hémorrhagïe intra-crânienne (Law, Stokes) ; des douleurs vives se manifestent à la région précordiale, et
ient à une époque peu avancée de la ma-ladie; il a pour symptômes une douleur vive mais transi-toire, alternant manifestement a
une affection passagère, d'un trouble dyna-mique, caractérisé par une douleur soudaine et violente de la vessie, par du ténesme
es des membres ; il sont sujets au lumbago, et peu-vent ressentir des douleurs très vives, sous forme de points, dans les parois
ensations sont assez souvent désignées par les malades sous le nom de douleurs rhumatismales, mais en réalité, elles appartient
té, elles appartient à la goutte. C. Nerfs. — On constate aussi des douleurs sur le trajet des troncs nerveux, et en particuli
jointures. — Tophus. — Dépôts d'urate de soude dans les cartilages. — Douleur . — Réaction générale. — Phénomènes viscéraux. —In
i ca-ractérisent les accès subséquents. 8° Mais pourquoi cette vive douleur qui inaugure la série des accidents articulaires?
s en môme temps; enfin, la lésion articulaire peut coexister avec des douleurs musculaires ou des névralgies, qui occupent tantô
e. —Rhumatisme aigu; rhumatisme subaigu. Arthropathies multiples. — Douleur . — Tuméfaction. — Rougeur. — Température. — Durée
'abord isolément, pour les envisager ensuite dans leur ensemble. 1° Douleur . — Elle est surtout nocturne; son intensité est m
Affections médullaires. — Lésions abarticulaires de diverse nature. — Douleurs musculaires. — Névralgies. — Troubles de la visio
ux aux deux temps, à la pointe du cœur. Il se plaignait souvent d'une douleur vive à la région splénique. La rate avait acquis
e, il s'est manifesté tout à coup une dyspnée assez intense, avec une douleur marquée au côté droit. La percussion fit constate
é; mais, à plusieurs reprises, depuis dix-sept ans, elle avait eu des douleurs arthritiques, accompagnées de gonflements des joi
Depuis cette époque, il y a eu de temps en temps des lumbagos et des douleurs articulaires fugaces. A quarante ans, nouvelle at
puis que l'affection thoracique avait acquis une telle intensité, les douleurs articulaires étaient devenues plus vagues et plus
u-matisme aigu ou subaigu, et il faut bien se garder de confondre les douleurs articulaires des affections spinales avec le rhu-
même dans les formes aiguës et chroniques du rhumatisme. Ainsi les douleurs musculaires de la goutte, suivies de crampes et d
modique des muscles. — Attitudes vicieuses. — Désordres permanents. — Douleurs . — Craquements. — Déformations osseuses. — Join
atisme'.aig? ou subaigu. On constate dans les jointures affectées, la douleur , la rougeur, la tuméfaction et la chaleur, qui ca
tes des os ; enfin des subluxations des extrémités articulaires. La douleur , soit spontanée, soit provoquée, s'établit alors
o-videntielle (Beau), dont le but serait d'atténuer l'intensité de? douleurs . Elles seraient le résultat d'attitudes prises in
ses à la fois. Les rétractions musculaires sont plus prononcées ; les douleurs sont très intenses ; la rougeur, la tuméfaction s
urtout qu'on peut étudier le mode d'enva-hissement de la maladie. Les douleurs sont moins vives, il y a moins de rougeur ; souve
généralise quelquefois. Phénomènes articulaires. — Déformations. — Douleurs . — Absence de sensi-bilité à la palpation. — Craq
emblée est ici la règle. Le début est le plus souvent insidieux ; les douleurs sont peu pronon-cées ; les membres affectés conse
maladie persista, sous forme d'arthrite sèche ; en dernier lieu, des douleurs symétriques se manifestèrent aux deux mains et l'
avoir longtemps souffert de cette maladie. Il avait eu, en 1818, des douleurs assez vives dans les mains et les poignets, accom
poignets, accompagnés d'un léger gonflement. Deux ans plus tard, une douleur légère se montra dans l'articu-lation coxo-fémora
es, des corps étrangers, del'hydar-throse. 2° Le malade éprouve une douleur spontanée, assez vague, qui se dissipe par la mar
par la marche, mais qui, à la longue, finit par s'exaspérer. 3° La douleur provoquée par la palpation ou la percussion est n
uma-tisme noueux, dont la fille et la petite-fille éprouvent déjà des douleurs dans les petites jointures. Voilà donc trois géné
s exquises et presque insupportables. Peut-on supprimer ces crises de douleur , ou tout au moins en diminuer l'intensité, en abr
disparaître, comme par enchantement, l'inflammation gout-teuse et la douleur terrible qui l'accompagne. Son action, à cet égar
fique se manifeste par la disparition de la fluxion goutteuse et delà douleur qui l'accompagne; la ré-solution s'opère, comme p
que, le sulfate de quinine est encore utile. En dehors des accès, les douleurs plus ou moins permanentes dont les jointures peuv
remiers effets de l'emploi du médicament est souvent de réveiller les douleurs , et de les exaspérer dans les jointures habituell
, et dans les cas où la lésion est le plus éten-due, non-seulement la douleur locale, mais encore tout l'ap-pareil des phénomèn
par des irradiations douloureuses. C'est ainsi que les coliques de la douleur hépatique et de la douleur (colique) néphrétique
reuses. C'est ainsi que les coliques de la douleur hépatique et de la douleur (colique) néphrétique qui, chez l'adulte, se mont
sans fièvre appréciable, mais ils s'accompagnent quelquefois de vives douleurs . Chronique dès son origine, la maladie qui les a
sur lesquels nos éludes ont pu spécialement porter. Symptômes. La douleur , la tuméfaction, la rougeur des jointures, les dé
J. Haygarth. — A clinical liistorg of t/ie nodositg of the joints. Douleur . La douleur peut siéger exclusivement dans les jo
. — A clinical liistorg of t/ie nodositg of the joints. Douleur. La douleur peut siéger exclusivement dans les jointures; mai
f d'un grand nombre de jointures a rapidement produit l'infirmité, la douleur articu-laire a pu être incessante pendant plusieu
jamais rapidement d'une jointure à une autre. Il est des cas où la douleur articulaire est à peine sensible, pendant tout le
ulaires. — Caractères des déformations. — Absence presque complète de douleurs articulaires. La nommée Eulalie Rolin, âgée de
ues, rez-de-chaussée). — Les parents de cette femme n'ont jamaiseu de douleurs articulaires ; elle n'a jamais habité d'endroit h
ps celles des genoux, deviennent rouges et un peu gonflées, mais sans douleur notable et sans fièvre. Presque immédiate-ment, c
s après, la flexion forcée des genoux, se manifestent égafement, sans douleurs véritables, mais avec un sentiment de crampes se
vé la plus petite incommodité. Cette absence presque complote de la douleur articulaire doit être considérée comme un phénomè
ène exceptionnel, et c'est la seule fois que nous l'ayons notée. La douleur osseuse est profonde, térébrante, plus pénible qu
e. La douleur osseuse est profonde, térébrante, plus pénible que la douleur articulaire; elle arrache souvent des pleurs aux
on légère, exercée sur le corps des os, l'exagérait ma-nifestement. Douleur musculaire. La variété de la douleur qui paraît r
s, l'exagérait ma-nifestement. Douleur musculaire. La variété de la douleur qui paraît résider dans les muscles se montre ord
montre ordinairement plus ou moins longtemps après l'apparition de la douleur des join-tures; d'autres fois, au contraire, elle
s pénible, contre le-quel les malades luttent avec persistance. Celte douleur oc-cupe généralement toute la longneur d'un membr
squ'ils disent que l'affec-tion des jointures s'accompagne souvent de douleurs spas-modiques dans les membres. Dans ces derniers
é la sensation dou-loureuse que nous avons essayé de dépeindre. Les douleurs musculaires sourdes, qui sont accompagnées de cra
III). Nous avons noté, chez deux malades seulement, l'existence de douleur , occupant le trajet des nerfs. Dans ces deux cas,
aît avoir été atteint. Nous ne pouvons donner plus de détails sur ces douleurs , car elles avaient cessé d'exister depuis longtem
on où elle s'était montrée deux fois seulement après l'apparition des douleurs articuhiires. Dans tous les cas que nous avons ob
s le début, quelques jours, quelques semaines après l'appa-rition des douleurs articulaires (Ors. 1, II, V); tantôt, au contrair
musculaire qui amène les déviations est quelquefois accompagnée d'une douleur sourde, toute spéciale qu'on ne peut guère locali
u dans les nerfs qui s'y distribuent, et qui est bien distincte de la douleur qui siège dans les jointures, ou de celle qui par
rebalancer son action; elle n'est pas en rapport avec l'intensité des douleurs articulaires (Obs. I). Par toutes ces raisons, on
inctive que les malades imprimeraient leurs membres pour atténuer les douleurs . On ne pourrait guère, non plus, l'attribuer à un
tre parfois quelques jours, quelques se-maines après l'apparition des douleurs articulaires, elle peut commencer à se produire d
à un certain nombre de types à peu près invariables. D'ailleurs, les douleurs qui accompagnent la rétraction n'ont pas le carac
es douleurs qui accompagnent la rétraction n'ont pas le caractère des douleurs musculaires rhumatismales, et les malades les en
énéralement pas cessé de prendre des aliments, même à l'époque où les douleurs étaient des plus vives. Les autres fonctions ont
e coïncident pas toujours avec la recrudes-cence ou la diminution des douleurs . Chez une jeune infirme (Chevalier, Divine, âgée
ttention qu'ils méritent peut-être. Les malades bravent les premières douleurs , bornées à une ou deux jointures, et accompagnées
rticula-tions sont envahies. Après un certain nombre de rechutes, les douleurs deviennent à peu près continues ; c'est alors qu'
musculaire est mise en jeu ; elle agit sourdement, sans déterminer de douleurs musculaires spas-modiques, toutefois, elle n'en f
— Grands-père et mère rhumatisants. — Habi-tation humide. — Début des douleurs à 20 ans. — Nouvelles dou-leurs à 28 ans, dans le
rhumatismes. La mère est morte à soixante ans, elle n'a jamais eu de douleurs articulaires ; mais le grand-père a eu un rhumati
se et très humide. Déjà, vers l'âge de quinze ans, elle aurait eu des douleurs siégeant dans les muscles de l'épaule, et pour le
ou dix jours, l'éfatnormal des muscles s'était rétabli. A part ces douleurs , et un abcès des ganglions sous-maxillaires dével
Au bout d'un an, pendant l'été, sans cause connue, elle est prise de douleurs dans les articulations tibio-tarsiennes des deux
oup mora-lement. Elle était enceinte depuis six semaines, lorsque les douleurs reparaissent ; c'est par le genou gauche que le m
flent simultanément. Tout cela se passe presque sans fièvre, mais les douleurs sont très vives et causent de l'insomnie ; c'est
dura peu. A trente ans, elle observe que, peu à peu, et sans que les douleurs soient devenues plus vives, les membres supérieur
as d'antécédents héréditaires. — Habita-tion très humide. — Début des douleurs à 28 ans. — Description des déformations. Hospi
sinée). — Cette malade assure que son père et sa mère n'ont pas eu de douleurs ; elle a un frère et une sœur qui en sont égalemen
ême était humide. Elle se marie à vingt-sept ans, et un an après, les douleurs commencent à appa-raître. Jusque-là elle s'était
vingt-neuf ans. Pendant la gestation, ilyaune légère exacerbation des douleurs , l'accouche-ment se fait à terme sans accident ;
al ; l'enfantmeurtunanaprès sa naissance. C'est par les mains que les douleurs ont tout d'abord débuté, par les articulations du
ation du mal, laquelle s'est effectuée en deux ou trois semaines. Les douleurs , qui étaient d'abord continues, ne se montrent pl
dit-elle, jamais de fièvre. Deux ans après l'apparition des premières douleurs , un grand nombre de nouvelles jointures s étaient
grand nombre de nouvelles jointures s étaient prises sourdement, sans douleurs vives ; vers cette époque, lqs mains ont pris ins
que pendant l'hiver ; la plupart attribuent la recrudescence de leurs douleurs au froid et aux variations de température ; il en
ie principale. Quelques infirmes, il est vrai, étaient sujettes à des douleurs d'estomac, et quelquefois même à des vomissements
aient à peu près continus, et ne semblaient ja-mais alterner avec les douleurs articulaires ; ils étaient sur-tout prononcés che
ce qu'elles sont suivies généralement de l'apparition immé-diate des douleurs . Dans 4 de nos observations, les jointures ont ét
uvent par les jointures des doigts, de la main, où elle a produit des douleurs articulaires, mi gonflement des parties superfici
A une époque plus ou moins voisine du début, il s'est dé-veloppé des douleurs sourdes, et d'un caractère spécial, qui paraissai
mêmes ; d'autres fois, cette rétraction ne s'est accompagnée d'aucune douleur appréciable dans le trajet des muscles. Les défor
L'affection a présenté une marche très lente et a déterminé peu de douleurs , lorsqu'elle s'est développée chez des femmes âgé
âgées ; son évolution a été, au contraire, souvent assez ra-pide, les douleurs ont été vives, chez les sujets d'un âge moins ava
s d'antécédents héréditaires. — Pas d'ha-bitation humide. ?—Début des douleurs , à .23 ans, au sixième mois de la grossesse. — Re
la grossesse. — Refroidissement durant les règles ; réapparition des douleurs ; envahissement de toutes les jointures. — Appari
humatisme, ni goutte; elle a deux sœurs bien portantes et exemptes de douleurs dans les jointures. Elle a été réglée à vingt ans
du chanvre, qu'elle éprouve de la gène clans les mouvements et de la douleur dans les articulations métacar-po-phalangiennes d
acar-po-phalangiennes du pouce et de l'index de la main droite. Cette douleur est à peine accompagnée d'un peu de rougeur ; que
froid, à une source où elle lave du linge ; elle revient transie. Les douleurs , qui avaient à peu près disparu, reparaissent tou
ticulations du cou-de-pied sont atteintes de nouveau; cette fois, les douleurs et la gêne des mouvements sont les seuls symptôme
e n'a pas cessé un seul jour de manger. A partir de celte époque, les douleurs se sont fait sentir presque sans interrup-tion pe
devenue très pâle. Aucun traitement n'a été dirigé contre le mal. Les douleurs étaient plus vives la nuit que le jour, et elles
s exaspérait en provoquant des mouvements. Dès le début des nouvelles douleurs articulaires, les membres ont pris une attitude v
des Vieillards. 26 Test aujourd'hui, et au bout de quatre ans, les douleurs avaient, spontanément diminué. A cette époque, on
dans le service de M. Ri-eord ; elle y est restée dix-neuf mois. Les douleurs étaient, continues, mais assez supportables ; lan
ans. Elle était encore souffrante lorsqu'elle y est entrée, mais, les douleurs ne reparaissaient guère qu'avec les changements,
é, on peut le dire, et. prend son mal en patience ; au-jourd'hui, les douleurs ont presque complètement cessé ; les urines sont
séjour dans ce lieu, Maul éprouve tout à coup, pendant la marche, une douleur tellement vive dans l'articulation de la première
e du gros orteil droit, qu'on est forcé de le ramener chez lui. Cette douleur , il la compare à un engourdissement très in-tense
ed gauche deviennent simulta-nément rouges, tuméliées, et causent des douleurs analogues à celles qui avalent existé dans le pou
d bornées aux petites articulations, la tuméfaction, la rougeur et la douleur se montrent bientôt aux articulations tibio-tar-s
e bras. Ce sont surtout les membes supérieurs qui sont le siège des douleurs , à cotte nouvelle période de la maladie; c'est al
la perte ou la diminution des mouvements de certaines jointures, une douleur se manifeste pour la première fois dans l'épaule
alade de fléchir l'avant-bras sur le bras, il le fait d'ailleurs sans douleurs ou difficulté. Le biceps brachial et le brachia
se déclarent, à un sentiment de gène et de picotement, ou même à une douleur plus ou moins vive ; il n'est point rare, en pare
a nombreuse famille. Elle excerçait la profession de ravaudeuse ; les douleurs articulaires avaient débuté seulement pendant l'a
u presque tous les ans des atta-ques passagères caractérisées par des douleurs articulaires et la tuméfaction des jointures des
ction des jointures des extrémités. La première mani-festation de ses douleurs articulaires ne portait pas spéciale-ment sur les
ineuses. Le 22 janvier 1864, il a ressenti pendant la nuit une vive douleur au gros orteil de l'un des pieds. Le lendemain, l
s fait entendre des deux côtés des râles vibrants et ronflants. Les douleurs articulaires s'amendèrent très vite, et le ma-lad
Le 15 avril, le malade se plaint de nausées, d'envies de vo-mir et de douleur aux articulations des phalanges. Les arti-culatio
les et la peau rosée à leur niveau. Cette nouvelle recrudescence de douleurs ne dura que peu de jours. Pendant le mois de ma
ant le mois de mai, se manifestèrent les symptômes d'une ascite et de douleur continue dans les régions lombaires. Les urines
ans ; le malade était alors à Orléans, il fut pris tout à coup d'une douleur violente, siégeant dans le pouce du pied gauche e
accès a eu lieu un an après, le malade était à Dunkerque. Cette fois, douleur , gonflement et rougeur de la cheville toujours du
ne pré- sentent pas de déformation. Le malade y éprouve souvent des douleurs lors des accès. Il éprouve également, en pareil c
des douleurs lors des accès. Il éprouve également, en pareil cas, des douleurs qui paraissent siéger au niveau de l'insertion de
sieurs de ces malades, le tiers environ, ont assuré avoir éprouvé des douleurs articulaires qui s'étaient développées pour la pr
séjour dans ce lieu,Maul éprouve tout-à-coup, pendant la marche, une douleur tellement vive dans l'articulation de la première
e du gros orteil droit, qu'on est forcé de le ramener chez lui. Cette douleur , il la compare à un engourdis-sement très intense
pied gauche deviennent simultanément rouges, tuméfiées et causent des douleurs ana-logues à celles qui avaient existé dans le po
perte ou la diminution des mouvements de certaines d'entre elles, une douleur se ma- nifeste pour la première fois dans l'épa
alade de fléchir l'avant-bras sur le bras, il le fait d'ailleurs sans douleur ou difficulté. Le biceps brachial et le brachial
s du pied, 1 fois sur le genou, 1 fois sur la hanche (p. 27-28). La douleur de la goutte aiguë comparée à celle du rhumatisme
uë comparée à celle du rhumatisme. — On a dit que clans la goutte, la douleur se montre sous forme d'un point situé sur le côté
és; tandis que, dans le rhumatisme articulaire aigu, au contraire, la douleur est étendue, large pour ainsi dire, et embrasse t
s besoins. Il a éprouvé pour la première fois, il y a trente ans, des douleurs articulaires, qu'il qualifie du nom de goutte, et
par M. Desgranges. Obs. II. — M..., âgé de cinquante-huit ans. Les douleurs arti-culaires ont débuté il y a vingt ans. Actuel
t d'éviter tous les mouvements capables de réveiller ou d*exalter les douleurs articulaires .; soit — et plus généralement — de
es points une coloration d'un blanc mat. Elle n'est le siège d'aucune douleur et gêne à peine les mouve-ments de la paupière. U
n 1850 (The Lancet, 1850, p. 340). Chez le malade dont il s'agit, les douleurs de la goutte ap-paraissaient dans diverses articu
'une manière pour ainsi dire habituelle, soit sous forme d'accès, des douleurs rénales plus ou moins accu-sées ; ils rendent, de
oportion d'albumine. Se trouvant sous le coup d'une exacer-bation des douleurs articulaires qui le privait de sommeil depuis plu
es, accompagnés parfois d'une hémiplégie passagère (Law, Cheyne); les douleurs vives de la région précorcliale s'irradiant le lo
acti-« vite presque normale ; quelquefois cependant, il existe une « douleur sourde et une sensibilité anormale avant ou penda
ai observé un fait qui me paraît très instructif sous ce rapport. Des douleurs articulaires avec gonflement et rougeur s'étaient
cinq ans, qui commençait à présenter des symptômes de paraplégie. Ces douleurs avaient occupé tantôt les genoux, tantôt les arti
as-sage qui mérite d'être reproduit in extenso. Après avoir parlé des douleurs qui, après la cessation de la fièvre, persistent
remiers effets de l'emploi du médicament est souvent de réveiller les douleurs ou de les exaspérer dans les jointures principale
'âge de quarante-huit ans. — 0e enfant, une fille : Quelques accès de douleurs articulaires vagues et siégeant dans la jointure
ômes qui permet d'en établir le diagnostic. Les malades éprouvent des douleurs souvent très vives sous l'influence des moindres
— Gravelle microsco-pique. — Goutte aiguë. — Prodromes. —Invasion des douleurs articu-laires. — Symptômes généraux. — Caractères
jointures. — Tophus. — Dépots d'urate de soude dans les cartilages. — Douleur . — Réaction géné-rale. — Phénomènes viscéraux.— I
e. — Rhumatisme aigu; rhumatisme subaigu. Arthropathies mul-tiples. — Douleur . — Tuméfaction. — Rougeur. — Température. — Durée
odique des muscles. — Attitudes vicieuses. — Désordres perma-nents. — Douleurs . — Craquements. — Déformations osseuses. — Jointu
ffections médullaires. — Lésions abarticulaires de diverses natures.— Douleurs musculaires. — Névralgies. — Troubles de l'appare
e généralise quelquefois. Phénomènes articulaires. —Déformations. — Douleurs . — Absence de sensibilité à la palpation. — Craqu
Abcès péri-articulaires, 188. Abcès de goutté : prodromes, 76; — douleurs 77;— symptômes généraux 77. — retour des —,80; —
89! secondaires et tertiaires, 190 ; — rhumatismales 156, 196, 197; — douleur , tuméfaction, rougeur, 197; température, 197 ; —
que, 75 ; — aggravation des accidents par les écarts de régime, 75; — douleurs articulaires, 75. Douleur : dans la goutte, 76,
ccidents par les écarts de régime, 75; — douleurs articulaires, 75. Douleur : dans la goutte, 76, 162, 500 ; — dans le rhumat
oelle dans la —, 101, 549; — asthme, 102; — vertige laryngé, 478; — douleurs musculaires, 107; — né-vralgies, 107; — affection
de déformations, 510. Goutte abarticulaire non-viscérale, 106; — douleurs musculaires, 107; névral-gies, 107; — affections
anées,107. Goutte aiguë, 76, 203 ; — prodro-mes, 76 ; — accès, 77 ; douleur , 77, 500 ; symptômes généraux, 77 ; — œdème, 78 ;
hénique primitive, 5, 166, 353, 395 ; — historique, 353 ; début 354 ; douleur articulaire, 305 ; — observation d'absence de dou
3 ; début 354 ; douleur articulaire, 305 ; — observation d'absence de douleur ar-ticulaire, 356 ; — douleur osseuse 354 : — d
laire, 305 ; — observation d'absence de douleur ar-ticulaire, 356 ; — douleur osseuse 354 : — douleur musculaire, 358 , 396 ;
d'absence de douleur ar-ticulaire, 356 ; — douleur osseuse 354 : — douleur musculaire, 358 , 396 ; — rougeur, 360, 396 ; — g
249; —forme hypertro-phique, 249 ; — début, 250; — symp-tômes, 251; — douleur , 252; — caractères 252 ; — rétraction spas-modiqu
den, 242, 232. Rhumatisme noueux, 166, 232, 551 ; symptômes, 199; — douleur , cra-quements, déformations, 232, 235, 556; — loc
19 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
iable, pendant une promenade, dune grandi faiblesse avec sentiment de douleur , d'étouffement et d'anxiété à la région prœcordia
à partir de ce moment, elle accuse constamment une gène, parfois une douleur vive toujours au même point, au 5e espace de la r
toujours au même point, au 5e espace de la région précordiale gauche, douleur l'empêchant de se redresser complètement. Au mo
gauche, au point qu'elle ne pouvait plus le remuer, accompagné d'une douleur s'irradiant tout le long du nerf cubital, princip
e premiers mois, les vomissements étaient exlrêmements fréquents : la douleur prœcordiale était plus vive: il ne se passait guè
deux premiers jours qui suivirent l'accouchement, la malade n'eut ni douleur , ni crise ; elle était trop faible d'ailleurs pou
nger à l'allaitement. Après cette courte éclaircie, les crises et les douleurs reparurent comme avant. Au mois de mai î 888. l
continue en novembre. Les crises prennent un nouveau caractère. A la douleur d'une acuité excessive, à la respiration spasmodi
oreillers, exécute des mouvements avec sa main comme pour arracher la douleur qui l'étreint au cœur: la dysp- née devient e
eil, ne peut plus (aire quelques pas sans provoquer aussitôt une vive douleur au niveau du cœur. C'est un gémissement perpétuel
a cocaïne qui sembla d'abord donner de meilleurs résultats contre les douleurs et les étouffements, mais devint bientôt peu effi
de ; le mari, obligé de céder aux sollicita-, tions impérieuses de la douleur , diminua la force de la solution à mesure: que la
sein ratatiné et dur ressemblait presque à un squir-rhe atrophique.La douleur à la pression- de l' espace intecostal gauches ét
enant de plus en plus fréquent et faible, plus de 160 par minute; une douleur atroce l'étreignait à la région prœcordiale. Je
tout allait se! passer, que cela était purement nerveux : que la douleur se calmait à l'approche de ma main, que la respir
ures. Puis la crise cesse brusquement après 4 à 5 heures de durée. La douleur prœcordiale seule persistait. Pendant la crise le
dément déprimée physiquement et moralement, minée par là fièvre et la douleur , elle allait vers une mort certaine. Depuis 18 mo
plus de 3 minutes de suite, le mouvement de la marche exaspérant ses douleurs . Je procédai par insinuation douce, pour efface
liquai que la suggestion n'avait pu réussir pendant la crise, car les douleurs étaient trop intenses, mais qu'elle devait réussi
rofond. Alors , parlant avec assurance, j'affirmai la disparition des douleurs et des crises, etc. Au bout d'un quart d'heure de
ndant son sommeil. Je lui dis immédiatement: « Vous voyez bien que la douleur est partie. Vous ne sentez plus rien. Vous n'avez
ez plus rien. Vous n'avez plus de crise. » Elle ne ressentait plus de douleur , le touchai avec une certaine précaution la régio
aine précaution la région doulou- reuse pour lui démontrer que la douleur n'existait plus, en évitant toutefois de la révei
insi pendant plus de 4 semaines, Dès la première séance. Us crises de douleur avec accélération respiratoire etc. avaient défin
oire etc. avaient définitivement disparu, sans tendance au retour. La douleur continue du 5' espace intercostal aussi n'a plus
ion prcecordiale et avait un mo-ment d'anxiété. Maiscette velléité de douleur n'aboutissait pas. Je continuai à lui affirmer qu
voulait plus et de ce jour, elle ne parlai plus jamais de cocaïne. Douleurs , crises, besoin de cocaïne étaient supprimés défi
borum ostemdunt curationes. En résumé une jeune femme est prise d'une douleur aiguë vive et continue à la région prcecordiale;
violentes d'hystérie respiratoire et cardiaque se greffent sur cette douleur . Toutes les médications échouent. La santé généra
nouement fatal semble certain La suggestion hypnotique seule a enlevé douleurs et crises dès la première séance et achève la gué
ée à 12 ans, sans difficulté. Vers l'âge de 16 ans, elle fut prise de douleurs d'estomac, tellement intenses. qu'elle se rou
intenses. qu'elle se roulait par terre en poussant des cris. Ces douleurs , que la patiente compare à une violente compressi
mariage, mais alors reparurent les crises gastriques primitives avec douleurs abdominales, dorsales et intercostales. Les crise
rsales, intercostales et abdominales ; la menstruation s'établit sans douleur , à la date suggérée, et les règles coulent les 28
ériode de dilatation dans l'hypnose cl dans l'inconscience. Quand les douleurs expulsives commencent, le sommeil ne peut plus êt
résentes: « Vous allez voir comment elle va se réveiller, j'enlève la douleur ,elle n'étouffe plus, elle respire bien; les convu
, 13 Pages, 1890. Paris. Dr E. Bissiti-. — De l'Accouchement sans douleur , in-8°, 16 pages 1888. Secaux- Imprimerie Chara
des recherches exploratrices pour éveiller, sur tel ou tel point, une douleur dont le siège sera ensuite considéré comme ayant
de la sensibilité tactile et abolition absolue de la sensibilité à la douleur dans un espace circonscrit affectant la forme d'u
avaient été faites pendant les séances hypno:iques sans causer aucune douleur aux patients: il ne peut s'empécher de penser a l
'il guérit une maladie, il la remplace par une autre ; 5° Si quelques douleurs sont, temporairement, soulagées par la suggestion
isé le patient, lequel, en s'éveillant, assura n'avoir éprouve aucune douleur . Il juge que le Dr Kerr s'est trop hâté de condam
sur l'univers. Vive, vive l'hypnotisme roi î Avez-vous de cruelles douleurs que rien ne peut guérir ? Je n'ai qu'un conse
ns son lit depuis huit ans. Dès qu'on la touche, elle accuse de vives douleurs dans la nuque, dans la région lombaire et dans le
a eu deux enfants. Son second accouchement a eu lieu tout à fait sans douleurs . Huit mois après ses couches, elle fit un violent
hez trois de nos malades nous avons fait disparaître l'insonmic elles douleurs fulgurantes, et même obtenir chez l'un une amélio
gestion a eu la plus grande efficacité pour amener la disparition des douleurs et l'amélioration de la vision. Ken qu'actuelle
t améliorées, maispromp-tement guéries par la suggestion. Quand aux douleurs névralgiques que nous avons pu très facilement gu
s, la migraine, les névralgies dentaires, la névralgie sciatique, les douleurs du rhumatisme chronique et surtout la gastralgie.
elle depuis quelques jours pour panser une dent cariée, Elle eut des douleurs épigastriques assez vives, mais pas d'accidents s
a la rivière. Elle attira l'attention. des passants par l'éclat de sa douleur ;un sergent de ville la suivit et l'arrêta au m
nts dans les muscles, marche difficile, vomissements tous les matins, douleur dans le creux de l'estomac, qu'il combat par l'in
luencer qu'aprèsdix séances. H s'améliora après, de jour en jour; les douleurs daus le creux de l'estomac disparurent, et après
de vomissements, d'insomnie et de crampes, de temps en temps aussi de douleurs nerveuses. A la fin de février 1888. son état s'a
dut reprendre de la morphine même pendant la journée â cause de vives douleurs névralgiques. Au commencement d'août, elle es
lle s'opposa autant que possible ;r rusage de la morphine •contre ses douleurs que je pus adoucir. mais non pas guérir complètem
. pendant les mois de septembre et d'octobre, elle souffrait de vives douleurs dans les bras, les mains et les jambes. A cette é
suggestion le ;o octobre et est demeurée régulière depuis. Toutes les douleurs , toutes les crampes, tout symptôme de maladie ont
e la morphine prenait corps du côté opposeet lui rappelait toutes les douleurs guéries et toutes les heures de jouissances. Dans
r morphine manc glisse sur la pente du vice. Une malade éprouve des douleurs violentes, intolérables, un médecùf lui fait une
turs morphinomanes. Si la morphine ne donnait que la sédation de la douleur . el!c ne ferait pas autant de victimes. Malheureu
e aussi un rôledrns cette anesthésie sexuelle. UN ACCOUCHEMENT SANS DOULEUR SOUS L'INFLUENCE DE L'HYPNOTISATION (¦) Par le
et quelques sages-femmes une suggestion est donnée pour supprimer les douleurs , pour obtenir l'apparition des contractions à int
doit prêtera l'accoucheur. Le fait de la suppression absolue de la douleur qui ne laisse â la mère que les joie*; de l'enfan
igt d'un pied postérieur et pratiquer le pansement sans pro-du ire ni douleur ni mouvements de défense. Sur un deuxième chien,
la doctrine de la suggestion, loi de ridèo-dynamisme. L'idée devient ( douleur , démangeaison, froid, etc.) image (hallucination,
tionnel : elle peut, en tant que l'étal organique le permet, calmería douleur , restaurer le sommeil et l'appétit.augmenter la f
psychique, des paralysies fonctionnelles, des névroses diverses, des douleurs rhumatismales, des arthralgies, des névralgies, d
tique, je n'ignore pas qu'il en est résuite des abus, et je vois avec douleur les anciens préjugés revenir à grands pas. » Ch
ement de cette tumeur qui a l'aspect d'une grossesse de sept mois. Ni douleur , ni sentiment de pesanteur dans le bas-ventre, se
spension brusque de l'écoulement sanguin pendant le cours des règles. Douleurs atroces, pas d'hématocèle. Injection de morphine.
tiées; visage jaunâtre et boursouflé: pas d'albumine dans les urines. Douleurs gastralgiques contre lesquelles je tentai sans sa
'ont plus reparu. Il n'en fut point de même des vomissements cl des douleurs gastralgiques qui persistèrent au point que la ma
pelait pas avoir mangé. Dès ce moment,le vomis. sements ainsi que les douleurs gastralgiques cessèrent. Après une dizaine de séa
survenaient toujours de la même taçon. Elle ressentait aux tempes une douleur constrictive et perdait tout i coup connaissance,
sous-maxillaire et l'avulsion de trois dents sans éprouver la moindre douleur . M. H... nous fournissait ainsi la démonstration
Elle présentait les symptômes suivants: insomnie, manque d'appétit et douleurs presque continuelles dans la région occipitale. C
nt, et, en trois semaines, elle recouvra les forces et l'appétit. Ses douleurs ayant, en même temps, presque complètement dispar
e de la période dite somnaxnbulique, le transfert par les aimants, la douleur do tête localisée au moment du transfert, etc., j
entifique. RECUEIL DE FAITS Huit observations d'accouchement sans douleur sous l'influence de l'hypnotisme, par M00 le Dr M
vulsions. A son entrée, le 15 septembre, la femme se plaiat de fortes douleurs qui durent 99 h., se répétant chaque 10-15 m. La
nt chaque 10-15 m. La dilatation n'a pas commencé. Vers le matin, les douleurs cessent pour recommencer à midi; elles sont très
très irrégulières, mais n'avancent pas le travail. Dans la nuit, les douleurs , toutes les 5-10 m., la femme s'agite, gémit. Le
me s'agite, gémit. Le 17 au matin, elle est très faible, pale, pas de douleurs ; la journée se passe ainsi, mais à 7 h. s. les do
pale, pas de douleurs; la journée se passe ainsi, mais à 7 h. s. les douleurs ont reparu; elles sont fortes et se répètent à ch
à inhaler une compresse trempée d'eau, lui disant que cela enlève la douleur ; elle respire profondément, se calme et demande à
es, mais lient ma main sur ses yeux. Contractions chaque 2 m., pas de douleurs . A minuit, pendant une contraction qui dure *2 m.
ptembre, à 8 h. m., la femme est inquiète, très agitée, pleurant, les douleurs ont commencé à minuit, elle n'a pas reposé et se
s douleurs ont commencé à minuit, elle n'a pas reposé et se plaint de douleurs de reins et de bas-ventre. Les élèves du service
oup crié, qu'à 7 h. la dilatation était comme une pièce de 5 fr.; les douleurs , très fortes et très douloureuses, continuaient.
ouchement et qu'elle me demande de l'endormir dès qu'elle sentira les douleurs . Son sommeil est habilellement léger, elle entend
elle, que je peux faire avec elle tout ce que je veux. Les premières douleurs ont eu lieu à 8 h. s. le 12 janvier, 56" répétant
lle me demande de lui tenir le ventre et le dos, que cela lui Ole les douleurs . Elle ne peut pas ouvrir les yeux, mais répond à
son accouchement et de me demander de l'endormir dès qu'elle aura des douleurs . Les premières douleurs le 11 février. A 3 h. s.
e demander de l'endormir dès qu'elle aura des douleurs. Les premières douleurs le 11 février. A 3 h. s. la dilatation est comm
se tranquillise dès que je lui dis qu'elle n'a pas mal, que j oie les douleurs . Elle se plaint d'avoir mal au cœur Je lui suggèr
s 5 m. et durent 40-48 s. A 4 h. 1/2 la dilation est comme 5 fr., les douleurs augmentent d'intensité, la malade souffre beaucou
ée d'eau; la malade dit que cela la soulage, que cela fait passer les douleurs . A 5 h. 1 /2 la dilatation est complète, la tête
t-à-dire le secours d'uue émotion subite et profonde, enthousiasme ou douleur ; amour ou déchirement; il y faut surtout le conco
la barbarie que ce procédé sanglant, et. fùt-il prouvé qu'il est sans douleur , ce genre de décapitation n'en resterait pas moin
it le -a janvier dernier. U était cinq heures du matin. Les premières douleurs avaient été ressenties vers deux heures. A trois
vives souffrances dans le bas-ventre et dans la région lombaire. Les douleurs , qui paraissaient assez fortes, revenaient toutes
le doigt pour m'assurer de sa souplesse. Elle accusa alors une vive douleur dans les lombes et immédiatement se produisit une
bes oculaires, M. Delbœuf lui enjoignit de dormir. Il lui dit que ses douleurs allaient se calmer, qu'elle ne sentirait plus rie
frirai quand même - (1). Mais le calme revint avec la cessation de la douleur et M. Delbœuf, continuant la compression des glob
at d'hypnotisme. Je crois bien qu'elle y comptait. Mais les premières douleurs , 1res intenses ce qu'il parait, l'avaient surpris
rapprochait du périnée. Depuis quelque temps, je constatais que les douleurs n'étaient plus aussi fortes, ni aussi longues, et
J'en avisai M. Delbœuf qui me demanda s'il pouvait faire revenir les douleurs par suggestion. Je lui dis qu'il pouvait essayer
artir de ce moment et montre en main, nous pûmes nous assurer que les douleurs revenaient comme 7ious l'avions demandé, alors qu
ommença à se plaindre et, tout à coup, elle dit éprouver une violente douleur dans la gorge rt comme une sensation d'étouffemen
avail. Cela agaçait beaucoup la femme qui sentait de plus en plus les douleurs de l'accouchement. Je revins vers onze heures m
ur un vase rempli d'eau chaude, ce qui semblait vouloir réveiller les douleurs . La parturiente semblait encore avoir sommeil.
rait pas, qu'elle devait pousser comme auparavant, qu'elle aurait des douleurs au bout de trois minutes, mais qu'elle ne les sen
lendemain dans la matinée. Elle allait très bien, n'éprouvait aucune douleur , avait des pertes sanguines modérées. Elle avait
la femme qui fait le sujet de cette observation a ressenti toutes les douleurs de son accouchement, mais que pour des motifs que
n permis à ce moment. Elle suivit mon conseil, et au bout de quelques douleurs , l'enfant était né. La délivrance se fit facileme
riode la plus tranquille a été précisément celle de la fin, celle des douleurs conquassantes, celle où l'énergie la plus forte,
ccombe presque toujours. Comme le disent Auvard et Secheyron {!), les douleurs de l'enfantement sont un critérium peu trompeur.
un critérium peu trompeur. Il parait bien difficile de dissimuler les douleurs , de paraître sommeiller en un moment si cruel.
r sa résistance bien plus à la crainte de déplaire à son mari, qu'aux douleurs elles-mêmes. Puisque l'occasion se présente de
a-« bitude. Ce qui m'a paru particulier, c'était la disparition de la douleur , • que vous avez obtenue par l'hypnose ; el. so
e sur l'Origine des effets curatifsde l'hypnotisme — en supprimant la douleur , on supprime toujours l'une des causes, souvent l
te du malin, et je la trouvai en travail ; le col était dilaté et les douleurs revenaient environ toutes les quinze ou vingt min
éveiller; je lui suggérai, en outre, de faire des efforts pendant les douleurs . Obligé de m absenter, je revins vers elle à ne
es vomissements et les secousses faillirent l'éveiller. Pendant les douleurs , qui devenaient de plus en plus violentes et de p
ssements el criait même assez fort. Mais pendant toute la durée de la douleur , elle s'aidait et même, quand arriva la douleur f
toute la durée de la douleur, elle s'aidait et même, quand arriva la douleur finale, elle cessa de crier, serra les lèvres et
it dormi et affirma qu'elle était certaine de n'avoir ressenti aucune douleur . Depuis, elle s'est rétablie 1res rapidement el
sait. Si on avait donné du chloroforme, on aurait aussi supprimé la douleur , mais la malade n'aurait pas été capable d'exécut
ue la malade soit restée, dans uno certaine mesure, consciente de ses douleurs , c'est ce qui semble résulter de ses plaintes et
H. M.... 28 ans. Époques irrégulières, accompagnées chaque fois de douleurs très pénibles dans la région utéro-ovarienne. Dès
la régularisation était obtenue ainsi que la disparition complète des douleurs . L'effet ne s'est pas démenti depuis sept mois.
e, l'action de la suggestion. Huit observations d'accouchement sans douleur sons l'influence de l'hypnotisme, par M** le Dr M
conformée. Bassin normal, bruits du cœur du fœtus faibles. Premières douleurs à 2 h. du soir, le 8 février; à 4 h. les eaux s'é
ant qu'elle ne souffrira plus. Elle consent, fixe la montre, mais les douleurs revenant à chaque minute, l'empêchent de fixer, a
ion des yeux et je l'engage énergiquement à dormir, en disant que les douleurs passeront. (1J V. Revue de CHypnolùme, p. ï74.
i suggéré do ne plus souffrir pendant son accouchement. Ses premières douleurs ont commencé Le 12 octobre et durèrent toute la n
le 13, la dilatation est comme 5 fr., la poche des eaux se rompt, les douleurs toutes les 5 m. 1res fortes. Je lui ai fait fixer
les 5 m. 1res fortes. Je lui ai fait fixer ma montre, mais dès que la douleur vient, elle cesse de fixer; La douleur passée, fi
xer ma montre, mais dès que la douleur vient, elle cesse de fixer; La douleur passée, fixe de nouveau, et après 2 m. ferme Les
, bassin normal, maigre, nerveuse, mais pas hystérique. Les premières douleurs ont commencé le 2 octobre, à 10 h. m.; très inten
latation était comme 1 fr. Vers 9 h. s., la femme souffrait beaucoup, douleurs toutes les 5 m. Je proposai à la malade de l'endo
rirait point et lui fis fixer ma montre pendant 20 m. ; au moment des douleurs elle crie, mais continue à fixer, puis les yeux s
s 10 h. du soir elle ne se rappelle de rien, sauf les trois dernières douleurs . La suite des couches bonne. revue bibliographi
nt le sujet, j'appelle son attention sur on symptôme spécial, tel que douleur , insomnie nocturne, malaise dont il a le vif dési
alaise dont il a le vif désir d'être délivré. Je dis: € Vous avez une douleur au côté, je vous l'enlèverai tout à l'heure >;
pressionné, je m'adresse à lui : c Maintenant je vais vous enlever la douleur , ou bien je vais vous donner le sommeil pour la n
presque toutes les maladies. Il n'y a pas de jour où je n'enlève une douleur rhumatismale, un point de coté, une insomnie, une
e, elle ne remédie pas à l'emphysème pulmonaire. Mais si j'enlève les douleurs de poitrine, si je modère la toux, si je restaure
ommeil des tuberculeux, si je calme la céphalalgie d'un typhique, les douleurs fulgurantes d'un ataxique. si je modère les oppre
endance curatrice? Voici une chlorotique qui ne mange plus, qui a des douleurs , de la leucorrhée, de la dépression physique et m
a leucorrhée, de la dépression physique et morale ; je lui enlève ses douleurs , je la reconstitue moralement, je restaure son ap
utile. L'afTection remoDte au 10 novembre 1887. Elle débuta par des douleurs dites rhumatismales dans les deux cuisses; ces do
inte rouge, puis du gonflement dans les membres érythème noueux). Les douleurs disparurent au bout de deux mois, mais revinrent
en portant. Mais, quelques semaines plus tard, sans cause connue, les douleurs reparurent de nouveau dans les mombres inférieurs
rois heures dans la nuit. En outro, depuis deux mois, il accuso une douleur consirictive au thorax et à l'épigastre. Cette do
il accuso une douleur consirictive au thorax et à l'épigastre. Cette douleur dure souvent deux ou trois Jours; elle se répète
e. La pression de l'abdomen détermine de la sensibilité partout, sans douleur notable, si l'on n'insiste pas. Au-dessus de l'ai
on détermine facilement une pseudo-ovarialgie, eu la cherchanL A une douleur à la pression des membres. La sensibilité à la do
herchanL A une douleur à la pression des membres. La sensibilité à la douleur est diminuée partout, la sensibilité traclile e*t
et qu'il sera guéri ; qu'il ne vomira plus, n'aura plus ni erises, ni douleur . Les yeux restent clos; je lui dis de continuer à
i, il eut une crise de pleurs qui persista jusqu'à trois heures, avec douleurs cpigas.triquo* ot abdonùnales qu'il ne peut défin
matin. Il a pris son café au lait, se trouve bien ot n'accuse aucune douleur . Je lui demande pourquoi il a pleuré. II me racon
ien. Le 27 janvier, il dit avoir eu quelques inquiétudes hier (sans douleur ni crise). Suggestion. 29 janvier. — Il n'a plu
mais de ce qui s'est passé pendant son sommeil, mais elle ressent une douleur dans la région temporale gauche (depuis que l'on
sommeil ou le donner, en même temps faire disparaître la peur et les douleurs et lui reprocurer immédiatement le sommeil noctur
re de plus. — La suggestion hypnotique l'a guérie en trois séances. Douleur abdominale vive, nerveuse, avec incurvation du tr
ital pour la seconde fois le 26 mars 1891, pour des vomissements avec douleur épigaslrique. Elle y était entrée pour la premi
Elle y était entrée pour la première fois en janvier 1391, pour des douleurs hypogastrique et sus-inguinale gauche très intens
se courber fortement en avant, incapable de se redresser à cause des douleurs . En outre, elle avait des points douloureux à la
t pas de rétention menstruelle. Pensant qu'il s'agissait d'une (impie douleur nerveuse, j'essayai la suggestion et j'obtins fac
sensibilité à la région précordiale avait disparu définitivement. La douleur hypogasirique reparut dans la soirée, moins inten
stion fut continuée tous les Jours. Après trois ou quatre séances, la douleur avait à peu près disparu au repos, mais elle se r
lors el la ûs marcher pendant son sommeil, lui suggérant l'absence de douleur pendant la marche et la possibilité de redresser
rdonnance d'un médecin, quatre grains d'émétique en quatre jours, les douleurs recommencèrent, mais, cette fois-ci, à la région
a en outre travailler au dehors pour gagner quelque argent. Malgré sa douleur épigastrique, elle lave encore les planchers et l
deux jours; n'y va d'habitude que tous les deux ou trois jours. La douleur épigastrique est localisée à une zone du diamètre
ves.) Le 28, je commence les suggestions hypnotiques. Au réveil, la douleur a disparu, mais revient dans la soirée. La lourde
urdeur de "tête a disparu définitivement. Lo 29, seconde séance. La douleur disparaît et ne reparaît pas. La malade a encore
profondément la région épigastrique et ombilicale sans déterminer de douleur . Mais la malade marche encore courbée en deux, et
malade marche encore courbée en deux, et si on veut la redresser, la douleur réapparaît. Je fais de nouveau une suggestion et
dant son sommeil provoqué. Mais je ne puis immédiatement déraciner la douleur pendant la marche. Aussitôt qu'elle veut se redre
la rendors et lui suggère de dormir une demi-heure, affirmant que la douleur disparaîtra spontanément et qu'elle marchera droi
a journée d'hier la malade a pu se tenir droit et marcher saos aucune douleur . Elle ne vomit plus et se porte très bien. 1« a
ien. Elle a encore eu dans la Journée (deux ou trois fois) de petites douleurs passagères. — Suggestion. 2 avril. — N'a plus e
ouleurs passagères. — Suggestion. 2 avril. — N'a plus eu la moindre douleur ; mange et dort bien. 3 avril. — Continue à mar
al pour reprendre la direction du ménage. H s'agit, dans ce cas, de douleurs purement nerveuses ; les douleurs peuvent être li
ménage. H s'agit, dans ce cas, de douleurs purement nerveuses ; les douleurs peuvent être liées, soit à un peu d'embarras gast
suggestion hypnotique en triomphe facilement en quelques jours. Des douleurs de cette nature, persistantes, tenaces, existant
l'idée qu'il s'agit d'une lésion organique difficile à déraciner. La douleur peut devenir chronique et réagir sur les fonction
ations de l'estomac avec dyspepsie succéder, incontestablement, à des douleurs simplement nerveuses, qui eussent pu être réprimé
tique, sur laquelle le Dr Bérillon a le premier appelé l'attention. Douleurs lancinantes, avec impossibilité de marcher, dans
on. Depuis une douzaine de jours, sans cause coanue, il a aussi des douleurs à la partie supérieure, postérieure et externe de
la partie supérieure, postérieure et externe de la cuisse droite; ces douleur ; lancinantes n'exiftent pas au repos, mais sont r
desséchés à la fesse droite, au niveau de l'échancrure sciatique. La douleur n'est pas localisée sur le trajet du sciatique; p
te altitude particulière qu'il ne peut raodilier eu déterminée par la douleur . Le malade a. en outre, une hernie inguinale ga
Sommeil profond avec amnésie au réTcll. Je surgère la disparition des douleurs et la possibilité de marcher normalement. Au ré
ucoup moins le corps en avant et à gaucho II n'accuse presquo plus de douleurs et appuie les trois quarts de la plante du pied s
. Troisième suggestion. 20 mars. — Va tout à fait bien, sans aucune douleur , sans canne, sans incliner le corps en avant et à
corps en avant et à gauche. Quitte l'hôpital, guéri. En résumé, des douleurs diffuses dans la caisse rendant la marche presque
seraient greffées, en raison de l'expression abstraite nerveuse, des douleurs diffuses, en dehors du domaine da nerf malade?
il n'y avait pas de névrite ni d'altération organique persistante. La douleur d'une vraie sciatique avec névrite peut disparaît
ent, lorsque la lésion organique a eu le temps de se résoudre, que la douleur a définitivement et radicalement disparu. C'est
sur le creux de l'estomac et les organes génitaux.» Elle éprouve des douleurs au niveau du sacrum et de l'abdomen. Il lui sembl
térie : jamais d'accidents conv'ulsifs, de sensation de boule. Pas de douleur à la pression de l'ovaire, pas de zones hystérogè
'existe pas de symptômes que l'on puisse rattacher au tabès, point de douleurs fulgurantes, point de troubles de la sensibilité,
eur Pitres a de nouveau attiré l'attention (1) Charcot et Bouchard. Douleurs fulgurantes de rataxie tans incoordination des mo
. Trois années après le début de ces troubles génitaux apparurent les douleurs fulgurantes, et, en 1884, les crises clitoridienn
ou trois mois, annon-. çant presque toujours l'explosion prochaine de douleurs fulgurantes ou de crises gastriques. M. Pitres
e de ses crises génitales depuis sept années, ni trouble oculaire, ni douleurs fulgurantes, ni anesthésie; et nous estimons jusq
endant le sommeil hypnotique, par Kingsbury. 298. Accouchement sans douleurs (huit ob- servations d'), par Marie Dobrovolsky
servations d'), par Marie Dobrovolsky, 274. 309 Accouchement sans douleurs sous l'influence de l'hypnotisation, par Fan-ton.
20 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
a maladie dont il souffre. Il y a quatre ans, le mal débuta par une douleur assez vive dans l'épaule gauche, qui dura cinq ou
tée trois mois, il y a un anr dans le service de M. Bernutz, pour des douleurs abdominales, dues, probablement à une pelvi-périt
icatrice n'avait pas changé d'aspect et n'avait été le siège d'aucune douleur . AUTOPSIE Le cerveau et la moelle sont conges
rousseau, on ne pouvait toucher le ma¬lade sans lui causer de grandes douleurs . Chez notre malade, au contraire, il y avait une
e au moment de la puberté. Aux époques menstruelles, P... éprouve des douleurs seu¬lement dans les petites mamelles. Depuis sa
er cas ; à la même époque, elles étaient le siège de quelques légères douleurs . Dans le second cas, alors qu'elles acquéraient
putial. Ce boulon s'accrut graduellement sans occasionner ni gêne, ni douleur , et sa surface devint bientôt végétante. Au bout
complète sans que ce travail pathologique s'accompagnât de la moindre douleur ; il était sim¬plement survenu delà gêne pour uri
rovoqué des hémorrhagies peu abondantes mais souvent ré¬pétées, et la douleur , quoique peu intense, était apparue. Voici l'ét
ne : de grosses veines sillonnaient le scrotum. D'un autre côté, la douleur vive et continue, avec exaspération pendant les e
déjà subi de graves atteintes et son faciès exprimait la fatigue, la douleur et la cachexie. La photographie (planche IV) do
ême sans motif appréciable. La cachexie a fait de grands progrès ; la douleur est vive et se fait sentir jusque dans le rectum
e quant à ses résultats ultérieurs ; le malade n'éprouvant que peu de douleurs , il n'y a même pas à songer à une opération palli
ses mouvements élaient toujours gênés, mais il n'éprouvait que peu de douleurs . Enfin vers la fin de l'année 1867, l'état du mal
uche qu'en se servant de sa main droite. L'épaule était le siège de douleurs , sinon très-vives, au moins presque continuelles,
que morbide appréciable à l'auscultation. Il n'y a pas eu non plus de douleurs rhumatismales. De nombreux infarctus, produits pa
eur. En se relevant, il éprouve des frissons, un malaise général, des douleurs dans l'épaule et le bras gauches, ainsi que dans
admission du malade, il existe, dit-il, une amélio¬ration notable. La douleur n'existe plus dans le bras gauche, non plus que d
ne heure ou deux de repos, puis il est pris d'une quinte de toux avec douleur dans le côté gauche, et il expectore quelques cra
faitement lisse. La mastication s'accomplissait sans aucune gêne ni douleur : il n'y avait pas non plus de douleurs spontanée
omplissait sans aucune gêne ni douleur : il n'y avait pas non plus de douleurs spontanées. Cependant, la tumeur, continuant à
ngivo-labial, ne gênant en rien la mastication, n'occasionnant pas de douleurs . C'était en 1863 ; un médecin enlève, à l'aide
ance. Père, 71 ans, robuste, pas d'attaques de nerfs; depuis un an, douleurs et gonflement des pieds et des mains. — Mère, 61
l'huile de croton, l'histoire d'une femme de 32 ans, se plaignant de douleurs abdominales, de prurit aux narines et à l'anus, q
les variés du système nerveux (vertiges, crises éptileptiformes), des douleurs à la région sus-pubienne, et de fréquentes diffic
ises qui ont augmenté peu à peu d'intensité. C'étaient, au début, des douleurs sourdes à l'épigastre, lesquelles ont pris plus t
laissant à leur place un sen¬timent de vertige presque continuel, une douleur fixe à la nuque et entre les épaules, une sensati
ouleur, âgé de 39 ans, fut pris subitement sans cause appréciable, de douleurs dans l'œil droit et dans le côté correspondant de
lus tard, l'œil gauche s'améliora. A la fin du mois, l'amaurose et la douleur avaient disparu. Il ne restait qu'un certain de
e et la mauve. " Les lavements à la térébenthine occasionnèrent des douleurs très-vives dans l'extrémité inférieure du rectum.
uefois, mais assez ra¬rement insatiable, et plus souvent diminué, des douleurs épigas-triques ou abdominales (coliques, sensatio
[cure à Aix-les-Bains, en revint plus impotent qu'au départ, avec des douleurs dans les arti¬culations des membres supérieurs ;
e lui procure cette immobilité absolue qui a supprimé, en partie, ses douleurs . A côté de cet avantage, nous voyons qu'on ne peu
bord interne, un durillon forcé, qui fut accompagné de gonflement, de douleurs et de battements, comme si un abcès eût voulu s'o
a sur cette région une tumeur qui ne s'accompagna ni de fièvre, ni de douleur , ni d'élancements et qu'un chirurgien ouvrit par
re de petits vaisseaux. Celle tumeur n'offre que fort rarement delà douleur . Celle-ci, quand elle existe, est provoquée par l
La pression exercée par la main du malade était plus énergique et les douleurs avaient disparu. La guérison cependant n'était
sa sortie, c'est-à-dire dans le mois de novembre, elle a éprouvé des douleurs céphaliques, non plus temporaires comme autrefois
ces croûtes, opération qui s'effectue avec assez de facilité et sans douleur , on voit qu'elle est creuse, ce qui rend encore p
Écoulement leucorrhéique abondant, depuis sa vario¬loïde, épais, sans douleurs dans la miction. — Mange peu ; dort mal. — Même t
us les individus : un médi¬cament chassera le tœnia sans provoquer de douleurs , dans un grand nombre de cas, et, dans quelques-u
ombre de cas, et, dans quelques-uns, il déterminera en même temps des douleurs , des coliques, etc. Les semences de citrouille re
ucune époque de son existence, elle ne se souvient d'avoir éprouvé de douleurs revenant périodiquement tous les mois et annonçan
orts avec chacune des maladies de l'organe, nous voulons parler de la douleur , de l'éructation, de la régurgita¬tion, du vomiss
1). Réglée à 16 ans et demie. Elle est enceinte pour la sixième fois. Douleurs légères le 23 jus¬qu'à minuit, très-fortes à part
janvier. Elle est enceinte pour la troisième fois. Grossesse à terme. Douleurs à 4 heures du matin, rupture de la poche des eaux
du matin (présentation du sommet). Délivrance normale. 20 décembre. Douleurs vives par tout le ventre. Ni frisson, ni vo¬misse
T. V. 40°. — Cataplasmes laudanisés ; lave¬ment simple. — Soir : Les douleurs abdominales ont diminué ; une selle. Seins durs,
entes, abondantes. Soif vive; peau sèche. P. 114 ; T. V. 59°,4. 22. Douleurs dans la cuisse droite, sans empâtement ni dilata-
Appétit, P. 86 ; T. V. 38°,6. — Soir : P. 96; T. V, 38û,9. 23. Les douleurs de la cuisse ont presque disparu. Seins médio¬cre
2 de la salle Ferdinand. A Paris depuis un an. Grossesse à terme. Les douleurs ont commencé hier vers onze heures du matin ; ell
e éprouve sans cesse un malaise qui se traduit principalement par des douleurs abdominales et lombaires, douleurs parfois très-v
se traduit principalement par des douleurs abdominales et lombaires, douleurs parfois très-vives, s'irradiant vers les cuisses
t, et ses déjections se font bien. Elle se plaint de cé¬phalalgie, de douleurs névralgiques en différents points du thorax, elle
n s'ob-serVent du côté de l'abdomen, qui est douloureux et tendu. Les douleurs ont leur siège principal dans le bas-ventre, et,
nt, qui est suivi d'une chaleur brûlante et de sueurs profuses. — Les douleurs dans le ventre et dans l'hypochondre droit s'ac¬c
e croissant. Le k mai, pour la première fois, la ma¬lade se plaint de douleurs en urinant, et une sonde introduite dans la vessi
que, dont les effets ne tardèrent pas à justifier la prescription. La douleur disparut, les croûtes tombèrent, et, au bout de c
lle est accouchée vers une heure du matin de son neuvième enfant. Les douleurs , légères hier de 10 heures du matin à 10 heures d
lait à sa première couche. 20 décembre, 10 heures du matin. Petites douleurs ; col large comme une pièce de deux francs; poche
de deux francs; poche des eaux intacte. P. 96 ; T. V. 38°,2. Grandes douleurs à partir de midi. Accouchement fa¬cile à 6 heures
ler ; sécrétion aqueuse. Lochies naturelles. Ventre indolore. Légères douleurs dans l'aine droite, sans empâtement ni dilatation
se gonfler, ils n'étaient ni durs ni douloureux. Faut-il invoquer la douleur in¬guinale ? Cela ne nous semble guère possible,
s douiez ,rs, légères d'ailleurs, ont débuté à minuit. 21 décembre. Douleurs T ives à partir de dix heures, hier soir ; Fi
. Seins gonflés, assez durs; sécrétion aqueuse. Céphalalgie; quelques douleurs abdominales. A 7 heures, frisson suivi de sueurs.
. V. 39°,6. — Soir : P. 102 ; T. V. 39°,5. 23. P. 90 ; T. V. 39°,2. Douleurs nulles. La sécrétion lactée s'établit convenablem
°,6. 24. Lait [épais, jaunâtre. Lochies naturelles. Encore quelques douleurs abdominales. Appétit ; pas de selles depuis l'acc
Soir : sein gauche un peu douloureux, sans induration. Ni frisson, ni douleurs abdominales. P. 100 ; T. V. 39o,6. 27. P. 72; T
cture dans le reste du corps, sauf à la nuque, qui est le siège d'une douleur mo¬dérée. On institue alors le traitement : on co
,7. Le 1er février, la contracture augmente; le malade se plaint de douleurs très-violentes et continues dans les aines. On pr
de chloral. Le 2 février, à la visite du matin, spasmes répétés et douleurs très-vives. Abdomen très-dur, muscles adducteurs
es muscles ne sont pas beaucoup plus contractés, mais il se plaint de douleurs très-vives dans les aines, et de plus, d'une doul
il se plaint de douleurs très-vives dans les aines, et de plus, d'une douleur épigastrique violente. Il n'a pas été à la selle
miction est impossible. — Six grammes de chloral. Le 5 février, la douleur épigastrique a disparu, mais les dou¬leurs inguin
t plus forte que jamais. — Huit grammes de chloral. , Le 7 février, douleurs et spasmes très-violents. Temp. 58°,4. On prescri
atre heures. Le 19 février, rechute complète. — Spasmes violents et douleurs inguinales comme par le passé. — Temp. 38°. — Dix
igné do l'injection du chloral, que le malade accusait les plus vives douleurs . De suite, après la reprise de la potion, le calm
sentir un peu de gène pour ou¬vrir ses mâchoires et en même temps une douleur assez intense dans ces mêmes parties. Au bout de
oloïde à 7 ans. Réglée à 10 ans, sans autres phéno¬mènes que quelques douleurs et de la fatigue dans les membres in¬férieurs. La
vons rien à ajouter à ce qui a été dit plus haut. La sensibilité à la douleur et au contact paraît conservée aux cuisses. Le fr
pingle placée alternativement entre les doigts. La sensibilité à la douleur , nota¬blement diminuée à la face palmaire de la m
endant il semble y avoir un peu de .diminution de la sensibilité à la douleur du côté gauche. Le froid est également perçu des
ace, sur la poitrine, la sensibilité est naturelle. M... se plaint de douleurs offrant des nuances différentes : tantôt, et le p
rentes : tantôt, et le plus sou¬vent, ce sont des fourmillements, des douleurs lancinantes, limitées aux mains et aux pieds, pri
s appendices, dans les bras et les jambes et à la base du thorax. Ces douleurs subites, lancinantes, sont quelquefois isolées et
e plaint d'avoir la tête lourde, d'être comme étourdie et d'avoir des douleurs à l'occiput et au fronts Le sommeil est habitue
celte femme, de véritables accès viscéraux. 1868, 27 et 28 janvier. Douleurs très-vives à la région précor¬diale, comparables
vives à la région précor¬diale, comparables à des coups de lancette ; douleurs lombaires, palpitations, nausées.— 29. Vomissemen
lombaires : la malade prétend qu'on lui tire le cœur. Concomitamment douleurs fulgurantes, ayant une acuité plus grande que d'h
que, en dehors des troubles occasionnés par les accès gastriques, ces douleurs ne portent généralement que sur un seul côté à la
ois. On observe encore de la céphalalgie fron¬tale et occipitale, des douleurs dans le cou, un affaiblissement de la vue, de la
ncelles ou des lueurs de différentes nuances. Enfin elle se plaint de douleurs sour¬des dans l'oreille gauche, avec surdité inco
ne trace sur les parties tuméfiées, qui sont parfaitement exemptes de douleur : ni la pression, ni les mouvements, n'y réveil¬l
out à fait abolie ; l'incoordination des mouvements très-accusée. Les douleurs fulgu¬rantes seraient plus vives qu'en 1868. Ces
ieurs : l'ataxie est très-prononcée et plus à gauche qu'à droite. Les douleurs fulgurantes y sont devenues beaucoup plus fréquen
nopause, et qui depuis dix mois seulement avant sa mort éprouvait des douleurs lombaires sourdes, s'irradianl vers la face inter
La malade souffrait de temps en temps et fut prise plu¬sieurs fois de douleurs vives, de vomissements, de frissons errati¬ques.
yspnée fort gênante s'ensuivait; la fièvre devint plus fréquente, les douleurs se suivirent de plus près jusqu'à se manifester c
ap. Quatre heures après cette ponction, la malade fut prise, de vives douleurs abdominales et de vomissements. Le docteur Farges
tre dans sa bouche, dans ses na¬rines, dans ses yeux. Quelquefois une douleur vive, subite, se fait instantanément sentir, do
uelquefois une douleur vive, subite, se fait instantanément sentir, douleur que l'on attribue d'abord à la pré¬sence d'un gra
ans un point; cette rougeur s'étend; la vue s'obscurcit et bientôt la douleur devient continue, que l'œil soit ouvert ou fermé.
hamp à une hygiène sévère, les ac¬cidents augmentent d'intensité, les douleurs deviennent plus vio¬lentes, le malade éprouve des
n état rela¬tivement satisfaisant, lorsque le 4 avril, il est pris de douleurs vagues du côté de la mâchoire inférieure. Bientôt
ien de particulier, mais le 26 février, il fut pris de tris-mus et de douleurs le long de la colonne vertébrale. M. Lavaux admin
e, de tempérament nerveux. Cette femme avait été prise le matin d'une douleur dans l'articulation de la mâchoire, douleur qui l
été prise le matin d'une douleur dans l'articulation de la mâchoire, douleur qui l'empêchait de desserrer les dents. La contra
soir, la malade se plaignait de bouffées de chaleur, de céphalée, de douleurs dans les seins, qui étaient turgescents. Le mamel
geur. Peau chaude. P. 100 ; T. 41°,2 ; montée du lait: — 26 novembre. Douleur nulle. Le sein droit n'est plus aussi tuméfié, la
ts dans le récit de cette malade; mais elle décrit très-nettement les douleurs fulgurantes dont l'apparition remonte à une époqu
t à des inter¬valles irréguliers : alors, il y a une exacerbation des douleurs ful¬gurantes. " Aux membres supérieurs, il n'y
Les mouvements, soit spontanés, soit provoqués, ne déterminent aucune douleur ; mais ils s'accompagnent de craquements nombreux.
turelle, de son inertie physique et morale, et lorsque, vaincu par la douleur if se décidera à recourir au médecin, il sera tro
pisthotonos, sans difficulté d'avaler les liquides ; sueurs profuses, douleurs cardiaques, respi¬ration basse et irrégulière, in
et la température de 105°Far. (39°,5) à 99°,5 (37°,6), sans sueurs ni douleurs sensibles. — En présence de cette action manifest
ans les mâchoires. P. 120. T. A. 38°. 31 mars. Trismus plus marqué; douleurs dans les muscles de la masse sacro-lombaire. P. 1
plaie à la partie antérieure du poignet gauche. % juillet. Trismus; douleur derrière le cou. 9 juillet. La nuit a été assez
gênée; spasme considérable des muscles de la dé¬glutition. Roideur et douleur vague dans la région cervicale posté¬rieure et da
; le malade fut alors transporté à l'hôpital. il juillet. Trismus ; douleur dans le cou ; dureté des muscles des jambes, des
38°. 18 juillet. Trismus moindre. — Membres plus libres ; moins de douleur et de roideur. Le malade prend 12 grammes de chlo
t 216. de temps en temps. Ce matin, à 2 heures, elle a été prise de douleurs très-fortes, et elle a fait une fausse couche à 2
t une sécrétion aqueuse. Les lochies sont normales. Il y a une légère douleur dans le côté gauche du ventre. P. 100 ; T. V. 38°
. 100 ; T. V. 38°,4. — Soir. La bouche est pâteuse, la soif vive; les douleurs abdo:: inales persistent. La peau est sèche. P. 1
84; T. V. 38°,5. 27 déc. P. 88; T. V. 39°,3. 11 existe toujours une douleur lanci¬nante dans la fosse iliaque externe gauche
ration. Face meilleure. La langue est saburrale, la soif moindre, les douleurs nulles. Ni vomissements, ni selles. P. 88 ; T. Y.
a fugacité, il peut passer inaperçu. (Hervieux, loc. cit. p. 208.) La douleur au niveau de la fosse iliaque gauche, où il y ava
empâtement, est le pre¬mier phénomène qui ait fixé l'attention. Cette douleur , l'altération de la physionomie, les nausées, les
érature était redescendue au chiffre physio¬logique (37°,3). Mais les douleurs abdominales qui existaient déjà augmentèrent bien
ouches, fut prise à l'Asile du Vésinet, où elle avait été envoyée, de douleurs à l'hypogastre et dans les fosses ilia¬ques. Elle
21 (1911) La pratique neurologique
du malade se trouve occuper le centre de lare périmétrique. On peut douleurs , en faisant varier légèrement la hauteur du sup
ORATION DES PAUPIÈRES La sensibilité des paupières au contact, à la douleur , à la température, se fait de la même façon que
un rétrécis- sement du champ visuel, souvent de la photophobie, des douleurs , du larmoiement. Dans beaucoup de cas il y a pa
et un rétrécissement du champ visuel, il peut y avoir photophobie, douleurs , larmoiement, infection ciliaire, parésie ou cont
, les affections de l'intestin et des organes génilo-urinaires, les douleurs de l'accouchement, les vers intestinaux, la col
de l'accouchement, les vers intestinaux, la colique saturnine, les douleurs viscérales du tabès, les névralgies de la tête,
l'orbite, une adénite de la glande lacrymale, peuvent provoquer des douleurs modérées ou intenses. Le zona ophtalmique s'acc
ion de la cornée), une iritis (inflammation de l'iris), donnent des douleurs plus ou moins vives dans le globe ou dans le po
ritatifs d'ordinaire si violents dans les kératites ordinaires : ni douleur , ni photophobie, ni larmoiement. La cornée est
de la paralysie faciale explique mieux que toute autre théorie les douleurs périauriculairc, qu'on trouve souvent au début,
le ne s'accompagne, d'aucun autre phénomène général ou local qu'une douleur assez vive dans la région temporale; elle guéri
utérisa- tion de ces mômes régions feraient parfois disparaître les douleurs de la dysménorrhée, et même, si l'on en croit J
c vertige plus ou moins net, par des parésies passagères et par des douleurs verté- brales. Les troubles visuels consistent
, celle du pharynx et du larynx, celle de la vessie sont rares. Des douleurs spinales du cou ou [A. LEM 104 ' VERTIGES.
nts, de tintements, intermittents, permanents ou paroxystiques. Les douleurs de l'oreille ne sont pas rares, non plus que de
es lésions bulbaires; 5° des phénomènes auditifs passagers; lio des douleurs dans le domaine du tri- jumeau. Dans tous ces
repas, accompagné de pesanteur et de lenteur de la digestion ou de douleurs gastriques plus ou moins vives, d'éructations,
as les ana- phrodisiaques. dans d'autres les calmants directs de la douleur , opiacés, cocaïne, seront les agents de choix.
engourdit et reste inerte sur le papier. On observe quelquefois des douleurs spontanées ou provoquées le long des troncs ner
e d'y revenir ici. ' IX. Examen de la sensibilité. Sensihilité à la douleur ; sen- sibilité tactile; sens musculaire; sens s
ne toxique : l'anxiété et la teneur de l'alcoolique diffèrent de la douleur morale profonde dumélan- colique vrai : ces idé
inique spécial ; les déments séniles ont plus de sensiblerie que de douleur morale; leurs idées délirantes sont fugaces et
xtérieure de tout agent mettant en activité le système nerveux : la douleur il la piqûre, à la brûlure, par exemple, sont d
tanément actionner les centres ou les termi- naisons nerveuses; les douleurs névralgiques, les engourdissements sont des sen
divise en sensation de chaud et de froid, et enfin la sensation de douleur . Existe-t-il des excitants différents a chacune
deux (tact et température), pour d'autres au nombre de trois (tact, douleur , température). Le contact est un excitant de natu
. . " : 11t1T01111 : ET PHYSIOLOGIE DES VOIES SE-XSITIVES. 279 La douleur est-elle une sensation propre, autonome, ou n'est
ité ? Les deux opinions ont trouvé des défenseurs. Pour les uns, la douleur est due à l'exagération, dans un temps donné, d
ur les impressions douloureuses; pas de centre, siège du sens de la douleur . Pour d'autres, la douleur est bien, d'une faço
uses; pas de centre, siège du sens de la douleur. Pour d'autres, la douleur est bien, d'une façon globale, due à une excita
de points des téguments ne réagissant à toute excitation que par la douleur (points de douleur, Goldschcider) plaident en fav
ents ne réagissant à toute excitation que par la douleur (points de douleur , Goldschcider) plaident en faveur de cette opin
es périphériques. En acceptant la spécificité des excitants pour la douleur , pour le tact, pour la température, etc., on doit
e. Il existe ainsi des points pour le chaud, pour le froid, pour la douleur , pour la pression. A ces quatre sens cutanés, rép
uscules de lleissner pour la pression ; terminaisons libres pour la douleur ; corpuscules de Krause pour le froid corpuscul
rofondes. Les sensibilités superficielles comprennent : le tact, la douleur , la température et la sensibilité électrique cu
les résultats obtenus. Le même schéma peut servir pour le tact, la douleur et la température, en indiquant par. exemple le
gère de façon à ne pas déterminer une sensa- tion de pression ou de douleur . La sensibilité tactile peut être diminuée : hy
L - Fsthésio- mètrc. -La pointe a sert dans la me- sure rie la douleur ; le plateau sert il mesurer la pression (h
s observe que dans les névroses. L'aphalgésie (âoer- contact; alyo^ douleur ), décrite par Pitres, est caractérisée par la p
L'excitation faradique de la peau est un bon moyen pour étudier la douleur , parce qu'elle permet de graduer et de mesurer
région voisine supposée saine, comme on le rail pour le tact. Si la douleur n'est pas du tout perçue, c est de 1 aiudgésie;
tes régions de la surface cutanée sont plus ou moins sensibles à la douleur ; nous verrons, à propos de la sensibilité élect
lus élevée, l'excitant perd sa valeur spécifique et détermine de la douleur ; de même pour le froid, ou choisira un corps do
mais TltOt.'l3Lla DE LA SENSIBILITE OBJECTIVE. 289 comme pour la douleur , son abolition est ordinairement moins absolue
ure accompagne t'anesthésie douloureuse. Comme pour le tact et la douleur , il est nécessaire de savoir que toute la surfa
persiste seule et l'aug- mentation du courant ne fait naître aucune douleur ; inversement, lors- qu'il y a hyperesthésie, l'
lorsque ceux-ci sont profondément situés dans les tissus mous. La douleur vive : 't la pression des nerfs est un signe impo
ont précédés de lourdeurs, de fourmillements, quelque- fois même de douleurs (douleurs hrélténcilégiqz.ces de Weir-Mitchell)
és de lourdeurs, de fourmillements, quelque- fois même de douleurs ( douleurs hrélténcilégiqz.ces de Weir-Mitchell) dans les
ensibilité peut être touchée dans ses différentes modalités : tact, douleur , température, sensibilité profonde (sens musculai
e histoire pour expliquer la piqûre, dont ils ressentent en bloc la douleur , sans pouvoir en analyser les modalités. C'est
xécute cette retraite du membre; en réalité, ils ont bien senti une douleur , mais leur faculté d'analyse est tellement affaib
rvation relativement complète des perceptions élémen- taires (tact, douleur , etc.), un trouble dans la localisation des sensa
la notion de position des mem- bres et du sens stéréo gnostique. - Douleurs très vives à la face du même côté. Lésion de
, plus ou moins marquée pour les sensibilités superficielles (tact. douleur , température) , mais toujours très prononcée pour
re et de l'asté1'éognosie plus ou moins com- plète ; ..... 4° Des douleurs vives du côté hémiplégie, persistantes, ]Jm'oxys-
tants les différents signes du syndrome thalamique et notamment les douleurs plaideront en faveur d'une lésion de la couche op
, on peut observer de l'hémianesthésie plus ou moins marquée et des douleurs . Les paralysies oculaires, surtout dans les mou
hésie superficielle et profonde très marquée avec fourmillements et douleurs dans les membres atteints, des mouvements choré
é opposé à la lésion : y une anesthésie superficielle totale (tact, douleur , température) dans les régions correspondant au
plégie sensitive dans un cas de mal de Pott. Ancsthésie au tact, à la douleur , moins marquée à la température (Cas Jouss...,
ons d'en rappeler brièvement les plus fréquentes. L'aneslhésie à la douleur est le signe le plus fréquent et le premier en
re étant à peine perçue, une piqûre un peu plus forte détermine une douleur intense, qui n'est pas en rapport avec l'inten-
oser au type syringomyélique (conservation du tact, abolition de la douleur et de la température, avec intégrité habituelle
[ROUSSY.] ] Fig. 33. - Distribulion dos troubles sensitifs (lad, douleur , température) chez un syrih- gomyéliqne à l'orm
. 55. Paraplégie syphilitique. Hypoesthésie légère pour le tact et la douleur sur le dos et la plante du pied (partie du doma
s du pied (L5+S,). (Voir schéma de Seittert.) Enfin, s'il y a des douleurs , elles existent dans le domaine du sciatique. c
lique de la sensibilité, en faveur d'une lésion mé- clull,iire; les douleurs , extrêmement vives dès le début, indiquent que
nt vives dès le début, indiquent que les racines sont prises. Ces douleurs sont ordinairement distribuées dans la sphère des
L'examen de la colonne vertébrale révélant une déformation ou de la douleur à la pression donne de précieux renseignements su
plus fréquentes que celles de la moelle et, dans les premières, les douleurs typiques, à irradiation sciatique, ne font presqu
amment l'irritation et non la destruction des éléments nerveux; les douleurs sont très vives ; elles sont exaspérées par l'e
voque, par suite du choc transmis au liquide céphalo-rachidien, une douleur très vive dans la sphère de distribution de la
roprement dites, il existe, en plus de ces phé- nomènes subjectifs ( douleurs ), des troubles objectifs de-la sensibilité à to
ination de la topographie radiculaire des symptômes et de l'élément douleur . . La connaissance de ces faits est importante
de la dissociation de la sensibilité (anesthésie au tact ou à la douleur , conservation de la température, ou plus rareme
tion des troubles sensitifs. L'anesthésie complète pour le tact, la douleur , la température, va en diminuant de la périphérie
flexes organiques; les réflexes cutanés, le réflexe pupillaire à la douleur sont normaux. Influence de la suggestion. Un de
t en l'apport avec l'organe lésé. L'hyperesthésie est nette pour la douleur et la température, elle manque pour le tact; au
u niveau de chacune de ces zones, il existe deux ou trois points de douleur maxima. Ces différentes zones sont hyperesthési
IVE. 561 cutanés sensitifs d'une région déterminée. Dans les cas de douleurs viscérales, le sujet, chez lequel les viscères
'état normal insen- sibles. reporte, par erreur de localisation, la douleur dans le territoire cutané dont les fibres sensi
des zones hyperesthésiques ayant la même topographie que celle des douleurs réfléchies dont nous venons de parler. Au niv
alement sur le siège occupé dans les affections viscé- rales par la douleur réfléchie (douleur sympathique), qu'il rapproche
e occupé dans les affections viscé- rales par la douleur réfléchie ( douleur sympathique), qu'il rapproche des zones hyperal
du diagnostic ou amènent le malade à consulter; il en est ainsi des douleurs fulgurantes du tabès ou des pseudo-névralgies p
ces. Les troubles de la sensibilité subjective comprennent : 1° les douleurs ; 2° les dysesthésies; 5° les troubles de la sen
s organiques. TROUBLES DE LA SENSIBILITE SUBJECTIVE. 565 I. - LES DOULEURS On peut observer des douleurs dans les affectio
ENSIBILITE SUBJECTIVE. 565 I. - LES DOULEURS On peut observer des douleurs dans les affections les plus diverses ; ¡ nous
affections les plus diverses ; ¡ nous n'avons à étudier ici que les douleurs notées au cours des affections du système nerve
tions du système nerveux. En présence d'un malade se plaignant de douleurs , il faut procéder par ordre et examiner success
eurs nerfs périphériques, de racines (topographie radiculaire de la douleur ), ou encore à une zonp cutanée (en dermatologie),
irradient en général le long des nerfs partant du point où siège la douleur maxima : irradiation en ceinture le long des ne
ieurs au cours des compressions médullaires, etc. Leur durée. Ces douleurs sont tantôt continues, avec des phases de rémis
stiques, l'accalmie est complète ou incomplète. Leur intensité. Les douleurs peuvent être légères, moyennes ou très intenses
moyennes ou très intenses, arrachant des cris au malade. Certaines douleurs comme celles des méningites, des compressions m
descriptions que font les malades eux-mêmes, on peut décrire : des douleurs fulgU1ymtes qui, comme leur nom l'indique, pass
l'indique, passent comme un éclair et sont extrêmement rapides, les douleurs lancinantes, en lancée, en coup d'épingle ou de p
omparent à « des vis qu'on ferait pénétrer 'dans les chairs » ; les douleurs ardentes que les malades comparent à des brûlur
es douleurs ardentes que les malades comparent à des brûlures ; les douleurs à type névral- gique enfin, qui sont extrêmemen
cle Névralgies). Toutes ces différentes modalités appartiennent aux douleurs à caractère intermittent, et se rencontrent fré
quemment au cours du tabès. [ROIISSY.] 564 . SENSIBILITE. - Les douleurs à caractère permanent sont dites, suivant leurs d
peau, des modifications de la température locale, etc. Lorsque les douleurs siègent au niveau des membres, elles peuvent dé
de l'appareil, locomoteur, mais bien au prorata de l'intensité des douleurs qu'ils éprouvent en marchant. Leurs causes prov
te action reste sensiblement la même pour le même malade. Certaines douleurs sont calmées par le repos, d'autres par le mouv
t être que d'un faible secours pour le diagnostic étiologique de la douleur , mais elles serviront au médecin dans les indic
ultiples et appropriés à chacune d'elles. On cherche à réveiller la douleur par l'ef- fleurement de la peau, par la pressio
t en extension sur la cuisse) est un moyen précieux de provoquer la douleur dans la névralgie sciatique. Cette recherche de
s possible de faire souffrir les patients. Valeur séméiologique. La douleur , considérée comme symptôme isolé, a-t-elle par
présence de phénomènes douloureux. On se rappellera que l'élément douleur ne possède pas, par ses carac- tères généraux,
énéraux, une particularité propre à chaque affection, et que si les douleurs fulgurantes, par exemple, se présentent surtout d
er dans d'autres affections de la moelle ou des racines. Un type de douleur ne répond donc pas d'une façon exclusive à un t
ie. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. M5 Par leur siège, les douleurs donnent de meilleurs renseignements; nettement
investigations dans une direction donnée : telles, par exemple, la douleur à la pression des troncs nerveux dans les névri
, la douleur à la pression des troncs nerveux dans les névrites, la douleur à la pression des apophyses épineuses dans le m
nce ou leur absence enfin, elles aident au diagnostic; l'absence de douleur permettant par exemple d'éliminer la possibilité
tant par exemple d'éliminer la possibilité d'une polynévrite. Les douleurs sont donc un élément précieux et qu'il faudra tou
de ce traité, de faire ici une étude séméio- logique complète de la douleur . Nous ne devons que passer rapidement en revue
ue les principales affections du système nerveux dans lesquelles la douleur prend la valeur d'un symptôme essentiel. Dans l
sentiel. Dans les névralgies et les /).s ? f7o-u;'H/< ? 6'.s. la douleur constitue le symptôme prédominant du syndrome n
étude dans une autre partie de ce. traité (article Névralgies). Les douleurs sont tantôt localisées (il la tète, au tronc, aux
ce du corps. Il y a lieu d'étudier séparément chacune d'elles. I. DOULEURS LOCALISÉES Douleurs de tête. Céphalalgie ou cép
lieu d'étudier séparément chacune d'elles. I. DOULEURS LOCALISÉES Douleurs de tête. Céphalalgie ou céphalée. La céphalée o
une simple pesanteur ou lourdeur de tète, tantôt en de veri- tables douleurs extrêmement vives, gravât ives el pulsatiles. Ell
éphalée syphilitique et permettent de la diagnostiquer. C'est une douleur profonde qui semble résider dans l'intérieur de l
ion, de la rougeur de la face, avec rétrécissement de la pupille. Douleurs de la nuque, Elles sont dues, le plus souvent, au
use, syphilitique, ]J({chYllléningite cervicale hypertrophique. Les douleurs de la nuque se rencontrent également dans l' hy
que se rencontrent également dans l' hystérie et la neurasthénie. Douleurs du tronc. Les plus fréquentes sont les névralgies
s névralgies intercostales ou lombaires (Voir art. Névralgies). Les douleurs apo- physaires spontanées ou à la pression se r
affections dcs vertèbres et en particulier dans le mal de Poil. Ces douleurs , ordi- nairemcut. localisées, sont un excellent
ans tous les cas de paraplégie. On donne le nom de rachialgie il la douleur diffuse de la région rachidienne. En dehors des
lombaire). I'naryu wnoi.. 24 i-fc [ROUSSY.] 570 SENSIBILITÉ. Douleurs des membres. Au niveau des membres, les dou- le
nairement par les malades dans la profondeur des tissus. A part les douleurs névralgiques pures qui sont faciles à dia- gnos
douleurs névralgiques pures qui sont faciles à dia- gnostiquer, les douleurs dans les membres doivent faire songer, en neuro-
nes, aux affections médullaires et tout particulièrement au ta/;es ( douleurs fulgurantes) et aux compres- sions médullaires.
ta/;es (douleurs fulgurantes) et aux compres- sions médullaires. Douleurs des viscères (viscéralgies). Elles sont fré- qu
appareil digestif); mais on peut ob- server également des crises de douleurs paroxystiques intestinales ou à forme d'angine
oitrine. Les organes génito-urinaires peuvent être le siège soit de douleurs permanentes, soit de crises douloureuses occu-
laryngée du tabès est peu douloureuse. 2° Dans les névroses, les douleurs viscérales permanentes ou sous forme de crises
psie, on les viscéralgies consti- tuent les auras sensitives. II. DOULEURS GÉNÉRALISÉES On observe des douleurs généralisé
nt les auras sensitives. II. DOULEURS GÉNÉRALISÉES On observe des douleurs généralisées il tout le corps dans quelques aff
n nom l'indique, par l'impossibilité (te faire aucun mouvement sans douleur . Elle survient chez des individus de souche nevro
les (Dejerine). Dans l'adipose douloureuse ou maladie de Dercum, la douleur est un des symptômes primordiaux de l'affection
de souvent. TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTIVE. 571 1 III. LES DOULEURS CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES DOULEURS D'ORIGINE PÉRIP
BILITÉ SUBJECTIVE. 571 1 III. LES DOULEURS CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES DOULEURS D'ORIGINE PÉRIPHÉRIQUE ET DOULEURS D'ORIGINE CE
DOULEURS CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES DOULEURS D'ORIGINE PÉRIPHÉRIQUE ET DOULEURS D'ORIGINE CENTRALE Il est assez fréquent chez
iques d'observer des ptieno- mènes douloureux du côté paralysé. Ces douleurs revêtent des modalités variables suivant leur c
'elles précèdent ou qu'elles suivent l'hémiplégie, on les divise en douleurs préhémiplégiques ou douleurs post-hémiplégiques.
suivent l'hémiplégie, on les divise en douleurs préhémiplégiques ou douleurs post-hémiplégiques. Les doulellrs pl'élu ! l/li
es muscles, des tendons et plus rarement au niveau des nerfs. Les douleurs post-hémiplégiques sont beaucoup plus fréquentes
tères cliniques, on peut les diviser en deux groupes distincts : 1° douleurs d'origine péri- phé1'ique; 2" douleurs d'origin
deux groupes distincts : 1° douleurs d'origine péri- phé1'ique; 2" douleurs d'origine centrale. 1° Douleurs d'origine périp
urs d'origine péri- phé1'ique; 2" douleurs d'origine centrale. 1° Douleurs d'origine périphérique. Ce sont les plus an- ci
tions atmosphériques; elles ont, en un mot, tous les caractères des douleurs rhumatismales. Comme elles, elles sont suscepti
ticulations, et calmées par le repos. On peut donc les comparer aux douleurs rhumatoïdes, sur- venant dans les membres à la
aussi bien que de l'âge el du tempérament arthritique du sujet. 2° Douleurs d'origine centrale. .Moins fréquentes que les p
, en effet, grand intérêt pour le médecin il savoir reconnaître ces douleurs dites « d'origine centrale », qui, jointes à d'
et Cestan. [ROUSSY.] 5 72 ` ? ' ' SENSIBILITÉ. Caractères. Ces douleurs sont précoces dans leur apparition qui remonte,
ication exacte sur la localisation superficielle ou profonde de ces douleurs . La plupart cependant insistent sur le fait qu'
aisseux sous-jacents qui sont douloureux. Quoi qu'il en soit, ces douleurs sont continues avec exacerbations pa- roxystiqu
Le contact de la peau, la pression même légère provoquent de vives douleurs . ^ Les malades comparent leurs douleurs à des b
égère provoquent de vives douleurs. ^ Les malades comparent leurs douleurs à des brûlures superficielles ou profondes, à d
rne; la morphine même ne parvient pas à soulager les malades. Les douleurs d'origine centrale, chez les hémiplégiques, diffè
eurs d'origine centrale, chez les hémiplégiques, diffèrent donc des douleurs dites périphériques, par leur début précoce, leur
x. C'est ainsi que Vulpian pla- çait le siège central du sens de la douleur dans la protubérance annu- laire. Nothnagel obs
la douleur dans la protubérance annu- laire. Nothnagel observe des douleurs dans les lésions du pont, Bechterew au niveau d
ureuses; lieiisclieil Edinger, Dejerine et Roussy insistent sur les douleurs unilatérales dans les lésions de la couche opti
unilatérales dans les lésions de la couche optique. De là le nom de douleurs d'origine cen- trale proposé par Goldscheider.
eux hypothèses sont en présence, relativement à la cause intime des douleurs centrales : TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ SUBJECTI
sur un point quelconque de leur tra- jet. De même qu'il existe des douleurs par excitation du neurone sensitif périphérique
onde hypothèse parait plus vraisemblable; ainsi que le prouvent les douleurs signalées par Raymond et Cestan clans les lésions
, et celles notées par Mann dans les foyers 1m11mir'es unilatéraux, douleurs qui se présentent avec des carac- tères identiq
ALGIES IV. ALGIES CENTRALES OU TOPOALGIES Caractères. Ce sont des douleurs qui sont localisées par les mala- des, soit dan
ique appréciable, soit des tissus, soit des nerfs (Dejerine). Ces douleurs centrales sont l'apanage des névroses et des psyc
venir chez des névropathes, des neurasthéniques en particulier. Ces douleurs sont plus apparentes que réelles, 'n'influencen
mitée, ne répondant pas à un territoire nerveux ou radiculaire. Ces douleurs sont continues ou intermittentes avec paroxysmes;
de créer des désordres irréparables, sans même faire disparaître la douleur qui persiste au même endroit ou se reporte sur
slhésics. toutes les sensations subjectives anormales autres que la douleur ; certains auteurs, à l'exemple des Allemands, l
trique. Ces dysesthésies peuvent exister seules ou s'accompagner de douleurs et de troubles objectifs de la sensibilité. Leu
csthesies s'associent habituellement aux autres troubles sensitifs ( douleurs , anesthesies, paresthésies), elles peu- vent qu
, . premier symptôme en date.. Dans la suite, elles s'associent aux douleurs et aux autres symptômes objectifs ou subjectifs
Dans l'értlaronzélalgie ( u6od5, rouge ; p.na ? membre ; è1.À')'o ? douleur ), les dysesthésies consistent en une sensation de
i la sensation d'avoir le pied dans de l'eau bouillante. Souvent la douleur est extrêmement violente, elle est exaspérée par
de gangrène, les sensations subjectives s'exaspèrent; de véritables douleurs intolérables apparaissent, en môme temps que la
nbardt), dans laquelle les engour- dissements, les picotements, les douleurs et les troubles sensitifs objec- . TROUBLES DE
es membres qui vont bientôt se paralyser. Il ne s'agit guère ici de douleur intense, de douleur véritable au sens propre du m
bientôt se paralyser. Il ne s'agit guère ici de douleur intense, de douleur véritable au sens propre du mot, mais plutôt, d
des maladies; ce sont des syndromes cliniques caractérisés par des douleurs continues et paroxystiques sié- geant sur le tr
t paroxystiques sié- geant sur le trajet des nerfs sensitifs. A ces douleurs se surajoulcnt,des troubles vaso-moteurs, sécré
d'un nerf amène parfois des névralgies du- rant très longtemps. Les douleurs , en cas de plaie des nerfs, sont accom- pagnées
ents, picotements, élancements dans la région qui sera le siège des douleurs . Celles-ci, très vives et très intenses, sont s
uisent par des sensa- tions de brûlures, d'arrachement. Parfois les douleurs sont continues, parfois le malade ressent une s
r- valles très courts, mais toutefois appréciables. La violence des douleurs varie chez les différents malades, parfois elle
lades, parfois elles sont telles qu'elles arra- chent des cris. Les douleurs suivent le trajet d'un nerf et de ses bran- che
diminuées par une compression énergique des régions atteintes. Les douleurs névralgiques irradient parfois à des nerfs vois
des nerfs voisins et même à des nerfs plus ou moins éloignés ; ces douleurs irradiées sont moins intenses que les douleurs pr
moins éloignés ; ces douleurs irradiées sont moins intenses que les douleurs primitives. Les crises douloureuses sont souven
ouloureux varie d'un quart d'heure à une demi- heure, une heure. La douleur disparaît alors et le malade a une exquise sens
aines névral- cries on observe une anesthésie absolue au tact, à la douleur , à la tem- pérature, bien que les douleurs spon
sie absolue au tact, à la douleur, à la tem- pérature, bien que les douleurs spontanées soient très vives, c'est l'anesthési
esthésie dite douloureuse. Les troubles trophiques accompagnant les douleurs névralgiques sont très fréquents et très variés
s, le rhumatisme musculaire, les arthropa- thics, les ostéites, les douleurs osléocopes de la syphilis, etc.... Les neurasth
tète, au cou, à la colonne vertébrale, aux membres, au coccyx; ces douleurs sont persistantes, très tenaces, elles ne semblen
ésion locale. Telles sont les algies centrales, les topoalgies. Ces douleurs , que le malade dépeint avec un grand luxe d'ima
, n'amènent pas les mêmes réac- tions et les mêmes troubles que les douleurs réelles; elles ont une allure toute spéciale qu
de topoal¡.6e ces sujets, dont parle Brissaud, qui souffrent d'une douleur dont la nature, l'intensité, le siège même n'on
invariable et cependant manifestement insignifiante. Dans ce cas la douleur semble n'obéir qu'à une loi, celle de l'habitude.
plutôt que celle de souffrir. Presque tous les malades atteints de douleur d'habitude attribuent à leurs crises telle ou t
uti- que médicamenteuse; seule la psychothérapie peut agir, car les douleurs d'habitude relèvent de la pathologie mentale.
n/</c ? Y/, affection décrite par Mobius, se caractérise par des douleurs se produisant à l'occasion des mouvements volonta
s d'aki- nesia algera sont incapables de faire aucun mouvement. Les douleurs parfois même se montrent à l'occasion de la mas
travail très intéressant. Les radi- culalbies se traduisent par des douleurs , ayant fréquemment le caractère fulgurant et té
urant et térébrant, survenant par crises variables d'intensité. Les douleurs se font sentir dans la profondeur du membre plutô
rs sont moins douloureux à la pression que dans les névralgies. Les douleurs sont réveillées souvent par la toux, 1 etcrnuem
excitations algésiogènes, on arrêtera brusquement la production des douleurs . Quand on est en présence d'une névralgie d'ori
tion des extrémités terminales des nerfs de la région endolorie, la douleur se calme aussitôt après l'injection de cocaïne
cive qui recouvre le rebord alvéolaire altéré; cet apaisement de la douleur justifie les opéra- tions tendant à guérir le m
ions tendant à guérir le mal en attaquant directement la cause. Les douleurs névralgiques d'origine fasciculaire, c'est-à-dire
tomie est conseillée, à cause de la violence ou de la ténacité des douleurs , la section nerveuse devra être faite à la haut
aite à la hauteur où l'injection de cocaïne a amené la sédation des douleurs . Les névralgies d'origine radicule-médullaire,
ou sur le trajet des nerfs qui s'y distri- huent n'apaisent pas la douleur , mais elles la calment très rapidement si elles
différemment in- llacncucs par les injections de cocaïne. Tantôt la douleur n'est nullement modifiée, tantôt elle est dimin
toxiques, talws. La névralgie du trijumeau se caractérise par des douleurs continues accompagnées d'accès paroxystiques. L
ner les accès, aussi les malades évitent de parler et de manger. La douleur irradie fréquemment vers la région cer- vicale
teints. La névralgie de la branche ophtallllique se traduit par des douleurs des téguments de la partie antérieure du cuir c
la paupière supérieure;, de la racine et du lobule du nez, par des douleurs dans le sinus frontal, la partie antérieure des
relativement fréquente chez les paludéens, elle se traduit par des douleurs au niveau du front, de la paupière supérieure,
nerf maxillaire supérieur a, pour expression sytnp- tomaticlnc, des douleurs au niveau de la paupière inférieure, des parties
utaxil- laire inférieur : névralgie d n nel'r denta ire inférieur ( douleurs au niveau des dénis du maxillaire inférieur, de
ux il l'épine de Spyx) ; névralgie du /la/' altl'iclllo-telllpo/'{{1 ( douleurs a la tempe, il la partie antérieure du pavillon
pavillon, au conduit auditif externe) ; névralgie du nerf lingual ( douleur pendant la mastication et la phona- IGUILLAIN.}
de la langue, hypersécrétion salivaire) ; névralgie du nerf buccal ( douleur suivant une ligne allant de l'oreille à la part
simple non convulsive, le malade ressent tout à coup une très vive douleur , il porte la main à son visage, la douleur dure q
out à coup une très vive douleur, il porte la main à son visage, la douleur dure quelques secondes ou une minute, puis cess
compression que les malades exercent dans le but de diminuer leurs douleurs , peut à la longue amener un véritable aplatisseme
ines simple, érythémateuse, pultacée, herpétique, phlegmoneuse). La douleur de la névralgie du grand nerf occipital est rév
l'angine et la pelade. La névralgie cervico-occipitale amène des douleurs à la nuque, sur le sommet de la tête et jusqu'a
st immobile pendant les accès et tous ses mou- vements ramènent les douleurs . Les douleurs irradient parfois dans le domaine
ndant les accès et tous ses mou- vements ramènent les douleurs. Les douleurs irradient parfois dans le domaine du plexus bra
utané ou le bra- chial cutané interne sont'parfois piqués, d'où des douleurs névralgiques qui pourront être très tenaces. Ce
e de la névralgie siège dans la. région cervicale ou axillaire, les douleurs existent dans tout le domaine du plexus brachial;
S ET ALGIES.' la pression des différents nerfs du bras réveille ces douleurs ; les apo- physes épineuses des dernières vertè
attention sur une névralgie radiale qui se caractériserait par eles douleurs violentes, lancinantes, prédominant dans la rég
ubital, du médian, du llulsculo-cutai7é. Il est à remarquer que les douleurs ne correspondent pas toujours avec précision au
des atteints de brachialgk- 11 s'agit de personnes qui souffrent de douleurs violentes dans un bras; c'est le symptôme uniqu
ncipal symptôme pour lequel elles consultent. La localisation de la douleur est indécise, vague; exception- \l ? RAT,GT DTA
ue; exception- \l ? RAT,GT DTAPnnACMATfQUE. 3f)t nellrrnenl cette douleur suit le trajet d'un nerf; il arrive même qu'au
ette douleur suit le trajet d'un nerf; il arrive même qu'au bras la douleur suit le trajet d'un nerf et à l'avant-bras d'un a
nerf et à l'avant-bras d'un autre. La même variation existe pour la douleur à la pression; quelquefois on ren- contre des p
e déjà signalée par Remak. Vépicondgl- (dgie se caractérise par une douleur de l'(''picondyle (lui peut s'irradier aux musc
éciale imposée à sa main droite. Sur 25 ouvriers, Molle a trouvé la douleur epicondy)iennc dans '24 cas. NÉVRALGIE DIAPHR
'une névrite infectieuse ou toxique (paludisme, diabète, etc.). Les douleurs de la névralgie du phrénique se montrent à la par
er son thorax, évitant même de respirer; durant les paroxysmes, les douleurs irradient fréquemment aux parties latérales du
ées du plexus cervical superficiel et aussi du plexus brachial. Les douleurs de la névralgie phreuique sont exagérées par les
e malade guérit. La névralgie intercostale est caractérisée par des douleurs continues, sourdes (sensations de tension, de c
de. Dans cer- taines névralgies intercostales siégeant à gauche, la douleur est exacerbée par les battements du coeur, ce q
ttements du coeur, ce qui cause aux malades une grande anxiété. Les douleurs des névralgies intercostales peuvent irradier dan
u mésentère, du caecum, de l'S iliaque, les hernies inguinales. Les douleurs de cette névralgie se montrent dans la région lom
git d'une névralgie des branches inguinales du plexus lombaire, des douleurs existent au niveau de l'an- neau inguinal et du
es iliaques antérieures, l'autre à la face externe de la cuisse; la douleur est localisée a la partie supé- rieure de la ré
rise par des sensations de fourmillement, d'engourdissement, ou des douleurs souvent violentes dans la zone d'innervation de l
les hernies crurales, etc. La névralgie crurale se traduit par des douleurs il la partie antéro- interne de la cuisse, il l
ratrice est presque; toujours causée par la hernie obturatrice. Les douleurs sont localisées à la face interne de la cuisse
l obturateur, les mouvements de rotation de la cuisse exagèrent les douleurs . Névralgie du nerf honteux interne. La névralgi
érieure du scrotum et des grandes lèvres, au périnée, à l'anus. Les douleurs névralgiques sont souvent localisées; ainsi l'o
ralgie des rameaux coccygiens de la 6'' paire sacrée; peut-être ces douleurs coccygiennes, qui s'observent il la suite de l'
lles de lésions locales osseuses, ligamenteuses ou musculaires. Les douleurs de la coccygodvnie sont augmentées par la march
ouvements de la jambe, la toux, la défécation, l'eter- nuement. Les douleurs de la sciatique occupent la région lombaire, la
ouloureux, il persiste une sensation d'endolorissement vague. Les douleurs de la sciatique peuvent être provoquées par la
t amener la flexion de la cuisse sur le bassin sans causer de vives douleurs , ce qui s'explique par l'extension du nerf scia
nt observés. La marche est par- fois presque impossible à cause des douleurs et tics crampes; épiant ! les malades marchent,
de pour déplacer le centre de gravité du corps et atténuer ainsi la douleur ; elles disparaissent quand la sciatique est ter
raient défaut. Dans la sciatique-névrite, ou observerait, outre les douleurs , de l'atrophie musculaire, des troubles de la sen
ation métatarso-phalan- gienne n'est presque jamais intéressée. Les douleurs sont continues, dé plus existent des paroxysmes
al, souvent la pression au niveau de la face plantaire réveille des douleurs ; la compression bilatérale de l'avant-pied rappr
ant les unes des autres les têtes métatarsiennes réveille aussi des douleurs . La marche est difficile pendant les crises dou
rvalles plus ou moins réguliers, débutant souvent le 'matin par des douleurs sourdes qui deviennent de plus en plus aiguës, oc
ion crânienne latérale. La lumière, le bruit semblent augmenter les douleurs , aussi les malades s'enferment-ils dans les end
généralement aux régions temporale, sourcil- liere et frontale; les douleurs , en général nulles le matin, augmentent dans la
re délicat, la céphalée peut devenir très intense. RACHIALGIE Les douleurs de la région rachidienne, les rachialgics, s'obse
es cas de névralgie sont nombreuses. Tantôt on agit sur le symptôme douleur par des médi- caments antiaigiqucs, antispasmod
loyer des médications spécifiques ; tantôt enfin la persistance des douleurs oblige il des interventions chirurgicales. Je n
antispasmodiques. L'opium a une action souvent très efficace sur la douleur , niais c'est un médicament dont il faut user av
ment d'emblée sur le nerf, quelques tâtonnements sont la règle. Une douleur plus ou moins vive au niveau du pied, des orteils
eur plus ou moins vive au niveau du pied, des orteils, de la jambe, douleur ressentie par le malade quand la pointe de l'aigu
faut souvent plusieurs injections avant d'observer la cessation des douleurs . Sicard a préconisé récemment pour ces injectio
lilé dans tous ses modes : Sensibilité cutanée. La sensibilité à la douleur est le mode qui fournit les renseignements les
». C'est qu'en réalité il ne se rend pas compte de la nature de la douleur très réelle qu'il ressent effectivement et qui se
dans un état d'excitation très singulier, mais, quelle que soit la douleur qu'ils ressentent, jamais on ne les voit porter
as être recherchés. Assez souvent les hémiplégiques se plaignent de douleurs dans les membres paralysés, surtout dans les me
ans les membres paralysés, surtout dans les membres supérieurs; ces douleurs HÉMIPLÉGIE. ! (i7 sont souvent en connexion a
uffisant pour confondre avec une hémiplégie motrice certains cas de douleurs unilatérales des membres. Chez les individus af
formes ou riralléatoires, ou bien des troubles de la sensibilité : douleurs , hémianesthésic, ou encore des troubles de la m
slhésie (avec hémiplégie transitoire ou s'atténuant rapidement), de douleurs très vives dans la moitié du corps anesthésiéc.
a manoeuvre de Lasègue provoquent une élonga- lion du nerf, de : la douleur et, par suite, de la contracture. Dans ce cas,
e. Dans ce cas, le si"'ne de Kernig ne serait qu'un réflexe dû à la douleur , mais ditfé- rents auteurs et, en particulier W
alrrazès a pn le constater chez un tabétique en période de crise de douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs. Dans l'i
se place en exten- sion. On note de l'hyperesthésie au tact, il la douleur , à la température, hypereslhésie prononcée surt
ujours des symptômes osseux, de la défor- mation rachidienne, de la douleur vertébrale. On constate fréquem- ment la dissoc
acines se traduit avant tout par les pseudo-névratgies. Ce sont des douleurs en ceinture, irradiant des gouttières vertébrales
PARAPLÉGIE. 4UÍ ï contrer. Signe plus intéressant et constant, ces douleurs sont atténuées par le déeubilus, et cela de tel
ressions médullaires. Dans le cancer vertébral existent souvent des douleurs atroces (paraplégie douloureuse des cancéreux d
eurs atroces (paraplégie douloureuse des cancéreux de Charcot). Ces douleurs , liées à l'effondrement des trous de conjugaiso
phase de PII,\TIQUE ,OEUIIOI.. 52 [htOUTIER.] 498 PARAPLÉGIE. douleurs lancinantes. Ces douleurs peuvent être unilatéral
IIOI.. 52 [htOUTIER.] 498 PARAPLÉGIE. douleurs lancinantes. Ces douleurs peuvent être unilatérales; elles peu- vent être
: les uns cérébraux, ', diplopie, céphalée, les autres rachidiens, douleurs en ceinture ou irra- diées aux membres inférieu
hésie sont bientôt complètes. Il existe ordinairement d'assez vives douleurs . Les sphincters sont paralysés, urine et matières
s extrémités et détermine de gros troubles sensitifs accompagnés de douleurs sur le trajet des nerfs. Les réflexes tendineux s
e flasque, consécutif chez les tabé- tiques aux violentes crises de douleurs fulgurantes. Il y aurait dans ce cas un véritab
il y a d'abord affaiblissement des jambes lent et progressif, avec douleurs dans la conti- nuité des membres, puis les mala
mais l'expul- sion spontanée n'ira pas plus loin. Ajoutons que les douleurs de l'accou- chement sont supprimées. Il est i
ve la Ve paire. On observe fréquemment un torticolis pénible et des douleurs sur le trajet du phrénique. Du hoquet, des vomi
cutanés, plantaire et créinas- térien, disparaissent également. Les douleurs sont extrêmement accusées, et les malades, au d
dité, oedème chimique, escarres aux points d'appui. L'intensité des douleurs , leur caractère térébrant, sont également en fave
rs à l'aide des autres fléchisseurs du coude, peut s'accompagner de douleurs dans l'épaule par tiraillement de l'appareil li
solidement en équilibre sur le pied malade, de la fatigue et de la douleur dans la plante du pied en avant et en dedans de
r le sol pendant la marche ou la station debout ; il en résulte des douleurs dans la partie antérieure de la plante du pied.
'autres muscles dans les émotions pénibles, le pleurer, les grandes douleurs concentrées. Orbiculaire des paupières. Inserti
certaine énergie intellectuelle. Duchenne l'a nommé le muscle de la douleur ; cette expression n'est pas rigoureusement exac
oncement des sourcils se produit dans d'autres circonstances que la douleur , comme la réflexion, la colère. MUSCLES DU NEZ
, le myrtiforme se contracte dans l'ex- m'es ? ion de tristesse, de douleur , de sévérité. t MUSCLES DES LÈVRES Risorius d
e pour les rompre, ne les a pas moins dis- tendues et irritées. Les douleurs sont d'ailleurs variables chez les divers malad
s qui souffrent peu, il en est d'autres qui souffrent beaucoup. Les douleurs spontanées irradient depuis la région cervicale
diculaire interne, parfois aussi tout le membre est douloureux. Les douleurs peuvent être provoquées par la pression des racin
rauma- tiques ne sont pas toujours identiques.. J'ai déjà parlé des douleurs spon- tanées ou provoquées consécutives à l'acc
racines peut s'aplatir sur les transverses, fait qui explique et la douleur et les troubles de la sensibilité. Prolonge-t-o
omènes douloureux précèdent souvent les symptômes paralytiques; les douleurs , les pseudo-névralgies. sont beaucoup plus viol
du côté paralysé. Parfois, la paralysie faciale est accompagnée de douleurs ; celles-ci sont sans doute causées par une lési
e est conservée. Il peut y avoir dissociation des sensibilités à la douleur et au contact : témoins ces malades de certaine
du naso-pharynx. La névralgie du larynx se traduit par des accès de douleurs lancinantes revenant à intervalles plus ou moin
eresthésie (Berger, Moebius), hypo- esthésie (Goetz), paresthésies, douleurs (lTohinsun). L'évolution de l'affection est len
'est pas fréquemment affectée; il n'y a qu'ex- ceptionnellement des douleurs violentes, plus souvent des crampes dans les ja
xtrémités (hypoesthésie ou retard de la transmission), parfois des. douleurs à caractère fulgurant, une incoor- dination mot
lle se carac- térise, quelle qu'en soit la nature, par de violentes douleurs névral- gigues de la nuque, du cou, des bras, p
yélite antérieure chronique vraie : parésie précé- dant l'atrophie, douleurs , évolution rapide. Aucun de ces symptômes n'est
es syphilitiques 11(i et 18 ans dans des cas personnels); enfin des douleurs existent peut-être dans certaines poliomyélites
la méningo-myélite syphilitique chronique. Cependant l'existence de douleurs persistantes et la rapidité de l'évo- lution de
langue, des yeux, etc., avait aussi des signes manifestes de tabès ( douleurs fulgurantes, incontinence d'urine, lymphocytose,
de la violence de l'inflammation articulaire ou de l'intensité des douleurs . Elle peut s'observer au voisinage de toutes le
dans ces cas, mais ne précède pourtant pas en général les violentes douleurs pseudo-névmlç¡iqlles qui sont dues à la lésion de
lité sont très fréquents, sans être constants : ils con- sistent en douleurs spontanées, paroxystiques, intermittentes ou surt
tes, à caractère névralgique, souvent fulgurant ou térébrant, et en douleurs à la pression des nerfs ou des muscles. Les troub
et les masses musculaires ne sont pas sensibles à la pression; les douleurs sont parfois vives et localisées à la périphéri
les objectifs de la sensibilité sont d'ordinaire moins accusés, les douleurs sont au contraire plus violentes et plus persista
ont leur apparition. Ils sont surtout sensitifs : ils consistent en douleurs souvent extrêmement vives dont le point de dépa
ment vives dont le point de départ se trouve au niveau de la plaie, douleurs continues et paroxystiques. La douleur s'étend bi
ouve au niveau de la plaie, douleurs continues et paroxystiques. La douleur s'étend bientôt aux doigts voisins, puis à la m
mais elle n'est généralement pas proportionnelle à l'intensité des douleurs ; elle est diffuse et atteint a peu près au même d
ntre par- fois une atrophie dans l'épaisseur des os. Tardivement la douleur peut être réveillée par des secousses de toux,
la douleur peut être réveillée par des secousses de toux, et cette douleur , due peut-être au choc du liquide céphalo-rachi
de Rennes, 1905. [A. LÉRI. 720 ATROPHIES MUSCULAIRES. durée des douleurs conduisent souvent à des interventions chirurgica
t, sourdement, par des four- millernents, des engourdissements, des douleurs spontanées intermit- tentes, des douleurs à la
des engourdissements, des douleurs spontanées intermit- tentes, des douleurs à la pression du nerf atteint; ces douleurs s'ac-
s intermit- tentes, des douleurs à la pression du nerf atteint; ces douleurs s'ac- cusent, devienuent fréquentes, paroxystiq
PARALYSIE. 721 1 tiforrne (Dubois, Margoullès) ('), marquée par une douleur violente presque aussitôt suivie de paralysie c
esthésiques, fourmillements, engourdissements; puis surviennent les douleurs spontanées, paroxystiques, intermittentes ou rémi
est le type des polynévrites mixtes à prédomi- nance sensitive; les douleurs vives, lancinantes ou térébrantes, les pares- t
s'accompagne pas de troubles sensitifs subjectifs ou objectifs, de douleurs à la pression des troncs nerveux ou des masses mu
,des plus utiles aussi dans les névrites, mais après la période des douleurs . )/é)ectrotherap)e sera, au contraire, contrc-i
sclérose en plaques : Romberg, Westphal, Robertson, myosis, ataxie, douleurs , retard de la sensibilité ou hypoesthésie; trembl
vicale hypertrophique (syphilitique, tubercu- leuse, fibreuse ? ) : douleurs névralgiques, exagération des ré- flexes ; souv
te syphilitique : lymphocytose, parfois Argyll-Robert- son, parfois douleurs et évolution rapide. e) Flasques : réflexes ten
is les symptômes inflammatoires, l'acuité du début du processus, la douleur spontanée et à la pression, la faiblesse de la co
provoquer des paresthésies, fourmillements, engour- dissements, des douleurs fulgurantes ou en ceinture, de 1'liypoestliésie,
totalité des troubles du tabes : abolition des réflexes rotuliens, douleurs fulgurantes, paroxysti- ques, dans les membres
libre, de l'ataxie des membres inférieurs, le signe de Romberg, une douleur sourde dorso- lomho-sacrée, des engourdissement
elques troubles sphinctériens légers, pas de signe d'Argyll. pas de douleurs fulgurantes; l'évolution est progressif très le
à la fois de symptômes moteurs et de symptômes sensitifs, parésies, douleurs fulgurantes, anesthésies diverses, superfi- INC
ctériens et génitaux et, en général, de tous troubles viscéraux, la douleur à la pression des troncs nerveux et des masses
tique, capsule interne, etc., conserve toujours la perception de la douleur au niveau de ses membres paralysés, il peut per
, le signe d'Argyll plus ou moins complet, parfois avec myosis, les douleurs fulgurantes, les alté- rations des divers modes
troubles, associés aux troubles gastriques et génito-urinaires, aux douleurs lombaires si fréquentes chez les neurasthéniques,
quié- tants, céphalée, vertiges, frissons, ascension thermique. Des douleurs nucales, des bourdonnements d'oreille accusent
néoplasie. Les signes d'irritation bulbaire prédominent : céphalée, douleurs de la nuque, rigidité du cou, spasmes faciaux,
te. En même : temps se.manifestTit des troubles de l'équilibre, des douleurs le long.de la colonne vertébrale, et le malade
nutri- tion de la cellule musculaire, n'est-il pas étranger il ces douleurs ! ' Ces manifestations locales ne sont pas tout
SES CONVULSIVES. 829 plaque méningée; l'exaspération nocturne de la douleur , les antécédents spécifiques à la syphilis céré
sion mélancolique, terreur folle, accès de violence, etc. Enfin les douleurs précordiales, les palpitations, les coliques viol
ral. Les troubles de la sensibilité sont inconstants, il existe des douleurs périarticulaires, des douleurs au point d'émerg
lité sont inconstants, il existe des douleurs périarticulaires, des douleurs au point d'émergence des nerfs ; mais les troub
856 ' CHORÉES. Les prodromes peuvent être sensitifs, ce sont des douleurs erratiques,' de la fatigue, bientôt les mouveme
ndiqués pour la chorée en général, c'est-à-dire qu'on y observe des douleurs juxta-articulaires et des douleurs au point d'éme
c'est-à-dire qu'on y observe des douleurs juxta-articulaires et des douleurs au point d'émergence des nerfs. Les troubles
de cette affection est le plus souvent brusque : il se fait par des douleurs intenses qui commencent en général par les extrém
nt ensuite il un côté du corps, quelquefois à la totalité. '. Ces douleurs s'accompagnent à brève échéance de secousses des
équente entre les excitations douloureuses et les manifestations de douleur que les malades accusent : «une vive souffrance
t : «une vive souffrance peut les laisser indifférents; une, minime douleur , une simple gène les exaspèrent » : le geste qui
inaire déterminé par la gène d'un vêtement, d'une bretelle, par une douleur articulaire, la recherche d'un craquement, etc.
la volonté n'a pas d'action; la force musculaire est diminuée, les douleurs fréquentes, Ics réflexes tendineux souvent modi
, etc. Le mot crampe est très mal choisi ; il implique l'idée d'une douleur qui est loin d'être constante ('). Les termes
ntractures sont violentes, elles sont souvent douloureuses, mais la douleur cesse avec la contraction. Les muscles de la
nce de la seule peur d'être atteint de la crampe des écrivains, une douleur tout à fait analogue à celle de cette affection,
ibitrice à peu près nulle. Dans quelques cas, on a constaté de la douleur , spontanée ou à la pres- sion, le long des tron
elle est quelquefois particulièrement dou- loureuse, accompagnée de douleurs le long des nerfs et d'atrophie muscu- laire (D
tteints. La peau est blanche, ferme. épaisse. Il n'existe jamais de douleurs : le malade, se plaint seulement de la pesanteu
ollerette de netteté remarquable. Cette adipose est douloureuse, la douleur pouvant être à la fois spontanée et provoquée o
ment purulent. A ce stade la lésion est souvent assez pénible ; des douleurs fulgurantes particulièrement vives ont pu d'aille
èrement chez les hémiplégiques. Cette chute de l'ongle se fait sans douleurs et sans phénomènes inflammatoires. Dans les né-
DE LA SENSIBILITÉ NÉVRALGIES RÉNALES Sous ce nom, on désigne une douleur plus ou moins fixe ayant le rein pour siège, av
ici fréquemment, et une lésion d'un rein se traduit souvent par une douleur névralgique du congénère, fait des plus importa
rovoquée par une cause légère, un petit traumatisme par exemple, la douleur se manifeste par des crises qui simulent la col
ue influence dans un certain nombre de cas. Mais il est rare que la douleur cesse complètement dans l'intervalle des crises
té, ni augmentation de volume, mais la pression révèle une certaine douleur sur le trajet de l'uretère. Pendant la crise l'
ômes propres aux lésions rénales, sus- ceptible de déterminer de la douleur et que nous ne pouvons passer en revue à cette
ale que la confusion se fait surtout; rappelons que dans ces cas la douleur , comme l'hématurie, est provoquée par le mouvem
vent échapper à cette investigation, sont quelquefois l'occasion de douleurs atroces ; la séparation des urines, et surtout le
n doit comprendre un ensemble syniploniatique carac- térisé par des douleurs siégeant au niveau de la vessie, indépendantes de
parois et pouvant mettre en jeu ou altérer ses contractilités. Les douleurs provoquées par une cystite, un calcul, un néopl
oquer des symptômes in situ, mais seulement des symptômes vésicaux, douleur , gène ou pollakiurie qui eu sont les premiers ind
, elles varient beaucoup dans leur apparition. . Symptômes. - Des douleurs et des troubles mictionnels les caracté- risent
s et des troubles mictionnels les caracté- risent : : . C'est une douleur rétro-pubienne, fixe» continue- ou par accès, irr
ffort d'expulsion des' dernières gouttes y contribue davantage. Ces douleurs procèdent par crises dont la durée varie de que
24 heures, parfois toutes les 5 minutes et demeurer incessants. La douleur est alors constante; elle tient non seulement à l
ants. La douleur est alors constante; elle tient non seulement à la douleur propre, à la névralgie, mais aux contractions m
l en résulte une sorte de crampe dont l'expression est à la fois la douleur , la fréquence des mictions, l'absence de rétentio
mée : fréquence très grande, irrésistible, faux besoins douloureux, douleurs post-mictionnelles, parfois si prolongées et si
Un explorateur parcourt la muqueuse vésicale sans y provo- quer dé douleur ni même de sensation. Presque toujours, ces vessi
, car toutes les affections de la vessie peuvent donner lieu il des douleurs , mais il faut rechercher et écarter les lésions m
Les cystites présentent trois caractères fondamentaux : fréquence, douleur mictionnelle, pus dans l'urine; les deux premiers
érison. On' se rappelera enfin que certaines lésions provoquent des douleurs vésicales - NÉVRALGIES VÉSICALES. - 9M longte
une rétention incomplète s'établit, même minime, elle augmente les douleurs et l'évacuation vésicale s'impose. . Il n'en es
hystérie, les névralgies* urétrales sont presque toujours liées aux douleurs vésicales et se comportent avec les mêmes caractè
ge et s'irradie vers le gland avec des élance- ments douloureux; la douleur gagne le rectum; elle est. souvent liée aux dou
douloureux; la douleur gagne le rectum; elle est. souvent liée aux douleurs fulgurantes qu'elle précède. Enfin, à chaque mict
êcher d'évoluer; ils sont rapidement remarqués, s'ils consistent en douleurs , névralgies vésicales (roy. ce mot) ou autres;
xplorateur traverse le sphincter membraneux sans résistance et sans douleur (Guyon), tandis que l'une et l'autre sont vives
incomplète ; elle n'a pour ainsi dire pas de symptômes propres : ni douleurs , ni troubles mictionnels, mais l'urine louche e
vésicales et apparaît ici avec ses caractères habituels, fréquence, douleurs , purulence des urines : mais ceux-ci sont influ
é. Si l'infection envahit une vessie déjà atteinte de névralgie, la douleur devient atroce, et la fréquence extrême. S'il y a
ne dépassera pas le titre de : 2O' Comme dernière ressource, si la douleur 1 l UU et l'infection, résistaient à- tout, u
ale, soit que la « crise d'urine » se maintienne en dehors de toute douleur . La encore il faut surveiller la rétention inco
e et est souvent absent; l'érection est même souvent -Luie cause de douleurs . . On le retrouve dans les maladies qui conduis
d parfois des proportions considérables. C'est dans ces cas que les douleurs de l'érection se manifestent; l'éjaculation, trop
ntôt l'éjaculation cesse d'être volup- tueuse et s'accompagne d'une douleur et surtout d'une sensation de brll- ture au niv
de sensations voluptueuses au début, et aboutissant toujours à une douleur vive, an- goissante et très prolongée. De telle
ate, ni des déte- rents : cette rétention en amont donne lieu à des douleurs très vives au moment de l'éjaculation (colique
sont atténuées ou prolongées; ONANISME. 973 presque toujours une douleur ou une gêne périnéale est accusée. Le mélange d
s points; toutefois, lorsque, la cause provient d'une gène ou d'une douleur ayant son siège dans les organes génitaux, on r
e valeur diagnostique. Les hyperesthésies s'accompagnent souvent de douleurs névralgiques, et sont chez les individus prédis
sthésies. Il se localise parfois au niveau des arcs maxillaires des douleurs atroces, fonction de petits névromes des rameau
esthésie, ou bien l'on ne découvre aucune raison apparente de cette douleur . Tantôt diffuse, tantôt super- posai) le à un t
ur. Tantôt diffuse, tantôt super- posai) le à un trajet nerveux, la douleur relève directement alors de lésions du trijumea
s. La glossodynie est une névralgie essentielle des névropathes. La douleur est paroxystique. Pendant l'accès, le malade ne
ons d'ordre sympathique et trophique dans la syringomyélie, sur les douleurs et la spasticité des membres su- périeurs, puis
des chlorotiques, chez les porteurs de lésions nasales. Ce sont des douleurs irradiant de la pro- fondeur vers les piliers,
On l'étaie sur l'unilatéralité, sur le caractère paroxys- tique des douleurs spontanées ou provoquées par la pression des corn
on possible avec régurgitations immédiates ou un peu plus tardives; douleurs profondes, rétro-sternales. Une forme atténuée
ad- mettre que les phénomènes qui frappent le plus l'attention, les douleurs et le retard de la motricité, sont d'ordre surt
ses gastriques du tabes sont essentiel- lement caractérisées par la douleur et le vomissement avec torpeur et tendance au c
pport avec l'alimcn- tation. Son début violent est comparable à une douleur fulgurante; et souvent aussitôt après ce premie
urvient un vomissement consi- dérable, généralement alimentaire. La douleur est épigaslrique, quelque- fois abdominale, ave
s, le long delà colonne dorsale. Parfois, il y a de l'angoisse* des douleurs anguleuses, de t'etouffemcnt pseudo-astluuatique
es douleurs anguleuses, de t'etouffemcnt pseudo-astluuatique : La douleur est une étreinte sourde ou vive : les malades la
édicamen- teuse qui compliquent le syndrome. A ces crises manque la douleur épi- gastrique; le sujet souffre surtout sur le
urie. La crise labélique est d'ailleurs très polymorphe, tantôt les douleurs , tantôt les vomissements peuvent manquer. On a
tabès, pratiquer la ponction lombaire (lymphocytose), analyser les douleurs fulgurantes, rechercher le Robertson, le Westph
'oligurie sont de règle. Chez ces malades se notent quelquefois des douleurs fulgurantes. En somme, en dehors de l'absence é
es atteintes de rein mobile. Le début est violent, sans nausées; la douleur épigastrique est spontanée. Les vomisse- ments
s sensorielles (odeur, vue d'un objet, mouvement) il est précédé de douleurs ¡"pigastriql1es. de pesanteurs quelquefois suiv
pieds (type d'extension) peuvent être seuls atteints, et alors les douleurs sont faibles, ou bien il peut y avoir des contr
n. Troubles de la sensibilité. Nous n'avons pas à revenir sur les douleurs et hyperesthésies accompagnées ou non de points h
se rencontre plutôt chez des individus d'un certain âge. Spasme et douleurs peuvent disparaître subitement il propos d'une
souvent désespérante, elles surviennent brusquement ou précédées de douleurs fulgurantes ano-rectalés. Elles peuvent se répé
accidents sine nza.lefUa. Pseudo-péritonite. Le malade accuse une douleur aiguë; il sur- vient des vomissements, porracés
plus ou moins globuleuse peut se limiter en un lieu du ventre; des douleurs et des vomissements sur- viennent bientôt. Parf
n- nement plus ou moins localisé, état général plus ou moins grave, douleur au point de Mac Burney bien ou mal localisée. P
rieurc). D'autres fois (syndrome d'excitation), il y a constipation, douleur épigastrique et hypertension. C'est ce que réal
n alimentation pour des raisons diverses, soit pour quelques vagues douleurs de. déglutition1, soit pour quelque pesan- teur
lle et se trouve bientôt inanitié. Enfin, il y a toute la foule des douleurs et des obsédés, des aliénés sitiophobes, qui ne
temps. Or, aucune maladie organique de l'estomac ne détermine une douleur ainsi continue. Celui qui sent toujours son estom
nous la conseillerons; mais si elle vise uniquement il détruire des douleurs d'ordre surtout psychique, nous la déconseilleron
s, et, après une sedation passagère souvent il peine marquée, leurs douleurs recom- mencent et se poursuivent tout au long d
contracture musculaire, sans signes d'arthrite, rougeur, chaleur ou douleur , sans craquements fins, mais parfois avec de gr
ation, et l'on pouvait transpercer le doigt sans résistance et sans douleur . La sclérodermie peut être plus ou moins généra
e exceptionnellement en dehors de la paralysie radiale, -etc.). Les douleurs pseudo-névralgiques spéciales, une .déformation
il. Son début brusque au milieu de la nuit, l'intensité extrême des douleurs siégeant au niveau de l'articulation metatarso-
avec ou sans participation d'autres jointures, mais la raideur, la douleur a la pression, l'eeclènle persistent souvent beau
ent de la voûte plantaire, sa rotation en dehors et l'apparition de douleurs vives qui siègent surtout dans l'articulation m
rier). Sur le vivant, le repé- rage de cette fossette détermine une douleur légère, mais exquisément localisée, dont nous n
maladies de gorge, des maux d'yeux, des écoulements d'oreilles, des douleurs osseuses, des convulsions, si son développement
. Stigmates osseux. Quelquefois l'enfant a eu dans la jambe des s douleurs osseuses, nocturmes et persistantes; quelquefois
ent dans l'enfance des maux d'yeux longs et terribles pourtant sans douleurs ayant souvent intéressé les deux yeux : ce sont
veau du rachis, à déceler une zone, une apo- physe douloureuses. La douleur éveillée peut être extrêmement violente. On se
le liquide céphalo-rachidien. D) Le malade pourra se plaindre d'une douleur vive au niveau du pied, d'une crampe violente a
, en ce cas, d'une piqûre d'une racine de la queue de cheval; celle douleur est passagère, mais, dans certains cas, on pourra
ic. des Ilôpil., 20 juillet 1901). Abadie, de Bordeaux, a guéri des douleurs névralgiques consécutives à un cas de zona, par
entatives d'application en thérapeutique médicale (Sicard) ('). Les douleurs du tabès, la sciatique, le lumbago, ont été trait
tée peut être une solution de cocaïne ou de stovaïne, cl toutes les douleurs des membres inférieurs et en particulier la scial
il n'aboutit pas aux déformations et sou- vent ne provoque pas les douleurs , mais il se révèle quelque jour par une fractur
s depuis quinze ans, on n'obtint qu'une atté- nuation passagère des douleurs , sans modification de la sensibilité objec- tiv
ition complète, les troubles paraplégiques . s'atténuent aussi. Les douleurs fulgurantes du tabes ont été très rarement modifi
été rapporté par M. Babinski. Le malade, atteint depuis sept ans de douleurs articulaires et de douleurs névralgiques, était d
. Le malade, atteint depuis sept ans de douleurs articulaires et de douleurs névralgiques, était depuis deux ans dans l'impo
o-fémorale. Ce malade vit, à la suite du traitement, s'atténuer les douleurs et la flexion du tronc, 1; ! marche redevint po
yons de Rontgen (masses ganglionnaires, sarcomes, squirrhes) et des douleurs viscérales des tabétiques qui sont parfois très
oit être ici mentionnée comme susceptible d'agir activement sur les douleurs névralgiques en général (Touchard, etc.) ; elle a
des sédations remarquables dans des cas de don- leurs fulgurantes, douleurs en ceinture et crises gastriques du tabès. [d.
u charbon, des actions électrolytiques intenses produisant de vives douleurs et des effets caus- tiques avec formation d'esc
ngés qui ne sont pas toujours suffisamment supportés, en raison des douleurs qu'ils provoquent. On peut parfois faciliter l'
icotement et de chaleur, qui devient une sensation de brûlure et de douleur souvent très vive lorsque l'intensité et la densi
t donc être employé avec avantage pour explorer la sensibilité à la douleur et rechercher si elle reste nor- male ou si ell
ans ces poly- névrites, cependant, les troubles sensitifs. tels que douleurs sur le trajet · [E HUET.] 1302 ÉLECTROTHÉRAPI
rs sur le trajet · [E HUET.] 1302 ÉLECTROTHÉRAPIE. des nerfs et douleurs au niveau des muscles, sont généralement plus a
cession; c'est donc seulement après plusieurs semaines, lorsque les douleurs ont beau- coup diminué sinon complètement dispa
t que des contractions faibles ou assez fai- hies sans provoquer de douleurs . Si l'on se sert de l'électrode en forme de tam
sivement sur les points où se font sentir plus particulièrement les douleurs , soit spon- tanément, soit à la pression. Les p
le milieu de la crête iliaque (point iliaque). Suivant les cas les douleurs prédominent davantage au niveau de certains de
succès, mais il ne réussit pas toujours et il augmente parfois les douleurs de la névralgie. En somme il n'est pas il conse
la période aiguë d'une névralgie; on pourrait l'essayer lorsque les douleurs , après avoir notablement diminué, se prolongent
au traitement par la galvanisation continue. Plus tard, lorsque les douleurs de la névralgie auront disparu ou pour le moins
névralgie, parfois aussi par la localisation plus particulière des douleurs en certains points des territoires nerveux atte
r l'électricité; il se montre sou- vent utile soit en atténuant les douleurs si intenses parfois de la névralgie, soit en él
loyé qu'avec ménagement, et dans certains cas il peut augmenter les douleurs et les crises névralgiques. Il y a donc souvent
s'y ajoute a intervalles irréguliers et plus ou moins fréquents des douleurs paroxystiques parfois extrêmement vives. Ces né
Dans une autre forme, la névralgie épileptiforme de Trousseau, les douleurs reviennent seulement par crises paroxystiques aig
aves il convient de poursuivre le traitement jusqu'au moment où les douleurs ont disparu complètement ou en grande partie :
orme et de dimensions appropriées aux régions qui sont le siège des douleurs . Guilloz a obtenu de bons résultats par ce procéd
ontre diverses manifestations symptomatiques du tabes. Contre les douleurs fulgurantes, on a employé la galvanisation coup-
e précédemment de 10 ;1 20 minutes. On a employé aussi contre les douleurs fulgurantes la faradisation pratiquée avec le p
mbres, dans les régions qui sont plus particulièrement le siège des douleurs . Ce mode de, traitement donne parfois de bons r
donne parfois de bons résultats, mais d'autres ibis il exaspère les douleurs , et, dans ce cas ne doit pas être continué. On
haute fréquence. Les mêmes modes de traitement sont applicables aux douleurs en ceinture, aux crises viscérales, gastriques,
nne vertébrale. De même, la radiothérapie a été utilisée contre les douleurs fulgurantes des membres en dirigeant les rayons s
ation correspondant aux régions périphériques où se manifestent les douleurs . Contre l'incoordination motrice on a cherché a
ectrisation soient bien supportés et ne provoquent pas de crises de douleurs fulgurantes. Dans le cas d'hypotonie musculaire
resthésie, dont quelques-unes sont parfois hystérogènes, ou bien de douleurs se présentant sous la forme de névralgies, ou enc
ouleurs se présentant sous la forme de névralgies, ou encore de ces douleurs qu'on a classées sous la dénomination générique d
s ne sont pas toujours bien tolérés, en raison des secousses et des douleurs qu'ils provoquent. On fera supporter plus facil
e solu- tion de salicylate de soude. Contre la rachialgie, el les douleurs sous forme de « plaque sacrée », on ajoutera au
n, physiologie, 544. Adiadococinésie, 775. Adipose douloureuse, douleurs généra- lisées, a î 0. - Jlal : ulic de Dercum,
culaire, 146. Aïnhum, l0lc7. Pratique \EUROt.. Akinésie algère, douleurs , 570. 584. Albumine dans le liquide céphalorach
loti7, 1045. Dorsal (Syndrome des lésions médul- laires) 515.. Douleurs . Caractères généraux, siège, irradiations, duré
généralisées, 570. localisées. Céphalalgie, 565. Migraine, 568. Douleurs de la nuque, -du tronc, 569. des membres ? des
ents des pieds, 1059. Hémiatrophie faciale, 929, 950. Hémiplégie. Douleurs d'origine périphé- risque. Douleurs d'origine c
aciale, 929, 950. Hémiplégie. Douleurs d'origine périphé- risque. Douleurs d'origine centrale, 571. - Caractères. Causes,
95. - Séméiologie, 29û. - subjective, troubles. Recherche, 562. - Douleurs , 36 ? Dysesthésies, 574. - Besoins, sensations
22 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
se se manifeste. Nul accident ne l'accompagne, si ce n'est quelques douleurs dans les reins et dans le bas-ventre pendant la m
même temps les tissus pâlis-sent; il survient de la céphalalgie, des douleurs dans les reins et dans les aines, surtout pendant
phéno-mènes prodromiques, nous n'avons à remarquer ni vomissements ni douleurs de reins nouvelles. C'est à celte époque, pour
à la base ; murmure vas-culaire continu dans les vaisseaux du cou. Douleurs dans les reins et dans le bas-ventre spontanées e
tir de l'hôpital. Ainsi la petite fièvre du soir avait diminué; les douleurs dans les reins et dans le bas-ventre avaient pres
du 3 au 4 avril, la malade est réveillée tout-à-coup par une violente douleur siégeant au dessus du pubis, douleur suivie presq
lée tout-à-coup par une violente douleur siégeant au dessus du pubis, douleur suivie presque aussitôt d'un écoulement assez abo
d'un écoulement assez abondant de sang par les parties génitales. Ces douleurs prennent bientôt le caractère de douleurs expultr
les parties génitales. Ces douleurs prennent bientôt le caractère de douleurs expultrices, et l'accouchement s'opère à une heur
lade, qui, jusqu'ici, n'a jamais souffert du ventre, éprouve quelques douleurs dans les reins et dans le bas-ventre. A cette épo
ccouchement s'opère spontanément et sans accident; mais à la suite de douleurs assez vives, vingt-quatre jours environ après l'é
anémique. Le 30 mars, elle accuse de la difficulté à avaler et une douleur vive, siégeant à l'isthme du gosier, s'exagérant
anes ne sont plus représentées que par une légère couche grisâtre. La douleur pharyngienne a pres-que complètement disparu ; ma
al de quelques auteurs), on observe le plus souvent dès le début, des douleurs vives de la nuque, une roideur prononcée des musc
delà face, injection des conjonctives, l'as-soupissement continu, les douleurs intenses de l'abdomen, sont autant de symptômes q
s, on peut, d'après les mêmes indications, particulièrement en cas de douleur abdominale vive, de délire bruyant, appliquer que
die vienne de Saint-Pétersbourg. ment de brisement des membres, des douleurs musculaires ou articulaires simulant celles du rh
de 1,016, 1,024: dans les rémissions, il descend à 1,007, 1,009. Les douleurs musculaires persistent sans discontinuer ; il y a
à rechute, il faut citer l'état de collapsus (algidité, cyanose), les douleurs rhumatoïdes et surtout la tuméfaction de la rate
que et s'opère le plus souvent par un frisson; puis céphalalgie vive, douleurs musculaires et arti-culaires simulant celles du r
Cuarcot. Œuvres complètes, t. vin, Maladies infectieuses. 6 risrae, douleurs iliaques, diarrhée. Assez fréquemment, il se mani
it plutôt reconnue comme moyen palliatif soulageant les sensations de douleur , et comme un remède fortifiant, dans la période d
Ils » disent que dans cette peste il y avait une fièvre aiguë, de la douleur , une » tension de tout le corps, du délire, et le
ividus éprouvent soit un simple sentiment de gêne, soit de véritables douleurs dans les régions des aines et des ais-selles, qui
tration, un abattement extrême ; de la céphalalgie, des vertiges, des douleurs lombaires, des dou-leurs contusives des membres.
épha-lalgie, des vertiges, des nausées, parfois des vomissements, des douleurs lombaires, un sentiment de lassitude plus ou moin
tens). Quelquefois indolents, ils sont dans certains cas, le siège de douleurs très vives ; le plus ha-bituellement, ils sont so
n nombre d'individus subissent l'influence épidémique, éprou-vent des douleurs aux aines ou dans les aisselles, et, s'ils ont au
ies prodromiques. — En même temps, beaucoup d'individus éprouvent des douleurs dans les aines et dans les aisselles, ou encore d
le tégument externe, une rapide prostration des forces, de violentes douleurs épigastriques, lombaires et arthritiques (coup de
ntent, pendant les quelques jours qui pré- cèdent son invasion, des douleurs plus ou moins vives sié-geant à la tête, à Ja rég
ense, mais qui cède rapidement aux premiers moyens de traitement; des douleurs qui siègent aux lombes ou sous les membres inféri
de coup de barre, sous lequel le vulgaire l'a autrefois désignée. La douleur lombaire peut s'irradier vers l'ombilic, le long
ies infectieuses. 9 colonne vertébrale jusqu'à la région du cou; la douleur arthritique occupe surtout les genoux, les chevil
la région de l'estomac est comme disten-due, le malade y éprouve une douleur brûlante qui s'exaspère par la moindre pression,
te. (LaRoche, loc. cit.); la peau devient fraîche ; en même temps les douleurs lombaires et arthritiques disparaissent, les forc
uls est résistant, la peau est chaude et sèche, haute en couleur; les douleurs lombaires et arthritiques sont violentes: il y a
ernicieux venaient à se manifester dès l'origne. Mais l'absence de la douleur lombaire, de l'injec-tion de la face et des conjo
et s'opère, le plus souvent, par un frisson; puis, céphalalgie vive, douleurs musculaires et articulaires simulant celles du rh
re. Absence habituelle de symp-tômes abdominaux, tels que météorisme, douleurs iliaques, diarrhée. Assez fréquemment, il se mani
rs la cicatrisation. L'apparition des bulles n'est pas accompagnée de douleur ; elles ne sont jamais entourées d'une auréole inf
ès complète de la peau, l'atrophie des muscles et leur paralysie, les douleurs assez vives avec fourmillement reve-nant par accè
. Pendant le deuxième accès, quinze ou vingt jours après le début des douleurs , la peau de la jambe et de la partie inférieure d
la vie, l'irritation des troncs nerveux s'était révélée par d'atroces douleurs occupant le trajet des diverses branches du plexu
nerfs ou des ganglions spinaux. Observation I. — Cancer du sein. — Douleurs névralgiques de ïépaule droite, de la moitié droi
du cou et de la nuque, la région sus-claviculaire du côté droit. Ces douleurs , qui ont paru pour la première fois dans les prem
raît souffrir atrocement et pousse des cris. La pression réveille les douleurs et les rend très vives, principale-ment lorsqu'el
ux extrémités supérieures. On y voit une période aiguë avec rou-geur, douleur , etc., suivie d'une période chronique, avec atrop
une femme de 30 ans environ qui fut prise, il y a quelques années, de douleurs dans les cous-de-pieds, que Ton crut de nalure rh
is ayant remonté aux genoux. Les mains se sont prises plus lard, sans douleurs , puis la face. Actuellement, les parties où l'alt
cons albumineux sous forme de grumeaux ; le malade ne ressent au-cune douleur dont il puisse préciser le siège, si ce n'est au
elà région rénale gauche, où il éprouve depuis longtemps, dit-il, une douleur sourde. Le 14 septembre, l'exploration du thora
n dimension le quart d'une feuille de papier ordinaire. La première douleur qui suivit cette opération évacua complè-tement l
e de 61 ans ressentit, il y a vingt ans, 'lespremiers symptômes d'une douleur abdominale. En 18H, de Il'ischurie se manifeste,
celte époque, Kurth fut pris de fièvre, de soif, d'inappétence, et de douleur à l'endroit de la tumeur, qui jus-qu'alors ne l'a
ume d'une noix ; peu après cette évacuation, les coliques cessent, la douleur diminue, la tumeur s'affaisse, incomplètement, il
jours sous l'influence d'émissions sanguines locales, et avec elle la douleur à la pression dans la région du kyste, laquelle s
ès sérieusement l'expulsion naturelle du fœtus. Pesanteur au périnée, douleurs des aines et des lombes, leucophlegmasie, ascite,
ise, des troubles menstruels, métrorrhagie ou suppression des règles, douleur dans le bas-ventre : les moindres mouvements sont
rqués pendant cette période de sa maladie sont de l'oppression et une douleur sourde et pro-fonde dans la région du foie. Cette
sion et une douleur sourde et pro-fonde dans la région du foie. Cette douleur s'étend parfois vers l'épaule droite et vers le f
fatale de la maladie. Le 19 juillet, Plalz est pris tout à coup de douleurs hépati-ques beaucoup plus vives que d'habitude, e
t, très dur, très plein. Constipation opiniâtre depuis deux jours ; douleur très vive à la pression dans toute la région de l
oehondre droit. Jamais, assuré le malade, il n'y a eu d'ictère, ni de douleur dans la région du foie. Lors de son entrée, on co
et vides. Il ne se manifesta, pendant cette période de temps, aucune douleur , et l'état du malade était satisfaisant. Chaque j
de boisson. — Troubles gast?'iques. — Vomissements, amaigrissement. — Douleurs épigas-triques. — Etat du malade à l'entrée à l'h
ouve, tantôt pendant les repas, tantôt dans leur intervalle, une vive douleur à la région épigastrique, et cette douleur, sembl
leur intervalle, une vive douleur à la région épigastrique, et cette douleur , semblable à celle d'une brûlure par un fer chaud
r, et les manœuvres qu'on exécute ne déterminent en aucun point de la douleur , ou plutôt n'augmentent pas celle qui existe au m
te au moment de l'examen. En effet, le malade éprouve constamment une douleur fixe à l'épigastre, douleur profonde et s'irradia
effet, le malade éprouve constamment une douleur fixe à l'épigastre, douleur profonde et s'irradiant tout le long du sternum,
t tout le long du sternum, jusqu'à la partie inférieure du Cou. Cette douleur , modérée après les vomissements, s'exas-père deux
nstate de nouveau l'absence de tumeur dans la région de l'estomac. La douleur fixe et spontanée épigastrique et sous-ster-nale
muco- aqueuses. Ce même jour, le malade se plaint d'éprouver de la douleur au niveau des mollets. On trouve aux endroits qu'
fécales n'ont jamais eu les caractères des selles san- glantes. La douleur de la région rachidienne, douleur que M. le profe
tères des selles san- glantes. La douleur de la région rachidienne, douleur que M. le professeur Cruveilhier regarde comme pr
et une maigreur extrême. Depuis un an environ, elle éprouve de vives douleurs lancinantes ou gravatives dans le bas-ventre ; el
erte des forces ne tardent pas à se montrer à un haut degré. De vives douleurs , dont le siège principal est la ré-gion de l'esto
t. Bien que les vomissements aient cessé, comme nous l'avons dit, les douleurs épigastriques parais-sent incessantes et sont trè
se manifestèrent, vers sept heures et demie du matin, les pre-mières douleurs . L'enfant vient par la tête. L'accouchement s'o-p
les moyens actifs suppriment plusieurs phénomènes locaux, surtout la douleur , ou du moins en abrègent beaucoup la durée. Des
ois. Peu de temps après avoir fait usage de ce remède, il éprouva des douleurs à l'estomac, les digestions devinrent pénibles, i
iel quelque peu important, par exemple, la dimi-nution temporaire des douleurs continues et fulgurantes, ou la guérison du strab
t extrêmement humide. Elle commença à y éprouver de la roideur et des douleurs dans les membres infé-rieurs. Attribuant à l'infl
conditions où elle se trouvait fussent bien meilleures, cependant les douleurs ne dis-parurent pas, et il s'y joignit bientôt un
Elle ne marchait plus alors qu'avec une très grande difficulté et les douleurs étaient bien plus violentes encore qu'au début. C
é et les douleurs étaient bien plus violentes encore qu'au début. Ces douleurs avaient leur siège presque exclusivement dans les
un coup l'un ou l'autre de ces membres ; ou bien, parfois c'était une douleur de brûlure qui se manifestait brusquement dans un
t sans mesure. Elle voyait encore assez de l'œil droit pour coudre. Douleurs extrêmement violentes, fulgurantes,dans les membr
aiblissait peu à peu et continuait à être tourmentée par de violentes douleurs . Trois semaines avant son admission dans la salle
s après un intervalle assez long. Le pincement de la peau produit une douleur plus vive que dans l'état normal, très retardée (
ion aussi vagues. Le froissement du nerf cubital gauche détermine une douleur rapportée aux doigts ; le froisse-ment du nerf cu
aux doigts ; le froisse-ment du nerf cubital droit ne produit aucune douleur , aucun en-gourdissement des doigts. Le tact est
qui la tourmentent, la malade éprouve tou-jours de temps à autre ces douleurs lancinantes, térébrantes, qui maintenant se montr
aperçoit l'ombre de ses doigts et les mouvements de cette ombre. Les douleurs ont complètement disparu. Il y a en-core des soub
eux senti, le froissement du nerf cubital du côté droit produit de la douleur et un retentissement que la malade rapporte à son
'assez vives dou-leurs dans des points variés des membres inférieurs, douleurs qui se manifestent une heure environ après l'inge
sise dans un fauteuil pendant quatre ou cinq heures sans fatigue. Les douleurs qui se manifes-tent à la suite de l'ingestion des
e pouvant presque plus se servir de ses mains, obsédée des plus vives douleurs , pâle, amaigrie, pres-que mourante : telles étaie
us grande pré-cision ; les diverses sensations sont plus nettes ; les douleurs caractéristiques ont disparu depuis longtemps ; l
après le début des accidents, se montrèrent pour la première fois des douleurs , d'abord dans les membres supérieurs, puis dans l
rs, et presque aussitôt, dans les régions cervi-cale et dorsale ; ces douleurs étaient très intenses ét continues : c'étaient de
ûlure et des tiraillements violents; il n'y a jamais eu de véritables douleurs fulgurantes. La faiblesse augmentait progressivem
ses mains. Un nouveau phénomène se manifesta vers cette époque ; des douleurs intolé-rables survinrent dans les yeux, il sembla
t réellement bien léger. Vers le 1er mars 1862, elle est reprise de douleurs intolérables sur tout le trajet du nerf sciatique
sciatique droit, et elle entre à l'infirme-rie le 11 mars. Outre les douleurs de névralgie sciatique, on constate des douleurs
e 11 mars. Outre les douleurs de névralgie sciatique, on constate des douleurs très vives au niveau des espaces intercos-taux du
oujours dans le cou, le dos, les bras et les membres inférieurs ses douleurs ordi-naires. La face est pâle, plombée; traits
sensation du sol très obtuse ; la sensibilité à la température, à la douleur , au chatouillement, semble presque intacte ; les
un linge. Les contacts légers ne sont pas perçus. La sensibilité à la douleur et à la température n'est pas abolie. La malade n
ues, constatée par M. le docteur Herschell. On essaye de calmer les douleurs de la cuisse droite à l'aide d'applications narco
nitrate d'argent. Le 8 avril, il y a déjà un léger changement, les douleurs sont moins vives, les mouvements des membres supé
22 avril, l'amélioration est plus notable ; l'appétit s'accroît, les douleurs ont encore diminué et les mouvements, soit des me
facilement sur son lit, et peut rester assise dans un fauteuil. Les douleurs des lèvres, de la langue et du voile du palais on
ilules de 1 centigramme. IA mai. — La malade est débarrassée de ses douleurs . Elle res-sent chaque jour, depuis le commencemen
Le début de la maladie actuelle remonte au mois de mai 1860. Alors douleurs dans le dos à peu près continues, mais s'exaspé-r
me d'accès et accompagnée d'un sentiment de cons-triction thoracique. Douleurs dans les membres inférieurs, éga-lement avec exac
s ; ra-chialgie, sentiment de constriction thoracique et abdominale ; douleurs revenant par accès, comparées à celles que produi
convulsions, qui durent de cinq à dix minutes, sont accompa-gnées de douleurs violentes dans les membres inférieurs et le long
ont précédé l'apparition de la paralysie, la femme L... ressentit des douleurs qui parcouraient tout le corps, mais qui étaient
; depuis lors, chaque mois, survien-nent dans ce membre de violentes douleurs , accompagnées de mouvements involontaires et suiv
Les excitations telles que pincement ou piqûre de la peau causent une douleur d'un autre genre et plus insupportable que celle
tôt dans la résolution : ces soubresauts sont accom-pagnés d'une vive douleur : des douleurs très pénibles et d'assez longue du
solution : ces soubresauts sont accom-pagnés d'une vive douleur : des douleurs très pénibles et d'assez longue durée, sans coïnc
i. — La malade se tient quelques instants debout, sans soutien. Hier, douleurs , comme coups de hache dans la région des reins ;
coups de hache dans la région des reins ; jamais elle n'a ressenti de douleurs de cette nature. Pas de crises, pas de vomissemen
elle y était à peine depuis deux ans qu'elle commença à éprouver des douleurs dans les membres inférieurs et la région lombaire
ois un peu de sang dans les crachats ; coliques, diarrhée ; violentes douleurs dans la région hypogastrique, dysurie, urines pur
nts brusques des membres inférieurs, mouvements ac-compagnés de vives douleurs . Sensibilité tactile obtuse. Les yeux fermés, l
ferme les yeux. Sensibilité à la température conservée. Sensations de douleurs provoquées par la piqûre ou le pincement de la pe
sibilité musculaire diminuée. L'excita-tion de la peau ne produit une douleur vive qu'à la condition d'employer le courant le p
rès affaiblie sur le tronc. La malade éprouve encore maintenant les douleurs qui n'ont cessé delà tourmenter depuis le début d
iction à la base du thorax, barre traversant verticalement l'abdomen; douleurs contusives violentes dans la région lombaire ; ou
en; douleurs contusives violentes dans la région lombaire ; outre ces douleurs qui ont une certaine continuité, il y a des doule
aire ; outre ces douleurs qui ont une certaine continuité, il y a des douleurs brusques, mobiles, très vives, arrachant parfois
usques, mobiles, très vives, arrachant parfois des cris. Ces diverses douleurs s'exaspèrent lorsque la température est froide et
t, ce qu'elle n'a pu faire depuis son admission à la Salpètrière. Les douleurs des membres et de la région lombaire ont presque
nt dans les jambes de brusques élancements qui différent beaucoup des douleurs qu'elle éprouvait auparavant, et ces élancements
empérature s'élant un peu refroidie, atteinte de ses anciens accès de douleurs . 30 mai. — Faciès tout-à-fait modifié : la mala
ient d'être indiqué. recouvré de la précision ; la sensibilité à la douleur et la sen-sibilité à la température 1 si habituel
cipé aux heureuses modifications déterminées par le traitement. Les douleurs , soit continues, soit fulgurantes ont été com-plè
érieur ; c'étaient des sensations pénibles, mais bien différentes des douleurs fulgurantes habituelles. Ces phénomènes cessaient
n du nitrate d'argent, mais bientôt la tolérance s'est établie et les douleurs n'ont plus guère reparu qu'aux époques où la dose
à d'autres la liberté de leurs mains ; qui les a délivrées toutes de douleurs parfois intolé-rables ; qui a rétabli l'appétit e
epuis. A la même époque, les membres inférieurs devinrent le siège de douleurs très violen-tes qui s'étendirent à la région lomb
ffran-ces continues, la malade ressentait encore de temps à autre des douleurs extrêmement vives, se produisant tout d'un coup d
ise dans un fauteuil. La sensibilité de contact, de température, de douleur , paraît presque intacte ; cependant elle est légè
sept à huit jours ; la malade se plaignait d'un redouble-ment de ses douleurs , ce qui parut devoir être attribué à l'action des
mplète-ment normaux. Les sueurs des mains sont moiijs abondantes. Les douleurs violentes, continues ou passagères des membres in
membres supérieurs ont complè-tement disparu; mais à la place de ces douleurs , la malade, pres-que depuis le début du traitemen
lui marcher sur les pattes ou la queue sans pro-voquer aucun signe de douleur . Bientôt, l'asphyxie faisant des progrès rapides,
aux, sont des contre-indications formelles. Nous en dirons autant des douleurs fulgurantes, lorsqu'elles présen-tent une intensi
cet auteur a données, qu'il s'agit ici de dyspepsies chroni-ques avec douleurs épigastriques à un ictère consécutif. Telle est d
même, en général, deux ou trois jours après la complète cessation des douleurs articulaires et du mouvement fébrile. Les cas d
réaction alcaline des urines, que les divers symptômes (état fébrile, douleurs et gonflement articulaires), ont com- 1. Elles
23 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
érable et avec des caractères analogues. Les troubles sensitifs : douleurs , névralgies, anesthésie, hyperesthésie, fourmil
rs que sa maladie a débuté par une céphalalgie très vive et par des douleurs dans le cou et entre les épaules : il ne « sent
été pris, dit-il, de vertiges, de sifflement dans les oreilles, de douleurs temporales, et il est tombé par terre « comme une
es (conjonctive, pharynx, bouche) sont insensibles au contact, à la douleur et à la température. Il existe une petite plaque
x ne présentent rien d'anormal. De temps en temps, il éprouve des douleurs abdominales ; son ventre se ballonne. En généra
leva et sortit se promener. La marche, dit-il, était gênée par une douleur qu'il ressentait dans la cuisse droite; il marcha
uant aux troubles gastriques ils consistaient en vomissements et en douleurs gastralgiques. Pendant une certaine période, le
étaient (le véritables hématémèses. Durant son séjour à la Pitié, les douleurs d'estomac n'ont pas cessé : elles étaient conti
plopie transitoire. Dans une note de février 1888 on lit : toujours douleurs épigastriques avec crises. Plus de vomissements
re hors de la bouche. Les divers viscères sont sains. Il existe une douleur provoquée par la pression sur l'épigastre et l'
xiste sur le corps aucune anesthésie, aucune hyperesthésie, ni Ù la douleur , ni au contact, ni il la température. A la face
ureuse, au-des- 'sous des clavicules et autour de l'ombilic. Pas de douleur dans la région ova- rienne. Elle se plaint en o
dans la région ova- rienne. Elle se plaint en outre d'éprouver des douleurs dans le côté gauche du tronc. Le D' Semon, qu
n avant. Elle attribuait cette in- curvation à la faiblesse et à la douleur qu'elle 'éprouvait dans le côté gauche de la- r
t à signaler depuis lors. Elle se plaignait cependant parfois d'une douleur dans le dos et le côté; elle avait toujours quelq
rencontre, chez ce malade, les analgésies, les hyperesthésies, les douleurs lancinantes, fulgurantes, cruciantes,.les crise
ctérisées, comme celle de l'ataxie loco- motrice classique, par une douleur extrêmement violente, siégeant au niveau de l'é
sements; ·i°> 1-) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. des douleurs fulgurantes tantôt sur quelque point des membres
nts, les vertiges, les crises épilep- tiformes, la céphalalgie, les douleurs faciales et oculaires. Il n'y eut plus de diplo
en 1871. Plus tard, il ressent de la faiblesse dans les jambes, des douleurs dans la région sacrée et les membres inférieurs
ation d'insensibilité des mains. Amélioration. Quelque temps après, douleurs articulaires et en ceinture. Miction pénible. Tre
. Céphalalgie et facies hébété. Troubles el difficultés du langage. Douleurs et faiblesse dans les bras. Aggra- vation des s
ur et consécutivement aggravation très notable des accidents. Vives douleurs au niveau des jointures. Amélioration. Puis att
ieur et les fléchisseurs du genou. Le 30 novembre 181 7, crise de douleurs exaspérées par la pression sur l'origine des ne
. Mais deux heures après, il est pris d'un violent mal de tête avec douleur lombaire, vertige et tendance à la syncope. 11
celle-ci lui semble encombrante et hors d'usage. Elle se plaint de douleurs dans le côté gauche de la région sacrée, principa
n ne constate de troubles de la sensibilité, ni au contact, ni à la douleur , ni à la température. Le sens articulaire et musc
et musculaire est partout conservé. Le malade n'a jamais éprouvé de douleurs vives, sinon de temps en temps dans les épaules
humatismaux dont cette main a été le siège principal. Les violentes douleurs ont d'abord immobilisé les doigts; ceux-ci ont
oite : Sensibilité au pinceau complètement perdue. Sensibilité à la douleur et à la tempéra- ture très diminuée. Zone d'ane
dureté de l'ouïe; il a éprouvé dans cette oreille quelques légères douleurs et quelques bourdonnements. Vue (fig. 8) : Rétr
ensation de boule grosse comme un oeuf de pigeon, qui lui donne une douleur analogue à une crampe. Pour la faire disparaîtr
relâchement des muscles antagonistes sont un moyen de diminuer une douleur amenée par une lésion, par exemple dans le' cas
é gauche du corps, la sensibilité, au contact, la sensibilité il la douleur , la sensibilité thermique, sont complè- tement
.., un matin, vers trois heures, fut réveillé brus- quement par une douleur extrêmement vive, presque insupportable, partant
c la région cervicale et se'dirigeant en avant vers le sternum. Cette douleur conslrictive, térébrante, s'accompagnait d'une
orrhagie assez intense, qui s'accompagna de troubles vésicaux et de douleurs rhumatismales aux genoux et aux deux talons. Aprè
terne, le 28 juin 1887, en se plaignant d'éprouver depuis un an des douleurs de tête continuelles, de la somnolence, de l'obnu
ts travaux. Un jour, en sou- levant un sac de plâtre il ressent une douleur plus vive dans le dos; ses jambes se dérobent e
ique un mal de Pott. Il avait jadis craché le sang, se plaignait de douleurs en ceinture, de troubles des fonctions urinaire
s la chose est impossible. On est alors étonné de constater que les douleurs rachidiennes soient si vives, que la paralysie
ion dorsale de la colonne vertébrale. Elle se plaint aussitôt d'une douleur au poiut frappé, de lourdeur et d'engourdissement
est la règle dans celle-ci ; elle est plus rare dans l'hystérie. La douleur rachidienne osseuse, sans hyperesthésie cutanée
Réflexes patellaires normaux; ni engourdissement dans les mains, ni douleurs en éclair dans les pieds; aucun signe d'ataxie lo
contrait ce jour-là et qu'on ne retrouve plus aujourd'hui, et de la douleur lancinante au- dessus de la hanche gauche. Au
is la surface est blanche comme de l'urticaire. Le 19 mai, quelques douleurs dans la région sous-maxillaire gauche. Sur la rég
ier de cordonnier. C'est un homme sobre, bien portant sauf quelques douleurs gastralgiques. Sa mère, âgée de quarante- sept an
'est alitée. Elle souffrait depuis trois jours de céphalalgie et de douleurs abdominales. Le 10 décembre, ses parents remarque
lorsqu'elle a beaucoup marché, elle éprouve de la courbature et des douleurs dans les reins. Au dynamomètre : M.'D., 27 kil.
). La sensibilité est normale. Elle se plaint seulement de quelques douleurs subjectives le long du rachis et dans les membr
rieurs, spécialement au moment de ses crises. Elle accuse aussi des douleurs sourdes au niveau des régions lombaire et hypog
uloureuse. Objectivement, la sensibilité cutanée (au contact, à la- douleur et à la température) est normale. Le tact n'est p
r sonl normales; le tact n'est pas manifestement touché. Absence de douleurs et de démangeaisons d'aucun ordre, de troubles
absolue de toute la moitié droite du corps pour la sensibilité à la douleur , la sensibilité thermique et le sens 192 NOUVEL
ement au-dessus du pli de l'aine, le malade accuse d'abord une vive douleur , puis il sent comme une boule qui lui monte du
u deux dit matin, elle fut prise pour la première fois de violentes douleurs dans la tête. Ces douleurs la réveillèrent brus
prise pour la première fois de violentes douleurs dans la tête. Ces douleurs la réveillèrent brusquement. Elles siégeaient d
côté. Il lui fut impos- sible de dormir. Le lendemain au matin les douleurs étaient un peu calmées (elle avait pris des pil
uva, non plus durant les accès qui suivirent ultérieurement, aucune douleur dans les régions ova- riennes, aucune sensation
n'avait pas uriné dans son lit. Elle se trouvait très bien, plus de douleurs , plus rien, calme parfait. Santé parfaite penda
sibilité. Une diminution notable de la sensibilité au contact, à la douleur et à la température dans toute la moitié droite d
beaucoup (mars 1887). Une nuit, vers onze heures et demie du soir, douleurs , élancements dans toute la tête des deux côtés, a
a nuque et de la colonne vertébrale jusqu'aux lombes. C'étaient des douleurs avec sensation de batte- ments, de chocs rhythm
appliqué des vésicatoires il la nuque. Une nuit vers onze heures, les douleurs redoublent, la vue se trouble et elle perdit co
scènes de colère. Cela provoqua chez elle deux nouveaux accès « de douleurs névralgiques » avec battements dans les tempes, b
nt. Jusqu'en octobre 1888, santé parfaite. Quatrième grand accès de douleurs avec perle de connaissance. En octobre 1888, un
oir travaillé comme vendangeuse toute la journée, elle fut prise de douleurs lancinantes dans toute la tète, dans la mâchoir
ts dans les tempes, des bour- donnements dans l'oreille droite. Ces douleurs descendaient le long de la nuque jusque dans la
jeun, un accident assez sin- gulier. Tout à coup elle ressent une douleur très forte qui, partant du fronl, s'irradie d'a
ion du cou-de-pied droit. En marchant, la malade éprouve une légère douleur dans l'articulation tibio-tarsienne à chaque fois
porter, malgré la bizarrerie des autres troubles nerveux (crises de douleurs céphaliques accompagnées de perte de connaissan
normalement; la vessie et le rectum ne sont point paralysés. Les douleurs un peu vives font constamment défaut; un seul m
ité cutanée, elle est intacte dans tous ses modes, au contact, à la douleur , à la température. Le sens articulaire et mus-
dents DE L'OPHTHALMOPLÉGIE EXTERNE. 223 bulbaires ou spinaux. Les douleurs dans les membres, les troubles gastriques ou in
roid aux pieds et aux jambes. La perte des réflexes, l'absence de douleurs , de tremblement, de contracture, de troubles de
at actuel, du moins dans l'histoire du ma- lade, l'existence de ces douleurs violentes qui caractérisent l'une des périodes
l'hôpital, diplopie et affaiblissement de la vue; depuis six mois, douleurs ful- gurantes. Outre les signes habituels de l'
la syphilis.en 1870. Début de la maladie en 1881, par des crises de douleurs gastriques accompagnées de vo- missements bilie
luche. Vers cette époque seulement, sans avoir passé par la phase des douleurs fulgurantes ni de l'incoordination motrice, il
croît et rend la marche impossible. Jamais le malade n'a éprouvé de douleurs fulgurantes ni de troubles de la motilité. A
marche est incertaine, mais nullement désordonnée ni ataxique. Les douleurs fulgurantes sont nulles, sauf dans les dernières,
ages prolongés en Europe. En 1888, pendant le mois de novembre, une douleur névralgique se dé- clara dans la jambe droite,
enir, succédant à des accalmies de quelques "semaines. Bientôt la douleur s'étendit à la jambe gauche et gagna la région de
haient le menton. Les pieds étaient dans l'extension. Cet état de douleur et de contracture se prolongea jusqu'en juin 1889
semaines, laissa après elle une amélioration assez notable dans les douleurs . Cependant l'attitude vicieuse persistait, résist
es jours après. Du reste l'abcès avait évolué sans aucune espèce de douleur et la guérison s'effectua au bout de cinq à six s
naris du médius gauche qui avait débuté en août sans raison et sans douleur . Voici d'après M. Le Fort l'état du malade à ce
onoplégique se continue en haut avec une zone inter- médiaire où la douleur est perçue, mais moins vivement que dans les régi
our revenir dès que la compression cesse. Il n'y a aucune espèce de douleur . Par contre, la chaleur locale est augmentée de
février 1886 que sa santé a commencé à s'altérer : il ressentit des douleurs au creux de l'estomac et une faiblesse générale
ression des troncs nerveux et des muscles ne provoque nulle part de douleur ; celle de la colonne vertébrale donne le même r
ru; pas de nausées ni de vomissements; à la compression, une légère douleur au creux de l'estomac; ventre très gonflé; pas
cultivateurs honnêtes et travailleurs. Le père se plaint surtout de douleurs articu- laires, pour lesquelles il est souvent
e les grandes jointures des membres inférieurs, étaient le siège de douleurs , gonflement et immo- bilité, presque permanente
ar des points rudimentaires. Le malade dit avoir encore souvent des douleurs passagères dans les articulations des genoux; e
ie consulter le Dr Duboys de la Vigerie. Il avait en même temps des douleurs périorbitaires et de l'amblyopie. La sensibilité,
e voir ce malade sinon guéri, du moins singulièrement amélioré. Les douleurs de tête avaient disparu et la sensibilité était
lade. En janvier 1890, il la suite de l'infiuenza, apparaissent des douleurs et de la faiblesse dans les membres inférieurs,
ravail, il ressent, sans cause, au niveau du cou-de-pied droit, une douleur analogue à celle d'une entorse. Il ne s'en préocc
aps de temps, les fourmillements avaient fait place à de véritables douleurs ; il était survenu une faiblesse croissante du m
ilité. - Hémihypoesthésie droite très accusée pour le contact et la douleur . La température semble pervertie de ce côté; un
rvé. 11 n'y a en dehors de ces troubles sensitivo-sensoriels aucune douleur subjective dans les membres inférieurs. En outre,
res con- tracturés, on ne peut y arriver cause de la raideur et des douleurs que l'on détermine. Ces douleurs partent des ge
arriver cause de la raideur et des douleurs que l'on détermine. Ces douleurs partent des genoux et descendent jusqu'au niveau
es genoux et descendent jusqu'au niveau des malléoles externes. Ces douleurs sont parfois spontanées, mais alors elles suive
edressés que d'une manière relative. Si on insiste, on réveille les douleurs . La flexion comme l'extension passive des membr
ieurs est compliquée d'une rétention d'urine, de constipation et de douleurs dans le dos ». uns. XXXIV (P. Raymond, in Pro
t; la malade se lève pendant trois semaines, tout en conservant une douleur fixe dans l'abdomen au niveau de la région ovar
on de résistance très nette. En outre, la malade se plaint de vives douleurs pendant le cathé- térisme. Le besoin d'uriner e
malade 306 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. est prise de douleurs dans le mollet et la cheville gauches dès qu'elle
). Quoiqu'il en soit, lorsque la plaie fut guérie, il persista des douleurs sus-orbitaires pendant plusieurs mois, pour les
e époque, la santé se modifie. En décembre, la malade ressentit une douleur ovarienne qui existe encore aujourd'hui. Son ve
août et septembre 1880; ce ne fut qu'assez longtemps après que, la douleur ovarienne persis- tant, survinrent des crises h
ncore aujourd'hui). En mars 1880, elle commence à se plaindre d'une douleur vive vers le milieu du dos, surtout et même exc
même exclusivement, paraît-il, du eôté gauche. On assure que cette douleur qui existe encore aujourd'hui avait fait songer à
r gauches, avec gène dans la marche, qu'on attribuait surtout il la douleur du dos. A partir de ce moment, la malade prend
mpression d'une paraplégie spasmo- dique organique. » Il existe une douleur ovarienne gauche très accentuée. Il y a des exa
le menacée de tomber. La gêne de la marche paraît déterminée par la douleur autant que par la rigidité des membres. Il est
s de la paraplégie spasmodique persistent à un certain degré, C4 la douleur ovarienne gauche seulement à l'époque des règles.
inférieur droit. Cette claudication, qui n'était accompagnée ni de douleurs ni de troubles de la sensibilité, disparut brus
. 315 observe aujourd'hui. Trois jours après, elle s'est plainte de douleurs articu- laires dans les membres, et à partir de
, ne pouvaient la soutenir. En outre, elle ressentait d'assez vives douleurs . Elle est entrée à l'hôpital de Pouilly, où on
tions et aux bronchites. Il y a douze mois, elle a éprouvé de vives douleurs dans la colonne vertébrale, au niveau de la régio
brale, au niveau de la région lombaire et de la région dorsale. Ces douleurs duraient toute la journée; elles l'empêchaient t
mbres infé- rieurs et la région lombaire étaient le siège de fortes douleurs ; « elle ne faisait qu'un cri », suivant sa prop
er son métier. Elle dit avoir par moments, depuis cette époque, des douleurs très aiguës et très rapides dans les cuisses. U
u lit; elle ne peut marcher que très difficilement. Elle accuse des douleurs sur le trajet du sciatique et du crural, surtou
se fut calmé, on constata, outre une paraplégie avec contracture et douleurs vives au niveau des genoux, des troubles de la
membres supérieurs. Elle présente une métror- rhagie abondante, des douleurs et du ballonnement du ventre. La paraplégie éta
esthésie en plaques, |pour tous les modes de sensibilité (conctact, douleur , froid), siégeant à la partie anté- rieure des
ysurie ayant fait place à l'incontinence. Elle éprouve en outre des douleurs vives dans les genoux, dans le dos et dans l'ab
1889, l'enfant fit une chute à la suite de laquelle il fut pris de douleurs abdominales et testi- culaires. Vers le milieu
s appui avec la plus grande facilité. Il ne ressentait que quelques douleurs moins accusées que la veille sous les talons. N
mal. Pas dc scoliose. Diminution généralisée de la sensibilité à la douleur . Léger degré,de der- mO{fraph ie. Aucun signe
convulsions, ni fièvre, ni céphalalgie, se faisaient sans effort ni douleur ; ils étaient fréquents et aqueux. Après avoir d
ambe du petit malade, celui-ci témoigne vivement qu'il perçoit J la douleur , mais les membres restent inertes et immobiles.
ole et la rougeole. A neuf ans, elle a souffert durant deux mois de douleurs rhuma- tismales dans toutes les articulations.
vi-péritonite ( ? ) : vomissements, fièvre, ballonnement du ventre, douleurs abdominales. On lui applique des sangsues, des
traitement; à peine est-elle soulevée de terre qu'elle se plaint de douleurs dans les reins et qu'on fut bientôt obligé de ren
s- sements, fièvre et délire durant trois jours. - 2 octobre. Vives douleurs dans là région lombaire. Pointes de feu réclamé
n trouble sensitif ni sensoriel. La malade n'accuse du reste aucune douleur ; elle est très froissée d'être soupçonnée d'hys
tuberculeuse. Le 20 septembre, elle se plaint de céphalalgie et de douleur dans la nuque. Le 25, vomissements, cris de doule
phalalgie et de douleur dans la nuque. Le 25, vomissements, cris de douleur , contractures, fièvre, 40°, durant plusieurs jo
les four- millements, les sensations subjectives sont la règle. Les douleurs subjectives sont plus rares dans l'hystérie. L'
sion médullaire : tuberculose vertébrale, cancer, s'accompagnent de douleurs très vives et de pseudo-névralgies ; la percuss
rtèbres et la rachialgic des hystériques n'est pas comparable à ces douleurs osseuses, ainsi que nous l'avons déjà montré.
t le cas d'une hystérique chez laquelle la démarche ataxique et les douleurs auraient pu faire songer au vrai tabes. M. Leva
ec d'antres troubles simula- teurs. Il faut savoir en effet que les douleurs siégeant dans les membres inférieurs, autour de
igu qui dure six mois. L'année suivante, elle est reprise des mêmes douleurs qui ne l'ont pas quittée, dit-elle, depuis cette
vaquer à ses occupations habituelles. En 1880, elle à éprouvé des douleurs dans les genoux, les coudes, les épaules. Ces d
éprouvé des douleurs dans les genoux, les coudes, les épaules. Ces douleurs survenaient, dit-elle, par crises de quelques min
enue plus gênée; elle a été obligée de mar- cher avec un bâton. Les douleurs persistaient, surtout dans les membres inférieu
le est entrée plusieurs fois à l'infirmerie au moment des crises de douleurs qui s'accompagnaient très souvent de vomissements
à peine quelques pas dans la salle, appuyée sur deux béquilles. Les douleurs des membres inférieurs étaient rapides, « comme
cidaient avec des dou- leurs dans la colonne vertébrale et avec des douleurs en ceinture qui enser- raient la malade « comme
de cette année, la malade a eu des crises douloureuses. Ce sont des douleurs fulgurantes, très rapides, lui donnant à peine
articulations et les attribue à ses anciens rhumatismes. Jamais ces douleurs ne siègent à la face, mais par contre elles son
le digère bien et ne vomit jamais. Elle éprouve simplement quelques douleurs vagues, sourdes, disséminées dans les membres.
urs vagues, sourdes, disséminées dans les membres. En dehors de ces douleurs , la malade présente des troubles de la sensibil
'il suit. Aux membres inférieurs, l'anesthésie est totale (contact, douleur , tem- pérature à 100°) et délimitée en avant pa
ne douloureuse au niveau des régions dorsale et lombaire du rachis, douleur déterminée par le frô- lement et surtout par la
le frô- lement et surtout par la pression, sans phénomènes d'aura, douleur déchi- rante et horrible. Le sens musculaire et
bord, parésie avec incoordination motrice, puis paraplégie absolue; douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs, autour d
DE LA SALPÊTRIÈRE. donc en faveur de la maladie de Duchenne que les douleurs . Mais celles-ci existent dans la névrose avec d
t, dit-il, en janvier 1890. Cette para- plégie était accompagnée de douleurs dans les membres inférieurs. Ces dou- leurs ont
eu- rer et qu'il désirait et réclamait instamment l'amputation. Ces douleurs n'étaient pas superficielles et ne laissaient p
ent sans pouvoir mettre la main sur les points douloureux. Avec ces douleurs des membres inférieurs coexistaient des douleurs
uloureux. Avec ces douleurs des membres inférieurs coexistaient des douleurs autour de la ceinture et le long du rachis, à t
ntenant que de temps à autre et ne durent que quelques minutes; ces douleurs sont toujours exquises, surtout au niveau delà
ont normaux et égaux des deux côtés. En outre, ce malade accuse des douleurs dans les membres inférieurs, dans le dos, autou
membres inférieurs, dans le dos, autour de la ceinture. Ce sont des douleurs vives, très rapides, sans hyperesthésie cutanée
avant-bras, où il lui semble qu'on lui « tord les os ». Ce sont des douleurs qui surviennent par paroxysme, le soir, durent un
l. C'est surtout autour de la ceinture et le long du rachis que ces douleurs sont vives; autour de la taille, il se sent ens
attitude. Dans l'intervalle des paroxysmes vespéro-noc- turnes, les douleurs persistent mais sous une forme très tolérable. La
érature (chaud, froid) n'est pas perçue dans les mêmes régions ; la douleur à la pipûre est également très affaiblie, presq
réunis pour qu'on puisse songer au tabes : incoordination motrice; douleurs analogues aux dou- leurs fulgurantes, siégeant
cupé d'immobiliser sa colonne vertébrale, pour ne pas réveiller ses douleurs rachidiennes, est très différente de celle du t
ntracte encore, et c'est aussi là un phéno- mène névropathique. Les douleurs fulgurantes sont continues, avec crises presque
n'ont pas reparu depuis. A cette même époque, il a éprouvé de vives douleurs au niveau du foie; on voit encore aujourd'hui les
oisse précordiale. Depuis trois mois et demi le malade présente des douleurs dans les membres infé- rieurs. Ces douleurs se
le malade présente des douleurs dans les membres infé- rieurs. Ces douleurs se sont montrées d'abord dans la jambe gauche, so
étau. Elles survenaient par paroxysmes de durée variable. Outre ces douleurs fulgurantes des membres inférieurs, il a eu aus
antes des membres inférieurs, il a eu aussi à diverses reprises des douleurs très vives au creux épigastrique avec sensation
s jours après, au moment de l'accident il n'a- vait ressenti aucune douleur , l'articulation carpo-métacarpienne du pouce dr
aniens. L'anesthésie cutanée est complète et totale. Le contact, la douleur , le chaud et le froid ne sont nulle part perçus
certains points d'ailleurs celle pression profonde provoque une vive douleur . Il existe une zone douloureuse dans l'abdomen,
and on appuie fortement. Il ne semble pas y avoir dans l'abdomen de douleur localisée à une région ; il est douloureux dans s
palpitations; le pouls battait alors 1G0 à la minute; il avait une douleur assez vive dans la région thyroïdienne avec sensa
s le tabes ne saurait ici être mis en cause. Sans doute, il y a des douleurs fulgu- rantes dans les membres inférieurs, des
il y a des douleurs fulgu- rantes dans les membres inférieurs, des douleurs en ceinture, des douleurs rachidiennes, des cri
rantes dans les membres inférieurs, des douleurs en ceinture, des douleurs rachidiennes, des crises gastriques, les signes d
amplement à expliquer tous les signes constatés chez ce malade; les douleurs , les crises gastriques, l'incoordination, le si
ut expliquer. Cette malade, avant son ictère, présen- tait déjà des douleurs dans la colonne vertébrale, et à la suite de cett
a sensibi- lité. L'incoordination motrice, le signe de Romberg, les douleurs dans les membres inférieurs, les troubles ocula
étrécissement du champ visuel... ; de l'autre, émotion morale vive, douleur « pseudo-ovarienne » dans le flanc droit s'acco
un peu incomplet dans ses manifestations ». En effet, les vraies douleurs fulgurantes, les troubles oculaires, vésicaux, so
vulgaires, « superficiels » de l'ataxie locomotrice pro- gressive : douleurs fulgurantes, crises viscérales, incoordination
ions hystériques et tabé- tiques. '1° Troubles sensitifs. (a) Les douleurs fulgurantes du tabes se présentent avec des car
ne retrouve pas avec la même netteté ces divers caractères. Ici les douleurs ne s'accompagnent pas d'ordinaire d'hyperesthés
ous les cas, avant le 1G avril, elle n'a ressenti dans les'mains ni douleurs ni engourdissements, ni parésie d'aucune sorte.
uver de particulier. A minuit, elle se réveille en proie à une vive douleur dans le dos, entre les deux épaules; son mari l
deux épaules; son mari la frictionne avec de l'eau sédative; cette douleur quitte la région dorsale pour venir se localise
uvelles frictions el nouvelle métastase douloureuse. Cette fois, la douleur se porte aux mains qui brusquement se contracture
les usages ordinaires, non sans quelque gène ni raideur, mais sans douleur . La malade s'est en ce moment aperçue que ses m
très manifeste pour les divers modes de la sen- sibilité (contact, douleur , température et électricité). Les organes des sen
mme d'ordinaire; le matin, elle se réveilla avec de l'oedème et des douleurs dans les deux mains, qui étaient contracturées
rées en légère flexion. L'oedème était très marqué, non coloré; les douleurs assez vives, localisées surtout au niveau des art
M... resta une quinzaine de jours dans cet état, puis l'oedème et les douleurs disparurent peu à peu, beaucoup plus lentement
côté droit très nette pour tous les modes de sensibilité (contact, douleur , tempé- rature). Le courant électrique est auss
ont complètement abolis. La sensibilité dans ses trois modes (tact, douleur , température) n'existe plus sur toute la surfac
e syringomyélique : sensibilité tactile conservée, sensibilité à la douleur et à la température abolie ? Sur dix-sept hystéri
signes franchement hystériques; 2° Sur le caractère névralgique des douleurs ; 3° Sur l'absence de traumatisme ou de tout au
extérieure qui puisse expliquer l'origine et la localisation de ces douleurs . Pour lui, la douleur et l'anesthésie s'expliqu
xpliquer l'origine et la localisation de ces douleurs. Pour lui, la douleur et l'anesthésie s'expliquent naturellement par la
'à nou- vel ordre pour le champ visuel trancherait la question. Les douleurs subjectives sont en réalité plus fréquentes dan
dissement dans toute la moitié droite du corps en même temps qu'une douleur profonde; il lui semble que « son bras et sa ja
ar une amélioration de la démarche et ensuite parla disparition des douleurs lancinantes sur les- quelles l'action de la sus
de la suspension est la plus efficace. Dans la majorité des cas ces douleurs disparaissent complètement. L'amélioration de l
signe de Romberg, et ne place qu'en seconde ligne la diminution des douleurs , le retour de la sensibilité et du sens mus- cu
ucoup plus rarement une diminution des névralgies en général et des douleurs lancinantes en particulier. Par sa fréquence,
lequel, sous l'influence de plu- sieurs séances de suspension, les douleurs ont diminué et la paralysie s'est suffisamment
es premières séances de suspension la malade se sent très bien; les douleurs lancinantes dont elle était tourmentée journellem
mnie. Mais après la huitième séance apparaissent tout d'un coup des douleurs dans le dos, très intenses, qui n'existaient pa
ières séances se passent sans incident, mais après la troisième les douleurs dorsales font de nouveau leur appari- tion, on
e n'est que huit jours plus tard que la malade se débarrasse de ses douleurs dorsales. Pour bien établir l'origine de la f
voulues. Après la première séance la malade éprouve de nouveau ses douleurs dorsales, et le cinquième jour, le soir, la tem
24 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
us ou moins généralisée, à marche aiguë ou subaigué, accompagnée de douleurs spontanées ou provoquées, souvent très vives, e
s, des .tempes et des mâchoires; (les fourmillements plutôt que des douleurs proprement dites. Le 26 août, le malade a eu
, lui occasionnait des souffrances horribles; il n'éprouvait pas de douleurs spontanées. Le malade mettait un peu plus de temp
moindre pression exercée sur les masses musculaires développait des douleurs très vives. Le moindre ti- raillement, imprimé
e Lasègue existait au plus haut degré. Le malade n'éprouvait pas de douleurs spontanées. Il ne présentait pas non plus de tr
toutefois il était difficile de l'apprécier exactement, à cause des douleurs provoquées par les forts courants qu'il était néc
ées, mais partout la pression des masses musculaires provoquait des douleurs extrêmement vives ; de même, les mouvements ins
ent vives ; de même, les mouvements inspiratoires déterminaient des douleurs , au niveau des attaches du diaphragme. l3ref,
lle se fût tra- duite par une paralysie exclusivement motrice, sans douleurs spontanées, sans troubles concomitants de la se
x et en particulier le sciatique (signe de Lasègue) développait des douleurs d'une extrême violence. Voilà qui ne se voit pa
ntes occasions déjà, j'ai insisté sur la valeur diagnostique de ces douleurs provoquées, et je vous ai dit, dans une précéde
néralisée. POLYNÉVRITE ET POLIOMYÉLITE 11 1 Il en est de même des douleurs spontanées ; il est vrai qu'elles ont fait défa
olynévrite. Usez avec prudence des analgésiants, pour combattre les douleurs , à la période d'acuité de la polynévrite : fait
n même médicament. Contre l'insomnie, si fréquente à la période des douleurs , otis pres- crirez de préférence le trional, le
femme qui devint enceinte. Pendant sa grossesse, elle eut de fortes douleurs de tête, de la tuméfaction ganglionnaire ; elle a
convalescence fut très longue. Il se rappelle qu'il ressentait des douleurs très vives à la racine du cou et qu'on dut lui
'abord porté sur le biceps. Cette atrophie symétrique a évolué sans douleurs . Le Dr Vernet, méde- cin de motet-Dieu de Lyon,
usse : il y a là une pointe de hernie du poumon qui est le siège de douleurs Vives. Pas de paralysie du diaphragme. L'abdomen
à un zona de la cuisse. L'éruption avait été précédée de violentes douleurs spontanées et localisées un segment de membre :
. Vers l'année 1892 il l'âge de 49 ans se montrèrent subitement des douleurs en ceinture et des fulgurations dans le membre
, elles peuvent avoir été la cause des fourmillements, de certaines douleurs , mais elles ne sont pas la cause de dégénéresce
14. ails; nouvelle fracture de l'humérus, au même point, suivie de douleurs très vives à 15 ans; troisième fracture de l'h¡lJ
le membre était amaigri et affaibli sans qu'il eût été le siège de douleurs vives. Toutefois un an après cet accident, les fo
très endolori, au point qu'on ne pouvait même pas l'effleurer. Les douleurs s'irradient jusque dans l'extrémité des doigts,
est consolidée', mais les parties molles sont très amaigries et les douleurs persistent très vives dans l'épaule. Le malade
à type lancinant, avec soubresauts. La conso- lidation opérée, les douleurs ont disparu dans le bras, mais persistent légères
du quart supérieur et des trois quarts inférieurs. Immobilisation. Douleurs très vives surtout à l'é- paule. Sensations de
tactile, le sens musculaire sont normaux. Mais la sensibilité à la douleur est très exagérée dans les zones sensitives et mo
à la diarrhée depuis quelque temps. Pas d'ictère. Appétit conservé. Douleur légère à la pression du creux épigastrique et de
s. La matité hépa- tique correspond en bas au rebord costal. Pas de douleurs intestinales. Champ visuel. Légère bronchite
mérus, des troncs radiculaires en dehors des scalènes détermine une douleur vive. Mais, du côté gauche, on détermine, ou peu
, ou peu s'en faut, les mêmes symptômes dans les mêmes points. La douleur provoquée par le pincement de la peau a conservé
très douloureux au niveau de la fracture ancienne ; peut-être cette douleur a-t-elle été entretenue par une chute que fit V
tomba sur le côté gauche. A la suite de cette chute, il ressentit des douleurs vives au niveau de l'épaule droite. Ce sont ces
sentit des douleurs vives au niveau de l'épaule droite. Ce sont ces douleurs qui dureraient encore et iraient en s'amendant.
igts, surtout dans l'auriculaire et cela à partir du coude ». A cette douleur suc- cède un engourdissement de la main. On not
ée pour le cubital, au pli du coude pour le médian, fait naître une douleur bien plus vive dans le bras malade que dans le br
r et d'un gonflement douloureux de l'épaule avec ir- radiations des douleurs le long du membre. Ce nouveau traumatisme a-t-il
uffert nouveau ? Il est très difficile de l'affirmer. Cependant les douleurs ont reparu très vives dans l'épaule droite et ont
nt il n'est séparé que par le périoste. Malgré la persis- tance des douleurs et leur irradiation dans les doigts pendant deux
le tronc du radial ne parait pas avoir été englobé dans le cal ; les douleurs auraient été autrement tenaces dans ce cas et a
ême point que la première fois. Les mômes symptômes repa- raissent ( douleurs dans l'épaule, irradiations très pénibles à type
ercuter sur les filets ner- veux situés en arrière et exaspérer les douleurs déjà anciennes. En somme, parmi les traumatisme
laire très fréquent dans le tabes. C'est la névralgie du trijumeau, douleurs fulgurantes, ou encore son anesthésie, son anal
aladie, pendant la convalescence, cet homme fut pris brusquement de douleurs vives dans la nuque. Rapidement s'installa une
t les nuits de dou- leurs dans le creux sus-claviculaire droit. Ces douleurs persistèrent pen- dant deux ans, et, au bljt de
nes avant l'apparition d'une paralysie du grand dentelé gauche, des douleurs vives dans l'épaule gau- che, avec notable diff
jeter un sac de pommes de terre sur son épaule et ressent une vive douleur dans la région scapulaire droite. Presque imméd
et bilatérale des deux grands dentelés. Le début fut marqué par des douleurs vives dans (1) Woodmann, Brit. med ? lourn., 1
n courant d'air pendant une nuit. Cette nuit même, elle ressent des douleurs très vives dans l'épaule droite, irradiant dans
te à un fac- teur de pianos, âgé de 27 ans, qui éprouva un jour des douleurs assez vives dans la région de l'épaule droite e
une femme de 27 ans, prise trois semaines après un accouchement de douleurs vives dans le bras droit et consécutivement de
s, particulièrement de la main droite, le corps penché, éprouve des douleurs dans l'épaule droite. Quatre jours après, sa je
Second cas. -Un jeune homme de 20 ans, sans cause connue, est pris de douleurs très violentes, l'ayant empêché de dormir penda
emelle. Pas de troubles de sensibilité au niveau des taches. Pas de douleurs , pas de troubles de la motricité. - Fig. 1. -
e, au membre inférieur droit, par suite d'une eschare sacrée et des douleurs qu'accuse II... aussitôt qu'on imprime le moindre
ichu dissimule à demi. C'était le remède obligatoire contre toutes* douleurs ou névralgies. Au moindre mal de tête, on posai
cet emplâtre analgésique coïncide justement avec le siège d'une des douleurs de tête qu'on observe le plus souvent dans la c
e, un cataplasme, une brique chaude destinée à adoucir une crise de douleurs abdominales ? ... Et quelles douleurs ? ... Est
stinée à adoucir une crise de douleurs abdominales ? ... Et quelles douleurs ? ... Est-ce un mal ovarien que pourrait soulag
de la chlorose et de l'hys- térie ? ..... Peut-être. Ou bien ces douleurs ne seraient-elles pas tout simplement les prodro-
eux, les articulations gonflées, la démarche lourde, ankylosée. Les douleurs du dos étaient intolérables. Puis, sans avoir jam
ai le traitement. Je ne m'attendais nullement à voir disparaître la douleur et la raideur universelles, ne rangeant point c
malade ne tarda pas à délaisser son traitement. L'oppression et les douleurs revinrent peu à peu, pour disparaître de nouveau
ement des articulations (poignets, genoux) devenait inquiétant. Ces douleurs étaient alors comme maintenant une simple manif
atismes. La patiente se plaint surtout de fatigue des membres et de douleurs dans le dos. Elle a eu six enfants. L'aînée, une
le s'écoutait, dit-elle. Elle a des hémorrhagies intarissables, des douleurs de tête intolérables, des frissons fréquents. L
eut des hémorrhagies violentes.Cette dame est très oppressée, a des douleurs rhumatismales intenses et des céphalées violentes
stitué en août 1895. Le résultat ne s'est pas fait atten - dre. Les douleurs disparaissent et la constipation cède petit à pet
t thyroïdien préexiste à la ménorrhagie, comme il est antérieur aux douleurs musculaires et articulaires que nous avons indi
s leur tiers externe. La voix est traî- nante. Mme G... éprouve des douleurs musculaires et articulaires très intenses, attr
n continuelle de froid. La constipation est opiniâ- tre. Il y a des douleurs attribuées au rhumatisme. Toutes les dents sont é
e deux ans. L'enfant sevré, elle redevint apathique, triste, et ses douleurs revinrent plus fortes que jamais. La nuque est
s, rongées par le tartre. ' Cette malheureuse souffre beaucoup de douleurs musculaires des membres et attribue tous ses ma
. 944. ' DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 287 patientes à ces douleurs incessantes. Le médecin, bien souvent impuis- s
gles sont généralement profuses, et leur apparition est précédée de douleurs ives dans la région sacrée et lombaire. On sera
s larvées, ces mêmes symptômes sont constants. Indépendamment des douleurs sacrées et dorso-lomhaires attribuables aux tro
dant la nuit. Certaines femmes, pour échapper à leur lit et à leurs douleurs , se lèvent de bonne heure, brisées, rouées. C'e
elles avaient dormi sur un corps dur, dans une position forcée. La douleur s'améliore, comme la céphalalgie, vers le soir, l
es muscles et des articles vient confirmer l'idée de rhumatisme. La douleur peut siéger dans un ou plusieurs membres simult
siéger dans un ou plusieurs membres simultanément. Fréquente est la douleur des épaules et des bras ; il y a impossibilité de
relever d'une chaise ou à s'agenouiller. Une forme fréquente est la douleur de la plante du pied, uni ou bilatérale. La doule
réquente est la douleur de la plante du pied, uni ou bilatérale. La douleur est vive, surtout le matin ou après avoir été a
ez les infantiles jeunes et adultes. J'ai fortement insisté sur ces douleurs prétendument rhumatismales, lorsque j'ai parlé
isais alors. Il faut rechercher avec la plus grande atten- tion les douleurs articulaires et musculaires quand il y a soupçon
ours indolo- res. La région cardiaque est assez souvent le siège de douleurs lancinan- tes très pénibles, qui effraient fort
iens attribuent tous leurs maux céphalée, rachial- gie, névralgies, douleurs dentaires et douleurs hépatiques - à leur cons-
eurs maux céphalée, rachial- gie, névralgies, douleurs dentaires et douleurs hépatiques - à leur cons- tipation invincible,
in, le som- meil est impérieux et profond. Dans les cas graves, les douleurs matuti- nales les chassent du lit, malgré le so
les symptômes que l'on désire combattre. Citons la céphalalgie, la douleur du dos à la région des reins, les douleurs musc
Citons la céphalalgie, la douleur du dos à la région des reins, les douleurs musculaires et articulaires, l'oppression et le
oureuses simulant parfois l'angine de poitrine, l'ano- rexie et les douleurs du foie. L'administration de doses trop fortes dé
essive de thyroïdine, même administrée à un sujet sain, tels que la douleur excruciante du dos à la région rénale ou les symp
lée, la rachialgie, la calvitie, la consti- pation, les raideurs et douleurs rhumatoïdes, les douleurs hépatiques, la somnol
vitie, la consti- pation, les raideurs et douleurs rhumatoïdes, les douleurs hépatiques, la somnolence, le découragement, la
uvera beaucoup soulagée, en vertu du principe d'accou- tumance. Les douleurs anginiformesaucoeur disparaîtront complètement.
Uns. I. - Gastralgie et ménorrhagie hypothyroïdiennes. Mélancolie. Douleurs des membres. L'épouse A... vient me consulter p
ie. Douleurs des membres. L'épouse A... vient me consulter pour ses douleurs d'estomac. Agée de 51 ans, elle est encore abon
ment large de gauche, qui paraît raccourci. Elle se plaint aussi de douleurs dorsales, de douleurs dans les jambes et dans la
qui paraît raccourci. Elle se plaint aussi de douleurs dorsales, de douleurs dans les jambes et dans la plante des pieds. Le
n'a plus reparu. L'appétit est meilleur et elle ne ressent plus de douleurs nulle part. Le 12 juillet suivant, les règles réa
La constipation est moins opi- niâtre. L'appétit est excellent. Les douleurs de l'estomac ont complètement disparu. A l'heur
ouges. Elle est habi- tuellement constipée. Elle présente aussi des douleurs dans la région du foie, tant à droite qu'à gauc
t plus aussi souvent. La DE L'HYPOTHYROÏDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 301 douleur du foie persiste encore. Les selles restent diffi
r ne pas troubler le mécanisme du traitement. Le 5 janvier 1898, la douleur du foie a complètement disparu et, à part un cert
ra continué pendant quelques mois encore. OBs. V. Ménorrhagies. - Douleurs du rachis. Céphalalgie hypothyroï- dienne. - Ge
et reviennent tous les quinze jours. Elles sont précédées de vives douleurs dans le dos et dans la région sacrée. La malade
ment frileuse et a toujours les pieds froids. Elle ressent de vives douleurs dans la région ovarienne droite. L'examen local d
le par jour. Progressivement, sous l'empire de ce traitement, les douleurs du dos, du ventre et les irr'adiations douloure
nt garder le lit plusieurs jours de suite. Elle ressent beaucoup de douleurs dans le dos. Les règles sont profuses. La const
digestion. Elle ressent depuis quelque temps dix à douze mois - des douleurs dans le bas-ventre. La menstruation perdure enc
exagérée ni pénible. La constipation est opiniâtre. Elle n'a pas de douleurs du foie. Après lui avoir fait prendre quelques pu
nt molles et saignantes. Elle se plaint également de rachialgie. La douleur siège surtout au niveau des omoplates et elle s'e
au lit. La patiente est quelquefois comme chassée de son lit par la douleur du dos. Actuellement âgée de 43 ans, elle a mis a
toutes les variétés d'hydrothérapie froide et chaude, et attribue les douleurs des épaules, du dos et des membres aux rhumatis
UE 305 cours desquelles je constatai l'amélioration progressive des douleurs de tête, du dos, des membres, la disparition de
rche, elle est forcée de s'arrêter brusquement, immobilisée par une douleur atroce dans le bas des reins. A l'examen, on
la somnolence a pour ainsi dire disparu. Le courage est revenu. La douleur du ventre existe encore. Le 20 février, le mieu
e, souffre depuis sa dix-septième année et pres- que constamment de douleurs de tête. Les souffrances sont réellement intolé-
tempes qu'à la région occipitale, également au-dessus des yeux. La douleur est surtout intense le matin, au saut du lit. Cet
ux et attribue ce symp- tôme au rhumatisme épicrânien, cause de ses douleurs de tète. Elle est facile- ment oppressée en gra
XI. - dléléorisme gastrique. - Constipation. Iliii71go vulvaire. - Douleurs frontales, des épaules, bras, genoux. - Douleurs
ii71go vulvaire. - Douleurs frontales, des épaules, bras, genoux. - Douleurs plantaires. - Op- pression et palpitations noct
de prurigo vulvaire qui la prive de sommeil.De plus elle souffre de douleurs de tête frontales, de douleurs dans Ips épaules
e de sommeil.De plus elle souffre de douleurs de tête frontales, de douleurs dans Ips épaules, les bras, et dans la plante des
eurs dans Ips épaules, les bras, et dans la plante des pieds. Cette douleur plantaire la chagrine beaucoup. La souffrance, tr
Paris DE L'IIYPOTUYHOïDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 307 29 septembre, les douleurs de tête ont augmenté, les selles sont difficiles
de la talalgie. Le 2 no- vembre, l'oppression est moins forte ; la douleur plantaire a disparu ainsi que la céphalalgie. E
cette année, la guérison est complète. Plus de cons- tipation. Les douleurs rhumatismales, les démangeaisons vulvaires, la do
tipation. Les douleurs rhumatismales, les démangeaisons vulvaires, la douleur du pied, l'oppression n'existent plus qu'à l'ét
'influence de la médication, les maux de tête, la constipation, les douleurs des membres, l'oppression avaient cédé, puis ces
trée il a commencé à perdre la mémoire par moments et à souffrir de douleurs sous forme d'élancements dans les membres. Il ima
es plaques d'anesthésie sur la région thoracique où il se plaint de douleurs par séries à de certains jours. Il se plaint touj
de douleurs par séries à de certains jours. Il se plaint toujours de douleurs lancinantes dans les membres surtout au voisina
sibilité. Comme troubles de la sensibilité subjective on trouve des douleurs fulgurantes et lancinantes dont la fréquence et
tout autres caractè- res, elles peuvent se montrer sous la forme de douleurs constrictives, en ceinture, en bracelet, en bro
ilité des téguments : la sen- sibilité tactile, la sensibilité à la douleur , la sensibilité au chaud et au froid, la sensib
sthésiomètre de M. Gilles de la Tou- relle (2). La sensibilité à la douleur a été décelée au moyen d'une épingle à pointe a
rve dans le tabès. D'après lui l'émoussement de la sensibilité à la douleur l'emporterait comme précocité, comme fréquence
en peu de temps. Début de la maladie. Elle s'est manifestée par des douleurs en ceinture, rapidement la marche est devenue d
é de troubles oculaires et vésicaux ; depuis deux ou trois mois les douleurs ont presque disparu. Etat actuel. - Il est très
droite 22 kilogrammes, à gauche 21 kilogrammes. Actuellement les douleurs sont rares, elles reviennent environ une fois par
iteur' TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉS SUPERFICIELLES 333 II. Douleur . - A. Face antérieure. - Hyperalgésie à la cuisse
t à tous les doigts de la main droite. Retard à la perception de la douleur ; pied gauche, face supérieure 4", ra- cine du
le. Peu de temps après le début, la malade commence à ressentir des douleurs dans les jambes et dans les cuisses ; ces doule
à ressentir des douleurs dans les jambes et dans les cuisses ; ces douleurs sont fulgurantes et se décla- rent le plus souv
ons douloureuses sur leur trajet. Un an plus tard, apparaissent des douleurs en ceinture ; vers la même épo- que se déclaren
19 kilogr., à gauche 15 kilogr. Actuellement la malade éprouve des douleurs passant rapidement en éclairs dans les jambes ;
rapidement en éclairs dans les jambes ; elle ressent également des douleurs qu'elle compare il des coups d'épingles, à des
'elle compare il des coups d'épingles, à des brûlures, et aussi des douleurs en ceinture. TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBILITÉ
che, celle-ci s'étend du pied au tiers inférieur de la jambe. II. Douleur . A. Face antérieure. Hypoalgésie à droite de tout
ncontinence avec anesthésie du canal. cette époque elle éprouve des douleurs dans les deux jambes, se produisant principalemen
ement vers quatre heures du soir et durant jusqu'au lendemain ; ces douleurs à caractère fulgu- rant empêchaient souvent le
rant empêchaient souvent le sommeil, elle a ressenti également des douleurs en ceinture. Pendant que ces phénomènes s'acc
8 kilogrammes à droite et 13 à gauche. La malade ressent encore des douleurs dans les genoux, la région inguinale des deux c
inguinale des deux côtés, les régions lombaires et scapulaire. Ces douleurs irradient le long de la cuisse, il y a aussi de
aire. Ces douleurs irradient le long de la cuisse, il y a aussi des douleurs en b émiceinture du côté droit ; les crises rev
jours et durent trente-six heures. Pen- dant les règles elle a des douleurs sourdes da ns la région ovarienne et dans les p
sselle gauche, où elle rejoint l'anesthésie cubitale décrite. Il. DOULEUR . - A. Face antérieure. Hypoalgésie dans tout le b
ction. Début de la maladie. Il y a 8 ans, en 1891, elle ressent des douleurs en ceinture, et à. ans après seulement, des dou
le ressent des douleurs en ceinture, et à. ans après seulement, des douleurs fulgurantes dans les jambes. La gène de la marc
tre donne 18 à droite et 16 à gauche. Actuellement, la malade'a des douleurs dans le bord externe du pied droit, surtout dan
r, qui se prolonge jusqu'à la moitié de ce segment de membre. II. Douleur . - A. Face antérieure. - Hyperesthésie dans la ré
surez-vous : cela disparaîtra subitement,au jour dit,après quelques douleurs : Dieu l'a voulu ainsi. Au demeurant, n'en pren
es. Il re- part ; mais, au bout de quelques minutes, la même grande douleur le force de s'arrêter. Cette description éveill
une autre supposition. Cette jambe qui garde, même dans les grandes douleurs , la même co- loration que la jambe saine, dont
teils se fait, dès le premier pas, qu'elle persiste et que c'est la douleur consécutive qui amène la raideur générale. Ce n
endue des membres supérieurs. Sensibilité conservée au tact, à la douleur , à la chaleur. Les pupilles réagissent à l'acom
n allant vers la gauche jusqu'à l'épaule ; le malade ressentait des douleurs lancinantes continuelles, mais pas de crampes p
que 361 a duré jusqu'en septembre, époque à laquelle apparurent des douleurs dans les reins et dans les genoux, aussitôt que
les yeux fermés, il peut se tenir sur chaque jambe. Sensibilité : douleurs lancinantes et fourmillements spontanés; sensibil
Mouvements fibrillaires et fasciculaires existant partout. Crampes, douleurs à chaque instant ; ces crampes n'existent plus
ctions digestives, respiratoires et circulatoires normales ; pas de douleurs ; intelligence nette. Membres inférieurs. - Le
'autant plus qu'il survint dans l'articulation de l'épaule droite une douleur irradiant dans le bras. Ce bras lui paraissait
nt retardée (au niveau des plaques d'eczéma). Il n'y a jamais eu de douleurs spontanées d'aucune sorte : crises gastriques, vé
spontanées d'aucune sorte : crises gastriques, vésicales, rectales, douleurs lancinantes ou térébrantes, etc. Réflexes patel
se serait formée subitement, le matin même, en s'accompagnant d'une douleur très vive, au moment où, en essayant de s'habil-
mais eu de fourmillements dans ses membres atrophiés, mais il a des douleurs parfois dans les régions scapulaires. A droite et
ions scapulo-humérales ; ailleurs normale est la sensibi- lité à la douleur , à la piqûre, normale aussi la sensibilité thermi
gauche un éclat de bois qui lui fit une plaie confuse. Il y eut une douleur très vive et une petite hémorrha- gie. La plaie
e réflexe rotulien était notablement exagéré du côté malade. Pas de douleurs , aucun trouble de la sensibilité. Le malade mar
on du pied, il n'existait aucun trouble de la sensi- bilité, aucune douleur ni spontanée, ni provoquée. Tous les mouvements
, le dynamomètre marque à droite 24, à gauche 20. Aujourd'hui les douleurs persistent dans l'espace compris entre le pied et
ans l'espace compris entre le pied et l'articulation du genou ; ces douleurs sont lancinantes, reviennent trois à qua- tre f
urant environ un quart d'heure ou une demi- heure ; il n'y à pas de douleurs en ceinture. Pendant les règles les douleurs so
heure ; il n'y à pas de douleurs en ceinture. Pendant les règles les douleurs sont plus vives. 1. - Sensibilité objective s
nguinal. B. Face postérieure. Anesthésie jusqu'au pli fessier. IL Douleur . A. Face antérieure. Analgésie remontant jusqu'à
à piquer à la machine ; pendant tout ce temps, elle ressentait des douleurs ful- gurantes dans les genoux, les cuisses et l
entôt après, la marche est devenue impossible ; depuis ce temps les douleurs fulgurantes ont diminué d'intensité ; c'est dans
namomètre marque 36 kilogr. à droite, et 25 kilogr. à gauche. Les douleurs sont moins vives ; elle ressent dans les seins, l
lme la compres- sion de la région. Dans les pieds, elle éprouve des douleurs constrictives que n'influence pas la venue des
en respectant l'éminence thénar et le pouce de la main gauche. IL Douleur . - A. Face antérieure. - Hypoalgésie depuis l'art
quelques crises d'incontinence. Il y a deux ans, sont survenues des douleurs fulgurantes, parcourant les jam- bes depuis le
ium, puis elle a été sou- mise à l'élongation pendant dix mois; les douleurs ont considérablement di- minué. Etat actuel.
rière jusqu'à deux travers de doigt de la ligne sus-auriculaire. IL DouLEUR . - A. Face antérieure. - Analgésie aux jambes, de
uches. Début de la maladie. - Il y a trois ans, elle a ressenti des douleurs dans les bras ; très violentes elles parcouraie
e les compare à des coups de lance. A la même époque ont apparu des douleurs en ceinture constrictives ; elle était comme serr
és de cépha- lalgies violentes. Quatre mois après, elle éprouva des douleurs très fortes et continues à la région épigastriq
t à l'épigastre et à la région mammaire, elle ressent également des douleurs en corset très pénibles, parti- culièrement à l
en corset ; hypoesthésie aux fesses et aux plantes des pieds. IL Douleur . - A. Face antérieure. - Hypoalgésie dans le doma
le- ment radiculaire des troubles de la sensibilité au tact et à la douleur . L'exagération des différents modes de la sensi
môme ordre dans l'étendue de laquelle l'anesthésie au tact et à la douleur existera première dans des limites plus étendue
tion de phénomènes tels que l'abolition des réflexes tendineux, les douleurs fulgu- rantes, le signe d'Argyll et autres mani
de tabes cervical lorsque l'aboli- tion du réflexe patellaire, les douleurs fulgurantes, l'incoordination aux membres infér
aussi troublants, par l'excès de leur joie, comme par celui de leur douleur . Ce « Dieu vous garde » ne dit rien de bon et n
e médicale, 14 décembre 1898. 454 . HENRY MEIGE aucun choc, nulle douleur , nulle fièvre, au début de cette tuméfaction, n
flure a peu à peu gagné la cuisse, sans toutefois causer la moindre douleur . » La malade fut admise à l'hôpital, et dès le
mais par le décubitus pro- longé. Enfin, fait remarquable, aucune douleur , ni spontanée, ni provoquée par les mouvements
flé, exactement limité au seul membre inférieur droit, survenu sans douleurs et sans fièvre, cantonné au pied et à la jambe
e rhumatisme, aucun désordre des organes du petit bassin, jamais de douleurs sur les trajets vasculaires ou nerveux. Tout le
e contact des draps était insupportable. Au bout d'un mois environ, douleur et rougeur disparurent; mais l'oedème persista
trois poussées d'oedème mou des membres inférieurs accompagnées de douleurs dans les cuisses et dans les lombes. A la trois
e nous avons observés. Les poussées prémoni- toires accompagnées de douleurs rappellent celles d'une de nos malades, Fe....
e Follet, il s'agit d'un homme de 32 ans chez lequel, à la suite de douleurs vives de la jambe droite, survint un oedème mou,
hôpitaux, 15 octobre 1891. 470 HENRY MEIGE avait été précédé de douleurs affectant la forme de sciatiques doubles. Aussi
s divers modes sur toute la jambe oedématiée (tact, chaleur, froid, douleur , humidité, etc.). xii 32 482 A. VIGOUROUX L
s du pied sur la jambe sont très libres. La malade n'éprouve pas de douleur dans la jambe et n'en a jamais éprouvé. Elle ma
t très marqué de la taille. Cette affection évoluait cependant sans douleur . H... fut contraint de cesser son métier. Il ét
d'un séques- tre osseux cette suppuration ne s'accompagna d'aucune douleur . Le 6 novembre 1898, nous procédons il un exame
asphyxique, plus marquée vers les deux dernières phalanges. Pas de douleur spontanée ni provoquée par la pression, mais se
alangienne peut être coudée en extension sous un angle de 100° sans douleur . Ongles de l'annulaire et du médius hippocratique
teau; en arrière, cyphose cervico-dorsale à grande cour- bure, sans douleurs à la pression, sans déviation angulaire, accompag
25 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
se », sa taille diminue, il se courbe en avant. Le lout évolue sans douleurs ; la fatigué arrive vite. 11 ne précise' pas nette
commander un chapeau qui fut assez grand. En 1887 il a eu quelques douleurs de tête qu'il distingue nettement de ses migrai-
vu le caractère insidieux de ces accidents, sans réac- tions, sans douleurs . En février 1894, R. entre pour la première foi
eux ; point de fréquentes migraines ; le malade n'a eu que quelques douleurs vagues dans les mem- bres inférieurs. Réflexes
digestifs. Pas de troubles du système nerveux; ni paralysies, ni douleurs il carac- tère déterminé ; intégrité des sphinc
s, de véri- tables mutilations, sans manifester le moindre signe de douleur . Ici encore la crise est provoquée par une musi
uis diplopie (paralysie de la (je paire); ultérieurement, violentes douleurs rachidiennes cervicales, irradiées dans les mem
tre de vertiges continuels, et vers la même époque il a éprouvé des douleurs sourdes dans les membres, et des céphalées inces-
u'il avait éprouvés l'an dernier prennent une grande intensité. Les douleurs de tête deviennent ter- ribles ; il est dans un
z lui sans faire de traite- ment. Il ressentit alors à la nuque des douleurs d'une grande violence . Celles-ci se propageaie
sicaux. Pendant que l'amaigrissement des muscles se produisait, les douleurs n'ont fait qu'augmenter d'intensité dans les me
e résistance qui parait due il la rétraction tendineuse, et par une douleur assez vive que le malade éprouve à ce moment da
sible par un certain degré de raideur articulaire du coude et par la douleur que le malade éprouve. Bras amaigris dans leu
es doigts. La peau est lisse, luisante, semble collée sur les os. Douleurs . Le malade éprouve encore des douleurs sourdes sp
e, semble collée sur les os. Douleurs. Le malade éprouve encore des douleurs sourdes spontanées, qui reviennent principaleme
déprimés. Le malade éprouve clans la région slernale supérieure des douleurs semblables à celles qu'il ressent dans les memb
générale, mais ils n'offrent pas d'atrophie systéma- tique, pas de douleurs . Les réflexes tendineux'sont normaux. La démarche
atiqué l'autopsie d'un officier syphilitique, qui avait été pris de douleurs dans le cou et dans les bras, puis de raideur de
qui devient plus faible que celui du côté opposé. Elle éprouve des douleurs au niveau de la ré- gion lombaire, douleurs s'e
pposé. Elle éprouve des douleurs au niveau de la ré- gion lombaire, douleurs s'exaspérantparmoment, principalement la nuit,
re et du flanc gauches, sensation d'eau froide coulant sur la peau, douleur insignifiante, frissons légers ou plutôt sensat
survenant à la partie opposée du coup.... ce qui est à raison de la douleur de la plaie, et aussi que les hu- meurs et espr
mourut à l'hôpital d'Elbeuf, à l'âgede80 ans environ, « perclus de douleurs et de rhumatismes ». Il laissait trois garçons.
Crimée et d'Afrique et il en est revenu a\ cc; « les fièvres et des douleurs ». Il aurait eu alors une « maladie des deux pi
uble de la motilité du côté des membres inférieurs était précédé de douleurs . Elle éprou- vait souvent « des douleurs dans l
nférieurs était précédé de douleurs. Elle éprou- vait souvent « des douleurs dans les os » à en crier. La fatigue la prédispos
époque, ou un peu après, vers 16 ans, elle se plaignait souvent de douleurs dans le dos le long de la colonne vertébrale. Déj
D'une façon générale tous les mouvements difficiles provoquent une douleur qui empêche la malade de continuer le mouvement
s forte sa vue se trouble quelquefois. La sensibilité au tact, à la douleur et à la température est bien conservée. Le sens
! fI la localisation ltrétloani- nante au côté gauche. ' J 3° Les douleurs très vives au commencement de la maladie. 1 4°
apparentes; (on ne peut employer de courants plus forts à cause des douleurs provoquées et des mouvements réflexes qui empêc
il n'avait ni fracture ni luxation j et se plaignait simplement de douleurs dans les reins. Six, semaines, après ? il . 1 p
pé. Durant cette longue évolution, il n'a jamais éprouvé la moindre douleur . Pas d'alcoolisme, pas de maladies vénériennes.
e changements dans son état. De temps en temps elle s'est plaint de douleur dans la région du foie, mais il a été impossi-
soins duquel la malade est confiée actuellement, m'informe que les douleurs des troncs nerveux et des muscles ont disparu.
la peau à l'âge de 18 ans au moment de l'entrée à l'hôpital et les douleurs à la pression sur le trajet des troncs nerveux ob
ation initiale, son évolu- tion progressivement envahissante. Les douleurs nerveuses, et les réactions électriques n'ont été
troubles électriques existaient certainement à celle époque. Les douleurs nerveuses ont disparu maintenant et, pensant que
est pas sans présenter quelque réaction douloureuse. Mais alors les douleurs sont indépendantes de la lésion articulaire. Elle
hiques depuis nombre d'années, fut prise, il y a quelques jours, de douleurs scapulaires qui nous obligèrent à une intervent
craindre, mais il résultait de la distension des parties molles une douleur qui me décida il demander il mon collègue, M. C
e. La vision, l'audition, le tact sont respectés. Qui plus est, les douleurs fulgurantes, si caractéristiques de la période
début, il y 8 8 ou 10 ans, le malade se souvient d'avoir éprouvé une douleur en ceinture.... ? et c'est tout. Voilà une l'or
abétique. Depuis près de vingt-six ans, il est sujet il des crises do douleurs fulgurantes, quelquefois atroces et que rien ne
haute dose ou de la morphine de temps a autre. Le caractère de ces douleurs est tout à fait significatif : coups de canif, co
ans le tubes à l'âge de 26 ans, c'est-à-dire depuis 19 ans. -- Des. douleurs fulgurantes très vives siégeant au niveau du moll
e 20 novembre 1888, en portant un sac de pommes, elle ressentit des douleurs dans le genou gauche et s'aperçut que la jambe de
sse, tendue et sillonnée de veines nombreuses. Non seule- ment la douleur est nulle. sauf par périodes d'une très courte
i a marqué le début de l'arthropatie et sur l'absence ac- tuelle'de douleurs après la longue et douloureuse période des crises
ulement il l'âge de trente-sept ans qu'il a éprouvé ses premières douleurs fulgurantes dans la région cubitale. Trois ans
a région cubitale. Trois ans après, il com- mençait à souffrir de douleurs d' « arra- chement » dans les orteils, et, quoi
il est affligé remonte au maximum à sept mois. Brusquement, sans douleurs préalables, sans traumatisme, sa jambe droite s
âgée de plus de cinquante ans, le tabès remonte à l'année 1867. Les douleurs fulgurantes tiennent la placcla plus importante
reuse locale, cette malade, tourmentée depuis tant d'années par les douleurs fulgurantes, vous fournit, elle aussi, un beau
heure : cet homme de soi- xante ans qui, depuis vingt-six ans a des douleurs fulgurantes quotidiennes, et qui souffre, « jou
t cliniques les rela- tions de leurs troubles trophiques avec leurs douleurs fulgurantes. Cela, Mes- sieurs, n'implique pas
plus apte à produire cet accident qu'elle est plus douloureuse. Les douleurs de la syringomyélie, comme il résulte des obser
passifs et vous en entendez les craquements il dis- tance. Il a des douleurs fulgurantes qui surviennent par crises espacées ;
épart des arthropathies. D'ail- leurs, le patient avait souffert de douleurs ful- gurantes el, qui plus est, l'autopsie a dé
r jour. Elles ont duré environ 4 ans. En 1863, sont survcnnes des douleurs fulgurantes typiques, localisées d'abord a la p
es par des intervalles tout au plus hebdomadaires. Un an après, les douleurs se sont montrées au niveau de la cuisse gauche, e
us tard, au niveau des jambes (région du tibia en particulier). Ces douleurs , provoquées par le froid ou la fatigue sont res
ées, elle reste dans une période stationnaire, tour- mentée par les douleurs fulgurantes et cette incoordination motrice. En
gurantes et cette incoordination motrice. En 1881, elle ressent des douleurs fulgurantes dans les membres supérieurs droit e
lle n'en souffrait aucunement et n'avait pas eu de crise récente de douleurs . On enveloppe le membre dans un appareil dex- t
Ùce1ll{m,'ISIJ3). -'Nous ne ferons que signaler la'porsistancé' des douleurs fulgurantes, de l'incontinence'd'urine, de l'inco
hie est tout il fait indolente en dehors bien entendu des crises de douleurs fulgurantes. Malgré ces lésions, la ma- lade se
ée. Les mouve- ments de l'articulation tibio-tarsienne se font sans douleur aucune. OBSERVATION II. Elisa Berg. (1), 45 a
l y a 19 ans qu'aurait débuté le tabès. Le début s'est fait par des douleurs fulgurantes. Une nuit, sans cause connue, cette f
ulgurantes. Une nuit, sans cause connue, cette femme a été prise de douleurs dans le mollet droit. C'était, dit-elle, comme de
ni qu'on ébranlât même très légèrement le parquet. Depuis lors, ces douleurs sont revenues avec des caractères identiques, pre
règles et pendant la nuit. Les points de la peau où siégeaient ces douleurs étaient d'une sensibilité exquise. Et mal- cett
mme si elle n'avait jamais souffert. Deux ans après ce début, ces douleurs se sont fait sentir, dans les mêmes con- dition
ssant guère 24 heures comme durée. En somme, durant 6 ou 7 ans, ces douleurs se sont renouvelées environ tous les mois avec
. talons, plantes du pied, jarret. Pendant un au - il y a 7 ans les douleurs fulgurantes, au moment des crises, se sont montré
is le début jusqu'au moment actuel, c'est-à-dire depuis 20 ans, les douleurs fulgurantes on[ presque exclusivement frappé les
creux poplité, mollet, talon et plante des pieds). A peine quelques douleurs moins vives du reste, clans la face postérieure d
s avoir fait un seul pas, elle éprouve non des craque- ments ni des douleurs mais une simple sensation de déviation dans la ja
s'asseoir dans la cuisine, marchant avec quelque difficulté mais sans douleur . Elle regarde sa jambe, no remarque qu'un peu d
aussi un peu enflée. L'enduro est alors devenue douloureuse et les douleurs l'au- raient empêchée de dormir la nuit suivant
cher, un cataplasme laudanisé sur la région. Le lendemain matin, la douleur avait disparu. L'oedème persistait toujours par
e s'est alors levée et a repris ses occupations. Elle marchait sans douleur , sans boiserie, sans gêne. La production de cet
ette arthropathie n'a pas été immédiatement précédée d'uue crise do douleurs fulgurantes : elle s'est faite à peu près vers le
s augmentés de volume. Elle s'est couchée ainsi, n'a éprouvé aucune douleur dans la nuit et a travaillé le lende- main et l
alors disparu. De juin il septembre 1889, elle put travailler, sans douleur , ni gêne marquée. Elle se croyait guérie mais s
e lumineux, de l'atrophie papillaire avec un peu d'amblyopie et des douleurs fulgurantes typiques. De plus, on ne trouve pas
vins et en chevaux, il éprouva de temps il autre do très violentes douleurs dans la région lombaire et dans l'épaule droite.
entes douleurs dans la région lombaire et dans l'épaule droite. Ces douleurs disparurent vers l'âge de 3'" ou 35 ans. A l'âge
ments. A l'âge de 39, ans il y a 7 ans, il commença à éprouver des douleurs fulgurantes d'une grande intensité. Ces douleurs
nça à éprouver des douleurs fulgurantes d'une grande intensité. Ces douleurs siégeaient dans les mollets et dans les cuisses
sensation d'un corset de fer étreignant son thorax, quelques vagues douleurs également dans le domaine des nerfs cubitaux. P
s trois années suivantes, le malade n'a eu à se plaindre que de ces douleurs fulgurantes qui le prenaient par accès d'une in
renaient par accès d'une intensité effroyable. Il y a 4 ans, il ces douleurs fulgurantes s'ajoutent des douleurs de morsure
ffroyable. Il y a 4 ans, il ces douleurs fulgurantes s'ajoutent des douleurs de morsure ressenties surtout dans le talon et da
signe de I ? Oïiibl'i9, signe de Westphal et persistance telle des douleurs fulgurantes qu'il lui prescrivit l'usage de la mo
'urine assez fréquente, des pertes séminales et, après le coït, une douleur violente dans la région anale. Quelques mois ap
ême côté ne tarde pas il s'oedématier, mais, en dehors des accès de douleurs fulgurantes et des douleurs de broiement, aucune
edématier, mais, en dehors des accès de douleurs fulgurantes et des douleurs de broiement, aucune douleur spéciale n'accompa
accès de douleurs fulgurantes et des douleurs de broiement, aucune douleur spéciale n'accompagne ces phénomènes. Il y a 2 mo
les colonies. Les signes de tabès qu'il possède sont les suivants : Douleurs fulgu- rantes d'une grande intensité siégeant a
s jours de suite avant de disparaître pour reparaître rapide- ment. Douleurs de broiement et de morsure d'une grande intensité
de morsure d'une grande intensité dans les pieds et dans le talon. Douleurs constrictives dans la région thoracique. De temps
nesthésie profonde des articulations intéressées et l'intensité des douleurs fulgurantes, intensité tellement grande, qu'elle
ique dont il était avare en l'espèce : les piqûres de morphine. Ces douleurs ont précédél'arthropathie pendant plusieurs ann
fait, remarqué par M. Straus dans les ecchymoses spontanées, que la douleur siège au-dessous du point frappé. Au point de v
B. Charcot et Critzman et obs. I de Nissen). Enfin ce peut être des douleurs fulgurantes, exemple le cas de J. M. Charcot et
rcot et Dutil. Leur malade avait eu plusieurs années auparavant des douleurs lancinantes et fulgurantes, paroxystiques, excl
. Il est important de retenir cette particularité car de semblables douleurs font penser au tabès. J. Hoffmann aussi a insisté
les dou- leurs dans la syringomyélie, mais il a relevé surtout des douleurs compa- rables il des brûlures ou il des sensati
Mais ce qui est plus particulier c'est de voir dans certains cas la douleur se localiser, et en quelque sorte prédire l'arti-
aule droite (XVII) la malade ressentait depuis plusieurs années des douleurs dont le point de départ était à l'épaule et qui s
ngements de temps. Le malade de Weil avait depuis 30 ans de légères douleurs à l'épaule gauche lorsqu'apparut spontanément une
se retournant que la malade éprouve dans l'é- paule droite une vive douleur . Début spontané progressif. - Cette même malade
s articulaires étaient privées de cartilage. Il n'y avait pas eu de douleur contrairement au cas précédent. La suppuration
plus souvent ce gonflement est absolu- ment indolore : il n'y a ni douleur spontanée, ni douleur a la palpation de l'artic
ement est absolu- ment indolore : il n'y a ni douleur spontanée, ni douleur a la palpation de l'articulation, en un mot auc
du doigt dans l'observation de J. M. Charcot et Dutil. L'absence de douleur explique l'étonnement du malade lorsqu'il découvr
'agit d'une h ! ldarlll1'ose aiguë, d'ailleurs sans rougeur ni sans douleur locales. D'autres fois (J. B. Charcot) c'est pe
triques (1). Forme douloureuse. Nous avons insisté sur l'absence de douleurs dans l'arthropathie syringomyélique. C'est en e
e-ci, la première aussi peut être douloureuse. Dans quelques cas la douleur peut être le phénomène prédominant et même excl
ssitôt fortes doit- leurs dans la hanche droite pendant 9 mois. Ces douleurs disparurent alors pour revenir de temps en temp
isparurent alors pour revenir de temps en temps dans la suite ; ces douleurs furent à un moment donné intolérables. Après un
ation de Nissen. Il faut remarquer que les malades qui ont eu de la douleur , comme les précédents, avaient subi un traumati
son école. La tète est renversée en arrière avec une expression de douleur et d'angoisse qui ne manque pas d'effet tragique
nt de l'extension forcée ; il n'y eut ni gonflement considérable ni douleur . A différentes époques, les accidents du travai
ements très manifestes il chaque mouvement du bras. Il n'y a aucune douleur ni spontanée, ni au moment où l'on produit la l
déploie une force suffisante; ces mouvements n'occasionnent aucune douleur . Etat général : Appétit et fonctions digestives
esthésie est située dans la région du nerf atteint; il existe de la douleur au niveau du nerf et enfin l'atrophie mus- cula
ire progressive et la sclérose latérale amyotrophique. L'absence de douleurs , de rigidités, de contractures excluent la pachy-
pachy- méningite cervicale. L'absence de la démarche ataxique et de douleurs ful- gurenles, des crises viscérales, des troub
est réduc- tible Ù volonté ; on peut la produire sans provoquer de douleur au malade. Les craquements sont appréciables à
douleur au malade. Les craquements sont appréciables à distance; la douleur spontanée fait t défaut. Nous n'avons pas trouv
issent-elles de préférence dans les régions qui ont été le siège de douleurs fulgurantes ? Trouvera-t-on des transformations d
. Par exemple, les tendons qu'on peut sectionner sans provoquer une douleur vive chez un sujet normal, deviennent d'une sen-
en portant ne sent pas son péritoine. Comment expliquer les atroces douleurs des péritonites aiguës, si le péritoine n'est p
chacun de nous peut guérir, conservent un souvenir très précis des douleurs qu'ils ont jadis endu- rées ; ce n'est pas sans
d'une né- vralgie faciale bien caractérisée, prétendez-vous que la douleur ne peut-être qu'imaginaire attendu que la peau
de retentissement central d'une stimulation périphéri- que. Si les douleurs des neurasthéniques sont des hallucinations sensi
és et, plus spécialement le bras gauche étaient le siège d'une vive douleur . Or ces deux membres et surtout le membre supérie
e occa- sion, je vous faisais remarquer combien sont fréquentes les douleurs sponta- nées et continues des membres paralysés
l'insuffisance d'une statistique personnelle déjà importante, que les douleurs des hémiplégiques appartiennent principalement
règle générale on voit des malades s'éton- ner eux-mêmes du peu de douleur qu'ils ont éprouvé, étant donnée la gravité du
it d'ailleurs chez ce malade une diminution de la sensibilité il la douleur et à la température aux deux jambes. Chez le su
amais du moins les observateurs n'ont particulière- ment signalé de douleurs dans ces opérations. Nous verrons quelle impor-
s de la sensibilité. - 'Troubles vaso-moteurs. - Nous avons noté la douleur comme prodrome de la lésion articulaire; nous a
ome de la lésion articulaire; nous avons insisté sur ce fait que la douleur , quand elle existe, n'est pas en général en rap
oir réaction fébrile, et signes inflammatoires locaux. L'absence de douleur n'a, nous le savons, rien qui doive étonner dan
les trophiques d'une part (1), les troubles de la sensibilité la la douleur etn la température d'autre part. Il n'est pas bes
classiques de l'arthropathie tahétiIue. Depuis 7 ails il avait des douleurs il caractère fulgurant; il avait eu au début de l
ypi;- resthésie plantaire. Le seul caractère un peu particulier des douleurs ful- gurantes avait été leur localisation au vo
qu'en avait tracé le malade répondaient bien au type classique des douleurs fulgurantes du tabes dorsalis. Il est vrai qu'il
précédents et l'absence de tout phénomène tabétique attire que les douleurs fulgurantes. Mais comme nous l'avons déjà relat
les douleurs fulgurantes. Mais comme nous l'avons déjà relaté, ces douleurs ont été signalées dans la syringomyélie. 13mhl
cessation des massages il avait souffert, dans son articulation, de douleurs sour- des, puis dans le membre de douleurs en é
ans son articulation, de douleurs sour- des, puis dans le membre de douleurs en éclairs; des poussées fugaces d'hydarthroses
dont 1 allection médullaire, manifestée seulement par des crises de douleurs fulgurantes clans les membres inférieurs et l'a
hrites dues aux microbes ordinaires de la suppuration par le peu de douleur el de chaleur locale, la pâleur des téguments p
e l'aire, presque toujours sans réaction locale ou générale et sans douleur . Ce processus localisé aux articulations métatars
tion gauche de la moelle dorsale se montra dans le genou gauche une douleur assez vive s'accompagnant, de rougeur et de gon
eschare, ni cystite, ni élévation de tempéra- ture, apparurent sans douleurs , dans les deux genoux et les deux cous de pied,
, une arthropathie du coude, avec gonflement, craque- ments et sans douleurs . En même temps survenait à la face postérieure de
la hanche. Il en résulte une contusion de la hanche accompagnée de douleurs , de gonflement et de rougeur, très appréciables
que le frôlement le plus léger d'une main étrangère réveillait une douleur ex- quise angoissante, presque syncopale. La si
travaillé de midi à six heures sans bouger, lorsque tout à coup sa douleur de la hanche se réveilla très vive et s'accompa
sur son état. « Cependant le mal ne fait qu'empirer, écrit-il ; les douleurs de hanche augmentent; des vomissements fréquent
mai. Le De T ? avait déjà vu la malade il t'age de dix ans pour des douleurs de la hanche attribuées à une inflammation épip
ropos d'une ingestion d'huîtres et devien- nent incessants. « Les douleurs de la hanche vont s'atténuant de jour en jour, co
émorale ne présentent ni signe actuel ni vestige de coxalgie. Toute douleur spontanée ou provoquée a disparu à ce niveau. D
au, nous avons vu que le début avait été marqué par un retour de la douleur de la hanche, suivi aussitôt d'attaque syncopal
aussi bien perçu qu'à gauche. Pourtant peut-être la sensibilité à la douleur est- elle légèrement diminuée il la main droite
iro du racbis une lésion dont le seul symptôme local était une vive douleur à la pression de la lt° apophyse épineuse dorsale
tire les poils ; il perçoit ces essais divers sous forme de légère douleur . Seul le frôlement du bout du doigt est senti c
26 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
différents symptômes qui constituent ce syndrome sont : u «). Les douleurs fulgurantes, cozzstrictives et en ceinture. Les
u «). Les douleurs fulgurantes, cozzstrictives et en ceinture. Les douleurs qui avaient le caractère de fulgurance ont été
été présentées par tous nos ma- lades. Dans la plupart des cas, les douleurs fulgu- rantes viennent par crises, qui durent t
qu'elles peuvent exister et par crises et isolées (Oas. XVI). Les douleurs qui avaient le caractère de constric- tion avai
vaient été présentées parle malade de FOBSER- ovation XV. Quant aux douleurs en ceinture, elles n'ont existé que chez les ma
système nerveux central.-Très souvent, elles accom- pagnaient les douleurs fulgurantes, mais quelquefois elles survenaient
ement 30 CLINIQUE NERVEUSE. abolie. Dans les jambes, il avait des douleurs comme des éclairs qui partaient tout d'un coup,
ans sa famille; mais là, au bout d'un mois, il fut repris de telles douleurs dans les jambes qu'il dut rentrer à l'hôpital d
alors assez bien et n'avait plus que, de temps en temps, de légères douleurs . Déjà, lorsqu'il quitta Aden, il avait recommencé
uit, quand il était très fatigué, mais ressentait de très violentes douleurs au niveau de l'appendice xyphoïde (comme des co
ne peut indiquer au bout de six semaines ; il sortit amélioré. Ses douleurs d'estomac avaient presque disparu. Il reprit de
L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 31 Au commencement de 1882, il sentit ses douleurs d'estomac revenir plus violentes ; son médecin
ine, il a dormi un peu, ses vomissements se sont arrêtés ; mais ses douleurs d'estomac et de reins continuaient, il ne put r
us les mois, presque à la même date, il s'est vu repris des mêmes douleurs et de vomissements, cela durait quelques jours, p
normément. Mais c'est surtout au niveau de la région sacrée que ces douleurs sont les plus fortes, parfois même elles devien
rieure gauche, et le 20, au supérieur droit, sensations de brûlure, douleurs fulgu- rantes, crises gastriques. Le avril, pos
tour de la motilité aux membres inférieurs s'effectue complètement. Douleurs en ceinture, perte de notion de position de mem
de Romberg. Impossibilité de marcher sans le concours de la vue. Douleurs en ceinture, douleurs fulgurantes, crises gastriq
bilité de marcher sans le concours de la vue. Douleurs en ceinture, douleurs fulgurantes, crises gastriques, aboli- tioit de
aine de jours, durant lesquels le malade avait dans les membres des douleurs isolées, comme des éclairs qui partaient tout d
ux fois des crises gastriques. Soudain le malade aurait été pris de douleurs à l'apopliysexyphoïde d'une violence extraordin
oncours de la vue. Il a des ailes- thésies en plaques étendues. Les douleurs en ceinture n'ont pas cessé de tourmenter le ma
fatiguer beaucoup. Le signe do Romberg est bien moins mar- qué. Les douleurs fulgurantes sont améliorées sous tous lcsrapports
l'invasion de l'accident. Dyspnée, loux qitiiiieuse, Aëmo- thisie, douleurs de l'apophyse xyplwidc. A 10 heures du soir, di
anesthésie, rétention d'urines, fièvre légère. Vers la fin de juin, douleurs uréthrales; et un peu plus tard, douleurs comme
ère. Vers la fin de juin, douleurs uréthrales; et un peu plus tard, douleurs comme des éclairs dans les membres inférieurs.
En septembre, pas de trace de faiblesse des membres ; continuité de douleurs uréthrales et de douleurs fulgurantes ; sensati
e faiblesse des membres ; continuité de douleurs uréthrales et de douleurs fulgurantes ; sensations de brûlure à la cuisse g
surface antérieure de la cuisse droite. Engourdissement des pieds. Douleurs fulgurantes. Chute des ongles. Pollution par cr
res, la dypnée disparait, la toux quinteuse devient plus rare et la douleur gastrique diminue beaucoup d'intensité, pour di
it à peu près un mois ; à cette époque, il a eu dans les jambes des douleurs qui les parcouraient tout d'un coup, comme des
ongues courses sans se fatiguer. Il n'en était pas de même pour ses douleurs uréthrales qui, survenan t DES ACCIDENTS PAR L'
a dyurie coexistante servait à prolonger le supplice du malade. Les douleurs fulgurantes n'ont pas cessé de visiter le malad
gue, devient très fort en même temps qu'il s'étend à la cuisse. Les douleurs fulgurantes sont aggravées aussi bien comme fré-
avec une grande facilité et sans 38 CLINIQUE NERVEUSE. la moindre douleur . » Maintenant les ongles nouveaux sont petits,
on est hâtive et ne développe aucune sensation volup- tueuse. Les douleurs uréthrales depuis deux mois déjà n'ont plus rep
à peine appréciables. Les engourdis- sements n'ont plus reparu. Les douleurs fulgurantes sont très rares et bien moins inten
es est représenté par le malade de lOsERVa1'roN XXII, qui avait des douleurs à l'apophyse xyphoïde très violentes, au point
int qu'il poussait des cris 42 CLINIQUE NERVEUSE. pitoyables. Ces douleurs n'étaient accompagnées d'au- cun autre symptôme
mêmes de la respiration et au symptôme gastrique concomitant les douleurs à l'apophyse xyphoïde qui gênaient les mouvemen
roisième, Observation XXII, la mise en scène a été signalée par les douleurs à l'apophyse xyphoïde, la dyspnée, la toux quin
illée et spéciale des symptômes constitu- tifs de ce syndrome. 1° Douleurs fulgurantes. Les douleurs comme des éclairs, qu
tômes constitu- tifs de ce syndrome. 1° Douleurs fulgurantes. Les douleurs comme des éclairs, qui partaient tout d'un coup
un des symptômes les plus sail- lants de la troisième période. 2° Douleurs en ceinture. Ce symptôme qui a figuré deux fois
dyspepsie préalable, étaient pris de vomissements accompagnés de douleurs violentes à la région gas- trique ; ils vomissa
vers leur base, les a détachés très facile- ment et sans la moindre douleur . Les ongles tombés ont été remplacés par de nou
in- certaine : le signe de Romberg était bien moins * marqué, les douleurs fulgurantes étaient atténuées sous tous les rap
atténuées sous tous les rapports, fréquence, intensité, etc. Les douleurs en ceinture étaient plus tolérables, ne don- na
ine appréciables, les engourdissements n'avaient plus reparu. Les douleurs fulgurantes étaient très rares et bien moins in
autre symptôme respiratoire. Pas de gonflement de l'estomac, pas de douleurs , pas de pesanteur ni autre symptôme gastrique.
ouleurs, pas de pesanteur ni autre symptôme gastrique. Enfin pas de douleurs , soit muscu- laires, soit articulaires. Au bo
t qui lui firent passer une nuit blanche. Le lendemain malin, ces douleurs , que le malade comparait à des piqûres d'aiguil
as de symptômes gastriques, pas de troubles respi- ratoires, pas de douleurs soit musculaires, soit articu- laires. On ne se
, une demi-heure de séjour. -Immédiatement après la décompression, douleurs violentes ci l'épaule gauche, perte de con- nai
on, douleurs violentes ci l'épaule gauche, perte de con- naissance, douleurs intenses aux diverses -articulations. Vers le c
Immédiatement après la décompression brusquement faite, il sent des douleurs violentes à l'épaule gauche. Au bout de cinq mi
alade revenu com- plètement, est pris aux diverses articulations de douleurs très intenses qui l'ont fait horriblement souff
ui l'ont fait horriblement souffrir. Vers le coucher du soleil, les douleurs articulaires disparaissent pour faire place à u
es de séjour. linii2é- diatement u,.a'è lu G1 usrlHC décompression, douleurs violentes à Aucune, t. MIL 66 CLINIQUE NERVEU
radianl aux côtes.- Au bout de 40 0 minutes, rempltt- cement de ces douleurs par la monoplégie du membre inférieur droit. Se
sque décompression et l'enlèvement du casque, le malade est pris de douleurs violentes à l'estomac, lesquelles s'irradiaient
ymptômes céphaliques ou autres. Au bout de dix minutes environ, ces douleurs disparaissent pour faire place à une paralysie
est un peu émoussée sous tous ses modes : tempé- rature, contact et douleurs . Pas d'atrophie musculaire, les muscles sont bi
tait accompagné d'aucun autre symptôme céphalique, était précédé de douleurs à l'épaule gauche et suivi de douleurs aux autr
céphalique, était précédé de douleurs à l'épaule gauche et suivi de douleurs aux autres articu- lations. b. Troubles de là
ymptômes appartenant à ce genre symptomatologique, nous avons les douleurs violentes à l'estomac, lesquelles s'irradiaient
estomac, ou autre symptôme gastrique con- comitant. La durée de ces douleurs a été très courte, pas plus de dix minutes (Ces
ourte, pas plus de dix minutes (Ces. XXVII) environ. e)..Iivenses douleurs et autres symptômes eyM ? En matière de douleur
on. e)..Iivenses douleurs et autres symptômes eyM ? En matière de douleurs , il faut noter ces douleurs violentes à l'épaul
et autres symptômes eyM ? En matière de douleurs, il faut noter ces douleurs violentes à l'épaule gauche qui ont précédé de
e du malade de l'OB- 70 CLINIQUE NERVEUSE. SERVATION XXIV, et les douleurs aux diverses articu- lations, qui ont suivi cet
ION XXIV a été représentée par la perte de connaissance précédée de douleurs à l'épaule gauche et suivie de douleurs aux div
de connaissance précédée de douleurs à l'épaule gauche et suivie de douleurs aux diverses articulations; celle de l'OBSERVAT
ntissement des forces; enfin celle de l'OBSERVATION XXVII par les douleurs violentes à l'estomac s'irradiant aux côtes, en
la même c'est-à-dire brusque. Immédiatement après la décompression, douleurs extrêmement vives, s'étendant à l'occiput et s'
ciput et s'irradiant au membre supérieur droit, exaspération de ces douleurs , de temps à autre, sous forme d'attaque, rigidi
arésie de ce membre. Le 19 septembre, diminution de l'intensité des douleurs ; persistance des fourmillements et des engourdi
e 20 septembre, paralysie complète .de ce membre, localisation- des douleurs à la nuque et à l'épaule.- La 3 octobre, faible
décompression et l'enlèvement du casque, il est pris tout à coup de douleurs extrêmement vives qui occupaient la partie post
u poignet, qui, au dire du malade n'étaient nullement gonflées. Ces douleurs , tout en étant permanentes, s'exaspéraient néan
midi, d'autres troubles de la sensibilité viennent se joindre à ces douleurs vives, par moments même atroces, tels que des f
en même temps qu'un certain degré de parésie. Le 19 septembre, les douleurs ont beaucoup diminué d'inten- sité et leurs exa
eur droit qui pend le long de son tronc comme une masse inerte. Les douleurs sont localisées à la partie posté- rieure du co
pas définir. Il continue ce traitement une vingtaine de jours; les douleurs qui occupaient les régions sus- mentionnées s'i
oit. Sensibilité. Le malade se plaint encore avec amertume de ses douleurs Ma région postérieure du cou, lesquels par moment
alvanique donne An S Z = Ka S Z au lieu de An S Z > Ka SZ. Les douleurs de la nuque et du moignon de l'épaule sont bien
réactions normales, ce qui se traduit par Ka SZ > An S Z. Pas de douleurs . La sensibilité est complètement revenue au bor
n des racines du plexus brachial droit qui ont donné lieu aux*vives douleurs , avec leur exaspération de temps à autre, sous
temps à autre, sous forme d'accès, de la partie postérieure du cou, douleurs qui s'éten- daient à l'occiput et s'irradiaient
e de l'appréciation par le malade de la sen- sation de pression, de douleur , du lieu d'application de la tem- pérature, enf
'année suivante, un vacille- ment à yeux clos; à quarante-cinq ans, douleurs lancinantes dans les jambes et hyperesthésie cu
ques accompagnées de vomissements violents et d'un redoublement des douleurs lanci- nantes. En 1886, outre les phénomènes
avant d'être admise à l'hôpital, la malade souffrait de froid et de douleurs lancinantes dans les jambes, et d'une sensation
ement à yeux clos. De temps à autre, 186 PATHOLOGIE NERVEUSE. les douleurs lancinantes étaient accompagnées de vomissements
e des jambes parfaitement normale; pas d'atrophie. Sensibilité à la douleur très diminuée, surtout à la plante des pieds'où
s extrémités supérieures sont dans un état normal. Dans les jambes, douleurs lancinantes et térébrantes, sensation subjectiv
ois mois, à ce qu'elle dit. J88 PATHOLOGIE NERVEUSE. Etat actuel. Douleurs très vives dans les deux épaules, sur- tout la
s les deux épaules, sur- tout la nuit. Dans les membres inférieurs, douleurs lancinantes sur le parcours du nerf sciatique ;
ieurs, douleurs lancinantes sur le parcours du nerf sciatique ; ces douleurs se firent d'abord sentir dans la jambe droite.s
s se firent d'abord sentir dans la jambe droite.seulement ; parfois douleurs fulgu- rantes et térébrantes dans le bras droit
parfois douleurs fulgu- rantes et térébrantes dans le bras droit ; douleurs et lourdeur dans le creux de l'estomac, parfois
ent malade depuis deux ou trois mois au plus; ressentit d'abord des douleurs térébrantes dans les fesses et les reins et des d
'abord des douleurs térébrantes dans les fesses et les reins et des douleurs déchirantes dans les jambes ; dans ces dernière
inquante ans, ressentit il y a quatre ou cinq ans de très violentes douleurs « rhumatismales » dans les jambes. Bientôt aprè
lien fut constatée par les médecins. Etat actuel. Dans les jambes douleurs lancinantes terribles ne permettant pas à la ma
, mais, par endroits, îlots d'anesthésie complète. Sensibilité à la douleur et à la pression particulièrement diminuée. Hyp
-sept ans, dans la quarante-septième année de sa vie, ressentit des douleurs « tiraillantes » dans les membres inférieurs, «
ieurs, « comme si les nerfs se tendaient et se relâ- chaient ». Ces douleurs ont persisté jusqu'à maintenant, sont deve- nue
ète. Ces derniers temps, se sont fait sentir de temps à autre des douleurs lancinantes dans la moitié gauche du visage, et p
ible que le catarrhe de la vessie en soit le résultat. Les accès de douleur dans la région de la vessie rappellent tout à f
ait les crises vésicales; la malade a z ressenti en ma présence des douleurs ressemblant beaucoup aux crises néphrétiques. R
neuf ans; il n'y a que deux ans qu'elle a commencé à se plaindre de douleurs dans le dos. A, l'âge de trente-neuf ans, elle
mps jusqu'à l'âge de quarante-neuf ans, moment où appa- .rurent les douleurs a tiraillantes dans les jambes, la malade ne se
n 1883, resseutitpour la première fois dans les jambes de violentes douleurs lancinantes typiques qui durent encore maintena
en. Quelquefois elle ressent dans les jambes, en même temps que les douleurs lancinantes, des tiraillements ayant le caractè
t parfaitement exempte d'éruption, d'inflammation des amygdales, de douleurs dans la gorge et autres symptômes). Trois mois
ad, et c'est à son retour, en 1883, qu'elle ressentit les premières douleurs lancinantes. Tel est le petit groupe de femmes
; dans tous les huit cas, se rencontraient les caractéristi- ques douleurs lancinantes et déchirantes et parfois aussi d'a
ions, le malade ne pouvant définir les conditions qui ont causé ces douleurs . Le 15 août 1884, il fait la première immersion
asque, c'était 10 heures matin, le malade est pris dans les yeux de douleurs si intenses, qu'il poussait des cris, pitoyables;
onjonctives auraient été rouges. Le lendemain matin, 14 août, les douleurs avaient presque complètement disparu et( il ne
se préparait à redescendre, il fut tout d'un coup pris d'une forte douleur dans l'oreille gauche ; en même temps il avait
; en même temps il avait des vertiges. Dans quelques minutes, les douleurs étaient devenues insupportables au point qu'il po
à attirer l'attention. En même temps, le malade se plaignait d'une douleur à la région gastrique avec sensation d'angoisse
autre symptôme soit céphalique soit de nature quelconque, sauf une douleur vague aux lombes, a duré seul isolé une heure e
on corps, le malade sentait très bien. Il se plaignait seulement de douleurs lancinantes, qui siégeaient aux différentes 2S0
qu'on le pinçait, il était seulement tourmenté de temps à autre de douleurs lancinantes. Cette hémiplégie dure quatre jours s
laires, brûlure, rougeur, frottement, accompagnée constamment d'une douleur gastrique avec sensa- tion d'angoisse sans gonf
deux heures d'une paralysie du membre droit correspondant avec des douleurs vagues aux lombes et lancinantes aux membres af
quart d'heure après l'enlèvement du casque, le plongeur est pris de douleurs constrictives à la jambe gauche et bientôt d'une
é donne naissance à des contractions musculaires généralisées, sans douleur . Le fait que le cordon de Goll ne devient excit
vu sous l'influence de ce traitement disparaître complètement des douleurs atroces et des phénomènes d'incoordination mo-
exagération des phénomènes tendineux), et des cordons postérieurs ( douleurs névralgiques podaliques) : intégrité probable d
mélancolie caractérisée, ou des accidents qui font penser au tabes ( douleurs lancinantes, paresthésies). Mieux vaut le trait
fois apparurent dans la région de la hanche et du genou droits, des douleurs très vives qui, d'après la description, étaient
s, des douleurs très vives qui, d'après la description, étaient des douleurs fulgurantes typiques. Parfois se faisait sentir u
des douleurs fulgurantes typiques. Parfois se faisait sentir une douleur continue, térébranle, dans l'articulation même. C
leur continue, térébranle, dans l'articulation même. C'est avec ces douleurs qu'il entra à l'hôpital où, à ce qu'il dit, les m
, et de nouveau appa- rurent les constipations, les coliques et les douleurs dans les jam- bes (surtout dans la droite) ; à
n peu bouffi, gonflé. - 1... a bon appétit, mais il se plaint d'une douleur et d'un poids au creux de l'estomac, et de pyro
endit, le soir, de 37°6 à 36°2 3G°,8, et le matin à 36° - 3G°r; les douleurs ressenties par le malade"Tau côté gauche se cal
malade"Tau côté gauche se calmèrent, mais par contre apparurent des douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs. Vers le
e 1886, l'augmentation de la rate n'était plus sensible ; alors les douleurs fulgurantes furent remplacées par des douleurs
sensible ; alors les douleurs fulgurantes furent remplacées par des douleurs au côté droit, une sensation de ceinture et de
30 novembre, la rate se gonfle de nouveau, des maux de tête et une douleur dans tout le corps apparaissent dereclief ; à m
ure tombe le lendemain à 3605 ; l'état général s'améliore, mais les douleurs térébrantes se montrent de nouveau dans les jam
i, le pouls 108; pas de râle dans les poumons, forte indisposition, douleurs dans tout le corps; la langue est 378 8 PATHOLO
et c'est à peine s'il pouvait se traîner quand on le soutenait. Les douleurs lancinantes augmentèrent dans les jambes ; il e
lancinantes augmentèrent dans les jambes ; il en était de même des douleurs térébrantes dans le genou droit et le côté droi
le genou droit et le côté droit de l'aine; le malade ressent des douleurs semblables entre les omoplates et dans l'épaule d
de sensibilité, elle atteint au plus haut point la sensibilité à la douleur et au moindre la sensibilité au contact et au f
oid. Subjectivement, nous trouvons une sensation de ceinture, des douleurs lancinantes et des paresthésies diverses; sympt
ire très longues; au contact, peau brûlante; visage écarlate, forte douleur au front; par moments, délire; transpiration to
plus tôt que l'appa- rition de la fièvre intermittente puisque les douleurs lancinantes typiques s'étaient fait sentir en 1
es mois et des années et non pendant des jours et des semaines. Les douleurs lancinantes ont commencé chez le malade longtem
pseudo-tabes se remarquent souvent des phénomènes parétiques et une douleur lors de la pression des grands troncs nerveux :
la sensi- bilité tactile était normale, mais la sensibilité ci la douleur était fortement affaiblie dans tout le corps (p
ant deux ans sans accidents sérieux; il aurait eu rarement quelques douleurs articulaires insignifiantes. Le 25 juillet 188t
abolie au niveau des membres paralysés. Il avait en même temps des douleurs liés fortes au bas-ventre et à la région lombai
s par tous les auteurs qui ont écrit sur la question. J'entends les douleurs musculaires ou articulaires, les myopathies ou
n'ont pas eu d'accidents douloureux au cours de leurs travaux. Ces douleurs peuvent siéger partout et se lo- caliser à une
nt ou non accompagnées de gon- flement appréciable. La durée de ces douleurs , qui ordinairement sont assez intenses pour arr
oyons au moins inutile de rapporter des observations où l'élément douleur ne figure plus à titre de symptôme, comme nous
bien à titre de forme clinique à part, c'est-à-dire que l'élément douleur constitue alors exclusivement le ta- bleau clin
après la décompression et l'enlèvement de son casque, a senti des douleurs intenses à l'hypocondre droit : Je l'ai observé
e de brûlure comme symptômes oculaires de la forme sensorielle; les douleurs aux lombes et à l'estomac, symptômes fréquents
rouges. Presque en même temps, un mal" de tête intolérable avec des douleurs intenses aux lombes et à l'estomac surviennent au
es : brûlure des yeux, rougeur conjonctivale, vertige, mal de tête, douleurs aux lombes et à l'estomac, aphasie motrice, DES
, le long de l'extrémité supérieure droite, surtout aux épaules, de douleurs intenses qui ont duré cinq minutes environ. Au
avail que le plon- geur ne peut pas déterminer, il a été pris d'une douleur extrême- ment vive avec anxiété au creux épigas
itôt la décompression faite le plongeur à scaphandre est pris d'une douleur très intense à l'estomac sans perte de connais-
omac sans perte de connais- sance. Au bout de quelques minutes, ces douleurs gastriques dis- paraissent pour faire place à u
de 35 à 40 mètres. Au bout d'une demi- heure, il est pris de fortes douleurs dans la région épigastrique, et en même temps s
re dans un four. Il n'est pas soulagé, comme on le pense bien ; les douleurs d'estnmac persistent; la paralysie de la partie
et portait sur les jambes, les cuisses, la vessie et le rectum, Aux douleurs de la région épigastrique s'ajoutait la tension
terne du cin- quième métatasien gauche et à la plante du même pied. Douleurs atroces dans la région de l'estomac ; constipat
gie, c'est-à-dire, des vertiges, la tendance à la lipothymie et des douleurs aux membres inférieurs; il demanda qu'on le dés
rvint l'inflammation de celle-ci. Le ma- lade commença à sentir des douleurs fortes à l'hypogastre ; la vessie ne se vidant
nt jamais expiré au fond de l'eau, ils remontaient, se plaignant de douleurs internes, au coeur en particulier, se couchant
u'il avait remontées, lorsqu'il fut brusquement saisi par de fortes douleurs , et presque aussitôt, perte de connaissance abs
jours avant son dernier acci- dent, sentit après une immersion des douleurs fortes à la nuque et interrompit ses immersions
t à coup, un quart d'heure après, il se plaignait d'avoir une forte douleur à l'oeil gauche et demandait à ses compagnons s
haud. Le malade parla trois heures après, en disant qu'il avait des douleurs dans tout son corps, il tomba dans le coma dont
-là. Mais après avoir déposé la tunique irnmersive, il sentit des douleurs et des engourdissements aux membres supérieurs et
flexes, des contractions tétaniques et cloniques. Les réflexes à la douleur sont diminués; comme ces réflexes persistent ch
e REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 163 fièvre typhoïde, présenta des douleurs le long des troncs ner- veux avec hypéresthésie
due à M. Laschkevitch : Une femme de quarante-sept ans éprouve des douleurs et des crampes, puis une paralysie des membres
philis est niée, mais le traitement spécifique fait disparaître les douleurs éprouvées la nuit à la tête et le long des os.
uparavant, tremblement fibrillaire, anesthésies, liypé- resthésies, douleurs fulgurantes, conservation du tact dans les régi
, puis envahit tous ceux de l'économie. Elle se manifeste par de la douleur , de la paralysie avec atrophie de certains grou
ètement. A. R. NÉCROLOGIE MORT DU Dr PAUL BRICON. Nous avons la douleur d'annoncer à nos lecteurs la mort de notre ami,
27 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
racines nerveuses prennent souvent place dès la phase de début. Les douleurs intercostales, douleurs en ceinture uni ou bila
nt souvent place dès la phase de début. Les douleurs intercostales, douleurs en ceinture uni ou bilatérales, la douleur épigas
douleurs intercostales, douleurs en ceinture uni ou bilatérales, la douleur épigastrique, les dou- leurs lombaires, les dou
bilatérales, la douleur épigastrique, les dou- leurs lombaires, les douleurs irradiées dans les membres inférieurs, ont pres
monographie, Fickler(2) rapporte à la compres- sion radiculaire les douleurs dans la sphère de distribution des nerfs, le zo
musculaire et anesthésie à topographie radicu- laire accompagnée de douleurs ayant les caractères des douleurs radicu- laire
phie radicu- laire accompagnée de douleurs ayant les caractères des douleurs radicu- laires, indiquent la probabilité d'une
es ouvrages classiques, ce qui indique leur fréquence. Tantôt les douleurs radiculaires du début présentent une durée et une
annelongue, cité par Ménard (2) qui, durant un an avait souffert de douleurs très vives, sans que plusieurs examens du rachi
re signe de mal de Pott. Après une accalmie complète de 4 mois, ces douleurs reparurent : le (t) CHIPAULT, Congrès français
baires, permettant le diagnostic de mal de Pott. D'ordinaire, aux douleurs en ceinture s'ajoutent, plus ou moins rapide- m
ne cinquantaine d'années, qui présenta, pendant plusieurs mois, des douleurs intercostales, ce qui, un instant, avait fait c
tale. Plus tard, en raison de la persistance et du caractère de ces douleurs , on avait émis l'opinion que la névralgie était
on ». Alité, peu après pour une fracture de jam- be, il fut pris de douleurs lombaires; en voulant le faire lever, on' constat
olution. A la suite d'une pleurésie, un homme de 4o ans fut pris de douleurs inter- scapulaires qui se propagèrent ensuite a
ile, et malgré l'absence d'autopsie. Un homme de 59 ans est pris de douleurs vives lancinantes, continuelles, surtout noctur
roit, puis du gauche. Huit mois après, devant la persistance de ces douleurs , le traitement antisyphilitique mixte est institu
et Laubie (2) commença à ressentir, à la suite d'une pleurésie, des douleurs lombaires irradiées vers l'abdomen et les membres
s froid dans les bronches ; on trouve, comme accidents nerveux, des douleurs qui avaient été rapportées il une né- vralgie p
p fati- guée, une jeune femme de 23 ans est prise tous les soirs de douleurs diffuses le long de la colonne vertébrale, avec
e, avec irradiations en ceinture et constriction épigastrique : ces douleurs durent toute la nuit et ne cessent que le lendema
reproduisent alternativement pendant 4 mois. Puis, surviennent des douleurs qualifiées de sciatique, la région lombaire est
e avec signe de Babinski, rétention et incontinence des sphincters, douleurs en ceinture, hy- poesthésie des membres inférie
met sur le compte de l'humidité de son appartement. Peu à peu, ces douleurs augmentent, consistant tantôt en sensation d'écra
t le seul symptôme, puis surviennent des engourdissements, puis des douleurs des membres inférieurs, qui s'affaiblissent progr
, qui s'affaiblissent progressivement, à mesure que s'atténuent les douleurs . Au bout de 5 mois (14 mois après le début) la
sthésie circulaire à hauteur de la colonne lombaire. Peu après, les douleurs reparaissent, bientôt accompagnées d'une rétent
ieurs. Affaiblissement progressif. Mort 16 mois après les premières douleurs . Aucun signe rachidien. A l'autopsie (V. PI.
uleuse. 10 . ALQUIER 3 ans après, le mal de Pott débutait par des douleurs lombaires provoquées par les mouvements de la c
latérale, et d'extension du rachis sont difficiles et douloureux ; douleur à la pression au niveau des apophyses épineuses
llectuels. Sommet droit douteux. Quelques jours après l'entrée, les douleurs lombaires augmentent : après quelques jours de
ires supérieures, le début est, à peu près, toujours marqué par des douleurs en ceinture ayant les allures de pseudo-névralg
leur précocité, ont une grande importance pour le diagnostic. A ces douleurs en ceinture, s'ajoutent souvent, par la suite, de
es- thésies (engourdissement, fourmillements), tantôt de véritables douleurs ,de caractères et d'intensité très variables : p
s dans la Thèse de Groguot, toutes sans antopsie : 1° A la suite de douleurs interscapulaires, paralysie flasque et anesthésie
° Une malade, reconnue ensuite hystérique, est prise brusquement de douleurs attribuées par plusieurs médecins, à une sciatiqu
le, et traitées comme telles, sans aucun succès. Pendant 4 mois ces douleurs reve- naient seulement le soir et la uuit, puis
it, puis elles furent continuelles, puis, elles s'accompagnèrent de douleurs dorsales et thoraciques attribuées à l'hystérie.
on constate : tuberculose pulmonaire bilatérale : dé- formation et douleur à la pression au niveau de la région sacrée. Atro
(L..Alr¡uier.) LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 13 des douleurs dans le genou gauche, avec irradiations à la hanc
itus. L'enfant a été im- mobilisée, ce qui a amené une sédation des douleurs , tant qu'a duré l'immobi- lisation. Le diagnost
t (Thèse de Paris, 1879). Un tuberculeux entre à l'hôpital pour des douleurs ayant siégé d'abord dans la cuisse gauche, 4 mois
du mouvement ou de la sensi- bilité objective; 3 semaines plus tard douleurs abdominales, ventre ballonné et douloureux, mat
blissement général, diarrhée, vomissements, fièvre ; 24 jours après douleurs en ceinture, fourmil- lements dans le membre in
ença à ressentir, quel- que temps après uue chute sur le siège, des douleurs au sacrum, irradiées le long des deux sciatique
ations le long de la face posté- rieure des membres inférieurs. Ces douleurs deviennent rapidement intoléra- bles, obligent
des membres inférieurs, due surtout, semblait-il, à l'intensité des douleurs , exaspérées par le moindre mouvement. Ces doule
l'intensité des douleurs, exaspérées par le moindre mouvement. Ces douleurs avaient les caractères d'une sciatique double.
a dif- ficulté qu'éprouvait le malade à se retourner, en raison des douleurs . Réflexes (1) V. aussi : ITALO Rossi, Archives
à une névrite alcoolique surtout sensitive. Tourmenté par d'atroces douleurs , que calmait mal la morphine, le malade se cach
ctisa et succomba à une broncho-pneumonie 7 mois après le début des douleurs . A l'autopsie, carie tuberculeuse de la face po
cines lombo-sacrées (PI. II, D). Dans tous ces faits il y avait des douleurs précoces et intenses, dans les membres inférieu
res inférieurs, presque toujours dans le domaine du sciatique : ces douleurs peuvent avoir les caractères principaux d'une név
, à la suite d'un brusque mouvement d'extension de la tête de vives douleurs dans la région occipitale et la nuque : puis surv
seulement probable, il y avait du côté droit atrophie musculaire et douleurs dans le mem- bre supérieur, hémiatrophie lingua
ar 'moments, inégalité pupillaire.» La contracture musculaire, la douleur à la pression sur la partie latérale gauche de
la paroi postérieure du pharynx : l'extension amena la sédation des douleurs et la correction de l'attitude. Mais la tumeur
pour obliger le malade à interrompre sou travail. Au bout de 2 mois, douleurs dans les épaules, puis dans le membre supérieur
mbre supérieur gauche, présentant la diffusion et les caractères de douleurs radiculaires. Un mois plus tard, atrophie et para
rachidiens que la gêne et la limitation des mouvements du cou, avec douleurs dans la rotation de la tête à gauche, et, quelq
, se trouve l'observation suivante : Un homme de 42 ans fut pris de douleurs dans le dos et les côtés, avec affai- blissemen
es réflexes olécranien et des radiaux, pas d'inégalité pupillaire ; douleur la pression des vertèbres dorsales supérieures
aux accouchements. A 55 ans, elle se met à tousser et éprouve des douleurs progressivement croissantes de la nuque, auxque
lus tard les mains devinrent maladroites ; cette maladresse, et des douleurs de la nuque et du bras droit, survenant dès qu'
gée de soutenir sa tête à deux mains ce qui amenait la sédation des douleurs . 7 mois environ après le début, affaiblissement p
ntant un peu plus haut à gauche ; diminution de la sensibilité à la douleur dans toute la partie inférieure du corps, mais
iel ou psychique. Quelques jours après son entrée, augmentation des douleurs , avec sensation de chaleur exagérée aux membres
ives de la sensibilité sont précédés, parfois à longue échéance, de douleurs radiculaires dont l'importance pour le diagnostic
nt à la symptomatologie présentée par le petit malade de M. Broca : douleurs radiculaires, puis paralysie flasque avec atrop
robable, dans les lignes suivantes (1) : «Au début, surviennent des douleurs sur le trajet des nerfs dont les racines naisse
des mêmes racines se traduit par l'association de l'anesthésie aux douleurs et aux phéno- mènes d'hyperesthésie ; presque t
cié à une anesthésie dissociée (thermo-anesthésie ; anesthésie à la douleur , pas exactement superposée à la thermo-aneslhésie
égions du rachis, le malade vient, le plus, souvent, se plaindre de douleurs qui, pendant plus ou moins longtemps, peuvent êtr
temps, peuvent être le seul signe. Il est classique de dire que ces douleurs ont les caractères habituels des douleurs radic
classique de dire que ces douleurs ont les caractères habituels des douleurs radiculaires, c'est-à-dire ne sont pas exactement
est pas moins vrai que, dans un certain nombre d'observations, ces douleurs ont été attribuées à de simples névralgies, ce
es à de simples névralgies, ce qui se comprend, surtout lorsque ces douleurs occupent la face postérieure des membres inférieu
bres inférieurs, et qu'on trouve, soit le signe de Lasègne, soit la douleur à la pression du nerf (cas de Triot), et surtou
aire n'est pas évident, il pourra être diffi- cile de rapporter ces douleurs à leur véritable cause; dans les cas dou- teux,
s injections aiiestliésiantes, sui- le trajet du tronc nerveux : la douleur sera momentanément calmée si elle est de cause
n lombaire pourra donc, dans certains cas, aider au diagnostic. Les douleurs radiculaires du mal de Pott ont, d'ailleurs, un c
Huet et de Brissaud, etc...) (1). On devra donc, en présence d'une douleur névralgi forme, tenace des membres ou du tronc,
e, toujours penser au mal de Pott, quel que soit l'âge du sujet. La douleur deviendra un signe de bien plus grande valeur l
liquide céphalo-rachidien. Faisons observer, d'ailleurs, que, si la douleur est un excellent signe de mal de Pott, son sièg
'un certain nombre d'ob- servations avec autopsie. Plus tard, aux douleurs , s'ajoutent des troubles moteurs et, d'une façon
ire est peu marquée, la constatation d'une pa- ralysie flasque avec douleurs névralgiformes intenses pourra parfaitement fai
olique à forme surtout sensi- tive en raison de la prédominance des douleurs sur les troubles moteurs. Notons que, chez ces
as nettement aux extrémités, comme dans les névrites : l'absence de douleurs réveillées par le ballottement des masses muscu
par le ballottement des masses musculaires ; enfin, l'existence de douleurs dans le dos ou les lombes, et, tôt ou tard, dan
'avait pu être établi que grâce à l'intensité et à la précocité des douleurs de la nuque et des membres supérieurs, qui offr
, qui offraient avec la plus grande netteté tous les caractères des douleurs radiculaires, telles qu'on les observe dans les
d'une femme de 41 ans, qui eut d'abord, pendant quelques jours des douleurs entre les épaules, puis, brusquement, une parap
le diagnos- tic certain. Nous avons suffisamment insisté sur les douleurs , pour n'y plus reve- nir : les douleurs irradié
uffisamment insisté sur les douleurs, pour n'y plus reve- nir : les douleurs irradiées sont un signe de compression radiculair
aire, non un signe de lésion osseuse. Il n'en est pas de même de la douleur réveillée par la pression ou la percussion des
pression ou la percussion des vertèbres malades ; on retrouve cette douleur dans toutes les tuberculoses osseuses, quel que s
la face an- térieure des vertèbres cervicales moyennes. Mais ces douleurs osseuses n'ont pas une valeur absolue; elles exis
ée par une ligne horizontale passant un peu au-dessous des seins et douleurs à la pression au niveau de plusieurs vertèbres
c troubles de la sensibilité, légère incontinence des sphincters et douleurs à la pression au niveau de plusieurs apophyses ép
dehors de ce qui se rattache à l'é- pisode actuel. Il eut quelques douleurs vers 1887; dix ans après, il fut pris de paroxy
prédominante à la région dor- sale moyenne. On constate encore une douleur très nette à la pression des 8" et 9" apophyses
omen, et à chaque effort inspiratoire, le malade en éprouve quelque douleur . Il n'y a pas de déformations spéciales du thor
cyphose a évolué assez rapidement depuis le temps où cessèrent les douleurs . La taille est passé en 4 ans de 1 m. 71 à 1 m.
d'ankylose complète, sur la faiblesse des muscles spinaux, sur les douleurs du début, sur l'absence d'arthrite à siège indé
e ossification, c'est que cliniquement nous avions remarqué que les douleurs siégeaient partout, au début surtout, dans tout
abord pour une ostéomalacique. d) Il existe toujours une période de douleurs qui précède, et souvent de longtemps, l'ankylos
un ramollissement ou une raréfaction osseuse avec défor- mations et douleurs ; 2° ossification des ligaments et de leurs renfo
trous de conjugaison souvent très pro- noncé, expliquant les vives douleurs par compression des racines rachi- diennes et p
is de novembre 1903 il tomba malade de la fièvre, et se plaignit de douleurs dans les extrémités, d'un sentiment de fatigue,
cin, qui le soignait, m'a raconté que le malade sentait surtout des douleurs piquantes, lancinantes dans les extrémités distal
lade, vous appren- drez qu'il a déjà souffert depuis sa jeunesse de douleurs dans les bras et les jambes, mais par accès, pa
is par accès, par intervalles. Il se souvient encore d'avoir eu des douleurs entre sa 4° et 7° année : depuis la fin de l'anné
u matin est de 36°2 à 36°9, le soir 37 ? . Certains jours quand les douleurs ; soit spontanées soit à la pression soit fortes
x deux jambes de notre malade, avec une sensibilité au tact et à la douleur absolument indemne, un des symptômes les plus c
nts de la moelle dorsale qui participent au processus morbide ? Les douleurs soi-disant rhu- matismales, tantôt lancinantes
pourraient être aussi bien d'origine médullaire et dépendre comme les douleurs tabétiques d'une irritation des racines postéri
s de la moelle dorsale : mais, il me semble, que dans ce cas-ci les douleurs dépendent plutôt d'une assimi- lation augmentée
du périoste. Du reste, notre garçon nous a dit constamment que les douleurs augmentent toujours après un refroidisse- ment,
ur un examen électrique exact. Il paraît donc justifié de parler de douleurs rhumatismales. La sécrétion sudorifique constam
ns os. Ce n'est que de cette façon, que l'on pourrait expliquer les douleurs spontanées, les douleurs a la pression, l'éléva
tte façon, que l'on pourrait expliquer les douleurs spontanées, les douleurs a la pression, l'élévation de la température, les
plus tard n'im- porte quelle préparation de thyroïde, et contre les douleurs rhumatoïdes des médicaments appropriés. Nous
com- plète et les tentatives d'extension occasionnent la plus vive douleur . Dans le lit, la malade se couche sur le côté d
réflexes patellaire et plantaire sont diminués. La sensibilité à la douleur esl normale partout. Les autres modes de sensibi-
les conséquences plus ou moins tardives de ces lésions (callosités, douleurs , impotences) ; 3° Un ensemble de symptômes ress
s mois, elle a été obligée d'entrer à l'hôpital le 15 juin pour des douleurs siégeant de- puis la nuque jusqu'à l'omoplate,
ver, et devenant intolérables. En même temps palpitations de coeur, douleurs de côté, vomissements répétés plusieurs fois pa
La malade s'affaiblissant entre à l'hôpital. Depuis l'entrée les douleurs ont diminué; les vomissements ont à peu près di
ersion en dedans du massif malaire. B. Signes fonctionnels. Les douleurs accidentelles ont diminué, mais toutes les masses
rès nets. Avant son entré à la Sal- pêtrière la malade prenait sans douleur , dit-elle, des objets sortant du feu. Les troub
e faire ses courses habituelles ; en même temps elle ressentait des douleurs dans la région lombaire et surtout dans les mem
sou système musculaire est d'ailleurs peu développé. * A part des douleurs au niveau des jambes, douleurs assez vives mais d
ailleurs peu développé. * A part des douleurs au niveau des jambes, douleurs assez vives mais diffuses, apparaissant pendant
, 1903, j'ai été surpris de voir que leur malade avait présenté des douleurs subjectives très fortes et des troubles de sen-
s ont représentée sur un schéma. Comme nos malades ont aussi eu des douleurs très fortes, j'ai examiné la sensibilité object
. 10 novembre 1905. Topographie des troubles de la sensibilité à la douleur . Analgésie. Hypoalgésie des organes génitaux, des
dos des mains et des pieds les pressions très fortes provoquent des douleurs . Sur la paume des mains et sur la plante des pi
et il faut faire des piqûres profondes pour que le malade sente la douleur . Les sensations au chaud sont retardées, celles
Les sensations au froid sont bien conservées. La sensibilité à la douleur beaucoup moins touchée que celle au chaud, c'est-
au chaud. Il est à remarquer que les sensibilités an chaud et à la douleur sont un peu plus accentuées sur le dos des pied
le malade ne sent ni une sensation de pression ni une sensation de douleur , tandis que sur les faces palmaires et plante d
sions très fortes, sent très peu la pression, mais plus souvent une douleur ou une piqûre d'épingle. Chez ce malade M. T...
lète aux muscles des extrémités, l'apparition de temps en temps des douleurs fulgurantes, les mouvements fibrillaires que no
une amélioration dans l'évolution de la maladie, l'absence de toute douleur sur le trajet des nerfs, etc., tous ces symptômes
onsécutifs, suivies au réveil de sensation de,brisement général, de douleurs lombaires, de névralgie sus-orbi- taire. Ces pe
uvre est normale de coloration, de consistance, d'épaisseur. Aucune douleur spontanée ou à la pression ; 2) La seconde, r
ignalé comme point de départ des sensations bizarres de la peau, de douleur vague, d'énervement, une illusion de peau trop
de fourmillement et d'engourdis» sement par tout le bras, mais sans douleurs d'aucune sorte, se compliquèrent bientôt d'une
embre, irritabilité psychique. Le 4 septembre, pendant le déjeuner, douleurs brusques très violentes dans le bras droit ; cé
un violent mal de tête. 6 septembre. Nouvel ictus plus grave, avec douleurs et convulsions dans le côté droit, suivi d'hémi
isterons sur le rôle du traumatisme). Un an après survien- nent des douleurs bilatérales dans les membres inférieurs, la jambe
ssez souvent toutefois, les malades ont consulté autrefois pour des douleurs vagues dans les membres inférieurs comparées à
des tor- sions profondes dans les muscles des mollets surtout. Ces douleurs assez vives mais pouvant dans certains cas fair
nsation de cordes rigides, une pression un peu. forte détermine des douleurs assez vives, les troncs nerveux ne sont pas hyp
e jour, craignant le moindre déplace- ment de leurs membres. Si les douleurs subjectives sont très supportables, PARAPLÉGIES
ire les troncs nerveux périphériques sans que la malade ressente de douleurs bien nettes. Le signe de Lasègue est absent ; et
rs bien nettes. Le signe de Lasègue est absent ; et s'il existe une douleur très vive à l'extension de la jambe, son siège n'
la paraplégie myélopathique. Un même début insidieux, par- fois des douleurs dans les membres inférieurs analogues peuveut tro
vieil- lard, elle se reconnaîtra facilement grâce à l'existence de douleurs vives le long des troncs nerveux, douleurs réve
t grâce à l'existence de douleurs vives le long des troncs nerveux, douleurs réveillées par la pression et affectant une all
es membres inférieurs on peut s'assurer facilement que le siège des douleurs qui provoque cette ma- noeuvre est très différe
e ou à la polymyosite chronique. Dans le premier cas le siège de la douleur est articulaire, dans le second au contraire, c
s : parésie progressivement croissante des membres inférieurs, puis douleurs et rétractions marquées aboutis- sant au confin
que le ma- lade répond un peu au hasard) ; il ne se plaint d'aucune douleur . Le malade peut se tenir debout et marcher, grâ
rdiale fut certai- nement un tabes caractérisé cliniquement par des douleurs fulgurantes et hislologiquement par une scléros
(3) a rapporté le cas d'un malade qui avait long- temps souffert de douleurs attribuées à une sciatique rhumatismale et qui
ire. Très rapidement son épaule se tuméfie et il y ressent de vives douleurs qui persistent pendant une huitaine de jours ;
n solide fauteuil de bois, le patient subit son opération, non sans douleur . C'est un homme du commun, aux chausses rapiécées
uveau. Quelque temps après on remarqua encore des paresthésies, des douleurs , de la parésie du bras droit et dimi- nution de
rations au niveau de la jambe droite. A 16 ans il a été sujet à des douleurs rhumatismales siégeant aux deux membres supérie
à des douleurs rhumatismales siégeant aux deux membres supérieurs, douleurs qui depuis ont reparu de temps à autre. L'histo
ctuelle paraît remonter à 1891. A cette époque il éprouva de fortes douleurs dans toute la région du dos. Ces douleurs sur-
oque il éprouva de fortes douleurs dans toute la région du dos. Ces douleurs sur- venaient surtout la nuit.La première fois
travail. Dans le membre inférieur droit il commença à éprouver des douleurs fulgurantes et des sen- sations de constriction
nt au niveau des genoux. Même constatation pour la sensibilité à la douleur et la sensibilité thermique. Le sens stéréognosti
défaut à droite. EN résumé : Début de la maladie en 1895 par des douleurs dans le dos. Para- plégie spasmodique progressi
ar des douleurs dans le dos. Para- plégie spasmodique progressive ; douleurs fulgurantes et sensations de constriction aux m
ns les articulations des doigts. La lésion ne s'accompagne d'aucune douleur au niveau des jointures ; parfois il a existé q
cune douleur au niveau des jointures ; parfois il a existé quelques douleurs de névrite ou d'artérite dans les doigts, mais
lards (plus de 40 sur 70 cas) déclare n'avoir jamais éprouvé aucune douleur dans les mains ; ils ne se plaignent pas de leur
son maximum sur la phalan- gette ; 3° Sur l'absence constante de douleurs au niveau même des articula- tions des doigts,
ens étaient abolis. Quelque temps avant sa mort, le malade a eu des douleurs atroces qui ont nécessité l'injection de plusieur
. - il n'y a jamais eu de troubles subjectifs de la sensibilité, ni douleurs , ni paresthésies. Au contraire on constate très n
obables, combinées à l'érotisme psychique). Il se plaint parfois de douleurs et de crampes dans les membres et les attribue
très marqués de la sensibilité avec retard dans la trans- mission ; douleurs fulgurantes, nystagmus, myosis avec signe d'Argyl
-quatre ans. Atrophie musculaire avec troubles de la sensibilité et douleurs fulgurantes, ayant débuté à l'c £ ge de quatorze
membres inférieurs et supérieurs, dans les inférieurs surtout, des douleurs très pénibles qui lui traversaient les membres
ment de la plante du pied n'est presque pas senti. Sensibilité à la douleur , très altérée également.- Il existe un retard n
. , Membres supérieurs. Les différents modes de sensibilité, tact, douleur , température, sont également altérés ; l'altéra
faisant. Pas de lésions viscérales. Puissance génitale conservée. Douleurs fulgurantes. Depuis l'âge de dix-sept ans, le mal
de dix-sept ans, le malade ressent dans les membres inférieurs des douleurs ayant tous les caractères des dou- leurs fulgur
ractères des dou- leurs fulgurantes, comme rapidité et intensité de douleur . Il lui arrive assez souvent, lorsqu'il marche,
ANCE 483 rieurs, tantôt dans le droit, tantôt dans le gauche, d'une douleur lancinante extrêmement intense, parcourant le m
e extrêmement intense, parcourant le membre du haut en bas. Cette douleur est tellement aiguë qu'elle l'arrête brusquement
ses jambes s'affaisser sous lui et qu'il tombe à terre. Au lit, ces douleurs se manifestent également et quand il les ressen
nt, il met instinctivement ses jambes en extension. La durée de ces douleurs est de quelques secondes, elles surviennent assez
viennent assez fréquem- ment, deux à trois fois par semaine. Pas de douleurs constrictives ni téré- brantes. Pas de douleurs
par semaine. Pas de douleurs constrictives ni téré- brantes. Pas de douleurs dans les membres supérieurs. L'intelligence du
érieurs a également augmenté. Les troubles de la sensibilité et les douleurs fulgurantes présentent autant d'acuité qu'autre
ntes présentent autant d'acuité qu'autrefois. Lorsqu'il ressent ces douleurs , il tombe générale- ment à terre. La cypho-sc
retard dans la transmission, diminuant de la périphérie au centre. Douleurs fulgu- rantes. Incoordination très nette des me
de bas en haut. La malade actuellement ne ressent aucune espèce de douleur . Pendant plusieurs anuées, elle a souffert dans
Pendant plusieurs anuées, elle a souffert dans la cuisse gauche de douleurs ayant tous les caractères des douleurs fulguran
ert dans la cuisse gauche de douleurs ayant tous les caractères des douleurs fulgurantes. Au tronc et à la face la sensibili
soeurindemnes.Pas desyphilis(PI.LXXIII A et B). Sensibilité. Pas de douleurs spontanées, fulgurantes ou autres. 1° Sensibili
ente peu à peu de bas en haut comme à droite. 2° Sensibilité à la douleur examinée à l'aide d'une épingle. Membres inféri
ide d'une épingle. Membres inférieurs. A droite la sensibilité à la douleur est abolie au pied dans la mêmeétendue que pour
en et la région fessière supérieure. A gauche la sensibi- lité à la douleur n'est abolie complètement que dans les deux tiers
ion enfin de ces troncs nerveux, même intense, ne ré- veille pas de douleur . Il existe en effet, dans la névrite interstitiel
ans ; à 11 ans, rougeole puis scarlatine. ' Débuta 25 ans par des douleurs interscapulaires exaspérées par les mouve- ment
, les jambes « raides comme des barres de fer ». Le repos calme les douleurs ,que réveillent des bains sulfureux : il n'y ava
n flexion, ne peu- vent quitter le plan du lit, et sont le siège de douleurs intermittentes. Clonus. Pas de troubles sensiti
ur un éperon osseux (1). Femme de 77 ans. Début à l'âge de 70 ans : douleurs et cyphose dorsale, sciatique double et paraplé
des- tructives siégeant à ce niveau. Cas. III (n° 874). Après des douleurs rachidiennes ayant duré plusieurs mois, paraplé
if, lorsque 3 semaines après son dernier séjour à l'infirmerie, les douleurs redoublèrent, pendant que les jambes s'affai- b
nie la syphilis et l'alcoolisme. Début à 58 ans, par des'crises de douleurs lombaires, irradiées en ceinture; -, elles sont
rès, s'y ajoutent un engourdissement (sensation de froid), puis des douleurs diffuses dans les membres inférieurs, qui s'affai
i s'affaiblissent. Les troubles moteurs progressent, tandis que les douleurs diminuent. 14 mois après le début, elle entre d
et dont la malade ignorait l'existence. Quinze jours plus tard, les douleurs des membres inférieurs se réveillent, plus viol
e deux fois et diagnostiquée péritonite tuber- culeuse. ' 55 ans, douleurs lombaires vagues, exagérées par la marche, la sta
, ciémastérien nul à droite, faible à gauche, abdominal nul. Pas de douleur spontanée ou pro- voquée. Légère hyperesthésie
p fati- guée, une jeune femme de 23 ans est prise tous les soirs de douleurs diffuses dans la colonne vertébrale, avec irrad
paraissent à plusieurs reprises pendant 4 mois,puis surviennent des douleurs qualifiées de sciatique ; la région lombaire est
diation le long de la face postérieure des membres inférieurs ; ces douleurs , surtout nocturnes, de- viennent intolérables,
près, il entre dans le service de M. le professeur Raymond pour ces douleurs , qui ont le caractère d'une sciatique double, son
lantaire, nul à droite, flexion à gauche ; crémastérien faible. Les douleurs persistent nuit et jour; le malade se cachectise,
en bonne santé, ressentit dans les reins un craquement et une vive douleur qui disparut-au bout de 15 jours. Mais, 15 autr
ico-rectale avec frigidité. 6 semaines plus tard, recrudescence des douleurs qui, au bout d'une quin- zaine de jours, dispar
ire, se.met tousser à l'âge de 55 ans, et éprouve dans la nuque des douleurs qui, bientôt, irradient dans le bras droit, et so
nes el, à un degré plus léger. la moelle. Evolution en 6 mois 1/2 ; douleurs rndicu- laires des membres supérieurs ; à la pé
s, pleurésie ayant duré 8 mois. A 47 ans, tortico- lis gauche, avec douleurs irradiées, d'abord dans le bras gauche, 2 mois ap
qu'il tient croisés, et ne peut se coucher dans un lit à cause de la douleur : il passe ses nuits sur un fauteuil ; les bran
. Evolution en 4 mois 1/2. Femme de 48 ans. Début par des crises de douleurs lancinantes, cervico- dorsales, avec irradiatio
862). - dlal de Pott dorsal inférieur se traduisant par de simples douleurs névralgiformes lombo-sacrées, et succédant à des
mois sous l'influence du traitement spécifique, lorsqu'il fut pris de douleurs dor- solombaires exagérées parla marche, les tr
mis à la Salpê- trière,il y demeura 6 mois présentant seulement des douleurs névralgiques dans le domaine des plexus lombair
s t'age de 30 ans un mal de Pott dorsal avec gibbo- sité. A 50 ans, douleurs vagues dans les memhres supérieurs, affaiblisseme
orax ; le tronc est raide, ses mouvements douloureux; il existe des douleurs thoraciques vagues; au palper les apophyses épine
lument avec le siège des lésions osseuses ; dans l'obervation V, la douleur spontanée et provoquée, la raideur,semblaient i
ue la carie détruisait le corps de la VIIIe vertèbre dorsale. Les douleurs rachidiennes du début n'ont pas manqué une seule
'observation XII, la myélite syphilitique n'avait occasionné aucune douleur rachidienne ; après sa guérison, le mal Pott ét
guérison, le mal Pott était apparu, annoncé, dès son début, par des douleurs rachidiennes. Les douleurs radiculaires s'ajout
apparu, annoncé, dès son début, par des douleurs rachidiennes. Les douleurs radiculaires s'ajoutent presque toujours aux préc
ble ou simple avec laquelle elles sont- souvent con- fondues. Ces douleurs radiculaires du début sont, en général, en rappor
xion des deux côtés. Le malade disait moins sentir le contact et la douleur à droite qu'à gauche, alors que la (1) V. BA131
28 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
diagnostic porter. Il y a sept ou huit ans, la malade a éprouvé des douleurs sourdes dans l'épaule et dans le coude du côté
ouleurs sourdes dans l'épaule et dans le coude du côté gauche ; ces douleurs se sont reprodui- tes principalement au moment
t le dos de celles-ci ; le tout persistait environ 24 heures. Ces douleurs , que la malade met sur le compte du rhumatisme on
u lieu pour le précédent, n'a pas occasionné à la malade la moindre douleur , pas même au moment où il a fallu l'inciser. A
deux des manières d'être de la sensibilité, sur la sensibilité à la douleur (analgésie), ou sur la sensibilité au chaud et
éresse la sensibilité tactile en même temps que la sensibilité à la douleur , au chaud et au froid, rend vraisem- blable l'e
ises que ses jambes se déro- baient sous elle. A la même époque des douleurs fulgurantes apparurent- aux membres inférieurs
tes apparurent- aux membres inférieurs en particulier à gauche. Ces douleurs procédaient par crises : pendant deux mois elle
istent encore mais très atténuées. En même temps apparaissaient des douleurs fulgurantes le long du bord cubital du bras et
et particulièrement du genou gauche. Il existerait encore quelques douleurs à type fulgurant. La région cubitale n'est plus d
ensation de constriction thoracique n'a pas reparu. En général, ces douleurs se manifestent par crises et surtout au moment
e manifestent par crises et surtout au moment des époques. Quelques douleurs à type fulgurant existeraient dans la ré- gion
gnes non moins importants : le dérobement des jambes, les crises de douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs souvent
Tous ces phénomènes V... lésa a présen- tés. Elle a eu de plus des douleurs à type fulgurant dans la zone occipitale. Si ch
s les symptômes douloureux et moteurs existant jadis. Les crises de douleurs fulgurantes se sont amen- dées. La constriction
d'uré- thrite postérieure et de cystite du col, confirmée par de la douleur du côté de la vessie, et une vingtaine de micti
paru les arlliropalbics du côté des doigts de la main droite, et la douleur du talon, que nous allons étudier tout a l'heure.
raison appréciable, sans malaise, sans traumatisme antérieur, de la douleur , de la rougeur et de la tuméfaction ont apparu
et de la tuméfaction ont apparu du côté de cette articulation ; la douleur n'a jamais été très violente, presque nulle qua
raissait dès le début ; elle n'a jamais disparu, mais tandis que la douleur et la rougeur allaient en s'amen- dant pour dis
is tandis que la rougeur, la tuméfaction étaient presque nulles, la douleur fut cette fois le symptôme dominant, peu durabl
les mouve- ments sont pourtant presque intacts et ne provoquent ni douleurs , ni craque- ments. Les déformations métacarpo
peu lourds ; pour ex- pliquer cette faiblesse des mains le symptôme douleur suffit largement. Mais alors que toute douleur
es mains le symptôme douleur suffit largement. Mais alors que toute douleur avait disparu, le malade n'a pas pu davantage se
oujours facile de remarquer que taudis qu'il aura a provoquer de la douleur en serrant avec la main droite on sent ;i peine s
e en se levant et en posant ses pieds par terre ressentit une telle douleur au niveau des 2 pieds qu'il lui fut impossible
lui fut à nouveau impossible dose lever. En même temps apparut une douleur lancinante partant du talon, comme si elle trav
ire il un nouvel accès de rhumatisme et resta huit jours au lit. La douleur pourtant devenant moins vive et l'enflure dispa-
issant il voulut retourner il son travail, mais depuis, quand môme la douleur a persisté, elle gêne sensiblement le malade ob
resté 9 jours dans ce service, il est ressorti alors et c'est cette douleur qui l'a décidé alors à être admis dans ce servi
ouleur qui l'a décidé alors à être admis dans ce service. - Cette douleur , comme nous venons de le voir, a deux sièges. 1
moyen et du tiers externe de la zone inférieure du talon. 2° Cette douleur estl'éll'ocalcanéenne, siégeant au niveau de l'in
en- don d'Achille sur le calcanéum. Aujourd'hui ce n'est plus une douleur continue mais elle est provoquée par le toucher
toucher en posant le pied sur le sol, c'est alors un élancement, une douleur lancinante, s'irradiant jusque dans le mollet.
cun doute à la lésion des bourses séreuses, et au- jourd'hui que la douleur a diminué, que l'écoulement est tari, les muscles
sément de ses mains, s'il n'a pu mar- cher, ce n'est d'abord que la douleur qui l'en a empêché, c'est la douleur seule qui
cher, ce n'est d'abord que la douleur qui l'en a empêché, c'est la douleur seule qui l'empêche encore de se servir facilem
ieure, et c'est là une raison nouvelle qui est venue s'ajouter à la douleur pour empê- cher le malade de se servir aisément
iennent sans aucun doute à la dou- leur du talon. Il n'y a pas de douleur autre que celle dont la cause nous est connue ; i
e que celle dont la cause nous est connue ; il n'y a pas d'accès de douleurs notamment. 1 La sensibilité sous ses trois form
line ». La blessure est sérieuse. Mais le héros souffre moins de la douleur physique que de l'inaction où il se voit condam
ue le peintre s'est efforcé d'exprimer celte lutte intérieure. La douleur du peti t Iule ést aussi très sincère : d'un gest
e postérieure sont contracturés et cet opisthotonos s'accompagne de douleurs vives, continues, qu'exaspère toute tentative d
e). , , z Le 8 janvier ? Même état. Le malade se plaint surtout des douleurs in- tolérables qu'il ressent entre les épaules
ière presque subite en 1892. - - En même temps qu'il ressentait des douleurs en ceinture de la région lom- baire, plus marqu
phénomènes cérébraux. Le membre inférieur gauche devint le siège de douleurs sourdes il pou près constantes coïncidant avec
iège de douleurs sourdes il pou près constantes coïncidant avec des douleurs lombaires et une sensation d'engourdis- sement
mbres inférieurs sont.particulièrement pendant la nuit, le siège de douleurs assez vives pour l'empêcher de dormir. De même
pour l'empêcher de dormir. De même il existe, par intervalles, des douleurs en ceinture que les mouvements de flexion et d'
e long du corps mais ces mouvements passifs ne déterminaient aucune douleur ; il n'y avait pas non plus de raideur. musculai
compagnant de strabisme et d'attaques épileptiques.Sur- vinrent des douleurs dans les membres inférieurs avec phénomènes spas-
ans, début de l'affection par de la raideur dans les jambes et des douleurs déchirantes sur le dos des pieds dès qu'il marcha
forts mais non très exagérés. Conformation défectueuse du crâne et douleurs de tôle. Pour Friedmann ces 2 cas, nous l'avons
e développée. Vers t'age de 6 ans, elle a commencé à se plaindre de douleurs dans les régions dorsale. et épigastrique qui l
) les yeux en dehors due il la participation de la 6° paire. Pas de douleurs dans la colonue vertébrale. Incontinence absolu
es et des matières fécales. Parait intelligent, ne se plaint pas de douleurs ; tète fraiclie, langue rouge par places, pouls
t que sa'vue est meilleure qu'elle ne l'a été depuis des mois. Pas de douleurs de tête. 5 novembre. Sensibilité des doigts e
ité. Il a essayé de se tenir debout hier, ce qui a causé une grande douleur dans les genoux. Même état des sphincters, mais
aides. , Le 25, on le transporte dans un service d'hôpital ; pas de douleurs ; il pou- vait soulever ses jambes du plan du l
nt distinguer cor- rectement les objets à 2 mètres de distance ; ni douleurs de tête ni vomisse- ments. Troubles de l'arti
e le- vant,de vomissements avec hématémèses s'accompagnant de vives douleurs d'es- tomac qui ne furent calmées que par la mo
moire conservée ; intelligence nette, pas de maux de tête. Pas de douleurs spontanées à caractère fulgurant ; quelquefois do
ête. Pas de douleurs spontanées à caractère fulgurant ; quelquefois douleurs dans le bras gauche avec engourdissement des do
- Depuis les premiers jours de février 1896, la malade se plaint de douleurs dans le bras gauche. Ces douleurs ont leur point
rier 1896, la malade se plaint de douleurs dans le bras gauche. Ces douleurs ont leur point initial au niveau de l'épaule, d
'avant-bras et du pli du coude. Le 28 février, la malade se plaint de douleurs dans la nuque et aussi dans la région frontale
on frontale au niveau de la racine du nez entre les 2 sourcils. Les douleurs de la nuque ne tardent pas il disparaître. Trai
it locaux. En 1891, habitant un logement humide, elle aurait eu des douleurs dans le cou et les membres, mais sans gonflemen
nsibles qu'auparavant à la piqûre. En même temps, se montraient des douleurs sourdes dans la région lombo-sacrée. Elle avait
s sourdes dans la région lombo-sacrée. Elle avait déjà ressenti ces douleurs au mois d'août 1894, étant aux bains de mer, ma
nvier 1895, ne durèrent pas plus de 8'jours. Le 11 mars 1895, les douleurs de la région lombo-sacrée revinrent plus vives
tte époque, les phénomènes s'aggravèrent rapidement ; toutefois les douleurs de la région lombo-sacrée s'amoindrirent sous l'i
période de 14 mois, où on la traita pour de la chloro-anémie et des douleurs dites rhumatoïdes ( ? ). La maladie actuelle se
sa hauteur dans la rue et ne ressentit immédia- tement que quelques douleurs de contusions dans la hanche gaucho sur la- que
hanches. En 1888, elle entre dans le service de M. C. Paul pour des douleurs dites rhumatismales et l'aménorrhée que nous av
et qui dure 14 mois. A la fin de cette année, elle ressent de vives douleurs dans le genou droit qui devient le siège d'un o
ns aujourd'hui. Depuis 1888, chaque hiver, la malade se plaint de douleurs articulaires, mais ce n'est en réalité qu'en 18
n réalité qu'en 1894 qu'elle entre à St-Antoine,chezM.Hayem,pourdes douleurs fulgurantes des membres inférieurs, des douleurs
hezM.Hayem,pourdes douleurs fulgurantes des membres inférieurs, des douleurs en ceinture, abdo- minales, et enfin des vomiss
ité semble partout conservée et dans tous ses modes : au tact, à la douleur , à la température. Toutefois, il existe un retard
a des vomissements entre les repas, accompagnés d'a- norexie et de douleurs assez vives. Rarement les vomissements sont alime
nt alterné cette année avec des crises diarrhéiques accompagnées de douleurs abdominales toutefois, si les besoins étaient fré
e- puis quelque temps, en effet, les dents tombent sans cause, sans douleur , la malade les cueille pour ainsi dire ; celles
se voûtait et qu'il ne pouvait se redresser sans éprouver de vives douleurs . D'ailleurs une douleur permanente s'y installa
ouvait se redresser sans éprouver de vives douleurs. D'ailleurs une douleur permanente s'y installa peu après au niveau de la
ris où on l'a toujours gardé couché. A aucun moment il n'a senti de douleurs dans les membres inférieurs. La cyphose s'est a
« un grand écart », salis qu'il en résulte pour lui ni fatigue, ni douleur . Cette attitude, qui démontre la distension des
rts de l'opérateur ne pèsent l'augmenter. Ce n'est qu'au prix d'une douleur très rapidement insupportable que l'ouverture max
evant qu'une résistance légère, et sans que le sujet ac- cuse de la douleur . Le membre ayant atteint l'attitude maxima, le su
tionnelles. En éliminant tous ceux chez qui des contractures ou des douleurs rendent ce mouvement particulièrement difficile
es muscles qui relient l'ischion au tibia et au péroné (1). Cette douleur amène tout aussitôt une contraction énergique de
léchit les jambes sur les cuisses, le même mouvement s'exécute sans douleurs , car la distension ne se produit plus. La souffra
autre pétéchie sur le reste du corps, ni sur les muqueuses. Pas de douleur ; sensibilité de la peau intacte. Il existe un oed
autour de la racinedes poils, non modifiées par la pression. Pas de douleurs , pas d'éruption dans les autres régions, intégrit
par le sort. Bientôt sa maladie empira. Ce furent d'abord d'atroces douleurs dans ' les reins et dans le bas-ventre qui empê
arla bouche; cette liémorrlia-ic n'était accompagnée d'aucune forte douleur , et la malade qui était souvent obligée de remu
nt accompagné la première hémorrhagie, la malade ressentit de vives douleurs dans les reins et « la vessie, et elles se trou
dans les reins et « la vessie, et elles se trouvèrent accompagnées de douleurs et de picotements dans l'urèthre en urinant, et
laisser aller dans le lit, comme je l'ai déjà fait observer. Les douleurs de reins et de la vessie, étaient si aiguës, qu'e
ue tous ceux qui avaient déjà paru. Geneviève Martin, tourmentée de douleurs qui duraient 3, 4, 5, ou même 6 heures de suite
elle n'a pas rendu de pierres. Elle ne laissait pas de souffrir des douleurs continuelles, qui lui faisaient jeter de grands
e de la sentir, ou aussitôt qu'elle la sentait venir. , Enfin les douleurs excessives que souffrait Geneviève, et les symptô
RAPU1E DE LA SALPÊTRIÈRE d'une grosseur qui parait dans les grandes douleurs et qui se dissipe avec elles. Le 31 mars, on
t-à-dire à la fin de novembre, la malade se plai- gnit de nouvelles douleurs dans les reins, dans la nuque du col, et dans tou
it plutôt rompues que de les plier. La malade déclarait de plus des douleurs très vives le long de l'épine du dos ; enfin el
e 6 septembre, ne fut plus huit jours sans être assaillie des mêmes douleurs et des mêmes symptômes, qui indiquaient le besoin
ondamment et si promptement, était décidée il ne plus ajouter à ses douleurs ordinaires celles de l'opération. En 1751 elle
é, mais ces accidents ont été rempla- cés par une strangurie et des douleurs qui ont été presque continuelles. Au mois d'oct
ut saisie occasionna une suppression laquelle se joignit une grande douleur d'estomac; un accablement qu'elle ressentait de
nt observer de près cette fille pour \ constater son état, mais les douleurs dont elle était tourmentée, étant tout d'un cou
'est point réellement. Le lendemain, après avoir senti de nouvelles douleurs , une autre pierre à peu près de la même forme,
ais en petite quantité, et seu- lement par gorgée, et même dans ses douleurs . '. Rarement on lui donne des narcotiques, ce.
nt guère. Elle souffre con- tinuellement et quoique le temps de ses douleurs varie beaucoup, on observe cependant qu'en géné
ns dans le jour, et que vers les quatre ou cinq heures du soir, les douleurs paraissent se réveiller, et durent jusqu'à dix
convulsions ; que les uns et les autres étaient l'effet des grandes douleurs qu'elle souffrait et qui s'arrête- raient dans
attait la campagne. A minuit, dans l'effort d'un vomissement et une douleur très aiguë, on en- tendit tomber quelque chose
nsidérable, sensible au pouls, elle se plaignait néanmoins de vives douleurs , principalement dans les jambes, je lui ordonna
re de safran. Le 18 au matin, la malade me déclara avoir de grandes douleurs au talon, elle me dit que ses urines ne coulaie
d'une nouvelle pierre. Dans-la journée -elle souffrit beaucoup, ses douleurs et ses convulsions ne la quittèrent point. Je
te sur les faits et articles qui y sont énoncés. Le 20 octobre, les douleurs que souffrait la malade étaient excessives en ap-
été introduites à nu dans la vessie ». Geneviève; pour éviter la douleur qu'eût nécessairement causée l'in- troduction d
malade n'a jamais eu de véritables coliques néphré- tiques. - Les douleurs qu'elle accusait dans la région lombaire et dans
ections qui peuvent donner le change; coliques ordinaires, lumbago, douleurs rhumatismales, calculs stercoraux, hémorrhoïdes
ierres, soit par en haut, soit par en bas, « Ge- neviève ne sent ni douleur ni travail dans les parties qui devaient souffrir
urs heures, faisait de vains efforts pour uriner, accusait de vives douleurs dans la vessie et dans l'urèthre. Une attaque c
ite fort à propos : « Non seulement là maladie hystérique cause une douleur très vive quand elle s'attaque à la vessie, mais
es présentant les mêmes symptômes que la Fille de St-Géosmes. Les douleurs vésicales de Geneviève provoquaient généralement
e la transporter à Paris pour la faire examiner par la Faculté, ses douleurs ,devinrent tout d'un coup si violentes qu'on dut
femme malade à l'hôpital de la Salpêtrière, se plaignant de grandes douleurs aux reins et à la vessie, donnait tous les jours
r de son- der la malade ; elle s'y opposa, par la seule crainte des douleurs , à ce qu'elle prétendait. ' M. Tenon, pour dé
t parfaitement conservée, sur tous les points du corps. Il n'y a de douleurs d'aucune sorte : pas de sensations de froid, d'
ns après le chancre syphilitique. Dès le début, B... a ressenti des douleurs attribuées à du rhumatisme, mais dont il est fa
est facile de reconnaître le véritable caractère ; il s'est agi de douleurs fulgurantes marquantla phase 'initiale du tabes.
tique à 17 ans mal soigné, qui entre dans le tabes à 23 ans par des douleurs fulgurantes auxquelles s'ajou- tent plus tard l
n'a eu pendant ce temps de perte de la sensibilité au tact ni à la douleur . Seuls les mouvements suivants ne pouvaient être
nt difficiles, mais les mouvements passifs sont très possibles sans douleur et avec une amplitude remarquable. Bref, on se
pousse des cris lamentables. Les plis de ses sourcils traduisent sa douleur , ses yeux s'écarquillent d'effroi, ses lèvres r
nt il faut aviver les bords.. ? d'une audacieuse révulsion pour une douleur rebelle.. ? Les renseignements fournis par la p
l'instrument ou ne se blesse à la figure. Mais il n'opère pas sans douleur . L'attitude du patient le prouve surabondam- me
croisées sa jambe droite repliée contre son corps. Il hurle sous la douleur : fronçant le nez, plis- sant le front, contrac
étaient abolis, ainsi que le réflexe plantaire. La sensibilité à la douleur était conservée. On prescrivit com- me traiteme
tte fillette n'a jamais présenté et ne présente pas actuellement de douleurs spontanées. Vous remarquerez qu'elle n'accuse p
leurs spontanées. Vous remarquerez qu'elle n'accuse pas non plus de douleurs quand on lui comprime les muscles, en particuli
ce qu'on entend par ces mots. Vous savez qu'on désigne par là, une douleur provoquée en soulevant le memhre inférieur préa
malades ressentent une très grande faiblesse dans les membres; des douleurs , des fourmillements, des picotements, de l'engo
dans les avant-bras, dans le dos. Parfois aussi ils ressentent des douleurs spontanées qui revêtent des caractères particul
Fila. 35. 332 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE tre, les' douleurs , les contractures paralytiques des mains et des p
sement, fourmillements, piqûres et brûlures dans les jambes, fortes douleurs rhumatoïdes dans les épaules. Bientôt ces sensa
out de dix jours elle ne pouvait plus marcher. Elle se plaignait de douleurs dans les bras et dans les membres inférieurs. L
res inférieurs. La pression des muscles et des nerfs exaspérait ces douleurs . La paralysie envahit les membres supérieurs. Il
fut suspendu. Déjà à cette époque la jeune fille avait ressenti des douleurs dans les membres ; plus tard ses pieds et ses mai
nt para- lysés ; les jambes sont devenues le siège de crampes et de douleurs qui irradiaient jusque dans le bassin. On a con
les que l'abolition du phénomène du genou, le signe de Romberg, des douleurs lancinantes, de l'anesthésie, et jusqu'à des tr
nique. Elle a eu d'abord des nausées, sui- vies de vomissements, de douleurs à l'épigastre et dans le bas-ventre, de selles
ssements, four- millements, picotements aux extrémités des membres, douleurs violentes qui empêchent les malades de dormir,
malléoles et à la face dorsale du tarse.Les malades se plaignent de douleurs dans les chairs, comparables à celle que dévelo
d, t. IV, 1 p. 593. 344 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE douleurs caractère lancinant. Cette ataxie arsenicale, don
es de pares- thésie, engourdissement, fourmillements, etc., par des douleurs qui peu- vent être très violentes. Dans les deu
dans les deux cas, les troubles de la sensibilité, mais surtout les douleurs spontanées, l'hyperes- thésie superficielle et
s douleurs spontanées, l'hyperes- thésie superficielle et profonde ( douleurs à la pression des muscles et des nerfs) tiennen
sisté sur l'utilité des applications de sable chaud pour calmer les douleurs . Une fois passée la phase douloureuse ai- gué,
D'autre part, cette malade présente une anestliésie complète (tact, douleur , température) dans les régions suivantes : 1°
nsitifs uniquement digitaux. Subjectifs, ces troubles consistent en douleurs spontanées, cryesthésie, etc. ; objectifs, ils af
différente dont l'ensemble exprime à merveille l'effet désiré : la douleur et l'effroi du sujet. Du côté droit, l'oeil m
ndons pas à Brouwer de nous dire plus qu'il ne veut. Une grimace de douleur et d'effroi contrastant avec un masque sévère,
29 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ommée L..., âgée de 48 ans, est entrée il l'hôpital se plaiguant de douleurs vives dans la tête, le cou et les épaules et de f
t une métrite; à 3S ans elle souffrit durant quatre mois et demi de douleurs dans les articulations des épaules et quelques mo
efforts douloureux, sans être toutefois précédés ni accompagnés de douleurs épigastriques. La malade tomba rapidement dans
rendit rapidement la station difficile. En même temps survinrent des douleurs dans les membres et la ceinture et la malade fu
; tantôt il s'agit de simples engourdissements, tantôt ce sont des douleurs lancinantes constrictives, véri- tables douleur
tantôt ce sont des douleurs lancinantes constrictives, véri- tables douleurs en ceinture. L'examen de la sensibilité objective
té objective nous montre l'existence d'une légère hypoeslhésie à la douleur au niveau de la partie supé- rieure du tronc da
uents et vio- lents s'accompagnant de sensation de battements et de douleurs dans la nuque, le cou et les épaules. Il exis
use. La sensibilité profonde paraît intacte. La malade se plaint de douleurs dans les épaules et la région cervicale de la c
s dans les épaules et la région cervicale de la colonne vertébrale, douleurs qu'exagèrent les moindres mouvements des membre
le, douleurs qu'exagèrent les moindres mouvements des membres ; les douleurs lancinantes des membres inférieurs et les doule
es membres ; les douleurs lancinantes des membres inférieurs et les douleurs constrictives du début ont disparu. On peut pro
légère céphalée aux tempes et à la nuque, surtout la nuit, quelques douleurs dans l'épaule et le genou droit, sans gonflemen
symptômes morbides pendant les 12 premières se- maines ont été des douleurs lancinantes coliques dans le côté droit et dans l
7, 8, 9 et à un degré moindre au niveau des vertèbres 10 et il. Les douleurs au début n'apparaissaient que de nuit, pour dur
ure, interrom- pant le sommeil ; pour trouver un adoucissement à la douleur , le malade devait se lever et marcher. L'intens
la douleur, le malade devait se lever et marcher. L'intensité de la douleur , sa localisation restèrent invaria- traitement
au niveau de la zone doulou- reuse. La névrotonomie pratiquée, les douleurs disparurent du côté du dos ; elles persistèrent
re, au niveau des vertèbres 6, 7, 8, 9, 10 du thorax. Parfois les douleurs avaient, tout comme à la période initiale, le car
froid. Dans cette même période, le malade res- sentit les premières douleurs sous forme d'arrachement au pied et dans les ge-
plaint principalement de la paralysie des membres inférieurs et de douleurs continues, d'intensité notable, sur le devant et
direction des vertèbres 7, 8, 9 et 10. Il éprouve souvent de vives douleurs à la surface du ventre, dans les environs du no
lusivement. Les mouvements plus vifs du tronc sont accom- pagnés de douleurs , accentuées dans les endroits indiqués ci-dessus.
sur le côté, sans aide ; toute tentative dans ce sens provoque une douleur intense dans le côté droit et dans la colonne v
rtèbres dorsales 6, 7, 8, 9, 10 ; aux mêmes endroits il éprouve une douleur aiguë lorsque, dans la position assise, on appu
la position assise, on appuie sur les épaules et la tête; alors la douleur est plus forte dans la région au bas du mamelon
ent est de plus en plus douloureuse ; à partir de la 8a vertèbre la douleur faiblit ; ver- 38 ROTSTADT tèbres lombaires s
tèbre la douleur faiblit ; ver- 38 ROTSTADT tèbres lombaires sans douleur . La pression du thorax sur les côtes et sur le
et sur le devant, surtout à l'apophyse xyphoïde, provoque aussi des douleurs aux en- droits mentionnés plus haut ; la pressi
lonique ; des deux côtés phénomène de Babinski. La sensibilité à la douleur , et à la chaleur est complètement annihilée dep
dans un sens quelconque, après quoi l'état empira sérieusement, les douleurs dans les genoux et dans les pieds augmentèrent
embre gauche plus forte, cependant moindre que dans le droit. 25. - Douleurs constantes dans les endroits indiqués plus haut.
roits indiqués plus haut. Ainsi donc un homme de 51 ans ressent des douleurs dans le côté droit et dans la moitié droite du
es douleurs dans le côté droit et dans la moitié droite du dos; les douleurs persistent pendant 12 se- maines dans un endroi
e de la cage thoracique, commencent à se faire sentir sous forme de douleur fixe, entourant le bas du thorax. Peu après app
mmencement de la maladie) présente les traits principaux suivants : douleurs persistantes à l'endroit indiqué, surtout au cô
complète des membres inférieurs, suppression de la sensibilité à la douleur , au chaud et au froid et affai- blissement pron
le rôle prépondérant dans le développement du tableau clinique des douleurs persistantes au côté droit, à type radiculaire,
les orteils du pied gauche ; redresse tant soit peu le genou droit. Douleurs dans les jambes. La limite supérieure de l'insens
s du pied gauche, il remue légè- rement les orteils du pied droit ; douleurs en ceinture au niveau de l'endroit opéré, doule
du pied droit ; douleurs en ceinture au niveau de l'endroit opéré, douleurs dans les membres inférieurs. 25. Le malade remu
réflexes abdominaux et crémastériens très faibles. Sensibilité à la douleur , au toucher et à la chaleur affaiblie depuis la
t la force est relativement suffisante. Sensibilité tactile et à la douleur ; le sens musculaire revient à l'état normal ;
tes, fait quelques pas sans appui. De temps en temps il éprouve une douleur dans la moitié droite du thorax, et accidentell
linique, avant le traitement, les phénomènes principaux étaient des douleurs localisées très exactement dès le commencement
leurs localisées très exactement dès le commencement de la maladie, douleurs persistantes fixes. Ces douleurs, pen- dant 12
dès le commencement de la maladie, douleurs persistantes fixes. Ces douleurs , pen- dant 12 semaines ont été le seul indice d
ssus initial, mais encore latent de la compression médullaire ; ces douleurs devinrent à juste titre, comme on l'a vu après,
ncipal de l'endroit comprimé, car le malade se plaignait surtout de douleurs au niveau de la 5e côte à droite et la tumeur app
te spasmodique des extrémités inférieures et l'insensi- bilité à la douleur , à la chaleur et au toucher, avec limite segmenta
juillet 1910, ressent pour la première fois, en no- vembre 1910 une douleur au côté droit, au niveau du passage des côtes 8,
ôté droit, au niveau du passage des côtes 8, 9, 10, 11. Dès lors la douleur réapparaît transitoire, mais de plus en plus fréq
it indiqué. Toutefois la localisation exacte commence à varier ; la douleur gagne la ligne médiane du dos, apparaît dans la
, 11. Dans la même période apparaît, bien définie, une sensation de douleur en ceinture, large de 7-8 centimètres, dans la
DT moitié inférieure de la cage thoracique. Vers la fin de mai, les douleurs aug- mentent ; plus prononcées pendant la march
be gauche. Le malade,contraint sou- vent à s'aliter par suite de la douleur , cesse de travailler. Depuis quelques mois il u
s mouvements vifs, volontaires ou passifs, provoquent souvent de la douleur dans les endroits indiqués plus haut. Le malade
uleur dans les endroits indiqués plus haut. Le malade supporte saus douleur la pression exercée sur la tête et les épaules
D. I. E plus ou moins) jusqu'aux pieds inclusivement. 31 août 1910. Douleurs au côté droit le long de la ligne axillaire, des
extension, immédiatement suivi le lendemain, d'une augmentation des douleurs . TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELL
uleurs. TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE 43 3 3. - Douleurs violentes ne cédant pas après le retrait de l'app
on d'urine. Ainsi donc un homme de 56 ans, ressent subitement une douleur au côté droit, douleur qui augmente d'intensité
c un homme de 56 ans, ressent subitement une douleur au côté droit, douleur qui augmente d'intensité, gagne le côté gauche pu
basse de la cage thora- cique au niveau des vertèbres 8,9,10,11; la douleur cependant est toujours plus forte au côté droit
t ; phénomène de Babinski bilatéral, la sensibilité au toucher,à la douleur , au froid et au chaud diminue à partir de la li
fluence particulièrement nuisible de l'appareil d'extension sur les douleurs et l'état général du malade, le résultat négati
ns léser l'ensemble du tissu osseux de la colonne vertébrale. Les douleurs , qui tourmentèrent sans cesse le malade, leur loc
anvier 1911. - L'état général empire notablement ; réapparition des douleurs dans le côté droit, dans la région sous-costale.
côté droit, dans la région sous-costale. En mouvement ou au repos, douleurs sur les côtés de la colonne vertébrale, au nive
lombaires ; constipation ; incontinence d'urine à un faible degré ; douleurs dans la région cardiaque; symptômes de réappariti
nus du pied gauche, phénomène de Babinski bilatéral. 4 mars 1911. - Douleur très prononcée dans la moitié inférienre du ster-
leur très prononcée dans la moitié inférienre du ster- num. 10. - Douleurs très violentes an moindre mouvement du tronc et à
dans l'oesophage, souvent même, rejet du liquide ingur- gité. 16. Douleurs dans la ligne médiane de la cage thoracique ; nau
'ingurgitation ; allai blisseirieii général ; manque d'appétit. 22. Douleurs en ceinture dans la partie inférieure de la cage
pation prolongée. Accrois- sement de l'état de faiblesse générale ; douleur légèrement amoindrie dans la région du manubriu
région du manubrium sterni ; médication. Comme nous le voyons, les douleurs , qui font l'objet principal des plaintes du mal
mais cela ne dure guère. Un mois plus tard (16 novembre 1910), les douleurs reprennent à leur endroit ordinaire, comme avan
nvier 1911), le malade recommence à marcher plus difficilement. Les douleurs reprennent dans la cage thoracique, le long du
s symp- tômes de parésie des extrémités inférieures et la série des douleurs dans les endroits indiqués, on pouvait supposer
ans les endroits indiqués, on pouvait supposer malgré tout, que les douleurs dans la région du manubrium sterni et dans sa l
ôpital, le malade se trouve encore plus mal. Simultanément avec les douleurs sous forme de piqûre, de brûlure, dans les pied
astérien faible, absence de symptômes abdominaux ; sensibilité à la douleur , au toucher et à la chaleur affaiblie à partir
côté et dans la direc- tion du manubrium sterni, cause une violente douleur . Douleurs dans la ré- gion sacrée et dans celle
ans la direc- tion du manubrium sterni, cause une violente douleur. Douleurs dans la ré- gion sacrée et dans celle des vertè
gue pas toujours exactement-la direction du mouvement des orteils ; douleurs sous le sternum et dans la cage thoracique. 2
respire plus profondément ou fait un faux mouvement, il ressent une douleur dans la région du mamelon gauche ; absence de s
s revient à son état normal ; la trépidation du pied disparait; les douleurs reparaissent cependant dans la région du coeur,
ADT aux côtés, surtout à droite et souvent dans la cage thoracique, douleurs qui, quoique moins fortes, persistent. Quant
15 janvier 1911, indique avoir commencé, fin 1910, à ressentir des douleurs passagères dans les reins, à portée légère. Il y
es paresthésies sous forme de fourmillement. Dapuis trois mois, les douleurs dans le sacrum augmentent, et persistent sans a
crum augmentent, et persistent sans avoir cependant le caractère de douleurs en ceinture, et sans apparaître sur le devant ;
semaine, faible oedème des deux extrémités; depuis plusieurs jours douleurs dans l'aine, rétention com- plète de l'urine. L
ement affaiblie dans les extrémités inférieures ; la sensibilité à la douleur et à la chaleur affaiblie aussi à partir d'une
sement de plus en plus grand de la sensibilité à la chaleur et à la douleur . Dans la suite apparaît la rétention complète d
; pression des vertè- bres lombaires également douloureuse partout; douleurs plus fortes dans la partie sacrée de la colonne
que changement de position et dans les mouvements du tronc; parfois douleurs au côté gauche. La ponction lombaire donna un l
ieures. Ainsi donc une femme de 43 ans, après une courte période de douleurs dans le dos, perd progressivement la sensibilit
vessie ; la constipation augmente. La sensibilité du toucher, de la douleur , du chaud et du froid, décroît à partir de la l
e; sur les extrémités inférieures la sensibilité à la chaleur, à la douleur et le sens musculaire (pieds et orteils) dispar
la tumeur,siégeanten majeure partie en avant,explique pourquoi les douleurs ont joué un rôle secondaire dans le développement
e cours de la maladie, pourquoi elles n'avaient pas le caractère de douleurs radiculaires et en ceinture, et pourquoi elles
malade cesse de marcher, ne quitte pas le lit ; appari- tion d'une douleur insignifiante en ceinture sur la cage thoracique,
de quelques semaines. A cette même époque et pour la première fois, douleurs légères et passagères dans les jambes et sous l
t tressaillement des muscles dans la région lombo-sa- crée ; pas de douleurs ; constipation, parfois incontinence d'urine. E
ibles. Toubles de la sensibilité ; disparition du senti- ment de la douleur et de la chaleur aux membres inférieurs, affaibli
lité tactile, sens musculaires normaux. 52 ROTSTADT 17 mars 1911. Douleurs lancinantes, dans les deux extrémités inférieu-
courant électrique, surtout au côté droit; oedème du pied. 23. - Douleurs au sacrum dans la fesse droite, tiraillement doul
lement douloureux en- tourant la partie basse de l'abdomen. 30. - Douleurs avec tiraillement dans le sacrum, dans les jambes
r intra ou extra-médullaire et de l'autre, le rôle prépondérant des douleurs dans le cours subséquent de la maladie. Du reste
vation IV en effet, durant 9 mois, dès l'origine de la maladie, les douleurs ont fait complètement défaut, malgré la parésie
eur intra-médullaire. Par contre, dans les observations 1 et II les douleurs constantes, à type radiculaire, à force variabl
artant de l'arachnoïde, une tumeur, dont l'énucléation supprima les douleurs , rendant en même temps la santé au malade. Dans
sur les phénomènes de compression en général et sur l'intensité des douleurs en particulier, contribua notable- ment à facil
s troubles cardiaques caractéristiques, apparaissaient toujours des douleurs en ceinture dans la région sous-costale très vi
e dans la région sous-costale très violentes; la disparition de ces douleurs était suivie graduellement de la disparition des
nges ainsi que des racines postérieures à ca- ractère passager. Ces douleurs pouvaient agir par contre-coup sur le muscle ca
our la guérison des symptômes cardiaques en question, ainsi que des douleurs dans la région sous-costale, nous appliquions des
se sentirait après l'opération tout à fait bien sans le retour des douleurs qui, jusqu'alors continuaient à le tourmenter.
gnerons l'appa- rence trompeuse pour le diagnostic différentiel des douleurs dans la cage thoracique, non loin du sternum et
u sternum et à l'endroit de jonction des côtes avec le sternum. Ces douleurs apparaissaient de temps en temps, se ma- nifest
l'attention du malade. La pression sur ces endroits provoquait une douleur encore plus grande, et particulièrement forte,
stata nulle part des métas- tases. Les remèdes ordinaires contre la douleur avaient toujours un résul- tatfavorable, diminu
jours un résul- tatfavorable, diminuant pour un temps plus long les douleurs dans la cage thoracique. Les observations 1 e
compagne plus de vomissements. p) Objective : Superficielles (tact, douleur , chaud, froid), normales partout. Profondes (ba
n voit que la maladie commence brusquement par céphalées continues, douleurs à la nuque et, parfois, de la région lombaire.
des extrémités et du tronc. ' Dans les premières descriptions, les douleurs et les hyperidroses sont signalées comme symptô
les contractions fibrillaires dans des groupes musculaires mais les douleurs et les perturbations vaso- motrices n'ont pas é
également nor- males. , 98 MONIZ Il n'y a pas d'atrophies ni de douleurs dans les muscles qui entrent en con- traction.
e l'après-midi. Et le lendemain à son réveil, elle ressent une vive douleur dans son propre sein droit qui est gonflé et ro
tonnage. La palpation n'efface pas la rougeur diffuse et exagère la douleur qui n'est pas très marquée ; ni empâtement, ni
de pertes des urines, ni de matières, il ne s'est jamais plaint de douleurs dans aucune partie du corps, il n'a pas accusé de
de convulsions épileptiformes, ni de vomissements, encore moins de douleur de tête, ni de vertige. C'est dans ces condit
ne remarque jamais ni contractures, ni spasmes. La sensibilité si la douleur est conservée : l'enfant réagit immédiatement à
s,par des phénomènes irritatifs (contractions des muscles mimiques, douleurs névralgiques dans l'espace de la Ve paire, bourdo
Dans l'anamnèse de mon malade, il n'a pas été démontré, de fait, ni douleurs des troncs nerveux, ni trou- bles vasomoteurs e
es dans les parties périphériques des mem- bres, ni paresthésies ni douleurs , premiers symptômes ordinairement d'une polynév
exercices sportifs, une fatigue aux épaules qui lui causait de vives douleurs . La mobilité anormale de ses épaules a été déco
tous les jours jusqu'au 18 avril. 22. La jeune femme se plaint de douleurs il la partie postérieure du memhre inférieur ga
e douleurs il la partie postérieure du memhre inférieur gauche. Ces douleurs spontanées s'exagèrent .quand oh comprime le pl
u genou, le mollet ou le pied correspondant. Les jours suivants les douleurs augmentent tellement d'intensité, qu'on est obl
dès le début de FIG. 1. 23 NOICA ET ZAUARESCU l'apparition des douleurs , c'est-à-dire que la malade tient le genou légère
lexion est très diminué et l'excitation avec l'épingle réveille des douleurs sensibles à la malade. La sensibilité superfici
icielle objective est conservée pour le toucher, tandis que pour la douleur , il existe de l'hyperalgésie, on constate aussi u
ectrisation avec des courants galvaniques bien faibles. 18. - Les douleurs ont cessé presque complètement, sauf une certaine
la forme bizarre de a de aucun, l'ébauche de e d'environ et du d de douleurs . - Une pareille altération du graphisme a pour
1892, ses troubles urinaires (lenteur de miction), de 1900, et les douleurs fulgurantes, dans les membres inférieurs, de 1902
ant en pleine conscience, l'abolition des réflexes rotuliens et les douleurs lombaires, tous symptômes se rencontrant assez
dies nerveuses le 19 février 1907. Il y a un an qu'il a ressenti des douleurs dans la moitié droite de la nuque, suivies d'ac
moyenne, empesant le linge, s'accompagnant d'oedème du gland et de douleur pendant les mictions. Le capitaine du bateau le
dant cette période de 7 années que quel- ques furoncles et quelques douleurs rhumatismales, localisées à l'épaule et au geno
urs rhumatismales, localisées à l'épaule et au genou du côté droit, douleurs durant deux ou trois jours, survenant au début
une femme âgée de 39 ans, chez laquelle la maladie a débuté par des douleurs articulaires, puis il s'est produit l'in- durat
occupations ; mais, deux mois après l'opé- ration, apparaissent des douleurs rhumatoïdes et un syndrome scléro- dermique.
a cyanose des. extrémités supérieures; peu après elle ressentit des douleurs à l'articulation ÉTUDE RADIOLOGIQUE d'un CAS DE
ntit en même temps une sensation subjective de froid très vif et de douleurs aiguës quand elle touchait l'eau froide. Depuis
ts de flexion et d'extension de la main. Depuis quelque temps les douleurs aux genoux sont devenues continuelles, la peau
erreuse, qui sont adhérents à la peau, ces nodules sont le siège de douleurs fort péni- bles lorsque la malade se met à geno
s deux côtés. Le thorax présente une légère cyphose dorsale, pas de douleur à la pression du rachis. L'examen du système
ateasse. Dans le cas de Derville (4) il y a des fourmillements, des douleurs dans les extrémités, les mains sont froides et
achectique. Mêmes constatations dans le cas de Renou et Dufour (5). Douleurs , (1) Derville, Congrès français de médecine, Li
ans l'observation de Bayle (1) : femme rhumatisante, artères dures, douleurs lancinantes, limitation dans les mouvements arti-
aux plaques sous-jacentes. Enfin la malade de Busi présentait : des douleurs violentes dans les articulations des épaulés, d
la coqueluche pendant l'enfance. A Page de 10 ans elle éprouve des douleurs dans les membres inférieurs, se répétant de temps
plus intensément colorés. La sensibilité tactile, thermique et à la douleur est diminuée dans cette zone. Dans la région vert
le et présentant en outre des phénomènes né- vritiques (paralysies, douleurs ). Ballet et Bauer (10) ont présenté à la Sociét
vocale gau- che, mais sans troubles des réflexes tendineux et sans douleurs fulguran- tes. Le malade niait la syphilis, mai
rant 15 ans ; il vaque à sa besogne jour- nalière sans ressentir ni douleur , ni gêne, ni fatigue. Il y a 9 ans environ, not
s accompagnées de mouvements spasmodiques dans tout le moignon. Ces douleurs , violentes, durent une nuit et deux jours. Depu
N cas DE névrome d'amputation 325 prochent de minute en minute. Les douleurs partent du milieu de la face posté- rieure de l
ison per primam le 10 avril. A dater du jour de l'intervention, les douleurs , sans disparaître complète- ment, s'atténuent b
raître complète- ment, s'atténuent beaucoup. Dès le 10 avril, des douleurs s'installent au point de section du nerf. Compl
nstallent au point de section du nerf. Complètement localisées, ces douleurs s'accompagnent de secousses minimes et très esp
iée encore par des accès d'angine de poitrine. Novembre 191. =Toute douleur a disparu ; le nerf n'est plus du tout sensible
nt-elle, comme facteur de tout premier ordre, dans l'apparition des douleurs ? En terminant, nous attirerons l'attention du
nsibilité n'est pas aussi nette que du côté sain. La sensibilité à la douleur et à la température est diminuée sur tout le cô
ons très anciens). Les cris qu'il pousse ne sont jamais des cris de douleur . Activité générale. En dehors de son excitation
UES DE LA FACE 369 la face. Elle ressentit un jour, sans la moindre douleur préalable, une sensa- tion de tiraillement de l
ndre commotion imprimée à la tête augmentaient considérablement les douleurs ; ces céphalées persistent encore. Enfin la malad
normal. Les céphalées et les insomnies persistent toujours. Pas de douleurs spontanées dans les membres. La malade est re
difficulté. Du côté de la sensibilité subjective, quelques légères douleurs rénales. Depuis une quinzaine de jours la vue a
ine. Leur émission'ne s'accompagne ni de sensation de cuisson ni de douleur vésicaie. xxvi 26 398 KAUZ1ER ET BAUMEL L
éthodiques du côté de la colonne vertébrale n'avaient pas révélé de douleur à la percussion des apophyses épineuses. Il n'y
rs et du scrotum la rougeur était plus intense et s'accompagnait de douleurs et d'un suintement persistant. Enfin, au pourto
Pas de troubles de la sensibilité objective. Le malade se plaint de douleurs dans le corps, surtout aux membres inférieurs,
mpuissance, des troubles trophiques, des troubles de la vision, des douleurs , qu'il est important de bien si- gnaler, peuven
uvent avoir parfois dans l'acromégalie les mêmes caractères que les douleurs du tabes. Ceci posé, s'agira-t-il dans ce cas d
4b ans. Entré le 14 mars 1912. Le malade vient à l'hôpital pour des douleurs dans la région lombaire et impotence fonctionne
e des jambes qui se dérobaient sous lui dans la station debout. Les douleurs , qui ont fait leur première apparition il y a 6
eur maintenu. Phénomène de Babinski présent. Le malade accuse des douleurs violentes dans les flancs, surtout il gauche, i
actuelle date de l'automne 1909 ; depuis cette époque il souffre de douleurs lombaires qui se sont aggravées pendant l'hiver
tenue jusqu'au commencement de l'année 1911. Au mois de janvier, les douleurs 488 MARINESCO ET RADOVICI lombaires apparaiss
sont maintenus. Le réflexe épigastrique aboli. Le malade accuse des douleurs lombaires intenses avec irradiations dans les m
du malade dans notre service fut toujours progressive. A cause des douleurs , il avait recours chaque soir aux injections de
ragme aussi.Le malade perçoit, un instant avant cet accès, une vive douleur épigastrique, puis commence une inspiration pro
fonde qui coïncide avec la contraction mention*' née. A cause de la douleur ,' le malade fléchit la colonne vertébrale.' SUR
uisse, avant-bras). Depuis le mois de janvier, le malade souffre de douleurs lombaires avec ir- radiations dans la cuisse ga
malade étant obligé de garder le lit pendant les exacerbations. Les douleurs étaient si vives que le malade criait et était
her qu'à l'aide d'une et puis de deux cannes. Depuis 3 semaines des douleurs atroces dans les lianes et les deux jambes re-
ilité tactile, douloureuse et thermique profondé- ment altérée. Les douleurs intenses des membres inférieurs persistent. In-
elle des doigts, est altérée. En même temps, le ma- lade accuse des douleurs intenses dans les membres inférieurs, surtout dan
que, ainsi, il dit sentir les jambes énormément gonflées. 13. - Les douleurs se sont quelque peu améliorées. Le regard est hag
mobiles. Les mouvements passifs sont diffi- ciles et engendrent des douleurs . 26. - Il garde l'attitude de la flexion des ja
ne peut pourtant relever les membres inférieurs du plan du lit. Les douleurs spontanées ont disparu presque entiè- rement ;
t un alcoolique. La loca- lisation radiculaire est exprimée par les douleurs extrêmement violentes, la paralysie flasque ave
30 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
tait à onze ans ; l'évolution s'était faite pro- gressivement, sans douleur , accompagnée tout au plus de quelques très vagu
l'affection évolua lentement et progressivement, s'accompagnant de douleurs au niveau des derniers espaces intercostaux gauch
t mois environ que sont apparues les palpitations accompa- gnées de douleurs à l'épigastre. Ces accidents ont été croissant, e
de lame de sa- bre » (6) de l'ostéopathie ; Ostéopathie ; Stade de douleurs , prélude habi- tuel ; Caractère massif de ces o
ement ces deux maladies. Les pagétiques souffrent parfois, mais ces douleurs n'ont pas l'inten- sité que l'on observe dans l
t Rubens-Duval (2) ; Jacquet (3)] ; le traitement mixte a calmé les douleurs dans un cas de Schwartz, a fait rétrocéder les
t vit, à 28 ans, débu- ter ses altérations ; c'est à 15 ans que les douleurs auraient débuté chez le malade de Cadet, à 10 a
astriques. A peu près à la même époque, elle commença à souffrir de douleurs lombaires, puis de douleurs fulgurantes 28 GAUT
ême époque, elle commença à souffrir de douleurs lombaires, puis de douleurs fulgurantes 28 GAUTHIER dans les membres infé
ever son sac, elle tomba brusquement à terre, sans ressentir aucune douleur dans le genou. Lorsqu'elle fut à terre, elle ne
hésie de la plante des pieds et avait eu des crises gastriques, des douleurs lombaires et trois ictus laryngés. Elle se prod
e l'on a vues, à la suite d'un effort très peu violent, sans aucune douleur : ultérieurement l'évo- lution fut absolument i
genou et tomba sans pouvoir se relever, bien que n'éprouvant aucune douleur . Le malade de Mauclaire s'était fracturé la rotul
Menstruée à 15 ans, les règles se sont succédé régulièrement, sans douleurs mais très abondantes. Mais les événements les
inaire, ne rappellent de la crampe ni la rigidité musculaire, ni la douleur spéciale, ni la rapide transition ; l'élément d
ulaire, ni la douleur spéciale, ni la rapide transition ; l'élément douleur en particulier est très inconstant. C'est en fa
et dans ce cadre il fait rentrer : 1° les névralgies d'occupation, douleurs occasionnées par le travail ; tel par exemple l
de professionnelle avec pression des muscles ou des nerfs. Mais ces douleurs ou paralysies une fois établies ne sont pas éle
pen- dant plusieurs mois. Ces crises étaient caractérisées par une douleur subite et angoissante, avec sensation d'élan, s
ale des deux bras, surtout du bras gauche. Les années suivantes, la douleur rétro-sternale, perdant ses allures de brusquer
ténacité remarquable : dès que le malade voulait marcher vite cette douleur angoissante rétro-sternale appa- raissait et fo
douloureux dans les jambes, mais en raison de l'oppression et de la douleur cardiaque. C'est quelques années plns tard, ver
que sa main devenait lourde, que les doigts s'engourdissaient ; une douleur vive avec fourmillements apparaissait dans la m
de devenait incapable de maintenir cette position ; persistait-il, la douleur augmentait d'intensité et s'accompagnait d'ango
apparaissaient au bout des doigts, gagnant la main et le bras ; une douleur très vive remontait de la main à l'avant-bras et
n qui le gênait dans sa profession, souffrant de plus en plus de sa douleur rétro-sternale, se mita dormir mal, à digérer dif
it qu'au bout de 3 gaz 4 pages d'écriture. Mais il avait encore ses douleurs rétro-sternales et gardait l'impossibilité de mar
e malade, après plusieurs mois de rémission complète, fut repris de douleurs précardiales en marchant. On constata à ce moment
ents dans la main élevée, fourmillements qui sont bientôt suivis de douleur , cette dernière assez pénible pour l'obliger à ab
elques minutes consécutives. La marche lente ne s'accompagne pas de douleurs du côté du coeur, mais celles-ci apparaissent,
r d'eup- nine Vernade ; s'il en suspend l'emploi, il trouve que les douleurs rétro- sternales augmentent d'intensité. Voic
'ayant eu jusqu'à 25 ans aucune maladie, fut pris à cette époque de douleurs et sensation de froid dans le pied droit pendan
le pied droit pendant la marche. En janvier 1906, il ressentit des douleurs très vives dans le gros orteil gauche, qui bientô
que le malade voulait marcher vite ou longtemps, il ressentait des douleurs très vives dans les jambes et les pieds : ces- do
sentait des douleurs très vives dans les jambes et les pieds : ces- douleurs deve- naient si vives qu'il était obligé de s'a
elques minutes de repos il pouvait repartir, mais bientôt les mêmes douleurs reparaissaient. A la fin de 1906, le malade eut
mêmes douleurs reparaissaient. A la fin de 1906, le malade eut des douleurs dans la main droite : douleurs dans le petit do
A la fin de 1906, le malade eut des douleurs dans la main droite : douleurs dans le petit doigt et sur le côté cubital de l
une crampe de la main droite dès que le malade écrivait vite ; les douleurs devenaient alors si fortes que le sujet était o
illements, les troubles de calorificalion dans les mains ; puis les douleurs en crampes, avec paroxysme, survenant au mo- me
ations, par exemple jouer de longs moments au tennis, sans avoir de douleurs . C'est que dans ces deux cas intervenait le psy
s de crampes pro- . fessionnelles avec troubles sensoriels : tantôt douleurs névralgiques, tantôt anesthésies. Gallard (60),
ue. La névrite, dans ces différents cas, étai t marquée, soitpardes douleurs le long du tronc nerveux, soit par des anesthés
temps étaient apparus des fourmillements dans les doigts, puis des douleurs , enfin des crampes survenant au moment où les d
86) publie de même plusieurs cas de crampes profession- nelles avec douleurs et tremblement, chez des tailleurs et des cordon-
de son travail répété, avait eu d'abord des fourmillements puis des douleurs dans les trois derniers doigts de la main droite,
apeau, à mettre son faux col, nouer sa cravate : il avait alors des douleurs et des convulsions dans l'épaule et le bras. '
e et l'index, puis les roulant très rapidement, voient survenir des douleurs dans ces 86 MAC DE LÉPINAY deux doigts, puis
même gêne d'extension apparut dans le quatrième doigt, sans aucune douleur et sans troubles de sensibilité. Le jeu du haut
ussitôt qu'elle prenait la plume, ses doigts se resser- raient, une douleur remontait tout le long du bras jusqu'à l'épaule,
porte en supination. Cette succession de mouvements s'accompagne de douleurs dans les muscles de l'avant-bras, qui irradient
survint avec ses mêmes caractères, s'accompagnant d'angoisse, et de douleurs dans le bras et l'épaule. Le malade abandonna dès
dans toute la moitié gauche du corps pour toutes ses formes : tact, douleur , température. Il y a aussi à remarquer une mani
toux, pas d'expectoration ; Pas de troubles de sensibilité ; pas de douleurs ; Force normale dans les membres ; Réflexes t
es on trouve des crampes des mollets, du torticolis,du lumbago, des douleurs intercostales (Dieulafoy). N'y faudrait-il pas
gr. 01 de morphine. La première piqûre fut faite pour soulager les douleurs très vives d'une pseudo-occlusion intestinale ; p
t persister dans son travail, les troubles augmentent ; souvent des douleurs apparaissent ; enfin il est oblige de s'arrêter.
rire, car alors il ne pense plus à l'acte même de l'écriture. Des douleurs peuvent apparaître au début ou au cours du spasme
avons rejeté le mot de crampe pour désigner ces dyskiné- sies. Les douleurs apparaissent en général lorque les contractures a
uelques cas rares elles s'accompagnent d'une certaine angoisse. Les douleurs en tous cas cessent avec le phénomène spasmo- d
une forme spasmodique,soit une forme paralytique. Remak dit que les douleurs névralgiques sont fré- quentes au moment du spa
e certaine dif- ficulté à remuer le bras droit, puis ressentait une douleur de plus en plus intense dans l'avant-bras, à te
our. Au bout de quelque temps elle ressentit dans le bras droit une douleur , irra- diant jusqu'à l'épaule, qui se montrait
mise au piano, et n'apparaissait pas en dehors de cet exercice. Les douleurs névral- giques prirent bientôt une telle intens
érale prati- quée à Néris amena la sédation presque complète de ces douleurs . Chez une autre malade du Dr de Ranse, la cramp
se levait pour jouer du violon, avait dans tout le bras gauche une douleur si vive qu'il devaitposerson instrument. Zablud
r si vive qu'il devaitposerson instrument. Zabludowski explique ces douleurs par les tiraillements incessants imposés aux do
'agissait d'un artiste qui, dès qu'il commençait à jouer, avait des douleurs très vives dans les trois doigts médians de la ma
ouleurs très vives dans les trois doigts médians de la main gauche, douleurs qui cessaient quand l'artiste abandonnait son ins
ampe de l'index, se traduisant par des fourmillements, puis par des douleurs aiguës avec impossibilité de fléchir le doigt. Le
ar une contracture des muscles du bras et de l'épaule, avec parfois douleurs très vives, dès que l'ouvrier lève son marteau,
rg (118) observa de même un cloutier chez lequel survenait une vive douleur avec raideur de l'avant-bras chaque fois qu'il
le marteau et commençait à battre le fer, il res- sentait une forte douleur dans les muscles de l'épaule et du bras droits, a
son travail, et encore devait-il fréquemment l'interrompre, tant la douleur de- venait vive. Une cure hydrominérale à Néris
e la main droite devait s'éten- dre pour frapper sur le ciseau, une douleur très vive envahissait le poi- gnet droit ; l'an
s, celte femme éprouva de la raideur dans les doigts, puis de vives douleurs lorsqu'elle se mettait au travail. Un ouvrier qui
incessante de cet exercice difficile et fatigant amène parfois des douleurs débutant à la plante du pied, et gagnant le molle
Au bout de quelque temps de ces essais fatigants, elle éprouva des douleurs dans le cou-de-pied de chaque côté ; bientôt ce
uva des douleurs dans le cou-de-pied de chaque côté ; bientôt cette douleur augmenta d'intensité, remonta dans les jambes,
que Mlle 1\1 ? était obligée de s'arrêter ; enfin le spasme et les douleurs se montrèrent avec tant de régularité à chaque
es quadriceps, sont très atrophiés, le réflexe rotulien nul (légère douleur quand on percute le genou). Les bras, les moign
Bien que cet état de malaise fut général, il avait remarqué que les douleurs étaient plus accentuées aux membres inférieurs.
ar le malade : atteinte des petites articulations des mains, lumbago, douleurs généralisées, posèrent le diagnostic d'arthrite
demeura sans aucun effet et notre malade continua a ressentir . ses douleurs sans toutefois cesser ses occupations habituelles
oppa une contracture bi- latérale de Dupuytren avec concomitance de douleurs . En désaccord avec Eulenbourg, il n'admit pas q
libre il s'est blessé par imprudence au bord externe de la main. La douleur du coup disparut au bout d'un quart d'heure. La
durs et plus grands. L'effort de redresser le doigt s'accompagna de douleur et de ti- raillement. Enfin la contracture a at
du ventre ne décèle aucune tumeur. 1 La sensibilité tactile à la douleur , au chaud et au froid est normale, le sens de p
couleur; sa température est normale ; la malade ne se plaint d'aucune douleur spontanée dans ses membres inférieurs ; la pres
ée repose sur un tissu plus mou; notre malade se plaint en outre de douleurs spontanées dans les membres inférieurs et gémit
ans et demi après une fièvre typhoïde. Elle se manifestait par des douleurs très vives, par des paresthésies et l'affaiblisse
ussi sur les résultats de la radio- graphie. Après l'opération, les douleurs dans l'extrémité supérieure droite ces- sèrent,
la malade se rétablit complètement. Pourtant, il y a deux mois, les douleurs , aussi bien que les autres symptômes, reparuren
ivi mon premier examen. En ce qui concerne le tableau clinique, des douleurs atroces y figuraient en premier lieu ; elles ét
, de caractère diffus dans toute l'extrémité supérieure droite. Ces douleurs empêchaient la malade de dormir, de manger et s
ire des mouvements passifs très éten- dus sans provoquer la moindre douleur . Dans la région de l'extrémité supé- 284 STCHER
ues survint une amé- lioration considérable ; après dix séances les douleurs et les secousses dispa rurent complètement et l
la marche de la maladie de leur côté témoignent clairement que les douleurs dont la malade a si atrocement souffert n'étaie
emble évident que l'opération, qui a pu pour un an faire cesser les douleurs chez la malade, agissait en qualité de moment psy
étendue telle, notre malade parut s'être rétablie complètement. Les douleurs et la parésie cessèrent ; même, le symptôme organ
onseillé de préférence aux crampes professionnelles avec spasme, ou douleurs , et les névro- pathes excités obtiendront presq
e c'est la main gauche qui d'habitude est le siège du spasme et des douleurs , c'est cette main qu'il faudra rééduquer par un
e la sensibilité, ni de la réflectivité. Le malade n'éprouve pas de douleur dans le membre supérieur droit ; il accuse seul
t dans la main, notamment dans le pouce et l'index ; mais jamais de douleurs vives ni sourdes ; il parle seulement de « gêne
ment la syphilis et, de fait, on n'en trouve aucun signe, malgré les douleurs de tête violentes qu'elle a ressenties surtout
e a ressenties surtout pendant la nuit et qui coexistaient avec des douleurs dans les articulations des membres. Son mari es
re sont vivants, en bonne santé ; son père a 60 ans et se plaint de douleurs rhumatismales ; son frère est en excellent état
il a le volume du poing et il est devenu douloureux ; il existe des douleurs névralgiques intercostales dans toute la région s
des refluent parle nez. La moitié gauche de la face est le siège de douleurs vives, continues ainsi que d'une hypoestbésie a
fièvre élevée (36°5-37°5). Dès ce moment la malade accuse de vives douleurs dans la jambe gaucho qui aurait été fortement con
es masses musculaires des deux membres inférieurs provoque de vives douleurs . Les réflexes tendineux rotu- liens et achillée
de digitaline- le coeur se relève pendant les jours suivants ; les douleurs diminuent légère- ment dans les jambes ; l'inco
paralysie des membres inférieurs, d'atrophie musculaire rapide, de douleurs intenses à ce niveau, et d'incontinence urinair
dans la myélite, tandis que la polynévrite est accompagnée de vives douleurs à la pression des troncs nerveux et des masses
toutes ses formes aux membres infé- rieurs et l'existence de vives douleurs permettraient de faire le diagnostic de polynév
es sphinctériens, de l'obnubilation cérébrale, l'existence de vives douleurs , tous symptômes qui obligeaient à écarter l'hypot
provoquant des phénomènes d'irritation caractérisés par les atroces douleurs du début et la contracture initiale de la jambe g
onservation des, différents modes de sensibilité et l'apparition de douleurs intenses. Les lésions observées dans notre cas
les mem- bres inférieurs et dans le tronc, de fourmillements et de douleurs pas très vives, à caractère fulgurant, ne duran
ation correcte de ces cas. En 1887, Laurent parle dans sa thèse des douleurs qu'on observe souvent au début de la poliomyéli
ns à renvoyer à cette thèse. Cependant Laurent ne pense pas que ces douleurs le long du dos soient dues à une méningite. Plusi
se de 1898, a traité la même question : il indique en outre que des douleurs intenses apparaissent dans le dos et dans la nu
ignalé par Pierre Marie. En 1905, il insiste sur ce fait, que « les douleurs vives, rachidiennes, irra- diant autour du tron
ours, le patient est tombé malade le 2 novembre avec mal de tête et douleurs dans la région lom- baire,et dans les membres i
baire,et dans les membres inférieurs. Il dit qu'il avait eu aussi des douleurs en remuant la tête. Le 3 novembre au soir, une
marcher un peu avec quelque difficulté. Etat le 9 novembre. - Les douleurs dans le dos persistent encore. Quand on essaye
encore. Quand on essaye de fléchir la tête en avant, il éprouve des douleurs dans la nuque ; les mouvements latéraux et la r
eurs ont une motilité normale. Le malade peut marcher un peu. Les douleurs dans le dos et la raideur de la nuque ont disparu
illimètre cube. Etal le 28 mars. Pas de raideur de la nuque, pas de douleurs quand on presse sur la colonne vertébrale. L'in
resté debout pendant trois jours ; mais alors le mal de tête et des douleurs dans tout le corps ont recommencé. Ces symptômes
la fille dans le lit, parce que tout essai de le faire a provoqué des douleurs très vives. Etat le 19 mars. - Il y a une rai
de la nuque. La pression sur la colonne vertébrale ne cause pas de douleurs . Le signe de Kernig est présent. I On trouve
er. Le jour suivant il avait de petits frissons et a ressenti de la douleur dans le côté droit de l'abdomen. Le 20jan- vier
frissons plus prononcés ont commencé. La nuit suivante il avait des douleurs lombaires. Le 21 janvier il avait des sensa- ti
janvier il avait des sensa- tions intenses de malaise, mais pas de douleurs nettes. Pendant la nuit sui- vante les douleurs
alaise, mais pas de douleurs nettes. Pendant la nuit sui- vante les douleurs lombaires ont encore apparu. Dans la dernière par
un angle de 30° environ, quand les genoux sont étendus. Il y a des douleurs , d'ailleurs assez médiocres, si l'on exerce une
, mais en tout cas le dernier stade de ce mouvement cause un peu de douleur . Il semble marquer toujours de la douleur si l'on
mouvement cause un peu de douleur. Il semble marquer toujours de la douleur si l'on presse sur la partie inférieure de la c
. On ne peut soulever- le malade pour l'asseoir, parce que de vives douleurs s'éveillent quand on a sou- levé le tronc à un
fauteuil il ne peut se fléchir qu'assez peu en avant, parce que des douleurs du dos l'en empêchent. Il est bien naturel que
il s'appuie sur ses bras. En conséquence, il faut conclure que les douleurs du dos sont causées par son essai d'employer le
le malade tenait la tête fléchie en arrière. De plus, il avait des douleurs lombaires. Ces symptômes ont persisté à peu prè
ymptômes ont persisté à peu près une semaine ; puis sont venues des douleurs des cuisses et c'est seulement alors que ie mal
ient alors raides et les mouvements qu'il faisait lui causaient des douleurs ; ces symptômes ont duré presque une semaine. Pen
s qu'elle est tombée malade avec de la fièvre, mal de tête (surtout douleurs dans la nuque) et des vomissements ; elle tenait
nts ; elle tenait la tête fléchie en arrière. Il y avait encore des douleurs dans tout le corps. Les symptômes ont apparu so
supérieurs. Pas de paralysie de la vessie. Pendant ce temps là des douleurs sont venues dans les membres inférieurs et dans l
semble pas qu'elle ait eu ni mal de tète, ni raideur de la nuque ni douleurs prononcées, mais les indications des parents sont
uche. Dailleurs pas de symptômes, pas de raideur de la nuque, ni de douleur si l'on presse sur la colonne verté- brale. O
rononcée de la nuque et aussi opisthotonos. Le malade éprouve de la douleur quand on presse n'importe quel point de la colonn
a aussi commencé le même jour (le 20) avec mal de tête, frissons et douleurs le long du dos, depuis la nuque jusque vers la ré
intense. Dans la région cervicale de la colonne vertébrale il a des douleurs pour toute pression que l'on exerce, mais ce n'
4 février 1905, dans une école militaire ; d'abord sont venues des douleurs dans la nuque, la fièvre s'est déclarée un peu pl
temps la parésie de l'épaule droite est apparue d'abord, mais sans douleurs . Quelques jours après il a res- senti des doule
abord, mais sans douleurs. Quelques jours après il a res- senti des douleurs dans les jambes et a observé aussi une faiblesse
rs dans les jambes et a observé aussi une faiblesse des jambes. Les douleurs ont persisté trois semaines, mais la faiblesse a
t l'automne de 1905, il est tombé malade avec une forte fièvre, des douleurs dans la nuque et le long du dos, mais n'a pas eu,
et le bras gauche. Pendant les deux semaines suivantes il a eu des douleurs intenses dans les membres inférieurs et un peu
a eu des douleurs intenses dans les membres inférieurs et un peu de douleurs lombaires. Depuis l'amélioration a commencé et
ncement de parésie du membre inférieur droit se sont déclarés ; les douleurs dans la tête se sont aggravées, particulièrement
de croit qu'il n'y a pas eu de parésie du tronc plus prononcée. Des douleurs dans les mem- bres inférieurs ont apparu quelqu
e a commencé ily a trois ans et demi. En premier lieu il y a eu des douleurs dans l'abdomen à droite, près de l'ombilic. Il n'
n. Le malade est resté debout encore deux ou trois jours ; puis des douleurs lombaires sont apparues et il a été obligée de re
aires sont apparues et il a été obligée de rester au lit. Alors des douleurs sont venues « dans tout le corps ». Cet état a pe
urs ; le troisième jour la paralysie est venue et en même temps les douleurs se sont apaisées. La paralysie a été complète d
is et pendant tout ce temps il n'a jamais été tout à fait exempt de douleurs . Depuis l'amélioration a commencé et a toujours c
nférieurs est complète. La céphalalgie a disparu, mais il avait des douleurs dans le dos, surtout entre les épaules, et aussi
nt six semaines à partir du commencement de la maladie. Il a eu des douleurs très intenses de l'épaule gauche qui ont duré d
auche qui ont duré deux mois ; dans les autres parties du corps les douleurs n'ont pas été fortes et elles ont disparu beauc
is froid. Le lendemain matin elle a soudainement res- senti un vive douleur « au milieu de la poitrine » mais sans difficulté
s chez elle, elle n'avait ni mal de tète, ni sympaômes de lièvre,ni douleurs dans le dos ni ailleurs, ni raideur de la nuque.
mpérature est normale. Il n'existe aucun signe d'irritation, aucune douleur , aucun symptôme, qu'on puisse rapporter à une m
exerce une pression sur la colonne vertébrale, elle ne sent pas de douleurs . Il y a une paralysie complète des deux membres
ibilité des bras. Le manque de tout symptôme d'irritation, de toute douleur , de fièvre au début de la maladie correspond bi
très connue en France. Ma conclusion a été que la sensibilité à la douleur et les sensibilités thermiques passent ensemble
être troublée sans que le sens musculaire et les sensibilités à la douleur et à la température ne le soient en même temps. C
lisation, causé quelquefois par la méningite), raideur de la nuque, douleurs si l'on essaye de fléchir la tête en avant ou a
nuque, douleurs si l'on essaye de fléchir la tête en avant ou aussi douleurs pour tous les mouvements de la tête, souvent au
s de la tête, souvent aussi opisthotonos très prononcé de la nuque, douleurs le long du dos, quelquefois raideur de tout le
que, douleurs le long du dos, quelquefois raideur de tout le dos et douleurs si l'on exerce une pression sur les vertèbres.
ues (la raideur de la nuque) persister jusqu'à 3 ou 4 semaines. Les douleurs semblent un peu plus souvent persister longtemps
ersister longtemps ; nous avons indiqué que dans deux cas aussi des douleurs assez intenses ont persisté pendant très longte
t très longtemps (deux ou trois mois ; obs. XXIV et XXV). Quand les douleurs persistent, on peut les voir se localiser, non se
ue quelconque du corps, et il peut être difficile de décider si ces douleurs sont dues à une ménin- gite tendant à devenir c
on a admis, sans se préoccuper beaucoup de cette question, que des douleurs de cette nature se rapportent toujours à une névr
oujours à une névrite. Nous croyons, d'accord avec Wickman, que ces douleurs peuvent parfaitement être causées par l'inflamm
nuque n'a pas com- plètement disparu au bout de trois semaines. Des douleurs dans les mem- bres inférieurs (où réside la par
e), il y a encore quelques mouvements des jambes qui provoquent des douleurs . Si la rai- deur de la nuque a disparu, il n'en
sible, à ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 407 cause des douleurs qu'il éprouve, d'amener le tronc jusqu'à la posit
ver le tronc de plus en plus par un simple appareil mécanique). Ces douleurs , provoquées par la flexion des cuisses sur le b
'a pas encore disparu. En effet, cette impossibilité (en raison des douleurs provoquées) de faire faire la flexion normale d
sègue. Pour le cas qui nous occupe, il y a correspondance entre les douleurs persistantes des membres inférieurs et l'existe
aussi une inflammation des racines postérieures comme cause de ces douleurs périphériques ; en effet, quelques auteurs out
use. De même, la diminution progressive de la raideur du dos et des douleurs des membres inférieurs s'est effectuée en même
rien qui parle contre cette idée qu'il s'agit, dans notre cas avec douleurs persistantes, d'une méningite localisée qui tend
ès prononcée avec un certain degré d'opistotho- nos. Il ressent des douleurs si l'on exerce une pression sur la colonne vertéb
ression exercée sur la colonne vertébrale cervicale cause un peu de douleur . Pas de fièvre. Pour les nerfs crâniens, il n'y
12 avril 1909. L'enfant s'était plaint quelques jours d'un peu de douleurs dans l'abdomen puis le 8 avril ses plaintes son
état a été assez mauvais ; quelquefois elle s'est plaint de fortes douleurs dans l'abdomen. L'appétit a été très mauvais et e
ence a été troublée et elle a eu quelquefois des vraies attaques de douleurs . Etat le 12 avril. - La malade a une apathie as
la mettre sur son séant, elle fait de la résistance et se plaint de douleurs du dos quand on vient près de la position verti
x ou trois jours, il est rapidement tombé malade le 8 juin avec des douleurs intenses dans les deux jambes ; aussi en même t
vomissement. Etat le 11 juin. - Pas de raideur de la nuque, pas de douleurs quand on exerce une pression sur la colonne ver
ate que le symptôme de Lasègue existe des deux côtés ; il y a aussi douleurs , si l'on presse la région fessière. Etat le 1
ôme de Lasègue existe encore des deux côtés et le sujet éprouve des douleurs quand on presse sur les deux nerfs sciatiques.
lexion en avant de la colonne vertébrale lui cause encore de fortes douleurs , et surtout l'essai d'employer la force des muscl
u corps il n'existe aucun trouble de la sensibilité au tact et à la douleur et de la sensibilité thermique. 1 Organes des
lequel le sujet est entré à l'hôpital. Otto éprouve rarement des douleurs de tête. La sensibilité est intacte dans tous s
dont le fils ne sait nous dire autre chose qu'elle lui donnait des douleurs aiguës aux jam- bes qui étaient faibles, incert
tent un trophisme normal. La percussion du crâne ne provoque aucune douleur , mais donne une sonorité différente dans les diff
UTION A LA CONNAISSANCE DU GIGANTISME 467 malade ne présente pas de douleurs fulgurantes, ni d'ataxie, ni de trou- bles sphi
eure du cou ; on constate de la paresttésie et le malade accuse des douleurs dans le dos, au cou et au niveau de la colonne
es extrémités est exagérée. Sensibilité : sensations subjectives de douleur dans la partie supérieure de la colonne vertébr
la partie supérieure de la colonne vertébrale, irradiations de ces douleurs vers les épaules et la tête. Sensibilité object
mis au lit. Le lendemain il ne pouvait se lever ; il éprouvait des douleurs partout où il avait été en contact avec la glac
trois jours ; mais après ce court délai, il a de nouveau ressenti des douleurs et ne pouvait plus se courber. Quinze jours plu
pour 2 ou 3 mois. ' Quatre ans après l'accident, il a ressenti des douleurs dans la colonne ver- tébrale, aux épaules. Pend
endant deux mois, il fut incapable de fléchir ses doigts à cause de douleurs articulaires ; ses doigts étaient écartés. Il lui
r ou d'étendre les genoux et les pieds ; il avait en même temps des douleurs dans les articulations coxo-fémorales. Ce rhumati
potassium. Cependant il continuait à éprouver de temps eu temps des douleurs dans les articulations de la main et à l'omoplate
une gêne dans les mouvements de la colonne vertébrale, parurent des douleurs dans cette région. L'année dernière, des troubl
e, des troubles psychiques l'ont amené à l'asile des aliénés où ses douleurs ont complètement disparu au bout de quatre mois d
E LA COLONNE VERTÉBRALE ET DES CÔTES 497 Les réflexes exagérés, les douleurs accusées par le malade à son entrée à l'hôpital
ssement de' la respiration, une diminution : de la sensibilité, des douleurs dans les jambes, sans lésions des grandes articul
taires intéressants. Il y jazz à 6 ans, il commença à ressentir des douleurs erratiques qui parcou- raient surtout les membr
troubles de sensibilité sous forme d'hypoesthésie au contact, à la douleur , aux vibrations du diapa- son, au chaud, au fro
es, il en ingère quelques cachets qui continuent à avoir contre les douleurs les meilleurs résultats. En mars 1906,il commen
n ce moment ni dans la suite, il n'éprouva dans cette région aucune douleur , ni localisée, ni diffuse, ni spontanée, ni provo
; 2° Sur le tronc : petites zones d'hypoesthésie au contact et à la douleur aux environs de la région mamillaire; 3° Hypo
la région mamillaire; 3° Hypoesthésie aux diverses formes (Contact, douleur , chaud et froid, vi- brations du diapason) sur
ée ; 4° Aux membres inférieurs à droite, anesthésie tactile et à la douleur sur la face antérieure et interne de la cuisse,
face antérieure et interne de la cuisse, hypoesthésie tactile et à la douleur sur sa face postéro-externo. Diminution de la s
sa face postéro-externo. Diminution de la sensibilité tactile et à la douleur sur le gros orteil, sur la face interne de la j
en conservée. A gauche : diminution de la sensibilité tactile et la douleur sur le gros or- teil et sur la partie avoisinan
tement. Subjectivement, il ressent de temps en temps des crises de douleurs localisées spécialement au membre inférieur dro
TABETIQUE 513 2° Sur le tronc : zone d'hypoesthésie tactile et à la douleur au voisinage de l'aréole du mamelon. Près de
l'abdomen, on trouve une hyperesthésie très vive au contact et à la douleur , tandis qu'il existe une hypoesthésie thermique
toute la cage thoracique. En arrière : sensibilité tactile et à la douleur normale : tendance à percevoir chaud même ce qu
puis le pli du coude jusqu'au poignet, anesthé- sie tactile et à la douleur moins intense et moins complète le long de la fac
brûlure. 4° Aux membres inférieurs : Hypoesthésie tactile et à la douleur sur les deux membres avec anesthésie sur la fac
indiquent une altération névritique. D'ailleurs, même plus tôt, les douleurs n'auraient pas constitué un guide sûr et précis,
titué un guide sûr et précis, à cause de l'existence simultanée des douleurs fulgurantes dues au tabes et dont le patient so
croissement de la tête ; il ne ressentit jamais de céphalées, ni de douleurs de la colonne vertébrale ou en ceinture. Mais il
il n'a jamais eu de vomissements couleur marc de café, ni de graves douleurs à l'épigastre ou irradiées. L'affaiblissement
elle est mobile dans toutes ses ar- ticulations, on ne note pas de douleurs spontanées ni provoquées. Sur l'abdomen n'exist
fonc- tions intestinales sont régulières. Le malade n'accuse pas de douleurs spon- tanées. Abdomen enfoncé, assez compressib
e de 15 ans; elle com- mença par des craquements non accompagnés de douleurs à l'articulation du genou, suivis d'une courbur
nges des mains et des pieds. 532 RAVENNA Dans mon cas le symptôme douleur manquait complètement ; on sait que dans plusie
e. Le 3 novembre, le garçon s'est senti abattu ; il s'est plaint de douleurs dans toute la tête, entre les épaules et dans t
tout le dos. Le novembre, il a encore travaillé, mais il avait des douleurs dans le dos et mal à la tête. On a observé qu'i
is sont venus des frissons, alternant avec de la transpiration. Les douleurs dans la tête et dans le dos ont persisté. Elat
e des rotations, mais ces mouvements sont restreints et causent une douleur considérable. Le malade manifeste de la douleur q
ints et causent une douleur considérable. Le malade manifeste de la douleur quand on exerce une pression sur les premières
ertèbres cer- vicales. Quand il tousse ou se mouche, il ressent des douleurs dans le cou. Il y a une parésie prononcée du me
e 38°I. Le malade maintenant ne se plaint plus de mal de tête ni de douleurs dans le dos. La sensibilité cutanée est normale
pas de raideur de la nuque bien marquée. Le malade n'éprouve pas de douleurs quand on presse sur la colonne vertébrale. Il peu
su- jet, lorsqu'un jour, on m'amena D... qui se plaignait de vives douleurs dans la région anale. L'examen me révéla les si
almer la soif qui me tourmente, Et toi, pour oublier, en buvant, ta douleur . Et lorsque l'aube bleue, à l'horizon de cuivre
e du droit interne de l'oeil gauche. La sensibilité au tact et à la douleur semblait émoussée au niveau des cuisses et des
ès instable ; l'enfant tombe fort souvent. Il ne se plaint d'aucune douleur . Enfin, dans ces derniers trois mois, des troub
bles diminuent dans les journées froides. Il n'a jamais souffert de douleurs ou paresthésies ni de troubles des réservoirs.
ux pieds. Il y a deux mois environ il a ressenti, en se levant, des douleurs aux genoux et au poignet droit, qui disparaissa
des nerfs périphériques, des apophyses épineuses, n'éveille aucune douleur . Il n'y a rien du côté de la sensibilité objectiv
tactile dans les membres inférieurs. Il existe une hyperesthésie à la douleur qui commence au-dessus du genou et va toujours
t disparus, on notait une légère hyperesthésie à la chaleur et à la douleur dans la partie distale. Après environ un an et
le fait qu'il a souvent observé dans ses cas de polio- myélite des douleurs et même une hyperesthésie, mais il n'a pas pensé
clair que ce dernier fait nous donne une explication suffisante des douleurs de la poliomyélite, même si elles sont quelquef
doigts a commencé aux pieds. Puis, la faiblesse a augmenté. Pas de douleurs . Pas de symptômes généraux (seule- ment un peu
2 d'un grenier à foin sur le carreau et le côté gauche a porté. Les douleurs dans la hanche et l'épaule gauches qui en ont é
té au lit chez lui une semaine environ. Etat le il. février. Pas de douleurs . Pas de dysesthésies. Pas de raideur de la nuqu
ds, des sensations de fourmil- lement et de picotement, mais pas de douleurs . En même temps a commencé une faiblesse des mem
ux indiquant une infection générale. Etat le 11-15 décembre. Pas de douleurs . Les dysesthésies, indiquées ci- dessus, persis
e aux pieds, partout ailleurs elle est normale. La sensibilité à la douleur et la sensibilité thermique sont partout normal
e peut se flé- chir beaucoup en avant, parce que cela lui cause des douleurs dans le dos. Par conséquent, il est difficile d
doigts où il y a une dimi- nution très légère. La sensibilité à la douleur est partout normale. Le 7 mai il est constaté q
t Gy : développement des symptômes pendant deux semaines, au début, douleurs dans les doigts, paralysie symétrique des quatr
31 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
oncée, parfois quelques heures ou quelques jours auparavant,par une douleur de tête, par de l'irritabilité et de la tristesse
onnaissance et revenait à lui se plaignant pendant quelque temps de douleurs de tête, de courbature, el présentant une confu
aucun souvenir de ce qui s'était passé, et accusait simplement une douleur dans le front, qui a disparu au bout de deux jo
Crois-tu qu'on puisse tordre une jambe ou un pied sans produire de douleur ? Il a l'air de réfléchir pendant un instant ma
ce qu'il tient dans la main de ce côté, sans ressentir du reste de douleur , bien que les 3e, 4° et 5e doigts lui paraissen
res plus ou moins semblables. C'est ainsi que la notion de tact, de douleur , de température, que la localisation de ces sensa
cutanée avec ses modes délicatement différenciés : tact, pression, douleur , température, sensibilité articulaire, sensibilit
ne considérer que sa bouche, on devine bien qu'il pousse un cri de douleur ou d'effroi. Mais la mimique des yeux n'accompagn
sement dans la zone du cubital. Depuis plusieurs mois, existent des douleurs vagues dans la région cervicale de la colonne v
nstipation opiniâtre et de crises clitoridiennes. Elle présente des douleurs lancinantes au niveau des membres supérieurs, de
e. Tabès légitime avec amaurose par atrophie papi Maire bilatérale. Douleurs fulgurantes. Pas d'incoor- dination des membres
par parésie du droit externe gauche, le signe d'A. Ro- bertson, des douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs, la démar
s patellaires sont normaux. Ons. VI. Malade de 53 ans, se plaint de douleurs au niveau de la région céphalique et de trouble
la même époque, il aurait ressenti dans les membres inférieurs des douleurs fulgurantes survenant par crises, l'empêchant d
érieurement, sans qu'il puisse en préciser la date d'apparition, de douleurs constrictives et de douleurs dans les membres sup
e en préciser la date d'apparition, de douleurs constrictives et de douleurs dans les membres supérieurs. Dès le début, des
de démangeaison, ainsi que d'une diminution de la sensibilité à la douleur de toute la peau. IL- Un )lOmme de 48 ans,j ni
asculaires, sont considérablement exagérés ; la sensibilité pour la douleur est un peu diminuée, la sensibilité tactile est p
eune fille anémique, hystérique, souffre presque continuellement de douleurs dans le bas-ventre, elle a des règles irréguliè
une articulation, celle-ci est rendue ordinairement immobile par la douleur qu'exaspèrent les mouvements actifs ou passifs,
olume dans les deux ou trois premiers jours, en même .temps que les douleurs s'exaspèrent et que l'oedème cutané s'étend de
six jours après, eu égard à l'intensité des phénomènes locaux, les douleurs cessent d'ordinaire, l'oe- dème perd en tension
sines sont envahies successi- vement et il arrive que la fièvre, la douleur et l'oedème persistent encore alors que la part
nsibles au point que le moindre mouvement y détermine des violentes douleurs (Rogers, Minkewitch). La bandelette du grand dors
it Lexer, est particulièrement douloureuse et de là s'irradient des douleurs violentes. Les muscles épargnés par l'ossificat
sensibilité électrique, les cou- rants forts n'occasionnent aucune douleur . Le courant galvanique a donné à Pinter les rés
malade. Il cessa de gran- dir, sa peau s'épaissit ; il souffrit de douleurs dans les membres et l'abdo- men, ayant parfois
le sur toute l'é- tendue des téguments. Le malade ne ressent aucune douleur . Pendant le Schéma de la distribution des trois
mais rien éprouvé dans son côté droit ; elle a rarement souffert de douleurs de tête auxquelles on ne reconnaît aucun caract
remonte jusque vers la jarretière. La sensibilité au contact, il la douleur , à la température paraît normale dans tout le m
on reste à l'état aigu avec son cortège symptomatique de lièvre, de douleur et de gonflement dans une partie du corps. Pa
ou d'une simple inflammation aiguë ? Les mouvements fébriles et les douleurs plus ou moins violentes qui accompagnent les no
début lent, insidieux du mal sous-occipital, la localisation de la douleur au niveau de l'apophyse épineuse de l'axis, ou, s
l'économie; il s'ins- tale avec son cortège habituel de fièvre, de douleurs aiguës et de trans- pirations, avec peu ou pas
Tout autre est le début de la myosite ossifiante : fièvre modérée, douleurs peu mar- quées, et formation d'une tumeur ayant
l'on observe à la période aiguë sont dues à plusieurs causes : à la douleur , à l'oedème collatéral qui parfois s'étend asse
s, furent pris de gon- flement avec rougeur presque érysipélateuse, douleur très intense, surtout mar- quée à l'épaule et a
lade ne pouvait pas ouvrir l'oeil. Ces accidents aigus, gonflement, douleur et fièvre,Font obligé il garder le lit pendant tr
e, en avril, la fièvre a réapparu ; le gonflement, la rougeur et la douleur se sont localisés, cette fois, à la nuque et à
ophtalmiques du côté gauche. Vers le milieu de 1884, apparition de douleurs fulgurantes dans les mem- bres inférieurs ; dou
apparition de douleurs fulgurantes dans les mem- bres inférieurs ; douleurs extrêmement vives dans la région fessière, s'irra
s'irra- diant jusqu'aux orteils et plus marquées droite. Plus tard, douleurs en cein- ture et dans les membres supérieurs (s
e ; il lui arrive quelquefois de per- dre ses jambes dans le lit. Douleurs en ceinture légères et siégeant sur le trajet des
le trajet des derniers nerfs lom- baires. Pas de crises gastriques. Douleurs légères sur le trajet du sciatique, surtout il
téressants à relever. Au point de vue clinique, nous avons noté des douleurs fulgurantes. Cela parait anormal. On a fait des
s noté des douleurs fulgurantes. Cela parait anormal. On a fait des douleurs fulgurantes un symptôme différentiel entre le t
a Maladie de Friedreich, mais celte opinion est trop exclusive, les douleurs fulgurantes se rencontrant aussi, mais beaucoup
eux cas très nets. Chez l'un de ses ma- lades en particulier, les « douleurs fulgurantes duraient depuis onze ans. (1) DÉJER
90, p. 43. UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH A DÉBUT TAIDIF 183 Ces douleurs sont quelquefois tellement aiguës, qu'elles l'arr
qui a causé la mort de notre ma- lade ? Nous né le pensons pas, les douleurs fulgurantes étant d'une date beaucoup plus anci
verser quelques larmes, - étant de ceux qui ne réagissent contre la douleur qu'en laissant échapper une monotone lamentatio
t l'appréhension et la confiance en même temps. Ses opérés, dont la douleur est toujours comique, commandent le rire et la co
critique, garde la retenue qui sied à un gentilhomme, maîtrisant sa douleur , évitant les grimaces et les contorsions qui so
mmuns de gestes et de visage, ils faisaient éclaler bruyamment leur douleur , sans souci du respect humain, et ne craignaient
action de « pierre de tète ». Si la figure de la vieille exprime la douleur , celle du barbier n'a rien de comique : il rega
nce les lèvres, fronce les sourcils, tandis que sa victime rugit de douleur , puis, en manière de représailles, pétrit rageu
de nerfs, pendant la durée desquelles elle s'est plainte de fortes douleurs à 1'(,pigasti-e. Ces attaques, qui étaient pour a
te des terminaisons nerveuses spéciales destinées à la sensation de douleur . Mais on sent la douleur non seulement par irrita
uses spéciales destinées à la sensation de douleur. Mais on sent la douleur non seulement par irritation des termi- naisons
à n'importe quel endroit de son trajet. On ne peut pas dire que la douleur soit un phénomène physiologique, parce que c'es
la notion « de la santé », excluant complètement la sensation de la douleur . Pourtant dans les manuels, même dans les plus
s les manuels, même dans les plus récents, on parle « du sens de la douleur » de la peau. Ad- mettant la douleur comme un p
ents, on parle « du sens de la douleur » de la peau. Ad- mettant la douleur comme un phénomène pathologique, on peut se deman
ccepte que chaque terminaison de la peau est capable de recevoir la douleur indépendamment de sa fonction physiologique, al
es appareils spéciaux destinés exclusivement il la perception.de la douleur . ' Nous savons que la température haute ou bass
dé- finies cesse de provoquer la sensation de chaleur et produit la douleur . Si l'on accepte la supposition de Goldscheider
e que l'homme peut supporter, provoque une sensation plus aiguè, la douleur . Par conséquent, il existe une différence quant
iste une différence quantitative entre la sensation calorique et la douleur provoquée parle même irritateur, mais d'une in-
itative entre les sens de toucher, dépression et la sensation de la douleur . Le même corps, à une température constante et
donne une sensation de pression, et touché encore plus fortement la douleur . Ici on peut accepter que les mêmes appareils de
ens de loucher ou le sens de pression, et au delà de ces limites la douleur . De sorte qu'on peut se passer d'admettre, qu'il
es. A ce sujet on ne peut pas accepter la définition : « sens de la douleur » ; ce n'est pas un « sens », mais une « sensatio
la douleur » ; ce n'est pas un « sens », mais une « sensation de la douleur ». Les données anatomiques et physiologiques ne
des intestins, de la vessie, de la vésicule biliaire, etc.). Les douleurs apparaissant dans ces organes s'expliquent par un
s, comme plusieurs autres fibres, de transmettre la sensation de la douleur (nerf sympathique). Les moyens cliniques et phy
. Je ne dis rien des courants électriques, comme provocateurs de la douleur , parce que la na- ture de ces provocateurs et l
s sont très peu connus. Je m'en tiens à l'un des provocateurs de la douleur le plus ordinaire - le traumatisme. De quelque ma
piqûre ou de coupure ou de pres- sion,.tout de même la cause de la douleur sera toujours le traumatisme, suivi des lésions
su nerveux ou d'autres changements anatomiques. Pour l'examen de la douleur on provoque un des traumatismes le plus inoffen
s- tination physiologique tout à fait différente. Par conséquent la douleur ne peut pas être acceptée comme une conséquence
ves dans une région donnée de la peau, se trouve le caractère de la douleur . Tantôt elle est brûlante, obtuse, aiguë, téréb
) ont aussi une influence sur le degré, la qualité et la durée delà douleur . Enfin l'épaisseur de la couche indolore et son r
pas transmis par l'endroit où on a fait la pi- qûre et provoqué la douleur s'explique tout à fait par un fait physiologique
x à trois mois). Il y a dix ans environ, début d'un tabes dorsalis ( douleurs fulgurantes, accès de diplopie, puis trou- bles
un appareil et maintenu plusieurs mois au lit. Il éprouva de vives douleurs pendant la durée de cette immobilisation, et à
au niveau du testicule droit. L'orcbite fut suivie de cystite, avec douleurs , mictions fréquentes, impé- rieuses, de quelque
du membre atrophié est intacte à tous les modes. Il n'existe aucune douleur au niveau du membre inférieur. Pas d'hyperesthé
nt du pus. DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 217 En mars 1758, douleur et tuméfaction au cou-de-pied droit avec formatio
bligé de rester couché le moindre mouvement produisant de violentes douleurs . Une large collection purulente s'était formée da
e par suite de luxation d'après le diagnostic posé. Huit ans après, douleurs dans tous les membres accompagnées de mouvement
ANTE PROGRESSIVE 281 débuté une semaine auparavant par de violenles douleurs . On constate une tumeur solide, dure , indolore
nous trouvons des tumeurs plus nombreuses et plus proéminentes. La douleur est revenue. La partie inférieure du sterno-mas
abondante. L'affection est évidem- ment inflammatoire à cause de la douleur , du gonflement et de sa consistance molle. Pouq
invariablement il se forme un- gonflement semblable, accompagné de douleur et d'un léger mouvement fébrile. Etat actuel.
mille. Bien portant jusqu'à l'âge de 3 ans. A la suite d'une chute, douleurs aux épaules ; depuis les mouvements devinrent d
montrer dans d'autres endroits. La malade n'est pas réglée. En 1861 douleurs la moitié droite du thorax et dans l'articulati
ISSIM qu'aux doigts. Traitement : Electricité avec exaspération des douleurs , à cha- que application, comme résultat. Févr
ai, scarlatine légère durant 3 jours. Huit jours après au milieu de douleurs et de fièvre, formation brusque dans le droit ant
t encore à la première période, elle détermine l'immobilité par les douleurs qu'elle occasionne. Jambes et pieds normaux.
dents héréditaires. L'affection a dé- buté à l'âge de 6 ans par des douleurs à la nuque, à droite,et à l'épaule droite. Plus
de juillet 1882, apparition d'une ankylose du genou gau- che, sans douleur et sans empêcher le malade de marcher. En 1882,
ème très modéré de la jambe gauche. Le malade n'a jamais éprouvé de douleurs . Diminution de l'excitation faradique dans les
a sensibilité électrique ; les courants forts n'occasionnent aucune douleur . Courant galvanique. C.F.P. avec le moins d'élé
urface d'insertion du carré crural. En 1882, le malade se plaint de douleurs à la nuque, au bras et à l'avant- bras ; en exa
eule fois,on constata, huit mois après l'ap- parition des premières douleurs , un noyau osseux à la partie supérieure et exte
dé- veloppa une tuméfaction sur la moitié ganche du thorax avec des douleurs intenses et de la dyspnée. Depuis 4 semaines, l
ctoraux; le bord antérieur des splénius est tendu et induré. Pas de douleurs . il janvier 1891. - La fracture est consolidée.
semaines, sen- sation de tension dans le côté droit de la nuque et douleurs au niveau d'une tumeur de l'aisselle droite. No
nodule de la gros- seur d'une aveline. Etat général toujours bon, douleurs au niveau des différentes tuméfactions. (A suiv
arement dans le gauche à chaque fois qu'il se mettait en marche. La douleur survenait régulièrement lorsque, après un repos
pas, quand le pied frappait le sol ; puis la marche continuant, la douleur s'atté- nuait sans toutefois disparaître ; elle
EL ET P. FROUSSARD Ankylose du rachis. - Un an plus tard (1895) les douleurs des cuisses dis- parurent ; mais tout mouvement
des cuisses dis- parurent ; mais tout mouvement provoquait de vives douleurs dans les régions coccygienne, sacrée et lombair
lisation du cou et de la cuisse gauche. - En août 1897, en plus des douleurs lombo-sacro-coccygiennes, survinrent des douleurs
1897, en plus des douleurs lombo-sacro-coccygiennes, survinrent des douleurs dans les hanches. Les mouvements du cou, du bra
ompagnaient de craquements. Duf... qui depuis l'apparition de ses « douleurs de reins » avait abandonné le métier de maçon pou
eux omoplates. Les mouvements des bras ne causent que peu ou pas de douleur dans les articu- lations des épaules, mais plut
ata,le réflexe de Babinski n'existent pas. Pas de clonus du pied. Douleurs . Lorsque le malade ne fait pas de mouvement, il n
Lorsque le malade ne fait pas de mouvement, il ne se produit pas de douleur . Ainsi lorsqu'il garde l'immobilité étant couché,
s; et même s'il marche lentement, à son aise, il ne survient pas de douleur . Ainsi, pas de douleurs spontanées. Mais, la fa
ntement, à son aise, il ne survient pas de douleur. Ainsi, pas de douleurs spontanées. Mais, la fatigue est douloureuse. Cel
longtemps ; la marche un peu rapide produit vite de la fatigue. La douleur , dans ces différents cas, est la même; c'est ce
e la cuisse et de la jambe gauche, jusqu'au-dessous du genou. Cette douleur n'est pas superficielle, elle est dans la profond
, dit Duf... Si la secousse est forte, en môme temps se produit une douleur dans la tête. Si au lieu de venir d'en bas, l'é
s, l'ébranlement vient d'en haut, il y a quelque chose de plus, une douleur du sternum. Ainsi, lorsque Duf.. éternue, un poin
au milieu de cet os, est douloureux ; en même temps se produit la « douleur de reins». Pour les tentatives de mouvements vo
ieure du corps, la réaction douloureuse est toujours la même : « la douleur de reins ». Il en est ainsi par exemple, si le
losée, pour toute tentative de flexion du tronc, etc. 11 n'a pas de douleurs au niveau du rachis dorsal. Dans les grandes insp
rachis dorsal. Dans les grandes inspira- tions, Duf... ressent une douleur des deux côtés du -thorax, sur la partie moyenn
tête, ou si Duf... fait agir ses muscles du cou, il se produit une douleur , toujours la même siégeant des deux côtés de l'
iège) ; mais, il sa période terminale, ce mouvement est douloureux ( douleur de l'aine droite). Les mouvements d'élévation f
accompagnés de craquements intenses. Actuellement il n'y a plus de douleur de la déglutition. Les mouvements qui se passen
d'ajouter que la fatigue ne survient pas assez rapidement, que les douleurs ne sont ni assez violentes ni assez intenses, pou
née dans la salle. Il est bien plus gêné par sa raideur que par ses douleurs . En somme les douleurs ont des caractères bien
st bien plus gêné par sa raideur que par ses douleurs. En somme les douleurs ont des caractères bien tranchés : elles ne sont
sés. Tout ébranlement de la partie inférieure du corps produit la « douleur de reins » ; tout ébranlement de la tête produi
it la « douleur de reins » ; tout ébranlement de la tête produit la douleur occipito-atloïdienne. Il y a donc pour la local
ouleur occipito-atloïdienne. Il y a donc pour la localisation de la douleur , des sièges d'élection. 330 E. FEINDEL ET P. FR
douleur, des sièges d'élection. 330 E. FEINDEL ET P. FROUSSARD La douleur est profonde. Elle se produit instantanément et d
e de forcer le déplacement. Elle a des irradiations. Au début des « douleurs des reins », alors qu'elles étaient plus vives qu
cipal elles ne se produisaient qu'à l'occasion de mouvements. Les douleurs à la pression sont différentes des précédentes pa
e sont sensibles il la pression ondes points limi- tés et fixes. La douleur il la pression est surtout vive à l'union du sacr
tour de son corps en serrant ses côtes inférieures. En dehors des douleurs il n'existe pas d'autres troubles de la sensibili
maladie. - L'affection a eu trois étapes douloureuses. D'a- bord la douleur de la jambe droite se portant quelquefois dans la
jambe gauche. Aucune ankylose n'a marqué ce début. Puis vint la « douleur des reins » qui s'accompagna de la soudure de tou
t. A ce moment les mouvements de la cuisse gauche provoquaient la « douleur des reins » et pour éviter cette douleur, Duf..
e gauche provoquaient la « douleur des reins » et pour éviter cette douleur , Duf... immobilisait volontairement sa cuisse gau
commencé à se limiter. La troisième étape a été marquée par : les douleurs du cou, les douleurs de l'articulation temporo-
er. La troisième étape a été marquée par : les douleurs du cou, les douleurs de l'articulation temporo-maxillaire, la douleu
leurs du cou, les douleurs de l'articulation temporo-maxillaire, la douleur des épaules, quelque douleur à la déglutition ;
l'articulation temporo-maxillaire, la douleur des épaules, quelque douleur à la déglutition ; consécutivement par : l'immo
a marche de la maladie n'a pas été continuellement progressive. Les douleurs de la déglutition n'ont duré que peu de temps; la
temps; la bouche qui à un moment donné s'ouvrait mal, et avec de la douleur de l'articulation tem- poro-maxillaire droite,
chaise, mais la fin de ce mouve- ment est difficile et provoque des douleurs dans l'aine, et des craquements dans la hanche.
erait d'une pièce de bois. Par cette manoeuvre, on éveille une vive douleur , la « dou- leur de reins » du malade avec ses i
surmenage des articulations de la colonne cervicale, apparurent des douleurs de la nuque qui ne cessaient même pas dans le r
dans l'articulation occipito-atloïdienne ; ils s'accompagnaient de douleur , surtout pour l'extension de la tête en arrière.
et douloureuse, ne tarda pas il produire des effets favorables : la douleur devint moins vive, l'épaississement de la colonne
ns aucun des cas que nous connaissons. Ils sont de deux sortes : la douleur à la pression en UN CAS DE SPONDYLOSE RHIZOMÉLI
souvent les mêmes pour tous les malades (coccyx par exemple); et la douleur à l'occasion d'un ébranlement, d'un mouvement b
ent brusque ou forcé. Il est à noter que dans le cas de Baumler les douleurs auraient complètement disparu. Evolution. Le
complètement disparu. Evolution. Le début se fait souvent par des douleurs qui siègent dans les mem- bres inférieurs (geno
i siègent dans les mem- bres inférieurs (genoux, cuisses). Puis les douleurs se portent dans la région loiiil)o7-,acro-coccy
dante. L'anky- lose du rachis dorsal ne semble pas s'accompagner de douleurs com- parables à celles qui- siègent dans les ré
oduire que plus lard, en même temps que s'achève, en provoquant des douleurs intenses, la soudure de la colonne cervicale, e
ans le cas de Baumler, moins dans le nôtre. Malgré la présence de douleurs quelquefois d'une intensité extrême, les articu
travers une brèche dentaire, le moindre ébranlement provoquait des douleurs terri- bles, au point que depuis des mois, les
être l'attitude prise volontairement par les malades, alors que les douleurs commencent à sél ir et que le pro- cessus d'oss
qui plus tard devient définitive. P1'l'IIOGÉ\IE DES DOULEURS. Les douleurs sont de deux ordres ; celles qui sont produites p
nt donc tenir a la sensibilité propre des végétations osseuses. Les douleurs qui se produisent a l'occasion de mouvements sont
e, on est conduit à considérer comme probable la relation de telles douleurs avec la compression ou l'excitation par contact d
u même à l'intérieur du canal rachidien. Il est à remarquer que les douleurs pouvant être rapportées à l'excitation des nerf
gion. Cette contracture est peut- être réflexe et provoquée par les douleurs qui sans cesse se reproduisent au niveau des re
itation de racines antérieures par des ostéophytes, de même que les douleurs à caractère fulgurant qui se propagent dans les
ins de vapeur, bains de boue, bains de sable, médicaments contre la douleur , massage. Il nous semble que des exercices quot
s, un abcès se forma au niveau du maxillaire inférieur gauche ; des douleurs vives précédèrent son ouverture puis disparurent
392 A. WEIL ET J. NISSIM Dans ce cas l'ossification a commencé sans douleurs , sans rougeur ni cha- leur. Ons. XXXV. L. RAB
e, raideur dans la marche. Variole, rougeole et coqueluche ; pas de douleurs aux région» maldes. Antécédents héréditaires.
a grosseur d'une petite noix. Bientôt appa- rition insidieuse, sans douleurs ni rougeur, d'autres tumeurs, un peu plus 396 .
buté 4 ans auparavant et ayant augmenté en volume et en nombre sans douleurs . Rien dans les antécédents personnels ou hérédi
cles, les paralysies du mouvement et du sentiment, les spasmes, les douleurs , etc., en eux-mêmes ; ils les considèrent dans le
is il guérir des paralysies, des tremblements, des convulsions, des douleurs , des désordres du langage, des perversions de l
st à ce moment précis, disons-nous, qu'il a éprouvé brusquement une douleur assez vive, qu'il lo- calise exactement dans le
nter pectoro-deltoïdien et fosse sous-épineuse du côté droit. Cette douleur n'irradiait point dans le bras correspondant. E
pas de troubles de la sensibilité objective dans cette région. Les douleurs spontanées ont disparu ; notre malade ne se plain
issait aucune trace. n'y,vait plus ni anesthésie, ni dysesthésie,ni douleurs à la pression dans les régions désignées. Mais
ôt la fièvre se déclare et elle éprouve au côté droit du thorax des douleurs devenues rapidement très intenses. Pen- dant qu
nible. A nos questions elle répond uniquement en se plaignant d'une douleur au côté droit de la poitrine en un point qu'ell
la ligne axillaire postérieure au niveau de la dixième côte. Cette douleur très aiguë en elle-même s'exagérait par la paro
- lade ne tousse pas ou seulement une fois par ci par là et sauf la douleur tout ce qu'elle accuse, en fait de phénomènes s
ventouses scarifiées. Le lendemain la malade va beaucoup mieux. Les douleurs avaient cédé en grande partie et ne se montraie
abon- dant. t. ' Comme le malade se plaignait incessamment d'une douleur fort vive dans la région de l'ovaire droit on p
ielle et sensitive. La sensibilité est complètement abolie quant à la douleur et au tact, le sens musculaire fait également d
vient à comprimer la région de l'ovaire droit on y dé- termine une douleur intense en même temps que se déclare une subite r
que les phénomènes fonctionnels s'étaient complètement modifiés.Les douleurs spon- tanées étaient à peu prés nulles, mais la
iers jours qui suivirent la ponction la malade se trouva bien, sans douleurs ni dyspnée. Le troisième jour nous la rencontrons
ponctions exploratrices qui donnent toutes un résultat négatif. Les douleurs sont pour ainsi dire nulles ; la descente inspira
du côté gauche. En somme, réelle amélioration de l'état local. Les douleurs n'existent plus et ne se montrent qu'a la suite
OCA on retrouve encore quelques vestiges de la maladie récente. Les douleurs dia- phragmatiques sont nulles. Les stigmates h
es stigmates hystériques sont les mêmes ; elle se plaint d'une vive douleur spontanée ai l'ovaire droit. Deux jours après s
ons été frappés de l'insistance avec laquelle la malade signale une douleur à l'ovaire droit (côté de l'hémi-anesthésie). Les
pparition de cette ossification ne semble pas avoir été précédée de douleur ni de gonflement. Etal actuel (1892). L'enfant
s d'un gonflement presque pâteux, avec légère rougeur de la peau et douleur très vive à la pression ; pas de fièvre. - Le 1
1895, p. 1-13. Homme, 50 ans. Rien dans les antécédents. En 1879, douleurs au côté gauche du thorax pendant 3 semaines avec
omme des noisettes, qui disparurent bientôt après. En 1884, fièvre, douleurs sur tout le côté gauche du thorax pendant 2 se-
la 10e côte est très sensible à la pression, et de là, de violentes douleurs s'irradient le soir. Dans la région du fascia lom
affection au dos et la région sacrée avec les mêmes phéno- mènes de douleur et de gonflement. Tête attirée sur le côté. Après
tendait toujours après un traumatisme, chute ou coup. En juin 1892, douleurs aiguës au coude gauche et raideur consé- cutive
ge ; consécutivement difficulté dans les mouvements de la mâchoire, douleurs dans les muscles masticateurs droits et, six mo
vembre, chute sur le bras gauche, gonflement de ce dernier, fièvre, douleurs , application d'un bandage plâtré et raideur con
latine. - ' Dans ses derniers jours, ankylose du genou droit et des douleurs à la région fessière du même côté. - Examen m
it de plus en plus ; de temps en temps on cons- tatait des accès de douleurs avec ou sans tuméfaction locale et consécutivemen
la raideur. Un soir il fumait sa pipe lorsqu'il sentit une violente douleur au niveau de la mâchoire inférieure, sous les ore
32 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
1), éprouvait depuis un an environ, dans le côté droit de la face des douleurs violentes qui, d'abord intermittentes, se mon-trè
parfaitement sentie; mais une pression un peu forte ramenait de vives douleurs . — La conjonctive de l'œil droit était injectée ;
l'œil gauche, ainsi que dans le côté gauche de la face, de légères douleurs lancinantes ; ces douleurs s'exagèrent rapidement
dans le côté gauche de la face, de légères douleurs lancinantes ; ces douleurs s'exagèrent rapidement et à un haut degré après l
x, à la suite d'un coup reçu sur la tête, devint sujet à de violentes douleurs , fixées sur le côté droit de la tête, et éprou-va
éprou-vait de temps en temps des accès épilcptiformes. Plus tard, les douleurs se loca-iseront dans l'œil et l'oreille droits. L
mps après la guérison de la plaie, surviennent dans la jambe de vives douleurs , presque continues, mais s'exaspérant par accès.
e vives douleurs, presque continues, mais s'exaspérant par accès. Ces douleurs qui semblent partir de la cicatrice se répandent
is la perte d'une partie d'un membre. Celle-ci survient sou-vent sans douleur , parce que, à l'époque où elle a lieu, l'anes-thé
lorsqu'il s'agit d'un 1. Voir la noté 1, p. 41. nerf mixte, — de douleurs plus ou moins vives ou de sensations anormales, i
ices de l'irritation que subissent les fibres sensi-tives (1 ). A ces douleurs s'adjointfréquemmentrapparition de ces troubles t
es, urticaire, zona, éruptions pustuleuses : leurs relations avec les douleurs fulgurantes ; elles paraissent relever de la même
urantes ; elles paraissent relever de la même cause organique que les douleurs . Eschares à développement rapide (Decubitus acu
euse ou liché-noïde, plus ou moins confluente à la suite des accès de douleurs fulgurantes spéciales à l'ataxie locomotrice. Che
aire se produisent à chaque accès au niveau des points où siègent les douleurs les plus vives. Chez une autre, la peau de la rég
aladie a évolué d'une, manière très rapide, car les premiers accès de douleurs fulgurantes datent du mois de mars 1865, et déjà
qui eut lieu en juin 1887, présenta une intensité exceptionnelle. Les douleurs , qui étaient vraiment atroces, parurent fixées, d
es, ne fut complète qu'au bout de deux mois. Dans un autre accès, les douleurs fulgurantes suivirent la direction de la branche
avec certaines exacerbations exceptionnellementintenseset tenaces des douleurs spéciales, en quelque sorte pathognomo-niques de
es cordons postérieurs, et que l'onacoutumede désigner sous le nom de douleurs fulgurantes. Je relèverai cet autre caractère q
istence de ces érup-tions cutanées parait intimement liée à celle des douleurs fulgurantes, et il devient ainsi au moins très vr
es-ci et de celles-là. Quelle est donc la raison de la présence des douleurs fulgu-rantes parmi les symptômes de la sclérose d
our le moment, de vous dire, que suivant toutes les probabilités, ces douleurs dépendent de l'ir-ritation que subissent, dans le
e grisé. Il ne paraît guère possible de rattacher la production des douleurs fulgurantes à l'une quelconque des lésions suivan
ri-tatives des ganglions spinaux ou des nerfs périphériques ; car ces douleurs ont été rencontrées dans un certain nombre de cas
ie, p. 345, 340. locomotrice progressive (1). Chez cette femme, les douleurs pa-roxystiques spéciales avaient existé, à un hau
n, je pourrais citer plu-sieurs faits du même genre dans lesquels les douleurs fulgu-rantes avaient été également très intenses,
de la moelle épinière qu'il faudrait chercher le point de départ des douleurs fulgurantes des ataxiques. Mais il est peu vraise
o-dique, à l'irritation dont les cordons eux-mêmes sont le siège 1. Douleurs fulgurantes de l'ataxie, sans incoordination des
rs. — Le jour de l'admission, on nota ce qui suit : céphalalgie vive, douleurs de reins, diarrhée. Le malade ne peut ingérer la
éfaction d'apparence phlegmo-neuse, qui peut s'accompagner parfois de douleurs vives, si la région n'était pas au préalable frap
ndre contact de la peau, surtout au voisinage du pied, provoque de la douleur : il en estde même de la pression. Un pincement l
articulation est tuméfiée, rouge, et que de plus elle est le siègeïle douleurs spontanées s'exagérant par les mouvements (arthro
au niveau de la plaque ecchymoiée. — Le gonfle-ment, la rougeur et la douleur ont à peu près complètement disparu au genou gauc
res, ressentit dans le dos, au moment où il soulevait un fardeau, une douleur subite. 11 put se rendre à pied à son domicile di
dant. lien était résulté un étatparétique de ce membre, accompagné de douleurs vives suivant le trajet des principauxtroncs nerv
uë ou subaiguë, accompagnées de tuméfaction, de rougeur et parfois de douleurs plus ou moins vives. Elle a été signalée pour la
t. Œuvres complètes, t. i. 8 6. place à une eschare. Le 6 mars, une douleur vive s'est mani-festée au genou droit qui est tum
ures de ces msmbres, le genou surtout et le pied, étaient le siège de douleur et de gonflement, Le malade étant aphasique à un
oissé au niveau du coude. Il importe de ne pas les confondre avec les douleurs , quelquefois très vives, qui peuvent se manifeste
dans les muscles ou dans les articulations des membres paralysés. Les douleurs du dernier genre ne se révèlent guère que sous l'
ontrer encore aune époque ulté-rieure. La tuméfaction, la rougeur, la douleur articulaire ?ont quelquefois assez prononcées pou
e et souvent énorme du membre, le plus communément en dehors de toute douleur , de toute réaction fébrile. Aubout de quelques jo
porté son action sur le membre qui, ultérieurement, a été affecté de douleurs et de tremblement. La paralysie agitante qui écla
10). Après avoir éprouvé pendant quelque temps de la céphalalgie, des douleurs lancinantes erratiques, un sentiment de constrict
s les cas où l'influence étiologique du froid a pu être invoquée, des douleurs rhumatoïdes ou névralgiques vagues. Nous pourrion
pine sous l'ongle du pied droit. Elle ressentit sur le champ une vive douleur , et bientôt elle eutun tremblement qui, d'abord c
iture. Au bout de quelque temps, il survint dans le membre blessé une douleur vive, occupant le trajet du nerf sciatique, et, p
j'ai observée à la Salpêtrière, éprouva, pendant plusieurs années une douleur , violente localisée sur le parcours des nerfs de
u pied. Ces parties furent prises les premières du tremblement. Cette douleur , qui s'était développée sponta-nément, et qui, pa
e l'on supposait capable de modérer le trem-blement, en diminuant les douleurs . Dans ces derniers temps, j'ai employé Yhyoscyami
membres affectés, presque toujours conservée dans tous ses modes. Les douleurs en ceinture, les crises fulgurantes, qui jouent u
ses membres. — Elle y éprouve de temps à autre de violentes crises de douleurs fulgurantes. On constate enfin l'existence d'une
s crises de douleurs fulgurantes. On constate enfin l'existence d'une douleur en ceinture. Vous venez de reconnaître, dans ce
pasqu'une disposition semblable ne doivent rendre compte un jour des douleurs fulgurantes, de l'incoordination motrice et, en u
position îles membres inférieurs en grande partie perdue: fréquentes douleurs fulgurantes dans les genoux et les jambes; douleu
erdue: fréquentes douleurs fulgurantes dans les genoux et les jambes; douleurs en ceinture. Mais, à côté de ces phénomènes, on n
possible que les crises gastriques, coïncidant ou alternant avec les douleurs ful-gurantes des membres, soient en pareil cas, a
diplopie.—A 25 ans, faiblesse des bras qui sont,parfois, le siège de douleurs . 1867. Nystagmus, diplopie. Intégrité des masses
oite qu'à gauche, le trem-blement des membres supé-rieurs a augmenté. Douleurs fulgurantes fréquentes, sur-Fig.ib.— Elle représe
r que l'incoordination motrice, la perte de la notion déposition, les douleurs fulgurantes qui s'observent dans un certain nombr
t, que cette oblitération se produise avec ou sans accompagnement des douleurs de la colique néphrétique. Eh bien, Raifort (l),A
Un symptôme très important que nous offre encore Etch..., c'est une douleur siégeant au-dessus de l'aine gauche M. Bri-quet a
ouleur siégeant au-dessus de l'aine gauche M. Bri-quet adonné à cette douleur le nom de cœlialgie, et il en place l'origine dan
ccasionna une attaque d'hystérie. En mai, faiblesse extrême, malaise, douleurs dans les membres (Régime fortifiant: quinquina, f
ralgie intercostale; sensibilité ovarienne développée du côté gauche, douleur à. la pression ; anesthésie en divers points de l
orps strié, a été enlevé, continue à voir, à entendre, à ressentir la douleur , etc. Ce serait donc plus bas, dans la protubéran
hésie ovarienne. Sommaire. — Hystérie locale des auteurs anglais. — Douleur ovarienne : sa fréquence; considérations historiq
ystérie me paraît mériter toute votre attention. Je veux parler de la douleur qui siège dans l'un des flancs/surtout ans le*gau
ux limites extrêmes de la région hypogastrique. Je fais allusion à la douleur ovarienne ou ovarique, dont je vous ai dit un mot
me sera facile, l'hypothèse qu'elle con-sacre implicitement. Cette douleur , je vous la ferai pour ainsi dire toucher du doig
n mentale. "•. Vous voyez déjà par cette simple indication que la douleur iliaque est chose fréquente dans l'hystérie; c'es
rement relevé l'existence Charcot. Œuvres complètes, t. i. 21 des douleurs hypogastriques et abdominales chez les hysté-riqu
étude de Vhystérie locale, ne traite pas d'une manière spéciale de la douleur abdominale (1). Il sembleêtrede tradition quele
es del'hystérie{2), comme il les appelle, décrit avec complaisance la douleur ilia-que ou delà région ovarienne, très commune à
ent à peu prés complètement sous silence tout ce qui est relatif à la douleur hypogastrique. Tels sont, par exemple, Hasse et V
ut, queîjVI. Briquetjff'ait pas reconnu l'existence très fréquente de douleurs abdominales, fixes, chez les hystériques, il a mê
dois vous faire remarquer que, sous ce nom, il comprend à la fois les douleurs de la partie supérieure de l'ab-domen et les doul
d à la fois les douleurs de la partie supérieure de l'ab-domen et les douleurs hypogastrique et iliaque ; mais il est convenu qu
ent dans l'ovaire le siège principal^ le foyer, pour ainsi dire, delà douleur iliaque, M. Briquet n'y voit qu'une simple douleu
r ainsi dire, delà douleur iliaque, M. Briquet n'y voit qu'une simple douleur musculaire, une myodyniehystérique. Suivant lui :
extrémité inférieure du muscle droit a été prise bien à tort pour une douleur utérine ; 2° la douleur de l'extrémité inférieure
muscle droit a été prise bien à tort pour une douleur utérine ; 2° la douleur de l'extrémité inférieure du muscle oblique répon
e l'extrémité inférieure du muscle oblique répondrait à la pré-tendue douleur ovarique, — telle est la thèse de M. Briquet. I
r dans cet hospice sur une grande échelle. Je vais donc décrire cette douleur telle que j'ai appris à la connaître. 1° Tantôt
e douleur telle que j'ai appris à la connaître. 1° Tantôt c'est une douleur vive, très vive même : les mala-des ne peuvent su
évident qu'ici les muscles et la peau elle-même sont de la partie. La douleur occupe alors une assez grande étendue en surface,
ait, selon cetauteur, à la région de l'ovaire. 2° D'autres fois, la douleur n'est pas spontanément accusée ; il faut la cherc
jles muscles, s'ils sont lâches, peuvent être pinces et soulevés sans douleurs ; — c) cette première explora-tion montre que le
douleurs ; — c) cette première explora-tion montre que le siège de la douleur n'estpas dans lapeau ni dans les muscles. 11 est
'abdomen, à l'aide des doigts, on arrive sur le véritable foyer de la douleur . Cette manœuvre permet de s'assurer que le siè
ns. C'est à ce moment de l'exploration que l'on provoque surtout la douleur , et qu'elle se révèle avec des caractères pour ai
es caractères pour ainsi dire, spécifiques. Il ne s'agit pas là d'une douleur banale, car c'est une sensation complexe qui s'ac
it fait négliger d'inscrire dans la série des phénomènes de l'aura la douleur iliaque initiale. Si j'en juge d'après mes prop
me reste, Messieurs, à établir que ce point particulier où réside la douleur iliaque des hystériques correspond au siège même
niveau du point correspondant à celui où nos hystériques accu-sent la douleur iliaque, on enfonce, d'avant en arrière et de hau
ure que c'est bien à Vovaire à / ovaire seul, qu'il faut rapporter la douleur iliaque 1. E.-Q. Legendre. — Anatomie chirurgic
es. A la vérité, à do certaines époques, et dans les cas intenses, la douleur , par un mécanisme que je n'ai pas à indiquer pour
rieurs, la description serait incomplète, et le véritable foyer de la douleur resterait méconnu. VI. 11 conviendrait de rec
état anatomique de l'ovaire, dans le cas où il devient le siège de la douleur iliaque des hystériques. Sur ce point, dans l'éta
qu'une relation importante, en quelque sorte intime, existe entre ta douleur ovarienne et les autres accidents de l'hystérie l
ades que je vous présente, une concordance remarquable du siège de la douleur iliaque et du mode de localisation des symptômes
rsqu'elle siège à droite. Je vous ferai remarquer aussi que, quand la douleur ovarienne siège à la fois adroite et à gauche, le
ccidents se montrent bilatéraux, prédominant tou-tefois du côté où la douleur iliaque est le plus intense. A plusieurs repris
servation. antApipnrp )ui aura déjajmtcéJitxeifiusiÈge habituel de la douleur ovarienne. Tout d'abord, il lui faut faire appe
nous observons chez elle une hémianesthésie gauche, bien accusée, une douleur ovarienne gauche avec une tumeur facile à constat
ang (1) ; son ventre est le siège d'un ballonnement considérable avec douleur vive à la pression de la région ovarienne gauche,
érable avec douleur vive à la pression de la région ovarienne gauche, douleur d'un caractère spécial, s'accompagnant de sensati
malade reconnais-sait comme précédant la plupart de ses attaques. Ces douleurs , comme d'ailleurs le ballonnement et la rétention
légie. Eh bien,Messieurs,ce ballonnement considérable duventre, ces douleurs de la région ovarienne cette rétention des urines
rigidité spasmodique reste limitée à quelque partie d'un mem- et la douleur ovarienne droites n'ont pas changé. Ce t'ait nous
s nettement prononcée, fixe, toujours présente à un certain degré; la douleur iliaque,par laquelle elle se manifeste,s'exalte s
sur laquelle j'ai maintes fois insisté antérieurement, du siège de la douleur iliaque et du mode de localisation des symptômes
espèce. Il serait même bon si elle n'était souvent réveillée par des douleurs dans les talons : « ça me pique et on dirait de l
uf la nuit pour celui-ci— sont toujours aussi accusés qu'autrefois. — Douleurs dans les jointures, qu'elle com-pare à des piqûre
à ces dernières que la malade attribue l'incurvation du tronc. — Les douleurs vives, qu'elle éprouvait eu 1873 dans les talons,
angements de température, les temps humides ou orageux augmentent les douleurs . G... a fréquemment des maux de tête, accompagnée
Edème des jambes. — Eczéma erratique : quand il est très mar-qué, les douleurs diminuent. 1880. Mai. — G... a souffert beaucou
Il yaquatre ans, M. R..., a souffert pendant deux ou trois mois d'une douleur de tête très vive, siégeant sur le front du côté
t sur le front du côté gauche et à la racine du nez du même côté. Les douleurs , revenant par paroxysmes, s'accompagnaient souven
uparavant, ilya 12 ou 15, il avait éprouvé, à plusieurs reprises, des douleurs articulaires, qui n'ont jamais été assez intenses
ln'aexisté dans ces parties de fourmillements, d'engourdissements, de douleurs d'aucun genre. Il n'y a jamais existé non plus, l
tratif. Observation II. — Rhumatisme articulaire aigu. —Malaises. — Douleurs et raideurs musculaires. — Bave. — Attitude génér
jour, en montant une échelje, elle ressentit dans la jambe gauche une douleur vive avec crispations des orteils. Ces crampes do
-duisent encore aujourd'hui dans le même membre de temps à autre. Les douleurs sourdes, accompagnées de raideur muscu-laire, se
., est âgée actuellement de 24 ans. A fâge de 8 ans, elle éprouva une douleur vive, avec impossibilité de mou-voir les membres
ment l'attaque et qui apparaissent en géné-ral dans l'ordre suivant : douleur ovarienne (1), irradiations vers l'épigastre, pal
z rapidement, ou des contractures partielles qui ne provoquent aucune douleur , mais peuvent persister beaucoup plus longtemps.
ta été piqué ou pincé, se plaindre peu après le petit accident, d'une douleur qui, des doigts, s'étend par en haut sur la main
qui, des doigts, s'étend par en haut sur la main et l'avant-bras. La douleur sera probablemenlcompliquée d'une action convulsi
nte d'une paire de ciseaux. L'acci-dent fut suivi immédiatement d'une douleur occupant le trajet du nerf médian. Dès le lendema
choire, déferminéepar une contracture du muscle masséter. ouenfin une douleur de fête vive et qui, par son caractère, rap-pelai
fin une douleur de fête vive et qui, par son caractère, rap-pelait la douleur du doigt piqué... Une intervention chirurgi-cale
eurta le clos de la main droite contre un tabouret. Il s'ensuivit une douleur assez vive et un peu de gonflement. Deux ou trois
st changé dans sama-nièred'être. 11 n'existechez elle aucune trace de douleur ovarienne. Deux fois les règles se sont montrées
t im-médiatement, sur la partie soumise à la pression, une assez vive douleur , un gonflement avec ecchymose, mais point de piai
ésolutifs, le gonflement et l'ec-chymose disparurent bientôt, mais la douleur et la contracture persistant, la malade se décida
de l'avant-bras et de la main, il existe d'une façon per-manente une douleur qui s'exaspère de temps à autre spontané-ment. La
manente une douleur qui s'exaspère de temps à autre spontané-ment. La douleur s'exaspère toujours et devient atroce lorsque la
desparties douloureuses: l'ecchymose a depuis longtemps disparu. La douleur exquise produite parles moindres con tacts, renda
st devenu complet, ne fait rien découvrir qui puisse rendre compte de douleurs si vives.On remarque que,bien quête sommeil provo
mes qu'elles reprennent leur attitude première. Tous ces accidents, douleur et contracture, avaient persisté jusqu'au commenc
appréciable, la contracture disparut brusquement en même temps que la douleur ; il était survenu une paralysie complète portant
n reconnaît aussi, dans la région ovarienne droite, l'existence d'une douleur très accentuée que la malade n'avait pas accusée
tion anhélante avec menace de suffocation; un autre jour, ce sont des douleurs par-tant de la région précordiale et s'irradiant
l'épaule gauche, ou encore une toux sèche et convulsive, une violente douleur fixée sur la tempe gauche , un autre jour, enfin,
, le moindre frôlement, le moindre mou-vement provoqué exaspèrent les douleurs et la contracture. Celles-ci s'exaspèrent encore
parties affectées. 11 arrive, en général, que l'hyperes-thésie et les douleurs font place, tôt ou lard, à une anesthésie plus ou
e, Or, jamais ces fractures n'ont été l'occasion du dé-veloppement de douleurs ou de contractures (2). Laconsolida- 1. Voir l'
normal dans la fracture, si ce n'est que la malade se plaignait d'une douleur extrême au niveau du point lésé et peu à peu la d
aignait d'une douleur extrême au niveau du point lésé et peu à peu la douleur s'étendit au bras jusqu'à l'aisselle, puis au mêm
dessus de l'oreiller sur lequel il reposait,oecasionnait de violentes douleurs et une action convulsive du membre, bientôt suivi
sionnée; au bout de quelque tempsjl survint dans le membre blessé une douleur vive, occupant le trajet du nerf sciatique, et pe
, urticaire, zona, éruptions pustuleuses : leurs relations avec les douleurs fulgurantes ; elles paraissent relever de la mê
antes ; elles paraissent relever de la même cause organique que les douleurs . Eschares à développement rapide (Décubitus acutu
hésie ovarienne. Sommaire. — Hystérie locale des auteurs anglais. — Douleur ovarienne ; sa fréquence; considérations historiq
fections cuta-nées dans 1'), 76; relation ertre ces affections et les douleurs ful-gurantes, 76 ; — différences qui séparent l'a
e 1' —, 325 ; — 1"' nœud Charcot. Œuvres complètes, t. i. 32 ou douleur ovarienne, 325: 2e nœud ou globe hystérique, 826
ie agitante, 175. Diplopie dans la sclérose en plaques, 233, 258. Douleurs fulgurantes fPathogénie des), 78. Dynamométrie
33 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
timent de bien-être inaccoutumé, pandiculation, bâillement, réveil de douleurs anciennes, calme de celles présentes, qui, quelqu
presque subite, et avait été précédée uno semaine à l’avance par des douleurs vives au pourtour et au fond de l’orbite, alterna
urs vives au pourtour et au fond de l’orbite, alternant avec d’autres douleurs aux membres inférieurs, violentes au point d’arra
amp les vomissements. Duns CCSaffections qui, parfois , causent des douleurs si atroces, vous réussirez encore. Votre magnét
int empêcher ou retarder l’emploi du magnétisme. L’exaspération de la douleur est souvent apaisée subitement; mais il est certa
la maladie. Et surtout ne craignez nullement, je vous le répète, les douleurs que vous aurez ainsi fait naître. On peut, dans
ien votre main me soulage , disait-il; partout où elle se porte toute douleur disparaît, j’éprouve un bien-être inexprimable (1
es changements avantageux dans un organe souffrant ? En suspendant la douleur , ne .produira-t-il pas d’abord un premier (1) G
) Grand Dictionnaire de MMtcinr, article IHagniliimt, bienfait! I.a douleur étant suspendue, l'appel des fluides qu’elle déte
et ne favorisera-t-on pas sa résolution? Nous supposons seulement la douleur suspendue, et cet effet est incontestable, et déj
région où vous le supposez. Il faut y développer de la chaleur, do la douleur môme, et no rien craindre des nouveaux symptômes
insi que j’ai vu, après plusieurs années d’existence, disparaître des douleurs ostéocopesqui étaient la suite de l’inoculation d
, des engorgements glanduleux se résoudre après avoir été le siégo de douleurs critiques causées par le magnétisme. Il survenait
ervalle de deux à trois minutes j difficulté très-grande de respirer, douleurs aiguës par tout le thorax, surtout du côté gauche
aires,lachaleuret!a libre transpiration, ainsi que le déplacementdela douleur etlasom-nolence, quoique moinsfréquenteque les au
aralysie du bras droit, et depuis trois environ souffrait beaucoup de douleurs de tète etdedos, accompagnées de dyspnée et toux.
S. H., qui, depuis plus de quatre ans, était en proie à de violentes douleurs de la partie occipitale de la téte, avec perte de
e paralysée. Je répétai la magnétisation plusieurs jours de suite; la douleur de tète disparut, et Insensibilité et la mobilité
la cheville du pied d’un ulcère d’environ deux pouces de diamètre. La douleur était si violente qu’elle passait la plupart du t
ercher à produire le sommeil. L'effet immédiat fut la cessation de la douleur qui la faisait tant souffrir, une diminution visi
i l'agent magnétique, quel qu'il puisse être, enlève immédiatement la douleur , l’enflure, la rougeur et la chaleur qui accompag
ern, qui était en couches depuis qua-ranle-huit heures. La marche des douleurs ordinaires était irrégulière et elle n’avait pas
inutes; je la laissai dormir quelque temps, et quand je l’éveillai la douleur avait disparu. Je la magnétisai encore quelques f
ur avait disparu. Je la magnétisai encore quelques fois, et depuis la douleur n'a plus reparu. NÉVRALGIE DENTAIRE. Miss D..
enir quelque soulagement par le Magnétisme. Dès la première séance la douleur fut enlevée; mais il ne se manifesta pas le moi
tôme de sommeil. Quelque temps après il y eut un retour partiel de la douleur ; je la magnétisai de nouveau. A cette séance il y
A cette séance il y eut un commencement de somnambulisme lucide et la douleur n'a plus reparu. D’après ce résultat et quelques
ellement d’une bronchite chronique caractérisée par la toux, dyspnée, douleur dans la poitrine et entre les épaules. Après avoi
tisée plusieurs fois, et à chaque séance la dyspnée, la toux el les douleurs diminuèrent sensiblement, et cela sans influencer
ON SPINALE. Miss F. F... était affectée, depuis quelques années, de douleurs dans l’estomac et le dos, accompagnées d’un malai
s une abondante transpiration suivie d’une diminution sensible »le la douleur . Je continuai quelque temps ; la douleur du dos,
e diminution sensible »le la douleur. Je continuai quelque temps ; la douleur du dos, de l’estomac et le malaise qui survenait
rès d’uno dame de Chelmsford, qui, depuis deux ans, était affectée de douleurs violentes et de chaleur brûlante dans l’estomac e
égèrement apéritive et le magnétisme. A la première magnétisation, la douleur de têle el celle de l'estomac surtout augmentèren
es mêmes elîets que la première. Mais l’augmentation principale de la douleur diminua graduellement au point que l’action magné
n magnétique cessa d’être désagréable. En moins de trois semaines les douleurs de la tête, des poumons et de l’estomac ont compl
n. HÉPATITE CHRONIQUE. M"' A... me consulta dernièrement pour une douleur qu’elle éprouvait à la tête et dans la région du
es. Je la magnétisai selon son désir, et au bout de quelques jours la douleur do tète disparut sans retour; mais il n’en fut pa
uai de magnétiser, et j’eus la satisfaction de voir bientôt cesser la douleur hépatique. Celte malade est très-bien maintenant.
aijamais vus. Depuis plus de quatre , ns cette dame était affectée de douleurs de tête violantes, vertiges, insumnie portée à te
ment plusieurs nuits consécutives sans aucun sommeil. Il v' avait une douleur constante dans le côté gauche et ;;:s intestins,
t '-omplet, et au bout de quelques jours elle dormait déjà mieux; les douleurs céphaliques et abdominales Wiminuaient d’intensit
u depuis quelques mois manger quelques aliments sans incommodité. Les douleurs générales et les vertiges sont de beaucoup diminu
symptômes qui caractérisaient son état se compliquèrent de violentes douleurs de téte qui furent suivies d’une congestion céréb
xécuté sa prescription. La journée s’était assez bien passée, mais la douleur de tête persistait avec beaucoup d'intensité. Je
res circonstances où les menstrues étaient ou précédées ou suivies de douleurs intolérables, j’ai fait cesser ces douleurs et ré
u précédées ou suivies de douleurs intolérables, j’ai fait cesser ces douleurs et rétabli l’état naturel par celle seule pratiqu
le faire parler et agir comme il le voulait... « Aucun symptôme de douleur ne s’est manifesté pendant l’expérience ; ces per
nsibilité que l’extraction de la dent cariée pourrait avoir lieu sans douleur . Alais, avant de procéder ù la magnétisation, il
e. De légères percussions pratiquées sur ladite dent produisaient des douleurs intolérables qui annonçaient l’inflammation du pé
ter impunément la dent qui avant la magnétisation produisait de vives douleurs . Dans cet état, M. Cohen a procédé à l’extraction
contient la description détaillée d’une extraction de dent faite sans douleurs sur un jeune épileptique magnétisé paï un savant
c endormie, il enleva d’abord deux des dents qui causaient le plus de douleur . La malade ne témoigna aucune sensibilité. Frappé
chez laquelle les dents étaient très-adhérentes) ne manifesta aucune douleur . Réveillée après chaque opération, elle en conser
Petits-Ilôtels, 5, était depuis cinq à six jours atteint de violentes douleurs dans les lombes, lesquelles se répétaient dans la
. Lundi matin , il reprit ses travaux habituels, ne conservant de ses douleurs que le souvenir. Il s’engage ensuite une assez
nétisme ; car, c’est lui qui donne la vie, la puissance et enlève les douleurs . Ai-je besoin de m’appesantir sur ces faits? Non,
ment fut douloureux. Il se glissait sur son siège, comme pour fuir la douleur que lui causait le décollement de la charpie, qui
ai devoir procéder ainsi pour les autres pansements, afin d’éviter la douleur . Au dixième jour, la guérison fut complète. J’e
le lendemain deux dents molaires extraite» sans manifester la moindre douleur . BIBLIOGRAPHIE. Facts in Mesmerism, with reas
llé le long du corps, ne pouvait exécuter de mouvements sans de vives douleurs , résolut de le magnétiser. F.n moins de cinq minu
il ne lui faisait plus mal. Le docteur Clavery cite une guérison de douleurs de reins obtenue en deux jours. Le docteur Crux
s expériences magnétiques que je faisais alors dans ce lieu rempli de douleurs , (le fut donc moi qui en offris, sur la fille Sam
le fit le plus léger mouvement indiquant qu'elle avait ressenti de la douleur . » M. Varney, de Gray (Haute-Saône), l’un do me
une heure, lui limer les dents sans qu’elle ait senti la plus légère douleur ; huit ou dix personnes étaient présentes à l’opér
lut enlevée lentement, cl le pansement fuit, sans exciter la moindre douleur . Le docteur Elliotson, do Londres, a démontré p
s’assurer jusqu’à quel point on pourrait, en pareil cas, empêcher la douleur . Lc25junvier,donc,on magnétisa la première fois l
du magnétisme. Pendant l’amputation le malade ne donna aucun signe de douleur : il était assis clans un état do tranquillité
Son angoisse cl ses appréhensions étaient grandes; il s’exagérait la douleur , et redoutait l’instrument dont pourtant il atten
s douces paroles : « Comme vous me faites du bien ! Vous dissipez mes douleurs et me rendez l’espoir. » Aux artistes 011 donne
1843.) Jamais ces lieux ne chôment, chaque être doit son tribut de douleur ; il faut que la plainte et les angoisses nous ass
tement un membre: l’art du chirurgien a fait de réels progrès, et les douleurs sont abrégées. Malgré tous ces avantages, je vo
it ses travaux, quoique toujours souffrant. En 1842, il fut repris de douleurs très-vives; trois trous s’ouvrirent en cet endroi
acteur du Gymnase, atteint d’une goutte sciatique des plus aiguës. La douleur , (1) Ces séances sont gratuites. On peut avoir
donne la relation. M. Hébert magnétise M. Perrody, atteint de vives douleurs dans l’oreille gauche et la mâchoire supérieure.
eau magnétisé; les effets qu’il éprouve sont infiniment moindres. Ses douleurs d’oreilles ont complètement disparu à la suile de
é. M. Dupont a obtenu en trois jours la cessation presque totale de douleurs vives venues à la suite d’une foulure ou entorse
ié. Voici deux jeunes filles qui se distinguent par leurs genres de douleurs ; elles troublent les autres malades par leurs cri
rison prochaine; les règles paraissent; ëllé prévoit aussi la fin des douleurs de sa inalhédfeosë compagne. ■ !Ne parlant ni l
tisé pendant l'opération. Résolution de l'un et de l’autre dans les douleurs critiques (crises). Ne pas mesurer le temps, ca
on, au reste, quand elle a lieu, n’a plus les qualités requises. La douleur , les cris, le délire, l’agonie môme doivent trouv
), « Le plus léger mouvement de l’articulation était accompagné des douleurs les plus aiguës; les nuils étaient presque sans s
; les nuils étaient presque sans sommeil par suite de l’intensité des douleurs . Le pouls était faible et rapide, la langue charg
amputation immédiate. « Il y avait, il-est vrai, toujours les mêmes douleurs que faisait naître le plus léger mouvement de 1 a
s le bout divisé du nerf sciatir/uc, je n'ai pu déterminer la moindre douleur , arracher le moindre, gémissement. « La levée d
les muscles rigides et jusqu’à un certain point l’insensibilité à la douleur . Je vis, je fus convaincu que mon opposition étai
un instant du groupe des partisans du magnétisme, on s’aperçoit avec douleur que le travail qu’il y a à faire pour que la véri
e nerveux : magnétisée quelques instants, la comtesse éprouve quelque douleur dans la région du cœur. Homme européen par sa f
ue j’ai touché, il lui semble loucher du feu et il se plaint de vives douleurs . Mettons entre lui et moi une épaisse muraille. V
gnétise un jeune homme présenté comme cataleptique et insensible à la douleur ; son élat laisse des doutes de simulation. On l’i
'état de roideur cataleptique des membres. Les bras, insensibles à la douleur , restent horizontalement étendus durant vingt min
eux qui inspire la pitié et vous donne à vous-môme de lagône et de la douleur . Vous ôtes fondé à croire qu’on va chercher dan
Ah ! tant mieux, sourions à la mort, c’est un puissant remède, toute douleur cesse!... Cruels que vous ôtes! La société n’est
là perte d’un fds. La maladie, profitant de l’épuisement causé par la douleur , est venue frapper à votre porte et vous a saisie
ce pays, des gens simples (mougiks) savent des mots qui chassent les douleurs ; ils ont des signes à eux connus, ils promènent l
hommes, et main- tenant les opérations les plus graves sc font sans douleur , les maladies rebelles â la médecine sont guéries
lade qui ait pris du mercure sans, dans le premier cas, ressentir des douleurs de poitrine, et, dans le second, en éprouver égal
ue formé dans l’articulation, jo fus pris en sortant de chez lui do douleurs très-vives dans lo membre du même côté. Croyant q
t;1. Deleuze). Au bout d’un quart d’heure environ j’éprouvai de vives douleurs dans les jambes, je le priai de me dire s’il n’y
qu’il y sentait était intolérable. Je cessai mes expériences, et les douleurs que j’avais prises ainsi persistèrent une partie
mais eu de maladie, n’ayant jamais souffert, lorsque je sens quelques douleurs en magnétisant, je sais qu’elles ne viennent pas
ng dans tout le tissu cellulaire des paupières. Je n’éprouvais aucune douleur , mais ces larges ecchymoses durèrent près dequinz
la possibilité et la sûreté d’opérer, durant l’état mesmérique, sans douleur , je donnai mon opinion formelle que produire cet
ire cet état et y exécuter les opérations les plus douloureuses, sans douleur et avec un succès partait, étaient deux choses tr
ances suivantes. Comme elle souffrait d’une manière intolérable d'une douleur névralgique dans la tète, je prescrivis un séton.
TS. Nous avons déjà cité plusieurs extractions de dents faites sans douleur . Ces faits sont maintenant acquis à la science. U
le somnambulisme et lui faisant éprouver d’étranges modifications, la douleur disparaît, et les plus cruelles opérations peuven
ne affection rhumatismale, vit en n éme temps que la cessation de ses douleurs revenir une faculté qu’il ne possédait plus depui
tension de ce dernier avec roideur cataleptique el insensibilité à la douleur . M. le docteur Cruxen présente une jeune person
nutes d’action elle présente le double phénomène d’insensibilité à la douleur et de catalepsie dans Vital de veille. Tout son c
alheureuse femme, traitée infructueusement pendant douze ans pour une douleur gastrique compliquée de céphalalgie frontale suro
la sueur abondante surtout à la paume des mains, l’insensibilité à la douleur , l’impossibilité de locomotion, l’occlusion des p
il a faite à Au leu il, sur une batelière affûtée depuis longtemps de douleurs rhumatismales dans la partie rénale. M. Possin,
ails d’une amputation de la jambe, faite dans l’état magnétique, sans douleur , par les docteurs Loysel et Gibon, de Cherbourg,
irot y dit : « J’éprouvais de-« puis un an , dans le genou droit, une douleur assez «vive dont la constance me causait quelque
elque inquiétude; je me suis magnétisé pendant quelques jours « et la douleur a disparu. » J'aurais pu, à la rigueur, vous ta
it de somnambulisme, el ces personnes n'eu ont pas éprouvé la moindre douleur . Dès 1829, M. Jules Cloquet profila du sommeil
stes, l ime par le docteur Ward, le Ier octobre 18-42, l'autre par le douleur Fenton, le 24 mars 1815. La troisième est celle q
n à recourir au magnétisme, clans le but de la rendre insensible à la douleur , et afin que l’on pût, à son insu, pratiquer l’am
t cela fut fait sans que la malade ait donné le plus léger signe do douleur . Son visage n’a pas cessé d’èlre calme et impassi
n sommeil, elle répondit : a Je ne sais rien; je n’ai ressenti aucune douleur ; je ne me souviens de rien, d On lui demanda en
tient des terreurs et de la souffrance. Et après l’opération, dont la douleur a causé au malade une irritation quelquefois très
isants résultats! Terreurs qui précèdent ordinairement l'amputation , douleurs atroces qui l’accompagnent, souvenirs cruels qui
onsulte, elle décrit les symptômes, désigne le siège et la nature des douleurs , les lésions internes, l’état des viscères et des
Meunier, de Roche-maure, se présente pour consulter; elle éprouve une douleur à la base de la poitrine; la déglutition se fait,
s liquides, arrivent au bas de l’œsophage, la mahde éprouve une forte douleur . Depuis six mois la maladie s’aggrave chaque jour
aminé la malade spirituellement, simulé les souffrances et décrit les douleurs , dit : « 11 y a un cancer au cardia. » Quinze jou
ms, rue de la Coutine, éprouvait depuis dix-huit mois de continuelles douleurs à l’estomac, suivies do vomissements; elle ressen
es du malin; que cette crise ne durerait qu’une demi-heure, et que la douleur ferait éclater celte glande qu elle voyait envelo
erait impossible de se tenir sur ses jambes, qu’elle aurait de fortes douleurs , et qu’il serait convenable de la faire dormir to
fille qui habitait Paris quelle désirait voir. Sa ligure exprimait lu douleur qu'elle éprouvait (le son absence; tout à coup
Cruxen présente sur mademoiselle Hortensc un cas d’insensibilité à la douleur et de paralysie dans l’état de veille. (Voir Soci
Yhystérie-ancienne, et rebelle à tous les traitements, ressentait des douleurs atroces dans la région lombaire, des tiraillement
la moribonde était privée depuis huit jours. Les jours suivants, les douleurs diminuant, l’appétit, les forces revinrent, et au
nétisée. Au bout d’un quart d’heuro de magnétisation sans contact, la douleur sembla se diviser, diminuer d’intensité et se fix
lion dirigée de la même manière, et pendant un temps égal, expulsa la douleur de ce dernier refuge, où elle occasionnait des ti
énibles avec l’impossibilité de tourner la tête. Le surlendemain lu douleur reparut au front, mais une nouvelle magnétisation
autre dame “* de Cambrai, magnétisée également par M. Wiart pour des douleurs de reins fort « anciennes, ne dormait plus, ne ma
t « impuissants, non-seulement à guérir, mais môme à « atténuer ces douleurs . » Après quelques instants de magnétisation, el
cile à dépeindre, car 011 l’avait transportée à bras. Le lendemain la douleur reparaît moins intense, et ainsi,après cinq magné
à l’opinion formelle de son magnétiseur. Au bout d’une quinzaine, les douleurs avaient recouvré leur intensité première; nouvell
« d’une grosseur extraordinaire, ainsi que le poignet « droit. » Les douleurs intolérables, l’insomnie faisaient dire à la mala
as. » Celle-ci obéit, non sans crainte, élève et baisse son bras sans douleur , et fond en larmes de joie, car elle croyait l’us
guéri en deux magnétisations d’une demi-heure chacune. Dans ce cas la douleur se déplaça des cuisses dans les genoux, et par su
celui de soustraire les malheureux que l'on doit amputer aux cruelles douleurs , compagnes constantes des opérations. Des résulta
nt ils peuvent, sansl’emploi de poisons, soulager et faire cesser les douleurs des êtres moins heureux qu’eux et qui les entoure
n sensible dans l’état de son esprit, 'mais qu’il s’est développé des douleurs d'oreilles très-aiguës. Le resle de la séance est
ée. 405 — magnétique. 21,2 — ù l'iislion des chairs. 238 — à la douleur ; voir Amputations. — il l'action de l'ammoniaqu
34 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
e marcher, ce qu’il fit librement, avec activité, et sans éprouver de douleur . Deux dames, ses parentes, qui l’avaient accompag
rents moyens que l’art possédait ou croyait posséder pour anéahtir la douleur dans les opérations de la chirurgie. Or, M. Roger
aussi celle d’abolir la sensibilité, « et de supprimer à volonté la douleur des opéra-« lions chirurgicales; mais, en soixant
un bâton ; guérison en huit séances. « Homme de quaranle-sept ans, douleurs au bras droit par suite d’une chute, depuis trois
ite seulement avec l’eau magnétisée.... « Femme de trente-deux ans, douleurs à l’épigas-tre depuis une quinzaine d'années; vin
a considérer comme guérison complète. « Homme de soixante-sept ans, douleurs rhumatismales , depuis trois mois, à l’épine dors
au pied droits, marchant avec un bâton ; douze séances, cessation des douleurs , facilité dans la marche, sans bâton... « Femme
e sommeil, qui est en général plus calme, soit dans la diminution des douleurs , qui même plusieurs fois ne se font pas sentir.
ction du bras droit par suite d’une chute et d’un coup sur le coude , douleurs , privation du mouvement; quatre séances, guérison
Je viens de voir à l’instant la femme de trente-deux ans, affectée de douleurs à l’épigas-tre, etc., qui demeure à Toulon, d’où
un au ; maintenant elle marche bien, et ne ressent plus qu’une légère douleur . « 3° Rhumatisme articulaire aigu, guéri en cin
e le mal disparaissait comme par enchantement, en faisant suivre à la douleur la direction que je désirais lui donner. « 4° P
aux de dents, d’estomac, de suppressions menstruelles, de spasmes, de douleurs rhumatismales, etc. « 9° J’ai échoué dans le tr
empêcher de les remercier, au nom de l’humanité, de faire cesser les douleurs et d’éloigner la mort. C’est un adoucissement a
« Elle avait de temps en temps des convulsions occasionnées par des douleurs dans le ventre, et c’est dans cet état qu’elle se
use du résultat. « Stéphanie Briet souffrait depuis longtemps d’une douleur très-vive dans une cuisse; je l’ai magnétisée qua
nce, il est démontré pour tous que le corps, magnétisé,est sourd à la douleur ; et l’instrument, bienfaisant ou cruel, peut main
idérable; il dit que rien ne l’avait troublé,, et qu’il ne sentait de douleur nulle part. Prié de se lever et de montrer son ma
de l’injection excitante avec les nerfs spermatiques est suivi d’une douleur aiguë , souvent très-grande , qui se propage jusq
ai opérés, cl il n’y en a pas eu moins d’une douzaine, cette première douleur n'a jamais été sentie. Les malades ne souffrent
ammée est encore très-sensible, et la moindre pression cause une vive douleur , mais dans le sommeil on peut toucher, presser mê
’on lui présenta, elle se trouva bonne mine. Elle ne ressentit pas de douleur dans les oreilles, et ce ne fut qu’une demi-heu r
té à la mort d’un des deux pôles de ce télégraphe traumalique. « La douleur que doit causer cette opération est la seule caus
’insensibilité produite par le chloroforme et la suppression de toute douleur pendant la guérison, comme pendant l’opération, p
1e se rappelait rien de ce qui s’était passé. 11 ne ressentait aucune douleur en marchant, et il avait une grande disposition à
ne grande disposition à dormir encore. Du 28. Il n’a éprouvé aucune douleur de sa plaie jusqu’à ce jour, et il n’y a aucune
tait, continua-t-il, comme à l’ordinaire; de plus, n’éprouvant aucune douleur nulle part, etc. Alors, on lui montra la masse de
de la voir lui faisait mal. Une heure après, il n’éprouva plus aucune douleur dans la partie. ii° Hypertrophie du scrotum.
i fût arrivée. Il sentait le poids comme à l’ordinaire, dit-il, et de douleur nulle part. Le 28. Il n’a éprouvé aucune souffr
arlai. Elle me dit qu’elle avait eu un sommeil rafraîchissant; que la douleur était passée, et qu’elle se sentait beaucoup de f
instant présent, et qu’il se sentait comme à l’ordinaire. Le 14. La douleur , depuis l’opération, a été peu do chose. i/,° H
couvert d’un drap blanc, je le réveillai. Il dit qu’il ne sentait de douleur nulle part; qu’il étaitcomme à l’ordinaire, et ét
ordinaire, et était prêta être opéré. Le 23. Il n’a ressenti aucune douleur depuis l’opération. g 2. — CAS DE MÉDECINE. 1
lées, et excessivement sensibles au toucher. 11 y a aussi beaucoup de douleur clans un talon, ce qui a longtemps empêché le pat
étisation ; mais les articulations sont devenues plus souples, et les douleurs plus étendues. Le 20. Il dort durant toute la m
Le 20. Il dort durant toute la mesmérisation. Le gonflement et les douleurs articulaires sont bien diminuées; le malade suppo
ouloureuses; et il peut sortir de la salle sans bâton. Le a3. Toute douleur a disparu des articulations, et le patient peut l
engorgées entourent l’articulation , et la moindre pression cause une douleur excessive. Le poignet est aussi tout-à-fait immob
t la magnétisation, et la nuit dernière a été bonne ; aujourd’hui les douleurs sont bien moins vives. Du 20. 11 peut mouvoir l
ins vives. Du 20. 11 peut mouvoir le poignet gauche aisément, et la douleur de l’articulation du coude est diminuée au point
diminuée au point qu’il peut s’habiller seul. Du a5. Presque toute douleur a cessé dans le coude gaucho. Le malade peut y
peut y endurer une pression assez forte, et même un coup, sans grande douleur . La mobilité du coude est redevenue presque à son
ui avaient lieu dans la salle, mais il n’a jamais pu y parvenir. La douleur et l’enflure des parties voisines des abcès de l’
es moyens de la médecine. 11 est affecté depuis cinq semaines d’une douleur de l’articulation du coude droit, qui est continu
et augmente la nuit au point de l’empêcher de dormir. A mesure que la douleur du coude s’est accrue, les migraines ont diminué,
même : Du i5. Mesmérisation du bras pendant une heure, suivie d’une douleur légère dans la journée, et nulle le soir. Du 16
eaucoup plus près do l’épaule que je ne le pouvais auparavant. Aucune douleur ni le jour, ni la nuit. Sommeil non interrompu po
upissement qui a été interrompu par un violent tressaillement. Légère douleur du bras dans le jour, et point durant la nuit 5 m
uit. J’ai pu me raser aujourd’hui assez facilement. Du 18. Pas de douleur . Magnétisation locale et générale d’une demi-heur
persiste, mais pas de migraine. Vers le soir j’ai éprouvé une légère douleur dans lo coude gauche, qui a augmenté dans la nu
t j’ai été réveillé. Pas de céphalalgie. Du 20. Dormi profondément. Douleur Irès-lé-gère dans le coude gauche, aucune dans le
ton cl son pied bien plus aisément, et il peut en frapper le sol sans douleur , ce qu’il n’a pu faire depuis cinq ans. Du 10 m
pu faire depuis cinq ans. Du 10 mars. Il revient encore une petite douleur en marchant sur une surface inégale ; mais il peu
mais il peut mouvoir l’articulation assez librement. L’enflure et la douleur de la cheville ont diminué, excepté du côté exter
’un tremblement et d’une pesanteur de tête. Nuit agitée. « Du 2, La douleur du bas-ventre, constante, depuis six ans, m’a qui
ses ce mois-ci. « Du 20 mars. Aujourd'hui très-tourmentée par une douleur au liras; la nuit je nie suis levée avec un tinte
sur mon séant. » Dans tout le mois d’avril il n’y a qu’une note de douleurs nerveuses, etc., sans aucun symptôme d’épilepsie
n’y a pas eu d’autres perturbations. La crépitation des doigts et la douleur du bas-ventre n’ont pas reparu, et le seul symptô
sangsues. Du 28. Point de soulagement à la suite des sangsues : la douleur est plutôt accrue. Du 3i. L’enflure de la chevi
que la malade se plaigne d’en beaucoup souffrir. La tuméfaclion et la douleur de la cheville droite sont station-naircs. Du 1
ouleur de la cheville droite sont station-naircs. Du 10 février. La douleur et la tuméfaction de la cheville gauche sont pres
t augmentée. Du 3i. L’ulcère est presque cicatrisé. L’enflure et la douleur de la main et des doigs disparaissent chaque jour
paraissent chaque jour. Du jtTt avril. Ulcère cicatrisé, enflure et douleur nulles. La malade est en état de sortir de l’hôpi
à Calcutta, a un bras raide depuis environ six mois, avec enflure et douleur considérables , par suite d’une inflammation de l
chir facilement l’avant-bras, et le ramener presque à angle obtus. La douleur de l’articulation a presque disparu, et la tuméfa
u, et la tuméfaction est bien diminuée. Du 3o. Plus d’enflure ni de douleur ; le patient peut, presque à volonté, étendre et p
on. Il a pu rester debout sans soutien. Il se plaint de spasmes et de douleurs dans le côté affecté. Du 24. 11 s'affermit tous
et ce malheureux ne paraît disposé à aucun genre d’exercice. 11 a une douleur clans les reins, et le derrière des épaules, qui
vient parfois furieux. A mesmériser une heure par jour. Du 28. La douleur du dos et des reins est bien calmée; la santé s’a
ns l’inaction, et demande à être employé à la cuisine. Du 5 mai. La douleur des reins et des épaules est entièrement dissipée
nt h peu près dix minutes. 11 s’en est suivi de la pesanteur et de la douleur céphaliques, mais aucun symptôme d'aliénation n’e
x minutes, avec de violentes convulsions, mais il n’a été suivi ni de douleur ni de pesanteur de tête ni de trouble d’esprit.
s cruelles, en couchant avec un chien auquel il communiqua toutes ses douleurs . Le savant Hoffman, et Lozel (4)i ainsi que le
doigt malade dans l’oreille d’un chat qui ressentit après d’affreuses douleurs (3). Le célèbre physicien Konig indique, dans s
d'ouvrir produit sur les membres paralysés, et combien 011 diminue la douleur d’un mal violent en appliquant dessus des animaux
es accidents précurseurs de cette affection ; hémoptysie, toux sèche, douleur entre les épaules : les uns ont succombé, les ant
r on peut pincer et piquer la malade sans que la moindre sensation de douleur ait lieu. Cependant, en souillant avec force au v
lte somnambule fut atteinte pendant la nuit de crampes très-vives, de douleurs de tête, d’envies de vomir accompagnées de violen
décomposant presque instantanément, ainsi que le fluide nerveux, des douleurs de tête terribles, des crampes aux jambes et aux
ncée par des malaises, des faiblesses, des serrements des tempes, des douleurs dans les membres; puis arrivent la diarrhée, les
de son lit. Quelques coliques, la diarrhée, un malaise général, des douleurs de cœur, constituent ce que l’on appelle cholérin
emplit la vessie de ma- tières âcres, brûlantes, y occasionnent des douleurs , ainsi que dans les reins, et communiquent des co
agement notable à son mal. Quelques jours après , je fus appelé. La douleur , fixée à la hanche pendant le séjour à Saint-Loui
de sommeil. Une magnétisation locale de vingt-cinq minutes calma la douleur , la lit changer de place, et endormit le malade.
énéral. Le malade a dormi la nuit. L’enflure de la main a diminué; la douleur persiste’au genou droit, où elle est légère, ains
le mieux continue. L’enflure du poignet a totalement disparu avec la douleur . Endormi, le maladè consulté ne peut répondre qu’
e crampes à la main. Quelques passes sur les doigts le soulagent. Une douleur aiguë, qui arrache un cri au patient, survient au
e au haut de la cuisse, ce qui le fait boiter et lui cause une légère douleur . Le mieux est tel qrte M. D.... a repris ses oc
ompt au milieu de sa prière accoutumée, et, de dessus son fauteuil de douleur , adressant la parole à l’aveugle, il lui dit : «
tifs. « Le fluide nerveux agit sur cet instrument. Ainsi lorsqu’une douleur forte existe vers une partie de l’organisme, si o
mité du conducteur, il s’élève ou s’abaisse, selon que la cause de la douleur développe de l’électricité positive ou négative (
oins de danger que le patient les subira sans appréhension comme sans douleur . Ne réussît-on qu’une fois sur dix à produire uu
lasse en dérivatifs, révulsifs, rubéfiants, pour combat Ire certaines douleurs aiguës provenant de ce trouble organique désigné
asie, de phlo-gose, etc. Ces remèdes ont pour effet de transporter la douleur d’un point sur un autre, où, à l’aide de moyens a
me le fluide transmis par la magnétisation est capable de déplacer la douleur . 11 arrive quelquefois que le mal passe du magnét
les. « 11 y a circuit fermé, et c’est par le courant de retour que la douleur , déplacée sans doute par le courant d'aller, se t
sans que l’état de veille ait été suspendu. M'i“ M*** : gastrite et douleurs névralgiques datant de quinze ans, guérie après t
. S*** : fièvre intermittente dissipée en trois séances ; M. P*** : douleurs à la tête, névralgie de sept ans, dont au moins u
sentir depuis ; M'lc A. L***, treize ans : croissance trop subite, douleurs à toutes les articulations, insomnies, fièvre len
es articulations, insomnies, fièvre lente. En quatre séances, plus de douleurs ni de fièvre ; à la septième les menstrues s’étab
isme, d’un désordre qui lui occasio-nait depuis longtemps de cruelles douleurs , et qui devait inévitablement la conduire au tomb
nq heures auprès d’elle. Tout désordre a cessé depuis quelque temps : douleurs atroces des membres inférieurs et de la région co
-douloureux et le devenait bien davantage. Elle avait aussi de fortes douleurs à la tête et aux parties inférieures; mais partic
La main secourable d’un homme dévoué et sympathique se posant sur la douleur qui naît, empêche le développement de mille désor
ton regard rêveur; Réalités ou vains songes, Que vois-tu, joie ou douleur ? — Jo vois comme un cercle étrange, Cercle im
à son air convaincu, que M. Leger s’est trouvé souvent en face de la douleur , et que les remèdes de ses illustres professeurs
lucide, Eh non , non, non, Le sujet n’est pas bon. Je vois avec douleur Le néophyte avide, Dans maint journal menteur,
écoction de riz plus ou moins épaisse, avec une perte totale d’urine; douleurs des reins, et augmentation rapide du sentiment de
men et les membres inférieurs, là où il éprouvait le plus crampes, de douleurs . Durant trois quarts d’heure je cherche à lui com
de nouveau, et au bout de vingt minutes de magnétisation environ, la douleur de l’é-pigastre diminua en partie ; je portai tou
y eut que deux selles bilieuses, point de vomissements. Cependant les douleurs à l’épigastre et aux jambes avaient reparu depuis
ar suite de la violence du mal ; le corps renversé en arrière par les douleurs de reins. La tumeur de la cuisse droite a pris un
susdite, qui s’ulcéra à la longue. Quoique torturé par d’excessives douleurs , ce malade fut entrancé en moins d’une heure. L
ins qu’avant d’être entrancé. C’est un bel exemple d'extinction d'une douleur aiguë par le magnétisme. Neuvième Observation.
cotip pendant plusieurs jours, tandis que Ranidial n’épronvait aucune douleur . Treizième Obiervation. Seetaram, âgé de cinq
le patient s’éveilla comme d’un sommeil tranquille, ne sentant nulle douleur . Il avait beaucoup souffert de douleurs articul
tranquille, ne sentant nulle douleur. Il avait beaucoup souffert de douleurs articulaires pendant plusieurs jours, la magnétis
a propre conservation, il a un intérêt trop direct à bien voir, et sa douleur le rend compatissant; il est plein d’amour pour s
pouce de la joue du sujet; et là, ne remarquant aucune, apparence de douleur ou de malaise, il la maintint dans cette positi
au Dr Buchanan, que le Dr Persiston, dans la crainte de provoquer la douleur , avait préalablement excité l’organe du courage,
La flamme d’une bougie fut placée sous les narines sans causer aucune douleur ; mais ici, comme dans les autres essais, les poil
and l’esprit est troublé, la vie volontaire, dont la conscience de la douleur paraît dépendre, n’est point incitée, et le cerve
il y a quel- (t) Voyez ci-devant, page.">6t. qui' sentiment de douleur , il est si imparfaitement porté au.siège «le la c
son sommeil. « (Je cas est un nouvel exemple de l’expression de la douleur sur le visage , disparaissant comme une ombre au
connaissance ; il prouve la nature instinctive ot inconsciente de ces douleurs apparentes. Ce phénomène, mainte- n.'int passé
roces, ses forces paraissaient épuisées; elle accusait une violente douleur à l’épigastre et aux parois tho-raciques, surtout
avaient reparu, les fonctions digestives se faisaient assez bien; les douleurs de l’épi— gastre et des hypochondres 11e revenaie
ment. Le cataplasme fut posé à six heures du soir, et la violence des douleurs força la malade à le retirer à deux heures du mat
ion symétrique et en sens contraire, vous eussiez vu assis , pâles de douleur ou d’émotion, de nombreux malades. Pour qu’entre
nt depuis cinq semaines avec des accidents divers, tels que violentes douleurs , trouble visuel, etc., fut entièrement dissipée p
es cas précédents. 6° Une paysanne souffrait depuis quatre mois, de douleurs intolérables dans la région occipitale; cette név
’une heure par jour l’ont rendue à son état normal. 7° Une violente douleur du dos qui empêchait le patient de vaquer à ses o
, s'endormit le neuvième. Le sommeil dura trois quarts d’heure, et la douleur disparut avec lui. La magnétisation fut continuée
s le but de prévenir tout retour de celte cruelle infirmité. 9° Une douleur rhumatismale affectant le bras et la jambe gauc
père Lacombe pour me confesser. Sitôt qu’il entra dans la maison, mes douleurs s’apaisèrent, et, lorsqu’entré dans ma chambre il
s expliquer , sans recourir à l’influence de l’imagination, certaines douleurs sympathiques que nous ressentons quelquefois. M
ée au pied de sa maîtresse, ressentit subitement à la même partie une douleur qui persista pendant plusieurs jours. Hecquet (
t saisi d’une telle émotion, qu’il ressentit à l’instant une violente douleur au talon, et resta boiteux toute sa vie. Un pei
moment où les roues d’une voiture venaient de lui écraser la tête. La douleur de cette pauvre mère fut si grande, qu’elle perdi
Pyrrhus, roi d’Épire, avait la réputation de calmer toute espèce de douleurs , coliques, maladies de la rate, etc. (2). 11 fais
bsorbants. Exemples : exposez une brûlure à l’action d’un feu vif, la douleur cessera; le vin travaille pendant la floraison de
iper les aü'ections goutteuses ou rhumatismales. 11 attirait alors la douleur aux extrémités des membres, d’où il l’expulsait e
quelquefois des supplices beaucoup plus atroces sans en ressentir de douleur . Ces faits ont du reste été signalés dans la plup
profession de foi. Le néophyte était presque toujours insensible à la douleur . « Chez les maniaques, les hypochondriaques, di
s centaines de malheureux, enfoncé le scalpel sans arracher un cri de douleur , sans faire verser une larme de désespoir. Quel
t de fièvres traumatiques, cicatrisation plus prompte, pansement sans douleur !!! 11 semble que comme ces contes dictés par l’im
rt du chirurgien s’exerce sans ajouter au mal qu’il doit détruire, la douleur des opérations , est un problème qui a préoccupé
scalpel. Il fallait empêcher que le fer libérateur fût accompagné de douleurs qui fissent redouter son secours. M. Durand, appe
onne-t-elle pas la mesure de la volonté humaine, qui semble dire à la douleur comme Dieu disait aux îlots : Tu viendras jusqu’i
vait loin de là à cet anéantissement calculé de la sensibilité, à ces douleurs vaincues d’avance, à ces chairs vives, qui, comme
s à la même place, sans proférer une parole; 11 ne se plaint d’aucune douleur , et parait jouit de la santé la plus parfaite ; s
que je ressentis, pen- dant plus d’une année après ma maladie , des douleurs lancinantes aux principaux viscères de la poitrin
fin du mois d’août de la même année, je fus subitement atteint d’une douleur violente à la hanche droite. Deux chirurgiens hab
térité, jetais vraiment dans un état de souffrance insupportable. Les douleurs étaient tellement violentes que la nuit était pou
ébuchais à chaque pas en essayant de gagner mon lit. Aujourd’hui, mes douleurs ont successivement disparu ; ma jambe commence à
stant à la chaleur du feu. 5° Soif intense, dite d'hydropique. 6° Douleurs rhumatismales. 7° Mal de tête continuel , plus
. 10° Marche facile. 11° Plus de traces ni des soubresauts ni des douleurs qui les accompagnaient. (1 ( Pour bien comprend
he; celui de l'index droit ayant amené l’immobilité du poignet. 14° Douleurs au cœur, faisant éprouver à la malade la sensatio
algie , et les premières atteintes de surdité : aujourd’hui les mêmes douleurs existent, mais affaiblies. Le traitement par le
iquent aux tourments de leur cœur, et enfin, engourdissant l’affreuse douleur , ils vivent exempts d'infirmités dont pourtant il
demoiselle, de 35 ans environ, éprouvait depuis près d’une année, des douleurs dans la région de l’estomac et dans les intestins
ns étaient très-difficiles, souvent les reins étaient pris, aussi, de douleur , et les urines contenaient des sables très-fins e
par l’insufflation sur le front. Mon enfant était aux prises avec la douleur , le délire; on avait peine (1 le contenir dans so
seulement, périrent par la main du bourreau, après avoir souffert les douleurs de la torture. Demandez à nos docteurs d’aujourd’
étonnante, c’est que déjà elle commence à soulager un grand nombre de douleurs par la seule application de la clé, qui sans dout
e autrefois par l’imposition de la main, par attouchement, toutes les douleurs , toutes les infirmités, but unique de toutes mes
quée, 598, 614. Désordres généraux, 295, 297, 338, 428, 603, 646. Douleurs intestinales, 646, 650, Engorgements glanduleux
35 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
nsomnies réfractaires à tout traitement, des névralgies rebelles, des douleurs musculaires anciennes. Elle constitue enfin un ag
na la guérison. Tous mes malades accusèrent des maux de tête et des douleurs diffuses dans tous les membres; ils présentèrent
u commencement d'octobre suivant, il était encore très souffrant, les douleurs étaient localisées aux genoux et aux pieds, de so
it à peine marcher. 10 octobre. — Sous prétexte de Élire cesser ses douleurs (car il n'eût jamais consenti à se laisser endorm
ir, à six heures, nouvelle séance; il y consentit volontiers, car ses douleurs étaient notablement diminuées ; il tomba dans un
. Voici les suggestions que je lui fis dès la première séance : « Vos douleurs disparaissent ; sous peu de jours vous serez parf
ropriétés diverses du sommeil provoqué et des états analogues, par le douleur a. Liébbault. — Paris, 0. Doin, 1891. Dans son
de son séjour à Fribourg se manifestèrent, pour la première fois, des douleurs sur les bords de la fistule; tout d'abord elles é
, survinrent de violents maux de tète. A cela s'ajoutèrent encore des douleurs fortement lancinantes dans la partie inférieure d
qu'il la trouvait trop affaiblie. A cette époque, s'ajoutèrent aux douleurs déjà décrites, de nouvelles dans la région fessiè
t un peu par de bons soins à la campagne, quoiqu'elle souffrit de ses douleurs comme avant. Mais comme des nombreuses opérations
la moindre amélioration, elle se résigna à supporter stoïquement ses douleurs . Pendant de nombreuses années, notre malade vécut
petite ville éloignée de prorince. Mais dans les derniers temps, les douleurs et les nuits d'insomnie devinrent si intolérables
de se rendre à Wilna pour essayer de l'influence de l'hypnose sur ses douleurs . En chemin, elle fut encore atteinte d'une paraly
la moindre pression sur les bords de cette fistule se produisent les douleurs les plus violentes pendant lesquelles la malade é
secousses est changée: AnSZ>KaSZ. La malade se plaint surtout de douleurs intolérables pendant le jour et la nuit, lui rend
nze années. Ayant constaté que l'insomnie était occasionnée par ces douleurs , et que celles-ci avaient pour cause les cicatric
minute pour l'endormir la seconde fois: je lui suggérai l'absence de douleurs pendant vingt-quatre heures et un sommeil paisibl
nuit suivante. La malade dormit effectivement et ne ressentit aucune douleur jusqu'au lendemain soir à huit heures. Après huit
douleur jusqu'au lendemain soir à huit heures. Après huit heures les douleurs revinrent, la nuit fut sans sommeil et elle comme
t je lui expliquai que c'était au contraire un très bon signe que les douleurs se fassent présentées si ponctuellement à mon com
traient complètement. Dans la troisième hypnose, suggestion que les douleurs disparaîtront pour toujours, sommeil calme ordonn
rdonné et possibilité de s'asseoir normalement. Depuis ce moment, les douleurs ne sont pas revenues et pendant la nuit le sommei
eurs, ne vous est pas communiqué simplement pour vous montrer que les douleurs et l'insomnie qui y est liée peuvent être enlevés
ressort plusieurs points importants pour toute l'hypnologie: 1° Les douleurs dépendaient de causes matérielles; 2* Les muscles
gues qui font autorité, parmi eux Forel et Moll, prétendaient que les douleurs qui n'ont pas de substance anatomique sont seules
ibles d'être enlevées par l'hypnose. Vous voyez que, dans ce cas, des douleurs qui dépendaient de cicatrices et qui, par conséqu
lade a passé sans dormir les nuits des 22 et 23 décembre, non que ses douleurs fussent revenues, mais, comme elle l'a déclaré, p
ls montrent energiqueroent qu'il* en goûtent l'amertume. L'absence de douleur est le produit de la suggestion, d* même qu'inver
de douleur est le produit de la suggestion, d* même qu'inversement la douleur peut être provoquée sans lésion (exemple : on m
ergiquemenl avec le pouce en dedans. L'affection avait débuté par une douleur dans le coude et à l'épaule et presque immédiatem
éclarée. D'ailleurs pas de lièvre, bon appétit, gaieté habituelle. La douleur ne se réveillait que lorsqu'on touchait même légè
Dans l'extension forcée la petite malade criait bien un peu, mais la douleur provoquée était supportable, et quand on lâchait
s justiciables de l'application de l'hypnotisme sont : l'insomnie, la douleur , le refus des aliments, la peur et l'état d'inqui
atisfaction à l'hypnotiseur, a cause de la rapidité avec laquelle les douleurs très vives sont enlevées aux malades, et c'est un
déjà depuis plus d'un an d'une névralgie sciatique très grave, et les douleurs presque insupportables ne lui permettaient de mar
enza. Traitée par l'éleclrothérapie et plusieurs autres thérapies, la douleur ne la quittait pas. Le 29 juillet 1889, elle fut
e mal aussitôt. Le jour suivant, quoiqu'elle ne ressentit plus aucune douleur , je l'hypnotisai à nouveau. Trois semaines après,
elle avait pu marcher huit heures par jour sans avoir éprouvé aucune douleur . * La malade descendait d'une famille où les ma
ieux fit exclure chaque cause matérielle. Dan* très peu de cas où les douleurs étaient causées par des tumeurs ou d'autres chang
convaincu que la psychothérapie, daus quelques cas, peut diminuer les douleurs et rendre de grands services aux malades. Encor
l'idée les fait automatiquement, sans que la volonté intervienne. Les douleurs des hypochondriaques, les paralysies d'origine ps
e. Il cherche à retirer son bras. A la fin, il pousse un grand cri de douleur et rouvre les yeux comme un homme qui se réveille
de les plonger dans le sommeil pour faire cesser leurs maux et leurs douleurs . C'est ainsi que je guéris brusquement une hystér
gner. Nous trouvons J... affaissa dans son fauteuil, en proie à ses douleurs . J... a une forte barbe et des sourcils touffus.
ince, un pinçon formidable, sans qu'il grimaçât et accusât une grande douleur . Quand je lui permis de regarder la peau de son b
blond, très fort, s'offrit pour une nouvelle expérience. Chez lui, la douleur disparaissait complètement à la parole. Je serrai
estion dans le travail de l'accouchement : un cas d'accouchement sans douleurs . 2* Bbrillon etGt'KBiN : Des faux témoignages sug
e début fut brusque. Il courait après un omnibus, lorsqu'une violente douleur survenant dans la cuisse gauche le mit subitement
mmeil est bon, sauf quelques insomnies provoquées par la violence des douleurs . Chacun de vous peut s'assurer que ce n'est pas u
e de ce qui se passe en elle. Il y a dix ans, elle éprouva de vives douleurs du côté droit de la tète; à intervalles d'abord é
course en ville ou une fatigue un peu plus grande que d'habitude, ces douleurs augmentaient d'intensité pendant deux ou trois jo
te sont très enflés, la conjonctivite droite est injectée. Le 10, les douleurs ont disparu depuis la précédente suggestion ; la
ondément. Le 12, elle se trouve très bien, n'a éprouvé que de légères douleurs au sommet de la tête. Le 15, les douleurs ont com
n'a éprouvé que de légères douleurs au sommet de la tête. Le 15, les douleurs ont complètement disparu ; elles ne sont pas reve
nt huit séances, de sorte que treize suggestions ont fait disparaître douleurs , enflures et vomissements. Cette observation es
e l'expliquer. Cependant il est probable que la malade, en voyant ses douleurs et l'enflure disparaître, a dû se faire une auto-
le? Le temps nous le démontrera; il est cependant probable que si une douleur remontant à dix ans disparaît radicalement pendan
sous l'influence d'un traitement, il est probable, dis-je, que celle douleur ne reviendra plus. Un autre point assez remarqu
ent, lui promettant do l'accoucher dans l'hypnose pour lui éviter les douleurs de l'accouchement. Celte jeune fille rentra dan
le petit bassin, et comme la patiente disait avoir éprouvé de petites douleurs la nuit précédente, je l'endormis de nouveau et
souffrir en se suggérant de dormir chaque fois qu'elle ressentait une douleur . Mais ce sommeil l'avait assommée, disait-elle; e
ait assommée, disait-elle; elle ne voulait plus dormir et les grandes douleurs étaient très accusées. Il était neuf heures, je c
ade avait perdu une certaine quantité d'eaux avant mon arrivée. Les douleurs se suivaient à trois ou quatre minutes de distanc
is à la malade. Toutefois, je réussis, dans cette période des grandes douleurs , à endormir la malade par suggestion verbale, et
près de la parturiente ???? qu'elle avait été réveillée par une forte douleur . Je l'endormis de nouveau, j'allai faire ma consu
ffrir. Elle était rassurée, la figure n'offrait plus les signes de la douleur , la malade disait qu'elle ne souffrait pas ; je r
se somnambulique, s'anto-suggestionner l'absence on l'atténuation des douleurs pendant la première et la seconde période du trav
eut, par le fait de la suggestion verbale, ne pas sentir les cruelles douleurs de la dernière période de l'accouchement. Enfin,
vec une selle toutes les deux oa trois semaines, de céphalalgie et de douleur épigastnque. Ces troubles duraient depui* environ
onde hypnotisation, on lui suggéra qu'elle marcherait bien et que ses douleurs abdominales disparaîtraient. Lot résultats furent
xtatique et rêveur. Elle présentait de nombreux signes d'hystérie : douleurs sus et sous-mammaires gauches, dans les fosses il
elligence vive et pénétrante, force musculaire considérable, spasmes, douleurs , agitation, hyperesthésie, hyperkinésie, etc., c'
eviendra que si la réaction engendre un malaise fonctionnel, durable, douleurs , névralgies, palpitations de cœur, troubles diges
ibré, calme physiquement et moralement, est sujet, par exemple, à des douleurs nerveuses abdominales revenant par accès, sans lé
on primitivement atteinte et envahissent tout le système nerveux. Une douleur d'abord localisée au bras peut se propager à l'ép
rsistante l'état habituel. Sauf cela, il se portait à merveille, sans douleur , sans autre manifestation nerveuse. Son nervosism
Lui-même, sans cause connue, ressentit brusquement, en août 1890, une douleur dans le mollet gauche; cette douleur s'étendit gr
t brusquement, en août 1890, une douleur dans le mollet gauche; cette douleur s'étendit graduellement, de bas en haut, le long
de la cuisse, jusqu'à l'ischion, qu'elle atteignit en décembre. Cette douleur n'était pas conti- nue, maïs !e prenait tontes
dut arrêter son travail, qu'il n'a pas repris depuis. Alors ces mêmes douleurs fulgurantes s'étendaient du mollet jusqu'à l'os i
marcher. Au mois de janvier, l'autre jambe, la droite, fut prise de douleurs analogues. Une nuit, en se mouchant, il ressentit
ise de douleurs analogues. Une nuit, en se mouchant, il ressentit une douleur vive à la région sacro-coccygienne droite. Cette
essentit une douleur vive à la région sacro-coccygienne droite. Cette douleur s'étendit graduellement vers la région de l'aine
t se continuaient ensuite pendant quatre heures environ sons forme de douleur obtuse, supportable. Il restait quelquefois deux
eux jours avec exacerba-tion et rémissions irrégulières. En outre, la douleur existait à la fesse droite, s'irradiant parfois,
des intervalles assez rares. Ce qui dominait depuis lors, c'était les douleurs à l'aine et à la fesse droite. A trois ou quatre
ine et à la fesse droite. A trois ou quatre reprises, l'intensité des douleurs dans l'aine a déterminé chez notre homme une sens
rchait bien, mais il ne pouvait seul se coucher au lit, à cause de la douleur au sacrum et à la fesse qui ne lui permettait pas
ce était conservée; elle était seulement obnubilée par quinze mois de douleur et d'insomnie ; il était incapable de travail phy
marche cependant bien, -t quand U a marché pendant quelque temps, la douleur de la fesse et de la cuisse disparaît et l'attitu
, ni hypéresthésie A la cuisse droite, la pression produit une légère douleur sur la face postéro-interne, au nivean de la fess
as cependant les points douloureux bien accentués de la sciatique. La douleur obtuse et un peu diffuse sur la face postérieure
térieure de la cuisse gauche, la pression réveille aussi une certaine douleur peu intense à peu près sur le trajet du sciatique
ais toussé ni craché; il n'a ni âèvre, ni sueurs nocturnes En résumé, douleurs fulgurantes localisées dans les deux cnisses, à l
ait pas une sciatique. L'absence des points douloureux classiques, la douleur sacro-coccygienne et inguino-scrotale, le caractè
o-scrotale, le caractère fulgurant, par secousses instantanées de ces douleurs , leur disparition par la marche, l'absence de fou
la période préataxique du tabès? La localisation et la constance des douleurs , l'influence suspensive de la marche, la persista
cette névropathie a-t-il été, je le répète, une névrite du mollet. La douleur incarnée dans un système nerveux impressionnable
départ d'une auto-suggestion inconsciente: le sen-sorinm a retenu la douleur , alors que la cause initiale productrice, la névr
ues, incapable de réagir, se concentrait tout entier sur l'idée de la douleur ; l'idée créait l'acte, la peur des secousses doul
ourquoi le membre droit s'est-il pris consécutivement? Pourquoi cette douleur ingnino-scrotale constituant la seconde phase de
quelle facilité on provoque chez les nerveux ou les névropathes, des douleurs variables, par suggestion, des pseudo-ovariai gi
profonde, avec amnésie au réveil. Je lui suggérai la disparition des douleurs et le sommeil la nuit. Cette première séance n'
nce n'eut pas grand effet; il ne dormit pas encore la nuit, ayant des douleurs au coccyx et à la région sus-inguinale droite.
— La nuit, il ne dort pas encore, malgré la suggestion, et accuse des douleurs sacro-coccygiennes. Le 6 novembre, après la quatr
ème séance, il a bien dormi toute la nuit sans ressentir la moindre douleur ; il s'asseoit mieux dans son lit, ce, qu'il pouva
asseoit mieux dans son lit, ce, qu'il pouvait faire difficilement, la douleur l'empêchant de se redresser. Le 7. après la cin
cinquième séance, le malade a bien dormi la nuit, il n'accuse plus de douleur ; malgré cela, je le trouve démoralisé, le fades e
suggestionnent mal; je lui montre qu'il est guéri, qu'il n'a plus de douleurs , qu'il dort bien ta nuit, que cette raideur des j
on. Il constate avec plaisir qu'il marche mieux, sans raideur et sans douleur au sacrum; il est fort étonné de pouvoir ramasser
dormi ces deux nuits, n'accuse que quelques petits tiraillements sans douleur à la face postérieure de la cuisse droite. Le tre
evée ne décrit plus de grandes oscillations alaxiques. Il n'a plus de douleurs fulgurantes; le moral est très bien et il ne song
région rénale, et qu'il fut obligé de quitter le tramway, à cause des douleurs très vives que la voiture provoquait, tandis que
Il a pu reprendre son travail; il n'est plus réveillé la nuit par la douleur , mais par la faim, car il veut rattraper le temps
onque, névrite, tumeur, lésion vertébrale ou spinale, entretenant les douleurs , la suggestion aurait pu, dans une certaine mesur
n, et j'en ai vu de fréquenta exemples, sur cet organisme miné par la douleur physique et morale, à la faveur aussi de l'intern
Chaque bain devait agir sur son imagination et pouvait neutraliser la douleur , si ce n'est par influence physiologique, au moin
liser et dominer les suggestions étrangères. Voilà un homme qui a des douleurs dans les cuisses et les reins; on lui prescrit de
aidi et douloureux. En tirant trop vivement le bras. j'ai réveillé la douleur ; et alors la peur de la douleur dominant la mala
p vivement le bras. j'ai réveillé la douleur ; et alors la peur de la douleur dominant la malade à chaque séance, elle se raidi
leur dominant la malade à chaque séance, elle se raidissait contre la douleur redoutée. Je n'obtenais plus rien; ma suggestion
notre malade même. Apres quelques séances, bien que débarrassé de ses douleurs , il trouvait que ses jambes étaient plus raides,
'avais laissé continuer à se suggérer que l'hypnotisme n'enlevait ses douleurs qu'en rendant les mouvements plus difficiles, cha
nque : névrite, tumeur, lésion vertébrale ou spinale, entretenant les douleurs , mais simplemement d'un état névropathique, dans
igestions étaient pénibles lorsque, le dimanche 6 septembre 1891, les douleurs d'estomac étant plus vives qu'à l'ordinaire, pend
aud qui s'ouvrit spontanément du 1" au 2 novembre. L'abcès ouvert, la douleur disparut, mais il resta un trajet fistuleux situé
on du sphincter. « Le 4 novembre, la malade se plaint de nouveau de douleurs dans le bassin; le toucher, rectal et vaginal, pe
la malade s'était plaint de ressentir dans l'oreille gauche de vives douleurs ; en même temps son conduit auditif saignait légèr
rche actuellement avec beaucoup de difficultés. Elle éprouve de vives douleurs au niveau de l'articulation de la hanche gauche.
e chevet, elle y mit les pieds, jetlant de grands cris en sentant des douleurs , le col luy venant fort gros, et aucuns ayant dit
erribles réveils! Puisse la France n'avoir jamais à répéter le cri de douleur d'un empereur romain : ¦ Vams! Varus! rends-moi m
ébarrassée de tout autre malaise : battements de cœur, mai de tète ou douleurs du dos ou des membres. Je l'ai cependant endormie
fauteuil d'opérations, nous lui avons suggéré l'insensibilité à la douleur et l'absence absolue de toute sensation douloureu
ences consécutives a d'anciennes périostites. L'hypnotisée, malgré la douleur éprouvée, ne fit pas le plus léger mouvement et n
illaient de questions, lui demandant « si elle avait ressenti quelque douleur ». Elle répondit que, non seulement elle n'avait
t ne se laissa opérer qu'avec beaucoup de difficultés, à l'idée de la douleur qu'elle avait ressenti la première fois, elle se
ension. La pauvre femme était si satisfaite d'avoir été opérée sans douleur qu'elle se montra toute disposée à se faire arrac
sthésie pendant que se faisait l'ahlation, mais aussi de l'absence de douleur après le réveil. Nous savons tous que, dans ces c
ent avec la glace, l'éther, etc ; mais nous savons aussi qu'après les douleurs sont intolérables. Je l'ai expérimenté sur deux s
que temps, sans pouvoir le préciser, il avait quelquefois éprouvé une douleur autour de la tête, qui la lui comprimait peu à pe
y vinst des tremblements et convulsions se plaignant à sadile mère de douleurs qu'elle senloit soubs les ongles qui la contraign
de zona de la face, des hallucinations visuelles coïncidant avec des douleurs oculaires et péri-orbitaires et dans lesquelles l
se plaindre, le 26 mars 1892. d'embarras gastrique, de fièvre et de douleurs vagues dans la moitié gauche de la face. Le lende
de douleurs vagues dans la moitié gauche de la face. Le lendemain. la douleur s'est accentuée et s'est localisée à quelques poi
vril 1892. (2) Note sur quatre cas de zona et en particulier sur la douleur racbidienne dans le ion- thoracique. (Revue de Mé
ccasionnées par plusieurs dents cariées à la mâchoire inférieure ; la douleur la rendait presque folle. Elle se refusait au plo
s minutes la malade donnait profondément. Je lui suggérai : « Plus de douleurs , très bon élit de santé, sommeil depuis dix heure
Le lendemain, elle m'affirma qu'elle avait très bien dormi et que ses douleurs avaient disparu. Je rendormis à nouveau et lui fi
ient disparu. Je rendormis à nouveau et lui fis la suggestion que ses douleurs ne reviendraient plus. Ayant entrepris un assez l
., vingt-trois ans, vint me voir le 10 décembre 1889, se plaignant de douleurs intolérables à la mâchoire supérieure depuis plus
nnus que toutes ses dents étaient parfaite-meut saines et belles, ses douleurs étaient donc névralgiques. Elle me pria elle-même
e me pria elle-même de l'hypnotiser et je rendormis profondément. Ses douleurs dispa-ruient. Je l'eudormis encore deux fois, et
imât la moindre impatience, cl elle m'affirma n'a\*oir éprouvé aucune douleur . V. — Deux jonrs après, M"e E..., âgée de vingt
en de la suggestion hypnotique, je l'opérai facilement et sans aucune douleur . VIL — Le 14 mars de la même année, une dame G.
e avait des dents à faire plomber, et le lendemain elle éprouvait des douleurs 1res vives; j'eus recours à l'hypnolisme pour lui
it touchée le jour auparavant elle sentit de grands fourmillements et douleurs en son corps, de quoy on taschoit de la deslourne
ire de Paris, une conférence sur l'Hypnotisme et la psychologie de la douleur . Cette conférence était accompagnée de nombreus
à des personnes hypnotisées des deux sexes, qui n'ont ressenti aucune douleur ; un jeune homme ne se souvenait, après son réveil
e semble s'opérer. Je la prépare tout doucement à l'accouchement sans douleur . Elle arrive à terme au commencement de décembre;
éritable commencement de travail ; depuis plusieurs jours, il y a des douleurs plus ou moins rapprochées, surtout la nuit; mais,
t la nuit; mais, le vendredi 9 décembre, au soir, je suis appelé, les douleurs sont devenues plus fortes et plus fréquentes, ell
rlendemain, je l'endors et lui fais la suggestion qu'elle n'a plus de douleurs ni de contractions, que tout est arrêté et qu'ell
u'elle n'accouchera que dans huit jours. Il y a en effet, arrêt des douleurs au réveil, arrêt complet. Elle dort tranquillemen
suivantes. Huit jours après, jour pour jour, heure pour heure, les douleurs suspendues reprennent leur cours, le travail reco
dans le sommeil hypnotique, je lui suggère qu'elle va accoucher sans douleur et assez promptement. Les contractions avec eff
s contractions avec efforts pour l'expulsion ont lieu, en effet, sans douleur et sans plaintes; elles se répètent toutes les ci
, si grave. L'abdomen est plat; il n'y a aucun point sensible, pas de douleurs a la palpation, pas trace de hernie. Cet examen d
aussi longtemps, c'est que j'ai voulu lui faire avoir ses règle» sans douleur , redonner de l'appétit, assurer le sommeil parfai
voit baillé pour luy engraisser lei reins auxquels ella sentoit de la douleur ... » Un autre témoin, une vieille femme de soix
ns, lesquels luy fourmilloycnt comme aussi la face, avec des extrêmes douleurs , jusqu'à avoir souffert à ce point que de n'avoir
tachés (contracture hystérique), et dit que elle a dès lors senti ces douleurs particulièrement aux testes de Noël, adjoute que
pture Saincte, ni les prières à Dieu, pendant lesquelles entre aulres douleurs , ils tourmentent plus rudement ladite patiente...
t le bras du costé où elle avait osié ladite chenille luy faisoit des douleurs , et au bout de quinze jours fust impotent dudît b
roidie; vers les deux heures du matin lâ malade fut réveillée par une douleur dans l'épaule droite avec engourdissement du bras
ommeil, et l'épaule, ainsi nue, avait subi l'impression da froid. Les douleurs et l'engourdissement persistèrent pendant les jou
36 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
augmentant et ont gagné le creux poplité, la jambe et le pied. Ces douleurs avaient les caractères suivants : elles étaient p
aliments, de vives dou- leurs. ' Un an environ après le début des douleurs du membre inférieur, la déformation du tronc, s
hyle, l'électricité galvanique, le séjour à Aix. Etat actuel. - Les douleurs ne sont pas continues, mais elles reparaissent
ements apparaissant et disparaissant t brusquement et rappelant les douleurs fulgurantes. Ces douleurs 4 ' PATHOLOGIE NERVEU
paraissant t brusquement et rappelant les douleurs fulgurantes. Ces douleurs 4 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. se manifestent surto
ventre et à étendre la cuisse gauche sur le bassin, il ressent des douleurs . Le malade en éprouve aussi lorsqu'on cherche à
che à étendre complètement la jambe sur la cuisse On réveille les douleurs en comprimant certains points, la ré- gion sacr
u talon, lorsque le membre inférieur est étendu, ne provoque pas de douleurs . La flexion, l'abduction, l'adduction et la rot
e tronc est incliné à droite du côté opposé à la cuisse où siège la douleur , de telle façon que le corps porte da- vantage
, car, dès que l'on cherche à redresser le malade, il éprouve de la douleur et l'on sent une résistance qui paraît difficile
l'attitude normale. Revenons au membre inférieur gauche, siège des douleurs . Les téguments ne présentent aucune modificatio
t, la partie postérieure de la malléole externe fait apparaître des douleurs . Quanta à la déformation, elle s'est développée
it des picotements - douloureux dans la région fessière gauche. Ces douleurs étaient continues, mais cependant supportables,
les, et pondant un mois et demi le malade continua son travail. Les douleurs devinrent ensuite plus intenses et se firent se
es frictions à l'alcool cam- phré. A la fin de décembre 1886, les douleurs persistant, il va à la consultation de la Pitié
pulvérisation de chlorure de méthyle qui lui enlève complètement la douleur de la fesse et celle du jarret. Mais il continu
ir autour de la hanche et en avant de la malléole externe, d'où les douleurs gagnent la partie antéro-intcrne de la jambe et
ent dans le membre inférieur gauche, le long du nerf sciatique, une douleur sourde et continue, qui devient plus intense qu
plus intense quand il marche ou qu'il reste quelque temps assis. La douleur se fait sentir à la fesse, à la partie pos- tér
ie postérieure de la région dorsale du pied. La pre,sion exagère la douleur aux points fessier, trochantérien, poplité, pér
ts fessier, trochantérien, poplité, péronier et dorsal du pied. Les douleurs irradient dans la région crurale antéro-supérieur
ctifs et passifs de l'articulation de la hanche provoquent quelques douleurs dans la fesse et au niveau du pli inguinal, mai
d'indiquer a commencé à se développer deux mois après le début des douleurs . Le malade souffre quand dans la marche le memb
du côté malade que du côté opposé, et le malade n'éprouve pas de douleurs lorsqu'un percute le grand trochanter ou que l'
, mais très nerveuse. La malade tousse un peu tous les hivers. La douleur dont souffre actuellement la malade a débuté il
jet du nerf sciatique droit. Le lendemain du jour où ont débuté ces douleurs , elle prend un bain très chaud, au sortir duque
é ces douleurs, elle prend un bain très chaud, au sortir duquel les douleurs névralgiques deviennent excessivement intenses
nt, il y a eu, depuis trois semaines, une légère amélioration : les douleurs sont devenues un peu moins vives et la marche p
beau- coup tout le long du trajet de son nerf sciatique droit : la douleur se fait sentir depuis la malléole externe jusqu
u- vement du tronc, le rire, la toux. La marche augmente aussi la douleur . Les mouvements provoqués des articulations du
a cuisse, qui fait souffrir la malade, n'exaspèrent que très peu la douleur ; il en est de même de la flexion, de l'extensi
La pression sur les points ischiatique et poplité pro- voque de la douleur . Lorsque la malade est assise, elle ne repose q
0 d'acetaniiide par jour. La malade revient quinze jours après. Les douleurs sont bien moins fortes ; la déformation est moi
tronc commença à se développer un an environ après l'apparition des douleurs . Dans l'OBSERVATION II, deux mois après le débu
que neuf mois après le début de la sciatique, en même temps que les douleurs devenaient plus intenses. DE LA DÉFORMATION D
ciatique, mais il semble être sous la dépendance de l'intensité des douleurs ; on peut remarquer en effet, de la façon la pl
ns dire seulement qu'elle est susceptible de s'atténuer lorsque les douleurs devien- nent moins fortes. En effet, dans l'OBS
t noté qu'à la sortie de l'hôpital, vingt jours après l'entrée, les douleurs sont moins intenses et la dé- formation un peu
u d'amyo- trophie, et la déformation s'est développée lorsque les douleurs sont devenues violentes. Nous avons déjà relevé
s haut cette particularité, et il nous semble certain que l'élément douleur joue, dans la production de cette attitude anor
sinon exclusif. -Il est, dureste, facile de concevoir comment la douleur de la sciatique peut amener ce résultat. En eff
du membre amènerait un tiraillement du nerf qui se- rait suivi de douleurs . Il nous semble qu'on peut com- prendre ainsi l
convulsions. A l'âge de cinq ans, elle se plaignait fréquemment de douleurs névralgiques. Elle n'a eu aucune affection nerveu
uence des mouvements et des attouchements. Il y a eu aussi quelques douleurs dans les deux flancs. Quelques troubles visuels
ouchée sur un sofa. Depuis le 25 avril, il y a une exacerbation des douleurs et des phénomènes moteurs, et la ma - Jade rest
orsqu'on appuie légèrement sur ces points, elle donne des signes de douleur vive et s'écarte. L'hypéresthésie, quoique moin
t du même trouble, sans aucune cause apparente, et se plaignit de douleurs de tête, en même temps qu'il lui était impossible
ainsi pendant deux jours, après quoi il fut atteint d'nne violente douleur de tête qui le contraignit à garder le lit. Il
it. Il fut si.igné par le docteurlerrari; au boutde quatre jours la douleur se calma et l'enfant se sentit mieux. Il voulut s
la famille à le visiter. Au mois de septembre 1883, il souffrit de douleurs avec léger gonflement à l'articulation du pied
douleurs avec léger gonflement à l'articulation du pied gauche; ces douleurs se cal- mèrent après un certain temps. Au mois
u'il titubait comme un homme ivre. La pression était ressentie avec douleur au niveau des vertèbres dorsales. A ce moment i
t les bains thermo-miné- raux de Bagnoles, et au quatrième bain les douleurs cessèrent tout à coup. Quand je fus appelé en
nes conditions; seulement, la simple pression provoquait une légère douleur dans la colonne vertébrale. Etendu sur un lit,
n actuelle remonte à six mois (juin 1883). Elle ressentit alors une douleur dans le flanc gauche (qualifiée de péri-ovarite p
e médecin) et fut traitée par des applications de sangsues, etc. La douleur se calma, mais revint dans la région dorsale, la
encore et se dresser en quelques sauts... et ainsi de suite. Aucune douleur . Etat actuel. - Les réflexes palellaires sont t
e jours et qui reviennent à peu près toutes les semaines. C'est une douleur qui commence entre les sourcils et que la malad
- parente, émollle tiaumatique, ou autre, elle ressentit de vives douleurs lombaires, sans fièvre, ni trouble des sphincters
s, qui la forcèrent à s'aliter. - Trois jours après le début de ces douleurs , en voulant se lever, elle tomba du lit, et ne
y eut aussi de l'anurie pen- dant trois jours, et en même temps des douleurs et des fourmil- lements constants dans les memb
Depuis la difficulté de la marche seule a persisté ainsi que les douleurs lombaires, et la malade vint à la Salpêtrière.
rsécrétions sudorales que l'on rencontre à la suite des violentes douleurs de l'angine de poitrine, des coliques hépa- tiq
s'asseoir ni de se retenir : il n'est jamais tombé. Il n'accuse ni douleurs de tête, ni perte de mémoire, ni aucun trouble
on ne constate rien de semblable. La sensibilité, au contact, à la douleur la' sensibilité élec- trique persistent dans to
sensations. D... raconte en outre, que depuis '18"/7 il ressent des douleurs dans le membre supérieur droit. Ces douleurs on
'18"/7 il ressent des douleurs dans le membre supérieur droit. Ces douleurs ont débuté par le poignet sous forme de fourmil
pour se perdre dans l'épaule. On ne détermine d'ailleurs au- cune douleur par la pression sur les nerfs du membre supé- r
gne de névralgie intercostale. Cependant la pression provoque de la douleur à la partie moyenne des côtes le long de la lig
u ce malade à la fin de juillet. Son état est toujours le même. Les douleurs thoraciques ont augmenté et sont dues à une név
hyses épineuses des dernières vertèbres cérvicales provoquait de la douleur . Kiedemeister a vu chez un aliéné une éphidrose
dont voici le résumé : Femme atteinte depuis plusieurs années de douleurs dans le côté gauche de la tête. Ces douleurs su
is plusieurs années de douleurs dans le côté gauche de la tête. Ces douleurs survenaient à inter- valles irréguliers et s'ac
tation pu- pillaire tenait à une action réflexe déterminée par la douleur . En effet, d'après les expériences de MM. Vul-
Erasmus Wilson mentionne le cas d'un malade qui, après de violentes douleurs gastriques, suait d'un côté de la face. Il rapp
. Il rapporte également un cas d'éphidrose droite avec nausées et douleurs gastriques. Dans un autre ordre de faits, c'est
a elle donna des nouvelles du sabbat ; elle accusa alors une grande douleur au pied, sans pouvoir dire d'où cela lui venait
se gauche, et, à cette seconde hémiplégie s'adjoignent de violentes douleurs dans les deux jambes et de l'entéralgie constit
bl., 1886.) Deux observations : l'une d' hypercrinie salivaire avec douleurs dans la gorge, et légère dysphagie, ayant précé
ique, diminution du tremblement, sommeil et appétit; disparition de douleurs de la région hépatique et de sa tuméfaction ; p
l'embarras gastrique simple (fév. 1881), fut pris, en mai 1881, de douleurs dans les extrémités infé- rieures avec un peu d
fièvre. Hypéresthésie et émaciation des membres inférieurs, légères douleurs du tronc et des extrémités supérieures. En juin
bras droit; un peu de glycosurie. Fin juin et début de juillet, les douleurs décroissent, les membres jusque-là para- lysés
articulaire aigu généralisé jusqu'au 29. Le 31, fièvre (+ 390 2) et douleurs très violentes au niveau de la cinquième lombai
violentes au niveau de la cinquième lombaire et du sacrum; puis les douleurs s'étendent à toute la colonne lombaire. Une amé
n très passagère émane de l'emploi du salicylate de soude, puis les douleurs re- prennentde plus belle empêchant tout mouvem
ploi du salicylate de soude et de l'antipyrine fait disparaître les douleurs . On en constate bien encore le long du sciatique
sciatique et des nerfs cruraux, mais la sensibilité au tact et à la douleur parait intacte. Le 20 janvier, essai infructueu
ertain temps, et se tenir debout les yeux fermés. Conclusion. Les douleurs du début le long de la colonne ver- tébrale son
olonne ver- tébrale sont imputables à une arthrite lombosacrée; les douleurs ultérieures irradiant dans les extrémités infér
re normale. Ne peut supporter sur la tête la glace qui augmente ses douleurs . Mal- gré les purgatifs administrés, l'état dem
es et demie pour arriver chez lui, il ressent, à son arri- vée, des douleurs dans le côté gauche. Huit jours plus tard, au-
ts. En essayant l'extension forcée passive, le malade éprouvait une douleur dans les tendons des fléchisseurs sur le tiers
ne journée pour disparaître en- suite ; il n'était accompagné ni de douleur ni de rougeur de la peau. En automne 1883, le m
l'articulation de l'épaule; dans le côté gauche il éprouvait une douleur sourde, un poids, la sensation qu'on éprouve à un
s de'sa classe. Le plus souvent, il se plaignait de dif- férentes douleurs , par exemple : dans le côté droit par suite de
tie inférieure du ventre, dans le muscle deltoïde droit toutes ces douleurs ob- tuses et de courte durée une cépha- lalgi
ents : l'atrophie des muscles demeura station- naire, le sens de la douleur a la face redevint normal ; mais eu Fig. 15.
forme hémiplégique. Plus tard lésion du coté opposé. Pa1'eslhésies. Douleurs . IIypocond1'ie. Aggravation sous l'influence du
moments très fort, et les accès de toux sont accompagnés de fortes douleurs à la nuque. A l'âge de vingt-neuf ans il contra
, chaleur dans le côté gauche et le dos au moment de la toux. Des douleurs presque constantes à la nuque, tantôt à droite,
uche, il n'y a presque pas de différence dans Ja seusibilite a la douleur ; sur le membre inférieur droit, cette dernière
iphériques ; mais ici également la piqûre provoque une sensation de douleur . Le sens de la température est très abaissé dan
L'odorat est conservé. Sphère psychique. Préoccupation de sa santé, douleurs obtuses, impossibilité de s'abstraire de n'impo
ltérations. Mars. Au mois de décembre 1885, le malade éprouva une douleur très pénible à la nuque. Il vient de terminer un
trepris selon le conseil d'un autre confrère (friction et KJ.). Les douleurs ont cessé au début même du traitement ; tous le
ligne horizontale. Au dynamo- mètre : main droite, 14; gauche, 15. Douleur .sourde conti- nuelle, devenant par moments plu
t° de 2 à 3° ; des piqûres d'épingles assez faibles provoquent une douleur aussi bien qu'un courant induit modéré ; tandis
ourant induit faible, le courant le plus intense ne provoque pas de douleur et qu'une piqûre profonde ne produit que l'effe
s de la glioma- tose de la moelle épinière. Des paresthésies, des douleurs excentriques de la nuque, l'arthropathie de l'é
marqué. Observation IV. Demoiselle âgée de vingt-sept ans. - Des douleurs , de l'analgésie et de la thermo-anesthésie part
ingt-sept ans, vient me consulter le 24 avril 1886 à l'occasion des douleurs qu'elle éprouvait dans la main droite. Etat a
és, surtout dans les parties périphériques du membre, par suite des douleurs qu'ils provoquent. La parésie parait manquer. D
muscles de la main et de 1 avant-bras. La malade se plaint d'une douleur sourde et profonde siégeant dans le membre supé
nsidérable et pour plus ou moins longtemps. La sensation vague de douleur existant pres- que continuellement augmente aus
augmente aussi au moment du refroidissement de la main. Outre la douleur , existe une forte hyperes- thésie de la peau :
e la robe, la moindre secousse irritent le bras sans provoquer de douleur locale, mais en pro- duisant une agitation symp
pro- duisant une agitation sympathique, irra- diée du centre ; la douleur s'irradie le long de tout le membre et est ress
n produite sur lés nerfs et les muscles périphériques augmente la douleur générale, mais on ne réussit pas à déterminer l
partout perçu et bien localisé par la malade. La sensibilité à la douleur est abaissée dans es parties périphériques au m
supérieur gauche. Toutes les espèces de sensibilité sont normales ; douleurs sourdes de temps en temps, mais pas de douleur
é sont normales ; douleurs sourdes de temps en temps, mais pas de douleur à la pression. La sensibilité est normale dans
inconnue. Il y. a deux ans, au moment où le malade travaillait, une douleur se diri- geant vers le pouce le long de l'avant
de l'avant-bras droit parut pour dispa- raître bientôt après. Cette douleur se répétait à un degré plus élevé et de temps e
survenaient des mouvements convul- sifs dans les doigts. Tantôt la douleur disparaissait pour toute une journée, tantôt el
fois parjour et cessait bientôt. Dès le début de l'apparition de la douleur , le bras commence à faiblir. L'amaigrissement
amaigrissement de la main débuta aussi en même temps que survint la douleur . La cause de la maladie nous est inconnue. La m
duquel l'hypéresthésie des parties périphériques diminua, mais les douleurs montèrent et parurent dans la région scapulaire
inistra des vésicatoires sur la nuque et le plexus bra- chial : les douleurs se calmèrent un peu, les autres phénomènes' res
' restèrent sans changement. La malade éprouva une seule fois une douleur sourde dans tout le membre supérieur gauche; mais
Archives, t. XV. , 12 178 pathologie NERVEUSE. thésie partielle, douleurs ) se localisèrent ici presque exclusivement dans
jusqu'à la face dorsale de la main. L'avant-bras n'enflait pas. La douleur avait été parfois très intense. Le malade ne co
l'affaiblissement. La sensibilité était bonne ; il n'y avait pas de douleurs . De temps à autre, une fois par an par exemple,
ès bien développé sur les membres inférieurs. La sensibilité à la douleur examinée par de légères piqûres et par le coura
ons subjectives : tantôt de céphalalgie, tantôt d'autre chose ; les douleurs venaient et cessaient; tantôt il sentait des pi
mois de juillet, le malade sent un affaiblissement du sens de la douleur et du toucher à la moitié radiale de la main dr
; il n'existe pas de fluctuation. La peau est rougeâtre, point de douleur , les mouvements sont peu limites Fig. 19. Fig
rmal ; il n'y a point de dou- leurs. Les sens du toucher et de la douleur sont abaissés, quoiqu'ils ne soient pas détruit
au dispensaire, et l'examen ne fit pas découvrir d'anesthésie à la douleur et au toucher, et lui-même déclara que ses main
existe d'autres signes : absence des réflexes, troubles oculaires, douleurs fulgurantes, troubles vésicaux, etc., tout à fa
u lieu où elles se trouvent; elles se plaignent de coulba- ture. de douleurs de tète, ont la vue troublée, refusent de par-
battements de coeur, mais j'éprouve en même temps une sensation de douleur et de soulagement à la fois de- puis la nuque j
é. Pendant cette opé- ration, le malade ne manifesta aucun signe de douleur ; seule- ment il soupira d'une manière presque i
et là, sur différents points du corps, peuvent don- ner lieu à des douleurs aiguës, lancinantes, analogues aux douleurs ful
t don- ner lieu à des douleurs aiguës, lancinantes, analogues aux douleurs fulgurantes des ataxiques; elles peuvent produi
- porte quatre observations inédites de malades se plai- gnant de douleurs fulgurantes, de crises gastralgiques, d'incoord
e-cinq ans, crises de courbature muscu- luire. - En 1877, crises de douleurs aiguës, lancinantes siégeant primitivement dans
che droite et s'étendant plus lard ci la gauche. Polyurie. En 1880, douleurs en ceinture . Incertitude de la marche. Sensati
ci 886, troubles de la miction, tenesme rectal, crises gastriques. Douleurs fulgurantes types. Persistance de l'incoordinatio
eau : Dans les premiers mois de 1877, il commença à ressentir des douleurs aiguës dans la hanche droite. Ces douleurs surven
commença à ressentir des douleurs aiguës dans la hanche droite. Ces douleurs survenaient habituellement le matin, au saut du
de potassium à l'intérieur. Sous l'influence de ce traitement, les douleurs rachialgiques et la polyurie parurent s'atténue
r...reprit son travail, souffrant toujours de temps en temps de ses douleurs aiguës dans les hanches, et resta sans accident
outre, dans leurs intervalles, le malade commença à souffrir d'une douleur fixe constrictive, for- mant ceinture autour de
nir en équilibre dans la station verticale ou dans la marche. Les douleurs surviennent par crises tous les deux à six jours.
on, le malade a dans les membres inférieurs de véritables crises de douleurs fulgurantes. Elles sur- viennent à des interval
le coucher, quand la chaleur du lit commence à se faire sentir. Les douleurs ont le caractère de fulgurations très rapides p
fait leur apparition, les tiraillements des hanches ont disparu. La douleur en ceinture est plus fréquente qu'autrefois, ma
jours, la seconde quinze. Ces crises étaient caractérisées par des douleurs intolérables, accompagnées de vomissements glai
eu, laissa brûler ses chaussons sans s'en apercevoir. Les crises de douleurs fulgurantes sont, en revanche, moins fréquentes
violentes. Les pico- tements rachialgiques persistent ainsi que les douleurs en cein- ture ; ces dernières ont même augmenté
ogues à ceux qui caractérisent l'ataxie locomotrice progressive : douleurs à type fulgurant, incoordination motrice des me
abituellement de maux de tête ; depuis trois ans environ elle a des douleurs névralgiques occupant le côté gauche de la face
face et revenant fréquemment, mais à des périodes irrégulières; ces douleurs ont disparu complète- ment depuis deux mois. Il
e demi-heure à un vif courant d'air, que le soir même elle a eu des douleurs derrière l'apophyse mastoïde et le lendemain el
, trois ans après le début de la syphilis, ont paru les pre- mières douleurs fulgurantes, se manifestant surtout dans la cuiss
me noueux. Mère nerveuse, souffre fréquemment de maux de tête et de douleurs zzévral- giques dans la figure; une sevur du ma
; puis il rouvre la bouche pour en redemander ; la sensibilité à la douleur parait bien conservée, quoique perçue avec asse
strabisme, amaurose, induration grise, inégalité des pupilles), les douleurs fulgurantes, les plaques anesthésiques ou hypc-
voit enfin se produire, chez eux, des vertiges, du nystagmus etdes douleurs fulgurantes, symptômes qui ne se montrent pas c
roubles de coloration se montrèrent, là où le malade ressentait des douleurs ; il semble admettre que des phénomènes vaso-mo
. Pas de syphilis. La maladie a débuté, à la fin de 1877, par des douleurs dans la hanche gauche ayant varié d'intensité et
ivi d'affaiblissement et de raideur des extrémités inférieures sans douleur . Diplopie. Alité le 3 février 1886 : parésie de
r conclut affirmativement sur le premier point; la sensibilité à la douleur peut être diminuée; il survient une dégénéresce
37 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
paru depuis. Il importe de remarquer qu'il n'existe aucune trace de douleur survenant à l'occasion des mouvements et pouvant
couché, s'est heurté le genou droit; il n'y a pas eu de chute, pas de douleur vive, cependant, le frottement avait été assez fo
t presque directement en dedans. D'ailleurs, aucun gonflement, aucune douleur articulaire, rien qui rappelle la chute, si ce n'
rconstances quelque trace d'hyperes-thésie, d'anesthésie, ou bien une douleur ovarienne, ou quel-qu'autre indice du même genre.
pasme de l'orbiculaire droit, qui est survenu sans cause connue, sans douleur . Peu de temps après, il se produisit des crises n
e la longue durée de la maladie, le patient a souvent à supporter des douleurs vives, fréquemment accompagnées de réaction fébri
bus coxse senilis, quand il s'agit de la hanche. Elle s'accompagne de douleurs peu intenses, et la réaction fébrile fait défaut.
étiologie du rhumatisme chronique; et il est très remarquable que les douleurs articulaires n'apparaissent, en général, que plus
hissement successif s'est fait pendant une période de quatre ans. Les douleurs ont été peu vives, le gonflement peu prononcé;
cile, plutôt en raison de la parésie amyotrophique qu'en raison de la douleur . Aux mains, la force dynamométrique est très limi
ction spinale. Aussi, aucun trouble de la sensibilité cutanée, pas de douleurs en ceinture, aucun trouble dans l'émission des ur
s'applique à imposera la jointure une position fixe, afin d'éviter la douleur autant que possible. On a accusé encore le poids
une contraction intentionnelle ou instinctive, destinée à atténuer la douleur ; car, dans beaucoup de cas, et, en particulier, e
anche, dans la coxalgie, on sait qu'il faut souvent, pour atténuer la douleur , s'opposer justement à cette contracture, en déte
n, par une certaine gêne dans la jointure ; puis sont survenues des douleurs spontanées, se manifestant surtout la nuit, siége
articulaires qui n'existent plus. Aujourd'hui, il n'y a plus guère de douleur spontanée, et on n'en détermine point, lorsque l'
instinctivement par les malades pour éviter, autant que possible, la douleur , en maintenant l'articulation dans une situation
ent jusqu'au point de fixation {Fig. 13). Tout cela est suivi d'une douleur dans la tempe correspondante au côté où se fait l
défaut visuel ou le spectre, et l'œil du même côté est le siège d'une douleur de tension qui rappelle quelquefois ce qu'on épro
nuús il est petit et très pâle. 11 se plaint, depuis plus d'un an, de douleurs de tête, mais seulement depuis 5 mois (en janvier
érogène). Vers les 4 h. 1/2 ou 5 h. (vers les 6 h. 1/2 en Russie), la douleur de tête s'exaspère et lui donne la sensation d'un
périmentation est assez difficile sur les sujets normaux, à cause des douleurs déterminées par la farodisation ; celte difficult
ues, qui peuvent se prêter à l'étude, puisqu'elles n'éprouvent aucune douleur . Je vous présente lanommée RI..., h v s té rn-
caractère d'une grande valeur. De plus, le débuta été soudain et sans douleur . Enfin, la déformation persiste longtemps après q
te seulement sept semaines après. C'est le 15 août qu'il sentit des douleurs dans le bras, il ne dormit pas ; et, le lendemain
qui suit : 1° Une hémianalgésie gauche, la piqûre ne provoque pas de douleur , mais une simple sensalion de contact ; le froid
me ; car les muscles fléchisseurs surtout étaient très sensibles (ces douleurs spontanées avaient déjà été notées, quoique moins
ale, préférant subir l'amputation que de supporter plus longtemps ses douleurs , M. Charcot résolut d'avoir recours à l'élongatio
prouve dans l'avant-bras et la main des fourmillements accompagnés de douleurs , la contracture semble persister.. Après un somme
ter.. Après un sommeil de trois ou quatre heures, il se réveille sans douleurs dans l'avant-bras et la main ; la contracture a à
usion du nerf sciatique. Sommaire.— Contusion de la fesse gauche. — Douleurs permanentes, douleurs intermittentes. — Impuissan
e. Sommaire.— Contusion de la fesse gauche. — Douleurs permanentes, douleurs intermittentes. — Impuissance motrice précoce. —
eloppement de l'affection spinale dont il souffre à présent, ou de la douleur sciatique dont il a souffert. A la vérité, de 27
é à terre ; mais aussitôt il put se relever, et déjà, à ce moment, la douleur occupant le trajet du tronc du nerf sciatique et
du tronc du nerf sciatique et de ses branches s'était développée. La douleur que, depuis ce moment, et pendant une période de
viron, il n'a pas cessé d'éprouver, se composait de deux éléments: a) douleur permanente, localisée sur le trajet du tronc nerv
té appliqués des vésicaloires, dont on reconnaît encore la trace. Ces douleurs permanentes étaient accompagnées d'un sentiment é
, de fourmillement dans le pied et dans la jambe. b) En outre de la douleur permanente, il existait des douleurs intermittent
ans la jambe. b) En outre de la douleur permanente, il existait des douleurs intermittentes, procédant par élancements brusque
vivement fléchie sur la cuisse. Ajoutons que, chez notre malade, les douleurs fixes ou intermittentes, les engourdissements et
portée entièrement à la crainte éprouvée par le malade d'exaspérer la douleur ; car cette impotence fonctionnelle persistait dan
persistait dans le temps même où il se produisait un amendement de la douleur . Ajoutons que, lorsque trois mois environ après l
douleur. Ajoutons que, lorsque trois mois environ après l'accident la douleur eut cessé à peu près complètement, l'impuissance
heure (au bout de 14 jours, dans un cas) après le début des premières douleurs et dans les cas même où le membre n'a jamais été
nerf où a siégé la névralgie ; ainsi, par exemple, dans des cas où la douleur a occupé exclusivement le tronc du grand sciatiqu
atrophie musculaire qui l'accompagnent ne survivent pas lo%temps à la douleur . Il n'en est pas tout à fait ainsi dans la sciati
articipation du centre spinal. Donc, vers le 15 mars, alors que les douleurs commencent à s'atténuer, l'impuissance motrice ét
us particulièrement : un peu plus tard, il y a 3 mois, survinrent des douleurs dans la région lombo-sacrée, qui ne se manifestai
le et de la marche, elle peut contribuer à fixer le diagnostic. Les douleurs , loin de se limiter, envahirent bientôt le membre
le sciatique droit. Il s'agit maintenant d'une sciatique double : la douleur existe des deux côtés, à la fesse, au niveau de
e les souffrances sont 1res vives. a) La malade se plaint encore de douleurs dans le pli de l'aine, à droite et à gauche ; il
e. b) En outre, bien que la sciatique ne soit pas très intense, les douleurs s'exaspèrent dans la station verticale, au point
cale, au point que la marche est presque impossible ; il y a entre la douleur spontanée, qui est presque nulle au repos, et les
a entre la douleur spontanée, qui est presque nulle au repos, et les douleurs provoquées par la marche, une disproportion qu'on
soit sur le sacrum, soit sur les vertèbres lombaires, on provoque une douleur assez vive ; et c'est là aussi que la douleur pré
baires, on provoque une douleur assez vive ; et c'est là aussi que la douleur prédomine quand la malade se tient debout, essaie
t des mouvements dans son lit. Quelle est la signification de cette douleur , qui occupe le trajet des deux sciatiques? S'agit
lle-même? Non, sa signification est tout autre. En premier lieu, la douleur sciatique est bilatérale. Or, tous les cliniciens
onvient de signaler en particulier les hyperesthésies partielles, les douleurs fulgurantes, sur lesquelles j'ai appelé l'attenti
race de sucre. b) Dans certaines affections spinales, il existe des douleurs sur le trajet des sciatiques et des deux côtés. L
iste des douleurs sur le trajet des sciatiques et des deux côtés. Les douleurs de l'alaxie locomotrice se présentent avec des ca
e conjugaison ; et c'est à cette compression qu'il faut attribuer les douleurs qui siègent sur le trajet des nerfs cruraux et sc
atique ; 2° la participation du nerf crural ; 3° l'exaspération de la douleur lorsque la malade est debout et marche, ainsi que
s rechercher l'état du sein, de l'estomac, de l'utérus, etc. 4° Les douleurs pseudo-névralgiques sont la révélation clinique l
e tumeur intra-rachidienne ; elle ne s'accompagne généralement pas de douleurs pseudo-névralgiques, si les nerfs ne sont pas eux
,période névralgique ou pseudo-névralgique, se fait remarquer par des douleurs vives, atroces, permanentes, avec exacerbations s
itation humide et froide. La période douloureuse a duré six mois, les douleurs occupaient non seulement les membres supérieurs,
r une heure ou deux. Elles présentent les caractères suivants : a) la douleur avant de se généraliser occupe habituellement la
f. Quinze jours après l'accident (vers le 24 octobre), il éprouva une douleur vive, lancinante dans l'oreille droite, ayant dur
impressions. Je suis beaucoup moins accessible à un chagrin ou à une douleur morale. Je vous citerai qu'ayant perdu dernièreme
e mes parents auquel m'attachait une amitié sincère, j'ai éprouvé une douleur beaucoup moins grande que si j'avais encore eu le
l'attaque hystérique vulgaire antérieure. Alors la malade ressent une douleur et des battements dans l'épigastre, une sorte d'e
4 mois il eut des convulsions, et, dès l'âge de 2 ans, il souffrit de douleurs rhumatismales dans les articulations des membres
s dans les articulations des membres inférieurs, genoux et pieds. Ces douleurs qui, depuis cette époque, sont revenues à différe
e hémianesthésie double en plaques d'une très grande étendue, pour la douleur (pincement, piqûre) et pour le froid. L'anesthési
fait naître chez le malade tous les phénomènes de l'aura hystérique: douleur précordiale, constriction du cou, avec sensation
lure au niveau des points spasmogènes à laquelle succèdent d'abord la douleur épigastrique, puis la sensation de constriction d
squelles l'insensibilité est complète, au toucher, au froid el à la douleur . L'ouïe, le goûl, l'odorat, sont obnubilés du côt
'elle soit spontanée ou provoquée, est toujours précédée d'une aura : douleur iliaque au niveau du point hystérogène, sensation
li, sujet à ressentir des crampes dans les membres inférieurs, et des douleurs abdominales. Trois mois après sa guérison, étant
ues jours, il souffrit de légers accidents nerveux tels que coliques, douleurs et secousses dans les membres, etc. Il y a un a
remière attaque convulsive. Déjà, depuis le matin, il souffrait d'une douleur à l'épigastre avec sensation de boule, d'étouffem
ique. Les parties qui ont été contusionnées ne sont le siège d'aucune douleur , soit spontanée, soit provoquée par les mouvement
Pendant les cinq heures qui suivirent, le malade prit du repos ; la douleur et la gêne des mouvements semblaient aller en dim
troubles profonds de la sensibilité. La sensibilité au contact, à la douleur , au froid est abolie complète ment, absolument
en effet, on s'est vu obligé d'interrompre le traitement, à cause des douleurs vives qu'il provoquait inévitablement, àia suite
t affectée dans tous ses modes (sensibilité tactile, sensibilité à la douleur , sens musculaire, etc.). Mais il paraît établi, n
s, imprimés à l'articulation scapulo-humérale ne font éprouver aucune douleur , aucune sensation ; j'ajouterai que toutes les no
rthralgies hystériqù^STitttîïude du membre, modalités spéciales de la douleur . — Observ. de Charv..., traumatisme initial sur l
'une affection du genou; la jambe restait fléchie sur la cuisse ; les douleurs étaient in-supporlables ; quelques chirurgiens s'
ra sans doute plus utile pour distinguer ces deux affections. 3° La douleur présente des modalités spéciales ; à la vérité, c
de l'abdomen et occupe même la fesse. C'est donc, pour une part, une douleur superficielle, résidant pour ainsi dire dans la p
e, peu- 1. Barwell, toc cit. vent bien être tenus éveillés par la douleur ; mais une fois endormis, ils ne sont pas réveill
t-il. Il ne perdit pas connaissance, mais ressentit immédiatement une douleur vive, accompagnée d'engourdissement du membre, ce
bassin dans une position à peu près immuable. — Le malade accuse une douleur spontanée au niveau de l'aine, de la hanche et du
ouleur spontanée au niveau de l'aine, de la hanche et du genou, cette douleur s'exagère quand on exerce une pression sur ces
hez notre sujet. Insistons actuellement de nouveau sur le phénomène douleur et considérons les choses de plus près que nous n
s les choses de plus près que nous ne l'avons fait tout à l'heure. La douleur déjà intense spontanément, du moins par moments,
re les doigts est soulevée et légèrement comprimée, il se produit une douleur vive, hors de toute proportion avec le degré d'in
st-à-dire au bout de vingt à vingt cinq minutes, la déformation, la douleur , la claudication redevinrent absolument ce qu'ell
l'âge de 10 ans, reprise des crises nerveuses. A 11 ans, survient une douleur de la hanche droite avec claudication. lise produ
erveuse et on laisse, en conséquence, l'enfant marcher. Un retour des douleurs étant survenu, on soumet l'enfant à l'emploi du c
accidents qui datent de 5 mois, à l'époque où l'on examine la malade. Douleur vive à la hanche et au genou, raccourcissement ap
elle rémission et la malade redevient capable de marcher sans trop de douleurs . Cependant, sur ces entrefaites, la chloroformisa
'état de veille, tous les grands symptômes de la coxalgie hystérique, douleur et claudication, symptômes sur lesquels je ne veu
ue nous sommes arrivés à ce résultat; aussitôt elle se plaignit d'une douleur dans la hanche, et veuillez le remarquer expressé
nche ; le récit animé de l'événement supposé et la peinture des vives douleurs qui devaient s'ensuivre ont produit le résultat d
contusion sur la hanche, la malade s'est plainte en même temps d'une douleur dans celle-ci et dans le genou; et quoique aupara
plégie hystérique de cause trauma-tique. Vous l'avez vu, en effet, la douleur peut être, de même que la paralysie, suggérée dan
'une suggestion orale, soit au moyen d'un léger traumatisme, et cette douleur , l'observateur peut, à son gré, la localiser sur
ction locale n'a pas déterminé de lésions organiques sérieuses, et la douleur qu'elle a produite ne s'est développée, exagérée
, au moment où il sortait du sommeil chloroformi-que, et alors que la douleur et la claudication s'étaient atténuées, qu'il éta
ou; sur ces différents points, le pincement de la peau provoque de la douleur et des phénomènes d'aura ; cette hypé-resthésie n
ion du talon, celle du grand trochanter sont-elles suivies d'une vive douleur , de même que les différents mouvements imprimés a
s imprimés au membre inférieur. Je vous rappellerai de plus que cette douleur articulaire est accompagnée de contracture des mu
per sur le talon ou sur le grand Irochanter sans réveiller la moindre douleur . Enfin, et ceci est d'un intérêt plus considérabl
ntrer la moindre résistance et sans que le malade témoigne la moindre douleur . Maintenant encore, vous le voyez, nous pouvons,
De une heure à une heure et demie environ; puis qu'adviendra-t-il? La douleur reparaîtra dans la jambe, acquerra rapidement le
que je dois vous signaler: depuis deux ou trois jours, le retour des douleurs et de la conlraclure n'est pas absolument intégra
vons qu'il peut, à la longue, amender et guérir des névralgies, des douleurs articulaires, etc., mais déterminer, même tempora
nt-bras gauche, mais il affirme qu'à ce moment, il n'a éprouvé aucune douleur , ni le jour môme de la chute, ni les jours qui l'
urs qui l'ont suivi. Non-seulement il n'éprouvait dans le bras aucune douleur en ce moment-là, mais, de plus, il déclare qu'il
été très accusés, puisque non-seulement la fracture s'est opérée sans douleur , mais que, de plus, le membre paraît avoir été fr
te opération qui dura environ dix minutes, avait provoqué d'abord des douleurs assez vives, au niveau de la face palmaire des do
les tentatives qu'on fait pour l'ouvrir plus sont l'occasion de vives douleurs . A cet égard donc, la guérison est loin d'être co
tures, hanche, genoux, coude-pied, etc., ne produisent pas la moindre douleur , pas même la moindre sensation ; quand les yeux s
les oreilles. Les attaques sont représentées de la façon suivante : douleur dans un des flancs, sensation de boule qui remont
'étouffements, de constriction de la gorge, de sensation de boule, de douleurs dans les jambes, que la malade qualifie de crampe
d'antécédents personnels. Cependant la malade se plaignait souvent de douleurs dans la région ovarienne droite. Le 9 avril à 1
à la pression. En un mot, en dehors des troubles laryngiens et de la douleur ovarienne, la malade ne paraît présenter rien d'a
— Chez un infirmier de son service qui consulte M. Sevestre pour des douleurs de ventre, on constate une hémianesthésie droite;
, gardant le lit depuis 4 ans et demi. Elle avait eu des nausées, des douleurs dans les jambes; un jour, en voulant quitter le l
cette névrose, vomissements incoercibles, toux ; enfin, mutisme avec douleur slernale et rachidienne. Ce mutisme a reparu à qu
on entrée, l'aphonie est complète; la malade chuchote à peine. Aucune douleur à la pression du larynx; aneslhésie assez prononc
(paralysie du crico-thyroïdien, aneslhésie de l'isthme et du larynx, douleur sternale dans l'effort vocal) nous invite à admet
re du nerf sciatique. Sommaire. — Contusion de la fesse gauche. — Douleurs permanentes, douleurs intermittentes. — Impuissan
. Sommaire. — Contusion de la fesse gauche. — Douleurs permanentes, douleurs intermittentes. — Impuissance motrice précoce. —
rthralgies hystériques: attitude du membre; modalités spéciales de la douleur . — Observ. de Charv..., traumatisme initial sur l
38 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
ne rapidité surprenante jusqu'à 12 ans. Il n'aurait jamais eu les douleurs articulaires de croissance ; du moins il ne se
ca- liers plusieurs fois par jour, et que alors, il se plaignait de douleurs dans les genoux. La vérité,' c'est qu'il se fat
ant un père aliéné et qui souffre depuis 3 ou 4 ans de faiblesse et douleurs rhumatiques dans les jambes. Il présente lui au
s de fréquentes boudées de chaleur. Les phénomènes ostéomalaciques ( douleur en ceinture, déformation du tronc, etc.), étaie
solument un trau- matisme quelconque. Le patient n'accusa jamais de douleurs au poignet bien qu'il fasse des travaux manuels
augmentation dans sa difformité ni avoir jamais souffert la moindre douleur au niveau de ses poignets. CONTRIBUTION A L'ÉTU
gnes de polynévrite : abolition des réflexes rotuliens et achilléens, douleurs à la malaxation des mollets. Hyperesthésie marq
e. Diminution des réflexes réfutions et disparition des achilléens, douleurs à la malaxation des mollets. Signes d'éthylisme
laignait de l'immobilité de la colonne vertébrale et de la tète, de douleurs et de difficulté des mouvements dans les articu
sans aucune cause apparente, il ressentit pour la première foi4 des douleurs irradiées et une difficulté des mouvements de la
région du cou. La propagation de l'ankylose, qui descendit avec les douleurs amena, en un mois, l'ankylose de toutes les régio
lonne ver- tébrale. Deux semaines après le début de la maladie, des douleurs et une pro- pagation très lente de l'ankylose s
on des épaules; un an et dix mois après le début de la maladie, des douleurs irradiées appa- rurent dans l'articulation du b
l n'y a ni exostoses, ni déformation 124 ELDAROFF des os ; pas de douleurs spécifiques, mais des douleurs intenses au moindr
ation 124 ELDAROFF des os ; pas de douleurs spécifiques, mais des douleurs intenses au moindre mouvement ; dans la région
au moindre mouvement ; dans la région lombaire surtout, il y a des douleurs qui irradient dans la cuisse droite, et, il la
radient dans la cuisse droite, et, il la la région de la nuque, des douleurs semblables, qui se portent dans les deux épaule
Staro-Ekaterininsky le 12 décembre 1902. Le malade se plaignait de douleurs au dos, à la poitrine, aux deux articula- tions
il souffrit de maux de tête pendant trois semaines et ressentit des douleurs au cou ; une immobilité de cette région se déve
ite, de 1/2 à 1 centimètre par comparaison avec l'extrémité gauche. Douleurs à la région lombaire, à la poi- trine et aux gr
mier, se plaignait de la déviation de la colonne verté- brale et de douleurs survenant à chaque mouvement dans la colonne vert
ules sans se soucier de le boutonner. Le lendemain il ressentit des douleurs aiguës le long de toute la colonne ver- tébrale
de toute la colonne ver- tébrale, surtout la région lombaire ; ces douleurs , plus ou moins accentuées, durèrent toute une a
ou moins accentuées, durèrent toute une année ; puis apparurent des douleurs irradiées qui, de la ré- gion lombaire, se prop
t de quelques muscles de la région de l'épaule. Absence complète de douleurs spontanées ; les douleurs ne sont ressenties qu'à
a région de l'épaule. Absence complète de douleurs spontanées ; les douleurs ne sont ressenties qu'à l'occasion des mou- vem
. Observation IV. Jean 1'cII..., 32 ans, commerçant, se plaint de douleurs aux articulations des genoux, aux régions lomba
t une tuméfaction des talons et des articu- lations des genoux avec douleurs irradiées. Après 4 mois de traitement les dou-
après, c'est-à-dire 8 ans et demi après le début de la maladie, des douleurs et une propagation lente de l'ankylose se manif
oux. Les autres arti- culations sont intactes. Pas de dépôt osseux. Douleurs aux régions lombaire et dorsale, aux articulati
uro- pathologique de l'Hôpital Staro-Ekaterininsky, se plaignant de douleurs au dos, aux épaules et aux cuisses. Il était ma
u entrée à l'hôpital, sans aucune cause apparente, il ressentit des douleurs aux diverses régions du corps, surtout à la régio
respiration est abdominal. Il existe un bruit de frottement et des douleurs à chaque mouvement dans les articulations des épa
tions reste normale. Les autres articulations sont intactes. Pas de douleurs sponta- nées, les douleurs n'apparaissent ([n'i
tres articulations sont intactes. Pas de douleurs sponta- nées, les douleurs n'apparaissent ([n'il l'occasion des mouvements a
et de ne pouvoir plus marcher sans canne; il disait res- sentir des douleurs dans les articulations. Il est malade depuis deux
ant. Il y a deux ans, sans aucune cause apparente, il ressentit des douleurs à la région lombaire et aux articulations fémor
n de cette dernière en avant sans dou- leurs spécifiques, enfin des douleurs et une limitation des mouvements dans les artic
s (jusqu'à 6Do : , les cuisses se fléchissent. Bruit de frottement et douleurs aux articulations des genoux. Toutes les autres
euro-patho- logique le 21 septembre 1906. Le malade se plaignait de douleurs à la région lombaire et au cou ; ces douleurs i
alade se plaignait de douleurs à la région lombaire et au cou ; ces douleurs irradiaient dans les épaules ; il a des dou- le
complications. A 21 ans, le malade ressentit pendant 6 semaines des douleurs irradiées dans l'articulation gauche du bassin. A
sans aucune cause apparente, il ressentit, à chaque mouvement, des douleurs aiguës à la région lombaire, 5 mois après au co
s aiguës à la région lombaire, 5 mois après au cou et plus tard des douleurs très aiguës le long de la colonne vertébrale :
ouleurs très aiguës le long de la colonne vertébrale : en mois, les douleurs se calmèrent et une immobilité 128 ELDAROFF a
ELDAROFF absolue du dos se manifesta ; il y a un an et demi que les douleurs sont réap- parues et les articulations du coude
e tremble- ments fibrillaires ni de réaction de dégénérescence. Les douleurs n'apparais- sent qu'à l'occasion des mouvements
juillet 1906. Le malade se plaignait d'une immo- bilité du dos, de douleurs et d'une limitation des mouvements de l'articulat
ble sensation douloureuse dans l'articulation droite du bassin. Les douleurs articulaires n'apparaissent qu'à l'occasion des m
ents dans les articulations des épaules et du bassin et d'avoir des douleurs dans ces articulations. Il était malade depuis
y a 8 ans à peu près, sans aucune cause apparente, il ressentit des douleurs à la région lombaire et aux articulations des han
s douleurs à la région lombaire et aux articulations des hanches. Les douleurs étaient faibles et rares au début, puis elles s
articulations des hanches. Depuis un an seulement sont apparues des douleurs et une difficulté des mouvements dans les artic
es ; depuis 5 mois, à la suite d'une chute sur le dos, existent des douleurs et s'est développée une immobilité complète du do
juin 1904 dans le ser- vice neuro-pathologique. Il se plaignait de douleurs à la région lombaire qui irra- diaient dans les
sensibilité musculaire, est alfalblie dans les membres inférieurs. Douleurs de l'abdomen et vomissements. La malade est morte
mes d'une grande faiblesse générale et après avoir eu des crises de douleurs dans l'abdomen et des vomissements. Les résulta
laignait d'immobilité et de déviation de la colonne verté- brale,de douleurs et de difficulté des mouvements dans les articula
de difficulté des mouvements dans les articulations du bassin et de douleurs à chaque mouvement dans la colonne vertébrale. Il
agèrent a l'articulation droite du bassin. Quelque temps après, des douleurs et une difficulté des mouvements apparurent dans
is à l'infirmerie et, pendant ce temps, sans qu'il ait ressenti des douleurs névralgiques aiguës, se développa, à l'insu du
a colonne vertébrale. Pendant une semaine environ, il ressentit des douleurs dans l'articulation de l'épaule gauche ; aucune
sentit des douleurs dans l'articulation de l'épaule gauche ; aucune douleur ni dans l'articulation de l'épaule droite ni dans
déformation des os. Le système musculaire est normal. 11 existe des douleurs il chaque mouvement, au dos et aux articulations
il chaque mouvement, au dos et aux articulations des han- ches, ces douleurs sont plus fortes du côté gauche. Le système nerve
articulations des hanches et celles des genoux ; deux ans après les douleurs apparurent au sacrum et six mois plus tard se m
ur la région du thorax ; les trois derniers mois, il ressentait des douleurs et une limitation des mou- vements dans l'épaul
u cou et de la tête, d'une grande limitation des mouve- ments et de douleurs dans toutes les articulations des extrémités et d
ssement, le malade eut pen- dant un mois et demi des tumeurs et des douleurs dans les articulations des genoux et dans les a
ancre induré, la plaie n'était pas encore guérie quand apparurent des douleurs dans l'articulation de la hanche droite ; six s
iculation de la hanche droite ; six semaines après, surviennent des douleurs dans l'articulation du genou droit et plusieurs m
oux, du bassin et du cou-de-pied gauche. Puis, un an plus tard, les douleurs de la région lombaire s'accentuent et nue lente p
. Quand le processus eut atteint les articulations des épaules, des douleurs et l'immobilité y apparurent. Le malade est alcoo
; un bruit de frottement s'y entend ; limitation des mouvements et douleurs à leur occasion dans les articulations temporo-ma
. Atrophie ou tension de quelques muscles de la région de l'épaule. Douleurs aux mouvements dans les articulations affectées
privée du Dr Kotirdumoff le 19 mars 1902. Le malade se plaignait de douleurs dans les articulations des genoux et des coxo-f
coxo-fémorales qu'il ressentait à l'occasion des mouvements, et de douleurs dans le dos, dans les côtes et dans les muscles d
nt survint une inflammation aiguë des articulations des genoux avec douleurs , tuméfaction et fièvre ; l'affection dura 6 semai
urs paroxysmes avec les mêmes caractères. y a un an, apparurent des douleurs et une immo- bilité dans le rachis. La syphilis
mbaire du rachis ; le cou reste libre. Limitation des mouvements et douleurs aiguës pendant les mouvements dans les articula-
oux ; tuméfaction de ces dernières (plus marquée au genou gauche) ; douleurs dans l'articulation de l'épaule gauche et douleur
genou gauche) ; douleurs dans l'articulation de l'épaule gauche et douleurs en ceinture. Absence de troubles objectifs de l
marchand am- bulant, etc... . 5° L'état général est bon. 6° Les douleurs el l'iiitiiiobilité de la colonne vertébrale, des
ent ou bien une ou quelques années après le moment funeste, par des douleurs aiguës dans toute la colonne vertébrale ou seulem
e plus souvent dans la région sacro-lombaire avec irradia- lion des douleurs dans les articulations coxo-fémorales ; les doule
adia- lion des douleurs dans les articulations coxo-fémorales ; les douleurs com- mencent rarement dans la région du cou (ob
e rougeur de la peau ; il nj ni pas d'élévation de température. Les douleurs spécifiques, lancinantes et aiguës s'accentuent
ectée. Après quelque temps, quelques semaines ou quelques mois, les douleurs s'apaisent et les parties du corps, que le mala
et les parties du corps, que le malade tenait immobiles à cause des douleurs (c'est le plus souvent la région sacro-lombaire a
rmes subaiguës, le début de la maladie est le même, seule- ment les douleurs sont moins aiguës. b) Dans les formes clii,oiii
e plusieurs années ; le malade ne ressent qu'une gêne et de faibles douleurs , le plus souvent dans les mêmes parties de la col
aiguë. Dans les mêmes parties se développent, en même temps que les douleurs , une limitation des mouve- ments et, plus lard,
où le processus de l'ankylose commence et se développe sans aucune douleur (Gasne, Spillmann et Etienne). 8° Le moment o
de l'immobilité objective après l'apaisement ou la disparition des douleurs ne correspond pas au début de l'apparition de l
oïn- cide probablement avec le moment de l'apparition des premières douleurs . L'ankylose est le processus primitif et les do
des premières douleurs. L'ankylose est le processus primitif et les douleurs ne sont qu'un symp- tôme de ce processus. 9°
ébrale peut se produire de bas en haut ou vice versa. Au cas où les douleurs et l'immobilité se propagent de bas en haut (onze
cage thoracique. Longtemps après, quelquefois plusieurs années, les douleurs aiguës et l'immobilité apparaissent dans la régio
et les articulations des hanches. 10° Après la première période de douleurs aiguës, les douleurs s'apai- sent et dans le co
des hanches. 10° Après la première période de douleurs aiguës, les douleurs s'apai- sent et dans le cours ultérieur de la m
es hanches et des épaules, de l'intensité et de la localisation des douleurs . Les parties ankylosées sont soudées en un bloc
ristiques que l'ankylose sont, pour la spondylose rhizomélique, les douleurs . Au début de la maladie, les douleurs aiguës an
spondylose rhizomélique, les douleurs. Au début de la maladie, les douleurs aiguës annoncent l'immobilité et du moment où c
immobilité s'est installée dans les parties où se ressentaient les douleurs , ces dernières disparaissent. Les douleurs ont
s où se ressentaient les douleurs, ces dernières disparaissent. Les douleurs ont leur maximum d'acuité dans les régions de la
nt pas encore ossifiées. Au cours de la maladie, il n'existe pas de douleurs spontanées ; les dou- leurs ne se manifestent q
llé, comme d'ordinaire, s'asseoir à un café, il sentit une très forte douleur dans son articulation coxo-fémorale droite et n
coxo-fémorale droite et ne trouvant pas de repos, à cause de cette douleur , retourna chez lui à pied, mais avec beaucoup de
aison, et qu'il a voulu monter la première marche de l'escalier, la douleur est devenue très forte et il a même éprouvé un
ment dans son articulation. Les jours suivants pourtant, malgré les douleurs qu'il ressen- tait dans son articulation malade
ffaires de douanier, et cela pendant un mois. Après ce temps, les douleurs dans la hanche sont devenues tellement fortes,
38°, pouls 115, et un étal général plutôt mauvais. Il souffrait de douleurs continues jour et nuit, ne lui laissant aucun r
au moindre mouvement passif, le malade pousse des cris à cause des douleurs provoquées. Toute la région autour de l'articu-
flexes existent du côté sain. Il n'y a aucun signe de tabes (pas de douleurs fulgurantes, pas d'a- taxie, pas de signe d'Arg
oureuse à la pression, et même spontanément ; le malade ressent des douleurs à cet endroit. Une autre tumeur de même nature, g
olide et douloureuse il la pression. Le malade ressent en outre des douleurs spontanées à cette ré- gion. Une troisième tume
r- niers jours de son existence, le malade s'est plaint d'une forte douleur dans la région cervicale de la colonne vertébra
il faisait quelques mouvements avec son membre inférieur droit, les douleurs ont été diminuées, la stomatite fut guérie, il ma
ne chez la malade des mouvements de défense et provoque des cris de douleur . La peau est sèche, rugueuse et presque totalem
uspensions dont l'injection ne soit ni caustique ni douloureuse, la douleur et la causticité productrice de kys- INJECTIONS
Et sur un traict plein de poisons mortelles. Si se picqua et receut douleur telle Qu'elle gecta ung hault cry et aigu. Vé
ractifz, consolida- tifz, nutritifz, résolutifz, molificatifz et de douleurs sedatifz », dont nous avons relevé plus haut le
années. Les pustules, lorsqu'il en paraît, sont plus sèches, et les douleurs , lorsqu'il en survient, plus cruelles. » Nous n
s rhumatisants, l'influence des conditions atmosphériques sur leurs douleurs : "Et ainsi comme vous, vérolés, de loin à vos ja
de la vérole les « gouttes nouées ». « Aussi, ne fault laisser les douleurs , les enflures des mains et des piedz dont il fa
hilitique si rare, aurait-il été plus fréquent au xvI° siècle ? Les douleurs ostéocopes suffisent-elles pour jusiifier cette
veines et artères Et leur causait si estranges mistères, Dangier, douleur de passion et goutte, Qu'on n'y sçavoit remède,
servation I. Femme admise à la Salpêtrière, à l'âge de 29 ans, pour douleurs rhnmatoï- des sans déformations articulaires. 2
issements, délire. Depuis, il souffrait de céphalée fré- quente, de douleurs dans la nuque, avec crises violentes accompagnées
fer à repasser, et tout cela sans s'en apercevoir, sans éprouver de douleur à la chaleur, ou bien il s'en rend compte très
cubital de la main droite, brûlures qu'il s'était fait presque sans douleur quelques jours avant de venir nous consulter. D
iguille en- foncée dans la peau sans qu'il en ait été averti par la douleur ; il s'en aperçoit seulement en la voyant. Le
tion anormale; pas d'engourdissements, pas de paresthésies, pas de douleurs . Sensibilité objective. - La sensinilité tactil
on de la piqûre ; de plus, il n'y a pas de notion d'intensité de la douleur . Si, par exemple, on le pirlue très légèrement, i
: vous me piquez légèrement et vous appuyez ». Il ne sent jamais de douleur vive. Il y a donc là un trouble dans la notion
vive. Il y a donc là un trouble dans la notion de l'intensité de la douleur . Le malade, du reste, nous raconte qu'il se tro
et faible, avec des doigts fuselés, ne présentant pas de crises de douleurs » (Marinesco) (3). Je néglige à dessein d'énumé
elle année sommes-nous ? Zen 1900. Il paraît faire une grimace de douleur . D.- Où souffrez-vous ? R. Dans le côté ; un
. se plaint toujours de souffrir quelque part, fluxion de poitrine, douleurs de jambes, rhumatismes, etc. On fait venir G. a
e même de l'affection. 2° Spondylite tuberculeuse. En ce cas, les douleurs ne sont pas aussi intenses; elles sont spontané
ont spontanées, limitées dans une ou deux vertèbres ma- lades ; ces douleurs s'accentuent par la pression sur les vertèbres ma
apaisent par l'immobilité ou l'application d'un corset. Ce sont ces douleurs qui provoquent l'immobilisation de la colonne ver
nne ver- tébrale. Plus tard, les méninges sont aussi affectées, les douleurs irra- dient en ceinture ; les vertèbres malades
ite cervicale hypertrophique. Au début, stade « névralgique » : les douleurs , les hyperesthésies, la rigidité réflexe des mu
ctes, par- fois très massives, qui provoquent des déformations, des douleurs aiguës intermittentes névralgiques par compress
ne vertébrale par ses dépôts d'urates peut pro- voquer des accès de douleurs névralgiques intermittentes; l'évolution de la
agnostiquer, car tous les symptômes d'une arthrite aiguë existent : douleurs , rougeur, tuméfaction, fièvre, etc.. et tous sy
tébrale, une série de troubles nerveux (paresthésie, hyperesthésie, douleurs , hypoesthésie, parésie, légères atrophies des mus
- tisme et de la blennorrhagie : une sensibilité douloureuse et des douleurs névralgiques aiguës apparaissent dans le rachis
iculaire) ; après une période plus ou moins longue où il existe des douleurs ,1110dé- rées et une limitation des mouvements p
urs,1110dé- rées et une limitation des mouvements provoquée par ces douleurs , l'af- fection guérit. b) Dans la /onHeMKo-M6
HeMKo-M6r< ! t</Me, la spondylose provoque, dès le début, des douleurs aiguës et une ankylose passagère du rachis ; l'af
saillies osseuses anormales et une série de troubles radiculaires ( douleurs aiguës, anes- thésies, parésies et atrophies mu
lité du rachis d'origine myopathique. Les malades se plaignaient de douleurs à la nuque, au dos et dans les articulations de
e, au dos et dans les articulations des épaules et des hanches; ces douleurs s'accentuaient à l'occasion des mouvements. Dans
énomènes signalés plus haut résultaient de l'étatdes muscles et des douleurs provoquées par les mouvements. Une autre forme
re de la maladie, l'anky- lose symétrique progressive, presque sans douleurs , des articulations des extrémités, la tendance
de l'hôpital, du repos et de tous les traite- ments physiques, les douleurs s'apaisaient, l'état général s'améliorait et pa
que des affections insignifiantes, lorsque sans pro- dromes et sans douleur elle s'est réveillée un matin avec = la la figure
tion de la situation lorsqu'il y a six mois elle ressentit de vives douleurs dans la tête le soir en revenant de son travail
aucun signe de tabes. Les réflexes sont conservés, il n'y a pas de douleurs fulgurantes, pas de signe d'Argyll Roberston.
de l'atlas et de l'exis est quelque peu douloureuse sans que celle douleur soit suffisamment nette pour constituer un sign
te pour constituer un signe important. Enfin la malade se plaint de douleurs de tête qui prédominent il la région occipitale
présent, soit une tumeur céré- brale, soit l'action déprimante des douleurs qui accompagnent toujours cette maladie. Il e
s avant-bras sur les bras. La contracture est imparfaite, car, sans douleur , on peut défléchir com- plètement les avant-bra
re 10 ans après le chancre, quand le temps est froid et humide, des douleurs fulgurantes lui passent par les membres inférie
ive. Toutes les sensibilités superficielles - toucher, thermique et douleur et profondes des attitudes et vibratoire sont b
senta à l'observation l'abolition de la réflectivité pupillaire, des douleurs d'arrachement, des sensations de brûlure à la p
ce Il peau reformée. Cette mortification, qui s'accompagna de vives douleurs , se repro- duisit trois fois jusqu'à la fin de
lua parallèlement à celle du nez; son élimination provoqua de vives douleurs et laissa une perte de substance intéressant to
que le lobule du nez recommençait à bleuir, l'enfant se plaignit de douleurs dans le bras gauche. Le lendemain, ces douleurs
fant se plaignit de douleurs dans le bras gauche. Le lendemain, ces douleurs reparurent dans l'après-midi, beaucoup plus viv
e escarre sur le lobule du nez ; elle tomba au début de juin et les douleurs furent à peu près nulles. Enfin, pendant l'hi
; la sensibilité thermique est très émoussée et la sensibilité à la douleur abolie. La température de la peau dépend de celle
e 3 heu- res, assure-t-il), il était à l'hôpital et souffrait d'une douleur très vive. Rapi- denent le volume des bourses a
écessité pendant trois semaines le séjour au lit, et accompagnés de douleur et de gon- flement dans plusieurs articulations
la neige, il tomba à cheval sur une pièce de bois, ressentit une vive douleur et s'aperçut que les jours suivants sou scrotnm
fert de partout, dans les lombes, dans les membres inférieurs ; les douleurs abdominales s'accompagnaient de vomissements ; ce
sage et ne prend pas la peine de les chasser. Il se plaint de vives douleurs dans les lombes et dans les jambes ; bien qu'on s
lus pénible, le malade se voûte encore da- vantage, il se plaint de douleurs diffuses dans le rachis, l'ankylose des vertè-
bres et des articulations rhizoméliques augmente, entraînant de vives douleurs dans toute la hauteur du tronc, dans les épaule
tion osseuse accusent une diminution de la force musculaire et des douleurs que l'aspect généralement satisfaisant du membr
dence. Quoi qu'il en soit, la coexistence de lésions osseuses et de douleurs accusées par le blessé mérite de retenir l'attent
emière. An moment de l'examen, les symptômes accusés par le blessé, douleurs , perte des forces, nous paraissaient très exagé
mpris les membres supérieurs, sauf la tête. Puis sont survenues des douleurs assez fortes dans les membres, mais non comparabl
sez fortes dans les membres, mais non comparables au début avec les douleurs fulgurantes. Rapidement la marche est devenue dif
tabès, il a com- mencé à souffrir et souffre aujourd'hui encore de douleurs fulgurantes et téré- brantes, qui sont calmées
lit, et ne peut pas aller plus loin, parce que, dit-il, il sent des douleurs très gran- des du côté du bassin. Tous les réfl
s où le toucher est aboli, les sensations au chaud au froid et à la douleur par la piqûre d'épin- gle sont très diminuées ;
à l'hôpital Filanthropia. Il vient dans le service, se plaignant de douleurs fulgurantes et de l'impossibilité de marcher.
toire de sa maladie. Sa maladie a commencé il y a huit ans, par des douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs, qui ont
s membres inférieurs, qui ont été longtemps con- sidérées comme des douleurs rhumatismales ; puis sont survenues des douleurs
sidérées comme des douleurs rhumatismales ; puis sont survenues des douleurs en ceinture, de temps en temps de la diplopie,
; les reins, le foie, la rate sont normaux. Le malade se plaint des douleurs fulgurantes, d'incontinence d'nrine surtout* la
ds, depuis les genoux jusqu'aux orteils. Depuis six ans, il a des douleurs térébrantes surtout la nuit : il a la sensation
couteaux et qu'on les tord sur place. Le malade n'a jamais eu de douleurs lancinantes. La miclion se fait avec difficulté
te. Pas d'ataxie au tronc. blembresin('érin.urs. Le toucher et la douleur à la piqûre d'épingle sont légèrement diminués
39 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
ans et demi ; elles ont été précédées pendant deux ou trois jours de douleurs violentes dans le bas-ventre. Un mois auparavant,
eu, Blanche, viens vite ! » A la fin de la série, W... se plaint de douleurs à la tête et par tout le corps, de battements de
audite : « Ah ! on l'a frappée, cette femme ! » Elle pousse un cri de douleur : « Il faut laisser partir ce garçon... Il est co
naires de Y aura. Voici en quoi ils consistent : 1° exagération de la douleur permanente des régions ovariennes, principalement
l'autre. Menstruation. — Les règles sont très rarement précédées de douleur . Elle surviennent d'habitude la nuit ou pendant l
nti les phénomènes lointains (aura médiate) (p. 23), elle éprouve une douleur au niveau de l'ovaire gauche, puis la sensation «
uche, bourdonnements d'oreille, etc. W... assure qu'elle n'a aucune douleur au niveau de la région hystérogène latéro-mammair
ont douloureux. Une forte pression calme la souffrance. Il existe une douleur spontanée presque continue, comparée par la malad
au toucher, mais sensible à la piqûre d'épingle, au pincement. Pas de douleur spontanée en dehors des attaques. La pression dév
égion ovarienne gauche, où l'anesthésie est complète. Il n'y a pas de douleurs dans l'intervalle des attaques. Avant les crises
ervient la région hystérogène sus-mammaire : elle est la source d'une douleur vive, lancinante, qui n'irradie pas vers l'ovaire
t), et du flanc correspondant : dans tous ces points, il n'y a qu'une douleur lancinante, sans aucun des phénomènes de l'aura.
es secousses dans les quatre membres (A. médiate). —Puis survient une douleur au niveau de la région hystérogène sus-inguinale
ade croit qu'elle aurait une attaque. — Il existe, à cet endroit, une douleur spontanée, très aiguë, contusive. Le passage brus
rtout et promptement une attaque hystéro-épileptique. Il n'y a pas de douleur spontanée. 3° Zone intercostale gauche, dans le
ètres de l'épine dorsale, de 1 centimètre de diamètre. Anesthésie. Ni douleur spontanée, ni attaque provoquée. (Fig. 2.) 4° P
r, quelquefois deux jours, la région ovarienne gauche est le siège de douleurs lancinantes « comme si on traversait le ventre av
enir. » En effet, les troubles céphaliques se succèdent promptement : douleurs dans les orbites, flammes devant les yeux, battem
s, abondantes, durent deux jours et s'accompagnent d'abattement et de douleurs dans le ventre et la tête. — Onanisme présumé.
ochées. Elles sont abondantes pendant deux jours et annoncées par des douleurs dans le bas-ventre et dans les reins. — Pertes
es. Aura. — 5 à 10 minutes seulement avant les attaques. P... a une douleur au niveau de la région ovarienne droite, qu'elle
paru. P.... assure qu'elle a eu hier, pendant toute l'après-midi, des douleurs de tête, des nausées, puis des vomissements bilie
a peau est absolument insensible. Profondément, la malade éprouve des douleurs lancinantes deux ou trois heures avant les attaqu
édiane du sternum. P... assure qu'elle ne ressent pas d'habitude de douleurs au niveau de la zone rachidienne ni de la zone la
ystérogène dorsale, laquelle est le siège de « tortillements ». Cette douleur du dos ne dure pas plus de dix minutes. « Quand ç
ertor, ni mouvements de déglutition. P... se plaignait de fatigue, de douleurs de tête, de nausées, mais ne paraissait avoir auc
ôté sensible) et existe à droite (côté anesthésié). — Il n'y a pas de douleur spontanée et, dans les attaques ordinaires, d'ori
es de l'aura s'élèvent du creux de l'estomac au cou, apparaissent des douleurs lancinantes, allant d'un flanc à l'autre, s'entre
gauche. Une forte pression n'amène pas d'attaques ; il n'y a pas de douleurs spontanées, au niveau de ces régions, sauf pour l
est chargée, l'appétit nul, il y a des vomissements bilieux; de plus, douleur à l'épigastre et autour de l'ombilic; élancements
s ressemblent à des lignes tracées sur de la cire. — Pendant la nuit, douleurs dans les mains, les poignets, les jambes, les mol
nt par places. — Les troubles digestifs sont toujours aussi intenses. Douleurs généralisées, erratiques ; insomnie, plaintes, pl
ntérieur des pariétaux, sur la ligne médiane, il survient parfois une douleur lancinante qui dure une journée ; le passage du p
i dure une journée ; le passage du peigne est alors douloureux. Cette douleur se manifeste surtout avant les attaques. 2° Hyp
ion fait mal « comme quelque chose qu'on enfoncerait en tordant ». La douleur répond à l'épigastre , amène de ia dyspnée. Si la
s pointes de feu de chaque côté de la colonne vertébrale.) — Parfois, douleur spontanée, lancinante, déterminant de l'agacement
lade n'a pas eu d'attaques depuis le mois de novembre 1878). Parfois, douleur lancinante; si, à ce moment, elle marche, elle es
sées, des vomissements alimentaires, Elle se plaint fré quemment de douleurs dans les oreilles et dans la tête. Ces accidents
bavarde, rit bruyamment, est sans cesse en mouvement, se plaint d'une douleur à la région cardiaque. — Le 15 juillet, elle a eu
onsécutive .aux attaques. — Lactorihée. Etat de la malade en 1866 : Douleurs abdominales. — Paraplégie. — Contracture. — Défor
sans motif. — Les règles, parues à f 11 ans, ont été précédées de douleurs dans les reins et le bas-ventre ; elles ont été r
r la jambe gauche. Pendant son séjour, les genoux ont été le siège de douleurs violentes — le genou gauche aurait même augmenté
yste de l'ovaire, c'est ce que nous ne saurions dire, l'obésité et la douleur s'opposant à un examen complet. La malade assur
normale. H... a eu l'hiver dernier une bronchite légère. H... a des douleurs dans les bras, surtout à droite et au niveau des
rois premières vertèbres dorsales : la pression exagère d'abord cette douleur , qui diminue ensuite pendant plusieurs minutes.
es plus insignifiantes et se plaint du ventre, de la tête, surtout de douleurs au niveau de la tempe gauche où elle a des « coup
à elle, elle disait que son lit tournait. Ce matin, elle se plaint de douleurs , de fatigue, etc. La langue est saburrale, l'hale
ouillement. La pression sur les régions ovariennes détermine une vive douleur : « Ça m'étouffe, ca me fait une boule qui remont
fiée. Elle mange passablement, vomit (bile, aliments), a toujours des douleurs à l'épigastre (gastralgie), du gonflement de l'es
ccusée à droite. H... dit qu'elle a des crampes dans les mollets, des douleurs qui vont des plis de l'aine aux pieds ; ces doule
les mollets, des douleurs qui vont des plis de l'aine aux pieds ; ces douleurs seraient plus vives à droite. Yoici la mensuratio
e. Sommeil. — La malade assure qu'elle dort mal parce qu'elle a des douleurs lancinantes par tout le corps ; elle a des rêves
ui sont le siège de craquements, et qui ont été autrefois le siège de douleurs vives (arthralgie hystérique) : c'est là un phé
ndant quelque temps, tous les symptômes de la fausse péritonite : les douleurs dont les ovaires étaient le siège ( ovaralgie), l
ir du lieu où elles se trouvent; elles se plaignent de courbature, de douleurs de tête, ont la vue troublée, refusent de parler.
, mais nous lui conseillons de ne le point faire : c'est vraiment une douleur de voir où peut s'égarer l'esprit humain. Voici
iéter ou se décourager si l'action du magnétisme produit chez lui des douleurs momentanées. Après vous être recueilli, prenez
t une largeur d'environ deux centimètres. Il existe, à ce niveau, une douleur spontanée qui est pongitive. Si l'on appuie forte
pontanée qui est pongitive. Si l'on appuie fortement, il survient une douleur vive « dans le genre de celle de l'ovaire » et la
ompagnées d'élancements s'irradiant vers l'ovaire droit. Dès que la douleur du dos se produit, B... a des battements dans la
ui a parlé, elle n'en a pas souvenance. Elle se plaint de fatigue, de douleurs dans les jambes, d'envie de dormir, de douleurs d
plaint de fatigue, de douleurs dans les jambes, d'envie de dormir, de douleurs dans la tête, de nausées. Nous voulons la faire m
st passable ; appétit bon, préférence pour les mets épicés ; quelques douleurs stomacales ; tympanite de plus en plus rare , sel
lorées. Les règles sont précédées, pendant une dizaine d'heures, de douleurs dans le bas-ventre ; elles durent trois ou quatre
d'un refroidissement. Depuis lors, les règles se sont accompagnées de douleurs , principalement dans le côté gauche du ventre.
l'attaque, elle est immobile, se plaint d'une sensation de boule, de douleurs au cœur, demeure immobile et le corps se raidit p
ô leur parlait de iouer, ou de follaltrer, elles ne fentoient plus de douleur le trouuant fort alegees... »(Loc. cit., p. 161).
tit capricieux, préfère les aliments épicés, vinaigrés, etc. Parfois, douleurs à l'épigastre ; digestion laborieuse; constipatio
t a une largeur égale à celle d'une pièce d'un franc. Il n'y a pas de douleur spontanée. Parla pression, on détermine une doule
. Il n'y a pas de douleur spontanée. Parla pression, on détermine une douleur vive qui s'irradie vers les tempes « comme s'il y
me s'il y avait des nerfs qui se tendent ». Nous notons, de plus, une douleur au niveau du vertex, occupant une région d'un cen
is centimètres de diamètre (contact, piqûre). La pression produit une douleur comparée par la malade à un coup qu'on se donne ;
e) est aussi vive que dans le côté droit, redevenu sensible. — Pas de douleur spontanée , en dehors ni à l'approche des attaque
rs-dans la tête. Les zones hystérogènes ne seraient le siège d'aucune douleur . La sécrétion vaginale n'a pas paru exagérée (l'h
s muscles contractures. L'anesthésie est générale et complète pour la douleur . Les sens du côté droit — sensible à l'état de ve
des cigarettes l. Bientôt, elle a eu des vomissements abondants, des douleurs violentes à l'estomac et au ventre. Sous l'influe
contraire, se plaignaient, pendant un temps très court d'ailleurs, de douleurs de tête, étaient agacées, énervées, etc. Toutes,
e qu'ayant lbn membre faidt en efcailles il fait fouffrir vne extrême douleur ; outre que fa femêce eft extrêmement froide, fi b
40 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
ger, etc. Elle traine à peine la jambe gauche en marchant. Nulle douleur dans le côté paralysé. Cette malade, avons-nous
auraient ensuite tout-à-fait dis- paru. Mère, 42 ans, sujette à des douleurs céphaliques de- puis son enfance; pas d'autres
sses, est excitée, ne peut demeurer en place, sau- te, se plaint de douleurs dans le côté gauche du ventre, de battements de
e fréquence exagérée' du pouls, des palpitations rappro- chées, des douleurs à la région précordiale, principalement vers la
palpitations cardiaques, plus ou moins violentes, se compliquant de douleurs lanci nantes. Elle raconte que, une huitaine de
'accompagne jamais d'évacuations, la malade est abattue, accuse des douleurs céphaliques et de la dyspnée qui persistent pen
moins de battements de coeur, mais qu'elle a de temps en temps une douleur « comme si on lui coupait le coeur. » Les irrég
soir. 21 septembre. H... a encore des battements de coeur, mais les douleurs lancinantes ont disparu. Les irrégu- larités pe
du pied au genou. Ce matin, B... est mieux ; il ne lui reste qu'une douleur contusive, occupant le sommet de la tète. Elle
phénomènes suivants : inappétence, amertume de la bouche, nausées, douleurs gastriques, deux fois des vomissements ; selles
bligé de la placer. Ses règles qui avaient paru à 15 ans, après des douleurs légères, et avaient été régulières, commencèren
normales. Les règles sont annoncées 4 ou 5 jours à l'avance par des douleurs dans le dos et dans le ventre ; elles sont enco
les deux ou trois derniers jours de cette période, elle ressent des douleurs qui siègent au sommet de la tète où elles occup
d'environ quatre à cinq centimètres de diamètre : elle compare ces douleurs à celles qu'exercerait une calotte de caoutchou
iption qui confirme pleinement le tableau tracé par M. Charcot : a) douleurs au niveau de la région ovarienne gauche elle le
) sensation de constriction à la-partie anté- rieure du cou; d) les douleurs temporales deviennent plus intenses et se compl
outes les semaines. Pensant que ].1 YSTÉRO- ÉPILEPSIE, 119 `J les douleurs de tète qu'elle éprouvait à cette époque étaient
... serre peu et marche en traînant la jambe. La sensibilité à la douleur et à la température est entièrement abolie sur la
à droite qu'à gauche. La région de l'o- vaire droit est le siège de douleurs spontanées que la pres- sion exagère. La voix e
agère. La voix est en partie éteinte. 12 février. Ler... accuse des douleurs dans le côté droit du ventre et des fourmilleme
.. déclare que tout n'est pas fini parce qu'elle éprouve encore des douleurs dans le ventre. Bientôt, en effet, les membres
ui imprimer le moindre mouvement. La sensibilité de la langue, à la douleur , est abolie à droite, très-émoussée à gauche. L
la moitié gauche, au contraire, la motilité' et la sensibilité à la douleur sont conservées. La malade accuse uniquement de
les bras, les jambes, où elle a des « fourmiches, » se plaint de douleurs dans la tôle. Toutes les paroles qu'elle prononce
nne droite est indolente ; la gauche, au contraire, est le siège de douleurs spontanées que la pression exagère. L'analgésie
tude. Durant une rémission, la malade se plaint d'étoufl'ements, de douleurs dans la tète et dans les membres ; elle dit ne
uche, qui se détache difficilement du lit, est en outre le siège de douleurs et de fourmillements; i la main ne peut saisir
st aboli des deux côtés. L... pleure faci- lement ; elle accuse des douleurs dans la tète. 6 mars. - Les secousses sont moin
parole est plus facile que d'habitude. L... pleure et se plaint de douleurs vives dans les bras, les jambes et la tète. A 9
, ça faisait des trous. » Sa figure était bouffie et elle avait des douleurs au niveau des reins (néphrite albu- mineuse ? )
mbe comme une masse inerte ; le pincement ne produit aucun signe de douleur , aucun mouvement réflexe ; de temps à autre, il
eu une nouvelle attaque. Son état est, aujourd'hui, le suivant : La douleur abdominale s'est exas- pérée, au point de deven
alysée ; la malade est continuellement obligée de se son- der ; les douleurs , toujours vives, qu'elle éprouve dans le bas- v
- puis plusieurs jours, elle se plaignait de fourmillements et de douleurs dans le membre supérieur droit. Pendant cette sér
mes en 24 heures). 19 avril. Après avoir été le siège de quelques douleurs , le 1301 R\E VItLfi. 11 162 Ii1 STi : RO-EPIL
roit qui est dé- cidément contracturé d'une manière permanente. Ces douleurs « rongeantes occupent les articulations du poig
et de l'épaule, et ne s'accompagnent pas du moindre gontle- ment. - Douleur à la nuque, entre les deux oreilles. - Elle a e
retire une certaine quantité d'urine. 8 décembre. Augmentation des douleurs de la région ova- rienne gauche. Le ventre est
14 décembre. Le membre supérieur gauche est redevenu le siége de douleurs qui vont de l'épaule au coude. - La malade remu
embre inférieur gauche est repris de rigidité. - Exaspération de la douleur ovarienne gauche. - La malade est, obligée de s
de finit par toucher le but. - , Depuis hier, elle urine moins. Les douleurs lombaires, ap- parues au commencement de mars,
x questions, bien que son exaltation soit grande. Elle ac- cuse des douleurs dans le ventre, prétend ne pas voir du tout ('1).
esque nul : les vomissements n'ont pas cessé. La malade éprouve des douleurs abdominales qui la font crier. Le toucher vagin
eu des nausées et a vomi des glaires.Elle se plaint : 1° d'une vive douleur au niveau de la partie supérieure des deux mass
t, à voix basse, ressentir, dans tout le côté droit du corps, des douleurs qui passent rapidement et qu'elle compare à une
une gouttelette d'eau qui remonterait au milieu du membre, puis une douleur à la région précordiale et des bat- tements de
dysphagie; alimentation par la sonde oesopllagicnne. 1874. Janvier. Douleurs dans les reins qui empêchent la malade de se le
se manifeste préférablement après chaque repas. Etch... éprouve des douleurs en cein- ture ( ? ), elle est obligée de s'asse
touffement reviennent tous les jours et ont une grande intensité. - Douleurs constrictives à la région épigastrique pour les
mps, reparaissent des dou- leurs constrictives à l'épigastre et des douleurs à la région lombaire. 31 décembre. La malade
es accidents n'ont cessé qu'au bout de six heures. Depuis lors, les douleurs lombaires, sternales, en ceinture, sont pres- q
... s'est découverte; mais, dès que le froid se faisait sentir, les douleurs avaient plus d'acuité. . 26 janvier. Les accès
'oppression persistent. Depuis le 20, ils débutent par une violente douleur dans le rectum; c'est, dit la malade, comme si
dedans de chacune des épines iliaques - supérieures. Du bassin, les douleurs s'irradient vers l'épigastre et remontent enfin
doute, d'attaques hystéro-épileptiques avortées. 28 janvier. Les douleurs rectales et celles qui occupent l'excavation du
lors- que l'estomac est plein. 15 mai. Depuis le 20 janvier, les douleurs ovariennes gau- ches, avec sensation de tiraill
évacuations considérables d'urine, dont nous avons déjà parlé, les douleurs redoublent. Ce redoublement a été plus violent
epuis deux semaines, elle vomit tout ce qu'on lui fait prendre. Les douleurs , qui s'étaient calmées le 12 et le 13, tout en
côté droit sont libres. '18 mai. La malade a eu hier une attaque : douleurs ova- riennes des deux côtés, douleurs anales, i
alade a eu hier une attaque : douleurs ova- riennes des deux côtés, douleurs anales, irradiations à l'épi- gastre, au coeur,
niveau de la région sacrée, de la fesse et du membre inférieur, des douleurs spontanées, reve- nant par accès de quart d'heu
suivre le trajet du nerf sciatique. - Parfois aussi, Etch... a des douleurs semblables sur le trajet du plexus brachial (ré
ture des mâchoires n'a pas subi de modifications. Il y a encore des douleurs lancinantes dans les articulations des mâchoire
oideur. L'élévation complète du bras n'est pas encore possible. Les douleurs lancinantes dans les bras et le membre inférieu
alme pendant quelque temps ; mais, dans l'après-midi, elle a eu des douleurs dans la langue, comparables Ù celles des pi- qû
serre à peu près ( ? ) également des deux côtés. Elle se plaint de douleurs dans l'épaule gauche et d'une sensation de froi
couchée sur le côté gauche quand, tout d'un coup, elle a senti une douleur intense, qu'elle com- pare à la morsure d'un ch
er » le long de la colonne ver- tébrale. Parvenue à la nuque, cette douleur est devenue plus forte : il me semblait, dit la
t et des crampes dans la main du même côté. Par moments, elle a des douleurs au niveau de "la tempe gauche. Les deux dernièr
fois donne lieu à une chute du rectum.- La miction s'accomplit sans douleur ; la quantité des urines est normale ou tl'ès-ex
la quantité des urines est normale ou tl'ès-exagé1'ée.- Parfois, douleurs au niveau de la région ovarienne gauche. - Etch..
s, les attaques avortaient quelquefois et se traduisaient par des douleurs névralgiques et des symptômes de suffocation. b
la stigmatisée belge, 1875. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 181 quelquefois de douleurs dans la moitié du corps où ils allaient se mont
r instants d'un tremblement choréi- forme et est le siège tantôt de douleurs névralgiques, tan- tôt de simples fourmillement
ne doivent pas être cependant passés sous silence. Telles sont les douleurs névralgiques et les arthralgies. Celles- ci, en
, notre malade était prise d'une véritable crise. Elle souffrait de douleurs lom- baires très-vives, son visage était rouge,
41 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
e, dans l'espace de 2 mois, à in tervalles assez espacés, plusieurs douleurs fulgurantes, subites, aiguës, traversant la jam
seule, de haut en bas. Les 3 mois précédents, il avait eu quelques douleurs pareilles, mais à plus longs intervalles. De plus
sortie il marche sans canne. Jamais depuis son entrée il n'a eu de douleurs fulgurantes. (Après sa sortie il a essayé de re
à trouver. Les symptômes prédominants du tabes sont : l'ataxie, les douleurs , les pa- resthésies et l'anesthésie. Les douleu
t : l'ataxie, les douleurs, les pa- resthésies et l'anesthésie. Les douleurs ne sont qu'en partie provoquées par l'irritatio
oduction des symptômes morbides. Dans le tabes, par conséquent, les douleurs doivent céder le plus facilement, les paresthésie
. C'est ainsi que dans le tabes, pour obtenir une dispa- rition des douleurs et d'autres manifestations morbides résultant de
étant de 107, la moyenne pour chacun de 36. Dans tous les cas, les douleurs lancinantes ont disparu, la marche était amélioré
a duré 20 minutes, la malade étant placée sous un angle de 50°, les douleurs ful- gurantes ont dieparu complètement. S'il
até préalablement un certain degré d'amélioration. Dans un cas, les douleurs fulgurantes ont réapparu après 22 jours d'interru
l est intéressant de noter qu'après une seule séance prolongée, les douleurs ont de nouveau disparu chez les deux malades et
ment. Généralement pendant la séance et la journée qui la suit, les douleurs augmentent d'intensité, mais déjà vers le soir, l
lio- ration commence à se manifester et après quelques séances, les douleurs disparaissent complètement. A part les maladi
dents, spécialement aux incisives supé- rieures gauches. Lorsque la douleur eut duré environ un mois, elle s'aper- çut que
au av ec la brosse électrique, la sensation de picotement et celle de douleur ne sont perçues à gauche qu'avec des courants p
adisation énergique du menton, faradisation qui causait beaucoup de douleur ,les mou- vements disparurent pour ne plus reven
tat morbide exempt d'élévation de tem- pérature ; cette dernière et douleur se comptent, au contraire, parmi les symptômes
s prolongé, une fatigue intellectuelle, un accès né- vralgique, une douleur intense de n'importe quelle nature ; il ne s'agit
ormale, furent atteints de nombreux abcès dénoncés seulement par la douleur . Il me fut donné d'observer chez une malade l'évo
iter à cause d'une céphalalgie supra-orbitraire et occipitale et de douleurs dans les membres. Point de garde-robes depuis cin
ant huit jours sur dix qu'elle garda le lit furent la fièvre et les douleurs abdominales. Depuis le 11, ;i 8 heures du matin
consista dans des bains tièdes et de la mor- phine pour calmer les douleurs . Les vomissements continuèrent et il y en eut m
oût. A la date du 9 octo- bre, les symptômes culminants étaient les douleurs lombaires et la céphalalgie. La température s'é
jusqu'au 18. Deux jours après son séjour au lit, elle se plaint de douleurs aux gros orteils et au genou droit. La douleur
, elle se plaint de douleurs aux gros orteils et au genou droit. La douleur persiste dans ces parties et atteiut au quatrième
s atteintes ne changèrent point de coloration, ni de volume, et les douleurs aiguës au point d'arracher des larmes se calmaien
erser gaiement. La fièvre persistait nonobstant et vers le soir les douleurs s'exacerbaient et la chaleur augmentait. Le 18,
il décroître et la malade resta trois jours apy- rétique, mais les douleurs continuaient ayant les mêmes caractères. La fièvr
t une ascension de 2°. La courbe descend ensuite brusquement el les douleurs disparaissent. Après que les douleurs articulai
nd ensuite brusquement el les douleurs disparaissent. Après que les douleurs articulaires des membres eurent disparu. une do
Après que les douleurs articulaires des membres eurent disparu. une douleur aiguë persista dans la colonne lombaire qui conti
ée de prime abord, elle fut remplacée par l'autipyrine, dès que les douleurs articulaires apparurent. On dut la supprimer comm
e cause de leur inutilité. Non seulement elles ne calmaient pas les douleurs , mais même elles n'agissaient pas sur la températ
empérature. Les pressions exercées avec toute la main calmaient les douleurs , tous les topiques les augmentaient et un soula
r agir sur l'imagination de la malade à laquelle on assurait que la douleur avait disparu après chaque séance de passes de ch
e pren- dre le lit; la céphalalgie, la prostration, l'anorexie, les douleurs dans les membres et 38° 8 de chaleur avec les o
re typhoïde. Le grand tympanisme, les vomisse- ments, l'anurie, les douleurs abdominales intenses et la dysurie qui se prése
première miction simulaient une péritonite. Cependant, quoique les douleurs abdominales fussenl si aiguës, la malade supporta
une vessie pleine d'eau chaude, les pressions fortes calmaient les douleurs , et les vomissements si fréquents ne les exas-
aissable, présente la suspension de la sécrétion urinaire, avec des douleurs lombaires. Précisément une des particularités de
ulaire. Au troisième jour de son séjour au lit, elle se plaignit de douleur dans le gros orteil du pied droit et dans peu d
douleur dans le gros orteil du pied droit et dans peu de temps les douleurs envahirent, les genoux, l'épaule gauche, le poi
ès 21 jours. De prime abord, lorsqu'on observe un malade affecté de douleurs poly- articulaires et de fièvre, on songe au rh
dans l'aspect de la peau. Les pressions faibles augmen-. taient les douleurs qui étaient calmées par les pressions fortes ; la
es ; la compres- sion des surfaces articulaires n'augmentait pas la douleur , phénomène ab- solument contraire à ce qu'on ob
soude et l'antipyrine, si puissants d'ordinaire contre l'é- lément douleur , restèrent sans effet. Au lieu des sueurs qui a
matisme. S'il pouvait persister encore des doutes sur la nature des douleurs arti- culaires, il n'y aurait qu'à rappeler qu'
as très rare de voir le chagrin, le découragement, l'admiration, la douleur el le dé- dain, même la curiosité se peindre su
e, mais l'accouchement fut très pénible ; au bout de trois jours de douleurs , l'enfant vint au monde en état d'asphyxie, la fa
l produire à cause de la raideur. Pas de phénomènes du pied. Pas de douleurs , sensibilité générale conservée. Pas de nystagmus
mes les uns sont très fréquents, véritablement vulgaires, comme les douleurs fulgurantes, l'absence des ré- flexes rotuliens
j'ai pro- posé, y a vingt ans, de la désigner du nom de période des douleurs fnlgu- mntes; car ce sont, dans la règle, ces d
période des douleurs fnlgu- mntes; car ce sont, dans la règle, ces douleurs si spéciales qui, associées habituellement à qu
hamp d'étude où nous avons posé les premiers jalons, la période des douleurs fulgurantes, comme nous l'appellions, s'appelle c
tout à l'heure, dans l'jmmense majorité des cas, ce sont : -1° les douleurs fulgurantes à retours périodiques ; 2° le signe d
es par jour. Le 10 septembre au matin, en se levant, il ressent une douleur obtuse dans l'aine gauche et commence à boiter.
n-clopant. Le 3e jour il éprouve au niveau de l'aine droite la même douleur vague qu'il avait d'abord ressentie à l'aine gauc
ir, au point de rendre la marche impossible et cela à peu près sans douleur , sans gonflement, sans aucune réaction fébrile ?
eprises, et cela depuis l'apparition des troubles articulaires, des douleurs dans les pieds et dans les jambes. Ces douleurs
s articulaires, des douleurs dans les pieds et dans les jambes. Ces douleurs sont vives ; elles le prennent tout à coup et p
ffisant de symptômes : signe d'Argyll Robertson, troubles vésicaux, douleurs fulgurantes, pour établir notre diagnostic sur
te arthropa- thie avait débuté brusquement, sans prodromes, par une douleur obtuse localisée clans la région inguinale, pen
e conserva- tion des réflexes rotuliens, des (roubles vésicaux, des douleurs fulgurantes 126 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SAL
is en aucun point et la palpation de ces régions ne réveille aucune douleur . Les hanches sont parfaitement mobiles dans tou
-être quand le temps change », dit le malade, il se manifeste « une douleur dans la colonne et dans le côté droit, quelque ch
et dans le côté droit, quelque chose comme un tiraillement ». Cette douleur est parfois très intense ; elle siège vers la hui
dantes d'un côté, tête pendante do l'autre. Dans cette position, la douleur se calme rapidement. Elle ne tarde pas à repara
de la courbure 1 dans les trous de conjugaison. La cessation de la douleur pendant la nuit. son apparition vers 10 heures
écuter avec une force sensiblement égale dans les deux sens. Aucune douleur au ni- veau de la colonne vertébrale, ni sponta
illard, loc. cil.). C... Marie, 66 ans. En 1860, il de 41 ans, sans douleur préalable, sans traumatisme, déboîtement de la
près, elle devint presque subitement bossue ». Vers la même époque, douleurs fulgurantes. « En 1871, la marche devient tout il
mes tabétiques nefs semblent dater de 1870 : troubles de la marche, douleurs fulgurantes. « A la fin de 1882, sans douleurs
oubles de la marche, douleurs fulgurantes. « A la fin de 1882, sans douleurs vertébrales préalables, il devint bossu. L'année
enig, loc. cil.). Deplancltte, ancien employé des postes, 54 ans. « Douleurs rhumatismales » en 1866, puis en 1871 el depuis
istiques du tabès : perte du réflexe pupillaire, signes de Romberg, douleurs fulgurantes, crises viscérales. abolition des r
percussion provoquent une sensation désagréable, qui n'est pas une douleur véritable. Malgré la maigreur du patient, il est
n VI. (Kroenig, loc. cit.). Hoeckc, 35 ans, boulanger. Depuis 1872, douleurs , progressivement accrues, dans les membres infé
cra- quement dans les lombes. Mais il put poursuivre sa marche sans douleur , et continua sou métier. Cependant la démarche
lombaire peut aisément subir un glissement de va-ct- vient », sans douleur , s'accompagnant de craquements d'in- tensité va
ion VIL (Kroenig, loc. ci ? ). lleinricll, 52 ans, cocher. En 1865, douleurs dans les jambes, surtout à gau- che, avec sensa
sculaire. Ensuite, surtout' partir de l'an- née 1868, paresthésies, douleurs fulgurantes, émoussemcl de la sensibilité plant
e. En 1883, hissant une caisse sur un évier, il glisse, ressent une douleur lombaire violente, mais peul néanmoins remonter
ant un peu soutenir, et ne suspend son travail qu'un seul jour. Les douleurs lombaires diminuent peu à peu, mais il subsiste
la suite. Particularité bien remarquable, le sujet n'éprouve aucune douleur , ou c'est une douleur légère, bientôt dissipée.
é bien remarquable, le sujet n'éprouve aucune douleur, ou c'est une douleur légère, bientôt dissipée. Il reprend vite ses o
our redresser la co- lonne, el cette manoeuvre peut provoquer de la douleur dans le muscle af- fecté. On sent d'ailleurs, e
CONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. qu'elle apparaît seulement quand les douleurs , tout en étant vives, ne vont pas jusqu'à empêc
soient les spasmes répétés qui puissent être le point de départ de douleurs musculaires habi- tuellement légères et passagè
troubles digestifs graves qu'Eulenburg a signalés chez son patient ( Douleurs stomacales et vomissements opiniâtres, qui ont
gie et de la rachialgie, des sensations pénibles, mal définies, des douleurs spontanées sur le trajet des os au voisinage des
ectif, la malade se plaint de ressentir au moment des poussées, des douleurs très vives'siégeant profondément dans les mus-
ives'siégeant profondément dans les mus- cles de l'avant-bras ; ces douleurs sont-passagères.- Cette éruption rappelle la ma
évia- tion s'est montrée, 2 fois, un mois après le commencement des douleurs ; 3 mois après, dans deux cas ; enfin au bout d
au début d'une attitude instinc- tive ayant pour but d'atténuer la douleur en portant le poids du corps sur la jambe saine
ÉVIATIONS VERTÉBRALES NÉVROPATHIQUES. 207 paru en même temps que la douleur elle-même. Il est légitime de penser qu'ici, co
odique avec scoliose homologue, lorsque la première s'accompagne de douleur sciatique. L'attitude est la même dans les deux
ervice de la clinique dans le courant de l'année dernière, pour une douleur sciatique du côté droit. La déviation était hom
homme de 40 ans, at- teint de sciatique, et qui, pour soulager ses douleurs pendant la marche, pouvait imprimer à son rachi
permet de s'as- surer qu'il s'était plaint plusieurs mois avant, de douleurs rhumatoïdes dans l'épaule gauche et qu'il avait
a tête et du cou s'est accentuée progressivement sans déterminer de douleur ; il y avait seulement une sensation de raideur
muscles une certaine résistance dont on triomphe sans provoquer de douleurs . L'exploration des muscles du cou montre le ste
toute particulière que certains sujets compa- (1) Traitement de la douleur par los vibrations mécaniques, Progrès médical, 5
s, appliquait la môme méthode des vibrations pour la guérison de la douleur . Il avait même inventé un instrument spécial « le
'un mélange réfrigérant qu'on appliquait localement pour calmer les douleurs des nouvelles accouchées. Les résultats qu'il o
nt en arrière une brosse vibrante. Le même pro- cédé s'applique aux douleurs de la neurasthénie localisées le long de la co-
ntait un développement exagéré des mains et des pieds accompagné de douleur , de parésie et de troubles vaso-dilatateurs. Ce
e de 46 ans, elle est souvent malade, se plai- gnant constamment de douleurs , de maux de tête; elle a fréquemment, presque c
D... est de plus hystérique; la sensibilité générale au tact, à la douleur et à la température est complètement abolie cla
s des sensations de brûlure et d'élancements des plus pénibles. Ces douleurs sont paroxystiques, les accès reviennent chaque
ulement les orteils et la plante du pied ; ils sont douloureux, les douleurs sont localisées aux malléoles, le malade les com-
ce métier mais il a dû l'abandonner, il y a dix mois, à la suite de douleurs dans les pieds qui survenaient après une courte
, de nécrose et d'élimination de la deuxième phalange, le tout sans douleur . M... entra alors à l'hôpital St-Antoine, dans le
es amputations furent pratiquées sans anesthésie et supportées sans douleur . De la description détaillée que donnent MM. Mo
ion laquelle a été subie, comme les autres, sans anesthésie et sans douleur . Il a quitté St-Antoine en 1888. Depuis lors l'af
nation de séques- tres osseux. Ces phénomènes se sont succédés sans douleur : le malade ex- trayait lui-même les phalanges
de renoncer à la marche et à son métier. En effet il a ressenti des douleurs dans les mains et surtout dans les pieds. C'éta
es douleurs dans les mains et surtout dans les pieds. C'étaient des douleurs lancinantes, courtes, survenant par accès trois o
référence, sans dépasser les genoux et les poignets. Aux pieds, ces douleurs étaient provoquées par la marche. A peine avait
mes de cette anesthé- sie. Le malade dit parfois qu'il sent soit la douleur , soit le contact, soit NOUVELLE Iconographie de
convient approximativement à tous les modes d'anesthésie (contact, douleur , température à 80° et à 0°). Dans la zone de tr
ent à terme naturel, sans chloroforme, en une heure, aux plus grandes douleurs à la naissance. Cet enfant, gros, non pesé, pas
- gien lui-môme qui doit faire le pronostic des contractures et des douleurs locales, tous ceux, en un mot, qui se rattachen
partir de la ligne médiane, pour toutes les impressions de tact, de douleur , de température. Le sens musculaire, en tant qu
ême légère, de tous ces points, provoque immédiatement une crise de douleurs et de larmes. Pas de sensations anormales ni de
crise de douleurs et de larmes. Pas de sensations anormales ni de douleurs spontanées en dehors des crises. Pendant les cr
inution de la sensibilité du tact, une perle de la sensibilité à la douleur , la sensi- bilité thermique se conservant. Du
e l'artère fémorale est suivie immédiatement d'un soulagement de la douleur , et d'un abaissement de la température locale t
exsudat considérable ou une altération du tissu nerveux grave. Les douleurs de la sciatique disparaissent ou diminuent, et si
tion périphérique vaso-constric- tive n'est impossible, à cause des douleurs trop vives, que dans la névrite du nerf crural
t des plus brillants; non seule- ment elle calmait immédiatement la douleur qui siégeait à la jambe et à la cuisse, mais au
nt la douleur qui siégeait à la jambe et à la cuisse, mais aussi la douleur qui résidait au bassin. Il m'était démontré ain
aso-moteur spinal. Comment expliquer autrement l'a- mendement de la douleur du bassin ? Ma simple explication ne paraîtra pas
r de la colo- ration normale. La séance durait 3, 5, 10 minutes. La douleur causée par la maladie cédait à notre faradisati
par Erb au moyen de la galvanisation de la moelle. L'a- taxie, les douleurs disparurent pour toujours après une série de séan
42 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tement disparu; avec la machine à in- duction, il a senti un peu de douleur ; mais, le jour suivant, il ne sentait plus, du
rbez vit le malade à Beaujon, où il était soigné pour de préfendues douleurs rhumatismales siégeant dans le côté gauche, don
t abolie dans le membre supérieur gauche (sensibilité au tact, à la douleur , à la température, sens musculaire); dans le re
monte jus- qu'à l'anneau, et il est très sensible à la pression; la douleur provoquée par la pression ne reste pas localisé
- Tout le premier groupe de phénomènes (incoordi- nation motrice, douleurs fulgurantes, anesthésies) veut dire lésion des
trice feront penser au tabes combiné. De même les anesthésies, les douleurs fulgurantes et l'incoordina- tion chez un sujet
t caractérisé par l'associa- tion des symptômes du tabes ataxique .( douleurs ful- gurantes, anesthésies, incoordination motr
grande peine à des inhalations nouvelles, se plaignant d'avance de douleurs de tête aussitôt qu'on les introduisait dans une
aient moins douloureuses. D'autres, au contraire, se plaignent de douleurs sourdes de la têle et d'un sentiment général de m
douloureux et légèrement tuméfiés ; les mouvements déterminent des douleurs sur la face postérieure de l'avant-bras ; il lu
blessure exté- rieure, mais reste très agité. Insomnie, cauchemars, douleurs céphaliques et rachidiennes, paresthésies de di
es trophiques du côté droit, qui dure depuis plusieurs années ; les douleurs sont surtout prononcées dans les branches maxil
lever, et s'est propagée de bas en haut en occasionnant déficientes douleurs dans les deux rameaux sus- mentionnés (joue, fr
s; cinq à six mois avant la mort, faiblesse dans les jam- bes, avec douleurs lancinantes et paresthésies. L'examen décèle de
card, se basant sur l'existence d'irradiations ilio-fémorales de la douleur , admet avec le professeur Nielly que l'affection
, quand on essaie de le repousser en arrière, on détermine une vive douleur . La sensibilité cutanée paraît normale dans ses
lle : lm,23 fort. 1884. 16 janvier. - Entré à l'infirmerie pour des douleurs du côté de sa hernie (inguinale droite) et des
ie pour des douleurs du côté de sa hernie (inguinale droite) et des douleurs aussi du côté opposé. La hernie paraît réductib
réductible. Bain d'une heure. Soir : T. R.37»,7. 17 janvier. Les douleurs ont disparu. T. R. 37°,5. - G... se plaint de t
de'lait coagulé, etc., il n'a pas mangé ce matin et se plaint d'une douleur siégeant au niveau de la fosse iliaque droite.
plus intéressantes qu'on y trouve : le malade se plaignait d'une douleur de tète du côté gauche; il était hémiplégique du
Il y a une hyperalgésie tout le long des apophyses épineuses et une douleur très vive dans la région pariétale gauche. Pend
n ne lui fait pas une de ses injections habituelles, il est pris de douleurs vives dans la tête et dans le rachis, ses membr
INIQUE NERVEUSE. de l'atrophie musculaire. 161 t ses modes (tact, douleur , température, sens musculaire). Dans la région
uche existe une zone extrêmement dou- loureuse qui est le siège des douleurs les plus vives lorsque le malade omet de faire
vue de la motilité. La sensibilité, au tact, à la température, à la douleur , et le sens musculaire sont absolument abolis a
is elle est un peu diminuée à gauche. Le malade se plaint de fortes douleurs dans la nuque et le bras gauche. tel mars. Le
de fortes douleurs dans la nuque et le bras gauche. tel mars. Les douleurs ont disparu. 15. - On remarque que l'état du me
orsqu'on exerce une traction sur les doigts, on provoque une légère douleur ; quant aux mouvements de la main sur l'avant-b
a le bras de compresses phéniquées. Le malade n'a jamais éprouvé de douleurs dans son bras, ni au moment où il était pris so
lement après l'accident. Non seulement le malade n'éprouvait pas de douleurs dans le bras même, mais il ne le sentait pas, l
l'on essaie de redresser les doigts, le malade accuse une certaine douleur , au niveau de l'extrémité des doigts. Les réfle
voir le poignet, le coude et l'épaule; celte opération provoque des douleurs assez vives au niveau de la face palmaire des d
son épaule, des mouvements relativement assez étendus. A cause des douleurs que le malade ressent dans les doigts, on suspe
e supérieur était complètement abolie, mais le ma- lade éprouva des douleurs lorsqu'on fit sur son membre des tractions asse
s bien au moyen des courants induits. La sensibilité au tact, si la douleur , à la température, est complètement abolie dans
rebord costal droit et du testicule droit est douloureuse, mais la douleur reste localisée dans la zone où l'on pratique l
tout à fait abolis. La sensibilité au tact, à la température, à la douleur est abolie, dans les limites indi- quées sur le
mmencèrent au moment de la selle; et le malade ressentit de légères douleurs dans la région du mésogastre. Ces douleurs s'ét
ade ressentit de légères douleurs dans la région du mésogastre. Ces douleurs s'étendirent aux jambes et au pénis. A la fin
ença d'éprouver un sentiment de lassitude, auquel se joignirent des douleurs aux jambes avec tranchées et tiraillements. Ces
nirent des douleurs aux jambes avec tranchées et tiraillements. Ces douleurs se montrèrent uniformément toutes les vingt-qua
de, soulevé sur le lit, ne peut s'asseoir, et il éprouve une légère douleur dans la région lombaire. Quant aux fonctions des
des divers segments du membre ne servaient qu'à provoquer de vives douleurs et semblaient exa- gérer encore la contracture.
elle le fait avec beau- coup de difficulté et en manifestant de la douleur ; ce premier résultat obtenu je lui enjoins d'ét
nulaire; elle le fait; puis le médium, mais ici la difficulté et la douleur semblent beau- coup plus grandes; la suggestion
de la tête; outre cela, il ressentait une certaine rigidité et une douleur dans la musculature de la nuque. Les pre- miers
ostic est naturellement donné sous toute réserve. La rigidité et la douleur dans la nuque sont sans doute rhu- matismales.
individu qui exécute ainsi deux, trois, quatresauts uniformes, sans douleur aucune. Le développement de la mala- die, ses p
'étant gra- duellement développée à la suite de six à sept jours de douleurs auriculaires (courant d'air ? ) ; simultanément
ervicales et dor- sales, sans dépasser la ligne médiane (rougeur et douleurs accou- tuméesl. Points douloureux à la pression
ureux à la pression dans le domaine du tri- jumeau (sus-orbltaire); douleurs suivant le trajet du facial, du sympathique cer
- gendrer un zona. En voici un court exemple. Après huit jours de douleurs dans l'oreille droite, s'installe une paralysie p
phie musculaire : les nerfs dorso-lombaires sont eux-mêmes malades ( douleurs en ceinture, sensibilité extrême à la pression
de particularités remar- quables, l'auteur insiste sur l'absence de douleurs proprement dites le long des troncs nerveux, le
nre : ataxie spinale pure exclusive, si ce n'est, de temps à autre, douleurs légères et fugaces dans les mollets et diminuti
patel- laires disparaissent forcément; impossible de localiser les douleurs lancinantes et les troubles vésicaux. Tels sont
e gauche, une incontinence complète de l'urine et des matières, des douleurs en ceinture, de l'analgésie des extrémités infé
initiaux suivants : hébétude, sensation de tension, de pression de douleur céphalique, état de mauvaise humeur, d'hypochondr
contre presque toujours simultanément certains symptômes cardinaux ( douleurs lancinantes, absence de réflexe patellaire, dim
s, absence de réflexe patellaire, diminution de la sensibilité à la douleur et ra- lentissement de la conductibilité à l'ég
e iiévrite iiiulli- loculaire subaiguë émane de la constatation des douleurs ini- tiales, de l'existence des troubles de la
ibilité, sauf une légère anesthésie; intégrité du sens musculaire ; douleurs dans les bras et les jambes; gros troncs nerveu
ation qualita- tive, absence de fixité, d'immobilité pupillaire, de douleurs en ceinture, de troubles vésico-rectaux), et l'
'excitabilité sans modifica- tions qualitatives ; pupilles inertes, douleurs en ceinture, troubles vésico-rectaux). Il est i
é- revue DE pathologie nerveuse. 233 marche raide attribuée à des douleurs dans les genoux ; incon- tinence d'urine, cépha
es et des réflexes cutanés, parésie vésicale (rétention d'urine) et douleurs très prononcées tout le long du rachis; mort pa
importunes, des sensations anor- males bizarres, des vertiges, des douleurs avec sentiment de tension rachidienne et sacrée
su cellulaire et de la peau fort tenace quoique sans occasionner de douleurs (8 femmes). Pour l'administrer à 52 femmes d'âg
ue, y avaient été également remarqués. Le 7 décembre, on note : les douleurs des reins sont si fortes que le malade ne peut
; il urine très peu et avec beaucoup d'efforts. La sensibilité à la douleur des jambes a presque disparu, et celle du touch
tisfait un de ses désirs. Le 5 mai, Ch... commence à se plaindre de douleurs dans le bras gauche, la sensibilité tactile et
et de la sensibilité ont disparu. Après cela, le malade éprouve des douleurs dans les muscles du cou, d'abord à gauche, puis
dans les muscles du cou, d'abord à gauche, puis à droite, mais ces douleurs sont passagères. Le 18 mai, il a un accès tout
de quelques jours. Mais, en même temps, il commença à éprouver des douleurs dans la jambe gauche, à Faîne, dans le dos. Ens
a palpation; le passage de la main sur la peau cause aussi de vives douleurs ; il se plaint aussi d'avoir mal lorsqu'on press
on presse les gros troncs nerveux des jambes. La sensibilité à la douleur dans les jambes et dans la partie inférieure du t
t dans la partie inférieure du tronc a disparu; il n'éprouve pas de douleurs même lorsqu'on fait passer un fort courant indu
E NERVEUSE. pieds. Voici le cours de la maladie : le 8 novembre, la douleur dans le dos disparait; couché, le malade peut f
ulation coxo-fémorale. Il ne peut les redresser, dit-il, à cause de douleurs qui se font sentir dans la direction du bord in
indistinctement quelques mots. Le 27 décembre, il éprouve une vive douleur dans la région de l'oeil droit, on observe même
d'une maladie du coeur, il ressentit aussitôt des palpitations, des douleurs dans la ré- gion du coeur et dans le bras gauch
- plètement paralysée ; les piqûres d'épingles n'y causent aucune douleur ; les réflexes tendineux du genou sont considérabl
uscles et des nerfs est normale; le malade n'éprouve presque aucune douleur dans l'épine dorsale; pas d'autres troubles ner-
les jambes est presque nulle; les mou- vements passifs causent des douleurs . Les réflexes tendineux sont très exagérés ; su
illements. Le 1 cr août, le patient est pris d'une attaque de vives douleurs dans le dos et de fortes convulsions dans les j
lui touche le côté gauche du cou ; les piqûres ne provoquent pas de douleurs ; du côté droit il ne perçoit ni attouchement, n
nt pas de douleurs; du côté droit il ne perçoit ni attouchement, ni douleurs . Les deux bras présentent les mêmes phénomènes;
eption de la main, où de profondes piqûres produisent seulement des douleurs . La sen- sation de la température n'existe plus
seulement disparu. Les courants les plus forts ne provoquent pas de douleurs dans la moitié droite de l'abdomen et du dos. D
uloureuse et musculaire; la gauche n'a perdu que la sensation de la douleur et de la température. Les réflexes tendineux de
ains et faillit sauter du lit. Le 28 décembre, les sensations de la douleur et de la température reparurent dans la moitié
f facial est con- servé. Le 4 mars, le malade commence à sentir des douleurs à la faradisation avec un pinceau, à remuer les
roit. Lorsque le phlegmon fut guéri, D... commença à se plaindre de douleurs erratiques dans différentes parties du corps; c
s réflexes tendineux sont exagérés. Le malade lui-même se plaint de douleurs sourdes dans tout le corps : « J'ai tout le cor
1..., soldat, est entré à l'hôpital le 2 août 1885. Il souffrait de douleurs sourdes dans les jambes. Un QUELQUES cas d'hyst
e la tibio-tarsieulle. Deuxjours après son entrée il se déclara une douleur à la deuxième phalange métacarpienne droite, et
la sensibilité tactile des deux jambes est bien affaiblie, celle de douleur a complète- ment disparu ; en même temps, la ré
originale; les pieds sont sensibles à l'attouchement ainsi qu'à la douleur ; la sensibilité du côté droit du tronc, du bras
ré, et amène alors une forte trépidation des jambes, accompagnée de douleurs . Les muscles des jambes sont flasques, mais la
jour de son entrée à l'hôpital, soit alité. De temps en temps, des douleurs passagères se manifestent dans le dos, de même
ères se manifestent dans le dos, de même que dans les genoux et une douleur sourde continuelle dans les jambes. L'anamnèse
is alité à la maison avec la même contracture des jambes et que les douleurs sourdes avaient été les mêmes qu'à présent, La
en d'anormal. La motilité est aussi normale. Le malade se plaint de douleurs sourdes dans les jambes. Les antécédents montre
s la forme de refroidissement ou engourdissement des extrémités, de douleurs sourdes dans différentes parties du corps, de m
malade n° 8 présentait des phénomènes d'ar- thralgie, de violentes douleurs dans les articulations du genou, qui ne voulaie
rcotiques; une pression superficielle des articulations causait des douleurs ; la peau est oedémateuse, mais elle n'est pas r
urs est compliquée d'une rétention d'urine, de constipation et de douleurs dans le dos. Ce qui caractérise ici l'hys- téri
rfois très capricieux, par exemple l'abolition des sensations de là douleur et de la température; tandis que le sentiment d
omie ; la joie s'exprime par un sourire grossier et disgracieux. La douleur et souvent une légère contrariété suffi- sent à
a- lisée surtout au nheau du menton et de la lèvre inférieure; ni douleur ni adénite. L'appétit a été conservé pendant tout
ue. Le sommeil est bon et lourd ; quoique presque inditlérente à la douleur , elle se plaint souvent du froid. Les réflexes
eur normale; ils sont plus mous que d'habitude et ne causent aucune douleur lorsqu'on les saisit entre le doigt dans le rec
. en mars 1883 : « Ma femme ne peut écrire elle-même par suite de douleurs nerveuses des pieds et des mains. Le cou est guér
juillet 1882. - Le 19 juin 1882, respiration et déglutition libres; douleurs dans les épaules, 18 mars 1883 ; lèvres et nez
ade toussote de temps à autre. Pas de crachats. B... se plaint de douleurs dans l'épaule droite. L'amélioration que l'on c
avait perdu depuis longtemps. Samedi 4 septembre. B... se plaint de douleurs assez vives dans le bras et l'épaule. L'ecchymo
ne pouvant se mettre dans l'idée que ce jour arrivera jamais. Les douleurs dans l'épaule droite et le bras sont devenues plu
s dans l'épaule droite et le bras sont devenues plus grandes; cette douleur que la malade localisait dans l'articulation sc
mastoidien, au niveau des apophyses transverses, on déter- mine une douleur assez vive, qui du reste se retrouve sur tout le
s principaux nerfs : médian, cubital et radial. On ne trouve pas de douleur à l'avant- bras et à la main, mais seulement un
ciens, quoi qu'il ait évi- demment son importance comme cause de la douleur intra- crânienne. Quoique les solutions de co
appréciable, le troisième jour le malade se plaindra d'un peu de douleur et de battements, dans la blessure qui mise à déc
ttale. La pression sur la cicatrice était toujours douloureuse : la douleur augmentait lorsque le malade était dans le paro
une hémianesthésie gauche à un léger toucher (la sen- sibilité à la douleur était conservée), la localisation de la piqûre
Quand on remuait le membre supérieur gauche, il se plaignait que la douleur semblait frapper l'os du membre, le côté du cou,
ressentait le besoin de défécation, accompagné quelquefois d'une douleur vive dans le côté gauche de l'abdomen. Suivait un
ceau faradique déterminerait les effets suivants : 10 Il apaise les douleurs i Ces deux particularités s'observent chez 2o I
rcevoir le froid ; ce n'estque bien plus tard, que la chaleur et la douleur , sont plus senties. Si dans ces condi- tions on
té tactile et des impressions de froid alors que la cha- leur et la douleur étaient toujours perçues. Chez les chats et les
t le sens des impressions frigorifiques, non plus que le sens de la douleur et ce- lui de la chaleur. 11 existe, en effet,
43 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
ce) chez un hydrocephalus int. Intra vitam ; on observa d'abord une douleur à l'occiput et plus tard la perte de la faculté
s il semblait que la conscience revenait; le malade se plaignait de douleurs dans les diverses parties du corps et de sensatio
if; les maladies du conarium donnaient comme symptôme permanent une douleur opi- niâtre dans l'occiput ; les maladies du co
tions douloureuses du côté gauche l'animal sentait visiblement delà douleur , devenait inquiet, mais ne prêtait pas d'attent
jours chez le même chien. L'animal s'apercevait, des irritations de douleur du côté droit Au corps, mais il ne savait visible
. Il nous reste encore l'aire mention du centre des sentiments de douleur . Des observations chez des malades souffrant de
comme étant probable que les voies qui propagent le sentiment de la douleur commencent comme cordons indépendants seulement
oup de raisons parlent en faveur de ceci que toutes les voies de la douleur du système nerveux central s'unissent quelque par
les voies, par lesquelles la cons- cience réagit aux irritations de douleur . Avec ceci les cas de maladie du conarium, cité
la même façon, si à la suite de conditions quelconques le centre de douleur , situé quelque part dans le voisinage de la I.
par les taeniae thalaî21oi-ztî7z opt. au fornix, nous sen- tons la douleur , qui est localisée à un point déterminé du corps
e la prostate). En 1899, après un refroidissement, il a souffert de douleurs rhumatismales dans les bras et les jambes et su
au 13 mai 1900. Etant assis dans un jardin public, V. sent une vive douleur dans la jambe gauche ; il rentre chez lui en ma
on pied, et'de sa jambe gauches et, même au repos, il a parfois des douleurs spontanées. On sent des craquements articulaire
main droite, la main gau- che ; elle est précédée et accompagnée de douleurs spontanées intenses,lo- calisées, permanentes,
pparurent en 1900, il y a sept ans. . Le début est marqué par des douleurs vives, qui apparaissent au gros orteil droit et
e. L'ulcération ne s'étend ni en surface ni en profondeur, mais les douleurs augmentent, deviennent intolérables, le malade en
réduit à se faire amputer la deuxième phalange du gros orteil, les douleurs retrocè- dent, la réunion se fait par première
se fait par première intention. Un an plus tard, en 1901, les mêmes douleurs apparaissent au bord interne du deuxième orteil
t un mois. Il y a eu, dit le malade, « un semblant de succès », les douleurs cessèrent, l'ulcération se cicatrisa. Un an plu
cessèrent, l'ulcération se cicatrisa. Un an plus tard, en 1902, les douleurs reprennent, intenses, au 50 orteil droit ; la p
aissie et indurée, s'ulcère sur le bord interne de cet orteil ; les douleurs intenses irradient à toute la région métatarsienn
topiques (ichthyol glycérine) ne sont pas plus heureux. Exténué de douleurs , craignant une gangrène en- vahissante, il se l
'un mois, il se croit à nouveau guéri. Deux ans après, en 1904, des douleurs ,aussi violentes que les premières fois, apparai
tres d'altitude). Trois mois plus tard, au début de 1905, les mêmes douleurs réapparaissent, suivies d'une ulcération sembla
raît, la radiale droite reste oblitérée. Au début d'avril 1907, des douleurs apparaissent au sillon sous-unguéal de l'index
st indurée et épaissie. Au milieu d'avril 1907 surviennent de vives douleurs au 5e doigt gauche. ' L'évolution de cette mala
de cette maladie a été une succession irrégulière de pério- 'des de douleurs intenses localisées, durant un à trois mois, parf
atteints. Plusieurs doigts de la main gauche sont encore malades. Douleurs localisées aux extrémités précédant et accompagna
at général est excellent, le visage est gai,il ne se plaint que des douleurs localisées aux doigts ; ces douleurs sont, il e
est gai,il ne se plaint que des douleurs localisées aux doigts ; ces douleurs sont, il est vrai, assez intenses pour provoque
·S ...... ? ... ? 1 ? GANGRÈNE SYMETRIQUE OES EXTREMITES 59 Les douleurs et les lésions sont actuellement localisées à la
deux doigts les plus atteints sont les 3e et 4°. ' Main gauche. Les douleurs sont intenses, spontanées et permanentes, sans
ermanentes, sans la moindre rémission. Le Dr J... a remarqué que la douleur aug- mente lorsque la main est sèche et ne tran
que la main est sèche et ne transpire pas ; lorsqu'il est couché la douleur est plus forte, il doit rester assis la plus gran
pporte ni le chaud ni le froid, de brusques variations exaspèrent les douleurs . Ces douleurs sont vives,mais non toujours iden
ud ni le froid, de brusques variations exaspèrent les douleurs. Ces douleurs sont vives,mais non toujours identiques : elles r
crasement du doigt dans un étau. Variables suivant les moments, les douleurs varient encore de caractère suivant les doigts, i
elles aient des caractères différents dans des doigts voisins. Les douleurs spontanées intenses existent aux 3e, 4e et 5e doi
s et restent localisées à la main, le reste du bras est indemne. La douleur du 5e doigt irra- die jusqu'au poignet, la doul
est indemne. La douleur du 5e doigt irra- die jusqu'au poignet, la douleur des zu et 3e doigts jusqu'à l'articulation méta-
usqu'à l'articulation méta- caipo-phalangienne ; l'index n'a pas de douleurs spontanées, il n'est douloureux qu'à la pressio
hyperesthésie dès que l'on approche de l'ulcération. Les lésions et douleurs datent de neuf mois. Annulaire. L'extrémité du
laire. Ce doigt paraît normal d'aspect, pourtant il est le siège de douleurs lancinantes qui remontent jusqu'au poignet. , L
a main droite,autrefois si atteinte,semble maintenant gué- rie. Les douleurs ont définitivement disparu.On ne voit plus que le
res inférieurs Le moignon droit ne présente rien de particulier, ni douleur , ni lésion cutanée. Le pied gauche semble guéri d
Dès les premières séances on a obtenu une grande sédation dans les douleurs , et bientôt même leur disparition complète. La ci
ire s'est éliminé et la cicatrisation s'est faite ra- pidement. Les douleurs ont disparu. D'après les dernières nouvelles (d
ar poussées successives, irrégulières, est caractérisée : 10 pa des douleurs in- tenses localisées aux doigts sans irradiati
uleurs in- tenses localisées aux doigts sans irradiations étendues, douleurs spontanées permanentes durant un, deux, trois m
2° par des ulcérations survenant quelques jours après le début des douleurs , non précédées de syncope ou d'asphyxie locale
ravant. La pathogénie de cette gangrène semble des plus nettes, les douleurs et ulcérations sont à rapporter à des oblitérat
effet que les oblitérations des artérioles déterminent de violentes douleurs et provoquent des gangrènes et ulcérations. La
un syndrome de Raynaud : il n'y a pas de crises doulou- reuses, les douleurs sont continues,durant un, deux, trois mois, souve
1907 dans le service de notre maître le professeur Raymond pour des douleurs et un oedème de la main et de l'avant-bras droi
était bon ce moment, mais depuis un mois elle avait quelques vagues douleurs dans le bras droit et avait quelque peine à sup
aissance à des croûtes Pendant l'éruption le bras était le siège de douleurs très violentes. Celles-ci persistèrent dans l'é
tenant immo- bilisés dans un pansement, dont la chaleur calmait les douleurs . 1 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. T
s.Cette dernière est particulièrement pénible et s'accompagne d'une douleur au niveau de l'insertion brachiale du deltoïde.
rveux est très douloureuse et la malade éprouve toujours encore des douleurs spontanées dans la main et l'avant-bras, contin
ormale partout. La motilité du membre est difficile à examiner, les douleurs et la limitation des mouvements concourant à re
périodes de poussée douloureuse, et d'autres qui s'accompagnent de douleurs ou de paresthésies continuelles. Le sujet d'Eti
ans la jambe, elle était prise, en outre, dans la station debout de douleurs qui l'empêchaient rapidement de marcher. Nous i
, chaud, indolore dans le décubitus dorsal, sujet à des poussées de douleur et de rougeur et de gonflement sous l'influence
e céphalée deviennent beau- coup plus violentes qu'auparavant et la douleur se localise nettement au côté droit de la tête.
cutanés (crémas- tériens, abdominal). Le malade accuse de violentes douleurs en ceinture et dans les membres inférieurs. La
t 5e vertèbres dorsales, la percussion et la pression éveillent une douleur ; il existe, en ce point, une légère voussure.
ntr'autres le fait de Davies Colles (3) : quelques années après des douleurs thoraciques transitoires, consécutives à une ch
ives à une chute sur le dos, une jeune femme de 23 ans fut prise de douleurs avec affaiblissement et anesthésie des membres
alors, il peut encore être excellent Kummel, ayant enlevé, pour des douleurs intolérables, un sarcome, le vit réci- diver 6
, 1892, p. 92. 1 J G RAYMOND ET ALQ1TIER membres inférieurs, avec douleurs spontanées et à la pression au niveau de la 3e
r varices et ulcères de la jambe. Depuis 3 mois elle ressentait des douleurs dans la jambe droite en même temps qu'un affaib
, dans la journée, brus- quement, en marchant, et sans ressentir de douleurs , elle s'aperçut que sa jambe gauche devenait lo
r un escalier. La faiblesse gauche diminue les jours suivants, sans douleurs et sans troubles sphinctériens. Depuis le 14
s gommes cutanées de la jambe droite. La malade ne se plaint pas de douleurs spontanées. La palpation des nerfs n'est pas doul
a palpation des nerfs n'est pas doulou- reuse. Seule provoque de la douleur la percussion forte du sacrum. Les membres infé
- laires atrophiques et les troncs nerveux ne donnent qu'une légère douleur à la compression. Ce qu'il y a de nouveau c'est
trophique de l'extrémité vers la partie proximale des membres et la douleur , quoique très légère, des masses musculaires et
ie, Bd. XI, H. 2, 1902. 77. Reynauu. - Contribution à l'étude de la douleur phrénique au cours de la tuber- citlose pulmona
Elle survint le 19 janvier 1904 ; la ma- lade ressentit d'abord une douleur aiguë au pudendum, mais elle ne con- sidéra pas
lendemain elle se rendait à la ville voisine ; la marche rendit la douleur au pudendum si intense que la maladeeut beaucou
guérie de l'attaque aiguë, le pudendum était redevenu nor- mal, la douleur avait disparu et les jambes étaient comme auparav
ter- valles, après quoi elle devint très fiévreuse et ressentit une douleur in- tense et continue dans sa cuisse et dans sa
on était correcte. Le chaud et le froid étaient bien distingués, la douleur était perçue distincte du toucher, le sens musc
ciels. Il n'y avait pas d'hyperesthésie cutanée et il n'y avaispas de douleur du tout. Les pieds eux-mêmes n'étaient pas sens
matin, alors qu'il était au travail, il fut tout à coup saisi d'une douleur dans l'aine droite. Ceci fut immédiatement suiv
roite. Ceci fut immédiatement suivi de frissons. Il eut ensuite des douleurs dans le dos et dans la hanche. A l'examen il ex
mpérature était à 98° F., la fréquence du pouls-à 78 par minute, la douleur de la jambe s'en était allée et l'enflure était r
de bâiller et de s'étirer, après quoi viennent des frissons et une douleur in- tense dans l'aine. Les frissons durent envi
es. Elle eut des vomissements, se plaignit de céphalée et avait une douleur le long de la face externe de la cuisse droite.
em- pérature de la bouche était de 100° F. Le 16 juillet rougeur et douleur avaient entièrement disparu ; l'enflure persist
emporaires compara- bles à l'érysipèle. Les frissons, la lièvre, la douleur de la région affectée, les vomissements qui peu
e. 3° Forte prédisposition familiale à l'affection. 4° Absence de douleurs dans les jambes pâles et enflées (cela existait
es en quelques jours, et tout ce que l'on peut faire pour calmer la douleur des malades est de les mettre au lit et d'appliqu
es mouvements d'abduction; il ressent, de plus, me dit-il, quelques douleurs vagues dans ce membre. L'examen objectif révèle
"digestifs, constipation, palpitations, bourdonnements d'oreilles, douleurs articulaires, diminu- tion de la mémoire, trist
es de la calorification, constipation, fatigue, anorexie, céphalée, douleurs musculaires et articulaires, obésité, sénilité
e, poussée jusqu'à l'apathie la plus complète, céphalée occipitale, douleurs dans les membres, verti- ges, somnolence, troub
es, anorexiques, constipées, fatiguées dès le matin et souffrant de douleurs articulaires et musculaires, qui, sous l'influe
ion douloureuse de la maladie; le malade cherche alors à réduire sa douleur au minimum en penchant son corps sur le membre
l'attitude des membres, les mo- 236 NERI dalités spéciales de la douleur , les analogies cliniques considérables avec la
coxotuberculose; au moindre mouvement, la malade éprouvera de vives douleurs et refusera de quitter son lit. Il y a là, comm
e de la claudication dans le diagnostic est la même que celle de la douleur . Il peut être exagéré, caricaturé d'une manière a
s qui, à la suite d'un acci- dent de travail, se plaignait de vives douleurs à la hanche droite. A l'exa- men objectif de ce
. Babinski, un cas analogue sur une femme qui se plaignait de vives douleurs au mollet gauche et qui pendant la marche se pe
errompu. Le 18.- Alors qu'il avait repris ses occupations, quelques douleurs apparais- sent subitement dans les deux mains,a
ent dans les deux mains,au niveau des deux dernières phalanges. Ces douleurs sont fort aiguës, comparables à la sensation d'on
rs excellent, aussi n'inter- rompt-il pas son travail. Le 19. Les douleurs apparaissent dans les mollets sous forme de cramp
dehors de tout retentissement sur l'état général. ' Le 20. - Les douleurs se sont étendues aux membres supérieurs et partic
us les troubles persistent; la diplopie s'atténue légère- ment. Les douleurs disparaissent, mais l'impotence des mains et des
respectés ; les troubles de la sensibi- lité (en dehors des vagues douleurs accusées par le malade au début de l'affection,
paralysie s'élend plus lentement et débute par les extrémités. Les douleurs sont atroces el l'on peut constater l'existence
ro- duisit, à ce moment, aucune modification de l'état général ; la douleur disparut au bout de deux mois. ' z Aucun anté
rit. Six ans après les articula- tions se prennent ; cette fois les douleurs persistent et le genou droit reste tuméfié. Ver
L'ankylose s'installe sournoisement à la suite des arthrites et les douleurs augmentent. Ne pouvant plus marcher, il apprend
moment les articulations coxo- fémorales sont atteintes, mais sans douleur . Il reste hospitalisé pendant 4 ans 1/2, légère
ent à devenir raides et douloureuses. En même temps il se plaint de douleurs dans la nuque. Peu à peu la tête s'infléchit et
les spon- ÉTUDE D'UNE COLONNE VERTÉBRALE 289 dylotiques sont les douleurs d'une part et l'atrophie musculaire d'autre par
forme de sensation depares- thésie, d'hyperesthésie circonscrite,de douleurs irradiantes dans les mem- bres et le long de la
uin 1903 ; Revue Neurol., 1903, p. 665. 290 ODDO lesquelles des douleurs fulgurantes et l'abolition des réflexes rotuliens
re prolongée au froid humide ; il commença à ressentir de violentes douleurs dans la hanche droite, survenues progressive- m
e, survenues progressive- ment, empêchant le malade de marcher, ces douleurs nécessitèrent son entrée à l'hôpital ; Il y r
on de la hanche, une légère blennorrhagie. Après sa libération, les douleurs diminuent, la (marche est possible même sans bo
assez court et ne songe plus à sa syphilis. Au bout. de 17 ans, des douleurs réapparaissent dans la même articu- lation, et,
articu- lation, et, bientôt après, dans la hanche gauche. Il a des douleurs violentes, ÉTUDE D'UNE COLONNE VERTÉBRALE 291
nception où il demeure 4 ans, durant lesquels il a 3 ou 4 crises de douleurs dans les han- ches, et aussi dans la région cer
a raideur, sa maigreur et sa longue taille. Vers 1905, poussée de douleurs articulaires plus marquée, elles sont vio- lent
hanches et s'irradiant dans les cuis- ses. Il éprouve en outre, des douleurs dans les genoux et aux cous-de-pieds. A cette é
ouloureuse dans la région cervicale et dans la région lombaire. Les douleurs éprouvées par le malade sont des douleurs en ce
s la région lombaire. Les douleurs éprouvées par le malade sont des douleurs en ceinture avec constriction thoracique, elles s
mbaire. Les 10, et 41e dorsales font une saillie appa- rente. Les douleurs éprouvées par T... siègent surtout à la partie su
présentent ,le caractère. de constriction. Il y a eu autrefois des douleurs en ceinture au niveau de la région abdominale. El
sous-scapulaire, le deltoïde. Quelques craquements et une légère douleur au niveau des genoux. - - . Par, contre, les ex
supérieure du dossier. Examen du système nerveux. T... éprouve des douleurs fulgurantes par- tant de la région lombaire et
et, ici, de ces signes limités à la suppression des réflexes et aux douleurs fulgurantes que Babinski désigne sous le nom de
d j'y voyais, j'aimais aller au théâtre. J'aime aussi travailler. Douleurs , chagrins. - La mort des personnes aimées, Pour m
leurs, chagrins. - La mort des personnes aimées, Pour moi c'est une douleur de ne plus voir. Devoirs des enfants. Etre bien
DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 307' Les riches peuvent avoir des douleurs ? Oui, souvent, même plus que les pauvres. Si
a pas d'apo%'sis lemul'inica, La percussion du crâne ne réveille de douleur nulle part et donne partout la même sonorité. -
s les sens ; pas de lordose lombaire dans la station debout. Pas de douleur à la pression et à la per- cussion. L'énergie
es sont bien dessinés : la tonicité des muscles est normale. Aucune douleur à la palpation des masses musculaires, des troncs
ce disparaît complètement dans les mouvements lents et doux. Pas de douleur à la pression soit des masses musculaires soit
ôté plutôt que de l'autre. Sensibilité. Pas de paresthésies, pas de douleurs fulgurantes : rien sub- jectivement. A l'exam
veloppement anormal s'arrêta et qu'eu même temps il y eut trêve aux douleurs de tète. Mais, d'après ce que nous dit le malade,
ie légère, du tremblement, des palpitations. Cela été suivi par des douleurs aux mains avec agrandissement de celles-ci.Le méd
bras et à la jambe gauches. Pas de contracture. La sensibilité à la douleur et à la chaleur est très diminuée au bras gauch
rebelles, de troubles dyspeptiques persistants, de toux tenaces, de douleurs incompréhensibles et d'impotences inexplicables
rtains mouvements, attitudes ou occupations, que certains troubles, douleurs ou symptômes s'imprimaient dans la matière en y d
éâtre ou l'on assiste à des auditions musicales. Pour échapper à la douleur ambiante qui déjà vous étreint, on se sauve et
ionomies. Les sentiments inhérents à l'espèce humaine (colère,rire, douleur ,etc.) ont la même expression dans toutes les ra
ence un chapitre intitulé : « Du cry de lenfant haultement Et des douleurs denfantement. » L'artiste a donc été bien inspi
eilles, parésies étendues aux extrémités sur- tout inférieures avec douleurs très vives, tremblement intentionnel, atonie, e
es accès de fièvre à marche irrégulière (sans cause apparente), des douleurs sponta- nées aux extrémités inférieures, deshyp
Il n'y eut ni troubles de la démarche, ni incoordination motrice, ni douleurs fulgurantes, ni troubles trophiques, ni trouble
ire il est caractérisé par l'amblyopie, l'incontinence d'urine, les douleurs fulgurantes, les troubles sensitifs. Ce sont de
personnels. - Scarlatine à 8 ans. Réglée à 12 ans avec de gran- des douleurs : depuis cette époque, elle a toujours souffert d
illement que quinze jours après la brûlure, une nuit, à la suite de douleurs atroces à la main malade, autour de la plaie en
NÉES 483 la première guérison de l'aphonie elle souffrit la nuit de douleurs atroces à la jambe et au pied droits, et que le
ure ; elle était ensuite tombée en laissant l'ulcération. Après les douleurs de la pre- mière nuit, elle n'avait plus souffe
e dos du pied, au côté interne, avec le même cortège de phénomènes ( douleurs , plaque anémique, gangrène sèche, ulcération).
parents. Soudainement, au dessert, elle crie, elle hurle, prise de douleurs à la plante du pied droit, et elle tombe dans u
médiatement est complètement négatif. Après la crise convulsive les douleurs avaient complètement disparu. La plaque anémique,
ammatoire, et elle fut enlevée par moi avec des ciseaux sans aucune douleur , quoique très adhé- rente aux tissus sous-jacen
t que je prenais mes précautions. Un soir la malade est atteinte de douleurs atrcces à la jambe. La soeur de service ne quit
ait très bon. Un jour, chez elle, en mangeant, elle se plaint d'une douleur soudaine et terrible à l'estomac, elle crie, el
rd) ; il ne s'agit jamais d'une gangrène unique, sèche, précédée de douleurs lancinantes dans le membre. Je crois donc pouvo
rforant produit une- lésion 488 VALOBRA . qui en général est sans douleur et plus profonde, mais chacun de nous a observé
onde, mais chacun de nous a observé des sujets qui présentaient des douleurs et des eschares superfi- cielles. D'autre par
changent d'un jour à l'autre, par le fait qu'elle ne produit pas de douleurs locales, qu'elle donne lieu très difficilement à
n voit surgir une péricardite aiguë, avec de la fièvre, ou bien des douleurs très fortes avec un épanchement rapide, nous ne
sont atteints d'une diarrhée rebelle, caractérisée par l'absence de douleurs abdominales, par l'inefficacité de la diète et
rane du tympan qui est douée de la sensibilité la plus exquise à la douleur . S'il s'agit d'une lésion banale, provoquée art
; le liquide a atteint la peau de ma cuisse. Je n'ai éprouvé aucune douleur ; lorsque je me suis aperçu de l'accident, l'ac
ulre hypothèse répond mieux à la réalité des phé- nomènes observés ( douleurs aiguës à l'estomac, hématémèses, méloena, périton
44 (1934) Oeuvre scientifique
moyen de ses propres sens et que le malade seul peut percevoir ; la douleur , la sen- sation de fatigue, par exemple, voilà
e la loi sur les accidents du travail. Il déclare qu'il éprouve des douleurs très vives, qu'il n'a plus la force de travaill
té par un sujet qui se plaint d'éprouver depuis quel- que temps des douleurs de tête entravant ses occupations habituelles et
ttez que vous ayez affaire à un sujet se plaignant de ressentir des douleurs violentes dans un bras ou dans une jambe et que
gnements fournis par celui-ci qu'il sera informé de l'existence de douleurs , de leur siège, de leurs caractères. L'attitude
re le malade à consulter et mettre sur la voie du diagnostic. Les douleurs à type radiculaire sont parfois le premier indice
ans toutes les autres branches de la médecine. N'est-ce pas par des douleurs que s'annoncent souvent l'appendicite, l'ul- cè
ples. Voici trois sujets qui se plaignent d'éprouver de très vives douleurs . L'un d'eux vous déclare qu'on ne peut souffrir
épargnée ; mais si on lui demande d'indiquer les caractères de ses douleurs , il reste dans le vague ; en outre, son attitud
jamais entrecoupé de réveils. Le second, tout en affirmant que ses douleurs sont terribles, ajoute qu'elles ne sont pas con
SYMPTÔMES Sf7/ ! JSCV7FS 17 7 sursauts occasionnés, dit-il, par des douleurs comparables à celles que provoqueraient des cou
par des sursauts semblables. Le troisième malade se plaint aussi de douleurs vives, lanci- nantes, un peu comparables à cell
sceau de la réalité. Un quatrième malade consulte aussi pour des douleurs occupant les deux membres inférieurs ou un seul
es ont des caractères bien différents de ceux qui appartiennent aux douleurs qui viennent d'être décrites. Elles font défaut
, elles s'atténuent et finissent par disparaître. Voilà un genre de douleurs à peu près caractéristiques d'une claudication
ittente liée à une lésion artérielle. Tel autre malade se plaint de douleurs au tronc en des points fixes, très violentes, e
onclusion une intervention chirurgi- cale suivie de guérison. Une douleur de tète liée à une tumeur, à un abcès encéphaliqu
iunski. j 18 ' LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE Une femme se plaignant de douleurs vives à la région occipitale était entrée dans le
atteint autrefois d'une névrite sciatique, n'éprouvant plus aucune douleur , aucun trouble dans ses fonctions et ne conservan
es l'empêchent de travailler; la description qu'il donnerait de ses douleurs et qui corres- pondrait aux souffrances passées
t à l'âge de 12 ans, à la suite d'une chute sur le genou droit, des douleurs très vives dans la région affec- tée ; il se dé
épanchement diminue petit à petit et finit par disparaitre ; mais les douleurs , persistent et s'étendent même à tout le membr
ement apparent très marqué, ses muscles sont un peu atrophiés ; les douleurs de la hanche et du genou sont extrêmement vives,
de l'atrophie papillaire du côté droit, le signe de Robertson, des douleurs fulgurantes, l'absence des réflexes des tendons
ait normal à droite, exagéré à gauche ; le malade avait eu quelques douleurs lancinantes et sa pupille droite était plus petit
it une femme atteinte manifeste- ment de tabes, caractérisé par des douleurs fulgurantes, des troubles vésicaux, le signe de
n cer- tain degré sans le dépasser : excessive, elle provoque de la douleur qui, déjà fâcheuse en soi, est encore regrettab
nique du tabès. D'autres formes de la maladie se traduisent par des douleurs ful- gurantes, des crises gastriques, des crise
u réflexe achilléen ne s'accompagne pas nécessairement de violentes douleurs , qu'elle peut même être indolore et bénigne, et
vec conservation du réflexe achilléen donne parfois naissance à des douleurs atroces et à de la scoliose. (1) Sur une déform
adiale, dans la forme que j'ai décrite('), est caractérisée par des douleurs violentes, lancinantes, prédominant à la région p
au nerf mixte. Cette irréflectivité, quand elle est associée à des douleurs fulgu- rantes, risque d'être attribuée, si l'on
sensation de froid dans les membres du côté gauche. Ne sentant aucune douleur , il continua à travailler toute la journée, et
i facilement qu'à l'état normal, ce mouvement provoquant une légère douleur . L'avant-bras étant soutenu au niveau du poignet,
re aussi fortement qu'il est possible de le faire sans provoquer de douleur et en déployant de part et d'autre la même éner
ercevait un peu les déplacements passifs et se plaignait parfois de douleurs à l'épaule gauche. J'ajoute que des désordres m
tiers supérieur, on provoque chez l'individu sain une sensation de douleur légère et en même temps une très faible extension
érébrale organique, la même manoeuvre donne lieu à une sensation de douleur plus intense, et, en outre. à une flexion du pi
e dans le liquide céphalo-rachidien. A la suite de la ponction, des douleurs violentes apparurent à l'épaule et au bras droit
des douleurs violentes apparurent à l'épaule et au bras droit ; ces douleurs existent encore. Le malade nie la syphilis ;
racines sacrées, il existe une anesthésie à la température et à la douleur . A droite, le même trouble s'étend de C 7 jusqu
ions volontaires provoquées par des excitations déter- minant de la douleur , laquelle paraît se manifester en particulier par
yperalgésie ; ;. la réaction motrice est d'autant plus forte que la douleur produite par l'excitation est plus vive et, com
tés. Aucun autre signe objectif à noter; la malade n'a jamais eu de douleurs dans les membres, elle n'a pas de troubles vési
, il est aboli à droite. Aucun autre signe objectif à noter; pas de douleurs , pas de troubles vésicaux, pas trace d'incoordina
le signe de Romberg fait totale- ment défaut; il n'y a jamais eu de douleurs . (1) MM. J. Babinski et Charpentier, Bulletins
troubles subjectifs : il est sujet depuis plusieurs mois à quelques douleurs lancinantes et il se plaint que sa mémoire se s
le de 17 ans que j'ai observée il y a dix ans. Elle se plaignait de douleurs de tête qui avaient apparu environ trois ans aupa
pour la première fois le 7 janvier dernier. Elle me déclare que la douleur de tête, devenue intolérable, occupe le front,
dans la région pariétale c'est à gauche que la malade accuse de la douleur . Voici la note qui m'a été remise par M. Gosset
ires simples. La malade se lève au toe jour. Depuis l'opération, la douleur et les vomissements n'ont plus reparu, à la gra
n I. Homme de QI ans, commence au mois d'août igi8 à souffrir d'une douleur de tête siégeant au front, continue, avec paroxys
ade reconnaît à peine la main que l'on déplace devant son oeil. Les douleurs de la tête augmentent ; les crises, qui deviennen
tent ; les crises, qui deviennent plus fréquentes, débutent par une douleur très violente à la racine du nez et irradient dan
on II. Homme de 5 ans. En décembre 1908, il commence à éprouver des douleurs frontales bilatérales qui, d'abord légères, augme
vice de mon collègue le Dr Lion, qui veut bien me l'adresser. Les douleurs de tête sont devenues plus fortes et s'accompagne
s efforts immédiatement après l'ingestion des aliments. Ce sont des douleurs térébrantes, martelantes, siégeant exclusivement
bords de la papille sont nettement limités. Depuis l'opération, les douleurs de tête ne se sont pas reproduites, mais l'affa
e hypothèse. Il est vrai que dans les néoplasmes de l'encéphale, la douleur de tête est bien souvent diffuse ; elle est sus
idement, et, dès le soir, il se déclara complètement soulagé. Les douleurs de la tête ont complètement disparu, ainsi que le
ère période de l'affection, le malade qui se plaint de lourdeur, de douleurs de tête, d'une faiblesse générale, est considér
ù le malade ne pré- sente que des troubles subjectifs, tels que des douleurs et un amoindris- sement de la puissance cérébra
n de gêne, de lassitude très pénible, mais n'ont jamais occasionné de douleurs vives. Ils cessent complètement pendant le somm
arfaite. Six jours après son mariage il fut pris de faiblesse et de douleurs au bras droit et en même temps d'une déviation
nt les efforts de marche. Sensibilité. La sensibilité au tact, à la douleur et à la température est affaiblie aux membres i
ge de 3o ans. Il y a huit jours, en pleine santé, il a ressenti une douleur de tète vive du côté gauche et il a été pris br
La malade n'a pas eu la syphilis. Elle souffre depuis deux ans de douleurs de tête qui seraient survenues à la suite d'un
ps en temps apparaissent des mouvements spasmodiques accompagnés de douleurs qui accentuent la flexion des cuisses et des ja
r un peu la flexion, mais ces tractions semblent provoquer de vives douleurs et sont suivies de spasmes qui ramènent immédiate
au phénomène des orteils ('). La malade se plaint de ressentir des douleurs très vives dans les membres inférieurs. La sensi-
en avant; depuis cette époque, elle a toujours' ressenti une légère douleur dans cette région. En même temps, le membre inf
é à la jambe gauche; mais on peut facile- ment et sans provoquer de douleurs faire mouvoir les uns sur les autres les divers
nservée, mais la malade ressent, quand elle cherche à se mouvoir, des douleurs dans la région dorso-lombaire ; elle est sujett
ans la région dorso-lombaire ; elle est sujette aussi à des crises de douleurs d'un quart d'heure de durée dans, le pied droit
d'un quart d'heure de durée dans, le pied droit et à des crises de douleurs fulgurantes dans tout le membre inférieur droit
suite, et les tentatives de redressement des membres provoquent des douleurs et des mouvements spasmodiques ; la jambe fait
e sur le bassin ainsi que de la jambe sur la cuisse, accompagnée de douleurs qui se manifestaient principalement quand on ch
bilités spéciales sont normales. Le malade ne souffre pas, n'a pas de douleurs de tête, son urine ne contient ni sucre ni albu
la percussion de diffé- rentes parties du crâne ne provoque aucune douleur ; rien au fond de l'oeil, dont l'examen est fai
l et à une névrite optique intense sans provoquer de nausées, ni de douleurs de tête à une période quelconque de son évolution
ans environ, séparées par des intervalles de santé parfaite (pas de douleurs , pas de troubles dyspeptiques) et, à aucun mome
caractéristiques de cette affection. La première est sujette à des douleurs lancinantes, ses réflexes rotuliens sont inégau
à la lumière des pupilles, l'abolition des réflexes tendineux, des douleurs lancinantes ou de l'incontinence d'urine, on est
en et du réflexe du tendon d'Achille, qui est sujet à des crises de douleurs fulgurantes, et qui, par conséquent, a des mani
ractéristiques du tabes, pourra se croire simplement en proie à des douleurs rhumatismales, et il ne lui viendra pas à l'esp
'avons pu nous faire une opinion précise. Il y a près de trois ans, douleurs qualifiées de rhumatismales dans le tronc et dans
uelle fut abolie du côté gauche. Pendant quinze jours, il y eut des douleurs de tète très fortes. 35o A/PLA'G/BS AFFECTIONS
ieurs faits paraissant montrer que la spondylose peut provoquer des douleurs lancinantes, abolir les réflexes tendineux et réa
l'occasion de dire que, dans un cas de spondylose accom- pagnée de douleurs névralgiques, j'ai constaté une très notable atté
oup souffrir. Elle est sujette depuis plusieurs années à des accès de douleurs fulgurantes dans les jambes. Il y a quelques se
tes dans les jambes. Il y a quelques semaines, elle a été prise d'une douleur de tête qui a été en s'accentuant et qui est to
our où je l'ai vue pour la première fois, elle était en proie à des douleurs de tête de la plus grande violence qui avaient, m
la situation dans laquelle elle se trouvait avant l'apparition des douleurs de tète. L'examen objectif montre que les réflexe
que, mais des lésions de choroïdite myopique très prononcées. Les douleurs fulgurantes, l'abolition des réflexes rotuliens a
oubles visuels, de quelques troubles vésicaux et souffre parfois de douleurs fulgurantes. Les réflexes rotuliens et les réfl
roubles de la sensibilité profonde, la pression ne détermine que la douleur ; du côté des troubles de la sensibilité superfic
nt baissé pour prendre un objet, ressentit à la région lombaire une douleur vive irradiant vers l'abdomen et les membres infé
ouleur vive irradiant vers l'abdomen et les membres inférieurs. Cette douleur se reproduisit sept ou huit fois pendant les 4
ue continus. ' Observation IL Mme B..., 4g ans. Il y a ro ans des douleurs apparaissent dans le membre inférieur droit en mê
ans la colonne vertébrale entre les épaules, et, immédiatement, une douleur légère qui dura quelque temps. Il remarqua, en ou
amen de la sensibilité. La sensibilité tactile et la sensibilité à la douleur sont conservées partout ; le sens des attitudes
pneumonie en 18qq, commence à éprouver, vers le milieu de igog, des douleurs à l'hypochondre droit qui, d'ailleurs, ne sont pa
s de vaquer à ses occupations habituelles. Au mois d'août igio, aux douleurs vient s'associer un affaiblissement des membres
ebout et se trouve dans la nécessité de garder le repos au lit. Les douleurs , autrefois légères, deviennent très violentes, pa
anifestation de l'affection ; de plus, par moments, surviennent les douleurs lombaires avec irradiations. On constate une an
les. La sensibilité superficielle dans tous ses modes (température, douleur , tact) y est extrêmement affaiblie ; toute- foi
ig. 4 t. Topographie de l'anesthésie. a) Anesthésie complète, tact, douleur , tem- pérature. · b) Zone où la sensibilité t
a nommée L ? âgée de 48 ans, est entrée à l'hôpital se plaignant de douleurs vives dans la tête, le cou et les épaules et de f
une métrite ; à 35 ans elle souffrit durant quatre mois et demi de douleurs dans les articulations des épaules et quelques
efforts douloureux, sans être toutefois précédés ni accompagnés de douleurs épigastriques. Le malade tomba rapidement dans un
endit rapidement la station difficile. En même temps survinrent des douleurs dans les membres et la ceinture et la malade fut
ous avons signalé déjà les troubles subjectifs de la sensibilité, les douleurs dont se plaint la malade dans les membres et le
s; tantôt il s'agit de simples engourdissements, tantôt ce sont des douleurs lancinantes constrictives, véritables douleurs en
, tantôt ce sont des douleurs lancinantes constrictives, véritables douleurs en ceinture. l'examen de la sensibilité objecti
té objective nous montre l'existence d'une légère hypoesthésie à la douleur au niveau de la partie supérieure du tronc dans l
uents et violents s'accom- pagnant de sensation de battements et de douleurs dans la nuque, le cou et les épaules. Il existe
use. La sensibilité profonde paraît intacte. La malade se plaint de douleurs dans les épaules et la région cervicale de la 3
la 382 PARAPLÉGIES - AFFECTIONS' DE LA MOELLE colonne vertébrale, douleurs qu'exagèrent les moindres mouvements des membres
le, douleurs qu'exagèrent les moindres mouvements des membres ; les douleurs lancinantes des membres inférieurs et les douleur
es membres ; les douleurs lancinantes des membres inférieurs et les douleurs constrictives du début ont disparu. On peut p
st à la suite de cette affection qu'elle a commencé à ressentir des douleurs à la région sous-ombilicale droite, et que serait
ite; l'anesthésie porte sur la sensibilité à la température et à la douleur ; elle n'atteint guère la sensibilité tactile ni l
tifs ou semble même la dépasser quelque peu. La malade se plaint de douleurs qui s'accentuent sous l'influence des déplacement
sensibilité tactile a reparu, mais il existe une hypoesthésie à la douleur et à la température bien caractérisée. En outre,
rie, une diminution de la sensibilité aux membres inférieurs et des douleurs . Ces douleurs occupent : 1° la région lombaire,
ion de la sensibilité aux membres inférieurs et des douleurs. Ces douleurs occupent : 1° la région lombaire, irradiant vers
Je ne pouvais pas m'élancer », dit-elle. Elle n'éprouva jamais de douleurs radiculaires, et les sphincters fonctionnèrent
nsibilité au tact est peu amoindrie, celle à la température et à la douleur est, au contraire, fortement atteinte. La limit
oelle par tumeur devait inévitablement se présenter à l'esprit. Les douleurs radiculaires qui constituent généralement un sy
n symptôme initial faisaient défaut, il est vrai, mais l'absence de douleurs de ce genre ne permettait pas d'exclure ce diag
l'âge de 4o ans, commence à ressentir à cette époque, en rg2r, des douleurs sous forme de crampes siégeant au mollet droit :
n 18 mois après le début de la maladie, aux crampes se joignent des douleurs en ceinture. En outre se manifestent des troubles
décembre 1924, la marche est tout à fait impossible, tandis que les douleurs , après avoir duré plus de trois ans, s'atténuent
us les modes, mais surtout la sensiuiiuc a la température et a la douleur ; ces troubles s'étendent jusqu'au pli de l'aine ;
rôle anatomique. Observation I. Femme de 49 ans. Après une phase de douleurs radiculaires sous les mamelons, se développe pr
on trouve une bande d'anesthésie complète à la température et à la douleur , avec conservation de la sensibilité tactile. L
une contracture très intense des membres inférieurs, accompagnée de douleurs et de mouve- ments spasmodiques, est liée génér
névralgie, qui n'a pas le nerf pour siège, mais qui consiste en une douleur de nature psychique, et dans laquelle, si j'en
, j'ai rapporté l'histoire d'un malade, atteint de spondylose et de douleurs très vives particulièrement sur le trajet des deu
éciale de névrite radiale caractérisée par les symptômes suivants : douleurs , qui sans être exclusivement localisées à la pa
du triceps brachial, et qu'en présence d'un malade qui se plaint de douleurs au bras on se contente du diagnostic vague de r
dans celle-là les troubles occupent le bras, se manifestent par des douleurs et n'atteignent pas la motilité d'une manière bie
s une propriété spéciale aux phénomènes hystériques ; est-ce que la douleur de la colique néphrétique, est-ce que la crise
pourrait, par suggestion, développer une phobie, une obsession, une douleur de tête en forme de casque, etc., et l'on créerai
et le terme de névralgie, dont on se sert pour dési- gner certaines douleurs dépendant de l'hystérie, est impropre ; il est im
s affections organiques viscérales. L'hystérie peut provoquer des douleurs dans la région du coeur, mais il est difficile
rganique peut être minime ; c'est un trouble pas- sager, une légère douleur , un petit traumatisme, un froissement mus- cula
éclat d'obus, contusion), la question est relativement simple : les douleurs , les troubles de motilité plus ou moins durable
s troubles de la sensibilité objective et subjective (anesthésie et douleurs ) ; des troubles de la régulation ther- mique (s
névralgie du nerf crural cor- respondant. Le nerf était le siège de douleurs spontanées; en outre, la pression exercée sur t
541-592. 552 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES gourdissement plutôt qu'une douleur dans la région. » Vulpian insiste sur les troub
tendineuse, les troubles de la sensibilité (anesthésie, névralgies, douleurs à la pression des troncs nerveux), les troubles v
on, de l'étendue de la lésion et des cicatrices, ni de l'acuité des douleurs que celles-ci peuvent provoquer, ou du moins on n
ures réflexes se plaignent parfois de sensations douloureuses ; les douleurs sont soit spontanées soit provoquées par la pre
, je me refuse à croire à une telle énergie morale devant de telles douleurs physiques. Ou bien il faudrait admettre que nou
soit, c'est que certaines manifes- tations du tabes, telles que les douleurs fulgurantes, les troubles de la marche, sont su
'age de 23 ans. Il y a cinq ans le malade a commencé à éprouver des douleurs et une sensation de fourmillements dans les mai
a vessie fonctionne d'une façon normale. Le malade n'a jamais eu de douleurs fulgurantes. Ses mains sont engourdies, il épro
s un peu anormal, il est vrai, parce que le malade n'a jamais eu de douleurs fulgurantes : de plus, le phénomène des orteils
yphilitique à l'âge de 28 ans. Il est sujet depuis quatre ans à des douleurs lancinantes. Il a des troubles vésicaux et des
malade. Les réflexes tendineux n'ont subi aucune modification ; les douleurs fulgurantes sont très rares, les troubles vésic
longtemps mises en valeur (troubles dans les réflexes tendi- neux, douleurs radiculaires, limites de l'anesthésie, limites du
on dorsale) opéré aussi plus tard, il y a eu sédation passagère des douleurs ; dans un troisième cas de tumeur à la région d
de cette affection dataient de juillet 1916 et avaient consisté en douleurs à la région sus-épineuse droite auxquelles s'ét
. Vers le milieu de 191 5, à l'âge de 60 ans, elle eut à droite des douleurs intercostales très violentes, qui furent consid
une congestion pulmonaire dont elle avait été atteinte en 1907. Ces douleurs durèrent deux mois, puis disparurent complèteme
ne aug- mentation de l'ulcération du sacrum, qui devint le siège de douleurs très vives. Vers la fin de cette période, l'ane
ier 1918, a joui d'une bonne santé. A cette époque apparaissent des douleurs en ceinture au-dessus de l'ombilic, à caractère l
in, consulté à cette époque, attribua à une affection gastrique ces douleurs , qui auraient constitué le seul trouble pendant p
52 ans, souffre depuis dix ans d'une névralgie faciale droite. La douleur , localisée au niveau d'une dent cariée du maxilla
fut suivie d'une année 6o4 THÉRAPEUTIQUE de tranquillité, mais la douleur se réveilla ensuite ; elle fut perçue non seuleme
giens furent encore successivement consultés par le malade dont les douleurs n'étaient calmées par aucune médication ; tous co
ite survint qui obligea de suspendre le traitement, une reprise des douleurs suivit immédiatement la cessation des séances.
avail. On fit en tout cinquante séances jusqu'au mois d'août. Les douleurs , très atténuées, n'avaient pourtant pas complètem
te vraisemblance de pachyméningite pottique, se manifestant par des douleurs en ceinture, de la parésie des membres inférieu
'E ? ES(') Le malade que je présente est atteint depuis sept ans de douleurs articulaires et de douleurs névralgiques. De tg
présente est atteint depuis sept ans de douleurs articulaires et de douleurs névralgiques. De tgot à igo5, il a souffert, dit-
giques. De tgot à igo5, il a souffert, dit-il, principalement d'une douleur sciatique gauche qui a disparu pendant quelque te
, des hanches, de la colonne vertébrale et d'éprouver de très vives douleurs sur le trajet des deux sciatiques, son tronc ét
H. Les rayons étaient très pénétrants. Dès la deuxième séance les douleurs s'atténuèrent ; après la huitième, le malade po
istent, mais la flexion du tronc est beaucoup moins prononcée ; les douleurs sur le trajet des nerfs sciatiques ont disparu ;
e. Y a-t-il entre la radiothérapie d'une part, la spondylose et les douleurs névralgiques liées vraisemblablement à cette sp
est de même du réflexe anal. Il n'y a pas et il n'y a jamais eu de douleurs , mais il y a des troubles anesthésiques qui occ
vril r 1 1 - En igo8, l'un de nous publia un cas de « spondylose et douleurs névralgiques très atténuées à la suite de prati
x, des hanches, de la colonne vertébrale et éprouvait de très vives douleurs sur le trajet des deux nerfs sciatiques. Son tron
aidant de deux cannes. Après quelques séances de radiothérapie, les douleurs disparurent et le malade put franchir, sans canne
nchir, sans canne, une distance d'un kilomètre, sans difficultés ni douleurs . Nous apportons aujourd'hui la relation de 4 ca
er. En fin septembre 1904, la maladie débute du côté droit, par des douleurs vives sur le trajet du nerf sciatique. Le malad
la guérison ne fut pas complète et la moindre fatigue ramenait des douleurs assez violentes. En juillet igo6, le malade, qu
rise aiguë. La fesse, la cuisse, le mollet droits, sont le siège de douleurs très vives. Le (') Babinski, in Revue Neurologi
le malade accusa un mieux sensible, une diminution considérable des douleurs spontanées et à la pres- sion. L'amélioration c
caissière, 36 ans. La maladie débute en juillet 1906, par de vives douleurs dans la région postérieure du genou, douleurs q
et 1906, par de vives douleurs dans la région postérieure du genou, douleurs qui s'irradient et occupent bientôt les points d'
ne de séances d'électricité galvanique. L'électricité calmait les douleurs sur le moment, mais le temps d'aller de chez le
hez le médecin à son domicile, dit la malade, elle était reprise de douleurs aiguës. En septembre, treize siphonages n'appor
y eut aucune bonne raison de penser à la syphilis ; puis, comme les douleurs étaient encore vives en décembre, on conseilla
e 35 ans, a eu, au mois de janvier 1910, un lumbago ; en avril, les douleurs sur le trajet du sciatique se sont accusées du cô
ce de l'un de nous, au commencement de décembre 1910. Il accuse des douleurs très vives dans la jambe gauche; la démarche est
lexe achilléen est aboli. L'épreuve de Wassermann est négative. Les douleurs sont tellement considérables que l'on est oblig
n lombaire. Le début de la sciatiqne remonte au mois de mars 1910. La douleur , à ce moment, est localisée à la fesse gauche e
injections procure le calme pendant une demi-heure environ, mais la douleur reparaît ensuite, aussi forte qu'auparavant.
l'hôpital, dans le service de l'un de nous. Le sujet se plaint de douleurs dans les reins, dans les deux jambes et plus spéc
que) des membres et du tronc (Id., 5 mai 1908). 1119. Spondylose et douleurs névralgiques atténuées à la suite de pratiques ra
45 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
A cet âge, on le plaça au lycée. Il commença alors à se plaindre de douleurs de tête, qu'on croyait d'abord causées par la c
constatai chez A ? qui avait alors dix-sept ans. Il se plaint d'une douleur qu'il localise sur le devant du front ; il lui
e se resserre douloureusement dans cette région. Par moments, cette douleur devient tout à fait aiguë et s'accompagne de ba
s'accompagne de battements et d'élancements dans la profondeur. La douleur est presque continuelle; elle ne parait guère s
temps froid et sec. La pression exercée sur le crâne ne provoque de douleurs dans aucun point, les nerfs sous-orbitaires ne
e pieds à eau courante. Dès les premiers jours de ce traitement les douleurs de tête diminuèrent, les vomissements s'arrêtèr
squ'au mois de juin, Il n'était pas complètement affranchi de ses douleurs de tète; mais celles-ci ne revenaient avec un peu
n travail plus soutenu pour la fin de l'année qui approchait, les douleurs reprirent avec plus d'intensité.. Le jeune homme
s classes vers le mois de juin, et partit pour la campagne. Là, les douleurs s'amoindrirent, mais pas assezpour que, à la re
se présenter avec ses camarades aux épreuves du baccalauréat. Les douleurs de tête étaient devenues de nouveau beaucoup pl
e me fut amené au mois de juin suivant. Il se plaignait alors d'une douleur siégeant à la région frontale et grande, disait
ontale et grande, disait-il, comme .une pièce de cinq francs. Cette douleur était légère ! le matin ; elle se développait p
s' moyens thérapeutiques. Seul l'état gastrique s'amenda ; mais les douleurs de tête persis- tèrent. L'enfant, jusque-là d'u
pendre toute étude, la moindre application de l'esprit ravivait les douleurs . L'en- fant ne se trouvait, en général, soulagé
lui fit un pou de bien, en ce sens qu'il fut plus calme, et que la douleur de tête diminua d'intensité; mais il ne fut pas
t à une simple DE LA CEPHALEE DES ADOLESCENTS. 7 conversation. La douleur est nettement limitée à la région frontale. Jam
exploration du crâne ne révèle aucune sensibilité à la pression. La douleur ne descend pas dans les yeux. L'enfant est légè
ement désagréable. Il ne re- cherche ni l'obscurité, ni l'ombre. La douleur est moins forte le matin que le soir; elle cess
n outre prendre sa douche qu'une ou deux fois la semaine. Aussi les douleurs de tète reparurent à deux ou trois reprises ave
Mais il dut renoncer à ce mode de traitement qui parut aggraver ses douleurs . On lui donna alors un précepteur pour essayer
ici ce que l'examen du malade nous apprit. L'enfant se plaint d'une douleur , dont il fixe le siège dans la région frontale,
sont très violents, après une tentative de travail, par exemple, la douleur s'étend un peu vers le sommet de la tète, mais el
lle ne gagne jamais la région occipitale. L'enfant comp arc cette douleur à une pression très énergique. « C'est com ' l'on
ns l'intérieur du crâne, comme si 1 on m'y pinçait », dit-il. Cette douleur est par moment très vive. Il la sent, en généra
ngement de temps ne parait pas l'impressionner. Il n'a jamais eu de douleurs rhumatismales. Les accès de fièvre revenaient à
sité. Au bout du dixième jour, ils avaient tota- lement disparu. La douleur de tête subit aussi rapidement DE LA CÉPHALÉE D
ur recommencer son traitement hydrothérapique. En peu de jours, les douleurs disparurent une nouvelle fois, et l'on se propo
le jour de Noël, étant à l'église, il fut repris subitement de ses douleurs , et cela avec une très grande intensité. Obse
e ses études. Mais, dans les derniers mois de l'année scolaire, les douleurs de tête reparurent avec assez de violence. Doué
f nominations à la distribution des prix. Pendant ces deux mois, la douleur do tête ne se manifestait du reste qu'après le
qu'il était au lit. L'enfant passa l'été à la campagne, et là, les douleurs de tète cessèrent complètement. Du reste, il n'
rothérapie. Mais, au bout de trois semaines, on dut y renoncer, les douleurs paraissant s'aggraver. L'enfant resta chez lui
avec beaucoup de difficulté. Au bout d'une heure d'application, les douleurs revenaient avec une telle intensité qu'on était
de trois ans qu'il avait quitté l'école. Il nous dit ressentir une douleur sur le devant du front. Il compare cette douleu
dit ressentir une douleur sur le devant du front. Il compare cette douleur à quelque chose qui le serrerait vio- lemment d
ose qui le serrerait vio- lemment dans la profondeur du cerveau. La douleur devient presque aiguë à certains moments. C'est
s. C'est alors, dit-il, comme si on le tenaillait dans ce point. La douleur reste limitée au front. Cependant, à certains m
n de vive chaleur sur le sommet de la tête. A la pression, pas de douleur sur aucune partie du crâne. Le sommeil est en g
t en général très calme et, quand il se réveille, il ne sent pas sa douleur . Celle-ci ne le reprend que vers dix heures ou
DE LA CEPHALEE DES ADOLESCENTS. 13 Le déjeuner fait disparaître la douleur pour une heure environ. 11 souffre autant debou
haque séance et, au bout d'un mois, l'enfant n'éprouvait plus ses douleurs que tous les deux ou trois jours et particulièrem
ycée à l'enfant, pour lui donner un peu do repos. Mais, comme les douleurs n'ont pas cessé pendant cette interruption, et qu
ent à terminer sa classe. Interrogé sur le siège et la nature de sa douleur , l'enfant nous dit qu'elle ne réside que sur le
on- servé. Le matin, au réveil, l'enfant ne souffre pas, mais les douleurs reprennent aussitôt qu'il s'applique. Les pieds e
cé par fré- quenter une école à Paris; mais, depuis qu'il avait ses douleurs de tête, il avait dû y renoncer complètement. 1
ment pendant tout ce temps. 11 était à peu près affranchi de ses douleurs , quand il quitta la France, et pouvait de nouveau
père rhumatisant, a com- mencé à souffrir de la tête à huit ans. La douleur était fron- tale et s'accompagnait d'élancement
re à un traitement hydrothérapique. Au bout de peu de semaines, ses douleurs avaient disparu et, au mois d'avril, ilput repr
nt tout le temps de cette maladie, qui dura près de trois mois. Ces douleurs ressemblaient en tout point à celles qu'il ressen
ale intense. Il perdit connaissance dès le début et eut ensuite des douleurs de tète atroces, que l'applica- tion continuell
et permit à l'enfant de reprendre ses études à la rentrée. Mais les douleurs de tête reparurent, de telle sorte qu'il ne put
ua au baccalauréat. En 1881, cure à Wildbad, pendant laquelle les douleurs de tète augmentèrent de la matière la plus vive.
assez IY) ! Jlt1nts.pouli empêcher; complètement les .études. rr,L, douleur , revêtait, les mêmes caractères.,que,ceux de nos
sement. Il a ressenti, pendant toute l'année scolaire passée, des douleurs frontales très vives qu'il compara à de violents
ntales très vives qu'il compara à de violents coups de marteau. Les douleurs , faibles le matin, s'exaspéraient le soir après
s deux dernières années ; il va avoir douze ans. Il se plaint d'une douleur siégeant au front, et qu'il compare à un sentim
ment où nous publions ces lignes, l'enfant ne se plaint plus de ses douleurs . (A suiove.) PATHOLOGIE MENTALE QUELQUES CO
ire; et l'on passe. Mais. que, précisé- ment, il survienne, quelque douleur , cette hypochondrie - mentale s'accentue; le ,m
terrain hypochondriaque avec'« c( hyperalgésie'mentâle'»); puis une douleur ; une causé déprimante qui ` vient abattre l'ind
jours. Lors dés crises, elle faisait peine- voir. Son anxiété,, sa douleur , les sentiments contraires par lesquels elle pa
ntation-, de plaisir',(,qui 1)c2 ? I1lPgn)e, p ! u généralement, la douleur qui suit l'arrêt volontaire du méry- cisme (9Jw
IOliTi.`I atI U'J·T,fI Après ou sans une courte fièvre, sans aucune douleur , un adulte (OUI um.enfant) "s' aperçoitf ql1ejJ
lgie viôlente'et opiniâtre,' de' ver- tiges, de syncopes,' puis de- douleurs vertébrales,' articulaires;1 etc.7 qui ne lui l
é neuro-musculaire n'existe pas. Il y a insensibilité complète à la douleur jamais,» les sens, spéciaux et le sens muscu- l
ion' des muscles antagonistes. Les téguments sont insensibles il la douleur , let,rbien que' les gens conservent un certain
nd on vcutmodifier,l';cttitude. Les téguments sont insensibles à la douleur ; mais certains modes de la sensibilité de la p
celle qui résulte de la suggestion d'une plaie : le sujetdécrit la douleur d'une manière di(Férente,sui- vant qu'il s'agit
atisé plus ou moins persistant dans lequel l'halluciné se plaint de douleurs imaginaires, se fait des pansements appropriés, p
marquent du chagrin. S'il ne s'y joint pas une sensation fausse de douleur , il est rare qu'ils s'affligent; il semble qu'i
uJ^X0.it ? ,, De la chute des ongles, de la chute des dents et des, douleurs névral- giques dans l'ataxic locomotrice et le
mètres. Depuis deux ou trois ans, il éprouvait parfois de grandes douleurs de tête et quelques secousses; sa vue s'obscurc
gros orteil droit. Ce mal perforant n'avait été pré- cédé d'aucune douleur appréciable. Mais, après son apparition, le mal
ble. Mais, après son apparition, le malade commença à ressentir des douleurs fulgurantes, qui revenaient par accès une ou de
les suivants : Le malade ne ressent plus, depuis quelques mois, de douleurs 182 PATHOLOGIE NERVEUSE. fulgurantes à type l
E. fulgurantes à type lancinant; mais il éprouve très souvent des douleurs constrictives semblables à celles que pro- duir
- duirait le pincement brusque de la peau avec une tenaillle. Ces douleurs surviennent par crises, et siègent surtout aux
au niveau des doigts. -- La sensibilité cutanée au contact, à la douleur et à la tem- pérature est conservée normale, sa
facile de réduire la luxation. Ces mouvements ne provoquent aucune douleur : ils s'accompa- gnent de quelques craquements
ticulation malade n'est ni rouge, ni épaissie. Elle est le siège de douleurs spontanées, continues, qui s'étendent à tous le
s que le malade l'a enlevé un matin à la visite sans effort et sans douleur . Les autres ongles sont il peu près normaux ; i
le malade ressent aux places où elles ont été faites une véritable douleur qui persiste longtemps. Il y a de l'anes- thési
lui. Quelques mois après cette chute, il com- mença à ressentir des douleurs qui, partant de la région lom- baire de la colo
s énergique sur la partie moyenne de l'abdo- men. Tourmenté par ces douleurs , il perdit l'appétit, et l'em- bonpoint diminua
C'est pendant le séjour pro- longé au lit, auquel l'obligèrent ses douleurs et ses abcès, que le malade devint bossu. Peu à
Tous ces accidents cessèrent cependant : les abcès se tarirent, les douleurs s'apaisèrent, et, depuis cette époque jusqu'au
pi- ratoire. 190 PATHOLOGIE NERVEUSE. Le malade se plaint d'une douleur contusive, profonde, qui part de la région lomb
e toujours à douze ou quinze centimètres de la ligne blanche. Cette douleur , qui diffère beaucoup des douleurs constrictive
mètres de la ligne blanche. Cette douleur, qui diffère beaucoup des douleurs constrictives en ceinture autrefois éprouvées p
pagnent de soubresauts musculaires des bras et des avant- bras. Ces douleurs revenaient par accès aussi bien la nuit que le
1,. 1. 20 1. CLINIQUE nerveuse. pour le siège et la nature de la douleur . Nos jeunes malades ont été unanimes à la local
à la naissance des cheveux. L'un d'entre eux nous a même dit que la douleur occupait une place grande comme une pièce de ci
et s'expliquaient d'une façon très précise. Sur la nature de leurs douleurs , les renseignements qu'ils nous ont donnés n'on
de nos malades ne DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS. 205 sentait la douleur à la pression sur le trajet des ra- meaux nerve
aire à une névralgie. Ce n'était pas davantage une migraine, car la douleur n'était pas unilatérale, elle ne se propageait
nt, la grande lumière ne les incommodait pas particulièrement; la douleur de tête persistait malgré le repos le plus com-
de se pencher, de tousser, de faire des efforts n'aggrave pas leurs douleurs , comme on l'ob- serve dans les états congestifs
s du cerveau plus fran- chement caractérisés. La localisation de la douleur limitée à une seule et même région, est aussi d
n com- prendrait mieux le fait important de la localisation de la douleur dans la région frontale. Nous savons, en effet,
De même nous voyons que, chez la plupart de nos jeunes malades, la douleur persistait souvent dans le repos intellectuel l
appelons, en effet, que, chez la plupart de nos jeunes malades, les douleurs se manifestent pour la première fois vers la fi
é tout ce printemps, prenant beaucoup d'exercice dans la forêt; ses douleurs de tète ont disparu, mais il ne peut pas encore s
ête. Il y a là une sorte d'action en retour du mal sur lui-même. La douleur est, du reste, toujours moindre au matin, après
resque tous les cas que nous avons vus, il n'existait pas de vraies douleurs ; les malades se plaignaient d'é- prouver à la t
ccipitale et s'irradiait vers les tempes; ils n'accusaient point de douleur au front. Ils- ,)Il) 2 CLINIQUE NERVEUSE. ne
en- fant qui dut quitter le lycée à l'âge de treize ans pour des douleurs de tête de cette nature. On essaya de lui donne
auquel il s'est assujetti, il -n'est pas encore débarrassé de ses douleurs . Que la maladie puisse d'ailleurs guérir ou non
des eaux de Saint-Nectaire. Son jeune client a été affranchi de ses douleurs durant tout le temps qu'il a séjourné dans cett
dissement. Cependant, chez un seul d'entre eux, le jeune C..., la douleur s'est établie d'emblée et a per- sisté avec l'i
rès, elle avait totalement cessé, sans qu'il éprouvât pour cela des douleurs dans un organe quel- conque. Un fait à signaler
Mérycisme. 254 REVUE CRITIQUE. mois et ne céda qu'en laissant des douleurs épigastriques, des nau- sées au moindre écart d
res, amers, revenaient tout à la fois et étaient rejetés, mais sans douleurs ni ell'orts de vomissement. Cette affection dis
rumination; mais alors la rétention des aliments s'accompagnait de douleur : on verra ce point signalé encore plus loin (O
sujet à une rumination qu'il ne pouvait empêcher, sans* souffrir de douleurs épigastriques. La rumination étaitprécédée d'éruc
bservation suivante : Observation XXI. - Mérycisme sans effort ni douleur . - Influence du régime; constipation persistant
é, à la lipothymie, auxquels est liée la sensation de déplaisir, de douleur (asphyxie vasculaire temporaire des centres). L
'ouïe, le contact des objets qui ont une première fois développé la douleur elle-même provoquera à une autre époque, sans l
et moraux, par le même mécanisme; la sensation désagréable sans la douleur corporelle s'appelle une émotion, une passion,
sans la douleur corporelle s'appelle une émotion, une passion, une douleur psychique et se rattache aussi aux processus d'
fait vn tel endormitlèment de tous les fens que Ion ne fent aucune douleur . Cela et)- allégué parles Iurifconfultes,lors q
- .Ataxie locomotrice. - Crises laryngées. Troubles de la miction.- Douleurs fulgurantes, anesthésie, incoordination, phénom
rien. Pendant le premier mois de 1879, il commença à éprou- ver des douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs. Quelqu
r être empêché de marcher. Depuis deux mois seulement, il y a des douleurs sur le trajet des nerfs cubitaux. Signe de Romb
e droite et du pied, qui étaient douloureux tout d'abord. Puis la douleur passa et le gonflement du pied resta le symptôme
aeuvres auxquelles on soumet le pied ne semblent pas provo- quer de douleurs . La plante du pied était le siège d'une ancs- t
affecté de la même manière que le droit, très rapidement, et sans douleur . Il raconta que quatre années avant il avait souf
ur. Il raconta que quatre années avant il avait souf- fert de vives douleurs lancinantes dans les jambes. Deux ans auparavan
une, chez laquelle le tabes avait débuté dix ans auparavant par des douleurs fulgurantes dans la face, et qui présentait des
le signe d'Argyll Robertson, etc. Peu de temps après, des accès de douleurs fulgurantes siégeant au niveau des articulation
n III. Ataxie locomotrice ; début à dix-huit ans, pas de syphilis ; Douleurs fulgurantes, troubles vésicaux et oculo-pupilla
degré chez l'homme. 310 ('LI\IQU1S RI : ItVI : IiE. la face des douleurs fulgurantes ; au niveau des points où elles pro
saient, la peau était sensible au toucher. Quelques mois après, des douleurs analogues ont apparu dans les jambes ; mais ces
un an et demi les urines déposent. A partir de la môme époque les douleurs fulgu- rantes ont notablement diminué ; mais
pas de craquements articulaires. (Il y a deux ans elle avait eu des douleurs fulgu- rantes au niveau de l'articulation métat
e l'articulation métatarso-phalangienne du côté droit, et les mêmes douleurs s'étaient montrées du côté gauche il y a deux m
rieure du pied. Cela s'est produit depuis un an graduellement, sans douleur ni gonflement. On ne pro- voque ni craquements
us relevons, en effet, dans l'histoire de cette dame l'existence de douleurs fulgurantes, d'incoordination motrice, d'anesth
e douleurs fulgurantes, d'incoordination motrice, d'anesthésies, de douleurs en cuirasse, de troubles des fonctions urinairc
tions morales pénibles. - Troubles de la vision, inca01'- dination, douleurs fulgurantes ; troubles urinaires, a ? ? 0'ONa-
re allait lui manquer. A cette époque, elle commença à éprouver des douleurs ful- gurantes dans les membres inférieures. Aux
dans les membres inférieures. Aux points où se ma- nifestaient des douleurs , elle constata fréquemment l'existence d'une se
: il y eut du gonflement diffus, au niveau du genou surtout, sans douleur intense, sans rougeur et sans lièvre, au moins tr
on des mouvements ; mais la région déformée n'était affectée que de douleurs insigni- fiantes. Quelques mois après le geno
depuis le cou-de-pied jusqu'à la racine du membre. Depuis un an les douleurs paraissent avoir beaucoup dimi- nué, mais il es
CLINIQUE NERVEUSE. gérant par moments. Rarement elle se plaint de douleurs ra- chidienncs vers la parlie supérieure de la
précier la distance estexagérée, soit de ce que la sensibilité à la douleur est plus grande (mélancolie, folie systématique
rent aussi en ligne de compte. La diminution de la sensibilité à la douleur dans la stupi- dité est susceptible d'une promp
éflexe, car elle coïncide avec la diminution de la sensibilité à la douleur . Parmi les troubles vaso-moteurs assez fréquent
nsitoire caractérisée par de l'obnubilation de la vue, de violentes douleurs de tête, des vomis- sements, des hallucinations
ésordre complet dans les idées et les paroles qui les expriment. 5° Douleurs musculaires redoutables dans les jambes. Ces acci
quefois aussi au niveau des autres. Elles sont souvent précédées de douleurs vives, persistant de quel- ques jours à trois o
ignalés. Amélioration par le traitement diabétique, intensité de la douleur , résistance à la médication des névralgies, dis
A. Période prodromique ; phénomènes d'excitation ou de dépression, douleurs , convulsions chez l'enfant, et surtout odeur sl
46 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
qu'elle remue les yeux pour regarder dans la chambre, une violente douleur se déclare au- dessus du sourcil gauche, pas ai
ouleur se déclare au- dessus du sourcil gauche, pas ailleurs. Cette douleur s'exagère, et, vers neuf ou dix heures du matin
éprouve une soif d'air intense, ouvre toutes les fenêtres, puis la douleur se calme et disparaît complète- ment vers midi,
ans le même état pendant une huitaine de jours, puis diminuent. Les douleurs peuvent persister pendant deux mois; au moment
ppétit, quelquefois des vomissements, c'est à la fin de la crise de douleurs que surviennent la diplopie et la chute de la p
ses ont diminué d'intensité. Elles revenaient tous les ans, mais la douleur était moins vive ; elles se terminaient par de
ession. Si l'on provoque la contraction des muscles paralysés, la douleur sus-orbitaire se développe immédiatement avec une
vers ; à l'âge de trois ans pendant neuf ou dix jours, violentes douleurs dans l'oeil droit, à la suite desquelles celui-ci
par des vomissements d'une durée de huit jours et par une violente douleur qui en dura quatorze. Deux jours après la cessa
ir au matin, l'oeil fut complètement fermé, en même temps que les douleurs cessaient entièrement; cet état dura quelques s
it que toujours, dès que la chute de la paupière avait eu lieu, les douleurs dispa- raissaient aussitôt. Observation III,
s de six à neuf mois d'accès particuliers. Ils débutaient par de la douleur au- dessus de l'oeil gauche, des nausées, de la
e de l'accommodation; au bout de quelques jours , amélioration , la douleur et les vomissements disparurent ; le ptosis dim
une légère trace de ptosis. Au bout de deux mois, violent accès de douleur et de nausées d'une durée de trois jours. Un ac
cès observé par Saundby deux ans plus tard avait commencé par de la douleur dans la tempe gauche, des nausées de la saburre
oculaire commun de l'oeil droit en même temps que de nausées, de douleurs céphaliques et oculaires ; depuis lors, cette par
avait des accès commençant par des nausées, des vomissements et des douleurs dans la tempe gauche puis aboutissant à de la p
ante dans le voisinage de l'oeil, et surtout derrière l'oeil. Cette douleur avait d'ailleurs commencé dès le jour précédent
à la suite d'une saignée pratiquée à la tempe à cause de violentes douleurs de tête. Ces douleurs de tête, siégeant surtout
née pratiquée à la tempe à cause de violentes douleurs de tête. Ces douleurs de tête, siégeant surtout du côté droit, se son
u six semaines, dit le malade; elle est toujours précédée des mêmes douleurs de tête hémicrâ- niennes qui, dès l'apparition
de la paralysie. Dans l'intervalle des accès, la disparition de la douleur de tète était seule complète, mais non celle de
celui-ci ayant voulu continuer son voyage; déjà le second jour, la douleur de tête avait complètement disparu, et le ptosi
s le 31 août 1884 à l'hôpital général de Birmingham pour malaise et douleur au-dessus de l'oeil droit et dans la région mal
ait indisposé depuis 3 jours (Sickness) avec mal de tête, mais sans douleur localisée. Un an auparavant, il avait été dans
rouve qu'en novembre 83, il avait été admis comme souffrant d'une douleur au-dessus de l'oreille droite, pendant les quatre
plexion, n'a pas vomi depuis son admission et ne se plaint d'aucune douleur . Il y a ptosis de l'oeil droit et parésie du dr
e ordre, tout d'abord malaise général avec phénomènes gastriques et douleurs , suivis, après .un laps de temps plus ou moins
ire. 25 nous avons eu surtout en vue d'indiquer l'existence de la douleur , sans spécifier aucunement la nature de celle-c
êt guère les caractères ordi- naires de cette affection, car ici la douleur est limitée non seulement à un côté, mais à un
t et surtout persistant bien longtemps après la disparition de la douleur , de telle sorte qu'on pourrait dire qu'on est l
symptômes tabétiques, que le signe d'Ar- gyll Robertson et quelques douleurs fulgurantes mal caractérisées. Il est actuellem
aune agitation plus ou moins grande, une sensation de malaise, de^ douleurs dans le ventre et l'hypochondre droit. L'excita
richs, deux groupes d'accidents, suivant que l'on observe ou non la douleur thoracique et la dyspnée. Sans doute la dyspnée
t en inappétence, nausées, vomissements et diarrhée, avec ou sans douleurs concomitantes. Leur fréquence est telle que, d'
au point d'égarer le diagnostic. Taylor a signalé la fréquence des douleurs gastriques et abdominales, et ces dou- leurs, j
en proie à une émo- tion vive. Parfois, la dyspnée s'accompagne de douleurs vives, occupant l'un ou l'autre hypochondre, le
s d'oreille, de la céphalalgie, qui ont été notés, ou bien quelques douleurs vagues ou des douleurs névralgiques en différen
alalgie, qui ont été notés, ou bien quelques douleurs vagues ou des douleurs névralgiques en différents points du corps. I
en plus profond; il n'y a pas de paralysie, et la sensibilité à la douleur , à la piqûre, au pincement, bien qu'obtuse, est
la céphalalgie, des vertiges, une sensation de malaise général, des douleurs en divers points du corps, ou bien une excitati
it d'abord par de la céphalalgie, des vertiges ; puis se montra une douleur assez vive, persistante, localisée à la région
ité. Intégrité des nerfs céphaliques et des sphincters ; absence de douleurs en ceinture; rien du côté de la colonne vertébr
es de congestion céphalique. Le 29 décembre 4882, elle présente des douleurs à la nuque, dans la tête, par tout le corps, av
Le 31, amélioration le matin; recrudescence dans l'après-midi, les douleurs affectant lu forme d'accès névralgiques ; grand
SOCIETES SAVANTES. 101 durs. Le 1° janvier 1883, pendant la nuit, douleurs très violentes, nombreuses sensations anormales
corps jusqu'à l'ombilic. Entre l'ombilic et la sixième côte gauche, douleurs intercostales névralyiformes en ceinture (hypéres
in rouge, cognac, liqueurs; les symptômes consistent en ? violentes douleurs erratiques dans les extrémités et la région lom
rapidement suivie de paralysie des deux extrémités supérieures avec douleurs violentes et sensations d'engourdissement des p
orphine qui lui avaient été prescrites autrefois pour combattre des douleurs névralgiques abdominales. Il résulte, d'autre par
ent était caractérisée par un sentiment de fatigue généralisée, des douleurs lombaires, des sensations de froid et dechaud,
lle ne l'est d'ordinaire dans la manie simple. B... se plaint d'une douleur de tête violente; il nous dit que cette douleur
... se plaint d'une douleur de tête violente; il nous dit que cette douleur existe depuis 13t. PATHOLOGIE MENTALE. le déb
ectifs de sensibilité avec un peu de faiblesse vésicale; tantôt des douleurs lancinantes, des paresthésies et des fourmillem
ème mémoire, comprend un peu la symptomato- ]ogie du tabès combiné ( douleurs lancinantes et abolition des réflexes tendineux
notamment en alcoolisme. Pas de syphilis nette. En 1871, début des douleurs fulgurantes, qui conlinuent de temps en temps,
ique une ataxie locomotrice au début (il y avait toujours aussi les douleurs fulgurantes) et prescrit des douches froides, '
e ses souffrances actuelles et qu'il distingue bien des an- ciennes douleurs fulgurantes; celles-ci reviennent du reste enco
te jusqu'au-dessus des seins. La colonne vertébrale est le siège de douleurs spontanées assez vives avec tiraillements très
tiraillements très pénibles dans les muscles des gouttières. Pas de douleur à la percussion des apophyses épineuses. Dans
cussion des apophyses épineuses. Dans les membres supérieurs, les douleurs ont apparu (mains et bras) vers 1873, mais sont
l'incoordination motrice, l'influence de l'occlusion des yeux, les douleurs ful- gurantes, les anesthésies, l'abolition des
gauche. Après s'être servi de cette main, le ma- lade éprouvait des douleurs dans le bras gauche et des palpitations. Quand
è trière, pas de sympt8mes moteurs. Hémianesthésie au froid et à la douleur du côté droit, légère et partielle. Goût, ouïe
viscérales el périphériques caractérisées par de l'hématurie, de la douleur splénique avec hypertrophie, des taches décolor
ent, après l'apparition de l'hémianopsie, il se plaignit un jour de douleur et d'enflure de la paume de la main droite, sui
dans un des intervalles des accès. Elle était caractérisée par des douleurs vives dans diverses articulations qui présentèren
âge de vingt-huit ans), elle dit avoir éprouvé un gonflement et des douleurs à l'épigastre, des envies fréquentes d'uriner (
, im- médiatement après, un sentiment de lassitude prononcée, des douleurs à la tête, au tronc et aux jointures, alors ce br
ez fréquentes. Il n'est pas rare d'entendre la malade accuser des douleurs spontanées vagues, peu vives, dans les masses m
met incomplè- tement. Depuis plusieurs mois, la malade accuse des douleurs indécises, de faible intensité dans les différe
uniqués à ces mêmes articulations provoquent, dans ces parties, des douleurs vives, la malade disant que ça lui fait mal et
e la malade est hypnotisée; mais, avant de le faire, disons que les douleurs sont intenses au poignet (très gonflé), au geno
du gonflement du genou gauche, dont les mouvements causent moins de douleur ; contracture léthargique et somnambulique aux q
aison du tendon patellaire et les parties avoisinantes une certaine douleur augmentée par la pres- sion et disparue aux der
n état normal ; la seconde est faite au moment où elle souffrait de douleurs névral- giques. La seconde s'abaisse considérab
q étudiants et un médecin) et dix tabétiques. A. Individus sains. Douleur provoquée par le froid. Cette limite varie, sel
lité des divers sujets ; différences variant entre 1, 5 et M, 5. 2° Douleur provoquée par la cha- leur. Variation moyenne,
du corps, de 0, 0 à 3, 8 (le côté gauche est le plus sensible à la douleur ). B. Les tabétiques comparés aux individus sain
comparés aux individus sains. 1° Chez la plupart des tabétiques, la douleur thermique ne se montre que lorsqu'on arrive aux
rolonge l'action de très basses températures, on ne provoque pas de douleur . 3o C'est généralement sur les extrémités infér
res qu'on effectue cette constatation. Conclusion physiologique. La douleur produite par le froid ou la chaleur constitue u
omentanément, et il semble que ces manipu- lations provoquent de la douleur . Capable de saisir les objets à l'aide des memb
e d'un malade intoxiqué par l'acide sulfurique, à une époque où les douleurs l'empêchaient de rien prendre ; en même temps,
profonde, irrégulière, dont les bords ne sont point fracturés ; une douleur constante qui siège à ce niveau lui enlève tout
pendant assez longtemps le calme cherché. Au printemps suivant, les douleurs reparaissent bien plus violentes, elles s'étend
de la dépression. Ren- seignements pris à la clinique de Francfort. Douleurs occipitales continues excessives à l'occasion d
ue de fièvre. Le malade s'en re- tourne chez lui, débarrassé de ses douleurs , enjoué, gai. Mais, dès la quinzaine suivante,
e du nez, l'angle interne de l'oeil gauche ; fréquemment, en outre, douleurs térébrantes à l'occiput ; sensations de tension
s rétrocèdent au bout de cinq semaines; il se met travailler; de la douleur de tête il reste une inexprimable sensation de
eparaît parfaite. Sortie, à Litre d'essai, le 24 janvier 11885 ; la douleur de tête est devenue supportable ; l'écriture et
ment s'ajoute un traumatisme nouveau ; alors on voit survenir une douleur locale excessive, de l'insomnie, des troubles ocu
eures ; il porte fréquemment la main à sa cicatrice et se plaint de douleurs dans le sinciput; en même temps, il offre les s
aitement à chaque individu. On n'obtiendra la gué- rison que si les douleurs physiques ou psychiques pour lesquels il prenai
syphilis. Début de l'affection médullaire en 1870, par de violentes douleurs dans les jambes et en particulier dans le genou
72, il lui semble que les deux genoux ont augmenté d'épaisseur; les douleurs ont augmenté. En 1874, prend les bains d'Oynlia
bains d'Oynliausen. Jadis, il a toujours ressenti le jour, de vives douleurs dans les genoux; il lui était impossible de ten
egistrées, des fonctions excrétoires, de l'appareil visuel : pas de douleurs eu ceinture, ni lancinantes; conservation, voire
dix ans. Stature puissante; sol- dat et chasseur acharné. Diplopie, douleurs en ceinture, ataxie ex- trêmement prononcée dan
s coït accompagné de ténesme anal ; constipation modérée; jamais de douleurs lancinantes, mais grande sensibilité à la plant
ne de Romberg; intégrité de la sensibilité; pas de diplopie; pas de douleurs en ceinture; rien du côté de la miction. Depuis
Jeune fille de seize ans; un mois après la suspension des règles, douleurs épigastriques et vomissements fréquents, quelquef
hésie excessivement vive. 25. Uchan éprouve dans le bras gauche des douleurs contusives, vagues, sans localisation*précise,
arfois des élancements sur le trajet du cubital et du ra- dial. Ces douleurs sont plus vives au niveau de l'épaule et manife
de la vue dont le début parait remonter au moment où ont apparu les douleurs du bras gauche : la lecture est difficile, pres
é des doigts, les sensations sont perçues avec un léger retard. Les douleurs signalées dans ce bras continuent à se produire
s les doigts. Anesthésie absolue sur toute l'étendue du membre; les douleurs spon- tanées ne cessent pas de s'y produire.
anesthésie absolues du bras gauche qui continue à être le siège de douleurs très vives, oc- cupant successivement le trajet
acer ses jambes en les fai- sant glisser sur lo plan du lit. Pas de douleurs spontanées ni provoquées, La sensibilité au con
douleurs spontanées ni provoquées, La sensibilité au contact, à la douleur , à la-tem- pérature est considérablement amoind
st partout abolie dans tous ses modes, sauf au niveau du tronc. Les douleurs spontanées DE LA NÉVRITE SEGMENTAIRE. 345 per
ement et tend à rejoindre la perte de substance voisine. 2t. -Des douleurs vives, contusives, permanentes, se pro- duisent
res ont subi un amai- grissement rapide et très prononcé. 23. Les douleurs ne cessent point de se faire sentir dans le bra
musculaire est- très amoindrie; sensibilité presque normale. Les douleurs persistent toujours du côté gauche. La main a r
au tabes dorsal spasmodique que l'on pense tout d'abord ; mais les douleurs du début, la diplopie, le relâchement des sphin
nous envisagerons successivement : l'incoordination motrice, les douleurs et anesthésiés, les troubles céphaliques, mésoc
1, 2, 14, 16, 19, 23, 25, 26, 32 et 33), on a nettement signalé les douleurs fulgurantes et dans 9 autres (n°8 3, 6, 9, 13,
antes et dans 9 autres (n°8 3, 6, 9, 13, 15, 17, 18, 21 et 29), des douleurs de différents ordres : dans les membres, dans l
as négatifs pour l'incoordi- nation et les 14 cas négatifs pour les douleurs , on voit qu'il en reste seulement 6 (11" 8, 20,
et 31), dans lesquels on n'ait noté ni incoordination motrice ni douleur . b. Ce dernier groupe d'observations négatives
te G... fut sujette à chaque retour des périodes menstruelles à des douleurs vives dans la région épigastrique; ces malaises
s règles cessent brusquement, et le surlendemain, elle s'alite. Les douleurs dans la région épigastrique sont des plus aiguës,
cou et aux mains ; 2° L'abolition du réflexe pharyngien ; 3° La douleur à lapression de la légion ovarienne droite; 4°
besoins de défécation, moeléna et état catarrhal. -- Pas de fièvre. Douleurs abdominales géné- ralisées. Pas de coliques. Vo
'épingle est mal sentie par le malade qui localise difficilement la douleur . La motilité n'a pas reparu ni dans le membre s
cide. Puis amélioration passagère terminée par une exaceiba- tion : douleurs dans les membres, paresthésies, exagération des
.a présenté des phénomènes convulsifs bien accentués; le lendemain, douleurs dans toute la tête, idées délirantes, agitation
érateurs de certaines névralgies avec points douloureux de Valleix ( douleurs continues opiniâtres ne suivant pas le trajet d
convénient qu'une eschare. Une seule séance a guéri une patiente de douleurs datant de quinze ans. Observation. D. Névralgie
terminales des doigts; outrele troublefonctionnel, on constate une douleur considérable incoercible n'ayant cédé à aucun m
tion à dix pour cent de nitrite d'amyle dans l'alccol rectifié : la douleur disparait immédiatement, mais au bout d'une min
tout à fait remis, et put prendre un bon repas une heure après. La douleur lombaire ne reparut pas, et aucun accident nouv
47 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
uelques particularités qui nous intéressent : « A 16 ans, très-grande douleur au bras droit, qui le fit évanouir. On le saigna
e sang vint parfaitement bien. Il resta 18 mois sans accès. Alors, la douleur revint et se faisait sentir très-souvent, quelque
ale postérieure, s'irradient dans le bras et dans le coude ; — 2° des douleurs vives dans le poignet et des craquements dans l'é
; 2° des crises gastriques. 4° Les migraines s'accompagnent : a) de douleurs occupant surtout la moitié droite de la tète, et
se retournent, dit-elle, le coude et l'épaule sont le siège de vives douleurs , puis surviennent des nausées, bientôt suivies de
ant l'accès, d'ordinaireune dizaine de minutes, L... éprouve : a) une douleur à l'épigastre, avec sensation de gonflement; il l
derrière le sternum, s'arrête à la base du cou et l'étouffé ; b) une douleur dans le bras paralysé qui, partant du coude,s'élè
u'on me coupe le bras ou bien que j'ai un mal qui va aboutir. » Cette douleur , lorsqu'elle est très-forte, s'accompagne de mouv
ouvements, de secousses de la main ; — c) la malade accuse encore une douleur occupant la région pariétale gauche, gagnant la p
erne le point b, sa description de ce jour diffère de l'ancienne : la douleur siège au niveau du coude ; elle ne remonte pas, m
t, en tout temps, plus froid que le gauche. — Dans les temps humides, douleurs et craquements dans l'épaule, mais aucune douleur
les temps humides, douleurs et craquements dans l'épaule, mais aucune douleur le long du bras ni dans les autres jointures. Tou
à relever quelques changements, d'ailleurs légers : D... se plaint de douleurs assez profondes dans le bras paralysé, à trajet m
des membres paralysés, surtout Y épaule et le coude, sont le s'ége de douleurs plus ou moins vives, revenant par crises principa
à 5 mois, et cela à "25 ans. — Trois autres sœurs sont sujettes à des douleurs de tète.— Une nièce a eu une yavalysie de Venfanc
rant la marche. Quelquefois, ilest pendant,presque allongé. Parfois douleurs dans IV-paule, surtout au moment des -variations
as, le coude ou le bras; mais elle éprouve, dans l'épaule gauche, des douleurs très-fortes qu'il est impossible de lui faire mie
rs très-fortes qu'il est impossible de lui faire mieux dépeindre. Ces douleurs durent assez longtemps pour qu'elle puisse appele
. Aussi ne se blesse-t-elle jamais. Toutefois, si, par exception, les douleurs ne sont pas assez intenses pour la réveiller, il
nsi que le voile palatin. — La percussion du crâne ne provoque pas de douleur . Membre supérieur droit. — Rigidité assez prono
des accès.Cette aura consiste d'habitude en des engourdissements, des douleurs variables, des secousses (Obs. I, p. 8), une augm
é des membres paralysés et, le plus souvent, du membre supérieur. Ces douleurs occupent tantôt l'épaule seule (Obs. IV), tantôt
es qui accusent, en outre, une impulsion en avant (Obs. I, p. 8), une douleur à l'épigastre ou des battements de cœur. Préciser
ravers aux questions qu'on lui faisait. Souvent, elle se plaignait de douleurs à la tête, qui était brûlante sur toute son étend
eurs à la tête, qui était brûlante sur toute son étendue. C'est à ces douleurs qu'on attribue l'appauvrissement de sa chevelure
as à angle droit avec le tronc en provoquant des craquements et de la douleur . — Le coude est rigide ; on arrive à étendre l'av
aient annoncés par une aura qui n'existerait plus. Elle éprouvait une douleur à l'épigastre, puis à la tête; elle avait le temp
que, un peu avant Vaccès, au moins quelques minutes, elle éprouve une douleur au sommet de la tête ; le point qu'elle indique r
qui réunirait les deux conduits en passant par dessus la tête. Cette douleur , qui s'étend plus à gauche qu'à droite, s'accompa
he qu'à droite, s'accompagne de battements. Il s'y ajoute bientôt une douleur constrictive occupant l'épigastre où la malade po
une action sur l'épilepsie. P... assure ressentir d'ordinaire , des douleurs lancinantes dans le bras gauche, sans trajet bien
délimité et prédominant à l'épaule (qui a été luxée) et au coude. Ces douleurs s'exaspéreraient deux ou trois jours avant les ac
puis 4 ans et demi. Elle a eu une hémoptysie légère il y a un an. — Douleurs fréquentes entre les épaules et au-dessous des cl
aru à 16 ans ; leur établissement a été pénible; V... eu de violentes douleurs dans les reins et dans le bas-ventre, qui ont néc
cilement ; on a une certaine résistance à vaincre et on produit de la douleur . L'extraction de la sonde donne les mêmes sensati
On a noté des retours incomplets et passagers de la sensibilité à la douleur . — Le médicament a produit les vomissements, la d
se sont établies difficilement à 4 6 ans; V... a éprouvé de violentes douleurs dans le ventre et dans les reins, qui l'ont contr
ureuse, occasionne une sensation de pesanteur avec élancements. Cette douleur est presque constante : « C'est comme un coup de
tobre jusqu'au 28, jour où les attaques ont commencé. Rachialgie. — Douleur vive à la pression des apophyses épineuses des 7°
ètres, on sent une résistance, la malade dit que la sonde produit une douleur qu'elle compare à celle que déterminent les matiè
s de ce silence. Elle dit que L... a toujours senti venir ses crises ( douleurs dans le ventre à gauche) qui étaient très-légères
la paralysie, abandonnant le côté gauche, aurait passé à droite ; les douleurs du ventre auraient également changé de côté. Le
sibilité du bras droit et des attaques d'hystérie grave, précédées de douleurs dans le bas-ventre à droite. On arrête les crises
uleurs perdue. Aura. — Elle se compose des phénomènes suivants : 1° douleur siégeant au niveau de V or aire droit (fiyperesth
are que la série, qui vient de se terminer, a été précédée non pas de douleurs dans le côté droit du ventre,suivant l'habitude,
de douleurs dans le côté droit du ventre,suivant l'habitude, mais de douleurs dans le côté gauche. 6 juin.— L... a eu plusieu
un soulllet de l'un des hommes du cortège, le 1er, elle se plaint de douleurs dans les reins et dans le bas-ventre, di fie rent
e douleurs dans les reins et dans le bas-ventre, di fie rentes de ses douleurs ovariennes. Hier, elles étaient si fortes, qu'ell
, 130 attaques. 4 décembre. — Dans l'après-midi, X... a éprouvé des douleurs au niveau du métatarse droit ; elle prétend qu'il
arrêt définitif. — L... a eu des secousses dans le bras droit et des douleurs dans l'épaule. Les soubresauts d u membre inférie
te de la nuit, sommeil assez tranquille, interrompu toutefois par des douleurs dans la jambe droite. Au réveil, contracture très
jusqu'à 2 heures du matin, 19 février, 31 attaques. Elle a senti des douleurs au niveau du bas-ventre, de la vulve et de la han
hyses épineuses et des gouttières des 4e et 5° vertèbres dorsales. La douleur est vive, énervante : « Ça me fait sauter, dit la
romes lointains de l'attaque. Interrogée, la malade déclare que les douleurs qu'elle ressent presque constamment dans le côté
ire durant quelques minutes, se dissipent. L... demande à boire. La douleur de la jambe droite reste aussi intense et la cont
t des membres (20 secondes.) Période de détire. — Gris d'effroi, de douleurs , pleurs étouffés ; X... s'excite, se redresse, s'
sans (l) Le sommeil, qui avait été assez cause appréciable, une douleur dans le sein droit. A... est conduite à la consul
ent énorme: en quelques heures,il triple de volume. En môme temps, la douleur s'exaspère et arrache des cris épouvantables à la
t tendu, luisant, mais il n'était ni chaud ni rouge. Le lendemain, la douleur et le gonflement diminuèrent; tout se dissipa en
gueur de trois centimètres; la pression est toujours douloureuse ; la douleur spontanée est intermittente; elle est surtout acc
e, c'est pour la contrarier. Attaques (1). — Aura. A... éprouve des douleurs plus vives que d'habitude dans les régions ovarie
, avait bien signalé, dans son Traité des maladies de la mamelle, une douleur très-vive au sein augmentant sous la moindre pres
i maintenant la description de B. Brodie: « La malade se plaint d'une douleur dans le sein et redoute singulièrement la moindre
t exceptionnelle, la tumeur irritable de la mamelle, ni avec d'autres douleurs qu'on observe dans le même organe chez les femmes
e de vingt-trois ans, l'autre de trente-cinq ans, qui éprouvaient des douleurs intolérables au sein gauche, et auxquelles des ch
hystériques, etc. M. P. Briquet a noté chez cinq de ses malades une douleur de la peau s'étendant à toute l'épaisseur de la m
la peau s'étendant à toute l'épaisseur de la mamelle, quatre fois la douleur existait dans la mamelle gauche (2). Notre ami
, après quel-quesjoursde suspension des accès, elle a été prise d'une douleur dans la région mammaire qui a prompte-ment acquis
Le mamelon était très-déve-loppé et brunâtre... » Le gonflement et la douleur disparurent le 22 septembre. Plusieurs fois aupar
mais sans chaleur ni rougeur. Pendant 24 heures, le gonflement et la douleur persistent au même degré, puis diminuent peu à pe
e » sont arrivées, il y en a vne qui me donna beaucoup » de peine, de douleur , et de confusion, et qui m'en » donne encore et m
qu'elles perçoient mon coeur de toutes parts » et le consumoient. La douleur que j'en sentois me » rendoit toute interdite ; e
lige nuit et jour, On ne peut l'ôter à mon âme. Plus je soutfrirai de douleur . Plus il s'unira à mon cœur ! Ce qui étonnait l
ble au côté, écrit M. Bougaud. « Cette plaie, dit-elle, dont la » douleur m'est très-précieuse, me cause de si vives » arde
48 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
ère déviation delà colonne vertébrale le frappa insidieusement sans douleur , et cette scoliose a persisté depuis sans modif
n ans, convalescent d'une fièvre typhoïde qui seplainait surtout de douleurs aux deux avant-bras qui s'étendaientle long du
avant-bras qui s'étendaientle long du cubitus jusqu'à la main. Les douleurs étaient plus prononcées 1. Deutsch. Arch. sur m
pparurent les divers troubles de la main. ; Insensiblement, et sans douleurs marquées, la main devint de plus en plus faible
lement et d'engourdis- sement du petit doigt de la main gauche. Les douleurs gagnent bientôt l'an- nulaire, puis de la faibl
is longtemps de son bras droit. Il y a cinq ans déjà ressentait des douleurs dans la partie interne de ce membre, douleurs qui
s déjà ressentait des douleurs dans la partie interne de ce membre, douleurs qui revenaient par accès. La faiblesse et l'atr
in en pronation posée à plat est presque impossible. Sensibilité. Douleurs dans la partie interne comparée à des fourmille-
ent esl constant, mais les picotements reviennent par accès. Pas de douleur à la pression. 1. Du rôle de la prédisposition
APHIE DE LA SALPÈTI\IÈIlE, D... ressentit un choc violent, une vive douleur , puis ses idées se trou- blèrent sans qu'il per
d'un courant électrique; chaque secousse s'accompagne d'une légère douleur . Depuis le traumatisme, le malade est constipé
disparu depuis six semaines. Du côté du cou, le malade signale les douleurs extrêmement vives qu'il éprouvait aux moindres
trêmement vives qu'il éprouvait aux moindres mouvements de la tête, douleurs qui furent soulagées par l'application de vento
ues saccades la main gauche. Ces mouvements provoquent une certaine douleur dans la partie antérieure du bras. D... peut à pe
n V. Fracture de sacrum remontant à cinq ans. Paralysie. z Crampes. Douleurs . Atrophie musculaire. Troubles tro- phiques cut
emps. avec des alternatives d'amé- lioration et d'exacerbation, les douleurs et les crampes signalées ci-dessus. Depuis lors
ne précise pas nettement le mode. Crampes fréquentes. Ce sont les douleurs qui la tourmentent surtout. Elles sont variées. C
rs qui la tourmentent surtout. Elles sont variées. C'est tantôt une douleur continue avec des exacerbations dont les unes dur
-lombaire et surtout dans la région sacrée. Il y aurait parfois des douleurs spontanées dans le dos, surtout, dit la malade,
endroit, les jours suivants. Ainsi donc, paraplégie, anesthésie, douleurs , atrophie musculaire, troubles trophiques des e
Les phénomènes précédemment rapportés ne s'accompagnèrent pas de douleurs , ni localement, ni dans un point plus ou moins él
de M. Vigouroux. Intelligence vive ; bonne santé ordinaire ; pas de douleurs ; pas de troubles de la sensibilité; intégrité d
mons, surtout dans le droit. 2 décembre. - Le malade accuse de la douleur dans le membre inférieur droit. La toux et l'op
de la sensibilité. - Les membres atteints sont souvent le siège de douleurs très variables comme mode et comme intensité, p
très variables comme mode et comme intensité, pouvant rappeler les douleurs fulgurantes de l'ataxie locomotrice progressive
lésion uni-latérale droite de Ja moelle lombaire, développement de douleurs fulgurantes dans la jambe droite, plus tard dan
lle et près de son mari ne permit de retrouver l'existence d'aucune douleur . Elle n'avait jamais eu de céphalalgie. Il n'y av
y fit d'ailleurs pas plus attention. Une couple d'années plus tard, douleurs de tête continues. Bientôt il remarqua que ses
du visage aurait changé dans les dernières années. Aggravation des douleurs de tête qui, bien que continues, présentent des
alement; maladresse des mains. Depuis quatre ans, disparition des douleurs dans les bras et les jambes. Dès le début de la
où les plus forts courants faradiques ne pouvaient provoquer aucune douleur , tandis que les sensations- minima étaient prod
souvant gêne respiratoire, la malade a éprouvé une fois encore. des douleurs de tète avec vomissements. Au bout de dix à dou
la main, dont l'ouverture au bistouri ne causa pas,- paraît-il, de douleur apparente. Elle tomba à ce moment dans une phas
syllabes, elle affirme ci plusieurs reprises qu'elle ne sent aucune douleur . Plusieurs fois, elle s'échappe de son lit pour
et muqueuse, nor- male au contactet au froid, semble diminuée à la douleur ; pas de zones douloureuses; la malade voit les
quelques-uns les fontions vésicales sont redevenues normales. Les douleurs fulgurantes semblent également tirer bénéfice du
ous a pas paru devoir être uniquement attribué à la disparition des douleurs fulgurantes. En résumé, tous les malades que no
la miction , puis survint une rechute caractérisée par une crise de douleurs fulgurantes et la chute de la paupière supérieure
PHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. résultats. L'opération ne doit entraîner ni douleur , ni fatigue, sous peine d'être inefficacc. Au
quefois les attaques ou les vertiges sont annoncés par une violente douleur de tête du côté droit. Depuis son entrée jusqu'au
t de quatre à cinq jours avec écoulement d'intensité variable, sans douleurs ; il quinze ans, suppression des règles pendant q
pesanteur et d'épuisement l'envahil, se transformant quelquefois en douleurs lancinantes pénibles dans la nuque et les membr
arents paternels ni maternels. Un frère, bien portant, qui a eu des douleurs rhumatismales. Une soeur a des attaques d'hysté
Dans cet état on pouvait, par suggestion, calmer pour un moment ses douleurs de la hanche et du genou, et la faire parler à
ive agitation. Après cette attaque, elle se plaint de ressentir des douleurs dans l'épaule et dans le bras du côté droit et
avant-bras et la main du même côté. Le lendemain (28 décembre), les douleurs augmentent d'intensité : le moindre mouvement d
on, le plus léger frôlement de la peau à leur niveau provoquent une douleur assez intense et font crier la malade; l'articu
eproduisent aussitôt après le réveil ou quelques minutes après. Les douleurs arthralgiques ne peuvent être calmées par sugge
e, même légèrement, la peau qui les recouvre, son faciès exprime la douleur et elle laisse échapper quelques plaintes. On r
plaintes. On remarque même que pendant la période somnambulique ces douleurs provoquées sont plus vires qu'à l'état de veill
atins, on fait disparaître ces accidents par sug- gestion, sauf les douleurs arthralgiques qui persistent, même pendant toutes
es. Il nous suffira de rappeler le signe de Brodie constitué par la douleur exquise au simple frôlement qui accompagne les co
torze il vingt ans, bien portante. A cette époque, elle ressent une douleur très vive dans la jambe, puis dans la fesse gau
ent une douleur très vive dans la jambe, puis dans la fesse gauche, douleur qui s'accompagne bientôt d'une fatigue excessive
nd subitement, un jour, étant sur le bassin, elle ressent de telles douleurs dans l'abdomen qu'on diagnostique une rupture d
s l'abdomen qu'on diagnostique une rupture de l'intestin ; mais ces douleurs étaient simplement prémonitoires des règles qui
t subitement, dit la malade, dans l'espace d'une heure. Violentes douleurs alee photophobie. Dès le soir même, elle sent qu'
sent qu'elle ne petit ouvrir les deux yeux. Pendant huit jours, les douleurs persistent; l'oeil gauche est fermé complètemen
sthésie il la piqûre, le blépharospasme a légère- ment diminué; les douleurs spontanées sonl moindres, mais elles ne lardent
s, mais elles ne lardent pas à reparaître, de même du reste que les douleurs provoquées dans le domaine des 'nerfs sectionné
hyperesthésie exquise; le simple frôlement provoque à ce niveau une douleur extrêmement vive en tout comparable à celle que l
ont comme le fond commun de tous les désordres pathologiques, et la douleur qui en est l'accompagnement le plus fréquent. M
ges regardent de près et se livrent à un examen qui n'est pas sans' douleur , ainsi que le témoigne le geste si bien observé q
est sur les genoux d'une femme assise à terre près du lit. Et si la douleur qu'éprouvent les assistants se manifeste par de
ent. Le patient est un pauvre hère qui ne retient point ses cris de douleur , pendant que le médecin retire avec précaution
d'une table, un paysan, l'épaule nue, les traits contractés par la douleur ,' pousse des cris perçants, pendant que le chirur
isième métatarsien s'est fendillé, la pas- sion n'y réveille aucune douleur . 23 avril. Le faciès du malade exprime l'hébétu
sensibilité est presque impossible. Il paraît cependant réagir à la douleur lorsqu'on le pique avec une aiguille. Quanta la
ments volontaires ou provoqués sont possibles et n'éveillent aucune douleur . 4- juin. Le malade maigrit. Poids G3 kg. 500.
temps, sa marche était titubante, mais il ne s'est jamais plaint de douleurs . Le 15 janvier 4887, il a eu un accès apoplecti
sation de chaleur excessive. Elle. n'a jamais éprouvé de véritables douleurs .- ' . Il n'y a aucun trouble du côté des sphinc
bial aurait débuté, il y a huit ou dix jours, en même temps que des douleurs névralgiques de ce côté de la face. La langue n
ce dernier cas l'apparition de la contracture avait été précédée de douleurs qui eussent pu faire penser à une patho- génie
uloureuses et avons alors constaté ce qui suit. Le z10 mars 1888, douleurs vives siégeant dans les muscles du cou des deux
s vives siégeant dans les muscles du cou des deux côtés; le 11, les douleurs se localisent à gauche; le 1` ? , la contracture
e le pouvait-il faire que goutte à goutte : il avait outre cela une douleur de tête insupportable ». Pascal, hélas ! fut saig
ec modération toutefois à ses admirables travaux. En 'l651, il a la douleur de perdre son père; sa santé cependant continue
jà si altérée : il vit dans une continuelle langueur; il souffre de douleurs de dents qui lui ôtent tout sommeil; pendant se
ilieu d'une phrase, et quelquefois même au milieu d'un mot ». Les douleurs de tête augmentent, il est pris de convulsions qu
on, dit-elle, ou eut froid peut-être. Le lendemain, elle sentit une douleur intense dans la hanche droite. Cette douleur pa
emain, elle sentit une douleur intense dans la hanche droite. Cette douleur paraît avoir persisté plusieurs jours. Pendant qu
matisme, au refroidissement ou à toute autre cause. Le souvenir des douleurs endurées détermine un état de célébra- tion inc
précédée d'ar- thrite ou de périarthrite, elle a sa source dans les douleurs provo- quées par les maneuvres thérapeutiques;
nt sur la région tuméfiée de la plante du pied on provoque une vive douleur , et la trépidation reparaît. Parfois le malade to
par une épaisse couche de foin, de sorte qu'il ne ressentit aucune douleur . Aussitôt la chute, les deux bras se contractur
lité (fig. 77, 78). Côté droit normal. Côté gauche. Anesthésie à la douleur , au froid, à la chaleur, dans toute l'étendue d
paules, les mains, les cuisses, les jambes; elle y cause tantôt une douleur et tantôt une enflure dont celle des jambes est
is la main était gonflée et violacée. Aucune sensation anormale, ni douleurs ni fourmillements dans la- main paralysée; donc p
ès très rapides ; sans fourmil- lements, sans engourdissement, sans douleur , la sensibilité revint et, en huit NOUVELLE ICO
complètement dégonflée, mais elle reste violacée et insensible à la douleur et il la température. Les mouvements des doigts
rès chaude ne détermine qu'une vague sensation de chaleur. 2° Des douleurs spontanées; ces douleurs consistent en tirailleme
qu'une vague sensation de chaleur. 2° Des douleurs spontanées; ces douleurs consistent en tiraillements, élancements, sensa
aits pour induire en erreur. L'étendue, l'aspect du gonflement, les douleurs spontanées dont il est le siège, l'hyperesthési
comme aliénée, sort guérie au bout de cinq ans. A vingt-trois ans, douleurs très vives dans les membres supérieurs qui sont
ions d'engourdissement, de fourmillement, de refroi- dissement, des douleurs plus ou moins vives qu'il est malaisé de rappor-
..., vingt-six ans (pl. XLVII) (39 kilogr. 300 gr.), était prise de douleurs dans le ventre, qui lui sem- blaient prémonitoi
oires de ses règles, qu'elle n'avait pas eues depuis deux mois. Ces douleurs s'accompagnaient d'un état gastrique marqué : i
tard de l'avant-bras gauche avec secousses fibrillaires, mais sans douleurs dans les régions des muscles en voie d'atrophie
'RI\GOlll'ÉLIC. 313 Un an plus tard, il a commencé il ressentir des douleurs fulgurantes dans la jambe gauche. Actuellement,
ir des douleurs fulgurantes dans la jambe gauche. Actuellement, ces douleurs reviennent encore de temps en temps. La maladie
malade souffre de temps en temps d'une névralgie faciale gauche; la douleur s'irradie parfois vers le coeur. De plus, depui
té opposé. Secousses fibrillaires dans tous les muscles du corps. Douleurs vives dans le talon droit survenant d'une manière
Elles existent depuis l'âge de 17 ans. ' . , . ' Sensibilité à la douleur (fig. 81, 82). - Aux membres supérieurs elle es
ntuée.) - La sensibilité aux pieds est normale. La sensibilité à la douleur est normale sur le reste du corps. Sur les part
scrotum, il localise parfaitement la piqûre mais n'éprouve au- cune douleur . Pas de différence entre la sensibilité des deux
49 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
Aujourd'hui elle se plaint de souffrir des deux côtés du ventre, la douleur est plus intense à droite. Et quand on lui demand
le, surtout à droite, et le sommet de la tête est le siège d'une vive douleur . Ces phénomènes douloureux reviennent par accès
dans le côté droit de la tête et dans le côté, gauche du ventre. Des douleurs erratiques parcourent la poitrine. A 6 heures e
meure au lit tout l'après-midi, elle est très agitée. Elle souffre de douleurs dans le ventre et de pal-pitations. Elle a des ha
ied de son lit. Cependant les autres phénomènes de l'aura s'accusent, douleur de ventre, constriction épigastrique, palpitation
par des hallucinations. Quatre jours avant l'attaque commencent des douleurs de ventre très vives, dans la région de l'ovaire
uve dans tous les membres des inquiétudes, des engourdis-sements, des douleurs , surtout du côté droit du corps. Il lui semble qu
la bouche. Survient alors une sorte d'engourdissement général, et une douleur poignante au côté droit, précédée quelquefois, ma
ignante au côté droit, précédée quelquefois, mais non toujours, d'une douleur au bas-ventre qu'elle ne localise pas très bien.
Les hystériques dont il s'agit portent en tout temps au ventre une douleur fixe, plus ou moins intense, et que M. Charcot, d
stème nerveux. Nous lui laissons la parole : « 1° Tantôt, c'est une douleur vive, très vive même : les ma-lades ne peuvent su
es et la peau elle-même sont de la partie... » 2° D'autres fois, la douleur n'est pas spontanément accusée; il faut la recher
les muscles, s'ils sont lâches, peuvent être pinces et soulevés sans douleur ; — c. cette première exploration montre que le si
ns douleur; — c. cette première exploration montre que le siège de la douleur n'est pas dans la peau ni dans les muscles. Il es
'abdomen, à l'aide des doigts, on arrive sur le véritable foyer de la douleur . )) Cette manœuvre permet de s'assurer que le s
a douleur. )) Cette manœuvre permet de s'assurer que le siège de la douleur en question est à peu près fixe, qu'il est toujou
)) C'est à ce moment de l'exploration que l'on provoque surtout la douleur , et qu'elle se révèle avec des caractères pour ai
des caractères pour ainsi dire spécifiques. Il ne s'agit pas là d'une douleur banale, car c'est une sensation complexe qui s'ac
bientôt, pour peu qu'on insiste d. » Aux approches de l'attaque la douleur ovarienne s'exaspère et toute la suite des phénom
t psychique spécial accompagné d'hal-lucinations des divers sens. Les douleurs n'apparaissent que deux ou trois jours avant l'at
que est plus imminente. Puis l'ovarie droite augmente d'intensité, la douleur descend dans la jambe droite et jusqu'au bout du
roite et ses mains qui se crispent douloureusement. Au même moment la douleur au ventre, au creux épigastrique et à la tête at-
s et intenses, principalement à la têfe, au sommet ou i la nuque. Ces douleurs sont parfois d'une violence qui paraît lépasser t
t prise d'éblouissements, de suf-focations et de vertiges. Hier les douleurs de tête ont augmenté de violence et l'agitation a
s inhalations d'éther ne la calment qu'imparfaitement. Ce matin les douleurs de tête sont encore plus violentes. « C'est comme
par des fric-tions assez vives, ils deviennent le point de déparf de douleurs ré-flexes pouvant occasionner l'attaque. » Sans
che l'épine dorsale entre les deux épaules, elle ressent une violente douleur dans le ventre, puis une suffoca-tion qui amène d
9, n°8 et 8'). L'assimilation toutefois ne saurait être complète. La douleur ovarienne a pour siège un viscère profondément si
emande, elle supplie, elle respire la. joie, ou se laisse aller à une douleur voi-sine du désespoir. Elle a, pour demander pa
elle s'avance vers elle, ce qui coïncide avec une exacerbation de la douleur ovarienne. Puis la vision l'étreint au point de l
s-cours de ce cerne : « Ah! pauvre Gen...! qui pourra comprendre ma douleur !... Dieu seul... Je devrais ne pas le recevoir...
r incroyable. Elle s'était levée, et avec de véritables hurlements de douleur , parcourait la salle, en s'arrachant les cheveux
es animaux; elle a recouvré en partie connaissance, elle se plaint de douleurs atroces dans la tête ou dans les membres, est pri
rolonge. Marc... pleure, la contracture se détend peu à peu, et les douleurs sont moins vives. Dans cette série d'attaques n
sisté sur la loi d'après laquelle ces hallucinations se déplacent. La douleur ova-rienne devient très vive, elle est double, ma
fois observés en pareille circonstance. Au début, exa-cerbation de la douleur ovarienne, puis douleur précordiale, palpitations
e circonstance. Au début, exa-cerbation de la douleur ovarienne, puis douleur précordiale, palpitations, sensation de suffocati
t hémianesthésique du côté gauche et achromatopsique du même côté. La douleur ovarienne existe aussi à gauche. Elle possède, en
omes habituels. L'aura hysterica se développe suivant la loi connue : douleur ovarienne, douleur cardiaque, palpitations, str
ura hysterica se développe suivant la loi connue : douleur ovarienne, douleur cardiaque, palpitations, strangulation ; puis,
taque hystérique : agitation, perversion des idées et des sentiments, douleur ovarienne surtout du côté gauche, douleur thoraci
es idées et des sentiments, douleur ovarienne surtout du côté gauche, douleur thoracique au-dessus des seins au niveau des zone
ne journée ou plusieurs heures des troubles précurseurs habituels. La douleur ovarienne s'exagère et existe surtout à gauche. D
odromes de son attaque que dans les quelques heures qui précèdent. La douleur existe dans la région ovarienne et dans la région
ourir à la même expres-sion, celle d'une personne en proie à une vive douleur ou à de violentes angoisses. La crise présente
e à gauche. Pas d'achromatopsie. Som-nambulisme provoqué, catalepsie. Douleur ovarienne gauche. L'aura hys-terica part de cette
uvent où elle était en pension, elle sentit tout à coup une vio-lente douleur dans le membre inférieur du côté gauche. Cette do
une vio-lente douleur dans le membre inférieur du côté gauche. Cette douleur ne pouvait être causée ni par un coup ni par un e
plus marcher. L'arti-culation du genou était le siège d'une violente douleur . Depuis longtemps déjà avant cet accident, Mlle
e mois. Le père très nerveux, la mère très lympha-tique. Lorsque la douleur du genou éclata, on fit appel aux secours de la c
en demi-flexion. Un jour, comme Mlle X... se plaignait beaucoup des douleurs que lui occasionnait le courant électrique, et vo
rouvait une sensation d'étranglement (boule hystérique), une violente douleur dans la région précordiale; le regard devenait fi
ade le début de l'attaque était marqué par la sensation de boule, une douleur violente du côté de l'utérus, de la raideur des j
comme d'habitude, la malade avait senti vers deux heures une violente douleur à la région précordiale et dans la région de l'ov
rie; crises hystéro-épileptiformes plusieurs fois par jour; anorexie; douleurs cardiaques très violentes; visions d'animaux, dél
rlait à des animaux. Pendant tout le temps elle accusait une violente douleur dans la région du cœur. Si la malade était laissé
souvent — de vio-lentes contractions utérines, suivies bientôt d'une douleur intense de l'ovaire gauche, douleur qui va s'irra
s utérines, suivies bientôt d'une douleur intense de l'ovaire gauche, douleur qui va s'irradiant vers la hanche; tantôt une dou
ès chaude. M. X..., son mari, était venu la voir. A peine couchée, la douleur ovarique se fait sentir, puis la douleur précordi
la voir. A peine couchée, la douleur ovarique se fait sentir, puis la douleur précordiale et la douleur céphalique, suivies du
la douleur ovarique se fait sentir, puis la douleur précordiale et la douleur céphalique, suivies du claquement de dents, précu
— Les règles vinrent avec quelques jours de retard, s'accompagnant de douleurs fort vives pendant une durée de 8 à 10 jours. Au
ousse des cris. Elle ressent en outre, dans tout le côté atteint, une douleur continue ; des élancements très vifs se font sent
vers sens. Cette vision se produisait du côté droit de la malade. (La douleur ovarienne était à droite autrefois; depuis que la
mais avec une prédo-minance marquée à gauche.) Depuis ce matin les douleurs du côté contracture ont été plus vives qu'à l'ord
mpes, de nausées avec suffocation hysté-rique (sensation de boule) et douleur ovarienne gauche très vive. A 4 h. 45 minutes n
La connaissance est revenue ; la crise est terminée. Elle éprouve des douleurs très vives dans l'épaule gauche; les douleurs se
minée. Elle éprouve des douleurs très vives dans l'épaule gauche; les douleurs se calment peu à peu. Elle ne ressent plus la str
plaint que de quelques crampes d'estomac, et accuse tous les mois des douleurs de reins et des coliques qui précèdent de quelque
droite surtout. Chaque fois qu'elle est malade, elle affirme que la douleur part du ventre, s'irradie à l'estomac, monte au c
malade pousse deux sortes de cris : des cris d'effroi et des cris de douleur sous la pression ovarienne. — La voix est entreco
nti-ment de fatigue; elle se sent brisée et se plaint amèrement de la douleur consécutive à la pression. Celte douleur dure tou
et se plaint amèrement de la douleur consécutive à la pression. Celte douleur dure toujours 4-8 heures au moins. Comme complé
it au mieux, et que sa menstruation, qui ne s'est jamais établie sans douleur , s'est opérée la semaine dernière sans lui occasi
iatement avant l'attaque, apparaît Y aura hystérique : ovarie gauche, douleur s'irradiant vers l'épigastre, accélération des ba
rexie, quelquefois vomissements. Avant l'attaque, aura hystérique : douleur partant du côté gauche de la vulve. Puis les irra
n-noncent l'attaque. Un peu avant l'attaque apparaît Y aura; pas de douleur ovarienne propre-ment dite; sensation de constric
nts : Avant l'attaque se montre l'aura .hystérique, consistant en : douleur au pli de l'aine gauche (le petit malade est mono
orale gauche présenta de la gêne des mouvements, de la raideur, de la douleur ; l'irritabilité nerveuse ne fit qu'augmenter; pui
ale gauche est le siège de contractions muscu-laires douloureuses; la douleur siège au niveau de l'article^y a son maximum d'in
un peu au-dessus du détroit supérieur, il y a hyperesthésie, et cette douleur qu'il faut rechercher par la pression est limitée
lle et sensitive ; en effet, rien n'est apprécié par la malade, ni la douleur (analgésie), ni le chatouillement (anesthésié au
ves, nous apprenons qu'elles sont caracté-risées à l'ovaire par de la douleur , à l'épigastre par des nausées, au cœur par des p
e, au cœur, au cou, à la tempe, ou aux oreilles et à l'œil gauche. La douleur ovarienne s'exaspère, et spontanément, par les se
, accentue et accompagne cette scène affreuse en poussant des cris de douleur et de rage. La malade a perdu complètement conn
loureuses, fait revenir la malade à elle; celle-ci pousse des cris de douleur , pleure et demande à tous ceux qui l'entourent de
ni le remuer; la partie antérieure de la cuisse est le siège de vives douleurs limitées par le genou, un peu plus rouge et plus
es souffrances qu'elle éprouve. Il y a trois ans elle fut prise d'une douleur dans le trajet du muscle sterno-cléido-masloïdien
leur dans le trajet du muscle sterno-cléido-masloïdien gauche ; cette douleur d'un ca-ractère intermittent s'est reproduite tro
a cessé de parler, s'est couchée sur le côté gauche, en raison de la douleur du cou, en poussant un petit gémissement qui cons
t son ou-vrage, un livre, faisait son repas, ne se plaignait d'aucune douleur et ne se rappelait rien de ce qui lui était arriv
nce reve-nait aussitôt l'accès terminé. La jeune malade n'accusait ni douleur , ni fati-gue ; sa figure, très changée dans l'acc
assée; elle est très sujette à des palpitations, à des nausées, à des douleurs vagues, surtout avant ses attaques. Tous les mo
uit : après quelques prodromes, tels que ma-laise général, tristesse, douleurs , nausées, vient une attaque hystérique, avec pert
horribles, et par-lait beaucoup en dormant. Elle accusait souvent une douleur dans l'abdo-men. Voici maintenant une nouvelle
i conservent en partie l'usage des fonctions cérébrales souffrent des douleurs horribles dans la tête : il semble aux uns que l'
tenses; ce ne sont, pour ainsi dire, que des efforts commandés par la douleur ; ce sont les malades eux-mêmes qui donnent cette
de l'estomac, l'autre de nausées. Une petite fille signalait une vive douleur précordiale accompagnée de palpitations. La commo
tre minutes surviennent de petits accès ainsi carac-térisés : a. La douleur ovarienne, qui est permanente et double, tout en
s'arrache les cheveux, se frappe violemment, pousse d'affreux cris de douleur ou des hurlements de bête féroce. Elle se démène
pas; des crampes coutournent ses membres et lui arrachent des cris de douleur déchirants; elle supplie les as-sistants de la so
aspect effrayant des anciens possédés; enfin par la persistance de la douleur , dont l'acuité ramène promptement la connaissance
tre ou cinq minutes de suite, et était accompagné et suivi de grandes douleurs , et d'une sensation vive de chaleur dans cette pa
s forces, ne sait |)lus ce qu'(dle veut, C(; qu'elle fait; accuse des douleurs aux jambes, à la nuque, enfin à l'épigastre; agit
se portait bien, mangeait de bon appétit et ne se plaignait que d'une douleur légère à la nuque, suivie de rots qui la soulagea
t pousse pendant ces divers exercices des cris plaintifs exprimant la douleur . Le visage est pâle et contracté, le pouls petit
s sans que le malade accusât, par un mouvement quelconque, la moindre douleur . A ce moment (12 novembre) nous avons constaté
e, étouftéments, palpitations, gêne dans la gorge, saignement du nez, douleur fixe dans le côté abdominal gauche, signes d'in-f
nalyser, parce qu'elle ne peut être maintenue longtemps à cause de la douleur qui l'accompagne, chez l'hystérique en état de lé
hyperexcitabilité musculaire n'existe plus. L'anestliésie totale à la douleur persiste. La parole est conservée, et, de même qu
sumerai ainsi les principaux caractères : 1° Anesthésie totale à la douleur de la peau et des muqueuses. T L'œil est ouvert
elle nous n'avons pas expéri-menté. Des malades en proie a de vives douleurs ont pu bénéficier de cette anesthésie artificiell
e anesthésie artificielle. D'après Demarquay et Giraud-Teulon « des douleurs utérines très vives qui tourmentaient les malades
d'une hystérique rapportée par Landouzy et dont tes violents accès de douleur intestinale (jui avaient i-ésisté à l'emploi de l
n'est marqué par aucun signe extérieur. 2° Même insensibilité à la douleur de la peau et des muqueuses que dans la léthargie
ademoiselle X... se rejette la tête en arrière, son visage exprime la douleur . Interrogée, elle répond que l'odeur du tabac que
ent la sensibilité de l'ouïe; un contact ordinaire amène une certaine douleur , puis deux doigts placés, l'un sur la tête, l'aut
(clou, boule), et des accès de météorisme considérable provoquant des douleurs abdo-minales très vives. Voici ce qu'observa le
ans le décubitus horizontal; comme, à ce moment, L... se plaignait de douleur dans le ventre distendu par un météorisme considé
Il procurait un grand soulagement à la malade tourmentée par de vives douleurs abdominales. Enfin il était suivi d'une sensation
ans les deux mains et se plaignant, en poussant les hauts cris, d'une douleur atroce dans toute la région de la voûte crânienne
voûte crânienne et dans les deux tempes, depuis plus d'un mois cette douleur lui est habituelle et existe plusieurs heures par
qu'il y a hémianesthésie de tout le côté gauche. Il existe de grandes douleurs dans les régions ovariennes, des douleurs en urin
auche. Il existe de grandes douleurs dans les régions ovariennes, des douleurs en urinant, et une pho-tophobie des deux yeux tel
des deux membres gauches. Comme la malade se plaignait beaucoup de sa douleur de tête, je lui ordonnai de se coucher et elle ne
es ceryico-dorsaux. A son réveil, la malade accuse, en outre de ses douleurs de tête, des points douloureux le long de l'épine
uelquefois aussi elle est prise de céphalalgie, d. éblouissements, de douleurs dans les membres qui se font sentir exclusivement
catalepsie; lorsque je lavis, elle se plaignit de maux d'esto-mac, de douleurs vagues dans le bas-ventre; elle sentait une espèc
corps se trouvent dans un état complet de raideur, et la violence des douleurs sem-ble s'accroître en raison du nombre des muscl
taient jusqu'au tronc, et pro-duisaient un sentiment d'anxiété et des douleurs extrêmement pénibles. L'ef-fet magnétique pouvait
lobe montant à la gorge, palpitations, sifflements dans les oreilles, douleurs de tête, etc. D'après Bourdin \ « les accès d'h
ns qu'aucun des muscles du visage se contractât et accusât la moindre douleur . Cet état dura un quart d'heure environ ; il cess
té exemplaire. Suppression des règles en novembre 1708. A la suite, douleur de tète, mal de gorge, et fluxion de poitrine que
illes dans les bras et les jambes, sans qu'elle donnât aucun signe de douleur ; il n'y avait que le pouls qui, en continuant ses
une. Quoiqu'elle eût été fort tour-mentée, il ne lui restait point de douleur , ni même de lassitude. Pendant qu'on s'entreten
e du même côté était affaiblie, les accès étaient précédés d'une vive douleur à l'épigastre et dans f hypochondre droit. Du m
oit instantanément, soit après quelques prodromes : la tristesse, une douleur de tête, des lipo-thymies; divers mouvements conv
enne contre laquelle ses efforts se bri-saient, elle poussa un cri de douleur affreux, et de l'extase tomba dans un accès d'hys
riques elles-mêmes diminuent, elles sont remplacées peu à peu par des douleurs épigastriques, et du 15 janvier au 1" février on
s il n'y a eu d'accidents que de loin en loin. Aujourd'hui il y a des douleurs dans le membre inférieur gauche. L'é-thérisation
, esquissées. Elle s'endort tout à coup, sans autre prodrome qu'une douleur sincipitale ; elle s'endort les yeux ouverts, mar
ait palpitation des pau-pières. La malade montre.très nettement une douleur ovarienne gauche. Il n'y a pas d'anesthésie nette
ible et exprimant par gestes qu'elle avait des étourdissements et une douleur vive à la tempe gauche. Enfin elle avait repris l
attaque. Mais à son réveil la malade se plaint d'étourdissement et de douleur vive à la tempe gauche. Enfin la A'^ période es
rtébrale, la face devient livide ; les traits contractés expriment la douleur , d'abord les yeux sont fermés et la saillie de la
provoqués, Arman-dine H... est grognon, triste, se plaint vivement de douleurs dans la tête, dans les membres, se cache sous ses
magnésium. A peine le sommeil était-il obtenu qu'elle se plaignait de douleurs dans les membres et se livrait tour à tour au rir
, il a chaque matin des vomituritions pituiteuses, et fréquemment des douleurs et des pincements à l'estomac ; pour guérir il au
uis trois ans, il éprouve des maux de tête, des étourdisse-ments, des douleurs dans les bras et les jambes, une faiblesse dans l
de ces insectes qui était en mal d'enfant et avait choisi pour lit de douleur le troisième cheveu à gauche de mon front : après
épingle de grosse dimension, sans que la ma-lade ressente la moindre douleur , sans même qu'elle s'en aper-çoive si son attenti
lité RICHER. 34 commune sont affectés : sensibilité au tact, à la douleur , à la température. Les organes des sens sont ég
te première expérience lui est emprunté iiUégralement. lieu à de la douleur ; mais si on les fait à quelques centimètres, elle
qué ou pincé le bras, se plaindre, peu après le petit accident, d'une douleur qui, des doigts, s'étend par en liaut sur la main
qui, des doigts, s'étend par en liaut sur la main et l'avant-bras. La douleur par des observations tirées de la pratique, les
n, le moindre frôlement, le moindre mouvement provoqué exaspèrent les douleurs et la contracture... Il arrive, en général, que l
t la contracture... Il arrive, en général, que l'hyperesthésie et les douleurs font place, tôt ou tard, à une anesthésie plus ou
exige pour le supporter sans sourciller une force de résistance à la douleur que nous nous refusons complètement à admettre ch
par un rare degré d'énergie, la volonté peut réprimer le réflexe à la douleur , quand celle-ci est prévue ; jamais ce mou-vement
observation antérieure lui aura démontré être le siège habituel de la douleur ovarienne. » Tout d'abord, il lui faut faire ap
o-roforme et tout est fini pour ce jour-là. La malade n'accuse aucune douleur abdominale. » Depuis, l'appareil a été appliqué
constate seulement un peu de rougeur de la peau, mais pas la moindre douleur soit superficielle, soit profonde. » Il n'est p
es, elles éprouvent une sorte de tressaillement à la suite duquel les douleurs se dissipent (Lib. V, cap. i) \ Et il n'est pas
; ils étaient tristes, craintifs, erraient sans cesse poussés par des douleurs vagues qui commençaient tout à coup dans différen
appât rudement sur la plante des pieds, de manière à déterminer de la douleur , autre-ment ils se frappaient eux-mêmes non point
es ecchymoses, des mor-sures, et tout cela sans donner aucun signe de douleur . L'une d'entre elles, Anne Langon, qui avait ét
se servait pour enfumer l'un de ses démons. Lorsqu'elle sentit de la douleur , elle se retira brusquement des mains de l'exorci
manière à faire frémir les assistants, et cela sans témoigner aucune douleur et sans qu'il paraisse ni sang, ni contusion. »
de mai. « Unjour, dit le père, étant dehors elle sentit une grande douleur à la cuisse droite au-dessus du genou; en y regar
-pelle la religion 1, une pensée toute spontanée ou provoquée par une douleur gas-tralgique, de simples borborygmes déterminent
it alors pour la guérison des malades fut de les faire passer par des douleurs très vives et des convulsions très extraordinaire
tre pouces de long toute violette, elle parut souffrir les plus vives douleurs , ses bras se raidirent, et elle fit de violents e
èrent avec les mêmes caractères; le 18 elle fut guérie d'une violente douleur au côté gauche dont elle souffrait depuis le débu
-heure; trois hommes m'y posèrent. Pendant que j'y fus j'éprouvai des douleurs affreuses et des mouvements si violents que les a
nt étaient obligées de suivre les mouvements de la con-vulsion... Les douleurs que je souffrais étaient au delà de ce que je pui
elles la connaissance étaient conservée s'ac-compagnaient parfois, de douleurs affreuses semblables à celles que j'ai signalées
s ne me faisaient pas perdre la connaissance... 4^prouvais de grandes douleurs lorsqu'elles me laissaient la connaissance; mais
sance; mais presqu'aus-sitôt que ces convulsions étaient cessées, mes douleurs cessaient aussi... Tantôt il me semblaitqu'on me
de mouve-ments indécents qui lui faisaient dire qu'elle souffrait des douleurs plus aiguës que si elle mettait un enfant au mond
nexprimable, au milieu des expressions et des marques de la plus vive douleur , que leurs cris et les mou-vements de leurs corps
on, et toute l'attitude de son corps prend celle d'un crucifix. Une douleur vive et tendre, supportée avec la patience la plu
e; mais sans faire un soupir ni aucun gémissement; elle s'agite et la douleur est peinte sur son visage. On lui passe plu-sieur
; on lui óteles clous des mains, on les arrache avec une tenaille; la douleur lui fait grincer des dents, elle tressaille sans
bois de plus de cinq lignes. Françoise éprouve les mêmes symptômes de douleur que lorsqu'on lui a décloué les mains. ^ Ces te
on, des cris semblables à ceux de l'agonie ou à ceux poussés dans les douleurs de l'enfantement, des convulsions des muscles des
terre, suffocation, oppression, respiration haletante, tremble-ment, douleurs dans certaines parties du corps, convulsions, sec
Je ne sache pas qu'aucun malade se soit plaint d'avoir ressenti de la douleur , excepté une femme, qui la première fut attaquée
n une forte sensation d'inquié-tude et de repentir, une oppression ou douleur légère dans la tête et les membres une respiratio
est un exemple d'extase cataleptique dans lequel l'insensibilité à la douleur pendant l'accès est surabondamment prouvée. Les
était retournée (revenue â elle), en sen-tait après moult fois grande douleur et grand affligement, jâ soit que (bien que) elle
quand elle fut retournée de ce saint ravissement, sentit moult grande douleur aux pieds et si fière angoisse qu'elle ne la put
t mis en grande prison, dont le roi fut tant travaillé et eut tant de douleur que le cœur lui partit et il mourut déshérité et
t plus disdnct. Enfin, lorsque l'heure de la mort approche, et que la douleur a pénétré jusqu'au fond de l'être, la mort même r
50 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
onnant dans lequel l'être se débat. Si le haschisch ne cause aucune douleur de tète, s'il semble n'avoir aucune action nuisib
urs, sur les nombreux phénomènes qui se produisirent et sur les vives douleurs qui accompagnèrent ces phénomènes, pour arriver d
froid des membres inférieurs faisait place à une chaleur normale, les douleurs cessaient; bref, la tympanite se fondait sans une
ention. Munsterberg. — Les sensations complexes du plaisir et de la douleur . Lombroso. — La sensibilité des femmes, normales,
ses -. (Sydney quaterley Magazine, mars 1892.) Baix. - . Plaisir et douleur . (Mind., janvier-avril 1892.) Brunon. — . Tics
du sommet de la tête est douloureux, sans qu'il existe de point où la douleur soit plus aiguë. Pas d'hyperesthésie épineuse.
gée de soixante-trois ans, entre à l'hôpital le 14 mai 1891, pour des douleurs dans tout le côté gauche du corps et dans la téte
des douleurs dans tout le côté gauche du corps et dans la téte. Les douleurs de tète et la surdité se sont développées en même
fait faire un mouvement involontaire et presque pousser un crî. Les douleurs névralgiques qui siègent à la téte sont beaucoup
la saisit vigoureusement par le bras gauche. Elle ne témoigne aucune douleur . On s'assure alors du degré de sensibilité en tou
re de l'oreille gauche. A son réveil, elle déclare ne plus avoir de douleurs de tête. On lui fait alors boucher l'oreille droi
La femme F..., âgée de vingt-quatre ans, entre à l'hôpital pour des douleurs des membres inférieurs, accompagnées de paralysie
lusieurs personnes. Dans la journée, elle mirch; facilement et sans douleur , descend au jardin et se promène. On l'endort d
nt hypnotique au moyen du miroir rotatit. Dès la première séance, les douleurs disparurent cl, après quelques Jours, pendant les
sie. Il a eu. dît-il, beaucoup de chagrins, a ressenti une profonde douleur de la perte d'une personne qu'il aimait. Il est
dit-il, son coeur se glacer. Il y a huit ans, à la suite d'une vive douleur morale, il eut pour la première fois une grande c
encore aujourd'hui par intermittences. Il éprouvait en même temps des douleurs tris vives à l'épigastre; une sensation de boule
nt il rougit aujourd'hui). Il rentre chez lui en proie à de violentes douleurs dans la tête et l'épigastre, percevant toujours v
faim. Arrivé chez lui, il se couche; il se sent prit de si violentes douleurs dans tout le côté gauche qu'il lait chercher un m
; dans la journée, il put se promener, n'ayant conservé qu'un peu do douleur et d'engourdissement dans le pied gauche. Ces d
première séance fui la disparition de la céphalalgie et de toutes les douleurs , rachialgiques et autres, des palpitations, des v
quand ce sont des hystériques) qui sont en proie souvent, sinon à des douleurs vives, du moins à des malaises très pénibles et à
ela ne pourrait pas se produire à l'état de veille sans exciter de la douleur . De même, le fait de ne pas réagir durant le so
oins profond, selon l'impressionnabilité de l'individu; on enlève les douleurs et fait disparaître les symptômes morbides ; on c
endroits symétriques, dont l'une était soustraite par suggestion a la douleur , ont manifesté des réactions absolument différent
n le reconnaître, c'est surtout dans les milieux intellectuels que la douleur morale et physique est la plus redoutée; c'est ce
ucoup de personnes ont recours à la morphine pour se soustraire à des douleurs jugées intolérables. Presque tous les morphinoman
ue je serai débarrassé de la morphine, que je ne ressentirai plus les douleurs qui en avaient précédé l'emploi ? » Cette diffi
onnant à ce qu'il subordonne toutes ses actions au désir d'éviter des douleurs dont la seule pensée détermine chez lui une dépre
18S7, nous demander le secours de la suggestion hypnotique contre des douleurs intolérables qu'elle éprouvait dans la région ova
guérir de l'habitude de la morphine; elle n'etait. préoccupée que des douleurs qu'elle ressentait dans l'abdomen. Nous épuisâmes
attribuant a des phénomènes d'abstinence le retour périodique de ses douleurs . Nous nous heurtâmes à cette pétition de principe
s chez la majorité des morphinomanes : « Guérissez-moi d'abord de mes douleurs ; nous verrons ensuite ». Je dus me conformer à so
. Incidemment, il m'arrira, en lui suggérant de ne plus ressentir ses douleurs , de lui faire valoir l'intérêt qu'elle aurait à s
a gardé de ce traitement un souvenir terrifiant. Quand slie pense aux douleurs qu'elle a éprouvée, elle se demande comment elle
endre des injections de morphine qui, seules, arrivaient à calmer ses douleurs . L'accoutumance au médicament a été rapide, bien
'en eût jamais éprouvé d'autre satisfaction que celle de combattre la douleur . Au bout de quelques semaines, "le médecin qui la
ie facilite la guérison en diminuant d'une façon très appréciable les douleurs et les troubles variés de l'abstinence ; 4° La
put rentrer chez lui à pied, mais ressentit consécutivement de vives douleurs à la nuque et à l'épaule droite. Anesthésie tacti
thésie tactile de la main droite, avant-bras droit collé au corps, la douleur empêchant tout mouvement d'abduction du membre. T
pouvait porter sa cuillère à la bouche avec la main droite : mais la douleur au niveau de la nuque et de l'épaule persistait,
érai qu'au réveil il pourrait remuer la tête sans éprouver la moindre douleur . Comme dans le cas précédent, j'échouai à la prem
des mouvements un peu brusques à la tète du malade, je réveillai ses douleurs . 11 tomba à la renverse et eut immédiatement une
e d'une crise d'une violence inouïe. L'accès dure sept heures, avec douleur atroce dans la région hépatique et dans tout le f
douloureux épigastrique, le point scapullaire et l'irridiation de la douleur dans l'épaule et le bras. Pendant toute la duré
porter la main violemment à son coté droit, comme pour en arracher la douleur , dans un geste caractéristique et inoubliable pou
e crise violente. Pendant que la crise se prolongeait ainsi et que la douleur arrivait a son maximum d'acuité, on observait les
oin, et les jours suivants il se disait mal a l'aise, se plaignant de douleurs vagues et d'une grande faiblesse. Huit jours ex
ur. il est pris lui-même d'une crise. Au début, ¡1 accuse aussi des douleurs dans le côté droit: il désigne bien, comme siège
des douleurs dans le côté droit: il désigne bien, comme siège de ces douleurs , la région hépatique, mail l'on peut constater qu
rter l'objet qui lui fait mal. Au bout d'un certain temps, cette même douleur semble s'irradier vers la région épigastrique, ve
le un autre. Insensiblement la crise se transforme ; ce n'est plus la douleur vers la région hépatique qui domine la scène; la
'est plus la douleur vers la région hépatique qui domine la scène; la douleur qui Mégeail vers la poitrine devient une constric
la sensation d'étouffement caractéristique de la boule hystérique. La douleur du bas-ventre, qui avait pour siège l'intestin et
upère exactement au même moment l'aptitude aux sensations de tact, de douleur , de chaleur. On sait, de plus, que le rôle essent
plètement. De plus l'enfant a des palpitations nerveuses; jamais de douleurs rhumatismales, pas de souffle cardiaque. La cho
Dr M. être d'une utilité i acontes table, notamment dans certaines douleurs , dans les paresthésies, les symptômes d'irritabil
s, normales ou pathologiques, les dîfferents modes d'expression de la douleur ne nous sont pas encore connus d'une manière préc
ses bras d'une longue aiguille sans qu'elle donne le moindre signe de douleur et même de sensibilité. Cette expérience le surpr
bras : il ne sentit rien ou. ce qui revient au même, ne sentit pas de douleur . Il croyait que son bras n'était pas transpercé.
vous prouver que vous êtes en état, non pas seulement de surmonter la douleur , mais de la vaincre au point de ne pas même la se
seconde moitié de décembre. Je lui fis raconter, non sans peine, ses douleurs et ses désespoirs; elle s'épancha fort peu ; néan
uicide constantes. Pleurs. Insomnie ou cauchemars presque continuels. Douleurs dans les deux membres inférieurs ; gène dans la m
els. Douleurs dans les deux membres inférieurs ; gène dans la marche. Douleurs dans les mains. Nausée-incessantes. Voix rauque.
x jours après), mes suggestion* ont porté sur le tremblement, sur les douleurs du membre, sur les évanouissements et sur la céph
lle a été reprise d'évanouissements, d'idées noires et de suicide, de douleurs et du même tremblemment très intense et continu d
paraître le tremblement, les idées noires, les évanouissements et les douleurs des membres. 9 novembre. Pas de tremblement, pa
blement, pas d'évanouissements. Pas d'idées noires. Il existe de la douleur précardiaque et des palpitations. La suggestion h
chlorolorme pour provoquer l'anesthésie. — Opération radicale et sans douleurs notables, sous 1 influence de la suggestion sans
appel i ses services pour atténuer et même supprimer complètement les douleurs de l'enfantement et pour pratiquer des opérations
s un état allant de pair avec l'anaigésie complète et dans lequel les douleurs peuvent facilement être supprimées par la suggest
douloureuse mais radicale. Mme N.... se sachant très sensible à la douleur , objecte que, l'opération étant si douloureuse, e
ainsi obtenue exclurait tout accident et aurait permis de faire sans douleurs des opérations graves, telles que l'ablation des
permettre de pratiquer une première incision du tégument cutané sans douleurs . Ou se préparait à abandonner toute idée d'opérat
s un certain temps l'analgésie désirée. Autant qu'elle craignait la douleur , autant M" N... désirait être débarrassée de son
n amour-propre, je lui répétai sans cesse que sa volonté à vaincre la douleur et i ne la pas sentir s'accrut à chaque séance, j
vanter sou courage, à lui persuader qu'elle ne sentait presque pas la douleur . Mme N... se tint admirablement bien, elle ne fit
té gauche de la face et du corps provoqués par la toux ; sensation de douleur avec aigreur remontant de l'appendice xiphoïde à
appliquée contre la foute, jusqu'à la brûlure, sans manifester aucune douleur . Si j'ouvre ses yeux de façon qu'il voie Où est s
probablement de nature hystérique, peut-être cependant morphiniques : douleur subite irradiant du petit doigt à la main et au b
ne développe pas. L'animal sent, souffre, manifeste de 1a joie, de la douleur , de la colère; l'animal pense, mais sa pensée est
onté de la paralysie ou des convulsions, provoquer ou neutraliser les douleurs , ralentir ou accélérer le cœur, faire avec le cer
ment ? et par les hommes ; mais nul n'a été plus fécond ; nul dans sa douleur n'a enfanté plus d'idées, plus de science, plus d
de-Lourdes la guérison de si main, celui-là l'apaisement de violentes douleurs de dents, préférant, disait-il, offrir à la Vierg
it bien. A l'âge de treize ans et demi, les règles apparurent, sans douleurs , et depuis furent normales, excepté pendant quatr
hystéro-épileptiques deux fois par jour. L'aura commençait par une douleur de l'ovaire droit, s'irradiant vers l'épigastre e
iolent mal de tète qui dure deux ou trois jours, puis surviennent des douleurs frontales qui persistent pendant cinquante jours
stent à tous les calmants. Pendant tout l'été, elle se plaint d'une douleur assez vive au sommet de la tête, puis au commence
tête, puis au commencement de septembre réapparaissent les crises de douleurs frontales qui reviennent toutes les heures dans l
s'agiter dans ses crises, se frotter vivement la tôle pour calmer sa douleur , el fixer son regard sur les personnes qui l'ento
ontractures dans tous les membres (sans perte de connaissance). Les douleurs étaient si insupportables qu'il essaya de se suic
où plus tard elle fut enlevée. ? l'émicranie se joignirent encore des douleurs dans l'épaule gauche et dans l'extrémité inférieu
mité inférieure du même côté. Pour apaiser ou au moins diminuer ses douleurs intolérables, les médecins lui firent des piqûres
ême y penser, et ainsi de suite. Vous n'aurez pendant ce temps aucune douleur , par suite aucune raison d'employer de la morphin
ant le terme cl tantôt tous les deux ou trois mois, toujours avec des douleurs et une perte insuffisante de sang. Il y a déjà ne
la menstruation cesse, que la malade a seDli à son ovaire gauche des douleurs légères qui ont passé telles qu'elles sont venues
termine point d'attaque, mats provoque des contorsions et des cris de douleur . Le champ visuel est rétréci à 45 degré;. Pas d
e mère. Je l'ai soigné, il y a plusieurs années, pour des crises de « douleurs hypogastriques qui lui arrachèrent des cris penda
erie reparaîtra. Le 8 mars 1892, l'enfant nous est ramenée pour une douleur siégeant au genou gauche (la hanche malade est la
algie. Nous attirons l'attention sur l'arthralgie du genou ; si cette douleur avait précédé l'apparition des phénomènes de la h
on de la vulve, bien que l'enfant ait prétendu avoir éprouvé une vive douleur . Il nous reste à justifier ce double diagnostic
atteint dès le premier jour son maximum el n'a jamais augmenté. La douleur est superficielle et très vive ; le simple pincem
ue nous avons voulu vaincre la contracture, nous avons provoqué de la douleur . (1) Gazette des Hôpitaux, 6 juin 1891, p. 609.
indre d'autres symptômes. J'insiste particulièrement sur l'absence de douleur qui nous servira tout à l'heure, quand nous nous
trouvée saine (1) : Plicque dit que dans la coxalgie hystérique, la douleur est superficielle et ne cause pas de soubresauts
es régions que la hanche ; il n'y a ni empalement, ni adénopathie. ni douleur profonde par compression de l'arcade fémorale, ni
gauches, d'une durée de quelques secondes. Pas d'anesthésie cutanée. Douleur ovarienne bi-latérale à la pression. Conservation
de la sensibilité en dehors des accès. — Pas d'anesthésie de la peau. Douleur à la pression des régions ovariennes droite et ga
Douleur à la pression des régions ovariennes droite et gauche, Pas 4e douleur spinale. Conservation et même exagération des réf
le parte de M. Vial, de sort mari, etc. Elle se plaint de violente* douleurs dans le côté droit de la tête. 19 novembre. — L
ussitôt applique sur le mamelon gauche, la malade manifeste un peu de douleur , puis elle pousse un gémissement. douloureux. ell
s et les jours qui précèdent. Pendant la céphalalgie elle sentait une douleur dans la région iliaque gauche. Cette douleur mont
alalgie elle sentait une douleur dans la région iliaque gauche. Cette douleur montait jusqu'à la région épigastrique, puis jusq
rois semaines, en dehors des règles, la malade a la même sensation de douleur iliaque et de constriction épigastrique et œsopha
ant il est suggestîonnable. On peut ainsi faire disparaître certaines douleurs ; il peut ouvrir les yeux spontanément. Dans le
à l'eut de veille, je loi suggérai, en continuant les passes, que la douleur avait disparu. Je ne pus obtenir un sommeil plus
de nerfs, puis de la gastralgie. Elle est entrée à l'hôpital pour ses douleurs d'estomac. La sensibilité est égale des deux cô
plusieurs crises. Son état général était boa, elle se plaignait de douleurs à l'épigastre, l'appétit était irrégulier, les au
bule, elle rêve tout haut et se lève en dormant ; la sensibilité à la douleur est inégale des deux côtés du corps, le droit éta
ont toujours précédées d'un aura qui se manifeste sous la forme d'une douleur a l'estomac. Les accès présentent une période épi
une grande frayeur. Une seule entant. Agée de huit ans, avait eu des douleurs rhumatismales avec battements de cœur, sans souff
t évolué en onze mois. Les phénomènes paralytiques ont débuté par une douleur au genou et à la hanche gauche, suivie bientôt de
n effet, au bout de quelques jours, elle commence à se plaindre d'une douleur à l'aine et au genou gauches, traîne bientôt sa j
ne peut plus marcher. Le Dr Mugnier, après avoir employé contre la douleur du genou tous les topiques usités en pareil cas,
guille l'atmosphère entourant le sujet, aussitôt celui-ci ressent une douleur , alors que l'on peut traverser la peau de part en
les mains du sujet et que l'on plonge une pointe dans le liquide, la douleur est aussitôt ressentie. Ce phénomène se produit m
le bras de L... s'est contracture, lui faisant éprouver de violentes douleurs . C'était prévu ; mais ce qui l'était moins, c'est
classement mettre en première ligne les symptômes d'ordre sensitif : douleurs , impressions morales, etc. Ces simulations, qui s
51 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
alysie complète du nerf facial gauche. Le malade se plaint aussi de douleurs au niveau de l'apophyse mastoïde du côté paraly
utes les branches de la septième paire du côté droit de la figure ; douleurs assez 6' PATHOLOGIE NERVEUSE. vives au niveau
squement sans cause apparente pour la malade et pour son entourage. Douleurs dans la région mastoïdienne gauche qui ont appa
endant une heure exposée à un courant d'air très vif. Le lendemain, douleurs lancinantes derrière l'apo- physe mastoïde; le
ns un compartiment de chemin de fer; elle fut prise le soir même de douleurs ayant leur siège dans l'oreille et au niveau de
côté gauche de la face; depuis la veille déjà, elle éprouvait t des douleurs lancinantes derrière l'oreille gauche. La malade
86, M. M... a été exposé à un violent courant d'air ; le lendemain, douleurs vives au niveau de l'apophyse mastoïde ; le sur
actes extraordinaires, où des individus avait follement bravé la douleur . Parmi les héros de l'histoire auxquels il attr
ystériques, accusait des troubles légers tels que boule hystérique, douleur fixe de la tête. Elle avait t une douleur ovari
els que boule hystérique, douleur fixe de la tête. Elle avait t une douleur ovarienne, mais elle avait eu un phlegmon péri-
de qui va suivre, on a vu, dis-je, que la dou- leur du ventre, dite douleur ovarienne, existe chez l'homme comme chez la fe
curieuse observation, a signalé l'existence chez son malade, d'une douleur apparaissant par la pression dans la région qui
int chez l'homme était une preuve que, chez la femme hystérique, la douleur dite ovarienne n'a pas son siège dans l'ovaire.
xtirpation des ovaires sains ou malades n'a pas fait disparaître la douleur dite ovarienne. J'ai moi-même, comme d'autres
ires chez les femmes hystériques et cons- taté la persistance de la douleur abdominale. J'ai constaté aussi dans d'autres c
aussi dans d'autres circonstances, comme je le dirai plus loin, la douleur abdominale chez l'homme. Cela ne me paraît pas
nale chez l'homme. Cela ne me paraît pas démontrer du tout que la douleur ne siège pas dans l'ovaire chez la femme. Cela
ntre tout au plus que l'ovaire n'est pas le seul siège possible des douleurs abdominales chez les hystériques. 20 PATHOLOG
20 PATHOLOGIE NERVEUSE. Chez la femme qui a subi la castration, la douleur se localise dans le moignon ou en un point plus
celle des troubles de la sensibilité amenant une insensibilité à la douleur , soit que cette insensibilité fût primitive, so
lgaire pour les chirurgiens que l'absence totale du sentiment de la douleur chez certains individus. Nous l'observons plus
, chez l'hystérique homme, l'insensibilité au chaud, au froid, à la douleur . A côté de cette insensibilité, qui résulte d'u
f, lui arracha vivement ses deux molaires. Il res- sentit si peu de douleur qu'il était convaincu qu'il avait été anesthési
u, d'autres fois, des dents arrachées et avait ressenti vivement la douleur dans ces cas précédents. Il y a quelques anné
ènes subir des opéra- tions et j'ai observé leur attitude devant la douleur . .I'ai vu des séances d'Aissaouas qui m'ont viv
rientaux DE l'hystérie CHEZ L'HOMME. 25 s'accordent à dire que la douleur est supportée d'une étonnante façon par ces gen
uelques mouvements involontaires. Est-ce à dire qu'ils méprisent la douleur et tiennent à la braver comme on le pense souve
, criant pour un objet qui nous ferait à peine parler plus haut. La douleur serait la seule impres- sion qui le trouverait
ux. Contrairement à ce que l'on dit, il redoute parfaite- ment la douleur , même la douleur atténuée, la seule qu'il conna
nt à ce que l'on dit, il redoute parfaite- ment la douleur, même la douleur atténuée, la seule qu'il connaisse. Il ne tient
ndormis par le chloroforme; ils ne cherchent donc pas à braver la douleur . Mais il est bien certain que dans les circons-
circons- tances ordinaires de leur vie, ils mesurent fort mal la douleur . Même, on peut dire qu'elle leur est assez in-
ons, ne pouvait pas arriver à com- prendre celle-ci ; cette idée de douleur n'avait aucune importance pour lui, et il avait
épané quatre fois. Ces individus normalement peu sensibles à la douleur ont une impressionnabilité bien autrement grand
8 pathologie NERVEUSE. à des manifestations où le fait de braver la douleur joue un rôle important. Les Aissaouas apparti
exercice pour lequel je les ai vus quelquefois mani- fester de la douleur . C'est celui qui m'a paru en général le plus ma
nt ces cris qui nous font dire cela. D'abord la suppression de la douleur est évidente. Un homme vaillant peut à la rigue
peut à la rigueur, supporter sans réaction nerveuse apparente une douleur de courte durée. Mais, quelle que soit cette va
voit qu'au- cun mouvement de physionomie ne trahit le phéno- mène douleur ; ils ne la bravent pas, ils sont indifférents.
m'en assurer. M. le Dr Mohamed-ben- Larbey me dit seulement que la douleur de ventre était très commune chez eux dans l'in
ie, sur un grand chemin, que quelque temps après avoir été guéri de douleurs rhumatismales, qu'il en avait déjà ressenti plu
bonne; mais exposé aux intempéries des saisons, il se plaignait de douleurs dans les membres, auxquelles une fièvre se joig
ans les membres, auxquelles une fièvre se joignit plus tard , les douleurs dans les membres cessèrent, et il se crut parfait
, l'autre en 1825, qui, « au moment de l'attaque ressentirent une douleur des plus vives, poussèrent des cris et coururen
coup d'un bour- donnement d'oreilles. Quelques instants après, une douleur vive lui arrache des cris,' il se met à courir
mains à sa tête; ce geste avait été provoqué, suivant lui, par une douleur violente, ac- compagnée de vertige. La durée de
trois minutes. ' Dans une autre circonstance, il avait été pris de douleurs et de vertige, pendant qu'il était en train de
l'hypothèse de Schilf, consiste en ce fait que la sensibilité à la douleur , au tou- cher, etc., est absolument intacte apr
- En septembre 1885, apparition soudaine et sans cau<e connue de douleurs dans le bras droit; gonflement du dos de la mai
urs dans le bras droit; gonflement du dos de la main et des doigts. Douleurs surtout la nuit, avec chaleur et sécré- tion su
et sécré- tion sudoralesur le bras et dans la paume de la main; ces douleurs durent quelques semaines puis diminuent. En oct
as droit, rien d'anormal dans les autces parties du corps. Pas de douleur ovarienne, pas de douleur sur les apophyses épine
dans les autces parties du corps. Pas de douleur ovarienne, pas de douleur sur les apophyses épineuses. Organes des sens n
en de pathologique. Bras droit. Rien de particulier à la palpation. Douleur nulle à la pression sur les troncs nerveux, sur
la malade on devrait penser à une lésion localisée et bénigne. Les douleurs violentes ' du début qui reparaissaient avec le
Pig. I. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 107 ses divers modes (tact, douleur , température), la perte du sens musculaire sont
ment jusqu'à ce que l'occiput fût sous le pubis. Alors, quoique les douleurs fussent fortes et fréquentes, la tête refusa de c
de la sécrétion sudorale, sans troubles de la sensibilité, sauf une douleur à la pression au point de Erb. REVUE DE patholo
it. Un jour ayant été mouillé par une pluie froide, il présenta des douleurs dans le cou du côté droit. Le Dl Morse diagnost
il présenta de la céphalalgie, des vertiges, de l'insomnie avec des douleurs musculaires dans la région dorsale, sans aucune
s abus d'alcool. Le cinquième jour, il fut pris de somnolence et de douleurs dorsales, qu'il comparaît à de nombreuses piqûr
ans les mains et dans les pieds, puis une sensation de brûlure, des douleurs cuisantes, une grande sensibilité de la plante
son lit comme un naufragé sans secours. Il y a très rarement des douleurs en ceinture, comme il arrive dans la myélite, ni
à peu près à l'âge de dix ans, elle fut prise à la Saint-Michel de douleurs de tête et de ventre. Mais, le mal était plus p
proche de l'année r ç4o, comme elle se plaignait encore beaucoup de douleurs de ventre et de tête, et que, vers le commencem
s divers, d'ordre pure- ment psychique, caractérisés tantôt par une douleur fixe articulaire, tantôt par une contracture ri
., 11° 21, p. 31l, 1886. 130 PATHOLOGIE NERVEUSE. lieu à une vive douleur dans le membre supérieur gauche. D'abord limité
périeur gauche. D'abord limitées à l'avant-bras et à la main, ces douleurs s'étendent en quelques jours jusqu'à l'é- paule
droite. Il y a, du côté gauche , une hémianesthésie au tact, à la douleur et à la tempéra- ture ; le sens musculaire est
u du bras sans faire crier la malade qui accuse seulement un peu de douleur . La diminu- tion de la sensibilité de ce côté p
un escalier, et s'est foulé le poignet droit. Il en est résulté une douleur assez vive et la nécessité de garder la main en
pos complet de l'avant-bras, ne tarda pas à faire disparaître toute douleur . La malade se crut guérie, et à son retour à Pa
Mais ce mieux ne fut pas de longue durée. Trois semaines après, les douleurs reparaissaient, non plus sous la forme de cramp
rition de la sensibilité tactile. Par contre, la sensibilité à la douleur et l'appréciation de la température sont pres
mouvement de l'articulation méta- carpienne, la malade n'éprouve ni douleur , ni sensation pé- nible, bien que cette extensi
oureu- sement que ceux du côté sain, avec cette différence que la douleur due au contact des éponges est très nettement per
en temps, aux époques catamé- niales principalement, des crises de douleurs épigastriques intolérables, avec flatulence et
âgée de dix-neuf ans, est prise brusquement en septembre 1885,. de douleurs vives du bras droit, qui s'accompagnent de gonf
ts. Sur tous ces points existent des sueurs locales abondantes. Les douleurs durent trois semaines, assez intenses pour amen
analogues se développent sur les phalanges, sans provo- quer aucune douleur . A ce moment, la malade s'aperçoit que la 200
au moral. Elle ne présente aucun signe apparent d'hystérie, pas de douleurs ovariennes ni de points d'hy- péresthésie rachi
. Celui-ci, en apparence, est normal et l'on ne constate point de douleur locale le long du trajet des nerfs ou des branche
ne anesthésie absolue à tous les modes de la sensibilité : contact, douleur , température, sensibi- lité faradique, tout est
e nous venons de relater. Nous retrouvons au début une période de douleurs fonctionnelles, puis des troubles de sensibilité
squement que les précédentes. La jambe gauche est le siège de vives douleurs qui rendent la marche impossible et forcent mêm
nsi de froid, et, à partir de cette époque, il éprouva de violentes douleurs dans les membres. Deux ans après, ces douleurs
rouva de violentes douleurs dans les membres. Deux ans après, ces douleurs cessèrent, et il commença à dé- lirer. Maladi
actes; 2° par un trem- blement plus ou moins accusé ; 3° par de la douleur ou une fatigue rapide pendant la contraction mu
bles à la pression et dans l'extension du membre. Ce même fait de douleur localisée aux points où le nerf est tiraillé dans
ampe. Archives, t. XIV. 18 274 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Les douleurs de la crampe des pianistes ne se montrent pas s
quelques minutes; puis, plus rien, sicen'estpendant quelque temps, douleurs au sommet de la tête et à la nuque. Depuis, rep
algies, sen- sibilité de la région temporale gauche à lapercussion, douleurs uni- formes dansles régions frontale etoccipita
la face, forte céphalalgie initiale; l'accès est suivi de violentes douleurs occipitales et à la nuque. Les jours suivants,
à la nuque. Les jours suivants, accès de forte cépha- lalgie et de douleurs dans la jambe droite, accompagnés d'accé- lérat
suivis de violents tremblements, sur- tout dans les bras ; toujours douleurs dans la jambe droite, quel- quefois nausées. Da
mblements nerveux sans raideur. Dans l'intervalle des accès, fortes douleurs céphaliques, douleurs violentes à la nuque et d
raideur. Dans l'intervalle des accès, fortes douleurs céphaliques, douleurs violentes à la nuque et dans les jambes ; parfo
ept minutes de gémissements, puis retour de la connaissance, fortes douleurs dans la jambe droite, mais la malade n'est pas
épaules et ralentissement du pouls (54). Dimi- nution desaccès, des douleurs , bon appétit, bonne humeur; chants etrires, ell
médiatement après, vomissements. Depuis, l'appétit est mauvais; des douleurs se font sentir partout, surtout dans la jambe d
peut traverser la peau avec une épingle sans déterminer la moindre douleur et sans produire d'écoulement sanguin ; les sen
ntracture et d'anesthésie limitées à ce membre, et souvent aussi de douleurs vives. Quelquefois la paralysie suggérée ne se
Une fois éveillée, elle se plaint d'être très fatiguée, d'avoir des douleurs vives dans la tête, de ne pouvoir travailler qu
'un, par exemple, atteint d'am- blyopie, l'autre ayant des accès de douleurs intenses dans la région gastrique, le troisième
embres supérieurs, du thorax, du cou et de la nuque. Les sens de la douleur et de la température étaient le plus atteints,
e de gliomatose centrale, carac- térisée par la perte du sens de la douleur et de la température, dans la partie supérieure
dans lequel le seul symptôme saillant était la perte du sens de la douleur (et pro- bablement une fragilité des os). Anato
maladie actuelle s'est déclarée il y a à peu près trois ans par une douleur peu à peu développée et augmentant progressi- v
ait alors forcé de s'arrêter pour se reposer. Plus tard apparut une douleur assez tenace dans les reins, sur- tout à la sta
uant; quelques-uns se sont manifestés en tout deux ou trois fois. Douleurs . - Les plus fréquents d'entre ces phénomènes cons
eurs. - Les plus fréquents d'entre ces phénomènes consis- taient en douleurs variées : dans le côté, les muscles du cou pen-
es du cou pen- dant le mouvement, de même que pendant le repos, des douleurs constrictives et poignantes dans les reins, dan
bres thora- ciques supérieures; une céphalalgie générale fréquente; douleur à la nuque et les membres. Une sensation de cui
de chaleur, tantôt cuisson plus ou moins intense allant jusqu'à la douleur ; cette sensation ne comprenait ordinairement qu
qu'il ne fumait pas et ne faisait pas d'excès de boisson. Quelques douleurs rhumatis- males ; pas de maladies de peau, pas
e son lit, s'est senti tout à coup défaillir, et s'est plaint d'une douleur vive dans le flanc droit. Face pâle, sueurs fro
isputeur. « Il m'a battu bien souvent et m'a fait t bien du mal ! » Douleurs de tête consécutives aux excès; pas de migraine
x, ménopause à qua- rante-six. Sujette depuis'sept à huit ans à des douleurs de tête; pas de migraines; pas d'attaques; n'es
ternes dans la première enfance; puis, de trois à quatorze ans, des douleurs de tête sans vomissements, pendant lesquels il
ation, pas d'onanisme; sommeil bon, pas de cris nocturnes, - pas de douleurs de tête appréciables pour les parents. A partir
e très minutieusement une série de coxalgiques sur le siège de leur douleur au début de la maladie, et il a constaté que ch
ractérisée par la flexion, l'adduction cl la rotation en dedans, la douleur avait cons- tamment siégé au début en avant de
ait placé dans la flexion, l'abduction et la rotation en dehors, la douleur initiale siégeait en arrière un peu en dedans d
n dedans du grand trochanter. M. Duzea a conclu de ces faits qu'une douleur constante et localisée en un point défini devai
expliquer comment dans certaines coxalgies d'origine capsulaire, la douleur est réveillée par la pression directe de la fêt
est une sensation pénible de pression et de serrement plutôt qu'une douleur au sens propre du mot. Dans le type complet, la
eu- rasthénique de M. le professeur Charcot), mais fréquemment la douleur s'atténue à la partie antérieure de cette zone, e
orts de notre ami le Dr G. Rohinet, que nous venons d'avoir tous la douleur de perdre, que ces résultats sont dus. Aussi de
52 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sie dilfuse, presque complète au tact et à la chaleur, absolue à la douleur . Cette anes- thésie s'observe à la face, aux me
e est rhumatisant, ou du moins éprouve depuis deux ou trois ans des douleurs dans les articulations. Sa mère, exubérante mér
' 2 février. Huit jours après son arrivée, le malade se plaint de douleur et de raideur au niveau des masséters. 11 y a du
39°,5 et arrive même à 40°. La rigidité musculaire est extrême, la douleur violente, les paroxysmes fré- quents. La dyspha
e. 12. - Amélioration. La raideur des muscles est moins forte, la douleur moins violente, les paroxysmes plus espaeés, la d
rême difficulté; il peut même être impossible dans certains cas. La douleur vertébrale n'est pas caractéristique, pas plus
exerce aucune intluence heureuse sur la virilité : elle aggravé les douleurs dans la moitié des cas. P. K. XII. Contribution
s abdominaux, tandis que la pression en arrière ne détermine pas de douleur . Ce signe physique a pour cortège les troubles
et vomissement; impossible à lui de se tenir debout et de marcher; douleurs lancinantes dans tout le facial droit, un peu d
rvation des réflexes superficiels; anesthésie partielle; absence de douleurs fulgurantes marche graduellement progressive de
xes tendineux pal.ellaires exagérés, le tact et la sensibilité à la douleur diminués. La mort eut lieu trois mois après l'i
trois mois : amélioration notable dans la marche, apaise- ment des douleurs ; 4° tabes depuis quinze ans et demi, amélio- r
s quinze ans et demi, amélio- ration considérable de la marche, des douleurs , de la sensibilité; 5° tabès depuis vingt-trois
ique de M. Charcot, c'est-à-dire l'abolition de la sensibilité à la douleur et à la température et la conservation de la se
foetale. Cette compression s'est manifestée -ultérieurement par des douleurs et de l'engourdisse- ment dans les deux membres
pénible; plusieurs applica- tions de forceps. Après l'accouchement, douleurs continues avec exacerbations très vives dans le
vives dans le membre inférieur gauche,surtout ,dans la fesse. Les douleurs se localisent rapidement au pied gauche, aux or-
le de ce nerf n'a duré que peu de temps, il est vrai, et bientôt la douleur a occupé seulement le domaine du nerf sciatique
tions ainsi que les contractions utérines s'accompagnaient de vives douleurs dans la fesse et le membre inférieur du côté ga
ssez mauvais état, reste inerte dans son lit, se plaignant de vives douleurs dans le membre inférieur gauche et la fesse. Ce
de vives douleurs dans le membre inférieur gauche et la fesse. Ces douleurs se localisèrent bientôt dans le pied gauche et
iblissement de la sensibilité à la face plantaire du pied. Pas de douleur à la pression. Douleur spontanée, continue, pro-
bilité à la face plantaire du pied. Pas de douleur à la pression. Douleur spontanée, continue, pro- fonde, entrecoupée d'
mbe et la cuisse pouvaient remuer, mais non le pied ni les orteils. Douleurs spontanées le long de la jambe, jusqu'à l'extré
obnubilée a cette époque, car l'électrisation ne provoquait pas de douleurs . Dix mois plus tard (avril z75), elle peut marc
orme. La malade dit que pendant le travail elle ressentait de vives douleurs .dans les deux membres inférieurs, mais qu'après
la voûte plan- taire est un peu moins sensible au chatouillement. Douleurs dans le pied depuis le début de la maladie, conti
e et passe la journée aux Halles à travailler debout. Le soir même, douleurs abdominales et frisson. 1 NJG PATHOLOGIE NERVEU
application de vési- catoires sur le côté gauche de l'abdomen. Puis douleurs dans la jambe et le pied gauches qui « étaient
). Etat général mauvais; frissons, fièvre, amaigrissement prononcé. Douleurs vives dans l'abdomen avec irradiations dans le
ents de latéralité nuls. Sensibilité au froid, à la chaleur et à la douleur abolie « dans toute l'étendue de la face antéro
l'arcade crurale etc.. )'lncision. -Le lendemain de l'opération les douleurs ont diminué. Quinze jours après, les muscles ex
un seul jour. Il n'a jamais eu de rhumatisme aigu ni chronique, ni douleurs d'aucune sorte en dehors de celles dont nous allo
, ni au froid, ni à l'humidité. La maladie dura un mois environ. La douleur était localisée aux reins et à la partie supéri
la partie supérieure de la fesse gauche. Il n'y eut point alors de douleurs dans la cuisse ni la jambe. Le traitement consi
s à l'aide de l'alcool camphré. Dans les années qui suivirent les douleurs sciatiques revinrent en tout trois fois, à peu
pu lui donner naissance. Il est absolument formel sur ce point. Les douleurs revenaient tantôt l'été, tantôt l'hiver; la der
ois elles commencèrent en novembre 1888. A la deuxième attaque, les douleurs , qui étaient restées la pre- mière fois limitée
ssier, péronier, malléolaire étaient douloureux constamment; et les douleurs réunissaient ces points dans les paroxysmes. C'
douleurs réunissaient ces points dans les paroxysmes. C'étaient des douleurs continues, sourdes, sans élancements, du moins
t. Le dernière attaque disparut le 25 décembre 1888. Aussitôt les douleurs cessées, le malade s'aperçut qu'il existait une f
e a complètement disparu. A la pression, dans les mêmes régions, la douleur est à peu près nulle, sauf peut-être un peu au
tre un peu au niveau du point péronier. Il n'existe pas non plus de douleur à la pression des masses musculaires du mollet.
auche sont distribués de la façon suivante : 10 Sensibilité ci la douleur . Il existe une zone d'analgésie com- mençant au
à soixante-quinze ans. Elle avait été atteinte pendant longtemps de douleurs , dont la malade ne sait pas définir la na- ture
. · A la même époque elle fut prise, sans cause occasionnelle, de douleurs dans le genou gauche, douleurs absolument limitée
prise, sans cause occasionnelle, de douleurs dans le genou gauche, douleurs absolument limitées à cette région. Ces douleur
s le genou gauche, douleurs absolument limitées à cette région. Ces douleurs ont duré six mois environ, sans qu'elle fût obl
, sans qu'elle fût obligée de rester couchée. L'hiver suivant les douleurs du genou ont reparu et se sont pro- pagées à la
heville. Cette région était enflée et violacée. A ce moment, pas de douleurs à la cuisse ni à la fesse. Depuis l'âge de ving
ns -le côté droit, puis se reporta vers l'omo- plate ; et enfin les douleurs se fixèrent a la tête, toujours à droite. Jamai
par contre, immédiate- ment après, le jour même, elle ressentit une douleur très aiguë dans tout le membre inférieur gauche
che, le long du sciatique. Tout le membre a été pris d'emblée. A la douleur s'ajouta une faiblesse du membre, telle que la
ne pouvait se tenir debout, la jambe ployant sous elle. Ces fortes douleurs ont duré environ trois mois, puis elles se sont
is, et enfin, il y a quinze mois, le dernier. Pendant six mois, les douleurs ont été intolérables. Puis inter- vint un mois
ntolérables. Puis inter- vint un mois de relâche pendant lequel les douleurs étaient bien moins vives. Elles reprirent ensui
er). Pendant les intervalles, elle n'est jamais com- plètement sans douleurs ; le moindre froid, un faux pas suffisent pour l
obésité ni maigreur exagérées. Le visage porte l'empreinte de la z douleur . Elle se plaint de souffrir dans tout le membre i
tout le membre inférieur gauche, sur le trajet du sciatique. Ces douleurs changent continuellemant de place, par moments
mollet, ou enfin au pied. Ac- tuellement, elle se plaint surtout de douleurs vives au mollet. Les régions douloureuses à la
auche l'extension est nulle, la flexion est affaiblie à cause de la douleur , l'adduction et l'abduction presque nulles ; à la
syringomyélie. '. Sensibilité au tact conservée. Sensibilité ci la douleur conservée à la cuisse, atténuée à la face exter
été atteint d'eczéma en 1870, souffre depuis environ quinze ans de douleurs vagues dans les membres inférieurs, et particuliè
droite. La sciatique actuelle a débuté il y a dix-huit mois par des douleurs suivant le trajet du nerf, accompa- gnées de se
rche était encore facile, lorsqu'il y a quatre mois l'intensité des douleurs la rendit presque complètement impossible. Le t
(milieu de la plante du pied). Dans l'intervalle de ces points la douleur est plus vague, quoique non complètement absente.
ée sur un terrain manifestement arthritique comme l'attestent les douleurs vagues musculaires et l'eczéma dont le malade a é
se à cinquante- quatre ans. Variole à quatre ans. A vingt-deux ans, douleurs rhu- maloïdesdans l'épaule et le coude, du côté
douleurs rhu- maloïdesdans l'épaule et le coude, du côté droit; ces douleurs ont persisté pendant quatre ans. En 1855, au mo
té pendant quatre ans. En 1855, au mois de janvier, appa- rition de douleurs daus la jambe droite, très vives au niveau du m
de ne peut le poser à terre, elle est obligée de garder le lit. Ces douleurs ont duré pendant une année; après quoi, elles o
uoi, elles ont diminué, mais sans'disparaître. Trois ans après, les douleurs s'étendent à la cuisse. Il parait donc établi q
, les douleurs s'étendent à la cuisse. Il parait donc établi que la douleur a été en remontant. Les points douloureux sont
point trochan- térien ; un point au niveau de la région sacrée. Ces douleurs ont persisté, avec exacerbations une ou deux fo
e Boulogne), le 22 avril 1890, pourlaifficulté de la marche, et les douleurs qu'elle ressent dans le membre inférieur droit.
re, plantaire, quelques irradiations douloureuses au mollet, et une douleur au niveau de la région sacrée. Elle se plaint
e du scia- tique poplilé externe) et une hypoesthésie au tact, à la douleur et à la température, dans toute l'étendue du me
tombe et frotterait sur le sol sans le steppage. Mais à cause de la douleur que provoque la pres- sion du pied sur le sol,
steppant, moitié en fau- Fig. 17 et 18. Anesthésie au tact et 3 la douleur chez la malade de l'Observation X. (Les strie
che en avant pour rester le moins longtemps possible, à cause de la douleur , appuyée sur le pied droit. Dans la procession
onsultation de la Salpêtrière. Etat ACTUEL. Le malade se 'plaint de douleurs qui suivent le trajet du sciatique, douleurs «
e malade se 'plaint de douleurs qui suivent le trajet du sciatique, douleurs « en coup de canif » plus fortes au début et à
uit quand il se réveille couché sur le côté droit, il res- sent des douleurs « en trait, en éclair » qui partent en même tem
ries simples indiquent les points où le frôlement n'est pis perçu, la douleur , le chtud et le frmd perçus comme simples conta
t conservé la sensibilité tactile, mais a perdu la sensibilité à la douleur , à la chaleur et au froid; la seconde, limitée
eur et la névrite, que rendent incontestable les caractères de la douleur , la longue durée de l'affection, l'anes- thésie
sible que son développement ait eu pour cause occasion- nelle les douleurs , la misère, les souffrances de tout genre endur
y a anesthé- sie, tantôt elle fait défaut. On a signalé aussi une douleur plus ou moins vive sur le trajet d'un nerf para
r- bone détermina une paralysie générale de la sensibi- lité à la douleur et au contact, excepté à la partie antérieure d
thésie pharyngée. Le lendemain, 16 mars, la malade--Se plaint d'une douleur dans l'aisselle et d'une sensation d'engourdiss
que MD : 3, MG 30. Le 17, quarante-huit heures après l'accident, la douleur a presque complètement disparu au niveau de la
sité, gagiiant alors la main, l'avant bras, entrainantde véritables douleurs , douleurs nocturnes qui réveillent la malade et m
iant alors la main, l'avant bras, entrainantde véritables douleurs, douleurs nocturnes qui réveillent la malade et montent par
tition des mêmes accidents, cela pen- dant plusieurs heures; pas de douleurs ; souvent, pendant la pause, ondulation tranquil
ituée au-dessus et en avant de l'oreille gauche on provoque quelque douleur ; la pres- sion à la nuque, entre l'atlas et l'o
l'occipital détermine une tension particulière ainsi qu'une légère douleur dans le front et surtout dans les deux tempes;
ois semaines. En 1878, nouvelle paralysie faciale gauche, mais avec douleurs vio- lentes dans le cou et la nuque : durée qua
t la nuque : durée quatre semaines. En 1886, après refroidissement, douleurs lancinantes dans la nuque, s'étendant le lendem
et alors, paralysie faciale droite complète en 24 heures. Puis les douleurs diminuent un peu mais toutes prêtes à récidiver
au niveau du trou styLe 100 jour, hypoexcitabilité du facial droit ( douleurs erratiques). Le 16e jour, réaction dégénéra- ti
eau des apophyses en ques- tion une extrêmesensibilité à ]a press ? douleur peut survivre au stade aigu, qui s'accompagne q
au plafond il pousse de temps à autre des gémissements, accuse des douleurs occipitales, cérébrales, abdominales. Gâtisme,
cellent moyen, d'après M. Adamkiewicz, contre les névralgies et les douleurs rhumatismales. Avec une force électromotrice de
rter sur la moelle (paraplégies passagères, con- lraclures fugaces, douleurs localisées, anesthésies), ou sur le cer- veau (
e Dr Bram- well, qui lui dit qu'on lui arracherait trois dents sans douleur et qu'elle ne devrait faire d'autres mouvements
dans l'état hypnotique, avait été opérée d'un abcès lacrymal, sans douleur , par M. Hewetson. On l'endormit par la lecture de
it et le sommeil fut si profond qu'on lui enleva seize chicots sans douleur . Pendant le sommeil, on re- marqua une diminuti
ut atteint d'une conjonctivite intense qui provoqua l'apparition de douleurs lancinantes dans l'oeil et d'une obnubilation d
itué comme il suit : pendant un quart d'heure le malade ressent une douleur siégeant au niveau du vertex, qui semble se pro
it rapidement du côté gauche. Pendant toute la durée du scotome, la douleur de tête persiste, mais elle est réduite à de si
diqués, indépendamment de toute crise convulsive. Parfois aussi, la douleur de tête qui précède le scotome se développe et
me de petite taille, chétif. La sensibilité générale, au tact, à la douleur , à la température, et le sens musculaire sont n
t remonte- à trois mois, et la première manifestation a consisté en douleurs de tête surve- nant par accès, apparaissant tou
, s'atténuant pendant la nuit et disparaissant dans la malinée. Ces douleurs occupent le côté droit de la 'tête et elles ont l
dix jours. Aux accès de cépha- lalgie viennent s'ajouter alors des douleurs siégeant dans la région vertébrale, au niveau d
tes, puis devien- nent fixes et obligent le malade à s'aliter ; ces douleurs sont-fugi- tives et gênent la respiration et le
DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 323 après surviennent des douleurs dans les genoux, surtout du côté gauche, avec h
ouvements rapides d'élévation et d'abaissement. Il se développB une douleur de tête très violente analogue au point' de vue
igoureuse. Il y a une diminu- tison de la sensibilité au tact, à la douleur , à la tempéra- ture et du sens musculaire à dro
e et jaune, qui se déplacent et vibrent sans cesse ; en même temps, douleur en vrille très vive dans l'oeil gauche et nausé
es objets qui étaient placés devant elle ; elle ressentit alors une douleur de tête diffuse, mais prédominant dans la régio
ence, etc. Tous nos malades étaient des tabétiques avancés avec des douleurs fulgurantes, signe de Westphal, signe de Romber
gts, dans les poignets, dans les jambes et dans les pieds. Mais ces douleurs paraissent avoir augmenté car elle disait dans
ux s'ensuivait qui la secouait tout entière. Elle croyait, dans ses douleurs , avoir des jarretières qui lui serraient les jamb
nt pour rendre la monnaie. » Mais peu après elle fut reprise de ses douleurs de jambes'et fut traitée alors par le massage. A
ervé; l'odorat très ohtus du côté gauche. Elle se plaint souvent de douleurs spontanées très vagues siégeant particulièremen
céphalalgie. L'affection actuelle débute le 23 janvier 1890 par des douleurs dans la cuisse gauche ; ultérieure- ment, le me
iliaques avec signes de péritonite. Le 2 mars, la malade accuse des douleurs de tête et présente du stertor et de l'assoupis
53 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
ur la transmission des im- pressions de tact, de chatouillement, de douleur , etc. Journal de physiologie de l'homme et des
n ventre était énormément gonflé, surtout à droite. Pour calmer ses douleurs , il promenait ses mains sur l'abdomen, preuve que
ne peut nous dire si, à ce moment, on a exploré sa sensibilité. Ses douleurs spontanées duraient toujours; les attouchements n
ôté paralysé, était brûlant. X... éprouvait toujours de violen- tes douleurs dans les membres inférieurs,' dans la moitié gauc
pansement ou l'incision bienfaisante, seuls capables de calmer une douleur intolérable, sinon au Barbier dont les mains ex
patient souffre le martyre et, suivant sa com- plexion, traduit sa douleur par une affreuse grimace accompagnée de cris la
e langere, maux des mamelles, chancre, -morsures de chiens enragés, douleurs de tête, goutte et autres douleurs. Prendre : c
re, -morsures de chiens enragés, douleurs de tête, goutte et autres douleurs . Prendre : céruse, une once ; gomme de sérapin,
bles chefs-d'oeuvre de réalisme humoristique. Car, jusque dans la douleur sachant introduire le comique, ils veulent, en
ancien. L'arrachement de l'emplâtre semble se faire ici sans grande douleur . II n'en sera pas de même dans toutes les offic
on. D. Teniers a d'ailleurs utilisé cette donnée pour symboliser la douleur . Dans l'un de ses tableaux qui représentent les
e paysan soutient le patient dont le visage est contorsionné par la douleur . Entre ce groupe et le chirurgien, au second pl
dans la région frontale et dans la région occipitale : c'était une douleur profonde mais diffuse, sans prédo- minance à dr
ndonné l'usage du bromure, quoiqu'il eût été repris de céphalée. La douleur était frontale et occipitale, bilatérale, sans
ndu : il se levait à tout moment, cherchant vainement à oublier ses douleurs en se livrant à une agitation factice. Au bout.
trépa- nation simplement décoa ? iiaa7te pour faire disparaître les douleurs comme pour prévenir un état de mal d'où peut ré
nnée en portant des gamelles il s'était brûlé sans ressentir aucune douleur . En 1850 il présentait des mains en grille, sympt
sur ses doigts des cloques à la suite de brûlures sans éprouver de douleur . La main droite a commencé à se fermer ; elle e
t même des vésicules s'étaient formées sans qu'il éprouvât la moindre douleur . En 1889, il a remarqué des troubles de la marc
des casseroles très chaudes elle s'est brûlée sans ressentir aucune douleur . Plus tard, un gonfle- ment a envahi la main ga
dé à s'étendre il la main droite. Ce gonflement n'a provoqué aucune douleur . Les mains sont d'autre part très sensibles au
de et faible avec des doigts fuselés ne présentant pas de crises de douleurs . Quelle étiquette- lui appli- quer ? Il est bie
ead, de Mackensie qui ont fait des travaux remarquables soit sur la douleur réflexe, soit sur les réflexes vaso-moteurs et
qu'il marchait facilement et le corps droit, tout en éprouvant des douleurs dans le dos, le long du rachis. Dans sa chute,
oment qu'il commença à courbe ? le tronc en avant, pour atténuer la douleur qu'il ressentait dans la région de l'omo- plate
uleur qu'il ressentait dans la région de l'omo- plate gauche. Cette douleur était tantôt sourde et tolérable, tantôt assez
mps en temps de se redresser, mais ce redresse- ment réveillait les douleurs et restait incomplet. De plus il provoquait une
rche. Cette gène disparut vite. D'ailleurs il n'a jamais éprouvé de douleurs d'aucune espèce dans les membres inférieurs UN
s sont restés toujours intacts. Tout s'est borné, somme toute, à la douleur dorsale et a l'attitude vicieuse du tronc. Lo
, dit-il, la respiration. Cette tentative exaspère en même temps la douleur dorsale et le redressement est rendu totale- me
u-dessus de cette région cicatricielle une sensation de froid et de douleur assez vive. Cette zone de douleurs subjectives
elle une sensation de froid et de douleur assez vive. Cette zone de douleurs subjectives occupe la cicatrice, la région de l'o
même un peu la ligne des apophyses épineuses corres- pondantes. La douleur y est telle que, depuis huit mois, la malade se c
ie est beaucoup plus étendue et correspond à peu près à la zone des douleurs spontanées. Si on pratique, dans cette région h
l en résulta une déformation du radius droit, en même temps que des douleurs constrictives apparurent le long des 2/3 inféri
ant son séjour à l'hôpital, le fémur droit était devenu le siège de douleurs intolérables. La déformation, l'hypertrophie fure
-bras. Sur tout ce trajet de l'os, la palpation modérée éveille des douleurs assez intenses. Le poignet droit est presque co
La langue est humide. Il existe de l'appétit. La malade accuse de la douleur au niveau de l'abdomen qui est ballonné. Elle
arquer l'absence de symptômes cliniques d'ordre nerveux (hormis les douleurs localisées au niveau des os atteints) chez les ma
stant de consultation chirurgicale à la Salpêtrière. Susceptible de douleurs à distance du foyer, par compression radicu- la
douleurs à distance du foyer, par compression radicu- laire, et de douleurs au niveau du foyer, par progression du foyer tube
de Pott est encore susceptible de provoquer une seconde variété de douleurs localisées, sur lesquelles l'attention n'a pas ét
pas été jusqu'à présent suffisamment attirée. Je désignerai cette douleur spéciale du nom d'apophysalgie. L'apophysalgie
qu'environ trois mois après mon premier examen, elle se plaignit de douleurs au niveau de la gibbo- sité, si pénibles que le
soulagement fut réel, mais dura seulement quarante-huit heures. Les douleurs avaient repris leur intensité première lorsque je
revis la ma- lade. Croyant que leur cause était la cause banale des douleurs au niveau des foyers pottiques, c'est-à-dire un
entif delà ré- gion gibbeuse. Il me fut facile de constater que les douleurs , nullement exaspérées par la pression sur la tê
it impossible à cause de l'existence, au niveau de la gibbosité, de douleurs très vives . qu'un examen direct me démontra n'
ng de cette apophyse ; le résultat fut le même : disparition de ces douleurs au bout de deux ou trois heures.. Ces mêmes inj
u et peu fré- quent de la tuberculose vertébrale, consiste dans une douleur localisée, continue, exacerbée par le palper, p
aucune modification de leur con- sistance ou de leur volume. . La douleur de l'apophysalgie se distingue des douleurs ayant
ou de leur volume. . La douleur de l'apophysalgie se distingue des douleurs ayant pour cause la propagation de la tuberculo
ures des vertè- bres par l'intégrité manifeste de celles-ci, et ces douleurs ayant pour siège les autres éléments de la gibb
A. CHIPAULT par les pressions sur les apophyses transverses, et les douleurs dues à de l'hyperesthésie hystérique surajoutée
: tous modes de recherches qui n'exercent aucune influence sur les douleurs de l'apophysalgie. L'apophysalgie est très prob
ée d'abord à fond puis retirée lentement ; l'injection ne calme les douleurs qu'au bout de deux ou trois heures ; elles revi
a obtenu, il y a deux ou trois ans, de très heureux effets sur les douleurs locales de gibbosités pottiques soit en ponctio
e soit agi, dans une ou plu- sieurs d'entre elles, de la variété de douleur gibbosilaire non décrite sur laquelle nous avon
e. On dit aussi que RuBi : Ns, l'ayant appris, en témoigna une vive douleur , et fit déposer son corps dans l'église des Carmé
promène une lancette sur le bord externe du pied. Ce n'est pas sans douleur , car le patient fronce le sourcil, cligne des y
e pour nous permettre de contempler la grimace et les hurlements de douleur qui contractent tous ses traits. Cette tache cl
sération et d'inquiétude qui s'ajoute aux émotions produites par la douleur du patient. Ami de ce dernier, sensible à la vu
ntre les effets produits sur ces deux per- sonnages par les cris de douleurs de l'opéré. Le pileur de drogues qu'on entrevoi
e son costume. Brouwer sait varier à l'infini les modulations de la douleur . Le tableau ne serait pas complet s'il y manqua
re el qui, dit-on, se laissa mourir de faim pour ne pas endurer les douleurs d'un cor, notre villageois a profité- de la circo
fermés, les doigts crispés, le rude villageois se raidit contre la douleur , fronçant les sourcils, fermant les yeux, pinçant
rues, disoit sans cesse : « Je tire les cors des pieds sans mal ni douleur . » Je ne sçais s'il exécutoit sa promesse ; mai
rt gueux. S'il avait eu le talent ou l'adresse d'ôter les cors sans douleur , comme il le disoit, il auroit du aller en carros
cettes mirifiques, ils soignent sans ins- truments, guérissent sans douleur . Pas d'incisions sanglantes, pas de pansements
ivant la totalité des symptômes de la maladie, particulièrement les douleurs fulgurantes, l'incoordination mo- trice, les tr
excellents résultats, sur- tout marqués chez les sujets qui ont des douleurs , de l'anesthésie, de la faiblesse musculaire, d
du réflexe lumineux et patellaire, le signe de Romberg, quel- ques douleurs fulgurantes et un peu de parésie vésicale : il es
'affection se révèle par son luxe habituel de symptômes : crises de douleurs fulgurantes dans les mem- bres, crises viscéral
ute du reste presque toujours le tabes, qu'a porté l'amélioration : douleurs en ceinture, crises gastri- ques, douleurs dans
a porté l'amélioration : douleurs en ceinture, crises gastri- ques, douleurs dans les membres inférieurs, parésie vésicale et
ur subsistait, mais moins com- plète. A droite, la sensibilité à la douleur et aux impressions thermiques était abolie; l'é
t atteint son plus haut degré sans que les malades éprouvent aucune douleur . Les efforts même dont nous venons de parler n'
e ne détermine aucune fatigue ; jamais cette dame n'a res- senti de douleur . « L'autre ¡;oeur, également âgée de 36 ans (el
e M. S..., ai-je dit, était rhumatisante et se plaignait souvent de douleurs articulai- res ou para-articulaires vagues. Il
atient à tourner la tête pour diminuer la ten- sion et atténuer les douleurs . Le centre cortical de la rotation de la tête fut
diteurs PATHOGÉNIE ET PROPHYLAXIE DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES PAR GILLES de la TOURETTE
es, sur l'atrophie muscu- laire des hémiplégiques, et aussi sur les douleurs que présentent souvent ces malades, qui sont de
puis 1893. Demi-ankylose et craque- DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 289 ments de l'épaule droite.
e de l'épaule droite. La tête humérale fait une saillie mar- quée ; douleurs spontanées et provoquées. Ankylose presque complè
. Ankylose absolue de l'articulation scapulo-humérale. Ab- sence de douleurs spontanées. Adipose très marquée le long du trapè
ulation scapulo-/l1lmé- rale, atrophie du deltoïde. Disparition des douleurs sous l'influence de la mo- bilisation, i i ? »
nt-bras gauche, 23. La malade dit, spontanément, avoir ressenti des douleurs au niveau de l'articulation scapulo-humérale dr
CULAIRE MASSON & lt, 1-utcUe. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 291 Oss. IX. Hémiplégie gauch
he, 21 centimètres ; bras droit, 23 centimètres. Pas d'adi- pose. Douleurs de l'épaule gauche dans les mouvements provoqués
pose. Douleurs de l'épaule gauche dans les mouvements provoqués ; douleurs spontanées. Arthrite de l'articulation radio-
voisinage, lorsqu'elle vient à être lésée. Si nous ajoutons que les douleurs spontanées ou provoquées que res- sentent ces m
ourrons encore conclure que, pour la plus grande part au moins, les douleurs des hémi- plégiques sont également d'origine ar
ntait pas le moindre trouble intellectuel. Il n'était pas sujet aux douleurs , même à l'occasion des chan- gements de temps.
oids, pour ne se fermer qu'en mai. Le pied gauche était le siège de douleurs intolérables. - . A l'âge de 20 ans, apparut da
ge de 20 ans, apparut dans la partie inférieure du fémur gauche une douleur que le malade continue à ressentir encore, de tem
chez lui, reprit ses occupations quand, à la fin d'avril 189G, les douleurs re- vinrent au niveau des reins. Il fut de nouv
existe pas de trouble de sensibilité. Jamais le malade n'éprouve de douleur dans le membre supérieur droit. Sous l'influence
ne voulait plus prendre le médicament (12 gr.) prétextant de fortes douleurs d'estomac. Il a pris de l'extrait de belladone
uillet en bromure de strontium à la même dose à cause du retour des douleurs d'estomac. Il avait été examiné à nu le 11 août
TIGES PATHOGÉNIE ET PROPHYLAXIE . DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES PAR GILLES de la TOURETTE
droit, 30 centimètres ; gauche, 29. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 341 Oj3s. XI11. - Hémiplégie
n extension. Demi- ankylose de la hanche droite avec craquements et douleurs ; craquements du genou. OEdème généralisé du mem
ète de l'arti- culation scapulo humérale droite avec craquements et douleurs spontanées et provoquées. Atrophie des muscles
se de l'articulation scapulo-humérale droite avec craquements, sans douleurs spontanées. Atrophie des muscles de la ceinture s
t aphasie datant de 1893. Ankylose incomplète avec craquements sans douleurs de l'épaule droite. Atrophie des muscles de la
cent. 1/2 ; gauche, 24 centimètres. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 343 Chez les 7 malades du deu
d'une arthrite avec ankylose plus *s ou moins complète avec ou sans douleurs spontanées ou provoquées. L'a- myotrophie, limi
faissé. Raideur de l'épaule sans ankylose, sans craquements et sans douleurs provoquées ou spontanées. , Membre inférieur. P
sseux et du thénar. - ' De plus, ces trois malades ne présentent ni douleurs spontanées ni douleurs provoquées dans le membr
De plus, ces trois malades ne présentent ni douleurs spontanées ni douleurs provoquées dans le membre supérieur indemne d'art
vations recueillies d'un seul coup, DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE ET DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 345 corroborent singulièremen
rticulaire lésé. Elle fait défaut en l'absence de l'arthrite. Les douleurs spontanées ou provoquées qui accompagnent l'amyo-
pu éviter l'apparition des arthrites, de l'amyotrophie et aussi des douleurs dans les membres paralysés des sujets hémiplégiqu
distrait et ouhlieux. Quant au malade lui-même, il se plaignait de douleurs aux membres inférieurs et à la tête; en même te
à ces deux maladies. Il y a fréquemment des prodromes sous forme de douleurs à type ful- gurant, se localisant parfois au ni
d'un gonflement considérable, sans aucun signe d'inflammation : la douleur prémonitoire a disparu et l'indolence est absol
cas de Bail (mal de Pott également) on vit à plusieurs reprises des douleurs articulaires avec gonflement et rougeur au cours
lbuminurie. Dyspnée augmentée parun légerépanchcmentpleural gauche. Douleurs thoraciques à distinguer de la douleur en ceintur
répanchcmentpleural gauche. Douleurs thoraciques à distinguer de la douleur en ceinture qu'avait eue antérieurement la mala
'extension de la tuberculose, notamment dans le poumon. A noter des douleurs vives, névritiques plutôt que radiculaires, le
quoique la hanche ne fut pas atteinte. - c) Cas de Michaud.I) y eut douleurs et gonflemeut du genou gauche, puis oedème du m
L'infection du genou est ici plus que probable ; et l'ab- sence de douleurs s'explique suffisamment par l'immobilisation natu
hropathies avaient commencé par le mode aigu en s'accom- pagnant de douleur vive, rougeur et tuméfaction des articulations ti
rophiques, tout comme dans les formes spinales et névrili- ques. La douleur est exquise, aussi facile à provoquer que dans le
à elle que M. Gilles de la Tourette attribue une grande partie des douleurs et presquo toutes les atrophies musculaires des
cale, donna lieu à une hémiplégie spinale droite. Il y eut de vives douleurs dans le genou droit et à l'autopsie on trouva d
et la sensibilité sous tous les différents mo- des (tact, chaleur, douleur ) sont normales. L'index gauche est hypertrophié
la tête ? Presque toujours, il suffit d'un léger traumatisme, d'une douleur qui veut qu'on s'occupe d'elle, et qu'on cherch
rnalières du matin un peu de massage, car le malade se plaignait de douleurs assez intenses au niveau des insertions de ses
pétit. Aucun trouble de la déglutition. Il n'a jamais eu de vives douleurs . Depuis 4-5 ans il a des douleurs lombaires, ch
tition. Il n'a jamais eu de vives douleurs. Depuis 4-5 ans il a des douleurs lombaires, chaque fois qu'il se fatigue. Depuis
yons, en effet, la maladie s'établir à 30 ans, insidieusement, sans douleur , et débuter par les membres supérieurs. On cons
déniable. « Il se tord dans des convulsions indiquant d'affreuses douleurs ; la face est rongée par des ulcérations qui on
'apparence rhumatoide, par PAUL LONDE, 38. Atrophie musculaire et douleurs des hé- miplégiques (pathogénie et prophy- la
ETTE. Pathogénie et pro- phylaxie de l'atrophie musculaire et des douleurs des hémiplégiques (2 phototy- pies), 287, 340.
54 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
s qui ne durèrent que peu d’instants, mais laissèrent après elles des douleurs dans les mâchoires et de la fatigue dans les memb
ans l’application de cette science un soulagement des maladies et des douleurs . Entrez donc dans ce merveilleux laboratoire, ent
ens exigés en pareil cas, le membre prit un volume considérable ; des douleurs aiguës se manifestèrent, et les nuits se passaien
ser cette précieuse ressource. Bientôt le volume du piet diminue, les douleurs se calment, et à l’agitation des nuits succède un
tions sont pratiquées pendant la veille, et, au dire de la malade, la douleur est excessive. Plus tard la pointe du pied s’ab
de somnambulisme, crurent que c'étaient des plaintes arrachées par la douleur ; mais peu à peu la voix devint plus claire, et
our le pansement. Elle a éprouvé, pendant tout ce temps et après, des douleurs aiguës; les jours suivants, elle est magnétisée e
prouve aucune souffrance. Dans l’intervalle de chaque pansement des douleurs se font sentir; quand elles acquièrent une certai
écit d’une section du tendon d’Achille, dans 1 état magnétique sans douleur . /.« Réforme et d’autres journaux quotidiens ont
celles où vous avez en présence tout un cortège de malheureux que la douleur assiège, que la mort guette et poursuit. Mes élèv
ce qu’a dit la somnambule sur la nature de 'a maladie et le siège des douleurs était exact. Le sieur Zanety souffrait depuis qua
10 décembre 1843. La somnambule dit : « Cette demoiselle éprouve une douleur « à l’épigastre et aux lombes èt une forte céphal
s jusqu’au 28 avril sui- * « vant, et dit : « Dans quinze jours les douleurs de « l’estomac et des lombes ont disparu ; j’ai é
« l’estomac et des lombes ont disparu ; j’ai été guérie, • sauf des douleurs de tête. » La somnambule lui ordonne de nouveau
lpé le corps et simulé la maladie, dit : « Cette demoiselle a « une douleur continue à l’hypocondre gauche et à « l’épigastre
e, et une toux très-intense ; au moment de « tousser elle éprouve des douleurs aux lombes et aux « régions iliaques, une céphala
e pimprenelle « et de chiendent, pendant quinze jours. « 9 mai. Les douleurs ont presque disparu, la toux « a diminué, la leuc
ule simule les souffrances et dit : « Cette de-« moiselle éprouve une douleur continue à l’épigastre, « tirant vers Phypocond
igastre, « tirant vers Phypocondre gauche; une céphalalgie, « une douleur le long de l’épine dorsale, se portant jus* « q
somnambule l’ayant examinée dit : « Cette malade éprouve » une forte douleur continue au creux de l’estomac, à * l’hypocondr
ûler, elle ne l’a pas plus tôt touchée qu’elle se plaint de violentes douleurs , comme celles que produit la brûlure d’un fer cha
n fer chaud; 2° un crayon passé sur Je dos de la main, elle accuse la douleur d’une coupure profonde, sensation fictive qu’on a
ez-vous sourds à notre appel j resterez-vous calmes en présence de la douleur , et ne « la civilisation. Il faut aller plus lo
eurs s « Venez en aide à la faible nature, a lnicrrogez et calmez ses douleurs . « Surtout montrez un dévouement insigne « A so
aculté très-heureuse de voir les maladies des autres sans éprouver de douleurs sympathiques. Elle était alors enceinte d’un mois
u cœur} Elle suivit parfaitement ce travail, qui se manifesta par une douleur pongilive, des étouffements et des palpitations.
ont elle avait peur. Le surlendemain, 8 septembre, elle éprouva des douleurs pongitives dans plusieurs points du corps, et l’o
estée comme la première par des étouffements, des palpitations et une douleur pongitive. La vio était en péril, il n’y avait pa
ouvai dans un léger délire, accusant •une violente céphalalgie et une douleur pongitive au front. Je la mis en somnambulisme av
ndant un peu vers la gauche; que cet épanchement lui causait une vive douleur sur laquelle le magnétisme avait peu d’empire, tp
mbranes si sensibles sont trop près du cerveau. Elle ajouta que cette douleur et cot épanchement offusquaient complètement sa v
hngies, mais « après midi, à une heure et quart, je serai, prise de « douleurs d’accouchement, et probablement je ferai « une fa
us se contractait en frémissant'; ces contractions causaient une vive douleur ; il y avait à Couverture inférieure une sensation
d’irriter le museau de tanche par des explorations intempestives. Les douleurs d’accouchement étaient très-évidentes ; elles dev
inent; le magnétisme me paraissait insuffisant, même pour diminuer la douleur . Dans un intervalle, la somnambule me dit : « J
u élevées et « la tête basse. » Tout cela futbientôt fait. Après la douleur suivante, elle reprit : « Vous n’avez pas encore
cris, et le mouvement ne tarda pas à réveiller les contractions elles douleurs . Je rentrai à cinq heures et demie et vis la né
elle l’état de veille de celui de somnambulisme, je calmai toutes les douleurs comme auparavant, et restai près d’elle. En cet é
s ma force, épuisée et neutralisée par l’agitation et la violence des douleurs , ne suffisait plus, et je ne pus obtenir que la c
as et les mains se couvraient de vésicules produites par l’opium. Les douleurs , qui avaient cessé le lendemain matin à sept heur
gita la nuit suivante, et vers onze heures elle fut reprise des mômes douleurs que la veille. On vint me chercher, mais, apprena
octobre serait son dernier jour, et que le 6 elle le rendrait sans douleurs , sans hémor-rhagie, et enveloppé de toutes ses me
fut faite pendant le corna mesmérique et sans aucune manifestation de douleur cl de sensibilité, et quelques instants après l’o
de absent, et dit : « Ce monsieur a une céphalalgie très-forte, « une douleur au creux de l’estomac; ses forces sont « abattues
nes apé-« ritives. 3 AoûL : Je reconnais une amélioration, mais « une douleur lancinante s’est déclarée sous le sein « gauche
s et durant lesquelles il n’a pas « manifesté le moindre sentiment de douleur : « 1° On lui a tiré fortement les cheveux , au
es » à quelques centimètres du pli du bras, lui firent « éprouver une douleur vive qu’elle désigna sous « le nom de piqûre. «
ent ordinairement suivis d’un certain degré de lièvre, accompagnée de douleurs dans diverses parties du corps. Au bout d’une a
ances et dit : « La malade pour « laquelle on me consulte éprouve une douleur à l’é-« pigastre, à la base de la poitrine et au
et fleurs de gui-« mauve. 2 Septembre : les membres sont dégagés, « douleur lancinante à la base de la poitrine du côté « gau
ous du sein « gauche, continuation de la tisane. 3 Septembre : 1« • douleur a diminué, la respiration est un peu plus « libre
serrement douloureux qui fait crier le ma-« lade ; il a en outre une douleur à l'hypocondre « droit; il a la diarrhée depuis l
184«. Névralgie. — Il y a quinze mois, ma femme était en proie aux douleurs les plus vives, et depuis douze ans elle était af
it arrivé durant le sommeil cataleptique et sans se plaindre d’aucune douleur ni d’aucun malaise. « Tant que durait l’accès e
empérature est des plus humides, fut tout à coup atteinte d’une forte douleur rhumatismale à l’occiput. Qu’eussiez-vous fait, M
l’ulée ne m’en vint pas d’abord! « Quelques jours se passent, et la douleur , qui s’était localisée, augmente; j’étais aux abo
le bonheur, par un procédé des plus simples, de guérir ma femme d’une douleur qui ne lui laissait plus de repos. « Gloire don
is aux magnétiseurs. —- CLINIQUE MAGNÉTIQUE. Dent extraite sans douleur . — J’ai cru devoir vous exposer le fait suivant d
vait aucun souvenir de l’opération et qu’elle n’avuit ressenti aucun« douleur . Hydropisie. —Dans notre tome Ier, page 509, M.
n honneur, signalé au monde comme un vil charlatan, il eut de plus la douleur de voir sa découverte entre des mains où il ne l’
ntient l’observation d’une nouvelle opération chirurgicale faite sans douleur dans l’état magnétique par M. le docteur Desbois,
sixième mois de souffrance ; le nerf sciatiquc malade lui causait des douleurs si aiguës dans la cuisse et la jambe, qu’à peine
s son officine en s’écriant : « Voyez, Mesdames, je marche; plus « de douleur : je Crois aü magnétisme, je marche. » Le l*c jai
marqué aucun mouvement musculaire non plus que le plus petit signe de douleur . La malade désirait depuis longtemps qu’on lui fi
ans le second deux, à des dames qui non-seulement n’éprouvèrent nulle douleur , mais môme ne s’en apercevaient pas au réveil. Ce
achevai le pansement sans que le patient montrât de sensibilité à la douleur • il n’avait jamais été magnétisé auparavant, et
le. Elle souffre mentalement, comme on souffre d’un cauchemar, et ces douleurs morales troublent l’harmonie fonctionnelle en por
quant à ceux qui mourront en cherchant un soulagement à leurs longues douleurs , et qui, arrivés au dernier terme, auraient eu re
ent amenées à l’état de somnambulisme artificiel ne ressentent aucune douleur pendant ces opérations? « Depuis 1820, époque à
ier, sur Mlu Dal-banel, âgée de dix-sept ans, qui n’a ressenti aucune douleur pendant l’amputation de la jambe, pas plus que pe
n que les sujets soumis à ces barbares épreuves n’en éprouvent aucune douleur , je m’estime néanmoins heureux de pouvoir m'en di
agiie, crie, pleure, accusant, par des phrases entrecoupées, do vives douleurs articulaires. Ces désordres nerveux, soit par imi
Cgmp., rue de Seine, 32. CLINIQUE MAGNÉTIQUE. Insensibilité a la douleur . —Tout homme, par la seule puissance de sa volont
’aujourd’hui. A peine en état magnétique elle se plaignait de vives douleurs abdominales, et en quelques minutes son ventre pr
ns aucune ligne écrite sur ces choses, mais nous constatons son amère douleur toutefois qu’il s’agit de son système abandonné,
VARIÉTÉS. Le malade, le médecin et le magnétiseur. — Lorsque la douleur nous assiège et que, sur notre couche, nous appel
ne jeune fille magnétiquement endormie. Elle a paru n’éprouver aucune douleur , et à son réveil elle a manifesté de l’étonnement
. Après vingt minutes d’une action forte et soutenue elle éprouva des douleurs fort vives dans les membres inférieurs, ce quelle
piqûres faites à deux centimètres de profondeur avec une aiguille. La douleur des articulations alla toujours croissant jusqu’à
la remettre sur ses béquilles. Rentrée chez elle, une heure après la douleur articulaire cessa ; et, se sentant beaucoup mieux
s et demie du matin elle me rend visite sans bâton ; elle marche sans douleur ni roideur. Rentrée à sa maison, elle danse de no
Mêmes effets que précédemment : retour des forces primitives, plus de douleurs , plus de paralysie; elle ne désire plus qu’une ch
vec régularité. Alors, ils ont pu constater qu’il n’y avait plus de douleur ni de roideur dans les articulations; les digesti
z de nœuds sacrés avant l’âge rompus, De veuves, d’orphalius que la douleur accable! Ecoutez dans Rama Rachel inconsolable,
tout comme s’ils avaient les yeux ouverts, sont-ils insensibles à la douleur à ce point qu’ils puissent impunément se précipit
du bien physique est le plaisir. La sensation du mal physique est la douleur . Le bien et le mal physique pesés et comparés r
sentiment de l’iutérêt : celle de chercher le plaisir et d’éviter la douleur . Toutes ces considérations nous présentent une
tion du bien physique étant le plaisir, et celle du mal physique la douleur , l'intérêt individuel a deux objets : I Recherc
a source du plaisir: 2° Eviter le mal physique comme la cause de la douleur . II faut conclure de tout cela que les principe
pendance étant la mesure de la liberté, il celle du mal physique la douleur , l'intérêt individuel a deux objets : I Recherc
a source du plaisir: 2° Eviter le mal physique comme la cause de la douleur . II faut conclure de tout cela que les principe
de son improvisation. Sa force intellectuelle était surexcitée par la douleur ; sa mélancolie elle-même puisait dans l’aliénatio
r était entraîné au désordre cérébral plulôt par le contre-coup d’une douleur morale assez vive que par le concours des regards
souplesse ordinaire, et cependant le somnambule ne manifester aucune douleur . Frappés de la singularité de ce résultat, nous r
ue de croire qu’elle inspire contagicusement aux femmes le goût de la douleur et le besoin de la mort, dans le seul but de rend
nstant la somnambule releva avec anxiété et comme avec l’effroi de la douleur , qui se peignit alors sur sa figure, ses mains, q
n, sur une personne endormie du sommeil magnétique et insensible à la douleur . Afin d’en faire mieux connaître les détails à no
répondu qu’elle se trouvait très-bien, et qu’elle n’éprouvait aucune douleur . Nous l’avons même vue, une fois, se lever et se
t, quelle ne souffre 'pas du tout, qu'elle n a pas éprouvé la moindre douleur , et ne conserve aucun souvenir de ce qui vient de
pouvoir d’amortir toute sensibilité dans les organes et d’éteindre la douleur . Son isolement du monde extérienr est si complet
rons-le par des faits facilasà vérifier. Un in* dividu a de violentes douleurs de tête. Quell#qu« soit la cause, peu importe, je
à une petite distance, et il ne sera pas longtemps sans ressentir des douleurs de tête proportionnées au temps que les mains ser
ut de les rendre somnambules; elles commencent toutes à ressentir des douleurs de tête ou autres dou- leurs locales, jusqu’à c
fféremment, et établit toujours un pôle insolite qui occasionne de la douleur sous la main ou dans un« autre partie du corps fo
sant que 2 ou 3 fois par an et pendant une heure ou deux seulement. Douleurs violentes en urinant. Urines rouges et chargées d
sable que précédemment, et néanmoins il n’y a plus dysurie. Fortes douleurs dans le ventre, élancements continus. Magnétisati
s du foie et de la vessie. Le 19 juin la malade a ressenti une vive douleur dans la tête, « comme quelque chose qui s’y brisa
près de la malade, qui depuis deux heures est eu proie aux plus vives douleurs . J’arrive et la trouve endormie. Elle s’est mise,
de vinaigre etl50grammes de moutarde. Le cerveau va mieux. Le 20, des douleurs surviennent dans les reins. Elle ordonne un lavem
. A 17 ans, je « me mariai... Je ne tardai pas à devenir mère... La « douleur de l’accouchement attira sur l’utérus une « grand
essie prennent un caractère terrible, comme l’a prédit la malade. Les douleurs sont intolérables... U survient uneroideur téta
s qu’un esprit. On vous pique jusqu’au sang, vous n’éprouvez aucune douleur ; on vous demande ce que c’est qu'une somnambule,
sieurs cas d’amputation supportée sans plaintes ni signes visibles de douleur , par des marins ou soldats. A son sens, la voliti
ensations; qu’ils aiment autant que lui à se conserver et à éviter la douleur ; qu’ils recherchent et se servent des mêmes moyen
es ont été brûlées, lacérées sans éprouver de ces tortures la moindre douleur . Cette explication charme par sa simplicité ; mai
accuser la mère qui presse son enfant contre son sein pour calmer ses douleurs ; il faudrait punir l’ami qui s’approche de son am
e sentait tous les jours dans le ventre et le bas-ventre de violentes douleurs . Elle vit et consulta plusieurs médecins, entre a
upporter ses souffrances, elle se traîna chez moi; scs larmes, que la douleur lui arrachait, inondaient son visage: Je la magné
premier qu’il rencontre lui demande ce qu’il a ; il ré- pond : Une douleur enragée de dents. Ali ! mon ami, dii l’autre, je
Eh ! Gonelle, je sais une eliose qui te fer^passer in-« continent la douleur , encoro que la dent fust gas-« téc. Messer Antoni
ées dans chaque famille, quelquefois par des groupes d’êtres, sur les douleurs cruelles qui les affligent et les ‘tenaillent, et
it nouveau : l’insensibilité!... Le fer, le feu, ne causaient plus de douleurs aux magnétisés, qui respiraient le chlore, l’azot
re de malades laissés pour incurables. En voilà d’autres amputés sans douleur . Voyez comme le chirurgien, profitant de la stupe
henée magnétique. 123 Aréopage médical. 333 Avulsion de deut sans douleur . 4 Charmes. 46 Cheval magnétisé. 46 Chute de
55 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'ifo1'11ws; sensation de boule remontant de l'esto- mac à la gorge. Douleurs de ventre. Elle n'est pas encore réglée. Pas d'
aux souf- frances que provoquera le poison et pour ne pas avoir la douleur de voir mourir les siens, il cherche à se suici
ambulatoire, ressent brusquement, pendant son travail, une violente douleur aux reins. Il tombe, perd connaissance et ne re
nce, grande amélioration, l'hyperesthésie a dis- paru, il reste une douleur localisée aux lombes et quelques symp- tômes qu
loppées successivement, chaque éruption étant précédée de violentes douleurs névralgiques. L'auteur ne connaît pas de cas se
rallèle à certains troncs nerveux ; 3° le caractère névralgique des douleurs . C. VII. UN nouveau TYPE d'hémiplégie alterne (
nt et se contractu- raient très violemment, ils étaient le siège de douleurs plus ou moins vives, et la peau insensible, aup
e, puis l'escarre centrale serait tombée, tout se serait passé sans douleur . Nombreux stigmates d'hystérie : plaques d'anes
state un spasme pharyngien croupal, avec anesthésie pha- ryngienne, douleurs dans les mains puis céphaliquesou abdominales,
. Il existe dans les extrémités et le tronc, surtout au ventre, des douleurs persistantes, s'exaspérant à certains mouvement
des douleurs persistantes, s'exaspérant à certains mouvements. Les douleurs abdominales forcent le patient à se tenir couch
OGIE NERVEUSE. 53 afin d'éviter la flexion du tronc qui exagère les douleurs . Les dou- leurs dans les extrémités inférieures
er, à fortiori de courir, les mouvements volontaires exaspérant les douleurs . Pour se mettre au lit, quand il sent venir les a
e. Depuis quelque temps, il ne peut plus lire, sinon il ressent des douleurs dans les yeux. Tous les auteurs tiennent l'akin
de la colonne vertébrale a fait cesser les convulsions, diminué les douleurs , amé- lioré les mouvements, mais d'une façon to
xante-neuf ans, tout à fait bien portant, non syphilitique. D'abord douleurs avec affaiblissement de la jambe gauche et né-
s jambes ; paralysies dissociées du sens de la température et de la douleur dans le dos. Paralysie de tous les modes de la
x un peu sensibles à la pression; muscles très sensibles. Violentes douleurs spontanées dans tous les mem- bres. Troubles pa
visuelle intacte. Si le ma- lade persiste il éprouve bientôt de la douleur dans les globes ocu- laires et les orbites, une
heures. Effets de L'INJECTION. a) Immédiats. Localement très vive douleur , surtout si l'on emploie la formule de Bournevill
douleur, surtout si l'on emploie la formule de Bourneville. Cette douleur ne persiste pas cependant au delà d'une demi-heur
ment à l'obsession. II y a lieu aussi de distinguer deux espèces de douleurs , les uns se figurent n'avoir pas fait une chose
herché à se tuer lui-même. Porté à l'hôpital il ne manifesta aucune douleur pendant qu'on le pansait. On vint alors lui dir
endant trois jours et aboutit à la catastrophe finale. Chez lui, la douleur morale paralyse le pouvoir inhibiteur et laisse
eux ans, éprouve une fois par mois des crises caractérisées par une douleur brusque que la malade compare à celle que pourr
onstipation. Les premières crises n'ont frappé la malade que par la douleur , mais bientôt elle a remarqué que le choc était
. Pas de stigmates d'hystérie. La brusquerie et l'instantanéité des douleurs ventrales, la coïn- cidence des vertiges et de
antaire/ cetté légère friction produit chez les malades parfois une douleur tellement vive, qu'ils poussent des cris et ret
friction, et ce n'est que quelques instants après qu'il ressent la douleur . Toujours douloureuse, cette sensation est cepe
constate peu de changement dans les troubles de la sensibilité. Les douleurs fulgurantes sont favorablement intluencées par
Début du tabes. - A l'âge dé vingt-cinq ans, le malade avait des douleurs insignifiantes aux extrémités inférieures, qui av
gnifiantes aux extrémités inférieures, qui avaient le caractère des douleurs fulgurantes. Ces douleurs, peu gênantes d'aille
inférieures, qui avaient le caractère des douleurs fulgurantes. Ces douleurs , peu gênantes d'ailleurs, qu'il attribuait au r
son enfant malade pendant une dizaine de nuits) une forte crise de douleurs fulgurantes dans les jambes éclata. Le professeur
n un mois 80 grammes d'antipyrine). A la suite de ce traitement les douleurs fulgurantes ne se montrèrent plus pendant trois
le moindre frôlement de la peau. Retard dans la perception de la douleur aux plantes des pieds. Ce retard existe, quoique
e avec l'ongle du pouce le long de la plante des pieds provoque une douleur vive, qui arrache un cri au malade. Cette doule
ieds provoque une douleur vive, qui arrache un cri au malade. Cette douleur persiste pendant un cer- tain temps. La sensi
plus incoordonnés que la droite. Le malade a de temps en temps des douleurs fulgurantes aux pieds et dans les jambes. La cr
eurs jours et empêche le malade de dormir. La phénacétine calme les douleurs . Rien d'anormal aux organes internes. L'appétit
prendre c'est la course. Le malade ne peut toujours pas courir. Les douleurs fulgurantes se montrent moins souvent et sont b
ntre lesquelles la peau bombe fortement. La main est le siège d'une douleur vague, qui n'est plutôt qu'une gêne, une pesant
t l'anesthésie y est complète, les sensibilités à la pression, à la douleur , aux variations de tempéra- ture étant totaleme
lier à gauche. A droite, l'oedème est un peu plus accentué. D = 22. Douleurs vagues à la face palmaire du bout des doigts. S
au-dessus de l'arcade crurale gauche, au niveau du canal inguinal. Douleur excessive à la pression, alors que la région symé
n troisième en véritables accès sub-intrants. Pas de dypsnée, nulle douleur , ni trace de gêne quelconque. Le pouls donne
. Il n'y a en général pas d'oedème et la sensibilité est abolie. La douleur est presque constante, c'est un engourdissement
le peuvent s'associer et alterner ; dans certains cas atypiques les douleurs sont surtout marquées alors que les troubles ci
r une des formes précédentes. Les doigts deviennent violacés, les douleurs deviennent de plus en plus fortes. Puis une petit
quelques jours à un mois; la période d'état, accompagnée d'accès de douleur et de gangrène, durant une dizaine de jours; la
ion d'un rouge vineux ou d'un bleu noirâtre, elles sont le siège de douleurs parfois très intenses et d'un oedème cutané trè
quoiqu'un peu plus accentuée à certains moments de la journée; les douleurs étaient insignifiantes, la sensibilité persista
s suivis d'une période de réaction, qu'elle s'accompagne souvent de douleurs très vives, qu'elle alterne avec la syncope loc
parties atteintes, l'acrocyanose est per- manente, donne lieu à des douleurs peu intenses, ne s'accom- pagne le plus souvent
. paralysie, une parésie ou une contracture et donnant lieu à des douleurs très intenses; l'acrocyanose au contraire se mo
blement de la main droite ; elle ne pouvait marcher par suite d'une douleur plantaire; ces accidents étaient survenus à la
caractères de ces symp- tômes : 1° Troubles de la sensibilité. La douleur , ordinairement loca- lisée à la région sacrée,
ut sera naturellement lent et le pre- mier symptôme est le symptôme douleur . Cette douleur va rare- ment en s'aggravant. Du
lement lent et le pre- mier symptôme est le symptôme douleur. Cette douleur va rare- ment en s'aggravant. Du reste les doul
e douleur. Cette douleur va rare- ment en s'aggravant. Du reste les douleurs et les anesthésies peu- vent diminuer, avec le
l très pénible. Début de la maladie il y a deux ans environ par des douleurs vagues dans la région lombaire et aux jambes, sur
noté à son entrée à la Sal- pêtrière. Troubles de la sensibilité ; Douleurs lancinantes, par- tant de la fesse gauche et s'
sse gauche et s'irradiant dans tout le membre inférieur gauche, ces douleurs sont irrégulièrement intermittentes et les cris
ment intermittentes et les crises durent huit à quinze jours. Autre douleur en ceinture au niveau de la région lombaire. Hy
'absence de plaies ulcérées, alors qu'il y a seulement tuméfaction, douleur et rougeur. Le dia- gnostic est pourtant facile
; garçon de bureau, est pris en 1891, sans cause appréciable, d'une douleur au bord interne du petit doigt droit. Cette dou
réciable, d'une douleur au bord interne du petit doigt droit. Cette douleur s'aggrava et devint permanente avec des exacerb
1894, le malade en était presque au marasme, tant il souffrait. La douleur était continuelle et consistait en un fourmilleme
ne de la main. Toutes les dix minutes à peu près, sans motif, cette douleur prenait une intensité excessive et remontait le
ation furent des plus heureux, la plaie gué- rit sans accident, les douleurs disparurent rapidement et rapide- ment aussi le
e. En 1892, après quelques phénomènes prémonitoires consistant en douleurs violentes dans les deux jambes, douleurs survenan
rémonitoires consistant en douleurs violentes dans les deux jambes, douleurs survenant par REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 297
onde mort-nés. Il y 302 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. a sept ans, douleurs sourdes dans l'épaule gauche, avec fourmille- m
l'affection il y a trois ans par de l'amblyopie, plus tard quelques douleurs fulgurantes dans les membres infé- rieurs et da
, les artères y sont petites et les veines très volumi- neuses. Les douleurs fulgurantes des membres, la constriction en cei
re du thorax ont, pour ainsi dire, disparu, mais il existe quelques douleurs à type fulgurant dans la région occipitale. Les
fibrillaires très marquées au moindre choc. Sensibilité conservée, douleur au côté gauche du thorax, sensation de chaleur
muscles des membres supérieurs. La sensibilité au lou- cher et à la douleur diminuée aux mains et aux avant-bras. Dou-- z l
laire progressive. La paraplégie brachiale, la roideur du cou, la douleur persistante à la nuque, les altérations de la sen
violentes et de la constipation. En même temps, elle éprouvait des douleurs dans les bras et elle n'ouvrait plus facile- me
peu moins que ceux du côté droit. La sensibilité au tact et à la douleur est conservée. Réflexes rotuliens exagérés, surto
maladie actuelle, qui remonte à trois ans et qui fut marqué par une douleur à la région précordiale. Depuis quelque temps, at
es de la sensibilité sont intactes, si ce n'est la sensibilité à la douleur qui est très vive. La malade se plaint de faibl
le premier temps de son séjour à l'hospice, la malade eut de fortes douleurs fulgurantes aux quatre extrémités. Ces douleurs
alade eut de fortes douleurs fulgurantes aux quatre extrémités. Ces douleurs siégeaient à fleur de peau et le moindre frôlem
ndant la forte pression surl'endroit doulou- reux calmait plutôt la douleur . A cette époque la malade ne pou- vait pas se t
ni coudre. Pendant la première année de sa maladie; elle avait des douleurs en ceinture et la sensation de cui- rasse en fe
l'air plus jeune que son âge. Depuis des années elle n'a plus eu de douleurs fulgurantes et elle semble jouir d'une bonne sant
é cutanée. La malade sent le moindre frôlement. La perception de la douleur n'est pas retardée. Le chaud et le froid sont é
icielle avec l'ongle le long de la plante du pied provoque une vive douleur qui dure pendant plus d'une minute. Ce phénomèn
s mois avant.la mort de son mari, la malade a commencé à sentir des douleurs aux reins surtout du côté gauche. Ces douleurs
ommencé à sentir des douleurs aux reins surtout du côté gauche. Ces douleurs revenaient par crises, duraient une journée et
a malade des vomissements qui du- raient tant que' persistaient les douleurs qui étaient atroces. Ces douleurs n'augmentaien
raient tant que' persistaient les douleurs qui étaient atroces. Ces douleurs n'augmentaient pas avec les mouvements. Ces crise
aperçue que ses jambes ne la. portaient pas et elle éprou- vait des douleurs dans les aines comme si on l'écartelait. Le 17 du
eu recours à la morphine pour calmer la malade. De temps en temps, douleurs fulgurantes dans les cuisses et aux orteils. La m
remière fois une crise laryngée des plus graves. Elle éprouvait une douleur violente à la partie supérieure de la poitrine,
et légère avec l'ongle le long de la plante des pieds provoque une douleur intense qui arrache des cris à la malade. Sen
pté à la plante des pieds, il y a aussi un peu d'hypoesthésie de la douleur . Aux plaques en dehors des genoux où le toucher
conservé, il n'y a pas non plus de retard dans la perception de la douleur . Pas de retard au tronc, mais partout où le tou
de n'apparaît. Vers le mois de septembre 1893 la malade ressent des douleurs violentes dans les deux genoux, qui disparaissent
les jambes très dou- loureuses. La faiblesse augmente toujours, les douleurs en ceinture apparaissent, douleurs peu violente
faiblesse augmente toujours, les douleurs en ceinture apparaissent, douleurs peu violentes, plutôt gênantes, faisant sans ce
apide avec l'ongle le long de la plante des pieds produit une forte douleur qui « va jusqu'au coeur » et persiste pendant u
e- ment mercuriel. Début de la maladie. En août et septembre 1892 douleurs ful- gurantes dans les jambes et à la partie in
ressentir manifestement une grande amélioration dans la marche. Les douleurs fulgurantes ont cependant reparu depuis son ent
ronc, mais peut-être moins accentués qu'aux membres inférieurs. Les douleurs fulgu- rantes reparaissent depuis deux ou trois
séparées par des intervalles de rémission au moins aussi longs. Ces douleurs , toujours localisées aux pieds et aux jambes, ne
a fric- tion avec l'ongle le long de la plante du pied provoque une douleur très vive). La sensibilité profonde (articula
nt plusieurs jours. En 1889 diplopie passagère. Au mois d'août 1893 douleurs fulgu- rantes dans les cuisses, dans les jambes
'un et de se servir d'une canne. Depuis deux mois de temps en temps douleurs fulgurantes dans les avant-bras et dans les bra
cher est normal sur tout le corps. Retard dans la perception de la douleur aux extrémités inférieures. Hyperesthésie au froi
on rapide avec l'ongle du pouce sur la plante des pieds produit une douleur très vive. Cette douleur persiste pendant une m
pouce sur la plante des pieds produit une douleur très vive. Cette douleur persiste pendant une minute à peu près. L'appli
nsation de brûlure tellement forte que le malade pousse des cris de douleur . La sensibilité profonde (articulaire musculair
e temps qu'a duré le traitement, le malade n'a pas eu de crise de douleurs fulgurantes. Observation VU. Tabes dorsal. Déve
s entières sa femme était forcée de le consoler. En 1888, premières douleurs fulgurantes dans la peau des cuisses et des fes
bord de l'on- pie le long de la plante du pied occasionne une vive douleur . Cette douleur se produit avec un certain retar
pie le long de la plante du pied occasionne une vive douleur. Cette douleur se produit avec un certain retard et persiste pen
crises nocturnes d'hystéro-épilepsie. Début de la maladie. En 1887 douleurs fulgurantes aux pieds, principalement aux ortei
à quelques mois auparavant le malade souffrait de temps en temps de douleurs dans le rectum, après les selles, après avoir u
couché pendant six semaines. Pendant toute cette période crises de douleurs fulgu- rantes atroces à l'endroit de la fractur
avec l'ongle le long de la plante du pied produit une sensation de douleur très vive. Ce phénomène se produit avec un cert
et incontinence des urines. Signe de Romberg dès le début. En 1885, douleurs fulgurantes dans les pieds, les jambes et dans
séances de suspension, amé- lioration des symptômes vésicaux et des douleurs intestinales. Jusqu'en 1893 le malade marchait
t ? -éniités supérieures. La sensibilité tactile, thermique et à la douleur eat normale des deux côtés. La sensibilité profon
s mouvements de la main gauche. De temps en temps la malade a des douleurs fulgurantes daus les trois derniers doigts de la
moins nettement. Il y a un certain retard dans la perception de la douleur , surtout à la plante des pieds, où ce retard es
rapide de l'ongle le long de la plante des pieds provoque une vive douleur (une cuisson), qui persiste pendant plus d'une
heures avant de se mettre au lit. Lorsque l'insomnie est liée à des douleurs , on fera bien d'associer ce médicament à la mor
nées précédentes, bonne constitution. Fin 1894, manifestation d'une douleur au rachis qui s'exaspérait quand le malade marc
e saillie prononcée et la pression en cet endroit produit une forte douleur . Les oreilles sont rouges et chaudes, et cette
des excès de table anciens. Estomac dilaté, anorexie, éructations, douleur épigastrique, vomissements, céphalalgie. Depuis
malade est pris brusquement et sans cause appréciable de violentes douleurs dans la partie postérieure des deux jambes. Le
gauche avec léger oedème au niveau des malléoles du même côté. Les douleurs sont du reste un peu plus fortes à gauche. L'exam
nt, mais il aurait en une enfance très maladive et, à neuf ans, des douleurs rhumatis- males. Dès son arrivée à la caserne,
ital. Quelque temps après, il retombe malade à nouveau ; faiblesse, douleurs dans les membres, dans les inférieurs surtout,
avec peine et en steppant; la marche ne produit dans les genoux ni douleurs , ni craquements. La sta- tion debout est possib
et d'un bâton : à noter que les mouvements sont bien coordonnes. Douleurs dans les membres, surtout dans 'les inférieurs, m
de luttait, c'est-à- dire que s'il persistait à demeurer malgré ses douleurs de tête, celle-ci finiraient par disparaître av
ité d'une achillodynie hystérique, et c'est peut-ètre même la seule douleur du tendon d'Achille qui mérite le nom d'achillo
, à la première apparition des phénomènes de névrite, aux premières douleurs musculaires. Il donne aussi une nouvelle observ
chez eux, les paralysies sont très rares ; ils ont d'ordinaire des douleurs dans la région du coude gauche et des épaississ
ous leur influence, l'état général s'améliore ; la céphalalgie, les douleurs , les paresthésies des doigts disparais- sent, c
calme¡' (il existe encore 100 pulsations), mais les paresthésies et douleurs des extrémités reprennent. On adjoint au repos
56 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
, mise en rapport cvec une femme en couches, avait éprouve tontes les douleurs de l'enfantement, et jusqu’aux contractions cxpul
ein cancéreux ou un membre, sans faire éprouver ail malade la moindre douleur . Je voulus réveiller moi-môme l’endormi, ce qui e
il a guéries : 1° Suppression de règles accompagnée de fièvre et de douleurs d’estomac; guérie en cinq magnétisations. 2° Mi
ndes, je lis un effort, comme qui arrache un gant: j’enlevai toute la douleur , et la malade sc mit à sauter en criant au miracl
physiologique qui permet de faire les opérations chirurgicales, sans douleur . La découverte de ce procédé appartient MM. Jac
dres, deux opérations, sans que les patients aient éprouvé la moindre douleur . Le chirurgien, M. Leston, ne s’est pas servi pou
pportons aux Écritures, la première opération chirurgicale faite sans douleur date du commencement du monde. Le récit biblique
eût enlevé une partie considérable de son corps, sans luy causer une douleur très-sensible, à quoy sa bonté et ses tendresses
qui ont proposé l’asphyxie, l’opium, etc., comme moyen d’empêcher la douleur , l’expérience démontre que ceux qui ont pris les
t, qui supportent avec résignation et sans sc plaindre les plus vives douleurs , courent ensuite le plus de dangers. Ce résultat
ie, se lamente, se débat; vous lui enlevez la conscience, mais non la douleur , car ses plaintes ont un sens, et les coups qu’il
ue vous éthérisez pour le plus léger bobo, et même dans les cas où la douleur est nécessaire, lorsqu’elle sert de guide. Pour
rapport de soixante-treize opérations faites en état magnétique, sans douleur aucune, et la nouvelle de la création d’un hôpita
la différence. L’insensibilité magnétique n’est accompagnée d'aucune douleur , d’aucun (i) Voyez, pour ce qui s'est passé au
on j trouve l’énoncé de soixante-treize opérations chirurgicales sans douleur , et de dix-hnit maladies internes, avee des réfle
iellement nerveuses; mais je répondrai que le sommeil et l’absence de douleur étant la condition la plus favorable h la résolut
l’état, magnétique. Il est des cas où les malades n'ont senti aucune douleur , même après l’opération; les plaies se cicatrisen
: Henri se réhabilite à ses yeux, et déjà ils oublient presque leurs douleurs quand l’heure du duel sonne. «N’y va pas, s’écrie
cet admirable travail médicateur. I.es crises qui se produisent, les douleurs apaisées, lachaleur revenant dans des parties qui
re et d’aimer, et dont on a perverti l’intelligence et le cœur. A ses douleurs si nombreuses opposez votre pouvoir magnétique; p
nt des dormeuses parlant dans le sommeil et devenant insensibles à la douleur ; mais je ne rencontrais pas celle somnambule-de m
Mise en rapport avec un malade, elle en ressent pour ainsi dire les douleurs , et indique son affection avec une exactitude qui
Je lui ai présenté vingt malades, et jamais elle n’a donné à l’un une douleur qu’il n’avait pas, ou omis une souffrance qu’il é
zarre. Il fut précédé par des cris aigus arrachés par la violence des douleurs que j’avais fait renaître, par la vision de fantô
le; en six minutes: lucidité. Je l’ai magnétisé quinze jours pour des douleurs d’estomac, qui ont été guéries durant ce laps de
pposés h ceux de l’Occident. Les premiers « enlevant les membres sans douleur ; les seconds sui-« vaut la bonne vieille méthode
nds sui-« vaut la bonne vieille méthode orthodoxe, qui considère « la douleur comme nécessaire. » Plus loin il dit encore :
qu'il a vu et on achève de le calmer. Il ne lui reste bientôt qu'une douleur dans la partie supérieure du crâne , qui disparaî
bientôt une sorte de défaillance, et de là difficulté de marcher. Des douleurs dans le bas-ventre firent croire à une affection
elle éprouva en rentrant un mai de gorge assez violent accompagné de douleurs de tète et d’oreilles. Elle s’efforça d’abord de
considérables. La malade avait senti jusque dans la poitrine de vives douleurs ; mais vers le quinzième jour il n’y avait plus qu
n'a pas sourcillé, n’a fait aucun mouvement, ni senti la plus légère douleur . La tumeur, une demi-heure après son ablation,
a vérité, et que la position honorable, l’esprit élevé, autant que la douleur de la famille, sont une garantie suffisante delà
embres de cette nombreuse famille n’en avait jamais été atteint. La douleur profonde que causa une telle perte se comprend mi
qu’il était plus brusque et imprévu. Après les premiers élans de la douleur , le père dit à sa femme : « C’est aujourd’hui le
a contiennent un si grand nombrede récits d’opérations exécutées sans douleur que nous renonçons à les traduire. Nous nous born
trent sur un objet unique : la soustraction des patients aux cruelles douleurs des opérations chirurgicales. Partout le succès c
n de dent. — Nous avons assuré dernièrement, qu’on avait extrait sans douleur une dent à une jeune personne dormant du sommeil
u’à une violente tractiou qui aurait causé à une personne éveillée la douleur la plus poignante. Cependant la contenance de cel
céphalalgie intense, éblouissements, chaleur âcre et sèche à la peau, douleurs sourdes dans l’abdomen et principalement dans la
et la malade, qui avait été mise en état de sommeil, ne manifesta ni douleur ni sensibilité. Quelques jours après, la malade
us être opérée? — Oui. — I,’opération se fera-t-elle bien et sans douleur ? — Oui. — Etes-vous dans un état complet d’in
ité nouvelle, les vrais principes de la médecine, l’art de calmer les douleurs . Vous le savez, Messieurs, à chaque effort fait
qu’Esculape eût chassés de son temple, Vils trafiquants des humaines douleurs ; Lasse, à la fin, la nature contemple Avec effr
er mesmériseur pour que les battements cessent de suite, et en sus la douleur environnante. Si le lendemain elle reparaît, idem
us volontiers qu’à des aiguilles enfoncées brusquement pour éviter la douleur , qui, dit-on, ne saurait être que légère. C’est f
éri; et tout le monde les emploie sur la foi de cet aphorisme, qu’une douleur plus petite doit céder devant une plus grande.
tal? Qu'est-ce queje remarque dans une sciatique que je mesmérise? La douleur , concentrée dans la région ischiatique descend ve
a mort il y a un abîme insaisissable pour l’homme. Quoi, je verrai la douleur fuser sur les trajets nerveux, et ils diront : No
e muscle sous l'empire du génie rhumatismal ! Mais dès là qu’il y a douleur , il y a sensation; partout où il y a sensation, l
il y a sensation, les nerfs sont en activité; donc partout où il y a douleur , les nerfs sont malades. Pourquoi portez-vous imp
thérapeutiques ont échoué. Des femmes affectées de maux de reins, de douleurs lancinantes à l’hypo-gastre, et de tous ces sympt
vitale, reprenaient leur place première, et le nœud était dénoué. La douleur mécanique cessant, l'utérus ne pressant plus sur
n revint chez elle avec l’ulcère ouvert, qui lui faisait souffrir des douleurs insupportables, ne pouvant faire quelques pas qu’
elques minutes il dormait d’un sommeil tranquille. A son réveil toute douleur avait disparu, il pressait lui-même les vessies p
ise, dit qu’il est faible, qu’il a beaucoup de mal au nombril, que la douleur n’est pas ordinaire, qu’il se sent défaillir, et
mal; que s’il ne s’était pas endormi, il aurait peine à supporter les douleurs qu’il allait endurer, ün instant après, les trémo
nt iis! souvenir de ce qui s’était passé et ne ressentant plus aucune douleur . Jugez de la surprise et de la joie que j’ai épro
néantir toute sensibilité dans les organes et éteindre entièrement la douleur . Cet étrange phénomène a produit sur l’assemblée
même le contact de sa chemise, et que la moindre secousse amenait des douleurs effroyables. Pendant dix-sept semaines on essay
on ordinaire. 11 y a, en outre, des élancemenls dans le ventre et des douleurs vives dans les reins; la nuit, surtout, l'hypéres
s apophyses épineuses de la colonne vertébrale, on détermine une vive douleur à la partie médiane de la région dorsale, dans un
que, le rapport établi à terme, la somnambule éprouverait toutes les douleurs de l’enfantement. Cette supposition est autorisée
pour la cure des maladies les plus rebelles, el la prévention de la douleur dans les opérations chirurgicales, et désirant qu
n volontaire pour le traite-« ment des maladies et la privation de la douleur des « opérations chirurgicales; « 2° Que la dir
que nous éprouvons; car nous avous souci des maux d'autrui, et notre douleur augmente en voyant protéger la fausse science qui
r, éprouvant en outre de violentes migraines et des palpitations avec douleur dans la région du cœur et des reins, devint somna
ons parfaites, qui m élonnent moi-même, ou de grands soulagements aux douleurs des malades qui ont recours à moi. Mais je suis t
ues ne répondent pas toujours au grand désir que j’ai de soulager les douleurs humaines. Je suis contraint de réduire à trois pa
couche, il y a quinze ans, qui, en premier lieu, ne causant point de douleur , n’avait donné aucune inquiétude, mais qui, augme
étisé à sa main gauche, que, revenu à son état normal, il éprouva une douleur assez vive pour m’obliger à lui demander mille pa
e, simulant une affection goutteuse du bras droit, avec palpitations, douleurs d’estomac, etc. D. — A-t-elle été traitée par t
u’il y a des pertes nerveuses comme des perles sanguines, et que la douleur tue aussi promptement que rhcmorrliagie. » Quel
un des opé-r éspar ce procédé n’est mort, c'est à la privation de la douleur qu’est dû ce succès? — La Dimocralic Pacifique
, 20 mai 1847. N° 139. En 1823, atteinte de maux d’estomac, toux, douleurs de poitrine, je fus traitée comme poitrinaire, so
nistra l’éther sulfurique à haute dose, et des crises, convulsions et douleurs nerveuses dans la tète, qui furent le résultat de
eurs nerveuses dans la tète, qui furent le résultat de ce remède, les douleurs nerveuses de la tête me sont restées. Pendant ma
à la suite, me laissent l’enflure telle que je l’ai désignée, et mes douleurs de tête. En 18-4-5, des glandes de la grosseur de
sang, et en quelques séances que vous avez daigné lui consacrer, ces douleurs ont entièrement cessé. Vous parlerai-je de ma m
e nom de Mesmeric hospilal, un établissement pour les opérations sans douleur et le traitement des maladies par le magnétisme.
llicitations qu’il consentit à me montrer sou procédé pour calmer les douleurs . Il fit apporter uue potée d’eau, un rameau qui c
l’un des magiciens des environs qui l’avait graudement soulagé d’une douleur à la jambe. Mais son charmeur, outre la traine de
ait rationnellement les effets de la nature.... C’étaient d’horribles douleurs par tout le corps, mais plus spécialement au côté
, ou, du moins, des bouillons. Grâce à une longue persévérance, les douleurs diminuèrent peu à peu, et cessèrent enfin tout à
ses mains pour manger seule, tenir son livre, jouer aux dominos; scs douleurs n’en sont pour ainsi dire plus : elle meut ses ja
un jour, comaliser plusieurs personnes et les rendre insensibles à la douleur des opérations chirurgicales. Un essai d’une heur
e-Louise, veuve Labarrèiie, de Pau. (Migraine permanente, insomnie, douleur au foie et palpitation de cœur, mal d'oreilles, e
érèse, épouse IIeyd, de Pau. (Maladie de foie, palpitation de cœur, douleurs de matrice et de rate, insomnie, sans appétit.)
ation de cœur permanente et toux.) 55. Pierre Bergerot, d’Arête. ( Douleurs rhumatismales.) 4(3. Anne Rey, de Bizanos. (F
graine permanente, maladie d’yeux, (^'oreilles, palpitation de cceur, douleurs de rate et de matrice.) 4S. Marie Lacassy, épou
8. Jeanne I.oup, épouse Micoulau, de Pau. (Oppression de p.iitrine, douleurs de matrice, migraine, mal d'yeux, d’oreilles el d
nleru, de Pau. (Maladie d'yeux.) 72. Pierrç Moünaut, de Gelos. ( Douleurs rhumatismales.) 73. Jeanne, lillc Mounaot, de G
de Médecine la relation de soixante-quinze opérations pratiquées sans douleur , offrant en même temps de donner toute facilité a
1 appelaient. Lorsqu'il eut réuni cent deux cas d’insensibilité a la douleur , il en adressa le rapport direct au gouvernement,
mbe gangrenée, fut amputé de la cuisse sans qu’aucun signe décelât la douleur . « Murali-Duss (l’opération étant très-grave) r
ps, distorsion des traits donnant à la face une bideuse expression de douleur comprimée; la respiration devint saccadée, longue
ce ni souvenir de l'opération , niant avoir rôvé et n’accusant aucune douleur , jusqu’à ce qu’on eût attiré leur attention sur l
être regardées comme des preuves que les opérations occasionnaient la douleur actuelle dont ces symptômes sont l’évidence habit
e de souffrance, et que, dans les trois autres, ces manifestations de douleur pendant l’opération sont annulées par l’affirmati
z profond pour permettre de faire les opérations les plus graves sans douleur , selon la déclaration des malades, pensa que son
t, M. Esdaile y attacha beaucoup d'importance, en ce que l’absence de douleur accélérait la guérison. La commis-sion assista au
ement de quatre larges plaies de patients endormis, qui eut lieu sans douleur ; mais la douceur et le soin avec lesquels celle
raits), ils’éveilla, et en procédant à la seconde il jeta des cris de douleur et de terreur, et s’agita si fort que l’opérateur
mon secours, et dispensant en moi ce fluide vivifiant qui maîtrise la douleur , vous avez rendu le repos à mon corps en même tem
hérir la vie au reste des humains, en leur offrant le contraste de la douleur au bien-être dont ils jouissent ; je fus de ce no
agitant convulsivement, je poussais ces cris aigus que m’arrachait la douleur , et auxquels succédait le râle de l'agonie, puis
même temps que des coliques aiguës me causaient parfois de cuisantes douleurs ; il semblait que j’eusse dans le ventre un foyer
, ni catalepsie, et, dans mon état normal, je n’éprouvais rien de mes douleurs passées. Tel est, comme vous pouvez le voir, le
pratique magnétique serait prématuré. Mais la possibilité d'abolir la douleur des opérations a fait une telle impression sur 1
cœur soit sourd à la plainte, que les malheureux portent au loin leur douleur ; ces misérables que la médecine a couverts de ses
e langueur, etc.) 0. Prosper, fils deLAtiDET, de Pau, rue Gassies. ( Douleurs rhumatismales.) 7. Marie, fille Sartiiou, h. de
(Inflammalion dans les viscères.) 12. Pierre Bergerot, d’Arette. ( Douleurs rhumatismales.} 13. Bernard Domecq fils, premie
s et maladie de nerfs.) 33. Jean Gassies, dit Hourcade, de Loos. ( Douleurs rhumatismales.) 34. Pierre Cazadx fils, d’Ousse
,■ épouse Minvielle, troisième née, de Monlestruc. (Maladie d’yeux, douleurs de foie, affection de nerfs.) GO. Bernard Sauka
mia, d’Auzin. (Inflammationau bas-ventre, sans appétit, insomnie et douleurs continue .) CI. Pierre Saintciron, h. de Pau.
uatorze jours.) 03. Jacqucs Sabatiié, deuxième né, de Motmassut. ( Douleurs rhumatismales.) Ci. Geneviève-Gracieusc Souchet
Bonnuiuaison, épouse Horgues, d’Angayes. (Inflammation de poitrine, douleurs au foie, au cœur, au ventre, migraine permanente,
is heures.) 105. Auguste Bressom.es fil«, dernier né, de Tarbes. ( Douleurs rhumatismales.) 106. Jeanne Caillau, lille, h.
133. Marie Abadib, épouse Saint-Pikrre, de Plaisance. (Migraine et douleurs dans les reins.) 131. Joseph d’Auriac, de Sauia
inues, suppression dos périodes depuis six mois, fièvre continue, des douleurs très-aiguüs dans tous les viscères, point de somm
enonçant aux plaisirs du monde, et enfermées dans dans des maisons de douleurs , de gémissements et de tristesse, vous vous êtes
ieur, que vous me faites de bien ! vous m’avez enlevé avec main cette douleur qui tout à l'heure était pour moi un vrai tourmen
trouve un chapitre des Mémoires d'un médecin sur l’insensibilité à la douleur . Dans son numéro du 17, le même journal publie un
rhée, ce qui nous obligea d’interrompre le traitement préventif de la douleur . La mesmérisation fut reprise le \ décembre, ma
jacenles. Le patient, vers la fin, offrit les signes ordinaires de la douleur : il demanda de l’eau el un punkah; mais quand il
ls cas sont assurément pour lous les chirurgiens des opérations satin douleur . Si un homme n’a nulle conscience d’une opération
ses doigts l’intrigua beaucoup; il l’arracha en manifestant autant de douleur que le feraient la plupart des gens en pareille o
dont une plaie vive est mise en contact avec des acides minéraux : la douleur était «i aiguë que j’ordonnai de lui fomenter l
ès-bien dormi, que rien ne l’avait troublé el qu’il n’éprouvait nulle douleur . La plaie lui fut alors montrée ; il en exprima l
er une nouvelle opération, dont le magnétisme a de nouveau prévenu la douleur . Le même journal publie , dans son dernier numéro
is jours, à chaque opéraiion , une lièvre légère, n’a ressenti aucune douleur , el a été radicalement el promptement guérie sans
iens et réguliers, la malade ressentit pour la première fois de vives douleurs à sa plaie, bientôt celle-ci se rouvrit, suppura,
rer une partie de leurs forces au soulagement de quelqu’une des mille douleurs qui tourmentent la pauvre humanité, \ous les ennu
sé, c’est ce que vous vous rappelez qui les impressionne. Quant aux douleurs que vous éprouvez, rien de plus certain qu’ils le
c que de la lie? Oh! c’esl qu’en effet l’humanité n’est pas belle, la douleur est la compagne de chaque génération ; chacun de
J’avais suivi les conseils de la médecine et j’en étais réduit à des douleurs sourdes, mais sans relâche, el je pensais qu’elle
cependant le travail dans les organes malades s’annonçait bien ; des douleurs d’estomac sous la magnétisation me donnaient la m
uart d’heure dans un demi-litre d’eao. Une lasse matin et soir. Des douleurs que je ressentais dans les jambes , suite d’une f
tre. Les soins qu’exigea la guérison complète de cet organe, cause de douleurs souvent très-vives, retardèrent ma guérison génér
ustifie ses alarmes. On lui reprocherait volontiers l’absurdité de sa douleur . Cependant quelque temps se passe, et dans le cou
ons la conscience; mais qu’il survienne un trouble, et à l’instant la douleur en avertit l’intellect ; c’est la conséquence des
Opérations chirurgicales. — Nombreux exemples d’insensibilité à la douleur . 138, 265, 292 Ophtalmie. 37, 168, 359 Ode, à M
57 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
Changement de caractère depuis deux ans environ : il se plaignait de douleurs dans les jambes, de sentir ses idées disparaîtr
but, une certaine pesanteur dans la région lombaire, mais jamais de douleurs vives, rien au niveau du coccyx. Ces troubles
ations de la racine des membres. Il a dé- buté insidieusement, sans douleurs d'aucune sorte, ne s'est jamais compli- NOUVELL
ndre traumatisme. L'ankylose ne s'est accompagnée, chez elle, ni de douleur , ni d'anesthésie ; elle a atteint les articulat
sous celui de synartrophyse (Kritchewski- Gochbaum), débute par des douleurs localisées à telle ou telle jointure, puis peu
e frappe surtout des adultes du sexe masculin ; elle débute par des douleurs , qui persistent pendant toute la durée de l'affec
rs, qui persistent pendant toute la durée de l'affection ; mais ces douleurs constituent le seul phénomène inflammatoire, et,
partient au sexe féminin. La spondylose rhyzomélique débute par des douleurs vives ; elle immobilise les articu- lations cox
plètement. Au contraire, chez notre ma- lade, début insidieux, sans douleurs ; ankylose des hanches en flexion, abduction et
tant parfois du rachis ou de la racine du membre et pareilles à des douleurs lancinantes ou fulgurantes légères. Dans le c
ubles objectifs de la sensibilité. La malade dit ne pas sen- tir de douleurs dans les membres paralysés (ce n'est que rétrospe
es membres inférieurs. Pas de trou- bles de la sensibilité cutanée. Douleurs intermittentes pendant quel- ques années dans l
tôme im- portant : la malade a souffert pendant plusieurs années de douleurs dans les membres supérieurs, douleurs intermitt
t pendant plusieurs années de douleurs dans les membres supérieurs, douleurs intermittentes, variables de siège et d'intensi
ité, décrites tantôt comme des crampes localisées, tantôt comme des douleurs lancinantes à long trajet partant de la racine de
long trajet partant de la racine des membres ou même du rachis. Ces douleurs que l'on prit pour un phénomène acces- soire, r
eut pendant longtemps des secousses fibril- laires visibles et des douleurs dans les membres atrophiés. L'examen his- tolog
ar les muscles des cuisses et des mains et avait été accompagnée de douleurs , trouve à l'examen histologique.une sclérose de
ominant aux extrémités il y a des troubles de la sensibilité et des douleurs du type fulgurant, de l'incoordi- nation motric
, sa faiblesse étant allé en augmentant. Le malade n'a jamais eu de douleurs dans les mem- bres inférieurs ni de troubles sp
ie que le malade présente aujour- d'hui. Le malade n'a jamais eu de douleurs ni de troubles sphinctériens. 11 ne peut marche
bout de 6 semaines. Quinze jours après la guérison, il ressent des douleurs dans les jambes et éprouve de la peine à marche
et bé- gayait. Il reste chez lui dans cet état pendant 3 mois ; les douleurs survenaient pendant une demi-journée tous les 3
es troubles, mais depuis 1899 son état n'a pas beaucoup changé. Les douleurs ont bien diminué depuis 1899, mais elles existe
oubles de la sensibilité sub- jective et objective sous la forme de douleurs dans les membres infé- rieurs et de légère hypa
els que le phénomène de Romberg, les légers troubles urinaires, les douleurs et la légère hypalgésie aux jambes. On pourrait
aissance. En outre survinrent quelques céphalées fron- tales et des douleurs lombaires. Elle fut soignée par l'hydrothérapie e
ébut des troubles oculaires, elle éprouva dans tous les membres des douleurs nettement fulgurantes, tout à fait caractéristiqu
ru. Mais au début de l'année 1906, la malade éprouve de nouveau des douleurs fulgurantes, non plus profondes mais superficie
ue la jambe droite commence à se déformer. Au mois de mai 1906 la douleur se localise plus spécialement au niveau du geno
t de plus en plus difficile, presque impossible surtout du fait des douleurs , qui sont à leur maximum lorsqu'elle pose le pi
de sa maladie. La marche est difficile et hésitante, en raison des douleurs . Mais la démar- che ne paraît pas ataxique. Ell
s sensible à la palpation ; la percussion seule pro- voque quelques douleurs vers l'extrémité supérieure. 2° Le'genou droit
ion sont presque impossibles ; ils déterminent des craquements, des douleurs . 3° Le fémur droit présente une exagération ano
limitée. Les articulations des épaules présentent encore les mêmes douleurs et les mêmes craquements. Il nous faut signal
frappent surtout les deux articula- tions du genou ; 4° Par de la douleur et par une élévation de la température locale.
ostose récemment survenue sur le bord antérieur de cet os, dans les douleurs aiguës et profondes qu'elle a présentées, enfin
a jambe). Il en esl résulté une disparition rapide et manifeste des douleurs spon- tanées. Quant aux malformations osseuses,
Un homme était venu à la Salpêtrière, souffrant depuis longtemps de douleurs dans la région lombaire. L'examen fit rapidement
é d'autre trouble quelconque de la santé ; en particulier jamais de douleurs dans la tête ni dans les membres. Elle a continué
10 à droite). La malade ne souffre pas ; elle n'a jamais éprouvé de douleurs lanci- nantes, ni de maux de tête. La marche
ec réserves. Il n'y a en effet aucun trouble de sensibilité, pas de douleurs fulgurantes, ni de troubles sphinc- tériens. On
douleurs fulgurantes, ni de troubles sphinc- tériens. On ne note ni douleurs , ni anesthésie dans le domaine du triju- meau.
is années consécutives. Il aurait présenté à plusieurs reprises des douleurs rhumatismales dans les jambes. Ni trace ni souven
e travail, il éprouva dans la région palmaire de la main gauche une douleur vive qui ne le quitta plus, malgré tous les trait
algré tous les traitements qu'il tenta. A partir de ce moment,cette douleur persista, permanente, avec crises d'exa- cerbat
n aspect extraordinaire. - L'oedème est bien indolore, malgré les douleurs très pénibles dont se plaint le malade ; si on
nibles dont se plaint le malade ; si on analyse soigneusement cette douleur , on se rend compte en effet qu'elle est peut-êt
des brandies sèches de bois, travail qui lui avait laissé une vive douleur pendant les jours suivants. Ce cas resta alors
s ces deux cas, aussitôt après le traumatisme prolongé, apparut une douleur très nette, débutant au niveau traumatisé, s'éten
au bout de quelque temps l'oedème apparaissait, débutant, comme la douleur , dans la zone primitivement lésée et devenant p
uro- ' tiques aigus de Quincke dans les territoires occupés par les douleurs lan- cinantes du tabes, au moment où existent c
par les douleurs lan- cinantes du tabes, au moment où existent ces douleurs , faits signalés par Cassirier, et dont j'observ
jusqu'au genou, puis en 1902 envahit la cuisse et la grande lèvre. Douleurs à la pres- sion au niveau du sciatique poplité
Douleurs à la pres- sion au niveau du sciatique poplité interne, et douleurs spontanées dans la position debout. L'examen ra
chaque mois. Leur durée était de 3 jours et étaient accompagnées de douleurs intenses. Puis pendant cinq mois les règles ont
continuées régulièrement. A l'âge de 13 ans la malade ressentit des douleurs dans la hanche et la cuisse gauches, en même te
e année elles ont envahi aussi la jambe. - 1 Concomitant avec ces douleurs la cuisse du côté gauche augmenta de vo- lume e
auche augmenta de vo- lume et cette augmentation, limitée comme les douleurs à ce segment pen- dant la première année, envah
envahit aussi la jambe pendant la deuxième. s En même temps que les douleurs et la tuméfaction, le membre malade était le si
parfois sanguinolent (zona ? ). Ces vésicules disparurent avec les douleurs , mais la tuméfaction du membre n'en persista pas
ns. Pendant les deux ans qui suivirent, la malade n'eut plus aucune douleur . Elle n'était gênée que par son membre inférieu
lleurs tous les -mouvements. - Dans les deux dernières années les douleurs revinrent trois fois, mais elles n'étaient pas
s, mais elles n'étaient pas intenses et leur durée a été courte.Ces douleurs étaient spontanées et la pression du membre n'é
n n'est pasi douloureuse. La malade ne se plaint plus d'ailleurs de douleurs spontanées. Les follicules pileux de la partie
une jeune fille qui vers l'âge de la puberté commença à souffrir de douleurs localisées dans la hanche et la cuisse gauche,
e et au pied. Les orteils furent respectés. Le début a été fébrile. Douleurs et éruption vésiculeuse dis- paraissent. La tum
ue l'apparition de l'oedème dans notre cas a été précé- dée par des douleurs assez intenses dans le membre du côté malade ains
ainsi que par une éruption vésiculeuse (zona ? ). La présence de douleurs n'est pas un phénomène fréquent dans le tro- ph
ême dans une observation de Follet, les troubles ont débuté par des douleurs vives dans la cuisse et les lombes ainsi que par
- tout un syndrome où les deux faits prédominants : l'adipose et la douleur , la différencient du myxoedème et de la simple
le lit par le fait d'une affection intercurrente, d'asthénie ou de douleurs aiguës. Aujourd'hui elle présente une infiltrat
t régulateurs de nutrition leur appartenant en propre. Quant à la douleur de cette adipose elle n'est point toujours, comme
alytiques ont débuté à l'âge de 32 ans, précédés par de vio- lentes douleurs à la nuque. Le malade en remarqua les premiers sy
êcher quoiqu'il n'eut aucune envie de rire. » Il n'a jamais eu de douleurs dans les membres paralysés ni d'anesthésie, mai
vrai, qu'il n'avait jamais eu de troubles sensitifs subjectifs, de douleurs d'origine centrale du côté hémiplégie, et que dan
i certaines modalités de la sensibilité, comme celle du tact, de la douleur et de la température n'ont pas dû être altérées
mètres à laquelle il était resté pendant 25 minutes, il fut pris de douleurs générales, de fourmillement, puis de paralysie et
it insensible. Mais le retour de la sensibilité s'est accompagné de douleurs continues aux endroits où elle est re- parue. A
à gauche de la tête la seule partie restée mobile, avec des cris de douleurs , etc. Le 30° jour, toujours de la fiè- vre ; in
oujours de la fiè- vre ; intelligence troublée, dysarthrie, cris de douleurs . Pendant deux jours, même état. Le 33" jour, su
et des muscles dors lombaires, abolissement des réflexes tendineux, douleurs à la pression des troncs nerveux et des masses
s racontent que lorsqu'on la soulevait, elle se plaignait de fortes douleurs . Le 12 août, c'est-à-dire après trois semaines
des mouvements aux segments supérieurs des extrémités abdominales ; douleur à la pression des troncs nerveux et des masses
ts. Dès le début, elle était très abat- tue et elle se plaignait de douleurs spontanées, et de douleurs intenses lors^ qu'on
t très abat- tue et elle se plaignait de douleurs spontanées, et de douleurs intenses lors^ qu'on la changeait de position,
ommença le traitement qui fut continué pendant quarante jours : les douleurs diparurent au premier mois ; les mouvements actif
ait amèrement, comme si le mouvement passif provo- quait en lui des douleurs intenses. Le seizème jour de la maladie, je l'e
e de l'accommoda- tion ; tachycardie, 123 battements, sans fièvre ; douleurs intenses à la pres- sion musculaire, quand en l
qu'on change sa position, ce que demande souvent le petit patient; douleurs spontanées; anesthésie tactile, douloureuse et
lquefois, parait identique à celui de la paraly- sie spinale. Les douleurs spontanées, ou provoquées par les changements dép
ormes graves ou mixtes, elles acquièrent une grande intensité. La douleur intense provoquée par l'excitation faradique des
ervation à la loupe oculaire. Les réflexes à la convergence et à la douleur , ainsi que le réflexe consensuel; 244 LAFON ET
xe à l'accommodation existe, mais très faible ; pas de réflexe à la douleur . Sensibilité cornéenne, conjonctivale et réflexe
est moyenne. Les réflexes à la lumière, à la con- vergence et à la douleur sont conservés, quelque légers qu'ils soient. Le
l'influence des impres- sions rétiniennes, de la convergence, de la douleur , etc... La paralysie de ces filets ne fait qu'i
plus réagir du tout à ses excitants naturels (lumière, convergence, douleur , etc.), puisse se contracter d'une façon aussi in
/ peu vers la gauche : cette scoliose s'établit progressivement, sans douleurs ; peu à près il eut une certaine difficulté à a
ion du malade qui ne s'en préoccupait pas à cause de l'ab- sence de douleur . Par suite de la déformation vertébrale, le tho
pérature est très atteinte, le tact peu touché, la sensibilité à la douleur et la sensihilité osseuse sont normales ; tandis
la pachyméningite cervicale ne paraît jouer aucun rôle (absence de douleurs , de raideur de la nuque, etc.). Dans la moelle,
enté, délirant, fut pris de vomissements répétés ; il se plaignait de douleurs à la nuque. Après une nuit tranquille, il se ré
it tranquille, il se réveilla lucide, mais continua à ressentir des douleurs atroces à la nuque. Toute pression sur la tête, l
BRAL 277 Tranquille et orienté, mais se plaignant toujours de vives douleurs à la nu- que, il est repris par sa femme le 3 o
es malades nous observâmes des idées hypochondriaques jointes à une douleur à l'orifice produit par l'entrée et la sortie de
accompa- gna de vomissements. Le malade est incapable de dire si la douleur commen- çait par la région frontale, occipitale
par une zone douloureuse siégeant au-dessus de l'oei) droit. Cette douleur augmente rapidement, sans qu'il existe aucune mo-
Le 21 mars, la malade se présente à la consultation à cause de ses douleurs intenses et des taches dont elle vient de remar
mosis. Pas de lésion, d'altération de la cornée ni de l'iris. Les douleurs spontanées, au niveau des régions occupées par le
t le zona ophtalmique, un autre point de contact est fourni par les douleurs spontanées extrêmement vives, intolérables, qui o
oment elle ne s'est heurtée nulle part. Il est hors de doute que la douleur locale a été le premier phénomène, que c'est el
cas de purpura accompagnant chez certains tabétiques les crises de douleurs fulgurantes (1), bien que nous laissions complè
, la (1) SrRnoss, Des ecchymoses tabétiques à la suite de crises de douleurs fulgurantes. Archives de Neurologie, 1880-1881,
mmaire. « Ajoutons que ces seins n'ont jamais été le siège d'aucune douleur , ni même d'aucune sensibilité anormale, et que
physio- logiquement, les seins se développent par la lactation, des douleurs se sont manifestées dans les cicatrices, et les
é saine jusqu'à l'âge de 15 ans ; à cette époque elle a souffert de douleurs gastro-intestinales qui épuisèrent ses forces ; e
elle eut un avortement qui fut suivi, pendant uue année, de fortes douleurs lombaires ; ensuite elle fut de nouveau enceint
l'oeil droit et un accroissement notable du genou droit accompagné de douleurs très vives. Elle accoucha à terme ; l'enfant mo
rme ; l'enfant mourut à l'âge de dix mois. Après l'accouchement les douleurs augmentèrent, et à la suite de pointes de feu ell
ieurs au niveau du tibia; d'abord ces tuméfactions produisirent des douleurs intenses, puis graduellement elles devinrent du
patiente ne peut marcher qu'avec des bé- quilles ; elle n'a pas de douleurs aux membres, mais une céphalée, localisée parti
doulou- reuses et duraient 3 jours. Mais depuis l'âge de 18 ans les douleurs ont dis- paru et la fonction menstruelle se rép
ainsi qu'une hyperesthésie du cuir chevelu. Elle accuse encore des douleurs lombaires,un manque d'énergie, de I apathie, de
ntes échappées de plume. Taurone n'a pas éprouvé jusqu'à ce jour de douleurs véritables dans le cou, dans la tête, ni dans l
se regar- der. Fait nouveau : depuis 4 jours, il se plaint d'une douleur dans l'épaule gauche, dans la région du trapèze
plète. rechute. J'ai été et je suis encore fortement enrhumé, et la douleur de l'épaule gau- che a reparu. Aujourd'hui seul
ou plutôt d'assoupissement, à me tordre le cou, poussant jusqu'à la douleur les contractions, qui ne sont séparées que par
ontractions du trapèze gauche exercent une influence marquée sur la douleur que j'éprouve à l'épaule gauche, douleur qui, com
e influence marquée sur la douleur que j'éprouve à l'épaule gauche, douleur qui, comme à Paris, n'est survenue que deux ou
le début de la crise. N'y aurait-il pas entre la contraction et la douleur des relations dont je saisis malle carac- tère
e lésion périphérique unilatérale (du spinal par exemple). 5° Les douleurs signalées par certains malades semblent bien être
is pas à quoi attribuer cet état. 2° Cependant je n'éprouve plus de douleurs dans l'épaule gauche ; je ressens seulement dan
u d'incli- naison à gauche une sensation de compression, une légère douleur en arrière de l'épaule, près du cou, et parfois
de plus grande, surtout le renverse- ment de la tête en arrière. La douleur de l'épaule gauche, qui partait de la région po
hement douloureuses, surtout dans la région de l'épaule gauche ; la douleur prend même dans cette dernière région une acuité
nt déviée à gauche et en arrière ; je la ramène, elle y revient. La douleur de l'épaule s'exacerbe ; au bout d'un moment la
ournées et les nuits. Levé, les contractions ne cessent pas et la douleur non plus ; la tête est toujours portée à gauche
sez grand effort, je la ramène à droite pour avoir un répit dans la douleur ; mais elle repart aussitôt violemment et d'un
du côté gauche de la nuque qui enrayait ce mouvement a faibli ; la douleur de l'épaule a sensi- blement diminué, ce qui m'
tenacité qu'il affecte cette fois. Je lui attribuais pour cause une douleur assez légère, d'ori- gine probablement arthriti
les contractions violentes, ont, sauf à de rares moments, cessé, la douleur , qui semblait avoir changé de côté, a reparu à dr
durée de l'affection ces bruits ne s'accompagnent d'ailleurs pas de douleurs . 2TYès intéressante la constatation faite par l
était resté dans la position de Ch. Bell. 516 Û POLIMANTI Cette douleur , cependant pourrait dépendre, selon moi, bien plu
ion de Bell, et dans les jours suivants l'oeil fermé présentait une douleur caractéristique comme si la cornée eût été lésé
en effet, en nous levant du lit le matin nous n'éprouvons pas cette douleur caractéristique qu'on devrait avoir si elle dép
l'oeil qui était resté libre en ligne directe sans éprouver aucune douleur . D'après cet auteur, une observation, faite sur
58 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ie) ; 3. La sensibilité est, dans le tabes, régulièrement affectée ( douleurs lancinantes, paresthésies, douleurs en ceinture,
tabes, régulièrement affectée (douleurs lancinantes, paresthésies, douleurs en ceinture, anesthésies, etc.) ; 4. Après Char
calisation des sensations et les altérations de la sensibilité a la douleur sont, on le sait, plus précoces que les lésions
e prononcée, de troubles du sens musculaire, de la sensibilité à la douleur , etc., qu'une altération encore relativement peu
dans les cas ordinaires, l'abolition des réflexes pmetellaires, les douleurs lancinantes, le phénomène de nom- berg, l'ataxi
eu altérée. Aux symptômes les plus précoces appartiennent aussi les douleurs lancinantes. Nul doute, Redlich le rappelle, qu
é appartenant aux symptômes les plus précoces du tabes, surtout les douleurs lanci- ttatates, les paresthésies, sont l'effet
ritation du trajet central du faisceau sensitif ne détermine aucune douleur (si ce n'est toutefois dans certaines condi- ti
, quand les racines postérieures dégénèrent. L'absence possible des douleurs lancinantes aux stades postérieurs du tabes, du
bien qu'il ne reste plus de voies nerveuses pour les sensations de douleur . Il n'existe point de nerfs spécifiques de la d
sensations de douleur. Il n'existe point de nerfs spécifiques de la douleur . Redlich se range , avec Grützner, Mann, etc.,
es pour la transmission de cet ordre de sensations. La sensation de douleur résulte de la som- 16 REVUE CRITIQUE. mation
euses de la substance grise que nous percevons comme sen- sation de douleur . De même pour les troubles de localisation de l
hite; grosse rate; gargouillement dans la fosse iliaque droite avec douleur à ce niveau; il est alité, isolé, soumis aux ba
4° de 114 pages. Guérinot (A.). Recherches sur les conditions de la douleur . In-4° de 73 pages. - AIARDELLIS (A.). Elude o,
commun qui, dans les salles de réunion de nos asiles, exacerbent la douleur des mélan- coliques, comme elles excitent les m
t avoir été des 46 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. fausses couches ; douleurs de tête, quelquefois avec vomissements. Vers le
s superficiels normaux, ainsi que la sensibilité au toucher et à la douleur . Il se produit chez la malade une amélioration
teinte violet foncé. Les vomissements cessent, mais il survient une douleur hépatique et une prostration considé- rable, av
ique, mais l'ataxie et la faiblesse sont plus grandes et il y a des douleurs pour ainsi dire caractéristiques dans le dos. J
deux malades avaient fait des fausses couches, avaient souffert de douleurs ful- gurantes, mais ne présentaient pas toutefo
ensation de lassitude. d'affaiblissement général ainsi que quelques douleurs vagues et ' Voir : Du Phénomène des orteils et
oRTAT-J.%COB (de Paris). ~** Malade de 59 ans. Depuis dix-huit mois douleurs dans le bras gauche. Paralysie du membre supéri
lise mal le tact au-dessous de la ceinture. Sensi- bilité diminuée. Douleur : hyperesthésie -auhe.'Ancàthésie à 84 SOCIÉTÉS
qu'il y a deux ans ; entrée dans le service du D1' Mathieu pour des douleurs violentes dans les reins et des phé- nomènes de
lations coxo-fémorales et la colonne vertébrale dorso-lombaire, des douleurs au niveau des articulations sacro-iliaques. Il
lles que j'ai soignées dans les mêmes cir- constances. Atteintes de douleurs névralgiques du côté du sein, elles y pensaient
paraître. , BIBLIOGRAPHIE. 1. Recherches sur les conditions de la douleur ; par A. Guérixot. (Thèse présentée à la Faculté
t. (Thèse présentée à la Faculté de Lyon 1900.) D'après Platon la douleur serait une altération de l'harmonie vivante. Ar
reils inlernes. Les muscles delà face expriment particulièrement la douleur . surtout ' Voir ce sujet le livre de Charcot :
Cette con- traction est plus ou moins forte selon l'intensité de la douleur même Au sur et à mesure que l'intensité de la d
tensité de la douleur même Au sur et à mesure que l'intensité de la douleur augmente, la con- traction gagne les muscles du
nts mouvements, des plaintes, des soupirs jus- qu'à gémissement. La douleur répercute souvent sur le coeur : le pouls s'acc
pérature, parfois allant jusqu'à six degrés, sous l'influence de la douleur , l'appétit diminue, on constate parfois des vom
, on constate parfois des vomissements ou de la diarrhée. Quand les douleurs sont d'une intensité moyenne, il y a sécrétion
sont d'une intensité moyenne, il y a sécrétion abondante; quand les douleurs sont fortes, il y a sécheresse de la langue et
a sécheresse de la langue et pas des larmes. Sous )'influence de la douleur il se pro- duit un ralentissement de la nutriti
armi les moyens qui nous permettent de vérifier le rapport entre la douleur et l'intensité, la durée et la rapidité il faut n
Du Bois Raymond, : 2) les excitations mécaniques (Pour M, Griffng la douleur appa- rait quand le poids varie de 3 kilos à 7-
eur de 7 centièmes à 15 centièmes de seconde. La sensibilité à la douleur varie suivant les individus et suivant les régi
mer cette sensibilité, qui n'est autre chose que la conscience à la douleur , provenant de la périphérie. Parmi les anesthés
dissociation syrengomyélique, l'exagération de la sensibilité à la douleur (l'hyperolgésie) se rencontre dans le tabès dor
t d'après M. Raymond parfois .devais secondes. Les théories de la douleur sont nombreuses ; d'après Goldsehnei- der et Fr
s étaient d'abord des nerfs dou- loureux, Niçois admet des nerfs de douleur , des nerfs de chaleur, du froid et du tact. D'a
des nerfs de chaleur, du froid et du tact. D'après Offenlieiiner la douleur est un phéno- mène pathologique, produit par le
ologique, produit par les nerfs vaso-moteurs, qui trans- mettent la douleur . Les théories des voies de conduction sont enco
es de conduction sont encore plus nom- breuses ; Stoff admet que la douleur se transmet par la substance grise. Brown-Segua
ar la substance grise. Brown-Seguart admettait la transmission delà douleur par la substance grise ; la région antérieure p
deux voies de transmission de la dou- leur selon l'intensité de la douleur . Edinger, Loche et Grasset supposent que la dou
intensité de la douleur. Edinger, Loche et Grasset supposent que la douleur change des régions pendant son passage dans la
pendant son passage dans la moelle épinière. Pour Van Gehurthen la douleur se trans- met par le faisceau fondamental du co
isceau deGawert. D'après M. Richet le centre de la perception de la douleur est l'eneephal à la partie postérieure de la ca
it que le centre se trouve dans le bulbe. L'auteur conclut que la douleur est une qualité qui s'ajoute à la sensation, qu
qu'il n'existe pas des organes spéciaux pour la percep- tion de la douleur . La douleur est en fonction de l'excitabilité ner
ste pas des organes spéciaux pour la percep- tion de la douleur. La douleur est en fonction de l'excitabilité ner- veuse, p
xes, qui accompagnent la sensibilité douloureuse. L'intensité de la douleur dépend de l'augmentation ou de la diminution de
te une certaine excitation maniaque : elle se plaint de souffrir de douleurs dans la tête au niveau du ver- tex et de l'occi
uellement de souffrir de la tête, d'éprouver des élancements et des douleurs dans les membres et toutes les par- ties du cor
, atrophie du nerf optique, troubles de sensibilité sous forme de douleurs , de paresthésies et 'd'anesthésies, ataxie, perle
utané plantaire; 3° des troubles vasomoteurs et trophiques ; 4° des douleurs fulgurantes spontanées, exagérées par les mou-
aitintacte tandis qu'il y avait presque anesthésie du tact et de la douleur . La seconde observation concerne une atrophie m
endre en considération le siège de l'hémiplégie du côté gauche, des douleurs dans quelque partie de l'appareil loco- moteur
rotuliens; signe d'Argyll- Ilobertson; troubles de la sensibilité; douleurs fulgurantes; crises gastro-intestinales. Examen
eption avec hyperesthésie consécu- tive du chaud, du froid et de la douleur dans toute la moitié gauche du corps avec sensa
; ni de la tachypnée hystérique qui se produit sans anxiété et sans douleur , s'accompagne de spasme pharyn- gien et se term
e au moment de la paralysie, persisteraient encore sous la forme de douleurs spon- tanées et provoquées par la pression, mai
cultivateur, coupait du blé dans les champs lorsqu'il ressentit une douleur sourde dans le membre inférieur du cote gauche.
t une douleur sourde dans le membre inférieur du cote gauche. Cette douleur s'accompagnait d'une sensation de froid dans la
était penché pour faucher son blé lors de la première attaque. Les douleurs siégeaient sur le trajet du sciatique gauche, l
agnée de fourmillement. En même temps il éprouvait une sensation de douleur dans la région- fessière, au niveau de l'émerge
va et remarqua qu'iL marchait péniblement. Pendant quatre; mois, la douleur persista avec la même. gène, pour la. marche.. Le
oisième attaque une certaine faiblesse de la jambe gauche. avec une douleur vague- dans les mollets jusqu'à'la'troisième at
. Les réflexes étaient toujours exagérés, on ne constatait pas de douleurs sur le trajet du sciatique.. La marche était lé
9. MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. 20 l mouvement, il éprouverait une douleur localisée au niveau du plein du mollet. Les r
piqûre. Pas de troubles de thermesthésie. Le malade éprouverait des douleurs dans la région fessière supé- rieure et dans le
membre inférieur droit dans l'extension détermine une sensation de douleur légère, au creux poplité. Rien de tel n'existe
e, au creux poplité. Rien de tel n'existe à gauche, mais cette même douleur aurait existé de ce côté également. Le sujet se
as. Trophicifé. Pas de déviation de la colonne vertébrale. Pas de douleurs à la percussion des vertèbres. Lobule de Darwin
on retrouver actuellement la signature de cet'état morbide dans les douleurs provoquées ou spontanées ( ? ) ressenties par l
ne sensation de froid glacial'accom- pagnée de fourmillements et de douleurs , fait suite une phase paralytique, qui, pour n'
ors que dans aucun cas connu de paraplégie spasmodique familiale la douleur n'a été signalée. Mais à notre avis, il s'agit
ique. Dans tous nos examens, en effet, nous n'avons pu réveiller de douleur précise sur le trajet du nerf sciatique. Peut-ê
anique et faradique, sans paresthésie, avec seulement parfois des douleurs dans la tête et. dans les-jambes. Chaque attaque
jours. Les attaques abortives se caractérisaient uniquement par des douleurs dans les jambes. Après les crises persistaient'
rhumatisme, 2 d'incon- tinence nocturne d'urine, 1 de stupeur, 1 de douleur par maladie chronique avec grossissement de la
e droite, 1 de tic du côté gauche de la face, 1 de tremblement avec douleur de la jambe droite, 1-de douleur lombaire aiguë
de la face, 1 de tremblement avec douleur de la jambe droite, 1-de douleur lombaire aiguë avec impossibilité de marcher, e
ion douce associée à la suggestion suffit pour faire disparaître la douleur . Ce travail se termine par quelques observation
du trijumeau. Les crises débutent d'ordinaire brusquement par de la douleur , des nausées et des vomissements (le tout quelq
moteur oculaire et alors tous les symptômes disparaissent, sauf la douleur . Les récidives sont fré- quentes. Les crises pe
celée que par des attouchements très légers, et la sensibilité à la douleur est absolument normale; plus accentuée, elle co
ceux de la névrite : fail)lesse4 iiiii scu 1 aire, endolorissement, douleur , pares- Hiésies, pertes des réflexes profonds s
Dans d'autres cas, le début est insidieux, marqué seulement par des douleurs vagues, du malaise, le tout aboutissant au tablea
les premiers attirent l'attention : ils sont représentés par de la douleur ou de l'endolorissement dans la zone de distrib
endolorissement dans la zone de distribution du nerf malade, et des douleurs d'abord sourdes, puis plus intenses et devenant
puis plus intenses et devenant enfin tout à fait angoissantes. Ces douleurs s'accompagnent de diverses formes de paresthési
t n'est redevenue normale que depuis peu. Il n'a jamais ressenti de douleur ni présenté de symptômes subjectifs. Actuelleme
es détails sur le traitement qui doit être palliatif pour calmer la douleur et préventif pour empêcher le retour des paroxy
u incomplet d'une paralysie croisée du mouvement du côté droit avec douleurs et sensations, thermiques à gauche, limitées à
) Les symptômes les plus communs de la période initiale, sont les douleurs et l'abolition du réflexe du genou. Les douleurs
initiale, sont les douleurs et l'abolition du réflexe du genou. Les douleurs du tabès, au début, sont quelquefois sourdes, e
début, sont quelquefois sourdes, et sont facilement prises pour des douleurs rhumatismales. Il y a un autre symptôme qui est
: ces altérations s'ac- compagnent ordinairement de peu ou point de douleur . Les trou- bles viscéraux et particulièrement l
i, une dépression de l'os et, si l'on appuie, on détermine une vive douleur . Elle est sujette à des céphalalgies qui ont leur
contrariétés ou des impressions violentes. Elle éprouve d'abord une douleur au niveau de la tète, puis une sensation de boule
La percussion même forte de la calotte crânienne ne produit pas de douleurs . Les poumons et le coeur sont sains, le pouls b
icatrice du cuir chevelu. La percussion du crâne ne provoque aucune douleur . A la nuque, immédiatement au-dessous de la pro
tements, est nettement médiane. La palpation ne provoque ici aucune douleur , non plus que la percussion des apo- physes épi
xtension est très limité et la rotation à gauche détermine de vives douleurs de telle sorte que la position favorite de la t
considérer suivant les lois ordinaires comme position de moindre' douleur est-elle la flexion légère avec rotation à droite
lisée à la moiliepos- térieure du crâne, comprenant lui-même que la douleur frontale est une douleur d'irradiation. Le soir
ieure du crâne, comprenant lui-même que la douleur frontale est une douleur d'irradiation. Le soir épistaxis de 60 centimètre
ême côté gauche la réaction aux excitations est difficile : pour la douleur ce sont les membres droits en effet qui réagiss
omme de cinquante-un ans, bien portant, sobre, non syphili- tique : douleur entre les côtes et l'os iliaque, s'irradiant parf
très gênante, et. bien qu'elle soit quelquefois décrite comme une douleur de froid (psyclvro-algie), elle ne se rapproche p
ur de froid (psyclvro-algie), elle ne se rapproche pas autant de la douleur vraie que la paresthésie chaude. L'auteur rappo
re extrémités, et s'accompagne d'autres pares- Lliésies, ou bien de douleurs , et souvent de troubles vaso-moteurs ; dans l'a
ment une sen-ation de froid, qui ne s'accompagne pas toujours d'une douleur nette, bien que la sensation puisse quelquefois
ses gastriques tabétiques et dans un cas de zona crural aigu. Les douleurs seules ont été calmées temporairement, mais la ma
igramme. Ce moyen a donc l'avantage d'être un bon calmant contre la douleur sans être comme la piqûre hypodermique à la por
s l'esprit des jeunes filles une véritable terreur, à l'égard de la douleur des premiers rapprochements. On suggère ainsi u
énutrition rapide malgré un bon appétit. Bientôt gâtisme com- plet, douleurs , contractures, tremblement, escarres, enfin attaq
ns la main droite; parfois ces secousses étaient accompagnées d'une douleur dans le pied droit. Au sortir de ces accès, ell
iétale droite au niveau duquel la pression digitale développait une douleur très vive. On lui a extirpé un kyste du volume
lour- deur de tête, sans bruit aigu dans les oreilles, et parfois, douleur locale, par la percussion, à la région de l'occ
et de bruits dans les oreilles, indique une affection du cervelet ( douleur occipi- tale à la percussion) il doit s'agir d'
celui d'une légère feuille de papier, paraissent être une cause de douleur et d'angoisse. Cette malade a subi l'ablation d
en une vingtaine de minutes : on le descendit et il se plaignit de douleurs atroces dans le bas du dos, s'étendant à l'abdo
s les altérations de la sensibilité tactile, de la sensibilité à la douleur et du sens musculaire ; or la clinique est d'ac
ningo-myélite, il y a de bonne heure des spasmes musculaires, de la douleur , de la fièvre, et d'autres symptômes généraux bie
on a pu comparer la sensibilité au toucher avec la sensibilité à la douleur , on a trouvé l'anesthésie toujours un peu plus ét
ou quelquefois de vide, à la région frontale, faiblesse géné- rale, douleur rétrosternale, sueurs profuses, et, plus récemmen
ade dans le jeune âge (à trente ans), elle ne s'accompagnait pas de douleurs , elle s'est limitée aux parties supérieures et
: quelques-uns de nos actes nous donnent du plaisir, d'autres de la douleur : quand un acte cause de la douleur, cette doul
nent du plaisir, d'autres de la douleur : quand un acte cause de la douleur , cette douleur est la punition de cet acte. Et
, d'autres de la douleur : quand un acte cause de la douleur, cette douleur est la punition de cet acte. Et il va de soi qu
ir nous avons une tendance à le répéter, et que s'il entraîne de la douleur , nous faisons un effort pour l'éviter : donc la
ésultat de l'attraction pour le plaisir et de la répugnance pour la douleur ; mais on peut l'envisager à un autre point de v
ussé l'erreur jusqu'à ses dernières limites en se croyant prise des douleurs de l'enfantement, 1 Nos lecteurs que cette ques
a préparé le berceau et la layelle. A huit mois, elle a eu des « douleurs dans les reius et quelque chose qui poussait. »
is net- 508 SOCIÉTÉS SAVANTES. tement nodulaire aux membres : les douleurs sont spontanées et augmentées par la pression;
hez une femme que présente M. Babinski. Celle-ci a eu des crises de douleurs à l'es- tomac et des troubles nerveux qui l'ont
par Buurneville et Crouzon, 137. Dormiol. Le -, par Clans, 238. Douleur . Recherches stucs condi- tions de la -, par Gué
59 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
s, est prise, le 14 septembre 1866, d'un ictère sans coliques et sans douleur dans la région hépatique. Les jours suivants, que
nt abolie, car, lorsqu'on pince la malade, elle paraît éprouver de la douleur ; seulement, son attention n'est éveillée que lon
rophylactique de l'hémorrhagie méningée intra-arachnoïdienne. IX. Douleur fixe siégeant au niveau du pariétal gauche ; pert
est diminuée dans tout le côté droit, et pour lui faire éprouver une douleur légère, en est obligé de pincer fortement la peau
ions à la tête. Dès lors sa santé se détériore ; elle se plaint d'une douleur fixe à la tête. Cependant elle continue ses occup
idents disparaissent après une saignée. Elle continue à ressentir une douleur fixe et profonde dans le côté droit de la tête, à
crâne, à l'union du pariétal droit avec le frontal, elle ressent une douleur fixe, et à ce niveau on constate un empâtement tr
une incision. Il ne s'écoule qu'un peu de sérosité sanguinolente. Les douleurs incessantes, extrêmement vives, résistent à l'usa
potassium, au contraire, produit un bon effet. D'après la malade, la douleur fixe de la tête et la tuméfaction ne seraient sur
accouchement, sans frisson initial, la malade est prise de fièvre, de douleurs de ventre, de vomissements et de diarrhée très ab
uait à nous pousser dans cette voie. La localisation bien nette de la douleur de tête nous semble être le phénomène qui devrait
trois ans, les membres supérieurs ont été envahis à leur tour par des douleurs fulgurantes, dont les accès se répètent aujourd'h
de temps à autre, clans les membres inférieurs, de violents accès cle douleurs fulgurantes, qui maintes fois, avaient troublé se
tion gastrique s'est déclarée chez lui il y a plus de trois ans ; les douleurs fulgurantes datent à peu près de fa même époque,
ue, et plusieurs fois, il a été remarqué que les exacerbations de ces douleurs correspondent aux exacerbations des accidents car
se produire, pour ainsi dire tout à coup; il ne s'accompagnait ni de douleur ni de rougeur des téguments, if y avait seutement
de flexion et d'extension de la jambe sur la cuisse s'opéraient sans douleur et sans gêne bien manifeste. Je constatai en outr
itudes qui leur ont été imprimées. Il n'existe pas dediplopie; pas de douleur en ceinture bien manifeste. Les fonctions de la v
à l'époque de la maladie où l'incoordination motrice se surajoute aux douleurs fulgurantes; môme absence de rougeur et de douleu
se surajoute aux douleurs fulgurantes; môme absence de rougeur et de douleur dans les parties tuméfiées ; seul, le siège est
ns, les règles se sont dérangées, et c'est dans ce temps même que les douleurs fulgurantes ont commencé à se produire. A l'origi
les douleurs fulgurantes ont commencé à se produire. A l'origine, ces douleurs occupaient principalement les chevilles, se prése
ander un repos à peu près absolu. Un an environ, après le début des douleurs fulgurantes, en 18()0, la marche est devenue, à u
marcher et elle a pu même reprendre en partie ses occupations. Les douleurs fulgurantes, cependant, n'avaient jamais cessé de
nflée depuis la cheville jusqu'au genou. 11 n'existait pas la moindre douleur ni la moindre rougeur aux parties gonflées. Au bo
celle que déterminait l'application prolongée des cataplasmes. Aucune douleur spontanée ou provoquée soit par la pression exerc
, résistantes, sans traces d'cedème, sans rougeur. D'ailleurs, pas de douleur à la pression non plus que par les mouvements spo
us que par les mouvements spontanés ou provoqués. Il n'existe d'antre douleur , dans le membre inférieur droit, que les douleu
l n'existe d'antre douleur, dans le membre inférieur droit, que les douleurs fulgurantes qui, aujourd'hui encore, se reproduis
er les objets qu'elle tient dans sa main droite. Il n'existe pas de douleur en ceinture. La vue est légèrement affaiblie vrai
té question en premier lieu, le début a été brusque. Il n'a existé ni douleur ni rougeur des parties lumôfiées. Les symptômes g
deux mois et plus tard tous les mois, M. B... éprouvait des accès de douleurs fulgurantes, lesquels étaient, paraît-il, à peu p
cès duraient, en général, de vingt-quatre à quarante-huit heures. Les douleurs siégeaient en divers points des membres inférieur
s agents qui aient été employés avec quelque suite pour combattre ces douleurs . Vers le milieu du mois de juillet 1864, M. L..
alement avec force et retombent lourdement sur le sol. Cependant, les douleurs fulgurantes sont devenues moins intenses et ne re
que le malade compare à celui que produirait une brûlure. Mais si les douleurs fulgurantes tendent à abandonner les membres infé
nt ne présentent pas traces d'incoordination dans les mouvements. Les douleurs fulgurantes occupent aussi quelquefois des région
inférieure du tronc, jusqu'au niveau de l'ombilic; if n'existe pas de douleur en ceinture; parfois seulement un peu de rachialg
le membre auquel appartenait la jointure affectée. Ainsi les accès de douleurs fulgurantes prédominaient ou constituaient même à
rfois encore à peine accusée. L'absence de fièvre, de rougeur et de douleur (1) paraît être un caractère à peu près constant
lus reparaître. Le gonflement s'est montré toujours 1. L'absence de douleur dans ces cas pourrait dépendre de l'anesthésie ar
le serment sup/'rkw fc la moelle épinière. 2. Gharcot et Bouchard. — Douleurs fulgurantes de l'ataxie sans incoordination des m
survenir, dans les premières périodes de l'ataxie, indépendamment des douleurs fulgurantes, des affections variées qui relèvent
sses se couvrir d'une éruption lichénoïde, confluente, à la suite des douleurs fulgurantes. Chez une femme actuellement en tra
aire se produisent à chaque accès au niveau des points ou siègent les douleurs les plus vives. Une autre malade de mon service
maladie a évolué d'une manière très rapide, car les premiers accès de douleurs fulgurantes datent du mois de mars 1865, et déjà,
qui eut lieu en juin 1807, présenta une intensité exceptionnelle. Les douleurs , qui étaient vraiment atroces, parurent fixées pe
es, ne fut complète qu'au bout de deux mois. Dans un autre accès, les douleurs fulgurantes suivirent la direction de la branche
ns du cerveau—du ramollissement par exemple ou de l'hémorrhagie — des douleurs qui ont pour siège les jointures ; c'est un fait
oissé au niveau du coude. Il importe de ne pas les confondre avec les douleurs , quelquefois très-vives, qui peuvent se manifeste
dans les muscles ou dans les articulations des membres paralysés. Les douleurs du dernier genre ne se révèlent guère que sous l'
vaso-moteurs ou trophiques ». Ainsi, d'après M. Brown-Séquard, les douleurs des membres chez les hémiplégiques reconnaissent
e l'espère, à combler cette lacune. Elles montrent, en effet, que les douleurs dont il s'agit, lorsqu'elles siègent dans les joi
es sous l'influence de la lésion encéphalique. En ce qui concerne les douleurs exagérées par la pression qui, dans les mêmes cir
rs le milieu du mois de juin, M... commence à se plaindre vivement de douleurs siégeant dans les membre du côté paralysé, et qui
lysé, et qui la tourmentaient déjà depuis une quinzaine de jours. Ces douleurs sont surtoutintenses au membre supérieur, où elle
mais il n'y a pas de rigidité proprement dite, pas de contracture. La douleur articulaire paraît être d'ailleurs à peu près con
, en dehors de tout mouvement spontané ou provoqué. En outre de ces douleurs localisées aux jointures, il en est d'autres qui,
mois environ après l'attaque, sans cause extérieure appréciable, des douleurs vives se manifestent en divers points des membres
ouleurs vives se manifestent en divers points des membres droits. Ces douleurs , qui ont persisté jusqu'à l'époque de la mort, oc
-ci est manifestement plus chaude que la main gauche. En outre de ces douleurs localisées sur les jointures, il en est d'autres
les points principalement affectés a produit de l'amendement dans les douleurs ; mais le soulagement, toutefois, n'a jamais été q
mbres; de plus, elle était de date récente à l'époque où ont paru les douleurs articulaires, puisqu'elle ne remontait pas à plus
pendant la vie, tandis que la névrite hypertrophique rend compte des douleurs qui occupaient le corps du membre et s'exaspéraie
ince la peau du bras ou de l'avant-bras la malade donne des signes de douleur . Le membre supérieur gauche est plus chaud que ce
elle comprend les questions qui lui sont faites. Elle se plaint d'une douleur frontale générale et dit que cette douleur lui es
ites. Elle se plaint d'une douleur frontale générale et dit que cette douleur lui est survenue depuis trois ou quatre jours. T.
elle paraisse plongée dans un sommeil profond, donne des signes d'une douleur vive. Elle se réveille alors sous l'influence de
nes d'une douleur vive. Elle se réveille alors sous l'influence de la douleur et prononce quelques paroles inintelligibles. Ce
s muqueux abondants au niveau des lobes inférieurs. 14 et 15. — Les douleurs que déterminent les mouvements des diverses artic
le coma a été moins profond; la température a baissé (T. R. 38°J. Les douleurs persistent dans le membre supérieur paralysé qui
orsqu'on les abandonnait à eux-mêmes, après les avoir soulevés. Ses douleurs occupaient exclusivement les jointures des membre
levées. Ainsi l'état général était devenu des plus graves lorsque ces douleurs ont paru. Déjà une plaque ecchymolique, puis bien
cidence qui a existé entre l'apparition de ces symptômes et celle des douleurs articulaires. Les lésions articulaires étaient
ées à l'épaule, qui, pendant la vie, avait été le siège principal des douleurs . Dans cette jointure, la synoviale, rouge, tuméfi
jours, cette femme a commencé à se plaindre pour la première fois, de douleurs vives dans les membres paralysés; de plus, elle a
cle ce membre à peu près complètement conservée. La malade souffre de douleurs spontanées, revenant par accès, et auxquelles ell
ns du même membre peuvent être étendues ou fléchies sans provoquer de douleur . Les pommettes sont rouges, la langue sèche, le
ave progressivement. On constate à plusieurs reprises l'existence des douleurs articulaires dont il a été question plus haut : l
tion; il nous suffira de relever les suivants: En premier lieu, les douleurs articulaires ont commencé à paraître, dans ce cas
e de toutes les circonstances qui peuvent en obscurcir les symptômes. Douleurs articulaires vives, quelquefois accompagnées de r
du bras et de l'avant-bras gauche ne paraissent pas être le siège de douleurs . Le 16 février 1867, F... se plaint de ne plus po
du membre supérieur paralysé ne paraissent occasionner que de légères douleurs . Cependant, la peau n'est point privée de sensibi
s cloisons du tissu lamineux interposé aux faisceaux tendineux. Les douleurs articulaires étaient ici à peine marquées, et cep
igoureuse du mot (Obs. IV), ou encore ne se révéler guère que par des douleurs articulaires obscures, tantôt seulement provoquée
hystérique depuis longtemps : elle a eu des crises convulsives, des douleurs ovariques, etc. De plus, elle a été complètement
ns son bras droit avec cette pointe d'acier, elle ne manifeste aucune douleur . Nous approchons du bras anesthésie le point neut
ront les divers autres phénomènes de l'hystérie : aura, contractures, douleur ovarienne, etc. Si l'hystérique est droitière, po
te, troubles de la vision de l'œil droit, contractures du côté droit, douleur dans la région ovarienne droite, etc. Si l'hémian
a malade. Chez cette autre, atteinte d'anesthésie totale, qui a les douleurs .ovariennes des deux côtés, qui est insensible de
uelle des nerfs vaso-moteurs chez ces malades. Quand je parle de la douleur ovarienne, je ne veux pas dire que c'est l'ovaire
demander de montrer avec le doigt le point du ventre où elle sent ses douleurs , elle indiquera toujours la région ovarienne et t
es muscles innervés par lui ; ce qui n'a pas lieu sans une assez vive douleur . L'action électrique ne peut pour cette raison êt
t; redressement des poils du sourcil; 3° Sourcillier : Muscle de la douleur (Fig. 19). — La Fig. 19. — Contraction du Fig.
Contraction du muscle sourcillier. pyramidal du nez. Muscle de la douleur , de Muscle de l'agression, de Duchenne. Duchenn
issance à des mouvements réflexes; la malade retire son membre, et la douleur se peint sur sa physionomie, qui autrement est im
3). Si c'est le muscle sourcillier que nous faisons contracter, la douleur se peint sur la physionomie et dans les gestes du
des attaques hystériques assez bien formulées, précédées d'une aura ( douleur de tête, battements dans les tempes, sifflements
orts de nos appareils faradiques, l'étincelle, avec beaucoup moins de douleur , provoquait de belles contractions. J'ajoute que
morrhagie intra-méningée.................................. 102 XI. Douleur fixe siégeant au niveau du pariétal gauche ; pert
60 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
r de toutes les pensions où on la mettait. Les règles ont paru sans douleurs à 13 ans. Après la troisième époque, il y eut une
t sa fille en septembre. A ce moment, les crises étaient précédées de douleurs à la région cardiaque. Immédiatement avant leur d
ton. Th. était triste, colérique, méchante et se plaignait souvent de douleurs au cœur. Les attaques recommencèrent en mai 187
obe tous les 3 ou 4 jours). — Palpitations cardiaques par accès, avec douleur à la région précordiale, pâleur et quelquefois fa
, offrant tous les caractères qui ont été décrits par M. Charcot : a) douleur siégeant à la région de Yovaire droit, et existan
ieu » avec une ferveur extraordinaire, de produire des » actes de douleurs des ofenses faites contre cette » adorable Maje
nvulsion-naires, que des prêtres crucifiaient eux-mêmes, n'avaient ni douleur , ni perte de sang. Des faits nombreux, observés
, chez Gl..., etc., etc., et cela sans provoquer le moindre signe cle douleur . Il en était également de même quand on transfixa
vers cette époque. L'établissement de la menstruation s'accompagna de douleurs très-fortes dans le bas-ventre. Les règles étaien
tte mutilation, dont on peut constater la réalité ne lui causa aucune douleur [Hémiancsthésie gauche.) (1). (l) .Cette mutila
ois comme la première, fut facile. G... sortit, bien qu'éprouvant des douleurs dans le ventre, parce qu'elle s'était disputée av
après le repas du soir, elle a vomi abondamment. Elle se plaint d'une douleur au sommet de la tète et dans la fosse iliaque dro
Le 11, elle semble se réveiller, cause. 19 fèù. — G... se plaint de douleurs névralgiques occupant la tête ; elle a des contor
aut, lui procurent un grand soulagement. Elle se plaint, en outre, de douleurs très-vives dans la région ovarienne gauche. 8 s
la région ovarienne gauche. 8 septembre.— Aujourd'hui, ce sont les douleurs cardiaques qui; prédominent; elle sent des coups
plus, Geneviève se plaint de sentir au niveau de la tempe gauche des douleurs qu'elle compare a des coups de marteau et d'éprou
de la peine à se tenir sur lesjambes. A 9 heu res, elle a éprouvé des douleurs très-intenses dans les deux côtés du ventre, doul
e a éprouvé des douleurs très-intenses dans les deux côtés du ventre, douleurs auxquelles a succédé une contracture de la jambe
he. 13 avril. — Attaque, a) Période du début. G... se plaignait des douleurs qui annoncent l'arrivée prochaine de ses attaques
de la face se contractent, donnant à la physionomie une expression de douleur , de surprise, qui s'efface promptement et est rem
olère elle avait « volé à son appel ». Juin. — G... se plaignant de douleurs vagues dans la tête, d'une insomnie continuelle,
a donné issue à une petite quantité de sérosité sanguinolente. Les douleurs céphaliques ont persisté durant la plus grande pa
grande partie du mois, avec des rémissions d'une durée variable. Ces douleurs siègent de chaque côté du front, dans les yeux, d
ttaques, terminées naturellement, elle a aussi mal à la tête, mais la douleur est différente. Le nitrite d'amyle lui fait paraî
souffrante, agacée, ou bien elle a des secousses, des faiblesses, des douleurs névralgiques ; le plus souvent elle n'a pas, alor
donne le nom de clou hystérique œuf hystérique, clams, ovttJti) à une douleur occupant une étendue très-limitée de la tête, éga
èbres dorsales. La malade affirme n'éprouver dans cette région aucune douleur spontanée ; mais la pression y occasionne des phé
que, quand elle appuyait sur cette partie du ventre,elle calmait ses douleurs etretardaitles (1) De la MénarJay. — Examen et
s ont des réminiscences des événements anciens de leur existence, des douleurs physiques aussi bien que des émotions morales qu'
qu'éprouve Rosalie Ler... lorsque, dans son délire, elle se plaint de douleurs dans la jambe qui a été mordue par un chien, lors
ossible de rester, parce que «le carmin lui occasionnait de violentes douleurs de tète. » Des palpitations cardiaques, des tro
e genou gauche. Les attaques sont annoncées par une aura complète : douleur au niveau de l'ovaire gauche, constriction épigas
e : douleur au niveau de l'ovaire gauche, constriction épigas-trique, douleur et palpitations cardiaques, sensation d'une boule
5 jours, viennent de paraître. \% avril. — Hier, M... a éprouvé des douleurs dans le flanc droit et a eu des attaques de 10 he
n. — L'hémianesthésie du côté gauche est la même. — M... se plaint de douleurs qui, de l'épaule gauche, irradient vers le coude.
a pas d'épanchement dans la séreuse articulaire. De plus, M... a.des douleurs sur le trajet du nerf sciatique droit et l'on con
t intense. Aucune des jointures n'est gonflée. La malade accuse des douleurs lancinantes au niveau du poignet surtout, de la p
ans la soirée d'hier, à la suite de crampes et d'une exacerbation des douleurs névralgiques. Le membre inférieur gauche reste co
la contracture serait plus prononcée. 3 juillet. —M... se plaint de douleurs névralgiques par tout le corps ; de crampes occup
5. Injections sous-cutanées et bains. 10 juillet. — T. R. 37°,9. — Douleurs spontanées et à la pression occupant les jointure
11 juillet. — T. R. 38°. — Soir : T. R. 38°,4. 12 juillet. — Les douleurs , qui s'étaient calmées pendant la-matinée, ont re
t la physionomie rechigné^ P". 84 ; T. R. 37°,7. ïo-juillet.-vf^Les douleurs , qui 'avaient'sensiblement di-miriu'e,'sont reven
M... est cyanosée, bleue, à un degré effrayant. Elle parait avoir des douleurs dans la poitrine, demande qu'on la frotte pour la
ynamomètre Mathieu, 40 des deux côtés. 15 déc. — Afin de calmer les douleurs de M..., on lui prescrit un julep avec 4 gr. de c
voulu écarter les paupières pour examiner l'œil, elle accusa une vive douleur ; elle croyait qu'on enfonçait les cils dans l'œil
laires, affectés de nystagmus, sont déviés en haut. M... se plaint de douleurs sus-orbitaires des deux côtés et au même degré, d
s du soir, cécité de l'œil gauche ; vision colorée. Durant la cécité, douleurs dans la moitié correspondante du front et de la t
eure, survenue au réveil. 26 juillet.—Depuis une huitaine de jours, douleurs vagues, tortillements dans le ventre, sensation d
r. ; chlorhydrate de morphine, 0 gr. 50). Ce matin, M... se plaint de douleurs « atroces » dans le côté droit de la tête et dans
ie sur un lit, saute. Elle tombe dans des idées tristes, se plaint de douleurs dans les dents ; redevient souriante. « M. Charco
la main sur les organes sexuels, tapotte, est heureuse. Bientôt la douleur se peint sur son visage, M... pleure : « Çà fait
de place à chaque instant, sorte de crampes généralisées qui, par la douleur qu'elles occasionnent, donnent lieu à des contors
t 146. plusieurs heures (p. 129). Toujours, elle fut accompagnée de douleurs vives qui arrachaient des cris à la malade. Il s'
61 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vembre 1897 à l'hôpital Saint-Antoine (salle Lorain). Il accuse des douleurs lom- baires et se plaint de la difficulté qu'il
baires et se plaint de la difficulté qu'il éprouve pour marcher : douleurs et troubles moteurs sont liés à un mal de Pott.
os, il tomba; on le porta dans son lit et on constata, en outre des douleurs lombaires qu'il éprouvait, un affaissement de l
jusqu'à l'âge de vingt- neuf ans. Alors il commence à ressentir des douleurs dans les jambes, des picotements à la plante de
vembre 1897, D... entre à Saint-Antoine ; depuis dix jours il a des douleurs lombaires et une parésie des membres inférieurs :
t est un peu diminuée aux membres infé- rieurs. La sensibilité à la douleur est diminuéeaux deux membres inférieurs, et plu
aussitôt en flexion. 11 juin. Peu de retard dans les sensations; la douleur n'est pas perçue, elle produit le même effet qu
ale (à l'âge de sept ans) dura sept ou huit ans, fut accompagnée de douleurs et gué- rit. La seconde paraplégie débuta à l
ébuta quelques années plus tard (trente-huit ans), précédée par des douleurs lombaires. Son évolution nous intéresse plus pa
é droit. Sensibilité au contact un peu diminuée, sensibi- lité à la douleur à peu près également atteinte des deux côtés, e
, celle qui ne diffé- rencie plus ni la chaleur, ni le froid, ni la douleur , ni le contact. Le malade perçoit encore quelqu
son intégrité. La thermoanesthésie est abolie, la sensibilité à la douleur est très affaiblie : en avant sur une surface a
que-t-elle de tout ce que les racines lui fournissent de symptômes ( douleurs et flaccidité des paraly- sies). Lapachyménin
ive sur quelques manifestations du tabes, en première ligne sur les douleurs fulgurantes, sur les troubles génito-urinaires,
n autre malade de ces auteurs se plaignait de la céphalalgie et des douleurs lombaires, qui duraient pendant deux jours aprè
audication intermittente. Le malade, assis, peut librement et .sans douleur mouvoir ses jambes et ses pieds; dès qu'il marc
de quelques minutes, les symptômes caractéristiques apparaissent : douleurs dans les mol- lets, devenant promptement très v
lition du goût et des troubles de la salivation ; GO l'existence de douleurs névralgiques dans le domaine dû nerf occipital.
e pulmonaire, qui fut pris de faiblesse des membres inférieurs avec douleurs au niveau des creux poplités et des mollets s'ac-
ervation présentée, les crises gastriques ont en même temps que des douleurs fulgurantes marqué le début de l'affection. M.
aines il éprouve dans la colonne vertébrale et dans les membres les douleurs les plus vives, qui le privent presque complète
rs. de la face postérieure : là les contacts ne sont pas perçus, la douleur et les agents thermiques sont à peine sentis. Cet
u accentués, se sont bien trouvés des bains chauds qui ont calmé la douleur : bains à 27, 28, 30° R. au plus, et vers la fin
par une exagération du réflexe crémasté- rien et des réflexes de la douleur plus prononcée à gauche ; 12° par une vaso-para
toire dont les point saillants sont : la rachialgie lombaire et les douleurs .irradiées aux membres inférieurs, plus intense
nig et lymphocytes dans le liquide céphalo-rachi- dien) ; . 2° La douleur à la pression des nerfs qui indique un certain
vant-bras sur le bras et ceux de l'épaule étaient conservés. Pas de douleurs ; pas de fourmillements. Il vient à la consultat
adie. Il y a quatre jours, pendant son travail, G... a ressenti une douleur dans la main gauche, douleur légère d'ailleurs
ndant son travail, G... a ressenti une douleur dans la main gauche, douleur légère d'ailleurs et qui bientôt disparut, lais
de lève difficilement le bras au niveau de la tête; cependant toute douleur a disparu. Tous les mouve- ments sont possibles
ourant du mois de janvier 1900, sans cause connue, apparaissent des douleurs cervico-dor- sales : douleurs fugaces et peu in
, sans cause connue, apparaissent des douleurs cervico-dor- sales : douleurs fugaces et peu intenses, qui disparaissent bientô
e notre malade, tant pour les troubles de la motricité que pour les douleurs dont il est le siège. Le membre n'est pas dimin
ALYSIE HYSTÉRO-ALCOOLIQUE. 105 lâcher son outil. A ce moment-là, ni douleurs ni picotements; un simple fourmillement très lé
commutateurs de l'installation électrique. L... ne ressent aucune douleur , mais quand cesse la séance sa main a recouvré un
ns prodromes (obs. III, V et VI), une fois lentement, à la suite de douleurs d'ailleurs peu intenses et peu persistantes de
sé. Il n'y a jamais eu d'actes apoplectiques, ni de vertiges, ni de douleurs vives. Sauf dans un cas où elle siégeait du côt
ire sur quelques manifestations du tabes, en première ligne sur les douleurs fulgurantes, sur les troubles génitaux, urinair
, Althaus, Rondel et Vorothynski. Amélioration et suppression des douleurs fulgurantes : Charcot, Michel Clark, Gaston, Du
ez 4 on obtint une amélioration notable des troubles moteurs, des douleurs fulgurantes,' du signe de Romberg, etc. En somme
gement de saison, ou sans cause appréciable, il fut souvent pris de douleurs fulgurantes, se déclarant surtout la nuit et da
oup mieux. - Le 10 juillet 1901. - Marche croisée parfaite. Plus de douleurs fulgurantes ni la nuit, ni après une fatigue, m
es occupations, fait des courses à pied, ne ressent plus du tout de douleurs d'aucune sorte, continue à conserver une légère g
. - Le 10 août 1901. - Le malade se porte très bien, n'a plus ses douleurs , ni de gêne dans les membres inférieurs. Passe le
les membres inférieurs. Passe les nuits sans être réveillé par des douleurs . . Le 10 septembre 1901. Malgré les courses qu'
éliorant le labes ne fait pas revenir les réflexes rotuliens. Les douleurs fulgurantes et le signe de Romberg sont les deu
s'améliore généralement très tardi- vement. , L'amélioration des douleurs fulgurantes se produit rare- ment d'une façon b
précédente, elles peuvent disparaître complètement. Dans un cas les douleurs ont cédé après deux mois d'extension. Voici l'o
ordination très avancée. Pas d'ataxie des membres supérieurs. Les douleurs fulgurantes n'ont jamais cessé, malgré la pendai-
'ont jamais cessé, malgré la pendai- son et les pointes de feu. Ces douleurs sont localisées dans les deux jambes et causent
H3 une canne et même sans canne. Le malade ne se plaint point de douleurs , qui sont atténuées, et passe plusieurs nuits san
sont atténuées, et passe plusieurs nuits sans être réveillé par les douleurs . Le il septembre 1901. - Le malade ne sent plus
par les douleurs. Le il septembre 1901. - Le malade ne sent plus de douleurs fulgu- rantes depuisjrois jours. Marche mieux,
rassuré en marchant. Le 10 octobre 1901. - Le malade n'a plus eu de douleurs ; il dort bien, marche mieux, sent facilement la
férence du sol. Le 9 décembre 1901. -Le malade ne se plaint plus de douleurs ; passe ses nuits sans se réveiller. L'observ
suivante montre que l'extension agit parfois difficilement sur les douleurs fulgurantes, surtout chez les personnes qui se
opriétaire, âgé de quarante ans, se soigne depuis neuf ans pour les douleurs fulgurantes d'un tabes au début. Pas d'incoordi-
e le malade suit le traitement antisyphilitique et bal- néaire. Ses douleurs sont aussi intenses que les premiers jours. Nous
pas eu prise immédiatement et le patient était pris par moments de douleurs fulgurantes moins généralisées qu'au début de sa
plus régulière. - En parlant de l'influence de l'extension sur les douleurs fulgurantes, nous désirons soumettre à nos lect
mettre à nos lecteurs l'ob- servation d'une tabétique, atteinte des douleurs fulgurantes périodiques, paraissant surtout au
objet blanc et un autre rosé. Nys- tagmus transversal. Au début les douleurs fulgurantes furent atroces et lorsqu'elles appa
'affection, continue à travailler et vaque à ses affaires. Mais ses douleurs fulgurantes n'ont jamais " cessé ; elles sont m
e, la patiente nous affirma avoir cette fois ses règles sans aucune douleur ; elle dormait bien, et contrairement à sou éta
extension chez cette malade jusqu'à ce qu'elle ne ressente plus ses douleurs pendant trois règles successives. Le signe de
a suspension agit surtout contre certains symp- tômes, tels que les douleurs fulgurantes, l'incoordination et les troubles g
de juillet ,1897 de fourmillements dans les quatre membres et de douleurs fulgurantes le long du rachis. « On m'a ordonné d
dans un état de débilité, ne pouvant rien digérer et souf- frant de douleurs et d'insomnie. Nous avons commencé notre traite
4904.- La malade se porte beaucoup mieux. Dort bien et n'a plus de douleurs . Mange relativement bien et digère sans difficu
n. Le 17 septembre 1901.- La malade dort bien, ne ressent plus de douleurs . Marche mieux. Digestion améliorée.' ' Le 11 oc
ches. Au commencement du mois d'octobre 1898 la malade fut prise de douleurs dans les membres inférieurs avec lourdeur et fa
ention de l'urine (sondage) ; à la fin, l'incontinence d'urine avec douleurs fulgurantes. Le 15 décembre, elle rentre à la S
e continua de se porter bien et ne se plaignait de temps à temps de douleurs vives dans le dos. Elle marchait sans hésitatio
une demoiselle neurasthé- nique depuis huit ans et traitée pour les douleurs ihumatis- males par tous les moyens possibles.
Nous lui avons fait dix séances d'extension et l'avons guéri de ses douleurs pseudo- rhumatismales. Il nous est difficile
ixte et complexe. Les indications symptomatiques s'adressent à la douleur ; mais il faut savoir les appliquer à chaque cas
ert de révulsif, c'est le souvenir de l'affection, qui provoque une douleur aiguë et vous réveille. Deux cas peuvent se pro
C'est jeudi + Je suis à Marseille, tout à l'heure je rêvais -(- Ma douleur a disparu + Ma tête est plus libre ? Je sens de l
éveille, puisque je me souviens de loin + Cet effroi me donnait une douleur à gauche et me levait le souffle + Je ne sais p
billes ; à une heure, nous irons à l'école ? Crise avec violente douleur dans le flanc gauche et gestes pour éloigner le c
u creux de l'estomac. -+- C'est collé là -f- Soubresaut avec cri de douleur ? Si vous saviez les douleurs atroces qu'il y a
st collé là -f- Soubresaut avec cri de douleur ? Si vous saviez les douleurs atroces qu'il y a là-dedans ! ? Grand soubresaut
t froid, ce coup me faisait mal. Je marchais courbé à cause de la douleur ; maintenant je me tiens bien droit. Sentez la po
l fortement mon pouce sur la zone d'hyperesthésie, je calmais la douleur qui reprenait plus intense à la cessation de la
le périnée. La resensibilisation amena rapidement la sédation de la douleur et, deux séances - après, la disparition totale
lle agir sur l'organe psychique ? d'abord par le facteur psychique, douleur ; puis, indirectement, par. un trouble fonction
on du délire et de la névralgie est nette : le délire allégorise la douleur ressentie : « C'est le diable, ou un animal, qu
entes irritations centripètes ; nous ne pouvons le distinguer de la douleur et de l'insomnie. On conçoit comme vraisemblable
ire, on peut se faire mordre, se faire frapper, serrer, sans aucune douleur , cette femme marche mollement comme les myopath
tés, mais plus particulièrement à la jambe droite. Parfois accès de douleurs dans la jambe droite, où l'on trouve aussi les tr
r une tuméfaction du gros orteil du pied droit. Ensuite apparut une douleur dans l'articulation du cou-de-pied pen- dani la
que condenser ce qu'il a publié antérieurement sur le plaisir et la douleur , ou la nature des sentiments. Dans une préface, i
rie. Il tente de démontrer scientifiquement que les sentiments de douleur et de plaisir n'ont pas leur origine dans le sièg
nellement antérieure d'une part à toute expérience de plaisir ou de douleur , resterait fondamentale. Chez l'homme adulte, l
vive : les colères froides n'ont pas de gestes, il y a de grandes douleurs sans larmes et de grandes joies muettes ; enfin,
portes ? Telles sont, surtout, les obsessions des scrupuleux et des douleurs : un malade est obsédé par la crainte de regard
irement tourmenté par une blessure à la jambe qui me causait peu de douleur , mais qui m'empêchait d'aller, .le me plaignais
pathologique). Troubles digestifs con- sistant en vomissements sans douleur , mais l'enfant a été surpris plusieurs fois en
t. 111ai. Pas de mensonges caractérisés. Il se plaint le 20, de - douleurs danslecreuxdel'estomac et le 21 d'étoufl'ements.
ue dans le sang expliquerait des symptômes neurasthéniques tels que douleurs occipitales, douleurs lombaires, troubles gastr
uerait des symptômes neurasthéniques tels que douleurs occipitales, douleurs lombaires, troubles gastriques. De nouvelles re
la faiblesse avec fourmillements dans le bras droit, - de violentes douleurs frontales à gauche, une hébétude croissante ; l
des vertèbres cervicales; on pouvait toucher, sans déterminer de douleur ,, les points mêmes qui portaient les poils hypere
eurs des accès névralgiques de tricho-hyperesthésie, associés à des douleurs rhu- matoïdes dans les membres : le traitement
malade de M. Souques, a'souf'ei t, après une ponction blanche, de douleurs de tête et de nausées qui ont duré plusieurs jour
es bords du liséré. La sensibilité tactile est peu modifiée. Pas de douleurs . Atrophie manifeste du premier espace interosse
e le malade s'apercut pour la première fois qu'il ne sentait pas de douleur à la brûlure Autant qu'on peut en juger d'après
e vient de se réveiller; elle se sent très fatiguée et se plaint de douleurs dans la bouche, causées par d'assez violentes m
37°5. La malade est abattue, de mauvaise humeur; elle se plaint de douleurs dans le côté gauche et d'un peu de toux. Cons-
s 120; le soir, température 38°,4, pouls 128. 25. -Encore un peu de douleurs dans le côté gauche. Le matin, température 36,6
diminué. Poids : 58 kilogrammes. Hier soir, elle a senti une légère douleur à la face interne de la cuisse gauche; en même
ux ans quand, tout à coup, il ressentit dans le bras droit de vives douleurs qui le forcèrent à le suspendre quatre à cinq jou
n et celle du côté anesthésique. L'examen des individus atteints de douleurs et d'hyperesthésie REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
Berlin, 1898, s'exprime ainsi : « Il m'est arrivé, en provoquant la douleur , de déterminer des phénomènes vaso-moteurs tels
la face correspondante, ou un tremblement exclu- sivement lié à la douleur . Quelquefois de très forts courants fara- dique
d'ictus apoplectiforme sans perte de connaissance. Puis, violentes douleurs de tête, vomissements, hémiplégie du bras et de l
e bien nette de la sensation de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 399 douleur ou de température. Les réflexes du genou étaient
les fonctions correspondantes fussent sérieusement compromises. La douleur n'a été observée à aucun moment : ni douleursfu
agie, soit au ramollissement. En tout cas l'absence de fièvre et de douleur et la rapidité de la guérison montrent qu'il s'
la tète et au cou : anesthésie au toucher, à la température et à la douleur depuis la clavicule jus- qu'au-dessus du mamelo
nt une anesthésie complète à la chaleur, au froid, au contact, à la douleur et à la localisation, la ponction avec une gros
ercier soutient l'exactitude de sa manière de voir primitive. Toute douleur , quelle qu'en soit la nature, que l'homme attir
pelant l'opinion du Lord Justice Fry suivant laquelle on associe la douleur au péché et on trouve naturel que la douleur so
laquelle on associe la douleur au péché et on trouve naturel que la douleur soit la conséquence du péché, M. Mercier fait r
tible, qui suivant Sir Edward Fry, existe dans nos esprits entre la douleur et le péché, s'explique par la théorie de la sé
aiguë sur l'apparition pré- coce de la paralysie, sur l'absence de douleurs et l'absence de raideurs des membres ou de la n
es hystériques qui, dans la nuit du 9 mars, fut pris de vio- lentes douleurs dans les cuisses et subit consécutivement une p
nesthésie exclusivement relative au sens thermique et au sens de la douleur , comme l'anesthésie syringomyélique; 3° Une lés
(ostéo-arthropathie du pied droit avec troubles de la sensibilité, douleurs gastriques, désarticulation tibio-tarsienne) M.
une voisine, n'avait jamais donné lieu à aucun reproche. De vives douleurs rhumatismales survenues à la fin de mars l'avaien
aire, dite de Wernicke, faisait défaut. Indépendamment des accès de douleurs dans les jambes, dont je vous ai déjà parlé, et
ues années des troubles de la sensibilité - hyperesthésie générale, douleurs en ceinture, diminution considérable de l'acuit
de un château ! w Elle chante la nuit : puis se plaint de violentes douleurs dans les reins (douleurs fulgurantes) et parle
ante la nuit : puis se plaint de violentes douleurs dans les reins ( douleurs fulgurantes) et parle d'aller se noyer ou de s'ét
plaint de troubles gastriques fré- quents, d'étourdissements et de douleurs périphériques. Actuellement il présente tous le
s prolongées, par suite d'altérations des cordons postérieurs ; les douleurs rhumatismales si fréquentes REVUE DE PATHOLOGIE
dans cette maladie sont parfois violentes au point de rappeler des douleurs lancinantes; enfin on y note bien souvent les car
présente à moi inopi- . nément, je ressens réellement une espèce de douleur au cerveau. : Je suis incapable de résister au ch
62 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
la terminai- son de sa fièvre typhoïde, sans fièvre nouvelle, sans douleur aucune, sans troubles cérébraux ou sphinctérien
st impossible de se lever de son lit ; d'ailleurs elle n'éprouve ni douleurs , ni crampes dans les membres inférieurs et elle
est des formes de maladie de Friedreich, rares d'ailleurs, que les douleurs fulgurantes et les troubles de la sensibilité peu
ertson. Il est avéré d'autre part que les phénomènes sensitifs, les douleurs fulgurantes, par exemple, et plus encore les phé-
d. Elles intéressent toutes les sensibilités générale et spéciales, douleur , tact superficiel et profond, piqûres, chatouil
l'incoordination par dysesthésie delà jambe droite. Il n'y a pas de douleurs le long des membres ni en ceinture. Les réflexe
faisceau moteur droit, ainsi que les racines, les méninges, toutes douleurs rachidiennes étant toujours absentes. Nous cons
les troubles sensoriels, du fait de la monoplégie, de l'absence de douleurs fulgurantes et de l'exagération des ré- flexes
re sur la selle, MmeX... se sent prise d'un grand malaise, de vives douleurs dans les ! ombes, les flancs, le ventre, les jamb
é indemne jusque-là. L'essai d'un mouvement quelconque exaspère ces douleurs et réveille ces sensations de brûlure qui avaient
MOUTIER reviendrons plus loin à propos du diagnostic, l'absence de douleur à la pression des os, d'altérations des extrémi
Quelques-uns cependant se plaignent d'éprouver dans les flancs des douleurs assez vives qui pourraient être en rapport avec l
t qu'avant toute déformation, il existe une assez longue période de douleurs , le syndrome pseudo-Paget n'apparaît guère que
n de la poitrine, la déviation en dehors des membres inférieurs, la douleur même plaident en faveur du Paget, le crâne, les c
par poussées durant plusieurs mois. Ces poussées s'accompagnent de douleurs vives ne suivant pas spécialement le trajet des
e plus fréquemment une déformation tardive du thorax survenant sans douleur et correspondant non plus à l'ostéomalacie mais
vait rien an bassin, aux mem- bres ni au crâne, elle n'avait pas de douleurs (5). Richard la considère comme atteinte d'osté
oporose sénile. Dans l'ostéomalacie seule se trouvent la période de douleurs précédant les déformations, l'impotence absolue,
mort des incurables. D'autres pensent qu'il faut rendre exempte de douleur la mort de ceux qui veulent se suicider : ce sera
t trois ans environ, il ressent dans les mol- lets des crampes, des douleurs vives, fugitives, durant une minute envi- ron.
he ; parfois cependant, on a noté, comme premiers phéno- mènes, des douleurs fulgurantes ou non, dans les jambes et dans les l
très complet, avec sco- liose, nystagmus, abolition des réflexes et douleurs fulgurantes. Vous voyez qu'ici l'hérédité est i
t se traduisent d'a- bord par des vertiges, de la titubation et des douleurs fulgurantes ; puis viennent l'ataxie statique d
ans cet hôpital, en septembre 1896, la malade res- sentait de vives douleurs , à caractère fulgurant,dans les membres inférieur
ent de la maladie de Friedreich par l'abolition des réflexes et des douleurs fulgurantes, ressortissant de lésions médullaires
fils unique. A 22 ans, en pleine santé, il est pris d'une violente douleur dans la région cervico-dorsale, bientôt une tum
tic négatif, somnolence invincible. 18. - Céphalée très intense, douleurs au rachis, à l'épaule droite, diminu- tion de l
naire. 10 décembre. Application de sangsues réclamée par le malade. Douleurs très fortes dans l'épaule et tout le côté droit
pha- lée très forte, injection de morphine. 7 janvier. Même état, douleurs insupportables dans le bras droit. 23. Altérati
s présentés par le malade, nous avons signalé encore l'existence de douleurs continues, persistantes siégeant au niveau de l
ce, de l'épaule et du bras droit. L'explication pathogénique de ces douleurs intenses, qui résistaient à toute espèce de méd
puisse pas marcher seule. En novembre 1903, la malade se plaint de douleurs plus ou moins généra- lisées dans les membres.
vre typhoïde le malade présente, sans cause apparente, des accès de douleur très vive à la région précordiale. Cette douleur
ente, des accès de douleur très vive à la région précordiale. Cette douleur ne dure que quel- ques instants, elle survient
rexie absolue, de lassitude, légère fièvre, constipation opiniâtre, douleurs abdominales. Depuis 15 jours, elle avait vu rec
u à gauche le thermomètre accuse 35°6. Sensibilité au contact, à la douleur , à la chaleur et légèrement diminuée. Réflexes su
us raconte que son attention avait tout d'abord été attirée par des douleurs siégeant dans tout le côté droit, exagérées par l
la faire disparaître presque complètement, au prix d'une assez vive douleur . C'est parce qu'il souffrait de son côté, c'est
continue à s'infléchir à droite. Cette attitude vicieuse calmait la douleur . L'examen de la sensibilité cutanée n'a jamais
che pour les tra- vaux des champs. Il accuse de temps à autre des douleurs dans le côté droit. Pas de signes de tuberculos
aule droite. Cette déformation a comme point de départ le phénomène douleur . B... souffrait de son côté (inflammation, adhé
nuait les causes de tiraillements sur son côté et par conséquent la douleur . Cette inflexion a été, au début, une réaction
t devenues très solides ; et ce sont elles, maintenant, plus que la douleur qui sont cause de l'attitude vicieuse : à une c
lement localisé, une altération de l'irritabilité musculaire ou une douleur locale pour provoquer le spasme musculaire et cré
cours de l'opération (l'anesthésie était inconnue) l'ex- cès de la douleur entraînait une violente agitation. Ici, l'opéré n
Dieu. Le 18 avril, pendant son travail, il ressentit subitement une douleur dans les reins ; ce « tour de rein » l'obligea
rte de lumbago. Il commençait à aller mieux, quand il ressentit une douleur dans la fesse et la cuisse droites se prolongeant
le trajet du sciatique et on l'électrisa. Au bout de deux mois, les douleurs , sans disparaître complè- tement, devinrent sup
douloureux (fessier, trochantérien, poplité). Signe de Lasègue. La douleur est continuelle avec paroxysmes, surtout au lit
pas oublier que la dou- leur sciatique a été précédée d'une brusque douleur dans la région lom- baire, et d'une sorte de lu
et Soupault (1), la scoliose homologue s'observe dans les cas où la douleur occupe la partie supérieure du sciatique ; elle a
uve, selon lui, c'est : la persistance de la scoliose alors que les douleurs sur le trajet du sciatique ont disparu, la contra
stinctives prises par les malades pour obtenir une atténuation delà douleur (4). ' > ' (i) Méd. moderne, 1892, p. 826.
permanentes ; elles peuvent même persister après la disparition des douleurs . i Il n'est pas douteux que les déformations dé
ctuellement bien portant. A diverses reprises, B... s'est plaint de douleurs gastriques. En 1889, il eut de violentes douleu
. s'est plaint de douleurs gastriques. En 1889, il eut de violentes douleurs dans les membres inférieurs qualifiées csciatique
lièrement de l'incontinence. Il a eu à diverses reprises de vives douleurs d'estomac et s'est plaint sou- vent aussi de do
ises de vives douleurs d'estomac et s'est plaint sou- vent aussi de douleurs rapides et violentes dans les membres inférieurs.
mbes ;'il présente nettement le signe de Romberg. M... se plaint de douleurs vives dans les membres inférieurs. L'auscultati
lle s'est installée progressivement, qu'elle a été ac- compagnée de douleurs fulgurantes. Les troubles intellectuels ne date
xe crémastérien, signe de Romberg et démarche ataxique. Foie petit, douleurs lancinantes dans les jambes. Etat de la sensibi
ataxie étaient telles qu'il fut toujours alité ; il se plaignit de douleurs dans les jambes, il maigrit bien que s'alimen-
xes crémastériens et plantaires sont nor- maux. La sensibilité à la douleur est, semble-t-il, un peu diminuée. La force mus
-Hobertson, ptosis de la pau- pière droite et incontinence d'urine, douleurs fulgurantes. Les renseignements fournis sur lui
nde femme dont il n'eut pas d'enfant. Déjà à ce moment il avait des douleurs fulgurantes et son médecin traitant aurait diag
mus ; pas de dé- viation des yeux. La sensibilité au tact et à la douleur paraît conservée sur tout le corps. La piqûre d
en, sous l'influence d'une piqûre, s'écartait sans témoigner aucune douleur , ni mouvements de colère. Il convient de fair
frir beaucoup de son côté droit, les contractures s'accompagnant de douleurs qui amenaient des cris dès qu'on voulait mobili
qués, surtout les mouvements de l'é- paule, s'accompagnent de vives douleurs . Les réflexes sont exagérés à l'avant-bras ; il
us équin, ces tentatives sont d'ailleurs doulou- reuses. A part des douleurs provoquées il n'y a aucun trouble de sensibilité.
ons frontales. Chez notre malade, la précocité des contractures, la douleur du début et dans la suite, la perte de connaiss
a marche difficile et tout exercice musculaire très pénible. Aucune douleur , aucun autre phénomène qu'une lassitude pro- fo
rconscrit, d'une grandeur variable, qui ne donne ni démangeaison ni douleur , qui s'éva- nouit après un temps variant de que
arfois ils démangent (kirsch, 23) ; parfois même s'accompagnent des douleurs [Du Castel (24), Wassyliew (25)]. Les altératio
la moelle. Dans ces observations les oedèmes s'accompa- gnaient de douleurs radiculaires. Et les douleurs lancinantes du tabe
ons les oedèmes s'accompa- gnaient de douleurs radiculaires. Et les douleurs lancinantes du tabes sont parfois accompagnées
u'elle a dû faire depuis le commencement de sa maladie. Jamais de douleurs dans le bras et la main. Cet état, qui d'interm
s voyages d'inspection dont nous avons parlé, qu'apparaissent t des douleurs intermittentes d'abord, puis continues dans la nu
s continues dans la nuque et à la par- tie supérieure des trapèzes, douleurs bilatérales, mais plus marquées à droite. Il y
traitements qui n'ont d'autre résultat qu'une diminution légère des douleurs . Un an après (décembre 1900), le Dr Breton cons
lle un traite- ment électrique qui amène une sédation manifeste des douleurs et une dimi- nution du torticolis mental. Il se
a raideur à droite, de la faiblesse à gauche. L'on trouve un peu de douleur à la pression à la nuque et sur la partie supér
. Quelle est l'origine de ce torticolis mental ? Dès le début des douleurs et de la raideur du cou, la malade tournait la
es ; les genoux ne peu- vent plus entrer en contact. Il ressent des douleurs très vives dans les jambes. Un chapeau acheté e
die osseuse de Paget d'étranges ana- logies : même évolution, mêmes douleurs , mêmes reliquats, même confu- sion avec des man
îné la maladie a com- mencé à l'âge de 14 ans, brusquement, par des douleurs dans les pieds, les jambes, les genoux et les é
douleurs dans les pieds, les jambes, les genoux et les épaules. Les douleurs étant devenues générales deux semaines plus tar
d, le malade est forcé de garder le lit. Le patient prétend que ces douleurs articulaires étaient accompagnées d'un gonfle-
i qu'on le voit dans les cas de rhumatisme aigu polarticulaire. Les douleurs ont persisté trois mois. Les membres supérieurs
p, le jeune homme ayant joui jusqu'alors d'une bonne santé, par des douleurs terribles le long de la colonne vertébrale, qui
le, qui l'ont forcé à garder le lit pendant une se- maine. Puis les douleurs disparaissant, il quitte le lit et reprend le tra
pable de rester debout, de manger, de s'habiller, etc. De plus, des douleurs terribles surviennent dans les quatre membres;
t produite en même temps qu'aux membres inférieurs. Le symptôme des douleurs a été constaté et décrit par Leyden dans le typ
porte son nom : Leyden-Môbius : Seidel rapporte avoir constaté des douleurs autour des articulations, comme dans notre cas.
culations, comme dans notre cas. Rohinson a également observé des douleurs vives dans les membres in- férieurs chez un mal
ypertrophique. De même, Mübius a observé chez un de ses malades des douleurs à la pression dans les masses musculaires. Da
ué aussi un début douloureux chez leur malade Pauline Legr... ? les douleurs étaient localisées dans les membres et surtout da
ien portant jusqu'alors, notre malade se réveille un matin avec des douleurs dans la colonne vertébrale dorsale et dans les pa
brale dorsale et dans les parties latérales du côté des reins ; ces douleurs devenant toujours plus fortes le malade est forcé
ortes le malade est forcé de garder le lit pendant une semaine, Les douleurs qu'il ressentait étaient continuelles et devena
t lorsqu'il essayait de rester debout ou de faire quelques pas. Les douleurs se sont généralisés plus tard sur toute la colonn
aussi dans tous les membres). Le malade nous raconte, qu'outre ces douleurs continuelles, il ressentait des douleurs aiguës
nous raconte, qu'outre ces douleurs continuelles, il ressentait des douleurs aiguës traversant les côtes et la poitrine. Une
Une semaine après, il a quitté le lit ne ressentant plus rien, les douleurs avaient disparu petit à petit etle malade a pu
s pour manger, s'habiller; etc. Pendant son séjour à l'hôpital, des douleurs continuelles semblables à celles qu'il avait eu
trée à l'hôpital, il le quitta dans le même état de paralysie ; les douleurs avaient disparu dans les membres supérieurs et
t parce que chaque mouvement lui était terriblement douloureux. Les douleurs ont disparu pendant qu'il était chez lui et il av
t réussi à pou- voir manger seul, cependant il a encore éprouvé des douleurs aux membres inférieurs pendant les deux premier
ne sont pas douloureux à la palpation, mais le malade se plaint de douleurs aiguës dans les membres, surtout dans les membr
idi, il a été souffrant deux semaines environ, depuis il soulfre de douleurs dans les genoux et dans les jointures des doigts.
maladie. Pendant ses accès de paludisme il commence par sentir des douleurs dans les membres inférieurs et supérieurs, les do
sentir des douleurs dans les membres inférieurs et supérieurs, les douleurs étant encore plus fortes aux épaules. Il préten
ent enflés. Une semaine après, l'inflammation a dis- paru, mais les douleurs étant devenues encore plus fortes et se généralis
après le début de la maladie, dans le même temps qu'il souffrait de douleurs , le malade remarquait qu'il perdait ses forces
mmencé à mai- grir jusqu'au degré où on les voit aujourd'hui. Les douleurs ont continué a être très intenses pendant trois m
'est alité, il n'a jamais pu quitter sa couche. Lorsqu'il avait des douleurs , il avait l'habitude de tenir les jambes fléchies
uvant les étendre à cause de la souf- france, plus tard lorsque les douleurs ont disparu, par suite de rétractions tendineus
ur la cuisse. La sensibilité générale, superficielle (tactile, à la douleur ), thermique, pro- fonde (vibratoire, à la press
re) est normale sur tout le corps. Le malade sent quelquefois des douleurs diffuses qui le prennent plu- sieurs fois par j
portables et ne durent qu'une demi-heure à la fois. Quelquefois des douleurs de caractère fulgurant lui traversent les bras
ant deux de nos malades atteints de torticolis présen- taient de la douleur , spontanée et surtout provoquée par les tentative
riques. Mais, d'une façon générale, on peut dire que c'est moins la douleur qui amène le malade à la consultation du médecin
pide et in- tense, que pour parer par immobilisation complète à une douleur vive. Un autre fait d'observation banale, est l
local, un peu d'adénopathie, d'atrophie musculaire, et surtout une douleur fixe, à la pression localisée, sur une extrémit
cessible de la synoviale. Et le fait capital est la fixité de cette douleur : en lisant nos observations, on verra que tous
on, rien ne paraît gonflé, tout est souple. L'enfant se plaint de douleurs spontanées « dans les os » et en effet au pre-
e de la jambe, jus- qu'au genou, l'enfant continuant à signaler des douleurs auxquelles nous eûmes l'air de compatir ; mais
ci est plus capable de fixer son attention, d'ac- cuser toujours la douleur aux mêmes points. La preuve thérapeutique rend
u niveau des 3', 4e, 5a vertèbres, la pression forte réveille de la douleur . L'examen du pharynx ne permet aucune constatatio
. Si l'on vient à imprimer des mouvements de la tête sur le cou, la douleur est intense, et on note la raideur plus accentu
te absolument infructueux, et ne réussit qu'il réveiller de grandes douleurs . L'enfant avale facilement et sans aucune doule
iller de grandes douleurs. L'enfant avale facilement et sans aucune douleur toute espèce d'aliments. mais il a grand'peine
t plus faire un seul mouvement de la tête sans ressentir de grandes douleurs ; il semblait même immobilisé quant à la par- t
de mastication et de déglutition n'étaient nullement gênés, aucune douleur au niveau du pharynx ; la douleur siégeait seul
n'étaient nullement gênés, aucune douleur au niveau du pharynx ; la douleur siégeait seulement dans le cou, toujours à l'oc
apèze sont durs, formant une masse saillante. On ne réveille aucune douleur à ce niveau. Les apophyses épineuses de la colonn
ant, l'on apprend que l'appareil. est très bien supporté; qu'aucune douleur n'existe plus, l'enfant ajoute même qu'il lui s
on s'apercevait que la tête était inclinée sur l'épaule droite, les douleurs paraissaient toujours aussi vives, ce qui détermi
bsolu au lit. Le traitement fut suivi sans grande amélioration, les douleurs étaient sensiblement aussi fortes, la tête rest
pontanés sont nuls, les mouvements provoqués déterminent de grandes douleurs ,et d'ailleurs toute tentative pour redresser la t
ion et à la contre-extension. Cet appareil semble causer de grandes douleurs au sujet qui se lamente horriblement. Le lendem
urs au sujet qui se lamente horriblement. Le lendemain mercredi les douleurs ont disparu. Le jeudi 12 l'appareil est enlevé,
tête est tout à fait droite ; aucune trace de contracture, plus de douleurs , l'enfant quitte l'hôpital le même jour. Revu e
ticolis lorsque, à l'occasion d'un mouvement brusque, s'éveille une douleur vive et subite dans une articulation jusque-là
nt ? Mais nous aurions constaté, ne fût-ce qu'à un degré léger, une douleur et une tuméfaction nettement localisées à l'end
e aussi prononcée des mus- cles atteints. Ici, au contraire, pas de douleur au niveau des membres musculaires, seule une co
ble, elle se \vm 30 458 BROCA ET HERBINET plaignit d'une légère douleur au niveau de la hanche et du genou gauches. Ces
d'une façon précise, qu'elle penchait son corps du côté droit. Les douleurs n'ont jamais été plus fortes, l'enfant, malgré
laire au niveau du quadriceps, au- cun ganglion dans l'aine, aucune douleur par pression au niveau de la hanche, du triangl
he, du triangle de Scarpa, du grand trochanter de la fesse ; aucune douleur ron plns n'est éveillée à distance par pression
'est pas constante. D'assez nombreuses observations mentionnent des douleurs spontanées ou à la pression sur la colonne vert
du mal de Pott, par la distribution anatomique des nerfs. Quant aux douleurs rachidiennes, une exploration attentive les démon
o- voquait infailliblement une attaque hystérique. Mais quand ces douleurs qui sont l'exception existent, elles sont remar
ison pelvienne. Et chez notre malade, nous devons nous souvenir des douleurs initiales dans le genou et la hanche gauches, d
s 1/2, est amenée à la consultation du Dr Broca le 21 mai 1904 pour douleurs très vives dans la région des reins et impossibil
nt, sans cause appréciable, sans fièvre nouvelle, elle fut prise de douleurs dans les reins et les membres inférieurs. Elles s
er. Mais la marche était presque aussi pénible qu'auparavant et les douleurs aussi fortes. Lasse d'un traitement qui ne donn
des os, fémur et tibia, provoque, au dire de la malade, de grandes douleurs , mais on s'aperçoit facilement, que les points
contre, quelques régions où la simple pression réveille dé grandes douleurs . La sen- 466 BROCA ET IIERBINET sibilité la c
ent. Le lendemain l'enfant se lève et marche déjà sans tituber. Les douleurs ont, dit-elle, disparu pendant la nuit, et elle
archer pour un examen elle boite légèrement, se plaignant encore de douleurs dans les jambes. Il est de toute évidence que A
r la pachyméningite ; la ri- gidité de la colonne vertébrale. Les douleurs initiales, très vivement accusées par la malade,
arche ébrieuse, on pouvait penser à une tumeur céré- belleuse, sans douleurs de nuque, sans symptômes encore constitués d'hy
uable : le lendemain matin la malade se sentait beaucoup mieux, ses douleurs avaient disparu pendant la nuit, elle pouvait mar
ne physique dans le genou, de toute atro- phie musculaire, de toute douleur à la pression. Au milieu de l'interro- 470 BROC
n vasculaire de la moelle ayant eu pour conséquence l'atrophie avec douleurs et paresthésies. A ce sujet, Raichline rappela qu
Pendant qu'il était en observation il accusa assez brusquement des douleurs dans le dos et le long du cubital gauche et nou
et était ramené en arrière et en dehors. Il n'y éprou- vait aucune douleur : il parle encore avec amertume du « rhabilleur »
opathique syphili- tique. J'ai moi-même, avec Lévy, insisté sur les douleurs précédant et accompagnant l'atrophie, notre mal
vent manquer : le malade qui nous occupe en ce moment n'a pas eu de douleurs véritables, malgré ses lésions osseuses, et l'aff
aisceaux blancs médullaires (exagération ou abolition des réflexes, douleurs , etc.) ou celle du cerveau lui-même : nous avon
. Contre cela on dit que dans quelques cas se trouvent au début des douleurs intenses, mais que d'ordinaire on n'éprouve aucun
s intenses, mais que d'ordinaire on n'éprouve aucun trouble, aucune douleur . Mais la production des exostoses n'est pas tou-
et de l'insomnie. Il y a 15 jours, il était très faible, avait des douleurs dans les jambes et les reins et de violents mau
onne vertébrale est ankylosée à ce niveau et on n'y réveille pas de douleur par la percussion. Dans la station debout les c
loureuses. Toutefois, il ne croit pas être malade et attri- bue les douleurs et la déformation accidentelle de ses épaules à u
on, pas d'en- gourdissement ni de fourmillement des membres, aucune douleur viscé- rale. Sensibilités tactile, thermique, é
ion, apparence et mensonge ; il n'y a de réalités que le nial.et la douleur . Et pour traduire ces idées intraduisibles, l'art
63 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uce pour obtenir deux sensations. La malade a ressenti au début des douleurs unique- ment localisées à divers points de la t
ur droit, on voit la face grimacer; le malade paraît donc sentir la douleur à droite; la même expérience répétée plusieurs
'il s'agit là d'un . catarrhe des sinus frontaux et il attribue les douleurs à une rétention dans ces cavité des produits sé
vaient peu à peu augmenté de fréquence et d'intensité. A la fin, la douleur était presque continue, durant cinq à six semai-
'étira fortement. La plaie se cicatrisa par première intention. Les douleurs disparurent complètement après l'opé- ration, e
tendon patellaire; on apprit que ce sujet avait eu' auparavant des douleurs fulgurantes, de la diplopie, etc., c'était un a
ance à des mouvements réflexes ; la malade retire son membre, et la douleur se peint sur sa physionomie, qui autrement est
ons qui en sont pour- vues. En même temps, elle souffrait de fortes douleurs au niveau des pommettes et de gastralgie avec v
rs. En même temps aussi, elle avait des maux de tête fréquents avec douleurs siégeant parti- culièrement au niveau des os ma
r. En même temps, la malade éprouvait des trou- bles digestifs avec douleurs gastralgiques après le repas, suivies de vomiss
s que cette nouvelle espèce d'attaques se produit, elle éprouve une douleur continue dans le bas-ventre des deux côtés; mai
ans le bas-ventre des deux côtés; mais quand l'attaque va venir, la douleur augmente, principalement du côté gauche, et en
e qui en a été atteinte. Le 3( ! février 1881, V... se plaint d'une douleur dans le côté gauche de la poitrine, sans toux,
catoire et dans la zone périphérique, mais la malade se plaint de douleurs brûlantes tellement vives qu'elles lui arrachent
, mais la moindre pression, le contact de la chemise exaspère les douleurs . , ' Le 2, mêmes douleurs qui empêchent tout so
, le contact de la chemise exaspère les douleurs. , ' Le 2, mêmes douleurs qui empêchent tout sommeil. La région douloureu
este des cicatrices blanchâtres, et aujourd'hui encore (25 juin) la douleur persiste dans la région occupée par l'éruption.
n malade, qu'il nous a été donné d'observer de près, fut pris d'une douleur vive au niveau des apophyses épineuses des prem
vertèbres lombaires : dans la nuit suivante le développement des douleurs intenses avec sensation de cuisson sur divers p
erpès; le tout a évolué comme un zona des mieux caractérisés et les douleurs persis- tent encore au bout de deux ans sur le
is ans, elle aurait eu des convulsions. Etant enfant, elle a eu des douleurs de croissance. 1 Briquet. Traité clinique rt th
ier. Attaques. L'attaque est annoncée par une recrudescence de la douleur ovarienne, par une sensation de boule qui part de
ons, elle est seulement courbaturée. Le 2 jamicr, C... se plaint de douleurs dans le côté gauche de la poitrine, elle ne tou
t elle est oppressée. 25. Même état. Trente ventouses sèches. 26. Douleurs dans l'épaule gauche, dont les mouvements sont
oureux sans que l'insensibilité de la peau ait disparu. - 27. Les douleurs s'étendent au coude gauche et à l'épaule droite
pétit nul, mais pas d'élévation de température. Purgatif. 30. Les douleurs sont restées à peu près stationnaires, peu in-
e matin elle est encore sensible sur la moitié droite du corps. Les douleurs ont un peu diminué; C... se lève. 12 lëvi-iej,.
s. Les douleurs ont un peu diminué; C... se lève. 12 lëvi-iej,. Les douleurs se sont considérablement accrues et généralisée
u gonflement, mais de la rougeur. Le moindre mouvement exaspère les douleurs , mais la peau est restée insensible, on peut la
au des articulations les plus atteintes sans pro- voquer la moindre douleur . C... peut être hypnotisée et cata- leptisée co
t le soir.-Salicylate de soude, 6 grammes. 3. Même intensité des douleurs articulaires, même insensibilité cutanée. Oppre
in, 39», 3 le soir. 9. T. 39°, le matin, 39°, 2 le soir. Epistaxis, douleur ova- rienne gauche, menace d'attaque, applicati
rienne gauche, menace d'attaque, application de la ceinture ; les douleurs sont un peu moins vives. 10. La malade sent que
pour éviter les attaques; la malade revient bien sans accident. Les douleurs ont notablement diminué, les pieds et les genou
r. Lt; i,msniato-i : mn.t : rair. 175 11. Le mieux persiste ; les douleurs se sont encore atténuées, la rougeur a à pou pr
ns voulu surtout montrer qu'il s'agissait bien d'un cas aigu avec douleurs vives, et une élévation considérable de la temp
uleurs vives, et une élévation considérable de la température ; les douleurs articulaires ont persisté pendant plusieurs sem
'anesthésie générale et spéciale ; nous verrons plus tard que les douleurs de l'accouchement ne la tnodifienthas davan- ta
d'attaque, qui ont eu un commen- cement d'exécution, et lorsque les douleurs per- sistaient encore, le 24. mars, C... a eu t
la cause de cette modification; ce n'est pas non plus l'élé- ment douleur , cette cause reste à cherclier. (A suivre.) REC
si parce qu'elles s'imaginent que le travail digestif détermine des douleurs trop vives ; une autre 'se condamne à un mutism
solu parce que l'exercice de la voix détermine, dit-elle, un peu de douleur , et elle reste ainsi muette pendant des mois ;
illusions évanouies, de leurs souffrances continuelles ou de leurs douleurs incom- prises ; et dans toutes leurs paroles ou
idées hypocondriaques, se plaignant tour à tour de gas- tralgie, de douleurs entéralgiques, de céphalalgie, de névralgies di
te fille de six ans, jalouse de son petit frère, se dit atteinte de douleur de tête, elle accuse du vertige, des douleurs név
re, se dit atteinte de douleur de tête, elle accuse du vertige, des douleurs névral- giques vagues, de la photophobie, elle
aiblesse physique, agitation, insomnie, absence de sensibilité à la douleur . L'enfant n'en- tendait guère que les battement
les jambes ; en octo- bre 1879, bruits anormaux dans les oreilles, douleurs dans la tête, les bras et les jambes ; en décem
ses, dures, semblables à des exostoses, symétriques ; en même temps douleurs articulaires dans les extrémités, le long de la
antécédents véné- riens sinon syphilitiques ( ? ), se plaignant de douleurs dans les membres, de céphalalgies frontales, su
7Ke pulsatile. Le premier fait regarde un impaludique, souffrant de douleurs fulgurantes dans la moitié gauche de la face, a
larité des mouvements res- piratoires, ordinairement associés à des douleurs abdominales et à des vomissements alimentaires.
u'ayant son membre faift en efcailles il faid fouffrir vne extrefme douleur ; outre que sa femêce est extrefmement froide, s
volontaire ; 2° hyperesthésie au toucher, au cha- touillement, à la douleur , et à la température dans les parties paralysée
1° anesthésie complète, absolue au toucher, au chatouillement, à la douleur , et à la température dans les parties correspon
ons l'analgésie est complète, et l'on peut sans éveiller la moindre douleur transpercer de part en part avec des épingles l
nsmission des sensations. A ces troubles sensitifs, se joignent des douleurs et sensa- tions subjectives. A gauche, le malad
zs, survient une hydarthrose légère du genou gauche, accompagnée de douleurs continues, mais sans chan- gement de coloration
exes sont normaux. L'hyperesthésie a disparu. Les sensibilités à la douleur , au tact, au chatouillement demeurent un peu ob
le tact, le chatouillement n'étaient point absolument éteints; la douleur , le froid, le chaud au contraire, n'étaient plus
deux premiers jours, en effet, il y a eu dysurie accom- pagnée de douleurs et de ténesme. Le troisième jour, la dysurie a
isant hyperesthésie n'est qu'une exagération de la sensibilité à la douleur , et que le simple contact est moins senti qu'il
ui de la théorie psycho-sensorielle des halluci- nations. VI. LA. DOULEUR DITE OVARIENNE DES HYSTÉRIQUES A POUR SIÈGE L'O
endrons pas sur les anciennes discus- sions au sujet du siège de la douleur hypogastrique des hystériques, que les uns cons
idées théoriques qu'on s'est basé tout d'abord pour rattacher cette douleur à l'ovaire, qui, cependant, avait pu quelquefoi
s, on n'avait point assez nettement constaté la coïncidence de la douleur ovarienne avec l'existence de la tumeur formée
palpa- tion abdominale, et qu'il occupât le siège habituel de la douleur hypogastrique des hystériques. La question deva
l'exploration de la sensibilité de l'ovaire et en particulier de la douleur ovarique chez la femme enceinte. Th. de Paris, 1
la journée que durèrent ses coliques ; elle le redevint dès que ces douleurs eurent cessé. C'est là un fait intéressant à no
obtenir le sommeil hypnotique, ce n'est pas seulement à cause de la douleur . Nous n'avons donc pas pu, pendant le travail,
té, et quand on lui demande de montrer avec le doigt le siège de la douleur , elle désigne deux points symétriques, situés s
tres au-dessus du pubis). La pression sur ces points pro- voque une douleur vive et la sensation de quelque chose qui remon
ent tant de netteté au fait qui précède. 26 décembre. Les premières douleurs se sont manifestées à trois heures du matin, ma
se à peine pénétrer la phalangette de l'index. A deux heures, les douleurs augmentent d'intensité, mais se sont espacées.
viron : position occipito-iliaque gauche antérieure. Depuis que les douleurs sont devenues un peu fortes, c'est-à- dire depu
Rien de changé dans l'état de la sensibilité. Depuis le bain, les douleurs se rapprochent ; à sept heures et demie, elles
lade se met au lit. A sept heures cinquante-cinq, au moment d'une douleur , la malade est prise d'une attaque de contractu
pit.. A partir de huit heures et demie, chaque fois qu'elle a une douleur un peu forte, elle éprouve en môme temps une sens
anxiété et une dyspnée considérable. A neuf heures et demie, une douleur , qui s'est accompagnée des sensations dont nous
de quelques gouttes de chloroforme et, à partir de ce mo- ment, les douleurs ne se' sont plus accompagnées d'aucun phénomène
avons augmenté un peu le chloroforme, la malade ne sentait plus ses douleurs ; mais, vers onze heures un, quart, il survint
uelques minutes après que l'insensibilité n'était pas modifiée. Les douleurs étant devenues très fortes, nous avons donné le
a délivrance, la malade s'est plainte pendant plu- sieurs heures de douleurs vives dans tout le ventre. Ce n'est qu'à cinq h
s nous croyons fondé à considérer comme établi que le siège de la douleur iliaque des hystériques est bien l'ovaire, comm
rve une certaine mollesse qui permet de la supporter longtemps sans douleur . Comme on le voit dans la lîg. ,5, le ressort p
; a cette époque il commença à ressentir au niveau de la nuque une douleur sourde qui s'accompa- gnait d'élancements vers
ntaires. Dans l'exécution de ces mouvements, il se produit une vive douleur au niveau de la nuque. La partie postérieure du
ne révèle rien d'anormal. Le malade éprouve de temps en temps des douleurs lancinantes, qui s'irradient de la nuque vers l
arante-huit kilogrammes. 26 août. La sensibilité au contact et à la douleur est encore très légèrement émousséc à gauche; l
es deux premières vertèbres cervicales ne détermine presque plus de douleur ; l'empâtement du cou diminue. ^'novembre. L'
ception de la rotation à gauche. Ils n'étaient accompagnés d'aucune douleur ; même lorsque le malade les exécutait brusqueme
t revenu à sa situation habituelle. Après celui-ci, il se plaint de douleurs de tête, a de la fièvre, etc. ; et, tandis que
n temps variable de quelques minutes à une heure et plus, éclate la douleur céphalique frontale, temporale, ou pariétale. T
64 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
uns se rongent les téguments jusqu'au sang sans manifester la moindre douleur , L'onvchophage perd donc beaucoup de sa dextérité
e ne pouvait presque pas remuer la jambe, ni marcher sans beaucoup de douleur , ni faire son service. Bains, onguents, massage n
uides et encore les vomissant, même le lait: presque pas de sommeil : douleur continuelles dans le ventre, miction pénible: sel
e va qui, n aux petits soins du ménage qu'au prix «les plus vives douleurs . Mes servantes allaient de temps en temps la voir
e lui annonçai qu'elle n'aurait plus mal, qu'elle allait marcher sans douleur , et sans gène. C'est ce qu'elle lil sans être rev
mettre à genoux. Elle le lit. mais avec gène et eu accusant une vive douleur . Je lui annonçai que Cette «louleur allait disp
la gêne persistait quand elle voulait se mettre à genoux, et la même douleur restai! localisée â la même place. Je pensai tout
vais rendu ses mouvements, que je n'avais pas l'ait disparaître toute douleur , et je le priais de bien observer le cas pour m'e
itement depuis sept OU huit mois, et qui se plaint continuellement de douleurs vagues laulôl d'un côté, tantôt (l'un autre, sans
vives soutirâmes. Comme on l'estimait hvstérique. l'on attribuait ses douleurs à son a lier-lion nerveuse. M. Von Winiwarter me
près du sujet, la tàta de nouveau à I articulation sans provoquer de douleur , bien qu'elle prétendit que là était le siège du
érieure du tibia. en dessous du genou — au point où elle accusa de la douleur — un loyer d'os-telle luherenleiise. qui ovait éch
souffrancc. j'ajoutai que désormais il urinerait copieusement et sans douleur . C'est ce qui eu) lieu. Il vint elle, moi deux ou
: mais comme la miction avait continué à se faire sans effort et sans douleur et régulièrement, j'avais cru pouvoir dire aux pa
sent el n'entretiennent presque plus dans les tissus de fatigue ni de douleurs , ni aucun (1) 1re édition. Ch. IV § 2. 1866.
ommence par éprouver en 1880 des signes très accusés de neurasthénie: douleurs de tète, insomnie. bourdounement dans les oreille
ou rires. Durée 4 h. Depuis S jours, une attaque par jour, de plus douleurs du dos, de l'épigastre à la gorge et état hal
Après 10 mois, la malade dormait, je lui suggérai de ne plus avoir de douleur de dents, d'étouffements, de ne plus voir d'araig
ieuses et d'avoir ses règles le 28 avril. 18 avril. — A eu moins de douleur , a eu par moments des pleurs, a encore des idées
r le chloroforme, en obstétrique, pour atténuer et même supprimer les douleurs de l'enfantement ; mais je ne l'avais jamais appl
r le chloroforme, en obstétrique, pour atténuer et même supprimer les douleurs de l'enfantement ; mais je ne l'avais jamais appl
dire slans un état où existe l'analgésie complète et dans les|ucl les douleurs peuvent être facilement supprimées par la suggest
. Et si. par exemple, il lui dit alors qu'un effet physiologique, une douleur va se produire sur un point de son corps ou en di
t presque chaque nuit, et d'éternuements spas-modiques accompagnés de douleur et d'inflammation de la conjonctive et suivis d'u
s de ces troubles, elle avait souffert pendant trois ou quatre ans de douleurs et de flatulences après les repas. île dysménorrh
aient plus troublées et elle pouvait chanter île courts morceaux sans douleurs ni spasmes, je continuai le traitement tout l'été
qu'elle avait auparavant. Les règles revinrent régulièrement et sans douleur et le nervosisme disparut. En revenant de mes vac
oujours celui d'uriner; c'est encore, ou une gène de respirer, ou une douleur , ou l'émotion du rêve, ou un bruit, ou la décisio
er l.i tête, on soulevait le corps eu entier et on déterniinuil de la douleur . Cette jeune tille n'avait jamais eu de rhumatism
rêve qu'elle souffre du cou. et le lendemain malin elle accuse de la douleur et de la contraction dans cette région. Chez le
onc un phénomène tout spontané. Par la piqûre, la malade accuse une douleur , et le sang coule. Je pratiquai deux autres mas
e vais vous piquera la main gauche où vous ressentirez une très forte douleur ; je vous pique : et sans toucher la malade j'ai o
vous pique : et sans toucher la malade j'ai obtenu la sensation de la douleur : après j'ai dit au sujet : je vais vous piquer à
t au sujet : je vais vous piquer à la main gauche et vous sentirez la douleur à la main droite, aux oreilles, aux pieds, au bou
le verre, chaque fois que je le piquerai c'est vous, qui sentirez la douleur . J'ai piqué le verre sans bruit et j'ai observé l
é, après j'a! touché brusquement le verre en produisant un son. et la douleur fut aussitôt ressentie. Pour continuer mes expé
on; car. si c'était le lluide. pourquoi le sujet ne sentait-il pas la douleur quand il n'entendait pas le bruit de l'épingle pi
ce de la fréquente contraction des sourcillers, les muscles de la douleur . L'oeil est potit, triste, enfoncé, cerclé de rid
ccusées. A la neurasthénie se rattachent la céphalée en casque, les douleurs rachidiennes qui l'ont que le malade marche lente
anifestent par des sensations bizarres : fourmillements, picotements, douleurs erratiques dans les membres. El une sensation de
réveil, elle s'empressa de me dire qu'elle ne ressentait plus aucune douleur , nî clignotement des paupières, ni aucune douleur
sentait plus aucune douleur, nî clignotement des paupières, ni aucune douleur des reins, celle-là plus récente et en rapport av
depuis. La fillette vint encore souvent me trouver depuis à cause de douleurs dans le bras, maïs de la précédente raideur de la
je ne l'ai jamais été; je tourne h la sen-silive. Joignez à cela des douleurs ici on là, des fourmillements, des engourdissemen
possible par l'hypnotisme de calmer et de guérir les chagrins et les douleurs , de même aussi, on peut porter aussi le sujet à c
vais vous piquer à la main gauche où vous ressentirez une très forte douleur » : dans une autre expérience l'auteur place un v
le verre, chaque lois que je le piquerai, c'esl voit» qui sentirez la douleur ». s'il piquait le verre sans bruit, il ifv irait
lulgencc qu'on accortle à un pauvre être soutirant, maladif, dont les douleurs nous touchent: elle le regarde avec compassion d'
provoqué et si on pique légèrement ces malades ils sentent une forte douleur . J endors ensuite mes deux sujets et j'aî été vra
r la présence «l'un abcès dans le pharynx, languissait sur son lit de douleur . Tous ses gens, plus empressés de se partager ses
'hvpuotisnie est souvent il une puissante efficacité pour alteuuer la douleur , pour procurer hs sommeil, et pour soulager beauc
t hypnotique ou même à l'état de veille. Dans l'observation 17. des douleurs de dents avaient disparu après la séance. Dans
tes pendant l'hypnose sans la moindre réaction. Il est vrai que des douleurs disparues par l'hypnose reparurent au réveil (obs
un rhumatisme articulaire aigu ne put être influencé (obs. 2, que des douleurs de dents ne purent être enlevées (obs. 5). qu'une
bs. 5). qu'une amygdalotomîe ne put être laite pendant l'hypnose sans douleur (obs. 6) que des règles suggérées pour la nuit su
on peut au premier sujet endormi laire une opération douloureuse sans douleur , qu'on peut â la première femme hypnotisée suggér
ouvent aussi on constalo des malaises plus accentués, comme lourdeur, douleur dans les jambes, impossibilitò d'ouvrir les pati-
légère blessure au genou guérie en quelques jours avait conservé des douleurs vives, survenant surtout a l'extension du membre,
nde. On lui suggère un faux nom qu'elle porte à la place du sien. Les douleurs sont enlevées par suggestion pendant l'hypnose, m
ussit : la malade se lève et récite les prières demandées, — mais les douleurs ne disparaissent pas. — On peut cependant à trois
ui était vrai de ce qui était suggéré. Elle guérit cependant de ses douleurs par massage et quitta l'hôpital. On la revit le
lixer dans son cerveau l'idée que je veux suggérer, disparition d'une douleur , d'un spasme, sensation de chaleur, etc. Ains
itue un levier thérapeutique puissant. Je suggère la disparition d'un douleur ancienne. Plusieurs choses peuvent arriver. — La
arition d'un douleur ancienne. Plusieurs choses peuvent arriver. — La douleur disparaît définitivement. — Elle diminue seulemen
mplètement inefficace. Le résultat obtenu dépend de la nature de la douleur , du degré de suggeslibililé, du mode de la sugges
douleur, du degré de suggeslibililé, du mode de la suggestion. Si la douleur est due à une maladie organique, un cancer, par e
à ce que l'évolution anatomique de la maladie soit terminée. Si cette douleur est purement fonctionnelle, du moins sans lésion
on peut souvent, en peu de temps, la guérir définitivement. Et que de douleurs ou autres symptômes purement nerveux, se greffent
. II ne suffit pas de dire à un sujet endormi : » Vous n'avez plus de douleur », pour que le phénomène, même s'il est possible,
nais par exemple une jeune fille nervo-artbrilique, qui a souvent des douleurs nerveuses, une vraie hyperesthésie doulou-rense.
et de lui suggérer, en sommeil profond, a plusieurs reprises que les douleurs disparaissent, de la laisser dormir même pendant
douloureuse, en la frictionnant doucement : « Je vais vous enlever la douleur . Sentez la chaleur de ma main, à mesure que je fr
douleur. Sentez la chaleur de ma main, à mesure que je frictionne, la douleur diminue, vous n'avez plus aussi mal. vous sentez
le dit : « Encore un peu ». — « Je vais vous enlever le restant de la douleur . » Je continue a frictionner pendant 2 minutes, p
uis je dis: « Enfin tout est fini. Vous n'avez plus mal du tout, » La douleur a en effet disparu. Elle avait résisté pendant un
ue la parole ne réussissait pas. Certains neutralisent très bien la douleur , ou les autres symptômes, pendant le temps qu'ils
si on se contente de suggérer la diminution graduelle du symptôme: la douleur p. ex. reparait, mais moins vive et s'atténue peu
aire. C'est ainsi que j'ai provoqué le sommeil de la nuit, enlevé des douleurs , par une notion au protoxyde d'hydrogène, par l'a
upée par morceaux, mais ces opérations successives s'effec tuant sans douleur , il y a tout à gagner à recourir à la suppression
ntpallier. (Suite.) Avantages du sommeil suggéré contre certaines douleurs , en particulier contre celles de l'accouchement.
nté très bonne. Au mois d'avril 1892, elle me fait appeler pour une douleur sciatique du coté gauche, qui depuis la veille la
du sujet, et Jo leur dis : « Elle va se lever sans sentir la moindre douleur . Je la prends pnr les mains, elle obéit et se lèv
ds pnr les mains, elle obéit et se lève, sa ligure n'exprimant aucune douleur . « Elle va ramasser ce mouchoir et se redresser,
e va ramasser ce mouchoir et se redresser, toujours sans rossentir sa douleur . » Elle exécute cette seconde suggestion. Alors j
sœur lui font le récit, elle ne sent plus sa sciatique et depuis, la douleur n'a pas reparu. A propos do cette malade, jo do
cl dans un mois va avoir 20 ans. Déjà dans la nuit clic a éprouve des douleurs assez fortes intermittentes. L'enfant se présente
: puis j'ajou- lai a pris quelques secondes de silence : a Toute douleur va disparaître, mais les contractions continueron
ement s'achèvera régulièrement, sans que vous ressentiez de nouvelles douleurs » et je répétai plusieurs fois la même suggestion
ai plusieurs fois la même suggestion « des contractions, mais non des douleurs , parce qu'en vous réveillant je laisserai votre s
di je la revois, elle a eu des contractions, me dit-elle, mais pas de douleurs . Son mari conlirmo son dire ; elle ne s'est pas p
là et que même la dernière période de son accouchement se fera sans douleur . Je la réveille, et je vais dîner chez mon ami. A
avantages que l'on peut retirer du sommeil suggéré, contre l'élément douleur sont évidemment le fait dominant de ces deux obse
la thcrmiogîne, la pyrodino, la thermodine; vous voulez adoucir les douleurs , voilà à votre ordre l'analgêsine, l'anulgène, l'
la peur du ridicule, tantôt la peur de la souffrance morale ou de la douleur physique. Ainsi, tous sont craintifs ; ils éviten
jamais eu embarras de la parole depuis l'Age de 8 ans. Il n'a eu des douleurs fulgurantes que deux ans après l'apparition des s
tes que deux ans après l'apparition des symptômes alaxiques, mais ces douleurs ne sont point caractéristiques, il n'a jamais fai
udition colorée, 159. Avantages du sommeil suggéré contre certaines douleurs , en particulier contre celles de l'accouchement,
5. Double conscience et hypnotisme, par le professeur Azam, 28, 62. Douleur (sommeil suggéré contre la), 324. Ecole arabe
s passifs. le),. 41, 65, 106, 135. Sommeil suggéré contre certaines douleurs , en particulier contre celles de l'accouchement,
65 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
avoir eu une bonne nuit de sommeil. Une autre a, depuis deux ans, des douleurs dans la mâchoire inférieure, on lui a examiné les
dont il ressent maintenant les effets. Bref 31. F. se plaignait de douleurs de tête, de troubles digestifs, d'insomnie et d'a
mentalité' du malade, car après avoir été opéré, après avoir senti la douleur , il s'étonne qu'on ait pu lui persuader qu'il ne
il ; après avoir suggestionné le malade, j'obtiens une opération sans douleur et sans hémorragie ; je reviendrai du reste sur l
s aucune souffrance et sa confiance s'accroît en raison inverse de la douleur . Aucune contre-indication. — Personnellement, c
nsibilité dans la région que je touche avec le doigt, qu'il n'aura ni douleur ni hémorragie. Le malade présente toutes les appa
et que, pendant ce temps, on ponrra continuer à fraiser la dent sans douleur . Je provoque le réveil et tout se passe comme il
intéressante pour nous dentistes car j'ai pu fraiser, sans aucune douleur , une dent extrêmement sensible chez une malade su
aliments épicés. vinaigre, café que la malade réclame souvent. Pas de douleur épigastri- •que. En outre de la maigreur de squ
ans. Elle eut- alors la dipthérie et à la suite,elle souffrit de douleurs articulaires. Dans le cours de ces deux maladies,
chologie de Paris, directeur de l'Institut Liebeault de Loches O ma Douleur , tu es mieux qu'une bien aimée »... Francis Jammr
une étude plus complète, sous le nom très explicatif d'« Amants de la Douleur ». Ici nous voulons conserver l'appellation que
stifier dès maintenant le titre de cette étude et de démontrer que la douleur a toujours eu des amis et des fanatiques, demando
s modestement recueillir pour les grouper certains cas de manie de la douleur , un peu au hasard dn souvenir, afin d'en dégager
l'histoire des sectes religieuses permet d'étudier des délires de la douleur , augmentés par l'imitation et la contagion mental
nalysant, ce sentiment, ce credo des hommes religieux que cultiver la douleur c'est pour la créature mieux affirmer son amour p
s macérations, des privations gratuites provoquèrent des réactions de douleurs , en portant des atteintes variées à leur personna
futurs, d'un bonheur qui dépasse à l'infini le sacrifice consenti, la douleur subie. Oui, voilà l'axiome fondamental de la pl
urs adeptes la souffrance ou la mort, inaugurant ainsi le culte de la douleur , et cette douleur, inséparable de la condition hu
ffrance ou la mort, inaugurant ainsi le culte de la douleur, et cette douleur , inséparable de la condition humaine, cette doule
douleur, et cette douleur, inséparable de la condition humaine, cette douleur indestructible, la justifiant et la magnifiant à
douleur indestructible, la justifiant et la magnifiant à leur profit. Douleurs et souffrances inéluctables furent « offertes » à
contemporains et proposé à notre vénération. C'est an culte de la douleur que la religion catholique en particulier, doit,
des anciens cultes de l'univers donne des exemples de fanatisme de la douleur , qui se traduisent par des aberrations aboutissan
omment à tous points de vue doit être expliquée cette recherche de la douleur qui était, réelle, certaine, de « bonne qualité »
l'objet de soins particuliers, qui révélaient un véritable art de la douleur . Une discipline fameuse fut inventée par Jeanne d
s d'argent pointus. II se montra également très expert en l'art de la douleur , ce père Julien de la Croix, qui recommandait que
ns et modernes qui. au nom d'un principe, furent des fanatiques de la douleur ... d'autrui ? Par ceux-là nous connaissons un phé
nos très vifs et unanimes regrets n'atténueront certes pas l'immense douleur de sa pauvre vieille mère, déjà si cruellement ép
Nous verrons, par la suite de cette étude, combien le besoin de la douleur , à des degrés très variables, est un besoin coura
omane. le morphinomane qui, à défaut de morphine, réclame du moins la douleur de la piqûre et l'injection d'eau pure, faite le
a Philosophie positive, t. V, p. 103. au tabac que la réaction de douleur . Elles sont algomanes, ces voleuses de grands mag
le d'Algomanie. l'altruisme qui ne se manifeste qu'au spectacle de la douleur , l'altruisme très spécial et que nous analyserons
les morts et suivent des enterrements, mais demeurent fermés à toute douleur ne rentrant pas dans le cercle de leur manie et s
tions d'une charité même élémentaire "? Ces amateurs du spectacle des douleurs physiques ou morales réalisent par là des personn
mpléter Tindigence de leur quantum émotionnel, par le spectacle de la douleur d'autrui. jette une clarté de plus sur la questio
éfense sociale contre les êtres vicieux et nuisibles. L'amour de la douleur , à tous ses degrés, nous est ainsi révélé comme p
quelques citations d'écrivains qui ont décrit ou exalté l'amour de la douleur ? Ne nous arrêtons pas aux écrits qui dépeignent l
Ne nous arrêtons pas aux écrits qui dépeignent le sentiment normal de douleur et retenons seulement de « la plaintive élégie en
drait pas souffrir ? Et ce- « pendant il en veut souffrir quelque douleur même qui est son plaisir. « Quelle miséiable fo
as redoutée mais est recherchcliée et provoquée! » Cette joie dans la douleur , a paru tellement liée à l'état de sainteté, que
s de ln béatification! D'après Barres : « La mort et la volupté, la douleur et l'amour s'ap- « pellent les unes les autres
certains poètes, particulièrement contemporains, qui pour chanter la douleur et l'amour de la douleur ont trouvé les accents l
lièrement contemporains, qui pour chanter la douleur et l'amour de la douleur ont trouvé les accents les plus pénétrants et ont
yons Cornélie veuve de Pompée qui « embrasse « étroitement sa cruelle douleur : elle jouit de ses larmes, elle aime son « deuil
bourreau sans merci, Va cueillir des remords dans la fête servile. Ma Douleur , donne-moi la main, riens par ici. Les Fleurs d
res ! Les Fleurs du Mal : (L'Examen de Minuit.) Albert Samais : DOULEUR Douleur quel sombre instinct dans tes bras rion
s Fleurs du Mal : (L'Examen de Minuit.) Albert Samais : DOULEUR Douleur quel sombre instinct dans tes bras rions ramène ?
es, la joie est bonne et luit couleur de gloire ; Mais quand c'est la Douleur même qui verse à boire Le verre qu'elle tend nous
clarté dans les larmes. Le Cœur solitaire, p. 10, 2e édition. La douleur est un vin d'une acreté sauvage. L'âme trop tendr
suave. Les Stances, I. 9. Francis James : PRIÈRE POUR AIMER LA DOULEUR Je n 'ai que ma douleur et je ne veux plus qu '
9. Francis James : PRIÈRE POUR AIMER LA DOULEUR Je n 'ai que ma douleur et je ne veux plus qu 'elle. Elle m'a été, elle m
yait le dessus de mon cœur, Elle se trouvait là assise à mon côté ? 0 Douleur j'ai fini, vois, par te respecter, Car je suis sû
ras jamais. Ah ! je le reconnais : tu es belle à force d'être. O ma Douleur , tu es mieux qu'une bien-aimée. Le Denil des Pr
ur voûter toute joie. (Airs. p. 145). AIME LES PLEURS J'aime ma Douleur : J'aime la cruelle Qui me mord le cœur... Ce cœu
nous que la peine, Et d'elle a levé L'immortelle graine. Aimons nos douleurs , Ce n'est qu'en nos pleurs Que notre âme est bell
Airs. p. 197). * * Saint-Georges de Bouhélier : LA JOIE DANS LA DOULEUR Quoi ! prendrai-je plaisir à cette ombre, à ces
eaux. Que je forme à présent ma jouissance commune, Heureux, quand ma douleur trouve de beaux sanglots ? (Les chants la Vie A
la Vie Ardente.) De cette aspiration constante vers la peine et la douleur , de cet élan perpétuel de l'humanité, ou plutôt d
ouffrance, nous trouvons le symbole dans l'œuvre d'Ary Sohepper : Les Douleurs de la terre s'élevant vers le ciel : c'est ce sen
uelle mesure cette assertion peut être retenue. du plaisir et de la douleur La vie, devons-nous le rappeler, n'est que l'ac
e que l'« émotion » de la sensibilité, aboutissent au plaisir et à la douleur : un état moyen d'indifférence, d'ataraxie. n'étan
ou morale sont perpétuellement pour nous le théâtre de plaisirs ou de douleurs . .Par l'éducation de la sensibilité, nous en arri
ilité, nous en arrivons a ne donner la qualification de plaisir ou de douleur , qu'aux émotions d'une certaine intensité, et, sa
que sur le moral, nous devons admettre que, dans une certaine mesure, douleur et plaisir physiques, intellectuels ou moraux, pe
part, de telle sorte, comme le disait Soc rate, que le plaisir et la douleur s'accompagnent, et qu'il semble que les dieux, n'
e et diverse * l'idée que nous nous faisons de nos plaisirs et de nos douleurs . Pour mieux dire, autour de certaines classificat
aines classifications conventionnelles de nos émotions en plaisirs et douleurs , gravitent une infinité de perceptions, de sensat
n sa disposition organique ou mentale, soit comme plaisir, soit comme douleur . Combien ne devons-nous pas entrevoir d'états de
ouleur. Combien ne devons-nous pas entrevoir d'états de plaisir ou de douleur si nous acce, tons la théorie de Fouillée : « Si
s forces. Et maintenant que devons-nous entendre par plaisir et par douleur ? Bouillier a donné du plaisir et de la doule
ar plaisir et par douleur ? Bouillier a donné du plaisir et de la douleur une définition généralement admise : « Il y a pla
le et volontaire, sont néces-« sairement accompagnés de plaisir ou de douleur , selon qu'ils s'exer-« cent conformément à ce gra
ou de ce que nous tenons subjectivement pour tel. Le plaisir et la douleur sont donc très subjectifs et particulièrement en
Un sujet normal est capable d'une quantité égale de plaisirs et de douleurs , selon son aptitude à être ému. selon ce que nous
e d'éducation de la sensibilité-douleur, et devenant un fervent de la douleur , comme d'antres le deviennent de l'alcool : ...
douleur, comme d'antres le deviennent de l'alcool : ......... « La douleur se changeant en folie Finit par enivrer comme u
enfer. » (V. Hugo.) L'Algomanie peut naître d'une recherche de la douleur ., inspirée par un souci d'ostentation, de sin
e la tare mentale, qui imprimera toujours son cachet à la manie de la douleur . • Le mode même de constitution de l'Algophil
donnés. Chacune de ses découvertes enlève à l'humanité un peu de ses douleurs , de ses craintes, de ses angoisses. Chacune lui a
e l'hypnotiser pour une névralgie faciale, et une autre fois pour des douleurs dorsales mais sans succès ; elle n'avait montré a
le rien de la suggestion, mais commence immédiatement a se plaindrede douleurs au point influencé.On y trouve, le lendemain mati
monnaie, on ne pût remarquer de rougeur, bien que B... éprouvât de la douleur au point influencé : mais, dès le lendemain matin
nez de vous brûler par des éclats incandescents... vous ressentez une douleur violente. . vous n'avez pas d'huile à votre dispo
r de mauvaise grâce la perspective d'éprouver à nouveau l'ennui et la douleur de la formation de phlyctè-nes. Il fallait donc e
lisait à ce moment), elle se réveille pour dire qu'elle éprouve de la douleur , qu'une vésicule a dû se former et se rompre, pui
rpents de terre. Sa santé n'est pas brillante : souvent il souffre de douleurs aux bras, aux jambes, au côté gauche et surtout q
souffert, pendant 4 semaines, d'un violent mal de tête, accompagné de douleurs dans les bras et les jambes sans qu'on sache à qu
au matin elle a été photographiée. L'expérimentée n'éprouvait aucune douleur ni dans l'un ni dans l'autre bras. Il faut rema
nombreux repos, sensations poussées, s'il est nécessaire, jusqu'à la douleur par l'éperon on la cravache, mais sans jamais dép
nu" uu treniblemeut accentué des muscles et le sujet ayant accusé une douleur dans le globe oculaire, je cessais immédiatement
és h heure fixe, en général entre minuit et deux heures, soit par une douleur , soit par un malaise mal défini, qu'ils qualifien
sont capables de provoquer un premier réveil, sans accompagnement de douleur ; bientôt un impérieux besoin de sommeil reprend
pour preuve qu«* si, dès le premier réveil, avant l'apparition de la douleur , on ingurgite une boisson chaude ou alcaline, on
évite d'ordiuaire, pour tout le reste de la nuit, non seulement toute douleur , mais tout réveil. L'éparpillement mental, form
tion desquels, d'après Bentham. nous sommes placés : le plaisir et la douleur ? Quel ministre, quel chef d'état pourrait régler
posent ou sacrifie leur vie pour la patrie. Pour nous, médecins, la douleur est toujours un mal, lorsque nous ne pouvons guér
a victime d'un jugement inique qu'au malade l'exacte définition de la douleur . Nous ne sommes heureusement pas des condamnés et
courte durée de la vie contre une des formes les plus terribles de la douleur et de l'adversité. Si le philosophe ne plaçait pa
pour mille, ne souffrent pas de l'estomac, alors que d'autres ont des douleurs avec une acidité moitié moindre. Si l'hyperchlorh
lus malaisé de faire un diagnostic. D'abord parce qu'elle cachera ses douleurs si elle en reconnaît l'origine. Ensuite sa modest
moindre soulagement. Klara, paralysée dans son lit, souffre de mille douleurs , sans sommeil et sans repos. La description que l
cheval envisagé comme monture est un être passif qui n'obéit qu'à-la douleur (mors, éperons, fouet, cravache, etc. Dominé par
quand les esprits et les corps étaient mieux faits pour supporter la douleur . Après avoir partagé ou admis avec semblable dé
de la routine, de la colère et de la peur, de la jouissance et de la douleur imprévoyantes, Voici qu'un règne nouveau surgit o
66 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
, a été soignée par plusieurs médecins accoucheurs de Paris, pour des douleurs qu'elle éprouvait dans le3 régions utérines et an
elle avait subi l'opération du curettage; mais il lui était resté des douleurs péri-utérines, surtout du côté droit, et l'on ava
le ne pouvait faire aucun exercice de quelque durée sans éprouver des douleurs abdominales, principalement localisées dans la ré
nales, principalement localisées dans la région iliaque droite. Celte douleur était devenue une véritable obsession, et avant d
et ovarie à droite) et que ce qui dominait c'était l'obsession de la douleur , la phobie d'une affection de la matrice ou des o
tif dans lequel elle vivait en province lui était très pénible et ses douleurs et !a crainte continuelle de souffrir l'empêchaie
tenu par l'idée dominante d'une affeciton utérine et l'habitude de la douleur . Cela étant, et la malade étant placée dans les
ièrement chaque mois, duraient de trois à quatre jours et, n'était la douleur dont sa plaignait la malade à ce moment, on pouva
examinée aucune affection, aucune lésion. J'ajoutai que l'idée de la douleur et l'habitude de cette idée constituaient toute l
uvait plus ouvrir les yeux, et que maintenant elle dormait, que toute douleur avait disparu et qu'au réveil elle n'aurait plus
que toute douleur avait disparu et qu'au réveil elle n'aurait plus de douleur , qu'elle pourrait sortir dans la journée, qu'elle
êtes guérie. Vous pourrez presser sur votre ventre sans ressentir de douleur . Dormez, dormez, et la nuit prochaine, les rappor
répétées des régions autrefois douloureuses, qu'il n'y avait plus de douleur , et Mme X... ayant déclaré qu'elle croyait que le
ait pas eu d'hémorragies, il n'y avait pas de coliques utérines ni de douleurs de reins, je rassurai Mme X... et sa famille, et
heures. Les rapports conjugaux étaient douloureux, et rappelaient les douleurs ovariennes, à ce point qu'après chaque rapport, M
s mois sans souffrir; mais au bout de ces dix mois, elle lut prise de douleurs dans la région lombaire, dans les cuisses et dans
ouleurs dans la région lombaire, dans les cuisses et dans les jambes, douleurs exagérées par les mouvements et par la chaleur du
, douleurs exagérées par les mouvements et par la chaleur du lit. Ces douleurs lui donnèrent l'idée de s'examiner, et elle décou
rche seule. En octobre 1896, elle recommença à travailler. Mais les douleurs recommencèrent. Vers le 20 décembre 1896, il lui
tar-siennes, du genou, de la hanche, fonctionnent normalement et sans douleur . Cependant, si nous prions la malade de se lever,
à l'articulation, il ne m'était pas permis de l'examiner à cause des douleurs . Sans parler, je fis poser l'enfant sur un fauteu
s mains, il me fut facile de faire disparaître la contracture et sans douleur d'exécuter tous les mouvements. Puis posant les p
tait bien guérie, qu'elle marcherait parfaitement et n'aurait plus de douleur et lui défendis d'avoir une contracture semblable
recevait un coup. Puis m'étant bien assuré qu'elle n'éprouvait aucune douleur et qu'elle se souvenait bien de tout ce que je lu
l'enfant lorsqu'elle se vit debout, au milieu de mon cabinet et sans douleur . Elle n'avait d'égale que l'émotion de son père,
e d'une chute. J'hypnotisai et, en quelques minutes, contracture et douleurs avaient disparu. Je renouvelai mes assurances de
c la plus grande facilité, et je profitai de son état pour calmer ses douleurs de tête et obtenir de lui des renseignements sur
. Comme signe de lésion rénale, nous avons constaté l'existence d'une douleur localisée au niveau du rein gauche, notoirement a
é de volume, des hématuries et de temps en temps, après des crises de douleur plus vives, l'évacuation d'un abondant dépôt ayan
si, à certains moments, elle accusait ou une céphalée pénible, ou des douleurs très vives dans le côté gauche, ou des nausées in
ormais ; toujours je consacrais un certain temps à la délivrer de ses douleurs et de ses malaises et je ne la quittais que lorsq
ement harmonique de tous les organes que la guérison est réalisée. La douleur , l'insomnie, l'excitation nerveuse ou l'atonie, l
, comment vous exprimer tout ce que j'éprouve? A l'estomac, c'est une douleur , continue, horrible, intolérable, comme si un ani
par la voix et par le geste. Ce singulier mélange de plaisir et de douleur n'est ni aussi anormal, ni aussi rare qu'on pourr
le cas de mon malade un phénomène semblable, et que le théâtre, où la douleur est embellie et presque divinisée par l'exemple d
omment elle élève et ennoblit le caractère, tandis qu'au contraire la douleur le rapetisse et l'avilit, « Les malaises nerveux,
D'où il suit que l'application de l'hypnotisme est indiquée dans les douleurs de toutes espèces et dans toutes les excitations
enceinte de 8-9 mois. Dès la première séance, plus de vomissements, douleurs moins intenses. A la troisième séance, somnambuli
s moins intenses. A la troisième séance, somnambulisme; dès lors, les douleurs cessent presque complètement. Mme T... commence à
T... nous fait appeler. Il est huit heures du soir, à cinq heures les douleurs ont commencé à se faire sentir. Elle est énervée
utres et n'a duré que neuf heures. Pendant les jours suivants, pas de douleurs , au grand étonnement de l'accouchée. Observatio
grossesse. Il y a un an nous avions essayé de l'hypnotiser à cause de douleurs d'estomac ; nous n'avions obtenu qu'un peu de lou
l'accouchement commencera le 27 août à 1 h. du soir ; il se fera sans douleurs et dès que les contractions seront plus fortes, l
ût. Le 27 août, à 2 h. de l'après-midi, premières contractions sans douleurs . A 5 h., les contractions se font mieux sentir, p
sans douleurs. A 5 h., les contractions se font mieux sentir, pas de douleurs : l'accouchée s'endort et dort profondément jusqu'
fondément jusqu'à 11 h. du soir. De 11 h. à 2 h. 1/2 du matin, pas do douleurs ; de 2 h. 1/2 à 3 h., très fortes douleurs, l'enfa
à 2 h. 1/2 du matin, pas do douleurs; de 2 h. 1/2 à 3 h., très fortes douleurs , l'enfant est né. Pas de douleurs après l'accouch
rs; de 2 h. 1/2 à 3 h., très fortes douleurs, l'enfant est né. Pas de douleurs après l'accouchement. Observation III. — Mme B.
uve aujourd'hui une singulière sensation : « Comme des tranchées sans douleurs », dit-ellc._A 4 h. après-midi, le col laisse pas
de voir quand elle accouchera, car les autres fois elle n'a senti de douleurs qu'une demi-heure avant d'accoucher ; et il nous
Cette femme éprouve continuellement la sensation de contractions sans douleurs , mais le travail avance fort peu. Ce qu'elle épro
degré. Le 24 février, les contractions deviennent plus fortes. Pas de douleurs . La tête est bien engagée ; hypnose peu profonde;
écédents. Bientôt elle commence à souffrir ; la suggestion enlève les douleurs . Nous lui faisons remarquer que, sans l'hypnose,
que de cette femme ; seule la suggestion hypnotique la délivra de ses douleurs et do ses vomissements ; et, de plus, il est inté
t a commencé presque à l'heure suggérée ; dans l'Observation 111, les douleurs ont paru au jour indiqué. Nous pensons que ces fa
ariée, une insensibilité telle qu'on avait pu la faire accoucher sans douleurs . IL Une deuxième expérience de M. Liégeois, cri
ctime. Il se fonde d'abord sur ce qu'on a pu faire accoucher sans douleurs certaines somnambules, qui, réveillées, n'avaient
ique son fard facilement, sans être « une fille pour cela. Oh ! des douleurs névralgiques. Mais non, Berthe, « ce n'est pas
300 grandes opérations, et plusieurs milliers de petites, faites sans douleur ; il réduisit la mortalité, dans les extirpations
t rapide. Par exemple, Miss A, 28 ans, fut prise, il y a cinq ans, de douleurs intenses dans lahanche etla région postérieure de
re de la jambe gaucho avec difficulté de marcher. En juillet 1896, la douleur était constante; depuis deux ans elle n'a pas mar
cide (un essai); insomnie et dyspepsie. Le moindre effort produit une douleur vive au bas des reins. Il ne peut marcher un kilo
lades qui avaient été profondément somnambulisés et avaient subi sans douleur des opérations chirurgicales, refusaient quelquef
e psychique ; 3- celles qu'entretiennent une peur auto-suggérée de la douleur . — B. Les aboulies constitutionnelles, qui sont i
es premiers jours de son deuil, le sujet avait donné libre cours à sa douleur : il a favorisé d'une façon inconsciente le dével
, et finalement, il reste aujourd'hui et après de longs mois avec des douleurs lombo-abdominales, s'irradiant vers les hanches,
ements dans la jambe gauche surtout, partant des doigts du pied, avec douleurs vive montant, dit-elle, jusqu'au cœur, c'est-à-di
avait engourdissement du membre, anesthésie partant du pied, puis douleur dans la région antérieure, le tout montant progre
sionomie et par un mouvement involontaire, témoigne qu'il ressent une douleur . Je lui demande alors ce qu'il éprouve et il me r
re l'autre. Le sujet témoigna comme précédemment qu'il ressentait une douleur , mais avec cette différence que, interrogé sur ce
pingle, et celui où la physionomie du sujet exprimait la sensation de douleur . Aucun temps appréciable ne peut être relevé entr
ait de la tête lorsque je piquai l'ombre de la tête, et ressentait la douleur dans le bras ou la jambe dont je piquai l'ombre s
ns certains cas, sous l'influence de la piqûre, il éprouvait bien une douleur , mais il ne pouvait pas dire de quelle nature ell
res cas, il distinguait bien le genre de sensation et la nature de la douleur , mais il n'arrivait pas à la localiser dans la ré
aller et venir, « sans que la jeune fille donnât le moindre signe de douleur , ou fit a mine de la retirer, » Si la simple su
uggestion — Delbœuf l'a fait lui-même — on peut faire accoucher, sans douleur , une femme, qui, l'œuvre accomplie, n'en garde au
élèves de ma clinique ; le malade ne donnait pas le moindre signe de douleur ni même qu'il sentit ce qu'on lui faisait; on rug
mais sans le toucher encore, le malade se réveilla, non à cause de la douleur , car il ne se plaignait pas, mais parce qu'il all
tème nerveux, insomnies, gâtisme, relus d'aliments et de médicaments, douleurs viscérales, dipsomanie, incohérence des paroles e
maître de ses représentations, j>out, au milieu des plus cuisantes douleurs , chasser loin de son esprit là pensée de la souff
t chaste devant sa conscience normale, vit, avec un étonnement et une douleur inexprimables, se prononcer, chaque jour de plus
— Delbœuf l'a fait lui-même, à propos de J..., — faire accoucher sans douleur des femmes mémo primipares; et (2) Gazette des
ît d'ailleurs en aucune façon, que s'adresse, pour se faire guérir de douleurs de tête et d'estomac, la baronne Hed-wig de Z...
té de ses affections et la valeur de ses travaux justifient la grande douleur qu'ont ressenti ies travailleurs à la triste nouv
tiquer un curettage de hi matrice ; à la suite de cette opération les douleurs utérines avaient persisté, et, après six années.d
que l état nerveux de la malade pouvait avoir dans la persistance des douleurs utérines et péri-utérines. Un examen complet de
organique. La malade était bien réglée et mon diagnostic fut que les douleurs éprouvées étaient la conséquence de l'état nerveu
ent la conséquence de l'état nerveux ; que l'habitude do l'idée de la douleur entretenait les impressions douloureuses locales
ntecôte.) 5 juin : L'hypnotisme et la suggestion employés contre la douleur en général. Comme anesthésique dans l'accouchem
et les sensations Internes, — L'hypnotisme et la psychologie de la douleur , — l,es paralysies psychiques. Mardi 3 Mai. — L
la fatigue, de la résistance, de la pesanteur, de la pression, de la douleur , du son et de la couleur, — l'autre sur les diver
un curieux essai sur la société future en l'an 2000, et un roman, la Douleur des autres, fort dramatique et tout fourmillant d
s tard, et en même temps survint une scoliose des plus marquées, avec douleur très vive si on voulait redresser la malade. Cett
jours. Mais elle reparut au bout de peu de temps, s'ac'compagnànt de douleurs extrêmement vives. Ayant annoncé devant elle que
nànt de douleurs extrêmement vives. Ayant annoncé devant elle que les douleurs disparaîtraient après l'emploi d'une potion très
oude. L'effet ne se fit pas attendre. Elle détermina tout d'abord des douleurs extrêmement violentes, maïs amena la guérison en
des sensations douloureuses. Ce qui prouve que cette inhibition de la douleur est bien réelle, ce sont : l'absence de choc, la
e, par de l'œsophagisme, par une céphalalgie oontinue et par d'autres douleurs . Toute la famille, on le conçoit, devait subir
67 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ilité parfaite. Il faut encore mentionner une céphalée diffuse, des douleurs dans les mem- bres inférieurs surtout, à peu pr
ien nettes dans notre cas. Mêmes difficultés en ce qui concerne les douleurs ; il est impossible pour le moment d'affirmer s
le Iconographie de la Salpêtrière, 1900, p. 26-40. (2) En effet les douleurs se trouvent en 5 0/0 des cas d'acromégalie. Voir
ne maladie qualifiée par lui de rhumatisme. Il éprouva de violentes douleurs et dut garder le lit plus d'un an. Mais la guéris
Au point de vue du siège, il ne peut pas préciser en quel point la douleur est plus vive. Il dit qu'elle est également fréqu
ne révèle rien de spécial : J... dit ressentir dans les jambes des douleurs dont il ne peut préciser la nature. Les sensibili
exes rotuliens : c'était un tabès indiscutable, caractérisé par des douleurs lancinantes et en ceinture, de la parésie vésic
de MM. Dupré et Camus, où un homme de 65 ans, atteint seulement de douleurs en ceinture, de crises rectales et nasales et d
cilles de Koch dans les crachats. Il y a toujours persistance des douleurs gastriques, sous forme de crises (1) Nonne, Deu
reux dans les crachats. Du côté du tube digestif, on ne note qu'une douleur très vive à la pression sur tout l'abdomen mais
s de troubles trophiques, les malades ont un bon état général ; les douleurs , l'ataxie sont peu dé- veloppées. Dans un cas c
que les crises gastriques peuvent précéder de plusieurs années les douleurs fulgurantes. Il importe de ne pas oublier que l
sur la partie postéro-inférieure de la lésion, le malade accuse une douleur nette, assez prononcée. En un champ limité au mil
u milieu de la lésion, l'épidémie est anesthésique (au tact et à la douleur ) : ce sont là les seul.; troubles objectifs de
é au-dessous du sinus,on trouve la sensibilité tant au tact qu'à la douleur émoussée sans pouvoir rien découvrir d'analogue
n'accuse ni lassitude, ni asthénie générale. Il ne se plaint pas de douleurs ; pas de fourmillements, pas d'engourdissements d
de thermo-anesthésie. Il semble que l'hypoesthésie au contact, à la douleur , et pour la sensibilité thermique soit parallèlem
, il n'y a pas de troubles trophiques musculaires ou osseux, pas de douleurs . Mais ces différentes manifestations isolées ou
illéens sont abolis les pre- miers et parfois en l'absence de toute douleur et de tout malaise : Wil- liamson (1), Goodhart
espèce. OBs. IX. - B..., cavalier, 34 ans. Ictère catarrhal 31 ans. Douleurs lum- bail es pendant plusieurs semaines à 33 an
Il se rappelle avoir eu il y a J ans pendant quelques semaines des douleurs dans les membres inférieurs surtout à gauche ;
ans les membres inférieurs surtout à gauche ; depuis, il n'éprouve ni douleur ni gêne, mais il a des crampes assez fréquemmen
dit causer le sentiment de la couleur blanche, ou bien celuy de la douleur ; et que les esprits qui sortent du point a, ten
de concevoir que les sons, les odeurs, les saveurs, la chaleur, la douleur , la faim, la soif et géné- ralement tous les ob
mise d'un petit nerf qui descend du cerveau vers lui, ainsi que la douleur est sentie comme dans le pied par l'entremise d
ous ne trouvons rien qui puisse expliquer cette disposition, pas de douleur le long de la colonne vertébrale, pas de mal de
tre à Tenon, avec des signes d'appendicite légère : vomisse- ments, douleur dans le ventre. Il reste un mois salle Bichat,
ions tactiles, douloureuses et thermiques. Le malade se plaint de douleurs vagues dans les membres inférieurs. Le trajet d
x à la pression, et c'est à la région mal- léolaire que siègent les douleurs les plus caractérisées. A la fin de cette premi
- Aucun trouble objectif de la sensibilité (contact, tempéra- ture, douleur ) aux membres supérieurs et inférieurs, au tronc;
Romberg. Comme pendant son séjour précédent, le malade se plaint de douleurs dans les membres inférieurs, avec une prédomina
a été atteint d'une anorexie progressive avec .dégoût de la viande, douleurs gastriques et vomissements alimentaires. L'a- m
aux mains et aux avant-bras. Pas de contractions fibrillaires, mais douleurs dans les mem- bres supérieurs ; les bras parais
atrophie qu'aux muscles des mains. Ici contractions fibrillaires et douleurs . Chez tous deux, les réactions électriques sont a
e contractions fibrillaires. Dans l'une et l'autre observation, les douleurs font défaut. - - Avec les deux autres malades d
5 et 50 ans, et pour les trois derniers malades par les mains ; des douleurs ne se manifestèrent que chez deux d'entre eux, le
ie progressive est accompa- gnée de contractions fibrillaires et de douleurs . Les cordons postérieurs de la moelle sont sclé
buta l'âge de 15 ans par les extrémités des membres inférieurs avec douleurs lancinantes pendant plusieurs années, atrophie
muscles intercostaux ; diminution des réactions électriques ; pas de douleurs , réflexes pupillaires abolis, voix nasonnée ; p
peu altérés. Observation DE CASnzzn (3). - Début à 27 ans par des douleurs dans les extrémités; atrophie des membres infér
, parfois RD. Hypertrophie des troncs nerveux, sans nodosités, sans douleurs à la pression. Diminution considérable de la sens
ominant à la périphérie ; incoordination motrice, signe de Romberg, douleurs fulgurantes ; intégrité des sphincters et des fon
urs et dans la moitié inférieure du tronc; incoordination motrice ; douleurs peu fréquentes ; sphincters intacts ; troubles
es membres inférieurs. Pas de troubles de la sensibi- lité cutanée. Douleurs intermittentes pendant quelques années dans les m
estée limitée à des troubles trophiques des muscles et à de légères douleurs . L'anesthésie cutanée et profonde, l'ataxie et
erfs périphériques, on comprend difficilement pourquoi le phénomène douleur n'apparaît pas dans tous les cas où les lésions
compagnant de raideur des membres avec contracture des muscles. Ces douleurs sont spontanées, elles surviennent par crises.
é pour la première fois, dans le service du professeur Raymond, les douleurs se sont atténuées dans la jambe gauche, mais pe
auche a considérablement augmenté en même temps que diminuaient les douleurs , le malade ne peut marcher qu'avec une canne et
t de rota- tion en dedans sont normaux. Même état des réflexes. Les douleurs , quoique très diminuées, n'ont pas totalement d
réflexes tendi- neux existent, pas d'extension du gros orteil. Les douleurs spontanées ont presque disparu ; toujours pas d
teil. Les douleurs spontanées ont presque disparu ; toujours pas de douleur à la pression des muscles et des troncs nerveux
de la sensibilité sont très développés : il existe encore quelques douleurs , de plus le territoire des dernières racines médu
Le réflexe de la cornée se produit. La perception du toucher, de la douleur , du chaud, du froid, de la position des mouveme
n portant, n'a pas eu de rachitisme dans sou enfance, n'a pas eu de douleurs rhumatismales au niveau des extrémités et ne pr
ord antérieur du tibia : le malade ne tomba pas, mais ressentit une douleur assez forte ; il put néanmoins descendre de l'éch
rche est fort gênée ; il y a des crampes dans les mollets, mais ces douleurs cessent par le repos et il n'y a pas de dou- le
ndant environ 3 mois et res- sentit alors pour la première fois des douleurs violentes et profondes en coups de couteau. Dep
aug- menta de volume progressivement sans qu'il y ait jamais eu de douleurs ; 48 ans après seulement, il se cassa la jambe
as.... rt Oui ! Dieu le père Eternel I... » Il pousse des cris de douleur , ses yem se mouillent de larmes. D. Expliquez-n
atéral est facile à provoquer. Les troubles de la sensibilité (à la douleur , au chaud et au froid) comme sur la figure 1.
de la sensibilité (d'après les schémas de Flatau). Sensibilité à la douleur (16 février 1904). 394 ROTSTADT 11 mars 1904.
pieds. 31. Dans les articulations des hanches et des genoux fortes douleurs pendant la nuit; contractions douloureuses des
pas à la peau. Il s'agit d'un abcès froid. 11 juillet 1904. Fortes douleurs aux membres inférieurs ; affaiblissement généra
nsibilité au chaud et au froid (1G avril 190,t). 396 ROTSTADT 13. Douleurs moindres. Contractions spontanées très sensibles
nsibles dans les membres inférieurs. - 17. Réapparition de fortes douleurs aux jambes. 22. - Douleurs aux jambes. Paraplég
férieurs. - 17. Réapparition de fortes douleurs aux jambes. 22. - Douleurs aux jambes. Paraplégie. Exagération des réflexes
ndineux.1' Phénomène de Babinski. Rétention complète d'urine. 25. Douleurs aux jambes et aux bras. Augmentation de la paraly
progressifs dans le fonctionnement de la vessie et de l'anus ; des douleurs et des phénomènes -douloureux des contractions
rallèle- à celle des autres troubles, mais un peu moins haute ; les douleurs se sont encore plus accentuées de même que les
comme l'ont pensé Kahler et Schultze et que les symptômes comme des douleurs (souvent très vives même à l'o- rigine de la ma
lle. Au début, il n'y avait que des troubles de la sensibilité à la douleur (Voir sch. I), au chaud et au froid, mais à mes
encore tous les autres indices de la lésion, comme raideur du cou, douleurs dans les mouvements actifs ou passifs de la têt
is- tique et extraordinaire était dans le cas présent l'absence des douleurs dans la première période de la maladie, ce qui
n'est que six semaines après l'entrée du malade à l'hôpital que les douleurs apparurent dans les membres et dans le tronc po
mentant toujours jusqu'à la mort. Pourtant dans le mal de Pott, les douleurs doivent être considérées comme un des premiers
rvations cliniques d'Alquier, vérifiées ensuite par l'autopsie, les douleurs n'ont fait défaut dans aucun cas ; au contraire
, les douleurs n'ont fait défaut dans aucun cas ; au contraire, les douleurs ont été toujours le premier messager parfois très
par lui dans sa mono- graphie sur le mal de Pott : dans 14 cas, les douleurs d'intensités et d'as- pects les plus divers ont
tt sans gibbosité, Alquier souligne justement le rôle important des douleurs dans la première période de la maladie pour arr
RES 403 variées, quoiqu'elles aient le plus souvent le caractère de douleurs radicu- laires ; parfois elles présentent les s
cenzi et pareil au nôtre (également sans gibbosité) ; là encore des douleurs dans tout le thorax et surtout dans la région d
jour, ont été le premier symptôme maladif. L'apparition tardive des douleurs dans notre cas a été précédée de paresthésies fré
s des troubles de la sensibilité qui accompagnent ordinairement les douleurs et qui sont l'expression d'une excitation des rac
des racines posté- rieures et des voies sensitives. L'absence de douleurs dans la première période de la maladie conjointe-
inbomyélie. Une malade âgée de 55 ans souffrait depuis longtemps de douleurs aigues à la nuque et aux mains suivies d'un affai
le cas d'Ascenzi, un vieillard de 68 ans sans gibbosité se plaintde douleurs ; successivement apparaissent les paresthésies et
la plante des pieds se sont engourdis. Il ne s'est jamais plaint de douleurs et il n'a jamais eu aucun trouble des sphincter
vements de la tête et du cou sont libres et ils ne causent au- cune douleur . , Démarche. Le malade ne fauche pas. Les pieds
tout en bas. Pendant tous ces mouvements, il n'accuse jamais aucune douleur . Il n'y a pas d'amyotropbie, nulle part, pas d'
il est couché au lit, dans l'état de repos absolu. Du reste, pas de douleurs , ni aux membres ni au tronc. Toute sensibilité
ès faible, minime diminution de la sensibilité superficielle (tact, douleur , chaleur) dans la moitié externe du bras et de
is souffert de rhumatisme articulaire, il ne s'est jamais plaint de douleurs , ni des extrémités, ni du rachis.Ce n'est pas d
mante. D'autres caractères intéressants sont : l'absence absolue de douleurs , la conservation presque parfaite delà motilité
à coup, sans cause appréciable, elle commença à souffrir de fortes douleurs à la région lombaire ; elles se prolongeaient ver
enaient lancinantes et intolérables. Au bout de quelques jours, ces douleurs s'étendirent aussi à la nuque et aux épaules, moi
lcule que cet état est resté le même deux ans, pendant lesquels les douleurs lombo-sacro-coccyaiennes revinrent une ou plusieu
ieurs fois, mais jamais aussi intenses qu'auparavant. Un jour des douleurs se présentent, avec les mêmes caractères que les
ong- UN CAS^DE SPONDYLOSE RH ! ZOMÉL1QUE 415 temps que toutes les douleurs ont disparu. Les fonctions organiques se font b
ci épargnées, poignets, genoux ; elles sont le siège de poussées de douleurs , sans phénomènes inflammatoires appréciables, e
gauche, impossible à droite. La percussion de la tête détermine une douleur parfois plus prononcée à droite. Dernièrement i
arfois plus prononcée à droite. Dernièrement il lui semblait que la douleur était égale des deux côtés. Il y a adiadocociné
gauche. La percussion de la tête ne montre pas une localisation des douleurs . Ponction lombaire. Liquide sans pression. Pas
phalées qui étaient plus fortes au front. Quand il se penchait, les douleurs devenaient plus intenses. Elles augmentaient auss
de signe de Babinski net. Pas de troubles de la sensibilité. Pas de douleurs fulgurantes. Parésie du moteur oculaire commun
908. A cette époque le malade racontait avoir autrefois souffert de douleurs assez vives dans les membres supérieurs et surt
renseignements sur elle. Elle a débuté 6 ans auparavant sans grande douleur par les muscles du pouce. Le malade attribue cett
use. 438 P. MARIC ET FOIa Début de l'affection il y a 18 ans sans douleur par la main gauche qui a commencé à maigrir et
ction a débuté il y a dix ans. A ce moment, la malade ressentit des douleurs assez vives dans la main droite. Ces douleurs, pa
malade ressentit des douleurs assez vives dans la main droite. Ces douleurs , passagères et du type lancinant, ont disparu à
s complètement. Depuis huit ans environ, elle présente en outre des douleurs dans les jambes. Ce sont des douleurs lancinan-
n, elle présente en outre des douleurs dans les jambes. Ce sont des douleurs lancinan- tes qui passent comme des éclairs. L'
t une très forte diminution des réllexes rotuliens qui associés aux douleurs ful- gurantes doit faire suspecter un tabes inc
sa- turnins. Depuis 1 an 1/2 environ, le malade ressent de vives douleurs dans la main droite. Ce sont des élancements qu
tique ou tout au moins un tabétisant. Depuis un an et demi il a des douleurs lancinantes dans les membres inférieurs et les
ur les trois branches du nerf. En résumé, signe d'Argyll Robertson, douleurs fulgurantes. Paralysie bila- térale du moteur o
nviron. Elle est strictement limitée à la main droite, bien que les douleurs aient été bilatérales. Elle porte à ce niveau sur
s troubles de la sensibilité subjective sont fréquents. Ce sont des douleurs qui, en général, accompagnent le début de l'amyot
trophie pour se calmer plus ou moins complètement par la suite. Ces douleurs L'ATROPHIE ISOLÉE NON PROGRESSIVE DES PETITS MU
ation IV, où il s'agissait de névrite du cubital et du médian. La douleur ne fournit pas un meilleur moyen de diagnostic. E
fatiguait plus vite que ses compagnes. Elle n'a jamais ressenti de douleurs vives dans les mem- bres inférieurs. A 14 ans
urs après une marclie ou une station debout prolongées, mais pas de douleurs vives. Ni troubles nerveux, ni troubles psychiq
l sont rangées des tuméfactions va- riées plus ou moins liées à des douleurs articulaires. Le pseudo-cedème enta tonique de
ieds le rapprochent beaucoup de notre cas ; mais il s'accompagne de douleurs assez violentes et survient en général, chez les
68 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
ption visuelle fait donc vibrer des cellules cérébrales rappelant des douleurs et des haines ; celles-ci déterminent un mouvemen
collaborateurs, nous adressons à ses enfants, dont nous partageons la douleur , l'expression de nos vives sympathies. Les homm
a synthétisé d'une façon très heureuse, dans sa communication sur la, douleur et dans ses discours, le but essentiellement
oid n'aggravât la prétendue maladie. Un beau jour, il crut sentir des douleurs dans le bras et le porta désormais en écharpe. A
it d'une femme de 37 ans, névropathe, sujette aux palpitations, à des douleurs dans l'œil droit, qui avait un polype implanté da
dernier Congrès de Psychologie de Munich sur Y Étude biologique de la douleur . Pour être complet, nous devrions dire que ce pen
ervicale. Corps thyroïde légèrement hypertrophié. Rien au cœur. Douleur sus et sous-mammaire gauche. La sensibilité de
ension, elle est tombée de son lit la nuit. Traitement. — Contre la douleur frontale, disque en pointes de l'appareil à élect
olution musculaire. Anesthésie totale. Suggestion de ne plus avoir de douleur . k décembre. — La douleur est moins vive. Nouve
ie totale. Suggestion de ne plus avoir de douleur. k décembre. — La douleur est moins vive. Nouvelle suggestion. La malade do
s dirai pendant votre sommeil. » Sug- gestion de ne plus avoir de douleur frontale et d'avoir la physionomie gaie. 9 déce
n (elle avait eu des contrariétés et avait pleuré). Hypnose contre sa douleur frontale et contre la rougeur. 18 décembre.— Le
eil a été obtenu avec conservation de l'audition. Elle n'a plus eu de douleurs du front, mais elle a encore une douleur de la ré
dition. Elle n'a plus eu de douleurs du front, mais elle a encore une douleur de la région occipitale et une sensibilité très v
ypnose tous les deux jours. 3t décembre. — La malade n'a plus eu de douleur frontale ; sa physionomie devient gaie. 0 janvi
6. — Se plaint du mal de tète. Hypnose. Suggestion de n'avoir plus de douleurs de tète et d'avoir le visage souriant, de ne plus
t souriant et'elle n'a pas eu de céphalée. Hypnose. Le 23.— Plus de douleurs , ni de rougeur. L'hypnose n'est plus accompagnée
r, c'est l'indifférence absolue que témoignent les indigènes pour les douleurs provoquées par les brûlures. Pour quel molif ce
rie, accusaitaucontraire plusieurs des stigmates de la neurasthénie : douleur de la nuque et des régions sourcilières, douleurs
de la neurasthénie : douleur de la nuque et des régions sourcilières, douleurs rachialgiqucs interscapulaires. Paresse de l'esto
inal ou dans le grand sympathique ; lequel trouble s'accuse par de la douleur dans la région encéphalique ou médullaire, avec a
e trouve l'estomac très dilaté; le creux épigastrique est le siège de douleurs vives et presque continues. Ne s'alimentant plus
est complètement guérie ; le 25 juillet 1895, il n'y a plus trace de douleurs , d'insomnie et de dépression nerveuse; l'appétit,
ystérie. Les réflexes sont normaux. La sensibilité au contact et à la douleur est exaltée sur toute la surface du corps. Le t
Une bronchite intercurrente avec toux spasmodique rebelle ramène les douleurs rachidiennes et intercostales. J'use alors, penda
ladie grave. Depuis quelques années seulement, il se plaignait de douleur vagues disséminées dans le thorax et dans les mem
rillon fera une conférence sur : L'hypnotisme et la psychologie de la douleur . Jeudi 14 Janvier, à cinq heures, M. le Dr Dumo
Tout le monde connaît ces faits dans lesquels, en l'absence de toute douleur , une crise prochaine a pu être annoncée par l'arr
sme et dans lesquelles la suggestion fit disparaître non seulement la douleur causée par des injections, mais même la rétention
rillon fera une conférence sur : L'hypnotisme et la psychologie de la douleur . Jeudi 14 Janvier, à cinq heures, M. le Dr Dumo
et liberté, car on ne comprend pas que la faculté du plaisir et de la douleur ne soit pas alliée à la faculté de poursuivre l'u
our ptosis double très accentuée. Cette jeune fille raconte que, sans douleur aucune, sans cause morale ou autre, ses yeux se s
n homme décapité qui portait la main à l'endroit où on provoquait une douleur . Ici la chaîne est plus complexe. Le courant cent
ès intellectuels, elle devient mauvaise à dix-huit ans. Il souffre de douleurs continuelles qui, à 24 ans, prennent la forme de
rillon fera une conférence sur : L'hypnotisme et la psychologie de la douleur . Jeudi 14 Janvier, à cinq heures, M. le Dr Dumo
it aller et venir, sans que la jeune fille donnât le moindre signe de douleur ou fit mine de la retirer. » Notre auteur était
ouge ; pour l'une de ces brûlures, on lui suggéra l'absence totale de douleur ; pour l'autre, on laissa agir la nature. Les rés
é donne les détails, ont conduit l'auteur à cette conclusion : que la douleur causée par une lésion, un traumatisme, etc., form
te sur le point blessé, elle y augmente le désordre organique dont la douleur est le signe; l'idée du mal y entretient et y dév
du mal y entretient et y développe le mal. Au contraire, supprimez la douleur , et vous supprimez ou atténuez, en grande partie,
voyé Mlle II... chez le dentiste, qui lui arracha, le lendemain, sans douleur , deux mauvaises racines, en lui enlevant même un
au avec fièvre, sensation d'engourdissement de la tête accompagnée de douleurs se propageant jusque dans la colonne vertébrale.
gnée de douleurs se propageant jusque dans la colonne vertébrale. Ces douleurs deviennent de plus en plus fortes, s'étendent, se
ation d'un cautère à la nuque lui produit un effet tel que toutes ses douleurs lancinantes, que sa faiblesse en sont augmentées
la pression d'un point quelconque du corps est aussitôt la source de douleurs fulgurantes, longues à se calmer. Fatigué d'une
r ; il s'Observe, se scrute, est toujours à la recherche de nouvelles douleurs . 27 août. — Une dernière séance lui enlève comp
action de la suggestion. L'insomnie, le délire fébrile, la fièvre, la douleur , les réactions inflammatoires, les troubles troph
l moment la dose physiologique de morphine, nécessaire pour calmer la douleur , est dépassée et crée l'intoxication avec tous le
e anesthésie complète, au contact, aux excitations thermiques et à la douleur . Du côté des organes génitaux, je constate un p
'ajoute que le traitement qu'on va lui faire subir ne comporte aucune douleur . Puis l'opération commence. A ma grande surpris
ielle. Mes suggestions calmantes furent impuissantes à neutraliser la douleur . Elles ne réussirent qu'à l'atténuer dans une fai
suivie d'une hémorrhagie abondante, la malade ressentit de violentes douleurs abdominales. Elle demeura au lit pendant quinze j
emme très courageuse, de se livrer aux occupations de son ménage. Ces douleurs , qui partaient de la région lombaire, s'irradiaie
t pas davantage traces d'altérations capables d'expliquer le symptôme douleur . L'intestin et plus particulièremenr l'appendice
l'existence possible de coliques néphrétiques, d'autant mieux que la douleur s'irradiait parfois dans les grandes lèvres et s'
braneuse. État actuel (25 août 1896). — Comme nous l'avons dit, les douleurs partent des lombes pour s'irradier profondément d
tes, tantôt elles laissent vingt-quatre heure.» de repos et plus. Ces douleurs , qui vont mourir parfois dans les grandes lèvres
de nous permet d'affirmer que cette entérite n'était pas la cause des douleurs intestinales. Langue saburrale. Perte complète
éflexes. — Réflexes pupillaires à l'accommodation, à la lumière, à la douleur : conservés. Réflexe pharyngien : conservé. R
e si elle pourra se lever, manger dans la journée, et déclare que ses douleurs ont disparu. Ce calme dure une heure environ, pen
ndant laquelle la malade a pu dormir. A la contre-visite du soir, les douleurs sont revenues, mais moins vives que la veille. No
position des mains pendant quelques minutes; disparition complète des douleurs . Pour la première fois depuis un mois, la malade
eux sensible, malgré que la nuit ait encore été troublée par quelques douleurs abdominales. Imposition des mains. Dans la soirée
lques douleurs abdominales. Imposition des mains. Dans la soirée, les douleurs avaient complètement disparu ; deux crises de cou
des urines ; la malade a donc été déçue dans son attente; aussi, les douleurs ont reparu plus intenses et presque continues. Nu
ines. L'effet produit a été instantané. Le 3o. — Nuit bonne. Pas de douleurs dans la matinée ; mais craignant une nouvelle cri
Site suivant son désir. Le 1r septembre — Disparition complète des douleurs . Nouvel essai avec le bleu de méthylène. Le 2.
ne, du tympan, du labyrinthe, de l'organe de Corti peuvent donner des douleurs , des vertiges, des bruits subjectifs, de l'hypere
mer ou tout au moins pour atténuer, d'une façon très appréciable, les douleurs qui accompagnent la suppression définitive de la
ue et de la kératite superficielle. Enfin, du côté droit, à noter des douleurs périorbitafres. La sensibilité de la conjonctive
montrait qu'elle était accrue. En outre, la malade accusait une vive douleur par un simple frôlement de la paupière et de la r
durant les règles elle est souvent obligée de garder le lit tant les douleurs sont vives, cependant il n'y a pas d'affection ut
e conformation susceptible d'expliquer et la stérilité et les atroces douleurs de la menstruation depuis la puberté. De toute év
e petite opération peuvent se faire très vite et ne provoquent qu'une douleur modérée. Quant aux suites, elles sont fort simple
peu d'influence sur les résultats, car ses premières opérations, sans douleur , faites à Hooghly le 4 avril 1845, furent très ra
à ce sujet, un fait simple et notoire, c'est que les opérations sans douleur , par le moyen du mesmérisme, furent pratiquées de
u'un autre affirmait qu'il était impie de s'interposer ainsi entre la douleur , dont le but, selon lui, était de favoriser le ré
l fut hypnotisé par essai, les adhérences furent alors détachées sans douleur , et le malade se rétablit. M. A. Turner, L. D.
oites, de deux molaires gauches et une inférieure (biscupide). Aucune douleur ni pendant, ni après l'opération, et aucun troubl
rent extraites tandis que je me tenais dans une pièce voisine. Aucune douleur ni pen-dant ni après l'opération. M. D..., âgé
sujets excessivement nerveux, et, par cela même, très sensibles à la douleur dans la condition normale ; d'autres étaient des
(opérations dentaires). D'autre part, plusieurs accouchements sans douleur , prématurés pour la plupart, ont été enregistrés,
iens plus difficilement le sommeil hypnotique et l'insensibilité à la douleur . Dans ce cas, à moins de graves raisons s'opposan
iennent dans ce cas inutiles. 9°. Le patient, rendu insensible à la douleur , peut être laissé sensible à d'autres impressions
ances durant les suites de l'opération peuvent être écartées comme la douleur de l'opération elle-même. 13°. La rapidité des
iété encore nouvelle des méthodes déjà employées pour préserver de la douleur par la suspension de la conscience cérébrale. C'e
s représente intimement et invariablement unies. La suppression de la douleur est ainsi obtenue par l'inhibition de toutes les
d'opérations ou d'accouchements ont été, en effet, pratiqués sans douleurs pendant l'hypnose provoquée chez des névropathes,
en 1895. Sa mère, devenue obèse à la ménopause, se plaint souvent de douleurs vagues dans les régions lombaires et abdomino-cru
première fois auprès de Jeanne F.... Elle est couchée, en proie à des douleurs intenses localisées dans l'hypochondre gauche ; e
ans les bras. Le choc est terrible : la jeune fille s'abandonne à une douleur sans mesure, à laquelle succède une tristesse san
s points névralgiques dans la région du creux de l'estomac ; puis ces douleurs s'aiguisent, se précisent, s'irradient à tout l'a
aîtresse d'elle-même : il n'y a plus ni insomnie, ni constipation, ni douleurs d'aucun genre, et l'appétit se régularise. Depuis
valeur beaucoup moindre, aux opérations chirurgicales exécutées, sans douleur , pendant l'hypnose ; il mentionne seulement que,
été conduits à la fatale manie par la nécessité de la lutte contre la douleur et la fatigue. Mais la proportion considérable
manie, et que l'oisiveté paraît être aussi pénible à supporter que la douleur . NOUVELLES Enseignement de l'hypnotisme et de
69 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
e volume de la main et des doigts, avec coloration rouge vio- lacé. Douleurs intermittentes. Un peu d'insensibilité au toucher
°). Les symptômes subjectifs consistent en crampes, fourmillements. Douleurs paroxystiques avec sensations de brûlure et d'é
nes augmentent, ainsi que les sensations désagréables, sans que des douleurs à proprement parler se déclarent. La températur
peu, également, la face dorsale des mains est hypertrophiée. Pas de douleurs vraies, mais des fourmillements. Jamais il n'y
Cette maladie d'allure spéciale donne lieu, d'après l'auteur, à des douleurs insignifiantes. Cette descrip- tion des phénomè
us grosses que normalement. Au début, il n'éprouve aucune espèce de douleur , ni fourmillement, ni picotement. Il n'a pas rema
- mènes. Les mains restent toujours pâles, mais il n'éprouve aucune douleur . Jamais d'aagelures, ni aux mains, ni aux pieds
it cette coloration violette, le malade com- mençait à éprouver des douleurs dans les mains ; c'étaient des sortes de picote-
qu'on traverse la peau avec des aiguilles. Il éprouve une sorte de douleur sourde, obtuse qui persiste tout le temps. Il rem
n dehors de toute action du froid. Au même moment, apparaissent des douleurs , des picotements comme aux mains. Ces picotemen
cette année, tous les phénomènes anormaux, gonflement, coloration, douleurs , disparaissent pendant l'été. Cette année-ci, pou
tent et même augmentent. A la fin de l'année 1900, au moment où les douleurs apparaissent, le malade a consulté à la Policli
t du côté droit et il est obligé de lâcher prise. En même temps les douleurs aug- mentent, les transpirations aussi ; il a t
ses ne paraissent pas atrophiées. ' Le malade se plaint toujours de douleurs plus ou moins vives aux mains et aux pieds, il
as de troubles de la sensibilité tactile, ni de la sensibilité à la douleur . La sensibilité à la chaleur n'est pas altérée no
tonomètre de Gartner : main droite 7 ; main gauche, 7. 17. -- Les douleurs sont toujours aussi vives quand le malade est exp
ongtemps de- hors, car la sensation pénible de chatouillement et de douleurs cuisantes se produisait régulièrement. Les main
n gauche est en effet beaucoup moins habile que précédemment et les douleurs plus vives en somme, le malade n'a constaté aucun
es mains étant les plus frap- pées, en des phénomènes subjectifs de douleurs et de fourmillements; en une inhabileté fonctio
nter de l'asphyxie des mains. Postérieurement élaient survenues des douleurs ; depuis quelques mois, en outre de leur couleu
n violacée du visage sans changement du volume de ce dernier, de la douleur à la pres- sion des troncs nerveux ; le symptôm
stam- ment les mains humides. Fréquemment les sujets accusent des douleurs dans les poignets, les coudes sont indemnes. Il
n'a présenté ni céphalalgie unila- térale, ni crises convulsives où douleurs dans le côté atteint ainsi qu'on a pu le noter
ations. Toutefois depuis lors, la malade a éprouvé quelques légères douleurs mais toujours de faible intensité : elle ne les
de la peau, nous la trouvons normale pour tous ses modes (contact, douleur , température) : il n'y a ni hyperexcitabilité,
culaires de la langue. La sensibilité de la langue au contact, à la douleur et sa sensibilité gusta- tive sont conservées.
isse gauche en « se tournant » le pied gauche en dehors. Malgré une douleur assez vive, elle peut marcher après sa chute. U
vement bien ; la malade pouvant aller et venir, et se chausser sans douleurs ; puis la jambe gauche augmenta de nouveau. Il s'
s la jambe gauche augmenta de nouveau. Il s'y joignit bien- tôt des douleurs qui firent entrer la malade à l'hôpital Lariboisi
cet oedème, et surtout par les caractères de chaleur, de rougeur,de douleur , et de mollesse qu'il acquiert rapidement dans
pas que de devenir souvent, à une période plus avancée, le siège de douleurs et d'altérations pathologiques. M. Boinet y ins
té. Sensibilité au tact bien conservée partout. La sensibilité à la douleur et à la température est également conservée parto
bes, et que, lorsqu'on nous marche sur le pied, nous localisions la douleur au gros orteil et non au sommet des circonvo- l
igts de la main gauche il ramène vers lui la tête du patient, qui, de douleur , grimace et crispe les poings. Bien ne semble
'hôpital pour la première fois le 29 novembre 1901, se plaignant de douleurs abdominales avec gonflement du ventre. On a, para
. Aucun mouvement, soit actif, soit passif, ne détermine la moindre douleur . Ce gonflement, cette incapacité fonctionnelle,
rqua également que ses deux mains étaient devenues insensibles à la douleur . L'examen de la sensibi- lité permet de constat
arche. D'ailleurs aucun signe de paraplégie spasmodique. En mars, douleurs de la nuque au niveau des bords supérieurs des de
lade se plaint en ou- SYRINGOMYÉLIE DU TYPE TRANSVERSAL 75 tre de douleurs vagues dans le bras gauche ; ces douleurs corresp
YPE TRANSVERSAL 75 tre de douleurs vagues dans le bras gauche ; ces douleurs correspondent au trajet du radial. Depuis quelq
02 MARCHAND . La sensibilité, au toucher, au thorax, au froid, à la douleur , est normale. Le sens de position et le sens st
le de 15 ans avec steppage, réaction de dégéné- rescence partielle, douleurs , comme dans le type Charcot-Marie-IIoffmann, ma
myopathie, des troubles de la sensibilité subjective el objective : douleurs lancinantes au cours de l'évolution de la maladie
alade commence à ressentir de la faiblesse de tous ses membres avec douleurs parfois violentes parcourant les membres, Chute
ur retomber plus loin. En même temps que les troubles parétiques, douleurs dans tous les mem- bres, lancinantes et paroxys
ionnelle et provoquant parfois des chutes par leurs paroxysmes. Ces douleurs provoquaient parfois l'insomnie. Elles semblent
s, généraux soit au début, soit an cours de l'affection. Parésie et douleurs furent d'emblée sy. métriques et généralisées à
ectement. Mais les chutes devinrent de plus en plus fréquentes, les douleurs continuè- rent aussi. Ce n'est toutefois que de
jective. Le malade dit souffrir toujours dans ses membres des mêmes douleurs lancinantes qui ont marqué le début des accidents
e et 7 ans. Début à 10 ans par des phéno- mènes pa1'étiq1tes et des douleurs lancinantes. - Evolution lentement progressive
lancinantes. - Evolution lentement progressive avec persistance des douleurs et fausse hypertrophie des membres inférieurs.
e la sensibilité, troubles à la fois subjectifs et ob- jectifs. Les douleurs ont bien été signalées quelquefois : un des malad
OIS ET POROT cités par Brissaud dans ses Leçons cliniques avait des douleurs vives, atro- ces, généralisées, coïncidant avec
ns, des troubles gastriques intermittents qui se traduisent par une douleur épigastrique angoissante avec retentissement dans
aires, ni incoordination motrice ; il n'a eu ni maux perforants, ni douleurs fulgurantes dans les jambes, ni chute spontanée d
édical, n0J 15 et 16,1903. 120 SABIt.IZ(;5 sans suppuration, sans douleur bien marquée. Les antres parties du squelette r
Actuellement cette déformation est définitive ; il n'existe aucune douleur locale. Il importe de noter que seul le tibia e
ans. Vers le milieu du mois d'octobre 1898, la malade ressentit des douleurs dans le membre supérieur droit; ces douleurs su
a malade ressentit des douleurs dans le membre supérieur droit; ces douleurs survenaient sous forme de crises s'ir- radiant
L'usage de la main devint impossible. Quelques jours plus tard, des douleurs de même nature se produisirent dans la jambe dr
'anesthésie sans dissociation de la sensibilité ; la sensibilité à la douleur y est totalement perdue, ainsi que la sensibili
meur, furent au début, ceux d'une lésion des racines sensibles, des douleurs . Ce furent les premières mani- festations ; ell
ns, que l'on avait émis l'idée d'une polynévrite in- fectieuse. Ces douleurs apparurent tout d'abord dans la main droite en
nous avons rencontré les vestiges angiomateux les plus nets. Aux douleurs avaient succédé la paralysie, puis plus tardiveme
de la moelle au niveau du renflement cervical. . Dans la suite des douleurs se seraient encore montrées s'il fauten croire
orte que les symptômes radiculaires unilatéraux, spé- cialement les douleurs puissent être les premières manifestations. Ces
e la moelle. Le diagnostic n'est pas toujours aisédans ces cas. Les douleurs , par leur caractère névralgique, paroxystique,
causes les plus diverses. Chez notre malade, après un début par des douleurs à caractère paroxys- 162 SPILLMANN ET ROCHE t
OY souffrir en effet d'une otite moyenne droite, d'hémorrhoides, de douleurs rhumatoïdes dans les jambes ; la glycosurie joi
ns de con- tractions musculaires qui exagèrent considérablement les douleurs éprouvées, spontanément, dans les masses charnu
phalalgie, névralgie intercostale, arthral- gies) s'accompagnent de douleurs plus ou moins intenses qui gênent et vont même
ifeste. A partir du 15 mai, K. se plaint d'une recrudescence de ses douleurs pré- cordiales ; elles s'irradient dans le bras
té) (6), et qui, pour Staté, seraient probablement responsables des douleurs à caractère névralgique, obser- (1) P. E. LAUNO
dant votre grossesse ; vous ne mettrez au monde des enfants qu'avec douleur ; vos désirs seront tournés vers votre mari et il
on et le champ visuel sont parfaits, la sensibilité au tact et à la douleur ne sont nulle- ment modifiées sur aucun point d
lé après sa mort. A ce moment, commencent des maladies physi- ques, douleurs de ventre et d'estomac, très probablement cette a
ation quelconque. Mais bientôt L... éprouve de la gêne, sans aucune douleur , dans une foule de mouvements du membre supérie
'un mouvement professionnel donné. Le malade n'a jamais ressenti de douleur , ni de fourmillement, ni d'engourdissement du m
d, l'avant-bras droit fléchi, la contraction du biceps se fait sans douleur dans l'épaule, mais l'effort nécessaire est plu
n mouvement ou d'un effort; le ma- lade accuse seulement une légère douleur dans le biceps, sans crampe ni contracture, ave
orps ; pas de fourmillements, ni de sensations anor- males ; aucune douleur spontanée, il n'y a de douleur provoquée que dans
i de sensations anor- males ; aucune douleur spontanée, il n'y a de douleur provoquée que dans le port prolongé de l'arme s
de l'arme sur l'épaule; la sensibilité au tact, à la pression, à la douleur , à la température est conservée ; il y a toutefoi
gnantes), manquent ici totalement. Le patient ne souffre d'aucune douleur , la langue est sensible à toutes les réactions
ment et laissa s'éliminer un séquestre ; il n'y eut à aucun moment de douleur vive ; actuellement tout est cicatrisé ; le 5e
seux; toujours ces phénomènes pseudo-inflammatoires évoluèrent sans douleur , et il persiste là une cicatrice, souple, non dou
et du cou-de-pied ; comme précédemment, le tout évolua sans grande douleur : une ouverture se produisit spontanément sur l
peu à peu, le pied parut se disloquer, mais sans causer de grandes douleurs . Etat actuel du pied. Actuellement, le malade s
ant de l'usure des surfaces articulaires. Le malade n'accuse aucune douleur , malgré la prolongation des manoeuvres et le no
rtiellement; pendant la section osseuse le malade ne ressent aucune douleur . L'astragale est ensuite enlevé; cet os est méc
ment avec un soulier dont la semelle est épaisse ; il n'y a aucune douleur . Localement il existe une ankylose presque comp
ose de mal défini et qui participe de chacun de ces symptômes : les douleurs sont moins vives, les réflexes sont tantôt abol
A la vérité, il n'est pas établi que notre malade ait ou ait eu des douleurs spontanées au niveau des membres, mais les réacti
suite de son troisième et dernier accouche- ment, qui fut suivi de douleurs abdominales persistantes, que D... ,au dire de
et actifs de la tête, du tronc et des extrémités se faisaient sans douleur et tout à fait correctement. Sa marche était to
disaient qu'il souffrait de neurasthénie. En outre, il souffrait de douleurs passagères dans les jambes et dans la région du
, la respiration est anxieuse, le coeur palpite, la face exprime la douleur , la terreur et l'angoisse. Enfin, n'y pouvant plu
lui : une souffrance extra- ordinaire, la sueur qui vient au front, douleur , angoisse, terreur, respiration anxieuse, palpi
a pression de l'extrémité supérieure de la cicatrice exaspère cette douleur et détermine du fourmillement dans les doigts, pa
tte tumeur, d'abord indolente, augmente de volume et occasionne des douleurs irradiées dans le territoire de ce nerf. A l'âge
Il'n'est pas inadmissible que le cheval blessé cherche à calmer la douleur ou l'irritation causée par des plaies en léchan
is mois qu'a duré l'affection, la dent cariée fut le siège de vives douleurs et le sujet évitait tout contact de la langue à c
région endolorie pour calmer l'irritation persistante et surtout la douleur causée par le froid. Bien de plus exact ; toute
oici où l'on voit appa- raître l'habitude morbide intempestive : la douleur et le gonflement ayant disparu, F. continua à f
rurgicale, dans un but défini de défense et de protection contre la douleur et contre le froid. TICS ET STÉRÉOTYPIES DE LÉC
jet poursuit quelques rêvasseries. F... interrompt son léchage sans douleur , mais les mouvements se reproduisent sans le co
MER fortes déterminent une sensation légère et ne provoquent aucune douleur ; de même, diminution de la sensibilité thermiq
rend l'habitude de passer la langue sur le siège de ses an- ciennes douleurs et sur les reliquats de son affection. Au début i
70 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
fet, on peut trouver des syringomyélies n'ayant jamais présenté des douleurs fulgurantes des membres supérieurs, douleurs qui
nt jamais présenté des douleurs fulgurantes des membres supérieurs, douleurs qui sont ordinairement la signature de l'englob
que. Dès l'âge de 27 ans, elle a ressenti au niveau de la nuque des douleurs aiguës s'irradiant vers les deux épaules et les
de la main droite avec amaigrissement de cette main et de lé- gères douleurs lancinantes au niveau de l'épaule. L'affection pr
ibilité était bien conservée et le malade n'accusait pas la moindre douleur . D'ailleurs la fièvre disparaît bientôt, la santé
ut atteint de fièvre qui ne dura que quelques jours, accompagnée de douleurs assez vives au niveau de la nuque et le long du
douleurs assez vives au niveau de la nuque et le long du dos et de douleurs moins vives dans les membres. En même temps le me
net que chez notre autre petit malade, Henri Seg..., en raison des douleurs qui ont existé à la période d'invasion. On peut
la en augmentant et des essais de marche prolongée furent suivis de douleurs dans les reins et surtout dans le membre inféri
es hanches ; le travail prolongé du crochet ame- nait également des douleurs dans les poignets. La faiblesse musculaire augm
st confinée au lit et réduite à une immobilité presque absolue, les douleurs qu'elle avait ressenties au début ont disparu. En
de la rétine. Pas de troubles subjectifs de la sensibilité, aucune douleur sur le trajet des nerfs, spontanément ou à la p
e n'est pas douloureuse. Il n'y a donc pas lieu de tenir compte des douleurs res- senties pendant les premières années de la
certificat d'études. Mais la faiblesse s'exagère chaque année sans douleur , sans fièvre; les bras se mettent progressivement
é à une maladie du coeur a 72 ans. Sa mère vit encore et souffre de douleurs (rhumatismales ? ). Elle a eu trois frères, don
ement des jambes a été précédé pendant un temps assez long, par des douleurs assez vives. D'après Célédonia, la maladie de s
éresser. La maladie actuelle a débuté il y a environ 26 ans par des douleurs assez 54 SOCA violentes aux jambes, ces doule
n 26 ans par des douleurs assez 54 SOCA violentes aux jambes, ces douleurs étreignaient quelquefois la jambe comme un étau
n elfet elles sont toujours restées cantonnées dans les jambes. Les douleurs arrivaient à toute heure capricieu- sement, et
nte bien quelques symptômes qui font songer au tabès, notamment les douleurs fulgurantes et la suppression des réflexes tend
es, et paralytiques sont précédés pendant de longues années par des douleurs fulgurantes, et surtout une polynévrite qui res
s condi- tions, il est évident qu'il ne s'agit pas d'une myopathie ( douleurs , anes- thésies, réaction de dégénérescence, dis
de nouveau, et c'est là la raison de sa publication. D'abord les douleurs fulgurantes. Elles ne sont point inconnues dans
sibles pour le malade. Il n'y a pas non plus de cas où la durée des douleurs ait été si longue. Mais l'un des traits vraiment
; les brûlures étaient guéries en 2 mois. En 1897, le 20 juin, une douleur forte, sans cause apparente, apparut au genou dro
rogressive et le malade tombait. La marche prolongée provoquait des douleurs sourdes aux genoux et un gonflement symétrique,
t développé normalement, pas de modifications pathologiques, pas de douleur an choc et aux palpations. Indexa 79. La peau d
de repos. En tournant le cou latéralement, le malade sent quelques douleurs , d'autant plus fortes que le repos avant ces mo
e rappelle entre autres que notre malade a commencé à remarquer des douleurs fortes après un processus inflammatoire au geno
transporta à la Pitié. Lorsqu'il fut revenu à lui,il éprouvait des douleurs dans les lombes, et il ne pouvait plus remuer n
bassin. Les masses musculaires de ces membres étaient flasques. De douleurs , D... n'en éprouvait pas ; la sensibilité était
les jambes se sont mises à maigrir ; elles ont été envahies par des douleurs . Une eschare s'est formée au siège. Des signes
lèvement du membre inférieur maintenu en extension provoquait de la douleur (signe de Lasègue). Le réflexe achilléen était
actile est affectée dans une moindre mesure que la sensibilité à la douleur et la sen- sibilité aux impressions thermiques.
é aux impressions thermiques. Les autres, subjectifs, consistent en douleurs provoquées par les mouve- ments passifs imprimé
ent chez notre malade. c) Des troubles sensitifs, c'est-à-dire, des douleurs spontanées ou non, que réveillent ou exaspèrent
avec lesquels se présentent les manifestations douloureuses. Des douleurs , modérées et intermittentes, au début, devenues v
ue fatalement une compression de la queue de cheval. L'absence de douleurs spontanées ou provoquées ne se voit guère que d
affections intra-spinales de la portion inférieure du névraxe. Des douleurs , datant du début, mais supportables et transitoir
du membre inférieur maintenu en extension lui occasionne une forte douleur (signe de Lasè- gue), ainsi qu'il arrive dans l
e névrite des racines spinales corres- pondantes. f) Le siège des douleurs doit également être pris en considération, dans
n, dans les circonstances que nous envisageons présentement : Une douleur modérée, siégeant au niveau des apophyses épineus
la portion terminale du névraxe. Dans les mêmes circonstances, une douleur localisée heaucoup plus bas, spontanée ou exasp
tanée ou exaspérée par la percussion du sacrum, par les mouvements, douleur irradiant vers les membres inférieurs, est presqu
elle et com- primant la queue du cheval. Ainsi s'expliqueraient les douleurs , si vives, éprouvées par le malade, quand on im
e de cheval, par voie de compression. Ils consistent, notamment, en douleurs intolérables qui, partant de la région sacro-lom-
notre tube digestif entier, et pourtant quelle pré- cision dans la douleur et les irradiations d'une colique néphrétique, hé
ne sensibilité latente qui ne se révèle et ne se connaît que par la douleur . Il n'en est rien, et cette sensibilité s'exerce
moins très nettement représentés quand ils devien- nent le siège de douleurs conscientes que nous localisons avec précision, à
. Toutes les parties d'un segment sont sensibles et dans toutes une douleur (1) Presse médicale, 10 juin 1896, et Nouvelle
; on s'endort dans le bruit pour se reveiller dès qu'il cesse. Une douleur continue s'oublie et redevient sensi- ble aussi
aisé de reconnaître les symptômes de l'embarras gastrique fébrile : douleur de tète, troubles de la vue, bouche amère, courba
si on en boit deux ou trois verres le matin à jeun. Elle apaise les douleurs delà goutte, étant appliquée toute chaude extér
prouver dans les membres inférieurs, depuis quinze ans environ, des douleurs qu'il compare à celles que produirait un fil de f
il de fer lentement in- troduit de bas en haut dans les jambes. Ces douleurs n'ont donc pas le carac- tère des douleurs fulg
aut dans les jambes. Ces douleurs n'ont donc pas le carac- tère des douleurs fulgurantes. Examen de la motilité. Le malade
ité subjective. Le malade ne présente pas d'autres troubles que les douleurs des membres inférieurs signalées ci-dessus. Par
hôpital St-Antoine, dans le ser- vice de M. Gitbert BaHet, pour des douleurs vives survenant par crises et siégeant à la rég
e certaine difficulté à articuler les mots ; enfin, sont apparues des douleurs névralgiques qui décident le malade à venir se
la région temporo- pariétale gauche, coïncidant avec le siège de la douleur . Le cuir chevelu est oedématié dans toute cette
nouvelles crises de céphalée apparaissent au milieu de la nuit. La douleur siège à droite du crâne et arrache des cris au ma
, du côté droit du crâne, et non du côté gauche, il n'y a pas eu de douleurs à la face. Il est encore un peu ahuri, a de la
altérations des nerfs trophiques. Or, à cette épo - que, à part les douleurs etun léger degré de parésie faciale, on n'observa
ion temporale gauche. Le lendemain, il souffrait de céphalée. Cette douleur persista les jours suivants ; de plus, au bout
comme on peut le voir par cette photographie (PI. XXX), exprime la douleur , la ter- reur et l'angoisse. Enfin, n'y pouvant
ée chez le sujet gauche. Il en est de même pour la sensibilité à la douleur ; Liao-Sienne-Chen accusait, lorsqu'on explorait l
ao-Sienne-Chen accusait, lorsqu'on explorait le poignet gauche, uue douleur pour une pression de 60 grammes, en moyenne l'exp
vec l'algomètre de Verdin. Liao-Toun-Chen au contraire accusait une douleur pour une pression de 100 grammes, en moyenne. Ce
son père, qui le considère comme plus délicat. Il supporte moins la douleur , les diverses modalités de la sensibilité tactile
que, les métrorrhagies ont cessé, mais elle éprouve quelquefois des douleurs dans le petit bassin. Actuellement, elle jouit
tro- phiés. La sensibilité tactile est normale. La sensibilité à la douleur est no- tablement plus développée qu'à gauche.
iers symptômes du tabes ont débuté il y a 11 ans et ont consisté en douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs et dans
Réglée à 13 ans 1/2, elle a été déflorée à cette époque. Premières douleurs fulgurantes à l'âge de 16 ans ; depuis elles so
la sensibilité : retard dans la transmission de la sensibilité à la douleur . Hyperesthésie extrême de la peau du thorax. Inég
Début de la maladie il y a cinq ans par des 316 THOMAS ET IIAUSER douleurs lancinantes dans les membres inférieurs ; au bout
édents personnels on ne trouve comme méritant d'être retenu que des douleurs dans la jambe droite sous forme de crampes et d
inférieurs. Pied-bot paralytique. Abolition des réflexes rotuliens. Douleurs dans les membres inférieurs. Retard dans la tra
sphincters : incontinence d'urine ; à la même époque apparition des douleurs fulgurantes dans les jambes. Etat actuel (1896)
tendineux aux membres supérieurs et in- férieurs. Signe de Romberg. Douleurs sous forme de lancées aux membres inférieurs, P
berg. Douleurs sous forme de lancées aux membres inférieurs, Pas de douleurs aux membres supérieurs, pas de douleurs en cein
membres inférieurs, Pas de douleurs aux membres supérieurs, pas de douleurs en ceinture, pas de crises gastriques. Pas d'al
é visuelle. Légers troubles sphinctériens. Troubles gastriques avec douleurs . En 1900 la malade présente des symptômes de ra
oubles sphinctériens, et des troubles de la marche. Depuis deux ans douleurs très vives dans les jambes survenant surtout la
a quatre mois la marche devint plus difficile en même temps que les douleurs fulgurantes augmentaient d'in- tensité et de fr
verselle, sans justification, sans délire, sans hallucination, sans douleur morale, complètement automatique (1). Mais, d
rois modes, plus ac- cusée pour la sensibilité à la chaleur et à la douleur , comprenant la face, ces- sant régulièrement su
que lui apprit à la fois les crimes et l'exécution de Gompatchi, sa douleur fut sans bornes. Mais bientôt, en vraie Japonai
atin au réveil, et dou- loureuses, surtout la nuit. Pour calmer ces douleurs , il est obligé de tenir ses bras hors du lit. L
faradiques sont très facilement supportés, et ne provoquent pas de douleur . IV Nous avons suffisamment insisté, à propos
et sont regardés comme des symptômes de second ordre. L'absence de douleur au passage de forts courants faradiques, notée
, c'est-à-dire, dans l'intention de l'an- teur, les plaisirs et les douleurs de la vie, et porte précisément le titre signif
homme âgé, à cheveux et à barbe blancs, la figure contractée par la douleur , semble réclamer l'attention du médecin trop ab
ur elle-même, la face à demi voilée, dans une attitude empreinte de douleur profonde. Tout au fond de la chambre, une vasqu
F... a commencé ressentir, au niveau de la colonne vertébrale, des douleurs vives, continues, mais sujettes il des exacerbati
raumatisme. La malade n'a pu découvrir aucune cause apparente à ses douleurs . Celles-ci ont persisté pendant une quinzaine d
, a persisté jusqu'en avril 1900. Puis, sans cause appréciable, les douleurs sont réapparues, aussi violentes que précédemme
u passage de l'urine à travers l'urèthre. En décembre (1900), les douleurs s'étaient complètement dissipées, et la malade,
rison, retenait mieux ses urines. Mais voici qu'en février 1901 les douleurs firent leur réapparition dans la jambe droite q
rs jours du mois de mars, la malade éprouvait toujours en- core des douleurs très supportables dans la jambe droite, le long d
e de chaque cuisse; elle intéressait il la fois la sensibilité à la douleur , la sensibilité au chaud et au froid. La sensibil
., qui exerçait le métier de mécanicienne, a été prise de violentes douleurs dans le dos, qui se sont étendues aux lombes et a
me temps elle s'est com- pliquée de rétention. Dans la suite, les douleurs ont diminué d'intensité. L'impotence des membre
es. Voici mes raisons : 9 Les accidents ont débuté sous la forme de douleurs qui irradiaient le long du trajet du sciatique,
a forme de douleurs qui irradiaient le long du trajet du sciatique, douleurs beaucoup plus intenses à gauche qu'à droite. Il
ur du siège radiculaire, extra-spinal, de la lésion : début par des douleurs violentes, à propagation excentrique; inégale i
DE LA QUEUE DE CHEVAL 479 et qui est restée diffuse. A l'instar des douleurs et de l'impotence motrice, celte amyotrophie es
jambe, à la cuisse, à la hanche. Le malade se mit à ressen- tir des douleurs assez vives dans le membre inférieur gauche, à la
ation opiniâtre et une grande difficulté pour aller à la selle. Les douleurs et la faiblesse des membres inférieurs persistaie
é, nous notons ce qui suit : le malade se plaint d'être sujet à des douleurs intermittentes ; elles lui parcourent le membre
onde brûlure au talon gauche, sans qu'il en ait ressenti la moindre douleur . Ce détail vous donnera une idée du degré de l'
pied d'abord, puis à la jambe et à la cuisse suivis de près par des douleurs et par une parésie motrice de ce même membre. Peu
grand sciati- que, à la cuisse. Abolition du réflexe achilléen. Douleurs intermittentes, à caractère fulgurant, sur le tra
ie engour- dissement, sensation de froid - qui ont fait place à des douleurs assez vives ; cela se voit couramment dans les
e, la cuisse et la hanche, du même côté. Elles ont fait place a des douleurs très vives. Puis est survenue une faiblesse cro
ce. Le lendemain soir, il fut pris de frissons, de maux de tête, de douleurs dans les reins; il dîna sans appétit. Le surlende
nt, B... dut prendre le lit, en proie à une fièvre intense et à des douleurs de reins. Il resta alité pendant une quinzaine de
était presque complètement privé de l'usage de sa jambe gauche. Les douleurs de reins le gênaient beaucoup pour fléchir le t
ge de 30 ans. Il y a huit jours, en pleine santé, il a ressenti une douleur de tête vive du côté gauche et il a été pris br
teinte dans presque tous ses modes, le tact, la tempéra- ture et la douleur . Mais il nous est impossible de déterminer ici la
e l'on observe dans la syringomyélie : perte de la sensibilité à la douleur et à la température avec conservation du tact e
cendantes de la région latérale transmet- traient les sensations de douleurs et de température. Mais ce n'est là en- core qu
e grosses recettes. Depuis quatre ans, il est rentré chez lui : des douleurs , qu'il avait ressenties pour la première fois à
sensoriels. Mais, depuis l'apparition du genu valgum, de violentes douleurs dans les membres inférieurs persistent jour et nu
ar périodes intermitten- tes, s'accompagnant de malaise général, de douleurs articulaires, parfois de poussées fébriles. En
est intéressant de noter chez Charles F., c'est la persistance des douleurs articulaires, très violentes, douleurs de crois
F., c'est la persistance des douleurs articulaires, très violentes, douleurs de croissance sans doute, provoquant l'insomnie,
1894 il se produit une nouvelle poussée à. la cheville droite, sans douleurs dans les autres extrémités, et c'est pour cela qu
71 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
i CHEVALLIER pêcher le sommeil. La moindre pression détermine des douleurs intolérables. Les côtés de l'ongle jaunissent,
a chair. Bientôt l'ongle pousse dystrophié. Quand il s'écaille, les douleurs ces- sent. Cependant le malade doit arracher av
est la forme pseudo- acroinégalique (1). Très souvent encore, des douleurs digitales annoncent le début du mal ; le malade
que l'ongle soit le premier atteint ; à son niveau apparaissent des douleurs ; il s'incurve et pousse usé. En même temps, l'
nservé. Les sensibilités superficielles (tactile, thermique et à la douleur ) sont normales, de même que les sensibilités pr
nt plus tard très labile. Symptômes de Mannkopf et d'Erben, grandes douleurs , diplo- pie, prononciation altérée, rigidité de
argée, tremble un peu. La percussion de la tempe gauche produit une douleur excessive. Les nerfs sus et sous-orbitaires sont
lui a passé sur les doigts de la main droite. Depuis cette époque, douleurs de la main droite ; de temps en temps douleurs
Depuis cette époque, douleurs de la main droite ; de temps en temps douleurs de la jambe gauche pendant la marche devenue di
bien portant. En z il est tombé sur le dos, a ressenti ensuite des douleurs dans la région sa- crée qui le forcèrent à marc
oi très lourde d'un vagon de marchandises il ressentit une violente douleur dans la région sacrée, semblable à un déchire-
blit comme s'il allait tomber et son corps se couvrit de sueur. Les douleurs de la région sa- crée persistèrent, elles s'acc
ion sa- crée persistèrent, elles s'accroissaient pendant la marche. Douleurs de la tête. La névrose traumatique avec rigidit
i t'amenait à l'Hôpital. Au mois d'avril 19t) il avait ressenti des douleurs violentes dans les mem- bres inférieurs ; en mê
la région rachi- dienne, vers les 9e ou 10* vertèbres dorsales. Les douleurs avaient un peu le caractère fulgurant ; elles f
t au mi- lieu de son travail, quelques jours après l'apparition des douleurs , qu'il fut pris brusquement d'affaiblissement d
'à la région ingui- nale ; on note une hypoesthésie au tact et à la douleur , avec retard net des perceptions. Ce trouble de
is pas maîtresse ». Cela avait commencé, il y a trois mois, par une douleur de l'épaule droite s'étendaut jusqu'au côté dro
droite s'étendaut jusqu'au côté droit. Elle éprouve maintenant une douleur cons- tante. Elle a consulté un médecin qui lui
. Ou a alors essayé l'électricité; un mieux se produisit quant à la douleur et aux mouvements. Cette femme était tombée sur
n'en souffrit plus au bout de quelques jours. Les mouvements et la douleur étaient supportables jusqu'à un mois avant qu'e
pour n'importe quel usage de la main ou du bras. Ce qui cause la douleur c'est l'action des muscles opposés aux désirs de
ns ou moins constante dans un état de contraction forcée ; de là la douleur dont la malade se plaint, comparable à celle do
tenir la tête droite, ou tournée à gauche n'est pas accompagné d'une douleur aiguë, à parler strictement, mais d'une gêne qu
c de cette femme n'est pas guéri, je suis certain qu'à l'avenir une douleur aiguë accompagnera ses efforts pour supprimer les
s mouvements. Le tic s'exagère tous les mois, quand elle souffre de douleurs de nausées et de faiblesses au coeur accompagné
gnes. Quelques jours après, le tic avait sensiblement diminué et la douleur à l'épaule avait disparu. 112 z WILLIAM Puis
position anormale de la tète et du cou ; en même temps apparut une douleur à l'angle des muscles scapulaires au point où le
ent à la plupart des sujets en pareil cas, il ne se plaignait ni de douleurs , ni de paralysie, mais constatait, ce qui était l
s, il souffrait d'une névralgie qui lui causait des paroxys- mes de douleur , mais qui, selon un dentiste, n'était pas causée
la cessation totale de travail pendant quelques jours. Cependant la douleur était devenue si aiguë que le malade insista pour
intellectuel. Un étudiant en médecine âgé de 2fit ans souffrait de douleurs dans la tète- et le cou. Il se plaignait d'une
peuvent apparaître tout d'abord des phénomènes algiques, comme les douleurs et 1'liypei-alcésie ; mais l'anesthésie forme t
laquelle reposent lous les symptômes sensitifs. Là où .il ya a des douleurs , lit où il y a de l'hyperalgésie, il y a d'ordina
, et non plus leur nombre, mais leur contact produit chez eux de la douleur . Ils ne savent pas ce qu'ils louchent avec leur
ur du sol ; mais en revanche, ils refusent de marcher à cause de la douleur que leur cause la pression sur la peau des pieds.
e, quelquefois, le simple contact des couvertures provoque-l-il des douleurs , surtout dans les extrémités. S'ils s'assoient,
Fig. 1 128 BARRAQUER. - syNipro.)IATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX les douleurs atteignent un haut degré d'intensité et puissent
chaleur et les courants électriques augmentent considérablement la douleur .- Les symptômes esthétiques gardent avec l'anes
e, mais encore d'évolution. - Au début apparaissent fréquemment les douleurs et l'hyperalgésie avec l'anesthésie; ensuite vi
antage. Comme Hernando le dit dans son livre La Lèpre à Grenade, la douleur et l'hyperalgésie progressent en même temps que
un certain temps, il peut arriver une des deux choses : ou bien la douleur , l'hyperalgésie et l'anes- thésie disparaissent
- serve jusqu'à leur disparition plus ou moins complète, ou bien la douleur et l'hyperalgésie disparaissent, tandis qu'augm
ente. On observe fréquemment des cas où l'hyperalgésie etsurtout la douleur se fixent dans une région où elles persistent p
(1). Dans des endroits où il y a déjà eu de l'hyperalgésie et de la douleur pour plus ou moins de temps et où il ne reste p
e plus que l'aneslhésie uni- quement el définitivement établie, les douleurs peuvent reparaître long- temps après, parce que
tronc du nerf. Dans ces cas, l'hyperalgésie ne reparaît pas avec la douleur . (1) En ce moment je vois le malade dont les ma
R. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX Mais cette réapparition de la douleur dans le territoire 'même où elle avait disparu,
ies jusqu'alors, peuvent l'être ensuite, et le malade accuse que la douleur a reparu dans le même endroit. Lorsque la forma
lors la pression sur la tumeur même ou sur ses branches augmente la douleur . La pression au-dessus de la tumeur (entre elle
. Les mouvements passifs qu'on imprime aux pieds produi- sent de la douleur et la marche est fort pénible à cause de la press
oriseraient. Voilà pourquoi nous ne devons pas nous étonner que les douleurs aiguës, les spasmes musculaires et même les par
lexion plantaire du pied gauche ; paresthésies dans les jambes avec douleurs musculaires au niveau des mollets; parésie des
faut parfois attacher les malades pour les empêcher de tomber. La douleur , par son intensité, les conditionne très souvent.
ais ils se produisent aussi spontanément sans être provoqués par la douleur . L'im- pulsion volontaire, en agissant pour un
de ces muscles et la percussion sur leurs tendons produisent de la douleur dans toute l'étendue jusqu'aux doigts. Fig. 6
n est ainsi en quatrième lieu, par la fré- quence avec laquelle les douleurs névritiques coexistent chez les lépreux dans ce
commence par des frissons, des vo- missements, la soif, etc., avec douleur parfois légère, ou sans douleur et avec tuméfac
vo- missements, la soif, etc., avec douleur parfois légère, ou sans douleur et avec tuméfaction ganglionnaire correspondant
artie réduite d'une région, et, par con- séquent, la limitation des douleurs dans une région réduite, la contrac- ture de te
u courant électrique. Je tiens à faire remarquer qu'il n'y a pas de douleurs fulgurantes, pas de myosis, pas d'Argyll Robert
embre supérieur gauche lui semble un peu lourd et maladroit. Pas de douleurs vraies. Au bout de deux à trois jours, appariti
t diminue leur amplitude. De plus, le malade se plaint d'une légère douleur dans l'articulation quand les mouvements dépassen
ns l'articulation scapulo-humérale et le malade accuse une certaine douleur , en même temps que l'on constate la présence d'
e dit souffrir davantage de l'épaule gauche que de la droite. Ces douleurs légères, ces troubles moteurs au niveau des deux
est intacte. Troubles sensitifs. Sensibilité subjective : Jamais de douleurs propre- ment dites dans le membre supérieur gau
sation existent, mais elles sont moins fixes que du côté opposé. La douleur est nor- malemeut perçue partout sauf au niveau
ifs. - Sensibilité subjective : Mêmes phénomènes. Jamais de grandes douleurs , simplement de la pesanteur, de la lourdeur du br
ir vers quatre ou cinq heures. La crise dure une heure ou doux ; la douleur siège toujours du côté gauche, ne passant jamai
amais à droite, occupant la moitié du crâne, respectant la face. La douleur arrive progressivement et s'en va de même, son
on fut essentiellement progressive, jamais il n'y eut de véritables douleurs , le malade se plaint uniquement de lassitude ap
ilité est remarquablement indemne, jamais le malade n'a présenté de douleurs , jamais il n'a eu même d'engourdissements ni de f
il 1900. Vers cette époque, le malade a commencé par présenter des douleurs qu'il qualifie de douleurs rhumatismales et qui
, le malade a commencé par présenter des douleurs qu'il qualifie de douleurs rhumatismales et qui apparaissent encore actuel
de jours et ne s'accompagnent ni de rougeur, ni de tuméfaction. Ces douleurs sont en réalité dos équivalents des douleurs fu
ni de tuméfaction. Ces douleurs sont en réalité dos équivalents des douleurs fulgurantes typiques qui ne sont apparues qu'ulté
vre. Pendant les six premiers mois de son séjour, il a présenté des douleurs fulgurantes typiques ; douleurs en éclairs allant
is de son séjour, il a présenté des douleurs fulgurantes typiques ; douleurs en éclairs allant du genou au pied. Des crises
Des crises gastriques et laryngées ont apparu en même temps que ces douleurs . Elles onl cessé au début de 1914. Les crises g
début de 1914. Les crises gastriques étaient caractérisées par des douleurs d'intensité variable, toujours peu considérables,
ée actuellement. C'est depuis l'apparition de cette escarre que les douleurs anorectales dont souffre encore le malade se so
la sensibilité subjective sont importants : le malade se plaint de douleurs dans les deux gros orteils, douleurs peu intenses
tants : le malade se plaint de douleurs dans les deux gros orteils, douleurs peu intenses, comparées à des sensations de pru
tantes d'ailleurs. Il se plaint surtout de crises anorectales ; les douleurs dans cette région sont continuelles, mais avec
y a incontinence. L'expulsion des matières amène un soulagement des douleurs . Enfin le malade a des crises vésico-uré- thral
us la plante et sur le dos du pied, pour les trois modes : contact, douleur , sensibilité thermique. Au niveau des jambes et d
hé expliquer ces cas, soif par la névralgie du triju- meau avec ses douleurs atroces, soit par les nausées qui empêchaient l
igue constante qui lui rend pénibles les soins du mé- nage, puis de douleurs , de céphalée surtout, à prédominance temporale, c
ns de cadavres, d'armes, de précipices, de scènes terrifiantes. Les douleurs siègent aussi dans la région thoracique médiane,
gion thoracique médiane, dans la région lombaire, dans les membres, douleurs peu intenses mais contiuues ; aux extré- mités,
nce, sauf une rougeole. Aucun trouble fonctionnel : ni céphalée, ni douleurs , ni troubles visuels. Pas de trouble digestif,
intégrité de la motricité, de la sen- sibilité superficielle (tact, douleur , chaleur) et profonde (pression, sens des attit
croit atteint d'une grave affection cardiaque, parce qu'il sent des douleurs , des palpitations, elc. ; C croit qu'il va perd
les myxoïdiles abdominales, les cénestho- palhies abdominales, les douleurs abdominales, les déséquilibres du 410 AUSTREGES
mbe l'humanité ; le mal de dents initial, la phobie, le vertige, la douleur habituelle, tels sont les sentiers périlleux qu
une demi-heure environ. - Plaies de la léte suture et suppuration ; douleurs horribles. Etat asthénique secon- daire durable
ants, les plaies s'étant, infectées, il ne tarde pas à éprouver des douleurs horribles dans la tête, de sorte que le médecin d
esquinté cette chute-là. Il 11 accusait des étourdissements et des douleurs dans la tête, dans les yeux. Il dormait peu, ma
près nor- males ; le sommeil est quelquefois mauvais. Il accuse des douleurs légères dans la tête et dans les reins. Le faci
72 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
fait rêver. — Mais non, monsieur, c'est bien vrai; j'ai bien senti la douleur à la jambe, et je la sens encore. » — Et il persi
m'abstenant absolument de tout commentaire. Le respect de certaines douleurs me défend de dire par quelle suite de circonstanc
centimètres de diamètre. Ce bras avait occasionné au sujet une légère douleur pendant la nuit. Pendant que l'escarre au bras
nsibilisée, tandis qu'on a expliqué à *** qu'elle ne sentirait pas de douleur à gauche. » Après la cautérisation, les deux br
toujours en usage à l'hôpital de Liège. » Mardi. 25 janvier. » Douleurs assez vives à droite; rien du côté gauche. L'empl
t détaché pendant la nuit et a dû être renouvelé le matin (1). Pas de douleur de ce côté. À droite, l'emplâtre est resté en pla
. Pas de douleur de ce côté. À droite, l'emplâtre est resté en place; douleurs très vives. » A trois heures de relevée. examen
aintenant la parole a mon_collègue. « Jeudi, 27 janvier. » Pas de douleurs spontanées. La plaie a droite est légèrement sens
'état où se trouvait la malade, elle était absolument insensible à la douleur et que les membres, devenus comme de la cire, gar
épingle le bras de la malade sans que celle-ci parût ressentir aucune douleur , et les deux bras élevés au-dessus de la tête res
la morphine dont il usait en Injections sous-cutanées pour calmer des douleurs névralgiques lui devint une nécessité de tous les
système musculaire. Une piqûre au bras ne provoqua aucun sentiment de douleur , et les bras mis en arc au-dessus de la téte du p
e primipare. — Quelle est l'influence du sommeil hypnotique sur les douleurs de ta parturition ? — Quels sont ses effets sur
sensibilités sur telles ou telles parties de son corps, supprimer des douleurs musculaires, névralgiques, ovariennes, dont elle
la probabilité de l'allégement, sinon de la suppression complète des douleurs de l'accouchement ; probabilité d'autant plus fon
l'âge de dix-neuf ans. elle entre à l'hôpital Saint-Antoine pour une douleur extrêmement vive du côté droit de (1) Autre acc
sorielle limitée exactement à la ligne médiane. Les sensibilités à la douleur , au chaud, au froid, à la pression, abolies ; l'o
ne souffrirait pas ; nous lui affirmions que nous pourrions abolir la douleur , en l'endormant quand l'heure serait venue, et no
accoucha le 1er avril 1887, à cinq. heures du matin. Les premières douleurs s'étaient déclarées dans la soirée du 3o mars ; e
néanmoins, elle s'occupait dans la salle. Dans l'après-midi plus de douleurs , la malade était calme, et dormait paisiblement à
n lui disant que la malade avait, depuis une heure, de très violentes douleurs , qu'elle demandait en grâce qu'on vînt la soulage
d'une pièce de 2 francs, que les contractions étaient énergiques, les douleurs violentes et mal supportées, M. Lion endor- m
r elle s'agitait dans son lit, et criait avec force à chaque nouvelle douleur . M. Lion l'interpelle et lui dit : — Vous sou
en exerçant de légères frictions sur son ventre, il ajoute : — Vos douleurs sont moins vives; — Elles diminuent de plus en
chacune de nos questions, s'interrompant à peine quand survenait une douleur , et se plaignant amèrement de l'infirmière qui l'
mobilité complète qu'elle n'interrompt que pour pousser au moment des douleurs . A une heure du matin, les contractions sont de
ou 3 minutes. le col a le diamètre d'une pièce de 5 francs; une vive douleur éclate brusquement dans le côté droit du ventre e
antoufles ; saisit la barre de son lit, comme point d'appui, à chaque douleur qui lui survient, et pousse avec force, en nous a
r ! ne me reveillez pas ! je suis bien ainsi ! De 2 à 3 heures, les douleurs sont régulières, efficaces; le travail marche rég
le toucher devient douloureux. A 3 heures 1/2. la tète s'engage; la douleur du côté reparaît, elle s'étend bientôt â la régio
paraît: son attention ne peut plus être fixée : elle s'anime á chaque douleur nouvelle, en laissant échapper de longs gémisseme
re parturiente à l'état de veille, si nous mesurons l'intensité de la douleur aux manifestations extérieures qui semblent l'exp
moment de l'état somnambulique dans lequel nous l'avions placée; les douleurs ont été impuissantes à la réveiller: les paupière
e la dilatation du col. elle supporte très impatiemment ses premières douleurs , avec les exagérations propres à sa constitution
de veille, bien que le sommeil n'ait point été interrompu, et que les douleurs apparentes qu'elle manifestait ne l'aient point é
ccouchement. Bien qu'elle eût paru ressentir vivement les dernières douleurs de la période d'expulsion, aucun souvenir de cett
issait les malades, et plus spécialement ceux qui étaient atteints de douleurs locales ou d'affections du système nerveux, par l
la tête, le cou, la nuque du patient et sur les parties affectées de douleurs , après les avoir vivement frottées à sa ceinture,
oncernant une opération chirurgicale faite, sans provoquer la moindre douleur .sur un patient hypnotisé dans le ser-vice de M. P
la suggestion pour pratiquer certaines opérations chirurgicales, sans douleur et sans chloroforme, sur les sujets prédisposés.
roduisis de la somno-lence. Il résulta de cette première séance une douleur vive dans la région breg-manque, qui dura jusqu'a
lus eu de cauchemars. Elle n'a plus ressenti de maux de tête, ni la douleur bregmatique. Je l'hypnotise et lui suggère de n
de médecin ; à tout instant elle vomit du mucus et elle manifeste une douleur épigastrique vive : sa soif est extrême. Elle dem
ituai de suite un traitement destine à combattre les vomissements, la douleur épigastrique et l'insomnie. Glace à l'intérieur
suggéré. La malade est calme, elle ne vomit plus, elle n'a plus de douleur épigastrique, et elle mange suffisamment; céphala
e pour vous soigner. » Vous continuerez a ne plus avoir de soif, de douleur de tête, d'insomnie » et de cauchemar. » Le 4
s mouvements provoqués par l'amour, la colère, le dégoût, la peur, la douleur , sont des réflexes psychiques. Les exemples de ce
de croix, et de baisers donnés à la terre (i). Cette expression d'une douleur profonde et intense s'est révélée chez le même su
des symptômes d'une intoxication iodique grave: coryza, larmoiement, douleurs dans les yeux, toux, nausées, sialorrhée. respira
u scrotum. Sous l'influence de cataplasmes laudanisés pour calmer les douleurs , il s'est narcotisé et a dormi dix-huit heures su
ets sont indifférents, tout se borne à une sensation de contact ou de douleur ; la décharge se fait aux dépens de l'accumulateur
es plus solennelles, la honte et le danger auquel ils s'exposent, les douleurs physiques qui les atten-pent, les châtiments dont
nt de plus en plus facile. Le 9 mai, le malade souffrait de violentes douleurs d'estomac. Il avait eu une nuit très mauvaise. Su
est même digne de remarque et je ne sais trop comment l'expliquer. La douleur doit être très violente, comme cela a toujours ét
tténuée, comme on entend les cris d'une personne dans le lointain. La douleur existe, j'en suis sûr, mais le cerveau ne la perç
gère qu'elle aura ses règles le 9 octobre (vingt-huitième jour), sans douleur ni malaise précurseur, et que ses règles dureront
es crampes, le 3o quelques pertes blanches, le 1er octobre de légères douleurs abdominales, mais les règles n'apparaissent pas.
es sont peu abondantes, durent trois jours et ne s'accompagnent ni de douleur , ni de malaise précurseur. En résumé, une dame
conformés. La sensibilité générale est très bien conservée. Pas de douleur provoquée dans les régions bregmatiques, sous et
ormir. La névralgie céda rapidement. Toutefois, de temps â autre, des douleurs survenaient et le sujet, habitué à être soulagé i
lle n'accuse encore rien. — A4 heures 19. interrogée, elle accuse une douleur à l'épaule, au poignet et au coude droits ; cette
accuse une douleur à l'épaule, au poignet et au coude droits ; cette douleur , qu'elle qualifie piquante, est exagérée par la p
mouvoir moins facilement que l'autre. A 4 heures 29, elle dit que la douleur est un peu moins intense. Je constate alors que t
ulations seules du poignet, de l'épaule et du coude manifestent de la douleur à la pression. A 4 heures 28, je la réveille. I
ie des membres et l'abolition du sens musculaire. A 4 heures 31, la douleur est plus vive à la pression dans le poignet que d
e, l'émétique une sensation d'oppression, l'eau de laurier-cerise des douleurs articulaires avec anesthésie du membre supérieur
pières closes, on commence les suggestions thérapeutiques. S'il a des douleurs , on lui dit que la douleur est supportable, qu'el
es suggestions thérapeutiques. S'il a des douleurs, on lui dit que la douleur est supportable, qu'elle diminue, qu'elle a dispa
une anesthésie, une paralysie. Il convient d'ajouter au malade que la douleur , la paralysie auront diminué ou disparu au réveil
s de ma pratique. Il s'agissait d'un rhumatisme articulaire aigu avec douleurs très vives. Je ne donnai aucun médicament: je dét
nai aucun médicament: je déterminai un léger degré d''hypnotisme; les douleurs diminuèrent immédiatement et il y eut une légère
Amélioré Guéri Rien obtenu Rhumatisme articulaire chronique 3 3 3 Douleurs rhumatismales a i3 Sciatique IO 3 7 » » Goutt
ndormir ses mal ad.'i par la morphine ou le chloral pour soulager ses douleurs , au lieu de recourir à l'hypnotisme. La lecture
contracture provoquée, les mouvements automatiques, la suppression de douleurs , etc.. démontrent d'une façon irréfragable que l'
10. Elle dormait. Or, le matin, elle avait été prise à 9 heures 45 de douleurs de tête et était restée dans un état de somnolenc
t de cinq kilogrammes. En même temps que la boulimie, il existe une douleur a la nuque très violente qui, tout en s'atténuant
es premières agressions du refroidissement se trahissent par de vives douleurs élisant pour siège les membres. Puis se manifeste
, on se heurte fortement contre un obstacle imprévu, on ressent de la douleur , de l'engourdissement, la sensibilité est diminué
observations : « Mal de Pott. — Accident de compression médullaire. — Douleurs sciatiques. — Méningite tuberculeuse. — Vomisse-m
gauche à partir de la hanche, d'hyperesthésie de la région lombaire ( douleurs (1) Plusieurs de nos lecteurs nous ont. à diver
les moyens mis en usage. — Obs. XXXVII : Pelvimétrite chronique avec douleurs intolérables. Depuis trois mois. Mme passe ses jo
la première suggestion, on peut presser sur le ventre sans causer de douleurs . Citons encore l'observation L, dans laquelle un
n de l'hypnotiseur soit indispensable. J'ai constaté qu'un excès de douleur peut interrompre le sommeil hypnotique. En outre,
te d'argent ou de teinture d'iode et nous obtenons la cessation de la douleur , croyons-nous avoir produit une action calmante s
n acte d'inhibition; c'est à ce dernier qu'on doit la cessation de la douleur . De même dans l'hypnotisme on a une excitation ré
bjet en métal ne contenant pas d'or : le contact n'a rien produit, ni douleur , ni brûlure. Voilà donc, cher cet homme, un fai
endant l'accouchement est d'amener l'anesthésie. La suppression de la douleur pourra être obtenue soit par simple léthargie, so
que la suggestion est mal ou incomplètement acceptée, ou à ce que la douleur utérine fait passer soit de l'état léthargique ou
ccouchant en souffrant dans l'état second ne se rappellent plus leurs douleurs dans l'état premier : on peut conclure à tort de
. chez les esprits facilement impressionnables, pourront atténuer les douleurs . L'emploi de cette méthode est à conseiller, car
cins Avaient découvert la marque du diable, la région insensible a la douleur . C'étaient, hélas! nos confrères, les docteurs et
pects qui se montraient sur le corps, et si l'accusé ne criait pas de douleur pendant cette opération, ils en concluaient que l
nouvelle espèce d'insomnie. Tranquille repos de nuit et absence de douleurs : voilà deux signes presque infaillibles d'une pa
pieds, le quatrième orteil est aussi long que le gros. Il existe une douleur sus-mammaire et iliaque gauche très nette a une p
est sombre, elle ne répond presque pas aux questions: elle accuse des douleurs dans la région précordiale, dans le ventre, dans
t grave. Inefficace, car l'enfant terrifié se soucie plus d'éviter la douleur que de se corriger. C'est le contraire du but qu'
maître et s'il en est aimé. Nous voulons qu'il éprouve une véritable douleur d'avoir offensé son maître et non la crainte de l
73 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
fait rêver. — Mais non, monsieur, c'est bien vrai; j'ai bien senti la douleur à la jambe, et je la sens encore. » — Et il persi
m'abstenant absolument de tout commentaire. Le respect de certaines douleurs me défend de dire par quelle suite de circonstanc
centimètres de diamètre. Ce bras avait occasionné au sujet une légère douleur pendant la nuit. Pendant que l'escarre au bras
nsibilisée, tandis qu'on a expliqué à *** qu'elle ne sentirait pas de douleur à gauche. » Après la cautérisation, les deux br
toujours en usage à l'hôpital de Liège. » Mardi. 25 janvier. » Douleurs assez vives à droite; rien du côté gauche. L'empl
t détaché pendant la nuit et a dû être renouvelé le matin (1). Pas de douleur de ce côté. À droite, l'emplâtre est resté en pla
. Pas de douleur de ce côté. À droite, l'emplâtre est resté en place; douleurs très vives. » A trois heures de relevée. examen
aintenant la parole a mon_collègue. « Jeudi, 27 janvier. » Pas de douleurs spontanées. La plaie a droite est légèrement sens
'état où se trouvait la malade, elle était absolument insensible à la douleur et que les membres, devenus comme de la cire, gar
épingle le bras de la malade sans que celle-ci parût ressentir aucune douleur , et les deux bras élevés au-dessus de la tête res
la morphine dont il usait en Injections sous-cutanées pour calmer des douleurs névralgiques lui devint une nécessité de tous les
système musculaire. Une piqûre au bras ne provoqua aucun sentiment de douleur , et les bras mis en arc au-dessus de la téte du p
e primipare. — Quelle est l'influence du sommeil hypnotique sur les douleurs de ta parturition ? — Quels sont ses effets sur
sensibilités sur telles ou telles parties de son corps, supprimer des douleurs musculaires, névralgiques, ovariennes, dont elle
la probabilité de l'allégement, sinon de la suppression complète des douleurs de l'accouchement ; probabilité d'autant plus fon
l'âge de dix-neuf ans. elle entre à l'hôpital Saint-Antoine pour une douleur extrêmement vive du côté droit de (1) Autre acc
sorielle limitée exactement à la ligne médiane. Les sensibilités à la douleur , au chaud, au froid, à la pression, abolies ; l'o
ne souffrirait pas ; nous lui affirmions que nous pourrions abolir la douleur , en l'endormant quand l'heure serait venue, et no
accoucha le 1er avril 1887, à cinq. heures du matin. Les premières douleurs s'étaient déclarées dans la soirée du 3o mars ; e
néanmoins, elle s'occupait dans la salle. Dans l'après-midi plus de douleurs , la malade était calme, et dormait paisiblement à
n lui disant que la malade avait, depuis une heure, de très violentes douleurs , qu'elle demandait en grâce qu'on vînt la soulage
d'une pièce de 2 francs, que les contractions étaient énergiques, les douleurs violentes et mal supportées, M. Lion endor- m
r elle s'agitait dans son lit, et criait avec force à chaque nouvelle douleur . M. Lion l'interpelle et lui dit : — Vous sou
en exerçant de légères frictions sur son ventre, il ajoute : — Vos douleurs sont moins vives; — Elles diminuent de plus en
chacune de nos questions, s'interrompant à peine quand survenait une douleur , et se plaignant amèrement de l'infirmière qui l'
mobilité complète qu'elle n'interrompt que pour pousser au moment des douleurs . A une heure du matin, les contractions sont de
ou 3 minutes. le col a le diamètre d'une pièce de 5 francs; une vive douleur éclate brusquement dans le côté droit du ventre e
antoufles ; saisit la barre de son lit, comme point d'appui, à chaque douleur qui lui survient, et pousse avec force, en nous a
r ! ne me reveillez pas ! je suis bien ainsi ! De 2 à 3 heures, les douleurs sont régulières, efficaces; le travail marche rég
le toucher devient douloureux. A 3 heures 1/2. la tète s'engage; la douleur du côté reparaît, elle s'étend bientôt â la régio
paraît: son attention ne peut plus être fixée : elle s'anime á chaque douleur nouvelle, en laissant échapper de longs gémisseme
re parturiente à l'état de veille, si nous mesurons l'intensité de la douleur aux manifestations extérieures qui semblent l'exp
moment de l'état somnambulique dans lequel nous l'avions placée; les douleurs ont été impuissantes à la réveiller: les paupière
e la dilatation du col. elle supporte très impatiemment ses premières douleurs , avec les exagérations propres à sa constitution
de veille, bien que le sommeil n'ait point été interrompu, et que les douleurs apparentes qu'elle manifestait ne l'aient point é
ccouchement. Bien qu'elle eût paru ressentir vivement les dernières douleurs de la période d'expulsion, aucun souvenir de cett
issait les malades, et plus spécialement ceux qui étaient atteints de douleurs locales ou d'affections du système nerveux, par l
la tête, le cou, la nuque du patient et sur les parties affectées de douleurs , après les avoir vivement frottées à sa ceinture,
oncernant une opération chirurgicale faite, sans provoquer la moindre douleur .sur un patient hypnotisé dans le ser-vice de M. P
la suggestion pour pratiquer certaines opérations chirurgicales, sans douleur et sans chloroforme, sur les sujets prédisposés.
roduisis de la somno-lence. Il résulta de cette première séance une douleur vive dans la région breg-manque, qui dura jusqu'a
lus eu de cauchemars. Elle n'a plus ressenti de maux de tête, ni la douleur bregmatique. Je l'hypnotise et lui suggère de n
de médecin ; à tout instant elle vomit du mucus et elle manifeste une douleur épigastrique vive : sa soif est extrême. Elle dem
ituai de suite un traitement destine à combattre les vomissements, la douleur épigastrique et l'insomnie. Glace à l'intérieur
suggéré. La malade est calme, elle ne vomit plus, elle n'a plus de douleur épigastrique, et elle mange suffisamment; céphala
e pour vous soigner. » Vous continuerez a ne plus avoir de soif, de douleur de tête, d'insomnie » et de cauchemar. » Le 4
s mouvements provoqués par l'amour, la colère, le dégoût, la peur, la douleur , sont des réflexes psychiques. Les exemples de ce
de croix, et de baisers donnés à la terre (i). Cette expression d'une douleur profonde et intense s'est révélée chez le même su
des symptômes d'une intoxication iodique grave: coryza, larmoiement, douleurs dans les yeux, toux, nausées, sialorrhée. respira
u scrotum. Sous l'influence de cataplasmes laudanisés pour calmer les douleurs , il s'est narcotisé et a dormi dix-huit heures su
ets sont indifférents, tout se borne à une sensation de contact ou de douleur ; la décharge se fait aux dépens de l'accumulateur
es plus solennelles, la honte et le danger auquel ils s'exposent, les douleurs physiques qui les atten-pent, les châtiments dont
nt de plus en plus facile. Le 9 mai, le malade souffrait de violentes douleurs d'estomac. Il avait eu une nuit très mauvaise. Su
est même digne de remarque et je ne sais trop comment l'expliquer. La douleur doit être très violente, comme cela a toujours ét
tténuée, comme on entend les cris d'une personne dans le lointain. La douleur existe, j'en suis sûr, mais le cerveau ne la perç
gère qu'elle aura ses règles le 9 octobre (vingt-huitième jour), sans douleur ni malaise précurseur, et que ses règles dureront
es crampes, le 3o quelques pertes blanches, le 1er octobre de légères douleurs abdominales, mais les règles n'apparaissent pas.
es sont peu abondantes, durent trois jours et ne s'accompagnent ni de douleur , ni de malaise précurseur. En résumé, une dame
conformés. La sensibilité générale est très bien conservée. Pas de douleur provoquée dans les régions bregmatiques, sous et
ormir. La névralgie céda rapidement. Toutefois, de temps â autre, des douleurs survenaient et le sujet, habitué à être soulagé i
lle n'accuse encore rien. — A4 heures 19. interrogée, elle accuse une douleur à l'épaule, au poignet et au coude droits ; cette
accuse une douleur à l'épaule, au poignet et au coude droits ; cette douleur , qu'elle qualifie piquante, est exagérée par la p
mouvoir moins facilement que l'autre. A 4 heures 29, elle dit que la douleur est un peu moins intense. Je constate alors que t
ulations seules du poignet, de l'épaule et du coude manifestent de la douleur à la pression. A 4 heures 28, je la réveille. I
ie des membres et l'abolition du sens musculaire. A 4 heures 31, la douleur est plus vive à la pression dans le poignet que d
e, l'émétique une sensation d'oppression, l'eau de laurier-cerise des douleurs articulaires avec anesthésie du membre supérieur
pières closes, on commence les suggestions thérapeutiques. S'il a des douleurs , on lui dit que la douleur est supportable, qu'el
es suggestions thérapeutiques. S'il a des douleurs, on lui dit que la douleur est supportable, qu'elle diminue, qu'elle a dispa
une anesthésie, une paralysie. Il convient d'ajouter au malade que la douleur , la paralysie auront diminué ou disparu au réveil
s de ma pratique. Il s'agissait d'un rhumatisme articulaire aigu avec douleurs très vives. Je ne donnai aucun médicament: je dét
nai aucun médicament: je déterminai un léger degré d''hypnotisme; les douleurs diminuèrent immédiatement et il y eut une légère
Amélioré Guéri Rien obtenu Rhumatisme articulaire chronique 3 3 3 Douleurs rhumatismales a i3 Sciatique IO 3 7 » » Goutt
ndormir ses mal ad.'i par la morphine ou le chloral pour soulager ses douleurs , au lieu de recourir à l'hypnotisme. La lecture
contracture provoquée, les mouvements automatiques, la suppression de douleurs , etc.. démontrent d'une façon irréfragable que l'
10. Elle dormait. Or, le matin, elle avait été prise à 9 heures 45 de douleurs de tête et était restée dans un état de somnolenc
t de cinq kilogrammes. En même temps que la boulimie, il existe une douleur a la nuque très violente qui, tout en s'atténuant
es premières agressions du refroidissement se trahissent par de vives douleurs élisant pour siège les membres. Puis se manifeste
, on se heurte fortement contre un obstacle imprévu, on ressent de la douleur , de l'engourdissement, la sensibilité est diminué
observations : « Mal de Pott. — Accident de compression médullaire. — Douleurs sciatiques. — Méningite tuberculeuse. — Vomisse-m
gauche à partir de la hanche, d'hyperesthésie de la région lombaire ( douleurs (1) Plusieurs de nos lecteurs nous ont. à diver
les moyens mis en usage. — Obs. XXXVII : Pelvimétrite chronique avec douleurs intolérables. Depuis trois mois. Mme passe ses jo
la première suggestion, on peut presser sur le ventre sans causer de douleurs . Citons encore l'observation L, dans laquelle un
n de l'hypnotiseur soit indispensable. J'ai constaté qu'un excès de douleur peut interrompre le sommeil hypnotique. En outre,
te d'argent ou de teinture d'iode et nous obtenons la cessation de la douleur , croyons-nous avoir produit une action calmante s
n acte d'inhibition; c'est à ce dernier qu'on doit la cessation de la douleur . De même dans l'hypnotisme on a une excitation ré
bjet en métal ne contenant pas d'or : le contact n'a rien produit, ni douleur , ni brûlure. Voilà donc, cher cet homme, un fai
endant l'accouchement est d'amener l'anesthésie. La suppression de la douleur pourra être obtenue soit par simple léthargie, so
que la suggestion est mal ou incomplètement acceptée, ou à ce que la douleur utérine fait passer soit de l'état léthargique ou
ccouchant en souffrant dans l'état second ne se rappellent plus leurs douleurs dans l'état premier : on peut conclure à tort de
. chez les esprits facilement impressionnables, pourront atténuer les douleurs . L'emploi de cette méthode est à conseiller, car
cins Avaient découvert la marque du diable, la région insensible a la douleur . C'étaient, hélas! nos confrères, les docteurs et
pects qui se montraient sur le corps, et si l'accusé ne criait pas de douleur pendant cette opération, ils en concluaient que l
nouvelle espèce d'insomnie. Tranquille repos de nuit et absence de douleurs : voilà deux signes presque infaillibles d'une pa
pieds, le quatrième orteil est aussi long que le gros. Il existe une douleur sus-mammaire et iliaque gauche très nette a une p
est sombre, elle ne répond presque pas aux questions: elle accuse des douleurs dans la région précordiale, dans le ventre, dans
t grave. Inefficace, car l'enfant terrifié se soucie plus d'éviter la douleur que de se corriger. C'est le contraire du but qu'
maître et s'il en est aimé. Nous voulons qu'il éprouve une véritable douleur d'avoir offensé son maître et non la crainte de l
74 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
ourrait faire croire à l’entente cordiale des sciences pour bannir la douleur de la terre, l’exiler de l’humanité. L’éthcr a vu
ouï la renommée inconstante proclamer sa déchéance; mais l’empire des douleurs a tant de charmes pour lui qu’il n’en voulut poin
ier? N’est-ce pas le rôle de cet agent physique qui calme aussitôt la douleur des yeux, causée à l’improviste par quelque subst
t sur l’estomac de la personne malade ou sur la partie du corps où la douleur se faisait sentir. Son action ainsi dirigée a pro
e inexact des opérations du mois, qu’il avait parlé d’opérations sans douleur qui, en réalité, ne furent pas faites ainsi. M. E
velle se répandit qu’il était possible d’obtenir l’insensibilité à la douleur par l’exhalation de la vapeur d’éther, j’en fis l
ses parents l’avaient laissé faire. 11 avait de fréquentes et vives douleurs dans la poitrine et entre les épaules, une maigre
r, le teint mêlé. Magnétisé pour la première fois chez moi pour une douleur vive et subite au cœur, il ressentit immédiatemen
nt les hémorroïdes avaient disparu. Pressentant que cette soif, ces douleurs de poitrine, cette toux sèche qui le faisaient tr
, produisait toujours un bien-être indicible. Sous ma main toutes les douleurs de poitrine disparaissaient et mettaient chaque j
s fois que je posais la main sur la région du foie, il ressentait une douleur vive et aiguë dans tous les muscles mastoïdes dro
, se plaignait d’éprouver chaque jour, en vaquant à ses affaires, une douleur subite an cœur et à l’estomac qui lui coupait la
tant ses deux mains sur le ventre il assura y éprouver les plus vives douleurs . C’est en vain que je voulus le débarrasser, à pe
lui procurèrent pendant un mois un cours régulier et sans la moindre douleur , mais ensuite les selles devinrent si fréquentes
outre depuis un mois à peu près il se plaignait de vives et cruelles douleurs dans les articulations, surtout celles du fémur e
perçois, je la questionne avec intérêt et elle m’avoue la cause de sa douleur qu’elle avait d’abord essayé de me cacher. Je lui
ctionne ces organes, et bientôt s’y développent sous ma main de vives douleurs , ainsi que du côté de la rate; des borborygmes té
éance dure une heure. Au bout de cinq ou six jours les plus violentes douleurs du ventre ramènent les règles plus abondantes que
loche pleine d’eau de la grosseur d’une noix qui y cause la plus vive douleur ; M11' V. est obligée de la percer, et la plaie y
imple de pansement pour toutes sortes de plaies. Peu à peu toutes les douleurs symptomatiques cessèrent, la fièvre tomba, le som
ille âgée de 28 ans; tremblements nerveux, faiblesse dans les jambes, douleur près du cœur depuis douze jours, — 10 séances, —
is formé depuis cinq jours; après la première séance, cessation de la douleur ; encore deux séances, — guérison... En août...
Filie de 28 ans, inflammation à la joue droite, enflure, chaleur avec douleur depuis deux jours, trois Séances, — guérison...
rendu de l’eau mélangée de sang et de matières... Homme de 55 ans, douleurs atroces de névralgie sciatique, les douleurs ont
es... Homme de 55 ans, douleurs atroces de névralgie sciatique, les douleurs ont beaucoup diminué après la cinquième séance :
2° Bertrand Tachaire, mon cocher, éprouvait depuis quelques temps une douleur à la nuque, aux épaules et le long de la colonne
44, et de son contenu, relatant un cas d’opération chirurgicale sans douleur , sous l’influence mesmérique, pratiquée par le do
icace et salutaire de l’agent universel, qui, bien dirigé, atténue la douleur , adoucit l’approche de la destruction, et qui, fa
jeton, elle sent ses besoins, en est avertie par l’instinct et par la douleur . 0 nature, que tu es belle et grande ! Le médec
lui est souvent arrivé de tomber en marchant. Bientôt survinrent des douleurs aiguës aux articulations, et à la suite de certai
ieurs). A TOME VI. — ÏO. — 25 MAI 1818. 0 la cinquième séance les douleurs avaient cessé, et la faiblesse diminuait au point
ien des observations intéressantes, et néanmoins l’insensibilité à la douleur existait, ou était très-facile à provoquer. Quelq
ue universellement admis. Ceux qui doutent de ces effets sont de purs douleurs de profession, une impuissante et peu honorable c
uinzième heure, je fus appelé à son chevet. Le malade souffrait des douleurs vives dans la région du cœur, et respirait avec u
sa chambre, il me salua d’un tendre sourire, et quoiqu’on proie à des douleurs physiques aiguës, il parut, moralement du moins,
if. Le résultat de la loi violée1 est l’imperfection, l’injustice, la douleur positive. Grâce aux empêchements apportés par le
ation de la loi devient jusqu’à un certain point praticable. Ainsi la douleur qui est impossible dans la vie inorganique est po
. P. Mais en vue de quel résultat satisfaisant la possibilité de la douleur a-t-elle été créée? T . Toutes choses sont bonn
xister. De là suit la nécessité de la peine dans la vie organique. La douleur de la vie primitive sur la terre est la seule bas
t un art cher aux grands cœurs, On abreuva tes jours d'outrages, de douleurs , On couvrit ton chemin de ronces et de pierres!
lques moments, et se réveilla considérablement soulagée de son atroce douleur , qu’une seconde magnétisation, le lendemain, fit
ce eut un égal succès sur la mère de ce petit malade, à l’occasion de douleurs lancinantes du globe oculaire, accompagnées de cu
e côté. En moins d’une heure la présentation de ma main fit cesser la douleur , qui ne revint plus, mais l’enflure fit encore qu
mposition de ma main, durant environ trois quarts d’heure, amortit la douleur , causa de l’assoupissement, et la malade ensuite
"'c 15.... avait une fluxion du même genre, mais avec complication de douleurs d’oreille du même côté, mal du sommet de la tête
eure il y eut engourdissement de la jambe et cessation momentanée des douleurs . Le lendemain, j’allai répéter celte expérience c
ns, et il a suffi de quelques jours pour faire cesser tout à fait les douleurs ; mais l'enflure n’est que diminuée, et j’ai fait
atif, les deuxièmes sont ceux qui connaissent d’avance et par quelque douleur ou mal-être un changement de température prêt à s
depuis ce temps dans le ventre et surtout dans les côtés d’horribles douleurs dont le retentissement se fait sentir jusque dans
gt-deux ans, elle avait joui du privilège d’une constitution robuste; douleurs , malaises lui étaient étrangers. C'est à partir «
e temps que le cours menstruel resta complètement suspendu et que les douleurs de côté s'étaMirent ’t tic h quittèrent plus. Au
blesse, même manque d'appétit, même privation de sommeil, enfin mêmes douleurs et surcroît de maux de tête. Au mois de juin 18
atiquée sur elle. Elle me dit n’avoir pas de termes pour exprimer les douleurs qu’elle lui fit éprouver.Trois semaines après ell
fin du mois de janvier, elle me dit éprouver dans le côté gauche des douleurs très-aiguës qui devenaient intolérables chaque fo
et autres matières ressemblant à du blanc d’œuf. Depuis ce temps les douleurs de côté cessèrent et n’ont pas reparu. Trois sema
-être le plus désirable de tous pour la race actuelle, si exposée aux douleurs . Cet accord est une transition à un état de chose
des facultés ultra-humaines ; telle sera celle de garantie contre les douleurs et réduction de la souffrance à très-peu de chose
conque, soit une fracture et amputation de membre, l'intensité (les douleurs sera réduite de ce qu elle est aujourd’hui en par
s d’emploi où il servirait à rendre insensible la partie exposée à la douleur .Ce serait une paralysie très-heureuse que celle
endant letempsde l'amputation, et qui se maintiendrait au siège de la douleur pendant toute la durée du mal. Combien nos goutte
ux spéculativement, puisqu’il nous démontre que l’agent absorbant des douleurs existe dans la nature. Je le nommerai feutranscen
qui donnerait au fluide vital assez d'activité pour lutter contre la douleur . Ce fluide, lorsqu'il sera au degré d’activité né
tif, un défenseur intrépide, qui se portera sur tous les points où la douleur nous attaquerait et suflira à la tenir en échec,
sont pourvus qu en dose très-faible et incapable de lutter contre la douleur , moins encore de la surmonter et l’absorber, quoi
froides : il y a insensibilité physique, ce qui permet de faire, sans douleur , des opérations chirurgicales. — Au troisième deg
tait revenue, mais il se sentait dans les bras et dans les jambes des douleurs tellement fortes, qu’il ne pouvait plus ni travai
le ou physique, peu importe; c’est une force qui calme, qui apaise la douleur ; qui remet les esprits; qui fortifie l'organisme
énéreux! mourez; telle est la règle du codex. Mais nous éprouvons une douleur de plus que ceux qui vous regrettent et vous pleu
a vie est peu certaine, car de toutes parts des causes incessantes de douleurs l’environnent, et il faut que sans relâche il s
sordres plus graves. La fièvre apparait-elle avec ses agitations, ses douleurs , ses angoisses, qu’aussitôt on veut l’enrayer, et
e l’organisme entier contre la cause de la maladie. L’oppression, les douleurs sont déterminées par le travail de coction qui do
C’est presque à désirer mourir tout de suite pour s’affranchir de la douleur et des peiues de ce monde. Les prêtres païens p
et vivent aux dépens de notre pauvre machine. En sorte que les mille douleurs , les affections multiples dont nos organes sont v
ur des lois invariables, soit applicable à toutes les souffrances. La douleur physique et morale ne sera-t-elle pas toujours le
y aura toujours des pauvres parmi vous! avec et sans 1? pauvreté, les douleurs et les maladies, avec ces fléaux de la vie terres
érente nature des agents qui constituent l’ensemble de notre être. La douleur , pour nous n’est qu'un avertissement, un appel qu
avertissement, un appel que la nature nous fait. Mais qui jugera les douleurs de lame? Comment ce qui n’est point matière peut-
maçons, et centralisaient la voix de plusieurs personnes, accablé de douleur et d’ennuis, il m’a fallu toute la force d’âme d’
frances. Ainsi, il se pinçait,je suppose, au bras ou à la jambe et la douleur de ce pincement m’était réfléchie instantanément
du corps. Quand je dis qu’il se pinçait ainsi pour me transmettre la douleur qu’il éprouvait, c’est une supposition que je fai
te. En effet, il est bien difficile, ce me semble, en se figurant une douleur , de la reproduire aussi correctement que si elle
fliger ; ce qui me fait présumer que s’il était obligé d’éprouver une douleur pour m’en réfléchir plus vivement la sensation, i
n que je n’approuve, ou plutôt que je ne comprends pas. Il dit : « La douleur qui est impossible dans la vie inorganique est po
abord peut-onêtre susceptible de plaisir dès qu’on cesse de l’être de douleur ? Si nous ne sentons plus ni peine ni plaisir, pe
s mouvements pouvaient impri- mer à ces lions ; il en résultait une douleur constante vers les pnrlies comprimées, lîans cet
n positive; était-ce parce que mon magnétiseur re sentant lui-même la douleur que je m’imposais, dirigeait malgré lui son atten
éprouver. Ainsi jeme pinçais dans l'espoir de lui faire ressentir la douleur ; mais je n'ai jamais su d’une manière positive si
nséquence qu’il faisait sur lui-même cet essai pour m’en réfléchir la douleur , car comment expliquer ces instants de répit qu i
était fort différente de la mienne, puisqu'il forçait ou diminuait la douleur à son gré suivant le courage qu’il se sentait pou
agnétisant, des maux, même graves, cesser comme par enchantement, des douleurs intenses disparaître comme si on les enlevait ave
esseur de Strasbourg, si je croyais tout ce que je vois ; j'aurais la douleur d’avoir consumé mes jours dans le travail pour ne
rancs, qui ne souffrait pas le plus léger contact sans une violente douleur ; toute espèce d’intuition était circonscrite dan
un rapport si intime, qu’ils ont conscience de près comme de loin des douleurs qu’il éprouve. Leur instinct les pousse à s’occup
telle, que les opérations chirurgicales puissent être effectuées sans douleur ; mais il ne charlatanise pas le mesmérisme : il n
dans cet état, le patient ne sentait pas exactement le même degré de douleur . « C’est pourquoi, prenant un enfant, il le mil
sements.) « Il n’est pas l’avocat de l’insensibilité. Il regarde la douleur comme un messager de grâce; c’est la sonnette d’a
elle sentait ces choses, comment admettre qu’elle fût insensible à la douleur (i)? II ne paraît pas que les lois de la nature p
lepsie, l’hystérie, les convulsions, les spasmes, la prosopalgie, les douleurs sciati-ques, les céphalalgies, etc., etc.» Le c
ecte l’hôpital spécialement aux opérations chirurgicales à faire sans douleur , des maladies internes y ont été traitées magnéti
lité du mesmérisme au traitement des maladies, et à la prévention des douleurs traumatiques. Nous nous bornons à la traduction
me les jours précédents, il affirma avoir bien dormi, et ne sentir de douleur nulle part. Grande fut également sa surprise, qua
dépit de n’avoir point été opéré chez lui. « Le 7, il n’a pas eu de douleur locale depuis la première demi-heure qui suivit s
que tout était fini; et, contrairement à la coutume, il ne sentit de douleur dans la partie que dix minutes après qu’il fut
artie, ou : Je la sens. » 11 eut un accès de fièvre la nuit, et des douleurs de reins; mais le tout disparut bientôt, et la ci
xions, 161, 173, 278, 353. Hypertrophie du scrotum. —Opération sans douleur , 375. I. Intuition médicale (de l'). — Disser
75 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
une sciatique commençante, à un moment où le malade n'éprouvrait de douleur qu'au niveau du point fessier inférieur. II.
e sur la cuisse sont des positions favorables à la diminution de la douleur . Or, dans la station verticale, cette double fl
A la suite d'une pulvérisation de chlorure de méthyle, lorsque la douleur a été instantanément abolie, le malade se refus
aveleux, chez qui la névralgie sciatique était caractérisée par une douleur étendue depuis l'échancrure jusqu'au creux popl
la pluie, la neige ou le vent. - Il y a cinq mois il ressentit une douleur sourde dans le membre inférieur gauche ; il en
est' 24 CLINIQUE NERVEUSE. impossible de douter que ce ne fût une douleur sciatique. Elle se produisit, peu à peu, d'abor
son pied se tournait en dedans. Le ~matin seulement, au réveil, la douleur avait disparu, et le pied reprenait sa directio
ouleur avait disparu, et le pied reprenait sa direction normale. La douleur augmentant de jour en jour, on lui permit de tr
croyait guéri, il recommença à faire ses courses. Immédiatement la douleur le reprit, plus intense que précédem- ment, mai
e. Il est à noter également que tous les jours. n'amenaient pas des douleurs aussi fortes. Parfois même une journée se passa
e de perdre sa place, le malade ne voulut pas prendre de repos. Les douleurs redoublèrent. Avec elles réapparurent la boiter
gnostic de sciatique. Après un séjour d'une semaine à l'hôpital, la douleur et les phénomènes concomitants avaient totaleme
rtit le 8 mai, à midi, se croyant guéri ; mais dès le même soir, la douleur , la boiterie, la rotation forcée en dedans s'étai
arcourt du doigt avec une précision anatomique irréprochable. Cette douleur est exaspérée par la pression d'un point quelco
es urines sont normales. En raison de la trop. grande intensité des douleurs , on renonce à examiner l'attitude du malade deb
nes de pointes de feu. Jusqu'au2juin, le mal ne fait qu'empirer. La douleur est incessante A partir de cette date une certa
ation se fait sentir. Le 1t juin, un grand progrès est réalisé. Les douleurs ont dis- paru pendant le repos. Elles ne réappa
nt, au moins en apparence, une tonicité exagérée. Le 17 juin, une douleur assez aiguë se fait sentir au niveau de l'artic
gauche. Le malade renonce à se lever. Le 19, il accuse une nouvelle douleur , cette fois dans le genou gauche; il lui est im
aie de faire quelques pas, mais c'est au prix de grands efforts. La douleur , nettement localisée au genou, à la partie moye
ion du jambier antérieur et des péroniers latéraux. Le 21 juin, une douleur semblable à celle du genou gauche occupe le gen
dose de 6 grammes. Le 22, amélioration sensible. Le 23,1e 24, les douleurs articulairesdiminuent progressivement. Le 25, e
se fatigue promptement. Le 30, la guérison parait confirmée. Les douleurs spontanées ont cessé de se faire sentir depuis
postéro-externe de la cuisse réveille dans ces points les anciennes douleurs . Il est incontestable que le malade dont on vie
ique très intense était suffisamment déterminée par le trajet de la douleur et ses points d'intensité maximum. D'autre part
l. Puis, le mode du début, les intermittences, l'amélioration de la douleur sous l'influence du pre- mier traitement doiven
et même s'étendre à certains muscles du plexus lombaire, comme la douleur elle-même. 3° Il y a des sciatiques qui s'accom
nhérentes à la névralgie elle-même, particulièrement au siège de la douleur et plus encore au fait que la sciatique est ou
est légèrement fléchie sur le bassin, et la jambe sur la cuisse. La douleur spasmodique de tout le membre inférieur rend à
ent de se dérober sous lui. A. partir de ce moment il ressentit des douleurs aiguës, sem- blables à de violentes névralgies,
t au talon. Ces dou- leurs arrivaient brusquement, à la manière des douleurs fulgurantes et s'éteignaient lentement et progr
Un traitement par l'électricité améliora beaucoup la situation. Les douleurs devinrent moins fréquentes et moins violentes.
eçoit comme un coup de marteau dans la nuque et se ressent de cette douleur pendant plusieurs jours, chaque fois qu'il tent
i eu pendant longtemps, mais pas constamment, des dou- eurs au dos, douleurs rongeantes dans la région lombaire supé- 44 CLI
t trois pas sur un cheval ; je perdrais connaissance. Je sens une douleur à la nuque et à l'occiput (cervelet) jus- qu'au
ande, dyspnée, râles sibilants dans toute l'étendue de la poitrine; douleur très vive à l'hypogastre, s'exas- pérant par la
eps fémoral. Bromure. 29. '- Dyspnée intense, sensibilité émoussée, douleurs fulgu- rantes dans les membres inférieurs ; dou
lité émoussée, douleurs fulgu- rantes dans les membres inférieurs ; douleurs en ceinture au niveau de l'hypocondre. T. 38°,4
nze heures par le cathétérisme. T. 37°,8, m. p.- Le 2. Somnolence ; douleurs en ceinture. T. 38°,6. Le 3. Rémission légère d
a plaie du sacrum s'élargit encore. T. 38°. Potion tonique. Le 9. Douleurs en ceinture; l'eschare s'élimine ; incontinence
llre Degeneratioa, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 53 douleurs dans les oreilles, ce qui arrive souvent à ceux q
l'air comprimé (bon nombre d'autres ouvriers tubistes souffrent de douleurs dans les muscles, surtout des bras et des cuiss
ns étaient toujours libres- d'autres troubles faisaient défaut, ces douleurs disparais- saient habituellement après deux ou
nt six heures de suite jusqu'à minuit, l'ou- vrier a été atteint de douleurs dans les articulations des pieds, vingt minutes
nd boueux, lorsque, immédiatement après sa montée, il a senti une douleur intense aux lombes et un fort engourdissement des
En présence de pareils symptômes survenus subitement et précédés de douleurs lombaires, nous avons admis plutôt l'exis- tenc
s les inter- valles de son tissu. Quant au groupe des différentes douleurs nous'en parlerons dans la suite. Maintenant, qu
nsibilité tactile et musculaire, du sens de la température et de la douleur , la dégénération descen- dante avait, à l'exame
Depuis cinq ou six mois, elle a des points de côté variable, et des douleurs dans la tête, surtout au niveau des tempes. Pas
raison. Il y a deux ans, en avril 1883, elle a été soignée pour des douleurs dans le ventre et à la tête. A toujours été trè
perdu connaissance dans toutes les attaques. Points hystérogènes : douleur au niveau de l'apo- physe épineuse de la deuxiè
ès une perte absolue de la sensibilité, elle a commencé à sentir la douleur du côté gauche seulement. Plus tard, la sensibi
étaient dans la rigidité, et la malade, dont la ligure exprimait la douleur , poussait de temps à autre des cris plaintifs. El
de se rompre. Cette disposition ne parait s'accompagner d'aucune douleur (spontanée ou provoquée). L'incisive latérale a s
sculaire aux quatre extrémités. Intégrité de la sensibilité, pas de douleurs , pas de paresthésie ; disparition des réflexes
pillaire, en particulier dans la neurasthénie profonde avec ou sans douleurs névralgiques, il n'y a qu'un pas. L'observation
enduit saburral de la langue sécheresse de la bouche - nausées - douleurs stomacales vomissements vertiges coliques; sans
be digestif. Par lui, l'intestin devient moins sensible; il dissipe douleur et irritation, chasse l'inactivité cen- trale (
à chaque nouvelle conception. La marche, pénible, occasionnait des douleurs : elle rappelait celle du canard. L'avancement d'
oas iliaque), et la démarche semblable à celle du canard; quant aux douleurs osseuses, elles constituent un signe important
innervés par le radial sont pris; les convulsions s'accompagnent de douleurs . De temps à autre il se produit une tétanisat.i
t médullaires obligeant à interrompre les séances ; exagération des douleurs lancinantes ; mort subite (par paralysie du ner
ui indique le caractère fulgu- rant que peuvent parfois revêtir ces douleurs et men- tionne l'action favorable du salicylate
Cas de Rosens- tein.) A côté de ces névralgies dans lesquelles la douleur est généralement continue, il faut placer, touj
faut placer, toujours dans le symptomatologie du diabète, d'autres douleurs localisées plus ou moins exactement sur le traj
fulgurations revenant par accès, de façon à simuler assez bien les douleurs fulgurantes de l'ataxie locomotrice. 11 y a lon
un fait bien établi. - Mais si l'on peut voir dans le diabète des douleurs fulgurantes analogues à celles de l'ataxie, on
is pourquoi ne pas dire que l'existence, chez les diabétiques, de douleurs fulgurantes analogues à celles que l'on rencont
de dire, c'est que chez un diabétique, vous pouvez trouver : l°des douleurs fulgurantes et diverses dysesthésies, 2° l'abol
l simule la démarche tabétique. Dans ces conditions, la présence de douleurs fulgu- rantes et du signe de Romberg, l'absence
es pseudo-tabes, ou rencontre l'absence des réflexes rotuliens, des douleurs plus ou moins fulgurantes, et enfin un syndrome
r de Feeling). Le malade se plaint en outre, depuis zips mois, de douleurs à caractère fulgurant ne le réveillant jamais p
t 5 ou 6 fois par jour et n'est pas suivi d'hypéresthésie. Pas de douleurs dans les jambes, mais il se produit facilement dè
u'ils sont chauds, ils lui brûlent et il est obligé par suite de la douleur que cela lui fait éprouver de les exposer de no
nts existent aussi de temps en temps aux membres supérieurs. Pas de douleurs à ce niveau. Pas de 320 0 CLINIQUE NERVEUSE.
ête. Rien du côté de l'estomac. Troubles de la miction assez nets : douleurs assez rares en urinant; quelquefois s'il ne se
objets rapprochés. La sensibilité paraît normale au contact et à la douleur . Faiblesse générale extrêmement prononcée. Amai
une période de huit jours environ pendant laquelle il souffrait de douleurs violentes dans l'oreille. Puis celles-ci cessèr
énomène a persisté, presque aussi intense qu'au début. Bien que les douleurs spontanées aient à peu près complètement dispar
ne se sont jamais présentées sous l'aspect si caractéristique des douleurs fulgurantes du tabes, le malade continue à souf
otre homme, mais qui a com- plètement disparu aujourd'hui, et de la douleur à 'la . pression des muscles du mollet, qui per
réaction simple, de ce qui est dû au sens du tact ou au sens de la douleur quand l'excitation devient forte, parce que les
er une forte excitation tactile sans qu'il s'y ajoute un élément de douleur . Tout le monde sait que cet élément existe dans
e temps, la marche est devenue impos- sible. Le malade a accusé des douleurs en ceinture et des douleurs irradiées dans les
impos- sible. Le malade a accusé des douleurs en ceinture et des douleurs irradiées dans les membres inférieurs : le phéno
e d'une émotion morale violente en même temps qu'apparaissaient des douleurs suraiguës ; la dépression représentait le volum
a formation d'une double bosse. On note de plus de la céphalée, des douleurs erratiques et des altérations de la vision. Le
76 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
les parties dans les rapports les plus favorables à la cessation des douleurs . D'après ce que je viens de dire, le rachis per
ent? C'est à l'aide des symptômes. Vous fonderez le diagnostic sur la douleur , l'attitude, l'état des mouvements, l'existence d
ude, l'état des mouvements, l'existence des abcès, la paralysie. La douleur est un signe vague, car elle peut dépendre de bea
onc, un soin particulier d'éviter les mouvements qui provoquent de la douleur , l'immobilité habituelle. Il faut explorer le mal
bcès par congestion. Le seul symptôme dans l'état fonctionnel est une douleur , quand on cherche à redresser la tête. Si nous
ement à ma consultation. La mère me dit seulement qu'il éprouvait des douleurs dans le dos. Soupçonnant l'existence d'une maladi
e contracture ou une contraction instinctive du malade pour éviter la douleur ; tel est le torticolis symptomatique, par exemple
atérales diminuent ou disparaissent à la mort ; elles résultent de la douleur , du siège du mal, d'une complication, d'un abcès
tre pas dans l'énuméra-tion de tous les autres symptômes, oppression, douleur épigastri-que, paralysie, etc., qui différencient
et minutieux que je pus constater par la forme de l'inflexion, par la douleur produite dans les efforts de redressement, par
s de pointe. En renversant le bassin en arrière, je ne produis pas de douleur ; la courbure, il est vrai, ne s'efface pas dans c
nt être combinées ; on aurait alors comme moyen de les reconnaître la douleur du mal vertébral, qui manque dans le rachitisme s
le, les cris de l'enfant dans le renversement du tronc en arrière, la douleur épigastrique, si l'enfant était d'âge à en rendre
ci, les signes d'une forte inflammation, rougeur, chaleur de la peau, douleur , fièvre. On a vu des praticiens éminents s'y trom
gement avec le bistouri. On reconnaît les abcès froids à l'absence de douleur , de saillie caractéristique de la colonne vertébr
lusieurs années, ce jeune homme parut guéri; il ne ressentait plus de douleurs et tous les symptômes fâcheux avaient disparu ; a
moment où je pince les téguments, quoique l'enfant n'accuse point de douleur . Ce mouvement automatique de projection du membre
istaient, à l'époque de son admission à l'hôpital Necker, en quelques douleurs dans les reins et en un affaiblissement assez con
Le mal avait son siège vers le milieu de la région dorsale ; mais la douleur étant rapportée aux lombes, c'est en ce point que
lysie avec la difficulté de marcher, dans le mal de Pott, tenant à la douleur ou à une faiblesse générale ; avec de l'attention
e ce malade n'est pas entièrement guéri, puisqu'il éprouve encore des douleurs lombaires dans le renversement du tronc ; je vous
marchait primitivement en appuyant les mains sur les genoux, que les douleurs très-vives qu'il éprouvait d'abord ont ensuite di
lement à l'aide d'une ceinture. C'est sans doute en faisant cesser la douleur qu'on obtenait ce résultat. Vous voyez qu'il y
gibbosité. Ce malade, animé d'un grand désir de guérir, dissimula ses douleurs . Lorsqu'on s'en aperçut, il n'était plus temps; l
elques-uns de ses symptômes. Parmi ces symptômes, le premier est la douleur . Dans beaucoup de cas, cette douleur se calme apr
ces symptômes, le premier est la douleur. Dans beaucoup de cas, cette douleur se calme après une application de cautères. C'est
é dans le mal de Pott. Ce fait n'a pas la valeur qu'on lui prête : la douleur peut cesser, en effet, et cependant la maladie n'
argument contre l'emploi constant des cautères, c'est qu'on enlève la douleur par des moyens beaucoup moins pénibles pour les m
utérisations profondes. Le premier de ces moyens, c'est le temps ; la douleur disparaît souvent par la marche spontanée de la m
tions du caustique. Le repos, quelques bains ont suffi pour calmer la douleur chez ces autres enfants, dont plusieurs vous ont
cessivement plusieurs autour de la gibbosité, vous calmerez ainsi les douleurs . Si, de nos jours, on a encore fréquemment reco
ine la santé, éprouver, aussitôt qu'il a été ouvert, delà fièvre, des douleurs vives, une inflammation étendue, s'affaiblir grad
usée par les accidents secondaires, c'est-à -dire par l'intensité des douleurs , la fièvre, l'abondance de la suppuration , le ma
d'autres prenant leur source dans l'état général des sujets, dans la douleur vive que cause le foyer. (1) Septième leçon , 2
u bon depuis cette époque ; il n'a pas de diarrhée, n'éprouve plus de douleurs . De plus, la quantité du pus et sa fétidité dimin
ui sont communes à toutes les maladies de ce genre : c'était une vive douleur abdominale qui arrachait des cris à la malade qua
pu rendre compte de ses sensations, elle aurait sans doute décrit une douleur sous forme de ceinture, ressentie à la base du th
douleur sous forme de ceinture, ressentie à la base du thorax. Cette douleur et une oppression habituelle chez cette enfant s'
lutôt dû à un reste d'affaiblissement général, à l'appréhension de la douleur , qu'à une véritable faiblesse musculaire. Le mala
de l'affection osseuse. Il est basé sur les symptômes suivants : I. Douleur . — Elle se rencontre dans les deux formes du mal.
la tête, atteignent le sinciput, descendent sur les côtés du cou, la douleur se fait sentir dans toutes ces directions. De là
s directions. De là la forme névralgique que présente généralement la douleur dans le mal des premières vertèbres. Ollivier, en
bres. Ollivier, en 1826, avait déjà signalé cette particularité. La douleur décroît ordinairement d'elle-même; elle cesse pen
de deux mois à l'hôpital Sainte-Eugénie. Huit jours après sa sortie, douleur à la région mastoïdienne gauche; la tête s'inclin
agé par une application de ventouses scarifiées à la nuque ; mais les douleurs ne tardèrent pas à reparaître, et ce fut alors qu
ffection réside dans une des articulations de l'atlas avec l'axis. La douleur est forte, surtout du côté gauche; il s'agit prob
penchée sur l'épaule gauche, la rotation à droite très-prononcée. Les douleurs spontanées, très-vives, réveillaient souvent l'en
nnée cl a de nouveau cessé après deux mois de durée (juillet 1857). douleurs , et le torticolis est beaucoup moins prononcé. Je
en arrière. L'enfant dort très-peu, est réveillé fréquemment par des douleurs ; mais ses pleurs se calment quand la mère lui pré
diagnostic a-t-il été quelque bouvier. 6 temps incertain. Les vives douleurs ressenties par la malade, cette contraction muscu
posé deux des principaux symptômes de l'affection sous-occipitale, la douleur et les modifications de l'attitude et des mouveme
articulaire ou osseuse est intermittente ; elle est subordonnée à la douleur , à la position de l'extrémité céphalique. Je pa
comprenez ce qui avait lieu : c'était une attitude déterminée par la douleur . Mais, faites-y attention, une cause semblable, s
alors le toucher plus que la vue qui permet de distinguer ce cas. La douleur est un phénomène commun aux deux affections; dans
à déterminer, en raison du voisinage des deux organes : cependant la douleur musculaire existe dans le corps même du muscle, e
laire existe dans le corps même du muscle, et non à ses attaches ; la douleur osseuse est plus profonde que le muscle; elle est
un relâchement des agents du mouvement. Si, dans l'autre maladie, la douleur siège aux attaches des muscles, le diagnostic peu
On n'observe rien, dans les muscles, qui indique une rétraction. La douleur articulaire manque dans cette forme. La plupart
3° L'élément nerveux offre ce caractère particulier, qu'il y a peu de douleurs à la pression et dans les mouvements, soit actifs
n cutanée, entre les mains de M. Duchenne, de Boulogne, a dissipé des douleurs datant de plusieurs mois. k° L'élément scrofule
ux familles, que de supposer qu'elles ne se soient point aperçues des douleurs et de l'impotence inséparables d'un état patholog
dduction sont considérables; je ne puis les étendre sans causer de la douleur . Une pseudarthrose simple ne produit pas cette at
ression des paupières dans ce premier temps lui a causé la plus forte douleur qn'il ait ressentie pendant l'opération. Chez que
ttaient leurs chaussures à talons élevés, elles ressentaient de vives douleurs aux mollets, à cause du raccourcissement des musc
ces deux derniers peuvent fournir une course de plusieurs lieues sans douleur . (1) Pied creux. — Il y a deux sortes de pied c
nsurmontable, et sa distension forcée est souvent même accompagnée de douleur . 2° Le deuxième degré du pied équin est caracté
omie. Le redressement peut être entravé par trois obstacles : 1° la douleur causée par l'application des appareils; 2° l'indo
reils; 2° l'indocilité du malade ; 3° la résistance des parties. La douleur est en rapport avec la résistance des tissus et l
us et la sensibilité du sujet; l'indocilité est une conséquence de la douleur . On peut distinguer trois âges, eu égard aux di
mier degré, la résistance est faible; il n'y a pour ainsi dire pas de douleur , si l'on procède avec la douceur convenable. Le d
venable. Le deuxième et le troisième degrés ne se redressent pas sans douleur à cet âge, si le pied bot est congénial. L'équini
ois ans, les difficultés croissent, si le pied bot est con-génial. La douleur est constante, même avec la ténotomie, quand il s
qu'on fixe solidement au genou. Si le pied bot est accidentel, les douleurs sont beaucoup moindres , mais cependant en rappor
t en rapport avec l'ancienneté de la lésion. Dans l'âge adulte, les douleurs causées par l'application des machines sont toujo
soins de Sheldrake, à Londres; sa mère ne put supporter la vue de ses douleurs ; elle renonça à le guérir. Trancher ce nœud gor
si, en pressant l'intervalle de la section, on fait naître une légère douleur . On traite les lésions accidentelles qui se man
, la durée du traitement quatre ou cinq fois plus longue, la somme de douleurs qu'il produit, les insomnies , les chances d'exco
, de gangrène même, et de l'autre , la rapidité de la cure, la faible douleur de l'opération, ses suites ordinairement si simpl
u corps; des troubles de la locomotion; des lésions de l'innervation, douleurs , exaltation de la sensibilité; un état fébrile; l
ériode de ramollissement des os. C'est alors que l'enfant ressent des douleurs quelquefois spontanées dans les os ramollis. Le m
ée dernière, rachitique dès le bas âge, qui éprouvait encore de vives douleurs quand on imprimait des mouvements à ses tibias, f
gs des membres sont peu déformés; ces os sont flexibles, presque sans douleur , ce qui fait supposer que la période aiguë est pa
tte courbure, dont je fais passer la figure sous vos yeux (1). Si les douleurs persistent, la colonne venébrale peut finir par s
e la gestation, persistant après l'accouchement, était accompagnée de douleurs aux lombes , d'une inclinaison du corps en arrièr
influe aussi, dans ce cas, sur l'attitude. S0 Flexion latérale par douleur . — Très-commune, elle revêt plusieurs formes qui
quelquefois très-prompte ou même subite dans la flexion latérale par douleur , par contracture, comme on en trouve un exemple r
çu la cause d'accidents divers que rien n'avait pu calmer, tels que : douleur habituelle à l'épigastre ou dans un côté de la po
irs par le tassement des os du tronc, donnent très-souvent lieu à des douleurs permanentes vers la base du thorax ou les crêtes
onnel résultant de la compression du foie, de la rate, des reins; des douleurs passagères ont été le seul effet apparent de cett
lexions dues à une contraction involontaire des muscles causée par la douleur , celles qui accompagnent le mal vertébral. Le dia
n rencontre en voulant redresser le rachis. Il n'existe, en effet, ni douleur ni rigidité lorsqu'on imprime des mouvements au t
qu'un des genoux soit légèrement fléchi, si le sujet manifeste de la douleur et se contracte plus violemment quand on fait eff
rte un appareil à levier qui paraît bien fonctionner. Il n'y a pas de douleurs , et l'inclinaison est suffisamment corrigée. Dans
sur les nerfs, sur les parties molles extérieures, cause de gêne, de douleurs , de diverses lésions fonctionnelles, est diminuée
erin (1) rapporte qu'une dame bossue ressentait à une cuisse de vives douleurs dont on la guérit en soutenant son épine. Portai
............... 78 § II. — Diagnostic...................... 79 I. Douleur ...............:.......• • ib- IL Modification d
on latérale par paralysie.............. ib. 3° Flexion latérale par douleur .............. ib. 4° Flexion latérale de compen
77 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
ne me voit pas ; je la pique avec une épingle, elle ne ressent aucune douleur ; on lui demande où je suis, elle dit qu'elle l'ig
avec lui, est agréable au magnétisé, à moins qu'elle ne provoque une douleur trop violente; cette même excitation, produite pa
énéral. cèdent, c'est qu'il suffit que le magnétiseur éprouve une douleur pour que le sujet en contact avec lui la perçoive
; lui faisant sentir à son gré le chaud ou le froid, le plaisir ou la douleur , l'extase ou ta terreur, et cela par simple affir
omènes purement sensit f . Ici. le symptôme culminant accusé c'est la douleur . Par un sentiment de jalousie, et pour appeler su
ze jours consécutifs à la clinique d'Eross, se plaignant, celle-ci de douleurs temporales, celle-là de douleurs intercostales. P
e d'Eross, se plaignant, celle-ci de douleurs temporales, celle-là de douleurs intercostales. Pressées de questions, elles finis
IQUES Par M. J. DELBŒIF paoï-Bssr.i'ft i l'université de liège La douleur est une cause d'irritation. Une preuve en est que
ège La douleur est une cause d'irritation. Une preuve en est que la douleur suggérée peut engendrer des stigmates, des vesica
isme. Alcan, Paris 1887. - Toute lésion organique, accompagnée de douleur , porte donc en elle une cause d'aggravation. L'on
une cause d'aggravation. L'on conçoit, par là, que l'apaisement de la douleur par la suggestion puisse entraîner une améliorati
ras, aux deux épaules), dont l'un était soustrait par suggestion à la douleur , ont manifesté de* réactions absolument différent
me de considérer comme l'une des causes du processus inflammatoire la douleur même. Elle hypnotise le malade en ce sens qu'elle
e-expérience : Si, pendant le cours de l'inflammation, on supprime la douleur , l'inflammation s'arrête et la plaie se guérit.
sie. Je lui fis désigner les points du crâne, sièges d'élection de la douleur , et lui fis la suggestion qu'elle n'aurait pas sa
teuse. En outre, les observation* d'hyperesthésies, de névralgies, de douleurs variées et multiples, mais toujours de cause psyc
ses et névropathiques, et enfin par l'appréhension, la peur de la douleur , la crainte d'une conséquence pénible dont on a é
ce plus ou moins profonde, mais indélébile. Ainsi donc, pourquoi la douleur qui. pour avoir un motif imaginaire, n'en est pas
i la nature de leurs maux. Ils en sont instruits par le sentiment «le douleur qu'ils éprouvent dans les mêmes parties. * Dele
• La plupart des somnambules, ajouie-t-il ailleurs, ressentent les douleurs de* personnes avec lesquelles on les met en rappo
ne les ait vus souvent ressentir, par suite d'un simple contact, les douleurs des malades avec lesquels on les mettait en rappo
vre intermittente. Cinq semaines plus tard, à l'occasion de nouvelles douleurs rhumatismales, on administre encore 2 grammes de
servations suivantes : I. — Mlle M..., très nerveuse, a éprouvé des douleurs névralgiques en différents points du corps, surto
s du corps, surtout localisées dans la hanche droite. Pour calmer ces douleurs , on fit un jour une seule injection de morphine q
, appliquée sur la tempe droite et à doses faibles pour combattre les douleurs névralgiques, produisit également des phénomènes
ampon de laudanum appliqué sur la)oue, à l'extérieur, pour calmer ces douleurs de dents, produit les mêmes démangeaisons que la
stérique, migraines, étourdissements, vertiges, névralgies multiples, douleurs cntêralgiqucs et articulaires, accès de dyspnée,
du sulfate de quinine, à faible dose. Les médicaments provoquent des douleurs gastral-giques si violentes, avec crampes dans le
droit de recourir au chloroforme ou 1 l'hypnotisme pour m'éviter les douleurs de l'enfantement i Telle est la question posée pa
otre scrupule. Le souvenir du texte biblique: • Tu CLfanteras dans la douleur - ne doit point vous^ troubler. L'enfantement est
oral qu'un phénomène physique ; il survit à la naissance, et pour les douleurs dame, conséquence; de la maternité, la médecine n
e qui nous obligerait nous autres, faibles créatures, à supporter les douleurs sans cherchera y porter remède. - Il y a un hom
ne, On sait que plusieurs observations d'accouchements effectués sans douleur pendant le sommeil hypnotique ont déjà; été publi
crise dura deux à trois minutes; il put se relever, mais conserva une douleur à la tète et marcha comme un homme ivre. Dans l
se fait dans la salle voisine. J'ai voulu voir s'il ressentirait les douleurs d'un malade avec lequel je le mettais en contact
'oppresse, le sujet étaii le fait est d'observation courante) pris de douleurs névralgiques à heure rixe, le soir, est-ce aux ch
de la fonctionnalité nerveuse. Ici, le phénomène se traduit par une douleur . Là. il urTe.-Te les caractères du spasme. Dans l
malade n'a pas mille manières d'exprimer sa souffrance. Wk fièvre, la douleur , les troubles secrétaires, l'exaltation vu l'affa
ettes. Quelques observations ont paru montrer que le chloral calme la douleur et provoque le sommeil; aussitôt on administre a
Toutes les attaques sont précédées d'une aura: battements de cœur, douleur sous le sein gauche, puis constriction à la gauch
2 ans. elle cprouva.cn même temps que !j sécheresse de la bouche, une douleur vive avec raideur dans les régions latérales du c
s survint de l'urticaire ci de la lièvre. Tous les quinze '¦•¦un, des douleurs très fortes apparaissaient dans le derrière de la
sé qu'elle était en danger de mort. Plus tard, elle fut atteinte de douleurs clan* lc ;us-Je-ricd ci dons le poignet gauche; d
* lc ;us-Je-ricd ci dons le poignet gauche; dans ce dernier point. la douleur s'est accompagnée de raideur et de rétraction d
S8, cette malade vient nie consulter; elle est languissante, anémiée; douleurs généralistes, malaises constant : ¡1 lui es: impo
r; ne peut toucher ni l'eau chaude, ni l'eau froide qui aggravent les douleurs , ne peut s'approcher du feu, ni icire sa cuisine;
es et les garde-robes ont lieu deux fois par jour, jUtïn et loir. Les douleurs ont disparu. Le* forces sont revenues et l'embonp
une seringue ordinaire. Il éprouva presque immédiatement une violente douleur bientôt accompagnée de pâleur, sueurs froides, et
u l'idée de reprendre ses injections, et qu'il n'avait éprouvé aucune douleur . Je parus surpris de ce changement dans sa déterm
enouvelée : Vous reprendrez vos injections, et n'en éprouverez aucune douleur . » Tout se passa, en effet, comme je le souhait
ctions, lesquelles ne luî causaient plus désormais ni appréhension ni douleur . G... guérit entièrement de son uréthrite au bo
sthésie, il est encore un puissant moyen de soustraire le malade à la douleur et de pouvoir pratiquer sur lui des opérations ch
gnure avec épanchemerr sanguin: il ne se produit» au reste que peu de douleur . Huit jours après, il ressent dans le brns un eng
lements s'accentuent le* jour* suivants et en même temps apparaît une douleur modérée, ayant pour point de départ le siege de l
ble présenter un léger degré d'inflammation. A la palpation lo~-cale, douleur mtnime, pas de gonflement ni des partie* molles n
La main est à demi fermée et ne* s'ouvre que lentement avec peine et douleur . La contractilité musculaire est fortement diminu
pas, ne font pas dormir, n'abattent pas la lièvre, ne calment pas la douleur . Us guérissent, assurent ceux' qui les prônent; à
Elle rentre a l'heure fixée. Mardi 26. — Anni se plaint d'une vive douleur dans la région lombaire, douleur que nous lui enl
ardi 26. — Anni se plaint d'une vive douleur dans la région lombaire, douleur que nous lui enlevons par suggestion. Jeudi 28.
gions orbîtaire et temporale gauches. Elle était caractérisée par des douleurs très violentes, que le malade compare aujourd'hui
s de .douleurs fulgurantes dans les membres supérieurs et inférieurs, douleurs qui se reproduisirent le jour suivant, cessant en
rmillement dans les extrémités, de crampes doulcnrcuscs et surtout de douleurs en ceinture, partant de la .légion sacro-lombaire
lui faire mettre au monde un enfant, sans qu'elle eût à souffrir des douleurs de la ptrturition. n'ayant eu connaissance qu'ell
aucun de mes hypnotisés, parce que j'ai suggéré qu'elle enlevait les douleurs , au lieu de réveiller. Les hallucinations post-
bras, lorsqu'on lui suggère un acte, une pensée, la disparition d'une douleur . 2* Que, pour ce qui concerne les laits. M. Ber
que l'inhibition est complète, que le sujet n'a pas conscience de la douleur et, par conséquent, ne ressent pas de dojlcur : c
t pas de dojlcur : car, d'après ce que nous avons vu. ressentir de la douleur et en avoir conscience c'est tout un. Jusqu'où l'
ition est très profonde. Le fait qu'on peut ramener le souvenir d'une douleur perçue après coup en en donnant la suggestion, fa
puis tout aussi bien suggérer au sujet le souvenir (halluciné ) de la douleur d'une dent arrachée, lors même que l'opération n'
Je lui déclare alors qu'il n'a rien ressenti du tout, pas la moindre douleur , que c'est bien agréable de ne ressentir aucune d
as la moindre douleur, que c'est bien agréable de ne ressentir aucune douleur en pareil cas, qu'il ne se souviendra de rien
es. Azam fait de l'hypnose, empiriquement obtenue, une arme contre la douleur et l'étudié chez une malade célèbre. Il est s
ainsi notablement exagérés, présente une insensibilité complète à la douleur . Quant aux sens, (vue, odorat, ouïe],ilsofTrent u
r moments, il lui semblait qu'elle allait éclater. Elle éprouvait des douleurs , tantôt vives et rapides, tantôt prorondes et dur
1888. elle a été prise d'attaques hystériques caractérisées par de la douleur de tête, des étourdissements, de la demi-perte de
lérotiques. Elle est sujette d'une façon à peu près constante à des douleurs de tête très vives. Elle est d'une grande faibles
thargie. Mes premières suggestions portent sur : Ne plus avoir de douleurs de tûte, d'idées noires et de secousses dans le m
des paralysies multiples chez une autre : ailleurs, une aphonie, des douleurs vives, des vomissements, des insomnies, etc. Je
trop éclairé où elle devait attendre. Tout à coup, elle ressentit une douleur violente dans toute la région frontale et sa vue
mpagnés de contractures généralisées, de pertes de connaissance et de douleurs violentes à la région du cœur, fut délivrée de ce
nce et de douleurs violentes à la région du cœur, fut délivrée de ces douleurs en une seule séance, après avoir été plongée dans
mme l'hypnotisme. La plupart de mes malades furent traités pour des douleurs purement fonctionnelles, tantôt permanentes, tant
algie dans 22 cas, de cardialgie dans 7, de dysménorrhée dans 4 et de douleurs diversement localisées dans 8 cas. Les résultats
ariaient selon le degré de l'hypnotisme. Dans le troisième degré, les douleurs disparaissent constamment ; mais on ce réussit pa
hec complet, tandis que dans un autre coi, chaque séance diminuait la douleur . J'ajoute qu'on doit continuer à suggestionner pe
in temps après la guérison. pour éviter les récidives. Sur 5 ces de douleurs rhumatismales localisées a l'épaule, j'en ai amél
omplet pour le troisième. J'ai ensuite essayé l'hypnotisme contre les douleurs du rhumatisme articulaire aigu chez un malade, ma
tins, dans plusieurs cas, la disparition, pour un temps prolongé, des douleurs post-hémiplégiques de l'épaule. Un cas de spasme
re cas, je pouvais supprimer l'ataxie pendant quelques minutes et les douleurs pendant un certain temps. Chez un troisième ata
ns des articulations. Le malade gardait le lit depuis des années, les douleurs et le gonflement des articulations l'empêchant de
des articulations l'empêchant de marcher. Dès 1« deuxième séance, les douleurs disparurent complètement et, pour la première foi
78 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
soit du rectum, soit de la vessie 5. Existe-t-il, à l'origine, des douleurs , des fourmillements, indi-quant une participation
s deux ans : les premiers symptômes qu'il éprouva consistèrent en des douleurs de tête et en une inflam-mation de la conjonctive
mouvements choréiques ont à peu près disparu ; la malade se plaint de douleurs dans le ventre et en même temps de nausées : en e
ervices non douteux toutes les fois que la chorée sera accompagnée de douleurs dysménorrhéiques ou qu'il importera de rappeler l
ons donc commencer par en donner un résumé succinct. Observation. — Douleur dans la région splénique. — Crises gastriques et
sie incomplète des membres supérieurs, puis des membres inférieurs. — Douleurs dans les mem-bres inférieurs. — Examen du sang. —
après ses couches que commença son affection. — Le mal débuta par une douleur modérée dans la région spléniïjue, à laquelle se
ard se déclarèrent, sous forme d'ac-cès, des symptômes plus accusés : douleurs cardialgiques, vomis-sements bilieux, ictère géné
e brun. Dans l'intervalle de ces crises, l'appétit reste faible et la douleur splénique persiste; la malade accuse une grande f
Dans les mois qui suivirent, on ne nota pas d'autre accident que des douleurs violentes, continues, gravatives dans toute l'éte
ontinues, gravatives dans toute l'étendue des membres inférieurs. Ces douleurs se faisaient sentir aussi bien dans les parties p
s caractéristiques et les plus .constants de la cirrhose, tels que la douleur initiale dans l'hypochondre droit, et le développ
porte), moyens efficaces de provoquer l'expectoration, d'alléger les douleurs de la toux, en môme temps qu'ils activaient la ci
ne remarquable facilité ; elle se caractérise comme symptômes par une douleur sous-mammaire souvent confondue avec une névralgi
s objets ; il rétablit la vue à distance, la vue de près, il calme la douleur , il rend à la vue la persistance. Aussi, quels ac
igidité dans les membres, difficulté à ouvrir la bouche et à bâiller, douleurs dans les mâchoires Au bout de trois jours, le tét
rrivent tous les quarts d'heure ; le jet d'urine est accompagné d'une douleur , allant de l'anus au méat, qui s'accroît progress
, que le liquide est violemment chassé de la vessie, et que les vives douleurs qui succèdent à toutes les mictions se produisent
ner redeviennent fréquentes et sont accompagnées et suivies des mêmes douleurs . Peu à peu l'action de l'électricité diminue; aux
10 octobre, M. X... aune envie violente et persistante d'uriner avec douleur , quoique de l'urine s'écoule par la plaie. — Je p
e sonder lui-même toutes les trois heures. — Grâce à ces me-sures les douleurs cessent. Les jours suivants, la miction se fait
tait indo-lente à la pression et n'avait jamais été le siège d'aucune douleur spontanée. Jamais de battements de cœur. Dans ces
lodisme. L'influence immédiate de l'in-jection s'est traduite par une douleur très-vive qui a duré 15 mi-nutes ; puis, le malad
ent en grande partie revenues. Le malade, du reste, n'accusait aucune douleur . En résumé, la symptomatologie se réduisait à cec
ou-verture. Au moment des époques menstruelles, cette femme avait des douleurs de reins, du gonflement des seins et de la céphal
fort difficile, tant à cause du poids de la masse morbide, que de la douleur qu'occasionnait la pression du pied sur le sol. —
ement en lumière : Io Cette tumeur s'est développée lentement, sans douleur ; elle a acquis un volume considérable et amené l
he. Ses jambes tremblent également beaucoup, il y éprouve parfois des douleurs assez fortes. — Il ne peut marcher ni se tenir de
septembre ; on constata des phéno-mènes généraux assez graves et une douleur extrêmement vive dans l'hypochondre gauche. Le ch
us correspondent « au point où se dévelop-pent des inflammations, des douleurs , des tuméfactions, au fond du cul-de-sac latéral.
l'anatomie pathologique de la lymphangite puerpérale, le siège de la douleur , la théorie de la production des péritonites puer
nts occupaient les points qui avaient été tout d'abord le siège de la douleur et qu'ils étaient sous-jacents aux régions périto
t, que cette oblitération se produise avec ou sans accompagnement des douleurs de la colique néphrétique. Eh bien, Halford 1, Ab
Un symptôme très-important que nous offre encore Elchevery, c'est une douleur siégeant au-dessus de l'aine gauche. M. Briquet a
uleur siégeant au-dessus de l'aine gauche. M. Briquet a donné à cette douleur le nom de cœlialgie, et il en place l'origine dan
Y ovaire qui est en jeu. Quoi qu'il en soit de son siège exact, cette douleur , que j'appellerai hyperesthésie ovarienne, est ju
r l'une des branches de cet arbre; elle éprouva sur-le-champ une vive douleur . Une large ecchymose apparut aux parties génitale
ôpital St-Antoine. L'accouchement se fit naturellement à terme et les douleurs ne durèrent guère plus d'une heure. C'est pourtan
sans qu'elle puisse bien préciser, n'ayant jamais ressenti la moindre douleur dans la région. État de la malade au moment de
ppelée n'arriva que bien des heures après l'appa-rition des premières douleurs ; elle annonça que les choses allaient à merveill
de laquelle deux personnes soulevèrent le bassin. A ce moment, une douleur violente survint, et la femme s'écria : « J'acc
he furent d'abord régulières, bien que la malade se plaignît de vives douleurs . Puis les lochies de-vinrent fétides, et huit jou
t ne revint plus. Trois semaines seulement après la délivrance, les douleurs péri-néales persistant, on en reconnut la cause.
ur le point d'arriver à Nantes, lorsqu'elle ressentit tout à coup les douleurs de l'enfantement. Elle dut s'ar-rêter dans une fe
commissure gauche, qui est tirée en haut. Jamais elle n'a éprouvé de douleurs dans les jointures ou dans la continuité des memb
lonne vertébrale ainsi que les join-tures ne furent le siège d'aucune douleur . C'est dans ces conditions que graduellement le
ible en même temps que l'on provoque dans les genoux une assez vive douleur . Les jointures ne sont du reste le siège d'aucune
exploration des apo-physes épineuses ne révèle ni saillie anormale ni douleur rachi-dienne à la pression. La sensibilité cuta
ant assez longuement la symptomatologie dans différents paragraphes : douleur , tumeur au niveau de la vésicule biliaire, ictère
ment ne doit avoir pour but que d'alimenter le malade et de calmer la douleur . Cette monographie, élaborée avec un soin tout pa
ant ainsi une barrière à la résorption de tout agent infectieux. La douleur occasionnée par le pansement est déjà une objecti
mais eu de maladie avant celle qui le décide à venir à l'hôpital. Les douleurs , la gêne causée par une tumeur ulcérée du prépuce
nécessiter plusieurs fois le catliétérisme pour vider la vessie ; la douleur pro- duite par le passage de l'urine, soit sur
A un premier examen, on ne constate aucune trace de contusion, pas de douleurs notables dans les mouvements communiqués, mais un
poques irrégulières et de plus en plus rapprochées; en même temps les douleurs s'exaspérè-rent dans les lombes et dans les aines
ns la pre-mière journée avait beaucoup gêné la malade, apparurent des douleurs vives dans les deux côtés de l'hypogaslre. Ces so
e garda le pessaire pendant sept se-maines; et, enfin, voyant que ses douleurs , au lieu de diminuer, allaient en s'aggravant de
lie par les souffrances causées par le pessaire et les métrorrhagies.— Douleurs périodiques; anorexie.— La marche est devenue imp
xie.— La marche est devenue impossible, à cause de l'exaspération des douleurs et de la gêne causée par la présence de la tu-meu
que présente madame X. sont les suivants : Sur-tout après la marche, douleurs très-vives au bas-ventre, peu prononcées au contr
lombes. Pertes blanches peu abondantes par l'orifice utérin. — Aucune douleur dans la miction; les gardes-robes ont une régu-la
la pression du pénis sur celui-ci doit être insignifiante. Quant à la douleur causée par le coït, nous l'attribuons au tiraille
essentiel par ce seul fait de l'absence d'une lésion bien déterminée. Douleur et spasme réflexe, voilà donc les deux termes ess
. » M. Yisca examine ensuite les symptômes du vaginisme qui, outre la douleur , détermine encore chez la femme le découragement
oissement, continu, successif, n'a été, à aucun moment, accompagné de douleurs ou d'hémorrhagies, ni de retentissement sur les g
heures, il est pris d'un frisson intense avec tremblement général et douleur an-goissante à la région précordiale : T. R. 37°,
, et toujours elles exercent une in-fluence salutaire sur le symptôme douleur . Ses propriétés sédatives ont été utilisées dans
availle pendant six jours, et est pris subitement de céphalalgie avec douleur violente dans l'hypocondre droit ; il retourne à
iblement, et il ne peut plus se servir de ses mains ; il se plaint de douleurs de tête continues, occupant surfout la région occ
ment chauffée. Après neuf ans de travail, il commença à ressentir des douleurs vagues par tout le corps, et principalement dans
ieur, où l'on avait tenté infructueusement b première injection. Vive douleur au moment où le perchlorure de fer pénètre dans l
ne des coagulations très-étendues jusque dans la cavité de la conque. Douleur très-vive pendant l'in-jection et persistant jusq
alalgie assez violente; 4 pilules. — 6 août. Secousses convulsives et douleurs dans les membres ; la céphalalgie ne s'est pas re
la nuit, et plus marqués dans les jambes que dans les bras; mais les douleurs ont disparu ; la sécheresse de la gorge est très-
s avec une très-grande abondance; elles s'nccompagnent de malaise, de douleurs dans le ventre et dans les reins, et laissent la
et le coït occasionner au niveau du cul-de-sac vaginal postérieur une douleur et une irritation fort vives. On conçoit qu'il pu
amment souffert du bas-ventre ; le col était apparu à la vulve. Les douleurs augmentaient à chaque époque menstruelle, les règ
ements fréquents, verts porracés. L'abattement est plus prononcé, les douleurs abdominales sont plus vives et plus étendues. M.
régulièrement progressive. Quant à la paehyméningite cervicale, les douleurs précoces dans les membres supérieurs, l'atrophie
la lenteur de son développement, elle a pu la supporter sans gêne ni douleur . Sept semaines avant son admission à l'hôpital
le loisir de soumettre cette femme à un nouvel examen. Les premières douleurs se déclarèrent le 15 septembre, à 8 heures du mat
d'une minute le tampon était traversé, puis ce tampon pro-voquait des douleurs , des soulèvements du diaphragme, il était expulsé
le-ci. Le malade souffrit pendant vingt-quatre heu-res, après quoi la douleur se calma et disparut même totalement. Deux mois a
nna pour toute prescription des compresses d'eau de sureau tiède. Les douleurs se calmèrent un peu et, à partir de cette époque,
79 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
; il brûlait la main avec de la cire à cacheter, sans occasionner de douleur ; « 2° L’immobilité des muscles avec roideur té
percer la main et le bras avec des épingles sans donner des signes de douleur , et que l’on pouvait même s’accoutumer à la brûlu
fies mouvements dans le bras droit, et la face donna des signes d’une douleur intense que la somnambule s’efforcait de surmonte
s cadavres même quatre jours après la mort, et qu’il n’y avait pas de douleur malgré l’apparence. M. Friedleben lui fit remarqu
galvanisai. et la face contractée prit l’expression de la plus forte douleur ; les mains se fermèrent convulsivement; j’entendi
ler dans les yeux. Le spectacle affreux de cette fille accoutumée aux douleurs , qui 9e donnait toute la peine possible pour vain
des somnambules reçoit 8 à 12 florins (18 à *26 fr.) pour prix de ses douleurs . Chaque doigt de M. Regazzoni signifie un certain
l’affreux tribut levé sur l’ignorance ! J’ai vu des gens, dont les douleurs étaient insupportables, se laisser écorcher, croy
oyant ainsi adoucir leurs maux. D’autres malheureux, pour apaiser des douleurs d’entrailles, avalaient des breuvages contenant d
rteils..................................1 id. 4. William Keating. — Douleur dans le dos............1 id. 5. Samuel Gibbs. —
y. — Aveugle............................1 id. 10. Daniel Holyson. — Douleur à l’épaule................1 id. 11. Thomas Butt
(Aphonie)................................t id. 13. Thomas Hoges. — Douleur au pied..................1 id. 14. Willi.nns Gi
. — Douleur au pied..................1 id. 14. Willi.nns Gibbons. — Douleurs et froid dans les épaules......................
ine Matthews. — Hystérie....................1 id. 19. Anne Smith. — Douleurs de poitrine................2 Pas. Tome XIV. — N
oile. — Rhumatisme goutteux. 5. Mario Paulin (rue d’Angouléme). — Douleurs névralgiques de la face i. Henri Pierre (Cité d
quatorze séances. « Je soulfrais depuis bien des années de cruelles douleurs causées par une violente inflammation de l’épine
s : « M. Capern m’a magnétisée la tête seulement six fois, et les douleurs que j’éprouvais ont disparu. Je suis heureuse de
noncer et en même temps de le recommander à votre chère mère pour ses douleurs . > I.e 11" ?> est une domestique demeuran
ait : « Monsieur Capern, « Je souffrais depuis assez longtemps de douleurs dans le côté, auxquelles s’était jointe une grand
fait aimer sa délicieuse création de Maria Fauveau, nous a épargné la douleur de lui voir trancher la tête. Kl le est étendue s
la vérité. » Vous, M,n0 Hérold (1), qui étiez retenue sur un lit de douleur depuis plus de quatre mois, les soins de toutes s
rien n’a pu vous arrêter, vous avez marché comme quatre, sans que la douleur vous reprît. Vous avez proclamé votre guérison
apparence si peu puissantes, suffit souvent pour faire disparaître la douleur et le gonflement, quelque considérables qu’ils so
es yeux étaient ordinairement levés vers le ciel avec un sentiment de douleur et de privation. Quand le voyant en formulait tac
aucoup en faveur du magnétisme dans ce pays. Il était atteint d’une douleur de dents si violente, qu’il prétendait que pour u
agent curatif est favorable dans les accouchements pour diminuer les douleurs et faciliter le travail. Dernièrement j’ai fait
du propriétaire en question tomba malade, se plaignant, dit-on, de douleurs qui !,■>. piquaient comme des épingles. Toute
magnétique. M. Durand apprit à la chirurgie un moyen de suspendre la douleur physique pendant de cruelles opérations ; quand l
la science le voudra bien, il ne restera plus dans l’humanité que les douleurs morales! Celles-ci sont quelquefois nécessaires,
e Gérant : HÉBERT (de Garnay). CLINIQUE. EXTRACTION DE DENTS SANS DOULEUR . Mon très-cher ami Hébert, Je vous transmets
nnait la carie d’une grosse molaire; je magnétisai cette dame, et les douleurs cessèrent presque instantanément; mais au bout de
u’à la plus petite parcelle sans que Mmc Touchard éprouvât la moindre douleur . Votre tout dévoué et sympathique élève. J. G
r le terrain du magnétisme, à l’occasion d’une daine qui souffrait de douleurs névralgiques, on eût dit d’une réunion d’adeptes
e livrant à la conversation, se trouvera complètement délivré d’une douleur dans une partie quelconque du corps par la simple
, toute sensibilité va s’abolir. Qu’en subsisterait-il en effet ? Une douleur dont on n’a pas conscience, c’est une douleur qui
erait-il en effet ? Une douleur dont on n’a pas conscience, c’est une douleur qui n’est pas. La conscience supprimée, il ne res
ons donc, dans la journée déjàavancée du 1" décembre, plongés dans la douleur et l’angoisse, quand un de nos amis vint nous voi
nt ému au récit de ce déplorable événement, et que, prenant part à ma douleur de père, il consentit à tenter immédiatement l’ex
mpreinte d’une expression d’idiotisme ; elle accusait constamment des douleurs dans la tête, et était sujette à des congestions
mbre. Depuis son sommeil magnétique d’hier, la malade se plaint d’une douleur perçante au sommet de la tête. Dans la journée, e
astre est encore gonflé et douloureux à la moindre pression. Le soir, douleurs dans les lombes, rétention d’urine. Le 11, urin
de se lève avec des maux de tête atroces; à une heure après midi, les douleurs de tête deviennent intolérables. La malade se cou
Cette cruelle fièvre empira bientôt au point de me causer d’affreuses douleurs dans tout le corps, au cœur, dans la vessie, dans
bien triste figure, étant obligé de jeûner et courbé en deux par les douleurs . Mon frère me conseilla alors d’aller essayer l
he, jour heureux s’il en fut jamais pour moi ! lisant dans mon lit de douleur le Journal de l’Aube, j’y vis qu’un certain M. Fu
somnambule), qui était présente aussi, me conseilla, pour calmer les douleurs atroces que j’éprouvais, des frictions d’éther qu
es que les autres, elle opérait des cures merveilleuses, enlevait des douleurs invétérées, et, pour ce qui me concernait particu
prescrivit vingt minutes de magnétisation; l’oppression cessa et les douleurs se calmèrent aussitôt ; et ayant examiné ma cuiss
ne autre fois que cette même plaie me causait la nuit de si violentes douleurs , qu’il m’était impossible de dormir, j’eus encore
it ce qui m’était nécessaire pour me calmer; cinq minutes après toute douleur avait disparu. Enfin, quelques jours plus tard
douleur avait disparu. Enfin, quelques jours plus tard encore, les douleurs revinrent plus vives que jamais, et telles que je
z les autres comme elle est chez eux.) Vous ne voyez donc pas que vos douleurs ne J>roviennent pas de la même cause que l’a
calmé. Ainsi, remarquez-le bien, messieurs, mêmes symptômes, mêmes douleurs , et exactement du même genre et cependant causes
, toutes mes plaies étaient fermées, et j’étais redressé ; toutes mes douleurs évanouies, la force, le sommeil, l’appétit revinr
ne mort prochaine pour mettre un terme à leur misère ainsi qu’à leurs douleurs . — Plusieurs d’entre eux avaient un âge très-avan
e difficulté, ont en partie recouvré l’usage de leurs membres, et les douleurs qu’ils ressentaient, et qui les faisaient violemm
le bras fatigué d’un exercice aussi violent et continuel, fut pris de douleurs atroces dans les articulations, et une sorte de p
rent interrompues, et la raison n’eut plus aucune atteinte. Mais la douleur ne s’en alla point, malgré les soins de toute sor
remuer le bras dans tous les sens, et soulever des fardeaux. Mais la douleur du coude, qui avait été enlevée dès les premiers
reçut d’un de ses camarades quelques coups de poing sur la tête ; des douleurs vives survinrent dans le crâne et furent suivies
d’un abcès par l’oreille droite, à la suite de laquelle ouverture les douleurs disparurent et furent remplacées par une surdité
CLINIQUE. 1“ Relation d'une opération chirurgicale au sein, sans douleur , i«r «ne jeune fille en état magnétique, par le
, après quoi l’inflammation augmenta en étendue et en profondeur; les douleurs se propagèrent jusque sous l’aisselle. « La fiè
inspirait beaucoup de frayeur, ftl. Ileg ozzoni, pour lui éviter les douleurs du bistouri, la fit passer instantanément au somn
fis l’ouverture de l’abcès, sans que la malade manifestât la moindre douleur ; elle fut seulement un peu efirajée, lorsqu’au ré
ère surprenante, produire même un embonpoint sensible. Ophtalmie et douleurs vagues, suite du choléra depuis onze mois. L’inte
t douleurs vagues, suite du choléra depuis onze mois. L’intensité des douleurs ne laissait ni repos ni sommeil : guérison aprè
ui rendent le calme et le sommeil. Cette jeune fille est en proie aux douleurs d’une fièvre pernicieuse; c’est le second accès d
e 11 de largeur sans que le somnambule donne la plus légère marque de douleur , soit par cris, mouvements ou variation du pouls.
rée par le célèbre chirurgien Jules Cloquct, sans éprouver la moindre douleur d’une des plus cruelles «opérations, celle du can
au sein. Jonglerie aussi ? L’amputation de la cuisse, opérée, sans douleur , en ISA», à Cherbourg, sur une jeune personne, pa
chose à examiner et à apprécier que ce qui suit : u Déplacement des douleurs par la main du magnétiseur. « Valentin Greatrak
eptième siècle, la médecine d’attouchement, et il déplaçait ainsi les douleurs . De nombreuses expériences nous ont depuis longte
dans une crise spéciale; sa main se porte d’elle-même au siège de la douleur ; il opère sans raisonner ses actes; ses forces so
au bobo. Tu seras guéri. » Et les cris de l’enfant s’apaisent ; sa douleur est enlevée. La guérison est due à l’emploi insti
i fis des passes sur la région hypogastrique, d’abord pour apaiser la douleur , et puis pour faire dilater le sphincter de la ve
e s’échappèrent et occasionnèrent, en touchant l’orifice externe, des douleurs tellement cuisantes qu’elles lui arrachèrent des
hommes avaient subi l’amputation d’un membre sans montrer la moindre douleur . Ce fait vrai, puisqu’il s’appuie sur des opérati
t de quarante minutes, un état de coma-vigil, et d’insensibilité à la douleur . 11 continua delà magnétiser journellement, souve
as l’opérateur. M"" Flovverday devint entièrement insensible it toute douleur causée par nue influence mécanique, mais, ainsi q
de sentiment et de mouvement, sans que le magnétisé ressentit aucune douleur . Le jeune Iiomine fut réveillé. Son bras, ave
Il revint dans la soirée à Paris, et alors il commença à sentir une douleur vive dans l'épaule. « Le lendemain, forte cépha
anité souffrante, diminuer le nombre de ses misères et de ses longues douleurs , et parce que nous ne savons pas encore analyser
plication de sa main , dit le savant Georges Rust, il faisait fuir la douleur et la chassait aux extrémités. L’ellel était quel
rme avoir vu quelques personnes guéries comme par enchantement. Si la douleur ne cédait pas d’abord, il réitérait les frictions
e prononce son oracle. Il concorde avec les indices morbides. « Les douleurs , dit-elle, sont sensibles dans le dos, la nuque e
eurs personnes sentirent à la fois des piqûres dans les chairs, et la douleur leur arracha des cris. Les tables furent entraîné
aire davantage au triste spectacle qu’offraient â ses yeux ébahis les douleurs sans cesse renaissantes d’une malheureuse enfant
Souvent encore, ces crises étaient ou précédées, ou annoncées par une douleur émanant, soit du pied gauche, d’une main ou même
ues et par le plus simple des procédés ; il imposait les mains sur la douleur , et la douleur fuyait; il touchait l’œil, et l’œi
lus simple des procédés ; il imposait les mains sur la douleur, et la douleur fuyait; il touchait l’œil, et l’œil qui avait ces
e malade et à, faire des frictions légères de haut en bas. Lorsqu’une douleur était fixée dans un membre, il la faisait descend
es, comme sueurs, évacuations alvines, vomissements, etc. Souvent les douleurs devenaient plus vives lorsqu’il commençait à. agi
surdité, l’hy-dropisie, la pleurésie, des fièvres de tout genre, des douleurs de sciatique, des tumeurs, des cancers, des écrou
ken Nypers guérit réellement des maladies, soulage instantanément des douleurs , pourquoi se refuserait-on à croire que la facult
souffrance. Mais la tumeur s’accrut peu à peu et occasionna de vives douleurs qui s’étendirent jusqu’au coude et finirent par d
uels en ont été les résultats : Après la seconde magnétisation, les douleurs du bras ont cessé, la tumeur a diminué de volume
la tumeur s’est trouvée diminuée des deux tiers. A la neuvième, les douleurs se font sentir jusqu’à l’épaule ; l’appétit est t
gt-huitième séance. — Les règles reparaissent sans occasionner aucune douleur , et durent quatre jours dans de bonnes conditions
geance. Celui qui se croit victime de la sorcellerie, exaspéré par la douleur ou par le chagrin que lui causent ses pertes, sur
ces lignes écrites sous l’empire d’un si profond découragement, d’une douleur si vraie et si juste. Qu’on se représente par la
ta robe de noce en robe « de deuil ; mais que cela ne te cause aucune douleur , que « cela ne te fasse verser aucune larme. 11 y
onneur, 154. CLINIQUE. $ I. — Cas de chirurgie. Opérations tans douleur Ablation d’un sein cancéreux, 477. Extraction
iens. 618. Hallucination. Faits, 39, 455, 630. Insensibilité à la douleur dans l’état magnétique, 169, 352, 368, 478, 521.
; — exaltation de la sensibilité organique, 104, — insensibilité à la douleur , 169, 352, 368, 478, — instinct des remèdes et in
80 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e présente dans les régions lombaire et dorsale ni déformation , ni douleur à la pression. On constate une douleur vive au
dorsale ni déformation , ni douleur à la pression. On constate une douleur vive au niveau de la sixième cervicale, mais sans
alée la veille persiste. Les mouvements passifs provoquent de vives douleurs . L'incontinence d'urine continue; mais il en re
essie ; elle est neutre et un peu louche. Aux membres supérieurs, douleurs spontanées jusqu'au COMMOTION DE LA MOELLE ÉPIN
ons normales. La pression sur les masses musculaires provoque de la douleur des deux côtés. Sur le thorax, sensibilité norm
e droite ; du côté gauche, légère flexion du genou. Persistance des douleurs spontanées qui ont même augmenté dans le bras d
rrhée. Eau albu- mineuse, sous-nitrate de bismuth. 1 le jour. Les douleurs sont plus fortes dans le membre supérieur droit
triceps cruraux est douloureuse, sur- tout à gauche. Il éprouve des douleurs vives quand on passe le bassin sous les cuisses
sivement diaphragmatique- COMMOTION DE LA. MOELLE ÉPINIÈRE. 9 Les douleurs profondes persistent aux membres supérieurs. L'
roite. 0 gr. 02 d'extrait thébaïque le soir. 22e jour. - Moins de douleurs depuis l'administration de l'opium. Les mouveme
bras, plus cependant à gauche qu'à droite. Pris, la veille, d'une douleur vive en cercle autour du bassin et de la racine
des jambes ; les mouve- ments des membres inférieurs provoquent des douleurs dans le bassin et au haut des cuisses, avec une
de de pesanteur. Le talon droit est, par intervalles, le siège de douleurs lanci- nantes qui déterminent des contractions
e du matin 31 ? du soir, 36. 49° jour. Diminution très sensible des douleurs . Tempé- rature du soir 37°,6. 50° jour. Dispa
. Tempé- rature du soir 37°,6. 50° jour. Disparition complète des douleurs . 52° jour.- Impossibilité de fléchir complèteme
urs. 52° jour.- Impossibilité de fléchir complètement les doigts; douleurs très vives dans les articulations phalangiennes,
ulations pha- langiennes. 53° jour. La veille au soir, retour des douleurs autour du bassin et de la racine des cuisses av
la dernière il y a trois jours. 92° jour. - inouvelle apparition de douleurs , avec sentiment de constriction autour de la ra
e longtemps. Température du soir, 40°,1. 121° jour. Même état, la douleur est très vive au creux épigastrique. Températur
illigrammes de morphine. 122° jour. Persistance de la contracture ; douleur épigas- trique moins vive. Température du matin
on provoque des contractions d'une intensité presque nor- male. Les douleurs sont moins vives. Température du matin, 38 ? a;
ature du matin, 38 ? a; du soir, 38°,9. 124° jour. Diminution des douleurs et disparition à peu près complète de la sensat
LA. MOELLE ÉPINIÈRE. 15 tremblement violent des membres supérieurs. Douleurs vives à la face antérieure des bras ; contractu
nts, vertiges, tintouins). Insensibilité complète, au contact, à la douleur , aux impressions thermiques de la peau et des m
l mode d'excitation ; les unes sont destinées à la perception de la douleur , les autres point. La résistance épidermique n'
esque identique, tandis que, en ce qui concerne la sensibilité à la douleur , le front est beaucoup plus vite impressionné,
tives d'a- méliorations et d'aggravations; il y aurait eu aussi une douleur en ceinture avec éruption de zona qui se serait
ychose avait débuté graduellement par de l'agitation accompagnée de douleurs cépha- liquesou par uu stade prodromique de dép
exes patellaires n'ont pas reparu. Le jour suivant, il se plaint de douleurs térébrantes ou de brûlures des plus violentes d
droit (trois jours de durée); à t'age de trois ans, de violentes douleurs de 1'(eil du même côté, suivies de strabisme, de
106 SOCIÉTÉS SAVANTES. nution de volume, de paralysie (durée des douleurs , neuf à dix jours; durée de la paralysie, huit
si polymorphes qu'ailleurs, mais revêtent le caractère de toitures ( douleurs , machines). A la tête, on accuse des sensations
(deux cas); souvent, dans ces entités morbides, une sensation de douleur et de pesanteur dans les membres empêche les pati
, raconte l'histoire d'un aliéné qui se plaignait inces- samment de douleurs dentaires immotivées. Déjà on lui avait en- lev
ena à l'établissement d'ilteti. L'abla- tion d'une dent chassait la douleur dans une autre, qu'elle fût ou non demeurée, un
erce un effet psychique favorable,elle est inévitable dès qu il y a douleur , angoisse, conceptions délirantes, hallucinations
nt tout, entrer en ligne, car seuls ils agissent directement sur la douleur . Un seul mérite d'être usité, c'est l'opium. Ma
is, graduellement, sous peine de collapsus avec diarritéeprofuse, douleurs vagues, empirement de l'état psychique. L'opium
des congestions fluxionnaires, des influences naralysatrices, de la douleur psychique, des ratiocina- lions et préoccupatio
, il resta sur le talus de la voie. 11 ressentit, à la suite, de la douleur dans le dos et éprouva les symptômes du choc du
nts solides et fut incapable de marcher pen- dant dix semaines. Les douleurs de dos persistèrent pendant toute cette période
rent pendant toute cette période, et il s'y joignit également des douleurs dans la tête et dans les membres. Il y eut une
eu; les forces augmentèrent, et il put mar- cher sans aide. Mais la douleur du dos augmenta, l'amélioration générale s'arrê
oc sans plaies ni contusions et ne se plaignit immédiatement que de douleurs dans le dos. Il fit tous ses efforts pour conti
amené une paraplégie immédiate suivie ? au"bbut de' huit jours, de douleurs fulgurantes et dé contractures. Pendant les six
cheval sur le dos; reste sans connaissance et souffre à la suite de douleurs et de raideur dans les mouve- ments de la tête.
accident fut suivi immédiatement de légère raideur. du- cou et de douleurs passagères dans ,lesbras.` Six mois. après, des
étaient encore manifestes. L'évolution de la maladie se lit sans douleurs , la sensibilité des muscles atrophiés n'était p
l'origine, il disait : « Voilà que cela me prend, » il accusait une douleur dans le ventre et à la tête dont il ne s'é- tai
ed très mar- quee. Sensibilité : La sensibilité, au contact, à la douleur , à la tempe- DES TItUUI : LIsS 1)L LA VISION. 2
iste plus de troubles moteurs, mais la sensibilité au froid et à la douleur était un peu diminuée du côté droit : l'odorat,
aiblissement avec engourdissement des extrémités inférieures et des douleurs articulaiies. Puis les extrémités supérieures s
resqu'absolue des bras. Dans le cours de l'affection, on a noté des douleurs spontanées très faibles, des zones d'hyperesthé
embres inférieurs, avec un peu d'exagération de la sensibilité à la douleur dans les mêmes régions. Longtemps cet état persis
'intégrité, dans l'espèce, de la vue et des nerfs crâniens, sur les douleurs excentriques eu rapport avec les conceptions déli
émoussées ou abolies. Presque toujours, quand la sensi- bilité à la douleur est obtuse, on constate simultanément de la parés
1, en 1869, voulut s'assurer des causes qui faisaient persister les douleurs atroces et les con- tractures dans la région fe
sa grande surprise, un enraie- ment des contractures ainsi que des douleurs . Ces deux incidents servirent de préface à une
emoiselle de trente-huit ans, qui accu- sait de la paralysie et des douleurs dans une des extrémités supérieures. Enraiement
et des douleurs dans une des extrémités supérieures. Enraiement des douleurs . Mort au bout de quinze jours à la suite d'une
880, n" 19. ALTÉRATIONS DE LA MOELLE ÉPINIÉRE. 293 Enraiement des douleurs et retour de la motilité. Gillette et Debove `,
ne malade qui s'était violemment blessée au poignet : cessation des douleurs , guérison. Alorton' (1877) : Blessure faite au
on. Alorton' (1877) : Blessure faite au poignet avec des ciseaux, douleurs envahissant toute l'extrémité supérieure : l'él
t cubital à une femme qui accusait de l'ataxie depuis cinq ans. Les douleurs de l'extrémité supérieure cessèrent, mais celle
der3 (1874) : Un homme de quarante-cinq ans endurait de violentes douleurs dans le moignon après une amputation de l'avant
l'avant-bras. L'élongation du nerf médian amena un amendement des douleurs . M. Callenderl pratiqua la même opération sur u
on sur un jeune homme de vingt ans, qui accusait également de vives douleurs dans le moignon; Enraiement des douleurs. Nanki
ccusait également de vives douleurs dans le moignon; Enraiement des douleurs . NankiveIP fut moins heu- reux. Il communique d
m lui étira les 8°, 9° et 10' nerfs intercostaux. Disparition des douleurs . Malheureusement la guérison ne fut guère stabl
des douleurs. Malheureusement la guérison ne fut guère stable, les douleurs se renouvelèrent, comme le constata M. Langenbu
des névralgies, mais ne parvinrent qu'à enrayer momentanément les douleurs . Walsham ' (1880) pratiqua l'élongation du sous
dans la région orbi- taire, et constata toutes les fois l'arrêt des douleurs . Sée5 (9 88), Po)ai] ! on' et Alouchet6 étirère
cas d'atrophie de ce nerf, d'o- rigine syphilitique; amendement des douleurs , mort accidentelle du malade, pas d'autopsie. H
ns des cas d'iridocyclite de staphylome de la cornée, et d'intenses douleurs subséquentes à l'énu- cléation. Toutes les troi
douleurs subséquentes à l'énu- cléation. Toutes les trois fois, les douleurs cessèrent. Élongation du nerf sciatique. De tou
tersbourg) étira le nerf scia- tique dans le but d'amender de vives douleurs occa- sionnées par une plaie; ce n'est que la r
E. 305 traitement, prétend que la traction enraie chaque fois les douleurs et exerce une action favorable sur les altérati
névrite ascendante. Résultat excellent mais non stable, pour des douleurs violentes dans l'articulation du fémur. Amélior
314' pathologie nerveuse. de dix-sept ans et demi, il accusa des douleurs de reins et com- mença à éprouver de la difficu
ait marché quelque temps, il ressentait de l'engourdissement et des douleurs dans le membre inférieur droit. Il lui sembla
gers qui ne se traduisent que par un léger engourdisse- ment, une douleur obtuse qui disparaissent assez rapi- dement, ju
65, ainsi que sa femme et son enfant. Une soetii- est sujette à des douleurs d'estomac sans accidents nerveux. Elle a deux f
e de rOBSEUVATION XVIII. 4 6 novembre. 8 gouttes (4 milligr.). La douleur est presque nulle au moment de l'injection; pas
ralysé), Lef... présente des indurations au niveau du deltoïde avec douleur et rougeur de la peau. On fera dorénavant à gau
ui provoquaient chez la malade une grande irritation accompagnée de douleurs au coeur et de névralgie intercostale. En 1877,
u, mais où l'individu reste affaissé, se plaint de pesanteur, et de douleur de tête, où parfois on a beaucoup de peine à lu
oite du tronc. Graduellement se développe de l'insen- sibilité à la douleur dans les deux extrémités supérieures. Même phén
81 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s nerfs et démontré quelle part leur revient dans la pathogénie des douleurs et des trou- bles trophiques qui compliquent si
lui viennent de l'humérale sont ' Peut-être est-ce là la cause des douleurs qu'on observe à la suite 'des' oblitérations vo
t point qu'il pissait encore du sucre. Il venait consulter pour des douleurs névralgi- ques, pour des troubles oculaires, av
fois à enlever ses couver- tures. Pas d'anesthésie. Il n'a pas do douleurs fulgurantes bien nettes ni dans les membres, ni
mbres, ni au niveau de la ceinture. Il accuse sim- plement quelques douleurs rapides (comme de l'eau qui coulerait) qui ne s
morts ». Il se plaint surtout d'une névralgie caractérisée par des douleurs vives, continuelles, aussi fortes le jour que l
geant à tenir sans cesse sa main appliquée contre l'oreille. Cette douleur siège dans la région mastoïdienne du côté gauche.
d'autres points de la tête et du cou, aucun point douloureux. Cette douleur est parfois sourde, tolérable, mais s'exagère par
gt-huit ans, six mois avant son mariage, il a éprouvé les premières douleurs au niveau de la cuisse gauche. Celte crise doul
BES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 87 lui Depuis cette époque ces crises de douleur se sont reproduites avec des caractères identiq
rois mois environ, et duraient quarante-huit heures en moyenne. Les douleurs surve- naient brusquement, siégeant dans les or
lit et l'empêchaient complètement de dormir. « Ce sont, dit-il, des douleurs atroces, intolérables, qui m'empêchaient de dor
irritable et impatient. Depuis trois mois il n'a pas eu de crise de douleurs fulgurantes, mais il éprouve des agacements, des
s de la sensibilité autre que les engourdissements et les crises de douleurs fulgurantes. Pas d'anesthésie, plutôt un peu d'
es arthri- tiques et névropathiques. K... a éprouvé les premières douleurs fulgurantes, il y a près de trente ans. Depuis
s douleurs fulgurantes, il y a près de trente ans. Depuis lors, ces douleurs ont reparu sous forme de crises absolument clas
es est avéré, indiscutable, suffisamment établi par les crises de douleur fulgurantes typiques, la constriction en ceintu
ns ? ). Obèse. Début du- tabes à l'âge de quarante-neuf ans par les douleurs fulgurantes. ETVT actuel (mai 1889). Signe de
accentué. Myosis avec signe d'Argyll Robertson. Pas de cataracte. Douleurs fulgurantes autrefois très violentes, maintenant
uspension a quelque peu amélioré certains symptômes tabétiques, les douleurs fulgurantes en particulier et 62 pathologie NER
qui ont duré moins longtemps et enfin depuis 1889 il n'a plus eu de douleurs rhumatismales. Début du diabète. Il s'est aperç
l'incoordination était com- plète. En juin 1890 se montrèrent des douleurs fulgurantes survenant par crises, lancinantes o
rieurs au niveau des articulations, des cuisses et des mollets. Ces douleurs sont vives et courtes, quotidiennes, sous forme d
int ordinaire. 1 Comme troubles de la sensibilité, il se plaint des douleurs à type fulgurant que nous avons signalées et d'
te des dépôts goutteux articulaires. Il éprouve dans les jambes des douleurs qui ne revêtent point le caractère lancinant, a
surtout au pouce. Démarche talonnante, incertaine dans l'obscurité. Douleurs en ceinture pas très nettes dans la région abdo
ble, aucun malaise, à moins que la malade ne veuille courir. Pas de douleur , pas de chatouille- ment à la gorge. Ici le f
e sensation à distance. Il existe une anesthésie au contact et à la douleur sur les deux pieds et les deux jambes, s'élevan
s tambours); par BRUNN, (Nelll'oi. Centralbl., 1890.) Début par des douleurs dans l'avant-bras et l'éminence thénar gauche.
ons mercurielles, du chloral et du bromure contre l'insomnie et les douleurs dont l'enfant souffrait; ce traitement réussit
e, anesthésie, mais conservation partielle de la sensibi- lité à la douleur . Zone d'anesthésie nettement délimitée, rétré-
traumatismes, indemne de rhumatismes, ressent soudain une violente douleur dans l'épaule gauche, qui se propage au bras et
ans, aisées, de consti- tution nerveuse au moment de la ménopause. Douleurs , pares- thésies, dans l'avant-bras et les doigt
rimitifs de la syphilis est affecté de tabes; impotence, absence de douleurs , intégrité des sphincters et des viscères, réac
ortement ? En effet, dans l'espèce, l'atténuation con- sécutive des douleurs et autres symptômes pénibles ne fut que tempora
sensations -d'obtusion du tact avec fourmillements, de frissons, de douleurs en ceinture, de velouté; des douleurs lancinant
urmillements, de frissons, de douleurs en ceinture, de velouté; des douleurs lancinantes, aux pieds, aux mains, aux doigts,
lles de la paume des mains et de la plante des pieds, sous forme de douleurs térébrantes et une diminution des réflexes; com
upes musculaires, isolés en ce qui concerne l'atrophie, ni dans les douleurs , ni dans les convulsions fibrillaires, ni dans
athique, dans les deux cuisses; la vio- lence et la persistance des douleurs et la disparition des réflexes crématériens et
n, sans aucun motif appréciable, elle ressentit au même endroit une douleur d'ailleurs tolérable qui persista plusieurs moi
ine dans l'urine. La malade ne peut pas circonscrire le siège de la douleur qui est continue, augmentant par moment d'inten
t faiblement perçus à droite. En un mot, la malade avait outre la douleur , de l'oedème et la monoparésie brachiale du côt
et quelquefois si souvent qu'ils changeaient toutes les heures. La douleur était le symptôme le moins variable. L'oedème é
ntôt la température était très élevée et la malade sentait une vive douleur du côté droit; au bout de quelques heures tout
rvice, la malade ressentant un mieux sensible, la disparition de la douleur et de l'oedème était de plus longue durée qu'au
d'autres actes répréhen- sibles qui remplissent d'inquiétude et de douleurs leurs malheu- reuses familles. Et la grande cla
udra se baser. Parmi les signes communs, il faut citer : . 1° Les douleurs fulgurantes. - Elles ont été men- tionnées dans
CIATION DU TABÈS AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 183 c'est que les crises de douleurs fulgurantes semblent plus courtes et plus rappr
ux se bornent à des signes tels que : pertes des reflxes rotuliens, douleurs fulgurantes, troubles divers de la sensibilité
vec les caractères ataxi- formes ; trouble de la parole; absence de douleurs fulgurantes, de ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DI
heures du matin. Elle avait une sensation de boule à l'estomac, une douleur vive au vertex et des battements dans les tempe
apparents. Il n'y a pas d'engorgements ganglionnaires. Par moments, douleur à la région précordiale; palpitations à la moin
rit jadis par Maurice Raynaud ; il est à remarquer toutefois que la douleur , qui est un des symptômes à peu près constants de
se rencontre dans ces cas de phthisie qui suivent leur cours sans douleur ni toux, souvent sans expectoration, avec peu ou
ë, de certaines fractures, luxations, etc., dans lesquels l'élément douleur peut faire défaut. Il est difficile d'établir l
les cas qui prennent leur origine dans le systène ganglionnaire. La douleur est un puissant agent d'épui- sement des forces
nistrer dans les cas les plus divers. Chez les aliénés, il calme la douleur , provoque un sommeil paisible et diminue l'agit
de l'oeil. Le bras droit est dénué de vigueur; le malade accuse des douleurs dans l'épaule droite. L'examen électrique révèle
es quintes de toux paroxystiques avec étouffe- ments par accès, des douleurs dans les membres, une immobilité fixe des pupil
es douleurs dans les membres, une immobilité fixe des pupilles, des douleurs lancinantes dans les extrémités, la tête, l'oei
alade se serait levée dans les premiers jours de cette année, si la douleur de ses thromboses ne l'en eût empêchée. Le poul
hologique. M. EDINGER (de Francfort). Contribution la théorie de la douleur . - Nous savons, à n'en pas douter, que la doule
la théorie de la douleur. - Nous savons, à n'en pas douter, que la douleur peut être engen- drée par l'application d'excit
aussi sur les ganglions et les racines spinaux. Mais, y a-t-il une douleur centrale, c'est-à-dire une douleur qui, prenant
ines spinaux. Mais, y a-t-il une douleur centrale, c'est-à-dire une douleur qui, prenant naissance dans l'organe central, s
'y a que peu de faits qui puissent nous éclairer sur l'existence de douleurs vraiment cen- trales. Et cependant, la question
cependant, la question est importante, puisque nous connaissons des douleurs chez les hypochondriaques, les hystériques et l
oit. Dès les semaines ultérieures se développent en cet endroit des douleurs très vives. Parésie passagère du côté droit. Le
droit des douleurs très vives. Parésie passagère du côté droit. Les douleurs persistent à un haut degré dans tout le côté dr
qui a lieu deux ans après. La malade s'est tuée pour échapper à ces douleurs redoutables que rien ne pouvait calmer. On avai
tres parties de l'encéphale sont normales. Telle était la cause des douleurs prenant naissance dans l'organe central, et réf
début de la maladie et que, par suite, il n'a rien à voir avec les douleurs des vieux apoplectiques, qui sont toujours la con
sme, sodo- mie, etc.). Puis vient l'étude des sentiments : plaisir, douleur , atta- chement à la personne qui les soigne, se
tion si pénible qu'elle se dérobe au toucher, et pousse des cris de douleur ; Elle a depuis longtemps une légère toux nerveu
e porte les mains sur le sternum en disant ressentir de ce côté des douleurs très aiguës; elle demande un couteau pour ouvri
l'âge de quinze ans, il a commencé à se piquer en se masturbant, la douleur augmentai ! l'érection et hâtait l'éjaculation.
vive qu'il s'était faite au bras, espérant être détourné par cette douleur aiguë de sa terrible ten- tation. Sur sa phot
on soupçonnée. Le sens tactile avec toutes ses variétés, sens de la douleur , de la température, du contact, le sens muscula
il ne tarde pas à se réveiller tourmenté qu'il est par de violentes douleurs de têle, et aussi par un sentiment d'angoisse.
-même en soit l'auteur. Il ne pense qu'à lui, à ses chagrins, à ses douleurs , a ses craintes ; ses remords sont légers. A.
ence, il tombe malade. Sa maladie est caractérisée par de violentes douleurs de tête siégeant à la région frontale, et surve
ux c'est l'aboulie; c'est sans doute là le phénomène primitif. La douleur , la tristesse semble n'être que la conséquence na
ho-motrice leur soit subor- donnée. » Il est vrai de dire que si la douleur morale succède à l'aboulie, celle-ci est ordina
suite de l'impression du froid, et se traduit successivement par : douleurs , paresthésies, sensation de froid avec pâleur d
sur la tête (région temporo-pariétale gauche) est pris de violentes douleurs (il lui semble qu'en cet endroit les os sont mo
9. Diabète sucré ET tabès, par G. Gui- non et Souques, 48, 181. Douleur , par Edinger, 250. DYSIIORPUOPIIODIE, par 31oL'
82 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
obtenir du soulagement par l’acte même du toucher. » Dans certaines douleurs de tête, il vantait beaucoup les frictions dures
de la main avec de légères frictions dans le météorisme et contre les douleurs de l’hypocondre gauche. Thouret, qui fait celte c
. ni. (5) Recherches et doutes sur le Magn., p. 139. dents et les douleurs d’oreille , en appliquant convenablement leurs do
s des frictions (1); il appuyait parfois ses mains sur le siège de la douleur , qu'il frictionnaitjusqua ce que la souffrance ai
prouvé qu’en passant souvent la inain sur des membres douloureux, les douleurs se calmaient. » Ce savant professeur nous apprend
devant moi, j’allais enfin faire mon entrée dans le sanctuaire de la douleur ; on m’accueillait à l’Hôtel-Dieu, on me priait mê
Dieu avait pris un enfant par la main , il le mena au séjour de la douleur , et lui dit : « Sois sans crainte, « lu es l’inst
il endort à tout hasard R1. Hochenez, qui, pendant son sommeil, a la douleur de remarquer entre sa femme et son cousin une int
ins lentement sur les parties malades, jusqu’à ce qu’il eût attiré la douleur à l’extrémité des membres, d’où il parvenait à la
conduit de l’estomac au ventre, le poil froltait et me causai! les douleurs dont je souffrais. M. le président. Et vous cro
t des Arabes, d’onguents pour la brûlure, d’emplâtres pour toutes les douleurs , de papiers chimiques, etc., etc. 0 grand génie d
la suite de ma première visite, a éprouvé pendant quelque temps une douleur de tôle qui paraissait avoir le même siège que ch
ra, entre autres choses, que ma femme éprouvait dans la tête une vive douleur , comme si un cercle de fer lui eût pressé le crân
ès-remarquable : Mm" Rose dit à celle dame qu’elle éprouvait une vive douleur au front, comme si un cercle de fer lui eût serré
donnant des consultations ii des malades, a éprouvé par sympathie des douleurs et des dérangements corporels analogues à ceux de
e manque jamais d’éprouver un malaise sensible, et accuse souvent une douleur dans l'organe correspondant à celui qui est affec
ambule, celui-ci a toujours accusé un malaise général, et souvent une douleur dans celle région ; et cc médecin m’a assuré qu’i
rès en tout à quarante, et qu’un grand nombre d’autres souffraient de douleurs de ventre, etc.; on le fit chercher un autre offi
es fourmillements le long des doigts; souvent aussi ils éprouvent une douleur analogue à celle du patient. Celte attitude n’éta
n, ou toutes les deux, sur l’endroit de son corps où il ressent de la douleur ; ou, s’il ne souffre pas, passez une main sur so
it parler le silence; qui y a répandu des jouissances infinies et des douleurs éternelles; et qui, pour les faire accepter et le
ne serait qu’en dissipant la fièvre qui prolonge le plus souvent les douleurs de l’agonie; ne pourrions-nous pas encore dans ce
ièrement dans les maladies dont le siège est circonscrit, ou dans les douleurs parfaitement localisées. Les courants palmaires
ouffrance, 11e voulant point y laisser pénétrer l’agent qui calme les douleurs ; mais le monde restait ouvert devant nous, sa con
Condamneront-ils, comme guérissant illégalement, la mère qui calme la douleur de son enfant en le pressant sur son sein; l’ami
issant au passé ses superstitions et ses fautes, nous n’aurons pas la douleur de mettre en regard du martyrologe où le moyen-âg
ersonne ne souffrira de ma perte, j’aurai cessé d’être une cause de douleur ..... « Je commence à me refroidir, c’est la cha
fût et quelque influence que j’eusse prise sur lui, fut atteint d’une douleur locale, pour faire disparaître cette douleur, i
lui, fut atteint d’une douleur locale, pour faire disparaître cette douleur , il me fallait au moins cinq minutes et presque t
Une seule séance de magnétisme fut suffisante pour faire cesser toute douleur et amener le sommeil ; mais cette séance dura tro
les fis enlever, et il me suffit alors de dix minutes pour que toute douleur cessât et que la malade sentît le besoin de dormi
t de morphine, et j’imposai la main vingt minutes, ce qui amortit les douleurs et procura une bonne nuit. Mme A...., rue Bourg
étiser trois quarts d’heure pour produire un simple déplacement de la douleur , qui resta fixée au coude ; mais le lendemain, il
iale et froid habituel des pieds. L’imposition de la main calmait les douleurs après une action d’une demi-heure, et quelquefois
ns succès. M. Morphy, après une séance d’une demi-heure, entraîna les douleurs aux pieds, où elles semblèrent vouloir se fixer;
provoquer une forte transpiration, et avec elle la cessation tic la douleur j qui n’a plus reparu. Rachel, âgée de vingt-de
et suffisent pour le jeter dans un sommeil profond qui résiste à la douleur physique du pincement violent de la peau. La femm
M. Léaumont lui ayant demandé s’il pourrait la faire accoucher sans douleur , en somnambulisme, elle répondit que « oui : elle
demment, et ajouta qu’elle accoucherait le jour, non la nuit; que les douleurs la prendraient vers les quatre ou cinq heures du
mars, vers les quatre heures du matin, H..... ressentit les premières douleurs , mais le magnétiseur n’en fut prévenu que vers
t à la fin de mars; 5° Le jour, non la nuit; f>° Les premières douleurs vers les quatre heures; 7° L’insensibilité à la
il prive la main ou le brns de toute sensibilité, même à la plus vive douleur , et pervertit le tact et le goût, à tel point qu’
e chute sur le siège, laquelle lui occasionna pour quelques jours des douleurs assez vives dans la région lombaire. A la fin d’o
ommode le long de la colonne vertébrale. La pression y réveillait une douleur qui était surtout très-prononcée à la hauteur des
e déviation de la colonne vertébrale. Elle sentait habituellement une douleur au verlexe (clou hystérique) , douleur qui était
lle sentait habituellement une douleur au verlexe (clou hystérique) , douleur qui était quelquefois remplacée par un sentiment
, au moyen de passes longitudinales sur le bras droit, en proie à une douleur atroce, j’ai d’abord augmenté la douleur; puis, u
e bras droit, en proie à une douleur atroce, j’ai d’abord augmenté la douleur ; puis, une passe rapide l’ayant attirée subitemen
opération, pas le moindre souvenir au réveil, pas non plus la moindre douleur , et le lendemain l’opéré se trouvait à merveille.
gien dentiste, rue Baronne, N° 8, et est relatif à une opération sans douleur , qui a été faite par lui sur une dame (Mmo Nimmo)
n avait deux. Je demandai à la dame si elle avait ressenti une grande douleur , elle répondit qu'elle n'avait point souffert. Je
avec un succès remarquable. Des maux de tête, des maux de dents, des douleurs névralgiques et rhumatismales ont été guéries en
. A l’aide de cet agent, d’importantes opérations ont été faites sans douleur . Six cas de choléra, dont trois avaient été jugés
ront; on presse fortement et on parle vile et fort. S’il s’agit d’une douleur , on va former le circuit à la la partie douloureu
de tête, les maux de dents, le tic douloureux, les rhumatismes et les douleurs en général, se traitent par l’imposition ou l’app
er le principe miasmatique chronique qui toujours sert de pivot à ces douleurs atroces, rangées dans le cadre si imaginaire, si
anche nerveuse,et nous ne saurions nous piquer nulle part sans que la douleur en avertît instantanément le cerveau ; nous n’avo
ent le cerveau ; nous n’avons de sensations que par les nerfs , et la douleur est une sensation. Donc, règle générale, le magné
orable à la résolution des inflammations est le repos el l’absence de douleur ? Donc, le magnétisme qui calme les douleurs et pr
t le repos el l’absence de douleur? Donc, le magnétisme qui calme les douleurs et provoque souvent le. sommeil, convient aussi d
ne seule?) et nous ne sau- rions nous piquer nulle part sans que la douleur n’en avertisse instantanément le cerveau (nous av
ient pas nerveuses); nous n’avons de sensations que par les nerfs; la douleur est une sensation : donc, règle générale, le magn
decins ont fait jusqu’à ce jour de l’opium dans toutes les espèces de douleurs , quelque anciennes et enracinées qu’elles fussent
rent si prodigieusement les uns des autres. On aurait dû voir que les douleurs varient tellement, quant au siège, à l’époque, au
sément point à la catégorie des moyens propres à calmer el guérir les douleurs . Il est presque le seul médicament qui ne provoqu
rs. Il est presque le seul médicament qui ne provoque point une seule douleur pendant son action primitive. Les autres excitent
s siennes, et peuvent, par conséquent, guérir lioméo-palhiquement les douleurs naturelles semblables, surtout lorsqu’il y a an
’auparavant el, par conséquent, une exaltation pénible qu’entraîne la douleur . » Si magnétisme remplaçait ici opium, no trouv
rrêtons plus à l’insignifiance des mots) est le repos et l’absence de douleur ? Donc, le magnétisme qui calme les douleurs et p
le repos et l’absence de douleur ? Donc, le magnétisme qui calme les douleurs et provoque souvent le sommeil, convient aussi da
les cautères, ni les remèdes internes n’avaient eu d'effet contre la douleur alroce du genou, ni pour l’extension de la jambe
vait tout lieu de craindrel’ankylosc.... Magnétisée journellement, la douleur ne tarda pas à cesser, et l’articulation s’ou-vri
les la nature humaine est sujette, peut se guérir en une minute, sans douleur , sans frais, sans remèdes et sans danger. Cette a
rveuse et musculaire. Sans électricité, nous serions insensibles à la douleur , ou plutôt nous n’existerions pas. Je suppose que
les à la douleur, ou plutôt nous n’existerions pas. Je suppose que la douleur physique provient, par une cause ou par une autre
la journée de ressentir dans la tète et surtout dans les oreilles des douleurs , des bourdonnements. Au quinzième jour, il se pro
ties qui ont accompagné ma maladie. Je fus surpris un matin par une douleur sus-orbi-taire des plus violentes. Celle douleur,
ris un matin par une douleur sus-orbi-taire des plus violentes. Celle douleur , qui se borna d’abord aux nerfs frontaux, gagna l
fois qu’appliquant mes mains sur la tête, je formulais cette pensée: douleur , disparais! Très-malheureusement, je ne pouvais a
ainsi concentrer ma volonté plus de dix minutes, je m’arrêtais, el ma douleur reparaissait non moins violente. Je reprenais hal
on moins violente. Je reprenais haleine; je recommençais à chasser ma douleur et j’étais encore vainqueur pour quelques instant
olonté magnétiquement. Line nuit, je me trouvais aux prises avec ma douleur dans son plus haut paroxysme; mes forces étaient
déjà de divers objets. A celte vue, ma surprise fut si grande, que ma douleur disparut comme par enchantement. Dans ma salifacl
rie, Il vient d’être condamné aux travaux forcés à perpétuité. Ma douleur ne reparut que dans la matinée, et je fournis un
e, s’est trouvée absorbée par une préoccupation plus puissante, et la douleur disparut. Depuis quinze jours, je me trouvais a
ent et la guérison des maladies, la prévention et la diminution de la douleur au moyen du mesmérisme. « Il est soutenu par de
t livré aux plus terribles accès de désespoir, éprouvant en outre des douleurs accompagnées de bruits dans la lête , des vertige
és « sont affaiblis graduellement; je n’éprouve plus t « vertiges, ni douleurs , ni bruits dans la tête ; ! « grande oppression n
ise ici ; elle ne pouvait vaquer ses affaires , souffrait d’horribles douleurs . Elle ava été traitée par de nombreux médecins de
n la mesmérisa en lui touchant la tête pendan un quart d’heure. Les douleurs disparurent instantanément; depuis lors clic n’a
qu’aux pieds. Dernièrement, un petit enfant élait en proie à de vives douleurs qui semblaient tenir de la dentition et de la coq
s : le magnétisme est aussi salutaire que prompt dans ces cas, et les douleurs , les vomissements de sang, la toux, cessent comme
prendre le droit chemin chacun, fuyez les « plaisirs, la crainte, la douleur , l’espérance ; là où « règnen*. les passions, l’e
épositaires et de conducteurs de l’agent magnétique ; ils calment les douleurs , entretiennent le sommeil ou le somnambulisme, et
ombreuses guérisons. Au livre 18e du même ouvrage, il prétend que les douleurs de la goutte sciatique se dissipent rapidement so
par conséquent elle soulage; qu’elle apporte quelque allégement à la douleur physique et morale; qu’elle est évidemment utile
et l’autre sont restées sans aucun mouvement. En 1847, d’affreuses douleurs se font sentir le long de la colonne vertébrale e
nsibilité et celui du mouvement avaient été précédés par de violentes douleurs dans les os et dans les jointures ; pendant plusi
s jours, les épaules et la région lombaire ont été le siège des mêmes douleurs qu’au début de la maladie. Ne pourrait-on pas com
e l’appétit; quand il est sur les membres, il donne lieu à de grandes douleurs , à de la faiblesse... Quand il va à la tête, il t
imanche, avec sa femme, en enlevèrent tout. « Sous l’impression de ¡ douleur que ces braves gens éprouvaient , dit Y Avènement
70. CLINIQUE. § 1. Cas de chirurgie. - Opérations accomplies sans douleur durant l'insensibilité magnétique. Délivrance à
n des mains, 61. Inculcation du la volonté, 4. Insensibilité à la douleur physique sous l’influence du mesmérisme, 485, 518
83 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
cause des accidents. Quelques mois en effet après la blessure, des douleurs intolérables survinrent dans le membre supérieu
encontré ces variations chez les tàbétiques encore à la période des douleurs fulgurantes et' qui n'avaient point d'incoordin
déterminant d'abord une excitation, des fibres de sensibilité, d'où douleurs fulgurantes, puis ., 4,,un stade plus avancé, l
essent, dans le côté gauche de la tête principalement, une violente douleur . A 7 heures, la céphalalgie s'est dissipée. A
pporter. OBSERVATION II Mme Sa.... , âgée de soixante-cinq ans. - Douleurs rhuma- tismales, palpitations, fréquentes pouss
e tandis que la moindre piqûre faite au côté gauche détermine de la douleur . La sensibilité des sens spéciaux est très dimi
peut soulever la jambe et le bras. Elle se plaint toujours de la douleur de tête. La peau est assez chaude. P. 96 ; T. Ax.
avril. - Le retour de la sensibilité persiste; il y a même quelques douleurs spontanées dans le bras et la jambe du côté par
d'une femme de 34 ans chez laquelle de l'apoplexie papillaire, une douleur de tête à la tempe et au front, des nausées, du
et du strabisme, indiquaient nettement une affection cérébrale. Les douleurs s'exagéraient par intervalles irréguliers. La t
pressions de température augmente. Donc, les nerfs du tact et de la douleur ne sont pas identiques. L'action momentanée d'u
du côté gauche. Un mois auparavant, cet homme avait eu une violente douleur dans l'oreille droite, qui se calma au bout de
n, quand le 9 janvier, il fut repris dans la même oreille, de vives douleurs qui s'étendirent bientôt à tout le côté droit d
est présentée avec son cortège habituel : chancre, maux de gorge et douleurs géné- rales. Plus tard sont survenues de la mél
vec des hallucinations de l'ouïe.-Une céphalalgie persitante et des douleurs nocturnes localisées cédèrent au trai- ; * teme
hé- moptysie, pas nerveuse, pas de malàdies de peau ; quelquefois douleurs , névralgiques vers les deux régions pariétales du
ntissage (11 ans) chez une couturière. Réglée à 1.12E'S 1,3 ! saiïs douleur ^ elle resta ensuite G mois sans rien voir. - :
Le ventre est souple ; pas de météorisme : l'enfant n'accuse aucune douleur à la palpation. - T. R. 40 ? 0. Soir : T. R. 40
rès grave ;jjl,¡[l'avait pasjdormib depuis ! 48>i heures ;[1 laI douleur revenait par paroxysmes toutes des.) trois1 ou ci
par ,un spasme. involontaire detousoles1 muscles du côté droit. La douleur ..partait.ded'os 1 malaire'l et ! s'étendait, ra
'PATHOLOGIE NERVEUSE. 303 allait mieux ? Deux jours raprès, 1 toute douleur 'avait0 disparu. On continua l'iodure et'le,mer
orte que'la.première.l L'iodure de'potassium fut repris ? Le 5{ la, douleur avait ces ' '1.1 " ? '' ">v in ."f'JIJrn(, 92
de la'première année rl'Linèsvphi ! lis.grave^de céphalalgie et de' douleurs le'lbng duJÍ1ë'rf crural' droit et du sciatique
mbre "ellé r'e ? tentissait ..parfois ! dans le 'scrotum' droit] La douleur sciatique partait., de, l'émergence3'dué n'erf'
sin' et'fiilissait'lÚï genou.,oelle étaitipl'us ¡forte <'que les douleurs crurales, satt nuant le jour;"mais'gênant encor
le sixième jour, le malade put dormir sans morphine ni chloral les douleurs avaient diminué pour cesser bientôt complètemen
nou- velle éruption papuleuse . par tout le corps. En même temps, douleurs dans le sciatique gauche, qui, au bout. d'une sem
de trois'mois, et il continua encore pendant des mois à accuser des douleurs dans les, deux sciatiques. En 1873,'11 revint e
ns les, deux sciatiques. En 1873,'11 revint encore, se plaignant de douleurs vives dans les ,t t,,t C14r, 1, " '.i i ? Il'L'
- 9.'Iw; ' ru·l. .1... ? ...,L p. u . d'}1éi- plégie, .il eut des douleurs le long du sciatique droit. Il.guérit au bout d
t d'anesthésie, analogue à la sensation qui suit une « crampe ». La douleur a été un symptôme rare; quand elle existe comme
t. Femme âgée de 55 ans, névralgie sus-orbitaire et occipitale ; douleurs continues et à paroxysmes ; pas d'amélioration qu
mme de 24 ans, malade depuis deux jours; contracture des mâchoires; douleurs dans le dos; élancements par tout le corps. Cet
roite, en- fin, la sensibilité au tact (ou à la pression) et à la douleur , se montrait émoussée, mais la sensibilité aux
ejetée en l'absence de diarrhée, de taches, de gargouillement, de douleur abdominale, etc.. ; les fonctions digestives se
rines) : ce qui paraissait donc probable, vu la persistance d'une douleur à la nuque, vu le souffle systolique de la poin
llet. La nuit a été assez bonne, la malade se plaint toujours d'une douleur à la nuque, elle éprouve une grande difficulté
Contracture égale des deux pupilles. La malade se plaint de grandes douleurs à la tête, au cou et dans tous les membres. Tre
se au froid de la nuit suivante. Dès le lende- main, il éprouve des douleurs articulaires, il entre à l'hôpital le 26 octobr
es jointures des phalanges des doigts sont rouges et tuméfiées. -La douleur à la pression est vive dans les jointures malad
gr. 29. - Le malade a pris du salicylate pendant deux jours. Les douleurs articulaires ont un peu cessé; le malade se plaît
té tactile fait d'habitude son apparition avant la sensibilité à la douleur , de telle sorte qu'à l'anesthésie complète succ
C'est depuis lors que cette femme est souf- frante et se plaint de douleurs erratiques dans les membres. En ces dernières a
rvation I. Un enfant de 3 ans, jusque-là bien portant, se plaint de douleurs dans les jambes. La nuit suivante, il est pris
est normale; il en est de même probablement de la sensibilité à la douleur . Le réflexe cutané de la plante du pied existe,
Observation IL Un enfant de 4 ans est pris le 14 décem- bre 1879 de douleurs de tête, de vomissements,- de fièvre intense. L
une forme clinique particulière, caractérisée par des sensations de douleur , de pesanteur et de tiraillement dans le bras,
ndre exercice donne lieu à une fatigue excessive, suivie bientôt de douleur et de raideur. C'est une particularité de la ma
de la carotide correspondante faisait disparaître immédiatement la douleur , même celle qui siège au niveau des points de V
entigrammes par jour sans avoir beaucoup de tendance au sommeil. La douleur céda enfin, mais l'appétit ne revint pas, le po
e, à la suite d'inflammation du pharynx et de la trompe; trismus; douleurs sur le trajet du trijumeau aux points de Valleix.
onditions et le mode. Nous avons dû, malheureusement, signaler avec douleur que, s'il nous revenait la gloire de l'avoir in
& - % fm ? · meretres rapide, .car .les. premiers ! , accèside, douleurs - ,' H) JTjilWB-^ ! » ? 11' ? '* ... - ; z fu
%Ç\ l tif) \ ? MtU 1-U " . tiôns`prôfôndes ? Danswntautre accès^les douleurs fulgurantes suivirent la,direction) de la. bran
rdons postérieurs, et que l'on a coutume de désigner sous le nom de douleurs fulgu- 538- PATHOLOGIE 'NERVEUSE^ rantesYJeL
-.iiscn , 890 »R9a m.fps ^MW.VjWvwyvA v-s^iva 90 ao,'tn crises .de douleurs . fulgurantes des membres, et de , r 3'0"'»JJ'i
3'0"'»JJ'i)0 CI) atyi'OIOlV P,4 1'l - h <;trjjg ri - 1 estomac, douleurs extrêmement violentes, détermi- f, Il ? ff nant
i«)11111 Wl.'JIf.IH'I 810(1,01, i'i >^<\\\ affectent avec les douleurs fulgurantes une connexion éjl, ;je,t)(1 fi, ou
)1 ? il'c>0;ob 9K ^opiio bres, a la suite de crises violentes de douleurs fulgu- - nHi' ,80019101/ 01001910911/9 81091000
,1868,1uneblennorrha- gie qui,dura)6 mois.,En,,1§74, apparition) de douleurs lanci- nantes très, vives,, occupant ,les,,talo
.se rappelle avoir, éprouvé en même temps à la région dorsale, des, douleurs ,, passageres comme celles, du t D -* f-' ' J ?
: # i- 1111&;)I.t 1 11 W . 11n,1 Il, existait en même temps des douleurs constnctives au niveau des'cou-de-pièd^ et une
ion ''de'clapotement daiïsPrârti1 culation lors des mouvements. Ces douleurs furent considérées par, les médecins qu'il cons
t bien, décrit avec une 'grande énergie" et' une grande véritér Ces douleurs ,sont, tantôt passagères, ne se produisant que p
H)`.lJ 9r1)OII;J r,rl 119( t, J111JU`l'l ° " 'jTi911rob Outre les douleurs fulgurantes des, extrémités inférieures, il épr
s des, extrémités inférieures, il éprouve a la basé' du thorax' dés douleurs con'strictives, comme , ' ' n'114.^, "l11'1 ? 1
gt;,nalade,jdiml- .\.t<\t ? ) ? j' ? \."\y«\\\\ ? \\'t nue ses douleurs , en exerçant une pression avec les mains a la b
rès léger. Le malade ne trouve pas une situation pour, soulager ses douleurs , se, remue ^constamment, frgt,, se ' réveille à
e ' réveille à" peu près chaque ' demi-heure sous l'influence^des douleur . " lt F 7 r fvy 0''trr. > ? > -,41 ' .ual
, i «1,1 tlti. ? - (1 Le malade Ir ne ressent actuellement que, des douleurs tj cons- 91s ' (.J" ,'<' 't. tj[ ' i 1 J ...
.jgq 08 20.m. ars. ? T'1e, malade'a vy. : éclôre^a lalsuite de ses douleurs , .quio4'Qn,,ti prfs cependant Mjcaràctèref fulg
ni'aladie,nil;à3ép.ouvél'd,als lessayanbr.as/ifjuaqau 8'coude,cdris; douleurs ? lnon'lja0cinântesj mais* constrictivfcsJi(IMui
du membre situé aii-dessus de'celui où résident principalement les douleurs . Pas de troubles delatserisibilitétà la'peau'db
P^ L tib il l : rt : W '3 49 26 MMM ? Dans la soirée du vendredi 6 douleurs violentes, yJJJ ,U J,4 J' ? 1JJ JI) WL,\ n\\yl
ureux ; elles reprirent le soir au point d'empêcher le sommeil. Ces douleurs ? '- ? ' - " f V11' ils Il 1(l ej ait ? i « >4
'centre, vét : datres àli périphérie : Au mémbresupé- rieur, ou les douleurs ont ete moins fortes, pas d ecchymoses; 'lés an
rfois' les JItT.I H) TT/ i- "r.Ufr 17r·,r ,...1 ? " , , crises de douleurs thoraciques, 'et marquées par des'vomisse- -tfi
PATHOLOGIE NERVEUSE. 8,·lTiIfI T 2.1 U11 rI m , mement liées aux douleurs que le malade éprouve dans les jambes ? EIlessu
douleurs que le malade éprouve dans les jambes ? EIlessuiventces ' douleurs ? omdu' moins île' malade n'é11 `â' jamais'rema
.te ,x*J9111d ,ahav ,903ousdnos^yeuxle malad&.esti pris, d'unei douleur . fulgurante à' laiplânte'du pied ? 03'tEàits du
ses'lsumles sl'sri'oibestJtfé3·tëici·s'ciflcc"sisilèldet'zrises del douleurs ). fulgu- ? YM<es..8.9'itjad O1 u 8 Ml \SO'n9
rantes autour des malléoles; ce qui le fatigue surtout, ce sont des douleurs acérées, vives, aiguës, que le malade com- pare
sua;,les jtmbes;oiç,;d'ae,Zlezc,asja ? 13a'a jcc ? azâa's senti de douleurs acérées. Le malade n'aperçpit lesjtacesquelelen-
ses. Leur apparition coïncide, avec» la,, disparition, absolue, des douleurs fulgurantes. 550. PATHOLOGIE NERVEUSE.^ i,C
rl^ Jamais il n'y a vu de taches, non plus qu'à répigastfé-ou^es3 douleurs sont comparées par lui à l'impression d'une boule
le début 'de hamTala'dié)" je remarquai qu'à la suite de violentes douleurs , d'une durée ECCHYMOSES. TABÉTIQUES'. 551' va
pr.,lssIabt);ess `9sss·v B... (Jules), 52 ans7j'emplQyé\de magasin. Douleurs fulgurantes -t - r ? f'Tj ? On ? V9f ! )' . °.
rr ? r ,-r f " z cornes .ataviques se sont mamfesties. sous formede douleurs 11 : i -r n t sont mamfestjes. sous forme de do
sous formede douleurs 11 : i -r n t sont mamfestjes. sous forme de douleurs ulur;1ntes, irradiees de réfé ( ? nce. cjans la
nsêônstt`é ? a9én&'tn°qz zslsJ.'IZOrrISrl'L naid llJz2Jgs a Les douleurs fuIgurairevemeHema ? tous les de^Wrm+s Vûr^»^^
lonbu ? ,ntmoM avons, etfieltet, vu chez cet homme des . crises .de douleurs . z ni les jourssunts ? ualdeons dimfegaJemenH
·GGJJ bt GbllrN rW.P : 111 lüJIGIJ1 ! )I plt Itl ! tJll L quand les douleurs affectent le type d'accès violents et de longue
les 411 JBri`Jb'lJt ? J u6G ? 11 uiiilltériles , des deux, 0uïj J douleurs ,sont surtout unilatérales ? des deux cotés - 11
M) pied par exemple. ,(Test éal niveaûsutoutzqueL,jn tensité des, douleurs ..est,, extrême, et, qu'il semble. au -911'i'ïl
d (.1`rt UD ' ; cu.u'tT peau correspondant au siège maximum.de.la ? douleur , mais, plus liaut ? en) se5l.appoclJÛntde blair
J'IOd ûS"^ cji cîA«.»[U<iJ JlJjoaiii i(j de la jambe; quand les douleurs occupaient Je ,rgyc(ep c'était la partie moyenn
etïglles3z ? unq z Snamor'9rlq sI 560 PATHOLOGIE NERVEUSE. Les douleurs si caractéristiques de l'ataxie locomo- trice s
le prouve, ainsi que le fait remarquer M. Charcot, c'est que des douleurs fulgurantes identiques à celles de l'ataxie se
u les faisceaux postérieurs de la moelle sont compromises. « Si ces douleurs semblent avoir pour siège les parties périphéri
blancs postérieurs delà moelle, amène- t-il, en même temps que les douleurs fulgurantes, les troubles vaso-moteurs aboutiss
s racines postérieures de la moelle pen- dant les grandes crises de douleurs fulgurantes. En terminant, je rapprocherai les
après l'évolution d'une fièvre typhoïde assez grave, à la suite de douleurs brûlantes à la nuque, le malade est atteint de
ngourdissement est souvent très intense, au point de constituer une douleur réelle; parfois aussi il est associé à des doul
e constituer une douleur réelle; parfois aussi il est associé à des douleurs de caractère névralgique, surtout dans les bras
iers de pouce de dia- mètre. L'effet fut surprenant et alarmant. La douleur changea de place, devint plus diffuse, mais ne
et, en peu d'instants, de nouveaux symp- tômes se manifestèrent. La douleur fut plus vive et plus localisée, les extrémités
ait spécialement soignée. On lui fit porterdes verres convexes. Les douleurs de tête cessèrent rapidement et il ne resta qu'un
ans les diverses névralgies dela tête. ha. faradisation augmente la douleur dans la migraine, mais a eu quelquefois de bons
l faut' encore noter les arthralgies et l'atrophie des membres. Les douleurs , quelque*- fois avec craquements, siègent surto
est annoncée par une aura qui consiste en des engourdissements, des douleurs , des secousses, unc aug- mentation de la rigidi
du membre supérieur; quelques malades accusent une propulsion, une douleur épigastrique, des battements de bibliographie.
rtielle, tonique, ou avec contracture, l'accès peut être précédé de douleurs de tète avec battements, avec douleur constrict
accès peut être précédé de douleurs de tète avec battements, avec douleur constrictive à l'épigastre et palpitations violen
la tête, vers le sommet. Ces régions sont quelquefois le siège de douleurs particulières précédant l'attaque. C'est surtout
érébrale pendant le sommeil naturel et provoqué, et au moment de la douleur . M. Maragliano admet que la température céphali
serait encore plus accentué dans le sommeil chloralique. Lors de la douleur , il y aurait une élévation marquée de la tempér
eralgésie, ou de l'anesthésie et de l'analgésie, la névralgie et la douleur provoquée à la pression. Tous ces phénomènes fo
l' "91 ? , ,, t ? , S'il était une consolation capable d'adoucir la douleur de son . -it ? ij Lj ? IUr ^u.f, -U 31, acr, .
84 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
usses convulsives. Il y a deux jours, pendant la nuit, elle eut des douleurs abdomi- nales très vives et en même temps une i
et en même temps une impossibilité absolue d'uriner. Au malin, les douleurs cessèrent, et la miction se rétablit spontanéme
cessèrent, et la miction se rétablit spontanément. Mais le soir les douleurs et la rétention réappa- rurent : un médecin app
pourtant senti et bien localisé. Il y a un peu d'hyperesthésie à la douleur : les piqûres sont plus vivement sen- 16 CLINIQ
i- lité tactile était intacte, il y avait de l'hyperesthésie à la douleur , el surtout des troubles de la sensibilité à la t
x, tels que le zona, le mal perforant, ne provoquent pas souvent de douleur chez eux. (Nous revien- drons plus loin sur l'i
s, quelques petites vésicules de même nature. La malade n'a eu ni douleur ni fièvre durant la période d'érup- tion. Un mo
rieure du thorax, côté gauche. Elle n'avait pas et n'a jamais eu de douleurs névralgiques. Actuelle- ment, nous ne trouvons
ieure. Il y a déjà un an qu'elle perd ses' dents, sans la moin- dre douleur . Les dents deviennent trop petites pour les genci
la paralysie générale, la malade commence à perdre ses dents, sans douleur : une gifle a suffi pour expulser quatre de ses
rès fortes névralgies dans la région cervicale et à la nuque. Ces douleurs l'empêchaient de dormir. Inégalité pupillaire. Em
sations du pincement; en y passant la main je ressentais une légère douleur ; la marche m'incommo- dait. L'auteur précise le
r désagréable ou douloureuse. Cette hyperirritabillté (exemple : la douleur dans l'hyperesthésie), en exagérant l'inten- si
dant qu'on lui cause de choses ordinaires, elle fait une grimace de douleur , se bouche les oreilles avec les doigts et vous
olume, écartement, température, mobi- lité de l'extrémité fantôme;' douleurs spontanées siégeant dans les extrémités fantôme
pariétale et occipitale ; la per- cussion de la tête lui cause une douleur sur la limite des os occi- pital et temporal du
tion de Quincke ou la trépanation. Il y a souvent en même temps des douleurs extrêmement vives, dans les membres, le tronc,
e alors aucune cause locale qui puisse les expliquer. Ce sont des douleurs d'origine centrale, traduisant l'irritation de
vent des zones d'hyperesthésie où la moindre pression détermine des douleurs ; ailleurs ce sont des zones où il y a des trou
rêmement vive et persistante. Troubles de la vue par neurorétinile. Douleurs dans les membres d'origine cen- trale. Agitatio
'a pas suivi de traitement spécifique. - Juin 1891. - Apparition de douleurs de tête très violentes, lanci- nantes, occupant
Entrée à l'hôpital le 23 juillet 1894. Elle se plaint surtout des douleurs de tête, d'un grand affaiblissement de quelques b
inue, généralisée; de temps en temps il y a des exacerbations : les douleurs deviennent insupportables, s'accom- pagnent d'i
etles vomissementscessent. Pendant ces accès, il y a de très vives douleurs dans les reins et les jambes ; aucun trouble mo
pression sur les os et les masses musculaires, ne provoquent pas de douleurs . Examen des yeux. Aucun trouble du côté de .la
rises douloureuses, quelquefois en dehors d'elles, elle éprouve des douleurs très vives dans les bras et les jambes, les DIA
DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 107 reins, la nuque ; ces douleurs ne sont expliquées par aucune altéra- tion loca
ni par les mou- vements actifs ou passifs. Il y a souvent aussi des douleurs vives dans l'abdomen, sans qu'on puisse les rap
e. 5 févnie· 1895. - Depuis une huitaine de jours l'intensité des douleurs s'est encore accrue; la malade n'a plus aucun rep
s calme et on a pu la faire revenir dans la salle des femmes. Les douleurs de tête se sont un peu calmées, quoique encore
eurs de tête se sont un peu calmées, quoique encore très vives. Les douleurs dans les membres et le tronc ont complète- ment
e n'éprouve plus qu'une certaine lourdeur de tête. Il n'y a plus de douleurs dans les membres. Elle se plaint surtout de sa vi
urine. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 109 G juillet. Les douleurs sont très intenses, on fait des injections sous
la persistance de la céphalalgie, l'exis- tence dans les membres de douleurs d'origine centrale, l'in- ' Cet examen a été fa
rises épilepli formes clébu- tant par la main droite, apparition de douleurs localisées a la région fronlo-pariétole gauche.
ifs sont impos- sibles, les mouvements passifs sont empêchés par la douleur . La pression de la nuque est douloureuse, sans
mes semblables : raideur de la nuque, immobi- lisutiolz de la tête, douleurs , dyspnée, tachycardie, apparaissant et disparai
percussion. La percussion dans un autre point du crâne produit des douleurs dans la région précédente. Il n'y a eu aucune m
e se seraient pas généralisées. Elle accuse des palpitations avec douleur au niveau du sein gauche, survenant fréquemment
respi- ration est toujours irrégulière, mais sans dyspnée notable. Douleur persistant au niveau de la région fronto-pariét
la région fronto-pariétale. 5 mars. Depuis deux ou trois jours les douleurs de la région fronto-pariétale gauche auraient n
ux des membres, bien avant qu'on remarquât des troubles pcychiques, douleurs d'oreilles ni lancinantes ni fulgurantes sur la
te de quatorze ans, dont l'affection débuta en octobre 1895 par des douleurs légères dans le dos, suivies bientôt d'une faib
choires. Les autres sont expulsées depuis un an; il n'y a pas eu de douleur . Celles qui restent sont atteintes d'abrasion trè
la face plantaire, on observe deux durillons qui ne causent aucune douleur et ne déterminent pas de gêne pour la marche. E
che se produit au moment où il soulevait une pelletée de terre : la douleur fut très légère. Cinq semaines plus tard, secon
deux os de l'avant-bras droit, au tiers inférieur, également sans douleur . Tel est l'état de la question. Nous n'avons pa
fle ou le xylol. H. de Musgrave-Clay. XLIV. ETUDE BIOLOGIQUE SUR la douleur ; par Ch. R1CUET. (Journal de 2ze2c2'oloie et d
logie, 1897, imb 20 et 21.) L'auteur établit dans ce travail que la douleur physiologique e--t t produite par des excitatio
ns réflexes appropriées sans qu'il y ait chez eux ni conscience, ni douleur ; la douleur, qui est l'apanage des êtres supér
ppropriées sans qu'il y ait chez eux ni conscience, ni douleur ; la douleur , qui est l'apanage des êtres supérieurs, n'en a
supérieurs cette différence que les premiers ne connaissant pas la douleur , réagissent seulement contre les traumatismes lor
s atteignent, tandis que les seconds, avertis par le souvenir de la douleur , peuvent se mettre en garde contre eux. En un m
tion du réflexe plantaire, qui peut persister, et du réflexe à la douleur , qui persiste d'une façon constante; b) dans les
IX, \. F. vu, 1896.) La sensibilité générale et la sensibilité à la douleur sont étudiées à l'aide du faradomètre d'Edelman
arativement chez 682 femmes et 400 hommes. 1. La sensibilité à la douleur existe au même degré que chez l'homme, mais la
IOLOGIE PATHOLOGIQUES. dégénérescence amoindrit la sensibilité à la douleur ; ce sont les vieilles femmes de l'hospice qui
perritabilité. Dans l'ensemble on trouve que la femme sent moins la douleur que l'homme ; elle y résisiste très souvent bea
erirritabilité, ou parfois, au contraire, une forte résistance à la douleur , allant jusqu'à émousser presque complète- ment
'après l'âge et les professions, mais moins que la sensibilité à la douleur . Chez les femmes aisées, dans le jeune âge, la
z la femme. 111. Considéré dans les deux sexes, la sensibilité à la douleur dépend surtout de l'appareil central de la sens
peau, etc. Divers accidents, énervement, vomissements, oppression, douleurs très pénibles dans les membres, ont, à plusieurs
: l'anesthésie cutanée a coexisté jusqu'au dernier moment avec des douleurs spontanées très violentes dans les membres infé
- masique qui fut pris brusquement, à la suite d'un effort, d'une douleur localisée à la région lombaire gauche. Quelques s
que l'affection des troncs périphériques ne se traduit que par des douleurs insignifiantes des membres. Certains auteurs (B
cun trouble et la menstruation avait toujours été régulière et sans douleur . Elle était d'une intelligence moyenne, affectu
organique du coeur. Elle étail plus âgée que son mari, sujette aux douleurs rhumatismales, elle n'était pas nerveuse. Dans
céphalée, d'autres symptômes se rencon- trent fréquemment, tels que douleurs ou engourdissements des extrémités, troubles te
d'abord la confiance absolue du malade. Contre les céphalées, les douleurs ostéocopes, les douleurs articulaires, l'anlipyri
solue du malade. Contre les céphalées, les douleurs ostéocopes, les douleurs articulaires, l'anlipyrine, soit seule, soit co
us-cutané de lajambe voit se développer tout autour une zone où les douleurs sont telle- ment aiguës qu'une intervention chi
. XLIII. Troubles DE la sensibilité au point DE vue spécial DE la douleur dans. les affections viscérales; par Il. IIEAD. (
édent travail étudié la localisation simple- ment topographique des douleurs et hyperesthésies superficielles éloignées quia
ntre- ces localisations et les organes dont la lésion a produit ces douleurs . Cette longue en- quête est donc surtout'pbysio
es de laboratoire. Les termes vagues « de névralgies intercostales, douleurs rhumatismales, mi- graines cardiaques », etc. r
plus souvent des phé- nomènes qui étudiés de près se défalquent en douleurs ou hyper- esthésies dont la localisation déterm
s éloi- gné de l'aire douloureuse. Il faut d'abord différencier ces douleurs à distance des douleurs locales profondes au vo
uloureuse. Il faut d'abord différencier ces douleurs à distance des douleurs locales profondes au voisinage même de l'organe
liée de loin à un viscère peuvent être assez voisine de lui (coeur, douleur précordiale). Cela fait, M. Ilead cherche avec
de signes physiques se rencontrent l'absence et la présence de ces douleurs et hyperesthésies à distance; ce qui l'amène à
ffisances avec reflux et rétrécissements des orifices) ; 2" que ces douleur ? d'origine ventri- culaire occupent précisémen
viscé- 318 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. raux lésés, origines des douleurs en question. Les aires et les seg- ments en rap
os de l'organe. M. Head étudie avec la même méthode scrupuleuse les douleurs et hyperesthésies à distance accompagnant les m
ausées par une lésion pulmo- naire, différenciées bien entendu, des douleurs gastriques de voisi- nage (lésions de la base)
les de delà sensibilité. D'ailleurs, le malade n'a jamais accusé de douleurs . On ne constate pas de lésions vertébrales. Les
a de remarquable dans ce cas, c'est que l'enfant n'a accusé aucune douleur lors de l'accident et que l'atrophie n'a été co
atée, souffrit dès 1887 de névralgies sus-orbitaires. Les crises de douleurs duraient de une à quatre semaines et étaient pr
nt de une à quatre semaines et étaient provoquées par le froid. Ces douleurs disparurent au bout de cinq ans en même temps q
plus précocement indolore que le cubital) ; enfin, sur l'absence de douleur lorsqu'on pince les différentes masses musculai
qui faisant un jour la gymnastique a ressenti subitement une forte douleur dans l'épaule gauche; depuis ce moment l'omopla
tive par son pouvoir de séparer, d'isoler une forme de sensibilité ( douleur ), par exemple, pour la suspendre. Elle est asso
nt et fond en larmes en pous- sant parfois de 'grands cris. Cas 3 : douleur dans l'hypochondre gauche localisée dans les mu
rd toute sensibilité de la moitié antérieure de la langue. Cas 10 : douleurs lancinantes à la partie moyenne de la cuisse ga
s 1886, la malade accuse des troubles consistant en suffo- cations, douleurs de tête avec clou, sensation de boule, pylorisme
hyses ; l'absence de symptômes cliniques d'ordre nerveux (hormis la douleur localisée au niveau des os atteints, l'affaibliss
gie spasmodique des deux membres inférieurs, égale des deux côtés ; douleurs aiguës non localisées; pas de troubles objectif
sont montrés il y a trois mois et demi, et ont consisté en quelques douleurs du bras gauche, que le malade attribuait à l'ac
ction d'un courant d'air auquel il était exposé en travaillant. Ces douleurs gagnèrent bientôt la région dorso-lomhaire, et
s de troubles de la sensibilité objective, mais il y a toujours des douleurs vagues sans localisation précise. Pas d'incoord
onsciente cutanée est absolument abolie dans tous ses modes : tact, douleur , température. Les mouvements iinpii- i- més pas
ents iinpii- i- més passifs provoquent dans tout le membre de vives douleurs , 1 mais sans localisation précise. Une pression
point quelconque des membres inférieurs provoque également de vives douleurs : il semble donc que les sensibilités profondes
CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 439 cales à gauche. Il est vrai que les douleurs assez vives qui existent toujours, sans localis
e vraie ; le malade gémit sur cette immortalité, qui n'est qu'une douleur de plus ajoutée à tant d'autres ; il ne doit pas
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Comme il n'ya pas eu d'ictus, ni de douleurs de tête, ni sensibi- lité à la percussion du cr
le-ci à son tour détermine une hyperesthésie de la sensibilité à la douleur . En résumé, la conséquence de la fatigue cérébr
Diagnostic des affections du sys- tème nerveux, par Bury, 266. Douleur . Etude biologique sur la-, par Cli. llichet, 21
85 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lol'phillOIl1allil', a clil lc Professeur l3ull, par la porte de la douleur , par celle de la volupté cl lru· ccllc tlu elt
cin avait traitées par des injections de morphine et co- caïne. La douleur calmée, l'appétence morphinique avait subsisté,
eilleux. Pour tous, les piqûres acceptées au début sous prétexte de douleur ou de curiosité, devin- rent bientôt une nécess
lesquels la nourriture arrivait dans le nez, j'avais le hoquet, des douleurs de tête effroyables et la constipation. Le sommei
guais facilement, j'avais des ecchymoses sous les yeux, de for- tes douleurs de tête et de très fortes constipations. En autom
s deux ans, force musculaire conservée. Sensibilité tactile et à la douleur abolie aux doigts et diminuée sur le bras et la
dorsales, diminution de la force et des réflexes des bras. Pas de douleur spontanée, mais douleur en éternuant par dis- t
e la force et des réflexes des bras. Pas de douleur spontanée, mais douleur en éternuant par dis- tension du cul-de-sac mén
ressent une sensation de courbature lombaire continuelle, puis des douleurs dans les deux membres inférieurs consistant en
ure des membres, depuis les fesses jus. qu'aux bouts des pieds. Ces douleurs continuelles présentaient des paroxysmes, surto
le, se plaint d'une légère céphalée constrictive, d'a- norexie, des douleurs dans les membres inférieurs, de courbature lomb
alade marche avec peine et peu longtemps ; il dit être gêné par les douleurs que lui causent tous les mouvements plus que pa
alade dit qu'il ne peut contracter ses muscles à fond à cause de la douleur . Au lit, il évite de remuer ses jambes et ne le f
le fait que lentement, chaque mouvement semblant lui procurer des douleurs assez intenses. -Troubles sensitifs : Douleurs qu
ant lui procurer des douleurs assez intenses. -Troubles sensitifs : Douleurs que l'exa- men montre être surtout névralgiques
a lin de janvier jusqu'à la mort du malade, l'état géné- ral et les douleurs continuelles ont été en s'aggravant, sans in- t
été en s'aggravant, sans in- tervention de symptômes nouveaux. Les douleurs aux membres LÉSION DE LA QUEUE DE CHEVAL PAR TU
derniers G mois de sa vie, avec un fort amaigrissement général, des douleurs tou- jours plus violentes, à caractère de sciat
troubles trophiques et moteurs dans les membres infé- rieurs, les douleurs constituant à elles seules la plus gran- de par
a pression ; la compression bilatérale du bas- sin provoquait de la douleur , en ce point ; la pression externe sur le sacru
des coliques hépatiques 'et présentait un subictère et une légère douleur dans la région hépatique, fait les ré- flexions
avait un état de subictère très manifeste ; ou bien l'ex- cès de la douleur locale avait, par action réflexe sur les centre
ls que céphalée, nausées, vomituritions, « \omissements, collapsus, douleur à la nuque, apathie, parésie, « etc : ,qui ne p
nes hyperlrophiantes, non douloureuses, qui sont apparues après des douleurs ostéocopes et sont accompa- gnées seulement de
1 est fréquent de voir les malades gri- macer à l'occasion de leurs douleurs ; or ce réflexe a lieu très souvent du côté opp
s ; or ce réflexe a lieu très souvent du côté opposé au siège de la douleur ; c'est un argument clinique en faveur de l'ent
nt de la diathèse de scrupule : par exem- ple un virtuose, inquiet, douleur , se demande s'il sait son mor- ceau, s'il n'aur
lement, elle commence par éprouver des troubles ner- veux, tels que douleurs en diverses parties du corps, battements de cmu
ivie pendant moins de cinq semaines), on releva l'exis- tence de la douleur viscérale réfléchie au niveau des zones té- gum
aque organe grâce aux nom- breux travaux antérieurs de Ilead. Cette douleur viscérale réfléchie, qui manquait, au contraire
ée et de l'hyperesthésie maxima du cuir chevelu. Cette action de la douleur réfléchie sur l'état mental s'expliquerait, pou
onctionnement ; maissi, dans les troubles graves et prolon- gés, la douleur viscérale réfléchie apparait, les, sensations p
s'accompagne souvent d'un délire hypochondriaque entretenu par les douleurs fulgu- rantes, viscéralgies, etc. Les lésions
nosophobes et thanathophobes) et en hypochon- driaques craignant la douleur (malades qui se tuent, mélan- coliques hypochon
nous a signalée le prof. Brissaud de ce malade, souffrant de' vives douleurs d'estomac, qui fut considéré par le prol. llavem,
nfin, à part quelques observations isolées, les prétendues zones de douleur viscérale réfléchie de \4. llead n'ont été re-
de la plaie,à topographie ascensionnelle limitée. Les si- gnes de douleur ne fontjamais défaut. Ils occupent le pre- mier
e la série morbide. Toujours perçues, mais par- fois supportable,la douleur , se réveille, par instants, sous forme de crise
me étape paraît caractérisée par le rayonnement et la diffusion des douleurs ,et par l'adjonction des symptù- mes moteurs, de
e question de degrés. Les signes de la névrite se ré- vèlent par la douleur , les troubles trophiques, moteurs, sen- sitifs,
près extinction du foyer primitif et cicatrisation do la plaie, les douleurs persistent ou se révèlent avec une in- tensité
stovaïne ou de cocaïne. Dans le traitement général, c'est l'élément douleur qu'il faut combattre encore par les analgésique
cole d'enseignement spécial d'Anvers. c) Psychologie : Le sens delà douleur . -Rapporteur : 1\Ille le Dr IoTEYKO, chef du La
La sensibilité cutanée est conservée dans tous ses modes, sauf à la douleur , où elle semble un peu diminuée. Pas de zones h
se, il la vue d'un chien écrasé sur la voie publique. « Pendant les douleurs de l'accouchement, je n'ai pas « crié comme une
enfant et du foetus. 'Réactions au chaud et au froid, réaction à la douleur , mais pas de connaissance du monde extérieur et
sensibilité tactile existe chez l'encéphale. « La sensibilité à la douleur exis- tait également. Des piqûres aux pieds, au
rière, 1904, n- 6.) Début à 33 ans par des phénomènes labétiformes ( douleurs fulgurantes, steppage, abolition du réflexe rot
entiques : début vers la trentième année parles membres inférieurs; douleurs lombaires, localisation des troubles de lasensi
de l'oreille droite sur le temporal et le pariétal provoquent de la douleur . P. 1lER.aVAL. XIII. Cécité psychique fonctionn
ntégrité delà sensibilité et des organes du bassin. Il existait des douleurs aiguës indépendantes ; les troncs nerveux étaie
t intervenir principalement pour localiser la névrose sous forme de douleurs , d'anesthésie, de paralysie sur la partie touch
5 constatés chez nos aliénés, il y a eu un gonflement orchitique et douleur . Le personnel infir- mier, a, en outre, fourni
pleurs, de contorsions, qui trahissent bien le fond dépressif el la douleur mentale. « .I'ai été à l'hôpital le ne sais pou
F... a eu une grande émotion. Sa femme, en- ceinte, étant prise de douleurs , ilcourf chercher la sage-femme : à son retour,
re question qui est venue en discussion est celle du - Sens DE la douleur sur laquelle Mlle -OTFYl0, chef des travaux du
es centres particuliers. L'existence de centres de perception de la douleur , dis- tincts de tous les autres, est basée surt
observe souvent entre la sensibilité tactile et la sensibilité à la douleur . L'analgésie pure, avec conser- vation delà sen
c/, un certain nombre de sujets normaux, que la sensibilité il la douleur est plus vive du coté gauche que du côté droit, e
que du côté droit, en un mot, que nous sommes tous gauchers pour la douleur . Ces auteurs croiel1l pouvoir conclure de celte
douloureuses, le centre droit n'entrant en jeu qu'à l'occasion des douleurs d'origine pathologique. ' La lllèsc de .Mlle 1-
sous unnintlucnce quelconque, leur lonalité est La sensibilité à la douleur , d'après celte conception, ne serait que l'expr
oses se passent dans l'hysté- rie, où l'on voit la sensibilité à la douleur disparaître avant toutes les autres et ne réapp
ion de tout autre nlémcnl. qui inlcrv icnt dans la production de la douleur . Cette théuric a l'lé combattue par NI. Lnm.
raient d'origine corticale Contrel'eistenoe de nerfs spéciaux de la douleur , M. CROCQ a invoque un argument anatolllo-patho
e ou même plus lard, il s'ensuit que les conducteurs spéciaux de la douleur , à supposer 1 [u'ils e\ istenl, .resteraient pe
en communiquant l'observation d'un sujet complètement insensible la douleur et en même temps dé- pourvu de toute espèce d'a
tl)llltÔt avec l'opinion des auteurs qui assimilent complètement la douleur physique et la douleur morale, la premiéroétant
n des auteurs qui assimilent complètement la douleur physique et la douleur morale, la premiéroétant surtout d'origine péri
'arthrite du poignet et île l'épaule. Le début a été marque par des douleurs au niveau du poignet. Bronchite il y a cinq a
. IL ? 2j ans. Début de la maladie en jan- ,iel'l ! Iü : 3, par des douleurs vertébrales avec sensation de forte courbature,
ns les jours suivants, de failllesso progres- siw, de raideur et de douleurs avec sensation de brûlure. Fin avril. Les même*
res et personnels jusqu'à l'âge de 30 ans, moment où survinrent des douleurs dans le dos et où elle s'aper- rut d'une déform
iée. La maladie actuelle aurait commencé en décembre 11.104 par des douleurs dans les deux bras, mais surtout dans le bras d
ibtisscmentprogrossifdos membres inférieurs, sans accompagnement de douleurs .. ' Leli janvier, rétention d'urine et constipa
èbre dorsale : paraplégie flasque des membres ' inférieurs : pas de douleurs dans les jambes : la jambe droite est absolumen
7 ans. Déhul de la maladie, paraît-il, il 1'11ge de 70 ans, par des douleurs si es iv es dans les jambes, il, ca- ractère de
uis lors, rien à noter qu'une augmentation de la para- lysie et des douleurs . Actuellement, en mai 11)04 : saillie verté- br
iveau (le,la 11-121" vertèbre dorsale, douloureuse il la pression : douleurs spontanées également : pa- ralysie presque comp
s. A. l"" jt) uns. Début de la maladie en jan- vier 1 ! )03 par des douleurs dans les reins de plus eu plus vin- lenles, irr
crises de lm·udo-nW ral;;it·. 1 ? n nmémllrl· 1903 apparaissent des douleurs scialiques vives, et, en décembre, une difficul
cidents observés ont été chez deux jeunes femmes ner- veuses, de la douleur après les piqûres avec une lièvre momenta- née.
avec une lièvre momenta- née. variant de 39" à 40°, durant comme la douleur de 24 à 36 heures. Les accidents ont disparu de
ans, prise de ce syndrome après une chute sur le dos.Paralysie avec douleurs très vives des memhres supérieurs ; hyperesthés
léens, signe de Babinski. Nystagmus; pas de troubles sensoriels. Douleurs et troubles de la sensibilité générale.' Pas de t
tisme chronique : symétrie des atteintes arti- culaires, absence de douleurs objectives, aspect des lésions. 1 Faisceau long
par G. BouTIrr.(Thèse de Bordeavx, L904-190.) Il existe ungroupe de douleurs intercostales, qualifiées à tort de névralgies
point de côté banal de cause pleuro-pulmonaire. L'auteur divise ces douleurs en trois groupes : douleurs intercostales d'ori
pleuro-pulmonaire. L'auteur divise ces douleurs en trois groupes : douleurs intercostales d'origine centrale, douleurs interc
leurs en trois groupes : douleurs intercostales d'origine centrale, douleurs intercostales d'origine périphérique, douleurs
d'origine centrale, douleurs intercostales d'origine périphérique, douleurs intercostales de causes mal dé- terminées, ,Les
iphérique, douleurs intercostales de causes mal dé- terminées, ,Les douleurs centrales sont frèsviolentes, apparaissent à in
nsibilité et ne sont mo- difiées par aucune cause périphérique. Les douleurs intercos- tales d'origine périphérique se divis
d'origine périphérique se divisent elles-mêmes en deux catégories : douleurs névriliques et douleurs réflexes, ces der- nièr
e divisent elles-mêmes en deux catégories : douleurs névriliques et douleurs réflexes, ces der- nières ayant pour point de d
des points.de départ différents suivant l'organe atteint. Enfin les douleurs intercostales de causes mal déterminées com- pr
ses mal déterminées com- prennent les topoalgies hystériques et les douleurs d'habitude à localisation intercostale. Dans to
d'habitude à localisation intercostale. Dans toutes ces variétés de douleurs in- tercostales,on met rarement en évidence l'e
lleix. L'injection de cocame loco dolenti n'a aucune action sur les douleurs centrales, amène toujours une amélioration passa-
rales, amène toujours une amélioration passa- gère mais accusée des douleurs périphériques et guérit complète- ment celles d
5. Sens stéréognostique. Voir ilfé- ti»go-e»célhnl7tc. - do l,t douleur , par Mlle Yotovko, p. 370. Sensation algique.
86 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
tes, œil brillant, peau chaude, pouls assez fréquent. Il se plaint de douleurs siégeant dans le côté droit de la poitrine dont i
apparence du moins ; la fièvre diminue ou cesse même tout à fait. La douleur thoracique disparaît ; les crachats per-dent leur
Symptômes locaux. — A. Lorsque l'état chronique est con-stitué, la douleur de côté est souvent à peine marquée. — La dyspnée
cancer' : hémoplysies très fréquentes, dyspnée souvent très intense, douleur pectorale quelquefois très prononcée. Par suite d
M. Giraldès. — Cette femme entre à l'hô-pital, pour être soulagée de douleurs de reins extrêmement vives qu'elle présente depui
bi une pleurésie droite, à la suite de laquelle il avait conservé des douleurs persistantes, avec matité, inspiration soufflante
laindre et de délirer toute la nuit. Aujourd'hui, il dit éprouver une douleur vive siégeant au creux de l'estomac. La pression
La pression exercée à la région épigastrique exaspère beaucoup cette douleur , et lui fait pousser des cris vio-lents. La langu
Voici, du reste, en quoi cela consiste : Les malades éprou-vent des douleurs dont le siège principal est la région lom-baire e
nférieure de l'abdomen. Dans les membres, on ne saurait localiser ces douleurs sur le trajet d'un ou de plusieurs des troncs ner
'y joint des fourmillements qui occupent surtout les extrémités ; ces douleurs persistent d'une manière à peu près continue, mai
ents, sont très nettement perçus, et de plus, ils sont l'occa-sion de douleurs plus ou moins vives, principalement pendant la du
hésie ; la marche est difficile, en partie, sans doute, en raison des douleurs des membres, mais surtout à cause de l'affaibliss
trait, de celle qui nous occupe. Il m'a paru que, dans les cas où les douleurs se sont montrées très vives et très persis-tantes
inution d'appétit, de la constipation alternant avec la diarrhée, des douleurs de tête. En même temps, il commence à maigrir et
haut en bas et de droite a gauche. La tumeur n'est le siège d'aucune douleur spon-tanée ; la pression et la percussion n'}' dé
e n'est pas accompagnée de frissons; elle n'avait pas été précédée de douleurs de reins ; le malade n'avait éprouvé qu'une grand
, un frisson violent avec tremblement se manifeste; en même temps une douleur sourde, que la percussion exagère, se montre à la
.) Obs. VIII. — Un homme âgé de 30 ans, non tuberculeux. Œdème avec douleur dans le membre inférieur gauche. Caillot contenan
vie, d'un caillot dans les artères, on a observé, en pareil cas, des douleurs vives, des paralysies du mouvement, des anesfhési
Cependant elle assure être sujette à des rhumatismes et se plaint de douleurs fixes dans les deux côtés de la poitrine. Réactio
u foie; quand on palpe ou qu'on percute cette région, elle accuse une douleur vive aussitôt qu'on arrive au niveau des fausses
gion est absolue et très étendue; la percussion n'y provoque point de douleurs . L'auscultation fait reconnaître des bruits sou
alade, il fut pris d'un frisson très fort, de céphalalgie et de vives douleurs lombaires. Un médecin prescrivit un purga-tif, pu
emplâtre sur la région du foie qui était devenue alors le siège d'une douleur intense. Ces moyens ne produisirent aucun soulage
endant qu'il a uriné et qu'hier il a eu une selle diarrhéique; aucune douleur dans les membres, les veines sous-cutanées des me
s liquides, tisane ou bouillon ; le liquide vomi est verdâtre. Pas de douleur abdominale, pas de taches rosées, tympanite toujo
rès nette aux questions. Sueur sur tous les points de la peau. Pas de douleurs thoraciques ou précordiales. Pouls veineux très m
fréquente que les jours précé-dents. Le malade se plaint d'une grande douleur dans les lombes lorsqu'on le fait asseoir. Râles
rtement ballonné; pas de taches rosées lenticulaires. 11 n'y a pas de douleurs dans l'abdomen et la palpation n'en détermine pas
e douleurs dans l'abdomen et la palpation n'en détermine pas. Pas cle douleurs , pas de gonflement des jointures. L'urine retir
l'étendue de la poitrine, sans souffle, ni matité. Il y a encore des douleurs lombaires, le ventre est ballonné. Les veines sou
rononcée. Elle est primipare et à terme, assure-t-elle. Les premières douleurs se sont montrées la veille de son entrée, vers mi
sont montrées la veille de son entrée, vers midi. Le 13 et le 14 les douleurs persistent, mais le travail ne fait point de prog
s escharres gangreneuses. Six jours environ après l'accouchement, une douleur vive se manifeste dans la fosse iliaque gauche; d
écédents. Le pouls est moins fréquent (90), parfaitement régulier. La douleur du membre inférieur et de la fosse iliaque gauche
auches ont diminué; mais par contre, la malade se plaint d'une légère douleur dans la cuisse et la jambe droites, qui présenten
n ans, éprouve, le troisième jour de ses couches, un frisson suivi de douleurs vives sur le trajet de la veine fémorale, dans le
s sur le trajet de la veine fémorale, dans le genou et le mollet. Ces douleurs se propageaient jusque dans l'abdomen. Les glande
de quelques jours, avait atteint le double de son volume normal. Les douleurs étaient si vives qu'elles troublaient le sommeil.
s ramifications. Obs. V. —Primipare; accouchement facile; fièvre et douleurs dans le bas-ventre pendant les quatre jours qui s
Le cinquième jour, à la suite d'émissions sanguines, la fièvre et la douleur avaient diminué; le soir, accès de dyspnée violen
de dyspnée violente. Neuf jours après, nouvel accès dyspnéique, avec douleur épigastrique ; la mort survient au bout de quelqu
erlin, atteint en apparence de fièvre rheumatique. Il se plaignait de douleurs dans la cuisse droite qui paraissaient avoir leur
a révélé l'au-topsie. Elle avait éprouvé, entre autres symptômes, une douleur vive dans la région sacro-iliaque gauche. Frisson
dispositions. Un peu avant cinq heures, elle se plaignit d'une légère douleur siégeant dans l'une des cuisses. La malade attrib
ère douleur siégeant dans l'une des cuisses. La malade attribua celle douleur à la position qu'elle avait gardée depuis longtem
ression exercée sur divers points du système ner-veux est la cause de douleurs violentes, qui peuvent s'irradier le long du plex
indice précieux, dans les cas où l'ané-vrisme est encore latent. « La douleur , dit M. Gendrin, est un symptôme constant des ané
es apophyses épineuses, éprouva, quelques mois après sa guérison, des douleurs à ce niveau. Il mourut quelques années plus tard,
er la cause réelle de cette manifestation symptomatique. Du reste, la douleur occasionnée parles anévrysmes de l'aorte se manif
la toux, la respiration striduleuse sont beaucoup plus intenses ; la douleur est plus vive ; la congestion veineuse par compre
t de l'observateur. Lorsqu'il existe un anévrisme, au contraire, la douleur est un des symptômes prédominants ; elle se manif
rmettent souvent de combattre avec avantage la dyspnée, ainsi que les douleurs intolérables que les malades sont quel-quefois co
de tout temps été vantée contre les anévrismes de l'aorte ; mais les douleurs intolérables occasionnées par ce moyen obligent s
s qui donne naissance à un anévrisme disséquant,le malade éprouve une douleur violente à la région précordiale, qui remonte ver
ignalé, dans d'autres cas, une suppression complète des urines et des douleurs gra-vatives à la région lombaire. L'explication d
sur le sol, où il reste étendu, en donnant tous les signes d'une vive douleur ; les membres sont roides, contractés, refroidis.
mènes suivants ; ces membres paraissent être le siège principal de la douleur , autant du moins qu'on peut en juger parles attit
it éteinte, si bien que l'ap-plication de moxas n'y provoque point de douleur . On a vu dans un certain nombre de cas la peau du
agné d'engourdisse-ments. S'il veut néanmoins continuera marcher, des douleurs sourdes accompagnées de fourmillements, ne tarden
u en outre, d'une manière permanente, plus faible que le gauche ; les douleurs dont il est le siège, lorsque le malade a marché
is à peine a-t - il fait quelques pas que les engourdissements et les douleurs se manifestent dans la jambe et la cuisse droites
us quitter son lit. Il éprouve tons les soirs, vers six heures, une douleur vive paraissant limi-tée au trajet du nerf sciali
même temps, les nerfs moteurs cessent d'être excitables. Quant aux douleurs violentes à caractère névralgique, c'est là un ef
arence semblables, déterminent soit la paralysie permanente, soit des douleurs névralgiques plus ou moins fugaces, soit enfin la
lentement progressif et aggravation sur place du travail de gangrène, douleurs atroces, insomnie absolue, inappétence, modificat
s qui, en clinique vétérinaire, sont recon-nus pour exprimer une vive douleur : respiration anxieuse, battements de cœur précip
des efforts pour agiter ses membres indique que là est le siège de la douleur ; 2° on constate cependant au moyen de l'applicat
els, et la température y est redevenue normale ; en même temps que la douleur , l'anesthésie et la contracture ont dis-paru. L
perdu toutes leurs fonctions puisque leur excitation provo que de la douleur . 2 Je rappellerai que M. Volkmann et après lui
ente ; ainsi, pendant l'accès, nous observons ces mêmes phénomènes de douleur , d'anesthésie, suite et en conséquence de l'app
e et de l'ischémie, et c'est ainsi que je m'explique l'apparition des douleurs , puis de la contracture, qui, ici comme dans le c
arqua qu'il ne pouvait marcher plus de cinq minutes sans éprouver une douleur dans le pied et dans le mollet droit, suivie d'en
vie d'engourdissement, de crampe. Après quelques minutes de repos, la douleur cessait et la marche re-devenait possible, pendan
té à pied du Théâtre-Français à la rue de Lyon, sans avoir éprouvé de douleur . Je suis convaincu que ce malade nous doit de l
ps il s'est produit chez ce malade quelques symptômes permanents : 1° douleur très vive dans le gros orteil, précédée compren
plus rouge et plus froid que les autres parties ; 3« Au moment de la douleur de la nuit le gros orteil se redresse. Il n'y a d
le pince avec une force égale du côté opposé, il donne des signes de douleur . Chaque jour depuis lors jusqu'à l'époque de la
uin, le malade est pris d'un délire bruyant, il se plaint beaucoup de douleurs spontanées dans les membres paralysés. En même te
sa maladie actuelle. Dès son entrée à l'infirmerie, elle se plaint de douleurs vives avec fourmillements dans les deux membres i
deux membres; la malade ne peut les mouvoir sans y éprouver une vive douleur , on n'y observe pas d'oedème, pas de changement d
est assez élevée ; il n'y a pas eu, assure-t-on, de frissons, pas de douleurs à la pression ou à la percussion, le long de la c
a percussion, le long de la co-lonne vertébrale. Le 5 décembre, les douleurs dans les deux membres inférieurs et spécialement
ne peut elle-même la remuer. Quand on pince la peau de ce membre, la douleur accu-sée par la malade paraît très vive, plus viv
agiter et de pousser des cris, surtout vers le soir, tant est vive la douleur . Le délire continue (potion, depuis le 5 de- ce
présente plus que des bat-tements très faibles. Le 15 décembre, les douleurs dans les membres spbacélés ont manifestement dimi
at du système nerveux, 581, 583; — physiologique pathologique, 584; — douleurs névralgiques, c85;— contractures, 585, 596; — dou
87 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
ême travail, les coliques revinrent, mais beaucoup plus violentes, la douleur devint intolérable, au point que Gilquin ne pouva
les ressources de sa science pour soulager son malheureux ami que la douleur affaiblissait visiblement ; mais il n’obtint aucu
er une courbature générale ; elle souffrait principalement du dos, la douleur croissait pendant toute la durée du jour et était
e n’avais pas opéré deux minutes, qu’elle me déclara ne plus avoir ni douleur , ni fatigue, et elle était soulagée d’un énorme f
de toutes nos facultés, — l’espoir qui berce l’infortune et endort la douleur , sourirait plus souvent au chevet des malades.
t. « Quand elle eut palpé le troisième objet, elle exprima une vive douleur mêlée d’effroi, et elle refusa de s’expliquer. J’
la matrice, laquelle fréquemment tombait et lui causait de constantes douleurs . u Les relations avec son mari étaient fort dou
s-rouge, ne suppurant pas, mais quelquefois sanguinolente et siège de douleurs atroces, dans quelque position que fût la malade.
e position que fût la malade. Cette excroissance correspondait, comme douleur , au point qui existait à l’extérieur du col. «
dont le courage était digne de tout éloge. u Au bout d’un mois, les douleurs étaient moins vives , mais des flueurs blanches,
des connaissances plus étendues , afin de calmer plus promptement ses douleurs . « Un jour, c'était vers la fin de juillet dern
dit-elle, mais je suis dans un état bien agréable ; je ne sens aucune douleur . Laissez-moi donc ainsi, je tous prie. Oh ! que j
Le lendemain, — nuit délicieuse, quoique sans sommeil profond,— les douleurs sont moins vives, — les selles un peu plus abonda
ent encore cependant beaucoup, mais les nuits sont plus calmes et les douleurs moins vives. La fréquence des selles a persisté.
l’omoplate , et une suppuration en bas de l’externum, accompagnée de douleurs dans les reins et dans l’épaule. Depuis qu’il s’e
reins et dans l’épaule. Depuis qu’il s’est soumis au magnétisme, les douleurs dans les reins et dans l’épaule ont disparu comme
changement en lui et dû à mon action. Le troisième malade avait des douleurs dans les reins, qui étaient produites par deschar
uché sur les reins. Lorsqu’il toussait ou éternuait, il éprouvait des douleurs horribles. Il en était de même quand il marchait.
moyen de la guérir. Il faut lui demander des détails sur ses longues douleurs , comment elles ont commencé, quels ont été les tr
malade a été guéri d'un cancer ; le mal a disparu , presque sans douleur . Des personnes ont recouvré l’ouïe et la vue. Je
e d’un de nos sociétaires, sans la ' manifestation d’aucune espèce de douleurs , l’extraction de deux racines molaires et l’ablal
s-même comment je dois m’y prendre pour que vous ne ressentiez aucune douleur . — Attendez!... magnétisez-moi la tête, bouchez
et je me gardais bien de parler de vous. Ce n’est que, vaincue par la douleur et conseillée par mon mari, que j’ai dû venir auj
remarquées, depuis trois mois dans son somnambulisme étaient dues aux douleurs de l’abcès qui se formait. J’ai donné tous ces
te de laquelle il y a une énorme inflammation de tout l'organe et une douleur excessive qui dure fort longtemps. Celui qui a pa
n état d’exaltation dans lequel, non seulement il est insensible à la douleur , mais, de plus, ses organes acquièrent des facult
se, et — toujours après de mûres réflexions, — vous apprend que votre douleur est une douleur arthritique (en français, une dou
s après de mûres réflexions, — vous apprend que votre douleur est une douleur arthritique (en français, une douleur d’articulat
prend que votre douleur est une douleur arthritique (en français, une douleur d’articulation). Le diagnostic est une première
ue la luxation fut réellement réduite. Il restait d’ailleurs de vives douleurs dans la région de l’omoplate, de l’articulation d
ur l’épigastre de la malade en formulant énergiquement cette pensée : Douleur disparais, Dieu puissant, calmez cette douleur! T
quement cette pensée : Douleur disparais, Dieu puissant, calmez cette douleur ! Trois minutes étaient à peine écoulées, que cett
ste calme et murmure : « Que cette huile est bienfaisante! Je sens ma douleur diminuer comme par enchantement sous son influenc
ait toujours lieu lorsque cet organe était libre de tout aliment, les douleurs étaient si aiguës, que la vie devenait pour moi u
depuis le mois de décembre dernier. Restaient encore à combattre les douleurs de l’estomac ; mais ces dernières, après avoir se
lots d’amour qui nous exaltent l'âme, Cette tendresse, appui de nos douleurs , Mieux éclairés, plus fixes dans leur flamme,
s de folie. Elle se plaignait, depuis le commencement de sa folie, de douleurs dans la région du cœur, entre les sixième et sept
s , avalé des épingles et une aiguille à broder la tapisserie; que sa douleur de cœur était occasionnée par cette aiguille qui
rait le déplacement de l’aiguille , et, par suite, la cessation de la douleur ; que, plus tard, il se développerait un abcès dan
t violent et douloureux dans la région du cœur, à la suite de quoi la douleur disparut. Un mois après, un abcès se forma entre
symptômes qui caractérisaient cette affection étaient les suivants : douleurs vives dans la région du cœur, s’étendant jusqu’au
rate de morphine. Je vis la malade le lendemain , et j’appris que les douleurs , loin d’être diminuées, étaient infiniment plus v
. Le procédé consistait à faire des frictions suivant le trajet de la douleur , c’est-à-dire depuis la région du cœur jusqu’à l’
x minutes de magnétisation suffirent pour faire dispa- rattre les douleurs et pour plonger la malade dans un soin-meil profo
h 1 comme toi j'étais jeune et folâtre, Et d'ici-bas j’ignorais les douleurs . Sur ton front pur et blanc comme l'albâtre Je
kdja-Mouni. Quand Cldngtsa-Tsi«se releva, elle ressentit une grande a douleur au côté, et comprit que cette chute l'avait rendu
tillèrent le corps, faisant semblant qu’ils en ressentaient quelque douleur (3), mais n'en recevant au fond aucun « dommage.
touffés, les râlements d'un homme étendu par terre, et en proie à une douleur violente... Il est agité de mouvements convulsifs
ain, te prouva que j’avais dit vrai sur tous les points, même sur les douleurs qu’il ressentait et que tu ignorais , et sur les
iter les opérations chirurgicales, en affranchissant le patient de la douleur . Il assigne encore au magnétisme un rôle fort imp
arotides et généralement des grosses artères, et qu’il fit cesser les douleurs , présage menaçant de l’anévrisme. Il se magnétisa
, il avait souffert, sans pouvoir trouver aucun soulagement, une vive douleur à la cuisse droite, dans la partie interne, depui
partie interne, depuis le genou jusqu’aux deux tiers de la cuisse. La douleur avait un siège fixe; elle était tantôt violente,
a transpiration. Chose merveilleuse ! au bout de quelques minutes, la douleur se calma et il put s’endormir. Le lendemain mat
rrassa de la bande qu’il jugea inutile. Mais, trois ans plus tard, la douleur ayant reparu, il eut recours au même remède et av
taire et calmante du fluide , bien que parfois il éprouvât de petites douleurs nerveuses qui prenaient fin en même temps que le
lle refusa de continuer en disant qu’elle ressentait dans la tête des douleurs étranges. Le lendemain, interrogée dans son somme
fièvre de Crimée sur un soldat des gardes; guérie en une séance ; Douleurs résultant (le blessures sur trois autres soldats
e la couverture ; mais il découvrit ses pieds, et il poussa un cri de douleur en recevant un coup sur un cor. Pensant que ce
, mais l’expérience me prouva que les vers lombrics étaient cause des douleurs qui le réveillaient la nuit en sursaut. T.a const
e. Voici quel était •son état lorsqu’elle eut recours au magnétisme : douleur aiguë à l’hypocondre droit, vertiges, nausées, do
u magnétisme : douleur aiguë à l’hypocondre droit, vertiges, nausées, douleur sympa-tlque à l’épaule, anorexie, et enfin une co
l y eut une amélioration sensible dans l’état de la malade. De fortes douleurs des aines et de l’abdomen indiquaient, en outre,
fièvre très-forte s’était déclarée , et le cerveau était le siège de douleurs tellement violentes, qu’une congestion, accom
eus le bonheur de voir la menstruation «'établir, et la fièvre et les douleurs céphaliqties se calmer. La nuit fut très-bonne, l
ccupations habituelles. Aujourd’hui, elle est très-bien portante, les douleurs hépatiques ont cessé, des évacuations séreuses, q
, l’appétit -est revenu, les flueurs blanches n’ont pas reparu et les douleurs de la matrice ne se font plus sentir. Le teint, q
dès lors aller pour le mieux, quand tout à coup elle se plaint d’une douleur à la tempe droite : j’y pose la main pour la calm
lequel je pus impunément la piquer, sans qu’elle témoignât la moindre douleur ; l’analgésie était complète. Je ne me suis pas a
c’est-à-dire si elle était sensible à toute autre impression qu'à la douleur , tels que le chatouillement, la chaleur, le froid
plusieurs graves maladies, notamment d’une affection du cœur et d’une douleur névralgique dont le siège était à la partie inter
este, je ne m’en occupai guère, car mon bras, qui me causait de vives douleurs , était tombé inerte le long du corps, tellement e
nespéré, je redoublai d’efforts et d’énergie, et, en peu de temps, la douleur , qui d’abord avait envahi tout le bras, disparut,
e du coude , je dois ajouter que les doigts se murent d’abord et avec douleur , que la douleur ne partit qu’après, et que ce
dois ajouter que les doigts se murent d’abord et avec douleur, que la douleur ne partit qu’après, et que celle du bras ne d
urs phénomènes particuliers se manifestèrent. Ils ravivèrent bien des douleurs et m’émurent singulièrement. Mais, comme ils inté
de dans un état épouvantable : percluse de tous ses membres, avec des douleurs atroces dans les articulations, à ce point qu’il
pour pouvoir être ramenés sur la tête, sans faire éprouver la moindre douleur . Le sommeil s’était rétabli, la fièvre n’existait
détachant, tombât dans l’estomac où elle aurait été digérée ; mais la douleur qui survint et aussi la frayeur de voir une opéra
disparu ; le mal seul au foie se traduisait encore par une assez vive douleur vers la région de cet organe. Huit ou dix jours
ibilité de tourner la tête à droite ou à gauche s is exciter de vives douleurs dans ces mêmes muscles, et des élancements dans l
cles, et des élancements dans les branches nerveuses. Il existait une douleur au sommet de la tête, fixe , gravative, s’irradia
se , et, de ma main — 604 — droite, je cherchais à entraîner la douleur en faisant des passes du cou au bassin. Le sept
Le septième jour, — le malade avait paru insensible jusque-là, — la douleur se déplaça et disparut en quelques instants. Les
tie sont les intestins. C’est pour cette raison que se produisent les douleurs , la diarrhée, les vomissements. Le visage devient
ut d’insensibilité, et les plus graves opérations ont été faites sans douleurs ; on a pu de môme panser des plaies très-vives et
tait enlevée. Bientôt le jeune homme lit entendra des exclamations de douleur . A mes questions, il répondit que les esprits le
obligée de garder ma chambre, faute de pouvoir marcher par suite des douleurs terribles que j’éprouve dansle côté droit. Me voi
emain, je lui demandai comment elle se trouvait : elle me dit que ses douleurs de côté l’avaient laissée reposer toute la nuit c
sine descend dire à ma femme de monter, que madame Berson éprouve des douleurs qui annoncent sa prochaine délivrance; l’on fut c
ré, vis-à-vis le passage Delonne ; cette personne était prise par des douleurs qui la retenaient chez elle ; il lui fut ordonné
ressentir un tremblement général, et paraissait en proie à de fortes douleurs . J’ai eu pitié de la voir dans cet état et j’ai r
incapable de se soutenir. Il fut pris de vomissements violents et de douleurs si atroces que les employés envoyèrent chercher u
ansportée au bureau voisin, où l’on chercha pour elle des secours. La douleur lui arrachait des gémissements : M. Guidi accouru
magnétiser vigoureusement : en peu de temps, il parvint à dissiper la douleur et enfin à la guérir si parfaitement, qu’elle put
. CLINIQUE. § 1. — CAS DE CHIRURGIE. — Opérations supportées sans douleur . Extraction de racines molaires, 239. | Ablation
graves, 265, 568. Couches laborieuses, 633. Courbature générale, 20. Douleurs de reins, 180. — résultant de blessures, 487. E
, 328. Anesthésie magnétique. Opération chirurgicale supportée sans douleur à l’aide du magnétisme. Rapport de M. le docteur
88 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tants. Au point de vue subjectif, elle ne se plaint que de quelques douleurs dans le bras droit, douleurs d'ailleurspeu marq
tif, elle ne se plaint que de quelques douleurs dans le bras droit, douleurs d'ailleurspeu marquées; mais si je la touche, m
nsitifs, hyperesthésies identiques aux hyperesthésies radiculaires, douleurs rappe- lant les douleurs fulgurantes des tabéti
dentiques aux hyperesthésies radiculaires, douleurs rappe- lant les douleurs fulgurantes des tabétiques. Parfois aussi il y
des cordons posté- rieurs. Ainsi, les patients peuvent accuser des douleurs surve- nant parvéritables paroxysmes, dans les
inutieusement pratiquées, l'existence du syndrome pseudo-tabétique ( douleurs fulgu- rantes ; ataxie, etc.), tel qu'il a été
sion répétée de la région acromiale du bras délermine parfois de la douleur : on l'évitera en employant le plessimètre. P.
l'asymétrie des fonctions sensorielles s'étend aussi au sens de la douleur . Sur les 50 sujets ayant servi à ces expérience
, visuelle, etc. Il résulte de ces recherches que les centres de la douleur ne sont pas les mêmes que les centres c percept
encore permis d'affirmer l'existence d'un centre spécial pour la douleur . G. D. XXXI. Sur un autre cas de tumeur du cana
s, bien portante jusqu'alors, est prise, sans cause appréciable, de douleurs constrictives en cein- ture limitées au côté ga
e douleurs constrictives en cein- ture limitées au côté gauche. Ces douleurs siègent au niveau des fausses côtes et se manif
me de trente-trois ans, qui fut pris un jour en chantant d'une vive douleur localisée d'abord au sommet du crâne et ensuite
de leur irritation du fait de la phorèse. 5. Le pôle qui apaise la douleur doit être l'anode; celui qui l'éveille doit êtr
issant sur la sensibilité générale, en diminuant l'angoisse et la ' douleur morale, en supprimant le cauchemar. Le phosphate
ccupée par ces différents nerfs. Les nerfs de la sensibi- lité à la douleur sont considérés comme étant les plus superficiels
et au froid, surtout aux mem- bres inférieurs, qni sont le siège de douleurs fulgurantes. La sensibilité des muscles à la co
sse pas seule- lement les souvenirs musicaux, mais encore certaines douleurs , la soif de l'alcool, la passion du jeu, etc. ;
jusqu'à l'école et on l'a rap- porté chez lui où il s'est tordu de douleurs sur son lit, pendant des heures. L'ainé est tom
e des anesthésies. On détermine par suggestion l'insensibilité à la douleur , et à la température. Ces anesthésiques se comp
ment à faire apparaître sur la face du sujet des signes évidents de douleur . En persuadant à l'hypnotisé que l'anesthésie v
a commune organisée. Voici les principales : Sensibilité générale : douleurs aiguës et vives sur toute la surface du corps (
s sur toute la surface du corps (piqûres, élancements, étincelles); douleurs plus cons- tantes et plus sourdes desjointures
vagin, ce qui la gêne beau- coup, en provoquant non seulement de la douleur , mais d'autres sensations spéciales. Sensations
ade ; c'est le même- mode de débuts, la même physionomie, les mêmes douleurs , les mêmes obsessions. , Indépendamment du di
a clavicude gauche, apparurent de la faiblesse des extrémités, avec douleurs surtout localisées aux pieds, anesthésie profon
globe a la pression, rétrécissement des artères du fond de l'oeil. Douleurs en ceinture il la base du thorax. Lymphocytose
muscles de la face. Diminution de la sensibilité au contact et à la douleur . Gâtisme. A l'ophthalmoscope les deux papilles so
la première, dont l'évolution est parfois très longue, les grandes douleurs et le tassement du sujet font seuls soupçonner
e au point de vue du diagnostic. Il fait remarquer en outre que les douleurs rachi- tiennes semblent précéder tous les sympt
me devient parfois, sinon toujours le point de départ d'horribles douleurs ; c'est parce que, pendant son développement, pen-
un autre point de vue que je veux vous indiquer tout de suite : les douleurs dont je viens de parler peuvent être, sachez le
nce favorables, la gêne persistait dans le bras gauche; de plus des douleurs lancinantes survenaient par intermittences dans
ion avec curettage de l'aisselle, mais sans beaucoup de succès. Les douleurs et l'oedème du bras persistèrent, A partir de
ouveaux firent leur apparition. En mai 1903, la malade se plaint de douleurs dans les jambes, rendant la marche de plus en p
actifs, même ceux de la tête sont presqu'impossibles à cause de la douleur qu'ils provo- quent. Remarquez aussi qu'elle ne
-être poursuivi avec toute la méthode désirable, eu égard à la vive douleur provoquée par le moindre déplacement du membre.
oubles de la sensibilité subjective : paresthésies, fourmillements, douleurs lancinantes qui torturent la malade. Au point d
La flexion de la cuisse sur le bassin est impossible à cause de la douleur ressentie dans l'aine. Par ailleurs la paralysi
re sur une sensation très nette de cons- r triction thoracique avec douleurs en ceinture à caractère lan- » cinant. C'est vo
l'aisselle est pratiqué trois ans après l'apparition des premières douleurs , les phé- nomènes douloureux et l'oedème du bra
e pour cela on note à aucun mo- ment de troubles sphinctériens, les douleurs s'étendent à tous les nerfs du thorax et du tro
t du tronc. La dyspnée et la toux s'ins- tallent, l'impotence et la douleur augmentent chaque jouren même temps que l'état
nt complète, il y a plutôt une véri- table inhibition causée par la douleur , car l'abolition de^la motricité volontaire est
^la motricité volontaire est en rapport absolument direct avec la douleur . D'autre part, vous ne constatez ni paralysie f
d'ordre objectif, consistant en paresthésies, en fourmillements, en douleurs lancinantes, spontanées ou provoquées par les m
ofonds du thorax et de l'abdomen. Ainsi expliquerons-nous les vives douleurs inter- costales ; et, peut-être, l'asthénie si
l'âge de vingt-cinq ans. A cette époque, la malade ressentit des douleurs dans l'abdomen; un chirurgien consulté conseilla
ns, elle se plaint d'une sensation de fatigue au moindre effort, de douleurs vagues le long de la colonne vertébrale, dans l
musculaires et des points d'émergence des nerfs provoque d'atroces douleurs . ' Le signe de Lasègue est des plus nets. Les r
ctives sont variées autant que péni- bles, ce sont des crampes, des douleurs à caractères fulgu- rant ou térébrant, des four
potence fonctionnelle des membres, l'atrophie musculaire, les vives douleurs à la pression des nerfs et des muscles, les sig
dans les cancers de la plèvre, dans les métas- tases aux côtes. Les douleurs intenses en ceinture de la nature de celles que
n cachet tout spécial à cette sorte de paralysies radiculaires. Aux douleurs vives, lancinantes; à l'impotence fonctionnelle
es néoplasmes pelviens et abdominaux. Head a même voulu faire des douleurs eu ceinture et de l'hyperesthésie cutanée si fr
, c'est au cours d'un cancer abdominal ou pelvien, une explosion de douleurs vives dans le domaine du plexus lombaire et sac
de douleurs vives dans le domaine du plexus lombaire et sacré avec douleurs également intenses à la pression des troncs ner
ement que dans le mal de Pott tubercu- leux, où cependant de telles douleurs sont exceptionnelles. Pas plus nous ne pouvons
it des fourmille- ments douloureux dans les membres inférieurs, des douleurs lancinantes en ceinture. La station debout ét
que vous serez influen- cés. Chaque fois que vous rencontrerez ces douleurs atroces, constrictivcs, lancinantes, s'irradian
tion, de quelque ordre soit-elle. Le 20 juin 1902 il se plaint de douleurs névralgiques dans la région ilio-lombaire droit
laint de douleurs névralgiques dans la région ilio-lombaire droite, douleurs sans grand caractère qui disparais- sent au bou
e cette région montre la perte de la sensibilité au contact et à la douleur , et on remarque de plus qu'il existe une atroph
es extenseurs. - Notons enfin que la sensibilité au contact et à la douleur le long du trajet du nerf ' cubital est diminué
sous de la quatrième paire cervicale; à droite l'anesthésie à la douleur est légère et se trouve seulement dans la zone ra
déjeuner, celle-ci perçoit un craquement, mais ne ressentant aucune douleur , croit que sa camisole se déchirait, on ne s'ap
musculaire progressive type Aran-Du- chenne. La sensibilité à la douleur a totalement disparu au niveau des mains et des
outaient des signes d'irritation des méninges, caractérisés par des douleurs céphalo-rachidiennes intenses et le signe de Ke
observés. Ils attribuent l'irritation des méninges dénoncée par les douleurs céphalo-rachidiennes et le signe de Kernig à l'
ir baisser sa vue; il dit qu'il a la tête lourde sans de véritables douleurs . Les réflexes ont une légère exagération. Il a
flasque, avec abolition de toutes les sensibilités au contact, à la douleur , à la température, à l'électricité. Les réflexes
hystérie. Ce sont des dou- leurs névralgiques polyarticulaires, des douleurs abdominales localisées, des syndromes d'astasie
ratiquer une laparotomie exploratrice, afin de la débar- rasser des douleurs hystériques. On oubliait que ni pendant l'en- f
e stationnaire pendant trois heures. La parturiente, énervée par la douleur , de- vient intraitable ; dans l'espoir de moins
s à la narcose éthyl-méthylique, pendant deux ou trois minutes : la douleur est complètement jugulée. Pen- dant Ja période
t prolongée. sans se plaindre du tout. Au bout d'une demi-heure, la douleur reparait : nouvelle narcose, avec suggestion pe
s musculaires nous avons trouvé également des symptômes tabétiques ( douleurs fulgurantes, incoordination motrice, abolition
pellent en outre l'attention sur deux symptômes en particulier : la douleur locali- sée a la pression d'une part, et la fiè
loureux est en général en rapport avec le siège de la tumeur; cette douleur très localisée existait au plus haut point chez l
l, il n'en est pas moins vrai que sauf les sensations élémentaires ( douleur , lumière, bruit), nous ne paraissons pas avoir
opération l'acuité visuelle de luit gauche redevint normale et les douleurs disparurent. L'essentiel dans ces cas est d'inc
pêche l'apparition ultérieure des symptômes spinaux ordinaires, des douleurs et des troubles de la coordination en particuli
as ne confirme nullement ces propositions. Pour ce qui concerne les douleurs , 16 fois sur 32 elles ont paru alors que le mal
e était déjà aveugle; la cécité n'empêche donc pas l'apparition des douleurs tabétiques. L'intervalle entre les deux phénomè
t de quelques mois seulement, généralement de plusieurs années, les douleurs ont paru dans cer- tains cas, 9, 10, 12 ans ava
la date d'apparition des troubles sensitifs et visuels. Quand les douleurs ont été précoces, la cécité n'a eu sur elles au
tiques vulgaires ; il est rare en effet que chez des tabétiques les douleurs persistent pendant toute l'évolution de l'affec
imitive après huit, onze, douze, dix-sept et vingt ans. Comme les douleurs , les troubles de la coordination apparaissent p
aierai pas d'atténuer par des consolations banales la trop légitime douleur d'un père. Puisse-t-il trouver un adoucissement
bien conservées. Pas de troubles de la sensibilité tactile ou à la douleur . Pas de crises convulsives. - Le malade a augme
cessus psychiques, comme chez M. N... ; mais il y a en plus de la douleur morale. La mélancolie est avant tout le résultat
tailles profondes aux deux avant-bras, complètement insensible à la douleur , « tellement, dit-elle, elle était effrayée ».
ueux, ils émoussent les. sauvegardes naturelles représentées par la douleur et la fatigue, qui servent de signal pour le re
ervent de signal pour le repos et la récupération d'énergie; car la douleur est bien, comme l'a dit Sberrington, l'adjuvant
ibles. Elle est sans effet, au moins sans effet durable, contre les douleurs ataxiques, rhumatismales, névralgiques. Mais le
ap- paru, le malade ressentait au niveau du coude gauche de vives douleurs liées à une ostéo-arthropathie. probablement syph
suite de cette intervention une amélioration de dix-huit mois ; les douleurs reparaissant, on pratiqua une série d'injections
ocaïue an point douloureux; on obtint. une cessation com- plète des douleurs pendant un an; de nouvelles crises se sont repr
optique complète. En même temps le tabes a toujours progressé; les douleurs et les troubles de la coordination sont devenus
, MM. Déjeune et EGGER. Comme premier symptôme, l'appari- tion de douleurs fulgurantes dans la jambe droite il y a dix ans.
ns après le commencement des para- lysies motrices. Propagation des douleurs fulgurantes aux extré- mités supérieures. Par
ux qui est ouvert; un stylet pénètre jusqu'à l'os et provoque de la douleur ; c'est le premier signe de sensibilité qui se m
ulsions générales avec perte de conscience; l'accès débuta 'par une douleur , des picotements et contractions dans les doigt
89 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
nie, Tuberculose, Diahéte). Neuralgie Caron (Migraines. Névralgies, Douleurs fulgurantes). Franguloie Flach (constipation).
c.). 5. rue des Ecoufles. (Téléphone 218-03). Migraines, Névralgies Douleurs fulgurantes des ataxlques « NEURALGIC » Elixi
appé depuis longtemps où pleurent une veuve et des orphelins, dont la douleur réclame pour le moins le silence sur la tombe qui
Est res sacra miser, nous nous inclinons, sincèrement émus, devant la douleur des siens. * Nous nous associons pleinement aux
les sensations de température. Je n'ai ressenti que très rarement de douleur , quelquefois seulement un peu de gêne ou de fatig
noter, c'est que dans les rêves de personnes mortes, je n'éprouve ni douleur de les avoir perdues, ni joie de les revoir vivan
hystérie, avec arcs de cercle, attitudes passionnelles, contractions, douleurs , bypercstbésics, etc. Cela dure quelquefois un qu
ie. Tuberculose, Diabète). Neuralglc Car on (Migraines, Névralgies, Douleurs fulgurantes). Franguloee F la oh (constipation)
c.), 5, rue des Ecouffcs. (Téléphone 516-09). Migraines, Névralgies Douleurs fulgurantes des ataxique NEURALGIC » Elixir
n très vif désir de manger et de boire. En dehors des accès, il a des douleurs occipitales en forme de casque, des douleurs le l
hors des accès, il a des douleurs occipitales en forme de casque, des douleurs le long delà colonne vertébrale principalement au
ître, tout en se dépêchant, les sensations de borborygmes et de vives douleurs qu'il éprouvait au ventre. Il fut conduit aux cab
se présente à ma consultation ; il se plaint d'éprouver de violentes douleurs au cou et à l'épaule gauche, depuis six ans, et d
depuis six ans, et d'avoir toujours la main gauche très froide. Cette douleur l'empêche de se reposer plus d'une heure ou deux
ans cet état je lut suggère, a plusieurs reprises, la disparition des douleurs et lo changement de température de sa main. Une d
le signe de la croix et remercier Dieu d'avoir trouvé un remède à ses douleurs . En effet, il m'apprend que ses douleurs ont comp
avoir trouvé un remède à ses douleurs. En effet, il m'apprend que ses douleurs ont complètement disparu. La température da sa ma
s chauds je lui frictionne la région lombaire en lui suggérant que sa douleur disparnit, qu'il a chaud et qu'il éprouve un gran
. La malade est toute joyeuse; elle explique par des signes que i les douleurs de la gorge et de l'estomac ont disparu. On lui a
des personnes qui se plaignent qu'on peut i:gcr si elles ont quelque douleur ou autre sensation, cette fille qui n'avoit aucun
ce n'est que les piqûres et les situations gênantes lui causoient des douleurs et des lassitudes. J'ai insisté sur le détail d
pour se convaincre de la vérité II n'en coûtait que quelques légères douleurs à la malade, qu'elle ressentoit des qu'elle étoit
ie. Tuberculose. Dis)-été). Neuralgio Caroa (lliiirainçs. Névralgies. Douleurs fulgurantes). Franguloss Flach 'constipal'on). Br
e elle change do caractère, devient sombre, violente, et présente des douleurs ainsi que des secousses nerveuses dans tous les m
lus suivant les malades) j'observais le retour de la sensibilité à la douleur , avec ou sans transfert, suivant les sujets. (1
ouchée dans tous ses modes, cette restauration de la sensibilité à la douleur entraînait quelquefois le retour de la sensibilit
1902; il porte la main à la tempe droite et se plaint d'éprouver des douleurs très violentes, comme s'il recevait des coups de
ne séance d'une heure. Au réveil, il me dit qu'il ne sent plus aucune douleur ; il est enchanté du résultat. Je dis au malade de
trajet du nerf sciatique et je suggère la disparition prochaine de la douleur , ainsi que la sensation de chaleur et de bien-êtr
sécutifs. Le second jour, elle peut marcher; elle ne sent plus aucune douleur , mais une pesanteur dans les fesses. Après la tro
il hypnotique et qui, à son réveil, déclara n'avoir ressenti aucune douleur . Nous avons éprouvé un vif sentiment de plaisir
hénie, Tubérculo»*. DlaWle). Nouralglo Caron M;.: . ¦¦ -. Névralgies, Douleurs fulgurantes). Fraogulose Flach (constipation). Br
que Baliac a exprimée dans la phrase suivante : - La laideur est une douleur que la femme supporte toute sa vie. * ouverte
st vrai, et peu douloureuse. Cependant, au bout de quelques jours, la douleur de tète est devenue très violente et notre jeune
deux mois, elle s'accompagne en outre, les deux premiers jours, d'une douleur intense dans le bas-ventre. La palpation de la ré
isites dans la journée; après le dîner elle éprouve du vertige et une douleur dans la région précordiale. Elle se met immédiate
auteuil et qu'on lui enlèvera sa dent sans qu'elle éprouve la moindre douleur . Le jour suivant, la malade m'apprend avec joie
ne peur chez le dentiste et que l'extraction de la dent a eu Heu sans douleur . J'ai su, ensuite, que le dentiste lui avait fait
ation quelconque ou quelque sensation désagréable telle que angoisse, douleur , etc., vous n'aurezqu'àregardermaphotographiepend
ques nuits de suite à 3 ou 4 heures du matin, elle ressent une légère douleur dans la région cardiaque. Mais elle lit volontier
sont point précédées d'aura; elles sont suivies de mal de tète et de douleurs dans tout le corps. Cette jeune fille souffre d'u
ne demi-heure. J'apprends que chaque attaque est précédée d'une forte douleur dans l'cpaulc droite, ce mal d'épaule est per
s par exemple que : la suspension de l'angoisse, de l'irritation, dos douleurs , l'amélioration du bien-être général, du sommeil,
ral, caractérisé par des troubles de la vue, du vertige cérébral avec douleur frontale, de la gastralgie s'accompagnant de vomi
des troubles d'innervation cérébrale qui provoquent du vertige et une douleur frontale parfois très pénible. Ce vertige et cett
ige et une douleur frontale parfois très pénible. Ce vertige et cette douleur s'augmentent par les irrégularités de la circulat
ements, exhale-t-il des plaintes lamentables, poussc-t-il des cris de douleur ou de découragement, un effet suggestif se produi
nie, Tuberculose, Diabète). Neuralgia Carón (Migraines, Névralgies, Douleurs fulgurantes). Frangulose Plaoh (constipation).
nie, Tuberculose. Diabète). Ncuralglc Caron (Migraines, Névralgies, Douleurs fulgurantes). Prangulose Flach (constipation').
e, c'eBt l'atonie générale des fondions physiques et psychiques, avec douleurs névralgiques, fixes ou erratiques, et permanence
nie, Tuberculose, Diabète). Neuralgie Caron (Migraines, Névralgies, Douleurs fulgurantes). Franguloso Flach (constipation).
c.), 5, rue des Ecouflcs. (Téléphone 218-09). Migraines, Névralgies Douleurs fulgurantes des ataxique* NEURALGIC» Elixir prépa
sourd-muet. M. Lépinay : L'hypnotisme chez le cheval. D' Dbmonchv- : Douleurs uréthrales chez un hyperesthéslque. NOUVELLES
nie, Tuberculose. Diabète). Neuralglc Caron (Migraines, Névralgies, Douleurs fulgurantes). Frangulose Flaeh (constipation).
c.), 5, rue des Ecouffes. (Téléphone 218-09]. Migraines, Névralgies Douleurs fulgurantes des ataxlque* «NEURALGIC » Elixir
. A ce point de vuo, elle présente les plus grandes analogies avec la douleur . Les mêmes raisonnements qui ont été formulés pou
mes raisonnements qui ont été formulés pour justifier l'utilité de la douleur lui sont applicables. On peut donc considérer la
ue, nous aura forcé à réfléchir et à prévoir. Sans la peur et sans la douleur , nous ne connaîtrions pas la prudence et nous n'a
p de ses connaissances. Il est d'ailleurs évident que la peur et la douleur , étant des fonctions intellectuelles, seront d'au
onie d'un paysage n'existent que dans l'imagination du spectateur. La douleur et la joie, le plaisir et lasouffrance, le sentim
sourd-muet. M. Lêpinat : L'hypnotisme chez le cheval. Dr Demonchy : Douleurs uréthrales chez un hypereslhésique. NOU VELLES
nie, Tuberculose, Diabète). Neuralglc Caron (Migraines. Névralgies, Douleurs fulgurantes). Frangulose Flach (constipation).
er, 5, boul. de Coureelles Téléphone : 533-S5 Migraine*, Névralgie» Douleurs fulgurantes des ataxiquea « NEURALGIC » Elixi
1891) fonctions de la vie génitale, et provoquaient l'apparition de douleurs utérines. Cela l'a décidée à porter la barbe sans
t changés! Ses recherches portent sur la physique de la joie et de la douleur et sur les aliénés circulaires, ces fous intermit
nie, Tuberculose. Diabète). Nouralglo caron (Migraines, Névralgies, Douleurs fulgurantes). Franguloso Flaoh (constipation).
c.), 5, rue des Ecouffes. (Téléphone 218-09). Migraines, Névralgies Douleurs fulgurantes dos ataxlqucs « NEURALGIC » Elixi
ration de l'endométrite, la malade continuait toujours à souffrir des douleurs atroces de la migraine, quand le Dr Bitsokls reco
re heures, elle aura la téte calme et légère sans éprouver la moindre douleur . La séance dure vingt minutes. A son réveil, elle
notre départ jusqu'à minuit, notre patiente n'a pas senti la moindre douleur , qu'elle a la téte bien calme, et qu elle se sent
a la téte bien calme, et qu elle se sent à son aise, qu'a minuit les douleurs ont reparu, mais pas assez fortes pour empêcher l
lle ; ? partir de son réveil jusqu'à mon arrivée elle n'accuse aucune douleur . Je l'hypnotise de nouveau. Cette fois, l'hypnose
uche fermée, se plaignaient sourdement comme durant une insupportable douleur . D'autres pleuraient, sanglotaient, avec des excl
nie. Tuberculose, Diabète). Neuralgie Caron (Migraines, Névralgies, Douleurs fulgurantes). Franguloso Flach (constipation).
GORT, 123, rue Obcrkamp-. — Prix du flacon : 3 francs. nouvelles douleurs dans différentes parties du corps ; un sujet prét
s différentes parties du corps ; un sujet prétend souffrir au bras de douleurs sourdes ; il semble à un autre qu'il a des accès
t mentale a été terrassée, jugulée, comme le sont, en pareil cas, les douleurs do l'accouchement (') ; Le processus des phénomèn
c une aiguille de platine iridiée incandescente, elle n'accuse aucune douleur . Elle ne se souvient plus de l'existence de ses d
nie, Tuberculose, Dlahète). Ncuralgic Caron (Migraines. Névralgies, Douleurs fulgurantes). Frangulosa Plach (constipation).
Discussion : M. Bérillon. M. Dehonchv rapporte une observation de douleurs uréthrales chez un hyperesthésique, à la suite de
s à bénéficier des services de la psychothérapie sera considérable. Douleurs uréthrales chez un hyperesthéslque par M. lo Dr
ent un grand préjudice. Au cours de mon examen, il me dit avoir des douleurs dans le canal de l'urèthre. Ce sont des points, d
au passage de l'urine qu'à l'étal de repos. Ayant déjà remarqué ces douleurs toutes particulières chez de semblables malades,
hénomènes d'hyperesthésie généralisée, superficielle et profonde. Ses douleurs uréthralcs ne sont en réalité qu'une des manières
s manières d'être de son hyperesthésie. Celte corrélation entre ces douleurs très spéciales, accompagnant la psychaslhénie. m'
Les battements du cœur sont rapides, peu éclatants et provoquent des douleurs (tachychardic douloureuse); le pouls est petit, d
t dolt-11), p. 237. Dormeuse de Thenelles, par Charlier, p. 76. Douleurs uréthrales chez un hypérea-théslque, par Demonchy
90 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
aucun membre de sa famille n'ont jamais souffert de rhumatismes, ni douleurs d'aucune sorte ; elle n'a ja- mais eu d'autre m
uté il y a six ans environ. A cette époque, elle ressentit quelques douleurs dans l'épaule gauche et sa main gauche se mit à
cot a si justement insisté. J'ajoute qu'elle accusait de fréquentes douleurs dans les jointures des membres supérieurs ; à c
des fléchisseurs ; si j'essaie de forcer, la malade accuse une vive douleur dans les muscles, principalement au voisinage d
avant. Jamais cet homme n'a souffert; il n'a ressenti aucune de ces douleurs , de ces crampes musculaires qu'on ob- serve si
dit que, depuis l'âge de 15 ans, il éprouve, de temps à autre, des douleurs erratiques dans les membres, avec des tressaute-
litique, serait mort ataxique. Le malade n'a jamais eu la syphilis. Douleurs fulgurantes et amblyopie vers l'âge de 40 ans.
r de 1881, il ne peut plus se lever. Troubles vésicaux et rectaux ; douleurs rectales. Perte de la notion de position des me
on des membres inférieurs. La cécité survient vers l'âge de 30 ans. Douleurs fulgurantes des membres inférieurs ; engourdiss
es mains. Diminution de la sensi- bilité au chaud, au froid et à la douleur et au contact. Ce malade examiné en 1902-1903 p
ce de M. P. Marie à l'hospice de Bicêtre. Antécédents mal connus. Douleurs des membres inférieurs ; paraplégie ; abolition
rie, à l'hospice de Bicêtre. Observation VI de la thèse de Sureau : douleurs des jambes, incontinence d'urine, myosis, aboli
thèse de Joliannes Martin. Chancre à 17 ans, début à 35 ans par des douleurs de tête, de l'incertitude de la marche,de l'am-
7 ans, en 1897, sans cause appréciable, il ressentit subitement des douleurs dans le dos, douleurs très vives, survenant par c
ause appréciable, il ressentit subitement des douleurs dans le dos, douleurs très vives, survenant par crises aiguës, durant
empêchant le malade de dormir et l'obligeant à garder le lit ; ces douleurs , exaspérées par le moindre mouvement, siégeaient
peu à peu. A partir de cette époque, il n'y a plus eu de grandes douleurs . Le malade s'est amaigri, a perdu ses forces ;
es épineuses des 8° et 98 vertèbres dorsales qu'il existe un peu de douleur provoquée ; c'est aussi à ce niveau que la cyphos
e pas de zone d'anesthésie. Actuellement, le malade n'accuse aucune douleur spontanée. Toutes les articulations des membres
n deux temps. Dans une première période de trois ans, il y a eu des douleurs rachidiennes très violentes; puis les douleurs
s ans, il y a eu des douleurs rachidiennes très violentes; puis les douleurs ont disparu, et la cyphose s'est développée. Il
e Bechterew. Par l'intégrité des articulations des membres, par les douleurs du début, il se rapproche des cas de rhumatisme v
sic) et de suite des four- millements le long du membre, puis de la douleur . Pendant 7 mois il souffrit du membre gauche, l
uis de la douleur. Pendant 7 mois il souffrit du membre gauche, les douleurs se calmant ou s'exagérant par intervalles, se r
sant au lit la nuit. Vers le milieu de mars 1903, aggravation des douleurs , lesquelles persistent dans la position couchée
it, en décubitus horizontal, le redressement se fait facilement. La douleur est permanente, plus violente quand il reste debo
ine. Juin. - Au départ du malade, pas de changement de l'attitude : douleurs un peu diminuées. Fin août. - Le malade revie
es premiers jours d'octobre, l'amélioration se fait rapidement, les douleurs cessent, il se redresse. Le 19 novembre, il m'é
, et envoie la photographie qui en témoigne. Il se dit guéri de ses douleurs , et ne plus sentir qu'une « faiblesse à la ceintu
du tronc a commencé vers le Se mois de l'affection au moment où les douleurs se sont aggravées, et qu'elle a disparu rapide-
ffre également une particularité : il a été brusque, marqué par une douleur fessière subite et des fourmil- lements dans le
pes) et secondement de la cyphose survenue au 8\mois, alors que les douleurs augmentaient. Cette pathogénie semble assez acc
e froid, eut « mal aux reins » . A l'âge de 28 ans, apparition de douleurs dans les cuisses quand il était cou- ché, dispa
ché, disparaissant par la marche. Il y a 2 ans (à l'âge de 32 ans), douleurs articulaires avec gonflement aux genoux, pieds,
lement aux genoux, pieds, mains, pendant 1 mois. De suite après des douleurs vives se font sentir dans les « reins », les lo
ors il commence à se voûter et se raidir. Il y eut par périodes des douleurs dans les bras, les jambes, et même parfois dans
s les testicules. La toux, l'éternuement, le rire, provoquaient des douleurs en ceinture, qu'il ressentait « dans les flancs
diteu-s DÉFORMATIONS RACHIDIENNES 93 hanches sont intactes.Pas de douleurs actuellement, sauf la nuit, ce qui l'oblige à c
Les épaules étaient redevenues souples, et les bras légers. Aucune douleur rachidieune ou autre sauf un peu la nuit. - 1902
ailler toute l'année. Il dort, bien la nuit parce qu'il n'a plus de douleurs l'obligeant à changer de place. La tête est trè
. XVI). Antécédents héréditaires. - Le père et la mère ont eu des « douleurs ». 2 soeurs bien portantes. 1. A l'âge de 14
donnier. A l'âge de22;ans, pen- dant son service militaire, eut des douleurs articulaires, sans gonflement, et fit 58 jours
e maria, Il,habita un local sain. ? ; Il y a 2 ans ont apparu des douleurs « dans les reins ,», qui ont augmenté progressi
métier déjà le faisait se tenir ainsi. . , 1 Il a eu également des douleurs en ceinture, dans les côtés, mais pas dans les
cement de 1900), à la suite d'exposition à la pluie, il fut pris de douleurs articulaires avec gonflement considérable ; les é
ioration a continué. Depuis quelque temps a ressenti de nouveau des douleurs au dos, au cou ; gon- flement de quelques artic
es,donnelieu d'abord à des manifestations douloureuses, rachialgie, douleurs irradiantes en cein- ture, entraînant un certai
admet primitivement une méningite spinale amenant, par suite de la douleur , la contracture musculaire et l'immobili- satio
mbrouille dès qu'on veut lui faire répéter une phrase. Se plaint de douleurs occipitales et de douleurs au niveau des lombes.
i faire répéter une phrase. Se plaint de douleurs occipitales et de douleurs au niveau des lombes. (3) L'observation réguliè
e la parole, l'abolition des réfléxes tendineux, l'absence de toute douleur , l'intégrité de la vessie et des fonctions urin
tions pénibles intermittentes, diurnes ou nocturnes. C'est pour ces douleurs que.le malade vient à l'hôpital. Cependant, les m
al. Cependant, les mouvements provoqués du poignet ne provoquent de douleurs que dans l'extension ou la flexion exagérées ;
a flexion exagérées ; il n'y a pas de craquements articulaires. Ces douleurs assez mal définies, localisées en un point où l
de particulier à l'examen des cavités nasales et buccales. A part ses douleurs des poignets, et une sensibilité extrême au fro
une homme se plaignait pour la première fois « de lassi- tude et de douleur dans la jambe droite ; il existait à ce moment à
l F... fut examiné à l'hôpital Beaujon; il ne se plaignait d'aucune douleur , ni d'impotence fonctionnelle. Il peut marcher sa
eps qui produit un bour- relet localisé manifeste. Sensibilité à la douleur normale. Sensibilité ther- mique conservée. '
sexuelle et l'anes- thésie du vagin. Depuis 1896 elle se plaint de douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs, plus r
n 1900 à la Salpêtrière Depuis plusieurs années la malade avait des douleurs lancinantes et fulgu- rantes dans les membres i
s..., 74 ans. Début de la maladie il y a environ trente ans par des douleurs fulgurantes qui sont revenues par crises d'abord
quatre mois la marche devint plus difficile, en même temps que les douleurs fulgurantes augmentaient d'intensité et de fréque
roubles sphinctériens et des troubles de la marche. Depuis deux ans douleurs très vives dans les jam- bes, survenant surtout
de troubles de la sensibilité : zone d'hyperesthésie au tact et à la douleur dans le domaine des 5e, 6e, 7e, 8e, ge. 40e rac
an. Toutefois la malade avait souffert deux ans auparavant de vives douleurs dans les membres inférieurs, douleurs qui s'ame
deux ans auparavant de vives douleurs dans les membres inférieurs, douleurs qui s'amendèrent lorsque la vue com- mença à ba
de troubles de la sensibilité cutanée (sensibilité au tact et à la douleur ). Altérations très marquées des sensibilités prof
ensation de constriction à la ceinture, de constric- tion laryngée, douleurs rectales. Paralysie laryngée. Morte le 2 mars 190
és et tendineux, rétention d'urine et des ma- tières, priapisme, et douleur spontanée à la base du cou. L'examen de la sens
frappé « fut possédé du démon, et mourut trois jours après dans des douleurs affreuses ». Bien plus, « le châtiment 250 HENR
n de la paralysie coïncide plus précisément avec la cessation de la douleur ; la douleur est plus intraoculaire et pé- riorb
lysie coïncide plus précisément avec la cessation de la douleur; la douleur est plus intraoculaire et pé- riorbitaire et du
onsiste dans un retentissement et dans une hésitation particulière. Douleurs vagues. Examen de 1888 : Difficulté pour se met
phié. Mlle Hand... (6), soeur du précédent. Début à 3o ans, par des douleurs dans le membre inférieur gauche. Démarche diffi
6) P. LONDE, ZOC. Cit. UNE FORME D'HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 291 Douleurs extrêmement violentes dans la région lombaire et
xes rotuliens exagérés. Crampes et fourmillements dans les mollets. Douleurs lombaires. Sensibilité tactile et à la piqûre a
nde ressemblance qu'elles présen- ten t. Début vers la 30e année, douleurs localisées surtout dans la région lombaire, sec
s, de véritables muti- lations, sans manifester le moindre signe de douleur . Ici encore, inter- viennent une musique bruyan
uveraine inhibitrice. Capable d'annihiler les réac- tions aux pires douleurs , d'engendrer des martyrs ou des automutilateurs,
s, parfois les objets blancs ou vivement éclairés ; à ce moment les douleurs céphaliques ont généra- lement disparu. Alors
ilité on constate que la malade est moins sensible au froid et à la douleur sur tout le côté gauche. La sensibilité tactile e
ues rouges et que le côté gauche de la tète devenait le siège d'une douleur extrêmement vive. Dans cet état, qui n'allait g
ladie. Le 5 octobre 1895 il est rentré chez lui éprouvant de fortes douleurs au membre inférieur droit : il a été obligé de
dizaine de jours. il avait ressenti déjà à la jambe gauche quelques douleurs fugaces. Le 6 il aurait eu une fièvre assez for
le corps. La sensibilité à la chaleur existe. ' Quelques faibles douleurs dans les deux membres inférieurs. Douleurs de t
iste. ' Quelques faibles douleurs dans les deux membres inférieurs. Douleurs de tête, surtout le matin et dans la journée (n
nal presque nul. Sensibilité au toucher et à la chaleur normale, la douleur augmentée. Au membre inférieur les adducteurs d
auche légère amélioration. Mais le malade a eu la nuit de violentes douleurs dans les deux jambes et n'a pas dormi. On con
les membres inférieurs furent atteints les premiers (avec quelques douleurs ), le gauche d'une paralysie complète avec aboli
s avant-bras et surtout les jambes. - Début il a quatre ans par des douleurs , de la parésie et du steppage. Abolition des ré
'un peu de gêne dans la jambe gauche. Deux ans plus tard il eut des douleurs assez vives, toujours diurnes, dans les deux ge
douleurs assez vives, toujours diurnes, dans les deux genoux : ces douleurs qu'il compare à la traversée du genou par une a
u bassin avant de pouvoir uriner. Le malade accuse aussi, outre les douleurs passagères des genoux que nous avons déjà signa
ncurremment du steppage par atrophie des muscles de la jambe et des douleurs à caractère fulgurant qui, joints à l'absence d
xiste plus aujourd'hui et lorsque le malade accuse actuellement des douleurs , il est facile de se convaincre qu'il s'agit seul
son service, elle rentre à Paris ; elle ressent alors de violentes douleurs abdominales, et elle remarque, quelques jours apr
t où l'instrument qu'il empoigne lui aura arraché le premier cri de douleur . - L'admirable harmonie des couleurs et de lumi
91 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
us observons chez L'inculpé une anesthésie presque généralisée, une douleur à l'épigastre produite par une pression légère.
gonfler l'estomac; '1 r MÉDECINE LÉGALE. que le sujet ressent une douleur perforante au-dessus de la tête, comme un clou
du sens mus- culaire est indépendante de l'anesthésie au tact, à la douleur et aux températures et vice versa. En examina
fection, et, d'autre part, avec les troubles de la sensibilité à la douleur et au loucher et les troubles du sens génital q
s névropathiques, d'accidents nerveux tels que névralgies, crampes, douleurs indéter- minées, etc., de troubles fonctionnels
lle par auto-suggestion émotive et qui ne marche pas par peur de la douleur , nous le faisons marcher. Pour cela, nous le pr
la face, troubles mentaux. insomnie, pouls à 116, dur, irrégulier : douleur dans le dos et les membres, angoisse. l'as de l
mes. Observation IL Garçon de sept ans. Père alcoolique : en 1897 douleur à la jambe droite. Un peu plus tard, traumatisme
al sympathique donna d'excellents résul- tats au point de vue de la douleur . Les auteurs ont été amenés à conclure que cett
indemnes, mais avec erreurs de localisation ; la sensi- bilité à la douleur est très légèrement diminuée. La notion des at-
sses altérations vasculaires. Cliniquement, elle doit expliquer les douleurs fulgurantes. fréquentes au niveau de la nuque e
ts inédits suivants, de même ordre : 1° Femme, cinquante et un ans; douleurs de la cuisse droite, datant de deux ans, accomp
nées de boiterie depuis le début de 1899. En mars, au repos, pas de douleurs ; dès que la marche commence, survient la crise
sie. D'abord, les crises continuent avec cette modification que les douleurs se disposent maintenant non plus en plaque, mai
ides lorsqu'elle est étendue. D'abord continuation des crises, avec douleurs en cou- ronne. Puis elles disparaissent peu à p
deux étapes de la guérison : d'abord dis- position en couronne des douleurs dans les crises post-opératoires; puis, au bout
s troubles hystériques : tels que aménorrhée, crises convul- sives, douleurs abdominales de pseudo-appendicite, perte de con
u dans une chambre obscure, avec des vomissements violents et des douleurs de tète intolérables. Ces accès revenaient périod
ensibilité tactile contrastant avec la perte de la sensibilité à la douleur et à la température, dans les segments immédiat
d'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. deux derniers cas, les douleurs ne cessent pas pendant le décubi- tus dorsal. D
ndylien antérieur, pour les raisons suivantes. Il existait : 1° des douleurs irradiées dans la région de la nuque et de l'occi
reste encore des trou- bles évidents de la sensibilité, mais pas de douleurs . IEadVAL. P. KERAVAL. XV. Sensibilité à la do
, mais pas de douleurs. IEadVAL. P. KERAVAL. XV. Sensibilité à la douleur de la peau ; par 0. nlOTSCHU7KO\VSK1'. (N £ 1ll
e tout à fait sain, il y a des oscillations de la sensi bilité à la douleur entre 0,15 et 1,5 millimètre. Le centre de la s
uir chevelu est généralement fort sensible ; les chauves sentent la douleur à 0,15 et 0,02 millimètre.... Dessins et tableaux
rière de l'oreille, où la peau est si mince, il faut pour sentir la douleur 0,5 millimètre ; à la limite des cheveux et du
ensibilité cutanée tout à fait différente de celle du tact et de la douleur , car on a noté dans les cas pathologiques, qu'e
pouce et l'index, on provoque chez l'individu sain une sensation de douleur légère et en même temps une très faible extensi
existerait des organes périphériques et des centres cérébraux de la douleur . La douleur n'est pas une sensation spécifique,
es organes périphériques et des centres cérébraux de la douleur. La douleur n'est pas une sensation spécifique, mais un mod
nérale. Toute sensation comporte un ton affectif. 11 y a plaisir ou douleur par la sommation d'excitations perçues par le tél
mais contracté d'habitudes d'alcoolisme; il se plaignait souvent de douleurs rhu- matismales. Sa mère est encore en vie, ell
, réagissent également bien à la lumière, à l'accommodation et à 'a douleur . Les mouvements des paupières, ceux du globe oc
t de jambes, ni soubresauts dans le lit. Le malade n'a jamais eu de douleurs à type fulgurant ou lancinant. Il n'existe pas no
hée. La pression exercée dans la région rénale ne réveille aucune douleur . On cherche soigneusement les uns après les autre
un léger ténesme vésical, sans être accompagnée jamais de véritable douleur ou de sensation de brûlure dans le canal. La qu
lammée devient hyperexcitable ; au moindre con- tact de l'urine, la douleur apparaît et avec elle, la nécessité d'expulser
ir conscience des mouvements qu'elle exécute. Elle réssent quelques douleurs dans ses orteils qui sont le siège de picotemen
éance de une heure et demie. La malade sent très bien son pied à la douleur , à la piqûre, un peu moins au contact. 24. Se
l'arcade crurale droite, point d'hyperesthésie qui s'accompagne de douleurs sour- des, plus vives à la pression au renfleme
vement et d'abaissement. Puis, il y a disparition complète de toute douleur et Zoé recouvre la sensibi- lité normale de tou
mbre inférieur, sont accusées par la malade qui ne sent plus aucune douleur lorsque tout énervement a dis- paru. Le point d
+ ça me passe vite, je n'ai plus rien + Il me vient par moments des douleurs d'un côté, de l'autre - J'ai la tête lourde + J
ures matin. ? Nous sommes en février 1897, en mars. T-J'ai une vive douleur à la hanche gauche + Le docteur vient '220 THÉR
ls spontanés. Les jours suivants, 1G, 17 mai, Zoé se plaint que des douleurs très vives, lancinantes, en éclair, la l'ont so
se en garde contre la possibilité de leur retour, dès qu'une de ces douleurs se manifeste, ou bien même lorsqu'une simple se
hésie totale, complète pour tous les modes de la sensibilité, tact, douleur , chaud, froid; le sens musculaire est très diminu
re bien spécial, d'autant qu'elle s'accompagne invariablement d'une douleur cérébrale particulière. Enfin la prédominance du
rainte morbide de voir du monde, abattement moral; pour la moelle : douleur au dos, aux bras, au ventre : tremblement des m
ations; pour l'appareil digestif, constipation, anorexie, dyspesie, douleurs intestinales et épigastriques; au point de vue
: et l'absence des symptômes les plus intolérables de la phthisie ( douleur , dyspnée, toux, expectoration) chez les dé- men
musculaire revêt la forme syringomyélique et au début il y a eu des douleurs à type et localisation pachyméningitique cervic
athéto- siques, réflexes exagérés, secousses de toutle corps, sans douleurs ni troubles objectifs de la sensibilité; à l'au
qui souffre depuis trois ans d'une névrite douloureuse non mutrice; douleurs des membres inférieurs exagérées parla marche,
on mutrice; douleurs des membres inférieurs exagérées parla marche, douleurs su perlicielles et des massesmus- culaires : né
iste sur ce fait que les idées de persécution sont consécutives aux douleurs par le fait du besoin d'interpréta- tion de la
arche est la suivante : l'infection crée la névrite qui produit les douleurs , et celles-ci par besoin d'explication provoque
e Westphal, de Romberg, une atrophie du nerf optique gauche, et des douleurs fulgurantes. Contracte l'influenza, et dixjours
bilité aux membres supérieurs et au tronc. Anesthésie complète à la douleur et à la température dans le domaine de la main
squelles elle se plaint de sensations de serrement à la gorge et de douleurs d'estomac et dans la région du sein droit; préten
e la sensibilité subjective; sensibilité tac- tile, thermique, à la douleur intactes ; pas de zones hystérogènes. Vision :
flexes : cependant elles réagissent très peu sous l'influence de la douleur . La pupille est très sensible aux intoxi- catio
es : atrophie de la main et de l'avant-bras, rétraction tendineuse, douleurs spontanées surtout il l'endroit du corps étrang
lepsie jacksonienne bien carac- térisée avec céphalalgie localisée, douleur à la percussion de la zone rolandique, etc. L
le seul facteur du tabes. Symptômes marquant le début du labes : Douleur dans 57 cas ; ataxie dans 24 ; engourdissement
vessie dans 5 ; nausées, vomissements et crises gastriques dans 4; douleur allant du pénis au rectum dans 2 cas. Fréquence
ion d'un homme tombé sur la région lombaire et ayant conservé une douleur fémoro-cutanée avec anesthésie. Il n'a pas consei
fut pour lui pleine d'atten- tions toutes maternelles et qui eut la douleur de ne pouvoir assister à ses derniers moments :
et ces regrets adoucir pour sa veuve en deuil et pour sa famille la douleur de la séparation définitive ? Nous la prions d'
té à même d'apprécier, font qu'aujourd'hui devant ce cercueil notre douleur est grande et nos regrets . profonds et sincère
un coeur d'or, une âme bien- faisante et c'est avec la plus sincère douleur que je salue sa dépouille mortelle. Adieu, Bouc
t la bonté, qui ont caractérisé toute votre vie. Je ne puis dire la douleur de tous quand on a appris la fatale nouvelle. L
in combat pour le soulagement de la souffrance, dans cet asile de douleur qu'est un service d'aliénés. Il disparaît sans av
au ce sont des hallucinations; à la périphérie, ce sont de vraies douleurs , des douleurs réelles provoquées par la lésion.
es hallucinations; à la périphérie, ce sont de vraies douleurs, des douleurs réelles provoquées par la lésion. Voilà pourquo
ts sont mauvaises. Outre les insomnies, elle avait des crampes, des douleurs dans les mollets, des cauchemars. Elle se révei
avec des mouvements de défense, et le malade exprime une véritable douleur . Le pincement ne produit pas une réaction aussi
produit un mouvement de recul avec sur la figure une expression de douleur très nette, et le malade s'écrie : « Mais vous
maladies post-syphilitiques, d'autant plus qu'on n'a pu écarter la douleur des injections sous-cutanées. Seulement dans les
avant au moyen de la vue, est impossible; la démarche ataxique; les douleurs lanci- nantes dans les jambes, la sensation d'u
qui périssent et je calme dans la mesure possible, les terribles douleurs lancinantes. Dans le but de soutenir l'élément ne
on remarquait, en effet, chez quelques malades, la diminution des douleurs lancinantes, la démarche devenait un peu plus s
l'inlluence du virus syphi- litique. Enfin, contre les violentes douleurs fulgurantes, au début du traitement, je prescri
, se rétablissait, le malade se sen- tait en général plus fort, les douleurs lancinantes et le sen- timent d'une ceinture di
ait. Parfois, dans les cas invétérés du tabès, quand la période des douleurs aiguës et lancinantes est déjà passée, au comme
et lancinantes est déjà passée, au commencement du traitement, les douleurs reparaissaient de nouveau pour un certain temps
out par' une affec- tion de la sensibilité tactile et du sens de la douleur à forme hémiplégique, le sens musculaire demeur
ce fécale, et rétention d'urine) ; (3) paraplégie douloureuse ; (4) douleur localisée dans le dos; (5) absence de douleur n
gie douloureuse ; (4) douleur localisée dans le dos; (5) absence de douleur névralgique irradiée dans les extrémités; (6) p
en et du réflexe du tendon d'Achille, qui est sujet à des crises de douleurs fulgurantes et qui, par conséquent, a des manif
ctéristiques du tabes, pourra se croire simple- ment en proie à des douleurs rhumatismales et il ne lui viendra pas à l'espr
u bout d'une quinzaine de jours, et le malade l'arracha sans aucune douleur . Quelque temps après la peau au-dessus de l'abc
ecousses presque quotidiennes dans la jambe gauche, accompagnées de douleur très pénible. A l'examen on ne constate rien d'
ayant mangé des graines de datura, après avoir éprouvé de violentes douleurs devinrent subitement fous furieux ; on a peu d'
mptôme qui augmente avec la perte de la motilité. Souvent de fortes douleurs dans le dos et les jambes. Les anesthésies ne s
ie, la faiblesse musculaire, l'absence de symptômes oculaires et de douleurs ful- gurantes, par l'exagération des réflexes a
début lent, l'ataxie marquée, l'absence d'atrophie musculaire et de douleur , l'apparition de troubles du rectum et de la vess
ne certaine rigidité des jambes, de la constipation. Léger délire ; douleur de tête ; raideur du cou peut devenir excessive
tiges, convulsions, paralysie des nerfs crâniens, même faiblesse et douleurs dans les extrémités. Pour le diagnostic, il fau
e, particulièrement en ce qui concerne l'anesthésie géné- rale à la douleur , au chaud et au froid. D. M. XXXVI. Un cas de t
ilepsie, ni de tabes. L'épididyme gauche est le point de départ des douleurs . Il est du reste de consistance et de forme norma
ai, linor, 139. Trouble de la-, à la cuisse, par Good, 150 - A la douleur de la peau, par Motschiitlcowsky, 150. - osse
92 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
me accès de chorée, le premier à trois ans, à la suite de légères douleurs articulaires qui ne se sont plus reproduites. G
consauguincs de la folie. Brodie rapporte un cas dans lequel des douleurs névralgiques de la colonne vertébrale alter- na
ouffrait pas de la colonne vertébrale et qui était lucide quand les douleurs revenaient. L'asthme est lié au goître exophtha
six ans. Depuis quatre ans, le tic avait augmenté d'intensité; la douleur a considérablement diminué depuis qu'est survenue
II. Observation. - Paralysie spasmodique des quatre membres. - Douleurs au niveau du thorax et des membres inférieurs.
1, trois ans après le début des symptômes oculaires, apparition des douleurs aux membres inférieurs. Ces douleurs semblent a
ômes oculaires, apparition des douleurs aux membres inférieurs. Ces douleurs semblent avoir eu le caractère des dou- leurs f
ge attentivement Sarrazin au sujet de l'époque précise du début des douleurs en question, on finit par apprendre qu'elles re
loin que la malade ne le disait tout d'abord, et qu'en réalité les douleurs ont très vraisemblablement précédé les symptôme
emps en temps, dans les membres' inférieurs particulièrement, des douleurs qui reviennent par périodes. Ces douleurs sont su
urs particulièrement, des douleurs qui reviennent par périodes. Ces douleurs sont surtout prononcées dans le membre pelvien
eprises, de vives dou- leurs au niveau de la région thoracique. Ces douleurs ont quel- quefois le caractère de douleurs lanc
a région thoracique. Ces douleurs ont quel- quefois le caractère de douleurs lancinantes; plus souvent, elles se localisent
, les lésions isolées des cordons postérieurs se traduisent par les douleurs (fulgurantes ou autres), et les diverses variét
de la sclérose des cordons de Burdach, nous faisons allusion aux douleurs fulgurantes avec hyperesthésie cutanée. Mais, p
parfois jusqu'à la contracture complète. A peu près en même temps, douleurs des membres inférieurs et des organes génitaux.
able au fait de M. Prévost, dans lequel les symptômes tabétiques ( douleurs , etc.) coïncidaient avec une exagération de la
les auteurs, une particularité assez singulière, c'est l'absence de douleurs et d'anesthésie, malgré l'exis- tence d'une lés
la sclérose du faisceau de Burdach avait évolué sans son cortège de douleurs habituel; quant à l'anesthésie, elle serait sur
se, et, une fois celle-ci terminée, elle pleurait et souf- frait de douleurs abdominales. Ouvrière en chaussures, elle travail
vertèbres dor- sales, avec prédominance à gauche (7ttchiÉilqie), la douleur est par- fois spontanée dans cette région; touj
it trouble; il entend des «ding... ding... ding... » et éprouve des douleurs à la région tempolale, le tout avec prédominanc
uille. Deux ou trois fois par mois, depuis la fin de 1882, il a des douleurs de tête, prédominant au niveau du front ; la vu
née de malaise et d'anxiété générale. 11 y a de l'oppression, de la douleur à la région épigastrique, la face devient pâle,
. Mais ce moyen ne réussit pas toujours : il peut occasionner des douleurs (Ces. XX), et ne pas empêcher le retour des ali
e à ce moment de l'hémianesthésie au tact, à la température et à la douleur du côté droit. L'examen opthtlial- moscopique a
, à la suite d'un bain de rivière, pris en état de sueur, vertiges, douleur aiguë dans le côté droit du front, secousses co
t citer les palpitations nerveuses, survenant surtout la nuit, avec douleur rétrosternale, et l'angine de poitrine. Parmi
mieux démontrée par sa disparition, au moment où se manifestent les douleurs articulaires (Lynch, Legrand du Saulle, etc.).
rnels atteints d'angine de poi- trine. Elle a de temps en temps des douleurs dans les gros orteils et rend souvent du sable
nd, Lynch citent des cas où l'état apoplectiforme cessait quand les douleurs articulaires réapparaissaient. Ces suppressions
ssé tout à coup, ou qui avaient disparu par la réap- parition des douleurs . Plusieurs auteurs font men- tion d'attaques de
nie qui se développent en consé- quence de la cessation brusque des douleurs articulai- res cessent aussi ordinairement d'un
pas de goutte ; se croyait guéri, quand il commença à éprouver des douleurs à la tète qui, depuis un an, sont très intenses
ait observé qu'une seule fois une hyperesthésie des jam- bes avec douleurs à la partie supérieure de la colonne lombaire;
quefois le caractère d'élancements et pour- raient faire penser aux douleurs fulgurantes du tabes. Ces crampes qui, quelquef
e to- tale de la vision à la suite de la disparition subite de la douleur articulaire; mais, en somme, la plupart des aff
é et la parésie persistaient encore. En 1a66, le malade éprouva des douleurs dans les membres. Ces douleurs auraient occupé
re. En 1a66, le malade éprouva des douleurs dans les membres. Ces douleurs auraient occupé les jointures. Le coude gauche
? "'J ? h.1 -¡ ! dt.-... tuméfaction ne fut point accompagnée de douleur , ce, que le malade explique par l'insensibilité
é tactile un peu affaiblie au niveau de l'épaule,, sensibilité à la douleur très bien conservée. Le deltoïde est atrophié e
ophie musculaire; mais diminution de la sensibilité de la peau à la douleur . d) Lésions des jointures. A l'épaule on consta
e malade avait alors vingt- sept ans. Ces symptômes consistaient en douleurs fulgurantes dans les jambes et au niveau des br
lassiques du tabes; nous les indiquons sans les décrire en détail : douleurs fulgurantes, engourdissement cu- bital; plaque
Troubles dans la sphère du trijumeau. - Le malade n'a jamais eu de douleurs fulgurantes à la tête, mais il a éprouvé des tr
pours'assurer de l'existence antérieure ou actuelle des symptômes ( douleurs , anesthésies ou hyperesthé- sies), qui traduise
malade ne peut plus dormir depuis quatre jours. Le maximuu de* la douleur occupe toujours le front, mais la douleur se géné
jours. Le maximuu de* la douleur occupe toujours le front, mais la douleur se généralise iL toute la tête et par moment, à
ssements surviennent constamment à l'époque des exacerbations de la douleur . Ils consistent en matières bilieuses et muqueu
ce matin dans son état habituel,' avec une température normale. La douleur frontale s'est portée vers la droite. I " '' ,
individus en apparence sains éprouvent, au cours de la miction, une douleur vers le cou ou sur le trajet du nerf cubital, e
a tout d'abord insisté. Ces crises offrent tous les caractères des douleurs dites fulgurantes de l'ataxie; tantôt ce sont d
l'ataxie; tantôt ce sont de simples picotements, tantôt ce sont des douleurs lancinantes, térébrantes, quelquefois assez dou
les deux ensemble. Les crises vésicales sont caractérisées par des douleurs d'intensité variable siégeant dans la profondeu
eintes vésicales, de ténesme extrêmement pénible. Quel- quefois les douleurs s'irradient dans la direction des nerfs scia- t
nt le caractère térébrant, elles ne sont pas sans analogie avec les douleurs du cancer de la vessie. Plus souvent elles s'ir
e et constituent alors les crises vésico-urélhrales. Quelquefois la douleur siège exclusi- vement dans l'urèthre. Dans la c
iège exclusi- vement dans l'urèthre. Dans la crise u1'élll1'ale, la douleur rappelle encore plus exactement la fulguration;
ir, d'une série rapide d'étincelles électriques. Plus rare- ment la douleur siège exclusivement à l'extrémité de l'urèthre
ompagnent fréquemment d'uréthro- spasmes très pénibles. Souvent les douleurs uréthrales et vé- sicales s'accompagnent d'irra
s sont faciles à expli- quer : M. Straus a montré qu'à la suite des douleurs fulgurantes, on voit souvent apparaître au poin
. 125, ' Straus. Des ecchymoses tabétiques à la suite des crises de douleurs fulgurantes (A2-ch. de Neurologie, t. I, p. b63
leurs fulgurantes ; quelquefois ces troubles apparaissent avec les douleurs fulgurantes; mais le plus souvent ils se font a
titesse du pouls. Mais combien de symptômes viennent se surajouter. Douleurs dans le thorax, l'abdomen, plus souvent douleur
ent se surajouter. Douleurs dans le thorax, l'abdomen, plus souvent douleur de tête; agitation, délire, angoisse extrême, m
m'égarer... Je suis beaucoup moins accessible à un chagrin et à une douleur morale. Je vous citerai qu'ayant perdu dernière
légie gauche; depuis lors, embarras de la parole, fourmillements et douleurs dans les jambes, change- ment de caractère. I
tous les trois ou quatre jours, le plus souvent après de violentes douleurs colicoïdes; plus tard elles furent plus fréquen-
se produire, mais il n'ob- tient cette suspension qu'au prix d'une douleur sourde, mais très gênante dans la région épigas
suc- cessivement des grincements de dents, des vomissements, des douleurs dentaires dans le maxillaire supérieur droit, des
on I. Femme de cinquante-cinq ans, souffrant depuis cinq années, de douleurs spinales sans que la démarche eût pré- senté ri
tuberculeux de quarante-huit ans, se manifestent successivement des douleurs irradiant de la nuque aux épaules, de la parapl
elles que céphalalgie, vertiges, abattement, phéno- mènes fébriles, douleurs , on relève dans les deux premiers accès des att
s jambes, (renseignements incomplets sur ce point), évoluant sans douleur ni trouble de la santé générale. On signale à l'â
t-huit ans que les lésions ont commencé à se manifester : jamais de douleur au reste, ni d'o,téophytes sur les extrémités o
es personnes, accourus aux cris désespérés de la victime, eurent la douleur d'assister à cette horrible scène, derrière les
93 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
I. Il, p. h Uururois, entreprit ce voyage pour se faire guérir des douleurs de la pierre. Pendant 1111 profond sommeil, saint
cet homme s’endormait paisiblement dans mes bras, sans convulsions ni douleurs ! Je poussai la crise, ce qui lui occasionna des v
rvoyance. Notre cerveau est plus souvent exposé aux impressions de la douleur que du plaisir, et nous avons mainte fois constat
, tome XI* page 690. Tous XII. — X» 15®. — 25 uxviEr. 1853. S les douleurs du dos et du cœur apparaissent pour la première f
après, l’œil gauche. \ la fin de juillet, je commence à marcher; les douleurs du dos se câlinent, je puis manger sans être magn
cataleptique pendant quarante-huit heures : on suspend les bains. Les douleurs du dos reparaissent plus violentes que jamais. No
ans ma famille et on cesse le magnétisme. Au bout de vingt jours, les douleurs du dos reviennent excessives ; la mâchoire est re
ter couchée, parce que le moindre attouchement me causait d'horribles douleurs , on essaya de me placer sur une vingtaine de vess
pproche d’elle et je veux lui appliquer ma main sur l’épigastre : ses douleurs paraissent plus vives, les contorsions du visage
curiosité et d'investigation qu’on me pardonnera sans doute, que les douleurs causées par ma présence étaient très-réelles; plu
roplia un jour, en me disant que j’avais tort de jouer ainsi avec les douleurs qne je lui causais. Le 22, les deux mâchoires s
de vérifier l’exactitude. Le contact des métaux lui causait de vives douleurs ; quand on voulait l’endormir du sommeil magnétiq
n, douche à colonne ; le soir, magnétisation. J’ai remarqué que les douleurs de la moelle épinière, qui 11’ont pas complètemen
distance de deux pouces de la colonne vertébrale. 13 janvier. — Les douleurs de la région précordiale deviennent plus énergiqu
it que le lendemain elle souffrira beaucoup du cœur. 1 6 février. — Douleurs violentes an cœur ; anorexie. 17 février. — S!'
février. - La nostalgie recommence. 26 février. — Même traitement. Douleurs tlioraciques, irritation, toux nerveuse. 27 lév
nviron deux livres d’un sang très-noir et épais. 6 mars. — Le soir, douleurs tlioraciques ; pouls à 00 ; abdomen très-ballonné
re, au moins un demi-litre d’un sang rouge foncé et spumeux; le soir, douleur vive à la poitrine; pendant la magnétisation habi
e toux survenu à quatre heures et qui a été très-long, je ressens une douleur au côté droit de l’abdomen , vers une tumeur qui
e. » 11, 12 mars. — La marche est difficile et produit de violentes douleurs à la région iliaque droite et vis-à-vis le sacrum
té pénible; à trois heures du matin le ventre à diminué ainsi que les douleurs : les époques ont paru très-abondantes, après une
s. — Leucorrhée abondante. Douches vaginales froides. 24 mars. — La douleur iliaque est des plus violentes depuis quelques jo
s par elle, pendant le sommeil dans lequel on la plonge. 2S mars. — Douleurs de tête, saignée du bras d'une livre et demie. Le
e état ; le ft, la région iliaque est toujours «aussi douloureuse, la douleur gagne la région hypogastrique : la céphalalgie, q
un peu soulagée. Ce soir ma tête me fait de nouveau bien mal. » La douleur du dos persiste toujours ; les jambes sont généra
i-bains à 20°. 6 avril. — Quelques gouttes d’urine occasionnent des douleurs atroces pendant leur émission ; une très-petite s
par jour; resserrement des mâchoires. 21 avril. — Inquiets de cette douleur persistante à la région iliaque et hypogastrique,
galités ; que sa lèvre postérieure était rouge et tuméfiée, mais sans douleur ; il reconnut la présence d'un énorme paquet excré
nt la crise, une seconde après la crise. La tête est plus calme et la douleur plus supportable. 8 mai. — Gonflement et soulèv
de petit-lait. Deux verres seulement sont ingérés et occasionnent une douleur si violente à l’épigastre, et un état nerveux si
nerveux si pénible, qu’on est forcé de discontinuer. 17 mai. — Les douleurs du dos deviennent insupportables, le moindre atto
iennent insupportables, le moindre attouchement excite les plus vives douleurs ; la faiblesse est extrême, la station sur les jam
années. Le dos conserve encore une assez grande sensibilité, mais les douleurs ont disparu : la marche est libre, la chaleur du
son lit, et lui tenant les genoux; elle assura qu’elle ressentait une douleur dans cette partie, aussitôt que cet homme commenç
ché par l’esprit, vint chez M. Songer, où il se plaignit de violentes douleurs qu’il éprouvait dans le bras droit, et qui l'empê
i frictionna le bras à plusieurs reprises dans la même soirée, et les douleurs disparurent totalement. Quelques jours après, M
utner, capitaine au 1er régiment d’infanterie, éprouvait de violentes douleurs faciales, le côté gauche de sa figure était enflé
eux jours il fut entièrement guéri. M. le Dr Wehrschmit, affecté de douleurs rhumatismales et d’un commencement de paralysie d
revivre après deux frictions magnétiques faites par Philippine. Cette douleur disparut totalement lorsque le docteur mit sa mai
rmeuse : celle-ci, au bout d’une minute, se mit à crier à cause de la douleur qu’elle éprouvait dans son bras et qui venait de
ser dans celui de M. Wehrschmit. Philippine continua d’éprouver cette douleur , qui toutefois alla en diminuant, pendant trois j
nt le soir. La malade éprouvait pendant les séances de très-faibles douleurs , et parfois des chatouillements ; il lui semblait
tence et de l’immortalité de l’âme, le plus-sûr moyen d’exécuter sans douleurs les opérations chirurgicales, et la méthode la pl
s’est acquitté de sa commission. « 11 est impossible de décrire la douleur dont fut accablée cette pauvre femme quand elle a
lux périodique, une forte congestion sanguine à la tète. Un matin, la douleur étant intolérable, elle alla, sans en avertir per
trois choses l’une : 1“ ou il veut nous tromper en faisant taire ses douleurs à volonté... ; 2° ou bien que le diable s’en mêle
curative du magnétisme, jetez les yeux autour do vous, interrogez les douleurs qu’il a soulagées, les maladies qu'il a guéries;
cacher, Comme à la pointe attirant le tonnerre. Sur eux l'on vit la douleur s'attacher. Je viens, etc. Frappant au seuil
(lela tient aux nerfs, nous n’y « pouvons rien. » Comme si toutes les douleurs ne venaient pas des nerfs, sans lesquels on ne so
e est, messieurs, la recette certaine Pour aller loin, sans soucis ni douleur . Tenez-vous-le pour dit, la place la plus sûre
eait la mère à faire reconduire sa fdle à l’hôpital, pour s’éviter la douleur de la voir périr sous ses yeux, ce qui devait arr
de six mois, qui était en proie à des accès d’hystérie et à de vives douleurs occasionnées par une névralgie frontale du côté d
, redoutant le moindre mouvement, parce qu’il augmentait beaucoup ses douleurs . Ce qui tourmentait surtout cette dame, c’était
, la figure devint rouge et la malade se réveilla, se plaignant d’une douleur très-vive au front. Une crise nerveuse aurait eu
linge, les vêtements magnétisés sont d’une grande efficacité dans les douleurs ou autres affections : la femme qui avait une per
ésident nous rapportait, il y a quelques jours, un cas de guérison de douleurs rhumatismales à l'aide d’une robe de chambre magn
iller et un gilet de llauelle, magnétisés par deux frères atteints de douleurs , provoquèrent des effets d’une énergie extraordin
oduit assez souvent sur ceux qui en sont les victimes : tels sont des douleurs aiguës, des prostrations excessives des forces, d
s en place, et vous déclare que je vais résister jusqu’à la force, la douleur , jusqu’à tout ce qu’il faudra. Allez ! « Eh bie
ante; le pouls devient plus fréquent, la respiration plus active, les douleurs nerveuses s’engourdissent et se calment; les paup
nt par le tact la température, la forme d’un corps, sans ressentir la douleur d’une piqûre; qu’ils goûtent, flairent avec délic
gos dolores ipsius frictio levât. La friction enlève même les longues douleurs de tête. -> : Faites abstraction du moyen mé
nique, et vous ayez ce qui opère dans la friction, enlève les longues douleurs de tête. Sigault, médecin électriseur, rencontr
oup de migraines avec l’index, et instantanément. Chose curieuse ! la douleur , le plus souvent, descend le long du cou, se perd
liments dans les premiers temps, sans quoi rien n’était supporté, des douleurs atroces suivaient chaque ingestion. Maintenant ce
uban, M*** éprouva des indispositions plus marquées; il ressentit des douleurs de tète, des vertiges fréquents, et il est à rema
: a 11 y a deux mois à peine que le monde artistique fut frappé de douleur en apprenant le cruel accident arrivé à M. Sivori
ns et en transpose le siège, produit le sommeil, calme ou dissipe les douleurs et les infirmités, allume à son gré les passions,
surtout par la nature de ses effets. Ainsi, qu’on veuille calmer une douleur de nerfs ou qu’on veuille amener le sommeil, on p
uelconque. La première fois qu’elle se reposa, elle se plaignit d’une douleur à la main, et elle se mit machinalement à cueilli
passions tumultueuses, lui inspirer à notre gré l'effroi, la joie, la douleur , etc. Quelques-uns des faits que nous venons de r
érant : HÉBERT (de Garnay). CLINIQUE. 1“ EXTRACTION DE DENTS SANS DOULEUR . Dans un moment où les cas de mort par le chlor
bas, était cariée. J’appris que le point de départ de cette violente douleur correspondait précisément à la dent malade. En
dent malade. En quelques minutes, je parvins à faire disparaître la douleur dentaire, par un procédé que j’ai déjà employé pl
avec d’horribles souffrances. L’espoir de la rendre insensible à la douleur me détermina à la magnétiser. Je fus assez heureu
piquai dans différentes parties du corps, sans déterminer la moindre douleur . Elle sentait bien, disait-elle, que je la toucha
sens bien, me dit-elle, que vous me touchez; mais je n’éprouve aucune douleur . « Alors je donnai un coup de coude au dentiste
t enchantée et me témoigna sa reconnaissance de l’avoir préservée des douleurs atroces qui accompagnent l’extraction des dents.
était guère en harmonie avec les cris qu’elle venait de jeter. « La douleur , me dit-elle, est étrangère aux cris que vous ven
ot, âgée de vingt-un ans, souffrait depuis quelque temps de violentes douleurs odontalgiques qui la privaient de sommeil. Sensib
et état, l’extraction d’une dent cariée, afin de ne pas ressentir les douleurs qu’elle avait endurées dans une opération de ce g
itations de M. Calame, et sans doute aussi à la crainte du retour des douleurs , consent à se laisser opérer. Quoique éveillée,
ue l’opération fut tentée. Elle réussit parfaitement, sans la moindre douleur , et à la grande surprise des personnes présentes.
aire que les patients perdent connaissance pour être insensibles à la douleur . Peu importe, en effet, qu’ils sentent, qu’ils vo
pourraient subir les plus grandes opérations sans ou avec très-peu de douleur , étant magnétisés. Ces considérations engageron
ous allions partir, le sujet, qui était gai et riant, s’est plaint de douleurs d’estomac, auxquelles a succédé une crise nerveus
on bras, il me suit comme si quelqu’un l’attirait par le poignet. Les douleurs deviennent si fortes, qu’il m’injurie, nie menace
rapproché du corps. Il déclare alors que mes mains le brûlent. Les douleurs reparaissent, et quel n’est pas mon étonnement, d
nterroge le malade. — J'ai souffert pendant la nuit, me dit-il; ces douleurs me parcourent le bras de haut en bas. Je n’ai pas
. — Arrivé chez moi à midi, le malade est magnétisé à . ne heure. Les douleurs persistent; plus de vomissements ; il y a eu tran
ron cinq ans, par des efforts du poignet; plus tard, il ressentit une douleur au côté, qu'il attribue à une espèce de pleurésie
, où chacun de nous a pu voir les sujets magnétisés, insensibles à la douleur , se laisser percer les narines, les lèvres, les d
conde séance, dirigée de la même manière que la précédente, calma les douleurs hypogastriques. Les magnétisations subséquentes l
81. CLINIQUE. § I. Cas de Chirurgie. — Opérations accomplies sans douleur . Extraction de dents, 561. | Hernie crurale étran
nvulsions épileptiformes, 283, 594. Désordres cholériformes, 274. Douleurs rhumatismales, 60, 291. Effets de la foudre, 53
7. — Extase, 390. — Inculcation de mémoire, 157. — Insensibilité à la douleur physique, 157, 561. — Intuition médicale, 38, 180
94 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ernière elle eut la jambe gauche foulée sous le pied d'un boeuf. La douleur fut vive, la malade perdit connaissance. 11 sur
e en 1888, elle commença à ressentir dans l'aine du côté gauche une douleur légère, avec irradiation dorsale et exagération
strique gauche une. sensation de pesanteur accompagnée d'une légère douleur . L'état de santé fut bon jusqu'au mois de décem
caractère impressionnable s'assombrissait.. Après chaque scène, sa douleur , ses chagrins devenaient plus intenses. Bientôt
ne se mordit pas la langue pendant l'attaque. On provoqua une vive douleur par la pression sur la région hypogastrique.
ersistante sous forme constrictive. La pression provoque une légère douleur le long de la colonne dorsale au niveau des apo
ans la région hypogas- trique gauche. La malade accuse en outre des douleurs au niveau des hanches et du genou gauche, avec
ons, elle se lève brusquement de sa chaise, se plaignant d'une vive douleur dans les reins, à droite. C'était l'anatomie na
ACKENSIE. (Brain, Part. III, 1893, p. 321.) L'auteur pense que la douleur liée aux affections viscérales est une douleur
'auteur pense que la douleur liée aux affections viscérales est une douleur réflexe due à l'irritation des nerfs périphérique
ésie cutanée, chaque zone ayant un point maximum où il existe de la douleur , et que ces zones maxima coïncident avec celles
sentent la distribution cutanée des fibres chargées de percevoir la douleur émanée de chaque segment spinal. Thornburn fait
s de Head. De plus, on constatait que dans la zone d'anesthésie, la douleur était inter- prétée comme une sensation de tact
les par- ties latérales, l'auteur en conclut que les sensations de douleur et de température passent par ces parties latér
sant par la lésion : perte complète de sensibilité au toucher, à la douleur , au froid et au chaud, paralysie complète, resp
s du corps ? 2° quelle est la température qui donne la sensation de douleur par application du froid ou du chaud sur di- ve
haud ou de froid sur toutes les parties du corps avec peu ou pas de douleurs . Les températures au-des- sous de 5° C. et supé
ures au-des- sous de 5° C. et supérieures à 68° C. produisent de la douleur en plus de la sensation de chaud ou de froid, q
récemment la syphilis. Quinze mois avant son admission, souffre de douleurs dans la jambe droite, puis dans la jambe gauche
à l'hôpital où on constate : exagération des réflexes, paraplégie, douleurs vives et lancinantes dans les jambes et le dos,
là où siègent les lésions du tabes; il est très probable que les douleur : ; peuvent être attribuées à ce fait. J.-B. Caan
n se sert de la sonde oesophagienne. Dans l'insomnie causée par les douleurs on préférera la morphine. L'intoxication légère
j'éprouve de l'angoisse, des vertiges, des battements de coeur, des douleurs et de la paresthésie dans les jambes, j'ai des
e qui dure qua- torze jours. Depuis cette campagne, il se plaint de douleurs dans les bras et les jambes. Incapable, dit-il,
84 CLINIQUE NERVEUSE. après cette révolution, j'eus de violentes douleurs derrière la tête ; rien ne pouvait me distraire
immobilité presque complète pour me remettre. Je n'éprouve pas de douleur proprement dite, mais mes jambes sont lourdes,
t les principales sont : des signes d'irritation dorso-spinale avec douleur dans les jambes et grande gêne pour la marche,
e classique, épuisement nerveux, inquiétude vague, mais constantes, douleurs permanentes dans les mollets, plaque dorso-lomb
plantaire exclusi- vement, une sensation de brûlure intense ; cette douleur survient surtout quelques moments après qu'il v
serviettes mouillées, ou en mar- chant sur le parquet froid. Mêmes douleurs dans la main gauche, et, depuis quelque temps a
e malade a éprouvé, sans cause connue (pas de refroidissement), des douleurs tout à fait comparables à celles dont il souffre
ls cités tout à l'heure, la santé estbonne. Il y a quelques années, douleur au niveau du tendon rotulien gauche, parla pres
des doigts non seulement du côté électrisé, mais encore de l'autre. Douleurs très violentes dans les bras. Rien aux jambes.
ps. Plus loin, il est signalé une aphonie complète, sans toux, sans douleurs au niveau du larynx, sans expectoration, sans t
après une éruption de furoncles sur la nuque et le dos, est pris de douleurs atroces dans la partie supérieure du rachis, qu
s'amendent un peu, mais le malade ne peut se lever de son lit. Les douleurs continuent. Quatre mois après le début delà malad
nne vertébrale, avec inclinaison de la tête en avant et en bas, les douleurs spontanées continuaient encore, mais la pressio
à cause de la forme particulière de la déformation, l'absence delà douleur à la percus- sion de l'épine dorsale et la form
tion et l'atrophie des tissus néoformés, et cliniquement par des douleurs spontanées le long du rachis , qui ouvrent la scè
uis atrophie, exagération des réflexes dans les membres inférieurs, douleurs vives au point malade et douleurs irradiées dan
exes dans les membres inférieurs, douleurs vives au point malade et douleurs irradiées dans les membres, plus tard eschare.
tres symptômes tels que la réaction pupillaire, la sensibilité à la douleur etc. L'étude comparative au même point de vue d
de ces aliénés, on cons- tata 50 fois une sensibilité marquée à la douleur du cubital, c'est- à-dire dans 79 p. 100 des ca
on a été pratiquée le 9 avril dernier; elle fut suivie de violentes douleurs dans le côté gauche du thorax dessinant une cor
du côté de la sensibilité; paralysie vésicorectale, persistance des douleurs précé- dentes. Le 16 avril, il y a paraplégie f
grès de la com- pression de la moelle deviennent des plus certains. Douleurs sié- geant des deux côtés au niveau du mamelon,
de deux doigts entourait la poitrine. La veille de l'opération ces douleurs s'étendirent pour la première fois dans le cubita
ensibilité douloureuse très marquée. Quand nous vîmes la malade, la douleur était si intense qu'elle l'empêchait parfois de
sme articulaire aigu. Un matin en se réveillant, elle ressentit des douleurs dans le poignet droit qui durèrent quatre jours
gauche, qui devint le siège de tuméfaction avec coloration rosée et douleur pendant une dizaine de jours, puis les épaules
s sueurs très abondantes. La même année, en octobre 1887, après des douleurs vagues dans les articulations du côté droit, el
son idée, ayant peur de mourir, quand elle ressentit les premières douleurs qui marquent le début de sa maladie. Ces douleu
tit les premières douleurs qui marquent le début de sa maladie. Ces douleurs siégeaient au niveau de la plante des pieds et
rmait pas et avait constamment dans l'esprit l'idée de la mort, les douleurs existaient soit continues, soit par crises. Les
mort, les douleurs existaient soit continues, soit par crises. Les douleurs se présen- taient sous forme de brûlure, de fou
mois de juin 1894, elle entra dans le service du Dr Mitiard, où ses douleurs furent soignées par des piqûres de morphine, de
it, les genoux légèrement fléchis. Elle ne tarde pas à éprouver des douleurs into- lérables au niveau de la face plantaire d
. MALADIE DE RAYNAUD ET ÉRYTHROMFLALGIE. Le jour de l'entrée, les douleurs existaient sous forme de piccs. e temcnts, acco
orps et tremblement. Le 8, hypnose. Elle éprouve encore un accès de douleur de 8 heures à il heures du soir. A partir de
et se maintient entre 1,500 et 2,100. La malade était calmée de ses douleurs que nous n'arrivions plus à provoquer, en metta
mbre. Elle a éprouvé le 12 septembre dans l'après-midi de petites douleurs qui ont duré de 1 heure et demie à 4 heures, et q
é d'elle pour être venue trop tôt à l'ouvrage et a éprouvé quelques douleurs dans les pieds pendant quelques heures. Il me s
sa soeur, voit com- mencer des phénomènes d'érythromélalgie. Les douleurs sont si vives que la malade ne peut, pendant qu
ouveau pensé à sa soeur. Ayant repris son travail, elle éprouva des douleurs en voyant une robe bleue pareille à celle qu'av
en proie à l'idée de la mort elle ressent pour la première fois des douleurs . L'observation est explicite à cet égard. Dan
it une coloration rouge vineuse. La sudation était peu marquée. Les douleurs étaient peu vives. Des phé- nomènes analogues s
é d'elle pour être arrivée trop tôt à son travail, elle éprouve des douleurs sourdes sans sudation qui disparaissent au bout
e chez une femme de vingt ans, chlorotique, souffrant depuis peu de douleurs articulaires. Elle eut une teinte violacée des
uie sur la coexisteuce des phénomènes urinaires, du gonflement avec douleurs testiculaires paroxystiques (cas de Auché-Lespi
ication en masse de plusieurs orteils. La violence et la nature des douleurs qui ont précédé cette mortification, l'intégrit
oubles émotionnels lui enlève également tout caractère de peine, de douleur morale : il n'y a ni humilité, ni résignation;
et les avantages en nature. Nécrologie. « Nous avons la profonde douleur , écrit notre ami, M. le Dr Ritt, dans les Annal
ans le côté droit de la face, et elle sentait par tout le corps une douleur indéfinissable. Alors la connaissance se perdait
ns internes (faim, soif, fatigue, dégoût) ; 3° le couple plaisir et douleur ; 4°'les'émotions et passions, et conclut, après s
e 9 juillet 1890, ressentait des contractions dans les mollets, des douleurs dans le corps et les membres, une fatigue intense
mais le malade ne put travailler. En février revinrent de violentes douleurs dans les jambes et le dos ainsi qu'une extraord
es réflexes patellaires, de la réaction pupillaire, disparition des douleurs et paresthésies, le malade peut marcher trois h
calotte qu'il éprouvait s'est trouvé bien diminué, de même que des douleurs de tête. Il y a donc lieu de continuer les essa
laignant continuellement de fatigue et d'une sensation de froid, de douleurs dans le dos et les bras ; par moments elle enfl
A partir de 1878, il présente des troubles moteurs intenses et des douleurs sacrées. En 1890 on constate : une parésie spasmo
ns, mais même de ses accidents d'apparence organique. Elle a.eu des douleurs localisées sin- Wt wIV a6r.1 )t)'i"tt«t ol.siii
ndante ; t au;sortiriade son .paroxysme la malade ne'sent : -aucune douleur , elle^ne s'aperçoit de sa blessure que.par la v
e, lavage de la, plaie,, son, examen soigneux ne réveillent aucune* douleur ; la malade rieuse' plaint même pas quand on soul
3nBb s y li'a [OVE3 eb nt,Onwoitrpari çesj;de^xj;exemplesj3ojnlH^ douleur .,est3 amoindri^ cliez,-cesjmalades..Ilj semble=qu
plus que les précé- dentes de la disparition de la sensibilité à la douleur . , z OUI- q <K',jM) ....p.mlmnO Uur .q ? 8 ?
gmente d'intensité, en même temps que surviennent des frissons, des douleurs de tête et de reins. Un confrère d'Albi, le D1'
pelé auprès de àl'le Jeanne A..., âgée de neuf ans qui soutirait de douleurs rhumatismales articulaires depuisenviron une se
epuisenviron une semaine. Le gonflement, la chaleur, la rougeur, la douleur à la pression et dans les mouvement ? ne laissaie
ouaté et d'un traite- ment interne par le salicylate de soude, les douleurs diminuent assez rapidement. Je revois la malade
ation d'idées qui se rattache à l'onanisme est plutôt un concept de douleur , elle ne fait place à une association d'idées a
tiré trois coups de revolver. Il est tombé en poussant des cris de douleur et en perdant beaucoup de sang. Tu m'as fait ma
11 ramène la sensibilité dans les membres inférieurs, amende les douleurs fulgurantes et diminue l'ataxie. Ce, sont là des
procureront jamais. L'anesthésie locale par la cocaïne supprime la douleur pendant l'opération, qui ne laisse après elle q
remière observation. Homme de vingt-deux ans, chute d'un toit, vive douleur à la pression vers la onzième apophyse épineuse
our, le - bibliographie. 475 patienta une aura (accès d'angoisse, douleur précordiale, conges- tion céphalique) et il tom
95 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
t donc une cause d'infécondité, parfois de divorce, ce qui, joint aux douleurs intolérables qu'il produit dans les tentatives de
fourchette et sur toute la face extérieure de Thymen produit une vive douleur et un spasme des sphincters de l'anus et du vagin
ades sont atteintes d'hystérie, et que fatiguées par la fréquence des douleurs , beaucoup perdent le sommeil et l'ap-pétit, ce qu
te que dans la séance précédente; on arrive ainsi à faire passer sans douleur la bougie la plus longue, et le traitement est al
urine même quand la supérieure se vide. Cette disposition produit des douleurs brûlantes dans l'urèthre, du ténesme vé-sical, le
Si l'on a affaire à une rigidité excessive du périnée, ou bien à des douleurs qui se succèdent trop rapidement, il ne faut pas
otion antispasmodique ou un lavement laudanisé. Il recon-naît que les douleurs sont parfois très-violentes, qu'une fois il a dii
nts de la gynécologie. On leur reproche de donner lieu à de violentes douleurs dans les régions hypogastiique, sacrée et lombair
tes douleurs dans les régions hypogastiique, sacrée et lombaire ; ces douleurs sui-vent immédiatement l'injection ; une sensatio
t bien rare de voir se produire des accidents de quelque gravité; les douleurs , quand elles se montrent, se dissipent d'elles-mê
s pour 5oo d'eau dis-tillée, il n'a pas eu d'autres accidents que des douleurs uté-rines et des accès d'hystérie, et dans vingt-
l en est qui semblent n'en éprouver aucune ; la plupart éprouvent des douleurs utérines ou lom-baires pendant une heure au plus
e fongosités, il remarqua que la palpa-tion abdominale produisait des douleurs aiguës et refusa d'in-troduire la curette; le len
pas d'endométrite, car si elle existe, l'instru-ment déterminera des douleurs intolérables. Cet instrument est volumineux et ne
uentes répétitions du cathétérisme pour un utérus fléchi une cause de douleurs , d'hémorrhagie et d'inflamma-tion. 11 affirme que
ans la vessie ou dans le rectum : les phénomènes nerveux tels que les douleurs lombaires, dorsales, les crampes hystériques dimi
jugea très-sévèrement les résultats présentés par Valleix; frissons, douleurs abdominales, syn-copes, tumeurs inflammatoires da
ésente sur sa convexité des crêtes sail-lantes qui peuvent causer des douleurs et des déchirures de la muqueuse utérine ; sa gra
ilité beaucoup plus grande de l'ins-trument surtout latéralement, une douleur que ressent la ma-lade si l'on appuie un peu sur
s mouvements brusques pendant le reste de la journée; s'il y a eu une douleur vive on fera bien de faire prendre un bain calman
nt qu'on est encore dans la cavité cervicale, la patiente éprouve des douleurs qui témoignent d'une métrite du col ou d'une névr
i témoignent d'une métrite du col ou d'une névralgie utérine ; si ces douleurs sont très-vives on peut être obligé de borner là
urs de sa durée, surtout si elle est très-abondante et accompagnée de douleurs pelvi-abdominales qui ressemblent à celles de la
ment utile ; si l'on introduit la sonde utérine et qu'on provoque une douleur vive ou même une attaque d'hystérie, on est fondé
rus et qu'elle est due à une inflammation de sa membrane muqueuse. La douleur vive provoquée par la sonde introduite dans un ut
la sonde; de plus, en tenant compte du sens de l'ex-tension de cette douleur , on acquiert des données encore plus détaillées.
tte douleur, on acquiert des données encore plus détaillées. Ainsi la douleur se fait-elle sentir des deux côtés de l'hypogastr
si en même temps la malade se plaint d'éprouver un tiraillement, une douleur à la vessie ou deriière la paroi abdominale, on p
culum ou de la ciu'ette. 11 est rare que la dilatation produise de la douleur , mais l'éponge provoque souvent un écoulement aqu
a du malaise, de la pe-santeur dans le ventre, du ténesme utérin, des douleurs lombaires qui vont mourir à l'hypogastre et à l'a
s s'accentuent davantage et finissent par ressembler complètement aux douleurs expulsives de l'accouchement ; c'est qu'en effet
quide il n'y ait pas d'accidents bien prononcés ; le plus souvent des douleurs se font sentir périodiquement: ce sont des coliqu
x plusieurs incisions de quelques millimètres seulement; la prochaine douleur les complétera par des déchirures plus ou moins é
l'utérus, survient X hémorrhagie ; de là des pertes qui, ajoutées aux douleurs de la dysménorrhée, épuisent la malade par leur r
res et la tendance aux hémorrhagies dis-paraissent ordinairement ; la douleur qui accompagnait la menstruation cède aussi. Ces
ses qui épuisent la malade, et souvent aussi de faire disparaître les douleurs qu'elle ressent. Les cas les plus favorables au t
p-tômes de métrite ou de péritonite, sans cependant s'alarmer pour la douleur dans les lombes, le vagin et l'hypogastre qui est
p plus considérable dans l'hypertrophie, et le toucher déter-mine des douleurs , qui se manifestent aussi spontanément dans les l
ophie occasionne la stérilité, rend le coït impossible, détermine des douleurs vives qui altèrent gravement la santé. Ces condit
ération que M, Huguier pratique pour la guérir. En effet, outre les douleurs habituelles, l'hy-persécrélion mucoso-purulente d
ontraire, le premier temps est toujours facile, sans soubresaut, sans douleur ; mais si l'on veut aller plus haut que l'orifice
e dans la cavité de l'abdomen, où on ne peut le maintenir à cause des douleurs que cette élévation forcée provoque. Le traitem
etit coussin. La présence de l'instrument détermine quelquefois de la douleur et de la fièvre après huit ou dix heures de const
bloc comme un fragment de pla-centa. Lorsque la pince ne provoque ni douleur ni fièvre, on peut la laisser deux ou trois jours
ge. Ainsi tantôt il y a des en-vies fréquentes d'uriner, avec ou sans douleurs violentes; cet accident suit l'ablation des fibro
xploration des organes contenus dans le bassin y fait constater de la douleur , de l'em-pâtement, et qu'on remarque en outre de
inconvénient réel, mais qui est largement com-pensé par l'absence de douleur pour la malade et par la liberté d'action dont jo
ons d'essence de térébenthine ont été employés avec succès contre les douleurs vives qui se déve-loppent parfois peu après Eopér
la ligature. On voit alors une tumeur œdémateuse qui donne lieu à des douleurs dans les lombes et les aines. Plusieurs fois on e
supérieure du kyste. Si ces divers déplacements ne produisent aucune douleur , si l'on peut constater qu'il s'o-père un glissem
et que le récit de la malade apprend qu'il y a eu antérieurement des douleurs dans les points où ces glissements font défaut ;
la rate, de la paroi abdomi-nale, des fosses iliaques, provoquent des douleurs aiguës, des tiraillements et ne permettent pas d'
éristaltiques des intestins, les efforts de défécation provoquent des douleurs vives. Les or-ganes qui contractent le plus souve
u 36 heures après l'opération, des symptômes d'inflammation du kyste, douleurs vives, écoulement d'un li-quide sanieux ou purule
perte d'appétit, de vomissements, d'a-maigrissement, de diarrhée, de douleurs dans le ventre et surtout dans le kyste, on peut
ire. Cette action, du reste, est toute spéciale, elle ne développe ni douleur ni inflammation adhé-sive, elle paraît plutôt tar
péritoine et le mette ainsi en contact avec un peu de teinture ; les douleurs sont alors plus vives et plus persistantes. Au bo
l'injection ; le résultat final a été bon, mais il y a eu d'abord des douleurs qui ont fait croire à tort que l'injection produi
nt que le second ou le troisième jour ; un écoulement ichoreux et une douleur vive dans les parties en-vironnantes continuent p
une forme aplatie. Si la ma-lade a éprouvé à différentes époques des douleurs vives; si elle a présenté des signes d'inflammati
ut la tumeur est volumineuse et ancienne, même sans qu'il y ait eu de douleur qu'on puisse attribuer à la péri-tonite; si, enfi
tions sur l'utérus et les organes du petit bas-sin, et produirait des douleurs vives et des péritonites dange-reuses; on doit al
ique, l'a abandonnée aujourd'hui, sauf dans les cas oii il existe une douleur vive ; l'opium lui a paru être la cause du malais
sements et d'autres symptômes fâ-cheux qu'éprouvent les opérés. Si la douleur persiste, même après Fadministration de Fopium, e
u ou point douloureux; les malades ne peuvent préciser le siège de la douleur , les pres-sions sur le ventre et les ponctions in
96 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns. Hémiplégie gauche avec hémianesthésie totale pour le tact et la douleur , incom- plète pour le chaud et le froid. Le f
us offre quelques analogies avec ce que Mantegazza a trouvé dans la douleur ; le tracé pris alors nous donne aussi un pouls
mélancolique, dont le pouls indiquerait donc par ses caractères une douleur qui est bien réelle au moins au point de vue ps
de la langue. La parole est normale. La sensibilité cutanée à la douleur et à la température complè- tement abolie. Le
chose. La sensibilité générale au toucher, à la température et à la douleur est un peu diminuée et retardée. La sensibilité
xtenseurs et des fléchisseurs normaux. La sensibilité générale à la douleur et à la température, normale. Le sens musculaire
La langue n'offre pas de tremblements. La sensibilité générale à la douleur et à la température est légèrement diminuée. La
onne. Les réflexes rotuliens exagérés. La sensibilité générale à la douleur est un peu obtuse, le malade ne localise pas bi
lée. La sen- sibilité générale au toucher, à la température et à la douleur est conservée. On observe pourtant que la sensi
douleur est conservée. On observe pourtant que la sensibilité à la douleur est un peu émoussée, le patient supporte facile
s'ampute toute la verge; l'écoulement de sang très abondant et la douleur qu'occasionne cette mutilation, le font crier et
ormale. Le réflexe rotulien est aboli. La sensibilité générale à la douleur et à la tem- LES MÉLANCOLIQUES. 48 pérature
ente de légers tremblements des doigts. La sensibilité culanée à la douleur est obtuse. La pression de la région des ovaire
la respiration superficielle et lente. La sensibilité générale à la douleur esteonservée; la malade commence à pleurer quan
anesthésiques sur diverses régions du corps, où la sensibilité à la douleur est exagé- rée, exemple aux régions mamellaires
e de la malade est très abattue, le faciès exprime la tristesse, la douleur , l'anxiété, la peur; il parait qu'elle ne trouv
rale au toucher et à la température, conservée; la sensibilité à la douleur est un peu diminuée; le malade ne peut indiquer
Les fonctions digestives paraissent se troubler, indigestions avec douleurs de tête, se plaint d'avoir mal aux tempes, reste
plaint d'avoir mal aux tempes, reste huit jours sans manger; a des douleurs dans les coudes, les genoux, les pieds, avec li
bonne, bien que l'enfant, en se couchant, se soit encore plaint de douleurs dans l'épigastre. Ne mange pas au premier déjeu
. La contraction est-elle exagérée, le malade s'en aperçoit par une douleur . La station debout, l'effort, les coliques augm
qui consiste cliniquement dans l'ensemble symptomati- que suivant; douleurs parfois à type fulgurant, paralysie des sphinct
a suspension. Cette méthode s'est montrée surtout efficace sur le ? douleurs en ceinture, les crises gastriques, les dou- le
s par irradiation dans la région du petit doigt, et aussi de vagues douleurs locales ; 3° Une autre et dernière réaction,
lblall, 1894. Archives, 2e série, t. VU. 98 CLINIQUE MENTALE. douleur , voire même des exclamations de souffrance. Bier-
né, ni pour connaître sa sensibilité et sa réac- tion normales à la douleur ; qu'il s'agit fréquemnent de ma- lades indocil
t diminuée, mais il parait que le malade, quoique sentant un peu la douleur , souffre sans réagir. Au coeur, les battement
lité générale est conservée pour le toucher, la tempé- rature et la douleur (cette dernière paraît même un peu exa- gérée);
s lui demandons de faire. Le regard fixe; la figure pâle exprime la douleur , la souffrance, la dépression. La perception co
aut et à droite, les pupilles rigides. La sensibilité générale à la douleur complètement abolie, de même les réflexes. On l
e réflexe crémastérien bien diminué. La sensibilité générale à la douleur est retardée et bien dimi- nuée sur toute l'éte
té générale conservée pour le toucher et la température, celle à la douleur diminuée aux jambes, où le malade ne peut pas p
toïde. La sensibilité générale est exagérée pour le toucher et la douleur . La sensibilité spéciale conservée, la malade rec
té générale est conservée pour le toucher et la tem- pérature; à la douleur un peu retardée, le malade ne peut pas localise
La sensibilité générale paraît relardée pour le. toucher et pour la douleur ; normale pour la température. Elle n'offre pas de
elle a détruit une cheminée; elle a fait tout cela à cause d'une douleur qui lui est venue à la tête, elle avait perdu la
musculaire. La sensibilité générale conservée pour le toucher et la douleur , toutefois elle paraît un peu retardée. Elle n'
adie date de l'automne 1896, quand elle sentit une pesanteur et une douleur à la région épigastrique et précordiale, s'irra
issant pour revenir de nouveau. Elle se plaint encore maintenant de douleur de tête. Le 20 juin 1897, étant à la maison ave
ais le pouls est petit, contracté, filiforme.' Le malade accuse des douleurs dans la région de l'hypochondre et de l'épigast
Le réflexe pharyngien est conservé. La sensibilité générale à la douleur est conservée en grande partie, la malade préci
e trépidation épileptoïde. La sensibilité générale au toucher, à la douleur et à la tempé- rature conservée partout. Le sen
nsibilité générale au toucher est conservée ; la sensibi- lité à la douleur un peu diminuée aux bras, sur les parties exter-
ns que nous lui posons, bien que très lentement. Il n'accuse aucune douleur , mais dit qu'il est souffrant, malade et dans cet
B. IX. Psychro-aesthésie (sensations de froid) et psychro-algie ( douleurs de froid) ; par le Dr DANA. Les sensations de f
s pénibles, et, bien qu'elles soient quelquefois décrites comme des douleurs de froid, elles ne sont en rien comparables, au
uleurs de froid, elles ne sont en rien comparables, au point de vue douleur avec les sensations de chaleur. L'auteur rapp
extrémités des membres et associé à d'autres paresthésies ou à des douleurs , et souvent à des troubles vaso-moteurs évident
ffection nasale. Les recherches de Fleiss semblent montrer que la douleur , l'abondance, l'irrégularité des règles peuvent
OLOGIQUES. 151 Ce dernier auteur cite quelques cas dans lesquels la douleur de certaines formes de dysménorrhée a été tempo
le tubercule de la cloison auraient une relation spéciale avec les douleurs dysmenorrhéiques : aussi a-t-on donné à ces deu
endu possible par la «congélation». Par ce traitement, en effet, la douleur disparait ainsi que le spasme musculaire. A. V.
tomba en arrière sur un bloc de bois et se contusionna la nuque. La douleur fut peu vive et ne l'empêcha pas de continuer s
ée et tournée du côté gauche. Pro- gressivement en quelques mois la douleur et le spasme augmen- tèrent et finirent par l'e
mation ni au maintien de la difformité. Quand le spasme cessait, la douleur était très vive. Pendant le sommeil chloroformi
l'adolescence (15 a 20 ans) ; les premiers symptômes seraient des douleurs dans les articulations des membres inférieurs; ce
e très peu de temps, quelques minutes au plus et cesse dès que la douleur sus-orl)itait,equi marque le début de l'accès a a
laire en haut et en dehors quand le malade voulait fermer les yeux, douleur de la région frontale, anesthésie REVUE DE PA
apparut une ulcération à la plante du pied gauche. Depuis un mois, douleur et tuméfaction de l'articulation du genou gau-
trois ans, cultivateur, à la suite d'un refroidissement, accuse des douleurs rhumatismales aux genoux et aux reins. La doule
ment, accuse des douleurs rhumatismales aux genoux et aux reins. La douleur des genoux disparaît bientôt, celle des reins r
ue son tronc se courbe en avant; au bout de deux mois, bien que les douleurs aient complè- tement disparu, la colonne vertéb
ois plis transversaux. Le type de la respiration est abdominal. Les douleurs au dos sont insignifiantes. Pas de troubles sen
l'ankylose et il croit en outre que c'est principalement l'élément douleur qui est la cause de la voussure forcée de la colo
tions courtes et rapides, l3·péresthésie cutanée au contact et à la douleur généralisée; l'ovaire gauche parait un peu plus
u bain du soir : elle se met debout sur son lit, pousse des cris de douleur , piétine ses draps, secoue sa chemise qu'elle e
viron, Mm0 II... était souffrante; elle se plaignait fréquemment de douleurs abdominales; ses règles, devenues très irréguli
e d'aiguille ou avec un corps chauffé lui faisait éprouver une vive douleur . Au début il existait sur le dos un point très
respondant, nonobstant qu'elle ne ressentait pas le contact ni la douleur que pouvait lui causer l'aiguille, la malade mouv
ou moins géné- ralisée, à marche aiguë ou subaiguë, accompagnée de douleurs spontanées ou provoquées, souvent très vives et
ait éprouvé, dans les membres inférieurs, des fourmilla- ments, des douleurs ; elle se sentait un peu faible sur ses jambes ;
es et qui étaient surtout localisées sur le trajet des nerfs. Ces douleurs siégeaient principalement aux membres supé- rie
étaient envahis, les premiers semblaient plus frappés, puisque les douleurs étaient beaucoup plus vives à leur niveau. La m
ecouvra sa motilité volontaire. Dans la poliomyélite antérieure les douleurs sont moins vives que dans la névrite. Chez notr
u pneumogastrique. En faveur de la névrite périphérique, j'avais la douleur provo- quée par la pression surles troncs nerve
atrophie de certains muscles; en outre, attitude du pied en équin, douleurs spontanées et à la pression des troncs nerveux,
e troubles de la sensibilité, mais dans les derniers temps quelques douleurs à caraclère fulgurant. Le bras gauche commençai
pparaît un oedème des pieds. Plus tard s'ajoute de l'amnésie et des douleurs aux jambes. La faiblesse augmente bien que le m
é. A partir d'automne 1892, affaiblissement de la mémoire, amnésie, douleurs aux membres inférieurs et incontinence d'urine.
tions supérieures. L'instabilité est émotionnelle. Le plaisir et la douleur produisent des états affectifs instables de leu
lique puise dans l'un des élé- ments fondamentaux de la maladie, la douleur morale. Ici la perturbation affective primordia
naires. Au point de vue émotionnel, il n'y a rien qui rappelle la douleur morale profonde et fondamentale du mélancolique.
ticulières. C'est ainsi qu'elles n'ont pas ce caractère pénible, de douleur morale profonde, qui marque d'une empreinte si
tion secondaire de phénomènes primordiaux (troubles cénesthésiques, douleur morale, arrêt psychique), dénotant une modifica
ncolie. An point de vue émotionnel, il n'y a rien qui rappelle la douleur morale profonde du mélancolique. Par instants seu
aucun trouble émotionnel permanent, qui ressemble même de loin à la douleur morale du mélancolique. Il s'exprime aisément,
esthésie portent toutes les deux uniquement sur la sensibilité à la douleur ; la sen- sibilité au toucher et à la températu
t atteinte après un refroidissement d'abord de fourmillements et de douleurs vagues dans le membre inférieur gauche, puis de
bredouillement, acuité auditive et visuelle diminuée du côté droit. Douleurs de tête toujours très intenses, elles occupent
Au niveau des membres inférieurs, la sensibilité au contact et à la douleur est diminuée. Les muscles du cou, de la nuque e
syphilitique, légèrement alcoolique, éprouve depuis deux mois, des douleurs de tête plus accentuées au niveau de la région
lsions, ni contractures des quatre membres ; face respectée, pas de douleurs , pas de vertiges : intelligence et mémoire inta
rhagie intense avec métrite : quinze jours après, elle est prise de douleurs très vives dans l'articulation coxo-fémorale dr
-iaii(l, 220. - polyné- vritique, par Ballet, 386. Psychso-algie, douleurs de froid, par Uana, 419. Psvcuno - oestiiésie
97 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Quelques jours après il commença à souf- frir de la tête, et cette douleur fut localisée d'emblée, dans la partie gauche e
du côté gauche que la pression détermi- nait une exagération de la douleur . De même les bourdonnements et les sifflements
le est beaucoup plus prononcée à gauche. La pression augmente cette douleur . La vision du côté gauche parait diminuée ; mai
violente sur les parties du membre qui sont le siège de l'aura. Une douleur vive déterminée dans un point quelconquedu'corps
sée à la hanche gauche qui dure dix ans. Au moindre attouche- ment, douleur angoissante presque syncopale, alors que le frott
ques, provoqués par l'action locale du traumatisme. L'insomnie, les douleurs dans les diverses parties du corps sont des phé
embarras assez pro- noncé de la parole. Un peu plus tard, violentes douleurs muscu- laires dans les membres supérieurs, surt
phalée et la mémoire redevient normale. L'état général est bon, les douleurs ne se font plus sentir, tous les symp- tômes en
te : paralysie presque complète du membre inférieur gauche, légères douleurs spontanées, surtout la nuit, dans ce même membr
ralysé, mais la sensibilité y est fortement lésée : anesthésie à la douleur , à la chaleur et au froid, les sensations de co
Il y eut des symptômes douloureux; une hyperesthésie cutanée et des douleurs sur le trajet de certains troncs nerveux, ces s
et avec tout cela, absence complète de phénomènes douloureux. La douleur , si elle existe, est passagère et extra-articulai
blissent sans fracas, peu à peu, insidieusement, mais toujours sans douleur . Le résultat est, du reste, le même. Dans tous
mbres deux ou trois tours autour de leur axe longitu- dinal. Pas de douleurs en dehors des douleurs fulgurantes. ' Deuxième
rs autour de leur axe longitu- dinal. Pas de douleurs en dehors des douleurs fulgurantes. ' Deuxième observation. Femme, qua
tes sortes depuis l'enfance. Début du tabes à vingt-six ans par des douleurs fulgu- rantes aux membres inférieurs. La maladi
névropathique, syphilis. Début du tabes à trente-six ans par des douleurs fulgurantes. Le tabes reste presque exclusivement
anesthésie profonde des arti- culations malades et l'intensité des douleurs fulgurantes, lesquelles douleurs ont précédé le
lations malades et l'intensité des douleurs fulgurantes, lesquelles douleurs ont précédé les arthrites de plusieurs années; el
plus sujets que les femmes. Leur apparition est souvent précédée de douleurs lancinantes ou de troubles trophiques cutanés,
n il y a quinze ans par de fréquentes céphalalgies. A vingt ans, la douleur se com- plique de troubles visuels, hémiopie et
cas probant et authentique, qui démontre que sous l'influence des douleurs de l'enfantement une femme ait été saisie d'une
rmément de la tête. Elle éprouve dans la partie droite du crâne des douleurs telles qu'elle ne peut se se coucher comme tout
s tissus avec une longue épingle non seulement sans provoquer de la douleur , mais même sans écoulement de sang. De ce même
l'on peut, en effet, rattacher aux lésions anatomiques les diverses douleurs et paresthésies, déjà mention.- nées par Vallei
de médecine, 1893, n° 6, et d'après laquelle il faut rattacher ces douleurs et ces paresthé- sies aux troubles fonctionnels
isse gauche où il est un peu affaibli mais non aboli. Par contre la douleur (piqûre, pincement), le contact d'un corps froi
pas du tout perçus dans tout le territoire de l'anesthésie. Pas de douleurs spontanées mais des picotements très marqués, i
n même temps parle processus tuber- culeux. Il est évident que, les douleurs n'étant pas présentes, la pie-mère ne pouvait p
ttement dissociée. Le tact est partout bien conservé. Par contre la douleur (piqûre, pincement), le contact des corps froid
chauds (légère brûlure) ne sont pas du tout perçus. Il n'y a pas de douleurs spontanées mais seulement des pico- tements trè
- thésie a persisté. A cette époque on pouvait déjà remarquer les douleurs , fait qui nous montre que les racines postérieure
de symptômes médullaires : paresthésies, faiblesse des extrémités, douleurs , etc., qui durent pendant quelque temps avec de
iculté à uriner. L'urine ne contient pas de matières pathologiques. Douleurs aux reins plus apparentes, surtout après avoir
près avoir monté les escaliers, etc. Le malade dit lui-même que ces douleurs ne proviennent pas de l'os sacrum, mais qu'elle
mptômes qui aient attiré l'attention sur la moelle, à part quelques douleurs anciennes qu'il accusait va- guement, sont l'ab
aryngite qui persista sept mois. Dès cette année aussi il eut des douleurs fulgurantes presque continuellement dans les me
antes presque continuellement dans les membres inférieurs; puis des douleurs en ceinture, un affaiblissement passager des ja
fut obligé de garder le lit et entra à l'hôpital. Etat actuel. - Douleurs fulgurantes dans les quatre membres, douleurs e
tal. Etat actuel. - Douleurs fulgurantes dans les quatre membres, douleurs en ceinture, anesthésie cubitale et plantaire; dé
oire de la maladie. - En 1879, le malade commença à res- sentir des douleurs abdominales qui revenaient par crises, duraient
se terminaient par une diarrhée abondante. En 1881, après quelques douleurs fulgurantes dans les membres infé- rieurs, il f
graduellement, tout en conservant de l'anesthésie plantaire, des douleurs térébrantes, de plus en plus espacées et faibles,
cées et faibles, et de l'in- certitude de la marche. Vers 1885, les douleurs cessèrent presque complètement, sauf pourtant l
Il y a quelques ÉTUDE SUR LA -,IÙNINGO ? IYÙLITP. : i9t mois, les douleurs entéralgiques s'exagérèrent, puis changèrent de
commencement de 1889, par une sensa- tion de fatigue, puis par des douleurs fulgurantes dans les membres inférieurs. Dipl
er 1891, dérobement des jambes. ' A son entrée dans le service, les douleurs fulgurantes sont vio- lentes ; elles commencent
impotence fonc- tionnelle du membre, sans compter la possibilité de douleurs , de névrite ascendante. Ce pronostic ne peut
symptômes cardinaux de la névrite se ren- contrent chez la malade : douleur , paralysie, atrophie musculaire, troubles troph
la première fois un jour qu'il avait pris froid dans un train. Les douleurs sont vives, le plus souvent paroxystiques; elle
it parfaitement et promptement. Immédiatement après l'opération les douleurs dis- paraissent, ainsi que tous les autres symp
état satisfaisant n'a duré que six semaines, au bout desquelles les douleurs ont reparu avec la même intensité qu'autrefois.
ntéressant décrit par l'auteur. - * ' ' Après deux jours de vives douleurs dans les jambes, la jambe gauche du malade est
. S. XXXVI. SUR LES TROUBLES DE la sensation ET principalement la DOULEUR dans LES affections viscérales; par Henry HEAD. (
l'auteur a établi que les affections viscérales produisaient de la douleur dans certains points à la sur- face du' corps e
douleur dans certains points à la sur- face du' corps et que cette douleur était fréquemment accompagnée par des accès plu
s cavités séreuses et les tissus superficiels ne produisent pas une douleur réflexe à distance, mais locale; 5° les phénomè
émontre qu'il n'y a aucune relation entre elle et les phénomènes de douleur réflexe; 6° l'auteur se propose 320 REVUE DE PA
cères thoraciques et abdomi- naux ne produisent pas seulement de la douleur et de la sensibilité dans le corps, mais encore
e chapelière : mais elle fut atteinte quelque temps de métrite avec douleurs abdominales. Elle prit des injections très chau
fait que la dissociation dite syringomyélique est précédée par des douleurs pseudo-névral- giques. Enfin des tumeurs, ayant
ndant cette pratique on détermine chez le sujet en expé- rience une douleur (piqûre à la main avec une épingle), on cons- t
que gé- néral. Or voici ce qu'on observe : Sous l'influence de la douleur provoquée la ligne onduleuse du tracé persiste
, la circulation périphérique enregistrée n'est pas modifiée par la douleur . De là résulte un fait important qui est la car
on des contractures des muscles respiratoires et la disparition des douleurs provoquées par les contractures doivent être at
bilité idiomusculaire, une légère diminution de la sensibilité à la douleur ; en outre, signe de Romberg, démarche ataxique,
mpressions sensibles et motrices. A propos de la transmission de la douleur , ils considèrent la subs- tance grise comme un
du phosphore. Les mal- heureuses victimes mouraient dans d'atroces douleurs . Vingt-trois enfants auraient été empoisonnés d
. ' Émotion vive au cinquième mois de la grossesse : tremblement, douleurs abdominales pendant huit jours. Première dent ci
, elle a dû s'asseoir, mais elle n'a pas perdu connaissance, fortes douleurs abdominales qui ont duré huit jour ? Accoucheme
classe, pas de progrès. Mai. Même traitement. L'enfant se plaint de douleurs lom- baires, de la sensibilité de ses seins, de
n portant; mère impressionnable, sujette depuis quelque temps à des douleurs articulaires siégeant de préférence aux doigts
t. - l'lois jours après, à la faiblesse des jambes s'ajoutaient des douleurs articulaires particu- - lièrement ressenties au
pupilles largement dilatées réagissent mollement à la lumière. - Douleurs ressenties dans les deux oreilles. Le lendemain
vant sa maladie. Souvent les épaules et les genoux sont le siège de douleurs . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 461 De retour a
end froid un jour qu'il est en sueur; dès lors réappa- raissent des douleurs aiguës en différentes articulations, sans tumé-
lui du rôle étiologique déjà signalé de la grippe. Ajoutons que les douleurs articulaires observées ici au début de la malad
t. 1, fasc. 111-1V.) Dans la folie épileptique, la sensibilité à la douleur est la plupart du temps diminuée, les réflexes
es; les cutanés et les muqueux faibles ou nuls, la sensibilité à la douleur moindre. Dans la folie paralytique, à la périod
ns la folie paralytique, à la période initiale, la sensibilité à la douleur est quelquefois abolie, les réflexes culanés sont
exagération du plan- taire, affaiblissement de la sensibilité à la douleur . - A la troisième période, la sensibilité à la
ibilité à la douleur. - A la troisième période, la sensibilité à la douleur devient très faible, les réflexes cutanés et mu
s la folie alcoolique, exagération fréquente de la sensibilité à la douleur , des réflexes plantaire, idio-musculaire, tendine
aires. Dans la folie hystérique, faiblesse de la sensi- bilité à la douleur , des réflexes cutanés ; les muqueux et idio-mus-
sont normaux, le patellaire rapide. Dans la manie, sensibilité à la douleur vive; réflexes cutanés et muqueux normaux, ains
-musculaires et tendineux.- Dans la mélancolie, la sensibilité à la douleur est normale, ou exagérée; les réflexes culanés
tupeur, les cutanés et mu- queux s'affaiblissent : la réaction à la douleur , faible en apparence, est bien conservée; les r
Dans la paranoïa, les réflexes restent normaux, la sensibilité à la douleur est parfois diminuée.-Dans l'imbécillité, la sens
uleur est parfois diminuée.-Dans l'imbécillité, la sensibilité à la douleur est au-dessous de la normale; les autres réflexes
a- pides, les tendineux vifs. - Dans l'idiotie, la sensibilité à la douleur est faible, de même que les réflexes cutanés et
auche, ptosis de moyenne intensité, obtusion de la sensibilité à la douleur dans la pallie supérieure du territoire innervé
es, d'autre part. Sur les 100 paralytiques hommes, la réaction à la douleur a suivi la pression du cubital chez 35 sujets ;
. Marie, 334. Sensation. Troubles de la-et prin- cipalement de la douleur dans les affections viscérales, parllead, 319
98 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Elle se plaignait d'un gonflement considé- rable de la langue, de douleurs très vives et d'une sensation désagréable dans
e dila- tation assez considérable des veines. Il n'y avait pas de douleur à la pression qui ne permettait de perce- voir
bouche, disait éprouver un sentiment de chaleur intolérable, des douleurs de tête très vives, en un mot, toute une série
qui avaient été limées '. La dent obturée n'était le siège d'aucune douleur , la couleur était normale; il en était de même
es d'amélioration pendant six semaines environ. Après ce temps, une douleur se déclara subitement au niveau de la dent de s
uefois sur les deux petites molaires du même côté. Par moment cette douleur s'arrêtait complètement et reparaissait lorsqu'
côté droit. M. X... insistait particulièrement sur ce point que la douleur se localisait au niveau de la troisième grosse
ar ces différentes épreuves, il a, dit-il, constamment souffert des douleurs que nous avons décrites plus haut; de plus, et,
t plus mélancolique encore et semblaient augmenter et réveiller les douleurs qui se produisaient dans son maxillaire. Les di
té plus grande les relations, inconnues pour lui, qui reliaient ses douleurs à la cause qui lui avaitété signalée. Après tro
médecins qui le soignaient. Toutefois et de son propre aveu, les douleurs qu'il éprouvait étaient beaucoup moins vives. La
aveu, les douleurs qu'il éprouvait étaient beaucoup moins vives. La douleur que je ressens, disait-il, n'est pas aiguë, mai
ntretenir dans mon esprit une constante préoccupation; jamais cette douleur ne m'a empêché de dormir, bien que l'état nerve
dès que mon espritest essalsi par son habituelle appréhension, les douleurs se réveillent. Quand ma pensée, ajoute-l-il, es
, mais cette même ARCHIVES, t. WI. 1. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE. douleur revient lorsque j'y songe, ou que je comprime lég
illaire inférieur avec l'extrémité des doigts. Il analyse ainsi les douleurs qu'il éprouve dans les dents, il lui semble que
rtains moments, que les nerfs des gencives sont très sensibles. Ces douleurs se font sentir également le long de l'épaule et
ration qu'il a subie. C'est en vain qu'on lui fait observer que les douleurs vasueb qu'il ressent sont surtout localisées à
rner dans son pays à peu près débarrassé de son obsession et de ses douleurs . D'après les nouvelles qu'il a adressées à M. le
*, L'enfant fut prise, en 1887, de vertiges, de vomisse- ments, de douleurs de tête ; on rencontre à ce moment, une telle h
Charcot à la Salpêtrière. On avait constaté, le 6 novembre 1889 : Douleur au niveau de la région lombaire ; parésie ; dyses
on, une petite fille est prise de vertiges, de vomissements et de douleurs de tête, pendant un an, avant qu'on remarque les
l'hôpital, où il se trouvait déjà depuis trois semaines à cause des douleurs dans les reins. Le début ne s'est pas fait d'em
termine pas de refroidissement et dans certains cas elle suspend la douleur et amène le sommeil. Elle exerce une action mar
a moelle. Le D'' Lépine l'a employée avec succès pour combattre les douleurs fulgurantes des tabétiques et dit les avoir vue
depuis huit à dix ans les accidents suivants : névralgies spinales douleurs en ceinture crises gas- triques dysurie ralenti
e crises gas- triques dysurie ralentissement de la sensibilité à la douleur - signe de Homberg - atrophie du nerf optique d
années, de l'ataxie, de la paralysie de la vessie et du rectum, des douleurs fulgurantes, de l'analgésie, de l'impotence gén
instantané. Une certaine nuit, notre malade a été réveillé par une douleur atroce, occupant la face interne du pied gauche
, aux branches terminales du nerf saphène interne, (fig. 12, A). La douleur en question était à la fois superficielle et pr
siologique de l'estomac. Peu de jours après l'apparition de cette douleur , il s'en manifesta une autre, non moins bien lo
gauche, au dessus de la mal- léole interne. Le caractère de cette douleur était à peu de chose près le même que celui de
une névralgie circonscrite, et qu'il occupe les trois points où la douleur présentait son maximum d'acuité. Mais il est in
ontinuons l'histoire de notre malade. Presque en même temps que les douleurs apparurent des troubles de la marche ; il y a d
la jambe gauche. Mais, au lieu de survenir brusquement comme les douleurs , ces phénomènes moteurs se manifestèrent peu à pe
s'expliquait pas du reste, car elle n'était pas influencée par les douleurs circonscrites dont il vient d'être question.
et il est assez remarquable que la paralysie motrice soit, comme la douleur , plus prononcée le matin. C'est le plus mauvais
nt l'un siégeait aux lombes, l'autre au voisinage de l'ombilic. Les douleurs qui accompagnent ou précèdent le zona d'une man
ns quel'influence del'alcoolisme n'ajoute quelque chose à l'élément douleur dans les névralgies superficielles. Il est bien
le zona, a coïncidé chez notre malade avec une exaspération de ses douleurs et de sa paralysie. D'autre part, ce n'est pas
tre la première branche lombaire et la première branche sacrée. Les douleurs ont eu pour localisation initiale une partie re
it. D'autre part, l'incoordination dont il s'agit a été précédée de douleurs superficielles à l'extrémité inférieure du memb
ntes, apparaissant spontanément, dispa- raissant de même, comme les douleurs fulgurantes du tabès vrai. Joignez à cela que l
rfaitement conscience en est seule la cause. J'en dirai de même des douleurs spontanées qui ont inau- guré la maladie. Elles
alcoolique, avec des caractères à peu près identiques à ceux des douleurs fulgurantes. Veuillez toutefois remarquer qu'elle
eurs ont signalé dans les observations de névrites alcooliques. Les douleurs de l'ataxie ne sont pas soumises à cette sorte
s cas où les mouvements peuvent être plus ou moins empêchés par des douleurs , Binswanger préfère ranger le peu de cas qui re
timents, déchaîne ou tem- père les émotions, colère, frayeur, joie, douleur , pu- deur, tristesse, etc. De tous les états su
nsations n'étaient pas atteintes, mais sûrement la sensibilité à la douleur a été conservée. Les expé- riences sont donc op
qu'à maintenant de plus en plus raide. A l'examen, il y avait de la douleur à la percussion, entre la dixième et la douzièm
, mais à droite il était toujours insensible à la cha- leur et à la douleur . La sensibilité tactile était également bonne d
infé- rieurs et de la partie inférieure du tronc, de fièvres et de douleurs intolérables quandon exerce une pression au niv
uement sur la sensibilité tactile et thermique, la sensibilité à la douleur per- sistant. On posa le diagnostic de : sectio
pnotisme : On peut guérir un nombre incalculable de maladies, les douleurs , les rhumatismes, les paralysies, les névralgie
et qui a des pi- tuites matinales, des cauchemars nocturnes et des douleurs dans l'hypochondre droit. Notre malade appartie
s fréquentes et très abon- dantes ; migraines caractérisées par une douleur frontale (sus-orbi- taire), débutant à n'import
e menstruelle. Outre ces migraines, la malade présentait encore des douleurs assez singulières de la face qui s'ac- cusaient
loureux du même côté. Un an après, en 1888, au mois de juillet, ces douleurs se trans- formèrent en hyperesthésie exquise, l
ourd'hui de nombreuses cicatrices) ne réveillaient aucune espèce de douleur ; il y aurait donc eu hé nu anesthésie douloureu
douleur; il y aurait donc eu hé nu anesthésie douloureuse, car les douleurs subjectives persis- taient toujours. Cette hé
jours encore quelque chose : un jour des migraines, e lendemain des douleurs dans les reins, etc. Elle a depuis consulté div
nferment ni sucre ni albumine. De temps en temps, elle se plaint de douleurs dans les membres du côté droit, de migraines, d
ns le reste du corps pour tous les modes de sensi- bilité (contact, douleur , température). Pas d'anesthésie pharyn- gée. La
ure axillaire est normale. Pouls 84. Appétit mauvais, constipation, douleurs dans le ventre. Dans la suite survinrent des ma
rs dans le ventre. Dans la suite survinrent des maux de tête et des douleurs dans les extrémités, surtout à la jambe gauche,
e tous les jours. Le malade ne peut presque plus marcher à cause de douleurs dans les genoux, qu'il ne peut fléchir. Les mus
temps après l'attaque et résiste aux frictions et au massage. Les douleurs de têtes sont très violentes. Il existe une insom
e son lit, en exprimant par sa mimique qu'il éprouve de violentes douleurs . Verre bleu de nouveau. -Il Il fait des mouveme
eux bien, mais ici, non... Nous voilà dans l'eau... Ça me donne des douleurs ... je crains même l'humidité. Je ne sors pas qu
ité aux excitations thermi- ques qui produisaient à gauche une vive douleur , et une insensi- bilité totale du tact, quand o
s deux, et non mentionnée dans deux. Dans un «, la sensibilité à la douleur était ' Cas. de S. H. Brain, vol. X, p. 95. *
sensibilité tactile et généralement une absolue insensibilité à la douleur dans la peau et les organes sen- sibles du côté
par kilogramme), l'exal- gine fait disparaître la sensibilité à la douleur , bien que la sensibilité tactile persiste. La t
ène rapidement, en une demi-heure ou une heure, la diminution de la douleur ou une cessation complète dans tous les cas de
st pas un hyp- notique et si les malades dorment c'est parce que la douleur a été supprimée. D'autres phénomènes dus à l'
ongé. En tête des affections essentiellement caractérisées par la douleur , et traitées avec succès par l'exalgine, figurent
de Fraser et de Ferreira, qui avaient avantageusement combattu les douleurs fulgurantes de l'ataxie locomotrice avec l'exal
dans un cas de tabes fruste et a fait disparaître non seulement les douleurs fulgurantes, mais aussi des douleurs 426 6 REVU
disparaître non seulement les douleurs fulgurantes, mais aussi des douleurs 426 6 REVUE ANALYTIQUE. violentes des talons
exalgine a, chez une malade, atténué d'une manière très marquée les douleurs violentes qui accompagnent le début des règles
acent et le malade abandonne son ancienne personnalité; ou bien les douleurs anciennes et les 440 REVUE ANALYTIQUE. joies
ar M. le Dr Adam, pour laquelle la vue des étoffes est une cause de douleurs dans les yeux et qu'elle est obligée de regarde
. Du côté de la sensibilité générale organique, la sensibilité à la douleur est presque, normale et peu modifiée par l'accè
99 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
di. Ce terme ne s'appliquait d'abord qu'à des femmes présentant des douleurs , des symptômes relatifs aux organes génitaux et
(., p. 5. Archive ? t. XXVI. 2 18 g REVUE GÉNÉRALE. de tics, de douleurs , d'idées fixes seront bientôt rattachés très lé
ce, démarche incertaine, semblable à celle d'Une homme ivre, vagues douleurs dans les jambes et autres parties du corps, dém
PATHOLOGIQUES. 51 sation cérébrale des sensations du toucher, de la douleur , de la température, ainsi que le sens musculair
e scoliotique de l'épine dorsale; pendant la marche, il ressent une douleur au sacrum, aux fesses et à la jambe droite, dou
l ressent une douleur au sacrum, aux fesses et à la jambe droite, douleur qui augmente lorsqu'on exerce une pression sur le
mploi de vésicatoires et l'usage interne d'iodure de potassium, les douleurs du sacrum et des jambes ont presque disparu, la d
e, élevé dans ses rangs, initié à ses besoins, à ses efforts, à ses douleurs , j'ai demandé pour lui, à l'heure où se taisaie
énible. La vue est toujours normale. Mai. - Le malade est pris de douleurs en ceinture très vives; déplus il sent au milie
ceinture très vives; déplus il sent au milieu des deux épaules une douleur qui le serre comme un corset. - Juin. Persist
une douleur qui le serre comme un corset. - Juin. Persistance des douleurs précédentes; de plus, douleurs violentes aux cu
e un corset. - Juin. Persistance des douleurs précédentes; de plus, douleurs violentes aux cuisses, affectant par moment la
otation en dedans par la contracture des muscles de la jambe. Les douleurs en éclair qui traversaient la cuisse sont devenue
n éclair qui traversaient la cuisse sont devenues plus rares. - Les douleurs actuelles siègent surtout au genou gauche, où e
mpérature est la même au toucher que celle du reste du corps. ) Les douleurs en ceinture n'ont pas varié d'intensité; les doul
corps. ) Les douleurs en ceinture n'ont pas varié d'intensité; les douleurs interscapulaires sont devenues plus fortes, sur
ut le soir, gênant par moment la respiration. Au niveau du sacrum douleur vive, que fait disparaître momen- tanément une
fait disparaître momen- tanément une application de pointes de feu. Douleurs intermit- tentes dans l'épaule droite. - La con
rent à la partie interne de la jambe et de la cuisse gauches, où la douleur et la température ne sont perçues qu'avec une d
nomènes douloureux delà névrite avaient. d'abord été pris pour, des douleurs rhumatismales; le maniement des,, muscles provo
ndre1' sa/'place comme dans un" cas de genu vaigum accentué. Pas de douleur ; le genou droit est intact. ' Le malade présent
nait malade, et gonflait. Il fut- traité par,,la suspension, élises douleurs fulgurantes disparurent à la suite.,A l'admissi
ôme précoce de, l'ataxie locomo- trice.,Il insiste sur,l'absence,de douleur et d'inflammation, qui con- stitue un caractère
tsche Zeitschr. f. Nel'venheilk., 1), caractérisée par impotence et douleurs sans cause saisissable. Elle survient chez des
délire. Tout à coup, sans hyperthermie, sans accélération du pouls/ douleurs intenses 'localisées'' aux muscles, augmentant à*
présenta au bout d'une douzaine de jours un état d'excitation, avec douleur de tête intense, élévation de tempéra- ture à 3
i est localisée à la région frontale et au sommet de la tête; cette douleur , qui empêche le sommeil, est sujette à des exac
mois, étant aux bains de mer avec ses maîtres, elle a été prise de douleurs violentes dans la tête ; l'invasion de ces dou-
ébutaient par quelques plaintes de la malade, qui accusait une vive douleur au sommet' de la tête; puis la douleur augmenta
alade, qui accusait une vive douleur au sommet' de la tête; puis la douleur augmentait au point de lui arracher des cris pe
néoplasme dans le cervelet. L'absence de symptômes paralytiques, la douleur frontale, les troubles mentaux prédominants son
e, etc. Peut-être y a-t-il lieu de faire intervenir ce fait que les douleurs dont se plaignent les malades sont moindres pen
nts (trépidations, oscillations) calment momentanément du moins les douleurs . Le facies de ces israélites voyageurs est frap
dice de la fréquente contraction des sourciliers, les muscles de la douleur . L'oeil est petit, triste, enfoncé, cerclé de rid
combinées. La céphalée suivant le type classique, en casque. Les douleurs lombaires et sacrées. Cette rachialgie communiq
her, se tournant tout d'une pièce. Ils se plai- gnent aussi tous de douleurs errantes dans les membres; des « rhu- matismes
ni syphilis. Pas d'alcoolisme. Il y a dix ans, auraient apparu des douleurs dans le cou; ce torticolis n'au- rait disparu q
nifestés dans le membre supérieur droit, qui aurait été le siège de douleurs très vives. La paraplégie n'est bien marquée qu
a même réflexion s'applique aux phénomènes doulouréux (céphalalgie, douleur de la nuque, etc.) moins fréquents que dans les
notés dans le cas de Schultze 1 ; la malade de Seppili 2 avait une douleur fixe à la nuque, cette douleur de la nuque se r
1 ; la malade de Seppili 2 avait une douleur fixe à la nuque, cette douleur de la nuque se retrouve dans le cas de Menzel3
interrompue, comparable à celte d'un homme qui aurait de violentes douleurs abdomi- nales ; les mots sont brusquement émis,
a lumière. L'audition est intacte. Le goût et l'odorat sont abolis. Douleurs fulgurantes dans les genoux, la cheville gauche e
ésie croisée observée, il est intéressant de relever l'existence de douleur dans la moitié du corps hypéresthé- siée. Tout
péresthé- siée. Tout récemment Edinger appelait l'attention sur les douleurs d'origine centrale à propos d'un cas dans leque
(Ber- lin, Klii2. Wochenschrift, 1892, n° 11). Il a montré que les douleurs avaient une origine centrale, quel que fût le p
sultat des « bêtises qu'elle a faites » et d'où dérivent toutes les douleurs qu'elle ressent. Aussi, la première fois que
e la malade entre à la consultation, elle se plaint vivement de ces douleurs résultant des persécutions que lui infligent le
rie instam- ment qu'on la reçoive à l'hôpital et déclare que si les douleurs qu'elle ressent ne cessent pas elle est décidée
du Xle arrondissement, dit-elle, j'ai éprouvé dans le pied une vive douleur ; je ne pouvais plus lever la jambe. On m'empêch
er la jambe. On m'empêche parfois de- manger; je ressens une vive douleur dans la mâchoire et suis forcée de m'arrêter. On
e hystérique, mère nerveuse, présentant de- puis cinq mois de vives douleurs dans les deux jambes. Il avait la sensation d'é
e séance de quelques minutes, en courant de toutes ses forces, sans douleurs aucunes. La parésie, l'hyperesthésie, la contract
à-dire depuis six mois. Observation III. Hyperesthésie plantaire. Douleurs téi,ébi,ai2tes dans les membres inférieurs. - F
deux genoux, à la jambe droite tout entière, il éprouvait de vives douleurs lui rendant le sommeil difficile. La marche, à
musculaire très marquée dans les deux membres inférieurs. Quant aux douleurs , ce sont, disait-il, des aiguilles qui s'enfoncen
mine le malade. Rien qui m'indique les troubles ataxiques, sauf les douleurs ; tout, au con- traire, révélait l'hystérie, rét
lement. Je lui déclare qu'il ne souffrira plus, qu'il marchera sans douleurs , qu'il est guéri. En effet il s'écria à son rév
ait seulement de temps en temps et à de rares intervalles, quelques douleurs fugitives dans les membres. Observation IV. V
'alimentation aussi prolongé. Je cons- talai un peu de chlorose; de douleurs , nulle part, pas même à la région épigastrique.
oubles de la sensibilité générale. Ces vomissements continuels sans douleurs et sans amaigrissement de la malade, le rétréci
hystérie avec crises convulsives. Con- tractures, surdité, cécité. Douleurs ovariennes. Guérison. Demoiselle Br..., vingt-d
ractures, surdité, etc. Il y a trois mois environ elle fut prise de douleurs atroces dans la région ovarienne gauche. Douleu
elle fut prise de douleurs atroces dans la région ovarienne gauche. Douleurs à la tête, insomnie, vomis- sements, anorexie.
le commandement. Dans une seule séance je puis faire disparaître la douleur ovarienne, la céphalée, l'anorexie. Elle n'atte
ans. Quelques années plus tard, c'était une rétention d'urine, avec douleurs vésicales, troubles qui persistèrent pendant pr
n an. 11 y a quatre mois d'autres phénomènes apparurent. Ce fut une douleur vive, persistante dans la région épigastrique e
ui enlève aussitôt par la suggestion l'anorexie, le vomissement, la douleur épigas- trique. L'asthénie motrice, que j'avais
laissée de côté, existait encore, mais plus faiblement, de même la douleur à la région dorsale et lombaire. Le surlendemai
ntinuait quand son père tombait frappé d'apoplexie, et mourait. Les douleurs , les vomissements reparurent. Je lui prescrivis u
le le peut maintenant. Aussitôt les mâchoires s'en- tr'ouvrent avec douleurs d'abord, puis bientôt peuvent jouer sans douleu
tr'ouvrent avec douleurs d'abord, puis bientôt peuvent jouer sans douleurs , mais la langue restait encore appliquée inertesu
r pour des raisons spéciales, préjugés, etc., etc. Observation V. Douleurs particulières de nature hystérique ren- dant la
erveuses, vint me DE L'HYSTÉRIE EN VENDEE. 463 consulter pour des douleurs vives qu'elle éprouvait dans lesjambes surtout
vives qu'elle éprouvait dans lesjambes surtout la jambe gauche. Ces douleurs n'étaient pas permanentes. Elles survenaient su
quelques calmants. Le résultat fut assez satisfaisant d'abord. Les douleurs allèrent en s'effaçant. Mais bientôt elles reparu
u et je déclarai à la malade que sous l'action de l'électricité les douleurs iraient s'atténuant et que dans un quart d'heur
her. Je tenais les deux électrodes avec le plus grand sérieux. « La douleur doit diminuer, lui disais-je.- Oui, répondait-ell
ai dit plus haut) et qui pourtant a eu la propriété de supprimer la douleur et de permettre la marche. La malade est partie
aison et c'est tout. Depuis plus de dix ans, cette femme souffre de douleurs vives à l'estomac; ses digestions sont très pén
eil, elle est tout étonnée d'avoir le cou droit, et très mobile, la douleur épigas- trique, elle aussi, avait disparu. Je l
esthésique à gauche, hémianes- thésique à droite. Je fis cesser les douleurs des membres gauches et les douleurs gastro-abdo
que à droite. Je fis cesser les douleurs des membres gauches et les douleurs gastro-abdominales; mais la chorée, je n'avais pu
Les réflexes sont diminués. Pas de secousses fibriliaires. Quelques douleurs fugitives et légères dans les membres. Les fonc-
Guérison par hypno- tisane d'un hoquet hystérique permaneii' et de douleurs vives à la région interne et externe de la cuis
uisse à la région dorso- lombaire rendant la marche très difficile, douleurs qui m'avaient fait croire longtemps à une altér
ux dernières vertèbres lombaires surtout et à la hanche gauche, les douleurs sont parfois si intenses que la marche est exce
he est excessivement pénible. Peu ou pas de sommeil à cause de la douleur . Tous mes confrères de la région ont eu à donner
a- tation de son mal de Pott, je crus comme mes confrères que les douleurs , qu'elle indiquait, résultaient de la déformation
u'elle ne l'aura jamais plus. Je ne m'occupai pas cette fois de ses douleurs peu confiant dans la puissance de la suggestion
Le hoquet s'arrêta aussitôt. Cette fois j'étendis ma suggestion aux douleurs et à la marche et le résultat 470 0 CLINIQUE ME
la marche et le résultat 470 0 CLINIQUE MENTALE. fut complet. Les douleurs que les pointes de feu n'avaient jamais calmées
et d'être mise dans un appareil. Enfin une quatrième arrive, mêmes douleurs , mêmes déformations et mêmes craintes. Cette fo
omes : asthénie motrice, sensations de casque lui serrant le crâne, douleurs à la nuque, dyspepsie, insomnie, etc... et les
délicate. Dans ses accès, ses parents l'entendaient, à leur grande douleur , proférer les mots les plus grossiers, les expres
somnie simple et neurasthénique ; associé à la mor- phine contre la douleur ; associé à l'opium dans la mélancolie; à doses
les et amis de M. CHARCOT, les senti- 508 VARIA. ments de sincère douleur que nous cause le décès du Maître, qui a tant f
100 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
ypnotisé une anesthé-sie assez profonde pour qu'il puisse subir, sans douleur , une grave opération chirurgicale, l'état dans le
rtement, affaiblissement de la volonté et du la mémoire) survînt sans douleurs préalables une paraplégie fiasque à la suite d'un
trc les défenseurs s'ébranler, je vous avoue que j'ai été si saisi de douleur que je n'ai pu la soutenir et il a fallu succombe
1, à la mère Angélique de Saint-Jean: ß Je ne puis plus dissimuler la douleur qui me perce jusqu'au fond du cœur de voir que le
sile.... et le plus souvent ma règle. » Elle s'étend ensuite sur la douleur qu'elle avait éprouvée lors de la sortie des novi
on de la sensibilité. Le tact est normal, tandis que la chaleur et ?a douleur subissent un certain retard danc la perception de
se passait autour d'elle et perte de sensibilité, car aucune trace de douleur n'a été donnée sous l'iniluence de la violente ir
éprouve une prise de tremblement. Les émotions lui oectision-nent des douleurs â l'estomac qui durent plusieurs heures./page>
it plus tressaillir; elle n'a pas été reprise, une seule fois, de ses douleurs d'estomac. Un jour un orage violent éclata pendan
était atteint de crises dont le point de départ se témoignait par des douleurs internes violentes et des crampes dans la jambe d
e jour la faiblesse de ia jambo a reparu, mais i! n'a plus éprouvé ni douleur ni crise. Après quelques applications d'aimant
rie par trois applications d'aimant. IV. — Un homme se plaignait de douleurs très violentes dans le bras gauche. Ces douleurs
omme se plaignait de douleurs très violentes dans le bras gauche. Ces douleurs ont débuté il y a six mois, elles semblent réside
t dans l'avant-bras, tantôt dans le bras, tantôt dans l'épaule. Les douleurs ont toujours été en augmentant d'intensité et, de
empêcher de se plaindre quand il éprouve ces crises douloureuses. Les douleurs sont plu3 fortes et plus fréquentes la nuit que l
a nuit suivante il peut rester couché et dort d'un sommeil calme. Les douleurs , sans avoir totalement disparu ont été tellement
puis tous les trois jours. Après trois ou quatre applications toute douleur a disparu, il n'existe qu'un peu d'engourdissemen
est servir grandement en haut mal, aux coliques graveleuses et autres douleurs de rems ». (1) 11 existe aussi un moyen prophyl
orte ni dissociation entre les diverses sensibilités au contact, à la douleur ou à la température, ni perte du sens stéréognost
modérera la toux d'un tuberculeux et le fera dormir, elle calmera les douleurs fulgurantes d'un ataxique. En un mot, la thérapeu
te ; on perd d'abord la finesse du toucher, puis lu. sensibilité à la douleur et à la température, puis ce tact grossier et rud
conïinue son travail, la conscience reparaît brusquement sans que la douleur ni les diverses sensibilités reviennent; tous ces
st souverain contre les dévoiement (Giliaks). Contre les rhumatismes, douleurs articulaires, raideurs, etc. Goldes et Giliaks po
des qu'approche le terme do la grossesse, ce même homme se plaint de douleurs lombaires et d'affaiblissement des membres inféri
re, le bruit, les odeurs ; chaque changement de position provoque des douleurs rachidiennes ; la peau de l'abdomen et de la régi
-Angélique Arnauld d'Andilly, tombée « en langueur » à la suite d'une douleur morale, Charles Akakia du Mont,atteint d'une « ma
hydropisie (météorismeï), la troisième d'une paralysie accompagnée de douleurs et de lièvre. Catherine Coulas était atteinte d
uer que l'espèce humaine éprouve une répugnance invincible à subir la douleur , toute spéciale, que cause l'extraction d'une den
ts cette appréhension, qu'ils vont éprouver, quoique anesthésiés, une douleur insupportable. D'où la nécessité de leur inspirer
emps de l'extraction avec l'angoisse d'éprouver à un moment donné une douleur atroce; il attend cette douleur avec une appréhen
isse d'éprouver à un moment donné une douleur atroce; il attend cette douleur avec une appréhension pénible, se figure générale
gestionner notre patient pour réduire au minimum l'appréhension et la douleur , si nous ne pouvons les supprimer entièrement,afi
tient s'endort doucement : il n'éprouvera certainement pas la moindre douleur . » L'effet de la suggestion est d'une importance
PSYCHOLOGIE Présidence de M. le D' Jules Voisin. Accouchements «ans douleurs par laméthode du DrJoire(de Lille). Anesthésio
implifier l'accouchement et supprimer, pour la pauvre parturiente, la douleur , quelquefois si atroce. Pour mon compte, j'avai
t sans cesse que ce serait fini quand nous arriverions, parce que les douleurs , disait-il, étaient très fortes avant son départ.
pièce de cinq francs environ, la poche des eaux étant conservée. Les douleurs , inégales, plus ou moins violentes et de durée mo
atiente, qui avait à ce moment une contraction assez douloureuse ; la douleur passée, je commence l'expérience et, lui appliqua
tion énergique de la matrice, utile pour l'expulsion, mais sans cette douleur de reins dont elle se plaignait tant jusque-là ;
orte se produisit sous ma main, accusant un effort violent, mais sans douleur apparente; cet effort dura quelques minutes sans
e la malade souffre et se plaint alors beaucoup de ressentir de vives douleurs à chaque contraction. Elle me demande instamment
de amniotique, la fin du travail en est facilitée. Dans les dernières douleurs seulement (celles qu'on appelle concassantes), l'
cette primipare, qui avait une grande frayeur de l'accouchement, les douleurs ont commencé vers 4 heures l/i du matin, irrégu-l
atation déjà notable, plus grande qu'une pièce de cinq francs, et les douleurs se répètent à faire croire, par leur force et leu
et utile pour l'expulsion du fœtus, mais qu'elle ne ressentira pas de douleur , surtout dans les reins, comme elle s'en plaignai
pas souffert, que ce qu'elle a ressenti est insignifiant, comparé aux douleurs précédentes. Quand je la quitte, clic souffre.
et prolongées,/page> page n="182"> sans apparence d'aucune douleur de la part de la malade. La tête est descendue au
es et longues se répètent toutes les trois minutes, heureusement sans douleur ; elle souffre quand je m'éloigne et, au bout d'un
suggestion ; elle sort pour ne plus rentrer, la rotation s'opère sans douleur autre que celle du forceps et un accouchement lab
intervalles fixés d'avance et avec une telle régularité. Le phénomène douleur aboli à chaque suggestion ou très considérablemen
ggestion ou très considérablement atténué, la disparition des grandes douleurs , qui sont la règle dans presque tous les accouche
é est appelé à rendre de grands services. a Exempt de ces violentes douleurs qui en font habituellement un/page> page n="
a malade. Ne lui ayant pas promis d'avance de la faire accoucher sans douleur , quand même on n'aurait réussi qu'à diminuer la s
ents, de faire de l'antiseptie et de rester spectateur impassible des douleurs contre lesquelles nous pouvons et nous devons lut
a fameuse parole biblique, disant à la femme : Tu 'enfanteras dans la douleur ... Je répéterai donc, en terminant, que le méde
; puis, à la tête, apparaissent de la céphalée ù droite, ainsi qu'une douleur à la pression dans la zone rolandiquc du côté dro
déduire. Son Traité sur la guérison des blessures, sans causer aucune douleur , sans employer de remèdes, sans recourir à des pr
nctionnel!?; ce ser.,, par exemple, une Manifestation hystérique, des douleurs polymorphes très ïntensss.cs sera une de cesphpr
cuisse. Il eu a éprouvé une vive frayeur. Il souffre actuellement de douleurs dans les extrémités; i! est déprimé, parle à voix
le, musculaire et thermique, a complètement perdu la sensibilité à la douleur . Or, cet homme est machiniste au chemin de fer;
des jours de malheur. Mais le nègre fait exception à cette règle. Ses douleurs s'inscrivent en traits ineffaçables ; ses joies s
le besoin de l'imiter. Elle sentit alors au niveau des mollets des douleurs comme fulgurantes qui la forçaient à s'asseoir qu
minutes chaque fois qu'elles apparaissaient. Pendant (rois jours ces douleurs ne la quittèrent que rarement. Ce-/page> pag
ue et les sensations internes. — L'hypnotisme et la psychologie de la douleur . — Les mouvements inconscients cl l'écriture auto
point de vue du mouvement, une inhibition créée et entretenue par la douleur psychique : je le décide à marcher, et pendant qu
e, je lui fais de la suggestion active et j'arrive ainsi à vaincre sa douleur . S'agit-il de guérir des crises hystériques? Je d
'il y a trois semaines environ à devenir souffrant et à ressentir des douleurs vagues, quant le 11 février, vers 10 heures du so
e vicaire lui a mis la médaille de Saint-Hubert; qu'immédiatement les douleurs dans la jambe mordue ont cessé, et qu'il sent bie
tituer aux liens une camisole de force, immobilisant les membres sans douleur , comme on le fait pour les délirants ; il y conse
ade affirma devant le greffier que le patient avait déjà ressenti des douleurs dans la jambe mordue, quelques jours après l'acci
e et délire de persécution, par Raymond, p. 374. Accouchements sans douleur , par Bourdon (de Méru), p. 176. Agoraphobie tra
/ 185