/ 181
1 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857. Déviations de la colonne vertébrale. Atlas de XX planches
deuxième, troisième et huitième espaces intervertébraux de la région dorsale , où il y a fusion, au moins partielle, des corps
. Le petit excès de hauteur de leur partie antérieure, dans la région dorsale , est au contraire plus marqué qu'à l'ordinaire. L
une cyphose des vertèbres inférieures et en une scoliose des régions dorsale et lombaire. Les lombes formaient une gibbosité m
érieure est à gauche. Cette courbure s'étend de la quatrième vertèbre dorsale à la neuvième. Les cinq premières dorsales décriv
nd de la quatrième vertèbre dorsale à la neuvième. Les cinq premières dorsales décrivent une courbe inverse à peine marquée, rud
tte petite incurvation. Les sixième, septième, huitième et neuvième dorsales sont affaissées à droite, surtout les septième et
tout les septième et huitième, qui répondent au milieu de la courbure dorsale . De la dixième dorsale à la troisième lombaire,
ième, qui répondent au milieu de la courbure dorsale. De la dixième dorsale à la troisième lombaire, se voient à la fois une
é antérieure et une courbure latérale à convexité droite. La douzième dorsale et la première lombaire sont très amincies en ava
remière lombaire sont très amincies en avant et à gauche ; la onzième dorsale participe un peu à cette déformation. Les ligam
et non d'un fœtus, comme l'a cru Delpech (1) ; seulement la courbure dorsale a sa convexité à droite. La colonne vertébrale
rale d'un autre squelette rachitique du Muséum offre, comme la région dorsale de notre pièce, un amincissement latéral médiocre
it une courbure unique, à convexité droite, étendue à toute la région dorsale . Cette courbure s'était développée à la suite d'u
reconnaître que la plupart des ligaments intervertébraux de la région dorsale étaient moins élevés à la concavité de la courbur
uche ; cet affaissement, à peine marqué dans les cinquième et sixième dorsales , se prononce davantage dans les quatre vertèbres
ertébraux, un commencement d'inflexion en sens inverse de la courbure dorsale , qui aurait donné lieu plus tard à une courbure s
PLANCHE TROISIÈME. Fig. 1. — Scoliose au troisième degré ; courbure dorsale principale à convexité droite; thorax, bassin. Su
388 et 402. La courbure principale s'étend de la quatrième vertèbre dorsale à la onzième ; son milieu répond à l'intervalle d
deux vertèbres sont soudées dans ce même sens. Les trois premières dorsales décrivent une courbe légère, à convexité gauche,
mais elle n'a pas été entièrement entraînée à droite par la courbure dorsale , et elle déborde un peu la ligne médiane du côté
est oblique dans le même sens que la moitié supérieure de la colonne dorsale . La figure fait bien voir la situation du rachis
. 2. — Scoliose au troisième degré; deux courbures presque égales, la dorsale à convexité droite; thorax, bassin. Femme adulte.
iode avancée. Le rachis, après s'être dévié à droite, de la troisième dorsale à la douzième, se porte, aux lombes, à gauche de
médiane presque autant qu'il s'en était écarté à droite. La courbure dorsale reste toutefois prédominante. Les trois premières
La courbure dorsale reste toutefois prédominante. Les trois premières dorsales forment une petite courbure en retour, comme dans
e courbure latérale de l'épine est encore plus prononcée. La courbure dorsale est surtout considérable et réellement dominante.
rsale est surtout considérable et réellement dominante. Les premières dorsales décrivent une troisième petite courbure, à convex
petite courbure, à convexité gauche. La courbure principale, ou la dorsale droite, a 6 centimètres de flèche en avant et 31
illimètres en arrière. La courbure lombaire, qui comprend la douzième dorsale , a 5 centimètres en avant et 14 millimètres en ar
nt et 14 millimètres en arrière. Les septième, huitième et neuvième dorsales sont soudées du côté concave de la courbure, dont
ses épineuses. Fig. 5 et 6. — Scoliose au troisième degré; courbure dorsale gauche principale; sujet adulte. — Pièce de ma co
ligne médiane. Les quatre premières lombaires, les quatre premières dorsales , décrivent des courbures accessoires ou en retour
retour, qui ne sont que les extrémités repliées de la grande courbure dorsale . Celle-ci forme plus d'une demi-circonférence ;
corps des vertèbres médiales, septième, huitième, neuvième et dixième dorsales , très déformés et fortement contournés, se voient
e, et s'articule par son bord supérieur avec le corps de la cinquième dorsale . 3 I—i Fig. 7. — Courbure latérale triple o
en sujet adulte. — Pièce de ma collection. — Page 384. La courbure dorsale , à convexité droite, quoique plus prononcée que l
iation sigmoïde en S verticale, avec cette différence que la courbure dorsale supérieure a pris plus d'extension qu'à l'ordinai
zêta. Ce développement de la troisième courbure a fait descendre la dorsale principale, qui ne commence qu'à la sixième ou se
sale principale, qui ne commence qu'à la sixième ou septième vertèbre dorsale , s'étend jusque vers la première lombaire et a so
rs la première lombaire et a son milieu entre les neuvième et dixième dorsales . La courbure dorsale principale a 3 centimètres
et a son milieu entre les neuvième et dixième dorsales. La courbure dorsale principale a 3 centimètres de flèche en avant et
imètres de flèche en avant et 15 millimètres en arrière ; la courbure dorsale supérieure, 2 centimètres en avant, 1 en arrière.
hôpitaux. —Pages 388, 404. Les vertèbres lombaires et les dernières dorsales forment une grande courbure dont les extrémités s
tte déviation se comporte donc exactement comme les grandes courbures dorsales dominantes : c'est un vilebrequin lombaire. On se
on, décrit une demi-circonférence constituée par la douzième vertèbre dorsale , les première, deuxième et troisième lombaires. L
t de 20 millimètres en arrière ; mais, de même que dans les courbures dorsales principales, le milieu de la courbure est deux ou
e droite à gauche, comprend six vertèbres, de la sixième à la onzième dorsales . Sa flèche est de 14 millimètres en avant et de 7
u de la courbure principale. Le thorax est oblique comme la colonne dorsale ; le sternum bombé en avant ; le demi-thorax gauc
es dernières côtes gauches. PLANCHE QUATRIÈME. Fig. 1. — Courbure dorsale droite principale; squelette de vieillard. — Coll
ourbure supérieure est assez longue; elle comprend les cinq premières dorsales , et la - : deuxième courbure, quoique prédominant
- : deuxième courbure, quoique prédominante, est rejetée à la région dorsale inférieure. Les deux courbures accessoires sont e
ertèbres affaissées dans le sens de la concavité. Fig. 2. —Courbure dorsale droite principale ; femme adulte; bassin bien con
ielle d'une ou" de plusieurs vertèbres ; il n'en est rien. La sixième dorsale , réduite à un mince biseau en avant et à gauche,
achis à convexité postéro-droite, comprenant presque toute la colonne dorsale . Les deux côtés de cette courbe sont si rapproché
te qu'un intervalle de 27 millimètres entre la première et la dixième dorsale . Une petite courbure en retour ramène incomplèt
e ; elle décrit deux courbes alternatives de la première à la dixième dorsale . Au-dessous de la dixième, le rachis présente une
arrière. L'affaissement à droite est très prononcé dans la quatrième dorsale ; on l'observe aussi dans les troisième et cinquiè
e 5 millimètres en arrière. Le corps des septième, huitième, neuvième dorsales est affaissé à gauche. Une double gibbosité cos
ôté vers lequel s'incline la totalité du rachis. Fig. 6. ,—Courbure dorsale droite principale, 3e degré; femme adulte; membre
conformés. —Collection des hôpitaux. — Pages 388, 402. La courbure dorsale se distingue par sa situation élevée des courbure
analogues que nous avons vues jusqu'ici ; elle s'étend de la deuxième dorsale à la huitième, et son milieu répond à la cinquièm
27 millimètres en arrière. Les dernières cervicales et la première dorsale décrivent une petite courbe en retour, qui laisse
qui laisse le cou un peu incliné à gauche. A partir de la neuvième dorsale , le rachis décrit une troisième courbure, longue
naison de la région lombaire. PLANCHE CINQUIEME. Fig 1 — Courbure dorsale droite principale, 3e degré; femme adulte. — Coll
n vilebrequin parfait, comme les déviations suivantes, cette courbure dorsale a complètement entraîné à droite les vertèbres de
tion principale comprend sept vertèbres, de la cinquième à la onzième dorsale . Sa flèche est de II centimètres en avant, et de
auche, en sens contraire de la courbure lombaire. Fig. 2. —Courbure dorsale droite principale, plus avancée que la précédente
— Collection des hôpitaux. — Page 388, 402. Étendue de la quatrième dorsale à la douzième, la courbure principale, à convexit
e supérieure, formée par la septième cervicale et les trois premières dorsales , a, en avant et en arrière, 6 millimètres de flèc
fois, que les vertèbres lombaires. Fig. 3 et 4- — Types de courbure dorsale droite en vilebrequin, pris sur deux squelettes d
une sur l'autre. Toutes deux comprennent presque toutes les vertèbres dorsales et la première lombaire; leur milieu correspond à
orsales et la première lombaire; leur milieu correspond à la neuvième dorsale . Elles reviennent à la ligne médiane par des incu
férentes portions ou loges dont elle se compose. Fig. 5. — Courrure dorsale droite principale ; femme adulte. — Collection de
comme on le voit, du côté où le rachis a été entraîné par la courbure dorsale . Fig. 6 —Courbure dorsale droite principale; fe
le rachis a été entraîné par la courbure dorsale. Fig. 6 —Courbure dorsale droite principale; femme adulte; bassin et membre
donnent lieu à deux gibbosités également considérables. La courbure dorsale , à convexité droite, cachée ici par les viscères
es viscères thoraciques, est comprise entre les troisième et neuvième dorsales . La courbure lombaire, ou plutôt lombo-dorsale, s
La courbure lombaire, ou plutôt lombo-dorsale, s'étend de la neuvième dorsale à la cinquième lombaire ; mais cette dernière ver
ns ce point. Ces vertèbres sont la deuxième lombaire et une treizième dorsale , le sujet ayant vingt-cinq vertèbres et treize pa
upérieure est constituée par les huitième, neuvième, dixième, onzième dorsales , l'inférieure par les quatrième et cinquième lomb
me petite courbure, à convexité gauche, décrite parles sept vertèbres dorsales les plus élevées. Les deux côtés de la courbure
'on ne trouve encore que 4 centimètres d'écartement entre la neuvième dorsale et la quatrième lombaire, Bouvier. 3 qui en for
do cinquante-neuf ans ; rachitisme ; scoliose au 3« degré ; courbure dorsale droite principale. — Ma collection. — Pages 290,
rturition. La courbure principale du rachis s'étend de la cinquième dorsale à la onzième ; mais les troisième et quatrième do
e la cinquième dorsale à la onzième ; mais les troisième et quatrième dorsales , la douzième et les deux premières lombaires, qui
ne, dont le milieu, répondant à l'intervalle des huitième et neuvième dorsales , se trouve ainsi à 9 centimètres de la ligne médi
nsi à 9 centimètres de la ligne médiane. Aussi le corps des vertèbres dorsales moyennes est-il en contact avec (à face interne d
elette de femme rachitique, très âgée; scoliose au 3e degré; courbure dorsale droite principale. —Collection des hôpitaux. — Pa
ieu d'être oblique à droite comme dans la scoliose commune à courbure dorsale principale. Sa llèche est de 20 millimètres en av
courbure accessoire supérieure, étendue de la première à la quatrième dorsale , a aussi 20 millimètres de flèche en avant, et qu
La courbure principale, comprise entre la cinquième et la douzième dorsale , est pareille à plusieurs des précédentes ; sa fl
centimètres de cette ligne dans son milieu, qui répond k la huitième dorsale . Le bassin est déformé, moins développé à gauch
té droite, s'étendait de la sixième vertèbre cervicale à la troisième dorsale ; la deuxième, à convexité gauche, de la quatrième
a troisième dorsale; la deuxième, à convexité gauche, de la quatrième dorsale à la dixième ; la troisième, convexe à droite, de
dorsale à la dixième ; la troisième, convexe à droite, de la onzième dorsale à la cinquième lombaire. La deuxième était la plu
à la convexité de la première courbure. Fig. 2. — Première vertèbre dorsale , vue également par la partie postérieure. Même di
ophyse épineuse se recourbe légèrement à droite. Fig. 3. — Deuxième dorsale , vue de la même manière et offrant la même dispro
épineuse se dirige plus sensiblement à droite. Fig. li. — Troisième dorsale . La lame et les apophyses articulaires ont plus d
alement la direction des apophyses épineuses des première et deuxième dorsales . Fig. 5, a et h. — Quatrième dorsale, vue par s
uses des première et deuxième dorsales. Fig. 5, a et h. — Quatrième dorsale , vue par ses faces supérieure et inférieure. La m
les vertèbres précédentes, à cause de la situation de cette quatrième dorsale , intermédiaire aux deux courbures. Fig. 6, a et
sale, intermédiaire aux deux courbures. Fig. 6, a et b. — Cinquième dorsale , vue par ses faces supérieure et inférieure. Rédu
la première courbure, à convexité droite. Fig. 7, a et b. — Sixième dorsale , vue par ses faces supérieure et inférieure. L'ar
rouve sur le côté, à droite de la ligne médiane. Fig. 8. — Septième dorsale , vue par sa face supérieure. Même réduction de l'
à un bord tranchant ; sa circonférence déformée comme dans la sixième dorsale . Le trou est allongé transversalement à cause de
ait le milieu de la courbure principale. Fig. 9, a et b. — Huitième dorsale , vue par ses faces supérieure et antérieure. Le c
voit déjà dans les sixième et septième. Fig. 10, a et 6. — Neuvième dorsale , vue par ses faces supérieure et inférieure. Vois
ce inférieure. Le trou est plus arrondi PL VU] Fig. 11. — Dixième dorsale , vue par la face supérieure. Le corps a la môme h
me sens que celles qui constituent la troisième. Fig. 12. — Onzième dorsale , vue par la face supérieure. Léger affaissement d
ire. Apophyse épineuse déviée à gauche. Fig. 13, a et b. — Douzième dorsale , vue par les faces supérieure et postérieure. Cor
he. Arc apophysaire un peu moins réduit à gauche que dans la douzième dorsale ; les apophyses articulaires diffèrent même très
PT ANS, ATTEINTE DE SCOLIOSE ALI 3e DEGRE, EN VILEBREQUIN, A COURBURE DORSALE DROITE PRINCIPALE ENORME. Ma collection. Page
u dans un point ou elle appuyait sur le corps de la septième vertèbre dorsale , très déformé lui-même et surmonté à son bord inf
era dans la planche XVI. Fig. 2. — Scoliose au 3e degré, a courbure dorsale droite principale, chez une femme de soixante-qui
dans l'espèce de gouttière formée par le rapprochement des vertèbres dorsales et des côtes droites. Le tissu pulmonaire, dans c
sain d'ailleurs. L'aorte pectorale suit la concavité de la courbure dorsale et présente inférieurement un pli assez profond.
PLANCHE ONZIÈME • Fig. 1 et 2. — Scoliose au 3e degré, a courbure dorsale droite principale; sujet du sexe féminin, âgé de
ère à représenter la corde de la partie la plus arquée de la courbure dorsale . PLANCHE DOUZIÈME. Fig. 1 et 2. —Scoliose au
1 et 2. —Scoliose au 3° degré; deux courbures a peu près égales, une dorsale à droite, l'autre lombaire à gauche; sujet du sex
sens opposés comme le rachis. Veine azygos recourbée comme la colonne dorsale . Veine cave inférieure à peu près parallèle à l
e. PL. XII Pl.XIll. PLANCHE TREIZIEME* Fig. 1 cl 2. —Courbure dorsale droite principale; homme Age de trente et un ans,
vaisseaux. La base de cet organe répond à la concavité de la courbure dorsale ; sa pointe est très rapprochée des côtes gauches.
é et un peu plus étroit. Aorte accolée à la concavité delà courbure dorsale , puis placée au-devant des vertèbres lombaires.
rtèbres lombaires. Veine azygos également recourbée comme la région dorsale du rachis. Veine cave inférieure dirigée à peu
t peu, par conséquent, de la direction du rachis. Fig. 3. —Courbure dorsale droite principale, moins prononcée que la précéde
ormé, creusé de plusieurs scissures. Aorte concentrique à la courbure dorsale . OEsophage dirigé en ligne droite, de manière à
de manière à croiser l'aorte et à représenter la corde de la courbure dorsale . Fig. 4. — Courbure dorsale droite légère, cour
t à représenter la corde de la courbure dorsale. Fig. 4. — Courbure dorsale droite légère, courbure lombaire gauche encore mo
un peu plus étroit. Aorte légèrement incurvée le long delà courbure dorsale , plus bas flexueuse jusqu'à sa terminaison. Artèr
nne vertébrale. PLANCHE QUATORZIEME. SCOLIOSE A TROIS COURBURES ; DORSALE INFÉRIEURE DROITE PRINCIPALE ; HOMME DE QUARANTE-
de l'aorte et du rachis, dans la direction de la corde de la courbure dorsale principale. Fig. 2. — Coeur, vu par sa face ant
ure. Cette courbure est principalement formée par les six vertèbres dorsales les plus inférieures; mais les dorsales supérieur
formée par les six vertèbres dorsales les plus inférieures; mais les dorsales supérieures, quoique légèrement déviées en sens c
moins de 8 centimètres entre cette ligne et le milieu de la concavité dorsale , répondant à la neuvième vertèbre de cette région
prononcé dans le côté gauche des huitième, neuvième, dixième, onzième dorsales , et dans le côté droit de la première lombaire.
e déjà subi un léger déplacement de ce genre : le corps de la onzième dorsale déborde sensiblement à droite le corps de la douz
flexueuse ; mais sa principale courbure répond à celle des vertèbres dorsales , qui est très légère. L'œsophage se dirige un p
ge un peu obliquement en bas et à gauche, comme l'aorte et la colonne dorsale . » Fig. 2. — Courbure lombo-dorsale gauche pr
péritonite ; plusieurs organes des cavités splanchniques. Courbure dorsale droite plus marquée que celle de la figure 1, quo
beaucoup moins forte que la lombaire ou lombo-dorsale. Celte courbure dorsale se voyait à peine en arrière et n'y produisait pa
t sur le haut des fosses iliaques. Aorte concentrique à la courbure dorsale et à la partie supérieure de la courbure lombaire
orme un angle aigu. OEsophage en ligne droite, écarté des vertèbres dorsales vis-à-vis la partie moyenne de leur courbure. F
es vis-à-vis la partie moyenne de leur courbure. Fig. 3. — Courbure dorsale droite principale, chez une femme de soixante-six
à un tricorne. Aorte thoracique et azygos concentriques àlacourbure dorsale . Aorte abdominale également recourbée comme la co
e à peu près comme l'aorte. L'œsophage, très éloigné de la courbure dorsale , figure assez bien la corde de cette courbe. Fi
comme dans la figure 3. L'aorte, accolée dans le thorax à la courbure dorsale droite secondaire, croise ensuite la direction du
ure. OEsophage légèrement recourbé dans le même sens que la colonne dorsale , placé au-devant de l'aorte comme dans l'état nor
ertèbres lombaires suivant la règle ordinaire, a été retourné par les dorsales inférieures, de manière que son bord concave rega
de manière à décrire un arc à concavité droite le long de la courbure dorsale secondaire, dont la convexité est tournée à gauch
ême manière l'aorte pectorale, en s'éloignant d'elle et de la colonne dorsale pour gagner, presque en ligne droite, l'ouverture
u diaphragme qui lui est destinée. PLANCHE DIX-HUITIEME. COURBURE DORSALE GAUCHE PRINCIPALE, AU 3e DEGRÉ, CHEZ UNE FEMME ÂG
u côté gauche ou en sens contraire du plus grand nombre des courbures dorsales dominantes. La courbure est si considérable que s
arrive que la circulation ne soit pas plus troublée dans la courbure dorsale à convexité gauche que dans la courbure à convexi
près les bustes en plâtre pris avant et après le traitement; courbure dorsale droite principale. — Page 522. Agée de dix-sept
u tissu osseux. La figure 1 montre quel était l'aspect de la région dorsale en 1832. Il existait une courbure dorsale droite
était l'aspect de la région dorsale en 1832. Il existait une courbure dorsale droite principale au troisième degré, comprenant
droite principale au troisième degré, comprenant toutes les vertèbres dorsales . Le milieu de cette courbure était à 67 millimètr
bes et une dépression très marquée du côté droit. Une légère courbure dorsale à convexité droite déterminait un peu de saillie
ieure nu tronc de Mlle Y..., avant et après le, traitement ; courbure dorsale droite principale. — Page 523. Mademoiselle Y..
un peu amaigrie. Déviation, figure 1. Il s'agissait d'une courbure dorsale principale, à convexité droite, occupant spéciale
rsale principale, à convexité droite, occupant spécialement la région dorsale moyenne. Le point le plus dévié était à 26 millim
plus dévié était à 26 millimètres de la ligne médiane. Les vertèbres dorsales supérieures décrivaient une courbure en retour tr
droite à son extrémité supérieure pour se continuer avec la courbure dorsale . C'était une scoliose parvenue à sa troisième pér
a difformité était en grande partie effacée. Le milieu de la courbure dorsale n'était qu'à 12 millimètres de la ligne médiane.
térieure du tronc de MUe Z..., avant et après le traitement; courbure dorsale droite principale. — Page 52/t- Ce fait a tant
même que celle qui est représentée ligure 1. Le milieu de la courbure dorsale , situé un peu plus bas, était à 25 millimètres de
2 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
t d'une obliquité des apophyses épineuses moindres que dans la région dorsale et chez les adultes. A la fin de la maladie, la c
t alors pour soutenir la tête ; ils la relèvent, redressent la région dorsale . En voici plusieurs exemples fournis par ces pièc
s que vous avez sous les yeux, et dont l'affection occupe les régions dorsale ou lombaire, nous pourrons établir les variétés s
nfant se tient droit, vous ne voyez qu'une légère arqûre de la région dorsale ; mais en faisant courber le dos et en ramenant l
source est ordinairement la portion lombaire de l'épine ou la région dorsale inférieure. Je distingue trois degrés dans ces ab
égion postérieure du tronc. — Ils siègent dans les régions cervicale, dorsale ou lombaire. Ordinairement descendants, on les a
ie postérieure du tronc, où il forme les abcès cervicaux postérieurs, dorsaux et lombaires. Leur forme est peu régulière ; en g
caux antérieurs. — Ces abcès sont rares; ils proviennent de la région dorsale , remontent sur les côtés de la colonne vertébra
nre; dans l'un, le pus provenant des quatrième et cinquième vertèbres dorsales s'était fait jour, d'une part, dans l'aine et aux
té consulté pour un jeune homme qui avait un mal de Pott de la région dorsale . Après avoir été traité pendant plusieurs années,
oint de gibbosité. Le mal avait son siège vers le milieu de la région dorsale ; mais la douleur étant rapportée aux lombes, c'e
le ne s'est pas prescrites; elle nous offre des caries de vertèbres dorsales guéries par ses seuls bienfaits..... Serait-il
ymptômes d'un mal de Pott. On a d'abord fixé une latte dans la région dorsale pour la redresser; mais l'éclisse, devenant doulo
e les frictions avec le Uniment ammoniacal camphré le long de l'épine dorsale . L'hygiène vous offrira les plus grandes ressou
e. Deux autres malades de la même salle, affectées de mal vertébral dorsal et de paraplégie, sont traitées par le seigle erg
1813, avoir eu l'occasion d'observer beaucoup de maladies de l'épine dorsale , avec ou sans paralysie. « Le plus grand nombre d
s le but d'empêcher une incurvation antérieure trop grande de l'épine dorsale . La position horizontale est en effet une chose u
a lésion a détruit presque entièrement deux vertèbres, les 10e et 11e dorsales ; il en restait seulement les arcs et les apophyse
lle épi-nière. La maladie s'étend plus loin : les 9e et 12e vertèbres dorsales sont réduites de volume et converties en coins os
r des tubercules. Ce produit existait dans le corps de la 8e vertèbre dorsale à l'état d'infdtration caractérisée par la présen
e l'ensellure ; elle a un autre mode de station. Vous voyez sa région dorsale ; elle est à peine excavée ; le bassin proémine f
ole interne s'efface; l'externe devient plus saillante. Les ligaments dorsaux et externes du pied sont allongés, ceux de son bo
résulte une surface triangulaire empiétant plus ou moins sur la face dorsale ou plantaire, et d'une grande importance pour la
ns dessus dessous ; sa plante regarde directement en haut, et sa face dorsale repose sur le sol. C'est la réunion de l'adductio
moins grande du bord externe de la face plantaire et même de la face dorsale du pied. Il répond au cuboïde et à l'extrémité po
échis sur eux-mêmes; la première phalange s'est renversée sur la face dorsale du pied ; la seconde et la troisième sont repliée
et en bas. En même temps il éprouve une rotation qui incline la face dorsale du pied en dedans. Le cuboïde éprouve aussi une
nt la forme et la direction de l'avant-pied, le pied équin est encore dorsal ou plantaire, plat ou creux. a. Pieds équins en
s orteils. On peut l'appeler pied équin enroulé, ou encore pied équin dorsal , parce que c'est le dos du pied, vers son extrémi
par la même raison pied èquin en dessous. Celte forme de pied équin dorsal est rarement directe, mais elle est fréquemment c
ait sur le talon supplémentaire, qu'on voit du côté externe à la face dorsale . Le talon, déjà un peu tourné en dehors dans la p
de la saillie sous-métatarsienne, et une courbure uniforme de la face dorsale . De plus, le bord interne du pied est un peu rele
e du pied; il réunit alors les deux chefs en les croisant sur la face dorsale , et termine en les fixant au-dessus des malléoles
le pied sur la semelle avec une autre courroie appliquée sur la face dorsale . La pièce principale de l'appareil est d'ailleurs
voyez une double déviation latérale en S, ce qui produit une saillie dorsale droite et une autre lombaire gauche. Il est proba
éprimé latéralement ; le rachis paraît infléchi, il y a une déviation dorsale latérale droite, avec saillie des côtes du même c
deltoïde. Mais les muscles triceps-brachial, grand pectoral et grand dorsal , peuvent concourir plus directement à l'inflexion
s. L'avant-bras se fléchit généralement d'arrière en avant, du côté dorsal au côté palmaire. En voici un cas où la courbure
neuse; rien aux clavicules; rachis très-déformé, courbure à convexité dorsale gauche, produisant une gibbosité postéro-latérale
n dedans. Cet enfant n'a pas encore marché. On sait que la courbure dorsale latérale présente ordinairement sa convexité à dr
plus en plus manifeste. La courbure en sens contraire de la région dorsale augmente d'ailleurs manifestement la courbure lom
3), reproduite par M. Hirschfeld (U), de ne pas attribuer la courbure dorsale au poids des membres supérieurs, de certains visc
ux du 4 août 1849. même, agissant dans la station sur les vertèbres dorsales supérieures de manière à les attirer en avant. Le
urs également sur les parties antérieure et postérieure des vertèbres dorsales et des ligaments intervertébraux. L'action musc
r flexion à la courbure par conformation, devenue inhérente à l'épine dorsale . On peut en effet déduire des expériences de M. C
ne, parmi les antéro-postérieures, c'est l'exagération de la courbure dorsale physiologique. On peut la regarder comme le type
iège spécial de cette cyphose rachitique est à la réunion des régions dorsale et lombaire. Cela tient à plusieurs causes : 1° c
; U° les courbures physiologiques sont alors peu marquées; la région dorsale n'a pas la même tendance que chez l'adulte à s'in
yphose juvénile. — Elle n'est que l'exagération de la légère voussure dorsale qui s'établit dans la période d'accroissement du
litaires , par exemple, qui se sont longtemps exercés à tenir l'épine dorsale dans la rectitude, restent droits fort longtemps
re plus considérable , et forme presque un angle droit dans la région dorsale supérieure. Voici un exemple d'une déformation
ortait tout à l'heure sur les cervicales inférieures et les premières dorsales ; ici, au contraire, elle affecte les dernières do
les premières dorsales; ici, au contraire, elle affecte les dernières dorsales . Voici un dernier exemple fort curieux : les co
eux : les courbures normales sont simplement exagérées, et la cyphose dorsale est compensée par une lordose lombaire; de plus,
car, de même que la cyphose est beaucoup plus fréquente aux vertèbres dorsales , disposées à cette forme de courbure par leur dir
lquefois pour une tumeur d'une .autre nature. Les dernières vertèbres dorsales peuvent faire partie de la courbure, qui est en g
ctent un excès de concavité supérieure de la région lombaire, et même dorsale , du rachis, que l'on attribue au poids extérieur
ns la lordose lombaire, à moins qu'elle ne soit compliquée de cyphose dorsale . On a parlé de troubles des fonctions digestive
aussi efficaces; ils peuvent même nuire, en déterminant une courbure dorsale dirigée en sens contraire de la courbure des lomb
émités de l'arc , du côté de sa concavié , c'est-à-dire sur la région dorsale et les épaules d'une part, et sur la partie posté
e peut entraîner avec l'âge , surtout chez les femmes. III. Lordose dorsale . — Il n'est pas démontré que la région dorsale so
femmes. III. Lordose dorsale. — Il n'est pas démontré que la région dorsale soit jamais atteinte primitivement de lordose spo
hin. Je ne comprends pas qu'on ait cité comme un exemple de lordose dorsale (2) la description, communiquée à Renard parSiebo
t à ceci : « La colonne vertébrale est courbée à la première vertèbre dorsale très-considérablement en arrière (3). » Delpech
ablement en arrière (3). » Delpech a publié comme un cas de lordose dorsale l'observation d'un jeune homme de seize ans, d'un
point du rachis une déformation qui aurait précédé celle de la région dorsale , et qui en serait la cause déterminante. D'aprè
connaissance , je ne puis, vous le voyez , vous parler de la lordose dorsale essentielle ; .je ne vous entretiendrai que de la
ose dorsale essentielle ; .je ne vous entretiendrai que de la lordose dorsale symptomatique. IV. Lordose symptomatique. — Je
ue est ordinairement l'effet du mal vertébral des premières vertèbres dorsales . Hippocrate disait déjà que « les individus att
ent dans son Commentaire, qu'en raison de l'inclinaison des vertèbres dorsales dans ce cas, les malades auraient la tête penchée
le se produit dans le mal vertébral avec cyphose du haut de la région dorsale . Le renversement de la tête est alors d'autant
brusquement la direction du rachis, fortement incliné dans la région dorsale . Il faut souvent quelque attention pour ne pas
s, avec celle qui dépend de l'affection sous-occipitale. La lordose dorsale se voit presque uniquement dans les cas de cette
t. XVIII, part. 1, p. 503. lomba:re, ou bien un point de la colonne dorsale elle-même. Vous en voyez ici plusieurs exemples
dit, la véritable cause de. la courbure dans ce cas. Cette lordose dorsale sjmptomatique présente des caractères assez sembl
ymptomatique de la région lombaire se produit dans la cyphose sacrée, dorsale ou même cervicale. Dans ce dernier cas et dans le
. Dans ce dernier cas et dans le premier, elle existe avec la lordose dorsale et lui fait suite. Elle se produit encore toute
tre enfin, le mal vertébral occupe un siège très-élevé, les premières dorsales . Il y a également deux lordoses de compensation,
outre une disposition remarquable du thorax qui est liée à la cyphose dorsale . Ce sont deux gouttières assez profondes situées
ut disparaît; lorsqu'elle se courbe en avant, il se forme une cyphose dorsale physiologique, ce qui prouve que le rachis n'est
mistes, confirmée par les recherches de M. "VYeber (2), les dernières dorsales et les premières lombaires sont plus mobiles que
n intermédiaire, presque droite, qui répond à une partie de la région dorsale . La forme du tronc tient à la fois, dans ce cas
nt cette double flexion. C'est l'épaule correspondante à la concavité dorsale qui devient la plus basse ; son abaissement est m
ales. La hanche la plus saillante est celle qui répond à la concavité dorsale , par conséquent à la convexité lombaire. C'est le
ngée d'une épaule, suivie de flexion latérale habituelle de la région dorsale ; le port de fardeaux d'un même bras, produisant l
Commune au cou , mais accompagnée de rotation; très-rare aux régions dorsale et lombaire. 2° Flexion latérale par paralysie.
e due à une synovite cervicale , probablement rhumatismale. La région dorsale s'infléchit à gauche avec le bas de la région cer
elle-même , indépendamment de toute circonstance étrangère à l'épine dorsale ; elle peut offrir des variations, s'effacer parti
la fin de la crosse de l'aorte, à la hauteur de la cinquième vertèbre dorsale , l'épine décrivait souvent une courbure à concavi
'indique Sabatier, l'intervalle des troisième et huitième ou neuvième dorsales ; mais, lorsqu'il y a courbure, celle-ci est presq
e lieu indiqué; la seconde est ordinairement formée par les dernières dorsales seules ou conjointement avec les premières lombai
ntement avec les premières lombaires, plus rarement par les premières dorsales et les dernières cervicales. Qu'il y ait simple
acune d'elles. Les plus courtes, qui se voient surtout dans la région dorsale supérieure, ne comprennent que trois ou quatre ve
ression, simple à son début, n'occupe qu'un petit nombre de vertèbres dorsales supérieures; elle s'étend en longueur en devenant
rez en jetant les yeux sur tous ces rachis. C'est surtout à la région dorsale que l'on observe le plus d'irrégularités, portant
rs un déplacement sensible : à l'état tout à fait normal, et dans les dorsales moyennes, cette partie médiane est le point le pl
n latérale du corps vertébral commence vers la quatrième ou cinquième dorsale , et se prononce de plus en plus jusqu'à la neuviè
a déviation des apophyses épineuses se montre déjà dans les premières dorsales , quelquefois dès le bas de la région cervicale ,
de la région cervicale , et on la retrouve jusque dans les dernières dorsales ou même dans les premières lombaires; mais elle s
dans quelques vertèbres. En général, c'est la sixième ou la septième dorsale qui les réunit en plus grand nombre et de la mani
ns, bien qu'il n'en accuse que quatorze, présente une légère voussure dorsale à droite et une saillie lombaire à gauche ; le fl
e flanc droit est un peu plus échancré. Les trois ou quatre apophyses dorsales supérieures sont alternativement déjetées à droit
de courbe sensible. IIe cas. — Garçon de onze ans. Légère voussure dorsale droite, qu'on n'aperçoit que lorsque le dos s'arr
ophyses épineuses. IIIe cas. — Garçon de seize ans. Légère voussure dorsale droite ; saillie lombaire gauche très-légère, pre
apophyses normale. IVe cas. — Garçon de onze ans et demi. Voussure dorsale droite ; flanc droit un peu plus échancré ; dévia
égère des apophyses. Ve cas. — Garçon de quinze ans. Légère cyphose dorsale ; épaules ailées; voussure dorsale inférieure gauc
arçon de quinze ans. Légère cyphose dorsale; épaules ailées; voussure dorsale inférieure gauche. Les apophyses dorsales inférie
le; épaules ailées; voussure dorsale inférieure gauche. Les apophyses dorsales inférieures sont un peu déviées à gauche. VIe c
incline la tête à droite; il en est résulté une très-légère voussure dorsale gauche, qui paraît plutôt due à une flexion latér
ar déformation. VIIe cas. — Garçon, douze ans. Très-légère voussure dorsale inférieure gauche ; flanc droit un peu déprimé ;
inférieure. VIIIe cas. — Garçon, neuf ans et demi. Légère voussure dorsale gauche, soulèvement du trapèze gauche, dus l'un e
veloppée plus que les autres. IXe cas. — Garçon, neuf ans. Voussure dorsale droite soulevant l'omoplate. Pas de déviation app
pophyses épineuses. XIe cas. — Fille, treize ans. Voussure latérale dorsale droite soulevant l'épaule, très-légère déviation
lmie déterminant la flexion de la tête à droite. Très-légère voussure dorsale du même côté. XIVe cas. — Fille, huit ans. Légè
dorsale du même côté. XIVe cas. — Fille, huit ans. Légère voussure dorsale droite, soulevant l'épaule ; série des apophyses
XVe cas. — Fille, onze ans. Légère déviation à gauche des apophyses dorsales inférieures. XVIe cas. — Fille, dix ans. Voussu
s dorsales inférieures. XVIe cas. — Fille, dix ans. Voussure légère dorsale gauche, soulevant l'épaule ; pas de déviation des
générai. — Le siège le plus fréquent de ces courbures est à la région dorsale supérieure ou moyenne ; leur concavité est tourné
ns-en les enfants au-dessous de sept ans, chez lesquels les scolioses dorsales gauches sont (1) Dict. de méd. et de chir. prat
sur cette pièce provenant d'un enfant rachilique, et dont la courbure dorsale est à gauche (6). Les courbures rachitiques ou
latérale. Ainsi cette pièce que je vous présente offre une courbure dorsale aortique exagérée, presque unique; le bas du rach
un peu incliné à gauche. Vous voyez, sur cette pièce, une courbure dorsale droite presque unique: si on la regarde en arrièr
re, on n'aperçoit qu'une courbure. Voici un bel exemple de courbure dorsale simple, ayant succédé à un empyèrae suivi de fist
ité remarquable (2). Ces deux pièces présentent aussi des courbures dorsales droites uniques ou presque uniques. Sur ces deu
ste, sur celle-ci, une forte courbure lombaire gauche et une courbure dorsale inférieure droite secondaire, beaucoup moindre. C
cou est également porté à droite ; la courbure est une semi-sigmoïde dorsale droite; la compensation est insuffisante. Voici
me dans les cas les plus communs. L'une des courbes, ordinairement la dorsale , augmente plus que l'autre et cela dans une propo
lte de là des changements importants dans l'aspect du rachis. L'arc dorsal , en augmentant de courbure, descend et empiète su
mbaire. Son milieu, au lieu de correspondre à la cinquième ou sixième dorsale , se trouve vers la septième, la huitième ou même
ne médiane; elle s'incline à droite ou du côté convexe de la courbure dorsale , et, au lieu de se porter successivement à droite
e quatre ou cinq centimètres entre ces deux droites. Celte courbure dorsale , devenue prédominante à divers degrés, est ce qui
métriques. Cependant il n'en est pas toujours ainsi : les courbures dorsales dominâmes du côté gauche sont quelquefois produit
e gauche, de la forme sigmoïde peut devenir la courbure dominante, la dorsale restant peu développée. La gibbosité est alors lo
int pas dans ce cas un degré aussi considérable que dans la déviation dorsale ; l'espace manque pour que son sommet s'éloigne au
ndraient à angle aigu ; l'équilibre n'est pas rétabli par la courbure dorsale , et il en résulte une énorme inclinaison du tronc
mitive rudimentaire, puis sigmoïde, était retournée, que la convexité dorsale était à gauche; 2° parce que la cause de la dévia
et passe à gauche, comme vous avez vu la cyphose normale de la région dorsale se changer en lordose par la seule action des mus
lequel l'équilibre n'est pas mieux rétabli par la courbure accessoire dorsale gauche, que sur plusieurs pièces que vous avez vu
bure qui accompagne presque toujours la sigmoïde, la petite déviation dorsale supérieure ou cervico-dorsale sus-aortique, qu'on
onne antérieure. — La dépression normale du côté gauche des vertèbres dorsales se prononce davantage dans leur scoliose patholog
s. Les vertèbres les plus déformées sont ordinairement les 7e et 8e dorsales ; l'affaissement des corps et de leurs ligaments v
tombés les anciens. La concavité antérieure naturelle de la région dorsale favorise cette inclinaison en avant du rachis tor
e inclinaison en avant du rachis tordu sur lui-même, dans la scoliose dorsale . Les courbures lombaires, lorsqu'elles ne sont pa
xemples de courbure lombaire principale. Si les courbures lombaire et dorsale sont toutes les deux excessives, chose rare, la c
région postérieure se voient : Io la série des apophyses transverses dorsales , celle des apophyses accessoires lombaires occupa
présente, il se produit deux gibbosités égales ou presque égales, une dorsale ordinairement à droite, une lombaire ou dorso-lom
e. Un grand nombre sont des gibbosités latérales droites de la région dorsale . En voici une d'une espèce assez rare, en ce que
ure du mal vertébral (1). Ces trois autres pièces sont des gibbosités dorsales gauches, répétant à gauche les formes qu'on voit
ui n'est pas rare, sans être cependant aussi commune que la gibbosité dorsale droite : c'est la gibbosité lombaire existant seu
c'est la gibbosité lombaire existant seule ou accompagnée d'une bosse dorsale encore rudimentaire (3). Cinq de ces gibbosités l
convexité antérieure de ces côtes augmente à gauche dans la courbure dorsale droite ; le thorax se déprime au contraire à droi
ée dans sa forme et dans ses dimensions. Supposons une forte courbure dorsale droite principale. La partie moyenne de la colonn
e courbure dorsale droite principale. La partie moyenne de la colonne dorsale , en se rapprochant des côtes droites, rétrécit le
rapide sur ces pièces vous en donnera une idée. Pour les courbures dorsales gauches, il n'y a qu'à appliquer à la moitié gauc
cas à la région précordiale, dilatée au contraire dans les courbures dorsales droites. (1) Voy. pl. 3, fio. 5. Les courbure
tout à fait semblable à celle qui existe plus haut dans les courbures dorsales (1). Si la scoliose est oblique ou sans équilib
nellement, le rétrécissement du bassin paraît dépendre de la courbure dorsale et siège du même côté. C'est ce que vous voyez su
sur ces autres pièces (1) ; remarquez que, dans ces cas, la courbure dorsale est prédominante. Somme toute, les déformations d
ndes inclinaisons latérales des lombes qui accompagnent les courbures dorsales dominantes ; une des crêtes iliaques s'enfonce au
traction musculaire qui concourt à l'inflexion latérale des vertèbres dorsales ou lombaires, si elle ne la produit pas à elle se
le du rachis. Les plus longs, parmi ces muscles, une partie du long dorsal , du sacro-lombaire, passant presque toujours au m
e. On voit même, dans les courbures extrêmes, le bord interne du long dorsal , du côté de la convexité, attiré du côté de la co
trinsèques eux-mêmes, les muscles larges et superficiels de la région dorsale , participent à la longue à ce défaut de nutrition
ent à la longue à ce défaut de nutrition d'un côté du tronc. Le grand dorsal se montre plus spécialement affecté. Vous vous
dinaire (2). Il n'en est pas de même en arrière. Dans les courbures dorsales droites, le poumon droit est refoulé par les vert
le droit, s'étend surtout entravers sous la concavité de la courbure dorsale , derrière le médiastin, et en partie derrière le
mon gauche qui est le plus déprimé, le plus réduit dans les courbures dorsales gauches; il est même moins à l'aise que le poumon
us grande à droite. Elle est produite non-seulement par les courbures dorsales , mais encore par les lombaires, qui diminuent la
fréquent chez les sujets gibbeux que chez les autres. Les courbures dorsales gauches sembleraient devoir produire une compress
Académie de médecine (1). Il faut savoir toutefois que les déviations dorsales gauches peuvent, dans certains cas, réduire beauc
e. Dans les cas les plus ordinaires, où la concavité de la courbure dorsale est à gauche, l'aorte thoracique reste accolée à
z que l'aorte ne paraît pas toujours située à la gauche des vertèbres dorsales . Elle est quelquefois transportée plus ou moins a
gauche; l'aorte suit ce côté dans sa rotation. Au bas de la colonne dorsale , l'aorte change de direction avec le rachis, en l
te abdominale affecter seule cette marche flexueuse. Si la courbure dorsale est à gauche, — nous en avons trois exemples parm
diffère suivant le degré de la déviation. 1° Dans ce cas de courbure dorsale gauche secondaire, qui accompagne une forte courb
rte et l'azygos ont leur situation ordinaire par rapport à la colonne dorsale , et décrivent comme elle un arc peu prononcé à co
'il s'agit, comme dans les deux autres exemples, d'une forte courbure dorsale gauche, les rapports de l'aorte avec le ra- (1)
rganes digestifs. — La courbure lombaire oblique des fortes scolioses dorsales , la courbure lombaire verticale dominante, ou éga
les, la courbure lombaire verticale dominante, ou égale à la courbure dorsale , ont pour effet commun de diminuer la hauteur de
Le resserrement irrégulier de la base du thorax, dans les déviations dorsales , réduit, en outre, la circonférence des régions a
res déviées à gauche (2). Sur l'une de ces pièces, une forte courbure dorsale gauche réduisait l'hypochondre gauche. Les quatre
ttière, qui résultait du rapprochement des vertèbres lombaires ou des dorsales inférieures et des dernières côtes gauches. Dans
s sont très-peu affectées; la courbure est presque bornée à la région dorsale . Les reins restent en général parallèles à la c
ne rattacherai pas, comme on l'a fait (2), la fréquence des courbures dorsales à convexité droite à la prédominance assez généra
(3) et de M. Moilin (h). La fréquence, au moins égale, des courbures dorsales gauches dans l'enfance détruit celte explication.
s est peu énergique, elle est vaincue dans cette lutte; les vertèbres dorsales comprimées croissent inégalement; la courbure est
s le petit nombre de cas où la scoliose spontanée offre une convexité dorsale gauche, lorsque la courbure aortique est bien rée
a partie inférieure du sacro-spinal gauche, et souvent d'une voussure dorsale gauche à la hauteur des dernières côtes. On voit
uelquefois saillante à droite, du côlé de la convexité de la courbure dorsale , par l'influence de la courbure inférieure, à con
. — Elle commence, dans la scoliose commune, au moment où la courbure dorsale , devenant prédominante, entraîne le tronc à droit
aspect : l'inégalité des deux côtés du tronc s'accroît dans la région dorsale et diminue aux lombes; la région lombaire, en s'i
bassin , et l'équilibre n'est rétabli que par le retour de la région dorsale supérieure vers le côté gauche, par l'inclinaison
ns la cyphose. Je n'ai parlé que de la scoliose commune, à courbure dorsale principale procédant d'une courbure sigmoide. Une
re dorsale principale procédant d'une courbure sigmoide. Une courbure dorsale , primitivement simple, à laquelle s'ajouteraient
rbure lombaire ou lombo-dorsale principale, les scolioses à courbures dorsale et lombaire égales, la courbure cervico-dorsale p
ve de rachitisme. Il y a deux courbures disposées en S verticale, une dorsale droite et une lombaire gauche ; cette dernière es
inq ans et demi. Scoliose au deuxième degré, en S verticale. Courbure dorsale à gauche; petite dépression du flanc gauche. II
zêta. VIe cas. — Garçon de huit ans. Scoliose rachitique, courbure dorsale trèsqjeu étendue. A la hauteur du sein, vous rema
torze ans, au début de la troisième période, présentant une gibbosité dorsale commençante. La courbure dominante est au dos et
ourbures de compensation. A gauche, la flèche qui mesure la déviation dorsale est de vingt-sept millimètres environ. Le tronc p
gauche. La hanche gauche offre la saillie qui répond à la courbure dorsale droite principale. La crête iliaque droite est ef
rsistante du fémur. Scoliose du troisième degré commençante. Courbure dorsale droite principale. XIe cas. — Fille de seize an
l'enfance, mais je ne trouve aucune trace de rétraction. La courbure, dorsale gauche, a commencé à deux ans. XIIe cas. — Fill
ité exagérée des fémurs. XIVe cas. — Garçon de quinze ans. Courbure dorsale gauche. Pas de rachitisme pour expliquer la direc
ans, rachitique. La déviation remonte à l'âge de quatre ans. Courbure dorsale droite dominante, avec courbure lombaire prononcé
u de hauteur de l'abdomen. XVIe cas. — Garçon de sept ans. Courbure dorsale gauche analogue à plusieurs des précédentes. La d
ommencé avec cette affection dès le bas âge. Ces enfants à courbure dorsale gauche justifient ce que je vous ai dit de l'égal
as de distincte dans la position horizontale. De même, des déviations dorsales dominantes de la troisième période, accompagnées,
és. Ceux qui, dans la forme la plus commune, répondent à la convexité dorsale , sont plus tendus et se contractent avec énergie
allèles des côtés droit et gauche (4). Ainsi, cette énorme courbure dorsale que vous avez sous les yeux, qui nous paraît évid
à droite peut bien se fléchir davantage dans ce sens; mais la région dorsale , concave à gauche, ne fait que se redresser un pe
'est la région lombaire qui ne peut obéira ce mouvement, et la région dorsale seule qui l'exécute. Remarquez que, tandis qu'une
ens de la concavité d'une courbure. C'est ainsi que, dans la courbure dorsale droite dominante, l'inclinaison lombaire peut êtr
bes, en même temps que les fléchisseurs latéraux opposés de la région dorsale augmentent la courbure dorsale. L'effort contrair
hisseurs latéraux opposés de la région dorsale augmentent la courbure dorsale . L'effort contraire, tendant à diminuer l'inclina
tendant à diminuer l'inclinaison lombaire et à redresser la courbure dorsale , est fort difficile à effectuer, souvent impossib
long de la colonne vertébrale, du côté de la convexité de la courbure dorsale , c'est-à-dire au niveau de la gibbosité. En dehor
t, je l'ai déjà dit, de rapporter à la lordose : c'était une scoliose dorsale gauche et lombaire droite, avec enfoncement du st
exagérée, c'est à peine si l'on peut trouver une courbure à la région dorsale du rachis. Cependant nous trouvons les signes pat
présente une scoliose sigmoïde verticale à deux arcs égaux. La bosse dorsale , située à droite, est encore fort peu prononcée.
Scoliose sigmoïde oblique, penchée à droite, composée d'une courbure dorsale très-longue, d'une courbure lombaire plus petite.
t fonctionnel que nous ont présenté plusieurs scoliotiques à courbure dorsale droite. Je place aujourd'hui sous vos yeux une
hui sous vos yeux une enfant de dix ans atteinte d'une forte courbure dorsale à convexité gauche. Ses viscères et (l) Onzième
oite. Vous avez déjà vu cette disposition dans la scoliose à courbure dorsale droite. Le bas du sternum est très-saillant et av
vue des lésions fonctionnelles, de la viabilité, entre les courbures dorsales gauches et droites. IXe cas. — Cette autre fill
. — Cette autre fille, âgée de neuf ans, porte également une courbure dorsale gauche, mais infiniment plus légère ; la courbure
on ne voit la saillie alterner à droite et à gauche dans les régions dorsale et lombaire. Cette disposition, lorsqu'elle exist
ure sont plus communes; on reconnaît aisément, en explorant la région dorsale , si elles dépendent ou non de la scoliose. 2° I
de la scoliose, si, en outre, on tient compte de l'âge. Une courbure dorsale unique, invisible en arrière, mais (1) De. la m
rhomboïde et de la partie supérieure du trapèze dans l'autre. L'épine dorsale était droite, sans torsion, le thorax sans voussu
hie, t. Ier, p. 202. (2) Orthomorphie, t. II, p. 127 et suiv. res dorsales principales, afin d'activer la nutrition dans ce
a scoliose commençante en exerçant la main gauche, quand la convexité dorsale est à droite. Les gens du monde y voient un moyen
nt de vue qui nous occupe. L'élévation du bras gauche, la convexité dorsale étant supposée à droite, tend à fléchir le rachis
te, tend à fléchir le rachis à droite, en sens inverse de la courbure dorsale , surtout si le membre thoracique est amené près d
mbes à droite, au commencement de la troisième période de la courbure dorsale droite, est singulièrement diminuée par l'effort
ombaire devient alors droite, d'oblique qu'elle était, et la courbure dorsale diminue notablement. Ces effets sont presque auss
Naturellement, c'est la main droite qui fonctionne quand la convexité dorsale est à gauche. On peut utiliser cette attitude,
ue la tête, le cou, le sommet du thorax , pèsent encore sur la région dorsale ; mais, d'un autre côté, elle fait plus en soumet
la seconde période; la courbure lombaire est très-longue, la courbure dorsale assez courte. En appuyant sur les apophyses épine
e. Je lui fais lever le bras gauche au-dessus de la tête; la courbure dorsale diminue un peu, mais la courbure lombaire est not
rection. IIe cas. — Jeune fille de quatorze ans. Scoliose spontanée dorsale droite, au commencement de la troisième période.
me pour renverser la courbure lombaire, on voit augmenter la courbure dorsale . En faisant appuyer la main sur la hanche, on dim
. Les muscles étendus du bras ou de l'épaule au tronc, trapèze, grand dorsal , grand pectoral, grand dentelé, etc., luttent, en
les courbures du rachis. Chez un des enfants, porteur d'une courbure dorsale inférieure assez légère, la suspension fait dispa
u cou, son collier suspenseur (S) appliqué par d'autres aux courbures dorsales . Mais les préceptes d'Andry (4) montrent que les
Les côtes, soulevées avec les vertèbres à la concavité des courbures dorsales , sont moins déprimées et moins serrées. Les côtes
oup trop sur le cou pour que cet effet fût très-marqué dans la région dorsale . Nous étions obligés de faire la contre-extension
i, l'enfant étant sur le dos, nous passons une main sous la gibbosité dorsale en appuyant de l'autre sur la saillie antéro-gauc
et de l'extension sur la région cervicale et sur le haut de la région dorsale , et elles parent aux inconvénients d'une traction
plus ou moins de force. On ne met qu'une pelote dans les courbures dorsales principales. Elle doit porter obliquement, et pre
posées à la pression de la pelote pos-téro-latérale dans la déviation dorsale dominante, s'opèrent à l'aide de ces autres bande
on milieu au moyen d'une bande pelvienne et de la pelote de la région dorsale ou d'une bande qui en remplit l'office. Dans la
a région cervicale ou dans des cas exceptionnels de courbures cervico dorsales . Le soulèvement des membres supérieurs par les
aut du thorax, et produire un commencement d'extension sur la colonne dorsale . Cherchons à apprécier de la même manière l'eff
tion. Soit, comme sur cette jeune fille de treize ans, une courbure dorsale principale à droite, parvenue à la troisième péri
baire ; nous rapprochons de la ligne médiane le milieu de la courbure dorsale ; il se produit en un mot un effet comparable à c
upérieure à gauche. Cela change tout l'aspect du tronc: la courbure dorsale paraît beaucoup diminuée et la lombaire augmentée
t beaucoup diminuée et la lombaire augmentée; la déviation, qui était dorsale principale, semble transformée en une lombaire pr
phénomène, l'inclinaison de la courbure lombaire dans les déviations dorsales principales, peut, dans certains cas, céder aux p
ce de la ceinture sur laquelle ce tuteur est fixé. Dans la courbure dorsale principale à convexité droite, il suffit d'une pi
'arrête pas à la supposition que la courroie, placée sur la convexité dorsale et attirée à gauche par le levier, redresse la co
es pour reporter le haut du tronc à droite redresse alors la courbure dorsale . Vous avez vu, et vous pouvez constater encore su
ion inférieure devient nuisible dans ce cas, pour peu que la courbure dorsale tende à devenir prédominante, comme cela a lieu l
'arc lombaire. Il faut alors se borner à la pression sur la convexité dorsale ; celle circonstance peut se présenter dans le co
bure sigmoïde tend à passer à la troisième période, à se convertir en dorsale principale. Il est bon d'être prévenu de ce fait
ients et leurs défauts. Ier cas. — Jeune fille affectée dp courbure dorsale prédomi- nante. Elle porte depuis cinq mois un
e cas. — Jeune fille de treize ans et demi, affectée d'une gib-bosité dorsale droite avec inclinaison. Cette malade est remarqu
ssé. IIIe cas. — Jeune fille de treize ans, affectée d'une courbure dorsale principale. L'appareil employé est ici un simple
. IVe cas. -—Jeune fille de quinze ans. Déviation double à courbure dorsale plus prononcée. Cette enfant porte un appareil à
tôt de FS dorso-lombaire à droite dans la forme ordinaire de courbure dorsale principale. Elle entraîne la partie inférieure du
ais elle est transformée. Au lieu d'une S à courbures inégales, où la dorsale prédominante entraînait le tronc dans le sens de
prend en général un grand accroissement que du moment où la courbure dorsale commence à devenir dominante, que du moment où la
pas avec la même facilité que l'inclinaison lombaire clos courbures dorsales principales, parce que l'élément déformation y pr
de moitié , contrastent moins avec leur état primitif que la courbure dorsale principale de la troisième période, dont Yinctina
te jeune fille, âgée de dix-sept ans, présentait cette forte courbure dorsale principale avec gibbosité costale anguleuse. La t
mois de durée. Depuis lors la santé a été parfaite. La courbure était dorsale principale à convexité droite. Vous voyez que Vin
mois, du 27 septembre 1855 au 27 août 1857. C'est encore une courbure dorsale principale, mais un peu plus marquée que la précé
........ 341 IL Lordose lombaire.................... III. Lordose dorsale .................... 349 IV. Lordose symptomatiq
3 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
bres supérieurs sont un peu tombants en avant à cause de la cyphose dorsale qui donne à notre homme un aspect un peu voûté.
nt lourdes et longues (25 cent.), pieds énormes (31 cent,), cyphose dorsale très pro- noncée. gros nez, gros menton, très g
nsi par exemple, on peut porter la main et le pied avec leurs faces dorsales respectivement du côté de l'avant-bras ou de la
ntimètres. Sa colonne vertébrale (V. PI. V) présente dans la région dorsale une sco- liose avec la convexité du côté gauche
ronc, l'épaule gauche étant plus relevée que la droite. La courbure dorsale n'existe pas, l'espace entre les omoplates est
mobilité normale; il existe une très petite scoliose dans la région dorsale à convexité gauche ; l'ensellure lombaire est t
bras et le bras sont modérément oedématiés. Les XI0, XIIe vertèbres dorsales et la I° lom- baire sont douloureuses à la pres
dans les ' corps vertébraux (dans la VII° cervicale et depuis la X° dorsale vers le bas) ' aussi bien que dans les trous de
out à fait normale. Dans la partie cervicale aussi bien que dans la dorsale et la lombo-sacrée les cloisons sont devenues plu
ode de V. Gieson, mais on les voit plus distinctement. Les segments dorsaux inférieurs et lombo- sacrés sont les plus touch
NE VERTEBHALE 51 il avait le sentiment de courbature dans la région dorsale de la colonne ver- tébrale. Dans ces derniers t
ta (le 25 août 1908) les choses suivantes : douleurs dans la région dorsale inférieure, le dernier temps aussi dans la jamb
nte une lordose lombaire tandis que la partie supérieure de la région dorsale présente une cyphose. La lordose lombaire comme
ceinture. La colonne vertébrale est arquée au niveau des vertèbres dorsales moyennes et inférieures. La pression de la XIIe
s dorsales moyennes et inférieures. La pression de la XIIe vertèbre dorsale est douloureuse. Le malade immobilise sa colonn
s est apparueune courbure de la colonne ver- tébrale dans sa partie dorsale . A l'examen on constate que la pression des fil
t la raideur de la colonne vertébrale, une gibbosité dans la partie dorsale . Les côtes gauclies inférieures étaient douloureu
eur de la colonne vertébrale dans la partie inférieure de la région dorsale et dans la partie supérieure de la ,région lomb
pression sur la colonne vertébrale au niveau de la XIIe ver- tèbre dorsale provoque des douleurs. La colonne est immobile. L
e point sui- vant : une gibbosité accentuée existait dans la région dorsale inférieure. Jusqu'à la mort, celle cyphose est
ur a atteint son point culminant dans la région de la XIIe vertèbre dorsale . De ce point aussi les douleurs s'irradiaient v
nte. La pression exercée sur toute la colonne vertébrale depuis les dorsales moyennes vers le bas est douloureuse. Douleurs
mmence à se localiser dans la région entre les Ile et IVe vertèbres dorsales . Les réflexes patellaires étaient exagérés à tel
tômes précités, une douleur localisée dans les Ile et IVe vertèbres dorsales . Jusqu'au dernier moment de son séjour à t'hôpi
le épinière. II est possible que dans une région de la moelle (la a dorsale supérieure peut-être) des changements de structur
et la I''8 lombaire vertèbre. Dans la région supérieure des vertèbres dorsales du côté droit, tout près de la colonne même, on
dans sa partie cervicale, 3 dans la lom- baire). La région de XIIe dorsale est douloureuse et empâtée. Quand le malade, re
reste un peu longtemps assis il éprouve des douleurs dans la partie dorsale su- périeure. Le réflexe du tendon d'Achille ga
Une tumeur dans la région supérieure du sternum. Les vertèbres XII° dorsale et Ire lombaire, sont douloureuses à la pression.
ssion. Une tuméfaction très douloureuse du côté droit des vertèbres dorsales supérieures. Le ma- lade ménage sa colonne vert
ayons de Roentgen restent sans effet. La région de la XIIe vertèbre dorsale est très douloureuse, molle, la flexion du pied d
entes parties du squelette osseux, entre autre au niveau de la XII8 dorsale et lombaire. L'examen du sang montra qu'il s'ag
iblement plus faible.- Les mouvements du pied sont bons (la flexion dorsale aussi bonne que la plantaire). Mouvements des ort
diagnostic de la tumeur médullaire au niveau des VIlle-IX" segments dorsaux nous a paru le plus probable. Nous avons cru de
cutée le 29 juin 1909. On a constaté un sarcome de la Vile vertèbre dorsale qui comprimait la moelle. Le malade est mort le
hi- dien de même que dans la conformation de la moelle cervicale et dorsale . La moelle épinière cervicale et dorsale est am
de la moelle cervicale et dorsale. La moelle épinière cervicale et dorsale est amincie dans le plan frontal sur ria. 1. -
e second en- foncement beaucoup plus petit correspond la Ir. racine dorsale (les deux fais- ceaux postérieurs et la moitié
ite de la moelle). L'enfoncement suivant correspond à la IIe racine dorsale (la compression de la moitié droite est ici éga
plus considérable que celle de la gauche) et aux IVe et Ve racines dorsales postérieures (peu profond, atteignait seulement
onstate dans les segments cervicaux inférieurs de même que dans les dorsaux supérieurs et moyens des défigurations de différe
vec une paraplégie complète (aclinomycose des VIIc et Xle vertèbres dorsales ). Frich a décrit un cas TUMEURS DE LA MOELLE ÉP
piques étaient minimes (une vascularisation plus riche des segments dorsaux inférieurs et lom- baires supérieurs, de même q
de toute la coupe transversale de la moelle lombaire supérieure et dorsale inférieure, Nonne en conclut qu'au cours d'une
ncers vertébraux (Saenger, cas de cancer des Villa et IXe vertèbres dorsales ; Putnam etElliot, cas de cancer des dorsales in
Villa et IXe vertèbres dorsales; Putnam etElliot, cas de cancer des dorsales inférieures et lombaires supérieures, etc.). L'is
en suivit, puis une autre tumeur apparut dans les ne-Va vertè- bres dorsales (elle pénétrait dans le canal rachidien). Seconde
nait naissance dans le périoste et adhérait aux Ve et VIe vertèbres dorsales . On excisa les arcs vertébraux. La tumeur n'adh
ns les espaces intercostaux, paraplégie, métastase dans la vertèbre dorsale . Deuxième opération, amélioralion. Nouvelle métas
rt. Dans le troisième cas on a opéré un sarcome de la IIIe vertèbre dorsale . Stertz décrit un cas, où il y avait une amélio
fléchisseurs et voici pourquoi : Le malade étant dans le décubitus dorsal , si on lui soulève passivement et alternativeme
tes. Le cou est gros,court et porté en avant. Il existe une cyphose dorsale assez prononcée. La poitrine est plate, les sei
orcée. Le dos du pied est très arrondi et dans le milieu de la face dorsale est placé uu durillon très dur et épais. Le bor
fléchisseurs sont moins com- plètes que chez Marguerite. La face dorsale de la main présente, elle aussi, une atrophie trè
es durillons que nous avons cons- tatés chez Marguerite sur la face dorsale des pieds, chez Aurélie au contraire se retrouv
ement défaut. Le bord interne du pied n'est pas déformé ; la face dorsale se présente un peu arrondie, mais l'on n'observ
ésence des durillons à la plante du pied ou quelque- fois à la face dorsale du pied. Et bien, tous les caractères les plus
Le tissu cellulaire a perdu toute élasticité ; les plis de la face dorsale des doigts sont disparus. Au toucher, on a la sen
ertébrale douloureuse surtout dans la région des IV et Ve vertèbres dorsales . La malade avait constamment la sensa- tion de
ormée adhérente au corps de la vertèbre. Sur les IIe, IVe vertèbres dorsales on trouve des tu- meurs ressemblant à des queue
droit adhérente à la dure-mère dans l'étendue des Il[, VIe racines dorsales . Dans le cerveau il n'y a pas de lésions. La tu
la tumeur apparaît pour la première fois au niveau du III° segment dorsal . Elle est placée en dehors du point central de la
tumeur commence à augmenter de volume dans la direction latérale et dorsale , et atteint son maxi- 'de développement au nive
le, et atteint son maxi- 'de développement au niveau du IVe segment dorsal (le diamètre sagittal 12 mm., frontal - 10,5 mm
ur diminuer, elle disparaît au-dessus de .l'entrée de la VIe racine dorsale dans la dure-mère. Cette dernière est épaissie, h
dire au niveau des IVe et V" segments dor- saux.Dans le IVe segment dorsal le foyer de lésion avait une forme triangulaire à
laires . sont dilatés. Les coupes qui provien- nent du Ve segment dorsal ne présen- tent plus de traces du foyer de lési
ons antéro-latéraux). Au-dessous de la tumeur jusqu'au XIIe segment dorsal on remarque des masses noires dispersées dans t
ers les trous de conjugaison dans la région des IULE et Vie racines dorsales droites. La tumeur était extérieure par rapport
e fit voir deux sortes de lésions : 1° dans un seul segment, le IVe dorsal précisément, s'estforméun foyer considérable, occ
Le cou est un peu élargi. Les ver- tèbres cervicales inférieures et dorsales supérieures sont douloureuses à la pression. La
ulaire droite est augmentée de volume. Les vertèbres IVe, Ve et VI" dorsales sont douloureuses à la pression. Le Ve espace i
sous de la clavicule droite et dans la région des IVe-Vle vertèbres dorsales . Le malade se plaignait constamment de douleurs
Dans ce cas il s'agit d'une tumeur occupant la région des vertèbres dorsales moyennes et pénétrant dans la partie supérieure d
e pas s'asseoir sur son lit. Les vertèbres lombaires supérieures et dorsales inférieures sont douloureuses. La paralysie des m
tre. La masse adhère à la dure-mère et au niveau de la IX" vertèbre dorsale se réunit avec la méninge. Organes internes : L
ucosités et de pus. Intestins normaux. Au niveau de la Xi* vertèbre dorsale la masse néopla- sique pénètre au-dessus des mu
IÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 157 Dans les segments cervicaux et dorsaux supérieurs il n'y a pas de change- ments notabl
upérieurs il n'y a pas de change- ments notables. Dans les segments dorsaux moyens, ils sont peu intenses et il faut un exa
ninges normales. On observe des lésions analogues dans les segments dorsaux inférieurs. Au niveau du XIIe segment dorsal dé
ues dans les segments dorsaux inférieurs. Au niveau du XIIe segment dorsal déjà la lésion en foyer prend place (fig. S). U
asse néoplasique adhérente à la dure-mère de dehors (dans la partie dorsale ) est minime. Dans les cordons antérieurs, pas d
e les côtes et les corps vertébraux au niveau des IXe-XIe vertèbres dorsales . - Evidemment à un moment de la maladie (quelqu
iques sont placées du côté gauche de la moelle. Dans le 1°r segment dorsal on ne voit que des traces des changements décrits
i- ble dans le VHP segment cervical et disparaissait dans la moelle dorsale . Ce trait était le plus prononcé dans les cordo
cervicale et du tronc (de l'angle formé par les IXe et Xe vertèbres dorsales et les côtes, en arrière et en avant). De là le
embres sont paralysés ou seulement les inférieurs.Si le Ier segment dorsal est attaqué, peuvent apparaître les symptômes sym
néoplasiques se disposent le plus souvent sur la face postérieure ( dorsale ) de la dure-mère. Quelquefois elles n'occupent
avons remarqué dans notre IX0 cas un fait étrange : dans la moelle dorsale médiane et inférieure on ob- servait des masses
brales), et précisément dans les segments cer- vicaux inférieurs et dorsaux supérieurs, nous voyons que les plus gros vaiss
emps pendant sa jeunesse. Il est atteint d'une lordose avec cyphose dorsale assez accentuée, et qu'elle aussi a 'toujours é
la longueur apparente, déterminée parle niveau du pli interdigital dorsal . 238 S C H EVALUER LA BRACHYMÉLIE MÉTAl'ODI
extension ; la flexion est normale. La palpation montre à la partie dorsale de la tête de la première phalange, un ressaut
tes et raccourcies. La colonne vertébrale aux régions cervicales et dorsales ne présente rien de remarquable ; à la région l
arse et les cunéiformes est plus saillant que de coutume vers la face dorsale du pied. L'ACHONDROPLASIE EST-ELLE HÉRÉDITAIR
il n'y a pas d'altérations particulières des portions cervicale et dorsale de la co- lonne vertébrale.' A la région lombai
s possibles, mais si le patient est étendu sur son lit en décubitus dorsal et qu'on lui dise de soulever les deux membres
rement dites, soit pource qui concerne les métasyphilitiques (tabes dorsal et paralysie progressive). Je m'éloignerais tro
guleuse, due l'effondrement des corps des trois dernières vertèbres dorsales ,et de la lre lombaire,que la radiographie mon-
avec de nombreuses esquilles osseuses formant, au niveau de la 12e dorsale , une saillie angu- leuse dans le canal rachidie
avec coudure rachidienne à angle droit. Femme de 72 ans. A. Moelle dorsale , sans dégénérescence ascendante ni sclérose. B.
teur de 11 mètres, avait fait une cyphose progressive, de la région dorsale moyenne; 10 à 11 mois avant la mort, étaient ap
embres inférieurs, et signe de Babinski bilaté- ral. Dans la région dorsale moyenne, existait une gibbosité arrondie, due à
: A l'opération on constata le ramollissement de la VIIIe vertèbre dorsale des deux côtés de l'apophyse épineuse. On trouva
molle. On enleva également les apophyses des VIIe et IXe vertèbres dorsales et ainsi on découvrit la moelle dans une grande
e plus vascularisée et plus foncée qu'au niveau de la VII" vertèbre dorsale . Après l'opération la paralysie des membres inf
moelle correspondante au ni- veau de la tumeur (VIIIe-Xle, segments dorsaux ) présente de profondes lésions. La configuratio
tes (coloration de Weigert et de Marchi). Les coupes des segments dorsaux voisins des précédents ont également leur confo
ésées, les changements patho- logiques diminuent. Dans les segments dorsaux supérieurs, le rapport delà substance blanche à
gaines myéliniques, mais une coloration rosâtre (dans les segments dorsaux supérieurs). Souvent on peut voir des cylindrax
upes colorées par la méthode de Marchi démontrent dans les segments dorsaux supérieurs une dégénérescence secondaire peu acce
sons médullaires sont infiltrées. Ce n'est qu'au niveau des segments dorsaux supérieurs que la figure de la substance grise
tion, on constata un ramollissement de l'arc de la VIII" vertè- bre dorsale et la tumeur sur la face interne de cet arc. La m
arc. La moelle sembla êlre plus mince au niveau de la VII, vertèbre dorsale . On laissa la dure-mère intacte. La paralysie p
substance grise reprend sa forme caractéristique. Dans les segments dorsaux supérieurs, elle est presque normale. En même t
iltration, la dilatation des vaisseaux est évidente surtout du côté dorsal de la moelle. Le cas présent n'était pas diffic
ndiquaientque(suivantla loi de Sherrington- Bruns) le VIIIe segment dorsal était lésé. En effet l'opération démontra que l
a douleur à la pression et au courant galvanique de la IV, vertèbre dorsale .En ce moment déjà l'affection était tellement ava
runs nous avons localisé la tumeur au niveau des Ve et VIe segments dorsaux . A l'opération on éloigna le Ivre, IIIe et enfi
sie démontra que la tumeur se trouvait à l'endroit où la VIe racine dorsale pénètre dans la moelle (fig. 13) (incision de la
s aide ; elle ne peut non plus rester assise. Au niveau des vertèbres dorsales inférieures. on voit une proéminence de la peau
xion plantaire est un peu plus considérable que celle de la flexion dorsale , mais dans les deux cas elle est très petite. A
x en fléchissant, eu étendant les genoux et en exécutant la flexion dorsale des pieds. Les réflexes patellaires sont vifs ;
ureuse à la pression, dans toute son étendue,surtout dans la partie dorsale moyenne. La sensibilité au toucher et à la doul
On fait une incision de la peau depuis la ne jusqu'à la Ve vertèbre dorsale . Après avoir séparé le périoste des Ille et IVe
e dorsale. Après avoir séparé le périoste des Ille et IVe vertèbres dorsales on réséqua les arcs vertébraux au moyen du moteur
limite supérieure de l'anesthésie dépend des VIIIe et Vile segments dorsaux . D'après la loi de Sherrinnton-Bruns, la tumeur
ons donc recommandé au chirurgien d'opérer les Iule et Ve vertèbres dorsales dont il fallait enlever les arcs. A l'opération
nlever les arcs. A l'opération on réséqua les IIIe et IV" vertèbres dorsales et l'on incisa la dure-mère même au-dessus de c
s des vertè- bres opérées, c'est-à-dire au niveau de la Ve vertèbre dorsale à peu près, la tumeur se trouvait dans le voisi
par la méthode de Weigert montrent, dans la région du VIIIe segment dorsal (là où la tumeur atteint son plus grand volume)
lésions disparaissent également de sorte que dans le VIe seg- ment dorsal on ne trouve qu'un foyer dans le cordon postérieu
nt le long de la moelle on con- state encore au niveau des segments dorsaux inférieu rs des masses dégénérées dans le faisc
us les segments examinés microscopiquement. Au niveau du Ve segment dorsal , les coupes démontrent des lésions considérables
ence. Les lésions qui siégeaient dans la moitié gauche de la moelle dorsale supérieure dépendaient en grande partie d'un proc
s bas,ces lésions disparaissent vite. Déjà au niveau du 1er segment dorsal on voit uniquement la dégénéres- cence de la vo
oit. Ces mêmes lésions peuvent être constatées dans toute la moelle dorsale , lombaire et sacrée. Dans cette dernière, la dé
à la catégorie des névromes. Dans la partie centrale du Ve segment dorsal on voit une formation elliptique ressemblant à
déforme ainsi toute la coupe. Un peu au- dessous (dans le Vie segm. dorsal ), on voit de nouveau un- mince faisceau des fib
e vertébrale est douloureuse à la pression au niveau du IXO segment dorsal . Une escarre grande comme une pièce de cinq franc
pieds légèrement abaissés, les gros orteils en adduction et flexion dorsale . La position du gros orteil du côté droit frapp
mêmes. Le maximum de douleurs est au niveau des Ve et VIe vertèbres dorsales (surtout la Ve). , « 340 FLATAU 7m<M.Op'
<M.Op'6[<ton.On excise les V0,Vle,Ylt, et VIIIo arcs vertébraux dorsaux . La dure-mère se présente cyanosée et sans puls
orme longue de 3 cent. 1/2 dans la région des Xe,XI" et XIIe segments dorsaux et en partie aussi dans celles de la Ire lombai
rieur sous forme d'une languette atteint le niveau où la IXe racine dorsale quitte la dure-mère. A droite la racine ne cont
e 1 centimètre au-dessous du lieu de pénétration de la IXe ra- cine dorsale postérieure dans la moelle. Les Xe et XIe racines
même chose peut-on dire de la par- tie supérieure de la XIIe racine dorsale droite. Le pôle inférieur allongé cor- respond
spondait à la tumeur. Il s'y trouvait le IXe jusqu'au XIIe segments dorsaux . Les coupes colorées par la méthode de Weigert pu
égion qui correspond au pôle inférieur de la tumeur (XIIe seg- ment dorsal ) les dimensions de cette dernière ne sont pas enc
libre et n'adhère pas à la méninge molle de la moelle. Sur la face dorsale de la tumeur se trouve une racine postérieure apl
ore, au niveau des segments correspondant à peu près au X-3 segment dorsal , la tumeur est très grande et garde sa structure
xx III 23 346 FLATAU niveau de la partie supérieure du Xe segment dorsal (fig. 20). On y voit des espaces vides et des e
la partie postérieure du faisceau cérébelleux gauche dans la région dorsale et cervicale. Le nombre de masses à gauche est
un à deux travers de doigt au-dessous de l'ombilic. La IXO vertèbre dorsale est douloureuse. Escarre. Pendant son séjour à
nuit et le jour. 1 Avant l'opération on constata que la Ve vertèbre dorsale élaitla plus dou- loureuse. Les troubles sensit
us pen- sions que la tumeur correspondait a peu près au VU" segment dorsal . On a enlevé les arcs vertébraux de la V jusqu'
. On a enlevé les arcs vertébraux de la V jusqu'à la Ville vertèbre dorsale , sans trouver pourtant la tumeur. Après l'opéra
tumeur longue de 3 cent. 1/2 au niveau des Xc, Xh et XIIe segments dorsaux en partie aussi de la 1 lombaire. La tumeur adh
rieur de la tumeur correspondait au lieu de sortie de la IXe racine dorsale hors de la dure-mère. La tumeur se trouvait don
bolis. La colonne vertébrale dans la région cervicale inférieure et dorsale supérieure est douloureuse à la pression. Quand
umeur correspondait à la VIe racine cervicale, l'inférieur à la In. dorsale (leur lieu de sortie de la dure-mère). TUMEURS
les foyers de lésions principalement dans la région du 181, segment dorsal . Les masses néoplasiques s'y trouventà droite en
la lombo-sacrée. Pas de dégénérescences secondaires dans la moelle dorsale . Dans la moelle lombo-sacrée on constate une faib
Gieson, on voit dans la région ci-dessus mentionnée(dans le premier dorsal ) des lésions carac- téristiques pour les foyers
orrespondait à la VIe racine cervicale, le bout infé- rieurà la Ire dorsale . L'examen microscopique démontra des lésions en f
démontra des lésions en foyer localisées surtout dans le 18 segment dorsal . On y voyait deux grands foyers du type alvéola
titués par les cel- lules granuleuses. En descendant dans la moelle dorsale , on ne constatait ni foyers ni dégénérescence s
au-dessous de la tumeur montrait un fait paradoxal : dans la partie dorsale il n'y avait pas de dégénérescence secondaire, ta
, de l'hypochondre droit et de la colonne vertébrale dans la partie dorsale est douloureuse. La sensibilité est intacte. Le
elle était comme gonflée par place. C'était surtout dans sa région dorsale . De plus on sentait à travers la dure-mère, sur
nt dans la moelle que des enfoncements peu profonds. Dans la région dorsale moyenne et supérieure, il y a des tumeurs plus gr
pas de foyers en coin pénétrant dans la profondeur. Le I*r segment dorsal conserve sa normale configuration intérieure. A d
sies. Les racines gauches en partie dégénérées. Dans le IIe segment dorsal on voit une gomme partant de la face interne de
les parois épaissies, infil- trées et oblitérées. Le Ille segment dorsal contient une gomme qui part de la partie antérieu
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 359 Le Ve segment dorsal contient une grande gomme (deux strictement dit)
condaires ni de coins pénétrant dans profondeur. Le VIIIe segment dorsal est tout à fait normal sur la coupe. Au premier
iate est normale. Des lésions semblables se trouvent dans la moelle dorsale inférieure et la moelle lombo-sacrée (la pie-mè
iphérie des segments dor- saux. Par places, dans le premier segment dorsal par exemple, ces masses sont surtout groupées l
Les lésions les plus prononcées'sont constatâmes dans les segments dorsaux moyens. Ainsi par exemple le Vil segment dorsal c
dans les segments dorsaux moyens. Ainsi par exemple le Vil segment dorsal contient une énorme gomme qui croît de la face
iées. Dans quelques endroits seulement,au niveau du premier segment dorsal par exemple, on voit une infiltration assez pro
ode de V. Gieson montrent les mêmes lésions. Au niveau de la moelle dorsale moyenne (on y voit une grande gomme) ; on const
ormations gom- meuses le long de la moelle (surtout dans la portion dorsale ). Elles pro- venaient de la face interne de la
é des cordons latéraux et postérieurs. A l'exception du VIe segment dorsal les gommes n'envahissaient pas le tissu nerveux
a forme ronde et sa configuration normale. Au niveau du VIe segment dorsal la gomme a pénétré dans la moitié droite de la
tif : le jour qui suivitaprès la suggestion est apparue sur la face dorsale de la main une vésicule (PI. XXXVI) ; mais quan
dans les conditions expérimentales suivantes : à la peau de la face dorsale de la main été appliquée une pièce de monnaie e
une fracture de la colonne vertébrale au niveau des segments X et XI dorsaux . Durée de la survie, 30 jours. Examen microsc
. Examen macroscopique. Foyers myélitiques multiples dans la région dorsale inférieure. Examen microsco- pique. Dans les lo
, 6 mois. Examen macroscopique. - Tumeur comprimant le VIIE segment dorsal . Examen microscopique. Les coupes dont nous dis
xamen macroscopique. Compression de moelle au niveau du IXe segment dorsal . Examen microscopique. Dans les lobules paracen
avait fortement comprimé la moelle épinière au niveau du X" segment dorsal . Durée de la paraplégie, 8 mois. Examen microsc
ibbosité com- primant légèrement la moelle au niveau du VIe segment dorsal . Examen microscopique. Les cellules de Betz des
nt fortement comprimé et déformé la moelle au niveau du VU' segment dorsal . - Examen microscopique. - Atrophie pigmentaire d
arrière (fig. 4), sur la ligne médiane, au niveau de la Se vertèbre dorsale , se dirige en bas et en dehors en recouvrant le 8
roupe occupant en arrière l'espace situé de la 8° à la 10" vertèbre dorsale (fig. 7), s'étend sur une largeur d'environ 4 tra
cutanés des branches postérieures du dernier cervical et du premier dorsal , droits et gauches. Aussi sa bilatéralité en sy
matique des 5e, 6e, 7e racines cervicales, lra@ 2% 3e et 4e racines dorsales , unilatéralement frappées. Et ceci serait d'au-
siégeant précisément au niveau de la région cervicale inférieure et dorsale supérieure. On ne peut se défendre d'émettre au
le territoire de distribution de la 8c racine cervicale et première dorsale des deux côtés (région ulnaire des avant-bras),
vant-bras), en correspondance du territoire de la 6° et 70 vertèbre dorsale (région sous mamellaire) et de la 3e, 4e et 5°
é progressivement de- puis une douzaine d'années, intéresse la face dorsale des mains. La peau est rosée, lisse et tendue ;
est oedémateux. Les doigts sont boudinés et présentent, sur la face dorsale des articulations métacarpo-phalangiennes et de
au début de son évolution, était donc uniquement localisé à la face dorsale de la main gauche ; puis peu à peu il s'étendit à
ace dorsale de la main gauche ; puis peu à peu il s'étendit à la face dorsale du poignet, puis de l'avant-bras ; c'est au mom
ns, que les mêmes accidents faisaient leur appa- rition sur la face dorsale de la main droite, pour s'étendre depuis, progres
rachitique (1). « Le quatrième orteil forme une saillie sur la face dorsale du pied (des deux côtés) et repose sur le 3e et l
ses transver- ses des dernières vertèbres cervicales et la première dorsale ; la déviation latérale est convexité gauche. L
t plus petit, et moins surélevé que le gauche. Rachis. La colonne dorsale inférieure et lombaire est normale ; elle forme
xité antérieure et n'a pas de déviation latérale. Vers la cinquième dorsale la colonne qui s'était inclinée en avant, se redr
'exostose ; le disque qui sépare le système cervical de la première dorsale est très réduit. Les corps vertébraux et en par
iculier ceux de la première, deuxième et 436 CHEVALLIER troisième dorsales sont trapézoïdes à base du côté droit, déterminan
arti- culier celles des deux dernières cervicales et de la première dorsale . Chacune d'elles a une face convexe, droite, un
r de la corde de l'arc scoliotique. Dans les régions cervicale et dorsale supérieure le ligament vertébral com- mun antér
é ; il semble s'implanter en retrait des autres orteils sur la face dorsale du pied; son extrémité n'atteint pas le bout du
Sensibilité douloureuse des vertèbres cervicales inférieures et des dorsales su- périeures. Fente palpébrale gauche et pupil
ion : il enlève les apophyses épineuses des Ie, Il*, Ille vertèbres dorsales et VII', VIe cervicales. On constate la présence
IIe vertèbre cervicale (VIsegment cervical et bout supérieur du Ier dorsal ) (fig. 31). Le jour suivant on constate l'affai
omen et en arrière depuis les IlI°,IVe jusqu'aux XIe, ELLE segments dorsaux . Les troubles de la sensibilité douloureuse sont
e une opération : il enlève les [Il ? VIIe arcs cervicaux et le Ier dorsal . On ne constate pas de tumeur extramé- dullaire
de la moelle, surtout de ses segments inférieurs (VIIe, VIIIe) et du dorsal supérieur (ter). On voit à travers la dure-mère
la coloration cyanosée foncée de la moelle cervicale inférieure et dorsale supérieure (en arrière). Sur les différentes co
suivantes : Sur la coupe transversale passant par le premier segment dorsal la moelle se montre noire, spongieuse, molle, r
segment cervical. 1. Un descendant ou voit : au niveau du 1 segment dorsal une perte complète de la structure normale du t
grises, irrégulières, d'une consistance molle. Depuis le Il segment dorsal on commence à distinguer la configuration de la m
la région de la corne antérieure droite. Au niveau du VIle segment dorsal .on voit le reste de cette masse molle et la fen
élique dans la partie centrale de la coupe. Au niveau du Xe segment dorsal on voit seulement la fente syringomyélique dans
le segment le plus touché par la présence de la tumeur (ler segment dorsal ) démontre la présence du néoplasme nommé chroma
'à la IIe tom- baire). Dans le cas de Starr (fibrome dans la moelle dorsale supérieure), les douleurs siégeaient dans la ré
le fait que les tumeurs sont localisées plus souvent dans la moelle dorsale (Schlesinger). Bien entendu les tumeurs localis
rvation Xi, la tumeur siégeaitdans le VIIIe segment cervical et Ier dorsal ; pourtant la douleur primitive est apparue dan
on Thompson (un sarcome extra-dural au niveau des VIlle-IXe racines dorsales ), le ma- lade ressentait des douleurs à l'épiga
ma- lade ressentait des douleurs à l'épigastre, dans les vertèbres dorsales in- férieures et dans les jambes. Dans le Vle c
d'Oppenheim (Monographie de 1907) la tumeur siégeait dans la moelle dorsale moyenne, les douleurs, principalement dans les
en que la tumeur se trouvât entre les VIe et VU* paires des racines dorsales . Dans le cas d'Abraham- son la tumeur correspon
core men- tionner un cas d'Oppenheim et Krause (tumeur de la moelle dorsale ) où l'appareil d'extension a donné une rémissio
raplégie. Si la tumeur siège dans la moelle cervicale inférieure et dorsale supérieure, on a des phénomènes du côté des pup
la tumeur occupait pourtant le VI" segment cer- vical jusqu'au Il' dorsal ). Si la tumeur occupe la moelle cervicale supé-
de la moelle (Oppenheim-Krause). La tumeur localisée dans la moelle dorsale donne un tableau clinique où les douleurs névra
dans un cas où la tu- meur siégeait au niveau des VIIIe-IXe racines dorsales antérieures). Si la tumeur siège dans la moelle
ation par 'exemple (le sarcome de la région cervicale inférieure et dorsale ) on constatait au niveau du 1111, segment cervi
cas (tumeur siégeant au niveau de la moelle cervicale inférieure et dorsale supérieure) on pouvait constater une dégénéresc
, lombo-sacrée, tandis qu'elle, n'était pas^ visible dans la moelle dorsale ! Ces faits sont analogues à ceux- décrits dans
atouillement de la plante du pied gauche a pour résultat la flexion dorsale du gros orteil. (1) Car. à ce sujet : 13ASTIAN,
3 494 MINGA`GZIIVL A droite, on observe une tendance à la flexion dorsale . du..gros. orteil, avec flexion plantaire des a
des circonvolutions moyennes avec état plus grave dans leur portion dorsale ; légère raréfaction des fibres nerveuses de la c
mation ; dégénérescence, et, en partie, des- truction de la portion dorsale du gyrus temporalis plofundus, dégénéres- cence
emporalis plofundus, dégénéres- cence des libres nerveuses du tiers dorsal et antérieur de Ti. Les résultats anatomiques q
arément, à savoir : la dégénérescence des fibres médullaires du 1/3 dorsal antérieur du Ti ; la destruction des 2/3 dorsau
médullaires du 1/3 dorsal antérieur du Ti ; la destruction des 2/3 dorsaux des circonvolutions postérieures de l'insula ;
irconvolutions postérieures de l'insula ; la destruction du segment dorsal du gyrus temporalis ]J/'ojulldus. 500 M1NGAZZIN
tion anté- rieure, étaient détruites spécialement dans leur portion dorsale . Un examen analytique, que j'ai fait il y a plu
andicum, à l'exception de sa face occipitale. Est dégénérée la partie dorsale et an- térieure de la substance médullaire du g
rappelle le cas publié par Jolly, dans lequel on trouva sur la face dorsale du corps calleux; une masse graisseuse qui s'éten
être mentionnée. Il n'y a aucune déviation rachidienne; ni scoliose dorsale , ni lordose lombaire. La poitrine est amplement d
aucune anomalie ; elle est seulement un peu flasque à leur surface dorsale . Les ongles ne présentent aucun signe de dystro
rosaire rachi- tique. Aucune déviation du rachis ni dans le segment dorsal ni dans le seg- ment lombaire. La poitrine es
mais très musclé. Le rachis ne présente pas la moindre déviation ni dorsale ni lombaire ; tous les muscles du tronc sont très
; la peau est recou- ' verte de poils assez abondants à la surface dorsale des avant-bras et des jambes. Les tissus adip
vail. Au pied l'orteil est claviforme ; il est repoussé sur la face dorsale et repose en partie sur l'un de ses voisins dév
ne façon toute spéciale sur le développement du squelette. La corde dorsale est l'axe de la croissance symétrique de l'embr
iégeant dans la région cervicale de la moelle, 57 dans la ré- gioi1 dorsale et 18 dans la région lombo-sacrée et coccygienne.
es suivaient les opérations des tumeurs loca- lisées dans la moelle dorsale . Il est important de noter que Bruns, en 1897,
bien tenir la tête, Dans un autre cas de ëtertz, on a enlevé 6 arcs dorsaux (depuis le 1er jusqu'au VIe). Krause est d'avis
evé chez une malade (dans la pachyméningite tuberculeuse) sept arcs dorsaux , chez une autre, où l'on supposait une tumeur,
arcs cervicaux. Dans un de nos cas le D` Oder- feld a enlevé 3 arcs dorsaux et 2 cervicaux sans que cette opération ait une
la moelle épinière par pénétration dans le canal vertébral (région dorsale ) d'un kyste hydatique. Arch. gén. de méd., 1, 187
schr., 1887, p. 36. Hirtz et Delamare. - Compression de la moelle dorsale par un endothéliome. Soc. méd. des hôp. de Pari
cord. Amer. Journ. of Med. Sc., 1893, p. 613 ; Fibroma o/ the upper dorsal région ol the spinal cord. Philad. med..louru.,
tous les éta- ges. Certaines, à la région cervicale et à la région dorsale en particulier sont très étendues et occupent p
la pie-mère. Restant attaché par son extrémité inférieure à la face dorsale de la couche optique, le corps du trigone, qui à
ement de rotation externe. Ainsi, sa face médiane empiète sur sa face dorsale dont le tubercule antérieur est nettement repou
s proviennent en grande partie du tuber- cule antérieur et du noyau dorsal de la couche optique. Dans le lobe temporal, la
en passant entre le bord inférieur de l'écorce limbique et la face dorsale de la couche optique. A ce niveau, l'ensemble d
gone dont le segment médian, nettement dégénéré, s'accole à la face dorsale de la couche optique où il est retenu par le pl
u trigone avec une membrane délicate qui va s'implanter sur la face dorsale de la glande pinéale. Cette memhraue adhère for
. On trouve, en effet, dans le voi- sinage du noyau caudé, du noyau dorsal de la couche optique et le long de la face médi
du noyau médian de la couche optique. Ses rapports avec le segment dorsal de la com- missure postérieure, avec le faiscea
ie cornée se dirige horizontalement en arrière au-dessus de la face dorsale de la couche optique et présente le long de son
système de fibres indivisible qui entoure de toute part le segment dorsal ou supérieur du ventricule latéral. En arrière,là
doigts. A droite, le doigt sur- numéraire s'implanle sur la partie dorsale externe de la tête du quatrième mé- Ons. V. - M
uche avait tourné au- tour de l'axe vertical, de sorte que son côté dorsal regardait dans la direc- tion du coude; l'autre
ig. 3, 4, 8). 5° Le petit orteil est tourné de manière que son côté dorsal devient extérieur, et la surface extérieure se
e la syndactylie apparente, surtout sur le pied droit. z 7° La face dorsale des orteils ne semble point être horizontale, mai
e cinquième orteil du pied droit est tourné de manière que son côté dorsal est devenu extérieur, et la surface extérieure s'
face extérieure s'est placée en bas ; dans le treizième cas le côté dorsal du second et du quatrième orteil tend à devenir
l tend à devenir extérieur, et le côté extérieur, à devenir le côté dorsal ; enfin,dans le premier cas le quatrième et le
4 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
rieure, pour devenir accentuées à la partie supérieure de la région dorsale et à la région cervicale. 4 Région sacrée infér
centre de la corne sont à peu près intactes. (Pl. XI, C.) 7° Région dorsale inférieure. On note un léger aplatissement au niv
la corne postérieure, le champ postéro-interne. (PI. XII, A.) g° ° dorsale . L'aplatissement des cordons postérieurs est nota
u niveau de l'union de la moelle lombaire supérieure avec la moelle dorsale . Le tabès est, par conséquent, légitime, mais i
S REFLEXES (Achard et Léopold-Lévi) .-1. (Méthode de Pal.) Région dorsale inféi ieiue. Sclérose des zones de Lissauer, de l
ne l'abolition du réflexe. Placée à l'union des régions lombaire et dorsale , celte zone est limitée : en dedans par une ligne
Erfahrungen sous la dénomination « d'ossification des apo- névroses dorsales ». Dans la clinique de son maître de Dusch, Mun
l présente une lame osseuse comme la paume de la main dans le grand dorsal droit, une deuxième lame fusiforme dans le bice
offre donc les trois stades de la myosite : Ossification, au grand dorsal ; formation de tissu fibreux, au biceps droit ; p
sculature de cette dernière, la protubé- rance qui part de la masse dorsale et pénètre dans le grand oblique (Ger- ber-Mays
trois vertèbres lombaires et une autre plus grande, dans la région dorsale gauche, moins dure, douloureuse et paraissant ê
resque complètement disparu ; mais la tuméfaction sur les vertèbres dorsales était devenue plus proéminente et élastique et
des violentes douleurs (Rogers, Minkewitch). La bandelette du grand dorsal qui s'étend sur la 10e côte, dit Lexer, est par
nte des tendons s'observe surtout sur le grand pectoral et le grand dorsal dont les tendons sont transformés en un morceau d
ïde, les grand et petit ronds, le grand pectoral et le muscle grand dorsal se prennent à leur tour, il en résulte une fixati
des rhomboïdes, des trapèzes, des masses vertébrales et des grands dorsaux , se trouve transformé en une carapace osseuse,
à l'angle inférieur (Pollard), aux deux rhomboïdes (Uhde), au grand dorsal ; soit à la partie inférieure, à la région lombo-s
t un cas de morphée scléreuse, avec plaques lardacées, de la région dorsale chez un homme de 32 ans, atteint de rhumatisme
81 (4 ), une observation de dermato-sclérose partielle de la région dorsale et des membres supérieurs et inférieurs, recuei
et marquent la place des muscles malades), l'ossification du grand dorsal transformé en une lame osseuse allant s'insérer
petit ronds. L'ossification du tendon du grand pectoral et du grand dorsal constitue des parois rigides au creux axillaire
une ou deux tumeurs discrètes, situées sur les régions lombaire ou dorsale , près des 156 A. WEILL ET J. NISSIM apophyses
chez notre malade on distingue nettement l'ossification des grands dorsaux sous forme de grosses-masses ascendantes et plus
Munchmeyer signale l'ossification de tous les muscles inter- osseux dorsaux à droite, indépendamment des tubérosités osseuses
ntôt à gauche. Kuemmel constate une scoliose à droite de la colonne dorsale et une à gauche de la colonne lom- baire. Pinte
lade, une scoliose cervicale gauche, une autre droite de la colonne dorsale et enfin une troisième gauche, de nou- DE LA MY
araître. Pollard extirpe une masse osseuse libre du tendon du grand dorsal gauche et obtient ainsi une certaine mobilité pou
ant à leur suite la raideur de la nuque et la saillie du muscle grand dorsal droit ossifié tel qu'on le constate aujourd'hui
partie moyenne du tho- rax, à gauche, au niveau des muscles grand, dorsal , petit et grand ronds, en 1888; enfin en 1889,
le bras, la région poplitée, le mollet, le cou-de- pied et la face dorsale du pied, du côté gauche, furent simultanément env
.1.) Elle se continue en haut avec celle des muscles ronds et grand dorsal , tous les trois confondus en un seul os et adhéra
n que l'on remarque, existaient à la partie supérieure de sa face dorsale , un peu au-dessous et en dehors de au niveau du
par les travées néoplasiques. Le bord supérieur des muscles grands dorsaux ossifiés fait une saillie consi- dérable qui se
ds transformés. Pour être plus précis, disons qu'à droite, le grand dorsal passe en dehors de l'angle de l'omoplate, et qu
carte il jouer légè- rement irrégulier. Au delà de la 2e vertèbre dorsale , on ne retrouve plus sur le dos la saillie des
r au développement de deux pointes osseu- ses nouvelles sur la face dorsale du pied. - Le gros orteil est ankylose. De la p
ns son ensemble ; mais cette gracilité est plus marquée à la région dorsale inférieure. Les racines antérieures sont normales
ÉBUT TARDIF (L. Bonnus) C. Coupe de la moelle au niveau de la IXe dorsale . D. Coupe de la moelle au niveau de la IIc lomb
é. UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICn A DÉBUT TARDIF 181 A la région dorsale , la même teinte grisâtre se montre dans les cordo
une sclérose du faisceau pyramidal croisé. (PI. XXII, D.) Région dorsale . - La dégénérescence occupe la topographie précéd
arcifor- mes externes, manquent totalement (Pl. XXIV. A). La partie dorsale s'est développée régulièrement, mais dans la di
3, tubercule acoustique. 4, racine externe ou antérieure. S, noyau dorsal interne. - 6, noyau dorsal externe ou de Deiler
, racine externe ou antérieure. S, noyau dorsal interne. - 6, noyau dorsal externe ou de Deilers. 7, noyau de Bechterew. 8,
lancher du quatrième ventricule et désignés sous les noms de 'noyau dorsal externe, noyau dorsal interne et noyau de J3ec !
entricule et désignés sous les noms de 'noyau dorsal externe, noyau dorsal interne et noyau de J3ec ! iferelO. Mais là n'e
e bord radial. En général la sensibi- lité douloureuse des surfaces dorsales des doigls est supérieure à celle des surfaces
périeure à celle des surfaces palmaire et plantaire. Les surfaces dorsales des pieds sont plus sensibles que le dos des main
xi 19 278 A. WEILL ET J. NISSIM plus ou moins atteints. Le grand dorsal forme une grande plaque osseuse, de- puis son o
t, il est soudé aux côtes en formant une grosse tubérosité. Le long dorsal ressemble il une lame osseuse déterminant l'imm
et du biceps du même côté. 8° Des.portions assez étendues du grand dorsal droit; elles représentent assez bien des côtes
froi- dissement, gonflement dans les régions mouillées lombaires et dorsale qui a DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 281
mbaires en dehors. Une autre, plus grande, se montre dans la région dorsale gauche, moins dure, légère- ment douloureuse à
e troisième proéminence avait apparu sur le bord antérieur du grand dorsal , près de l'aisselle gauche et très manifestement
presque complètement disparu, mais la tuméfaction sur les vertèbres dorsales était de nouveau plus proéminente et élastique
omboïdes ont diminué ; les mouvements sont très limi- tés ; l'épine dorsale est très raide et le bras droit ne peut être ni l
yses 282 A. WEILL ET J. NISSIM transverses des 6° et 7° vertèbres dorsales , avait une étendue de 8 centimètres. La plus gr
à partir du 2 avril ; le 12 avril tumeur considérable sur le grand dorsal droit, elle diminue vers le 15. Ce jour-là le p
euses dans les muscles, particulièrement dans les pectoraux, grands dorsaux et masses sacro-lombaires. L'une d'elles, longue
colonne vertébrale, attachée aux apophyses épineuses des vertèbres dorsales , depuis la 7" jusqu'à la 2", par de courtes fib
ieure de la crête iliaque à l'apo- physe épineuse de la 7e vertèbre dorsale , aux apophyses transverses des 3e, 4°, 5° et 6°
7e vertèbre dorsale, aux apophyses transverses des 3e, 4°, 5° et 6° dorsales , aux extrémités postérieures des côtes droites.
ôtes droites. Une bande très irrégulière s'étend de la 11° vertèbre dorsale au milieu du sacrum adhérent par des fibres ten
r des fibres tendineuses aux apophyses épineuses des deux dernières dorsales , des cinq lombaires, et à une petite étendue du s
284 A. WEILL ET J. NISSIM longitudinale dans les fibres du grand dorsal et se termine en s'épaississant sur les 9e et 1
masses dans différentes parties du corps, principalement à l'épine dorsale et à la cage thoracique,et, chaque fois que l'enf
rnière en date, elle semble faire partie au bord inférieur du grand dorsal . Dans la région loinbiîre, des deux côtés, des
l'omoplate. Elles représentent l'ossifi- cation des muscles grands dorsaux , trapèzes, rhomboïdes, et celle des fascia sacr
côtés, ossification des sus et sous-épineux; des ronds, des grands dorsaux et grands pectoraux il l'aisselle. Qnelques tub
étendues, thèse de Zurich, 1867 ; Billroth, Ossification des fascia dorsales . Archives de Langenbeck, 1869, p. 459-46G. Ul
aucune direction musculaire (ri. 1). Ossification des deux grands dorsaux ; l'angle inférieur de l'omoplate semble 288 A.
redresser. Peu de mouvements latéraux et de rotation dans la colonne dorsale . La colonne cervicale est plus libre, mais ses
deltoïde gauche, La plus grande partie des muscles du dos : grands dorsaux , grands et petits ronds, ossifiés, surtout au n
sse osseuse énorme. Une bande osseuse suit le bord externe du grand dorsal de chaque côté. Absence de mobilité de la colonne
colonne cervicale et de la tète; torticolis du côté droit. Scoliose dorsale a droite. Ossification des ten- dons des grands
a droite. Ossification des ten- dons des grands pectoraux et grands dorsaux fixant les bras au tronc. Deltoïde droit contie
se. Déviations de la colonne : à gauche et en arrière de la portion dorsale , en avant et à droite de la portion lombaire.
bas ; elle émet deux bandelettes au niveau de la première vertèbre dorsale , qui se diri- gent transversalement en dehors e
e à l'iliaque gauche. Atro- phie des muscles grand dentelé et grand dorsal . Les cavités pleurales contiennent une quantité
le. A. P. -A t'age de 5 ans formation subite d'une tumeur sur grand dorsal qui s'est bientôt transformée en une pointe oss
apparition des phénomènes sur l'épaule gauche et atteinte du grand dorsal de ce côté. La tête, le cou et le bassin étaien
Sur le dos, on voit l'ossification des tendons d'insertion du grand dorsal et du grand dentelé sous forme de bandes, la gauc
arrière, elle se réunit avec la masse os- seuse du trapèze. Grand dorsal très atrophié. Les muscles profonds du dos passen
s et organes des sens normaux. La partie supérieure de la colonne dorsale semble fortement cyphotique par suite des forma
seuses au niveau des apophyses épineuses des 3e, 4e et 58 vertèbres dorsales . Mouvements de la colonne cervicale très limités.
et se dirigeait jusqu'aux omoplates en suivant le trajet des grands dorsaux . Des nombreuses travées transversales unissent
s osseuses. Des ossifications dans les grands pectoraux, les grands dorsaux et les biceps, principalement à gauche. Les del
ramifiant ; elles suivent d'une façon générale le trajet des grands dorsaux et vont jusqu'au creux axillaire par dessus l'ang
s'attachent aux bras. Les insertions des grands pectoraux et grands dorsaux sont ossifiées, d'où un épaississement sensible
nte aux côtes ; tout près d'elle , dans l'épaisseur du muscle grand dorsal , se voit une arcade osseuse indépendante. Le bo
l'omoplate sur une lame correspondant à l'é- tendue du muscle grand dorsal ; cette lame se recourbe sur le bras droit et se
mation du psoas en deux masses dures. Scoliose droite de la colonne dorsale et gauche de la colonne lombaire. A partir de la
sale et gauche de la colonne lombaire. A partir de la 7e ver- tèbre dorsale , les apophyses épineuses et les ligaments susépin
nt trans- formés en une masse osseuse. L'apophyse épineuse de la 7" dorsale , épaisse Fig. 6.- Myosite ossifiante progressiv
forme de sablier; plus bas, au niveau des apophyses des 11° et 12e dorsales , elle envoie deux branches osseuses ; plus bas
ique directe. Les muscles accessibles du dos, rhomboï- des et grand dorsaux , donnent une très petite contraction faradique. L
1872, tuméfactions aux deux côtés des vertèbres 7e cervicale et 1° dorsale ,dans les parties molles; elles ont laissé, à lo
oedème,sans albu- minurie. Plus tard, même processus dans le grand dorsal gauche, le biceps brachial gauche, les intercos
a musculature des régions citées a la consistance de l'os, le grand dorsal gauche notamment, se montre comme une lame osse
voit deux saillies osseuses des deux côtes des 9" et 10° vertèbres dorsales ; la gauche envoie une ramification vers l'angl
; elle-même va se jeter sur la lame qui correspond au trapèze grand dorsal et grand dentelé. La branche inférieure envoie à
iaque droit, le sacrum et les saillies osseuses indiquées. Scoliose dorsale à convexité gauche : immobilité absolue de la col
brachial antérieur, triceps et les inser- tions des muscles grands dorsaux , grands ronds et grands pectoraux. Atrophie du
iration presque entièrement abdominale. Au dos, de la 8° vertèbre dorsale part verticalement en haut jusqu'à la 4e cer- v
et pourvue de plusieurs bosselures. A la hauteur de la 5e vertèbre dorsale , apparaît une lamelle os- seuse, qui, sous form
dehors jusqu'à l'épine de l'omoplate gauche. Ankylose de la colonne dorsale légère- ment en cypho-scoliose. Les omoplates s
. Atrophie du triceps. (1) L'auteur veut sans doute parler du grand dorsal , le trapèze ne contribuant pas à former la paro
e série de nodosités apparemment situées le long des bords du grand dorsal : une dans le trapèze gauche, un peu au-des- so
supé- rieure du sterno-mastoïdien droit. Six nodules dans le grand dorsal gauche, entre l'omoplate et l'épine dorsale.
ix nodules dans le grand dorsal gauche, entre l'omoplate et l'épine dorsale . 12 novembre 1892. Il y a huit mois, chute sur
tête et le cou sont fléchis sur la partie supérieure de la colonne dorsale ; celle-ci est fléchie sur sa portion inférieur
dorsale ; celle-ci est fléchie sur sa portion inférieure. Vertèbres dorsales inférieures, lombaires et sacrées sont situées
e ligne droite allant jusqu'à la partie moyenne du dos ; la colonne dorsale supérieure forme un segment de circonférence à co
is, et surmontée de la petite courbure du cou (Fig. 1). Décubitus dorsal . Pour mieux apprécier les déformations antéro-pos
courbures du rachis ankylosé de Duf...; les colonnes lombaire et dorsale infërieuressonten ligne droite; la partie supér
une ligne droite qui s'étend jusqu'à la partie moyenne de la région dorsale ; le rachis dorsal supérieur et cervical fait une
s'étend jusqu'à la partie moyenne de la région dorsale ; le rachis dorsal supérieur et cervical fait une deuxième cour- b
vité droite (Pl. XXXVIII, 2). Les apophyses épineuses des vertèbres dorsales inférieures et lombaires, ainsi que les épines
u- laire des deux mains. En outre, sur la partie moyenne de la face dorsale des phalangines des deux mêmes doigts, on const
e flexion du tronc, etc. 11 n'a pas de douleurs au niveau du rachis dorsal . Dans les grandes inspira- tions, Duf... ressen
dans le repos au lit. A ma première visite, même dans le décubitus dorsal , la tête était portée en avant, le menton rappr
t de la ci- nématique. Duf...ne peut dormir que dans le décubitus dorsal ; le sacrum, les lom- bes, la partie inférieure
s'effectue en suivant une marche ascendante. L'anky- lose du rachis dorsal ne semble pas s'accompagner de douleurs com- pa
ment réunis les uns aux autres depuis le sacrum jusqu'à la première dorsale ; dans la région lombaire se montrent des tubér
ent d'une vertèbre à la vertèbre voisine; plus haut, dans la région dorsale , les tubérosités font défaut, mais la réunion d
tion que M. Marie a faite de la rareté des exostoses dans la région dorsale de la pièce du musée Dupuytren. Patiiogénie de
e espoir. Après deux mois de massage et d'électrisation des muscles dorsaux et lombaires, le malade de Béer avait recouvré
s transversales, on remarque que le canal central, dans les parties dorsale et cervicale, est très élargi, de sorte que la mo
l est ouverte et la moelle épi- nière n'existe que dans les régions dorsale et lombaire (PI. XLII, M). L'oeil surtoutprésen
topographie des substances blanche et grise des parties lombaire et dorsale de la moelle cérébrale,mais dans la région cerv
upérieure, la moelle épinière existait L seulement dans les régions dorsale et lombaire; elle était encore plus mince et n'
en 188 déjà l'enfant présentait des plaques osseuses dans le grand dorsal droit et un noyau induré à la partie externe du g
ues jours auparavant. ' 25 mai 1886. - Sur le bord externe du grand dorsal (ou du petit rond) se voit une plaque osseuse d
nies aux os sous-jacents. Pas de nodosités semblables dans le grand dorsal du côté gauche. A gauche, sur(le dos, une grand
es ; les steruo-mastoïdiens et les trapèzes sont libres. La colonne dorsale est raide et tient constamment le corps penché ve
uque, le dos et les muscles grand dentelé, grands pectoraux, grands dorsaux , trapèzes, les masses sacro-lombai- res sont os
tour des épaules, la paroi postérieure de l'aisselle, le dos (grand dorsal 1) étaient atteints fréquemment, symétrique- me
ture scapulaire, spécialement des tendons du grand rond et du grand dorsal . Les muscles de la nuque et du dos sont ossifiés
. Muscles de l'épaule ossifiés ; à gauche : le grand rond, le grand dorsal en partie, le grand pectoral ; l'omoplate est f
seur a apparu sur le front et disparu de même ; une 3e sur la colonne dorsale qui a disparu également. Coqueluche à un an.
tentative ne fut pas suivie de succès, car le petit rond, le grand dorsal , les pectoraux et une partie du deltoïde étaient
- rieures du dos vers le sacrum et la crête iliaque gauche. Grand dorsal et grand pectoral ossifiés à l'épaule (ce dernier
et se dirige en bas et en arrière dans la direction du muscle grand dorsal ; son extrémité inférieure correspond à la 10" cô
no-mastoïdien tendu au-dessus de la tumeur mentionnée. - Scoliose dorsale droite, légère courbure de compensation lombaire
e droite, légère courbure de compensation lombaire gauche ; cyphose dorsale supérieure penchant la tête an avant. Respirati
te droite, plus large sur l'an- gle inférieur. La partie du grand dorsal qui recouvre l'angle inférieur de l'omoplate pa-
ications à gauche, mais moins accusées ; mêmes lésions sur le grand dorsal . Le bras droit s'éloigne du tronc de 4raz, les do
cipitale ; elle est légèrement mobile et semble appartenir au grand dorsal . La peau offre à-son niveau une cicatrice, résu
é jusqu'à 45°, l'adduction complète est impossi- ble. Dans le grand dorsal masse osseuse étendue de l'angle inférieur de l'o
, plus mobile à la région lombaire. A gauche des 5e et 6e vertèbres dorsales , dans les fibres les plus inférieures du trapèze,
de large. Sur le côté gauche plusieurs petits nodules dans le grand dorsal , dont trois fixés aux côtes, paraissent occuper
lement de la crête iliaque à la 18 côte. Le bord antérieur du grand dorsal est saillant et transformé en une masse irrégul
'ais- selle gauche; la tumeur comprenait toute l'épaisseur du grand dorsal ; elle ne s'insérait sur aucun os. La mobilité
hée en avant ; il est incapable d'étendre complètement les portions dorsale et lombaire de la colonne vertébrale ; colonne
uche et occupant une grande partie de la portion axillaire du grand dorsal . ' D'autres masses dans le grand rond, le long
de la raideur du dos ; les masses osseuses, surtout celles du grand dorsal , sont augmentées de volume. Nouvelles masses os
ses osseuses il gauche de la colonne commençant vers la 8° vertèbre dorsale et se dirigeant en dehors et en haut vers l'omo
paralysie des cordes vocales. Les muscles atteints sont : le grand dorsal , les scalènes, la masse sacro-lombaire. Bras dr
asse sacro-lombaire. Bras droit fixé par le tendon ossifié du grand dorsal ; elle souffrait dans le dos, scoliose légère.
, se pro- , longeant en arrière et en bas dans l'épaisseur du grand dorsal et grand den- telé. 9 mars 1893. - Pour relâc
ars 1893. - Pour relâcher l'épaule, on sectionne le tendon du grand dorsal il droite, on excise une masse osseuse très dense
élevés en avant : scapulum alatll1n simulant une gibbosité cervico- dorsale . La paroi latérale du thorax, dans sa moitié infé
égion scapulo-humérale : angulaire de l'omoplate omobyoïdien, grand dorsal , grand rond, grand pectoral, deltoïde, etc., le
e mastoïdo-huméral. Le trapèze inférieur est au contraire un muscle dorsal . Ainsi chez l'homme, le muscle trapèze se trouv
le trapèze cervical, en don- nant quelques rares filets au trapèze dorsal . Le plexus cervical donne bien quelques filets
s de trapèze claviculaire ou cervical et de ira- pèze scapulaire ou dorsal , le premier s'appliquant à la portion supérieure
mbresupé- z rieur et par la force tonique des pectoraux et du grand dorsal . Quel est le mécanisme de l'élévation en masse
ction, des muscles sous-scapulaire, grand rond, petit rond et grand dorsal , c'est-à-dire de la'paroi postérieure de l'aiss
cette paroi postérieure, formée ici par le bord antérieur du grand dorsal , reste encore visible, mais considérable- ment
té il la pression entre la neuvième et la onzième apophyses épineuses dorsales , sans trouble de la sensibilité de la peau. Pas
avec des plaques osseuses se trouvant sous le deltoïde et le grand dorsal . On trouve aussi des noyaux à l'origine du gran
. On trouve aussi des noyaux à l'origine du grand dentelé. Le grand dorsal présente un bord tranchant à l'aisselle, il est
é avec des plaques osseuses sous le deltoïde et aussi avec le grand dorsal (quoique cela ne soit pas tout à fait cer- tain
e cela ne soit pas tout à fait cer- tain). La maladie dans le grand dorsal gauche est plus apparente au-dessous de l'angle
us marquée à gauche qu'à droite ; elle semble faire partie du grand dorsal . ' Le trapèze est sain. Dans les triangles po
r le bord interne des omoplates, des plaques osseuses dans le grand dorsal . Les bras, le plus souvent fléchis, ne peuvent
du splenius gauche et du sterno-hyoïdien droit. Le domaine du grand dorsal est envahi par une tumeur saillante, de con- si
en bas, qui correspondent au grand dentelé et aux faisceaux du grand dorsal DE LA MYOSITE OSSIFIANTE PROGRESSIVE 479 qui
s droites, bande- lettes saillantes commençant sur le bord du grand dorsal et s'insérant par leurs deux extrémités sur les
rs après, on enlève le faisceau musculaire très douloureux du grand dorsal gauche, correspondent à la 10e côte, sur une lo
t ossifié dans ses parties moyenne et supérieure. Pectoral et grand dorsal gauches ossifiés. Deltoïdes et biceps d'apparence
e la tête sont plus libres. Ossification plus avancée dans le grand dorsal gauche. Ons. XLV11. Willette, Arch. of. Surgery
quelette. La colonne vertébrale est ossifiée jusqu'à la 7e vertèbre dorsale . Les disques intervertébraux étant conservés, il
ses. Saillie notable de la 7° vertèbre cervicale, tandis que la Il' dorsale est située profondément. Des deux côtés de la col
osseuses tout autour de la région axillaire, surtout dans le grand dorsal . L'abduction est possible jusqu'à 35°. Diminuti
à l'humérus qui est épaissi au niveau des insertions des muscles long dorsal et grand pectoral. Ossifications dans quelques
rs et extenseurs de l'avant- bras gauche. L'ossification du grand dorsal empêche les mouvements du bras droit, les autre
ots osseux. Scoliose à gauche de la colonne cervicale, à droite de la dorsale , à gauche derechef de la lombaire. Ni cyphose,
n est marquée dans les muscles latéraux du thorax, surtout le grand dorsal . Les ligaments de la colonne vertébrale et les ap
ch , 1787, t. V, p. 301. B1LLROTFT. - Ossification des aponévroses dorsales . Arch. de Langenbeck, 1869, X, 459. Bctsscn-IIu
ltiples. Boston med. journ., 1894, p. 43. - Ossification du grand dorsal , des scalènes et des masses sacro-lombaires. Med.
5 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
pes : 1° Cas avec signes de compression de la moelle ou des racines dorsales et lombaires supérieures. 2° Cas avec signes
ales. I. Cas avec signes de compression de la moelle ou des racines dorsales et lombaires supérieures. Ce sont les faits d
ieuses consécuti- ves, apparurent une légère proéminence de la 1 re dorsale et une sensibilité à la pression des premières
us acutus. Chipault ayant pratiqué la laminectomie des 8e,9e et 10° dorsales ,trouva devant la moelle une caverne osseuse ram
ulien droit était exagéré ; le palper révélait une petite gibbosité dorsale , dont les parents ne s'étaient pas aperçus; 6 moi
la tête douloureuses ainsi que la pression des premières vertèbres dorsales , mais l'absence de gibbosité rend le diagnostic
ours après mort dans le marasme. Autopsie : carie de la Ve vertèbre dorsale . Nous croyons devoir résumer en quelques mots u
à partir de l'ombilic ». Autopsie : carie étendue de la ° vertèbre dorsale à la'lre lombaire avec com- pression et ramolli
araplégie. Autopsie ; caverne tuberculeuse des 7°, 8°, 9" vertèbres dorsales , ouverte dans le canal rachidien : propagation du
A l'autopsie, caverne tuberculeuse des corps des 2°, 3°, 4* vertèbres dorsales , ouverte dans l'espace épidural : le foyer tube
euse détruisant la moitié portérieure des 6" et 78 corps vertébraux dorsaux ; propagation au tissu épi- dural ; de plus, tra
ges molles dans leur moitié antérieure, au-dessous de la 6e vertèbre dorsale , (histologiquement, inflammation mixte tubercul
u des apophyses épineuses de la région dorso-lombaire, surtout XIIe dorsale et Ire lombaire ; à ce niveau, bande d'hyperest
A l'autopsie (V. pl. II, fig. c), caverne tuberculeuse de la VIII° dorsale , avec, dans l'espace épidural, une masse caséeu
asse caséeuse non ramollie, englobant les racines de la 7e à la 10e dorsale et, au niveau des 8e et 9e comprimant la moelle d
uva un mal de Pott ancien, siégeant dans le corps de la 5e vertèbre dorsale , et ayant déterminé une pachyméningite dont la na
ne région pres- que immobile à l'état normal, comme l'est la région dorsale moyenne. En somme, dans les cas où les symptôme
MES DES TROUBLES NERVEUX 11 compression de la moelle et des racines dorsales et lombaires supérieures, le début est, à peu p
elles furent continuelles, puis, elles s'accompagnèrent de douleurs dorsales et thoraciques attribuées à l'hystérie. Un an a
les troubles abdominaux. A l'autopsie,le corps de la XIIe vertèbre dorsale est réduit à une mince coque osseuse dont le ce
aux, pas d'inégalité pupillaire ; douleur la pression des vertèbres dorsales supérieures (Il n'est pas fait mention de troub
après le début. A l'autopsie, carie tuberculeuse de la 2a vertèbre dorsale ; au niveau des 28, 3e et 4a l'espaceépidural est
cé non adhérent la pie-mère, qui est normale : au niveau de la lyre dorsale , nouveau foyer de carie avec épaississement de la
avec épaississement de la gaine des VIII0 ra- cine cervicale et Ire dorsale droite avec absence de lésions dégénératives dans
cussion des apophyses épineuses était douloureuse, de la 3° à la 6e dorsale . Aucun symptôme morbide aux membres supérieurs, à
s parlons plus haut, les apophyses épineuses de plusieurs vertèbres dorsales étaient douloureuses à la pression. Telles sont
s mouvements provoqués. Difficile à mettre en évidence, à la région dorsale , dont les mouvements sont presque nuls à l'état
des Praticiens, 1904, n-s 9 et 10. 28 ' ALQUIER épineuse de la 78 dorsale fait urie saillie suffisante pour rendre le diagn
es les tuberculoses osseuses, quel que soit leur siège. A la région dorsale , on ne peut explorer que les apophyses épineuses
es seins et douleurs à la pression au niveau de plusieurs vertèbres dorsales supérieures, avaient permis de penser au mal de
'arc antérieur de l'atlas à l'apophyse odontoïde. Fig. 2. Colonne dorsale moyenne. - Allongement des apophyses épineuses.
Ossification des ligaments costo-transversaires. Fig. 3. Colonne dorsale moyenne. - Ossification costo-vertébrale (faisc
Marie et Astié). Remarquer l'énorme gibbosité, limitée ,¡ la région dorsale . LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 37 jouaient un rô
nt la convexité des courbures ; par exemple au niveau de la cyphose dorsale étaient ossifiés ceux de la partie postérieure,
nt ses genoux. Latéralement il y a une légère scoliose de la région dorsale moyenne avec convexité à droite. La régularité
st interrompue qu'au niveau de la 7e cervi- cale et de^ la première dorsale où l'on voit les traces d'une luxation ancienne
nifeste par un angle que forme la colonne cervicale avec la colonne dorsale ; cet angle ouvert en avant est très obtus et in
ineuses et les ligaments jaunes des 6° et 7° cervicales et première dorsale ne forment plus qu'une lame osseuse unique, plane
la courbure brusque, angulaire, mais tout à fait limitée a la région dorsale moyenne où l'on voit l'ossification du li,7.i-
nd ligament commun antérieur. Les apophyses épineuses des vertèbres dorsales supérieures paraissent très allongées par une o
ssifica- tion est totale entre les apophyses épineuses des 4e et 5° dorsales . Il y a aussi une ossification légère de ce lig
les cervi- cales et les lombaires nettement (PI. VIII, fig. 2), les dorsales moins net- tement parce que, profondément situé
e des disques à la région lombaire, ligament surépineux à la région dorsale , etc.) comme pour limiter les déformations, en de
i XI)'. On remarque une'cyphose très marquée au niveau de la région dorsale moyenne,avec maximum au niveau des 7e et 8° vertè
oyenne,avec maximum au niveau des 7e et 8° vertèbres; la' ° colonne dorsale supérieure est presque à angle droit avec l'infér
des lésions portent au même niveau,entre la 6"et la 12e ver- tèbres dorsales ; elles consistent en une ossification en saillie
ui formait une bande osseuse moniliforme de la 6e à la 12e vertèbre dorsale , un peu à droite de la ligne médiane ; or cette
nière, joues, régions axillaires, inguinales poplitées et à la face dorsale des mains. Mais spécifions les principales alté
plus foncé et légèrement cyano- tique sur chaque pommette. La face dorsale des mains, avec ses fossettes infantiles, est t
s symptômes observés nous donnent le droit de demander si la moelle dorsale de notre malade est absolument intacte. Les exace
lle-pas supposer qu'il y a peut-être certains segments de la moelle dorsale qui participent au processus morbide ? Les douleu
s tabétiques d'une irritation des racines postérieures de la moelle dorsale : mais, il me semble, que dans ce cas-ci les do
plus ou moins enfantins. Il n'existe point de cyphose cervicale et dorsale supérieure ni une augmentation de.volume des clav
eux pas nier qu'il n'y ait des changements probables dans la moelle dorsale dans l'acromégalie. Mon confrère Wintler a trou
emble plus vraisemblable par l'influence du système nerveux (moelle dorsale , vaso-moteurs, système nerveux périphérique) ont
e de la salle, 18°. De plus, on note à droite, au milieu de la face dorsale du 3e orteil une ulcé- OEDÈME DES PIEDS 97 ra
illimètres et zone de congestion diffuse. OEdème des pieds. La face dorsale des deux pieds est le siège d'un oedème élastiq
la couche sa- gittale interne, mais elles occupent aussi la partie dorsale du faisceau longitu- dinal inférieur. D'autres
rophie consi- rable des grosses cellules multipolaires de la partie dorsale du corps genouillé externe, la dégénérescence s
u lon- gitudinal inférieur, un caractère mixte. Pour lui, la partie dorsale ou supé- rieure de ce faisceau renferme, au niv
circonvolutions dont il constitue la substance profonde. La partie dorsale de ce faisceau se confond avec les radiations tha
idité extrême, puisqu'en 6 mois à peine se constituait la gibbosité dorsale avec les carac- tères présentés à l'heure actue
malade présente une cypho-scoliose extrêmement marquée de la région dorsale supérieure. Cette scoliose est à convexité droi
scoliose est à convexité droite ; elle intéresse les dix premières dorsales et le sommet de la courbe se trouve au niveau d
ntimètres (Pl. XX)- Immédiatement au-dessus de cette cypho-scoliose dorsale supérieure, la tête est ramenée à la verticale
se dessine une scoliose à con- vexité gauche intéressant la région dorsale inférieure et la région lombaire. Le rachis est
est vrai, mais ils demeurent une rareté. De plus, cette cyphose est dorsale supé- rieure, et ne commence nullement au nivea
t dorsale supé- rieure, et ne commence nullement au niveau de la 5e dorsale , comme c'est la règle (Kirmisson) dans la scoli
che dans la régioncervicaleetdorsalesupérieure, puis dans la région dorsale inférieure et lombaire une deuxième courbe à conc
douleur. Analgésie. Hypoalgésie des organes génitaux, des piads (face dorsale ), au- dessus des mamelons et des doigts. DEUX
mains la peau est hypoesthésique, mais celle qui recouvre les faces dorsales des doigts, le dos des pieds et des orteils, la
e xyphoïde, la première correspond sur le schéma de Kocher à la 12e dorsale et la seconde à la 7e ou à la 8e dor- sale. L
tion directement des racines. Par exemple, pour la première paire dorsale et la dernière cervicale, la pupille et l'oeil,
la partie extra-rachidienne de la 8e paire cervi- cale et de la tre dorsale peuvent être malades sans donner lieu à phéno-
ension des 5* et 6" racines et même de la 7° cervicale, et de la 4e dorsale que la mise en oeuvre d'une force plus grande p
lexion, ou, sur le col de la première côte, 176 socA pour la 1 re dorsale . Par des mouvements d'abduction et d'extension fo
e externe; quelques fibres occupent la partie la plus supérieure ou dorsale de la couche sagittale externe et entrent dans la
intégrité absolue de tout le cor- don antéro-latéral dans la moelle dorsale et lombaire ; il existait seule- ment dans une
n, la peau est écailleuse, sèche, parfois ichtyosique ; sur la face dorsale du pied ou autour des malléoles, on constate pa
ielle sans avoir jamais présenté le moindre signe clinique de tabes dorsal . , A l'autopsie, l'examen de la moelle a vérifi
elles des racines postérieures. (1) NAGEOTTEJ Pathogénie du tabès dorsal . Presse médicale, 10 décembre 1902 et 3 janvier
du cordon sympathique thoracique gauche au-dessous de la 3' racine dorsale (observ. 1, chat adulte, sacrifié 247 jours après
adulte, sacrifié 247 jours après la section des 3 premières racines dorsales postérieures- gauches dans leur trajet extradural
mais particulièrement intense au pôle médullaire et le long du bord dorsal et du ganglion. A la place des cellules disparu
e l'avait indiqué Bumm), au voisinage du pôle médullaire et du bord dorsal . Les cellules disparues appartenaient principale-
rrington coupa chez des chats et des singes, les 4e, 5e, 6e racines dorsales . Au bout de 14 et de 18 jours, pas de fibres in
du cordon sympathique thoracique gauche au-dessous de la 5, racine dorsale (observ. XII, chat adulte, sacrifié 18 jours aprè
ulte, sacrifié 18 jours après la section des 3', . 4° et 5e racines dorsales postérieures, extradurale). Présence de nombreuse
(1) Koster, loc. cit. (2) Paviot, Des lésions méningées du labes dorsal . Lyon médical, 10 décembre 190 5. (3) NAGEOTTE,
lose-éther ; section à la pince des lames des 10° et il,, vertèbres dorsales . Section des deux racines postérieures du côté
sous éther le 21 juillet 1899 ; section des 3°, 4e et 5e raci- nes dorsales postérieures gauches, entre la moelle et le gangl
ine myélinique qui va disparaître. Moelle au niveau de la 8° racine dorsale . - Jusqu'à ce niveau la moelle ne présente aucu
ns touchée (fig. 5). 350 GIUNIO CATOLA Au niveau de la lié racine dorsale , le cordon latéral gauche est presque complètem
a région bulbaire immédiatement sous-olivaire, jusqu'à la 8° racine dorsale , presque toute la substance nerveuse, sauf quel-
petite qu'à l'ordinaire,par- ticulièrement au niveau de sa portion dorsale . Examen histologique. En procédant de haut en b
et la corne latérale droite (fig. 3). Au niveau de la, 6° racine dorsale toute la moitié droite de la moelle, la com- mi
a zone radiculaire interne (fig. 4). Au niveau des li'etl2° racines dorsales on observe seulement une très légère raréfaction
pla- ques. Au niveau de la grande plaque de sclérose du 6e segment dorsal (fig. 5), les cellules des cornes antérieures s
ux comme, par exem- ple, c'est le cas au niveau du segment de la 6e dorsale (fig. 5), présentent tou- jours leurs fibres pr
ec la méthode de Weigert. FiG. 5. Moelle au niveau de la 10° racine dorsale . FiG. 6. - Moelle au niveau de la 11, racine do
la 10° racine dorsale. FiG. 6. - Moelle au niveau de la 11, racine dorsale . FiG. 1. Moelle au niveau de la 2° racine lomba
' cervicale. FiG. 3. - 506° racine cervicale. Fir. 4. - 6° racine dorsale . FiG. 5. lle-12e racine dorsale. "BIBLIOGRAPH
ne cervicale. Fir. 4. - 6° racine dorsale. FiG. 5. lle-12e racine dorsale . "BIBLIOGRAPHIE ' 1. Adamkiëwicz. Ueber degen
iplen Sklerose. id. 1889. 14. Cardarklli. - Forma combinala di tabe dorsale e sclerosi a placche d'origine silitica. 15. Ca
ever. Examiné debout, il présente en outre une cyphose de la région dorsale su- périeure qui le fait marcher légèrement voû
et acromégalique présentait au niveau du thorax la cyphose cervico- dorsale qu'il est classique dedécrire chez ces malades.
largi, tuméfié et fait une volumineuse saillie au-dessus de la face dorsale de la main, elle respecte les maxillaires et pr
omplètes ou partielles de la moelle du lapin adulte entre la région dorsale et la région lombaire. Les animaux ont été sacr
des autres fibres. Muscles des gouttières vertébrales de la région dorsale moyenne. - On constate également sur ces muscle
r la méthode de Pal. Les coupes du 5° ganglion cervical 2° ganglion dorsal 2° lombaire montrent : Atrophie très considérab
tat de cette numération. A. Coupe de la moelle au niveau de la XII" dorsale , montrant l'atrophie des cellules radiculaires
trophie des cellules des cornes antérieures de la moelle cervicale, dorsale et lombaire, et atro- phie légère des racines a
odiques. La colonne vertébrale présente un faible degré du scoliose dorsale supérieure à convexité droite. Le rebord inféri
ns chondro-sternales. La colonne vertébrale pré- sente une scoliose dorsale à convexité droite avec courbure lombaire decom-
e la moyenne malgré une légère incurvation de la colonne vertébrale dorsale et une déviation des membres inférieurs caractéri
ge des orteils, celle du gros orteil principalement, est en flexion dorsale , les deuxième et troi- sième, en flexion planta
du jambier antérieur, peut produire un très léger degré de flexion dorsale , et avec les muscles de la région postérieure d
nts possibles des orteils se bornent à l'exagération de l'extension dorsale de la première pha- lange du gros orteil de cha
ée, il existé une cypho- scoliose à concavité gauche dans la région dorsale moyenne, avec saillie de NÉVRITE INTERSTITIELLE
che été décrite plus haut. Le malade étant couché dans le décubitus dorsal et les yeux ouverts, l'incoordination des membr
olume normal. Comparées aux racines d'un sujet nor- mal,les racines dorsales et cervicales sont également hypertrophiées, beau
oins à un simple examen macroscopique; pour les racines delà moelle dorsale et cervicale. La moelle n'est ni diminuée, ni a
plètement disparu : la commis- sure postérieure est intacte. XII° dorsale . - La dégénérescence est plus marquée vers la lig
e reste de la coupe. Sur les coupes des XIe, Xe, IXe, VIII0 et VIle dorsales les modifications sont à peine appréciables.
e dorsales les modifications sont à peine appréciables. VIe el Ve dorsales . Le cordon postérieur est sensiblement réduit dan
nces moins importantes qu'elles ne le sont en réalité. 1 Ve et Ille dorsales . - Aucune modification notable. La même différenc
'est pas très franchement délimitée, elle est plutôt diffuse. Ire dorsale . - La même dégénération diffuse subsiste dans les
STITIELLE HYPERTROPIIIQUE ET PROGRESSIVE DE L'ENFANCE 493 la région dorsale ; la zone radiculaire moyenne est toujours la plu
sur la face plantaire du pied et des orteils, ainsi que sur la face dorsale jusqu'au niveau de l'articulation tibio-tarsienne
tendue de la face palmaire des doigts et de la main, et sur la face dorsale , jusqu'à l'interligne métacarpo-phatangien. Peu
me état pour la face palmaire des doigts et-de la main. Sur la face dorsale des doigts, la sensibilité réapparaît très atténu
ansmission, atteignant 4 à 5 secondes pour les régions plantaire et dorsale des pieds et diminuant de bas en haut. Ce retard
. Chaleur (eau à 70 degrés). Très diminuée sur la face plantaire et dorsale des pieds, avec retard de 2 h 3 secondes à ce n
em- bres supérieurs altérations également très marquées sur la face dorsale et pal- maire des mains, diminuant de bas en ha
- formation spéciale : la première phalange du pouce est en flexion dorsale forcée, tandis que sa phalange unguéale est en
s quatre derniers orteils, dont la première phalange est en flexion dorsale égale- ment forcée, tandis que la deuxième phal
ffe des orteils,.griffe très régulière, caractérisée par la flexion dorsale forcée de la première phalange de tous les orte
acines antérieures et des racines postérieures (sauf dans la région dorsale ,où elles présentent peut-être une diminution des
ntre la paroi postérieure du rachis, si la lésion siège à la région dorsale , où le canal rachidien est moins large qu'aille
s, un cas de mal de Pott terminé par méningite). I. - Mal de Pott dorsal . Cas. I (cas 880 du Laboratoire). Evolution cli
à la face ; examen ophtalmoscopique négatif. Gibbosité de la région dorsale moyenne. Mort 9 mois après l'admission, dans
- Carie ancienne avec effondrement des VIe et Vile corps vertébraux dorsaux .La partie postérieure du VI" fait une saillie acc
dure-mère. La moelle est, au niveau de l'éperon osseux (7° segment dorsal ),très aplatie d'avant en arrière, réduite à un
(1). Femme de 77 ans. Début à l'âge de 70 ans : douleurs et cyphose dorsale , sciatique double et paraplégie des membres inf
r tuberculeux ayant détruit les corps des X°, Nid, XII0 ver- tèbres dorsales ; les vestiges de la XIe forment un éperon légère
mère, et sur lequel la moelle est légèrement coudée. De la in paire dorsale jusqu'à la 1 ? sacrée, la partie anté- rieure d
à la Salpêtrière à l'âge de 69 ans, elle se plaignait de douleurs- dorsales , exagérées par les mouve- ments, depuis quelque
tuber- culeux détruisant le disque séparant les IVe et Ve vertèbres dorsales ,et les parties adjacentes de ces dernières, com
la face anté- rieure de la dure-mère, à hauteur des 6° et 7e paires dorsales , qui sont légè- rement englobées à gauche. Hi
clérose plutôt qu'au mal de Pott. Cas. IV (n° 75 ! ). - Mal de Pott dorsal . Mort 16 mois après les premiers symptômes. Inf
et descendant obliquement vers l'hypogastre. Voussure de la colonne dorsale inférieure, indolore au palper et à la percus-
loré, jaunâtre. Rachis.- Carie des corps vertébraux des VIe et VIIe dorsales , s'ouvrant dans l'espace épidural. A partir de
mesure qu'on remonte, et, comme elle, disparaissent dans la région dorsale moyenne. Les cellules nerveuses présentent des
so-lombaire qui est douloureuse an palper,surtoutau niveau des Xlle dorsale et Ire lombaire légèrement saillantes. A ce niv
de la névroglie. Rachis. - Foyer tuberculeux du corps de la VILLE dorsale , se propageant dans l'espace épidural, où on tr
amollie, étendue, contre la dure-mère au devant des 7e-10° segments dorsaux débordant sur les côtés et englobant les racine
nnés. Rachis.- Carie tuberculeuse des IIe,llIe,lye corps vertébraux dorsaux ,s'ou- vrant en arrière dans le canal rachidien
s. Cervelet, pas de lésions. De ces 6 observations de mal de Pott dorsal , les deux premières sont des exemples nets de C
antéro- postérieur du canal rachidien au niveau de la VIe vertèbre dorsale ; il n'y a pas de foyer épidural proprement dit,
52 ! ' Dans le second cas, un fragment du corps de la XIe vertèbre dorsale , presque complètement détruite, est repoussé en
qu'à la 4° lombaire. Les racines antérieures des 5e lombaires et 18 dorsales sont légèrement atteintes à leur sortie de la moe
L DE POTT CHEZ L'ADULTE 525 illi. - Mal de Pott cervical et cervico dorsal . OBs. IX (nO 835). Destruction complète de la V
en arrière, depuis la région cervicale moyenne, jusqu'au le, segment dorsal , c'est-à-dire au niveau du foyer épidural. Celu
esseur Raymond où on constate : Mal de Pott avec gibbosité cervico- dorsale douloureuse au palper et à la percussion ; il évi
ans gibbosité, détruisant complètement le corps de la III9 vertèbre dorsale .- Foyer épidural englobant les deux pre- mières
èbre dorsale.- Foyer épidural englobant les deux pre- mières paires dorsales , surtout gauches Cliniquement : pamplégie spasmo-
e de 48 ans. Début par des crises de douleurs lancinantes, cervico- dorsales , avec irradiations le long du rachis. 3 mois plus
es et profondes, au-dessous d'une ligne horizontale,passant par la 6e dorsale . Rien aux membres supérieurs ni à la face ; myo
re. Foie et reins amyloïdes.. Rachis. - Le corps de la hop vertèbre dorsale est entièrement détruit par un foyer tuberculeu
face antérieure de la dure-mère au niveau des deux premières paires dorsales , qui sont étroi- tement englobées à droite, moi
aussi marqué dans l'observation XI, pour les deux premières paires dorsales , et cepen- dant, il n'y avait dans ce cas, aucu
30 ALQUIER Cas avec syphilis. , OBS. XII (n° 862). - dlal de Pott dorsal inférieur se traduisant par de simples douleurs
Broncho-pneumonie caséeuse : effondrement des XIe et XIIe vertèbres dorsales avec gibbosité anguleuse et présence d'un éperon
seaux sont dilatés, pleins de sang. Ces. XIII (n° 798). Mal de Poil dorsal chez une syphilitique probable, lésions tabétif
ombo-sacrée. Femme présentant depuis t'age de 30 ans un mal de Pott dorsal avec gibbo- sité. A 50 ans, douleurs vagues dan
le début, admission il la Salpêtrière où on cons- tate une cyphose dorsale moyenne indolore : paralysie flasque des membres
ose pulmonaire ancienne. Mal de Pott avec destruc- tion du 4e corps dorsal , lésions des 2 voisins, gibbosité angulaire. Au
ines paraissent intactes. Cas. XIV (n° 870). Tuberculose vertébrale dorsale ancienne : tubercule épidural de la région cerv
e au microscope) ; pas d'amyotrophie. Rachis : de la VIe à la VIIIe dorsale , foyer de carie ancienne au centre des corps ve
nissent les méninges molles à la dure-mère au niveau des 60 racines dorsales (maximum du foyer épidural). Histologiguement l
ral a la structure d'un tubercule en activité ; à son niveau ( ? 7° dorsales ), la moelle est atteinte de sclérose névroglique
Cas avec méningite, probablement tuberculeuse. Uns XV. Mal de Pott dorsal . Guérison apparente après 8 mois d'immo- bilisa
sans tubercules nets. Foyer de carie sur le corps de la Xe vertèbre dorsale , limité à sa face postérieure, et pointant vers
de plusieurs segments au niveau des cordons postérieurs à la région dorsale moyenne. ' Tels sont les faits : leur interprét
variait d'un cas l'autre. Obs. XII : la saillie formée par la XIIe dorsale , bien que réduisant envi- ron de moitié le diam
es au mi- croscope. 1 Obs. II : la saillie osseuse est sur la XIe dorsale ; la coudure et la compression de la moelle sont
résence des lésions épidurales. ' Obs. I. : la saillie de. la VIe dorsale , aplatissant la moelle contre les arcs postérie
Ces lésions sont nettes dans les observations I et II (Mal de Pott dorsal avec compression osseuse), elles apparaissent s
mbaire, alors que la carie détruisait le corps de la VIIIe vertèbre dorsale . Les douleurs rachidiennes du début n'ont pas m
les méthodes de Pal et de Marchi. Il en est de même dans la moelle dorsale , III. - Remarques azatozo-clinirizces. Cette
nsibilité : Il y a anesthésie tactile et hypoalgésie dans les parties dorsale et ventrale des deux derniers doigts et des deu
a fait des coupes sériées du segment VII et VIII cervical et du le, dorsal , choisissant pour la coloration le bleu polychrom
vical, à gauche du canal central, et, plus en bas, dans la première dorsale , aussi à droite, on voit une cavité creusée dan
auche, s'étend sur tout le huitième segment cervical et la première dorsale n'ayant que quelques courtes interruptions ; le
bulbe de façon à ce que la face ventrale soit supérieure et la face dorsale (plancher du ventricule) infé- rieure, pour se
6 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ons sont rares et resserrés les uns contre les autres, et les lames dorsale et ven- trale sont remarquablement rapprochées
ses débuts. Coupe B. A'.\7/, noyau de l'hypoglosse. NXd, noyau dorsal du vague. Fcv + NdcR, faisceaux céréhello-vesti
cv + NdcR, faisceaux céréhello-vestibu- laires (Thomas), plus noyau dorsal du corps restiforme (Gudden). cR, corps resti
ibres arciformes internes. fs, faisceau solitaire : NclcRd, noyau dorsal du corps restiforme dégénéré. NCud, hémisphèr
t très bien conservés et que leurs cellules sont normales. Le noyau dorsal gauche du pneumogastrique est de même absolument
est de même absolument normal. Par contre on trouve dans son noyau dorsal droit, ainsi que dans le noyau terminal de Koel
yau du glosso-pharyngien (c'est-à-dire la partie proximale du noyau dorsal du vague) est normal des deux côtés. Le faiscea
on de substance grise que Gudden et Mingazzini ont appelée le noyau dorsal du corps restiforme (segment interne du pédoncule
noyau qui est- surtout dégénérée. La région correspondante du noyau dorsal du corps restiforme droit est tout à fait norma
conservée, comme nous venons de le dire, on constate que la portion dorsale du noyau du cordon laté- ral gauche est remarqu
Ses cellules ont disparu en grand nombre, surtout dans les parties dorsales . Les faisceaux des fibres transversales au pédo
nce médullaire qui limite l'olive supérieure, y compris la par- tie dorsale de cette substance, est aussi très appauvrie en l
dans l'hémisphère gauche du cervelet et ses pédoncules. La moitié dorsale ou médiane de l'hémisphère cérébelleux gauche est
andis qu'a gauche il existe dans 72 coupes. La substance médullaire dorsale du noyau rouge et surtout sa substance mé- dull
son étendue. La pyramide gauche était aplatie et repoussée du côté dorsal . La saillie de l'olive gauche, comprimée contre
it. Edinger, que nous avons déjà cité, ne fait pas mention du noyau dorsal du corps restiforme. Il est possible toutefois
tobre 1898, no 19, p. Fi2. (10) Edinger confond évidemment le noyau dorsal du vague et le groupe cellulaire assez développ
E VERTÉBRALE GAUCHE 23 3 cervelet » la région où se trouve le noyau dorsal du corps restiforme de Gudden. La dégénération
s qu'on puisse savoir de quelle partie de ce noyau il s'agit (noyau dorsal , substance gélatineuse ou noyau terminal deIilli-
thique). C'est ce groupe que Gudden et Mingazzini ont appelé le noyau dorsal du corps restiforme. Mais le noyau dorsal du ne
zzini ont appelé le noyau dorsal du corps restiforme. Mais le noyau dorsal du nerf vague n'a rien à faire avec la substance
es que le malade localise à la région comprise entre la 5° vertèbre dorsale et le coccyx ; douleurs dans les régions lombo-co
très accentuée à concavité droite dont le sommet répond à la région dorsale inférieure, et une cyphose à long rayon s'étend
à convexité droite : le sommet de la courbe répond à la il vertèbre dorsale ; la courbe qui est à grand rayon s'étend de la
bre dorsale; la courbe qui est à grand rayon s'étend de la première dorsale à la dernière lombaire. Cette scoliose n'est pas
bord supérieur de la fourchette répond au corps de la 9° ver- tèbre dorsale ; celui qui passe par la pointe xyphoïdienne répo
pondent respectivement aux bords inférieurs des 2° et 10° vertèbres dorsales . Sa direction générale est oblique en bas et à
s. Moelle. Au niveau de la moelle examinée dans la région cervicale dorsale et lombaire nous n'avons trouvé de pathologique
sure cent. 1/2 de hauteur. Au niveau de la 1re et de la 2e vertèbre dorsale et de chaque côté de la colonne ver- tébrale de
s, au pli du coude, à la face antérieure de l'avant-bras, à la face dorsale de la main, de chaque côté de la ligne blanche,
us « le pont » que fait alors la colonne lombaire dans le décubitus dorsal , ou en constatant l'attitude spéciale que prend l
courbure de la colonne lombaire, le malade étant dans. le décubitus dorsal ; pendre le malade par les mains, lui faire faire
en bailleur, de la région sacrée à la neuvième ou dixième vertèbre dorsale , où il se termine en s'effilant; en largeur, il s
ervice. Le lendemain à la visite, je la trouve couchée en décubitus dorsal , dormant apparemment d'un sommeil tranquille, l
u venlre, une lordose dorso-lombaire s'étendant jusqu'à la huitième dorsale , un déplacement de la cinquième lombaire, une m
re avec scoliose à concavité tournée à gauche à l'union des régions dorsale et lombaire. Nodosités volumineuses indolenles su
e sur le bassin. Angle saillant en arrière et à gauche : la colonne dorsale est inclinée de 45° sur l'horizontale passant p
ètres des corps ver- tébraux. Bosselures et rugosités des vertèbres dorsales et des trois dernières lom- baires. Ecrasement
ses, dures, in- dolentes, irrégulièrement placées sur les vertèbres dorsales et lombaires ; de semblables bosselures existen
sselures, on constate une forte scoliose à l'union des deux régions dorsale et lombaire, à concavité tournée à droite ; le co
rière et à gauche. Elle est déviée à droite il partir de la dixième dorsale ; la partie supérieure de la colonne forme un a
0 centimètres à droite, ce qui explique l'inclinaison de la colonne dorsale . Sur les parties latérales, il n'y aucune modif
chant du coin, dans laquelle vient se loger le corps de la douzième dorsale . Aussi le bord inférieur droit de la douzième d
e la douzième dorsale. Aussi le bord inférieur droit de la douzième dorsale est-il rugueux et formé de tissu spongieux. Par
ant jusqu'à 8 mill. 5 D ? Il (PI. XIX, E). ' 1 Les autres vertèbres dorsales sont à peu près normales. Il en est de même, de
teur de la colonne vertébraie, et notamment au niveau des dernières dorsales , et des lombaires, on remarque l'exagération des
convexité tournée à gauche co7n- prenant les 6 dernières vertèbres dorsales et les 3 premières lombaires. Gibbosité angulai
ité droite, comprenant les 3 premières lombaires et les 6 dernières dorsales . Troisième courbure à convexité tournée à gauch
ème courbure à convexité tournée à gauche, formée par les premières dorsales et les dernières cervicales. Déviation angulair
ns et de cannelures. Exostoses nombreuses surtout sur les dernières dorsales et la première lombaire. Faces articulaires dépol
sée par une courbure siégeant au niveau des six dernières vertèbres dorsales et des trois lombaires et ayant sa convexité to
roite, comprend toutes les vertèbres lombaires et les six dernières dorsales ; le point le plus saillant se trouve au niveau du
me courbure (courbure de compensation) est formée par les premières dorsales et les dernières cervicales : elle a sa con- ve
ètres. La face supérieure n'est pas altérée. La dernière vertèbre dorsale (PI. XIX, F, Dxn), saine sur sa moitié droite,
saillies osseuses, dentelées et très irrégulières. L'avant-dernière dorsale présente sur son bord inférieur une reproduction
de l'exostose que nous venons de signaler sur la dernière vertèbre dorsale . Son bord supérieur est légèrement déprimé dans
e légère saillie osseuse située sur le bord inférieur de la dixième dorsale située au-dessus. Les bords de celle-ci sont sa
s au furet à mesure que l'on remonte vers les pre- mières vertèbres dorsales . Celles-ci, ainsi que les vertèbres cervicales, n
lonne vertébrale d'un tabétique : les cinq lombaires et la douzième dorsale . Augmentation des dimensions des corps vertébra
armi elles, se trouvent les cinq lombaires. et la douzième vertèbre dorsale . Tous ces os présentent une augmentation de leu
orps vertébral est comme bourgeonnant (Pl. XVIII, D). La douzième dorsale présente à signaler, outre le festonnement de ses
assurant la stabilite des portions vertébrales restantes. Vertèbres dorsales et cervicales peu altérées dans leurs formes. Cep
pendant sou- dure presque complète de la septième et de la huitième dorsales . Trous rachidiens, canal vertébral, trous de co
24 juin 1897. Françoise Ch... est étendue au lit dans le décubitus dorsal . La physionomie est calme, reposée cependant. S
de'la colonne vertébrale. Elle passe sans grands efforts du décubitus dorsal à la station assise : dans cette dernière posit
ures latérales : l'une, la plus apparente, commence vers la dixième dorsale et aboutit au sacrum ; elle est très accentuée su
ions brusques. La deuxième courbure, supérieure, part de la dixième dorsale et comprend toute la hauteur de la colonne vertéb
ose se continue en s'effaçant progressivement le long de la colonne dorsale : il n'existe point d'exagération de volume des
point d'exagération de volume des apophyses épineuses cervicales ou dorsales . Nulle part, la colonne rachidienne n'est doulour
s accusées ici. La première vertèbre lombaire, les quatre dernières dorsales n'offrent rien de bien saillant à signaler. Leu
ire et croissent an sur et à mesure qu'on se rapproche de la huitième dorsale . La huitième et la septième vertèbre dorsale (P
pproche de la huitième dorsale. La huitième et la septième vertèbre dorsale (PI. XIX, G, DVIII et nVII) offrent un caractèr
culomoteurs et les faciaux ; pour le rachis, les nerfs cervicaux et dorsaux . » (Revue de Huyem, XXXI, p. 609.) LA POLYNÉVRI
sous-occipitale, sous le menton, au niveau des premières vertèbres dorsales dans les régions mammaires et pubienne ; dos ca
et les mouvements de rotation du poi- gnet sont conservés. Le grand dorsal et le sus-épineux sont également bons. Le mouve
vico-facial ; 2 tumeurs symétriques à la nuque ; une dans la région dorsale interscapulaire, une sur chaque épaule descendant
Leroy des Barres. Le malade porte en outre une ulcération à la face dorsale du pied droit et un mal perforantplantaire avec
n de volume. Les pieds sont tombants, en exten- sion forcée,la face dorsale fortement convexe, la face plantaire très concave
légère à gauche de la colonne lombaire. Sco- liose latérale droite dorsale . Cinquième lombaire prolabée, en rotation légèr
profonde, allant de la cinquième vertèbre lombaire à la hui- tième dorsale , particulièrement appréciable dans la station deb
rtement lordotique et en rotation légère vers la gauche. La colonne dorsale est en scoliose latérale droite depuis la dixième
dorsale est en scoliose latérale droite depuis la dixième vertèbre dorsale . Le malade vu de dos, le rapprochement considér
st manifestement dé- placée d'avant en arrière. Dans le décubitus dorsal , on sent très nettement à plusieurs centimètres a
t et à gauche. Plis cutanés et abdomi- naux. Colonne cervicale et dorsale supérieure rectiligne. Scoliose latérale gauche d
ieure rectiligne. Scoliose latérale gauche dorso- lombaire. Lordose dorsale inférieure. Cyphose lombaire. Epaississement de
nférieure. Cyphose lombaire. Epaississement des apophyses épineuses dorsales inférieures et lombaires. Espaces inter-épineux
ade repose le plus souvent sur une chaise longue, dans le décubitus dorsal , jusqu'à ce qu'une douleur fulgurante l'oblige à
rticale que conti- nuent les apophyses des cinq premières vertèbres dorsales . A ce niveau, la verticale se continue par une
oenig). LES OSTÉO-ARTHROPATHIES VERTÉBRALES DANS LE TABES 267 bre dorsale , s'incline du côté gauche en faisant un arc légèr
e termine à la dernière vertèbre lombaire. En même temps, la région dorsale inférieure trouve une lordose très marquée, tan
- dérée. Dans le fond de cette excavation lordotique de la région dorsale , on arrive il palper très facilement la rangée
et on perçoit sur- tout l'apophyse épineuse de la neuvième vertèbre dorsale épaissie et doulou- reuse.La septième et la hui
rsale épaissie et doulou- reuse.La septième et la huitième vertèbre dorsale sont séparées l'une de l'autre par un grand esp
ire : 31 centimètres. Diamètre bis-iliaque mesuré dans le décubitus dorsal : 30 cent. 5. Diamètre bi-trochantérien : 33 ce
ade couché sur le ventre ne révèle rien de nouveau. L'en- foncement dorsal ci-dessus mentionné, les déviations de la colonne
se montrent plus facilement encore, les modifications de la région dorsale inférieure et de la région lombaire ressortent en
eur mais fait naitre une sensation désagréable. Quant à la région dorsale , on sent nettement une cavité entre les apophyses
tres les apophyses épineuses de la septième à la troisième vertèbre dorsale : il semble donc qu'il y ait ici des masses calle
ns cette région de point douloureux cons- tant. Dans le décubitus dorsal , on perçoit sans peine dans les profondeurs de l'
its. Ligne médiane du thorax reportée à gauche. Colonne lombaire et dorsale inférieure en lordose et scoliose droite. Epais
, se trouve une excavation remontant jus- qu à la neuvième vertèbre dorsale . Dans le fond de cette excavation, on trouve la
nd de cette excavation, on trouve la colonne vertébrale lombaire et dorsale inférieure en lordose avec scoliose droite. E
ès comporterait une distance de 40 centimètres. Dans le décubitus dorsal , on trouve à peu près à la même place que chez le
- (Musée de la Salpêtrière.) SOMMAIRE. Femme tabétique. Scoliose dorsale inférieure, lombaire et sacrée ci concavité ci dr
e lom- baire. 'Crête épineuse saillante, surtout dans les réglons dorsale supérieure et dorso- lombaire. Voussure hénzi
épineuses sont sur- tout saillantes et volumineuses dans la région dorsale supérieure et dorso-Iom- baire. La colonne ve
ure, comprend le sacrum, les ver- tèbres lombaires et les vertèbres dorsales inférieures : elle a sa concavité tour- née à d
pt gros plis cutanés qui vont s'épanouir en éventail dans la région dorsale postéro-inférieure. Enfin le bassin possède une
ulaire. Enfoncement de la région omëo-sacrëe. Apophyses épineuses dorsales inférieures et lombaires supérieures épaissies, s
e vertébrale. La malade est examinée tout d'abord dans le décubitus dorsal . Dans cette position, le thorax ne présente auc
auche qui comprend'toutes les vertèbres cervicales et les vertèbres dorsales jusqu'à la dixième environ. A ce^niveau, la courb
te la première : elle est plus accentuée, elle occupe les dernières dorsales et toute la hauteur de la co- lonne lombaire. L
ure au niveau des dernières ver- tèbres cervicales et des premières dorsales . Elle présente quelques points saillants, dus a
des apophyses épineuses, en parti- culier de la dixième et douzième dorsales , de la première et de la deuxième lombaires.
orso-lombaire à convexité droite. Scoliose de compensation cervico- dorsale . Saillie des apophyses épineuses surtout lombai
auche. Augmentation de volume des apophyses épineuses de la dixième dorsale et de toutes les lombaires : irrégularités, nod
on de volume notable des apophyses épineuses de la dixième vertèbre dorsale et de toutes les lombaires : sur la crête lombair
re gauche est beaucoup plus bombée que la droite. Dans le décubitus dorsal sur un plan horizontal, lorsque le malade est cou
tion de la colonne vertébrale. Attitude très nette du gibbeux à bosse dorsale supérieure. Trois courbures vertébrales : scoli
tébrales : scoliose lombaire à concavité tournée à droite, scoliose dorsale de compensation, cyphose cervico-dorsale très mar
laquelle est une cyphose s'étendant progressivement de la dernière dorsale aux dernières ver- tèbres cervicales et atteign
teignant son maximum de rayon, au niveau des troisième et quatrième dorsales . En aucun point de la cyphose, on ne retrouve de
io-claviculaire droite. Déviation de la colonne vertébrale. Cyphose dorsale très marquée avec scoliose à convexité tournée
'acromion. La colonne vertébrale est déviée : il existe uue cyphose dorsale très marquée, accompagnée d'une scoliose à conv
s et l'atlas sont conservés et normaux. Mais la courbure vertébrale dorsale est immobile et est impossible au malade de se re
mation lente de la colonne vertébrale. Altitude de gibbeux. Cyphose dorsale avec épaississement des apophyses épineuses cor
déformation lente de la colonne vertébrale. La courbe de la région dorsale supérieure est très augmentée. Les apophyses ép
. A 50 ans, inclinaison du tronc en avant, apparition d'une cyphose dorsale au début. A 51 ans, mal perforant plantaire dou
ns thoraciques. Jamais de rachitisme, jamais de rhumatisme. Cyphose dorsale très accentuée, maximum vers la septième dorsale.
humatisme. Cyphose dorsale très accentuée, maximum vers la septième dorsale . Scoliose à concavité droite, peu accentuée dan
oment de dou- leurs au niveau de la colonne vertébrale. La voussure dorsale augmentait ce- pendant de jour en jour, progres
x s'étend une longue courbe cyphotique intéressant toute la colonne dorsale : elle s'étend exactement de la troisième vertè
colonne dorsale : elle s'étend exactement de la troisième vertèbre dorsale à la deuxième lombaire, elle est surtout accent
ar l'angle inférieur de l'omoplate, vers la septième ou la huitième dorsale . La colonne vertébrale est examinée de face, la
core très appré- ciable qui part de la sixième ou septième vertèbre dorsale et vient se terminer dans la région lombaire. L
'un centimètre sur la gauche. Le malade est placé dans le décubitus dorsal , il est mal il son aise ainsi, dit-il, il se co
dit-il, il se couche d'habitude sur un côté. En raison de sa cyphose dorsale , il est très instable dans cette position, il p
ules et son bassin, le tronc forme un vé- ritable pont, la voussure dorsale devient plus manifeste dans cette position. Le
st im- possible, même en pressant assez fortement sur les vertèbres dorsales , de ré- duire en rien leur courbure. Cette mano
en arrière et répond évidem- ment au point culminant de la cyphose dorsale . La ligne médiane de l'abdomen est déviée à gau
e et moins profonde du côté gauche. Dans cette position, la cyphose dorsale varie peu, mais la scoliose dorso-lombaire s'ac
tement la tète sur la poitrine et cherche à entraîner les vertèbres dorsales et lombaires, inuti- lement d'ailleurs. La flex
tronc s'exécute uniquement sur les lombes et le bassin, la cyphose dorsale ne variant pas de courbure. Dans le mouvement d
e. Quelques-unes en effet sont parfaitement normales, dans le noyau dorsal et dans le noyau ambigu. Ce phénomène est dû, n
ombre de cellules normales et pathologiques, appartenant aux noyaux dorsaux du vague et aux noyaux ambigus. Les mensuration
e dénominateur étant le chiffre de son plus grand diamètre : Noyaux dorsal et ambigu normaux. Lapin, 7 jours. 51 cellules
A, B, C). a) Moelle. - L'examen des fragments prélevés à la région dorsale et à la région lombaire, et examinés soit par l
rophiées; l'examen des coupes pratiquées au niveau des douze paires dorsales et colorées au carmin ne laisse aucun doute à c
tée, légèrement voilée. Léger degré de cyphbscoliose de la région dorsale il concavité dirigée à gauche Lorsqu'il se diri
latéraux et les cornes antérieures, particulièrement dans la moelle dorsale , paraissent atrophiées. Dans la région moyenne de
dorsale, paraissent atrophiées. Dans la région moyenne de la moelle dorsale la petitesse de la moelle est frappante, surtou
te, surtout du côté droit. Dans la partie in- férieure de la moelle dorsale le canal central est dilaté ; vers l'extrémité in
dans les racines n'est. pas augmenté si ce n'est dans la 6e racine dorsale postérieure gauche et la 3° ra- cine lombaire p
ués et très rap- prochés les uns des autres, que du côté de la face dorsale ; les doigts sont raccourcis, épaissis sur leur
muscles aussi bien ceux de l'épaule (deltoïde, grand rond et grand dorsal , grand pectoral, etc.) que ceux du bras et de l
masses globuleuses correspondant aux sous-épineux, de même le grand dorsal fait saillie sous forme d'un bourrelet oblique au
imées ; les doigts en extension exagérée sont même incurvés du côté dorsal , l'avant-bras étendu sur le bras, forme un angle
ition ou tombe si l'on ne vient à son aide. Placé dans le décubitus dorsal , en se soulevant sur un bras, puis faisant dé-
à l'exclusion des autres et se montre alors surtout dans la région dorsale . Elle crée aussi une cyphose dorsale comme dans
e alors surtout dans la région dorsale. Elle crée aussi une cyphose dorsale comme dans les observations XII et XIII. Elle est
le est seule dans l'observation XIII, elle se complique de scoliose dorsale légère dans l'observation XII. D'habitude la cy
rée. Encore dans le cas, il n'existait pas, à vrai dire, de lordose dorsale ni de cyphose dorso-lombaire supé- rieure ; ces
tend jusqu'à la neuvième, la septième et même la cinquième vertèbre dorsale . Elle estcorrigée par une courbure de compensatio
ibbosité non angulaire. Elle occupe un segment limité de la colonne dorsale el se montre dans la région dorso-lombaire (obs
odosités volumineuses, dures, indolentes, placées sur les vertèbres dorsales et lombaires : ce sont les apophyses épineuses co
Chez un malade de Krônig, en effet, on provoquait dans ledécubitus dorsal et mieux dans le décubitus latéral, un glisseme
région située plus haut de l'intu- miscence cervicale. Il. Région dorsale . - L'endroit de la plus grande dégénérescence de
tiennent plus. d'autres moins. VI. Coupe longitudinale de la région dorsale de la. moelle épinière,- Nous nous assurons ici
osé est plus dégénéré que celui du côté gauche. Déjà dans la région dorsale la dégénérescence des faisceaux de Tùrck devient
endroit, occupé par le faisceau pyramidal dégénéré dans les régions dorsale et cervicale de la moelle épinière. il faut rem
locs chromophiles se sont bien conservés (Pl. LXXII, F). II. Région dorsale (coloration par le bleu de polychrome). - Les cel
pliqué, nous examinerons d'abord les vertèbres cervicales, puis les dorsales , enfin les lombaires. Les vertèbres cervicales
es carac- tères s'exagèrent enfin au niveau des dernières vertèbres dorsales . Les apophyses ne sont pas anormalement dévelop
u- lières, de fines cannelures sculptées en colonnes. Les dernières dorsales sont plus particulièrement atteintes : on peut
on du bassin qui se répercutent le long de son rachis, Le décubitus dorsal ou latéral longtemps prolongé lui est pénible, il
et articulaires prédominent dans le segment inférieur de la colonne dorsale . Telle est la théorie pathogénique que nous a s
e ses accidents nous raconte qu'après avoir présenté de la voussure dorsale , de l'incurvation du rachis, de la perte de sou
OSTÉO-ARTIIROPATB1ES VERTÉBRALES DANS LE TABES 515 pour une cyphose dorsale tabétique une superbe bosse professionnelle. Il
ylosant, la cyphose supérieure de la maladie de Paget, la cy- phose dorsale inférieure de l'ostéopathie hypertrophiantepneumi
impossible de dire de quel côté a été faite l'opération. Le noyau dorsal du vague, pas plus que le noyau ambigu, ne présen
la période de réparation. Le nombre des éléments composant e noyau dorsal droit est très approxi- Nouv. Iconographie DE l
ession que le chiffre total des cellules est normal dans les noyaux dorsaux à droite et à gauche. Il n'en est pas de même l
rement symétriques sur la même coupe. Alors c'est tantôt le noyau dorsal gauche qui semble plus riche en cellules que so
la surface est polygonale. On rencontre, il est vrai, dans le noyau dorsal droit, de temps à autre, des cellules en voie d
). Les cellules sont toutes revenues à l'état normal, pour le noyau dorsal comme pour le noyau ambigu, si bien qu'il est i
ur une même coupe horizontale une symétrie complète des deux noyaux dorsaux . Tantôt l'un, tantôt l'autre sur les coupes éta
de se. rendre compte des diamètres respectifs des cellules du noyau dorsal droit et du noyau dorsal gauche. Les mensurat
diamètres respectifs des cellules du noyau dorsal droit et du noyau dorsal gauche. Les mensurations ont été faites comme p
tions ont été faites comme précédemment. 524 CHARLES LADAME Noyau dorsal du dixième droit. Côté non opéré. Chat adulte,
aitement rentré dans l'ordre, aussi bien pour les cellules du noyau dorsal que pour les éléments du noyau ambigu. On ne vo
nstate une diminution très sensible du nombre des cellules du noyau dorsal droit. Cette diminution porte sur le moitié des
e expérience qui nous ait fourni un tel résultat tant pour le noyau dorsal que pour le ganglion. Nous avons fait quelques
effacé à droite et même remplacé par une dépression. Main. - Face dorsale , les interosseux sont' atrophiés et les métacarpi
avant-bras droit et la main correspondante présentent sur leur face dorsale une coloration d'abord légère- ment cyanique, m
u et du corps cellulaire; Fiv. 5. - Coupe transversale de la moelle dorsale d'un chien mort avec troubles ner- veux paralyt
ite, suite de névrite FiG. 8 bis. - Coupe transversale de la moelle dorsale supérieure dans un cas de myé- lite aiguë chez
tion subitement. Comme la lé- sion s'est localisée dans la région dorsale inférieure, le malade a pu vivre pendant 3 mois
ires auxquelles ils don- Fio. 19. - Coupe transversale de la moelle dorsale d'un lapin avec injection intra-ra- chidienne d
ne certaine distance et on ne le trouve pas toujours dans la région dorsale et cervicale lorsque l'injection de microbes a
aroi de la spinale antérieure. La lésion se présente dans la région dorsale inférieure avec les mêmes carac- tères, ayant c
BERT BALLET meuvent l'épaule. Mais fais cette épaule depuis l'épine dorsale jusqu'au thorax de la poitrine. * L'échanti
en boudins, sertis à leur insertion par un sillon profond, la face dorsale coupée de rides transversales. - 634 LANNOIS '
; il existe en même temps une incurvation scoliotique de la région dorsale à convexité droite, d'où résulte une voussure de
tion de la colonne vertébrale s'effaçait du reste dans le décubitus dorsal , et ne se montrait que dans la situation assise
la déformation dispa- raissait presque totalement dans le décubitus dorsal . Il semble que cette scoliose de la neuro-fibro
particulier avait déjà reconnu en 1881 la nature mo- trice du noyau dorsal du Vague. Tous les auteurs sont d'accord sur le
sation de la substance chromatique comme c'est le cas pour le noyau dorsal du vague chez le lapin, par exemple. La réparat
tudions attentivement, dans la série des coupes, les noyaux moteurs dorsal et ambigu, il est impossible d'y trouver une lési
ion que l'on avait de- puis Stilling de la nature sensible du noyau dorsal du vague, opinion qui 'était en outre corroboré
t chez le chat au 147" jour après la résec- tion du vague, le noyau dorsal pathologique de la 10e paire ne présente pas de
dans celui dont le pneu- mogastnque a été réséqué. ' 11. Le noyau dorsal et le ganglion plexiforme du nerf vague, chez le
7 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
dendrites, principalement dans les régions cervicales supérieure et dorsale inférieure. Lésions minimes de l'écorce cérébrale
trouve des épaississements de l'arachnoïde, au niveau de la région dorsale postérieure, et des faisceaux pyramidaux; des lés
s la zone de transi- tion entre le renflement lombaire et la région dorsale . Le faisceau médio-périphérique, faisceau de Ho
éparses ; par contre, les fibres fines deviennent plus rares. . 10e Dorsale . On assiste, à ce niveau, à l'envahissement de la
est envahie, surtout en avant, par des fibres saines éparses. 8e Dorsale . La région sclérosée, déjà cordon de Goll, se rét
'épanouit à sou contact pour former deux languettes divergentes. 7° Dorsale . Il se forme eu avant, au niveau de la moitié ant
se mélangent à parties égales avec les fibres dégénérées. A la 5e dorsale le cordon de Goll touche à peine en avant la comm
e le cordon de Goll touche à peine en avant la commissure ; à la po dorsale il ne la touche plus du tout; à la 28 dorsale il
commissure ; à la po dorsale il ne la touche plus du tout; à la 28 dorsale il s'en rapproche de nouveau ; à la 1r° dorsale
us du tout; à la 28 dorsale il s'en rapproche de nouveau ; à la 1r° dorsale il forme de chaque côté une petite languette qui
ce que l'on observe dans les cas de lésion transverse de la moelle dorsale , on est porté à croire que les fibres radiculai
l n'est pas absolument intact; (1) J. NAGEOTTE, Pathogénie du tabès dorsal , 2. article, Presse médicale, 3 janvier 1903, f
zone d'entrée des racines. A gauche la figure est symétrique. 12e Dorsale . La figure est encore plus nette, les jambages se
an ; leur extrémité n'atteint pas la périphérie de la moelle. 94° Dorsale . Diffère de la 1° en ce que les 1. er et 2e jamba
paraître, tandis que le 3" et le 4e se développent davantage. 10e Dorsale . Les le, et 2" jambages sont à peine visibles.
ge. 10e Dorsale. Les le, et 2" jambages sont à peine visibles. 91 Dorsale . Il ne reste plus que la partie externe de la fig
téro-externes des renflements lombaire et cervical. , Jusqu'à la 3° dorsale , il y a peu de changements. 3e Dorsale. Le bord
cervical. , Jusqu'à la 3° dorsale, il y a peu de changements. 3e Dorsale . Le bord interne de la bandelette externe devient
gne nette de sclérose interne que nous avons vue débuter vers la 3e dorsale ; en dehors ses limites sont un peu indécises ; el
ligne de sclérose intense qui marquait le bord interne depuis la 3° dorsale s'est atténuée progressivement et a fini par di
ie de la moelle, en arrière de la virgule de Schulze dans la région dorsale , changent de situation à la région lombaire, se r
e de la colonne vertébrale au niveau de la limite entre les régions dorsale et lombaire (durée un an). Comparer avec les figu
nous avons montré que, dans la région de transition entre la partie dorsale et la partie lombaire de la moelle, il existe de
où se trouvent les colonnes de Clarke, c'est-à-dire par les racines dorsales et les deux premières lombaires. II. - Fibres
de volume de la zone sclérosée dans son passage à travers la région dorsale .sur les variations de forme du cordon de Goll a
triangle à la région lombo-sacrée, d'un tractus allongé à la région dorsale el de nouveau d'un triangle à la région cervica
ES CORDONS POSTÉRIEURS 45 entre le renflement lombaire et la région dorsale . Dans l'observation II (PL VI, 1 1., 12 d., 11
photographie d'une moelle de tabétique prise au niveau de la région dorsale inférieure, qui reproduit très exacte- ment la
ure 2 d'un mémoire de Joffroy et Gombault, re- présentant la région dorsale inférieure de la moelle d'un paralytique généra
ept. 1903. Fic. 15. Obs. Il. Bandelette externe au niveau de la 12° dorsale , d'après une coupe colorée au carmin. 46 NAGE
clusivement limitée ci la zone de transition située entre la région dorsale et la région lombaire ; en second lieu, que la
occupent les bandelettes externes dans les régions lombo-sacrée et dorsale inférieure ». L'observation IIprouvesans contes
on de volume du cordon de Goll dans son passage à travers la région dorsale . Les champs postéro-externes ne contiennent don
on de Goll. Toutefois il ne faut pas oublier qu'il y a, à la région dorsale inférieure un remaniement des cordons postérieu
dant médio-périphérique, dont le trajet supérieur forme à la région dorsale le faisceau de Hoche. C. Le triangle médian est
uche en aucun point la corne posté- rieure ; elle prend à la région dorsale inférieure une forme compliquée qui représente
pparence grêle que présente la moelle en particulier dans la région dorsale , son calibre a diminué dans d'assez grandes pro
t petite ; elle présente un épaississement pie-mé- rien à la région dorsale et à la région cervicale. Nous avons pu faire son
le sommet s'enfonce vers la substance grise. Au niveau de la moelle dorsale , de la 8e à la 4` ? dorsale, la sclérose des co
substance grise. Au niveau de la moelle dorsale, de la 8e à la 4` ? dorsale , la sclérose des cordons postérieurs est encore
inte ; on ne trouve pas traces de cellules. De la 3e à la 6e racine dorsale , les lésions sont sensiblement les mêmes ; la c
S (O. Crauzou) A,B,C. Fau.... Sclérose combinée tabétique. Moelle dorsale d'aspect losangique ; son calibre est diminué ; s
missure postérieure. 80 cervicale. Même aspect des lésions. ire dorsale . Dans les cordons postérieurs, la sclérose affect
ginale et occupe la partie la plus externe du bord de ce cordon. 2" dorsale . Il existe un épaississement considérable de la m
postérieur mais plus accentuée que dans le cordon antérieur. a 3e dorsale . La moelle est considérablement diminuée de volum
cérébelleux direct et une grande partie du faisceau pyramidal. 4e dorsale . - La moelle est déplus en plus déformée ; elle e
elle l'est, à un moindre degré, dans le cordon antérieur. 5° et 6e dorsales .- Même forme triangulaire de la moelle ; même éte
me forme triangulaire de la moelle ; même étendue des lésions. 7° dorsale . La forme reprend la forme quadrangulaire. Il exi
s nettement tranchées sur la face interne de la zone atteinte. 9e dorsale . -Même aspect topographique des lésions. La moeel
ance grise (Voir fig. 4). Diverses hauteurs de la moelle cervicale, dorsale et lombaire ont été colo- rées au bleu de Hochs
moelle lombaire. La pie-mère est épaissie. Au niveau de la région dorsale : le cordon postérieur présente les mêmes altér
lus marquées du cordon latéral. A la partie supérieure de la région dorsale , on retrouve les mêmes lésions du cordon latéral,
rébelleux et du faisceau pyramidal croisé. Au niveau de la région dorsale , la moelle présente un calibre extrêmement dimi
mes lésions du cordon latéral (Voir fig. 7). Au niveau de la région dorsale , la sclérose occupe un triangle dont la base ré
te des lésions très accentuées des vaisseaux au niveau de la moelle dorsale . Le canal épendymaire est dilaté et bourré d'é-
térieure de la moelle est épaissie, à partir seulement de la région dorsale inférieure ; il n'existe pas d'épaississement de
rquée seulement dans la partie qui longe le sillon antérieur. 1re Dorsale . - Même remarque que dans la] coupe précédente en
a zone ventrale dans la portion marginale du cordon de Burdacli. 2. Dorsale . Présente sensiblement le même aspect. 3° Dorsa
de Burdacli. 2. Dorsale. Présente sensiblement le même aspect. 3° Dorsale . Dans le cordon postérieur, même disposition de l
les deux territoi- res du faisceau pyramidal antérieur. 4° et 5- Dorsales . Même aspect : la sclérose du cordon postérieur e
a sclérose du cordon postérieur est com- plète en général. - - 6" Dorsale . Le cordon postérieur prend une forme triangulair
la partie posté- rieure de la commissure postérieure. ' 7e et 88 Dorsales .- Même aspect dans le cordon postérieur, quelques
de la com- missure dans la moitié antérieure du cordon. 9° et 40e Dorsales . Dans les cordons postérieurs, les deux zones moi
moins atteint : un plus grand nombre de fibres est conservé. 11° Dorsale . La sclérose du cordon postérieur est à peu près
onie musculaire est général : la taille s'allonge dans le décubitus dorsal et elle s'allonge encore après la mort quand la
1893, p. 62). (2) La taille dans la station et dans le décubitus dorsal (C. R. de la Soc. de Bio- logie. 1891, p. 620.
n suivante a trait à un cas de grande cyphose atteignant la colonne dorsale et la colonne lombaire et ne s'accompagnant pas d
st surtout au niveau des apophyses épineuses des 8° et 98 vertèbres dorsales qu'il existe un peu de douleur provoquée ; c'es
uelque chose de particulier. ' La moitié supérieure de la colonne dorsale est incurvée en cyphose légère, se terminapt au
n avant. Par suite de l'effacement de la courbure lombaire, l'épine dorsale est droite depuis le milieu de la colonne dorsa
lombaire, l'épine dorsale est droite depuis le milieu de la colonne dorsale jusqu'au sacrum et le bas du dos aplati, la régio
rt par l'effacement de la cambrure lombaire, la colonne lombaire et dorsale inférieure étant rectiligne, 94 FORESTIER et
courbure en avant, cyphose, de la partie supérieure' de la colonne dorsale , se prolongeant au cou qui est un peu fléchi et p
rent quelque chose de spécial. La moitié supérieure de la colonne dorsale est incurvée en cyphose légère, s'arrêtant au c
ENNES 95 Par suite de l'effacement de la cambrure lombaire, l'épine dorsale est droite depuis le milieu de la colonne dorsa
lombaire, l'épine dorsale est droite depuis le milieu de la colonne dorsale jusqu'au sacrum, et le bas du dos jus- qu'aux f
l'effacement de la cambrure lombaire et de la rectitude de l'épine dorsale soudée est assez remarquable. Vu de profil le
, comme chez le sujets. La localisation est à signaler : elle est dorsale supérieure : l'arc cyphoti- que occupe seulemen
c cyphoti- que occupe seulement les six ou sept premières vertèbres dorsales .Mais cette limitation de la déformation à un pe
s'accusant encore par des points douloureux au niveau des vertèbres dorsales moyennes. A la vérité la cyphose est ici bien plu
abdominal, langue très saburrale ; malade étendu dans le décubitus dorsal , dans l'impossibilité de faire un effort sans ê
ornes antérieures ainsi que des racines antérieures. Dans la moelle dorsale , les mêmes lésions se poursuivent. Cependant la s
clérose des colonnes de Clarke. A la partie inférieure de la moelle dorsale , dans la moelle lombaire et la moelle sacrée, l
nt disparu. Nous avons examiné le ganglion rachidien de la 5° paire dorsale . A son inté- rieur, à côté d'un faisceau à peu
le, et sclérose des cordons de Burdach, plus marquée dans la moelle dorsale ; dans les faisceaux latéraux, la sclérose du f
cusée dans la moelle cervicale et la partie supérieure de la moelle dorsale ; enfin atro- phie des cornes postérieures, scl
trophiées. Enfin, il existe une assez forte convexité de la colonne dorsale et une ensellure lombaire prononcée. La radio
côtés existe une tuméfaction annulaire, surtout prononcée à la face dorsale , molle, peu sensible au toucher, mais qui est l
ques et nous ne saurions en citer de meilleur exemple que la tumeur dorsale du poignet de la paralysie radiale à laquelle M.
des taches rosées très pâ- les, disséminées sur la peau. A la face dorsale du pied, on voit une pigmenta- tion punctiforme
u lait » grandes comme la paume de la main, siégeant dans la région dorsale , symétriquement flan- quées de chaque côté de l
, sans être exac- tement repérés, à la région lombaire, à la région dorsale et à la région cervi- cale et fixés par le subl
es. La capsule ganglionnaire est passablement épaissie. , Ganglions dorsaux (3 ganglions ont été examinés). Les lésions sont
me très volumi- neuses. De même que dans les ganglions lombaires et dorsaux , il y a des terri- toires complètement dévastés
quatre ganglions sacrés, de deux ganglions lombaires, d'un ganglion dorsal et d'un ganglion cervical. Tous ces ganglions ont
uses contiennent des boules de graisse colorées en noir. " Région dorsale . ? Le ganglion examiné est beaucoup moins malade
s lésions sont un peu moins accusées, mais très analogues. Région dorsale . Les ganglions (9° dorsal gauche, 5° dorsal droit
ns accusées, mais très analogues. Région dorsale. Les ganglions (9° dorsal gauche, 5° dorsal droit) sont beaucoup moins ma
très analogues. Région dorsale. Les ganglions (9° dorsal gauche, 5° dorsal droit) sont beaucoup moins malades : dans le 5°
l gauche, 5° dorsal droit) sont beaucoup moins malades : dans le 5° dorsal droit, il y a quelques cellules atrophiées ; da
e 5° dorsal droit, il y a quelques cellules atrophiées ; dans le 98 dorsal gauche on constate quelques proliférations des
examinés les trois ganglions sui- vants : 2e et 3e lombaires, Il,, dorsal . (1) Cette observation figure déjà dans notre m
ule ganglionnaire n'est pas sensible- ment augmentée. Le ganglion dorsal présente les mêmes altérations ; comme pour les g
et à la douleur dans le domaine des 5e, 6e, 7e, 8e, ge. 40e racines dorsales du côté gauche ; très légère hyperesthésie à la
men anatomique. Quatre ganglions ont été examinés, deux à la région dorsale , deux à la région lombaire. Les lésions sont ici
men du 8e ganglion cer- vical droit, des 1er, 6e, Ile, 1° ganglions dorsaux gauches, des 2e, 3e, 4e gan- glions lombaires d
n'est pas très proliféré, les vaisseaux sont peu malades. Région dorsale . Le 12" ganglion dorsal gauche est le plus malade
, les vaisseaux sont peu malades. Région dorsale. Le 12" ganglion dorsal gauche est le plus malade. Dans le pôle central
on plus marquée dans le pôle central du ganglion. Le lue ganglion dorsal présente le même aspect, les lésions y sont un pe
u moins avancées : il manque moins de cellules. Dans le 6° ganglion dorsal , les altérations cellulaires sont encore moindr
es cellules baignent dans des lacs sanguins. Dans le 1 ? ganglion dorsal qui par son importance et son aspect se rappro-
se rappro- che davantage des ganglions cervicaux que des ganglions dorsaux , il y a beau- coup de cellules saines et les ce
al droit donne lieu aux mêmes observations que celui du 1" ganglion dorsal . , 224 THOMAS ET HAUSER En résumé, les altéra
enses dans les ganglions sacrés et lombaires que dans les ganglions dorsaux et davan- tage dans les ganglions dorsaux que d
es que dans les ganglions dorsaux et davan- tage dans les ganglions dorsaux que dans les ganglions cervicaux. Les gan- glio
ture et au niveau de la face antérieure de la moelle dans la région dorsale supérieure. Les viscères abdominaux sont très h
rtie inférieure de la moelle cervicale et supé- rieure de la moelle dorsale . Nous serions donc ici en présence de ces lésions
r que la tête du 3° métacarpien est élargie et présente sur sa face dorsale une volumineuse épine osseuse, une vé- ritable
ns pupillaires à l'accommodation et à la lumière diminuée. Scoliose dorsale légère. 1897. - Absence complète des clignement
sivement dans les cordons de Goll au niveau de la région supérieure dorsale et de la région cervicale. Une sclérose du cord
wers et du faisceau cérébelleux direct, qui commence dans la moelle dorsale et peut être suivie jusqu'à la hauteur du Nucl.
illations nystagmiformes des glo- bes oculaires. 1894. - Scoliose dorsale à convexité gauche. Le malade raidit les jambes
arquée dans les racines antérieures, de sorte que- dans les régions dorsales supérieures et cervicales elles présentent une ra
ient de moins en moins marquée. Dans les coupes du 8° et 7e segment dorsal , c'est seulement la partie centrale de la zone
lus forte dans le voisinage du sillon postérieur. Dans les hauteurs dorsales inférieures nous trouvons une raréfaction très
s du faisceau de Burdach, que nous avons rencontrées dans la région dorsale moyenne indemne de toute lésion. Cordons anté
ostérieure de la dégénération diminue d'intensité. Dans la région dorsale inférieure on peut remarquer très distinctement
La forme de ces lésions reste la même dans tout le reste de la moelle dorsale ; seulement elle augmente d'intensité dans le f
substance et de la commissure grise, de sorte que dans les régions dorsales les plus élevées elle occupe tout le cordon anté-
st habitué à voir le trajet du faisceau longitudinal postérieur (ou dorsal ) est très notablement dégénéré. Les fibres arqu
la forme d'un triangle situé en arrière des olives. Dans la partie dorsale le repli et la substance réticulaire montrent u
s. Ainsi le plus grand diamètre transversal qui passe par la moitié dorsale , est normalement d'une longueur de 18 à 20 mill
ssement du réticulum nerveux avec atrophie des cellules : la région dorsale est la plus touchée. Une atrophie des cellu- le
claviculaire etsternal du grand pectoral, le sous-épineux, le grond dorsal , le grand droit. Nous donnerons d'abord une des
u niveau des membres supérieurs, dans le grand pectoral et le grand dorsal au niveau du tronc, dans le droit an- térieur,
levés de la moelle. Cette lésion se limite dans la région lombaire et dorsale , a la corne postérieure du côté gauche qu'elle
iligne et se poursuit à peu près avec le même aspect dans la région dorsale inférieure. A la région dorsale inférieure (10e d
avec le même aspect dans la région dorsale inférieure. A la région dorsale inférieure (10e dorsale), on la voit oc- cuper
s la région dorsale inférieure. A la région dorsale inférieure (10e dorsale ), on la voit oc- cuper à peu près l'axe de la c
tinue en avant jusqu'au voisinage de l'épendyme. Au niveau de la 4° dorsale elle envoie dans le cordon postérieur du même c
comme détaché de la lésion de la corne. Les coupes du 2e seg- ment dorsal montrent la lésion atteignant et pénétrant la cor
COW OGRAPHIE DE LA SALPTRI'RE "' '" T. XVII. PL. LUI. A. Poch... 2e Dorsale (Grossiss. : 200 D). Coloration au picro-carmin.
t détruisent les éléments cellulaires de la substance B. Poch... 3e Dorsale (Grossiss. : 110 D) Coloration au picro-carmin.
la destruc- tion de la corne postérieure dans la région cervicale, dorsale et même lombaire supérieure, nous avons noté la
asculaire des formations. C'est ainsi qu'au niveau du 106 seg- ment dorsal on voit la bande conjonctive qui parcourt la corn
er entièrement et à reculer les limites de la cavité. " A la région dorsale , point intéressant, il n'y a pas de cavité centra
ainsi une myélite lente et progressive. Au niveau du premier segment dorsal il exis- tait en outre le long du bord interne
r normal, pas de palpitations. Au début le malade dans le décubitus dorsal ne pouvait se redresser sur son lit sur lequel il
platie qu'une moelle normale, surtout dans les régions cervicale et dorsale . Les racines paraissent avoir dans l'ensemble un
latérale a un volume et une coloration sensiblement normaux. Ire dorsale . - La moelle paraît normale à première vue, sauf
oupes précédentes. Les racines ont peu de gaines colorées. lor-2° dorsale . Même aspect des régions antérieures grise et bla
surtout à gauche, et dans le noyau intermédio-latéral gauche. 2°-3" dorsale . Toutes les lésions sont bien moindres, l'aspect
lules dans les groupes cellulaires antérieurs et de Clarke. 3-48 dorsale . - Moelle encore très aplatie, losangique au lieu
eux cellules dans la partie antérieure, seulement à gauche. 4e-5e dorsale . Mêmes remarques ; aplatissement latéral des corn
ornes anté- rieures, surtout de la droite ; mêmes cellules. 5e-6e dorsale . La moelle est très aplatie d'avant en arrière et
dans le groupe antéro-latéral et dans les colonnes de Clarke. 6e-7° dorsale (Planche LIX, E). Moelle moins aplatie, même dépr
siste, mais un peu éclairci, surtout dans sa portion interne. 7"-S" dorsale . Mêmes remarques ; aplatissement antéro-postérieu
oupe précédente, mais cellules moins nom- breuses à droite. 8e-90 dorsale . Toutes les déformations semblent un peu moindres
rée des POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DE L'ADULTE ! , il i 9"-10" dorsale , Les déformations, à l'oeil nu, sont encore bien
latéraux et les colonnes de Clarke ont de belles cellules. 10-11° dorsale . -"Mêmes remarques : dépression antérieure encore
ent le même état et le même nombre que sur la coupe précédente. 12e dorsale . - Moelle normale à l'oeil nu, sauf peut-être enc
terfes- sier, 1 la face près du pli naso-génien gauche, à la partie dorsale de la main gauche et du métatarse droit, des ma
s, 5 à la ceinture pelvienne, o à la région scapulaire, 8 à la face dorsale des mains, 1 au coude droit. Les cicatrices r
8 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
qui a reçu, il y a quelques mois, un coup de couteau dans la région dorsale , au voisinage du rachis ; à la suite de cet att
idait à cette époque-là, reçut deux coups de couteau dans la région dorsale . D'après le dire du médecin qui l'a soigné, la
apophyses épineuses de la 7° vertèbre cervicale et de la 1 vertèbre dorsale ; son extrémité inférieure descend jusqu'à 3 centi
u'à 3 centimètres de l'es- pace qui sépare la Ire de la 2e vertèbre dorsale . Il y tout lieu de croire que le poumon a été e
possible en raison de l'impuissance du pied gauche. Dans la flexion dorsale , l'axe de ce pied ne peut se rappro- cher de l'
A suivre.) DES RAPPORTS DE LA STATION HANCHÉE AVEC. LA SCOLIOSE DORSALE PRIMITIVE DES ADOLESCENTS . par PAUL RICHER
elle est susceptible, pensons-nous, de STATION HANCHÉE ET SCOLIOSE DORSALE PRIMITIVE DES ADOLESCENTS -t3 provoquer une inc
ment au niveau de la jonction de la région lombaire et de la région dorsale . Elle empiète sur les deux régions. Elle a po
ue tous les signes. En effet, dans le type classique de la scoliose dorsale primitive droite, nous retrouvons, comme sur un
en témoignent les photographies ci-contre (psi. II). Celte scoliose dorsale droite se trouvait corrigée partiellement quand
droite. 'tentocou. 'tscrwaan Station hanchée à gauche. SCOLIOSE DORSALE PRIMITIVE. ' MASSON & (ie, Éditeurs. AMÉL
étage considéré : au ni- veau du renllement cenical et de la moelle dorsale , les dimensions étaient en faveur de l'amèle (l
nné au niveau des deux renflements, mais non au niveau de la moelle dorsale , des chiffres plus faibles pour la moelle du mons
douloureuses, que les artistes font siéger de préférence sur la face dorsale du pied, et pour lesquelles n'existait qu'un mo
de son client, de la droite il détache un emplàtre posé sur la face dorsale du.pied. Le patient, assis sur une grossière ch
tandis que de la droite, il décolle un emplâ- tre posé sur la face dorsale du pied. Très attentif à sa besogne, il opère a
les orteils et de l'autre détache un emplâtre appliqué sur la face dorsale du pied. Jeune, le nez crochu, les lèvres mince
s et non tuméfiées, la main est surtout tuméfiée du côté de la face dorsale , mais du côté de la face palmaire il n'y a pas
e, tuméfaction due à une espèce d'oedème solide. La peau de la face dorsale a un aspect pourpré et elle est froide et luisant
ord cubital au 1e1' espace interdigital 10 centimètres pour la face dorsale des deux côtés. Pour la face palmaire on a 9 ce
mètres à gauche et 8 centimètres à droite. Les téguments de la face dorsale sont tuméfiés d'une façon modérée, tuméfaction qu
ou y voit un léger réseau veineux. La pression du doigt sur la face dorsale de la main ne laisse pas de godet. ' La tuméfac
la face, le thorax en avant et en arrière, jusqu'au niveau de la Se dorsale . La topographie de la thermoauesthésie est indi
ne, le petit doigt se relève de 1 à 2 centimètres au-dessus du plan dorsal ; il en est de même de l'annulaire quoique à un
tonique de certains muscles, mais de l'état des téguments de la face dorsale de la main gauche et des doigts. La couleur de
le de la main gauche et des doigts. La couleur de la peau a la face dorsale est celle d'une main gelée. Elle est tuméfiée,
es décrits D1t11l- nution du diamètre transversal de l.l main. Lice dorsale tuméfiée, effacement des détails qu'on y voit ù
eurs. DE LA MAIN SUCCULENTE 93 moins prononcée du reste à la face dorsale de la main, mais le relief des ten- dons s'accu
mités. La main se déjette encore plus vers le bord cubital. La face dorsale de la main présente à un haut degré, les particul
tent à l'état normal sur cette face ont disparu. Les grosses veines dorsales , et les divisions tendi- neuses ne se dessinent
- neuses ne se dessinent plus. La tuméfaction qui occupe cette face dorsale lui donne un aspect uniforme (fig. 3) ; elle co
manifestes qui par leur présence sur cette surface pleine de la face dorsale donnent à la main l'aspect potelé, ce qui est p
pace interosseux et le bord cubital est de 10 centimètres à la face dorsale ; de 9 centimètres à la face pal- maire. Ces me
, ainsi qu'on le voit d'après le schéma suivant, celle de la deuxième dorsale DE LA MAIN SUCCULENTE 97 (fig. 4, 5) ; tout
éfaut des mouvements d'abduction et d'adduction des doigts. La face dorsale de la main gauche sera décrite en même temps que
mouvements d'adduction et d'ab- duction sont très limités. La face dorsale des deux mains offre une conforma- tion toute p
'ensuit une diminution du diamètre transverse il ce niveau. La face dorsale de la main (PI. XI), surtout dans la moitié infér
normalement entre les articulations métacarpo-phalangiennes du côté dorsal ont complètement disparu. La couleur de la main
hes rosées ou même rouge saturne. A la partie inférieure de la face dorsale de l'a- vant-hras,il existe aussi de petites ta
long. Parfois on assiste à do véritables crises de cyanose de la face dorsale . J'ai parlé plus haut de la tuméfaction de la m
ne une pâleur transitoire sans godet. En palpant la peau de la face dorsale on a la sensation d'une surface mollasse et uni
trairement ce qui s'observe dans les autres cas, la peau de la face dorsale est un peu calleuse tout en restant très luisan
ur du pouce à 40, contraction faible; contraction dans le linter- dorsal et le court fléchisseur et l'op- posant du pouc
zéro, pas de contraction ; mais contraction dans le I interosseux dorsal , court fléchis- seur et opposant du pouce. DE
chez Corr... doit[ la maladie a débuté il y a ` ? ans. , La face dorsale de la main est très caractéristique et constitue
edèmes. La tuméfaction peut occuper une partie seulement de la face dorsale de la main, la moitié inférieure de la face dorsa
ment de la face dorsale de la main, la moitié inférieure de la face dorsale du poignet, comme c'est le cas pour Corr.... ou
comme c'est le cas pour Corr.... ou bien s'étendre sur toute la face dorsale delà main, ce qui arrive pour Gass.... Cette tu
elle tuméfaction fait disparaître les détails de structure de la face dorsale de la main. Les cordes tendineuses des extenseu
Les moines dor- sales sont comme voilées. Cette rondeur de la face dorsale do la main lui donne un aspect potelé et certai
ité de la façon la plus évidente. La moitié su- périeure de la face dorsale de la main est aplatie à cause de l'atrophie très
a peau forme des espèces de ponts. La couleur de la peau de la face dorsale contribue aussi à lui donner ce cachet spécial,
i- ses de cyanose consistant en ce que le réseau veineux de la face dorsale se dilate excessivement et donne naissance à de
ieu que leur ligne d'insertion se continue légèrement sur la partie dorsale ; elle s'arrondit brusquement il cause de la bo
i remplis- sent les dépressions naturelles qui existent sur la face dorsale de la main ; d'autre part, un processus vaso-mo
terme peint avec d'autant plus d'exactitude l'apparence de la face dorsale de la main, que les botanistes pour désigner les
différents ; c'est d'une part, une tuméfaction spéciale de la face dorsale de la main il laquelle s'associe d'autre part une
ccen- tuée. La main n'est pas déjetée sur le bord cubital ; la face dorsale de la main est distendue par un oedème le plus
parfois que les muscles de la main soient atrophiés et que la face dorsale présente un oedème très prononcé. Ainsi, j'ai e
et atrophie du membre supérieur et oedème très prononcé de la face dorsale de la main. Malgré cela, rien de semblable entr
et étaient légère- ment fléchis ; l'oedème très développé à la face dorsale montrait une em- preinte par la pression digita
, c'est la sclérodermie dacly- lique. Dans cette affection, la face dorsale de la main est lisse comme la peau des doigts ;
es, on ne rencontre pas cependant cet état de succulence de la face dorsale de la main et surtout cette attitude si ca- rac
Raymond que j'ai vu un oedème très prononcé avec cyanose de la face dorsale de la main. Même dans ce cas,' la main affecte
encontré également,et,j'en ai observé deux cas, l'oedème de la face dorsale des mains consécutif à des traumatis- mes des n
e la syringomyélie débute au niveau de la 8° cervicale et de la ire dorsale , région que je consi- dère comme siège principa
estés toujours intacts. Tout s'est borné, somme toute, à la douleur dorsale et a l'attitude vicieuse du tronc. Lorsque ce
, la respiration. Cette tentative exaspère en même temps la douleur dorsale et le redressement est rendu totale- ment impos
ux, sauf en un point très circonscrit, situé au milieu de la région dorsale . Le frô- lement sur ce point, grand comme une p
à une attitude vicieuse du tronc, déterminée par une hyperesthésie dorsale . Cette hyperesthésie est la con- séquence de ci
e boursouflées. , Il existe une cyphose assez accusée de la colonne dorsale . Au crâne, les deux bosses pariétales sont augm
rsien est également hypertrophié dans son ensemble, que 7 vertèbres dorsales ont leur corps vertébral soudé. Aux membres sup
'il s'agisse de coupes pratiquées au niveau do la région cervicale, dorsale ou lombaire, la pie-mère est légèrement mais nett
, leur forme, ainsi que leurs prolongements normaux. Dans la région dorsale , les lésions sont diffuses aux cordons postérieur
ée de temps en temps, depuis environ une année, pour un mal de Pott dorsal moyen en voie d'ankylose. Ce mal de Pott a dé
gré le soin avec lequel ils mainte- naient d'ordinaire le décubitus dorsal exigé, placèrent la malade sur le côté; le soul
e dans l'ap- pareil par la malade, je la replaçai dans le décubitus dorsal , avec les plus grandes précautions. Le résultat
phile étendue sur la région et la malade replacée dans le décubitus dorsal . Tout d'abord les souffrances ne paru- rent pas
ation de la Salpêtrière, garde à nouveau sans souffrir le décubitus dorsal nécessité par son affection. OBs. II. -Le secon
de vingt-cinq ans environ, hystéri- que, et atteinte de mal de Pott dorsal moyen avec gibbosité et crises d'angine de poit
- tout en rendant très difficile l'immobilisation dans le décubitus dorsal , immobilisation qui joue un.rôle de premier ord
st le pansement fait par le chirurgien sur quelque plaie de la face dorsale du pied. Le mauvais soulier que l'on voit tout pr
mètres étaient revenus aux vertèbres cervicales, 4 aux 10 premières dorsales , 12 aux 3 vertèbres suivantes, 7 aux 4 dernières
tudinal, il se localise au-dessous de la deuxième paire radiculaire dorsale , avec maximum à la hauteur des premières paires
branches supérieures passent sous les bras. Au niveau de la région dorsale on les entre-croise à la façon d'une croix de S
a une action surtout marquée sur la moitié inférieure de la moelle dorsale , la moelle lombaire et les nerfs de la queue de
vers de doigt et à droite de l'apophyse épineuse de la 12° vertèbre dorsale . Immédiate- ment après l'attentat, il présentai
oup d'épée à droite de la colonne vertébrale, entre la 9e et la 10e dorsales . Immédiatement après, il s'est trouvé dans l'impo
Berne, 1889. (2) Viguès. Plaie de la moelle épinière dans la région dorsale . Moniteur des hôpitaux, 1855, no 105, p. 838.
ui avai été atteint d'un coup de sabre, entre les 9e et 10e vertèbres dorsales , il 3 centimètres environ de la ligne des apoph
tablissant à la suite d'un coup d'épée qui a pénétré dans la région dorsale entre les 9e et 10e dorsales, à 3 centimè- tres
oup d'épée qui a pénétré dans la région dorsale entre les 9e et 10e dorsales , à 3 centimè- tres à droite de la ligne médiane
avaient fait remonter jusqu'à un niveau compris entre les 10e et 98 dorsales . Cette fois le trau- matisme rachidien va se mo
uées parles espa- ces intervertébraux suivants : 8° et 0° vertèbres dorsales , en bas ; 6e et 7° Cervicales en* haut. Une o
ci droite de la ligne médiane du dos, entre les 8° et 9° vertèbres dorsales . La blessure avait déterminé une paralysie du m
tranchant a pénétré dans la région des 6e et 7e apophyses épineuses dorsales à gauche de la ligne médiane. Une année après l'a
remontait jusqu'à une ligne horizontale passant par la 7e vertèbre dorsale ; à sa limite supérieure cette zone d'hyperesth
re une hémisection gauche de la moelle, au niveau de la 4e vertèbre dorsale , donnant lieu aux phé- nomènes suivants : Tro
4 4 centimètres à gauche de l'apophyse épineuse de la 4° vertèbre- dorsale . Immédiatement après l'attentat, le malade avait
à gauche de la colonne vertébrale, à la hauteur de la 3"ver- pègre dorsale a eu pour suites ; A gauche, une paralysie motr
ent à un cas d'hémisection de la moelle au niveau de la 3e vertèbre dorsale , à 5 centimètres il gauche de la ligne des apophy
la suite d'un coup de couteau porté il la hauteur de la 2e vertèbre dorsale . II y a eu d'abord paralysie du membre inférieur
i avait reçu un coup de couteau au voisinage des 2e et 3e vertèbres dorsales , à un ou deux centimètres à droite des apophyses
es d'un coup de couteau qui a pénétré entre les 1'" et 2e vertèbres dorsales , un peu à droite de la ligne médiane. Le lendem
pper à la suite d'un coup de couteau qui avait pénétré entre la Ire dorsale et la 7° cervicale. Je noie seulement que le su
jet normal ferme complètement la main, on peut constater, à la face dorsale des premières phalanges, que l'espace interdigi
développe- ment et correspondent à l'extrémité antérieure du sillon dorsal , où il forme une sorte d'ombilic dorsal antérie
rémité antérieure du sillon dorsal, où il forme une sorte d'ombilic dorsal antérieur, non sans analogie avec la fossette ou
aiguilles, une profondément au niveau du premier espace interosseux dorsal , la seconde superficiellement au niveau du 2e e
al, la seconde superficiellement au niveau du 2e espace interosseux dorsal , la troisième superficiellement au niveau du 3e
l'orientation du processus de gliose. C'est au niveau de la prêtre dorsale et de la 8° cervicale que la prolifé- ration né
nque complètement, c'est parce que la gliose descend vers la région dorsale et laisse intacts ou presque intacts les divers
ux, 1889. 208 G. MARINESCO dans la région cervicale inférieure et dorsale supérieure. Or, comme dans sa marche, elle détr
e moins accentuée. Ceci prouve, il mon avis, qu'au niveau de la 1'° dorsale les muscles de la main sont étages dans un cert
x atteints seront ceux qui sont situés au niveau du premier segment dorsal et représentent les muscles des éminences hypot
le poi- gnet, mais aussi en abduction si on la regarde par sa face dorsale . Un autre muscle qui conserve pendant longtemps
au niveau de la région cervicale inférieure ou au nivcau de la lre dorsale , envahit la moelle dans un certain nombre de ca
anés qui sont permanents, consistent dans la tuméfaction de la face dorsale de la main, tuméfaction ayant pro- bablement po
e, la lésion débute au niveau de la 8e racine cervicale et de la 1° dorsale et se dirige vers les régions supérieures, il s
pèze et du grand pectoral à gauche, du sternomastoïdien et du grand dorsal ci droite. Cette combinaison bizarre ne parait
., 1894,11. Brault. - Nxvi verruqueux zoniformes siégeant à la face dorsale des mains. Annales de dermat. et syph., 1894, p
ce qui se voit quand la moelle est entamée au niveau des vertèbres dorsales inférieures, en deçà de la 9°. 2° Dans un sec
ctiol1 intéresse la moelle à un niveau qui correspond aux vertèbres dorsales moyennes et supérieures. 3° Un troisième type
vait située au niveau'de l'apophyse épineuse de la sixième vertèbre dorsale . Immédiate- ment après l'accident on a constaté
tait un peu, et il avait la colonne vertébrale déformée; le segment dorsal était convexe à droite, et le segment lombaire
cervical, on pratique une deuxième hémisection au niveau du segment dorsal , l'hémianesthésie consécutive à la première hém
out à gauche, il faut signaler la teinte violacée que prend la face dorsale du pied, surtout à gauche, à la suite de la sta
t le long de la scissure longitudinale posté- rieure dans la région dorsale , à savoir : dans les parties internes des cor-
ure de la moelle épinière. 352 SERGE SOUKHANOFF choisis les nervi dorsales , pedis, peroneus, cruralis, ulnal'is et radialis.
st plus petit que le droit, la demi-circonférence gauche de l'épine dorsale à l'appendice du sternum est de 33 centimètres
dirigées. Diamètre bi-acromial : 48 centimètres. Toute la région dorsale est déformée par une voussure énorme de la colo
énorme de la colonne dont le point culminant est au niveau de la 7e dorsale : le péri- mètre thoracique passant par ce poin
lmon où il s'agit d'hé- misection à hauteur différente (3e vertèbre dorsale , entre la \Je et la 10). Il est très intéressan
ions suivantes : a) Cas de Chipault (3).- Fracture rachidienne (10e dorsale ), ayant dé- terminé le 5° jour de l'accident un
u sommet droit, ramollissement du sommet gauche) et de mal de Pott dorsal , paraplé- (1) Union médicale, 1878. (2) Nous
a trouvé chez une femme « porteur d'un sarcome des pre- miers arcs dorsaux , suivi de paraplégie », une hydarthrose considéra
otypies), 324. Station hanchée dans ses rapports avec la scoliose dorsale primitive des ado- lescents, par PAUL RICHER (1
9. Richer (PAUL). Rapports de la station hanchée avec la scoliose dorsale primi- tive des adolescents (1 planche), 12.
. Radiographies de mains en pinces de ho- mard, XXXIX. Scoliose dorsale primitive, II. Tic du colporteur, XXVI. Torti
9 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
onévroses de contention : telles sont au dos les aponévroses du grand dorsal , du sacro-spinal et du transverse; pour la paroi
oints , la surface du crâne, la face postérieure du bras, les régions dorsales de la main et du pied. Partout ailleurs cette cou
elette du thorax se compose en arrière de la tige de support, portion dorsale du rachis, et latéralement des côtes et de leurs
et dans les creux axillaires, épaisse sur les épaules et à la région dorsale . 2° La couche vasculaire et adipeuse sous-cutanée
les pectoraux, en avant, du dentelé sur le côté, du trapèze, du grand dorsal et du romboïde en arrière ; la masse du sacro-spi
oses superposées à son feuillet postérieur, en arrière celle du grand dorsal , en avant la forte laine fibreuse lombo-iliaque.
u tronc proprement dit pour les gaines des deux pectoraux et du grand dorsal . Les muscles propres de l'épaule sont contenus da
et du métatarse, interposée entre deux couches musculaires. A la face dorsale , une seule loge existe , celle du court extenseu
des coulisses tendineuses divergentes qui s'épanouissent sur la face dorsale du pied. La couche musculaire sous-plantaire est
ternale et diaphragmatique; et trois latérales, les régions mammaire, dorsale et costale. RÉGION STERNALE'. Situation, conf
se distingue la saillie des apophyses épineuses, chacune des régions dorsales , convexe de haut en bas et en travers, est représ
ineux. Les muscles sont : en plan superficiel, le trapèze et le grand dorsal ; en plan profond, le sacro-spinal et ses annexes
t fournis par les branches postérieures des intercostaux. La région dorsale ne se distingue au point de vue chirurgical que p
dia-phragmatique, et d'avant en arrière entre les régions mammaire et dorsale . Entre les sillons du grand pectoral et du sacro-
llaire compris entre les bords adjacens du grand pectoral et du grand dorsal , et coupé diagonalement par la saillie des langue
dominal ; 2° en arrière, la vaste surface triangulaire lisse du grand dorsal qui est sillonnée dans les sujets maigres par les
ux tégumens. La couche musculaire, après le grand dentelé et le grand dorsal déjà indiqués, ne se compose plus que des deux pl
inguinal, ha couche musculaire est constituée en arrière par le grand dorsal et son aponévrose, et plus profondément par le pe
éricurement, en arrière, entre les bords du grand oblique et du grand dorsal et le sommet de la crête iliaque, existe un espac
ve d'arrière en avant, par plans superposés, i° l'aponévrose du grand dorsal ; 20 celle du petit oblique, ou le feuillet postér
ns la couche sous-cutanée du pénis rampent de chaque côté les artères dorsales , la grande veine dorsale de la verge, de nombreux
du pénis rampent de chaque côté les artères dorsales, la grande veine dorsale de la verge, de nombreux lymphatiques, et de long
ux feuillets; le superficiel, qui forme le tendon membraneux du grand dorsal , et le profond encore plus dense ou l'aponévrose
e postérieur oblique en bas et en arrière, indique le relief du grand dorsal et du grand rond. La base se confond vaguement av
laires adjacens du grand pectoral en avant, du grand rond et du grand dorsal en arrière; ces divers muscles revêtus de leurs a
ontinuent sur la diaphyseles tendons abaisseurs des grand rond, grand dorsal et grand pectoral, et, en arrière, les tendons ro
reuse, et, tout-à-fait en bas, une portion du bord supérieur du grand dorsal qui bride et contient l'angle inférieur de l'omop
sent en sens inverse les vaisseaux radiaux qui se portent sur la face dorsale du carpe. La région radio-carpienne postérieure
nnulaire postérieur du carpe continu inférieurement avec l'aponévrose dorsale de la main. Sous le plan sous-aponévrotique passe
sous-aponévrotique passent les nerfs radial et cubital et les veines dorsales dont la principale est la céphalique du pouce. Au
onds sont les artères et veines sus-carpiennes, branches des radiales dorsales . Le poignet est le siège de luxations générales
rs funeste. main. On divise la main en deux régions : palmaire et dorsale . Cette définition semble circonscrire chaque régi
rose par un tissu cellulaire lâche, dépourvu de graisse. L'aponévrose dorsale elle-même est très inince. Entre elle et la peau
st très inince. Entre elle et la peau rampent les nerfs et les veines dorsales ; au dessous d'elle sont les tendons extenseurs et
. Formée par la ceinture d epaississement de l'aponévrose jambière et dorsale du pied, dite le ligament annulaire du tarse, qui
angent leur nom de tibiaux à la jambe en celui de pédieux sur la face dorsale du pied. 5° Squelette. Il est formé par la partie
du tibia. pied. Le pied se partage en trois régions, calcanienne, dorsale et plantaire, auxquelles se rapportent plus ou mo
moins les maladies des bords externe et interne. Chacune des régions dorsale et plantaire se divise en deux portions inégales
une section devenue assez commune dans la chirurgie moderne. RÉGION DORSALE '. Limitée en arrière par les régions du coude-
ui comprend le dos du pied et ses côtés comme appartenant à la région dorsale , tandis que toute la portion charnue formera la r
e, composée de fibres courbes transversales, elle revêt toute la face dorsale du pied ; continue en haut avec le ligament annul
portion métatarsienne seulement, sont les quatre muscles inter-osseux dorsaux . 5° Vaisseaux et nerfs. En plan superficiel exist
et l'arcade sus-métatarsienne, d'où procèdent les branches digitales dorsales ou inter-osseuses; (d) les branches nerveuses dig
s maintenus en une masse solide par les trois plans de leurs ligamens dorsaux , plantaires et inter-osseux. Cette surface, doubl
, avec la région calcanienne, et sur les côtés du pied avec sa région dorsale , au-dessus de la saillie des muscles latéraux pla
econd, qui est le plus long, i" Peau. Épaisse et rugueuse sur la face dorsale , elle présente habituellement, sur les saillies a
celles qui sont symptômatiques d'une siphylis ancienne. A l'extrémité dorsale , la peau forme le repli cutané, organe excréteur
es des tendons. 3° Couche tendineuse. Elle est constituée sur la face dorsale par le tendon plat de l'extenseur, et sur la face
Ce sont les collatéraux externes et internes, disposés en deux plans, dorsal et plantaire, également fournis sur chaque face p
ant que l'on présente en bas le bord radial de la main ou que la face dorsale est tournée en arrière ou en avant, on peut coupe
nction opérée, le bord cubital de la main droite reposant sur la face dorsale cle la main gauche, on abaisse le manche du bisto
, après avoir insinué le doigt indicateur gauche, glisser sur sa face dorsale , tournée en haut, un bistouri boutonné offert à p
alement de point d'appui, soit par leurs extrémités, soit par la face dorsale de leui's dernières phalanges. La ponction se fai
prime avec les quatre doigts (Pl. 18), avec toute la main par la face dorsale des articulations métacarpo-phalangiennes, ou ave
roitesse du sillon inter-tendineux. L'artère radiale, dans sa portion dorsale à la main, se comprime de la même manière. Pour l
mieux serrer avec l'extrémité des deux pouces adossés par leurs faces dorsales , et qui, parmi léger mouvement de flexion en sens
l vaut mieux opérer avec les deux indicateurs adossés par leurs faces dorsales , les pouces faisant opposition au-dessus sur les
Les trois premières affectent spécialement le pied et surtout la face dorsale des articulations des orteils où elles sont le ré
plaies avec de la charpie sècbc ; on fixe la main étendue par sa face dorsale , les doigts très écartés, sur une palette en bois
eure cle lavant-bras, et, clans quelques cas exceptionnels, à la face dorsale de la main. 2° Le membre abdominal à sa partie in
mplexus, la radiale à l'extrémité inférieure du radius et sur la face dorsale de la main, et enfin la pêcheuse. Chacune de ces
ar l'opposition et la flexion des deux pouces accolés par leurs faces dorsales , et faisant poulie de renvoi pour chaque bout ten
ui tiennent moins de place, en les opposant également par leurs faces dorsales . Enfin, pour agir dans un espace très étroit, il
et lieu d'élection. Continuation de la tibiale antérieure sur la face dorsale du tarse, dirigée d'arrière en avant, située à un
e à un centimètre de profondeur, recouverte par la peau, l'aponévrose dorsale du pied et le feuillet fibreux de liaison des ten
longueur de six centimètres, puis le tissu cellulaire et l'aponévrose dorsale ; guidé par le tendon en dedans, reconnaître en d
ligature de l'artère radiale à trois hauteurs différentes, à la face dorsale de la main, au tiers inférieur et au tiers supéri
érieur et au tiers supérieur de l'avant-bras. i° Ligature à la face dorsale du carpe ( pl. 41 )• La main placée en demi-pro
aillies osseuses, à la mâchoire inférieure, au sternum, sur les faces dorsales de la main et du pied. Physiek avait imaginé ce p
LTors ces cas, on a recours au procédé suivant. Du milieu de la face dorsale de l'os métacarpien faire partir une incision qui
imité à la première phalange. Manuel opératoire. Tracer sur la face dorsale de la phalange une incision verticale qui commenc
ratoire. Pratiquer une incision longitudinale ou cruciale sur la face dorsale de l'os, au niveau de la partie que l'on veut enl
it à vingt millimètres (huit à neuf lignes), qui s'étende sur la face dorsale du poignet au niveau de l'articulation. Disséquer
main étant relevée en arrière dans l'extension, inclinée vers la face dorsale de l'avant-bras, pour mettre les tendons extenseu
ec une autre incision transversale dirigée jusqu'au milieu de la face dorsale du poignet, dans le but de faciliter la désarticu
ne interne et les filets nerveux superficiels qui vont animer la face dorsale du pied. Les deux chefs de la compresse longuette
aillet. 2° Méthode à lambeau, lambeau inférieur. Faire une incision dorsale demi-circulaire, tailler par ponction ou disséque
ouper l'os. On peut aussi, en renversant le procédé, faire un lambeau dorsal ; si la lésion le réclamait on formerait un lambea
on formerait un lambeau latéral ou deux lambeaux de même longueur, un dorsal et un palmaire. amputations du métacarpe dans l
ne incision semi-lunaire à convexité antérieure, disséquer le lambeau dorsal qui en est résulté, et, par les deux angles de ce
ux, et couper les os. Second procédé de M. Velpeau. Former le lambeau dorsal , isoler les os sur les côtés, les exciser, et tai
ne incision verticale descendant à un centimètre plus bas sur la face dorsale de la commissure. L'os de cette manière ne serait
Mais nous préférons la méthode ovalaire; que l'ovale soit sur la face dorsale , ou sur le bord cubital, ce dernier procédé nous
parties molles jusqu'à la commissure, reporterie bistouri sur sa face dorsale à l'angle supérieur de la plaie, contourner la fa
ons. M. Velpeau prolonge la petite extrémité de l'ovale sur la face dorsale du métacarpien jusqu'à son articulation postérieu
nt-bras tourné en pronation, porter par-dessus le membre, sur la face dorsale du cubitus, le couteau la pointe en bas, le tirer
te de la section imparfaite des tendons du grand pectoral et du grand dorsal , et le retrait en sens contraire du coraco-brachi
ou leur désarticulation. Le peu d'épaisseur des tégumens de la face dorsale du pied, la mobilité aussi bien que la multiplici
ortement en dedans : au niveau du point où l'os sera scié, de la face dorsale à la face plantaire, plonger la pointe d'un bisto
une incision qui parcoure obliquement, en avant et en dehors la face dorsale de l'os jusqu'à la commissure interdigitale. — Tr
uxième incision, M. Malgaigne propose de disséquer la peau de la face dorsale jusqu'à l'articulation pbalangienne, de la retire
dix millimètres de la base du premier lambeau, et réunit sur la face dorsale et plantaire les angles de ce lambeau à ceux de l
de Dupuytren, renouvelé par M. Velpeau. — Premier temps. Sur la face dorsale et sur la face plantaire, du point où l'os doit ê
e première incision en faire partir une autre qui, parcourant la face dorsale , se rende obliquement à la commissure du premier
nter-osseux dans toute son épaisseur; 2° au côté interne, sur la face dorsale , faire une incision longitudinale jusqu'au delà d
gienne; 3° réunir supérieurement ces deux incisions par une troisième dorsale ; 4° inférieu-rement, contourner la face plantaire
es séries articulaires tarsienne et plialangienne. La peau de la face dorsale , doublée d'un grand nombre de tendons, est très r
osition , tracer du bord plantaire externe au bord interne un lambeau dorsal semi-circulaire à vingt-sept millimètres en avant
mal finit, et on ne le peut qu'en commençant l'opération par la face dorsale . M. Bau-dens (pl. 91, fig. 2) taille deux lambeau
pl. 91, fig. 2) taille deux lambeaux égaux, l'un plantaire et l'autre dorsal , et procède ensuite à la section des os. On pourr
e, que deux autres latérales convertiraient en lambeaux, plantaire et dorsal , d'égale longueur, ou n'en faire qu'un interne; e
dirige obliquement, à droite ou à gauche suivant le pied, sur la face dorsale du métatarsien, et sur l'espace inter-osseux, jus
enne correspondante en suivant le pli de flexion : arrivé sur la face dorsale , la parcourir de nouveau en traçant une incision
r l'os en formant le biseau autant que possible aux dépens de la face dorsale (pl. 81, fig. 3 ). MM. Sanson et Blandin font l
le lambeau plantaire, on le taille par ponction après avoir formé le dorsal . Le plan du trait de scie est déterminé par l'éte
mbre dans une demi-flexion, quand on ouvre l'articulation par la face dorsale , pour tendre les chairs et élargir l'interligne
procédé en est très simple : le doigt tenu dans l'extension, sa face dorsale en haut, inciser circulairement la peau à six ou
léchisseurs. Méthode a lamreau. — i° A deux lambeaux. —(a) Lambeaux dorsal et palmaire. Procédé de Garengeot, conseillé par
t M. Gouraud, et qui consiste à tailler un petit lambeau semi-lunaire dorsal , entrer dans l'articulation, couper les ligamens
s-franc à un seul lambeau palmaire. 2° A un seul lambeau. — Lambeau dorsal . Procédé de Laroche. Le doigt tenu la face palmai
viser les ligamens latéraux et terminer en taillant un lambeau cutané dorsal dont on peut déterminer la longueur, suivant le c
tiel dépend de ce que dans l'un il attaque l'articulation par la face dorsale , et dans l'autre par la face palmaire.— Premier p
ticulaire reconnaissable à trois indices : 10 le milieu du pli cutané dorsal , i° la saillie osseuse de la phalange à conserver
igamens latéraux; une nouvelle section divise les tégumens de la face dorsale sans tailler de lambeau en ce sens. Pansemens.
roses, dont la capsule très lâche est à peine fortifiée sur les faces dorsale et palmaire par les tendons extenseurs et fléchis
culaire, par deux incisions qui s'unissent à angle aigu sur les faces dorsale et palmaire en regard de la tète de l'os métacarp
une incision latérale longitudinale,de manière à former deux lambeaux dorsal et palmaire. Ce n'est que le procédé circulaire a
ement fléchis, pratiquer deux incisions latérales réunies sur la face dorsale par une autre incision demi-circulaire transversa
é, détacher les lèvres de la plaie, ouvrir l'articulation par sa face dorsale , inciser les ligamens latéraux et ressortir parle
na conseillé, comme modification, de pratiquer d'abord deux incisions dorsales obliques en V, puis d'ouvrir l'articulation et de
ent entre ceux de la main gauche de l'opérateur étendus sur leur face dorsale , tandis que le pouce fait opposition sur la face
on l'a laissée sur l'autre face, en tracer une semblable sur la face dorsale , pour revenir au point de départ, en coupant d'un
térieur. Pour que l'opération soit bien faite, il faut que l'incision dorsale passe d'un centimètre environ au-devant des têtes
montré dans la figure. Ces dispositions prises, pratiquer sur la face dorsale une incision demi-circulaire à convexité antérieu
nte du couteau sur les quatre articulations pour diviser les ligamens dorsaux et latéraux. Enfin, les articulations étant ouver
, n'est séparé de la peau que par les tendons extenseurs vers la face dorsale . Son articulation car-pienne avec le trapèze, mai
, vers le bord palmaire, le plus de muscles que l'on peut, un lambeau dorsal externe que l'on prolonge un peu au delà de l'art
grande épaisseur de parties molles, puis, par une ponction de la face dorsale , vers la face palmaire, taille préalablement d'ar
st généralement blâmé. Procédé de M. Velpeau. Pratiquer sur la face dorsale une incision étendue de l'apophyse styloïde du ra
nviron trente degrés. Coupant alors rapidement les chairs sur la face dorsale , on ouvre l'articulation en ce sens; et contourna
dedans, couper avec la pointe du bistouri les ligamens inter-osseux dorsaux et palmaires, entrer dans l'articulation intermét
'os crochu, au-dessous de laquelle est l'articulation, et sur la face dorsale la tête même du métacarpien avec la dépression in
que l'on peut, les tendre et insinuer perpendiculairement, de la face dorsale à la face palmaire, la pointe du bistouri, que l'
evé vers la paume de la main par un aide, détacher la peau de la face dorsale sans y comprendre le tendon extenseur, ramener en
s facile que d'entrouvrir l'articulation pour la section des ligamens dorsal ou palmaire; une petite rotation de l'os en dehor
u-dessus de l'articulation métacarpienne et qui se dirige sur la face dorsale vers la commissure interdigitale pour la main dro
inciser dans la même rainure et remonter de l'autre côté sur la l'ace dorsale pour rejoindre, à angle très aigu, le point de dé
n bas et en dedans; le quatrième est presque plane. C'est par la face dorsale , où les têtes des os sont le plus larges, que doi
sure interdigitale, en prolongeant l'incision à la peau sur les faces dorsale et palmaire, un peu au delà de l'articulation car
l'on enlève et faisant écarter le doigt voisin, en partant de l'angle dorsal de l'incision contourner, en piquant, la tête du
n, à partir de l'articulation carpienne parcourir obliquement la face dorsale pour arriver à l'une des commissures, contourner
t sur l'autre commissure, par une autre incision oblique, sur la face dorsale , rejoindre à angle aigu le point de départ. La pe
chairs sur les côtés, incise avec la pointe du bistouri les ligamens dorsal et inter-osseux, luxe la tête de l'os, glisse l'i
dans la main gauche du chirurgien, dont le pouce, étendu sur la face dorsale , fait opposition aux autres doigts sur la face pa
rmé par le petit tubercule du trapèze. Alors faire relever le lambeau dorsal , et, avec la pointe de linstrument, diviser d'abo
instrument, diviser d'abord d'un seul coup la succession des ligamens dorsaux , sauf à revenir sur la section des sinuosités du
r sur la section des sinuosités du deuxième métacarpien. Les ligamens dorsaux et latéraux étant divisés, les articulations elle
s données anatomiques que fournit à ce sujet M. Malgaigne. i° La face dorsale de la main renversée autant qu'on le peut sur l'a
ur laquelle on opère, et la placer étendue en demi-pronation, la face dorsale tournée vers soi. Avec un petit couteau droit, pr
ion antibrachial, et contourne au même plan les deux bords et la face dorsale , en ayant soin de n'intéresser que la peau. Pour
le d'incliner la main dans la flexion pendant qu'on coupe sur la face dorsale , et dans l'extension pour la face palmaire, vers
té dit précédemment: avec un petit couteau droit, tailler sur la face dorsale un lambeau cutané semi-lunaire, de l'une à l'autr
eur. 20 Sans désemparer on peut réintroduire l'instrument sur la face dorsale et tailler le lambeau en ce sens. M. Lisfranc met
ens. M. Lisfranc met la main en pronation forcée, et forme un lambeau dorsal semi-lunaire qu'il dissèque. 3° La main rétablie
e traverser immédiatement l'articulation pour terminer par la section dorsale , manœuvre rapide et sans inconvénient. Moins bien
es deux de manière à couper les tendons du grand pectoral et du grand dorsal très près de leur insertion numérale; diviser les
plante du pied, embrasser les cinq orteils, les relever vers la face dorsale , et, avec la pointe du couteau, tailler du bord i
au d'une épaisseur suffisante; plonger alors verticalement de la face dorsale vers la face plantaire un bistouri tenu en troisi
econnue avec l'extrémité de l'indicateur, le pouce appuyé sur la face dorsale du métatarsien, les autres doigts faisant opposit
rsiens ; écarter l'os en dehors, diviser les ligamens inter-osseux et dorsaux , luxer la double articulation métatarso-cuboïdien
e dirigée le long du bord interne pour le pied gauche, et sur la face dorsale pour le pied droit, vers la rainure de flexion du
e il a été dit pour le pouce, l'amener au point de départ par la face dorsale pour le pied gauche, ou par le bord interne pour
tion métatarsienne du cuboïde. Quant aux moyens de fixité : à la face dorsale les cunéiformes et le cuboïde ne sont unis aux mé
t le cuboïde ne sont unis aux métatarsiens que par de courts ligamens dorsaux dont la section avec celle de la capsule interne
les deux bords, et leur succession en travers : pratiquer sur la face dorsale du pied de dedans en dehors, à douze millimètres
; dans cette manœuvre la pointe de l'instrument divisant les ligamens dorsaux , les lignes articulaires s'entrouvrent à mesure.
a voûte du tarse. Pour y parvenir, inciser d'abord les trois ligamens dorsaux ; puis offrant le couteau à angle de 45°, le dos
taché, réunir les deux incisions latérales par une autre semi-lunaire dorsale au niveau de la section plantaire, ce qui revient
érales pour former des lambeaux, puis disséquer et relever le lambeau dorsal au niveau de la première ligne articulaire cunéo-
ongueur de cinq centimètres, faire l'incision en travers su r la face dorsale , relever ce lambeau j usqu'au niveau de la triple
le scaphoïde d'avec les trois cunéiformes par la section des ligamens dorsaux et du fort ligament inférieur cunéo-scaphoïdien,
reporter le couteau au-devant de 1 indicateur et inciser les ligamens dorsaux de l'articulation astragalo-scaphoïdienne sans pé
irs le permet. Au besoin, si elles étaient trop malades sur les faces dorsale ou plantaire en dehors, ou même sur la face exter
faces ou plantaire ou interne en diagonale. Le lambeau exclusivement dorsal seul devrait être rejeté, parce qu'il donnerait u
ternale, 36. — Région diaphragma tique, région mammaire, 37, — Région dorsale , région costale, 38. ABDOMEN. Région épigastriq
achiale postérieure, région du poignet, région palmaire, 51. — Région dorsale , 52. MEMBRE ABDOMINAL. Région inguino-fémorale,
7. — Région malléolaire, 57, 58. — Région calcanéenne, 58. — Région dorsale du pied, 59. — Région plantaire, 59, 60. MÉDECI
mmaire. 20. Région chondro-costale ou diapbragmatique. 21. Région dorsale . 22. Région costale. ABDOMEN. 23. Région ép
io-carpienne postérieure. MAIN. 47. Région palmaire. 48. Région dorsale . MEMBRE ABDOMINAL. CUISSE. 49. Région ingui
aire interne. 61. Région malléolaire externe. pie d. 62. Région dorsale . 63. Région plantaire. Tome 6. dessiné d'ap
nquième, sixième, septième, huitième paires cervicales, et première dorsale ). 14. Nerf de la septième paire crânienne (port
Au-dessous se voient les septième et huitième paires, et la première dorsale , dont l'ensemble forme le plexus brachial. On a c
x. 5. Section de la masse du sacro-spinal. 6. Aponévrose du grand dorsal . 7, 8, 9. Section du grand oblique, du petit ob
l'aponévrose sacro-spinale. 6. Section du sacro-lombaire et du long dorsale . 7. Aponévrose des dentelés. 8.8. Branches po
ntre les masses du grand pectoral en avant, du grand rond et du grand dorsal en arrière ; 2° la région des vaisseaux axillaire
s qui les accompagnent. G. Extrémité supérieure de la loge du grand dorsal avec ses vaisseaux et ses nerfs. H. Feuillet
avec ses vaisseaux et ses nerfs. H. Feuillet de la loge du grand dorsal qui limite le creux axillaire en arrière. I. Fe
et de l'aponévrose brachiale qui vient rejoindre les tendons du grand dorsal et du grand pectoral, adhère au pourtour sur les
e brachiale postérieure, qui vient s'insérer sur les tendons du grand dorsal et du grand rond. Cette surface est parcourue par
hes digitales du nerf cubital. La figure montre en outre les veines dorsales de la main et les tendons extenseurs. Tome 6.
6. Gaîne de l'opposant. 7. 7. Gaînes des interosseux palmaires et dorsaux . 8. Nerf médian. 9. Nerf radial. 10. Nerf cub
eux antérieurs. 13. Vaisseaux interosseux postérieurs. 14. Veines dorsales de la main. Pl.10. Dessiné d'après nature par
igure i. — Plan antérieur. Figure 2. — Plan postérieur de la jambe et dorsal du pied. Figure 3. — Surface plantaire profonde
ur et du court fléchisseur du petit orteil. 10. Loges des interosseux dorsaux . 12. Loges des interosseux plantaires. a, a. Va
. 12. Loges des interosseux plantaires. a, a. Vaisseaux interosseux dorsaux . b, b. Vaisseaux interosseux plantaires. Tome
ale. (A) Exemple de compression, par le même procédé, de la portion dorsale de l'artère radiale. DESCRIPTION DES COMPRESSEU
RTÈRE PÉDIEUSE. 1. Section de la peau. 2. Section de l'aponévrose dorsale du pied. 3. Premier faisceau du muscle pédieux,
e superficielle. Figure 2. Ligature de l'artère radiale sur la face dorsale de la main. Les petites figures (G2, F2, C2) re
profonde de la radiale. FIGURE 2. LIGATURE DE LA RADIALE, portion dorsale . 1. Section de la peau. — 2. Section de l'aponé
lambeau cutané qua-drangulaire. L'os (a) ayant été dénudé sur la face dorsale , désarticulé d'avec la première phalange et isolé
e incision longitudinale d'où part intérieurement une petite incision dorsale à angle droit. Au point où en est l'opération, l'
radius. Une double incision en L a permis de renverser sur la face dorsale le lambeau cutané triangulaire. Un crochet (a) éc
os métatarsien. (m). Lambeau cutané rectangulaire rejeté sur la face dorsale . ( n ). Tendon du long extenseur propre. ( o ). T
rne du tarse. (a). Lambeau cutané quadrangulaire rejeté sur la face dorsale du pied. Il entraîne avec lui le pédieux (b ), co
étatarsiens. (a) . Lambeau cutané quadrangulaire rejeté sur la face dorsale du pied. (b) . Tendon du long fléchisseur pro
y sont plus fines que sur le bistouri. Figure 16. Profil du biseau dorsal d'une lame d'excellens ciseaux de chirurgien. On
n inter-phalangienne du médius. (Procédé à deux lambeaux, palmaire et dorsal , de M. Lisfranc). e, Main d'un aide qui maintie
ouri, qui a franchi l'articulation , fait la section du petit lambeau dorsal . Figure 3 bis. Moignon de la même opération vu de
n de la même opération vu de face. H, Amputation ci un seul lambeau dorsal . ( Procédé de M. Lisfranc.) L'opération est repré
ment cutané palmaire, va terminer la section en rejoignant l'incision dorsale . B , La même opération terminée et représentée su
orsque le couteau, qui a coupé les tégumens et les tendons de la face dorsale , et franchi les articulations, est employé à ache
. Figure 2. Section en masse des quatre os métacarpiens par la face dorsale . Les quatre os étant isolés des chairs sur les de
ntée lorsqu'après avoir taillé les tégumens et les tendons de la face dorsale , franchi l'articulation et coupé les tendons fléc
tion, l'opération est représentée au moment où l'on taille le lambeau dorsal en demi-pronation. 1, Main d'un aide qui soutie
enu de la main droite du chirurgien, qui achève la section du lambeau dorsal . PLANCHE 72. AMPUTATIONS DE LAVANT-BRAS. FI
irurgien qui maintient l'avant-bras. c, Scie cultellaire à armature dorsale , tenue de la main droite du chirurgien, et qui
es pectoraux, les extrémités du biceps, du coraco-brachial, des grand dorsal , grand rond et desrotateurs de l'épaule. Le lambe
après avoir coupé les ligamens et les tendons extenseurs sur la face dorsale , a pénétré en plein dans la rangée des articulati
ction des chairs. Après avoir taillé avec le couteau un court lambeau dorsal et un lambeau plantaire beaucoup plus long, le ch
au moment où on pratique la ligature des artères. g, Petit lambeau dorsal . h, Vaste lambeau plantaire. FIGURES 3, 4 ET
uverture des articulations. La section courbe du petit lambeau cutané dorsal et des tendons extenseurs étant opérée , le cou
guidé le chirurgien pour arrêter les limites de l'incision du lambeau dorsal (q), en regard des extrémités du plan articulaire
d maintenu en situation conve" nable, après avoir pratiqué l'incision dorsale elliptique, ouvert la double articulation, et cou
du scaphoïde en dedans, qui forment les limites de l'incision courbe dorsale . e, Petit lambeau dorsal rétracté en haut. f,
forment les limites de l'incision courbe dorsale. e, Petit lambeau dorsal rétracté en haut. f, Main droite du chirurgien
les faces articulaires du scaphoïde et du cuboïde. k, Petit lambeau dorsal . La plaie montre les surfaces articulaires de la
re, soulevé entre deux doigts, est formé par la peau de toute la face dorsale du pied en avant, et par celle qui revêt en arriè
'olécrane. Figure 2. Amputation mixte métatarsienne a deux lambeaux dorsal et plantaire. Le plan osseux est formé par la sur
10 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
la première paire cervicale jusqu'à la limite commune des segments dorsal et lombaire. Cette exca- vation était indépenda
ce même segment. Ils étaient fortement atro- phiés dans le segment dorsal , mais dans le segment lombaire, on leur re- tro
mbroche en quelque sorte la moelle de part en part depuis la région dorsale supérieure à droite etcervicale supé- rieure à
le même aspect au niveau du renflement cervical et de la 3e racine dorsale ; mais à par- tir de la région dorsale moyenne,
cervical et de la 3e racine dorsale ; mais à par- tir de la région dorsale moyenne, la moelle présente, à la coupe, des corn
On constate dans la fosse sus-épineuse droite et près de la colonne dorsale , répondant au sommet du poumon corres- pondant,
taille, peu musclé, plutôt maigre : il est étendu dans le décubitus dorsal , la tète relevée, les yeux dirigés vers le.plaf
o-clorsule, vraisemblablement entre la 8° racine cervicale et la 3° dorsale ; d'origine syphilitique ; de nature indéter- m
région supérieure de la moelle. A la hauteur des premières racines dorsales , la moelle présente un léger renl1elllent; - à
s. Ces coupes, au nombre de 198, faites en série depuis la 3° paire dorsale jusqu'à la 8e cervicale, c'est-à-dire en deçà e
oelle, dans l'étage correspondant à l'origine des '1"° et 2° paires dorsales , renferme deux grosses tumeurs, l'une gauche, l'a
le : coupe nu 138. il. Coupe entre la Se racine cervicale et la t'" dorsale : coupe n° 119. Ç. - Coupe au niveau de la 1re
a t'" dorsale : coupe n° 119. Ç. - Coupe au niveau de la 1re racine dorsale : coupe n° lui. GOMMES SYPHILITIQUES DE LA MOEL
s qui lui sont propres. 1 Sur une coupe passant par la 1"= racine dorsale , ou par le centre de l'adhérence méningomédulla
iconographie de la SALPLTRILRC D. Coupe entre la lie et la z racine dorsale : coupe n° U. E, Coupe au niveau de la 2° racin
a z racine dorsale : coupe n° U. E, Coupe au niveau de la 2° racine dorsale : coupe n° 34. F. - Coupe entre la 2- et la ;;0
cine dorsale : coupe n° 34. F. - Coupe entre la 2- et la ;;0 racine dorsale : coupe ne 16. GOMMES SYPHILITIQUES DE LA MOELL
iveau de son plus grand diamètre, situé à la hauteur de la 2e paire dorsale , la tumeur, de forme circulaire assez bien circon
e, puisqu'on en retrouve encore des traces au niveau de la 3e paire dorsale , à 2 centimètres au-dessous de la tumeur (Pl. X
de Méde- cine : 1° Mac Dowel, 1861 : Gomme centrale de la moelle dorsale . 2° Wilks, 1863 : Gomme postéro-latérale droite
lombaire. 6° Savard, 1883 : Gomme superficielle gauche de la moelle dorsale . 7° W. Osier, 1889 : Gomme antéro-latérale droi
droite de la moelle cervicale. 8° Mourek, 1893 : Gomme de la moelle dorsale . Les trois dernières observations sont seules a
innervation motrice relativement peu importante ; la première paire dorsale contribue, sans doute, à la motricité de certai
des phénomènes parétiques dans le bras gauche ; quant à la 2e paire dorsale , son innervation motrice est très res- treinte
76 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE . élevée (-1 re racine dorsale ), correspondent les troubles moteurs plus marqués
é, à droite ; à la tumeur droite, intéressant seulement la 2e paire dorsale , se rattachent l'absence de paralysie du bras d
sie motrice de la moitié gauche du corps au-dessus de la 1 re paire dorsale zone pG (parésie du bras gauche, pa- (1) J. SoT
ns la colonne grise postérieure,interrompt au niveau de la 1" paire dorsale la colonne sensitive (conductrice commune); mais
celle interruption ne se fera pas à la hauteur de cette 1 rc paire dorsale ; on sait en effet que l'entrecroisement sensitif
T. Si, enfin, nous considérons la racine sensitive de la lre paire dorsale SD1, nous voyons bien que sa continuité intramé
érieures et faisceaux pyrami- daux droits) au niveau de la 2e paire dorsale MD2, détermine la paralysie droite du corps au-
éments cellulaires. Le sillon longitudinal antérieur dans la région dorsale , au niveau de la commissure blan- che antérieur
leur nucléole. Sur les coupes de la partie supérieure de la moelle dorsale , on voit la pie-mère épaissie,infiltrée d'élément
ibres nerveuses disséminées. Dans la partie inférieure de la région dorsale , la moelle est aplatie suivant son diamètre ant
'entrée de la balle, ou plutôt la cicatrice, est située sur la face dorsale du cinquième métacarpien, à peu près à sa parti
eut reconstituer le trajet de la balle. Elle est entrée sur la face dorsale , au niveau du cinquième métacarpien, a cheminé ob
e. Surtoutau niveau de la partie moyenne et inférieure de la région dorsale , la pie-mère présentait un fort épaississement go
xistait une cyphose cervicale per- sistante avec.un peu de scoliose dorsale , que le père était mort tuberculeux et qu'on eû
ité de l'hérédo- syphilis. Etant donnée la présence d'une cyphose dorsale et le début subit de la paraplégie, on pourrait
quant une compression brusque, de plus l'exagération de la courbure dorsale paraît postérieure d'un an à l'apparition de la p
e 6 ans, elle a commencé à se plaindre de douleurs dans les régions dorsale . et épigastrique qui la forcèrent, dit-elle, à
nes généraux il cette époque. , La courbure vertébrale de la région dorsale qu'elle présente aujourd'hui, ne se serait guèr
stée chez elle sans traitement, toutefois elle porte dans la région dorsale 2 cicatrices attribuables à des cautères qu'on lu
és au niveau des articulations du tarse, de telle sorte que la face dorsale des pieds regarde en avant, en dehors et en hau
ble arrêt de développement. Tronc. Cyphose très marquée à la région dorsale supérieure, arrondie, sans saillie ou pointe d'
on postérieure du tronc est parse- mée de cicatrices. A la région dorsale supérieure, 2 cicatrices étoilées de cautères anc
uées des os des avant-bras, des fémurs et des tibias. Les courbures dorsale et lombaire de la colonne verté- brale sont exa
taines zones de la ré- gion antéro-externe des jambes et de la face dorsale des mains où la sensibi- lité générale est dimi
nouvelle formation, la voûte plantaire est un peu affaissée, la voûte dorsale normale. Lésions deîitaiîes.- Ce qui frappe d
artie dépendant de la 1 r. semble man- quer : les plis articulaires dorsaux phalango-phalanginiens sont à la hauteur de la
e douleur permanente s'y installa peu après au niveau de la colonne dorsale su- périeure. . M. Jules Simon l'examina à no
ott, on constatait à ce niveau une légère déformation de la colonne dorsale et un point douloureux. L'enfant fut immobilisé
ec convexité tournée gauche et intéressant presque toute la colonne dorsale , s'étend de la 1 ? vertèbre dorsale à la 10° envi
essant presque toute la colonne dorsale, s'étend de la 1 ? vertèbre dorsale à la 10° environ. La poitrine bombe fortement e
tact simple ou de piqûre sont moins nettes aux jambes et à la face dorsale des pieds qu'aux cuisses. La face plantaire des
s intéressante. La région supérieure présente une double gibbosité, dorsale et thora- cique ; elle forme un angle ouvert en
éplique d'une oeuvre de Lysippe, vantée par Pline. Outre la cyphose dorsale très accen- tuée, on relève sur le marbre en qu
rie et sur l'hypotonie (Muskelschafl'heit) musculaire dans le tabès dorsal . (2) Nous avons constamment éliminé dans toute
it est diminué dans certains groupes musculaires, au cours du tabes dorsal . Nous sommes donc autorisés à supposer que la d
ariétal. Nous croyons que c'est a peu près un 1/8-1/9 de la surface dorsale pariétale. Lobe occipital. Sauf l'union déjà no
problème à résoudre. Jelgersma le met en contact avec les cellules dorsales (stratum cotapiex2ctz et profundum pontis), Win
les, Frijlinck (9), Kam et Krezcser au contraire, avec les cellules dorsales et dorso-tatérates de la partie dis- tale, tand
Little est le type systématique congénital qui correspond au tabes dorsal spasmodique ; de même on a décrit des cas térat
plication serrée contre les os. - Au niveau des pieds, à la face dorsale , la peau, d'un rouge cuivré, mais sans cyanose,
iie, Des altitudes anormales spontanées ou provoquées dans le tabès dorsal sans arthropathies . Nouvelle Iconographie de la
égion cervicale mais la région moyenne et in- férieure de la moelle dorsale . Les vaisseaux les plus petits et les plus gran
re des parois de ce vaisseau dans la partie supérieure de la moelle dorsale est normale, il part une infiltration peu marquée
ique adventice; plus loin dans les parties inférieures de la moelle dorsale et lombaire on retrouve l'altération des tuniqu
ns postérieurs clans les parties moyenne et inférieure de'la moelle dorsale que la pie-mère est la plus épaissie et qu'on t
niveau de la partie moyenne et de la partie supérieure de la moelle dorsale alors que dans les autres parties leurs lésions s
s les cornes sont atteintes, ainsi à la partie moyenne de la moelle dorsale et du rendement lom- baire, l'extrémité de la c
haut à la périphérie de la corne postérieure droite dans la région dorsale moyenne et lombaire. Les cellules ganglionnaire
ons que celles déjà décrites pour les fibres nerveuses de la moelle dorsale , le reste quoi- que engainé par les masses néof
ents cellulaires. Le sil- lon longitudinal antérieur dans la région dorsale au niveau de la commissure blanche, forme un di
leur nucléole. Sur les coupes de la partie supérieure de la moelle dorsale on voit la pie-mère épaissie, infiltrée d'élément
ibres nerveuses disséminées. Dans la partie inférieure de la région dorsale , la moelle est aplatie suivant son diamètre ant
ons postérieurs pour atteindre à la portion supérieure de la moelle dorsale leur plus forte étendue, elles diminuent peu il p
vical. Partout, et on en est frappé immédiatement, la circonférence dorsale participe beaucoup plus au processus morbide que
ce grise les fibres sont épaisses, gonflées, surtout dans la moelle dorsale et la partie inférieure de la moelle lombaire, au
que des cellules altérées. Dans les cornes antérieures de la moelle dorsale , surtout dans ses parties inférieures de nombreus
cervicale et qu'on ne la retrouve pas dans les coupes de la moelle dorsale . Elle consiste dans l'envahissement de la subst
x de calibre moindre, ne présentent rien à si- .. gnaler. Régions dorsale , lombaire, DE la queue DE cheval, se présentent é
larges travées fibreuses rayonnant autour des vaisseaux. , Région dorsale . Ce qui frappe encore à un faible grossissement,
grenue contenant peu de noyaux colorés par l'hématoxyline. Région dorsale . L'aspect est le même sur les premières coupes, i
liquer bientôt. En effet, peu à peu apparaît au niveau de la région dorsale moyenne, à la face postérieure de la moelle, ne
. Au microscope : Région cervicale. Tout est normal. , , Région dorsale . Sans qu'on ait il relever d'autres lésions appar
es, creusées dans l'épaississement fibreux de la pie-mère. Région DORSALE .- L'aspect est très semblable à celui de la régio
inctes. Les racines présentent le même caractère que dans la région dorsale . Les méninges sont également très épaissies, su
corne et est directement bordée par les faisceaux blancs. La moelle dorsale et la moelle lombaire ne présentent rien d'analog
rois. Les racines paraissent normales dans les régions cervicale et dorsale , les vaisseaux qui les accompagnent sont entour
omplètement privée de mouvement, était immobilisé dans le décubitus dorsal , comme un bloc inerte. De temps en temps elle é
nsi un syndrome qui offre une certaine res- semblance avec le tabès dorsal . Un médecin de New-Yorlc, le Dr Dana (1), a pub
x extrémités, principalement au pourtour des malléoles et à la face dorsale du tarse.Les malades se plaignent de douleurs dan
le reparait ensuite déformée, disjointe, irrégulière dans la région dorsale , elle re- prend une forme il peu près normale d
gulières représentant des vaisseaux de nouvelle formation. Région dorsale supérieure. - Même aspect que *ci-dessus. Nulle t
s de la pie-mère épaissie, avec ses vaisseaux irréguliers. Région dorsale inférieure. Ou reconnaît la présence de tissu ner
théliales, desquamées.'qui obstruent leur lumière. Dans les régions dorsale et lombaire, les vaisseaux sont évidemment moins
a à peu près les dimensions par une ligne plus foncée. A la région dorsale supérieure la cavité du canal rachidien est envah
parois du canal ra- ctidien. A mesure qu'on s'approche de la région dorsale inférieure la tumeur augmente,- la moelle est c
ndant une ac- centuation très notable de ces lésions dans la région dorsale moyenne, par rap- port aux régions cervicale la
mbryonnaire remarquable. Arachnoïde et dure-mère normales. Région dorsale . Ici les lésions sont beaucoup plus marquées. L
tration cellulaire. L'espace extradural paraît presque sain. Région dorsale . L'aspect est sensiblement le même, mais les lési
infiltrent sem- blent avoir il l'égard de l'llématoxylinc. Région dorsale . Ici la moelle a repris des caractères absolument
une périartérite intense, qui soit plus atteinte que dans la région dorsale . - Observation XXVIII, 28 septembre 1896 (Broca
ÈRE T. IX, PL. XLIV i. (OBS. XXII. Non spécifique.) Moelle : Région dorsale inférieure. Pie-mère et arachnoïde minces disti
es nerveuses bien isolé ? 2. (OBS. II. Spécifique.) Moelle : Région dorsale inférieure. l'ie-mere et arachnoïde réunies par
st envahie par le même processus. 4. - (Obs. XVII.) Moelle : Région dorsale . Énorme gomme méningée ayant refoulé la moelle
lle : Région dorsale. Énorme gomme méningée ayant refoulé la moelle dorsale . LOCALISATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITA
l'est beaucoup également. 6. (Otss. VI.) Une racine de la région dorsale . Développement anormal du tissu conjonctif prop
, Bottiger .in- sistent sur la prédominance des lésions aux régions dorsales moyenne et inférieure dans leurs cas, Jùrgens t
reprises noté chez les foetus le maximum des lésions dans la région dorsale ou dans la région lombaire, mais on peut dire q
édius et à l'annulaire, cette courbe l'est moins au pouce : la face dorsale de l'ongle figure assez bien, mais très atténuées
ile de se rendre compte de ce fait en le regardant, non par sa face dorsale , mais par son bord anté- rieur, s'est dédoublé
372 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE 2° Faces palmaire et dorsale de la main gauche ; 3° Deux tiers inférieurs de
; 2° une zone d'anesthésie tactile et d'analgésie occupant la face dorsale de la main et de la moitié infé- rieure de l'av
lement, s'incurve du bas et en dedans et tend à s'incarner. La face dorsale présente deux ondulations séparées par une dépr
tent les localisations suivantes : 1° Analgésie étendue à la face dorsale des 4 derniers doigts droits et gauches, aux fa
ire et de l'auriculaire gauches ; 2° Thermo-hypoesthésic de la face dorsale des 4 derniers doigts de la main gauche. , Il
93. Attitudes anormales, spontanées ou pro- voquées dans le tabès dorsal sans an- th1'opatltie, par FRENKEL et MAURIGE
ICE). Attitudes anormales spontanées ou provoquées, dans le tabes dorsal sans arthropathie, 189. GASNE (G.). Localisat
11 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
édians ou cordons de Goll. Fig. 1. Région cervicale. — Fig. 2. Région dorsale . tômes de l'ataxie locomotrice, n'affecte pas i
mitée aux cordons de Goll. Fig- 3. Coupe au niveau de la 12e vertèbre dorsale . — Fig. 4. Partie supérieure du renfle-ment lomba
nte, l'autopsie vint justifier pleinement mes prévisions. A la région dorsale , comme à la région cervicale de la moelle, la cor
éné-ration ascendante consécutive à une lésion partielle de la moelle dorsale (myélite partielle primitive ou liée au mal de Po
tielle primitive ou liée au mal de Pott, tumeurs comprimant la moelle dorsale ), les cordons pos-térieurs sont affectés de sclér
t. path. sur diverses maladies. Paris, 1826. de carie des vertèbres dorsales avait présenté, outre la para-plégie, une paralys
embres supérieurs. Cependant, à l'autopsie, on constata que la moelle dorsale était seule ramollie dans une partie de son étend
n que la lésion spinale primitive occupe un point limité de la région dorsale delà moelle, on observe, en outre de la paralysie
xiste presque toujours, dans les cas de lésion partielle de la moelle dorsale , principa-lement lorsque cette lésion siège très
ésion partielle primitive occupe les parties supérieures de la région dorsale . Or, la paralysie des membres supérieurs, tôt ou
ttacher à toutes les ques-tions qui concernent le diagnostic du tabès dorsal . II. L'énoncé sommaire de deux points relatif
ey La tumeur— un psammome — siégeait au niveau de la onzième vertèbre dorsale et comprimait la moelle. Le malade avait accusé c
lgaire, celui où la lésion siège sur un point quelconque de la région dorsale de la moelle épinière. Il y a dès maintenant un
ns la myélite par compression, lorsqu'il s'agit du moins de la région dorsale f, que la vessie conserve en grande partie l'inté
lir. Si la compression siège trop haut, vers le milieu de la région dorsale , par exemple, on observe, en général, de la dif-f
te du sphincter; c'est pourquoi les lésions de la moelle cervicale et dorsale pro-duiraient le spasme permanent du sphincter vé
de la région cervicale. Si c'est au contraire un point de la région dorsale ou lom-baire qui est affecté de cette façon, ce n
d'une tumeur méningée, comprimant vers la partie moyenne de la région dorsale , une moitié latérale de la moelle épinière et sup
uestion. Si la compression hémilatérale au lieu de siéger à la région dorsale de la moelle, occupait centimètres et demi envi
t dans le sens antéro-postérieur, déterminé sur un point de la région dorsale , une compression à peu près exactement limitée à
oit de la région cervicale, soit de la partie supérieure de la région dorsale de la moelle. Les symptômes en question mériten
lésions traumatiques portant sur la moelle cervicale ou sur la moelje dorsale supérieure. C'est tantôt la dilatation (myosis sp
aissait occuper la dernière vertèbre cervicale et les trois premières dorsales . Un fait recueilli par M. E. Rollet, à la cliniqu
on et dans toute son épaisseur, à la hau-teur de la première vertèbre dorsale . Une tumeur, du volume d'une noisette, était appe
se com-portent ces organes lorsque la compression porte sur la moelle dorsale . C'est là un point qu'il n'était pas sans intérêt
plutôt sur le bulbe. Pour l'épilepsie liée aux lésions des régions dorsale et lombaire de la moelle épinière, consulter: Leu
euvent même descen-dre jusqu'à 36, à 20. Les fractures de la première dorsale pa-raissent être susceptibles elles-mêmes d'amene
xamen de quelques tholog.Society, 1853, t. IV. Fracture of the last dorsal vertehra with destruc-tion of the spinal marrow.
hauteur du cordon nerveux, de telle sorte que, par exemple, la région dorsale et la région lombaire seront atteintes simultaném
om-baire, par exemple, si la lésion a porté sur un point de la région dorsale ; la propagation en question se fait dans les fai
on spinale, en apparence limitée à un point circon-scrit de la région dorsale , peut déterminer dans les membres inférieurs para
uvait môme être suivi jusqu'au niveau du tiers inférieur de la région dorsale . Dans lapins grande partie de son trajet, il occu
ion s'exerçant sur un point limité de la moelle épi-nière à la région dorsale ; l'inertie motrice occasionnée dans les membres
l. Fig. 17. — Coupe transversale passant par le milieu de la région dorsale . Fig. 18. — Coupe transversale passant par le m
partenir au même système que les faisceaux latéraux. b) A la région dorsale , la lésion est plus circonscrite. [Fig. 19.) En a
tatée, des groupes cellulaires de la colonne de Clarke dans la région dorsale . a) L'altération de la substance grise spinale,
a moelle épinière; elle est souvent très prononcée encore à la région dorsale ; mais elle tend à s'atténuer à mesure qu'on desc
nt dans les membres paralysés en conséquence de la myélite transverse dorsale , reconnais-sent le même mécanisme bien que la réa
ées et prises sur les points les plus divers des régions cervicale et dorsale de la moelle. Je dois faire remarquer, ici. que l
inale, un brillant avenir. QUATRIÈME PARTIE Sujets divers Tabes dorsal spasmodique. — Paraplégies urinaires. Verl ige de
lepsie partielle d'origine syphilitique. QUINZIÈME LEÇON Du tabes dorsal spasmodique. Sommaire. — Dénomination provisoir
n ; — sclérose symé-trique et primitive des cordons latéraux. — Tabes dorsal spasmodique et tabès dorsal ataxique. — Parallèle
t primitive des cordons latéraux. — Tabes dorsal spasmodique et tabès dorsal ataxique. — Parallèle entre ces deux affections.
e la démarche. De la contracture et de la trépidation dans le tabès dorsal spasmodique. — Absence de troubles de la sensibil
proposerai de désigner, au moins provisoirement, sous le nom de tabès dorsal spasmodi-que, n'est pas très rare, et il n'est ce
caractère anatomique. D'un autre côté, l'antique appellation Tabès dorsal , malgré la signification assez indécise qui s'y e
urrait, par opposition, ap-peler, ainsi que je l'ai proposé, le Tabès dorsal ataxiqne, s'at-taque tout d'abord au système spin
a peau, ou la compression des muscles para-lysés, la flexion (flexion dorsale énergique du pied). (Etude sur quelques points de
ues, etc., se mon-trent associés à la contracture, n'est pas le tabès dorsal spasmodique. Cela étant posé, je laisserai de côt
dont notre malade est atteinte n'est autre que la myélite trans-verse dorsale chronique avec dégénération scléreuse descen-dant
lance clinique qui, dans certains cas, peuvent exister entre le tabès dorsal spasmodique et la sclérose enplaques des centres
alades présentées dans cette leçon, comme offrant un exemple de tabès dorsal spasmodique, a succombé. — L'autopsie n'a pas con
trophiques d'aucun genre ; on note expressément l'absence de douleurs dorsales et de toute espèce de sentiment de constric-tion
l existe aussi bien la nuit que le jour, aussi bien dans le décubitus dorsal que dans la station verticale. Cette dernière sit
le entièrement divisée au niveau de la partie supérieure de la région dorsale ; un lambeau de la dure-mère rattachait seul les d
. Le malade succombe le 15e jour. Autopsie.— Au niveau des 6e et 7e dorsales , la moelle dans toute son épaisseur, à l'exceptio
de ce foyer principal, le ramollissement remonte jus-qu'à la 2e et 3e dorsales , en diminuant progressivement d'étendue et en se
de chromique et colorées par le carmin; coupes transversales ; région dorsale . — Toutes les par-ties qui avaient été ramollies
scendante consécutive), à peu près dans toute la hauteur de la région dorsale l. On sait d'ail-leurs, d'après les recherches hi
ntérieures se rencontre seu-lement au niveau des régions cervicale et dorsale . Il cesse à peu près entièrement au niveau de la
que, au contraire, la plupart sont atrophiés et décolorés. — Le grand dorsal et toute la partie postérieure du trapèze ont sub
s antérieures est pro-fondément altérée dans les régions cervicale et dorsale . Le maxi-mum des altérations occupe la partie inf
aque préparation, ont môme des dimensions quasi-normales. A la région dorsale , la lésion va également en s'atténuant à mesure q
, elle est atteinte de sclé-rose à la région cervicale et à la région dorsale . L'étendue de cette sclérose est manifestement en
voie vers la périphérie de larges prolongements tandis qu'à la région dorsale elle est limitée au trajet des faisceaux radi-cul
état est exactement le même pour les racines antérieures de la région dorsale . A. la région lombaire, on rencontre à peine quel
de se faire une idée plus exacte de l'étendue des lésions. Le grand dorsal , par exemple, est presque entièrement con-verti e
upérieure de la région cervicale, par exemple, de même qu'à la région dorsale , les cellules nerveuses sont en-core profondément
s cellules nerveuses des cornes anté-rieures aux régions cervicale et dorsale . — Au bulbe, atrophie et destruction des cellules
est petite, ratatinée, comme couverte de circonvolu-tions sur la face dorsale qui est le siège de mouvements fîbrillai-res et v
dant on les observe encore dans presque toute la hauteur de la région dorsale ; mais elles tendent à s'effacera me-sure qu'on s
te grisâ-tre, analogue à celles des racines antérieures cervicales et dorsales . Cette altération dans la coloration devient surt
est relatif sur-tout à la région cervicale de la moelle ; à la région dorsale , les lésions atrophiques se montraient moins pron
e nous ont paru offrir toutes les conditions de l'état sain. Région dorsale . L'examen n'a pu porter que sur les 2/3 supé-rieu
ellules des cornes antérieures de la moelle, aux régions cervicale et dorsale . Nous avons pris pour point de comparaison, dans
su sclérosé. Si, des parties supérieures, on descend vers les régions dorsale et lombaire, on voit la sclérose abandonner le co
uer pro-gressivement d'étendue dans le cordon latéral. Dans la région dorsale le cercle de tissu sain périphérique s'élargit no
e, mais elle ne peut ni en relever la pointe, ni en appliquer la face dorsale contre la voûte palatine. Les mouvements de l'o
sé. Son volume toutefois ne s'est pas nota-blement amoindri ; sa face dorsale est encore parfaitement lisse et on n'y observe p
visible, il consérvele volume normal. Coupes provenant des régions dorsale et cervicale. — Les altéra-tions des cellules son
aire ; 2° le renflement cervical et la moitié supérieure de la région dorsale de la moelle épiniôre ; 3° di-vers tronçons pris
e de la moelle épinière comprenant la moitié supérieure de la ré-gion dorsale et le renflement cervical tout entier, les résult
iées et prises sur lespoints les plus divers des régions cervicale et dorsale de la moelle. Or, le résultat a été absolument né
). — Coupe transversale de la moelle au niveau de la sixième vertèbre dorsale . a, a, Petits noyaux de sclérose situés dans le
totale-ment parla sclérose. Fig. 2 (à droite). — Coupe de la région dorsale de la moelle. La sclérose a envahi les mêmes part
— Coupe transversale de la moelle à la partie inférieure de la région dorsale . — a, a, Ilots de sclérose, situés dans les ruban
Examen de la moelle par coupes successives dans un cas de mal de Pott dorsal . Dégénérations secondaires. — d, Point comprimé r
s. — d, Point comprimé représenté, grossi, sur la fig. 2. — c, Région dorsale . Sclérose latérale et postérieure. — h, Région ce
imitée aux cordons de Goll. — a, Renflement cervical, id. — e, Région dorsale inférieure. Sclérose diffuse des cordons latéraux
cordons latéraux. Fjg. 2. — Coupe de la moelle ëpinièrea la région dorsale (au niveau du point comprimé) chez un adulte qui
e. Fig. 3. — Coupe à la région cervicale dans un cas de mal de Pott dorsal . Sclérose annulaire, marquée surtout vers les rac
e transversale de la moelle épinière à la partie moyenne de la région dorsale , a, a, Cordons latéraux, c, c, Cornes antérieures
ne radiculaire antérieure, T. Fig. 3. — Partie moyenne de la région dorsale . — A, Zone radiculaire anté-rieure sclérosée. — C
.................................... 267 QUINZIÈME LEÇON du tabes dorsal spasm0d1que. Sommaire. — Dénomination provisoir
n ; — sclérose symé-trique et primitive des cordons latéraux. — Tabes dorsal spasmodique ; — tabes dorsal ataxique. — Parallèl
primitive des cordons latéraux. — Tabes dorsal spasmodique ; — tabes dorsal ataxique. — Parallèle entre ces deux affections.
e la démarche. De la contracture et de la trépidation dans le tabes dorsal spasmodique. — Absence de troubles de la sensibil
Atrophie musculaire , Crises 6astriques, Douleurs fulguran-tes, Tabes dorsal spasmodique, Vertige). Athétose, 490. Atrophi
ie, Psoriasis, Rétino-Cho-roïdite.) Syringomyélie, 216. T Tabès dorsal , 303. — Spasmodique, 301. — Comparaison avec le t
dans la myélite trans-verse, '17. — Des hémiplégiques, 362. (V. Tabès dorsal .) Troubles des organes génito-urinaires dans l'
12 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
ules. F. Vaisseau. PLANCHE III FIGURE 5. MOELLE NORMALE. Région dorsale . Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne
5. MOELLE NORMALE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall. A. C
n° 5, p. 6fHi. PLANCHE VIII Figure 15. MYÉLITE DIFFUSE. Région dorsale inférieure. - Coupe pratiquée dans la région do
IFFUSE. Région dorsale inférieure. - Coupe pratiquée dans la région dorsale inférieure et colorée par la méthode de Pall. L
. Vaisseau. PLANCHE XIII FIGURE 25. SCLÉROSE EN PLAQUES. RÉGION dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la région dors
PLAQUES. RÉGION dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la région dorsale supérieure et colorée par la méthode de Pall. L
t alté- rées. PLANCHE XV . Figure 29. LÉSION COMBINÉE. Région dorsale . Coupe pratiquée dans la région dorsale, et col
. LÉSION COMBINÉE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale , et colorée par la méthode de Pall. La pièce ap
ore inédit. PLANCHE XVI Figure 31 . SCLÉROSE COMBINÉE. - RÉGION dorsale . Coupe pratiquée dans la région dorsale et colo
SCLÉROSE COMBINÉE. - RÉGION dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Pall. La sclérose
ÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE DOUBLE D'ORIGINE CÉRÉBRALE. Région dorsale . Coupe pratiquée dans la région dorsale et colo
ORIGINE CÉRÉBRALE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Weigert. La dégéné
atteint. FIGURE 38. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE DESCENDANTE. Région dorsale . La préparation montre un point du faisceau pyr
re 41. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE ASCENDANTE D'ORIGINE SPINALE. Région dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la région dors
SPINALE. Région dorsale supérieure. Coupe pratiquée dans la région dorsale supérieure et colorée par la méthode de Weigert.
42. DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE ASCENDANTE D'ORIGINE SPINALE. - Région dorsale supérieure. La figure représente un point du co
de Mal de Pott avec compression de la moelle au niveau de la région dorsale inférieure, et dégénération ascen- dante au-des
de Westphal. Figure 52. ATAXIE LOCOMOTRICE PROGRESSIVE. Région dorsale . Coupe pratiquée dans la région dorsale et colo
MOTRICE PROGRESSIVE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Weigert. Cas class
ions étaient particulièrement intenses dans les régions lombaire et dorsale , aussi cette préparation montre-t-elle surtout le
re 63. SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE (MALADIE DE CHARCOT). Région dorsale moyenne. Coupe pratiquée dans la région dorsale
DE CHARCOT). Région dorsale moyenne. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall. La l
sain. PLANCHE XXXVI . Figure 71. MALADIE DE FRIEDREICH. Région dorsale . Coupe pratiquée dans la région dorsale supérie
LADIE DE FRIEDREICH. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale supérieure et colorée par la méthode de Pall. O
La figure représente la zone de la colonne de Clarke, dans la région dorsale , colorée au carmin et vue à un fort grossisseme
yramidal dégénéré. FIGURE 76. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. - Région dorsale inférieure. Coupe pratiquée dans la région dors
ATEUSE. - Région dorsale inférieure. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Pall. Mêmes lésion
éré. PLANCHE XXXIX Figure 77. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale . Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne
OMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall. Les
édits. PLANCHE XLI Figure 81. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale . Coupe pratiquée dans la région dorsale et colo
OMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée par la méthode de Pall. Cavité aplat
ici. PLANCHE XLII Figure 83. SYRINGOMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale . Coupe pratiquée dans la région dorsale et colo
OMYÉLIE GLIOMATEUSE. Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale et colorée a I'llclllal0r'lllle. Il existe une
u. PLANCHE XLV Figure 89. TUMEUR DE LA MOELLE (FIBROME). Région dorsale . Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne
LA MOELLE (FIBROME). Région dorsale. Coupe pratiquée dans la région dorsale moyenne et colorée par la méthode de Pall. On v
13 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
duisais une épingle dans la dure-mère au niveau d'une des vertèbres dorsales supérieures, et j'observais ses déplacements. Mai
partie du rachis au-dessous des ais- selles, c'est-à-dire la partie dorsale et lombaire qui pouvait s'allonger, tan- dis qu
llimètre dans la partie de la dure-mère correspondant aux vertèbres dorsales supé- rieures. Par le même procédé nous avons p
vements, on arrive aux résultats suivants, les muscles interosseux, dorsaux et palmaires sont at- teints dans tous les cas
res dégénérés (1), mais le plus souvent elles portent sur la région dorsale : sur 158 épileptiques non hémiplégiques présen
enseignement, par le regretté Miliotti dans son livre sur le tabes dorsal . Notre malade a ce masque, mais d'une façon inc
ns coxo-fémorales de notre sujet. Lorsqu'il est couché en décubitus dorsal on peut constater tout d'abord qu'il n'y a pas
ques les plus prononcées. On signale tantôt simplement une courbure dorsale , tantôt deux courbures inverses, l'une dorsale, l
plement une courbure dorsale, tantôt deux courbures inverses, l'une dorsale , l'autre lombaire ou dorso-lombaire. \ \ - : \
résultats suivants : /.i .' ? Sur 5 cas où la déviation scoliotique dorsale était il convexité droite, 3 fois les troubles
symétrie assez nette de ces mômes troubles. Sur 7 cas de convexité dorsale droite, nous avons trouvé 3 fois une prédominance
'existait aucune inéga- lité de répartition. Sur 6 cas de convexité dorsale gauche, prédominance à gauche 5 fois, à droite
n exclusive des symptômes syrin- gomyéliques, on trouve : convexité dorsale droite, 2 cas : prédominance el droite. Ce sont
Bernhardt (Centrralbl. fiir Nerven- /t7 ? M)if/e, 1887). Conrexité dorsale gauche, 2 cas; prédominance ci gauche. Ce sont
l en soit, il semble que d'ordinaire la convexité de la déviation / dorsale regarde le côté atteint le premier et le plus for
Début de la maladie il y a ans, par le côté droit. Scoliose énorme, dorsale principale, à convexité gauche. 1 Balth...., âg
on est' provoquée par une scoliose des plus accentuées, il courbure dorsale gauche 1 principale. Cette dernière courbure in
rincipale. Cette dernière courbure intéresse uon seulement le segment dorsal du rachis, mais encore la partie inférieure de
orce, et en pressant sur le sommet de la gibbosité, redresser l'axe dorsal , de manière à ré- duire sa flèche de moitié env
eur est parfois très intense ; elle siège vers la huitième vertèbre dorsale , c'est-à-dire au sommet de l'incurvation rachidie
ait annoncée déjà par des symptômes nets. Observons que la courbure dorsale dirige sa concavité vers le côté atteint le premi
ayant débuté par la main droite il y a 12 ans. Scoliose à déviation dorsale droite principale. Le Pour..., 54 ans, garçon d
tête do la première phalange fait une saillie anormale sur la face dorsale do l'articulation pbaiango-pbaianginienno. Ce doi
rax est au contraire inclinée vers le côté gauche, par une courbure dorsale droite dominante, et l'épaule gau- che est à un
lontaires ou communiqués. On remarquera que le sens de la déviation dorsale répond ici à la règle que l'un peut considérer
surviennent il un certain âge. La courbure occupait toute la région dorsale , sauf dans un cas où elle n'intéressait que la
ombaire à convexité dirigée vers le côté malade, et une incurvation dorsale secon- daire en sens inverse. C'était le cas ch
coliose dorso-lombaire principale à convexité gauche, avec courbure dorsale en sens inverse. L'épaule.droite était un peu p
de la maladie. La déformation était très prononcée (cypho- scoliose dorsale droite). (1 ) Médecine moderne, 1890,h. 477.
ERTÉBRALES NËVROPATHIQUES. 151 Il s'agit d'une scoliose à convexité dorsale droite dans un cas sur trois, avec légère courb
a déviation scoliotique. « Il y a alors, d'après Soca, une scoliose dorsale et une lordose lombaire ; dans quelques cas, la l
es des cornes postérieures pa- raissent sclérosées dans les régions dorsale et lombaire. Névrite des racines postérieures d
ligne verticale que condiment les apophyses des 5 premières vertèbres dorsales . Au-dessous de la 5e vertèbre du dos, jusqu'au
ment thoracique. et une légère cyphose lombaire. « La 9° apo- physe dorsale est épaissie et douloureuse a la pression ; la 7°
Le sujet étant couché sur le ventre, les modifications des régions dorsale in- férieure et lombaire se laissent reconnaîtr
tinguer les unes des autres les apophyses épineuses, de la 7e à la 3e dorsales : il semble donc qu'il 3· ait I;i des masses ca
lobant et réunissant les apophyses en question. Dans le décubitus dorsal , on arrive sans peine à percevoir à travers l'abd
Lordose dorso-lombaire dont la courbe va de la 5e lombaire à la 8" dorsale . Rotation légère du segment lombaire vers la gauc
scoliotiquc droite du segment thoracique à partir de la 10'' vertèbre dorsale . « Le sujet étant couché sur le côté, on s'aper
d'avant on arrière (nach Irintrn dis- locirt). Dans le décubitus dorsal , on soit 1res bien, à plusieurs centimètres au-de
elle-ci, incurvation lordolique et scoliotique gauche jusqu'à la 9° dorsale . La 4e et la 5e lombaires sont séparées l'une de
peu près comporte- rait une distance de 40 cent. Dans le décubitus dorsal , le palper de la colonne lombaire est assez imp
ndamentale, diversement dévié, surtout dans les régions lombaire et dorsale inférieure. Nous ne ré- péterons pas la descrip
t pas la seule par- ticularité observée. Dans la région lombaire et dorsale inférieure, les apo- physes épineuses sonl peu
ues se rencontrent également sur le corps des 5 dernières vertèbres dorsales . Nulle part on ne trouve, clans les vertèbres m
s, entraînent des scolioses. Cyphose. La paralysie des extenseurs dorsaux et cervicaux produit une cyphose oo-ee;'u : c/c
tend fortement sur le cou et de plus il se produit : 1° une lordose dorsale ; 2° une exagération légère delà courbure dorso-
ariété, grâce il ce mou- vement de bascule du bassin, les apophyses dorsales les plus postérieures sont ramenées suffisammen
riété de lordose paralytique, le fil il plomb tombant des apophyses dorsales les plus saillantes passe il une certaine dista
oncavité répond au muscle contrac- ture, il se produit une courbure dorsale compensatrice de sens inverse, et l'épaule esl
es spinaux lombai- res seuls, soit les muscles spinaux lombaires et dorsaux du même côté. Ces deux groupes musculaires, bie
vexité tournée vers le côté malade, avec courbure de compen- sation dorsale . Si les muscles spinaux dorsaux participent à la
de, avec courbure de compen- sation dorsale. Si les muscles spinaux dorsaux participent à la lésion, il se produit une seul
muscles. Dans la cyphose cervico-dorsale par paralysie des spinaux dorsaux et cervicaux, on emploiera des brassières maint
ère ; on renforcera l'action des muscles paralysés et aussi du long dorsal par l'électrisation et par une gymnastique appr
côté sain. Mais d'ordinaire il existe une courbure de compensation dorsale supérieure qui ramène l'épaule du côté malade a
le, si le tronc s'incline vers ce dernier côté. Enfin, une courbure dorsale compensatrice tend à se produire. Tout se passe
orte déviation vertébrale. Tout se bornait à une légère incurvation dorsale il convexité dirigée vers le côté sain, avec une
embre supérieur, de l'épaule et du thorax du même côté, la courbure dorsale était plus prononcée, sans constituer il est vr
nière est tantôt une cyphose, tantôt une scoliose avec incurvation dorsale droite ou gauche ; la déformation est ordinaire
henne de Bou- logne. A cette lordose lombaire s'associe une cyphose dorsale plus ou moins prononcée. A propos de la paralys
fait a pour cause l'altération des extenseurs lombaires. Le rachis dorsal présente deux courbures latérales. L'épine de la
rsal présente deux courbures latérales. L'épine de la 3e vertè- bre dorsale est très notablement déviée à gauche de la ligne
ent déviée à gauche de la ligne médiane ; l'épine de la 4e vertèbre dorsale se dévie, au contraire, brusquement en sens inv
otiques se compensant mutuellement, et que limitent, en haut la 1'" dorsale , en bas la 8e ou 9° dorsale environ. Celte déform
lement, et que limitent, en haut la 1'" dorsale, en bas la 8e ou 9° dorsale environ. Celte déformation porte exclusivement
vation sco- liotique. Chez tous deux existait une double courbure : dorsale droite et dorso-lombaire gauche. De ces deux ma
sacro-lombaire sont affectés de la lordose paralytique avec cyphose dorsale que Duchenne a décrite comme consé- quence de c
tion avait été publiée par M. Marie. Il a trouvé une cypho-scoliose dorsale gauche prin- cipale, avec faibles courbures de
e paralytique de Duchenne), 3° des muscles extenseurs de la colonne dorsale et cervicale {cyphose paralytique cervicale et
e la colonne dorsale et cervicale {cyphose paralytique cervicale et dorsale ). B. Les déviations s'opèrent dans le sens tran
appe il' la fois les muscles sacro-lombaires et les muscles spinaux dorsaux du même côté, elle donne lieu à une longue et u
vexité tournée vers le côté opposé, et une courbure de compensation dorsale . On l'a vue également s'attaquer au trapèze (cas
ac- ture énergique. Enfin, la courbure principale était à la région dorsale , or c'est le rachis lombaire qui est pourvu des
RALES NÉVROPATHIQUES. 219 0 la convexité de la courbe scoliotique dorsale regarde de préférence le côté du corps envahi l
, altéré dans sa structure, est prêt à ployer, l'action des spinaux dorsaux est-elle prédominante du côté relativement resp
u à peu le rachis, ce n'est pas à droite que siégerait la convexité dorsale , mais à gauche, c'est-à-dire du côté opposé au
oblique dirigée en arrière jusqu'au niveau de la troisième vertèbre dorsale ; il ce niveau, la colonne vertébrale se porte
qui n'existent nécessairement pas dans l'athé- tose double. Tabes dorsal spasmodique. Ainsi nommé par M. le professeur C
us le titre de « Congénital partiel rigidi- ty of limbs », le tabes dorsal spasmodique grâce aux recherches plus ré- cente
le se confondent quel- quefois avec ceux qui sont atteints de tabes dorsal spasmodique et de fait, on peut être fort empêc
ulier les réflexes rotuliens sont toujours exagé- rés dans le tabes dorsal spasmodique, à moins que comme dans l'athétose
s dans l'athétose double, man- quent presque toujours dans le tabes dorsal spasmodique ; s'ils s'observent ÉTUDE CLINIQUE
s au repos. Un caractère très important qu'on observe dans le tabes dorsal spasmo- dique et qu'on ne voit presque jamais d
de la maladie. En effet à mesure que les malades atteints de tabes dorsal spasmodique avancent en âge, on constate une amél
colonne vertébrale présente dans la région cervicale inférieure et dorsale supérieure une scoliose dont la convexité est t
ui respecte la- 284 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. face dorsale et envahit seulement les orteils et la plante du
droit. Membre inférieur gauche : au pied, anes- thésie sur la face dorsale , la partie antérieure de la face plantaire et le
XXXIX). Du côté des pieds, les orteils se sont étendus sur la face dorsale , des panaris sont survenus avec fistules et élimi
égère scoliose, dont la con- vexité regarde à droite dans la région dorsale . Ces déformations scolio-cy- photiques demanden
st lisse, fine et rosée. Aux membres inférieurs, la peau de la face dorsale des pieds est tendue, amincie, pigmentée, sans
illes accolées, sessiles sur le métatarse et renversées sur la face dorsale du pied. Il n'existe là en ef- fet que la derni
les prati- quées à différentes hauteurs dans les régions cervicale, dorsale et lombaire paraît absolument saine. L'examen m
nostic d'avec les autres affec- tions qui peuvent la simuler (tabes dorsal spasmodique, maladie de Frie- dreich, chorée ch
deur et l'hémichorée du côté droit le forçant à garder le décubitus dorsal ou latéral droit. Les crises convulsives ne s
é. Attitude de repos. Dans l'attitude de repos qui est le décubitus dorsal ou latéral droit, le malade fixe son bras droit d
flexion sur l'avant-bras. Les doigts, immobilisés par le décubitus dorsal ou latéral, sont fixés tantôt dans l'ex- tensio
écède se rapporte il l'examen du malade au lit, dans le dé- cubitus dorsal ou latéral droit. Si on le transporte sur un sièg
tissus environnants. L'autre rhéophore, étant alors placé à la face dorsale de la (1) Eulenburg et Schmidt n'ont pu constat
inuer l'afflux du sang vers la moelle : le froid le long de l'épine dorsale , les vésicatoires, les scarifications et les ca
s nerveux rapidement. Notre procédé est très efficace dans le tabes dorsal . Il calme ici les dou- leurs et amende la march
séances. Je n'ai pas besoin de justifier ici le traitement du tabes dorsal par la faradisation de la région claviculaire,
es plus éminents comme M. le professeur Charcot et Vulpian le tabes dorsal est au fond une myélite, tandis qu'en Allemagne o
être pas- sagère. Un sujet qui offrait tous les symptômes du tabes dorsal fut par- faitement guéri par Erb au moyen de la
14 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
erve une ensellure lombaire, et une scoliose à convexité principale dorsale gauche, avec légères courbures de compensation
s-arachnoï- dien. La moelle est diminuée de volume dans la région dorsale . Examen microscopique de la moelle épinière.
l). Dans la moelle cervicale et le renflement cervical (4°r segment dorsal inclu- sivement), on trouve des dégénérescences
l. disposition qui devient très manifeste au niveau du leur segment dorsal (fig. 1). On voit aussi apparaître des lésions va
alement réparti sur toute la périphérie. Dans les 2e et 3c segments dorsaux , on retrouve les mêmes dégénérescences secondai
; nous aurons à re\enir tout il l'heure sur ce point. 4" segment dorsal . - En plus des lésions qui viennent d'être mentio
ntérieure droite un foyer scléreux qui se tra- Fig. 1. -1er segment dorsal . Fig. 2. Moelle normale, même niveau. SUR l'é
trouve pas dans le segment suivant. Partie supérieure du 5° segment dorsal . Ici on voit reparaître dans le cordon de Goll
avancées de la subs- tance grise à droite, comme dans le 4" segment dorsal , on voit dans la base de la corne postérieure g
ie-mère reste légèrement épaissie. Partie inférieure du, 5e segment dorsal . - Le cordon de Goll droit contient encore plus
7), et la colonne de Clarke manque également de ce côté. 6° segment dorsal . La pie-mère reste légèrement épaissie, mais les
ifestes, en particulier dans les cordons laté- Fig. 3. - 2° segment dorsal . Fig. 4. - Moelle normale, même niveau. Fig.
rsal. Fig. 4. - Moelle normale, même niveau. Fig. 5. - 48 segment dorsal . Fig. 6. - Partie supérieure du 5» segment do
5. - 48 segment dorsal. Fig. 6. - Partie supérieure du 5» segment dorsal . 110 LONG ET WIKI raux, où les vaisseaux se m
plète- ment détruite. Fig. 7. - Partie inférieure du 5° segment dorsal . Fig. 8. - Moelle normale, même niveau. Fig.
rsal. Fig. 8. - Moelle normale, même niveau. Fig. 9. - 6e segment dorsal . Fig. 10. - 7e segment dorsal. Fig. 11.-Moelf
, même niveau. Fig. 9. - 6e segment dorsal. Fig. 10. - 7e segment dorsal . Fig. 11.-Moelfenormale,mme niveau. SUR l'éta
veau. SUR l'état ATROP111QUE DE la MOELLE épinière 111 7° segment dorsal (fig. 10). Les lésions en foyer commencent il dis
s vasculaires sont beau- coup moins intenses que dans le 6° segment dorsal . 9e Segment dorsal (fig. 12). - Dans la région
au- coup moins intenses que dans le 6° segment dorsal. 9e Segment dorsal (fig. 12). - Dans la région dorsale inférieure, b
le 6° segment dorsal. 9e Segment dorsal (fig. 12). - Dans la région dorsale inférieure, bien qu'il y ait encore une diminut
ste ; elle va en diminuant progressivement. Fig. 12. - 9' segment dorsal . Fig. 13. - Moelle normale, même niveau. Fig.
ur toute la longueur des régions supérieure et moyenne de la moelle dorsale . On remarque en outre que les racines postérieu
dullaires. Ces lésions Fig. 16. - Pie-mère et vaisseaux. 2e segment dorsal . SUR l'état ATROPIIIQUE DE la MOELLE épinière 1
l, s'étendent dans les régions supé- rieure et moyenne de la moelle dorsale , prennent une grande intensité au niveau des 5°
sale, prennent une grande intensité au niveau des 5° et 6e segments dorsaux et diminuent ensuite progressivement ponr s'éte
retrouvent dans tous les segments supérieurs et moyens de la moelle dorsale , avec prédominance au niveau des 5e et 6° seg-
moelle dorsale, avec prédominance au niveau des 5e et 6° seg- ments dorsaux , où la dégénérescence fibro-hyaline des parois va
nt que la simple périartérite. C'est également dans le 6° seg- ment dorsal , et pas ailleurs, que l'ou voit fréquemment à la
la périphérie des Fig. 17. Vaisseaux intramédullaires. 2e segment dorsal . Fig. 18.-Vaisseaux extramédullaires. 5e segm
e segment dorsal. Fig. 18.-Vaisseaux extramédullaires. 5e segment dorsal . Fig. 19. - Vaisseaux extramédullaires. Gaz seg
segment dorsal. Fig. 19. - Vaisseaux extramédullaires. Gaz segment dorsal . 114 LONG ET WIKI petits vaisseaux de la subs
daires prennent naissance dans des segments différents de la moelle dorsale moyenne. C'est ainsi que pour le cordon de Goll
ve le maximum des lésions dans la partie supérieure du 5° seg- ment dorsal , d'où est partie la dégénérescence secondaire de
le point de départ est placé plus bas, entre les 5e et 6e segments dorsaux . Un retrouve des différences analogues pour 1 o
roisé gauche est au maximum dans la partie inférieure du 5° segment dorsal (fig. 7) et celle du faisceau pyramidal croisé
. 7) et celle du faisceau pyramidal croisé droit dans le 6e segment dorsal (fig. 9). Au- dessus de ces régions les faiscea
ne dégénérescence rétrograde qui s'arrête au niveau de la 2° racine dorsale ; an- dessous leur dégénérescence cellulifune s
u cône terminal. Fig. 20. - Vaisseaux intra-médullaires. 6e segment dorsal . Fig. 21. - Substance grise du côté gauche. 6e
gment dorsal. Fig. 21. - Substance grise du côté gauche. 6e segment dorsal . SUR l'état ATROPIIIQUE DE la moelle épinière 1
on passe à l'examen de la substance grise. Au niveau du 3° segment dorsal , cette dernière est déformée dans sa moitié droit
e du côté gauche ; cette modification s'accentue dans le 4° segment dorsal . Ici la tête de la corne antérieure droite paraît
de la disparition du réseau fibrillaire. Dans les 5e et 6° segments dorsaux , c'est à gauche qu'on retrouve des lésions analog
de volume de la moelle dans les deux tiers supérieurs de la région dorsale . Remarques. - i° Les lésions vasculaires se man
lles soient presque toutes localisées dans les 4% 5e et 6° segments dorsaux , elles restent indépendantes les unes des autres
ut manifeste depuis le ter segment jusqu'au 7" segment de la région dorsale ; au-dessus et au- dessous elle s'atténue rapide
que les lésions en foyer occupent surtout les li ? 5°, 6e segments dorsaux , et ceux-ci ne sont d'ailleurs pas notablement
e de la moelle (maximum dans les deux tiers supérieurs de la région dorsale , atténuation progressive au-dessus et au-dessou
d'avant en arrière, mais en même temps s'élargissent dans la partie dorsale . Après, dans une coupe à la distance de deux mi
platit d'avant en arrière. Les cordons postérieurs dans leur partie dorsale sont mal développés, pâles et étendus de côté.
ns. La partie restante de la moelle allongée, à l'exception du bord dorsal qui se joint au plancher du 4e ventricule, cont
al- longée. La substance gélatineuse de Rolando, couvrant la partie dorsale de la (null) LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVE
on apparition. Des deux côtés de la moelle allongée, dans la partie dorsale , et à la périphérie, sont placées des lamelles se
myé- liniques sont marquées plus fortement, surtout dans la partie dorsale , c'est-à- dire près du plancher du 4° ventricul
cordons postérieurs ont une direction verticale et comme la partie dorsale de la moelle allongée est placée dans ce cas en
main en pronation pendant devant la glace et lui présentant sa face dorsale .) Le squelette du carpe, comme le montre cette
dehors, l'avant-hras et la main en supination reposant par la face dorsale sur la plaque photographique. On y peut voir, a
groupe musculaire. Il y a aussi une légère anesthésie de la partie dorsale du pouce. L'engourdissement est particulièremen
e du pouce et l'éminence thénar sont presque normales. Mais la face dorsale est livide, presque noire. Les doigts présentent,
e est livide, presque noire. Les doigts présentent, surtout à la face dorsale , la même coloration. On constate en outre quatr
ulaire. Main droite. - Coloration rougeâtre, plus accusée à la face dorsale . Membres inférieurs. - Les membres inférieurs p
ligne médiane ,en arrière par la ligne médiane. 3° A la main, face dorsale et face palmaire. 4° A la jambe dans toute l'ét
ration rose, rouge ou pourpre de certaines régions de la peau (face dorsale des mains et du poignet gauche) et, sous certaine
temps froids. Elle est congénitale et constante, du moins à la face dorsale du poignet gauche et des mains. 3° Comme il e
canal central est dilaté et s'allonge eu ar- rière. Dans sa partie dorsale il est couvert d'une épaisse couche de fibres myé
eut remarquer que la moelle a été formée de deux parties. La partie dorsale de la moelle allongée est restée sans grands chan
n bas de tout le bulbe rachidien. de telle sorte que dans la partie dorsale de la colonne vertébrale nous trouvons déjà les o
es cordons latéraux sont placées les pyramides ; dans leur par- tie dorsale ils sont pâles ; sur le côté opposé les cordons p
ons postérieurs de la moelle épinière d'un côté sonl dans la partie dorsale complètement pâles ; de l'autre côté aussi les co
plus haut. Ainsi sur la photographie 35 nous trouvons que la partie dorsale de la moelle n'a pas changé et une moitié du bulb
la moelle et contenant les raci- nes postérieures, sépare la partie dorsale du bulbe rachidien de la partie antérieure, et
érieurs forment la lettre S dont le bord antérieur limite la partie dorsale des cordons latéraux. Ainsi, comme dans les cas
bas, que nous ren- controns son extrémité inférieure dans la région dorsale ; la valvule de Tarin, couvrant en haut le 4e ve
(Phot. 4). Grâce à l'a- baissement de la moelle allongée, la partie dorsale du canal vertébral dans sa partie supérieure do
lle allongée s'est abaissée 264 SOLOVTZOFF et de ce que sa partie dorsale est placée derrière la moelle épinière, les cor
gion lombaire et en même temps, elle peut se trouver dans la région dorsale , en même temps que l'hydropisie dans la région lo
hose lombo-sacrée [hypertrichose lombaire ;hyper- tricbie localisée dorsale , lombaire, sacrée; hypertrichosis lumbalis; hy-
antés sur une plus ou moins grande étendue du tégument de la région dorsale , lombaire, sacrée. L'analogie de cette touffe e
ne de toute malformation autre qu'une scoliose marquée de la région dorsale . Mais s'il n'y avait pas de spina bifida occult
ou plus exactement au mécanisme de produc- tion de l'hypertrichose dorsale , lombaire ou sacrée nous n'avons pas à l'envisa
acrum. NOTICE BIBLIOGRAPHIQUE. I. - Cas d'hypertrichose localisée dorsale , lombaire, sacrée, publiés antérieurement à 190
Les poils atteignent jusqu'à 27 centimètres de longueur. Spina bifida dorsal et 272 MAYET lombaire. Photographie. (Cf. Zei
par divers troubles nerveux et trophi- ques. Pas d'hypertrichose dorsale lombaire ou sacrée. , CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE
ASIQUES C C lYlaia7 e la fillette acliondro lasi uc Pl. Y1\III face dorsale et face palmaire (supination complète impossible)
). On aurait également constaté à cette époque une légère gibbosité dorsale . Actuellement elle n'est pas encore réglée. La
é opposé. La colonne lombaire et la partie inférieure de la colonne dorsale offrent une courbure compensatrice. Mais ces dé
pour des os trop longs. Si l'on regarde la main malade par sa face dorsale on voit nettement que la masse pathologique est
millimètres de profondeur. De plus, la main gauche vue par sa face dorsale paraît plus large que la droite et de fait, la
en tissu malade et pour déjeter cependant la cicatrice sur la face dorsale , de façon à lui éviter les chocs qu'elle eût reçu
utrées, on trouve un peu de tissu adipeux qui con- duit sur la peau dorsale , faisant le fond du sillon interdigital anormal.
on n'a pu les disséquer au milieu de la gangue graisseuse. La face dorsale ne présente rien de particulier si ce n'est, sur
cles sus et sous-épineux, trapèze, des muscles de la nuque du grand dorsal , du grand pectoral qu'on dirait excités par une é
ation qu'à la lumière, sont diminuées, mais non abolies. Scoliose dorsale légère à grande courbe convexe à gauche. Aujour
uée dans le faisceau de Flechsig que dans celui de Gowers. Région dorsale moyenne. La zone de sclérose du cordon postérieur
; par endroits ces fibres ont disparu complètement (Fig. 1). Région dorsale supérieure et cervicale inférieure. Dans les cord
cation de leur forme, surtout dans tous les seg- ments de la région dorsale . Tandis que dans une moelle normale, le diamètre
bulbe étaient petits. Région cervicale 15 -- 9 millimètres. Région dorsale 11 - 8 millimè- très. Région lombaire 11 - 8, 5
s de la moelle dans la région lombaire étaient de 87 65 millimètres dorsale , inférieure 77 - 6 millimètres, région du renfl
res, l'épaisseur dans la région cervicale (IVe racine) 12 - 7 m/m dorsale (VIe « ) 8 5 m/m lombaire (IIe « ) 8,5 5 m/m
et Vurpas) 1), Coupe de la région cervicale. E, Coupe de la légion dorsale . P, Coupe de la région lombaire - G. Coupe d'un
u. Les troisième et quatrième coupes portent au niveau de la région dorsale et de la région lombaire. Les lésions sont peu
et postérieures est normale. La cinquième coupe intéresse la région dorsale . A ce niveau les cordons postérieurs semblent n
façon très nette et très évidente il n'existe pas. Fig. 5. - Région dorsale . E. Entrecroisement moteur. F. Faisceau de Bu
ns ventriculaires et épendymaires s'éta- lent largement sur la face dorsale puisqu'arrivées au niveau de la région supéro-
iorisée de la moelle. L'examen a porté sur des ganglions cervicaux, dorsaux et lombaires droits et gauches ; ils ont tous pré
nt égale- ment moins nombreuses à la région lombaire qu'à la région dorsale , et moins nombreuses à la région dorsale qu'à l
on lombaire qu'à la région dorsale, et moins nombreuses à la région dorsale qu'à la région cervicale. Les méninges sont éga
n abduction; tendons des longs extenseurs très visibles sur la face dorsale ; mouvements d'adduction et d'abduction abolis;
eur profond, l'éminence hypothénar et les in- terosseux ; à la face dorsale ,au contraire, la sensibilité parait être normale
e entrant par la face pal- maire de la main et s'arrêtant à la face dorsale , à 6 ou 8 centimètres au-dessus du carpe. Etudi
. Ou note cependant, à partir de la portion inférieure de la région dorsale , et jusqu'aux dernières sa- crées.une légère ra
rencontrées dans deux autopsies successives. Au niveau de la région dorsale inférieure et moins prononcée dans la région lomb
d'un C à concavité postérieure, dont le sommet répond à la douzième dorsale ; par suite les extrémités inférieures des omop
ulier. La colonne cervicale a sa direction normale, mais la colonne dorsale présente plusieurs inflexions ; tout d'abord el
e première cour- bure à convexité gauche dont le sommet est à la 3e dorsale , puis une seconde courbure à convexité droite d
xité droite dont le sommet est au disque intermédiaire aux 6e et 7° dorsales ; une troisième courbe à convexité gauche dont le
une troisième courbe à convexité gauche dont le sommet est à la 9° dorsale ; enfin une quatrième courbure à convexité droite
quatrième courbure à convexité droite dont le som- met est à la 12° dorsale , en sorte que la colonne lombaire est oblique en
teur, tandis que la 4° en mesure 10 et la 70, ainsi que la première dorsale 11. La 2° dorsale n'a que 7 millimètres de haut
a 4° en mesure 10 et la 70, ainsi que la première dorsale 11. La 2° dorsale n'a que 7 millimètres de haut. La 3° est triangul
tal existe sur cette face, et se perd sur la face antérieure. La 5° dorsale a une forme très irrégulière. Elle est comme form
t sur la ligne médiane et 9 mil- limètres sur la face gauche. La 6° dorsale , en forme de coin mesure 12 milli- mètres sur s
sa face antérieure et 3 sur sa face gauche. Les dernières vertèbres dorsales , et les vertèbres lombaires sont beaucoup moins
15 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
que d'hystérie. Aussi le malade ne peut-il rester dans le décubitus dorsal . i NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA 5lLlli'f111Llth.
L'HEMIPLEGIE HYSTERIQUE. r. r laieryprincipalement en une douleur dorsale qui remontait jusqu'à la nuque et s'accompagnai
ehors et la pointe repose sur le sol par l'intermédiaire de la face dorsale des trois premiers orteils. Mais ce pied est te
isolée, elle est suivie du relief moindre dû à la première vertèbre dorsale . Au-dessous commence le sillon dorsal médian, o
re dû à la première vertèbre dorsale. Au-dessous commence le sillon dorsal médian, ou raie du, dos, au fond duquel les apoph
ne se voient pas. Cependant, vers la partie inférieure de la région dorsale , la crête épinière se relève parfois et forme alo
ombre de quatre : une convexité au cou, une concavité à la région dorsale , une convexité à la région lombaire, une concav
mée que celle des corps verté- braux. C'est l'inverse à la région dorsale où la courbe postérieure est la plus ouverte ;
rte le bandage herniaire, au niveau des deux malléoles, sur la face dorsale du métatarse et au niveau de la saillie de la c
acture spasmodique. Au contraire, quand on veut produire la flexion dorsale du pied, on est bientôt arrêté brusquement par un
s tous les jours. A la même époque est survenu un abcès sur la face dorsale du pied droit qui donna lieu à une longue suppura
duction forcée, si bien que lorsque la malade est dans le décubitus dorsal il repose sur le plan du lit, parlant sur le bord
ettre précédente. Si on examine le malade au lit, dans le décubitus dorsal et au repos, les contractions musculaires invol
. Tronc. - Il existe une scoliose â convexité gauche dans la région dorsale et une courbure de compensation dans la région
que ses pieds se déformaient, la saillie physiologique de la région dorsale s'accentuait suivant les dispositions que nous
trahissant dans la circonstance par une saillie exagérée de la région dorsale qui paraît bombée, surtout lorsqu'on la regarde
ssemblant assez bien aux mouvements athétosiques. , Cette saillie dorsale s'atténue considérablement lorsque le malade est
lui adresse. Tête. - Au repos, la malade se tient dans le décubitus dorsal , et on ne remarque aucun phénomène anormal, sin
la colonne vertébrale : sco. liose à convexité droite de la région dorsale . Membres supérieurs. -Au repos, les membres sup
cesse de légers mouve- ments athétosiques, se redressent en flexion dorsale exagérée, les tendons extérieurs faisant une sa
seulement les membres inférieurs, mais encore le thorax; la moelle dorsale était donc atteinte. h période paralytique a dé
nsibilité. Au niveau de la zone d'anesthésie qui existait à la face dorsale du pied et à la face antéro-externe de la jambe,
va en s'élargissant jusqu'au niveau de la partie moyenne de la face dorsale du pied où elle s'effile en une petite bande qu
u premier. En cet endroit, ce rameau s'ana- stomose avec la branche dorsale interne du tibial antérieur et quel- ques ramea
Le musculo-cutané seul innerve une bandelette située sur la face dorsale du pied, allant jusqu'à la malléole externe et s'
lieu du deuxième orteil au milieu du quatrième. Le reste de la face dorsale et le bord externe du pied sont innervés par le
nt l'usure, le désagrège- ment amènent la disparition de la saillie dorsale physiologique et l'écrasement concomitant de la
n du doigt, et lui oppose une certaine résistance. La tuméfaction dorsale du pied augmente peu à peu; elle est uni- forme
enne : c'est une saillie angulaire portant seulement sur la surface dorsale du pied, et prédominant plus ou moins sur le bord
a voûte plantaire est exagérée, et ce pied, avec sa forte convexité dorsale , peut être comparé très justement au pied chino
ement abolie dans le pied, mais d'une façon particulière. La région dorsale du pied est complètement insensible, tandis que
e à la région lombaire toute l'étendue de ces cordons : aux régions dorsale et cervicale, les cordons de Goll semblent seul
INO MICROPHOT. PHOTOTYP1TP BERTHAUD COUPE Transversale DE la MOELLE Dorsale dans UN cas d'Arthropathie Tabétique DU PIED
nes antérieures; les racines antérieures ne sont pas lésées. Région dorsale . - L'altération est il peu près localisée aux cor
actères identiques à ceux que nous venons de décrire dans la moelle dorsale ; toutefois la sclé- rose des cordons de Goll es
rands efforts que la malade peut relever de quelques degrés la face dorsale du pied. Le mouvement d'extension des orteils e
rsienne du gros orteil accentuée, mais pas à un fort degré; saillie dorsale au niveau du cou-de-pied, modérée; pas de saill
u du cou-de-pied, modérée; pas de saillie des tendons ni de flexion dorsale des orteils. Équinisme très léger : malléole ex
e présente une scoliose à courbure convexe à droite, dans la région dorsale supérieure, avec une petite courbure de compensat
ompensation dans la région lombaire et près des dernières vertèbres dorsales . Il y a, en plus, une lordose légère dont le ce
baire, lire : coupe longitudinale des cordons de Goll, à la région dorsale . Le gérant : Emile Lecrosnier. MOTTMOZ. Impri
t debout. C'est alors qu'elle est manifeste partout, même à la face dorsale du pied. En outre, les pieds de notre malade sont
ot. Il manque un détail : le relèvement des orteils dans la flexion dorsale , et la corde des tendons extenseurs de ces même
ès intéressant, et à rapprocher de l'existence isolée de la flexion dorsale qui a été contastée à plusieurs reprises, (Ruti
ed; mais, voici l'incurvation et l'équi- nisme, et point de flexion dorsale des orteils; voilà le redressement des orteils,
pied bot de contracture. Comment, en effet, expliquer cette flexion dorsale des orteils qui ne tient pas à l'équinisme ni à l
nne vertébrale est de 2 centimètres et demi environ. Dans la région dorsale , la crête des apophyses épineuses s'enfonce pro
vité directe et médiane en arrière, tandis que peu à peu la colonne dorsale se redressait; il n'exis- tait aucune déviation
és, principalement le pied droits. 11 existe au niveau de la région dorsale du pied droit, une saillie surtout marquée au n
région postérieure est sensible. Insensibilité absolue de la face dorsale des pieds; conservation de la sen- sibilité à l
il a subi un léger mouvement de torsion, de telle sorte que sa lace dorsale est tournée un peu en dedans. Sensibilité. Il
és, mais non dans la tota- lité de leurs tubes nerveux; aux régions dorsale et cervicale, les cor- dons de Goll étaient par
vation I. - Fract1¿re du rachis au niveau de la douzième ver- tèbre dorsale , datant de sept ans. - Signes d'hémilésions de la
ic de fracture du rachis sié- geant au niveau des douzième vertèbre dorsale et première lombaire, et l'immobilisèrent dans
ne déviation de la crête épineuse au niveau des dou- zième vertèbre dorsale et première vertèbre lombaire. A ce niveau, la
érieur gauche, principalement à la cuisse, et plus encore à la face dorsale du pied. Cette douleur, plus fréquente par les te
violente survenant fréquemment dans les talons pendant le décubitus dorsal prolongé. Crampes fréquentes dans les deux jamb
arfaite. La crête épineuse forme, au niveau de la douzième vertèbre dorsale , une saillie anguleuse, nette, quoique peu pron
pporter l'observation. OBS. III. -Fracture du rachis dans la région dorsale datant de onze ans. Troubles trophiques. - Enge
et n'indique que vaguement, et avec peu d'assu- rance, des douleurs dorsales ressenties à la suite de l'accident. Le trauma-
de la 90 ver- 2S6 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. tèbre dorsale , il forme un angle à sommet postérieur, peu accen
pendant le travail une sensation de fatigue au niveau de la région dorsale , sensation qu'il soulage en se tenant courbé en
ment très irrégulier des ongles et plusieurs durillons. Sur la face dorsale du quatrième orteil, sur la pulpe du premier or
du traumatisme. Mais par quel mécanisme ? Les lésions de la moelle dorsale , ainsi que l'a démontré Brown-Séquard, sont cap
lques verge turcs dans le sens transversal. Le mouvement de flexion dorsale se fait avec une force considérable et ne peut
centuée. La main gauche présente d'une façon très notable à sa face dorsale une série de dépressions correspondant aux espa
vec les phalangines. Ces nouures semblent exister surtout sur la face dorsale plus encore que sur les parties latérales ; ell
ourbure latérale il concavité gauche surtout au niveau de la région dorsale ; cette courbure est d'ailleurs régulière, sans
coupe transversale de la moelle lombaire, 27, 29,30; de la moelle dorsale , 28; longitudinale des cordons de Goll, 31, dan
16 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
d'une manière presque complète, ou même complète, dans le décubitus dorsal . Impossibilité absolue de maintenir le malade d
bes sur les cuisses, d'une façon normale, quand il est en décubitus dorsal . Maintien parfait des mouvements volontaires de
S NERVEUSES D'UNE NOUVELLE TRYPANOSOMIASE 9 lade passe du décubitus dorsal à la réclinaison sur le dos avec une grande fa-
e froid soient sentis moins nettement dans le territoire des 2° et 3" dorsales , les excitations déterminent plutôt une impress
ne des deux bras et la région thoracique correspondant aux 2e et 3e dorsales (Voir schéma) on obtient des mouvements réflexe
e et blanchâtre ; C. 5. 5° racine anté- rieure ; D. 1. : 1'" racine dorsale . FiG. 3. Moelle cervicale (face postérieure) ;
côté droit et dans la colonne vertébrale dans la zone des vertèbres dorsales 6, 7, 8, 9, 10 ; aux mêmes endroits il éprouve
t plus forte dans la région au bas du mamelon droit ; les vertèbres dorsales 3 et 4 sont légèrement endolories ; par contre,
nt légèrement endolories ; par contre, la compression des vertèbres dorsales dans le sens descendant jusqu'à la 8e vertèbre in
ssion sur le côté droit, plus ou moins à la hauteur du 5-6e segment dorsal (4" et 5e vertèbres dorsales). Le prétendu résu
us ou moins à la hauteur du 5-6e segment dorsal (4" et 5e vertèbres dorsales ). Le prétendu résultat positif de la réaction d
du malade latérale. Ablation des apophyses épineuses des vertèbres dorsales 3, 4,5 ; mise à jour de la moelle par incision
longitudinale de la dure-mère. Le bord inférieur de la 5e verlèbre dorsale montrant, sous la dure-mère, le pôle su- périeu
s étranger,on enleva encore l'apophyse épineuse de la 6e ver- tèbre dorsale . Comme on le constata, la tumeur (angio-fibro-sar
, avait poussé dans le canal rachidien, au niveau de la 6° vertèbre dorsale (8e segment dorsal) tout contre la ligne dorsal
le canal rachidien, au niveau de la 6° vertèbre dorsale (8e segment dorsal ) tout contre la ligne dorsale de la dure-mère ; e
de la 6° vertèbre dorsale (8e segment dorsal) tout contre la ligne dorsale de la dure-mère ; elle adhérait à sa surface in
oite et la tumeur apparut à la lisière inférieure de la 5e vertèbre dorsale et àja supérieure de la 6e vertèbre également à
r l'engorgement des libres amenant la sensibilité dans les segments dorsaux 5 el 6, sans en détruire cependant, en cet endroi
re de l'anesthésie tomba du niveau de la ligne xyphoïde (5e segment dorsal ) jusqu'à la ligne om- bilicale, répondant au 7
dorsal) jusqu'à la ligne om- bilicale, répondant au 7 ? 8° segment dorsal , c'est-à-dire à l'endroit de l'aplatissement ou
la ligne médiane du dos, apparaît dans la partie basse des vertèbres dorsales . En mars 1910, la sensation douloureuse sous fo
vifs sans clonus du pied ; réflexe plantaire sous forme de flexion dorsale du pied ; pas d'ataxie ; tous les mouvements vifs
la tête et les épaules ; par contre la pression sur la 12e vertèbre dorsale , ainsi que sur les vertèbres lombaires supérieu
sur le côté droit surtout, à la hauteur environ du dixième segment dorsal . La nécessité de l'intervention chirurgicale ga
re 1910. - Laminectomie (Dr L. Krause) dans la zone des ver- tèbres dorsales 7, 8, 9, 10. Après l'énucléation des parties moll
entre les vertèbres 7 et 8, doublant à l'exté- rieur la 7e vertèbre dorsale . Dans le canal mis à jour on n'aperçut pas de t
rvertébral, entre les vertèbres 7 et 8 à la hauteur du 9-)0'segment dorsal ,sans pénétrer dans le canal rachi- dien ; la tu
achi- dien ; la tumeur comprimait principalement la septième racine dorsale 44 ROTSTADT postérieure, du côté droit, sans
1 par le Dr Krause. Par une incision dans la région des vertèbres dorsales 7, 8, 9, 10, la cica- trice laissée par le prem
de tumeur progressive à la hauteur approxi- mative du 9-10e segment dorsal (vertèbres dorsales 7-8) et poussent la malade
ive à la hauteur approxi- mative du 9-10e segment dorsal (vertèbres dorsales 7-8) et poussent la malade à consentir à l'opér
) par narcose mixte. Les arcs vertébraux de la 6e à la 10e vertèbre dorsale inclusivement ont été supprimés et la dure-mère
ement du liquide céphalo-rachidien minime ; au niveau des vertèbres dorsales 7-8 opacité des méninges molles ; au niveau de
côté gauche antéro-latéral de la moelle, à la hauteur'des segments dorsaux 9-10 on trouve une tumeur ; l'énucléation se fi
en effet une tumeur intra-médullaire à la hauteur de la 9e vertèbre dorsale . L'absence de détails plus précis concer- nant
ut constater avec exacti- tude le nombre des vertèbres de la région dorsale et le nombre des côtes. Nous relevons donc la p
le nombre des côtes. Nous relevons donc la présence de 12 vertèbres dorsales et de 12 côtes. Après la 12° vertèbre dorsale n
ence de 12 vertèbres dorsales et de 12 côtes. Après la 12° vertèbre dorsale nous comptons encore, en toute évidence 6 segme
d'un cas d'anomalie non compensée, puisque le nombre des vertèbres dorsales est normal et que nous avons trouvé six article
nfiltrés ; les mains sont rosées et pote- lées au niveau de la face dorsale . Le thorax est resté infantile. Les seins ne so
rrivent à ébaucher, parfois, un coup de pied à droite. En décubitus dorsal la malade exécute des mouvements similaires à ceu
en rapport avec une spondylite tuberculeuse des 4e et 5e vertèbres dorsales . Il présentait aussi des déformations osseuses
gion vertébrale interscapulaire est légèrement excavée. Les régions dorsale inférieure et lombaire forment une véritable cyph
un calus consécutif à une fracture. Le dos' est plat dans sa région dorsale , mais présente l'ensellure lombaire caractérist
ion spéciale, parce que le noyau de l'hypo- glosse, par sa position dorsale , a été le premier à ressentir l'effet direct de
uche. La distance de cha- que omoplate, mesurée à partir de l'épine dorsale est inégale. La distance qui sépare les apophys
? ). La différence que présentent les dimensions des longs muscles dorsaux s'observe, chez le sujet, sur une partie du côté
nous en occuper. Ce travail est basé sur l'examen de trois moelles dorsales , appartenant à trois malades dont l'histoire cl
intramédullaire. L'examen des coupes, prises sur les IVe-Ya segments dorsaux ne montre rien d'anormal ni dans les cellules,
aussi noté dans les racines postérieures. Les parties latérales et dorsales de la préparation sont assez faiblement colorées.
d'anormal dans le reste. Sur les coupes prises des IVe-Ve segments dorsaux (fig. 2) on voit une dilata- tion assez marquée
lanche. La plupart des vaisseaux sont thromboses. Excepté la moitié dorsale des faisceaux posté- rieurs, toute la préparati
ut subi plus de modifications que les racines postérieures. Le côté dorsal et dorsolatéral de la préparation se colore fai
nférieurs n'a montré rien d'anormal. L'examen des III 8-Ve segments dorsaux a dénoté un oedème des fibres des racines antér
es identiques à celles que nous avons obser- vées dans les segments dorsaux , mais plus marquées. La partie ventrale des cor
lules de cornes antérieures sur les coupes appartenant à la partie dorsale inférieure et leur diminution dans la partie lo
s segments, mais elle prédominait dans la partie moyenne du segment dorsal . Dans trois cas de tumeur de la fosse postérieure
brale, Jacobsohn et Jamane n'ont noté rien d'anormal dans la moelle dorsale , mais dans le quatrième cas ils ont trouvé la dég
Hoche). L'état du système vasculaire et lymphatique dans la moelle dorsale au cours des tumeurs siégeant dans la fosse cér
es racines postérieures, appartenant à la partie moyenne du segment dorsal , sont très vascularisés (sehr gefâssreich).Dans t
as décrit, où on se trouve en pré- sence des lésions dans la moelle dorsale au cours d'une tumeur non solide. Dans tous les
, cité par nous plus haut, et présentant des lésions dans la moelle dorsale , les premiers symptômes se sont déclarés un an,
sont déclarés un an, et dans les deux autres cas, avec les moelles dorsales normales à l'examen microscopique, vingt et un
'une part et le tableau anatomo-pathologique que présente la moelle dorsale d'autre part. Batten et Collier émettent un avis
et Collier et dans trois cas de Jacobsohn et Jamane,dont la moelle dorsale ne présentait rien d'anormal, on se trouvait en
IMISTE ET NEIDING nos trois cas présentant des lésions de la moelle dorsale d'une intensité différente, nous avions affaire
ence et le degré de la stase papillaire et des lésions de la moelle dorsale . Les réflexes patellaires étaient conservés dan
nter l'exploration de la cause de toutes ces lé- sions de la moelle dorsale . Dinkler cherche à les expliquer par l'action d
entation de la pression dans la production des lésions de la moelle dorsale plaide d'après Hoche le fait, constaté égalemen
de la stase du fond de l'oeil avec des modifications dans la moelle dorsale , croit avoir affaire ici avec un phénomène cons
constant ; la stase papillaire et les modifications dans la moelle dorsale sont dues, d'après Hoche, à la même cause, à l'au
e mécanisme par lequel la pression augmentée produit dans la moelle dorsale les modifications décrites, nous parait être le s
le, d'une part,â la circulation en retour de la lymphe de la moelle dorsale , et d'autre part pénètre lui-même par les vaiss
- neuse, produisant à son tour la stase de la lymphe dans la moelle dorsale . Cette stase veineuse et lymphatique et l'augme
croire avec Batten et Collier que les modifications dans la moelle dorsale sont dues non seulement à l'intensité de la press
n identique, apparurent à la suite sur les deux genoux, sur la face dorsale du pied, et quelques-uns isolément sur le front
ne se laisse absolument ni pincer, ni soulever en plis. Sur la face dorsale des doigts, au niveau des articulations interph
lent évoluer parallèlement (Voir Fig. 2, PI. XLIII). Dans la région dorsale du poignet il existe des deux côtés nne induratio
o-tarsienne des deux côtés. Le thorax présente une légère cyphose dorsale , pas de douleur à la pression du rachis. L'ex
hronique. Au niveau de la pulpe des doigts, de même que sur la face dorsale de ces derniers, dans les points où existent le
Avant-bras (position latérale côté cubital).-Au niveau de la région dorsale du poignet et encore tout au long du tiers infé
al et qui correspond parfaitement à la bande scléreuse de la région dorsale du poignet que nous avons décrite plus haut. A
tour des bandes de sclé- rose les plus accusées (coude, genou,,face dorsale des pieds), de petits nodules indurés remplis d
rayons X en lui faisant des applications sur le rachis cervical et dorsal selon la méthode employée dans le traitement de l
rme, la flexion et l'extension des doigts sont impossibles, la face dorsale des mains est lisse, mince, atrophiée, violacée
VITILIGO A TOPOGRAPHIE EN CEINTURE 311 veau de la première vertèbre dorsale . Cette tache est entourée d'une zone où la pigm
cette explication ne pourrait pas s'appliquer pour la continuation dorsale de la tache en cein- ture. De sorte que nous
tile est conservée, sauf pour une petite zone, qui répond à la face dorsale de la main et des doigts ; mais la perception qua
e ferme, sont de la grosseur d'une bille à jouer. Le corps de la 78 dorsale a subi une transformation purulente presque total
on retrouve la poche purulente qui partait du corps de la 7e vertèbre dorsale ; elle est du volume et de la forme d'une gross
édominance polynucléaire. Une coupe de la moelle au niveau de la 7e dorsale , à l'endroit où la portion antérieure de cette
d'abord l'existence d'un mal de Pott tuberculeux au niveau de la 7" dorsale , avec abcès confluent. Le tout avait passé com-
seulement dans la moelle,les méninges rachidiennes et les vertèbres dorsales . L'ouverture du crâne nous réser- vait d'autres
une vertèbre et une cyphose à large rayon étendue à toute la région dorsale . La selle turcique qui se lrouve juste au somme
ettement visible à la face plantaire, beaucoup plus vague à la face dorsale . Fic. 3. UN CAS DE MÉGALODACTYLIE UNILATÉRALE
il, la ligne de soudure des 1 re et2" phalanges est marquée la face dorsale par un profond sillon. La tête de la lre phalange
es sésamoides ont été artificiellement placés sur la figure à la face dorsale du pied, dans le but de les mettre en vue. TR
topsie de leur cas une gaîne péri- médullaire, depuis le Xe segment dorsal jusqu'au 1[° segment sacré, formée par le gross
par un sarcome vertébral qui comprimait le VIII0 et le IXe segment dorsal . En 1909, Froin et Foy ont trouvé le même syndr
re service. A l'examen du malade, on constate que dans le décubitus dorsal il ne peut t relever le membre inférieur droit
rnée on a pratiqué une ponction entre la XI" et la XII° ver- tèbres dorsales , obtenant quelques gouttes qui se sont coagulées
ont coagulées sur l'aiguille. 20 avril. Ponction (11-lIl° vertèbres dorsales ). On extrait un liquide peu opalescent, qui est
lescent, qui est resté sans se coaguler. 24. - Ponclion (VII°-VIII° dorsales ) négative. Pratiquée entre les XIe et XII° dors
ion (VII°-VIII° dorsales) négative. Pratiquée entre les XIe et XII° dorsales , on obtient 2 centimètres cubes de liquide qui se
5 ponctions à diffé- rents niveaux entre la VIe et la XIe vertèbres dorsales sans pouvoir obtenir du liquide. Nous nous so
ous les segments mé- dullaires compris entre les VI" et XIe racines dorsales . La moelle présente à ces niveaux des dimension
'hallucinations. 3 mars. Le malade peut relever, étant en décubitus dorsal , les jambes au-dessus du plan du lit, mais pas
incile cons- tituant une gaine périméclullaire depuis le Xe segment dorsal jusqu'au IIe segment sacré. Se basant sur l'exi
la dure-mère, de la grosseur d'une petite noix, située sur la face dorsale de la moelle.qu'elle comprimait au niveau des VIl
oelle.qu'elle comprimait au niveau des VIl", VIIIe et IXe seg- ment dorsaux . Il s'agissait d'un sarcome cellules rondes, très
e pachi-méningite sur une hauteur de 2-3 vertèbres (VIl-, VIlle, Il dorsales ). Nous avons trouvé les mêmes particularités à
particularités à l'autopsie de notre 2° cas. Depuis le Ile segment dorsal jusqu'au XI0, les méninges et la moelle étant a
17 (1934) Oeuvre scientifique
c gibbosité occupant la partie moyenne de 3a SÉMIOLOGIE la région dorsale . Il est entré dans notre service il y a un an, et
isection traumatique de la moelle, à la partie moyenne de la région dorsale , quinze heures après l'accident ; le côté paral
'autre la lésion avait pour siège la partie supérieure de la moelle dorsale et l'examen avait eu lieu trois heures après le t
etc. Chez le lapin, le chien, une section de la moelle à la région dorsale ou à la région cervicale peut, il est vrai, dét
lexion réflexe des orteils qu'on obtient par la percussion de la face dorsale du pied. A l'état physiologique cette excitatio
or, les effets de ce réflexe provoqué par la percussion de la face dorsale du pied masquent, s'ils ont une puissance suffi
le nom de paralysie spinale spastique et dénommé par Charcot tabès dorsal spasmo- dique. Dans ce type, cliniquement bien
ptomatique, sinon identique, du moins très voisin de celui de tabès dorsal spasmodique. Cependant, en envisageant ces affe
férieurs des troubles identiques à ceux qu'on observe dans le tabès dorsal spasmo- dique, entre autres une surréflectivité
nses aux membres inférieurs après section transversale de la moelle dorsale ('). (') J'ai publié, en collaboration avec MM.
res. b) Le sujet étant assis ou couché, on pince la peau de la face dorsale du pied ou de la partie inférieure de la jambe.
sant les faisceaux pyramidaux, siégeant vers le milieu de la moelle dorsale et donnant lieu à de l'exagération des réflexes t
érisée par delà rigidité mus- culaire stable, l'expression de tabès dorsal spasmodique, consacrée par l'usage, étant appli
n plus à cette variété de paraplégie qu'au syndrome dénommé « tabes dorsal spasmodique ». La contracture dont nous nous oc
istant horizon- tal, sur un plancher par exemple, dans le décubitus dorsal , les bras croi- sés sur la poitrine, le malade
aska qu'une grenouille ou un mammifère, dont on sectionne la moelle dorsale , retire brusquement la patte en fléchissant les d
u membre inférieur hors de la zone plantaire, par exemple à la face dorsale du pied ou à la jambe, on est en droit d'affirm
mite inférieure de la lésion siège à la partie moyenne de la moelle dorsale ou au-dessus. Notre expérience nous a appris qu
ante du pied avec une épingle, le pincement de la peau de la région dorsale du pied ou de la jambe, notamment à sa partie i
haska qu'une grenouille ou un mammifère dont on sectionne la moelle dorsale retire brusquement la patte en fléchissant les
c'est une liaison beaucoup moindre que la précédente. Dans le tabès dorsal spasmodique avec surré- flectivité tendineuse e
mite inférieure de la lésion siège à la partie moyenne de la moelle dorsale ou au-dessus. Notre expérience nous a appris qu
isection traumatique de la moelle, à la partie moyenne de la région dorsale , et dans lequel 15 heures après l'accident, le
lexes achilléens restent abolis; le pincement de la peau de la face dorsale du pied ne provoque aucun mouvement; l'excitati
n plus à cette variété de paraplégie qu'au syndrome dénommé « tabes dorsal spasmodique ». « La contracture dont nous nous
ent, en l'opposant à la paraplégie spastique spinale d'Erb ou tabes dorsal spasmodique de Charcot. (Voir : Société de Neurol
mais d'une manière inconstante. Le pincement de la peau à la face dorsale du pied ne provoque de flexion du pied ni à dro
que parfois un réflexe de défense classique, c'est-à-dire une flexion dorsale du pied lente et continue. Ce mouvement peut ré
rusques et violentes du côté gauche, sans accompagnement de flexion dorsale du pied. De plus, ces excitations douloureuses,
ain, par un mouvement de supination, de telle façon que par sa face dorsale elle vienne se poser exactement à la même place s
s. Il présentait une surélévation de l'épaule gauche, avec scoliose dorsale supérieure, à convexité gauche et il inclinait le
es muscles adducteurs du bras : grand pectoral, grand rond et grand dorsal . L'articulation du coude se meut librement. Dans
re bien moins prononcée. Lorsque le malade, placé dans le décubitus dorsal , après avoir fléchi la cuisse sur le bassin et
lables à ceux qui résultent de la section des deux premières paires dorsales ; 1,° Une lésion unilatérale du bulbe peut prod
que le sang y circule largement ; il constate aussi que les veines dorsales , affaissées depuis le léger ictus initial, repr
doigts de chaque côté, nous appliquons de la glace soit sur la face dorsale d'une des deux mains, soit sur la nuque, ou sur
étractées. A l'ouverture du canal rachidien, on trouve dans la région dorsale supé- rieure une tumeur ovoïde, grosse comme un
mprimée de droite à gauche, au niveau de l'émergence de la 7e paire dorsale . La com- pression est considérable et la moelle
à l'hôpital. Fig. 26 (Obs. II). - Coupe au niveau de la 7e paire dorsale . La moelle refoulée et comprimée par la tumeur,
13Am,sli.¡, 21 Fig. 28 (Obs. III). Coupe au niveau de la 2e paire dorsale . Plaque de sclérose intense. 1 Fig. ag (Obs.
oumon. Au microscope les coupes des régions cervicale inférieure et dorsale supérieure montrent dans le point indiqué, une
bsence de dégénérescence des faisceaux latéraux au-dessous de la g" dorsale est notée d'une manière incidente, il est vrai,
dénomination de paraplégie spastique spinale et sous celle de tabes dorsal spasmodique par Charcot. Sans me préoccuper ici
inférieurs est bien différente de celle qu'on observe dans le tabes dorsal spasmodique. Les cuisses sont fléchies sur le b
talement des secousses qui peuvent agiter les muscles dans le tabes dorsal spasmodique. Contrairement à ce qui a lieu dans
he l'exagé- ration des réflexes tendineux à la contracture du tabes dorsal spasmodi- (') Voir à ce sujet un travail que j'
réalisant d'une manière plus ou moins parfaite le syndrome du tabès dorsal spasmodique qu'elle tend petit à petit à défigure
qu'il est permis d'opposer, à certains égards, au syndrome « tabes dorsal spasmodique ». Il y a tout lieu d'admettre que
nisme différent : tan- dis que la contracture en extension du tabes dorsal spasmodique ne peut se réaliser sans que les ré
envi- ron, de troubles de la marche liés à une lésion de la moelle dorsale . En 1912, l'un de nous eut déjà l'occasion de l
ne ligne séparant les 10. et 11e ter- ritoires cutanés radiculaires dorsaux et présentant son maximum d'inten- sité en Du,
ux (ligne séparant les 10e et 1 ie territoires cutanés radiculaires dorsaux ) indique une atteinte des voies sympathiques ga
ntissement de l'excitation sympathique sur les segments médullaires dorsaux inférieurs et lombaires par l'inter- médiaire d
ne sympathique infra-médullaire, au niveau des i ie et 12e segments dorsaux et du il'* segment lombaire, dans la partie pos
e Brown-Séquard ayant succédé à une lésion traumatique de la moelle dorsale . L'intérêt tout particulier de cette observation
s, arrivant en arrière un peu au-dessus de la IXe apophyse épineuse dorsale correspond à la limite du territoire de IXe seg
pineuse dorsale correspond à la limite du territoire de IXe segment dorsal , ce qui nous permet de conclure que la lésion s
thésie nette : elle se trouve reportée à la VIIIe apophyse épineuse dorsale , soit au territoire de la VIIe racine. Nous pou
c que le couteau glissant entre les lames des VI" et VIIe vertèbres dorsales a atteint la moelle au niveau du VIII" segment
e vertèbres dorsales a atteint la moelle au niveau du VIII" segment dorsal . La VII" racine droite a dû être atteinte, ce qui
il faible. Il existe donc très probablement une lésion de la moelle dorsale à sa partie supérieure, et, chez les deux malad
bles suivants : hypoesthésie simple dans le domaine des XIe et XIIe dorsales . Hypoesthésie avec sensations douloureuses pour t
il existe chez cette malade une lésion portant sur quelques racines dorsales et lombaires ou leurs segments médullaires corr
mettre implicitement, en face d'une anesthésie étendue (thoracique, dorsale et des racines lombaires), l'anesthésie des racin
ibilités sont normales au-dessus du territoire des onzièmes racines dorsales (D" n'est cependant pas absolu- ment épargné ;
Mais dans les cas les plus communs, où la lésion siège à la région dorsale , les réflexes tendineux ne sont d'aucun secours
rieure de l'anes- thésie se trouvait au niveau du cinquième segment dorsal ; celle des réflexes de défense atteignait seul
exes de défense atteignait seulement la hauteur du neuvième segment dorsal . Pour les raisons sus-indiquées, nous conseillâme
inecto- mie des quatrième, cinquième, sixième et septième vertèbres dorsales . L'opération, pratiquée conformément à ces indi
e la portion du tronc correspondant au territoire des XIIe. racines dorsales . La sensibilité superficielle dans tous ses mod
mique remonte un peu moins .haut et le territoire des XIIes racines dorsales est libre. Dans toute la région anesthésiée, le
d'hypoesthésie sur la paroi abdomi- nale dans le domaine de la XIe dorsale . Il existe des mouvements réflexes de défense o
a paroi abdominale inférieure, dans le territoire des XIIe, racines dorsales . La miction est extrêmement difficile. En pré
e la dure-mère. Une longue incision est tracée sur la ligne médiane dorsale correspondant aux apophyses épineuses des VII",
e correspondant aux apophyses épineuses des VII", \'III°, IX° et X° dorsales ; rapidement les masses musculaires des gouttière
larges écarteurs. Les apophyses épineuses des Vile, VIIIe, IXe et Xe dorsales sont enlevées à la pince coupante ; les lames d
rieures émergeant de la moelle au niveau du corps de la Xe vertèbre dorsale ces racines sont coupées avec de fins ciseaux e
froid soient sentis moins nettement dans le territoire des 2e et 3e dorsales , les excitations déterminent plutôt une impress
e des deux bras et la région thoracique correspondant aux 2'' et 3e dorsales (voir schéma) on obtient des mouvements réflexes
épaissie et blanchâtre; C. 5. 5e racine antérieure; D. l. ? e racine dorsale . Fig. 116. Moelle cervicale (face postérieure)
BUTION A L'ÉTUDE DE L'ANESTHÉSIE DANS LES COMPRESSIONS DE LA MOELLE DORSALE [J. BABINSKI et J. JA.RKOWSKI.] Publié dans l
ce d'une lésion transversale destructive très profonde de la moelle dorsale . L'examen de l'anesthésie nous montre la dispos
eur cWra-duremé- rienne comprimant la moelle du ge au lIe segment dorsal . 392 l'IRtPLI'GIE.S - I FH'EG1'ION.S DE LA MOEL
g. 55. Tumeur intra-duremé- rienne au niveau du 4 et 5e seg- ment dorsal . Fig. 56. Tumeur intra-duremé- rienne 5e segm
g- ment dorsal. Fig. 56. Tumeur intra-duremé- rienne 5e segment dorsal . ' 394 PARAPLÉGIES - AFFECTIONS DE LA MOELLE
eur extra-duremé- rienne comprimant la moelle du 5e au ge segment dorsal (cas pu- blié par J. Babinski, Lecène et Jark
brale, mais décèle à droite du rachis, au niveau des 6e et 7e côtes dorsales , une masse opaque nettement délimitée ayant l
on, dont le milieu répond à l'apo- physe épineuse de la 6e vertèbre dorsale ; mise à découvert à l'aide de la rugine des la
ne partie du tronc jusqu'à la frontière entre les 8e et ge segments dorsaux ; son intensité varie, il est vrai, d'un instant à
il descend sans entrave jusqu'au milieu du corps de la VU" vertèbre dorsale et s'arrête là en prenant la forme d'une coupol
upérieure de cette compres- sion correspondait au IVe ou Ve segment dorsal ; c'est là une conclusion qui se dégage des not
ue la compression descendait approximativement jusqu'au IXe segment dorsal , qu'elle portait environ sur 4 ou 5 segments et
. Laminectomie portant sur les III°, IVe, Ve, VIe et VIIe vertèbres dorsales (2). Après résection des apophyses épineuses et d
PARAPLÉGIE CRURALE PAR TUMEUR EXTRA-DURE-fr/ÉRIENNE A LA RÉGION DORSALE . OPÉRATION. GUÉRISON (SUR L'ÉPREUVE DU LIPIODOL
rapporte à une tumeur extra-dure-mérienne comprimant la - i moelle dorsale , opérée avec succès. Mais ce cas mérite, croyons-
ient s'arrêter au niveau du disque qui sépare la 3e de la 4e vertèbre dorsale . Une autre, en forme de fuseau vertical, s'arrê
me de fuseau vertical, s'arrête à la hauteur des 5e et 6e vertèbres dorsales (voir radio), enfin plusieurs billes, moins impor
s billes, moins importantes, s'échelonnent sur le bas de la colonne dorsale et sur la colonne lombaire. Ajoutons que la mas
ombaire. Ajoutons que la masse lipiodolée, arrêtée à la 3e vertèbre dorsale , présente une forme d'ovoïde allongé dont l'ext
dure-mérienne comprimant la moelle au niveau des IIe et IIIe segments dorsaux fuit porlé et une laminectomie décidée. Voici
ise sur les tumeurs de la moelle, notamment sur celles de la région dorsale , avant que l'épreuve du lipio- dol fut introdui
'arrêter à la hauteur du disque qui sépare la 3e de la lie vertèbre dorsale . La malade n'ayant été laissée, bien entendu, q
ligné est le suivant : l'image de la bille arrêtée à la 3e vertèbre dorsale présentait une forme, qui, à première vue, pouv
mmunication actuelle, la masse lipiodolée, arrêtée à la 3e vertèbre dorsale , présente, comme on l'a vu, une forme d'ovoïde al
ne présente qu'un ralentissement du passage au niveau des vertèbres dorsales inférieures. L'épreuve de Queckenstedt est prat
dépendance de la myélomalacie et des cavités qui occupent la moelle dorsale . C'est à ces dernières lésions que paraissent l
bution à l'étude de l'anesthésie dans les compressions de la moelle dorsale (Revue Neurologique, 1920, n° 9). COMPRESSIONS
isposition dans les faits de tumeur énucléable comprimant la moelle dorsale , que nous avons eu l'occasion d'observer jusqu'
en flexion. La limite des réflexes de défense dépasse le 6" segment dorsal . Les troubles sensitifs portent surtout sur la se
breux englobant et comprimant la moelle entre la 5e et la 6e racine dorsale . Observation Il. Homme de 66 ans. Mal de Pott.
d'une affection organique spinale qui devait siéger dans la région dorsale ou la région dorso-lombaire. Mais quelle est la
e deltoïde; parmi les muscles extrinsèques, les pectoraux, le grand dorsal , la portion adductrice du trapèze, le grand den
on ait affaire, ces muscles se prennent avec rapidité, et le grand dorsal est peut-être le muscle de l'économie qui est l
s- scapulaire, 3. Muscles extrinsèques : Grand dentelé, 5 ; grand dorsal , 5 ; rhomboïde, 5 ; portion adductrice du trapè
e. » Il existe d'autre part une large zone anesthésique sur la face dorsale du pied et à la jambe. «Il s'agit bien ici, concl
s doigts consécutive à une plaie par balle du 2° espace interosseux dorsal . On constatait des troubles vaso-moteurs et une
ente assez souvent un aspect légèrement infiltré, surtout à la face dorsale de la main qui paraît « succulente ». Parfois
le était surtout nette à la plante du pied, moins accusée à la face dorsale et moins encore à la jambe dont elle occupait les
assouplis- sement du pied, en particulier des mouvements de flexion dorsale forcée. Puis il passe à la section d'entraîneme
ement. Sans doute, il n'est pas tordu, face plantaire en dedans, face dorsale en partie en bas, mais la pointe du pied a touj
eu recours dans plusieurs cas. Chez une malade (tumeur à la région dorsale ) opérée ultérieure- ment, le traitement a été s
ire des troubles moteurs ; chez un autre malade (tumeur à la région dorsale ) opéré aussi plus tard, il y a eu sédation passag
assagère des douleurs ; dans un troisième cas de tumeur à la région dorsale , où il est vrai, il s'agissait probablement d'u
ouvelles. Les 5 autres cas se rapportent à des tumeurs de la région dorsale . Dans un de ces 5 cas, on avait affaire à une p
xcitation du territoire cutané s'étendant jusqu'à la sixième racine dorsale . Incontinence d'urine et de matières fécales. Lég
l'ouverture du canal rachidien de la deuxième à la cinquième vertèbre dorsale , on trouve la dure-mère tendue ; on l'incise et
d'ailleurs sauf cette attitude, se distingue radicalement du tabes dorsal spasmodique de Charcot et Erb, pourrait être appe
geant à l'endroit'indiqué, au niveau des onzième et douzième segments dorsaux . Elle a été suivie très rapidement de régressio
qua une tumeur siégeant au niveau des quatrième et cinquième segments dorsaux . L'opération, faite par de Martel, décèle une t
rologique, pr2, vol. XXIII, p. 1). (2) Tumeur méningée de la région dorsale supérieure. Paraplégie crurale par compression do
II, p. 801). TRAITEMENT DES TUMEURS .Ill\1't-III : DULLaIRES Ho 1 dorsale . Au bout de quelques jours, il y a une légère amé
flexes de défense, ayant pour limite supérieure le neuvième segment dorsal . Troubles de sensibilité : aux membres inférieurs
longueur de 7 centimètres ('), s'étendant de la cinquième apophyse dorsale jusqu'à la huitième ou à la neuvième. Cette tumeu
s et une légère déformation de la colonne vertébrale dans la région dorsale . Les troubles très tenaces jusque-là ont commencé
frapper la malade suivant un cercle coupant en haut la 3e vertèbre dorsale environ et en bas (') Le laboratoire radiologiq
à traités, mais encore une région nouvelle pour que toute la moelle dorsale et lombaire puisse être atteinte par des rayons p
elle(Id., 19 janvier 1894). 112. Paraplégie crurale par mal de Pott dorsal . Névrites périphériques des membres inférieurs
pathologique, mars-avril 19 12). 192. Tumeur méningée de la région dorsale supérieure. Paraplégie crurale par compression
285. Paraplégie crurale par tumeur extra-dure-mérienne à la région dorsale . Opéra- tion. Guérison (Sur l'épreuve du lipiod
ribution à l'étude de l'anesthésie dans les compressions de la moelle dorsale . 3go XV. Quelques documents relatifs aux compre
XVII. - Paraplégie crurale par tumeur extra-dure-mérienne à la région dorsale 41a XVIII. Monoplégie crurale hypertonique sans
18 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
ormales des pupilles montre bien qu'on était en présence d'un tabes dorsal spasmodique con- génial ou maladie de Little.
ié des faits qui comptent parmi les premières observations de tabcs dorsal , et qui présentent comme particularités remarqu
par envahir tout l'axe cérébro-spinal. Mais à cette époque le labes dorsal était encore enfoui dans le chaos des maladies
t n'existait pas à l'étal d'entité morbide, et sous le nom de tabes dorsal on comprenait des altérations très diverses. C'es
de l'artère spinale antérieure. Coupe faite au niveau de la région dorsale moyenne (PI. IV, 3 et 3 biS). 38 ' NOUVELLE ICO
vait des douleurs très vives dans la partie inférieure de la région dorsale et dans la région lombaire ; il avait en outre
r face antérieure (d'après Testut). D. Les trois dernières paires dorsales . L. Paires lombaires. S. Paires sacrées. Co
ésumé, au renflement lombaire, qui s'étend de la 9e ou 10° vertèbre dorsale à la 2e lombaire, et qui donne naissance aux raci
ctions intra-vertébrales qui siègent au niveau de la 12° vertè- bre dorsale et de la 1 ro vertèbre lombaire se traduisent par
aire. Lorsqu'au contraire elle siège au niveau de la 12° vertè- bre dorsale , l'hyperesthésie fait place à l'anesthésie dans c
ectoral en avant, tiers pos- térieur du deltoïde, grand rond, grand dorsal en arrière). Nous pouvons, de ce qui précède, t
évérance; en juin 1892 M. Ricard lui fit l'élongation de la branche dorsale cutanée du cubital ; en septembre 1893, M. Chap
on membre malade une zone d'anesthésie tac- tile occupant : du côté dorsal , le petit doigt, la première phalange de l'annu
un résultat très satis- faisant : l'arrachement total de la branche dorsale cutanée du cubital. Elle fut faite dans les pre
l furent soigneusement disséqués et réséqués le tronc de la branche dorsale et les trois rameaux qui en nais- sent ; l'opér
ée par l'arrachement des ex- trémités périphériques des collatéraux dorsaux corres- pondants. Ceci fait, le lambeau fut com
t à la face interne de Fic. 15. Après arrachement de la branche dorsale cutanée du cubi- tal, la zone d'hypo- esthé
cutanée du cubi- tal, la zone d'hypo- esthésie située du côté dorsal se transforme en zo- ne d'anesthésie. NÉVRA
'une incision menée de la IVe apophyse épineuse cervicale à la Ille dorsale (fig. 19). La peau, puis l'apo- névrose ayant é
. Lorsque la plaie fut bien et définitivement exsangue, le le,* arc dorsal , puis le VIIIe et le VIle arcs cervicaux furent r
'étaient sans doute les 7e et 8° paires cervicales ainsi que la lre dorsale , c'est-à-dire les trois paires dont il nous falla
et ra- battue en dehors. II fut fait de même pour la 7e et la 'Ire dorsale . Les raci- nes antérieures correspondantes se t
courant : il en ré- sulta descontractions dans les muscles grand dorsal et grand dentelé; la même manoeuvre pratiquée s
ig. 20). Nous avions donc affaire, avec certitude, aux racines -Ire dorsale et 8° cervicale, et il devenait inutile d'exp
ne de 'l'annulaire et la partie correspondante de la main ; du côté dorsal le petit doigt, l'annulaire moins la moitié exter
ce nerf dans la gouttière épitrochléenne, élongation de sa branche dorsale cutanée, arrachement de cette branche. Il falla
constater ainsi qu'il s'agissait très vraisemblement des racines lre dorsale et 8e cervicale. C'est là une constatation phys
PÊTRIÈRE ancienne fracture, située à la limite de la -1`3° vertèbre dorsale et de la 11'0 lombaire. A ce niveau, une esquil
ns latéral. On sait d'ailleurs qu'on a décrit une courbure latérale dorsale à convexité droite, dite scoliose physiologique
s la. masse ? formée par le grand dentelé. Je ne parle pas du grand dorsal uniformément- ' .' étendu sur toute la région e
cique n'est plus séparée de la peau que par le corps mince du grand dorsal . Cet espace est marqué, sur le nu, par un ou de
près les auteurs, que la scoliose la plus fréquente est la scoliose dorsale droite), et surtout par son extrême fréquence, on
autre que celle que nous venons de décrire. Elle siège à la région dorsale , ]a con- vexité est tournée à droite, et l'épau
e sérail pas une courbure de compensation ame- née par une scoliose dorsale droite primitive'qui ne serait autre que la sco
de la convexité. S'il s'est développé une courbure de compensation dorsale ou cervico-dorsale, c'est alors l'épaule opposé
se très accentuée à convexité gauche, portant surtout sur la région dorsale et produisant une élévation considérable de l'épa
PRESQUE TOTALITÉ DE LA MOITIÉ GAUCHE DU CORPS 175 sicules à la face dorsale du 1 ? espace in ter-métacarpien; le 10 janvier,
l'avant-bras,.au- dessous du pli du coude, et un autre sur la- face dorsale du pouce-; le 17 janvier, après une crise doulo
he jusqu'au niveau du pouce, en se limitant sur ce membre à la face dorsale du premier espace intermétacarpien, et à la fac
à la face dorsale du premier espace intermétacarpien, et à la face dorsale du pouce,' à la face antérieure du ler espace int
la région axillaire; 3° la région scapulaire externe; 4° la région dorsale correspondant à la gibbosité dé- terminée par l
tal. Stalos. Homme vieilli, coloré, couperosé, étendu en décubitus dorsal . L'intellect un peu déchu, la mémoire un peu ab
mètres de hauteur : un du renflement cervical (a), un de la région/ dorsale (b) et un du renflement lomlnire(c)(I i.40).\hr
ucoup moins considérable que sur celles des renflements cervical et dorsal . Ces coupes ont été colorées par l'bématoxyline,
e dans les coupes prises sur les morceaux des régions cervicales et dorsales , tandis qu'elle était beaucoup moins forte, quo
on départ pour l'Amérique (avril 1892), il portait déjà un plastron dorsal et un plastron sternal en caoutchouc pour s'isole
iers mois de son arrivée en Amérique il ne portait que son plastron dorsal , son plastron sternal et ses morceaux de porcelai
rier 1894, il porte pendant le jour : 1° Son plastron de caoutchouc dorsal ; <- , 2° Son plastron de caoutchouc sternal
ide de Millier où elle avait été immédiatement placée que la moelle dorsale et lombaire. L'examen que nous en avons fait
e. Celle altération existe surtout dans tout le trajet de la région dorsale ; elle est très peu accusée au niveau de la région
graphie DE La SALPÊTRIÈRE suivant le niveau des coupes de la région dorsale . La zone radiculaire moyenne est partout respec
DE la SALPÊTRIÈRE T. VIII. PL. XXXV. COUPES DE LA MOELLE (RÉGION DORSALE ) DANS UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET LA
a moelle que nous avons rencontrées ont leur maximum dans la région dorsale particulièrement dans la région moyenne et infé
s les cordons postérieurs existent sur toute l'étendue de la région dorsale inférieure et moyenne et sont encore plus évident
aphie variable dans la région lombaire supérieure et dans la région dorsale . l Dans la région lombaire supérieure et moyenn
t moyenne où la lésion n'est pas aussi prononcée que dans la région dorsale inférieure et moyenne, les deux triangles de su
e s'avancent vers le sillon postérieur, tan- dis que dans la région dorsale inférieure et moyenne ces triangles de substanc
atique, intéressant les cordons portérieurs, surtout dans la région dorsale . Il était bien difficile d'admettre que l'ac- t
eur,-n. v. p, noyau ventral postérieur ou inférieur, - n. d. a, noyau dorsal antérieur ou supérieur, n.d.p, noyau dorsal pos
rieur, - n. d. a, noyau dorsal antérieur ou supérieur, n.d.p, noyau dorsal postérieur ou inférieur, - n. a. m, noyau antér
ne manière analogue à ce qui se passe à la main; tandis que la face dorsale se cambre vigoureusement, le talon est tiré en
rmaux ; un peu plus forts à droite. Zones hystérogènes. - Colonne dorsale dans sa moitié supérieure. Vertex. Points ovari
u'on observe encore une petite zone sensible à la piqûre, à la face dorsale des quatre derniers orteils. Il s'agit donc de
e est normale ; à peine note-t-on une légère diminution à la région dorsale supérieure. Sur les coupes transversales, dans
pographie du foyer. Cette lésion commence au niveau de la 2e racine dorsale ; dès le début elle envahit les deux commissure
régulières qui se dirigent vers la périphérie. ' Au niveau de la 3e dorsale ces pointes irrégulières se transforment en lar
n larges expansions qui atteignent presque la pie-mère. Dès la 4e dorsale la moelle est envahie sur presque toute sa surfac
régulière à la péri- phérie de la moelle (Fig. 63). Jusqu'à la 5e dorsale la topographie varie peu ; il reste toujours un
'émergence des raci- Fro. 63. Coupe de la moelle au niveau de la 3e dorsale (coloration du Pal). Fio. 64. Coupe de la moell
(coloration du Pal). Fio. 64. Coupe de la moelle au niveau de la 5e dorsale . 330 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
nce des racines postérieures gauches (Fig. 64). ' A partir de la 5e dorsale l'étendue de la tache diminue et sa topogra- ph
alade que la gauche. La lésion se termine au niveau de la 8e racine dorsale par une simple tache située dans la commissure
vasculaires qui pa- Fig. 65. Coupe de- la moelle au niveau de la 8e dorsale . DEUX CAS DE. MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË 331 ra
nt abolie depuis une ligne horizontale qui passe par la 4° vertèbre dorsale ; au-dessus de cette ligne elle est amoin- drie
on étendue et une certaine diminution de consistance dans sa région dorsale supérieure. Sur une coupe pratiquée dans cette
s la région cervicale inférieure jusque vers le milieu de la région dorsale ; elles n'ont pourtant pas diminué de volume.
ant un peu sur la substance blanche avoisinante. Au niveau de la 1" dorsale la lésion a déjà envahi la presque totalité de
ires sont-ils couverts de taches diffuses. Au niveau de la 3e paire dorsale la lésion est presque totale ; il ne reste qu'u
sparaît à son tour, sur toute la hauteur des 3e, 4e et 5e raci- nes dorsales . A partir de la G° dorsale on voit reparaître q
la hauteur des 3e, 4e et 5e raci- nes dorsales. A partir de la G° dorsale on voit reparaître quelques secteurs de myé- li
myéline vont en aug- mentant assez lentement. Au niveau de la 8e dorsale la tache de myélite n'occupe plus que la substa
en avant la tète des cornes antérieures. Enfin au niveau de la 9e dorsale il ne reste plus qu'un très petit point dans la
latérale convexité gauche « il la région moyenne du dos ». Elle est dorsale selon lui. Celle que nous avons vue se trouve à
elon lui. Celle que nous avons vue se trouve à cheval sur la région dorsale et la région lombaire ; elle est dorso- lombair
19 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
voir dans cette maladie la forme héréditaire du 12 RAYMOND tabès dorsal is, non seulement en raison d'une certaine, mais
ONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE. T. XVIII. PL. II. tc. 4. - XI paire dorsale . Point où les lésions sont au maximum. Grosse a
dégénérescence très nette du l.usccau de Tiirck. FIG. 2. Xe racine dorsale . Comparable en tous points et la XII'' paire do
. 2. Xe racine dorsale. Comparable en tous points et la XII'' paire dorsale du cas précédent, mais avec plus d intensité. W
déglutition, etc. indique aussi l'état normal de la région cervico- dorsale . En résumé, les éléments du diagnostic topograp
uses des 3 ou 4 vertèbres sus-jacentes - deux superficiels, le long dorsal et le sacro-lombaire, réunis inférieurement en un
anguettes entre- croisées avec celles du petit complexus. Le long dorsal , plus interne, composé de longs faisceaux ascenda
s chez cer- tains sujets. Superficiels dans leur partie lombaire et dorsale inférieure, ils sont recouverts plus haut par l
e et dorsale inférieure, ils sont recouverts plus haut par le grand dorsal puis le trapèze; mais leur relief, sur le vivan
ravers la couche musculaire mince et étalée que représente le grand dorsal . On peut considérer les deux sacro-lombaires et
grand dorsal. On peut considérer les deux sacro-lombaires et longs dorsaux de cha- que côté comme un vaste muscle pair et
E NORMALE CHEZ L'UOMME SI seurs latéraux des vertèbres lombaires et dorsales inférieures ; il envisage les attitudes qui rés
nsversaire épineux), et,que les deux autres (sacro-lombaire et long dorsal ) ne sont superficiels que dans leur partie infé
les deux côtés supérieurs répondent au bord inférieur des grands dorsaux , ou plus exactement à la ligne d'insertion des fi
saux, ou plus exactement à la ligne d'insertion des fibres du grand dorsal sur l'aponévrose dorso-lombaire superfi- cielle
asse charnue puissante qui représente le sacro- lombaire et le long dorsal réunis, sous forme d'une saillie étendue 10llgi
es ou gras, les deux cotes supérieurs, répondant au sillon du grand dorsal sont à peine marqués, ou même.pas du tout. Dans
le sujet d'expérience soit maigre et bien musclé, el que la région dorsale soit favorablement éclairée (vuir PI. VIII, B e
aisser latéralement, si ce n'est la masse sacro-lombaire et le long dorsal du côté opposé. Ainsi rig. 7. Oscillation sur
mple. Conclusions 1° Les muscles spinaux (sacro-lombaires et long dorsal ) se contractent énergiquement à chaque pas dans
ement appuyées sur les genoux qui sont très écartés, et la voussure dorsale s'accuse : voilà en somme ce que l'on constatait
s lombaires. La cyphose est surtout marquée au niveau des vertèbres dorsales supérieures (PI. X,E, F et H)et la déformation
du dos est très accusée, la face postérieure du cou comme la région dorsale supérieure se rapproche de l'horizontale. Parfois
assez bien surtout dans la région cervicale et lombaire, la région dorsale reste presque immobile. Mais l'extension complète
in en avant et d'amener la région lombaire en retrait sur la région dorsale . Le rachis, sauf dans la colonne cervicale, for
e à con- vexité postérieure surtout marquée au niveau des vertèbres dorsales , un peu aplatie au niveau des vertèbres lombair
e au niveau des vertèbres lombaires ; la compensation de la cyphose dorsale ne se fait pas par une exagération de la lordose
a déformation rachidienne. En effet, « l'exagération de la courbure dorsale entraîne l'exagération des deux autres ainsi qu
exagération des deux autres ainsi qu'on le voit dans les gibbosités dorsales , et aussi dans les voussures ré- sultant de l'i
me pseudo-Paget est pourtant des plus nets ; on retrouve la cyphose dorsale supérieure souvent plus accusée que chez l'homm
ons rachidiennes. Avec un degré quelque- fois très léger de cyphose dorsale , on trouve toujours un aplatissement de la cour
nette du rachis : souvent même lors- qu'il n'y a que peu de cyphose dorsale on apprécie nettement le redressement de la cou
peut atteindre la ré- gion cervicale. Quelquefois avec une cyphose dorsale supérieure bien nette, il y a peu ou pas de red
s pu observer deux cas de scoliose, l'une dor- sale gauche, l'autre dorsale droite, la première très marquée avec voussure
anthropomorphes » (Pozzi)........ Le rachis est immobile, la région dorsale présente une courbure à convexité postérieure,
ronique généralisée, d'origine rhumatismale, englobant avec l'épine dorsale , les articulations de cette der- nière et les c
», cyphose apparaissant à un âge avancé, peu considérable, surtout dorsale supérieure, impossible à corriger complètement,
en d'être étendue et d'effleurer le talon, met le pouce sur la face dorsale du bord externe du pied droit. L'extension du g
arus, et les pieds d'Amélie Haud..., sa soeur, étaient en extension dorsale . Sur l'absence ou l'apparition de phénomènes oc
actéristique, à concavité droite, au niveau des premières vertèbres dorsales , sa tête était constam- ment oscillante ou reto
hauteur, petites et translucides. A la coupe, on voit, à la région dorsale et cervicale, un cordon postérieur translucide
pâleur du faisceau solitaire et les lésions dégénératives du noyau dorsal du vague. ' , E. Moelle. a) Cordons postérieurs
r hauteur, avec prédominance des lésions dans la région lombaire et dorsale . Il s'agit ici d'une dégénération assez diffuse
es sont au contraire entièrement dégénérées à la région lombaire et dorsale infé- rieure et deviennent plus abondantes en f
ement le faisceau de Gowers, et s'étendant à la région cervicale et dorsale sur le territoire du faisceau pyramidal croisé.
é externe. Cgi, corps genouillé interne. Fld, faisceau longitudinal dorsal . N III, noyau III* paire. Pcs, pédoncule cérébe
eur. F'iG. 8. Aqs, aqueduc de Sylvius. - Fld, faisceau longitudinal dorsal . Gp, tu- bercule quadrijumeau postérieur. - N I
partie médiane. Les plis palmaires sont bien dessinés. A la face dorsale , il n'y a rien de particulier. Les doigts sont
'albumine et de sucre ; température 38°2. Tuméfaction de la surface dorsale de la main gauche, bien circonscrite la circonf
lombaires, le maximum de courbure se trouvant vers la fi° et la 68 dorsale . La région scapulaire droite abaissée, déjettée
uc creuse du calibre plutôt moyen. On place la balle sur la surface dorsale de la main ou plutôt sur la surface dorsale des
la balle sur la surface dorsale de la main ou plutôt sur la surface dorsale des doigts. On projette la balle et on la saisit
font à peu près de la même façon. On place la pièce sur la surface dorsale des doigts, on la pro- jette en l'air, on la la
jette en l'air, on la laisse tomber deux ou trois fois sur la surface dorsale de la 226 KOUINDY main, et définitivement on
second genre d'exercice de la canne on place la canne sur la surface dorsale du médius et de l'annulaire, l'index et le peti
et la place de telle sorte, qu'elle se trouve placée sur la surface dorsale de l'index et du petit doigt, le médius et l'an
le pouce et la face palmaire des doigts et pose la main sur la face dorsale . Pendant le premier temps le patient doit renon-
ertaine hauteur, doit arriver à toucher chaque clavier avec la face dorsale de chaque doigt. L'exercice doit être exécuté a
région. lombaire est peu accusée dans les deux cas. Et la courbure dorsale en sens inverse est presque nulle. La compen- s
ion des cordons postérieurs. Toujours elle prédomine dans la région dorsale , diminuant à mesure qu'on se rapproche du bulbe
que de leptoméningite à la face antérieure, au niveau de la sixième dorsale . ' Poumons. - Noyaux de pneumonie caséeuse. F
'on étudie des coupes plus inférieures. Sur les coupes de la moelle dorsale , on constate une plaque de lepto-ménin- gite, s
gite de la région cer- vicale et est maxima au niveau du 6e segment dorsal . A ce niveau, par l'hé- matoxyline-éosine et le
ment légère de l'aire pyramidale croisée droite. 2. Obs. IV. Moelle dorsale . Mêmes lésions que figure 1. 3. Obs. IV. - Moel
isceaux pyramidaux croisés et myélite diffuse. 5. Obs. II. Moelle dorsale . Sclérose des faisceaux pyramidaux croisés. 6.
ale. Sclérose des faisceaux pyramidaux croisés. 6. Obs. XII. Moelle dorsale . Sclérose des faisceaux fondamentaux des cordons
de Goll et des bandelettes externes de Pierret. 1. Obs. V. Moelle dorsale . Sclérose tabétique des cordons postérieurs. 8.
. Sclérose tabétique des cordons postérieurs. 8. Obs. VII. - Moelle dorsale . Sclérose des cordons postérieurs dite du tabès i
cordons postérieurs dite du tabès in- cipiens. 9. Obs. VI. Moelle dorsale . Sclérose tabétique des cordons postérieurs. 10
es bandelettes externes et les cordons de Goll. 11. Obs. XI. Moelle dorsale . Taches de décoloration dans les aires pyramidale
fig. ). Les cellules nerveuses paraissent normales. A la région dorsale , on ne trouve les fibres dégénérées que dans un î
ques ; la plupart sont en voie de dégénérescence vacuolaire. Moelle dorsale . A l'hématoxyline-éosine, elle ne présente pas tr
à la plaque de lepto- méningite de la face antérieure de la moelle dorsale . La troisième parait, avant tout, fonction de m
ures est également atteinte par le processus dégénératif. 2° Moelle dorsale . Les préparations à l'hématoxyline-éosine montren
ont sectionnées per* pendiculairement à leur direction. 2° Moelle dorsale . La pie-mère est épaissie et fibreuse tout autour
l. Les cellules nerveuses sont relativement bien conservées. Moelle dorsale . Hématoxyline-éosine. Il existe une inflammation
ès incipiens,méningo- myélite de la moitié postérieure de la moelle dorsale . Chamb.... Louis, 35 ans, cocher, entre à l'asi
s s'agrandirent au niveau du sacrum et occupèrent également la face dorsale des deux pieds. Il devint cachectique et succom
lules des cornes sont normales. Dans la partie moyenne de la moelle dorsale on trouve un foyer de méningo-myélite en évolutio
droite sur la figure) des faisceaux pyramidaux. 3. Obs. IX. Moelle dorsale . Mêmes lésions de sclérose que dans la moelle cer
ion des fibres dans les deux aires pyramidales. 6. Obs. X. Moelle dorsale . Sclérose des bandelettes externes et de la parti
érose des cordons de Goll du tabes incipiens. 10. Obs. VIII. Moelle dorsale supérieure. Sclérose postérieure du tabes incipie
te de la moitié postérieure de la moelle. 11. Obs. VIII. - Moelle dorsale inférieure. Sclérose tabétique à peine perceptibl
pyramidal (direct et croisé), foyer de méningomyélite de la région dorsale . Pasd... Paul; âgé de 45 ans, entre à l'asile d
ellules rondes et sont entourées de ces mêmes cellules. A la région dorsale dans le faisceau latéral se trouve un foyer de mé
stérieures sont très altérées (pl. XXXIV, fig. 2). Dans la région dorsale on constate les mêmes lésions de sclérose et en p
cine sont intacts. Au Nissl ; cellules nerveuses normales. Moelle dorsale . - A l'hématoxyline-éosine on voit une méningite
e-éosine, méningite intense, quoique moins prononcée qu'à la région dorsale , avec périphlébite, congestion énorme des racines
m au niveau de la pie-mère et de la substance nerveuse de la moelle dorsale . Enfin, il y a dans les aires pyramidales une r
e pigment, et contenant encore quelques grains chromatiques. Moelle dorsale . Hématoxyline-éosine. - La pie-mère, épaissie, es
ieures sont en neuronophagie, chromatolyse et achromatose. Moelle dorsale . Les lésions sont les mêmes que dans la moelle ce
une surface moins étendue que dans les régions cervicale et surtout dorsale . Nissl. Les lésions des cellules nerveuses sont
ullaires. Et, de fait,on trouve dans la partie moyenne de la moelle dorsale un foyer de méningo- myélite en évolution. Il e
la dépendance d'un pelit foyer de rnéliingo-myé- lite de la région dorsale , nettement appréciable, quoique beaucoup moins
es et le bord interne du cordon de Goll dans les régions lombaires, dorsale et cervicale. III Si nous rapprochons nos obs
èmes de ce genre étaient symp- tomatiques d'une tumeur de la moelle dorsale ou lombaire. Mais nous ne pouvons rien affirmer
, après une série de frictions à l'alcool sur la colonne vertébrale dorsale que le tremblement dispa- raît et que soeur M.
cette faiblesse se fait particulièrement sentir,se trouve à la face dorsale de la main,vers l'extrémité phalangienne du deu
ines à la suite de frictions à l'alcool sur la co- lonne vertébrale dorsale ! Que penser aussi de leur disparition plus tar
as relevés. La colonne vertébrale n'est pas déviée dans les régions dorsale et cervicale. Il y a dans la région lombaire un
u 1/4 de grandeur naturelle d'une radiographie du thorax (décubilus dorsal ). On y remarque la gracilité des différents os, l
e supérieure du thorax d'une femme normalement conformée (décubitus dorsal ). Le squelette est'vu d'arrière. (Emprunté à l'
n de l'occipital, gagne sur le cou et tend à empiéter sur la région dorsale . Il est à noter que, comme conséquence du renve
ENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 355 et se trouve séparée de la peau dorsale , sur laquelle elle repose par son bord libre, p
sans dire que la continuité de la peau existe aussi dans la région dorsale lorsque le canal rachidien est ouvert. C'est là
adroite. L'angle que détermine la colonne cervicale avec la colonne dorsale est assez variable; il atteint fréquem- ment 90
lordose, la colonne cervicale déterminait nettement avec la colonne dorsale un angle droit. Mais le renversement peut aller b
ient presque parallèle au rachis, l'atlas correspondant à la première dorsale . Contrairement à ce que l'on pourrait supposer
colonne cervicale a été écrasée entre deux résistances, la colonne dorsale d'une part, la tête d'autre part. Nous reviendron
anés que dans la résistance auxmouvements passifs. Seule la flexion dorsale des pieds est défectueuse. Tout mouvement un pe
natomique correspond ce tableau clinique. Ici, le souvenir du tabes dorsal spasmodi- que d'Erb-Charcot avec sa sclérose sy
tématisée, que théoriquement on invoquait pour expli- quer le tabes dorsal spasmodique, ne se retrouvait pas à l'autopsie ;
but, car un certain nombre de cellules gan- glionnaires des moelles dorsale et lombaire était atrophié. Dans le cas de Frie
la sclérose en plaques affecter durant toute son évolution l'aspect dorsal spasmodique. D'une façon générale, toutes les m
e se réveille un matin avec des douleurs dans la colonne vertébrale dorsale et dans les parties latérales du côté des reins
t devenaient encore plus terribles au moindre mouvement de l'échine dorsale au lit, et surtout lorsqu'il essayait de rester d
palmaire de la main est exagérée, suite de l'atrophie. Sur la face dorsale nous constatons des dépressions longitudinales,
inales, occasionnées également par atrophie des muscles interosseux dorsaux . Ces atrophies font que nous avons de chaque cô
périeurs. Le malade passe son temps couché sur le dos, en décubitus dorsal , avec les membres inférieurs étendus. Pour po
à leur place des dépressions. Les muscles interosseux palmaires et dorsaux sont disparus, les espaces in- termétacarpiens
le long du corps, ballant, l'avant en pronation, la main avec la face dorsale en avant. Si on soutient le poignet, la main to
s doigts, les fléchisseurs des doigts, les interosseux palmaires et dorsaux , contractions vives NFC > PFC. Pendant l'exc
urbure lombaire se dessine, mais légère, une courbe de compensation dorsale , convexe à droite, L'omoplate gauche est un peu p
ombaire s'inclinait en haut et à droite, avec à peine de correction dorsale inverse, aggravant, par conséquent, le défaut d
on et non par le simple décubitus, on sentait contractures le grand dorsal et le grand rond. Divers faits analogues met- t
ur articulaire de ce côté. Les mouvements de la colonne lombaire et dorsale sont parfaitement normaux. Le signe de Romberg
ous savons que parfois la paraplégie,par tuberculose d'une vertèbre dorsale , précède la gibbosité, a même existé pendant to
ait pas de mal de Pott lom- baire. C'était moins sûr pour la région dorsale , où toujours la rigidité est plus -difficile à
ches. Même malade vu de profil. Remarquer la cyphose de la région dorsale inférieure ainsi que l'ensellure lombaire. Même
ignés du médius et la différence entre ces doigts est minime. La face dorsale de la main est arrondie. Sur l'abdomen et la cu
présente une lordo-scoliose dans la moitié supérieure de la région dorsale et par contre une cyphose très prononcée dans l
itié supérieure et une cyphose de la moitié inférieure de la région dorsale , en plus de l'ensellure lombaire caractéristiqu
lle fait une saillie sous la peau à quelques centimètres de la face dorsale du pied. Le péroné, plus volumineux qu'à l'état
mmissure grise sont aussi très touchées. ' Au niveau de la moelle dorsale , les faisceaux pyramidaux contiennent à peine q
e. VI - 8e r. cervicale. lx - 3 r. JOl11L'.llll'. . VII - 60 r. dorsale . V 111 - 12e r. dorsale. SCLÉROSE EN PLAQUES
lx - 3 r. JOl11L'.llll'. . VII - 60 r. dorsale. V 111 - 12e r. dorsale . SCLÉROSE EN PLAQUES SCLÉROSE PSEUDO-SYSTÉMATIQ
e centrale en même temps que la commissure grise. A la 42e racine dorsale on retrouve les mêmes lésions qu'au niveau de la
; lecou se trouve ainsi supprimé etla tête se rapproche de la région dorsale . Cette flexion cervicale dérive immédiatementde
s musculaires, s'insérant d'une part sur divers points du squelette dorsal , d'autre part sur l'occipital, tendent constammen
éces- saire, une solution de continuité de la peau suivant la ligne dorsale : nous trou- verions le tissu nerveux à ciel ou
que leur face interne vient se placer dans le même plan que la face dorsale du corps vertébral. Pour qu'un tel déplacement
et proémine sous la peau. L'insuffisance de certains muscles (grand dorsal , spinaux, et, jusqu'à un certain point, le trap
voisinage aux alentours de la voûte du crâne et de la ligne médio- dorsale . Dans l'intérieur du corps,il n'y a point d'amas
20 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
s se raidissaient en extension pendant que les pieds en ex- tension dorsale permanente se plaçaient l'un sur l'autre. Elle
fontanelles agrandies, la tète molle et fluctuante. Dans la région dorsale et lombaire le canal rachi- dien est privé des
on trouve la moelle ; à la place où l'ouverture commence, la partie dorsale de la moelle épinière se termine et la partie a
elle se termine apparaît de nouveau la moelle épinière et sa partie dorsale . Immédiatement au-dessus de l'ouverture de la c
s cas sont : 1° L'ouverture de la colonne vertébrale dans la partie dorsale de la moelle épinière ; 2° L'hydrocéphalie in
iste une ouverture complète de la colonne vertébrale dans la partie dorsale , avec cela nous avons une hydrocéphalie interne t
'hydrocéphalie ET l'hydromyélie 45 myélie très forte dans la partie dorsale , qui provoqua l'ouverture de la colonne vertébr
séquent, pendant la formation du système nerveux central, la partie dorsale située au-dessus de l'ouverture ne trouvait pas l
raison d'être suffisante pour provoquer la dislocation de la partie dorsale du bulbe rachidien.Mais cette condition était a
mais encore déplacé en bas la partie du bulbe rachidien. La partie dorsale du bulbe rachidien montrait moins de résistance
arition du cordon posté- rieur, mais aussi l'ouverture de la partie dorsale du canal rachidien ; de l'autre côté l'hydrocép
dit, que la seule ouverture de la colonne vertébrale dans la partie dorsale est suffisante pour produire cette difformité de
nd à ce rhombencéphale devient le quatrième ventricule et la partie dorsale du métencéphale donne dans sa partie dorsale le c
entricule et la partie dorsale du métencéphale donne dans sa partie dorsale le cer- velet ; 4° le mésencéphale produit les
ment l'hydropisie frappe aussi le rhombencéphale et alors sa partie dorsale ne se développe pas, le cervelet manque, et nous
de la colonne vertébrale peut provoquer la dislocation de la partie dorsale du bulbe rachidien si ce processus frappe la part
ule à l'humérus dans l'angle huméro- claviculaire. De même le grand dorsal est considérablement atrophié. Les épaules sont
ain droite). A la surface des pieds on note de l'oedème sur la face dorsale et de l'hy- perkératose plantaire. Réflexes :
e supé- rieur ce sont les 7" et 8e cervicales et les deux premières dorsales ; pour le membre inférieur, ce sont la cinquièm
au contraire, est la métamérie secondaire des renflements cervico- dorsal et lombo-sacré du névraxe divisant les membres en
ervicale. - C, plaque scapulaire dans le territoire de la 2e racine dorsale . - D, bande du bras en arrière, passant, après in
récédente ; elle dé- pend de la le cervicale, de la 8" et de la Ire dorsale . F, bande de la jambe el du pied sur le territo
ésions correspondent aux 7° et 8° segments cervicaux, aux 1 ? et 2° dorsaux , et, pour le membre inférieur, aux 5e segment lom
imitée au poignet en avant ; mais elle descendait sur toute la face dorsale de la main jnsqu'aux articulations métacarpo-pl
bien circonscrites au voisinage immédiat des vaisseaux. B. Région dorsale inférieure. 1) Par les colorants myéliniques, o
s gommes périvasculaires irré- gulièrement disséminées. C. Région dorsale moyenne. 1) Les colorations myéliniques font re
grise où les tubes nerveux à myéline n'exis- tent pas. D. Région dorsale supérieure. l)Par les colorants myéliniques la
à gauche. Le maximum de cette dégénérescence siège dans la région dorsale su- périeure, plus haut elle s'atténue rapideme
) Cordons postérieurs absolument sains dans les régions lombaire et dorsale . ? ' Dans la région cervicale seulement : dégén
ite- ment intactes. 5) La substance grise présente dans la région dorsale , une légère atro- phie de la corne antérieure g
nous montre que le maximum des lésions siège à l'union des régions dorsale et cervicale. C'est à ce niveau qu'a dû se prod
et le localiser assez exactement à l'union des région cervicale et dorsale . Au-dessous s'étend une dégénérescence descenda
nt à l'atrophie légère de la corne antérieure gauche dans la région dorsale elle paraît être d'origine ancienne puisque la ré
ancien foyer de myélite siégeant à l'union des régions cervicale et dorsale et accessoirement d'une altération légère et pl
oins touchés qu'une atrophie légère de la corne anté- rieure gauche dorsale , mais occasionnant ailleurs, à l'union des région
e gauche dorsale, mais occasionnant ailleurs, à l'union des régions dorsale et cervicale, des altérations plus profondes avan
é que le gauche. Légère scoliose et concavité droite dans la région dorsale . Hyperesthésie lt la piqûre de V hémithorax droit
nt avec les doigts la masse des muscles ronds et du tendon du grand dorsal , on la trouve sensiblement diminuée de volume.
iminuée de volume. Portant la main plus bas, sur la région du grand dorsal , on voit que le thorax est notablement amaigri
telé. le sous-clavier. 5° Viennent ensuite les extenseurs, le grand dorsal , le petit pectoral, le sous- scapulaire. 6° L
inence thé- nar, de l'éminence hypothénar, interosseux palmaires et dorsaux , long exten- seur du pouce, extenseurs des doig
r tous les muscles de la ceinture scapulaire. Le pincement du grand dorsal est assez douloureux. du rhomboïde est très dou
t une légère inclinaison latérale à concavité droite dans la région dorsale . Pas de cyphose. Pas de coudure angulaire. Pas de
un territoire tel que les se, 6e, 7°, Se racines cervicales et lyre dorsale ont pu être intéressées (surtout les se et 6e).
rivent une courbe à concavité inférieure ; les 8e cervicale et 1 'e dorsale une courbe à concavité supérieure ; la 7e cervi
lle au sommet du plexus brachial ; les 5e, 6e, 8e cervicales et lle dorsale décri- vent une courbe d'autant plus marquée qu
ou même placé dans la position verticale la 8e cervicale et la Ire dorsale sont aussi tiraillées et, si le sujet y est pré
iveau de la tète humérale, tirer en haut la 8° cervicale et la 1 re dorsale qui s'aplatissent sur les apophy- ses transvers
radial était à peine intéressé (territoire des 8e cervi- cale et 1" dorsale ). Quinze jours après, les réactions électriques a
.), ainsi que sur les racines sensitives des 8' cervicale et - 1 re dorsale , ou bien, par l'intermédiaire des branches radicu
ien, par l'intermédiaire des branches radiculaires des 8e et - 1 re dorsales , y a-t-il eu, pendant la réduction, un ébranlemen
On a presque totalement abandonné, en clinique, le terme de tabès dorsal . Ces mots ne peuvent évidemment comprendre la gén
légitimement formulé en dehors de toute manifestation d'une lésion dorsale de l'axe cérébro-spinal. Le tabes en effet est
rébro-spinal. Le tabes en effet est loin d'être toujours uniquement dorsal ; bien plus, il peut n'être nullement dorsal à
re toujours uniquement dorsal ; bien plus, il peut n'être nullement dorsal à un moment donné. Le mot tabes d'autre part, s
se de l'affection tabétique. C'est pourquoi aussi le terme de tabès dorsal ne doit pas être abandonné, car il caractérise nn
la symp- tomalologie : les signes et symptômes relevant de lésions dorsales . - On emploie aussi couramment le terme de tabè
tômes dont l'origine médullaire est située plus haut que le segment dorsal . Mais ce tabes supérieur est-il cervical, bulbair
ômes tabétiques qui ne peuvent correctement être attribués au tabes dorsal , un grand nombre relèvent directement du tabes
de nos segments où ces effets se produisent. L'ataxique médullaire, dorsal , garde la sensation de la volonté agissante, il
thique du tabes, comme d'autres en définissent la forme ou la phase dorsale . Les troubles auditifs consistent en insuffisan
J'en ai ailleurs (1) étudié les formes. Tant qu'il n'y a pas tabes dorsal , c'est-à-dire avant l'ataxie proprement dite, l
soit à la phase labyrinthique du tabes, et définir, à côté du tabès dorsal , un tabes labyrinthique dont l'évolution pourra
nne l'impression du cuir et ne se laisse pas plisser. Sur la face dorsale du pied droit existe une bande blanc nacré, parta
lpe; . Les ongles sont blancs, étroits et un peu recourbés. La face dorsale des doigts surtout au niveau des dernières phal
lle cervicale inférieure (entre la 8e racine cer- vicale et la' 1re dorsale ), on est frappé de la diminution de volume très
PHIE CHARCOT MARIE (1'. S.1Ïntoll) I. - Coupe au niveau de la l'" dorsale . K. - Coupe au niveau de la 1 rc lombaire. M
p moins marquées que dans les coupes de l'étage précédent. Région dorsale supérieure. - Sur une coupe entre la première et
orsale supérieure. - Sur une coupe entre la première et la deuxième dorsale , on retrouve a peu près les mêmes lésions (PI. XX
rès légère dégénération. Sur une coupe pratiquée au niveau de la 3e dorsale , les altérations ne sont pas sensiblement diffé
cé- dente. 212 PAUL SAINTON Sur une coupe passant par la région dorsale inférieure, la lésion des cordons postérieurs e
intermittente. Des frissons parcourent le corps, surtout la région dorsale , à certains moments de la journée, généralement v
e de gauche, qui paraît raccourci. Elle se plaint aussi de douleurs dorsales , de douleurs dans les jambes et dans la plante
la partie antérieure du thorax, 4 naevi pigmentaires dans la région dorsale , dont un très saillant du côté droit. Il existe u
miers mois de séjour était obtenu très facilement sur les ré- gions dorsales et sur la région pectorale mais pas du tout sur l
sentent des altérations dégénératives assez marquées dans Ta région dorsale et clans la région lombaire, mais aucune lésion
jambe droite, l'hypoesthésie s'arrête au tiers antérieur de la face dorsale du pied. La sensibilité tactile est conservée é
eu près symétrique. Les apophyses épineuses des premières vertèbres dorsales sont saillantes. Les muscles intercostaux prése
plus qu'une lame surtout à son insertion thoraci- que. Les grands dorsaux sont atrophiés à droite. Muscles sus et sous-épin
issant voir la saillie de l'os ; atrophie presque complète du grand dorsal ; à ce niveau on soulève la peau qui semble rep
hié. Atrophie peu marquée des sterno-cléido-mastoïdiens. Le grand dorsal et les muscles de la gouttière vertébrale ne semb
s muscles de l'avant-bras et du bras, surtout accentuée aux groupes dorsaux et plus marquée à droite. partie moyenne tiers
contract. A gauche, NFC = 3 m. a., PFC = 0,5 m. a. 30 interosseux dorsal : NFC < PFC. A droite, NFC = 3 m. a., PFC =
n, mais en palpant avec la main la masse des muscles ronds et grand dorsal . Le malade a conservé tous les mouvements de se
se très prononcée s'étendant des premières cervicales aux dernières dorsales , sans scoliose ; pas de lordose compensatrice;
, de 4 secondes au milieu de la jambe ; de deux secondes à la face dorsale du pied. A droite le retard est de 2 secondes a
des au milieu de la cuisse et de la jambe ; de 4 secondes à la face dorsale du pied. FROID. A. Face antérieure. - Anesthési
dorsale du pied. FROID. A. Face antérieure. - Anesthésie à la face dorsale des pieds, re- montant à droite jusqu'au tiers
es douleurs en corset très pénibles, parti- culièrement à la région dorsale . - 1.- Sensibilité objective superficielle (Pl.
ENSIBILITÉS DANS LE TABES 419 gent les première et deuxième racines dorsales se traduit par une étroite zone d'anesthésie de
la 81 paire cervicale produit une môme zone d'anesthésie à la face dorsale et à la face ventrale du membre supérieur conti
nes, on voit ainsi que dans la planche 3 la lésion intéresse la 1'° dorsale gauche seule ; dans la planche S, la lésion int
, la 4" sacrée étant respectée ; dans la planche 7, les 2% 3° et 4° dorsales sont atteintes; dans la planche 8 ce sollt les 4
sales sont atteintes; dans la planche 8 ce sollt les 4 ? 4e, 5°, 6e dorsales . Il est clair qu'une lésion transverse totale e
ue (PI. LXXX et LXXXI). Au pied, la tuméfaction fait bomber la face dorsale au-dessus des doigts qui, eux-mêmes, sont un pe
me les plus gros bourrelets, au pourtour des chevilles, sur la face dorsale du pied, et cela principalement lorsque la mala
ait très développée au niveau de la cuisse, de la jambe, de la face dorsale du pied, nulle à la fesse, à peine marquée au cre
epuis le pli du poignet jusqu'au bout des doigts, surtout à la face dorsale ; teinte violacée, asphyxique, plus marquée vers
- trante mais beaucoup moins que la ligne de l'auriculaire. La face dorsale de la main est le siège d'un gonflement considé
oint ; la main plaie, simiesque sur la face palmaire, a sur la face dorsale l'apparence d'une main gelée très froide au touch
ment sans aucune manifestation douloureuse. Le grand rond, le grand dorsal , les sus et sous-épineux, le deltoïde sont atro
es des éminences thénar et hypothénar, des interosseux palmaires et dorsaux , des lombri- caux. Mêmes réactions à gauche qu'
21 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
: eue est a peine marquée sur le memu5 CL sur l'index. Sur la face dorsale de la même main on remarque l'atrophie con- sid
irée par les déformations des mains. La main droite vue par sa face dorsale présente une saillie exagérée des métacarpiens, d
déformation. La main gauche ne parait pas déformée vue par sa face dorsale , mais examinée par sa face palmaire, elle présent
ins. , État actuel (mars 1887). - Les deux mains vues par leur face dorsale ont le type de la main de singe,' vues par leur
ain droite présente des déformations considérables. Vue par la face dorsale elle offre les saillies accentuées des métacarpie
ire de la main le petit doigtet la moitié de l'annulaire, à la face dorsale lasurface cutanée de ces deux doigts; au-dessus
autres membres. État actuel(7 mars 1887). - La main vue par sa face dorsale présente une v saillie notable des métacarpiens
as déformés mais écartés légèrement les uns des autres. Par la face dorsale presque pas de déformation, sinon creux des esp
toujours plus accentué dans la station de boutque dans le décubitus dorsal . On vit, à la fin, le gonflement diminuer à mes
avons déjà présentées se rappor- taient à des fractures des régions dorsale inférieure et lombaire supérieure; aussi les ph
OELL23; épineuse à l'union de la colonne cervicale et de la colonne dorsale . Là, cette ligne se dirigeait non plus vertical
porta à l'hôpital. Là, elle fut simplement placée dans le décubitus dorsal , sans appareil d'immobilisation. On constata au n
tié inférieure des faces externe et antéro-externe des jambes; face dorsale du pied jusqu'au voisinage de son bord interne;
sont pas altérés ; la partie inférieure des deux jambes et la face dorsale des pieds sont tachetées de petites macules rouge
ablement qu'une cause surajoutée), eschare sacrée dont le décubitus dorsal observé à la suite de l'accouchement a été sans
re des orteils droits vint se mettre en contact direct avec la face dorsale du pied gauche, et le condyle interne du fémur dr
ent décrites. , Lorsqu'on examine l'enfant au lit dans le décubitus dorsal , on observe qu'alors que la jambe droite est da
n en dedans, les deux premiers orteils gauches reposant sur la face dorsale du pied droit par leur face plantaire, la mallé
-cutané droit (la fracture siégeait au niveau des douzième vertèbre dorsale et première lombaire). Dans deux autres cas il
it sciatiques (branches du plexus sacré), la fracture de la colonne dorsale avait déterminé en outre des troubles sensitifs
inférieurs dans les quatre cas où la fracture occupait les régions dorsale , lombaire et sacrée, les membres supérieurs plu
t le dos sont très larges, ce dernier est cyphotique dans la région dorsale . ' Thorax grand, large, rigide. Circonférence 1
u sur la malade Ant. E... par le tambour à réaction placé sur la face dorsale de la main droite, le bras étendu Iorizoutaleme
ent due à la cyphose arciforme de la partie supérieure de la région dorsale du rachis et à l'attitude particulière détermin
latérale à concavité gauche, courbure portant surtout sur la région dorsale . Cette déformation, d'ailleurs peu accusée, n'e
s plus irréguliers, haute d'environ G centimètres, occupe la région dorsale du poignet. La dispostion est la môme que celle
double courbure latérale, concave à droite, au niveau de sa portion dorsale supérieure, et concave à gauche dans la- portio
hésiés. Zone hystéro- gène au niveau des 3°, 4., 51 et 6a vertèbres dorsales . Amaurose à droite; rétrécissement du champ vis
oit entre le point d'union de la cinquième avec la sixième vertèbre dorsale ; mais cette déviation, avant de se faire sur l
e de gravité perdu; cette courbe, au niveau de la neuvième vertèbre dorsale , est déjà bien manifeste et se poursuit en bas
his au niveau de la gibbosité, on voit clairement que les vertèbres dorsales , de la troisième à la septième, se trouvent ank
le troisième orteil est un peu tu- méfié et douloureux. Sur la face dorsale il présente des marbrures érythé- maleuses; et
lieu de 66 il y a quelques jours). Fluctuation manifeste. Incision dorsale et plantaire sans chloroforme. Le malade pousse
e 15 millimètres de largeur sur 40 millimètres de longueur. Portion dorsale . - Le grand sympathique dans toute cette région f
apophyses épineuses plus ou moins bifides. ' Quant aux'vertèbres dorsales , la face antérieure du corps est poreuse, avec
bords; les apophyses transverses sont très rugueuses. 1 la douzième dorsale on constate l'existence de deux tubercules irré
stence d'une vertèbre surnuméraire située au-dessous de la douzième dorsale . Cette treizième vertèbre dorsale porte à droite
située au-dessous de la douzième dorsale. Cette treizième vertèbre dorsale porte à droite deu facettes articulaires, l'une
côte rudimentaire longue de 2 centimètres. Cette treizième vertèbre dorsale diffère de la douzième par le plus grand dévelop-
s transverses sont beaucoup plus étroites que celles de la douzième dorsale . Les cinq vertèbres lombaires n'ont de particul
thorax est ample et bien conformé ; le corps de la onzième vertèbre dorsale est distant de l'appendice xyphoïde de 21 centimè
ui permettait de s'asseoir sur son lit et de s'étendre en décubitus dorsal . Il n'avait pas de force, on était obligé de le
ons sui- vantes : Excitabilité éteinte dans les 3° et4' interosseux dorsaux . Pour le 1°r et le 2°, pas de contraction farad
e ou de raideur.. ' ' : ' Sensibilité. Analgésie absolue de la face dorsale de la main se termi- nant parun manchon circula
épètent une ou deux fois, puis le malade se remet dans le décubitus dorsal , les yeux fermés, les membres souples. Cet état
la fin de la première attaque. Le malade qui est dans le décubitus dorsal en est à la phase de délire. Ses veux sont ferm
sit le mieux à produire le phénomène, principalement dans la région dorsale . Sur les membres, l'excitabilité va en décroiss
1 1. Zunker, loc. cit., p. 505. 2. Ce même malade dont la région dorsale est photographiée ici, présente sur les jambes
thiques dont l'origine serait le rameau communicant du premier nerf dorsal . Ces notions sont intéressantes au point de vue
processus gliomateux (origine médullaire ou réelle du premier nerf dorsal ), si la théorie de l'innervation des muscles or
, quoiqu'un peu dévié en bas et à droite; celui des trois premières dorsales est fortement oblique en bas et à gauche; la di
oblique en bas et à gauche; la direction change au niveau' de la 4e dorsale , et l'axe des 4°, 5e, 0°, 7e dorsales est forte
ion change au niveau' de la 4e dorsale, et l'axe des 4°, 5e, 0°, 7e dorsales est fortement oblique à droite. Il y a donc une
ieure et droite dont le sommet répond il la il dor- sale. La région dorsale inférieure et la lombaire formentuue courbe beauc
par l'examen des corps vertébraux. Le corps de la 1" et de la 2. dorsales ne sont guère asymétriques. Celui de la 3° comm
SALI'TRII;ItE. Cette forme devient très accentuée de la 4° il la 7° dorsales , en même temps que l'asymétrie devient considér
. Outre l'affaissement latéral, il existe une torsion des vertèbres dorsales supérieures; les apophyses transverses droites
compensatrice cervicale et dorso-lombaire. Les corps des dernières dorsales et des lombaires présentent une asymétrie légèr
ires présentent une asymétrie légère, inverse de la précédente. Les dorsales ont une tendance à la forme triangulaire, avec
s dimensions transversales et antéro-postérieures sont accrues. Les dorsaux inférieurs, un peu aplatis, ressemblent aux lom
ont des crêtes rugueuses et spongieuses. La face supérieure des 12° dorsale , 1 ? 2° et 3° lombaires présente en son centre
ettes costales sont affaissées dans la portion concave de la région dorsale ; les autres sont élargies, entourées de bourrelet
e de leur gouttière il la région cervicale; l'extrémité costale des dorsales est volumineuse, rugueuse, spongieuse. Les ap
articulaires ont leur surface élargie dans la région cer- vicale et dorsale (15 mill. de. diamètre); aux lombaires, cette sur
eur de la 40 cervicale, 20 mill. ; largucurl8 mill. Longueur de la 4° dorsale , 32 mill. Trou rachidien : normal. Le trou de
e gracilité spéciale du corps, incurvé en lame de sabre à tranchant dorsal . Cela est accentué surtout sur le cinquième. Ep
22 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
amaigrie, très affaiblie, elle repose constamment dans le décubitus dorsal ; elle répond péniblement sans troubles toutefo
atce très accentuées. Atrophie considérable des pectoraux, du grand dorsal , du trapèze surtout (1) Georges Guinon et Souqu
DES NERFS VASO-MOTEURS ET DU NERF PNEUMO-GASTRIQUE (1). Le tabes dorsal peut être progressif ou stationnaire. La forme pr
et cela malgré l'immobilisation dans un appareil ouaté avec attelle dorsale , le tout appliqué par dessus le pansement de la
TROIS CAS D'ARTHROPATHIES MYÉLOPATIIIQUES Observation I. Tabès dorsal . Troubles de la station, de la marche et de la se
la sus- pension, sans effet appréciable. Observation II. Tabès dorsal chez un syphilitique. Ataxie. Troubles oculaires
ges spi- nales, et envahissement limité de la moelle dans la région dorsale infé- rieure, un 3e enfin dû àMoxon (1). Ce der
ète des artères spinales. Envahissement de la moelle dans la région dorsale supérieure. IL, 50 ans, marchand des quatre sai
stance grise et une légère diminution de consistance dans la région dorsale . La colonne vertébrale et la dure-mère sont parfa
éten- due, dans la hauteur de 2 à 3 racines, au niveau de la région dorsale supé- rieure. Nous décrirons ces lésions de bas
ntre qu'il n'y a pas de dégénération. Renflement lombaire et région dorsale inférieure. Même répartition des lé- sions : in
t de plus en plus compacte à mesure que l'on s'élève vers la région dorsale inférieure : les parois sont 5 ou 6 fois plus épa
es transversales qui intéressent les régions lombaire supérieure et dorsale inférieure (jusqu'à la 8e racine environ), on p
préparations traitées par la méthode de Weigert ou de Pal. Région dorsale moyenne. Les coupes ont été pratiquées aux différ
te. Bien que la moelle soit relativement saine dans toute la région dorsale moyenne, on y voit apparaître quelques altérati
, mais composée de très fines granulations réfringentes. - Région dorsale supérieure. Ici non seulement les lésions méningé
ntes dont le foyer maximum est situé au niveau des 2e et 3e racines dorsales (Planche XIII, XIV, XV, fig. 1). En haut et en
la partie inférieure du renflement brachial d'une part et vers la 6e dorsale de l'autre. Comme ces lésions se présentent ave
à la périphérie des cordons postérieurs, au niveau de la 2e racine dorsale , les tubes nerveux sont détruits suivant un mode
ux, ni de cylindre-axes hy- Fia. 4. Coupe transversale de la région dorsale supérieure. Une partie de la cir- conférence po
aussi grand nombre. Il nous reste à signaler au niveau de la moelle dorsale supérieure, les altéra- tions, peu étendues d'a
HE XIII, XIV, XV. Fra. 1. Coupe DE la moelle au niveau DE la RÉGION DORSALE SUPÉRIEURE. (Coloration au picro-carmin, grossi
yonnaire formé autour D'UN capillaire dans la PIE-MÈRE DE la RÉGION dorsale SUPÉRIEURE (hématoxyline, grossissement 90 diam.)
bien que dans les méninges, à mesure que l'on s'éloigne de la région dorsale . Jusque dans la partie moyenne du renflement ce
ration, semblables à ceux que nous venons de décrire dans la région dorsale supérieure. Mais la lésion a beaucoup moins d'i
grand ; elles ne sont pas groupées par foyers comme dans la moelle dorsale ; la plupart sont situées sous la pie-mère. La su
donne lieu à un ulcère qui creuse, pénètre le doigt jusqu'à la face dorsale : le squelette de la 2e phalange faisant hernie d
axe du doigt, recouverte desquames épaisses et cornées. Sur la face dorsale de la main, la peau est lisse, rosée, moins pliss
e genre occupant la pie-mère, nous avons signalé, clans la ré- gion dorsale , la présence de cellules géantes typiques : on a
-même, intéressée ainsi que nous l'avons vu, au niveau de la région dorsale supérieure, les lésions sont de deux ordres : a
he au niveau des cordons postérieurs, à la hauteur de la 1 ? racine dorsale . En ce point, on peut voir, le long des travées
e. La substance grise, dans toute la moitié supérieure de la moelle dorsale est creusée de cavités nombreuses qui occupent
u moins grand nombre dans la hau- teur des 4 ou 5 premières racines dorsales surtout clans le cordon latéral droit; mais en
orrespond le plus souvent au type clinique de la myélite transverse dorsale , c'est-à-dire que les symp- tômes essentiels co
ogrès médical, 1816. 1G0 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. dorsale inférieure. Au microscope, on constatait une myél
n cas analogue, il constate au niveau d'un foyer occupant la moelle dorsale une inflammation intense des artères et des vei
ope révéla l'existence d'un foyer de méningo-myélite dans la région dorsale inférieure. Un foyer gommeux microscopique éman
nstater à l'oeil nu, une déformation de l'organe occupant la région dorsale supérieure, depuis la 2e jusqu'à la 5e racine.
eu à peu sa configuration et sa consistance normales dans la région dorsale inférieure. A partir de ce point, ou constate l'e
ce foyer malade, à diverses hauteurs et sur les régions cervicale, dorsale inférieure et lombaire. Le bulbe, le cerveau, q
vés. Coupes au niveau du foger malade (entre la 2e et la 5e racines dorsales ). A un très faible grossissement (obj. 00 Veric
nche de larges territoires de sclérose, Fig. 15. Coupe de la moelle dorsale , au niveau du foyer de la lésion, colorée par la
vacuo- vi. 42 Fig. 17. Coupe d'une veinule de la pie-mère (région dorsale supérieure). On voit qe- la tunique adventice d
a partie inférieure du foyer malade, au voisinage de la -lie racine dorsale , l'aspect de la lésion se modifie, par suite de
foyer gommeux qui occupe le cordon latéral gauche dans la moelle dorsale supérieure. .172 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SA
- incuse circonscrite se poursuit jusqu'au niveau de la 4e racine dorsale . Au- dessous, dans la même région, c'est-à- d
Fig. 19. - Coupe transversale d'une racine antérieure de la région dorsale . On voit, autour des vaisseaux, et principaleme
dent. Les lésions vont en diminuant graduellement jusqu'à la région dorsale infé- rieure. La sclérose diffuse de la région
ieure de la moelle s'atténue, au point qu'au niveau de la 7e racine dorsale , il n'en reste qu'un petit territoire ir- régul
as. La substance grise reprend son apparence normale dans la moelle dorsale in- férieure : les grandes cellules recouvrent
pal. Elles existent d'ail- leurs dans toute la hauteur de la moelle dorsale . Les altérations méningées et celles des gros v
es gros vaisseaux périphériques cessent d'exister vers la 6° racine dorsale . Cependant la tunique .adventice de la plu- par
agies semblables à celles que nous avons rencontrées dans la région dorsale (surtout dans la corne antérieure gauche). Ce s
oyer principal, occupant une hauteur de il 3 racines dans la moelle dorsale supérieure, présente une sclérose diffuse delà su
mportée rapidement. L'autopsie mon- tra une induration de la moelle dorsale au niveau du cordon latéral gau- che. Au micros
non seulement dans la région cervicale, mais jusque dans la région dorsale inférieure. , Raideur marquée de la nuque, les
iminué de consistance. La même lésion se poursuit jusqu'à la région dorsale supérieure. Dans la ré- gion dorsale moyenne, l
se poursuit jusqu'à la région dorsale supérieure. Dans la ré- gion dorsale moyenne, la moelle reprend son apparence normale.
raissent seulement un peu épaissies. Rien d'anormal dans les régions dorsale , inférieure et lombaire. de la MÉN 1 NG O-IYÉ
bulbe il ses différentes hauteurs, le rendement cervical, la moelle dorsale et lombaire différents niveaux ont été examinés b
elles pré- sentent de nombreux petits vaisseaux oblitérés. Région dorsale supérieure. Comme lésion importante dans cette
on- trastent avec les racines antérieures qui sont saines. Région dorsale moyenne (6e, 7" racines). La méningite reparaît
très vives dans le côté droit au niveau des 4e, 5e, 6 ? ver- tèbres dorsales , s'irradiant dans les espaces intercostaux jusqu'
interosscux, surtout marquée pour les deux derniers espaces du côté dorsal de la main. Au repos cette main présente un lég
une atrophie des interosseux, marquée surtout pour les deux derniers dorsaux . Ajoutons que les mouvements passifs sont libre
mais elle est sënsibtea la pression surtout inférieurement ('12" v. dorsale et ire v. lombaire). La par une pression même l
semble symptomatique très analogue à celui de la myélite transverse dorsale , c'est-à-dire par une paraplégie ac- compagnée
es répond, avons-nous dit, au type clinique de la myélite tralmerse dorsale telle que nous la trouvons décrite dans les ouv
a une légère diminution de la sensibilité il la piqûre sur la face dorsale du pied droit. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQ
rtion de 35 à 40 0/0 de paraplégies syphilitiques, sur les myélites dorsales prises en bloc. Mais quelle est la valeur diagn
urs de tête firent place à des douleurs rachidiennes dans la région dorsale et lombaire inférieure. Ces douleurs étaient au
ns sous les yeux un tableau clinique très analogue à celui du tabès dorsal spasmodique. - L'exaltation des réflexes tend
ale (1893). Notre maître M. Brissaud (1) a publié deux cas de tabes dorsal spasmodique développés sous l'influence de la syp
e des réflexes aux membres supérieurs ; en un mot, tableau du labes dorsal spasmodique. Dans les yeux : abolition des réfl
poussée au degré extrême qu'elle atteint dans certains cas de tabès dorsal spasmodique. Lorsque l'on per- cute le tendon r
hyperesthésie il la percussion des apophyses épineuses depuis la 6e dorsale environ jusqu'en bas. Il existe aussi une légèr
23 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
rité de la dentition ; il existe aussi un certain degré de scoliose dorsale , le chapelet rachitique est évident, les articula
L'excitation de la plante des pieds pro- voque une flexion brusque dorsale du pied et la rétraction du membre inférieur to
(2), « une zone placée en hauteur à l'union des régions lombaire et dorsale et limitée : en dedans par une ligne virtuelle pa
nerveux sont serrés et compacts. 5° Régions lombaire supérieure et dorsale inférieure (1'E lombaire el 1 le dorsale) . - O
ons lombaire supérieure et dorsale inférieure (1'E lombaire el 1 le dorsale ) . - On ne trouve plus de zone de sclérose en nap
dans et en avant à mesure qu'on remonte dans la moelle. gaz Régions dorsale moyenne, supérieure, cervicale. Elles sont nor-
- ment. S'il n'y a ni les lésions costales (chapelet) ni la cyphose dorsale , si le bassin appartient plutôt à l'achondropla
sans aucun relief. A la face antérieure de la jambe et sur la face dorsale des pieds, la peau semble avoir gardé sa colora
ines sacrées, soit dans la station de- bout, soit dans le décubitus dorsal d'ailleurs incomplet pris par l'homme (1) Willi
ité et du volume des granulations. FiG. 6. Cellules d'un ganglion dorsal de petit chien offrant des modifications très "
ieur de l'occipital, et dont le sommet coïncide avec la 3' apophyse dorsale . Ftc. 1. - Face postérieure de la tête montrant
'le et la 12e côte comme repaire, on compte à la suite 12 vertèbres dorsales . La 4 apophyse épineuse, là plus rapprochée du
es munies de côtes. Nous les considérerons donc comme des vertèbres dorsales , et nous devons conclure à une absence totale d
Vue par ses faces latérales, la colonne vertébrale a une concavité dorsale exagérée. La région, qui doit normalement corre
se continue jusqu'au crâne, en suivant la direction de la courbure dorsale . Cette absence de courbure cervicale est liée à
côtes, et que pour cette raison, nous considérerons comme vertèbres dorsales . Enfin 4 vertèbres non munies de cûtes, ce sont
ierons chacune de ces portions : Masse cervico-dorsale. Vertèbres dorsales . '' Vertèbres" lombaires. Masse cervico-dorsa
la division suivante : a) Doivent être considérées comme vertèbres dorsales , toutes les vertèbres qui por- tent des côtes n
é crânienne. 234 KLIPPEL ET FEIL les considérer comme vertèbres dorsales , puisque seules ces vertèbres possè- dent des c
res dorsales, puisque seules ces vertèbres possè- dent des côtes. dorsale et l'occipital. c) Sont vertèbres lombaires, to
es, toutes les vertèbres qui sont situées au-dessous de la dernière dorsale , et qui ne présentent avec l'os coxal aucune conn
érieure de cette masse osseuse qui soit le reliquat des 4 vertèbres dorsales ; c'est dans cette partie inférieure seule- men
our expliquer les ano- malies de la colonne vertébrale. Vertèbres dorsales . - Les 8 vertèbres dorsales, que nous trouvons en
ies de la colonne vertébrale. Vertèbres dorsales. - Les 8 vertèbres dorsales , que nous trouvons en- suite, sont bien différe
dans leur structure, qui les différencie notablement des vertèbres dorsales d'une autre colonne. La dernière de ces vertèbr
munie de côtes, nous la considérerons comme la der- nière vertèbre dorsale . Vertèbres lombaires. - Il n'y a que 4 vertèbre
e la 5a devait exister, mais était réunie au sacrum). 8 vertèbres dorsales , munies chacune d'une paire de côtes. Enfin une
us fait penser qu'elle est constituée par les 4 premières vertèbres dorsales , qui, peut- être, au cours du développement, se
imités que l'on constatait sur le vivant. 2° Côtes. Les 8 vertèbres dorsales nettement différenciées portaient t chacune une
stituée en partie au moins par la réunion des 4 premières vertèbres dorsales . Les premières côtes remontaient jusqu'à la bas
lonne cervicale était cons- tituée par : 6 vertèbres cervicales, 12 dorsales , 5 lombaires, 5 sacrées et 4 coccygiennes. Ve
2°, la moitié gauche de la 3a, les 40, 7°, 10e, live, 12e vertèbres dorsales et les trois pre- mières lombaires et chez laqu
tre des modifications nombreuses des vertèbres des autres régions : dorsales , lombaires, etc. Cependant, chez les Lamantins
formation est à direction proximale, transformant : Les vertèbres dorsales en lombaires. Les vertèbres lombaires en sacrée
s de transformation est à direction distale et change les vertèbres dorsales en cervicales. 244 liez KLIPPEL ET FEIL En so
re cervicale avec rôles et qui prend l'aspect de véritable vertèbre dorsale ; et de verlèbres (1) Ledouble divise les anoma
côtes et se rapprochant des vertèbres dor- sales. Ces caractères dorsaux des vertèbres cervicales porteurs de côtes sera
s où l'on trouve des vertèbres de transition qui se rapprochent des dorsales , tout en ressemblant aux vertèbres cervicales ou
nne vertébrale très réduite avec 5 vertèbres lombaires, 8 vertèbres dorsales , et une masse osseuse d'une hauteur de huit cen
latérales 4 paires de côtes. Cette masse comprend donc 4 verlèbres dorsales et les 7 vertèbres cervicales. Nous ne sommes
n tassement des vertèbres cervi- cales et des 4 premières vertèbres dorsales . La déterminante étiologique est incertaine : c
x, venant se terminer jusque sur la li- gne des apophyses épineuses dorsales . L'absence de cou, la tête reposant directement
remarque une scoliose assez apparente intéressant surtout la région dorsale moyenne. La concavité de cette scoliose regarde d
premier cas de Villaret et Francoz, on trouve une légère sco- liose dorsale ainsi que des déformations du bassin assez accusé
me étudiée par Guzzoni degli Ancarani présentait une légère cyphose dorsale . Un malade de Schorstein présentait une dépress
Vive, 'l11° segments cervicaux, sur les Ier, II6, Ve, IXe segments dorsaux , sur Ies Ile et IV° lombai- res et sur le lIe s
ique détaillé de ce cas inté- ressant. 1'10, 1. - Premier segment dorsal (\Iethole de Weigerl). 286 LONG et de Pal, on
altérations périphériques ; ainsi la figure i montre la ire racine dorsale , la dégénérescence des fibres nerveuses n'appar
épaissis- sement des gaines de Schwann ; et cependant la Ire racine dorsale est des- tinée, comme la racine C 8, à une régi
s cornes antérieures, presque intactes dans les régions lombaire et dorsale , montrent dans la région cervicale des cellules
du 3° segment lombaire (ug. 3). Par contre, on suit dans la moelle dorsale et cervicale les dégénérescences des faisceaux
du septum. Cette atropgiedes cordons de Goll,manifeste à la région dorsale , devient plus apparente la région cervicale et
les extenseurs des doigts et surtout les radiaux), les interosseux dorsaux , et, en partie aussi, l'abducteur du pouce, les
court abducteur du pouce, adducteur du pouce, mus- cles interosseux dorsaux de la main). D'autres muscles (ou nerfs) présen-
ouchée, la moitié supérieure relativement indemne. Le Ipr seg- ment dorsal , fortement atteint dans un cas, l'est beaucoup mo
egments cervicaux sont indemnes ainsi'que les 2°, 3° et 4° segments dorsaux . Pas de lésion des cornes antérieures dans la p
iers cas, et les deux cornes sont abrasées La 3e cervicale et la 2c dorsale sont normales ainsi que le reste de la moelle.
la 2c dorsale sont normales ainsi que le reste de la moelle. La 1rB dorsale est modérément touchée. En résumé : effondremen
a méthode de Lhermitte, etc Sur deux fragments prélevés à la région dorsale et inclus à la paraffine, nous avons cherché le
gion cervicale, mais elles réapparaissent peu à peu dans la région dorsale . En Du on aperçoit déjà la partie la plus inter
sements qui l'accompagnent, elle a deux maxima : l'un cervi- val et dorsal supérieur, l'autre dorsal inférieur ; et deux min
, elle a deux maxima : l'un cervi- val et dorsal supérieur, l'autre dorsal inférieur ; et deux minima : l'un dorsal moyen
dorsal supérieur, l'autre dorsal inférieur ; et deux minima : l'un dorsal moyen (intermédiaire aux deux maxima), l'autre do
grandes qui occupent la moelle au niveau de la Ve et la VIe racines dorsales laissent entrevoir que l'absence de commissure
e avant tout par une déformation plus ou moins accentuée de l'épine dorsale ,- alors que les troubles radiculaires et médullai
n devait se trouver localisée dans le 81 segment cervical et le le, dorsal . En localisant ainsi le processus histo-patholo
a dure-mère atteint son côté droit correspondant du premier segment dorsal . A la surface postérieure de la dure-mère dans la
ur toute l'étendue à partir du 4B segment cervical jusqu'au premier dorsal inclu- sivement on constate une adhérence entre
ocessus pathologique n'est pas récent. En approchant du 1er segment dorsal , les lésions indiquées plus haut dimi- nuent po
élie, mais bien une tuberculose caractérisée des 2e et 3e vertèbres dorsales et des phénomènes d'hypertrophie inflammatoire de
omplète, on percute un peu fort sur la région supérieure de la face dorsale de l'avant-bras, sur le muscle extenseur commun
é au mouvement de pronation de la main. c) En percutant sur la face dorsale de l'avant-bras, tout le long de la ligne média
ant toujours tombante en pronation complète, on percute sur la face dorsale de l'apophyse styloïde du radius, on obtient pres
es corps vertébraux, surtout au niveau de la IVe vertèbre. Région dorsale . - Aspect normal. Région lombaire. - Projection
tites articulations des extrémités, sans participation de la région dorsale , avec des caractères propres à la variété ankyl
it aperçue que, outre l'immobilité des hanches et du cou, son épine dorsale s'inclinait eu avant, toujours davan- tage. 1
pendant la jour- née, pour se reposer, elle préfère la réclination dorsale sur des coussins. Cou- chée, si on la prend sol
t cervical et empiète en haut sur le 7e, en bas sur le leur segment dorsal . Au même niveau, la corne postérieure est plus
ferieure de ce même segment et de la partie supérieure du 1er segment dorsal . A ce niveau petite cavité sans gliome à l'angl
la partie supérieure du 7e segment cer- vical et inférieure du le, dorsal . Les 3e, 4e, 5°,6° segments cervicaux et 2e, 3',
dorsal. Les 3e, 4e, 5°,6° segments cervicaux et 2e, 3', 4' segments dorsaux sont indemnes. Pas de lésion de poliomyélite. Pas
de lésion de poliomyélite. Pas de lésion dans le reste de la moelle dorsale , lombaire et sacrée, sauf un certain degré de p
e gauche. La lésion frappe le 8e segment cervical et le 1er segment dorsal et s'étend sur le 7e. Elle prédomine de beaucou
niveau du 8e segment, incomplète au niveau du 70 et du' 1er segment dorsal . Les 3°, 4e@ 5°, 6° seg- ments cervicaux, et 2e
al. Les 3°, 4e@ 5°, 6° seg- ments cervicaux, et 2e, 3e, 4e segments dorsaux sont indemnes. Pas de polio- myélite. Pas de lé
ux sont indemnes. Pas de polio- myélite. Pas de lésion de la moelle dorsale , lombaire et sacrée sauf la dégéné- ration post
et aux parties avoisinantes du 7- segment cervical et du 1" segment dorsal . Les cornes postérieures sont grêles et mal vascu
es cornes antérieures du segment cervical et un peu du 7e et du ler dorsal sont plus clairsemées, plus petites et moins no
rophie réflexe modérée des 7" et 8° racines cervicales et de la 1 ? dorsale . Observation V F..., 61 ans, menuisier; syphi
e au devant du pubis. Les mamelles tombent également. A la région dorsale l'infiltration graisseuse détermine la formation
se et une Lu- sus-épilrochléenne petite et plus dure. Les régions dorsale et surtout lombaire présentent, principalement
ont un très marqué, au niveau et un peu à gauche de la lIe vertèbre dorsale . La tumeur épigastrique est médiane, lisse, bom
24 (1911) La pratique neurologique
nt distinct et gagne le noyau vestibulaire (noyau de Deiters, noyau dorsal interne et noyau de Bcchterew). De ta ses fibre
dos de la langue distinguent des différences de 11/40-1/50. La face dorsale et antérieure des phalanges, de l'avant-bras, d
adiculaire (voir fig. 5) aux membres supérieurs, 8`' cervicale et 1 dorsale ). Habituellement bilatéraux et symétriques, ils
symétriques, ils peuvent également occuper la région nammaire et dorsale sous la forme E.1.lui plastron anesthésique. Ce
prendre les doigts du sujet en plaçant plusieurs doigts sur la face dorsale de ces phalanges et le pouce sur la face palmai
rtant de sa- voir que si, dans des compressions cervi- cales et dorsales su- périeures, la limite supérieure de l'anes
peu près au niveau de la région compri- mée, dans les régions dorsales inférieures et lombaires l'anes- thésie s'arr
cend. Ce fait résulté de l'obliquité des racines rachi- diennes dorsales et lombaires qui s'ac- croît de haut en bas.
ante : chez l'adulte 1 dans la région cervicale, 2 dans la région dorsale , ;) dans la région dorsale inférieure (de la 6e
la région cervicale, 2 dans la région dorsale, ;) dans la région dorsale inférieure (de la 6e à la- 11e ver- tèbre dor
dans la région dorsale inférieure (de la 6e à la- 11e ver- tèbre dorsale ). La partie inférieure de la il° dor- sale et
s der- nières paires lombaires. . L'apophyse épineuse de la 12e dorsale et l'espace sous-jacent répondent aux paires sa
es. Chez l'enfant il faut ajouter : 5 de la 1 ? il la 4e vertèbre dorsale et 4 de la (i° à la 9e vertèbre dor- sale.
milieu des épaules), dans le domaine des 2 ? 5e, 4°, 5e, 6" racines dorsales . Souvent aussi, l'anesthésie envahit égale- men
ras, de ! 'avant-bras et même de la main (8'' racine cervicale et 1 ? dorsale ); elle peut occuper quelquefois le bord radial
re (1er segment lombaire) ; ce segment correspond à la 11e vertèbre dorsale . 2° Syndrome de la queue de cheval. On donne le
tivo-mutrice une lésion de la moelle au niveau de la .1 le vertèbre dorsale . En résumé, nous voyons que si, dans quelques c
peuvent se rencontrer aux différents étages de la moelle cervicale, dorsale , lombaire et sacrée. Pitres, pour déterminer le
e territoire des quatre derniers nerfs cervicaux et du premier nerf dorsal . La névralgie atteint les rameaux postérieurs d
ntercostale occupe le territoire des branches antérieures des nerfs dorsaux . Quand les branches postérieures de ces nerfs son
ses), les tumeurs intra-rachi- diennes, les affections de la moelle dorsale , certaines cardiopathies. Chantemesse et Le Noi
ont les localisations suivantes : Réflexe é[iâaslriyue, 9° segment dorsal .. abdominal, -Il' segment dorsal. crémastérie
Réflexe é[iâaslriyue, 9° segment dorsal.. abdominal, -Il' segment dorsal . crémastérien, 1er segment lombaire. plantair
restant horizontal, sur une planche par exemple, élans le décubitus dorsal , les bras inclinés sur la poitrine, le malade f
évidence, il faut demander au malade de se placer dans le décubitus dorsal , sur un plan dur de préférence, il faut lui dem
orres- pondante : z1 dans la région cervicale; 2 dans la région dorsale supérieure ; 5 dans la région dorsale inférieur
cervicale; 2 dans la région dorsale supérieure ; 5 dans la région dorsale inférieure (6 ? H" vertèbre). La partie inférie
orsale inférieure (6 ? H" vertèbre). La partie inférieure de la 11° dorsale et l'espace interépineux sous-jacent répondent
ent aux 5 dernières paires lombaires. L'apophyse épineuse de la 12° dorsale et l'espace sous-jacent répon- dent aux paires
ns sont un peu différentes, et il faut ajouter : 5 de la 1 re la 4" dorsale : 4 de la 6" à la 9e dorsale. » Au-dessous de
il faut ajouter : 5 de la 1 re la 4" dorsale : 4 de la 6" à la 9e dorsale . » Au-dessous de la deuxième vertèbre lombaire,
upérieure de la paraplégie anesthésique correspond a la 1 le racine dorsale , on comptera 11 =' - 8, c'est-à- dire que le se
dire que le segment d'émergence radiculo-médullaire de la Mû racine dorsale sera placé au niveau de la se apophyse vertébrale
Mû racine dorsale sera placé au niveau de la se apophyse vertébrale dorsale . » Il est évident que les deux façons de calcul
pressions du renflement, cervical (5 ? 6", 7e, 8'' cervicale et 1"' dorsale ). On peut observer soit une tétraplégie à évoluti
e supérieure ou inférieure. L'atteinte du centre cilio-spinal (l r" dorsale ) se traduira en cas d'excitation par de la mydr
ment de la fente palpébrale et l'aplatissement de la joue. Syndrome dorsal . La moelle dorsale s'étend de la 2'' à la 9e ver-
alpébrale et l'aplatissement de la joue. Syndrome dorsal. La moelle dorsale s'étend de la 2'' à la 9e ver- tèbre dorsale et
rome dorsal. La moelle dorsale s'étend de la 2'' à la 9e ver- tèbre dorsale et répond aux paires dorsales, l'exception de la
e s'étend de la 2'' à la 9e ver- tèbre dorsale et répond aux paires dorsales , l'exception de la 1"\ Les symptômes paraplégiq
et se trouve à la hauteur du corps des '10", 11e et -12" vertèbres dorsales . La paraplégie que ses compressions déter- mine
ce mouvement. En effet, les puissants adducteurs du bras, le grand dorsal , le grand rond, le grand pectoral, ont tendance à
des deux dernières phalanges. Des bandelettes unissant sur la face dorsale les tendons de l'extenseur empêchent l'extensio
on du deuxième interosseux palmaire et celle du premier interosseux dorsal ne peuvent s'exercer sans fléchir la première pha
, ainsi qu'il t'a vu plusieurs fois, le muscle envoie une expansion dorsale au tendon extenseur. Opposant du petit doigt. I
existe des muscles interosseux palmaires et des muscles interosseux dorsaux . Chaque espace interrnéta- carpien contient deu
néta- carpien contient deux interosseux palmaires et un interosseux dorsal , sauf, toutefois, le premier espace dépourvu d'
eulement, car la moitié postérieure donne naissance à l'interosseux dorsal correspondant. Le tendon du muscle vient se ter
e donne nais- sance à aucun interosseux palmaire. Les interosseux dorsaux s'insèrent sur les deux faces métacarpiennes qu
aux se fusionne avec celte longue portion. Le premier interosseux dorsal s'insère sur la face cubitale (partielle- ment)
il se rend au tendon extenseur de l'index. Le second inter- osseux dorsal s'insère sur la face cubitale (partiellement) du
il se rend au tendon extenseur du médius. Le troisième interosseux dorsal s'insère sur la face radiale (partiellement) du
il se rend au tendon extenseur du médius. Le quatrième interosseux dorsal s'insère sur la face radiale (partiellement) du
nnervation. -La branche profonde du cubital innerve les interosseux dorsaux et palmaires. Physiologie. Les muscles inteross
a main passant par le médius, ils sont adducteurs : les interosseux dorsaux écartent les doigts de l'axe de la main, ils sont
éiforme et une expansion plus mince au pre- mier muscle interosseux dorsal . Innervation. Nerf musculo-cutané, branche de b
a pour con- séquence un pied bot valgus. MUSCLES DU PIED Région dorsale . Pédieux. - Insertions. Le pédieux ou court ext
e partage en deux grou- pes de libres, les unes passent sur le côté dorsal de l'articulation méta- lal'so-phalangi('I111&l
. Il existe au pied sept muscles inter- osseux : quatre interosseux dorsaux et trois interosseux plantaires. Les trois inte
nt, pas de muscles interos- seux plantaires. Les quatre interosseux dorsaux sont situés dans les quatre premiers espaces. L
ont situés dans les quatre premiers espaces. Le premier interosseux dorsal s'insère sur la face externe (partiellement) du
la pre- mière phalange du deuxième orteil. Le deuxième interosseux dorsal s'in- sère sur la face interne (partiellement)
oisième interos- [G GUILLAIN.] 550 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. seux dorsal s'insère sur la face interne (partiellement) du q
la première phalange du troisième orteil. Le quatrième interosseux dorsal s'insère sur la lace interne (par- t.icllcrncnt
rapprochent les trois derniers orteils du deuxième, les interosseux dorsaux sont abducteurs et écartent les troisième et. q
portion oblique ascendante nait sur le corps des 2''et 5''vertèbres dorsales , se dirige, en haut et en dehors et s'insère pa
verticale qui s'insèrent sur le corps des trois premières vertèbres dorsales , sur le corps des trois ou quatre dernières cer
rieure du petit oblique) qui se fusionne avec l'aponévrose du grand dorsal et qui relie le muscle aux apophyses épineuses
sère en haut sur la face latérale du corps de la douzième vertèbre dorsale et des quatre premières lombaires, sur les disq
e petit psoas s'insère en haut sur le corps de la première vertèbre dorsale , sur le corps de la première vertè- bre lombair
ses de la septième cervicale et des dix ou onze premières vertèbres dorsales et sur les ligaments surépineux correspondants.
moplate est aussi une grande gêne pour l'élévation du bras. Grand dorsal . Insertions. Le grand dorsal s'insère sur les a
e gêne pour l'élévation du bras. Grand dorsal. Insertions. Le grand dorsal s'insère sur les apophyses épineuses des six ou
ère sur les apophyses épineuses des six ou sept dernières vertèbres dorsales et des cinq vertèbres lombaires, ainsi que sur
ou quatre dernières cotes. Le tendon d'insertion supérieur du grand dorsal se lise, en avant de celui du grand rond, dans
dans le fond de la coulisse bicipitale. Innervation. Nerf du grand dorsal , branche du plexus brachial, venant du cinquièm
quième nerf cervical, parfois du circonflexe. Physiologie. Le grand dorsal peul prendre son point fixe sur la colonne vert
ne vertébrale et que le bras est élevé et écarté du tronc, le grand dorsal l'abaisse, le l'approche du tronc et l'amène en a
st placé dans une direction paral- lèle il 1 axe du tronc, le grand dorsal agit principalement sur l'omoplate, le tiers su
et inclinent légèrement le tronc de leur côté. ,L Quand le grand dorsal prend son point fixe sur l'humérus, il peut sou-
de grimper ou les côtes seules dans l'inspiration. Quand le grand dorsal est paralysé, l'épaule ne peut se porter en arriè
épineuses de la septième cervicale et des quatre ou cinq premières dorsales . Les faisceaux du muscle se dirigent en bas et
s peuvent encore se rappro- cher de la ligne médiane grâce au grand dorsal (Haillon). Angulaire de l'omoplate. Insertions.
apophyses épineuses de la septième cervicale et des trois premières dorsales . En dehors il s'insère par quatre digitations s
r s'insère sur les apophyses épineuses des deux dernières vertèbres dorsales et des deux ou trois premières vertèbres lombai
tercostaux. D'après Poirier il recevrait un rameau du nerf du grand dorsal . Physiologie. Le petit dentelé postérieur et in
épineuses de la septième cervicale el des quatre ou cinq premières dorsales ainsi que sur les ligaments t[ltt1'i11111e11\ c
a septième cervicale et des quatre, cinq ou six premières vertèbres dorsales , sur la face interne des apophyses articulaires
sur l'apophyse épineuse de la septième cervicale et de la première dorsale . Dans diflérents points d'insertion les faiscea
dernières ver- tèbres cervicales et souvent de la première vertèbre dorsale , en haut sur le bord postérieur et le sommet de
ou s'insère en bas sur les apophyses transverses des cinq premières dorsales par des digitations distinctes qui se fusionnent
hes postérieures des derniers nerfs cervicaux et des premiers nerfs dorsaux . Physiologie. Le transversaire du cou étend la
RTÉBRALES OU MUSCLES SPINAUX lJr Masse commune, ilio-costal, long dorsal , transver- saire épineux. Insertions. Dans les
ervicale : le muscle ilio-costal ou scccro-lombaire, le muscle long dorsal et le muscle transversaire épineux. L'ilio-costal
t le muscle transversaire épineux. L'ilio-costal en dehors, le long dorsal en dedans sont sur un plan superficiel, le transv
rois muscles des gouttières vertébrales ne s'observe qu'à la région dorsale et à la partie supérieure de la région lombaire
en hauteur du sommet du sacrum à la partie supérieure de la région dorsale ; de sa face antérieure naissent la plupart des
s faisceaux de renforcement qui l'empêchent de s'épuiser. Le long dorsal se détache des apophyses épineuses des vertèbres
i- nale. Il s'élève verticalement en haut, parcourt toute la région dorsale et s'arrête à la région cervicale sans y pénétr
ité, faisceau costal. A la région lombaire les inser- tions du long dorsal se modifient : les faisceaux épineux font défaut;
ercule apophysaire, homologue de l'apophyse transverse de la région dorsale : les faisceaux costaux s'insèrent au sommet de
sous- multifide. Il existe deux demi-épineux, l'un pour la région dorsale , l'autre pour la région cervicale. Le demi-épin
et et le bord supérieur des apophyses transverses des six dernières dorsales et venant se terminer sur le côté des apophyses
e terminer sur le côté des apophyses épineuses des quatre premières dorsales et des deux der- nières cervicales. Le demi-épi
TRONC ET DU COU. 577 apophyses transverses des premières vertèbres dorsales et se portent par un trajet oblique en haut et
ules apophysaires homologues des apophyses Iransverses, à la région dorsale sur la face postérieure des apophyses transverses
uée au-dessus. D'après Theile ces muscles n'existent qu'a la région dorsale , il n'en décrit que onze. Hughes a signalé l'ex
sceaux musculaires ne sont véritable- ment rotateurs qu à la région dorsale et à la région cervicale. Innervation. Les musc
qui se contractent. Les faisceaux costaux et transversales du long dorsal , obliques en haut et en dehors, portent la face
dedans, portent la face du côté opposé. La paralysie des extenseurs dorsaux et cervicaux produit une cyphose dorso-cervical
déplace- ment la tète s'étend sur le cou, il se produit une lordose dorsale et une exagération légère de la courbure dorso-
variété, grâce à un mouve- ment de bascule du bassin, les apophyses dorsales les plus postérieures sont ramenées suffisammen
t de lui. La paralysie unilatérale des muscles spinaux lombaires et dorsaux a pour conséquence une scoliose paralytique qu'
e qui lui est contiguë. Ils paraissent être constants aux vertèbres dorsales inférieures, mais font presque toujours défaut
érieures, mais font presque toujours défaut au niveau des vertèbres dorsales supérieures. Les intertransver- saires des lomb
ubercule mamillaire il l'autre. Innervation. Nerfs cervicaux, nerfs dorsaux , nerfs lombaires. Physiologie. Les muscles inte
neux du dos est formé par les faisceaux internes ou épineux du long dorsal , il se termine en haut par une série de faiscea
sur le sommet des apophyses épineuses des huit premières vertèbres dorsales . L'épineux de la nuque s'insère en MUSCLES PEAU
euses des deux dernières vertèbres cervicales et des deux premières dorsales , en haut soit sur l'apophyse épineuse de l'axis
E DES PARALYSIES D'ORIGIt' R : DICULr'IRL.. exemple les interosseux dorsaux et palmaires de la main qui reçoivent leurs ner
almaires de la main qui reçoivent leurs nerfs de la première racine dorsale . - .' .. Des recherches des physiologistes, il
six observations de Reid. C désigne les vertèbres cervicales, D les dorsales et L les lombaires. TOPOGRAPHIE RADICULAIRE.. 6
xième à .la onzième vertèbre). La partie inférieure de la onzième dorsale et l'espace inter-épineux sous-jacent répondent
ois dernières paires lomhaires-; l'apophyse épineuse de la douzième dorsale et l'espace sous-jacent répondent aux paires
èrent un peu, il faut ajouter trois de la première à la quatrième dorsale , quatre de la sixième à la neuvième dorsale.
emière à la quatrième dorsale, quatre de la sixième à la neuvième dorsale . Il est quelquefois assez difficile chez les
ond à l'apophyse transverse de la quatrième lombaire. A la région dorsale ,- il n'existe -pas de points de repère pour les
uscles sont également atteints, et, parmi ces der- niers : le grand dorsal , le grand rond, le sous-épineux, le grand pectora
le malade de porter la main à la bouche, de l'amener vers la région dorsale , impos- sibilité pour lui de s'habiller seul. O
es parétiques dans les . muscles grand dentelé, sous-épineux, grand dorsal , grand rond, tout mouvement sera presque imposs
de conjugaison et intéresse le rameau communiquant du premier nerf dorsal , par l'étude de la para- lysie des branches col
Charcot, concernant une paralysie radiculaire de la première paire dorsale , l'anesthésie présentait la dissociation syring
uvent, mais si, comme nous l'avons montré, la lésion de la première dorsale se fait sur la pre- mière côte, ces troubles fe
ympathique s'explique bien, puisque la lésion de la première racine dorsale dans les paralysies traumatiques se l'ait, ains
très fréquents; il faut signaler toutefois l'existence de la tumeur dorsale du poignet que l'on observe principalement dans
et due il une synovite chronique. Charcot. considérait celte tumeur dorsale du poignet comme un véritable, trouble trophiqu
ur le carpe des ten- dons maintenus longtemps en flexion. La tumeur dorsale du carpe est une lésion bénigne qui rétrocède c
moitié interne de l'annulaire, puis il la partie interne de la face dorsale de la main, il la face dorsale de l'annulaire e
puis il la partie interne de la face dorsale de la main, il la face dorsale de l'annulaire et de la première phalange de l'
doigts et moitié externe de la face pal- maire de l'annulaire, face dorsale des deux dernières phalanges de l'index et du m
s par le sciatique poplité externe de faire un mouvement de flexion dorsale du pied, on constate que l'angle formé par cett
on dorsale du pied, on constate que l'angle formé par cette flexion dorsale est plus petit quand le membre inférieur est en
é externe. ET DES NERFS SPINAUX. 655 noncée pour que la flexion dorsale du pied soit rendue impossible quand la jambe e
usculature du mollet n'influence aucunement l'étendue de la flexion dorsale du pied, mais les muscles innervés par le. nerf
lysie du sciatique poplité externe, ceux-ci s'observent sur la face dorsale du pied à l'excep- tion d'une hande interne, pu
scles du bras et le long exten- seur, le grand pectoral et le grand dorsal ; Duchenne a pourtant signalé un cas où tous le
ns vertébrales. Sans parler de la lordose lombaire et de la cyphose dorsale de compen- sation dues à l'atrophie des muscles
x ; elle survient toujours d'emblée sur le grand pectoral, le grand dorsal , les deux tiers inférieurs du trapèze, le rhom-
oral et le trapèze (saul' leur faisceau le petit pectoral, le grand dorsal , le grand dentelé, les rhomboïdes s'atro- phien
nstater l'atro- phie au tronc des masses sacro-lombaires et du long dorsal , aux membres supérieurs des muscles du groupe d
on en avant du moignon de l'épaule, ainsi que l'atro- phie du grand dorsal et des muscles spinaux, fait que les malades se
jambes écartées, les pieds en dehors, lordose lombaire et cyphose dorsale , thorax en retrait et ventre proéminent, démarc
leur bord externe, parfois même sur la partie externe de leur face dorsale (Ganghofner) (') ; les orteils sont en griffe. Le
inférieurs, le rhomboïde et l'angulaire, le grand dentelé, le grand dorsal , le grand- et le petit pectoral. L'omoplate res
e tronc s'incurve, la tète s'incline en avant, il y a de la cyphose dorsale , ou parfois une légère cypho-scoliose, et de la
s parfois elle atteint les pectoraux, les grands dentelés, le grand dorsal , même les muscles périscapulaires : dans ces ca
parfois accessoi- rement les sus et sous-épineux, grand rond, grand dorsal , grand den- telé, grand pectoral, court supinat
ence indirecte, une électrode, large, étant appliquée sur la région dorsale , l'autre, plus étroite, sur le muscle à électrisc
r, le « pied de Friedreich », et une scoliose ou une cypho-scoliose dorsale souvent très accentuée ; ces (roubles sont sans d
arrière, la main peut être renversée alors complètement sur la face dorsale . l'adduction forcée du pouce peut lui permett
e trouble apparaît au niveau des extrémités, tout d'abord à la face dorsale des dernières pha- langes des doigts et des ort
x doigts, avons-nous dit; elle ne dépasse guère en tout cas la face dorsale de la main ou du pied. On l'observe tout particul
base du thorax, aux côtes, vers les omoplates, le long delà colonne dorsale . Parfois, il y a de l'angoisse* des douleurs an
de gliome fusiforme de la substance grise de la moelle (10" segment dorsal au 2" lombaire, région tatero-poste- rieurc). D
ompagnent plutôt de rétention si la lésion est élevée, cervicale ou dorsale supérieure; il y aura plutôt incontinence si el
a saillie du poignet et la saillie des têtes métacarpiennes la face dorsale de la main est souvent concave. Les nouures et
nt les mains. Elle est caractérisée essentiellement par une saillie dorsale des articulations métacarpo-phalangiennes de l'
culation avec le métacarpe; il a une forme en croissant à concavité dorsale , de sorte 1. P. Marie et A. Liini. he rapport d
ne hyperplasie sous- cutanée et d'un processus vaso-moteur, la face dorsale est tuméfiée, comme « potelée », les tendons ex
eu près symétriques, elles envahissent, le reste des mains, la face dorsale s'indure, de petites taches lilas apparaissent
e divisent, comme les pieds-bots, en équines ou palmaires, talus ou dorsales , valgus ou radiales, varns ou cubitales; les va
ités infé- rieures du radius et du cubitus font saillie sur la face dorsale ; le poignet est épaissi, les mouvements sont li
r le dos du poi- gnet apparaît plus ou moins tardivement une tumeur dorsale du carpe. tuméfaction indolente due il un troub
ullaires portant sur l'origine des W paire cer- vicale et )"' paire dorsale (d'où partent la plus grande partie des fibres
ions des racines médullaires portant sur la 8e cervicale et la J "0 dorsale peuvent être une pachyméningite et notamment une
e de prédicateur. Dans toutes les lésions portant sur la 1"e racine dorsale ou la partie inférieure du plexus brachial,, on o
fortement « cambré », creux a sa face plantaire, saillant à sa face dorsale ; les orteils sont en extension dans leur première
ouce. Les espaces interosseux présentent une dépression sur la face dorsale du pied. L'abducteur et, le court fléchisseur d
acé imité de Duplay, Rochard et Uemoulin). Fig. 5. Points de repère dorsaux (tracé imité de Duplay, Rochard et Demoulin). 1
homme grand que chez le petit. Ce dernier l'emporte pour le segment dorsal , et la femme se comporte comme l'individu de fa
emarqua- bles par leur fréquence élevée : ce sont la cypho-scotiose dorsale , la céphalée, et, chez la femme, les troubles d
De plus, la face est absolu- ment indemne et il existe une cyphose dorsale inférieure. On constate soit une lésion cardiaq
es, assez fréquemment, se développent suivant le type des vertèbres dorsales voisines et présentent des rôles accessoires; l
ur l'une des régions suivantes : slernale, cervi- cale postérieure, dorsale , lombaire ou sacrée), de manière que, si l'on d
ndifférente est placée sur l'une des régions suivantes, ster- nale, dorsale , lombaire ou sacrée, il y a avantage à la mainten
l; 29. Muscle angulaire de l'omoplate; 50. Muscle trapèze; 51. Nerf dorsal de l'épaule; 52. nerf axillaire. 53. Nerf du gr
teur du pouce; 10. Court extenseur du pouce; IL Muscles iulerosseux dorsaux (I et II); -12. Triceps brachial (longue portion)
eur du pouce; 19. Adducteur du petit doigt; 20. Muscles interosseux dorsaux (III et IV). 1222 APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICI
ans des myélites aiguës et subaiguës, parfois dans des cas de tabès dorsal . L'augmentation simple de l'excitabilité électr
le vaste externe du triceps, le long supinateur, le 1er interosseux dorsal et l'adducteur du petit doigt; au membre inféri
scles les moins menacés par la contracture, par exemple sur la face dorsale du poignet et de la partie inférieure de l'avan
0 centimètres carrés, constituant l'anode, est placée sur la région dorsale ; la cathode est représentée par une électrode en
niveau de la région dorso- lombaire et une large anode il la région dorsale supérieure, ou encore sur la paroi abdominale.
nt continu seulement. Une large anode, sera appliquée sur la région dorsale supé- rieure ou de préférence sur la nuque; la
t dans quelques cas les résultats se sont montrés favorables. Tabes dorsal . Les lésions du tabes portent surtout sur le syst
les uns, "> à 10 minutes; plus prolongée pour d'autres, nn TARES DORSAL . ] 3271 quart d'heure, une demi-heure ou même d
vertébrale, au niveau de la région dorso-lombaire, ou de la légion dorsale , ou encore de la région cervico-dorsale. L'autre
[E. HUET.] 1524 1 : ;LICTHOTIIIIL\PIE, électrode sur la région dorsale ou dorso-tondtaire et l'autre électrode sur la
ajet du pnemuo-gastrique gauche, et l'autre électrode sur la région dorsale ou sur la région épigastrique, courant de 5 10
ar la friction et les étincelles de haute fréquence sur les régions dorsale et lombaire. On pourra employer aussi les courant
ine conseillent de choisir comme point de repère la première racine dorsale . qui est facile à reconnaître il son volume et
st facile à reconnaître il son volume et à ce que la seconde racine dorsale qui lui succède est très grêle. Celte racine sera
éviter toute erreur, « on peut aller à la recherche du premier nerf dorsal dans le « creux sus-claviculaire, au niveau du
e traction, on. s'assure aisément si la racine « étiquetée première dorsale dans le canal rachidien correspond bien « au pr
e dorsale dans le canal rachidien correspond bien « au premier nerf dorsal . » Coupes macroscopiques de l'encéphale et de l
. Doigts kippocratiques, z1020. Dolichosténomélie, loti7, 1045. Dorsal (Syndrome des lésions médul- laires) 515.. Do
hysiologie, 575, 574. - dentelé. Innervation, physiologie, 504. - dorsal . Innervation, physiologie, 571. - droit antérie
lisme, 1090. Masse commune des muscles spinaux. lliocosizil, long dorsal , transversale épi- neux. Innervation, physiolog
en hauteur, 515. Syndrome cert·ical srrpér-iew·, 51-k. - cervico- dorsal ou brachial-dorsal. lombaire. INDEX ALPHABÉTIQU
25 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
mains ; la colonne vertébrale, organe médian, présente une scoliose dorsale , sans incurvation latérale. La photographie et
phiés et la peau se plisse à leur niveau ; mais une grosse scoliose dorsale s'oppose au contraste relaté plus haut, lorsque l
qui commence au ni- 1 veau de la 7e vertèbre cervicale ou de la 1" dorsale ; son maximum est au niveau de la 5e vertèbre d
e ou de la 1" dorsale ; son maximum est au niveau de la 5e vertèbre dorsale , elle se termine avec les dernières vertèbres J
termine avec les dernières vertèbres J Ii KLIPPEL ET PIERRE-WEIL dorsales . Elle revêt donc complètement le type classique d
soudées, car aucun mouvement ne peut être provoqué dans la colonne dorsale . Ni les omo- plates, ni les clavicules, ni le s
médiane. Les mamelles sont peu développées. Si on examine la face dorsale du thorax, on constate une énorme scoliose dont
Cette scoliose commence à s'accen- tuer au niveau de la 4e vertèbre dorsale et se continue jusqu'au commence- xxn 3 34 PA
ANTÉRIEURE CHRONIQUE 47 La colonne vertébrale présente une cyphose dorsale tl ès prononcée et l'on voit nettement la saill
n CHC). A gauche les réactions sont meilleures. Les muscles grand dorsal , grand et petit dentelé sont peu excitables sans
té pris chez notre malade et plus pro- prement le trapèze, le grand dorsal , les dentelés, le rhomboïde,etc. ; mais il faut
e radiculaire de l'atrophie débute par la VIIIe cervicale et la Ire dorsale et gagne ensuite les muscles du bras, atteint d'a
nous avons noté une lordose cervicale exagérée, une cypho-scoliose dorsale prononcée et une remarquable lordose lombaire de
elle-même,eteu(iu abandonne le, papier. Si le courant agita la face dorsale de l'avant-bras, au niveau des points moteurs d
ent la main en dedans, tout en la renversant légèrement sur le côté dorsal , il arrive à écrire correctement et longtemps,
formée par la rencontre de lignes obliques au niveau de la onzième dorsale , les deux lignes lombaires et thoracique se ren
ne cyphose volumineuse, arrondie, régulière, qui part de la sixième dorsale pour aboutir au pli fessier, déterminant latérale
éristique avec quelques points d'induration. Le trapèze et le grand dorsal sont très amincis. La musculature des parois ab
ête antérieure du tibia se prolonge insensible- ment avec le rebord dorsal du pied. Troubles moteurs. La mobilisation des
lade présente une silhouette altérée il cause de la cypho- scoliose dorsale qui est très prononcée. On voit que les deux omop
ononcée. - Janvier 1909.- Même état mental ; l'ulcération delà face dorsale du pied droit est en voie de guérison. La circo
ation, une petite balle de caoutchouc creuse est placée sur la face dorsale des doigts. Le malade projette la balle en l'ai
in. Renouvelant l'exercice, il laisse retomber la balle sur la face dorsale des doigts entre l'index et le médius, ou entre
de 5 francs sera utilisée de la même façon. On la place sur la face dorsale des doigts, on la projette en l'air, on la laisse
ts, moyennement fléchis et en adduction, s'appuieront par leur face dorsale sur la feuille de papier, le pouce mis sur le p
inaires; Kouindjy recommande même de s'exercer à jouer avec la face dorsale des doigts, la main étant renversée en supination
herches microscopiques ont porté sur la moelle cervicale, la moelle dorsale et la moelle lombaire ; sur ces ganglions rachi
res n'étaient pas infiltrées de leucocytes. Les segments cervicaux, dorsaux et les premiers segments lombaires paraissaient
me celle que nous avons signalée au niveau des segments cervical et dorsal , mais il la chro- molyse typique, intense, tell
ière, présentent un léger infil- trat lymphocylique, dans la région dorsale moyenne, l'un des feuillets de la cloison média
ité des lésions, etde leur diffusion. A divers niveaux de la région dorsale , le cordon anté- rieur présente, de chaque côté
tébrale. L'incompétence musculaire est limitée surtout à la flexion dorsale du pied droit et des orteils du même pied ; mais
embre inférieur droit, particulièrement une paralysie de ta flexion dorsale du pied. Cependant elle pouvait marcher assez bie
u droit, la flexion de la cuisse droite sur le bassin et la flexion dorsale du pied gauche avec moins de force que de l'autre
lever, on peut constater une parésie assez considérable des muscles dorsaux , extenseurs du tronc. En palpant les muscles ab
depuis la région sacrée jusqu'aux segments supérieurs de la moelle dorsale , et qui aurait atteint les cornes postérieures
e des faisceaux pyra- midaux dans la partie supérieure de la moelle dorsale . Presque en même temps que le passage de la par
teint les cordons postérieurs à la partie supé- rieure de la moelle dorsale . Cette conclusion est évidemment indépendante d
re syphilitique ou autre) dans les segments supérieurs de la moelle dorsale . Si nous acceptons ce dia- gnostic, il faut exp
par une myélomalacie limi- tée aux segments supérieurs de la moelle dorsale , on ne peut en outre s'empêcher d'être frappé d
tre une myélomalacie ou myélite à la partie supérieure de la moelle dorsale , mais nous ne pouvons dire avec certitude si ce
ée et l'enfant se trouve mainte- nant quelquefois dans le décubitus dorsal . Le 27 janvier, la raideur de la nuque a beauco
s le dé- cubitus latéral et ne veut pas se mettre dans la décubitus dorsal . Toutefois, si on la fait venir dans le décubit
décubitus dorsal. Toutefois, si on la fait venir dans le décubitus dorsal ,on constate un opistothonos, pas considé- rable
raire, si l'on essaie de fléchir la tête en avant dans le décubitus dorsal , une certaine raideur de la nuque apparaît. Cet
en arrière de la colonne vertébrale est diminuée dans le décubitus dorsal au plus haut degré possible et, par suite, un m
avec les genoux extendus ne peu- vent être élevés dans le décubitus dorsal qu'à un angle de 15 degrés. Le 7 mai, les sympt
rande par- tie disparus. La malade peut se mettre dans le décubitus dorsal sans se plaindre. Toutefois elle ne peut s'asse
tude de la moelle a été faite sur des fragments de régions cervicale, dorsale et lombaire par les mêmes méthodes que celles e
Colonne vertébrale. L'examen du rachis montre une cyphose cervico- dorsale très accentuée avec nette scoliose dorsale droite
tre une cyphose cervico- dorsale très accentuée avec nette scoliose dorsale droite. Dans le segment lom- baire on observe u
phiée; il présente au niveau de la 1 Il, et (le la '12° ver- tèbres dorsales un naevus pigmenté à droite de la ligne médiane;
eur au naevus postérieur. Tous deux répondent aux 9e et 10e racines dorsales ainsi qu'on s'en rend nettement compte en rappr
o-lombaire.Les naevi sont situés sur le territoire de la 10e racine dorsale : c'est à l'obliquité de cette racine qu'est dû c
à 5 travers de doigt environ de l'extrémité inférieure delà colonne dorsale et se dirige vers le précédent. Si on rapproche l
deux naevi intéressent le territoire de la 10e et de la Ha racines dorsales , empiétant légèrement en avant, un peu plus lon
n peu plus longuement en arrière sur le territoire de, la 9e racine dorsale . Observation 5. Loig..., âgée de 40ans, profe
tant en avant qu'en arrière le territoire des 10e, Ile, 12e racines dorsales gauches (fig. 17,18,19,20). OBSERVATION 6.
tant en avant qu'en arrière, aux territoires des te, 3e, 4p racines dorsales ? ` ? Le mouvement de torsion que présente le n
au niveau du membre su- périeur, et des lie, 2', 3e et 1.11 racines dorsales auxquelles le naevus cor- respond au' niveau du
viron sur la moelle, au niveau de la région cervicale inférieure et dorsale supérieure ; elle est marquée en ces points par
ieure de la région cervicale et à la partie supérieure de la région dorsale , elle est en quelque rapport avec la topographi
courbure postérieure, surtout de la portion supérieure de la région dorsale . Les muscles du cou et du corps sont atro- phié
bilité est émoussée au niveau de la division des nerfs de la région dorsale et de ceux de la région inférieure du cou ; on co
nstate une atrophie particulièrement intense au niveau de la région dorsale . Quelques racines postérieures de la région dorsa
au de la région dorsale. Quelques racines postérieures de la région dorsale supérieure ne renferment plus du tout de fibres
rée par l'ébullition montre une cyphose très mar- quée de la région dorsale formant presque une courbe régulière d'un cercle.
on voit qu'elle forme uue légère sco- liose à gauche dans la région dorsale . Notre pièce a conservé les vertèbres lom- bair
re pièce a conservé les vertèbres lom- baires, toutes les vertèbres dorsales , trois vertèbres et demie de la région sacrée e
ionnées les unes avec les autres et aussi avec la première vertèbre dorsale ; elles forment en avant une surface lisse. O
bre se retrouve entre la septième vertèbre cervicale et la première dorsale . Les vertèbres cervicales sont atrophiées, dimi
onfondues toutes ensemble, paraissent constituer un seul os. Région dorsale . La première vertèbre dorsale fait corps avec la
aissent constituer un seul os. Région dorsale. La première vertèbre dorsale fait corps avec la dernière vertèbre cervicale.
térées latéralement par des épaississements osseux. Les vertè- bres dorsales supérieures sont atrophiées, diminuées de volume,
paraissent triangulaires et forment une scoliose. Quant à la région dorsale , les fentes intervertébrales n'existent plus ici
présence des mêmes excroissances sur les quatre dernières vertèbres dorsales . Les vertèbres sacrées dont nous ne possédons q
ième côte est abaissée. Les épines transversales des sept vertèbres dorsales supérieures ne sont pas fusionnées, bien qu'elles
i que son adhérence avec les ganglions intervertébraux. Les racines dorsales supérieures sont grisâtres ; au microscope, on
re une inflammation chronique de la pie-mère au niveau de la région dorsale de la moelle épinière. D'après Bechterew, les l
ma- ladie de Bechterew dans lesquels manque l'atrophie des muscles dorsaux . N'ayant pas trouvé d'atrophie musculaire chez
ion complète; cette fusion n'était que partielle pour les vertèbres dorsales . Il est donc difficile d'admettre qu'une ossifica
vertèbres sont atrophiés et leur forme est modifiée : les vertèbres dorsales dessinent un triangle au lieu d'un demi- cercle
éninges et des racines et peut-être un état rhumatisant des muscles dorsaux . En tout cas, l'affection a eu au début une évo
e de la masse ankylosée. Il n'en est pas de même pour les vertèbres dorsales dont la fusion est due réellement à l'ossificat
ies nerveuses de la Policlinique générale de Turin, un cas de tabes dorsal où l'on notait deux faits assez rares dans cett
ardeau, et pendant lequel il avait perçu un craquement dans l'épine dorsale , au niveau de la région lombaire. La sensation qu
act, douleur, chaud et froid, vi- brations du diapason) sur la face dorsale aussi bien que sur la face palmaire des deux ma
d. Au diapason : sensibilité bien conservée tout le long de l'épine dorsale jusqu'aux vertèbres lombaires à partir desquelles
e sur le bassin. Angle saillant en arrière et à gauche : la colonne dorsale est inclinée de 45 degrés sur l'horizontale pas
amètres des corps vertébraux. Bosselures et rugosités des vertèbres dorsales et des trois dernières lombaires. Ecrasement de l
poreux » (d'après Abadie). (1) FRANK, lVirGelerkrankun7en lei tabès dorsales . Wien. klin. Wochensch., 1904, n" 34. sur un ca
ite compre- nant les trois premières lombaires et les six dernières dorsales . Troisième courbure à convexité tournée à gauch
ème courbure à convexité tournée à gauche, formée par les premières dorsales et les dernières cervicales. Déviation angulair
ns et de cannelures. Exostoses nombreuses surtout sur les dernières dorsales et la première lombaire. Faces articulaires dép
rant la stabilité des portions vertébrales restantes. « Vertèbres dorsales et cervicales peu altérées dans leurs formes. Ce-
se présenter une colonne vertébrale, où, consécutivement à un tabes dorsal , se seraient déclarées des ostéoarthropathies c
ues d'une ostéo-arthropathie vertébrale sont consécutifs à un tabes dorsal . Je n'ai pu trouver que peu de chose, à ce suje
arsiens. Le pied, plat sur sa face inférieure, présente sur la face dorsale des points de néoformation osseuse qui semblent s
n une masse unique, occupant dans le sens transversal toute la face dorsale du pied, dans le sens antéro-postérieur, l'espa
quent l'inclination caractéristique de la tête en avant, la cyphose dorsale et le pli transversal de l'abdomen qui ont porté
la douleur quand on exerce une pression sur les premières vertèbres dorsales , mais non sur les vertèbres cer- vicales. Quand
et l'avant-bras du même côté et trois petites étoi- les sur la face dorsale du poignet, signe de reconnaissance pour les affi
rès l'intensité qu'elle prend dans la partie interne. A la région dorsale du noyau dentelé droit, il existe un petit foyer
êtant à quelque distance de la périphérie de la moelle. A la région dorsale la zone de dégénération est triangulaire à somm
égénération est triangulaire à sommet externe ; au niveau des régions dorsale inférieure, lombaire, et sacrée, elle occupe la
sation que tout tourne autour de lui. Quand il passe du décubitus dorsal dans la position assise, il présente très manif
culature est également très réduite. Il reste toujours en décubitus dorsal , les membres inférieurs en flexion. On constate
le malade ne peut pas ou ne veut pas se soulever seul du décubitus dorsal . Il a des troubles de diadococinésie aux membre
33 20 février 1908. Le malade garde l'attitude suivante : décubitus dorsal , les membres inférieurs en flexion et croisés.
une difformité aux pieds consistant en un pied-bot avec rétraction dorsale des doigts ; cette maladie n'avait pas, il semble
mbe. Il ne peut pas mouvoir les pieds (excepté une faible extension dorsale ). Il ne peut pas mouvoir les orteils. La force
nté, mais sans entraîner de paralysie complète, sinon de la flexion dorsale des pieds. Le signe de Lasègue existe des deux
pieds. Le signe de Lasègue existe des deux côtés (dans le décubitus dorsal les membres inférieurs étendus ne peuvent être
tout les muscles iuterosseux des mains et les muscles de la flexion dorsale des pieds sont encore très faibles. e 668 PET
ire l'extension et la flexion des genoux ; mais dans le dé- cubitus dorsal si l'on fait fléchir un peu les genonx et si l'on
faut em- ployer assez de force. Quand il va reprendre le décubitus dorsal , il peut au début faire le mouvement lentement
es de certaines vertèbres. Ainsi la 7° vertèbre cervicale et la ire dorsale ont des apophyses épineuses d'une longueur de 3
épineuses d'une longueur de 3 centimètres alors que celle de la 2' dorsale n'a que 1 centimètre. La 10e dorsale offre une
ètres alors que celle de la 2' dorsale n'a que 1 centimètre. La 10e dorsale offre une apophyse épineuse d'une longueur de 2 c
ous avons en vue l'atrophie est au maximum au niveau du 2e métamère dorsal ; elle porte, oulre l'appendice ventrolatéral,
, oulre l'appendice ventrolatéral, à la fois sur l'appendice médio- dorsal (puisque l'apophyse épineuse mesure seulement 1 c
ut par leurs sternèbres. Plus bas au niveau des dernières vertèbres dorsales et des vertèbres lombaires, il y a encore des t
sieurs systèmes ver- tébraux, avec maximum sur le deuxième métamère dorsal . Cette coexis. tence était digne d'être remarqu
26 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
xe où prennent contact le sinus oral, l'intestin cervical, la corde dorsale et les proto-vertèbres caudales. Si nous passon
racines (fig. 3) ; au delà (fig. 4 et 5) dans le reste de la moelle dorsale et le renflement lombaire, on ne trouve aucune
on médian postérieur, un champ ovale, visible jusque dans la moelle dorsale inférieure. Nous n'insistons pas davantage sur
RVICALE 7 : 3 descendante du trijumeau ; l'autre, plexus collatéral dorsal , passe derrière cette racine du trijumeau et se
us en arrière, un faisceau spino-vesti- bulaire, distinct du plexus dorsal et contournant la face postérieure du corps res
rme) qu'ils se détachent. D'après nos coupes, le faisceau ou plexus dorsal aboutit à la substance grise, au-dessus des noy
ortement dans la région rachi- dienne, vers les 9e ou 10* vertèbres dorsales . Les douleurs avaient un peu le caractère fulgu
s ou à succession très rapprochée, exten- sion des orteils, flexion dorsale du pied, flexion de la jambe et ascension du ge
marque que la moelle,au niveau de la partie supérieure de la région dorsale et sur une faible hauteur, est légèrement déviée
veloppée sur le trajet de la racine antérieure de la première paire dorsale gauche, comprime la moelle (Voy. PI. XXII). La
BABINSKI 85 1° MOELLE ET racines au niveau DE la compression. 1° dorsale (Pl. XXIII). Le contour de la moelle u'est pas ré
on ne voit aucune lumière correspondant au canal épendymaire. 3° dorsale (PI. XXIII). Les lésions de ce segment sont tout
he est t nettement moins volumineuse que la droite. Le 3e segment dorsal ne porte pas de dépression nette au niveau de la
2° MOELLE ET racines au-dessous DE la COMPRESSION (pal. XXIV). 4° dorsale . Les altérations des cordons postérieurs, les seu
ne de Clarke, comme sur la plupart des coupes des 2e et 36 segments dorsaux sont plus nombreuses à droite qu'à gauche et quel
s à droite qu'à gauche et quel- quefois absentes de ce côté. ' Se dorsale . Les différents éléments de la substance blanche
d'entrée sont atteintes pour la plupart d'al- tération nette. 6e dorsale . A ce niveau l'état histologique de la moelle cha
l cet état d'hy- pertrophie sans doute relative. Sur les 7e et 88 dorsales , et les segments sous.jacents (PI. XXV) on re-
mineuses à droite qu'à gauche jusqu'au niveau des derniers segments dorsaux ; quelques faisceaux d'un petit nombre de racin
substance grise ont gardé leur état normal. Sur le premier segment dorsal , on note une dégénération légère des cor- dons
leur physionomie se modifient sur les coupes de la première racine dorsale à mesure qu'on approche de la tu- meur dont nou
rofibrome développé sur le trajet de la racine antérieure de la ire dorsale gauche. 2° Une hémiatrophie légère de la moitié
antérieur à partir du niveau de la compression jusqu'aux dernières dorsales . 3° L'absence presque absolument complète de dé
une douleur à l'angle des muscles scapulaires au point où le grand dorsal est attaché. - - La malade perdit courage.
nt en varus équin, le varus étant plus accentué que Péquin; la face dorsale est très convexe, la tête de l'aslragale faisant
Actuellement ce malade présente une énorme cyphoscoliose cervico- dorsale avec projection extrêmement marquée de la pointe
t la majeure partie du tiers antérieur de la couche péri-capsulaire dorsale ou supérieure et entrent également dans la cons
edans et détermine une décoloration appréciable de toute la capsule dorsale ou supé- rieure du noyau rouge. En même temps o
érieure du noyau rouge où elle atteint surtout les zones marginales dorsales et dorso-médiane, mais on note également que la
so-médiane, mais on note également que la dégénérescence de la zone dorsale s'étend légèrement en bas et en dehors jusque d
'il existe une dégénérescence très manifeste des zones mar- ginales dorsale et dorso-médiane de ce noyau. La zone ventro-lalé
capsule frontale du noyau rouge est parfaitement saine. La capsule dorsale du corps de Luys (faisceau lenticulaire de Forel)
, et on voit très nettement qu'elle s'épuise au niveau de ses zones dorsale , dorso-médiane et ventro-laté- rale. On note un
coupes prises plus en avant, la décoloration des zones mar- ginales dorsale et ventru-latérale du noyau rouge est encore nett
de moins en moins intense. Par contre la raréfaction de la capsule dorsale de ce noyau persiste ainsi qu'un certain degré de
ule du noyau rouge et une raréfaction moins accentuée de sa capsule dorsale . La dégénéres- cence partielle du corps du trig
nes marginales dorso-latérale et dorso-médiane ainsi que la capsule dorsale ou supérieure. On remarque encore la dégénéres-
du noyau rouge et une dégénérescence assez accentuée de la capsule dorsale ou supérieure (faisceau lenticulaire de Forel) du
en particulier la zone marginale grise dorso-latérale et la capsule dorsale du noyau rouge, mais respecte à cet endroit le
ment plus accentuée toutefois au niveau des zones marginales grises dorsale et dorso-médiane. La deuxième coupe (Fig. 6) tr
ne dégénérescence très marquée, laquelle atteint surtout la capsule dorsale et la zone marginale grise dorso-latérale, et, à
en dehors du noyau rouge et au-dessus du corps de Luys. La capsule dorsale de ce dernier noyau est sensiblement moins fourni
secondaire s'étend à la capsule du noyau rouge, surtout au segment dorsal ou supérieur de cette capsule, puis elle pénètr
e de ce noyau pour s'épuiser enfin dans les zones marginales grises dorsale et dorso-médiane. D'une façon générale, dans le
culièrement, ainsi que nous venons de le dire, les zones marginales dorsale et dorso-médiane. Près de la partie moyenne du
uge, la dégénérescence porte encore essen- tiellement sur les zones dorsales de ce noyau, mais fréquemment elle implique net
téral ainsi que le tubercule antérieur et les autres noyaux du bord dorsal ou supérieur de ce ganglion. Quant au noyau rouge
t d'abord par la lame médullaire externe et par le champ capsulaire dorsal du corps de Luys (il, de Forel) : elle gagne alor
au rouge, la dégénérescence secondaire intéresse surtout la capsule dorsale de ce noyau et les zones marginales grises dorso-
iveau du tiers moyen, la dégénérescence porte encore sur la capsule dorsale mais elle atteint surtout les zones mar- ginale
u niveau du tiers postérieur, la dégéné- rescence porte sur capsule dorsale el sur les zones marginales grises dorsale et d
scence porte sur capsule dorsale el sur les zones marginales grises dorsale et dorso médiane; au niveau du tiers moyen, elle
au du tiers moyen, elle atteint surtout les zones marginales grises dorsale et ventro-latérale. - Les lésions du bord supér
s postérieur du noyau rouge, la dégénérescence porte sur la capsule dorsale et sur les zones marginales grises dorso-médiane
quatre dernières racines cervicales postérieures et de la première dorsale , avec atteinte relativement légère de C. 5. Les
on palmaire, mais plus souvent qu'à gauche elle est mise en flexion dorsale . Le doigt du milieu est ankylosé (après une chu
l soutenue ; la main est mise en flexion palmaire et pas en flexion dorsale . Pendant cet effort nous remarquons des mouveme
a congestion vasculaire s'étend dans l'avaht-mur et dans les étages dorsaux du corps strié. Les coupes postérieures reprennen
ophie. Les muscles pectoraux sont par contre très touchés, le grand dorsal , les muscles dentelés semblent présenter une atte
ment. De plus, cette main est cyanosée et elle présente sur la face dorsale de petites plaques érythémateuses eczématiformes.
; il a laissé une cicatrice actuellement encore visible sur la face dorsale du gland. Le malade ne s'est aperçu d'aucun accid
on. En août 1913, est apparu un mal perforant, siégeant sur la face dorsale de l'articulation interphalangienne du gros ortei
nce circonscrite de la moelle épinière, située au niveau de la région dorsale entr.e la 9° et la 10 côtes. Le sac durai y est
cupant la moelle à cette place. En coupant la dure-mère sur sa face dorsale , on se heurte à un obstacle à ce niveau, les mé
njectées, surtout au-dessus de la tumeur, tout le long de la moelle dorsale . A l'endroit de la soudure des méninges et de la
ercé une compression de la moelle au niveau des 9e et 10e vertèbres dorsales , du côté gauche, com- pression représentée pend
aspect. Il existe aussi quelques noevi sur les régions mammaires et dorsales . Sur ces plaques la sensibilité tactile et doul
sont perceptibles qu'à la palpation. Au niveau de la VOLT* vertèbre dorsale se trouve la tumeur la plus volumineuse qui par
se le tronc, les membres, prédomine au cou et au dos. Sur la région dorsale , environ huit taches plus larges s'étalent ; un
phie. La main n'est pas allongée, mais très élargie. La région dorsale du carpe est régulièrement tuméfiée. La paume e
ulaire telle que l'on peut rabattre les doigts sur le plan carpien' dorsal qu'ils atteignent presque. Les os paraissent
sions comparatives sont les suivantes : 336 ,KLIPPEL ET RABAUD et dorsale . A la palpation on ne sent aucune résistance pouv
détache beaucoup mieux. Il est limité à la base par un léger sillon dorsal et porte un ongle. La peau est lisse en tous se
27 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tion de la moelle épi- nière, principalement au niveau de la partie dorsale inférieure, à une petite distance du commenceme
ai déjà dit, dans les cas d'une hémisection complète dans la région dorsale , les phénomènes de la motilité consistaient en
vation I. 19 mars 1885. Un cobaye de taille moyenne. La X° vertèbre dorsale est mise à nu et ouverte. La section trans- ver
la moelle épinière a durci jusqu'à un degré satisfaisant, la partie dorsale postérieure est mise dans l'alcool, ensuite dans
'après toutes les lois de l'antisepsie, au niveau de la Xe vertèbre dorsale ; j'ai fait une section transversale de la moiti
éparatifs pour l'opération sont les mêmes. On ouvre la XI" vertèbre dorsale , en même temps, une partie de la moelle e épini
esthésie (zona anoes- thética) est au niveau des dernière vertèbres dorsales . Les orga- nes pelviens sont en bon ordre. ,
qu'au- niveau de l'ancienne hémisection de la moelle dans sa partie dorsale postérieure, on avait observé, pendant l'extrac-
ons se concentrent exclusivement dans la moitié gauche de la partie dorsale et cervicale de la moelle épinière et se locali
section de morceaux de un à deux centimètres de long dans la partie dorsale inférieure de la moelle épinière, et au bout de
ns la résection d'un mor- ceau de la partie inférieure de la région dorsale de la moelle épinière, où au bout d'uu certain
hiens une complète hémisection de la moelle épinière dans la région dorsale , il ne se développa aucun signe de mouvements v
korst fait men- tion de trois opérations d'hémisection de la partie dorsale de la- moelle chez les chiens; un de ces chiens
générale), on voit, au niveau de la partie supérieure de la moelle dorsale ou de la partie inférieure de la moelle cervica
e-mère. A cet endroit (entre la 7° racine cervicale et la 2e racine dorsale ), la tumeur s'est étendue à la dure- mère ; plu
NERVEUSE SUR UN CAS DE PARALYSIE RADICULAIRE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE , AVEC LÉSION UËMILATËRALE DE LA MOELLE, D'ORIGI
il mentionne seulement un de CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE . 163 ses oncles, atteint d'hémiplégie dans l'ex
is. 1890, p. 188. ' P. 181. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE . 165 l'a montré Virchow, que le choc ait favori
erveux, t. II, p. 116 et 292. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE . 167 C'est là, pour la syringomyélie, un troubl
te par la blessure ancienne. Au-des- sus, l'apophyse de la première dorsale se dévie un peu à droite, puis l'apophyse de la
re dorsale se dévie un peu à droite, puis l'apophyse de la deuxième dorsale se reporte sur le plan médian, ou du moins s'en
ine vers la droite. Enfin, de la troisième à la neu- vième vertèbre dorsale se développe une courbure scoliotique régulière
aisant dans tous ses détails. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE . 169' - Et d'abord, réexaminons cette zone d'an
z-moi imaginer que la lésion originelle porte sur la première paire dorsale , d'où ce nerf émane, et Fig. 14 et 15. Hachures
implement un peu émoussées. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE . 171 vous allez voir notre diagnostic de tout à
l'heure se transformer comme par enchantement. La première paire dorsale contient des fibres ner- veuses qui sont destin
us a présentés. Admettez que cette lésion porte sur le premier nerf dorsal , et vous vous expliquez à merveille non seuleme
n effet, parmi les rameaux nerveux qui émanent de la première paire dorsale , il en est un qui ap- partient au grand sympath
brachial. Rev. de méd., 1S85. CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE . 173 lysie détermine l'enfoncement du globe de
globe de l'oeil. Or, ces filets nerveux n'accompagnent la première dorsale , en dehors du trou de conjugaison, que dans un
istique non seulement d'une lésion radiculaire de la première paire dorsale , mais encore d'une lésion portant sur cette pai
euse au niveau du trou de conjugaison, entre la pre- mière vertèbre dorsale et la deuxième ou dans son immédiat voisinage.
de conjugaison s'était par là même effacé, écrasant le premier nerf dorsal . Il nous est facile d'expliquer aussi, dans cet
des renseignements à ce sujet CAS DE PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE . 175 dans un mémoire de MM. Tuffier et Hallion,
au-dessous; de là, cette scoliose à convexité droite de la colonne dorsale . Eh bien, Messieurs, la discussion n'a pas été
physes épineuses, depuis la quatrième cervicale jusqu'à la deuxième dorsale . Désinsertion des muscles sur la partie latéral
es lames dénudées, depuis la cinquième cervicalejusqu'à la deuxième dorsale . Au niveau de la septième cervicale et de la pr
xième dorsale. Au niveau de la septième cervicale et de la première dorsale , rugosités irrégulières con- trastant avec le p
ertébrales précédentes; elles sont marquées surtout sur la première dorsale . Tentatives de section de ces lames avec de for
r le tissu éburné. Trépanation de la lame vertébrale de la première dorsale et de la septième cervicale. L'échancrure ainsi
t ouverte d'après les règles ordinaires au niveau de la Il vertèbre dorsale ; on y fait la section de la[moitié gauche de la
conde opéra- tion suivant la même méthode. On a ouvert une vertèbre dorsale (VIe), 2 centimètres plus haut que l'endroit de
ité : On remarque une étroite zone d'anesthésie autour de la partie dorsale au niveau de la dernière opération. Du côté droit
de la dernière opération. Du côté droit, dans la région inférieure dorsale , sur l'abdomen et l'extrémité postérieure (exce
obaye est préparé pour une troi-, sième opération : la vertèbre IVe dorsale est ouverte et on y fait une section de la moit
laie. Le cobaye est tué par le chloroferme ; la neuvième vertèbre dorsale est rétablie. Dans la partie supé- rieure de la
èbre dorsale est rétablie. Dans la partie supé- rieure de la région dorsale de la moelle épinière, on remarque les signes d
on est plus marquée dans la troisième plaie. Au niveau de la région dorsale inférieure, on remarque un étranglement annulai
touché (il-. 20).- Nous finies encore une préparation de la région dorsale supérieure de la moelle au niveau de la dernière
ui a subi une hémi- section du côté gauche de la moelle à la région dorsale inférieure, vécut jusqu'à la seconde opération,
érale gauche de la moelle épinière au niveau de la sixième vertèbre dorsale (voir opér. II, observ. n° '1S), d'un autre côt
re côté une hémisection droite au niveau de la quatrième vertèbre dorsale (voir opér. III, observ. n° il5), sont suivis de
lle. La colonne vertébrale est ouverte au niveau de la VIe vertèbre dorsale . Dans les conditions ordinaires de nos opératio
stérieure et de toute la moitié du corps à l'exception de la région dorsale supérieure est tout à fait annulée. Sur les par
nsitifs et moteurs, que dans les régions sous-jacentes de la partie dorsale de la moelle. L'opération suivante démontre qu'
droite de la moelle épinière au niveau de- la quatrième vertèbre dorsale . OBSERVATION VI. 1er novembre 1885. - Un cobaye
ATION VI. 1er novembre 1885. - Un cobaye âgé. La quatrième vertèbre dorsale est ouverte de la manière habituelle ; l'hémorr
j'ai fait les opérations précédentes, c'est-à-dire dans la partie dorsale . Du moment que ce fait est indiscutable, il m'a p
1885. - Cobaye femelle, de taille moyenne. L'arceau de la vertèbre dorsale X est enlevé. Une hémisection est faite à ce ni
on n° 28, lorsque après une hémisection secon- daire dans la région dorsale il n'y a eu que la para- lysie de l'extrémité a
oitié droite de la moelle épinière au niveau de la sixième vertèbre dorsale et il en est résulté la paralysie des deux extré-
La colonne vertébrale est ouverte dans la région de la X° vertèbre dorsale ; à cette région, on y a fait une hémisection du c
mbaire, de sorte qu'on a mis a nu la partie inférieure de la région dorsale , tout près du renflement lombaire. C'est ici qu
eurs de la moelle cervicale et de la partie supérieure de la moelle dorsale , atrophie des cellules dans les noyaux moteurs
rrespondent à l'insertion des huitième, neuvième, dixième vertèbres dorsales ; cette dentelure monte obliquement au bord post
uvert. 11 y a usure des troisième, quatrième et cinquième vertèbres dorsales et des extrémités costales correspon- dantes. P
chez l'homme ; professeur Flechsig : anatomie pathologique du tabes dorsal ; profcsseurlllen- del : anatomie pathologique
nerf accessoire du brachial cutané interne (branche de la première dorsale avec le deuxième inter- costal) de petites plaq
par l'existence de l'anastomose de la branche de la première paire dorsale avec le deuxième intercostal, avait passé inaperç
om- muniquant du -grand sympathique qui part de la première paire dorsale . - - RECUEIL DE FAITS DEUX NOUVELLES OBSERVAT
llant au vestige du cordon autéro-latéral. H. La face supérieure ( dorsale ) de la même substance grise donne de fortes et
bulbaire, par Remak, 275, 125; - radiculaire de la première paire dorsale simulant la syringomyélie, par Charcot, 161;
28 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
. 7). Mais la courbure de compensation, au lieu d'occuper la région dorsale , peut occuper la ré- gion cervicale. Alors la t
rent en jeu, et souvent même aussi les arti- culations de la région dorsale . Donc au sur et à mesure que la colonne vertébr
mètres et demi, ainsi que vers la partie inférieure de la por- tion dorsale qui présente une coloration rosée. Avec beaucou
t au cordon latéral de la moitié gauche du tiers moyen de la région dorsale un grand foyer légèrement coloré en gris jaunât
nsibilité jusqu'au niveau de l'om- bilic. La nuque et les vertèbres dorsales étaient très sensibles au mouvement et au conta
opre à l'examen. Le maximum d'altération avait pour siège la région dorsale infé- rieure ; elle commençait un doigt environ
essus du renflement lombaire et allait jusqu'au milieu de la région dorsale et un peu au delà. Les cordons latéraux surtout
u d'une dégénérescence disséminée des cordons blancs de la région dorsale de la moelle ou d'une leucomyélite dorsale dissém
dons blancs de la région dorsale de la moelle ou d'une leucomyélite dorsale disséminée. Au-dessous du niveau du renflement
e grise de la région cervicale et lombaire est intacte. A la région dorsale seulement et même d'un côté, un endroit bien li
hez lequel Morgagni a montré un ramollissement central de la moelle dorsale et au milieu de la lésion une artère oblitérée.
région lombaire en grande partie et le tiers supérieur de la région dorsale avaient subi le ramollissement blanc à un haut
pratique des coupes transversales de la moelle surtout à la région dorsale , on voit la substance blanche faire saillie dans
re tout à fait à l'état normal. Au contraire, l'aspect de la région dorsale est tacheté : on distingue des points plus clai
it tous les troubles caractéristiques des malades atteints de tabes dorsal ou d'ataxie loco- motrice, mais toujours sans a
douleur au niveau de l'apo- physe épineuse de la deuxième vertèbre dorsale , s'irradiant le long de la colonne vertébrale,
tion habituel notamment au niveau du segment inférieur de la moelle dorsale (l'orateur présente des figures et des prépa- r
orme une convexité très accusée, surtout au voisinage de la colonne dorsale . La colonne vertébrale est sinueuse, la portion
la colonne dorsale. La colonne vertébrale est sinueuse, la portion dorsale forme une convexité heaucoup plus prononcée qne
DE FAITS. on note une ensellure très marquée. De plis ? la colonne dorsale décrit une légère convexité à gauche. Il exis
la polyurie. P. KERAVAL. VI. Contribution .\ LA pathologie du tabès dorsal et A la lésion des nerfs périphériques; par H.
l'adulte. M. Schultze (de Bonn) lit l'observation d'un cas de tabès dorsal avancé caractérisé par une complète paralysie a
tend à disparaître au sur et à mesure qu'on s'élève dans la région dorsale . Toutefois, cette lésion n'est pas très réguliè
e se trouve oblitérée. Transition de la région lombaire à la région dorsale . - Les fibrilles de la zone marginale de Lissau
ucture presque normale et se confond avec le tissu sain. , Moelle dorsale inférieure. -Beaucoup de fibres transversales q
e volume et se colorent mal sous l'influence des réactifs. Région dorsale moyenne. - La sclérose porte ici sur les cor- d
ellules nerveuses pâles, atrophiées et sans prolongements. Région dorsale supérieure. La zone antéro-externe de Westphall
ns prolongements et plus petites qu'à l'état normal. Dans la région dorsale moyenne et supérieure, on voit avant et près du
- nière d'un coin. (PI. I, fig. 1 - a.) . Transition de la région dorsale à la région cervicale. La dégénérescence persis
Le champ du faisceau pyramidal est moins atteint que dans la région dorsale supérieure. Le cordon de Flechsig, séparé du fa
ants : épaississement de l'arachnoïde dans les régions cervicale et dorsale . Adhérences circonscrites de la dure-mère et de
nces circonscrites de la dure-mère et de la pie-mère dans la région dorsale . Pie-mère épaissie, et dans la région cervicale
t considérablement réduit dans les cordons postérieurs de la moelle dorsale et lombaire. Entre les foyers de dégénérescence
iant pas beau- coup pour l'intensité, mais plus marquée à la région dorsale . On ne peut s'apercevoir de cette modification
ue aussi bien aux renflements cervicaux et lombaires qu'à la région dorsale ; les parties posté- rieures étant en proportio
e des racines postérieures. Les co- lonnes de Clarke dans la région dorsale supérieure sont visible- ment atrophiées. Les
, cette atrophie était considérable. 352 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. dorsale supérieure les diamètres sont de x 5 et tom- be
MALADIE DE FRIEDREICH. 353 rieures (fi ? 7, 8, 29). Dans la région dorsale , les fais- ceaux pyramidaux, cérébelleux direct
ie posté- rieure du cordon de Burdach est altérée. Dans la région dorsale , la zone antéro-externe, n'est pas tout à fait
dans la région lombaire. Dans la zone de transition entre la région dorsale et la région cervicale (/ ? . 30) la lésion com
bulbe. Les faisceaux cérébelleux sont pris à partir de la région dorsale inférieure. La lésion augmente dans r la région
la région dorsale inférieure. La lésion augmente dans r la région dorsale supérieure, et ne diminue que dans la région in
ent altérées dans presque toute leur étendue, à partir de la région dorsale inférieure jus- qu'à ses limites supérieures.
e du volume de l'axe spinal, que nous avons signalée dans la région dorsale . Dans les parties sclérosées elles-mêmes, les t
noté les auteurs qui nous ont précédés; ainsi, taudis que la région dorsale dans le cas de Rùtimeyer offrait dans sa partie
ère. EXPLICATION DE LA PLANCHE PI. I, fia, la. Coupe de la moelle dorsale moyenne, à un faible grossissement, colorée par
nnmhl. PI. I, fig. 3. Région de la colonne de Clarke dans la moelle dorsale moyenne, vue il un fort grossissement, colorée
aisceaux de Burdach est devenue un peu moins étendue. A la région dorsale supérieure, la partie postérieure des cordons m
cédé de Weigert. Fit, 40. Coupe à la partie inférieure de la région dorsale . ÉTUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 381 vers le c
es mêmes caractères se retrouvent dans toute l'étendue de la moelle dorsale , mais la portion dégénérée des faisceaux de Bur
dach diminue de plus en plus. A l'extrémité inférieure de la région dorsale , cette portion dégénérée a presque complètement
serve à la partie postérieure, la zone déjà signalée dans la région dorsale . A la partie inférieure de la moelle lombaire,
ériphérique. Cette bande était particu- lièrement nette à la région dorsale : à ce niveau, la lésion allait de chaque côté,
de Türck présentait son maximum à la partie supérieure de la région dorsale et au voisinage du renflement cervical vers le
ndant un peu plus en avant; à un niveau inférieur, vers la région dorsale , la dégénérescence gagne l'intérieur des cor- d
gnait les cordous de Goll que de la région cervicale à la région dorsale ; à la région lombaire, les cordons postérieurs
antérieure et une zone postérieure ou périphérique. Dans le tabes dorsal , chacune de ces deux parties peut s'entre- pren
a pu suivre la subdivision des cordons de fioll jusqu'il la région dorsale supérieure ; toutefois, il déclare qu'elle y est
gion supérieure de la ETUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 3'M 1 moelle dorsale , il vient s'y ajouter une sclérose de la partie
temps qu'elle s'agrandit, et vers la partie inférieure de la moelle dorsale (voir fig. 2'), on se trouve en présence d'une
217. Tabac (prix de la Société co.tre l'abus du), 432. ' Tabès dorsal , et lésions des nerfs périphériques, par Oppenh
EXPLICATION DE 'LA PLANCHE 1 PI. 1, lit. 15. - Coupe de la moelle dorsale moyenne, à un faible grossissement, colorée par
dal. Pl. I, fig. 3. - Région de la colonne de Clarke dans la moelle dorsale moyenne, vue à un fort grossissement, colorée p
29 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ts il gâte. La rougeur était, bien moins intense avant le décubitus dorsal , d'après les rensel gnements des infirmiers. Su
qui a rapidement évolué au bout de quelques jours de décu- bitus dorsal . Elle n'était ni alcoolique ni syphilitique. La
on le 25 mars 1892, couché depuis lors (cinq ans) dans le décubitus dorsal , grand gâteux, il n'a pas la moindre eschare.
cellules. Dans la pre- mière on rencontrerait le noyau postérieur ( dorsal ) de Gudden. Dans la seconde, qui se rétrécit à
segment reculé (postérieur) de ce noyau. Ce serait presque le noyau dorsale (postérieur) de de Gudden. ' 2° La moitié ant
erse de la racine. Go Les parties postérieures du noyau et la corne dorsale de la demi-lune radiculaire sont en relation très
i de temps à autre, sans cause apparente, ressent au bas de l'épine dorsale un chatouillement; il croit qu'il a besoin d'al
cht, un second entrecroisement dans la substance grise de la moelle dorsale et unissant les centles des membres avec les ce
imum des lésions de la moelle siégeait au niveau du premier segment dorsal et du 8° cervical de la substance grise, centre
ématomyélie est localisée au niveau du 8 segment cervical et du le, dorsal . M. le professeur 110JEWN11101·1 attire l'atten
artir de la ligne qui passe en arrière, au niveau de la 9° vertèbre dorsale , en avant à 4 travers de doigt au-dessus de l'o
e de la moelle épinière, et, au niveau des deux dernières vertèbres dorsales et de la première lombaire, elle est sortie à l
ne dégénération hyaline et athéromateuse. Au niveau de la 9° racine dorsale la tumeur se dédouble et se dirige en haut dans
ité centrale, tapissée d'un tissu connectif. Au niveau de la région dorsale supérieure, la tumeur ) centrale et la cavité s
; De l'influence du sommeil hypnotique sur les gastralgies du tabes dorsal , par SpaUhowslcy; Expériences sur l'excitation
ée est complète sur les deux bras, elle n'existe pas dans la région dorsale . L'alopécie qui a dû commencer en mai 1896, d'a
formée en l'espace de quinze jours au niveau delà huitième vertèbre dorsale . Il ne s'agis- sait pas d'un mal de Pott, le ma
s bulles semblables couvraient les mains, deux ou trois sur la face dorsale de la main droite, dix sur la gauche, surtout a
eurs dans toute leur longueur et au niveau de la région lombaire et dorsale en un foyer de dégénérescence de la partie post
ontinuait dans les cordons postérieurs jusqu'au niveau de la région dorsale de la moelle. G. D. XLVI. LE mécanisme DES mouv
canisme DES mouvements réflexes; UN cas DE compression DE la moelle dorsale avec abolition DES réflexes; par A. van Gehucht
ent de ce travail basé sur un cas de compression lente de la moelle dorsale sont les suivantes : 1° Au point de vue cliniqu
fluence d'une émotion morale. Ils disparaissent dans le décubitus dorsal et sous l'influence d'une action mécanique. Le tr
on' de la moelle dans toute sa hauteur : dans la région lombaire et dorsale le cordon de Goll est presque complètement détr
u l'aire innervée par les 5°, 6°, 7°, 8° et 9° segments médullaires dorsaux pour les lésions mitrales, et les 2°, 3°, 4° et
s 2°, 3°, 4° et 50 segments cervicaux, ou bien du 4° cervical au 6° dorsal pour les lésions aortiques. Pour l'aorte transv
ante celle des 3° et 4° segments cervicaux et des 1°r, 2°, 3° et 4° dorsaux ; pour le ventricule gauche l'aire du 2° au 5° s
t 4° dorsaux; pour le ventricule gauche l'aire du 2° au 5° segments dorsaux ; pour l'oreillette gauche celle des 5°, 6°, 7°
gments dorsaux; pour l'oreillette gauche celle des 5°, 6°, 7° et 8° dorsaux . Ces segments correspondent précisément à l'inner
ressées sont celles des 3° et4°segments cervi- caux et des segments dorsaux du 3° au 9°. Le lobe inférieur du poumon est pl
connexion avec les aires cutanées des 56, 6°, 7°, 8° et 9e segments dorsaux . Un dernier chapitre est consacré aux gastralgi
omme de vingt-huit ans. Reçoit deux coups de couteau dans la région dorsale . Les deux blessures siègent immédiatement à gau
de la septième vertèbre cervicale, l'autre au niveau de la première dorsale . Il s'ensuit un ensemble de troubles dont l'évolu
inférieurs. Siège de la lésion : au dessous de la neuvième vertèbre dorsale . Second type : Paralysie motrice et troubles se
R. CaARON. LXI. DES rapports DE la station hanchée avec la SCOLIOSE dorsale - primitive DES adolescents; par Paul RICHER. (
unes d'entre elles, cette zone se montre aux régions lombaire et dorsale avec la même forme : dans la région cervicale, el
de la moelle épinière s'étendant en bas jusqu'au troisième segment dorsal . Les lésions prédominent dans la moitié antérie
cas de tumeur siégeant à la limite de la partie cervicale et de la dorsale de la moelle épinière, avec phdizo- mènes pupil
têtes des deux premières côtes et les corps des premières vertèbres dorsales . Myélite par compression avec dégé- nérations s
euse des' corps de la septième vertèbre cervicale et de la première dorsale . A l'examen microscopique, on constate des dégé
e; au point de vue sensitif, d'abord dans le domaine de la deuxième dorsale , puis de la huitième cervicale, des première et
me dorsale, puis de la huitième cervicale, des première et deuxième dorsales @i gauche; de la première dorsale seulement a d
vicale, des première et deuxième dorsales @i gauche; de la première dorsale seulement a droitc. Absence de phé- azomènes pu
uteur, depuis .la sixième cervicale jusqu'au-dessous de la deuxième dorsale ; dans le sens transversal, depuis le sillon co
tendu au centre de la moelle de la sixième cervicale ci la première dorsale , puis sorti de la moelle. Généralisations : sous
ière, elle s'élève moins haut, passe entre les première et deuxième dorsales à droite, entre les septième et huitième cervi-
flexe est intact au moins jusqu'à la limite intérieure de la moelle dorsale , car une excitation cutanée ou profonde de la r
augmentée de volume au niveau de la région cervicale inférieure et dorsale supérieure. La surface externe de la dure-mère
s quatrième et huitième cervicales; quatrième, huitième et douzième dorsales . La dure-mère est sectionnée le long de sa face
cinquième cervicales à celui compris entre les première et deuxième dorsales . Vue par la face postérieure de la moelle, elle
ouche les racines antérieures droites à leur émergence. La deuxième dorsale est encore un peu englobée dans la tumeur. Cett
dhérence à la dure-mère. Au niveau des neuvième et huitième racines dorsales , sur le côté gauche, on trouve une petite masse
de l'émergence de la cinquième racine cervicale jusqu'à la première dorsale , elle fut fixée par les alcools successifs et d
uccessifs deux fragments prélevés au niveau des onzième et douzième dorsales , parce qu'en ce point la pie-mère paraissait à
endue à la pie-mère entre l'émergence de la huitième et la neuvième dorsales . Tout, le reste de la moelle fut placé dans le
de chercher la localisation de la lésion au-dessous de la deuxième dorsale ; aussi, au-dessous de celle racine, toute la mo
sauf les deux fragments prélevés au niveau des onzième et douzième dorsales ; mais extérieurement la tumeur continue à défor
qu'à un niveau compris entre l'émergence des troisième et quatrième dorsales ; dès la deuxième dorsale, elle n'est plus visib
re l'émergence des troisième et quatrième dorsales; dès la deuxième dorsale , elle n'est plus visible macroscopiquement au c
ervicale; deux tranches semblables au niveau de la quatrième racine dorsale ; ces fragments furent imprégnés pendant douze
quées à toutes les hauteurs de la cinquième cervicale à la première dorsale , la tumeur offre une portion intra- médullaire
qu'au voisinage de la quatrième cervicale, et en bas de la deuxième dorsale ; et, de plus, a semé à distance les petits nodu
rvi- cale supérieure de sa moelle. Jusqu'au niveau de la deuxième dorsale , la tumeur déforme la moelle, y creusant une fo
t dans ses généralisations à la pie- mère (au niveau de la douzième dorsale , par exemple), on trouve une nappe de noyaux, t
iste plus au centre (cin- quième cervicale et au-dessus et douzième dorsale , par exemple), on constate que le canal épendym
tumeur végétante sur la pic- mère, entre la huitième et la neuvième dorsale , on est forcé de reconnaître là des caractères
nérées. Au-dessous de la tumeur (au niveau de la quatrième racine dorsale ) sauf une prédominance marquée dans le faisceau p
côtés dans le domaine des septième, huitième cervicales et première dorsale . Quelques muscles innervés par .ces racines, su
trouvions des troubles objectifs que dans le domaine de la deuxième dorsale , d'abord,- puis plus tard, à gauche dans le dom
, d'abord,- puis plus tard, à gauche dans le domaine de la première dorsale et huitième cervicale; et encore ne s'agissait-
ptième et huitième cervicale à droite entre la première et deuxième dorsale . Quant à la limite inférieure il nous fut impos
ale et on obtient le syndrome complet. Fait-on une deuxième section dorsale , l'anesthésie est remplacée par de l'hyperesthé
s racines postérieures arrivant à la partie supérieure de la moelle dorsale produit de l'hyperesthésie du membre inférieur
cervicales et la première dor- sale chez l'animal, par la première dorsale chez l'homme (11 ? Déjerine-Ilumpke).lVlais on
de la pupille ; les fibres dilatatrices qui sortent par la première dorsale viendraient de plus haut, du bulbe pour la plup
gauche, depuis la sixième cervicale jusqu'au-dessous de la première dorsale , c'est-à-dire exactement dans larégion assignée
eure du quatrième segment Cervical et le milieu du deuxième segment dorsal ; l'aire transversale de cette altération varie
es hauteurs; mais il n'y a que les portions marginales de la moitié dorsale de la moelle qui soient tout à fait épargnées.
e au cordon de Goll et au' cordon de I)tirdacli et forme la lisière dorsale la plus externe du cordon de 13urdacli; au nive
lui a finalement assigné Hoche. A la hauteur des olives accessoires dorsales (postérieures), dans la partie qui correspond à
se décomposent en deux groupes : celui des fibres posté- rieures ou dorsales , formant les derniers trousseaux en masse qui a
s derniers trousseaux en masse qui aillent au tractus cérébrospinal dorsal ; celui des fibres antérieures ou ventrales, se
ict, 224. 1. Scoliose. Rapports de la station hanchée avec la - dorsale pri- mitive, par P. Richer, 399. Sensations p
30 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
ésente une saillie notable des apophyses épineu- ses, des vertèbres dorsales inférieures et lombaires. Les clavicules ont ga
ment au niveau de la jonction de la région lombaire et de la région dorsale . Elle empiète sur les deux régions. L'anatomie
ouve- ment de torsion ; mais il n'en est pas de même pour la région dorsale qui ne peut s'infléchir sur le côté sans subir
tes inférieures en rap- port avec la partie infléchie de la colonne dorsale ); d'où il suit que le tho- rax comprimé et comm
fiante, frissons légers ou plutôt sensation de froid dans la région dorsale ; dans le membre anesthé- sique, sensation de «
La pres- sion sur les apophyses épineuses des 11e et 12e vertèbres dorsales et pre- mière lombaire est manifestement doulou
Dans certaines déformations plus accentuées encore on voit la face dorsale du pied continuer le plan antérieur de la jambe :
le soulèvement de la pointe du pied. Chez un homme sain, la flexion dorsale du pied place celui-ci dans une position telle
de sont usées par la pointe qui frotte sur le sol. ' A la flexion dorsale du pied, provoquée la malade ne résiste pour ains
à gauche : mêmes résultats, excitabilité un peu plus forte. Grand dorsal . A droite : 8J'°u' C. minima; à 75 C. encore asse
seur DU PETIT doigt. Opposant : C. minima à 90mm. 1er Interosseux dorsal : C. minima à 100mm. 2e, 3e et 4° Interosseux d
er Interosseux dorsal : C. minima à 100mm. 2e, 3e et 4° Interosseux dorsaux : C. minima à 95mm. NERF radial (au niveau du b
du petit doigt) : 3/4 m A, XXVI, NFC'"> PFC". le,, Interosseux dorsal : 1 m A, X, NFC" seule ; 1 1/2, XIV, NFCC' >
e, se trouve au niveau de l'a- pophyse épineuse de la 11'0 vertèbre dorsale , dont elle est éloignée latéralement de 7 à 8 c
se trouve ainsi au niveau de l'apophyse épineuse de' la 20 vertèbre dorsale , dont il est distant latéralement de 4 à 5 cm. ta
e qu'à 0. Les muscles des gouttières vertébrales, sous-jacels, long dorsal , etc., sont plus excitables et leurs contractio
DOIGT : C. m. à 60 ; déplacement il 55. 1er 2e, 3°, 4e Interosseux dorsaux : idem. Nerf médian (au coudé) : à 80mm C. seul
: 2 1/2 m. A. NFC ? seule; 3 m. A. NFC'>PFC'. le'' Interosseux dorsal : 3 1/2 m. A. 1FC'>PFC"' : 5 1/2 m. A. NFC>
ent pas atrophiés ; leur force reste encore très bonne ; la flexion dorsale du pied et l'extension des orteils se fait bien e
r le dos, il y a une distance d'au moins six pouces entre son épine dorsale et le plan du lit. Quand elle est tenue debout
e, il faut noter celle des mains et des pieds ainsi que l'ensellure dorsale . La position des mains et des pieds est due à l
s on peut faire exécuter tous les mouvements passifs. L'ensellure dorsale me paraît due en partie il la faiblesse des muscl
h, paires cervicales, i, k, 1, m, n, o, p, q, r, s, t, u, v, paires dorsales , x, y, z, w, quatre paires lombaires. La derniè
apophyses lombaires et raccourcit à partir de la 9° ou 10e apophyse dorsale jusqu'à la De lombaire, la ligne apophysaire. En
ividuelles considérables et chez l'a- dulte peut osciller de la 11e dorsale à la 3e lombaire. Nous n'avons jamais rencontré
e termine au niveau du 6° espace inter-épineux cervical ; la moelle dorsale (allant du bord supé- rieur de la 4r paire dors
ical ; la moelle dorsale (allant du bord supé- rieur de la 4r paire dorsale au bord inférieur de la 12°) se termine au nive
nférieur de la 12°) se termine au niveau de la 9e apophyse épineuse dorsale , la moelle lombaire va de celte apophyse au bor
petit enfant, nous avons trouvé la limite inférieure de la moelle dorsale plus haut que chez l'adulte, au niveau de la 8e
ntre l'apophyse de même nom et l'apophyse sous-jacente; à la région dorsale où les apophyses sont extrêmement obliques, les
ervicale. Ajoutons que chez l'enfant où les apophyses épi- neuses dorsales sont moins obliques et moins lon- gues, les tro
s sont moins obliques et moins lon- gues, les trous intervertébraux dorsaux ne s'élèvent que bien rarement, sinon jamais, a
avoir le numéro des racines qui naissent à son niveau; à la région dorsale supérieure il faut ajouter deux; à partir de le
11e il faut ajouter trois; la partie inférieure de la 11° apophyse dorsale , et l'espace in- ter-épineux sous-jacent répond
nt répondent aux trois dernières paires lombaires ; la 12e apophyse dorsale et l'espace sous-jacent aux paires sacrées ». S
l'enfant il faut la modifier légèrement, au moins pour les racines dorsales , et les premières lombaires. Elles naissent en
ifférence commen- çant à devenir notable vers la 2e ou la 3e racine dorsale , s'accentuant jusqu'à la 9e cervicale pour dimi
de la 2e lombaire. - On dira donc : « chez l'enfant, a la région dorsale supérieure, delà lrc à la 4e apophyse il faut a
ter 3 pour avoir le numéro de la racine correspondante; à la région dorsale moyenne de la 5e à la 9 apophyse il faut ajoute
a raison de cette différence de niveau entre l'origine des pai- res dorsales de l'adulte et celles de l'enfant ? Il ne faut
- met à Une paire plus basse ; au contraire les apophyses épineuses dorsales de l'enfant sont proportionnellement moins long
de la portion cervicale du rachis, chez l'enfant, puisque la moelle dorsale de l'enfant commence au même niveau rachidien que
ste la différence ne se manifeste qu'au niveau des premières paires dorsales . Elle ne lient pas non plus à une brièveté géné
, de leur origine médullaire à leur trou intervertébral les racines dorsales présentent une direction différente dans leur por
tion ultérieure ne peut être que l'abaissement relatif de la moelle dorsale , supposé tout à l'heure pour une autre cause, e
ovoquée par une scoliose courbure' dort- sale droite et une cyphose dorsale ; il existé également une légère voussure en av
ne légère voussure en avant. La courbure n'intéresse que le segment dorsal du rachis, on ne voit pas de courbure compensat
u'elle provoque la toux; on peut exagérer, et redresser la courbure dorsale ; dans les mouvements latéraux du tronc le malade
ée par J.-B. Charcot (3). La déviation siège en général à la région dorsale ; sa convexité regarde- rait habituellement, d'
edresser la courbure rachidienne; enfin la courbure est à la région dorsale , or c'est dans la région lombaire que siège ordin
mois, en examinant une femme porteur d'un sarcome des premiers arcs dorsaux , suivi de paraplégie, nous avons trouvé dans le
Joffroy et Salmon, où à la suite d'hémisection gauche de la moelle dorsale se montra dans le genou gauche une douleur asse
t un adulte, très vigoureux, qui à la suite d'une fracture de la Xe dorsale , avait eu une paraplégie sensitive motrice com-
chez un malade lamnectomisé par nous, cinq mois après une fracture dorsale inférieure, nous avons vu en quelque semainesse
re. I Signification morphogénique. Trois cordons neurodermiques dorsaux , le médullaire, qui est im- pair et médian, le
ce cas étant absolument nouvelle. Observation I. Fracture de la Vie dorsale ; déplacement en arrière d'un frag- ment osseux
al était une vive douleur à la pression de la lt° apophyse épineuse dorsale . Il n'y avait aucune gibbosité. Le membre infér
rès notable de la partie supero-cxterne do la lame gaucho XIe de la dorsale , par rapport à l'apophyse épineuse et il la lame
ait peu mobile, et après résection sous périostée des arcs XII XIIe dorsaux et 1er lombaire je vis qu'il faisait partie d'une
e. 1° Le noyau interne (VIII i) (Clarke, Meynert, IIubuenin), noyau dorsal médian, noyau principal de Schwalbe, noyau cent
Schwalbe, la partie externe du noyau supérieur de IIenle, le noyau dorsal latéral, le noyau à grosses cellules, etc. Celles
rrière d'un séquestre en demi-anneau dé- pendant de la XIe vertèbre dorsale . 374 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
31 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
et connue sous le nom de stratum inter- medium (Meynert), de couche dorsale du pied du pédoncule cérébral (Flechsig). (Stri
encore myélinisée. - b, la partie externe de la couche supérieure ou dorsale du pied du pédoncule cérébral (fibres du noyau
e. Son contingent cortical. Son contingent strié. La couche dorsale . Son contingent strié. Flechsig, dans une s
en deux couches, l'une ventrale inférieure ou périphérique, l'autre dorsale ou supérieure. La couche ventrale comprend quat
ieure du pédoncule et occupent alors la partie interne de la couche dorsale ou profonde; elles aboutissent finalement à la
Quant aux fibres du noyau lenticulaire, les unes occupent la couche dorsale , les autres se rendent dans la couche ventrale
u strio-protubéranliel (Slrei- feiilingel-Brückenbahn). La couche dorsale du pied du pédoncule cérébral est située au voisi
77. - Cas Pradel. Quatre coupes de moelle des régions cervicale, dorsale moyenne, dorsale inférieure et lom- baire. Dé
Quatre coupes de moelle des régions cervicale, dorsale moyenne, dorsale inférieure et lom- baire. Dégénérescence du f
ceau mamillaire principal (I·'nah). - Fiel, faisceau longtlu- dinal dorsal de la substance grise centrale de Schutz. - F.11,
ansversus, ou commis- sure psalterienne du trigone. - GGJ, ganglion dorsal de la calotte de Gudden. GGp, ganglion profond
union de la partie ventrale ou réfléchie du splenium avec la partie dorsale ou supérieure (Fig. 9, p. 14, 42 et 268). A ce
Les libres perfo- rantes du corps cal- leux. leux de sa face dorsale à sa face ventrale, représentent le contingent do
ématoxylinique, traverser le corps calleux de sa face supérieure ou dorsale à sa face infé- rieure ou ventrale {fibres perf
s (Fig. 269 et 270), la fimbria est relativement intacte;les fibrcs dorsales , extra-ammoniques du fornix longus, sont saines a
escence : Il des fibres commissurales de la corne d'Ammon (psalterium dorsale ), qui passent par le bec postérieur du bourrele
ensions de la corne d'Ammon de l'homme et un segment supc- rieur ou dorsal beaucoup plus développé qui se recombe avec le fa
est séparé du trigone proprement dit par toute l'épaisseur du segment dorsal de la corne d'Ammon. Le trigone comprend donc
upérieure du segment ven- tral et à la partie inférieure du segment dorsal de la corne d'Ammon. Elle ne recouvre pas le fa
me son nom l'indique, la face ventriculaire des segments ventral et dorsal de la corne d'Ammon et forme la paroi interne du
ingue un feuillet antérieur ou ventral et un feuillet postérieur ou dorsal , séparés l'un de l'autre par toute la longueur an
un de l'autre par toute la longueur antéro-posté- rieure du segment dorsal de la corne d'Ammon. Le feuillet antérieur ou ven
le cérébelleux supérieur. - Po, protubé- rance. - l'shi, psalterium dorsal . - PsLv, psalterium ventral. P7' ? ) ! , pédoncul
on- tient des fibres am- moniques fournies par r le e segment dorsal de la corne d'Ammon. gnifiant chez l'homme, a
antéro-supérieure du psalterium ventral. Le feuillet postérieur ou dorsal ou psalterium dorsal (Psld) occupe chez les mammi
psalterium ventral. Le feuillet postérieur ou dorsal ou psalterium dorsal (Psld) occupe chez les mammi- fères macrosmatiq
éfléchie du bourrelet du corps calleux ; il est séparé de la partie dorsale du bourrelet par le fornix longus. .Ni la fimbr
e du bourrelet du corps calleux, puis se rendent dans le psalterium dorsal . Les fibres du cingulum perforent le corps call
s du cingulum perforent le corps calleux et arrivent' au psalterium dorsal en longeant la voûte du ventricule latéral. Qua
culum, atteignent la cavité ventriculaire et arrivent au psalterium dorsal , soit en longeant l'alveus (paroi interne), soi
Un certain nombre de ces fibres après avoir traversé le psalterium dorsal se rendent dans la corne d'Ammon du côté opposé
al. Elles relient par conséquent, par l'intermédiaire du psalterium dorsal et du cingulum, la corne d'Ammon d'un : 'côté a
x. Elles appartiennent dans une partie de leur trajet au psalterium dorsal , puis se recourbent dans le fornix longus du même
nent du cingulum et du gyrus fornicatus ; elles perforent la partie dorsale du bourrelet du corps calleux et se continuent en
PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 297 et à l'absence de son segment dorsal . Chez l'homme, la corne d'Ammon envoie toutes s
et le fornix longus est bordé en une longue étendue par le segment dorsal de la corne d'Ammon, dont ses libres le renforc
ux amas ganglionnaires décrits par Gudden, les ganglions profond et dorsal de la calotte (Fig. 252). Le ganglion profond, qu
eur de l'homme (Voy. For- mation réticulée,lII°parlie). Le ganglion dorsal est situé dans la substance grise centrale du q
entrale du quatrième ventricule en formant le faisceau longitudinal dorsal (dorsales Lângsbûndel des cenlralen Grau de Scl
du quatrième ventricule en formant le faisceau longitudinal dorsal ( dorsales Lângsbûndel des cenlralen Grau de Scliutz). 1
IÉ. 327 triculaire. Cet auteur y distingue néanmoins trois parties ( dorsale , moyenne et ventrale), correspondant à nos troi
bres. Le faisceau lenticulaire de Forel (FI) (faisceau 112 (Forel), dorsal ( ? Antheil der Linsenlcemschlinge, v. Monakow)
s (CL), (Fig. 318 T. ICI', p. 637 et Fig. 312) en formant la couche dorsale du corps de Luys de quelques auteurs. Il se por
segment postérieur de la capsule interne avant de former la couche dorsale du corps de Luys (Fig. 323, 324, 325). Les radi
bres lenti- 1- La faisceau len- ticulaire de Forel ou la couche dorsale .\1\ corps de Luys. Ses connexions. Ses rap
transversales montre, il est vrai, que dans la partie supérieure ou dorsale du noyau externe la substance grise prédomine e
foncée spéciale et très caractéristique. 1. Noyau antérieur (noyau dorsal de Kolliker) (Na). Ce noyau occupe la partie an
05 à 307). Particulièrement abondantes dans la moitié supérieure ou dorsale du noyau externe, elles existent néanmoins dans
aut, p. 151), la dégé- nérescence peut être complète dans la moitié dorsale du noyau externe, mais elle est toujours partie
, grâce au faible développement du pulvinar ainsi qu'à la situation dorsale du corps genouillé externe chez ces animaux, fo
. Monakow. Cet auteur subdivise le noyau externe en deux noyaux, l'un dorsal , l'autre ventral. Le noyau ventral comprend qua
un développement considérable et occupe une situation beaucoup plus dorsale que chez les primates, et en particulier chez l
entrales divisent le corps genouillé externe en deux noyaux : l'un, dorsal ou supérieur, reçoit les fibres rétiniennes, ai
286 p. 313) la dégéné- * rescence occupe, dans la région thalamique dorsale ou supérieure, les noyaux externe (Ne), interne
l'oeil. (Voy. IIIe partie. Formation réticulée, entre-croi- sement dorsal de la calotte de Meynert.) Quant aux connexions
ieure des noyaux externe et interne du thalamus), formant la partie dorsale de la commissure; les autres s'infléchissent en
Situation et trajet delà la commissure postérieure. Ses parties dorsale et ventrale. 37C ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
rew et étayée sur la myélogénèse très précoce des fibres du segment dorsal de la commissure postérieure. D'après Boyce, ce
pinéale, et qui forme la commissure interhabenulaire ou Décussation dorsale du thalamus. La structure du ganglion de l'habe
issure des 1,Tiiie thalami, elle porte encore le nom de décussation dorsale du thalamus (superior commissur, Osborne). Pour
la partie supérieure du quatrième ventricule et dans le gan- glion dorsal de la calotte de Gudden. GLAXDE PINÉALE (Gp.)
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son sommet et sa base. La couche dorsale de la région sous- optique. Son étendue.
ent consti- tuée : 1° par une couche de fibres à myéline, la couche dorsale de la région sous-optique ; 2° par un petit ama
e ; 2° par un petit amas ganglionnaire, le corps de Luys. 1. COUCHE DORSALE DE LA RÉGION SOUS-OPTIQUE. (Fig. 24, 28, 46, 47,
IQUE. (Fig. 24, 28, 46, 47, 7, 253, 310, 323, 321r, 325.) La couche dorsale occupe foute l'étendue de la région sous-optiqu
èrement favorables à son étude. La partie antérieure de la couche dorsale est formée par les faisceaux lenticulaire et th
culaire de Forel, en même temps que les deux faisceaux de la couche dorsale se réunissent en un faisceau volumineux qui occ
e la calotte. L'origine et la terminaison des fibres de la couche dorsale de la région sous-optique est fort complexe. El
mmon. La région sous-optique comprend le corps de Luys et la couche dorsale , consti- tuée par les faisceaux thalamique et l
vexes, deux bords et deux extrémités. Les faces convexes sont l'une dorsale ou supéro-inlerne, l'autre ventrale ou inféro-e
ne et externe ; les extrémités anlérieure et postérieure. La face dorsale ou supéro-externe est la plus convexe; elle est r
x confins du Sur les coupes sa- gittales. Rapports de sa face dorsale . De sa face ven- trale. De ses bords. 400
halamique postérieure. Au-dessus d'elles, à la partie supérieure ou dorsale de la commissure sous-thalamique postérieure, on
e cérébral et le locus niger comprend le corps de Luys et la couche dorsale avec les faisceaux lenticulaire thalamique de F
onculaire envoie aux noyaux de Gudden (noyau profond (GGp) et noyau dorsal (GGd)) de la calotte pédonculaire ; enfin au fa
(GGd)) de la calotte pédonculaire ; enfin au faisceau longitudinal dorsal (Fld) de Schütz (vie neurone). C'est par l'inte
faisceau mamillaire principal (Fmp). Fiel, faisceau longitudi- nal dorsal de la substance grise centrale de Schutz. 7'U, fa
ansversus, ou commis- sure psalterienne du trigone. - GGd, ganglion dorsal de la calotte de Gudden. - GGp, ganglion profon
uent en partie par l'intermédiaire des fibres de l'entre-croisement dorsal de la calotte de Meynert (fontainartige Ilanben
eur (xiPcs) il direction transversale, et un petit entre-croisement dorsal ou supérieur (xsPcs) à direction dorso-ventrale
ps juxta-restiforme. Crst, corps restiforme. - fad, fibres arciformes dorsales TOME II. 3k > 530 ANATOMIE DES CENTRES NER
plus grande partie du bulbe rachidien : c'est l'étage postérieur ou dorsal du tronc encé- 1- pllalique, la région de la ca
roisé aux différentes hauteurs de la moelle cervicale inférieure ou dorsale supérieure. Le faisceau dit de Pick, n'est qu'u
ent pyramidal, Moelle épinière, IVe partie). 2. ÉTAGE POSTÉRIEUR OU DORSAL DU TRONC ENCÉPHALIQUE, RÉGION DE LA CALOTTE L
les quadrijumeaux antérieurs fournissent l'élégant entre-croisement dorsal de la calotte de Meynert (fon- taine-artige Ila
lleux supérieurs. Le noyau blanc de Stilling, les entre-croisements dorsal et ventral de la calotte et le pied du pédoncule
orel situé dans la lame perforée postérieure). - eM, entre-croisement dorsal de la calotte ou entre-croisement de Meynert. F
au de Deiters. - Crsl, corps restiformes. - facl, fibres arciformes dorsales ou profondes. - fat, fibres arciformes moyennes
4, Fig. 442 à 444, p. 672 à 677), on voit apparaître, entre la face dorsale de l'olive et la grosse racine sensitive descenda
s le raphé (fibres arciformes cérébello-olivaire) fibres arciformes dorsales ), grâce à leur forte coloration par la laque hé
dinal is medialis (nomen- clator anatomicus), faisceau longitudinal dorsal (Iibllil : er). (Ne pas confondre cette déno- m
Ne pas confondre cette déno- mination avec le faisceau longitudinal dorsal de Scliütz, situé dans la substance grise centr
u- tant mieux les élégantes fibres arciformes de l'entre-croisement dorsal de la calotte de Meynert (xM), que l'on considè
e très en avant entre les deux noyaux rouges : l'entre-croise- ment dorsal de la calotte de Meynert (xM) (fontaineartigo IIa
e porte de plus en plus en arrière, à mesure que l'enlre-croisement dorsal de la calotte (xM) s'effectue, et lorsqu'il est
e sépare de la substance grise centrale et du faisceau longitudinal dorsal qu'elle contient. En avant, le Flp est séparé du
iniforme ou sensitif du butbe. .F<</, faisceau longitudinal dorsal . - Flp, faisceau longitudinal postérieur. ? fibre
t les grêles fascicules faiblement colorés du faisceau longitudinal dorsal (Fld), et le noyau d'origine du nerf moteur ocu
du pédoncule cérébral en une couche de lâches fascicules, la couche dorsale du pied du pédoncule ou stratum intermedium (St
juxta-restiforme. CI'st, corps restiforme. - fad, fibres arciformes dorsales du bulbe. - fana, fibres arciformes moyennes du b
fibres arciformes pnélrigé- minales (fpt). Les parties moyenne et dorsale de la calotte sont traversées par un autre syst
bres arciformes, le système des fibres arciformes moyennes (fam) et dorsales (fad). Elles se détachent pourla plupart du raphé
erdent dans les trabécules gris de la formation réticulée (SR). Les dorsales (fad) occupent la partie postérieure de la calott
stibulaire (iNVI11v). Ce sont les fibres arciformes ])1'0 (ondes ou dorsales (fad) et les fibres arciformes moyennes. Les fi
juxta-restiforme. - Crst, corps restiforme. - fad, fibres arciformes dorsales . - fas, fibres arciformes superficielles antéri
uxta-2,estifoî, ? te (Cj) ont donné naissance aux fibres arciformes dorsales ou profondes (fad). En avant du corps restiforme
juxta-restiforme. - Crst, corps restiforme. - {ad, fibres arciformes dorsales . - feo, feutrage extra-olivaire. - fio, feutrag
du quatrième ventricule et connu sous le nom de noyau postérieur ou dorsal du vague (Nxp). Il occupe l'aile grise du planc
noyau de l'hypoglosse (Nxii); l'aile grise, constituée par le noyau dorsal du vague ou pneumogastrique (Nxp) sous lequel o
croisent dans le raphé et sont les homologues des fibres arciformes dorsales ou profondes qui proviennent du noyau de Deiter
ucléaire de l'hypoglosse, et plus en dehors et en arrière, le noyau dorsal des nerfs mixtes (Nxi). Les fibres radi- culair
32 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
utôt portée en avant. La colonne vertébrale présente dans la région dorsale inférieure une légère scoliose dont la concavit
ayant les di- mensions d'une noix. Le pied droit en demi-flexion dorsale , les orteils légèrement fléchis, les métacarpie
ôté opposé. La voûte plantaire droite est exagérée. Les téguments dorsaux du pied gauche paralysé présentent un léger oedèm
malade assure qu'il eut toujours celle saillie anormale à la région dorsale des deux poignets. Ses parents interrogés s'acc
arrière, la première rangée des os du carpe est déviée en rotation dorsale . C'est l'altération plus importante qu'on renco
esubiuxa - tion de la première rangée des os du carpe avec rotation dorsale du semi- lunaire et du scaphoïde avec altératio
à la dévialion des os de l'avant-bras et spécialement au déplacement dorsal de la surface articulaire du radius autour d'un
ale et de la tête, cyphose dans les régions cervicale inférieure et dorsale supérieure en forme de courbe, dont les extrémi
es sur les premières vertèbres cervicales et les 4e et 3d vertèbres dorsales , la partie la plus convexe répondant aux 6-7" ver
e répondant aux 6-7" vertèbres cervicales et à la première vertèbre dorsale . Dans le but de démontrer que l'im- mobilité de
n. - Cyphose peu accentuée dans les régions cervicale inférieure et dorsale supérieure. La colonne vertébrale, dès les ver-
e et dorsale supérieure. La colonne vertébrale, dès les ver- tèbres dorsales supérieures, présente une ligne presque droite. L
st pâle et amaigri. Les viscères sont intacts. Cyphose de la région dorsale supérieure et cervi- cale inférieure : la lordo
ns l'aine. Sensibilité douloureuse objective de la seconde vertèbre dorsale et du sacrum ; la perception est con- servée ;
t de douleurs aux articulations des genoux, aux régions lombaire et dorsale , de l'impossibilité de redresser le dos et d'un
a musculature sont bien développés. Cyphose et ankylose des régions dorsale et lombaire de la colonne vertébrale. Le cou es
ont intactes. Pas de dépôt osseux. Douleurs aux régions lombaire et dorsale , aux articulations coxo-fémorales et,aux articula
apparaissent ([n'il l'occasion des mouvements aux régions lombaire, dorsale , aux omoplates, aux cuisses et aux muscles occipi
épuisé, il ne peut redresser le dos. Cypho-scoliose dans la région dorsale , immobilité complète de toute la colonne vertébra
intacts. Cyphose lt-courbe régulière, de grand rayon, de la partie dorsale de la colonne vertébrale. Lordose lombaire phys
La région cervicale de la colonne vertébrale est libre; les régions dorsale et lombaire de la colonne vertébrale se profile
en une ligne droite et. de cette manière, la cyphose physiologique dorsale et la lordose lombaire sont aplaties ; faible sco
et la lordose lombaire sont aplaties ; faible scoliose de la région dorsale inférieure ; aucune vertèbre n'est saillante. Les
ion. Immobilité absolue de la colonne ver- tébrale dans les régions dorsale et lombaire. Limitation des mouvements et bruit
il a un teint pâle Les viscères sont intacts. La cyphose de la région dorsale pré- sente une courbe régulière à grand rayon ;
colonne vertébrale et immobilité de cette deruière dans les régions dorsale et lombaire. Les deux bras ne peuvent se lever
e, faite par le prosecteur M. Voronine, sont les suivants : * Tabès dorsales . Pericarditis chr, adhaesiva, obliterati cavi per
. La courbe de la déviation de la colonne vertébrale dans la région dorsale est à grand rayon. La lordose de la région lomb
. Symptômes de la tuberculose pulmonaire. La cyphose de la par- tie dorsale de la colonne vertébrale forme une courbe réguliè
s, le corps penché en avant et du côté droit. Scoliose de la région dorsale . Immobilité de la région dorsale et lombaire du
côté droit. Scoliose de la région dorsale. Immobilité de la région dorsale et lombaire du rachis ; le cou reste libre. Limit
u sacrum ; ri- LA Sl'ONOYLOSE RHIZOMÉLIQUE 135 gidité des muscles dorsaux . Il s'agit dans ce cas de rhumatisme articulaire
s doit être expliqué par un affaiblissement de rigidité des muscles dorsaux . Sur les seize observations que nous venons de
long de la co- lonne vertébrale, et, après avoir atteint la région dorsale , s'arrête pour longtemps. C'est à ce moment pro
on du bassin. La colonne ver- tébrale dans ses parties cervicale et dorsale se soude avec la tête et les arti- culations de
and rayon. La déviation ne se trouve le plus souvent qu'à la partie dorsale (8 cas), ou bien elle siège à la partie cervica
ou bien elle siège à la partie cervicale inférieure et à la partie dorsale supé- rieure (3 cas) ; il existe parfois une cy
e supé- rieure (3 cas) ; il existe parfois une cyphose de la partie dorsale et lom- baire (1 cas). La configuration de la
e légère cypho-scoliose à convexité droite, de la 4e jusqu'à la 10e dorsale . Le malade s'aperçut de cette deforma- tion au
mène que nous venons de décrire, est bien évident sur toute la face dorsale de la main ; il disparaît vers l'articulation de
nts : « Tous les détails qu'on constate à l'état normal sur la face dorsale de la main, sont effacés ou, ont disparu et rem
méfaction fait disparaître tous les détails de structure de la face dorsale de la main... Cette rondeur de la face dorsale de
structure de la face dorsale de la main... Cette rondeur de la face dorsale delà main, lui donne un aspect potelé... on ne
t dans un cas d'atrophie vulgaire. La couleur de la peau de la face dorsale contribue aussi à lui donner ce cachet spécial,
les racines rachidiennes du côté droit, de la 4° cervicale à la 5e dorsale , inclusivement les 7e et Se racines cervicales
ale, inclusivement les 7e et Se racines cervicales ainsi que la lre dorsale paraissent avoir été moins atteintes par ce pro
voir le compte rendu de l'autopsie). Ont été extraites : la partie dorsale de la colonne vertébrale avec les côtes adjacen
RIERE, T. XXIV, PL.XXXV. FIG. 1. - Vue macroscopique de la partie dorsale de la colonne vertébrale avec les côtes adjacente
microscopiques, on voit que les ligaments jaunes, dans les parties dorsale inférieure et lombaire de la colonne ver- tébra
sés dans toute leur épaisseur d'un tissu compact ; dans les parties dorsales moyenne et supérieure, la couche compacte n'exist
5, (j et 7, PI. XXVI). luc. 4. Ligament jaune normal de la partie dorsale de la colonne vertébrale frai- chement disséqué
té- rieures ; pour l'analyse microscopique, une partie de la région dorsale de la colonne vertébrale a été sciée en deux pa
e est partout également faible : dans la région sacrée, lombaire et dorsale , cette dégénérescence est uniforme sur toute la
maladie se localise dans la partie cervicale du rachis, les parties dorsale et lombaire restent libres. Les vertèbres cervi
e porle sur quelques vertèbres; la tumeur en traversant les muscles dorsaux forme sur la colonne vertébrale des excroissances
parésie, légères atrophies des muscles dans les régions occipitale, dorsale et lombaire, des soubresauts et convulsions des
e la cage thoracique sont dus à la parésie des muscles cervicaux et dorsaux , consécutive à la dégénérescence des racines ne
s pris les ganglions rachidiens de toutes les ré- gions (cervicale, dorsale et lombo-sacrée) et par la lecture des coupes his
u limités, surtout ceux des supinateurs de l'avant-bras, la flexion dorsale de la main et l'opposition du pouce aux derniers
vice de M. Etienne). Attitude générale.-Inertie complète, décubitus dorsal , inclinaison du corps à gauche, traits figés ex
et hypothénar, des lomhricaux et interosseux. Sécheresse de la peau dorsale de la main. On- gles striés, déformés, cassés.
ns marquée qu'au mem- bre supérieur ; érythème purpurique à la face dorsale du pied droit. Sécheresse de la peau. Sensibi
lète en novembre 1883. A ce moment, la malade est dans le décubitus dorsal , elle ne peut se nourrir seule. On note alors :
r un terrain hysté- rique. Il est évident que l'anomalie du tabès dorsal spasmodique était précisé- ment la contracture
, coupes d'une moelle nor- mole, - aa' moelle cervicale. bb' région dorsale ; La moelle dorsale atrophiée est doublée d'une
e nor- mole, - aa' moelle cervicale. bb' région dorsale ; La moelle dorsale atrophiée est doublée d'une pachyméningile. - c
plus une pachyméningite développe son épaississement sur la moelle dorsale , du 2e au 11° segment. L'état atrophique est tr
ote qu'elle est très forte dans la région cervicale; dans la région dorsale , elle est extrême, mais ici il y a il compter a
ibres. Nous citerons les chiffres obtenus pour le quatrième segment dorsal , niveau où la moelle se présente atrophiée au m
onstater l'existence, dans l'étendue du premier jusqu'au 9e segment dorsal , d'une atrophie de la moelle s'exprimant par le
es faisceaux. Or cela n'existe pas dans notre cas. Dans la région dorsale de noire moelle, c'est-à-dire là où l'épaississem
paisses. La pachyméningite en effet ne se trouve que dans la région dorsale ; dans la région lombaire, il n'existe pas trace
au processus J.1aclJ)'tJléniugiti,]ue très développé dans la région dorsale en ce qui concerne la détermination d'une dimin
e de la moelle en cette région. Sur toute la hauteur de la moelle dorsale , en même temps que nous constations la pachymén
rovoqué la diminution maximale de la moelle épinière dans la région dorsale . Il ne semble pas utile de prolonger celte disc
violacées au froid; elles sont très gonflées, surtout sur leur face dorsale et certains soirs il fut nécessaire, pour désha
issis ; la peau est ridée au niveau du visage et du cou, de la face dorsale des mains des doigts et des pieds (mais le malade
présente l'aspect normal. La peau de la face palmaire et de la face dorsale de la main n'offre aucune altération. Elle est
le lit. On le trouve toujours couché dans son lit dans la position dorsale , ou assis dans son lit avec les jambes croisées.
33 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es unes et les autres' sont infiltrées de nombreux noyaux. Moelle dorsale (/i. i, 3 et 4). a) Moelle dorsale inférieure et
ées de nombreux noyaux. Moelle dorsale (/i. i, 3 et 4). a) Moelle dorsale inférieure et moyenne. - Les lésions sont plus
em.) UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE, il J Fig. 3. Moelle dorsale . Fig. i. Moelle dorsale. 12 1. CLINIQUE MEN
IE GÉNÉRALE JUVÉNILE, il J Fig. 3. Moelle dorsale. Fig. i. Moelle dorsale . 12 1. CLINIQUE MENTALE» , 1 .vers la périp
n de la lésion restent les mêmes dans toute la hauteur de la moelle dorsale inférieure et moyenne et semblent correspondre
Substance grise. - A l'étage tout à fait inférieur de la moelle 1 dorsale , l'une des cornes antérieures est très nettement
es, mais le plus grand nombre d'entre elles persistent. b) Moelle dorsale supérieure (fig. 5). A l'étage supérieur de la
oelle dorsale supérieure (fig. 5). A l'étage supérieur de la moelle dorsale , lorsque se constitue le cordon de Goll, la lésio
le ruban sain dont il vient d'être question. Cette Pig. 3. - Moelle dorsale . 14 CLINIQUE MENTALE.. bande malade naît en
7 7 étages, les coupes de la moelle lombaire, celles de la moelle dorsale inférieure et moyenne, donnent franchement l'illu
il s'agit dans ce cas d'une syringomyélie de la partie cervicale et dorsale supérieure de la moelle (anesthésie partielle e
s régions d'un même organe. Elle atteint son maximum dans la région dorsale supérieure ou cervicale inférieure; le fait a s
iangle que figure le cordon postérieur. Plus haut, dans la région dorsale , d'autres fibres échappent à l'altération. Cell
ons perdre de leur netteté, à mesure qu'on s'éloigne de la région dorsale . Et cela est vrai, non seulement pour le cordon p
ntraire, est augmentée de volume. Il en résulte que, dans la région dorsale et cervicale inférieure, la substance grise, si
grande majorité des cas, cette lésion a son maximum dans la région dorsale , qu'elle s'atténue en bas et surtout en haut de
ues, cette zone de dégénération souvent la plus accusée à la région dorsale . La preuve qu'il s'agit bien de la lésion de ce
t qu'elle ne se retrouve plus au-dessus et au- dessous de la région dorsale , c'est-à-dire partout où dispa- raissent les ce
urs. La lésion du fais- ceau pyramidal a son maximum dans la région dorsale , celle du cordon postérieur, à la région cervic
nés qui sont permanents consis- tent dans la tuméfaction de la face dorsale de la main, tumé- faction ayant probablement po
débute au niveau de la huitième racine cervicale et de la première dorsale , et se dirige vers les régions supérieures, il s'
e et en rendant très difficile l'immobi- lisation dans le décubitus dorsal , d'où urgence de porter remède à cette douleur.
d'une courte période de subconscience; plaie peu grave de la région dorsale avec quelques contusions aux membres. Après l'a
u à peu il se plaint de violentes douleurs au niveau des cicatrices dorsales et il se met à courber le tronc en avant pour a
rveuse. Attitude vicieuse du tronc déterminée par une hyperesthésie dorsale , ne pouvant s'expliquer que par l'hystérie. R.
, au niveau des 138 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. premières vertèbres dorsales , descendant jusqu'aux premières lombaires. L'
ntimètres au-dessus de l'ombilic et touchant la neu- vième vertèbre dorsale , anesthésie très accentuée. Elle occupe la paro
ôt l'enve- loppant en forme de manchon. Dans la partie cervicale et dorsale supérieure, le néoplasme n'occupe que la pie-mè
is- tingue que diffusément. Dans le segment cervical supérieur et dorsal moyen se trouvent des excavations intramédullaire
à parois épaisses, bien limitées. A partir de la dixième vertèbre dorsale , le néoplasme perce la dure-mère pour pénétrer
é réduit la lumière à une fente. A la hauteur des dernières racines dorsales (XI-YII) (fig. 8), toute la section ne paraît p
veuses dégéné- rées. Un peu plus haut, au niveau de la 11° racine dorsale , l'aspect de la coupe est le même, la dure-mère
spect de la coupe change subitement à la hauteur de la V111° racine dorsale : l'an- neau de la dure-mère est fermé; autour
s lésions sont un peu moins avancées à la hauteur de la VIIe racine dorsale . La néoformation méningée entoure la moelle com
dégénération ascendante très marquée. A la hauteur de la VIe racine dorsale (fin. 9) la coupe offre un aspect tout particul
mé. La cavité intramédullaire ne s'étend que jusqu'au IVO segment dorsal , et ses dimensions diminuent graduellement. Une c
us manifeste un peu plus haut. Ainsi à la hauteur de la IIIe racine dorsale l'endroit corres- pondant à la fente est occupé
é incomplètement, correspond au noyau du nerf hypoglosse. La partie dorsale de la coupe est détruite par le ramollissement;
tater qu'une lésion médullaire s'étendant depuis la neuvième racine dorsale jus- qu'au niveau des racines du plexus sacré (
le et a percé la paroi vertébrale. A partir de la neuvième racine dorsale , la néo-formation a épousé deux directions. La ma
lonne assez nettement limitée, occupant presque toute la ré- gion dorsale ; la colonne est creuse : on y voit une cavité à
elle est par exemple la face antérieure de la moelle dans la région dorsale supérieure. On y voit les éléments sarcoma- teu
-dire dans la partie supérieure en commençant de la huitième racine dorsale ). Cela s'explique jusqu'à un certain point par
core un prolongement central implanté comme une tige dans la moelle dorsale . Dans la région cervicale la sarcomatose n'est
e sont les cavités dont la moelle est creusée. Celle de la région dorsale est entourée de la néoformation sarcomateuse. A
on toute développée 184 . CLINIQUE NERVEUSE. (la sixième racine dorsale ), mais une étude des segments ter- minaux fait
minaux fait changer d'avis. Déjà à la hauteur de la huitième racine dorsale , c'est-à-dire à l'endroit où la néoformation se
atrophie musculaire progressive), de l'archineurone moteur (tabes dorsaux spasmodiques), des deux neurones moteurs simultan
ambe gauche et dans le tiers inférieur de la cuisse, dans la partie dorsale des deux mains et dans une zone étroite qui s'é
lysie vésicale subite, l'extension des troubles nerveux à la région dorsale . Il y a lieu, sans doute, de tenir compte, pour
iscrète au niveau de l'union de la moelle lom- baire avec la moelle dorsale , c'esl-à-dire au niveau de cette zone dite par
é la même modification du réflexe plantaire dans trois cas de tabes dorsal spasmodique. M. van Gehuchten croit pouvoir en
rait pas primer les autres considérations. A. Marie. LXXI. Du tabès dorsal ; par F. FISIIEII, (Occid. medic. Time, mars 189
ttention. Le bulbe est distendu par une tumeur qui a envahi sa face dorsale et empiété surtout à gauche. Cette tumeur d'asp
ires, depuis la région sacrée la plus inférieure, jusqu'à la région dorsale la plus supérieure, sont le siège des deux types
dach à la hauteur intermédiaire aux sixième et septièmes racines dorsales ; elle n'est visible que parle procédé de Marchi.
du cordon de Burdach (surtout à droite), depuis la deuxième racine dorsale jusqu'au noyau de Burdach. Lésions récentes, in
de forme arrondie, accompagnée d'immobilité complète, de la partie dorsale de la colonne vertébrale ; les mouvements de la
vèle actuellement sous forme de cyphose arrondie de toute la région dorsale et de la partie lombaire supérieure avec immobili
e avec fièvre. Mort le 14 février 1896. Diagnostic clinique : tabes dorsales . A1'autopsie on constate : urocystite gangreneu
tableau habituel du tabes, notamment (dans les régions lombaire et dorsale dela moelle) l'épaississement de la pie-mère, l
e et le tiers antérieur des cordons postérieurs. Dans les régions dorsale et lombaire, le canal central est un peu dilaté
elle et de ses enveloppes au niveau des onzième et douzième racines dorsales et première, deuxième et troisième sacrées, che
au latéral du tegmentum, il fléchit brusquement dans la direction dorsale et rejoint ici ses propres fibres qui s'étalent a
ibres directes) et continue son trajet, occupant toujours le sommet dorsal du ruban latéral. Dans la région des pédoncules
paire, où il se termine dans la subtance réticulaire entre le bord dorsal de l'olive et la racine de l'hypoglosse. Dans
isième côte ; il se manifeste une paralysie des muscles abdominaux, dorsaux et intercostaux (difficulté de la respiration e
qui s'étend du cône médullaire jusqu'au niveau du deuxième segment dorsal ; l'épaisseur de cet abcès n'est pas partout éga
seur de cet abcès n'est pas partout égale, ce qui donne à la moelle dorsale un aspect fusiforme, nettement aperçu à la surf
n'y remarque pas trace d'un processus inflammatoire. Dans la région dorsale de la moelle il y a myélite diffuse très pronon
représente donc l'origine du facial inférieur, tandis que la partie dorsale seule de ce noyau est l'origine du facial supér
n se raréfiant peu à peu jusqu'à la hauteur de la première racine dorsale Il semble que ses fibres se terminent dans la cor
égénérescence dépasse encore les limites antérieures dans la moelle dorsale et dans la moelle lombaire. P. Keraval. LXV bis
34 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
e interne dans l'hémisphère droit. A, région cervicale. — B, région dorsale . — G, région lombaire. On voit la sclérose descen
r le milieu de la milieu du renflement du renflement cervical. région dorsale . lombaire. qu'elle occupe le système des faisce
ord antéro-externe de la corne postérieure. (Fig. 39.) Dans la région dorsale , la partie sclérosée diminue progressivement de d
ngué à l'état normal) et qui rè-gne depuis le bulbe jusqu'à la moelle dorsale . C'est le faisceau de Turck ou faisceau pyramidal
ue la moitié supérieure du cordon médullaire; au-dessous de la région dorsale , les faisceaux cérébelleux s'épuisent, et, dans l
stérieur. En général, on peut les suivre jusqu'au milieu de la moelle dorsale ; mais cette disposition souffre de nombreuses ex
nsverse totale, et nous supposerons que celle-ci siège dans la région dorsale supérieure. Il y a à considérer, vous le savez,
endre leur origine dans les régions les plus supérieures de la moelle dorsale . En con-séquence, leur dégénération ne se produir
x direct, augmente Fig. 63.— A, Coupe de la moelle épinière (région dorsale supérieure). — B, Région cervicale. — F c, Faisce
transversale de la moelle épinière au niveau de la quatrième vertèbre dorsale . Toute la moitié droite de la moelle et toute l'é
détruites.— 2, Coupe de la moelle au niveau de la troisième vertèbre dorsale (sclérose des deux cordons postérieurs et des deu
lus que les deux cordons de Coll. — 4, Moelle au niveau de la sixième dorsale (dé-génération de tout le cordon antéro-latéral).
antéro-latéral). — 5, Plus bas, à la hauteur de la 7e ou 8e vertèbre dorsale , la dégénération du faisceau latéral droit est ac
ans, qui reçut un coup de couteau au niveau de la quatrième vertèbre dorsale . La moelle épiniôre, à ce niveau, fut interrompue
elles passent dans la commissure anté-rieure, surtout dans la région dorsale et gagnent le faisceau la-téral du côté opposé, p
u-tre dans divers points disséminés sur toute la hauteur de la région dorsale ; si j'insiste sur cette particularité, c'est que
re des fibres radiculaires postérieures qu'ils reçoivent. A la région dorsale , au contraire, les faisceaux médians l'empor-tent
ls la moelle avait été coupée en travers au niveau de la 12e vertèbre dorsale , contrairement à ce qui a lieu, en général, à la
i chez les mammifères), la section des faisceaux latéraux à la région dorsale — les faisceaux posté-rieurs et la substance gris
paralysie atrophique des muscles qui, normalement, opèrent la flexion dorsale du pied. La tonicité musculaire, d'une façon in
a contracture permanente ; hémiplégie, myélite par compression, tabès dorsal spasmodique. Sommaire. -- Relations des extrémi
ement dite. — Myélites-transverses. — Paraplégie spasmodique. — Tabès dorsal spasmodique. Messieurs, A de certains indices
mbler dans un groupe nosographique parti-culier, sous le nom de tabès dorsal spasmodique (1). Ainsi, le tabès dorsal spasmodiq
-culier, sous le nom de tabès dorsal spasmodique (1). Ainsi, le tabès dorsal spasmodique serait une maladie particulière, et l
ue entre autres. Mais je suis le premier à reconnaître que le tabès dorsal spasmodique, en tant qu'espèce nosographique dist
ique ne sont pas favorables à la doctrine de l'unité morbide du tabès dorsal spasmodique. En effet, quel-ques cas que j'avais
e tabès spasmodiquei SEIZIÈME LEÇON Myélites transverses et tabès dorsal spasmodique. Sommaire. — Myélites trans verses
spasmodique d'Erb). Formes lentes de la myélite transverse. Tabès dorsal spasmodique. — Théorie de Erb. Localisation spina
urni aucune preuve. — Diagnostic avec la sclérose en plaques. Tabès dorsal chez l'adulte et chez l'enfant, — Paralysie spasm
infan-tile. — Etiologie, pathogénie, autonomie nosographique du tabès dorsal . --Opinions et observations contradictoires. Me
puisqu'il s'agis-sait d'un état morbide particulier, le nom de tabès dorsal spasmodique, le terme de « paralysie spasmodique
être et a été en effet confondue avec celle que j'ai appelée le tabès dorsal spasmodique. Je veux parler de la sclérose en pla
es caractères assignés par M. Erb et par moi à ce que j'appelle tabès dorsal spasmodique, et où à Fautopsie, on avait rencontr
anatomiques suffisantes, l'existence nosographique autonome du tabès dorsal spasmodique n'est pas encore solidement établie,
contracture per-manente ; hémiplégie, myélite par compression, tabès dorsal spas-modique. Sommaire. — Relations des extrémi
rement dite. — Myélites transverses. —Paraplégie spasmodique. — Tabès dorsal spasmodique. 348 SEIZIÈME LEÇON. Myélites tra
al spasmodique. 348 SEIZIÈME LEÇON. Myélites transverses et tabès dorsal spasmodique. Sqmmaire. —Myélites trans verses e
spasmodique d'Erb). Formes lentes de la myélite transverse. Tabès dorsal spasmodique. —Théorie de Erb. Localisation spinal
urni aucune preuve. — Diagnostic avec la sclérose en plaques. Tabes dorsal chez l'adulte et chez reniant. — Paralysie spasmo
infan-tile. — Etiologie, pathogenic, autonomie nosographique du tabès dorsal .—¦ Opinions et observations contradictoires.. ¡..
de la —, 345 ; — dans la sclérose multiloculaire,359; — dans le tabès dorsal spasmodique, 365, 373 ; — Valeur séméiologique de
v. cellules géantes.) Rigidité des membres, 358 ; — dans le tabès dorsal spasmodique, 371. rolandique. (v. zone.) Ruban de
on des lésions, 46, 377. Système neuro-musculaire, 381. T Tabès dorsal spasmodtque, 359 ; — Théories du —, 368 ; — Diagn
35 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de Goll ; 2° sur une coupe faite à la partie moyenne de la région dorsale , on ne voit plus à l'oeil nu que l'altération de
épinière. Ces lésions sont surtout marquées au niveau de la région dorsale et de la partie inférieure de la région cervica
r la figure 5, qui correspond à l'extrémité inférieure de la région dorsale , la topographie des altérations est la même que
des coupes pratiquées à différentes hauteurs sur cette même région dorsale . On peut constater que la teinte rosée, corresp
plus prononcées et le plus diffuses (partie supérieure de la région dorsale et inférieure de la région cervicale), la parti
latéraux. Cette sclérose est surtout accusée au niveau de la partie dorsale supérieure et cervicale inférieure. Sur ce poin
s cependant la prédominance remarquable des altérations à la région dorsale , et l'intégrité des zones radiculaires au nivea
ombaire. Une sem- blable prédilection de la sclérose pour la partie dorsale de l'axe spinal n'est pas dans les habitudes du
, le début brusque de l'affection 1 F. Jubineau. Etude sur le tabès dorsal spasmodique (sclérose pri- mitive des faisceaux
froidissement, l'existence d'un foyer de ramollissement à la région dorsale , portent mal- gré tout à songer à une myélite a
et patlaol., 1877, p. 764. 62 PATHOLOGIE NERVEUSE. dans la région dorsale et s'accompagnant à ce niveau d'une atrophie de
te diffuse chronique envahisse une région de la moelle, la région dorsale par exemple, on conçoit qu'il puisse jouer là l
ent leur maximum d'intensité vers la partie supérieure de la région dorsale et dans le cordon latéral. Ce qui frappe, au pr
ériques, elles offrent un maximum entre la première et la troisième dorsales : ce fait est démontré par l'existence d'une dé
té du cordon de Goll. En second lieu, de la première à la troisième dorsale , il existe une lésion qui intéresse également l
iveau d'une coupe pratiquée vers la naissance de la troisième paire dorsale . Cette dégéné- rescence secondaire symétrique s
ire symétrique se poursuit jusqu'à la partie inférieure des régions dorsale et lombaire. Quant aux lésions qui occupent les
atéraux et postérieurs, leur maxi- mum est situé entre la troisième dorsale et la dernière cervi- cale. » FAUSSE SCLÉROSE
de de Westphal, comme chez la nôtre, c'est au niveau de la région dorsale supérieure et cervicale inférieure que la sclér
oll et aux faisceaux cérébelleux, tandis qu'au niveau des régions dorsale inférieure et lombaire, à la hauteur desquelles
r surtout en faveur de la nature diffuse des lésions de la région dorsale , dans le cas de Westphal, c'est l'irrégularité
sclérose des parties de la moelle sus et sous-jacentes aux régions dorsale supérieure et cer- vicale inférieure, elle se p
ux et pyramidaux. De plus, fait important, aux régions cervicale et dorsale le cordon de Tùrck était lésé du côté droit. Co
elettes exter- nes s'étaient en quelque sorte sommées à la région dorsale et allaient de là, en s'atténuant au-dessus et
é de la pie-mère. Fig. 4, 5, 6. - Coupes transversales de la région dorsale . pLANcnJ : (1 1 Fig 7, 8. - Coupe de la régio
la région dorsale. pLANcnJ : (1 1 Fig 7, 8. - Coupe de la région dorsale . a, Sclérose latérale. b, Sclérose du faiscea
e. b, Sclérose du faisceau de Burdach. Fig. 9. Coupe de la région dorsale . Nombreux vaisseaux coupés trans\ersalemen.t.
dans la gaine lymphatique. Fig. l ? Coupe verticale de la région dorsale passant par le seg- ment postérieur de la moell
rycoles ruminent debout ou assis; si on les place dans le décubitus dorsal , on arrête momentané- ment la rumination qui re
rfois mettent un obstacle à la rumination, par exemple le décubitus dorsal , (Cas. XXVII et suivantes), le repos absolu (OB
'appeler l'attention sur une manifestation trop peu connue du tabes dorsal . . C'est qu'en effet l'hémiatrophie de la langu
Langue. La moitié gauche de la langue est atrophiée. Sur la face dorsale de cet organe on voit des rides, des sillons de
roite. Enfin les bords de la langue peuvent se relever vers la face dorsale , afin de former, ce qu'on appelle vulgairement
alement intacte dans les muscles sui- vants : grand pectoral, grand dorsal , grand rond et petit rond, biceps. Avec un cour
ande comment, après tout, on peut envi- sager en nosologie le tabes dorsal ; s'il n'est pas, par exemple, unesimple localis
1881, p. 9-43. , Archives, t. VII. 16 si : H.2 REVUE CRITIQUE. dorsal , d'autres sont obligés de se mettre à genoux, de
ru après l'ap- plication de moxas au niveau des dernières vertèbres dorsales . Ischu- rie ; spasmes laryngés. , Maintenant,
artie iliaque gau- che et entre les troisième et huitième vertèbres dorsales , dont la compression peut arrêter la soi-disant
M. le professeur Fournier, faisant allusion à l'étiologie du tabes dorsal ataxique, écrivait ce qui suit : «Pour l'énorme m
de paraplégie consécutive à une spondylite de la dernière vertèbre dorsale , on pouvait à volonté provoquer le phéno- mène
ysées par M. Struempell. La lésion occupe, au début, dans la moelle dorsale deux étroites zones latérales symétriques, dans
érieures. On trouve égale- ment de très bonne heure, dans la moelle dorsale , une étroite bande de sclérose médiane de chaqu
ordons postérieurs sont affectés dans toute la hauteur de la moelle dorsale . A la moelle lombaire, l'altération débute touj
sion au niveau de la septième, vertèbre cervicale et de la première dorsale . L'autopsie décèle de la carie de la première d
la première dorsale. L'autopsie décèle de la carie de la première dorsale avec adhérence et exsudat caséeux de la dure-mère
ons supérieures de la moelle allongée, dans les régions cervicales, dorsales et lombaires de la moelle, présentent à la fois
s cordons, soit sur toute la coupe transversale de l'organe, (foyer dorsal ), à la fois les éléments de nouvelle for- matio
rculose généralisée. P. K. XXXIV. LE traitement galvanique DU tabès dorsal ET la réaction anormale des nerfs cutanés SENSI
'un siège analogue au côté gauche. 4° A la hauteur du huitième nerf dorsal on trouve dans la corne antérieure gauche des l
naire, 86 ? 352. Langue (de l'hémiatrophie de la- dans le tabes dorsal ataxique), par Ballet, 191 . Législation des
ladies du), par Féré, 224 ; (maladies du), par Ross, 394. Tabes dorsal (le traitement galva- nique du et la réaction a
é de la pie-mère. Fig. 4, 5, 6. - Coupes transversales de la région dorsale . 426 EXPLICATION DES PL4NCHES. PLANCHE Il F
XPLICATION DES PL4NCHES. PLANCHE Il Fig. 7, 8. Coupe de la région dorsale . a, Sclérose latérale. b, Sclérose du faiscea
e. b, Sclérose du faisceau de Burdach. Fig. 9. Coupe de la région dorsale Nombreux vaisseaux coupés transversalement. F
dans la gaine lymphatique. Fig. 14. Coupe verticale de la région dorsale passant par le seg- ment postérieur de la moell
36 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
et mutilations persistantes produites par la maladie de Morvan (face dorsale ). gauche (4 cent, à gauche, 4 cent. 3/4 à droit
e, on constate à la vue une saillie en dos de fourchette de la région dorsale du poignet, d'ailleurs peu accentuée. En avant, a
oute l'étendue de la main, à sa face palmaire aussi bien qu'à sa face dorsale . Mais si l'on poussait plus loin les investigatio
gésie absolue correspondant à peu près à l'étendue qui sépare l'épine dorsale de l'omoplate du côté droit ; 3° deux zones hysté
ois. Une fenêtre est pratiquée dans l'appareil au niveau de la face dorsale , afin d'appliquer des pointes de feu de temps en
me de beaucoup supérieur à la gauche. Les doigts, la main sur sa face dorsale , le poignet sont d'une coloration violacée, parse
veau des articulations des phalanges ; la peau à ce niveau, à la face dorsale , forme un bourrelet très accusé, de coloration pl
assez vive et que la main se fût mise à gonfler, au niveau de la face dorsale . Une ecchymose violette apparut et la gêne des mo
inaire (attelles de bois et bandes de toile) et fit sur la ré- gion dorsale du.poignet et le dos de la main des pointes de fe
'écharpe était encore en place. La main est assez déformée. La face dorsale est le siège d'un gonflement notable, dû à une so
use à la partie antérieure de la jambe, en dehors du tibia, à la face dorsale du pied. Trouble de la sensibilité également à la
ibilité très obtuse à la partie antéro-externe de la jambe, à la face dorsale du pied et surtout au gros orteil. Affaiblissemen
mmence. Les faces interne et externe du pied sont respectées, la face dorsale proprement dite seule est insensible ainsi que le
oureuses à la pression sont les points fessier, poplité, malléolaire, dorsal du pied, plantc.ire, Il existe des fourmillemen
aque, fessier, points fémoraux, point poplité, trajet péronier, point dorsal du pied et point plantaire. La pression en masse
d, — le malade est complètement anesthé-sique, aussi bien sur la face dorsale que sur la face plantaire. Fig. 33. — Rétréciss
On observe un empâtement oedémateux autour des mollets et sur la face dorsale du pied. Examen électrique.— Examen faradique a
ées aux points trochantérien, poplité, péronier, malléolaire externe, dorsal du pied. Peu à peu l'impotence et l'amaigrissemen
à vous signaler qu'une petite plaque de dysesthésie occupant la face dorsale du pied. Enfin, la vessie et le rectum ne sont nu
t extenseur, qui est faiblement excitable fara-diquement. Interosseux dorsaux : contraction avec le maximum du courant faradique
*réaction. Sur un cas de paralysie radieulaire de la première paire dorsale ; Avec lésion hémilatérale de la moelle, d'origi
oduite par la blessure ancienne. Au-dessus, l'apophyse de la première dorsale se dévie un peu à droite, puis l'apophyse de la d
ière dorsale se dévie un peu à droite, puis l'apophyse de la deuxième dorsale se reporte sur le plan médian, ou du moins s'en é
à peine vers la droite. Enfin, de la troisième à la neuvième vertèbre dorsale se développe une courbure scoliotique régulière à
à l'heure se transformer comme par enchantement. La première paire dorsale contient des fibres ner- tache à une altération
sez-moi imaginer que la lésion originelle porte sur la première paire dorsale , d'où ce nerf émane, et veuses qui sont destiné
nous a présentés. Admettez que cette lésion porte sur le premier nerf dorsal , et vous vous expliquez à merveille non seulement
En effet, parmi les rameaux nerveux qui émanent de la première paire dorsale , il en est un qui appartient au grand sympathique
du globe de l'œil. Or, ces filets nerveux n'accompagnent la première dorsale , en dehors du trou de conjugaison, que dans un tr
éristique non seulement d'une lésion radiculaire de la première paire dorsale , mais encore d'une lésion portant sur cette paire
nerveuse au niveau du trou de conjugaison, entre la première vertèbre dorsale et la deuxième ou dans son immédiat voisinage. Se
la moelle, frapper le corps de la première ou de la deuxième vertèbre dorsale . Là s'est produit par la suite un travail d'irrit
u de conjugaison s'était par là même effacé, écrasant le premier nerf dorsal . Il nous est facile d'expliquer aussi, dans cette
n peut admettre que l'affaissement d'une des deux premières vertèbres dorsales dans leur moitié droite a incliné le rachis de ce
re au-dessous; de là, cette scoliose à convexité droite de la colonne dorsale . Eh bien, Messieurs, la discussion n'a pas été
pophyses épineuses, depuis la quatrième cervicale jusqu'à la deuxième dorsale . Désinsertion des muscles sur la partie latérale
des lames dénudées, depuis la cinquième cervicalejusqu'à la deuxième dorsale . Au niveau de la septième cervicale et de la prem
euxième dorsale. Au niveau de la septième cervicale et de la première dorsale , rugosités irrégulières contrastant avec le poli
vertébrales précédentes; elles sont marquées surtout sur la première dorsale . Tentatives de section de ces lames avec de forte
sur le tissu éburné. Trépanation de la lame vertébrale de la première dorsale et de la septième cervicale. LTéchancrure ainsi
t exactement les caractères extérieurs de ce qu'on a appelé la tumeur dorsale du carpe. Enfin deux doigts portent les cicatri
al qui répond à ce que l'on désigne en clinique sous le nom de tumeur dorsale du carpe. Il n'y a rien de tout cela dans l'acrom
oupe à la région cervicale inférieure. Fig- Si. — Coupe à la région dorsale . Fig. Sï. — Coupe à la région lombaire supérieu
308 XVI. Sur un cas de paralysie radiculaire de la première paire dorsale , avec lésion hémilatérale de la moelle, d'origine
alomyélite), 187, 201, 208. P Pachyméningite gommeuse, 374. Paire dorsale : distribution des filets émanés de la première
de la —, 336 ; Hémiplégie spasmodique simple dans la — , 358; Tumeur dorsale du carpe dans la — 360 ; Chiro-mégalie dans la —,
tentionnel, 50. Trépanation de la colonne vertébrale, 347. Tumeur dorsale du carpe dans la syringomyélie, 357, 360. u U
37 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
rfs destinés à l'éminence hypothénar passent par la première racine dorsale . Or cette racine est intacte dans l'observation
mais à l'intégrité du groupe cellulaire externe du premier segment dorsal , conséquence importante qui permet de se servir
l n'y a pas de scoliose,tout au plus existe-l-il une légère cyphose dorsale . La tête est un peu inclinée vers l'épaule droite
e Bra- chial Antérieur; à la Vle cervicale, le Grand Rond, le Grand Dorsal , le Grand Pectoral, le Biceps, le Grand Dentelé
uteur fait d'ailleurs aussi participer la VIlle cervicale et la Ire dorsale à l'innervation du Grand et du Petit Pectoral.
bleau ainsi : sont atrophiés les muscles innervés par la Ire racine dorsale , la VILLE racine cervicale, la VIIe racine cerv
'est-il pas innervé par la Virile racine cervicale et la Ire racine dorsale ? La disposition segmentaire parait donc ici se c
USCULAIRES MYÉLOPATHIQUES 25 cependant d'une part les muscles Grand Dorsal et Grand Pectoral reçoivent des filets des vue
euve. Au contraire, les muscles superficiels du dos (trapèze, grand dorsal , rhomboïde, dentelés), sont beaucoup mieux cons
une observation de Cénos et Douillet, le père a eu la myotro- phie dorsale et ses deux fils la myopathie), en d'autres terme
n outre, une zone d'hypoesthésie le long du bord externe de la face dorsale de chaque pied. Depuis lors, l'état de D... n'a
sie, qui côtoie le bord Fig. : 3. 88 RAYMOND externe de la face dorsale de chaque pied (Fig. 3). La sensibililé tactile e
on anormale, au niveau des apophyses épineuses de la 12e ver- tèbre dorsale (l'apophyse épineuse de cette vertèbre correspond
siégeant au niveau des apophyses épineuses de la douzième vertèbre dorsale , des première et deuxième vertèbres lom- baires
otalité que l'omoplate opposée. Il existe enfin une légère scoliose dorsale , située au niveau des 6e, 7"' et 88 vertèbres,
stérieure est élar- gie, formée par les muscles grand rond et grand dorsal qui paraissent hyper- trophiés.La figure photog
DES MUSCLES GRAND ET PETIT PECTORAL 135 Les autres muscles : grand dorsal ,grand rond,trapèze,del toïde, lori 0 -Lie portion
supérieur, due à la suppléance des muscles deltoïde, trapèze, grand dorsal , etc. (dont l'hypertrophie a été relevée dans u
sule interne). Le professeur von Strümpell a publié un cas de tabes dorsal spasmodi- due pur avec conformation anatomique
ninge. Meningo-encéphalocèle. B. Face palmaire des mains. C. Face dorsale des mains. (Ha1lsbl11ler et l3rinrel). MONSTR
men anatomique. Douze ganglions ont été examinés : quatre ganglions dorsaux ,-sept ganglions lombaires essacrés, un ganglion c
rt, le picrocarmin, l'éosine et l'hématoxyline. Le premier ganglion dorsal et le sixième cervical ont été débités en coupe
tifs jeunes. Méningite. Fig. 3. - Mollis... (Observ. I). - 4 Racine dorsale . Coupe transversale, immédiatement au-dessus du
rations inflammatoires. Fig. 4. Mollis... (Observ. I). - Il- Racine dorsale . Coupe transversale, immédiate- ment au-dessous
Les racines antérieures sont saines. L'examen du premier ganglion dorsal coupé perpendiculairement et en série, et color
que. Nous avons examiné environ 18 ganglions, dont 8 pour la région dorsale , 6 pour la région cervicale, 4 pour la région lom
rvicale, 4 pour la région lombaire. Tous les ganglions de la région dorsale ont été colorés en masse au picro- carmin après
hyme ganglionnaire. I. Topographie DES lésions radiculaires. Région dorsale infé- rieure. - L'atrophie des racines postérie
s leur parcours juxta-ganglionnaire absolu- ment normales. Région dorsale moyenne. - L'atrophie des racines postérieures ex
éminent. Les racines antérieures restent partout intactes. Région dorsale supérieure. - Les coupes longitudinales du 2e gan
gion dorsale supérieure. - Les coupes longitudinales du 2e ganglion dorsal permettent de voir les racines postérieures à la
orte sur leurs différents feuillets. A ce point de vue la 3° racine dorsale est normale au voisinage du ganglion. Ce n'est qu
ucun corps granuleux. D'une façon générale, aux régions lombaire et dorsale , l'atrophie des racines postérieures se poursui
res normaux, ainsi qu'en témoigne notamment l'examen du 2* ganglion dorsal . Le degré d'atrophie des fibres radiculaires va
outefois à l'inverse de ce qui semble la règle, les love-11 racines dorsales sont plus atteintes au voi- sinage immédiat du
s altérations du parenchyme ganglionnaire n'existent qu'aux régions dorsale et lombaire. Elles sont aux différents niveaux
, etc. Examen anatomique. - Cet examen a porté sur quatre ganglions dorsaux , deux ganglions lombaires, trois ganglions sacr
l'hématéine. Les lésions que nous avons trouvées sur les ganglions dorsaux , lombaires et sacrés sont très comparables entr
° sacré droit ; 1er, 3 ? 4° lombaires droits ; 3°, S', 8e, 11 ? 12' dorsaux droits, et le 68 cervical. Le durcissement a ét
s, etc.. Rien à noter du côté du parenchyme ganglionnaire. Région dorsale . - Etudiés d'après les coupes longitudinales des
udiés d'après les coupes longitudinales des 1 ? 3°, o°, 1 le et 12" dorsales , le ganglion et les racines postérieures ne prése
ut-être un peu d'épaississement de leurs capsules. Le 81 ganglion dorsal nous a permis d'observer des altérations de même
on par la méthode de Pal. (Zeiss Obj. 0 var, Oc. 1.) A. - 8e racine dorsale . Coupe transversale au-dessus du ganglion (portio
s caractères sur le trajet des racines postérieures du 10r ganglion dorsal . Sur ce ganglion coupé longitudinalement on peut
t en 1001. Examen anatomique. Cet examen a porté sur cinq ganglions dorsaux coupés perpendiculairement à l'axe et en série,
Les racines antérieures sont saines. Sur les coupes de la 8° racine dorsale , on voit très nettement des fascicules envahis
ec les racines correspon- dantes, ont été examinés : deux ganglions dorsaux et deux ganglions lombaires. Coloration par la
atrophiée dans son trajet sous-arachnoïdien, mais sur la 6° racine dorsale , l'atrophie di- minue et disparaît en remontant
s à leur périphérie d'altération netle de périnévrite. La 7° racine dorsale est très dissociée et creusée par une cavité co
3 ganglions suivants : 2e et 3e Lombaires (ganglion bilobé) ; 1,10 dorsal . LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TABE
effort apparent, la position indiquée par M. Babinski, du décubitus dorsal , les cuisses fléchies sur le bassin, les jambes
double courbure latérale, concave à droite, au niveau de sa portion dorsale supérieure, et concave à gauche dans la portion
fil de deux parkinsoniens, montrant chez tous les deux, une cyphose dorsale supérieure, très nette chez la première malade,
'existence d'une cyphose, intéressant toute l'étendue de la colonne dorsale , est évidente. Voici maintenant, nos cas person
équinisme, tassés d'avant en arrière, avec proéminence de la partie dorsale . Tous les orteils sont en hyperextension avec sai
ins atteint son maximum. A cette époque, se montrent, sur la face dorsale des deux poignets, deux tu- meurs arrondies, du
e vue entre ceux-ci et ceux-là. Prenons pour exemple le 8" ganglion dorsal de notre obs. VI; nous avons constaté sur le tr
mesurait 21/2 centimètres de moins qu'à droite. Dans le décubitus dorsal , la malade exécutait facilement, avec ses membres
trouve l'anesthésie à la plante, et à la partie externe de la. face dorsale . L'anesthésie, complète à la fesse, va en dimin
esthésie se retrouve à la plante, et à la partie externe de la face dorsale du pied. Elle s'étend à la muqueuse de l'urèthr
avec participation de la plante et de la partie externe de la face dorsale du pied. Celle circonscription unilatérale de l
re bien moins prononcée. Lorsque le malade, placé dans le décubitus dorsal , après avoir fléchi la cuisse sur le bassin et
se. Fig. 2. - Coupe de la pie-mère spinale au niveau de la 2 racine dorsale (entrée du sillon antérieur). Hématoxyline et é
n. · Fig. 3. Coupe de la pie-mère spinale au niveau de la 2e racine dorsale (région antéro-latérale). Hématoxyline et éosin
ées dans les racines antérieures médullaires au niveau de la région dorsale supérieure, nous sommes amenés à conclure que l
dans les racines antérieures des régions cer- vicales inférieure et dorsale supérieure, en particulier dans la 1 ra dorsale.
vicales inférieure et dorsale supérieure, en particulier dans la 1 ra dorsale . Il nous reste maintenant à nous occuper des sy
en plus nombreux au sur et à mesure que l'on s'avance de la partion dorsale vers la portion ventrale du pont de varole. C
rceptibles à la palpation. La colonne vertébrale, dans sa portion dorsale , est courbée vers la droite, au niveau de la 3e
le, est courbée vers la droite, au niveau de la 3e à la 6' vertèbre dorsale . Elle est un peu courbée en arrière. Les épaule
ratiquée le 24 septembre 1896). Longueur du corps dans le décubitus dorsal : 2 m. 02. Poids : 74 kilogrammes. Cerveau : po
38 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
e sommet correspond à peu près de la septième à la dixième vertèbre dorsale ; il semble qu'à ce niveau, il y ait une inclinai
ée aux différents niveaux (renflements cervical et lombaire, moelle dorsale ) paraît tout à fait saine : les grandes cellule
mmobilité totale ou partielle de la colonne vertébrale ; 2) cyphose dorsale à grand rayon, dans le territoire de laquelle s
Marie et Dobrovitch) (3), une soudure presque totale de la colonne dorsale , avec ossification des disques intervertébraux et
l'effacement de la courbure lombaire et de la rectitude de l'épine dorsale soudée. Leur profit est tout à l'ait caractéris
ux racines du plexus brachial, du 4e segment cervical au leur segment dorsal inclusivement, et de quelques segments de la mo
t asynergiquement des deux côtés. Le malade étant dans le décubitus dorsal , si on lui fait porter le talon d'un côté sur le
ET 77 transversalement, celles surtout de la moelle lombo-sacrée et dorsale inférieure contiennent un grand nombre de fibre
perceptible et se limite à la moelle lombo-sacrée ; dans la moelle dorsale et cervicale les cordons latéraux ont un aspect t
ct tout à fait normal. Au niveau de Ll et des coupes de la région dorsale les cellules de la colonne de Clarke sont abond
d et en position équine et en adduction légère, avec légère flexion dorsale permanente des premières pha- langes des orteil
olument inextensible qui fixe le pied en équin, s'oppose à la flexion dorsale et permet seulement des légers mouvements d'abd
sieurs autres fragments prélevés à différentes hauteurs des régions dorsale et cervicale,sur le bulbe et la protubérance à di
lite (PI. XXVIII). La corne gauche cependant semble, dans la région dorsale , un peu plus petite que la droite, mais cette d
hyperplasie ou de sclérose du tissu interstitiel. Dans les segments dorsaux et cervicaux les cordons antéro-latéraux sont b
ure légère et entraînent la position du pied en valgus avec flexion dorsale du gros orteil ; exagération légère du réflexe
n supérieure du bras. La couleur est blanchâtre, sauf sur la région dorsale de l'avant-bras qui est rou-' geâtre, recouvert
nt par empâtement effaçant tous les reliefs du membre ; à la région dorsale de la main, l'oedème donne l'aspect à pleine pe
certains troubles oculo-pupillaires observés parfois dans le tabes dorsal , dégénérescence du protoneurone cen- tripète ;
ur, lardacé, blanc et froid quand la malade était dans le décubitus dorsal . Chez la petite malade de Rapin le début a été
erine qui presque sans pli passe de la région cervicale à la région dorsale . L'infiltration par son abondance ne permet ni
s ce dernier l'infiltration se localise avec prédilectiou à la face dorsale des' pieds et des mains. On a de plus décrit da
ervicale. La superficie interne de ces membres (innervée par la 1'" dorsale ) restait insensible. Mais le retour de la sensi
s molles présentent de la congestion et de la diapédèse. . Région dorsale . -A la région supérieure on trouve les mêmes lési
au processus. Ces lésions existent à tous les niveaux de la moelle dorsale ; elles dimi- nuent d'intensité vers la région
hez les garçons. ' La force musculaire est diminuée dans la flexion dorsale du pied, conservée dans la flexion plantaire, u
'atrophie apparente des muscles de la masse sacro- lombaire et long dorsal ; mais elle n'en est pas moins probable, car leur
nvexité droite très prononcée se manifeste dès la première vertèbre dorsale , elle devient intense dès la 5e ou 6e vertèbre et
devient intense dès la 5e ou 6e vertèbre et occupe toute la colonne dorsale . Par compensation, la hanche gauche est très re
tation pyrami- dale qui peut fort bien siéger à la région cervicale dorsale . La parésie du bras droit avec diminution des r
moelle cervicale et peut-être à la partie supé- rieure de la moelle dorsale ; aucun phénomène n'indique qu'elles descen- de
tre malade. Rappelons que chez F... il existe une énorme scoliose dorsale à convexité droite ; nous ne reviendrons pas su
en visibles sur les photographies ci-jointes (Pl. XLIX). Le siège dorsal de la scoliose à convexité regardant le côté le p
ulté qu'il éprouve à respirer; néanmoins on constate que la colonne dorsale , surtout au niveau des parties les plus saillante
erverté- braux sont très peu distincts surtout entre la 5e et la 8e dorsale ; il n'y a pas d'hypertrophie vertébrale, pas d
t-à- dire un trouble trophique véritablement primitif de la colonne dorsale . L'arthropathie que présente F..., au niveau de
cubitus. 298 KLIPPEL ET BOUCUET supinateur pour arriver à la face dorsale de la région représentant le carpe, où elle dev
dans le fond de cet interstice, puis s'éparpille aussitôt à la face dorsale de ce qui représente le poignet et la main, s'att
itiés sont parfaitement égales dans toute la hauteur de la ré- gion dorsale . Mais, au niveau du renflement dorso-lombaire, on
y a pas de lombricaux, mais il y a deux interosseux palmaires et un dorsal . Membre supérieur gauche : Les muscles du bras
ndon le plus externe fournit deux faisceaux, dont l'un va à la face dorsale du pouce jusqu'à la 1re phalange, ce qui est no
angulaire, en bas, au premier os de la bran- che interne. La face dorsale de ce carpe est recouverte par des tractus fibreu
ayant tendance à contracter des connexions de suppléance. A la face dorsale , les muscles long supinateur, radiaux, long abduc
ARTOM On notait une cyphose de la colonne vertébrale dans la région dorsale . Au point de vue de la sensibilité, sur le memb
la face posté- rieure de la moelle ; dans les régions cervicale et dorsale , les méninges parais- sent épaissies. La sect
à s'ouvrir directement à la périphé- rie du côté droit. A la région dorsale , la cavité s'agrandit encore, et la moelle est
ment plus large à droite qu'à gauche. Au niveau de la IVe tranche dorsale , la cavité s'atténue rapidement et se termine p
e par la cavité et à la pro- lifération épithéliale. Dans la région dorsale supérieure, le canal s'ouvre dans la cavité don
ndymaire ; il réapparaît normal à la partie inférieure de la moelle dorsale . La paroi de la cavité syringomyélique est tapi
sont par la cavité ou par la gliose juxta-cavitaire. Dans la moelle dorsale inférieure, les cornes postérieures réapparaissen
eaux antérieurs et latéraux augmente de haut en bas, et à la région dorsale , il ne persiste au niveau des cordons latéraux qu
marquée. Peau. La peau de la paume de la main droite et de la face dorsale est épaissie d'une manière régulière, sans call
'elle s'étend d depuis le IVe segment cervical jusqu'au IXe segment dorsal . Les troubles moteurs aussi bien que les troubl
tie les cornes antérieures. La cavité disparaît au niveau de la VIe dorsale , pour réapparaître au-dessous et se terminer dé
pour réapparaître au-dessous et se terminer définitivement à la IX" dorsale . Les racines postérieures con- tiennent un cert
- ques. 1 Le revêtement cutané était modifié aussi bien à la face dorsale qu'à la face palmaire et l'étude histologique n
masse qui com- mence à se différencier du tissu voisin. b) Grand dorsal et grand rond, forme une masse analogue. a et b
repère supérieur étant l'acromion). Le rachis présente une cyphose dorsale et une lordose lombaire. Membres supérieurs :
présente une grande courbure cyphotique dans la région cervicale et dorsale . Le genou droit est très gros, le gauche l'est
éro-postérieur du cou sous l'apophyse mastoïde, un point de l'épine dorsale à la base de l'attache du cou, et la partie int
même, la tête directe, mais le cou raidi, la nuque tirée vers l'épine dorsale , la base du cou chassée en avant comprimant que
raction légère, non voulue, tantôt la joue gauche, tantôt la partie dorsale des trapèzes, tantôt les mollets, tantôt la lan
MM. Parhon et Papinian de leur côté ont conclu que, dans le groupe dorsal des cellules du noyau de la sep- tième paire, o
ralysie faciale on voit que les auteurs ne parlent pas de la partie dorsale du noyau de la IIIe paire. Dans le cas publié p
istait une atrophie bien marquée du noyau placé dans une excavation dorsale du faisceau longitu- dinal postérieur, au nivea
39 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
E. - . Paraplégie spasmodique dans un cas de compr de la moelle dorsale équivalant à une secti , Par E. BRISSAUD, 1 .
nt liés à un mal de Pott. PARAPLÉGIE SPASMODIQUE. 5 La gibbosité ( dorsale inférieure) apparut alors que D... avait enviro
mes parmi les cachectiques de la salle. En résumé, un mal de Pott dorsal inférieur a donné lieu, chez le sujet, trois fo
e. Autopsie. Rachis et moelle épinière. Au niveau de la gibbosité dorsale les lames vertébrales plus ou moins soudées entre
n angle de 43° répondant aux septième, huitième, neuvième vertèbres dorsales . Les corps de ces vertèbres sont en grande part
yméningite augmente de haut en bas, atteint son maximum à la région dorsale infé- rieure et s'atténue pour disparaître au-d
amen histologique. Au niveau de la plus forte compression (S' paire dorsale ), la moelle est extraordinairement réduite de v
moitié postérieure reste très amincie. Au niveau de la 1 le paire dorsale toute la partie antérieure de la moelle tend à
. Les cornes antérieures (toujours au-dessous de la onzième paire dorsale ), contiennent des cellules normales et en nombre
coupe pratiquée au niveau de l'émergence de la 12° paire de racines dorsales est normale en grandeur et en disposition génér
la lésion, la moelle demeure longtemps très aplatie. Le 3e segment dorsal présente, avec seulement un peu moins d'intensi
r sa moitié antérieure. PARAPLÉGIE SPASMODIQUE. '13 Le 4e segment dorsal donne une coupe assez réduite et aplatie. Les f
. Les racines sont normales. A la hauteur de la 2° paire de racines dorsales , la dégénération des faisceaux pyramidaux tend
persister dans les cas de destruction lente d'un segment de moelle dorsale , où les 14 il CLTNIQUE-NERYEUSE. cornes antér
pli de sang fluide en dehors de la dure-mère, au niveau des régions dorsale et lombaire. Le cer- veau et la moelle paraisse
thénars, avec intégrité de la sensibilité. M. il. XXIX. Du tabes dorsal ; par Cii. DAUA. (New-Yol ? Médical Record, 18 n
e foyer doit aller du cinquième segment cervical au premier segment dorsal inclusivement, étant donné les muscles frap- pé
inte des segments cervicaux 5 à 8, et, peut-être du premier segment dorsal ; l'altération des réflexes patellaires abdominaux
ficulté à s'asseoir éprouvée par certains malades dans le décubitus dorsal , il y a plus que le signe de Kernig et plus qu'
in et des doigts, la sensibilité est normale, ainsi que sur la face dorsale des doigts (fig. 12). Le champ visuel est rétréci
gitudinal il se localise au-dessus de la deuxième paire radiculaire dorsale avec maximum à la hauteur des premières paires
ion lombaire. Ici la moelle resterait sans modification. La portion dorsale se raccourcit plus chez l'homme vivant que chez
e, celle qui est comprise entre le sommet de l'épaule et la portion dorsale comprise entre l'épaule et les talons. Le table
u « réflexe fémoral » par trouble de la conductibilité de la moelle dorsale ; par E. HEMAK. ! NclI1'olo,r¡isehes Cent1'ululatt
quatre ans, atteint de myélite transverse au-dessous de la septième dorsale . L'excitation d'une certaine zone (voy. Neurol. C
teur d'une gibbosilé au niveau des troisième et quatrième vertèbres dorsales . Les bras sont intacts, les jambes parésiées :
tiers. L'excitation de la plante du pied provoque encore la flexion dorsale du -pouce et l'extension des orteils. REVUE D'A
es par Babinsky. Il semble qu'une lésion au niveau de la hui- tième dorsale , plutôt plus bas, détermine le réflexe fémoral so
le lombo-sacrée, depuis la par- tie la plus inférieure de la moelle dorsale jusqu'à la partie moyenne de la moelle sacrée :
inférieure de la moelle sacrée, monte, à droite, jusqu'à la moelle dorsale supérieure, à gauche, jusqu'à la moelle cervica
cro-lombaire cesse, en apparence, à la substauce grise de la moelle dorsale supérieure et de la molle cervicale, d'autres l
bres de ce cordon se continuent avec le faisceau latéro-cérébelleux dorsal jusque dans le bulbe, ainsi que le montre un ca
, qui subit la dégénérescence ascendante, se termine dans la moelle dorsale supérieure et dans la moelle cervicale, tandis
t à une myélite aiguë, siégant il la partie supérieure de la moelle dorsale au niveau des cinquième et sixième paires nerve
moelle dorsale au niveau des cinquième et sixième paires nerveuses dorsales . Les pièces, traitées par la méthode de Marchi,
é en descendant. Au niveau de la partie la plus élevée de la moelle dorsale , la dégéné- rescence ascendante du cordon posté
ostérieurs relativement récente. A la hau- teur du septième segment dorsal de la moelle, l'artère centrale, qui côtoie le
38 REVUE D ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. trième segment dorsal . Cet amas dessine un bouton transversale- ment
inution de volume de la moëlle dans les 2/3 supérieurs de la région dorsale . R. C. XX. Contribution à l'étude de l'hypertri
s premier, second, troisième seg- ments cervicaux, douzième segment dorsal , chez 6 lapins. Kxamen des pièces par les métho
e, Louis se plaint des reins qui se sont coupés en deux, de l'épine dorsale qui s'est cassée; il exécute quelques mouvement
ême maladie; il en sera de même sans doute prochaine- ment du tabes dorsal et de la démence paralytique (symptômes analogu
é dans la moitié droite du corps au-dessous de la septième vertèbre dorsale , la région fessière exceptée. Légère hypoesthés
crite. Les lésions semblent avoir été confinées d'abord à la moelle dorsale pour s'étendre ensuite progressivement. Recherc
du sopha et dont l'autre était restée dans la quatrième ver- tèbre dorsale . J'ai conservé ces deux balles comme souvenir att
s racines postérieures qui paraissent dégénérées, et dans la moelle dorsale supérieure et dans la moelle cervicale. n'y a pas
nérescence depuis la moelle lombaire supérieure jus- qu'à la moelle dorsale supérieure. Dans la moelle dorsale supérieure,
e supérieure jus- qu'à la moelle dorsale supérieure. Dans la moelle dorsale supérieure, la décoloration commence tout près
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 315 bilité pilaire sont dans le tabes dorsal et la spondylite plus fré- quents que dans les
de zones tricho-anesthésiques au niveau du mamelon et des vertèbres dorsales . 11 existe une tri- cho-anesthésie périodique d
ffuses des fibres nerveuses, oedème de la névroglie. Dans la région dorsale moyenne, on voit s'enfoncer dans la substance m
OGIE NERVEUSE. pas du tout nécessaire que la main vienne en flexion dorsale , pour que se produise la flexion de l'avant-bra
infantile cérébrale et l'idiotie simple. P. Keraval. LXIX. Tabes dorsal chez les enfants, avec quelques remarques sur l
endineux, mais bien des fibres supérieures et horizontales du grand dorsal . Eh bien, lorsqu'on frappe là, le mouvement du
ue l'intégrité du rameau commu- nicant qui va de la première racine dorsale au grand sympathique. Les raideurs articulaires
En résumé, l'ataxie aiguë se rencontre quelquefois dans le tabès dorsal , mais s'accompagne ordinairement de symptômes car
e a reparu d'abord à la paume des mains, aux doigts, puis à la face dorsale des pieds, et elle a progressé des extrémités v
emblables à ceux qui résul- tent de la section des 110 et 2° paires dorsales ; 4° Une lésion occupant un côté du bulbe peut p
rs et un frère, tous bien portants. Son mari est affecté du tabes dorsal ; il nie avoir eu la syphilis au cours de sa jeu
tion caractérisée par la combinaison de symptômes relevant du tabes dorsal , de la paralysie agitante, de la démence paraly
Pie-mère épaissie. Tout ceci s'applique à la moelle cervi- cale et dorsale . Dans la moelle lombaire, la lésion des cordons
où la para- lysie agitante ressemblait extraordinairement au tabès dorsal . La conclusion est aisée. P. Keraval. VL. Le
ly, 4b. - fémo- ral par trouble de la conductibilité de la moelle dorsale , pal nemak, 134. pupillaires dans les mala- (
ophique, arthropathies, ra- diographie, par Dupré et Devaux, : 0. - dorsal , par Dana. 51. Rôle de la syphilis dans l'étiol
-. Corps granuleux dans le -, par Marie et Bisclio0'erdew, 327. - dorsal chez les enfants, par Keraval, 382. Nature sy
40 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
niveau des bords (à cet endroit ils sont verticaux) que sur la face dorsale (où ils sont plutôt réticulés). 8 PATHOLOGIE ne
tous les mou- vements qu'on lui commande. Les mouvements du grand dorsal existent aussi' dans une 10 PATHOLOGIE NERVEUSE
des pectoraux. ' Les réflexes tendineux au niveau du poignet (face dorsale et face palmaire) sont très notablement exagéré
iver à faire quelques mouve- ments de flexion plantaire, la flexion dorsale est plus difficile; il existe aussi quelques lé
ois des vaisseaux que dans le tissu de la substance grise. Région dorsale . Mêmes lésions que pour la région cervi- cale :
s résistent assez bien, les fléchisseurs beaucoup moins. La flexion dorsale du pied est impossible à la ma- lade, la flexio
t ses restes sont accolés à un volumineux corps granuleux. Moelle dorsale . Sa forme n'est pas régulière, le sillon pos- t
une hémorrhagie sous la pie-mère dans toute l'étendue de la région dorsale jusqu'à la région lombaire. Dégénérescence gris
ellules nerveuses des cornes antérieures. Pas de vacuoles. Région dorsale : Au niveau du dixième nerf dorsal la substance
ieures. Pas de vacuoles. Région dorsale : Au niveau du dixième nerf dorsal la substance grise des cornes postérieures et a
tableau se retrouvait presqu'en totalité au niveau du deuxième nerf dorsal . La dégénérescence occupait principalement le s
Chez presque tous les animaux soumise une hémisection de la moelle dorsale , l'hyperesthésie causée par cette lésion dans l
appareil graphique, l'effet de l'élongation des nerfs sur la moelle dorsale . Il s'assura que même les tractions légères amè
partie dans la région sacrée. A mesure qu'on remonte vers la région dorsale , ces lésions cessent d'être aussi dis- tinctes.
e diffuse qui produisit une dégénérescence grise de toute la région dorsale ; et, en outre, une lésion de nature toute diffé
que, de même que chez les mammifères, elle présente une convexité dorsale à sommet postérieur, une convexité cervicale à so
éfaction des cylindraxes en question, principalement dans la région dorsale et à la partie inférieure du renflement cervica
s'il est exagéré, le carré des lombes, le grand dentelé et le grand dorsal entrent ' en jeu. Le patient n'éprouve aucune s
l'intégrité des circonvolutions temporales mêmes. P. K. XIX. Tabès dorsal ET syphilis ; par. W.-TH. de RENZ. (Centralbl.
Oppenheim : Sur une affection du nerf vague dans le cours du tabès dorsal . Présentation de ma- lade et de préparations mi
que quelques-uns, mais ils se voyaient nettement. ' Dans la moelle dorsale , il en était de même pour le faisceau pyramidal
eurs et dans les cordons latéraux sur toute la hauteur de la moelle dorsale . Quoi qu'il en soit, c'est là, croyons-nous, un
considérer ce fait comme le vestige de ce qui existait à la région dorsale Chez nos deux malades nous avons observé de plu
idérant seulement les résultats fournis par l'examen de la région dorsale penser que cette extension de la sclérose est d
eaux antéro- latéraux est infiniment moins marquée qu'à la région dorsale . Cette opinion d'après laquelle l'extension du
ale, mais aussi à la région D , , ü 174 Il PATHOLOGIE NERVEUSE. dorsale où elle occupait même une certaine portion des
la ? Ionne vertébrale, présente une double concavité, la supérieure dorsale tournée a gauche et l'inférieure lombaire, tour
aire de la largeur d'une lentille au niveau des premières vertèbres dorsales . ,, T ? , % . . 1'\ . " ;' - La, sensibilité gé
première. Tel est l'esprit du mémoire. P. K. XXXVI. UN cas DE tabès dorsal compliqué d'atrophie musculaire PRO- GRESSIVE ;
nt de dou- leurs sourdes dans les parties inférieures de la colonne dorsale , et de douleurs continues dans les jambes. L'
de la maladie de la moelle épinière, connue sous le nom de tabes dorsal spasmodique. Une supposition pareille s'affirme
as une signification décisive à ces renseignements. Contre le tabes dorsal spasmodique parleraient aussi les troubles de l
x. Fig. 6. Coupe transversale 3 la limite des portions cervicale et dorsale . Prolifération du tissu conjonctif des cordons
rigine apparente des racines de la première et de la seconde paires dorsales , on remarque la même départition de la sclérose
té. Dans la région de l'origine des racines de la troisième paire dorsale , on remarque la prolifération du tissu conjonctif
ière. Dans la région de la sortie des racines de la sixième paire dorsale les cordons postérieurs sont encore moins atteint
La localisa- Fig. 7. -Coupe dans la partie supérieure de la portion dorsale de la moelle épinière. Sclérose des cordons lat
antérieurs. Fig. S. - Coupe dans la partie inférieure de la portion dorsale .- Sclérose des cordons latéraux et antérieurs.
on de la sortie des racines de la septième et de la huitième paires dorsales , le caractère de l'expansion de la sclérose res
ion de la sortie des racines de la neuvième et de la dixième paires dorsales , nous ne trouvons dans les cor- dons postérieur
ion de la sortie des racines de la onzième et de la douzième paires dorsales , les cordons postérieurs restent sans changemen
s la région de l'origine apparente des racines de la première paire dorsale , quelques cellules nerveuses des cornes antérie
le processus pathologique a plus de développement dans la région dorsale de la moelle en diminuant peu à peu 314 PATHOLO
ie d'Anna 0... réponde à celui. qui est décrit sous le nom de tabes dorsal spas- modique, les résultats de l'examen micros
er cette contradiction nous devons nous adresser à l'étude de tabes dorsal spasmodique telle qu'elle existe à présent dans
se- ment des réflexes des tendons. A la compression de la colonne dorsale on remarqua un état maladif à la région lombair
rieures, vers l'exté- rieur non plus la périphérie. Dans la portion dorsale de la moelle la sclérose était plus claire, en
naisons nombreuses que nous pouvons observer dans le cours du tabes dorsal spasmodique, c'est-à-dire des douleurs, des tro
mble des symptômes qui caracté- risent le tableau clinique du tabes dorsal spasmodique dans les différentes maladies de la
iode de grands mouvements, parmi lesquels l'arc de cercle antérieur dorsal est constant. La période des attitudes passion-
ent de nature fibro-cellulaire. R. M. C. XLIII. SUR UN cas DE tabès dorsal avec dégénérescence DES NERFS périphériques ; p
électrode sur le cou, et l'on met l'autre en contact avec le côté dorsal dumétacarpe du même côté; le courant, au début fa
ditaire et pseudo-hypertrophi- clue), par Schultze, ? 30; -(tabes dorsal avec atrophie), 230. lyélopathie aiguë à marche
e, par Jfatret, 76. Tabes chez la femme, par Moebius, 98. Tabes dorsal et syphilis, par de Reuz,99; (avec atrophie), p
onds (folies des), 449. Vague (affection du nerf- dans le - tabès dorsal ), 118. Vaso-moteurs de la peau de l'homme, pa
41 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
ion transversale complète de la moelle, dans la région cervicale ou dorsale supérieure, l'homme est atteint t de paraplégie
ité des doigts sphacélés, puis le long de ces doigts, sur leur face dorsale et sur leur face palmaire. Les séances étaient
pas sensible. Le gonflement du pied n'est perceptible qu'a la face dorsale ; il est beaucoup moins accusé que' celui de la
e. Dans les deux cas, oedème dur, chaud, indolore dans le décubitus dorsal , sujet à des poussées de douleur et de rougeur
'une des figures est aussi représentée la fissure des arcs vertébraux dorsaux du même sujet). Masson et Cie, Éditeurs Photo
hésie, située au niveau des seins. Au niveau des 4e et 5e vertèbres dorsales , la percussion et la pression éveillent une dou
comateuse s'était enfin développée au niveau des 4e et 5e vertèbres dorsales , détruisant les lames et apophyses épineuses, et
Destruction des Limes et apophyses épineuses des 4* et 51 vertébres dorsales . Envahissement des corps vertébraux corresponda
sarcome primitif des 3 dernières vertèbres cervicales et de la 4r° dorsale avait déterminé une compression de la moelle et
t pleural hémorragique. Le néo- plasme avait détruit la 5° vertèbre dorsale , et comprimait la moelle. Mais, le plus souvent
en révéla une tuméfaction assez considé- rables des 4°-6e vertèbres dorsales . Devant la rapide aggravation, l'auteur se déci
ion. Il trouva un fibro-sarcome de la lame droitede la 4.° vertèbre dorsale , extirpa la tumeur et les apophyses épineuse des
e dorsale, extirpa la tumeur et les apophyses épineuse des 5" et 6e dorsales .La moelle était ramollie, la dure-mèreparaissaiti
ieurs, avec douleurs spontanées et à la pression au niveau de la 3e dorsale . L'excision des 2e, 3e, 4 lames montra, dans le c
et B. - Moelle cervicale et lombaire. B et C. - V° et VI" segments dorsaux . E. Substance blanche du cordon latéral de la m
ement lombaire au Pal, le 1er segment lombaire au Marchi et le A/7" dorsal au Pal . Fio. 3. - Anesthésie tactile, douloure
a moelle a des lésions dégénératives de deux ordres. Le 12e segment dorsal , au Pal, montre la décoloration complète du faisc
rnu-commissu- rale de la région lombaire inférieure et de la région dorsale tout entière. Pour le triangle de Gombault et P
cornu-commissuralede la région lombaire inférieure et de la région dorsale , mes coupes confirment tout à fait les observatio
coloration jaunâtre caractéristique de la méthode de Marchi. Moelle dorsale : On observe à ce niveau les mêmes faits qu'on a
). Contrairement à ce qu'on a observé dans la moelle cervi- cale et dorsale , la substance grise contient à ce niveau un nombr
encore à peu près leur aspect habituel. - 140 G. CATOLA Moelle dorsale : La plus grande part des cellules de la colonne
archi ne donnait aucun résultat au niveau de la moelle cervicale et dorsale , mais, qu'au contraire, dans la moelle lom- bai
Oc. 4 Comp., Ob. A. Zeiss. Fia. 6. Coupe transversale de la moelle dorsale . - ld., Id. PLANCHE XXV Pio. 7. Coupe transve
bres postérieures du deltoïde, s'étendant au grand rond et au grand dorsal ; et, si l'excitation a été très forte, il n'es
t de raccourcir le membre inférieur qui sont paralysés (fléchisseur dorsal du pied, flé- (li D'après Marie, Traité de méde
bien portant et vigoureux malgré son âge. L'oedème affecte la face dorsale des pieds et les jambes jusqu'aux genoux; là, i
Son état est le suivant : Les orteils sont tuméfiés sur leur face dorsale ; il y a un sillon trans- versal profond indiqu
ctérisé également par le pouce hyperétendu en croissant à concavité dorsale , de telle sorte que le bord externe du pouce co
ion, peu apparente sans doute parce que le pouce est vu par sa face dorsale , mais révélée néanmoins par la saillie externe
mes, en octobre 1907. Il est étendu dans son lit, dans le décubitus dorsal , la tête inclinée presque constamment à gauche,
e a aussi disparu, la tète étant fortement fléchie. Légère scoliose dorsale à convexité droite. La courbe est interrompue a
e antérieure des disques. * Les apophyses épineuses des vertèbres dorsales supérieures paraissent très allongées par une o
ssification est totale entre les apophyses épineuses de la 4e et 5e dorsales . Il y a aussi une ossification légère de ces liga
ère forme un grand arc de cercle dont le sommet correspond à la 10e dorsale et les deux extrémités sont : en bas l'augle sa
com- prend donc : 1° toute la région lombaire ; 2» toute la région dorsale ; 30 la partie inférieure de la région cervical
se cervicale normale, comme la précédente était celle de la cyphose dorsale , mais son étendue est réduite, contrairement à ce
compensation à convexité droite à la partie supérieure de la région dorsale ; c) une légère scoliose à grand rayon, à conve
légère scoliose à grand rayon, à convexité gauche étendue de la 7° dorsale à la 5° lombaire. Corps vertébraux. Une parti
e se traduit que par la courbe à grand rayon que présente la région dorsale ; il existe néanmoins, puisque cette colonne do
ente la région dorsale ; il existe néanmoins, puisque cette colonne dorsale ne présente qu'une longueur de 25 centimètres au
8" où elles ont subi une fusion incomplète. Au niveau de la région dorsale et lombaire, les apophyses sont écartées en éve
forme l'ossification du ligament sus-épineux. Au niveau de la région dorsale , cette déformation se traduit par un allongemen
s osseux reliant les extrémités des apophyses épineuses à la région dorsale ; cette ossification était presque complète au
ébrales pro- duite par la cordose facilite leur fusion. A la région dorsale , la soudure des lames est limitée aux parties l
les qui sont séparées par un espace libre au niveau des 3 premières dorsales . De la 4e il la 7° dorsales, portion qui corres-
espace libre au niveau des 3 premières dorsales. De la 4e il la 7° dorsales , portion qui corres- pond au sommet de cyphose
4e il la 7° dorsales, portion qui corres- pond au sommet de cyphose dorsale , l'ossification des ligaments jaunes est beauco
, le ligament sus-épineux ossifié au maximum au niveau de la région dorsale supérieure, sommet de la'courbe, alors qu'il n'y
nsibilité, principalement dans le domaine d'innervation des racines dorsales et cervicales inférieures, et parfois aussi des
ments sont entièrement supprimés dans la région lombaire; la région dorsale présente quelque mobilité limitée, permettant une
région cervicale et au niveau de la région lombaire. Les 10, et 41e dorsales font une saillie appa- rente. Les douleurs ép
t au niveau des muscles thoraciques, grand et petit pectoral, grand dorsal , trapèze, etc. L'articulation de l'épaule prése
nt. L'implantation dentaire paraît normale. Vertèbres cervicales, dorsales et lombaires. - Rien d'anormal. âlain (PI.LIV).
E ? 2ylr " bure du rachis lombaire avec légère lordose de la région dorsale , plus marquée dans la station debout. En examin
l'autre de telle sorte que les métacarpiens 3 et 5 sont sur un plan dorsal , le métacar- pien 4 sur un plan palmaire. Car
t, en outre, tordu autour de son axe vertical, de sorte que la face dorsale de sa 2e phalange regarde vers le bord cubital de
4 TH1BIERGE ' ' * façon à constituer un crochet ; en outre, la face dorsale de la deuxième phalange est tordue sur elle-mêm
E la SALPÊTRIÈRE T. XXI. PI. LXVIII Renflement cervical. Moelle dorsale . Moelle dorsale. Renflement lombaire. TABES
T. XXI. PI. LXVIII Renflement cervical. Moelle dorsale. Moelle dorsale . Renflement lombaire. TABES ET PARALYSIE GÉNÉ
nets : triangle à la région lombo-sacrée,tractus allongea la région dorsale , de nouveau triangle à la région cervicale. A not
la région cervicale. A noter à la partie su- périeure de la région dorsale une forme curieuse : l'extrémité antérieure de
eure de la sclérose simulant une tête arrondie. Au niveau de la 12e dorsale et de la première lombaire, nous avons retrouvé
a une sclérose peu accentuée du cordon de Goll à la moelle cervico- dorsale , no OSPEDALE 31AURIZIANO UMBERTO I DI TORINO
42 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
trouve des varices. La peau est ridée et peu adhérente sur la face dorsale des mains. L'examen des organes génitaux révèle
part de ces malades (chez quinze sur seize) (PI. XIV). Le décubitus dorsal n'est pas douloureux, de même que l'hyperextens
uelquefois elle détermine une vague douleur au niveau de la colonne dorsale inférieure et lombaire supérieure. Par contre,
n du bras avec flexion dans le coude peut se combiner d'une flexion dorsale de la main, l'extension des genoux se combinant d
dorsale de la main, l'extension des genoux se combinant d'une flexion dorsale des pieds, l'opisthotonus se combinant d'une fl
aigrissement quelquefois considérable du premier espace interosseux dorsal . C'est là le signe le plus fidèle d'une lésion
- ter-osseux sont les plus paralysés, lo premier espace interosseux dorsal est considéra blement atrophié et le petit doig
bords de l'éminence thénar et aux talons des doigts. Sur la face dorsale des doigts, la peau est tendue, elle est comme fr
ritoire du cubital voisin. La sudation, souvent augmentée à la face dorsale des doigts, est dimi- nuée dans tout le côté ex
de plus en plus à la paume, et au contraire elle se tend a la face dorsale des doigts. Elle est 74 MADAME ATHANASSIO-BENIS
ns la paume de la main qui est décharnée. La main vue par sa face dorsale rappelle un dos de fourchette. A cela s'ajoute
sulterait donc de la lésion de la huitième cervicale. La première dorsale , qui a une part moindre dans l'innervation des
cteur du pouce et une lésion irritative des fibres de la pre- mière dorsale , amenant une contracture avec hypertonie des inte
l'atteinte des deux ordres de fibres (huitième cervicale, première dorsale ) et les irradiations douloureuses dans le média
ères, s'entrecroisent à la façon d'une paire de ciseaux. La branche dorsale est constituée par l'index et le médius, tandis q
tion sont limitées, l'extension de la main s'arrête dès que le plan dorsal de celle-ci est arrivé à coïncider avec le plan
que le plan dorsal de celle-ci est arrivé à coïncider avec le plan dorsal de l'avant-bras. L'abduction et l'adduction du
iateur par hypotonie du médian et hypertonie du premier interosseux dorsal (PI. XXIV, C). I. Historique. - Blessé fin juil
qui fait également disparaître la contraction du premier interosseux dorsal , mais est sans effet sur la flexion de la deuxi
ère au niveau du premier espace interdigital, toutes deux à la face dorsale . En plus quelques écorchures aux doigts. 2. C
et une exostose ankylosante au ni- veau de l'interligne articulaire dorsal phalango-phalanginien. 2. Conséquences immédiat
sent par leurs extrémités, formant trois plans successifs : un plan dorsal pour le mé- dius, un plan intermédiaire pour le
ut dans les interosseux palmaires et les trois derniers interosseux dorsaux . Galvanisation. Pas de modification de la formu
point qu'il frappe, on constate dans le premier espace interosseux dorsal une abduction de l'index légèrement plus'accentué
e postérieure de l'avant-bras, à l'éminence thénar et aux interosseux dorsaux . 9. Excitabilité électrique. - Diminution de la
cas de l'Observation V, par une hy- pertonie du premier interosseux dorsal , consécutive à la lésion du rameau du cubital,
bras et de l'éminence thénar ; V, hypertonie du premier interosseux dorsal après plaie des masses musculaires de l'extrémi
y avait hyperexcitabilité mécanique : X (R. -f- P.) (un interosseux dorsal ), II (0.) (brusquerie : avant-bras, thénar et h
a base du métacarpien et il y a hypertonie du premier interos- seux dorsal , V et XV. La blessure est à l'extrémité supérieur
on d'un empâtement mollasse dans lequel le doigt, surtout à la face dorsale , laisse facilement des godets. Les doigts diverge
l la main droite un oedème blanc très prononcé, surtout sur la face dorsale , ? nouvelle Iconographie DE la SALPP'I'RI1 : R1
ue très légères. D... a été blessé d'une balle entrée sur la face dorsale de la main droite au niveau du 2e espace intero
ras s'exécutent normalement. Il y a une zone d'auesthésie à la face dorsale , sur le 5e métacarpien et le 5° doigt, sur le l
thésie occupe toute la main, à l'exclusion du domaine radial : face dorsale du pouce, du le, métacarpien et du 1er espace i
pouce, sur les 2e et 3* doigts et la face externe du 4e ; à la face dorsale , sur les deuxième et troisième phalanges de l'ind
d'entrée de la balle provoque une douleur qui s'irradie à la région dorsale de l'avant-bras, de la main et des doigts; la p
re F indique que l'effilement du pied peut être constatée à la face dorsale , mais d'une façon beaucoup moins apparente qu'à l
s métacarpo-phalangien- nes des doigts ne présentent pas la saillie dorsale , par subluxation, que l'on observe dans cette v
u'a pas été extraite et qui siège encore près de la première vertèbre dorsale e (PI. L1X). ' Immédiatement après la blessur
ns, et distante d'un centimètre du bord supérieur de la 3e vertèbre dorsale . Cette blessure a déterminé quatre' ordres de s
te atteint en bas le plan du bord inférieur de la deuxième vertèbre dorsale (fig. II). L'intégrité de la carotide s'expliqu
tré que sa production nécessitait une lésion attaquant la 1" racine dorsale avant qu'elle n'ait émis le rameau communiquant d
ides sont effilés et les ongle- incurvés et cassants. Sur leur face dorsale on voit des croûtes épider- miqnes épaisses et
nfé- rieurs, pour la plupart accélérateurs, contenus dans la moelle dorsale des centres supérieurs ou modérateurs. Dans ces
sition cadavérique. 17 novembre 1916. Pouls : 120 dans le décubitus dorsal . Réflexe oculo-car- diaque, à gauche plutôt une
olongée. Les tracés pris avant toute compression, dans le décubitus dorsal , montrent une instabilité très marquée du pouls
anormale; les premières phalanges peuvent être subluxées sur la face dorsale des métacarpiens ; l'étendue de tous les mouvem
. a été blessé le 25 septembre 1915 par un éclat d'obus à la région dorsale , entre la 41e et la 12e côte, à deux travers de d
t. Vu de dos et debout, le malade présente un voussure de la région dorsale supérieure. La colonne verlébrale offre une lég
lébrale offre une légère scoliose à convexité droite dans la région dorsale , due à l'inclinaison latérale droite du tronc. A
quelques vagues douleurs, au voisinage des 8e, 9" et 10e vertèbres dorsales . La réflectivité est normale ; il n'y a pas de tr
peu douloureuse à la percussion au niveau des 1 le et 12" vertèbres dorsales . La masse musculaire sacro-lombaire est égaleme
'exten- sion passive dans la station debout. Mais dans le décubitus dorsal , on arrive sans peine à redresser le tronc, l'o
t ou gauche, les membres inférieurs en chien de fusil. Le décubitus dorsal et l'allongement des membres provoquaient une viv
43 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
u de la dernière jointure. Le sens musculaire est affaibli. Cyphose dorsale légère. Mâchoires et face normales. M. Souza-Le
e, aucune des modifica- tions de l'acromégalie. Thorax : scoliose dorsale antérieure ( ? ) à la pleurésie. (1) J'adresse
s, froides et ont augmenté de volume. Peu à peu, également, la face dorsale des mains est hypertrophiée. Pas de douleurs vr
un peu lent (60- 68). Pas d'adénopathie constatable. Légère cyphose dorsale . La malade suivie pendant six mois n'a présenté
varie du rouge au violet : dans presque toute l'étendue de la face dorsale des doigts et de la région métacarpienne, on co
s accusée qu'à la main. Les orteils seuls sont violacés sur la face dorsale , il y a une teinte biga- rée de la peau, quelqu
me. Pied gauche. Bord interne, gros orteil 6". Bord externe et face dorsale , détermination impossible. La disparition de
eur violette, les doigts portaient sur leurs par- ties latérales et dorsale , un oedème pur très peu accusé. Le malade était
si étendue : tout au plus remonte-t-elle jusqu'au milieu de la face dorsale . La plante du pied, et la paume de la main sont
es et minces : le contraste est,en effet, frappant entre cette face dorsale hypertrophique et l'extrémité des doigts. Ceux-
al, mais il reparut bientôt, s'accompagnant d'oedème mou de la face dorsale du pied, qui seul disparaissait dans la positio
pression ne dé- terminait le godet de l'oedème mou que sur la face dorsale du pied. Au niveau de la jambe la peau avait un
isse du même côté. Il s'étend même par l'intermédiaire de la région dorsale inférieure, à la racine de la cuisse du côté op
rt rapidement dans la station debout de la malade. Dansle décubitus dorsal .les proportions du membre inférieursontmoindres,
la malléole. Enfin la thermo-analgésie n'est plus absolue à la face dorsale des phalanges de la main gauche. A la face postér
atie d'avant en arrière de la IVe racine cervicale jus- qu'à la VIe dorsale . Ce segment semble diminué légèrement le volume,
ALPÊTRIÈRE. T. XVI. PL. XV Moelle au niveau de la deuxième racine dorsale (côté gauche de la moelle, à droite du lecteur)
elle, à droite du lecteur). Moelle au niveau de la cinquième racine dorsale (côté gauche de la moelle, à droite du lecteur)
partie inférieure de l'étage correspondant - à la cinquième racine dorsale (côté gauche de la moelle, à droite du lecteur)
fentes lacunaires exis- tent des deux côtés. Au niveau de la Ile dorsale , les lésions augmentent encore d'intensité (Pl.
Leurs grandes cellules gardent un aspect normal. Au niveau de la V° dorsale , les dimensions de la fente diminuent; elle n'a
e qu'à-la commissure postérieure (Pl. XV, E). A hauteur de la VIIIe dorsale les lésions ont presque disparu ; seule- ment q
nfantile, parce que ces lésions sont des lésions de méningo-myélite dorsale inférieure, qu'elles sont bilatérales et symétri-
ture, il s'écoule un liquide laiteux,surtout au niveau de la région dorsale . La moelle tout entière est engainée par un tissu
. Il atteint sa plus grande épaisseur dans les régions cervicale et dorsale . Sur des coupes, à l'oeil nu, le cylindre médulla
ehors ; les pieds en équinisme avec saillie très marquée de la face dorsale et rotation très forte en dedans pour le gauche s
ulienne tuméfiée. Le pied nu est énorme, très oedémaliô sur sa face dorsale . Jambe et pied sont d'ailleurs tuméfiés et cont
enne et rachi- dienne ; elles sont largement béantes à leur portion dorsale ; les éléments qui les ferment normalement sont
antérieure. La peau qui limite cette baie à la portion crânienne et dorsale présente des poils noirs abondants, et le cheve
res cérébrales antérieures. - N.C. racines cervicales. N.D. racines dorsales . NL. racines lombaires. 136 BRISSAUD ET BRUANDE
onne cervicale est telle qu'elle se porte directement de la portion dorsale vers la portion ventrale du foetus. Extérieuremen
nt à des nerfs passant par des trous de conjugai- son. La colonne dorsale change rapidement la direction du rachis, qui s
tre eux par de fortes anastomoses nerveuses (Schéma 3). A la région dorsale on ne trouve par côté que 4 ou S ganglions, et 2
s formaient de simples petits tubercules laté- raux. A la colonne dorsale il y avait soudures multiples des 'corps vertéb
inée sur tout le pourtour de la coupe. Sur uue coupe de la région dorsale vers D. IV, la moelle n'était plus le siège d'a
coupe. Enfin la Phot. 6. d'une coupe faite vers la fin de la moelle dorsale ne pré- sente plus aucune lésion appréciable ri
ète de la moelle épinière au niveau des VHP racine cervicale et Ire dorsale ; elle s'est comportée comme une véritable sectio
e diminution du nombre des cellules est surtout marquée à la région dorsale , où l'on en compte en moyenne 3 pour le premier
la moelle, on ne note de sclérose ; en quelques points de la région dorsale on voit seulement de la dilatation des vaisseaux
nt, plaie du médius et de l'auriculaire droits au niveau de la face dorsale de l'articula- tion phalango-phalanginienne, at
bras en dedans ; l'avant-bras et la main se présentent par la face dorsale , la main très légèrement fléchie sur l'avant-br
rature locale, pas de lésion des poils ni des ongles, pas de tumeur dorsale du poignet. - Pas de troubles sécrétojres, pas de
ent des pectoraux à droite, quelques troubles fonctionnels du grand dorsal , nous condui- sent à examiner l'hypothèse d'une
nateur et acces- soirement le sous-épineux, le grand rond, le grand dorsal et le faisceau claviculaire du grand pectoral ;
une foule de mouvements complexes du membre supérieur), et du grand dorsal (élévation de l'épaule dans la position du sold
ort d'arme, attitude attribuée par Hallion à une paralysie du grand dorsal suppléé dans^se» fonctions par l'action du rhom
laisceau claviculaire du grand pectoral, du sous-épineux et du grand dorsal . Et il semble à premier examen que cette observ
ue à l'état normal. ' La langue normale présente, sur la muqueuse dorsale , un très léger et très étroit enfoncement centr
ueuse, sans l'atteindre. Le sillon moyen superficiel de la muqueuse dorsale de la langue présente une profondeur tout au pl
sse, tendue. Le pied tout entier semble luxé en arrière, et sa face dorsale se continue insensiblement avec la face antérie
centrale. La sclérose, beaucoup ac- centuée au niveau de la moelle dorsale , devient moins intense à mesure qu'on s'approch
chez les hommes. Il est localisé le plus souvent au pied, à la face dorsale , commençant à la racine des orteils pour se ter
44 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ologiques. , Ce phénomène se produit-il exclusivement dans le tabès dorsal ? S'il existe une excessive mobilité de toutes
même passivement, c'est donc un symptôme pathognomonique du tabès dorsal . Il est constant dans les formes graves de l'atax
ien tranchées. Dans la région sous-thalamique se trouvent la couche dorsale de Forel, la zona incerta qui contient des cell
il considère comme autonomes et les désigne sous les noms de couche dorsale , couche latérale, couche inférieure et couche a
u noyau len- ticulaire se compose de trois parties : 1° le faisceau dorsal qui vient du putamen, traverse l'épaisseur du p
r coupe transverse. A partir de l'extrémité inférieure de la moelle dorsale , le nombre des fibres dégénérés décroit graduelle
de Goll s'arrêtent principalement au segment inférieur de la moelle dorsale et surtout aux colonnes de Clarke. En conséquen
moelle, en la liant sans ouvrir la dure-mère au niveau de la région dorsale (tout en haut de cette région) ou à la partie la
a région cervicale (trois échantillons), ou, enfin, entre la moelle dorsale et la moelle lombaire (4° spécimen). Des- cript
QUES 135 contraire exagérés quand il y a eu section entre la moelle dorsale et la moelle lombaire. Les chiens opérés dans l
ral de l'animal vivisecté. Chez un des chiens (section de la moelle dorsale supérieure) on produisit du rachitisme des os d
e descendante dans les lésions transverses du segment lombaire et dorsal donnant alors l'image d'un champ, ovale dans la m
de lésion transverse par compression entre la 4° et la 6° vertèbre dorsale - ou au-dessous de la 8° ra- cine cervicale, ay
cordons postérieurs. On constate à droite au niveau de la 6e racine dorsale , un champ dégénératif corres- pondant exactemen
mment les contingents de fibres de moyenne longueur de la 6e racine dorsale . A la hauteur de la 1" racine dorsale, cette zo
enne longueur de la 6e racine dorsale. A la hauteur de la 1" racine dorsale , cette zone se dirige en dedans ; elle n'est sépa
e dirige en dedans ; elle n'est sépa- rée de la cloison paramédiane dorsale que par une mince raie de tissu sain qui s'amin
apparaît donc comme le lieu de réception des fibres de la 6e racine dorsale qui vont au cerveau. Au niveau de la 7e racine ce
on de Goll ; un des côtés en est parallèle à la cloison paramédiane dorsale , à peu près par le tiers postérieur de la longu
la corne postérieure. Au-dessous, c'est- à-dire depuis ia 8° paire dorsale , aspect normal sauf une affection du cordon lat
gnet droit ; une cicatrice de brûlure au tiers inférieur de la face dorsale de l'avant-bras droit. Quelques érosions, quelq
ronc, thorax et abdomen, et d'une double incurvation de la région dorsale de la colonne vertébrale (fig. 2, 3, 4). 2° L'i
la région cervicale et à la région lombaire, présente à la. région dorsale une incurvation à convexité postérieure très pr
onvexité postérieure très prononcée correspondant aux 5 pre- mières dorsales . En même temps, il existe une légère incurvation
xité dirigée à gauche répondant également aux 5 premières vertèbres dorsales . Par suite de l'usure du squelette, il est diff
des muscles de l'avant-bras et de l'éminence thénar. Pas de tumeur dorsale du carpe. Lorsque le bras est mis en flexion et
s muscles de l'éminence thénar, moindre dans le premier interosseux dorsal , nulle dans lesmuscles de l'éminence hypothénar
yramidales traversent successivement la moelle cervicale, la moelle dorsale , la moelle lombaire et la moelle sacrée on voit
end dans le cordon postérieur tout le long des régions cervicale et dorsale et dont la dégénérescence est descendante. Il e
il n'a pas été suivi par les auteurs cités au-dessous de la région dorsale (neuvième vertèbre dorsale). Un doute per- sist
es auteurs cités au-dessous de la région dorsale (neuvième vertèbre dorsale ). Un doute per- sistait donc à savoir si ce fai
lt et Phi- lippe seuls avaient signalé un cas dans lequel la région dorsale présentait la dégénérescence classique du faisc
sine de la région lombaire. Il s'agit d'une fracture de la douzième dorsale ayant complètement écrasé la moelle; la mort su
ntinue du faisceau en virgule tout le long des régions cervicale et dorsale et s'arrêtant à la région lombaire (douzième ra
cale et dorsale et s'arrêtant à la région lombaire (douzième racine dorsale ) où il se perd dans la substance grise au nivea
le sein, les muscles sterno-huméral, le deltoïde et le muscle grand dorsal ; plus fort les muscles obliques de l'ab- domen,
stérieure de la cuisse, la partie extérieure de la jambe, la région dorsale du pied et le bord extérieur de la plante; les
e partie ossifiés ; l'épaisseur des côtes est accrue. Les vertèbres dorsales présentent plusieurs apophyses tranverses réuni
ents lombaire et cervical sont plus souvent atteints que sa portion dorsale . Si la lésion est limitée aux cornes anté- rieu
spondant à une lésion dont le siège serait à la limite de la moelle dorsale et lombaire; troubles de la sensibilité. Plus t
abdominale ; la pres- sion est douloureuse au niveau des vertèbres dorsales inférieures et lombaires supérieures. Diagnos
emière sacrée, la tumeur s'étend jus- qu'à l'origine de la dernière dorsale . Opération le 22 octobre 1892. On ne trouve pas
bles de la motilité s'étendent jusqu'au domaine delà huitième paire dorsale , les troubles de la sensibilité jusqu'aux racines
mère et sur les racines jusqu'à la partie supérieure de la moelle dorsale . Deuxième observation : homme de vingt-huit ans
nt circonscrite entre lapremière et la deuxième apophyses épineuses dorsales cor- respondant à l'origine médullaire de la tr
t le centre se trouverait entre la troisième et la quatrième racine dorsale . Prolongement jusqu'à la deuxième paire dorsale
la quatrième racine dorsale. Prolongement jusqu'à la deuxième paire dorsale . Opération le 25 avril 1894. Les arcs des quatr
ération le 25 avril 1894. Les arcs des quatre premières ver- tèbres dorsales sont réséquées et on se trouve en présence d'une
moelle et intéressant les racines des deuxième et cinquième paires dorsales : extirpation aussi complète que pos- sible ; h
: la tumeur s'étend au-dessous de la lame de la cinquième vertèbre dorsale jusqu'au niveau des sixième et septième racines
me vertèbre dorsale jusqu'au niveau des sixième et septième racines dorsales , et dans la région de la plus forte com- pressi
entimètre et demi, elle est très atteinte entre le deuxième segment dorsal en haut et le septième en bas. Cette substance
'une forme cylindrique est composé de quatre parties : deux parties dorsales et deux parties ventrales. Chaque partie finit
dilatation du canal central dans la partie supérieure de la région dorsale . Deuxième cas. Il s'agit d'une fillette, âgée d
âtre et à demi transparente. Dans la partie inférieure de la région dorsale la substance blanche est réduite, tandis que la
me de tube. Elle était close dans la partie supérieure de la région dorsale et communiquait au milieu de son étendue à une
suivant la hauteur considérée ; latéral pour la moelle cervicale et dorsale , il forme la virgule de Seliultze médian au niv
45 (1888) Atlas schématique du système nerveux : origines, ramifications, anastomoses des nerfs : leur distribution dans les muscles et la peau
e d'où ils émergent, en : paires cervicales au nombre de huit; paires dorsales au nombre de douze; paires lombaires au nombre de
ygienne unique. La distribution des paires cervicales et des paires dorsales se trouve indiquée dans la planche III. Les qua
ires cervicales inférieures avec la branche antérieure de la première dorsale forment le plexus brachial. Les branches anté
e forment le plexus brachial. Les branches antérieures des paires dorsales sont appelées nerfs intercostaux. A partir du t
constituent l'original, nous avons figuré à leur place l'innervation dorsale et l'innervation palmaire: afin de mieux appeler
lmaire: afin de mieux appeler l'attention sur ce point, l'innervation dorsale de la main, que nous avons fait figurer dans le c
er, d'après les recherches de Henle et Richelot, la vraie innervation dorsale de la main, la seule qui puisse d'ailleurs donner
ulaire), le reste de la main étant suppléé par le médian. A la face dorsale la distribution nerveuse devient plus complexe, c
, médius et moitié externe de l'annulaire) reçoivent leur innervation dorsale du nerf médian, comme il suit : au niveau du pli
re branche contourne le bord de la première phalange, atteint la face dorsale du doigt sur laquelle elle chemine jusqu'à la der
naslamose avec le filet sous-unguéal, et constitue le vrai collatéral dorsal . Il résulte de cette disposition que tandis que l
médian, qui lui fournit ses collatéraux palmaires et ses collatéraux dorsaux de premier ordre ; enfin le cubital et le radial,
interne, l'autre du côté externe, qui lui fournissent ses collatéraux dorsaux de second ordre, c'est-à-dire qui n'atteignent qu
46 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
t à la douleur qu'elle 'éprouvait dans le côté gauche de la- région dorsale . Cette amélioration se maintint dans la suite. La
malade veut marcher ou quand il se tient debout. Dans le décubitus dorsal les mouvements désor- donnés s'arrêtent. La tré
extenseur, qui est faiblement excitable faradiquemenl. Inlerosseux dorsaux : contraction avec le maximum du courant faradiqu
ition forcée. Cet oedème occupe toute la main, mais surtout la face dorsale qui est énorme. Les doigts sont également tendu
ourrissant bien et ne faisant aucune espèce d'excès. Dans la région dorsale existe un point, douloureux superficiel dont l'
ypnotisme; il suffit de frapper modérément, avec la main, la région dorsale , pour déterminer une paralysie des membres infé
il pouvait bien s'agir, nous frappons un coup modéré sur la région dorsale de la colonne vertébrale. Elle se plaint aussit
urn, loc. cit., p. 72). Fracture et luxation de la dixième vertèbre dorsale .- L. J., mineur, trente ans, est admis le 8 décem
s auparavant, en travaillant aux mines, il avait reçu sur la région dorsale un quartier de roc. Il tomba immédiatement priv
ntrée, on constatait une légère proéminence au niveau de la onzième dorsale . Le 11 décembre, il l'ut vu par Thornburn qui c
ie correspond à peu près à la limite iniérieure de laderniere paire dorsale . Incontinente d'urine. L'urine reste saleel purul
de l'anesthésie (plaie de la moelle au niveau de la dixième vertèbre dorsale ). 148 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
poliomyélite. La perte des réflexes pouvait faire penser à un tabes dorsal comme dans le cas de Westphal; mais tous les si
un très faible degré ; elle est moins imparfaite dans le décubitus dorsal , néanmoins ce mouvement peut être arrêté en dép
pect se rapproche de la normale, ainsi qu'à la main, sauf à la face dorsale du carpe et du métacarpe où la peau est très ne
eresse et teinte terreuse de la peau, rides du visage et de la face dorsale des mains, ^cheveux blanchis et tombés, dents c
au côté gauche de la poitrine, une plaie superficielle sur la face dorsale du poignet droit et une longue éraflure à la ja
étendue; altérations des zones radiculaires surtout dans la région dorsale , peu dans la région cervicale, très peu dans la r
t jusqu'au voisinage de la zone radiculaire; il partir de la région dorsale la lésion était strictement limitée aux cordons d
une teinte grise des cordons postérieurs qui commençait au segment dorsal . Ilistologiquement, dégénérescence considérable
t, la phalangette, un peu épaissie, porte une cicatrice sur sa face dorsale : c'est celle de l'incision que nous avons signal
ucune trace de réaction' de dégénérescence. Quant aux interos- séux dorsaux , ils répondent d'une façon assez inégale à l'élec
és par M. Le Fort. La température locale prise au niveau de la face dorsale des deux mains donne au bout de cinq minutes le
e matin le malade, en se lavant les mains, s'est aperçu que la face dorsale de la main gauche et du poignet était gonflée et
heures sa main était dans l'état suivant : OEdème coloré de la face dorsale du métacarpe, du carpe et du tiers infé- rieur
rotulien est exalté à droite, normal à gauche. A droite, la flexion dorsale du pied éveille peut-être trois ou quatre secou
s crises nerveuses disparaissent; la toux persiste; l'hyperesthésie dorsale non seulement persiste mais s'étend à tout le tro
colonne vertébrale, au niveau de la région lombaire et de la région dorsale . Ces douleurs duraient toute la journée; elles l'
phoïde; les divers viscères, le cerveau étaient normaux. La colonne dorsale ne présentait aucune altération ; la moelle éta
du bras gauche. 2° Paraplégie. Examinée au lit, dans le décubitus dorsal , on constate qu'elle peut élever fort peu les m
je conclus a une sclérose' latérale symétrique primitive ou 'tabès dorsal spasmodique de Charcot. C'est avec ce diagnostic
otuliens peuvent être obtenus : ils sont très exaltés et la flexion dorsale du pied provoque une trépidation épileptoïde pr
te autre mani- festation bacillaire, on fit le 'diagnostic de tabes dorsal spasmodique. Nous avouons volontiers que l'hyst
s sourds. Aug- mentation du diamètre thoracique transverse. Cyphose dorsale d'intensité moyenne. Lordose lombaire accentuée
diquer une concavité cervicale et une concavité lombaire, la région dorsale restant convexe. Il sem- blerait qu'alors la lo
parties lalérales du cou. Au-dessous de lui se trouve le bourrelet dorsal supérieur, mal délimité inférieurement, se cont
l'épaule en arrière (Fig. G(i, 67). Au repos, le reste de la région dorsale et la région lombaire sont remarquablement unif
détermine, il la région NOTE SUR LA MORPHOLOGIE DE LA NUQUE. 363 dorsale , une série de gros plis cutanés, au nombre de 3,
ent à la face, mais par contre elles sont très vives dans la région dorsale et autour de la taille. Ces crises durent vingt
ngée. Il existe en outre une zone douloureuse au niveau des régions dorsale et lombaire du rachis, douleur déterminée par le
autour de la taille, il se sent enserré et étouffe; dans la région dorsale , l'hyperesthésie est à son comble; elle l'oblig
nne rachidienne, au niveau des premières et des dernières vertèbres dorsales . Les organes des sens sont touchés. Le goût est
e sous l'influence de simples émotions morales. » 1. Barié, Tabes dorsal et goitre exophthalmique (Soc. méd. des hop., 14
nt deux points superposés du rachis (région dorso- lombaire, région dorsale supérieure). La peau est sensible d'ordinaire a
nt moin- dres. Cette distribution semble bien particulière au tabes dorsal . On ne saurait la confondre avec l'anesthésie h
lmont, De la répartition des troubles de la sensibilité dans le labes dorsal , etc. (Soc. de biologie, 17 février 1877). ÉT
grand pectoral, sous-épineux, sous-scapulaire, une portion du grand dorsal . Le deltoïde est resté au moins aussi volumineux
a frictionne avec de l'eau sédative; cette douleur quitte la région dorsale pour venir se localiser à la partie médiane et su
existe deux zones hystérogènes, l'une dans le milieu de la colonne dorsale , l'autre sous le sein gauche. Mouvements choréiqu
sonl normaux comme réactions. Main droite : le premier interosseux dorsal répond, le deuxième répond très fai- blement au
ns abolies à gauche, diminuées à droite dans le trapèze et le grand dorsal . (B) Réactions galvaniques (pile de Gaiffe).
nces se passent sans incident, mais après la troisième les douleurs dorsales font de nouveau leur appari- tion, on constate
ue huit jours plus tard que la malade se débarrasse de ses douleurs dorsales . Pour bien établir l'origine de la fièvre qui a
Après la première séance la malade éprouve de nouveau ses douleurs dorsales , et le cinquième jour, le soir, la température es
avoir enlevé les apophyses épineuses des deux pre- mières vertèbres dorsales et ayant mis ainsi à nu la dure-mère, j'ai intr
gion des vertèbres cervicales et deux fois dans celle des vertèbres dorsales supérieures', et ayant obtenu les mêmes résulta
47 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
PHOTOTYPE Négatif A LONDE PHOTOCOLLOGRAPHIE Chêne Je Longuet FACE DORSALE DE LA MAIN DONT LA FACE PALMAIRE EST REPRÉSENTÉ
al ». Cet affaiblissement général, cet état douloureux de la région dorsale et de l'épaule persils- tèrent encore longtemps
e, cinq et jusqu'à huit phlyctènes siégeant sur la face palmaire ou dorsale des doigts, ou sur le dos de la main, jamais à
uption est terminée. NOUVELLE ICONOGRAPHIE. T. 111. PL III FACE DORSALE DES MAINS D'UN MALADE ATTEINT DE MALADIE DE MOR
ubles, faiblesse des membres du côté droit, douleurs dans la région dorsale et l'épaule droite, crises névralgiques accom-
trophie notable des éminences thénar et hypothénar, des interosseux dorsaux de la main droite (pl. V). " "Sensibilité à la
t les suivants : le sommet de la tête; au membre supérieur, la face dorsale du métacarpe, la main étant en pronation et éte
nfundibulum paraît correspondre à l'extrémité postérieure du sillon dorsal , comme le tourbillon des cheveux correspond à l
èbres cervi- cales. La concavité normale qui comprend les dernières dorsales et les lombaires est absolument effacée. Par su
r, au point d'être réduite à presque rien. Il semble que la colonne dorsale , qui a conservé sa courbure normale, mais un pe
caractérisée par ce fait que, de la partie supérieure de la région dorsale à la pointe du sacrum, elle suit dans son ensem
l. XIV). ' On voit quelquefois aussi le faisceau supérieur du grand dorsal gauche s'animer de contractions lentes, analogu
sie absolue correspondant à peu près à l'étendue qui sépare l'épine dorsale de l'omoplate du côté droit ; 3° deux zones hys
l'atténuation des angles et des saillies qui se forment à la région dorsale d'une main normale fléchie, -de telle sorte que l
elle sorte que la main-bote dont il s'agit présente, dans sa région dorsale , une surface régulièrement convexe se continuan
ordons latéraux depuis le renflement cervical jusque dans la région dorsale ont une coloration grisâtre, et présentent de p
osté- rieures et la substance blanche sont intactes. Dans la région dorsale et dans la région cervicale, il existe des lési
le résultat de l'examen que nous avons fait des régions cervicale, dorsale , et lombaire de la moelle épinière, des nerfs méd
eau est pigmentée en brun au niveau du dos de la main et de la face dorsale du poignet; elle est' épaissie, ce qui détermine
xiste pas de déviation antéro-postérieure ni latérale de la colonne dorsale et lombaire. D'une façon générale, le thorax est
e le groupe principal. Il est composé de chaque côté de deux noyaux dorsaux (antérieur et postérieur, Gudden) et de deux no
es. Les méninges ne présentent non plus aucune altération. Région dorsale . -Les lésions ont .ici la même distribution, mais
térieures de la moelle. Le maximum d'altérations siège il la région dorsale , ce qui explique assez bien la paralysie atro-
région cervicale supérieure, moyenne et inférieure, dans la région dorsale moyenne et inférieure, et dans la région lombai
a face palmaire du pouce, de la face interne de l'index, de la face dorsale du médius (1" et 2° phalange) et de l'annulaire
peau est rouge, épaissie, dépourvue de sillons, peu mobile. La face dorsale de la première phalange du petit doigt présente
ouce est tombé. On voit les traces d'une ancienne bulle sur la face dorsale du pouce. Le pied droit présente une déformatio
direction normale; la scoliose avec sa double courbure lombaire et dorsale n'existe plus. Le tronc n'est plus fléchi en av
ntraire est resté depuis oedématié. Cet oedème siégeait sur la face dorsale du pied, sous forme de petite tumeur. C'est dans
les orteils, les bords interne et externe, le talon. Sur la face dorsale , siège une saillie énorme, occupant la presque
ier accès éléphantiasique avec localisation oedémateuse sur la face dorsale du pied droit. Après un intervalle de trois ans
nce médullaire forme les parois aplaties de cette cavité. La région dorsale inférieure est, elle aussi, un peu élargie dans
re; g, Racines postérieures. Planche 1Gl1. - Syringomijélie. Région dorsale inférieure : a, Corne antérieure; b, Ca- vité d
OGRAPHIE DE LA SALPETRIERE T 111 PL XLIX SYRINGOMYÉLIE ( RÉGION DORSALE INFÉRIEURE ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPET
48 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
trécissement du champ visuel, des points hysléro- gènes aux régions dorsale et précordiale. D... fut soumis à l'hydro- thér
t soigné (hémianes- thésie droite, points hystérogènes, aux régions dorsale et précordiale, rétrécissement du champ visuel)
int son maximum d'intensité à l'ex- trémité supérieure de la moelle dorsale au niveau des deuxième et troisième paires dors
ure de la moelle dorsale au niveau des deuxième et troisième paires dorsales . A l'oeil nu, sur des coupes colorées par le pi
. Ils sont entou- Fit, 7. Coupe à la partie supérieure de la moelle dorsale . Distribution des foyers de sclérose qui sont i
t encore en des points correspondant assez bien à ceux de la région dorsale supérieure ; mais ils sont beaucoup moins consi-
ertain degré de ramollissement de la partie supérieure de la région dorsale . Le foyer originaire de la myélite est situé en
ire de la myélite est situé entre la deuxième et la cinquième paire dorsale , du moins c'est à ce niveau que les lésions att
avoir eu son point de départ à la partie supérieure de la région dorsale ; du moins, c'est à ce niveau que le processus a
orbide. P. IÉRAV.1L. XI. Contribution A la SYMPTOMATOLOFIE DU tabès dorsal : étude SPÉ- CULE DES OREILLES, DU LARYNX, DU P
erveux épars ou en petits groupes. 3° Dans les racines de la moelle dorsale il existe un très grand nombre de petites fibre
es sur le segment de moelle humaine compris entre la première paire dorsale et la protubérance annu- laire, dans lequel l'a
voir l'un avec l'autre. Un système ventral (inférieur) ; un système dorsal (supérieur). Le système ventral renferme les fi
lomoteur commun et au faisceau longitudinal supérieur Le sys- tème dorsal représente les libres de la substance blanche pro
s'agisse de la région de la moelle épi- nière qui va de la portion dorsale au renflement lombaire. M. Krauss , fournit une
° des troubles vaso-externes, cyanose des doigts, oedème de la face dorsale de la main, éphidroses ; 4° des trou- bles sphi
la partie antérieure de la jambe, en dehors du '( tibia, à la face dorsale du pied. Trouble de la sensibilité également à
bilité très obtuse à la partie anléro-exteme de la jambe, à la face dorsale du pied et surtout au gros orleil. Affaiblissem
t orteil. Cette plaque d'analgésie'comprend donc : toute la surface dorsale du pied, moins une petite bande interne, la fac
ence. Les faces interne et externe du pied sont respectées, la face dorsale proprement dite seule est insensible ainsi que
reuses à la pression sont les points fessier, poplité, malléolaire, dorsal du pied, plantaire. Il existe des fourmillement
ue, fessier, points fémoraux, point poplité, trajet péronier, point dorsal du pied et point plantaire. La pression en mass
, - le malade est complètement anesthésique, aussi bien sur la face dorsale que sur la face plantaire. Il est à remarquer q
phalique est mise véritablement au repos et prend dans le décubitus dorsal , un point d'appui sur un oreiller, la trépi- da
enseurs de l'avant-bras et de la jambe, de l'anesthésie à la face dorsale de la main et sur tout le pied. Dans les formes
cheveux; la pointe pénètre assez profondément, paraît-il, à la face dorsale de la main, au ni- veau du premier espace inter
hyperesthésie très vive au niveau de la plaie, tandis que les faces dorsale et palmaire de la main sont privées de sensibil
iter avec exactitude le territoire anesthésie. Il s'étend à la face dorsale et à la face palmaire de la main, au tiers supé
ulaire et la région cor- respondante du cinquième métacarpien (face dorsale et palmaire) ont récupéré leur sensibilité. L
sucré; par G. FISCHER. (Centr. f. Nervenh., 1886.) Obs. 1. Tabes dorsal , cliniquement, très probable; aucune ano- malie
TOUT particulier (MOUVEMENT associé) QUI SE PRÉSENTE dans LE tabès dorsal ; par R. STIITZING. (Centr. f. Nerv. 1886.) Ob
sensation de froid dans le dos avec état dou- loureux des vertèbres dorsales inférieures et de la première lom- baire ; disp
surtout dans les deux tempes; la pression sur la quatrième vertèbre dorsale engourdit les doigts, principalement du côté ga
verté- brale entière : elle est bilatérale, excepté dans la -région dorsale . Elle se traduit par une tension douloureuse av
res. P. K. LXV. DE la disparité DU phénomène DU genou dans LE tabès dorsal , par S. GoLDrLw (neural, Centralbl., 1888). /
260 REVUE D'ÉLECTROTHÉRAPIE ET DE THERAPEUTIQUE. chronique; tabes dorsal , convalescence de scarlatine) les minima de rés
e. - Il existe dans la région verté- brale, au niveau de la sixième dorsale , une zone d'hyperesthésie qu'il suffit de press
ouleurs siégeant dans la région vertébrale, au niveau de la sixième dorsale , dans les régions sus et sous-mammaires; elles
ire naître à volonté en comprimant le point doulourèux de la région dorsale , et la malade peut encore obtenir le même effet
luence de la pression, exercée sur la région de la sixième vertèbre dorsale qui représente ainsi, qu'on nous passe ce néolo
sus des mal- léoles, sous forme de jambières, ainsi que sur la face dorsale des orteils du pied gauche. A la face plantaire
PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL AVEC ATROPHIE DE LA MOITIÉ SUPÉ- RIEURE ( DORSALE ) DE LA PROTUBÉRANCE ET DE LA GROSSE OLIVE; par
ascendantes du trijumeau. Leurs centres occupent surtout la moitié dorsale (voisine de la calotte) de la protubérance. On
S : IfODIQLG dans la dé- mence primitive, par Stewart, 101. Tabès dorsal , symptômes auricu- laires, laryngés et pharyngé
49 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
le porte un scapulaire. 14 mai. — W... est en attaques. — Décubitus dorsal . — Face rouge, dirigée à gauche; paupières closes
de telle sorte que les poignets sont presque en contact par leur face dorsale ; les membres inférieurs sont également rigides,
° La pression est douloureuse de chaque côté de la cinquième vertèbre dorsale , mais n'occasionne pas de phénomènes rappelant Y
les apophyses épineuses de quelques-unes des vertèbres cervicales et dorsales ou leurs gouttières; — 9° la partie centrale des
gènes suivantes : 1° Rachialgie au niveau des 8e, 9e, 10e vertèbres dorsales , prédominant sur les apophyses épineuses. La sens
uche, dans le huitième espace intercostal, à 5 centimètres de l'épine dorsale , de 1 centimètre de diamètre. Anesthésie. Ni doul
ites indiquées, est sensible. Au niveau des 16e, 17e, 18e vertèbres dorsales , la pression provoque une attaque que ne suspend
— région sous-mammaire droite, — au niveau des 6, 7 et. 8e vertèbres dorsales ). détermine des attaques. — Chloroforme. 16 mai
euse et de la gouttière vertébrale gauches de la deuxième ver tèbre dorsale ; mais à un degré peu prononcé;— b) et au niveau d
es épineuses et des gouttières gauches des 5e, 6e, 7e et 8e vertèbres dorsales où une pression même légère suffit à provoquer un
iques qui vont de la région ovarienne gauche, à la région hystérogène dorsale , laquelle est le siège de « tortillements ». Cett
érogènes. 1° Rachialgie. — Elle s'étend de la 4 e à la 10e vertèbre dorsale , atteignant sa plus grande intensité au niveau de
1 dont la zone hystérogène siège au niveau des 7e, 8e et 9e vertèbres dorsales , échappe parfois aux effets de la pression en por
Rachialgie au niveau des apophyses épineuses des 6e, 7e, 8e vertèbres dorsales . — 2° Zone de chaque côté du sternum, au niveau d
4° Rachialgie. — Elle siège au niveau des deux dernières vertèbres dorsales , prédomine dans les gouttières. La pression fait
oisièmes cotes ; 3° les gouttières vertébrales de la dixième vertèbre dorsale ; 4° la région sous-mammaire droite. La pression s
les bras, surtout à droite et au niveau des trois premières vertèbres dorsales : la pression exagère d'abord cette douleur, qui
endormie. Ce matin, elle est dans la situation suivante : décubitus dorsal , tête légèrement étendue, joues colorées, batteme
ou quatorze ans) sur le cou-de-pied droit, c. de brûlure sur la face dorsale du même pied. Les membres supérieurs ne présent
ai le soin de laisser tomber mes doigts, de telle façon que leur face dorsale regarde le magnétisé pendant mon mouvement d'as
a. b) Rachialgie.—Elle répond à la gouttière de la dixième vertèbre dorsale ; la peau a conservé sa sensibilité dans une éten
sur la tête et les pieds. Brusquement, S... N... reprend le décubitus dorsal . 3° Période de délire.— Après un court repos, é
50 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
éraux et l'atrophie des cellules des cornes antérieures à la région dorsale . M. Joifroy possède plusieurs observations analog
., 1894.). , . Ce sont : la sensibilité à la pression des vertèbres dorsales supé- rieures (surtout au niveau des apophyses
choc spinal, une commotion ou un tiraillement des racines des nerfs dorsaux , au niveau des vertèbres dorsales supérieures.
tiraillement des racines des nerfs dorsaux, au niveau des vertèbres dorsales supérieures. Au même niveau; il pourrait bien y
nt inclinée en avant. Lordose lombaire légère et cyphose cervico- dorsale légère également. Aux membres supérieurs : atroph
la lésion de la zone d'entrée radiculaire de la moelle lombaire et dorsale inférieure. Observation II. Endothéliome; gros
supérieure et dans la partie de ce segment qui confine à la moelle dorsale , mais elles sont trop minimes pour qu'on y puis
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 181 nalt à ce niveau. A la région dorsale supérieure, il faut ajouter 2. A partir de la s
a onzième, ajou- ter 3. La partie inférieure de la onzième apophyse dorsale et l'es- pace interépineux sous-jacent réponden
-jacent répondent aux trois dernières paires lombaires. La douzième dorsale et l'espace sous-jacent, aux paires sacrées.
t des cornes antérieures de la moelle dans les régions cervicale et dorsale . Légère sclérose des cordons pyramidaux croi- s
jusqu'aux colonnes postéro-exlernes de la moelle jusqu'à la région dorsale . Le corps dentelé détruit dans le cervelet amèn
nt une ligne circulaire passant par la sixième ou septième vertèbre dorsale en arrière, à peu près à égale distance de l'om
on trouve dans les cordons latéraux de toute l'étendue de la moelle dorsale et de la partie inférieure de la moelle cervicale
la F1g,6. 1 86 CLINIQUE NERVEUSE. moelle cervicale de la moelle dorsale . 5.-Une portion de la par- tie supérieure de la
elle dorsale. 5.-Une portion de la par- tie supérieure de la moelle dorsale . C. Une portion de la partie inférieure de la m
moelle dorsale. C. Une portion de la partie inférieure de la moelle dorsale . D. Enfin une portion de la moelle lombaire. Le
mé- ration isolée et composée de cellules épithéliales. B. Moelle dorsale : I (partie supérieure). C'est dans cette partie
haut, se rencontrent aussi dans les cordons laté- raux de la moelle dorsale . Ils y atteignent des dimensions plus considéra
u de Burdach. Dans le segment correspondant à la troisième vertèbre dorsale , on constate que les petits amas de leucocytes
n de spécial. L'examen bactériologique reste négatif. C. Partie dorsale inférieure. En ce qui concerne les carac- tères
er les cellules géantes non seulement dans les nodules de la moelle dorsale , mais aussi dans ceux de la partie cer- vicale.
tteint son maximum d'étendue dans la partie supérieure de la moelle dorsale . Il s'agit donc d'une leptoméningite et de tube
ter dans la moelle. Le processus morbide a envahi d'abord la moelle dorsale où il s'est propagé irréguliè- rement et dans t
rs et s'étend dans le tronc jusqu'à la sixième et septième vertèbre dorsale et en avant jusqu'à l'apophyse xyphoïde. Cette
droite commencent à apparaître (le processus a franchi la moelle dorsale ) et, le 2 mars, on voit les deux membres supérieu
er- culose des poumons dans le stade très avancé. C'est la partie dorsale de la moelle qui est le plus souvent envahie. S'i
utive à des lésions en îlots dans la partie inférieure de la moelle dorsale . - L'altération transverse de la moelle est plu
côté droit. A l'autopsie, on a trouvé que la pie-mère de la moelle dorsale était légèrement épaisse dans quelques endroits
ement épaisse dans quelques endroits. A la hauteur du septième nerf dorsal , la pie-mère adhère à la dure-mère sur le côté
es, dispersés tout à fait irrégulièrement dans la moelle. La partie dorsale de la moelle a été plus atteinte. Presque dans
e série de petites logettes fusi- Observation I. Coupe de la région dorsale supérieure ; méninge au -niveau DU rAISCEAU LAT
paroi qui a été surprise, en voie Observation I. COUPE DE la région dorsale SUPÉRIEURE, méninge au niveau du faisceau latér
bants, les orteils fléchis en griffe présentent des maux perforants dorsaux qui ouvrent les articulations. * Les membres su
lésion de leurs Fig. 11. 4j);¡¡j;ERVATlON II. Coupe DE la RÉGION dorsale ; sillon antérieur. Méningite : phlébite; j7EL'ÎLL
e leurs parois; elle est plus intense dans les régions cervicale et dorsale que dans le renflement lombaire. Les méninges c
nules Fi ? I. 'OitSEHVAHUX III. - ,COUPE au niveau DE la III;(,I0 dorsale ; méninge au ! \[VEAU DES cordons postérieurs vers
nse, ainsi que le montre la figure 15, qui prédomine dans la région dorsale supérieure. Les veines participent largement au
dans le faisceau latéral gauche, à la hauteur de la quatrième paire dorsale , d'une plaque de myélite localisée qui avait éc
vations le maximum des lésions diffuses répond toujours à la région dorsale supé- rieure ou cervicale inférieure, comme c'e
s s'étendait du quatrième segment cervical jusqu'au sixième segment dorsal : il occupait en général les parties postérieures
lus grande largeur dans la partie infé- rieure du quatrième segment dorsal où il avait envahi aussi le cordon latéral gauc
'agit ici de la paralysie spasmodique de Erb, c'est-à-dire du tabes dorsal spasmodique de Charcot. Les considérations clin
de Goll et des faisceaux cérébelleux décrits : c'est l'ancien tabes dorsal spasmo- REVUE DE pathologie nerveuse. 319 diq
rt avec les différents segments de la moelle entre la seconde paire dorsale et la qua- trième 'cervicale. Ces zones se prés
tile une intervention exploratrice, l'auteur enleva le douzième arc dorsal , premier et deuxième lombaire, tout à fait norm
trième segment cervical à la partie inférieure du pre- mier segment dorsal . Les cellules de la portion supérieure de ce te
rendent dans la zone radiculaire postéro-médiane. Dans la moelle dorsale , le segment externe des cordons postérieurs conti
ir qu'après une section totale transverse de la région cervicale ou dorsale supérieure de la moelle, il y a presque toujour
51 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ut de cinq mi- nutes environ, le retour de la sensibilité à la face dorsale des doigts et à la partie inférieure de la face
é à la face dorsale des doigts et à la partie inférieure de la face dorsale de la main, sans retour de la motilité des doig
s : au bout de. quelques minutes, la sensibilité reparaît à la face dorsale des doigts, gagne la main, puis l'avant-bras et
cond type se sépare abso- lument des autres; il appartient au tabes dorsal ordi- naire et nullement au tabes combiné. Entr
nitiale, soit tardive, etc. Tout cela empêche-t-il l'unité du tabes dorsal ? Nullement. Il en est de même du tabes combi
ette dernière maladie, exclut les phénomènes céphaliques du tabes dorsal spasmodique; mais sur ce point je m'écarte de 3
des sciences. Congr. de Gre- noble, 1885. ! Remarques sur le tabes dorsal spasmodique. (Gaz. médic. de Nantes 1885.) DU
de sclérose médullaire posté.m-latérale, de même que le mot tabès. dorsal ou de l'hypnotisme. 43 ataxique est préférabl
ine après avoir été soumis à un refroidissement humide de la région dorsale , on constate chez le malade, qui fait le sujet
te une sensation d'engourdisse- ment sur le bord cubital de la face dorsale des avant-bras, sur le dos des mains, au niveau
ne zone qui, sur les avant-bras, .occupe le bord cubital de la face dorsale du membre, à 10 ou 12 centimètres au-dessous de
gauche de l'espace compris entre les septième et neuvième vertèbres dorsales , en deux endroits symétriques de la face in- te
nspecte, mesurée, pénible; se fatigue facilement. Dans le décubitus dorsal , faible, raideur dans les membres, phénomènes t
er au ster- num de la même manière que les clavicules. La colonne dorsale au niveau de la base du thorax, forme une dépre
a moelle épinière consistait dans une hyperémie stasique du canal dorsal entraînant après elle l'atrophie du tissu osseux
ent. P. K. - XXIII. Contribution A l'anatomie pathologique du tabès dorsal . Communication provisoire; par ED. KRAUss. (Neu
s des deux côtés; dégénérescence classique de la moelle lombaire et dorsale infé- rieure, (double raie entre le sillon médi
rescence de la marge externe des colonnes de Clarke; dans la moelle dorsale supé- rieure, on rencontre une dégénérescence q
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.- mesure qu'on descend vers la moelle dorsale et s'accompagne alors de l'altération des cordo
utable. P. K. XXVI. Contribution A l'anatomie pathologique du tabès dorsal ET au trajet des FIBRES DE la moelle épinière d
impossible d'en suivre le trajet individuel. Treize cas de tabes dorsal ont décelé l'atteinte constante de ces fibres fin
e l'organe. P. K. XXVII. LE professeur : DAll611 \V1CZ E'l' LETABES dorsal ; pal' SCHUL'l'ZE. M. LE professeur Schultze 1'1
lité à l'égard des impressions dou- loureuses). P. K. XXIX. Tabès dorsal ILLUSOIRE; par P.-J. KOWALEWSKY. (Centmlbl. f.
n pas seulement la face palmaire des doigts, niais celle de la face dorsale des phalangettes etdes phalangines de^ deuxième
chaque cas particulier), sur l'atteinte, dans un des cas de la face dorsale de la phalange unguéale du pouce. Ces faits son
es inférieurs, exagération excessive des réflexes tendineux, clonus dorsal des deux pieds, troubles de la sensibilité justif
st normale; le malade n'éprouve presque aucune douleur dans l'épine dorsale ; pas d'autres troubles ner- veux. Traitement :
la jambe droite, des tressaillements et des tiraillements. L'épine dorsale est douloureuse dans la par- tie supérieure et
IE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 303 sipèle n'existe que sur la face dorsale en arrière du cubitus et dépasse de deux centim
essivement la face pour suivre la nuque et le dos; toute la portion dorsale est prise. La rougeur se limite à la première l
mpathique paraissent absolument normaux ; les parties supérieure et dorsale du grand sympa- thique sont de même normales ;
éophores soient suffisamment isolés de la paroi. Comme rhéo- phores dorsaux , on emploiera des lames métalliques, entourées
me du courant sur le corps entier, on reliera un pôle à l'électrode dorsale , un autre aux lames podaliques et IaLé- rales,
troubles élémentaires. M. RULPF (de Bonn). Du traitement du tabès dorsal . -L'auteur a oblenu de très bons résultats du p
conjonctif sans aucune accumulation de cellules de graise; le grand dorsal ne contient presque plus de fibres, il comprend
psie une myélite transverse des cordons postérieurs et de la moitié dorsale des cordons latéraux surtout des faisceaux laté
de la moelle), par Gras- set, 27 ; (anatomie patbo - logique du - dorsal ), ), r15; (étiologie et symptomato- logie du)
u - dorsal), ), r15; (étiologie et symptomato- logie du), 219 ; -( dorsal illu- soire), 280. , Tétanos céphalique, 111.
52 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
omène rappelant celui de Chvostek. En un cas de tumeur de la région dorsale de la moelle (autopsie), le réflexe était fort
tion de la colonne vertébrale au niveau des vertèbres cervicales et dorsales supérieures. Enfin il existe une fausse sensati
eptent pas le diagnostic de tabès. Névrite radiculaire cervicale et dorsale supérieure. MM. Déjérine, LEENHARoT et Morero m
p de la 2- à la 8c racines cervicales droites et de la 11'0 à la 6' dorsales , diminution de la force et des réflexes des bras.
péricardile. A la partie interne des côtes et le long de la colonne dorsale , on trouve plusieurs masses caséeuses avec poin
ntérieur du canal rachidien dans la colonne ver- tébrale cervicale, dorsale et lombaire. La face postérieure des corps de l
segment de la région sacrale et lombaire, de plusieurs delà région dorsale CI cervicale (moelle sacrée etlomltaire inférie
ignant à peine la zone cornu- commissurale. Dans plusieurs segments dorsaux on constate à peine une légère décoloration dan
s et aux mains,sur les territoires des 8° racines cervicales et 1 ? dorsales ; aux mem- bres inférieurs, sur les territoires
s et et cervicales, ainsi que sur la zone de la à la 1 le ra- cines dorsales et à la fesse droite, sur le territoire des 3e lo
rvés par des rameaux des plexus cervicaux et brachiaux, - des nerfs dorsaux , du spinal, du plexus lombaire ; - parle pneumo
ires. - 1 Dégénérations descendantes. Examinés au niveau de la 10e' dorsale eL de la le lombaire, ai Cordons antérieurs : Z
re, In05, Il" 1., Les 1111l"cle spinaux (a('I'o-]ol1lbairf' el long dorsal ) se rnnfrac- le ! il énergiquement à chaque pas
vrites, prédominant sur le radial, avec oedème secondairejef tumeur dorsale du poignet ? Ou doit-on donner la première plac
diminution, même la dis- parilion, de l'espace iléo-costal. C\phose dorsale supérieure com- pensée par l'extension de la cu
e persistante.' Deux cas d'effon- durement vertébral de la' colonne dorsale avec destruc- tion complète de la moelle à ce n
oment où la flexion de la moelle devient si forte que les vaisseaux dorsaux sont eux aussi comprimés par suite de la tensio
rsaux sont eux aussi comprimés par suite de la tension de la partie dorsale de la moelle. Tillmanns (/. c.) a lui aussi eu
x cas ; dans les deux cas il s'agissait de compression de la moelle dorsale moyenne comme dans les cas de Schmaus et Scarpa
36 - pathologie nerveuse. il s'agissait dans ce 'cas de mal de Pott dorsal . En l'ab- sence de toute pachyméningite ou de m
use des plus évidentes au niveau de la ;»<-, 3e, 'Le \el'Ièlll'l dorsale ; les lames vertébrales sont intactes, les corps '
? Ípul'e pl qui s'étend en hauteur à peu près du 4'- au je segment dorsal . Au niveau le plus épais il, mesure 1 ce. 1/2 e
virgule de Schultze qu'on a pu suivre presque jusqu'au 10" segment dorsal , la dégénérescence du F Py C, qu'on suit jusqu'
ssion à la ré- gion dorsale'avec maximum au niveau delà 4° vertèbre dorsale : paraplégie flasque des membres ' inférieurs :
O ? i , Autopsie : Mal de Pott ancien au niveau de la 4° vertèbre dorsale , qui est effondrée : les deux voisines sont pri
nce, dans celte région, la zone radiculaire moyenne. Dans la moelle dorsale , la dégénérescence se laisse suivre très diffic
l existe une* très légère décoloration tlilfuse, qui dans la région dorsale supé- rieure semble se limiter au faisceau de G
moelle. Les vaisseaux n'()/ll'ent,tlall la muelle 10J1lbo-acl'ée et dorsale , aucune particularité. ' . ' Remarques. Cç ca
eu parce qu'il exis- tait une carie au niveau de la o-4-5e vertèbre dorsale , d'oit 1 infection a vraisemblablement atteint
e la moelle lombaire. l3.iRTrt.s (11, \, dans un cas de mal de Pott dorsal avec pachyméningite et lésion transverse incomp
de la co- lonne de Glarke. lofait que dans la moelle cervicale Pl dorsale les lésions du même ordre n'existent pas, ne no
illie verté- brale très accentuée au niveau (le,la 11-121" vertèbre dorsale , douloureuse il la pression : douleurs spontané
bres D10, DU, D[2, avec cyphose maxima au niveau de la 11° vertèbre dorsale qui esl, presque complètement détruite ; les re
st comme tendue sur l'éperon osseux, pas mobile, de la 11° vertèbre dorsale ; à ce niveau, la dure-mère est fixée à la sail
nces assez fortes formées par des fongosités épidurales : la partie dorsale de la moelle esl libre dans le canal vertébral.
r la face antérieure de la dure-mère, iL partir du douzième segment dorsal jusqu'au premier sacré, il existe unis couche de
était infléchie, tendue sur la saillie osseuse de la 1 le vertèbre dorsale , détruite, refou- lée vers le canal vertébral p
la moelle n'est pas comprimée par l'arête osseuse contre la partie dorsale du canal vertébral ; en ell·et la par- tie dors
contre la partie dorsale du canal vertébral ; en ell·et la par- tie dorsale de la moelle, complètement libre dans le canal
re constaté dans toute la moelle sacro-lombaire et dans la moelle dorsale inférieure. Quatrième cas. A. l"" jt) uns. Débu
slrique, saillie 1 ri" peu douloureuse au niveau de la 12u vertèbre dorsale . . En avril font leur apparition des IrouiJll'
obées dans un tissu grisâtre, qui, en haut aussi, jusqu'à la région dorsale movenne produit une s/mphysc 1'I111'P les ménin
dobules blancs, mais aucun vaisseau n'est thrombose. .\ la région dorsale , celle infiltration des méninges molles dinu- n
ouve pas de lover d'infiltration indépen- dant d'eux : il la région dorsale , l'inliltmlion médullaire diminue d'une manière
n discrète de la névroglie occupe la zone dégénérée. Dans la région dorsale iu- fi·rimre ut moyennu,la I·inure·cencu a11·ct
que la moitié des cordons pos- lérieurs en largeur. Dans la région dorsale supérieure, c'est le faisceau de Goll qui parai
rvelet descendant dans le canal rachidien jusqu'à la première paire dorsale . Diagnostic des tumeurs cérébrales. , M. CEST
Voir 1P- 9'l'(L.1 : ()lOlJ22.1 Névrite radiculaire cervicale et dorsale supérieure, par Déjérme, Leenhardt et Mo- rer
53 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et de la ré- duction de ses portions axiles et juxta-axiles (paroi dorsale et ventrale). Ensuite l'étude de la genèse du t
al, le névraxe, pour primitivement dou- ble, et je passe à la corde dorsale . Corde dorsale. - Est-elle double ? Non, répond
our primitivement dou- ble, et je passe à la corde dorsale. Corde dorsale . - Est-elle double ? Non, répond M. Bonne, elle
itiés de l'oeuf (pris au stade II) contenait en puissance une corde dorsale . L'anatomie comparée, comme je l'ai fait voir,
nt d'a- jouter que, chez les Reptiles et chez les Oiseaux, la corde dorsale est manifestement double au niveau du canal neu
médullaire avec la gouttière intestinale. La duplicité de la corde dorsale chez les oiseaux est reconnue par tous les auteur
te que soit cette unicité ? Ne croyait-on pas avant Chabry la corde dorsale une d'ori- gine ; et de même, aujourd'hui encor
ogique d'un organe, et son unité ana- tonique.11 n'y a qu'une corde dorsale dans l'Ascidie de Chabry. Si l'observateur la t
gane ». Ainsi est-ce précisé : en sa réalité physiologique la corde dorsale est simple ; et on peut dire qu'il n'y en a qu'un
f, l'autre dans la partie gauche, comme Chabry l'a vu pour la corde dorsale de l'Ascidie, j'y verrai un organe double né de l
s erreurs ; mais encore est-ce la seule possible.De ce que la corde dorsale a apparu à Chabry se constituer par un apport c
le. Ce n'est qu'ultérieurement, lors de la constitution de la corde dorsale , que les deux moitiés se rejoignent et s'accole
réponse qu'on relise ce que nous avons dit plus haut de la corde dorsale et des organes médians. Voici enfin la rate ; e
ésente à l'extrémité antérieure une papille de fixation et. du côté dorsal , une petite involution atriale. A la base de la q
mentation séparait l'une de l'autre la moitié ventrale et la moitié dorsale de l'animal. Duplicité organique. A mes remarqu
égie organique, il y eut 26 fois flexion plantaire, 59 fois flexion dorsale : dans 13 ca,, la fle- xion pkntaire était plus
daire dans la motricité du membre : quand la 1 racine postérieure dorsale et « vraisemblablement » plusieurs autres des rac
ercice. Il court, mais péniblement, ét s'appuie souvent sur la face dorsale de la main anesthésique. Le S. N. C. des 4 anim
urtant, après section des dernières cer- vicales et des 5 premières dorsales , la dégénération n'atteint pas la moelle lombai
lle cervi- cale supérieure. Dans les segments cervical inférieur et dorsal supé- rieur, le septum paramédian ne représente
oigts traî- nent sur le sol et la patte se pose souvent sur la face dorsale ; dans ce cas seulement on voit apparaître les
s ; plusieurs hémorrhagies dans la corne postérieure droite. Moelle dorsale : D à à D 7j dégénération symétrique, en vir- g
e d'un coup de baïonnette qui le blessa au niveau de la 4e vertèbre dorsale . Un an après l'acci- dent, il existait encore,
des cordons laté- raux, mais la moelle, atrophiée dans les régions dorsale et lombaire supérieure, était le siège de lésio
llaires ne dépassent pas en hauteur le niveau du deu- xième segment dorsal de la mo lle. La nature de la lésion, d'après l
vation il s'agit d'une tumeur siégeant au niveau de la 4e vertèbre dorsale . Elle était située à la partie antéro-latérale dr
les nerfs de la queue de cheval pa- raissent normaux le cul-de-sac dorsal , exploré au doigt, est souple et paraît sain.
A l'autopsie,on trouva au niveau de l'union de la 10e et de la 11 dorsale une petite tumeur composée de deux parties. La pr
ieux et englobait quelques filets nerveux appartenant à la 11 paire dorsale . Dégénérescence ascendante au- dessus de la tum
du corps sur les points qui lui servent d'appui dans le dé- cubitus dorsal suffit pour que ces parties se meurtris- sent,s
; dans la partie inférieure, lésion plus accusée dans le territoire dorsal du noyau du côté opposé. B. fait ensuite une cr
ie lésant sur- tout les cornes antérieures delà moelle cervicale et dorsale , à cause de la marche et du début par les trois
ulte que chez l'enfant, plus fréquents aussi dans les localisations dorsales , ces accidents relèvent de plu- sieurs causes :
sur la face palmaire de toutes les phalanges ; tandis qu'à la face dorsale de la main la sensibilité est intacte ; à gauch
ns pro- fondes qu'on exerce dans les espaces interosseux de la face dorsale de la main et du pied avec un doigt ou avec un
est abolie complètement. Hypoesthésie des pieds; (face plantaire et dorsale ), hyperalgésie sur la face dorsale du pied, ane
ie des pieds; (face plantaire et dorsale), hyperalgésie sur la face dorsale du pied, anesthésie vibratoire complète sur les
mités supérieures en entier ; hypoesthésie sur la face palmaire et dorsale de la main ; hypalgésie sur la face dorsale de la
sur la face palmaire et dorsale de la main ; hypalgésie sur la face dorsale de la main ; hyperalgésie et dysesthésie aux bo
nt défaut. Sensibilité. L'hypoesthésie et l'hyperalgésie de la lace dorsale de la main ont disparu. L'hypoesthésie de la face
rétablie complètement. L'hypoesthésie des pieds reste; sur la face dorsale des pieds existe, outre l'hypoesthésie,l'hyperalg
lle de la sensibilité : l'hypoesthésie et l'hyperalgésie de la face dorsale des pieds ont disparu ; il nd reste que l'hypoest
ant une pression pro- fonde dans les espaces interosseux de la face dorsale de la main à l'aide d'un doigt ou d'un porte-pl
ages les filets nerveux les plus minces qui provien- nent des nerfs dorsaux internes et externes des doigts (/ ? . n. dorsa
nent des nerfs dorsaux internes et externes des doigts (/ ? . n. dorsales dlgitorlam interni et exteiqi) et innervent les
a affecter exclusivement ou prin- (1) Sur l'innervation (le la face dorsale de la main. Thèse de doctoral, Varsovie, 15)03
e disparition des différents troubles de la sensi- bilité à la face dorsale de la main et du pied (hypoesthésie, hypoalgési
ffectés que les branches prenant part dans l'innervation de la face dorsale de la main et du pied. En résumant maintenant t
54 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
re 3 montre la main droite du même sujet disséquée et vue par la face dorsale . On voit que les extrémités inférieures des os mé
d'insertion du deltoïde, du grand pectoral, du grand rond et du grand dorsal , la traversent. C'est le tendon d'insertion du d
tuées par les nerfs de la région palmaire avec les nerfs de la région dorsale . Ces anastomoses forment une anse. La figure 3'
forment une anse. La figure 3' représente la dissection de la face dorsale du pied. Entre le gros orteil et le petit orteil,
s bords externes, forment un pied unique à neuf orteils, dont la face dorsale regarde en bas, et la face plantaire regarde en h
onés, les deux bords externes du pied sont réunis et pourquoi la face dorsale du pied regarde en bas et la face plantaire en ha
és de la ligne médiane, les gros orteils regardent en dehors, la face dorsale du pied est dirigée en bas, la face plantaire en
u pied avec la jambe et de la forme des deux pieds, vus par leur face dorsale . Dans la figure 2' comme dans la figure 2, les pi
ectement fléchi sur le bras, et la main déformée appuyant par sa face dorsale sur le moignon de l'épaule; sa longueur est de 4
mbre de faits, qu'il existe une sympathie remarquable entre la région dorsale et les poumons, et que, appliqués sur cette régio
la région dorsale et les poumons, et que, appliqués sur cette région dorsale , les moyens thérapeutiques exercent une influence
i répond aux apophyses épineuses des troisième et quatrième vertèbres dorsales . la pneumonie, nous combattons des effets, mais
ndirent largement sous le grand pectoral en avant, puis sous le grand dorsal en arrière , et enfin le long du bras, et la mala
e infiltration s'étend sons le grand pectoral en avant, sous le grand dorsal en arrière, et en bas le long de la gaine cellule
utre, l'inflammation avait envahi les muscles grand pectoral et grand dorsal eux-mêmes. On voyait, dans l'épaisseur de ces mus
ires d'un blanc-jaunâtre. La planche iv représente, fig. i, la face dorsale de la main du même sujet. Sur cette face dorsale,
nte, fig. i, la face dorsale de la main du même sujet. Sur cette face dorsale , les tumeurs sont, en général, plus petites et pl
plus inférieures occupaient le bord radial de l'avant-bras et la face dorsale de l'index et du pouce. Ces tumeurs variqueuses
u'en dedans sur le trajet de la veine saphène, et le pied sur sa face dorsale et le long de son bord interne. La couche sous-
olonge sur l'aorte tho-racique jusqu'au niveau de la sixième vertèbre dorsale . Deux vertèbres ont été profondément corrodées. L
s y renvoyons. de l'épine du dos, au niveau des premières vertèbres dorsales . Les mouvemens du tronc sont douloureux. Le malad
r, je reconnus à la partie supérieure et latérale gauche de la région dorsale , une tumeur fluctuante, pulsatile, qui soulevait
mplantée sur la partie latérale gauche des quatre premières vertèbres dorsales , et sur les côtes correspondantes ; la tumeur pul
les côtes correspondantes ; la tumeur pulsatile observée à la région dorsale n'en était qu'un prolongement. Les vertèbres avai
à la région lombaire, qui est le lieu le plus déclive dans le cubitus dorsal ; en même temps que la bouffisure, il s'est décla
t surtout les ventouses sur la région du cœur, ou mieux sur la région dorsale , lui sont substituées avec grand avantage. J'ai
e f entourant la portion de moelle qui répond a la troisième vertèbre dorsale . Fig. 2, 2', 2, pl. i, xxxiie livraison. Piri
terminée en haut, où elle répondait au niveau de la deuxième vertèbre dorsale , en voyant en bas un prolongement terminé en poin
upait, non la région lombaire, mais la partie supérieure de la région dorsale . Dans les paraplégies parfaitement limitées aux m
tumeur, qui occupait la partie supérieure et postérieure de la région dorsale , était olivaire et d'un tissu tout-à-fait identi
épinière était comprimée au niveau de la partie moyenne de la région dorsale par une tumeur olivaire de vingt lignes de longue
loureuse, nous avons vu, au niveau des huitième et neuvième vertèbres dorsales , trois petites tumeurs fibreuses oblongues, situé
Salpêtrière comme incurable, trois mois après son accident. Décubitus dorsal obligé, sensibilité tactile des pieds abolie jusq
égie dans une saillie des apophyses épineuses de la douzième vertèbre dorsale et de la première vertèbre lombaire. Il m'est d'a
irement. Pour traitement, moxas à la partie supérieure de la région dorsale , saignées répétées. Pendant huit à dix jours, la
er. Les barres de la poitrine sont moins fortes qu'hier. La douleur dorsale ou spinale a persisté depuis le premier moment où
u même côté. La malade a uriné volontairement depuis hier. La douleur dorsale ou spinale persiste. Le mieux semble dû à la gomm
éprouva le soir du frisson, suivi de chaleur. Le 26 juin, douleurs dorsales très vives le long de l'épine: il lui semble qu'o
e ne se rappelle pas. Le 28: la douleur de tète a diminué; la douleur dorsale persiste. La malade se plaint d'une douleur préco
, est concentrée sur deux points : i° un point au milieu de la région dorsale ; 20 un point au bas de la région cervicale. La mo
mulsion nitrée, douze sangsues. 6 juillet et jours suivans: douleur dorsale , qui s'exaspère par la pression et même par le si
Insomnie. Lorsqu'elle s'assoupit, elle est réveillée par une douleur dorsale , semblable à celle que produisent des piqûres d'é
étendre jusqu'au milieu du dos et quelquefois jusqu'au bas de l'épine dorsale . Crampes dans les jambes, quelquefois engourdisse
d'une très bonne santé; mais elle ressent par momens les deux points dorsaux indiqués, et, soit appréhension, soit douleur vér
igastre et obliquement dirigée en arrière et en bas jusqu'à la région dorsale . La sensibilité était parfaite dans toutes les pa
ion enkystée. Au niveau de cette adhérence, qui répondait à la région dorsale , la moelle épinière est renflée, molle, fluctuant
es est un peu moins considérable à la région cervicale qu'aux régions dorsale et lombaire. Réflexions. Les cordons médians et
grise. La portion de moelle étendue de l'origine de la première paire dorsale à l'origine de la deuxième paire lombaire est mol
jaunâtre occupe toute la largeur des cordons aux régions lombaire et dorsale ; elle se rétrécit et devient en quelque sorte li
u calamus. Il résulte de cette disposition qu'aux régions lombaire et dorsale , les cordons postérieurs et les petits cordons du
aison de l'épine; mais je découvre, au niveau de la douzième vertèbre dorsale et de la première vertèbre lombaire, un point mou
pressible intermédiaire à l'apophyse épineuse de la douzième vertèbre dorsale et à celle de la première vertèbre lombaire, mais
tuante, intermédiaire aux apophyses épineuses de la dernière vertèbre dorsale et de la première vertèbre lombaire qui a été dia
e de la moelle n'ont pas notablement diminué de volume. A la région dorsale , an niveau des deuxième et troisième vertèbres de
n, suite de carie des dernières vertèbres cervicales et des premières dorsales . —Invasion subite de la paralysie à la suite de d
niveau des dernières vertèbres cervicales et des premières vertèbres dorsales . Point de saillie, point de déviation manifeste.
En outre, l'instantanéité de l'invasion de la paralysie, les douleurs dorsales qui avaient précédé, militent en faveur de l'idée
Une saignée au bras , des ventouses scarifiées le long de la colonne dorsale , un vésicatoire de six pouces sur deux sur la rég
colonne dorsale, un vésicatoire de six pouces sur deux sur la région dorsale , furent immédiatement conseillés. Les jours suiva
ère de chaque côté de la région cervicale, à son union avec la région dorsale . J'avais d'abord prescrit un électuaire purgatif,
e-mère, au niveau des dernières vertèbres cervicales et des premières dorsales '. ce pus s'était échappé d'un foyer compris entr
x dernières vertèbres cervicales et par les trois premières vertèbres dorsales . Il y avait communication entre le foyer antéri
viation considérable de la colonne vertébrale, au niveau de la région dorsale . Cette déviation a lieu aux dépens de cinq ou six
s à la région lombaire, et pourtant la déviation existait à la région dorsale , ce qui suppose, ou bien que l'application des mo
ences antérieures avaient limité l'épanchement. Cinq ou six vertèbres dorsales avaient subi à divers degrés l'altération qu'on a
e au niveau des deuxième, troisième, quatrième et cinquième vertèbres dorsales : la paraplégie une fois consommée, l'état du mal
ncu que la moelle était comprimée à la partie supérieure de la région dorsale , et je tâchais de faire passer ma conviction dans
ière. La colonne vertébrale ayant été ouverte, nous vîmes à la région dorsale , au niveau des quatre ou cinq premières vertèbres
à la région dorsale, au niveau des quatre ou cinq premières vertèbres dorsales entre les parois osseuses du canal vertébral et l
ux onces. Le 19 décembre et les jours suivans, même état; décubitus dorsal immobile; pleurs continuels à toutes les question
ovoque une augmentation notable de cette rigidité. Toujours décubitus dorsal , immobilité, face stupide, pleurs, intelligence.
de l'urètre, l'un supérieur, plus petit (fig. 3'), qui occupe la face dorsale de la verge, au niveau de la ligne médiane; l'aut
coccygienne : c'est cette douleur que j'ai coutume d'appeler le point dorsal utérin. Les hémorrhagies et les divers écouleme
doubles se divisent en trois grandes classes : monstres par adhésion dorsale , monstres par adhésion antérieure, monstres par a
térieure, monstres par adhésion latérale. Les monstres par adhésion dorsale comprennent les adhésions par la région sacrée et
nne entourant la portion de moelle qui répond à la troisième vertèbre dorsale . 32e liv., pl. 1, n, p. 2. — Cancer mélanique tub
e carie des dernières vertèbres cervicales et des premières vertèbres dorsales . 38e liv., pl. v, p. 6. — Y a-t-il un rapport ent
e de parties. 38e liv., pl. 1, p. s. DOS. Sympathie entre la région dorsale et les poumons. 29e liv., pl. v, p. 3. DOTHINEN
nne entourant la portion de moelle qui répond à la troisième vertèbre dorsale . 32e liv., pl. 1, n, p. 2. — Réflexions suggérées
n, suite de carie des dernières vertèbres cervicales el des premières dorsales . Invasion subite de la paralysie à la suite de do
nne entourant la portion de moelle qui répond à la troisième vertèbre dorsale . 32e liv., pl. 1, n, p. 2. —Réflexions suggérées
n, suite de carie des dernières vertèbres cervicales et des premières dorsales . 38e liv., pl. y,p. 6. —Coexistence d'un cancer f
n, suite de carie des dernières vertèbres cervicales et des premières dorsales . 38e liv., pl. v, p. S. — Maladies de la colonne
55 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
rieures et du bassin de ce fœtus. Le pied droit PD est vu par sa face dorsale , le pied gauche PG par sa face plantaire. Les sur
ragalo-scaphoïdienne, l'autre TA qui forme une tubérosité sur la face dorsale du pied et sert quelquefois à supporter le poids
inclinaison qui mesurent les degrés de la difformité ; ainsi la face dorsale du pied regarde en avant, les orteils sont dirigé
tantôt sur le bord externe ; d'autres fois sur une partie de la face dorsale . Deux plans verticaux et parallèles, qui passerai
rps était transmis au bord externe du pied et à une partie de sa face dorsale . Devons-nous en conclure, avec Benjamin Bell, que
oyait que c'était un rhumatisme : il appelait cette douleur son bâton dorsal . Ce fut le dernier mot qu'il prononça : il mourut
al. Dans une assez grande longueur, environ du milieu des « vertèbres dorsales jusqu'au bas du sacrum, les membranes étaient sép
inférieure jusqu'au niveau de la deuxième ou de la troisième vertèbre dorsale ; 3° qu a partir de ce point j usera 'à la septièm
gidité dans les mouvemens, d'où la métaphore très-expressive de bâton dorsal employée par le malade. Cette douleur, qui avait
état fut le même jusqu'à la mort : des moxas appliqués sur la région dorsale ne furent pas sentis, une escharre énorme ne tard
tie inférieure de la moelle cervicale et le commencement de la moelle dorsale comprimés par une tumeur encéphaloïde qui s'était
çait à se manifester au niveau et aux dépens de la cinquième vertèbre dorsale et de l'extrémité postérieure de la quatrième côt
le long de la moelle épinière jusqu'à la partie moyenne de la région dorsale , et s'est propagée le long des attaches des muscl
détruit la commissure grise 5 mais , au niveau de la quatrième paire dorsale , « existait un autre épanchement beaucoup plus c
ue les articulations intermédiaires. La figure 6 représente la face dorsale du gros orteil droit. AMP, articulation métatarso
e. L'altération est beaucoup plus considérable que du côté de la face dorsale ; les os sont usés, comme corrodés ; les deux os s
sion forcée. Les figures 7 et 8 représentent : la première, la face dorsale du pouce, et la seconde la face dorsale du petit
entent : la première, la face dorsale du pouce, et la seconde la face dorsale du petit doigt de la main droite. On y voit des c
us aigu sans la rencontre de la onzième avec la cin-, quième vertèbre dorsale ( i r VD et 5e VD), rencontre violente, car la pr
corps des sixième, septième, huitième, neuvième et dixième vertèbres dorsales ( 6e VD, 7e VD, 8e VD, 9e VD, 10e VD) : leurs déb
ctrices V, laquelle masse se continue en bas avec la onzième vertèbre dorsale , et semble en haut et en avant creusée d'une exca
are la huitième de la neuvième et la neuvième de la dixième vertèbres dorsales , et à compléter en arrière le canal raehidien.
anifeste. Un enfant de dix ans, qui présentait au niveau de la région dorsale un angle aigu saillant en arrière, rentrant en de
entre le ligament vertébral commun antérieur et la dernière vertèbre dorsale et la première lombaire; en haut, entre le ligame
ostérieur et le plan postérieur du corps des deux premières vertèbres dorsales , je n'ai trouvé que des débris des corps des troi
, sixième, septième, huitième, neuvième, dixième et onzième vertèbres dorsales et des disques intervertébraux correspondais. La
çait à se développer au niveau et aux dépens de la cinquième vertèbre dorsale et de l'extrémité postérieure de la quatrième côt
représentent la région lombaire et la partie inférieure de la région dorsale d'un autre enfant qui a succombé à un hydroraciii
cadavre. La tumeur lombaire existe au niveau de la douzième vertèbre dorsale et des cinq vertèbres lombaires : son diamètre ve
conoide, née de la face postérieure du corps de la douzième vertèbre dorsale , établissait la ligne de démarcation. Au-dessus d
coulée par l'incision de la tumeur lombaire. Les colonnes lombaire et dorsale , vues antérieurement ( fig. 3), présentent de bas
pour le corps des troisième, deuxième, première lombaires et douzième dorsale (3', 4, 5 3° pour les onzième, dixième, neuvième,
3', 4, 5 3° pour les onzième, dixième, neuvième, huitième et septième dorsales , deux moitiés réunies en un corps. Vues postéri
réunies en un corps. Vues postérieurement, les colonnes lombaire et dorsale ont présenté (fig. 4) : i° nue seule pièce pour l
pièces pour la première (5) et pour les douzième et onzième vertèbres dorsales : une substance cartilagineuse remplissait l'inte
La figure i' représentela main et l'avant-bras vus du côté de la face dorsale , le bord radial étant en avant. P est le pouce, I
e médius, A l'annulaire, P D le petit doigt. On voit qu'à la région dorsale de la main, l'épiderme présente une disposition é
loppé et recourbé en corne de bélier. La fig. 2 nous montre la face dorsale de l'ongle qui est lisse et sillonnée par des str
ation de l'ongle : et il est facile de voir que les stries de la face dorsale sont en rapport avec cette disposition lamelleuse
ette même figure 2' montre l'intervalle qui sépare l'ongle de la face dorsale de la phalange onguéale : cet intervalle était oc
les sont sécrétées et que les stries circulaires que présente la face dorsale de l'ongle correspondent au bord postérieur de ch
et du cubitus ; cette surface convexe soulève fortement les ligamens dorsaux ; et si le « mouvement de flexion ne se partageai
la solidité des mouvemens. Au demeurant, la « résistance des ligamens dorsaux qui sont si peu considérables et en quelque sorte
es « luxations du poignet seraient faciles dans une chute sur la face dorsale du poignet fléchi. « Dans la luxation, les extrém
ne saurais concevoir qu'une luxation causée par une chute sur la face dorsale de la main fléchie sur l'avant-bras puisse avoir
as de fracture du radius possible par l'effet d'une chute sur la face dorsale de la main fléchie sur la face antérieure de l'av
as s'articule non plus avec le bord supérieur, mais bien avec la face dorsale du carpe. La fig. 2 représente la même articula
res du radius et du cubitus, ER et EC, s'articulent avec les facettes dorsales du scaphoïde S, du semi-lunaire SL, du pyramidal
e vif sur les bords et couverte d'un enduit saburral épais, à sa face dorsale , s'est complètement dépouillée par une sorte de d
n bain , si la malade peut le supporter. Vésicatoires sur les régions dorsales . A la visite du soir, les vomissements avec eff
ée pour boisson. Demi-lav. à la glace avec camphre 24 gr. Vésicatoire dorsal de huit pouces de long et trois pouces de large.
ouls a conservé delà fréquence pendant quelques jours. Le vésicatoire dorsal a cessé de donner au bout de huit jours. Des bain
la voix; selles un peu moins fréquentes. Vésicatoire sur la région dorsale du rachis. Un sinapisme sur l'abdomen. Quart de l
es que la malade ne peut satisfaire, ce que j'attribue au vésicatoire dorsal ( elle n'a pas uriné depuis l'invasion). Persua
t de barre, seront combattus par les mêmes moyens, par le vésicatoire dorsal , s'il n'a pas été encore employé, par des frictio
la paume de la main : douleur de rein que l'on attribue au décubitus dorsal : la respiration s'entendait partout, elle était
cusait assez constamment le malade, et qui fut rapportée an décubitus dorsal obligé. Le malade ne parla pas d'hématurie antéri
ation. Fig. 3. Cancer mélanique de même nature TM, occupant la face dorsale du 1er espace interosseux. Fig. 4. Tumeur mélan
nature , s'établit. Survint une tumeur do même caractère sur la lace dorsale de la main dans le premier espace interosseux. La
ertèbres de la région ecrvicale et par les quatre premières vertèbres dorsales . Le corps de ces vertèbres est divisé en deux moi
des corps de toutes les vertèbres cervicales et des quatre premières dorsales ; les deux premières côtes gauches, 1 2 G sont sou
blable tumeur commençait à se manifester aux dépens de la 5e vertèbre dorsale et de l'extrémité postérieure de la 4e côte : la
et cicatrisé par places. La malade se plaignait beaucoup de douleurs dorsales , que j'avais combattues plusieurs fois avec succè
56 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
; il existe également une légère convexité à gauche des ver- tèbres dorsales . L'ensellure est assez accusée mais n'est pas aus
exus cervical, de la cinquième paire, du plexus brachial, des nerfs dorsaux ,lombaires et sacrés, unilatérale ou symétrique.
e moyenne et gagne la cloison médiane postérieure; dans la moelle dorsale , elle n'atteint ni les zones médianes, ni les zon
observation de la polyné- vrite alcoolique, remarqua dans la région dorsale de la moelle épinière une assez grande quantité
5. DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNÉVRITE. '185 La région dorsale présente les mêmes altérations que nous venons
cordons postérieurs que la portion antéro-interne ; dans la région dorsale les faisceaux posté- rieurs sont altérés plus é
VII. Li VALEUR DE LA MÉTHODE DE FREXKEL DANS LE TRAITEMENT DU tabès dorsal ; par DE 13EcaTEREW. (Neurolog. Ce>atralbl., X
, XIII, 1894.) . Expériences sur des chiens; section de la moelle dorsale (au niveau des troisième et quatrième vertèbres
t pas la lésion primitive. - Il a trouvé les méninges des régions dorsale et lombaire atteintes par le processus patholog
roubles apparaissent d'abord dans la zone d'inner- vation des nerfs dorsaux moyens. Ils s'étendent ensuite réguliè- rement
es douloureux. Anesthésie remontante jusqu'à la huitième vertèbre dorsale , troubles sphinctériens. Mort quatre mois après l
être développée primitivement dans le sixième trou de conjugaison dorsal droit : un des prolongements de la tumeur s'étend
psie on trouva un sarcome logé dans le huitième trou de conjugaison dorsal droit comprimant la moelle par un prolonge- men
retiré une gouttelette de sang à l'aide d'une piqûre sur la face dorsale des deux mains. L'examen a démontré que le sans d
quantité notable de sérosité dans le tissu cel- lulaire de la face dorsale de la main gauche. Processus tubercu- ÉTUDE ANA
a moelle épinière, à la hauteur de la deuxième à la quatrième paire dorsale , on trouve dans la colonne de Clarlce, du côté
ns modifications. Au-dessous de l'émer- gence de la quatrième paire dorsale la différence dans le nombre des cellules nerve
lit le diagnostic d'avec la névrite atrophique par exemple du tabes dorsal , d'avec la névrite mulliloculaire avec atrophie
dure-mère adhérente et amincie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 363 dorsale , troubles sphinctériens. Mort quatre mois après l
être développée primitivement dans le sixième trou de conjugaison dorsal droit : un des prolongements de la tumeur s'étend
psie on trouva un sarcome logé dans le huitième trou de conjugaison dorsal droit comprimant la moelle par un prolonge- men
la mâchoire, les sinus frontaux, les mains, les pieds et la cyphose dorsale rap- pellent les acromégaliques, présenteraient
t de ce que les fibres du corps calleux se rassemblent en la région dorsale de cet organe; puis, de là, gagnent ' Voy. Arch
région latéro-dorsale du ventri- cule latéral, point où les fibres dorsales s'entrelacent avec celles du corps calleux. Sur
dans la ventricule (Alveus). On constate aussi, le long de la face dorsale et médiane du noyau caudé, l'existence d'une minc
u nerf optique des tabétiques n'est donc pas périphérique, le tabès dorsal étant une maladie qui débute par les ganglions
lle, se retrouve dans le lobe optique des oiseaux, dans le ganglion dorsal optique (ganglion dorsal du nerf optique ? et i
lobe optique des oiseaux, dans le ganglion dorsal optique (ganglion dorsal du nerf optique ? et il est permis de supposer la
Une fillette reçoit un projectile au niveau de la onzième vertèbre dorsale ; elle succombe au bout de cinq mois au marasme et
été faites surtout dans le segment compris entre la deuxième paire dorsale .et le plan bulbaire passant par les racines de
es éléments de la moelle épinière au niveau de la première racine dorsale . Au-dessus de la lésion, dégénérescence des cordo
sclérose de l'ensemble des cordons. Au niveau de la deuxième racine dorsale , la moelle a sa configuration nor- male. Scléro
région des cordons postérieurs jusqu'au niveau de la dixième racine dorsale , dégénérescence typique des faisceaux pyramidau
aire et des segments antérieurs des cordons latéraux dans la région dorsale . Diminution du nombre de cellules dans les cornes
E. DE AIASSARY. L'auteur a pratiqué des coupes en séries de racines dorsales , lombaires ou sacrées de cinq sujets morts d'af
po-phalangienne et la phalange de l'index gauche, du côté delà face dorsale . Il aurait enlevé l'épiderme c pour faire sortir
rtie inférieure de cette région; enfin les deux dernières vertèbres dorsales et les vertèbres lom- baires offrent une second
ée à gauche. Les apo- physes épineuses des cinq dernières vertèbres dorsales et surtout les trois dernières sont assez saill
450 RECUEIL DE -FAITS. est épaissie, rugueuse. On note sur la face dorsale deux cicatrices blanchâtres, consécutives à des
onnaît bien les objets que l'on place entre ses doigts, sur la face dorsale du carpe, de l'avaut-bras et du bras. Il sent bie
totale à la cha- leur, au tact et à la douleur au niveau de la face dorsale des doigts, ' Nous avons rédigé tout cet état a
uliers. La peau est épaissie sur le dos du métacarpe et sur la face dorsale des doigts; elle est en outre légèrement rouge.
ions des orteils sont libres. Le gros orteil est étendu sur la face dorsale du pied (contrac- ture). Les mouvements spontan
de de Erb. ' MEMBRE SUPÉRIEUR GAUCHE 468 RECUEIL DE FAITS. face dorsale , ainsi qu'à la plante du pied. Dans cette dernièr
externe du pied jusqu'au niveau de la malléole externe. Sur la face dorsale la diminution = 1 division jusqu'au niveau du p
ns sensibles que la peau. La sensibilité atteint son acmé à la face dorsale des articulations phalangiennes des doigts, et
57 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ux en dedans, celle du grand dentelé en dehors et en haut. Le grand dorsal est uniformément étendu sur toute la région. Entr
thoracique n'est séparée de la peau que par le corps mince du grand dorsal . Or, la profondeur de ce sillon triangulaire est
e représente sur des coupes de la première lom- o baire et d/uxième dorsale . Même disposition que sur la coupe précédente p
n lombaire moyenne, et à celle faite au niveau de la deuxième paire dorsale . i Région lombaire mo/enc.< Lesdcuxzones cor
ons constatée sur nos préparations. Au niveau de la douzième racine dorsale , apparaît encore la même concordance avec l'asp
ant épargné les régions que nous étudions. A partir de la 110 paire dorsale et seulement pour ce qui a trait à notre zone p
llemand et nous expliquerons comment nous les entendons à la région dorsale supérieure et dans les régions inférieures où i
on destructive de la moelle, variant comme hauteur entre la sixième dorsale et la huitième cervicale' et l'on ne pourra com
- rale est saine ; mais au voisinage de la lésion, dans la région dorsale supérieure, que voyons-nous ? une dégénérescesce
s les cornes postérieures. C'est pour cette raison qu'à la région dorsale supérieure et cervicale nous leur assimilons la
al dans la région sacrée; Cornu-commissural à la région lombaire et dorsale infé- rieure. Plus haut, c'est à ce système q
ci 2 montre qu'à la suite d'une compression au niveau de la sixième dorsale la dégénérescence descend manifeste- ment presq
ie deux faits où cette même dégénération s'étend depuis la première dorsale jusqu'au cône terminal. Son exis- tence est don
ériphérie interne, c'est-à-dire du septum. A la région cervicale et dorsale supérieure il se trouve à la périphérie des cor
érieurs presque au voisinage de l'angle posterouatérieu à la région dorsale moyenne il se - 1 ' 1 Dans la zone cornu-comm
RES ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 97 1 dirige vers le septum; à la région dorsale inférieure il devient t angulaire ayant une bra
a moelle (cône terminal). Une compression de la région cervicale ou dorsale supé- rieure se traduira par la dégénération du
surtout à l'illusion, c'est la prédominance de l'oedème sur la face dorsale . Là même, se prolongeant sur l'avant-bras, se v
générale nettement rosée, tachetée, au milieu à peu près de la face dorsale , d'un piqueté rougeâtre. Les doigts, toujours t
n peu au-dessus du pli radio-carpien, s'accuse au niveau de la face dorsale des ârli- culations métacarpo-phalangiennes, et
re secondes après. A ce moment une pression de ce genre sur la face dorsale provoque aussitôt la contracture des fléchisseu
out prononcé à la base des doigts et, de plus, le centre de la face dorsale forme une saillie arrondie d'oedème, d'empâteme
nsurations de la température locale, faites chaque jour sur la face dorsale , nous - ont donné les résultats suivants : quan
ble avec les moments de l'examen, est surtout accentuée sur la face dorsale ; la face palmaire est humide, gluante, égalemen
ment; elle est également très accentuée aux orteils, mais à la face dorsale du pied elle diminue progressivement. Cette col
sivement. Cette coloration vio- lacée est surtout marquée à la face dorsale des mains et des pieds, leur face palmaire et p
identique à celle qu'avait présentée Philomène van D... Leur face dorsale était froide et sèche, leur face palmaire était r
membres inférieurs, sauf lorsque le malade est dans le décu- bitus dorsal , sont susceptibles de prendre part aux secousses
les traitements restèrent impuissants. L'élongation de la branche dorsale cutanée du cubital et plus tard la section du cub
dants. Les auteurs pratiquèrent l'arrachement total de la branche dorsale cutanée du cubital ; résultat nul. On avait jus
ne. Ce foyer en forme de fuseau, commence vers la deuxième racine dorsale et se termine vers la huitième racine dorsale, il
rs la deuxième racine dorsale et se termine vers la huitième racine dorsale , il occupe spécialement la substance grise, mai
montait jusqu'au niveau d'un plan passant par la quatrième vertèbre dorsale , elle comprenait tous les modes de la sensibili
tième paire cervicale et finissant au niveau de la neu- vième paire dorsale . A certains endroits, ce foyer envahit à peu pr
llon médian antérieur au niveau des régions cervicale inférieure et dorsale supérieure, le droit un peu plus élevé que l'au
ce intacte. L'auteur diag- nostique un foyer de myélite à la région dorsale , suite d'une infec- tion blennorrhagique. c V
scrit de myélite à la por- 312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tion dorsale de la moelle, l'hystérie n'est pas en cause. Du r
'a pas eu de crise de douleurs fulgurantes. Observation VU. Tabes dorsal . Développement rapide de l'in- coordination mot
France. Pendant le jour il portait : 4° un plastron de caoutchouc dorsal ; 2° un plastron de caoutchouc sternal ; 3° un mo
aux membres supérieurs, sens spéciaux normaux. La seconde vertèbre dorsale fait une saillie prononcée et la pression en ce
'une lésion localisée de la moelle au niveau de la seconde vertèbre dorsale . La symptomato- logie, dit-il, chez notre malad
e, la pachyméningite, la carie de la colonne vertébrale, le tabes dorsal , la lèpre. Il conclut à la gliomatose plutôt qu'à
tion latérale du rachis c"t dorso-lombaire pour M. Richer, elle est dorsale seu- lement pour M. Clozier. Enfin, ce dernier
, 362. des idiots, 412. Ataxie. Traitement de l'- dans le tabes dorsales , par Hirschberg, 161, 337. AlnÉTosc double, p
58 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tir dans l'aine du côté gauche une douleur légère, avec irradiation dorsale et exagération par la pression et pendant la ma
tive. La pression provoque une légère douleur le long de la colonne dorsale au niveau des apophyses épineuses, ainsi que da
froid) sur les membres, le tronc et la face. Au niveau delà colonne dorsale , la sensibilité aux différents modes est sensib
compression de la moelle au point d'origine de la hui- tième paire dorsale . Il existait une anesthésie de toute la zone du
rsale. Il existait une anesthésie de toute la zone du huitième nerf dorsal à droite, et seulement du neuvième à gauche, ce
vomissements, fièvre, mort. A l'autopsie, au niveau de la huitième dorsale , on constate un élargissement fusiforme de la m
incurvation en arc de cercle de la partie supérieure de la portion dorsale de la colonne vertébrale, avec inclinaison de l
uleurs spontanées continuaient encore, mais la pression sur l'épine dorsale n'était pas douloureuse. Le membre supérieur dr
la déformation, l'absence delà douleur à la percus- sion de l'épine dorsale et la forme de la paralysie, se croit autorisé
une incurvation en arc de cercle de la partie supérieure de l'épine dorsale et une paralysie flaccide avec amyotrophie d'un
ant à la fois, comme cela arrive sou- vent, les portions cervicale, dorsale et lombaire. Ensuite vient l'intensité relative
ant au-dessus du mamelon, dans le territoire de la troisième racine dorsale . A partir du 12 avril, accidents para- lytiques
sibilité jusque dans le territoire des cinquième et sixième racines dorsales ; hypéresthésie évidente des deux côtés dans le
e évidente des deux côtés dans le territoire de la quatrième racine dorsale ; au-dessus la sensibilité est normale. Les jour
u coude avec une violence extrême (territoire de la deuxième racine dorsale ). Sensibilité circonscrite très nette à la pres
point de la colonne vertébrale qui correspond à la troisième paire dorsale au niveau des apophyses épineuses des première
u niveau des apophyses épineuses des première et deuxième vertèbres dorsales . A partir du 1 Voyez Archives de Neurologie, Re
e qu'il y avait une tumeur siégeant au niveau de la troisième paire dorsale , et ayant atteint la seconde, pas plus haut, qu
rouva à l'autopsie que le néoplasme descendait jusqu'à la cinquième dorsale , la moelle avait été comprimée sur toute la hau
sur les articulations tarso-métatarsiennes, aux faces plantaire et dorsale du gros et petit orteils. La pression, douloure
surtout au niveau des orteils et du talon, remontant sur la face dorsale des orteils. Une sudation abondante se produit.
blement incurable. G. D. XXXIX. SUR la nature systématique DU TABES dorsal ; par le Dr 130ftGHEBIN1. L'auteur a étudié un
ut, jusqu'aux REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 205 premières racines dorsales . A partir du maximum supérieur, elle décroît pa
ut vers les premières racines cervicales et en bas vers.la première dorsale . La lésion porte surtout sur le faisceau de Bur
se, AUgemeine cérébrale slarre), de la rigidité paraplégique (tabès dorsal spasmodique des enfants) ;' de l'hémiplégie spa
que l'on peut suivre jusque dans la partie inférieure de la moelle dorsale . P. K. XXIV. nIICItOCÉPH.1L1$' AVEC FENTE simie
ment DE moelle intermédiaire a la moelle cervicale ET A la moelle dorsale ; par L. Bruns (Archiv. f. Psychiat., XXV, 3.) E
moelle compris entre la huitième racine cervicale et la pre- mière dorsale . Déjà quelques-unes des parties du segment en que
nte au niveau des septièmes racines cervicales et deuxièmes racines dorsales . La dégénéiescence traumatique directe se termi
ns postérieurs; elle peut être suivie jusqu'à la cinquième vertèbre dorsale pour le cordon postérieur et jusqu'à la moelle
ée pour les autres systèmes. En bas, à partir de la deuxième racine dorsale , on trouve simplement quelques fibres nerveuses
n transverse totale de la moelle au niveau des régions cervicale ou dorsale , la moelle lombaire restant intacte, malgré la
étruite au' niveau de la huitième paire cervicale et de la première dorsale ; il y avait dégénérescence descendante et ascen-
sphincters. Cause inconnue. Un fils du malade est atteint de tabès dorsal . Le 24 juillet, on constate : accélération de l
lle ? L'orateur a observé un malade atteint de tumeur des vertèbres dorsales avec compression de la moelle, chez lequel, pen
resque complète de la moelle entre la région cervicale et la région dorsale . Elle survécut onze ans à cette muti- lation et
est un homme de trente-huit ans, non syphilitique, atteint de tabes dorsal . Il fut soumis à la frankiini- sation pendant s
s différemment ; les uns invoquant la congestion due au décubitus dorsal , les autres l'anémie cérébrale qui est, comme l'a
Fe, Ka 0, AnFe, An 0. Les recherches ont porté sur 4 cas de tabès dorsal , 1 d'atrophie 460 revue d'électrothérapie. mu
toit, vive douleur à la pression vers la onzième apophyse épineuse dorsale , pas de gibbosité. Paralysie complète du membre i
la partie supéro-externe de la lame gauche de la onzième ver- tèbre dorsale . Le fragment osseux peu mobile qui la produisait
- sypllitiyue, par Iedoroff, 124; sur la nature systématique du - dorsal , par Borgheri ! u,204. Témoignage des experts,
59 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
de est un peu voûté et présente une courbure scoliotique de l'épine dorsale ; pendant la marche, il ressent une douleur au s
, insta- bilité choréique du tronc, légère cyphoscoliose de l'épine dorsale , ataxie bien prononcée des extrémités supérieur
obliquement par le raphé. Ici, elle s'entrecroise dans la direction dorsale à partir du corps trapézoïdal, avec le faisceau
ticulièrement sur les muscles sus et sous-épineux, rhomboïde, grand dorsal et trapèze (portion inférieure). Les deltoïdes
us-épineuses sont beaucoup plus atteints que le rhomboïde, le grand dorsale et le trapèze. - Les omoplates sont détachée^ e
La pie-mère est rouge pâle et oedémateuse surtout dans les régions dorsale et lombaire ; dans toute son étendue, elle est
la quatrième paire cervicale et descendre jusqu'à la deuxième paire dorsale . Sur une coupe pratiquée à ce niveau, on aperço
ans la région de la corne postérieure gauche. A partir de la région dorsale , le gliome n'est plus excavé. , Les racines a
ne antérieure et elle se dirige en dehors. Au niveau de la douzième dorsale (fig. 2), elle a passé complètement en dehors de
, à gauche, par l'infiltration. Un peu plus haut, vers la dixième dorsale , la tumeur qui, partie des cordons postérieurs,
postérieurs Fig. 2. Coupe pratiquée au niveau de la douzième racine dorsale . La portion circonscrite de la tumeur a décapit
vant que le néoplasme l'atteint ou en reste écarté. Vers la sixième dorsale , la corne antérieure gauche disparait presque c
es retrouve étalées à la périphérie de la tumeur. Vers la quatrième dorsale , la corne antérieure se reforme, tout en restan
l en sera question plus tard en détail. Au niveau de la troisième dorsale , la cavité est déjà grande ; elle a une forme é
r ses bords. Fig. 3. Coupe pratiquée au niveau de la dixième racine dorsale . La portion circonscrite de la tumeur a repassé
e la cavité prin- Fig. 9. - Coupe pratiquée vers la quatrième paire dorsale . En haut on aperçoit une petite cavité, irrégul
s de régéné- ration partant des racines postérieures dans la région dorsale et remon- tant obliquement pour traverser la tu
-médullaire à gauche depuis la première lombaire jusqu'à la dixième dorsale environ; plus haut elles sont encore fortement
, puisqu'elles donnent nais- sance en plusieurs points de la région dorsale à des névromes de régénération. Dans la partie
ulum nerveux intacts en apparence, sauf vers le milieu de la région dorsale où la corne gauche disparait presque. Néanmoins
intramédullaires de racines postérieures gauches dansles régions dorsale inférieure et lombaire supérieure. Il est encor
és et que les filets qui en partent passent par la première, racine dorsale ; immédiatement,au-dessus d'eux viennent les z
quée de la corne antérieure gauche à, la partie moyenne delà région dorsale . , Il Il f' , '1 .<. u '" 'j..1 ,t l, Il 1 1
par l'existence d'une myélite transverse chronique de la 5 portion dorsale inférieure plutôt que par l'intoxication elle-mêm
plégique , l'Epilepsie partielle d ! origine syphilitique, le Tabès dorsal spasmodique, l'Athétose, etc. Ce fut alors auss
, 1801 ; Sur un cas de para- lysie radiculaire de la première paire dorsale , avec lésion hémilaté- rale de la moelle, d'ori
n chez moi, appuyé sur une canne. Debout, il a la démarche de tabes dorsal spasmo- dique, grâce à la rigidité musculaire d
ral de la corne antérieure droite est très atrophié. Dans la région dorsale , diminution des cel- lules de la colonne de Cla
nes postérieures dans toute leur étendue dans la moelle lombaire et dorsale inférieure. La seconde observation concerne l'a
nt cervical, elle s'étend jusqu'à la partie supérieure de la région dorsale . Dimi- nution des cellules de la colonne de Cla
Burdach; intégrité du faisceau de Goll dans la moelle cervicale et dorsale . L'observation III est identique à l'observatio
ATHOLOGIQUES. XXIV. Contribution A l'anatomie pathologique DU tabès dorsal ; par A. KRWSS, (Archiv. f. Psychiat., XXIII, 23
douleur vive, persistante dans la région épigastrique et la région dorsale , avec anorexie, vomissements. Son médecin cru
istait encore, mais plus faiblement, de même la douleur à la région dorsale et lombaire. Le surlendemain, je lui fais une nou
droite. Les apophyses épineuses font une saillie énorme à la région dorsale . L'ensellure lombaire est très prononcée. Ch...
ut où trop bas.' ' ' ' ` ,< . . u ' '" ' PLK, ' ifî L ? LE noyau dorsal et LE noyau sensoriel du' nerf GLOSSO'-PLIA- ·
l'olive'accessoire "externe.* ? l 4 ' . loin '' Tel, est'le' noyau' dorsal qui,'en réalité forme une' petite colonne de' c
i Au' niveau du tiers inférieur,du noyau de l'hypoglosse, le noyau dorsal est situé), en .arrière de celui-ci. Au .niveau d
Au .niveau de la partie moyenne du noyau de l'hypoglosse, le noyau dorsal est situé entre le noyau de l'hypoglosse et le
e ce noyau. Au-dessus; le noyau de l'hypoglosse diminue et le noyau dorsal s'accroît, prenant la place du premier au niveau
ulde l'extrémité supérieure' du noyau'de" l'h 1pd ? ioie;' le noyau dorsal touche au noyau -interne de l'acoustique alors,
le cervicale; dégé- nérescence radiculaire disséminée de lai moelle dorsale , cervicale'et lombaire; dégénérescence des corn
l' la spinale, par Ôppenheim, 492. ' l GLOSSO-PIIARY\GICV, noyam dorsal et ' noyau sensoriel du nerf -, par lllucliin
. Rosenbach, 135; contri- bution à l'anatomie patholo- gique du - dorsal , par Krauss, 396.;Un;cas,drpseudo - post- inf
60 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rce sur l'abdomen; ramené ensuite vers la tête, la main par sa face dorsale , répondant au pre- mier métacarpien et au premi
se recula violemment pour en éviter le choc, et il frappa son épine dorsale à l'angle d'une muraille qui se trouvait derriè
érieure, partantpostérieurementde la deuxième ou troisième vertèbre dorsale , remontant en haut vers la moitié de la fosse s
effet, elle est très limitée, elle occupe la sommité de la colonne dorsale . Elle peut être expliquée elle aussi avec des a
mène douloureux. Mais B..., qui se croit faible et malade à l'épine dorsale , y réfléchit tout le jour, songeant aux conséqu
é. Or, c'est une cognition vulgaire que dans les lésions de l'épine dorsale , les jambes se paralysent; c'est donc à son aut
les ressemblent fort à celles des colonnes de Clarke dans la moelle dorsale . En ce qui concerne les relations des cordons p
on senmentinféro-latéral (ventro-latéral) ; la partie supérieure ou dorsale de cet organe paraît être en relations avec les
ation sous le titre : Lésion traumatique de la moelle et de l'épine dorsale .- La malade a cinquante-cinq ans. Ni lues, ni t
et inférieures n'agissent presque plus, surtout à gauche. Le grand dorsal exécute assez difficilement son aclion et, en a
t le repos, légèrement incliné à gauche. Dans le mouvement du grand dorsal , le scapulum bascule très fortement, et son ext
cuisse est forte aussi. L'adduction est assez éner- gique. Flexion dorsale du pied faible. Le groupe des muscles de la rég
érieur), - un noyau ventral antérieur, (inféro-autérieur), un noyau dorsal (supérieur), - des groupes de cellules médianes
f). Mais il fait les réserves suivantes : 1° Le nombre des myélites dorsales se rattachant à la syphilis est-il assez grand
personnelles durant ces dix dernières années (myélite chronique ou dorsale ) montrent que 35 à 40 p. 100 de ces malades ava
s avaient eu la syphilis. 2° Cette forme syphilitique de la myélite dorsale a-t-elle des caractères différentiels qui la di
iasma, les trousseaux superficiels des nerfs. M. D1N&LER. Tabès dorsal syphilitique au début; méningite syphi- litique
semaine plus tard, mort subite. On constate au microscope un. tabès dorsal au début, de la méningite spinale syphilitique
ons. Examen par la méthode de Pal et Weigert de la moelle lombaire, dorsale , cervicale inférieure, de foetus mesurant 27 à
rmément disséminées sur tout le reste de cet organe. Dans la moelle dorsale et cervicale inférieure, ces fibres myéliniques
n organisée commence au niveau de la partie inférieure de la moelle dorsale , elle monte dans la partie supérieure de la mêm
u cordon postérieur ait considérablement augmenté. Dans les régions dorsale et cervicale inférieure, abondance de fibres myél
notamment au niveau de la partie inférieure et moyenne de la moelle dorsale ; à cette époque, il n'est guère possible de di
erne du cordon. En s'élevant dans la partie supérieure de la moelle dorsale on retrouve la bande claire qui s'est étendue.
les fibres reçoivent leur myéline (région lombaire). Dans la moelle dorsale et cervicale infé- rieure, les fibres myéliniqu
t externe (faisceau de Burdach) du cordon postérieur dans la moelle dorsale et cervi- cale inférieure, les fibres du faisce
- nion est renforcée par celte constatation que, dans les régions dorsale et cervicale inférieure, la lésion occupe, dans l
emblance s'applique aussi bien aux régions lombaires qu'aux régions dorsale et cervi- cale inférieure. Il est des cas dans
lequel les fibres du quatrième stade demeurent intactes. La moelle dorsale et cervicale inférieure est surtout, à raison de
sacro-lombaire sont affectés de la lordose paralytique avec cyphose dorsale que Duchenne a décrite comme consé- quence de c
a employé successivement des vésicatoires placés le long de l'épine dorsale , des toniques, des frictions sur les mem- bres,
crit une courbure très grande, appartenant à vrai dire à la variété dorsale principale, bien qu'elle soit peut-être légère-
naison, et par l'as- sociation de la maladie mentadie avec le tabès dorsal ; enfin le dernier cas était accompagné d'hallu
vé des symptômes identiques, à la suite d'un phlegmon de la surface dorsale du poignet. CI Des phénomènes semblables ont ét
le nom de rigidité généralisée de rigidité paraplégique, de tabes dorsal spasmodique, d'hémiplégie spasmodique bilatérale
peu près égaux, l'un plus (latéro-) ventral, l'autre plus (latéro-) dorsal , et qu'entre eux s'in- tercalent les fibres mac
ves du central, par Darkchévitch et Fik- lionof, 471. ' - Tares dorsal , par Dinlcler, 274. T IX.\TOPHOI31E et suicide,
61 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ement. Autopsie. A la hauteur des cinquième et huitième vertèbres dorsales on trouva deux gommes : la première, dans la dure
ures dans la moelle épinière, plus marquée surtout dans les régions dorsales et cervicales ; une alté- ration dans les parti
les trois dernières, septième et huitième cervicales, et première dorsale dans une moindre mesure, d'une façon incomplète.
godets, celte tuméfaction est tantôt généralisée sur toute la face dorsale de la main, tantôt n'occupe que sa partie infér
, donnant à la main l'aspect lourd. Tous les accidents de la face dorsale disparaissent sous cet empâtement uniforme : plus
ntre-indications. » D'' R. Hirschberg (de Paris) : 1. « Surle tabes dorsal juvénile. » 2. Sur une forme réputée rare du tabe
à la myélite chro- nique une cause suffisamment précise. » - Tabès dorsal spasmodique, p. 548 : « Les causes du tabès dor
écise. » - Tabès dorsal spasmodique, p. 548 : « Les causes du tabès dorsal spasmo- diquesontdes plus obscures. » - Scléros
sse, l'éminence hypothénar a presque entièrement disparu. A la face dorsale , existe un creux profond formé par la dispariti
e reste aujourd'hui qu'un peu d'hypesthésie de la cornée. A la face dorsale du deuxième 108 CLINIQUE NERVEUSE. orteil gau
par l'élude d'un syn- drome bien net et bien défini aussi, le tabès dorsal . Je ne partirai pas ici d'un fait actuel du ser
n beaucoup plus avec la station debout et celni de la mus- culature dorsale qu'avec l'intellect. Bianchi critique lui-même ce
rvé. Proéminence des dernières épines cer- vicales et des premières dorsales . Décès après deux ans de maladie, à l'autopsie
re de la moelle étendu de la deuxième paire cervicale à la première dorsale . For- mation de cavités au centre de la tumeur'
des modifications artificielles en question limitées au 8e segment dorsal ; elles sont imputables, d'après l'auteur, à une
es en quelques lignes. - Au niveau de la moelle sacrée, lombaire et dorsale infé- rieure, le champ dit radiculaire occupe l
: les descendants (b), variables à chaque région, sacrée, lombaire, dorsale , etc. Les ascendants (b') surtout déve- loppés
cinquième racine lombaire. Fig. 6. Au niveau de la douzième racine dorsale . fit, 7. Entre la huitième racine dorsale et la
eau de la douzième racine dorsale. fit, 7. Entre la huitième racine dorsale et la neuvième. Fig. S. Au niveau de la deuxièm
e la deuxième racine cervicale (G', fibres longues lombo-sacrées et dorsales inférieures. G" fibres longues dorsales supérieur
es longues lombo-sacrées et dorsales inférieures. G" fibres longues dorsales supérieures). 188 PATHOLOGIE NERVEUSE. mélang
i consti- tueront les triangles du cordon de Goll. Dans la moelle dorsale et cervicale, le champ radiculaire -obéit aux m
ccupé par les triangles à fibres longues des sept dernières racines dorsales qui s'étagent successivement, de dehors en deda
; en d'autres termes, suivant qu'il s'agit de la moelle cervicale, dorsale , lombaire ou sacrée. Nous l'examinerons toujour
ur une coupe transversale de la moelle. Dans la région cervicale et dorsale , il s'appelle plus spécia- lement « virgule de
une bandelette périphérique spéciale (fig. 6, 7) située à la région dorsale inférieure. Cette bandelette borde la périphéri
au paraît prendre naissance, au moins pour les régions cervicale et dorsale , dans les cellules de cordons situées à la base
il peu près totale du centre ovale (6). Flg, 16 (douzième racine dorsale ). La bandelette périphérique dorso-lombaire (6)
ce grand faisceau des fibres radiculaires longues (lombo-sacrées et dorsales inférieures). De plus, la solu- tion du problèm
de la 7e cervicale : 3° les bran- ches cutanées destinées à la face dorsale des deux dernières pha- langes des doigts parai
, sont aussi très mobiles. Il en est de même du clonus à la flexion dorsale qui varie d'un moment à l'autre, est alternativ
incters. Sens génital diminué mais non disparu. Clonus à la flexion dorsale du pied ainsi qu'il a été dit plus haut. L'affe
alade dans son lit : contractures passagères des mains, contracture dorsale , figure grimaçante, écume à la bouche. Jamais d
ncernant le petit faisceau des fibres, qui se trouve en dedans du « dorsale Abtheilung (de liôsel) du ruban de Reil médian
es lésions de la moelle épinière, princi- palement dans les cordons dorsaux et dans les fibres radiculaires. De pareilles a
raxes. Les cellules nerveuses sont presque intactes. Dans la partie dorsale inférieure fut notée une méningite très marquée
en donner une preuve directe, j'ai excisé les premiers gan- glions dorsaux (ganglia stellata) dans lesquels se trouve le plu
spéciale dans la région lombaire et cervi- cale que dans la région dorsale de la moelle. Dans le nerf crural et nerf ischi
d'obte- nir une guérison ou une amélioration notables dans le tubes dorsal au moyen du traitement spécifique. 2. Le traite
normal. Thorax. Notre malade présente aussi une cyphose cervico- dorsale , avec lordose lombaire et projection de l'abdomen
la suite des lésions expérimentales de la moelle entre la huitième dorsale et la deuxième lombaire; au bout de quelque tem
(Daniel) (de Chicago). La première chose à considérer pour le tabes dorsal est le climat. L'auteur recom- mande surtout à
62 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
2. Charcot, loc. cit. — Eruption particulière siégeant sur la face dorsale d'une main et des doigts, et probablement consécu
On reconnut, à l'autopsie, que les corps des six dernières vertèbres dorsales et des deux premières lombaires étaient cariés. L
e en deux lamelles, surtout dans la région des 9e, 10e et 11e racines dorsales . Bien que les lésions de la dure-mère parussent a
uivante : Elles siè-gent le plus communément sur unpoint de la région dorsale de la moelle épinière qu'elles occupent dans une
cit. : Fracture de la co-lonne vertébrale vers le milieu de la région dorsale . — Moelle épinière ramollie dans l'étendue de plu
f. klin. Chu., Bd. [, 1861, § 1, 470. Fracture de la sixième vertèbre dorsale , formation rapide d'une es-chare au sacrum. Sympt
ns. — Middcrdorf. Knochenbruch,% 62. Fracture de la huitième vertèbre dorsale . Formation rapide d'eschare ; pyémie ; abcès mé t
région sacrée dans un cas de myélite partielle sié-geant à la région dorsale de la moelle épinière. — a, Partie mortifiée ; —
s cas de Jeffreys est relatif à une fracture de la quatrième vertèbre dorsale ; une eschare confirmée occupait la région sacrée
nt, et qui avait reçu une balle dans le corps de la huitième vertèbre dorsale . Un second cas de Jeffreys est particulièrement
ds de haut. A l'autopsie, on trouva le corps des septième et huitième dorsales brisé en plusieurs pièces et ayant éprouvé un gra
ait d'Ollivier (d'Angers) (2), concernant une fracture de la douzième dorsale . L'eschare, dans ce dernier cas, fut constatée le
67. 2. Dans un cas de fracture de lacolonne vertébrale, à la région dorsale , ob-servé par J. Ilutchinson, dès le second jour
reçuten arrière du thorax, entre laneu-vième et la dixième vertèbres dorsales , un coup d'épée, qui, à en juger d'après les symp
ue por-tant sur une moitié latérale de la moelle épinière à la région dorsale , la paralysie du mouvement survenir dans le membr
15 au 16 février 1871. L'arme a pénétré au niveau de la 3e ver-tèbre dorsale . Le trajet de la plaie est dirigé de haut en bas,
emme de vingt-un ans qui reçut dans le dos, au niveau de la quatrième dorsale , un coup de couteau ; l'instrument, ainsi que E
de la moelle épinière à 2 millimètres au-dessus de la troisième paire dorsale .Lejour môme de l'accident, on constate une paraly
e ne présentaient aucune lésion ; au voisinage des 5e et 6° vertèbres dorsales , la moelle épinière était trans-formée dans toute
1. Loc. cit. p. 252. exemple, ou la partie supérieure de la région dorsale , —faits dans lesquels le déeubitus aigu survient
sions. Elles intéressent toutes les régions de la moelle (cervi-cale, dorsale , et lombaire) ; elles envahissent indistinctement
, mais principalement à partir de l'extrémité inférieure de la région dorsale . La Figure 15 représente les lésions observées su
r le sol, ou, si cela est possible, sur un matelas, dans le décubitus dorsal . Le médecin, alors, ayant un genou en terre, plon
en général, aussitôt qu'on cesse de maintenir le pied dans la flexion dorsale ; elle persiste cependant quelquefois un peu aprè
visibles à la superficie. Elles dominent, ici, surtout dans la région dorsale . v. Vascularisation méningée (pic-mère) très pr
nférieure du renflement cervical, 4, Partie supérieure de la région dorsale . 5, Deux centimètres plus bas, région dorsale s
périeure de la région dorsale. 5, Deux centimètres plus bas, région dorsale supérieure. 6, Un centimètre et demi plus bas,
égion dorsale supérieure. 6, Un centimètre et demi plus bas, région dorsale supérieure. 7, Deux centimètres plus bas, réuni
ieur avec le tiers moyen. 8, Un centimètre et demi plus bas, région dorsale . 9, Un centimètre et demi plus bas. 10, Deux
t demi plus bas. 10, Deux centimètres plus bas, milieu de la région dorsale . II, Un centimètre plus bas. 12, Un centimètr
ical). 4, Deux centimètres plus bas (partie supérieure de la région dorsale ). 5, Un centimètre et demi plus bas. 6, Deux
63 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion des cou- leurs. etc. Nez petit, arrondi, à courbé supérieure et dorsale ; narines étroites, sillon naso-labial assez ac
té à lever les jambes, chute des orteils par parésie des extenseurs dorsaux . Mollets volumineux et durs. Plusieurs muscles
ces montrées par lui à laséance de juin étaient celles d'un tabès dorsal spasmodique avec participation du membresupérieur
se produisit il y a sept ans un affaissement brusque de la colonne dorsale avec paraplé- gie. La moelle comprimée par une
aux présente un étranglement trèslimitéauniveaudesG°et7° le racines dorsales . Au-dessus et au-dessous, mais surtout an-dessus,
t atteinte de scoliose à double courbure. La courbure supérieure ou dorsale est à convexité droite. La courbure inférieure
érose des- cendante, on trouva, à la partie supérieure de la moelle dorsale et à la partie inférieure de la moelle cervical
e dans le domaine «de la huitième paire cervicale ou de la première dorsale a suffi à certains cliniciens pour confirmer le
ctes. Elles proviennent de deux masses grises distinctes : un noyau dorsal ou le noyau classique et un noyau ventral ou noya
ique sont toutes des fibres directes. Les unes proviennent du noyau dorsal ou noyau à petites cellules, les autres du noyau
tic de léchage consiste chez le cheval à passer fréquemment la face dorsale de la langue sur les corps environnants. Le tique
les des cellules de la substance grise ' ? Voici un fait de tabès dorsal dans lequel les dégénérescences tabetiques, ext
rêmement accusées, portaient sur toute la moelle, sacrée, lombaire, dorsale , et même sur les racines postérieures de la par
aires de la moelle sacrée et de la moelle lombaire : dans la moelle dorsale , ces zones sont complètement ou presque entière-
faisceau d'ileiweg : on la peut suivre jusqu'au début de la moelle dorsale . Il est cependant impossible d'eu préciser l'ori-
ette, mais peu intense, cesse à l'extrémité supérieure de la moelle dorsale : cela s'explique, puisque l'extrémité inférieu
anchniques de deux côtés. lit L'influence de la région cervicale et dorsale de la moelle sur l'or- gane diminue graduelleme
'éruption pellagreuse se rencentrent le plus ordinairement nia face dorsale des mains et des pieds, aux avant-bras et aux jam
une remarquable efficacité contre les douleurs fulgurantes du tabès dorsal , qu'on a si longtemps con- fondues et qu'on con
é plus d'un mois. Nous apprenons que durant ce séjour, la cicatrice dorsale s'est rouverte et a laissé couler du pus. Elle
ait enfoncée dans l'épaisseur de la lame de la troi- sième vertèbre dorsale ; la pointe qui avait traversé le canal rachidi
ns la profondeur du disque interver- tébral sus-jacent à la sixième dorsale dont elle atteignait presque la face antérieure
malade. Comment était constitué le foyer principal d'e la moelle dorsale moyenne, si caractéristique .avec sa dureté spé
on moyenne cor- respondant à l'émergence médullaire de la 50 racine dorsale . D'autres morceaux ont été coupés au niveau des
D'autres morceaux ont été coupés au niveau des 6e, 7°.et 8° racines dorsales , pour moutrer les limites inférieures ,des lési
lésions. Un dernier fragment a été pris au niveau de la 3" ra- cine dorsale . ' Apres inclusion colloïdinée, les coupes fure
nerveux central. A. Coupes uzt niveau du foyer principal (3° racine dorsale ). Quelle que soit la coloration employée, les c
ette moitié latérale gauche de la moelle, au niveau de la 8" racine dorsale , est envahie par un processus lésionnel plus ta
cules radiculaires postérieurs. IL Coupes au niveau de la 60 racine dorsale . Les lésions ont sensiblement diminué d'intensi
es apparaissent très dilatées. C. Coupes au niveau de la '7" racine dorsale . Les caractères de la lésion changent complètem
léroses névrogliques anciennes. D. Coupes au niveau de la 8° racine dorsale . La substance grise a repris sa configuration e
p de fascicules vides de tubes nerveux. E. Coupes au niveau de la 3 dorsale . La moelle n'a certaine- ment aucune lésion pri
ent prédominante à droite. En résumé le foyer principal dela moelle dorsale moyenne loin d'être simplement cicatriciel, pré
tance seulement. Le processus n'a pas atteint la huitième racine dorsale ; à ce niveau, la moelle ne présente plus aucun
en plusieurs années, fnnctionnellement, a détruit le %'Il, segment dorsal , déterminant une paraplégie spasmodique inteiii
montré dans les deux cas une myélite aiguë transverse de la région dorsale inférieure et des lésions cancéreuses. Dans le
dans une artère dure-mérienne antérieure à la hauteur du 7e segment dorsal et noyaux cancéreux intra-médullaires dans le 8
ent dorsal et noyaux cancéreux intra-médullaires dans le 8° segment dorsal . Dans le 2°, elles consistaient en : cancer du
ertèbres, pachyméningite externe can- céreuse du 10° au 11° segment dorsal , compression et dégénéres- cence radiculaire sa
ur, depuis le troisième segment lom- baire jusqu'au premier segment dorsal et au bulbe par le noyau in- terne de Burdach;
mbaire, puis, dans la moelle cervicale, depuis le premier seg- ment dorsal jusqu'à la limite supérieure du quatrième cervica
64 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ons régulières après l'effort que nous faisons pour ramener sa face dorsale vers la région jambière antérieure (8 janvier).
montra une douleur assez vive, persistante, localisée à la région dorsale et à l'épigastre, accompagnée d'une dyspnée int
ATION NER- VEUSE, AVEC APPOINT A L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE DU TABES dorsal ; par Th. RuMpF. (Arch. f. Psych., XV, 2.) Obser
lement, pneumonie, mort. C'est à la hauteur de la huitième vertèbre dorsale qu'existe un épanchement sanguin de 3 cen- timè
ur, de deux ganglions : un ganglion ventral postérieur, un ganglion dorsal antérieur. Le ganglion ven- Archives, t. XL 7
isceau deVicqd'Azyr, il disparait avec ce dernier. Mais le ganglion dorsal antérieur, qui en est indépendant, persiste; il
rânienne la cou- vexilé du cerveau, pour aller détruire le ganglion dorsal antérieur. Cette démonstration de l'existence d
e côté, conserve, verse du côté de la lacune produite ; le ganglion dorsal antérieur du même côté (opéré) fait de même et
nces sont encore totalement inconnues. La destruc- tion du ganglion dorsal antérieur précité entraine la mort du gan- glio
supra l'atrophie par compression de la portion ventrale du ganglion dorsal antérieur du corps mamillaire.) M. Gudden propo
n même temps une cavité centrale longue de 6 centim. dans la moelle dorsale inférieure. Il s'agit d'une femme de cin- quant
pace sous-dure-mérien, est, depuis la par- tie moyenne de la moelle dorsale jusqu'au cône médullaire, dis- tendu par un coa
nerveuse y est un peu tuméfiée, la portion inférieure de la moelle dorsale est déli- quescente. La cavité en question comm
, par exemple au lieu de passage du renflement cervical à la région dorsale . De forts grossissements décèlent que l'on a af
à la même époque, Erb% à propos du diagnostic différentiel du tabès dorsal spasmodique et du tabes ordinaire, parle des fo
ère de ces complications à l'article Tabes; mais, à propos du tabes dorsal spasmodique, il dit' quant aux cas compliqués d
l'alcool. On trouva alors que le trajet de la balle suivait la face dorsale de l'occipital, à travers le lobe pariétal jusq
revêtement cutané, entre-11,4 et+2,8. La peau du ventre et la face dorsale du coude présentent le maximum de sensibilité ;
, depuis la moelle cervicale jusqu'à la partie moyenne de la région dorsale ; à partir de la région dorsale inférieure, l'al
squ'à la partie moyenne de la région dorsale; à partir de la région dorsale inférieure, l'altération s'étend à presque tout
utisme; l'absence de ce réflexe est en rapport avec la localisation dorsale inférieure et lombaire supérieure de la moelle.
ètre; enfant faible, fortement amaigri, demeurant dans le décubitus dorsal , la tête un peu fléchie en arrière. Visage pâle
nt nettement sur le pourtour. Ces macules s'effacent dans la moelle dorsale ; on commence à les rencontrer dans la partie in
bercules quadrijumeaux; la situation de ce noyau est celle du noyau dorsal de l'oeulo-motetti, commun de Gnd- dot, mais ou
es coupes pratiquées après durcissement dans les régions cervicale, dorsale et lombaire de la moelle, démontrent l'intégrit
A. Nerfs du membre supérieur gauche. 1° Filets du radial à la face dorsale delà main. Presque toutes les fibres présentent
ine beaucoup la scène, mais qui n'est pas cependant un simple tabes dorsal spasmodique. 10 mai 1883, M. de L... Syphilis
e moindre obstacle. Sphincters toujours faibles. Ici c'est au tabes dorsal spasmodique que l'on pense tout d'abord ; mais
tabes ataxique ordinaire), ensuite ceux de sclérose latérale (tabes dorsal spasmodique) ; en troisième lieu, nous parleron
95 tomes de l'ataxie locomotrice qui n'appartiennent pas au tabes dorsal spasmodique. Voilà donc un premier élément étab
s ordinaire » qui différencie la maladie que nous étudions du tabes dorsal spasmodique. II. Passons maintenant au deuxième
65 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
février. Engelures nombreuses ulcérées, très-éten- dues sur la face dorsale de la main gauche. Pansement avec de la vaselin
lète. Le ma- lade est dans le coma; il est couché dans le décubitus dorsal , et on note une certaine raideur dans les membr
elle. Roséolesy- philitique. yidé ? iitesce ? *incaies. Mal de Pott dorsal . - Amaigrissement progressif. -Diarrhée. Pas de
rouvé une saillie au-niveau de l'apophyse épineuse de la 8 vertèbre dorsale qui est un peu déjetée à droite. La percus- sio
T VERTEBRAL. MAL DE POTT VERTÉBRAL. 73 grande partie de la région dorsale , La partie culminante est formée de trois apoph
présente une saillie prononcée à la partie supérieure de la région dorsale . Cette gibbosité décrit, en arrière, un angle o
de la crête épineuse. Cette dépres- sion comprend les six premières dorsales . Examen histologique. 81. · factice on remarq
rande partie de l'étendue de la gibbosité, sauf au niveau de la 4me dorsale . Le corps de cette vertèbre fait une saillie nota
mais rempli par un exsudat granuleux. Sur une coupe de la moelle dorsale , au niveau du mal de Pott, nous retrouvons succ
du faisceau cérébelleux droit. A la limite inférieure de la moelle dorsale , les enveloppes n'offrent rien de spécial; la s
stérique : rtciiial-ic au niveau des 5mec, 6me, 7""\, Sme vertèbres dorsales : la douleur qui existe au niveau des apophyses
de la largeur du doigt, prédominante à gauche où répond la douleur dorsale : douleur à la pression, pas de douleur spontan
ux points hyperesthésiqucs situés l'un au niveau de la 7mc vertèbre dorsale , 'autre au-dessous du mamelon du côté droit : m
Point douloureux au niveau des apophyses lombaires et des dernières dorsales , douleur sous- mammaire, épigastrique des 2 côt
t; circonférence 29 centimètres, La partie inférieure de la colonne dorsale décrit une légère convexité à droite; la colonn
n à concavité tournée à gauche, à la partie supérieure de la région dorsale ; une autre, compensatrice, en sens inverse au-d
est de 83 cent. Au - niveau des vertèbres cervicales inférieures et dorsales su- périeures on trouve une enflure molle, élas
res au niveau des dernières vertèbres cervicales et des premières dorsales supérieures; mains larges et froides, mollets gro
poils qui existe au niveau des vertèbres cervicales antérieures et dorsales supérieures, » C'est là une particularité que n
roite et très saillante, ainsi que la région scapulaire; la colonne dorsale décrit une convexité à gauche très prononcée. L
66 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
STÈME NERVEUX. 5 d'une myélite transverse syphilitique de la région dorsale supérieure ; cette lésion, qui avait passé à la
posté- rieure de la moelle, dans la moitié inférieure de la région dorsale , 8 PATHOLOGIE NERVEUSE. et dans la région lom
chives, t. XXVII. 2 , Fig. 7. Sillon antérieur de la moelle (région dorsale supérieure); la lésion veineuse l'emporte de be
es capillaires ; ainsi c'est vers la partie inférieure de la région dorsale et dans la région lombaire en arrière, que les
lle, tandis que la méningo-myélite est à son maximum dans la région dorsale . Il s'agit pourtant bien évidemment d'un seul et
hent encore mieux que plus bas sur la zone malade. Dans la région dorsale les cordons postérieurs sont pris d'une façon u
dehors, et qui répond à la dégénérescence plus intense de la région dorsale . Enfin, plus en dehors, on aperçoit une zone dé
térieures présentent des lésions assez avancées en bas; a la région dorsale elles sont irrégulièrement atteintes : les unes
que la dégénérescence systématique est plus avancée dans la région dorsale . 11 n'y a que très peu de méningite comparative
) 4 , . . . , LA MÉSONEURtTE NODULEUSE. 89 foyer possède une face dorsale rectiligne et une face ventrale assez régulière
e : foyer de myélite scléreuse ci la partie supérieure de la région dorsale ; dégénérescences fasciculées habituelles et, en
milieu du renflement cervical ; a la partie supérieure de la moelle dorsale , la sclérose parait "envahir; la ' plus grande
t- de m3,éliLe scléreuse étendu de la deuxième la'cinquième racines dorsales , avec maximum au niveau de la quatrième dorsale
'cinquième racines dorsales, avec maximum au niveau de la quatrième dorsale ; sur une coupe '' ' ., 1 1 -jt> Z A*l lu(,
rvation III. Coupe ! pratiquée'au niveau de la 'quatrième racine^ ' dorsale ; myélite scléreuse diffuse, avec prédominance au
Vf, r Fig. 93.t-Coupe pratiquée, au niveati, de la, sixième racine, dorsale ; dégénérescence, des, faisceaux pyramidaux, plu
ée dans le faisceau pyramidal dioit au niveau de la première racine dorsale ; aspects variés des cellules de la névroglie qu
que^ le processus 1 tabétiqüè, st,"pls intense' dans, la ' ` région dorsale que partout' ailleurs. u '" e' i'3 1 - ? * ll "
re, d'origine évidemment vasculaire ; mais en un point'de la région dorsale supérieure, de la deuxième à la cinquième racin
la région dorsale supérieure, de la deuxième à la cinquième racines dorsales , la lésion est beaucoup plus intense ; il existe
léger processus inflammatoire étendu à toute la moelle cervicale et dorsale . Ces lésions anatomiques peuvent être considéré
1LLE-DE Mexico. ,' '' L'auteur 'rapporte cinq observations de tabès dorsal spasmo- dique répondant à la'description de M.
supérieure de la moelle, au niveau des deuxième et troisième paires dorsales , dans la corne gauche postérieure et les racines
supérieure de la moelle cervicale. A la hauteur de la dixième paire dorsale , la tumeur touche par sa partie inférieure les
)ie)durenflement cervical et,deflapartie, supé- rieure de la moelle dorsale a pour symptômes ^l'atrophie, muscu- laire prog
? ' - I I n - . 1 - Etude nosographique. Trois observations : tabes dorsal ; paralysie spinale syphilitique; association de
1 erp e ce de la commissure dans la"p'aiLie'mo3,eiine de la moelle dorsale ";1 2° la dégénérescence des colonnes de Clarté
POSTÉRIEURESJ,DE la (moelle ET LANATODiIE PATIiO ? logique du tabès dorsal ; par E. IIEDLICH ? (Jahrbiecle f. 1 Psychiat, i
res (moindre'dâns`laFmôelle lombaire ? considérable dans la moelle' dorsale et'cervicale),' lésiôns alternes dans les cordons
eux côtés de la moelle cervicale et la substance grise de la`moelle dorsale d'un"côté sur une1 longue étendue, ou une seule
ur une1 longue étendue, ou une seule corne postérieure de la moelle dorsale ; 3° cas particulièrement difficiles dans lesqu
dans lesquels la" lésion,1 en forme' de tumeur, fuse dans la moelle dorsale inférieure et monte ensuivant la corne postérie
ont lésés de sorte que; pendant longtemps, on diagnostique un tabès dorsal , puis le malade devient dément paralytique; l'a
ale cuirclievelu,'le nez, le menton, la région fessière, la surface dorsale , grâce au décubitus et aux adhé- rences spécial
LII. Recherches sur l'état, DES ganglions spinaux dans LE tabès . - dorsal ; par R. VOLLEUBEAG. (Archiv ? Fi ? cAM(., XXIV, 2
et scoliose très prononcée, s'étendent de la 5* cervicale, a la 12e dorsale , et formant un arc de presque unejiemi-circonféré
Tabès. Traitement électriquedu , ? parSimonLaborde, 444; uncasde dorsal typique avec -liose cen- ' trale chez-un syphil
' posté- rieures de la moelle et l'anatomie '< pathologique du dorsal , par rs Redlich, 199;' état des, ganglions Iz
67 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e légère opération consistant en une incision pratiquée sur la face dorsale du prépuce dans le but de libérer un calcul reten
ux derniers cas, les douleurs ne cessent pas pendant le décubi- tus dorsal . Dans l'espèce, on concluait à une lésion de l'ar
du pôle temporal. Le cadavre est, naturellement, dans le décubitus dorsal . Cette méthode, est particulièrement facile dans
petites cellules du tissu rétropéritonéal. A la hauteur des racines dorsales moyennes on constate une dégénérescence ascenda
squ'aux plis inguinaux en avant et aux fesses en arrière, à la face dorsale des mains, à la face posté- 160 REVUE DE THÉRAP
térieures, et des lésions des racines posté- rieures dans la région dorsale moyenne seulement. Le cordon de Goll est sain s
'y a de lésions cornu- radiculaires postérieures que dans la région dorsale . Ceci peut 172 SOCIÉTÉS SAVANTES. s'accorder
mettre ici une relation entre cette fracture du sternum et ce tabès dorsal . Comme symptômes : pas de troubles oculaires, pas
ans la région cervicale pour prendre naissance après dans la région dorsale , dans le cas si intéressant de MM. Philippe et
qui semble jouir d'une vigoureuse santé. Etendu dans le décubitus dorsal , les téguments sont normale- ment colorés ; tou
ième vertèbre cervicale, pre- mière, deuxième, troisième, quatrième dorsale avec cyphose en ligne brisée, atrophie musculai
mois de septembreder- nier une fracture des troisième et quatrième dorsales avec paralysie sensitivo-motrice complète etfla
peu au-dessus et un peu au-dessous. Ce n'est pas tout; les régions dorsale et lombaire ont un canal central double et trip
ne masse celluleuse. A partir des quatrième et cin- quième segments dorsaux , en descendant, on trouve deux canaux revêtus d
une hypete.lt1uJsie très accusée au niveau de la nuque, des régions dorsale et costale. Cette hyperesthésie n'existe ni au vi
gions intercostales et surtout au niveau des lombes et de la région dorsale , provoquent le même effet que les frottements,
chacune ; je les applique ensemble sur la partie moyenne de l'épine dorsale , et je ferme le cou- rant continu de 5 15 milli
Ensuite, je sépare les électrodes et les glisse le long de l'épine dorsale : l'une en haut, l'autre en bas, assez vite, po
a cathode du courant de rupture, est passée sur la dixième vertèbre dorsale et l'autre électrode avec la surface plus grand
t six ou huit minutes. 3° La cautérisation par Pacquelin de l'épine dorsale ordi- nairement à 10 pointes de feu de chaque c
res dégénérées, et est encore plus accusée à droite. Dans la moelle dorsale supérieure, une raie dégénérative, entre le cha
e diminue elle-même en bas et n'occupe plus, au niveau de la moelle dorsale , que la partie antérieure du cordon postérieur,
aît plus bas, de sorte qu'au niveau du tiers inférieur de la région dorsale il faut une grande attention pour voir quelques
lte ayant succombé à une compression au niveau de la deuxième paire dorsale , mais dont l'évolution clinique n'a pas été com
ment dégénéré des deux côtés jusqu'à la hauteur de la onzième paire dorsale . Au niveau de la douzième paire, la virgule a p
écis. En un mot la compression de la partie supérieure de la moelle dorsale a provoqué la dégénérescence de la virgule de S
ro- médiane. En outre, le cordon postérieur, dans toute la moelle dorsale . présentait d'autres mottes noires disséminées; a
d'autres mottes noires disséminées; au niveau de la huitième paire dorsale , on remarquait un groupe antéro- médian peut-êt
gule de Schultze. Plus bas, au niveau des dixième et onzième paires dorsales , il était difficile de distinguer ces fibres mé
t des fibres descendantes que l'on voit déjà au niveau de la moelle dorsale supérieure, dans la partie antérieure du cordon
on fixe consistant en une courbure cyphotique arrondie de la région dorsale supérieure, et une disparition de la concavité
à cellules rondes, siégeait au niveau des deux dernières vertèbres dorsales et des deux premières lom- baires. La symptomat
bration du diapason se per- çoit de la façon normale. Dans le labes dorsale on observe toujours des troubles vibratoires tr
ment à l'agitation continuelle du reste du corps. Dans le décubitus dorsal , position où l'examen du malade a été le plus f
t la même, la main se ploie en supination et se fléchit sur la face dorsale de l'avant-bras. Les mouvements spontanés exist
de la dure-mère au niveau du sixième et septième segment médullaire dorsal . La moelle à ce niveau n'avait subi aucune défo
r englobait les filets radiculaires du cinquième et du sixième nerf dorsal , c'est-à-dire des nerfs correspondants à la zon
'avant-bras tributaire de la racine postérieure du te et du 21 nerf dorsal . Un autre point intéressant c'était l'extension
68 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
riphériques, mais à celle des racines spinales, surtout aux racines dorsales moyennes. Plus tard, ces hypesthésies ont pu s'
cale de la moelle lombaire et de la plus grande partie de la moelle dorsale les cas où les extrémités inférieures et tout l
ions locales, isolées, de quelques paires rachidiennes de la moelle dorsale moyenne et supérieure. Les petites différences
nt nettement décelables dans la moelle lombaire et dans la moelle dorsale , elles s'atténuent toujours en remontant dans le
la moelle lombaire, inversement à ce qui se présente pour la moelle dorsale . Avec Marie, Redlich admet que des fibres endog
à la Vlle cervi- cale : elle s'étend en hauteur jusqu'à la deuxième dorsale . En <Nr- geur, elle occupe un zone comprise
es deux jambes, avec légère dissociation syringo-myélique à la face dorsale du pied gauche indiquent une altération des tro
aine partout, sauf dans la région cervicale et le haut de la région dorsale . M. Marie considère ce cas comme une rareté, su
tabé- tiques relèvent d'une lésion de l'écorce cérébrale ; le tabes dorsal n'est pas une maladie de la moelle épinière, ma
spèces de sensibilité aux mêmes régions. Deux observations de tabès dorsal ; les troubles de la sensibilité cutanée étaient
iverses sensibilités. Cinq observations : myélite transverse, tabes dorsal , myélite par compression, névrite. Les figures
bilité douloureuse et tactile. Obs. XIII à XIX, concernant le tabès dorsal , l'atrophie musculaire progressive, la paralysi
cines du plexus, surtout de la cinquième, sixième et de la première dorsale qui vient s'écraser sur le col de la première c
tière des apophyses Iraniverses par l'aplatissement de la première dorsale sur le col de la première côte : Les transverses
u, contrairement àla doctrine classique, la nature motrice du noyau dorsal du nerf vague. De plus, les auteurs pensent que
tte déformation, qui disparait presque totalement dans le décubitus dorsal , semble bien être en rapport avec des altérations
L la face postérieure de la cuisse et de la jambe droite, à la face dorsale de l'avant-bras gauche, au nez, à un côté de la f
11 n'y a pas de signe de Babinski. Le sujet étant dans le décubitus dorsal , le membre inférieui gauche dans son ensemble e
nfin, il y a environ' dix ans, il reçut un coup de faux sur la face dorsale de l'index de la main gauche, qui présente une ci
, de petite taille, présentant à la partie inférieure de la colonne dorsale la trace de quatre cautères appliqués en juin 1
nsiblement plus, à l'intensité près, des allures cliniques du tabes dorsal spasmodique familial. Nous croyons que c'est da
s fois qu'il y aura une lésion des racines postérieures à la région dorsale . H. DE Musgrave CL.1T. XVI. Névrite multiple
ence, la colonne vertébrale était fracturée au niveau de la onzième dorsale . Les membres inférieurs étaient complète- ment
e pouvait ni uriner ni aller à la selle. On constata que la onzième dorsale était soulevée et la' douzième déprimée ; à l'a
aire et connectif au niveau de la lésion : les lames de la douzième dorsale présentaient un trait de fracture irrégulier; i
s en haut depuis la seconde lombaire jusqu'au-dessus de la neuvième dorsale . ` . L'examen histologique a montré qu'il s'agi
paroi névroglique, dont l'une peut être suivie jusqu'à la quatrième dorsale . Il semble que ces cavités sont l'aboutissant d
ligament de Poupart; 3° deux bandes étroites au niveau des régions dorsale et cervicale du rachis. Une anesthésie aussi ét
triques du nez et peut-être encore sur une petite bande à la région dorsale . Si l'anesthésie est encore moins étendue, les
figures. Quelque- fois l'anesthésie arrive à n'occuper que la face dorsale des doigts. La forme mentale où cette anesthési
ité SOCIÉTÉS SAVANTES. 435 tout le long de la moelle cervicale et dorsale jusqu'aux onzième et douzième segments dorsaux.
moelle cervicale et dorsale jusqu'aux onzième et douzième segments dorsaux . Arthrite déformante très prononcée des épaules
se trouve à la hauteur des corps des quatrième et sixième vertèbres dorsales . A partir de la deuxième vertèbre dorsale, du c
ème et sixième vertèbres dorsales. A partir de la deuxième vertèbre dorsale , du côté gauche, aux endroits qui cor- responde
gomyélile, b) méningite tuber- culeuse, pachyméningite cervicale et dorsale , c) myélite cervicale et tabes dorsale, d) sclé
pachyméningite cervicale et dorsale, c) myélite cervicale et tabes dorsale , d) sclérose en plaques disséminées. 5° Névrose
69 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
des membres, mais qu'on ne recherche guère une paralysie du grand dorsal chez un hémiplégique, ou bien celle des muscles
l'hémisection d'un des faisceaux latéraux à la réunion -des régions dorsale et lombaire. On faisait du reste la section ass
talité- sont' imprimés par des contractions rhytlmique1 dut grand ? dorsal ; le.jbiccps et, le triceps sont ,contracturés,
minaux émanant de la moelle par les trois premières paires de nerfs dorsaux ; 2° L'hyperglycémie et la glycosurie résultant
t dans la moelle jus- qu'à la hauteur de la première paire de nerfs dorsaux , à partir de laquelle, jusqu'à la troisième pai
ues; 3° L'arrachement des deux ou trois premières paires de nerfs dorsaux supprime l'effet, sur la circulation abdominale,
n'offrent rien d'anormal. Il n'y a rien non plus dans les portions dorsale et lombaire de la moelle, dans le tronc du scia
promené lentement de bas en haut; et vIce versa' usqu'a-la.rdixième dorsale ? Après six rs ces, le. malade pouvait dire bon
nait intolérable ; il ne pouvait ni marcher, ni garder le décubitus dorsal et res; tait couché sur le ventre. On ordonna d
\ ? .· iv `I,i trois 'dernières paires cervicales et de la première dorsale ). Le membre supérieur gauche' présentait une pa
aralysé' et atrophié l'O r6te'd'é son' étendue ? ainsi'que'le'grand" dorsal . Les. muscles I -<- p' j or' 1 l' ? \ III I¡
s ; les corps des dernières vertèbres cervicales et des pre- mières dorsales arrivent alors à regarder en avant, directement
et si l'on place le squelette sur un plan horizpntal, avec l'épine dorsale en bas, on voit le genou gauche, plus élevé, re
, le pied est fléchi sur la jambe, encore à angle aigu ; et sa face dorsale répond à la face antérieure de la jambe. Ces
la fossette supé- rieure de la région. Dans le milieu de la région dorsale , nous trouvons aussi un point douloureux : l'ét
ans en constater, des traces d'arthrite des vertèbres cervicales et dorsales : on ne trouve rien non plus dans les articulat
n exsudat purulent qui sem- blait commencer au niveau du renflement dorsal et la recouvrir jusqu'au filum terminale. Les r
d'une pièce de métal ou d'un aimant ou d'une électrode sur la face dorsale de l'avant-bras. Dès que l'action commence (une
ent dans la moelle jusqu'à la hauteur de la première paire de nerfs dorsaux , à partir de laquelle, peut être jusqu'à la tro
apidement et avec force le pied du malade, couché dans le décubitus dorsal , le pied, au lieu de revenir à sa position natu
minant dans la moelle jusqu'au niveau de la première paire de nerfs dorsaux , à partir de laquelle, jusqu'à la troisième pai
ule. 3° L'excitation des bouts périphériques de la première paire dorsale de chaque côté produit un abaissement de la press
vicale assez ferme, anémiée; substance blanche un peu grise; moelle dorsale très molle. Le renflement lombaire est un peu a
urent (Progrès médical, 1876) les leçons de M. Charcot sur le tabes dorsal spasmodique. Mentionnons encore pour complèter
pour complèter cette nomenclature la thèse de M. Bé- tous (Du tabès dorsal spasmodique) , omise par l'auteur an- glais.
la plante du pied existe, mais le rotulien manque. Les ver- tèbres dorsales paraissent douloureuses à une forte pression. 4
ns de l'ataxie proposées par Remak en tabes céphalique, cervical, dorsal , lombo-dorsal, lombaire et cérébelleux, appellati
e que l'auteur russe a expérimenté sur des sujets atteints de tabes dorsal spasmodique dont les réflexes sont toujours exa
e distance. Il.se rappelle avoir, éprouvé en même temps à la région dorsale , des, douleurs,, passageres comme celles, du t
orium. » (Vulpian.) C'est là, dans l'analyse physiologique du tabes dorsal , le point qui se dégage avec le plus de netteté
la section des racines postérieures des cinq ou six derniers nerfs dorsaux et des deux premiers lombaires suivie dedilatat
en somme, cette question des rapports de la syphilis avec le tabes dorsal est loin d'être résolue. L'auteur communique à
é des cordons postérieurs dans la région lombaire et dans la région dorsale inférieure. L'analyse chi- mique pratiquée par
icale, les cordons de Goll étaient seuls malades : Dans les régions dorsale et lombaire, les cellules nerveuses, aussi bien
De dégénérescence des faisceaux pyramidaux, surtout dans la moelle dorsale inférieure et lombaire, accompagnée de lésions
ération du réflexe tendineux, incontinence d'urine. III. De tabes dorsal typique avec paralysie finale des extré- mités
pinale observées parRemak. P. M. LXXXVII. Sur la nosologie du tabès dorsal ; par le profes- seur BERGER. (Centralblatt f.
coces, par Mauriac, 463 - Syphilis (rapports de la) et du tabès dorsal , par Westphal, 580. Syphilis (influence de la),
ues sur le), des rep- tiles et des batraciens, par Mason. Tabès dorsal (rapports de la syphi- lis et du), par Westphal
70 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dose modérée, choléra, etc.), nous ne trouvons guère que le tabès dorsal spasmodique. C'est, il est vrai, aussi une mala
aladie que nous observions ? S'agissait-il d'une myélite transverse dorsale chronique avec dé- génération scléreuse descend
montre, dans les portions cervicales et la moitié supérieure de la dorsale , des plaques de sclérose, très super- ficielles
inalis). On la rencontre vers les 8°, 9t, 10e, 110 paires nerveuses dorsales . Elle parcourt sur le sillon médian posté- rieu
lution de l'être et répondraient à l'extrémité antérieure du sillon dorsal , comme la fossette sacrée ou le tourbillon de p
formation de cavernes dans la moelle épinière (région cervicale et dorsale ). Ces cavernes étaient situées postérieurement
hypothèse suivante, à savoir que le sang de la portion cervicale et dorsale supérieure de la moelle, trouve son débouché pa
siègent dans la région cervicale et une partie minime de la région dorsale . La plupart des cavernes communiquent avec le c
des faisceaux cunéiformes, et les cordons postérieurs à la ré- gion dorsale , sont partiellement altérés ; la lésion gagne en
hésie au tact et à la température : l'une au tiers moyen de la face dorsale de l'avant-bras gauche ; l'autre sur la jambe dro
le ; diffusion de ces altérations aux autres cordons dans la moelle dorsale supérieure. Disparition du groupe moyen de cell
des cornes antérieures est lésé dans la partie moyenne de la région dorsale : on note dans tout ce segment la disparition d
chroniques, pri- mitives et secondaires, ataxie locomotrice, tabes dorsal spas- modique, etc. Puis viennent les lésions d
dans le canal vertébral, entre la huitième et la neuvième vertèbre dorsale , une tumeur assez volumineuse et qui comprimait
par des masses cancéreuses, principalement au niveau de la onzième dorsale et de la région lombaire. La séance est levée e
sente les symptômes suivants : elle est couchée dans le décu- bitus dorsal , et plongée dans un coma profond, dont aucune e
l 1882. État actuel (25 avril). Renz est couché dans le décubitus dorsal . Il répond bien aux questions qu'on lui pose; il
yau irrégulier et vivement coloré par le carmin. Sixième ganglion dorsal . Ce ganglion a été étudié au moyen de coupes pe
ct, est devenue jaunâtre et finement granuleuse. Onzième ganglion dorsal droit. Ce ganglion, étudié comme le précédent,
la racine antérieure sont absolument normales. Moelle. La moelle dorsale , durcie dans une solution de bi- chromate d'amm
insignifiante, un soldat robuste est pris de malaise, d'une douleur dorsale fixe, de dyspnée et, trois jours après, brusque
dehors des méninges, étendu de la septième cervicale à la huitième dorsale , sans trace d'inflammation méningée. Moelle ram
éningée. Moelle ramollie, en bouillie au niveau des trois premières dorsales . Nulle lésion du rachis, de ses articulations,
Syphilis). L'auteur croirait volontiers, avec Grasset, que le tabès dorsal est plutôt une lésion cérébro-spinale diffuse qu'
translu- cide, des cordons de Golf, depuis le' milieu de la région dorsale jusqu'à l'extrémité inférieure du renflement lo
PIPSI , , plus accen- . tuée, à la .partie intérieure de la région dorsale . Dans ces cas, , ne. pourrait-on, pas attribuer
veuses fourmespar les ! huit paires cervicales et')a.*preuiiero paire dorsale . ë -t 4 j 1, 2, 3, 4, S, 6, 7, 8, 1. Les huit p
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. celles-ci occupassent toute la région dorsale et une petite éten- due de la région lombaire d
le faisceau pyramidal et les deux cordons posté- rieurs à la région dorsale eussent été envahis (intégrité des py- ramides
'annulaire et à la phalangette du pouce. La plume, fixée sur lafacc dorsale du bracelet, vient affleurer le papier en passant
71 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ne vertébrale forme un coude, depuis la partie moyenne de la région dorsale , jusqu'au sacrum; cela est très-accusé. — En avan
Planche I). Le malade marcherait sur l'extrémité des orteils. La face dorsale forme une convexité en avant. Quoique bien fortem
tes siège vers le milieu de la hauteur et un peu à gauche de la ligne dorsale . Elle a la forme d'une petite poire pen-dant par
à droite dans la région cervicale, et convexe à gauche dans la région dorsale (courbure de compensa-tion). (Voy. Planche VIII.)
e la cause de cette lésion assez net'e-ment caractérisée. La région dorsale de la main n'offre de particuliers, que la sailli
it palmaire. Le nerf cubital a déjà fourni, à ce niveau, sa branche dorsale , qui, par conséquent, n'est pas comprise dans la
découvrir les filets nerveux que de deux d'entre eux. Des interosseux dorsaux , le premier est le mieux con-servé, mais réduit à
dhérences à la cicatrice et l'anastomose déjà signalée. A la région dorsale , nous retrouvons tous les filets nerveux du radia
cher-ches nous ont appris. a) Muscles. Une portion d'un interosseux dorsal , examinée vingt-quatre heures après la mort, nous
l'occipital, des vertèbres cervicales et des six pre-mières vertèbres dorsales . Les dernières vertèbres dorsales et les vertèbre
les et des six pre-mières vertèbres dorsales. Les dernières vertèbres dorsales et les vertèbres lombaires sont seules intactes.
n bec de plume; elle est formée aux dépens des 4e, 5e et 6e vertèbres dorsales . Quant à h partie moyenne qui comprend les vert
ui comprend les vertèbres cervicales et les trois premières vertèbres dorsales , elle n'établit que peu de séparation entre lés p
quelle disposition présentent à ce niveau les vertèbres cervicales et dorsales . Toutes les vertèbres cervicales et les trois p
s. Toutes les vertèbres cervicales et les trois premières vertèbres dorsales sont soudées les unes aux autres. Les deux lames
ès du point de dépait et se continuer avec les 4e, 5e et 6e vertèbres dorsales . Il y a donc là une anse assez considérable, à co
ase, ne présentent aucune modification. Les six dernières vertèbres dorsales , les vertèbres lombaires, le sacrum et les os cox
dans sa moitié supérieure. De chaque côté des six premières vertèbres dorsales qui concourent à former le spina bifida, partent
dirait une seconde fesse superposée à la première. Dans le décubitus dorsal , la malade repose sur sa tumeur, qu'elle comprime
s accéléra-teurs et des nerfs d'arrêt : le premier vient de la moelle dorsale au niveau de la deuxième paire dorsale ; le deuxi
le premier vient de la moelle dorsale au niveau de la deuxième paire dorsale ; le deuxième est une émana-tion du pneumo-gastri
lgré tout, les rhéc-phores, ou si on employait même sur les vertèbres dorsales , un courant très-fort, les vomissements se répéta
deux-là situées en avant de la colonne vertébrale ; enfin, une autre dorsale , située en arrière de la co-lonne vertébrale. E
pour chaque membre supérieur et la partie correspondante de la poche dorsale . De la cavité partent deux troncs, veines iliaque
tie sous-ombilicale. La colonne vertébrale est incomplète. La colonne dorsale est déviée à gauche et formée de neuf vertèbres p
avoir : une convexité à droite qui, au niveau de la septième vertèbre dorsale , se rejette du côté gauche pour former une courbu
72 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ques et de la, moelle 1 a¡J,i¥Ja,uqùer,<¡1¡ .sjil1e., v,erèbre 1 dorsale " a rendu chez : , le, moûténlla.ruminationrqs d
Tnl],"i r¡"f;nl"[1 IH rroij 1 Dans.deux cas, au milieu de la région dorsale et au cou, 1 auteur a observé sur,la ligne médi
a la limite des, faisceaux de, Goll et de Durdach dans le segment dorsal supérieur, 1,' examen, microscopique ne, démontre
t"1 Ho, r ? i* ,' ,1 711 r T -. -. 1 t I '.> la main sur la face| dorsale Hl ! vanï ! )r ! ls",4lç ! : m ! lle ? ,g £ sJgnp
de l'entrecroisement dans les cordons antéro-latéraux as la région dorsale inférieure et sur la limite,,des zones, latérales
limite,,des zones, latérales des, cordons postérieurs, à lairégion; dorsale f supérieure ;Mesa muscles infiltrés,de granula
ts, et ont le caractère de fourmillements doulou- reux. Sur la face dorsale de la main, la peau qui recouvre l'articulation
u niveau des pieds. Les piqûres sont faiblement perçues sur la face dorsale des deux pieds. Quelquefois, elles ne produisen
dans un rayon de deux à trois centimètres; 3° au niveau de la face dorsale des phalangettes des premier et cinquième orteils
ostérieure de la moelle dans les deux tiers inférieurs de la région dorsale . Atrophie des racines postérieures au môme nive
s cordons postérieurs. très appréciable sur les coupes de la région dorsale de la moelle; teinte grise limitée aux cordons
ériphériques paraissent sains Les racines postérieures de la région dorsale seules sont mani- festement altérées : elles so
tes conservé leur cylindre axe et leur gaine de myéline. La branche dorsale du radial à la partie inférieure de l'avant-bra
TR.1UI17·II;UES. 185 terminales des collatéraux interne et externe dorsal et pal- maire de l'index, renferment une assez
profonde de tous les nerfs collatéraux de l'index et de la branche dorsale du nerf radial à la partie inférieure de l'avan
L'examen a porté sur deux paires de racines provenant de la région dorsale supérieure et sur deux paires provenant du renf
paires provenant du renflement lombaire. Les racines antérieures dorsales sont saines. Les racines postérieures, très dim
s sont loin d'être aussi altérées que leurs congénères de la région dorsale . La plupart de leurs fibres sont revêtues de my
eurs et ses abcès, que le malade devint bossu. Peu à peu, la région dorsale de la co- lonne vertébrale s'incurva de façon à
he, sa gibbosité l'empêchant absolument de rester dans le décubitus dorsal . Quelquefois il se fait asseoir sur le bord de
ouvert directement en avant et s'étendant de la quatrième vertèbre dorsale à la deuxième vertèbre lombaire. De chaque côté
cale et lombaire ainsi que dans la moitié supérieure de la région dorsale . La moitié inférieure de la région dorsale, au co
supérieure de la région dorsale. La moitié inférieure de la région dorsale , au contraire, est molle, diffluente, d'un blan
on des terminaisons des nerfs sensitifs (Lewinski). Dans la myélite dorsale ! où ses extrémités inférieures sont en état de
les ataxiques; par ALBESPY. Thèse de Paris, 1883. Etude sur tabes dorsal spasmodique, sclérose primitive des faisceaux l
s tabétiques. Observation II. - Arthropathie dans un cas de labes dorsal . (A.-W. Page.) Le malade est un homme de tren
ne saillie angulaire non douloureuse, portant seulement sur la face dorsale du pied. Observation III. Ataxie locomotrice ;
uvent sur le bord interne (Obs. I, II, IV), quelquefois sur la face dorsale du pied (Obs. III). Cette affection n'est sans
minutes après le repas. Mécanisme, arrêt momerdané par le décubitus dorsal . (Gazelle des hôpitaux, 1803, p. 21 S, et Journ
en dans la position assise que dans la station debout. Le décubitus dorsal la suspend un moment; mais elle ne tarde pas à
dégoût. Juv... rumine également bien, assis ou debout. Le décubitus dorsal ne fait que suspendre momentanément les régurgi
73 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
s animaux vertébrés les centres nerveux principaux sont logés au côté dorsal , dans le canal formé par la série des anneaux sup
ôt la tige nerveuse, occupe, dans le plan médian de l'animal, le côté dorsal du corps. Ainsi, dans les invertébrés, l'axe nerv
e l'hypothèse, comment chez les insectes le cerveau se trouve au côté dorsal du corps. Dugès qui a le premier, je crois, pro
« articulés, tandis que la moelle épinière est toujours à la « région dorsale ou supérieure des animaux à vertèbres. Cette « ob
et en effet la position et les rapports mutuels du a cœur ou vaisseau dorsal , du canal alimentaire et du système « nerveux aut
les invertébrés l'inverse a lieu, la vésicule ombilicale est au côté dorsal . Ainsi donc cette division médiane qui, dans les
uteurs sous le nom de sillon médian antérieur ; celui qui est au côté dorsal est le sillon médian postérieur. En créant ces dé
régions, savoir : 1° la région caudale; 2° la région lombaire; 3° la dorsale ; 4° la cervicale ; 5° la bulbaire. Les autres ré
dent immédiatement le sillon médian postérieur au niveau de la région dorsale . Mais à leur tour, ils s'atténuent de plus en plu
renflée vers la région lombaire, singulièrement rétrécie à la région dorsale , elle se renfle de nouveau à la région cervicale,
s animaux, les faisceaux blancs s'atténuent d'autant plus à la région dorsale que l'axe gris du renflement lombaire est plus co
enflement lombaire. 1054 449 4413 1421 1636 2399 Région dorsale . 1082 475 3915 1115 328 564 Renflem
4 Celte réduction des faisceaux blancs et des axes gris à la région dorsale de l'adulte est d'autant plus significative, qu'u
ibilité intelligente? La réduction des faisceaux blancs à la région dorsale est beaucoup moindre dans l'homme que dans les ca
faâ^r^cs. «-x^r Axesgns- Région lombaire. 2104 601 1563 Région dorsale . 1156 186 164 Région cervicale. 2273 676 1142
nsemble des ventricules cérébraux est immédiatement recouvert au côté dorsal par une voûte transversale étendue d'un corps str
corps calleux. Quatre formations accessoires sont annexées au côté dorsal du noyau encéphalique. La première est le cerve
es cérébraux. Une troisième appendice est médiane et occupe le côté dorsal du ventricule. C'est là le ventricule médian du c
bissent ce mouvement; si l'enroulement a lieu du côté ventral au côté dorsal , et s'achève en cercle, il enveloppera nécessaire
rvelet. Les parties médianes ont reçu des noms divers. Ainsi, la face dorsale du cervelet présente une arête médiane, plus ou m
du ventricule, du moins pendant toute la vie présente-t-il à son côté dorsal une suture médiane. Ainsi la continuation du vent
cervelet n'est d'abord qu'une lame transversale appliquée à la paroi dorsale du cerveau postérieur. Les tubercules quadrijumea
e ouverture résulte d'un défaut originel d'union entre les deux lames dorsales , ou si elle reconnaît, pour cause, une dehiscence
fort abondantes au cou, à peu près nulles vers le sommet de la région dorsale , et deviennent peu à peu plus nombreuses vers la
opposé. La section transversale des cordons postérieurs à la région dorsale donna lieu à des résultats différents. Le mouveme
fut détruit et le mouvement affaibli. Il coupe enfin vers la région dorsale l'un des cordons postérieurs, la sensibilité des
e cas de la section d'un seul de ces cordons pratiquée dans la région dorsale ou cervicale, l'hypéresthésie du côté lésé, et l'
rdons postérieurs s'atténuent de plus en plus en passant de la région dorsale à la région cervicale, mais cette réduction ne va
lièrequi se propage de proche en proche de la face palmaire à la face dorsale de la phalange, et que je désigne sous le nom de
r la plus étroite sympathie. Les deux jeunes filles unies par le côté dorsal de leur corps, dont Buffon a parlé (1), s'aimaien
74 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
plus épais et plus résistant à droite; il en est de même du grand dorsal jugé par le volume de son bord antérieur-et d
ral était dilaté et formait une cavité qui, à partir de la 9° paire dorsale , avait détruit complètement la ' Les deux cas q
oite; cette lésion persistait dans toute la hau- teur de la colonne dorsale et diminuait peu à peu pour dispa- raître au ni
latérales du tube cérébro-médullaire qui se rejoignent à la partie dorsale pour constituer la vésicule cérébrale antérieur
De même, la dégénérescence et la disparition des cellules du noyau dorsal du nerf vague dans le bulbe, après la section de
encore pas d'accord sur la nature motrice ou sensitive de ce noyau dorsal du vague. M. Marinesco tend actuellement à le r
ation gom- meuse des colonnes antéro-latérales droites de la région dorsale supérieure, sclérose périphérique généralisée à
n dorsale supérieure, sclérose périphérique généralisée à la région dorsale dans les colonnes latérales surtout, plaques de
t, plaques de sclérose irrégu- lières, plaque gommeuse de la région dorsale inférieure et sclérose descendante lombaire, sc
rme cysticerque sous la pie mère médullaire, au niveau de la région dorsale de la moelle; en outre les ventriculaires cérébra
ment sur l'étendue du cinquième segment cervical jusqu'au pre- mier dorsal inclusivement. Il s'agit sans doute d'une hémato-
de l'hypoglosse après section ou arrachement de ce nerf. Le noyau dorsal du pneumogastrique formé de cellules beaucoup p
dinaires : 10 avec un fragment de la partie antérieure de la moelle dorsale ; 2° avec un fragment analogue recueilli au bul
à la dernière lombaire ; point hystérique au niveau de la septième dorsale ; zone hystérique au niveau des flancs et au-de
rs. Figures. On sait que les lésions des racines, tant de la moelle dorsale supérieure que de la moelle cervicale inférieur
, les zones qui correspondent aux racines dégénérées de la moelle dorsale supérieure et de la moelle cervicale inférieure s
atives à la dégénérescence de la deuxième et de la troisième racine dorsale sensitive, ou de la septième racine postérieure
contient, outre les racines sacrées et lombaires, les huit racines dorsales inférieures : cette conclusion se tire de la co
ation que, dans la dégénérescence des deuxième et troisième racines dorsales , la zone de dégénérescence (abstraction faite d'u
hauteur ou immédiatement au-dessus d'une gibbo- sité de la colonne dorsale , gibbosité dont la pointe occupait la huitième
segment REVUE D'1\ TO\IIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 411 I dorsal qui indiquait que le maximum de la compression si
ère région. Mais la compression devait remonter au huitième segment dorsal , car l'anesthésie était partielle dans le domai
une tumeur occu- pant le niveau des septième et huitième vertèbres dorsales ; du volume d'un oeuf de pigeon, elle siégeait
égion placée au- dessous du niveau des neuvième et dixième segments dorsaux ; on ne constate pas d'autres lésions dans la m
- 425 L'auteur en rapporte trois cas : Dans le premier cas, tabes dorsal au stage paralytique, il y avait évidence clini
et les symptômes physiques s'améliorent. Dans le second cas, tabes dorsal au stage ataxique, il n'y avait pas d'évidence
lade. Aucune amélioration de l'ataxie. Dans le troisième cas, tabes dorsal à la période pré-ataxique, la ponction fut pure
français se proposaient, par le séjour au lit, dans le décubi- lus dorsal complet aussi prolongé que possible, de lutter
ue au cours de la polynévrite ; 50 La névrite optique dans le tabes dorsal ; 60 La névrite optique de l'encéphatite aiguë ;
n foyers disséminés. Pneumocoques. A diverses hauteurs de la moelle dorsale , foyers disséminés ; infiltration de la pie-mèr
bre et en dimension du renflement cervical à la moitié de la moelle dorsale ; ils diminuent de là jusqu'au 1/3 de la moelle
de collections de cellules rondes. A partir du milieu de la moelle dorsale , le canal central est dilaté ; 506 REVUE DE PAT
ler, =r21. Symp- tômes consécutifs à la ponction lombaire dans le dorsal , par Babcock, 424. et surmenage physique, par
75 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
upant la région lombaire à concavité droite, l'autre dans la région dorsale et à concavité gauche. La plante des pieds port
léro-externe de la jambe jusqu'à la partie postérieure de la région dorsale du pied. La pre,sion exagère la douleur aux poi
la douleur aux points fessier, trochantérien, poplité, péronier et dorsal du pied. Les douleurs irradient dans la région
DE LA DÉFORMATION DU TRONC. 9 trochantérien, poplité, péronier et dorsal du pied. D'autre part, les mouvements actifs et
on lombaire, à concavité droite, l'autre supérieure, dans la région dorsale et à concavité gauche. Dans t'OBSERVATtON II (s
ôté de la sciatique, l'autre supé- rieure correspondant à la région dorsale à convexité tournée en sens inverse. La flexion
onc, et elle est sous sa dépendance; quant à la courbure supérieure dorsale , elle est tournée en sens inverse, et c'est une
DE l'ABASIE. 33 se couchait sur le ventre, pour éditer le décubitus dorsal doulou- reux. Sa mère a remarqué qu'alors même
e. La pression était ressentie avec douleur au niveau des vertèbres dorsales . A ce moment il fut visité par un médecin du li
int d'un commencement de xyphose, par ramollissement d'une vertèbre dorsale . Les professeurs Thomas et Cantani de Naples, o
s de sangsues, etc. La douleur se calma, mais revint dans la région dorsale , la malade se tient courbée. Puis survinrent le
t obnubilé. Il existe enfin un point hyperesthésique dans la région dorsale , et une ovarie très accentuée à droite : (fi.g.
e malade a fini de manger. En plaçant alternativement sur la face dorsale de la langue, du sel, puis du sucre, on peut se
une certaine période de leur développement, les nerfs crâniens dits dorsaux engendrent à leur périphérie un ganglion qui ad
Huit jours plus tard, au- dessous des fausses côtes, dans la région dorsale , du même côté, apparaît un abcès froid. On l'év
ourmis). Au-dessus des articulations des doigts, du côté de la face dorsale , il y a une induration calleuse de 1 épidémie. Ou
nflure de la paume était considérable et s'étendait jusqu'à la face dorsale de la main. L'avant-bras n'enflait pas. La doul
intes du compas écartés de 5 centim. A droite, au milieu de la face dorsale de l'avant-bras les pointes du compas étant éca
te va exacte- ment au milieu de la paume de la main et de la face dorsale du quatrième doigt en descendant. Sur la paume
disparu, mais en re- vanche, on observe sur les faces palmaires et dorsales de l'articu- lation radio-carpienne du côté (ra
ndeur d'un sou sur la face palmaire, et de dix centimes sur la face dorsale ; ces tumeurs sont assez plates, la pression du
tour de la connaissance. 11 h. 50. Le malade est dans le décubitus dorsal , dans le coma avec stertor, la face est un peu
rsales provenant des différentes régions de la moelle (cer- vicale, dorsale et lombaire), colorées au carmin ou à l'hématoxy-
iennes. Quatre paires de racines rachidiennes provenant des régions dorsale et lombaire de la moelle ont été dissociées et
entant certaines particularités 1, M. Westphal. Deux cas de tabès dorsal avec conservation du phé- nomène du genou. Auto
faisceaux isolés ou en petits groupes; 3° les racines de la moelle dorsale contiennent un très grand nombre de petites fibre
le segment de la moelle qui constitue la limite entre les régions dorsale et lombaire, la lésion des cordons postérieurs av
. Gliose de la moitié droite de la moelle cervicale inférieure et dorsale supérieure portant principalement sur la substanc
76 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
ême particularité. Elle raconte qu'au moment où on lui touche l'épine dorsale entre les deux épaules, elle ressent une violente
ig. 10. — Principales zones hystérogènes. Face postérieure. 1. Zone dorsale supérieure. 2. Zone dorsale inférieure. 3. Zo
stérogènes. Face postérieure. 1. Zone dorsale supérieure. 2. Zone dorsale inférieure. 3. Zone latérale postérieure de Suz
e. Il se trouve sur les limites de la région lombaire et de la région dorsale , du côté gauche, à un travers de doigt de la lign
..., Bar... et Dub... ; elle occupe la partie inférieure de la région dorsale , près de la limite de la région lombaire (fig. 10
chent de la ligne médiane, au point de venir se heurter par leur face dorsale . La tête se raidit, s'enfonce entre les deux épau
e, le plus souvent elle est dans l'extension complète et le décubitus dorsal La tête est renversée en arrière, le cou gonflé
au ni-veau le plus bas de la courbe. Le corps est dans le décubitus dorsal ; la tête s'affaisse le plus souvent sur une épau
Les poignets, rapprochés de la ligne médiane se touchent parleur face dorsale et se croisent quelquefois. Les genoux sont forte
p. 41). Les membres sont dans l'extension, le tronc dans le décubitus dorsal ; il arrive que l'attitude peut varier, un membre
érieur du corps formant la convexité de l'arc, le décubitus peut être dorsal (fig. 35), c'est Varc de cercle (intérieur dorsal
décubitus peut être dorsal (fig. 35), c'est Varc de cercle (intérieur dorsal ou droit; le décubitus peut être latéral (fig. 37
, qui est susceptible des mêmes variétés suivant que le décubitus est dorsal , abdominal ou latéral. 3° Enfin, bien que nous l'
pleurothotonos), et celte attitude peut se combiner avec le décubitus dorsal ou abdominal. Chacune de ces variétés peut être c
encore lorsque nous l'observons à 10 h. 5. Elle est dans le décubitus dorsal , les yeux convulsés en haut et à droite, le faciè
iode épileptoïde fait complètement défaut. Retombée dans le décubitus dorsal , la malade commence à faire avec les lèvres quelq
e est terrible. 10 h. 24 m. 15 s. Math... retombe dans le décubitus dorsal , les yeuxfournent en haut et à droite et demeuren
5 m. 30 s. Le délire cesse, la malade paraît calme dans le décu-bitus dorsal ; mais de nouveau la respiration se précipite et l
la contracture géné-rale persiste. — Ernestine est dans le décubitus dorsal , tout le corps dans l'extension, les bras dans l'
ment parler, car la malade est toujours maintenue dans le décubitus dorsal par la contracture du côté gauche ; mais l'expres
apparaît le tétanisme. La malade est dans l'extension et le décubitus dorsal , on peut presque la soulever tout d'une pièce. La
t de même des extrémités inférieures. La malade est donc en décubitus dorsal et semble dormir; elle est en résolution complète
ant connaissance. Il suffit d'un frottement sur le point hys-térogène dorsal que Gen... possède entre les deux épaules pour co
vant : coma complet, résolution de tous les membres dans le décubitus dorsal , la tête un peu inclinée de côté. Toutes les deux
ormes, lorsqu'on vient me chercher. Besch..., est dans le décubitus dorsal , la tête repose à droite sur l'oreiller, les yeux
eures 1/2. Nous voyons L..., à il heures : elle est dans le décubitus dorsal . Les cheveux sont rejetés en arrière; les paupièr
elle est toujours en conversa-tion avec ses « Invisibles ». Décubitus dorsal , les paupières sont fermées, L... a la camisole.
rs l'union du tiers supérieur et des deux tiers inférieurs de la face dorsale de l'avant-bras et à peu près au niveau de la lig
ont pu être excités séparément. L'excitation du premier interosseux dorsal a toujours amené l'extension de l'index, etc., et
si facilement à la suite du moindre attouchement exercé sur la région dorsale entre les deux épaules. B... est endormie par l
nts employés, mécaniques ou électriques. Elle était dans le décubitus dorsal , la face colorée, les membres dans la résolution
le, et s'endort subitement. Au lit, la malade est dans le décubilus dorsal , le tronc un peu incurvé sur le côté droit, la tê
e de ses douleurs de tête, des points douloureux le long de l'épine dorsale et tout autour du tronc; et elle se frotte consta
ées, la figure n'est pas décomposée; le décubitus est le plus souvent dorsal . A cela se bornent quelquefois tous les symptômes
du matin, la malade tombe dans un profond sommeil. Dans le décubitus dorsal , la bouche entr'ouverte, la figure calme et presq
: le talon est élevé, le tendon d'Achille saillant et tendu, la face dorsale du pied renversée en dehors, sa face plantaire ex
r le sol, ou, si cela est possible, sur un matelas, dans le décubitus dorsal . » Le médecin, alors, ayant un genou enterre, p
thésie est produite soit directement soit par transfert sur la région dorsale de l'avant-bras ; il s'en montre une semblable su
77 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
rité des cas dont il est question dans cette note, le decubitus était dorsal , dans l'acception rigoureuse du terme, et les deu
rticale sous l'influence du poids du corps, et même dans le décubitus dorsal , lorsqu'on imprime à la jambe un mouvement qui la
is (1). Un homme tombé d'un lieu très élevé eut la quatrième vertèbre dorsale littéralement brisée. La partie de la moelle qui
uit un déplacement de la septième vertèbre cervicale, sur la première dorsale . Les eschares se formèrent au sacrum du huitième
elle-ci ne dépassait pas par en bas la partie supérieure de la région dorsale . D'ailleurs, il existe des faits bien avérés de l
dans le dos un coup d'épée entre la neuvième et la dixième vertèbres dorsales , à trois centimètres et à droite de la ligne médi
de ces deux dernières articulations, les téguments présentent du côté dorsal un gonflement manifeste et une coloration d'un ro
la main gauche, dans la partie où ils sont recouverts par le ligament dorsal du carpe, sont sillonnés à leur face postérieure
s fendons du muscle extenseur commun des doigts au niveau du ligament dorsal du carpe, mérite d'être noté. J'ai rencontré une
le ne s'approche de moi qu'en protégeant, par son attitude, sa région dorsale autant qu'il est possible. Il ne faut pas, d'ai
l le nerf médian innervant les deux faisceaux externes) ; interosseux dorsaux et palmaires ; muscles de l'éminence hypothénar ;
langes des doigts. Interosseux. — Adduction (palmaires), abduction ( dorsaux ) par rapport à l'axe de la main. Flexion des prem
interosseux ne sont accessibles à l'excitation mécanique qu'à la face dorsale de la main. A la face palmaire, ils sont complète
tendons sont également sensibles à l'excitation mécanique. A la face dorsale de la main, l'excitation des interos Fig. 14. —
es expériences précédentes, les mains reposant sur une table, la face dorsale regardant en haut. La pression légère du tendon
ure dans la position qu'on vient de lui imprimer, maintenu en flexion dorsale par la contraction du muscle tibial antérieur, do
instantanément une contracture qui maintient le pied dans la flexion dorsale . Un phénomène analogue se produit à l'avant-bra
s seulement dans le jambier antérieur qui est le muscle de la flexion dorsale , mais elle existe aossi dans les muscles antagoni
soléaire. On peut facilement s'en rendre compte lorsque la flexion dorsale n'est pas complète, car s'il est impossible d'éte
pas à se produire, immobilisant le pied dans l'attitude de la flexion dorsale . Si la malaxation porte sur les muscles jumeaux,
en extension, (flexion plantaire), se relever et se placer en flexion dorsale et cela à un degré d'autant plus accusé que l'exc
'obs. n° 4. La gaine synoviale qui les recouvre au niveau du ligament dorsal du carpe est hypérémiée. Fig. 7. — Le nerf médi
78 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n, on le trouve encore presque sans connaissance, dans le décubitus dorsal , avec rotation de la tête à droite. En exa- min
r les muscles du cou à l'occasion de quelques mouvements (décubitus dorsal , flexion du tronc); même remarque au sujet de l
vicale, une dilatation brusque du canal central à partir du segment dorsal supérieur de l'organe jusque dans la portion lo
depuis huit mois d'un eczéma chronique occupant la face palmaire et dorsale de la dernière phalange du pouce. Le bout du do
ule. 13. DE M. C. XVI. SUR' CERTAINES PHASES PEU CONNUES"DU TABES ' DORSAL ; par Th. BUZZARD. (The Lancet, septembre 1881.
mmeuse. Sur certaines coupes de la partie in- férieure'de la moelle dorsale , on constatait que les cornes an- térieures éta
s plus intenses sié- geaient depuis les racines de la dixième paire dorsale jusqu'au renflement lombaire ; elles n'étaient
par G. l''t : ttn 'KD (thèse de Paris, 1881). Etude sur le tabès dorsal spasmodique ; par G. Pcnna : n (thèse de Paris,
ne plaque sensible de la largeur de la main à la limite des régions dorsale et lombaire, s'étendant latérale- ment le long
bord externe du thorax ; 2° sur les apophyses épineuses de la 12, dorsale et de la 1° lombaire. La pression sur la région
la il côte; le, sur les apophyses épineuses des 6° et 7° vertèbres dorsales . C..., assez peu intelligente, a le caractère d
méd. j., 1869), contrôlé par Knapp, Leber, Wernicke, Hempel (tabes dorsal ), a été l'objet de la sollicitude de M. Charcot.
rmal la moelle allongée de la grenouille beye largement à la région dorsale , le cervelet n'en formant que la limite antérie
que côté partent du lobe olfactif une racine ventrale et une racine dorsale , demeurant com- plètement séparées et perforant
partie supérieure du dos, entre la première et la deuxième vertèbre dorsale , à droite de la ligne médiane, existe une plaie
n de constriction thoracique, de pesanteur épigastrique, de chaleur dorsale . Les troubles vaso-moteurs sont très marqués, e
it déjà été notée par Aurran, dans un cas d'hémilésion de la moelle dorsale ; notre observation prouve une fois de plus que
it le supporter; mais il n'était applicable que dans le décubitus dorsal , et, au bout de peu de temps, la patiente, fati
e de caoutchouc répondant à la région ovarienne. B, Point d'appui dorsal , bien garni. - C, Courroie d'attache, se fixant a
lement modifiée. Au dessus du renflement lombaire, dans les régions dorsale et cervicale, ou ne trouve aucune altéra- tion.
ls se sont asso- ciés les autres troubles pathognomoniques du tabes dorsal , leur intensité leur fait conserver une importa
noivuux central (action de l'ergot de seigle sur le), 212. Tabès dorsal (sur cei laines phases peu connues du), par Bli
79 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
os. Colonne vertébrale légère- ment déviée à gauche clans la région dorsale , et adroite'dans la région lombaire. Organes
° Chez Amélina F..., « la colonne vertébrale est déviée à la région dorsale ; la convexité, tournée adroite, fait une sail-
assez prononcée.» (77jtd., p. 9.) (;01,' irisa X... : « La courbure dorsale de la colonne verté- brale est prononcée, le do
tant sur les dernières côtes, déjetées en dehors, et sur la colonne dorsale plus ou moins déviée. Le dos est voûté... I" .I
me une conve- xité très accusée, surtout au voisinage de la colonne dorsale . La colonne vertébrale est sinueuse, la portion
la colonne dorsale. La colonne vertébrale est sinueuse, la portion dorsale forme 16 SCOLIOSE myxoedémateuse. une convcxi
droite, très saillante, ainsi que la région scapulaire; In colonne dorsale décrit une convexité à gauche très prononcée, l
u rachis, les dernières vertèbres cervicales et les trois premières dorsales formant Scoliose myxoedémateuse. 77 7 une lég
be il concavité tournée à gauche, tandis que le reste de la colonne dorsale et de la colonne lombaire forme une courbe marq
rbe marquée à concavité inverse. La concavité en avant de la partie dorsale de la colonne est un peu exagé- rée. » (Compte-
orme une convexité très accusée, surtout au voisinage de la colonne dorsale . La colonne vertébrale est sinueuse, la portion
a colonne dorsale. La colonne vertébrale est sinueuse, la portion dorsale forme une convexité beaucoup plus prononcée que
e convexité on note une ensellure très marquée. De plus, la colonne dorsale décrit une légère convexité à gauche. Il exis
des cou- leurs. etc. Ne : . petit, arrondi, à courbe supérieure et dorsale ; narines étroites, sillon naso-labial assez ac
dans la partie antérieure du cordon postérieur. Au niveau de la 6* dorsale , même disposition des lésions. Au niveau du ren
s genoux. Les pieds sont relevés fortement sur les hanches, la face dorsale regardant un peu en dehors. Il existe une contr
. L'enfant présente de chaque côté des cinq dernières vertè- bres dorsales et au niveau du sacrum de petites ulcérations d
80 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
o-phalangienne el la phalange de l'index gauche, du côté de la face dorsale . Il aurait enlevé l'épidémie » pour faire sortir
tie inférieure de cette région.; enfin les deux dernières vertèbres dorsales et. les vertèbres lbm- baires offrent une secon
ée à gauche. Les apo- physes épineuses des cinq dernières vertèbres dorsales et surtout les trois dernières sont assez saill
extrémités supérieures. est épaissie, rugueuse. On noie sur la face dorsale deux cicatrices blanchâtres, consécutives à des
onnait bien les objets que l'on place entre ses doigts, sur la face dorsale du carpe, de l'avaut-bras et du bras. Il sent bie
totale à la cha- leur, au tact et à la douleur au niveau de la face dorsale des doigts, 1 Nous avons rédigé tout cet état a
uliers. La peau est épaissie sur le dos du métacarpe et sur la face dorsale des doigts; elle est en outre légèrement rouge.
ions des orteils sont libres. Le gros orteil est étendu sur la face dorsale du pied (contrac- ture). Les mouvements spontan
hode de Erb. ' MEMBRE supérieur gauche A. Sensibilité. Main. Face dorsale '" ? 30 Paréso-analgésie DES extrémités supérie
ophyses épineuses des dernières vertè- bres cervicales et premières dorsales est très douloureuse et l'enfant pousse des cri
our qu'elle profère quelque gémissement. Elle est dans le décubitus dorsal , les bras et les mains fléchis sur les extrémit
Moelle épinière : 27 gr. ; elle présente au niveau de la ré- gion dorsale , une légère pigmentation rosée des cordons pos-
gnet droit ; une cicatrice de brûlure au tiers inférieur de la face dorsale de l'avant-bras droit. Quelques érosions, quelq
ns un état de cachexie très pro- noncé : elle est dans le décubitus dorsal , le bras droit replié sur la tète. Sa figure ex
st accolé au tronc, l'avant-bras -fléchi, la main pendante, la face dorsale en avant. Au membre inférieur la paralysie est
sion d'une molaire cariée. - Décembre : plaie tranchante de la face dorsale de la main droite. 1890. Juillet. - Même traite
81 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e. La colonne vertébrale ne présente dans les régions lombaire et dorsale ni déformation , ni douleur à la pression. On con
ression des masses mus- culaires n'est pas douloureuse, sur la face dorsale du pied, la piqûre donne la sensation du touche
tébrale, si ce n'est un peu au niveau des deux ou trois pre- mières dorsales , pas de déformation. La contracture des adducte
cale. A la partie supérieure 16 PATHOLOGIE NERVEUSE. de la région dorsale , la coupe présente une dépression au niveau de
s en rose et présentent une partie jaune, granu- leuse. 2° Région dorsale . Sclérose du cordon latéral, présentant les mêm
s cellules motrices de la subs- tance grise, surtout dans la région dorsale . (A suivre.) Archives, t. )X. 2 is PATHOLOG
ON DE LA PLANCHE I. FIG. 1. Coupe transversale de la moelle (région dorsale ). Schéma indiquant la région envahie par la scl
alériane et l'atropine. Aura : : sensation de piqûre dans la région dorsale . Vésicatoire au lieu de l'aura, saupoudré de un
ne absence des apophyses épineuses de la huitième et de la neuvième dorsale , et lorsqu'on pressait un peu à ce niveau la ma
de la moelle épinière, consécutive à la carie de quelques vertèbres dorsales . - Quant à la fréquence des mouvements respirat
n- tanés. P. K. VIII. Un cas d'élongation des nerfs D\NS le tabès dorsal ; par M. ROSE,ÇSTF,[.i. (Arch. ? Psych., XV 1.)
hambre de la malade, nous la trouvâmes couchée, dans le dé- cubitus dorsal et maintenue par deux de ses proches, précaution
c'est sur elle surtout qu'il appuie. Le rachis présente à la région dorsale une grande concavité droite. La sensibilité est
petites cicatrices venant de blessures faites en jouant sur la face dorsale de la main droite. Au niveau du pli du coude, d
C. Marie. XVIU. Contribution A la question DE l'étiologie DU tabès dorsal ; par M. BERNIIARDT. (Centralbl. /. Nervenleeilk
cordons postérieurs, à partir de la portion inférieure de la moelle dorsale et dans toute la moelle lombaire; les cordons p
resse et teinte terreuse de la peau, rides du visage et de la face dorsale des mains, cheveux blanchis ou tombés, dents cass
al osseux, étendu de la première vertèbre cervi- cale à la deuxième dorsale . Notons, en outre, qu'il n'y eut aucun accident
i ce que l'on constate : 424 SOCIÉTÉS SAVANTES. Dans le décubitus dorsal , divers muscles sont visités par des convulsion
n à évolution chronique oc- cupant la moelle cervicale et la moelle dorsale dont elle intéresse lestractus sensitifs, troph
stème nerveux se manifesta essentielle- ment sous la forme de tabes dorsal , mais l'autopsie révéla qu'il ne s'agissait nul
statis- tiques de divers auteurs, on arrive à conclure que le tabes dorsal résulte d'une série des causes différentes (ref
s, 85. Ellen (colonie), 416. Elongation des nerfs dans le tabès dorsal , par Rosenstein, 85; (élongation du nerf sciati
PLANCHE PREMIÈRE FiG. 1. Coupe transversale de la moelle (région dorsale ). Schéma indiquant la région envahie par la scl
82 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tement contractures, reprennent d'eux-mêmes l'attitude du décubitus dorsal . Peau chaude, humide; face vultueuse, yeux fixe
ché iL établir une relation étiologique entre la vérole et le tabes dorsal . Cette première tentative fut. froidement accueil
servir de la cami- sole pour maintenir le malade dans le décubitus dorsal forcé que dans les cas extrêmes; il vaut mieux
ensibilité, nous le verrons plus loin, qui rappellent ceux du tabès dorsal . D'autres phénomènes douloureux que les crampes
quement, mais avec prédominance de l'anode. Le premier, interosseux dorsal de la main gauche donne les mêmes réactions. L'
e de Clarke ne se voient que dans la partie inférieure de la moelle dorsale et dans la partie supérieure de la moelle lomba
ra entre les apophyses épineuses des cinquième et sixième vertèbres dorsales dans une direction légèrement inclinée vers la
par une ligne circulaire passant au niveau de la septième vertèbre dorsale . Au-dessus de cette ligne se trouve, toujours à
urs à droite, une zone d'anesthésie qui atteint la sixième vertèbre dorsale . Plus haut la sensibilité parait normale. A d
des sensations tactiles et analgésie (jus- qu'à la sixième vertèbre dorsale ). Au-dessus de cette région analgésique existe,
te. Le plus léger choc sur le tendon rotulien dé- termine un clonus dorsal , soudain et énergique du pied droit; les autres
atteint la moitié droite, entre la cinquième et la sixième vertèbre dorsale , par suite hyperesthésie et parésie cl droite,
essentiellement en ceci : si l'on porte fortement dans la flexion dorsale le pied d'un malade couché, il arrive parfois q
du tibial antérieur, le pied étant par conséquent dans laflexion dorsale , on fléchit le genou du malade, et saisissant dan
sa partie supérieure et le tirer de telle ma- nière que la flexion dorsale du pied puisse se faire sans la moindre résista
Phénomènes tendineux pro- noncés. Myélite (transverse) de la moelle dorsale inférieure avec dépôt pigmentaire abondant : dé
Accidents du décubitus. Mort. Foyers scléreux à travers la région dorsale inférieure et lombaire de la moelle. Lésions des
t lombaire de la moelle. Lésions des cordons de Goll dans la moelle dorsale et cervicale; lésions du faisceau pyramidal dan
ocessus de la dégénérescence grise des cordons posté- rieurs (tabès dorsal ) est-il primitivement interstitiel ou paren- ch
e la huitième paire cervicale et de la première paire thora- cique ( dorsale ). Foyer circonscrit gagnant de la périphérie à
83 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lésions chromatolytiques très accentuées. Au niveau de la moelle dorsale la colonne de Clarke était le siège des mêmes lés
cré. Le canal épendymaire est normal partout, sauf dans la région dorsale moyenne, où, sur une longueur de plusieurs segmen
ence est pour la plus grande partie ancienne, seule, dans la région dorsale inférieure, la région limitée des libres normales
gions cervicales et lombaires et à diverses hauteurs de la ré- gion dorsale ; cette hypertrophie porte sur tous les éléments
myélite transverse au niveau de la partie supé- rieure de la moelle dorsale . On a pu suivre par la méthode de Marchi presqu
ois les racines postérieures de la partie su- périeure du la moelle dorsale ainsi que toutes les racines cervi- cales, aprè
n toto.Ce cas montre que les libres émanées des 4 premières racines dorsales et de toutes les racines cervicales passent exc
il a dégénéré, donc il provient d'une région inférieure a la moelle dorsale supérieure. B. Examen des dégénérescences desce
ers ne dépassait pas le niveau de la partie inférieure de la moelle dorsale ; celle des seconds allai l jusqu'au cône médul
surtout les 2° et 3°, se fléchir sur le dos du pied ; culte flexion dorsale des orteils est d'autant plus accl'l1- tuée que
Dans certaines affections organiques, le heurt du la même ré- gion dorsale du pied produit non une flexion dorsale, mais une
e heurt du la même ré- gion dorsale du pied produit non une flexion dorsale , mais une flexion plantaire du 4o orteil ; alor
ls décèle sûrement une affection organique : par contre, la flexion dorsale n'élimine pas l'idée d'une paralysie organique.
érieure, il ne se produisit, parle heurt du dos du pied, ni flexion dorsale , ni flexion plantaire des orteils. M. Bechterew
existe, alors que le réflexe en flexion manque. Quant à la flexion dorsale (extension) des or- teils constatée parfois seu
ls, en frappant sur le milieu du dos du pied, on obtient la flexion dorsale des orteils, tandis qu'en frappant sur son bord
-La région comprise entre le He segment cervical et le 1er segment dorsal est le premier locus minoris 1'esistentioe. Pour
de moelle particulièrement suscep- tible. Puis, le premier segment dorsal est insuffisamment irrigué parles artères radic
e ou lassitude anormale, ellese montre aussi bien dans le décubitus dorsal : l'effort du sujet se trahit par 1 accéléra- l
études microscopiques de la moelle au niveau des régions cervicale, dorsale et lombaire. Fixation des pièces par le sublimé
retrouve le centrede la main dans toute V étendue du, l" seg- ment dorsal ; à sa partie inférieure, il n'y a plus que quelq
lules dégénérées. Plus bas, a la partie supérieure du 20 segment dorsal , le groupe disparaît, et avec lui, les altération
uelque aug- mentation de ces réflexes dès le début. Dans le tabes dorsal , malgré l'absence des réflexes tendineux, les r
de cet organe. Tumeur du canal mchiclien à la bailleur de la région dorsale supérieure ; l'une située entre le canal rachid
rs, 45. Voir Cécité. - Retour du phénomène du genou dans le - . dorsal , sans complication d'hé- miplégie, par Donath,
84 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t le rebord des fausses côtes ; à la partie inférieure de la région dorsale , légère convexité à droite ; les membres sont s
drome choréique. F. Boissier. XIII. Des symptômes précoces du tabès dorsal ; par W. DE Bech- TEREW. (Cenh-a. f. Nervenheilk
inale. P. K 1, Il. %'.% L. XV. Les causes de l'ataxie dans le tabès dorsal ; par Frenkel. (Neurolog. Ceiiii-tilbl., XVI, i
n seulement dans la station verticale, mais aussi dans le décubitus dorsal . Cette influence de la vue ne s'exerce pas dans
sont consacrées les leçons suivantes. Un père est atteint de tabes dorsal classique ; le fils présente une affection hybr
pina bifida, ce qui de son côté provoque l'abaissement de la partie dorsale du bulbe (dans le spina bifida de la région dor-
e, et une autre tumeur molle de la dure-mère spinale dans la région dorsale moyenne. Dans tous les nerfs périphériques exam
et bulbo-caverneux sous l'influence d'une irritation de la surface dorsale du gland; il montrait aussi que, dans les cas de
de la partie cervicale de la moelle et deux une lésion de la partie dorsale supérieure. Trois fois le début a été brusque e
péri-épendymaire : ces lésions se localisent surtout à la région dorsale et leur nature est inflammatoire. C'est secondair
Voici le résumé des constatations de l'auteur : Dans les régions dorsale et lombaire de la moelle épinière : hyperémie i
érieure de la région cervicale ; la courbure occupe toute la région dorsale . Le sternum est obliquement dirigé d'avant en a
ôte droite, à 6 centimètres des apophyses épineuses des ver- tèbres dorsales , il se déclara chez une femme un syndrome consi
ôte droite, à six centimètres des apophyses épineuses des vertèbres dorsales . L'agresseur était son amant, duquel elle s'éta
dans la région antéro- externe de la jambe droite ou dans la partie dorsale du pied cor- respondant, nonobstant qu'elle ne
r l'aiguille, la malade mouvait le pied dans le sens de l'extension dorsale et la jambe était prise de soubresauts. Dans la
insi que tous ses segments en extension. Les mouvements d'extension dorsale du pied et des doigts sont nuls ; le réflexe pa
e. Dans le pied, l'anesthésie a persisté long- temps dans la région dorsale et dans le bord externe ; et en ce qui concerne
, la distribution de l'anesthésie était la suivante : sur la partie dorsale du pied à partir d'une ligne située à quatre ce
u bras se prirent à leur tour, puis les grands dentelés, les grands dorsaux , les rhomboïdes et les angulaires. Le bras fini
ieurs petites plaques grisâtres, d'aspect gélatineux, sur la moelle dorsale de l'un et l'autre côté. A la partie supérieure d
on constate surtout une hypertrophie des muscles infraspinaux, long dorsal et sacro-lombaires. Encore plus hyper- trophiés
anée fait constater la présence d'une zone d'hyperesthésieà la face dorsale de l'avant-bras gauche, et d'une zone d'anesthé
au appartient en propre aux libres de ce nerf. b) Un noyau moteur dorsal ou noyau moteur à petites cellules. Ce noyau~ap
ire dans le , I)ai-Fi,enlel, 60. Les causes de l'ataxie dans le - dorsal , par Freukel, ou. Des symptômes TABLE AUTEU
es TABLE AUTEURS ET DES DES COLLABORATEURS..1)123 précoces du - dorsal , par de l3oclUerew, 65. Quelques ma- mères de
85 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
racines du plexus brachial (dernières paires cervicales et première dorsale .) Le sympathique a une action trophique sur la
externe naît par un bourgeon épithélial qui apparait sur la région dorsale de la troisième fente branchiale. La parathyroï
creux de la main, gouttières séparant les méta- carpiens à la face dorsale . Aux avant-bras, l'atrophie portait t de façon
t de façon prépondérante sur les extenseurs, en sorte que la face dorsale de ces segments de membres était tout à fait pl
à six ans ; à la face Fis. 20. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE. 113 dorsale du pied gauche un oedème dur et élastique ; au ni
ité permanente de l'animal. Si l'un sectionne la moelle à la partie dorsale moyenne, et que l'on fasse agir les vibrations
ie. L'application des vibrations à la colonne vertébrale (régions dorsale inférieure, cervicale, sacrée), entraîne le spasm
ieures, surtout accusé quand 1 excitation est localisée à la région dorsale inférieure. Assez sou- vent la charge demeure e
orne postérieure droite, et en tel aspect elle va jusqu'à la région dorsale médiane, où s'augmente de nouveau à l'étendue d
- come occupait encore la pie-mère, principalement dans la région dorsale médiane. On rencontrait dans la néoformation une
ont leurs cen- tres trophiques dans la corne latérale de la moelle dorsale et dans un noyau latéro-exteme de la corne anté
e xiphoïde, en arrière sur la colonne vertébrale au niveau de la 8e dorsale . Ce syndrome fréquent dans l'ulcus simplex (dou
partie de la moelle cervicale et la portion supérieure de la moelle dorsale . Peu de temps avant son entrée à l'hôpital il a
L. LI. De l'absence des réflexes patellaires en un cas de myélite dorsale par compression avec dégénérescence des racines p
foyer tuberculeux comprime la moelle au niveau du cinquième segment dorsal depuis 4 mois au moins. Au début les réflexes é
se lymphatique et vasculaire; cette stase tenait à la com- pression dorsale . Sans compter qu'il y a eu de ce fait (du fait du
e est descendue jusqu'à la huitième racine cervi la première racine dorsale . La paralysie motrice à gauche pagnée d'un émou
e comprise entre le septième segment cervical et le premier segment dorsal , et il a aussi dès l'origine affecté toute la s
es phé- nomènes très fréquents dans la paralysie générale, le tabès dorsal , la syphilis cérébrospinale. - ici. Elles se mo
personnels ou héré- ditaires inconnus. La malade garde le décubitus dorsal . Torpeur intellectuelle très prononcée, dont el
dans le domaine de la huitième racine cervicale et de la première dorsale . L'auteur estime qu'il y a là une grosse erreur e
qui, à la suite d'un accès d'épilepsie, se fit une plaie à la face dorsale du nez ; quelques jours plus tard, il fut attei
ur volumineuse siégeant au niveau des VIII0 racine cervicale et Ire dorsale et produisant comme une véritable section graduel
e on trouve : une myé- lite aiguë diffuse très intense de la moelle dorsale inférieure et du renflement lombaire, une névri
baires, qui eux-mêmes sont sous l'influence des lésions médullaires dorsales superieures intéressant les origines du sympath
chterew, 159. Ue l'absence des patellai- res en un cas de myélite dorsale par compression avec dégénéres- cence des rac
86 (1913) Exposé des travaux scientifiques
-section traumatique de la moelle, à la partie moyenne de la région dorsale , quinze heures après l'accident; le côté paraly
nomi- mation de paraplégie spastique spinale et sous celle de tabes dorsal spasmodique par Charcot, j'ai fait connaître qu
talement des secousses qui peuvent agiter les muscles dans le tabes dorsal spasmodique. Dans la plupart des cas, on consta
thète « spasmodique » ne convient guère à la paraplégie du « tabes dorsal spasmodique » où la contracture a une stabilité r
'attention sur ce point que les faisceaux pyramidaux dans la région dorsale ne sont que légèrement atteints. G. EtienneetE.
n spinale siégeant certainement à la partie supérieure de la moelle dorsale et chez lesquels l'excitation de l'ab- domen re
ésistant horizontal, sur un plancher par exemple, dans le décubitus dorsal , les bras croisés sur la poitrine, le malade fa
place les avant-bras en supination ; on les soutient par leur face dorsale au niveau du poignet et on leur imprime plusieurs
main par un mouvement de supination, de telle façon que par sa face dorsale elle vienne se poser exactement à la même place
nférieur gauche, apparente quand le malade, placé dans le décubitus dorsal , après avoir fléchi la cuisse sur le bassin et
Id., ig jan- vier r Sg4). 42. Paraplégie crurale par mal de l'ott dorsal . Névrites périphériques des mem- bres inférieur
t pathologique, mars-avril igi2). 192. Tumeur méningée de la région dorsale supérieure, Paraplégie crurale par compression
87 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
ine comme point de repère. Nous avons l'habitude de choisir la 1 rc dorsale , facile à reconnaître à son volume et à ce fait q
nnaître à son volume et à ce fait que la racine qui lui succède (2° dorsale ) est très grêle. Après l'avoir entourée d'un fil
umérotage des racines, on peut aller à la recherche du premier nerf dorsal , dans le creux sus-claviculaire, au niveau du poi
une légère traction,on s'assure aisément si laracine étiquetée le' dorsale dans le canal rachidien, correspond bien au premi
le' dorsale dans le canal rachidien, correspond bien au premier nerf dorsal . Lorsqu'il s'agit de lésions portant sur la que
us facile de les étiqueter, en prenant comme point de repère la 1"' dorsale ou la 1"' lombaire. ''). Examen du cerveau norm
herchée, d'injecter la solution colorante dans le sac lympha- tique dorsal . La méthode d'Ehrlich donne de précieux résultats
e neurale repose sur un épaissis- sement du mésoderme, la corde dorsale ou no- tocorde (Ch. fig. 10 et fig. 11 a), qu
renciées dans le mésodcrmo au-dessous des lames ucuratcs. Ch, corde dorsale . LDI, lame neuralo ou médullaire. - 1, bord supér
ébres. CV, gouttière médullaire. LM, lames médullaires. - Ch, corde dorsale . PP, fente pleuro-péritonéale. - fi, lame fibro
atérales du canal encé- phalique ; ils le sont moins sur la paroi dorsale ou voûte, et presque pas sur la paroi ventral
térieure, qui constitue le point de fusion des parois ventrale et dorsale avec les pa- rois latérales droite et gauche
athias Duval.) F. 1.1. Cet embryon, vu par face su- périeure ou dorsale , pl'éscntcdc dix il onze prévertèbros nette -
tubérance annu- laire, et au bulbe ra- dlidien i par sa paroi ; dorsale au cervelet et à la membrane obtu- ratrice du
la protubérance annulaire, en arrière, au bulbe rachidien; la paroi dorsale ou la voûte s'épaissit considérablement en avan
raître toutefois complètement. Une quatrième courbure à concavité dorsale , apparaît enfin au niveau de la troisième vésic
éger sillon longitudinal latéral, plus rapproché de l'extré- - mité dorsale de la moelle que de son extrémité ventrale, divis
a moelle épinière en deux segments inégaux, l'un ven- frai, l'autre dorsal . Le segment ventral, le plus grand, désigné par H
ntale, est le lieu d'origine de tous les nerfs moteurs ; le segment dorsal , connu sous le nom de lame alaire, reçoit les ter
es neurales, et relie les deux lames fonda- mentales. La commissure dorsale , la voûte, du canal neural, de formation plus r
' Lame fondamentale. Ftc. 2b. - Coupe transversale de la région dorsale supérieure de la moelle d'un em- bryon humain d
la corne postérieure subit un mouvement de torsion tel, que sa face dorsale ou postérieure devient interne; le cordon ovala
omplètement (fig. 29), Fie. 27. Coupe transversale de la ré- gion dorsale supérieure de la moelle d'un embryon humain d'e
viennent légè- rement obliques en bas et en dehors dans la région dorsale . Dans les régions lombaire et sacrée, les rac
l tapissé d'une membrane Fie. 29. - Coupe transversale de la région dorsale supérieure de la moelle d'un embryon humain de
une seule. FiG. 30. Coupe transversale de la moelle de la région dorsale supérieure d'un foetus humain de 3 mois. (D'apr
parée de la mem- brane obturatrice par un second sillon à concavité dorsale , le sillon labial interne (sli) de Ilis, qui s'
ent la commissure des pédoncules de la glande pinéale ou commissure dorsale du thalamus, laquelle relie les deux ganglions de
naissance aux corps et piliers pos- térieure du trigone; la partie dorsale à une circonvolution cérébrale avortée, la circ
au-dessus du sillon choroïdien dont il forme la lèvre supérieure ou dorsale ; son bord externe, qui porte dans la corne sphé
ENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 137 et disparaît au niveau de sa partie dorsale , et la la- me cornée se continue di- rectemen
» d'après l'expression de v. Lenhossek, et recouvrent la partie dorsale du canal neural. L'occlusion des la- mes neur
s racines antérieures. Fia. 85. - Coupe transversale de la région dorsale inférieure do - la moelle d'un embryon humain d
s collatérales. FiG. 102. - Deux cellules radiculaires de la moelle dorsale d'un chien nouveau-ne. Méthode rapide de Golgi.
ules pyramida- les. Fici. 109. - Coupe longitudinale de la moelle dorsale d'un embryon de vache de Om,5. Méthode rapide
e supérieur ou portion frontale du lobe frontal (Broca), de portion dorsale du lobe frontal (Schwalbe). ... Trois sillons s
tie externe du corps genouillé externe, partie qui répond à sa face dorsale , on trouve une région triangulaire, la zone de
liet ce sinus, puis s'ef- file et s'applique sur la face libre ou dorsale du corps cal- leu.x (Ce), en formant le /tM ! «
, capsule cxtrème. - Cg, circonvolution godronnée. - Cge(d), partie dorsale du corps genouillé externe. Cge(v), partie ventra
a sur les coupes inférieures (voy. coupe n° 12, fig. 3tl) la partie dorsale de la commissure postérieure. La paroi antéri
au pulvinar par de nombreux faisceaux, qui appartiennent au segment dorsal de la commis- sure postérieure (cop). Le segmen
le groupe ventral du noyau latéral de la troisième paire. Le groupe dorsal , de ce même noyau siège il la base du faisceau lo
88 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et chez le chat au 147° jour après la résection du vague, le noyau dorsal pathologique de la 10" paire ne présente pas de
éveloppement de l'hypophyse et les rapports pri- mitifs de la corde dorsale et de l'intestin ; par le professeur U. Rosti.
ntière de la couche profonde de l'ectoderme. Les points où la corde dorsale conserve des connexions avec l'intestin sont au
ndroit où les deux branches, ascendante et descendante, de la corde dorsale se réunissent en formant un angle; c'est-à-dire
ent en formant un angle; c'est-à-dire, à la courbure endo- dermique dorsale . La première de ces connexions est tout à fait
iagnostic d'ataxie locomotrice. Cyphose marquée au niveau de la 120 dorsale et des .trois premières lombaires. Point douloure
t sans inconvénient, particulièrement dans les régions lombaires ou dorsale . P. XXI. Relations entre la migraine et l'épile
ombilic, jusqu'à la colonne vertébrale au niveau des deux dernières dorsales ; dans la partie moyenne de son parcours, elle
grosse lésion. La moel.e est mise à nu ; assez haut dans la région dorsale on trouve une petite surface ,congestionnée au
une petite surface ,congestionnée au pomt de jonction des vertèbres dorsales et lombaires, on voit à travers la dure-mère un
la moelle, on la sectionne à l'extrémité supé- rieure de la région dorsale , et on enlève la dure-mère. On trouve alors une
sculaire ; 3° la sec- tion ou la ligature de la moelle cervicale ou dorsale supérieure, chez le chien et chez le lapin, dim
sphincters ; 4° la section ou la ligature de la moelle cervicale on dorsale supérieure, chez le singe, diminue considérable
ions transversales complètes de la moelle, à la région cervicale ou dorsale supérieure, provoquent l'abolition permanente e
ganique, maladie de Freidreich, hérédo-ataxie céré- belleuse, tabes dorsal spasllloclili ue, sclérose latérale amyotro- Fi
on (ftg. 5); 3e la section ou la ligature de la moelle cervicale ou dorsale supérieure, chez le lapin et chez le chien, donne
és (lig. G); 4° la section ou la ligature de la moelle cervicale ou dorsale supérieure, chez le singe, donne lieu à une abo
l'homme, la section complète de la moelle, à la région cervicale ou dorsale supérieure, provoque l'abolition permanente et
e pro- fesseur Raymond, deux cas de tumeur du quatrième segment t dorsal , ayant déterminé une paraplégie spasmodique penda
montré le moins accusé et d'ordinaire le plus marqué dans la région dorsale , cependant deux fois la der- mographie était au
é générale, se plaint de sensations douloureuses le long de l'épine dorsale , qu'elle attribue aux agissements d'un forçat «
flexe de la moelle peut être conservé après sa section cervicale ou dorsale . G. D. LXXIV. Un procédé spécial pour provoquer
l'on observe consécutive- ment, Crocq a lié la moelle cervicale ou dorsale supérieure chez quatre lapins, deux chiens et u
89 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n'existe pas de sclérose des cordons postérieurs; mais à la région dorsale moyenne on voit des épaississements et tourbillon
ubles sphinctériens, et hypoesthésie remontant jusqu'à la cinquième dorsale . Pas de douleurs ni de symptômes rondiculaires.
est orienté vers le mal de Pott par l'existence d'une cyphoscoliose dorsale supérieure très prononcée. Mais l'absence de ly
et à la myélyte transverse. Il faut admettre une lésion médullaire dorsale ,transverse, centrale, coïncidant avec une lésio
ous ce titre : « Quelques considérations sur le traitement du tabès dorsal », l'autre Sur le priapisme nocturne chronique.
volution sera distincte. P. Keraval. XII. De l'étiologie du tabès dorsal ; par M.Z.WAiNSCATEiN.(06o : ? ? psichiatrii, V,
choutkowsky intitulé : Recherches clinico-slatisliques sur le tabès dorsal du Woenno-mé- dilzinshy Jo2trnal. P. Keraval.
, y compris le muscle court adducteur du pouce et le 1" interosseux dorsal ; R. D. partielle dans les muscles iner- vés par
l'indique Bergonié, dans le dos, au niveau des premières vertèbres dorsales descendant jusqu'aux premières lombaires. On po
fférente étant fixée au moyen d'une ceinture au niveau de la région dorsale , on commencera la séance. Le courant sera gradu
urone. 1. --Le type de l'inflammation du neurone est celle du lubes dorsal , constituée par la dégénérescence primitive des
xe, sur les fléchisseurs de l'extrémité. En quelques cas la flexion dorsale du pied le déter- mine : ce mouvement produit d
s une observation de Sossedofi et Glochner, les cellules du noyau dorsal du pneumogastrique présentaient aussi des altérat
racturé accidentellement la colonne vertébrale au niveau, de la 12" dorsale . Consécutivement', ils'est installé une paraplégi
e de syncope, condamne les malades à l'immobilité dans le décubitus dorsal , l'inappétence absolue, les nausées, les vomiss
xes patellaires et exagération des réflexes plantaires avec flexion dorsale de tous les orteils. Dans le couis ultérieur de
plie d'origine traumatique empiétant sur les deuxième et troisième, dorsales . MM. Armand UELILLE ET MaxEGGER présentent un m
e dans le domaine de la huitième racine servicale et de la première dorsale . Les carac- tères particuliers à ce cas consist
s terri- toires thoraciques et axillaires des deuxième et troisième dorsales . Les rami-communicantes de ces racines sont éga
etilo-pupillaires qui dépendent du ramus commnnicant de la première dorsale . Amnésie antérograde continue de fixation et de
ie tuberculeuse sans pus, de la 7° cervicale et des trois premières dorsales avec affais- sement du corps de ces quatre vert
icilement pincer entre les doigts. Cet état se prolonge sur la face dorsale au niveau des deuxième et troisième phalanges d
pke d'origine traumatique empiétant sur les deuxième et troisième dorsales . 588 TABLE DES MATIÈRES. par Delille et Egger
e. Voir Argyll-Hobertson. . Voir Amyolrophie. De t'étioiogie du - dorsal , par 1\'ainscatelu,183. Pathogénie du , par Gui
90 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tourne dans son articulation et par la contraction du grand muscle dorsal , s'approche un peu de la poitrine. Il courbe un
sous des côtes, est en rapport avec les huitième et douzième paires dorsales . Le réflexe épigastrique, qui se traduit par la f
l; il est en rapport avec les quatrième, sixième ou septième paires dorsales . On doit, dans l'es cas pathologiques, rechercher
ent. Il doit être en rapport avec le segment inférieur de la moelle dorsale . Il peut ainsi marquer le niveau d'une affectio
jambe. G. D. XXIX. Sur un cas de tumeur du canal rachidien (segment dorsal ); par le professeur RAYMOND. (Journ. de neurolo
e cette symptomatologie, on diagnostiqua une compression du segment dorsal du névraxe par un néoplasme intra-rachidien sit
ci permit de constater, au niveau de la partie moyenne de la moelle dorsale la présence d'un sarcome très vasculaire avec b
'existence d'une compiession de la moelle, à la limite des segments dorsal et lombaire, compression qui, en présence de l'
rche de la sensibilité pilaire chez les , malades atteints de tabes dorsal ; par W.-P. Ossipow et 1OISCHEWS6Y. (Obozrénié p
re limitée au territoire de la huitième cervicale et de la première dorsale surtout du côté gauche. Il ne s'agit donc ici ni
nsverse, ni dégénérations fasciculaires, prédominant dans la région dorsale inférieure, en regard d'un vieux nodule libro-
iculaire, dans les domaines suivants : 8° cervicale et 2" premières dorsales ; 2°, 3'' 4° et 5° intercostaux; petits sciatiqu
ction de la moëlle fut pratiquée au niveau de la sixième ver- tèbre dorsale , d'où paralysie flasque du train postérieur : lor
méningite avec exsudat. Au niveau des onzième et douzième racines dorsales , des pre- mière et deuxième racines lombaires,
n des l'ami communicantes du sympathique avec le pre- mier ganglion dorsal . Ce signe ne saurait donc exister que lorsque l
NERVEUSE. La dure-mère est épaisse, surtout au niveau des racines dorsales inférieures, les ganglions spinaux sont hypertro-
ère, de petits nodules saillants, fusiformes, enserrant les racines dorsales inférieures. Un autre nodule est accolé aux rac
lorsque la main est en extension, la plus légère pression à la face dorsale suffit à l'amener en flexion, ce qui prouve bie
ucteur du pouce a été très touché, ainsi que le premier interosseux dorsal : ce sont là des points que l'on relève dans pl
élitique, beaucoup plus rare. R. LEROY. XXII. Pathogénie du tabes dorsal ; par M. J. NAGEOTTE. (Presse médicale, 10 déce
dépendance de foyers en évolution de méningo-myélite de la région dorsale . Dans l'autre cas, les lésions des cordons anté
dépendant non seulement d'un foyer de méningo- myélite de la région dorsale , mais encore d'une sclérose, descen- dante d'un
ut, et à l'autopsie on constata une myélite luétique dans la région dorsale inférieure et une grosse gomme dans la partie s
Tentative de recherche de la chez les animaux attemts de tabes dorsal , par OSoipowetNoiscbews- ky. 66. - osseuse, par
91 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es DE L1 sensibilité ET LEURS relations avec l'ataxie dans LE tabès dorsal ; par B. STERN. (Arch. f. Psych,, XVII, 2.) Vo
de Berlin, la partie externe des cor- dons postérieurs des régions dorsale inférieure et lombaire supé- rieure de la moell
atière nerveuse (mailles névrogliques vides, surtout dans la moelle dorsale inférieure et moyenne). La mort a interrompu le
veux. On sait que Struempell croit' que paralysie générale et tabes dorsal sont deux maladies produites par des poisons ch
frais du processus anatomopathologique. En ce qui concerne le tabes dorsal , la dégénérescence des faisceaux cunéiformes n'es
e cervicale et dans la supérieure, aux faisceaux de (joli occupant, dorsale partie moyenne de la moelle dorsale, une petite
ux faisceaux de (joli occupant, dorsale partie moyenne de la moelle dorsale , une petite place à peu près au milieu de l'org
rgane, de chaque côté du grand sillon postérieur et, dans la moelle dorsale inférieure, sur une courte étendue, les bandele
ngeurs et « il consiste en une hémorrhagie de la partie inférieure ( dorsale et lom- baire) de la moelle épiuière ». Le troi
tites pointes de feu faite tous les huit jours le long de la partie dorsale et lombaire de la colonne vertébrale, et une mé
ermine l'issue du liquide par les lames postérieures d'une vertèbre dorsale et qu'on ne divise pas par con- séquent les mus
rotubéran- tiels, parvenus dans l'axe spinal, est prise à la région dorsale supérieur immédiatement au-dessous du renflemen
oupe de cette même colonne de cellules, qui n'existe qu'à la moelle dorsale et la coupe du faisceau céré- belleux direct pa
rvicale, sous l'aspect d'un disque de petite dimension; à la région dorsale , c'est un triangle à sommet interne et à base e
eaux DE l'axe cérébro-spinal. 263 pyramidaux croisés, à la région dorsale moyenne, tantôt au- dessus, tantôt au-dessous'.
avre est d'une taille et d'une constitution moyennes. Sur la région dorsale , on aperçoit des taches pourpres cada- vériques
es-uns de ces vaisseaux et surtout dans les por- tions cervicale et dorsale de la moelle, près du canal central, ainsi que
le faisceau non entre- « du chiasma, il gagne graduellement la face dorsale du chiasma, pour « la portion postérieure de ce
i faisons une application de pointes de feu à la région lombaire et dorsale de la colonne vertébrale et une injection morph
ieuses), par Lunz, 440; (tuberculose du), par Hoche, 442. Tabès dorsal (rapports des anomalies de la sensibilité, avec
92 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
sentent saillie, ni courbure pathologique au niveau de la colonne dorsale . 1>espiratioii abdominale. Percussion et aus
a joue. Poils assez abondants sur la moitié inférieure de la face dorsale des avant-bras. Sous les aisselles, bande de poil
r le liane gauche ; un autre immédiatement à droite de la colonne dorsale . Sur tout le corps le pannicule adipeux, qui doub
phalanges sont mas- quées par des sillons très creux. Les fossettes dorsales du métacarpe sont très marquées. La peau de la
settes dorsales du métacarpe sont très marquées. La peau de la face dorsale du carpe et du métacarpe est doublée d'un épais
fonds. Tous ces plis sont le siège d'un léger intertrigo. Colonne dorsale normale, dessinée par une gouttière pro- fonde
apophyses épineuses des 6e et 7e cervica- les, des trois premières dorsales , formant une convexité pro- noncée tournée vers
noncée tournée vers la droite ; elle se continue jusque vers la Se dorsale . Abdomen saillant. G octobre. - L'enfant mesure
ie des malléoles. Pieds. Le 4e orteil forme une saillie sur la face dorsale du pied (des deux côtés) et repose sur le 3'' e
elques FORMES DE nanisme. Colonne vertébrale : scoliose. La portion dorsale de la 1,- à la 12e dorsale forme une courbure à
olonne vertébrale : scoliose. La portion dorsale de la 1,- à la 12e dorsale forme une courbure à concavité gauche, dé- term
it une courbe à concavité droite mais moins marquée que la courbure dorsale . Toute la partie supérieure du tronc est inclin
surtout ces dernières. La forme de la voûte plantaire, de la face dorsale du pied, le squelette du pied, sont normaux. Th
rejeté en dehors. Le sternum n'est pas projeté en avant. La colonne dorsale n'offre pas de malformations. On cons- tate la
93 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
,045 de la base du triangle, c'est-à-dire vers le milieu de la région dorsale . Cette portion paraît répofldre aux vertèbres cer
t répofldre aux vertèbres cervicales et à quelques-unes des vertèbres dorsales . REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX ANENCÉP
ocation et les douloureuses quintes de toux que provoque le décubitus dorsal . Affaiblissement général plus pro¬noncé, ainsi qu
ncé. La dure-mère rachidienne est épaisse; vers la fin de la région dorsale , elle est tapissée par une néo-membrane mince et
eurs, et plus particulièrement vers la partie supérieure de la région dorsale ; quelques corps granuleux dans les cordons latér
cend obliquement et vient aboutira une cicatrice qui occupe la région dorsale du poignet et du métacarpe. Les quatre derniers d
être de même de la main, qui est figurée dans la planche XIX. La face dorsale du méta¬carpe est envahie par une cicatrice d'un
La face palmaire est un peu renversée en arrière. La peau de la face dorsale de ce débris digital, moins long que la phalange
au talon, au-dessous de la malléole interne, sur la partie moyenne et dorsale du quatrième métatarsien. —ho, gros orteil, rac
ement, obtuse à la plante du pied, est à peu près intacte sur la face dorsale . Membres supérieurs. La malade serre beaucoup p
ement diminuée à la face palmaire de la main, est conservée à la face dorsale et sur les avant-bras ; cependant il semble y avo
douleur vague dans la région cervicale posté¬rieure et dans la région dorsale , p. 72. Grands bains prolongés. — Extrait gomme
94 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ncule cérébel- leux supérieur (entrelacement) et finirait à la face dorsale du noyau rouge dont ilaiderait à former la caps
eux le car- tilage intermédiaire des sixième ou huitième vertèbres dorsales (Zalophus, Gillespieü) ; à l'endroit où le renf
e ; et cela non pas seulement quand ou mutile la moelle lombaire et dorsale (section des racines antérieures et posté- rieu
gnés d'extensions brusques ou encore des secousses dans les muscles dorsaux , qui font que le malade risque de tomber en arr
e l'autre cuisse et à ceux du tronc, particulièrement aux muscles dorsaux . En revanche, les tentatives de provoquer des sec
ne percussion du tendon rotulien, ou encore par une brusque flexion dorsale du pied, mais moins que dans les autres observa
l'atrophie des fibres est particulièrement prononcée dans la moelle dorsale . En même temps, la partie la plus anté- rieure
er, crural, tibial, des racines postérieures lombaires et peut-être dorsales ; atro- phie possible des racines antérieures lo
l'artère pulmonaire gauche. C'est particuliè- rement dans la moelle dorsale supérieure que se présentent, sur une hauteur d
1884.) Il y a des cas dont l'évolution ressemble à celle du tabes dorsal et qui résultent simplement d'une affection des n
partant de l'extrémité du pied droit, occuperait la face externe et dorsale de celui-ci, gagnerait la partie latérale du th
e au contraire est fléchi dans la paume de la main. Les interosseux dorsaux et pal- maires ont en grande partie disparu, ai
s trop de difficulté porté dans la position due à l'action du grand dorsal . Le mouvement d'élévation des épaules est à peu
ons de Goll ayant atteint le bulbe, la moelle cervicaleet la moelle dorsale . Faible dégénérescence dans les parties latéral
ons postérieurs, au niveau de l'ex- trémité inférieure de la moelle dorsale . Lésion très modérée des racines postérieures a
érieures au niveau des régions moyenne et infé- rieure de la moelle dorsale et de la moelle lombaire. Dans le bulbe, la lés
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. seule atteinte, dans la moelle dorsale , leur altération gagne en intensité dans le seg
eure DE LA MOELLE HCSMAINE ET A LEUR MANIÈRE D'ÊTRE DANS LE TABES dorsal ; par H. L1SSAU.H. (Arch. f. Psych., XVII, 2'.)
e Weigert, de la corne postérieure à l'état normal et dans le tabes dorsal . La corne postérieure se composerait de trois s
95 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pie-mère dans la moelle cervi- cale inférieure ; et, dans la moelle dorsale , elles forment un trousseau ininterrompu qui va
upérieure ; la dégénérescence est «les plus accusées dans la moelle dorsale . Le cordon latéral entrecroisé conserve, dans l
et est en une zone étroite assez purement conservée. Dans la moelle dorsale , le faisceau pyramidal se colle étroite- ment a
ormalement : substance blanche des cordons postérieurs de la moelle dorsale inférieure un peu grise et luisante. C'est tout
Goll, sont dégénérés dès la moelle cervicale jusque dans la moelle dorsale inférieure : on remonte ainsi jusqu'à leurs noy
énéres- cence ascendante). P. Keraval. XII. Piqûre de la 3° paire dorsale gauche au niveau du ganglion spinal parA. VALLI
ent bien tenir à la section des rameaux sympathiques de la 3° paire dorsale , qui vont au plexus aorlique, au plexus pulmona
) Chromatolyse des cellules nerveuses occupant la partie du noyau dorsal qui borne le bord supérieur et interne de la raci
essort en effet également des travaux de notre maître que la partie dorsale des faisceaux sagittaux du lobe occi- pital rel
d'après Ill'Id, Hedlich, Prohst, les libres de l'en- trecroisement dorsal (en fontaine) de la calotte de Meynerl ; ces fi
longitudinal posté- rieur et paraissent passer à l'entrecroisement dorsal de la calotte de JlL'YJ1l'rL (coloration de Wei
5° La partie principale des fibres qui for- ment l'entrecroisement dorsal (en fontaine) de la carotte de Mey- nerf consti
mènent un malade qui offre les symp- tômes les plus divers du labes dorsal caractérisé. Il a en plus une atrophie très mar
atrophie des cellules depuis le VIe segment cervical, jusqu'au leu dorsal . On constate, en effet, au microscope la locali
e les 7° et 8e segments cervicaux et ne continue pas dans la moelle dorsale . Situé en avant et en dehors du faisceau pyramida
ndant médio-périphérique dont le trajet supérieur forme à la région dorsale le faisceau de Hoche. - Il ! . Le triangle médian
louche en aucun point la corne postérieure; elle prend à la région dorsale inférieure une forme compliquée qui représente
res, une tumeur ajanf pris naissance sur les 8° et U" \ 01'- tèbres dorsales , et envahi les corps vertébraux qu'elles avait de
rieure exceptée) surtout au niveau du deuxième segment de la moelle dorsale . LXXIX. - Contribution à l'étude de la myélite
eon. Voir Tractus. Pixel. Monument à ? 4LG. Piqûre de la 3" paire dorsale gauche au niveau du ganglion spinal, par Wall
96 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
te toujours dans ses accès de délire. 28 novembre. — La flexion dorsale du pied détermine les phénomènes suivants : La
dans la situation suivante : Description des attaques. — Décubitus dorsal ; tête rejetée en arrière ; cheveux en désordre; f
uleur vive à la pression des apophyses épineuses des 7°-l2° vertèbres dorsales et première lombaire (?) : « C'est comme si on en
n exerce la pression au niveau des gouttières des 4 1e, 12° vertèbres dorsales et de la première lombaire ; elle prédomine à gau
veau des apophyses épineuses et des gouttières des 4e et 5° vertèbres dorsales . La douleur est vive, énervante : « Ça me fait sa
l'autre sur la ligne médiane, les poignets se touchant par leur face dorsale (Pl.XVI)(1);—les membres inférieurs sont allongés
s et demie. Nous voyons L... à 41 heures : elle est dans le décubitus dorsal . Les cheveux sont rejetés en arrière; les paupièr
: elle est toujours en conversation avec ses « Invisibles.» Décubitus dorsal , les paupières sont fermées, L... a la camisole.
ccupant la région des apophyses et des gouttières des ie-7° vertèbres dorsales . — Points hyperesthésiques siégeant un peu en deh
épineuses de la 7e vertèbre cervicale et des deux premières vertèbres dorsales ; la pression sur les gouttières vertébrales n'est
97 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
'aisselle gauche consé- cutif à de l'eczéma impétigineux de la face dorsale des premières phalanges des premier, quatrième
alériane et l'atropine. -3mura : sensation de piqûre dans la région dorsale . - Vésicatoire au lieu de l'aura, saupoudré de
c'est sur elle surtout qu'il appuie. Le rachis présente à la région dorsale une grande concavité droite. La sensibilité st
petites cicatrices venant de blessures faites en jouant sur la face dorsale de la main droite. Au niveau du pli du coude, d
eur de la peau. On fera dorénavant à gauche l'injection à la région dorsale . 18 décembre. - Le malade présente des indurati
quelques mouvements spontanés très légers. Ecchymose sur la face dorsale du deuxième métacarpien. Membre inférieur droit
xes rotulien et plantaire conservés. Rougeur prononcée de la face dorsale du pied et surtout des téguments qui recou- vre
coup plus marquée que du côté droit. Ecchymose noire sur la face dorsale des 3e et 4e métacarpiens. Membre inférieur gau
t s'épuise très vite. - Plaques violacées sur le ge- nou et la face dorsale du pied. Vergetures sur la face in- terne des c
périeurs 134 IDIOTIE congénitale. présentent au niveau de la face dorsale du poignet et de la portion correspondante de l
re. Rien à l'auscultation et à la percussion. L'éruption de la face dorsale des poignets et de la face commence à s'effacer
98 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
er au ster- num de la même manière que les clavicules. La colonne dorsale au niveau de la base du thorax, forme une dépre
A l'avant-bras du côté gauche, l'érysipèle n'existe que sur la face dorsale en arrière du cubitus et dépasse de deux centim
essivement la face pour suivre la nuque et le dos; toute la portion dorsale est prise. La rougeur se limite à la première l
ympathique paraissent absolument normaux; les parties supérieure et dorsale du grand sympa- thique sont de même normales; p
anal de l'épendyme est normal et son épithélium conservé. La moelle dorsale présente les mêmes altérations des cordons, mai
dans les poumons, le foie, le péritoine et la rate. Mal 1 de Pott dorsal au début. Sema..., Charles-Auguste, né à Paris
et testi- cules normaux. Rachis. Au niveau des 4° et 5e vertèbres dorsales , le surtout antérieur du rachis est soulevé par
l'a mis le matin. 15 février. L'enfant est couché dans le décubitus dorsal ; les cuisses et les jambes fléchies ; il en est
Il n'y a pas de systématisation. Les vaisseaux sont dilatés. Moelle dorsale . - L'aspect est le même de tout point. Moelle l
nformés. La colonne vertébrale est régulière à la région cervico- dorsale , mais à la région lombaire, qui est très concave,
visite, on trouve l'enfant dans la situa- tion suivante : décubitus dorsal , membres dans la résolution, retombant lourdeme
n : T. R. 39° ; - à 6 heures : 38°, 8 ; à 9 heures : 39°. Décubitus dorsal , tête tournée à droite ainsi que les yeux ; com
99 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
ération grise très-prononcée des cordons postérieurs dans les régions dorsale et lombaire. La région cervicale est aifectée aus
s, le bas-ventre, obligeant cette femme à se placer dans le décubitus dorsal pour les calmer. Le 10 octobre, R... n'éprouvai
dans le dos un coup d'épée entre la neuvième et la dixième vertèbres dorsales , à trois centimètres et à droiie de la ligne médi
ès depuis midi. Pouls assez petit, à 148; R. 60; T. V. 40°; décubitus dorsal . Tète inclinée tantôt d'un côté, tantôt de l'autr
s occupent de chaque côté la face inférieure du talon, et sur la face dorsale , la ré-gion du cou-de-pied. Du côté des parties
tait des squames de psoriasis à la plante, au talon, puis sur la face dorsale des pieds et des mains. Cette différence est insu
ia à son tour, et bientôt l'atrophie gagna les muscles thoraciques et dorsaux . Le malade perdit bientôt ses forces ; il lui fut
. On reconnut à l'aupfcosie que les corps des six dernières vertèbres dorsales et des deux premières lom-baires étaient cariés.
lles, surtout dans la région des"neuvième, dixième et onzième racines dorsales . Bien que les lé-sions de la dure-mère paraissent
e qu'à gauclie, cepen-dant les neuvième, dixième et onzième ganglions dorsaux du côté gauche étaient seuls tuméfiés et présenta
nts les articulations fléchies, présente au con-traire, par sa région dorsale , une surface régulièrement convexe qui se continu
Point hyperesthésique au ni-veau de la partie inférieure de la région dorsale de la colonne verté-brale. Douleur au creux hypog
allongés ; la première phalange un peu étendue, formant avec la face dorsale du métacarpe une conca-vité regardant en avant ;
100 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
ortant sur les dernières côtes, déjetées en dehors, et la colonne dorsale plus ou moins déviée. Le dos est voûté. Le vent
n'y a pas de systématisation. Les vaisseaux sont dilatés. Moelle dorsale . - L'aspect est le même de tout point. t44 ENCÉ
légère rachialgie au niveau de l'apophyse épineuse de la troisième dorsale ; parfois douleurs spontanées après les attaque
tions. La sensi- bilité est conservée; - 4° au niveau de la onzième dorsale point douloureux. Sensibilité conservée. Après
che. Face congestionnée, mains fermées, le pouce replié sur la face dorsale des autres doigts. Ecume abondante. Repos. Arc de
douleur au niveau de l'apo- physe épineuse de la deuxième vertèbre dorsale , s'irradiant lelong de la colonne vertébrale, q
orme une convexité très accusée, surtout au voisinage de la colonne dorsale . La colonne vertébrale est sinueuse, la portion
la colonne dorsale. La colonne vertébrale est sinueuse, la portion dorsale forme une convexité beaucoup plus prononcée que
e convexité on note une ensellure très marquée. De plus, la colonne dorsale décrit une légère convexité à gauche. Il exis
/ 181