fant. Il présente un léger tremblement des mains quand il étend les
doigts
. Etat mental parfait. Bien que la réaction de
ngs. Mains féminines, fines et longues, avec hyperextensibilité des
doigts
. Visage glabre, jaunâtre, quelque peu ratatiné
tion (flexion) et fléchir, quoi - qu'avec beaucoup de peine, un des
doigts
en laissant les autres doigts dans la posilion
i - qu'avec beaucoup de peine, un des doigts en laissant les autres
doigts
dans la posilion d'extension ; mais ils ne sava
sées comme cela se passe chez les gens sains. Ensuite il tourne ses
doigts
autour de la paume, l'oeil hagard, fait plusieurs
n des. carotides, perte de conscience, puis légères convulsions des
doigts
des deux membres supérieurs, ainsi que des musc
perte de conscience, puis état spasmodique instantané seulement des
doigts
du membre inférieur gauche. Puis revient à lui. I
auche. Puis revient à lui. Il sent seulement un engourdissement des
doigts
du membre inférieur gauche et de la langue ains
pression des carotides comme chez les épileptiques, en retirant les
doigts
dès que la perte de conscience surve- nait. J'a
pronation du poignet qui se trouve porté vers le bord cubital. Les
doigts
sont fléchis sur les os métacarpiens; la flexion
ur la première) et elle va en s'accentuant de l'index vers le petit
doigt
. Le pouce, dont les segments sont également en
stes) et l'anconé; à l'avant-bras, les extenseurs du poignet et des
doigts
et le long abducteur du pouce. Aussi, en cas de
diale, y a-t-il chute immédiate et très prononcée de la main et des
doigts
. - Le poignet et les-premières phalanges sont e
l'impossibilité d'étendre le poignet et les premières phalanges des
doigts
, et de l'impossibilité d'éten- dre et d'écarter
sque toujours la paralysie des muscles extenseurs du poignet et des
doigts
est massive, totale. Ce fait tient-il à la fa
/,4.. ^ùS*> A B G D E DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES
DOIGTS
PAR BLESSURES DES NERFS (Mme Athanassio-Benisty
i A B c D E F G " H DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES
DOIGTS
PAR BLESSURES DES NERFS (Mme Athanassio-Benisty
FORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES NERFS 67 Les extenseurs des
doigts
étendent la première phalange des doigts sur r
ERFS 67 Les extenseurs des doigts étendent la première phalange des
doigts
sur r les os métacarpiens, et la première phala
que le blessé exécute toujours pendant ses efforts pour étendre les
doigts
sur le métacarpe (pl. XVII, fig. D). Pour met
le poignet du sujet en demi-extension et lui demander d'étendre les
doigts
. ' Si les extenseurs des doigts sont paralysés,
ion et lui demander d'étendre les doigts. ' Si les extenseurs des
doigts
sont paralysés, aucun mouvement de ce genre ne
main tombante et d'écarter le pouce paralysé ; les fléchisseurs des
doigts
fonctionnent alors librement et la préhension d
oins pro- noncée de la première phalange des quatrième et cinquième
doigts
, avec flexion modérée de la deuxième phalange.
se contractant la troisième phalange, Eu même temps l'extenseur des
doigts
n'ayant plus d'antagoniste pour la première pha
. Bien que tous les interosseux soient paralysés, les deux derniers
doigts
et parfois le médius prennentseuls l'attitude d
SALPÊTRIÈRE. T. XXVIII, PL. XIX. DÉFORMATIONS DE LA MAIN DES DES
DOIGTS
PAR BLESSURES DES N'EU (Jlme Athanassio-Benisty
r le médian, ce qui expli- querait la participation fréquente de ce
doigt
à la griffe cubitale; mais le plus souvent le m
le médius est entraîné passivement par la flexion des deux derniers
doigts
. Le médius est en effet beaucoup moins indépend
ne peuvent pas fixer un objet contre une table avec la pulpe de ce
doigt
, ils éprouvent de la gêne pour écrire, ils sont
z fréquemment au niveau des fléchisseurs profonds des deux derniers
doigts
, alors même qu'ils devraient être paralysés et fl
st pas souple et l'on ne peut pas étendre complètement le cinquième
doigt
. Les autres caractères de la « main cubitale »
caractères de la « main cubitale » sont les suivants : Le cinquième
doigt
reste écarté du quatrième d'une façon très nota-
e, un épaisissement de la peau, une déformation de l'ongle du petit
doigt
; il faut alors suspecter une lésion vasculaire
lésions incomplètes) rap- portent qu'au début, les quatre premiers
doigts
étaient en griffe ; plus tard seulement l'index
redressés. Parfois, pendant quelques minutes après la blessure, les
doigts
ont présenté des mouvements de flexion spasmodi
que nous avons observé la griffe souple des quatrième et cinquième
doigts
, griffe prononcée au repos, mais presque complè
PL, XX. A B c D E F G DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES
DOIGTS
PAR BLESSURES DES NERFS (.Ifme t)tanassio-l3eni
A SALPÊTRIÈRE. T. XXVIII, PL. XXI. DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES
DOIGTS
PAR BLESSURES DES NERFS ,lIme A thanassio-Benis
space interosseux dorsal est considéra blement atrophié et le petit
doigt
est en abduction permanente. Enfin, la griffe p
on permanente. Enfin, la griffe peut comprendre les quatre derniers
doigts
, tout en étant moins souple et plus accentuée p
res nerveuses destinées aux fléchisseurs des quatrième et cinquième
doigts
, dans la région postéro-externe, celles du musc
e médian est le nerf de la pronation, de la flexion du carpe'et des
doigts
, et de l'opposition du pouce. A. Paralysie comp
e, à cause de l'action de l'adducteur du pouce qui tend à mettre ce
doigt
sur le même plan que les quatre autres, réalisa
u des muscles aplatis. La coloration de la main, des trois premiers
doigts
principalement, apparaît très modifiée dans un
souvent lésé, d'où la fréquence des paralysies des fléchisseurs des
doigts
dans les cas si nombreux de plaie en séton de l
, le poignet légèrement incurvé, la main levée, jamais baissée, les
doigts
allongés, en extension avec parfois de l'liy- p
é, effilé, qui contraste avec la robustesse de la main saine. Les
doigts
sont amincis, fuselés, les ongles bombés et roses
ion plus rouge sur les bords de l'éminence thénar et aux talons des
doigts
. Sur la face dorsale des doigts, la peau est te
l'éminence thénar et aux talons des doigts. Sur la face dorsale des
doigts
, la peau est tendue, elle est comme frip- pée e
ubital voisin. La sudation, souvent augmentée à la face dorsale des
doigts
, est dimi- nuée dans tout le côté externe de la
nuée dans tout le côté externe de la main et dans les trois premiers
doigts
. Parfois il y a disparition totale de la sudati
s irréductibles avec rétractions très marquées et chevauchement des
doigts
rendant le membre, la main en particulier, abso
plus à la paume, et au contraire elle se tend a la face dorsale des
doigts
. Elle est 74 MADAME ATHANASSIO-BENISTY couper
perosée à certains endroits, notamment à la base des trois premiers
doigts
. Parfois, mais rarement, il y a une hyperkérato
a une hyperkératose de la paume de la main, au niveau du talon des
doigts
. Les doigts sont de plus en plus minces, fuselé
kératose de la paume de la main, au niveau du talon des doigts. Les
doigts
sont de plus en plus minces, fuselés. Les ong
ît, causant ainsi une douleur déplus. Fréquemment l'extrémité des
doigts
devient bombée, légèrement hip- pocratique ; le
fréquentes déterminent des aspects très variables de la main et des
doigts
et nécessitent de ce fait une étude détaillée..
rd radial, le pouce en abduction et sur le même plan que les autres
doigts
; ceux-ci sont légèrement écartés, leur premièr
ges, sans griffe (pl. XIX, fig. A). Plus rarement les deux derniers
doigts
se recourbent et forment une griffe peu accentu
description. La grande diversité des déformations de la main et des
doigts
à ia suite d'une atteinte des deux nerfs doit t
teurs sur les petits muscles de la main et sur les fléchisseurs des
doigts
avec intégrité plus ou moins complète des muscles
rquable. L'hyperextension de la phalange basale des quatre derniers
doigts
est extrême, au point qu'il s'effectue une sub-
rès forte saillie dans la paume de la main au niveau des talons des
doigts
(pl. XVIII, fig. D). 7h MADAME ATHANASS10-BENIS
filets vasomoteurs. Dans un de nos cas, les quatrième et cinquième
doigts
étaient toujours chauds, tandis que le deuxième
sés, mais à un degré moindre ; alors l'abduction et l'adduction des
doigts
sont légèrement ébauchés, mais la flexion des p
fig. G et pl. XXI, fig. C). Le blessé peut « faire le poing » : les
doigts
plient un peu au niveau de l'articulation métacar
alange. La deuxième phalange du pouce est en flexion permanente, ce
doigt
présen- tant dans ce cas un exemple typique de
le cubital le sont moins; d'où ébauche de flexion des deux derniers
doigts
et légère griffe. Les interosseux sont paralysé
ts ; le long fléchisseur du pouce est normal ; les fléchisseurs des
doigts
se contractenten partie, les muscles thénariens
. XVIII. A B c D E F G DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES
DOIGTS
PAR BLESSURES DES NERFS ( ! lfme Athanassio-Ben
tôt généralisés à toute la main, tantôt localisés à un ou plusieurs
doigts
et alors il n'en sont que plus remarquables.
cale est toujours abaissée par rapport au côté sain. La main et les
doigts
sont froids, quelle que soit la température exté-
rappelant le glossy-skin décrit par Paget. Elle recouvre alors des
doigts
à l'aspect légèrement succulent ou oedémateux à e
che, écailleux, avec un aspect ichtyosique ou squameux. Le bout des
doigts
est affiné, comme scléroder- mique et sous les
érations sont- fréquentes. Elles occupent de préférence le bout des
doigts
, où elles entament l'ongle et laissent des cicatr
ne véritable gan- grène des extrémités , localisée à un ouplusieurs
doigts
, entamant lapha- langette et même la phalangine
ennent ligneux et leurs tendons se rétractent. Les fléchisseurs des
doigts
sont le plus souvent atteints ; la main prend a
. XXVIII, PL. XXII. A il c D DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES
DOIGTS
PAR BLESSURES DES NERFS (Mme Athanassio-Benisty
SALPÛTRIÈRE- T. XXVIII, PL, XXIII. DÉFORMATIONS DES MAINS ET DES
DOIGTS
Mains saines (à droite). Mains figées (à gauche
« main d'accoucheur » : poignet légèrement tombant, paume excavée,
doigts
étendus, le pouce et le petit doigt tendant à s
rement tombant, paume excavée, doigts étendus, le pouce et le petit
doigt
tendant à se rapprocher vers la ligne médiane au-
t à se rapprocher vers la ligne médiane au-dessous des trois autres
doigts
, eux-mêmes accolés (pi. XVI, fig. E, pl. XX, fig.
ty et Mlle LÉvy, Impotence de tous les mouvements de la main et des
doigts
, avec intégrité des réactions électriques (main f
es du membre supérieur prédominent ordinairement à ! la main et aux
doigts
; elles frappent aussi fréquemment le biceps brac
s fré- quentes sont : la contracture en extension de la main et des
doigts
(doigts . étendus ou hyperétendus, soit tous en
quentes sont : la contracture en extension de la main et des doigts (
doigts
. étendus ou hyperétendus, soit tous ensemble,
lle pre- nant l'attitude classique de la « main d'accoucheur », les
doigts
étendus et rapprochés, serrés les uns contre le
). Selon M. Sicard (2), les contractures réalisent à la main et aux
doigts
certaines attitudes que l'on peut classer d'une
cinq rubriques suivantes : a) L'aspect en coup de poing : tous les
doigts
énergiquement fléchis dans i la paume de la mai
an ». b) L'aspect en bénitier ; la paume de la main est creuse, les
doigts
à demi fléchis l'encerclent, par contracture de
a main en fuseau par contracture des extenseurs de la main et des 1
doigts
et des interosseux ; « main des nerfs radial et c
nerfs médian et cubital » fléchie à angle aigu sur le poignet, les
doigts
allongés. e) La main indicatrice (contracture e
s. e) La main indicatrice (contracture en flexion des deux derniers
doigts
, l'index restant allongé). mique. Société de
oit sur la précédente fai- sant comme une griffe. Les quatre autres
doigts
ont, au contraire, les deux dernières phalanges
ce sont aisés. La flexion de toutes les phalanges des quatre autres
doigts
s'exécute, complète- ment, mais avec-effort et
omme par crans successifs ; pendant qu'elle s'accom- plit, tous les
doigts
reprennent leur parallélisme normal. Celui-ci est
e poing est fermé. Le retour à l'extension de ces quatre der- niers
doigts
est facile, sauf pour le second et le cinquième,
titude convergente devant l'annulaire et le médius. L'abduction des
doigts
ainsi fixés est impossible, sauf celle du quatriè
lui, du secours du digastrique, puisque le cinquième et le deuxième
doigts
sont sur un plan antérieur. r. - La prolrnsio
est, en effet, légère, puisque l'écart du troisième et du quatrième
doigt
est possible. Si l'adduction du cinquième et du d
ième doigt est possible. Si l'adduction du cinquième et du deuxième
doigt
est si grande, c'est qu'à l'hypertonie des intero
La cicatrice de l'orifice d'entrée est perceptible à deux travers de
doigt
au- dessus de l'interligne articulaire, elle es
eur ne dura pas plus de deux jours. Par contre, ses quatre derniers
doigts
prirent deux jours après l'attitude de la griffe
deux autres phalanges sont en exten- sion incomplète, et ces quatre
doigts
sont en adduction par rapport à l'axe du membre
re doigts sont en adduction par rapport à l'axe du membre, le petit
doigt
étant sur un plan légèrement antérieur, le quatri
quatrième et le deuxième sur un plan intermédiaire, et le troisième
doigt
sur un plan pos- térieur. ' Le pouce conserve
dans une certaine mesure les premières phalanges des trois derniers
doigts
, et moins considérablement celle de l'index. Le
aible résistance, provoquer l'extension complète des trois derniers
doigts
sans douleur et la flexion com- plète de leurs
LAIGNEL-UVASl1NE ET PAUL COURBON griffe cubitale des deux derniers
doigts
. La griffe des deux autres doigts semble avoir
griffe cubitale des deux derniers doigts. La griffe des deux autres
doigts
semble avoir été calquée sur celles des précéde
On voit la cicatrice d'entrée au dos de l'avant-bras, à un travers de
doigt
au-dessus de l'interligne articulaire inférieur
mis en extension, et c'est depuis son abla- tion que la main et les
doigts
ont l'attitude actuelle. ^Jamais de douleur. 3.
La main est en flexion légère sur l'avant-bras. Les quatre derniers
doigts
dont les phalanges sont très légèrement fléchies,
lan dorsal de l'avant-bras. L'abduction et l'adduction du cinquième
doigt
sont normales. La flexion de la dernière phalan
alange et consécutivement de la première phalange des deux derniers
doigts
est possible dans une certaine mesure, et pendant
uve- ments on surprend parfois une esquisse de flexion du troisième
doigt
. La flexion de l'index est nulle ; l'abduction
habituelle de la main), du fléchisseur profond (les quatre derniers
doigts
sont dans leur ensemble légèrement recourbés).
de fléchir spontanément dans une certaine mesure les deux derniers
doigts
et le fait que le plan des deux derniers doigts e
e les deux derniers doigts et le fait que le plan des deux derniers
doigts
est anté- rieur par rapport à celui des deuxièm
ent les deuxièmes phalanges, surtout pour les deuxième et troisième
doigts
), des muscles opposant et court abducteur du po
uxième phalange du pouce), des interosseux palmaires (adduction des
doigts
), du chef interne du fléchisseur profond (attract
fléchisseur profond (attraction en avant des quatrième et cinquième
doigts
). La cause de la forme en ciseaux résulte de l'
le bras, la main tombe sur l'avant-bras avec les quatre der- niers
doigts
fléchis, le pouce est en adduction marquée avec f
on ni adduction. Il y a une ébauche de flexion et d'extension des
doigts
surtout marquée pour les quatrième et cinquième
xtension des doigts surtout marquée pour les quatrième et cinquième
doigts
, mais impossibilité de les écarter ou de les ra
le, imperfection de la supination), des fléchis- seurs (flexion des
doigts
et de la deuxième phalange du pouce), une col-
Parésie du cubital (impossibilité de l'adduction et l'abduction des
doigts
, de l'adduction de la main). En somme, à la sui
Motilité volontaire actuelle. Spontanément tous les mouvements des
doigts
sont possibles. Seul le pouce est Ù peu près immo
fice de sortie, également très mince dans la paume, à un travers de
doigt
au-dessus de la quatrième articulation métacarpo-
se ferma, dit le blessé. L'application d'une planchette étendant les
doigts
, main- tenue une première fois pendant vingt jo
le d'apparaître progressivement. 3. Attitude actuelle. Le cinquième
doigt
a sa première phalange fléchie à angle droit su
et ta troisième moins profondément sur la deuxième. Le qua- trième
doigt
a une position analogue, mais moins accentuée, su
arpe n'est pas tout à fait de 90 de- grés. La position du troisième
doigt
présente les mêmes caractères, mais à un degré
tères, mais à un degré moindre encore. Au total, ces trois derniers
doigts
, dont les trois phalan- ges sont fléchies, s'ét
peut pousser la flexion des premiè- res phalanges des trois autres
doigts
jusqu'au contact des trois pulpes digitales ave
de l'annulaire étant moins marquée. L'adduction et l'abduction des
doigts
fléchis est conservée. 5. Motilité provoquée ac
e actuelle. On amène facilement la première pha- lange du cinquième
doigt
en hyperextension, celle du quatrième doigt en
pha- lange du cinquième doigt en hyperextension, celle du quatrième
doigt
en extension complète, celle du troisième doigt
celle du quatrième doigt en extension complète, celle du troisième
doigt
à un degré moins marqué d'exten- sion. La flexi
égale des deux côtés. Le froid détermine un peu de douleur dans les
doigts
. La main malade perd plus rapidement la chaleur
elait le nôtre : flexion de toutes les phalanges des trois derniers
doigts
par rétraction tendineuse et périarti- culaire
ÉE par raideur de la flexion des deux dernières phalanges des trois
doigts
du milieu (PI. XXV, F). 1. Historique. - Blessé
tal, toutes deux à la face dorsale. En plus quelques écorchures aux
doigts
. 2. Conséquences immédiates. Les premiers temps
oigts. 2. Conséquences immédiates. Les premiers temps, le cinquième
doigt
pendait toujours en flexion du fait de la lésio
rmé. Le pouce a toujours fonctionné comme il faut. Les trois autres
doigts
ont dès le début présenté les particularités ac
nté les particularités actuelles. 3. Altitude actuelle. Les trois
doigts
du milieu ont leurs deux dernières phalanges at
ements, sauf ceux de flexion des deux dernières phalanges des trois
doigts
du milieu. Cependant, quand on lui maintient les
Au delà, on éprouve une résistance semblant siéger sur la paume des
doigts
, et en même temps, on détermine de la douleur d
sortie beaucoup plus haut et sur la face interne à deux travers de
doigts
en dessous du bord inférieur de la paroi antérieu
ssé ne pouvait plus mou- voir ni son avant-bras, ni sa main, ni ses
doigts
. 3 : Attitude actuelle. L'épaule droite est rem
a donc pas de flexion de la main sur le poignet. Par contre, les
doigts
sout fléchis tandis que le pouce pend perpendicul
possibilité de fléchir presque complètement les trois phalanges des
doigts
, de les étendre légèrement ; l'adduction du pou
uce est possible jusqu'au contact de sa pulpe avec celle des autres
doigts
; l'adduction et l'abduction des doigts n'est pas
pulpe avec celle des autres doigts ; l'adduction et l'abduction des
doigts
n'est pas tout à fait complète. 5. Motilité p
a planchette, la main retomba comme elle retombe aujourd'hui et les
doigts
étaient en flexion comme ils le sont encore. 3.
t en pronation, la main est en flexion complète sur le poignet. Les
doigts
inertes, flasques et mollement fléchis, continu
té volontaire. Lors de l'arrivée du malade le 16'décembre 4915, les
doigts
n'avaient aucune motilité volontaire. L'extension
fait complètes. Depuis lors, et avec une progression très lente, les
doigts
ont perdu leur immobilité ; mais l'amplitude de
e encore pour que le pouce rencontre les pulpes digitales de s autres
doigts
. Par contre, aucune modification de l'impuissan
peut obtenir tous les mouvements ; toutefois la flexion forcée des
doigts
détermine un peu de douleur au niveau de la cica-
hystérique des flé- chisseurs, des abducteurs et des adducteurs des
doigts
qui se surajouta aux autres troubles s'est amél
n en extension assez marquée sur le poignet, et les quatre derniers
doigts
parallèlement situés l'un par rapport à l'autre,
t l'abduction limi- tée. La flexion des phalanges des deux derniers
doigts
est devenue depuis quelques jours à peu près no
evenue depuis quelques jours à peu près normale. Celle du troisième
doigt
, quoique moins complète, est aussi en progrès.
quoique moins complète, est aussi en progrès. L'extension du petit
doigt
est normale, celle 102 LA1GNEL-LAVA8TINE ET PAU
normale, celle 102 LA1GNEL-LAVA8TINE ET PAUL COURBON du quatrième
doigt
est appréciable, celle du troisième est impercept
ments d'abduction et d'adduction, très 'nets pour les deux derniers
doigts
, sont peu marqués pour le troisième. L'index est
réduction de la contracture est pos- sible pour les trois derniers
doigts
, mais douloureuse au niveau de l'articula- tion
ankylose osseuse de l'articulation phalango-pha- langinienne de ce
doigt
. ' 6. Sensibilité. - Pas de trouble de la sensi
diates. - Immédiatement, dit le blessé, le deuxième et le troisième
doigts
furent contractures en extension, les trois autre
-dire depuis quatre mois. 3. Attitude actuelle. Les quatre derniers
doigts
ont la première pha- lange fléchie à angle droi
le mé- dius, un plan intermédiaire pour le quatrième et le deuxième
doigts
, un plan palmaire pour l'auriculaire. Le pouc
uvements du poignet sont possibles dans une faible mesure, mais les
doigts
restent tous figés dans l'attitude décrite. . 5
bout de quelques secondes on peut assez facilement désimbriquer les
doigts
; ils restent alors un certain temps accolés pa
rtonie de certains muscles innervés par lui (extension des 2e et 3'
doigts
). Plus tard, à la suite d'une opération pour dé
et une nouvelle hypertonie apparut dans le cubital 1 (adduction des
doigts
avec flexion de leurs premières phalanges et exte
; consécutivement on constata une chute en flexion du poignet, les
doigts
restant étendus. Pour la combattre, au bout de
. Attitude actuelle. - La main est en extension ; les quatre derniers
doigts
, accolés entre eux, sont, eux aussi, étendus av
as aussi complète que du côté sain ; la flexion des quatre derniers
doigts
est nettement accusée pour la troisième phalange,
ute sa motilité, il ne peu t atteindre la pulpe digitale des autres
doigts
, à cause de leur flexion incom- plète ; les mou
on incom- plète ; les mouvements d'abduction de ces quatre derniers
doigts
sont extrê- mement limités ; l'adduction en est
ine douleur qui siège toujours au niveau des tendons extenseurs des
doigts
et de la main. La, flexion forcée des phalanges
aradique des muscles fléchisseurs de la main et des quatre derniers
doigts
. En intensifiant le courant, on arrive à déterm
autres. Ces mouvements sont surtout accusés dans les deux derniers
doigts
; légère diminution dans le domaine du cubital,
on a vaguement l'apparence d'une paralysie radiale ; cependant les
doigts
restent dans le prolongement des métacarpiens,
Il esquisse l'extension du poignet, son ad- duction, la flexion des
doigts
et leur extension par des mouvements incom- ple
uvements incom- plets et tremblants. L'abduction et l'adduction des
doigts
sont cependant possi- bles. L'adduction du pouc
emblée, et s'arrête avant que la pulpe ait atteint celle des autres
doigts
. 5. Motilité provoquée. - On obtient sans peine
ctuelle. Elle date du début chute de la main sur l'avant- bras. Les
doigts
pendent à peine fléchis. - 4. Motilité volontai
scles fléchisseurs. Les mouvements d'abduction et d'adduc- tion des
doigts
, l'opposition de la pulpe du pouce aux autres pul
pulpe du pouce aux autres pulpes sont pos- sibles ; la flexion des
doigts
et leur extension n'est pas tout à fait complète.
LeLiGNEi-LAVÂ81'fNG ET PAUL CÜtJRBON langes de ses quatre derniers
doigts
, mais incomplètement les autres phalan- ges : c
s, mais incomplètement les autres phalan- ges : ce qui fait que les
doigts
, même dans les efforts d'extension, conservent
une abduction légère. Les mouvements de flexion des quatre derniers
doigts
sont complets ; mais pendant ieur exécution, le
le pouce reste toujours emprisonné sous le troisième et le deuxième
doigts
; l'abduction et l'adduction des doigts sont à pe
le troisième et le deuxième doigts ; l'abduction et l'adduction des
doigts
sont à peu près nor- males. - L'adduction du
ns la moitié externe du dos de la main et le dos des trois premiers
doigts
. Hypoesthésie à la chaleur. Le ma- lade plonge
ude ne modifie pas l'excitabilité mécanique. Sudation au niveau des
doigts
dès qu'il fait chaud. il. Pression : SEIZE DE
flexion habituelle des deux dernières phalanges des quatre derniers
doigts
qui, même lors des efforts extenseurs, comme nous
r du pouce, du cubital postérieur et de l'extenseur propre du petit
doigt
(Pl. XXV, H). 1. Historique. T..., enseveli le
un plâtre après avoir réduit cette attitude. Dans le plâtre,tous les
doigts
étaient dans l'extension ; lorsqu'on enleva le
avec le bord cubital de l'avant-bras un angle rentrant. Le petit
doigt
accuse et continue ce mouvement, étant en abducti
on par ràp- 112 LAIGNEL-LAVASTINE ET PAUL COURBON port aux autres
doigts
, c'est-à-dire en adduction par rapport au corps.A
acarpien. L'extrémité inférieure se termine par les quatre derniers
doigts
, en abduc- tion les uns par rapport aux autres,
habituelle; 2° ceux d'abduction de la main et d'adduction du petit
doigt
vers le 4°. Les autres mouvements spontanés son
ès Duchenne de Boulogne, de 'fléchir sur son métacarpien le premier
doigt
en maintenant ses phalanges étendues. Pour ce qui
ypertonie du long abducteur. L'adduction de la main et du cinquième
doigt
est due à l'hypertonie du muscle cubital postér
n perçoit nettement la corde, et du court extenseur propre du petit
doigt
, qui, on lésait, en même temps qu'il élend celu
lésait, en même temps qu'il élend celui-ci, l'éloigné du quatrième
doigt
. Il est à remarquer que les points de jonction
abducteur du pouce, court extenseur du pouce, exten- seur propre du
doigt
et cubital postérieur, sont tous à peu près au mê
térieur, sont tous à peu près au même niveau, à quelques travers de
doigt
au-dessus de l'interligne articulaire du poigne
., telle dans VI, la réfraction fibro-tendiueuse des trois derniers
doigts
, secondaire à une contracture du fléchisseur supe
ur des dernières phalanges, après blessure légère de la main et des
doigts
; VI, main de violoniste après perforation du tro
surajoutée (IX, chute de la main sur le poignet avec paralysie des
doigts
après perforation de l'extrémité inférieure de l'
(0.) (tous les nerfs), III (0.) (flé- chisseurs des trois premiers
doigts
, extenseurs des deux premiers), VII (R. + M.) (
précédée d'une contracture des extenseurs des deuxième et troisième
doigts
. L'évolution fil[ très lente, l'attitude apt]le
a paume de la main, et ne garde que quelques instants l'empreinte d
doigt
. L'aspect général est celui d'un membre atteint d
écailleuse. La main est en extension modérée sur l'avant-bras, les
doigts
fléchis en poing fermé. On constate la cicatric
l 1915, présente à droite un oedème très prononcé de la main et des
doigts
. A la pression on a la sensation d'un empâtemen
pression on a la sensation d'un empâtement mollasse dans lequel le
doigt
, surtout à la face dorsale, laisse facilement d
doigt, surtout à la face dorsale, laisse facilement des godets. Les
doigts
divergent en éventail de la racine à l'extrémit
est froide, violacée, et paraît amincie (PI. XXVIII, B). Mains et
doigts
sont complètement immobiles, à l'exception d'une
s une quinzaine de jours après l'opération; depuis lors, aussi, les
doigts
seraient restés raides et engourdis, mais sans
23 remoptant jusqu'au milieu de l'avant-bras,, descendant jusqu'aux
doigts
, niais un peu moins marqué à leur extrémité. Ce
pression sur le dos de la main y détermine facilement un godet. Les
doigts
sont lé- gèrement infléchis et s'écartent de le
uleur au repos, mais tout contapt ou toute pression des 3,e ! Jt 46
doigts
paraît partiçuljèrenieiit dou : Ignreux. Pas d'
é le 24 octobre 1944 : une balle est entrée à 2 ou toi 3 travers de
doigt
au-dessus de l'apophyse styloïde du cubitus, sort
e l'oedème a pris l'importance qu'il a actuellement. Le 3° et le 4»
doigts
auraient été immobilisés aussitôt après la blessu
rndématiée, blanche, empâtée, gardant facilement l'impres- sion du
doigt
. Les doigts sont fléchis dans la paume, l'index s
, blanche, empâtée, gardant facilement l'impres- sion du doigt. Les
doigts
sont fléchis dans la paume, l'index sous le médiu
paume, l'index sous le médius et l'annulaire (PI. XXVIII, D). Les
doigts
sont immobiles, à l'exception d'un très léger mou
biles, à l'exception d'un très léger mouvement latéral des 4* et 5°
doigts
. La contracture s'oppose à l'extension passive de
es 4* et 5° doigts. La contracture s'oppose à l'extension passive des
doigts
. La flexion du poignet se fait assez bien, l'ex
ar. Ces} progressivement après le trauma- tisme que la main et les.
doigts
auraient pris l'aspect actuel. CAS V (fig. E).
octobre 1914, présente un oedème prononcé de la main droite et des
doigts
, ainsi que de la partie inférieure de l'avant-bra
equel on détermine facilement un godet. Peau écailleuse, mouchetée.
Doigts
infléchis dans la paume, de plus en plus du 2e au
s épaissie. Douleurs à la pression (PI. XXVIII, E). Passivement les
doigts
peuvent être presque complètement étendus ; activ
d'ouate, mais prenant tout le membre de l'épaule à l'extrémité des
doigts
. C'est un vieil artifice, particulièrement reco
de la campagne, la main était gonflée. Dans les cas III et IV, les
doigts
ayant une certaine tendance à se fléchir, on le
inférieur (PI. XXIX, A). Il se présente, le 19 mars 1915, avec les
doigts
légèrement fléchis dans leurs deux dernières ph
es de s'étendre complètement ; quand on lui commande de fléchir ses
doigts
, il met sa main en hyperexten- sion, mais même
tte position il peut à peine ébaucher des mouvements de flexion des
doigts
. L'écartement et le rapprochement des doigts sont
vements de flexion des doigts. L'écartement et le rapprochement des
doigts
sont à peu près nuls. L'abduction du pouce se f
e zone d'auesthésie à la face dorsale, sur le 5e métacarpien et le 5°
doigt
, sur le lie doigt, sur les deux dernières phala
à la face dorsale, sur le 5e métacarpien et le 5° doigt, sur le lie
doigt
, sur les deux dernières phalauges des 3° et 90 ;
S PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 127 maire, sur les quatre derniers
doigts
et la région palmaire moyenne. Cubital hypoexci
e flexion des deuxièmes, puis des troisièmes, plus marquée pour les
doigts
externes ; la zone des troubles sensi- tifs se
dos, rougeâtre dans la paume, la peau lisse, tendue, brillante, les
doigts
infiltrés, boudinés, succulents, les ongles lon
ns doute pour les mêmes raisons. La flexion de la main et celle des
doigts
sont très limitées, leur extension est bonne. L'a
ion et l'opposition du pouce sont à peu près nulles. L'écartement des
doigts
est limité, le rapprochement est impossible pou
t des doigts est limité, le rapprochement est impossible pour le 5*
doigt
. L'anesthésie occupe toute la main, à l'exclusi
. Au cours des mois suivants, amélioration très nette : flexion des
doigts
meilleure, leur extrémité arrivant à toucher la p
au-dessous de l'aisselle. Mais la main est épaissie, et surtout les
doigts
sont violets, froids^ 128 LÉRI gonflés, succu
ns trophiques de la main, notamment un panaris analgésique du petit
doigt
. III (fig. D et E). - T..., 21 ans, a été bless
aminé le 18 septembre 1915, la main s'étend et se fléchit bien, les
doigts
s'étendent bien, mais se fléchissent incomplèteme
t. La flexion est bonne pour la première phalange des deux derniers
doigts
, mais peu éten- due pour les deux dernières pha
eu éten- due pour les deux dernières phalanges ; aux trois premiers
doigts
, la flexion de toutes les phalanges est très ré
es phalanges est très réduite. L'écartement et le rapprochement des
doigts
se font de façon limitée et pénible, peut-être se
limitée et pénible, peut-être seulement à cause du gon- flement des
doigts
. L'opposition du pouce est très réduite, et le po
ion du pouce est très réduite, et le pouce ne peut toucher le petit
doigt
. Hypoesthésie très marquée à la face palmaire sur
face palmaire sur la pre- mière phalange du pouce, sur les 2e et 3*
doigts
et la face externe du 4e ; à la face dorsale, s
lade a des douleurs à peu'près continuelles dans les trois premiers
doigts
, douleurs qui s'exagèrent quand le bras est penda
gonflée, avec un système pileux très développé. Les trois premiers
doigts
sont fortement oeeH ! s<, infiltrés, rougeât
saillante ; la peau à leur niveau est terreuse et farineuse. Le 4e
doigt
n'est que légèrement épaissi, seule sa moitié ext
ri- neuse, son sillon unguéal est bien plus nettement marqué. Le 58
doigt
n'est pas gonflé, son aspect est normal et tran
t pas gonflé, son aspect est normal et tranche sur celui des autres
doigts
. Or, au moment de la blessure, le malade a eu u
du nerf médian, la partie externe de la main, les trois pre- miers
doigts
et la moitié externe du quatrième. C'est donc san
certains cas,nous avons aussi constaté de simples troubles cutanés,
doigts
rouges, parcheminés, etc., sans oedème sous-cutan
aine du radial ; les mouvements du poignet se font normalement, les
doigts
peuvent être étendus et le pouce écarté, la pro
n du coude on sent la corde du long supinateur. Mais la flexion des
doigts
est un peu incomplète pour les premières phalange
es troisièmes. Passivement on peut fléchir presque complètement les
doigts
, exception faite pour les troisièmes phalanges
t être due qu'à une contracture relative des muscles extenseurs des
doigts
. Le réflexe radial est normal. · Il n'y a auc
qui s'irradie à la région dorsale de l'avant-bras, de la main et des
doigts
; la palpation de la cicatrice de sortie occasio
s spontanées continuelles sur la face dor- ' sale de la main et des
doigts
, douleurs très vives de brûlures, de piqûres d'
les formes douloureuses de lésion du nerf mé- dian ; main affinée,
doigts
effilés ont été très justement observés parle p
é; elles siègent aux articulations de la 2e avec la 3e phalange des
doigts
; leur pathogénie est encore fort discutée, les
essions des plis transversaux de la main et des plis de la base des
doigts
et par des bourre- lets intermédiaires. A droit
le pli moyen de la main d'une part, le pli de la base des 4e et 5°
doigts
d'autre part sont également bridés et creusés,
relet nodulaire très marqué au niveau de la première phalange du ô°
doigt
. A gauche, il y a un enfoncement linéaire ana-
is et un autre entre le pli inférieur et la base des trois derniers
doigts
; par suite de la rétraction de l'apo- névrose,
rniers doigts ; par suite de la rétraction de l'apo- névrose, le 5°
doigt
ne peut être complètement étendu dans ses diverse
iveau de la plupart des 2e et 3° articulations des 3 trois derniers
doigts
: à gauche, les six articulations sont atteintes,
une saillie, toutes les autres sont atteintes. La nodosité du petit
doigt
gauche empêche l'extension complète de la phala
Pierre Marie ; mais les articulations métacarpo-phalangien- nes des
doigts
ne présentent pas la saillie dorsale, par subluxa
gères et récidivan- tes, occupant la paume de la main et le dos des
doigts
et remontant souvent jusqu'au coude, particuliè
ue toutes les articula- tions interphalangiennes des trois derniers
doigts
; douleurs modérées, remontant surtout le long
rale chez certains de ces mégaliques peutprovoquer l'aspect de dits
doigts
tourmentés ou déjetés. Cette théorie trouverait
- fluence pituitaire exercerait ses effets globalement sur tous les
doigts
comme dans l'acromégalie et non partiellement.
me l'a pratiqué Lejars dans un cas semblable, faire l'amputation du
doigt
, mais en ayant soin, selon sa remarque importan
e, -au Livre des Rois, fait mention d'un géant qui présentait douze
doigts
et douze orteils. L'hérédité de la polydactyl
22 février 1878. Il présente de la polydactylie par adjonction d'un
doigt
cubital à chacune des deux mains, et d'un ortei
sement de Saint-Marcel- lm, 3.156 habitants. 148 13N : NAISb Le
doigt
supplémentaire de la main droite mesure 38 millim
n'est susceptible d'aucun mouvement d'extension ni de flexion. Le
doigt
de la main gauche est plus petit. Il ne mesure qu
hies de cet homme permet de faire les constatations suivantes. Le
doigt
cubital de la main gauche comporte deux os, phala
eux os sout non pas indépendants, mais unis par une synostose. Le
doigt
supplémentaire droit, au contraire, est composé d
qui présente, lui aussi, ainsi qu'il nous l'a écrit lui-même, « six
doigts
il chaque main et six doigts seulement au pied
nsi qu'il nous l'a écrit lui-même, « six doigts il chaque main et six
doigts
seulement au pied gauche ». Le doigt cubital
oigts il chaque main et six doigts seulement au pied gauche ». Le
doigt
cubital de la main gauche est, comme dans le cas
ain gauche est, comme dans le cas précédent, le plus petit des deux
doigts
surajoutés. Mais il présente trois phalanges ; il
ne s'articule pas avec le 5e métacarpien, et rappelle absolument le
doigt
le mieux développé de l'observation précédente.
observation précédente. A la main droite on constate d'abord que le
doigt
supplémentaire, au lieu d'être indépendant du r
s autres premières pha- langes ; plus petite que celle du cinquième
doigt
, elle est comme taille, 150 BENARD par rappor
rt à celle-ci, comme l'est cette dernière par rapport à celle du 4e
doigt
. Les deux autres phalanges sont soudées entre ell
de coton, et plus long à lui seul que les phalangettes des 3e ou le
doigts
. Au pied gauche l'orteil surajouté est infinime
, le père et le fils présentaient, l'un comme l'autre, vingt- trois
doigts
ou orteils, le pied droit seul était normal, le p
que l'on peut rencontrer toutes les modalités du squelette dans les
doigts
supplémentaires, depuis les plus développés jus
, depuis les plus développés jusqu'aux plus rudimentaires : sixième
doigt
complet avec son métacarpien individualisé, - c
implement augmenté de vo- lume, avec facette d'articulation pour le
doigt
surajouté, doigt à trois phalanges, sans articu
é de vo- lume, avec facette d'articulation pour le doigt surajouté,
doigt
à trois phalanges, sans articulation avec le mé
té, doigt à trois phalanges, sans articulation avec le métacarpien,
doigt
plus ou moins pédiculé, sans rapport avec le sq
at ancestral. Le commun de l'humanité, qui ne dis- pose que de cinq
doigts
par membre, serait en état de dégénérescence. S
788, et mourut à Rives-sur-Fure, le 28 février 1868. Il avait douze
doigts
et douze orteils. De son mariage avec Bon... Fr
l'aînée et le troisième étaient polydactyles. Auguste aurait eu six
doigts
et six orteils. Les doigts au moins devaient être
ient polydactyles. Auguste aurait eu six doigts et six orteils. Les
doigts
au moins devaient être pédiculés, car à la nais
tiqua une ligature serrée à leur base avec un fil de soie; les deux
doigts
tombèrent vers le dixième jour et furent retrouvé
ns étudié la radio- graphie. C'est lui qui nous a écrit avoir « six
doigts
à chaque main et six doigts seulement au pied g
C'est lui qui nous a écrit avoir « six doigts à chaque main et six
doigts
seulement au pied gauche ». Nous avons vu que c'e
De ces sept enfants, trois étaient polydactyles. Auguste avait douze
doigts
et onze orteils. Il mettait son pouce gauche en
s. Il mettait son pouce gauche en subluxation. Léon a de même douze
doigts
et onze orteils ; mais ces doigts supplé- menta
subluxation. Léon a de même douze doigts et onze orteils ; mais ces
doigts
supplé- mentaires sont presque de même dimensio
même dimension que les auriculaires, situés sur le plan des autres
doigts
, et susceptibles d'extension et de flexion. Il
Marie-Louise, normale, il a deux filles. Lucie¡we, qui avai t deux
doigts
supplémentaires pédicules, pas d'orteils supplé
upplémentaires, et peut mettre son pouce gauche en subluxation. Les
doigts
supplémentaires ont été sectionnés par un médecin
ait tellement devenue de règle, que les enfants qui naissaient sans
doigts
supplémentaires étaient mis à mort comme adulté
Dans cette commune, hommes et femmes étaient porteurs d'un sixième
doigt
, d'un doigt supplé- mentaire implanté aux pieds
commune, hommes et femmes étaient porteurs d'un sixième doigt, d'un
doigt
supplé- mentaire implanté aux pieds et aux main
par Devay ? « Dans la famille Col- burn, l'hérédité d'orteils et de
doigts
surnuméraires affecta cette marche, la normale
ous avons rapporté est à ce sujet typique. Le premier en date a six
doigts
et six orteils, la malformation est com- plète
t semblable à son père il ne régresse donc pas ; l'autre n'a pas de
doigt
supplémentaire, mais seulement un orteil surajo
es : l'un à deux orteils supplémentaires, l'autre qui se croit deux
doigts
et un orteil supplémen- taire possède en réalit
oigts et un orteil supplémen- taire possède en réalité vingt-quatre
doigts
. C'est cette fois l'accentuation avec retour au
i nous en soyons certain). Donc ici régression. Mais le cadet a des
doigts
articulés, mobiles. Il y aurait chez lui, pour un
s : NEUF CAS DE POLYDACTYLIE HÉRÉDITAIRE 161 POLAILLON. - Article
Doigts
(difformités), in Dictionnaire Dechambre, t. XXX,
e l'ankylose. Les pouces sont indemnes. La phalange terminale du 5°
doigt
de la main droite est amincie et déviée, mais s
visible. Enfin les articu- lations phalangino-phalangettiennes des
doigts
II, III, IV des deux mains sont à l'état d'anky
e- ment atteintes sont d'ordinaire les deux dernières phalanges des
doigts
: les deux mains sont presque toujours prises s
e se servir de ses au- tres phalanges. Mais s'il le tient à bout de
doigts
, l'objet peu à peu s'échappe. Il y a quatorze
er son pantalon. Il a remarqué alors l'amincissement du bout de ses
doigts
. Les symptômes se sont depuis lors accentués pr
lérodermie. Mais, étant donnée la localisation unique au niveau des
doigts
, nous ne pouvons présenter ce cas comme une for
ait pas y avoir de paralysie des troncs nerveux. Les mouvements des
doigts
, quoi- que très affaiblis, étaient suffisamment
d'après le blessé, la raideur extrême du poignet, des phalanges des
doigts
, de l'épaule et qu'il existait également une dé
s après la résection, le mouvement d'opposition du pouce aux quatre
doigts
de la main devenait possible, mais même à cette é
gnée, un journal placé entre le pouce et l'index glissait entre les
doigts
, l'effort possible n'étant pas suffisant pour l
conque de leur xxviii 12 178 COURBON surface, à un ou plusieurs
doigts
. Nous n'avons constaté la perforation d'aucun n
de soumission. lis se promènent par bandes, se tenant par le petit
doigt
, et balançant ainsi la beauté de leurs bracelets.
des membres supérieurs et inférieurs. Le malade ne peut fléchir les
doigts
ni bouger les pieds ; tête en boule de bilboque
: 1.250 ; pas d'albumine. 7. Très légers mouvements de flexion des
doigts
; très légers mouvements d'abduction. Vague éba
ni de remuer les orteils. Le malade peut légèrement serrer avec les
doigts
; mais il ne peut soulever les bras ni les avan
c, ni des membres ; pas le plus petit mouvement de l'orteil ou d'un
doigt
. La paralysie peut n'être que partielle ; dans
bres, apparaissant d'abord aux membres supérieurs, , mutilation des
doigts
, pas de parésie. Progression des symptômes pendan
supérieurs, maladie chronique, toujours progressive, mutilation des
doigts
). Par conséquent, nous laissons de côté ces deu
premier métacarpien ; le pouce est sur le même plan que les autres
doigts
, en pouce de singe. L'éminence hypothénar est éga
nsemble, la main est plate. A l'état de repos, les trois derniers
doigts
sont légèrement fléchis, l'index est étendu. Le
s, l'index est étendu. Le malade peut fléchir complètement tons ses
doigts
, mais la flexion de l'index se fait sans grande
e force et n'oppose qu'une assez faible résistance. L'extension des
doigts
se fait bien pour le pouce, l'index et l'auri-
- sition est presque nulle ; pour rapprocher son pouce de son petit
doigt
, la paume étant en haut, il fait une forte addu
l existe un léger degré de signe de la préhension de Froment. Les
doigts
peuvent être écartés activement les uns des autre
e résistance au rapprochement passif, l'index surtout. De même, les
doigts
peuvent se rap- procher les uns des autres, mai
sur- tout, quand on veut les écarter. On rapproche et on écarte les
doigts
sans plus de difficulté qu'on ouvre et qu'on fe
? rrJc' fléchisseur, mais cette absence peut tenir à l'attitude des
doigts
qui, au repos, est en demi-flexion. Aucun tro
ur ou tropbique cutané; les deux mains ont la même coloration ; les
doigts
ont le même volume; les ongles ne sont pas dé-
seux. Hypoexcitabilité faradique et galvanique des fléchisseurs des
doigts
, sans inversion de la formule galvanique ni lente
hie un peu moindre de l'éminence hypothénar et des fléchisseurs des
doigts
, proba- blement à une atrophie légère du biceps
tie externe de l'émi- nence thénar gauche ; tous les mouvements des
doigts
se font bien et avec force, mais l'opposition d
à faire toucher complètement l'extrémité du pouce et celle du petit
doigt
. Il n'y a aucune atrophie des muscles du cou ou
lus légère encore du triceps, des muscles radiaux et extenseurs des
doigts
et des muscles de la partie externe de l'éminen
lants, les espaces inter- osseux presque aussi déprimés. On sent au
doigt
et on voit à travers la peau un reste bien peu
concentriques à la bouche, situées, la première, à deux travers de
doigt
des commissures, la deuxième, un peu en arrière
un pareil duvet se trouve aussi sur la joue de ce côté qui donne au
doigt
une impression d'âpreté, tandis que du côté gauch
ées, ce qui s'explique d'ailleurs par l'âge du sujet. Les uniques
doigts
existants sont l'annulaire et l'auriculaire, chac
naire) articulés avec le radius. Il y a trois métacarpiens et trois
doigts
: auriculaire, annulaire et médius, tous indépe
he un rudiment d'avant-bras et de main, cette dernière portant deux
doigts
soudés seulement. A droite, l'avant-bras plus l
normale, avec une courbure évidente des os, en dehors. Il y a trois
doigts
à la main, munis d'ongles : le pouce, l'index e
dont les'extrémités inférieures s'articulent respectivement avec un
doigt
, constitué de trois phalanges. Du côté antérieu
ois phalanges. Du côté antérieur et externe se détache un cinquième
doigt
atrophié, formé par deux petites phalanges, et
bien assise. L'attidude des mains est en pronation avec flexion des
doigts
, mais elle peut exécuter la plupart des mouvement
gités de mouvements choréiques et on cons- tatait de l'athétose des
doigts
; le visage était grimaçant ; l'enfant pleurait o
corps, 304 . d'espine P, ses avant-bras sont en demi-flexion, ses
doigts
sont agités de mouvements athétosiques ; cette
yeux fermés. Elle dort très mal, mais mange encore régulièrement.
Doigts
de la main gauche flasques. Bras et avant-bras en
n gauche. La matité à la percussion est exagérée de la largeur d'un
doigt
à gauche sur la ligne du mamelon gauche. L'auscul
ature du soir : 37°4. Le pouls : 92. 26. Perçoit les mouvements des
doigts
dans le champ visuel gauche. Nouvelle ponclion
es articula- tions du membre supérieur, particulièrement celles des
doigts
(obs. IV et V). Celles-ci s'ankylosent, sedéfon
bservation IV, par exemple, nous trouvons pour l'adducteur du petit
doigt
du côté malade comme seuil d'ouverture 68, comme
ntrée au niveau du creux sous-claviculaire droit à trois travers de
doigt
au-dessous du tiers' moyen de la clavicule et s
on-extension sont bons. Pour la main, les mouvements de flexion des
doigts
paraissent très diminués de forcp, particulière
superficiels existent en outre et produisent des modifications des
doigts
qui sont légèrement effilés avec des ongles un pe
t d'une part au niveau du deltoïde ; d'autre part, à la main et aux
doigts
. Il existe d'ailleurs de temps à autre du tremble
le est comme contracturée dans le prolongement de l'avant-bras, les
doigts
étendus et recroquevillés dans la position clas
recroquevillés dans la position classique de main d'accoucheur. Les
doigts
rigides sont effilés et les ongle- incurvés et
Toute la main est froide, humide et violacée. Quand on mobilise ces
doigts
, on constate qu'ils conservent l'attitude donnée.
tion. On trouve en. effet pour ce nerf par l'adducteur du cinquième
doigt
, côté sain : 12,1 côté malade : 14,6. ' Pour
paissies transversalement comme dans le rhumatisme chroni- que. Les
doigts
sont en extension permanente et ne peuvent se pli
èrement énorme, mais le gauche atteint t presque le volume du petit
doigt
; le circonflexe est perceptible aisément des de
r, sur 51 cas, trois cas seulement concernent les articulations des
doigts
ou des orteils, et encore s'agit-il d'arthropat
, atteignant d'abord les articulations plialango-pllalangiennes des
doigts
des deux mains, puis les épaules, les coudes, l
sans douleurs spontanées, ni diurnes ni nocturnes ; aux coudes et aux
doigts
, elles s'accompagnent d'un gonflement articulai
l'arthropathie eut toutde suite tendance à provoquer la déviation des
doigts
vers le bord cubital de la main. Puis furent at
itement symétrique, les articulations métacarpo-phalangien- nes des
doigts
et du pouce de chaque main sont considérablement
gu- lièrement, sans ostéophytes ni productions cartilagineuses. Les
doigts
sont versés vers le bord cubital de la main, to
té articulaire, la facile réductibilité des attitudes vicieuses des
doigts
. -" * Pour les mêmes raisons, cette polyarthrop
s. Mains allongées, de type féminin, avec hyperdis- tensibilité des
doigts
. ' Adipose prononcée des seins, des fesses et d
ique de cette espèce clinique : hyperdistensibilité héréditaire des
doigts
et dilatation des cavités pneu- matiques des os
à la région dorsale, entre la 41e et la 12e côte, à deux travers de
doigt
à droite de la colonne vertébrale. A ce niveau,
le, due à l'inclinaison latérale droite du tronc. A deux travers de
doigt
au-dessus de l'ombilic, ou constate un pli transv
, le regard dirigé en avant. On voit sur l'abdomen, à un travers de
doigt
au-dessus de l'ombilic, un pli transversal peine
que complète. Dans les articulations de l'épaule, du poignet et des
doigts
, tous les mouvements physiologiques sont possib
rte de moignon plus ou moins court, terminé le plus souvent par des
doigts
imparfaits (1). Ces cas d'ectromélie sont assez
centimètres (du bord supérieur de l'olécrane à l'extrémité du petit
doigt
) est de sept centimètres seulement à droite, de s
se termine par cinq petits bourgeons représentant manifestement les
doigts
, un peu plus volumineux sur la partie la plus ex-
RADIOGRAPHIE DES EXTRÉMITÉS D'UN SEXDIGITAIRE Un sujet, porteur de
doigts
surnuméraires, nous a permis de faire, à l'aide
désirable. Or, dans plusieurs variétés de vices de conformation des
doigts
(syn- dactylie, polydactylie, macrodactylie), u
prétendu qu' « en détruisant les syndactylies, en sup- primant les
doigts
surnuméraires, non seulement on améliore l'état d
i l'un ni l'autre, affirme-t-il, ne présentaient de difformités des
doigts
, non plus que ses deux soeurs et un frère, actu
symétrique : Aux deux mains et aux deux pieds, il est pourvu de six
doigts
. C'est le tpe du sexdigitaire accompli. Cette
commode aucunement. Il fait fort correcte- ment oeuvre de ses douze
doigts
et marche sur ses douze orteils sans la moin- d
cet excès dignitaire passe aisément inaperçu. Aux mains, les cinq
doigts
réglementaires sont régulièrement confor- més.
ulièrement confor- més. Le surnuméraire est représenté par un petit
doigt
qui se détache à 45°, dans le plan de la main,
oins deux, peut-être trois... Quand la main est ouverte, tous les
doigts
étant allongés, le doigt su- perflu semble fair
is... Quand la main est ouverte, tous les doigts étant allongés, le
doigt
su- perflu semble faire pendant au pouce. Il pe
ouce. Il peut se fléchir, se plier en cro- (I) Voy. Polaillon, art.
Doigt
, in Dit. ente. des Sc. 1¡I/ ! d. APPLICATIONS M
endant ses mouvements sont toujours commandés par ceux du cinquième
doigt
et ne s'effectuent pas isolément. Vraisemblab
on. Mais, -selon la règle dans les cas de polydactylie cubitale, le
doigt
surnuméraire ne peut exécuter les mouvements d'
; en outre, elles nous feront connaître le mode d'articulation des
doigts
et des orteils supplémentaires avec le métacarp
ns nécroscopiques. Mains. A droite comme à gauche, le squelette des
doigts
surnumé- raires se compose de trois phalanges.
étrique, et légèrement étranglée en son milieu. De ce fait, déjà le
doigt
surnuméraire droit est un peu plus long que le
la disposition squelettiquedela main est le mode d'articulation des
doigts
surnuméraires avec les métacarpiens. Il diffère
s du côté du carpe, s'écartant en forme de fourche au voisinage des
doigts
. Là, se voient nettement deux têtes arrondies pou
une est destinée à la phalange de l'auriculaire, l'autre à celle du
doigt
surnuméraire. Du côté gauche, la conformation d
d'une surface cartila- gineuse : c'est là que vient s'articuler le
doigt
surnuméraire. Ainsi, tandis que dans la main dr
son de la différence apparente qu'on remarque entre les deux petits
doigts
qui leur sont attachés. Le gauche est d'un tiers
mains ; on les a vu aussi se répéter aux deux pieds. Cependant les
doigts
surnuméraires cubitaux avec attache osseuse sont
notre cas méritait d'être signalé. Quant au mode d'articulation des
doigts
surnuméraires, il se rapproche beaucoup de l'ob
vation classique publiée par Morand en 1770 (1 ). Dans une main, le
doigt
s'articulait avec une apophyse du cinquième mé-
isposition que présente notre sujet. Mais dans le cas de Morand les
doigts
supplémentaires n'avaient que deux phalanges.. '.
(1) (OR \ ? 0, Recherches sur quelques conformations monstrueuses des
doigts
de l'homme, C. n. de l'Acad. des sciences, p. 1
n, déjà célèbre par une mamelle surnuméraire', avait, en outre, six
doigts
à la main droite. Pline parle de deux soeurs po
doigts à la main droite. Pline parle de deux soeurs pourvues de six
doigts
à chaque main. ' ' Enfin, en des siècles plus l
où il se trouva un homme d'une taille' extraordinaire qui avait six
doigts
aux pieds et aux mains, c'est-à- dire vingt'-qu
vait six doigts aux pieds et aux mains, c'est-à- dire vingt'-quatre
doigts
, et qui était de la race d'Arapha (1). i Notre
n mouvant toujours avec une spatule de bois, large de deux ou trois
doigts
, qui soit fort coupante des deux côtés, afin que
ouvaient être provoqués à volonté. Une exci- tation cutanée avec le
doigt
ou avec une épingle produisait au début de la p
large, très épaissie, était le siège d'un oedème dur qui donnait au
doigt
un aspect particulier (doigt en forme de saucis-
e siège d'un oedème dur qui donnait au doigt un aspect particulier (
doigt
en forme de saucis- son). La main se cyanose qu
re sujet, mais cet auteur a bien indiqué un état sclérodermique des
doigts
. Ce sont là presque tous les documents que j'ai
e attitude est beaucoup moins caractéristique pour les trois autres
doigts
de la main droite, mais on peut dire qu'à mesur
roite, mais on peut dire qu'à mesure que l'on se rapproche du petit
doigt
, les doigts ont tendance il se redresser et à s
on peut dire qu'à mesure que l'on se rapproche du petit doigt, les
doigts
ont tendance il se redresser et à se placer dan
'attitude de la main gauche est moins caractéristique. La main et les
doigts
sont en extension,mais elle est moins déviée ve
roite. L'extension du pouce est plus manifeste que celle des autres
doigts
. Les pouces des deux côtés présentent une confo
nant de plus près ou y voit un léger réseau veineux. La pression du
doigt
sur la face dorsale de la main ne laisse pas de g
e godet. ' La tuméfaction des téguments se prolonge un peu vers les
doigts
et leur donne une apparence très caractéristiqu
tion métacarpo-phalangienne. Mais si on pince la peau la racine des
doigts
, on s'aperçoit que cette tuméfaction dépend éga
o-phalangienne. Par suite même de cette tuméfaction l'insertion des
doigts
ne se fait pas comme l'état normal. Le contour
état normal. Le contour de la ligne d'insertion n'est pas souple. Les
doigts
pris dans leur ensemble sont boudinés, manquent
s sont complètement atrophiés. L'écartement et le rapprochement des
doigts
de la main gauche sont impossi- bles, mais ils
es écarter facilement. Les mouvements d'extension ou de flexion des
doigts
sont très limités, mais il y a à ce point de vu
isparu, excepté une légère extension. Les mouvements de flexion des
doigts
ne sont guère possibles que pour l'index et le
e flexion des doigts ne sont guère possibles que pour l'index et le
doigt
du milieu du côté droit. A gauche, tout mouveme
gt du milieu du côté droit. A gauche, tout mouvement de flexion des
doigts
a disparu. L'extension et la flexion du poignet
and il se trouvait près d'un poêle, il voyait se développer sur ses
doigts
des cloques à la suite de brûlures sans éprouve
fig. B). En effet, la main gauche est étendue sur le poignet et les
doigts
sont aussi en extension. En outre, elle est rejet
le obtus et celui de la main repose sur une surface plane, le petit
doigt
se relève de 1 à 2 centimètres au-dessus du plan
ment des ligaments latéraux de l'index, ce qui permet d'imprimer au
doigt
des mouvements anor- maux. Atrophie considérabl
de l'état des téguments de la face dorsale de la main gauche et des
doigts
. La couleur de la peau a la face dorsale est cell
est fine, mollasse. La température de la main très basse.. - Les
doigts
du malade sont fusiformes, mais très allongés. La
toute leur étendue. Comme chez les autres malades, le légnmeut des
doigts
offre l'aspect lisse (Glossy Skin) de sorte que
le tuméfiée, effacement des détails qu'on y voit ù l'état normal.
Doigts
boudinés fOlm.l1lt des fuseaux courts. Les main
ital est evcavé,la ligne de la racine de l'index est rentrante, les
doigts
comme la main sont dé- jetés vers le bord cubit
poignet. La main droite est en outre en pronation forcée. Le petit
doigt
, surtout à gauche, est écarté de l'axe de la main
t doigt, surtout à gauche, est écarté de l'axe de la main ; les trois
doigts
du milieu. sont rapprochés. Les pouces des deux
il l'arti- fice suivant : il prend la cuiller entre le 3e et le 4e
doigt
et porte ses lèvres à la rencontre de celle-ci.
ant-bras consistent en un certain degré d'extension du poignet et des
doigts
, due surtout au cubital postérieur et aux radia
ce de l'action volon- taire de ce muscle et de l'extenseur du petit
doigt
que s'explique l'attitude très caractéristique
otelé, ce qui est plus nettement accusé à gauche qu'à droite. Les
doigts
sont en forme de fuseau, ce qui résulte du gonfle
e, surtout à la face palmaire de la main gauche. Les trois derniers
doigts
de la main gauche sont légèrement rétractés ; il
s'ensuit une flexion permanente des deux dernières phalanges de ces
doigts
. La rétraction est presque symétrique parce qu'
ne peut pas faire le mouvement d'opposition du pouce avec le petit
doigt
. Elle parvient cependant à accomplir ce mouveme
médius, un peu moins nettement avec l'annulaire. L'ex- tension des
doigts
et de la main s'accomplit d'une façon normale, ma
surtout par le défaut des mouvements d'abduction et d'adduction des
doigts
. La face dorsale de la main gauche sera décrite e
fet, les muscles, dans cette région, sont aplatis. Les trois derniers
doigts
sont légèrement rétractés en flexion et leurs m
d, la con- formation est modifiée ; l'atrophie des muscles du petit
doigt
et de l'adducteur du pouce fait que le bord cub
le court fléchisseur et l'op- posant du pouce. Adducteur du petit
doigt
-Il zéro, pas de contraction ; mais contraction
muscles de l'éminence hypothénar et surtout de l'abducteur du petit
doigt
. La môme particularité existe pour le contour d
la couleur violacée disparaît et les mains sont plutôt rouges. Les
doigts
ne sont pas moins caractéristiques. Leur forme
ances. Aussi chez Gass... et Gav...ce sont des fuseaux courts ; les
doigts
sont plus ou moins boudinés à leur base, tandis q
tandis que chez Jacq... ils sont en fuseau allongé. La longueur des
doigts
chez ce dernier, unie à la gracilité de la main
maîtres italiens ont représentée dans leur peinture.L'at- tache des
doigts
manque de souplesse au lieu que leur ligne d'inse
la peau interdigitale. La tuméfaction delà main peut s'arrêter aux
doigts
ou bien se continuer sur les téguments de la 1 ?
qui nous expliquent la déviation assez considérable de la main etdes
doigts
(1) M. Oppenheim a bien noté la sclérodactylie
ment, grâce auquel on peut imprimer des mouvements anormaux à leurs
doigts
; c'est également ce relâchement des ligaments
. Il s'agit en somme d'une main tuméfiée, froide et faible avec des
doigts
fuselés ne présentant pas de crises de douleurs
sont toutes différentes; en effet, dans celui-ci le poignet et les
doigts
sont en flexion plus ou moins accen- tuée. La m
e celle main amyotrophique et oedématiée et la main succulente. Les
doigts
et le poignet étaient légère- ment fléchis ; l'
e on pourrait penser à cause de l'aspect luisant que présentent les
doigts
des malades, c'est la sclérodermie dacly- lique
e affection, la face dorsale de la main est lisse comme la peau des
doigts
; ceux-ci sont coiffés par une petite masse corné
de largeur sur 2 centimètres de hauteur, située à quatre travers de
doigt
au-dessous de l'omoplate gauche. On voit, en ou
s. Sa courbure antérieure est exagérée. De plus, à trois travers de
doigt
au-dessus de l'interligne articulaire du poigne
se de leur disposition bifide, il' était facile de saisir entre les
doigts
, en constatant leur extrême sen- sibilité, et l
corps vertébraux, ni dans la peau que l'on pouvait serrer entre les
doigts
sans , provoquer de protestations, mais au nive
le fait ramol- lir un emplâtre et serre un couteau effilé entre ses
doigts
noueux. La tête couverte d'un linge blanc, elle
les liras repliés et collés a la pOlll'lI1e les poings fermés, les
doigts
crispés, le rude villageois se raidit contre la
homme qui avait reçu un coup de couteau dans le dos à un travers de
doigt
et à droite de l'apophyse épineuse de la 12° ve
contiguë au rebord des fausses côtes, d'une largeur de 3 travers de
doigt
. Dans un cas relaté par Schultz (2), l'instrume
le côté gauche, et la motilité était en voie de rétablissement, aux
doigts
de la main gauche et au membre supérieur droit.
et dans une hyperesthésie très prononcée au membre inférieur et aux
doigts
de la main. En fait d'autres manifestations on
lté à se servir de son bras droit, et il ne pouvait faire mouvoir les
doigts
de la main droite. Pour en finir, avec cette
ié du cordon latéral étaient divisés. . (A suivre.) DÉVIATION DES
DOIGTS
EN COUP DE VENT ET INSUFFISANCE DE L'APONÉVROSE
migraineux. Le côté maternel est plus intéressant. déviation DES
DOIGTS
EN COUP DE VENT 181 182 EMILE B01X déterminan
ait normale et tous les mouvements en sont parfaitement libres. Les
doigts
seuls présentent à la fois la déviation en masse
attitude générale, quoique d'une façon moins marquée que les autres
doigts
. La déviation cubitale est;irréductible, car on
itale est;irréductible, car on ne peut, passivement, ni ramener les
doigts
dans l'axe métacarpien, ni exagérer leur inclinai
ur inclinaison, sur le bord cubital. Quant à l'attitude fléchie des
doigts
, elle est irréduc- tible dans le sens de l'exte
ment les mains; mais quelque effort que l'on fasse pour ramener les
doigts
dans le plan du métacarpe, on n'arrive pas à dé
ttes. On peut appuyer alors sur la tête des Fig. 4. - Déviation des
doigts
en coup de vent. DÉVIATION DES DOIGTS EN COUP D
des Fig. 4. - Déviation des doigts en coup de vent. DÉVIATION DES
DOIGTS
EN COUP DE VENT 183 métacarpiens, on ne parvien
e déformation : Rien à dire de plus pour la déviation cubitale. Les
doigts
présentent les particularités suivantes : quelq
a seconde. On a ainsi pour le médius et surtout pour l'annulaire un
doigt
en Z ; pour l'index au contraire un doigt en C.
rtout pour l'annulaire un doigt en Z ; pour l'index au contraire un
doigt
en C. On peut voir sur la photographie que la d
i n'est que son propre moule, grâce à la flexion plus prononcée des
doigts
et au retrait de cette articulation en arrière
s et l'annulaire de la main droite et entre l'annulaire et le petit
doigt
de la main gauche. Le jeu de toutes les articul
ème phalange del'annulaire et n'atteint aucun des segments du petit
doigt
. Le malade peut faire claquer ses doigts. Il
aucun des segments du petit doigt. Le malade peut faire claquer ses
doigts
. Il ne semble pas, au palper, que les extrémité
uc- tions ostéophytiques à leur niveau. La flexion permanente des
doigts
sur la paume de la main est manifes- tement due
est un peu plus prononcée à droite qu'à gauche. - Si on donne aux
doigts
leur maximum d'extension, les téguments de la p
ucun point plus saillant; les bourrelets graisseux qui séparent les
doigts
au niveau de la tête des métacarpiens n'existent
non celui des métacarpiens. Les métacarpiens sont en DÉVIATION DES
DOIGTS
EN COUP DE VENT 185 quelque sorte coiffés de tr
d'abord en coupant les adhérences ( ? ) qui unissaient la pulpe des
doigts
à la paume de la main, puis en intercalant entr
ts à la paume de la main, puis en intercalant entre la paume et les
doigts
des bouchons de calibre de plus en plus gros. S
édique. Je n'ai pas retrouvé trace sur la peau soit de la pulpe des
doigts
, soit de la paume de la main, des cicatrices qu
mplète. L'enfant n'est pas né les mains fermées, mais seulement les
doigts
déviés en masse vers le bord cubital et légèrem
Dupuytren lui- même : « La maladie commence ordinairement par le
doigt
annulaire ; elle s'é- - tend de là aux doigts v
e ordinairement par le doigt annulaire ; elle s'é- - tend de là aux
doigts
voisins, et particulièrement au doigt auriculaire
; elle s'é- - tend de là aux doigts voisins, et particulièrement au
doigt
auriculaire; elle augmente, par degrés, insensi
e roideur dans la paume de la main et de la difficulté à étendre le
doigt
; bientôt ces doigts restent fléchis au quart, au
ume de la main et de la difficulté à étendre le doigt ; bientôt ces
doigts
restent fléchis au quart, au tiers ou à la moitié
est quelquefois portée beaucoup plus loin, et l'extrémité libre des
doigts
vient alors s'appliquer à la paume de la main. Dè
Dès le principe, une corde se fait sentir sur la face palmaire des
doigts
et de la main ; cette corde est plus tendue qua
cette corde est plus tendue quand on fait effort pour redresser les
doigts
, et elle disparaît presque entièrement quand il
ie la plus saillante se trouve à la hau- teur de l'articulation des
doigts
avec le métacarpe qui lui sert de soutien. Elle
ce de pont. Les extrémités se terminent insensible- ment du côté du
doigt
, à la hauteur de la seconde phalange, et du côté
ers la par- tie supérieure. « La peau située dans la direction du
doigt
forme des plicatures en arc de cercle, dont la
est en haut, et dont le premier emboite en quelque sorte la base du
doigt
, et est lui-même emboîté dans-les arcs de cercl
ume de la main. Ces symptômes se bornent, pendant quelque temps, au
doigt
pri- mitivement affecté, mais plus tard, ils s'
u doigt pri- mitivement affecté, mais plus tard, ils s'étendent aux
doigts
voisins, dans lesquels cependant ils sont toujo
toutes ces apparences d'une lésion profonde, les articulations des
doigts
affectés ne présentent aucune trace d'ankylose, e
ivres, pou- vaient être appendus à l'espèce de crochet que forme le
doigt
, sans que pour cela son angle de flexion fût ou
cela son angle de flexion fût ouvert d'une ligne. Il semble que le
doigt
soit empêché de se redresser par un arc-boutant i
tacle à ce mouve- ment que la corde située sur la face palmaire des
doigts
et de la main, DÉVIATION DES DOIGTS EN COUP DE
située sur la face palmaire des doigts et de la main, DÉVIATION DES
DOIGTS
EN COUP DE VENT q$'7 corde dont la saillie et l
nt, en général, proportionnées aux efforts tentés pour redresser le
doigt
. « La maladie commence, se développe et atteint
le cas présent. Même en laissant de côté la déviation en masse des
doigts
sur le bord cubital à la- quelle Dupuytren non
années, étudiant en droit, ayant une rétraction des quatre derniers
doigts
de cha- que main. Ces doigts étaient à demi-flé
ant une rétraction des quatre derniers doigts de cha- que main. Ces
doigts
étaient à demi-fléchis, et il était impossible de
a main, depuis la partie moyenne de cette paume jusqu'à la hase des
doigts
. Le pouce était parfaitement libre. « Ce jeune
pas lui redresser, dans sa première enfance, les qua- tre derniers
doigts
de ses mains, comme elle l'avait fait pour le pou
'elle a à remplir, et donner naissance ainsi à cette rétraction des
doigts
? » (2). Voici une seconde observation de Dupuy
e siège du mal est à' l'indicateur. La conformation angulaire de ce
doigt
frappe d'abord les yeux. La première et la seco
approchées les deux phalanges. Cette dame appuie sur l'extrémité du
doigt
, qui s'est élargie, allongée, ce qui tient à l'
tension, diminue beaucoup par la flexion. En la saisissant avec les
doigts
, on l'isole très bien des tendons. Les articula
te déformation. On ne remarque chez elle aucune tendance des autres
doigts
à être affectés du même vice de conformation.
une rétraction de l'aponévrose plantaire ; mais chez lui, le second
doigt
de chaque pied offre cette disposition : l'angl
ce de pont. Dans l'origine, M. M... marchait sur l'extrémité de ses
doigts
; aussi a-t-il été exempté de la conscription à c
ue j'étudie avec celle du rhuma- (1) Ibid., p. 500. DÉVIATION DES
DOIGTS
EN COUP DE VENT 189 tisme chronique est trop fr
(2) Revue Neurologique, 30 sept. 1896, n 18, p. 531. DÉVIATION DES
DOIGTS
EN COUP DE VENT 191 lée : « Névrite traumatique
P DE VENT 191 lée : « Névrite traumatique du cubital, déviation des
doigts
en coup de vent, rétraction de l'aponévrose pal
est rétractée ; des cordons durs vont du poignet à la ra- cine des
doigts
» d'ailleurs il ne s'agit que d'une main. M. Fein
nerveux malade, déterminer pareille attitude. « Cette attitude des
doigts
en coup de vent, dit-il, au point où elle est acc
s articulaires n'a pas été secondaire à la di- rection anormale des
doigts
. Comment résoudre cette alternative ? En cherch
thèse qui explique la priorité de la déviation et de la flexion des
doigts
; et voici celle que je propose : Les données t
nge le centre de la préhension (mouvements individuels combinés des
doigts
et du poignet aboutissant à la fermeture du poi
ermées par défaut d'action'de l'ensemble des muscles extenseurs des
doigts
. ' Or tout, dans la main de M. S... s'est adapt
tale : les fléchisseurs sont restés pré- dominants et ont dévié les
doigts
vers le bord cubital ; les têtes osseuses métac
ce aux cavités ar- ticulaires des phalanges ; les articulations des
doigts
se sont plus ou moins ankylosées par défaut de
m, et se sont trou- vés trop courts lorsqu'on a voulu redresser les
doigts
de l'enfant. On voit pourquoi la paume de la ma
st montré chez le fils de M. S... qui est né avec une déviation des
doigts
en coup de vent et une légère flexion, mais cel
nt constater que personne n'a encore donné de cette « déviation des
doigts
en coup de vent » la moindre explication physiolo
idérer le point d'ap- plication de la forco fléchissante sur chaque
doigt
et la direction de la ré- sultante de cette for
'étroit espace où viennent aboutir les tendons des fléchisseurs des
doigts
, c'est-à-dire la gouttière radio-carpienne, ne se
xe général de la main qui passe par le médius ou tout DÉVIATION DES
DOIGTS
EN COUP DE VENT 193 au plus le long du bord int
lée des fléchisseurs, on comprend qu'elle ait tendance à dévier les
doigts
du côté cubital. Cela est si vrai que la nature
s fléchisseurs, maintien- nent la verticalité, pour ainsi dire, des
doigts
pendant la flexion. C'est d'ailleurs une loi gé
hir, se x 14 194 EMILE BOIX ratatiner, les mains se fermer, les
doigts
se dévier en masse vers le bord cubital; et tou
a main,' l'attitude s'est faite presque irrémédiable. DÉVIATION DES
DOIGTS
EN COUP DE VENT et insuffisance de l'aponévrose
les muscles de l'éminence hypothénar, c'est l'abduc- teur du petit
doigt
qui semble être atteint en première ligne, d'atro
de la main sur l'avant-bras est possible ; mais les mouvements des
doigts
pris individuellement sont impossibles. Le relè
conserve pendant longtemps sa fonction, c'est l'extenseur du petit
doigt
. Aussi voit-on, chez ces malades, le petit doigt
extenseur du petit doigt. Aussi voit-on, chez ces malades, le petit
doigt
en extension sur la main, relevé et fortement é
udes vicieuses et les mouvements anormaux qu'on peut impri- mer aux
doigts
, mais aussi par la radiographie. Le gérant : P.
pital vous pouvez le voir avec un bâton entre les dents, tenant son
doigt
sur une des extrémités de ce bàlon et maintenan
re quand il s'approche de vous à la visite il maintient sa tôle, un
doigt
dans son bonnet, ainsi que le représente la pre
crises, on sent très nettement gonflés, durs, contracturés sous le
doigt
le trapèze gauche et le sternomastoïdien droit.
duisant un mouvement inverse, ou bien en rete- nant sa tête avec un
doigt
placé dans son bonnet (photo 1 et 2) ou derrière
rt dans les ménages. Ce dynamomètre à traction a été placé entre le
doigt
qui s'oppose au mou- vement et le bonnet placé
pour qu'il puisse le faire ; il ne lui suffirait pas de mettre son
doigt
dans son bonnet; il ne lui suffirait pas de cet
ntre de la lésion parait siéger au cou, environ à 4 ou 5 travers de
doigt
au-dessous de l'angle de la mâchoire; c'est une p
ord droit du sternum. Cette plaqué est large de " 3 ou 4 travers de
doigt
, à contours déchiquetés, géographiques ; elle r
épendante, allongée, suit sur un espace d'environ quatre travers de
doigts
le bord externe droit du sternum. Une autre tac
lation du coude sans ankylose, un peu d'amyotrophie sans adipose.
Doigts
fléchis dans la main, mais réductibles sans arthr
ique depuis 1893. Flexion de l'avant-bras sur le bras ; flexion des
doigts
. Ankylose douloureuse de l'articu- lation scapu
l'avant-bras. Circonférence de l'avant-bras gauche : à 3 travers de
doigt
au- dessous de l'olécrane, 19 cent. 1/2; à droi
épaule, du coude, du poignet avec subluxation des articulations des
doigts
. Atrophie musculaire très marquée dans les trois
centrale de la' rétine, engour- dissements, fourmillements dans les
doigts
). Il quitta Nanterre au mois de mai, entra dans
antile limitée au membre supérieur droit, mouvements atéthoïdes des
doigts
par contractions fibrillaires. Tuberculose pleu
il peut tenir un sac léger d'échantillons entre les quatre derniers
doigts
. Le pouce, en extension forcée, écarté de la ma
extension forcée, écarté de la main ne peut venir joindre le petit
doigt
. L'atrophie de l'éminence thénar est très marquée
, ainsi que dans une certaine mesure l'abduction et l'adduction des
doigts
. - Le malade peut fléchir son avant-bras sur le
chrones, souvent exagérés, qui se passent au niveau des différents
doigts
de la main droite, en particulier du petit doig
au des différents doigts de la main droite, en particulier du petit
doigt
et de l'annulaire. Ces mouve- ments qui rappell
ou moins accentuées qui sillon- nent les différents extenseurs des
doigts
, et en particulier l'extenseur du petit doigt.
rents extenseurs des doigts, et en particulier l'extenseur du petit
doigt
. Ces contractions ne gênent pas d'habitude le mal
que nous lui avons fait remarquer le phénomène, le mouvement de ses
doigts
quand il sent venir puis augmenter la contraction
d il sent venir puis augmenter la contraction fibrillaire. Le petit
doigt
en particulier est animé de secousses qui le sou-
t animé de secousses qui le sou- lèvent de bas en haut. Parfois les
doigts
sont écartés. En résumé, il s'agit de deux cas
groupes musculaires et en traînant des mouvements particuliers des
doigts
. Le réflexe tendineux du poignet est d'ailleurs a
dermie étendue à toute la surface du corps, sclérodermie bornée aux
doigts
avec atrophie des phalangettes ; atrophie de la m
orme de tout le membre supérieur s'étendant jusqu'à l'extrémité des
doigts
, masquant l'atrophie. Circonférence : bras droit,
droit, 27. Avant-bras contracture sur l'avant-bras mais en flexion,
doigts
en griffe ; ankylose, amyotrophie en masse. S
ant-bras sur le bras. Circonférence de l'avant-bras, 4 tra- vers de
doigt
au-dessous de l'articulation du coude, 22 centimè
s de la ceinture scapulaire ; les autres articulations sont libres.
Doigts
fléchis, réductibles, pas d'atrophie des muscles
17; gauche, 19. Poignet droit immobilisé en extension sur le bras,
doigts
fléchis ; polyarthri- tes, atrophie généralysée
recherches, a posé sur un banc sa quenouille et son fuseau. De ses
doigts
noueux elle épluche,mécUe à mèche, la lignasse ma
tes, s'est armée de bésicles et d'un peigne à longues dents. De ses
doigts
amaigris, elle écarte les mèches et poursuit pa
ERRE JANET Vous voyez qu'à chaque main elle n'a en réalité que deux
doigts
, un pouce bien conformé et opposable et un gros
ité que deux doigts, un pouce bien conformé et opposable et un gros
doigt
formé par la réunion intime de l'index et du mé
u'un divisé seulement par une rainure; du troisième et du quatrième
doigts
, pas de traces. Ce gros doigt moyen est bien fl
ainure; du troisième et du quatrième doigts, pas de traces. Ce gros
doigt
moyen est bien flexible à une main. est plus an
on désire toujours le mieux, elle souhaite qu'on lui rende ce gros
doigt
plus mobile. La radiographie à laquelle cette mai
Pl. XXXIX), nous a démontré qu'il n'y a pas fusion osseuse des deux
doigts
; théoriquement on pourrait séparer ces doigts et
ion osseuse des deux doigts ; théoriquement on pourrait séparer ces
doigts
et lui donner trois doigts à chaque main, ce qu
; théoriquement on pourrait séparer ces doigts et lui donner trois
doigts
à chaque main, ce qui serait très beau. Cette jeu
ssoil.l)làcés Fig. 2. Fig. 3 et 4. Malformation congénitale des
doigts
sur une seule main chez le père (Fig. 2). Aux d
'est pas à côté mais au-dessous du se- cond. Ces déformations des
doigts
en forme de pinces de homard ou simple- ment av
forme de pinces de homard ou simple- ment avec soudure de certains
doigts
sont très fréquemment héréditaires ; c'est là u
et 4). Vous voyez que chez le père et chez l'enfant le 3e et le 4"
doigts
sont intimement soudés. Notre malade n'obéit pa
st plate. Les lignes d'opposition y sont profondément creusées. Les
doigts
sont longs et gros, réguliers; le tissu mou y e
Le dos est fortement voûté; Les mains sont d'énormes battoirs aux
doigts
très élargis dans toutes leurs dimen sions. L
és par Charcot), ont décrit des nodosités osseuses aux mains et aux
doigts
des atrophiques, mais ce fait, qui a pu attiré
es arthropathies mobiles voya- geaient d'un côté à l'autre dans les
doigts
, les membres inférieurs restant indemnes quoiqu
réflexes. Facies très caractérisé, hypertrophie du système pileux.
Doigts
et orteils hippocratiques. Crachats nummulaires,
erminant par ankylose). W.Mitchell, More- house et ,Keen ont vu les
doigts
s'ankyloser à demi à la suite d'un coup de feu
sse articulation ou bien encore que tou- tes les articulations d'un
doigt
, de la main, du membre tout entier soient attei
qui ait assimilé les troubles trophiques articulaires et osseux des
doigts
, accompagnant des troubles trophiques cutanés,
ME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE HYPERTROPHIE CONGÉNITALE DES
DOIGTS
MÉDIUS ET INDEX DE LA MAIN GAUCHE PAR R. CE
est celui qui étonne au plus haut point par cet aspect étrange d'un
doigt
de géant à l'extrémité d'une main normale. Les ca
ndent guère sur la participation du squelette à l'hypertro- phie du
doigt
. Mais les nouvelles méthodes photographiques vo
hy- pertrophie n'atteint que le médius et l'index, les trois autres
doigts
et le métacarpe sont normaux (Pl. XLV). Si l'
acarpe sont normaux (Pl. XLV). Si l'aspect du médius est celui d'un
doigt
normal à peau blanche, sou- ple, sans développe
ngette élargie en forme de spatule et va augmentant de la racine du
doigt
à l'extrémité. L'ongle ne présente pas de troub
e- sure 2 centimètres de longueur sur autant de largeur. L'axe du
doigt
est curviligne de telle sorte que son extrémité r
est vive, la mémoire excellente, mais HYPERTROPHIE CONGÉNITALE DES
DOIGTS
MÉDIUS ET INDEX (Radiographie et photographie.)
NDEX (Radiographie et photographie.) HYPERTROPHIE CONGÉNITALE DES
DOIGTS
401 le malade est d'un caractère emporté et d'u
malade présente le type parfait de l'hypertrophie congé- nitale des
doigts
. ' Le sexe masculin du malade, l'absence d'héré
équents de cette anomalie. A l'inverse des autres malformations des
doigts
, la macrodactylie est rarement héréditaire et M.
t s'était transmise pendant plusieurs générations. Le médius est le
doigt
le plus souvent atteint, mais il est rare qu'un
est le doigt le plus souvent atteint, mais il est rare qu'un seul
doigt
soit affecté ; ordinairement le médius et l'ind
auteurs ne parlent pas de l'état psychique de leurs malades. Les
doigts
peuvent acquérir des dimensions considérables ; c
lAN une distinction doit être établie, car il existe deux sortes de
doigt
géant. Les uns sont constitués par l'hypertroph
stitués par l'hypertrophie de toutes les parties constituan- tes du
doigt
, squelette et parties molles, ainsi le malade de
augmentant de la racine vers l'extrémité ; si les autres parties du
doigt
sont hypertrophiées, du moins elles sont en rap
te, déterminant ainsi, au dire des auteurs, la courbure latérale du
doigt
. Mais l'utilité de la radiographie paraîtra plu
clive et par les changements de tempé- rature ; peu il peu, les
doigts
se sont fléchis vers la paume de la main. Au
échis vers la paume de la main. Au mois de mai, nous trouvons les
doigts
gros, boudinés, rouges, fléchis, mais non hyper
Fig. 2. Cas de Grüber. HYPERTHOPIIIE CONGÉNITALE DES DOIGTS 403
doigts
ne présentent pas de modifications. Nous avouons
les vasculaires, sensitifs et tro- phiques ; à ce point de vue, les
doigts
de notre malade sont normaux et ne présentent p
ur le tissu cellulaire mais sur toutes les parties constitutives du
doigt
et on ne relève ni troubles vasculaires ni troubl
u sa mâchoire; un troisième opposera simplement sur sa joue un seul
doigt
ou la pointe d'un crayon ; un malade de M. Grasse
on ; un malade de M. Grasset portait un bâton entre les dents,et un
doigt
placé sur l'extrémité de ce bâton, faisait rester
ontraction par exemple en apposant comme cela est si fré- quent, un
doigt
contre sa joue. Nous remplaçons son doigt par le
ela est si fré- quent, un doigt contre sa joue. Nous remplaçons son
doigt
par le nôtre, par deux doigts, par toute la mai
gt contre sa joue. Nous remplaçons son doigt par le nôtre, par deux
doigts
, par toute la main, mais vainement. A mesure que
lorsque, lassés, nous aban- donnons la partie, le malade remet son
doigt
sur sa joue, et la tête reprend sa place. De
procédé de son choix, un obstacle matériel, la paume de la main, un
doigt
, le bout d'un crayon, etc. En résumé, spasme de
osent les parties osseuses et amènent la chute d'une phalange, d'un
doigt
, d'une main ou d'un pied tout entier. Puis, une
us que trois orteils, tandis que le pied gauche a conservé ses cinq
doigts
. Or les am- putations lépreuses spontanées des
e. Il est atteint de contractures dans le sens de la flexion et les
doigts
sont recourbés en formes de griffe. (1) Il n'es
leurs membres tronqués, perdant aujourd'hui une phalange, demain un
doigt
, quelques mois plus tard la main tout entière,
expert. En outre, ce malade présente une main contracturée dont les
doigts
forment une griffe conforme il la réalité cliniqu
ance, montrant son bras droit très atrophié, avec une main dont les
doigts
sont fortement repliés en dedans, ou peut- être
rmée, atrophiée, est déjetée en dehors, comme en contracture; les
doigts
se recroquevillent en griffe, tan- dis que l'av
main droite un bel exemple de griffe lépreuse avec mutila- tion des
doigts
: Trois de ces doigts sont seuls visibles : l'aur
mple de griffe lépreuse avec mutila- tion des doigts : Trois de ces
doigts
sont seuls visibles : l'auriculaire et l'annula
lépreuses portant sur les mem- bres inférieurs. Les mains et les
doigts
sont indemnes, il est vrai, et le visage n'offre
uses consécutives aux amyotrophies lépreuses. La forme du cinquième
doigt
recourbé en crocheta été évidemment inspirée par
x et les extenseurs de l'avant-bras. On remarquera en effet que les
doigts
sont étendus dans leurs articu- lations métacar
position de la main représentée tombante et par la déformation des
doigts
figurés dans l'attitude très caractéristique bi
pparaît une phalangette mise à nu, la main droite n'a que les trois
doigts
du milieu. Enfin le front, l'ab- domen, le bras
apparaît une phalangette mise à nu ; la main droite n'a que les trois
doigts
du milieu. » . Pour quiconque a vu de près de
un indice de la peste dont il fut frappé. Un petit ange mon- tre du
doigt
le siège du mal (2). Au-dessus, Dieu dans une g
é dans toutes les jointures, la main contracturée en flexion et les
doigts
en griffe soutenant une sonnette. Le bras gau
n flexion forcée, et il semble bien qu'elle a perdu un ou plusieurs
doigts
. Le visage porte les traces de lésions profonde
es, la déformation de la face, enfin, et surtout, la mutilation des
doigts
de la main gauche, tous ces accidents pourraient
um sacro-coccygien, par CH. Féré (2 planches), 195. Déviation des
doigts
« en coup de vent » et insuffisance de l'aponév
1 planche en couleur), 1, 166, 305. Hypertrophie congénitale des
doigts
mé- dius et index de la main gauche, par CE9T
alysie infantile (6 phototypies), 3'M. - Boix (E.). Déviation des
doigts
en coup de vent et insuffisance de l'aponévrose
planche phototypique). 155. CESTAN. Hypertrophie congénitale des
doigts
médius et index de la main gau- che (2 figures,
Dédoublement du tourbillon des cheveux, XXI, XXII. Déviation des
doigts
en coup de vent et insuffisance de l'aponévrose
tifs (syndrome de Brown-Séquard), I. Hypertrophie congénitale des
doigts
mé- dius et index de la main gauche, XLIV, XL
nt osseux, dit le tubercule lacrymal, dont le relief sert d'indice au
doigt
indicateur pour guider le bistouri dans la poncti
ux et sur les deux paupières, la seringue tenue de la main droite. Le
doigt
indicateur de la main qui est libre déprime la pe
le point lacrymal. Tout étant disposé, appuyer, par les deux derniers
doigts
, au-dessous de l'arcade sourcilière, la main qui
la pau-pière supérieure avec le pouce de la main qui est. libre, les
doigts
appuyés sur le front. Offrir obliquement le bec d
ement le bec du tube, la main qui opère appuyée par les deux derniers
doigts
au-dessous de la pommette. Insinuer le tube dans
est tem-poraire ou permanente. Temporaire, on peut l'exercer avec le
doigt
ou une petite compresse graduée sur la tumeur apr
ration, pose sur le front, tandis que l'autre appuie par la pulpe des
doigts
sur le contour externe de l'orbite pour tendre le
l gauche et vice versa, le point d'appui pris avec les deux der-niers
doigts
au-dessus de l'arcade orbitaire (fig. i, b.), le
e l'arcade orbitaire (fig. i, b.), le chirur-gienapplique la pulpe du
doigt
indicateur de la main qui est libre au bas de l'a
pointe arrivée dans le sac lacrymal, par un mouvement rapide sur les
doigts
qui forment point d'appui, en traçant un arc de c
. 20 Excision par la conjonctive (pl. f, fig. 10). Renverser sur le
doigt
la paupière, dont le bord est saisi par les cils,
vec cautérisation (procédédeDupuytien). La pau-pière renversée sur le
doigt
, de manière à faire saillir le kyste sous la conj
t le médius d'un aide , la paupière inférieure abaissée par les mêmes
doigts
d'une des mains de l'opérateur. Tout étant dispos
i-guille comme une plume à écrire entre le pouce et les deux premiers
doigts
de la main qui opère; prendre un point d'appui su
prendre un point d'appui sur la pommette avec l'annulaire etle petit
doigt
, coucher l'instru-ment sur la joue et le présente
moment l'œil étant fixé par une pression in-stantanée, en accord, des
doigts
de l'aide et de l'opérateur, piquer nettement, ma
ment combiné relever lentement et avec précaution, par la flexion des
doigts
, le manche en dehors suivant un arc d'envi-ron so
-dix degrés, et en même temps faire exécuter à l'ai-guille, entre les
doigts
, un quart de rotation, de manière que sa convexit
l'aiguille, tenue comme une plume à écrire et sa tige soutenue par le
doigt
indicateur de la main gauche ; en offrir la point
er, élever ou abaisser les paupières. Toutefois le cas échéant où les
doigts
ne suffiraient pas pour écarter les paupières, tr
t organe comme avec le toucher mou et intelligent de l'extré-mité des
doigts
. Les instrumens essentiels sont : 10 le couteau
ambeau cornéal. Saisir le couteau de Richter entre les trois premiers
doigts
de la main qui opère, et tenu horizontalement com
d'appui en dehors de l'os de la pommette avec l'annulaire et le petit
doigt
. Présenter d'abord la pointe perpendiculairement
e la cornée; puis, par un mouvement continu et gradué d'extension des
doigts
flé-chis, faire glisser horizontalement la lame,
petit mouvement de rotation sur les articulations pha-langiennes des
doigts
qui font point d'appui, incliner oblique-ment le
ême de la main qui est libre, soit avec le pouce seul, soit avec deux
doigts
agissant sur l'une et l'autre paupière, le pouce
uquel corres-pond le cristallin (fig. 4 et 5). En même temps, avec le
doigt
indicateur de l'autre main, presser légèrement su
utre main, presser légèrement sur la paupière inférieure, comme si le
doigt
devait s'insinuer entre l'œil et le plancher orbi
vient tomber en dehors sur la paupière infé-rieure, ou sur l'ongle du
doigt
du chirurgien. S'il reste engagé entre les lèvres
, l'œil, étant fixé par le couteau, peut être moins comprimé par les
doigts
. Il importe de ne couper qu'en sciant, par la pro
Armé du couteau elliptique de Wenzel, tenu entre les trois premiers
doigts
mais incliné obliquement eu haut à angle de qua-r
L'opérateur est placé derrière la tête du malade, soulevant avec les
doigts
de la main qui est libre la pau-pière supérieure,
a, le tranchant en haut, le point d'appui pris avec les deux derniers
doigts
sur la tempe au-dessus de l'arcade zygomatique.
e supérieu re pa r un aide tandis qu'on abaisse l'inférieure avec les
doigts
de la main qui reste libre; saisir de l'autre m
prendre un point d'appui sur la pommette avec l'annulaire et le petit
doigt
, présenter oblique-ment la pointe de l'instrument
sphénoïdale. Pansement. On recherche avec soin, en introduisant le
doigt
, s'il n'est pas resté quelques parties altérées.
r la position des points tracés sur le manche. Fixer ensuite avec les
doigts
de la main gauche le manche, auquel fait suite la
de la main gauche le manche, auquel fait suite la tige, et, avec les
doigts
de la main droite, faire exécuter à la canule seu
de l'instrument dans la bouche et. reconnaissant avec l'extrémité du
doigt
le bourrelet formé par l'orifice dans lequel on f
l faut avoir soin, pendant la dissection des parties, d'introduire un
doigt
dans la narine, afin de diriger l'action du bisto
ans la bouche; et pour les autres instrumens, on va chercher avec les
doigts
leur extrémité au delà du voile du palais et orr
rouverait de la difficulté a respirer par la bouche, on passerait les
doigts
dans le pharynx, et, repoussant en haut ces tampo
peut avoir lieu par trois procédés, à l'aide d'une ligature, avec les
doigts
, ou avec les tenettes. On le pratique par la nari
ir l'hémorragie, mais il y a renoncé pour les tenettes. 2" Avec les
doigts
(procédé de Morand). D'une application exceptionn
e qui n'excède pas celui d'une noix. Pour le pratiquer, introduire le
doigt
indicateur de chaque main , l'un par la narine an
rine postérieure, et par un mouvement combiné de va-et-vient des deux
doigts
, qui se chassent l'un à l'autre le polype d'avant
é dans un sens que dans l'autre. La manœuvre de l'introduction d'un
doigt
reçoit une appli-cation plus générale en la combi
nt du polype et aider à la rupture de son pédicule par la pression du
doigt
en arrière de l'instrument. 3° Par les tenettes
à la force de traction en fixant près de leur articulation, avec les
doigts
de la main gauche, les branches tenues par les do
ation, avec les doigts de la main gauche, les branches tenues par les
doigts
de la main droite, mode opé-ratoire qui est surto
'est le cas de porter par la bouche ou de faire porter par un aide le
doigt
in-dicateur par la narine postérieure, pour aider
celle de la tumeur à saisir. L'instrument tenu de la main droite, le
doigt
indicateur gauche sert à-la-fois de guide et de p
le polype, soit en entier, soit par fragmens, avec les pinces ou les
doigts
, ou de l'exciser avec les ciseaux, le bistouri ou
Dès que l'anse est visible sous le voile du palais, la saisir avec le
doigt
ou un crochet, l'amener à l'extérieur par la bouc
ans les fosses nasales et, en suivant l'ascension de l'anse avec deux
doigts
de l'autre main portés dans Il OPÉRATIONS la
du pa-lais. A mesure que ce mouvement s'effectue, il s'agit, avec le
doigt
indicateur de l'autre main, de guider en arrière
hef du fil coloré, au dehors de la narine, sert, coïncidemmentavec le
doigt
en arrière, à faire glisser au besoin, clans un s
e et en haut au moyen d'un crochet mousse où \aù\ sim-plement avec le
doigt
. Il suffit alors d'inciser la membrane fibro-muqu
rface que possible, le bour-relet avec des pinces larges ou entre les
doigts
et, agissant clans le sens de son plus grand diam
e, étant les mêmes que nous avons indicjuées ci-dessus, introduire le
doigt
indicateur gauche dans la bouche, puis soulever e
igt indicateur gauche dans la bouche, puis soulever et tendre avec ce
doigt
la joue droite; si l'orifice était trop étroit po
oite; si l'orifice était trop étroit pour permettre l'introduction du
doigt
, on y substituerait un gorgeret : alors la main d
s la branche de la mâchoire les artères maxillaires externes avec les
doigts
tandis que les pouces refou-lent les joues vers l
m-beaux séparément. Il suffit de la pousser transversalement avec les
doigts
de la main droite pendant que ceux de la main gau
Dans un cas rapporté par Gérard, cette fente, qui avait un travers de
doigt
de largeur, était fermée au bout de deux ans. M.
tête appuyée sur la poitrine d'un aide debout derrière lui et dont un
doigt
com-prime l'artère faciale à son passage sous la
opéra-tion est de diviser avec l'instrument tranchant, conduit sur le
doigt
ou une sonde cannelée, entre la joue et les mâcho
iste. Placé debout en face du malade, saisir l'angle labial entre les
doigts
de la main gauche pour le côté gauche, et vice ve
e fron-cer, Louis conseille d'y exercer des pressions douces avec les
doigts
, et de tendre les tégumens au-dessus et au-dessou
e dans la bouche et, par un mouvement de rotation du manche entre les
doigts
, arrondir en cylindre le trajet de l'instrument a
ure une canule de plomb. (f) Richter portait dans la bouche, sur le
doigt
, un morceau de liège faisant opposition , et sur
in gauche pour le côté droit, on guide la pointe du trocart avec deux
doigts
de l'autre main introduits dans la bouche, et ent
ge, puis glisser par la canule un fil de plomb qu'on saisit entre les
doigts
dans la bouche, et retirer la canule ; de sorte q
meur de haut en bas, le chirurgien a soin de s'assurer, au toucher du
doigt
, de la nature des tissus sur lesquels il opère; e
le filet existe, et qu'il y a lieu à une opération, lorsque le petit
doigt
introduit dans la bouche, n'est pas fortement ser
la pointe de la langue rétractée en bas, et qu'en saisissant avec les
doigts
l'extrémité de l'organe, on éprouve de la difficu
de la membrane muqueuse buccale. Au toucher, en le pinçant entre les
doigts
, on sent à sa base, où il s'élargit, les vaisseau
més à la langue empêchent qu'elle ne puisse être bien fixée entre les
doigts
, pour éviter tle la blesser avec les ciseaux, il
des dents delà mâ-choire supérieure, commence par écarter à l'aide du
doigt
indi-cateur, d'une spatule ou de tout autre instr
s'assure que la langue est libre en en parcourant le contour avec le
doigt
. L'opération terminée, on n'a point à s'occuper d
ommande aux malades de mouvoir fréquemment la langue et de glisser le
doigt
entre les surfaces divisées. Nous ne voyons pas p
Excision avec le bistouri. L'extrémité malade étant saisie entre les
doigts
, ou mieux avec une airigne de Museux , et la lang
; puis, tendant la portion ma-lade de la langue avec l'airigne ou les
doigts
, par une seconde section latérale en arrière du m
errer le nœud dans la ligature est pratiquée tout simplement avec les
doigts
par plusieurs chirurgiens (fig. G), de même que p
il convient d'écar-ter en bas et en arrière, dans le pharynx, avec le
doigt
ou la pince à anneaux, les trois anses de ligatur
ion du nœud ( fig. 6 ). M. Roux pratique ce temps opératoire avec les
doigts
. La ligature postérieure est serrée la première.
cours assez effi-cace pour qu'on ne soit autorisé à leur préférer les
doigts
. Celui de M. Guyot (pl. 22 bis, fig. 29), qui sai
uant à la striction du nœud, quoi-qu'elle se lasse très bien avec les
doigts
, nous trouvons plus expé-ditif et plus sûr de la
sentir, et on y enfonce la pointe du bistouri, à laquelle l'ongle du
doigt
sert de guide. Aucun soin n'est exigé après l'éva
'il confie à un aide, ou tout simple-ment la déprime lui-même avec le
doigt
indicateur gauche, puis de la main droite, armée
udroyante obli-gerait à faire comprimer de suite par un aide avec les
doigts
, en tant qu'on le pourrait sans causer la suffoca
nstrument est tenu de la main droite par son manche, tandis que trois
doigts
de la main gauche, l'indicateur et le médius pass
nsuite des parties sous-jacentes en détruisant ses adhérences avec le
doigt
, le bec d'une sonde cannelée ou le manche d'un sc
de trois à quatre centimètres pour chaque incision; puis glissant le
doigt
dans les plaies, il vide et nettoie le kyste ou l
us l'avons dit à propos de la ligature, avec un instrument mousse, le
doigt
, le bec d'une sonde cannelée ou le manche d'un sc
que d'une main on insinue doucement et on fait descendre la sonde, le
doigt
indicateur de l'autre main, introduit par la bouc
oduit dans l'extrémité de la sonde, et comme luté par la pression des
doigts
ou par un linge mouillé. C'est le chirurgien lui-
nt de la main droite. Tout étant disposé, le larynx embrassé avec les
doigts
ao de la main gauche qui le contiennent sans
u bistouri droit, le tranchant en bas ; enfin , en se servant du même
doigt
pour guider la lame en pressant sur son dos, divi
omber dans la trachée-artère. Le mieux est d'y procéder avec le petit
doigt
. Dès qu'on a senti ce corps, laissant le doigt ap
procéder avec le petit doigt. Dès qu'on a senti ce corps, laissant le
doigt
appliqué dessus , on s'en sert comme d'un conduct
, la vue plonge dans l'intérieur du larynx, où l'on peut agir avec le
doigt
et les instrumens. valeur comparative des diver
de la main gauche et faisant largement ouvrir la bouche au malade, le
doigt
indicateur droit, plongeant dans le pha-rynx, dég
les arcades dentaires, si l'on ne peut contenir le malade, au lieu du
doigt
, qui pourrait être mordu violemment dans ce cas,
déprime modérément la langue jusqu'à sa base ; puis, se servant de ce
doigt
comme d'un conducteur, insinue de la main droite
ce corps est arrêté dans le pharynx ou à l'entrée de l'œsophage, les
doigts
ou de longues pinces courbes peuvent suffire pour
res (deux pouces et demi à trois pouces), à partir de deux travers de
doigt
au-dessous du sternum en remontant vers l'os hyoï
le bistouri, puis le diviser et l'écarter avec la sonde cannelée, le
doigt
indicateur ou le manche d'un scalpel, et, en même
ecouvre obliquement la plaie, faire refouler en sens inverse, par les
doigts
de l'aide de face, toute T. VII. la masse lar
en bas, dans une longueur suffisante pour permettre l'introduction du
doigt
et des instrumens, pinces ou tenettes, et la sort
-fire pour comprimer d'une main, réservant l'autre pour appliquer les
doigts
sur les vaisseaux coupés, si la compression du tr
arche du bistouri. Ame-sure qu'un vaisseau est coupé il y applique un
doigt
, éparpillant ainsi ses cinq doigts sur le contour
vaisseau est coupé il y applique un doigt, éparpillant ainsi ses cinq
doigts
sur le contour externe et supérieur ou axillaire
seaux et les nerfs, et on détache les adhérences celluleuses avec les
doigts
ou le manche d'un scalpel; c'est ici surtout qu'i
u poumon. Les autres moyens proposés, l'introduction dans la plaie du
doigt
ou d'une carte ployée en gouttière ne sont pas mo
e entre eux et la plèvre pariétale, en s'assurant, au toucher avec le
doigt
sur la sonde, qu'il n'existe pas sur le trajet de
ndique pour la hauteur convenable à la ponction, soit cinq travers de
doigt
au-dessous de l'angle inférieur de l'omoplate, so
au-dessous de l'angle inférieur de l'omoplate, soit trois travers de
doigt
au-dessus du rebord cartilagineux des cô-tes. Ces
en arrière du malade , le chi-rurgien reconnaît, en palpant avec les
doigts
des deux mains , l'espace intercostal et le point
a sortie, par une pression légère, détachant avec des pinces ou les
doigts
, les flocons ou les grumeaux, s'il s'en présente
pyème et peut être vidée au fur et à me-sure, en la pinçant entre les
doigts
vers la canule, l'ouvrant à son extrémité puis la
sque osseux, et divisant l'aponévrose avec beaucoup de ménagement, le
doigt
indicateur introduit par l'orifice, irait reconna
en ferait la ponction avec un bistouri étroit, guidé par la pulpe du
doigt
. Les avantages de cette méthode sont de n'offrir
entre les cartilages des sixième et septième côtes, et introduisit le
doigt
pour reconnaître la fluctuation et servir de guid
es lignes en dedans, Gérard, introduisant par l'espace intercostal le
doigt
armé d'un dé, parvint à la rechasser à l'exté-rie
la paume delà main droite, tandis que le pouce et les trois derniers
doigts
le maintiennent latéralement L'indicateur est éte
la pointe de l'instrument à travers les tégumens fortement tendus; le
doigt
indicateur limite la pro-fondeur à laquelle elle
e et l'indicateur de la main droite, retire le manclie avec les mêmes
doigts
de l'autre main; la sérosité s'écoule immédiateme
n pavillon avec le pouce et l'indicateur de la main gauche; des mêmes
doigts
de l'autre main, il appuie légèrement pour faire
li des par-ties molles le trajet du trocart en le comprimant avec les
doigts
jusqu'à ce que riiémorrhagie ait cessé. Bellocq s
jours de la dernière application du caustique et lorsque le sommet du
doigt
introduit dans la plaie perçoit distinctement la
l'huile d'olives, dans la cavité abdominale. Se ser-vant alors de ce
doigt
en guise de crochet pour soulever la paroi abdomi
tendent à faire hernie au dehors, le chirurgien glisse à plat, sur le
doigt
, un bistouri boutonné dont il relève le tranchant
de taxis est le même que pour les hernies, c'est-à-dire cpi'avec les
doigts
enduits d'huile d'olives ou d'une solution mucila
viscérale pour dégager l'orifice de la plaie, avec les trois premiers
doigts
de l'autre main il essaie de faire rentrer peu-à-
tion est réduite pour l'empêcher de sortir de nouveau, tandis que les
doigts
de l'autre main recommencent la même manoeuvre po
tranchant. La première condition est de réunir et d'écarter, avec les
doigts
rassemblés, le paquet intestinal, et de se servir
n, le chirurgien, connue nous l'avons dit plus haut, abaisse avec les
doigts
de la main gauche, vers l'angle inférieur de la
e le pouce et l'indicateur de la main gauche, dont les trois derniers
doigts
continuent de déprimer en bas l'in-testin hernie,
aie, de manière à démasquer l'angle supérieur; l'ex-trémité huilée du
doigt
indicateur est glissée sous l'angle inférieur, la
e du doigt indicateur est glissée sous l'angle inférieur, la pulpe du
doigt
en dessus, et, en dessous, l'ongle qui doit être
e manœuvre, de le faire conte-nir par un aide avec l'extrémité de ses
doigts
portés à plat, ou mieux en recouvrant préalableme
le cercle même de l'étranglement, le chirurgien glisse à plat sur le
doigt
la pointe d'un bistouri, et incise successivement
i-rer dans une petite étendue en pressant de dedans en dehors avec le
doigt
. Le mieux , si elle se présente à découvert sur l
hors avec le doigt. Le mieux , si elle se présente à découvert sur le
doigt
, est de prolonger la section avec des ciseaux. Sa
gir de dedans en dehors. On le fait glisser à plat sur l'extrémité du
doigt
jusque sur le péritoine et on relève ensuite le t
tire doucement et avec lenteur sur l'autre chef, pendant qu'avec les
doigts
de l'autre main on presse légèrement sur la paroi
puis confié au même aide. S'emparant alors di bout inférieur avec les
doigts
, ou mieux à l'aide d'une pino plate, il en renver
ei se fait aider par un assistant. Dès que le renversement existe , 1
doigt
indicateur gauche est introduit dans l'intestin,
e ; contenir le rebord avec le pouce sur l'autre face, puis le premie
doigt
sert à glisser l'aiguille correspondante au chef
talité. Quelquefois la tumeur échappe tout-à-coup et fuit d'entre les
doigts
avec un bruit de gargouillement ; c'est qu'alors
e la section d'artérioles superficielles ; la pression exercée par le
doigt
d'un aide, la torsion avec les mors d'une pince s
outefois il en est d'autres que l'on ne doit pas négliger. Portant le
doigt
ou une sonde mousse dans l'intérieur de la poche,
temps toujours délicat de l'opération , et comme on est guidé par le
doigt
porté derrière le collet, et que l'on agit à vue
teur gauche entre l'intestin et le collet du sac, puis retour-nant le
doigt
de manière à diriger sa pulpe en avant, on glisse
rs le bord à diviser. Pendant cette manoeuvre le chirur-gien, avec le
doigt
qui sert de guide à l'instrument, protège les par
ns l'ouverture et apprécie quelle est l'étendue du débridement. Si le
doigt
ne peut point pénétrer plus facilement qu'avant l
commode au chirurgien, pendant qu'il fait glisser l'organe entre ses
doigts
, de faire tendre le sac, afin que l'intestin trou
arfaitement relâché. Lorsque tout est rentré, le chirurgien porte son
doigt
à travers l'anneau, afin de se bien assurer que l
ngle l'intestin, on en dégagera adroitement ce dernier, soit avec les
doigts
, soit en coupant la bride. Si l'épiploon est gang
'après avoir fait la section d'une première bride, il touche avec son
doigt
, porté dans l'ouverture, un autre obstacle, ou en
croyant avoir achevé l'opération, essaie de réduire, et, portant son
doigt
derrière les viscères qui viennent de ren-trer, i
réduc-tion, il faut explorer avec attention le trajet parcouru par le
doigt
, la direction du pédicule de la hernie, tenir com
us haut. Quel-quefois on sera assez heureux pour reconnaître, avec le
doigt
, l'obstacle placé à l'orifice supérieur du canal,
u'à la hernie inguinale. M. Gerdy refoule la peau du scrotum comme un
doigt
de gant dans l'anneau et le canal inguinal, et l'
en réduit la hernie; il soulève la peau du scrotum sur un ou deux des
doigts
de sa main gauche, la refoule en haut et en dehor
l'opé-rateur en glisse la convexité sur la pulpe tournée en avant du
doigt
indicateur qui n'a pas abandonné le trajet inguin
t de sortie de l'aiguille est un temps délicat de l'opération , et le
doigt
indicateur gauche ne doit jamais abandonner l'aig
paroi abdominale, tandis que l'anse de fil embrasse le cul-de-sac du
doigt
de gant invaginé, dans la partie la plus élevée d
faciles à éviter, puisque d'une part le cordon est situé derrière le
doigt
indicateur placée dans l'anneau , etque, d'autre
soin d'écarter le péritoine et de le refouler en haut avec le bout du
doigt
enfoncé dans le canal, on parvient en gé-néral à
e la main gauche. Ensuite il enfonce au-devant des ongles de ces deux
doigts
une épingle cpti passe en arrière des enveloppes
invagine la peau du scrotum et en soutient le cul-de-sac, non avec le
doigt
, niais avec un gorgeret plat. Sur celui-ci il gli
ron est assez saillant, il est facile de les recon-naître à l'aide du
doigt
indicateur seul ; mais dans les cas oû il n'en es
oigt indicateur seul ; mais dans les cas oû il n'en est pas ainsi, le
doigt
insuffisant peut devenir un directeur infidèle, e
anches de l'instrument avec la main droite; on la fait glisser sur le
doigt
ou sur la sonde de femme dans l'un des bouts de l
a perte de substance qu'il a subie. Il est facile, en introduisant le
doigt
par l'orifice de l'anus anormal, de sentir les lè
comme une anse intesti. nale ; sa paroi postérieure seule cède, et le
doigt
, introduit dans sa cavité, n'y rencontre qu'un ép
ne incision trans-versale et un peu oblique en bas, à deux travers de
doigts
au-dessus de la crête de l'os des îles, ou mieux
usqu'à la ligne latérale moyenne du corps à quatre ou cinq travers de
doigts
de son point d'origine. Après avoir divisé la pea
car il tient à la présence des ma-tières fécales. La pression avec le
doigt
et la percussion sont les meilleurs moyens pour s
'opération, avait son anus artificiel tellement rétréci, que le petit
doigt
avait beau-coup de peine à y pénétrer. On fut obl
tre l'orifice et souvent aussi une fluctuation profonde au toucher du
doigt
, avec sensation du resserrement au contour déterm
ation , une mèche de charpie roulée du volume de l'extrémité du petit
doigt
pour maintenir l'orifice et en empêcher le rétréc
de la taille périnéale , les tégumens du périnée tendus avec les deux
doigts
indicateurs de l'aide dont les autres doigts main
née tendus avec les deux doigts indicateurs de l'aide dont les autres
doigts
maintiennent les genoux (pl. 4b, fig. 4), le chir
t-à-fait. La première mèche dont le volume doit être celui du petit
doigt
, sera laissée en place au moins pendant deux ou t
nvenable (Pl. 45, fig. i, 2, 3, 4) le chirurgien fait écarter par les
doigts
d'un aide les bords de la fissure et en accroche
rtement écartées par des aides, le chirurgien insinue avec lenteur le
doigt
indicateur gau-che enduit de cérat, dans le rectu
ectum jusqu'au-delà de son sphinc-ter, et fait glisser à plat, sur ce
doigt
, le bistouri droit, ou mieux boutonné, aune profo
quelque pli cutané, ce dont on s'as-sure en tendant la peau avec les
doigts
. La sortie d'un peu de liquide et bientôt l'appar
mme pour opérer sur l'anus, le chirurgien introduit dans le rectum le
doigt
indicateur gauche huilé, pour aller d'abord par l
ns tout le contour de l'intestin, et en remontant au plus haut que le
doigt
puisse atteindre, car, en raison des flexuosités
s et les vaisseaux, et harmoniant les mouvemensdu stylet avec ceux du
doigt
indicateur gauche, 3.0 resté dans l'anus. Sou
resté dans l'anus. Souvent, par cette double manœuvre, la saillie du
doigt
offre l'orifice au bouton du stylet qui s'y engag
on-traire, avant de renoncer, comme il est possible que la saillie du
doigt
efface l'orifice en tendant ses bords, il convien
ation d'un vide et déter-mine l'écoulement du pus dans l'intestin. Le
doigt
introduit reconnaît la perforation de l'intestin,
t rencontré l'orifice rectal delà fistule, a été reçu par la pulpe du
doigt
indicateur demeuré dans le rec-tum, il faut subst
un aide le stylet dont le bouton ne doit point quitter au-dedans son
doigt
indicateur, et côtoie la tige du stylet comme un
tige du stylet comme un conducteur pour insinuer la sonde. Dès que le
doigt
l'a sentie dans le rectum, il en accroche le bec,
de la sonde, la manœuvre et les instrumens s'en trouvent modifiés. Au
doigt
indicateur, il faut substituer le gorgeret en boi
indicateur gauche les clapiers purulens, et le bistouri glisse sur çe
doigt
seul, ou mieux sur un bistouri boutonné dont il s
eraient à l'esprit de tout homme sensé dans chaque cas déterminé. Les
doigts
et le pouce, quand on peut les introduire et que
al, le chirurgien ne doit compter que sur lui-même. Ainsi donc où les
doigts
font défaut il doit se servir d'instrumens. Si le
tire-fonds, de fortes pinces ou des tenettes que l'on guide avec les
doigts
comme pour charger un calcul dans la vessie. Si,
issement est borné à une zone étroite, et situé assez bas pour que le
doigt
indicateur puisse y atteindre. Sur ce doigt on gl
tué assez bas pour que le doigt indicateur puisse y atteindre. Sur ce
doigt
on glisse à plat un bistouri droit boutonné jusqu
6)- Ees tumeurs étant ame-nées au dehors, ou au moins accessibles au
doigt
du chirur-gien, armé d'une aiguille courbe , le c
ous avons indiqué ci-dessus, le bistouri droit boutonné, porté sur le
doigt
indicateur. Cette première incision pratiquée, le
r les parties invaginées à mesure qu'elles rentrent, et peu-à-peu les
doigts
de la main droite se rassemblent en cône pour ref
est, tout en gouvernant la tumeur avec le pouce et les trois derniers
doigts
de la main gauche, de glisser dans l'orifice l'ex
, ou, si la striction étant trop forte, ne permet pas de se servir du
doigt
, d'avoir recours à la sonde cannelée dans laquell
ernie au-dehors. M. Velpeau préfère introduire une mèche du volume du
doigt
dans l'intestin, en engager les faisceaux entre l
s ciseaux; ou bien s'il était situé trop haut, on pourrait glisser le
doigt
in-dicateur dans le rectum jusqu'au pédicule, et
rmettant à peine, ou même ne permettant pas du tout l'introduction du
doigt
; tantôt, la maladie affecte une des parois du rec
ection duquel on ne doit pas employer le bistouri, mais seulement les
doigts
; quant à l'urètre il s'en éloigne assez, en remon
t dans l'étendue d'un centimètre et demi environ que plus haut, où le
doigt
suffit pour les disséquer. Les vaisseaux qu'on
ivé à l'intestin qui se trouve isolé de toutes parts; on introduit le
doigt
indicateur dans sa cavité jus-qu'au dessus du mal
es enlever en égale quantité ; pour cela M. Lisfranc introduisant son
doigt
indicateur dans la cavité de l'intestin, s'en ser
aide, une forte algalie qui avertit du voisi-nage de ces organes. Le
doigt
indicateur placé à l'intérieur et le pouce à l'ex
-posé et à guider le bistouri. Chez la femme un aide place un ou deux
doigts
dans le vagin, pour reconnaître la position du bi
re. D'ailleurs, dans ces parties, on se sert autant qu'on le peut des
doigts
pour séparer l'intestin des organes génito-urinai
e verticale, et coupe l'intestin circulairement en se guidant avec le
doigt
indicateur, tandis que des aides tendent les part
in. Lorsque l'opération est terminée, il faut s'assurer à l'aide du
doigt
porté dans la plaie, s'il ne reste pas encore que
uce environ , de manière à ce qu'il puisse librement y intro-duire un
doigt
. S'il se sert d'un bistouri droit il opère en poi
sert d'un bistouri droit il opère en poin-tant, et doit remplacer son
doigt
parla sonde cannelée. Une inci-sion de grandeur c
ersait en dehors les bords de la plaie et tournait, avec les derniers
doigts
placés derrière le scrotum, la tumeur d'arrière e
s , fait une incision de trois centimètres , du haut en bas, porte le
doigt
indicateur à travers cette ouverture, détache tou
tre et vide complètement le t. vu. kyste. Puis avant de retirer son
doigt
, il s'en sert comme d'un guide pour faire une con
encer par faire au scrotum une incision exploratrice , et alors si le
doigt
indicateur, plongé dans la cavité de l'enveloppe
la portion de la coque extérieure épaissie et à l'exciser. Mais si le
doigt
reconnaît que la partie de la tunique qui envelop
n gauche, par sa partie antérieure , le pouce d'un côté et les quatre
doigts
de l'autre, pour tendre les tégumens. Puis de la
ile que de le détacher à l'aide de quelques coups de bistouri, ou des
doigts
. Mais si le tissu cel-lulaire, sans être profondé
arvenir plus aisément , tandis qu'un aide tire sur la tumeur avec les
doigts
ou avec des érignes, il faut saisir les lèvres de
plaie l'une après l'autre, d'abord avec «les pinces, puis avec les
doigts
, pour tendre les parties et les disséquer soit av
équer soit avec le bistouri, soit avec les ciseaux , ou même avec les
doigts
, lorsque cela est possible. En général le bistour
ère la séparation avec des ciseaux, ou bien avec un bistouri près des
doigts
de l'aide , et l'on pro-cède à la recherche des v
le cordon près de sa racine. Parfois le pédicule du cordon glisse des
doigts
, et se retire clans l'anneau. On peut évi-ter cet
st couché comme précédem-ment. Il saisit entre le pouce et les quatre
doigts
de la main gauche le cordon à travers un pli de l
m-brasse entre les pouces de ses deux mains placés en arrière, et les
doigts
appliqués en avant, la peau saine du scrotum au-d
sez pour permettre à l'instrument de passer aisément entre lui et les
doigts
de l'aide de face. Les parties étant ainsi disp
uri étroit, à travers le pli delà peau scrotale qu'il tient entre ses
doigts
, derrière le cordon , un peu au-dessus du point o
couverte de tégumens, il reprend le cordon, le pouce en dedans et les
doigts
en dehors , reporte le tranchant du bistouri derr
plus souvent aussitôt que la section est faite, le cordon glisse des
doigts
de l'o-pérateur et se retire un peu , mais jamais
rateur abandonne le prépuce, saisit la verge entre les trois derniers
doigts
placés en dessous et l'indicateur en dessus , pui
ssus , puis avec le pouce il tire la peau vers le pubis , applique ce
doigt
derrière le point où l'incision doit commencer, t
pouces restés libres, afin de le refouler en arrière, tandis cpie les
doigts
placés derrière le prépuce malade l'attirent en a
pouces qui tendent à se loger dans son intérieur. Pour éviter que les
doigts
ne glissent pendant la manœuvre, il faut avoir la
ce sur le gland, en comprimant celui-ci vers sa base avec le bout des
doigts
indicateur et annulaire de chaque main, les deux
rop forte, le chirurgien , commence par comprimer et masser entre les
doigts
le bourrelet infiltré, afin de dissémi-ner la sér
tient, et de rendre au tissu cellulaire sa mobilité; puis il passe le
doigt
indicateur entre la couronne du gland et le prépu
re le prépuce, un anneau propre à l'attirer en avant; alors, avec les
doigts
de l'autre main il com-prime le gland, le masse e
, dont les tours seront uniformément serrés, et en pressant entre les
doigts
les parties infiltrées chaque fois qu'on renouvel
e côté; saisissant la verge avec la main gauche , les quatre derniers
doigts
en dessous et le pouce sur le gland, après avoir
t chez tous les adultes dont je n'ai pu réduire le gland à l'aide des
doigts
et des pouces, que je conçois à peine quelques ca
; puis en exprimant la sérosité con-tenue dans le bourrelet, avec les
doigts
qui le pressent fortement, et en procédant à sa r
nfant n'urinait que par un pertuis très étroit, placé à un travers de
doigt
en arrière de la fosse naviculaire. Un stylet éta
e cire amol-lie au feu ; alors on l'unissait en la tournant entre les
doigts
, et on la trempait dans l'emplâtre de Nuremberg f
des bourses sur le périnée, et l'on cher-che à reconnaître, avec les
doigts
indicateur et médius, le bec de la sonde et de qu
graissé, dans le rectum, pour aller à sa re- 5o cherche; avec ce
doigt
on peut s'assurer dans quelle direction les effor
n précise d'un contact avec la paroi su-périeure, retirer la pulpe du
doigt
qui est dans le rectum jusqu'au-près de l'orifice
t « dans le rectum, la vessie distendue et à la possibilité qu'a le «
doigt
introduit clans le rectum de sentir et de suivre
iamètre de la sonde , il le laissait refroidir, le malaxait entre ses
doigts
, le roulait sur un corps poli, et obtenait ainsi
ventre; on la pousse dou-cement, en la tournant légèrement entre les
doigts
. Lorsqu'elle s'arrête il convient de la presser l
e de quelques millimètres, on la fait tourner sur elle-même entre les
doigts
, et on l'incline à droite et à gauche en la pouss
ontre l'urètre, on peut favoriser son introduction avec deux ou trois
doigts
placés contre le périnée ou le canal , ou bien su
les humeurs de l'urètre ne vienne, pendant l'opé-ration, attaquer les
doigts
du chirurgien. Sur deux points oppo-sés de cette
ermait l'orifice extérieur de celui-ci, cherchait en pressant avec le
doigt
à faire passer le liquide plus avant, et répétait
s et de la tige, il insinue profondé-ment, dans l'intestin rectum, le
doigt
indicateur de la main gauche enduit de cérat, et
autre, avec une force proportionnée à la résistance qu'il éprouve. Le
doigt
indicateur de la main gauche qui sert, pour ainsi
sede l'urètre. Le calcul étant accessible au toucher, on introduit le
doigt
indicateur seul, ou mieux l'indicateur et le médi
lcul de la traverser, on porte, ou l'on fait porter par un aide, deux
doigts
dans le rectum pour le pousser en avant, et l'on
main. Le chirurgien, placé entre les cuisses du malade, applique le
doigt
indicateur de la main gauche sur le côté du raphé
née, et diriger plus sûrement la pointe du trocart; ou bien il met le
doigt
dans le rectum pour éloigner autant que possible
n-teur de cette méthode. Ce chirurgien ayant remarqué, en por-tant le
doigt
dans le rectum, que, dans l'ischurie, le bas-fond
comme précédemment en travers de son lit, le chirurgien introduit le
doigt
indicateur de la main gauche, bien graissé d'huil
se pas les par-ties, il le fait glisser, par son côté convexe, sur le
doigt
placé dans le rectum. Lorsque l'extrémité de la c
dans le rectum. Lorsque l'extrémité de la canule a dépassé le bout du
doigt
et se trouve en contact avec la paroi antérieure
sus de la prostate, entre les vésicules séminales, puis il re-tire le
doigt
du rectum, et, saisissant la canule avec le pouce
entre l'intestin et la prostate, de pousser autant le mandrin avec le
doigt
placé dans le rectum, sur la convexité et près de
n de ne choisir cette méthode, que dans les cas où l'on sent, avec le
doigt
porté dans le rectum, une tumeur formée par le ba
arde pas à rencon-trer le calcul. Si l'on ne peut y parvenir, avec un
doigt
introduit dans le rectum, on soulève le bas-fond
l'in-strument par son extrémité, de petits chocs sont perçus par les
doigts
qui tiennent le pavillon et font entendre un son
t facile à déterminer en com-binant le soulèvement du bas-fond par le
doigt
porté dans le rectum, avec la pression directe, s
les premiers temps M. Civiale se contentait de faire tourner avec les
doigts
le stylet propre à briser la pierre ; mais plus t
instrument, et destiné à le fixer; puis une rondelle pour appuyer les
doigts
pendant la percussion. La partie de la branche mâ
sir le calcul, et parfois même on y échoue, si, à l'aide d'un ou deux
doigts
portés dans le vagin, il n'est pas possible encor
tranchant, si l'on n'a pas le soin de la fixer préalablement avec les
doigts
; i" La couche du tissu cel-lulaire adipeux qui l
vers le bas-fond de la vessie. Il cherchait alors le calcul avec les
doigts
placés dans le rectum, et lorsqu'il l'avait trouv
, il le poussait en dehors à travers les lèvres de la plaie, avec les
doigts
situés dans l'intestin ; mais s'il était gros, il
dans l'intestin ; mais s'il était gros, il aidait sa sortie avec les
doigts
de la main droite, ou bien avec un crochet, la cu
la prostate le plus souvent intacts. Il en donne pour motifs que les
doigts
n'enga-gent qu'assez rarement le calcul dans la p
rre mal assujettie et le plus souvent inégale, à l'accrocher avec les
doigts
et à l'extraire par une semblable ouverture; et e
r une semblable ouverture; et enfin l'impossibilité d'introduire deux
doigts
dans le rectum chez les enfans trop jeunes. Au re
out près du raphé, depuis la racine du scro-tum jusqu'à un travers de
doigt
de l'anus, à ouvrir l'urètre et à dilater la plai
ur le côté gauche, depuis la racine des bourses jusqu'à un travers de
doigt
de l'anus; il coupait ensuite la couche musculair
alors, avant d'in-troduire les tenettes, on dilatait la plaie avec le
doigt
. Lorsque la vessie contenait plusieurs pierres et
phincter ex-terne , la région membraneuse se trouvant à découvert, le
doigt
indicateur gauche, porté au fond de l'incision da
dans le sens du diamètre antéro-postérieur. Im-médiatement après, le
doigt
indicateur gauche, reporté dans la plaie, indiqua
calcul de la traverser. Lorsqu'elle était jugée trop étroite, le même
doigt
servait de guide pour conduire le bistouri et pou
e retira point ; « après avoir fait cette incision, il introduisit un
doigt
dans la « vessie pour reconnaître la situation de
pour reconnaître la situation de la pierre. Cela fait, il « retira le
doigt
et introduisit dans la vessie un petit instrument
t en ce point « une incision commençant à un pouce ou deux travers de
doigt
« au-devant de l'anus, et se dirigeant vers la tu
hait de la vessie, il devenait plus circon-« spect ; il enfonçait son
doigt
indicateur droit tantôt dans le « rectum pour rec
rose superficielle et les graisses étant coupées, il introduisait son
doigt
indicateur gauche dans la plaie pour chercher la
vessie à mesure qu'il pénétrait dans ce viscère, tandis qu'avec deux
doigts
de la main gauche il repous-sait à droite l'intes
er la prostate il refou-lait le rectum à droite et en arrière avec le
doigt
indicateur gau-che placé dans la partie postérieu
a partie postérieure cle la plaie, faisait glisser sur l'ongle cle ce
doigt
un bistouri légèrement concave, arrivait au col c
re une longue incision clans le sens or-dinaire, et cherchait avec le
doigt
indicateur cle la main droite, porté dans la plai
différant fort peu de celui de Cheselden. Ponteau plaçait le petit
doigt
de la main gauche dans l'anneau de son cathéter,
e, en ayant le soin de sentir constamment le cathéter avec le bout du
doigt
qui dépas-sait la pointe du litholome; lorsque ce
g. 1). Lorsqu'il croyait être arrivé à l'urètre, il cherchait avec le
doigt
indicateur gauche la rainure du cathéter, et en l
bord gauche de la cannelure du cathéter entre la pulpe et l'ongle du
doigt
indi-cateur gauche sans intermédiaire, prenait av
'ouvrir au degré conve-nable, le pouce en dessus , les trois derniers
doigts
en dessous, l'indicateur allongé sur sa tige, et
e, mais cet angle s'efface aisément par la pression « exercée avec le
doigt
et n'oppose aucun obstacle à l'introduc-« tion de
e bord droit de la cannelure du cathéter entre l'ongle et la pulpe du
doigt
indicateur gauche ; on fait glisser la languette
tion. Lors- qu'il avait acquis cette certitude, il introduisait son
doigt
indica-teur gauche dans le rectum pour le placer
nt son trocart, qu'il tenait de la main droite, à un grand travers de
doigt
au-dessus de l'anus, et aussi près que possible d
n-strument dans la partie latérale gauche du périnée, à un travers de
doigt
au-dessous de la réunion des pubis, et le plus pr
. 1 ). Le chirurgien placé en face du périnée, qu'il tendait avec les
doigts
de la main gauche, y faisait une incision demi' c
é déterminé, puis on conduisait le bec de l'instrument sur l'ongle du
doigt
indicateur gauche placé dans la cannelure, la con
t fût entièrement dégagé. Il ne restait plus alors qu'à introduire le
doigt
indicateur dans la plaie pour s'assurer de ses di
latéralisée suivant l'un des procédés perfectionnés, s'assure avec le
doigt
du volume delà pierre, et si elle est trop grosse
tenettes à tenir à un aide, intro-duisit un bistouri boutonné sur le
doigt
indicateur gauche, et incisa d'abord le rayon obl
mme un lacet : on lui recomman-derait d'embrasser ses talons avec les
doigts
placés en dessous de la plante du pied, et le pou
n droite, un bistouri droit ou convexe, il étend les parties avec les
doigts
de la main gauche et fait, au côté gauche du péri
sur la cannelure du cathéter qu'il reconnaît plus précisément avec le
doigt
indicateur gauche, à mesure que l'incision devien
rinéales. Examen de la vessie. La section terminée, on introduit le
doigt
indicateur gauche dans la vessie afin de reconnaî
Introduction des tenettes. Pour y procéder, l'opérateur pla-cera son
doigt
dans l'angle inférieur de la plaie, la surface pu
e le gorgeret, il faut appliquer sa concavité sur le bord « radial du
doigt
et l'enfoncer en le dirigeant un peu oblique-« me
t de bas en haut. Quand il est parvenu dans la vessie, on « retire le
doigt
et on fait tourner l'instrument sur lui-même, de
it de la main droite, à pleine poignée, parles anneaux, on allonge le
doigt
indicateur sur leurs tiges, on les pré-sente à la
lèvres de la plaie, et on les fait glisser sur le gorgeret ou sur le
doigt
jusque dans la vessie. Lorsqu'elles y sont parven
ui rend sa préhension difficile. Dans ce cas, chez les enfans , où le
doigt
peut atteindre dans la vessie, il ne faut pas hés
ssie, il ne faut pas hésiter à retirer la te-nette et à introduire le
doigt
indicateur au-dedans pour placer la pierre dans u
, du moins très difficile de changer la position de la pierre avec le
doigt
, il convient de la saisir par le point qui se pré
ée, il serait sage de faire, avec le bistouri boutonné conduit sur le
doigt
, une incision sem-blable de l'autre côté du périn
nette, la donnait à tenir à un aide, par-dessus le pubis, plaçait son
doigt
indicateur gauche dans l'an-gle inférieur de la p
hes de la le-nette auprès de la plaie avec la main gauche, les quatre
doigts
dessous et le pouce en dessus; ou bien le pouce e
main gauche fixe les branches de l'instrument avec les trois derniers
doigts
, tandis que le pouce et l'indicateur refoulant le
plaie oppose de la résistance à la sortie des cuillers, on y porte le
doigt
indicateur au moment où on élève les branches de
l'abandonnent et sortent seules, il est pres-crit alors de porter le
doigt
indicateur dans le trajet qu'elle a parcouru, et
e se réduit en poussière. En cas de fragmens il faut chercher avec le
doigt
indicateur s'il n'en est pas resté dans la plaie
udra donc, dans tous les cas, et surtout dans celui-ci, introduire le
doigt
indi-cateur ou le bouton dans la vessie pour l'ex
abondante pour pouvoir être arrêtée par un aide qui appliquerait son
doigt
sur la bouche du vaisseau. S'il y a hémorrhagie ,
ésenter; en pareil cas, la première chose à faire est d'introduire le
doigt
indicateur dans la cavité urinaire pour reconnaît
s sur l'hypogastre avec l'autre main, pour abaisser la vessie vers le
doigt
; et si ce mode était encore insuffisant, on ferai
rait exercer la pres-sion par un aide, tandis qu'on introduirait deux
doigts
dans le rectum, ou dans le vagin, dans le cas où
est fixé, Littre recommande de porter une sonde dans la vessie, et le
doigt
indicateur dans le rectum ou dans le vagin , de
rectum ou dans le vagin , de chercher la pierre avec la sonde et le
doigt
, et de tâ-cher d'user les parties qui la recouvre
lement chatonnée ou adhérente , et qu'on ne puisse la toucher avec le
doigt
, mais que son contact avec la sonde indique qu'un
iger en pareil cas. S'il est possible d'atteindre la pierre avec le
doigt
et d'appré-cier la saillie qu'elle fait dans la v
ent au niveau de ce bord; on fait glisser un bistouri boutonné sur ce
doigt
, et l'on fait une ou plusieurs incisions à la muq
le point où elle étrangle la pierre; puis on détruit avec l'ongle du
doigt
conducteur les adhérences, s'il y en a; on lui su
superficielles qui le fournissent; il vient « de la transverse si le
doigt
, porté à une certaine profondeur, « l'arrête en p
de « profondeur, i! ne cesse pas de couler lorsqu'on presse avec le «
doigt
tous les points de la plaie périnéale. » Toutefoi
r outre il serait conve-nable de faire suspendre l'écoulement avec le
doigt
d'un aide appliqué sur le point d'où l'on présume
avec les parties qui fournissent le sang. Chez les sujets maigres, le
doigt
indicateur suffit pour conduire la canule dans la
canule dans la vessie; mais, dans ceux qui sont gras, et chez qui le
doigt
ne peut pé-nétrer jusqu'au col, le gorgeret est p
la paroi antérieure du rectum. Introduisant alors, dans l'anus, le
doigt
indicateur gauche enduit d'un corps gras, la face
e de la paroi antérieure du rec-tum, en soutenant le bistouri avec le
doigt
indicateur placé dans l'anus; l'instrument étant
pénètre dans l'espace triangulaire qui sépare l'urètre du rectum. Le
doigt
indicateur gauche, dont le bord cubital est tourn
arrivé à la profondeur voulue, il tournait le tranchant en avant; son
doigt
se trouvant appliqué sur le dos de la lame, il pi
cette manière, la face inférieure de la prostate étant mise à nu, le
doigt
indicateur gauche porté dans l'incision sent le b
ppuie sur le bas-fond de la vessie. Alors le bistouri, conduit sur ce
doigt
, le tranchant tourné en arrière, est enfoncé dans
il ait fait à la vessie une incision de »7 millimètres, tandis que le
doigt
indicateur, reporté dans le rectum, éloigne cet i
pénil, un peu à costé et sur la pierre, car je levoys icelle avec mes
doigts
qui estoyent au fondement et d'autre côté en la t
ersonne ne sera tenté d'imiter franco, c'est-à-dire d'introduire deux
doigts
dans l'intestin pour soulever le calcul jusqu'à l
aller jusqu'au péritoine, et terminait en retirant le calcul avec les
doigts
de la main droite, ou bien avec une tenette. Pl
r incisé la peau et les aponévroses comme Douglas, Morand portait son
doigt
indicateur gauche dans l'angle supérieur de la pl
. Aussilèt qu'il avait ouvert le réservoir de l'urine, il portail son
doigt
indi-cateur dans l'incision , le recourbait «m cr
e la vessie, tandis qu'il refoulait plus en haut le péritoine avec le
doigt
indicateur gauche afin de ne pas le percer avec l
qui régnait sur la concavité de la sonde à dard ; puis il plaçait son
doigt
indica-teur gauche dans le réservoir de l'urine,
le plus certain, comme le pratique M. Amussat, con-siste à glisser le
doigt
indicateur gauche à travers l'incision jus-que su
eur gauche à travers l'incision jus-que sur l'organe, à introduire le
doigt
indicateur droit dans le rectum, e! à soulever av
ouchés, démontre que c'est le viscère qui se trouve compris entre les
doigts
. La vessie étant reconnue, pour agrandir l'incisi
al, on peut employer un bistouri droit boutonné, glissé à plat sur le
doigt
qui soulève les aponévroses, ou un bistouri point
'on veut employer le bistouri boutonné, on le fait filera plat sur le
doigt
indicateur, dont la pulpe dépasse le bouton sous
se en pressant plutôt qu'en sciant; avec cette précaution, le bout du
doigt
repousse et pré-serve le péritoine. Cette manière
d'hui la règle en vigueur. Pour pratiquer cette incision, on place le
doigt
indi-cateur dans l'angle supérieur de la plaie, l
on veut ponctionner. Alors faisant glisser la lame du bistouri sur ce
doigt
, on en tourne le tranchant vers le pubis, on plon
ction en retirant l'instrument, et l'on introduit aussitôt le bout du
doigt
dans l'ouverture, en lui faisant exé-cuter un mou
on de Morand, qui en a donné l'exemple et le précepte, on recourbe le
doigt
en crochet afin qu'il soutienne le viscère. Ce do
, on recourbe le doigt en crochet afin qu'il soutienne le viscère. Ce
doigt
, qui ferme et remplit l'incision, empêche l'urine
, ce qu'il conviendra défaire ultérieurement. Ensuite, recourbant le
doigt
en crochet, il s'en sert pour attirer en haut la
rbe de Polt peut être fort utile. Au lieu de continuer à se servir du
doigt
pour suspendre la vessie, on peut y substituer av
sion, et laisse un large espace pour l'introduction et la manœuvre du
doigt
et des instrumens. Dès que la plaie est agrandie,
ière le bord du pubis; on refoule en haut le repli péritonéal avec le
doigt
indicateur gauche , et lorsqu'on est sûr que l'ex
la sonde, puis la sonde elle-même, et. l'on place en même temps son
doigt
indi-cateur gauche dans l'angle supérieur de la p
suspenseur qu'il donne à tenir à l'un des aides, on s'assure avec le
doigt
, de la position et du volume du calcul, et l'on p
e ouverture assez grande avec le bistouri pointu pour y introduire le
doigt
, on y substituera un bistouri boutonné, avec lequ
osant alors le bis-touri, il plonge entre les lèvres de l'incision le
doigt
indicateur gauche, écarte et déchire le tissu cel
e, écarte et déchire le tissu cellulaire et insinuant l'extré-mité du
doigt
derrière la symphyse pubienne il décolle, pour se
ce.antérieure de la vessie jusqu'au-dessus du col; puis recourbant le
doigt
en crochet et raclant avec l'ongle de bas en haut
auche, de la main droite il fait glisser verticalement sur l'ongle du
doigt
qui est dans la plaie, la pointe du bistouri qui
péritoine. Aussitôt que la ponction a donné un orifice suffisant, le
doigt
qui avait servi de guide au bistouri le suit pour
ordinairement une tenètte droite ou courbe, suivant le besoin, sur le
doigt
explorateur, et l'on prend toutes les précautions
rsqu'on est parvenu dans sa cavité , on charge la pierre, et, avec le
doigt
qui est dans la vessie, on s'assure avant de l'ôt
ieure du kyste, ou le bord du chaton avec un bis-touri conduit sur le
doigt
et guidé par lui, ou bien soulever la paroi antér
introduit les branches l'une après l'autre, en les conduisant sur le
doigt
indicateur; on les articule ensuite et on retire
décrit pour les hommes. Il prescrit, chez la femme, d'introduire deux
doigts
dans le vagin pour amener le calcul au col de la
e l'autre. Chez les filles vierges, il veut qu'on introduise les deux
doigts
par le rectum, qu'on amène de même le calcul au c
le même que sui-vait Celse pour les jeunes vierges : introduire deux
doigts
dans le rectum ou dans le vagin, amener doucement
maintenir dans cette position, il écarte les petites lèvres avec les
doigts
de la main gauche, repousse le clitoris en haut,
la même direction, en ayant le soin d'introduire de temps en temps le
doigt
indicateur dans la plaie pour s'assurer s'il appr
is faire à maistre Laurent Collot; c'est que nullement ne mettent les
doigts
dedans le siège, ni dedans le col de la ma-trice,
it perforé la cloison vésico-vaginale, et pou-vait être senti avec le
doigt
introduit dans le vagin; dans la seconde, la femm
pour les cas de pierres très volumineuses. Alors il introdui-sait les
doigts
dans le vagin, amenait la pierre aussi près que p
e. Les deux mains étant libres, on écarte les grandes lèvres avec les
doigts
de la main gauche, on porte la pointe du bistouri
ssus et en avant de l'entrée du vagin, on le perçoit avec la pulpe du
doigt
indi-cateur sous forme d'un tubercule ou d'un bou
tirer sur le vestibule et la base du cli-toris, par en haut, avec le
doigt
indicateur, tandis que le médius et le pouce entr
uisses. Le chirurgien, placé à droite, dé-couvre les parties avec les
doigts
de la main gauche qu'il porte sur le pubis en pro
endant qu'on écarte les petites lèvres avec le pouce et le médius, le
doigt
indicateur relève le clitoris et le vestibule de
levés par l'indicateur, on porte le bec de la sonde sur l'ongle de ce
doigt
, et en le faisant glisser de haut en bas sur la l
rifice uretral. Arrivé à ce point, l'annulaire s'v arrête, les autres
doigts
font glisser la sonde sur la pulpe et s'en serven
es et y faire naître des altéra-tions. Il faut éviter d'introduire le
doigt
à travers l'ouverture de l'hymen ou d'exercer des
tat des parties, on intro-duit une sonde dans la vessie et un ou deux
doigts
dans le rectum : si l'on sent facilement la conve
it être retiré en agrandissant la plaie dans toute sa longueur, et le
doigt
indicateur est introduit à sa place , pour s'assu
l introduisit l'indica-teur gauche dans le rectum, substitua le petit
doigt
à la sonde, et le poussa avec assez de force pour
ieux réussir, il attira en même temps à lui le périnée, pincé avec un
doigt
placé dans le rectum et un autre dans la vulve, e
e leur longueur et leur épaisseur, on saisit la lèvre gauche avec les
doigts
de la main gauche, ou bien avec une bonne pince,
pour ce cas, avec de fort ciseaux, on saisit la lèvre gauche avec les
doigts
de la main gauche, et on la pique au dehors avec
er. C'est une opération par laquelle, à l'aide d'un ou de plusieurs
doigts
, on cherche à reconnaître les changemens et les a
t souvent indispensable de sou-lever en même temps cet organe avec un
doigt
situé dans le va-gin . On prendra garde de ne pas
, des liquides ou des gaz. Le meilleur moyen est d'étendre à plat les
doigts
d'une main sur les surfaces , pendant que l'indic
terre, et le genou droit relevé pour soutenir le coude ; on enduit le
doigt
indicateur droit, dontl'ongle sera assez court po
t les organes génitaux pour-raient être infectés; puis on présente ce
doigt
seul à la partie postérieure de la vulve, la main
e au-devant de la symphyse pubienne, et de fléchir les trois derniers
doigts
dans la paume de la main , de manière que leur fa
centimètres de longueur ; il vaut mieux, suivant lui, tenir tous les
doigts
étendus, et enfoncer l'indicateur dans le vagin p
vestigation, M. Lisfranc conseille de toucher, en faisant exécuter au
doigt
indicateur, des zones à mesure qu'il pénètre et q
cherche d'abord son orifice, s'il est entr'ouvert, on y introduit le
doigt
, sinon , on part de là pour se rendre à l'inserti
veut explorer le corps de la matrice , il faut porter l'ex-trémité du
doigt
dans le cul-de-sac utéro-vaginal, en avant, en ar
u sur les côtés. S'il arrivait que le vagin fût trop long pour que le
doigt
pût atteindre les parties qu'il veut toucher, on
dicateur seul. Dans un cas où il ne pouvait atteindre le col, avec le
doigt
seul, et s'assurer de la maladie à laquelle il av
connaître deux polypes. Lorsque l'examen est terminé , on retire le
doigt
, on examine les matières qu'il rapporte, et, pour
'il rapporte, et, pour mieux en reconnaître la cou-leur, on essuie ce
doigt
sur un linge blanc. Deuxième procédé. La femme
res long-temps prolongées. Cette précaution prise, on écarte avec les
doigts
de la main gauche les grandes et petites lèvres,
risa avec le nitrate d'argent placé sur une bague qu'il portait à son
doigt
indicateur, les lè-vres de la fistule jusqu'à ce
ure de la fistule à i3 ou 14 millimètres au-delà de son bord , que le
doigt
indicateur placé dans le vagin était chargé de so
uvert d'un doigtier en peau jusque dans la vessie, en introduisant ce
doigt
par le vagin au travers la fistule; parvenu dans
ire, il ne s'agit plus que de les fixer, soit qu'on les noue avec les
doigts
, qu'on les tortille, qu'on les passe dans un serr
s mince et légèrement coudée près de sa pointe, que l'on guide sur le
doigt
indicateur ou sur le petit doigt, nous paraît enc
de sa pointe, que l'on guide sur le doigt indicateur ou sur le petit
doigt
, nous paraît encore ce qu'il y a de mieux, dans l
début la fistule était assez grande pour permettre l'introduction du
doigt
. Si ellearéussi entre les mains de MM. Ehrman, De
aut en bas, une incision d'une longueur convenable, qui contourne ses
doigts
, porte son bistouri sur la face interne et fait,
le. Pour y parvenir, on donne les fils à tenir à un aide, on porte le
doigt
indicateur le long du lambeau jusqu'à un des angl
ont repoussé dans l'uv térieur du vagin. Procédé de M. Velpeau. Un
doigt
étant introduit dans le rectum , on pousse la par
istule était assez grande pour permet-tre l'introduction de plusieurs
doigts
. M. Vidal aviva avec le bis-touri l'orifice du va
erte de substance telle qu'on peut introduire avec facilité plusieurs
doigts
dans la vessie, ou de celles dans lesquelles, cet
tre enlevées avec sécurité, parce qu'on peut placer dans le rectum un
doigt
qui sert de guide pour ne pas aller trop profondé
, sur la cloison vésico-vaginale , comme on ne peut pas introduire un
doigt
dans la vessie, il est plus difficile de se guide
si complètement la cavité du bassin qu'on ne pouvait introduire qu'un
doigt
entre elle et le pubis , et qu'on eut beaucoup de
'autre part, et dirigée vers le coccyx; on détacha la tumeur avec les
doigts
, et on parvint à l'enlever. La tête de l'enfant d
t la moitié supérieure du vagin est retournée sur elle-même, comme un
doigt
de gant; dans le troisième degré, il y a prolapsu
at, plutôt qu'avec la main nue, etde la com-primer doucement avec les
doigts
. De quelque manière qu'on s'y prenne, aussitôt qu
xtrémité périnéale; confiant alors les érignes à l'aide, il porte son
doigt
indicateur gauche dans le rectum pour surveiller
pessaire étant fait, on l'enduit d'un corps gras, on écarte avec les
doigts
de la main gauche les lèvres de la vulve, à la-qu
ar le vagin, soit par les tubérosités sciatiques. Avant de retirer le
doigt
, il est con-venable de lui faire parcourir la cir
ire avec la main gauche tandis qu'on repousse le bord opposé avec les
doigts
de la main droite; puis le doigt indicateur, intr
on repousse le bord opposé avec les doigts de la main droite; puis le
doigt
indicateur, introduit dans leur ouverture central
ar leur extrémité la plus large, en ayant soin de l'aplatir entre les
doigts
pour qu'ils pénètrent plus facilement. 9° Pessa
squ'il est introduit, il faut faire lever la femme, et, conservant le
doigt
appliqué sur le pessaire, la faire tousser et mar
pratiquer l'extraction, quel-ques personnes, après avoir introduit le
doigt
dans le trou du pes-saire, tirent directement des
ire placer la femme comme pour l'introduction du pessaire, glisser le
doigt
dans le vagin, l'insinuer entre les parois de cet
rizontale, et le placer de champ dans le vagin; puis, on introduit le
doigt
, comme un crochet, dans son Ouverture centrale, e
ite sonde. Alors, il faudrait abaisser le col de la matrice avec deux
doigts
introduits dans le vagin, etfaire attirer la comm
rsque cette manœuvre ne réussit pas, on a conseillé d'introduire deux
doigts
de l'autre main dans le rectum , et de s'en servi
s'en servir pour en repousser l'utérus en haut, tandis que, avec les
doigts
placés dans le vagin, on attire le col en bas ; m
col en bas ; mais il n'est pas facile d'introduire en même temps les
doigts
dans ces deux parties, et d'exécuter avec leur ai
r ce procédé; car, outre la difficulté qu'on éprouve à introduire les
doigts
, ils sont le plus souvent trop courts pour attein
plus commode. La matrice est quelquefois tellement en-clavée que les
doigts
placés dans le rectum n'agissent pas assez puissa
ement la matrice , tandis qu'il cherchait à abaisser le col avec deux
doigts
de l'autre main. Comme la dis-tension de l'orific
un suppositoire de cacao, soit un peu de pommade de belladone. Si les
doigts
dans le vagin ne pouvaient atteindre le col, on p
avité de l'instrument, en même temps qu'on repousse son fond avec les
doigts
placés dans l'in-testin. De quelque manière qu'on
issé, pour repousser le fond de l'utérus en haut, tandis qu'avec deux
doigts
placés dans le vagin on cherche à abaisser et à r
forme et de la nature des corps, et cherchera à les dégager avec les
doigts
, des pinces, une curette et un crochet mousse. Qu
tant placée comme dans les cas précédens, on tâche de trouver avec le
doigt
le col utérin ou le lieu dans lequel il doit ordi
le point de la matrice qu'on veut traverser, en le conduisant sur le
doigt
indicateur gauche ; puis, on fixe l'organe avec l
r opérer. On con-duit, comme dans le cas précédent, le trocart sur le
doigt
indica-teur gauche, introduit dans le rectum, et
ui pesait une livre. M. Velpeau dit (Méd. opér. t. iv, p. 386) que le
doigt
lui a suffi pour rompre et entraîner au dehors un
nlever ce qui restait, il intro-duisit la pince fermée le long de son
doigt
indicateur , pressa le polype entre eux et parvin
ure du col, et fai-fait saillie dans le vagin. Il le comprima avec le
doigt
indicateur delà main droite, et parvint à l'écras
ait de le broyer , ils l'étreignirent entre des pinces-érignes et les
doigts
, et ne cessèrent qu'après que la tumeur fût rédui
és, et que, en outre, son tissu est assez friable pour per-mettre aux
doigts
de le déchirer. Les polypes qui naissent du corps
nd du vagin , en cô-toyant le polype; arrivé là, il introduisait deux
doigts
de la main gauche dans le vagin, et s'assurait si
ueur, est enfoncée le plus près pos-sible de la tumeur, soit avec les
doigts
, soit avec une sonde à cro-chet, et a pour but de
on a proposé, lorsqu'il s'agit de polypes du va-gin, de se servir du
doigt
indicateur pour porte-nœud ; pour cela, on place
rte-nœud ; pour cela, on place le milieu de l'anse sur l'extrémité du
doigt
indicateur gauche par exemple, on la tend en tira
ence des efforts de la défécation , on tâchera de le retirer avec les
doigts
, et si l'on ne peut réussir , on le saisira avec
rocéder seulement par le tact, en dirigeant les pinces sur un ou deux
doigts
de la main gauche, destinés à protéger les parois
encer la manœuvre, le mieux est, sans désemparer, de conduire sur les
doigts
de la main gauche le bistouri bou-tonné ou les ci
e tâcher de le faire sortir de l'organe, en pressant dessus avec deux
doigts
introduits dans le rectum, et une main appli-quée
la production morbide, il n'en faut pas davantage pour que, avec les
doigts
, le manche de l'instrument ou de simples traction
e était enveloppée par le tissu de l'u-térus, il s'efforçait, avec le
doigt
, de détruire ce qu'il croyait être ses adhérences
e faire suspendre les tractions, parce que la pression du col sur son
doigt
l'empêchait d'agir. En vain essaya-t-on de passer
e de l'utérus. Par suite de cet effort, l'organe se renversa comme un
doigt
de gant; la tumeur avait descendu et déjà franchi
rsé ; la ré-duction de ce dernier étant opérée par le refoulement des
doigts
, on put apercevoir la cavité de l'organe où exist
s du diamètre qui coupe le précédent à angle droit; puis, il porte le
doigt
indicateur sur le pourtour de l'insertion utérine
ice, et rendre la partie postérieure du col plus saillante, porte son
doigt
indicateur gauche à demi fléchi derrière le musea
bande jusqu'à 4 centimètres (r pouce et demi ) de sa pointe, vers ce
doigt
qui lui sert de guide et de point d'appui, et pén
le spéculum, on met cet instrument de côté, et l'on introduit sur le
doigt
indicateur des érignes simples ou doubles, qu'on
t et plus sûrement les érignes, en les conduisant simple-ment sur les
doigts
. Toutefois, comme il est important que les parois
e l'utérus est renversé, c'est-à-dire retourné sur lui-même, comme un
doigt
de gant, de manière que sa surface in-terne est d
meur fut saisie avec une pince-érigne que l'on confia à un aide. Deux
doigts
de la main gauche, portés en avant, servirent de
r que ce qui était embrassé par le col utérin. Porté par la plaie, le
doigt
entra librement dans le péritoine et sentit disti
nt cet organe de l'utérus avec le bistouri et les ciseaux, glisse les
doigts
, puis la main gauche tout entière dans le bassin,
n-fiant les pinces à un aide, le chirurgien introduit, protégé par le
doigt
, un bistouri droit, avec lequel il détache lentem
t détache du bas^fond de la vessie le conduit utéro-vaginal; puis, le
doigt
glissé d'abord seul de l'un et de l'autre côté ,
re la ligature et l'utérus, attire au-dehors l'organe saisi entre les
doigts
de la main gauche, pratique la ligature des vais-
ur, il l'ouvrit et évacua une partie du liquide qu'elle contenait; le
doigt
, porté par cette ouverture, ayant démontré qu'ell
uver en dehors du péritoine; dilater l'ou-verture des chairs avec les
doigts
pour pénétrer jusqu'à l'ovaire; lier les petits v
onné, il agrandit l'ouverture, de manière à pouvoir y introduire deux
doigts
, en prenant toutes les précautions nécessaires po
re hernie par la plaie, soulève de nouveau le péritoine avec ces deux
doigts
, et s'en sert pour masquer le bistouri boutonné a
t une incision, dont l'extrémité su-périeure commence à un travers de
doigt
au-dessus de la sym-physe et vient se terminer un
i au moment où la résistance est vaincue, terminer la section avec le
doigt
et sur une sonde cannelée passée derrière la face
supérieure du vagin , l'inciser sur la partie latérale, introduire le
doigt
dans le col utérin par cette ouverture , et tâche
-trice versaient du sang en abondance, les aides devraient placer les
doigts
dessus. Arrivé à ce moment, le chirurgien peut ou
ient des caillots, il faut les extraire avec la main , puis porter le
doigt
indicateur vers son extrémité infé-rieure , et ju
é-rieure , et jusque dans le col, pour le déboucher, et ne retirer le
doigt
que lorsque l'orifice utérin est parfaitement lib
moyen serait insuffisant. Il vaut mieux y porter de temps en temps le
doigt
indicateur pour le déboucher. Dans un cas où un g
couler du vin chaud qu'il força à passer par le col en y insinuant le
doigt
, et rétablit ainsi le cours des lochies. Pansem
liquer le spéculum, ou d'opérer la version. Ensuite, on intro-duit le
doigt
indicateur gauche, jusqu'au col ; on place son ex
le col et, retournant le tran-chant contre la paroi de manière que le
doigt
pèse sur le dos de la lame, on fait une incision
est couchée. De quelque manière qu'elle soit placée, on glisse sur le
doigt
indicateur gau-che , introduit dans la matrice, u
diminution et le trouble instantané de la vue quand on exerce avec le
doigt
la pression la plus légère sur la paupière supéri
z de la personne qu'il exa-« mine, et lui recommande de bien fixer ce
doigt
. Dans ce mo-« ment l'oeil dévié se dessine fortem
t ensemble avec tant d'accord, que si l'opéré place « devant lui deux
doigts
de l'une de ses mains et fixe l'un des « doigts a
ace « devant lui deux doigts de l'une de ses mains et fixe l'un des «
doigts
alternativement, les assistans pourront lui dire
rnativement, les assistans pourront lui dire à coup « sûr quel est le
doigt
sur lequel son regard s'arrête. Cette dé-« monstr
spéculum la paupière supérieure, et un autre aide a abaissé avec ses
doigts
la paupière inférieure. J^e chirurgien ordonnant
aide) avec un spéculum , un autre aide abaisse l'inférieure avec les
doigts
. La caroncule lacrymale est poussée en dedans ave
re supérieure avec l'élévateur de Pellier ou tout simplement avec les
doigts
: pour tout le reste le chirur-gien doit se suffir
e reste le chirur-gien doit se suffire à lui-même. 11 abaisse avec un
doigt
de la main gauche la paupière inférieure; puis, s
ffit que les yeux convergent assez exactement vers un petit objet, le
doigt
de l'opérateur par exemple, présenté à deux ou tr
re, circonstance dont on s'assure en ordonnant au ma-lade de fixer un
doigt
, que l'on offre à quelques centimètres de la raci
u contraire, l'œil tourne sur son axe vertical pour suivie le bout du
doigt
, ou seulement témoigne de cpielque tendance à com
t plus rapide. La paupière inférieure étant fortement abaissée par le
doigt
indicateur d'un aide et le malade tournant l'œil
, je recommande à la nourrice de porter très souvent dans la plaie un
doigt
enduit de miel rosat ou commun , et de relever do
s empêcher de se produire, il dé-truit ou ordonne de détruire avec le
doigt
la cicatrice à mesure qu'elle tend à se former. E
de la langue, la prenant avec un linge, de peur qu'elle ne glisse des
doigts
, ou même avec une petite fourche faite exprès; en
en soulevant la langue et en écartant les lèvres de la plaie avec le
doigt
. Enfin, si l'adhérence est déjà trop forte, il en
le-ci, est si étroite, qu'elle permet à peine l'introduction du petit
doigt
; on bouche cette cavité avec un bout d'éponge tre
nversée en arrière: l'opérateur est placé vis-à-vis de lui, tenant le
doigt
indicateur gauche dans la bouche au-dessus des ap
avant, derrière le menton et sur la ligne médiane, jusqu'à ce que le
doigt
, placé dans la bouche, lesente distinctement au-d
vité de la mâchoire ; un guide plus sûr encore peut être fourni parle
doigt
indicateur gauche introduitdans la bou-che , et a
, et au moyen duquel on peut sentir distinctement l'apophyse géni. Le
doigt
placé sur cette apophyse, et l'ongle du pouce ap-
nul. « Ainsi, pour que l'opération soit complète, il faut i° que le
doigt
introduit dans la bouche reconnaisse l'extrémité
e qui doit être pratiquée, le ténotome ayant été introduit à plat, le
doigt
indi-cateur gauche de l'opérateur, presse légèrem
it par l'écartement des bouts divisés, entre les-quels l'extrémité du
doigt
s'introduit en déprimant la peau, et enfin la fac
e qu'il retire l'instrument, le suit en arrière en comprimant avec le
doigt
indi-cateur le long du trajet fistuleux, pour exp
e que,aus-sitôt que la pointe de l'instrument se dégage au dehors, le
doigt
ferme immédiatement la plaie. Si pourtant il surv
e en l'amenant de la pro-fondeur vers l'orifice de la plaie, avec les
doigts
des deux mains qui se succèdent et se suppléent s
que le ténotome s'en dégage. Il ne s'agit plus que de substituera ce
doigt
une ban-delette de diachylon. Muscles à diviser
té-notome est ensuite introduit à plat, comme nous le savons, mais le
doigt
indicateur de la main gauche déprime les chairs s
ération à l'autre extrémité du membre, en cas de rétraction d'un seul
doigt
, on peut encore couper le tendon fléchisseur supe
ex, de ma-nière à ce que la peau seule soit interposée entre les deux
doigts
qui la pressent. Une fois le muscle soulevé et te
ouvier, il glisse au travers de la peau, sous le faisceau sternal, le
doigt
médius qui soulève ce faisceau charnu et dont l'i
ponction de part en part, la première lame, reçue par l'extrémité du
doigt
, venant sortir au dehors par une seconde pi-qûre,
tournée à gauche et inclinée dans le même sens, un aide appliqua les
doigts
de chaque côté du sterno-cléido-mastoïdien, dans
même que dans les incisions profondes où le chi-rurgien se sert de ce
doigt
comme d'une sonde intelligente. Une petite piqûre
extrémité; puis, après s'être assuré de nouveau, en tou-chant avec le
doigt
, entre son pouce gauche et le pouce droit de l'ai
hoses étant à ce point, sans cesser d'appliquer exac-tement, avec les
doigts
de sa main gauche, l'orifice cutané contre la tig
a plaie; d'une main continuant à comprimer l'orifice cutané, avec les
doigts
de l'autre main , le chirurgien comprime sous la
ec l'index et le médius, et appliquant successivement les deux autres
doigts
à mesure que le trajet s'allonge, jusqu'à ce qu'e
rière, qui la fixe des deux mains (a, b ) sur sa poitrine, les petits
doigts
écartés ou abaissés, suivant qu'ils peuvent ou no
s le sac lacrymal. Comme dans la figure précédente, la position des
doigts
varie; une ligne ponctuée de 1 en 2 et en 3 indiq
Injection par le point lacrymal inférieur avec la seringue d'Anel. Un
doigt
indicateur du chirurgien abaisse la paupière et f
ction d'arrière en avant. La paupière supérieure est soulevée par les
doigts
indicateur et médius d'un aide (a), et la paupièr
édius d'un aide (a), et la paupière inférieure abaissée par les mêmes
doigts
de la main gauche du chirurgien ( h), de manière
nu de la main droite de l'opérateur (c), appuyé par les deux derniers
doigts
sur la saillie de la pommette. Figure 2. Même s
le cristallin pour son expulsion au dehors sous la double pression du
doigt
indicateur au-dessous de l'œil (d), et du manche
allin. Figure 5. Sortie du cristallin au dehors sous la pression du
doigt
et du manche de l'instrument. C'est le moment où
igne a, b, ficj. 8). Le point d'appui est pris avec les deux derniers
doigts
en dehors de la saillie de la pommette. Figure
la figure , le chirurgien, tenant la seconde canule d'argent avec les
doigts
de la main gauche (b), est occupé à faire glisser
nt le manche de l'instrument de la main gauche (g), imprime, avec les
doigts
de la main droite (h), un mouvement de rotation à
du conduit auriculaire externe. Le pavillon de l'oreille fixé par les
doigts
d'un aide (c), le chirurgien armé de la pince (fi
main droite (d), pratique la déchirure, par torsion , du polype. Les
doigts
de la main gauche (e) saisissent fortement les br
derrière le voile du palais par une tenette courbe(c), guidée par le
doigt
indicateur gauche du chirurgien. Pour pouvoir sai
à gouverner en arrière et ramener au besoin l'anse de la ligature. Le
doigt
indicateur gauche du chirurgien (h), introduit pa
par la paroi externe. L'angle labial est écarté en dehors avec les
doigts
(o, p ) des deux mains d'un aide, de manière à re
plaques dentaires à angle soudées à un anneau dans lequel on passe le
doigt
. Figure 27. Abaisseur de la langue de M. Colomb
glissante de la pince et la tige de l'aiguille qu'elle renferme. i.
Doigts
de la main gauche qui tendent l'extrémité de la l
e palatine. FIGURES 6 et 7. LIGATURE. Figure 6. Ligature avec les
doigts
. L'opération est figurée sur l'anse postérieure
r l'anse postérieure, que l'on doit lier la première. a b. Les deux
doigts
indicateurs du chirurgien, opposés par leur face
d de la ligature saisi avec une pince à anneaux dans l'écartement des
doigts
pour faciliter le second nœud. Figure 7. Ligatu
sur la première côte, et, pour plus de précaution, les trois premiers
doigts
de la main droite (b) du même aide compriment imm
faciliter la réduction d'une masse d'intestin sortie au dehors Les
doigts
de la main écartant mollement les anses intestina
es doigts de la main écartant mollement les anses intestinales, et le
doigt
indicateur insinué dans la plaie, le bistouri dro
é dans la plaie, le bistouri droit, dont le dos glisse sur l'ongle du
doigt
, prolonge en haut la section des chairs. Figure
n gauche le chirurgien contient les deux extrémités du fil , avec les
doigts
de la main droite il est occupé à opérer le débri
. En sorte que chaque bout d'intestin est retourné à la ma-nière d'un
doigt
de gant, la membrane muqueuse s'offrant à la fois
me de la main droite (a), chasse graduellement, parles mouve-mens des
doigts
, les viscères vers l'anneau inguinal externe, tan
s doigts, les viscères vers l'anneau inguinal externe, tandis que les
doigts
de la main gauche (b) retiennent dans l'abdomen e
u Vanneau crural externe du canal crural acci-dentel , tandis que les
doigts
de l'autre main font remonter les vis-cères verti
gumens et le cordon. B. Procédé de M. Gerdy. La peau conduite parle
doigt
indicateur est insinuée sous l'anneau oblique ext
au oblique externe dans le canal inguinal. L'aiguille, glissée sur le
doigt
, perfore la double épaisseur des té-gumens avec l
e canal comme pour le procédé de M. Gerdy, le chirurgien substitue au
doigt
un gorgeret plat pour soutenir le cul-de-sac de l
vé avec la pince. Figure 2. Débridement. Les viscères écartés et le
doigt
indicateur gauche (a) insinué sous l'anneau ingui
on est en ce point. Pour les autres cas, le bistouri (b) guidé par le
doigt
indicateur gauche (c) incise le sac herniaire (d)
de l'anneau crural interne. Figure 4. (e) Débridement guidé par le
doigt
indicateur sur le ligament de Gimbernat.—(f) Débr
c la pince et le bistouri. Les bords de la plaie sont écartés par les
doigts
d'un aide de face. FIGURE 3. Pansement de la pl
hée circulairement par deux incisions latérales semi-elliptiques , le
doigt
indicateur gauche fixe en bas le rectum qui est s
vestige du gland. — Sur la figure 7 le gland est renversé entre deux
doigts
pour montrer la gouttière urétrale. Figure 8. A
mité du prépuce étant tirée avec des pinces ordinaires, ou avec les
doigts
, et saisie en travers, sur le gland, entre les mo
he (a), soulevant le pénis par le frein, la sonde est fixée par trois
doigts
de la main droite (b), l'indicateur appuyé sur l'
ige est soutenue par la main gauche du chirurgien (b), tandis que les
doigts
de la main droite (c), passés dans les anneaux, f
ticulés, (a) Main d'un aide qui soulève les parties génitales; (b, c)
doigts
d'un aide qui écartent la plaie pour faciliter l'
ain gauche fixe les bran-ches de l'instrument avec les trois derniers
doigts
, tandis que le pouce et l'in-dicateur refoulant l
ision des chairs, qui forme un arc d'environ 100°, étant terminée, le
doigt
indicateur de la main gauche (c) reconnaît le cat
du calcul avec les tenettes. FIGURE 3. TAILLE VESTIBULAIRE. a, b.
Doigts
des deux mains d'un aide, qui écartent les lèvres
tant dilaté par un spéculum bivalve, le polype est chargé à l'aide du
doigt
indicateur gauche, entre les mors de la pince qui
ns l'utérus. Les grandes lèvres étant écartées de chaque côté par les
doigts
d'un aide (a, b) l'utérus est descendu autant qu'
le fixe de ses deux mains (c, d ) , le chirurgien qui pince entre les
doigts
de sa main gauche (e) l'insertion utérine du liga
érale est enlevée sur la figure pour laisser voir, dans sa cavité, le
doigt
indicateur du chirurgien qu dirige la pointe du t
ectum. Sur la figure 2 sa paroi latérale est enlevée pour démasque le
doigt
indicateur du chirurgien qui guide le trocart.
rurgien armée du trocart dont la tige est dirigé dans la vagin par le
doigt
indicateur. L'extrémité du doigt ayant reconnu 1
tige est dirigé dans la vagin par le doigt indicateur. L'extrémité du
doigt
ayant reconnu 1 situation du museau de tanche, c'
ien armée du trocart. dont la tige est dirigée dans le rectum, par le
doigt
indicateur. C'est par le bas-fond de l'utérus, re
L DE L'UTÉRUS. Les grandes lèvres étant maintenues écartées par les
doigts
d'un aide (a, b), deux érignes de Museux, appliqu
poussés en haut dans le sac péritonéal sont fixés par la pression des
doigts
de la main gauche d'un aide (a), tandis que le ch
choisi de l'opération , l'utérus amené au dehors est saisi entre les
doigts
de la main gauche du chirurgien. En avant est le
et du fascia avec le myotome. FIGURE 7. Procédé de M. Liston, (aa)
Doigts
d'un aide qui maintiennent soulevée la paupière s
e érigne et le chirurgien, saisissant l'organe latéralement entre les
doigts
de sa main gauche b, pra-tique une première secti
énio-hyoïdiens, pratique la section des tendons des génio-glosses; le
doigt
indicateur de la main gauche b, introduit dans la
t à mesure qu'elle tend à se former. La langue étant soulevée avec le
doigt
indicateur gauche a, rie la main droite b, armée
me. La lame de l'instrument se montre en relief sous les tégumens, le
doigt
indicateur gauche dirigeant la pression. FIGURE
FIGURE 4. Section sous-tendineuse du tendon du jambier postérieur. Le
doigt
indicateur de la main gauche du chirurgien (a) fi
qui fixe la jambe, (d) Main gauche du chirurgien dont l'extrémité des
doigts
appuie sur les muscles pour les fixer contre le t
e l'aide (a, b) tendent à redresser le bord externe du pied; les deux
doigts
indicateur et médius delà main gauche du chirurgi
'a, b) le saisissent prêles à le ramener dans l'extension. Avec les
doigts
de sa main gauche (c) le chirurgien appuie sur le
eau sternal avec le inyotome ( fig. 9). Figure 6. Premier temps. Le
doigt
médius de la main gauche (a) étant insinué, revêt
au et glisse à plat en arrière au plus près du muscle, jusque vers le
doigt
médius de l'opérateur dont l'interposition éloign
nterposition éloigne les parties situées sur le plan profond; puis ce
doigt
s'éloignant à mesure que l'instrument pénètre, la
aide (a) fixe celle du malade dont elle tend le bord cubital avec le
doigt
indicateur de sa main gauche (b). Le chirurgien f
seurs, comme l'indique la main (figure 12) copiée d'après nature, les
doigts
étant fléchis sur la paume de la main et cet orga
'un à un, au travers, toutefois, de la même piqûre, en tendant chaque
doigt
en particulier pour faire saillir la corde tendin
nant le ténolome de sa main gauche (a) appuie avec les trois derniers
doigts
sur les parties molles pour déprimer l'artère ave
our déprimer l'artère avec les deux veines et le nerf médian; avec le
doigt
indicateur de sa main gauche (b, il déprime égale
adducteur du pouce,renfermés aussi dans des gaines spéciales ; 3° les
doigts
, isolés un à un par l'enveloppe tégumentaire, ren
u toucher, sa fonction cependant est mieux précisée dans la pulpe des
doigts
. CONSIDÉRATIONS PATHOLOGIQUES. Dans l'ensembl
rsale purement conventionnelle, coupant lavant-bras à deux travers de
doigt
au-dessous du pli de flexion. Cette démarcation,
me par le long fléchisseur propre du pouce et le long fléchisseur des
doigts
; la quatrième, seulement à l'extrémité inférieure
hes : en plan superficiel de dehors en dedans, l'extenseur commun des
doigts
, l'extenseur propre du petit doigt et le cubital
en dedans, l'extenseur commun des doigts, l'extenseur propre du petit
doigt
et le cubital postérieur, sous-jacens à l'aponévr
r la naissance des éminences thénar et hypothénar. Par la pression du
doigt
au travers des chairs, on y sent de chaque côté d
le des quatre os métacarpiens auxquels font suite les quatre derniers
doigts
; et en dedans une portion externe mobile ou faisa
ypothénar ; la seconde indiquant le pli de flexion des trois derniers
doigts
; la troisième, intermédiaire aux deux autres, et
ompose de l'abducteur, du court fléchisseur et de l'opposant du petit
doigt
. Portion digitale. Elle offre des considération
Portion digitale. Elle offre des considérations communes à tous les
doigts
et qu'il suffit d'indiquer pour l'un d'entre eux.
s doigts et qu'il suffit d'indiquer pour l'un d'entre eux. La peau du
doigt
sur la face palmaire, également épaisse et rugueu
ubles tendons fléchisseurs sont solidement contenus; sur les côtés du
doigt
, dans des canaux fibreux, sont logés les vaisseau
ostérieures provenant des perforantes. Portion digitale. La peau du
doigt
, très dense quoique lisse, 1 Planche i, ri" 48; 0
e termine par la matrice de l'ongle qui revêt lui-même l'extrémité du
doigt
en ce sens. La couche sous-cutanée dépourvue de g
s la ligne des articulations métacarpo-phalangienne ou se limite à un
doigt
ou à une phalange, et que les résections se borne
es indique par une ligne horizontale fictive, passant à un travers de
doigt
au-dessus de la rotule ; mais, suivant une expres
lement une dépression circulaire, facile à sentir sous la pression du
doigt
, indique la hauteur du plan inter-arti-culaire ;
mmunes qu'il suffit d'indiquer pour l'un d'entre eux. Au lieu que les
doigts
sont rceti-lignes, les orteils sont légèrement in
lquefois par le garrot ou le tourniquet; mais le plus souvent par les
doigts
d'un aide. Ce dernier moyen est toujours préférab
re l'opération. Habile à saisir perpendiculairement avec la pulpe des
doigts
le point d'appui de l'os, exercé à ne poser que s
on doit opérer, et le dos en haut, en regard de la face palmaire des
doigts
; les phalanges unguéales du pouce et du médius a
s en augmentant à volonté la pression. Enfin, l'annulaire et le petit
doigt
, fléchis comme .le médius, reposent snr la face e
e la face palmaire de l'articulation de la première phalange du petit
doigt
avec le cinquième os du métacarpe. La fixité qui
à tant d'avantages on ajoute ceux qui résultent des divers usages du
doigt
indicateur, on reconnaîtra combien la première po
uri tenu comme un couteau. — Le tranchant en haut. La situation des
doigts
est entièrement la même que pour la première posi
changée, le tranchant regardant en haut ou vers la face palmaire des
doigts
, et le dos étant tourné vers les surfaces à incis
lpe de chaque côté de la rosette qui unit le manche avec la laine; le
doigt
médius, étendu sur le plat de cette dernière, peu
ainsi à limiter la profondeur de l'incision; l'annulaire et le petit
doigt
, étendus sur les parties voisines, fournissent un
oignet, au-dessous du lieu où l'on veut inciser. Étendant ensuite les
doigts
, on pique les tégumens par une ponction en biseau
hors en dedans, et on étend l'incision en ramenant par la flexion des
doigts
la lame du bistouri vers la paume de la main. Il
à un point quelconque du plat de la lame , et l'annulaire et le petit
doigt
servent d'appui latéralement. Cette manière de
ême que la première, quant à la manière de placer les quatre premiers
doigts
; elle n'en diffère que par la situation du petit
tre premiers doigts ; elle n'en diffère que par la situation du petit
doigt
: au lieu que ce dernier appuie l'extrémité du ma
main, elle en est éloignée au contraire de toute la longueur du petit
doigt
demi fléchi. Le bistouri offert à plat est d'un
peu en avant du médius sur le dos de la lame. L'annulaire et le petit
doigt
sont abaissés sur le même bord le long du manche
e et le fixent légèrement contre la base et la face palmaire du petit
doigt
. Le bistouri tenu dans cette situation, de ses de
de la main, on fait exécuter à l'instrument, entre les trois derniers
doigts
et le pouce, un mouvement de demi-rotation tel qu
cates sur lesquelles on agit sont situées profondément, en ce que les
doigts
, ne dépassant que fort peu le niveau de la face i
l'articulation des seconde et troisième phalanges des trois derniers
doigts
. Le pouce et le médius se font opposition sur les
ndicateur est placé un peu plus loin sous la lame; les trois derniers
doigts
, demi fléchis, fixent l'extrémité libre du manche
e le tranchant est tourné vers la paume de la main ou l'extrémité des
doigts
. On s'en sert présenté à plat pour pratiquer obli
bistouri, la tension en travers étant donnée par le pouce et le petit
doigt
. 3° En travers seulement, avec le pouce et l'in
t, suivant la longueur de la plaie, avec la pulpe des quatre derniers
doigts
. 5° Enfin, le chirurgien peut faire tendre la p
jusqu'à la profondeur présumée convenable, et que limite du reste le
doigt
indicateur, suivant que nous l'avons dit en parla
ntenir à un aide. Appliquant ensuite dans l'intervalle qui sépare les
doigts
de l'opérateur et de l'aide le bistouri tenu en p
r, par la pression déterminée avec le bord cubital ou l'extrémité des
doigts
de la main gauche, tend les tégumens de son côté
ties à inciser et l'éloigné de celles cpù doivent être ménagées. Le
doigt
, par cela seul qu'il est, comme l'a dit Dupuytren
ur en permettre l'introduction. On doit alors, après avoir insinué le
doigt
indicateur gauche, glisser sur sa face dorsale, t
it été opérée artificiellement, il est bien plus commun qu'au lieu du
doigt
on se serve de la sonde ou du stylet cannelés '.
e le pouce et la face palmaire de la deuxième phalange du médius ; le
doigt
indicateur, étendu sous le dos de la sonde, sert
la manière de tenir la sonde on la change de main; et, [se servant du
doigt
indicateur comme d'un point d'appui, en relevant
servant du doigt indicateur comme d'un point d'appui, en relevant le
doigt
et abaissant le pouce, on fait basculer l'instrum
yer, on abaisse par la pression du pouce 1 ecusson de la sonde sur le
doigt
indien teur, qui, en même temps qu'il sert de poi
es sont déviés en dehors pour s'accommoder à la situation oblique des
doigts
qu'ils sont destinés à recevoir. Le tranchant d
l'emploi. Positions des ciseaux 1. Le pouce et l'annulaire sont les
doigts
les plus convenables pour tenir les ciseaux ; ils
a rencontre des tranchans dans le même plan. La moindre obliquité des
doigts
, en donnant lieu à l'inclinaison latérale des deu
ex sera placé sur la branche du médius, et, en avant de lui, ces deux
doigts
serviront alors d'auxiliaires à l'annulaire pour
beaux frappés de gangrène, etc., sont communes dans la pratique : les
doigts
ou des pinces mousses saisissent et soulèvent les
sse du bistouri, et même, dans les larges espaces celluleux, avec les
doigts
, principalement l'indicateur. Dans la dissecti
squ'il agit avec liberté, est tenu à la manière d'un archet, le petit
doigt
élevé ou abaissé; mais, s'il est restreint dans s
une parfaite immobilité. L'instrument, guidé d'abord par l'ongle d'un
doigt
de la main gauche du chirurgien, entame l'os par
eur prévue à l'avance, et que limite, par la rencontre de la peau, le
doigt
indicateur étendu sur le dos de la lame, clans la
qu'on ne veut perforer que très superficiellement. Les trois derniers
doigts
servent latéralement de point d'appui, soit par l
la paume de la main droite, tandis que le pouce et les trois derniers
doigts
le maintiennent latéralement; l'indicateur est ét
la pointe de l'instrument à travers les tégumens fortement tendus; le
doigt
indicateur limite la profondeur à laquelle elle d
ce et l'indicateur de la main droite, retire le manche avec les mêmes
doigts
de l'autre main. Lorsque la quantité de liquide
ar un kyste fibro-celluleux, au sein, au testicule, etc. 2° Avec un
doigt
seul, ordinairement l'indicateur, ou, suivant le
d'un scalpel ou d'un bistouri, ou la pointe d'une sonde cannelée. Le
doigt
seul suffit pour décoller une cicatrice récente o
lien aussi fortement qu'il est possible; un aide, par la pression du
doigt
, assujettit ce premier nœud pendant qu'on l'assur
ant une petite tumeur ou une artère lésée, se trouve saisi entre deux
doigts
, les mors d'une pince ou tout autre appareil. L
la partie sur laquelle on opère ; à oblitérer provisoirement, par les
doigts
d'un aide ou une pince, les orifices des vaisseau
e de ces instrumens, on fait écarter et distendre les parties par les
doigts
d'aides intelligens. 2° Pour éviter une divisio
prolonger la plaie; on y emploie des crochets mousses, ou, mieux, les
doigts
d'aides intelligens, dont la pression et les clép
étranger, le saisir et l'extraire. i° L'ex-ploration s'opère avec le
doigt
autant que possible, ou si la profondeur ou l'étr
; si l'aiguille, au contraire, pénètre de dedans en dehors, les mêmes
doigts
tendent les parties de chaque côté de l'espace pa
oins essentiels, et maintenant les chairs par une pression légère des
doigts
pour éviter leur traction. S'il y a des aiguilles
nt la convexité, la pointe dépassant de cpuelques lignes la pulpe des
doigts
. Soit cpie l'on perce le lambeau de dedans en deh
s la plaie, et accolle l'autre moitié en pressant légèrement avec les
doigts
posés à plat. 11 est important, dans cette manœuv
elette maintienne immédiatement les parties accolées à mesure que les
doigts
du chirurgien se soulèvent pour lui faire place.
rocédés de compression. La compression s'opère directement avec les
doigts
ou à l'aide de divers instrumens ou appareils ; l
ter la pression. 3° Dans l'application du corps comprimant, soit le
doigt
, une pelotte ou tout autre objet de forme appropr
t de sang, une artère difficile à trouver. i°. Compression avec les
doigts
. Elle se fait avec le pouce isolément ou avec plu
ec les doigts. Elle se fait avec le pouce isolément ou avec plusieurs
doigts
. L'une et l'autre manière d'agir est commandée pl
la fémorale sur le pubis, sont faciles à comprimer avec le pouce. Ce
doigt
, offert perpendiculairement en travers du vaissea
de longueur du vaisseau. On l'opère avec les trois ou quatre derniers
doigts
rapprochés parallèlement, en disposant leur pulpe
rce que l'on apporte à maintenir sur un même plan la pulpe des quatre
doigts
, la résistance des parties molles, sur-tout à la
la résistance des parties molles, sur-tout à la cuisse, fait que les
doigts
tracent en commun un sillon courbe; de sorte que
rte que l'oblitération du vaisseau n'est que commencée par le premier
doigt
, continuée par le second et complétée seulement s
ée par le second et complétée seulement sous le troisième, le dernier
doigt
, soulevé par la réaction des muscles, ne servant
action des muscles, ne servant presque que de point d'appui. Si les
doigts
se fatiguent, sans attendre la douleur, immédia-m
mpression incertaine, l'aide, sans quitter le vaisseau, raffermit les
doigts
en les maintenant cle l'autre main; mais, s'il es
rcé cle substituer celle-ci à la première, il en présente d'abord les
doigts
en position convenable au-dessus des autres, sur
sseau, de manière à comprimer d'abord, avant de lâcher les premiers
doigts
, que les seconds remplacent en glissant dans leur
ord libre de la mâchoire au-devant du masseter, il suffit de poser le
doigt
en ce point pour interrompre ses battemens; une c
attemens de l'artère radiale , soit que l'on comprime avec les quatre
doigts
(Pl. 18), avec toute la main par la face dorsale
oraco-bracbial, elle est comprimée assez facilement ou par les quatre
doigts
ou par un compresseur à vis. (b) Dans le reste de
tion interne du triceps en dehors, la moindre pression par les quatre
doigts
, le pouce isolément, le garrot ou tout compresseu
à la main, se comprime de la même manière. Pour les collatérales des
doigts
, il est besoin d'une pression perpendiculaire ass
immédiate. Elle consiste à mire appliquer successivement la pulpe des
doigts
d'un aide sur chaque orifice de vaisseau lésé, à
en action, vient saisir, entre le pouce et les deux ou trois premiers
doigts
opposans, les parties qui renferment les vaisseau
ndirecte. i° Compression directe. On l'effectue immédiatement avec le
doigt
appliqué sur l'orifice du vaisseau coupé, ou médi
l'opération, par un jet de sang sur lequel un aide a dû appliquer le
doigt
; leur ligature étant faite, les artères non enco
ités sont solidement maintenues de chaque côté par les trois derniers
doigts
fléchis dans la paume de la main, tandis que les
lations phalan-gienucs, permettent une striction très forte, les deux
doigts
indicateurs, rétractés en sens inverse, formant p
chis. Un premier nœud étant fait, un autre aide, par la pression d'un
doigt
, empêche qu'il ne se desserre, tandis que le prem
océdé de Dupuytren. L'orteil tenu entre le pouce et les deux premiers
doigts
de la main gauche, introduire à plat sous le bord
es côtés et par la tface palmaire entre le pouce et les deux premiers
doigts
de la main gauche du chirurgien, avec le bistouri
, le point d'appui pris sur les dents voisines avec les deux derniers
doigts
, on racle la face latérale gauche. Le nettoyage d
as mouiller la dent. Pétrissant alors la feuille métallique entre ses
doigts
, l'opérateur en fait une boule triple en volume d
; mais on s'arrête aussitôt cet effet produit, et replaçant avec les
doigts
la racine dans sa position perpendiculaire, si le
interposition de l'indicateur gauche de l'opérateur ; se servir de ce
doigt
pour appliquer le crochet dans le lieu convenable
ation de la dent. Cet effet opéré, faire glisser sur les gencives les
doigts
delà main gauche faisant pince, et, en continuant
nir et prévenir la fracture de l'alvéole. La dent arrachée, les mêmes
doigts
rapprochent lentement et avec douceur les bords g
sur celle du panneton, maintenue elle-même entre les quatre derniers
doigts
. La dent fortement saisie, une inclinaison lente
réservées par l'interposition d'un morceau de liège, ou mieux sur les
doigts
de la main gauche, on en opère la luxation en arr
l'alvéole par celle qui doit lui succéder, le moindre effort avec le
doigt
ou la traction par une anse de fil suffisent pour
nes. Ordinairement, pour la faire cesser, il suffit de la pression du
doigt
et d'un gargarisme acidulé, salé ou alcoolisé ; s
l est de bonne qualité : i0 Une gouttelette de vaccin prise entre les
doigts
file comme un sirop. 2° La lancette, appliquée à
, il circonscrit ce membre en amenant de chaque côté le pouce et les
doigts
en avant, pour déterminer la tension des tégumens
et au côté droit du malade assis, pince la peau entre le pouce et les
doigts
pour en former un pli vertical, à large base, don
un aide. Dans ce premier temps, on doit, en faisant rouler entre les
doigts
les deux plis cle peau juxta-posés , s'assurer qu
trée, on tend la bandelette horizontalement cle chaque côté entre les
doigts
, et, par un mouvement de transport de droite à ga
es que la nature a séparées : telles sont les adhérences cutanées des
doigts
et des orteils, celles de la partie interne du br
ganes accolés parallèlement dans leur situation normale, tels que les
doigts
et surtout les orteils, on doit toujours redouter
adhérence à la base des plis d'isolement ou de flexion, tels que les
doigts
. Il passe avec un trocar! un fil de plomb à la ba
la lésion des gros vaisseaux, la division eut lieu sur l'extrémité du
doigt
indicateur , insinué en crochet derrière l'attach
nt le muscle sous la peau. Premier procédé. Faire , à un travers de
doigt
au-dessus de l'attache sternale, un pli cutané pa
de la lame il est convenable de pincer préalablement la peau avec les
doigts
de la main gauche. Au reste, dès que cette lame e
lé-xion habituelle étant plus prononcée de l'indicateur vers le petit
doigt
, c'est ce dernier et l'annulaire, les plus fléchi
partielles limitées à l'une des régions, et nuisant au mouvement des
doigts
correspondans. Dans tous les cas, le débri-dement
du malade étanc maintenue largement ouverte, autant que possible, les
doigts
fixés par des aides, le chirurgien consulte l'asp
ute leur épaisseur, et s'assure, à chaque fois, parle redressement du
doigt
correspondant, qu'il n'y a plus d'obstacle à l'ex
e à la première. On obtient ainsi le redressement isolé de chacun des
doigts
. Cependant, si toute la voûte transversale métaca
e la charpie sècbc ; on fixe la main étendue par sa face dorsale, les
doigts
très écartés, sur une palette en bois de forme ap
la cicatrisation. ProcédédeM. Goyrand. Il lait, en regard de chaque
doigt
, une incision longitudinale longue d'un pouce, di
n fléchie, M. Dutertre a fait l'ablation delà cicatrice, redressé les
doigts
, rapproché la peau et les extrémités des muscles
derrière le malade, dont il tient la tête fixée sur sa poitrine ; son
doigt
indicateur gauche relève le sourcil tandis qu'un
e est étroite, il en fait écarter la commissure par un crochet, ou le
doigt
d'un aide, puis, armé d'un bistouri droit, ou mie
nt produit, on détache la ventouse en l'inclinant et appuyant avec le
doigt
sur la peau du côté le plus élevé. Ce procédé est
urtout l'obstination avec laquelle les sangsues cherchent à piquer le
doigt
qui les saisit. Nombre. La quantité de sangsues
éférable. On ajoute 36 à son effet par la pression de la pulpe du
doigt
continuée une ou deux minutes. (d) Pincement. C
de bois fendue à moitié de sa longueur. On pince isolément entre les
doigts
les bords de chaque piqûre et on insinue ce pli c
évidentes, on comprime au-dessus du point que l'on a choisi, avec le
doigt
pour la veine jugulaire externe, et au moyen d'un
légers mouvemens aux muscles voisins, et qui se gonfle et repousse le
doigt
lorsqu'on exerce des frictions de bas en haut sur
à demi usé, en taisant autour t. vi. du membre, à deux travers de
doigt
environ au-dessus du point qu'il veut piquer, deu
enir le membre qu'elle embrasse et à tendre les tégumens au moyen des
doigts
d'un côté, le pouce et 1 eminence hypo-thénar fai
lpe de l'indicateur et du médius sur l'autre, l'annulaire et le petit
doigt
servant en dehors de point d'appui. Par un mouvem
puis, présentant la pointe au vaisseau, par une rapide extension des
doigts
on perce subitement jusqu'à la veine : le sang ja
poitrine; la paume de sa main gauche embrasse le coude du malade, les
doigts
et le pouce ramenés par les côtés interne et exte
onfler par une légère friction de bas en haut avec les trois derniers
doigts
, l'assujettit brusquement par la chute du pouce à
uperficiel. Le lieu d'élection pour la saignée est à trois travers de
doigt
au-dessus de la clavicule. Opération. La saigné
xemple des anciens, qui, par timidité, saignaient même les veines des
doigts
et les petites veines du pied ; le faible écoulem
il existe pour l'opération deux procédés. 10 Procédé ordinaire. Le
doigt
indicateur et le pouce de la main gauche, écartés
r l'os sous-jacent. On introduit dans l'espace compris entre ces deux
doigts
le bistouri droit ou convexe tenu en première pos
eux doigts le bistouri droit ou convexe tenu en première position; le
doigt
indicateur, tenu sur le clos de la lame, dirige l
quantité de sang voulue, on en arrête la sortie en comprimant avec un
doigt
au-dessous de l'incision, entre cette dernière et
ion, entre cette dernière et le cœur. On lave, on remplace ensuite le
doigt
par l'une des compresses graduées, et l'on appliq
insinue le bec de gomme élastique, par la plaie de la veine, sous le
doigt
du premier aide comprimant, qui, glissant de haut
et roulant sous la peau, on le fixe préalablement par la pression des
doigts
, sur le côté, pour conserver le parallélisme avec
'en rencontre. 2° La position de l'artère reconnue, avec les quatre
doigts
assemblés de la main gauche déprimer suivant la l
ce sillon déterminé, au lieu d'inciser immédiatement, sur le bord des
doigts
, la peau amenée vers soi et dont la section ne se
uri et l'on écarte les interstices des muscles ou des tendons avec le
doigt
, le manche d'un scalpel ou le bec de la sonde can
écarter largement les bords de la plaie par des aides, soit avec les
doigts
, soit avec des crochets mousses, et faire dispose
sulterait d'une striction imparfaite doit toujours faire préférer les
doigts
. 4° Dans la striction , il faut prendre garde d
llie du tendon du jambier antérieur et, en pressant avec la pulpe des
doigts
rassemblés de l'une ou des deux mains, déprimer l
les écarter latéralement par des crochets mousses ou l'extrémité des
doigts
d'aides intelligcns ; la gaine des vaisseaux doit
, la masse du triceps sural, puis, la peau tendue par lecartement des
doigts
de la main gauche du chirurgien, inciser vertical
l'aponévrose d'enveloppe étant incisées, il insinue dans la plaie le
doigt
indicateur, dont la face palmaire est tournée ver
face palmaire est tournée vers le tendon d'iVchille, et, glissant le
doigt
de bas en haut sur le tendon comme conducteur, il
'on les incise. A. Décollement des muscles. Porter dans la plaie le
doigt
indicateur, contourner en dedans le bord interne
edans le bord interne du soléaire, le soulever et le décoller avec le
doigt
ou au besoin avec l'extrémité de la sonde cannelé
chement le triceps sural et les péroniers, déprimer avec la pulpe des
doigts
rassemblés le sillon intermusculaire des péronier
e à la partie inférieure. Procédé de M. Lisfranc. Avec la pulpe des
doigts
cle la main gauche rassemblés, reconnaître et dép
er, la rotule tournée vers l'opérateur, reconnaître avec la pulpe des
doigts
le sillon du jumeau interne en descendant de l'ex
llie plus avancée clu soléaire. Sur le trajet du sillon tracé par les
doigts
de la main gauche inciser dans l'étendue de huit
confond avec le ligament latéral interne, soulever et dénuder avec le
doigt
indicateur gauche et la sonde cannelée le bord du
es faire maintenir écartés en dehors par un crochet mousse ou par les
doigts
d'un aide intelligent. L'artère se présente alors
me il a été dit plus haut, reconnaître par t. vi. la pression des
doigts
le sillon sous-cutané, oblique en bas et en dedan
ux avec le pouce. Tout étant disposé, reconnaître avec la pulpe des
doigts
rassemblés en un plan rectiligne le sillon interm
en arrière. La peau incisée jusqu'à l'aponévrose, reconnaître avec le
doigt
le bord antérieur du couturier, diviser l'aponévr
e longueur de huit centimètres, soulever et dénuder le muscle avec le
doigt
, et le faire écarter en arrière. Plus profondémen
onévrose suivant la longueur de la plaie, dénuder et soulever avec le
doigt
le bord du couturier, le refouler en dehors, et,
ement la direction de la plaie. Diviser également avec la sonde ou le
doigt
l'aponévrose de revêtement du moyen fessier; le b
i est le point le plus essentiel, de comprimer l'artère soit avec les
doigts
assemblés, soit avec le tourniquet préalablement
aide fixe la main et l'avant bras, le chirurgien, en palpant avec les
doigts
réunis des deux mains, s'assure de 1 Voy. Anato
italc du radius. Déprimant, suivant cette direction, la peau avec les
doigts
de la main gauche sur le bord interne du biceps e
s plus facile alors à déprimer en dehors. Le muscle contenu par trois
doigts
de la main gauche, dont la pulpe sent en profonde
avière comprimée sur la première côte, le chirurgien déprime avec les
doigts
le sillon interne compris entre le coraco-brachia
e est double. Le chirurgien placé en dehors, avec les quatre derniers
doigts
de la main gauche assemblés en une sorte de griff
hirurgien placé en dehors, déprimer des deux mains, avec la pulpe des
doigts
rassemblés, les tégumens en regard du grand sillo
rands muscles superficiels étant maintenus fortement, écartés par les
doigts
des aides, ou des cro- 1 Voy. Anatoinie topogra
e la plaie, et le dirigeant en arrière et en dehors, ramener, avec ce
doigt
faisant office de crochet, la masse des cordons v
ps, armée de son fil, en recevant le bec de l'aiguille sur l'ongle du
doigt
indicateur gauche dont la pulpe déprime et refoul
uillet du petit pectoral. Dénuder un peu ce muscle en arrière avec le
doigt
, qui fait office de crochet; le déprimer, le ref
assurer de ses rapports dans la plaie; une compression légère avec le
doigt
suffit pour en déterminer le gonflement : elle se
e dedans en dehors, en déprimant les nerfs du plexus brachial avec le
doigt
qui guide et reçoit le bec de l'instrument : ce p
lacés comme il a été dit plus haut, reconnaître et déprimer, avec les
doigts
assemblés , le sillon intermédiaire aux scalènes,
iers, avec un crochet mousse, par un aide : insinuer dans la plaie le
doigt
indicateur gauche et faire écarter en dehors les
r gauche et faire écarter en dehors les nerfs du plexus brachial ; le
doigt
perçoit alors l'artère depuis le tubercule de la
er en haut, en avant et en dedans par un crochet mousse, puis avec le
doigt
et le bec de la sonde diviser le tissu cellulaire
dedans en dehors le bec de l'instrument, qui est reçu sur l'ongle du
doigt
: dégager le fil, soulever le vaisseau et le lier
anière à tendre les muscles et les tégumens du cou: déprimer avec les
doigts
de la main gauche assemblés le sillon intermédiai
es dans le relâchement. Alors, avec le bec de la sonde cannelée et le
doigt
indicateur gauche, rompre le tissu cellulaire sur
rgescente , et qu'elle gêne par son volume, la faire comprimer par le
doigt
d'un aide vers le haut de la plaie, pour la faire
sous les muscles sterno- hyoïdien et thyroïdien, puis écarter avec le
doigt
le sillon vasculaire et rompre avec ménagement le
ques et le récurrent; puis, contenant ces parties avec l'extrémité du
doigt
, insinuer dans ce sens l'aiguille de Deschamps al
placé à gauche du malade, reconnaît, en palpant avec 1 extrémité des
doigts
, le bord interne du sterno-mastoïdien du côté dro
pour ne point la léser. Déposer alors le bistouri , écarter, avec le
doigt
et le bec de la sonde, le sillon cellulcux qui sé
hamps allongée par Grœfe,eet instrument glissant avec facilité sur le
doigt
indicateur qui comprime les veines et les nerfs e
nciser sur la sonde cannelée l'aponévrose du grand oblique, porter le
doigt
indicateur à l'angle inférieur de la plaie sous l
la plaie sous l'arcade du petit oblique et du transverse, glisser le
doigt
sous ce dernier muscle pour le dénuder du fascia
rsalis ; suivant la direction de l'incision cutanée, et se servant du
doigt
comme conducteur, insinuer un bistouri concave av
li à la partie inférieure, le séparer en dessous du péritoine avec le
doigt
, sur lequel on le divise avec précaution ou on le
masse intestinale vet*- le flanc du côté opposé, puis, avec les deux
doigts
indicateur et médius de la main gauche , décoller
a masse viscérale étant bien supporté par la main d'un aide, dont les
doigts
écartent le bord interne de la plaie tandis que l
suivre en bas et en dedans l'hypogastriquc, l'isoler avec le bout du
doigt
, et, parvenu à ce point, remplaçant l'indicateur
éritoine pariétal antérieur, il l'ouvrit sur un pli et introduisit le
doigt
indicateur dont il se servit, comme conducteur, p
pour étendre la division à la longueur de la plaie. Glissant alors le
doigt
jusque sur le rachis, en écartant les circonvolut
-ct-vient écarta le tissu cellulaire et la veine cave, lit glisser le
doigt
entre l'aorte et le rachis et déchira de nouveau
enfermer l'artère sur l'indicateur fléchi comme dans une anse. Sur ce
doigt
servant de conducteur le chirurgien fit glisser l
r, lui communiquer par le glissement horizontal en va-et-vient de ces
doigts
, l'un sur l'autre, un mouvement de rotation en se
ée. Pour empêcher que la tige ploie, on la soutient d'abord entre les
doigts
de la main gauche. Ce procédé s'effectue sans dou
idérable. Pour la retirer on comprime la peau à son entrée entre deux
doigts
de la main gauche, pendant qu'on tire dessus de l
r au dehors, n'est enfoncé que dans les chairs, on l'extrait avec les
doigts
ou avec de fortes pinces. Si l'effort doit être c
uyant doucement sur la face supérieure de la lame avec l'extrémité du
doigt
indicateur de la main gauche. La direction donnée
en fermant la plaie par l'abaissement de sa lèvre supérieure avec le
doigt
indicateur, et on l'empêche de se rouvrir par l'a
a sonde cannelée, le manche d'une spatule ou d'un scalpel, ou même le
doigt
quand ce tissu, atteint par l'inflammation, est d
. Saisir d'une main la tumeur avec une pince, une érigne ou entre les
doigts
, la soulever et de l'autre main pratiquer l'excis
ec un bis touri convexe, sans entamer le kyste ; le saisir avec les
doigts
, une pince, ou en tirant sur les chefs d'un fil d
ue suffisante pour qu'il offre de la prise, le saisir alors entre les
doigts
de la main droite garnis d'un linge pour facilite
ure pratiquée l'indicateur gauche dans la cavité du kyste, et, sur ce
doigt
comme conducteur, pratiquer avec le bistouri ou l
t du carpe, soit du tarse, et, en comprimant alternativement avec les
doigts
des deux mains, on fait circuler les corps qu'ils
, isoler et dénuder la tumeur de ses adhérences cel-luleuses avec les
doigts
, le manche d un bistouri ou d'une spatule, et, po
nse ; dès que la tumeur est isolée à son contour, la saisir entre les
doigts
de la main gauche ou avec une érigne et, la soule
ek avait imaginé ce procédé. M. Lawrence l'a employé avec succès au
doigt
indicateur droit, dont il cerna la base par une i
xécuter des mouvemens au malade. Alors l'opérateur conduit devant ses
doigts
, ce corps, de manière à l'amener sur le condyle i
ement de lui-même comme un noyau de cerise qu'on presserait entre les
doigts
. Dès qu'on cesse d'écarter la plaie, la rétractio
chanter, dans une étendue suffisante pour permettre l'introduction du
doigt
indicateur. Après avoir ainsi dénudé l'os dans to
n circonscrivant en avant et en arrière le col du fémur avec ses deux
doigts
indicateurs jusqu'à ce qu'ils vinssent à se renco
) qui divisa la peau et les muscles jusqu'à l'os. Portant ensuite son
doigt
au fond de la plaie, il s'en servit pour conduire
n résultait, pour le membre, un raccourcissement cle douze travers de
doigt
. La fracture datait de trois semaines, et le cal
s le procédé suivant. Ayant préalablement tendu les tégumens avec les
doigts
cle la main gauche, pour rendre l'angle du cal en
une vive douleur qui se manifeste au-dessous, en y appuyant un peu le
doigt
, indique que des bourgeons charnus se développent
atiquer la section de l'os , et qui vienne aboutir à la commissure du
doigt
; tracer une seconde incision qui allant à l'autre
de la même manière. Pour transporter ce procédé à l'index ou au petit
doigt
, il serait plus avantageux de former le lambeau s
, il serait plus avantageux de former le lambeau sur le côté libre du
doigt
; afin de ne pas mettre à nu le tendon extenseur,
halangette (Velpeau), cette opération peut être tentée sur les autres
doigts
de la main lorsque le mal est limité à la premièr
on qu'il se produit un tissu dense ostéiforme capable de maintenir le
doigt
et de le rendre susceptible cle recouvrer une par
e dénuder rapidement les os en soulevant les chairs à mesure avec les
doigts
de la main gauche et rasant alternativement avec
er de sa rapidité. Procédé de M. Jceger. S'assurer, en y portant le
doigt
, de la position du nerf cubital, qui est situé da
la partie externe de l'épaule deux incisions de cinq à six travers de
doigt
de longueur chacune réunies en bas en forme de V
é de M. Robert. Du bord antérieur cle la clavicule, à deux travers de
doigt
de son extrémité externe, abaisser une incision n
, arrivant au point où on s'était arrêté du côté opposé, permette aux
doigts
introduits par chacune des plaies de se rencontre
La jambe dcmi-fléchic reposant sur sa face interne, sentir avec les
doigts
la saillie que forme la tête du péroné. A quatorz
tion coxo-fémorale et se prolongera inférieurement à trois travers de
doigt
au-dessous du grand trochanter. De l'angle inféri
e, et on coupera toute la chair à l'entour du membre, trois ou quatre
doigts
au-dessous du mal;... la chair étant bien coupée
ons du membre thoracique, afin de lui donner un peu plus d'intérêt.
Doigts
. Hippocrate en indique l'amputation, Celse ne la
prohibe la hache, les ciseaux et les tenailles pour l'amputation des
doigts
; il veut qu'on les coupe soit dans la jointure av
ille ; Verduin, Garengeot et Sharp conseillent de séparer toujours le
doigt
dans son articulation niétacarpo-phalangienne; He
ontinuité des phalanges, bien plus, lui préférer l'ablation totale du
doigt
, y compris même la tête du métacarpien, c'est méc
dans l'une que dans l'autre espèce d'amputation. La forme aplatie des
doigts
, l'épaisseur des parties molles à la face palmair
importe de se rappeler la disposition des tendons qui parcourent les
doigts
, et leur réunion à la paume de la main dans de va
La gaîne fibreuse des tendons se prolonge dans toute la longueur des
doigts
; le fléchisseur profond se fixe à la phalangette,
on. i° Méthode circulaire (pl. 69, fig. 1, 2, 3). Le poignet et les
doigts
fixés par des aides, le pouce écarté, le chirurgi
eau. Premier procédé de M. Velpeau. Le chirurgien tenant lui-même les
doigts
, faire une incision semi-lunaire à convexité anté
ne à l'interne un lambeau cutané ovalaire incliné de trois travers de
doigt
; disséquer la peau en dehors jusqu'au niveau du b
océdé ovalaire : seulement le sommet du V se trouve à deux travers de
doigt
au-dessous de l'acromion. Pansement. Après les
amputation des orteils dans la continuité sont les mêmes que pour les
doigts
, où nous les exposerons en détail. AMPUTATIONS
les deux os en taillant le lambeau postérieur : mais l'application du
doigt
sur le péroné, l'inclinaison du couteau suivant l
Faire une incision ovalaire des tégumens commençant à cinq travers de
doigt
au-dessous de la crête du tibia et arrivant, à l'
ranchant vers la racine du membre, tomber sur l'os à trois travers de
doigt
plus haut que la circonférence externe de l'incis
ur l'amputation dans la continuité, émet, pour la désarticulation des
doigts
, cette idée singulière : qu'il faut cautériser la
tes à mortels accidents et très douloureuses, celles qui sont à trois
doigts
de la jointure ne sont pas moins dangereuses, à c
omplètement les désarticulations, et ne font d'exception que pour les
doigts
. Mais à peu près dans le même temps Barbette adme
tion convenable, la relever et s'assurer encore, en tâtonnant avec le
doigt
et la pointe du couteau , de l'interligne articul
généralement suivie en Angleterre, le procédé en est très simple : le
doigt
tenu dans l'extension, sa face dorsale en haut, i
ire. 2° A un seul lambeau. — Lambeau dorsal. Procédé de Laroche. Le
doigt
tenu la face palmaire en haut, diviser la peau ho
cédé de M. Lisfranc (pl. 67, fig. 2). La main tenue en pronation, les
doigts
sains écartés par un aide qui en même temps relèv
dé de M. Lisfranc (pl. 67, fig. 3). La main portée en supination, les
doigts
sains maintenus fléchis par un aide, saisir la ph
(neuf à onze lignes) du pli de flexion interdigital. En tirant sur le
doigt
de manière à écarter les surlaces articulaires, i
ement dans les tissus, on parvient à le reconnaître en fléchissant le
doigt
sur la paume de la main , ce plan se trouvant au-
rondi dessiné par la tète de l'os métacarpien. Amputation d'un seul
doigt
. L'amputation isolée des doigts ne se pratique pl
os métacarpien. Amputation d'un seul doigt. L'amputation isolée des
doigts
ne se pratique plus aujourd'hui qu'autant que la
nlever sous prétexte qu'elle nuit par son volume au rapprochement des
doigts
. Méthode circulaire. Indiquée par quelques aute
. Voici du reste le procédé de M. Cornuau. La main en supination, les
doigts
sains écartés par des aides, porterie talon du bi
Méthode a lam re aux. i° Procédé de J.-L.Petit(jp\.6S, fig.2) (D). Le
doigt
dans l'extension, tailler, de chaque côté, un lam
plus de facilité pour la désarticulation. 3° Procédé de Garengeot. Le
doigt
malade étendu et bien isolé des doigts voisins fo
on. 3° Procédé de Garengeot. Le doigt malade étendu et bien isolé des
doigts
voisins fortement fléchis, pratiquer deux incisio
her et M. Lisfranc (pl. G8, fig. 2). La main placée en pronation, les
doigts
voisins écartés par un aide, saisir la première p
verticalement vers soi, tendre la peau par une légère traction sur le
doigt
, et tailler, d'arrière en avant, le second lambea
édent. Lorsque l'opération est pratiquée sur l'indicateur ou le petit
doigt
, il est convenable de donner plus d'étendue au la
ignon étant ainsi mieux recouvert et tendant à faire suite aux autres
doigts
. lia longueur qu'il doit avoir est facile à préci
côté droit de l'opérateur; puis, par un mouvement continu, relever le
doigt
dans l'extension en même temps que le bistouri in
et divise l'angle de la commissure de l'autre côté : ramener alors le
doigt
dans la demi-flexion et, toujours sans désemparer
part. La section de la peau étant opérée, faire écarter largement les
doigts
de chaque côté, détacher les lèvres de la plaie,
il suffit pour le médius et l'annulaire, de tenir rapprochés les deux
doigts
voisins pour obtenir une plaie linéaire. Pour l'i
gts voisins pour obtenir une plaie linéaire. Pour l'index et le petit
doigt
, une bandelette agglutinative maintient le lambea
Lisfranc est préférable aux autres. amputation des quatre derniers
doigts
ensemble (pl. 68, fig. 3). La ligne des quatr
4)-— Premier temps. La main placée en supination, les quatre derniers
doigts
saisis parallèlement entre ceux de la main gauche
tre employé avec avantage pour l'ablation simultanée de deux ou trois
doigts
. Méthode a un lambeau palmaire. — Procédé ordin
droite, de la mettre en pronation, l'opérateur embrassant les quatre
doigts
dans la paume de sa main gauche, le pouce appliqu
aume de sa main gauche, le pouce appliqué sur l'articulation du petit
doigt
, et l'indicateur sur celle du doigt du même nom,
liqué sur l'articulation du petit doigt, et l'indicateur sur celle du
doigt
du même nom, situation que l'on renverse en sens
les tubercules des phalanges extrêmes étant reconnus, de contenir les
doigts
entre ceux de l'opérateur et le pouce à plat, com
amputés tous ensemble et d'un seul coup, ou chacun séparément avec le
doigt
qui lui correspond ; néanmoins l'amputation parti
ain placée en supination, lavant-bras contenu, et les quatre derniers
doigts
fixés par un aide, porter le pouce dans l'abducti
un aide écarte le pouce, le chirurgien saisit avec les trois premiers
doigts
delà main gauche, et attire en avant, la plus gra
s vient aboutir à la commissure interdigitale; puis, sans quitter les
doigts
de la main gauche qui tiennent le pouce, en opéra
inéaire, est préférable comme dernier résultat. Amputation du petit
doigt
. L'os métacarpien du petit doigt présente, à so
er résultat. Amputation du petit doigt. L'os métacarpien du petit
doigt
présente, à son extrémité car-pienne, une double
au.— i° Procédé ancien. La main mise en pronation, les trois premiers
doigts
écartés par un aide, présenter le bistouri vertic
, sans lâcher prise, achèvent la certitude. i° Saisir alors entre les
doigts
de la main gauche, sur le bord interne, la plus g
une incision conduite obliquement en avant jusqu'à la racine du petit
doigt
, dont elle contourne la face palmaire du côté cub
lation du pouce : la main étant fortement tournée en pronation et les
doigts
fixés en situation convenable, faire partir une i
la terminaison latérale du pli de flexion digito-palmaire. Étendre le
doigt
, inciser dans la même rainure et remonter de l'au
aquelle s'étend l'incision ovalaire. Réunion. L'amputation du petit
doigt
entraîne ordinairement la lésion de quelques arté
alaire est celle qui donne la plaie la plus petite. Amputations des
doigts
intermédiaires. Il est rare qu'on ait recours à
rare qu'on ait recours à la désarticulation isolée de l'un des trois
doigts
indicateur, médius et annulaire, les désordres qu
arpienne. Arrivé là, on peut procéder de deux manières. i° Tendant le
doigt
que l'on enlève et faisant écarter le doigt voisi
x manières. i° Tendant le doigt que l'on enlève et faisant écarter le
doigt
voisin, en partant de l'angle dorsal de l'incisio
re, qui ne diffère en rien de la même amputation appliquée aux autres
doigts
. La main en pronation, à partir de l'articulation
carpe vers les commissures digitales. La désarticulation isolée des
doigts
intermédiaires n'a encore été pratiquée que par u
seuses palmaires; et enfin il est difficile, pour chacun de ces trois
doigts
, de ne pas léser l'arcade palmaire de la radiale.
les auteurs de médecine opératoire. Amputation des quatre derniers
doigts
ensemble. Cette amputation est réservée pour le
dont le pouce, étendu sur la face dorsale, fait opposition aux autres
doigts
sur la face palmaire, avec un petit couteau droit
isant écarter par un aide le pouce pour la main droite, ou les quatre
doigts
pour la main gauche, le chirurgien tenant les qua
es quatre doigts pour la main gauche, le chirurgien tenant les quatre
doigts
dans le premier cas, et le pouce dans le second,
e intactes, d'un seul coup, en faisant basculer avec le pouce sur les
doigts
les têtes phalangiennes des métacarpiens, luxer t
mens, saisir de la main gauche, entre le pouce et les quatre derniers
doigts
, la main sur laquelle on opère, et la placer éten
ision circulaire, bornée à l'épaisseur de la peau, à trois travers de
doigt
au-dessous du plan présumé inter-articulaire; dis
urnée en haut, tracer un trait d'encre sur la peau, à cinq travers de
doigt
au-dessous de l'épicondyle, pour fixer la limite
ée; faire une marque semblable sur la face interne, à deux travers de
doigt
plus haut que la première, puis, placé en dehors
er fortement les chairs vers l'épaule par un aide, à trois travers de
doigt
au-dessous de l'aeromion inciser d'un seul coup l
de M. Cornuau. Le membre relevé, diviser la peau à quatre travers de
doigt
au-dessous de l'aeromion, la faire remonter par u
ié avantageusement en France par M. Louis Sanson. A quatre travers de
doigt
au-dessous de l'aeromion pratiquer une incision c
teau en dedans, et, derrière lui, faire saisir par un aide, entre les
doigts
et le pouce servant de pince, le côté interne de
ement par un aide; avec un couteau étroit, présenté à deux travers de
doigt
au-dessous de l'acromion, inciser transversalemen
allongement du lambeau externe et supérieur, coupé à trois travers de
doigt
au-dessous de l'acromion; 2° parle raccourcisseme
'épaisseur du deltoïde une incision transversale, à quatre travers de
doigt
au-dessous de l'acromion; sur les angles de cette
n quoi il consiste : le bras en position, saisir et soulever avec les
doigts
de la main gauche la masse du deltoïde, glisser h
e aide, qui soulève le lambeau externe d'une main, saisisse entre les
doigts
les chaire, pour comprimer l'artère au-dessus du
r et le médius sur le triangle acromio-coracoïdien, les deux derniers
doigts
relevés ; alors armé d'un couteau à double tranch
res de cette plaie et les faire relever par un aide qui applique deux
doigts
sur les artères circonflexes externe et interne.
êtées les incisions obliques, faire saisir l'artère axillaire par les
doigts
d'un aide entre les chairs et terminer en coupant
u de longueur des orteils et leur moindre importance relativement aux
doigts
font que l'on ne désarticule ni les premières ni
uer les mêmes procédés qu'aux désarticulations interphalangiennes des
doigts
; le meilleur serait celui à un lambeau qui serait
M. Lisfranc. C'est l'analogue de celui que nous avons décrit pour les
doigts
. — Pied gauche. i° Le pied contenu par un aide, s
gauche. i° Le pied contenu par un aide, saisir les orteils entre les
doigts
de la main gauche, le pouce appliqué sur la face
ur sur le côté de la tête du cinquième métatarsien , les trois autres
doigts
retombant sur les extrémités onguéales des orteil
és.—Pied droit. Le procédé est en tout point le même, la position des
doigts
de l'opérateur étant seulement renversée, et les
ateur, le pouce appuyé sur la face dorsale du métatarsien, les autres
doigts
faisant opposition sur la face plantaire, commenc
été dit plus haut. — Pour le pied droit, les orteils saisis entre les
doigts
, le plan inter-articulaire est indiqué par le pou
cinquième métatarsien de manière à déterminer, par la position de ces
doigts
, le point de départ des articulations sur les deu
en masse en faisant basculer avec le pouce aplat le métatarse sur les
doigts
appliqués à la face plantaire; introduire la poin
seule différence essentielle tient à l'inversion dans la position des
doigts
par rapport au bord du pied; le pouce Rappliquant
caphoïde, pratiquer au-devant de l'extrémité de l'un à l'autre de ces
doigts
une incision semi-lunaire, pénétrant jusqu'aux os
Velpeau. Inciser la peau circulairement à trois ou quatre travers de
doigt
au-dessous de la rotule, sans intéresser les musc
de la jambe, contourne en arrière le creux du jarret, à un travers de
doigt
au-dessous du tibia, et redescende obliquement de
volume du membre, mais nui ne doit pa» avoir moins de sept travers de
doigt
. Procédé de M. Plantadc, lambeau antérieur. Ima
re : i° insinuer la pointe d'un long couteau droit à trois travers de
doigt
au-dessous et un peu en dedans de l'épine iliaque
dans l'extension, avec une légère adduction, reconnaître, avec (rois
doigts
de la main gauche, le sommet du grand trochanter,
inétacarpo-phalangiennes, 25 4, 255. — Amputation des quatre derniers
doigts
ensemble, 255,—Amputations dans les articulations
ions dans les articulations carpo-métacarpiennes : le pouce, le petit
doigt
, les doigts intermédiaires, les quatre derniers d
es articulations carpo-métacarpiennes : le pouce, le petit doigt, les
doigts
intermédiaires, les quatre derniers doigts ensemb
pouce, le petit doigt, les doigts intermédiaires, les quatre derniers
doigts
ensemble, 256—258. — Amputation dam l'articulatio
on métacarpienne, et les branches collatérales, le long des bords des
doigts
. FIGURE 2. F. Loge du deltoïde, avec les vais
dial avec leurs vaisseaux. L, M, N. Loges de l'extenseur commun des
doigts
(L); de l'extenseur propre du petit doigt (M), et
de l'extenseur commun des doigts (L); de l'extenseur propre du petit
doigt
(M), et du cubital postérieur (N). Main. 27.
. Vaisseaux et nerf médian. 7. Loge du long fléchisseur profond des
doigts
. 8. Vaisseaux radiaux. 9. Nerf radial. 10.
sseaux cubitaux et nerf cubital. 15. Loge de l'extenseur commun des
doigts
. 16. Loge de l'extenseur propre de l'indicateur
ux interosseux postérieurs. 18. Loge de l'extenseur propre du petit
doigt
. 19. Loge du cubital postérieur. 20. 20, 20.
x cubitaux et nerf cubital. D. Loge du long fléchisseur profond des
doigts
. E. Loge du long fléchisseur propre du pouce.
9. Loge du cubital postérieur. 10. Loge de l'extenseur commun des
doigts
. 11. Loge de l'extenseur propre du petit doigt.
xtenseur commun des doigts. 11. Loge de l'extenseur propre du petit
doigt
. 12. 12, 12. Aponévrose antibrachiale. De cha
mun et propre de l'index. 13. Tendon de l'extenseur propre du petit
doigt
. 14. Tendon du cubital postérieur. 15. Vaisse
. Section de l'adducteur du pouce. 4. Gaîne de l'adducteur du petit
doigt
. 5. Gaîne du fléchisseur du petit doigt. 6. G
îne de l'adducteur du petit doigt. 5. Gaîne du fléchisseur du petit
doigt
. 6. Gaîne de l'opposant. 7. 7. Gaînes des int
tranchant en haut. Fig. 4. Cinquième position du bistouri, le petit
doigt
élevé. Fig. 5. Sixième position du bistouri ten
Fig. 5. Sixième position du bistouri tenu comme un archet, le petit
doigt
à plat. Fig. 6. Septième position du bistouri,
arotide, et, sur le trajet de l'artère axillaire, par la pression des
doigts
. COMPRESSION DES ARTERES DE LA FACE. La chiru
motif qui nous a porté à figurer cette compression seulement avec les
doigts
; encore n'est-elle efficace que chez les sujets
la nuque. Fig. 1. Un pli étant fait à la peau et maintenu avec les
doigts
de la main gauche, l'opération est représentée au
ion de l'aponévrose palmaire dans le cas de rétraction permanente des
doigts
causée par une cicatrice vicieuse (procédé de Dup
gure 6. Section du nerf frontal qui doit être suivie de résection. Le
doigt
indicateur d'un aide maintien la paupière supérie
(b) fixe le vaisseau sur la malléole pour l'empêcher de rouler ; les
doigts
de la main droite (c) tiennent en position la lan
cette effilée, ou en langue de serpent. d. Lancette tenue entre les
doigts
, pour la ponction. Tome 6 Pl.29. Dessiné d'
aisselle du côté opposé, où elle est maintenue serrée par un aide. Un
doigt
indicateur du chirurgien porte sur la veine pour
rdinaire. Figure 6. Torsion simple de l'artère, maintenue entre les
doigts
de l'autre main. Figure 7. Mâchure exercée surl
i maintient les mors en contact, sans exiger la pression continue des
doigts
. 1. Pince de M. Charrière. —Elle diffère des pi
, l'instrument n'offrant rien à l'extérieur qui gêne le mouvement des
doigts
. 9. Pince de M. Gensoul de Lyon. — Elle diffère
. L'artère étant saisie d'une main, par la pression sur la pince, les
doigts
de l'autre inain, en même temps qu'ils maintienne
de cannelée est trop faible, le manche évidé d'un scalpel, ou même le
doigt
indicateur, y supplée dans beaucoup de cas. a.
Annulaire et médius gauches du chirurgien, écartant les muscles. b.
Doigts
de l'aide de face, opérant en sens inverse. c.
s extenseurs des orteils, déprimés en arrière par la pression de deux
doigts
de la main gauche de l'opérateur. 5. Gaîne des
périeur de la jambe. La plaie est maintenue écartée en avant par le
doigt
indicateur gauche de l'opérateur; en arrière, par
e de ses extrémités. Détails de la plaie opératoire (A et A2). a.
Doigts
indicateur et médius de la main gauche du chirurg
main gauche du chirurgien écartant l'angle externe de la plaie. b.
Doigt
indicateur de l'aide de face, qui écarte l'angle
a face interne tournée en haut, l'antérieure vers le chirurgien. a.
Doigts
d'un aide de face, qui dépriment en arrière les m
l'opérateur qui tient la sonde cannelée. B. Main gauche, dont trois
doigts
maintiennent le bord externe de la plaie, l'ong
face antérieure tournée en haut. L'aide de gauche comprime, avec les
doigts
de la main gauche, l'artère numérale sur la parti
de lui-même sur la fig. 1 par une ligne continuée par la pensée, des
doigts
qui compriment au centre de la plaie (A). Celui d
1° Portion supérieure antibrachiale. (B) Figures 1, 2, et B2. — (a)
Doigt
indicateur d'un aide qui écarte la lèvre interne
son passage sur la première côte, tandis qu'avec les quatre derniers
doigts
de sa main droite il soulève et rappelle en haut
vec la peau et la section inférieure du muscle grand pectoral, par le
doigt
indicateur gauche du chirurgien. — 4. Veine cépha
brachio-céphalique, embrassé dans une anse de fil, et soulevé par les
doigts
du chirurgien. Tome 6. Pl.46. N. H. Jacob d
feuillet fibro- celluleux, décollé et maintenu par la pression des
doigts
, pour mettre à découvert la fosse iliaque interne
du péritoine et de son feuillet sous-péritonéal, sou- tenu par les
doigts
de l'aide faisant crochet. Ces deux surfaces se p
e sur laquelle le chirurgien appuie le front ou le men- ton. ( c)
Doigts
de la main droite du chirurgien qui dirigent la b
s deux radiaux; en dedans sont écartés les tendons des extenseurs des
doigts
(b). Le fond de la plaie offre le plan de section
mprime avec le médius droit (A) l'artère sous-clavière , et, avec les
doigts
de l'autre main, contient le lambeau triangulaire
de cérat, est glissée en arrière sous les côtes, et maintenue par les
doigts
d'un aide de face D. détails de la plaie (vus e
Eil entouré de son coussin graisseux, k. Os maxillaire tenu entre les
doigts
de la main gauche du chirurgien (1), qui en opère
Lisfranc, à un lambeau palmaire. ) La dernière phalange tenue par les
doigts
de la main gauche du chirurgien, le bistouri, qui
de la plaie d'une opération de même genre, supposée pratiquée sur le
doigt
annulaire. Figure 3. G, Amputation dans la second
orsal, de M. Lisfranc). e, Main d'un aide qui maintient fléchis les
doigts
sains. f, Main gauche du chirurgien qui maintie
his les doigts sains. f, Main gauche du chirurgien qui maintient le
doigt
malade. Le lambeau palmaire étant relevé, le bi
ui contient le médius, h , Main gauche du chirurgien qui maintient le
doigt
opéré, k , La même opération terminée sur l'indic
ndicateur. L, Réunion par première intention de la plaie sur le petit
doigt
. PLANCHE 68. AMPUTATIONS DES DOIGTS (DANS LA
tention de la plaie sur le petit doigt. PLANCHE 68. AMPUTATIONS DES
DOIGTS
(DANS LA CONTIGUÏTÉ.) FIGURE \. A, Amputati
laquelle on opère. b, Main gauche du chirurgien qui maintient le
doigt
sur lequel il opère. L'opération est représenté
La même opération terminée et représentée sur l'articulation du petit
doigt
. C, Réunion du moignon précédent. FIGURE 2.
l'indicateur. c et d, Mains d'un aide qui fixent le poignet et les
doigts
sains de la main du malade. e, Main gauche du c
de la main du malade. e, Main gauche du chirurgien qui maintient le
doigt
malade. L'opération est représentée lorsque , l
anc, à deux lambeaux. f, Main gauche du chirurgien qui maintient le
doigt
malade. L'opération est représentée au moment d
cher le lambeau interne. FIGURE 3. amputation des quatre derniers
doigts
dans les articulations métacarpo-phalangiennes.
malade. i, Main gauche du chirurgien qui rassemble et contient les
doigts
. L'opération est représentée lorsque le couteau,
eau palmaire. FIGURE 4. Amputation circulaire des quatre derniers
doigts
, l'opération terminée. La main malade, soutenue p
ant. c, Main gauche du chirurgien qui renferme et fixe les quatre
doigts
de la main opérée. d, Couteau inter-osseux, ten
uce. g, Main gauche du chirurgien qui renferme et fixe les quatre
doigts
de la main opérée. h, Scie cultellaire tenue de
CONTIGUÏTÉ DES ARTICULATIONS TARSO-MÉTATARSIENNES des quatre derniers
doigts
. L'opération est représentée au moment où le ch
poignet du malade. j , Main gauche du chirurgien qui maintient les
doigts
de la main opérée. k , Couteau tenu de sa main
arpien. a, b, Mains d'un aide qui contiennent celle du malade. c,
Doigts
de la main gauche du chirurgien qui fixent le pou
ntiennent celle du malade. 1, Main gauche du chirurgien qui fixe le
doigt
sur lequel il opère. m, Bistouri tenu de la mai
e l'os. n, o, Mains d'un aide qui contiennent celle du malade. p,
Doigt
opéré tenu par la main gauche du chirurgien. q,
assé derrière la tête de l'os , un aide a saisi entre le pouce et les
doigts
opposans le faisceau vasculaire dans l'épaisseur
les vaisseaux axillaires pinces entre le pouce et les trois premiers
doigts
. f. Main gauche du chirurgien qui gouverne le b
plaie après 1 opération. Le lambeau tégu-mentaire, soulevé entre deux
doigts
, est formé par la peau de toute la face dorsale d
ormé par les muscles plantaires internes est montré soulevé entre les
doigts
. Figure 6. Plaie linéaire qui résulte de l'appl
colés à la peau par une bandelette agglutinative et maintenus par les
doigts
d'un aide (i). L'opération est représentée dans s
e 1. Amputation dans l'articulation huméro- cubitale et radiale. Deux
doigts
soulèvent le sommet de l'ovale formant un lambeau
au antérieur est maintenu soulevé verticalement de chaque coté parles
doigts
d'un aide, pour faciliter la ligature des artères
arrière. Pour atteindre ce but, elle refoule les aliments avec ses
doigts
et, pour boire, elle prend une quan- Fig. 2.
i limitée. Les kystes forment une légère saillie appré- ciable au
doigt
et an toucher (Fig. 1). Z) sur les t5 coupes
disposition naturelle, propre à certains individus : mouvements des
doigts
, subluxation volon- taire du pouce, du coude, d
Charcot et P. Richer, Les démoniaques dans l'art, p. 5. 88 HEITZ
doigt
du Christ, touchant l'oeil du vieillard, nous ind
osaïques du XIIe siècle. Je crois donc que cette main pendante, aux
doigts
retombant à peine fléchis, est une main de paraly
maintenu ho- rizontalement. La main est pendante, en pronation, les
doigts
relâchés en légère flexion. On peut remarquer q
nt sur toutes les parties découvertes. Il semble manquer un ou deux
doigts
à la main gau- che. Le diagnostic n'est pas dou
la main gauche qui repose sur le lit, et surtout la rétraction des
doigts
auriculaire et annulaire. Peut- être l'artiste
côté à l'autre. A gauche la main n'est représentée que par un seul
doigt
, le pouce, et par le métacarpien correspondant.
entimètres pour le carpe et le mé- tacarpe et 6 centimètres pour le
doigt
. Les phalanges paraissent sensiblement normales
dévie et s'incline d'abord sur le côté interne, puis au niveau des
doigts
en sens opposé sur le côté externe, de sorte qu
opposé sur le côté externe, de sorte que l'avant-bras, la main et les
doigts
for- ment comme un Z allongé. Les doigts, d'ail
avant-bras, la main et les doigts for- ment comme un Z allongé. Les
doigts
, d'ailleurs, se limitent à deux, et parais- sen
nar. 130 HUET ET INFRO1T Elle mesure du poignet à l'extrémité des
doigts
10 cm. 1/2; dans ces dimen- sions 6 cm. 1/2 cor
cm. 1/2 correspondent au carpe et au métacarpe et 4 centimètres aux
doigts
. Radiographies. - Maintenant, grâce aux rayons
Pl. XVII, représente la radiographie du poignet, de la main et des
doigts
du côté droit; elle a été prise la main en pronat
veau on constate la présence d'un os sésamoïde, indiquant bien que le
doigt
existant est un pouce ; mais cet os sésamoïde p
ce cas l'os du carpe corres- pondrait seulement au scapboide. Les
doigts
sont au nombre de deux, mais ils sont en partie s
intéressante, qui rappelle celle que l'on rencontre dans des cas de
doigts
surnuméraires. L'os qui s'articule avec la tête d
la première phalange du pouce avec la première phalange de l'autre
doigt
. En dehors il se continue avec la deuxième phalan
se qui représenterait une partie de la première phalange de l'autre
doigt
, notablement atrophiée. La deuxième phalange de
de l'autre doigt, notablement atrophiée. La deuxième phalange de ce
doigt
est notablement atrophiée aussi. Elle s'articule
port à l'axe de cette deuxième phalange. Les dimensions de ces deux
doigts
sont nota- blement réduites ; les deux phalange
rémité inférieure avec deux os sésamoïdes. Le squelette de l'unique
doigt
qui lui fait suite continue la direction du métac
ns de la flexion et de l'extension. Les mou- vements du pouce et du
doigt
, qui lui est accolé, sur la main sont également
la pince formée par l'écartement l'extrémité du pouce et du second
doigt
, G... peut aussi saisir ces objets, mais avec bea
a plume ou le crayon dans la pince formée par le pouce et le second
doigt
, mais depuis longtemps il emploie un autre proc
epuis longtemps il emploie un autre procédé. Il entoure la base des
doigts
d'un lien formé par une corde ou un lacet et pa
Les autres muscles de l'avant-bras, extenseurs et fléchisseurs des
doigts
(ou du pouce) paraissent très peu développés ; le
ttre complète- ment la deuxième phalange dans l'axe longitudinal du
doigt
. Autour du coude la disposition des muscles est
n développé, en raison' des mouvements de la dernière pha- lange du
doigt
. Les autres muscles de l'avant-bras paraissent so
r les mouvements de latéralité imprimés a la pre- mière phalange du
doigt
unique. DESCRIPTION D'UN ECTROMÉLIEN DÉMIMÈLE '
re phalange du pouce gauche, soit dans la pince formée par les deux
doigts
du côté droit, soit dans l'angle formé par l'in
pourrait croire être en présence des membres de notre sujet, si le
doigt
unique ne se trouvait pas à droite, tandis que
as à droite, tandis que du côté gauche se trouve une main avec deux
doigts
rappelant à s'y méprendre la configuration de la
'examen radiographique n'ont pu être faits et qu'aux deux mains les
doigts
existant paraissaient être des pouces, il nous
cubitus. - Des deux côtés le radius est court ; les quatre derniers
doigts
manquent. Aux membres inférieurs, des deux côté
tures au niveau de l'articulation du coude ; absence des 3 derniers
doigts
et de leurs métacarpiens ; absence du pyramidal,
kylosés sous un angle de 1su". - A droite absence du pouce et du 4°
doigt
( ? ). A gauche, absence du 4° et du 5° doigts
sence du pouce et du 4° doigt ( ? ). A gauche, absence du 4° et du 5°
doigts
et de leurs métacarpiens ; pouce rudimentaire.
ahsence des métacarpiens et des phalanges du pouce , du 4° et du 5e
doigts
. Torti- colis à droite. Perforation de la clois
droit fait complètement défaut. Du même côté, les 3°, lie et 5° ( ? )
doigts
manquent. * VI. - STEFFAL, 1875 (5). Enfant m
bsence du pisiforme, du pyramidal, de l'os crochu et des 3 derniers
doigts
; coude à angle droit et peu mobile. - De l'autre
mobile. - De l'autre côté absence du 3° métacarpien, du 3° et du se
doigts
; pouce double et syndactyle. VIII. - Birnbache
uche absence totale du cubitus. - De ce côté coude ankylose ; le 1°
doigt
contrac- turé en adduction ; le 3" contracture
- turé en adduction ; le 3" contracture en flexion ; le 4° et le 5°
doigts
presqu'en- tièrement réunis, le 3e et le 4e par
cubi- tus manque des deux côtés. - A droite absence du 4° et du 5e
doigts
; union totale des 3 premiers doigts. - A gauch
droite absence du 4° et du 5e doigts ; union totale des 3 premiers
doigts
. - A gauche absence du pouce, des 4° et 5° doigts
tale des 3 premiers doigts. - A gauche absence du pouce, des 4° et 5°
doigts
avec les métacarpiens et les os du carpe corres
que seulement à droite. - De ce côté absence des 3°, 4° et 5° ( ? )
doigts
. - De l'autre côté absence du 5e doigt ( ? ). Au
ence des 3°, 4° et 5° ( ? ) doigts. - De l'autre côté absence du 5e
doigt
( ? ). Au mem- bre inférieur du côté opposé rac
rpe réduit à deux os, auxquels font suite deux métacarpiens et deux
doigts
, dont l'un est le pouce. Ces deux doigts étaien
deux métacarpiens et deux doigts, dont l'un est le pouce. Ces deux
doigts
étaient réunis aussi par syndactylie, ils ont é
c le carpe s'articulent deux métacarpiens, auxquels font suite deux
doigts
réunis par syndactylie ; ils sont composés chacun
ui-ci s'articule avec trois métacarpiens, auxquels font suite trois
doigts
; les deux doigts internes se composent de trois
vec trois métacarpiens, auxquels font suite trois doigts ; les deux
doigts
internes se composent de trois phalanges, le troi
t la présence du pouce et de son* métacarpien tandis que les autres
doigts
manquent en totalité ou en partie; plus rarement
n partie; plus rarement le pouce manque, tandis que tous les autres
doigts
, ou quelques-uns d'entre eux seulement, sont co
sont conservés ; plus rarement encore la main existe avec tous ses
doigts
et avec les différents os du métacarpe et du carp
tylie, à des degrés divers comme nombre et comme étendue, entre les
doigts
conservés. L'observation que nous avons rapport
ce- lui-ci, les quatre derniers métacarpiens et les quatre derniers
doigts
font complètement défaut. De l'autre côté on ne
un seul métacarpien et un pouce réuni par syndactylie avec un autre
doigt
rudimentaire. Ce dernier, d'ailleurs, par son squ
e dernier, d'ailleurs, par son squelette res- semble tellement à un
doigt
surnuméraire que nous sommes portés à con- sidé
nous sommes portés à con- sidérer comme absents les quatre derniers
doigts
. Il est intéressant de comparer les malformatio
vec main-bote d'un côté, composée seulement par les quatre derniers
doigts
; nous ne pouvons dis- poser de ce cas qui a ét
compose que des quatre derniers métacarpiens, elles quatre derniers
doigts
, seuls exis- tant, présentent des phalanges nor
le plus généra- lement, le pouce fait défaut tandis que les autres
doigts
existent. Quel- quefois, cependant, on constate
ue par un court moignon, sur le- quel on peut voir des rudiments de
doigts
plus ou moins accusés. Chez les phocomèles la m
manquer également ou bien n'être représentée que par une partie des
doigts
ou par des vestiges plus ou moins (1) P. BEIIT,
main, premier métacarpien et pouce existent, mais les quatre autres
doigts
ou plusieurs d'entre eux manquent en môme temps
dernières anomalies comprennent les anomalies de développement des
doigts
par défaut ou ectrodactylies, les anomaliespar
trodactylies, les anomaliespar excès de nombre ou polydactylies,les
doigts
surnuméraires, la main en pince de homard, la s
produisant de véritables amputa- tions congénitales. La présence de
doigts
rudimentaires, comme il en existe souvent en pa
e chez notre ectromélien il existait d'un côté un pouce et un autre
doigt
; celui-ci est en partie réuni par syndactylie av
éuni par syndactylie avec le pouce, il a plutôt les apparences d'un
doigt
surnuméraire que de l'index. A côté de malforma
re une déviation dans le développement donnant naissance à ces deux
doigts
en partie syndacti les et fusionnés. Quelle est
précaires. On doit noter la position particulière que preunent ses
doigts
sous l'influence d'un spasme, survenant dès qu'el
qui, d'habitude, se sert également de ses deux mains et de tous ses
doigts
, 2 doigts seulement d'une seule main étaient af
itude, se sert également de ses deux mains et de tous ses doigts, 2
doigts
seulement d'une seule main étaient affectés par
qu'elle jouait beaucoup du violon et que pendant le spasme ces deux
doigts
affectent la position qu'ils prennent quand ell
notre sujet. Enfin on peut remarquer que la main n'a plus que trois
doigts
. Sans doute on voit, dans la scléro- dermie, de
phalanges, mais elles portent à peu près spécialement sur tous les
doigts
et ne vont jamais jusqu'à la dispari- tion tota
avant-bras. A défaut de bâton, on faisait souvent serrer entre les
doigts
une bande roulée, ou simplement le pouce replié
esque normales. Mais la face dorsale est livide, presque noire. Les
doigts
présentent, surtout à la face dorsale, la même
outes les régions la coloration anormale disparaît à la pression du
doigt
pour reparaître immédiatement après. De même si
raître immédiatement après. De même si l'on étire la peau avec deux
doigts
de chaque main. Les taches deviennent plus fonc
ermographisme. On peut facilement tracer un nom sur sa peau avec le
doigt
ou avec le manche d'un porte-plume et sur l'une
14°; it la fin : Ho. | 2. Températures prises à quatre travers de
doigt
de chaque côté de l'ombilic. A gauche : 30° 6
à gauche. Par les temps froids le malade fléchit difficilement les
doigts
de la main gauche, sur- tout le médius et l'ann
existe bien chez notre malade de « l'asphyxie des extrémités ». Les
doigts
présentent en effet une coloration bleuâtre, viol
le est congénitale et constante. 4.0 Certaines régions, surtout les
doigts
, ont l'aspect qu'on observe à la suite de lésio
tonus vasculaire. Le dicrotisme du pouls, surtout appréciable au
doigt
, est dû au non-dé- veloppement ou à la paralysi
du poignet, sont exagérés. Nous ne relevons pas de tremblement des
doigts
, ni de la langue ; il n'y a pas de tremblement (i
nce plus exacte par un toucher méthodique, elle eut la sensation de
doigts
froids longs et aplatis ; les ongles étaient égal
pour la jambe, la distance qui sépare l'acromion de l'extrémité des
doigts
, 2 têtes 1/2 dont environ 1 tête de l'acromion au
du corps est-il situé un pen au-dessus du pubis, et l'extrémité des
doigts
atteint-elle le milieu de la face interne de la
ras et la main 22 cen- timètres, de telle sorte que l'extrémité des
doigts
arrive à peine à la nais- sance de la cuisse, a
s différences de longueur d'un à deux centimètres ou davantage, les
doigts
d'une même main sont de di- mensions presque ég
oposerai d'appeler la main en trident et qui consiste en ce que les
doigts
d'une main étant jux- taposés par leur base, il
ette forme est d'autant plus nette chez notre petite malade que ses
doigts
ont un aspect fusiforme très particulier. La pa
ètres ; chez un adulte de 1 m. 70, 27, 24. 8 el 12 centimètres. Les
doigts
et la main sont donc diminués d'un quart ; le b
Une disposition souvent notée chez ces sujets est l'écartement des
doigts
et l'égalité pres- que complète de leur longueu
nstance : telslabrachycéphalie, l'égalité du médius avec les autres
doigts
, la participation de la tête du péroné à l'articu
endent au niveau du troi- sième tiers de la cuisse, l'extrémité des
doigts
restant à deux centimètres en- viron du condyle
eaux) Il a été publié de nombreux travaux sur les malformations des
doigts
. Nous citerons parmi les plus récents, ceux de
mesure que l'enfant a avancé en âge, la disproportion entre les deux
doigts
soudés et les autres s'est encore accrue et c'e
ne à peine le sillon vertical qui, à l'état normal, sépare les deux
doigts
et qui est réduit ici à une légère dépression.
ère phalange est, comparativement, un peu plus abaissé sur ces deux
doigts
que sur les doigts sains correspondants. Le pli
omparativement, un peu plus abaissé sur ces deux doigts que sur les
doigts
sains correspondants. Le pli de flexion de la p
est à peine à une distance plus longue du pli précédent que sur les
doigts
sains de l'autre côté, tandis que le pli de fle
On dirait donc que la phalange a peu participé à l'accroissement des
doigts
tandis que la phalangine y a contribué pour bea
pli de la pha- langette est une fois plus éloigné de l'extrémité du
doigt
qu'il n'est sur les doigts sains. Par conséquen
t une fois plus éloigné de l'extrémité du doigt qu'il n'est sur les
doigts
sains. Par conséquent, la phalangette aurait, ell
, contribué notable- ment à l'accroissement de longueur de ces deux
doigts
. Ceux-ci sont en hyperextension comme si les te
tement que la masse pathologique est formée par la réunion des deux
doigts
déformés et sur- tout très volumineux. Les ongl
me tiraillés en tous sens par les tissus sous-jacents. Entre les deux
doigts
existe, dans la partie moyenne de leur longueur
e de la main droite : 0 m. 125. Circonférence prise au milieu des 2
doigts
soudés : 0 m. 12. Circonférence prise au milieu
doigts soudés : 0 m. 12. Circonférence prise au milieu des 2 mêmes
doigts
sains : 0 m. 065. Longueur des doigts prise par
e prise au milieu des 2 mêmes doigts sains : 0 m. 065. Longueur des
doigts
prise par la face palmaire et en suivant la conve
gien : Côté malade : 0 m. 10. Côté sain : 0 m. 05. Longueur des
doigts
malades déterminée par une perpendiculaire partan
droits et gauches. La mensuration montre encore que le pouce et les
doigts
sains du côté gau- che ont une longueur et un v
gau- che ont une longueur et un volume égaux à ceux du pouce et des
doigts
cor- respondants de la main droite. Peut-être y
s. L'enfant ne peut dans ses essais de flexion qu'a- mener ses deux
doigts
accolés dans le prolongement des métacarpiens cor
c'est l'extension forcée. Il ne se sert d'ailleurs pas de ces deux
doigts
. S'il veut saisir un objet il le saisit avec les
s deux doigts. S'il veut saisir un objet il le saisit avec les autres
doigts
et l'appuie seulement sur la tête des 2" et 3e
seulement sur la tête des 2" et 3e métacarpiens. Eu somme, ces deux
doigts
ne font que le gêner. Jamais il n'en a souffert.
pien, des tissus hypertrophiés qui entrent dans la constitution des
doigts
anormaux. Elle ne serait pas congénitale, comme l
anormaux. Elle ne serait pas congénitale, comme la malformation des
doigts
; elle n'existe, paraît-il, que depuis un an et d
longueur portant sur les parties molles et sur le squelette de deux
doigts
accolés par malformation congénitale, augmentat
t, Radiographie). Aucun traitement autre que l'ablation de ces deux
doigts
gênants et disgra- cieux ne pouvait être propos
me s'il y avait encore un excès de tissu adipeux.' Dissection des
doigts
enlevés : Une tranche palmaire, coupée perpendi
evés : Une tranche palmaire, coupée perpendiculairement à l'axe des
doigts
jus- qu'à l'os, apparaît comme formée de tissu
séquée suivant une ligne qui doit conduire sur la collatérale de ce
doigt
. On ne peut trouver cette artère, pas plus que
mme : adipose et hypertrophie osseuse proportionnelles au volume du
doigt
. Mensurations du squelette des doigts d'après l
roportionnelles au volume du doigt. Mensurations du squelette des
doigts
d'après les dissections et les radiogra- phies
dire qu'il y ait eu, dans sa famille, des vices de conformation des
doigts
, jamais de maladies fébriles malgré une certain
des autres viscères. La main droite est tout à fait normale ; les
doigts
ne présentent pas de défor- mations. Lorsqu'o
l'annu- laire, le médius présentent des malformations (Fig. 2). Ces
doigts
, sans présenter de stigmates de sclérodactylie,
volume ; la deuxième et la troisième phalange des quatre der- niers
doigts
présentent des modifications profondes. La longue
niers doigts présentent des modifications profondes. La longueur des
doigts
malformés par rapport à leurs symétriques, est
uves radiographiques, on voit que les espaces interarticulaires des
doigts
sont beaucoups plus marqués du côté droit; à ga
es espaces sont inappréciables. Les mensurations du sque- lette des
doigts
, suivant leur longueur, donne les résultats suiva
s divers modes est partout normale. Dès sa naissance X... a eu deux
doigts
atrophiés, l'auriculaire et l'annu- laire gauch
intéresse la 2° et la 3° phalange, surtout cette dernière. Ces deux
doigts
sont non seulement atrophiés mais déformés ; il
ticulation de la phalangine avec la phalangette est peu mobile ; ce
doigt
est effilé à son extrémité libre. La radiograph
l'auriculaire et de l'annulaire. Les dernières phalanges des autres
doigts
sont aussi moins déve- 314 BÉGOUIN ET SABRAZÈS
e l'index du médius et par le volume et lon- gueur démesurés de ces
doigts
qui ont conservé leur forme. Cette diffor- mité
mesure que l'enfant avance en âge, la disproportion entre ces deux
doigts
soudés et les autres s'accroît. Les doigts malf
roportion entre ces deux doigts soudés et les autres s'accroît. Les
doigts
malformés sont en extension forcée à l'état de
e une hypertrophie os- seuse proportionnelle au volume démesuré des
doigts
. L'existence d'un cartilage épiphysaire très dé
très développé à l'extrémité supérieure de la 2e pha- lange de ces
doigts
malformés explique leur accroissement progressif.
e à toutes les ex- trémités ; on notait une absence d'orteils ou de
doigts
, des réductions nu- mériques de phalanges, de l
est réduite, la phalange distale est au con- traire allongée. Aux
doigts
des mains, cette réduction et surtout cette absen
e est dû à la petitesse de la phalan- gine et de la phalangette des
doigts
malformés. ' On le voit, notre premier malade n
er. En temps ordinaire il manque, et si W... étend ses mains et ses
doigts
on les voit, spasme à part, aussi immobiles que
Romberg. Aia fin, probablement, contractures ; forte flexion des
doigts
dans la paume. Morte à 50 ans, 13 ans après le
antaire affaibli à droite, nul à gauche. Oscillations latérales des
doigts
; oscillations légères des membres supérieurs ; é
servation de Cénas sur une contracture bilatérale des deux derniers
doigts
de la main chez une pianiste, nerveuse et fille d
, l'extension et la flexion étant plus accentuées dans les 4° et 51
doigts
; doigts en abduction; tendons des longs extens
sion et la flexion étant plus accentuées dans les 4° et 51 doigts ;
doigts
en abduction; tendons des longs extenseurs très
ouvements d'adduction et d'abduction abolis; flexion volontaire des
doigts
très faible; force dynamométrique réduite à 0 ;
dduction de la main abolie ; impossibilité de joindre les bouts des
doigts
, par manque de mouvement, spécialement dans l'a
par manque de mouvement, spécialement dans l'annulaire et le petit
doigt
. Douleur spontanée et par pression à la partie
bras, à la partie interne de l'avant-bras, très in- tense au petit
doigt
. L'investigation de la sensibilité objective ré
e dans la moi- tié interne de la face palmaire de la main, du petit
doigt
et de la moitié interne de l'annulaire ; hypoes
normale et l'on observe même de l'hyperesthésie en pinçant le petit
doigt
. L'étude des réactions électriques a donné le r
sceau interne du fléchisseur profond, diminuée ; adducteur du petit
doigt
, diminuée ; court fléchisseur du petit doigt, c
e ; adducteur du petit doigt, diminuée ; court fléchisseur du petit
doigt
, court adducteur, pouce et tous les interosseux,
d, CcN < CcP ; adducteur, opposant et court fléchisseur du petit
doigt
, CcN < CcP, lentes et augmentées ; interosseux
espaces, idem; derniers interosseux, entre l'annulaire et le petit
doigt
, CcN CcP, et également lentes et augmentées.
chisseur profond, adducteur, court fléchisseur et opposant du petit
doigt
, tous les interosseux, les deux derniers lombrica
étendre facilement le pouce et l'index, avec quelque difficulté le
doigt
du milieu, et avec pas mal de difficulté et bea
avec pas mal de difficulté et beaucoup de douleur les deux derniers
doigts
. Les ten- dons fléchisseurs de l'annulaire et d
niers doigts. Les ten- dons fléchisseurs de l'annulaire et du petit
doigt
se faisaient remarquer par leur relief sur la p
remarquer par leur relief sur la paume de la main. En laissant les
doigts
en liberté, les trois der- niers se fléchissaie
enfoncer les ongles dans la paume de la main ; la flexion du grand
doigt
n'était pas aussi énergique que celle des deux
pas aussi énergique que celle des deux autres ; aucun de ces trois
doigts
ne pouvait s'étendre volontai- rement, tandis q
permis aussi la flexion des premières phalanges des trois derniers
doigts
, faisant équilibre à l'action des longs extenseur
e manière : à l'état physiologique, quand l'an- nulaire et le petit
doigt
fléchissent, la première phalange du médius flé
al s'insérant dans les tendons fléchisseurs profonds du 3° et du 4°
doigt
, la contraction de celle-ci fait contracter le
ontracter le 3° lombrical qui, à son tour, entraîne le tendon du 3°
doigt
et avec lui le zu lombrical qui détermine la flex
ical qui détermine la flexion de sa pre- mière phalange, mettant le
doigt
en un équilibre instable assez incom- mode, inc
z incom- mode, incommodité qui disparaît par la flexion complète du
doigt
. Main- tenant, dans le cas que je décris, pour
ce nerveuse anormale, produite par la contracture des deux derniers
doigts
, y ait contribué, elle aura déterminé la contra
e de la main est celle de poing fermé, tantôt celle d'adduction des
doigts
avec flexion des premières phalanges. Dans un a
celui que je décris, il y avait flexion exagérée des trois derniers
doigts
et semi-flexion de l'index et du pouce, l'ongle
pouvez observer la photographie (lïg. 3), qui a les trois derniers
doigts
de la main droite en flexion forcée, la troisiè
volonté du patient n'a aucune influence sur cette attitude, et les
doigts
ne se laissent pas non plus étendre par la tracti
de la main correspondante pendant longtemps, et que finalement les
doigts
prirent cette position. Il n'est pas difficile
tusion du nerf et non section, car il put mouvoir immédiatement les
doigts
. - Obs. XVI, par choc, dans une chute, en porta
ail du médius gauche, avec association de mouvements de flexion des
doigts
de la main droite : 128 k.94.- Accroissance lente
é aux mouvements du médius des mouvements de flexion sans poids des
doigts
de la main du côté opposé. Les diagrammes 4 a (
mouvement de flexion du médius droit des mouvements de flexion des
doigts
de la main gauche. L'INFLUENCE SUR UN MUSCLE DE
ments associés et synchrones de la mâchoire, des fléchis- seurs des
doigts
du côté opposé, des muscles de la jambe du côté c
filaire de Wucherer, Des piqûres furent répétées à la cuisse et au
doigt
; mais dans lotis les examens le résultat fut n
sistance ferme, élastique et l'absence de godet sous la pression du
doigt
. Il faut admettre cependant l'existence d'un peu
me, à peu près : 0 m. 30 et 0 m. 2 ! jeu, le pouce non compris. Les
doigts
gros à la base vont en s'effilant. Le médius droi
rtrophié qui, pendant quelques jours, a mis la petite malade à deux
doigts
de la mort : fièvre intense, T. 40 degrés, pouls
L'oedème remonte jusqu'à la hanche, indolore, assez dépressible au
doigt
, plus dépressible que les trophoedè- mes précéd
et passagers. Pendant un jour ou deux, les bagues étranglent t les
doigts
et les paumes deviennent douloureuses. La face, v
ec la main droite porte bien plus sur la main elle-même que sur les
doigts
; elle est beaucoup plus mar- quée pour la larg
coup plus ouverts du côté gauche que du côté droit, et au repos les
doigts
restent à gauche naturellement écartés. La peau
ce point de vue, ne jouit plus d'aucune supériorité sur les autres
doigts
. Les articulations phalango-phalanginiennes, et
M sont beaucoup plus libres, leur extension complète jusqu'à l'axe du
doigt
est impossible en sorte que phalangines et phal
ut aller jusqu'à l'angle droit. Le malade se sert assez bien de ses
doigts
pour de petits ouvrages, et en particulier il é
ucune altération de la contractilité. Les petites articulations des
doigts
, les plns mobiles, sont les seules qui soient un
t irréguliers comme épaisseur et comme consistance ; en appuyant le
doigt
sur le cartilage, il y pénétrait un peu Jet en
n peu Jet en le retirant, la synovie gluante qui s'étirait entre le
doigt
et le cartilage était colorée en blanc par une
se contenta de dire au malade de serrer son pouce entre ses autres
doigts
. Le but était le même et l'effet également. Her
ssi la main trop grosse parce qu'elle serait pesante, qu'il ait les
doigts
longs et grêles et que la peau soit blanche et fi
s (V. fig. 5), elles ont une véritable conformation en battoir, les
doigts
sont élargis et épais, ils sont carrés à leur e
s de la main est gros, plat et élargi dans le sens transversal, les
doigts
sont courts et leur extrémité digitale est élar
ières phalanges se fait à peu près au niveau pour les quatre derniers
doigts
. Extrémités inférieures. Comme il est aisé de v
upérieurs descendent à peine au niveau des grands trochanters : les
doigts
louchent à peine une ligne qui passerait par le
certaines particularités caractéristiques. Elles sont carrées ; les
doigts
, index, médius et annulaire, sont de dimensions
dimensions presque égales et puis, surtout pour la main droite, les
doigts
sont accolés deux à deux, présentant l'aspect d'u
épiphyses atrophiques qui expliquent la déviation de la direction des
doigts
. ' Sur nos radiophotographies on voit à l'extré
prononcée. Les membres supérieurs sont très courts, l'extrémité des
doigts
, les bras pendants, arrive à peine à la région
achondroplasie, décrite par le même auteur, la main en trident. Les
doigts
sont gros et courts, la différence entre l'index,
ce entre l'index, le mé-' dius et l'annulaire est minime. Les trois
doigts
du milieu sont rapprochés- par leurs premières
membre supérieur droit pend inerte le long du corps. La main et les
doigts
conservent leurs mouvements. La partie supérieure
nt sous l'ombilic et vont en arrière, en s'arrêtant de 2-3 travers de
doigt
de la colonne vertébrale (des deux côtés). 0
' côtes à droite et à gauche est douloureuse (à quelques travers de
doigt
de la colonne vertébrale et surtout sur la ligne
conservée excepté dans la région de l'anus, des fesses (5 travers de
doigt
de l'anus) et des organes génitaux (la malade n
eurs sur la face antérieure de l'os (vers le haut on peut suivre du
doigt
la tumeur jusqu'à la 11-1 vertèbre sacrée, mais
nférieurs et l'abdomen jus- qu'à la ligne passant à deux travers de
doigt
au-dessous de l'ombilic. La sensibilité est plu
ire est troublé des deux côtés. Il ne distingue pas la position des
doigts
et même quelquefois celle du genou et de la hanch
coude, la main étendue sur la poitrine, les premières phalanges des
doigts
fléchies, les deux autres étendues, les doigts en
mières phalanges des doigts fléchies, les deux autres étendues, les
doigts
en adduc- tion marquée excepté le premier qui e
, reste étendu le long du corps. Les contractures de la main et des
doigts
sont moins marquées que du côté droit. 0 Memb
duction et de la flexion du coude à un faible degré. La main et les
doigts
sont absolument immobiles. Quand le malade fait
bsolument. La gauche peut encore exécuter de faibles mouvements des
doigts
et une flexion minime du genou. Mouvements pass
lation du coude, de la main et dans la métacarpo-phalangieune ; les
doigts
peuvent être remués facilement. Le membre supér
uche aussi bien que la droite) avec effort, on voit ensuite que les
doigts
s'étendent lentement et se mettent en abduction
te. Sensibilité : sensibilité tactile est conservée excepté sur les
doigts
de la main droite (abolie), la main même (affai
ibilité douloureuse est diminuée aux membres supérieurs (plus sur les
doigts
), hypoalgésie sur le tronc (plus notable du côt
la jambe et le pied gauche (à droite les troubles seulement sur les
doigts
). La sensibilité thermique est très atteinte sur
d est moins bien perçu que le chaud. Le sens musculaire troublé aux
doigts
des pieds et de la main droite. L'examen électr
n des diverses sensibilités, très marquée au niveau de la pulpe des
doigts
, était déjà moins accentuée sur'la paume et sur
à l'âge de 5 ans que la mère releva une position anormale dans les
doigts
de Marguerite : elle ne pouvait plus plier ses de
u près impossibles. Tous les mouvements de la main : opposition des
doigts
et du pouce, flexion, adduction et abduction de
osition des doigts et du pouce, flexion, adduction et abduction des
doigts
, sont complètement abolis. La main de Marguerit
(V. PI. XIII) atteint un degré d'atrophie musculaire extrême. Les
doigts
sont fléchis sur la face palmaire qui présente un
irrégulières. Le pouce est porté en arrière, sur le plan des autres
doigts
. L'attitude de la main simienne ici est très ca
ristique. Elle est encore jointe à la position en griffe totale des
doigts
. Les éminences thénar et hypotbénar sont complè-
ens produit par l'atrophie des interosseux. L'attitude vicieuse des
doigts
en griffe est donnée par la rétraction des tend
eut vaincre qu'avec une certaine difficulté. L'extension active des
doigts
n'est possible que dans l'articulation des pre-
i, une atrophie très grave. Les mouvements actifs de la main et des
doigts
sont très réduits, moins pourtant que chez l'aî
tant que chez l'aînée. Aurélie peut encore fléchir ou étendre les
doigts
,bien que d'une façon incom- plète, mais l'exten
complètement défaut ; les mouvements d'adduction et d'abduction des
doigts
sont limités ; toutefois il faut relever que la p
atrophie en jarretière. Cette atrophie commence à quatre travers de
doigt
au-dessus du genou et atteint son maximum aux j
mienne chez Elisabeth n'est pas encore évidente, les trois derniers
doigts
sont un peu fléchis, mais la rétraction tendineus
ERTOLOTTl compromis ; en effet, l'opposition du pouce et des autres
doigts
n'est presque plus possible. La pronation et
d'une véritable atrophie en jarretière limitée à quatre travers de
doigt
au-dessus de la rotule. La flexion et l'extensi
es de la main d'origine cérébrale ont abouti à des déformations des
doigts
persistant encore malgré la guérison complète d
et le courage lui manque. M. A. se plaint de ne pouvoir bouger les
doigts
de la main droite et d'éprouver de fortes doule
st pas particulièrement douloureux à la pression. 12. La peau des
doigts
de la main droite est lisse ; les ongles sont cas
es sont cas- sants et incurvés à leur extrémité. Les mouvements des
doigts
sont très limi- tés. Même état mental. M. A. gé
nt-bras sur le bras sont très limités et douloureux. La main et les
doigts
ne peuvent accomplir que quelques légers mouvemen
e. Les troubles trophiques se sont accentués. Les articulations des
doigts
de la main droite paraissent ankylosées ; la pe
ns des doigts de la main droite paraissent ankylosées ; la peau des
doigts
est luisante, lisse, amincie, cyanosée. Le tiss
llulaire a perdu toute élasticité ; les plis de la face dorsale des
doigts
sont disparus. Au toucher, on a la sensation que
ale des doigts sont disparus. Au toucher, on a la sensation que les
doigts
sont en bois. La température de la peau n'est pas
uaté, les douleurs diminuent légèrement d'intensité. Les ongles des
doigts
sont cassants et incurvés. - Les muscles de l'a
aciles. M. A. commence à mobiliser légèrement les articulations des
doigts
. La peau conserve son aspect luisant ; quelques r
eau de l'articulation de la première et de la deuxième phalange, le
doigt
est aplati d'avant en arrière. Sur une radiogra
ations dece doigtsont assez mobiles, quoique la flexion complète du
doigt
soit encore impossible. La deuxième phalange est
e droite, troubles trophi- ques des articulations et de la peau des
doigts
. Quelques jouis plus tard, apparaissent des sec
et des ongles s'associaient des al- térations des articulations des
doigts
. Notre cas présente plusieurs points de ressemb
eurs années,éprouva à l'âge due45 ansles sensations suivantes : les
doigts
de la main droite, quoique immobiles, semblaien
appa- rurent ensuite ; elles débutaient par des fourmillements aux
doigts
et des secousses convulsives dans le membre sup
es douleurs très vives dans l'épaule et les phalanges droites ; les
doigts
s'amincirent et le derme s'atrophia ; puis l'at
disparaître totalement, ne laissant après eux qu'une difformité des
doigts
. \1) ANDBÉ, Cas d'épilepsie jacksonienne avec t
ils persistaient jusqu'à hier dans l'articulation du poignet et des
doigts
. Depuis trois jours, paresthésies dans tous les d
ignet et des doigts. Depuis trois jours, paresthésies dans tous les
doigts
de la main droite et certains de la gauche. Dep
ent moins bon. La malade se plaint de sensation de brûlure dans les
doigts
de la main gauche. La respiration - 24, le poul
tie. En avant elle n'arrive pas à la ligne médiane (deux travers de
doigt
), en haut jusqn'à la branche du maxillaire, en
che du maxillaire, en arrière elle est séparée de quatre travers de
doigt
de la ligne médiane, en bas, de deux travers de
t séparée de la ligne médiane par une distance de cinq tra- vers de
doigt
, la gauche de six. On voit une atrophie notable d
oit très limités, à gauche impossibles. Mouvements des mains et des
doigts
166 FLATAU limités et faibles, surtout du côt
che, l'unique mouvement qui a persisté est une extension légère des
doigts
. Dans le droit, mouvements minimes au coude, à la
mouvements minimes au coude, à la main et extension et flexion des
doigts
. Aux membres inférieurs : à gauche abduc- tion
Membres inférieurs, complètement paralysés (paralysie flasque), les
doigts
fléchis légèrement. Mains froides. Réflexes du
urs dans un membre supérieur, douleurs fortes, s'irradiant vers les
doigts
, l'engourdissement du membre, des douleurs de l
rodactylies, dans lesquels la réduction porte sur tout le volume du
doigt
. Ces hémimélies digitales sont bien différentes
normal à l'examen clinique et radiographique,sauf l'ano- malie des
doigts
décrite plus loin. Le crâne, au contraire, est vo
laire : la longueur du segment phalangien, mesuré de l'extrémité du
doigt
au sillon métacarpo- phalangien, est rapprochée
tale et aucun de ses parents n'en a, dit-elle, de semblable. Le petit
doigt
est recourbé en bec : la première interphalangi
est circonscrit par deux demi-sillons qui convergent vers l'axe du
doigt
après un trajet ascendant sur les dos du pied (li
entre le gros orteil et le troisième » (Bourneville). Le volume du
doigt
est normal ; l'ongle est bien conformé. La radi
carré, et le raccourcissement y est donné particulièrement par les
doigts
. Ils montrent aussi clairement le type en tri-
t le type en tri- dent décrit par M. P. Marie. A la main droite, le
doigt
moyen et l'annulaire ont la même longueur. La p
orteil des deux pieds est très gros ; au pied droit le quatriè- me
doigt
est plus court et il se trouve implanté dans un p
te une différence bien plus petite qu'à gauche, entre l'index et le
doigt
moyen. A l'examen radiographique on voit que cela
pha- langes sont courtes, particulièrement la première du quatrième
doigt
, et quel- ques-unes montrent, soit aux diaphyse
us grande, en proportion des dimensions des mains, excepté le petit
doigt
qui est de dimension normale. Les extrémités di
dent, décrite par M. P. Marie. Aucune anomalie dans la longueur des
doigts
. Peau des mains normale ; réflexes périostés et
ANASI Les pieds sont petits, raccourcis et larges, petits aussi les
doigts
et sans aucune anomalie. Les réflexes patellair
qui peuvent manquer sont les anomalies relatives à la longueur des
doigts
, la forme en trident de la main, l'ensellure lomb
larges, grosses, courtes ; ce rac- courcissement est dû surtout aux
doigts
. Elles présentent la forme en trident décrite p
trident décrite par M. P. Marie, et chez le premier sujet les trois
doigts
moyens tendent à l'égalité. La musculature du
en ce que l'annulaire occupe un plan postérieur à celui des autres
doigts
, fait qui a été vérifié par M. le Dr Lévi à la
carpe, du métacarpe et des phalanges sont normaux ; nulle part, aux
doigts
, on ne constate les nodosités d'Heberden. Les m
llant la plante du pied, on obtient à droite la flexion de tous les
doigts
, à gauche une légère extension du gros orteil et
gauche une légère extension du gros orteil et la flexion des autres
doigts
. Sensibilité. Hémi-hypoesthésie tactile gauche,
lie aux membres inférieurs et à l'abdo- men, à un à deux travers de
doigt
au-dessus de la ligne ombilicale. La sensi- bil
ésie. Quant au sens des attitudes, le malade se rend compte que ses
doigts
sont déplacés, mais il ne peut pas indiquer dans
de la sensibilité jusqu'à la ligne passant à un ou deux travers de
doigt
au-dessus de l'ombilic. Rétention de l'urine et
sent les membres inférieurs et l'abdomen à deux ou trois travers de
doigt
au-dessus de l'ombilic). Les réflexes patellaires
ONNE VERTÉBRALE 325 la malade ne sent ni les mouvements de tous les
doigts
en masse, ni ceux de l'articulation du genou et
lie aux membres inférieurs et sur le tronc (deux à trois travers de
doigt
au-dessous de la ligne ombilicale) ; cette abol
'anesthésie atteint la ligne ombilicale à droite, à deux travers de
doigt
au-dessous de cette ligne à gauche (En arrière
NNE VERTÉBRALE 339 thésie arrive jusqu'à la ligne à deux travers de
doigt
au-dessous de l'ombilic, en arrière elle'corres
espond à la crête iliaque. Le sens des attitudes est aboli dans les
doigts
des deux pieds, presque aboli dans les articulati
la tumeur et la moelle est bien distincte. Quand on écarte avec le
doigt
le pôle supérieur de la tumeur on voit que TUME
ux membres inférieurs et sur l'abdomen atteint un à deux travers de
doigt
au-dessous de l'ombilic. La IXO vertèbre dorsal
partie supérieure de la colonne vertébrale et de là vont jusqu'aux
doigts
des mains. Cet état dure depuis deux mois. Le m
hés vers le tronc (dans cette position les douleurs sont moindres).
Doigts
fléchis. Muscles inter- osseux atrophiés surtou
membres supérieurs sont flasques. Le malade ne peut pas étendre les
doigts
. L'abduction et l'opposition du gros doigt droit
ne peut pas étendre les doigts. L'abduction et l'opposition du gros
doigt
droit est impossible (à gauche ce mouvement per
plates. Les douleurs depuis ces parties se propageaient jus- qu'aux
doigts
. Peu à peu la force musculaire des mains diminua,
eurs. D'autres* mouvements de ce membre (au coude, à la main et aux
doigts
) sont également affaiblis (à cause des douleurs
-dessous du genou. Les mouve- ments du genou, du cou-de-pied et des
doigts
à droite sont plus faibles qu'à gauche.- Tous c
ue de cette portion produisait des contractions manifestes dans les
doigts
et dans la main. Il sectionna en coupes sériées c
est-à-dire la motilité volontaire et la force motrice grossière des
doigts
et de la main.ainsi que la production des contr
1116. 9. D'après Horsley. Elle mon- tre l'extension incomplète des
doigts
. FiG. 10. - D'après la 6g. 5 de mon travail s
écanisme des mou- vements volontaires, montrant l'ex- tension des
doigts
. 398 MAR1NESC0 tiques après l'ablation de l'é
que, malgré la conservation relative des mouvements des différents
doigts
, le patient est absolument incapable de faire a
rents doigts, le patient est absolument incapable de faire avec ses
doigts
le moindre mouvement isolé. J'ai expliqué ce ph
re dorsale (fig. 7), s'étend sur une largeur d'environ 4 travers de
doigt
suivant une bande très légèrement descendante et
èbre lombaire, de façon que le corps de la 3° fait une saillie d'un
doigt
environ sur le plan de la 2e et de la 4e (subluxa
le corps de la 3° vertèbre lombaire dépasse d'environ un travers de
doigt
le plan des adjacentes, en d'autres termes, qu'
t facile d'y imprimer un godet. Ce gonflement est oedémateux. Les
doigts
sont boudinés et présentent, sur la face dorsale
e; la mobilité est un peu gênée mécanique- ment, les mouvements des
doigts
et des mains sont un peu maladroits. Aucun trou
ce dernier un peu tordu en dedans, supporte et repousse en haut le
doigt
raccourci. La recherche des interlignes métatar
ne présentent aucune grosse anomalie. Cependant les deux der- niers
doigts
, surtout le cinquième, sont sinueux ; ils ont une
le anomalie était le raccourcissement du troisième métacarpien ; le
doigt
était enfoncé de 1 cm. 5 entre les deux voisins e
n droite une incurvation latérale interne des deuxième et troisième
doigts
avec production du côté radial de quelques nodu
aire droit n'avait jamais été remarqué de la malade. L'extrémité du
doigt
ne dépasse que très peu la première articulatio
nfant dont les trois autres extrémités sont dépourvues de cinquième
doigt
. La première phalange du doigt lésé est manifeste
rémités sont dépourvues de cinquième doigt. La première phalange du
doigt
lésé est manifestement remontée, mais il est im
es, irrégularités de leurs cupules, expli- quent les déviations des
doigts
, le plus souvent axifuges, et en particulier l'
tendineuses l'exagèrent sans doute dans la position d'extension des
doigts
. 434 Il CHEVALLIEH '- cessus hyperostosants.
GÉNITALE IIJrJ 5 des premières phalanges des troisième et quatrième
doigts
de la main droite. Ces déformations coexistent
tait, outre des exostoses multiples, un raccourcissement de tous les
doigts
(1) Kirmisson, Exostoses multiples coïncidant a
nstate l'affaiblissement de la sensibilité (l'hypoesthé- sie) du Se
doigt
de la main gauche et du bord cubital de l'avant-b
ndex gauche au bout du nez. L'avant- bras et surtout la main et les
doigts
gauches sont froids et cyanosés. Réflexe du mus
lexion dorsale. du..gros. orteil, avec flexion plantaire des autres
doigts
. Les rotuliens sont plus vifs et plus prompts Ù
eux supérieurs. Membre supérieur gauche. Le dos de la main et des
doigts
de ce membre se montre oedématié. Il ne présent
couleur jaunâtre et s'écrasant facilement à la moindre pression du
doigt
. Une coupe, pratiquée horizontalement à tra- ve
nains : Do- bos avait en effet,comme nos deux individus adultes,des
doigts
nettement déformés en baguette de tambour, de l
confor- mation du nez et la déformation des dernières phalanges des
doigts
des mains qui sont en baguette de tambour. Au
mains sont parfaitement conformées : les longueurs respectives des
doigts
sont telles que chez un sujet normal ; aucune app
ntionné est la déformation très nette des der- nières phalanges des
doigts
qui ont l'aspect typique, en baguette de tambour.
ements sont vifs, prompts et bien exécutés ; pas de tremblement des
doigts
malgré les habitudes d'alcoolisme. Les réflexes
ent normale. 1 . Le pied est svelte et allongé, les proportions des
doigts
sont normales, en somme rien qui rappelle le pi
s, allongés et sveltes ; elles ne présentent pas le type carré. Les
doigts
des mains sont,quoique moins que chez le père,
ne pûmes persuader notre pe- tit sujet même à se laisser piquer le
doigt
; sur ce point il ne voulut absolu- ment pas cé
ui présentait une déformation du nez et des dernières phalanges des
doigts
; il se maria avec une femme normale; la mère d
de même notre sujet a, comme le premier, les dernières phalanges des
doigts
déformées en baguette de tambour. Ces deux déta
ce cas, comme chez notre premier nain, les dernières phalanges des
doigts
sont déformées en baguette de tambour ; aux pieds
ellulaire, les vaisseaux et les nerfs sont cliniquement intacts. Le
doigt
semble rentré dans la main entre ses deux voisi
és sont plus ou moins modifiés suivant la position et le nombre des
doigts
atteints. Dans quelques cas complexes, plus com-
at de permettre plus aisément la flexion de la première phalange du
doigt
court : par exemple un sillon vertical en Y coupa
l en Y coupant le bourrelet normal (obs. 1, Klaussner). La force du
doigt
est intacte. L'agi- lité n'est pas assez diminu
ns sa longueur et ne touche pas, d'une façon générale, au volume du
doigt
. De même que la brachymélie métapodiale elle es
s ou éloignées de l'achondroplasie (Raccourcissement des cinquièmes
doigts
(1) F. REGAULT, Anomalie des plis de la main da
re dans les chondromes des os, et en particulier les chondromes des
doigts
et des orteils ». Dans les deux affections qui
du système nerveux ? » (Polaillon, in Die. Declaantbre, t. 30, art.
Doigt
, p. 133). On connaît quelques fails de brachymé
l'homme même, la soudure des deux dernières phalanges du cinquième
doigt
est très fréquente (117 fois sur 130,1'(itzner).
ait tenté de penser d'après les dires des malades. Une chute sur le
doigt
par exemple pourrait être le point de départ de
tale. L'analogie clinique est frappante entre cette affection et le
doigt
1'en- trait de Lannelongue. La tuberculose d'
aisse après elle un raccourcisse- ment réel et permanent de tout le
doigt
, sans modification de son axe, ni de sa directi
arpien est moins long « mais l'articulation de son épiphyse avec le
doigt
rentrant reste indemne (3) ». « Le doigt normal c
on de son épiphyse avec le doigt rentrant reste indemne (3) ». « Le
doigt
normal comme forme et (1) Péan, Th. de doctorat
4 et 95. (3) LANNELONGUE, Sur quelques déformations permanentes des
doigts
et de la main 586 CHEVALLIER comme volume se
main 586 CHEVALLIER comme volume se trouve en arrière des autres
doigts
, supporté qu'il est par un métacarpien rabougri
re prématurée de l'épiphyse la cause du rac- courcissement, et « le
doigt
parait rentrer peu à peu dans la main, tan- dis
oigt parait rentrer peu à peu dans la main, tan- dis que les autres
doigts
grandissent » (Lannelongue). Il ne semble pas que
loc. cit., fig, 66, p. 100. (2) POLAILLON, in Dic. Dechapnbre, art.
Doigt
, t. 30, p. 225. (3) L. D'ASTIS08, Rev, mens. de
en ce que l'annulaire occupe un plan postérieur à celui des autres
doigts
, fait qui a été vérifié par M. le Dr Lévi... Dans
ation en baguette de tambour très nette des dernières phalanges des
doigts
. - Ayant ainsi décrit tous les caractères clini
z, de l'oreille, du palais osseux, et des dernières pha- langes des
doigts
qui sont identiques à celles que nous avons décri
alade. Les mains de notre malade, Clotilde H..., sont petites ; les
doigts
sont fluets et rectiligues, sauf le cinquième q
onsistance est ferme, mais non dure ; il est mobile avec la peau du
doigt
. Le pied gauche est normal. Le droit présente s
de ses anomalies sque- lettiques. Chacune de ses mains possède six
doigts
. A droite, le doigt sur- numéraire s'implanle s
e- lettiques. Chacune de ses mains possède six doigts. A droite, le
doigt
sur- numéraire s'implanle sur la partie dorsale
t en bas, croisant sans y adhérer la première phalange du quatrième
doigt
. Un manteau de peau réunit ici doigt normal et
première phalange du quatrième doigt. Un manteau de peau réunit ici
doigt
normal et doigt supplémentaire ; à la partie inte
e du quatrième doigt. Un manteau de peau réunit ici doigt normal et
doigt
supplémentaire ; à la partie interne seulement le
en recouvrant presque tout le segment inférieur de l'annulaire. Le
doigt
surnuméraire, un peu plus petit qu'un doigt norma
ieur de l'annulaire. Le doigt surnuméraire, un peu plus petit qu'un
doigt
normal, est pourvu d'un ongle bien conformé ; i
bi une légère rotation en arrière et en dedans. A gauche, existe un
doigt
surnuméraire, bien ongle, à segments net- temen
nt distincts, mais grêle et court, entre le troisième et le quatrième
doigt
. Mais ici la palpation montre avec évidence un
anges, et enlever au métacarpe l'excès de largeur qu'il possède. Le
doigt
supplémentaire n'a pas de tendon ; il n'est capab
: bifurcation d'une première phalange et formation de deux bouts de
doigts
normaux (cinquième orteil droit) ; doigt surnumér
ormation de deux bouts de doigts normaux (cinquième orteil droit) ;
doigt
surnuméraire phaiau- gien (doigt n° 3 ou 4 bis
normaux (cinquième orteil droit) ; doigt surnuméraire phaiau- gien (
doigt
n° 3 ou 4 bis à droite) ; doigt surnuméraire méta
; doigt surnuméraire phaiau- gien (doigt n° 3 ou 4 bis à droite) ;
doigt
surnuméraire métacarpo-phalangien (il gauche).
schizomélie ( ? ) du qua- trième rayon pied droit) ; un rudiment de
doigt
sur le bord cubital de la main, rudiment dépour
le, mais non héréditaire ; elle est irré- culière : schizodactylie,
doigt
surnuméraire petit et dépourvu d'appareil moteu
zodactylie, doigt surnuméraire petit et dépourvu d'appareil moteur,
doigt
surnuméraire presque normal, coïncident; une mala
BRACHYMÉLIE 111ÉTAPODIALE CONGÉNITALE 693 du pouce et du cinquième
doigt
; le point complémentaire proximal du pre- mier
en apparaît à peine à gauche ; à droite on ne le voit pas. Tous les
doigts
sont d'ailleurs frêles, grêles, effilés et la mai
port un certain nom- bre de travaux ont été consacrés à l'étude des
doigts
des pieds et des mains. En ce qui concerne les
la polydactylie, c'est-à-dire la simple augmentation du nombre des
doigts
; 2° l'ectrodactylie, ou absence d'un ou de plu
re des doigts ; 2° l'ectrodactylie, ou absence d'un ou de plusieurs
doigts
; 3° la mégalodactylie, ou développement consi-
égalodactylie, ou développement consi- dérable d'un ou de plusieurs
doigts
; 4° la brachydactylie, c'est-à-dire l'absence
d'une ou plusieurs phalanges ; 5° l'olygodactylie, qui signifie des
doigts
très courts et minces ; 6° la macrodactylie,dui s
des phalanges augmenté ; 7° la syndactylie, lorsque un ou plusieurs
doigts
sont liés entre eux; 8° parfois la réunion des do
ou plusieurs doigts sont liés entre eux; 8° parfois la réunion des
doigts
des pieds ou des mains se fait de telle manière
es de homard ». Les anomalies ci-dessus mentionnées ont rapport aux
doigts
aussi bien qu'aux orteils ; cependant les doigt
es ont rapport aux doigts aussi bien qu'aux orteils ; cependant les
doigts
des mains, outre ces modifications, peuvent en
ypertrophié et incliné de côté. Boix (4) a décrit une déviation des
doigts
des deux mains du côté cubi- tal, ce que Brissa
unique une observation plus intéressante : il n'a trouvé que quatre
doigts
à la main gauche; le pouce était joint à l'index
y avait une grande fente. De même la main droite n'avait que quatre
doigts
et le pouce était joint à l'index par une membr
près de la base ; le petit orteil était presque normal ; d'au- tres
doigts
étaient comme si on les avait amputés; des change
ervé aussi une macrodactyl ie et une union du deuxième au troisième
doigts
. Lejars (7) mentionne un cas où le majeur était t
8) ont ob- servé le cas suivant : la main droite n'avait que quatre
doigts
, le pouce manquait, il n'y avait pas d'éminence
int près de sa base au majeur. 1 La môme disposition existait aux
doigts
de la main gauche, seulement l'index et le pouc
nt l'index et le pouce n'existaient pas ; il n'y avait là que trois
doigts
. A. Londe et H. Meige (9) affirment la nécessit
essité des recherches de toutes les anomalies dans la structure des
doigts
au moyen des rayons X; ainsi, dans un cas de po
t, on eût pu supposer an auricu- laire supplémentaire, alors que le
doigt
supplémentaire appartenait a l'annulaire. Dans
s de polydactylie (6) aux mains et aux pieds (il y avait des petits
doigts
supplémentaires) ; en outre, les doigts du pied
ieds (il y avait des petits doigts supplémentaires) ; en outre, les
doigts
du pied gauche étaient disposés en « coup de ve
es ou non supplémentaires de la main droite formaient avec d'autres
doigts
la « pince de homard » ; 3° un cas de syndactyl
la main droite était normale. Pauly (11) a décrit une déviation des
doigts
du côté cubital. Sternberg (12) mentionne deux
ne famille où la mère, la fille et le petit-fils n'avaient qu'un seul
doigt
aux mains. Enfin, on a enregistré un certain no
combinaison de syndactylie avec l'ectrodacty- lie, un ou plusieurs
doigts
manquent et en même temps quelques autres doigt
e, un ou plusieurs doigts manquent et en même temps quelques autres
doigts
sont unis entre eux. Ainsi, dans le cas de Raymon
ns le cas de Raymond et Janet (15), il n'y avait aux mains que deux
doigts
: un pouce et un autre doigt formé par l'index
(15), il n'y avait aux mains que deux doigts : un pouce et un autre
doigt
formé par l'index elle majeur réunis; il n'y av
rmé par l'index elle majeur réunis; il n'y avait pas trace d'autres
doigts
. Dans le cas de Thibierge (16), les mains et le
le cas de Thibierge (16), les mains et les pieds n'avaient que deux
doigts
; le pouce des deux mains était recourbé et retour
que son côté dorsal regardait dans la direc- tion du coude; l'autre
doigt
était long et non courbé. Les doigts des pieds
a direc- tion du coude; l'autre doigt était long et non courbé. Les
doigts
des pieds étaient déformés de la même manière.
si. La main gauche représentait le même aspect et avait en outre un
doigt
rudimen- taire. Pour en finir avec les anomal
tre un doigt rudimen- taire. Pour en finir avec les anomalies des
doigts
des mains, j'ajouterai que Kraepelin (21), dans
aire sont identiques et considérablement plus courts que les autres
doigts
. Comme on le voit par l'aperçu ci-dessus exposé
. Comme on le voit par l'aperçu ci-dessus exposé, les anomalies des
doigts
des mains ont été étudiées suffisamment en déta
milieu de laquelle on ne pouvait distinguer que le pouce ; d'autres
doigts
étaient comme si on les avait amputés (a). Dans l
tit). Dans le premier cas de poly- dactyle deLondeet Meige (9), les
doigts
du pied gauche étaient inclinés, vers l'extérie
ts relevés dans la littérature mé- dicale, il dit que l'absence des
doigts
intérieurs aux pieds (1-4) est fré- quente. Pau
oncernent les orteils, il les classe dans les groupes suivants : 1°
doigts
rudimentaires ; 2° doigts développés outre mesu
les classe dans les groupes suivants : 1° doigts rudimentaires ; 2°
doigts
développés outre mesure ; 3° polydactylie ; 4°
alux valgus. Busch (25) s'arrête sur question de l'hypertrophie des
doigts
dans un de ses cas, le second orteil du pied ga
e orteil au pied droit avait 4 cent. 5 de longueur ; la grosseur du
doigt
du pied gauche était 4 cent. 5 et la grosseur d
ait de 1 cent. 5. Busch mentionne d'autres exemples où l'on voit un
doigt
quelconque dé- passer du double la grosseur que
igt quelconque dé- passer du double la grosseur que devait avoir un
doigt
normal. Quoique tous ces faits, tirés de la lit
por- (a) Cet individu avait aussi un cas curieux de syndactylie des
doigts
des mains. ' ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALl
E ICONOGRAPHIE DE LA SALl'È1RIÈRE. T. XXIII. Pl. LXXX ANOMALIES DES
DOIGTS
DE PIEDS (Seletzlzi). Masson & Cie, Édite
conographie de la Salpêtrière.. ' T. XXIII. Pl. LXXXI ANOMALIES DES
DOIGTS
DE PIEDS (Seleliki). 1 Masson & Cie, Edit
sur la figure 12, où la découpure entre le deuxième et le troisième
doigt
du pied droit est considérablement plus courte qu
de l'autre ; ainsi (fig. 13) la situation du premier et du deuxième
doigts
du pied droit est régulière, tandis que les aut
es sont penchés et tournés de manière que la surface extérieure des
doigts
devient supérieure, et la face supérieure tend à
re. (a) Cependant l'anatomie considère comme règle, que le deuxième
doigt
est plus long que les autres ; toutefois il m'e
duit sur le pied gauche avec cette seule différence que le deuxième
doigt
participe à ce fait. Dans ce cas les doigts ont p
fférence que le deuxième doigt participe à ce fait. Dans ce cas les
doigts
ont pris la position inverse à celle que nous a
emarque moins sur la figure G; sur lesdites planches, deux premiers
doigts
se trouvent en position de valgus ; parfois,cepen
9° Il arrive aussi très souvent que le petit orteil, ou le quatrième
doigt
ou les deux ensemble, ne sont pas rectilignes,
16 ; on la remarque aux deux pieds ; sur la figure 9 le qua- trième
doigt
du pied gauche est dans la même position ; sur la
dans la même position ; sur la figure 14, c'est aussi le quatrième
doigt
; sur la figure' ! 5, ce sont les deux quatrièmes
e quatrième doigt ; sur la figure' ! 5, ce sont les deux quatrièmes
doigts
(toutefois l'anomalie est plus apparente sur le p
quefois renflées en tête d'épingle, quant au premier et au deuxième
doigt
des deux pieds; c'est ce qui a lieu sur les fig
At'HIt- I)1· LA 141.1LTR1LR1. T. XXIII. PI. LXXXI ! ANOMALIES DES
DOIGTS
DE PIEDS .SCCli I . Masson & Cte, Editeur
liquide amniotique ; ainsi les plis de l'amnios, se lianl avec les
doigts
, déterminent la syndactylie ; au cas où les plis
t sur cette opinion, on peut donc admettre que la morpho- génie des
doigts
n'est pas terminée à la naissance de l'individu ;
hique. Paris, 1894, p. 281. 3. CESTAN. Hypertrophie congénitale des
doigts
. Nouv. Iconogr., 1897, p. 399. 4. E. 13oIS. - D
APEItT et AIORISETTI. Absence congénitale bilatérale du radius et des
doigts
radiaux. Nouv. Iconogr., 1908, p. 412. 9. A.
, p. 369. 16. G. Thibierge. Une femme homard, mains et pieds à deux
doigts
. Nouv. Iconogr., 1908. 17. SuGRES et Il.* LEC
RTEILS 703 18. POLAILLO\. - Diction. encyclop. des se. méd., art.
Doigts
, p. 131. 19. W. KÜgIEL. - Die Missbildungen der
i trop large, ni trop grosse, sans prendre la forme en battoir. Les
doigts
, d'une longueur sensiblement proportionnelle à la
ts. Les espaces intermétacarpiens sont profonds. Les extrémités des
doigts
sont froids et de coloration rouge violacée. '
rcussion. La rate est percutable sur une étendue de 3-il travers de
doigt
. Les fonctions digestives ne semblent pas altérée
néum était si ramolli qu'il se laissait déprimer par la pression au
doigt
. IIutschinson (115) trouve dans un autre cas un
Anomalies par arrêt de développement : 1° Ectrodactylie (manque des
doigts
, absolu ou relatif). 2° Brachydacty 1 ie (doigt
ctylie (manque des doigts, absolu ou relatif). 2° Brachydacty 1 ie (
doigts
courls) encore appelée microdactylie (doigts pe
. 2° Brachydacty 1 ie (doigts courls) encore appelée microdactylie (
doigts
petits). B. Anomalies par excès de développem
excès de développement : 4°Polydactylie (augmentation du nombre des
doigts
). 2° Mégalodactylie (augmentation de la longueu
bre des doigts). 2° Mégalodactylie (augmentation de la longueur des
doigts
). 3- Macrodactylie (augmentation de la grosseur
ueur des doigts). 3- Macrodactylie (augmentation de la grosseur des
doigts
). C. Anomalies survenues pendant le développeme
survenues pendant le développement : 1° Syndactylie (union de deux
doigts
ou plus) qui peut être : Complète, Incomplète
actylie congénitale. Paris, 1906, p. 11. xxiv 6 82 ' COSTANTINI
doigt
auriculaire de plus à chaque main. Il n'a commenc
nt distribué. Blésité légère. Main droite (PI. X). Elle présente un
doigt
auriculaire en surplus. Ce doigt surnuméraire e
ain droite (PI. X). Elle présente un doigt auriculaire en surplus. Ce
doigt
surnuméraire est uni à l'auriculaire, vers le m
eux. Le sujet ne réussit à imprimer activement aucun mouvement à ce
doigt
surnuméraire. Les autres doigts ont les phalanget
imer activement aucun mouvement à ce doigt surnuméraire. Les autres
doigts
ont les phalangettes un peu grosses, les ongles
les ongles courts et larges. Main gauche. Elle présente aussi un
doigt
auriculaire en surnombre. Ce doigt est égalemen
n gauche. Elle présente aussi un doigt auriculaire en surnombre. Ce
doigt
est également uni à l'auriculaire vers le milieu
est muni d'un ongle, un os uni- que le constitue et, comme l'autre
doigt
surnuméraire, il est incapable de tout mouvemen
surnuméraire, il est incapable de tout mouvement actif. Les autres
doigts
présentent les mêmes caractères que ceux de la
radiographie démontre clairement ce que nous venons de décrire : le
doigt
surnuméraire, des deux côtés, est uni à l'auricul
composé de deux petits os soudés ensemble. Les phalanges des autres
doigts
ainsi que les os métacarpiens et carpiens sont à
et aux . pieds en même temps et avec un nombre égal ou différent de
doigts
. Il y a en cela une oscillation notable dans le
iter quelques exemples, Ruysch (1) rencontra dans un squelette sept
doigts
à la main droite et six à la main gauche ; Mora
n gauche ; Morand (2) observa un cas où chaque main présentait sept
doigts
; Suviard (3) vit chez un nouveau-né dix doigts
ain présentait sept doigts ; Suviard (3) vit chez un nouveau-né dix
doigts
à chaque main et à chaque pied ; Johnson (4.) rap
que pied ; Johnson (4.) rapporte égale- ment une observation de dix
doigts
à chaque main et à chaque pied ; Voight (5) tro
main et à chaque pied ; Voight (5) trouva chez un nouveau-né treize
doigts
à chaque main et douze à chaque pied ; Hagenbac
haque pied ; Hagenbach (G) décrit, entre autres, un cas de quatorze
doigts
à chaque pied ; etc. Les auteurs ne sont pas d'
généra lions pentadigitées qui nous ont précédé (Gru- ber) (9). Les
doigts
surnuméraires occupent de préférence le côté exte
épétait jusqu'à la quatrième géné- (1) Ruvscn, Squelette ayant sept
doigts
à la main droite et six à la gauche. Hirt. Enc.
e dans le village d'Eycaux hommes et femmes avaient presque tous un
doigt
surnuméraire aux mains et aux pieds (4). Renon
uc,s, Observation curieuse de tendance héréditaire à la production de
doigts
surnuméraires. Eny's Hop. Reports, 125, 1882, p
, lettere ed arti., vol. XX, 1879. (il) Furst, Excès héréditaire de
doigts
et d'orteils avec augmentation successive des l
es rudiments osseux qui auraient la signification philogénétique de
doigts
perdus dans l'évolution de l'es- pèce. Selon ce
pèce. Selon cette théorie, l'os pisiforme représenterait un sixième
doigt
et les tubérosités qu'on trouve du côté radial
que, dans des espèces vivantes d'animaux inférieurs, le nombre des
doigts
est varia- ble. Ainsi certains mammifères (céta
ble. Ainsi certains mammifères (cétacés, taupe, etc.) ont plusieurs
doigts
, d'autres (cheval) en ont un, tandis que la plu
e qui se produit chez un grand nombre de mammifères qui ont plus de
doigts
aux pattes antérieures qu'aux pattes postérieures
nées de paléontologie. Il existe des espèces fossiles ayant plus de
doigts
que n'en ont les espèces animales vivantes corres
animales vivantes correspondantes. Ainsi l'anchitel'ium avait trois
doigts
, tandis que le cheval n'en a qu'un. L'ichthyosa
cheval n'en a qu'un. L'ichthyosaure qui est un amphibie avait sept
doigts
, tandis que les gre- nouilles n'en ont que six
la théorie pathologique. Je rappelle enfin que, selon Devay, les
doigts
surnuméraires représen- teraient le signe le pl
les. Chez ces derniers, il est sûrement démontré que la présence de
doigts
surnuméraires peut avoir la valeur d'un caractè
e trois catégories : z La polydactylie atavique par réapparition de
doigts
ancestraux. 2° La polydactylie tératologique pa
doigts ancestraux. 2° La polydactylie tératologique par division de
doigts
normaux ou ataviques. , 3° La polydactylie hé
ux ou ataviques. , 3° La polydactylie hétérogène par formation de
doigts
qui ne viennent ni de l'atavisme, ni de la schi
ctylie est atavique lorsqu'elle est caractérisée par ce fait que le
doigt
surnumé- raire se trouve ou au delà du cinquièm
fait que le doigt surnumé- raire se trouve ou au delà du cinquième
doigt
ou au delà du premier, mais jamais entre les do
elà du cinquième doigt ou au delà du premier, mais jamais entre les
doigts
normaux. Si, au contraire, ajoute l'auteur, le
ais entre les doigts normaux. Si, au contraire, ajoute l'auteur, le
doigt
surnuméraire se trouve intercalé entre deux doigt
oute l'auteur, le doigt surnuméraire se trouve intercalé entre deux
doigts
normaux, mais (1) Bertacciiini, Un caso di dopp
- que qui le démontre d'atavisme à cause de la place occupée par le
doigt
surnuméraire. On doit donc parler alors de poly
seraient représentées au moins par neuf indications cellulaires de
doigts
disposés en rayons, dont ne reste que cinq norm
le malade ne pouvant exécuter que'quelques mouvements de flexion de
doigts
seulement. La sensibilité se conserve presque p
cours. Convulsions du bras gauche, flexion forcée de la main et des
doigts
il tel point que les ongles pénètrent dans la c
z lentes (70 à 80 à la minute) qui amènent un léger déplacement des
doigts
et de l'avant- bras. Quelquefois deux ou trois
ations veineuses) ont complètement disparu. L'oeil droit compte les
doigts
à 1 m, 50, le gauche voit seulement passer la m
diplopie, stase papillaire, amblyopie. Le malade compte à peine les
doigts
, faiblesse de mouvements, stupor. A l'autopsie
e. Plus tard (3-4 mois après) le malade constata que la main et les
doigts
à droite de- venaient faibles et que les doigts
que la main et les doigts à droite de- venaient faibles et que les
doigts
n'obéissaient pas aux mouvements volontai- res
fermer son parapluie une fois ouvert; il ne pouvait pas réunir les
doigts
par le même bout comme pour en faire un faiscea
e pour en faire un faisceau, etc. Eu juillet 1908, la flexion des
doigts
se faisait mal ; il ne pouvait écarter les doig
8, la flexion des doigts se faisait mal ; il ne pouvait écarter les
doigts
ou exécuter des mouvements un peu délicats ; cepe
prend l'aspect d'une gouttière ; peu après la première phalange des
doigts
se porte en extension, tandis que la deuxième et
ement, qui lui est très pénible. Le malade se brûle fréquemment les
doigts
ou la main avec le fer à repasser, et tout cela
n aperçoit seulement en la voyant. Le malade nous raconte que les
doigts
de la main droite présentent de temps en temps
ite est en légère extension sur l'avant-bras. Les quatre der- niers
doigts
ont la première phalange en extension sur le méta
a seconde phalange est en flexion. La contracture qui maintient les
doigts
dans cette position n'est pas forte, et l'on pe
tte position n'est pas forte, et l'on peut ramener en extension les
doigts
sur les métacarpiens. Atrophie des es- paces in
as nesont pas atrophiés ni modifiés de volume. Les mouvements des
doigts
, de la main, de l'avant-bras, du bras sont ac-
sèche, elle ne se desquame pas, ne présente pas de succulence. Les
doigts
ne sont pas gros et sont de volume égal des deu
sous-jacentes..... la peau est lisse, sans plis, sans mobilité aux
doigts
surtout la peau est lisse, collée sur les dessous
t rouge violet, dù à des mar- brures de différentes couleurs... Les
doigts
ne sont pas moins caractéris- tiques. Leur form
. Il s'agit en somme d'un main tuméfiée, froide et faible, avec des
doigts
fuselés, ne présentant pas de crises de douleur
e est peu correctement tracée ; il efface quelques syllabes avec le
doigt
passé sur l'encre fraîche : « Deux Genève je pens
ir la bouche ; de tirer la langue ; il obéit et ajoute en montrant du
doigt
des dents plombées : « Je mets du coton et de l
let, puis regarde plusieurs fois dessous. Il mange souvent avec ses
doigts
n'importe ce que l'on sert; mais paraît préfére
es dans une sorte de petit diverti- cule de la membrane en forme de
doigt
de gant et plus mince que le reste, aspect ayan
s ophtalmoscopiques appréciables. Acuité visuelle. VOU : compte les
doigts
à 40 centimètres à peine. VOG : la malade ne sa
conformées sont énormes. Elles affectent le « type en long » ; les
doigts
sont de longueur proportionnelle à celle du mé-
tête sont très lents et très maladroits. Les orteils ainsi que les
doigts
des mains n'ont point augmenté de volume ; les
s et ses collatéraux personne n'a jamais présenté de difformité des
doigts
des mains ou des pieds. Objectivement, le sujet
la flexion dorsale de la main et l'opposition du pouce aux derniers
doigts
. En dehors de la légère parésie spastique droit
ouce (macrodactylie) ; dédouble- ment de la dernière phalange de ce
doigt
(polydactylie) et fusion partielle à la base de
rtains caractères de (1) POLAILLON, in Dict. Dechambre, t. 30, art.
Doigt
, p. 133. (2) S1RUUUIIGER, cité par Costantini.
car, sans douleur, on peut défléchir com- plètement les avant-bras.
Doigts
en flexion forcée, comprimés les uns coutre les
. Contracture complète avec rétraction tendineuse des deux derniers
doigts
. Les phalangines et phalan- gettes des autres d
deux derniers doigts. Les phalangines et phalan- gettes des autres
doigts
peuvent être défléchies facilement par des manoeu
ilité de manger seule. Tremblement et mouvements involontaires. Les
doigts
, la main, les avant-bras sont animés d'un tremb
sur l'avant- bras avec un léger mouvement rotatoire en dedans, les
doigts
sur la main ; le pouce est animé de petits mouv
- tion épidermique entretenue par la compression de l'extrémité des
doigts
en flexion forcée dans la main. Sensibilité.
ux mains présentent au niveau de l'extrémité métacarpienne du petit
doigt
un appendice charnu ayant un diamètre longitudina
tudinal d'à peu près un centimètre et représentant,à notre avis,des
doigts
surnuméraires rudimentaires : La malade ne prés
ix. La main droite présente sur le côté externe du pouce un sixième
doigt
plus court que les autres et dont le malade ne pe
le malade ne peut pas se servir. Trem- blements de la langue et des
doigts
(peu prononcés). Les réflexes rotuliens exagéré
je vous ré- ponds avec bienveillance que vous m'opérez à un de mes
doigts
. » On lui dit de prononcer le mot anticonstitut
re l'état normal des os de la main. ' Dans le second cas on voit un
doigt
surnuméraire implanté sur le 'même métacarpien
Les deux mains de la même malade. Remarquer le rudiment du sixième
doigt
au niveau de la première phalange du petit doig
udiment du sixième doigt au niveau de la première phalange du petit
doigt
. Pl. LXII. Radiographies des mains de la même m
le squelette osseux. Malade de la seconde observation. Remarquer le
doigt
surnuméraire de la main droite. ' PI. LXIII.
droite. ' PI. LXIII. Main droite. On observe très bien le sixième
doigt
. Radiographie montrant l'articulation du pouce
sixième doigt. Radiographie montrant l'articulation du pouce et du
doigt
surnuméraire, sur le premier métacarpien. Celui
surnuméraire, sur le premier métacarpien. Celui-ci est bifurqué. Le
doigt
supplémentaire est représenté par une seule pha
e devenir plus saturée, plus violacée. A son niveau, la pression du
doigt
produit une tache blanche, qui demande dix à douz
loration rouge vineux, qui devient violacée le soir; la pression du
doigt
laisse une tache blanche nuancée de mauve, qui me
nécessaire, pour déshabiller l'enfant, de découdre ses manches. Les
doigts
sont boudinés et les ongles ont une teinte bleu
dée au niveau du visage et du cou, de la face dorsale des mains des
doigts
et des pieds (mais le malade a 45 ans) : Asthén
une artliropathie de Charcot dans le tabès. L'état des mains et des
doigts
est tout à fait intéressant (fig. 1). La main g
st tout à fait intéressant (fig. 1). La main gauche est large ; les
doigts
sont trapus et curieusement triangulaires, pres-
pus et curieusement triangulaires, pres- que cunéiformes. Le second
doigt
, le troisième et le quatrième sont à peu près d
en trident de la main est bien évidente sur la photographie et les
doigts
tom- bent naturellement dans la position ici re
e. Le médius est à peu près de la longueur normale alors que le 1er
doigt
, le 3e et le 4e sont courts et de longueur sensi-
e longueur sensi- blement égale. L'aspect triangulaire et trapu des
doigts
est identique à ce qui a été écrit pour la main
in- téressées de la même manière que celles du carpe et celles des
doigts
, mais il nous est impossible de nous assurer co
au- che 19. 3° De l'articulation radio-carpienne à l'extrémité du
doigt
médius : à droite 14, à gauche 13. 4° Largeur
l'annulaire et le médius sont de la même longueur. Les deux petits
doigts
des deux mains sont très courts. En dehors de c
urcisse- ment typique. Les mains sont plutôt en forme de bêche. Les
doigts
de la main gauche sont conrts; le fer doigt, le
en forme de bêche. Les doigts de la main gauche sont conrts; le fer
doigt
, le 2e et le 3e sont de la même longueur. Les d
ts; le fer doigt, le 2e et le 3e sont de la même longueur. Les deux
doigts
auriculaires sont recourbés en çrochet. Dans le
se montre associée avec le raccourcissement d'un certain nombre de
doigts
. Dans le cas IV, il y a en outre raccourcisseme
le raccourcissement des humérus et le raccourcissement de certains
doigts
peuvent être, l'un comme l'autre, le résultat d
ndroplasie. Dans nos deux cas qui concernent des femmes, l'état des
doigts
ne se montre pas très éloigné de ce qui existe
e sa main, l'ankylose partielle des articulations du poignet et des
doigts
, la perte de la force musculaire empêchent tout
és (flexion, extension, latéralité, pronation, supi- nation). Les
doigts
sont placés dans l'extension à peu près complète
rvé une certaine liberté de mouvements. La peau des quatre derniers
doigts
est épaissie, lisse, contrairement à ce qui exi
opposition en raison de l'ankylose en extension des quatre derniers
doigts
, ne pouvant s'effectuer qu'entre le pouce et la
lle du poignet et une ankylose presque complète des quatre derniers
doigts
. Réduction à peu près absolue de la capacité de t
se rendait plus compte de la position dans laquelle se trouvait son
doigt
. C'est alors que nous avons eu l'idée de mettre
uvait son doigt. C'est alors que nous avons eu l'idée de mettre son
doigt
sur le lobule de l'oreille, et après l'avoir se
min le plus court, mais sans quitter un moment le contact entre son
doigt
et la peau de la figure. En effet de cette manièr
mandant au malade, que tout en partant du lobule de l'oreille avec le
doigt
, d'aller toucher le bout de son nez, après avoi
, après avoir quitté le contact et voltigé un peu en l'air avec son
doigt
. Cette fois-ci le malade n'a pas pu exécuter notr
pas pu exécuter notre de- mande, car une fois le lobule quitté son
doigt
s'est égaré dans l'espace. De celte épreuve et
il avait perdu la notion de savoir à tout moment où se trouvait son
doigt
dans l'espace. Si une personne normale louche m
arce qu'elle se rend compte continuellement de la situation que son
doigt
occupe dans Cespace, et celte connaissance, ell
ulement sur la peau de la tête, du cou et jus- qu'à deux travers de
doigts
au-dessous des clavicules. Tout le reste du corps
rivée, la peau avait conservé le toucher, mais à la condition que le
doigt
ne quitte pas le contact. Voici d'autres expé
d'autres expériences. Nous demandons au malade, de partir avec son
doigt
- toujours avec les yeux bandés - du bout du nez,
zone où le toucher est disparu et à partir de ce moment il agite le
doigt
en l'air plus ou moins au-dessus de l'ombilic,
mbilic, qu'il sent peut-être un peu, si nous pressons fortement son
doigt
dessus, et d'aller toucher le bout de son nez. Vo
itôt qu'il a lâché l'ombilic, et cessé d'appuyer sur son ventre, le
doigt
quitte la peau, et il serait en impossibilité d
re compte où il se trouve, et une fois qu'il est bieu assuré que le
doigt
touche un point connu de son corps, il part sans
ore une dernière expérience de ce genre. Si le malade part avec son
doigt
de l'ombilic pour arriver à l'épine iliaque, ou d
uittant immédiatemont la peau,dès qu'il a com- mencé à déplacer son
doigt
,le malade promène son doigt inutilement dans l'ai
u,dès qu'il a com- mencé à déplacer son doigt,le malade promène son
doigt
inutilement dans l'air. Ces deux points, l'ombi
ue le malade ataxique, non seulement n'arrive pas à toucher avec un
doigt
son bout du nez quand il a les yeux fermés, mai
le faire, car il ne sentait pas qu'il avait quelque chose entre les
doigts
. Je lui ai dit alors d'ouvrir les yeux et de pr
happa. On remarqua, à ce moment-là, que plus il serrait de ses deux
doigts
, plus les autres doigts se fléchissaient aussi no
moment-là, que plus il serrait de ses deux doigts, plus les autres
doigts
se fléchissaient aussi nous reviendrons plus lo
ement quand la pierre était ronde, c'était parce qu'en serrant, les
doigts
- pour une cause que nous verrons plus loin - se
mps il ne se rendait pas bien compte qu'il avait un objet entre ses
doigts
, et surtout il n'était pas sûr qu'il leserraitsuf
is qu'il voulait en faire, il écrasait la mie entre la pulpe de ses
doigts
et même très souvent elle lui tombait en miette
de ses doigts et même très souvent elle lui tombait en miettes des
doigts
. Cette expérience était plus démonstrative enco
aujourd'hui notre malade de faire beaucoup de mouvements isolés des
doigts
. Voici quelques exemples : 1° Il peut fléchir
main, mais il ne peut fléchir isolément chacun des autres derniers
doigts
, car tous les cinq se fléchissent ensemble. 2
opposition du pouce à la main gauche se font avec chacun des autres
doigts
, tandis qu'à la main droite ils se font seulement
édius et si le malade essaie de les faire avec les autres, tous les
doigts
se rapprochent en même temps. 3° S'il veut éten
s doigts se rapprochent en même temps. 3° S'il veut étendre un seul
doigt
, laissant les autres faire le poing, il réus- s
poing, il réus- sit un peu, mais s'il veut étendre complètement ce
doigt
, il est obligé d'ouvrir toute la main. Ces tr
ués, car il ne peut plus faire de mouvement isolé avec aucun de ses
doigts
, ni même l'ébaucher, parce que tous les doigts
lé avec aucun de ses doigts, ni même l'ébaucher, parce que tous les
doigts
se ferment et s'ouvrent à la fois, sans la moindr
nt les mouvement isolés, que le malade ne peut pas même relâcher un
doigt
et plier les autres seule- LE MÉCANISME DE L'AT
'il ferme le poing, et si nous désirons lui ouvrir passive- ment un
doigt
du milieu, pendant que les autres restent fermés,
ns citer quelques exemples. Le malade ne peut pas frapper avec un
doigt
isolément, comme ferait un pianiste en frappant
e ferait un pianiste en frappant sur une seule touche, car tous les
doigts
se mettent à frapper ensemble. Dans un exempl
le pouce et l'index, qui doivent faire la pince, sans que tous les
doigts
ne fléchissent ; en plus, ils se fléchissent tell
t prendre un crayon entre le pouce et l'index pour écrire, tous les
doigts
se ferment et même plus qu'il n'en faut, et le cr
et même plus qu'il n'en faut, et le crayon glisse entre le dos des
doigts
et la pulpe du pouce, et ne pouvant plus être mai
iers exemples, il y a deux éléments qui sont troublés : 1° tous les
doigts
se fléchissent, quand nous voulons nous servir se
de faire des mouvements volontaires avec une seule main ou avec un
doigt
d'une seule main, sans que le même mouvement ne
té opposé. Voici quelques exemples. 1° Quand le malade fléchit un
doigt
, même de ceux qu'il peut remuer isolé- ment, il
celui de l'autre main se ferme aussi. 2° Quand il veut étendre un
doigt
, nous avons vu qu'il peut l'étendre un peu, pen
é opposé ne s'étend pas ; mais si le malade insiste pour étendre le
doigt
complètement, on le voit faire des efforts inutil
moins qu'il ne les lâche tous. - Durant tous ces efforts, les autres
doigts
, pour ne pas s'ouvrir, se fléchissent de plus e
fléchissent de plus en plus fort, entraînant dans cette flexion le
doigt
qu'on veut étendre. Pendant ce temps, l'autre mai
'autre main peut rester encore étendu, au contraire tous les autres
doigts
se ferment. Mais si nous lui demandons, pendant
mande au malade de fléchir les deux dernières phalanges de tous les
doigts
d'une main, en laissant les premières phalanges é
qui doit être fait par la contraction des muscles fléchisseurs des
doigts
, qui fléchissent les deux der- nières phalanges
échissent les deux der- nières phalanges, et par les extenseurs des
doigts
qui étendent les premières phalanges. Le malade
e la main dans telle position que les pulpes du pouce et des autres
doigts
soient mises en contact et réunies en faisceau. D
r, il faut étendre les deux dernières phalanges des quatre derniers
doigts
et fléchir les premières phalanges sur les métaca
le pouce, pour pouvoir bien opposer sa pulpe aux pulpes des autres
doigts
réunis - celle-ci,c'est l'action du court abducte
ATAXIE TABÉTIQUE 489 le pouce à l'index ; quant aux autres derniers
doigts
, ils fléchissent leurs pha- langes les unes sur
malade voulant approcher et serrer sur la pulpe du pouce les autres
doigts
réunis en faisceau, le fléchisseur commun des d
uce les autres doigts réunis en faisceau, le fléchisseur commun des
doigts
intervient et annihile la fonction des interosseu
vient et annihile la fonction des interosseux, en flé- chissant les
doigts
phalange sur phalange. Plus haut, en parlant de
e sur phalange. Plus haut, en parlant des mouvements d'ensemble des
doigts
, nous avons dit que la malade ne pouvait prendr
objet rond entre le pouce et l'index, car non seulement les autres
doigts
se fléchissaient, mais les deux premiers, le po
si, phalange sur phalange, et l'objet glissait alors sur le dos des
doigts
et lui échappait. Il s'agissait là aussi d'un m
s, ils annihilaient les autres, et toutes les phalanges de tous les
doigts
se fléchissaient les unes sur les autres. 3° Un
iné est encore celui d'ouvrir la main, en étendant complètement les
doigts
, c'est-à-dire y compris les deux dernières phalan
igts, c'est-à-dire y compris les deux dernières phalanges de chaque
doigt
. En effet, quand on ouvre la main, par la seule c
ouvre la main, par la seule contraction des muscles extenseurs des
doigts
, le poing s'ouvre; les doigts s'étendent, mais
ontraction des muscles extenseurs des doigts, le poing s'ouvre; les
doigts
s'étendent, mais incomplètement, c'est-à-dire q
s d'un seul coup, nous ouvrons la main en étendant complètement les
doigts
. Ce n'est pas la même chose avec notre ma- lade
dernières phalanges. La main du malade étant ouverte et tous les
doigts
bien étendus et écartés, je demande au malade d
gts bien étendus et écartés, je demande au malade de rapprocher les
doigts
(adduction), tout en laissant toutes les phalan
mouvement, parce que, en essayant de les rapprocher, il fléchit les
doigts
en même temps. C'était encore un mouvement doub
e un mouvement double que je lui demandais, car, pour approcher les
doigts
, il fallait contracter les interosseux palmaires,
osseux palmaires, qui approchent et fléchis- sent en même temps les
doigts
, et pour les maintenir en même temps étendus, i
s à la lumière. Depuis 10 ans, il sent un léger engourdissement aux
doigts
des deux mains. Pas de troubles de sensibilité
n, lorsque le malade ne touchait pas son nez et s'arrêtait avec son
doigt
presque au-dessus, parce qu'il ne savait plus où
gt presque au-dessus, parce qu'il ne savait plus où se trouvait son
doigt
dans l'espace. En d'autres mots, le malade, après
cute un mouvement volontaire. L'absence de mouvements isolés des
doigts
, la présence de mouvements d'ensemble des doigt
vements isolés des doigts, la présence de mouvements d'ensemble des
doigts
et la présence de mouvements bilatéraux sont en-
de ces phénomènes : troubles ou pertes des mou- vements isolés des
doigts
, présence 'des mouvements d'ensemble des doigts
vements isolés des doigts, présence 'des mouvements d'ensemble des
doigts
, présence des mouvements associés bilatéraux, abs
es ongles des orteils s'effritèrent d'abord ; puis ceux de certains
doigts
; peu à peu l'affection s'est étendue et mainte
eux phénomènes frappent de prime abord : La déformation du bout des
doigts
en baguette de tambour et la destruction des on
des ongles. Les extrémités de tous les orteils et de la plupart des
doigts
sont volumi- neuses ; elles sont plus élargies
nt son maximum et décroît un peu ; l'extrémité pulpaire de certains
doigts
semble presque normale ; mais presque toujours el
ment hypertrophiée. Ce sont les déformations connues sous le nom de
doigt
en baguette de tambour et de doigt en massue (PI.
ormations connues sous le nom de doigt en baguette de tambour et de
doigt
en massue (PI. II). La tuméfaction est ferme à
rié suivant sa longueur de nombreu- ses raies blanches ; le bout du
doigt
n'est pas nettement hypertrophié. . Main gauche
ur de l'épiphyse de la phalangine et descend jusqu'à l'extrémité du
doigt
. C'est toujours au niveau de la deuxième articu
tuméfaction atteint son maximum de largeur et d'opacité. A certains
doigts
même (Cf. index main gauche, fig.'V),' forme un
large anneau autour de cette articula- tion et respecte le bout du
doigt
. : La lésion osseuse est essentiellement consti
à l'âge de 35 ans. Les orteils sont les premiers atteints, puis les
doigts
se prennent un à un. Caractères de la dystrop
ants. De quelle affection s'agit-il ici ? La déformation unguéaledu
doigt
hyppo- cratique n'est pas comparable et la radi
avait pour but de réagir contre la confusion qui existait entre le
doigt
hippocratique et le syndrome de Pierre Marie. L
s sont déjà considérables. Les pieds et les mains sont énormes, les
doigts
hyper- trophiés sont renflés à boule à leur ext
taller insidieusement par un simple gonfle- ment des extrémités des
doigts
(2). Nous distinguerons deux formes. Dans la pr
stinguerons deux formes. Dans la première, pseudo-hippocratique, le
doigt
figure une baguette de tambour ou.un battant de
u.un battant de cloche; l'ongle est « en verre de montre». Entre le
doigt
hippocratique et l'ostéopathie hypertrophiante, i
ouleurs ; il s'incurve et pousse usé. En même temps, l'extrémité du
doigt
se tuméfie ; le gonflement est maximum autour d
ère phalange peut t commencer à proliférer. Tous les orteils et les
doigts
se prennent succes- sivement. L'évolution est l
de Gilbert et ThOINOT, 1912, p. 568. ! . (3) BEZANÇON et I. on JONO,
Doigts
hippocratiques el ostéoarthl'Opf1thie hypertro-
ra- tion.Comme le fait remarquer Aperl, certaines malformations des
doigts
reconnaissent pour cause une compression intra-
u le, rayon digital avec dédoublement de la dernière phalange de ce
doigt
. Or cette ébauche de polydactylie ou hyperdacly
niers rayons digitaux avec réduction des articles phalangiens des 4
doigts
(PI. IX). Par cet aperçu rapide nous avons cher
férieur (main) ou égal (pied) au nombre des articles phalangiens du
doigt
placé du côté interne. En résumé l'hypertrophie
la bifurcation et le nombre irrégulier des articles phalangiens des
doigts
surnuméraires, sont des arguments qui prouvent
s coudes droit et gauche sur une hauteur d'environ trois travers de
doigt
. ' Rien d'analogue à ce moment au niveau des de
oigt. ' Rien d'analogue à ce moment au niveau des deux mains ou des
doigts
, des genoux, des oreilles ou des paupières. Ces
e la Pitié à Prague. (1) Voir mes articles « Déviation latérale des
doigts
de la main » et « Pseudogibbus après effort mus
Il s'est blessé au genou gauche et le vagonnet lui a passé sur les
doigts
de la main droite. Depuis cette époque, douleurs
rte de l'ongle. La peau de cette phalangette est mince et sensible.
Doigts
de la main droite en flexion et.abduction légèr
e temps en temps. Hyperesthésie de l'index et hypoesthésie des autres
doigts
de la main droite.' Hypoesthésie et paraesthési
e ne sont augmentés de volume que dans la zone cubitale. Les autres
doigts
paraissent normalement conformés; cependant, il
mouillée dans de l'eau chaude ; cependant il perçoit le passage du
doigt
ou du porte-plume avec une pression moyenne. Aux
ons examiner est appuyée et fixée avec douceur, nous saisissons des
doigts
les orteils du malade. Alors, n'exerçant que la
st ' alors élevée sans tremblement ni déviations ataxiques. Mais le
doigt
n'ar- rive pas exactement au point désiré ; dan
vec l'extrémité et en même temps il approche doucement la ligure du
doigt
. La précision est ainsi facilitée parce que la
il le fait à la fin d'une manière brus- que et il dépasse avec son
doigt
le point désigné. Ce trouble a lieu aussi avec
malement. Il n'arrive pas, comme dans les cas paralytiques, que les
doigts
restent immobilisés en griffe cubitale. Cela dé
d'atrophie, ne sont pas atteints de contracture des extenseurs des
doigts
mettant en hyperextension les premières phalanges
. Tels sont ceux des figures 33 et 34. L'attitude des deux derniers
doigts
de la figure 33 et celle des trois derniers de la
tracture du fléchisseur superficiel ; l'attitude des trois derniers
doigts
de la main gauche de la même figure 34 dépend d
urs tendons produisent de la douleur dans toute l'étendue jusqu'aux
doigts
. Fig. 60 a Fig. 61 162 BARRAQUER Ces co
e forcée sans variations, à la sclérose de tous les tissus mous des
doigts
en géné- ral, mais surtout du côlé de la flexio
la névrite qui en même temps produit l'atrophie de l'extrémité·cles
doigts
avec résorption osseuse. Voir ce sujet les main
e par ces ai fera fions que je viens de décrire, la di- rection des
doigts
change parce que les antagonistes entrent en conl
premiers conlraclurés, au bout d'un certain temps à la flexion des
doigts
succède l'extension par l'effet de l'atrophie d
du biceps la produit chez beaucoup de lépreux dont les mains elles
doigts
offrent de graves lésions. (I) Nous acceptons v
nt dans la figure 39, la variété appelée glossy skin. La peau des
doigts
de la figure 3 est un type de dépigmentation. J
processus cicatriciels consécutifs à des ulcérations. Par elle les
doigts
se plient, et ils le font du côté de la flexion c
se trouvent décalcifiées par suite d'un panaris à l'ex- trémité du
doigt
, dont la cicatrice et les régions adjacentes se s
ont conser- vées longtemps si douloureuses qu'il a fallu amputer le
doigt
. J'ai pu observer, dans quelques cas de trophce
età une femme lépreuse respectivement. On la retrouve dans le même
doigt
du pied de la figure 52 qui appartient au jeune
ui a intéressé le 172 BARRAQU13R grand sciatique, et dans le même
doigt
du pied exposé dans la figure 53 qui se rapport
. Voir le reste de la deuxième phalange des deuxième et troi- sième
doigts
de la figure 54 et les premier, deuxième et trois
comme le montre la figure 55, dans la deuxième pha- lange du petit
doigt
, dont le pied appartient à un cas de cette maladi
pien dans la figure 56 et celui de la première phalange du deuxième
doigt
de la même figure. Ces différentes formes se
emière phalange du pouce de la figure 57, dans la deuxième du petit
doigt
des figures 54 et 56, et dans les deuxièmes phala
ypertrophiées sont l'index et le dellxièmpmétacarpien. Le troisième
doigt
et une partie du pouce lesonl aussi quoiqu'à un
tissus profonds des extrémités peut exister quelquefois limitée aux
doigts
ou à quelques articulations seulement. Et, enfin,
s diminuée. Aux membres supérieurs, F ? peut fléchir et étendre les
doigts
, mais sans force, et encore cette extension est
tension est-elle imparfaite. Il ne peut écar- ter et rapprocher les
doigts
que d'une façon incomplète et que s'il met la m
avec une étendue normale. A la main,' la flexion et l'extension des
doigts
sont possibles, mais )entes ; la flexion de la
à. fait impossible ainsi que le rappro- chement et l'écartement des
doigts
. 182 souques En contraste avec le degré extrê
ractéristi- que, en battoir ; les plis y sont très accentués. Les
doigts
, aussi gros à leur extrémité qu'à la racine, ont
ntaire extrêmement profond. Les orteils sont moins déformés que les
doigts
Les malléoles sont très hypertrophiées. Du côlé
te : Chacune des deux mains, examinée extérieurement, présente cinq
doigts
. A droite, l'annulaire et le médius sont pris d
ne cutanée qui s'in- sère sur toute la longueur de la phalange ; ce
doigt
est libre partir de la phalangine. A gauche, l'
ue le médius est nettement infléchi vers le bord cubital : les autres
doigts
sont libres (PI. XLIV). - Aux pieds on observ
es paraissent être surnuméraires, et comme le rudiment d'un sixième
doigt
. Cette opinion trouve un appui si l'on examine
e au premier abord ? S'agit-il d'un dédoublement des orteils et des
doigts
normaux ou d'une formation véritablement supplé
eu nombreux, onttraità à une syndactylie qui porté seulement sur le
doigt
supplémentaire et son voisin immédiat ; les deux
nt syndactyliques ; de ces dernières, une seule est polydactyle, le
doigt
supplémentaire se trouvant libre. Ce qui, en deho
ompression dont elles paraissent être le siège ; les squelettes des
doigts
sont rapprochés par leur extrémité et maintenus
a région terminale. Le fait que la main normale quant au nombre des
doigts
pré- sente cette disposition, et que le doigt s
quant au nombre des doigts pré- sente cette disposition, et que le
doigt
supplémentaire de l'autre main n'est pas enferm
nt la syndactylie ; tout se passe comme slil y avait formation d'un
doigt
à squelettes multiples. Il s'agit. évidemment i
la polydactylie sur le compte de l'« atavisme » La conformation des
doigts
ni celle des orteils ne rappelle en rien l'un q
x, du médius, de l'annulaire, des deux premières phalanges du petit
doigt
. NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T.
ment dans la position suivante : flexion légère des quatre derniers
doigts
dans la paume, première phalange du pouce en lé
xième phalange est en extension. , Tous les mouvements actifs des
doigts
sont difficiles, lents, limités : l'abduc- tion
on du pouce est impossible ; l'extension complète des quatre derniers
doigts
est également impossible, leur flexion est poss
vant-bras, la face antérieure de l'avant-bras, toute la main et les
doigts
. La face antérieure du bras semble sentir la pi
très minime. Cette hypoalgésie est surtout marquée à la main et aux
doigts
. Elle prédomine sur le bord cubital de la main
e prédomine sur le bord cubital de la main et sur les deux derniers
doigts
. La sensibilité thermique parait presque normal
. Le sens des attitudes est également altéré au niveau des derniers
doigts
. Ce sens paraît à peu près normal aux autres do
au des derniers doigts. Ce sens paraît à peu près normal aux autres
doigts
et au poignet. Enfin, le sens stéréognostique e
ans le courant de la journée. Cet oedème siège au niveau de la main :
doigts
, paume, dos de la main, et empiète sur le tiers
sensation de froid très accentuée au niveau de la main et surtout des
doigts
. On ne la constate pas objectivement. Examen
ue portant sur les muscles triceps, radiaux, extenseurs communs des
doigts
, long et court extenseurs du pouce. Les muscl
e. Les muscles du groupe d'Erb sont normaux et les fléchisseurs des
doigts
ne présentent pas de modifications appréciables
thénar, avec inversion de la formule polaire ; les fléchisseurs des
doigts
pré- sentent un certain degré d'liypoexcitabili
ontaires, le front est parfois plissé, les lèvres sont remuées. Les
doigts
sont en agitation perpétuelle, de temps en temp
contraction intermittente du muscle interosseux externe. Les autres
doigts
sont également en flexion presque continue, surto
ies, les autres sont mises en extension. Les longs fléchisseurs des
doigts
prennent leur part dans ce jeu musculaire ; nou
mais plus souvent qu'à gauche elle est mise en flexion dorsale. Le
doigt
du milieu est ankylosé (après une chute). Nous
- terosseux. Parfois l'index est étendu isolément, parfois tous les
doigts
se mettent en extension (en éventail) simultané
stance, on peut sans difficulté donner,des positions excessives aux
doigts
et à la main, malgré lès contractions continuel
'opposition de faible amplitude et très passager, mais que le petit
doigt
reste immobile ; ou bien celui-ci est mis en fl
e les éléments du mou- 'vement combiné. . Quand il vent mettre un
doigt
en contact avec le bout de son nez, il com- .'m
ses, avec des trémulations très fortes. Les mouvements isolés des
doigts
,/ les mouvements de flexion et d'extension de l
à angle droit sur la première. Les deuxième, troisième, qua- trième
doigts
présentent une triple llexion des trois phalanges
dants, flexion surtout marquée au niveau des troisième et quatrième
doigts
. Le cinquième doigt présente une extension de la
t marquée au niveau des troisième et quatrième doigts. Le cinquième
doigt
présente une extension de la première phalange
la phalangine et de la phalangette. Tous les mouvements passifs des
doigts
^sont possibles, mais les mouve- ments actifs se
uissée. Les seuls mouvements aclifs possi- bles des quatre derniers
doigts
sont des mouvements de flexion ; l'extension, l
s de flexion ; l'extension, le rapprochement et l'écartement de ces
doigts
sont impossibles. Il est à remarquer que cette
ouce sont-ils possibles, de même les mouvements des quatre derniers
doigts
; seuls cependant les mouvements de flexion se
hie sous- jacente. Au niveau de la main gauche, on constate que les
doigts
sont habi- tuellement en légère flexion ; le po
une étendue très incomplète comme la flexion du pouce et des autres
doigts
, les mouvements de rapprochement et d'écartement
s mouvements de rapprochement et d'écartement des quatre der- niers
doigts
; ou bien même ils ne sont qu'esquissés comme les
d'extension, d'opposition du pouce, d'extension des quatre derniers
doigts
. L'abduction du pouce est impossible. Parmi tou
uche. La main droite semble aussi atrophiée que la gauche, mais les
doigts
ne sont pas en flexion. Les mouvements actifs d
parables à ceux du pouce gauche. Les mouvements des quatre derniers
doigts
sont un peu plus étendus qu'à gauche. La force es
t de deux fils se terminant par des bagues que la malade se passe aux
doigts
, puis l'interrogatoire commence. « Sentez-vous
sentir. 2' minute (spon- tanément). Oui, je sens un peu autour des
doigts
, à la paume des mains, je sens un peu plus, mai
mme celui des femmes ; le genu valgum se rencontre fréquemment; les
doigts
sont déli- cats et effilés. La tête est quelq
t d'un blanc d'albâtre. Les mains sont petites, délicates, avec les
doigts
effilés. Les organes génitaux externes sont nor
cas ( ? ). En ce qui concerne la petitesse des mains et l'efGlure des
doigts
chez notre malade, on est d'accord pour les att
les. Le pouee et l'auriculaire sont à peu près intacts. Les 'rots
doigts
médians sont surtout atteints : boudinés, énormes
ntaire et une hypotonie musculaire telle que l'on peut rabattre les
doigts
sur le plan carpien' dorsal qu'ils atteignent p
é, caractérisée par l'hypertrophie en massue de la main et de trois
doigts
, avec succulence et hypotonie. Ces troubles doi
ur ensemble toutes les possibilités depuis l'absence partielle d'un
doigt
jusqu'à l'absence de tous les doigts. Mais si l'o
depuis l'absence partielle d'un doigt jusqu'à l'absence de tous les
doigts
. Mais si l'on envisage isolément tous les faits
dans l'ensemble, plus court et moins volumineux que le droit. Les
doigts
l'ont défaut, au moins en partie : mais la diminu
t le raccourcissement ne tiennent pas uniquement à cette absence de
doigts
, les mensurations montrent que l'avant-bras est
supérieur droit est terminé par un moignon portant des rudiments de
doigts
. Les dimensions comparatives sont les suivantes
existence d'un nodule osseux. Les moignons correspondant aux autres
doigts
ne présentent aucune particularité; sur aucun d'e
ici poussée à un degré très accusé, et au môme degré pour tous les
doigts
; elle est caractérisée, non seulement par la dis
urni la radiographie de la Pl. LVIII, du moins en ce qui concerne 4
doigts
, le pouce non compris. Le bras se termine par u
ment plus rares que celles que caractérise l'existence d'un ou deux
doigts
complets. Dès l'abord, pour qui a examiné ces e
uer que dans chaque cas les rudiments squeletliques présentent d'un
doigt
à l'autre une analogie tout à fait remarquable et
nformation et ]'ectrodactylie qui caractérise l'existence d'un seul
doigt
. Or, pour ce qui concerne cette dernière, l'hér
la main droite et seulement sur le médius et l'annulaire. Ces deux
doigts
, inti- mement accolés, sont enveloppés dans une
s de Routier (4) et celui de Forgnes (5), où l'union enlre les deux
doigts
était limitée aux phalanges et phalangines, son
renseignements précieux quant aux rapports et à la constatation des
doigts
unis. L'étude de l'extérieur montre que ces deu
atation des doigts unis. L'étude de l'extérieur montre que ces deux
doigts
ont sensiblement la même longueur; à la palpati
ire, de sorte qu'on serait tenté de croire que l'éga- lité des deux
doigts
est plus apparente que réelle. Or, la comparaison
plus apparente que réelle. Or, la comparaison du squelette des deux
doigts
ne confirme pas cette hypothèse. Sans aucun dou
ble. Si l'on examine comparativement chacun des divers segments des
doigts
, on constate que les phalanges ont conservé, du
elle est plus courte que celle de l'annulaire. Finalement, les deux
doigts
sont sensiblemenl égaux non par déviation latér
latérale subie par le médius. On doit conclure à l'égalité des deux
doigts
. - Cette égalité n'est pas constante dans la sy
te égalité n'est pas constante dans la syndactylie portant sur deux
doigts
. Si elle est signalée par Billon z7) (6), par Mor
'annu- laire et le médius, par contre Ilerran (3) noie que les deux
doigts
avaient une longueur proportionnelle normale ch
taient unis. De plus, lorsque la syndactylie porte sur plus de deux
doigts
, les dimensions longitudinales sont loin d'être t
'une simple convergence morphologique. Suivant cette hypothèse, les
doigts
seraient secondairement soudés, à la suite du pro
ent probablement quel- ques-uns des cas que caractérise l'union des
doigts
par une surface plus ou moins étendue de leur e
s auteurs après Annandale. La soudure pourrait porter sur plusieurs
doigts
. Mais de ce qu'un processus soit possible, il n
théorie mécanique devient très problématique, bien que l'union des
doigts
soit limitée à leurs extrémités. Le sujet décrit
if. Il s'agit d'un nou- veau-né dont l'index et le médius, aux deux
doigts
, « sont soudés, liés l'un à l'autre par une sor
sont libres ; ils présentent donc une soudure inverse de celle des
doigts
. Au pied droit tous les orteils sont normaux.
ne manière tout à fait symétrique, portant tout juste sur les mêmes
doigts
et au même point ? La coïncidence poussée à ce
ce qui rend la coïncidence de moins en moins probable. L'union des
doigts
, il est vrai, ne se produit pas de la même façon.
ES DES MEMBRES 3A7 formation, de développement ou de croissance des
doigts
. Pour que l'on analyse les faits particuliers,
onstitué sur place tel que nous l'observons et si la séparation des
doigts
n'existe pas, il est croire non qu'elle a fait
importantes. Si nous ajoutons que rien dans l'aspect extérieur des
doigts
ne permet de penser à une cicatrisation ancienne,
n des artères collatérales s'effectuer plus près de l'extrémité des
doigts
que dans les mains normales. Plus récemment, Ge
ll. Soc. anat. Paris, 1849. (2) GUEUSANT, Adhérence congénitale des
doigts
. Gaz. des hôp., zou. (3) Gentès et AU131RET, Su
C\AUD d'elles ne s'accorde avec l'idée d'une soudure secondaire des
doigts
. Ce n'est point un traumatisme ni une ulcératio
seaux, que la sépara- tion partielle ou l'absence de séparation des
doigts
. Nous nous trouvons en présence d'une ontogenès
gnés de voir en elles la mar- que la plus atténuée de formation des
doigts
. Il ne serait même pas absurde de dire que le t
etit tubercule caché au fond de l'un de ces sillons correspond à un
doigt
. A priori, cette interprétation semble en quelq
mé ; sur le fait que, dans quelques cas, il a paru que l'absence de
doigts
coïncidait avec l'existence de brides, du moins d
ion, On comprendrait mieux qu'une action compressive dé- truise des
doigts
quelconques, des os tarsiens quelconques et laiss
fois duraient pen- dant quelques jours, toujours localisés au petit
doigt
et à l'annulaire. Bien- tôt la main devint de p
L'éminence thénar et le pouce ne sont pas déformés. Tous les autres
doigts
sont varia- Olcmeul fléchis, le petit doigt l'é
ormés. Tous les autres doigts sont varia- Olcmeul fléchis, le petit
doigt
l'étant au maximum, l'index au minimum. Le peti
is, le petit doigt l'étant au maximum, l'index au minimum. Le petit
doigt
(fig. 1) est : "1 ce point rétracté qu'on ne pe
ahle, et môme le creux des espaces interosseux : la déformation des
doigts
est moins bien visible qu'en regardant la main pa
ts de flexion; à la main, les mouvements de l'annulaire et du petit
doigt
sont impossibles; les mouvements de rappro- che
petit doigt sont impossibles; les mouvements de rappro- chementdes
doigts
ne peuvent s'effectuer, pas plus que l'adduction
mettre au travail, il remarqua que les mouvements des deux derniers
doigts
de sa main droite étaient difficiles. Cette gên
complètement disparu, l'éminence thénarest un peu aplatie. Tous les
doigts
sont en flexion, mais surtout l'annulaire et le p
Tous les doigts sont en flexion, mais surtout l'annulaire et le petit
doigt
, les premières phalanges seules étant dans l'ex
peut que très difficilement réaliser l'extension des deux derniers
doigts
, mais on détermine aisément l'extension du médi
st très atrophiée, l'éminence thénar est indemne. Les deux derniers
doigts
seuls sont rétractés dans la même situation que
e situation que du côté opposé. Les mouvements de rapprochement des
doigts
et d'adduction du pouce sont difficiles à gauch
côtés le malade ne peut exécuter de mouvement d'opposition du petit
doigt
. Sensibilité. Le malade se plaint de picotement
abolie sur la face interne des avant-bras et dans les deux derniers
doigts
des mains; sur la main elle-même les limites de
é à droite. A part les mouvements du pouce, tous les mouvements des
doigts
sont gênés, et ceux des deux derniers doigts sont
ous les mouvements des doigts sont gênés, et ceux des deux derniers
doigts
sont impossibles. La sensibilité au contact, à
tc.4. 4. 6 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. deux derniers
doigts
. Les limites de l'anesthésie ne sont pas tranchée
nservés. A la main droite la peau pré- sente un état lisse au petit
doigt
. Il y a des sueurs exagérées dans les deux main
région thénar est moins accusée que normalement. Les deux derniers
doigts
ont la phalangine et la phalangette fléchie. A
coup moins accusées. Les mouvements d'abduction et d'adduction des
doigts
ne s'exécutent plus, de même la flexion des pre
E ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTHIÈRE. à droite, mais les trois premiers
doigts
des deux côtés en étaient exempts. Tous les mou
phalanges se trouvaient en flexion, le quatrième et le cin- quième
doigts
étaient même courbés en griffe. Les éminences t
yaient très distinc- tement dans la paume de la main. Les bouts des
doigts
avaient une apparence polie et luisante. L'exci
lemcnts ou de picotements, enfin d'un engourdissement dans le petit
doigt
, l'annulaire et le côté cubital de la main. Le
trophique des interosseux : les deuxième et troisième phalanges des
doigts
sont maintenues fléchies alors que le malade ne p
t. Enfin la main prend la forme dégriffé, la situation vicieuse des
doigts
étant surtout accusée sur les deux derniers. Le
se livrer à ses occupations habi- tuelles. Les mouvements du petit
doigt
sont impossibles, et ceux des "autres doigts so
Les mouvements du petit doigt sont impossibles, et ceux des "autres
doigts
sont lents et peu énergiques. L'adduction et l'ab
doigts sont lents et peu énergiques. L'adduction et l'abduction des
doigts
ne peut se faire, de même l'adduction du pouce es
tié de l'annulaire, à la face dorsale lasurface cutanée de ces deux
doigts
; au-dessus du poignet le tiers interne de l'avant
s, la main devint de plus en plus faible, surtout les deux derniers
doigts
. Puis avec l'affaiblissement sur- vint de l'ama
nt des interosseux ; -, on y remarque aussi la flexion générale des
doigts
, surtout prononcée sur les deux derniers. Vue p
ant-bras est un peu atrophié à sa partie interne. Les deux derniers
doigts
sont rétractés dans la flexion et ne peuvent être
UNE FORME PARTICULIÈRE DE TROUBLES NERVEUX. 11 fléchies. Les autres
doigts
un peu écartés présentent la même déformation m
(pl. I). Les mouvements de flexion ou d'extension des deux derniers
doigts
sont impossibles : de même les mouvements de ra
ibles : de même les mouvements de rapprochement et d'écartement des
doigts
. Les deux derniers doigts, le tiers interne de
ts de rapprochement et d'écartement des doigts. Les deux derniers
doigts
, le tiers interne de la main, et le bord interne
qui les ont occasionnées, elle n'a pas souffert. La peau des mêmes
doigts
est lisse, paraît épaissie et rétractée. Les on
ensations pénibles de fourmillement et d'engourdis- sement du petit
doigt
de la main gauche. Les douleurs gagnent bientôt l
er- osseux de la main gauche sont très atrophiés. Les deux derniers
doigts
de la main sont rétractés en flexion, el la rét
ractés en flexion, el la rétraction est plus prononcée sur le petit
doigt
. L'éminence thénar est aplatie. Il n'existe pas d
, les uns' des z 'autres; il ne peut faire aucun mouvement du petit
doigt
. 11 existe en somme .une. paralysie ehune-atrop
. articulaire est;abolie seulement.dans les,artüw- lations du petit
doigt
. : , 1 ? ' ; , ' ,, ; " ; ' ., ! . L'examen de-
t hypothénar dont les saillies sont remplacées par des méplats. Les
doigts
ne sont pas déformés mais écartés légèrement le
n de la main sont possibles; la malade ne peut pas rappro- cher ses
doigts
les uns des autres; l'abduction de la main en pro
s fourmille- ments et à des engourdissements jusqu'au bout du petit
doigt
: l'engour- dissement esl constant, mais les pi
supérieure du thorax, la main droite était complètement fermée; les
doigts
de la main gauche étaient à demi fléchis. Celte
les déformations suivantes. A la main gauche : les quatre derniers
doigts
, étendus, sont déjetés vers le bord cubital; la f
ués, surtout pour l'index. Aux deux mains, D... ne peut écarter les
doigts
que dans une mesure très limitée. La motilité e
auche se montre beaucoup plus épaisse, quand on la pince entre deux
doigts
, que la peau des régions correspondantes de la cu
e aujourd'hui. Il y a lieu de se demander si les défor- mations des
doigts
sont destinées à persister indéfiniment. Il est p
e de décroissance. Elle avait déterminé des altitudes vicieuses des
doigts
. Troubles vaso-moteurs. - Dans plusieurs cas, i
. époque à laquelle elles cessèrent. - Il y a environ sept ans, ses
doigts
et ses mains, deux ou trois ans plus tard ses p
ges et épaisses, les paupières gonflées en sacs. - Les mains et les
doigts
étaient grossiers et carrés, l'épaississement é
e la main. La peau était moite, il existait des plis sur le dos des
doigts
. Les ongles étaient larges mais, d'ailleurs, para
, . En 1877, à l'âge de vingt-huit ans, il sembla au malade que ses
doigts
com- mençaient à devenir plus épais; il fut for
n peu courtes par rapport à leur épaisseur et à leur largeur. Les
doigts
sont également énormément épaissis. L'augmentat
ent une striation longitudinale nette ; en comparai- son avec les
doigts
ils paraissent un peu petits. Les avant-bras
considérable de l'acuité visuelle, surtout pour l'oeil gauche (les
doigts
ne sont reconnus que lorsque l'éloignement ne d
rs leur extrémité périphérique. De même pour ceux de la main et des
doigts
. Les parties molles sont, elles aussi, hypertro
est surtout le tissu sous-cutané, aux avant-bras les muscles. Les
doigts
sont très déformés, surtout au niveau des dernièr
vols commis, etc. Le sens musculaire, la notion de position de ses
doigts
, la notion des poids, de leur différence, est c
res. L'ACROMÉGALIE. 99 Les bras étant pendants, l'extrémité des
doigts
arrive jusqu'à centimètres au dessus du condyle
cupe toute celte main, remonte en manchon jusqu'à quatre travers de
doigt
au-dessus du poignet'. D'une façon générale, to
ié et hyperalgésié, sauf au niveau des deux dernières phalanges des
doigts
qui ont leur sensibilité normale, de même que d
ou huit centimètres et qui sont situées : l'une, à trois travers du
doigt
au-dessus du pli du coude, et l'autre, il trois
du doigt au-dessus du pli du coude, et l'autre, il trois travers de
doigt
au-dessus du pli articulaire du poignet. On c
à angle droit sur le bras, la main fléchie sur l'avant-bras et les
doigts
forte- ment fléchis dans la paume de la main. L
de l'oeil gauche et toute la main gauche jusqu'à quatre travcrs de
doigt
au-dessus du poignet. Pendant tout le cours du
ent vive en tout comparable à celle que l'on provoque en passant le
doigt
sur l'extrémité du gros orteil gauche contracturé
a distance comprise entre le sommet et l'épaule et l'ex- trémité du
doigt
médius, de 81 centimètres. L'index il lui seul av
L'index il lui seul avait une longueur de 11 centimètres. Tous les
doigts
étaient noueux au niveau des articulations. -
auche on n'appréciait pas de difformités notables, sinon celles des
doigts
pliés en marteaux. La poitrine dont la forme a
meuse '. Ce même malade présente, en outre, une arthropathie d'un
doigt
qui présente de grandes analogies avec les arthro
ence robuste ; taille 1^.G i.. Son regard exprime l'hébé- tude. Les
doigts
sont animés d'un léger tremblement; la force est
rsqu'on fait tendre le bras du malade et qu'on lui fait écarter les
doigts
, cependant il arrive difficilement à accomplir
nne du médius droit est le siège d'une tuméfaction considérable. Le
doigt
élargi à sa base rappelle le doigt en radis. La
une tuméfaction considérable. Le doigt élargi à sa base rappelle le
doigt
en radis. La peau a sa coloration normale, on n
au niveau d'une zone décolorée, manifestement moins foncée que les
doigts
qui ont conservé leur couleur normale. Quelqu
rès bistrée (la malade est femme de ménage), ainsi que le reste des
doigts
. Pas de troubles du côté des ongles. Du côté ga
ur brunâtre d'une nuance plus foncée que le reste de la main el des
doigts
qui sont normaux. Le front a gardé sa couleur n
approchés l'un de l'autre, comme pour tenir une plume à écrire; les
doigts
inclinés vers la paume de la main sont déviés e
aideurs; elle avait parfois de la peine à étendre l'avant-bras; les
doigts
et le pouce s'allongeaient continuellement et s
e instant « l'attitude pour écrire ». Bientôt elle remarqua que ses
doigts
tremblaient de temps à autre. Au début, ce trem
imés d'un tremblement il oscillations lentes, tandis que les autres
doigts
inclinés vers la paume de la main sont déviés en
e de la face siège du spasme, se limitant en haut à deux travers de
doigt
au-dessus de l'arcade sourcilière, en dehors pa
e et se termine par une ligne elliptique située à quatre travers de
doigt
au-dessus de l'oreille droite. La partie postér
our leur longueur que pour leur circonférence; voici les mesures du
doigt
médius de la main droite chez Ghirlenzoni : I
couverte et qui était si considérable qu'on le sentait aisément au
doigt
. Pour la suture coronale il n'y en avait aucun
, vis-à-vis les ventricules du cerveau, deux impressions comme d'un
doigt
dans la cire; et ces cavités étaient pleines d'
raidit aussi. Le membre supérieur était contracture en flexion, les
doigts
fléchis dans la main, la main sur l'avant- bras
sies. Coeur gros, très mou, la mitrale et la tricuspide admettent 3
doigts
; poids du coeur 550 gr. Circonférence de la m
latée ; orifice droit idem', mais moins que le gauche qui admet les
doigts
. Hypertrophie de la paroi des oreillettes. Foie
HIE DE LA SALPE'l'ItILRE. pouce est sur le même plan que les autres
doigts
: c'est la main de singe. Les interosseux, le p
èrent le long du corps, les avant-bras en flexion sur les bras, les
doigts
fléchis, les mains déviées vers leur bord cubital
e pouce est en extension (pl. 1LI). La première phalange des quatre
doigts
est en extension (main en griffe). , ? . , Le
ps un appareil plâtré sur la jambe gauche remontant à un travers de
doigt
au-dessus du genou. Le médecin qui avait diagno
de s'est éveillée un matin avec le bras droit contracturé, les cinq
doigts
fléchis dans la paume de la main. Cette contrac
arition dans la main droite d'une aura débutant par l'extrémité des
doigts
; le bras se soulève horizontalement; puis survien
La main droile est toujours contracturée, le pouce et les quatre
doigts
étant en flexion dans la paume de la main; le t
considérable le soir et que, quand on la presse forte- ment avec le
doigt
, l'impression y reste comme dans la cire molle. A
ystériques est plus grande le matin, et, quand on la presse avec le
doigt
, il ne reste aucune marque. Le plus souvent aus
a- lysé de la main droite. Il ne pouvait ni fléchir, ni étendre les
doigts
, ni rele- ver le poignet, ni le mouvoir dans au
iveau de sa moitié supérieure, il sentait bien le courant, mais les
doigts
ne se relevaient pas. « Ça ne répondait pas »,
e l'avant-bras. Au bout de quinze jours, il commença il mouvoir ses
doigts
; la sensibilité revint petit à petit. Il est sort
s dans la- main paralysée; donc paralysie absolue de la main et des
doigts
, anesthésie complète, gonflement oedématenx et cy
Description de la paralysie. Tous les mouvements de la main et des
doigts
sont abolis. La main pend inerte. Le malade ne pe
s. La main pend inerte. Le malade ne peut ni étendre ni fléchir les
doigts
et le poignet. Les mouvements d'adduction et d'ab
olé du poignet. Quand le malade fait un effort pour déplacer : Se;'
doigts
, on voit quelques légères secousses du petit doig
déplacer : Se;' doigts, on voit quelques légères secousses du petit
doigt
et de l'index. La pa- ralysie est flasque ; pas
lgésie incomplète de la paume do la main ut de la face palmaire des
doigts
.. ' ' ' Thermo-anesthésie absolue dans les même
s elle est pervertie; > Le sens musculaire est aboli, poignet et
doigts
. - La main et les doigts sont gonflés, oedémate
Le sens musculaire est aboli, poignet et doigts. - La main et les
doigts
sont gonflés, oedémateux; la coloration de la pea
paraissant seulement la nuit. 21 juin. - La main est dégonflée, les
doigts
fonctionnent librement sous l'influence toutefo
la peau cependant en est un peu cyanosée; il peut remuer un peu les
doigts
. Le soir, à quatre heures, tous les mouvements de
n peu les doigts. Le soir, à quatre heures, tous les mouvements des
doigts
s'accom- plissent rapidement et sans force. Dyn
atténuée. L'oedème est moins marqué. Le pouce et les deux premiers
doigts
sont animésd'un tremblement léger secousses iné
et insensible à la douleur et il la température. Les mouvements des
doigts
reparaissent. Dyn = 1 i 1 : . La paralysie s'at
yanosée. L'anesthésie (dissociée) re- monte jusqu'à deux travers de
doigt
au-dessus du coude où elle se termine par une l
lysie hystérique. Il avait dit il un autre : Le père X... se met le
doigt
dans l'oeil, c'est un hystérique... Enfin ceci ou
s gauche. Mercredi 25 septembre. - Le malade remue un peu mieux les
doigts
de la main gauche, mais la faiblesse y est touj
endant quelques minutes l'empreinte en godet formée par la pulpe du
doigt
. La peau, au niveau des parties gonflées, est c
déma- teux était dur; il ne gardait que peu ou point l'empreinte du
doigt
. Il était complètement indolent. L'état général
diagnostique rhumatisme fibreux. Au bout de six semaines remue les
doigts
; au bout de six autres semaines guérison complè
tente sur le tronc, sur le sein, toujours il gauche. OEdème dur, le
doigt
qui presse laisse très difficilement sa trace. La
ttaques le ramenaient plus considérable. La pression pro- longée du
doigt
ne donnait pas, ou donnait très faiblement le god
Sydenham, c'est un oedème dur sur lequel la pression prolongée du
doigt
ne laisse que peu ou pas d'empreinte. Si l'on vou
ins atrophiée que la gauche. Rétraction fibreuse des trois derniers
doigts
qui les maintient en flexion et les empêche de
bres supérieurs elle est symétriquement abolie jusqu'à 2 travers de
doigt
au-dessous du coude. Plaque d'anesthésie compre
arse sont très spongieux; le calcanéum est même dépressible sous le
doigt
. Sur tous, le volume est considérable, par hyper-
main du côté malade est atteinte, nous l'avons dit : en effet, les
doigts
, du côté droit, présentent des nodosités d'Heberd
nis par l'examen visuel, nous a montré que toutes les phalanges des
doigts
sont notablement hypertrophiées du côté droit,
urs épiphyses, cela surtout d'ailleurs au niveau des trois premiers
doigts
. Si l'existence de digitol'll1n nodi plaide en
fournissent les mêmes chiffres d'un côté et de l'autre. Seuls les
doigts
, et encore les doigts de la main droite exclusive
s chiffres d'un côté et de l'autre. Seuls les doigts, et encore les
doigts
de la main droite exclusivement, pré- sentent d
sentent des modifications morphologiques intéressantes; les premiers
doigts
de la main droite, en effet, le deuxième et le
sont d'un calibre plus considérable que la normale, taudis que les
doigts
du côté opposé ont conservé toute leur finesse.
toute leur finesse.. L'hyperostose intéresse tous les segments des
doigts
; au niveau de l'index droit elle forme deux pe
etto-phalanginienne (PI. III). Voici les mensurations comparées des
doigts
, destinées à montrer la circon- férence plus gr
des doigts, destinées à montrer la circon- férence plus grande des
doigts
de la main droite par rapport à ceux de la main
et l'espace qui sépare les deux fragments est de quatre travers de
doigt
environ (confirmation par la radio- graphie). L
lantes, un peu ru- gueuses, se détachant sous la simple pression du
doigt
. Rien au niveau des méninges encéphaliques, ni
trième cervicale l'on relevait une encoche où pouvait s'enfoncer le
doigt
. Le médecin posa tout de suite le diagnostic de
olument indemnes. Tous les mouvements de la main : opposition des
doigts
et du pouce, flexion, adduction et abduction de
osition des doigts et du pouce, flexion, adduction et abduction des
doigts
, flexion, adduction et abduction de la main, fl
la multiplicité des actes fonctionnels exécutés par la main et les
doigts
, mais on peut observer des troubles analogues a
la plume est soulevée, et si Je courant dure un certain temps, les
doigts
sont pris de tremblement et d'une crampe persis-
ques secondes, il lui semblait que sa main devenait lourde, que les
doigts
s'engourdissaient ; une douleur vive avec fourm
avec régularité, puis des fourmillements apparaissaient au bout des
doigts
, gagnant la main et le bras ; une douleur très
alade eut des douleurs dans la main droite : douleurs dans le petit
doigt
et sur le côté cubital de l'avant-bras ; peu à pe
ne pouvait plus se mouvoir ; la plume s'enfonçait dans le papier, les
doigts
se crispaient, et le sujet devait attendre quel
ment, ou un épaississement des tendons des mns- cles extenseurs des
doigts
. Il est évident que l'action mécanique locale,
ile à tracer les lettres, se raidissait sur le porte-plume,puis les
doigts
se crispaient, et le sujet devait interrompre s
abord,en chan- geant de porte-plumes, à éviter les contractions des
doigts
mais les troubles augmentèrent encore d'intensi
usaient ; s'il était obligé d'écrire en public, s'il était ému, les
doigts
se crispaient, avant même de tracer les mots, e
e du poignet sur la 84 MACÉ DE LÉPINAY gaine des fléchisseurs des
doigts
, on sent, lorsque ceux-ci se contractent, des c
e tout le monde, les cra- quements synoviaux s'accusent dès que les
doigts
remuent pour tracer les lettres, et le malade l
bout d'un certain temps étaient apparus des fourmillements dans les
doigts
, puis des douleurs, enfin des crampes survenant a
ts, puis des douleurs, enfin des crampes survenant au moment où les
doigts
pressaient le pis. On trouvait des troubles de la
'abord des fourmillements puis des douleurs dans les trois derniers
doigts
de la main droite, enfin des crampes dans ces m
derniers doigts de la main droite, enfin des crampes dans ces mêmes
doigts
, l'empêchant de faire son travail. Mais, ajoute
ent, voient survenir des douleurs dans ces 86 MAC DE LÉPINAY deux
doigts
, puis de l'atrophie des muscles de l'éminence thé
ai- sait des fausses notes en jouant du hautbois parce que le petit
doigt
de la main droite s'étendait difficilement. Que
s mois plus tard la même gêne d'extension apparut dans le quatrième
doigt
, sans aucune douleur et sans troubles de sensib
e ce petit névrome, une atrophie marquée des muscles extenseurs des
doigts
et d'une partie des muscles de l'éminence théna
tbois ni du piano, par impossibilité de faire agir les extenseurs des
doigts
; et la main peut cependant exécuter un grand n
cinq cents fois par jour, un robinet dur au moyen des deux premiers
doigts
de la main droite ; une névralgie se déclara su
erfs du bras, amenée et entretenue par les traumatismes répétés des
doigts
sur le clavier. Or cette crampe, lorsqu'elle es
eil par des spasmes qui s'étendaient à l'émi- nence hypothénar, aux
doigts
et au ponce. Le lendemain matin, les spasmes au
les mouvements spasmodiques d'adduction du ponce et de flexion des
doigts
devenaient assez intenses pour qu'il fut bientôt
e, dès que le bec de la plume touchait le papier, les deux derniers
doigts
se fléchis- saient fortement dans tous leurs se
d'écrire de la main droite : dès qu'il prenait le porte-plume, les
doigts
se crispaient et la plume ne pouvaient tracer l
ONNELLES 91 depuis six mois. Aussitôt qu'elle prenait la plume, ses
doigts
se resser- raient, une douleur remontait tout l
tait tout le long du bras jusqu'à l'épaule, et la plume tombait des
doigts
. Or, depuis longtemps déjà, la malade avait un
pages,il ressentait une sorte de tiraillement dans les muscles des
doigts
et de l'avant-bras. Peu à peu la gêne s'accentu
dès que le malade prenait le porte-plume. En même temps les autres
doigts
se crispent sur le porte-plume, puis se raidiss
; il n'a aucun tremblement, pas plus au repos qu'à l'extension des
doigts
; il peut facilement enfiler une aiguille ; et co
ant sans aucune peine une lime, un ciseau ou un poin- çon entre les
doigts
. Le malade, écrivant de plus en plus difficilem
ade se con- fectionna alors une sorte de palette qui allougeait les
doigts
, et lui permet- tait, au lieu de remuer les pha
mais, lorsqu'elleprenait le porte-plume de la main gauche, tous les
doigts
de cette main devenaient raides, se contractaie
ade peut relever son bras gauche, mouvoir l'avant- bras et même les
doigts
; elle peut aussi fléchir sa cuisse gauche, sa ja
vant-bras est en flexion sur le bras, la main sur l'avant-bras, les
doigts
sont repliés sur eux-mêmes ; on n'arrive pas à va
ls ne sont pas touchés. Le malade traîne la jambe en marchant ; les
doigts
de la main et l'avant- bras sont en demi-flexio
rmes les bras restent nettement écartés du tronc et les sommets des
doigts
atteignent à peine le grand trochanter. Le ra
es affectent le type carré si bien décrit par M. P. Marie. Le petit
doigt
et l'annulaire d'un côté, le doigt moyen et l'i
n décrit par M. P. Marie. Le petit doigt et l'annulaire d'un côté, le
doigt
moyen et l'index de l'autre sont de longueur pr
moyen et l'index de l'autre sont de longueur presque égale. Le IVe
doigt
de chaque côté a une base d'implantation un peu
ôté a une base d'implantation un peu postérieure à celle des autres
doigts
. La peau des mains est extrêmement ridée et sur
La peau des mains est extrêmement ridée et surabondante ; entre les
doigts
on observe la persistance d'un pli cutané très
achondropldsique a subi trois fois la luxation traumatique du gros
doigt
des deux côtés. La main de notre nain ne prés
n posant sa main sur un plan solide on peut en effet juxtaposer les
doigts
à leurs bases et les écarter avec toute facilité
otule, luxation d'origine traumatique. Cette luxation comme celle des
doigts
des mains dépend d'un état d'anormale hypotonie
r il a une base d'implantation nettement postérieure aux autres. Ce
doigt
est claviforme à base très rétrécie et son extrém
rétrécie et son extrémité pose sur les surfaces unguéales des deux
doigts
plus proches. ' La mobilité est parfaitement no
plus court que les autres ; cela explique que la base du quatrième
doigt
soit implantée beaucoup plus en arrière que celle
tion entre les surfaces articulaires. La déformation en trident des
doigts
peut se produire très facilement chez lui artific
t qu'il a été sujet à de très fréquentes luxations traumatiques des
doigts
; la rotule du côté gauche été aussi luxée et il
gine n'a pas, que je sache, été suffisamment éclairée. Le quatrième
doigt
des mains, et beaucoup plus évidemment celui des
a une base d'implantation nettement postérieure à celle des autres
doigts
; ce fait ressort très clairement à l'examen des
ième métatarsien qui est la cause de l'implantation postérieure des
doigts
correspondants, peut donc être considérée comme u
aissent en effet toutes ridées comme si la peau était en excès et les
doigts
sont unis entre eux par un pli cutané haut de p
a une luxation de la rotule gauche; chez lui les articulations des
doigts
et les articulations iléo-fémurales sont aussi
exion du gros orteil droit, varus équin spasmodique, et flexion des
doigts
de la main droite avec léger tremblement chaque
blement en écrivant, puis survinrent quelques contractions dans les
doigts
, notamment le pouce ; enfin se consti- tua une
phinisation, M. M... éprouva une certaine difficulté à écrire : les
doigts
se crispaient sur le porte-plume et la main se
ère des muscles fléchisseurs, ou plus rare- ment des extenseurs des
doigts
, quoique la main, en général, exécute facilemen
aperçoit qu'il éprouve une certaine peine à tenir la plume, que les
doigts
ou la main se fatiguent vite et sont difficiles à
ins cas il y a mouvements inverses dans l'un ou l'autre de ces deux
doigts
. Le porte-plume se trouve ainsi, soit propulsé br
e ainsi, soit propulsé brus- quement vers le troisième ou quatrième
doigt
, soit au contraire étroite- ment serré entre le
igt, soit au contraire étroite- ment serré entre les trois premiers
doigts
qui se contractent sur lui et empêchent tout mo
pêchent tout mouvement de la plume. Parfois le médius et les autres
doigts
de la main se fléchissent aussi brusquement, soit
crampe reparaisse dans certaines opérations menues et délicates des
doigts
; cela se produit soit lorsqu'il y a lésion pér
teignent une grande intensité ; elles peuvent siéger au niveau des
doigts
et de la main, remonter au bras le long des gro
forme spasmodique de la crampe des écrivains, tous les muscles des
doigts
,de l'avant-bras, du bras et de l'épaule peuvent
ement à l'acte d'écrire. Nous écrivons donc, non seulement avec nos
doigts
, mais avec notre poignet, notre avant-bras, not
du bras sout fortement contractures, ainsi que les fléchisseurs des
doigts
. La contracture sur le porte-plume est très marqu
n tenant le porte-plume incliné entre le pouce et les quatre autres
doigts
. 202 MACÉ DE LÉPINAY B. Forme paralytique.
uchenne de Bou- logne qui l'observa chez deux de ses malades. « Les
doigts
dirigeaient parfaitement la plume, mais dès que
pouce était frappé d'inertie au point que la plume lui tombait des
doigts
; cependant il se servait facilement de ce même a
s se combine à la forme spasmodique ; il y a dès lors paralysie des
doigts
, puis spasme. Les caractères graphologiques per
urde, s'embarrasse phase paralytique - puis le spasme apparaît, les
doigts
se contractent sur le porte-plume qui fait exécut
un mouvement alternatif, en sens contraire, de la main droite; les
doigts
annulaire et auriculaire étant appuyés sur le p
appuyés sur le papier, la plume étant tenue par les trois premiers
doigts
, la main se balance, oscille plus ou moins rapi
des fourmillements et une sensation de froid dans les troispremiers
doigts
de la main, puis ces trois doigts se fléchirent
n de froid dans les troispremiers doigts de la main, puis ces trois
doigts
se fléchirent avec une force irrésistible dans la
ectement la pen- sée. Tantôt c'est une raideur d'un ou de plusieurs
doigts
, avec brusque flexion ou extension d'une des ph
résiste ainsi aux injonctions motrices ; tantôt la main ou l'un des
doigts
s'engourdit, devient impossible à remuer ; méca
(observ. VII) avait d'abord ressenti de brusques flexions dans les
doigts
de la main droite qui survenaient au bout de qu
out de quelques instants de l'em- ploi de la machine à écrire ; les
doigts
avaient peine à se relever avant de taper les t
que le malade s'é- tait fabriqué une sorte de palette suppléant les
doigts
, de façon à ce que le poignet seul fit les mouv
scles qui fléchissent la main sur l'avant-bras ; les trois premiers
doigts
conservent sur le bouton à peu près la même posi-
tion des notes. Cet auteur peuse que les traumatis- mes répétés des
doigts
amènent une fatigue exagérée des muscles et des
e la plupart du temps à une impotence fonctionnelle passagère : les
doigts
deviennent raides, s'en- gourdissent, separalys
gourdissent, separalysent, et le jeu doit être interrompu. Un seul
doigt
peut être atteint ; plus souvent deux ou trois
rompu. Un seul doigt peut être atteint ; plus souvent deux ou trois
doigts
subissent en même temps l'inlilbition motrice ;
par un spasme, qui comme la paralysie peut affecter un ou plusieurs
doigts
. Reuter,cite un composi- teur de 30 ans qui, de
e se traduit par une névralgie de plus en plus intense, partant des
doigts
, irradiant il l'épaule, et obligeant l'ar- tist
gauche remplit le rôle de beaucoup le plus fatigant. Les 4 derniers
doigts
sont appelés à exécuter des mou- vements très r
r des mou- vements très rapides dans une position forcée ; le petit
doigt
en particu- lier (lié doigt pour les violoniste
des dans une position forcée ; le petit doigt en particu- lier (lié
doigt
pour les violonistes) doit s'étendre de façon exa
violoniste de 33 ans, neurasthénique, qui avait une contraction des
doigts
de la main gauche dès qu'il voulait jouer ; la
explique ces douleurs par les tiraillements incessants imposés aux
doigts
pour jouer sur la première corde notamment, et pa
nt, et par la pression continue qu'imprime la corde sur la pulpe du
doigt
; aussi propose-t-il dans ces cas de mettre un d
il commençait à jouer, avait des douleurs très vives dans les trois
doigts
médians de la main gauche, douleurs qui cessaie
r un spasme, soit par une paralysie fonctionnelle d'un ou plusieurs
doigts
; les deux mains prenant une part également act
0 ans, avait depuis quelque temps une gène croissante dans les cinq
doigts
de la main gauche, dès qu'il voulait jouer : le
e la main, et lorsqu'elle voulait tricoter, dans les extenseurs des
doigts
et les adducteurs du bras. Le spasme ne se manife
ents, puis par des douleurs aiguës avec impossibilité de fléchir le
doigt
. Le désordre n'apparaissait que dans l'exercice
te affection consiste en une crampe de la main et des mus- cles des
doigts
chaque fois que le coiffeur prend son rasoir ou s
r jour. Le malade ressent assez souvent des fourmillements dans les
doigts
, surtout le pouce droit, puis le spasme s'insta
t le pouce droit, puis le spasme s'installe, empêchant de plier les
doigts
et de fermer la main ; la crampe ne se manifest
rampe professionnelle; elle consiste en contractures passagères des
doigts
chez les ouvrières des tabacs qui sont chargées
: après quelques années, celte femme éprouva de la raideur dans les
doigts
, puis de vives douleurs lorsqu'elle se mettait
vement, il avait une brusque extension du troisième et du quatrième
doigts
de la main droite, qui l'empêchait ainsi de bie
pour l'exercice de-sa profession, avait une crampe douloureuse des
doigts
. Duchenne de Boulogne a rapporté l'histoire (ob
- bras sur le bras qu'en prenant de l'élan. Il fléchit et étend les
doigts
, mais ne peut serrer qu'à peine. Les phénomènes
issent d'un volume nor- mal ; les mains sont larges, aplaties ; les
doigts
sont gros. Troubles moteurs. La motilité de tou
s ; les doigts sont gros. Troubles moteurs. La motilité de tous les
doigts
est conservée mais se fait lentement ; l'opposi
ation du coude depuis l'insertion du triceps brachial jusqu'à trois
doigts
au-dessus, elle envahit la zone externe de la rég
au musculaire une exostose de la partie supérieure du radius. Les
doigts
de la main sont volumineux, mais il n'y paraît pa
très évident. Les altérations les plus remarquables portent sur les
doigts
de la main gau- che ; à droite elles sont aussi
lsation au niveau du troisième et quatrième espace intercostal à un
doigt
à peu près en dehors de la marginale gauche. Au
it une direction parallèle au rebord costal tout en étant de quelques
doigts
plus bas du rebord même dans le décubitus horiz
peu à peu une contracture des deux mains, laquelle ne frappa qu'un
doigt
de chaque côté. Ce cas de contracture de doigts,
elle ne frappa qu'un doigt de chaque côté. Ce cas de contracture de
doigts
, connue sous le nom de contracture de Dupuytren
héréditaire. Il s'agit d'un sujet de58 ans, dont le père a eu le
doigt
annulaire courbé avant la naissance du fils; la
du faire à son père, ce récit quand il lui a demandé la cause de ce
doigt
recourbé. Le père est mort il y a 18 ans, à Pag
ns, notre malade, âgé alors de 55 ans, com- mença à voir se courber,
doigt
annulaire on droit de même que chez le père ; c
r se courber,doigt annulaire on droit de même que chez le père ; ce
doigt
se rétracta peu à peu. Le même sort a frappé, u
même sort a frappé, un an et demi plus tard, symétriquement l'autre
doigt
annulaire. La rétraction des doigts n'empêche pas
lus tard, symétriquement l'autre doigt annulaire. La rétraction des
doigts
n'empêche pas au malade de se servir des autres
tion des doigts n'empêche pas au malade de se servir des autres. Le
doigt
droit est plus retracté que celui de gau- che ;
e. Sur la photographie (PI. XXXV), on voit un trait tendu venant du
doigt
droit à la paume de la main. Le malade a souffe
à peu chez notre malade à l'âe de 55 ans sans cause apparente ; le
doigt
frappé est le même qui a été blessé el contract
prédisposition héréditaire, a pu graver dans son cerveau le fait du
doigt
fléchi qu'il voyait tous les jours chez le père
éer ainsi. Quanta l'influence sur le fils de l'attitude vicieuse du
doigt
paternel, on peut dire pour éclaircir cette der
; il raconte qu'il apprit par hasard que son père s'était blessé au
doigt
. Chez le fils, la contracture du doigt commença
e son père s'était blessé au doigt. Chez le fils, la contracture du
doigt
commença à se développer quinze ans après la mo
na davantage : cela n'existait pas chez son père. Mais parce que le
doigt
était symétrique, le malade étant intellectuel (a
micien), conclut qu'il y avait une certaine relation entre les deux
doigts
. Mais, arrêtons-nous d'abord à la première hypo
e manifestant à l'âge moyen. Chez un homme, ditSedjvick, le petit
doigt
commença à se courber par une cause inconnue ;
ins sujets, par suite de la rétraction de i'aponévrose palmaire, un
doigt
commence à se courber peu à peu et progressivemen
ie musculaire de la main droite et la contracture de trois derniers
doigts
se développa en huit ans une contracture de Du-
ALADIE DE DUPUYTREN 271 se développe peu à peu une contracture d'un
doigt
. Il faut repousser la a névrite de même que la
rès la suggestion. Pour le moment nous observons un malade avec six
doigts
à la main dont la mère étant enceinte a vu une
le fils est atteint d'une maladie d'origine corticale ; c) voyant le
doigt
fléchi chez son père,il a pu se graver involont
roposé dans son cas une explica- tion pareille après la blessure du
doigt
chez son malade et à la suite de l'irritation d
té opposé qui n'est pas atteint. Et en effet, chez notre malade, le
doigt
gauche est moins frappé que le doigt droit. Q
n effet, chez notre malade, le doigt gauche est moins frappé que le
doigt
droit. Quant au traitement de la contracture de
plus marquée, les mouvements furent plus limités; la contracture du
doigt
progressa surtout pendant ces trois dernières a
ements devinrent plus durs et plus grands. L'effort de redresser le
doigt
s'accompagna de douleur et de ti- raillement. E
- raillement. Enfin la contracture a atteint telle intensité que le
doigt
se poussa à angle droit par rapport à la paume
rolongea jusqu'au milieu de la paume de la main. Le redressement du
doigt
ne fut possible qu'après l'extirpation du trous-
e med., 1884, 419. 7. Feindel. Névrite traum. du cubit. déviât, des
doigts
. Rev. neurol., 1896, n° 15. 8. RE11A6. - Neurit
altraiter et, à elles deux, elles auraient cherché à lui casser les
doigts
de pieds. Sortie de la .maison de santé. M... r
a peau des mains est pâle, lisse, luisante, glabre ; les ongles des
doigts
sont cassants et portent dessillons longitudina
s des doigts sont cassants et portent dessillons longitudinaux; les
doigts
sont effilés. La peau des membres, aussi i bien
egment du pied ; chaque partie comprise entre les articulations des
doigts
de pied forme un bourrelet; le dos du pied présen
ie et repose sur un tissu de consistance plus molle. La pression du
doigt
ne détermine pas de godet. On n'observe aucune
et alors se trans- forment parfois en tremblement non seulement des
doigts
, mais aussi de toute l'extrémité en masse. Les
es cervicales sur les vaisseaux sous-claviers [même la gangrène des
doigts
peut se dé- velopper dans ces circonstances, co
ins, n'ont pas seulement pour but de procurer aux articulations des
doigts
et de la main de meilleurs-points d'appui, mais i
a fait de triangu- laires, d'autres avec la place réservée à chaque
doigt
; les uns sont en liège, d'autres en métal ; il
ppareils qui permettent à la main de conduire la plume sans que les
doigts
soient forcés de remuer peuvent être divisés en d
peuvent être divisés en deux catégories : ceux qui maintiennent les
doigts
(Cazenave, Martin, Collin), et ceux qui maintie
porte-plume à pleine main et en faisant exécuter, non plus par les
doigts
ni même par la main ou le poignet, mais bien pa
vices, car ils répondent à ces deux desiderata : 1° immobiliser les
doigts
et donner à la main une nouvelle synergie muscu
t, de sorte que la plume ne pouvait être gardée longtemps entre les
doigts
. Son infirmité l'ennuyait surtout parce que, vi
le s'attache alors, suc- cessivement, aux différentes phalanges des
doigts
. On met dans le réci- pient des poids variables
e progressivement de 25 ou de 50 grammes jusqu'à 300 ou 400. Chaque
doigt
sera soumis avec cet appareil à quatre ou cinq
etite balle de caoutchouc creuse est placée sur la face dorsale des
doigts
. Le malade projette la balle en l'air et la sai
ant l'exercice, il laisse retomber la balle sur la face dorsale des
doigts
entre l'index et le médius, ou entre le médius
sera utilisée de la même façon. On la place sur la face dorsale des
doigts
, on la projette en l'air, on la laisse tom- ber
e médius et l'annulaire placés en des- sous, et l'index et le petit
doigt
passant sur elle. Le sujet reste ainsi quelques
le façon qu'elle se trouve placée sur le dos de l'index et du petit
doigt
, tandis que le médius et l'annulaire lui devien
le malade écrira la main renversée. Tandis que les quatre derniers
doigts
, moyennement fléchis et en adduction, s'appuier
. Les exercices de rééducation se feront d'abord sur la table : les
doigts
frapperont successivement, lentement, puis de p
indjy recommande même de s'exercer à jouer avec la face dorsale des
doigts
, la main étant renversée en supination : c'est un
r à tour exercés par une gymnastique active et pas- sive ; puis les
doigts
exécuteront sur une canne, tenue en guise de vio-
e la table ; la main ne repose que sur la surface unguéale du petit
doigt
, qui est replié avec l'annulaire vers la surface
e : c'est une sensation à la fois de faiblesse et de raideur dans les
doigts
, une extrême difficulté à les faire obéir : si,
seulement de « gêne », de « raideur » et de « faiblesse » dans les
doigts
. Détail à noter : ce jeune homme présente un ce
ent, éprouvant quelquefois encore une sensation de raideur dans les
doigts
et le bras, mais très passagère. Il arrive à éc
iculaire gauche sont volumineux, durs, indolents et roulent sous le
doigt
. Bientôt apparaissent des signes de propagation
interne des joues ; ils doivent être ramenés sur la langue par les
doigts
que la malade introduit dans la bouche, puis, pou
che ; pour la sortir, la malade est obligée de la prendre entre ses
doigts
et de l'attirer à l'extérieur. Sa surface prése
et prolongés de toux convulsive. Elle est obligée de retirer avec le
doigt
la nourriture accumulée entre la face interne d
nt dilatées, l'oeil gauche est dévié en dehors et n'aperçoit pas le
doigt
placé en avant. La malade accuse une vision obtus
s; il lui arrive souvent de ne pas compter exactement le nombre des
doigts
de la main qu'on lui présente; elle en voit pre
du dos. Il y a une parésie des deux épaules, mais les mouvements des
doigts
sont normaux. Pas de réflexes tendineux des bra
ns vertical ; elles sont loin d'avoir l'aspect « en battoirs », les
doigts
sont élargis en forme de boudins ; seuls les mé
seuls les médius sont épais et carrés à leur extrémité ; les autres
doigts
présentent une convexité prononcée de leur extrém
cyphose, il a aux mains et aux pieds une ébauche de ce que sont les
doigts
des acromégales, on voit sur la radiographie de
utôt que le type large. Le pouls est la région la plus épaisse. Les
doigts
sont gros, allongés, arrondis et grossis à leur e
aire aux coudes et aux articulations métacarpo- phalangiennes ; les
doigts
peuvent être portés en extension très forcée sur
st augmentée surtout au visage et aux extrémités inférieures. Les
doigts
des mains sont conformés « en baguette de tambour
s, et qui sont tout à fait atrophiques en correspondance des petits
doigts
. Au doigt moyen de la main gauche on voit, du côt
ont tout à fait atrophiques en correspondance des petits doigts. Au
doigt
moyen de la main gauche on voit, du côté ex- te
e osseuse bien dessinée ; le profil de la dernière phalange du gros
doigt
est de son côté scabré et épineux. Les apophyse
e, des faits très évidents d'atrophie des dernières pha- langes des
doigts
et des mains et en même temps nous voyons la prés
vant-bras et du pouce un vaste naevus qui remonte à sept travers de
doigt
au dessus de l'extrémité inférieure du radius,
ièce de deux francs, de forme oblongue, qui siège à deux travers de
doigt
au-dessus de l'épine iliaque antérieure et supé
e de volume et de forme à la première; elle siège à cinq travers de
doigt
au-dessus de l'épine iliaque postérieure et sup
diane. L'autre, oblique en bas et en avant, commence à 5 travers de
doigt
environ de l'extrémité inférieure delà colonne
e la tête en bas est limité : le menton s'arrête à trois travers de
doigt
de la poitrine. Le NOUVELLE Iconographie DE la
res (soupirs). Lorsqu'on touche le ventre ou bien lorsqu'on passe les
doigts
sur la peau, on provoque un rire que le malade
aient tuméfiées. Pendant deux mois, il fut incapable de fléchir ses
doigts
à cause de douleurs articulaires ; ses doigts éta
apable de fléchir ses doigts à cause de douleurs articulaires ; ses
doigts
étaient écartés. Il lui était difficile de plie
es aux autres. L'aorte est rétréci et ne laisse passer que le petit
doigt
immédiatement au-des- sous de l'origine de la s
x côtés : à droite on réussit avec peine à faire passer le bout des
doigts
entre ce rebord et la crête iliaque, il est éga-
ntéro-postérieur, l'espace compris entre la base d'implantation des
doigts
jusqu'à 2 centimètres environ en avant de l'art
inférieurs donnent : 528 RAVENNA Pas d'altération aux ongles des
doigts
ni des orteils. Pour ce qui concerne le reste d
ie 7111ewllique de Marie, l'hypertrophie des derniè- res phalanges (
doigts
en baguettes de tambour) et les ongles en verre d
ant fléchi sur le bras, la main sur le poignet et les deux derniers
doigts
dans la paume de la main. A droite tous les réf
aule et du poignet sont presque normaux. Ceux des articulations des
doigts
sont lents et limités, surtout dans leur extens
ité aux pieds consistant en un pied-bot avec rétraction dorsale des
doigts
; cette maladie n'avait pas, il semble, de ca-
ans la marche. Ses pieds étaient restés quelque peu déviés avec les
doigts
en griffe. La difformité était bilatérale, la par
'extension forcée des pre- mières phalanges. La 2" phalange du gros
doigt
du pied comme aussi la 2° et la 38 des autres q
du gros doigt du pied comme aussi la 2° et la 38 des autres quatre
doigts
sont fléchies de manière que l'attitude du pied
tion, dans le droit l'abduction est très faible. Les mouvements des
doigts
sont possibles et complets, l'extension est incom
. Pas de troubles physiques. Poumons. Sommet droit, un travers de
doigt
au-dessous du gauche. Excur- LES ATROPHIES MUSC
ments actifs sont possibles, seulement l'opposition du pouce au petit
doigt
est très difficile et incomplète. La force musc
bre il a éprouvé une sensation d'engourdissement aux extrémités des
doigts
. Le 8 octobre, une faiblesse des membres inférieu
s inférieurs et supérieurs avec dysesthésies analogues à celles des
doigts
a commencé aux pieds. Puis, la faiblesse a augm
°9. Etat le Il octobre. - Un peu de sensation d'engourdissement aux
doigts
. Une parésie très considérable de tous les musc
des troubles très légers de la sensibilité tactile aux pieds et aux
doigts
. Il peut être assis sans s'aider des bras, mais
vers la périphérie, est très considé- rable pour les mouvements des
doigts
, mais n'est qu'assez médiocre pour les mouvemen
le est un peu diminuée aux orteilsetaux parties périphéri- ques des
doigts
: pas d'autres troubles de la sensibilité tactile
xe du tendon d'Achille est normal des deux côtés. L'abduction des
doigts
est possible, mais la force de ce mouvement est t
servé au moins en partie leurs fonctions. Les autres mouvements des
doigts
et les mouvements des poignets sont possibles,
le bassin. Il y a une parésie très marquée pour les mouvements des
doigts
et des mains. Pour les mouvements des épaules l
uer la direction des mouvements minimes faits avec les orteils. Aux
doigts
, aucuns troubles correspondants. xxn 44 670 P
11 janvier, on trouve une diminution légère du sens musculaire aux
doigts
(examen par la même méthode que ci-dessus). Maint
cun mouvement d'opposition avec le pouce, ni d'abduction des autres
doigts
. Il ne peut faire l'extension des poignets, mêm
ds de la main. Il n'y a qu'un mou- vement possible des mains et des
doigts
, c'est un certain degré de flexion. Les mouveme
s pieds et de la peau sur les deuxièmes et troisièmes phalanges des
doigts
où il y a une dimi- nution très légère. La sens
leurs parties les plus périphériques, les orteils et les bouts des
doigts
, par exemple des sensations d'engourdissement,
nt des symptômes pendant deux semaines, au début, douleurs dans les
doigts
, paralysie symétrique des quatre membres et des n
ses se passent comme s'il avait l'idée de le prendre. Le contact du
doigt
, de la tétine et du mamelon provoque les mouvemen
ne certaine lourdeur et qu'il était obligé de fléchir fortement ses
doigts
pour le maintenir, il éprouvait une grande diff
ement. Ce même phénomène se produisait s'il fléchissait fortement ses
doigts
dans la main. A part cela il était robuste et v
de la difficulté il ouvrir sa main lorsqu'il a fortement fléchi ses
doigts
. Telle est, aussi complète que possible, l'obse
s pieds, puis ceux de la jambe en commençant par les extenseurs des
doigts
, puis le jambier, les péroniers, enfin les musc
effort plus ou moins grand et qui suit la flexion un peu forte des
doigts
dans la main. Dans le même ordre d'idées nous r
ienrs. normal , sauf les lie consiste en ce noter sous aucun petits
doigts
qui que le ? doit de la rapport. , sont beaucou
parai- sède la faculté de son avec les autres l'hyperextensiou. .
doigts
. La muscu- Du reste tout est lature est normale
s derniers mois, une diplopie. Front étroit, occiput aplati, petits
doigts
courts. Tremblement et gêne dans les petits mou
as, la 36 TOMMASI DE AMICIS main sur l'avant-bras, les 4 derniers
doigts
ont de la tendance à se fléchir sur le métacarp
épaissit et la partie cervicale augmente jusqu'à la grosseur du petit
doigt
: voilà pourquoi le canal rachidien dans sa par
ion, l'extension, le rapprochement, l'éloignement, l'opposition des
doigts
s'exécutent convenablement. La pression dynamom
e tous les rieurs seraient de son côté. Sur la scène il montrait du
doigt
des ridicules dont chacun se gaussait dans la v
Masson et Ciao, Éditeurs. LE MAL D'AMOUR 67 le pouls du bout des
doigts
en faisant une révérence, qui est bien la plus
i sont prises en premier lieu : les derniè- res phalanges, puis les
doigts
dans leur ensemble, puis la main, puis.les avan
ente que partout ailleurs ; ou parce que la richesse vasculaire des
doigts
favorise et entretient un état congestif perman
keratomc à une affection caractérisée par le développement, sur les
doigts
et les mains, de petites tumeurs généralement trè
mbres supérieurs depuis le milieu du bras jusqu'à l'extré- mité des
doigts
. Particularité très significative, les altération
s l'effleurer. Les douleurs s'irradient jusque dans l'extrémité des
doigts
, mais ne remontent pas dans la région sus-clavi
glénoïde aussi bien que la tète humé- raie qu'on embrasse avec les
doigts
légèrement fléchis. Cette laxité mesurée par un
ng dans la dépression pré-scapulo-humé- rale. Saisissant avec les
doigts
la masse des muscles ronds et du tendon du grand
le bord spi- nal sur les côtes. Or ici on peut aisément glisser les
doigts
entre la paroi cos- tale et ce bord. L'explorat
endus très difficiles. Le pouce peut être porté au contact du petit
doigt
mais, pour exercer la plus légère pression, il do
ment ténu qu'il semble qu'on va l'écra- ser en le serrant entre les
doigts
. A l'examen radioscopique (PI. XVIII), la tête
ns métacarpo-phalangiennes, marqué surtout pour les quatre derniers
doigts
. Les os des doigts (Ire, 2°, 3e phalanges) sont -
giennes, marqué surtout pour les quatre derniers doigts. Les os des
doigts
(Ire, 2°, 3e phalanges) sont -sur une ligne droit
mité inférieure de la 3e phalange : Main droite. Main gauche. 1er
doigt
. 10 centim. 11 centim. 2° « 15 - .......... . 1
e « 6 z , 6 ' 5e « « 5 1/2 5 - 112 III. Longueur du squelette des
doigts
seuls. 1er doigt. 5 cent. 5 ........... 5 cent.
« 5 1/2 5 - 112 III. Longueur du squelette des doigts seuls. 1er
doigt
. 5 cent. 5 ........... 5 cent. 8 2e « 8 .......
... 7 lui 114 J. SABRAZËS ET L. MARTY Eu résumé, le squelette des
doigts
de la main droite est plus court que celui de l
che de li à 5 mm. , Les extrémités osseuses des métacarpiens et des
doigts
ont conservé leur vo- lume normal. Le corps de
ée qu'on peut encore pousser plus loin par pression sur le bout des
doigts
. Dans toutes ces articulations, il est impossib
porter la main sur la tête, il arrive à peine, en flé- chissant les
doigts
dans la main, à écarter le membre tombant à quatr
oigts dans la main, à écarter le membre tombant à quatre travers de
doigt
environ en dehors du plan du corps. On est en pré
s qui se dessine sous la peau limite ce mouvement. La flexion des
doigts
dans la main est facile. L'extension de la main
n des doigts dans la main est facile. L'extension de la main et des
doigts
ne se fait pas sans le secours d'un aide. Le ma
sont très limités. Les mouvements d'opposition du pouce et du petit
doigt
sont possibles mais peu énergiques. L'adducti
L'adduction est sur- tout facile. L'adduction et l'abduction des
doigts
sont promptes et assez énergiques. Le malade n'
ésiste faiblement il la pronation ; assez fortement à l'extension des
doigts
mis en flexion, ainsi qu'à l'adduction ou à l'a
doigts mis en flexion, ainsi qu'à l'adduction ou à l'abduction des
doigts
. Examen DES réactions électriques DU membre sup
eux palmaires et dorsaux, long exten- seur du pouce, extenseurs des
doigts
, sus et sous-épineux, et pour les muscles du co
nerf médian (face palmaire des 10e, 2°, 3° et moitié externe du 4°
doigts
et de la région correspondante du carpe et du m
de et au niveau du poignet. La préhension des nerfs collatéraux des
doigts
est indolore. La pression du cubital est peu do
ieure du radius, on provoque à droite des mouvements de flexion des
doigts
, et, a gauche, des secousses d'une très grande
de l'épaule. Pas de tremblement, mais instabilité de la main et des
doigts
qui sont maintenus à grand'peine dans un plan h
an horizontal. Le malade prétend avoir eu des tremblements du petit
doigt
sous l'influence du froid ; ce tremblement n'ex
-dessus du poignet, on détermine une série de contractions dans les
doigts
de la main correspondante ainsi que dans l'épaule
. Au moment même le patient s'écrie : « Ça me déchire dans le petit
doigt
». Après la réduction qui- s'opère facilement,
s, des sensations de brûlure intenses et de fulguration le long des
doigts
, surtout dans l'auriculaire et cela à partir du c
. Malgré la persis- tance des douleurs et leur irradiation dans les
doigts
pendant deux mois, le tronc du radial ne parait
rcissement apparent dû aux déviations des surfaces articulaires des
doigts
; mais n'est-il pas largement compensé par l'éc
SABRAZÈS ET L. MARTY vive le long des troncs nerveux accessibles au
doigt
(circonflexe, radial, cubital surtout) : les mu
s prendre pour accommoder la vision de notre conscience. Quand, les
doigts
ouverts et les yeux fermés, je fixe l'attention
de mon sens des attitudes segmentaires successivement sur les cinq
doigts
de ma main, j'éprouve une double sensation. D'abo
de ma main, j'éprouve une double sensation. D'abord cha- cun de mes
doigts
, à mesure que mon attention s'y porte, semble s'a
int de mon corps comme l'oeil le fixerait pour sa part. Je sens tel
doigt
en y fixant mon attention, comme je le verrais
on du regard, c'est-à-dire les paupières abaissées, en appuyant les
doigts
sur la cornée dont on perçoit les mouvements ;
voir, par la saillie de la cornée, et en y appuyant légère- ment le
doigt
, un nystagmus très actif, avec spasme abducteur d
deux températures alors que nous avions de la peine à maintenir les
doigts
dans de l'eau à celte température ; enfin un mala
plaque frontale est vernissée, plissée transversalement et donne au
doigt
la sen- sation du parchemin. Elle présente dans
différents appareils. Système nerveux normal. Mains assez petites.
Doigts
effilés. L'extrémité du doigt est entièrement r
nerveux normal. Mains assez petites. Doigts effilés. L'extrémité du
doigt
est entièrement recouverte par l'ongle qui n'es
ngles sont blancs, étroits et un peu recourbés. La face dorsale des
doigts
surtout au niveau des dernières phalanges,- est r
la main parait normal. La paume de la main et la face palmaire des
doigts
sont tapissées par un. épiderme épais, sec, d'a
ect lamelleux est surtout marqué à la paume des mains. La pulpe des
doigts
est sèche, amincie, surtout au niveau de l'inde
s. L'enfant est revue le 9 juin 1898. 11 semble que l'extrémité des
doigts
est plus pâle et la main plus cyanosée. Une s
e la main serait également squameuse et sèche et les extrémités des
doigts
blanchâtres. Le talon commencerait également de
ns sont donc ici : l'effilement, la cyanose, la se- -y cheresse des
doigts
et des orteils, les altérations des ongles, l'asp
es extrémi- tés, trouble symétrique prédominant à la périphérie des
doigts
et des or- teils, avec desquamation lamelleuse
scles interosseux. L'adducteur du pouce a complètement disparu. Aux
doigts
, la phalangette est en extension, tandis que le
ns le vague. Encore une jeune et jolie femme qui parait être à deux
doigts
du trépas. Voyez comme elle est pâle, comme ses l
e. Son profil est charmant, son cou est plein de grâce ; elle a les
doigts
les plus fluets qu'on puisse imaginer. A voir l
és de la table, un jeune garçonnet, joufllu, frisé et rieur qui, du
doigt
, nous montre l'inscription. Le proverbe ne dit-
: l'âme voltige bien loin de ce corps alangui. ^N^ous sommes à deux
doigts
de la syncope. Mais ce ne sont encore que des v
sont froides, humides, bleuâtres et flasques. Les articulations des
doigts
et du pouce sont lâches et les doigts peuvent ê
asques. Les articulations des doigts et du pouce sont lâches et les
doigts
peuvent être à peu près renversés sur le dos de
emier degré (PI. III, fig. E), la main est simplement amaigrie, les
doigts
plus minces, plus effilés, les espaces interosseu
les erreurs dues aux sensations thermiques que donnent souvent les
doigts
, et aux impressions de chatouillement que pro-
claviculaire et à toute la main droite, seulement à l'extrémité des
doigts
de la main gauche. B. Face postérieure. - Hypoa
ostérieure. - Hypoalgésie au talon droit, hyperalgésie aux qua- tre
doigts
de la main gauche et à tous les doigts de la main
t, hyperalgésie aux qua- tre doigts de la main gauche et à tous les
doigts
de la main droite. Retard à la perception de la
ile est toutefois conservée sur une bande large de trois travers de
doigt
, s'étendant du genou au cou-de-pied. Au-dessus de
nne vertébrale ; elles sont fulgurantes. La malade éprouve dans les
doigts
, surtout à la main gauche, une sensation d'engo
jusqu'à une ligne passant par les creux axillaires. L'extrémité des
doigts
et les éminences thénar présentent une hyperest
nches, la finesse de ses dentelles, et l'anneau d'or qu'il porte au
doigt
, insigne visible de sa dignité doctorale. Et vo
Même, un jeune garçon, plus dé- luré que les autres, fait avec ses
doigts
un geste outrageusement risqué. Le sévère van H
forcée, tandis que les trois orteils médians et sur- tout le petit
doigt
s'écartent fortement l'un de l'autre en se dirige
on de suivre les conseils d'un chirurgien et de se faire couper les
doigts
du pied gauche. Elle espère pouvoir marcher bea
rencontrons une vive résistance quand nous essayons de ramener les
doigts
à la position normale. Il est vrai que ce serai
t immédiatement, le pied dévie en dedans, le pouce se relève et les
doigts
s'écartent. En un mot, il s'agit d'une attitude q
c. A ce moment la pauvre dame souffrait également d'un cor au petit
doigt
du pied gau- che ; elle se dit, avec une logiqu
pour son cor au pied et elle appliqua la dite pommade sur le petit
doigt
. Le malheur voulut qu'en coupant ce cor douloureu
par hasard un petit globule de mercure avait pénétré dans le petit
doigt
? Elle sentait déjà les contorsions déterminées
s inguinales, varices aux 2 jambes. ' La main droite présente les
doigts
écartés l'un de l'autre, en demi-flexion sur la
ns extenseurs. ' ' . ' Le malade ne peut absolument pas étendre les
doigts
, ne peut pas les fléchir au delà de la demi-fle
veau de l'index. Impossibilité de l'adduction et de l'abduction des
doigts
. La flexion du poignet sur l'avant-bras se fait
mier adducteur. Gouttières interosseu- ses. Tous les mouvements des
doigts
sont lents, la flexion presque impossible. L'ex
peut cependant arriver jusqu'à l'annulaire ; le mouvement d'écart des
doigts
est impossible La flexion du pouce est très l
mètres ; les 2° et 3e phalanges de l'annulaire en demi-flexion. Les
doigts
étant en extension, le malade ne peut arriver à
mou- vement d'opposition est absolument impossible. La flexion des
doigts
est limi- tée ; absolument impossible au niveau
es à gauche, impossible à droite ; l'opposition du pouce aux autres
doigts
ne peut se faire d'aucun côté. , L'éminence t
e pouce peuvent être portés en extension complète mais les 3 autres
doigts
sont en demi-flexion constante sur la paume de
Impossibilité de l'extension du poignet fléchi ; de l'extension des
doigts
sauf l'index de la main droite ; dans la paume
pouce impossible ; main à demi fermée ; extension de la main et des
doigts
impossible ; les mouvements de pronation et de
l'avant-bras ; atrophie des * radiaux. Le malade peut fermer les
doigts
avec une force médiocre. Circonférence du tiers
'ORIGINE MYÉLOPATHIQUE 373 servant l'usage de sa main gauche et des
doigts
, dont il ne peut plus faire usage depuis 2 mois
rement l'index en extension, ce qu'il ne peut faire pour les autres
doigts
. \\ Le pouce peut se fléchir assez fortement, m
rce au dynamomètre est à peu près nulle. Les mouvements passifs des
doigts
ne sont possibles qu'incomplètement ; on ne peut
ts passifs est assez bien conservée. Membre supérieur gauche. - Les
doigts
de la main gauche sont restés en extension ; le
Ka SF. : 2 millia. An SF : 3 millia. Fléchisseur superficiel des
doigts
An SF : 6 millia. Ka SF : 3 millia. Fléchisse
el des doigts An SF : 6 millia. Ka SF : 3 millia. Fléchisseur des
doigts
An SF : 4 millia. Ka SF : 3 millia. Biceps An
Muscles. - Lombricaux : 10 centim. 5. Fléchisseur superficiel des
doigts
: 7 centimètres. Fléchisseur profond : 7 Bice
s deux premiers ne sont que des nodosités osseuses aux mains et aux
doigts
chez des nerveux ; quant au troisième, celui de
ds et grand dorsal. Le malade a conservé tous les mouvements de ses
doigts
et de la main. Il la l1échit et l'étend facilem
la région des articulationsmtacarpo-phalangiennes; néan- moins les
doigts
sont également larges et carrés ; les éminences t
u Mains 1 médius 20 » 20 » Mains Largeur à la base des 4 derniers
doigts
8 » 8 » Circonférence au niveau des éminences 2
axillaire. On retrouve l'hypoesthésie cubitale qui s'étend à tous les
doigts
en respectant l'éminence thénar et le pouce de
t. Hyperalgésie au flanc droit et aux mains jusqu'à l'extrémité des
doigts
. B. Face postérieure. Hypoalgésie depuis les or
l'articulation du poignet. Hyperalgésie aux mains jusqu'au bout des
doigts
. Aux pieds, il y a un retard de la perception d
diane et au côté droit, depuis les orteils jusqu'à trois travers de
doigt
au-dessus de l'om- bilic, à gauche la perte de
ie occupant la moitié droite du crâne à partir de deux tra- vers de
doigt
au-dessus du sourcil. Pl. VII TROUBLES DES SE
e d'anesthésie crânienne s'étend en arrière jusqu'à deux travers de
doigt
de la ligne sus-auriculaire. IL DouLEUR. - A. F
Hypoesthésie plantaire remontant à droite jusqu'à quatre travers de
doigt
au-dessus des malléoles. Hyperesthésie remontant
n du cubital, depuis le coude jusqu'à l'extrémité des deux derniers
doigts
. Ces sensations se retrouvent à l'épigastre et à
long du bord interne du bras jusqu'à l'extrémité des deux derniers
doigts
de la main. B. Face postérieure. - Anesthésie e
aine du cu- bital, à toute la paume de la main et aux deux derniers
doigts
à gauche; à droite, dans toute la zone du cubit
auche; à droite, dans toute la zone du cubital et aux deux derniers
doigts
; enfin, dans la région frontale gauche. Analgé
ontale gauche. Analgésie en corset. Hyperalgésie aux trois premiers
doigts
de la main gauche et à tout le reste du corps.
t descend le long de la face interne des bras jusqu'aux deux derniers
doigts
. Hypoalgésie en hémi-calotte gauche. Hyperalgés
sibilité se retrouve fré- quemment (6 fois sur 8) à l'extrémité des
doigts
, contrairement à ce que l'on observe dans la sy
s qui se continue sur le bord cubital de la main englobant le petit
doigt
et la portion adjacente de l'annulaire. Une lés
de l'urinal. Clignant des yeux d'un air narquois, il montre avec le
doigt
la malade à l'une des assistantes. Ce geste peu
des hommes... » Elle paraît tenter de lire la légende qu'elle suit du
doigt
et s'écrie enfin : « Je sais ce que c'est... Qu
le s'est tue ; elle a continué cependant à mettre successivement le
doigt
sur cha- que ligne en paraissant compter des ye
mmés). APHASIE AMNÉSIQUE 439 7 clefs : Elle montre d'abord quatre
doigts
; on insiste ; elle dit alors : « 3, 3 ». Enfin
oigts ; on insiste ; elle dit alors : « 3, 3 ». Enfin elle montre 5
doigts
, puis en ferme 3 en disant : « trois en plus »
is en plus » (La traduction de ce geste est évidemment celle-ci : 5
doigts
, plus 5 doigts moins trois, ce qui fait 7 ; la
(La traduction de ce geste est évidemment celle-ci : 5 doigts, plus 5
doigts
moins trois, ce qui fait 7 ; la malade a gestic
en, gens et objets qu'on lui dénomme et qu'on lui dit de montrer du
doigt
; l'encrier, le lit, le poêle, une infirmière etc.
couleurs sans pouvoir en dire le nom en général ; elle indi- que du
doigt
les arbres de la cour quand on lui montre une feu
ement étendu, soit passivement, soit volontairement; les 2 derniers
doigts
sont en demi-flexion non réductible. Les réflex
. Au pied, la tuméfaction fait bomber la face dorsale au-dessus des
doigts
qui, eux-mêmes, sont un peu épaissis. Sur le co
est blanche et elle est lisse ; mais on ne peut la pincer entre les
doigts
ni la faire glisser au-dessus des masses osseuses
ncore, l'oedème est blanc, dur, absolument indolore. La pression du
doigt
n'y détermine un godet qu'à la condition d'être p
est la plus remarquable... » telle due « quand on la presse avec le
doigt
, il ne reste aucune marque »... et qui « le plus
légèrement rosée. OEdème dur, élastique, gardant mal l'empreinte du
doigt
. - F. Wiual, Ulcérations buccales et cutanées,
lement; mais l'oedème qui survenait alors était mou, dépressible au
doigt
, et nullement doulou- reux. La pression aux poi
s à varice, et des jarretières ; mais elle ne garde pas la trace du
doigt
après une pression de courte durée, même énergiqu
de que celle du côté droit ; elle ne se laisse pas pincer entre les
doigts
tant elle est épaisse. Au début, il y a cinq à
six ans, l'oedème était moins dur et se laissait dépri- mer par le
doigt
; il augmentait aussi dans la station debout, ce
AS DE TORTICOLIS MENTAL 485 Le fait de fixer très attentivement son
doigt
suffit également pour atténuer et même faire di
nt arrêter le spasme par la simple application, sans effort, de son
doigt
sur la joue du côté de la déviation, du côté op-
a déviation, du côté op- posé, sur le menton ou sur le nez, etc. Un
doigt
autre que le sien produit le même résultat. Der
saud : Notre malade peut à volonté arrêter le spasme en plaçant son
doigt
sur la joue ou sur le menton, sans qu'il lui so
fforts considérables pour opérer ce redressement. Mais il s'aide du
doigt
en l'appliquant sur le nez, la joue ou le mento
les, impuissants. » Une force très minime dirigée contre le spasme (
doigt
sur la joue ou le menton, etc.) suffit pour maint
à la contraction musculaire. Enfin, si le malade, en appliquant son
doigt
comme nous l'avons dit, peut, sans effort, redr
. Feindel (1) serait impuissant à opérer le même re- dressement. Le
doigt
étranger ne peut vaincre la résistance alors que
ple effort de la volonté ; mais que « l'appui moral » fourni par le
doigt
du malade, appliqué sur un point de la face, et
er la tête très facilement. Si, chez notre malade, l'application du
doigt
sur la joue, le nez, le menton, etc., lui perme
fin, M. Feindel prétend que si l'on cherche à substituer son propre
doigt
à celui du malade pour redresser la tête ou la ma
ser la tête de X... lorsqu'elle est déviée ou si nous remplaçons le
doigt
du malade par le nôtre lorsqu'il la maintient d
le simple « appui moral » fourni par l'application,sans effort, du
doigt
sur la joue, le menton, le nez, etc. suflit pour
e ; le matin, en se levant, il éprouvait de la difficuitéa remuer les
doigts
. Il se développa ensuite progressivement une at
t à des trans- pirations abondantes de la tête, à des engelures des
doigts
; il y a 2 ans, il eut un panaris de l'auricula
ude du serment on voit se produire des mouvements involontaires des
doigts
et des mains, mouvements irréguliers, de flexion,
lement lisse et luisante depuis le pli du poignet jusqu'au bout des
doigts
, surtout à la face dorsale; teinte violacée, asph
température locale du dos des mains est dès lors de 27°. Tous les
doigts
ont la forme de fuseaux allongés. Le pouce est en
'index, le médius, l'annulaire sont légèrement infléchis ; le petit
doigt
, en rectitude dans l'abduction, forme avec l'annu
n, forme avec l'annulaire un angle assez ouvert. A la surface des
doigts
la peau est lisse, luisante, cyanotique, froide e
rophie unguéale depuis 2 ans : l'altération a dé- buté par le petit
doigt
dont l'ongle est surélevé, épaissi, inégal, dépol
'effilant à l'extrémité libre qui est particulièrement déformée. Ce
doigt
a été le siège d'un panaris analgésique qui a néc
n trajet fistuleux profondément adhérente sur le bord externe de ce
doigt
; il existe de plus des mouvements anormaux à l
malade ne peut s'en servir ni pour .manger ni pour s'habiller; les
doigts
ont perdu toute facul té de se mouvoir. Au-dess
es poignets. Sur la face postérieure du bras gauche, à 4 travers de
doigt
au-dessus de l'olécrane, on trouve une tumeur a
gue et présentant la consistance molle du lipome. A deux travers de
doigt
au-dessus de l'épilrochlée on rencontre une secon
es- thésie au chaud depuis le tiers moyen du bras jusqu'au bout des
doigts
. La sensibilité au froid est simplement émoussé
Sensibilité au froid et au chaud diminuée surtout à la surface des
doigts
et de la main. Distribution segmentaire des troub
absolument insensible et ne détermine aucune répercussion dans les
doigts
. Membres inférieurs. - Pendant la marche, le pi
ansversaux et se termine par une carapace cornée brunâtre. Le petit
doigt
, l'annulaire, le médius du pied droit sont le s
yer le procédé suivant. On promène devant ses yeux la main dont les
doigts
sont écartes, on cherche la distance il laquell
uelle il peut les compter et on note ensuite simplement : « Compte (
doigts
il 1 mètre, ! 1 om,50" etc. ».. [POULARD.] Fi
r son regard au loin. Puis, il lui demande de fixer brusquement son
doigt
placé il 30 centimètres des yeux. Pendant ce pa
ose celte fois il l'occlusion, en maintenant les paupières avec les
doigts
. Et on regarde si, pendant cet effort d'occlusi
e brusquement vers un oeil sain un objet quelconque, l'extrémité du
doigt
, la pointe d'un porte-plume, inconsciemment il se
milieu de son front. Puis, il promène ses deux mains en agitant ses
doigts
dans le champ visuel à droite et il gauche du ma-
nt de la périphérie vers la ligne médiane. Le malade ne voit ni les
doigts
ni la main du côté hemianopsique, il ne voit qu
ons au malade strabique, et fixant avec l'oeil malade de toucher du
doigt
un objet (en ayant soin que l'image du bras n'a
t dans le champ visuel pour êti-e elle-même faussement projetée) le
doigt
passe à côté du but sans l'atteindre. - ' - ,
uvements du bras et de l'avant-bras, les gestes les plus déliés des
doigts
demeurant réalisables et même faciles pourvu qu
us vous lèverez, vous irez frapper trois fois il la fenêtre avec le
doigt
, puis vous irez loucher le boulon (le la porte
us ». Faire lire des ordres plus compliqués : « Levez votre petit
doigt
gauche ». « Mettez la main gauche sur voire têt
u'une il une. Faire lire en permettant au malade de suivre avec ses
doigts
les con- tours des lettres. ' b) Lecture des
solés. Si le malade est hors d'état de parler, il montrera avec ses
doigts
, ou en frappant un nombre égal de coups sur la
e bras, donner la main; ? s complexes : ouvrir têt oeil, donner tel
doigt
, se frotter les mains, faire un signe de croix,
on exactes. Les mouvements fixes et précis (se boulonner, mettre le
doigt
sur le nez) sont plus atteints que les mouvemen
teurs ont vu que l'hallu- cination se dédoublait par la pression du
doigt
sur le globe de l'oeil qui modifie le paralléli
qui a été décrite par Bourneville, est courte, trapue, épaisse, les
doigts
sont boudinés, le pouce ne sait'pas s'opposer. 11
e sait'pas s'opposer. 11 y a souvent déchi- rure des extrémités des
doigts
par onychophagie. Les organes génitaux sont sou
il la main, au pied. el surfont abondants au niveau de la pulpe des
doigts
et des orteils), fous les organes profonds cont
inairement en cli- nique en effleurant simplement, avec la pulpe du
doigt
, les téguments cutanés; le doigt de l'explorate
urant simplement, avec la pulpe du doigt, les téguments cutanés; le
doigt
de l'explorateur doit être à peu près de la même
rès variable suivant les régions; quelques-unes, comme la pulpe des
doigts
, ont un seuil intensif très inférieur. Lclelb
loca- lisent à la paume de la main les excitations portant sur les
doigts
, ou a lavant-bras celles du bras, etc En marqua
on. Baresthésie. - La pression des tissus profonds, exercée avec le
doigt
, éveille en nous une sensation spé- ciale « sui
re opposé, s'il n'est pas paralysé. On peut ainsi fléchir' tous les
doigts
sur la pamne de la main, puis compliquer les posi
s doigts sur la pamne de la main, puis compliquer les positions des
doigts
. On passe ensuite au poignet, au coude, et à l'ép
on aura soin, dans la flexion des phalanges, de ne pas prendre les
doigts
du sujet en plaçant plusieurs doigts sur la face
alanges, de ne pas prendre les doigts du sujet en plaçant plusieurs
doigts
sur la face dorsale de ces phalanges et le pouc
et troubler les résultats de l'expérience. L'observateur saisira le
doigt
du malade à pleine main fermée, ou encore entre
otion du poids est, facile à étudier : pour ce faire, on suspend au
doigt
, il la main, au bras du malade, un petit panier d
occupe la main et l'avant-bras et s'arrête à un ou deux travers de
doigt
au-dessus du coude (Mme Dejerine-Klumpke); elle-p
'39. Paralysie du cubital par luxation du coude. Anesthésie du petit
doigt
; hypo- esthésie de l'éminence hypothénar, hypoe
puis je pince la peau, je la pique, j'exerce des pressions avec le
doigt
, je croise les doigts les uns sur les autres, j
u, je la pique, j'exerce des pressions avec le doigt, je croise les
doigts
les uns sur les autres, je les écarte, je fléch
normale sans transition. Suivant sa disposition elle est dite : en
doigt
de gant, en gant, en manchette, en gant de soir
oute la longueur des segments des membres, aussi bien au niveau des
doigts
et des orteils qu'à leur racine. On a de la pei
des angoisses des membres, des sensations de chaud ou de froid, de
doigt
mort, de bain ou de courant d'eau chaude ou d'eau
par crises périodiques, habituellement nocturnes; ils occupent les
doigts
ou les deux mains le plus souvent, plus rarement
pe locale. Ce sont des sensations d'engourdisse- ment, d'onglée, de
doigt
mort survenant par crises, sous l'influence du
e en supination, le bord cubital légèrement, incliné en dedans, les
doigts
fortement 11l'('\lis, l'avant-bras en extension.
et l'articulation sacro-coccygienne, c'est à un ou deux travers de
doigt
au-dessus de l'ischion dans la gouttière 1SCI110-
our percuter le tendon rotulien du bord cubital de la main ou des
doigts
réunis en crochet. Mais il est presque indispensa
eux points osseux une surface moins résistante, dépressible sous le
doigt
: . c'est le ligament rotulien qui doit être pe
le point à examiner. La main est placée de manière que le pulpe des
doigts
repose sur le ligament rotulien inférieur et le
ie par les petits muscles des mains, gêne dans les mouve- ments des
doigts
et tremblements fibrillaires dans les muscles de
une pointe de crayon, ou plus simplement de l'ongle, de la pulpe du
doigt
. L'excitation doit porter de préférence sur le
e vaso-constriction se traduisant par la diminu- tion du volume des
doigts
explorés. Cette excitation n'est pas suivie du
réflexe palpébral est la réaction qui se produit quand on touche du
doigt
la cornée ou quand on l'effleure avec le coin d'u
opposition du pouce, supination, rotation en dehors, extension des
doigts
, élévation du bras pour le membre supérieur; po
la main est en flexion exagérée dans l'articulation du poignet, les
doigts
sont dans une sorte d'hypotonie qui permet de l
e. Cette atrophie est du type Aran-Ducbcnneau niveau des mains; les
doigts
sont un peu fléchis. L'évolution de la maladie se
sie, atrophie de la musculature de la main, troubles trophiques des
doigts
. La main présente des types divers : atrophiée,
Pierre Marie et Marinesco). Enfin, lorsque la contracture ferme les
doigts
, celle flexion est progressive et toujours effect
ive et toujours effectuée dans le même ordre, en -débutant au petit
doigt
. Le pouce et l'index, les derniers il s'abaisse
527 7 le second plan contient le fléchisseur commun superficiel des
doigts
; le troisième plan comprend deux muscles : le
ième plan comprend deux muscles : le fléchisseur commun profond des
doigts
en dedans, le fléchisseur propre du pouce en deho
la puis- sance d'action des muscles extenseurs commun et propre des
doigts
. Fléchisseur commun superficiel des doigts. Flé
urs commun et propre des doigts. Fléchisseur commun superficiel des
doigts
. Fléchis- seur commun profond des doigts. Inser
eur commun superficiel des doigts. Fléchis- seur commun profond des
doigts
. Insertions. Le fléchis- seur commun superficie
ond des doigts. Insertions. Le fléchis- seur commun superficiel des
doigts
s'insère en haut sur l'épitrochlée en se confon
xtrémité supérieure de la deuxième phalange des : 2". ") ? 4" et 5e
doigts
. Le fléchisseur commun profond des doigts s'ins
e des : 2". ") ? 4" et 5e doigts. Le fléchisseur commun profond des
doigts
s'insère en haut sur les trois quarts supérieur
s donnent insertion aux muscles tombrieaux. perforent au niveau des
doigts
les tendons correspondants du fléchisseur super
'extrémité postérieure de la troisième phalange des quatre derniers
doigts
. Innervation. Le fléchisseur commun superficiel
derniers doigts. Innervation. Le fléchisseur commun superficiel des
doigts
est innervé par le médian. Le fléchisseur commu
doigts est innervé par le médian. Le fléchisseur commun profond des
doigts
est innervé par le médian et par le cubital. Le
les deux faisceaux qui se rendent à 1' : lIlIIU- laire et au petit
doigt
. Physiologie. Le fléchisseur superficiel fléchi
e, sur une cloison fibreuse qui le sépare de l'extenseur commun des
doigts
. En bas, le tendon s'insère sur l'apophyse post
perficielle se compose de quatre mus- cles : l'extenseur commun des
doigts
, l'extenseur propre du petit doigt, le cubital
- cles : l'extenseur commun des doigts, l'extenseur propre du petit
doigt
, le cubital postérieur, l'anconé. La couche pro
nseur du pouce, l'extenseur propre de l'index. Extenseur commun des
doigts
. Extenseur propre du petit doigt. Insertions. L
e l'index. Extenseur commun des doigts. Extenseur propre du petit
doigt
. Insertions. L'extenseur commun des doigts s'in-
Extenseur propre du petit doigt. Insertions. L'extenseur commun des
doigts
s'in- sère en haut sur la face postérieure de l
s cloisons fibreuses qui le séparent de l'extenseur propre du petit
doigt
en dedans et du deuxième radial externe en deho
en pour le médius, un faisceau interne pour l'annulaire et le petit
doigt
. Chacun des quatre tendons reçoit sur ses bords
é postérieure de la troisième phalange. L'extenseur propre du petit
doigt
s'insère en haut sur la face posté- rieure de l
un envoie au [G. GUILLAIN.] 552 . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. petit
doigt
et se termine sur les deux dernières phalanges de
E. petit doigt et se termine sur les deux dernières phalanges de ce
doigt
. Innervation. Nerf radial. Physiologie. L'ext
t. Innervation. Nerf radial. Physiologie. L'extenseur commun .des
doigts
étend les deux der- nières phalanges sur les pr
isolée du médius et de l'an- uutaire. L'extenseur propre du petit
doigt
permet 1 extension isolée du petit doigt. Les
'extenseur propre du petit doigt permet 1 extension isolée du petit
doigt
. Les muscles extenseurs impriment aux doigts de
nsion isolée du petit doigt. Les muscles extenseurs impriment aux
doigts
des mouvements de latéralité. L'extenseur commu
de latéralité. L'extenseur commun écarte du médius les trois autres
doigts
. l'extenseur propre du petit doigt écarte celui
arte du médius les trois autres doigts. l'extenseur propre du petit
doigt
écarte celui-ci du médius. L'extenseur propre d
du médius. L'extenseur propre de l'index au contraire rapproche ce
doigt
du médius. Ces mouve- ments de latéralité des d
re rapproche ce doigt du médius. Ces mouve- ments de latéralité des
doigts
sont très limités, mais ont cependant une grand
s cloisons fibreuses qui le séparent de l'extenseur propre du petit
doigt
en dehors et de l'anconé en dedans, sur la face p
t extenseur empêche l'extension du pouce et entraîne la chute de ce
doigt
dans la paume de la main, la paralysie du long
n tendon se fusionne avec celui que 1 extenseur commun envoie il ce
doigt
. [G. GUILLAIN.] fÍ;¡4 . PHYSIOLOGIE MUSCULAIR
ère pha- lange de l'index sur le métacarpien, il rapproche aussi ce
doigt
du médius. - MUSCLES DE LA MAIN Région palm
utané est un muscle rudimentaire chez l'homme. Adducteur du petit
doigt
. Insertions. L'adducteur du [G. GUILLAIN. M6
. L'adducteur du [G. GUILLAIN. M6 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. petit
doigt
s'insère en haut sur le pisiforme et sur une expa
dedans et se fixe au côté interne de la première phalange du petit
doigt
, en envoyant une expansion au tendon de l'extense
ion. Branche profonde du cubital. Physiologie. L'adducteur du petit
doigt
incline le petit doigt sur le bord cubital du c
u cubital. Physiologie. L'adducteur du petit doigt incline le petit
doigt
sur le bord cubital du cinquième métacarpien, i
première phalange sur le métacarpien. Court fléchisseur du petit
doigt
. Insertions. Le court fléchisseur du petit doig
échisseur du petit doigt. Insertions. Le court fléchisseur du petit
doigt
s'insère, d'une part sur l'apophyse uncil'ol'me
, d'autre part sur le côté interne de la première phalange du petit
doigt
par le même tendon que l'adducteur. , Innerva
che profonde du cubital. Physiologie. Le court fléchisseur du petit
doigt
fléchit la première phalange de ce doigt. Poiri
court fléchisseur du petit doigt fléchit la première phalange de ce
doigt
. Poirier dit qu'il étend les deux autres phalange
voie une expansion dorsale au tendon extenseur. Opposant du petit
doigt
. Insertions. L'opposant du petit doigt s'insère
tenseur. Opposant du petit doigt. Insertions. L'opposant du petit
doigt
s'insère, en haut, sur la partie inférieure et in
tion. Branche profonde du cubital. Physiologie. L'opposant du petit
doigt
porte le petit doigt en avant et eu dehors, il
e du cubital. Physiologie. L'opposant du petit doigt porte le petit
doigt
en avant et eu dehors, il ébauche un mouvement
eur depuis l'articulation carpo-metacarpienne jusqu'à ta racine des
doigts
. Chacun d'eux naît sur les deux tendons du fléc
exclusivement sur le tendon de l'index. Au niveau de la racine des
doigts
, ils obliquent en dehors vers le côté externe de
de l'articu- lation 1lI¡)tacal'po-phalangiellne des quatre derniers
doigts
. La languette tendineuse qui termine le muscle
r le côté externe de l'articulation métacarpo-phalangienne du petit
doigt
, se termine sur le tendon extenseur du petit do
ngienne du petit doigt, se termine sur le tendon extenseur du petit
doigt
. Innervation. Le médian innerve les deux lombri
cinquième métacarpien et se fixe sur le ten- don extenseur du petit
doigt
. Le métacarpien du médius ne donne nais- sance
re pha- lange, étendent les deux autres. De plus, ils impriment aux
doigts
des mouvements de latéralité. Les interosseux p
mouvements de latéralité. Les interosseux palmaires rapprochent les
doigts
de l'axe de la main passant par le médius, ils so
médius, ils sont adducteurs : les interosseux dorsaux écartent les
doigts
de l'axe de la main, ils sont abducteurs. Les m
rer que faiblement les objets. Si l'on prie le malade d'étendre les
doigts
, on constate que, seules, les premières phalanges
échisseurs superficiel et profond. Des mouvements de latéralité des
doigts
peuvent encore s'exécuter par les faisceaux des e
re s'exécuter par les faisceaux des extenseurs commun et propre des
doigts
qui sont capables d'écarter l'index, l'annu- la
igts qui sont capables d'écarter l'index, l'annu- laire et le petit
doigt
du médius, et aussi de rapprocher l'index de ce
e et le petit doigt du médius, et aussi de rapprocher l'index de ce
doigt
. La paralysie des interosseux est parfois incom
deux dernières phalanges, mais étant incapable de rappro- cher les
doigts
étendus. Duchenne a insisté sur ce fait que l'imp
uchenne a insisté sur ce fait que l'impossibilité de rapprocher les
doigts
étendus caractérise le premier degré de la para
le développement d'une griffé spéciale; les premières phalanges des
doigts
sont en hyperextension par la rétraction des mu
en arrière. En bas existent quatre tendons pour les quatre derniers
doigts
. Chacun de ces tendons au niveau de l'articulat
même façon- que les tendons du fléchisseur profond ou perforant des
doigts
et s'insèrent sur l'extrémité postérieure de la
orteils sur les métatarsiens, de plus, il les incline vers le petit
doigt
; ce mouvement de latéralité, en raison de l'obliq
e. L'abducteur du petit orteil fléchit la première pha- lange de ce
doigt
et l'incline légèrement- en dehors. Court fléch
terne. Physiologie. Le court fléchisseur du petit orteil fléchit ce
doigt
sur le métatarsien. Opposant du petit orteil.
r du point nasal, y ajouter 2 centimètres en arrière (un travers de
doigt
) et marquer ce point qui donne certainement à 1
es sont limités il certains groupes musculaires. Les mouvements des
doigts
se font avec facilité, le malade les étend et les
lade les étend et les fléchit, il peut opposer son pouce aux autres
doigts
. De même sont possibles les mou- vements de l'a
remières phalanges sur le métacarpe. Quand on le prie d'étendre les
doigts
, seules les premières phalanges se mettent en e
phalanges se mettent en extension. Les mouvements de latéralité des
doigts
sont presque abolis, mais quand les extenseurs
nt presque abolis, mais quand les extenseurs communs et propres des
doigts
se contractent, quelques mouvements de latérali
s, grâce à l'extenseur commun qui écarte du médius les trois autres
doigts
et à l'extenseur pro- pre du petit doigt qui l'
u médius les trois autres doigts et à l'extenseur pro- pre du petit
doigt
qui l'écarté du-médius. Quant à l'index, son exte
les de l'éminence hypothénar amène la perte des mouvements du petit
doigt
, il ne peut plus être rapproché de l'axe de la
rpiens et exagère les méplats interosseux. La première phalange des
doigts
est hyperétendue, les deuxième et troisième pha
main regardant, en arrière et en dehors. Tous les mouve- ments des
doigts
, de l'articulation du poignet, de l'articulation
. Dans la plupart des cas, elle s'étend jusqu un on deux travers de
doigt
au- dessus du coude, limitée ta par une ligne p
ET DES NERFS SPINAUX. li2 : ¡ compte en maintenant en place avec un
doigt
la commissure paralysée. La déviation de la lue
de l'hémiplégie, on n'éprouve aucune difficulté à soulever avec le
doigt
la paupière de ce côté, alors que le malade fait
paule et le bord externe du bras jusqu'à trois ou quatre travers de
doigt
au-dessus de l'épicondylu. Paralysie du nerf
ion et en demi-flexion. ET DES NERFS SPINAUX. G31 L'extension des
doigts
est impossible, mais si l'on relève les premières
es loinbricaux et des interosseux. La limitation des mouvements des
doigts
que cause la paralysie des extenseurs des pre-
s extenseurs en relevant le poignet, on constate que la flexion des
doigts
se fait avec autant de puissance que normalemen
saturnine. Elle est bilatérale, atteint d'abord les extenseurs des
doigts
, puis ensuite les autres muscles innervés par l
ysé, les mouvements de flexion, d'abduction et d'adduction du petit
doigt
sont abolis. L'adduction du pouce est impossibl
des doux dernières sont impossibles; l'abduction et l'adduction des
doigts
sont presque nulles. Les malades se servent du
le pouce est fléchi et écarté de la paume, la première phalange des
doigts
est en hyperextension; les deux dernières, au con
les deux dernières, au contraire, sont fléchies; celte attitude des
doigts
est spécialement nette à l'annulaire et à l'aur
de la région de l'éminence hypothénar, à la face palmaire du petit
doigt
et de la moitié interne de l'annulaire, puis il
t ET DES NERFS SPINAUX. C55 palmaire, fléchisseur superficiel des
doigts
, fléchisseur propre du pouce, les deux faisceau
à l'exception du mouvement d'adduction, sont abolis. Au niveau des
doigts
la flexion des premières phalanges sur les méta
dex, car les faisceaux du fléchisseur profond se rendant à ces deux
doigts
sont paralysés, mais à l'annulaire et à l'auric
faire, car les faisceaux du fléchisseur profond destinés à ces deux
doigts
sont innervés par le cubital. Consécutivement à
me de la main aplatie, le pouce'est sur le même plan que les autres
doigts
; au niveau de l'index et du médius les premières
ie externe de la paume de la main, face palmaire des trois premiers
doigts
et moitié externe de la face pal- maire de l'an
es écrivains, ont un besoin constant de toute la dextérité de leurs
doigts
. La gène pourra être trop faible pour que le ma
le rhom- boïde, les spinaux, les intercostaux, les extenseurs des
doigts
, les radiaux. Les petits muscles de la main ne
de la main aux avant-bras en frappant d'abord les fléchisseurs des
doigts
, puis les extenseurs, en respectant généralemen
s éminencesthénar ethypothénar, dépression des espaces interosseux,
doigts
effilés, griffe totale ou cubitale, mais paralyti
ces s'affaissent, le pouce se met sur le même plan que les autres
doigts
et la main devient plate ; c'est la main de s
nt saillie, un creux se dessine entre le cubitus et le radius ; les
doigts
se redressent, et la main pend, flasque et ball
» (Marie et Guillain) avec contracture surtout des trois derniers
doigts
. Quand la main est celle d'Aran-Duchenne, la sy
s aux extrémités et surtout à l'extrémité, du membre supérieur, aux
doigts
. La cicatrisation se fait mal ou incomplètement
douleurs continues et paroxystiques. La douleur s'étend bientôt aux
doigts
voisins, puis à la main, à l'avant-bras, au bras.
tôt aux doigts voisins, puis à la main, à l'avant-bras, au bras. Le
doigt
lésé s'atrophie, s'el'lile, sa peau devient min
abord par t'anestbésie, générale- ment douloureuse, des jambes, des
doigts
, de la bouche, puis des cuisses, de l'abdomen,
t une amélioration non douteuse dans l'aspect et les mouvements des
doigts
. Bien que le traitement antisyphilitique ne parai
on. De plus, il est plus consistant qu'un muscle normal et donne au
doigt
qui le palpe l'impression d'une élasticité exce
état de contraction; quand le muscle se contracte, on sent sous les
doigts
se dilater et se durcir des faisceaux plus volumi
ncoordonnés ; elle se révèle surtout dans les petits mouvements des
doigts
ou dans la préhension des objets. Pour saisir u
tentatives, et le malade, qui ne sent souvent pas l'objet entre ses
doigts
, qui n'a pas la sensation de l'effort à déployer
main 1 qui s'ouvre à contre-temps. Quand le malade veut porter son
doigt
sur son nez, après maintes oscillations, il se
ints];' et les yeux fermés, à la difficulté de porter exactement le
doigt
sur le bout du nez, etc.... D'ailleurs, quand l'a
xtrémité des membres et en particulier du membre supérieur, main et
doigts
. Elle consiste en une série de saccades dans les
vement, il dépasse le but. Ainsi, si l'on dit au sujet de porter le
doigt
sur le bout de son nez, le doigt arrive bien di
si l'on dit au sujet de porter le doigt sur le bout de son nez, le
doigt
arrive bien directement jusqu'au nez, mais le dép
n de la main. a)" la recherche des mouvements démesurés : porter le
doigt
sur le nez. tracer une ligne jusqu un point donné
ments contradic- toires désordonnés et, une fois l'objet saisi, les
doigts
. qui le sentent, ne le lâchent plus. A cette
lités seront bien plus utiles pour les membres supérieurs, pour les
doigts
tout particulièrement, que pour les membres infér
courante, et, par exemple, on exigera plus, pour la rééducation des
doigts
, d'une couturière, d'un dessinateur, d'un horloge
sans le loucher : arrêts à volonté, au commandement, arrêts sur le
doigt
de l'éducateur posé à un niveau quel- conque du
s articulations correspon- dantes. La rééducation de la main et des
doigts
peut aussi se faire sans appareils : elle consi
xécuter un certain nombre de mou- vements plus ou moins simples des
doigts
(parmi lesquels il ne faut pas négliger l'oppos
liger l'opposition de l'extrémité du pouce à l'extrémité des autres
doigts
, mouvement précocement altéré dans le tabès), à f
re suivre quelques schémas ou dessins, il faire toucher du bout des
doigts
certains points déterminés, enfin à faire exécu
Mais la précision que l'on est en droit d'exiger des mouvements des
doigts
rend beaucoup plus nécessaire l'emploi des divers
t son pourtour et à son centre. L'exercice consiste à introduire le
doigt
successivement dans les différents godets. On v
les différents godets. On varie l'exercice en faisant introduire le
doigt
d'abord dans tous les godets, puis dans un gode
ices de points à atteindre, mais à des exercices de progression des
doigts
d'une cheville à l'autre; un bon exercice consist
ville à l'autre; un bon exercice consiste à laisser un ou plusieurs
doigts
immobiles alors que les autres continuent l'exe
mains fermées, le pouce replié dans la paume de la main ou sur les
doigts
fermés et chaque membre est dans un état de rai
accès éclamptique est pré- cédé de quelques prodromes (céphalalgie,
doigt
mort, barre épigastrique de Chaussier, troubles
mains fermées, le pouce replié dans la paume de. la main ou sur les
doigts
fermés. La poitrine immobile est fixée en expir
eurs il faut demander au malade d'étendre les bras et d'écarter les
doigts
: c'est l'altitude du serment. Au niveau des me
te amplitude, illogiques et caractérisés au niveau des mains et des
doigts
par des mouvements successifs d'extension et de
r exemple, et se transmet au hras, à l'avant-bras, à la main et aux
doigts
. Ce caractère du tremblement s'oppose il celui de
apparaît : on l'apprécie aux mains dans l'attitude du serment, aux
doigts
dans la maladresse des mouvements, enfin à la l
ains, ce sont de petits mouvements du pouce et de l'index, ces deux
doigts
vont au devant l'un de l'autre par des mouvemen
, niais surtout imperceptibles l'extrémité du membre, cependant les
doigts
ne sont pas animés de mouvements propres, ces o
s qui commencent en général par les extrémités supérieures, par les
doigts
, par les mains; qui se généralisent ensuite il
habituelles. L'atliétose siège, le plus souvent aux orteils et aux
doigts
, c'est-à-dire aux extrémités des membres, aux c
ontinue sans secousses et gardent une apparence intentionnelle; aux
doigts
l'extension semble prédominer sur la flexion, la
ain est largement ouverte, la paume saillante en avant. De même les
doigts
s'écartent les uns des autres et il y a adducti
s sont plus accentués aux extré- mités; c'est surtout au niveau des
doigts
qu ils existent et c'est pour ces mouvements de
niveau des doigts qu ils existent et c'est pour ces mouvements des
doigts
que l'on a créé la comparaison des mouve- ments
n soutenant sa volonté : ainsi par exemple la simple application du
doigt
sur la joue peut prévenir pendant quelque temps
e d'un procédé personnel quelconque, un bouchon entre les dents, un
doigt
sur les incisives, etc. ; Tics du cou. Tic de
pport avec la force déployée, parfois paradoxaux : application d'un
doigt
sur le menton ou sur la joue, paume de la main
uelque sensation anormale, démangeaison, etc. Tics des mains et des
doigts
: les vrais tics convulsifs sont rares, les mou
porte-plume ou le laissant échapper; le médius, souvent les autres
doigts
participent au trouble. Par un effort de volonté,
'l'110Gi;1(ltiF. 901 1 que celle des fléchisseurs ou extenseurs des
doigts
. De tanne extrême variété dans les modalités de
é par un tremble- ment qui peut aussi ne frapper qu'un ou plusieurs
doigts
où simultané- ment l'avant-bras, le bras, l'épa
crire, ou reparaissent dans des actes fonctionnels des mains et des
doigts
autres que l'écriture. La volonté n'a sur quelq
localisée à droite. Elle atteint uniquement ou non les muscles des
doigts
. La crampe des violonistes est paralytique, spa
riétés : l'impossibilité de coudre siégeant dans les mouvements des
doigts
, l'impossibilité de couper les étoffes avec de gr
cation motrice, la gymnastique rationnnello. passive et active, des
doigts
et la niécanolhérapie, la psycholhérapie : les
bres supé- rieurs est surtout évidente au niveau de la main : les
doigts
peuvent se placer en hyperextension sur la, mai
simulent la maladie de Dupuytren, soil enfin que la destruction des
doigts
par des panaris donne à la main une similitude
mités, tout d'abord à la face dorsale des dernières pha- langes des
doigts
et des orteils. La peau est sèche, adhérente aux
La peau est sèche, adhérente aux plans sous-jacents. Elle forme aux
doigts
une gaine étroite, leur donnant un aspect fusel
ctives de brûlure, d'ailleurs modérée. La glossy-skin prédomine aux
doigts
, avons-nous dit; elle ne dépasse guère en tout ca
la peau ri- gide, dure, immobi- lise dans un véritable étui les
doigts
qu'elle déforme. Ce processus sclérosant peut
ce chef détruire irrémédiable- ment le jeu fonction- nel de ces
doigts
. Il est à noter que la sclérodactylie se dévelo
, mais leurs cicatrices contribuent à déformer et à immobiliser les
doigts
. Il coexiste fréquemment encore diverses altéra
server cependant. On la rencontre surtout au niveau de la pulpe des
doigts
. Consécutive à des crises d'anémie locale, elle l
our toutes : ils sont blafards, durs, ne gardant pas l'empreinte du
doigt
, indolores. Il est banal de rencontrer ce trouble
e myxoedémateuse ; c'est un oedème extrême- ment dur, épais, que le
doigt
ne saurait déprimer en godet. L'opothé- rapie a
être plus ou moins confluentes ou tout au contraire disséminées. Le
doigt
ne peut déprimer les tissus oedéma- tiés ; ceux
ger vers les gaines palmaires. La lésion débute par l'extrémité des
doigts
, le plus souvent à propos de traumatismes, de brû
à propos de traumatismes, de brûlures sou- vent graves puisque ces
doigts
, de par l'affection nerveuse en cause (névrite
esthésiques. Bientôt sur- viennent des phlyctènes, des escarres; le
doigt
se gonfle; il y a très rapidement formation de
se, sans lésion des tégu- ments, intervient, seule pour mutiler les
doigts
dans les maladies men- tionnées. Il est ordinai
es men- tionnées. Il est ordinaire de noter l'atteinte de plusieurs
doigts
, et, dans [F. MOUTIER ] . Fig, 8. 1 Fig. 0.
ent être réduites à de lamentables moignons amputes de tous leurs
doigts
. Les affections mutilantes des membres sont e
Raynaud. Cette affection n'arrive pas; à vrai dire, à tronquer les
doigts
. Elle les effile seulement, en déter- minant
inant ou non la chute des ongles ; elle les amincit et la pulpe. du
doigt
présente une sclérodermie étoilée de petites
gle peut être réduit à une petite masse cornée accrochée au bout du
doigt
et recourbée en forme de griffe. La chute de l'
aines formes, de lèpre mutilante : les phalanges se résorbent, le
doigt
se tasse, se recroqueville. Il peut y avoir, pa
r sa partie mince sur le trajet de l'artère radiale, on applique un
doigt
de la main gauche, au niveau du poignet pour év
ale au-dessous de l'am- poule. On comprime alors l'ampoule avec les
doigts
de la main droite jusqu'à ce que les battements
nt plus lent, que la vessie est plus distendue; on bouchera avec le
doigt
le pavillon de la sonde, pour ne laisser l'urin
me sur les vésicules on les trouve normales sans qu'une pression du
doigt
produise le moindre suintement. ¡Il .est bon de
ne atrophie peu marquée se décèle en saisissant la langue entre les
doigts
. On sent le côté atteint se durcir peu ou point;
malade fait de vains efforts de déglutition, cherche à refouler du
doigt
. ' [F. MOUTIER.] 980 TROUBLES NERVEUX DE L'A
gâteux par ramollissement cérébral roulent constamment entre leurs
doigts
, leurs couvertures, leurs draps, les alexes qui l
d'origine congénitale on acquise, de la main sur Pavant-bras ou des
doigts
sur la main. Enfin certaines déformations de la
: ' a) Alfections systématisées qui hyperl/'opltienlla main ou les
doigts
: ACIIOJ1ÉGALIE; gigantisme, 0stéo-carllropatlr
s. Cyanose. h) Affections irrégulières qui déforment la main ou les
doigts
: Rhumatisme chronique : déformant, goutteux, s
rodactylie est l'absence plus ou moins complète d'un ou plusieurs s
doigts
; elle peut porter sur les doigts extrêmes ou sur
oins complète d'un ou plusieurs s doigts ; elle peut porter sur les
doigts
extrêmes ou sur ceux du milieu ; dans ce dernie
«pince de homard». La polydactylie est l'augmentation du nombre des
doigts
; la forme la plus fréquente est l'existence d'
bre des doigts ; la forme la plus fréquente est l'existence d'un 6°
doigt
à la fois aux mains et aux pieds; les doigts su
est l'existence d'un 6° doigt à la fois aux mains et aux pieds; les
doigts
surnuméraires sont plus bu moins complètement dév
. La mégalodactylie (fig. 1) est l'hypertrophie d'un ou plusieurs
doigts
; elle peut se faire ou non la fois en longueur e
actylie est là fusion plus ou moins complète de deux ou plu- sieurs
doigts
voisins; l'union des doigts peut se faire uniquem
u moins complète de deux ou plu- sieurs doigts voisins; l'union des
doigts
peut se faire uniquement par des parties molles
polydactylie et la syndactylie coexistent parfois ; la soudure d'un
doigt
surnuméraire à un doigt.normal peut déterminer
ctylie coexistent parfois ; la soudure d'un doigt surnuméraire à un
doigt
.normal peut déterminer la formation d'un doigt
gt surnuméraire à un doigt.normal peut déterminer la formation d'un
doigt
eh battoir où la palpation ou la Radiographie d
réduite dans toutes ses dimen- sions, mais charnue, « carrée». Les
doigts
sont presque égaux en lon- gueur, notamment l'i
ur au médius et à l'auriculaire et en partie recouvert par eux. Les
doigts
, réunis au niveau de la première phalange, s'éc
au niveau des deux dernières; cette disposition s'applique à tous les
doigts
ou seulement au médius et à l'annulaire ; elle
plus profonds que normalement, la main paraît « capitonnée » . Les
doigts
sont gros, souvent énormes, aussi larges à leurs
quefois, surtout dans les cas d'acromégalie précoce, la main et les
doigts
s'accroissent proportionnellement en longueur et
e par Pierre Marie, les mains sont grosses, en pattes (fig. 4), les
doigts
sont élargis avec une phalangette renflée, huileu
tout sens, ils ont une forme « en verre de montre » et donnent aux
doigts
vus de profil un aspect « en bec de perroquet »
s phalangettes sont souvent en hyperexten- sion. La déformation des
doigts
est d'ordinaire la première en date. Plus tard
confondu' sou- vent Fostéo - arthropa - thie véritable avec le
doigt
hippocratique. Bien qu'elles ne cons- iituent
omme cette affection. par une hypertrophie des mains et surtout des
doigts
qui sont gros, arrondis ou « en massue » .Cette
StéO-a7'thl'Opalhze fZY1Je1'tl'ophianle pneumique, Mains en pattes;
doigts
épais, spatules; 'ongles en bec de perro- quet.
I'ig. 5. - Chiromégalie ches un syringomyélique. - Les 2°, 5° et 4°
doigts
de la main gauche sont hypertrophiés ; ils scmb
pertrophiés ; ils scmblel1{ appartenir it unc autre main que le 5°'
doigt
. 1020 SÉMIOLOGIE DE LA MAIN. il n'est pas rar
. il n'est pas rare qu'elle porte exclusivement sur un ou plusieurs
doigts
d'une .main, et le contraste est alors frappant
igts d'une .main, et le contraste est alors frappant entre les gros
doigts
chiro- mégaliques et les doigts voisins normaux
e est alors frappant entre les gros doigts chiro- mégaliques et les
doigts
voisins normaux. Les troubles scnsitifs et tro-
angue, distinguent en tout cas la chiromégalie de l'acromégalie. Le
doigt
hippocratique ressemble à première vue à celui de
e trouverait aussi dans nombre d'affections provoquant au niveau du
doigt
un trouble de la circulation, d'origine soit gé
ype rectiligne ou linéaire caractérisé par l'extension complète des
doigts
avec demi-flexion des doigts sur le métacarpe.
ractérisé par l'extension complète des doigts avec demi-flexion des
doigts
sur le métacarpe. Dans foutes ces variétés, l'ens
s doigts sur le métacarpe. Dans foutes ces variétés, l'ensemble des
doigts
est généralement dévié en masse vers le bord cu
radial. Lnlin sur une même main la déformation des dif- férents
doigts
peut t être analogue ou tout à fait dissem-
que l'index. L'articu- lation métacarpo-phalangienne de ce dernier
doigt
fait aussi saillie sur le bord radial. Le pouce
a- lion de la phalangette, avec la phalangine a un ou plusieurs
doigts
. Il articulation est élargie, aeiormee, l extrémi
ieurs doigts. Il articulation est élargie, aeiormee, l extrémité du
doigt
un peu déviée, mais non douloureuse, sans craquem
très adhé- rentes à la peau, au niveau de la première phalange des
doigts
, surtout des trois derniers doigts. Ces callosi
veau de la première phalange des doigts, surtout des trois derniers
doigts
. Ces callosités augmentent de nombre et de volume
s autres, en arcades semi-lunaires il convexité supérieure; les
doigts
sont fléchis au ni- veau des deux premières a
us tard la paume est dou- loureuse spontanément. La flexion des
doigts
peut être telle qu'ils s'appliquent et s'incr
dire dans la paume de la main. La flexion forcée des trois derniers
doigts
avec liberté relative ou absolue du pouce et de
ion de l'arthri- tisme, est une flexion perma- nente du petit
doigt
, souvent de l'annulaire, rarement des autre
e du petit doigt, souvent de l'annulaire, rarement des autres
doigts
, au niveau de l'articulation de la première
A droite la rétraction a entraîné la flexion des deux der- niers
doigts
et commence à"Iléchir le médius; à gauche rétra
ations du rhumatisme chronique, notamment la déviation cubitale des
doigts
. Les tophus sont des amas uratiques, de volume
près ou loin des jointures, la paume des mains notamment et sur les
doigts
. Les déformations goutteuses proprement dites d
et sur les doigts. Les déformations goutteuses proprement dites des
doigts
tiennent à une lésion exclusivement limitée aux
il la fois aux diaphyscs et aux épiphyses. Dans le premier cas les
doigts
sont monitiforlnes et d'aspect très spécial, da
, les mains participent au ramollissement général du squelette; les
doigts
peuvent prendre une forme spéciale qui serait d
ue font les malades pour se soulever dans leur lit (Le Dentu) : les
doigts
se tassent et se raccourcissent, leur extrémité s
l'inverse de la plupart des ostéites tuberculeuses; il ce niveau le
doigt
est gonflé. fusiforme, comme soufflé, la peau e
aîne des séquestres osseux et détermine parfois des mutilations des
doigts
, des ankyloses, des décollements épiphysaires.
ts, des ankyloses, des décollements épiphysaires. des luxations. Le
doigt
peut s'allonger ou diminuer par irritation ou d
pina. ventosa d'un métacarpien peut provoquer de la même façon un «
doigt
rentrant », « en lorgnette » ou un doigt « repous
quer de la même façon un « doigt rentrant », « en lorgnette » ou un
doigt
« repoussé». (Lanne- longue.) La dactylite sy
us une forme analogue, un gonflement fusiforme d'un ou de plusieurs
doigts
. La première phalange est aussi le plus souvent
tteinte, mais la tumé- faction peut embrasser plusieurs segments de
doigt
; elle peut être due il l'infiltration gomineuse
ulcération et nécrose plus ou moins mutilante. Dans la lèpre, les
doigts
peuvent présenter momentanément l'aspect du spi
ne ou plu- "' DIFFORMITÉS ACQUISES. 1027 sieurs phalanges : les
doigts
prennent une forme « en fuseau », en rave ou «
a pas d'oedème véritable, la pression n'y laisse pas de godet. Les
doigts
sont fusiformes, allongés, ou courts et boudinés;
la peau interdigitale. La tuméfaction de la main peut s'arrêter aux
doigts
ou se continuer sur la première phalange; le té
oedème congénital ou acquis, les mains sont épaisses, en bêche, les
doigts
gros et boudinés; mais l'étatde la main n'est qu'
finissent par se fermer. Il reste une main privée d'un ou plusieurs
doigts
en partie ou en totalité, les sections sont bou
s sont boursouflées et inégales, les portions res- tantes, tant des
doigts
que delà main, sont grosses, épaisses, irrégulièr
éIÙ¡ue. Main , ll1util¡'e par des panaris analgésiques des 21 et 5e
doigts
gauches; doigts lioursuullus. boudinés, inégaux
l1util¡'e par des panaris analgésiques des 21 et 5e doigts gauches;
doigts
lioursuullus. boudinés, inégaux. 1050 SÉMÉIOLOG
résorption simple, sans ulcération, et l'on pouvait transpercer le
doigt
sans résistance et sans douleur. La sclérodermi
it les mains comme la face. le tronc et les membres inférieurs, les
doigts
sont immobilisés, indurés, parfois momentanémen
elle débute très fréquemment par les extrémités et surtout par les
doigts
; c'est la sclérodactylie décrite par Bail. Les
igts ; c'est la sclérodactylie décrite par Bail. Les extrémités des
doigts
sont d'abord dures, violacées, douloureuses, puis
n certain temps en laissant une cicatrice blanche indé- lébile. Les
doigts
se fléchissent alors, les troisièmes phalanges su
deuxièmes, plus tard les deuxièmes phalanges sur les premières, les
doigts
déformés s'immobilisent , les déformations rappel
Rarement il y a au contraire une laxité anormale des jointures. Les
doigts
immo- bilisés s'indurent et s'effilent, la peau
de volume, une portion plus ou moins considérable d'un ou plusieurs
doigts
disparait par résorption, mais généralement sans
t constater des sclérodermies localisés au niveau d'un ou plusieurs
doigts
(sclérodermie annulaire d'un doigt, dans un cas
sés au niveau d'un ou plusieurs doigts (sclérodermie annulaire d'un
doigt
, dans un cas de Miraull). La gangrène symétriqu
être distinguée de la période de début de la sell"J'odaclylie : les
doigts
, surtout à leur extrémité, ont une coloration bla
cas M. Ilallopcau n'a plus trouvé, pour représenter le squelette du ?
doigt
. qu'un débris atrophié de la 2° phalange libre
ntes ou déprimées. Des poussées successives se produisent aux mêmes
doigts
ou aux doigts voisins. A la longue ils prennent u
ées. Des poussées successives se produisent aux mêmes doigts ou aux
doigts
voisins. A la longue ils prennent un aspect flé
état parcheminé peut survenir d'emblée, sans phlyctènes, le bout du
doigt
jaunit, se ratatine, se raccor- nit, se « momif
par congélation tout il fait analogue à la maladie de Raynaud ; les
doigts
se durcissent, se raccornissent, se momifient,
parfois la totalité d'une phalangette, d'une phalangine, même d'un
doigt
complet. Cet acrosphacèle est d'autant plus à r
mes mutilantes de la tuberculose et de la syphilis des mains et des
doigts
: leur mode de début et leurs suppura- lions pr
ons de la main sur lavant-bras ou mains-botes et des déviations des
doigts
sur la main ou griffes. " - A) Déviations DE
presque en son entier sur la face antérieure de l'avant-bras, les
doigts
sont étendus ou fléchis. Cette défor- mation
able d'atrophie, de paralysie ou de contracture de ces muscles, les
doigts
peuvent prendre . une attitude variable : le pl
e Marie et Guillain, les deux ou le plus souvent les trois derniers
doigts
seuls sont fléchis et contractures, le pouce et l
poing fermé ; la main -est en légère flexion sur Pavant-bras et les
doigts
en flexion plus ou moins forte au niveau des ph
ou quand il est en extension, position plus rare. Cette flexion des
doigts
est due à la contracture des fléchisseurs super
ssivement, la flexion de la main on peut dans certains cas voir les
doigts
s'étendre et le poing s'ouvrir, alors qu'au contr
rs qu'au contraire en étendant pas- sivement le poignet on voit les
doigts
se fléchir plus fortement dans la main. une par
est la main droite du malade ci-dessus). Flexion des 5 der- niers
doigts
, extension des deux premiers. . En même temps p
s cas où il s'est fait des rétractions fibreuses. B) Déviations des
DOIGTS
sur la main : GRIFFES. La paralysie ou l'atroph
sie ou l'atrophie des muscles innervés par un des nerfs moteurs des
doigts
ou la contracture de leurs antagonistes détermine
griffe radiale est caractérisée par la paralysie des extenseurs des
doigts
et du poignet. Dans la griffe complète, la main e
ète, la main est tombante et ne peut être spontanément relevée. Les
doigts
sont fléchis dans leur trois phalanges, mais il
'observateur étend passivement la main et la première phalange. Les
doigts
peuvent être plus complètement fléchis et le poin
cutané du radial (partie postérieure- et externe de la main et des
doigts
, sauf les deux dernières phalanges de l'index et
te alors quelques caractères particuliers; l'exten- seur commun des
doigts
étant pris avant les extenseurs propres de l'inde
uriculaire, le médius et l'index sont tombants avant le 2e et le 5e
doigts
, et pendant un certain temps le malade « fait les
es et des deux faisceaux internes du fléchisseur commun profond des
doigts
, du cubital antérieur. Le petit doigt et l'annu
échisseur commun profond des doigts, du cubital antérieur. Le petit
doigt
et l'annulaire sont fortement étendus dans leur p
thénar .est atro- phiée, les espaces interosseux sont déprimés, les
doigts
écartés ne peu- vent être rapprochés; le pouce
ne peu- vent être rapprochés; le pouce ne peut être opposé au petit
doigt
; la main est légèrement déviée vers le bord rad
ur la partie interne de la paume et du dos de la main, sur le petit
doigt
, la face interne de l'an- nulaire et la partie
ière, tourne sur son axe et se met sur le même plan' que les autres
doigts
, son opposition est impossible : c'est la « main
nes- de la paume de la main, de la face palmaire des trois premiers
doigts
et de la moitié externe du quatrième, du dos de
impossible; les espaces interosseux sont déprimés, l'adduction des
doigts
impossible; les premières phalanges des doigts
més, l'adduction des doigts impossible; les premières phalanges des
doigts
sont étendues, les deux dernières sont fléchies e
ières sont fléchies et ne peuvent être étendues (cela pour tous les
doigts
et non seulement pour les deux dernierscommedan
sie agitante les mains participent à la rigidité muscu- laire : les
doigts
sont fléchis dans leur première phalange et étend
faible amplitude, mouvements de flexion et d'exten- sion légère des
doigts
, d'abduction et d'adduction légère du pouce, pen-
l'adulte, elle est aussi souvent bien plus prononcée. La main et les
doigts
sont animés de mouvements lents, irréguliers et
ation forcée, la paume en avant, à demi fléchie sur le poignet, les
doigts
étendus et écartés en éventail, étalés en patte
suite des mouvements de la main et des mouvements isolés de chaque
doigt
; elle est surtout caractéristique par le fait qu'
s est la « main de l'crccozccheico » : pouce en adduc- tion forcée,
doigts
il demi-nechis avec les phalanges étendues, paume
éformé isolément, il est porté en haut et en dehors et recouvre les
doigts
voisins, ou plus rarement il est porté en bas e
st souvent congénital. Les orteils sont quelquefois en Z, comme les
doigts
, fléchis dans la deuxième phalange et étendus dan
énile est au contraire plus fréquente au niveau des orteils que des
doigts
. C'est une gangrène sèche, noire, momifiante, m
nnées. Jamais l'affection ne s'étend ni au au reste du pied, ni aux
doigts
. La congélation peut, amener le sphacèle des or
igts. La congélation peut, amener le sphacèle des orteils comme des
doigts
. La lèpre, la tuberculose, la syphilis peuvent
tion osseuse. En même temps malformation de la main qui n'a que 4
doigts
sans pouce (ectro- dactylic). 1050 SÉMÉIOLOGI
bi- tuer il la manier en la serrant du pouce et du médius, l'index,
doigt
ittcli- cate1l1', cherchant et fixant le point
-, et si la mensuration est bien faite, on perçoit, surtout par les
doigts
, un certain degré de frottement des branches aux
férieure de l'apophyse styloïde du radius, au niveau de laquelle le
doigt
s'enfonce dans la dépression articulaire du poign
ir, en bêche (spaclc-lil : e), aux téguments épais, capitonnés, aux
doigts
« en saucisson » que terminent des ongles petit
, parfois encore se bornent à des engourdissements, au phénomène du
doigt
mort. En somme, la mort atteint un cachecti- qu
ster sur les différents caractères déjà mentionnés. L'extrémité des
doigts
affleure le grand trochanter. L'avant -bras se pl
ent écarté du tronc. Les mains sont petites, charnues, carrées, Les
doigts
sont égaux, et quand Fig. 5. - Infantile myxoed
aire est en même temps sur un plan un peu postérieur aux - autres
doigts
. - Les mêmes caractères se retrouvent d'une f
tations de la dégénérescence. Signalons cependant les anomalies des
doigts
, l'absence des segments osseux, les hyperostose
ndo-tertiaires, sous forme de petits ganglions durs roulant sous le
doigt
. Examen de la peau. Les lésions de la peau peuv
iers de ces os. Il faut du reste apprécier surtout la résistance au
doigt
, l'élas- ticité du choc, et percuter en veillan
transversale qui les unit, une crête saillante (4e lombaire), et le
doigt
de la main gauche marquera l'interstice sous-ja
ice marqué par l'index de la main gauche, sur le côté interne de ce
doigt
, à un demi centimètre environ de la ligne média
tal; 4. Muscle cubital antérieur; 5. Fléchisseur commun profond des
doigts
; 6. Fléchisseur superficiel des doigts (médius
Fléchisseur commun profond des doigts; 6. Fléchisseur superficiel des
doigts
(médius et annulaire); 7. Fléchisseur superfici
aire); 8. Nerf cubital : 9. Palmaire cutané; 10. Adducteur du petit
doigt
; 11. Court fléchisseur du petit doigt : 12. Opp
utané; 10. Adducteur du petit doigt; 11. Court fléchisseur du petit
doigt
: 12. Opposant du petit doigt; 15. Lombricam : -1
doigt; 11. Court fléchisseur du petit doigt : 12. Opposant du petit
doigt
; 15. Lombricam : -14, Deltoïde (partie antérieure
0. Rond pronateur; 21. Palmaires; 22. Fléchisseur super- ficiel des
doigts
; 23. Long fléchisseur du pouce; - 24. Nerf médian
emier radial; - tL Muscle second radial ; - 7. Extenseur commun des
doigts
; - 8. Extenseur propre de l'index : 9. Long abd
e cubital postérieur; 15. Court supinateur;- 16. Extenseur du petit
doigt
; z 17. Extenseur de l'index; 18. Long extenseur d
eur de l'index; 18. Long extenseur du pouce; 19. Adducteur du petit
doigt
; 20. Muscles interosseux dorsaux (III et IV). 1
rtaines fractures, notamment dans les myosites des fléchisseurs des
doigts
, observées plus particulièrement chez les enfan
des courants galvaniques des muscles dégénérés (les extenseurs des
doigts
par exemple), alors que les muscles antagonistes
, alors que les muscles antagonistes sont normaux (fléchisseurs des
doigts
) et que les courants soient assez forts pour exci
par la contraction vive et brève des mus- des normaux (flexion des
doigts
) auquel succède le mouvement lent produit par les
le mouvement lent produit par les muscles dégénérés (extension des
doigts
) dont la contraction met plus de temps à se dév
le long supinateur, le 1er interosseux dorsal et l'adducteur du petit
doigt
; au membre inférieur sur les fessiers, le vaste
la 111t; ainsi elle siège plus spécialement sur les extenseurs des
doigts
dans les névrites satur- nines, sur les extense
extrémités. Le siège de ces troubles est le plus habituellement les
doigts
et les orteils, parfois le nez et les oreilles.
soulève doucement, lentement et progressivement le cerveau avec les
doigts
de la main gauche et l'on coupe successivement
Adducteur du gros orteil. Innervation, physiologie, 552. - du petit
doigt
. In- nervation, physiologie, 555. Adducteurs
isseur du gros orteil. Innerva- tion, physiologie, 555. dit petit
doigt
. Innervation, physiologie, 536.- du petit ortei
aires paralysies, 6U . Diplopie croisée, homonyme, verticale, 62.
Doigts
kippocratiques, z1020. Dolichosténomélie, loti7
s M/<'ofyc<H'</;feM ! M/</M, 1185. Extenseur commun des
doigts
, - po- pre du petit doigt. Innervation, physio-
! M/</M, 1185. Extenseur commun des doigts, - po- pre du petit
doigt
. Innervation, physio- logie, 55 ). commun des o
\ 11.1'lltI.TIQUI : . 1585 Fléchisseur commun superficiel' des
doigts
, profond des doigts, innerva- tion, physiologie
. 1585 Fléchisseur commun superficiel' des doigts, profond des
doigts
, innerva- tion, physiologie, 528. Flexion com
d'origine nucléaire, 76. Ophtalmoscopie, 14. Opposant du petit
doigt
. Innervation, physiologie, 556. - du petit orte
troubles, 999. Spina leprosa, 1020. - ventosa. Défor- mations des
doigts
, 10211. Splénius. Innervation, physiologie, 575
écembre 1889). Sommaire. — Étude des divers troubles trophiques des
doigts
: maladie de Maurice Raynaud (gangrène symétrique
; sclerodermic dactylique (son diagnostic, résorption des tissus des
doigts
sans nécrose des os; masque sclé-rodermique); lèp
mun de produire des altérations graves, symétriquement disposées, des
doigts
de la main surtout, et qui aboutissent à la mutil
vous le verrez, de la phalangette, de la phalangine et quelquefois du
doigt
tout entier. Les cas pathologiques dont il s'ag
uestion aussi de l'affection dite gangrène symétrique des extrémités,
doigts
, orteils, nez, oreilles, ou maladie de Raynaud, M
es qui envahissent successivement, en plus ou moins grand nombre, les
doigts
des mains. Si je vous parle ici, Messieurs, de
eu de ces affections qui entraînent des mutilations de la main et des
doigts
, et tout d'abord de la sclérodactylie. La sclér
des adultes, avec cette particularité que l'affection est limitée aux
doigts
et à la face. En 1871, à la Société de Biologie,
is déjà, deux ans auparavant, elle avait commencé à remarquer que ses
doigts
devenaient d'une sensibilité anormale. Bientôt à
igts devenaient d'une sensibilité anormale. Bientôt à l'extrémité des
doigts
survint de la rougeur, puis du gonflement. Enfin
. _ ScléroJermie dactylique. Cette figure montre les déformations des
doigts
et la destruction des phalangettes. parfaite da
ngettes. parfaite dans la distribution des déformations, les quatre
doigts
de chaque main sont pris. Ils ont perdu leur form
isser ainsi que cela est facile à l'état normal (V. Fig A). Enfin, le
doigt
est couronné par une petite masse cornée à peu pr
ormé (V. Fig. 2). Telles sont, en quelques mots, les déformations des
doigts
dans la sclerodermie dactylique. J'ajouterai qu'à
es divers modes de la sensibilité ; 2° le genre de la déformation des
doigts
; 3° l'absence d'issue au dehors de fragments oss
ns les cas où le doute pourrait être permis en ne considérant que les
doigts
eux-mêmes, vous pourrez trouver, en cherchant en
ici, il existe aussi des troubles trophiques variés, siégeant sur les
doigts
, pouce, index, gros orteil. La peau se fendille,
oduit, qui pénètre profondément, s'étend et finit par circonscrire un
doigt
dans sa totalité, ou seulement dans un point de s
it, et cela sans douleur, sans réaction d'aucune espèce, une chute du
doigt
ou bien encore celui-ci est enlevé par le chirurg
par le chirurgien. Enfin, on peut observer au niveau de la main, des
doigts
, des troubles moins accentués, tels que fentes, g
ue dans celle-ci, au contraire, jamais il n'y a chute de fragments de
doigts
, mais une sorte de résorption sur place des éléme
homme de soixante ans qui se présentait avec un « panaris à l'un des
doigts
de la main. Nous constatons « la nécrose de la ph
De plus, c'est un panaris multiple, quelquefois atteignant tous les
doigts
ou presque tous. Ainsi, dans l'observation de Pro
t quelquefois sur divers points du tégument externe, à la main et aux
doigts
. Les ongles tombent ou sont le siège de déformati
'établissent graduellement par une sorte de résorption des tissus des
doigts
. De plus, il n'y a, au niveau des extrémités, auc
nt la marche, mais pend toujours, comme inerte, le long du corps, les
doigts
fléchis, recouvrant le pouce, qui se cache dans l
que nous décrivions plus haut pendant la marche. L'index et le petit
doigt
seuls sont indemnes de toute lésion, sauf un cert
ste, adhérente à l'ongle, une portion de peau qui donne au bout de ce
doigt
une apparence de griffe toute particulière (Voi
tissus profonds. Il en est de môme en ce qui concerne la peau pour le
doigt
annulaire. Pour celui-ci la rétraction du tendon
adie de Morvan (face palmaire). Chose remarquable, la peau du petit^
doigt
, qui n'a eu aucun panaris, présente le même aspec
existe ainsi un certain degré de diminution apparente de longueur des
doigts
de la main gauche, comparés à ceux de la main dro
ifications notables. Cependant, d'une façon absolue, en prenant les
doigts
indicateurs, par exemple (doigts sans panaris), o
'une façon absolue, en prenant les doigts indicateurs, par exemple (
doigts
sans panaris), on remarque qu'il existe entre les
nt. 3/4 à droite). Cette mensuration ne peut être faite pour le petit
doigt
à cause de la rétraction considérable du tendon f
tous cas, nous ne saurions remédier à ces terribles déformations des
doigts
et de la main qui font de notre malade un infirme
est très douloureuse. La douleur est locale et n'irradie pas dans les
doigts
. La douleur à la pression sur le médian, jointe à
douleur est absolument disparue dans toute la main, à l'exception du
doigt
médius qui conserve sa sensibilité dans la plus g
ans la plus grande partie de sa surface. La sensibilité tactile de ce
doigt
n'a pas été notée, ni celle à la chaleur. « La
leu do la main combiné à une contracture hystérique du poignet et des
doigts
, chez une jeune fille de 22 ans, et chez un homme
Analogie de ces deux cas. Caractère du gonflement, où la pression du
doigt
ne laisse pas d'empreinte : œdème dur, coloration
lus considérable le soir et que, quand on la presse fortement avec le
doigt
, l'impression y reste comme dans de la cire molle
es hystériques est plus grande le matin et quand on la presse avec le
doigt
il ne reste aucune marque. Le plus souvent aussi
ement d'un œdème blanc. Rajoute que cet œdème est dur, la pression du
doigt
n'y laissant pas de godet. Il fait remarquer enfi
, du moins dans la règle, de l'impression laissée par la pression des
doigts
. Je n'y ai pas trouvé, autant que je sache, de me
am, est représenté par une tuméfaction ne cédant pas à la pression du
doigt
, mais qui en diffère par deux caractères essentie
ur, bien qu'il conservât un peu, sur certains points, l'impression du
doigt
. La région était cyanosée, violacée, parsemée de
. Il s'agissait d'une tuméfaction dure, ne gardant pas l'empreinte du
doigt
, de coloration bleu-clair. Un chirurgien, croyant
, qui le doit à M. Raymond. Chez ce malade le poignet, la main et les
doigts
du côté droit étaient le siège d'une tuméfaction
ais vous présenter aujourd'hui. Ce siège à la main, au poignet et aux
doigts
semble être d'ailleurs une de ses localisations l
actères de cet œdème bleu que je viens de vous tracer brièvement. Les
doigts
, le dos de la main, le poignet sont le siège d'un
net sont le siège d'une tuméfaction dure, sur laquelle la pression du
doigt
ne laisse aucune impression. De plus, toutes, ces
e de 4°2. Remarquons en outre l'attitude vicieuse de la main et des
doigts
du côté droit, qui est due a une contrac- (1) T
ent de la région malade. Mais un phénomène nouveau avait apparu : les
doigts
, la main et le poignet étaient contractures clans
ossible sans faire exécuter un mouvement de rotation à l'humérus. Les
doigts
, demi-fléchis, sont accolés entre eux et revienne
ment le même aspect, le même gonflement ne gardant pas l'empreinte du
doigt
, la même teinte bleu-violet, le même refroidissem
e l'asphyxie des extrémités est au niveau du nez, des oreilles et des
doigts
, et toujours symétriquement, ce que nous n'avons
roite est gonflée, d'un volume de beaucoup supérieur à la gauche. Les
doigts
, la main sur sa face dorsale, le poignet sont d'u
nt d'une coloration violacée, parsemés de plaques d'un rouge vif. Les
doigts
sont comme bridés au niveau des articulations des
es et les plis sont effacés. Ce gonflement est dur, l'impression du
doigt
ne laisse pas le godet caractéristique de l'oedèm
obligé de lui retirer par le procédé du fil une bague qui bridait le
doigt
annulaire, alors que d'habitude elle est plutôt t
essortir, par contraste, le gonflement considérable de la main et des
doigts
du côté opposé. La malade remue assez difficile
au un certain degré de parésie. Il en est à peu près de même pour les
doigts
, qu'elle remuerait cependant beaucoup plus énergi
iculations métacarpo-phalangiennes gauches. . 18e. » Circonférence du
doigt
médius droit au niveau de l'articulation moyenn
au niveau de l'articulation moyenne....... 7e.50 Circonférence du
doigt
médius gauche au même niveau............ 6e. »
es moyens en notre pouvoir de faire disparaître cette contracture des
doigts
et du poignet à laquelle s'est surajouté l'œdème
concomitant, la raideur du poignet. Puis, de la même manière, chaque
doigt
, un à un, était décontracturé. C'était loin d'êtr
sitôt en finissant ce travail, la main se ferma, c'est-à-dire que les
doigts
se fléchirent dans l'intérieur de la main, le pou
e d'un gonflement notable, dû à une sorte d'œdème dur, dans lequel le
doigt
ne marque pas d'empreinte permanente. Cicatrices
e feu. Peau violacée. Main un peu plus froide que du côté opposé. Les
doigts
sont appliqués les uns contre les autres, les deu
pas de paralysie dans les mouvements de cette articulation. Quant aux
doigts
, ils sont collés les uns contre les autres, de
la Fig. 20. — Œdème bleu hystérique de la main avec contracture des
doigts
chez la nommée Amélie B... façon dont ce doigt
vec contracture des doigts chez la nommée Amélie B... façon dont ce
doigt
revient à sa place. On ne sent pas de cordes tend
et du froid. Légère perte du sens musculaire. La contracture des
doigts
de la main est exactement ce qu'elle était. Goût
e de la jambe et sur le dos du pied ainsi qu'au talon. Sur les quatre
doigts
externes elle est seulement très obtuse, presque
rtée en dedans, la face plantaire plus creusée que normalement. Les
doigts
du pied se relèvent et s'abaissent avec difficult
quelque chose entre les dents, ni mâcher, surtout du côté gauche. Le
doigt
placé entre les dents est à peine serré. Il ne pe
extrêmement prononcé. Elle ne peut arriver à parler qu'en mettant les
doigts
sous le plancher de la bouche, au-dessous du ment
e contraction dans le long extenseur du pouce, l'extenseur commun des
doigts
, le cubital postérieur et rien dans les autres. G
ère diminution d'excitabilité aux deux courants. Extenseur commun des
doigts
: très grande diminution d'excitabilité. Cubital p
able. Nerf cubital au poignet : faible adduction du pouce et du petit
doigt
. Hypothénar : pas de réaction galvanique (à cause
raître. Le pouce et l'index seuls se relèvent assez bien ; les autres
doigts
ne peuvent se relever complètement. L'annulaire e
de l'autre ; le pouce se rapproche facilement de l'index, et le petit
doigt
de l'annulaire. Les doigts incomplètement étendus
approche facilement de l'index, et le petit doigt de l'annulaire. Les
doigts
incomplètement étendus se laissent fléchir avec l
grande facilité, même lorsqu'ils cherchent à résister. La flexion des
doigts
est pour ainsi dire nulle. Les muscles de jl'émin
édius ne se redresse pas ; il reste toujours à demi fléchi ; le petit
doigt
et l'annulaire se redressent imparfaitement. Les
doigt et l'annulaire se redressent imparfaitement. Les deux derniers
doigts
ne peuvent venir au contact de la paume ;de la ma
uce s'exécutent assez bien, mais n'offrent que peu de résistance. Les
doigts
se rapprochent et s'écartent péniblement. Le poig
'asseoir. Il serre la béquille avec l'index et le pouce, les autres
doigts
ne pouvant se fermer. Les genoux se relèvent asse
t le mal s'aggrava et on vit apparaître une parésiedes extenseurs des
doigts
de la main gauche et plus tard de la main droite.
née et le malade pour voir est obligé de relever la paupière avec son
doigt
. Il existe à droite et à gauche une ophthalmoplég
ue d'un ceil. Pour regarder devant lui il soulève la paupière avec le
doigt
et renverse la tête en arrière afin de relever le
e très considérable et une impotence des extenseurs de la main et des
doigts
. A gauche le deuxième, le troisième et le quatriè
ain et des doigts. A gauche le deuxième, le troisième et le quatrième
doigt
, à droite le petit doigt sont complètement tomban
he le deuxième, le troisième et le quatrième doigt, à droite le petit
doigt
sont complètement tombants et ne peuvent être rel
, avait imaginé un petit système de ficelles qui, intriquées avec les
doigts
, maintenaient ceux-ci mécaniquement et leur donna
présenté dans la vie une série de panaris mutilants, ayant déformé 3
doigts
d'une des mains et 2 de l'autre. Chez elle l'anes
ivant, sur une main, un pouce amputé et une mutilation des 3 premiers
doigts
, à la suite des panaris; seul, l'auriculaire avai
onstater les mutilations qu'a subies le malade à la main gauche. Deux
doigts
seulement sont restés indemnes ; les 3 autres — d
ankylose de la plupart des articulations, ainsi qu'une déformation du
doigt
. A 23 ans, il survient sur l'avant-bras une érupt
trophiques du côté de la peau, qui était lisse, et des deux derniers
doigts
. Il s'agissait donc là bien vraisemblablement d'u
moins à gauche. Rien dans les poumons. Trouble du sens musculaire (
doigt
mis sur le bout du nez) plus accentué les yeux fe
recueillies ailleurs. Ce qu'on n'a pas vu, ce qu'on n'a pas touché du
doigt
, on n'y croit pas. C'est la doctrine sceptique da
s a raconté, à savoir qu'il était obligé autrefois de relever avec le
doigt
ses aliments qui tombaient dans la gouttière ging
ond à une diminution fonctionnelle ; les mouvements de la main et des
doigts
sont affaiblis, sauf les mouvements que commanden
ertains cas, un grand intérêt pratique. Je vous aurai fait toucher du
doigt
les chances d'erreur auxquelles on s'expose toute
omplète. Mais grâce à la conservation des fonctions du poignet et des
doigts
, le malade peut encore exécuter certains mouvemen
le est large, épaisse, camarde, sans avoir augmenté de longueur ; les
doigts
sont volumineux, comme boursouflés; la peau est p
phalanges avec les phalangines sont sensiblement hypertrophiées ; les
doigts
ne sont donc pas uniformément cylin- driques. L
3, une bosse arrondie, régulière, visible surtout dans l'extension du
doigt
, et qui paraît être formée soit par un cul-de-sac
érieurs de ce qu'on a appelé la tumeur dorsale du carpe. Enfin deux
doigts
portent les cicatrices de panaris survenus il y a
de volume de la main n'est pas le trouble trophique fondamental : les
doigts
sont déformés ; les jointures sont le siège d'art
tielle ; elles débutent par l'index droit, gagnent ensuite les autres
doigts
, l'avant-bras et le bras. Elles s'accompagnent d'
esse de l'observateur qui a, pour ainsi dire, touché le diagnostic du
doigt
. Le passage suivant est bien fait, il me semble
dents. A la percussion un peu de sub matité avec résistance sous le
doigt
dans la fosse sus-épineuse gauche. A ce niveau l'
an. (Leçon). Sommaire. — Etude des divers troubles trophiques des
doigts
: maladie de Maurice Raynaud (gangrène symétrique
: sclérodermie dactylique (son diagnostic, résorption des tissus des
doigts
sans nécrose des os ; masque sclérodermique) ; lè
leu de la main combiné à une contracture hystérique du poignet et des
doigts
, chez une jeune fille de 22 ans, et chez un homme
Analogie de ces deux cas. Caractère du gonflement, où la pression du
doigt
ne laisse pas d'empreinte : œdème dur, coloration
issociation de l'anesthésie dans l'œdème bleu des hystériques, 107.
Doigts
: affections déformant les —, 2. E Épilepsie
, cite des contractures du membre supérieur, à la suite de piqûres du
doigt
. Ces faits sont d'autant plus intéressants que
ussion, nous frappons à petits coups répétés sur les fléchisseurs des
doigts
au niveau du poignet, vous voyez encore la main e
urs des doigts au niveau du poignet, vous voyez encore la main et les
doigts
se placer dans une flexion exagérée et rester fix
s-de-pied, les genoux, les hanches, les coudes ; en dernier lieu, les
doigts
, à un faible degré et les articulations cervicale
galement dans les poignets, les coudes, les articulations de quelques
doigts
des deux mains. En un mot, sans plus insister, no
n la sent plus molle, plus flasque que la gauche ; du côté droit, les
doigts
arrivent facilement au contact de l'ischion, ce q
re ramenées, quel- Fig. 4. — Représentant la déviation en masse des
doigts
vers le bord cubital de la main dans le rhvmatism
et un peu fléchies. Les lésions sont habituellement symétriques. Les
doigts
subissent ordinairement une déviation en masse ve
type ou type d'extension. En considérant d'abord l'extrémité libre du
doigt
, nous voyons : a) une flexion de la phalangette ;
ais, dans certains cas, cependant, nous rencontrons une déviation des
doigts
en tout comparable à celle que nous observons lor
les autres phalanges ne présentent qu'un léger degré de flexion. Les
doigts
, ainsi fléchis dans leur ensemble, sont serrésles
en outre, les inlerosseux palmaires ont pour action de rapprocher les
doigts
d'une ligne fictive passant par l'axe longitudina
déterminons une griffe cubitale totale avec flexion des deux derniers
doigts
: ce dernier mouvement étant dû à l'action de la
e pouce est progressivement soulevé, et se détache de plus en plus du
doigt
indicateur. Après l'expérience, le pouce est reve
e. Quelques jours après l'accident, dit-il, son bras était lourd, ses
doigts
difficiles à remuer, comme engourdis ; mais, pour
nterosseuse, le pouce était libre. Puis, le lendemain, la flexion des
doigts
existait ; enfin, le pouce s'applique à son tour
ts existait ; enfin, le pouce s'applique à son tour contre les autres
doigts
. Et, dans ces divers temps, on voit se produire s
dans la pronation. La main est fléchie sur l'avant-bras ; les quatre
doigts
sont fléchis de telle façon que les ongles s'impr
telle façon que les ongles s'impriment dans la paume de la main. Les
doigts
sont énergiquement serrés les uns contre les autr
iel et profond. Mais le cubital est aussi en action : l'adduction des
doigts
montre l'intervention des interosseux. Ajoutons q
euse remarque de Duchenne. Vous savez qu'à la main les extenseurs des
doigts
et ceux de la main tout entière sont, pour ainsi
tend la main autant que possible, et si on essaie alors d'étendre les
doigts
, ceux-ci se fléchissent légèrement ; c'est que l'
l'extension de la main a pour effet de raccourcir les extenseurs des
doigts
et par conséquent de les placer dans une situatio
ntraire, et pour une raison analogue, si vous fléchissez la main, les
doigts
peuvent être facilement amenés à une complète ext
intenant l'action combinée des fléchisseurs de la main et de ceux des
doigts
, il y a là aussi une sorte d'antagonisme. Ainsi,
a là aussi une sorte d'antagonisme. Ainsi, pour fléchir fortement les
doigts
et fermer le poing, comme dans la menace, la main
ez énergi-quement le poignet, alors vous remarquez que la flexion des
doigts
se relâche et que ceux-ci ont une tendance très m
ain ; la contracture a à peu près complètement disparu, cependant les
doigts
ne peuvent pas être étendus tout à fait. La situa
ée, il existe un état lisse particulier de la peau de l'extrémité des
doigts
et en particulier de l'index, qui semble **ffilé
» On écrit « rue d'Aboukir », l'adresse de son ami, il trace avec le
doigt
, dans l'espace, les lettres qui composent le mot
es lettres qu'il connaît mal par la vision, ou de les tracer avec son
doigt
dans l'espace. 11 connaît toutes les lettres de l
mais qui pouvaient écrire, par une sorte de souvenir du mouvement des
doigts
nécessaire pour tracer les mots ; la lettre une f
cateur de sa main droite. Les notions fournies par ces mouvements des
doigts
paraissent indispensables pour donner de la valeu
rs 1 883. bre de lignes, en s'aidant des mouvements instinctifs des
doigts
, pour raviver, en quelque sorte, les souvenirs vi
émiplégique à droite ne recevait, sans doute, par l'intermédiaire des
doigts
de la main gauche, que des notions très imparfait
le mot; la seconde, parla répétition des mouvements de la main et des
doigts
nécessaires pour l'écrire. Il convient de remarqu
hez le malade que je mets sous vos yeux. Remarquez que la main et les
doigts
tremblent individuellement, mais gravez bien dans
a main. Les phalanges sont étendues les unes sur les autres, mais les
doigts
sont fléchis sur le métacarpe. Le pouce Figé 36
à la suite d'une violente émotion. Chez ces femmes, les mains et les
doigts
tremblent comme dans la maladie de Parkinson, ind
emiers et le dernier en se fondant sur ce fait que, dans ceux-là, les
doigts
tremblent par eux-mêmes, tandis que dans celui-ci
ar eux-mêmes, tandis que dans celui-ci, le tremblement individuel des
doigts
n'existe pas. Ce caractère peut-être facilement c
réaction d'un appareil enregistreur, on voit que dans les cas où les
doigts
tremblent par eux-mêmes, le tracé est fortement o
coordonnés. Je ne m'arrêterai pas à vous décrire les contorsions des
doigts
, leur flexion et leur extension alternatives; je
tion des tenta cules d'un poulpe — et en ce qu'ils sont limités aux
doigts
et aux poignets, aux pieds et aux orteils, quoiqu
dans lesquels la malade semble battre les œufs. Puis elle fléchit ses
doigts
, en applique la pulpe contre le pouce, et élevant
rse en arrière, les bras écartés du tronc, les mains enpronalion, les
doigts
fortement fléchis. Surviennent alors assez souven
res. Phénomène remarquable, lorsqu'on lui comprime la main gauche les
doigts
étendus, on arrête l'attaque instantanément : on
t, surtout, de vous faire reconnaître et, pour ainsi dire, toucher du
doigt
, l'identité de la grande névrose dans les deux se
nséquence —et il s'agit ici d'une blessure d'ailleurs assez légère du
doigt
, — eût-il suffi à lui seul, pour provoquer le dév
, est attirée dans la bouche vers le côté gauche; on sent à l'aide du
doigt
, que sa pointe est portée derrière les molaires d
ouvez plus élever votre bras, ni le fléchir, non plus que mouvoir vos
doigts
; voyez, vous êtes incapable de serrer ma main, et
ant, inerte, incapable de tout mouvement, à l'exception toutefois des
doigts
de la main qui, eux, pouvaient encore se remuer u
est tombante, soit aux muscles du bras ou de l'avant-bras. Seuls les
doigts
de la main peuvent être mis en mouvement volontai
le dos de la main, la limite de l'anesthésie est marquée, du côté des
doigts
, par une ligne perpendiculaire au grand axe du me
une partie de la face dorsale de ceux-ci, et sur toute l'étendue des
doigts
, les divers modes de la sensibilité cutanée et pr
vés, du moins en grande partie. Il y a de plus, dans le membre, les
doigts
toujours exceptés, une perte absolue des notions
il reconnaît très bien lorsque l'on pratique la môme manœuvre sur les
doigts
, quel est celui d'entre eux auquel on imprime des
Celle-ci est éteinte absolument dans tous ses modes, sur la main, les
doigts
y compris, l'avant-bras et une partie du bras; su
t en dire autant du fait si remarquable de la non-participation des
doigts
et de la main à la paralysie motrice et à l'anest
lus loin notons l'insensibilité spéciale que présente le pharynx : le
doigt
brutalement enfoncé jusqu'à toucher l'épiglotte n
elle est plus étendue cependant que chez lui, puisqu'elle occupe les
doigts
de la main; mais elle se limite exactement de la
noculaire qui n'avait pas été remarquée jusque-là. J'ajouterai que le
doigt
introduit dans le pharynx jusqu'à l'épiglotte, ne
vec une expression menaçante. Approchez au contraire de sa bouche ses
doigts
étendus, alors les lèvres s'écartent, elle sourit
ndre l'avant-bras et et il en est de même pour le poignet et pour les
doigts
; ainsi, dans ce membre, lout mouvement actif est
ez ce dernier, le mouvement et la sensibilité sont conservés dans les
doigts
. VINGT-DEUXIÈME LEÇON o Sur deux cas de mon
des différents segments du membre supérieur (épaule, coude, poignet,
doigts
). — La sensibilité et les réflexes tendineux disp
rement toutes les autres jointures à savoir le coude, le poignet, les
doigts
enfin. De plus, sur toute la partie où le mouveme
qu'elle occupe tout entier, se prolongeant même de 4 ou 5 travers de
doigt
, le long de la par- tie axillaire de la région
7. — Observation de Porcz... cou jusqu'à trois ou quatre travers de
doigt
, au-dessus de l'angle de l'omoplate ; dans le sen
, elle est éloignée des apophyses épineuses d'environ cinq travers de
doigt
. Le bras presque tout entier est contenu dans la
al fictif, perpendiculaire à l'axe du membre, situé à deux travers de
doigt
environ au-dessus du pli du coude en avant et pas
ar une ligne circulaire horizontale, située à environ deux travers de
doigt
au-dessus du poignet et déterminant cette fois en
mouvoir ni son épaule, ni son coude, ni enfin son poignet : seuls les
doigts
de la main se meuvent librement. En conséquence,
ouce, au niveau de l'articulation qui réunit les deux phalanges de ce
doigt
. Or, Messieurs, et c'est là où je voulais en ve
, coude, poignet, que porte l'impuissance motrice, les mouvements des
doigts
restant parfaitement libres; et, dans les deux ca
née et profonde, perte des notions du sens musculaire, tandis que les
doigts
qui ont conservé leurs mouvements ne présentent a
o noplégie, en déterminant par suggestion l'impuissance motrice des
doigts
, laquelle est, vous le voyez, immédiatement Fig
nt nuls dans l'épaule, le coude, le poignet, et très faibles dans les
doigts
de la main. En ce qui concerne les grandes articu
ce moment même, vous constatez que le poignet fléchi pendant que les
doigts
pressent l'instrument, présente une résistance bi
ine, soit sur la partie antérieure du genou, la peau saisie entre les
doigts
est soulevée et légèrement comprimée, il se produ
comme mort, » ou encore « comme absent, de l'épaule jusqu'au bout des
doigts
; » « au lieu d'un bras, ajoute-t-il, il me sembla
me temps que le mouvement volontaire fut un instant supprimé dans les
doigts
; mais la durée de ces phénomènes ne dépassa pas
ulter un chirurgien à l'hôpital St-Antoine ; le poignet, la main, les
doigts
étaient devenus très enflés ; les Fig. 70. mo
n constata que le membre supérieur était contracture, le coude et les
doigts
dans la flexion, exactement dans la situa-lion où
orme pour tenter de modifier la position de la main en redressant les
doigts
; en conséquence, une planchette maintenue par un
mais, à chaque instant, sous l'influence de la flexion invincible des
doigts
, l'appareil se dérangeait ; on fut obligé de l'en
ig. 79). L'avant-bras est maintenu dans la supination, tandis que les
doigts
, fléchis sur la paume de la main, sont serrés les
ouce est, de son côté, porté vers l'axe de la main et l'ongle de ce
doigt
marque une forte empreinte sur la peau de la face
nt exagérés et l'on provoque même très facilement une trépidation des
doigts
et de la main tout entière en cherchant à les red
t vous voyez la contracture spasmodique se produire au poignet et aux
doigts
de la main. A la vérité, celte contracture se dis
suivent : percussion répétée des tendons, tractions exercées sur les
doigts
, application d'un diapason en vibration soit sur
en même temps qu'à l'aide de tractions on cherchait à redresser les
doigts
et à faire mouvoir le poignet, le coude, l'épaule
é d'abord des douleurs assez vives, au niveau de la face palmaire des
doigts
où l'anesthésie n'était pas complète ; mais elle
sfaisant, car la contracture s'était très manifestement atténuée, les
doigts
s'étaient redressés et le malade était parvenu en
us revient au Fig. 82. jourd'hui (16 octobre 1886) la main et les
doigts
chargés de plaques et anneaux de cuivre, qu'il n'
là, sans aucun doute, un résultat important. Mais les mouvements des
doigts
, assez énergiques dans la flexion (25 au dynamomè
'extension. Et par suite, la main reste déformée ; tenus étendus, les
doigts
, en effet, forment avec la paume de la main, un a
et il est à craindre que la cause qui met obstacle à l'extension des
doigts
ne soit plus seulement la contracture spasmodique
à aucune époque on n'a pu obtenir la résolution de la déformation des
doigts
qui vient d'être décrite. Evidemment, il ne s'agi
sultats suivants : Anesthésie absolue du pharynx, on peut enfoncer le
doigt
jusqu'à l'épiglotte et le maintenir là, longtemps
Les mouvements de l'épaule et du coude étaient impossibles, mais les
doigts
pouvaient se mouvoir encore pendant 3 ou 4 jours;
mbre supérieur droit est complètement paralysé du mouvement, sauf les
doigts
de la main. Ce membre est en outre anesthésié; l'
lade ne sait pas où est son membre, il ignore si l'on meut tel ou tel
doigt
individuellement, etc. Troubles trophiques. On
n a déjà parlé de l'amaigrissement du membre; il faut ajouter que les
doigts
de la main sont violacés froids, comme cela se vo
deux côtés. Le goût est abso- Jument perdu, et Ton peut plonger un
doigt
dans la profondeur lu pharynx et l'y maintenir sa
n mot, comme à tâtons. Pin... peut encore, les yeux clos, diriger ses
doigts
avec une certaine précision vers son nez, sa bouc
vent ; il ne peut en général, lorsqu'on l'y invite, fléchir un de ses
doigts
isolément ; habituellement, tous les doigts se fl
invite, fléchir un de ses doigts isolément ; habituellement, tous les
doigts
se fléchissent alors simultanément. Parfois il ne
chi (biceps brachial antérieur), et que les mouvements de flexion des
doigts
peuvent être exécutés quoique très faiblement; qu
encore de légers mouvements de flexion et d'extension du poignet, les
doigts
peuvent être légèrement rapprochés les uns des au
rynx et du larynx; l'anesthésie est absolue. On peut toucher, avec le
doigt
, le fond de la gorge, l'épiglotte; on peut, avec
es testicules, ni dans les aines et fosses illiaques. En plongeant le
doigt
dans le pharynx, on constate qu'il y a peu de r
ement; elle est aussi une paralysie du sentiment. On peut promener le
doigt
dans l'arrière-gorge, chatouiller l'épiglotte, sa
es composent, soit avec une plume, soit simplement dans l'air avec le
doigt
; c'estalors le centremoteurgraphiquequivientau se
des différents segments du membre supérieur (épaule, coude, poignet,
doigts
). — La sensibilité et les réflexes tendineux disp
mbre supérieur gauche pendait le long du corps; il était raide, les
doigts
dans l'extension; tout mouvement était impossib
mbre supérieur a subi de- puis le début quelques modifications. Les
doigts
qui étaient au début dans l'extension, se fléch
jours, les ongles s'enfonçaient dans la paume de la main, puis les
doigts
s'étendaient de nouveau; d'autre part, le membr
impossibles. Le bras pend inerte et flasque le long du corps ; les
doigts
, sont dans -, l'extension et ils pré,- si CLINI
muscles anté- rieurs et postérieurs du bras ; en pressant entre les
doigts
les muscles biceps et triceps et en les compara
ures t et 2, sauf à la paume de la main et à la partie palmaire des
doigts
où la sensibilité est toutefois diminuée ; tous
réflexes tendineux sont exagérés du côté malade. En redressant les
doigts
on provoque de l'épilepsie spinale. La sensibil
nte ; le membre supérieur gauche est appliqué le long du corps, les
doigts
dans la flexion; la jambe gauche est étendue su
ractères du mutisme hystérique et qui ne dure que douze heures. Les
doigts
qui étaient raides le premier jour, son aujourd
nutes environ, le retour de la sensibilité à la face dorsale des
doigts
et à la partie inférieure de la face dorsale de l
ieure de la face dorsale de la main, sans retour de la motilité des
doigts
; en même temps la sen- sibilité s'émousse dans
uite d'une attaque, le malade est pris de nou- veau de mutisme. Les
doigts
présentent aujourd'hui de la raideur. Le 10r
de. quelques minutes, la sensibilité reparaît à la face dorsale des
doigts
, gagne la main, puis l'avant-bras et enfin le b
n le bras et l'épaule ; on dit à ce moment au malade de mouvoir ses
doigts
, son poignet ou son coude, mais il ne peut y ar
t ou son coude, mais il ne peut y arriver ; on fait faire alors aux
doigts
et à la main paralysée des mouvements passifs e
de regarder ce que l'on fait et de faire exécuter en même temps aux
doigts
et à la main du côté opposé les mêmes 1 2 CLINI
imités ; et tout le membre supérieur, en particulier la main et les
doigts
, présentent un tremble- ment à oscillations ass
a gagné la partie inté- rieure de l'avant-bras on fait exécuter aux
doigts
et a la main des mouvements passifs, et les mou
'avant-bras sont flasques. La main est fléchie et contracturée; les
doigts
sont aussi fléchis et contrac- turés. 10. - L
te estropié. On veille à ce que le patient suive exactement avec le
doigt
chaque ligne et chaque mot, ou a examiné aupara
les seuls qu'il lise encore, qu'il est obligé de compter sur ses
doigts
, sa mémoire ne lui présentant que sa table de mul
u. On constate en ce point un enfoncement eu rigole, large comme le
doigt
, sensible à la pression, mais non épileptogène.
e dos des mains, au niveau du troisième métacarpien, du troi- sième
doigt
dans les épiphyses et à un moindre degré sur la f
arait, si ce n'est la paralysie du ventre de l'extenseur commun des
doigts
qui commande aux médius. Pendant l'examen objec
et faradique dans le domaine du radial et de l'extenseur commun des
doigts
(parésie surtout frappante à droite). Aucun sig
d'épais- sissements rachitiques des épiphyse<. Les mains et les
doigts
sont très larges, courts, épais; il en est de m
xiste à ce niveau un sillon vertical assez profond pour contenir le
doigt
. Membres. Etant donnée la taille exiguë de Gr..
ade peut faire exécuter à son épaule, son coude, son poignet et ses
doigts
quelques mouvements, mais ceux-ci sont très lim
malade remarqua que le membre supérieur gauche devenait raide, les
doigts
commencèrent à se fléchir, la main se fléchit s
lade de modifier cette attitude; la raideur alla en augmentant, les
doigts
se flé- chirent de plus en plus, si bien que le
mbre supérieur était complète- tement paralysé : les mouvements des
doigts
, de la main, de l'avant-bras et du bras étaient
re supérieur gauche, qui était flasque au début, devient raide. Les
doigts
se fléchissent sur la main, la main sur l'avant
aideur s'est accentuée; le membre est contrac- turé, les ongles des
doigts
s'enfoncent dans la paume de la main, et pour e
n, et pour empêcher l'ulcération de la peau, on interpose entre les
doigts
et la paume de la main une pelote de ouate. 15.
portante dans l'état du membre supérieur; quelques mouve- ments des
doigts
très limités, il est vrai, sont possibles. lors
il est vrai, sont possibles. lorsqu'on exerce une traction sur les
doigts
, on provoque une légère douleur ; quant aux mou
celui du côté opposé. La sensibilité du membre supérieur sauf aux
doigts
est tou- jours complètement abolie ; il en est
nze jours des compresses, des cataplasmes; le poignet, la main, les
doigts
étaient très enflés, légèrement fléchis ; il ne
ecin a jugé à propos de lui enlever l'appareil. C'est alors que les
doigts
se sont fléchis, contractu- rés dans la main, d
re; on ne peut l'écarter du tronc que d'une façon très limitée. Les
doigts
sont fortement fléchis sur la main, allongés et
fs ne sont guère plus étendus. Lorsque l'on essaie de redresser les
doigts
, le malade accuse une certaine douleur, au nive
le malade accuse une certaine douleur, au niveau de l'extrémité des
doigts
. Les réflexes du coude et du poignet sont exagé
sont exagérés à gauche. On détermine facilement une trépidation des
doigts
, surtout du pouce, en cherchant à les redresser
indrie dans toute la hauteur du membre, sauf à la face palmaire des
doigts
et dans un triangle qui descend de l'aisselle v
pent les divers segments du membre. Il n'en est, pas de même des
doigts
dont la sensibilité est conservée et même exagéré
, et, en même temps, on cherche par des tractions à redresser les
doigts
et à faire mouvoir le poignet, le coude et l'épau
provoque des douleurs assez vives au niveau de la face palmaire des
doigts
, mais elle amène rapidement un résul- tat très
at très satisfaisant; la contracture s'atténue en peu de temps, les
doigts
se redressent et le malade arrive, au bout de dix
arrive, au bout de dix minutes, à faire exécuter spontanément à ses
doigts
, son poi- gnet, son coude et son épaule, des mo
assez étendus. A cause des douleurs que le malade ressent dans les
doigts
, on suspend le massage en recommandant au malade
ir l'épaule, le bras, l'avant-bras et la main; les mouve- ments des
doigts
seuls étaient possibles; à ce moment aussi la r
la motilité du membre supérieur était, comme au début, abolie; les
doigts
seuls pouvaient se mouvoir un peu; la moti- lit
ie; les doigts seuls pouvaient se mouvoir un peu; la moti- lité des
doigts
persista encore deux jours, puis disparut à son
et flasque. Les mouvements de l'épaule, du coude, du poignet, des
doigts
, sont tout à fait abolis. La sensibilité au tact,
dre mouvement : l'avant-bras dans la demi-flexion le poignet et les
doigts
fortement fléchis ; les ongles incrustés dans l
membres. Je lui enjoins alors, d'une voix forte, d'étendre le petit
doigt
de sa main droite; elle le fait avec beau- coup
us grandes; la suggestion doit être très énergique, les deux autres
doigts
sont aiséments étendus. La main est alors dans un
le gonflement des jointures, mais la malade peut mouvoir ses cinq
doigts
avec une facilité rapidement croissante et toute
lontaires et très prononcées se produisaient immédiatement dans les
doigts
qui tenaient la plume et l'empêchaient d'écrire
esprit, etc. Cet embarras de l'écriture consiste en ceci : que les
doigts
qui tiennent la plume, surtout à leurs der- niè
minute, s'il continue à tci ir la plume. A l'exameu des difiéreuls
doigts
, quand il tient la plume, l'index semble être l
tient la plume, l'index semble être le plus exposé et le troisième
doigt
le moins exposé à ces secousses. Ces secousses
cousses. Ces secousses surviennent aussi à tout autre mouvement des
doigts
pour prendre ou tenir quelque chose pendant un
le serre un peu, elles surviennent. D'ailleurs, les mouvements des
doigts
sont libres. S'il applique ses deux mains, l'un
ont libres. S'il applique ses deux mains, l'une contre l'autre, les
doigts
opposés l'un il l'autre, et qu'il essaie d'éloi
s doigts opposés l'un il l'autre, et qu'il essaie d'éloigner chaque
doigt
l'un de l'autre, les doigts de la main gauche p
autre, et qu'il essaie d'éloigner chaque doigt l'un de l'autre, les
doigts
de la main gauche peuvent faire un mouvement un
les plus différents, rien d'anormal à observer. Du côlé gauche, les
doigts
ainsi que la main et le bras fonctionnent normale
s différentes qualités de la sensibilité du bras, de la main et des
doigts
, rien d'anormal à constater, pas d'altération d
08 RECUEIL DE FAITS. fois des secoures, bien que minimes, dans les
doigts
; secousses qui pourtant ne l'ont pas absolument
'est-à-dire le trouble peu marqué de la parole et les secousses des
doigts
de la main droite à chaque mouvement où ceux-ci
elevé, c'est que ces troubles moteurs sont absolument limités aux
doigts
de la main droite, sans participation d'aucune au
rtie du corps, et sans aucune altération de la sensibilité dans les
doigts
mêmes. Il faut rattacher probablement ces trouble
matismales. Quant à la légère aphasie motrice et aux secousses des
doigts
, qui, peu à peu, ont disparu, il semble y avoir
eux du patient. Enfin il attribue à des mouvements incoercibles des
doigts
des mains le diagnostic d'athétose primitive bi
dure, contournée, comme rampante et quelquefois (fléchisseurs des
doigts
, vaste interne, vaste externe) en un bloc ondulan
mouvements de flexion, d'extension et d'abduction de tels ou tels
doigts
isolés ou groupés», etc. (voir Hammond par compar
ssures que le médian innerve non pas seulement la face palmaire des
doigts
, niais celle de la face dorsale des phalangette
dorsale des phalangettes etdes phalangines de^ deuxième, troisième
doigts
ainsi que le côté externe des phalangines du qu
sième doigts ainsi que le côté externe des phalangines du quatrième
doigt
. L'auteur insiste, en outre, sur l'inégalité dans
, aussi mortes que possible ; inviter le patient à entrelacer les
doigts
des deux mains et,en tendant les bras horizontale
n et des Archives, t. XII. 16 234 REVUE DE pathologie NERVEUSE.
doigts
du côté gauche accompagnées de sensations de trem
lors, la paralysie porte surtout : à droite, sur les extenseurs des
doigts
et de la main, le long extenseur du pouce, le p
ur du pouce (moins affecté); à gauche, sur l'extenseur commun des
doigts
, le premier radial externe, le cubital postérieur
i- quilé et asymétrie de la face, incurvation, surnumérariat, des
doigts
et des oiteils, goitre, etc.). En effet Knecht n'
. Couché, il peut relever la jambe droite, la fléchir et remuer les
doigts
. Le pied gauche est con- tracturé en dehors, à
tre marque 60; le ma- 274 CLINIQUE NERVEUSE. lade peut remuer les
doigts
de la main droite et la ramener au corps. Une s
sentir des douleurs à la faradisation avec un pinceau, à remuer les
doigts
de la main et du pied, et à marcher sans béquil
é plusieurs fois; l'anesthésie du larynx permettait d'introduire le
doigt
jusqu'à l'épiglotte. Dans le cours ultérieur de
es et dans le pharynx ; un attou- chement de la conjonctive avec le
doigt
ou une épingle ne donne pas de réflexe; l'intro
le doigt ou une épingle ne donne pas de réflexe; l'introduction du
doigt
dans l'arrière- bouche et l'irritation de sa mu
un moi- gnon formé par la région métacarpienne et une portion des
doigts
rudimentaires. Il travaillait beaucoup, même de n
RMIQUE. 299 du cartilage thyroïde, quelques nodules roulant sous le
doigt
et appartenant peut-être au corps thyroïde, qui
u tronc, la peau est fine, d'un blanc mat, assez résistante sous le
doigt
, comme infiltrée et paraît recouvrir une épaiss
pparence oedémateuse. Ailleurs, elle est tendue, résistante sous le
doigt
et comme bouffie de graisse. On ne constate pas
rûlure dont la cicatrice a produit la rétraction des trois derniers
doigts
. La préhension est encore possible avec le pouc
euse, forme une pelotte épaisse, mais ce gonflement résiste sous le
doigt
et ne disparaît pas par la pres- sion. La main
iller qu'il tient de la main gauche et les aulres aliments avec ses
doigts
. Il boit également seul en tenant le gobelet av
région pariétale, est rosée et un peu z oedématiée ; la pression du
doigt
laisse une empreinte. On ne peut que présumer l
en voie de desquamation. T.R., 38°,4. - Soir : 38°, 6. 10. - Les
doigts
sont envahis par l'érysipèle, l'état général est
ridée et, au premier abord, parait oedématiée, mais l'empreinte des
doigts
ne s'y des- sine pas. , Il existe quelques po
ices auriculo-ventricuiaires admettent avec peine la pulpe des deux
doigts
index et médius réunis de la main gauche. Les v
un espace membraneux à travers lequel on pourrait passer le bout du
doigt
. La chevelure est blonde, peu abondante. - La f
. Ces désirs sont très bor- nés et peu nombreux. Il indique avec le
doigt
ce qu'il veut ob- tenir ; s'il éprouve, par exe
on trouve une certaine résistance quand on les com- prime avec les
doigts
. A l'intérieur de l'aorte, dans toute son étend
eau est épaissie, le pli que l'on y produit en la prenant entre les
doigts
mesure plus d'un centimètre; l'im- pression du
ant entre les doigts mesure plus d'un centimètre; l'im- pression du
doigt
ne s'y marque pas comme dans l'oedème, mais don
ien marquées, qui glissent sous la pression et, quoique donnant aux
doigts
la sensation du tissu lipomateux ou myxomateux,
habitude et ne causent aucune douleur lorsqu'on les saisit entre le
doigt
dans le rectum et la main placée sur l'abdomeu.
et les bras sont bien faits; les mains sont petites, ramassées, les
doigts
sont courts, et les rides de la peau, plus abon
tait large, gros; la peau commeoedématiée; les mains ramassées; les
doigts
épatés étaient rouges, cyanosés, comme infiltré
rs lentement étendu à angle droit, fixé au corps, le poignet et les
doigts
fléchis; les doigts s'étendaient ensuite; et to
à angle droit, fixé au corps, le poignet et les doigts fléchis; les
doigts
s'étendaient ensuite; et tout le membre était p
Après l'opération, le malade fut d'abord complètement paralysé des
doigts
du membre supérieur droit; de plus, il y avait
une perte de la sensibilité tactile du dos, de deux phalanges des
doigts
. Il ne pouvait localiser le toucher plus bas que
et; enfin il ne pouvait dire la position d'aucune jointure de ses
doigts
. Nous avons apparemment ici un exemple net de la
l'index gauche, qui consistaient en une opposition clonique de ces
doigts
, et qui se répétaient deux Archives, t. XII. 26
i nous avons montré que les mouvements d'opposition du pouce et des
doigts
peuvent être produits par une légère excitation
e la main était moins forte qu'auparavant et que les mouvements des
doigts
étaient un peu gênés. De plus, les réflexes pro
en juillet, le malade a eu quelques légères contractions dans trois
doigts
droits, aucune dans le pouce ni l'index ; aucun
-cutané. Chez les six hémi- plégiques, il y avait de l'athétose des
doigts
qui atteignait en outre les orteils (trois cas)
71. Uhthoif, 112, 118, 223. Vel-Ilenil, 59. Vogelgesang. 233.
Doigt
, 219. Voisin (A.), 196. Westphal, Il 2, 113,
e profondément située n'a pu être assez attirée en avant pour que les
doigts
agissent librement sur ses bords ; alors on intro
dehors et qui sert à extraire doucement le tampon sans le secours du
doigt
. Ce tampon ne doit guère rester qu'un jour dans l
au-delà du col, et qu'il est bien tourné vers le rectum, on retire le
doigt
et on fait tenir le spéculum par un aide. Si la p
souvent il suffit de préciser le siège de l'oblitération à l'aide du
doigt
introduit dans le vagin et d'une sonde placée dan
ne grande prudence pour ne pas dépasser les limites. Si en portant le
doigt
entre les lèvres de la plaie, on rencontre la fis
aie, on rencontre la fistule, on arrête la dissection; quelquefois le
doigt
touche la fistule dès que les deux coups de cisea
anus ; on commence par anesthésier la malade; puis, \\ l'aide de deux
doigts
intro-duits brusquement dans la vulve et exerçant
nde de manière à faire pénétrer son bec dans le cul-de-sac hernie, le
doigt
porté dans le vagin la reconnaît aisément; pour c
s excision. i" Excision avec suture. Après avoir introduit le petit
doigt
dans la vessie, afin de la protéger contre l'acti
étranglement. Procédé de M, Huguier. Après avoir introduit le petit
doigt
dans la vessie pour l'écarter, on applique des pi
tuante comme la cystocèle ; on y sent quelquefois des scybales, et le
doigt
, introduit dans le rectum, pénètre facilement d
le rectum, pénètre facilement dans la tumeur et rencontre un au-tre
doigt
qui explore le vagin ; un lavement, en vidant le
points de la vulve, et à la partie la plus basse de cette tu-meur le
doigt
peut pénétrer dans une petite ouverture par laque
paroi pos-térieure du vagin, et c'est en passant à côté d'elle que le
doigt
arrive sur l'utérus. Dans les deux cas, la sonde
e que le doigt arrive sur l'utérus. Dans les deux cas, la sonde ou le
doigt
ne font pas reconnaître la vessie ou le rectum da
xécution de ces deux premiers temps, l'opérateur peut placer les deux
doigts
de la main gauche dans le rectum, pour tendre les
uré qu'ils sont exactement au lieu convenable, une simple pression du
doigt
les porte à l'incandescence; l'opération faite, o
ui on dilate beau-coup plus, de manière à permettre l'introduction du
doigt
dans la cavité, ou au moins l'écartement des deux
e col dans l'axe du vagin au-tant que possible et on place le bout du
doigt
sur la lèvre in-férieure du museau de tanche, et
dicateur, on pénètre dans l'orifice externe du col. Alors on passe ce
doigt
derrière le col qu'on soulève un peu pendant qu'o
nces qui doivent détourner de tenter la guéri-son des flexions; carie
doigt
agit sur tous les organes voisins, la sonde n'agi
c-tum sont entraînées pendant la réduction, ce que l'introduc-tion du
doigt
permet de constater, on doit croire à des adhé-re
seur, il faut avoir soin de toujours l'aider de l'action d'un ou deux
doigts
portés sur le corps de l'utérus ; et en second li
même très-bien nettoyé on retire le spéculum plein et on introduit le
doigt
dans la cavité du col en pressant de l'autre main
la cavité du col en pressant de l'autre main sur l'hypogastre. Si ce
doigt
est arrêté par l'orifice interne on in-troduit un
graduellement tellement court, qu'il finit par disparaître et que le
doigt
ne rencontre plus qu'une tumeur sphérique, formée
du col, séparément, ou dans la cavité cervicale elle-même. Souvent le
doigt
peut suffire à constater l'absence d'orifice, mai
manière ; il en résulte une ou-verture assez large pour permettre au
doigt
de franchir l'ori-fice interne. Si l'incision que
l'instrument de Simpson; ils la complètent même de telle sorte que le
doigt
peut arriver sur l'orifice interne du col. Or on
quibb, égale-ment diluée. Après avoir passé ces bourdonnets entre les
doigts
pour les débarrasser de l'excès de liquide, on en
u'on l'attire à soi après avoir en-gagé dans son anse un ou plusieurs
doigts
, soit qu'on la ra-mène au moyen des crémaillères
spéculum on peut quelquefois introduire jusqu'au fond du vagin deux
doigts
de la main gauche et conduire sur eux la pince de
le plein de la chaîne embras-sera la partie antérieure du col, et le
doigt
portera la gaîne dans la concavité du sacrum. Lor
al. 11 est facile alors de saisir cet organe, et de repousser avec le
doigt
la portion du vagin qui a pu s'introduire dans l'
uger de l'état des tissus au niveau de la section, et on introduit le
doigt
dans le vagin pour voir si quelque point malade n
et le cathétérisme de la vessie. Ainsi dans l'allongement du col, le
doigt
introduit par le rectum fait constater la présenc
s, si l'on combine le toucher rectal avec le cathétérisme vésical, le
doigt
placé dans le rectum pourra sentir la sonde au-de
re qu'on est dans la substance propre de l'utérus, on peut retirer le
doigt
du rectum et s'en servir pour saisir le col ; on
faire saillir de manière à la rendre toujours facile à reconnaître au
doigt
et à l'œil. Les pinces de Museux étant alors appl
la chaîne ; s'il faut la porter un peu haut, on réunit en pointe les
doigts
de la main droite et on les introduit dans l'anne
isse très-large ; puis on cherche à saisir le polype en écar-tant les
doigts
, et, soit avec la main gauche, soit avec le secou
oclaste de M. Simpson. L'utérus ayant été abaissé par la pression, le
doigt
put être introduit dans le col jusqu'au polype et
n long manche. Après avoir légèrement abaissé le polype, soit avec le
doigt
, soit avec une pince de Museux, on introduit le c
polypes très-volumineux, parce qu'on peut toujours le porter avec le
doigt
sur le pédicule, si court et si gros qu'on le sup
s un trou fait à la base de ce dé permet de le tenir bien fixé sur le
doigt
qu'on porte jusqu'au pédicule du polype. Ce procé
mineux, immobiles dans le bassin, et ne permettant pas le passage des
doigts
ni des instruments autour d'eux. Cette opération,
amincie pour qu'on puisse sans peine arriver sur le pédicule avec les
doigts
et les instruments. Cet allongement des polypes a
-coup plus facile ; voici la description de l'auteur : J'introduis le
doigt
indicateur gauche sur le polype ; puis je prends
rès-forte pince à polype nasal, légèrement courbée ; j'engage avec le
doigt
le polype entre les mors de la pince, de manière
par une longue pince, et son pédicule par une pince plus petite; les
doigts
font glisser une hgature le long de cette pince.
partie supérieure du corps de l'uté-rus et n'était accessible ni aux
doigts
ni aux ciseaux; ce sont là, suivant lui, les seul
gin jusque sur le col, glisse le lithotome sur la face palmaire de ce
doigt
, le fait pé-nétrer dans le col, dont il incise le
ur augmenter par des pressions l'étendue des incisions. Puis, ce même
doigt
est porté sur le corps fibreux et l'ongle cherche
de la main gauche; pendant ces tractions, on détruit avec le bout du
doigt
les connexions celluleuses de la tumeur avec l'ut
des érignes les unes au-dessus des autres, au fur et à mesure que le
doigt
opérait le décollement,, en suivant toujours la m
et les efforts de la malade renversaient le fond de l'utérus comme un
doigt
de gant, ce qui facilitait beaucoup les derniers
é extraite, le chirurgien explore de nouveau la coque utérine avec le
doigt
, pour s'assurer de son état et pour chercher s'il
rps fibreux; mais il n'en résulte aucun inconvénient. Introduisant le
doigt
dans l'ouverture faite par la potasse, on parvien
ait ainsi à la fin de sa thèse : « Si le col permet l'introduction du
doigt
dans la matrice, si ce doigt peut en parcourir to
e : « Si le col permet l'introduction du doigt dans la matrice, si ce
doigt
peut en parcourir toute l'étendue et arriver jusq
é par la combinaison du toucher avec le palper hy-pogastrique ; si le
doigt
suit la limite du corps fibreux, soit sur la paro
e utérin peut fournir des renseignements qu'on demanderait en vain au
doigt
seul, et que la sévérité du jugement qui vient d'
t sa consistance normales ; quelquefois il est trop élevé pour que le
doigt
puisse l'atteindre. Il est très-important d'établ
r cette boutonnière on in-troduit une sonde cannelée ou simplement le
doigt
pour en compléter la section. En faisant cette in
er ainsi la dissec-tion jusqu'au col ; puis, dès qu'on peut passer le
doigt
autour de la tumeur, porter sur le col une ligatu
hlorure de fer à [\o degrés, appliqué très-légèrement avec le bout du
doigt
, ont donné des succès, même dans une déchirure du
le moindre mouvement, lorsque l'utérus lui-même est fixe, lorsque le
doigt
placé dans le vagin reconnaît des tumeurs globule
rche la partie la plus saillante de la tumeur ; puis il glisse sur ce
doigt
la canule d'un trocart d'environ 27 centimètres d
la cavité du kyste ; on retire alors la canule en l'ap-puyant sur le
doigt
resté dans le vagin, jusqu'à ce que l'extré-mité
n ou de grincement, semblable à celui qui se produit en prome-nant un
doigt
mouillé sur une vitre. Pour rechercher ce signe,
ne incision exploratrice, à tra-vers laquelle on introduit un ou deux
doigts
pour explorer la surface du kyste et reconnaître
oine dans la même étendue que la peau. Puis on introduit un ou deux
doigts
dans le ventre pour chercher les adhérences du ky
à les rompre, mais sans y mettre de violence ni de précipitation ; le
doigt
essaye de les décoller ; s'il n'y peut parvenir à
e de liquide dans la cavité abdominale. Pendant ce premier temps, les
doigts
, ou même la main entière si cela est nécessaire,
r même planche); ou enfin, si les parois du kyste se rompent sous les
doigts
, on peut, comme le recommande Nussbaum, introduir
ain dans la cavité de ce kyste et saisir les cloisons en pas-sant les
doigts
à travers. U ne reste plus qu'à saisir solidement
de; cette compresse préserve les intestins du contact de l'air et des
doigts
, les empêche de s'échapper, et préserve la cavité
supérieure de la vessie une ouverture assez large pour y passer deux
doigts
. La blessure de l'utérus gravide est un acciden
certaine épaisseur, au lieu de les diviser simplement avec le bout du
doigt
. L'emploi du cautère actuel, au lieu de ligatures
s l'angle inférieur de la cicatrice, déchira cette cicatrice avec les
doigts
écartés, mit le pédicule en liberté, saisit dans
n'ayant pas empêché les accidents de se reproduire, il introduisit le
doigt
dans la plaie de la paroi abdominale, détruisit q
rhagie qui suivit un essai de division des adhérences avec le bout du
doigt
, fut si abondante, que l'opérateur ne jugea pas p
u col de l'utérus, et par le glissement de la muqueuse du vagin. e.
Doigts
d'un aide. f. Sonde de femme traversant l'urèth
s fils; des cro-chets sont implantés dans la muqueuse du vagin, et un
doigt
dé-prime la fourchette pour permettre de bien déc
et instrument, on appuie sur les branches postérieures, soit avec les
doigts
, soit avec une pince dont les mors ont deux point
fil qu'on y voit est maintenu dans la paume de la main par les autres
doigts
. Figure xx. Ablation d'un polype fibreux par éc
men pour faire saillir le kyste ; l'opérateur fixe ce kyste avec deux
doigts
de la main gauche et sa main droite enfonce le tr
la main gauche et sa main droite enfonce le trocart près de ces deux
doigts
. Figure m. Pour faciliter l'extraction du kyste
a canule, on la saisit d'une main pour tirer le kyste au dehors ; les
doigts
de l'autre main poussent le kyste pour aider son
ant avec le cautère sur la crête saillante du clamp. Figure vi. Les
doigts
rompent les adhérences récentes et faibles. Fig
ecours d'aucun aide, des ligatures dans les cavités inaccessibles aux
doigts
; l'instrument fait le nœud et coupe le fil; il p
s'effectuer qu'à cette con-dition. Bien aplatir l'intestin entre deux
doigts
, au point où l'on va faire la piqûre, afin de le
il va traverser la prostate. Le dos du bistouri est tourné en bas. Le
doigt
introduit dans le rectum presse sur le dos du bis
ait un léger mouvement de bascule de bas en haut en s'appuyant sur ce
doigt
. La ponction se trouve ainsi convertie en incisio
étrant dans la ves-sie, ne touche pas le calcul c, mais en plaçant un
doigt
dans le rec-tum, et en appuyant avec ce doigt sur
l c, mais en plaçant un doigt dans le rec-tum, et en appuyant avec ce
doigt
sur le cathéter, le contact du calcul et de la so
u , et muni d'une boule de platine chauffée à blanc ; a et 6 les deux
doigts
indicateurs de l'aide, c Le cautère faisant la de
e est coupée au niveau de Fanneau inguinal externe. pour montrer le
doigt
de l'opérateur atteignant le bord inférieur du pe
v. Le chef de la ligature a été laissé dans la piqûre précé-dente. Le
doigt
du chirurgien atteint le pilier externe de l'anne
s l'aponévrose triangulaire et le pilier interne, contre le pubis. Le
doigt
de l'opérateur écarte le cordon spermatique et le
férieur de la plaie, et fait glisser le bistouri a, sur l'ongle de ce
doigt
, de manière à être sur de ne pas blesser le tronc
hée. Figure xxvi. Doigtier protecteur, de Loiseau, pour empêcher le
doigt
d'être mordu pendant qu'il maintient l'épiglotte
amarades ; lorsqu'il voulait écrire il éprouvait au début, dans les
doigts
et le poignet, une certaine raideur qui disparais
state facilement si on lui fait ouvrir et fermer successivement les
doigts
, ou si on lui fait faire des mouvements alterna
lusieurs secondes s'écoulent avant qu'il puisse ouvrir de nouveau les
doigts
; des effets semblables se produisent si on lui
l commence d'abord par exécuter un certain nombre de mouvements des
doigts
et du poignet pour assouplir ses muscles ; néan
produit par celle-ci, c'est-à-dire, dans ce cas, la ferme- ture des
doigts
sur une poire en caoutchouc tenue dans la paume d
membres inférieurs; les biceps, les deltoïdes, les fléchisseurs des
doigts
, pour les membres supérieurs, etc. Sur certains
muscles, notamment du biceps huméral, et du fléchisseur commun des
doigts
, etc. Le dispositif généralement employé était le
est le résultat. Lorsqu'on frotte énergiquement la bouche avec les
doigts
, ou qu'on fa- vorise avec des courants faibles
sis il laisse reposer ses mains sur ses genoux. Ce sont surtout les
doigts
qui se meuvent. Ils ne sont pas fléchis, il n'y
es membres inférieurs. Le malade étant même chaussé on voit que les
doigts
de pied exécutent des mouvements. L'extension e
onde phalange. Même lenteur, même exagération des mouvements qu'aux
doigts
, les uns par rapport aux autres, manifeste surtou
bstacle considérable. Comme le poignet participe aux mouvements des
doigts
, le tarséjzi l'articula- tion tibio-tarsienne a
ropage à tout le corps, mouvements des épaules, des avant-bras, les
doigts
se meuvent plus vite et plus fort, les membres in
us d'amplitude : flexion et exten- sion, adduction et abduction des
doigts
de la main. Mêmes phénomènes aux pieds ; de tem
bras fait de grandes oscillations, les mouvements athétosiques des
doigts
deviennent plus forts. Ce- ÉTUDE CLINIQUE SI" !
petits mouvements involontaires, il saisit brusquement l'objet, les
doigts
s'étendent mais ne lâchent pas, le pouce faisan
rarement auparavant. Au début ils commencent habituellement par les
doigts
, les mains et les poignets et moins fréquemment
hétose classique, hémiathétose d'Hammond, mouvements incessants des
doigts
avec impossible de maintenir ces parties clans la
fin la comparaison classique qu'on a faite entre les mouvements des
doigts
athétosiques et ceux des tentacules du poulpe o
ome de mer (Gairdner) (1) . Les malades fléchissent et étendent les
doigts
malgré eux, ils les écartent et les rapprochent
ennes, ils siè- gent surtout à l'articulation du métacarpe avec les
doigts
. Les mouvements les plus frappants sont la flex
et l'extension alternatives, sans être véritablement rhythmées, des
doigts
, d'où résultent des mouvements de fermeture et
t ceux d'ah et d'adduction qui font que lorsque la main s'ouvre les
doigts
sont en gé- néral fortement écartés les uns des
l'abduction, elle répond habituellement à deux types : ou bien les
doigts
sont unifor- mément écarquillés, en forme de pa
l'un par l'index et le- médius, l'autre par l'annulaire et le petit
doigt
et qui sont en abduction forcée l'un par rappor
acun séparément ; sou- vent aussi dans ces contractions isolées des
doigts
se produit cette sorte d'antagonisme qu'on vien
gonisme qu'on vient de remarquer il propos de l'abduction entre les
doigts
innervés par le médius et ceux qu'inerve le cubit
e cubital. L'index et le médius d'une part, l'annulaire et le petit
doigt
de l'autre forment des groupes qui se meuvent d
e. Les oscillations du poignet ont le même caractère que celles des
doigts
. Il peul se mouvoir dans tous les sens : flexio
et cubital, mais sur ce dernier de préférence. Lents comme ceux des
doigts
, mais moins étendus, se succédant sans régu- la
é variable, après viennent les flé- chisseurs et les extenseurs des
doigts
long et court, abducteurs du pouce, les muscles
econde phalange. Même lenteur, même intensité des mouvements qu'aux
doigts
, même indépendance des orteils. Comme le poigne
des orteils. Comme le poignet participe parfois aux mouvements des
doigts
, l'arti- culation tibio-tarsienne accompagne au
v, et ressemblent par leurs caractères à ceux des avant-bras et des
doigts
. Ils consistent en une protection légère de la tè
e balanciers destinés à maintenir l'équilibre. Pendant ce temps les
doigts
raidis sont le siège de ces mouvements invo- lo
que qu'elle s'aperçut de l'existence de mouvements athétosiques aux
doigts
de deux mains seulement. A l'âge de six ans ell
sont accolés au tronc, les avant-bras fléchis, les mains unies. Les
doigts
enlacés reposent sur les cuisses. C'est la une po
une posi- tion préférée, car ainsi les mouvements involontaires dos
doigts
et cle la main sont réduits à leur minimum. Qua
éduits à leur minimum. Quand les mains reposent sur les genoux, les
doigts
et les poignets sont le siège de mouvements lents
ents tout à fait semblables à ceux de l'hémiathétose, On voit les
doigts
des mains s'unir et se désunir continuellement. C
t les doigts des mains s'unir et se désunir continuellement. Chaque
doigt
séparément passe de la position de flexion à cell
ainsi que la malade a souvent à gauche le poignet fléchi, tous les
doigts
en flexion, tandis que le poignet droit et les do
léchi, tous les doigts en flexion, tandis que le poignet droit et les
doigts
en extension ou abduction ou encore adduction.
e, une plume par exem- ple, elle la prend maladroitement, serre ses
doigts
dessus avec effort et la garde sans la laisser
fait de l'effort fait par la malade pour arrêter les mouvements des
doigts
qui tiennent la plume. Elle n'y réussit ce prix
LATHÉTOSE DOUBLE. 75 isolément. Mémo lenteur, même intensité qu'aux
doigts
, même indépendance dans leurs mouvements. Les
yon était tenu convulsivement entre le pouce et l'index, les autres
doigts
étaient trop fortement serrés et trop mal habil
ollés au tronc, les mains se joignent pour se séparer ensuite ; les
doigts
s'étendent ou se fléchissent, s'enlacent, s'écart
de gros objets, les petits objets glissent assez facilement de ses
doigts
. Membres inférieurs. Les mouvements athétosique
. Pendant cet exercice les mouvements athétosi- ques de la face des
doigts
et des orteils sont à leur maximum.. Pas de par
on, en pronation et en supination, les mains se fléchissent, et les
doigts
se placent en flexion sur le métarcarpe, en s'é
n du membre, son adduction, la flexion du poignet, la déviation des
doigts
vers le bord cubital, etc. Au niveau des membre
le malade exé- cutait des mouvements de flexion et d'extension des
doigts
répétés aussi vile que possible ; le myonralthe
. Inscription des pressions produites par la 11-xion volontaire des
doigts
. C. Inscription prise dans les mêmes conditions q
et de cette contraction, c'est-à-dire les mouvements de flexion des
doigts
; il a été recueilli en faisant tenir par le mala
le la hauteur de la cuisse prise de ce dernier pointa un travers de
doigt
environ au-dessus du grand trochauter, au point o
- pelle module. Pour les Egyptiens, par exemple, le module était le
doigt
médius contenu 19 fois dans la hauteur du corps
les Grecs c'était le palme ou la largeur de la main à la racine des
doigts
; pour les modernes c'est la hauteur de la tète
e lui, à l'endroit où les téguments s'enfoncent sous la pression du
doigt
. La ligne horizontale menée par ce point de rep
upérieur qui mesure dans sa totalité de l'acromion à l'extrémité du
doigt
médius, pas tout à fait 3 tètes 1 '2. En suppri
té du doigt médius, pas tout à fait 3 tètes 1 '2. En supprimant le'
doigt
médius, c'est-à-dire le point fermé, il mesure ex
sie sur les extenseurs. Main droite : poignet 'Jeu flexion légère ;
doigts
très fortement fléchis ; il est impossible au mal
. Main yauche en griffe. Flexion des deux dernières phalan- ges des
doigts
, de la dernière phalange du pouce : le malade peu
es phalanges (interosseux) ainsi que le poignet : on redresse ( les
doigts
sans peine, aucune contracture ne s'y oppose. 1
et s'accomplissent avec une force normale. Extension et flexion des
doigts
légèrement incomplètes et surtout sans force. Los
ulaire. On ne peut fléchir complètement la troisième phalange de ce
doigt
, ni étendre complè- tement la deuxième : la têt
e sur la face dorsale do l'articulation pbaiango-pbaianginienno. Ce
doigt
est rouge ; il était le siège de prédilection d
lection des engelures dont le malade dit avoir souffert. Les autres
doigts
présentent des modifications analogues : on no pe
onlinuels, qui oc- cupent les quatre extrémités, en particulier les
doigts
et les orteils, la face et parfois certains mus
res, principalement aux mains, des déformations et subluxations des
doigts
assez semblables à celles qui existent dans le rh
etc., empêcheront une mé- prise. Les mouvements involontaires des
doigts
et surtout de la face dans l'a- thétose double,
ons rhythmées de petite étendue et de durée courte ; la main et les
doigts
tremblent individuellement, les phalanges sont ét
ent, les phalanges sont étendues, les unes sur les autres, mais les
doigts
sont fléchis sur le métacarpe. Le (1) Gilles de
RARES DE LA MALADIE DE PARKINSON. 225 neuses ; les quatre derniers
doigts
étendus dans leur ensemble et accolés les uns a
es, la peau est lisse, tendue, amincie. Le tremblement occupe les
doigts
et la main ; il ne monte pas plus haut que l'av
aussi, il fait faire à chaque instant des mouvements de flexion des
doigts
, du poignet, du coude ; c'est aussi pour combattr
de même que le poignet; la main est ramenée vers la cein- ture, les
doigts
en demi-flexion, le pouce appliqué contre l'index
as droits ; au bout de 6 à 8 mois, le tremblement apparut, limité aux
doigts
et à la main, la raideur dominant toujours, et
elle est dans son ensemble fortement déviée vers le bord cubital, les
doigts
sont complètement fléchis, surtout les trois de
228 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. ment la main et les
doigts
, qui après quelques mouvements provoqués conserve
, aux deltoïdes, aux biceps, aux fléchisseurs et aux extenseurs des
doigts
, aux pectoraux, etc. Un choc, même léger, avec
Des percussions légères, soit avec le marteau, soit avec le bout du
doigt
, suffisent pour produire la contraction tonique
maladresse, une légère raideur des mouvements, surtout de ceux des
doigts
. Dans l'athétose double la rai- `deur est moins
s convulsifs se déclarent dans la tétanie aux bras et sur- tout aux
doigts
, s'étend de là à tous les muscles brachiaux et pu
avait rencontré des tremblements et des secousses involontaires des
doigts
. Remak déclarait que, dans son cas et dans celu
l y a un léger oedème sur le pied et au ni` eau des malléoles où le
doigt
laisse un instant son empreinte. Les règles son
ononcé et que la marche exagère; ils sont enflés depuis un mois, le
doigt
s'y en- fonce et sa trace est assez persistante
de volume porte éga- lement sur la portion métacarpienne el sur les
doigts
, la largeur des doigts est en harmonie avec leu
lement sur la portion métacarpienne el sur les doigts, la largeur des
doigts
est en harmonie avec leur longueur, les phalang
Cette teinte cyanotique très intense remonte jusqu'à trois travers de
doigts
au-dessus du poignet, elle envahit à la fois to
s toute la main sans qu'on puisse remarquer si elle commence par un
doigt
plutôt que par un autre ; la pres- sion la fait
, ils consistent surtout en fourmille- ments et en crampes dans les
doigts
et dans la main, avec de temps en temps des sen
les trophiques, mais D... raconte qu'il a eu, il y a 2 ans, sur les
doigts
, des ul- cérations précédées de phlyctènes, don
Il se rappelle en outre qu'à la même époque il ressentait dans ses
doigts
quelques fourmillements et quelques engour- dis
aigrissement était apparent au niveau des éminen- ces thénar et les
doigts
se fléchissaient vers la paume. Ces déformations
re été attirée à cette époque sur cepoint. L'exa- men des nerfs des
doigts
amputés fait par M. Gombault montra l'existence
de saillant n'est survenu, sauf que l'atrophie a progressé, que les
doigts
se sont de plus en plus dé- viés et fléchis et
n ces régions. Les deux pouces sont sur le même plan que lès autres
doigts
et ne peuvent exécuter qu'un très léger mouveme
aissis, irréguliers. A la main, la peau est d'as- pect normal ; aux
doigts
, elle est lisse, fine et rosée. Aux membres inf
eu fléchis et très fortement déviés en dehors au-dessous des autres
doigts
qu'ils soustendent. Les deux seconds doigts son
s au-dessous des autres doigts qu'ils soustendent. Les deux seconds
doigts
sont un peu diminués de volume mais ce sont sur-
E. 297 Membres supérieurs. Mouvements athétosiques des mains et des
doigts
plutôt rapides ; en extension, flexion, adducti
e poignet, portée vers le bord radial. Avec quelques mouvements des
doigts
, de temps à autre, on peut facilement étendre l
ements des doigts, de temps à autre, on peut facilement étendre les
doigts
et la main ; elle n'a pas de contrac- ture, sou
quand il veut prendre un objet avec cette main il étend à demi ses
doigts
et prend l'objet entre la paume de la main et t
i ses doigts et prend l'objet entre la paume de la main et tous les
doigts
réunis. Circonférence du bras à sa racine 16 1/
quelques mouvements d'adduction et d'abduction. Les phalanges des
doigts
sont dans l'extension forcée telle qu'ils prennen
antéro-postérieurs incessants (de flexion), commençant par le petit
doigt
pour s'étendre aux autres, mais peu tendus et en
en même temps de mouvements d'adduction et d'abduction de tous les
doigts
conformes aux pre- miers se passant au niveau d
-bras sont fléchis, les mains sont fléchies sur les avant-bras et les
doigts
sont fléchis dans la paume de la main, le pouce
tant et il se produit alors des mouvements athétosiques de tous les
doigts
pendant une demi-minute environ. La ligne épineus
set. On trouve six fois le palme (le palme mesure quatre travers de
doigt
) dans la hauteur de la jambe, six fois depuis le
ôles et demie, de la clavicule (extrémité externe) à l'extrémité du
doigt
médius, et ces trois têtes et demie se répartis
oignet est maintenu de même en légère flexion sur l'avant-bras. Les
doigts
, immobilisés par le décubitus dorsal ou latéral,
particuliers amènent en outre l'extension et la flexion brusques des
doigts
de la main droite. Le malade ne tarde pas à ram
u'à la jambe. Enfin, les orteils du pied droit ne sont pas, comme les
doigts
de la main droite, le siège de mouvements parti
e comme athétose vraie les mouvements d'ex- tensionetde flexion des
doigts
de la main droite. Pour toutes ces raisons, il
re. On lui demande de lire la feuille d'hôpital. - Elle parcourt du
doigt
qui s'arrête à son nom « Leroy qu'elle prononce
sément aussi l'observation sur soi-même, en appliquant la pulpe des
doigts
réunis sur les muscles de la nuque pendant la m
volution à l'intérieur du thorax. Dans les cas les plus accusés, le
doigt
enfoncé horizontalement au-dessus de la crête i
us sentir la onzième côte, lorsqu'on la suit d'arrière en avant, le
doigt
la perd dans la ligne scapulaire. Malgré cet af
tes présentent la même friabilité et sur le cadavre on peut avec le
doigt
enfoncer la lame osseuse externe en produisant
espèce de rage ». Pour y avoir touché plusieurs s'y sont brûlé les
doigts
, et même à certaines époques, à pareil jeu, on s'
ents. Si l'on ordonne au malade de prendre son verre, de porter son
doigt
au nez, on note tout de suite une grande incoor
en dessinés. A la face dorsale, il n'y a rien de particulier. Les
doigts
sont gros, élargis, aplatis. Ces caractères sont
LAIGNEL-LAVASTINE Phalanges. Plusieurs phalanges des orteils et des
doigts
ont été conser- vées pour l'examen histologique
veau des oreilles, du bout du nez, des lèvres et des extrémités des
doigts
qui présen- tent en outre une déformation en ba
main est en flexion sur l'avant-bras, les pre- mières phalanges des
doigts
sont légèrement fléchies, les autres en extension
iolacée au niveau de la matrice des ongles, mais les extrémités des
doigts
ne sont pas déformées ; il n'y a pas de cyanose
pulmonaire et une dilatation du coeur droit. Cyanose gé- néralisée,
doigts
en baguettes de tambour. Le z malade a une malfor
Morax. 200 BAUINSIfI ET TOUFESCO triculaire. Cyanose généralisée.
Doigts
en baguettes de tambour.Hyperglo- bulie (8,150,
s régions tuméfiées était pâle; elle ne conservait pas l'empreinte du
doigt
; la température locale mesurée avec le thermomè
u poi- gnet, qui ne démangeait pas, qui- ne gardait pas le godet du
doigt
. Après '2fi heures l'oedème avait disparu de la
ne. L'oedème était toujours pâle et ne conser- vait pas le godet du
doigt
. Pendant une semaine la malade fut soumise à une
ain gauche est éthétiquement parfaite; pas trop maigre, étroite,aux
doigts
longs et bien modelés.La main droite avant sa mal
sente un peu ridée superficiellement, quoi qu'elle soit tendue. Les
doigts
sont potelés : chaque phalange est tuméfiée pour
diminution de volume brusque. Le pied est au contraire tuméfié. Les
doigts
potelés, en saucisson. C'est un vrai pied succule
méfiée du membre est pâle; la peau est un peu ridée. La pression du
doigt
ne laisse pas le godet. La température locale est
ère. - A droite et en avant : sonorité normale jusqu'à 3 travers de
doigt
, à partir de ce point, submatité jusqu'au mamel
arrière, murmure vésiculaire très atténué jusqu'à trois travers de
doigt
de la base. En avant et dans la région axillaire,
u n'est perçu en arrière que sur une hauteur de quatre tra- vers de
doigt
à partir de la base. Il s'entend très bien en ava
ant et sur le côté, à partir d'une ligne passant à trois travers de
doigt
au-dessus du mamelon. Il y avait lieu de penser
Percussion à droite : en avant submatité commençant à 3 travers de
doigt
de la clavicule et augmentant peu à peu vers la
peu à peu vers la base. En arrière, submatité, jusqu'à 4 travers de
doigt
de la fosse sus-épineuse. Auscultation : en hau
per- sonnes, dont la profession exige une adresse particulière des
doigts
, un tour de main spécial. L'origine et la pat
ait les muscles interosseux, les extenseurs et les fléchisseurs des
doigts
.Il suffit d'une cause quelconque, comme la paré
un établissement de commerce, est prise un jour d'une gêne dans les
doigts
pendant l'écriture. Croyant à une fatigue momen
elle se repose quelques instants, dépose la plume, fait mouvoir ses
doigts
et-reprend l'écriture. A peine a-t-elle fait quel
ques lignes, qu'elle ressent de nouveau la même gêne dans les mêmes
doigts
. Elle est forcée de se reposer plus souvent ; e
ée de se reposer plus souvent ; elle redresse de temps en temps ses
doigts
, corrige fréquemment la position du cahier, du
st enchanté, il se sent déjà débarrassé de cette gêne ennuyeuse des
doigts
pendant l'écri- ture. Il a trouvé son salut : s
, hexagonal, quadrilatère, etc. Malheureuse- ment, la gêne dans les
doigts
ne tarde pas à revenir et parfois avec plus de
ire quelques lettres et même quelques mots pour qu'il sente que ses
doigts
se crispent, le porte-plume se met à exécuter d
ils en cuir moulu, destinés à fixer le poignet, à éloigner le petit
doigt
, à suspendre l'avant-bras pendant l'écriture, afi
d'attirer l'attention sur la modification subie par les muscles des
doigts
. Il est évident que c'est dans la modification de
eux en massant les muscles avec les extrémités d'un ou de plusieurs
doigts
. Méding guérit les crampes des écrivains par le
ple, on arrive à introduire sous cette voûte spasmodique un ou deux
doigts
. Cette contracture se constate également pendan
premier métacarpien et la saillie des tendons du long extenseur des
doigts
. Cette disposition nous conduit à l'application
lexion du pouce sur le premier métacarpien, flexion légère des autres
doigts
. Nouvelle Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE T. X
ent, le foulage, etc. Les interosseux sont massés par la pulpe d'un
doigt
, de préfé- rence la pulpe de l'index ; les mano
situés profondément. Pour les opposants du premier et du cinquième
doigts
, nous faisons les effleurages et les pressions av
e une ficelle avec un petit sceau. On attache le sceau sur différents
doigts
et on fait tirer le sceau dans de différents se
la surface dorsale de la main ou plutôt sur la surface dorsale des
doigts
. On projette la balle et on la saisit avec la m
ette de nouveau et on la laisse tomber sur la surface dor- sale des
doigts
entre l'index et le médius, ou entre le médius et
près de la même façon. On place la pièce sur la surface dorsale des
doigts
, on la pro- jette en l'air, on la laisse tomber
la surface dorsale du médius et de l'annulaire, l'index et le petit
doigt
se trouvent placés sur la canne. Cette disposit
ion peut se déterminer par l'extension du troisième et du quatrième
doigt
, et par la flexion de l'index et du petit doigt,
ème et du quatrième doigt, et par la flexion de l'index et du petit
doigt
, la main, l'avant- bras et le bras étant en ext
u'elle se trouve placée sur la surface dorsale de l'index et du petit
doigt
, le médius et l'annulaire sont placés sur la ca
e. Dans ce cas nous aurons l'ex- tension de l'index et du cinquième
doigt
et la flexion du médius et du qua- trième doigt
dex et du cinquième doigt et la flexion du médius et du qua- trième
doigt
. On fait plusieurs tours à la canne afin de chang
la canne afin de changer alternativement l'extension de différents
doigts
. Il est facile de comprendre pourquoi nous alte
n spasme avec flexion de l'index ou d'un spasme avec crispation des
doigts
, ou bien d'un spasme avec adduction du pouce ?
a majorité des cas le spasme a lieu avec la contracture brusque des
doigts
. Nous avons, cependant, rencontré des cas où cett
s où cette contracture s'est accompagnée d'un redressement du petit
doigt
ou d'une extension brus- que de l'annulaire. Da
patient place le porte-plume entre le pouce et la face palmaire des
doigts
et pose la main sur la face dorsale. Pendant le
oit arriver à toucher chaque clavier avec la face dorsale de chaque
doigt
. L'exercice doit être exécuté avec la main, placé
éplace- ments de la main sur les cordes, aux trépidations de chaque
doigt
. Pendant ces exercices, le patient se rend comp
exercices, le patient se rend compte de la souplesse acquise par les
doigts
. Quand il est sûr de la mobilité presque facile
r les doigts. Quand il est sûr de la mobilité presque facile de ses
doigts
, nous lui conseil- lons d'essayer de,jouer les
le siège de mouvements athétosiques, les déformations impriment aux
doigts
et aux poignets des attitudes qui rappellent en q
voulait mobiliser les articulations. La déviation de la main et des
doigts
en flexion, l'attitude en extension forcée du p
fléchisseurs et du cubital ; il est impossible de la redresser. Les
doigts
doivent être étudiés séparément. En commençant pa
bord 244 GAUSSEL cubital de la main, il est évident que le petit
doigt
et l'annulaire forment une griffe à la constitu
onstitution de laquelle participent les trois phalanges de ces deux
doigts
qui sont fortement fléchies dans la main. Le médi
mais la flexion est moins forte que pour l'annu- laire et le petit
doigt
et de plus il est déjeté latéralement sur l'annul
la main. Il est à remarquer que cette attitude est fixe pour chaque
doigt
, les divers segments des doigts paraissant anky
cette attitude est fixe pour chaque doigt, les divers segments des
doigts
paraissant ankylosés l'un par rapport à l'autre.
formé par l'index ou de vaincre la flexion des phalanges des autres
doigts
. Au contraire, chaque doigt, pris isolément, pe
re la flexion des phalanges des autres doigts. Au contraire, chaque
doigt
, pris isolément, peut en totalité être mobilisé
culations métacarpo-phalangiennes, la même raideur qu'au niveau des
doigts
ou du poignet. La sensibilité, au membre supéri
Au niveau des masticateurs, la faiblesse constatée est telle, que le
doigt
, in- troduit entre les molaires postérieures, p
(ils2) a observé ce phénomène dans les paupières ; Jollet (53), aux
doigts
de la main ; Meige (54) et Hallopeau (54), à la
Cet oedème dans ses premières périodes maintient un peu le godet du
doigt
[Meige (57), Vigouroux (58), Lannois (59)], et
cutané, c'est-à-dire un tissu solide, est hypertrophié. Le godet du
doigt
est maintenu seulement à l'occasion d'une gène co
cyanose, et au lieu d'être dur, résistant, il conserve le godet du
doigt
, car il ne s'agit plus d'une vraie hypertrophie d
risé par un oedème dur, résistant, qui ne maintient pas le godet du
doigt
, qui ne diminue pas par la compression, ni par la
nctif est précédée par un oedème dur, mais qui conserve le godet du
doigt
[Meige lui>7), Vigouroux (58), Lannois (59)]
l'index sur le menton, presque sans appuyer. Plus tard il suffit du
doigt
placé au milieu du front ou entre les sourcils (g
es circonstan- ces exceptionnelles qu'elle est obligée de mettre le
doigt
sur le front, très rarement aussi la tête tourn
faible, en appuyant un peu et cela pendant toute la séance : « nos
doigts
donnent de la force aux siens ». Au bout de q
de, les secousses très rares, nous n'appuyons plus alors qu'un seul
doigt
sur le deuxième métacarpien ; plus tard nous plaç
é- tacarpien, enfin sur le poignet. Quelquefois le secours de notre
doigt
est inutile. Au bout de quatre semaines la mala
ez ». Durant chaque séance nous faisions de la psychothérapie ; nos
doigts
mis sur sa main n'étaient dans notre idée qu'un
alade et à venir en aide à la psychothé- rapie. Elle disait que ses
doigts
devenaient plus forts, que les nôtres don- naie
lieu du traitement, quand la malade écrivait, si nous retirions nos
doigts
, l'écriture restait correcte, tant que la malad
ousses apparaissaient. Si l'on ne veut voir dans la position de nos
doigts
sur la main de notre malade qu'un simple geste
torticolis mental, la malade opère de la même manière, plaçant son
doigt
, sur le menton d'abord, puis sur le front, etc.
ête humé- raie se subluxe en avant et en arrière des deux côtés. Le
doigt
sent une en- coche sous-acromiale assez marquée
aboutit à une dépression quadrangulaire correspondant au bregma. Le
doigt
qui suit ce sillon vient buter sur le rebord sa
dans un cristallisoir et baignées d'une haute couche (2 travers de
doigt
) de collodion non riciné et peu concentré. Le cri
s en temps ils sem- blent pris de spasme et se refusent à suivre le
doigt
de droite à gauche. Intelligence et mémoire un
ydermique. Clonus du pied. Le malade ne suit pas avec ses yeux le
doigt
; mais il existe des mouvements spontanés des y
ntes, le pouce tombant à droite, le pouce gauche étendu, les autres
doigts
plus ou moins étendus suivant le moment. Les ja
errer les mains. ' Tremblement de la main quand on fait étendre les
doigts
, droits et gauches. Pas de tremblement dans l'a
Yeux. - Muscles difficiles à examiner, le malade ne suivant pas le
doigt
quand on le lui commande. Mais quand il tourne
ntre que quand on dit au malade d'étendre les mains en écartant les
doigts
. Nous pensons que ce tremblement est l'analogue
28). Quant à la diffi- culté que le malade a de suivre des yeux le
doigt
de l'observateur, nous ne pouvons nous détermin
mains et à la face plantaire des pieds, mais surtout aux pulpes des
doigts
et des orteils sur lesquels perlent même fréquemm
eaucoup diminué. Peu de temps après, il ne pouvait plus étendre les
doigts
, nous dit-il ; de même aux pieds, il pouvait plie
abduction et en rotation externe et sur le même plan que les autres
doigts
. Les deux dernières phalanges des quatre dernie
les autres doigts. Les deux dernières phalanges des quatre derniers
doigts
sont un peu fléchies sur la première. La main e
x membres supérieurs sont réduits, le malade peut à peine plier les
doigts
dans l'intérieur de la paume, et encore il ne réu
de flexion et d'opposition. Le rapproche- ment et l'écartement des
doigts
sont impossibles. Cependant il peut manger tout
is il soulfre de douleurs dans les genoux et dans les jointures des
doigts
. A l'âge de 14 ans, sont survenus des maux de t
ie. A cet âge il commença à perdre petit à petit les mouvements des
doigts
. Plus tard il pouvait encore effectuer la flexi
ans l'articulation scapulo- humérale, tandis que les mouvements des
doigts
et du poignet étaient abolis. Enfin il entre da
rotation en dedans, aussi il arrive sur le même plan que les autres
doigts
, la dernière phalange du pouce légèrement fléchie
ion et de rotation. Dans l'articulation du coude, du poignet et des
doigts
"les mouvements sont interdits. On doit lui donn
e, parcheminée et tout le temps couverte de sueur, sur la pulpe des
doigts
on voit même de nombreuses petites gouttelettes d
achial, contractions nulles. Le long supinateur, les extenseurs des
doigts
, les fléchisseurs des doigts, les interosseux p
Le long supinateur, les extenseurs des doigts, les fléchisseurs des
doigts
, les interosseux palmaires et dorsaux, contract
s : triceps brachial, biceps, long supinateur, extenseur commun des
doigts
, fléchisseur commun des doigts, interosseux, cont
ong supinateur, extenseur commun des doigts, fléchisseur commun des
doigts
, interosseux, contractions nulles. Nerfs médian
ateur, 10 m. A., NFC PFG, contractions fortes. Extenseur commun des
doigts
, 10 m. A., NFC > PFC. Fléchisseur commun des
r commun des doigts, 10 m. A., NFC > PFC. Fléchisseur commun des
doigts
, 10 m. A., NFC > PFC. Interosseux, contracti
ie acromiale ; entre les deux, il est à peine possible de passer le
doigt
. Légère rotation de la face du côté où la tête
rmale, et est d'autant plus facile qu'on peut à loisir promener son
doigt
contre la paroi posté- rieure de t'arrière-bouc
nt le long du corps, par un espace où logent transversalement trois
doigts
. La hanche gauche est saillante et beaucoup- pl
rte également sur les quatre membres. Après extension des bras, les
doigts
, au lieu d'atteindre et de dépasser le mi- lieu
t au contact les uns des autres au niveau de la lre pha- lange, les
doigts
s'amincissent et se séparent vers leur extrémité,
. suite de la disproportion de la tête numérale), n'atteignent, les
doigts
étendus, que la crête iliaque ou le grand troch
a 492 PORAK ET DURANTE insisté. Elles sont courtes, épaisses. Les
doigts
sont de dimension presque égale, donnant à la m
rgence des dents d'un trident (mains en trident). Le métacarpe, les
doigts
présentent une lon- gueur moindre que chez l'in
nence des muscles antéro-exterues de la jambe très développés. Les
doigts
sont d'égale longueur. L'extrémité céphalique p
tions diverses ont été signalées dans quelques cas : existence de 6
doigts
(Virchow, Bode, Kaufmann), subluxation de la hanc
u adipeux peut faire défaut. Dans le cas que nous avons publié, les
doigts
n'arrivaient pas à la crête iliaque, et le racc
onstitués par un tissu osseux mince, dépressible, crépitant sous le
doigt
comme du carton (crâne parcheminé de S. Mùller,
a- tions diverses (anencéphale, foie, rein, pancréas kystiques, six
doigts
à chaque extrémité), qui, à côté de membres sup
lisée aux membres, l'aspect boudiné des extrémi- tés, l'égalité des
doigts
, la tête volumineuse à bosses saillantes sont des
des membres et du tronc, il n'y a pas inversion rhizomélique ; les
doigts
sont courts, renflés, trapus, mais n'ont pas l'as
s = cent. 8. La main,de l'apophyse styloïde du radius la racine des
doigts
= 6 cent. 1/2. L'avant-bras du sommet de l'olécrâ
x et l'annulaire sont éloignés du médius et la différence entre ces
doigts
est minime. La face dorsale de la main est arro
for- mation spéciale des mains de ces malades. La longueur de leurs
doigts
est à peu près égale et les doigts rapprochés p
es malades. La longueur de leurs doigts est à peu près égale et les
doigts
rapprochés par leurs premières phalanges s'éloi
al. Elle présente une légère dévia- tion vers son bord cubital. Les
doigts
sont courts et écartés les uns des autres, et l
oite, laquelle lui donna la possibilité de jouir de l'usage de deux
doigts
(1). Le sujet est alcoolique, et il s'adonne vo
u bord cubital au bord radial d'une façon contraire à la normale.
Doigts
. Le premier doigt a trois phalanges : la première
bord radial d'une façon contraire à la normale. Doigts. Le premier
doigt
a trois phalanges : la première d'une longueur
ormales; les deux inférieures fléchies et très petites. Le deuxième
doigt
présente seulement l'extrémité articulaire métaca
a été réséqué par le chirurgien. Pour ce qui con- cerne les quatre
doigts
suivants, on peut affirmer que tandis que les pre
r des renseigne- ments. Un fait est pourtant certain : le cinquième
doigt
présente trois phalanges complètes fléchies l'u
à la main droite : mêmes anomalies numériques et morphologiques.
Doigts
. Pour ce qui concerne la morphologie des doigts,
et morphologiques. Doigts. Pour ce qui concerne la morphologie des
doigts
, le fait qu'il n'y a pas eu d'opération chirurg
ous attirons aussi l'attention sur la deuxième phalange du deuxième
doigt
radial qui se présente très longue, très mince
e une espèce de capuchon à l'uni- que phalange visible du troisième
doigt
. Très intéressant aussi le sixième doigt qui pa
halange visible du troisième doigt. Très intéressant aussi le sixième
doigt
qui paraît formé par trois phalanges dont la de
Les orteils sont au nombre de sept. Tandis que l'interprétation des
doigts
est presque impossible, ici nous pouvons nous o
s deux orteils placés du côté tibial sont surnu- méraires. Aux cinq
doigts
normaux correspondent cinq métatarsiens qui ne
s au bord radial pour ce qui concerne le carpe et le métacarpe. Les
doigts
sont tous atteints ; . 2° Bassin étroit par r
n parfaite tous les cas connus dans la science, selon le nombre des
doigts
. Il est très important à noter que dans le plus g
fi a fait la même remarque à propos des sujets qui présentaient 778
doigts
. Pophan (31) observa trois auricu- laires greff
s et des pois- sons qui portent une vingtaine de métacarpiens et de
doigts
; et selon ses idées, la polydactylie serait un
appela ]Jr'oer'adiaux ou postulnaires ; et il croit que ces petits
doigts
sont le rudiment de doigts possédés par les ancêt
ostulnaires ; et il croit que ces petits doigts sont le rudiment de
doigts
possédés par les ancêtres des Dipnoes. Les sc
Les schémas de Gegenbanr (35) démontrent aussi que la main à cinq
doigts
de l'homme ainsi que celle des vertébrés des quat
ère (Gallus pentadactylus de Buffon). Dans le cheval la présence de
doigts
surnuméraires est assez fréquente : De Christol (
o- lymyélie et la polydactylie par la mutilation des membres et des
doigts
. Chez les Pleurodes qui possèdent parfois six d
membres et des doigts. Chez les Pleurodes qui possèdent parfois six
doigts
à chaque patte (Leydy), Girard (48) a pu produi
n (3) a vu un ongle nouveau pousser sur la deuxième pha- lange d'un
doigt
auquel il avait amputé la première. Jauvelle (4)
la syndactylie. Dans ces cas la membrane ne relie pas seulement les
doigts
surnuméraires aux doigts normaux, mais aussi le
cas la membrane ne relie pas seulement les doigts surnuméraires aux
doigts
normaux, mais aussi les doigts normaux entre eu
ulement les doigts surnuméraires aux doigts normaux, mais aussi les
doigts
normaux entre eux. Nous pouvons trouver des o
un argument de sa théorie. L'étude de la formation embryonnaire des
doigts
et de leur séparation fournit au contraire des
s qui représentent les ex- trémités ne montre pas même la trace des
doigts
. Dans ces bourgeons, dans l'intérieur desquels
r former les par- ties du squelette et les parties musculaires, les
doigts
sont les derniers à se former : et ils se forme
(Forcer), on peut voir quatre- sillons qui doivent diviser les cinq
doigts
déjà formés à l'intérieur. Si nous songeons qu'à
illons s'approfondissent peu à peu jusqu'à la division complète des
doigts
; et c'est un procédé qui a été nombre de fois
ire par des bourgeons épithé- liaux qui s'approfondissent entre les
doigts
. Si une cause externe empêche le développement
Cette observation démontre avant tout que la séparation normale des
doigts
se fait par un procédé qui facilement peut s'ar
te extrémité dans cette époque sont orientées pour la formation des
doigts
, le résultat a été une formation des doigts sur
s pour la formation des doigts, le résultat a été une formation des
doigts
surnuméraires du côté irrité. Vraiment, dans le
par Busachi et Ortaldo (88), 37 présentaient l'ab- sence de quelque
doigt
. Ce fait d'observation, à savoir que dans les cir
- naire. Le processus normal par lequel s'accomplit la division des
doigts
est très habile et présente très facilement un
t la présence des brides amniotiques qui maintiennent adhérents les
doigts
néoformés. Frcelicla (89) a récemment observé u
mniotique, oligamnios) a sans doute entravé la normale division des
doigts
(1). (1) Pour ce qui concerne le membre inférie
à nier dans les membres supérieurs. Les mains sont formées par six
doigts
. Mais tan- dis que les premières phalange^ qui
ieur) et a déterminé la difformité du carpe et la polydactylie. Les
doigts
se sont développés sous l'influence de cette memb
manière encore la syndactylie. On ne peut pas imaginer comment des
doigts
ainsi superposés auraient pu se séparer l'un de l
nes ont une grande importance étiologique sur l'hyperproduction des
doigts
et sur les défauts de leur division. Tandis que
3 sujets, 2a étaient affectés d'hyper- dactylie, mais le nombre des
doigts
(de six à neuf à chaque extrémité) fut toujours
émité) fut toujours variable d'un sujet à l'autre. Chez les uns les
doigts
surnu- méraires étaient intercalés, chez les au
e, chez les autres elle faisait défaut. Le nombre des phalanges des
doigts
variait de une à trois ; tantôt l'anomalie étai
at. Bd. 1, § 19 ; Bd. II, Leipzig, 1816. 28. BROCA. - Etude sur les
doigts
et orteils surnum. Bull. de la Société Anal., 184
cted obstetrical Wirks Edimburgh, 1871, p. 149. 54. FAUvELLE. - Les
doigts
surn. dével. chez l'adulte. Bull. de la Soc. d'An
éleph. congén... Revue d'orthopédie, 1900. 90. POLAILLON. - Article
Doigt
, in Dict. encycl. des sc. méd. Dechambre. 91. N
nstallée peu à peu avait acquis tout son développement : les quatre
doigts
, surtout les deux derniers, s'étaient fléchis p
ême rétraction tendineuse palmaire mais limitée aux deux der- niers
doigts
. Peu à peu l'atrophie avait envahi les avant-br
ice du professeur Boudet où on lui lit de l'extension forcée de ses
doigts
et de l'électrisation. Il en sortit un peu amél
brides fibreuses. Celles-ci sont saillantes et ont im- mobilisé les
doigts
en flexion forcée des phalanges sur les métacarpi
traction fibreuse, mais qui ici ne porte que sur les deux derniers
doigts
, ce qui permet encore une certaine utilisation
mélioré en ce qui concerne les mains et surtout la main droite. Les
doigts
s'étendent manifestement mieux, sauf les deux d
el de l'hecticité. Le foie, volumineux, déborde de trois travers de
doigt
les fausses côtes. L'u- rine boueuse, riche en
hamp ophtalmoscopique. La malade ne sait pas lire ; elle compte les
doigts
à environ un mètre. (La malade complètement ind
c une certaine réserve et semblent le palper timidement du bout des
doigts
, comme pour s'assurer que c'est bien lui qui a
ma- nifeste : C aorte, en particulier, n'admet qu'à peine le petit
doigt
. Ses parois ne semblent pas épaissies, mais ell
es mouvements limités de flexion et d'ex- tension du poignet et des
doigts
, mais la malade se fatigue vite lorsqu'elle les
xagérée de l'extrémité inférieure du cubitus. Les articulations des
doigts
sont sujettes à des raideurs passagères et vari
maine du facial. Si l'on vient à rapprocher les mâchoires à l'aide du
doigt
placé sous le menton, on constate que la malade
ments d'élévation et de diduction sont nuls. On peut introduire un
doigt
entre les dents de la malade, qui sont bien con
S CHRONIQUES D'ORIGINE TRAUMATIQUE 147 rente, occupant la main, les
doigts
, s'accentuant très lentement, envahissant progr
r, l'oedème est dur, se laissant très difficilement déprimer par le
doigt
,sauf à une pression franchement énergique,ne lais
et Yung), et après l'oedème lymphatique conservant l'empreinte des
doigts
, s'établit l'hypertrophie du tisu conjonctif (K
oedème dur, non dépressible, très marqué depuis les extrémités des
doigts
jusqu'au milieu du bras. Pas de troubles de la
ma- niait habilement l'aiguille avec ses grosses mains et ses gros
doigts
. Quant à l'explication que l'on peut donner de
is dans ce dernier cas il s'agit d'un oedème mou, où la pression du
doigt
détermine un godet et la présence des varices d
ne sont plus que des moignons durs et fibreux qui roulent sous les
doigts
lorsqu'on appuie sur les paupières. La malade a
rement aigu de l'avant-bras, flexion légère du poignet, flexion des
doigts
dans la paume de la main au niveau de la premiè
t pleins de petites bulles d'air, comme de petites perles ; avec le
doigt
on pouvait les pousser le long du vais- seau. L
nerfs et muscles périphériques, excepté aux muscles extenseurs des
doigts
de l'extrémité supérieure droite, où elles POLY
, elle n'est pas soudée complè- tement et, sur la ligne médiane, le
doigt
sent un sillon net. Mais si les os ne sont pas
un aspect particulier ; elle est rejetée en dehors. Cepen- dant les
doigts
ne sont pas longs, effilés, comme on les trouve h
on les trouve habituel- lement dans cette affection. Le rapport des
doigts
entre eux est normal, mais leurs extrémités son
est de la gros- seur d'un crayon ; à peine peut-on sentir sous les
doigts
rouler le corps caver- neux qui tend à disparaî
ales ; les bras sont gras et potelés, les mains sont grosses et les
doigts
boudinés. La température rectale est de 37°5.
suffisance. La valvule mitrale est un peu indurée, laisse passer un
doigt
très facilement, mais non deux. Poids : 190 gramm
du côté droit atteint jusqu'à 3 centimètres au niveau du carpe. Les
doigts
sont boudinés, élargis sur toute leur longueur,
ssants ; il n'y a aucune cicatrice de panaris, ni d'ulcérations des
doigts
(Pl. L et LI). La motilité des membres supérieu
on, la flexion et l'extension du poignet, les divers mouvements des
doigts
étant dimi- nués de force d'une façon globale,
s troublées' ! à droite, non seulement au niveau des orteils et des
doigts
, mais même des 1 grosses articulations, cou-de-
che il existe simplement de légers troubles du sens des attitudes aux
doigts
1 et aux orteils. ' Dans les mouvements, on c
qu'à gauche on observe de légers troubles du sens des attitudes aux
doigts
et aux orteils, et la sensibilité osseuse, tant
L), porte sur la largeur de la main; le poignet, le carpe, tous les
doigts
sont augmentés de volume, (1) Chauffard et Grif
e et l'index sont-ils relativement plus gros que les trois derniers
doigts
. La radiographie montre nettement (Pl. LI) une
sie de la tête, seule autorisée. Sur le côté droit du crâne, à deux
doigts
au-dessus de l'insertion de l'o- reille, soluti
c, Long supinateur ; d, Nerf musculo- cutané ; e, Nerf médian ; f,
Doigts
; g, Humérus. 294 KLIPPEL ET BOUCHET loppemen
extrêmement court ; d'ailleurs au sur et à mesure qu'on va vers les
doigts
ou leurs rudiments, on assiste à un raccour- ci
née est excessivement abondante et épaisse, jusqu'à deux travers de
doigt
, au tiers supérieur de la face antérieure ; elle
, non encore dilrérenciés, les fléchisseur commun super- ficiel des
doigts
, grand palmaire, petit palmaire, cubital antérieu
sectionnée ; c, Rond pronateur ; d, Tendon du long supinateur ; e,
Doigts
; f, Nerf médian et ses divisions ; g, Tendon du
pophyse styloïde ; c, Long supinateur ; d, Aponévrose palmaire ; e,
Doigts
. HÉMTMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 2
e inférieure de la face externe du corps du radius, à un travers de
doigt
de l'apophyse styloïde, ce qui est appréciable si
s extenseurs communs, cubital postérieur, extenseur propre du petit
doigt
, non différenciés. Peut-être le muscle figuré e
par le radial. Au niveau du poignet, de la main et des rudiments de
doigts
, il n'est possible de rien disséquer : depuis l
l'extrémité inférieure des os de l'avant-bras jusqu'à l'origine des
doigts
, il n'y a guère que l'étendue de deux centimètres
ure un très petit lobule, de forme arrondie, qui paraissait être un
doigt
rudimentaire. IL Enfant de deux ans, dont le br
tout formant un moignon arrondi, à l'extrémité duquel se trouve un
doigt
(l'index), parfaitement con- formé. La mère,
nt adhérer aux parties profondes, et qui semblaient le rudiment des
doigts
. Dissection. L'humérus était aussi long que le
eure on ne distingue que le cubital antérieur et le fléchisseur des
doigts
, insérés tous deux à la face pro- fonde de la p
fonde de la peau. A la région postérieure, on trouve l'extenseur des
doigts
in- séré à la peau, et le cubital postérieur in
e, ou plutôt sur les tractus fibreux qui comblent l'espace des deux
doigts
de la pince. 3° Le 3" faisceau est constitué
essinant un tendon mince qui s'attache à la 1. ro phalange du petit
doigt
. Encore plus bas, partent de petites lamelles a
disposition résulte donc une sorte de corde raide qui immobilise le
doigt
dans une attitude vi- cieuse. 4 La 4°. masse
insertions inférieures des fléchisseurs ne pouvant se faire sur des
doigts
absents se font sur des couches aponévrotiques in
ntre elles un angle droit. Région postérieure. Extenseur commun des
doigts
. - Il est normal en haut ; puis il se sépare bi
rdant l'une en dehors avec laquelle s'articule la 1 Ir° phalange du
doigt
intermédiaire que nous avons appelé le médius, et
autre en dedans, pour la phalange de l'auriculaire. Pour les deux
doigts
extrêmes, la 1'° phalange paraît à peu près norma
teset atrophiées et la phalangette de l'index est soudée à celle du
doigt
qui serait le médius. Membre supérieur gauche
é de cinq petites saillies verruqueuses et molles, qui figurent les
doigts
. Le reste du corps est bien conformé. XVI. Puec
nt cinq petits appendices, en forme de bourgeons, représentant cinq
doigts
. Le pouce est le plus long et le plus volumineu
née par une main peu développée, constituée par 4 métacarpiens et 4
doigts
. Le 4°r métacarpien et le pouce man- quent. X
és encore sont en- tièrement fibreux dans l'étendue de 3 travers de
doigt
. Peu d'anomalies vas- culo-nerveuses. Ces muscl
dimension qui dépasse même la grandeur des papilles de la pulpe des
doigts
. Le revêtement épidermique à la surface de ces pr
fait défaut. Les bour- geons du moignon, qui sont les rudiments des
doigts
, sont constitués par de petits lobules graisseu
trouve à l'extrémité du moignon semblent bien être des rudiments de
doigts
; car on constate à la coupe que la couche corné
rd interne du massif osseux du moignon. Extenseur propre du petit
doigt
. S'insère par un tendon grêle à la partie la pl
s de l'avant-bras, surtout le fléchisseur et l'extenseur commun des
doigts
, les deux radiaux et le grand palmaire. Sa face s
étique, et ne présente point de certitude absolue. Du côté des deux
doigts
existant, rien de particulier, sauf le volume e
de son étendue. A gauche, la main n'est représentée que par un seul
doigt
, le pouce, et par le métacarpien correspondant.
dévie et s'incline d'abord sur le côté interne, puis au niveau des
doigts
en sens opposé sur le côté externe, de sorte que
posé sur le côté externe, de sorte que l'avant-bras, la main et les
doigts
forment comme un Z allongé ; deux doigts paraisse
avant-bras, la main et les doigts forment comme un Z allongé ; deux
doigts
paraissent en partie fusionnés." Les radiogra
ans ce cas l'os du carpe correspondrait seulement au scaphoïde. Les
doigts
sont au nombre de deux, mais ils sont en partie s
on de la 1 ? phalange du pouce avec la première phalange de l'autre
doigt
. En dehors il se continue avec la lire phalange
pophyse qui représenterait une partie de la lro phalange de l'autre
doigt
, notablement atrophiée. La 2e phalange de ce do
lange de l'autre doigt, notablement atrophiée. La 2e phalange de ce
doigt
est notablement atrophiée aussi. Elle s'articul
té on remarque un rudiment de main représentée par les vestiges des
doigts
. Les deux pre- miers doigts font une saillie as
e main représentée par les vestiges des doigts. Les deux pre- miers
doigts
font une saillie assez nette, les trois derniers
CIIET deux membres supérieurs. Le bras droit ne présente plus qu'un
doigt
, muni d'ongle. Ce doigt semble être l'index ou
ieurs. Le bras droit ne présente plus qu'un doigt, muni d'ongle. Ce
doigt
semble être l'index ou le médius. L'avant-bras ex
nt grêle paraît ne pas présenter de carpe. Le bras gauche possède 3
doigts
: pouce, index et médius, tous munis d'ongle. L
cules séparés par des sillons et disposés exactement comme les cinq
doigts
d'une main. 332 KL1PPEL ET BOUCHET Cette main
ulement sont développés : scaphoïde, semi-lunaire et trapézoïde ; des
doigts
, seuls le pouce et l'index existent. Au bras
tus est formé ; au carpe, il y a un seul os ; au métacarpe, un seul
doigt
est entier ;' le pouce n'a que la première phal
outre, à gauche une main bifide avec syndactylie des deux premiers
doigts
et des trois derniers, et un bec-de-lièvre simp
s apercevons que sa phalange est intimement soudée avec celle du 3°
doigt
, qui lui, comporte une ossature normale. Dans
lui, comporte une ossature normale. Dans le groupe interne, le 4°
doigt
est normal, et seul le 58 manque de pha- lancin
artérielle et musculaire a suivi la même division, les tendons des
doigts
syndactylisés ayant tendance à contracter des c
.compte : c'est ainsi qu'on rencontre des callosités à la base des
doigts
chez des sujets qui ne travaillent pas manuelle
ne travaillent pas manuellement ; parfois les parties latérales des
doigts
sont atteintes et, engainé par cette enveloppe
es doigts sont atteintes et, engainé par cette enveloppe rigide, le
doigt
perd la souplesse de ses mouvements [Pal (2), R
la main droite portait sur l'é- paisseur et non sur la longueur des
doigts
, elle aurait commencé, d'après le récit du mala
main ont été examinés isolément (cubital, médian, collaté- raux des
doigts
). Dans tous ces troncs nerveux la méthode de Marc
agnos- tic ne manquent pas. Dans la syringomyélie, la main et les
doigts
sont déformés, contractu- rés, bizarrement tord
zarrement tordus; souvent l'hypertrophie porte surtout sur certains
doigts
ou même sur certaines phalanges. L'augmentation d
ngueur. Dans l'acromégalie, les mains sont trapues, en battoir, les
doigts
sont uniformément hypertro- phiés, non contract
t extrêmement vives, à devenir enragée »,dit la malade. Le contact du
doigt
explorant très doucemeut la région est intoléra
le ; et la malade recule et se dérobe dès qu'elle voit approcher le
doigt
. Les jours suivants, progressivement, la colora
n chien,ont trouvé, dans des coupes mi- croscopiques de la peau des
doigts
, des trainées anastomosées de globules rouges r
sujet témoin offrant la même hauteur de tronc (voir plus haut). Les
doigts
sont, comme les orteils, épais, élargis en spat
La main n'a pas l'aspect en trident- ni en éventail, cependant les
doigts
sont presque d'égale longueur. Tête. - De volum
plasie ; les mains ne forment pas le trident, il est vrai, mais les
doigts
sont presque d'égale longueur. On ne trouve d'ail
sse être tel que les parties sque- lettiques soient absentes et les
doigts
représentés par de simples bour- geons cutanés
ans éléments ana- tomiques distincts ; quelquefois les rudiments de
doigts
peuvent être mo- biles, contenir des muscles et
: 1 il existe des tubercules cutanés représentant des rudiments de
doigts
; à leur ni- veau l'épiderme s'invagine en form
manquer également ou bien n'être représentée que par une partie des
doigts
ou par des vestiges plus ou moins rudimentaires
la main, 1er métacarpien et pouce existent, mais les quatre autres
doigts
ou plusieurs d'entre eux manquent en même temps
résentés dans leur ensemble ; généralement, cependant, les derniers
doigts
seuls existent, le pouce et son métacarpien fon
produisant de vérita- bles amputations congénitales. La présence de
doigts
rudimentaires, comme il en existe souvent en pa
une déviation dans le dévelop- pement donnant naissance à ces deux
doigts
en partie syndactyles et fu- sionnés. Quelle es
'constitués par la masse non différenciée des extenseur commun des
doigts
, extenseur propre du petit doigt, cubital postéri
érenciée des extenseur commun des doigts, extenseur propre du petit
doigt
, cubital postérieur ; que les mus- cles b et c
b et c (fig. 2), représentent les fléchisseurs profonds (commun des
doigts
, et long du pouce). 3° Muscles absents. - En ap
mes. Les muscles grand palmaire, fléchisseur commun superficiel des
doigts
, cubital antérieur sont en effet en une seule m
en une seule masse ; de même les fléchis- seurs commun profond des
doigts
et long fléchisseur du pouce. Les ex- tenseurs
es doigts et long fléchisseur du pouce. Les ex- tenseurs commun des
doigts
, extenseur propre du petit doigt, cubital 408 K
ouce. Les ex- tenseurs commun des doigts, extenseur propre du petit
doigt
, cubital 408 KLIPPEL ET BOUCHET postérieur so
t-bras, se continue à sa partie distale, avec le tissu condensé des
doigts
. donnera plus tard : Masse : rond pronateur, gr
ital antérieur, petit pal- maire fléchisseur commun superficiel des
doigts
. Partie profonde : Masse, fléchisseur commun pr
des doigts. Partie profonde : Masse, fléchisseur commun profond des
doigts
, long fléchisseur du pouce, carré pronateur.
erficiel, s'étend du condyle humérale à l'extrémité pro- ximale des
doigts
où elle se confond avec du mésenchyme condensé ;
om- prend, encore non différenciés ; Masse : extenseur commun des
doigts
, extensenseur propre du petit doigt, cubital po
Masse : extenseur commun des doigts, extensenseur propre du petit
doigt
, cubital postérieur. 2° groupe, occupe l'extrém
nne aiec le tissu con- densé des extrémités proximales des 2e et 3e
doigts
; Masse : le, radial externe, 2 radial externe.
et du radius, et se termine dans le tissu con- densé des 1 er et 2e
doigts
; la portion destinée au 2e doigt est fusionnée
e tissu con- densé des 1 er et 2e doigts; la portion destinée au 2e
doigt
est fusionnée intimement avec la portion du ire
née intimement avec la portion du irez groupe qui se dirige vers ce
doigt
. 410 . KLIPPEL ET BOUCHET Masse : long abduct
upes se continuent plus ou moins avec le mésenchyme qui formera les
doigts
, où toute distinction entre ce qui sera muscle et
différenciés et surmontés de minces cartilages. Les quatre derniers
doigts
sont représentés par une masse cartilagi- neuse
crustée profondément dans du tissu condensé, tandis que pour le ter
doigt
, le tissu condensé prend la place du cartilage.
tissu condensé prend la place du cartilage. A l'extrémité de chaque
doigt
est une masse de tissu condensé. Les cavités co
du fléchisseur superficiel, et continuent jusqu'à l'extré- mité des
doigts
. Carré pronateur. Lombricaux commencent à se
d est séparé du long fléchisseur du pouce. L'extenseur commun des
doigts
s'allonge. Le "tendon du cubital posté- rieur s
u de leurs tendons qui se fusionnent avec le périchondre du premier
doigt
. - Tous les muscles de l'adulte sont présents e
nt les tendons inférieurs se scindent en autant de faisceaux que de
doigts
; que se différencient chacun des muscles longs d
é et légère- ment graisseux. ' Les tendons des autres muscles des
doigts
et de la main s'étalent en un 412 KLIPPEL ET BO
qu'à leur partie distale, fibreuse, séparés des muscles des autres
doigts
; ceux-ci ont une partie fibro-tendineuse com-
rtout à travers la peau la consistance et la sensation que donne au
doigt
le tissu lobulé de la glande mammaire. « Ajouto
r aisément de la paroi thora- cique ; il a suffi de diviser avec le
doigt
le tissu cellulaire lâche qui unit la mamelle a
La main gauche est un peu moins développée que la main droite. Les
doigts
dans les mouvements d'extension ne peuvent se jux
es deux dernières phalanges, refoulant en dehors l'index. Les trois
doigts
, annulai- res médius et index, sont sensiblemen
sente un très léger écartement de l'auri- culaire, les trois autres
doigts
restant l'un contre l'autre. Si l'on en excepte
ras gauche. L'extrémité inférieure du cubitus est à deux travers de
doigt
au-dessus du carpe. Le radius s'est incurvé en de
eloppement. D9an gauche courte, plus petite que la main droite. Les
doigts
peuvent se juxtaposer normalement. Main droit
peuvent se juxtaposer normalement. Main droite : disposition des
doigts
en trident : l'index, le médius et l'an- nulair
point qu'il devint impossible à la malade de passer son alliance au
doigt
. 41l ' DEDUSCUL 1 La colonne vertébrale se co
et très éloignées les unes des autres. Les mains sont charnues, les
doigts
gros et courts et les articulations noueuses. L
stique. La pression, même énergique, n'est pas dou- loureuse, et le
doigt
ne laisse qu'une faible impression. La coloration
laire est corri- gée par une réaction légère : l'apposition de deux
doigts
de la main gauche derrière la tête, dans la rég
comme ses congénères, aux ges- tcs antrronistes : il appliquait un
doigt
sur son menton ; mais il s'en est spontanément
ques mouvements rapides et successifs de flexion et d'extension des
doigts
de la main droite. La rotation de la tête se pr
te se prolonge souvent pendant longtemps. , 2° Le fourmillement des
doigts
, accompagné ou non d'agitation des doigts s'obs
2° Le fourmillement des doigts, accompagné ou non d'agitation des
doigts
s'observe parfois dans les cas où les contraction
it dans le bras, et venait unir en fourmillements à l'extrémité des
doigts
; elle s'accentuait au moment des contractions
sujet de serrer les paupières, comme pour dormir ; et en posant les
doigts
sur les paupières supérieures on peut constater
omplète j'invitais les sujets à fermer les yeux et à l'aide de deux
doigts
posés sur les paupières, je pouvais cons- tater
. Depuis plusieurs années, augmentation de volume de la main et des
doigts
, avec coloration rouge vio- lacé. Douleurs inte
lacé. Douleurs intermittentes. Un peu d'insensibilité au toucher. Les
doigts
sont beaucoup plus étroits à leur extrémité qu'
n de volume porte également sur la portion métacarpienne et sur les
doigts
. La largeur des doigts est en harmonie avec leur
ment sur la portion métacarpienne et sur les doigts. La largeur des
doigts
est en harmonie avec leur longueur. Pas de défo
tte teinte cyanotique très intense remonte jusqu'à trois travers de
doigts
au-dessus du poignet ; elle envahit à la fois tou
s toute la main sans qu'on puisse remarquer si elle commence par un
doigt
plutôt que par un autre; la pression la fait di
actuellement de troubles trophiques, mais il y a deux ans, sur les
doigts
, sont survenues des ulcérations précédées de phly
, gonflement du visage. Dermites récidivantes avec petits abcès des
doigts
: la malade disait que ces abcès venaient à la
plaint de ressentir des fourmillements, des sensations de froid et de
doigts
morts, plus accentués aux mains qu'aux pieds. C
volume. Maxil- laires normaux. Le thymus n'est pas appréciable. Les
doigts
et les mains sont t jusqu'à deux ou trois centi
isme. Depuis plusieurs années, elle remarque un changement dans les
doigts
. Tout d'abord, elle avait éprouvé des fourmille
bord, elle avait éprouvé des fourmillements dans les extrémités des
doigts
, puis ces extrémités sont devenues peu à peu viol
malade a toujours aux mains une sensation subjective de froid. Les
doigts
sont anormalement longs, mais pas élargis et se
Cassirer. Les mains sont déviées sur le bord cubital ; les 3e et 4e
doigts
sont fléchis sur la main, et fixés dans cette pos
cette position. Cette défor- mation existe depuis la naissance. Les
doigts
sont fortement cyanosés, tandis que la main ell
. Peau au contraire, épaissie. Sensibilité intacte. Ongles normaux.
Doigts
malhabiles; cependant aucune modification des réa
remarque seulement que la sensibilité est un peu diminuée dans les
doigts
au toucher des objets. Au printemps, vers le mo
es branches du compas doit être agrandi quand on touche la peau des
doigts
à gauche : tandis que du côté droit, il perçoit l
uge au violet : dans presque toute l'étendue de la face dorsale des
doigts
et de la région métacarpienne, on constate une
ors ; cette déforma- tion est beaucoup plus accentuée au niveau des
doigts
qui présentent bien l'aspect dit en coup de ven
. Les phalangines ont un volume à peu près normal, de sorte que les
doigts
ont un aspect en fuseau, une forme en radis don
a pris à la date du 1 cr octobre un tracé du pouls capillaire à deux
doigts
L'ACROCYANOSE CHRONIQUE HYPERTROPHIANTE 15 de
égion de l'articulation métacarpo- phalangienne, à la base même des
doigts
et non sur l'extrémité même; de plus, l'existen
crocyanose, au moins comme signes cardinaux ; de plus, la forme des
doigts
presque caractéristique de l'acrocyanose n'appart
ien un épanchement de sérosité dans le tissu cellulaire, puisque le
doigt
laisse son empreinte. Dans l'acro-asphyxie ce n
eurs ; depuis quelques mois, en outre de leur couleur violette, les
doigts
portaient sur leurs par- ties latérales et dors
st surtout accentuée au niveau du dos de la main et à la racine des
doigts
, au voisinagede l'ar- ticulation métacarpo-phal
demain succulente dans laquelle les phalangines et phalangettes des
doigts
seraient grêles et minces : le contraste est,en e
frappant entre cette face dorsale hypertrophique et l'extrémité des
doigts
. Ceux-ci affectent bien plutôt la forme d'un ra
ultiples et légères, en fourmillements au niveau de l'extrémité des
doigts
et des orteils. Ces sensations sont,au début de
tissu cel- lulaire sous-cutané amenant l'augmentation de volume des
doigts
, puis- que la radiographie enseigne que les os
taire ; j'ajouterai quelques réflexions sur le « traitement» de ces
doigts
monstres, autrement dil sur la date et le mode
é ci-dessous ; longtemps la mère s'est refusée à laisser amputer le
doigt
, mais la gène est devenue si intense, les heurt
ant de fois répétée, d'un « regard » pendant la grossesse : un gros
doigt
tuméfié par un panaris, que la mère aurait vu a
lement par le bourrelet épais qui le circonscrit. La consistance du
doigt
est mollasse, graisseuse. Quant aux articulations
s et métacarpo-phalangiennes, elles sont mobiles, et l'inflexion du
doigt
entravée seulement par le volume de ses parties m
comment le médius-mons tre s'est fait sa place en écartant les deux
doigts
voisins : l'index est as- sez peu dévié, en tou
comme aplatie dans l'aire de la joue trochléenne interne. Enfin ce
doigt
est plus long de 1 cent. 1/2 que son congénère,
on métacarpo- phalangienne, en taillant;jdeux lambeaux latéraux; le
doigt
tombé, je dénudai la tête du métacarpien, et, a
u'à mon sens, il eût été meilleur de sacrifier beaucoup plus tôt ce
doigt
monstre ; on ne saurait trouver aucun bénéfice à
tre ; on ne saurait trouver aucun bénéfice à atten- dre, dès que le
doigt
a acquis des dimensions gênantes et qu'il continu
s les macrodactylies ne sont pas aussi mons- trueuses, et le « gros
doigt
» est observé de temps en temps chez des adul-
té à peu près stationnaire jusqu'à l'âge de dix-neuf ans, le « gros
doigt
» conservait ses mouvements; quelques années pl
MM. Jaboulay et Planchu;(4). En pratique, on peut conclure que les
doigts
anormaux deviennent des doigts malades, et « qu
n pratique, on peut conclure que les doigts anormaux deviennent des
doigts
malades, et « qu'ils ne valent rien » si la macro
ent. En thèse générale, si l'hypertrophie porte sur un seul ou deux
doigts
, l'exérèse précoce est tout indiquée. (1) Pla
u métacarpien pour l'opération de choix au moins lors d'exérèse des
doigts
du milieu. Après la désarticulation simple, la tè
e-même, « hypertrophiée » ; a-t-on amputé dans la conti- nuilé, les
doigts
se rapprochent et peu à peu sont ramenés au paral
C'est là, d'ailleurs, un fait acquis pour les ablations totales des
doigts
(3), et la règle trouve seulement ici, dans l'exé
es doigts (3), et la règle trouve seulement ici, dans l'exérèse des
doigts
géants, une application très précise et très heur
n outre, quelques renseignements concernant le sujet porteur de ces
doigts
hypertrophiés. C'est un garçon de 17 ans. Ant
le porte sur tous les segments y compris la racine (clavicule). Aux
doigts
la disproportion existant entre les 3 doigts hy
acine (clavicule). Aux doigts la disproportion existant entre les 3
doigts
hypertrophiés (pouce, indexer médius).et les de
ntre les 3 doigts hypertrophiés (pouce, indexer médius).et les deux
doigts
internes s'est progressivement accentuée depuis
ais elle est sensiblement diminuée aux deux dernières phalanges des
doigts
hypertrophiés (index et médius). l111cl'odp/w
l (p. 158) ? Voici, d'ailleurs un petit exemple qui fera toucher du
doigt
ce qu'il y a d'illégitime à arguer de la locali
: « Lorsque je dis que différentes positions ou des mouvements des
doigts
, des bras, etc., parviennent des articulations
ble faire une légère incision de la main droite, tandis qu'avec les
doigts
de la main gauche il ramène vers lui la tête du p
cé. Il avait des mouvements constants de flexion et d'extension des
doigts
et du poignet, de l'avant-bras sur le bras et d
'odorat et du goût du côté droit. Avec l'oeil droit il comptait les
doigts
à 1 m. 50 environ. L'acuité vi- suelle de l'oei
upe péronier. Le malade en effet conserve quelques mouve- ments des
doigts
de pied et une ébauche du mouvement, d'extension
E 113 Il y a des rétractions tendineuses au niveau de la main ; les
doigts
sont en flexion permanente dans la paume, flexi
droit. L'extension complète est impossible pour les trois premiers
doigts
de chaque main et ne se fait qu'avec peine pour l
s. Seuls persistent quelques mouvements au niveau du poignet et des
doigts
. La flexion des doigts est lente et peu puissan
lques mouvements au niveau du poignet et des doigts. La flexion des
doigts
est lente et peu puissante; cependant le malade a
traduisant surtout par des mouvements de flexion de la main et des
doigts
, surtout de l'index. Commencent à apparaître ve
accidentellement, pendant les crises gastriques, lorsqu'il met les
doigts
dans la gorge pour provoquer les vomissements.
professionnel, qui semble être une curette ou une sorte de pince. Les
doigts
, très maigres, très fluets, sont bizarrement pl
oedème que le médecin ou son aide auraient produites en appuyant le
doigt
sur la région Non. Il s'agit d'ulcérations prof
es nerfs sensitifs et moteurs (cubital et médian) de la main et des
doigts
, que s'observe la tumeur avec son maximum de déve
um. Aux membres : Largeur exagérée des extrémités (mains et pieds),
doigts
en boudin (PI. XXXVII, B) ; longueur totale des
alange, aux extrémités distales, et dans les phalanges du quatrième
doigt
, aux extrémités proximales. Cet état d'ossifica
édentes. L'hypertrophie des parties molles de la main et surtout du
doigt
annulaire est relativement considérable comparé
est intense à l'annu- laire et beaucoup moins prononcée aux autres
doigts
et à la main. L'hyper- trophie osseuse est au c
ophie osseuse est au contraire plus marquée au médius qu'aux autres
doigts
, et aux métacarpiens qu'aux phalanges. Voici la
uche est notablement augmenté de volume, et si gros sa base que les
doigts
voisins s'en écartent en forme de trident, en déj
hors, l'auriculaire en dedans. L'hypertrophie diminue de la hase du
doigt
à son extrémité en sorte que le doigt a la forme
trophie diminue de la hase du doigt à son extrémité en sorte que le
doigt
a la forme conique, et que l'ongle a ses dimens
rme conique, et que l'ongle a ses dimensions normales. Les autres
doigts
sont beaucoup moins hypertrophiés, comme le montr
au contraire l'hypertrophie des parties molles est considérable au
doigt
annulaire et hors de propor- tion avec l'hypert
hors de propor- tion avec l'hypertrophie légère du squelette de ce
doigt
. Ce cas semble donc intermédiaire aux deux caté
M. Brissaud atteints de torticolis spasmodique qui appuient avec un
doigt
sur leur front pour résister à un spasme qui le
entes, mais L... a conservé de cet accident l'habitude de tenir les
doigts
légèrement fléchis dans la paume de la main dro
e, nette au début, devient tremblée; il n'y a pas de cram- pes, les
doigts
ne se raidissent pas, ne se crispent pas sur la p
face dorsale, la main très légèrement fléchie sur l'avant-bras, les
doigts
fléchis (Pl. XLIV). Malgré cette attitude, l'ha
ompris le long supinateur, et ceux de la main ; la conformation des
doigts
est normale malgré la flexion signalée. La forc
nverse sur la face palmaire, faisant glisser le porte-plume entre les
doigts
; elle est agitée, en outre, d'un tremblement q
scule ou une lettre haute (I, d). Pas de tremblement de la main les
doigts
écartés en extension. Dans la position du solda
ois la peau pincée semble plus mobile qu'à gauche. A la main, les
doigts
sont fléchis, mais l'extension des phalanges s'ex
qu'à partir de cette époque il a pris l'habitude de tenir ces deux
doigts
, puis l'index et l'auriculaire, en flexion incomp
de la main sans force, l'anesthésie de la face palmaire de certains
doigts
et la suppression des mouvements du pouce ; - du
s du membre sont possibles, et que l'at- titude de demi-flexion des
doigts
dans la paume de la main semble bien le fait d'
impatient, colère ; il a des attitudes vicieuses, demi-flexion des
doigts
dans la paume de la main, et des habitudes motri-
en dedans sur le bord cubital servant de charnière. Mais jamais les
doigts
ne se sont crispés sur la plume, et jamais ils ne
paule et du bras indépendamment de toute crampe proprement dite des
doigts
différence dans l'amplitude du mouve- ment suiv
s ou de la jambe, absence coïncidant le plus souvent avec celle des
doigts
correspondants. Grâce à la radiographie, il a été
tion du pouce possède, à peu de chose près, le même diamètre que le
doigt
lui-même. La peau passe directement du bord radia
absence complète de la masse musculaire, car tous les mouvements du
doigt
sont conservés avec leur ampleur habituelle; UN
e grande fréquence, des cas où, le squelette de l'un quelconque des
doigts
faisant partiellement défaut, l'absence porte s
formes (1) J.-A. Fort, Des difformités congénitales et acquises des
doigts
. Thèse d'agré- gation, 1869. (2) G. Beauregar
hèse d'agré- gation, 1869. (2) G. Beauregard, Des difformités des
doigts
(Dactylolyses). Thèse de Paris, 1815. xvi 17
tte anomalie non pas comme une simple modification du pouce ou d'un
doigt
, mais comme une variété d'hémimélie intercalair
quelette, il existe, néanmoins, un cordon fibreux occupant l'axe du
doigt
, cordon fibreux très comparable à celui qui exi
notre malade existait un cousin germain possédant un sixième petit
doigt
à chaque main et un sixième orteil à chaque pie
'ectrodactylie où la disparition, par voie mécanique ou autre, d'un
doigt
ou d'une partie du doigt reste un phénomène iso
arition, par voie mécanique ou autre, d'un doigt ou d'une partie du
doigt
reste un phénomène isolé, coïncidant avec l'éta
vec le pannicule adipeux qui la double et l'intervalle séparant les
doigts
qui la saisissent varie de 6 à 12 centimètres sui
al, surtout aux membres inférieurs où la pression même prolongée du
doigt
ne détermine aucun godet. Bien que le volume de
y a quinze jours, il fut pris tout à coup d'un fourmillement dans les
doigts
et avait en même temps la bouche tordue, mais c
ulsés vers le bas. La main gauche est également intéressante avec ses
doigts
écartés et crispés. Quant au bras droit, il est
die et comme paralysée. Cepen- dant,lesmouvements du poignet et des
doigts
sont possibles, à part l'oppo- sition du pouce,
trice exaspère cette douleur et détermine du fourmillement dans les
doigts
, particulièrement dans la zone du médian. Après
se poursuit, sans interruption, depuis la racine des orteils ou des
doigts
jusque très au-dessus de la cheville ou du poigne
is cependant légèrement cyano- tique, ne gardant pas l'empreinte du
doigt
. L'évolution du trophoedème est nettement chron
pied ne s'atténuant pas par le repos, ne prenant pas l'empreinte du
doigt
, se cyanosant facilement et n'influençant pas la
e. Enfin F... lit habituellement, le coude gauche sur la table, les
doigts
de la main droite occupés constamment à taquine
ent, s'incliner vers la tête chauve du vieillard pour lui poser les
doigts
sur le front. La photographie voisine (Pl. LXXI
llotté, eLle tient, un peu maladroitement, de ses longues mains aux
doigts
effilés; du regard, il scrute les yeux déjà si
e au monde un enfant si bien portant, la Vierge tend les mains, les
doigts
écartés vers l'enfant qu'elle couve des yeux : el
porte la main sur sa figure, tout en ayant bien soin d'écarter les
doigts
, et de glisser entre eux un regard furtif ; on n'
at, soutenue par deux hommes, et levant ses deux bras en l'air, les
doigts
crispés sur la paume, la bouche tirée, les yeux l
lui était impossible de porter le verre à sa bouche pour boire. Les
doigts
ne tremblent pas par eux-mêmes, ils ont seuleme
e de connaissance, contracture des quatre membres, avec flexion des
doigts
dans la paume de la main, secousses convulsives d
la position de repos sur le thorax. Les mouvements des mains et des
doigts
sont lents et assez maladroits. Il ne peut mang
aire est à peu près impossible. La flexion de la main, la flexion des
doigts
, sont assez énergiques. Il n'en est pas de même
contraction dans le long extenseur du pouce, l'extenseur commun des
doigts
, le cubital postérieur et rien dans les autres.
diminution d'excitabilité aux deux courants. Exten- seur commun des
doigts
: très grande diminution d'excitabilité. Cubital
le. Nerf cubital au poignet : faible adduction du pouce et du petit
doigt
. IIypothénar : pas de réaction galvanique (à caus
aître. Le pouce el l'index seuls se relèvent assez bien; les autres
doigts
ne peuvent se relever complètement. L'annulaire
e l'autre; le pouce se rapproche facilement de l'index, et le petit
doigt
de l'annulaire.- Les doigts incomplètement éten-
roche facilement de l'index, et le petit doigt de l'annulaire.- Les
doigts
incomplètement éten- dus sont fléchis avec la p
ande facilité, même lorsqu'ils cherchent à résister. La flexion des
doigts
est pour ainsi dire nulle. Les muscles de l'émi-
l'asseoir. Il serre la béquille avec l'index et le pouce, les autres
doigts
ne 64 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
onévrose palmaire ( ? ). Main raide. - Anesthésie de la main et des
doigts
sauf le pouce. Anesthésie pharyngée; pas d'autr
Pendant l'anesthésie, on constate que la raideur de la main et des
doigts
est presque aussi considérable que lorsque le m
siège principal. Les violentes douleurs ont d'abord immobilisé les
doigts
; ceux-ci ont été fixés dans leur position actuell
ire ou, pour mieux dire, des tendons fléchisseurs des deux derniers
doigts
. « Il ne nous paraît pas nécessaire de discuter
moment à l'autre des variations assez étendues. L'occlusion avec un
doigt
de la paupière gauche détermine une plus grande d
n oedème exagéré de la main droite commençant à quatre tra- vers de
doigts
au-dessus de l'interligne radio-carpien et s'éten
ccupe toute la main, mais surtout la face dorsale qui est énorme. Les
doigts
sont également tendus il se rompre et étroiteme
qu'avec l'index, tandis que dans la main en cône la pulpe des cinq
doigts
converge vers un même point. La coloration de l
t marbré. La cyanose est beaucoup plus marquée vers l'extrémité des
doigts
. Mais cette coloration est très variable au cou
ON A L'ÉTUDE DE L'OEDÈME BLEU HYSTÉRIQUE. 71 Cet oedème est dur. Le
doigt
y produit cependant son empreinte; mais la part
la coloration violette ou rouge reparaît un peu exagérée dès que le
doigt
cesse la pression. La main malade est manifeste
u malade. Dans la position de demi-flexion où est la main, avec ses
doigts
demi-fléchis et le pouce touchant l'index, on a
oloration. 2° Cet oedème est dur; mais cela ne veut pas dire que le
doigt
n'y puisse produire son empreinte; on a une dép
squ'à l'extase; de temps en temps elle envoie un baiser du bout des
doigts
. Verre vert. -- Sourire; elle fait le geste d'e
que distance de son nez et flaire une fleur qu'elle tient entre ses
doigts
: Elle la passe ensuite à une boutonnière de son
l de cuisine. Elle fait le geste de prendre quelque chose entre ses
doigts
, de le porter sa bouche et de le goûter avec soin
X) la face antérieure un peu tournée en haut, -'et réunit les cinq
doigts
de NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T. :
racture va en dimi- nuant de l'extrémité du membre à sa racine. Les
doigts
en extension forcée sont impossibles à fermer.
épaule sont également libres des deux côtés. Les fléchisseurs des
doigts
sont durs, contractures, mais moins que les ext
ie qui, nor- malement, déborde les fausses côtes de deux travers de
doigt
bascule complètement d'avant en arrière, et on
a mise en oeuvre de mouvements précis et délicats de la main et des
doigts
. C'est là un premier type de tremblement hystér
et d'extension en sens inverse qui se succèdent régulièrement; les
doigts
suivent aussi ces mouvements, mais d'une manièr
ments paraissent avoir pour centre l'articu- lation du poignet; les
doigts
à demi fléchis ou étendus sont entraînés dans le
eaucoup que celte manoeuvre ne le fil vomir, se relirait dès que le
doigt
entrait dans la bouche. Sensibilité cutanée nor
lope ; au-dessus de ce point, dans une étendue de quatre travers de
doigt
, elle est partielle (fi ? l6).- Le yénis et le
e mal s'aggrava et on vit apparaître une parésie des extenseurs des
doigts
de la main gauche et plus tard de la main droite.
e et le malade pour voir est obligé de relever la paupière avec son
doigt
. Il existe à droite et à gauche une ophtalmoplé
d'un oeil. Pour regarder devant lui ils oulève, la paupière avec le
doigt
et renverse la tête en arrière afin de relever le
très considérable et une impotence des extenseurs de la main et des
doigts
. A gauche le deuxième, le troisième et le quatr
n et des doigts. A gauche le deuxième, le troisième et le quatrième
doigts
, à droite le petit doigt, sont complètement tom
le deuxième, le troisième et le quatrième doigts, à droite le petit
doigt
, sont complètement tombants et ne peuvent être re
clerc de la chapelle en avalait une et le roi désignait ensuite du
doigt
celle qu'il voulait prendre4. On a écrit aussi
er un habitus extérieur tel que leur air figé, leurs mains et leurs
doigts
placés comme dans l'attitude pour écrire, leurs
ent exclu- sivement dans l'articulation du poignet ; la main et les
doigts
se meuvent ensemble; ces derniers n'exécutent q
e a perdu sa consistance et son élasticité. On la soulève entre les
doigts
, on la déplace, on la plisse avec la plus grand
bsolu- ment comme la peau du cadavre. Lorsqu'on la pince entre deux
doigts
, on fait apparaître dans des régions peu touché
de coudre : « elle fait de faux points et parfois même se pique les
doigts
. » La mère de la malade nous affirme que ce tre
iable (2, 3, 10 mi- nutes), des secousses soit du poignet, soit des
doigts
, soit de l'avant-bras; ces secousses, bien rhyt
les principales oscillations. La main oscille souvent sans que les
doigts
soient animés de secousses qui leur soient prop
MENTS HYSTÉRIQUES. 203 quelques légères secousses de la main ou des
doigts
. Après une phase de repos plus ou moins longue,
altitude, une adaptation plus ou moins compliquée de la main et des
doigts
, comme pour saisir un objet léger posé sur une
au niveau des éminences thénar (main de singe), des extenseurs des
doigts
, du biceps, du deltoïde et de la portion supéri
la portion supérieure du trapèze; par contre, les fléchisseurs des
doigts
, le triceps, le grand pectoral, ont conservé leur
ne de la marche et de la station debout, la gêne des mouvements des
doigts
et de la main, au début de la maladie. Bientôt,
t encore une certaine puissance; le pouce et l'index sont les seuls
doigts
qui puissent encore se fléchir et s'étendre avec
ssent encore se fléchir et s'étendre avec quelque force, les autres
doigts
tombent d'eux-mêmes entraînés par leur pro- pre
, avait imaginé un petit système de ficelles qui, intriquéesavecles
doigts
, maintenaient ceux-ci mécaniquement et leur don
u bout de cinq à six semaines, non sans laisser des déformations du
doigt
qui persistent encore aujourd'hui. Un an après,
u malade à cette époque : Le 30 septembre, à l'entrée du malade, le
doigt
était considérablement gonflé, troué d'orifices
nges était impos- sible : rectiligne, en massue à son extrémité, le
doigt
pliait à peine dans ses articulations; la trois
tuleux laisse sourdre un peu de pus; un autre occupe l'extrémité du
doigt
. L'index a sa phalangette à demi fléchie, il es
pues. L'ongle est bosselé, élargi, un peu hippocratique. Au petit
doigt
, la phalangette, un peu épaissie, porte une cicat
a perdu, en partie du moins, ses ligaments latéraux, et le bout du
doigt
joue assez largement dans le sens transversal.
et l'avant-bras, elle l'est peu nettement à la main et surtout aux
doigts
. Le fait principal, au point de vue de l'anesth
est un peu aplatie. Les mouvements volontaires du pouce et du petit
doigt
, l'abduction et l'adduction des doigts, s'exécu
olontaires du pouce et du petit doigt, l'abduction et l'adduction des
doigts
, s'exécutent très librement, quoique avec moins
xécutent normalement : . M. le professeur Le Fort, en présence d'un
doigt
à jamais impotent, ankylosé, entravant le fonct
ant-bras. La tuméfaction est dure, assez notable, elle respecte les
doigts
; le périmètre de la main gauche pris à la base du
méfaction, dont elle respecte le tiers externe; sous la pression du
doigt
cette coloration disparaît pour revenir dès que
veau des articulations pha- lango-phalanginiennes des autres quatre
doigts
. Nodosités d'Heberden au niveau des deux épiphy
n des articulations phalangino-phalangelliennes des quatre derniers
doigts
. Atrophie osseuse de toutes les phalangettes.
articulations des genoux; et pendant l'hiver, les articulations des
doigts
seraient également douloureuses. Il a souvent d
emières je vous citerai la polydaclilie, augmentation du nombre des
doigts
, la mégalodaclylie volume exagéré d'un ou plusi
mbre des doigts, la mégalodaclylie volume exagéré d'un ou plusieurs
doigts
, la macrodactylie ou nombre plus grand des phal
secondes, vous trouverez l'ectrodactylie, diminution du nombre des
doigts
, la brachydactilie, diminution du nombre des ph
n du nombre des phalanges, l'atrophie congénitale d'un ou plusieurs
doigts
, la syndaclilie, réunion ou soudure plus ou moins
clilie, réunion ou soudure plus ou moins complète d'un ou plusieurs
doigts
. J'ajouterai encore à cette énumé- ration les d
, leurs déviations (rachitisme), la forme effilée ou ramassée des
doigts
, leur longueur respective, le peu de longueur de
phalange, la brièveté du pouce de la main par rapport aux autres
doigts
, son peu d'opposabilité, la ligne palmaire unique
xagérée du pouce vers le bord interne du pied, les déformations des
doigts
liées à l'arthritisme, etc. 1. l'éré, les Epi
, on a vu des anomalies de développement coïncidant avec celles des
doigts
de la main (absence, atrophie, anomalies de nom
ésitants, gauches, saccadés. Si on demande à la malade de porter le
doigt
sur un point quelconque du corps, les yeux fermés
sez marqué du champ visuel des deux côtés, mesuré par le procédé du
doigt
. Rien du côté de l'ouïe, du goût et de l'odorat
position de la main représentée1 tombante et parla déformation des
doigts
figurés dans l'attitude très caractéristique bi
. transverse . '13 L frontal minimum 10 L Membres supérieurs :
Doigts
en massue, vitiligo à la main droite. Organes g
-ci, considérable- ment atrophié, est moins volumineux que le petit
doigt
(longueur G7 milli- mètres). Son extrémité infé
de l'articulation de- la phalange avec la phalangette de ce dernier
doigt
(Pl. XXXV). Le petit doigt est, en outre, le si
alange avec la phalangette de ce dernier doigt (Pl. XXXV). Le petit
doigt
est, en outre, le siège d'une malformation décrit
rmation des orteils (obs. IX); d'hydrocéphalie, de malformation des
doigts
, de surdité (obs. X); de malformation crânienne
familles, dit Eichhorst, le thorax en en- 1. A. Bloch, la Forme des
doigts
et les nodosités de Bouchard (Assoc. franc, pour
insi, si l'excitation faradique est portée sur les fléchisseurs des
doigts
, la main se ferme presque aussitôt. Mais l'acti
ite pendant qu'on lui suggère, en l'affirmant à haute voix, que ses
doigts
se ferment et que sa main se contracture. En même
même temps que cette affirmation impressionne le sujet, on voit les
doigts
de la main indiquée se fléchir peu à peu, en qu
qu'il s'agit là d'une véritable contracture qui immobilise tous les
doigts
dans la flexion forcée et les y maintient avec
l'expérience et la malade se plaint de souffrir de la pression des
doigts
et des ongles dans la paume de la main. Elle y
état léthargique, l'excitation mécanique des muscles entenseurs des
doigts
n'arrive pas à modifier l'altitude de la main. En
l'avant-bras, on voit le poignet se fléchir ou s'étendre, mais les
doigts
restent toujours fermés de la même façon et les
On attire alors son regard sur sa main fermée et on affirme que les
doigts
s'ouvrent et que la contracture disparait. En m
'ouvrent et que la contracture disparait. En même temps on voit les
doigts
s'étendre peu à peu, la main s'ouvrir et la con
ulique. On dit Ù la malade que sa main s'ouvre et en même temps les
doigts
se défléchissent, la contracture disparaît. Je
un effort pour lever un fardeau, tous les muscles fléchisseurs des
doigts
, du poignet, del'avant- bras sur le bras se con
, cet état asphyxique s'accom- pagne d'une tuméfaction générale des
doigts
et des mains, avec épais- sissement pachydermiq
et il a souvent des picotements et de l'en- gourdissement dans les
doigts
, mais il est incapable de fixer l'époque du déb
e du nez et de l'extrémité supérieure des oreilles. L'extrémité des
doigts
présente le même aspect; il en est de même des
il en est de même des orteils. Il raconte que de temps en temps les
doigts
deviennent complètement blancs et insensibles; ma
DE LA SALPÊTRIÈRE. - segments (à droite, cependant, la flexion des
doigts
reste incomplète). En effet, elle se sert de se
des deux côtés à 511 (fig. 69). Amblyopie : le malade ne compte les
doigts
qu'à cinquante centimètres; il lit difficilement,
embres supérieurs, il y a presque toujours quelques altérations aux
doigts
; l'avant-bras est plus ou moins touché; au bra
t un mois, elle a été prise, tous les matins, d'asphyxie locale des
doigts
. Ces accidents disparaissaient rapidemment. Dan
complètement et en employant la violence; dès qu'il abandonnait les
doigts
, ils reprenaient leur position première. Les po
a main gauche. Vers la fin du mois de juin, elle pouvait remuer ses
doigts
qui étaient beaucoup moins raides, mais ne s'éten
louches en apparence. Le pouce est sur le même plan que les autres
doigts
(main de singe). Les mouvements de la main et d
les autres doigts (main de singe). Les mouvements de la main et des
doigts
(le pouce excepté) sont peu altérés; la flexion
té) sont peu altérés; la flexion et l'extension des quatre derniers
doigts
est possible quoique limitée; leur écartement e
marqués par des sillons profonds, les mouvements de la main et des
doigts
perdus. Progressive- ment, sous l'influence de
ur relief normal ; les mouvements de la main et des quatre derniers
doigts
sont possibles et assez faciles. Le pouce seul es
eul est à peu près immobile; il est sur le même plan que les autres
doigts
(main de singe) et l'opposition fait défaut. (E
étaient autrefois tout il fait impossibles.) La flexion des autres
doigts
est complète, excepté pour l'index, mais moins én
membres de ce coté se raidissent et sont agités de se- cousses. Les
doigts
de la main droite s'écarlent « comme une patte d'
considérable de l'acuité visuelle : la malade compte seulement les
doigts
. Amaurose droite sans lésions ophthalmoscopiques
ssible (main de singe); l'écartement el.le rapprochement des autres
doigts
se font mais faiblement. Le périmètre au-dessou
Les éminences thénar et hypo- thénar ont complètement disparu; les
doigts
sont en griffe, les premières phalanges étant e
s que les dernières sont en flexion ; le malade ne peut écarter les
doigts
les uns des autres; le seul mouvement qu'ait co
qu'ait conservé le pouce est un léger degré d'abduction ; les autres
doigts
sont incapables d'aucun mouvement volontaire. D
en extension par le malade. L'avant-bras, mesuré à trois travers de
doigts
au-dessous du pli du coude, donne 20 centimètres
ontraire, à gauche, ce mouvement est seul conservé. L'extension des
doigts
se fait complètement, tandis que la flexion est i
e peuvent rejoindre le creux de la main. Le malade peut écarter les
doigts
, mais les rapproche difficilement; à gauche, ce
l satisfaisant aux deux exigences. A cet effet, je bouchai avec mon
doigt
le bout libre du manomètre, l'autre bout se tro
mblent appartenir au tissu sous-cutané : on les fait rouler avec le
doigt
immédiatement sous la peau. En même temps que c
raordinaire, le scalpel tout seul les divise. Si on presse avec les
doigts
l'extrémité des côtes section- nées, des nombre
rtie inférieure du dos, sur la ligne médiane, de l'é- paisseur d'un
doigt
environ, de la largeur de la main. A 15 mois, q
cicatrice, sur une largeur de 20 centimètres; l'épaisseur est de 2
doigts
environ; la peau semble infiltrée par la tumeur
tour de passe-passe a pleinement réussi : de la main gauche où deux
doigts
la retenaient dissimulée, la pierre a glissé su
e cuivre d'Angleterre, nommée pardins, des pierres ci éguiser, d'un
doigt
de longueur et de la largeur de deux doigts.
pierres ci éguiser, d'un doigt de longueur et de la largeur de deux
doigts
. » AI. Wlite,un des maîtres d'hôtel de M. le du
me a jetté un grand morceau de plomb de la longueur de plus de deux
doigts
. Et un jour*qu'on lui demandait d'où vient qu'i
lui, différents auteurs signa- laient dans le carpe, le tarse, les
doigts
, les orteils, la mâchoire inférieure, la présen
rtie postéro-inférieure de la région latérale droite du thorax..Les
doigts
, promenés de haut en bas le long de la crête ép
, est irrégulière et excessivement poreuse : l'os s'effrite sous le
doigt
; ces porosités s'étendent jusqu'au niveau de l'a
s : sensations de fourmillement intense, piqûres d'épingle au boutdes
doigts
, anesthésie des extrémités supérieures. Il lui
ote la présence de nombreux corps étrangers, durs, roulant sous les
doigts
et donnant la sensation de cré- pitation. L'art
le volume d'une plume d'oie ; elles se rompent sous la pression du
doigt
. On suit leurs moindres divi- sions jusqu'à l'i
stérieurs sont agrandis et leur pourtour os- seux s'effrite sous le
doigt
. Les apophyses sacrées ne sont pas extraordinaire
ments. Le membre inférieur droit est raccourci de quatre travers de
doigts
environ. Nouv. Iconographie de la SALPÉTRIL`RL
de la tête et du col de l'os qui est re- monté de quatre travers de
doigt
environ. Le large espace existant entre la cavi
rités suivantes : douleurs en ceinture, fourmillement dans le petit
doigt
du côté gauche. Sensibilité dimi- nuée, à tous
ité sont très marqués. La cuisse est le siège d'un oedème dur où le
doigt
s'enfonce avec difficulté. La jambe et le pied
om- berg à un degré très léger, l'engourdissement fréquent du petit
doigt
et du bord cubital de l'avant-bras des deux côt
extenseur du pouce et les extenseurs propres de l'index et du petit
doigt
. Elle avait dis- paru dans le long supinateur n
abducteur du pouce, le cubital Rosteneur et l'extenseur commun des
doigts
. Les traces de DR cons- tatées dans le triceps
che qui était d'ailleurs le moins pris, puis le 25 octobre dans les
doigts
de la main droite, enfin le 1er décembre dans l
progressive ; engour- dissement de la main droite avec parésie des
doigts
, à tel point que le malade ne pouvait plus écri
teils,le poignet, de serrer un objet avec force, d'opposer le petit
doigt
au pouce ; le malade soulève avec peine les jam-
s de paralysie vraie. Pendant l'été de 1884, lésions trophiques des
doigts
et des orteils ; ecchymoses, bulles, ulcérations
portions de phalanges : nécessité d'amputer plusieurs segments des
doigts
et des orteils, mutilation des pieds et des mains
s. La main droite perdit la dernière' phalange de l'index, du petit
doigt
et du médius. A la main gauche, chute des ongle
V). Cette hypertrophie n'est pas uniforme, et l'on constate sur les
doigts
, l'avant-bras,le bras et le thorax des tumeurs
alement manifeste et forme une saillie régulière, volumineuse ; les
doigts
enfin laissent voir leur aspecl irrégulier comme
ée du tiers inférieur de l'avant-bras, on en retrouve au niveau des
doigts
, en particulier au-dessus des cinquième et deux
ans, un chirurgien lui ouvrit une de ses petites tu- méfactions des
doigts
, et du sang s'en écoula. En l'année 1865, à l'hôp
entier du corps : le membre supérieur droit depuis l'extrémité des
doigts
jusqu'à sa racine comprise dans le sens le plus l
u dynanomètre était nulle, malgré que les mouvements de flexion des
doigts
existassent et la résistance passive des différen
un vieux coutelas il la cein- ture, trépigne de douleur, crispe ses
doigts
et serre nerveusement son bonnet, mais l'opérat
au cours desquels (4° mois) apparut la contracture débutant par les
doigts
de la main gauche. Le membre inférieur gauche fut
et écarté du tronc, le poignet est en flexion sur l'avant-bras, les
doigts
sur la paume de la main, le pouce dans la main.La
ade nous affirme avoir remarqué que lorsqu'il baille, le matin, les
doigts
de main gauche s'étendent d'eux-mêmes, mais ils r
cent. 5. Circonférence des premières phalanges des quatre derniers
doigts
à droite, 12 cent. 5. Circonférence des premi
cent. 5. Circonférence des premières phalanges des quatre derniers
doigts
à gauche, 12 cent. Circonférence de la partie
ue en rien de la main droite. Si l'on fait serrer un objet avec les
doigts
de la main droite, on voit ceux de la gauche se
our serrer. Lorsqu'au contraire elle serre avec la main gauche, les
doigts
, à droite, n'ont que de très légers mouvements
le faire revenir à la supination. Quand on change la position des
doigts
de la main droite, les yeux fermés, et que l'on
ans l'état suivant : à la région temporale gauche à deux travers de
doigt
en arrière de l'apophyse orbitaire externe, et à
oit estlesiège d'une paralysie motrice complète,aucun mouvement des
doigts
de la main, de l'avant-bras, du bras et même de l
e l'épaule et du bras, le pouce s'écarte très légèrement des autres
doigts
pour exécuter un faible effort de préhension.
. Ce sont par exemple, des mouvements de flexion et d'extension des
doigts
, lents. Nous les trouverons bien décrits dans u
droits rejetés en arrière, l'avant-bras dans une pronation forcée les
doigts
fortement étendus et écartés. (La ressemblance
thétose, ce sont des mouvements lents d'extension et d'écartement des
doigts
avec flexion et contorsion de la main. La volon
sur le bras, mais il est incapable de mouvoir en rien le poignet, les
doigts
. Le réflexe rotulien est exagéré des deux côtés
ant satisfaisants, ceux du coude assez bons, ceux du poignet et des
doigts
nuls. Le poignet est ankylosé sur l'avant-bras et
t très souvent. Il tenait le bras un peu fléchi sur le coude et les
doigts
demi- fléchis sur la paume. De temps en temps o
demi- fléchis sur la paume. De temps en temps on observait dans les
doigts
des mouvements simples, rythmiques et lents de
y trouve de petites masses lobulées, plus fermes et roulant sous le
doigt
. Ces petites masses ressemblent à des noyaux gang
e long de la gaine des vaisseaux du bras droit, à quatue travers de
doigt
au-dessus du pli du coude, existe une petite mass
disposition ana- tomique de l'anomalie. Le plus souvent les deux
doigts
extrêmes (pouce et auriculaire) limitent la pin
deux doigts extrêmes (pouce et auriculaire) limitent la pince, les
doigts
intermédiaires manquent. Mais tantôt le métacarpe
chancrure se prolonge jusqu'au carpe. Dans ce dernier cas, les deux
doigts
extrêmes peuvent avoir leur squelette normal, gar
sance musculaire assez considérable. Ou bien le squelette de ces deux
doigts
est lui-même peu développé ; ce ne sont plus qu
s le cas de Londe et Meige. Lorsque le métacarpe subsiste, les deux
doigts
extrêmes peuvent être eux-mêmes atrophiés,et,s'il
par Polaillon (3). Il est d'autres faits plus rares où ce sont les
doigts
du bord cubital qui (1) A. L011DF : et H. Meige
, 1894, p. 244. (3; Polaillon, Dictionnaire encyclopédique, article
Doigt
. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA S1LPL'1'RILRC T. XIII
gère flexion (soudure qui troublait d'ailleurs peu la mobilité de ce
doigt
).Le métacarpien du petit doigt parait énorme pa
ait d'ailleurs peu la mobilité de ce doigt).Le métacarpien du petit
doigt
parait énorme par rapport à ceux des autres doi
acarpien du petit doigt parait énorme par rapport à ceux des autres
doigts
. La première phalange, qui lui fait suite semble
médicale, 189S, p. 105. r--.... 252 P..LEREBOULLET ET F. ALLARD
doigts
intermédiaires, les phalanges des deux doigts ext
EBOULLET ET F. ALLARD doigts intermédiaires, les phalanges des deux
doigts
extrêmes s'étant au contraire développées à peu
cette perforation se trouve une zone blanchâtre, plus résistante au
doigt
, trace du processus de cicatrisation à la faveu
e sponta- née à plusieurs reprises. Les cheveux et les ongles des
doigts
ne sont jamais tombés. Sueurs fréquentes la nui
uleur. A part une légère contracture en flexion des quatre derniers
doigts
de la main gauche, la motilité des membres supé
ent rapproché du bassin, qu'il est à peine possible d'introduire un
doigt
entre les deux. Le malade vu de dos ou latérale
tellement rapprochées les unes des autres qu'on ne peut introduire un
doigt
entre elles, on y arrive seulement en faisant r
nt à la palpation les unes des autres, et on a l'impression sous le
doigt
de plusieurs masses calleuses, contribuant pour
s genoux sont légèrement flé- chis. A mi-abdomen, à deux travers de
doigt
, à peu près au-dessus de l'ombi- lic, on remarq
la jambe droite, puis des douleurs véritablement fulgurantes dans les
doigts
du pied droit d'abord, puis du pied gauche. En
ses cotes sont rapprochées des crètes iliaques de quatre travers de
doigt
à gauche, de deux seulement à droite. La palpat
cte. Des clients attendent leur tour, l'un d'eux indiquant aussi du
doigt
le siège de son mal. A droite. l'éventaire du' ch
spe au bras d'un fauteuil, la gauclie se dresse, grand'ouverte, les
doigts
en éventail, impuissante et suppliante. El le r
me. Il se détourne pour regarder un vieillard à barbe grise, qui du
doigt
lui montre ses dents. Tout à fait à droite, un so
s, les avant-bras-sur les bras et les mains sur les avant-bras, les
doigts
écartés, sans oscillation du membre, ni tremble
les doigts écartés, sans oscillation du membre, ni tremblement des
doigts
. Il n'existe pas, à proprement parler, de tremb
ture est altérée ; dès que la malade prend le porte-plume entre ses
doigts
, le membre supérieur décrit des oscillations et l
les yeux fermés et inversement ; la malade porte également bien son
doigt
sur son nez ou sur son oreille, les yeux fermés
des secousses choréiformes des bras, des oscillations latérales des
doigts
, des contrac- tions exagérées des muscles de la
lui restait qu'une parésie de la jambe gauche, une contracture des
doigts
du même côté et des plaques d'anesthésie. On tr
ssant des bords coupants. La dépression admet facilement le bout du
doigt
et à la pression on sent au fond une résistance
u doigt et à la pression on sent au fond une résistance comme si le
doigt
touchait une par- tie osseuse. La dépression es
est impossible de savoir si l'allon- gement et l'élargissement des
doigts
remontent à la même époque ou s'ils se sont fai
nt-bras, le bras et l'épaule. Cette enflure était considérable, les
doigts
étaient comme de vrais bau- dins accolés les un
'aisselle (PL LVII). La consistance était dure, résistante, mais le
doigt
y faisait une dépres- sion facile dont la trace
sée. Il n'y avait aucune espèce de douleur, les articulations des
doigts
, du poignet, du coude, de l'épaule se mouvaient
t depuis quelque, temps. Mais pendant cette période la motilité des
doigts
est troublée. Il y a un an,le malade commençait
ère que six mois que le malade a remarqué le raccourcisse- ment des
doigts
et le tassement de la main raccourcie et épaissie
sillon bien marqué qui le sépare de la main oedématiée, tassée, aux
doigts
épais et courts que montre notre figure vingt c
p- prochés les uns des autres, que du côté de la face dorsale ; les
doigts
sont raccourcis, épaissis sur leur base, écarté
sis sur leur base, écartés en éventail à leur périphérie ; le petit
doigt
et le pouce semblent avoir perdu leur métacarpien
ire on a six à droite pour huit à gauche de sorte que la main et le
doigt
ont perdu chacun également deux centimètres. Enfi
ent deux centimètres. Enfin nous avons noté la circonférence de ces
doigts
boudinés et le médius comme type nous donne sep
type nous donne sept centimètres et demi de tour au lieu de six au
doigt
correspondant opposé (Pl. LVIII). Il n'y a au
tré et présente un oedème assez résis- tant dans lequel la trace du
doigt
disparaît vite. La palpation permet de sentir l
eine mar- qués. la main pend flasque au bout de l'avant-bras. Les
doigts
ne sont mobiles spontanément que dans l'articulat
er sur la figure, moins marquées sur l'in- dex, et au maximum au 4e
doigt
: ces lésions n'ont cependant pas détruit l'épi
aides, un peu écar- tés du tronc, les mains largement ouvertes, les
doigts
séparés ; cet aspect est encore plus accentué q
ut se servir d'une de ses mains ; aussitôt l'au- tre s'ouvre et les
doigts
se mettent en extension forcée. Malgré ces trou
interosseux sont accentués et les éminences thénars déprimées ; les
doigts
en extension exagérée sont même incurvés du côt
no-cléido-mastoïdien, splénius, extenseur et fléchisseur commun des
doigts
, droit antérieur, droit interne, jumeau interne
no-cléido- mastoïdien, de l'extenseur et du fléchisseur communs des
doigts
ne présentent pas leur brusquerie normale aussi
ts fournis par la palpation méthodique sont autrement précis. Les
doigts
promenés de haut en bas de long de la crête épine
quelques en- droits limités et rarement d'ailleurs, la pression du
doigt
réveille une légère douleur (obs. VI). Souvent
t lui ouvrant vigou- reusement la bouche, il y plonge bravement les
doigts
de sa main gauche, sans souci de la morsure pos
attachée à la paroi postérieure, s'étendant sur une longueur de six
doigts
en travers, et re- présentant un gros lombric e
allemand, met en scène un personnage, le nez rempli de poudre, les
doigts
encore dans sa tabatière et proclamant avec ent
ules et dont la main droite brandit une tabatière dans laquelle ses
doigts
plongent sans cesse. Ses courtisans partagent s
endez-la moi, si vous l'avez cachée. Rendez-moi l'occupation de mes
doigts
, les délices de mon nez, le soulagement de ma têt
laire qui paraît avoir duré 6 mois environ. Depuis cette époque les
doigts
sont restés un peu noueux, 496 en. féré elle
Elle sent des picotements et des fourmillements à l'extré- mité des
doigts
: elle a une grande difficulté à mouvoir les part
(2 par minute environ). Il existe un tremblement menu et régulier des
doigts
manifestement plus marqué à droite. Le malade
es plus tard, un peu de maladresse dans les mouvements délicats des
doigts
, quelque difficulté à se conduire dans l'obscur
inégales, déformées. Légère ataxie dans les mouvements délicats des
doigts
: difficile à ap- précier dans la marche,à caus
é est comblé en partie par des masses irrégulières, qui masquent au
doigt
les battements de l'artère ; à droite la palpat
. Les trous sacrés sont agrandis et leur pourtour s'effrite sous le
doigt
, cette friabilité s'étend quelquefois au sacrum
os, z leur légèreté étonnante, leur friabilité sous la pression du
doigt
ou leur rupture sous le moindre effort sont des
e et se combine avec une hémiplégie. La commis- sure labiale et les
doigts
du même côté se meuvent continuellement. Si on
nt-bras était dans l'inertie lors même du précédent, tandis que les
doigts
s'agitaient continuelle- 'ment; enfin l'influen
,mais le bras droit restait inerte. Seuls quel- ques mouvements des
doigts
étaient possibles. La sensibilité au toucher, à
nar et hypothénar ont conservé sen- siblement leur relief normal.
Doigts
. - Il existe à la main droite une demi-flexion de
s qu'il compare à des coups d'épingle. L'avant-bras, la main et les
doigts
du même côté ne donnent lieu à aucun phénomène
chement bleu rosé à mesure que l'on se rapproche de l'extrémité des
doigts
, existe aussi un abaissement de température trè
de convulsions En avril 1897, il a eu subite- ment la sensation des
doigts
morts et pendant dix minutes ne vit plus rien que
aquelle l'extrémité revient graduellement à sa position initiale. Les
doigts
de la main gauche sont légèrement fermés. Le br
t absolument rien faire de celle main qui est en contrac- ture, les
doigts
fortement fléchis sur la paume. On peut réduire c
fléchis sur la paume. On peut réduire cette contrac- ture, mais les
doigts
reviennent d'eux-mêmes à leur position initiale.
Pour si mince besogne, l'opérateur n'a pas besoin d'instrument; ses
doigts
lui suffiront, et il s'en contente. La scène
er dans la bouche. Ainsi immobilisé, le malheureux peut crisper les
doigts
, battre des pieds, et hurler à sa guise : il fa
la foule se presse. A gauche, un homme barbu qui rit en montrant du
doigt
le groupe principal ; un autre, appuyé sur un b
mouvement de sens 'inverse qui rapproche de l'axe du corps les deux
doigts
de la main gauche comme l'adduction en rapproch
en cependant dans l'orbite ne paraît soulever ce sillon et le petit
doigt
introduit légèrement entre l'oeil et sa cavité ne
rmale du fond 622 CABANNES ET BARNEFF de l'oeil; malformation des
doigts
, des mains, des pieds, anesthésie du trijumeau,
unilatérale dans un cas de Gazépy ainsi que des malforma- tions des
doigts
. Le facial estparésié ou paralysé entièrement (Re
lectuelle conservée, de l'intégrité de la pa- role, de l'aspect des
doigts
, de la conservation des règles, etc., et surtout
e l'oedème des pieds et des chevilles, qui gardait l'em- preinte du
doigt
et disparut après un séjour à la campagne. Elle
e complètement. Elle se rappelle qu'à ce moment la pression avec le
doigt
laissait un godet sur la jambe et le pied et qu'o
minces et bien souples, les oreilles non déformés. Les mains et les
doigts
, les membres supérieurs sont ceux d'une femme g
es supérieurs sont ceux d'une femme grasse, sans déformations ; les
doigts
frappent par leur aspect relative- ment gracile
ule. Mais la peau n'y a pas la même consistance. - Sur la jambe, le
doigt
rencontre une dureté ligneuse et ne peut faire de
s élevé que de l'autre côté. Les sillons sont moins pro- fonds, les
doigts
moins boudinés, la circonférence du pied d'à pein
io-tarsienne. C'est un oedème dur, prenant cependant l'empreinte du
doigt
. -La malade dit qu'il augmente le soir lorsqu'ell
ans épaississement de la peau, gardant passagèrement l'empreinte du
doigt
. Il occupe la partie in- férieure des jambes, l
ervé sa teinte rosée, l'oedème se laisse facilement déprimer par le
doigt
, mais revient aussitôt, sans garder l'empreinte.
ce et de la parole, l'absence de bouffissure des pau- pières et des
doigts
, de troubles menstruels marqués, etc., devaient f
e l'oedème des pieds et des chevilles qui gardait l'em- preinte des
doigts
: l'apparition des règles à quatorze ans ne fit p
nts de la main, lorsqu'on commande au malade de toucher un objet du
doigt
. Le malade ne peut ni se tenir debout, ni march
, aplatie, du volume d'une petite lentille, mobile, roulant sous le
doigt
, soulevant à peine la peau ; au niveau de la boss
le mode opératoire , qu'il va employer. Nul doute qu'il ait mis le
doigt
sur la dent doulou- reuse, car le patient cherc
, entre, appuyé sur un bâton, un nouveau client qui montre avec son
doigt
la dent qui le fait souffrir. La gravure porte
tromper le public faisant accroire qu'ils n'ont besoin que de leurs
doigts
ou d'un bout d'épée pour emporter les dents les
n arrière la tête de son client, délicatement, il touche du bout du
doigt
les dents qu'il soupçonne malades, pour n'arrêt
e mal, demeure cependant les yeux pleins de larmes, tâtant avec son
doigt
la place vide de la dent frai- chement extraite
r n'y mesme sans user d'aucun instrument ou polican que de ses deux
doigts
, à savoir le poulce et l'index..... Avant que d'a
a dent que le patient vouloit faire oster, il la touchoit de ses deux
doigts
, au bout de l'un desquels il mettoit subtilemen
inant tellement la dent qu'aussi tost qu'il la touchoit de ses deux
doigts
seulement,il l'arrachoit, et quelquefois tom- b
ntroduit dans la bouche du pa- tient, d'un geste délibéré, le petit
doigt
dressé en l'air. La victime geint, se débat, se
paraît en tout cas, momentanément, sous l'influence de la pression du
doigt
. Le lendemain ou le surlendemain, une tache d'un
cela dans toute son étendue d'avant en arrière. En pressant avec les
doigts
sur la moitié gauche de la dure-mère, on perçoit
ées offraient une consistance ferme, comme lardacée ; la pression des
doigts
n'y laissait pas d'empreinte. Le tégument externe
de l'œdème, il était dur, résistant, ne cédail pas à la pression des
doigts
et n'en conservait pas l'empreinte. Lorsque je
alement entre les deux épaules, au niveau des fausses côtes, dans les
doigts
des mains, etc. Cependant, les mouvements des mem
dure, et M. B... assure qu'elles ne conservaient pas l'impression du
doigt
. Le malade dormit cette nuit là comme d'habitude.
une nature spéciale et non pas l'œdème ordinaire, car la pression des
doigts
n'y laissait pas auprès d'elle des traces persist
rtées à la périphérie, analogues à celles qui se développent dans les
doigts
de la main, lorsque le nerf cubital a été froissé
ce est injectée. — Le membre supérieur gauche est flasque ; seuls les
doigts
sont un peu rigides et fléchis dans la paume de l
; pouls presque insensible; sueurs visqueuses. A la main gauche, les
doigts
ont une couleur violacée qui n'existe pas de l'au
erte quand on l'a soulevé. Pas de traces de rigidité, si ce n'est aux
doigts
de la main qui sont légèrement flétris. Sensibili
d'un rouge livide, Il y a de l'œdème et l'impression produite par les
doigts
persiste pendant longtemps. Ces parties sont en m
volume et la même coloration. Les tendons de l'extenseur commun des
doigts
de la main gauche, dans la partie où ils sont rec
e cas, les gaines séreuses des fendons du muscle extenseur commun des
doigts
au niveau du ligament dorsal du carpe, mérite d'ê
n'a jamais vue, tout médecin n'a qu'à lui demander de montrer avec le
doigt
le point du ventre où elle sent ses douleurs, ell
me le larynx, le pharynx, l'épigiofte : vous voyez que j'introduis le
doigt
jusqu'au fond de la gorge, jusque sur l'orifice s
ue chez un sujet amené à l'état somnambulique, on exerce à l'aide des
doigts
appliqués sur les paupières, une légère compressi
mplement de fermer les yeux du sujet catalepfisé en abaissant avec le
doigt
les paupières supérieures,pour amener l'état léth
ur myographique est placé sur le corps du muscle extenseur commun des
doigts
(avant-bras droit). L'avant-bras droit est plac
La percussion donne lieu à un mouvement d'extension de la main et des
doigts
. Le tracé I (Fig. 2) a été obtenu pendant l'éta
ontracture pcr choc tendineux pendant la léthargie E, Extenseur des
doigts
de Favant-bras droit. S, Signal électrique indi
L'excitation portée sur les muscles fléchisseurs de la main et des
doigts
nous a donné des résultats analogues. Dans ce c
ête des métacarpiens, par exemple — un des tendons de l'extenseur des
doigts
dont les reliefs sont facilement appréciables sou
eliefs sont facilement appréciables sous la peau, pour qu'aussitôt le
doigt
correspondant — et celui-là seulement — s'étende,
Son excitation mécanique au moyen d'une simple pression faite avec le
doigt
, ou indifféremment avec l'extrémité d'un petit bâ
tout entière un peu entraînée vers le bord cubital, les deux derniers
doigts
sont complètement fléchis dans la paume de la mai
lation métacarpo-pha-langienne fléchie, pendant que les deux premiers
doigts
index et médius, sont dans l'extension. Cette ext
fois un très léger degré de flexion dans les autres articulations des
doigts
et principalement sur le médius. D'autrefois, a
t principalement sur le médius. D'autrefois, au contraire, ces deux
doigts
se placent dans une extension forcée. En tous cas
et qu'elle se place dans la paume de la main recouverte alors par les
doigts
en flexion {Fig. 10). Au milieu de ces quelques
ctères fondamentaux de la griffe cubitale : flexion des deux derniers
doigts
, adduction du pouce, extension et écartement des
doigts, adduction du pouce, extension et écartement des deux premiers
doigts
, index et médius. Ciiaiicot. OEuv. compl. t. ix
ux aux muscles suivants : cubital antérieur ; fléchisseur profond des
doigts
(les deux faisceaux internes destinés au petit do
eur profond des doigts (les deux faisceaux internes destinés au petit
doigt
et à l'annulaire reçoivent seuls leurs rameaux ne
—• Fléchisseur de la main sur l'avant-bras. Fléchisseur profond des
doigts
(deux faisceaux int.). —Fléchisseur des dernières
oigts (deux faisceaux int.). —Fléchisseur des dernières phalanges des
doigts
. Interosseux. — Adduction (palmaires), abductio
les de l'éminence hypothénar (abducteur et court fléchisseur du petit
doigt
) agissent comme les interosseux. Opposant du pe
r du petit doigt) agissent comme les interosseux. Opposant du petit
doigt
. — Légère abduction du cinquième métacarpien. L
es phalanges est peu ou point accusée. La flexion des deux derniers
doigts
, annulaire et petit doigt, est le résultat d'acti
nt accusée. La flexion des deux derniers doigts, annulaire et petit
doigt
, est le résultat d'actions musculaires plus compl
s innervés par le nerf cubital et qui ont quclqu'ac-tion sur ces deux
doigts
sont nombreux. Parmi les muscles fléchisseurs, le
atisfaisante, pensons-nous, la raison physiologique de l'attitude des
doigts
et de la main dans la griffe cubitale. D'ailleu
llement avertis de ce que nous voulions obtenir). Les deux derniers
doigts
sont fléchis fortement dans leur articulation mét
ujets. Chez quelques-uns, cela nous a été complètement impossible. Le
doigt
médius, au lieu cle rester dans l'extension, se p
sseur sublime ; fléchisseur propre du pouce ; fléchisseur profond des
doigts
(les deux faisceaux externes sont seuls innervés
échisseurs de la main sur l'avant-bras. Fléchisseur superficiel des
doigts
. — Fléchisseur des secondes phalanges des doigts.
seur superficiel des doigts. — Fléchisseur des secondes phalanges des
doigts
. Fléchisseur propre du pouce. — Fléchisseur de
. — Fléchisseur de la phalangette du pouce. Fléchisseur profond des
doigts
(dont les deux faisceaux qui correspondent à l'in
s innervés par le médian). — Fléchisseur des troisièmes phalanges des
doigts
. Lombricaux (dont les deux premiers sont innerv
ont innervés par le médian. Ce sont les deux palmaires. Flexion des
doigts
. — A un degré différent pour l'index et le médius
pour l'index et le médius d'une part, et pour l'annulaire et le petit
doigt
d'une autre part. La flexion de l'annulaire et
petit doigt d'une autre part. La flexion de l'annulaire et du petit
doigt
est légère, elle doit porter exclusivement sur le
onation ; 2° Flexion de la main sur l'avant-bras ; 3° Flexion des
doigts
complète pour l'index et le médius, incomplète po
te pour l'index et le médius, incomplète pour l'annulaire et le petit
doigt
; 4° Opposition du pouce avec flexion de la pha
x et du médius, ainsi qu'on le voit sur la Fig. 11. Les deux derniers
doigts
(annulaire et petit doigt) sont incomplètement fl
le voit sur la Fig. 11. Les deux derniers doigts (annulaire et petit
doigt
) sont incomplètement fléchis. Nous avons vu parfo
gt) sont incomplètement fléchis. Nous avons vu parfois la flexion des
doigts
s'accuser bien davantage et la main prendre compl
inateur ; Anconé ; Cubital postérieur ; Extenseur propre du petit
doigt
; Extenseur commun; Extenseur propre de l'index ;
s du poignet (cubital postérieur et les deux radiaux), les autres des
doigts
(extenseur commun et les deux extenseurs propres
ément, déterminent l'extension complète des différents segments de ce
doigt
et doivent le maintenir dans une situation interm
vant-bras ; b) L'extension du poignet; c) L'extension de tous les
doigts
. Cette extension porte exclusivement sur les prem
ur commun; l'extenseur propre de l'index; l'extenseur propre du petit
doigt
; le cubital postérieur. Des trois muscles du po
r, l'excitation portée sur la face palmaire amène la flexion du petit
doigt
, dont les deux dernières phalanges restent étendu
onateur ; 2, grand palmaire ; 3, petit palmaire ; 4, fléchisseurs des
doigts
; 5, fléchisseur propre du pouce; 6, court abduct
doigts ; 5, fléchisseur propre du pouce; 6, court abducteur du petit
doigt
; 7, court fléchisseur du petit doigt ; 8, court a
uce; 6, court abducteur du petit doigt; 7, court fléchisseur du petit
doigt
; 8, court abducteur du pouce; 9, opposant du pou
premier radial externe; 3, deuxième radial externe ; 4. extenseur des
doigts
; 5, cubital postérieur ; 6, extenseur propre du
eur des doigts ; 5, cubital postérieur ; 6, extenseur propre du petit
doigt
; 7, extenseur propre de l'index ; 8, rameau comm
l'on insiste un peu, à mesure que la flexion du poignet augmente, les
doigts
se ferment par degré, ce qu'il est facile d'expli
s de la physiologie. En effet, on observe bien un ôcartement des deux
doigts
correspondants, mais l'extension des doigts, est
en un ôcartement des deux doigts correspondants, mais l'extension des
doigts
, est complète et porte aussi bien sur l'articulat
ent dans un sens différent à chaque main. A la main contracturée, les
doigts
quittent peu à peu, et comme par degrés, l'attitu
t imprimée la contracture, le pouce s'écarte, l'annulaire et le petit
doigt
se défléchissent. Les mêmes doigts de l'autre m
s'écarte, l'annulaire et le petit doigt se défléchissent. Les mêmes
doigts
de l'autre main subissent au même moment un mouve
ubissent au même moment un mouvement inverse, l'annulaire et le petit
doigt
entrent en flexion, le pouce se rapproche pendant
a contracture en extension forcée. L'attitude demi-fléchie des autres
doigts
de la main n'est pas modifiée. Nous appliquons al
s différents muscles extenseurs. En voici un autre exemple : le petit
doigt
de la main droite est placé dans l'extension par
in gauche. Cette main repose sur la table par sa face palmaire et les
doigts
à demi-fléchis, de telle sorte que le petit doigt
ce palmaire et les doigts à demi-fléchis, de telle sorte que le petit
doigt
disparaît presque complètement recouvert par les
s, nous voyons un mouvement se produire exclusivement dans le petit
doigt
qui se dégage peu à peu, se redresse, s'étend, pu
e, s'étend, puis s'élève en extension forcée. En même temps, le petit
doigt
du côté droit est retombé peu à peu et a repris l
uscles de la région postérieure de l'avant-bras amène l'extension des
doigts
et de la main. Cette attitude, maintenue par la c
extension isolée du médius qui s'élève au-dessus du niveau des autres
doigts
et se maintient en cette situation d'extension fo
tés. Peu à peu, ce tremblement diminue d'ampli tude à mesure que le
doigt
s'élève et bientôt le médius se trouve immobilisé
aucune autre excitation sur le membre anémié, nous froissons avec le
doigt
, à plusieurs reprises, le nerf cubital en arrière
chaque froissement du nerf cubital répond un léger mouvement dans les
doigts
, mais aucune contraction nettement localisée, auc
se fait la contraction volontaire, celle des muscles fléchisseurs des
doigts
, par exemple, une certaine excitation se transmet
t, une contracture intense de tout le membre intéressé. — L'action du
doigt
promené à la surface du membre, môme à distance,
; il les obtient par l'excitation cutanée la plus légère, l'action du
doigt
à distance, du regard (sic), d'un rayon lumineux,
c'est que si vous pincez un muscle, le biceps par exemple, entre les
doigts
, la rigidité qui s'empare du muscle ne reste pas
sont atteints ; ainsi les fléchisseurs et extenseurs du poignet, des
doigts
, etc., et même, dans certains cas, vous aurez une
es qui font saillie, les cheveux, les plis des vêtements, le bout des
doigts
, etc. Ce passage de l'électricité donne même lieu
ile d'araignée flottant sur le visage, vent soufflant sur le bout des
doigts
. Mais le bain électrique a des effets physiologiq
Fig. 5, côté paralysé. Vu:. 6. — Tendons de l'extenseur commun des
doigts
du côté paralysé dan» l'obs. n° 4. La gaine synov
myographique est placé sur le corps du muscle extenseur commun des
doigts
(avant-bras droit). ' L'avant-bras droit est
percussion donne lieu à un mouvement d'extension de la main et des
doigts
. Le tracé I (h'a'g. 2) a été obtenu pendant l'é
)'<.' par cliof tendineux pendant la léthargie. E. Extenseur des
doigts
de i'ant-hras droit. s. Signal électrique indiq
L'excitation portée sur les muscles fléchisseurs de la main et des
doigts
nous adonné des résultats analogues. Dans ce ca
s méta- carpiens, par exemple un des tendons de l'extenseur des
doigts
dont les reliefs sont facilement apprécia-
ont facilement apprécia- bles sous la peau, pour qu'aussitôt le
doigt
correspondant et celui-là seulement s'étend
n excitation mécanique au moyen d'une simple pression faite avec le
doigt
, ou indifféremment avec l'extrémité d'un petit
ntière un peu entraînée vers le bord cubital. Les deux der- niers
doigts
sont complètement fléchis dans la paume de la m
ion métacarpo-phalan- gieune fléchie, pendant que les deux premiers
doigts
, index et médius, sont dans l'extension. Cette
is un très léger degré de flexion dans les autres articulations des
doigts
et principalement sur le médius. D'autrefois, a
t principalement sur le médius. D'autrefois, au contraire, ces deux
doigts
se placent dans une extension forcée. En tous c
e se place dans la paume de la main recouverte alors par les deux
doigts
en flexion (Fig. 10). Au milieu de ces quelques
ères fondamentaux de la griffe cubitale : flexion des deux derniers
doigts
, adduction du pouce, extension et écartement de
ts, adduction du pouce, extension et écartement des deux premiers
doigts
, index et médius. Une attitude aussi caractéris
. muscles suivants : cubital antérieur; fléchisseur pro- fond des
doigts
(les deux faisceaux internes destinés au petit
o- fond des doigts (les deux faisceaux internes destinés au petit
doigt
et à l'annulaire reçoivent seuls leurs rameaux
r. Fléchisseur de la main sur l'avant-bras. Fléchisseur profond des
doigts
(deux faisceaux int.). Fléchisseur des dernière
igts (deux faisceaux int.). Fléchisseur des dernières phalanges des
doigts
. Interosseux. Adduction (palmaires) abduction (
s de l'éminence hypothénar (abducteur et court fléchisseur du petit
doigt
) agissent comme les interosseux. Opposant du pe
du petit doigt) agissent comme les interosseux. Opposant du petit
doigt
. Légère adduction du cinquième métacarpien. L
s phalanges est peu ou point accusé. La flexion des deux derniers
doigts
, annulaire et petit doigt, est le résultat d'ac
t accusé. La flexion des deux derniers doigts, annulaire et petit
doigt
, est le résultat d'actions musculaires plus com
innervés par le nerf cubital et qui ont quelqu'action sur ces deux
doigts
sont nom- breux. Parmi les muscles fléchisseurs
faisante, pensons-nous, la raison phy- siologique de l'attitude des
doigts
et de la main dans la griffe cubitale. D'aill
ement avertis de ce que nous voulions obtenir.) Les deux derniers
doigts
sont fléchis fortement dans leur articulation m
s. Chez quelques-uns, cela nous a été complètement impossible. Le
doigt
médius, au lieu de rester dans l'extension, se
eur sublime ; fléchisseur propre du pouce ; fléchisseur profond des
doigts
(les deux fais- ceaux externes sont seuls inner
hisseurs de la main sur l'avant-bras. Fléchisseur superficiel des
doigts
. Fléchisseur des secondes phalanges des doigts.
seur superficiel des doigts. Fléchisseur des secondes phalanges des
doigts
. Fléchisseur propre du pouce. Fléchisseur de la
. Fléchisseur de la phalangette du pouce. Fléchisseur profond des
doigts
(dont les deux faisceaux qui cor- respondent à
innervés par le médian).- Fléchisseur des troisièmes phalanges des
doigts
. Lombricaux (dont les deux premiers sont innerv
t innervés par le médian. Ce sont les deux palmaires. Flexion des
doigts
. A un degré différent pour l'index et le médius
ur l'index et le médius d'une part, et pour l'annulaire et le petit
doigt
d'une autre part. La flexion de l'annulaire e
tit doigt d'une autre part. La flexion de l'annulaire et du petit
doigt
est légère, elle doit porter exclusivement sur
Pronation; 2° Flexion de la main sur l'avant-bras; 3° Flexion des
doigts
complète pour l'index et le mé- dius, incomplèt
our l'index et le mé- dius, incomplète pour l'annulaire et le petit
doigt
; 4° Opposition du pouce avec flexion de la phal
dius, ainsi qu'on le voit sur la figure(Fiq. 11). Les deux derniers
doigts
(annulaire et petit doigt) sont incomplètement
la figure(Fiq. 11). Les deux derniers doigts (annulaire et petit
doigt
) sont incomplètement fléchis. Nous ayons vu par
pinateur; Anconé; Cubital postérieur; Extenseur propre du petit
doigt
; Extenseur commun; Extenseur propre de l'inde
poignet (cubital postérieur et les deux , radiaux) , les autres des
doigts
(extenseur commun et les deux extenseurs .propr
déterminent l'extension complète des différents seg- ments de ce
doigt
et doivent le maintenir dans une situation inte
ant-bras; b) L'extension du poignet; ' c) L'extension de tous les
doigts
. Cette extension porte exclusivement sur les pr
le, au niveau duquel s'est fait la rupture, enfin (recour- bant les
doigts
), la face postérieure de la rotule.-Pas d'atro-
sur une zone de quelques centimètres de largeur, on constate que le
doigt
introduit dans l'arrière-bouche, détermine des
ait, sans provoquer la moindre réaction ou sensation, promener le
doigt
dans toute l'arrière gorge et toucher longuement
ît successivement sur le muscle tibial antérieur, à l'extrémité des
doigts
et autour de la bouche. La paralysie occupe, à
m'accorder quelque créance lorsqu'on saura que j'ai fait toucher du
doigt
tous ces phénomènes, à des propriétaires du Mai
l'extenseur pro- pre de l'index; l'extenseur pro- pre du petit
doigt
; le cubital posté- rieur. Des trois mus-
tation portée sur la face palmaire amène la flexion du petit
doigt
, dont les deux dernières pha- langes resten
on insiste un peu, à mesure que la flexion du poignet augmente, les
doigts
se ferment par degrés, ce qu'il est facile d'ex
a phy- siologie. En effet, on observe bien un écartement des deux
doigts
correspondants, mais l'extension des doigts est
un écartement des deux doigts correspondants, mais l'extension des
doigts
est complète et porte aussi bien sur l'articula
t dans un sens différent à chaque main. A la main contracturée, les
doigts
quittent peu à peu, et comme par degrés, l'atti
primée la contracture, le pouce s'écarte, l'an- nulaire et le petit
doigt
se défléchissent. Les mêmes doigts de l'autre m
arte, l'an- nulaire et le petit doigt se défléchissent. Les mêmes
doigts
de l'autre main subissent au même moment un mou
sent au même moment un mouvement inverse, l'annulaire et le petit
doigt
entrent en flexion, le pouce se rapproche ÉTUDE
contracture en extension forcée. L'attitude demi-fléchie des autres
doigts
de la main n'est pas mo- difiée. Nous appliquon
différents muscles extenseurs. En voici un autre exemple : le petit
doigt
de la main droite est placé dans l'extension pa
gauche. Cette main repose sur lavable, par sa face palmaire et les
doigts
à demi-fléchis, dételle sorte que le petit doig
e palmaire et les doigts à demi-fléchis, dételle sorte que le petit
doigt
disparaît presque com- plètement recouvert par
s, nous voyons un mouvement se produire exclusivement dans le petit
doigt
qui se dégage peu à peu, se redresse, s'étend,
s'étend, puis s'élève en extension forcée. En même temps, le petit
doigt
du côté droit est retombé peu à peu et a repris
l'extension des ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 21 t
doigts
et de la main. Cette attitude, maintenue par la
sion isolée du médius qui s'élève au-dessus du niveau- des autres
doigts
et se maintient en cette situation d'exten- sio
Peu à peu, ce tremblement diminue d'amplitude à mesure1' quelle"
doigt
s'élève et bientôt le médius se trouve immobilisé
une autre excitation sur le membre anémié, nous frois- sons avec le
doigt
, à plusieurs reprises, Je nerf cubital en arriè
cessivement aussi, et comme : par degrés, on voit les deux derniers
doigts
de la main se fermer, le pouce se rapprocher, e
il écrivait lui-même qu'au moyen d'un artifice. Il traçait avec son
doigt
,les lettres des mots qu'il venait d'écrire et
veillait dans son esprit le nom des lettres qu'il traçait avec son,
doigt
. ' , , Dans, la thèse d'agrégation de M. Legrou
arfois, la malade reconnaissait les lettres en les traçant avec son
doigt
. Nous pouvons rapprocher de ce cas le cas de M.
le malade ne pouvait lire qu'en traçant ainsi les lettres avec son
doigt
. Pour expliquer le cas de notre malade, revenon
tombantes, comme entraînées uniquement par leur propre poids ; les
doigts
étaient faibles et à demi fléchis, et presque c
s mois après le début), le malade, ayant les mains pendantes et les
doigts
en griffe, alla à Spa. Là, il fut soumis à un t
e cette articulation en extension. Les extenseurs de la main et des
doigts
répondent très peu à la faradisation, mais ' répo
par la force musculaire très affaiblie qui fait encore mouvoir les
doigts
dans des limites très restreintes. ,Aux membres
l'avant-bras, il ne pouvait pas encore étendre en même temps les
doigts
, qui restaient à-demi fléchis. Pour le dire en un
orrectement les mots quand il lit à haute voix,' ou de, diriger ses
doigts
quand il. écrit, ou ses jambes quandilmar- ché.
atteintes de folie sexuelle, parce qu'elles cherchent, à l'aide des
doigts
, à se débarrasser des matières (indication tran-
me faire manger ; au bout de trois semaines, je puis remuer tous les
doigts
de la main gauche ; «leux jours après, le bras ga
he instinctivement à placer ses pouces de manière que l’extrémité des
doigts
de mon frère corresponde avec l’extrémité des sie
gnétisme; à peine fut-elle endormie, qu’appliquant 1ns extrémités des
doigts
comre les siens (ce qui ne demanda pas plus d’une
de passes fixé par elle atteint, elle fait appliquer l'extrémité dès
doigts
de chaque main réunis sous et derrière le lobule
alablement par elle en forme de pierre à fusil. Tout le temps que les
doigts
restent appliqués, elle avale air' i un morceau
omptement et sans peine, il était absolument nécessaire d’ôter de ses
doigts
ou de ceux du magnétiseur les bagues ou les annea
la porte, quelquefois avec fureur, d’autres fois légèrement, avec les
doigts
. La sonnette se met à sonner, mise en mouvement p
ela à son secours, disant à son père de l’at-trapper, en indiquant du
doigt
l’endroit où il était niché : tout aussitôt. 011
t facile, Monseigneur, de vous prouver, en vous le faisant toucher au
doigt
, combien il y a d’erreurs et de fausses expositio
n. Premier fait. Un ouvrier cordonnier avait un mal d’aventure au
doigt
annulaire de la main droite. Depuis un mois il so
il ; son médecin lui conseilla de se laisser faire l’amputation de ce
doigt
. Un jour j’allai le voir et il me montra sa main
j’éprouvai un frémissement de dégoût à l’aspect d’une telle plaie. Le
doigt
était gros comme quatre, l’intérieur, par la part
t entre les miennes ; puis je fis des passes depuis l’épaule jusqu’au
doigt
malade ; je lui fis mettre sa main dans un bain d
une issue pour sortir; au moyen d’une petite pince on les retira. Le
doigt
s’est complètement cicatrisé, seulement il est re
on attitude exprimait l’épouvante ; en vain je presse l’artère de mes
doigts
, je ne perçois aucune pulsation ; un peu ému, je
i, elle vit des rayons de toute couleur jaillir de l’extrémité de mes
doigts
, des flammes s’élancer de la paume de ma main ; m
temps, jaillit comme un éclair ; puis les yeux, puis l’extrémité des
doigts
..... Pas de vision ; seulement la partie centrale
foyer de lumière qui réfracte les rayons lumineux jaillissant de mes
doigts
; bientôt les objets environnants, d’abord éclairé
ne, en y posant légèrement les mains écartées, de manière à ce que le
doigt
auriculaire droit touche l’auriculaire gauche de
s robustes, toujours guidés par les « coups » et les médiums, dont le
doigt
est influencé à tracer la route pas à pas sur la
me saisir par le talon gauche. La pression du pouce d’un côté, et des
doigts
de l’autre, était si bien simulée, que je m’imagi
et les joignant à celles de leurs voisins par l’extrémité des petits
doigts
. Au bout d’im temps qui varie d’une demi-TOM* XII
ui de. la table par les mains et de leurs voisins par l’extrémité des
doigts
, ressentent une légère secousse, puis la table se
ement nos mains sur le bord d’un chapeau d’homme, en mettant le petit
doigt
de la main droite sur celui de la main gauche de
t été reformée ; alors, au moment où, changeant de position, le petit
doigt
de la main gauche a été posé sur celui de la main
qu’il n’y ait pas de marbre. On place devant soi les deux mains, les
doigts
étendus, en laissant un intervalle de dix à douze
e, et personne ne doit toucher à son voisin, si ce n’est par le petit
doigt
dont la face palmaire sera appliquée sur la face
igt dont la face palmaire sera appliquée sur la face dorsale du petit
doigt
du voisin. Si c’est le petit doigt de la main dro
iquée sur la face dorsale du petit doigt du voisin. Si c’est le petit
doigt
de la main droite qui appuie sur le petit doigt d
in. Si c’est le petit doigt de la main droite qui appuie sur le petit
doigt
de la main gauche du voisin, il faut que cette di
se répète à travers toute la chaîne, de manière à ce que votre petit
doigt
de la main gauche soit croisé par le petit doigt
à ce que votre petit doigt de la main gauche soit croisé par le petit
doigt
de la mairi droite de votre voisin de gauche. On
le est suivie d’un mouvement de rotation dirigé dans le sens du petit
doigt
superposé. Intervertissez la disposition des peti
ns du petit doigt superposé. Intervertissez la disposition des petits
doigts
, le mouvement cesse ii2] ûisiant et puis recomm
ence en sens inverse, et cela autant de fois que l’on intervertit les
doigts
. Rompez la chaîne des mains, tout mouvement cesse
i faire changer de direction, sans intervertir la position des petits
doigts
, mais en exprimant tous ensemble la ferme volonté
aîne; une table à charnière s’est tout à coup fermée, et a écrasé les
doigts
de la moitié «les expérimentateurs ; des dames se
nvite un spectateur à. toucher l'un de nous. Le spectateur place un
doigt
sur mon épaule droite, la rotation cesse. Le doig
pectateur place un doigt sur mon épaule droite, la rotation cesse. Le
doigt
du spectateur est levé : le phénomène recommence.
nes, placé nos mains à plat sur la table, de manière que chaque petit
doigt
reposait sur celui de la main de son voisin ou vo
, vous posez dessus vos mains d’une certaine façon , et selon que vos
doigts
rayonnent plus ou moins de fluide électrique, sel
allait se lever impatienté. Après trente-cinq minutes, les cinquante
doigts
pesaient impassibles et engourdis sur le guéridon
ntateurs se levèrent. Ils n’appuyaient plus sur la table que le petit
doigt
de chaque main. Nous regardions ébahis. Celui d
ns diverses. Tout le monde se donne la main ou plutôt croise le petit
doigt
. Mon petit doigt me l'a dit! cette puissance surn
le monde se donne la main ou plutôt croise le petit doigt. Mon petit
doigt
me l'a dit! cette puissance surnaturelle n’est pl
’est plus désormais un conte de nourrice ou de grand'maman : le petit
doigt
est devenu le grand agent et le moteur suprême.
que par les mains. O11 a observé qu'en changeant la position du petit
doigt
, c’est-à-dire en mettant dessus celui qui était d
rt avec le meuble), jelvii présentai, toujoursà distance, le bout des
doigts
et tirai à moi. Le guéridon suivit, tantôt en gli
moribond dont nous serrons la main. Je viens, etc. Quand sous nos
doigts
naît le somnambulisme, 11 rajeunit le passé reg
es mains sur l’un des côtés de l'abdomen, tandis qu’avec la pulpe des
doigts
de l’autre main je percutais le côté opposé, et p
vers les parties déclives, je percutais sur le ples-simètre ou sur le
doigt
appliqué près du côté du ventre oii la malade éta
un personnage mort depuis longtemps et réputé sorcier, qui, passée au
doigt
d’un crisiaque, détermine des effets singuliers ;
ce dont nous venons de parler, on pose sur le meuble l’extrémité d’un
doigt
de chaque main, de manière à en effleure à peine
rvalle. Une dame de la société s’est jointe la chaîne en posant ses
doigts
sur la corbeille, qui a continué à écrire. Les
de fois indiquée, c’est-à-dire en effleurant à peine le bois,le petit
doigt
du côté droit touchant par sa face palmaire la fa
du côté droit touchant par sa face palmaire la face dorsale du petit
doigt
de son partner, et ainsi de suite. n Au bout de
bon de rapporter : « 1° Un changement de position des quatre petits
doigts
-changeait immédiatement le mouvement.circulaire,
; « 2° Une pièce d’or de vingt francs, interposée entre les petits
doigts
, de manière à ce que ceux-ci ne se touchassent pl
« h° Les deux expérimentateurs ne se touchèrent plus par les petits
doigts
; seulement leurs mains ne cessant pas d’effleurer
s mains ne cessant pas d’effleurer la table, ils saisirent avec leurs
doigts
chacun une extrémité d’une tige métallique (c’éta
ètres; la table, après s’être arrêtée par la cessation du contact des
doigts
, reprit sa marche ordinaire lorsque les mains eur
de la tige métallique eût le même résultat; « 6° Les quatre petits
doigts
des deux expérimentateurs se touchant bout à bout
par leur pulpe, n’arrêtèrent nullement le mouvement ; a 7° Si, les
doigts
étant appliqués l’un sur l'autre comme à l’ordina
able, interrompant seul la chaîne, tenant les mains seulement à trois
doigts
de distance, et de là, avec la voix et le geste,
t à moi de nouveau et fuyait à ma voix ; mes mains, toujours à deux
doigts
de distance de la table. « J’ai fait ces expéri
celui qui aurait fait tourner une table par le simple contact de ses
doigts
, aurait subi le sort de la maréchale d’Ancre, de
lacons chacun ; il commande à la table de frapper du pied quand son
doigt
, qu’il va promener sur les flacons, touchera le r
le col de mon habit, et les six mains imposées et liées par le petit
doigt
, m’entourèrent d’une chaîne magnétique. Je riais
it à tourner vers ma gauche. Il n'y eut pour cela qu’à poser le petit
doigt
vers la gauche. Et je retournai ! Ici c’est le fl
s la tumeur; je sens celle-ci diminuer, puis bientôt glisser sous mes
doigts
et disparaître... Alors une colique violente am
un artiste célèbre, et, pour se moquer du magnétisme, lui promène le
doigt
indicateur à la racine du nez ; cet artiste avait
ant soin de former la chaîne magnétique par la superposition du petit
doigt
et du pouce ; puis, après quelques minutes d’atte
de notre expérience. M*** ne s’est jamais trompé; il comptait par ses
doigts
, allait même jusqu’à compter les minutes, et ses
e du sang menstruel se faisant jour par les oreilles, par le bout des
doigts
, ne dut-il pas trouver des incrédules, argumentan
cette pièce avaient été nouvellement peintes; et par l’empreinte des
doigts
laissés sur la boiserie et sur les tiroirs, 011 c
ait partie de la chaîne autour d’une table, avec la superposition des
doigts
. Lorsqu’elle a quitté la table, son effroi a été
rsqu’elle a quitté la table, son effroi a été grand de sentir que ses
doigts
, repliés dans la paume de sa main, étaient crispé
de la main, les médecins ont ordonné d’entourer de coton le bout des
doigts
. Cette dame a été conduite à l’hôpital de Guys et
emeurant à Surrey-Place, et qui avait eu, comme nous l’avons dit, les
doigts
crispés à la suite d’une expérience delà chaîne é
crispées; il faut une grande force pour séparer, même un instant, les
doigts
de la paume de la main, dans laquelle ils voudrai
pour aider sa mémoire , il a tracé la lettre dans l’espace, avec son
doigt
, mais sans pouvoir articuler le nom du signe. Il
la table. « La personne enlevée ne sent presque pas l’impulsion des
doigts
qui la soutiennent. h La force physique n’est p
appliquant sur lui ses deux mains, sans qu’il soit nécessaire que les
doigts
se touchent. 11 y a bien peu d’individus qui soie
ur une table où se trouve une feuille de papier. On lui met entre les
doigts
un crayon. La main se met en mouvement et trace p
toucher la table, par une simple imposition des mains faite à quatre
doigts
de distance, ces magnétisés pourraient la tenir u
aient que la combinaison des forces involontairement exercées par des
doigts
qui n’ont aucune apparence de tension dépasse de
ension dépasse de beaucoup les forces volontairement exercées par des
doigts
qui se crispent et se roidissent pour obtenir un
utre meuble résistant sur lequel on appuie légèrement l’extrémité des
doigts
, le mouvement oscillatoire de tout le tronc se tr
nt oscillatoire de tout le tronc se trahit par une légère flexion des
doigts
. Cette force oscillatoire doit donc aussi concour
a surface de nos organes, et surtout dans nos mains et au bout de nos
doigts
, que ce mouvement est déterminé. « Chacun des i
atoire, par le fait du simple changement dans les rapports des petits
doigts
, mine enfin la théorie de MAI. Castelnau et Corvi
igue le pouce (le la main droite sur le crâne du sujet ; il tient les
doigts
un peu écartés et à demi fléchis ; il place le po
sme. « La table, quand le mouvement s’opère, ne glisse pas sous les
doigts
de ceux qui l’entourent, ils la suivent en couran
e à l'immobilité. « Pour faire tourner une table à droite, le petit
doigt
de la main droite de chacun des expérimentateurs
s doit être posé sur la table et celui de la main gauche sur le petit
doigt
du voisin. Quand vient un peu de fatigue, on ap
de fatigue, on appuie généralement davantage sur la table que sur le
doigt
de son voisin, et cette pression inégale aide le
à mettre le bout d’un tome XII. — N° lîtt. — 25 noyembue 1853. 21
doigt
sur la dent malade, pendant que la pulpe îles doi
yembue 1853. 21 doigt sur la dent malade, pendant que la pulpe îles
doigts
île l’autre main est appliquée sur la joue du mêm
ou attendait le résultat. A ce moment, le magnétiseur, plaçant ses
doigts
réunis en pointe à un centimètre environ de la jo
tente se fait et que le menton, cédant à une légère pression du petit
doigt
, s’abaisse assez pour livrer passage au davier.
e, glissant, non sous nos mains, mais au léger contact du bout de nos
doigts
. C’était un fait que nous avions à cœur de bien c
icule. Mais, grand Dieu! quelle surprise! eux aussi virent sous leurs
doigts
les tables tourner. — Ce n’est rien, dirent-ils à
vec des yeux chassieux, des lèvres pendantes, des rides à y mettre le
doigt
, et toujours ce rire que toute la malice humaine
vénérable Laforgue, que je regarde comme un de ces hommes marqués du
doigt
de Dieu pour le triomphe du magnétisme, j’hésitai
ensuite je magnétise sans toucher, depuis l’épaule jusqu’au Lotit des
doigts
. Après avoir agi ainsi pendant dix minutes, je de
e même que dans la magnétisation locale j’attire vers l’extrémité des
doigts
. Je laisse au malade une cruche d’eau magnétisé
en éprouve une sensation de chaleur et la possibilité de fermer les
doigts
. h% 5e et 0° Séances. — L’amélioration continue
avec cette différence cependant qu’au lieu de présenter la pointe des
doigts
à distance du bras , je devrai à l’avenir magnéti
jusqu'au poignet, où les mains seront placées de telle façon que les
doigts
soient en dessous du bras, le pouce de la main dr
it révolu. En abandonnant le poignet, il m’a fait tirer chacun de ses
doigts
les uns après les autres : — Là, comme ça, me d
lorsque je les approche de vous? — Oui, il sort par le bout de vos
doigts
une poudre noire. Une dame me remet une petite
et j'ai été soutenu quatre ou cinq secondes sur l’extrémité de quatre
doigts
. C’est renversant; mais non, je me trompe, je n
ensibles à la douleur, se laisser percer les narines, les lèvres, les
doigts
, sans que la moindre contraction musculaire appar
bsurde. Il se soumet donc à ce témoin, qu’il considère comme étant le
doigt
de Dieu qui le signale. J’ai connu moi-même un no
ce physique qui paraît l’enlever, ne sent presque pas l’impulsion des
doigts
qui le soutiennent. D’après mes propres observa
pariétal supérieur dans une région très limitée. En pro- menant le
doigt
sur cette région j'ai rencontré un changement de
, n'est plus de mise aujourd'hui et l'on n'hésite plus à opérer les
doigts
surnuméraires ou soudés. On a même prétendu, tr
syndactylie par exemple, il importe, avant de chercher à libérer un
doigt
de son voisin, d'être fixé sur l'indépendance et
es pièces osseuses. Une intervention, ayant pour but de séparer les
doigts
accolés, n'aura'de valeur que si chacun des doi
t de séparer les doigts accolés, n'aura'de valeur que si chacun des
doigts
, pris isolément, est, après l'opération, capable
tion, capable de mouvements; autrement dit, s'il existe pour chaque
doigt
des tendons correspondant aux muscles fléchisse
IGITALES 37 De même, une observation d'Hypertrophie congénitale des
doigts
médius et index de la main gauche par M. R. Ces
nué de squelette à la main gauche. III. Un cas de syndactylie des
doigts
index, médius et annulaire, ac- compagné d'arrê
mpagné d'arrêts de développement et de changements de direction des
doigts
. ' IV. Un cas d'ectrodactylie de la variété dit
mplète. I Le premier cas est celui d'un sexdigitaire complet (six
doigts
à chaque extrémité) offrant de grandes analogie
ents et ses grands-parents. Dans sa jeunesse, il fut opéré de son
doigt
supplémentaire de la main gauche. Actuellemen
la main gauche. Actuellement, il est encore porteur d'un sixième
doigt
à la main droite et aux deux pieds. A la main
me doigt à la main droite et aux deux pieds. A la main droite, ce
doigt
surnuméraire se détache du bord cubital, en deh
. (PI. m.) " Les quatre premiers métacarpiens et le squelette des
doigts
normaux ne présente aucune déformation importan
es articulaires : l'une destinée à l'auriculaire normal, l'autre au
doigt
surnuméraire; cette dernière est plus saillante e
ulaire normal descendant plus bas que l'apophyse où s'articulait le
doigt
surnuméraire. (Fig. 2.) Dans le cas actuel, on
re de l'os qui est seulement plus volumineux qu'à l'ordinaire. Le
doigt
surnuméraire est pourvu de deux pièces squelett
rrespondants de l'auriculaire normal. ' Il n'est pas rare que les
doigts
surnuméraires ne soient pas pourvus de toutes l
rurgi- cale. Les deux pieds de ce même sujet sont pourvus des six
doigts
; mais les doigts surnuméraires affectent une d
deux pieds de ce même sujet sont pourvus des six doigts ; mais les
doigts
surnuméraires affectent une disposition différent
a- lange est bien conformée, à peine plus grosse que la phalange du
doigt
Pipa. 2. Polydactylie : Auriculaire sur- numé
déformée ; elle semble faire corps avec la tête de la phalange. Le
doigt
surnuméraire tout entier a cependant le volume
uis Feindel, ont décrit pour la main sous le nom de « déviation des
doigts
en coup de vent » et dont un bel exemple, accompa
ouble du développement ou de la nutrition. Sa coexis- tence avec un
doigt
surnuméraire n'aurait donc rien de surprenant. Qu
ire supplémen- taire. C'est là que vient s'adapter la phalange du
doigt
anormal, laquelle se dirige presque verticaleme
y trower plus ou moins intimement soudée. Remarquons enfin que le
doigt
surnuméraire participe à la déviation générale
publié les radiographies l'an dernier. (1) E. Boix, Déviation des
doigts
« en coup de vent » et insuffisance de l'aponévro
omalies différentes. Il s'agit encore de polydactylie. Mais ici, le
doigt
surnuméraire ne part pas du bord cubital, il pr
art pas du bord cubital, il prend naissance entre les deux derniers
doigts
de la main : c'est vraisemblablement un annulai
de homard ». Mais ce n'est qu'une ressemblance, car tous les autres
doigts
de la main sont normaux et dans la « pince de hom
ouvert en bas. Il est presque impossible de dire lequel de ces deux
doigts
correspond à l'annulaire réglementaire, car le
l de ces deux doigts correspond à l'annulaire réglementaire, car le
doigt
qui touche au médius n'est pas moins déformé qu
autre. Il s'agit bien en- core d'un annulaire surnuméraire; mais ce
doigt
n'est pas intimement Nous. ICONOGRAPHIE DE LA S
pparences extérieures, on est tenté de croire qu'il s'agit du petit
doigt
. · La radiographie permet de trancher la questi
te est articulée à cette der- nière. Ainsi se trouve constitué le
doigt
surnuméraire où nous remarquons encore la soudu
e volume moindre et de transparence plus grande que ceux des autres
doigts
. La direction et la forme du métacarpien rudime
La direction et la forme du métacarpien rudimentaire sur lequel ce
doigt
anormal s'articule permet de considérer ce dernie
uration extérieure du pied gauche et, à che- val sur le 4° et le 5"
doigt
, l'orteil surnuméraire dont l'extrémité libre,
RY MEIGE L'examen de la radiographie ne révèle l'existence que d'un
doigt
sur- Z) - .. ? numéraire a la main gaucne. ue
nspection de la main du sujel montre qu'il existe encore un autre
doigt
supplémentaire. Ce dernier à la vérité est comp
que par une excroissance charnue accolée au bord cubital du petit
doigt
, et terminée par un rudiment d'ongle. La phot
ifurqué en Y ; à la main gauche, un bouquet digital formé de deux
doigts
char- pente osseuse et d'un appendice charnu
Meige ) A et B. Syndactylie ci vices de développement multiples des
doigts
. (lI. Tip...). C. Eilrnrlrrrtlie : Malformation
l ' ANOMALIES DIGITALES Syndactylie et vices de développement des
doigts
. MAISON rie Fditl"'111<; APPLICATIONS DE L
es des mains sont multiples. Outre la syndactylie qui porte sur les
doigts
index, médius et annulaire, des deux côtés, il ex
s le nombre, le volume el la direction des pièces squelettiques des
doigts
. (Pl. VI. A. B.) Les métacarpiens sont, eux aus
dant. Il est presque impossible de décrire la charpente osseuse des
doigts
de la main droite, l'arrêt de développement aya
Bretagne. (Pl. VI. C.). L'anomalie porte ici, non seulement sur les
doigts
, mais sur la main et même sur le squelette du p
radiographie. L'enfant présen- (1) Dict. encycl. des sc. méd., art.
Doigt
, p. 131. (2) A. Souques et HENRI LECI.EliC, Un
Salpêtrière, 1894, p. 244. (3) Phocas, Difformités congénitales des
doigts
el pouce bifide. Nord médical, le, fé- vrier 18
Temperly, in traité (I'Annaudaie. (ex Die[. enc. des se. méd., art.
Doigt
.) Fig. 6. - Un cas de bidaclylie de la main d
e. Dans le cas actuel, l'opération a eu pour but d'accoler les deux
doigts
contigus et de reconstituer un doigt normal ; e
u pour but d'accoler les deux doigts contigus et de reconstituer un
doigt
normal ; elle a parfaitement réussi. En ce qui
e moyen d'investigation, il est facile de préciser la connexion des
doigts
supplémentaires avec le squelette de la main et d
tés malformées, très intéressantes à consulter. Une radiographie de
doigts
syndactyles (cliché Radiguet) est reproduite dans
côté, sans ressentir du reste de douleur, bien que les 3e, 4° et 5e
doigts
lui paraissent légèrement engourdis. SENS STÉRÉ
n sommeil, et des colères fréquentes. Il y a un léger tremblement des
doigts
, un état d'obésité assez accentué. Négation de
le pouce et l'index, la lige passant entre le médius el ce dernier
doigt
, à la façon dont certaines personnes tiennent une
u corps, sauf une légère hypoesthésie au niveau des deux der- niers
doigts
de la main droite. Les réflexes patellaires sont
rès fréquente. Le foie est volumineux. Il déborde de six travers de
doigt
le rebord des faus- ses côtes. Sa consistance e
adial de l'an- nulaire, sur les deux phalanges inférieures du petit
doigt
el sur l'éminence hypothénar; sur la surface in
ent. reconnaissable chez cet infantile : c'est la défor- mation des
doigts
« en baguette de tambour » qu'il présente au plus
res, du développement inusité de la der- nière phalange de tous les
doigts
, tant en largeur qu'en épaisseur; l'hyper- trop
des malléoles internes atteignait une longueur de quatre travers de
doigt
. « Les pieds étaient fortement deviés en varus,
jour en jour..... Lorsqu'on touchait le milieu de la plaque avec le
doigt
, le malade n'éprouvait aucune sensation ». En 1
cm. 25 dans son plus peLit. Cette pla- que chéloïdienne, donnant au
doigt
une sensation-de carton, présente à la partie s
; quand les deux yeux sont fermés, si on relève la paupière avec le
doigt
pendant que le malade résiste, on peut apprécier
19. Note sur la dynamoméli'ie comparée des muscles fléchisseurs des
doigts
et des élé- valeurs de la mâchoire (ibid . , p.
t ne présente aucune malformation, ni atrophie. Les proportions des
doigts
sont normales et les mêmes que du côté gauche.
à droite tandis qu'elle est de 35 à gauche. Tous les mouvements des
doigts
de la main et du bras sont libres. Les réflexes
r le bras qui se porte en abduction. Quelquefois même au repos, les
doigts
se raidissent tout à coup. Ces mouvements s'accom
t généralement d'une sensation d'engourdissement il l'extrémité des
doigts
. Dans l'intervalle des accès, on ne constate au
nconé et deuxiè- me radial; Munchmeyer, dans l'extenseur commun des
doigts
et le fléchis- seur superficiel ; Pinter, dans
l'avant-bras s'exécutent bien, il en est de même de la main et des
doigts
qui sont, exceptionnellement atteints par le pr
vers le bord cubital ; Hetfencb et Carter, une microdaclylie de ces
doigts
par absence de la première phalange; Ilelferich
llalangienne; Pincus, lamicrodactyliedu pouce droit avec raideur du
doigt
dès l'enfance par ankylose de l'articulation trap
lors que dans le rhumatisme noueux, elles sont communes il tous les
doigts
ou à tous les orteils ; en outre, l'on assiste
tre la supination et la pronation. Les mouvements du poignet et des
doigts
s'exécutent tous bien. Au niveau de la tabati
e un petit pois, de consistance cartilagineuse, rou- lant sous le
doigt
et suivant les mouvements des tendons. A quel
mais moins accu- sées. Le reste de l'avant-bras, le poignet, les
doigts
n'offrent rien il signaler. Le dos d'Albert Sch
TE PROGRESSIVE q77 la cuisse : sa circonférence à quatre travers de
doigt
de la rotule, est de 35 centimètres à gauche, d
nt ne présen- taient pas d'anomalies. Lorsqu'on lui introduisait le
doigt
dans la bouche, il faisait des mouvements de su
eux profil, fine moustache, longs cheveux bouclés, mains délicates,
doigts
effilés : c'est un gentilhomme de race, bien fait
eur, puis, en manière de représailles, pétrit rageusement entre ses
doigts
l'étoffe de ses chausses et aplatit son feutre
. L'autre gamin, plus âgé, accroché aux jupes de sa mère, montre du
doigt
le patient et s'amuse de ses grimaces. La secon
mes déductions j'utilisais un autre dessin (si détaillé que chaque
doigt
a de 80 à 100 men- surations) n'ayant pas une s
la peau c'est la région du bassin ; de là vers la tète et vers les
doigts
des extrémités la sensibilité douloureuse augme
et dans les plis entre les phalanges sur la surface pal- maire des
doigts
. 234 MOCZUTKOWSKY La moins sensible est la ré
t la langue. Avec un simple toucher de la langue de même qu'avec un
doigt
, sans la pression nécessaire, on n'a pas la sen
uand les articulations sont en extension, avec la peau en plis (les
doigts
). La sensibilité douloureuse des surfaces palma
sensibilité douloureuse des surfaces palmaires des phalangettes des
doigts
et des orteils augmente graduellement du pouce et
ils augmente graduellement du pouce et du gros orteil vers le petit
doigt
et le petit orteil. Au contraire sur le dos des m
e la région palmaire des mains qui recouvrent les articulations des
doigts
). La force des sensations douloureuses n'est pa
la suture coronale paraît enfoncée sur la largeur de deux ou trois
doigts
, principalement du côté gauche, où la dépressio
é antérieure de la première côte est à une distance d'un travers-de
doigt
de la colonne vertébrale et celle de la 66 à deux
tement des mâchoires peut à peine permettre l'introduction du petit
doigt
. Fig. 1. Myosite ossifiante progressive (Cas de
également publiée par Yurasz. 290 ' A. M EILL ET J. NISSIM qu'aux
doigts
. Traitement : Electricité avec exaspération des d
et appartenant à l'anconé et il l'origine de l'extenseur commun des
doigts
(Fig. 2). Le biceps brachial gauche forme une m
les. Des noyaux osseux dans le flé- chisseur commun superficiel des
doigts
; tension des fléchisseurs. DE LA MYOSITE OSSIF
ns la musculature abdominale droite, un cordon osseux gros comme le
doigt
s'étendant du rebord costal jusqu'à l'os pubien ;
limités que ceux de la droite. Muscles des mains et mouvements des
doigts
normaux. Lame de 3 centimètres, mobile, sur le
radio-carpienne normale, sauf la flexion limitée à un angle de 45°.
Doigts
longs et effilés en- tièrement libres. Sur la g
10 centimètres, fléchi à angle obtus. Mouvements de la main et des
doigts
normaux. Atrophie des muscles du bras et de la
la partie moyenne de la face dorsale des phalangines des deux mêmes
doigts
, on constate des exostoses peu élevées, circula
la disparition du sillon naso-génien droit. En saisissant entre les
doigts
la moitié droite des lèvres, on a la sensation
avité tournée à droite, s'étendant de la nuque jusqu'à 4 travers de
doigts
au-dessus du sommet du vertex : sur l'éten- due
e étaient écartés et s'enfonçaient facilement à la pression sous le
doigt
; au toucher, la tète paraissait molle. A l'auto
e, le droit offre encore quelques mouvements incom- plets. Mains et
doigts
libres. Aux membres inférieurs tous les mouvement
le- ment ossifiée. Le bras droit n'atteint pas l'horizontale, les
doigts
arrivent jusqu'à la région temporale. Mêmes mod
sur le grand dorsal. Le bras droit s'éloigne du tronc de 4raz, les
doigts
atteignent la bouche, mais non la tête. Les deu
. do la Salpêtrière, no 6, 1817. 400 HENRY MEIGE visibles sur les
doigts
des deux mains. Mais ce qui attire surtout l'atte
gle supéro-interne on voit un sillon profond, large d'un travers de
doigt
environ, parallèle au faisceau claviculaire et
ale, dents irrégulièrement plantées et crénelées, oreilles en anse;
doigts
mal proportionnés : oligodactylie cubitale surt
ès mé- dical, 1882, p. 629) ; Ch. FÉHÉ, Contribution il l'élude des
doigts
il ressort (Revue de chirurgie, 1898). SUR UN
mouvements de l'articulation du coude. Flexion possible jusqu'à 130°.
Doigts
et pouces normaux. Le bras droit s'éloigne du
eps brachial. Résistance très grande du fléchisseur superficiel des
doigts
. Le pisiforme semble plus gros qu'à l'ordinaire
alie congénitale (microdactylie, absence de phalanges, ankylose des
doigts
; 1) , 14° Le traitement médical est nul ; le
ir l'expression imposante ? Pourquoi faut-it aussi déplorer que des
doigts
trop grossiers d(\nallll'c1l1 le souvenir d'une
icable ma- nière qu'il fallut couper toute la mèche pour libérer le
doigt
. Petite mésaventure qui, sur le moment, le cont
pieds joints, de ses talons ballant la charge sur le sol. avec ses
doigts
raidis roulant sans trêve une imaginaire boulets
jambes un empâtement diffus très manifeste gardant l'empreinte des
doigts
; la peau est écailleuse. La pression des masses
. De dix à douze ans (1878-80) daterait une gène des mouvements des
doigts
, en particulier du pouce, et de la main, qui ob
ent écarté 12 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. des autres
doigts
, et sur celui de gauche, la seconde phalange est
phalange est un peu fléchie sur la première. La flexion des autres
doigts
sur la paume de la main est plus forte à droite
a pronation, on observe les mêmes caractères au pouce et aux autres
doigts
de chaque main. Ceux-ci sont volumineux, surtout
place une épingle sur son lit, il est incapable de la saisir avec les
doigts
. Il y arrive encore très bien lorsqu'elle est t
n droite saisir les objets qu'on lui présente, cette main ayant ses
doigts
repliés en griffe et le bras du même côté resta
u mois de mai 1891, elle a eu des crampes dans la main droite : ses
doigts
se ferment dans la paume, le pouce en dedans, pui
xaminée au point de vue de la sensibilité, on peut la pincer avec les
doigts
, la piquer avec une épingle, sans qu'elle réagi
aire, je ne touche qu'une ligne du cou qui est située à peu près un
doigt
au-dessus de la clavicule. Je pose le rhéophore p
e raideur très ac- centuée des articulations du poignet et même des
doigts
, avec une impo- \ tence fonctionnelle très marq
c une impo- \ tence fonctionnelle très marquée des fléchisseurs des
doigts
. Il en résulte que la main est en extension, et
muscles, de rendre au malade le moindre service. En même temps les
doigts
, dans la sphère du médian, étaient de- venus in
édian, étaient de- venus insensibles, et ne sentaient même plus les
doigts
du masseur. Le malade quitte l'hôpital le 16 av
eau dans tout ce territoire, avec des phlyctènes siégeant sur les (
doigts
: l'une occupe la pulpe du pouce, une seconde la
raideur du poignet et de la main, anesthésie complète au niveau des
doigts
l environnant le médian, et enfin un certain de
e médius peuvent exé- cuter quelques mouvements étendus; 2° que les
doigts
, bien qu'ils soient encore engourdis, ont recou
i de flexion du poignet, une cicatrice transversale, et au niveau des
doigts
, dans le territoire du médian, des ulcérations
ne du pouce et externe de l'annulaire. La première' phalange de ces
doigts
n'offre qu'une notable diminution de la sensibili
tion et de renversement, qui le place sur l'alignement f des autres
doigts
, presque en abduction. Il est vraisemblable que l
eur et dans le sens transversal. Il n'y a rien ici qui ressemble au
doigt
hippocratique des tuberculeux, lequel est carac
mais surtout par la forme en massue que prennent les extrémités des
doigts
, forme qui résulte de troubles trophiques diffé
médecin breton, nommé Morvan, est une lésion qui se montre sur les
doigts
, lésion ulcérative, tro- phique, analogue aux u
ses; parfois bouffissure et oedème blanc ou bleu des extrémités des
doigts
. Il en résulte des lésions absolu- ment analogu
ôté rien d'intéressant à noter. Du côté des troubles trophiques des
doigts
, au contraire, nous observons des phénomènes de
emière : le 8 juillet la croûte qui s'était formée à l'extrémité du
doigt
, se détache. Le 18 juillet, la cicatrisation es
ement un certain degré d'incurvation de l'ongle, tenant à ce que le
doigt
est raccourci par la chute d'un bout de phalanget
en question, la pression détermine des fourmillements dans ces deux
doigts
, et ces fourmillements sont d'autant plus accentu
tant plus accentués qu'on se rapproche davantage de l'extrémité des
doigts
. A l'extrémité même, la sensation de fourmillem
tes les trente-deux, non cariées : la malade les cueillait avec les
doigts
. Les ongles, les cheveux, la peau sont normaux.
ait par une série de saccades accompagnées de craquements, comme le
doigt
à res- sort. La jambe tourne en se fléchissan
1 Elle est le siège d'un gonflement qui remonte à quatre travers de
doigt
sur le bas de la jambe et occupe le tarse. Le p
bras, chute et cldstro- phie des ongles, ulcérations mutilantes des
doigts
et des orteils. Cicatrisa- tion lente et récidi
même temps, mouvements involontaires incessants et choréiformes des
doigts
. Pas de nodules cuta- nés qui aient éveillé son
production d'un large ulcère cratéri- forme situé à deux travers de
doigt
en arrière des sillons métatarso-pha- langiens
nt et forment de larges soulèvements, plus particulièrement sur les
doigts
. Au niveau de la pulpe, le contenu des bulles é
ge du mé- dius droit, donne lieu à un ulcère qui creuse, pénètre le
doigt
jusqu'à la face dorsale : le squelette de la 2e
équestre. A cette môme date, un ulcère envahit l'extrémité du petit
doigt
droit; l'ongle est tombé mais a repoussé normal
leux s'ouvre à nouveau et reste suppurant ; il guérit enfin mais le
doigt
se ratatine, se raccourcit sans qu'il 1 y ait e
e seconde fois, et repousse à l'extrémité et sur le bord cubital du
doigt
sous la forme d'un bloc corné irrégulier. Le do
bord cubital du doigt sous la forme d'un bloc corné irrégulier. Le
doigt
est resté incurvé. L'annulaire droit s'est égal
mètre. Sur ces entrefaites, une ampoule couvre l'extrémité du petit
doigt
gauche, amène la chute de l'ongle et un racourc
oïncidaient avec une anesthésie des avant-bras et des mains ; trois
doigts
de la main droite (pouce, index et annulaire) n'é
er que trois ganglions du volume d'une olive, durs, roulant sous le
doigt
. Pas de nodules, de taches pigmentées de plaques
es suit, des deux côtés, jus- qu'au creux de l'aisselle sans que le
doigt
soit arrêté par une seule inéga- lité. Leur pre
- lité. Leur pression retentit, comme à l'état normal, sur le petit
doigt
. Dans ces diverses régions, pas de lésions cuta
ophie; urines et miction normales. Main droite. (PI. 1VII). - Les
doigts
sont infléchis vers la paume, sur- tout par leu
che, rugueuse sur la face palmaire, et parsemée, surtout autour des
doigts
, de cicatrices irrégulières, roses ou blanchâtr
la Ire la 2e phalange, cicatrice allongée dans le sens de l'axe du
doigt
, recouverte desquames épaisses et cornées. Sur
peau est lisse, rosée, moins plissée que normalement au niveau des
doigts
. Sur le pouce, cicatrice d'ulcère antérieur, de
e) est une saillie cornée assez exubérante. La 3° phalange du petit
doigt
a quasiment disparu ; elle se serait spontanément
te de tambour. Le malade peut encore écrire mal- gré la raideur des
doigts
. Les callosités de la peau signalées plus haut so
e; les éminen- ces thénar et hypothénar ont disparue L'attitude des
doigts
est la môme que ponr le côté droit. La paume es
nd comme un haricot. L'annulaire a perdu sa troisième phalange ; ce
doigt
se termine par un renflement osseux, en ba- gue
nsensible au froid et au chaud. Le contact est perçu sauf sur le 3°
doigt
et en arrière de lui, dans les 3° et 4e espaces
il ne reconnaît ni la forme ni la nature de ce qu'on met entre ses
doigts
. Les membres supérieurs, placés dans l'attitude
acés dans l'attitude du serment, présentent des mouvement lents des
doigts
qui s'agitent dans divers sens. Pas de tremblemen
son travail, nous revient avec un gros panaris du médius gauche, le
doigt
tuméfié en boudin est rouge, profondément infil
olacé à reflets bistrés. La rougeur s'ef- face sous la pression des
doigts
tandis que la teinte bistrée persiste. La surfa
lade a moins d'accès. La force dynamométriques des fléchisseurs des
doigts
est de 45 kilog pour la main droite, de 40 pour
alade éprouva pour la pre- mière fois de l'engourdissement du petit
doigt
du côté gauche, comme s'il était mort. Cela dur
l y eut simultanéité entre le scotome et l'engourdissement du petit
doigt
gauche. Il n'a jamais eu l'en- gourdissement du
u petit doigt gauche. Il n'a jamais eu l'en- gourdissement du petit
doigt
à droite État actuel. - Actuellement il souffre
ait dans ces conditions des élancements jusque dans l'extrémité des
doigts
(observ. VII). Si elle occupe la région dorso-l
vives irra- diées dans les bras, les avant-bras et jusque dans les
doigts
. Atrophie muscu- laire des avant-bras et des pe
mains. Dans la main gauche elles n'occupaient que les deux derniers
doigts
: dans la main droite au contraire elles prédomin
Elle est dans la situation suivante. Légère flexion des 4 derniers
doigts
dans leurs deux dernières phalanges (très légèr
r l'index et de plus en plus mar- quée pour les autres, jusqu'au 5°
doigt
où elle est maxima). L'extension com- plète des
L'extension com- plète des phalanges est impossible. En outre le 40
doigt
est très écarté du 30 est très écarté aussi du
très écarté aussi du 5°; la malade est incapable de rapprocher les
doigts
sans faire un mouvement de flexion complète. On
Ajoutons que les mouvements passifs sont libres ; que la flexion des
doigts
s'exécute bien, ainsi que les mouvements du pou
s dans les membres supérieurs (sauf les mouvements sus-indiqués des
doigts
de la main gauche) ; mais ils sont très faibles
la part la plus active à la flexion de l'avant-bras. La flexion des
doigts
est particulièrement faible : à droite la pressio
rradient de là dans les omo- plates, dans les bras, jusque dans les
doigts
(deux derniers de la main gauche surtout). Le
sont parfaits. Le réflexe pharyngé est très exagéré. En mettant le
doigt
dans la gorge on provoque une quinte de toux av
u vo- lume. L'extension complète des deux dernières phalanges des
doigts
n'est pas en- core possible : mais il n'y a pas
L'atrophie des muscles de la main gauche a disparu entièrement; les
doigts
exécutent tous les mouvements, se rapprochent,
uche tombe verticalement le long du corps, la main est aplatie, les
doigts
demi-fléchis, le pouce fléchi dans l'intérieur de
de fer, ou d'os fracturé ou des cheveux, qu'il les enlève avec ses
doigts
, une pince ou quelque autre instrument, « cito
on cruciale des parties molles, en manchettes de dentelle, le petit
doigt
levé XLI. On sait du reste combien la trépanati
yes et par moi-même. Nous avons employé comme excitation tactile le
doigt
ou le manche du marteau il réflexes ; pour les ex
sifller. Cette contracture de la face est suivie de mouvements des
doigts
de la main droite ; ils se fléchis- sent et s'é
es mouvements pareils à ceuxque nous venons de voir se produire aux
doigts
. La position du membre inférieur droit après la
ntracture débute par des mouvements dans les petits mus- cles ; les
doigts
de la main comme les orteils du pied présentent c
s vers le tronc; les mains présentent les anomalies suivantes : les
doigts
, quoique n'étant pas courbés à la 2c et à la 3°
face radiale de l'index ; par suite de la pression produite par les
doigts
, les tissus cutanés de la paume sont usés ; les
és de la paume sont usés ; les tentatives faites pour redresser les
doigts
causent à la malade une dou- leur très vive. Da
plus haut disparaissent progressivement; l'extrémité malade et les
doigts
des deux mains demeurent courbés. ler juillet.
ommence à pouvoir remuer librement le pouce et l'index ; les autres
doigts
demeu- rent courbés. 5. - L'oedème du côté ex
davantage. 8. - L'codème des extrémités inférieures disparaît. Les
doigts
des mains se resserrent de nouveau. 12. La te
ue. Le premier accès s'est produit dans la rue. La malade a senti les
doigts
de la main atrophiée, s'étendre et s'écarter les
cès sont annoncés par une aura. R... sent un engourdissement dans les
doigts
de la main droite qui s'écartent. Elle court en a
us........ 20e 20e Distance de cette apophyse à l'extré mité du
doigt
médius 14e 17e Longueur de la clavicule........
e morphine. Octobre. Aura. R____ sent un engourdissement dans les
doigts
et la main, mais ne dépassant pas le poignet et n
e point, est tout à fait à angle droit sur Pavant-bras ; — 5° que les
doigts
sont légèrement fléchis. Quant au pouce, il pend
possible. — Les articulations du pouce sont mobiles. La flexion des
doigts
s'exécute assez bien, mais l'extension est très-i
la contracture très-modérée, d'ailleurs, des muscles fléchisseurs des
doigts
. — L'aponévrose palmaire est tendue. — Les éminen
monte pas, mais descend dans l'avant-bras, le poignet, la main et les
doigts
, « où, dit-elle, on dirait que j'ai des fourmis.
à fait abolis : c'est là que la déformation atteint son maximum. Les
doigts
, surtout le pouce, le médius et Y annulaire, sont
allonge qu'avec difficulté. L'index et plus particulièrement lepetit
doigt
jouissent d'une certaine mobilité. — D... s'habil
physe styloïde. 22 24 Distance de celle- ci à l'extrémité du
doigt
médius 17,5 19 La clavicule droite a 13 centimè
rs le bord cubital avec lequel elle peut se mettre à angle droit. Les
doigts
sont allongés ; les phalanges étendues forment ,
allonger la main. Il lui est impossible de fléchir aujourd'hui les
doigts
, parce que, dit-elle, sa paralysie la travaille.
doigts, parce que, dit-elle, sa paralysie la travaille. En effet, les
doigts
sont sans cesse en mouvement; ils s'étendent et s
, elle la saisit pour la lâcher aussitôt par suite de l'ouverture des
doigts
. Elle peut cependant balayer. Gauche. Droit.
risée par l'impossibilité où se trouvent les malades de maintenir les
doigts
et les orteils dans la position qu'on leur imprim
s motifs suivants : « 1° Il faudrait y ajouter que les mouvements des
doigts
se font lentement et que ceux-ci ont une tendance
, Yathétose ne reste pas toujours limitée aux muscles qui meuvent les
doigts
et les orteils ; quelquefois, en effet, la main t
miné. Ils sont exagérés, et cette exagération est surtout marquée aux
doigts
et aux orteils : ceux-ci vont jusqu'à la limite e
es cas les plus marqués, qu'il y ait là une sorte de violence ; les
doigts
se crispent énergi-quement comme pour saisir un o
attacher la laxité toute particulière des jointures du poignet et des
doigts
que nous avons mentionnée chez notre malade (Fig.
CJK DROITK; IMBECITJJTE le bras, le poignet sur l'avant-bras. Les
doigts
sont infléchis sur la paume de la main (Pl. V.).
i initial est exceptionnel. Après l'accès, un jour, elle a mordu le
doigt
d'une de ses tantes qui, ne la croyant pas suffis
oitrine, au-dessous du sein. La main est si fortement fléchie que les
doigts
viennent pour ainsi dire s'appuyer sur l'avant-br
à peine si on peut mettre la main à angle droit. Les fléchisseurs des
doigts
sont extrêmement contractures. La malade, qui t
: EPILEPSIE PARTIELLE hémiplégie droite; imbécillité naire les
doigts
infléchis, est capable de les étendre dans une me
r le bord cubital. Les mouvements du poignet sont très-limités. — Les
doigts
décrivent un demi-cercle à concavité regardant ve
UE lésions tropiiiques des os Les phalanges des quatre derniers
doigts
sont un peu bouffies. Les phalangines et les phal
phalangettes sont atrophiées, très-grêles. — Toutes les jointures des
doigts
, sauf l'articulation de la phalange avec la phala
in et des palpitations cardiaques violentes. Puis, les trois derniers
doigts
de la main droite s'allongent, se roidissent, se
lexion.L'avant-bras est dans la pronation; la main est fléchie et les
doigts
restent étendus. Simultanément enfin, la tête se
ifficile de la fermer. Les paupières s'abaissent quand on approche le
doigt
de l'œil. — T. R. 38°. — Dans certains accès, i
he est allongé; l'épaule est souple, mais le coude, le poignet et les
doigts
sont roides. — Le membre inférieur gauche est dan
'avant-bras ; le pouce et l'index sont demi-fléchis, les trois autres
doigts
sont tout à fait fléchis et portés vers l'émi-nen
est tordue, pour ainsi dire, et à angle droit sur l'avant-bras ; les
doigts
sont plus ou moins fléchis. — Le membre inférieur
quelques mouvements au bras ou qu'on touche la main, celle-ci et les
doigts
se contracturent. — Le membre inférieur est dans
fléchie à angle droit sur le poignet ; le pouce et les deux premiers
doigts
sont allongés et appliqués les uns contre les aut
sont allongés et appliqués les uns contre les autres; les deux autres
doigts
sont fléchis. — Toutes les jointures sont rigides
ts sont fléchis. — Toutes les jointures sont rigides, sauf celles des
doigts
qui ne sont que roides. ¦ Le membre supérieur dro
re, tout le temps, appliqué contre le lit, allongé, sans roideur. Les
doigts
sont fléchis; le pouce est placé entre l'index et
abord, la main, le pouce et l'index sont allongés; les trois derniers
doigts
sont fléchis (Pl. IX); peu après, le membre supér
roit avec le tronc; la main reste à angle droit sur le poignet et les
doigts
sont, comme auparavant, allongés et ramassés (2).
e, regardant les assistants en riant niaisement. (2) L'attitude des
doigts
n'est pas * toujours la même : le pouce, l'index
et le médius sont parfois allongés et fortement écartés, les autres
doigts
étant fléchis à demi ou entièrement. deux bra
dans la demi-flexion, les coudes se portent en haut; les mains et les
doigts
s'infléchissent ;— les membres inférieurs se fléc
ts du médicament sont très-accusés: cyanose extrême, décoloration des
doigts
, ongles violets ; frémissement des paupières et d
ir de la sous-surveillante est vert à droite et jaune à gauche. « Mes
doigts
sont tout drôles, ils ont une drôle de couleur. »
ment sur la peau, mais encore sur les muqueuses ; on peut promener le
doigt
sur les différentes régions de la bouche et du ph
traite et ayant les yeux fermés, on imprime différentes positions aux
doigts
, au bras ou à la jambe, elle ne sait plus indique
intures sont rigides; l'avant-bras est dans la pronation exagérée,les
doigts
sont énergiquement fléchis sur la paume de la mai
as sur le bras est possible ; le poignet est extrêmement rigide ; les
doigts
se roidissent dans la flexion et, de même que les
es escaliers, elle est tombée. Elle sent « quelque chose qui tire les
doigts
, la langue, etc. » La parole est embarrassée, les
in droit ; l'avant-bras droit est fléchi, l'index allongé, les autres
doigts
fléchis (Pl. XXIV) : Elle entend la musique milit
r dans le sein et redoute singulièrement la moindre pression avec les
doigts
sur cet organe ; quelquefois l'examen de la parti
ain. Malgré cette déformation tous les mouvements de la main et des
doigts
sont possibles mais plus faibles qu'à droite (D
u'à droite (Dynamomètre : 30 à gauche,65 à droite). L'extension des
doigts
ne se fait pas complètement. Le bras gauche, un
as et à la main et entravant en particulier les mouvements fins des
doigts
; en ou- tre l'absence de contracture permanent
paissie. Au milieu d'avril 1907 surviennent de vives douleurs au 5e
doigt
gauche. ' L'évolution de cette maladie a été un
profondes, finis- sant par se cicatriser spontanément. En tout 10
doigts
ou orteils ont été atteints. Plusieurs doigts de
ntanément. En tout 10 doigts ou orteils ont été atteints. Plusieurs
doigts
de la main gauche sont encore malades. Douleu
sphyxie lo- cales des extrémités ; il n'a jamais eu la sensation de
doigt
mort, il n'a jamais eu de crises paroxystiques,
, le visage est gai,il ne se plaint que des douleurs localisées aux
doigts
; ces douleurs sont, il est vrai, assez intense
les lésions sont actuellement localisées à la main gauche, les deux
doigts
les plus atteints sont les 3e et 4°. ' Main gau
on est la plus douloureuse, le malade la com pare à l'écrasement du
doigt
dans un étau. Variables suivant les moments, les
t les moments, les douleurs varient encore de caractère suivant les
doigts
, il n'est pas rare 'qu'au même instant elles ai
'qu'au même instant elles aient des caractères différents dans des
doigts
voisins. Les douleurs spontanées intenses exist
voisins. Les douleurs spontanées intenses existent aux 3e, 4e et 5e
doigts
et restent localisées à la main, le reste du br
localisées à la main, le reste du bras est indemne. La douleur du 5e
doigt
irra- die jusqu'au poignet, la douleur des zu e
eur du 5e doigt irra- die jusqu'au poignet, la douleur des zu et 3e
doigts
jusqu'à l'articulation méta- caipo-phalangienne
est douloureuse qu'à la pression date de trois mois. Médius. - Le
doigt
est tuméfié, l'extrémité digitale est globuleuse,
à la base de la 3° phalange par une sorte de stricture, au bout du
doigt
l'épiderme est exulcéré, dénudé et creusé au-dess
lésions et douleurs datent de neuf mois. Annulaire. L'extrémité du
doigt
semble avoir été enlevée d'un coup de cal- pel,
mble diminué de hauteur, il est opa- que et blanchâtre ; la peau du
doigt
est lisse et tendue sur la 3° phalange. Il n'ex
s datent de cinq mois. - ' 60 RAYMOND ET GOUGEROT Auriculaire. Ce
doigt
paraît normal d'aspect, pourtant il est le siège
fluves étaient dirigés, à travers le pansement, sur l'extrémité des
doigts
sphacélés, puis le long de ces doigts, sur leur
ansement, sur l'extrémité des doigts sphacélés, puis le long de ces
doigts
, sur leur face dorsale et sur leur face palmaire.
es, est caractérisée : 10 pa des douleurs in- tenses localisées aux
doigts
sans irradiations étendues, douleurs spontanées
a main gauche . L'appa- rition et la disparition des lésions sur un
doigt
ou un orteil échappent à toute règle connue. L'
ne névrite unique- ment trophique des petits ramuscules nerveux des
doigts
et des orteils. Cette simultanéité des lésions
fut suivi cinq semaines plus tard d'un oedème de l'avant- bras. Ses
doigts
se sont déformés et ankylosés, la malade les tena
en avant. C'est un oedème mou, gardant long- temps l'impression du
doigt
. Il n'existe pas de dilatations veineuses (PI. Vi
n du doigt. Il n'existe pas de dilatations veineuses (PI. Vil). Les
doigts
de la malade sont rectilignes, mais augmentés de
eur excursion reste incomplète. Il en est ainsi pour la flexion des
doigts
, la flexion et l'extension de la main, l'extensio
partie inférieure des deux jambes, une pression légère il l'aide du
doigt
et qu'on la cesse brus- quement, on constata qu
ème, quoique dur, se laisse déprimer en un godet par la pression du
doigt
; ce godet ne peut être obtenu en tous les points
tion, son inconstance ou sa disparition rapide après le retrait du
doigt
. Meige, Mabille, Etienne, Lortat-Jacob insisten
aujourd'hui, siégeait sur un plan biauricu- laire trois travers de
doigt
au-dessous de la suture interpariétale. Au mois
de sensibilité, de trophisme, de circulation dans les membres, les
doigts
y compris. Réflexe olécrânien absent de même qu
ent paralysés y compris les extenseurs propres de l'index, du petit
doigt
et du pouce. Si on soulève l'avant-bras de la m
vant-bras lui-même. L'extension de la première phalange de tous les
doigts
de la main droite est impossible, tandis que si o
ns une telle position qu'ils puissent agir convenable- ment sur les
doigts
. En d'autres termes, on a affaire à une vraie mai
coude fléchi, l'avant en légère pronation, le poignet fléchi et les
doigts
fermés dans la paume de la main. Toutes ces a
n des muscles épitrochléens, muscles fléchisseurs du poignet et des
doigts
. Le premier c'est le réflexe osseux des 5e est
s avons vu pour le pouce, c'est le mé- « canisme de l'extension des
doigts
(extenseurs des doigts, fléchisseurs du « poign
e, c'est le mé- « canisme de l'extension des doigts (extenseurs des
doigts
, fléchisseurs du « poignet) qui est atteint,cel
onservation beau- « coup plus grande du mécanisme de la flexion des
doigts
; aussi voit-on « des hémiplégiques, capables d
1) Camus, Thèse, p. 33. (2) Nous avons observé aussi la flexion des
doigts
dans la paume de la main, fai- sant le poing, e
e toutes ces parties paraissaient fermes ; mais en exerçant avec le
doigt
une pression forte et plus prolongée qu'il n'es
rax du même côté ne sont perçus que comme un simple attouchement du
doigt
; une éprouvette remplie d'eau à 70° fournit d'a
bas en avant comme en arrière que l'analgésie, à quatre travers de
doigt
en dessous du mamelon, à quatre travers de doigt
quatre travers de doigt en dessous du mamelon, à quatre travers de
doigt
en dessous de l'angle de l'omoplate. Dans cet
té, pas plus d'ailleurs que le cou et la face. Le simple contact du
doigt
est partout bien perçu ; il paraît cependant un
ges sont très légers. Le sens des attitudes parait émoussé pour les
doigts
de la main droite ; si l'on vient à plier l'index
érisée par la différence qui existe entre l'état des trois derniers
doigts
et celui du pouce et de l'index. Quand les trois
rs doigts et celui du pouce et de l'index. Quand les trois derniers
doigts
sont tout à fait fléchis, l'index peut-être lui
in numérotée 1 : c'est la différence entre l'état des deux derniers
doigts
et l'état des trois premiers. Peut-être le troi
erniers doigts et l'état des trois premiers. Peut-être le troisième
doigt
est-il légèrement fléchi ; peut-être y a-t-il éga
ion de l'index. Mais c'est surtout la contracture des deux derniers
doigts
qui est nette ici et elle nous paraît un stade de
té en raison de la persistance du pli de flexion des trois derniers
doigts
qui n'existerait pas s'il existait une corde apon
veau des articulations phalango-phalanginiennes des quatre derniers
doigts
avec une légère flexion. Enfin les veines du do
terre. Immo- bilité, parfois interrompue par des sortes de tics des
doigts
. Mutisme ab- solu, quoi qu'on lui dise. Il comp
lièrement aux avant-bras. Elles ont envahi à nouveau les mains et les
doigts
comme les jours précédents. Elles ont augmenté
oulevées, retombent fléchies à angle droit sur les avant-bras : les
doigts
sont de même à demi-fléchis, les phalanges étant
possible, l'extension impossible. Il en est de même pour les autres
doigts
. Au 5e doigt, toute motilité est abolie. Enfin
tension impossible. Il en est de même pour les autres doigts. Au 5e
doigt
, toute motilité est abolie. Enfin les mouvement
st'bonne, légèrement diminuée pour les extenseurs de la main et des
doigts
des deux côtés, ce qui ne s'était pas produit l
. Par, contre, les extrémités sont intactes, les articulations des
doigts
et.des orteils ne présentent pas de déformation
unes aux autres ; malgré sa cécité absolue et sans trop s'aider des
doigts
par la palpa- tion, elle écrit des phrases asse
sont longs, arrondis, bien conformés ; les mains plutôt grandes aux
doigts
allongés. Aucune dystrophie soit cutanée soit ong
tre tout à fait en défaut. Aux extrémités des phalanges de tous les
doigts
on aperçoit très clairement la persistance des
derqiers temps de manière que le ma- lade a dû changer sa bague de
doigt
. Même chose pour les pieds ; les chaus- sures d
férieure du champ à 1/10 ; à gauche, le patient ne peut compter les
doigts
qu'à 75 centimètres de distance, et seulement e
tés muscu- laires anormales. On appliqua un poids de 300 grammes au
doigt
et on se ser- vit, comme d'ordinaire, de l'ergo
gmentation de volume du foie qui déborde environ de deux travers de
doigt
[l'arcade costale sur la ligne hémiclaviculaire
che. Les deux mains paraissent lourdes, grosses et larges, avec des
doigts
épais et de même largeur à l'extrémité qu'à la
totalité, mais de façon plus accentuée au gros orteil, au deuxième
doigt
et au calcauéum, et plus à droite qu'à gauche.
On note une taie an- cienne. Diminution de l'acuité (il compte les
doigts
cependant à un mètre). Champ visuel normal. A
ie tous deux vivement. 360 Il. WEBER réduite ; parait compter les
doigts
à petite distance avec l'oeil gauche. Champ vis
ncrier; d'autres fois blâmables comme celui de l'enfant qui met les
doigts
dans le nez ou se ronge les ongles ; d'autres f
blement la forme élargie et apla- tie de la dernière phalange de ce
doigt
. Ses parents sont morts aux environs de 70 ans,
ns la vigne ». Il réclame des témoins et des gendarmes. Il désigne du
doigt
les malfaiteurs. Puis il rentre en courant chez
il semble qu'elle soit rendue impossible par les malformations des
doigts
; en outre elle traduit le tremblement violent do
re de la poche ; il la dresse jusqu'au nez et sent l'extrémité de ses
doigts
on bien il effleure sa moustache. Pierre sort
XV). a) Aspect extérieur.- La main gauche présente seulement quatre
doigts
, que le malade maintient en flexion. Le pouce e
ex a l'ongle déformé et incurvé du côté du pouce. Les deux derniers
doigts
sont normaux ; à la place du médius se trouve u
trouve une large fente. La main droite ne possède aussi que quatre
doigts
. Le pouce et l'index sont également réunis par
ersal, recouvrant en partie le moignon que forment les trois autres
doigts
...... : Une pareille difformité des mains n'emp
e que le corps de l'os. A signaler l'atrophie relative du cinquième
doigt
par rapport au quatrième et la disparition comp
nt lui consacrer. ABSENCE CONGÉNITALE BILATERALE DU RADIUS ET DES
DOIGTS
RADIAUX (rCTROMÉLIE LONGITUDINALE RADIALE BILAT
pée,' ce qui tient à ce que le malade emploie son auriculaire comme
doigt
opposant. Aussi la position habituelle de l'auric
ion externe et en légère flexion, de telle sorte que la pulpe de ce
doigt
regarde l'annulaire, et que le petit doigt rest
sorte que la pulpe de ce doigt regarde l'annulaire, et que le petit
doigt
reste normalement écarté des autres. Le malade
et l'annulaire. Pour écrire il place le porte-plume entre ces deux
doigts
: son écriture est suffisamment bonne. En voici
ésentent de la façon suivante : Phalanges. Les phalanges des quatre
doigts
sont bien conformées. On remarque d'une part un
te de l'index, d'autre part des modifications du squelette du petit
doigt
en rapport avec la fonction que le malade donne
du petit doigt en rapport avec la fonction que le malade donne à ce
doigt
. Il s'en sert comme d'un pouce, pour l'opposition
nne à ce doigt. Il s'en sert comme d'un pouce, pour l'opposition au
doigt
voisin. Aussi onremarque que les phalanges de ce
pposition au doigt voisin. Aussi onremarque que les phalanges de ce
doigt
au lieu de se présenter de face, ont subi une r
ment fortement développées. Métacarpe. Mêmes remarques que pour les
doigts
. Le métacarpien de l'index est grêle comme s'il
ment de cupule radiale, et l'absence de l'index. Main. - Le petit
doigt
présente les mêmes particularités qu'à la main
on axe qui lui permet un léger degré d'op- position avec les autres
doigts
. Le rayon digital de l'index est réduit à un peti
, radius, deux premiers métacarpiens et squelette des deux premiers
doigts
à gauche. Toutefois la malformation est plus comp
ns des cas opposés également rares, il n'y a que deux ou môme qu'un
doigt
, ce qui fait le passage aux ectromélies plus co
ectromélies plus complètes. Les métacarpiens sui; vent le sort des
doigts
correspondants. Les os du carpe sont incomplets ;
malformation s'était encore aggravée, l'un n'ayant plus, que trois
doigts
, et le dernier plus qu'un seul doigt (1 ). Celle
l'un n'ayant plus, que trois doigts, et le dernier plus qu'un seul
doigt
(1 ). Celle notion de l'hé- rédité n est pas in
ts a observé un sujet atteint d'absence congénitale du cubitus et des
doigts
cubitaux, dont la soeur, un des neveux et trois
f. Psych. H. 2, 1908. UNE « FEMME HOMARD » MAINS ET PIEDS A DEUX
DOIGTS
PAR R Georges THIBIERGE, médecin de l'hôpit
t les photographies ci-jointes. Les mains sont constituées par deux
doigts
, articulés chacun sur un NOUVELLE ICONOGRAPHIE
T. XXI. Pl. LXVIII UNE FEn ! E-HO ! ARD (Mains et pieds à deux
doigts
.) (Tbibicrge) Masc;on &- ÇH' ]di¡çIJ' N
RIÉRH. T. 1XI. Pl. L11X UNE FEMME-HOMARD (Mains et pieds à deux
doigts
.) (Tbibierge) Masson & Cm, Éditeurs. Ph
rs. Phototypie Bertliaud, UNE FEMME HOMARD, MAINS ET PIEDS A DEUX
DOIGTS
473 unique métacarpien et sont fendues jusqu'à
de sa 2e phalange regarde vers le bord cubital de la main. L'autre
doigt
, en forme de navet dans sa portion métacarpienne,
d'extension des phalanges dont très limités. Les dimensions de ces
doigts
sont les suivantes : 474 TH1BIERGE ' ' * faço
que pour une constriction vasale et rappelle la pâleur extrême du «
doigt
mort » du « petit Brightisme ». A cet état de v
Presque tous les sujets accusaient alors une sensation au bout des
doigts
: un tremblement, ou bien un souffle léger, ou un
piqûre très vive au niveau de la pulpe digitale d'un ou de plusieurs
doigts
; à ce niveau on voyait un point rouge de la gr
APERT et Morisetti. Absence congénitale bilatérale du radius et des
doigts
ra- diaux (t pl ), 412. Babinski. Quelques re
Morisetti et APERT. Absence congénitale bilatérale du radius et des
doigts
ra- diaux (i pl.), 412. NERI. Sur les caractè
(3 pl.), 1. Thibierge. Une femme homard, mains et pieds à deux
doigts
(2 pl.), 472. V ALODIIA. Contribution à l'étude
), 396. , TABLE DES MATIÈRES Absence congénitale du radius et des
doigts
radiaux (1 pl.),par APERT e' Morisetti,412. '
ale par lésion du -) (1 pl.), par Long, 37. Mains et pieds à deux
doigts
(2 pl.), par Tiiii31EiiGE, 412. Mains par Hol
e met debout du côté du dynamomètre, qui est dans l'air. Elle met ses
doigts
sous la tringle, la touchant d'en bas; la table s
tation de poids de 7 à 8 livres. Elle exécute la même chose quand ses
doigts
touchent la tringle par leurs côtés supérieurs ou
ingle par leurs côtés supérieurs ou quand ils en sont séparés par les
doigts
des contrôleurs; pas de contact avec la robe, lum
e, comme dans une méditation profonde et sévère, Eusapia approcha les
doigts
réunis en cône à la distance de 3 centimètres de
exécuta le même mouvement, comme si un fil invisible passait par ses
doigts
et pénétrait dans la sonnette, et on l'entendit s
l'équilibre, glissa sur l'archet du côté droit, et Eusapia saisit ses
doigts
et se mit à les frotter, (1) Br. Reichman, Cour
qui était légère, fine et de chaleur normale (Al Rajchman), dont les
doigts
étaient chauds, mous et petits (Dr Wroblewski); s
ordre. Je sentis la première (et la dernière) fois une main grande à
doigts
largement écartés me toucher au dos, puis bientôt
dirent tous les assistants, mais la main ne fut plus distincte et les
doigts
à peine sensibles. Quant à l'impression reçue, j'
chement momentané d'une ordinaire, même petite main de femme avec les
doigts
largement écartés, dans le dos fait également tou
u médium à la base de la paume même le plus légèrement, de leurs deux
doigts
enveloppés, la sonnette se taisait; mais si quelq
oigts enveloppés, la sonnette se taisait; mais si quelqu'un levait le
doigt
ou permettait à Eusapia d'éloigner la main, elle
icki fut touché trois fois, Glowacki deux fois, distinctement par les
doigts
d'une main; enfin moi, ayant posé la main sur l'é
ant posé la main sur l'épaule de Glowacki, je fus touché par les cinq
doigts
, chacun séparément, et puis par tous ensemble. L'
e pouvait pas toucher les deux contrôleurs d'une seule main, l'un des
doigts
, l'autre de la paume, car ses doigts qui n'étaien
leurs d'une seule main, l'un des doigts, l'autre de la paume, car ses
doigts
qui n'étaient pas garnis d'enveloppe métallique,
is les sens normaux. Soudain, j'entendis le bruit caractéristique des
doigts
derrière la tête d'Eusapia, une demi-minute après
horizontalement, une main gauche d'homme, serra ma main de ses trois
doigts
, tira légèrement mes doigts et se* retira lenteme
auche d'homme, serra ma main de ses trois doigts, tira légèrement mes
doigts
et se* retira lentement derrière le rideau. Les a
té normales. Seulement, je ne remarquai pas le quatrième et cinquième
doigt
et je ne me souviens pas, si la partie visible et
btenu de cette manière, je précipite les choses en abaissant avec mes
doigts
les paupières de mes sujets, en comprimant en mêm
à main reposée. L'œil, sans contention d'aucune sorte, sans l'aide de
doigts
d'un assistant ou d'un blépha-rostat, resta large
sier, a subi, il y a cinq ans, la désarticulation complète du petit
doigt
de la main droite, à la suite d'un traumatisme. C
e sensibilité reviviscente se prolongeait au-delà de la continuité du
doigt
absent comme si elle se manifestait sous forme d'
des pincements, des piqûres à la place qui aurait été occupée par le
doigt
absent, le malade accusait une douleur sensible,
tre, à la suite des piqûres ressenties par le malade sur le trajet du
doigt
amputé et répercutées par les centres de la subst
s paraissent écrits à l'aide du crayon, mais le médium se sert de son
doigt
, du doigt d'un des assistants, ou bien du côté op
nt écrits à l'aide du crayon, mais le médium se sert de son doigt, du
doigt
d'un des assistants, ou bien du côté opposé d'un
osa sa main gauche sur celle du médecin qui écrivait, sans toucher du
doigt
le papier (elle touchait seulement le crayon), bi
u crayon. D'ailleurs, j'ai observé quand Eusapia écrivait à l'aide du
doigt
, sur la manchette du Dr D., qu'elle grattait en m
entré (Szad-kowski). (3) — « En ma présence le médium, en tirant les
doigts
des Dri IL et D. sur les manchettes du Dr M., y p
is à Eusapia ma main avec une petite boule de papier cachée entre les
doigts
, et invisible à la faible lumière, le médium affi
par conséquent, elle avait le sentiment d'un objet si petit entre mes
doigts
. Ce phénomène, soit qu'il dépende de la suggestio
ordinairement, la main de ma main droite (où j'avais caché entre les
doigts
le papier avec l'herbe), je demandai si elle se s
éapparut quand je pris la main d'Eusapia par ma main gauche, dont les
doigts
cachaient alors le papier. J'expliquai l'affaire
er de son dos, sans qu'elle le remarque, et le brin d'herbe entre les
doigts
. Quand je l'approchai à distance de quelques pouc
n voyage, je lui serrai la main, en tenant mon brin d'herbe entre les
doigts
. Elle se tut, ouvrit largement les yeux, et regar
me temps une autre main, una mano vaporosa, me touchait et jouait des
doigts
le long de tout mon bras ? » X. Enfin, le Dr Ha
sur l'axe de la cuisse de l'extérieur à l'intérieur, de sorte que mes
doigts
ne touchaient plus la partie supérieure de l'arti
n photographiait la table, et alors je sentais distinctement sous mes
doigts
un léger tremblement qui accompagne toujours un l
a. Retirant le pied, je rencontrai le bout de mon pied droit sous les
doigts
du pied du médium, à la distance de quelques pouc
pia, dont le talon reposait sur le pied de l'autre contrôleur, et les
doigts
sur le mien. Je considère donc comme prouvé que p
r le pied du contrôleur, la presse du talon de l'autre pied, dont les
doigts
reposent sur le pied de l'autre contrôleur, et pr
t avec un parallélisme extraordinaire, impossible sans tenir dans les
doigts
quelque chose tendue qui ne permet pas aux mains
gner, et que la sonnette s'ébranla au moment où la ligne unissant les
doigts
des deux mains atteignit son bord antérieur, et s
ais la sonnette se taisait. Elle retira alors les mains, approcha les
doigts
et faisait de ceux de la main droite des mouvemen
ement. Elle retira les mains, raccourcit le cheveu tenu en jouant des
doigts
, et la sonnette sonna : mais ses doigts se trouva
le cheveu tenu en jouant des doigts, et la sonnette sonna : mais ses
doigts
se trouvaient alors devant l'archet et sur la lig
r Harusewicz (la Voix ? 3), affirment avoir constaté, en passant les "
doigts
entre la sonnette et les mains d'Eusapia, l'absen
pothèse du cheveu tombe, car j'ai plusieurs fois touché et frotté les
doigts
du médium, pendant l'expérience, sans la paralyse
n fluide. Eusapia posa sa main droite sur la gauche ; elle écarta les
doigts
de la main gauche, qui reposait sur la planchette
de la gauche, de façon que le pouce, avec le deuxième et le troisième
doigts
, étaient approchés et placés entre les deuxième e
e doigts, étaient approchés et placés entre les deuxième et troisième
doigts
de la main gauche (Heryng). La planchette s'éleva
t de la planchette ; puis quelque chose commença à sortir d'entre les
doigts
et à se cacher. Après un certain temps, à proximi
gts et à se cacher. Après un certain temps, à proximité des bouts des
doigts
, se montra un aiguillon, qui s'approchait de la p
écrivant un arc, comme si son point d'appui se trouvait à la base des
doigts
. Il devenait toujours plus long, car les doigts e
rouvait à la base des doigts. Il devenait toujours plus long, car les
doigts
en couvraient une partie toujours plus exiguë. Ar
dont elle tenait justement le bout supérieur de l'aiguille entre les
doigts
de la main gauche, et fit un mouvement violent en
ppareil, remarqua qu'elle pourrait soulever la planchette à l'aide du
doigt
, et ordonna, pour le rendre impossible, d'ajuster
lara sentir un vent froid dans les mains, un engourdissement dans les
doigts
, et la sonnette se fit entendre. (à suture) R
es muscles abdominaux (à la suite de la danse du ventre), spasmes des
doigts
, crampe des écrivains, intoxication par le plomb,
ur ou de froid sur un point de la surface cutanée où j'appliquais les
doigts
, et plusieurs d'entre eux, dans l'attente du phén
s ou non, fût-ce pour un brin de temps, l'impression du toucher des
doigts
d'Eusapia, — et si je la perds, l'impression de m
on de ma peau reste la même avant et après le moment d'absence de ces
doigts
. Eh bien, j'ai constaté, avec la sûreté et la net
rriva enfin un moment, où je n'avais sur ma main que les bouts de ses
doigts
, qui jouaient comme sur le clavier. Puis les doig
les bouts de ses doigts, qui jouaient comme sur le clavier. Puis les
doigts
se calment pour un certain temps, et presque simu
ent a lieu l'attouchement, puis un court moment où je ne sens pas les
doigts
sur ma main, et enfin je sens les doigts, qui ont
moment où je ne sens pas les doigts sur ma main, et enfin je sens les
doigts
, qui ont un autre toucher, beaucoup plus froid, e
diverses façons, elle retire vers elle la paume et ne laisse que les
doigts
; elle en joue, les lève et ne laisse sur ma main
i donner à tenir sa main, un peu avant la paume, et remplacer par les
doigts
de cette main droite les doigts de sa main gauche
avant la paume, et remplacer par les doigts de cette main droite les
doigts
de sa main gauche sur la main du contrôleur de ga
eur ou lui retire sa chaise, et puis retourne sur la table. Alors les
doigts
de sa main droite quittent la main du contrôleur
leur de gauche ; il y a un intervalle très court où il n'y a point de
doigts
, puis les bouts des doigts de la main gauche remp
intervalle très court où il n'y a point de doigts, puis les bouts des
doigts
de la main gauche remplacent ceux de la droite, e
ntrôleur. — Je ne pourrais pas dire si je n'avais pas sur ma main les
doigts
de la main de l'autre contrôleur, au lieu de ceux
iences avec plusieurs personnes m'en montrèrent la possibilité. — Les
doigts
qui retournaient sur la main du contrôleur étaien
roids, grâce à l'évaporation, qui pouvait être assez intense, car les
doigts
étaient toujours échauffés et suaient même, et le
ne, puis elle éprouve l'engourdissement et la chair de poule dans les
doigts
; ces sensations croissent toujours, et en même te
ns, sur l'ordre de l'apparition, la petite Soubirous creusa, avec les
doigts
, en un coin de la grotte parfaitement sec, et où
autres témoins, Bernadette, sous le charme de l'apparition, tint les
doigts
entrelacés dans la flamme d'un cierge pendant plu
te. Après l'extase, Dozous, à l'improviste, dirigea la flamme sur les
doigts
de la fillette qui les retira vivement en lui cri
tisme au moyen du procédé de la fixation des yeux sur un ou plusieurs
doigts
. L'hypnose n'a pu être obtenue qu'au bout de deux
ressionnée par la lecture d'un roman dont un des personnages avait un
doigt
surnuméraire : son enfant vint au monde avec un d
nnages avait un doigt surnuméraire : son enfant vint au monde avec un
doigt
surnuméraire. Dans l'autre, une femme enceinte vi
. On pourrait appeler cette transmission : transmission digitale, les
doigts
étant généralement, dans ce cas, les instruments
sur le front, ou bien ils la prennent dans leur main en appliquant le
doigt
sur le pouls. Souvent ils se font bander les ye
éfectueuse, le pouce ne s'opposant pas ou s'opposant mal aux autres
doigts
. L'appétit est exagéré ; le sentiment de la sat
bilité, etc. - Luxation du radius droit. - Ankylose du genou droit,
doigt
ci ressort, etc. 1890. Furoncles, abcès. - Brûl
ant et trai- nant la jambe, que ses mains étaient en crochet : «les
doigts
, dit-on, se refermaient toujours ». Cette rétra
était gontlé. C'est pour cet accident et pour la rétraction de ses
doigts
que ses parents font conduit au bout d'un mois
urnée et je ne m'apercevais de rien. » Il prit le charbon entre ses
doigts
et le remit dans le feu, sans avoir, à aucun mo
eux jours après l'opération, ¡'ol1ule était tombe et l'extrémité du
doigt
était nécrosée. On procéda sans chloroforme et sa
che. Fièvre vive, insomnie; ni céphalalgie, ni douleur au niveau du
doigt
malade. Incision indolore ; issue de pus en abo
gment d'ongle un peu plus large que celui de l'index. La peau de ce
doigt
est le siège dune induration cornée; la phalanget
e siège dune induration cornée; la phalangette persiste. Les autres
doigts
n'offrent qu'une hypertrophie de la peau. Il n'
- La peau est épaisse, principalement autour des articulations des
doigts
. Il existe un durillon au point de contact I'ir
' Description DU malade. 13 du pouce avec la paume. L'extension des
doigts
est incomplète. Rétraction de la phalangette du
x mains est le siège de crevasses assez profondes. L'écartement des
doigts
, des deux côtés, est nul. Au dynamomètre, 10 à
ermés, le malade reconnait bien les objets que l'on place entre ses
doigts
, sur la face dorsale du carpe, de l'avaut-bras
passe sur le bras et l'avant-bras. Il ne sent pas le frottement du
doigt
dans la zone analgésique, ni le passage des poi
Côté gauche : anesthésie en gant remontant jusqu'à deux travers de
doigt
au-dessus de l'ayticulation du poignet. Au nive
de la main gauche dépassant l'analgésie de deux il trois travers de
doigt
. - Thermo- anesthésie de la main droite ayant l
cha- leur, au tact et à la douleur au niveau de la face dorsale des
doigts
, 1 Nous avons rédigé tout cet état actuel d'apr
e la main et du poignet jusqu'à une ligne passant à deux travers de
doigt
au-dessus du pli articulaire. - A la face palmair
halangette, on produit un bruit sec, et dès qu'on retire son propre
doigt
, immédiatement la phalangette reprend avec le mêm
l'auriculaire est presque droit. Le malade ne peut pas relever ses
doigts
jusqu'à la ligne droite; il peut les fléchir ju
-phalanginienne (face palmaire) une plaie avec un tran- chet. Les
doigts
sont boudinés; les ongles sont réguliers. La peau
eau est épaissie sur le dos du métacarpe et sur la face dorsale des
doigts
; elle est en outre légèrement rouge. Il existe
oitié inférieure du deuxième métacarpien. On arrive à redresser les
doigts
, ce que ne peut faire le malade, mais avec une
du coude sont libres; parfois, il y a des craquements. Main. Les
doigts
sont plus qu'à demi fléchis sur la paume de la
ais non étendu. Les articulations sont assez roides. Tandis que les
doigts
précédents n'ont pas do mouvements spontanés de l
s articulations un peu roides. Les deuxième, troisième et quatrième
doigts
sont plus volumineux au niveau de la jointure d
langette qu'au niveau de l'articulation phalango-métacarpienne (les
doigts
de la main droite sont bien moins cylindriques)
s prédominent sur le deuxième, et principalement sur le quatrième
doigt
. Sur les autres doigts et à la paume de la main,
deuxième, et principalement sur le quatrième doigt. Sur les autres
doigts
et à la paume de la main, les épais- sissements
marades lui cachent ses béquilles. B... rappelle qu'autrefois les
doigts
des deux mains étaient placés en crochets. Ils
s suivantes donnent une idée des différences qui existent entre les
doigts
des deux mains. NOUVELLE DESCRIPTION DU malade.
icularités suivantes : Aneslhésic du pli du coude à l'extrémité des
doigts
; </terme- anesthésie dans les mêmes régions
anesthésie dans les mêmes régions; analgésie depuis l'extrémité des
doigts
jusqu'à cinq centimètres au-dessous du pli du cou
tré- mité supérieure du radius, mutilations pathologiques de deux
doigts
de la main gauche, ankylose et altitude vicieuse
malade a une anes- thésie, une analgésie, une thermo-anesthésie des
doigts
, des mains, des avant-bras jusqu'au voisinage d
seur J. Grasset. - Examen électrique. 29 sorte d'hypertrophie des
doigts
. Signalons aussi l'attitude des mains en croche
spontanée, normale à gauche, est à peu près abolie à droite, où les
doigts
sont contractu- rés et fléchis dans la paume de
in. Du côté gauche, les mouvements spontanés sont conservés, et les
doigts
ont gardé leur motilité. L'enfant ne se ronge p
avant-bras à angle droit sur les bras reposent sur la poitrine, les
doigts
sont légèrement infléchis. La main droite est t
du cerveau. Ceux-ci offrent un aspect gélatiniforme et bosselé. Au
doigt
, ils donnent une sensation pseudo-cartilagineus
soin, n'y fait découvrir aucune trace de la glande thyroïde. Le
doigt
arrive sans interpo- sition d'aucun organe sur
: et cette bouffissure est nettement d'origine lipo- mateuse. Les
doigts
sont courts et gros. Les ongles sont petits (
s. La main est globuleuse, la peau y est bouffie, vioiacée. Les
doigts
sont très courts, élar- gis en massue, ridés. L
t les cheveux et les regardait en les roulant rapidement dans les
doigts
. Il passait la journée à cet exercice et s'y livr
paule, maigreur du coude, rigidité très prononcée du poignet et des
doigts
qui sont flé- chis. Rigidité assez prononcée de
L'estomac n'est pas dilaté : le foie remonte a A ou 5 travers de
doigts
au-dessus du rebord costal ; le diaphragme remont
oit est fortement contracture, l'avant-bras fléchi sur le bras; les
doigts
repliés en crochet et difficiles à ouvrir. Rien
nt est repliée sur elle-même, ne fait plus de mouvements. Seuls ses
doigts
tremblotent toujours. La bouche est grande ouve
is, ainsi que les pau- pières, les mains, les pieds, l'empreinte du
doigt
qui les comprime. Le cou est gros, court, et
ur le thermomètre, je dirai qu'il importe bien davantage d'avoir le
doigt
sur le pouls. M. Bourneville. Comme notre collè
ce oedémateuse, mais il ne se produit pas de godet à la pression du
doigt
. Cils longs aux paupières supérieures, très peu
gitation continue ; B... se tourne et retourne sans cesse, tire ses
doigts
comme si elle voulait les allonger, se gratte p
.. est très agitée, maussade, se gratte conti- nuellement, tire ses
doigts
« comme si elle voulait les allon- 5er n . Vomi
e des dents lui a fait prendre l'habitude de mettre constamment les
doigts
dans sa bouche. 24 mars. Depuis quelque temps,
. Elle est toujours gaie.- Les mains et les pieds sont normaux, les
doigts
effilés. - Sueurs fréquentes de la tète. I 1
a poussée de nouvelles dents. Lucie bave, refuse de manger, met ses
doigts
dans sa bouche. 17 novembre, - L'enfant suppo
seule fois depuis 15 jours. Elle marche en tenant légèrement par le
doigt
; la crainte de tomber parait seule l'empêcher
mbilicale. Membres supérieurs. Ils sont épais, cylindriques ; les
doigts
sont courts ainsi que les ongles qui cassent faci
ieure ; le creux épigastrique continue cette dépression. Le (1) Les
doigts
se fléchissaient, les bras s'allongeaient et se p
lobes oculaires ne suivent que très difficilement les mouvements du
doigt
. Ces mouve- ments ne s'exécutent que par saccad
largeur et cinq millimètres d'épaisseur, il est possible de passer le
doigt
entre cette plaque et la synoviale pariétale qui
uis cinq ans environ, la malade déclare avoir fréquemment le bout des
doigts
comme mort et ne pouvoir saisir les petits objets
n'existe point d'épanchement intra-articulaire. En introduisant le
doigt
dans la plaie à une profondeur de trois centimètr
la jointure. Il diffère de l'œdème ordinaire en ce que la pression du
doigt
, pour laisser une trace même légère, doit être as
point, est tout à fait à angle droit sur l'avant-bras ; — 5° que les
doigts
sont légèrement fléchis. Quant au pouce, il pend
m-possible. — Les articulations du pou'e sont mobiles. La flexion des
doigts
s'exécute assez bien, mais l'extension est très-i
contracture très -modérée, d'ailleurs, des muscles fléchis-seurs des
doigts
. — L'aponévrose palmaire est tendue. — Les émi-ne
e largeur, dépourvu d ongle et ne ressemblant que très-vaguement à un
doigt
; 2° auprès de ce tuber-cule on voit, ainsi quela
inférieurs dans l'extension, les supérieurs dans la demi-flexion. Les
doigts
sont fléchis sur la paume de la main. — Œdème.
fait abo-lis : c'est là que la déformation atteint son maximum. —Les
doigts
, surtout le pouce, le médius et l'annulaire sont
llonge qu'avec difficulté. L'index et plus par-ticulièrement le petit
doigt
jouissent d'une certaine mobilité. — D... s'habil
ordus ; leur extrémité inférieure est plus grosse que d'habitude. Les
doigts
sont longs et larges. — L'humérus gauche est reco
le pus écoulé, il faut introduire dans la plaie un stylet et mieux le
doigt
, et l'on constate alors l'existence du tissu osse
ales. Les globes oculaires sont insensibles au contact de la pulpe du
doigt
. Le chatouillement du bord palpébral inférieur pr
t examen. Membre supérieur droit : soulevé, il retombe inerte ; les
doigts
, le poignet, le coude, sont flasques; l'épaule of
inal postérieur, d'un corps arrondi, bien limité, dur, fuyant sous le
doigt
, et de la grosseur d'une pomme d'api environ. Le
t au niveau des articu-lations métacarpo-phalangiennes, et le dos des
doigts
, surtout vers les articulations des phalanges, so
érieure sont très-atrophiés ; les fléchisseurs et les ex-tenseurs des
doigts
sont très-peu apparents; l'avant-bras est comme d
. — Les muscles de l'éminence thénar sont complè-tement atrophiés; le
doigt
indicateur est fléchi vers la paume de la main, o
ume de la main, on ne peut le redresser que difficilement; les autres
doigts
sont aussi fléchis, mais la flexion est moins pro
ure hystérique. Nous sommes ainsi mis à même de vous faire toucher du
doigt
les particularités les plus intéressantes relativ
e, elle figurait tout à fait une large pierre, qui, écrasée entre les
doigts
, donnait la sensation du sable et présentait tous
s haut, donnant la sensation du sable quand on les écrasait entre les
doigts
, et se réduisant en cris-taux phosphatiques qui b
uant au roi une saignée, suivie d'une paralysie passagère de quelques
doigts
et du sphacèle de leur pulpe. — M. Dupuy, ayant e
lessure à la région carpienne. —Fourmillement dans les trois premiers
doigts
. — Insensibilité, refroidissement de ces doigts.
ns les trois premiers doigts. — Insensibilité, refroidissement de ces
doigts
. — Teinte ardoisée et exfoliation de Vépiderme. —
r et fait un pansement nou-veau. Trois jours après, fourmillement des
doigts
annulaire, médius et indicateur, puis, perte abso
anges (?), mais néanmoins avec conservation des mouvements. Ces trois
doigts
deviennent froids. Il y avait probablement lésion
la sensibilité et la chaleur reviennent, mais incom-plètement dans le
doigt
annulaire, qui a perdu sa dernière pha-lange. (Ib
une flexion de l'avant-bras avec pronation, flexion de la main et des
doigts
. Si l'on opère par force l'extension des doigts,
ion de la main et des doigts. Si l'on opère par force l'extension des
doigts
, on voit qu'arrivés à un certain degré ils se pla
bord une certaine résistance, puis brusquement encore, la flexion des
doigts
se complète spontanément et la main se redresse l
vec roideur et flexion très-légère de l'avant-bras sur le bras et des
doigts
sur la paume de la main. La malade ne peut étendr
a paume de la main. La malade ne peut étendre ni l'avant-bras, ni les
doigts
. L'extension forcée des doigts ne cause aucune do
e peut étendre ni l'avant-bras, ni les doigts. L'extension forcée des
doigts
ne cause aucune douleur. Parfois T... a des doule
ments, elles s'accompagnent d'un mouvement qui exagère la flexion des
doigts
. — T... ne peut mouvoir ni les orteils, ni le pie
vir de son membre supérieur, qui est lourd, mais elle le soulève. Les
doigts
sont fléchis dans la paume de la main ; il lui es
êté par la douleur. La main est à angle droit sur l'avant bras, les
doigts
sont fléchis. Voici leur disposition respective :
ortée en dedans, la phalangette fléchie sur la phalange. — Les autres
doigts
sont fléchis dans les articulations des phalanges
la flexion de celle de l'auriculaire est plus marquée. En un mot, les
doigts
ont l'aspect d'un crochet, ou mieux d'une griffe.
s assez pesants, lorsqu'ils sont placés dans le crochet formé par les
doigts
, par exemple un pot de tisane. D'après elle, la f
ne, l'attitude générale des membres, les déformations de la main, des
doigts
, se rapprochent à un degré remarquable de l'altit
ronation ; la main est fléchie et inclinée vers le bord cubital ; les
doigts
sont plus ou moins fortement fléchis dans la paum
is dans la paume de la main ; généralement le pouce est étendu et les
doigts
sont de plus en plus fléchis à mesure qu'on se ra
ure qu'on se rapproche du bord cubital. C'est l'annulaire et le petit
doigt
qui sont d'ordinaire le plus parfaitement fléchis
t qui sont d'ordinaire le plus parfaitement fléchis ; quelquefois les
doigts
sont étendus, renversés en arrière, déformés, ou
nsons qu'il faut être moins absolu en ce qui con-cerne l'attitude des
doigts
. Selon M. Cotard, « c'est l'annulaire et le petit
attitude des doigts. Selon M. Cotard, « c'est l'annulaire et le petit
doigt
qui sont d'ordinaire le plus fortement fléchis. »
, paralysée à 7 ans (Obs. X, planche XVI), ce sont, au contraire, ces
doigts
-là qui sont les plus libres, tandis que chez Trib
, très-prononcée au pouce, moins aux deuxième, troisième et quatrième
doigts
, est nulle à l'auricu-laire : cependant la paraly
ormations suivantes : le pouce est fléchi et contracture ; les autres
doigts
sont plutôt dans l'extension. Tout le membre supé
s le bord cubital. Les phalanges et phanlan-gines des quatre derniers
doigts
sont un peu étendues, les pha-langettes légèremen
avant-bras. Le pouce est fléchi dans la paume de la main ; les autres
doigts
pris dans leur ensemble sont plutôt dans la demi-
, légère à l'annulaire, nulle à l'auriculaire. Si la malade étend les
doigts
, ils passent immédiatement à la position extrême
gts, ils passent immédiatement à la position extrême d'extension. Les
doigts
ne peuvent prendre une position intermédiaire : o
retrouvons ici la disposition arrondie signalée par M. Bouchard. Les
doigts
, consi-dérés dans leur ensemble, sont allongés ;
nt ; les phalangines et surtout les phalan-gettes des quatre derniers
doigts
ont plutôt une légère tendance vers la flexion. L
s en tenions à nos faits, nous aurions deux variétés : Io flexion des
doigts
; 2° extension des premières phalanges et flexion
ocède à la dissection des ganglions sarcomateux ; il détruit avec ses
doigts
les adhérences qui existent avec l'angle de la mâ
nd à la ponction exploratrice, un magma sanguin qui disparaît sous le
doigt
et sous un courant d'eau. — En somme, cette tumeu
ntroduction de l'air dans les veines, M. Trélat met immédiatement son
doigt
à l'endroit d'où sortait le sang; il l'y maintien
de pe-tites bulles d'air, se déplaçant facilement sous la pression du
doigt
, et ressemblant assez exactement à des molécules
toute celte éten-due un empâtement mou, qui conserve l'empreinte des
doigts
, mais seulement lorsqu'on exerce sur les tégument
t en arrière de la branche montante de la mâchoire et à un travers de
doigt
au-dessous du lobule de l'oreille, elle était arr
e par des noyaux multiples, agglomérés, roulant plus ou moins sous le
doigt
; elle forme une masse unique qui s'est développée
ITAUX ADÉNOME DE LA PAROTIDE APRÈS L'OPÉRATION collant avec les
doigts
. La face profonde seule présente quelques adhéren
extrémités et surtout en haut, ces mamelons, du volume de la pulpe du
doigt
, sont hémisphériques et constituent de véritables
. La peau, à ce niveau, est, pour ainsi dire, indurée; l'empreinte du
doigt
ne s'y produit que si l'on exerce une pression as
musculaire est très diminué à droite : le malade hésite à dire quel
doigt
on lui prend, quel mouvement on imprime à ce doig
site à dire quel doigt on lui prend, quel mouvement on imprime à ce
doigt
; il se trompe même très souvent dans ses répon
et les extenseurs de l'avant-bras. On remarquera, en effet, que les
doigts
sont étendus dans leurs articula- tions métacar
s et incertains; il ouvre largement la main el écarte fortement les
doigts
; le verre une fois saisi, il le porte assez bien
nd bien compte, les yeux fermés, des diverses positions données aux
doigts
, ou aux divers segments des membres. Les réflex
entre le pouce et l'index à demi fléchis d'une part, et les autres
doigts
complètement fléchis d'autre part. Si on lui fait
on constate des troubles. * Si l'on dit à la malade de porter son
doigt
sur son nez, elle n'y arrive pas exactement et
urs sont normalement conformés; on notedetemps en temps du côté des
doigts
de légers mouvements alhétosiques analogues (mais
semble planer quelque temps avant d'exécuter l'ordre prescrit : les
doigts
sont alors animés de mouvements athétosiques et c
e série d'oscillations. De môme, elle ne peut mettre promptement le
doigt
sur son nez. Ce trouble est plus manifeste du c
ces à la partie interne du genou et en pressant légèrement avec les
doigts
sur la région externe, 1. Hamilton et Puiusot,
on. S'il s'agit du bras, la main est fléchie sur le poignet, et les
doigts
fortement fléchis dans la paume de la main. Le
la main et le poignet droits sont-ils en flexion exagérée', et les
doigts
fléchis dans la paume de la main menacent de pe
s segments; les deux poignets se fléchissent de telle sorte que les
doigts
viennent toucher la face antérieure de l'avant-
pas à l'oedi'me ordinaire; il ne s'affaiblit pas sous la pression du
doigt
, et lui oppose une certaine résistance. La tu
HUH(;I(;,\LII. 143 toute contracture à peu près complètement et les
doigts
pouvaient se redresser entièrement. Dans le c
5° extenseurs du tronc; G0 fléchisseurs du cou; 7° fléchisseurs des
doigts
(D. g. = 30 ; D. d. = 20) ; 8° extenseurs des d
échisseurs des doigts (D. g. = 30 ; D. d. = 20) ; 8° extenseurs des
doigts
; 9° fléchisseurs de l'avant- bras. Les masses
aques pas plus grandes, dans deux ou trois endroits, que le bout du
doigt
, souvent beaucoup plus grandes, soit arrondies,
à l'attouchement simple, on substitue le frôlement avec le bout du
doigt
, quelques-unes de ces plaques disparaissent, la p
d'extension qui se produisent dans tous les segments, y compris les
doigts
et les orteils ; ces mouvements, qui se font al
n instant, promenant de tous côtés un regard effaré, se mordant les
doigts
, se grattant la tête. Il se remet debout avec la
n au niveau de l'articulation métacarpo- phalangienne du pouce, les
doigts
était dans la position de la « main d'accoucheu
millimètres. Le pouce peut être considérablement écarté des autres
doigts
, la ligne droite menée entre l'extrémité de l'a
ypertrophie tout à fait analogue, mais ses dimensions et celles des
doigts
sont très légèrement inférieures à celles de la
considérable qui s'observe surtout nettement à la face palmaire des
doigts
, notamment au niveau de la dernière phalange, e
les parties molles et se trouvent comme enchâssés à l'extrémité du
doigt
. Ils présentent tous une striation longitudinal
laire de la main droite présentent très nettement le phénomène du «
doigt
à ressort », ce que le malade attribue à une sort
profil du ventre devient vertical dans une étendue d'un travers de
doigt
, puis il se recourbe en bas et en arrière pour
ar- quée ; cependant les sutures sont très faciles à suivre avec le
doigt
; la pro- L'ACROMÉGALIE. 181 tubérance occipi
oici quelques chiffres : 1° face palmaire de la seconde phalange du
doigt
, deux centimètres; 2° dernière phalange, face pal
, sont le siège d'une vive rougeur qui ne s'efface à la pression du
doigt
que pour reparaître ensuite. Cette rougeur rapp
es sont très saillants et ils débordent de deux on trois travers de
doigts
la ligne qui dessine les contours du torse; les c
e, le pouce rentré fortement dans la paume au niveau de la base des
doigts
, étendus, ramassés ensemble, et tournés en dehors
aphoïde qui n'a point perdu sa forme générale et qu'on sent sous le
doigt
; entre le péroné et le scaphoïde existe une légèr
'articulation, il existe très souvent un oedème dur, résis- tant au
doigt
, et s'étendant parfois à une certaine distance. ,
genou, zone peu près verticale, large de trois ou quatre travers de
doigt
, et. semblant correspondre au filet descendant du
valaire, dont le grand diamètre vertical est égal à cinq travers de
doigt
; cette cicatrice est irrégulière, surélevée, d'ap
nt symétrique. Toutefois on constate il la nuque, à deux travers de
doigt
à gauche de la pro- tubérance occipitale extern
plus faible que la gauche. Il existe un tremblement très marqué des
doigts
et des mains, tremble- ment qui ressemble fort
ac- tèrent légèrement et demeurèrent immobiles, les deux mains, les
doigts
fléchis à demi se mirent à trembler fortement e
ras, partie moyenne, 29. Longueur du cubitus, 24. . Le volume des
doigts
de la main gauche est le même que celui des doigt
. Le volume des doigts de la main gauche est le même que celui des
doigts
de la main droite, avec 2 ou 3 millimètres en m
s le sens transversal que dans le sens antéro-postérieur; aussi les
doigts
ont-ils une apparence un peu aplatie. Les dif
ain sont parfaitement normaux, ainsi que ceux des articulations des
doigts
; la pulpe des phalangettes est globuleuse, mais
uche qu'à droite. Le mouvement d'écartemenl et de rapprochement des
doigts
se fait bien des deux côtés, mais avec moins d'
ent presque e toutes. ' Actuellement (3e trimestre de 1885). -Les
doigts
(fig. 85) présentent des nouures très accentuée
e les dents incisives du basdébordentcelles du haut de l'épaisseur du
doigt
, ce qui n'est pas de même pour les dents molair
ieure, qui déborde antérieurement la supérieure de l'épaisseur d'un
doigt
, a 18 pouces en prenant de l'un de ses condyles à
laborieux, surtout celui des petites, comme par exemple celles des
doigts
et des orteils. Les urines ont été analysées fr
s fois elle fut obligée de faire couper les bagues qu'elle avait au
doigt
, et que sa face en particulier devenait mons- t
êles et longs ; les mains seules étaient larges et grosses avec les
doigts
longs et fortement noueux. La 1. Vincenzo Brigi
uflées, l'inférieure forme un véritable bourrelet de la grosseur du
doigt
; elle est renversée en bas, et laisse la bouche
de l'hypertrophie totale; la longueur, la largeur, l'épaisseur des
doigts
et de la main ont subi un accroissement proport
de toute la tête, du cou et des genoux ; c'est l'épaississement des
doigts
qui attire tout d'abord l'attention, en dernier
quatre à cinq bourrelets longitudinaux ayant environ l'épaisseur d'un
doigt
et une longueur de près de 12 centimètres. Au-d
Les ongles sont à la vérité élargis, mais, en comparaison avec les
doigts
du malade, ils paraissent plutôt petits. Les ph
urs compara- tivement moins développées que les autres segments des
doigts
; les ongles i poussent rapidement. ï La muscu
jÍ et quatrième côte, bord gauche du sternum jusqu'à un travers de
doigt
en dehors du mamelon. Large impulsion de la poi
sion de la pointe dans la région du mamelon jusqu'à deux travers de
doigt
en dehors de celui-ci. Souffle systolique net à l
araît une pfumm- gette mise à nu ; la main droite n'a que les trois
doigts
du ani9ü Enfin le front, l'abdomen, le bras et
otence motrice était presque absolue aux quatre membres ; seuls les
doigts
de la main gau- che pouvaient être mis en légèr
èvre typhoïde, avait présenté une anesthésie complète et totale aux
doigts
et aux mains. Puis l'abolition de la sensibilité
la présence de ganglions de moyen volu- me, isolés, roulant sous le
doigt
. Mais il n'existe pas d'autres signes de spécif
ment indépendants des parties voisi- nes, et ne roulent pas sous le
doigt
comme des billes. Celte malade, soi- gneuse d'e
ple de la localisation assez rare sur les petites articulations des
doigts
du rhumatisme blennorrhagique, décrite par notre
, décrite par notre maître M. le professeur Fournier sous le nom de
doigt
en radis. On y trouvera en outre la confirmatio
injection. Il y a si mois ont apparu les arlliropalbics du côté des
doigts
de la main droite, et la douleur du talon, que
jamais été très violente, presque nulle quand le malade tenait son
doigt
tranquille, mais exagérée, deve- nant très viol
exagérée, deve- nant très violente dès qu'il essayait de remuer le
doigt
ou avait il se servir de sa main. En-même temps
remuer le doigt ou avait il se servir de sa main. En-même temps le
doigt
était' rouge au niveau de l'articulation, avec
la main droite, et celle de l'articulation phalangino-plralanienne [
doigt
en massue) de la main gauche n'ont rien de cara
oite qu'a gauche, c'est la déformation que M. Fournier a appelée le
doigt
en radis, doigt piriforme, oviforme, la tête du r
, c'est la déformation que M. Fournier a appelée le doigt en radis,
doigt
piriforme, oviforme, la tête du ra- dis étant s
e confondre au niveau de la partie médiane de la phalangine avec le
doigt
normal. Symétriquement la déformation est bien
ormation est bien moins caractérisée. En examinant soigneusement le
doigt
, on finit par voir que la déformation a des ten
voir que la déformation a des tendances à se rapprocher de celle du
doigt
en radis, mais ici l'inllammation a été moindre
oindre, et la déformation n'a pas eu le temps de se faire, c'est un
doigt
en massue. Dès les premiers jours le malade a r
ses mains expérimentées. « Il voit le trait, le sai- sit entre ses
doigts
, le tire en tous sens..., vaine tentative ». Al
uche au contraire est tout à fait significatif. La main fermée, les
doigts
crispés sur la paume, et comprimés par le pouce q
relever, c'est la contracture très nette de la main droite dont les
doigts
sont crispés sur la paume, tandis qu'à gauche l
as Ilospital. Un mois auparavant, il ressentit dans l'extrémité des
doigts
un engourdisse- ment qui envahit graduellement
is, sur son lit. Impossibilité abso- lue de mouvoir les bras ou les
doigts
; légers mouvements des membres infé- rieurs ;
vements des membres infé- rieurs ; sensibilité abolie au niveau des
doigts
et des avant-bras, légèrement conservée au nive
is des mois. Pas de douleurs de tête. 5 novembre. Sensibilité des
doigts
et des niains, mais ne peut mouvoir ni les main
. - Amélioration graduelle; peut s'asseoir sur son lit, mouvoir les
doigts
, les mains, les bras et les jambes dans toutes le
dans les jambes. Vers le 15 août, fourmillements dans le bout des
doigts
de la main droite, crampe dans cette main qui l
e membre supérieur gauche, progressivement, on commen- çant par les
doigts
. Bien que les mouvements fussent revenus dans l
; quelquefois douleurs dans le bras gauche avec engourdissement des
doigts
. Etat général assez satisfaisant ; intégrité de
ore qu'à son aurore. DE QUELQUES DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES
DOIGTS
CONSÉCUTIVES A L'OSTÉITE SYPHILITIQUE (Une ob
e son élève Ortliolan, décrivait les déformations per- manentes des
doigts
et de la main consécutives aux lésions tuberculeu
. L f3AlIAILLE 1 I Cie DE QUELQUES DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES
DOIGTS
153 sieurs succombèrent ; lui-même fut très gra
émité atteint seulement le milieu de la ire phalange du médius ; le
doigt
est tout à fait normalement composé au niveau de
nt le deuxième métacarpien ayant entravé l'irrigation artérielle du
doigt
correspondant. En somme la déformation de la ma
ongress, 1889, p. 992. DE QUELQUES DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES
DOIGTS
155 Beauregan1 (1), 13eyb (2), Ilielil (3), Mc
n homme de 54 ans qui conserva, après une ostéite gommeuse du petit
doigt
, une ballance complète de son articulation phal
torsion au niveau de l'ar- ticle : l'angle était dû à la flexion du
doigt
dans un cas de Taylor, il était dû à son hypere
- Nous les diviserons en dé- (1) BEAUIIEGAIID. Des difformités des
doigts
. Th. Paris, 1875, p. 123, obs. 20 et 21. (2) BE
en de la première phalange et de la tête de la deuxième phalange du
doigt
correspondant. b) J'anl6t, et plus souvent, ell
oit qui guérit par le traitement spécifique : six moisplus tard, le
doigt
autrefois malade était de 1 centimètre plus long
eut aussi porter sur un os du métacarpe, et la première phalange du
doigt
correspondant, rentrer secondairement eu lorgne
ango-phalangiennedu mé- DE QUELQUES DÉFORMATIONS DE LA MAIN. ET DES
DOIGTS
157 dius. On le voit, cette observation est vér
ils empruntent cet embonpoint flasque, cette face lu- naire et ces
doigts
en boudins, qui leur donnent l'apparence de bébés
ères épaissies, les bajoues flasques et pendantes, les mains et les
doigts
boursoullés de la naine qui accompagne Barbe de
79 tient une baguette, et une jeune femme qui bat la mesure avec le
doigt
. Toute la partie droite du tableau est occupée,
etit nez camus et les lèvres en moue, les mains boursouflées et les
doigts
boudinés, achèvent le portrait du myxoedème infan
e palmai>, étant tournée en haut. L'hyperextension excessive des
doigts
et de la main nous obligent penser qu'il existe
une distension accentuée des D'l' , fléchisseurs de la main et des
doigts
, des masses thènar et hypothénal' et de tous le
aucune a ! Lération ; mais le pouls est très fréquent et faible, les
doigts
et les orteils sont froids. L'alimentation, qui
nna la nommée Nicole, quatrième soeur de la malade, d'introduire le
doigt
dans le vagin, ce qui indique que vraisem- blab
vons qu'a enregistrer, faute de mieux. A ce niveau et au niveau des
doigts
, très effilés, la main donne l'impression d'une
re des mou- vements volontaires; si l'écartement et l'extension des
doigts
sont impos- sibles, la flexion, contre toute at
des éminences thénars : à gauche. l'opposition du pouce aux autres
doigts
n'arrive que jusqu'au médius, à droite elle ne dé
la sécrétion sudorale s'accom- plit convenablement, les ongles des
doigts
, les dents, les cheveux n'olTrent aucune partic
muscles examinés (deltoïdes, biceps, extenseurs et fléchisseurs des
doigts
, droits antérieurs, jambiers antérieurs, longs
t galvanique. Biceps droit KFS = 1,5 mA. - Fléchisseur commun des
doigts
gauche KFS = 3,5 mA. Long péronier latéral gauc
ant. « Enfant de deux ans, spina ventosa de plusieurs phalanges des
doigts
. « Abcès de la joue gauche en voie de guérison.
te syphilitique ossifiante du tibia. Ostéomyélite et périostite des
doigts
de la main gauche. Diphtérie, bronchopneumonie, p
s, de four- millements dans les orteils, dans les mollets, dans les
doigts
, dans les avant-bras, dans le dos. Parfois auss
c- tions qui portent principalement sur les extrémités des membres,
doigts
, orteils. Chez l'un des deux malades dont les o
et Rybalkin, les deuxième et troisième phalanges des deux derniers
doigts
étaient fortement fléchies ; la première phalange
ion modérée (fig. 30 et 31). Chez l'autre malade les trois derniers
doigts
avaient leur deuxième phalange en flexion forcée,
second orteil (fi. 34 et 35). Les efforts faits pour ramener les
doigts
et les orteils en position nor- male étaient il
mit à res- sentir de l'engourdissement et de la faiblesse dans les
doigts
et dans les extrémités des membres inférieurs.
alysés que leurs alltagonistes, principalement aux fléchisseurs des
doigts
et des orteils. La peau se desquame au niveau des
malades ne peuvent plus opérer ('écartement et le rapprochementdes
doigts
et des orteils (fi.3G); ces mouvements sont Fig
s déformations qui frappent le plus à première vue, sont celles des
doigts
et des orteils. Les différentes phalanges sont im
rsenicale, les déformations se produisent surtout aux jointures des
doigts
et des orteils; dans les cas de paralysie alcooli
e sinus longitudinal supérieur atteignent les dimen- sions du petit
doigt
d'un adulte. ' La substance cérébrale parait no
sous-unguéal. , Cette malade se plaint d'éprouver dans le bout des
doigts
des engourdisse- ments, des fourmillements. O
lle s'observe chez ce .sujet atteint de maladie de Raynaud, au seul
doigt
qui ait présenté une plaque de gangrène. Ce mal
ynaud, avait de nombreuses plaques de gangrène digitales à tous les
doigts
, sauf aux pouces. De plus, en outre des trouble
suivantes : 1° Analgésie étendue à la face dorsale des 4 derniers
doigts
droits et gauches, aux faces latérales du médiu
gauches ; 2° Thermo-hypoesthésic de la face dorsale des 4 derniers
doigts
de la main gauche. , Il est inutile de reveni
tes. sera plus intéres- sant de remarquer que les pouces, les seuls
doigts
vierges de lésions troplio- sensitives, sont au
i se plaint de gêne, d'engourdissement et de fourmillement dans les
doigts
. Les troubles sensitifs purement subjectifs son
xtré- mités, par G. Rossolimo, 33. Déformations de la main et des
doigts
consécutives à V ostéite syphilitique (une ob
e tabétique. 265. ' Chipault (A.). Déformations de la main et des
doigts
consécutives à l'ostéite sy- phylitique (une ob
bes,XXVIII XXIX, XXX, XXXI, XXXII. Déformations de la main et des
doigts
con- sécutives à l'ostéite syphilitique, XX,
en (aileron de fai- san), I, lI. - Rhumatisme blennorrhagique des
doigts
, V, VI. Pied plat dans la blennorrhagie, IV.
nt la marche, mais pend toujours comme inerte le long du corps; les
doigts
demi- fléchis recouvrent le pouce, qui se cache
nous décrivions plus haut pendant la mar- che. L'index et le petit
doigt
seuls sont indemnes de toute lésion, sauf un ce
la face interne de l'ongle une portion de peau qui donne au bout du
doigt
une apparence de griffe toute particulière. Le
ssus profonds. Il en est de même en ce qui concerne la peau pour le
doigt
annulaire. DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN. ô P
sur l'avant-dernière (psi. II). Chose remarquable, la peau du petit
doigt
, qui n'a eu aucun pana- ris, présente le même a
iste aussi un cerlain degré de diminution apparente de longueur des
doigts
de la main gauche, comparés à ceux de la main dro
difications notables. Cependant d'une façon absolue, en prenant les
doigts
indicateurs, par exemple (doigts sans panaris),
'une façon absolue, en prenant les doigts indicateurs, par exemple (
doigts
sans panaris), on remarque qu'il existe entre les
3/4 à droite). Cette mensuration ne peut être faite pour le petit.
doigt
à cause de la rétraction considérable du tendon
ne pas confondre ces déformations de la main, et en particulier des
doigts
, avec des panaris simples, non plus qu'avec 'un
ujours été parfaite NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. III PL I. ASPECT DES
DOIGTS
DANS UN CAS DE MALADIE DE MORVAN LECROSNIER E
est 'précédée et annoncée par un état douloureux de la main et des
doigts
. C'est une sorte d'agacement, d'cndolorisement
doulou- reuse, il se produit un léger gonflement- de la main et des
doigts
mais sans rougeur, sans : aucun 'changement de
usqu'à huit phlyctènes siégeant sur la face palmaire ou dorsale des
doigts
, ou sur le dos de la main, jamais à bras. Ces b
lus ou moins complètes et des déformations très prononcées. 1 Aux
doigts
, les têtes phalangiennes sont notablement hyper-
sez intenses pour déter- miner de légers et brusques mouvements des
doigts
. Parfois même, quand ce tremblement est à son m
nsion qui ont évidemment pour centre l'articulation du poignet. Les
doigts
participent au tremblement mais d'une façon pas
ÈTRl ÈRE. yue l'on voit un soulèvement brusque et actif de ]'un des
doigts
, un ressaut de la main ou de l'avant-bras tout
écriture, sont un peu troublés par la trémulation de la main et des
doigts
. Mais les malades ne sont nullement gênés dans l'
yon placé sur une table, après s'être portés droit sur l'objet, les
doigts
hésitent et tâtonnent un instant ; la pré- hens
pu relever est celui-ci : « Dans la maladie de Basedow, dit-il, les
doigts
ne sont pour ainsi dire pas animés de secousses
autres maladies (alcoolisme et paralysie générale), les muscles des
doigts
sont particuliè- rement atteints par le tremble
Au début elle sentait comme une petite noisette qui roulait sous le
doigt
. Puis la tumeur acquit graduellement le volume
st rapproché du corps, l'avant-bras fléchi etlamain « droppe ». Les
doigts
sont animés de mouvements involontaires, lents,
uscles larges mérite d'être rapprochée des spasmes athétosiques des
doigts
qui s'agitent isolément : les mouvements isolés
ques des doigts qui s'agitent isolément : les mouvements isolés des
doigts
trahissent en effet des contractions fasciculai
qui atteint à peu près à la longueur du médius tandis qu'entre les
doigts
correspondants de la main droite on retrouve la
ent entre la longueur, la largeur et l'épais- seur des mains et des
doigts
avaient été détruites. Aujourd'hui - et cela a
geur, elle est obligée de prendre une pointure dont la longueur des
doigts
se trouve être beaucoup trop consi- dérable.
gueur des doigts se trouve être beaucoup trop consi- dérable. Les
doigts
ont augmenté aussi pour leur compte en largeur. L
constater par ses gants. Elles sont larges et un peu camardes. Les
doigts
sont élargis, aussi gros à l'extrémité qu'à la ra
se- ment étudiée accusait un léger fourmillement aux extrémités des
doigts
des deux mains, mais si léger qu'elle ne l'aura
s muscles de la face n'est paralysé, et à part le fourmillement des
doigts
la sensibilité est normale partout. Les fonctions
faibles. Flexion delà main sur l'avant-bras, ainsi quel'extension.
Doigts
recour- bés en griffe ? Côlé gauche ; c'est à p
A aucun moment elle n'a eu de secousses ni de soubresauts dans les
doigts
. Exploration électrique (courants induits). - C
gauche, quelques mouve- ments dans le deltoïde. Flexion des quatre
doigts
. Pouce immobile. Extenseurs des doigts paralysé
deltoïde. Flexion des quatre doigts. Pouce immobile. Extenseurs des
doigts
paralysés. OEdème de lamain et du bras gauche.
dème. Différence 7° 8. Fourmillements et engourdis- sement dans les
doigts
. Renversement du courant. Le soir, disparition
droite : les muscles de l'éminence thénar sont moins atrophiés. Les
doigts
s'allongent et se fléchissent bien. Main gauche :
fonctions. Le poignet se fléchit et s'étend avec facilité, mais les
doigts
présentent une déformation spéciale. La premièr
est rejeté en arrière et en dehors sur le même plan que les autres
doigts
(main de singe). Le pouce de la main droite sem
bles au toucher, la peau qui les recouvre est ridée et flasque. Les
doigts
fléchis dans leurs deux dernières pha- langes s
fait pas seule et qu'elle est accompagnée de la flexion des autres
doigts
. Les interosseux sem- blent complètement dispar
palmaire, les courants n'agissent pas sur la première phalange des
doigts
, ils se disséminent dans les mus- cles voisins
est très sensible, la malade peut étendre presque complètement les
doigts
de la main droite; ceux de la main gauche ne pe
°, la droite 20°6. 29 décembre. L'amélioration est très grande. Les
doigts
de la main droite arrivent à l'extension presqu
volume; les creux interosseux ont presque entièrement disparu; les
doigts
sont moins émaciés, la face palmaire est moins
les éminences ont disparu. Les mains sont déformées en griffe, les
doigts
et le pouce sont sur le même plan. Les phalange
es muscles. L'examen de ceux-ci a porté sur le fléchisseur du petit
doigt
, le fléchisseur et le court adducteur du pouce, l
TRIRE.· .. z derme et se sont desséchées sur place.' Sur les autres
doigts
leur place 'est marquée par la rougeur du 'derm
ume et du dos de la main est toujours restée indemne. Au niveau des
doigts
. 'un peu amaigris, la peau a perdu de son élast
machine et. présente les cicatrices des anciennes plaies. Tous les'
doigts
ont été couverts de bulles. Actuellement au niv
llons, peu mobile. La face dorsale de la première phalange du petit
doigt
présente une petite croûte. L'index montre sur
e des traces d'anciennes bulles sur le pouce et sur le dos du petit
doigt
. A la partie externe de la face plantaire, à la
ssivement à la normale' sur une largeur de trois quatre travers de'
doigt
. L'anesthésie au froid (Fig. 68, 69) est complè
ation des globes oculaires. Le malade compte très difficilement les
doigts
à dix centi- mètres. A l'ophtluUmoscope on dist
rocèdent par plaques, par îlots, intéressant la face plantaire, les
doigts
, une partie des membres supérieurs et inférieurs;
gouttière profondément excavée, large de trois ou quatre travers de
doigt
et qui donne à la région un aspect qui contrast
sa consistance est assez ferme, élastique et permet l'impression du
doigt
et la formation d'un godet lent à dis- paraître
uelque chose entre les dents, ni mâcher, surtout du côté gauche. Le
doigt
placé entre les dents est à peine serré. Il ne
trêmement prononcé. Elle ne peut arriver à parler qu'en mettant les
doigts
sous le plancher de la bouche, au-dessous du men-
s la -), 19; attitude provoquée dans la -),20. Morvan (Aspect des
doigts
et des mains dans la maladie de -), 1, 2, 5; fr
attirer les manifestations les plus fréquentes; viennent ensuite les
doigts
de la main; puis, à une grande distance, les geno
difficiles dans lesquels il se manifeste une déviation angulaire des
doigts
, analogue à celle du rhumatisme chronique ; la se
vandi nous apprend que les faucons sont sujets à présenter autour des
doigts
des tumeurs formées par des amas de matière gypse
ientôt au membre tout entier, et capable de conserver l'impression du
doigt
, s'est manifesté : le déclin est marqué par une d
rthrites qui s'attaquent de préférence à la deuxième articulation des
doigts
et qui les déforment d'une façon si singulière.
out au- trement pour l'articulation de la hanche et pour celles des
doigts
. Il existe, en outre, des épaississements considé
s'accompagne pas d'un œdème local, pouvant conserver l'impression du
doigt
; cepen-dant Garrod a vu ce symptôme se produire q
.......... 7 fois. 3° Une grande jointure d'abord ; plus tard les
doigts
.................,..... 9 fois. Examinons mainte
plus souvent, elles se dévelop-pent de la périphérie au centre : les
doigts
sont d'abord affectés puis le coude, puis l'épaul
la flexion de la phalan-gette sur la phalangine, et alors le dos des
doigts
de la main Fig. 19. — Première variété du premi
type. Nous ne nous sommes occupés jusqu'ici que des déviations des
doigts
de la main; mais que devient le pouce ? Fig. 22
noter que les végétations osseuses, au pourtour des articulations des
doigts
, ne circonscrivent pas constamment les tètes des
Le gros orteil est porté en dehors, de manière à recouvrir les autres
doigts
du pied. Des déformations importantes peuvent a
que de rhumatisme articulaire aigu : il en ré-sulta une déviation des
doigts
vers le bord cubital de la main ; et cet homme, a
articulations métacarpo-phalangiennes, la rétraction spas-modique des
doigts
se manifesta trois mois après le début delà malad
volume d'un petit pois envi-» ron, qu'on rencontre si fréquemment aux
doigts
, surtout un » peu au-dessus de leur extrémité, pr
e de la Salpétrière, un panaris, qui s'était développé sur l'un des
doigts
de la main, marqua le début d'un rhumatisme noueu
ur d'un membre, depuis l'épaule, par exemple, jusqu'à l'extrémité des
doigts
; elle peut être limitée à un côté du corps, mais
ux petits condyles de ces derniers os font saillie du côté du dos des
doigts
. La luxation est souvent presque complète, surtou
ns fréquemmentankylosés ou même simplement déviés, que ne le sont les
doigts
de la main. Le gros orteil a une tendance habitue
en dehors, el il vient assez souvent se placer au-dessus des autres
doigts
du pied, dont il croise plus ou moins obliquement
t là les parties charnues, qu'il produit l'amaigrissement et rend les
doigts
immobiles et roides (Sauvages, Nosol. méthod., cl
•point de percer les téguments. C'est aux petites articulations, aux
doigts
principalement, que cela s'observe le plus souven
jet 41 in-firmes, voici ce que nous avons noté: les articulations des
doigts
de la main et du pied ont été les premières et le
par exemple, étaient affectés en même temps que les articulations des
doigts
; 9 fois seulement, l'in-vasion s'est faite exclu
-de-pied ; mais, dans ce dernier cas, les petites articulations des
doigts
n'ont pas tardé à se prendre. Ajoutons quelques
ques détails : dans des cas assez rares, foutes les articulations des
doigts
des mains et les métacarpo-phalangïennes se sont
et de l'index des deux mains : rarement les articulations des petits
doigts
sont affectées les premières; les jointures des g
t dans un membre est bien curieuse à noter : au membre supérieur, les
doigts
sont affectés les premiers; puis c'est le poignet
de l'application de 25 sangsues; mais, deux ou trois jours après, les
doigts
de la main, les poignets, puis les coudes se gonf
ras sont dans une pronation extrême, les tendons des fléchisseurs des
doigts
forment des cordons à la face antérieure de l'ava
ondyle externe du fémur. Les cous-de-pied ne sont pas anky-losés; les
doigts
de pied ne sont ni difformes, ni douloureux, ni a
u froid humide. Elle a débuté le plus souvent par les jointures des
doigts
, de la main, où elle a produit des douleurs artic
phalanges sont fléchies sur les méta-carpiens; les articulations des
doigts
sont toutes déformées; la forme de la main est ex
près, le pied droit se prend lui-même, et enfin les articulations des
doigts
des deux mains. D'abord bornées aux petites artic
'il commence à apercevoir une déformation dans les articu-lations des
doigts
de la mjdn ; à cette époque aussi, il fait remont
érieur gauche. — En général, les articulations, du métacarpe avec les
doigts
et les différentes phalanges entre elles sont gon
es productions osseuses péri-articu-laires de nouvelle formation. Les
doigts
ont, par suite, un aspect, fusiforme, avec des re
en général, est en outre déformée ; ainsi les diverses phalanges des
doigts
sont habituellement dans l'extension, mais les do
s phalanges des doigts sont habituellement dans l'extension, mais les
doigts
sont légèrement fléchis sur les métacarpiens ; de
limités. C'est ainsi qu'il y a un obstacle à l'extension de tous les
doigts
sur les métatarsiens, et que les mouvements diver
nes et métatarso-phalangiennes, celles des phalanges entre elles, aux
doigts
comme aux orteils. Les deux articulations du coud
ymétriquement et au même degré. Il y a déviation en masse de tous les
doigts
, vers le bord cubital de la main, et cette déviat
n, et cette déviation est si pro-noncée, que le bord externe du petit
doigt
fait presque un an-gle droit avec l'axe du cubitu
es téguments amaigris, une saillie très accusée ; par suite, tous les
doigts
de la main sont fléchis sur le méta-carpe, en mêm
aires, dans les tendons des muscles, dans la névrilemme des nerfs des
doigts
, dans le tissus conjonctif sous-cutané, dans les
echutes pos-térieures, ce sont toujours les petites articulations des
doigts
et des orteils qui se sont trouvées atteintes, et
du côté opposé ; il y a sensation de fourmillement dans les derniers
doigts
de la main et clu pied droit, ainsi que sur les b
s présentent toutes deux le même mode de déformation; en général, les
doigts
, volumineux à leur origine, s'effilent brusquemen
artir de la phalangine et deviennent très ténus à leur extrémité. Les
doigts
et le pouce sont dans la situation réciproque où
sion que dans la flexion. Il n'y a point cette déviation en masse des
doigts
vers le bord cubital de la main, qui se rencontre
é une certaine mobilité. Dans l'intervalle des diverses jointures des
doigts
, on observe çà et là des nodosités, plus prononcé
rès, le pied droit se prend lui-même, et enfin, les articulations des
doigts
des deux mains. D'abord bornées aux petites artic
périeur gauche. — En général, les articulations du métacarpe avec les
doigts
et les différentes phalanges entre elles sont gon
es productions osseuses péri-articu-laires de nouvelle formation. Les
doigts
ont, par suite, un aspect fusiforme avec des renf
en général est en outre déformée ; ainsi, les diverses phalanges des
doigts
sont habituellement dans l'extension, mais les do
s phalanges des doigts sont habituellement dans l'extension, mais les
doigts
sont légèrement fléchis sur les mé-tacarpiens; de
limités. C'est ainsi qu'il y a un obstacle à l'extension de tous les
doigts
sur les métatarsiens et que les mouvements divers
nnes et métatarso-phalangiennes, celles des phalanges entre elles aux
doigts
comme aux orteils. Les deux articulations du coud
femme de la Salpêtrière, à la suite d'un panaris qui occupait un des
doigts
de la main, et les jointures de ce doigt furent l
panaris qui occupait un des doigts de la main, et les jointures de ce
doigt
furent les pre-mières atteintes par l'inflammatio
surtout les articulations méta-carpo-phalangiennes des deux premiers
doigts
, sont, dans la majorité des cas, le premier signa
par exemple, ont été affectés en même temps que les articulations des
doigts
; 9 fois l'invasion s'est faite exclusive-mentpar
u ou le cou-de-pied; mais dans ces cas, les petites articulations des
doigts
n'ont pas tardé à se prendre. Dans 4 cas seulemen
ment dans la goutte chronique généralisée. Aux membres supérieurs les
doigts
sont, dans les deux maladies, affectés les premie
du médius présentent le dépôt hlanc, toutes les autres jointures des
doigts
sont intactes. Aux membres inférieurs : Les deu
celles des phalanges entre elles, tant aux gros orteils qu'aux autres
doigts
de pieds, ne présentaient, soit du côté droit, so
t débuté il y a vingt ans. Actuellement les petites articulations des
doigts
des mains sont seules tuméfiées et dé-formées. Le
ta-carpo-phalangiennes etphalangiennes des deux mains; seuls le petit
doigt
et le pouce de la main gauche sont intacts. — Art
ymétriquement et au même degré. 11 y a déviation en masse de tous les
doigts
vers le bord cubital de la main, et cette déviati
ain, et cette déviation est si prononcée que le bord externe du petit
doigt
fait presque un angle droit avec Taxe du cubitus.
les téguments amaigris une saillie très accusée ; par suite, tous les
doigts
de la main sont fléchis sur le métacarpe, en même
. I, fig.) 3). Enfin, un dernier trait caractéristique, c'est que les
doigts
, lorsqu'ils se déjettent par le fait de la pressi
de quantité sous la peau, au voisinage de plusieurs articulations des
doigts
de la main, avait envahi les parois des veines, e
e les faucons sont sujets à présenter des tumeurs siégeant autour des
doigts
et formés par des amas d'une matière gypseuse. Ma
. I), a observé plusieurs fois, sur les jointures du métatarse et des
doigts
anté-rieurs, des tumeurs composées d'une substanc
it pu se débarrasser de concrétions qu'elle portait à l'extrémité des
doigts
, le docteur Staicker prescrivit l'emploi d'une bo
la flexion de la phalangette sur la phalan-gine, et alors le clos des
doigts
de la main paraît excavé à partir de la tête sail
elquefois pourtant, elle ressent de petites secousses et se pique les
doigts
. Le tremble-ment a débuté il y a une vingtaine d'
mier type. Fig. 6. — Main atteinte de nodosités d'Heberden. Fig. 7. —
Doigt
atteint de nodosités d'Heberden. CHARCOT. - Oeu
e de la tète est naturelle. Membres supérieurs, tronc, etc. - Les
doigts
de la main gau- che sont plus courts de 5 milli
he, fléchi à angle droit et reposant sur le tronc, est rigide ; les
doigts
sont fléchis sur la paume de la main, le pouce
is sur la paume de la main, le pouce étant recouvert par les autres
doigts
. - Le membre supérieur droit est aussi très-rig
ais allongé et soulevé à 20-30 centimètres au-dessus du corps ; les
doigts
sont fléchis, le pouce à côté des autres. - Dan
roit est fléchi sur la paume de la main et recouvert par les autres
doigts
; à gauche, au contraire, le pouce repose sur l
suite ressenti des picotements dans les membres et surtout dans les
doigts
. Le soir, au lit, elle a eu de l'engourdissemen
une décoloration des avant-bras, des mains et princi- palement des
doigts
. L'action du nitrite d'amyle se- fait cependant
gauche qui commença par la main et en quelques minutes plaça les
doigts
dans l'extension forcée. Celle attaque qui surp
ole ouverte sous une narine, landis qu'il fermerait l'autre avec le
doigt
et de faire ainsi plusieurs fortes inspirations.
compte de cette coloration en exer- 7ailrousliIse pression avec les
doigts
. Pour couper l'attaque, il a fallu près d'une c
aînante et balayant - le sol. Cette vue l'effraya. Elle avait à son
doigt
une bague qu'elle appelle la bague de saint Hub
s cris. Ses membres se contracturent avec une force effrayante, les
doigts
et le poi- gnet sont fléchis au point que les d
ffrayante, les doigts et le poi- gnet sont fléchis au point que les
doigts
vont toucher le bord radial de l'avant-bras. Se
uverts, hagards, fixes, les pupilles dilatées. Si l'on approche les
doigts
des yeux, elle ne s'en aperçoit qu'au moment où
e pronation exagérée. Dans ce mouvement, le deuxième elle troisième
doigts
sont écartés l'un de l'autre et dans l'extensio
oigts sont écartés l'un de l'autre et dans l'extension ; les autres
doigts
sont fléchis. Les mem- bres inférieurs sont éte
sont dans l'extension forcée, les avant-bras dans la pronation, les
doigts
sont fermés, excepté les index et les médius, q
à un degré à peine suffisant pour permettre l'introduction du petit
doigt
. Les muscles des mâchoires sont t agités par mo
g du thorax, les avant-bras éten- dus dans la pronation forcée, les
doigts
fléchis, le pouce dans la paume de la main de t
. La sensibilité pharyngienne est conservée car l'intro- duction du
doigt
au fond de la bouche provoque des efforts de vo
e contracture dans l'extension et s'élève au-dessus de la tète, les
doigts
sont fermés, le pouce appli- qué contre la paum
eur droit. L'avant-bras est fléchi, sur le bras ; les deux derniers
doigts
sont fléchis; l'index et le médius sont étendus
nflure des jambes et surtout du ventre : « Partout où je posais les
doigts
, raconte-t-elle, ça faisait des trous. » Sa fig
iers, du pharynx et de l'amygdale correspondante. L'introduction du
doigt
de ce côté ne produit pas de nausées, mais il s
deux mètres à droite du lit. La main étant présentée étendue, les
doigts
verticalement situés en face du visage, elle dit
s verticalement situés en face du visage, elle dit ne voir que deux
doigts
. Invitée à les désigner, elle montre ceux qui s
bre supérieur gauche est dans un état de flac- cidité absolue ; les
doigts
sont légèrement fléchis. Les mus- cles se contr
nt-bras est fléchi sur le bras, le poignet sur l'avant-bras, et les
doigts
sur la paume de la main. Les tenta- tives pour
e long du thorax, l'avant-bras légèrement fléchi, le poignet et les
doigts
dans la flexion. - La flexion des doigts a aug-
fléchi, le poignet et les doigts dans la flexion. - La flexion des
doigts
a aug- menté progressivement et est devenue com
re en jeu, elle sent le mouvement. - Si on place un objet entre les
doigts
, elle sait qu'elle tient quelque chose mais pré
ont il atteint un point quelconque. Alors, en s'ai- dant des autres
doigts
, la malade finit par toucher le but. - , Depuis
ronc ; Lavant-bras légère- ment fléchi en pronation; la main et les
doigts
sont dans la flexion forcée. Le membre inférieu
loro- formique a diminué, on a vu se reproduire la rigidité : les
doigts
se sont fléchis de nouveau, ensuite l'avant-bras;
nutes), est à 35o,6 des deux côtés. Lorsqu'on essaie d'allonger les
doigts
de la main gauche, la malade assure avoir dans
fléchi à angle droit sur le bras, la main modérément fléchie, les
doigts
dans la demi-flexion. - L'épaule et le coude sont
ion. - L'épaule et le coude sont rigides; le poignet est raide; les
doigts
sont très-rigides. Membre inférieur. Il est dan
re supé- rieur droit. Le coude est à peine roide; le poignet et les
doigts
sont souples. La malade se sert de sa main et s
ents par le nez et l'isclmrie persistent. Le coude, le poignet, les
doigts
sont devenus à peu près libres. Les mouvements
est toujours très-affaiblie à gauche. La malade ne distingue ni les
doigts
pris isolément, ni la main tout entière. Les pe
uvements delà main à 60 centimètres ; mais elle ne peut compter les
doigts
. (1) Etch .. nous a déclaré que les religieuses
ntriquement jusqu'au point de fixation. OEil droit. Elle compte les
doigts
à un mètre. Elle reconnaitle rouge ; l'orange l
t quelques gros râles de bronchite. On sent un peu de résistance au
doigt
dans les fosses sus-épineuses. Mais de mai à juil
us ont paru très friables et dépressibles à la simple pression' des
doigts
. La surface de section de la tête' * du col et
transverses de la région lombaire se laissaient comprimer entre les
doigts
comme une éponge ; il en était de même du pubis
-oncle a souffert beaucoup de rhumatisme noueux qui lui déforma les
doigts
et les mains. Mère : La mère du malade, encore
t la figure dans ses mains et regardant sournoisement à travers les
doigts
écartés : «je veux voir maman ». Cet accès se d
u distendue par un faux oedème, mou et élastique, où la pression du
doigt
ne persiste pas. La peau qui la couvre, légèrem
tème unguéal est aussi intéressé. Les ongles, surtout ceux du petit
doigt
et de l'indicateur, n'ont pas la convexité transv
extrémité. De temps en temps il a des paresthésies dans le bout des
doigts
et des pieds. La force musculaire a beaucoup dimi
il gros et lourd, comme il diffère encore de longueur avec les autres
doigts
du pied, et comme les bras sont maigres et comm
res des membres supérieurs. - Les mains larges, camardes, aux longs
doigts
(type en long), les bouts des doigts épais, les
ns larges, camardes, aux longs doigts (type en long), les bouts des
doigts
épais, les ongles larges et aplatis, les articula
CROMÉGALIE PARTIELLE AVEC INFANTILISME 87 naissance, par exemple un
doigt
macrodiclyle, et que l'acromégalie se mon- trai
corps, et aussi là où ceux-ci sont bien localisés, par exemple à un
doigt
. Je vous ai fait remarquer déjà l'apparence enf
s, au dos courbé, aux longs bras et aux longues jambes maigres, les
doigts
longs, les phalangettes épaisses. Est-il possible
tonneux, gé- latiniforme, très tendu, ne prenant pas l'empreinte du
doigt
. En arrière des malléoles existe un empâtement
urrelet manifeste et si tendu, qu'à part le gros orteil, les autres
doigts
sont en flexion forcée, l'ongle touchant le sol
légèrement cyanotique mais beaucoup moins tendue qu'aux pieds ; les
doigts
ont la forme de boudins (main succulente). Co
e à la radiale, qui égale 9 est très inférieure à la moyenne 15. Au
doigt
le pouls est faible, dépressible, difficile à p
e exagérée de l'olécrâne, subluxations des phalanges aux 3 derniers
doigts
de la main droite. Atrophie du membre inférieur
siège d'un oedème élastique, tendu, qui ne prend pas l'empreinte du
doigt
. Cet oedème forme un bourrelet manifeste à la r
analogie est bien plus frappante encore à la palpa- tion : c'est au
doigt
la même sensation gélatineuse, élastique. On rema
microcéphale avec atrophies osseuses et musculaires, luxa- tion des
doigts
, pieds-bots. Dans leur appareil cérébro-spinal dé
es reliefs muscu- laires sont exagérés (Pl. XXI). L'extrémité des
doigts
, les bras pendants, dépasse un peu la limite qui
é notoire par rapport au développement des autres parties. Certains
doigts
des mains et des pieds présentent un arrêt de dév
HIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 141 reste du pied. Sur elle s'implantent 5
doigts
de pied dont aucun n'est normal. Tous d'abord s
rêts de développement, semblables à ceux des pieds. En effet, le 5e
doigt
de la main gauche présente comme les deux derni
a ni ongles bien développés, ni cicatrices et la' longueur du petit
doigt
(4 cm.) contraste avec celle des au- tres doigt
' longueur du petit doigt (4 cm.) contraste avec celle des au- tres
doigts
, dont la longueur moyenne est de 9 centimètres et
ètres et qui semblent plutôt augmentés en longueur. Les tendons des
doigts
sont également très courts, car il est impossib
LTIPLES CONGÉNITALES PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 143 derniers
doigts
, et quand la main repose sur le lit, la ire phala
in gauche mêmes déformations, mais moins accentuées (fig. 3). Le 5"
doigt
est aussi atrophié (5 cm.), mais il porte un ongl
la malade n'a jamais eu à le couper. Le pouce et les deux premiers
doigts
s'allongent normalement, mais les doigts 3 et 4 e
pouce et les deux premiers doigts s'allongent normalement, mais les
doigts
3 et 4 et surtout le 5e ont de la difficulté à
ypoesthésie au-dessus des mame- lons, la peau qui couvre le dos des
doigts
, le dos des orteils, le dos des pieds, la verge
raire la perception des attitudes segmentaires est très altérée aux
doigts
et au poignet, aux articulations des orteils et d
TS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 153 lequel on lui promène les
doigts
(1) (le malade étant incapable de faire cet exa
de faire cet examen tout seul, car il est complètement paralysé des
doigts
). Les cercles de Weber examinés sur la peau de
minés sur la peau de la paume de la main et de la face palmaire des
doigts
sont si agrandis qu'un écartement des pointes du
es pointes du com- pas de Weber, tel qu'une pointe sur la pulpe des
doigts
et une autre sur la paume de la main au voisina
le inter-mamelonnaires. Le dos des pieds et des orteils, le dos des
doigts
et les organes génitaux sont maintenant hypoalgés
génitaux, des piads (face dorsale), au- dessus des mamelons et des
doigts
. DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PR
llaire et sur les seconds par une ligne horizontal à 4-5 travers de
doigt
au-dessous de la ligne inguinale. On remarque q
peau de la paume des mains, y compris celle des faces palmaires des
doigts
, et la peau de la plante des pieds y compris cell
est hypoesthésique, mais celle qui recouvre les faces dorsales des
doigts
, le dos des pieds et des orteils, la sensibilité
sur toute la peau de la paume des mains et des faces plantaires des
doigts
, le malade ne sent deux piqûres en même temps,
es pieds et des orteils, celle des faces palmaires des mains études
doigts
, de la verge et du scrotum sont restées nor- ma
gne courbe qui passe légèrement au-dessus du pénis. Sur les dos des
doigts
et sur le dos des pieds et des orteils la légère
e motilité : pas de vertige ; pas de tremblement des membres ou des
doigts
, pas de tic ni de convulsions ; pas d'asthénie.
ut, le bord inférieur de l'organe dépassant de plusieurs travers de
doigt
le re- bord des fausses côtes. De l'emphysème
struments tels que grattoir, plu- mes, etc... Parfois, les tics des
doigts
l'empêchent d'écrire. Très émotif de- vant ses
'épaules, frottement des poignets, flexion et en- trecroisement des
doigts
, contorsion générale du corps, torsion des épaule
ec un amai- grissement ou une sclérose des tissus mous du corps des
doigts
; mais elle est indépendante de cet amaigrissem
t indépendante de cet amaigrissement, car elle peut manquer sur des
doigts
très amaigris, et par contre être très marquée su
r des doigts très amaigris, et par contre être très marquée sur des
doigts
nulle- ment émaciés. ' Cette forme sénile ne
ment émaciés. ' Cette forme sénile ne comporte nulle déviation, le
doigt
restant en di- rection bien rectiligne, sans êt
il a été déjà parlé. Pas de craquements dans les articulations des
doigts
. La lésion ne s'accompagne d'aucune douleur au
rfois il a existé quelques douleurs de névrite ou d'artérite dans les
doigts
, mais jamais dans les articulations. Et même la
echerchée. La déformation est habituellement généralisée à tous les
doigts
d'une main ; le plus souvent symétrique aux deu
; en tous cas, elle atteint à peu près toujours au moins plusieurs
doigts
, parfois plus mar- quée à certains doigts (médi
ujours au moins plusieurs doigts, parfois plus mar- quée à certains
doigts
(médius, index, annulaire). L'examen radioscopi
bords des phalanges (notamment au bord interne de la phalange du 5°
doigt
, radio- graphie n° 1), sont parfois des irrégul
clinique ; notre déformation ne s'accompagne d'aucune déviation des
doigts
, déviation qui est la règle dans l'arthrite défor
bsence constante de douleurs au niveau même des articula- tions des
doigts
, qu'au contraire nous avons toujours vues doulour
'ailleurs pas de motif pour que le rhumatisme déformant épargne des
doigts
frappés de dystrophie. La coïncidence est cependa
a largeur des mains n'est pas disproportionnée à leur longueur. Les
doigts
sont réguliers,mais présentent un peu l'aspect ca
ection (1) s'ac- compagne de déformations des mains portant sur les
doigts
, en particulier sur la phalangette qui est renf
lange aux extrémités distales, et dans les phalanges du qua- trième
doigt
aux extrémités proximales. En comparant à celte
rs. Légers troubles de la sensibilité. La force de constriction des
doigts
est légèrement diminuée. PI. LXI. n° 4. Volumin
x (patellaire, acliilléen, olécranien, radial, et fléchis- seur des
doigts
) sont totalement abolis. La recherche du signe de
radiculaire ne s'observe pas. L'amyo- trophie porte surtout sur les
doigts
et respecte les orteils, elle ne s'accompagne p
nt opposé à toute biopsie. Il a même refusé de se laisser piquer le
doigt
pour recueillir du sang dans le- quel nous nous
une main-bot en varus. Le pouce fait entièrement défaut. Le petit
doigt
est le plus volumineux et le seul dont les mouv
le seul dont les mouvements s'accomplissent bien. Les trois autres
doigts
(annulaire, médius et index) sont grêles, dépourv
RE ' 469 rynx supérieur est très réduit dans ses deux diamètres. Le
doigt
perçoit encore des végétations derrière le voil
llaire, la réduction du pharynx, la voûte ogivale, l'examen fait au
doigt
, tout nous le confirme. On sait que les adénoïdie
ange fuselée et l'ongle hippo- cratique du bacillaire; mais bien le
doigt
en baguette de tambour, l'ongle en verre de mon
De la main droite le saint fait le geste de l'exorcisme : deux de ses
doigts
étendus vers un jeune homme demi-nu, musclé et
que des in- terosseux. L'extension des deux premières phalanges des
doigts
, l'adduction et l'abduction des doigts,'se font
deux premières phalanges des doigts, l'adduction et l'abduction des
doigts
,'se font encore des deux côtés, mais sans grande
'conservés, mais affaiblis en particulier dans les fléchisseurs des
doigts
et de la main. Le.long supinateur et les radiau
ne ou de l'autre main, les mouvements de latéralité s'exagèrent et le
doigt
tombe à droite ou à gauche du but désigné. Le
' oculaires, nystagmus très net. Si l'on dit au malade de suivre le
doigt
que l'on promène lentement devant ses yeux, soi
eu considérables et n'arrive à l'endroit désigné qu'en glissant son
doigt
sur la peau jusqu'a ce qu'il ait atteint le but.
upérieurs : altération très prononcée de la sensibilité tactile des
doigts
et des mains. Lorsque la malade tient quelque c
doigts et des mains. Lorsque la malade tient quelque chose dans ses
doigts
, elle ne s'en rend pas compte. Elle ne peut dif
marquées et n'at- teint l'endroit indiqué qu'en faisant glisser son
doigt
sur la peau jusqu'à ce qu'elle arrive au point
ite, anesthésie absolue sur toute l'étendue de la face palmaire des
doigts
et de la main, et sur la face dorsale, jusqu'à l'
e sommet de l'épaule. A gauche, même état pour la face palmaire des
doigts
et-de la main. Sur la face dorsale des doigts,
la face palmaire des doigts et-de la main. Sur la face dorsale des
doigts
, la sensibilité réapparaît très atténuée au nivea
ive- ment et régulièrement de bas en haut. Sur la face palmaire des
doigts
, il y a un retard de transmission de 1 à 2 seco
que les yeux fermés, l'erreur est beaucoup plus considérable et, le
doigt
arrive sur la joue ou sur la pommette. Si on
tenseur commun, les palmaires, pas de D R dans les fléchisseurs des
doigts
et les muscles de la main, non plus que dans le
t, il a eu des fourmillements à la main ; après, la sensibilité aux
doigts
et aux paumes est devenue de moins en moins vive
n : elle est légèrement fléchie vers le carpe, les trois der- niers
doigts
ont la première et la seconde phalange fléchies,
t la seconde phalange fléchies, et la troisième étendue ; le second
doigt
est fléchi dans sa première phalange et étendu da
sa première phalange et étendu dans les autres. Les trois derniers
doigts
, placés de cette façon, entrent dans le creux d
est ainsi en contact avec la seconde phalange fléchie du troisième
doigt
, et dans l'angle qu'ils forment il y a l'in- de
l'angle qu'ils forment il y a l'in- dex étendu. Les deux derniers
doigts
ne peuvent pas s'étendre dans leur articulation m
articulation mé- tacarpienne au delà de l'angle droit, le troisième
doigt
peut être éloigné jusqu'à former un angle obtus
étendu presque complètement ; la seconde phalange des deux derniers
doigts
est fixée dans sa position de flexion. . Sensib
hypoalgésie dans les parties dorsale et ventrale des deux derniers
doigts
et des deux métacarpiens correspondants et dans
adique on trouve : inexcitabilité dans le groupe des extenseurs des
doigts
(extenseur commun, extenseur propre de l'index,
aralysie des abducteurs et de ses extenseurs ; mais la position des
doigts
qui est bien celle de la rétraction palmaire ne
adial (1 pi ), 463. ETIENNE et P1RISOT. Arthropathies séniles des
doigts
(2 pl.), 381. ETIENNE et Perron. Arthropathie n
le) (11 fig.), 151. Parisot et Etienne. Arthropathies séniles des
doigts
(2 pl.), 387. PEL. Acromégalie partielle avec i
que (1 pi.) , par Etienne et Perrin, 276. Arthropathie sénile des
doigts
(2 pl.), par PARISOT et Etienne, 387. Aveugle
tique (G. Etienne et M. PERRIN), XLIII. Arthropathies séniles des
doigts
(PARISOT et ETIENNE), LVI, LVII. Arabes syphi
ision étaient accolées : la profonde était en dehors. Deux travers de
doigt
seulement séparaient le grand trochanter de la cr
rand trochanter de la crête iliaque du côté malade; quatre travers de
doigt
séparaient le grand trochanter de la crête iliaqu
ne leur permet pas de saisir les objets ou de les maintenir entre les
doigts
: pour prendre une épingle, elle est obligée de d
es doigts : pour prendre une épingle, elle est obligée de diriger les
doigts
avec la vue, et l'épingle lui échappe aussitôt, s
avec la vue, et l'épingle lui échappe aussitôt, ses yeux quittent les
doigts
. Le chatouillement de la plante des pieds détermi
me. —Usure des cartilages articulaires. — Déplacemens consécutifs des
doigts
. EXPLICATION DES FIGURES. Les mains représent
s figures i et a représentent la main gauche avant la dissection. Les
doigts
étaient déplacés en avant sur les métacarpiens :
ndant sa vie presque complètement privée du mouvement d'extension des
doigts
. Le déplacement en avant de l'extrémité inférieur
ère phalange sur la deuxième se voit dans le deuxième et le troisième
doigts
. La figure 4 représente l'état des os d'une mai
rieure E l est comme vermoulue. IP A la première phalange du deuxième
doigt
vue antérieurement. IPP la même phalange du deu
deuxième doigt vue antérieurement. IPP la même phalange du deuxième
doigt
de l'autre main, vue postérieurement. On voit que
ros orteil et plus souvent encore aux articulations phalangiennes des
doigts
tous les symptômes d'une crise de goutte. Chez pl
eu solidifié. Au milieu de cette matière concrète, on sent à laide du
doigt
quelques petites concrétions calcaires. Les cellu
les fîlamens entrecroisés, qui constituent la trame de la tumeur. Le
doigt
porté au fond de ces tumeurs sent à nu les os iné
ice de conformation. L'une et l'autre sont réduites aux deux derniers
doigts
. Les deux pieds (fig. 3, 4) sont disposés en ma
palmaire superficielle, les nerfs et les vaisseaux des deux derniers
doigts
. AN, AN, représentent des anastomoses nerveuses r
fusion à la disparition complète des parties. Ainsi la réunion des
doigts
peut se faire par un simple prolongement cutané,
uatrième orteil. On cite des exemples d'eufans nouveau-nés, dont deux
doigts
, dont tous les doigts des mains et des orteils ét
te des exemples d'eufans nouveau-nés, dont deux doigts, dont tous les
doigts
des mains et des orteils étaient ainsi réunis. Te
une circonstance semblable. Indépendamment de cette adhésion , les
doigts
sont susceptibles d'une réunion plus pro fonde, d
telle manière que la main ne présente plus que quelques vestiges des
doigts
ou des parties en défaut ; par exemple, plusieurs
me et cinquième métacarpiens ; 4° fusion du quatrième et du cinquième
doigt
. Il importe, dans l'étude des vices de conforma
tus de quatre à cinq mois attachée à un avant-bras d'adulte, les cinq
doigts
réunis sous une enveloppe cutanée commune à la ma
Le reste du corps était dans l'état normal : seulement il y avait six
doigts
aux pieds et aux mains. ie genre. Cyclopie avec
coutume, et que les pieds ressemblent assez bien à des mains dont les
doigts
seraient très courts. Fig, 2,2' et 2". La fig
érable ; car ils sont gros pour la plupart comme l'extrémité du petit
doigt
. Us sont d'un violet foncé, pédicules ou sessiles
du museau de tanche est assez dilaté pour permettre l'introduction du
doigt
, qu'on enfonce profondément. La cavité utérine es
L'anneau ombilical parfaitement circulaire pouvait admettre les trois
doigts
. L'extrémité libre formait la base arrondie du cô
minales à une petite distance de l'anneau ombilical, d'introduire les
doigts
dans l'abdomen, d'aller reconnaître l'anneau et d
n, d'aller reconnaître l'anneau et de pratiquer le débridement sur le
doigt
conducteur. Ce projet d'opération fut mis à exécu
à Cheselden. demi-pouce au-dessus de l'étranglement, puis, avec les
doigts
enduits de beurre, à faire rentrer dans l'abdomen
toujours d'après pigrai, il fallait faire, à l'aide d'une sonde et du
doigt
, une seconde incision étendue depuis la première
sse épiploïque considérable qu'on retranche sans effusion de sang. Le
doigt
introduit dans le sac fait reconnaître que cette
ue la première portion est engaînée dans la seconde à la manière d'un
doigt
de gant(i); mais j'ai cru devoir rapprocher de l'
acer l'eau de gomme par du lait coupé avec l'eau d'orge sucrée. Mon «
doigt
, introduit dans la bouche de l'enfant, avait déte
rgie de ses cris et par la force avec laquelle ses mains « serrent le
doigt
qu'on lui présente. — Même pansement ; lait coupé
nt épaissies : là, le resserrement était tel que l'extrémité du petit
doigt
ne pouvait se frayer un passage dans la cavité de
testin ressemblait à une corde qui égalait à peine le volume du petit
doigt
. Le repli péritonéal qui soutenait ce gros intest
dans le bout inférieur qui se renverse sur lui-même à la manière d'un
doigt
de gant pour constituer les deux cylindres moyen
vr.); que la collision de ces noyaux de cerises, qui fuyaient sous le
doigt
par la plus légère pression, déterminait une sens
t et appliquer contre la paroi abdominale antérieure, à l'aide de mes
doigts
, enfoncés derrière elle. Les nœuds ou renflemens
la défécation se faisait très bien; on s'assura par l'introduction du
doigt
que le cancer n'occupait qu'une partie de la circ
re l'anus et le vagin, immédiatement au-dessus de la fourchette. Le
doigt
introduit dans le rectum arrivait dans un cul-de-
ns le rectum par un orifice assez considérable pour admettre le petit
doigt
. Au pourtour de l'anus se voyait un certain nom
Mais dans combien de cas n'est-il pas situé au-dessus delà portée du
doigt
! Un fait assez remarquable est le suivant : c est
le suivant : c est qu'un cancer du rectum, au-dessus de la portée du
doigt
, dans les premiers temps de la maladie, peut être
dans les premiers temps de la maladie, peut être reconnu à l'aide du
doigt
par suite de la rétention des matières qui déprim
ont le siège étant de 5 à 6 pouces de l'anus, put être sentie avec le
doigt
. L'observation suivante, qui a pour sujet un ma
graves d'une rétention des gaz et des matières fécales : bien que le
doigt
introduit dans le rectum ne pût atteindre le poin
e chose que du mucus concret servant de support à du sable urique. Le
doigt
introduit dans le rectum sentait derrière la pros
ssez considérable pour ne pouvoir pas admettre l'extrémité du petit
doigt
. Quelle était la nature de ce rétrécissement? Éta
augmentées. Une fois, le rétrécissement n'étant pas à la portée du
doigt
, j'introduisis une sonde œsophagienne qui donna i
on ne trouva pas d'abord d'étranglement : ce ne fut qu'en portant le
doigt
dans le bassin qu'on vit le rectum entouré d'un a
purulent par l'anus; dépérissement, face jaune paille: j'introduis le
doigt
dans le rectum et je suis arrêté à six lignes de
nterie est dans l'intestin rectum. J'eus l'idée d'introduire le petit
doigt
dans le rectum; mais j'en fus empêché par l'irrit
la fesse. Cette malade avait, en outre, un renversement du vagin. Le
doigt
indicateur, introduit dans l'intérieur du rectum,
sonde cannelée, pointue et sans cul-de-sac ; puis, accrochant avec le
doigt
l'extrémité de la sonde, qui faisait saillie dans
à trois pouces environ de profondeur; puis, portant dans le rectum le
doigt
, graissé de cérat, il sentit bien la sonde, mais
testin, à l'endroit du rétrécissement, c'est-à-dire aussi haut que le
doigt
pouvait aller : il resta un moment indécis s'il d
lieu, une ulcération circulaire s'est faite au niveau de la portée du
doigt
. Cette ulcération a entraîné une inflammation dan
assin, et que cette tumeur très dure ne pouvait pas être déplacée. Le
doigt
, dirigé en avant, c'est-à-dire du côté de la paro
érable pour recevoir l'index, ouverture cylindrique dans laquelle mon
doigt
s'engageait, mais dont il ne pouvait pas sentir l
était grande l'illusion que m'avait causé la direction suivie par le
doigt
explorateur pour pénétrer dans l'ouverture ou per
: en effet, porté en arrière, en haut, de l'un ou de l'autre côté,le
doigt
ne sentait rien; porté d'arrière en avant, et dan
rien; porté d'arrière en avant, et dans une direction horizontale, le
doigt
pénétrait dans la perte de substance. Mon diagn
ces tumeurs et les parois abdominales, on peut suivre de l'œil et du
doigt
le développement de la maladie, reconnaître de la
e cartilages , rugueuses et déformées. Les tendons des extenseurs des
doigts
sont souvent d nlar situés entre les articulation
aplati d'avant en arrière, et déborde souvent de plusieurs travers de
doigts
la base du thorax. Une empreinte circulaire, plus
idérable' encore, pouls toujours misérable, filiforme, fuyant sous le
doigt
; douleur toujours très vive au-dessous de l'hypoc
de la base du thorax. Dans quelques cas aussi, c'est en promenant le
doigt
avec pression dans les espaces intercostaux qui c
l'abdomen au lit, il s'aperçut que le foie dépassait d'un travers de
doigt
le rebord inférieur des fausses côtes. Un confrèr
moins abondant, souvent même très abondant, teignant le linge et les
doigts
à la manière du pigment choroïdien : plusieurs ét
num, était susceptible de réduction, et lorsqu'on l'avait réduite, le
doigt
pouvait parcourir le pourtour d'une ouverture trè
aisser reparaître au dehors. Il était alors facile de sentir avec les
doigts
à travers les tégumens, l'ouverture arrondie qui
ont, en général, plus petites et plus régulièrement sphéroïdales. Les
doigts
sont encore plus déformés que du côté de la face
se réduire à un cordon de moins en moins volumineux, que plus tard le
doigt
pourra à peine retrouver. La même chose, c'est-à-
ladie occupait la zone la plus élevée du vagin, de telle façon que le
doigt
ne pouvait atteindre le museau de tanche et par c
euses sous-cutanées et cutanées, étendues de la clavicule au bout des
doigts
. Ce membre supérieur est infiltré et complètement
eur est infiltré et complètement immobile. On reconnaît, à l'aide des
doigts
promenés le long du membre, que la dégénération v
es masses bleuâtres, molles, flétries, s'affaissant en partie sous le
doigt
qui les comprime, et donnant la sensation de cell
on de cette gangrène, la dureté de ce vaisseau qui représente sous le
doigt
une corde tendue à la manière d'un vaisseau rempl
artériels est douloureuse et ces troncs artériels résistent, sous le
doigt
explorateur, à la manière de cordes dures. Les
avre frais. D'ailleurs , le pouls est misérable. Les extrémités des
doigts
sont décolorées comme si le sang n'arrivait pas a
se. Quatre heures après la saignée, douleur vive depuis le bout des
doigts
jusqu'au coude du même côté (côté gauche); paraly
chir le poignet. Elle accusait des douleurs assez prononcées dans les
doigts
: je mis sur ma note : paralysie rhumatismale de
bien constatée par la couleur violacée de la peau depuis le bout des
doigts
jusqu'au coude ; en outre, les battemens de l'art
g liquide. Du côté droit, où il y avait gangrène des extrémités des
doigts
, les caillots commençaient à la bifurcation de l'
mpression ? En examinant la colonne vertébrale, en parcourant avec le
doigt
tous les points de sa longueur, je reconnus à la
lier. L'exploration des artères me donne les résultats suivans : Le
doigt
, plongé derrière la fourchette du sternum, reconn
'aorte et au tronc brachio-céphalique. Appliqué sur les carotides, le
doigt
donne une sensation remarquable que j'ai déjà con
ieurs fois , celle de petits chaînons qui glissent rapidement sous le
doigt
. Auscultées, les artères carotides et sous-claviè
si bien que le tissu du cœur médiocrement comprimé s'écrase entre les
doigts
. Dans le cas suivant de mort subite par rupture
cavité ventriculaire par un orifice qui pouvait admettre aisément le
doigt
indicateur ; que cet orifice que circonscrivait e
dre. Le tissu du ventricule gauche était d'une fragilité telle que le
doigt
s'y enfonçait avec la plus grande facilité, comme
he ouvert par une perforation assez considérable pour admettre un des
doigts
de l'observateur. Disruptus et perforants amplo h
élatineuse, facilement déchirables, friables même sous la pression du
doigt
, et ayant en conséquence perdu cette tonicité mus
déjà vu un exemple. La formation de ces petits sacs, en manière de
doigt
de gant, me paraît facile à expliquer par l'inéga
terne. Le rétrécissement est porté aussi loin que possible : le petit
doigt
ne pénètre que très difficilement dans l'orifice
ulo-ventriculaire gauche ne pouvait pas admettre l'extrémité du petit
doigt
. Les valvules mitrales , épaissies, cartilagineus
infiltration et froid des extrémités ; les mains sont violacées, les
doigts
insensibles ; la face est décolorée; les lèvres u
'orifice auriculo-ventriculaire gauche, qui pouvait admettre le petit
doigt
. Deux litres de sérosité dans chaque plèvre; po
t aminci les parois de la base du crâne, tellement que la pression du
doigt
aurait suffi pour les briser dans une multitude d
comme il arriverait,si l'on comprimait la moelle fortement entre deux
doigts
, lesquels refouleraient au-dessus et au-dessous d
nvahi. Le bras n'a commencé à s'engager que depuis hier au soir. lies
doigts
seuls sont libres et non douloureux; car la paral
mme gutte en pilules de deux grains de quatre $Ê quatre heures. Les
doigts
de la main gauche finissent par être envahis. Il
e du membre supérieur gauche. Elle peut remuer le pouce et les autres
doigts
de la main gauche; mais ce n'est qu'à force d'eff
12 juin: la malade remue plus facilement et moins douloureusement les
doigts
de la main gauche. Les crises de suffocation doul
vines nombreuses. 14 juin. Hier la malade ne pouvait remuer que les
doigts
du côté gauche;aujourd'hui elle remue non-seuleme
ue les doigts du côté gauche;aujourd'hui elle remue non-seulement les
doigts
, mais l'articulation du coude. Elle peut mouvoir
pression a cessé depuis les orteils jusqu'au genou gauche, depuis les
doigts
jusqu'au coude du même côté. La malade a uriné vo
u pincement que quelques secondes après l'action de l'aiguille et des
doigts
, encore la sensation est-elle très faible. Elle m
est dans le même état que celle des pieds. La malade dit que le petit
doigt
est mort. La lenteur de la perception est la même
le petit doigt est mort. La lenteur de la perception est la même aux
doigts
qu'aux pieds. Rétention d'urine depuis quelques j
e est obligée d'avoir recours à la vue : pour les maintenir entre ses
doigts
, il faut qu'elle ne les perde pas de vue,faute de
oigts rapprochés , bien que l'épingle soit tombée. La sensibilité des
doigts
est donc presque complètement abolie. C'est par
vir de l'aiguille pour travailler ; car elle ne la sent pas entre les
doigts
, et il faut qu elle ait les yeux constamment fixé
es supérieurs. i° Sentiment : engourdissement, fourmillement dans les
doigts
. La malade peut travailler à l'aiguille; je la tr
ccupée à coudre des chemises; mais l'aiguille lui échappe souvent des
doigts
. Je place une épingle sur son lit; elle la saisit
s commencés. La nuit, il lui arrive souvent de croire tenir entre les
doigts
des aiguilles qu'elle serre avec force pour ne pa
malade compare la sensation de fourmillement qu'elle éprouve dans les
doigts
à celle qu'elle ressentait, dans le principe, aux
gie? J'examine, suivant l'usage, la colonne vertébrale; je promène le
doigt
le long des apophyses épineuses, seule partie de
dépressible, du diamètre d'une pièce de dix sous, faisant éprouver au
doigt
la sensation d'une espèce de vide, limité par un
êche de suivre de l'œil les mouvemens de la main, l'épingle tombe des
doigts
, et néanmoins la malade, qui croit encore la teni
ne lui fut plus possible ni de marcher, ni de tenir son aiguille; ses
doigts
s'engourdissaient comme quand on a les fourmis. S
la région deltoïdienne; elle n'a pas perdu la faculté de mouvoir les
doigts
; et il est bien évident qu'il n'y a pas augmenta
membre sans faire pousser des cris à la malade; la simple approche du
doigt
la fait crier d'avance; mais si je n'exerce pas d
s le membre supérieur ; d'un autre côté la malade remue très bien les
doigts
de ce membre, circonstance qui m'éloigne entièrem
soulevée par des mouvemens isochrones aux mouvemens du cerveau, et le
doigt
promené tout autour reconnaît un défaut d'ossific
e viscérale; elles sont molles, tellement qu'elles s'écrasent sous le
doigt
à la manière du beurre ou du saindoux : c'est un
n organisée. Elle s'écrasait à la manière du saindoux et laissait les
doigts
visqueux. Le tissu du cervelet était parfaiteme
ue, quoique leur extrémité fût de substance cornée. Au bout de chaque
doigt
et de chaque orteil, il y avait des productions c
teil, il y avait des productions cornées qui égalaient en longueur le
doigt
ou l'orteil correspondant; elles prenaient leur o
vait la couleur. Il y avait en outre sur les autres articulations des
doigts
et des orteils des cornes plus petites qui tombai
veloppée sur la branche collatérale interne du médian N G, destiné au
doigt
indicateur. Les filets nerveux ont été tous rejet
i s'est creusé une poche aux dépens de la prostate. L'introduction du
doigt
dans le rectum aurait fait diagnostiquer une tume
et qu'en outre l'anneau ombilical dilaté peut admettre l'extrémité du
doigt
. L'état de bien-être de la malade est souvent int
. Cette hernie était formée par une masse considérable d'épiploon. Le
doigt
, introduit derrière l'ombilic, pénétrait au centr
nte un tissu blanc, demi transparent, s'écrasant en grumeaux sous les
doigts
, présentant beaucoup de rapports, pour l'aspect e
étrée d'un liquide filant , visqueux comme la synovie, qui englue les
doigts
et qui est accumulé dans de petites cellules ou a
densité, la même sensation que le corps vitré fait éprouver entre les
doigts
. J'ai dit que le développement vasculaire prése
a malade peut cependant faire exécuter quelques faibles mouvemens aux
doigts
. La parole et la déglutition sont libres. Point d
t par conséquent ou grossesse ou kyste utérin. Alors, introduisant le
doigt
dans l'orifice du museau de tanche, je pénétrai d
ans l'un et l'autre cas, l'écoulement prend une horrible fétidité, le
doigt
introduit dans le vagin amène un détritus gangren
es formée aux dépens du col utérin et du vagin qui sont confondus. Le
doigt
qui a servi au toucher est retiré couvert d'un dé
mpagnent si souvent le cancer; le détritus gangreneux qui recouvre le
doigt
explorateur, l'aspect gangreneux de la surface ex
ment du vagin. Le vagin se renverse sur lui-même, à la manière d'un
doigt
de gant, par un mécanisme qui est tout-à-fait sem
int bientôt insensible: elle était longue de quatre à cinq travers de
doigt
et pyriforme. Sa base, qui descendait jusqu'à la
cédé qu'elle formait une vraie bourse pendante entre les cuisses. Le
doigt
, porté au dessus de la tumeur, reconnaissait l'an
e. L'exploration de la face postérieure du corps de l'utérus par le
doigt
introduit dans le rectum, l'exploration de son fo
bules inégaux, assez dense, mais fragile, friable, s'écrasant sous le
doigt
, sans donner aucun suc, ni cancéreux, ni autre; s
elques concrétions blanches amorphes, s'écrasant ou résistant sous le
doigt
, qui n'étaient probablement autre chose que du ph
cancéreux cérébriforme: par la pression , le tissu se déchire et les
doigts
restent couverts d'une matière visqueuse. L'exa
éale; grand épiploon ratatiné , réduit à une zone de trois travers de
doigt
de largeur et d'un pouce d'épaisseur, appendu à l
omac et recouvrant l'are du colon. En comprimant l'épiploon entre les
doigts
, on faisait suinter sans effort XXXVIIe LIVRAIS
tisme : usure des cartilages articulaires. Déplacement consécutif des
doigts
. Considérations générales sur le rhumatisme dit l
tisme. Usure des cartilages articulaires. Déplacemens consécutifs des
doigts
. 34e liv., pl. 1, p. i. — Théorie de la résorptio
tilages articulaires suite de rhumatisme. Déplacemens consécutifs des
doigts
. 34e liv., pl. i, p. /. — Mécanisme de la résorpt
Mérite iconographique de ses livres. lre\\\., Avant-Propos, p. iij.
DOIGTS
. Abcès dans l'épaisseur du muscle extenseur commu
iij. DOIGTS. Abcès dans l'épaisseur du muscle extenseur commun des
doigts
. 17e liv., pl. ni, p. 5. — Déplacemens des doigts
xtenseur commun des doigts. 17e liv., pl. ni, p. 5. — Déplacemens des
doigts
consécutifs à l'union des cartilages articulaires
aires résultant d'un rhumatisme. 34e liv., pl. 1, p. /. — Réunion des
doigts
: An-kylose congéniale par fusion avec et sans at
atisme. Usure des cartilages articulaires. Déplacement consécutif des
doigts
. 34e liv., pl. 1, p. 1.— Absence des parties. W l
de la jambe. Un abcès dans l'épaisseur du muscle extenseur commun des
doigts
. 17e liv., pl. m, p. 5. MUSEAU DE TANCHE. Sur l
r une sensation de froid et une décoloration des mains et du bout des
doigts
. Une jeune fille de vingt-trois ans, que j'avai
tion subjective de froid et une décoloration des mains et du bout des
doigts
. Les deux mains deve-naient très pâles, le bout d
u bout des doigts. Les deux mains deve-naient très pâles, le bout des
doigts
et les ongles d'un bleu foncé ; la ma-lade ressen
re des mains remontait à 35°,6 ou 35°,8, la chaleur reparaissait, les
doigts
et les ongles devenaient très rouges, étaient le
mptômes décrits plus haut, pâleur et cyanose des mains et du bout des
doigts
. Dès que ces symptômes se manifestaient, l'hypere
it place à de l'anesthésie, avec sensation d'engourdissement dans les
doigts
et les orteils. Ces signes indiquaient toujours i
'attaque. Vers la fin de l'attaque, si l'on touchait les mains ou les
doigts
, ils s'écartaient par un mouvement réflexe, bien
un signe certain du retour prochain de la connaissance. Tant que les
doigts
ou les orteils restaient insensibles, on pouvait
ent et se rapprochent du tronc, l'avant-bras en pronation forcée, les
doigts
et le poignet fléchis. Elle ne perd pas complètem
ois elle n'a pas conscience, mais que lui signalent ses voisines. Ses
doigts
se crispent par instants. La nuit elle tient sa m
droit fléchi, le poignet fléchi, la main au niveau de l'épaule et les
doigts
étendus, (fig. 5.) Fig. 6. — Contractures. Co
etc. ; elles s'éloignent brusquement, par un mouvement instinctif, du
doigt
investigateur. Joignez à cela un certain degré de
loin, et, en pénétrant en quelque sorte dans l'abdomen, à l'aide des
doigts
, on arrive sur le véritable foyer de la douleur.
oureux qu'accusent les malades et que la pression exercée à l'aide du
doigt
met d'ailleurs en évidence. » L'exploration pro
sversalement et qui, pressé contre la paroi os-seuse, glisse sous les
doigts
. Lorsque ce corps est tuméfié, ainsi que cela se
ion lombaire et de la région dorsale, du côté gauche, à un travers de
doigt
de la ligne médiane et à trois travers de doigt e
uche, à un travers de doigt de la ligne médiane et à trois travers de
doigt
environ au-dessous de l'angle inférieur de l'omop
ouce, contre la paume de la main, est recouvert plus ou moins par les
doigts
forte-ment fléchis; puis les bras s'élèvent, le c
vement devant la figure. Le poignet est fléchi, et les trois premiers
doigts
de la main, pouce, index et médius, sont étendus
e poignet fléchi, le pouce dans la paume de la main passant entre les
doigts
fermés — se fléchissent, amenant la main jusqu'au
s bras dans l'adduction, l'avant-bras en pronation, le poignet et les
doigts
fléchis. Les poignets, rapprochés de la ligne méd
une espèce de moulinet. Les poings sont fermés, ou les trois premiers
doigts
étendus. Les jambes se fléchissent et s'étendent
» Elle appelle d'une façon, plus pressante en faisant signe avec le
doigt
. En même temps elle montre une place à côté d'ell
familière : « Nest!!, viens!... » Son regard s'anime, elle invite du
doigt
l'objet de la vision (fig. 65), et accompagne ce
e corps suit le rythme de la chanson (fig. 74). Elle fait claquer ses
doigts
comme pour imiter les castagnettes (fig. 75). E
! ce Fig. 7G. — Attitude passionnelle. rat... d en le montrant du
doigt
. Puis elle se livre à un combat richer S acha
l'extase. Elle est à genoux ou assise sur son lit, l'œil au ciel, un
doigt
levé ou les mains jointes. Elle demeure ainsi com
use, ac-compagne le rythme du morceau, de mouvements de la tête et du
doigt
; ce sont les rats qui apparaissent tout d'un coup
lle se relève dans un élan plein de dignité théâtrale, et montrant du
doigt
un petit crucifix attaché à la tête de son lit :
finissent ses attaques, Gl..., écoute la musique, elle fait signe du
doigt
. C'est la musique des militaires rouges. Soudai
sance parfaite: « 250 fr. ». Puis son regard se fixe, elle étend le
doigt
... « Il a le toupet de me regarder celui-là!... I
restreint et se trouve limité aux pieds, aux mains et même à un seul
doigt
. Ou bien le tôtanisme général s'accuse par- tou
ion forcée, rapprochés du tronc, les poignets légèrement fléchis, les
doigts
fermés sur le pouce, les jambes étendues et forte
Oh ! les beaux petits pigeons ! viens donc ! » Elle leur présente le
doigt
.—• Sorte d'extase, les mains étendues, présentant
almaire en avant et en haut.—- Terreur. Elle compte ses dents avec le
doigt
, pousse des cris aigus: «Vieux boucher !» — Elle
-nace, expression terrible. — Expression plus calme, la malade met un
doigt
sur sa bouche. — Elle se saisit la gorge et se ro
on lit, la malade semble interroger du regard un être invi-sible, les
doigts
de la main droite sont près de ses lèvres. — Tout
yeux se dirigent de nouveau en haut ; geste de défi. Elle se mord les
doigts
; fait un signe avec la main comme pour éloigner.
r son lit. Elle fait avec l'index le geste de prendre l'oiseau sur le
doigt
. Elle saisit de ses deux mains un coin de son dra
son cou, à sa poitrine et princi-palement à sa tête. Elle enfonce ses
doigts
dans sa bouche, mais sans se mordre ; elle prend
e sur son séant s'arrête, l'œil fixe, et montre quelque chose avec le
doigt
. Puis elle se retourne, et l'agitation recommence
vahi le bras et la jambe gauches. La main repose sur l'épigastre, les
doigts
fermés, le dos de la main tourné en avant, le cou
la flexion forcée, le coude au corps, la malade porte à la bouche les
doigts
que le hasard ou la rapidité du mouvement lui per
t dans l'extension et l'écartement complets, l'annu-laire et le petit
doigt
dans la flexion et contractures. La rage semble a
cherche à déboutonner son corsage et le déchire; elle introduit deux
doigts
dans la ceinture de son jupon et il est mis en la
Les mains et les pieds sont fortement fléchis, portés en dedans, les
doigts
sont crispés, tordus ou dans l'extension complète
à l'abduction et de la pronation à la supination; enfin, ce sont les
doigts
, dont les phalanges sont fléchies les unes sur le
arpe sur la première, le poignet sur l'avant-bras; ce sont encore les
doigts
, dont les uns sont dans la flexion, tandis que le
de mouvements rythmiques, mais rapides et à grandes oscillations; les
doigts
sont écartés et rappellent le geste de tejetta-
de calme, le petit malade grimace, contourne ses membres, crispe ses
doigts
, puis il s'agite, jette les jambes à droite et à
bras sont contournés et comme tordus, les poignets sont fléchis, les
doigts
sont, les uns étendus, les autres fléchis, le cor
entendre. On décidoit aussi la fin des accès en comprimant avec les
doigts
les ar-tères carotides; la compression des jugula
desgrimaces, des contorsions ridicules, des mouvements convulsifs des
doigts
des pieds et des mains, le resserre-ment total de
rès fortement fléchis, les pouces sont plies et serrés par les autres
doigts
. II n'y a pas de grands mouvements, mais la malad
être par-tielle, se borner aux deux bras, à un seul, à une main, à un
doigt
, à la tète seule, à la partie supérieure du corps
ement. Le bras s'étend et se met en pronation, le poignet fléchi; les
doigts
se ferment et le pouce se place dans le creux de
creux de la main, la phalan-gette entre le troisième et le quatrième
doigt
. La jambe se contracture dans l'extension, le pie
des moyens artificiels, la nature se charge de nous faire toucher du
doigt
les relations que nous cher-chons à établir ici e
u près constante, le poignet est fléchi fortement, les trois premiers
doigts
, pouce, index et médius, étendus et écartés, les
des îles, de manière à n'en être séparée que de l'intervalle de deux
doigts
. La malade restait dans celte position pendant un
iculaire-ment au tronc, sont en croix ; les mains sont fermées et les
doigts
fléchis sivioletnment sur la paume des mains qu'i
caractéristique, c'est le point moteur de l'extenseur propre du petit
doigt
. — Hé bien ! En les 1. J'ajouterai que ces expé
dex et le médius restent étendus, pendant que l'annulaire et le petit
doigt
sont fléchis complètement, et que le pouce dans l
dans l'adduction vient appliquer sa phalange contre les deux derniers
doigts
. Si nous réfléchissons, nous verrons que ce mouve
tracture en flexion de tous les segments du membre, avant-bras, main,
doigts
. Au contraire l'excitation du nerf radial, au sor
ntiment ainsi mimé. La figure devient radieuse, si l'on rapproche les
doigts
de la bouche comme dans l'acte d'envoyer un baise
gles, la malade cherche à le reproduire par un mouvement analogue des
doigts
. Mais ces mouvements ont alors moins de précision
rapprochant les deux mains de la malade comme pom^ les croiser, les
doigts
, à peine engagés, achè-vent d'eux-mêmes le mouvem
le se brûlerait, si l'on n'avait soin aussitôt de l'éteindre, car ses
doigts
sont tout proches de l'extré-mité qui flambe et e
a pre-mière courroie et recoinmence son œuvre. En abaissant avec le
doigt
une de ses paupières supérieures et en main-tenan
'attitude communi-quée au sujet existe quelquefois. En approchant les
doigts
de la bouche comme dans l'acte d'envoyer un baise
aux lèvres. Le regard toujours fixe peut être également attiré par le
doigt
et dirigé ensuite dans une direction quelconque a
que c'est. Avec beaucoup de précautions, elle touche l'eau du bout du
doigt
. On lui indique les objets par leurs noms et on l
tion par l'attitude est en-core possible, l'œil peut encore suivre le
doigt
, mais là se bornent les phénomènes d'automatisme
te une sorte d'attraction pour l'observateur qui, en pressant avec le
doigt
sur le sommet de sa tête, l'a plongée dans cet ét
d'air, une friction, font cesser la catalepsie sur un membre, sur un
doigt
; cet état revient en replaçant doucement le membr
logue. « Le 3 février nous trouvâmes notre malade, tes mains et les
doigts
douloureu-sement contractures; depuis déjà 20 min
de l'ouïe; un contact ordinaire amène une certaine douleur, puis deux
doigts
placés, l'un sur la tête, l'autre sur la main, am
e passai à l'excitation du facial droit. Je n'eus pas plus tôt mis le
doigt
sur son trajet, que tous les muscles de la face e
s l'excitation du facial droit en maintenant fortement la pression du
doigt
, pour voir si je n'arriverais pas à une contractu
produits par la simple excitation mécanique faite avec l'extrémité du
doigt
. Que ce soit le médecin ordinaire qui opère ou to
membres, et nous par le simple contact de la main, ou même du bout du
doigt
, nous déterminions des contrac-tions tétaniques q
aire, ou même à un seul muscle, si on réduisait le contact au bout du
doigt
; nous avons pu ainsi contracturer l'adducteur du
bout du doigt; nous avons pu ainsi contracturer l'adducteur du petit
doigt
, un masseter, un élévateur de l'aile du nez, un o
ts de la ma-lade, avec quelques millimètres de la peau du bout de mon
doigt
, non isolée par un gant, déterminait des phénomèn
onjonctive est sen-sible à droite, insensible à gauche. En plaçant le
doigt
près de la pupille et bien en face, l'œil droit a
l'œil droit au bout de peu d'instants suit les divers mouve-ments du
doigt
, en haut, en bas, à droite ou à gauche. L'œil gau
siste à un certain degré, à droite; de l'œil droit, le regard suit le
doigt
. La malade se relire sous l'influence du flacon d
té générale aussi bien que tous les sens. L'œil droit ne suit plus le
doigt
. Et la malade ne se retire plus lorsqu'on approch
culaire conserve un peu de sensibilité. Quand on la touche du bout du
doigt
, les paupières clignent et se ferment. La vue par
hose nouvelle, dont aucun auteur, que je sache, n'a fait mention. Les
doigts
, les phalanges des doigts, le poignet, l'avant-br
auteur, que je sache, n'a fait mention. Les doigts, les phalanges des
doigts
, le poignet, l'avant-bras, le bras, les yeux, la
me manège. Ses bras étaient raides lorsqu'elle les étendait; mais les
doigts
étaient flexibles et ne conservaient point les po
res, faisait voir qu'elle n'était pas morte. » Si on lui ployait un
doigt
ou plusieurs, ils restaient dans l'état où on les
i imprimait. » A la fin de ses accès, elle semblait écrire avec son
doigt
sur la couver-ture le nom de Dieu, ou bien elle p
viron avant le début de l'attaque sur-venait de l'engourdissement des
doigts
et des orteils. En examinant la ma-lade peu de te
nédiatement la malade vient à moi et ne s'arrête qu'à ma poitrine; du
doigt
jelui indique son lit, je puis même me dispenser
rigides, les pouces sont fléchis dans la paume de la main, les autres
doigts
sont étendus ou fléchis. La tête se dévie à droit
t appeler do Vaudition élective. )• Lorsque sa parente applique son
doigt
, sa main sur une partie quelconque de son corps,
n cri aigu et se rejeter au loin. M. La-sègue essaye de substituer un
doigt
dans les quatre doigts que la tante ap-plique sur
er au loin. M. La-sègue essaye de substituer un doigt dans les quatre
doigts
que la tante ap-plique sur le bras de l'enfant; i
dans les muscles une contraction qui se traduit par un mouvement des
doigts
et qui ne tarde pas à se trans-former en une véri
ras, se plaindre, peu après le petit accident, d'une douleur qui, des
doigts
, s'étend par en liaut sur la main et l'avant-bras
t les bras et les jambes, faisant cliquer les os, et rendant tous les
doigts
crochus ; et durait cela quelquefois demi-heure,
randes convulsions, avait les bras tournés et les mains aussi, et les
doigts
demi-fermés, tirait la langue hors de la bouche,
ou précède les attaques. laquelle ledit Barré a repoussée avec les
doigts
, fait défense au démon de Ib faire vomir, a pris
voulait se retirer aussi, mais M. le pénitencier le retint avec deux
doigts
par la ceinture, d se débattait étrangement, tira
'extrémité des talons, les bras tendus en l'air et les extrémités des
doigts
, des mains et des pieds recourbées les unes en de
109). des talons, paraissant... de même qu'un mouchoir porté sur le
doigt
dont les deux extrémités seraient pendantes... ch
s reins, lui approchant la tête contre les talons, en arrière, à deux
doigts
proche de terre, sans que la tête y touchât aucun
s du métacarpe qui répondent aux pha-langes du troisième et quatrième
doigt
. Le clou entre de plusieurs lignes dans le bois,
nce; on venait de lui ôter par ses poches une ceinture large de trois
doigts
d'un tissu fort serré de crin en partie, fort sem
couvre la chair du côté gauche vers la quatrième côte, elle montre du
doigt
où il faut faire la plaie, elle frotte l'endroit
ent, glissent plus vite, les ongles prennent une teinte bleue, et les
doigts
s'entrelacent convulsivement. Bientôt le râle se
aux interrogations. Le membre supérieur du côté gauche, surtout les
doigts
et les mnscles de l'avant-bras, sont le siège de
ontaires; les yeux étant fermés, le malade porte sans hésitation le
doigt
à son nez ; il touche facilement }\OUVloLLE ICO
s en extension ; même en dehors de toute préhension, la main et les
doigts
restent étendus et ceux-ci sont animés de mouve
t quand on lui de- mande de le' faire, il saisit l'organe entre les
doigts
pour en essayer l'extrac- tion, mais cette prét
le pylore est incontestablement ré- tréci, il n'admet pas le petit
doigt
; il donne la sensation d'une virole incom- plè
que quelques signes d'une importance capitale : telle l'égalité des
doigts
qui prennent une apparence boudinée, et s'écart
r fortement frappé, pouls hypertendu, artères dures roulant sous le
doigt
. Pas de modifications du côté de l'appareil uri
mémoire en ses mains ; car la facilité de plier, et de disposer ses
doigts
en diverses façons qu'il a acquise par habitude,a
bumines, jambes enflées. Foie : Gros, débordant de deux- travers de
doigt
le rebord costal. Réflexe : Rotuliens abolis.
pace de 2 centimètres la sépa- rait de la base de l'occipital. Un
doigt
introduit dans cet espace pénétrait directement d
tion anormale Articulation normale La flèche indique le point où le
doigt
pouvait pénétrer directement dans la cavité crâ
rents segments des membres sont plus courts qu'à l'état normal. Les
doigts
gardent leurs proportions relatives les uns par r
até de traces de déjections, ni de menstruation ; les ongles de ses
doigts
étaient toujours d'une lon- gueur normale, la p
l'état de repos, le pouce est en extension et abduction, les autres
doigts
à demi-fléchis ; les muscles des éminences thénar
éminences thénar et hypothénar, les interosseux, les extenseurs des
doigts
sont considérable- ment atrophiés. Sur la face
ités à une légère adduction ou abduction, sans opposition. Les autres
doigts
de la main gauche n'ont pas d'extension possibl
ro-cnémien du même côté. Motilité. -- Membre supérieur gauche : Les
doigts
restent fléchis et le ma- lade est incapable de
vements d'adduction et d'opposition du pouce sont très faibles. Les
doigts
ne peuvent pas être écartés en éventail. Le tri
core presque normalement. Membre supérieur droit : L'écartement des
doigts
en éventail est aboli comme à gauche ; il y a u
à gauche ; il y a une diminution assez considérable delà force des
doigts
, dans l'acte de saisir et de retenir les objets
dans l'acte de saisir et de retenir les objets ; les extenseurs des
doigts
ont aussi une force inférieure à la normale. Au
. L'C : 9 volts, 4 ma. Il[-'C : 9 volts, 5 1/2 ma. Fléchisseurs des
doigts
. NFC : 10 volts, 3 ma. PFC : Il volts, 6 ma. Tr
ur druit, l'atrophie a aboli presque complètement la mo- tilité des
doigts
, mais cette abolition est récente : il y a deux a
complète et le menton ne se trouve qu'à une distance d'environ deux
doigts
du sternum. Les mouvements latéraux vers la dro
entre celui-là et la tète de l'humérus on peut facilement enfoncer le
doigt
. Pour passer de la position horizontale à la po
pro- nation, la main est en état de flexion sur le' poignet et les
doigts
en état de demi-flexion sur la main, sauf l'aur
rive à fléchir com- plètement la main sur le poignet et à plier les
doigts
de la main que d'ailleurs il ne peut étendre qu
e peut étendre que bien peu. Il lui'est impossible d'étendre le petit
doigt
et l'index, il n'y arrive pas complètement pour
e et pour le ma- jeur. Il est capable d'opposer le pouce aux autres
doigts
. S'il essaie d'étendre la main, le cinquième do
ouce aux autres doigts. S'il essaie d'étendre la main, le cinquième
doigt
un mouvement d'extension exagéré, surtout dans
it se fatigue très vite et a une tendance à tomber. L'adduction des
doigts
se fait bien, tandis que l'abduction ne se prod
que l'abduction ne se produit qu'en partie pour les trois premiers
doigts
et aucu- nement pour le quatrième et pour le ci
miers doigts et aucu- nement pour le quatrième et pour le cinquième
doigt
. Par les diagrammes tirés des ergogrammes volon
s, à l'exception du cinquième métacarpe et des phalanges du cinquième
doigt
qui sont moins grosses qu'à gauche. L'humérus d
oupe des muscles épicondyliens (les supinateurs, les extenseurs des
doigts
et surtout les radiaux), les interosseux dorsaux,
menti, biceps brachial et triceps brachial, extenseurs communs des
doigts
, grand extenseur du radius, court abducteur du
figura- tion, répondant sans doute aux saillies que l'on sentait au
doigt
; de plus le rebord de l'os hyperostosé, quoiqu
ivé de la parole, il obéit à certains ordres comme de regar- der un
doigt
, tirer la langue, fermer les yeux. Il s'asseoit d
nsidéré comme atteint de maladiede Morvan ; il avait perdu tous ses
doigts
, très vraisemblable- ment par un processus de n
nviron de [longueur et dont la largeur permettait l'introduction du
doigt
dans la Lotie osseuse. La substance céré- brale
bien conservés dans toutes les articnlations, sauf dans celles des
doigts
; la flexion, la déflexion, l'abduction et l'add
déflexion, l'abduction et l'adduction de même que l'opposition des
doigts
sont peu agiles et limitées. La déflexion des d
opposition des doigts sont peu agiles et limitées. La déflexion des
doigts
et de la main est plus faible que la flexion. O
et de la main est plus forte que leur extension. Les mouvements des
doigts
de la main gauche sont lents et faibles; surtou
sont lents et faibles; surtout l'opposition du pouce aux 5e, lit, 3e
doigts
est difficile, faible et peu étendue ; le pouce
excitabilité électrique : CARIE DES VERTÈBRES 3'je 0 complète des
doigts
de la main gauche. La flexion du coude est meille
occasion des mouvements, de la marche, après une fatigue. Les trois
doigts
internes (III, IV, V) de sa main gauche et la rég
e même côté sont souveut troublés par la trépidation ; ceux des trois
doigts
internes de la main gauche sont quelque peu gên
t prise dans la main du malade, qui est légèrement fléchie dans ses
doigts
, mais sans effort, et se trouve en demi-pronation
lexion de l'avant-bras sur le bras, mais une très nette flexion des
doigts
, que l'examinateur sent aussi, comme un serrement
émité infé- rieure de cet os, on obtient encore la même flexion des
doigts
, sans flexion de l'avant-bras, mais associée à
la face dorsale de l'avant-bras, sur le muscle extenseur commun des
doigts
, on obtient un mouvement d'extension de la main e
s, on obtient un mouvement d'extension de la main et de flexion des
doigts
; en descendant graduellement, jusque vers la moi
à toute la région métacar- pienne, on provoque la seule flexion des
doigts
. L'extension de la main et des doigts, on peut
provoque la seule flexion des doigts. L'extension de la main et des
doigts
, on peut seulement l'avoir en percutant très douc
flexion appréciable de l'avant-bras. b) Le mouvement de flexion des
doigts
est plus énergique quand la percus- sion porte
rcutant très doucement en haut, sur le muscle extenseur commun, les
doigts
se fléchissent plus ou moins toujours. d) Si, e
t de la main (action des radiaux), seul ou associé à la flexion des
doigts
. '. Le réflexe du triceps est encore plus vif,
diminuée dans la moitié interne de la main gauche et dans les trois
doigts
correspondants engourdis. Le sujet ne distingue
^ ^^ OSTÉO-ARTHRITE CHRONIQUE DU RACHIS 409 Dans tous les autres
doigts
des deux mains, cette sensibilité n'est.pas non
. Les vibrations du diapason sont perçues faiblement sur les os des
doigts
engourdis de la main gauche, sur les rotules, s
e peu de mobilité de la mâchoire rend la mastication difficile. Les
doigts
se déforment sans suivre aucun des types classiqu
ques du rhumatis- me progressif. Le médius, l'annulaire et le petit
doigt
des deux côtés sont en flexion forcée, par les
phalangine et la phalangette étant ankylosées en ligne droite ; le
doigt
et le métacarpe correspondant forment un Z. Le mé
sente un certain tremblement. Quand on oblige la malade à mettre le
doigt
de sa main droite sur son nez, le doigt os- cil
oblige la malade à mettre le doigt de sa main droite sur son nez, le
doigt
os- cille avant d'atteindre le but et continue
surtout l'opposition du pouce et les mouvements d'écarte- ment des
doigts
. A droite la main est un peu amaigrie, mais il es
et et de la main. En particulier, les articulations du carpe et des
doigts
paraissent saines. Les coudes sont un peu raide
vements des interos- seux sont très gênés, le malade écarte mal les
doigts
à droite et à gauche, l'ex- tension des 2e et 3
fout sans force, le malade est incapable de s'opposer au passage du
doigt
entre son pouce et son index réunis. Les mou- v
oigt entre son pouce et son index réunis. Les mou- vements du petit
doigt
se font bien, sauf l'adduction et l'abduction. Le
opposition est ce- pendant possible. Les mouvement d'écartement des
doigts
sont également très gênés, ainsi que l'extensio
main gauche est dans l'ensemble plus petite que la main droite, les
doigts
sont plus minces et plus effilés, le 5" en campto
lement un peu moins fort à gauche qu'à droite. Les mouvements des
doigts
sont plus touchés : tout d'abord l'écartementqui
ut d'abord l'écartementqui se fait sans force, l'abduction du petit
doigt
qui se fait moins bien qu'à droite, et surtout
main droite on note une diminution des mouvements de latéralité des
doigts
, qui sont cependant possibles. Les mouvements du
l'opposant. Depuis deux ans, fourmillemeuts dans les trois premiers
doigts
de la main droite, un peu dans le quatrième. En
remment du côté droit et du côté gauche au niveau des trois premiers
doigts
. Pas d'autres troubles sensitifs. L'examen soma
résumé, troubles subjectifs de la sensibilité dans les trois premiers
doigts
de la main droite, atrophie thénarienne limitée
ments médullaires intéressés (8 CI D) est le réllexe de flexion des
doigts
, réflexe inconstant dont l'existence a seule de
loïde radiale la dissociation signalée par M. Babinski (flexion des
doigts
avec abolition de la flexion de l'avant-bras sur
somme, à part la largeur de la main et les dimensions boudinées des
doigts
, les membres ne sont pas sensiblement allongés, l
nton. Notons encore au point vue somatiquc un léger tremblement des
doigts
et l'exagération des réflexes rotuliens. On ne
neux. Tremblements dans les muscles faciaux, dans la langue et les
doigts
. Dy- sarthrie prononcée. Poids du malade : 72 k
tés de volume et contrastent avec le reste du corps. La pression du
doigt
ne laisse pas d'empreinte. La peau, douce au to
mpossibilité du pincement, l'absence de godel t sous la pression du
doigt
, la forme cylindrique de la cuisse, l'absence de
e petite tumeur du volume d'un grain blé, allongée, roulant sous le
doigt
et réunie à la première par un cordon dur, un p
aite ensuite les divers modes d'électrisation. On touchait avec les
doigts
les fils électrisés (1) ou l'on prenait un vase e
il sexuel. A la campagne, en blouse bleue et en cravate claire, les
doigts
dans les crins de ces étalons qui, les oreilles i
ent, d'une manière automatique, à ce qu'il semble, des mouvements des
doigts
, de la main, de la jambe ou du pied, tout à fait
ra linguam (Lauraguais). « L'opération a lieu avec l'ongle du petit
doigt
ou avec des ciseaux ordinaires. La croyance est q
. Les sages-femmes font l'opération en s'enduisant préalablement le
doigt
de sirop (Palerme; ou de miel (Sicile). M. Pitr
es-femmes ont l'habitude de sgargiari, c'est-à-dire de rompre avec le
doigt
le frein de la langue du nouveau-né. Pour cela, e
uveau-né. Pour cela, elles laissent croître leur ongle et trempent ce
doigt
dans le miel, sans quoi — comme Ta dit un poète d
ler facilement. Pour obéir à cette croyance, la sage-femme trempe son
doigt
dans un peu de julep recueilli dans le sgàrgiu et
ter de cette opération. L'opération finie, la sage-fomme trempera son
doigt
dans le miel rosé et !e passera sur la pluie de l
des avant-bras, œdème bleu, douloureux ne gardant pas l'empreinte du
doigt
. Ni anesthésie, ni thermo-anesthésie, aucune vari
tanche , les culs-de-sac sont moins profonds, surtout l'antérieur, le
doigt
peut refouler l'organe, tandis que, dans le décub
à endormir un malade réfractaire, simplement en lui prenant le petit
doigt
, en le serrant progressivement sans le regarder,
ment dès qu'on avait approché de leurs yeux un objet quelconque : les
doigts
de l'expérimentateur, une boule de verre brillant
ES ET FOLKLORE Les Vertus thérapeutiques des Reliques humaines : Le
Doigt
de saint Jean, à Salnt-Jean-Traoun-Mëriadec (Fini
porte ce dernier nom, parce que son église conserve précieusement un
doigt
d'homme, qui provient, dit-on, de la main de Jean
de la ville de Morlaix, au diocèse de Tréguer, assurent qu'ils ont le
Doigt
, dont Jésus-Christ fut montré (*), lequel se gard
n paysan a affirmé, en 1893, à L. Tiercelin (*) qu'il avait vu le dit
doigt
, et que, pour lui, il s'agissait d'un pouce. o.
vu le dit doigt, et que, pour lui, il s'agissait d'un pouce. o. Le
doigt
est comme mon pouce, un peu rouge, d'un rouge vio
e témoignage : et nous n'hésitons pas à le récuser, cet homme a vu le
doigt
... avec les yeux de la foi ! Une seule personne
ption qu'il en donne {*) « C'est évidemment la dernière phalange d'un
doigt
. Elle est- de couleur noire. On y distingue fort
(1) P. Albert Le Grand. — Histoire de la translation miraculeuse du
doigt
de Saint Jean-Baptiste de Normandie en Bretagne.
quer ici comment, de façon extraordinaire, est parvenu en Bretagne ce
doigt
unique en son genre (*). — Ce n'est pas très clai
tution de débris humains! ¦ En tout cas, d'après la tradition, un
doigt
fut remis à Philippe, patriarche de Jérusalem, qu
ns son pays, et fit édifier une église à Saint-Jean. Elle y déposa le
doigt
(M. de Kerdanet pense qu'il s'agit de S&int-J
ement, découvrit « entre la peau et la chair de son poignet, le saint
doigt
», qui s'y était logé à son insu, pendant ses déc
la téte, la face, etc). 6e Le pouce : Saint-Jean-de-Maurîenne. "i*Un
doigt
: Saint-Jeau-du-Doigt (Bretagne). 8* Un autre doig
e-Maurîenne. "i*Un doigt: Saint-Jeau-du-Doigt (Bretagne). 8* Un autre
doigt
: Ile de Malte. Voilà du travail pour les érudï
in droite du petit Brelon, qui s'ouvrit (') à la jointure du bras, le
doigt
de saint Jean s'envola et sauta tout droit sur l'
gt. On était au mois d'août 1440! Depuis le début du xv* siècle, le
doigt
de saint Jean-Baptiste serait renfermé dans un ét
eau des vasques possède désormais toutes les propriétés dont jouit le
Doigt
. — C'est une façon, bien connue dans l'ouest de l
mettre à la portée de tous, fous les jours, les vertus curatrices du
Doigt
lui-même, qu'on ne peut voir et qui n'opère qu'un
ues. Gemme nous le signalons plus haut, peut-être même le cuttedece
doigt
n'est-il qu'une transformation du culte phallique
pas la moindre preuve, au sens propre du mot. IL — Mode d'emploi du
Doigt
et de l'Eau. 1° Doigt. — On n'utilise les vertu
u sens propre du mot. IL — Mode d'emploi du Doigt et de l'Eau. 1°
Doigt
. — On n'utilise les vertus thérapeutiques du Doig
et de l'Eau. 1° Doigt. — On n'utilise les vertus thérapeutiques du
Doigt
que le jour du Pardon, le 23 juin de chaque année
t de (1) Rappelons aussi qu'il ne faut pas s'étonner de voir le dit
doigt
entrer dans un bras; certaine déesse est bien sor
velt*-, semble un index géant de pierre, qui montre le ciel ! Le vrai
doigt
de saint Jean, le voilà, levé vers l'Infini! »
tittemple, au milieu des autres reliques (*}. D'après Tiercelin, le
doigt
serait placé aujourd'hui dans un étui de cristal.
istal. Au moment voulu, on se fait, au devant de l'autel, donner le
doigt
; et il y a alors une bousculade générale entre l
racontent sans hésiter les Bretons, il est « certain que la chair du
doigt
saigne le jour du pardon, et que l'ongle pousse t
ste d'ailleurs dans ce fait que le prêtre doit sortir tous les ans le
doigt
du reliquaire, et avec de petits ciseaux, lui cou
sur la partie malade du corps. III. — Propriétés thérapeutiques du
Doigt
et l'Eau de la Fontaine. A l'heure présente, le
apeutiques du Doigt et l'Eau de la Fontaine. A l'heure présente, le
Doigt
de Saint-Jean présente des propriétés thérapeutiq
et d'un miracle) a les gens guéris dans l'année par l'attouchement du
doigt
et par l'eau de la fontaine... » «Je n'ai jamai
... » Mais, en réalité, comme on vient de le voir, la spécialité du
Doigt
, c'estl'OpHTHALMOLOGiE (Maladie des Yeux). terr
elconque entre ces faits et l'expression bien connue : Se mettre le «
doigt
» dans l'œil ! Toutefois, nous croyons pouvoir
retagne. Pour nous, c'est là l'origine de la vertu thérapeutique du
Doigt
de Saint-Jean et l'explication de sa spécialisati
ercer au coude, s'allonge une main énorme, qui semble avoir dix longs
doigts
[Polyd&ctylie].....Pieds difformes, tous boss
inded, comme disent les Américain !] iv. — Les Cubes historiques du
Doigt
. 1° Guérison des Anglais (devenus aveugles) qui
igt. 1° Guérison des Anglais (devenus aveugles) qui avaient vole le
doigt
, lors d'un débarquement à Primel, point de la côt
istorique, déformé par la légende. C'est depuis cette époque que le
doigt
est vénéré spécialement pour toutes les maladies
uche », alla en pèlerinage à Saint-Jean. — On lui montra « à nud » le
doigt
et a l'appliqua sur son œil ». — La Reine partit
paraît plus ou moins diminué, car on peut toucher légèrement avec les
doigts
les parties molles de l'animal sans qu'il se réve
foncé, présentant comme l'empreinte d'une main, avec la paume et les
doigts
. Cette empreinte était située en partie sur la po
docteur T., contracta pendant sa grossesse l'habitude de frotter d'un
doigt
de sa main droite le côté droit de son nez. Quelq
éveille lorsque l'allumette, qui a continué à brûler, lui chauffe les
doigts
. Ces pauvres dormeurs sont exposés à quelques m
table dans la position dorsale ; on les retenait légèrement avec les
doigts
. Très souvent la grenouille demeurait immobile da
préoccupée et dort mal. Petit à petit, en dépit de la planchette, les
doigts
se fléchissent et se contracturent. Quand on enlè
te rapidement. Depuis deux ans, la main est complètement fermée ; les
doigts
sont fléchis au maximum, aucune force ne peut les
une aneslhésie totale qui s'étend, de ce côté, depuis l'extrémité des
doigts
, jusqu'à quatre travers de doigt au-dessus du pli
de ce côté, depuis l'extrémité des doigts, jusqu'à quatre travers de
doigt
au-dessus du pli du coude ; c'est une anesthésie
ement. Chose curieuse, le malade n'accusait pas à l'introduction du
doigt
cette défense rectale si appréciable chez la plup
alades se contractent et opposent une grande résistance au passage du
doigt
? — Non, je ne sens rien, je ne sens même pas vot
passage du doigt ? — Non, je ne sens rien, je ne sens même pas votre
doigt
? » J'ordonnai quelques lavages d'eau salée plu
la soudaineté des accidents, l'absence de douleur, de sensibilité au
doigt
et à la sonde dans tes régions explorées et dans
diathèse vaso-motrice, ainsi que l'appelait Charcot. Quand, avec le
doigt
, on raie la surface de la peau, on voit apparaîtr
elle avait commencé à lui faire mal et à maigrir, les mouvements des
doigts
devenaient de plus en plus difficiles: la peau se
eux ¦ poignets portent des traces de brûlure ; quelques phalanges des
doigts
sont complètement déformées. Dans les muscles atr
ite ; pour cacher cette mutilation disgracieuse, elle se lit faire un
doigt
artificiel, tout ce qu'on put trouver de mieux, l
rnier cri » du genre. Une large bague dissimulait le point d'union du
doigt
avec le moignon, et il fallait vraiment être aver
de pointe qui fasse des blessures à l'artère ; avec le tranchant, le
doigt
conduisant, on cir¬conscrit la tête de l'os, en l
té abdominale, tandis qu'à droite il est flottant sous la pression du
doigt
exercée également du côté de l'abdomen. A peine
arois en sont un peu lisses, dures, ne se laissant pas creuser par le
doigt
. Quant aux bords, ils sont irrégulièrement découp
mi¬nant l'apparence extérieure que nous avons décrite ci-dessus. Le
doigt
, glissant entre la surface de la tumeur et la jou
ur de cette sorte de calotte est représenté par un bord aminci que le
doigt
peut con¬tourner pour arriver sur le pédicule.
saillie au dehors de la bouche comme nous l'avons dit ci-dessus. Le
doigt
introduit dans la cavité buccale circonscrit parf
ent au dehors ; elle sort surtout abondam¬ment lorsqu'on introduit le
doigt
dans la cavité buccale. 11 n'y a pas de mauvaise
sente une surface régulière, lisse, excepté en bas et en dehors où le
doigt
sent de petites aspérités formées par des sortes
près le volume d'une très-petile fève. Le malade y portait souvent le
doigt
et s'imaginait que cette élévation devait servir
oute ouverture qu'un espace dans lequel on peut au plus introduire le
doigt
; d'un côté seulement, car le reste de l'ouvertur
c fidélité. L'ampoule est appliquée sur l'organe et pressée par les
doigts
du médecin, mais celui-ci peut aussi la retenir a
6 ans, le malade dit avoir eu beaucoup de vers " unis, longs comme le
doigt
, semblables à des vers de terre » (ascarides lomb
te de connaissance, chute, roideur des membres, flexion énergique des
doigts
, enfin mouve¬ments brusques dans les membres supé
ent suspendu. La mâchoire ne peut que s'entrouvrir légèrement ; les
doigts
n'of* frent pas les nodosités habituelles, mais s
uite au poignet en suivant la di¬rection des tendons fléchisseurs des
doigts
, enfin ulcération de la paume de la main donnant
aine synoviale interne ou gaine commune des ten¬dons fléchisseurs des
doigts
. La peau est à ce niveau épaissie, résistante,
t à ce niveau épaissie, résistante, peu souple. Si l'on applique le
doigt
sur cette tumeur on voit qu'au lieu d'ê¬tre dure
c le stylet et surtout par des mouvements un peu étendus imprimés aux
doigts
. Les doigts considérés chacun en particulier on
surtout par des mouvements un peu étendus imprimés aux doigts. Les
doigts
considérés chacun en particulier ont tous leurs m
iale interne de la main ou gaine commune des tendons fléchisseurs des
doigts
. Nous ferons remarquer que nous ne disons point
ne, beaucoup plus volumineuse, située au-dessous des fléchisseurs des
doigts
. Ces deux bourses ne communiquent que rarement en
la gaine du pouce ; elle l'est égale¬ment de la synoviale des autres
doigts
, sauf de celle de l'auricu¬laire, qui parfois, ma
E DES HOPITAUX Planche XIV. SYNOVIALES DE LA MAIN INJECTÉES
doigts
ne participaient en rien à la maladie. En termi
osition du pouce, impossible au début, pouvait se faire avec tous les
doigts
sauf avec l'auriculaire. La pression exercée par
hisseurs éprouvaient encore une certaine difficulté à rap¬procher les
doigts
de la paume de la main. LÉGENDE EXPLICATIVE DE
TIVE DE LA PHOTOGRAPHIE (Pl. XIV). A Fléchisseur profond commun des
doigts
. B Fléchisseur superficiel des doigts. G Tend
léchisseur profond commun des doigts. B Fléchisseur superficiel des
doigts
. G Tendon du cubital antérieur. D Tendon du p
s été réglée. Le toucher vaginal pratiqué immédiatement montra que le
doigt
arrêté à l'entrée de la vulve ne pouvait pénétrer
n trouve un infundibulum péritonéal dans lequel on peut introduire le
doigt
: cet infundibulum existe plus marqué à gauche qu
les artères en dilatant leurs parois qui produi¬sent un choc sous le
doigt
explorateur. Le pouls de l'homme à la force de
— Scrofulides cutanées de la face, des bras. — Scrofidide osseuse des
doigts
, des orteils, etc. — Amélioration notable. Le
fulide de la face (lupus); 2° des périostites des os des orteils, des
doigts
, etc. Ces dernières lésions ont donné lieu à des
upe la région dorsale du poignet et du métacarpe. Les quatre derniers
doigts
sont normaux ; mais le pouce, dont l'ongle est dé
ar une bande de kôloïde, se confondant en bas avec les cicatrices des
doigts
. Par places, il existe encore quelques croûtes se
rminée par un moignon. Elle est couchée transversalement sur le petit
doigt
auquel elle adhère, de telle sorte qu'elle fait u
ons qu'à mentionner une coloration rosée de la peau, au voisinage des
doigts
, et la saillie de la tête du dernier métacarpien.
e respi¬ratoire ; L'artère temporale; l'artère collatérale du petit
doigt
; La fontanelle antérieure d'un petit enfant de
on constate que le foie est volumineux et dépasse de deux travers de
doigt
environ le rebord inférieur des fausses côtes ; m
n, et qu'il ne présente aucune ulcération à sa surface. En portant le
doigt
en arrière du col, on sent un point résistant, do
boi-sière, le 29 janvier 1870. Ce malade, il y a quinze jours, eut le
doigt
écrasé dans une porte. Au bout de huit jours, il
coup plus fortement de la main droite que de la main gauche. Avec les
doigts
elle ne sent pas les petits objets, par exemple l
r exemple le contact d'une épingle placée alternativement entre les
doigts
. La sensibilité à la douleur, nota¬blement diminu
ent tous les jours. Depuis quelque temps, elle porte avec facilité le
doigt
au nez. Marche plus régulière. De 1865 à 1867,
eur mate, et ne présente pas de dilatations veineuses. La pression du
doigt
ne laisse aucune trace sur les parties tuméfiées,
à la percussion, et cet organe paraissait dépasser de deux travers du
doigt
le rebord inférieur des fausses côtes. L'examen d
ficulté à avaler. Le lendemain 25, trismus très-prononcé, flexion des
doigts
de la main gauche. 12 grammes de chloral sont adm
loral sont administrés. Amélioration; écaiicment des mâchoires et des
doigts
; le soir, le spasme reprend son intensité. Pend
sirer, la conta¬ gion se fasse facilement, au moyen des linges, des
doigts
, etc.; mais en Egypte et surtout dans les village
uant pour le soutenir ; elle est manifestement en contracture : les
doigts
sont crispés sur la paume, et la main entière e
corps, au niveau de la nouvelle base de sustentation formée par les
doigts
du pied el lecentre de rotation, au milieu, dan
agrandie dans le sens antéro-postérieur par le contact constant des
doigts
de pied ou de la jambe elle-même avec le sol, de
ue dans la station il genoux la distance qui sépare l'extrémité des
doigts
du sol esl égale environ il une tête. Il est
s, les éminences aplatie.s. Les deux mains sont en griffe, tous les
doigts
étant en demi-flexion, le,pouce seul étendu. Le
Le malade ne peut modifier, volontairement cette altitude ; mais les
doigts
sont sans raideur, on peut les allonger facilem
rophie porte surtout sur les fléchisseurs et sur les extenseurs des
doigts
. Le relief des radiaux et du long supinateur es
n du poignet a lieu très bien par les radiaux, mais l'extension des
doigts
est impossible. L'avant-bras est main- tenu hab
able de manger seul, de s'habiller surtout à cause de l'inertie des
doigts
. Il y a une symétrie absolue dans la distributi
ubles trophiques très prononcés du côté de la peau des mains et des
doigts
. La peau est lisse, luisante, semble collée sur l
de sensibilité, mais il existe une hyperesthésie très vive dans les
doigts
et les mains, sur- tout à la face palmaire. L
et la supination ne se font qu'avec peine. L'extension complète des
doigts
est possible mais difficile à droite, et impos-
e mais difficile à droite, et impos- sihle à gauche. La flexion des
doigts
est assez forte pour pouvoir retenir le doigt q
gauche. La flexion des doigts est assez forte pour pouvoir retenir le
doigt
qu'on leur donne à saisir ; mais cependant plus
plus faible que la simple adduction; pourtant l'opposition'au petit
doigt
est possible, quoique faible, des deux côtés. L
om- tuniqués ; il en est de même pour la flexion et l'extension des
doigts
. Long supinateur. A droite : un peu amaigri; u
à 85. Deuxième radial : Comme le précédent. Extenseur commun des
doigts
: A droite : à 90 C. minima ; à 85 C. en- core
. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Extenseur propre du petit
doigt
: A droite : comme l'extenseur de l'in- dex ;
osant, adducteur du pouce : C. minima il 95mm. Adducteur DU petit
DOIGT
, court fléchisseur DU PETIT doigt. Opposant : C
ima il 95mm. Adducteur DU petit DOIGT, court fléchisseur DU PETIT
doigt
. Opposant : C. minima à 90mm. 1er Interosseux
es muscles assez éloignés, comme le triceps et les fléchisseurs des
doigts
, et sont plus fortes due celles produites dans
surtout dans des muscles assez éloignés, comme les fléchisseurs des
doigts
et le triceps). Palmaires : 3/4 m A, VI, NFC"
FC" ; 1 m A, XXVI, NFC"> PFC'. IlYpoïHÉNAR (adducteur du petit
doigt
) : 3/4 m A, XXVI, NFC'"> PFC". le,, Intero
stance qui peut être opposée à la flexion passive du poignet et des
doigts
est très faible. Les C. faradiques minima appar
0 ? ; les C. restent très faibles à 40 et à 30mm le déplacement des
doigts
est peu apparent et se trouve entravé par les C
Long abducteur, long et COURT extenseur DU pouce. EXTENSEUR DU PETIT
doigt
: contractilité meilleure que dans les muscles
C. avec déplacement à 50mm. Adducteur du pouce. Adducteur du PETIT
DOIGT
: C. m. à 60 ; déplacement il 55. 1er 2e, 3°, 4
eule; 2 1/2 m. A. NFC'>PFC". IlYlIOT11r,NAII (adducteur du petit
doigt
) : 2 1/2 m. A. NFC ? seule; 3 m. A. NFC'>PFC
té. Chez la malade que nous avons ponctionnée, nous enfon- çons les
doigts
entre la face inférieure de l'acromion et l'extré
très accusé sous lai peau, sans ètre hypertrophiées. Ou enfonce les
doigts
sous cette voûte et on sent, aisément la cavité
rités, ainsi qu'on s'en rend aisément compte, eu la prenant entre ses
doigts
.; Cette résorption du quart supérieur des deux
es douleurs de morsure ressenties surtout dans le talon et dans les
doigts
de pied. La marche était normale. C'est il cett
autre fourmillements dans les deux mains et sur tout dans le petit
doigt
et dans la région cubitale des deux avant-bras.
lgaire; au-dessus, dans la cuisse l'oedème est dur, impénétrable au
doigt
. On dirait plutôt un pseudo-lip8me qu'une infil
as compté dans notre statistique les arthrites ou arthropathies des
doigts
si fréquentes dans ce type morbide. Ces arthrites
au-dessus du muscle anconé; elle était longue, de l'épaisseur d'un
doigt
et terminée en pointe par le bas. Quoiqu'il ne
observation d'arthropathies méta- carpo-phalangiennes des 2e et 4e
doigts
. Ces artliro- pathies meiacarpo-phatangiennes n
fs de la sensibilité. Le gonflement gardait un peu l'em- preinte du
doigt
dans l'observation de J. M. Charcot et Dutil. L'a
ntraire, il est facile de prou- ver que l'absence d'un ou plusieurs
doigts
de la main est la conséquence d'une mutilation
sont absents : seuls les métacarpiens, correspon- dant ces deux
doigts
, existent. A l'annulaire, il y a un rudimen
e métacarpien avec lequel il s'articule. Seuls le pouce et le petit
doigt
sont relativement développés. Les phalanges Au
le petit doigt sont relativement développés. Les phalanges Au petit
doigt
sont soudées entre elles. Il n'y a pas d'ongle,
inal, médian, donne une apparence de hifidite. A la place de chaque
doigt
, sur la face palmaire, correspond un petit tuberc
aitement mobile sur les parties sous-jaccntes. Le pouce et le petit
doigt
ne peuvent se rejoindre : ils n'arrivent même pas
son ensemble, mais celle atrophie d'origine réflexe (amputation des
doigts
) n'esl. pas très manifeste au niveau de l'épaul
orme régulière. En vérité, l'anomalie porte ex- clusivement sur les
doigts
: les trois doigts du milieu font défaut, le pouc
vérité, l'anomalie porte ex- clusivement sur les doigts : les trois
doigts
du milieu font défaut, le pouce et le petit doi
igts : les trois doigts du milieu font défaut, le pouce et le petit
doigt
sont très atrophiés. Cette main dans son ensemble
rappelle une pince de homard. Parmi les anomalies congénitales des
doigts
, celle espèce de bidactylie constitue un type c
re formule n'en est pas moins suffisante pour permettre démettre le
doigt
sur une lésion médullaire il travers le rachis, e
l'épaule droite. Cplao-scoliose. - Déformations cicatricielles des
doigts
. Dermogra- phisme. Troubles de la sécrétion sud
poques, les accidents du travail lui ont occasionné des panaris aux
doigts
, peu douloureux, en général, qui lui on[ laissé d
raction de l'annulaire et de l'index. A 38 ans, écrasement du petit
doigt
droit, sorties d'esquilles, mobilité latérale a
s. L'attitude de la main est en « dos de fourchette ». Les 3 derniers
doigts
sont en dcmi-llcxion. La flexion volontaire de
ontaire de la main est nulle ; seuls quelques petits mouvements des
doigts
sont possibles ; l'extension est limitée ; les mo
'extension est limitée ; les mou- vements passifs de la main et des
doigts
sont limités. A l'avant-bras, la flexion volont
tliésomètre. A 85°, com- plètement abolie sur la l'ace palmaire des
doigts
et de la main ; sur le dos de la main, sensibil
lité au froid (glace). Complètement abolie sur la face palmaire des
doigts
et de la main ; il sent une fraîcheur sur le dos
u corps. Sens musculaire Il se rend mal compte delà position de ses
doigts
, mais re- connaît bien la position donnée il la
fines squammes blanchâtres : le dos de la main est violacé. ! Les
doigts
de la main droite et le pouce gauche sont le sièg
nts anormaux dans l'articulation de 2e et 3e - plil- lange du petit
doigt
droit. , . " Cypho-scoliose. Il existe une défo
té tactile qui est presque abolie au niveau de la face palmaire des
doigts
; les panaris, l'unilatéralité de la lésion. D'aut
s vertèbres de même ordre que celle que l'on constate au niveau des
doigts
et des articulations du bras. Ce cas vient à l'
, la pre- mière phalange du pouce gauche avait disparu, laissant un
doigt
ballant, extrêmement raccourci, qui donnait à l
te de plaie par balle de la moelle cervicale, les articulations des
doigts
s'ankylosèrent suivant le processus des arthropat
mpossible. Le membre supérieur gauche est totalement paralysé ; les
doigts
, la main, l'avant-bras et le bras sont tout à l
ois de décembre il se plaignit de ne plus sentir ses trois derniers
doigts
de la main droite ; ils étaient comme morts. La s
s divers sous forme de légère douleur. Seul le frôlement du bout du
doigt
est senti comme contact simple. Les réflexes pl
eurs sont allongés le long du corps, les mains sont ouvertes et les
doigts
étendus ; la peau à leur niveau est blanche et li
de soulever un peu les épaules, d'imprimer quelques mouvements aux
doigts
et d'étendre bien qu'imparfaitement l'avant- br
donne lieu à une flexion de l'avant-bras. De même les réflexes des
doigts
et de la main sont exaltés et si on percute l'e
s et si on percute l'extrémité inférieure du radius, la flexion des
doigts
prédomine sur la flexion de l'avant-bras, il y a
'inversion du réflexe du radius surtout du côté droit. La flexion des
doigts
peut du reste être provoquée par percussion de
t très diminuée, elle est mollasse et cède à la moindre pression du
doigt
. Enfin, nous venons de pratiquer des coupes verti
les jambes. La limite supérieure de l'insensibilité descend de 3-4
doigts
en travers. 4 avril. Pulsations du coeur égales
t, au 58 jour, de la limite supérieure de l'in- sensibilité, de 3-4
doigts
en travers jusqu'à la ligne ombilicale (d'après
e TRAITEMENT CHIRURGICAL DES TUMEURS DE LA MOELLE 49 passant deux
doigts
au-dessous de l'ombilic (d'après le schéma de E.
froid, décroît à partir de la ligne supérieure démarcativepassant 2
doigts
plus bas que la ligne ombilicale; sur les extrémi
s os des membres montre la persistance des cartilages épiphysaires (
doigts
, orteils, métacarpe, carpe, métatarse, tarse, t
e. Elles commencent, en général, par les extrémités supé- rieures :
doigts
, mains, face, et se généralisent, progressivement
oine et Lemaire ont vu des mouvements de flexion et d'extension des
doigts
parfaitement rythmiques, mais à côté de ces mou
iceps fémoral, le demi-tendineux, les péroniaux, les extenseurs des
doigts
et les adducteurs. Du bras : le deltoïde, le bice
dant le long des flancs ne parviennent pas à dépas- ser du bout des
doigts
le grand trochanter, tandis que par régie ils att
elle il a donné le nom de main en trident par le fait que les trois
doigts
du centre, à peu près de la même longueur, posés
lus basse que l'interne. Dans de nomhreux cas on a trouvé que le 4e
doigt
de la main, et parfois du pied, a une base d'im
cas parce que les membres supérieurs n'étaient pas raccourcis, les
doigts
arri- vant au-dessous de la crête iliaque la in
léger degré de micromélie rhizomélique aux membres supérieurs, les
doigts
des mains ne présentaient pas la disposition dite
supérieures la micromélie est mise en évidence par le fait que les
doigts
n'arrivent pas au niveau du grand trochanter, qui
tournée en arrière. Les mains sont gros- ses, courtes, carrées, les
doigts
ne présentent pas de modifications digues de no
es mains au contraire ont une longueur sensible- ment normale ; les
doigts
surtout, bien que gros, sont allongés. On ne note
terons dans la suite, a la première place l'anormale brièveté du 4e
doigt
du pied gauche. Celui-ci, comme on peut facilem
graphie, atteint a peine la longueur du 5e, de sorte qu'après le 3e
doigt
on voit deux doigts d'égale longueur, bien moin
peine la longueur du 5e, de sorte qu'après le 3e doigt on voit deux
doigts
d'égale longueur, bien moindre que celle du 3.
hiées que celles des autres, mais d'une implantation postérieure du
doigt
lui-même, due à l'anormale brièveté du 4e métac
ôté gauche le dernier est plus long. Par contre de ce côté le petit
doigt
est presque aussi long que l'annulaire. Il fa
e eux..Mais de ce côté la proportion relative entre la longueur des
doigts
est conservée (PI. XXX). Les clavicules ne prés
phie des mains on observe nettement la disposition en tri- dent des
doigts
. La radiographie du bassin et des membres infér
ui du côté gauche étant un peu plus court que le droit (excepté les
doigts
). Le bras droit : 19 centimètres. L'avant-bras
. 4. L'annulaire droit : 7 cent. 5 ; gauche : 8 cent. 1. Le petit
doigt
droit : 6 cent. 7 ; gauche : 7 centimètres. La
tres. La déformation des mains en trident pst à peine ébauchée. Les
doigts
n'atteignent que le niveau du pubis. La micromé
lui un angle' de 145° environ. La main est en trident, aplatie, les
doigts
sont excessivement courts, épais. On remarque l
it qu'avec le gauche et peut même serrer avec une certaine force le
doigt
de l'examinateur. Le malade lit aussi des tenta
ssous du cubi- tal postérieur et des extenseurs des quatre derniers
doigts
; aussi, il est impos- sible de voir le gonflem
contraction dés- ordonnée des muscles moteurs des articulations des
doigts
ou du poignet, elle trouble du sens musculaire,
ons de sa verge n'atteignaient pas celles de l'extré- mité du petit
doigt
. Mais, pendant les premiers mois de sa vie milita
tre exophtalmique avec des lésions sclérodermiques au visage et aux
doigts
. De Sainte-Marie (5) a publié l'observation d'u
de sclérodermie. Ces derniers commencent avec l'asphyxie locale des
doigts
, puis de la sclérodactylie et de la sclérodermie
e de 13 ans. Onze ans après on constate une sclérodactylie au petit
doigt
et à l'annulaire de la main droite. A l'âge de 29
ées de chaleur, etc. La sclérodermie occupait le front, le nez, les
doigts
. Crises fréquentes de tétanie. Mais il la discuss
par Wick (2) se rapportait à une femme ayant des mu- tilations aux
doigts
et aux orteils et des déformations rhumatismales
près l'accouchement, a commencé la scléro- dermie par un oedème des
doigts
de la main gauche qui s'étend ensuite aux mains
e teinte blanche diffuse, notamment sur le côté cubital, depuis les
doigts
jusqu'au coude. Cette teinte blanche dura quelq
extré- mités deviennent très froides, violacées, les mouvements des
doigts
se font difficiles. La peau se durcit, se rétra
euse. Les mains sont le siège des altérations les plus graves ; les
doigts
ont un as- pect cireux, leur courbe est continu
absolument ni pincer, ni soulever en plis. Sur la face dorsale des
doigts
, au niveau des articulations interphalangiennes
ule et semblent même avoir perdu leur matrice. Les mouvements des
doigts
sont très limités, sans qu'il y ait cependant une
'il y ait cependant une véritable ankylose des articulations. Les
doigts
sont très froids au toucher, l'index et le médius
teints par les mêmes troubles trophiques que nous avons décrits aux
doigts
des mains ; la peau est lisse, de couleur bru-
e. Si l'on examine par exemple la projection laté- rale de quelques
doigts
, l'on voit que dans ces radiographies les premièr
nterligne articulaire entre la première et la deuxième phalange des
doigts
.au lieu d'être bien claire comme l'interligne mét
celui de l'arthrite déformante chronique. Au niveau de la pulpe des
doigts
, de même que sur la face dorsale de ces dernier
lie sont encore accompagnées par des troubles d'asphyxie locale des
doigts
, identiques à ceux que l'on observe (1) M. Bert
ie les os sous- jacents et surtout ceux des dernières phalanges des
doigts
, prennent une si grande part, qu'il en résulte
urement avaient tous porté le diagnostic de gangrène symétrique des
doigts
. Fréquemment encore le syndrome de Profichet pe
teint un degré extrême; les biceps sont à peine gros comme le petit
doigt
, les éminences thénar et hypothénar ont subi une
othénar ont subi une atrophie énorme, la flexion et l'extension des
doigts
sont impossibles, la face dorsale des mains est
es dans les articulations des épaulés, des coudes et des mains, les
doigts
des mains étaient tuméfiés, rouges, froids, pre
er èmateuse, particulièrement à leur face palmaire, l'extension des
doigts
était difficile. A la radiographie l'auteur con
tata, en plus de l'existence de concrétions calcaires au niveau des
doigts
, du poignet, des genoux, les traces d'une résorpt
s recourbés et épaissis. Les ongles des orteils et, moins, ceux des
doigts
sont épaissis et déformés. Mais le fait le plus d
temps; les mêmes empreintes se présentent si l'on presse entre les
doigts
la peau du scrotum. Nous avons donc affaire : ')
e-pied la peau est plus dure que normalement et ici et là entre les
doigts
des pieds se trouvent de petites papilles. De p
ce de Lichtheim-Dejerine. Réussit, elle indique facilement avec ses
doigts
le nombre de syllabes composant le mot correspond
; la malade peut exécuter quelques petits mouvements de flexion des
doigts
; elle réussit encore à porter la main sa bouche.
our une petite zone, qui répond à la face dorsale de la main et des
doigts
; mais la perception quantitative de la sensibi
ris. Elle comprend bien la valeur des chiffres, et montre autant de
doigts
qu'il y a d'unités dans le chiffre qu'on lui mont
rière et réciproquement ; la tête reste immobile, cependant que les
doigts
des mains qui reposent sur les cuisses, font de
res restent closes. Si on maintient les paupières abaissées avec le
doigt
, on ne constate de secousses musculaires que lo
ec le doigt, on ne constate de secousses musculaires que lorsque le
doigt
sent une contraction de l'orbiculaire. Si au cont
était obligée de repousser vers le côté droit les aliments avec les
doigts
et de maintenir fermée la commissure labiale ga
et des premières pha- langes digitales, tandis que l'extrémité des
doigts
est mince comme celle des doigts de femme. Su
itales, tandis que l'extrémité des doigts est mince comme celle des
doigts
de femme. Sur le dos des mains la peau est légè
orifice du canal inguinal. La verge présente à peine le volume d'un
doigt
. Il n'existe aucun poil dans la région pubienne
eau de toutes les parties de la base que l'on peut pincer entre les
doigts
: il en est ainsi pour le pourtour du trou occi
x orteils sont pour ainsi dire nuls. Le pied est un peu cambré, les
doigts
sont légèrement fléchis sans contracture : on n
férieurs et à la région abdominale inférieure jusqu'à deux travers de
doigt
sous l'ombilic. La sensibilité au diapason, l
imite de la zone d'anesthésie soit descendue de quelques travers de
doigt
. Les dou- leurs ont cédé presque tout a fait.
Le 15 décembre, la motilité des mains, et principalement celle des
doigts
, est altérée. En même temps, le ma- lade accuse
uvements. Aux membres supérieurs, il n'est gardé de la motilité des
doigts
que la flexion et l'extension. L'opposition des
ité des doigts que la flexion et l'extension. L'opposition des gros
doigts
est abolie. La motilité de l'articulation du co
mbres supérieurs il exécute le mouvement actif d'opposition du gros
doigt
, il porte l'index au médius et à l'annulaire ;
ex au médius et à l'annulaire ; ne peut pas encore le porter au petit
doigt
. La flexion et l'extension des doigts s'exécute
pas encore le porter au petit doigt. La flexion et l'extension des
doigts
s'exécute normalement, et aussi les mouvements
s flexions et extensions des articulations tibio-tar- siennes ; les
doigts
sont encore immobiles. Les mouvements passifs son
éger lui était impossible; à droite, il pouvait à peine mouvoir les
doigts
de la main. Sa langue était contractée et immob
Ce phénomène est très évident, surtout pour les fléchisseurs des
doigts
. En invitant AU... à serrer ma main dans sa main
uisse vaincre cette contracture de ses fléchisseurs en étendant les
doigts
. Réflexes. Le patellaire existe des deux côtés
pa- tion du biceps et par la flexion brusque des fléchisseurs des
doigts
, qui se produisait quand AU... voulait serrer que
'avaient plus la force d'autrefois, les mouvements des flexions des
doigts
avaient très peu d'énergie et les objets lui éc
vant-bras en très légère flexion et supination, la main tombant, le
doigt
dans une semi-flexiou à peine accentuée. La par
xtension et de flexion du poignet est à peine appréciable; ceux des
doigts
sont nuls. Quant à son membre inférieur, il ne
réflexe pharyngien fait absolument défaut. L'on peut introduire le
doigt
très profondément, chatouiller l'épiglotte et la
s inférieurs et dans la moitié inférieure du tronc jusqu'à quelques
doigts
transversalement au-dessus du rebord costal, dans
bras, étendre et fléchir complètement le poignet, avec les deux des
doigts
il réussit à se toucher la paume de la main. Da
ras en arrière et une espèce de grosse corde de la largeur de trois
doigts
qui gagnoit jusqu'au bout du sein. Ce chirurgie
e. Le médecin, arrivé quelques instants après, plongea aussitôt les
doigts
dans l'arrière-bouche : cette région était enco
moyens d'y remédier immédiatement soit par l'introduction de deux
doigts
ou d'une pince, soit par celle du tube laryngien.
es individus sains.ou malades, quand on comprime légèrement avec le
doigt
les sutures crâniennes, on détermine une sensat
nterosseux), la parésie était particuliè- rement marquée aux petits
doigts
et aux doigts annulaires; affai- blissement des
a parésie était particuliè- rement marquée aux petits doigts et aux
doigts
annulaires; affai- blissement des muscles exten
sie des poignets; diminution du sens musculaire des deux derniers
doigts
; enfin les traces d'une profonde brûlure au segme
e manque absolument de tonicité et quand on la fait mouvoir avec le
doigt
, la bouche restant ouverte, on lui imprime des mo
ion du pouce s'exécutent normalement et avec force. L'exlension des
doigts
se fait bien, mais la résistance est peu forte.
icile de les en distinguer. Le biceps est réduit au volume du petit
doigt
. Le brachial anté- rieur presque totalement dét
t à crier dès qu'on l'approche ou qu'on lui parle. Il fait avec les
doigts
des mouvements bizarres et incohé- rents. Dans
.. commence par grincer des dents, en faisant des contor- sions des
doigts
comparables aux mouvements de l'athétose (fit.
es mains demi-fermées comme pour attraper une mouche, puis 'met ses
doigts
les uns sur les Archives, t. XXV. 1G , Fig. 3
. 242 RECUEIL DE FAITS. autres, de façon que l'extrémité du petit
doigt
et des suivants jusqu'à l'index touche l'articu
e, au diagnostic. Sim..., idiot aveugle, a l'habitude de mettre ses
doigts
dans ses yeux, puis dans sa bouche, ou bien il
onze ans porteur d'alté1'ations particulières aux phalangettes des
doigts
et des orteils. Hérédité très chargée au point
cès de très violents fourmillements qui débutaient par la pulpe des
doigts
. L'eau froide arrêtait le mal. (Archiv f. Psych.
dues et rigides. Les pouces étaient susceptibles d'adduction et les
doigts
se fléchissaient; les jambes, adduction normale
il a lâché le couteau, il a senti des fourmillements dans tous les
doigts
, comme lorsqu'on se fait une contusion de cubit
Le premier jour, il pouvait encore exécuter quelques mouvements des
doigts
, tandis qu'aujourd'hui, il en est totalement in
alade est incapable de faire le moindre mouvement de la main et des
doigts
. Quand la main est en pronation,"elle est tomba
comme dans la paralysie radiale; quand elle est en supination, les
doigts
sont dans une très légère flexion. Il n'y a pas
elle ne peut être obtenue par la volonté du malade. L'extension des
doigts
, la flexion des doigts, le relèvement du poigne
ue par la volonté du malade. L'extension des doigts, la flexion des
doigts
, le relèvement du poignet, l'écartement des doi
, la flexion des doigts, le relèvement du poignet, l'écartement des
doigts
ou leur rapprochement sont tout à fait impossib
nsibilité, elle est intacte partout et en particulier dans tous les
doigts
de la main. Rien d'anormal dans le creux axilla
e de faire des mouvements alternatifs de flexion et d'extension des
doigts
de la main gauche en regardant bien, puis de le
résentant bien le mou- vement. Le résultat est tout à fait nul. Les
doigts
sont complète- ment inertes. Le résultat est ég
Pendant que le ma- lade fait tous ses efforts pour fléchir tous les
doigts
, on remarque une très légère flexion de la phal
rentes reprises. On n'obtient pas de flexion d'ensemble de tous les
doigts
. Il a fallu procéder isolément pour l'index et
ouvements de flexion du pouce et de l'index se conservent, les deux
doigts
arrivent presque à se mettre en contact. Les qu
arrivent presque à se mettre en contact. Les quatrième et cinquième
doigts
se fléchis- sent dans leurs deux dernières phal
quatre derniers TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 327
doigts
de la main. Le troisième est plus paresseux, mais
ent de légers mouvements d'ex- tension dans l'index et le cinquième
doigt
surtout. Le pouce fait maintenant de petits mou
e suivant : Flexion du pouce; - de l'index. - des deux derniers
doigts
; simultanée de tous les doigts; Extension de
- de l'index. - des deux derniers doigts; simultanée de tous les
doigts
; Extension de l'index et du cinquième doigt et
simultanée de tous les doigts; Extension de l'index et du cinquième
doigt
et légère abduc- tion du pouce. Il semble que
qu'on lui commande quand on les a fait exécuter passive- ment à ses
doigts
d'abord. Le massage de la région, qui fait dis-
ions du pouce et de l'index; dans des séances suivantes, les autres
doigts
ont commencé également à se mouvoir, de sorte q
une infiltration ferme des téguments ne gardant pas l'empreinte du
doigt
; 2° par un abaissement de la température locale
oine (service de M. Gingeot); on constate une paralysie absolue des
doigts
, du poignet, du coude TROIS CAS DE MONOPLÉGIE B
sensibilité est abolie dans tous les modes, depuis l'extrémité des
doigts
jusqu'au moi- gnon de l'épaule. Pas d'hémianest
al. Il pouvait mouvoir le coude et l'épaule, mais le poignet et les
doigts
restaient para- lysés. Il se remit à travailler
actuel. La main droite est tombante en flexion et pro- nation, les
doigts
en demi-flexion. Les mouvements de l'épaule et
sain. Impossibilité absolue de relever le poignet et d'étendre les
doigts
, même impossibilité pour les fléchir ; cependant
; cependant si l'on a soin de relever la main sur l'avant-bras, les
doigts
peuvent exécu- ter un très léger mouvement de f
surface plane, il peut faire quelques mouvements de latéralité des
doigts
. Tous ces mouvements ont été récupérés depuis une
même dans la flexion du coude. L'anesthésie depuis l'extrémité des
doigts
remonte à la manière d'un gant jusqu'à deux tra
des doigts remonte à la manière d'un gant jusqu'à deux travers des
doigts
au-dessus du poignet. Hypéresthésie en manche d
es premiers mouvements acquis ont été les mouvements de flexion des
doigts
, sans participation du pouce, puis quelques mou-
participation du pouce, puis quelques mou- vements d'écartement des
doigts
, la main étant posée à plat sur une table, c'es
tant posée à plat sur une table, c'est surtout l'extension du petit
doigt
et de l'index qui était bien exécutée. Enfin
dynamomètre. A ce moment, la sensibilité revient sur la main et les
doigts
, il reste seulement une "zone d'anesthésie en b
u niveau du poignet. Depuis, pro- grès continus dans la flexion des
doigts
, constatés au dynamomètre (voy. la courbe). Enf
'état du malade. Les mouvements de l'articulation du poignet et ses
doigts
restaient toujours paralysés ; ils n'ont commencé
vré petit à petit quelques mouvements de flexion et d'extension des
doigts
, des poi- gnets et de l'avant-bras. Ces dernier
ements d'extension et de flexion de l'avant-bras, du poignet et des
doigts
, sans prédominance de tel ou tel muscle ou grou
rement concentrique. Achro- nMtopsie complète. Compte seulement les
doigts
à deux mètres. Atrophie de la papille plus accu
s lesquels le malade s'efforce d'exécuter des mouvements divers des
doigts
de la main et des autres segments du membre sup
ses mains pour fabriquer avec beaucoup d'art de petits jouets. Les
doigts
n'offrent pas de griffe. Par suite de la rétrac
un peu lés pieds, plier les genoux. Il continue à se servir de ses
doigts
, de ses mains, et parvient à plier légèrement l
temps variable, passent à la coloration blanche. Les extrémités des
doigts
sont froides, insensibles à la douleur et au to
e : de quelques minutes à une demi-heure. En dehors de l'accès, les
doigts
ont un aspect normal. Ce malade a des antécéden
je lui presse le pouce, une troisième parce que je lui montre mon
doigt
. Ces signaux sont tout-puissants non pour créer l
'autre contre l'épigastre. Quelle que soit la position occupée, les
doigts
en extension sont légèrement fléchis, rapprochés
de légers mouvements de laté- ralité. Les premiers portent sur les
doigts
qui semblent « filer la laine »; les seconds oc
ment sur la phalange, et forme avec elle un angle assez prononcé. Les
doigts
sont hippocratiques et maigres sur leur longueur,
partie moyenne, elle peut être comprise aisément entre le pouce et le
doigt
médius, l'extrémité de ces deux doigts se touchan
e aisément entre le pouce et le doigt médius, l'extrémité de ces deux
doigts
se touchant sans qu'il soit besoin de comprimer b
ed a l'apparence du pied de Chinois. Les fléchisseurs ont ra-mené les
doigts
du pied en dessous, les extenseurs n'agissant pas
une fille de quinze ans, qui, depuis un mois, s'était aperçue que les
doigts
de sa main et de son pied gauches étaient le sièg
, d'adduction, etc.: ce désordre musculaire est surtout manifeste aux
doigts
et à la main ; pendant le sommeil, il disparaît c
d'environ un demi-centimètre que la droite. Lorsqu'on introduit le
doigt
dans la bouche, on constate : 1° qu'entre la gros
rmerie avec une basse température. On s'aperçut que les deux derniers
doigts
de la main gauche étaient fléchis et ne pouvaient
eignements puissent nous dire le temps précis où cela a commencé, ses
doigts
s'étaient re-courbés, et la griffe s'était formée
et la griffe s'était formée en commençant par l'annulaire et le petit
doigt
. Voici ce que Y examen nécroscopique nous a app
ccomplir. (La Planche IX donne une idée très-exacte de l'attitude des
doigts
et permet de bien suivre notre description.) L'
t permet de bien suivre notre description.) L'annidaire et le petit
doigt
sont fortement infléchis dans les ar-ticulations
. Au contraire, les articulations métacarpo-phalangiennes de tous les
doigts
, même des deux derniers, sont mobiles et exécuten
ure en forme d'ulcération au bord libre des ongles des deux der-niers
doigts
. Peut-être l'atrophie du filet sous-unguéal des r
vons les deux ten-dons du fléchisseur sublime, qui répondent au petit
doigt
et à l'annulaire complètement sectionnés. Les deu
minence hypothénar sont presque tous atrophiés ; l'adducteur du petit
doigt
est le mieux con-servé; le court fléchisseur est
ment atrophiés et graisseux, peuvent être re-connus. .Dans les deux
doigts
fléchis, annulaire et auriculaire, on trouve la p
Parmi les rameaux du cubital, on retrouve : les collatéraux du petit
doigt
, la branche interne de l'annulaire, qui offre ici
s phalanges sur les métacarpiens. Or nous avons vu que, pour tous les
doigts
, ce dernier mouvement était conservé : mais il n'
phalanges. L'im-mobilité était complète pour l'annulaire et le petit
doigt
, parce que pour ces deux-là, 1rs interosseux et l
eux-ci sont surtout opposants et rotateurs en dedans. Enfin, si les
doigts
étaient inclinés vers l'axe de la main, il n'y av
léchisseur profond qui, en se contractant, ramène pour ainsi dire les
doigts
les uns sur les autres : de plus, son action n'ét
erosseux atrophiés, qui ont aussi le pou-voir d'écarter fortement les
doigts
les uns des autres. Histologie. — M. Gombault,
stries très-nettes. Un faisceau du muscle petit adducteur du petit
doigt
, qui reçoit une des branches du cubital après sa
ns, qui, consécutivement à une blessure légère siégeant au niveau des
doigts
de la main droite, présenta au bout de dix-sept j
rtement revenue sur elle-même, je peux en explorer la surface avec le
doigt
. Je fais les injections de la vessie avec la sond
a partie supérieure gauche du thorax; elle formait, à deux travers de
doigt
environ au-dessous de la clavicule gauche, une sa
les mouvements. Dans tous les points accessibles, elle fournissait au
doigt
qui la touchait une sensation de dureté consi-dér
c. Une sonde préalablement introduite dans la vessie et fermée par le
doigt
d'un aide, permettait d'obtenir à volonté de peti
asser autour de la verge par sa femme l'alliance qu'elle portait au
doigt
. — Citons enfin le malade observé par M. Guibout
autres, surtout àla partie externe. On sent aussi très-bien avec le
doigt
des îlots de substance osseuse disséminés çà et l
s aréoles remplies d'une graisse jaune, s'écrase facilement entre les
doigts
et laisse suinter une grande quantité de liquide
e, est formée comme l'interne d'un tissu aréolaire s'écrasant sous le
doigt
rempli de suc huileux. L'articulation tibio-tar
vant la pression exercée sur le manche de l'instrument. En portant le
doigt
indicateur dans le vagin, on sentait distinctemen
était entière. Les bords de la plaie périnéale étaient rapprochés. Le
doigt
introduit dans le vagin pénétrait au niveau ce l'
ccouchement ne permit pas de pénétrer jusqu'au col de l'utérus ; le
doigt
était arrêté au fond d'un cul-de-sac de 4 centimè
ues d'oedème. Elle conserve longtemps et profondément l'empreinte des
doigts
qui la compriment. Plus on se rapproche du pédicu
ses, d'un centimètre de diamètre environ, se laissant déprimer par le
doigt
, mais n'offrant pas d'inégalités au toucher. Plus
corps dans les parties. En arrivant chez elle, elle constata avec le
doigt
l'existence d'une tumeur faisant fortement sailli
tumeur est allongée, de forme conoïde à base supérieure. Si, avec le
doigt
, on fait le tour de cette base, on sent qu'elle s
remarque n'est autre chose que l'orifice du col. En y introduisant le
doigt
, on peut, grâce à la facilité avec laquelle ce co
Tous ces caractères lui donnent l'apparence d'un véritable pénis. Le
doigt
introduit dans le vagin pénètre facilement dans l
le était chaude, très-douloureuse à la pression, résistante sous le
doigt
et présentant des battements artériels, in-dices
hargée; le 26, éruption miliaire, confluente en vésicules au bout des
doigts
. Urine chargée de phosphates, sans albumine. Dans
de M. Bail. Chez six malades atteints de paralysie des extenseurs des
doigts
, par intoxication saturnine, paralysie remontant
la moitié de sa largeur; enfin, elle descend jusqu'à trois travers de
doigt
au-dessous de l'angle de la mâchoire. La circonfé
un plan résistant, les mouve-ments restent limités au poignet et aux
doigts
. Il est impossible au malade de porter un objet à
par un énorme paquet de varicosités dans lequel on voit et on sent du
doigt
très-manifes-tement les inflexions et les dilatat
ar des bat-tements synchrones au pouls. Lorsqu'on le saisit entre les
doigts
, on perçoit dans tous les points, si ce n'est au
it brusquement un jet de sang très-violent et de la grosseur du petit
doigt
. On l'arrête, en comprimant avec le doigt le poin
et de la grosseur du petit doigt. On l'arrête, en comprimant avec le
doigt
le point ulcéré du lac vasculaire. On par-vient à
t à l'extrémité inférieure de l'hélix. On l'arrête facilement avec le
doigt
; on peut s'assurer que la place qui donnait lieu
e bras sur la tête, se servirmi peu de sa main, et étendre un ou deux
doigts
. Chez la seconde, âgée de 32 ans et dont l'atta
qu'elle ne pouvait ni fléchir le genou ni remuer en aucun sens aucun
doigt
du pied. (Voy. Planche XXIX.) Aujourd'hui, elle p
ourd'hui, elle peut fléchir un peu le genou, et elle peut mouvoir ses
doigts
de pieds. (Planche XXX1.) Chez la femme atteint
eur a procédé dans ses recher-ches : Un jeune homme avait eu le petit
doigt
complètement mutilé par un coup de feu; quatorze
laie bour-geonnait activement, mais les désordres étaient tels que ce
doigt
ne pouvait jamais être que gênant pour le blessé.
rte de poils roides. Lesmembres sont courts, les mains ramassées, les
doigts
épatés, rouges, cyanoses, comme infiltrés; les do
ramassées, les doigts épatés, rouges, cyanoses, comme infiltrés; les
doigts
sont très courts. La peau des mains est flasque,
es. Le col uté-rin est enlr'ouvert et admet facilement l'extrémité du
doigt
. L'introduction de l'hystéromètre le prouve, comm
uffisait, pour faire cesser ces symptômes, d'amener en avant, avec le
doigt
, le col de la matrice. — M. Ricord appliqua un ap
ester sur la face antérieure. Puis rapprochant les uns des autres les
doigts
qui étaient, plus ou moins écartés, on cherchera
mme nous l'avons déjà dit, une vésicule grosse comme le bout du petit
doigt
, et à gauche de laquelle se voit, dans une dépres
liaque gauche avec un souffle général très-intense. Si on ramène le
doigt
en avant, on sent manifestement la déformation de
tôt ils sont placés profon-dément au centre de la tumeur, et alors le
doigt
, appliqué profon* dément sur la base de celle-ci,
la main placée à 20 centimètres de sa figure, et ne peut compter les
doigts
. M. E. Martin diagnostique un kyste de l'iris,
t à gauche ; pupilles normales ; rigidité générale dans l'extension ;
doigts
fléchis, le pouce sous les autres. La bouche entr
e visage qu'il dissimule ; les bras sont un peu écartés du tronc, les
doigts
sont fortement fléchis, le pouce gauche en dedans
droite, la malade est endormie. (Pl. VIL) En tapotant avec le bout du
doigt
le nerf facial au-devant de l'oreille droite, on
: la face se porte à gauche. — En grattant, pour ainsi dire, avec les
doigts
les muscles fléchisseurs des doigts et des avant-
attant, pour ainsi dire, avec les doigts les muscles fléchisseurs des
doigts
et des avant-bras, on amène une contracture dans
est endormie de nouveau par le regard : on excite les extenseurs des
doigts
et de l'avant-bras pour détruire la contracture.
ou bien l'on donne de petits coups sur ce muscle avec l'extrémité du
doigt
, ou bien on frictionne le sterno-mastoïdien droit
he qu'à droite. A cet endroit, la traction des cheveux, le passage du
doigt
ne sont pas perçus. Une pression même modérée, le
qui a causé la première attaque syncopale. muscles fléchisseurs des
doigts
et de l'avant-hras produisent une contracture art
ation ou de somnambulisme. En tapotant sur les muscles extenseurs des
doigts
et de l'avant-bras droit, on fait disparaître la
itudes de la malade elle-même). On prend le regard, en plaçant deux
doigts
dans la direction des axes optiques (fascination)
d, en tournant la tête ; ses pieds ne tournent pas ; — l'approche des
doigts
jusqu'à son visage ne la fait ni reculer ni tombe
. Après avoir saisi le regard de la malade, M. Regnard fait, avec les
doigts
, dans le voisinage des yeux, des mouvements rapid
, au point de faire sur eux une empreinte des plis de la chemise. Les
doigts
sont fortement fléchis; les pouces placés entre l
t tendu, gonflé. Les membres supérieurs sont rigides, allongés, les
doigts
fléchis, le pouce placé en dehors. — Les membres
éments au sulfate de cuivre. — A 10 h. 40, P... distingue la main, un
doigt
, un crayon. — A 10 h. 50, elle prétend avoir un «
mâchoires ; de la langue ; des membres supérieurs et inférieurs ; des
doigts
, etc. Arrêt des attaques : Compression ovarienn
exagérée. M... est tourmentée encore par des fourmillements dans les
doigts
, les jambes ; elle a des impatiences dans tous le
la moitié gauche du palais et de la base de la langue, le contact du
doigt
détermine des mouvements réflexes et des efforts
urs sont allongés et rigides dans toutes leurs jointures, excepté les
doigts
qui sont simplement raides. — On note la même rig
iction plus intense à gauche; élancements dans l'œil gauche, dans les
doigts
, le coude et l'épaule du même côté; hyperesthésie
peut être vaincue ; les bras placés perpendiculairement au tronc, les
doigts
étant écartés, conservent cette position pendant
ict fort longtemps. Et fut bien empefché le Caietain de faire uoir au
doigt
à l'œil, par viues raifons, à celle pauure femme
tanées. Après vous être recueilli, prenez ses pouces entre vos deux
doigts
, de manière que l'intérieur de vos pouces touche
inute, et vous les ramènerez le long des bras jusqu'à l'extrémité des
doigts
, en touchant légèrement. Vous recommencerez cette
minutes en posant les pouces sur le creux de l'estomac, et les autres
doigts
au-dessous des côtes. Puis, vous descendrez lente
chaque fois que je relève ma main, j'ai le soin de laisser tomber mes
doigts
, de telle façon que leur face dorsale regarde l
ligner l'œil le moins possible. On tient les pouces du sujet dans ses
doigts
refermés uniquement pour les bien fixer et nullem
de la malade en lui appuyant les pouces sur les sourcils, les autres
doigts
enserrant les tempes : il en résulte une sorte
ital excité avec un porte-plume et amenant la contraction de tous les
doigts
de la main, sauf le second et le troisième, résul
On regarde fixement la malade, ou on lui fait regarder le bout de ses
doigts
, puis on se recule lentement {Fig. 12.) Dès lors,
aire est très prononcée. En frictionnant légèrement, avec le bout des
doigts
, les muscles fléchisseurs des doigts et des avant
ant légèrement, avec le bout des doigts, les muscles fléchisseurs des
doigts
et des avant-bras, on détermine une contracture a
nd ordre constituent les hallucinations provoquées. a) A l'aide des
doigts
placés devant les yeux de la malade, on prend son
evant les yeux de la malade, on prend son regard; elle suit alors les
doigts
qui font le simulacre d'une mouche qui s'envole.
ïdien du côté droit. - Nous frictionnons les muscles fléchisseurs des
doigts
et des avant-bras, et nous obtenons une double co
uscles sterno-mastoïdiens, des muscles fléchisseurs et extenseurs des
doigts
et du pouce, des avant-bras, etc.. ; — on détermi
est que peu affaiblie ; la pronation, la flexion et l'extension des
doigts
, les mouvements dus aux muscles intero'sseux et
nterosseux et des éminences thénar et liypo- thénar. La flexion des
doigts
et celle du poignet sont parésiées, au contraire
laint maintenant d'unecertaine maladresse dans les mouve- ments des
doigts
de la main gauche; et on aperçoit déjà un amaigri
malade fai- 12 CESTAN ET HUET sait l'extension et la flexion-des
doigts
et du poignet et les mouvements de pronation qu
arties se fait normalement. Tous les mou- vements de la main et des
doigts
existent. » Il paraît donc assez vraisem- blabl
, le triceps ; à l'avant-bras, les extenseurs commun et propres des
doigts
, les muscles propres du pouce, le cubital posté
, le cubital postérieur, le cubital antérieur, les fléchisseurs des
doigts
, les pal- maires et le rond pronateur; à la mai
s métacarpiens et il ne peut être opposé en aucune façon aux autres
doigts
; il peut seulement être très légèrement porté en
hée et plus faible encore que les mouvements précédents. Les autres
doigts
se présentent dans leur situation habituelle av
une légère flexion des troisièmes sur les deuxièmes ; pour le petit
doigt
cette situation en flexion est un peu moins prono
n est un peu moins prononcée; c'est d'ail- leurs le seul des quatre
doigts
où quelques mouvements volontaires puissent êtr
t en une légère flexion de la troisième. Passivement la situation des
doigts
peut être changée pour leurs divers segments, a
ants dans les trois parties du triceps, dans l'extenseur commun des
doigts
, le long et court extenseur du pouce, l'exten-
l antérieur, le rond pronateur, les palmaires, les fléchisseurs des
doigts
, les muscles de l'éminence thénar et de l'émine
isée bipolaire, dans le long abducteur du pouce, l'extenseur du petit
doigt
et le long fléchisseur du pouce. Avec les coura
s employés, notamment dans les palmaires, le fléchisseur commun des
doigts
, les extenseurs propres du pouce, le court ab-
eur,l'opposlnt et le court fléchisseur du pouce, l'abducteur du petit
doigt
; les contractions obtenues sont très faibles e
Pectoral (chef claviculaire), le Grand Dentelé, les Extenseurs des
doigts
, le Triceps ; et la VIP la longue portion du Tr
ral. D'autre part, tandis que Thornburn rattache les extenseurs des
doigts
à la VIP cervicale, Edinger les rattache à la VI0
Long Abducteur par les VIe et VII" racines, l'extenseur commun des
doigts
et l'extenseur propre du pe- tit doigt par la V
nes, l'extenseur commun des doigts et l'extenseur propre du pe- tit
doigt
par la VIF et la VI11° racines cervicales. Au c
des palmaires, des cubitaux, des extenseurs communs et propres des
doigts
, des trois parties du triceps. Chez lui sont co
ans tous les autres mus- cles de l'avant-bras, extenseur commun des
doigts
, cubital postérieur, muscles propres du pouce,
ubital postérieur, muscles propres du pouce, de l'index et du petit
doigt
, rond pronateur, palmaires, flé- chisseurs comm
ateur, palmaires, flé- chisseurs communs superficiel et profond des
doigts
, cubital antérieur, et dans les divers muscles
euvent être produits sont de très faibles mouvements de flexion des
doigts
, ils sont très restreints et ne permettent la pré
re gagné en force; les mouvements produits par les fléchisseurs des
doigts
étaient aussi un peu plus étendus, mais ces muscl
supérieurs se prenaient, le petit malade, d'abord maladroit de ses
doigts
, ne pouvait bientôt plus porter sa cuillère à la
coup; l'enfant lançant son membre. Les mou- vements d'extension des
doigts
sont impossibles à droite, esnuissés à gauche.
s s'opèrent assez bien. Enfin tous les mouvements de la main et des
doigts
sont conservés ; quoique plus faibles qu'à l'état
par les petits muscles sont possibles : adduction et abduction des
doigts
, flexion et extension des dernières phalanges,
, flexion et extension des dernières phalanges, mouvements du petit
doigt
et du pouce. Les éminences thénar et hypothénar
ible par la rétraction des fléchisseurs. L'extension simultanée des
doigts
et du poignet est impossible ; si le malade veu
doigts et du poignet est impossible ; si le malade veut étendre les
doigts
, il doit fléchir légèrement le poignet et s'il
ignet et s'il veut étendre le poignet, il doit fléchir légèrement les
doigts
. La flexion passive de l'avant-bras sur le bras
HIE AVEC RÉTRACTIONS FAMILIALES 45 tension active du poignet et des
doigts
a conservé sa vigueur ; ainsi les petits mouvem
des doigts a conservé sa vigueur ; ainsi les petits mouvements des
doigts
(abduction, adduction, extension des dernières ph
ut appuyer sur les fers du lit le bout de l'index, le bout du petit
doigt
, sans y mettre le moindre effort. Pour rester deb
tait à la malade de s'appuyer sur les fers du lit avec le bout d'un
doigt
, avec le bout du petit doigt sans y mettre le m
sur les fers du lit avec le bout d'un doigt, avec le bout du petit
doigt
sans y mettre le moindre effort, il lui suffisait
rès ferme, et cela même avec les yeux fermés. Est-ce que l'appui du
doigt
, du bout du doigt appliqué sans nul effort, sur
même avec les yeux fermés. Est-ce que l'appui du doigt, du bout du
doigt
appliqué sans nul effort, sur les fers du lit aur
é des muscles flexor carpi ulnaris et des fléchisseurs des derniers
doigts
; la flexion de la main seule, accompagnée d'un
r d'intéressantes modifications : léger accroissement en longueur des
doigts
, réels progrès dans l'ossification du cartilage
rence de hernie du poumon. Lorsque le sujet respire normalement, le
doigt
appliqué sur ces espaces (2° et 3e) ne per- çoi
et, dans le second temps de l'inspiration, bomber fortement sous le
doigt
, en même temps que les côtés s'élèvent. Le st
né, ptérygoïdien, qui part de la' deuxième côte, à trois travers de
doigt
du. sternum, et se dirige obliquement de 134 SO
bres costales du grand pectoral. En sai- sissant ce repli entre les
doigts
, on constate qu'il contient une espèce de mem-
développées. L'arrêt de développement porte principalement sur les
doigts
et avant tout sur les phalangines et les phalange
dius et à l'annulaire; le pouce a un ongle rudimentaire et le petit
doigt
n'en porte pas. Il existait, en outre, une syndac
e est simple. Ce n'est pas la harpe qui chante une mélodie sous les
doigts
qui la parcourent, c'est chaque corde de la har
la parcourent, c'est chaque corde de la harpe qui résonne quand le
doigt
la tou- che, et la succession de ces sons respe
e notre conscience la place la plu simportante. Même sans remuer le
doigt
, il nous suffit d'y penser pour y éveiller la s
ons prendre pour accommoder la vision de notre conscience.Quand les
doigts
ouverts et les yeux fermés, je fixe l'attention d
e mon sens des atti- tudes segmentaires successivement sur les cinq
doigts
de ma main, j'éprouve une double sensation. D'a
s de ma main, j'éprouve une double sensation. D'abord chacun de mes
doigts
, à mesure que mon atten- tion s'y porte, semble
point de mon corps comme l'oeil le fixerait pour sa part. Je sens tel
doigt
en y fixant mon attention, comme je le verrais
attitudes et l'orientation sensorielle. Quand je touche un objet du
doigt
,le contact est tout d'abord localisé sur cette
constate queuta vision est abaissée des deux côtés. OG : compte les
doigts
à 40 centimètres. UD : vision 5/10 de la normal
se plaint de voir trouble, mais s'il relève ses paupières avec les
doigts
, il trouve que le trouble disparaît presque compl
ré en noir. Le gros orteil n'a pas d'ongle à son extrémité. Le 20
doigt
se termine aussi par un bourrelet, mais sur sa fa
de ce bourrelet et de l'orteil se voit un petit ongle. Les 4° et 5e
doigts
sont normaux. Main droite- (PI. XXVII, fig. B e
orte d'appendice conique (semblant être le rudiment d'extrémités de
doigt
), replié jusqu'à presque contact (fig. B) sur ce
par le fait même des adhérences, et correspondant aux 2', 3e et 4e
doigts
. A ce niveau, la masse est très molle et présen
lie la- térale droite du cervelet ; elle se termine en extrémité de
doigt
. Cette languette prolonge le lobe droit du cerv
midi. Voici d'ailleurs, le nombre des pulsations recueillies par le
doigt
placé sur la radiale, et les chiffres obtenus à
tylies, caractérisées uniquement par l'absence d'un ou de plusieurs
doigts
, les phocomélies, chez lesquelles le segment ba
a suppuration d'un certain nombre d'entre elles, une mutilation des
doigts
(médius et index) de la main gauche et enfin, p
t suppuré. - Syndrome syryngomyélique (ampu- talions spontanées des
doigts
, tfiermo-anestlcésie) chez un homme de trente et
OSTOSES MULTIPLES A TENDANCE SUPPURATIVE Amputations spontanées des
doigts
. (P.-E. Launois et Pierre Roy). Masson &
processus qu'il faut attribuer la résorption des pha- ' langes des
doigts
de la main gauche, qui s'est produite il y a dix
iptions du torticolis mental et, comme lui, corrigé par le signe du
doigt
. Les réflexes rotuliens sont exagérés et les cu
ue au sujet de notre malade.. Nous retrouvons chez elle le signe du
doigt
, cet acte de foi qui sauve, caractéristique du
vulsivement entre le pouce et l'index fléchis, ainsi que les autres
doigts
, dans la paume de la main qui s'appuie fortement
ncoordination. . Le gros orteil vient se poser sur le bout de votre
doigt
, sans hâte, et sans dévier de la ligne droite.
rchant. Le bras droit est accolé au tronc, l'avant-bras fléchi, les
doigts
et surtout l'index ayant aussi de la tendance à s
s et ne contiennent pas trace de testicules ; on a beau enfoncer le
doigt
aussi avant que pos- sible dans le canal inguin
taille ; elle avait en outre la forme spéciale en battoir, avec des
doigts
carrés du bout, et de largeur uniforme sur tout
2), environ la taille et la forme de la dernière phalange, du petit
doigt
; il pesait 2 drachmes. Les trompes de Fallope
ntés par de petites masses granuleuses de la taille de l'ongle d'un
doigt
, adhérentes à la face postérieure du liga- ment
physaires sur les corps des vertèbres auraient été dérangés avec le
doigt
. En fait, il apparut littéralement qu'il n'y av
rte que, malgré leur grandeur, elles ne sont pas sans élégance. Les
doigts
sont longs, leurs articulations non épaissies,
ns non épaissies, leurs ongles conformés normalement. Seul le petit
doigt
a sa première phalange fléchie, et ses mouvements
nce corticale a une consistance parcheminée et garde l'empreinte du
doigt
. Crânes Augmentation disproportionnée de sa por
de six pieds ; il est grand, maigre et parait gelé ; il a de grands
doigts
allongés et osseux. On dirait que la castration d
au dire de la malade, le membre gauche était refroidi, surtout les
doigts
; ce qu'il y a de certain, c'est qu'elle éprouv
anière uniforme ; les mou- vements sont saccadés ; par moments, les
doigts
n'obéissant plus du tout à la volonté, elle ne
a matité du foie remonte un peu haut et descend à deux tra- vers de
doigts
des fausses côtes. La palpation du foie au-dessou
s sont contractures dans la flexion; le pouce est dans la main, les
doigts
fléchis; les membres supérieurs sont en extensi
ent sans diarrhée, il mange avec voracité, malproprement avec ses
doigts
. - Circulation, rien de particulier. - Musculatur
udes ; et quelques autres cicatrices ailleurs, entre autres sur les
doigts
. Les sens sont difficiles à examiner vu l'état
gémissements, pas de toux.A la perwssion, résistance augmen- tée au
doigt
; respiration un peu obscure, pas de souffle, ni d
SE DOUBLE AVEC IMBÉCILLITÉ. 16t. les avant-bras un peu fléchis, les
doigts
en mouvement. Le corps se tortille, les genoux
sit brusquement les bouchées de pain préparées par l'infirmier; ses
doigts
les serrent énergique- ment. Lorsqu'il porte le
t des oscillations. Quand Dern... veut prendre sa fourchette, les
doigts
s'écartent complètement, puis les quatre derniers
ngtemps cette position; parfois, cependant, il a des mouvements des
doigts
et du bras droit. C'est ce bras qui est le plus
ner, mais lentement. Pour boire, il rapproche les deux mains, les
doigts
très largement espacés, et avec des mouvements d'
en contact, les jambes rejetées de côté. On note des mouvements des
doigts
de la main droite, des épaules, de la tête et d
formes à large amplitude, tout en se diri- geant vers le verre. Les
doigts
sont fortement écartés, les pouces étendus. Le
art entre le pouce et l'index de la main droite (les trois derniers
doigts
res- tant écartés) et d'autre part les trois de
rniers doigts res- tant écartés) et d'autre part les trois derniers
doigts
de la main gauche (le pouce et l'index restant
out, effort accompagné de mouvements athétosiques de la face et des
doigts
. Dans la station verticale, la tête est animée
u'il ne peut pas se servir de canne à cause des mou- vements de ses
doigts
. Tandis que seul, sans aucun secours, il ne mar
ain, il y arrive assez facilement de la main gauche. Sa main et ses
doigts
se mettent alors dans l'extension et l'abductio
. Au repos, la main étant dans l'extension, l'annulaire et le petit
doigt
sont légèrement fléchis comme dans la rétractio
de la main où il est fléchi, cette paume se tourne vers le sol, les
doigts
fortement étendus. (Planches 111 el IV.) Memb
ment; il reste accroupi dans son fauteuil, les membres fléchis, les
doigts
fermés. Il comprend ce qu'on lui dit, fait remar-
s qui sont soulevés, ainsi que les épaules, des mouvements dans les
doigts
, des grimaces de la face : la bouche paraît ser
ans déviation du but, le bord du verre entre le pouce et les autres
doigts
, puis il porte le verre à sa bouche. Dans cette
ns l'athé- tose double, même au repos, on note des mouvements des
doigts
, des orteils, de la face, etc. ; les désordres de
. - Polysarcie. - Strabisme, nystagmus, myopie. - Malformations des
doigts
des deux mains et du pied gauche. (Polydactylie
trémité anté- rieure s'insère la deuxième phalange de chacun de ces
doigts
. Ceux-ci sont moins volumineux que le petit doi
de chacun de ces doigts. Ceux-ci sont moins volumineux que le petit
doigt
et sont aplatis d'avant en arrière. Le tout for
t forme une sorte de système spécial, dû à la division du quatrième
doigt
normal, situé sur un plan postérieur aux autres
du quatrième doigt normal, situé sur un plan postérieur aux autres
doigts
, si bien qu'à la face pal- maire, il existe un
'à la face pal- maire, il existe un creux entre la base de ces deux
doigts
et l'extrémité antérieure du quatrième métacarp
stérieurs très-limités, qui suivent ceux des troisième et cinquième
doigts
normaux, lorsque la malade ouvre ou ferme la ma
rmaux, lorsque la malade ouvre ou ferme la main ; mais chacun des
doigts
de ce groupement n'a pas de mouvements propres. L
s doigts de ce groupement n'a pas de mouvements propres. Le petit
doigt
est uni au plus externe de ceux-ci par une mem-
uni au plus externe de ceux-ci par une mem- brane de l'épaisseur du
doigt
, qui s'étend en avant jusqu'au niveau do l'extr
ndex, le médius et l'annulaire sont normaux. Au niveau du cinquième
doigt
, est un système e de trois petits doigts accolé
aux. Au niveau du cinquième doigt, est un système e de trois petits
doigts
accolés les uns aux autres (fig. S). Il n'y a q
il son extrémité anté- rieure s'insèrent les premières phalanges du
doigt
externe et du doigt médian, qui sont indépendan
rieure s'insèrent les premières phalanges du doigt externe et du
doigt
médian, qui sont indépendantes. Ces deux doigts p
doigt externe et du doigt médian, qui sont indépendantes. Ces deux
doigts
pos- sèdent chacun trois phalanges et un ongle;
dehors, jusqu'à la commissure normale, entre lui et le qua- trième
doigt
. Il est séparé du doigt médian en avant seulement
issure normale, entre lui et le qua- trième doigt. Il est séparé du
doigt
médian en avant seulement depuis la moitié anté
ent depuis la moitié antérieure de la deuxième phalange. Enfin le
doigt
interne est accolé à la face interne de la deuxiè
rcie; myopie ; strabisme. ' arrière, où il se termino en pointe, ce
doigt
possède aussi un ongle mais mal conformé. 'l'ou
; l'opposition avec le pouce se fait d'une façon mal habile avec lo
doigt
externe. Le doigt ex- terne et le médian ont qu
c le pouce se fait d'une façon mal habile avec lo doigt externe. Le
doigt
ex- terne et le médian ont quelques mouvements
été at- teinte à l'âge de trois ans. Quant aux malformations des
doigts
et du pied gauche, la description que nous en a
ler travailler à l'atelier de couture parce que ça lui fait mal aux
doigts
. Quoiqu'il ne soit pas excité, il dit parfois q
lement reposé. Il a ajouté qu’il lui avait semblé qu’on promenait les
doigts
sur sa cervelle mise à nu, comme on ferait sur le
ux deux. 11 fixa cet homme, étendit le bras vers lui, et le pointa du
doigt
; dès cet instant celui-ci fut comme fasciné, il
ons, et comme il craignait de se tromper sans doute, il humecta son
doigt
, lïotta sa main comme si c'eût été le verre d’une
ous appuyez le coude pour immobiliser la main. Ceci fait, tenez votre
doigt
horizontalement et le pouce renversé autant que p
its par des courants d’otl, ou magnétisme animal, qui se dégagent des
doigts
des expérimentateurs. » Cette expérience rappel
outes sortes de mouvements. J’ai vu deux personnes, superposant leurs
doigts
sur un guéridon, le faire monter sur une fenêtre
ssible de produire ces évolutions par l’action purement mécanique des
doigts
ainsi superposés. « Voici par quelle illusion l
chaîne autour d’un guéridon. Lorsqu’il commence à s’ébranler sous les
doigts
, je commande à ce meuble de frapper du pied, sans
uissants pour guérir? Que signifie surtout cette pose de la main, les
doigts
touchant à peine la blessure ; est-ce là l’attitu
ience, réitérée plusieurs fois, ne réussissait pas, il appliquait ses
doigts
successivement : ■ Sur le sommet de la tête, au
ps du sujet, il est constant pour moi que le poids soulevé par chaque
doigt
équivaut à au moins dix kilogrammes, et comme j'e
ue doigt équivaut à au moins dix kilogrammes, et comme j'emploie deux
doigts
dans l’opération, je soulève pour ma part vingt k
. Chaque expérimentateur agissant de la sorte, on trouve que les huit
doigts
expérimentant ont enlevé un poids de cent soixant
qui, en détruisant l’adhérence qui s’établit naturellement entre les
doigts
des expérimentateurs et la table, est parvenu, di
ins des opérateurs de poudre de talc, choisie par moi et sécliée. Les
doigts
n’adhéraient donc plus à la table, qui conservait
les chances si variables de médication qu’indique à nos instincts le
doigt
de la Providence. Redoutons particulièrement les
ertaines questions relativ es au magnétisme. 2° Attraction du petit
doigt
. Indépendamment du signe dont il vient d’être q
e le précédent ; je veux parler de l’attraction exercée sur le, petit
doigt
de la personne dont on veut explorer la sensibili
u Waux-IIall, après avoir obtenu sur deux dames l’écartement du petit
doigt
, on 111e présenta une dizaine de mains sur lesque
la personne sur laquelle j’opère n’attribue l'écartement de son petit
doigt
;ï l'imagination, j’a1 .-./m île lui faire fermer
Cosson , notre collègue; c’est que chez quelques personnes, le pclit
doigt
tend naturellement à s’écarter du doigt annulaire
quelques personnes, le pclit doigt tend naturellement à s’écarter du
doigt
annulaire d’un à deux centimètres; il est donc né
e, est dû à la différence de force dans les muscles latéraux du petit
doigt
. Av ec un peu d'attention, 011 évitera de commett
era de commettre l'erreur en question : que l’on attende que le petit
doigt
soit complètement immobile, et lorsqu'on agira su
n ne pouvait rien obtenir par les moyens ordinaires, et dont le petit
doigt
, malgré sa résistance, se porta vers la main du m
malgré sa résistance, se porta vers la main du magnétiseur. Aussi ce
doigt
, suivant moi, peut-il être considéré comme un vér
me trouvais, un jeune homme a posé seulement les extrémités des cinq
doigts
de sa main droite sur le centre d'une table qui,
dans tous les sens à la demande des spectateurs. Nous avons posé les
doigts
de môme pour chercher à répéter les mêmes résulta
tourner, par la volonté, sans la saturer de fluide par le contact des
doigts
, en faire un diminutif du baquet de Mesmer ; car
; car j'ai vu une personne éprouver une forte commotion en plaçant un
doigt
au centre pendant que la table touinait, et être
u sujet; il est encore vrai que celui-ci sent à peine l’impulsion des
doigts
qui l’enlèvent. Cela se comprend facilement : la
pour la sœur de son père. Sa tante lui saisit la main et lui coupa le
doigt
indicateur. Cet affreux cauchemar n’éveilla pas l
surprise et la douleur de ses parents, quand ils constatèrent que le
doigt
de leur fils était ensanglanté, et qu’une entaill
endant les si\. premiers, rien ne pouvait vaincre la constriction des
doigts
; peu à peu ils se détendirent, et le dixième jour
orables du reste, 011 prétendit qu’au moyen d'une légère pression des
doigts
sur la tablette du guéridon, j’obtenais facilemen
eptibles de neutraliser l’action magnétique. Nous avons introduit les
doigts
servant à l’opération dans de petits cônes de pap
d'établir le courant magnétique au moyen de fils attachés au bout des
doigts
, fils qui toucheront à la table, et qui seuls ser
immortels! C/est avec vos sens, et l’œil bien ouvert, c’est avec les
doigts
que vous voulez toucher ce qui n’a point de corps
r longtemps, sans support, une chaîne formée par le léger contact des
doigts
. Ce qui autorise «à supposer que le phénomène peu
euble sur lequel on pose les mains, — soit en touchant légèrement les
doigts
, soit même sans contact ; — et les changements de
ts mouvements, elles balayent la poudre et la chassent de dessous les
doigts
, le talc, évincé ou mis en boulettes avec la cire
gueur dans les doigté,' de faire tourner une table en posant les cinq
doigts
, non pas au centre, ils ne pourraient y être à la
ve, ou qu’ils s’y prennent moins bien, ou qu’ils sont moins forts des
doigts
, ou enfin qu’ils ne sont pas dans les circonstanc
is bien savoir comment l’action de nia volonté fait mouvoir mon petit
doigt
; car c’est là un fait indéniable : je veux que m
r mon petit doigt ; car c’est là un fait indéniable : je veux que mon
doigt
se lève, il se lève. Je sais bien qu’il faut pour
omène n peut influer fâcheusement sur les résultats. Le contact des «
doigts
extrêmes peut aussi faciliter l’établissement de
! pour prendre mon exemple au plus près, sais-je quels mouvements mes
doigts
ont exécutés pour tracer les lignes que je viens
ligentes? — Oui, car elle répond sous l’influence intel-u ligente des
doigts
imposés. » Si M. Babinet, à propos des coups my
le sujet peut rester environ une demi-minute suspendu au bout de nos
doigts
. Agréez, etc. J. GAUTIER. Le Mans, 17 mai 1
uioni à un mètre de distance, et interposant , entre la pointe de ses
doigts
et l'œil de cette malade, une glace d'un décimètr
té sa vertu magué-tique par l'insufflation et l’immersion d’uu de ses
doigts
dans ce liquide, Le 16 février, un des commissa
t les genoux, ne doit plus contenir de magnétisme, et l’immersion des
doigts
dans ce liquide, quand il est destiné à la boisso
ent se fait-il que l’aiguille aimantée ne soit pas influencée par ses
doigts
, quand elle peut traduire une quantité d’électric
ériste qui sait réfléchir cinq minutes à l’œuvre fluidique de ses dix
doigts
, répétera mot pour mot ces lignes; seulement, à l
xacte de la science proprement dite. Ainsi, quand l’on touche avec le
doigt
les organes électriques d’une torpille , après qu
être invoqué, beaucoup de lucides voient le fluide s’échapper de nos
doigts
par ondées rayonnantes ou par rayons vibratoires.
allu souvent pour éveiller un amour incendiaire? Une main touchée, uu
doigt
effleuré, une robe frôlée, le timbre d'une voix,
par une autre cause que les mouvements nerveux et musculaires de nos
doigts
. Les savants avaient parlé, et c’était la cause
vait raison ! Qu’il est sage de voir, de voir encore et de toucher du
doigt
! Le premier qui vit un chapeau ou une table tour
r sans mouvement appréciable du pied ; seulement, lorsqu’on appuie le
doigt
derrière la maléole externe, au moment où le brui
x jusque sous le chevet où était placée la montre du colonel, posa le
doigt
sur le chiffre qui marquait deux heures. a Lacu
Poursuivi, obsédé par cette sinistre visite, il lui semblait voir le
doigt
du fantôme tracer entre chaque ligne le chiffre m
sion ne s’opérait plus. En touchant les paupières, on sentait sous le
doigt
de petits corps durs, disséminés dans toute leur
ore que c’est à moi que la lettre est adressée, et elle me désigne du
doigt
directement pour l'indiquer. Elle résume bien tou
par des voleurs ; car elle voyait qu’on lui arrachait ses bagues des
doigts
et sa montre, ou quelque chose de semblable d’aut
où le sujet, ayant les yeux fermés, voit la luminosité qui émane des
doigts
du magnétiseur même lorsque la main est tenue au-
saupoudrée de talc a tourné, quoiqu’on empêchât ainsi l’adhérence des
doigts
avec le meuble. J’avais déjà imaginé et pratiqué
sement des bottes ; et faisant la chaîne avec d’autres personnes, les
doigts
appuyés sur ces paquets, nous tâchons de pousser
ouvement à la table. Cela constaté, nous replaçons les paquets et les
doigts
de la môme manière, et en procédant comme de cout
ait comme une sensation de fourmillement dans les orteils et dans les
doigts
; douleurs très-aiguës dans le milieu des cuisses,
ieurs s’agitèrent vivement; ma main arrêtée au-dessus des genoux, les
doigts
dirigés en pointe, provoqua des contractions viol
l'habitude d’écrire ses communications sur ses bras avec le bout d’un
doigt
, d’abord sur le bras gauche avec l’index de la ma
cher la môme impression que les traces d’un coup de fouet, quoique le
doigt
en les écrivant ait glissé sur la peau avec une g
visibles modifient-îls un organisme vivant, de manière à se servir du
doigt
comme d’une plume, à employer le fluide vital com
t la forme d’une main humaine, si ce n’est qu’elle n’avait que quatre
doigts
; cette main saisit le phosphore, le frotta entre
e quatre doigts ; cette main saisit le phosphore, le frotta entre les
doigts
et la paume, de manière à rendre le tout parfaite
sur ces parties du corps, ils finissent par faire arriver sous leurs
doigts
un petit corps rond , qu’ils amènent au centre de
se de marteau, frappe la semelle sur son genou; sa bouche mouille les
doigts
, et ses bras s’étendent pour serrer les (ils ciré
: Il i Par..ce!se recommande ci lle plante contre la jtosIc. Les
doigts
douze heures de suite dans du vinaigre où l’on av
s, ils s'appuient l'avant-bras sur la barre de l'instrument, et leurs
doigts
se trouvent maintenus sans fatigue à la hauteur d
ons qu’il serait trop long de détailler, et que les extrémités de mes
doigts
y causèrent huit ouvertures. Ainsi les bouts de m
e mes doigts y causèrent huit ouvertures. Ainsi les bouts de mes deux
doigts
ayant touché les deux côtés et ayant décrit un mo
it un mouvement demi-circulaire, une ouverture se forma sous l'un des
doigts
, et la peau demeura intacte sous l’autre doigt, b
e forma sous l'un des doigts, et la peau demeura intacte sous l’autre
doigt
, bien que la pression des deux doigts fût la môme
eau demeura intacte sous l’autre doigt, bien que la pression des deux
doigts
fût la môme et qu’aucune sensation 11e me fit ape
la retrouver, l’esprit mit en mouvement le bras de Mm* S..., dont le
doigt
se porta dans la direction où la bague devait se
d’abord été opérées au nombre de cinq ou six; l’entraînement sous les
doigts
et sous la volonté qui s’attachait à tel ou tel p
ait celle qui est cachée dans l’eau d’une marmite. Je fais toucher du
doigt
ce prodige, et, tout ébahi, le public ne voit dan
magnétique : — Bruit de souffle carotidien. 131 ;—Attraction du petit
doigt
, 141 ; — Application de métaux, 143; — Hérédité,
'élève dans l'extension et se place au-dessus de la tète : tantôt les
doigts
sont très-allongés et écartés [Fig. / et 2); — ta
e les autres sont fléchis : — tantôt enfin ce sont les trois premiers
doigts
qui sont allongés. — Le bras gauche est étendu le
qui sont allongés. — Le bras gauche est étendu le long du tronc ; les
doigts
sont fléchis, le pouce étant fortement appliqué c
au tronc, sont en croix (Pl. VI et IX); les mains sont fermées et les
doigts
fléchis si violemment sur la paume des mains qu'i
placent perpendiculairement au tronc et deviennent très-rigides. Les
doigts
sont vigoureusement fléchis. Les membres inférieu
rès plusieurs tentatives infructueuses, nous parvenons à enfoncer les
doigts
dans la cavité du bassin ; alors, Madeleine se dé
un peu soulevée; les bras sont étendus le long du corps, rigides, les
doigts
sont fléchis ; les jambes sont allongées et dans
as sont rigides, étendus perpendiculairement au tronc, en croix', les
doigts
sont fléchis. — Les membres inférieurs, allongés
die. Vers 12 ans, une de ses compagnes ayant marché sur l'un de ses
doigts
, elle eut un panaris qui a laissé une | Poitier
fosse iliaque, on sent avec la main un corps oblong, roulant sous les
doigts
; c'est quand on comprime ce corps que tout mouvem
t dans l'extension, rigide dans toutes ses jointures ; la main et les
doigts
sont fléchis ; le pouce est appliqué sur la paume
; le pouce est appliqué sur la paume de la main et re-couvertpar les
doigts
. Le bras gauche a la même attitude et présente la
gauche, récupèrent, leursouplesse naturelle; seuls le poignet et les
doigts
conservent leur rigidité. G... revient tout à fai
cousses dans le membre supérieur droit avec contracture passagère des
doigts
. M mai. — Hier soir, G... s'est sauvée de son d
(en pronation); les mains sont à angle droit sur les avant-bras ; les
doigts
sont énergiquement fléchis sur la paume de la mai
é, augmente de nouveau; les pupilles sont moyenne-mentdilatées; les
doigts
,seuls, changent d'attitude : le pouce, l'index, l
oi... Ah! mon Dieu! Ah! mon Dieu! je ne sens plus rien que ce soit le
doigt
ou... » — Puis, interpellant une de ses compagnes
-turées, immobiles. Le bras droit est soulevé, rigide; la main et les
doigts
sont souples. A gauche, la contracture occupe le
sont souples. A gauche, la contracture occupe le bras, la main et les
doigts
qui sont fléchis, le pouce en dehors. Ceci dure 2
à angle droit sur le bras et correspond à la ceinture, la main et les
doigts
sont fléchis. Le bras et l'avant-bras droits sont
ds de son lit, le mur, etc., les effets sont les mêmes. L'approche du
doigt
lui cause une véritable frayeur. Aussi est-il dif
nt circonscrites à l'une des moitiés de la face, à l'un des bras (les
doigts
s'écartent), ou bien les secousses soulèvent les
ues et tléchies à angle droit sur les avant-bras ; les trois derniers
doigts
sont fléchis, les autres allongés. Les membres su
tre le sein ; la main est fléchie à angle droit sur le poignet et les
doigts
viennent toucher l'épaule (Pl. XXVII). Si l'on es
e corps ; de crampes occupant la langue, les muscles de la nuque, des
doigts
(fléchisseurs) ; d'autres fois, il lui semble que
rdes et douloureuses. Quelquefois, il se produit des crampes dans les
doigts
et un tremblement des mains, comparable au trembl
M... a le bras gauche accolé au tronc, l'avant-bras fléchi, l'un des
doigts
allongé; on dirait que, dans son absorption extat
t, fait signe, se couche tout de son long, écarte les bras, agite les
doigts
, remue les jambes, se couche sur le côté droit, s
. a été prise d'attaques, auxquelles ont succédé des crampes dans les
doigts
(demi-flexion) et dans la langue. « Il me semble,
surtout à droite ; elles maintiennent, durant un temps variable, les
doigts
fléchis et sont assez douloureuses pour arracher
La crête iliaque gauche est plus élevée de deux ou trois travers de
doigt
que celle du côté droit. On observe au-dessus d
La crête iliaque gauche est plus élevée de deux ou trois travers de
doigt
que celle du côté opposé. La colonne vertébrale
es : le père assure que pendant le sommeil on peut dé- flécliir les
doigts
, mais que la flexion revient aussitôt, bien que
n constate tout le long du dos, une hyperes- tésie considérable. Le
doigt
promené sur cette région provoque des mouvement
est à peine perçu et plutôt encore comme sensation de contact. Aux
doigts
et sur- tout à partir de la moitié inférieure d
s croyables. D. Et ceci (l'obélisque) ? R. Diable : ce n'est pas un
doigt
coupé - je ne sais. Je ne suis pas encore entré
qui paraissait par des efforts de torsion fuir sous la pression du
doigt
, se généralisaient bientôt à tout le corps qui
ras on le voit garder la position donnée; il est raide, de même les
doigts
, et cette atti- tude peut persister des heures
ant la moitié droite de la face, une sensa- tion annulaire au petit
doigt
du côté droit, de la paralysie des extrémités d
tificiellement le 10 août; un demi-litre de pus de bonne nature; le
doigt
atteint une cavité sise dans la région de la ra
poque, par suite de cause inconnue, il eut un panaris au médius. Le
doigt
lui fit mal près de quinze jours, l'ongle tomba
'avant-bras ou d'avoir eu du gonflement de la main, mais lorsque le
doigt
fut guéri, il arriva que l'extension maxima des
is lorsque le doigt fut guéri, il arriva que l'extension maxima des
doigts
dans l'articulation méta- carpo-phalangienne de
ienne devint impossible; le médius était en re- tard sur les autres
doigts
. En essayant l'extension forcée passive, le mal
ur en hiver. Des tiraillements continuaientà se pro- duire dans les
doigts
après la fatigue du travail, de même qu'à l'ext
ant un traitement parties fourmis). Au-dessus des articulations des
doigts
, du côté de la face dorsale, il y a une indurat
anque complètement; à gauche, tous les mouvements de la main et des
doigts
sont normaux et assez étendus; à droite, l'exte
iale est assez considérable; les autres mouvements delà main et des
doigts
sont assez faibles. L'oppo- sition du pouce est
ts. En général, le sens de localisation est assez fin, même sur les
doigts
, où l'épiderme est fort épaissi. Au Fig. li.
fort épaissi. Au Fig. li. '168 PATHOLOGIE NERVEUSE. bout des
doigts
les pointes du compas de Weber donnent la per-
eption du pouce où elle est obtenue à 4, du côté droit sur le petit
doigt
à 2, sur le quatrième doigt et le pouce à 4; su
obtenue à 4, du côté droit sur le petit doigt à 2, sur le quatrième
doigt
et le pouce à 4; sur les autres à 3 ; à l'avant
us élevés pour le côté droit ; par exemple : côté gauche, bouts des
doigts
2, 3 mil., le pouce - 3, 4. Côté droit, bouts d
bouts des doigts 2, 3 mil., le pouce - 3, 4. Côté droit, bouts des
doigts
du deuxième, troisième 5 mil., quatrième et cin-
et la therma- nesthésie du thorax sont descendus de cinq travers de
doigts
. Le nerf trijumeau est en bon état; les autres
distinctement à droite qu'à gauche sur i la paume des mains et les
doigts
. Sur les paumes de la main, le malade ressent u
de temps en temps survenaient des mouvements convul- sifs dans les
doigts
. Tantôt la douleur disparaissait pour toute une
ent ne s'était pas étendu à toute la main. Il y a six ans, le petit
doigt
de la main gauche enfla en même temps que la pa
jusqu'au bord radial), il se forma un abcès qui s'ouvrit entre les
doigts
et donna lieu à une plaie béante séparant les p
'incurva; il se développa simultanément une faiblesse dans le petit
doigt
d'abord et dans tous les doigts ensuite, faible
tanément une faiblesse dans le petit doigt d'abord et dans tous les
doigts
ensuite, faiblesse qui se manifestait d'autant
ite, faiblesse qui se manifestait d'autant plus franchement que les
doigts
avaient plus froid. L'amaigrissement au début ne
ue le malade s'aperçut d'une petite excavation dans le voisinage du
doigt
et de l'amaigrissement des autres muscles inter
des fourmillements et des crampes se produisaient tantôt dans un
doigt
, tantôt dans l'autre pour deux ou trois minutes.
eux ans, une crampe tonique commença à se produire tantôt dans un
doigt
, tantôt dans l'autre, rarement dans deux doigts s
duire tantôt dans un doigt, tantôt dans l'autre, rarement dans deux
doigts
simultané- ment, pour ne durer qu'une minute ;
ature. Depuis cette époque, se développa l'ano- malie dans le petit
doigt
. Etat actuel. - Main gauche. - Entre le pouce e
e excavation : les espaces interosseux sont aussi excavés. Le petit
doigt
est fléchi sous un angle de 100o dans l'arti- c
uxième. Il se redresse passivement presque jusqu'à 180o; les autres
doigts
sont aussi légèrement fléchis dans les articula
étacarpo- phalangienne et l'opposition sont impossibles. Les autres
doigts
se fléchissent très faiblement, leur adduction
ment, leur adduction et leur abduction sont égales à zéro. Le petit
doigt
est un peu déjeté et n'est pas DE LA GLIOMATOSE
n'est pas DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 181 ramené vers les autres
doigts
. L'extension est forte dans l'articu- lation mé
n droite. Il n'existe nulle part de l'atrophie musculaire, le petit
doigt
est fléchi dans l'articulation entre les deux pre
langes sous un angle de 150° et il est légèrement déjeté des autres
doigts
. L'extension passive ne réussit pas com- plètem
xtension passive ne réussit pas com- plètement. Activement le petit
doigt
ne se rapproche pas du quatrième doigt, quoique
ètement. Activement le petit doigt ne se rapproche pas du quatrième
doigt
, quoique le quatrième doigt se rapproche de lui.
doigt ne se rapproche pas du quatrième doigt, quoique le quatrième
doigt
se rapproche de lui. La flexion du petit doigt
quoique le quatrième doigt se rapproche de lui. La flexion du petit
doigt
dans l'articulation métacarpo-phalan- gienne es
s est considérablement affaiblie, les mêmes mouve- ments des autres
doigts
sont légèrement affaiblis en comparaison de l'é
chement par un cheveu ; cela est moins bien senti sur les bouts des
doigts
, où la peau est légèrement épaissie. L'examen p
s limites de la normale. Aux membres supérieurs : les bouts des .
doigts
des deux côtés, 2 mill. ; le dos de la troisième
ttouchement du tendon 18 PATHOLOGIE NERVEUSE. extenseur de chaque
doigt
se définit aussi d'une manière parfai- tement j
s la locali- sation d'attouchements séparés à un ou deux travers de
doigts
dans la direction longitudinale et ne sent qu'u
diale de la main droite (fig. 7 et 8). Il occupe les trois premiers
doigts
et la ra- diale du quatrième; sa limite va exac
au milieu de la paume de la main et de la face dorsale du quatrième
doigt
en descendant. Sur la paume de la main la lig
sur la face dorsale; ces tumeurs sont assez plates, la pression du
doigt
ne laisse pas de trace, on observe dans les os et
t abaissés, quoiqu'ils ne soient pas détruits, sur les mains et les
doigts
dans les limites antérieures. L'atrophie et la
sont contractures dans la flexion ; le pouce est dans la main, les
doigts
fléchis; les membres supérieurs sont en extensi
ent sans diarrhée, il mange avec voracité, malproprement avec ses
doigts
. - Circulation, rien de particulier. Musculature
udes ; et quelques autres cicatrices ailleurs, entre autres sur les
doigts
. Les sens sont difficiles à examiner vu l'état
émissements, pas de toux.A la percussion, résistance augmen- tée au
doigt
; respiration un peu obscure, pas de souffle, ni
ns l'athé- tose double, même au repos, on note des mouvements des
doigts
, des orteils, de la face, etc. ; les désordres de
n omettre, je ferai observer qne, si la malade remue trois fois les
doigts
; c'est pour obéir aux lialluci- nations ; les m
rconstances l'importance qu'elle attache au chiffre 3, (compter les
doigts
, ouvrir trois fois les yeux, boire trois verres
raideur, puis de l'immobilisation en extension de l'ensemble des
doigts
. Bientôt l'extrémité inférieure gauche s'est pris
neux. Disparition de l'excitabilité mécanique des extenseurs des
doigts
et des vastes de la cuisse. Réaction dégénérative
e regardent pas leurs pieds. Les bras de la somnambule, ainsi que ses
doigts
, étaient étendus et roides. « Lorsqu’elle fut a
dre les membres supérieurs tout à fait insensibles, de lui fermer les
doigts
de la main droite, et de lui ordonner de saisir
entai. 11 le lit, en me disant que je ne pourrais plus retirer 111011
doigt
de la main de la somnambule, si le magnétiseur, p
gnétiseur, par ses tractions, ue rouvrait pas la main. Je laissai mon
doigt
tranquille pendant quelques moments, et lorsque j
s que sa main s’était relâchée, je fis un très-léger mouvement de mon
doigt
, et je sentis que, dans ce moment, elle redoublai
) très-rigide. 11 fallait beaucoup de force pour fléchir seulement un
doigt
. Après cinq ou six minutes, lorsque je pensai que
eçoit 8 à 12 florins (18 à *26 fr.) pour prix de ses douleurs. Chaque
doigt
de M. Regazzoni signifie un certain mouvement. L’
à ma fille : « Autrefois, les papas et mamans avaient leurs petits
doigts
, d’autres avaient mille secrets pour connaître ce
en faisant écouler l’électricité surabondante par les extrémités des
doigts
et des orteils. C’est, en un mot, la légalisation
i du nerf au-dessus de Y aura ou que l’amputation de l’orteil ou du
doigt
, oit que l'ustion du point quelconque d’où cette
orientaux consiste surtout en frictions exécutées, ii l’aide de deux
doigts
seulement, le long des muscles sous-cutanés, que
it-il, qu’il ne nous est pas donné de connaître les couleurs avec les
doigts
, quoique nous puissions parvenir à distinguer au
ment la prétendue vision par le creux de l’estomac ou par le bout des
doigts
, dans l’état qu’on appelle magnétisme animal. Qua
mal. Quand bien même la peau de la région épigastrique et du bout des
doigts
aurait la faculté de sentir la lumière, ce qui n’
sentante. Or, sans de tels appareils, le creux de l’estomac et les
doigts
, fussent-ils môme aptes à sentir la lumière, ne p
n cas, distinguer, même vaguement, le jour de la nuit à l’aide de ses
doigts
ou de sa région épigastrique, et s’il y parvient,
ais, dès qu’ils se donnent pourvoir avec les yeux bandés, ou avec les
doigts
, ou avec l’épigastre, pour distinguer ce qui se p
i, levez la main du somnambule au-dessus de sa tète et fléchissez les
doigts
su" la paume, l’idée de grimper, de se balancer,
irer une corde, etc., est provoquée. Si, au contraire, on fléchit les
doigts
tout en laissant pendre le bras le long du côté,
côté, l’idée qu’on excite est celle de soulever un poids; et, si les
doigts
sont fléchis, le bras étant porté en avant dans l
ppement musculaire, soulever un poids de 14 kilogrammes sur son petit
doigt
seul et le faire tourner autour de sa tète sur la
objet brillant (par exemple un porte-lancette) entre le pouce et les
doigts
indicateur et médian de la main gauche ; tenez-le
érablement dilatées et avoir pris un mouvement de fluctuation, si les
doigts
indicateur et médian de la main droite, étendus e
ujet peut d’ordinaire s’endormir lui-même facilement en regardant son
doigt
placé assez près des yeux pour causer une converg
craquements, puis des coups sourds, que l’on dirait frappés avec les
doigts
ou un morceau de caoutchouc ; puis vient la rotat
cédés usités alors, faisant la chaîne par la superposition des petits
doigts
, et nous obtînmes la rotation. J’abandonnai bient
q kilogrammes environ. Je la couvris de sciure de liège, afin que les
doigts
ne pussent lui imprimer de mouvement. Malgré ces
ndit le bras en m’indiquant des passes longitudinales en secouant mes
doigts
après chaque opération. D’après ses impressions e
il. Voici le moyen qu’on employait : le magnétiseur lui appliquait un
doigt
sur le front et un doigt sur le creux de l’estoma
employait : le magnétiseur lui appliquait un doigt sur le front et un
doigt
sur le creux de l’estomac, en lui ordonnant de se
voir le ver»; elle me répondit avec précipitation : «Introduisez mes
doigts
dans la plaie, je le saisirai facilement.» Nous s
, je crois au principe actif, obéissant, Que Mesmer maîtrisa de son
doigt
si puissant. Je crois que ce principe, — esprit
z donc, et bientôt nos modernes Caïphes Sauront vous transformer: vos
doigts
seront des griffes, Vous aurez une queue, et des
bjet pour écrire. Tantôt, lorsqu’elle ne rencontrait rien, c’était le
doigt
qui traçait; à table, les couteaux, les fourchett
re. Le procédé, qu’il m’indiqua pour cet enfant, consiste à mettre un
doigt
dans chaque oreille, de manière que la pulpe de c
à mettre un doigt dans chaque oreille, de manière que la pulpe de ce
doigt
soit le plus près possible de la membrane du tymp
Alors Jésus, le tirant de la foule et le prenant à part, lui mit ses
doigts
dans les oreilles et de sa salive sur la langue,
, dit : t C’est avec le pouce d’une main dans une oreille et le petit
doigt
dans l’autre, » ce dernier doigt étant, d’après c
ne main dans une oreille et le petit doigt dans l’autre, » ce dernier
doigt
étant, d’après ce somnambule, celui qui, après le
rysipèle à la tête : 4 magnétisations. Panaris charbonneux au petit
doigt
de la main gauche : 4 magnétisations et compresse
excessivement rares, audition parle creux de l’estomac et le bout des
doigts
et communication de pensées par une sorte de péné
voici dans ce salon un magnifique piano d’Érard qui produit sous les
doigts
d’un artiste des sons harmonieux qui charment et
rait prendre des précautions. — « Non, me dit-elle en tirant de son
doigt
un anneau en acier qu’elle portait ordinairement
de son arlicle. paume de la main droite sur la région du cœur, les
doigts
en pointe dirigés vers la hanche gauche ; le bras
nche gauche ; le bras gauche étendu, son coude touchant la pointe des
doigts
de la main droite, et la main gauche portant sur
devant les yeux font fasier les paupières et incitent au sommeil. Les
doigts
présentés devant le visage et soulevés lentement,
joints, les fixer et diriger sur eux, à distance, la main droite, les
doigts
rassemblés en pointe. (1) Argument pour ceux qu
la partie du sein contenue entre ces deux incisions, et promenant ses
doigts
dans toutes les directions afin de s’assurer s’il
fort pour se retenir pendant l’opéra-ration, je remuai du bout de mon
doigt
les extrémités de ses doigts en arrière et en ava
l’opéra-ration, je remuai du bout de mon doigt les extrémités de ses
doigts
en arrière et en avant: ils étaient complètement
ile et sûr de ramener les mouvements inspirateurs en touchant avec le
doigt
le creux de sa poitrine. « On le fait aller que
fonctionné devant lui, il a pu mesurer le degré exact de pression des
doigts
sur le plateau à mouvoir, et s’assurer ainsi math
Gui (chez les Anglais, danse de saint Vitu), asthme, contraction des
doigts
et du cou, ulcère à l’ail, chlorose, aménorrhée,
s. En cette circonstance, Luisa l’écoute. Les yeux, les lèvres, les
doigts
de mademoiselle 0*** se meuvent dans une mimique
r nuage u’obscurcit les délices de l’entretien. A la minute, sous les
doigts
de M"° 0, s’épanouit une épopée comme celle des l
exée au spécimen original. Cet échantillon inqualifiable (échappé des
doigts
d’une jeune fille de dix-sept ans, près de son
s décédés , ont saisi nos mains, les ont pressées et ont serré chaque
doigt
séparément, leurs lèvres se sont appliquées tendr
que si c’eût été une main corporelle ; il a distingué la main, les
doigts
et les ongles. On palpe cette main dans tous les
elle était appuyée porta des empreintes de brûlure correspondant aux
doigts
. Les esprits ont prouvé aussi que ces mains sont
la table au milieu du cercle. On vit distinctement des empreintes de
doigts
humains sur le mastic, et sur la cire était écrit
par une douleur émanant, soit du pied gauche, d’une main ou même d’un
doigt
. A ma seconde visite, qui eut lieu le même soir
la saisit et la trouva dure et chaude ; elle resta immobile entre ses
doigts
. Un esprit jovial se mit alors à'jouer de l’harmo
le. — « Au mois d’octobre dernier, j’allai voir un ingénieur dont les
doigts
médium et annulaire d’une main avaient été coupés
médium et annulaire d’une main avaient été coupés par une machine. Le
doigt
du milieu avait été séparé à la première phalange
ne. Le doigt du milieu avait été séparé à la première phalange, et le
doigt
annulaire l’avait été environ à la moitié de sa l
chairs. Quand j’entrai dans l’appartement, les portions séparées des
doigts
n’avaient pas été recueillies : je demandai qu’on
incelle de vitalité, je les rapprochai des plaies et j’enveloppai les
doigts
de linges. Je laissai le malade en lui disant que
n essai pour voir s’il était possible de faire reprendre des bouts de
doigts
, mais que je craignais bien de ne pas réussir.
ttai la ville au mois de janvier pour aller prêcher dans 1*Ouest, les
doigts
étaient bien près d’ètre guéris. J’ai examiné mon
ès d’ètre guéris. J’ai examiné mon malade aujourd’hui (24 avril), ses
doigts
sont entièrement guéris, et il s’en sert aussi bi
t difficile de marquer la place du raccordement, et qu’à examiner les
doigts
, on ne croirait pas qu’il y ait eu jamais d’accid
c le reste, et les ongles sont aussi bien faits qu’auparavant. Un des
doigts
est un peu plus court qu’il n’était, mais cela a
peutavec la paume de la main. Ils la frappent aussi avec un ou deux
doigts
ensemble ou séparément. L'action de lécher sans
la trouvent pas assez humide, ils prennent grand soin de lécher les
doigts
avec lesquels ils frappent sur le fer rouge.
au dire de la malade, le membre gauche était refroidi, surtout les
doigts
; ce qu'il y a de certain, c'est qu'elle éprouv
anière uniforme ; les mou- vements sont saccadés ; par moments, les
doigts
n'obéissant plus du tout à la volonté, elle ne
ons de l'avant-bras à la partie inférieure, les muscles moteurs des
doigts
subsistent en tout ou en partie et éprouvent de
eure, il y a une sensa- tion nette et consciente des mouvements des
doigts
et de leurs déplacements. Autrement dit, la vol
on provoque l'illusion de mouvements d'extension et de flexion des
doigts
, et des parties dont le blessé avait perdu cons
de douleurs dans le bras droit; gonflement du dos de la main et des
doigts
. Douleurs surtout la nuit, avec chaleur et sécré-
vient livide à la pression, froide, humide, légèrement oeJématiér.
Doigts
un peu plus épais du côté malade, par suite de l'
sensa- tion très légère dans le creux de l'aisselle et au bout des
doigts
. L'anesthésie occupe la face antérieure et post
faveur de cette hypothèse. Il en est de même du faitque le bout des
doigts
et le creux de l'aisselle présentent encore un
. Adam- kiewicz. La persistance de la sensibilité à l'extrémité des
doigts
, l'intensité de l'anesthésie, la disparition de
MONOPLÉGIES PARTIELLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR. t89 les 'mouvements des
doigts
. La main semble lourde à la malade, elle laisse
nde est abolie; le sens musculaire est perdu en ce qui concerne les
doigts
et le poignet. - L'odorat, l'ouïe, le goût sont
vril. Même état. Mais le sens musculaire a reparu au poignet et aux
doigts
. Dans les trois cas que nous venons de passer e
ans aucune roideur musculaire. Il en est de même des mouvements des
doigts
qui ont con- servé leur agilité et courent sur
touchant légèrement le dos ou la paume de la main avec le pulpe du
doigt
, la malade ne s aperçoit pas de la sensation de
aperçoit pas de la sensation de contact, quand elle n'a pas vu le
doigt
se poser sur elle, et pourtant elle apprécie en
: il y a quelques semaines, elle s'est brûlée accidentellement un
doigt
avec de l'eau chaude sans le sentir. La sensibi
sensibilité articulaire est également altérée. On peut croiser les
doigts
, les placer dans des positions anormales, les f
ait la notion de la position de ses phalanges. En redressant les
doigts
de façon à forcer le mouvement de l'articulation
uloureuse des DES MONOPLÉGIES PARTIELLES DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 197
doigts
de la main et du poignet), a été ici beaucoup p
s'accompagnent de gonflement des téguments du dos de la main et des
doigts
. Sur tous ces points existent des sueurs locales
La matité du foie remonte un peu haut et descend à deux travers de
doigts
des fausses côtes. La palpation du foie au-dess
quelle le poignet est maintenant constam- ment étendu ainsi que les
doigts
, sauf sur ces derniers, quand ils sont appliqué
premières phalanges sont à l'état de tension (extenseur commun des
doigts
, extenseur de l'in- dex et du petit doigt). La
on (extenseur commun des doigts, extenseur de l'in- dex et du petit
doigt
). La plupart des malades du Dr V. Poore ont pré
restreints. Cette gène est due à l'absence d'extenseur propre de ce
doigt
. Pour y remédier, des auteurs américains ont pr
- breuses unissant le tendon extenseur de l'annulaire à celui des
doigts
voisins. Le Dr V. Poore ainsi que le Dr Warringto
be sans connaissance : les mains se portent derrière le Uos, et les
doigts
s'entrecroisent avec tant d'énergie qu'il se cr
RE D'UNE HYSTERIQUE HYPNOTISABLE. 327 les mains se rapprochent, les
doigts
s'enchevêtrent, les bras s'al- longent et les m
être fléchie, aucun mouvement ne peut être imprimé aux membres, les
doigts
sont tellement serrés que leur extrémité est cyan
s 328 CLINIQUE NERVEUSE. bras s'élèvent au-dessus de la tête, les
doigts
se plient dans la paume des mains, elle frappe
ants, on constate qu'il s'est produit une anesthésie complète de ce
doigt
s'étendant à toute la main et même à l'avant-br
ant-bras, et s'accompagnant de fourmillements et de raideur dans le
doigt
. Quelques jours après, nous appliquons un Archi
tteint d'une fracture.. ... de l'épaule, un autre de bulles sur les
doigts
, le troi- sième, de névralgie tenace, le quatri
and comme la paume de la main se trouve un eczéma squameux. Sur les
doigts
, la couche épidermique est considérablement épa
nt du pouce est très affaibli : le pouce ne peut atteindre le petit
doigt
. L'extension des doigts, de la main et de l'ava
faibli : le pouce ne peut atteindre le petit doigt. L'extension des
doigts
, de la main et de l'avant-bras se fait avec trè
it il y a eu des crampes de courte durée, dans les fléchisseurs des
doigts
, [air- DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 385 tôt d
sit brusquement les bouchées de pain préparées par l'infirmier; ses
doigts
les serrent énergique- ment. Lorsqu'il porte le
t des oscillations. Quand Dern... veut prendre sa fourchette, les
doigts
s'écartent complètement, puis les quatre derniers
ngtemps cette position; parfois, cependant, il a des mouvements des
doigts
et du bras droit. C'est ce bras qui est le plus
ner, mais lentement. Pour boire, il rapproche les deux mains, les
doigts
très largement espacés, et avec des mouvements d'
en contact, les jambes rejetées de côté. On note des mouvements des
doigts
de la main droite, des épaules, de la tête et d
formes à large amplitude, tout en se diri- geant vers le verre. Les
doigts
sont fortement écartés, les pouces étendus. Le
art entre le pouce et l'index de la main droite (les trois derniers
doigts
res- tant écartés) et d'autre part les trois de
rniers doigts res- tant écartés) et d'autre part les trois derniers
doigts
de la main gauche (le pouce et l'index restant
out, effort accompagné de mouvements athétosiques de la face et des
doigts
. 394 RECUEIL DE FAITS. Dans la station vertic
'il ne peut, pas se servir de canne à cause des mou- vements de ses
doigts
. Tandis que seul, sans aucun secours, il ne mar
ain, il y arrive assez facilement de la main gauche. Sa main et ses
doigts
se mettent alors dans l'extension ;et l'abducti
. Au repos, la main étant dans l'extension, l'annulaire et le petit
doigt
sontlègèrement fléchis comme dans la rétraction
de la main où il est fléchi, cette paume se tourne vers le sol, les
doigts
fortement étendus. (Planches III et IV.) .) M
ment; il reste accroupi dans son fauteuil, les membres fléchis, les
doigts
fermés. Il comprend ce qu'on lui dit, fait remar-
s qui sont soulevés, ainsi que les épaules, des mouvements dans les
doigts
, des grimaces de la face : la bouche parait ser
ans déviation du but, le bord du verre entre le pouce et les autres
doigts
, puis il porte le verre à sa bouche. Dans cette
eymond ; utilisation de courants faibles produisant sur la pulpe du
doigt
humide, ou môme sur la langue et les lèvres, un
it. med. Journal, p. 157, 1887.) Famille DONT les individus ONT six
doigts
. (Six-fingered family.) Dans un livre vieux de
tion d'une famille de Slimbridge, dont tous les membres avaient six
doigts
(un pouce supplémentaire), depuis au moins quat
77. Déviation conjugée (centre cortical de la), par Blanc, 411.
Doigts
(Famille dont les individus ont six), 455. ,
t obtenue et il est possible de simuler l'impuissance d'étendre les
doigts
sur la main et la main sur l'avant-bras ; mais
observation de joindre les mains et de tirer très fortement sur les
doigts
entrelacés, au moment où il exécute cet acte on
percutant ce point, on provoque aussi une flexion de la main et des
doigts
. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 43 E.
réflexe constant, un mouvement réflexe de flexion de la main et des
doigts
. Telles sont les règles principales, les indica
els que ceux d'adduction de la cuisse, de flexion de la main et des
doigts
, d'extension de la main et des doigts, d'abductio
de flexion de la main et des doigts, d'extension de la main et des
doigts
, d'abduction, d'adduction de la main, etc. En r
ité inférieure du radius on détermine une flexion de la main et des
doigts
, cette flexion est ordinai- rement moins marqué
oute, à l'état normal, comme je l'ai dit, le réflexe de flexion des
doigts
et de la main, le réflexe d'extension des doigts,
exe de flexion des doigts et de la main, le réflexe d'extension des
doigts
, etc., peuvent faire défaut chez un individu sa
bras. Celle-ci s'accompagne parfois d'une flexion de la main et des
doigts
; mais ce dernier mouvement, chez l'individu sain,
rémité inférieure du radius détermine une flexion de la main et des
doigts
l'emportant en intensité sur la flexion de l'av
trépidation analogue qu'on observe plus rarement aux orteils et aux
doigts
. Les diverses variétés de trépidation épileptoï
me segment cervical, centre du réflexe de flexion de la main et des
doigts
. Sinon, l'irréflectivité du membre supérieur n'
Le malade, avec des efforts, parvient à fléchir sponta- nément les
doigts
sur la main et l'avant-bras sur le bras, mais ces
issement de la tonicité des muscles ; il suffit de saisir entre les
doigts
les lèvres et la joue, et de leur imprimer des mo
ais, contraire- ment à ce qui a lieu là, quand on saisit, entre les
doigts
, les lèvres et la joue et qu'on leur imprime de
Je désire, au contraire, insister sur l'attitude de la main et des
doigts
, la griffe particulière qu'on observe dans bien
que, même lorsque la contracture est intense et que la flexion des
doigts
est très prononcée, on peut faire exécuter aux
a flexion des doigts est très prononcée, on peut faire exécuter aux
doigts
quelques mouve- ments passifs et glisser facile
mouve- ments passifs et glisser facilement sa propre main entre les
doigts
et la paume de la main du malade. Si alors on c
e du membre supérieur est ordinairement plus intense ; la pulpe des
doigts
est en contact avec la paume de la main. Pour don
st particulièrement évident chez le lapin : si on saisit entre deux
doigts
la cuisse et si on imprime à ce seg- ment un mo
rement du triceps, des pronateurs, des extenseurs de la main et des
doigts
et des interrosseux. L'examen électrique ne décèl
arties du tégument jusqu'à une limite située à plusieurs travers de
doigt
au-dessus de l'ombilic; mais cette réaction est
soit la vitesse du mouvement, à appliquer sans choc l'extrémité du
doigt
juste sur le bout du nez, et à la maintenir à cet
à la maintenir à cette place, le cérébelleux n'y parvient pas ; son
doigt
après avoir suivi dans sa course la direction v
té de votre index au bout de votre nez, vite,' encore plus vite. Le
doigt
dépasse le but. Le sujet, dont la sensibilité e
s deux malades accomplissent un mouvement fort comparable, que leur
doigt
aille avec brusquerie heurter le nez et osciller
ciable dans la forme du mouvement exécuté. Parfois, il est vrai, le
doigt
passe à côté du but, va vers la joue et n'attei
vrai, le tabétique peut plus aisément corriger son erreur ; mais le
doigt
à chaque instant ramené dans le bon chemin s'en
'accentue de façon très notable. Le mouvement perd toute mesure, le
doigt
peut être porté en divers sens, tantôt d'un côt
plique sur le muscle les deux élec- trodes et qu'on tient entre les
doigts
les manches auxquels elles sont fixées, si l'on
plique sur les muscles les deux électrodes et qu'on tient entre les
doigts
les manches auxquels elles sont fixées, si l'on a
- ment de la vue ; toutefois le malade est en mesure de compter les
doigts
de la main ; l'acuité visuelle est 2/10. Le g
rds de la hernie cérébrale qui fait saillie de plus d'un travers du
doigt
sur toute l'étendue de l'orifice crânien, on cons
bras et vient frapper par saccades la paroi thoracique gauche. Les
doigts
se fléchissent sur le métacarpe, mais la flexio
prononcée sur le médius et l'annulaire que sur l'index et le petit
doigt
. L'épaule gauche se soulève ; la tête se porte en
, elles reposent sur la table par leur bord cubital, tandis que les
doigts
correspondants des deux côtés viennent à chaque
résente actuellement. 264 4 AFFECTIONS NON PYRAMIDALES paume; les
doigts
et le pouce étendus et rapprochés sont animés de
L'articulation du coude se meut librement. Dans les articulations des
doigts
enfin, on note une excursion exagérée des segme
nation par exemple, ou encore lorsqu'on fait fléchir ou étendre les
doigts
. Les mouvements du côté sain ne déterminent au co
ourt que l'annulaire, cette dimi- nution des dimensions normales du
doigt
portant surtout sur le métacarpien correspon- d
r au malade soit un verre à la bouche, soit l'extrémité d'un de ses
doigts
au bout de son nez. Les mouvements ont alors une
cela, tandis que s'inscrivent le pouls capillaire et le volume des
doigts
de chaque côté, nous appliquons de la glace soit
aux. Le phénomène évolue avec lenteur : la diminution de volume des
doigts
commence presque aussitôt après la sensation pro-
s membres supérieurs s'accentue, surtout à droite; de ce côté les
doigts
sont en flexion forcée, il faut exercer une forte
auche : il est aisé de vérifier l'affaiblissement de la flexion des
doigts
, de l'abduction des doigts, de l'extension de l
fier l'affaiblissement de la flexion des doigts, de l'abduction des
doigts
, de l'extension de la main sur l'avant-bras. Aj
les modes, au- dessous d'une horizontale passant à deux travers de
doigt
au-dessus du mamelon. En août et septembre, d'i
hésie s'abaisse jusqu'à une horizontale passant à quatre travers de
doigt
au-dessous des mamelons. - Actuellement, cette
eurs sont allongés le long du corps, les mains sont ouvertes et les
doigts
étendus ; la peau à leur niveau est blanche et li
de soulever un peu les épaules, d'imprimer quelques mouvements aux
doigts
et d'étendre bien qu'imparfaitement l'avant-bra
donne lieu à une flexion de l'avant-bras. De même les réflexes des
doigts
et de la main sont exaltés et si on percute l'ext
s et si on percute l'extrémité inférieure du radius, la flexion des
doigts
prédomine sur la flexion de l'avant-bras, il y
nversion du réflexe du radius surtout du côté droit. La flexion des
doigts
peut du reste être provoquée par percussion de to
une ligne à peu près horizontale, située à deux ou trois travers de
doigt
au-dessus de l'ombilic. Au-dessus de cette limi
tanée remontent à gauche jusqu'au mamelon, à droite à un travers de
doigt
au-dessous du mamelon ; à la face postérieure, ce
e au-des- sus de la précédente, à une distance de Il à 7 travers de
doigts
; un peu plus haut se trouve la limite de l'ane
te supérieure de l'hypoesthésie descend de deux ou trois travers de
doigts
. Du côté droit, le froid, le chaud, la piqûre s
parmi ceux-ci, il faut placer au premier rang les fléchisseurs des
doigts
. Les membres inférieurs peuvent être atteints a
fibres, à la périphérie, sous le sarcolemme. Les fléchisseurs des
doigts
sont, au contraire, les muscles dont le déve- l
pe, intermédiaires entre le long supinateur et les fléchisseurs des
doigts
. Nous pouvons, pour plus de commodité, indiquer
VE 44g supinateur le chiffre 5, nous donnerons aux fléchisseurs des
doigts
le chiffre 2, et aux radiaux, ainsi qu'au rond
is prédis- posé et à développement rapide, que les fléchisseurs des
doigts
sont des muscles réfractaires et qui se dévelop
rte à droite qu'à gauche. La flexion et l'extension de la main et des
doigts
sont à peu près normales. La flexion de la cuis
rachial droit, les fléchisseurs et les extenseurs de la main et des
doigts
, dans les muscles du mollet et de la région ant
ue pas de flexion à l'avant-bras, mais donne lieu à une flexion des
doigts
(inversion du réflexe du radius)('). Les réflexes
ercutant le tendon achilléen ainsi qu'une flexion de la main et des
doigts
en percutant les tendons des fléchisseurs ; le ré
de la manière suivante : j'applique à l'improviste sur la pulpe des
doigts
, région parti- culièrement sensible, les deux é
s- sion un muscle quelconque (le fléchisseur commun superficiel des
doigts
par exemple), celui-ci se contracture. Les doig
n superficiel des doigts par exemple), celui-ci se contracture. Les
doigts
se fléchissent et, pour les ouvrir directement,
elle des muscles ou des nerfs : s'il en était ainsi, la pression du
doigt
sur le nerf facial, par exemple, devrait développ
et Mule G. Lévy, Impotence de tous les mouvements de la main et des
doigts
avec intégrité dos réactions électriques (main fi
ssait d'un blessé atteint d'une paralysie flasque de la main et des
doigts
consécutive à une plaie par balle du 2° espace in
ur, les contractures et les parésies hypotoniques de la main et des
doigts
, la contracture de l'avant-bras avec parésie des
'est un oedème véritable, se déprimant en godet sous la pression du
doigt
, surtout au membre inférieur. Cet oedème peut êtr
°,5. En général, l'hypothermie est surtout prononcée à l'extrémité (
doigts
, orteils, main ou pied), et elle s'atténue prog
que le membre sain ; la tache blanche produite par la pres- sion du
doigt
sur le dos de la main ou du pied malade, au lieu
alange (adducteur) combiné à un mouve- ment de flexion des 4e et 5e
doigts
au niveau de la première phalange (interosseux)
ui forme avec l'avant-bras un angle très aigu, une surextension des
doigts
que l'on recourbe en arc de cercle une surflexi
éflexe de la main, la compression de la région métacarpienne ou des
doigts
, ou encore les essais de mobilisation paraissen
ion siège à la main, une atrophie globale nettement appréciable aux
doigts
qui, alors, sont effilés. La radiographie compa
tracture ou de l'hypertonie, on les observe aux articula- tions des
doigts
, au poignet, au coude, à l'articulation tibio-tar
tion tibio-tarsienne, au pied, à la hanche. C'est aux jointures des
doigts
, dont les déformations rappellent assez souvent
é atteint, malgré le peu d'intensité des rétractions fibreuses, les
doigts
restaient immobiles. Ces diverses observations
r le médian et d'une parésie des extenseurs et des fléchisseurs des
doigts
. Ces derniers muscles ne présentent pas de R. D.
us. Société d'Ophtalmo- logie, mai igo7). 138. De l'abduction des
doigts
dans l'hémiplégie organique (Société de Neurologi
: des picote- ments, des engourdissements dans le bout de tous les
doigts
de la main droite qui montent dans l'avant-bras
l'écriture, mais hien qu'il n'y ait aucune paresse ou paralysie des
doigts
en ce moment, il ne trace que des caractères in
e douleur de la même qualité. Dans les plis entre les phalanges des
doigts
du côté de la paume de la main la douleur est t
lus faible est la région du bassin. De ce centre vers les bouts des
doigts
des extrémités supérieures et inférieures la se
le il la douleur que la ligne médiane postérieure. Aux pulpes des
doigts
la sensibilité douloureuse croît depuis le pouce
gts la sensibilité douloureuse croît depuis le pouce jusqu'au petit
doigt
. Aux doigts des pieds c'est moins prononcé. Sur
ibilité douloureuse croît depuis le pouce jusqu'au petit doigt. Aux
doigts
des pieds c'est moins prononcé. Sur le dos des
l'avant-bras sont arrondis, le poignet mince, la main petite et les
doigts
fins. Corps et membres sont franchement féminin
une douleur sié- geant dans le sein et la moindre pression avec les
doigts
la fait crier. Par- fois, le seul fait de palpe
ème, qui, -dans tous les cas, est dur, n'admettant pas l'empreinte du
doigt
, se localise plus particulièrement en certains
ras en arrière et une espèce de grosse corde de la largeur de trois
doigts
qui gagnoit jusqu'au bout du sein. Ce chirurgien
manche de chemise, une légère douleur sur le bord interne du petit
doigt
droit, douleur qui reparut les jours suivants,
gèrement fléchi sur l'avant-bras ; l'annulaire, et surtout le petit
doigt
fléchis sur le méta- carpe. Il y avait une atro
rosseux et des éminences hypothénarien- ne et thénarienne. Le petit
doigt
et la partie interne de l'avant-bras étaient oe
istait en un fourmille- ment extrêmement pénible, localisé au petit
doigt
et à la partie interne de la main ; toutes les
une zone d'anesthésie tac- tile occupant : du côté dorsal, le petit
doigt
, la première phalange de l'annulaire, la moitié
te de la main jusqu'à la tête cubitale ; du côté palmaire, le petit
doigt
, la moitié des deux premières phalanges de l'an-
acarpien, et dont la courte branche croi- sait à leur base le petit
doigt
, l'annulaire et le médius, nous permit de relev
ne hypereslhésique fut en effet, par cet examen, localisée au petit
doigt
et à la face interne de Fic. 15. Après arrach
f à la section du cubital,névrome que l'on fai- sait rouler sous le
doigt
sans la moindre douleur (fig. 17 et 98). En somme
tractions des muscles intrinsèques de la main, flé- chisseurs des
doigts
(surtout du pouce et des deux doigts externes),
la main, flé- chisseurs des doigts (surtout du pouce et des deux
doigts
externes), enfin, avec beaucoup moins d'intensi
vait jadis des contacts avec tant de précaution. Il fit mouvoir ses
doigts
, prit et soutint son verre rempli, écrivit quelqu
était le territoire de la VHP racine cervicale, comprenant les deux
doigts
internes, la partie interne de la main, et deux
tal, qui a seulement sous sa dépendance : du côté palmaire le petit
doigt
, la moitié interne de 'l'annulaire et la partie
re et la partie correspondante de la main ; du côté dorsal le petit
doigt
, l'annulaire moins la moitié externe de ses deux
ent et l'opéré lui-même ne se lassait pas de mouvoir sa main et ses
doigts
, véritablement stupéfait que ces mouvements pui
diant de 23 ans est affecté depuis 2 ans d'un eczéma récidivant des
doigts
des mains. Anesthésie à la douleur des extrémités
ser dans les mors de la pince la pierre qu'il dissimulait entre ses
doigts
. Le tour est joué. La pierre de la tête est ext
x mouve- ments intempestifs et maintient la tête avec fermeté : ses
doigts
marquent leur empreinte sur la peau. Enfin il e
ète sur lequel on peut compter : elle ne craint pas d'appliquer ses
doigts
un peu fort pour empêcher que le patient ne se
'un geste violent, l'opéré le repousse avec rage, crispant ses gros
doigts
sur la figure du malheureux et lui enfonçant br
. 112. 278 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA^SALPÊTRIÈRE mouvements des
doigts
et des orteils, qui n'ont plus leur liberté habit
limite les muscles contracturés, mouvoir et même étendre un peu les
doigts
. Cette contraction involontaire augmente, elle
arent ». Lorsque la contracture affecte les membres supérieurs, les
doigts
se ser- rent les uns contre les autres, c'est l
peut à son tour s'incurver for- tement sur le poignet. Rarement les
doigts
sont écartés. « Aux extrémités inférieures, les
ventre est fortement fléchi sur l'avant-bras. ' . . - - -' z Les
doigts
.sont tellement fléchis dans la paume de la main
e 10 heures. Le calme reviut peu à peu. La souffrance disparut. Les
doigts
se détendirent. Il resta encore un peu de fai-
le vagin ou du pauvre qui demande l'aumône, tantôt au contraire les
doigts
sont fortement fléchis dans la paume de la main
imitée par des lignes circulaires passant en haut à deux travers de
doigt
au-dessous du pli inguinal, en bas à un travers d
ed difforme ; il est conduit par une femme à cornette qui montre du
doigt
son front, réclamant aussi sans doute pour elle
a dans la main une des fameuses tumeurs, et montrant la sorcière du
doigt
, elle sourit d'un air de pitié : « Quelle honte p
oit dissimulée dans le creux de sa main gauche : les trois derniers
doigts
sont repliés de façon à en donner le soupçon.
Une corneille perchée sur un barreau du fauteuil lui becqueté les
doigts
; mais il n'y prend garde, étant tout à sa douleu
oedème assez considérable ; les téguments sont mous, jaunâtres, le
doigt
y détermine la formation d'un godet profond; à
imer le moindre mouvement volontaire ; elle ne peut pas mouvoir ses
doigts
de pied si peu que ce soit. Néanmoins il se pro
ette ligne elle est amoin- drie sur une hauteur de trois travers de
doigt
environ. Tous les modes de la sensibilité sont
la face et des membres disons qu'il y a un tremblement variable des
doigts
, c'est-à-dire que tantôt ce tremblement est trè
au repos la main est tout entière déjetée vers le bord cubital, les
doigts
se fléchissent et s'étendent facile- ment, mais
les sous-scapulaires, les mus- cles fléchisseurs de la main et des
doigts
sont respectés ; aux membres inférieurs la préd
nique, qui a laissé sa marque sur les arti- culations déformées des
doigts
et des orteils. ÉTUDE MORPHOLOGIQUE SUR LA MA
ents alternatifs, rythmés, de flexion et d'extension des 4 derniers
doigts
, au devant des- quels passe le pouce. La malade
phénomènes bien connus de l'antépulsion el de la rétropulsioll. Les
doigts
sont défor- més, inclinés vers le bord cubital,
rofonde, produite par le fer d'une épée ; et ce fer, long de quatre
doigts
, resta piqué tout un jour perpendiculairement dan
'irradiant tout le long du nerf cubital, principalement dans le petit
doigt
et l'annulaire. Au 5e espace intercostal sur la l
minutieux a faire subir. Une fois que l'on sait son malade au bout du
doigt
, on peut être plus court ; on ne peut pas exiger
une fleur a la boutonnière. Il ne touche ses malades, que du bout des
doigts
et sa principale préoccupation paraît être d'évit
te ! C'est un premier pas sur un plan incliné vers un abîme, c'est le
doigt
mis dans un engrenage où la tete peut passer! Pro
anomalies diverses des extrémités, telles que lon-gueur anormale des
doigts
, doigts palmés, syndactylies. doigts surnu-mérair
es diverses des extrémités, telles que lon-gueur anormale des doigts,
doigts
palmés, syndactylies. doigts surnu-méraires etc.
elles que lon-gueur anormale des doigts, doigts palmés, syndactylies.
doigts
surnu-méraires etc. La coexistence de ces anoma
nt a la région du poignet et à la région palmaire du côté droit ; les
doigts
res-tant, malgré tous les efforts pour les étendr
Dr NEech (de Manchester), dit que. ayant eu à faire l'amputation d'un
doigt
, il a fait l'opération avec un succès complet, ap
s en vain. Au mois de décembre 188s, l'œil droit ne comptait plus les
doigts
, l'œil gauche ne comptait qu'à une distance de 50
e a été assez grande à la fin du traitement, l'œil droit comptait les
doigts
à une distance de trois mètres, l'œil gauche aun
Ainsi dans une séance. M. Delbœuf suggéra aumal ade qu il verrait ses
doigts
, pendant le sommeil provoque, (souvent les malade
rts)à une distance plus grande. Supposons que le sujet puteompter les
doigts
à 1 m. 3 heures avant la séance, la distanee étai
te, mesurée le 27 janvier 1888, nous apprend que la malade compte les
doigts
à 1 m. 20 et le dix mars elle les compte à 2 m.,
che et se sert de ses pouces pour produire ta compression, les autres
doigts
entourent la portion inférieure de la tête et la
ers du système nerveux. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE inférieure du
doigt
d'un pied postérieur et pratiquer le pansement sa
re a des dormeurs, fouiller dans leurs puehes, tirer leurs bagues des
doigts
. défaire leurs chaussures, etc., sans qu'ils paru
du par une tumeur globuleuse, assez volumineuse pour remonter à trois
doigts
au-dessus l'ombilic et s'enclave dans e bas, dans
qui, au mois de mars 1SS3, dépassait l'ombilic de quelques travers de
doigt
se trouve maintenant à quatre travers de doigt au
de quelques travers de doigt se trouve maintenant à quatre travers de
doigt
au-dessus du bord supérieur de la symphyse pubien
'elles percevaient nettement les effluves lumuneuses au bout de leurs
doigts
, non seulement dans l'obscurité de la chambre noi
l'obscurité seulement qu'il voyait des lueurs émanées du bout de seâ
doigts
, même en plein jour il en voyait jaillir quelque
aperçurent, en plein jour, quelque chose de subtil s'élever de leurs
doigts
, sur une longueur de un quart de pouce à deux pou
nt incliné vers te sud ;aàiforint?, non lumineux, et s% attachant aux
doigts
, dans quelque direction qu'on les tournât. A en j
reconnaître ceci: il s'en faut de beaucoup que l'effluve se borne aux
doigts
; il émane aussi des autres membres, eu particulie
rne aux doigts; il émane aussi des autres membres, eu particulier des
doigts
de pied et de toutes les parties saillantes du co
Elle voyait toat aussi bien les mômes phénomènes se produire sur ses
doigts
de pied. Pour les narines même, elle remarqua qne
contrariété la fait sangloter, elle a des contractions fréquentes des
doigts
. Elle est très épuisée, étant souffrante tout le
ssaire. Elle ne se plaignit que quand je voulus tendre le col avec le
doigt
pour m'assurer de sa souplesse. Elle accusa alo
ir. Les petites manœuvres de dilatation du col que je faisais avec le
doigt
ne paraissaient pas l'incommoder, alors qu'aupara
anesthésie était si profonde, qu'on pouvait toucher la cornée avec le
doigt
sans provoquer la moindre sensation. Le 17 févr
. La première observation s'applique à tous les hommes; ¡1 s'agit des
doigts
; c'est la plus proche de nous, la plus commode et
ous, la plus commode et la pins expressive. Chez tous les hommes, les
doigts
laissent, pour ainsi dire, bouillonner abondammen
soixante-dix huit ans, bien portante, mère de onze enfants, dont les
doigts
donnaient encore 10 lignes. — On pouvait de bien
ves. Je faisais lever une main au sujet et, si je plaçais ensuite les
doigts
de ma propre main de même nom, de façon que les b
s doigts de ma propre main de même nom, de façon que les bouts de mes
doigts
arrivassent à l'articulation des premières phalan
hée s'allongeait de moitié environ. En répétant l'expérience avec les
doigts
de mon autre main, les effluves se raccourcissaie
ite au soleil, on voyait s'épaissir et augmenter la Lohée émanant des
doigts
de ma main gauche, maintenue à l'ombre, jusqu'à
r ma main droite diminuait jusqu'à s'effacer presque. — En hiver, les
doigts
refroidis ne donnaient qu'un faible développement
pement de Lohée; mais, dès qu'en passant dans une chambre chaude, les
doigts
se réchauffaient, la Lohée doublait et triplait d
ains pendre le long du corps, la Lohée était toujours plus longue aux
doigts
de ma main droite qu'à ceux de ma main gauche, 5
d'un côté. 1 ligne 1/2 de l'autre; mais, si j'élevais les mains, les
doigts
en l'air, les Lohées s'inversaient : celle de ma
lus longues. — Chez un sujet réchauffé par la marche, les vapeurs des
doigts
s'élevaient au double et même triple. — Dans un b
, remarqua avec étonnement, et cela en pleine lumière du gaz, que ses
doigts
, garnis, en temps ordinaire, de quelques lignes d
s'élevaient de G à 7 pouces. En se frottant les mains, les bouts des
doigts
ou leurs jointures, la Lohée allait croissant en
allait croissant en hauteur. 11 suffisait d'entourer un bras avec ses
doigts
et de le comprimer en progressant pouce à pouce,
qu'on pouvait, pour voir la Lohée croître graduellement à l'avant des
doigts
. — J'expérimentai la question sur un tube de verr
que 3 lignes de Lohée; il me suffisait de le tenir entre mes bouts de
doigts
pour lui faire donner G lignes. En le comprimant
En le comprimant fortement avec le bout de mes pouces et ceux de mes
doigts
, il donnait 9 lignes; si je l'entourais simplemen
droit, en poussant l'effort jusqu'à la crampe, la Lobée des bouts de
doigts
s'en augmentait jusqu'à doubler sa longueur habit
ntait jusqu'à doubler sa longueur habituelle. La Lobée des bouts de
doigts
se montrait plus dense que celle des cristaux et
e sur les deux matières susdites les voyaient encore jaillir de leurs
doigts
et de ceux de leurs voisins. Un sensitif se pla
Ils donnaient, tout comme eux, naissance à de longues Lohées, chaque
doigt
de pied nettement différencié des autres. Le gros
ohées, chaque doigt de pied nettement différencié des autres. Le gros
doigt
du pied gauche donna une effluve de 9 lignes, les
us net, plus grand, plus coloré, plus développé. La Lohée colorée des
doigts
, cette dame "l'observait sur une longueur de 16 à
sisté, elle reste inquiète, irritée, obsédée par l'idée de prendre un
doigt
d'eau-de-vie, et ne peut retrouver le calme et le
l'on a fait avec elle: elle ressent une espèce de lassitude dans les
doigts
. Là-dessus on l'hypnotise pour lui enlever par
e pour lui enlever par suggestion la fatigue qu'elle ressent dans les
doigts
et on la réveille après lui avoir suggestionné qu
mètre d'une pièce de 10 centimes sur la ligne médiane, à i travers de
doigts
do l'appendice xiphoïde. Une autre zone douloureu
re sans ressentir une impression désagréable : elle a mal au bout des
doigts
et ne peut s'en servir. Enfin, des idées de sui
appe, c'est la disposition des arcades pubiennes, entre lesquelles le
doigt
est serré vigoureusement et qui sont projetées en
èrement translucide. La pupille étant dilatée, le malade compte les
doigts
à la distance de dix pieds, et déchiffre, à l'aid
ce étant placé sur le bord antérieur du sterno mastoïdien , les trois
doigts
suivants sous le bord postérieur du même muscle,
— — du jarret........... 26 — — de la main prise du 2me au 5me
doigt
.......... 20 Tel est le cas d'obésité ou de pol
la gauche de la malade, fait une incision qui part à deux travers de
doigts
au-dessus du pubis, pour remonter au niveau de l'
ies constituantes,^ compris le sphincter anal. En effet, lorsque le
doigt
introduit dans l'anus, on engage la malade à le r
la muqueuse. Cette ulcération communique largement avec le rectum. Le
doigt
introduit dans ce conduit sent une large perte de
ù le premier lavement a été donné, des canules grosses comme le petit
doigt
, percées du bout, ont été placées pendant la nuit
e mode d'implantation de cette petite main. Le poignet, le carpe, les
doigts
au nombre de cinq, rien n'y manque. Laisse-t-on r
s dépressions tégumentaires semblables à un pavillon d'oreille. Les
doigts
de la petite main dont nous venons de parler sont
Elephantiasis du scrotum avec varices lymphatiques. Elephantiasis des
doigts
. l'on a donnée de l'affection qui nous occupe.
la cuisse. A la jambe il est uniformément dur, vous sentirez sous le
doigt
une résistance considérable, en aucun point la pe
particularités que pour l'index et pour le pouce. Les trois derniers
doigts
sont bien con formés. L'index ne semble constit
faut, du moins à première vue, car on peut sentir à l'extrémité de ce
doigt
avorté, un très petit tubercule qui se meut sur c
e phalange^ bien conformée. Il n'y a pas la moindre trace d'ongle, le
doigt
se termine par une extrémité mousse, arrondie, sa
les recouvrait et juxtaposées à la dernière phalange du pouce. Les
doigts
de la main gauche ne présentent rien à signaler.
bercules pourvus d'ongles. — En pressant ces petits orteils entre mes
doigts
je n'ai pas obtenu de chevauchement des parties d
oite. Il existe en haut et à droite une sorte de hiatus par lequel le
doigt
entre aisément et peut sentir les caillots accumu
uante; la pression ne détermine que peu ou point de douleur. Le petit
doigt
est contracté, presque dans la demi-flexion, rega
na crée, humide et d'une texture très fragile, elle roulait sous le
doigt
. Retournée sur elle-même comme un doigt de gant,
fragile, elle roulait sous le doigt. Retournée sur elle-même comme un
doigt
de gant, elle présenta un petit cul-de-sac se ter
vu indemne. Ces tubercules ne s'affaissent pas sous la pression du
doigt
, leur dureté est particulière et rappelle un peu
ruisent lentement et sans grandes douleurs. On a vu des phalanges des
doigts
et même des membres se détacher du corps sans occ
présente de la raideur, malgré la grande finesse de l'épiderme. Les
doigts
, surtout le médius et l'annulaire, présentent de
res ne tenant plus que par un point de leur circonférence, a donné au
doigt
un aspect bizarre. C'est en 1865 qu'un tubercul
in 7 heures, 116 accès. En dehors des accès, pas de contractures. Les
doigts
de droite ont une tendance à se recoqueviller sur
ule droite, — très forte au coude, — roideur du poignet, rigidité des
doigts
qui sont énergiquement fléchis. — A gauche, rigid
échis. — A gauche, rigidité très prononcée de l'épaule, du coude, des
doigts
, — médiocre du poignet. — Rigidité médiocre des t
e. Légère rougeur de l'épaule et du coude à droite; poignet flasque ;
doigts
médiocrement rigides. A gauche, roideur de l'épau
édiocrement rigides. A gauche, roideur de l'épaule; coude, poignet et
doigts
rigides. Le membre inférieur gauche est un peu pl
t d'un air hagard; m'avançant rapidement vers elle, je lui touchai du
doigt
le front et lui ordonnai de dormir immédiatement.
ole fut adressée à sa mère: elle réclama son alliance et la mît à son
doigt
en jetant à son mari un regard affectueux, puis d
ués de la propriété de sentir des piqûres partout où il dirigeait ses
doigts
, son regard ou son souffle; il a naturellement su
les lois connues. De plus, en se servant de l'émanation d'un de ses
doigts
comme réactif, il a reconnu que le corps de ses s
iguille aimantée suspendue à l'extrémité d'un long fil tenu entre les
doigts
d'un aide. La moindre émotion de celui-ci fera mo
aissait, les yeux fermés, tous les objets qu'on lui mettait entre les
doigts
. L'hémianesthésie gauche ne s'accompagnait chez
mme des jambes, amène successivement l'extension, puis la flexion des
doigts
, des orteils ; —La compression du cubital déter
é, qu'il était entr'ouvert, laissait passer facilement l'extrémité du
doigt
, et que la tête était dans la position : O. I. G.
pas avoir de cauchemars et de se réveiller lorsque j'appliquerais mon
doigt
sur son oreille droite. Je !a réveille au bout d'
nerte comme un clavier auquel on ne touche pas, et qu'on applique ses
doigts
sur ses lèvres, dans l'attitude d'une personne qu
— 3° à distance et à travers l'air ambiant, nu moyen des yeux ou des
doigts
, tantôt directement, tantôt par réflexion sur un
t. Je touche, dans le dos, cette tierce personne, avec l'extrémité du
doigt
indicateur de ma main droite, de manière que le m
uvement que j'opère, déjà très limité, se passe exclusivement dans le
doigt
. Presque aussitôt L..., qui n'a pas pu s'apercevo
parti. » J'établis de nouveau le contact, de manière toujours que mon
doigt
seul se meuve : « Le voilà revenu ! » s'exclame L
xtrémité, mais si je touche cette table seulement avec le bout de mon
doigt
, presque aussitôt L... voit la personne qu'il ne
rapport obtenu, a distance, directement, au moyen de l'extrémité des
doigts
. Si. dans la même position réciproque des trois
ces relatées ci-dessus, je vise avec l'extrémité d'un ou de plusieurs
doigts
une personne indifférente. L... la voit presque a
ite, si je continue tantôt à viser et tantôt à ne plus viser avec mes
doigts
la personne indifférente. 6. — Etat de rapport
port obtenu, a distance et indirectement, au moyen de l'extrémité des
doigts
dirigés sur un miroir. Si. au lieu de viser dir
ur un miroir. Si. au lieu de viser directement avec l'extrémité des
doigts
ta personne indifférente, je vise son image réflé
ère L... endormi, il me suffit de regarder fixement ou de désigner du
doigt
, directement ou par réflexion dans une glace, un
t qu'il le voit. El ¡1 me suffit de fermer les yeux ou de retirer mes
doigts
en les repliant pour qu'après quelques secondes i
nsi de suite. Mêmes résultats si, au lieu des yeux, j'emploie les
doigts
. Toute personne mise par moi. de la manière sus
voyons donc ici encore émaner par les yeux et par les extrémités des
doigts
, et constituer un rayonnement oculaire et digital
ayons: une de mes malades neurisables les voyait à l'extrémité de mes
doigts
, sous forme, disait-elle, de tuyaux de verre blan
aux yeux de L... Je supprime de cette façon pour L... des mains, des
doigts
, des bras, des chapeaux, des têtes même, des obje
aquelle j'avais soufflé. Si, par exemple, j'avais soufflé sur un seul
doigt
, il ne le voyait plus ensuite, et il ne se trompa
l doigt, il ne le voyait plus ensuite, et il ne se trompait jamais de
doigt
. Les rayons neuriques oculaires et digitaux, ai
re correctement. Il était impossible de coordonner les mouvements des
doigts
, mais la sensibilité de la peau ne paraissait pas
res que l'on exécute tantôt avec la paume de la main, tantôt avec les
doigts
. Les frictions s'exécutent avec la main, comme on
tigmate physique quelconque (strabisme, tache pigmentaire. gaucherie,
doigt
supplémentaire, bec-de-lièvre. prognatisme, toute
Première séance d'hypnotisme, le 28 mars 1887. — Je fais fixer mon
doigt
par le malade, qui éprouve une légère somnolence
osition isonome que lorsque les extrémités de l'aimant ou le bout des
doigts
regardent en haut (le sujet étant suppose dans la
quelques tendances au vol... s5 juillet. En la faisant fixer notre
doigt
, nous l'endermons très facilement au bout de deux
estion suivante : « Jamais tu ne toucheras tes « parties » avec les
doigts
, ni avec quoi que ce » soit : tu n'auras jamais l
maintenir pendant un instant les paupières du sujet fermées avec les
doigts
, en annonçant qu'elles sont clouées, qu'il ne peu
ans, l'habitude de sucer constamment, le jour et la nuit, deux de ses
doigts
, l'index et le médius de la main gauche. On avait
es pupilles largement dilatées ne se contractaient pas; je passais le
doigt
sur le globe oculaire, insensibilité complète. Un
mêmes dont se sont servis MM. Bourru et Burot), a toucher du bout du
doigt
un des points du corps que nous avons appelés poi
e des ongles contre une paroi en bois ; on dirait un tambourinage des
doigts
sur une table sonore. Ces bruits, souvent entre
reprises, de frapper, soit avec une canne, soit avec le poing ou les
doigts
, sur le plancher, contre la porte de la chambre,
temps qu'elle a joué, un roulement, semblable au tambo urine ment des
doigts
sur une table, s'est fait entendre dans le lit, s
hypnotisme au moyen du procédé de la fixation des yeux sur un ou deux
doigts
. — L'hypnose ne fut obtenue qu'au bout de deux sé
er. « Je vois comme un nuage qui remue; je crois bien que ce sont vos
doigts
, maïs je ne puis dire combien il y en a. » Du côt
n peut, en bouchant alternativement les méats auditifs de la pulpe du
doigt
, rendre la sensation droite ou gauche à volonté ;
ypnotise facilement du premier coup en lui fermant les yeux avec deux
doigts
et en lui disant : « Dormez. » Je lui donne alors
se une grenouille entre le pouce appliqué sur le ventre et les quatre
doigts
appliqués sur le dos, elle s'endort. J'ai remarqu
é qu'ils emploient est bien simple : ils pressent fortement avec deux
doigts
, près de la tête de l'animal, et il s'endort immé
act de l'or sur sa peau, je lui ai, avec ma main gauche dont l'un des
doigts
porte une bague en or, touché la main sans qu'il
orts qu'elle fait dans ce but. sa chaîne en or vient à toucher un des
doigts
de ce malade et celui-ci se plaint immédiatement
égion frontale gauche est déprimée). Les médius, annulaires et petits
doigts
sont aplatis et leur extrémité est aussi large qu
doigts sont aplatis et leur extrémité est aussi large que le reste du
doigt
. Aux deux pieds, le quatrième orteil est aussi
lusieurs heures par jour, la main gauche appliquée sur son front, les
doigts
fermant les paupières, pendant que la main droite
rt pour entendre quelque artiste qui fait vibrer et chanter entre ses
doigts
un instrument de bois ou de cuivre; il s'agit de
oulut mettre son pourpoint, il le trouva trop étroit de quatre grands
doigts
. « Ce pourpoint-là, est bien étroit, dit-il à s
e vannier de l'osier qu'il assouplit sous la pression continue de ses
doigts
agiles. Loin de nous la pensée de vouloir substit
t d'un air hagard; m'avançant rapidement vers elle, je lui touchai du
doigt
le front et lui ordonnai de dormir immédiatement.
ole fut adressée à sa mère: elle réclama son alliance et la mît à son
doigt
en jetant à son mari un regard affectueux, puis d
ués de la propriété de sentir des piqûres partout où il dirigeait ses
doigts
, son regard ou son souffle; il a naturellement su
les lois connues. De plus, en se servant de l'émanation d'un de ses
doigts
comme réactif, il a reconnu que le corps de ses s
iguille aimantée suspendue à l'extrémité d'un long fil tenu entre les
doigts
d'un aide. La moindre émotion de celui-ci fera mo
aissait, les yeux fermés, tous les objets qu'on lui mettait entre les
doigts
. L'hémianesthésie gauche ne s'accompagnait chez
mme des jambes, amène successivement l'extension, puis la flexion des
doigts
, des orteils ; —La compression du cubital déter
é, qu'il était entr'ouvert, laissait passer facilement l'extrémité du
doigt
, et que la tête était dans la position : O. I. G.
pas avoir de cauchemars et de se réveiller lorsque j'appliquerais mon
doigt
sur son oreille droite. Je !a réveille au bout d'
nerte comme un clavier auquel on ne touche pas, et qu'on applique ses
doigts
sur ses lèvres, dans l'attitude d'une personne qu
— 3° à distance et à travers l'air ambiant, nu moyen des yeux ou des
doigts
, tantôt directement, tantôt par réflexion sur un
t. Je touche, dans le dos, cette tierce personne, avec l'extrémité du
doigt
indicateur de ma main droite, de manière que le m
uvement que j'opère, déjà très limité, se passe exclusivement dans le
doigt
. Presque aussitôt L..., qui n'a pas pu s'apercevo
parti. » J'établis de nouveau le contact, de manière toujours que mon
doigt
seul se meuve : « Le voilà revenu ! » s'exclame L
xtrémité, mais si je touche cette table seulement avec le bout de mon
doigt
, presque aussitôt L... voit la personne qu'il ne
rapport obtenu, a distance, directement, au moyen de l'extrémité des
doigts
. Si. dans la même position réciproque des trois
ces relatées ci-dessus, je vise avec l'extrémité d'un ou de plusieurs
doigts
une personne indifférente. L... la voit presque a
ite, si je continue tantôt à viser et tantôt à ne plus viser avec mes
doigts
la personne indifférente. 6. — Etat de rapport
port obtenu, a distance et indirectement, au moyen de l'extrémité des
doigts
dirigés sur un miroir. Si. au lieu de viser dir
ur un miroir. Si. au lieu de viser directement avec l'extrémité des
doigts
ta personne indifférente, je vise son image réflé
ère L... endormi, il me suffit de regarder fixement ou de désigner du
doigt
, directement ou par réflexion dans une glace, un
t qu'il le voit. El ¡1 me suffit de fermer les yeux ou de retirer mes
doigts
en les repliant pour qu'après quelques secondes i
nsi de suite. Mêmes résultats si, au lieu des yeux, j'emploie les
doigts
. Toute personne mise par moi. de la manière sus
voyons donc ici encore émaner par les yeux et par les extrémités des
doigts
, et constituer un rayonnement oculaire et digital
ayons: une de mes malades neurisables les voyait à l'extrémité de mes
doigts
, sous forme, disait-elle, de tuyaux de verre blan
aux yeux de L... Je supprime de cette façon pour L... des mains, des
doigts
, des bras, des chapeaux, des têtes même, des obje
aquelle j'avais soufflé. Si, par exemple, j'avais soufflé sur un seul
doigt
, il ne le voyait plus ensuite, et il ne se trompa
l doigt, il ne le voyait plus ensuite, et il ne se trompait jamais de
doigt
. Les rayons neuriques oculaires et digitaux, ai
re correctement. Il était impossible de coordonner les mouvements des
doigts
, mais la sensibilité de la peau ne paraissait pas
res que l'on exécute tantôt avec la paume de la main, tantôt avec les
doigts
. Les frictions s'exécutent avec la main, comme on
tigmate physique quelconque (strabisme, tache pigmentaire. gaucherie,
doigt
supplémentaire, bec-de-lièvre. prognatisme, toute
Première séance d'hypnotisme, le 28 mars 1887. — Je fais fixer mon
doigt
par le malade, qui éprouve une légère somnolence
osition isonome que lorsque les extrémités de l'aimant ou le bout des
doigts
regardent en haut (le sujet étant suppose dans la
quelques tendances au vol... s5 juillet. En la faisant fixer notre
doigt
, nous l'endermons très facilement au bout de deux
estion suivante : « Jamais tu ne toucheras tes « parties » avec les
doigts
, ni avec quoi que ce » soit : tu n'auras jamais l
maintenir pendant un instant les paupières du sujet fermées avec les
doigts
, en annonçant qu'elles sont clouées, qu'il ne peu
ans, l'habitude de sucer constamment, le jour et la nuit, deux de ses
doigts
, l'index et le médius de la main gauche. On avait
es pupilles largement dilatées ne se contractaient pas; je passais le
doigt
sur le globe oculaire, insensibilité complète. Un
mêmes dont se sont servis MM. Bourru et Burot), a toucher du bout du
doigt
un des points du corps que nous avons appelés poi
e des ongles contre une paroi en bois ; on dirait un tambourinage des
doigts
sur une table sonore. Ces bruits, souvent entre
reprises, de frapper, soit avec une canne, soit avec le poing ou les
doigts
, sur le plancher, contre la porte de la chambre,
temps qu'elle a joué, un roulement, semblable au tambo urine ment des
doigts
sur une table, s'est fait entendre dans le lit, s
hypnotisme au moyen du procédé de la fixation des yeux sur un ou deux
doigts
. — L'hypnose ne fut obtenue qu'au bout de deux sé
er. « Je vois comme un nuage qui remue; je crois bien que ce sont vos
doigts
, maïs je ne puis dire combien il y en a. » Du côt
n peut, en bouchant alternativement les méats auditifs de la pulpe du
doigt
, rendre la sensation droite ou gauche à volonté ;
ypnotise facilement du premier coup en lui fermant les yeux avec deux
doigts
et en lui disant : « Dormez. » Je lui donne alors
se une grenouille entre le pouce appliqué sur le ventre et les quatre
doigts
appliqués sur le dos, elle s'endort. J'ai remarqu
é qu'ils emploient est bien simple : ils pressent fortement avec deux
doigts
, près de la tête de l'animal, et il s'endort immé
act de l'or sur sa peau, je lui ai, avec ma main gauche dont l'un des
doigts
porte une bague en or, touché la main sans qu'il
orts qu'elle fait dans ce but. sa chaîne en or vient à toucher un des
doigts
de ce malade et celui-ci se plaint immédiatement
égion frontale gauche est déprimée). Les médius, annulaires et petits
doigts
sont aplatis et leur extrémité est aussi large qu
doigts sont aplatis et leur extrémité est aussi large que le reste du
doigt
. Aux deux pieds, le quatrième orteil est aussi
lusieurs heures par jour, la main gauche appliquée sur son front, les
doigts
fermant les paupières, pendant que la main droite
rt pour entendre quelque artiste qui fait vibrer et chanter entre ses
doigts
un instrument de bois ou de cuivre; il s'agit de
oulut mettre son pourpoint, il le trouva trop étroit de quatre grands
doigts
. « Ce pourpoint-là, est bien étroit, dit-il à s
e vannier de l'osier qu'il assouplit sous la pression continue de ses
doigts
agiles. Loin de nous la pensée de vouloir substit
la malade mange d'un bon appétit. L'ulérus remonte à trois travers de
doigt
environ au-dessus de l'ombilic; il est flasque, e
jà, le col utérin est dilaté et permet facilement l'introduction du
doigt
. Le 4, pendant la nuit, les dou-leurs deviennent
aux, principalement au niveau de la luette qu'elle enveloppe comme un
doigt
de gant. Il n'y a pas d'engorgement ganglionnaire
ètéchiales des taches rosées qui disparaissaient sous la pression des
doigts
; mais pareille chose a été observée dans la fièv
ni-veau de la peau; elles s'effacent complètement sous la pression du
doigt
, pour reprendre leurs caractères primitifs aussit
t un peu, mais ne disparaissent plus complètement sous la pression du
doigt
; elles ne font plus du tout saillie au-dessus du
niveau de la peau. Elles dispa-raissent toujours sous la pression du
doigt
, et ne se changent jamais en taches pétéchiales ;
artie interne et supérieure de la cuisse, envi-ron à trois travers de
doigt
au-dessous de l'arcade crurale, ou encore dans le
e période. —Le pouls devient d'une faiblesse extrême; il fuit sous le
doigt
, et il faut exercer une forte pression pour en
Eruption particulière siégeant sur la face dorsale d'une main et des
doigts
, et probablement consécutive à la lésion des file
-clare. La tuméfaction était considérable et s'élcndait à la main aux
doigts
, cinq larges incisions furent pratiquées dans l'e
olir complètement. En même temps, le malade éprouve dans la main, les
doigts
et l'extrémité supérieure de l'avant-bras, des pi
dont il sera question plus loin, et se répandent dans la main et les
doigts
, principalement dans le pouce, l'index et le médi
s déformations de la main : 11 y a une rétraction des quatre derniers
doigts
qui sont en demi-flexion et qu'on ne peut fléchir
ction, ainsi que les mouvements d'opposition du pouce avec les autres
doigts
, sont impossibles. — Les autres doigts, outre la
ition du pouce avec les autres doigts, sont impossibles. — Les autres
doigts
, outre la demi-flexion qu'on y observe, ont la ph
rtie postérieure de l'articulation phalangino-phalangettienne du même
doigt
: une à la partie postérieure de l'articulation mé
ns l'asphyxie des extrémités : on ne voit pas cette pâleur locale des
doigts
morts, cette anémie sans déformation, puis cette
chute des parties sphacélécs. Et si l'on trouve des déformations des
doigts
se rattachant à l'asphyxie locale, elles tiennent
agonie le 25 septembre 1857. Une gouttelette de sang, tirée d'un des
doigts
de la main, par une légère piqûre, ayant été exam
vagin et le rectum. Ce ne fut qu'avec une certaine difficulté que le
doigt
put être introduit entre la tumeur et le pubis, e
olume de la tumeur. Un jour, Park, en la refoulant par hasard avec le
doigt
, déter-mina l'émission des urines. Il instruisit
si fut une lancette cachée ou pharyngotome. Park le conduisit sur son
doigt
jusqu'au point où les enveloppes de la tumeur lui
ix inci-sions très légères et non pénétrantes ; puis, forçant avec le
doigt
, il pénétra dans une large cavité, qu'il crut rem
encore contracté d'adhé-rences, serait mobile, réductible, éloigné du
doigt
, suscep-tible de changer de position dans les div
agi-nale elle-même, et ce fut par ces incisions qu'il fit pénétrer un
doigt
avec lequel il paraît avoir déchiré les parois du
r sa forme le bord tranchant du foie, descend jusqu'à deux travers de
doigt
au-dessous de l'ombilic. Cette tumeur est fluc-tu
de volume, et son bord inférieur était re- monté à deux travers de
doigt
au-dessus de l'ombilic. En même temps la région d
n a conservé intact, est considéra-blement rétréci ; le bout du petit
doigt
s'y introduit avec peine. La membrane muqueuse
anché ; elle est demi-liquide ou pâteuse, lé-gèrement grenue sous les
doigts
. Elle se compose : 1° de ma-tière amorphe granule
le au contraire, ainsi que le flanc gauche, sont mats et résistent au
doigt
qui percute. Cette matité se limite en bas par un
n constate qu'elle admet tout au plus l'extrémité de l'ongle du petit
doigt
. Un gros tuyau de plume y entre avec frottement.
roissement du nerf cubital gauche détermine une douleur rapportée aux
doigts
; le froisse-ment du nerf cubital droit ne produi
f cubital droit ne produit aucune douleur, aucun en-gourdissement des
doigts
. Le tact est moins diminué sur la surface cutan
lumière de la veilleuse pendant la nuit, elle aperçoit l'ombre de ses
doigts
et les mouvements de cette ombre. Les douleurs on
de la douleur et un retentissement que la malade rapporte à son petit
doigt
. La vue a fait encore de légers mais très réels p
lors trente-quatre ans), elle ressentit de l'engourdissement dans les
doigts
des deux mains. Cet engourdissement permanent fut
ientôt accompagné de dou-leurs très violentes dans les extrémités des
doigts
. Deux ou trois mois après, survinrent des engourd
puis le commencement du mois, une sorte de travail intérieur dans les
doigts
: il lui semble que ses doigts se tordent, et c
ne sorte de travail intérieur dans les doigts : il lui semble que ses
doigts
se tordent, et cette sensation est assez pénibl
au moment où l'on commence le traitement, des fourmillements dans les
doigts
: de plus, cette femme avait eu, dès le début, et
eurs; cependant, depuis quelque temps, légers fourmillements dans les
doigts
; sensibilité cutanée très affaiblie sur le tronc
idérable de la sensibilité tactile ; lorsque l'on posait doucement le
doigt
sur un point de la peau des parties affectées, le
teintes. (Obs. I et II); cheztoutes deux les mouvements desmainsetdes
doigts
sont devenus plus vigoureux et bien moins incohér
ition sont nettes; la malade, les yeux fermés, peut indiquer avec son
doigt
les diffé-rents endroits où l'on place un de ses
rie, amélioration. Pas d'accidents Illlllllatoïdes mais raideur des
doigts
et des coudes. Le Dr Duck- worth n'obtient aucu
onstate, en outre, des convulsions fibrillaires, du tremblement des
doigts
, des accidents bulbaires. Il y a diminution de
éprimé ne fut pas relevé, mais le médecin, après avoir introduit le
doigt
dans la plaie, pénétrant ainsi dans le cerveau,
nstate qu'il ne peut mouvoir que très imparfaitement le bras et les
doigts
du côté droit, et guère mieux la jambe droite.
hésie ainsi que les mouvements convulsifs initiaux débutent par les
doigts
, il devenait clair que les centres de la main et
par les doigts, il devenait clair que les centres de la main et des
doigts
étaient atteints; et l'on pouvait dès lors diag
emeurent très affaiblis, ainsi que les mouvements de pronation. Les
doigts
sont ordinairement dans l'extension ; mais il e
es par une aura légèrement douloureuse commençant à l'extrémité des
doigts
et remontant le long du bras. La paralysie a di
bras au-dessus de sa tête, le fléchir et l'étendre, il fléchit les
doigts
, surtout ceux qui sont innervés par le cubital,
iels. Ces symptômes moteurs, qui se bornent à une crampe dans trois
doigts
et dans le mollet, se manifestent parfois seuls,
rconvolution pariétale ascendante (cor- respondant au mouvement des
doigts
), l'autre plus étendue, sié- geant dans le lobu
ants... Mon arme était dans la poche de mon vêtement, et j'avais le
doigt
sur la gâchette. Vingt fois j'ai été sur le poi
ceux des pieds sont presque tout à fait impossibles, et dans les
doigts
les mouvements actifs manquent totalement. Les ré
rectum, qui était d'une exploration difficile : en effet, quand le
doigt
arrivait à environ deux pouces et demi au-dessus
musculaires circulaires du rectum : la compression exercée sur le
doigt
explorateur était assez forte pour être douloureu
e pendant 1 anesthésie par l'éther, l'exploration était aisée et le
doigt
ne rencontrait aucun obstacle. Un jet de lumièr
is l'incision d'une bande de tunique muqueuse du rectum, large d'un
doigt
et longue de 3 pouces, REVUE DE PATHOLOGIE NERV
ion, de flexion du coude, de pronation et de supination, remuer les
doigts
; mais tous ces mouvements soutirés limités. Les
u pli du coude. A partir du pli du coude et jusqu'à l'extrémité des
doigt
=, perte complète des trois modes de sensibilité
du tiers infé- rieur de l'avant-bras gauche jusqu'à l'extrémité des
doigts
. La a peau est d'un rou ? e vineux, bleu noirât
ue brus- quement, sans nuances intermédiaires. Par pression avec le
doigt
on obtient une tache blanche et un godet qui s'
(Jalarb. f. Kinvelc ? l vol. XXV) qui a observé un oedème bleu des
doigts
d'origine névropathique chez un enfant de sept
1/10 de la hauteur totale était égale chez cette femme au 1/7; les
doigts
étaient longs, de grosseur uniforme et aux extr
sensibilité tactile est émoussée : quand on frôle la plaque avec le
doigt
, il semble au malade que la sensation tactile s
ilité, etc. - Luxation du 1'adius droit. - Ankylose du genou droit,
doigt
à ressort, etc. 1890. Furoncles, abcès. - BrÛlu
ant et trai- nant la jambe, que ses mains étaient en crochet : «les
doigts
, dit-on, se refermaient toujours ». Cette rétra
était gonflé. C'est pour cet accident et pour la rétraction de ses
doigts
que ses parents l'ontconduit au bout d'un mois
urnée et je ne m'apercevais de rien. » Il prit le charbon entre ses
doigts
et le remit dans le feu, sans avoir, à aucun mo
Deux jours après l'opération, l'ongle était tombé et l'extrémité du
doigt
était nécrosée. On procéda sans chloroforme et sa
che. Fièvre vive, insomnie; ni céphalalgie, ni douleur au niveau du
doigt
malade. Incision indolore; issue de pus en abon
gment d'ongle un peu plus large que celui de l'index. La peau de ce
doigt
est le siège d'une induration cornée; la phalange
siège d'une induration cornée; la phalangette persiste. Les autres
doigts
n'offrent qu'une hypertrophie de la peau. Il n'
e. La peau est épaisse, principalement autour des articulations des
doigts
. Il existe un durillon au point de contact Fi ?
EXTRÉMITÉS SUPÉRIEURES. 451 du pouce avec la paume. L'extension des
doigts
est incomplète. Rétraction de la phalangette du
x mains est le siège de crevasses assez profondes. L'écartement des
doigts
, des deux côtés, est nul. Au dynamomètre, 10 à
ermés, le malade reconnaît bien les objets que l'on place entre ses
doigts
, sur la face dorsale du carpe, de l'avaut-bras
passe sur le bras et l'avant-bras. Il ne sent pas le frottement du
doigt
dans la zone analgésique, ni le passage des poi
Côté gauche : anesthésie en gant remontant jusqu'à deux travers de
doigt
au-dessus de l'articulation du poignet. Au nive
de la main gauche dépassant l'analgésie de deux à trois travers de
doigt
. Thermo- anesthésie de la main droite ayant la
cha- leur, au tact et à la douleur au niveau de la face dorsale des
doigts
, ' Nous avons rédigé tout cet état actuel d'apr
e la main et du poignet jusqu'à une ligne passant à deux travers de
doigt
au-dessus du pli articulaire. A la face palmaire
halangette, on produit un bruit sec, et dès qu'on retire son propre
doigt
, immédiatement la phalangette reprend avec le mêm
l'auriculaire est presque droit. Le malade ne peut pas relever ses
doigts
jusqu'à la ligne droite; il peut les fléchir ju
-phalanginienne (face palmaire) une plaie avec un tran- chet. Les
doigts
sont boudinés ; les ongles sont réguliers. La pea
eau est épaissie sur le dos du métacarpe et sur la face dorsale des
doigts
; elle est en outre légèrement rouge. Il existe
oitié inférieure du deuxième métacarpien. On arrive à redresser les
doigts
, ce que ne peut faire le malade, mais avec uce
u coude sont libres; parfois, il y a des craquements. Main. - Les
doigts
sont plus qn'à demi fléchis sur la paume de la
ais non étendu. Les articulations sont assez roides. Tandis que les
doigts
précédents n'ont pas de mouvements spontanés de l
s articulations un peu roides. Les deuxième, troisième et quatrième
doigts
sont plus volumineux au niveau de la jointure d
langette qu'au niveau de l'articulation phalango-mélacarpienne (les
doigts
de la main droite sont bien moins cylindriques)
s prédominent sur le deuxième, et principalement sur le quatrième
doigt
. Sur les autres doigts et à la paume de la main,
deuxième, et principalement sur le quatrième doigt. Sur les autres
doigts
et à la paume de la main, les épais- sissements
marades lui cachent ses béquilles. B... rappelle qu'autrefois les
doigts
des deux mains étaient placés en crochets. Ils
s suivantes donnent une idée des différences qui existent entre les
doigts
des deux mains. PARÉSO-ANALGÉSIE DES EXTRÉMITÉS
icularités suivantes : Anebthébie du pli du coude à l'extrémité des
doigts
; thermo- anesthésie dans les mêmes régions; an
anesthésie dans les mêmes régions; analgésie depuis l'extrémité des
doigts
jusqu'à cinq centimètres au-dessous du pli du cou
tré- mité supérieure du radius, mutilations pathologiques de deux
doigts
de la main gauche, ankylose et attitude vicieuse
ade a une anes- thésie, une analgésie, une tlte1'lno-anesthésie des
doigts
, des mains, des avant-bras jusqu au voisinage d
ississement de la peau, des crevasses, une sorte d'hypertrophie des
doigts
. Signalons aussi l'attitude des mains en croche
eint son acmé à la face dorsale des articulations phalangiennes des
doigts
, et à la limite du front et du cuir che- velu ;
main n'a plus son attitude caractéristique, mais les trois derniers
doigts
ont toujours la situation due à la paralysie du c
que appliqué sur la cicatrice ou au-dessus détermine la flexion des
doigts
surtout dans le domaine du cubital. Il y avait do
gé de vingt mois, a récupéré tous les mouvements des trois derniers
doigts
; ceux du pouce et de l'index sont encore insuff
reille gauche et une anesthésie complète des quatrième et cinquième
doigts
de la main droite. M. Bruns (de Hanovre). L'h
algies au niveau des articulations ; la contracture de la main, des
doigts
s'accompagne parfois d'oedème bleu ou blanc par
i sont, dans ce cas, tout à fait, remarquables. Les quatre derniers
doigts
de la main sont, comme vous pouvez le constater,
urtout à la main droite ; le pouce est en dedans, opposé aux autres
doigts
. Les pieds sont en varus équin très pro- noncé,
lés, le pouce est fortement déjeté en dehors, recouvrant les autres
doigts
. Et, remarquez-le bien, Messieurs, cette femme
lle décrite par Charcot : flexion de l'ensemble des quatre derniers
doigts
, qui sont réunis en faisceau, avec extension de
eux dernières phalanges ; le pouce est en dedans, opposé aux autres
doigts
. Mais, ce qui est surtout frappant dans son hab
vec quelques mouvements individuels, peu considérables, de tous les
doigts
: donc nous sommes assez loin du tremblement menu
rimant une vigoureuse secousse, comme s'il voulait se dégourdir les
doigts
. Lorsque le malade est couché, vous observez, a
otal du corps concourt avec l'en- (1) CES. Féré, Les empreintes des
doigts
et des orteils (Journ. de l'Anat. et de la Phys
ouleurs au dos, au cou ; gon- flement de quelques articulations des
doigts
, 2e cure comme la : 1re. Nouvelle amélioration.
Incontinence de l'urine et des fèces. A noter la déformation des
doigts
de la main droite surtout : la première phalang
remière phalange est en extension sur les deux autres fléchies. Ces
doigts
sont atro- phiés et la peau est fine et luisant
res supérieurs : ataxie très marquée ; le malade ne peut porter le-
doigt
à son nez, ni porter un verre à sa bouche ; cette
tracture du bras gauche caractéristique : « la main est fermée, les
doigts
crispés sur la paume, comprimés par le pouce qui
res le sont moins. Les mains ne semblent pas disproportionnées, les
doigts
sont longs, un peu massifs, mais non « boudinés
s transversal, on n'y sent pas les testicules. Si l'on introduit le
doigt
dans le canal inguinal en retournant le scrotum
troduit le doigt dans le canal inguinal en retournant le scrotum en
doigt
de gant, ou sent toutefois à gauche, profondéme
tivement courts, la main est également courte, large et trapue, les
doigts
font le trident, si bien qu'à un premier examen o
rive comme normalement un peu au-dessus du milieu de la cuisse, les
doigts
sont courts, mais leurs proportions respectives
téguments sont épaissis, et forment des bourrelets qui forcent les
doigts
à s'é- carter les uns des autres. Les membres
du membre et l'abolition complète des mouvements de la main et des
doigts
. On constate la perte du XVII -la 182 LOEPER
onservées chez notre malade, pour le cou, l'épaule, le coude et les
doigts
(PI. XXVII). Dermographisme (PI. XXVII). - Nous
antes au niveau des articulations métacarpo- phalangiennes des deux
doigts
auriculaires. Pour en arriver aux troubles nerv
sions d'exostose et d'ostéite raréfiantes, surtout locali- sées aux
doigts
; seuls parmi les métacarpiens, les 2e et 5° à ga
nt moins prises et les phalangettes sont indemnes. Sur les autres
doigts
, ce sont plutôt les exostoses qui prédominent,
e reste située sur un niveau notablement supérieur à celui des deux
doigts
voisins ; il est comme rentré dans la paume. Et
es modifications portent ici sur l'index et l'auriculaire. Le petit
doigt
est très notablement en retrait sur l'annulaire e
sement et élargissement du condyle). Nous ajouterons encore que les
doigts
, et notamment le pouce, ont conservé le jeu com
ctionnelle absolue du membre opéré ; le malade ne peut imprimer aux
doigts
le moindre mouvement et cependant il n'y a pas
e gouttière plâtrée laissant libre les mouve- ments du coude et des
doigts
. 286 CANGE Est-ce l'influence de la médicatio
ent à la prolifération périostique. Au centre de la tuméfaction, le
doigt
percevait cependant encore une encoche linéaire
e ; dès le lendemain l'opéré jouissait de l'entière mobilité de ses
doigts
. Au bout d'un mois la consolidation osseuse éta
, d'où il suit qu'il avance par secousses. Oscillation latérale des
doigts
, quand on lui fait étendre la main, les doigts
cillation latérale des doigts, quand on lui fait étendre la main, les
doigts
écartés. Rigidité lors des mouvements volontair
e, qui tire en haut le coin droit de sa bouche. Un autre détend ses
doigts
avec des mouvements onduleux, qui rappellent as
bouche chez l'un des personna- ges, les mouvements de reptation des
doigts
chez l'autre, la localisation dimidiée des phén
antérieur au membre inférieur, biceps brachial et fléchisseurs des
doigts
au membre supérieur, on observe des bigar- rure
seux, le long supiuateur, les fléchisseurs superficiel et profond des
doigts
, l'extenseur commun des doigts, le biceps, le t
chisseurs superficiel et profond des doigts, l'extenseur commun des
doigts
, le biceps, le triceps, le deltoïde; aux membres
rdité. Les phénomènes moteurs s'accentuèrent progressivement. Les
doigts
se fléchirent dans la paume de la main et bientôt
sur le bras. Elle ne fait au- cun mouvement de l'épaule. Quant aux
doigts
, sauf quelques mouvements du pouce, ils restent
ur contracture est telle qu'on doit interposer de l'ouate entre les
doigts
et la paume de la main. Il ne semble pas qu'il
auche, les mouvements sont en général un peu plus faciles. Mais les
doigts
ont la même attitude vicieuse, l'index et l'annu-
e coude jusqu'à l'extrémité du pouce en avant et des trois premiers
doigts
en arrière. En 1895. - Môme état. Cyphose trè
res supérieurs, sans raideur, ni contracture sauf pour la main. Les
doigts
sont toujours en flexion forcée. Abolition des
il s'est fait servir en même temps un morceau de fromage. Mais les
doigts
de la main gauche du bonhomme sont bien raides,
ns la demi-flexion, la main est demi- fléchie sur l'avant-bras, les
doigts
dans l'extension. Le bras droit est plutôt paré
in droite serre mieux. Par suite de la paralysie des extenseurs des
doigts
et de l'action prédominante des muscles cubitaux,
lité pour le malade de relever le gros orteil, alors que les autres
doigts
du pied sont susceptibles d'un léger mouvement.
nue à s'exercer et ce n'est qu'au bout de quelques secondes que les
doigts
s'étendent peu à peu (l'index en premier lieu)
e fermeture spasmodique de la main et le malade ne peut étendre les
doigts
qu'au bout t d'un instant, comme dans la flexio
ce dans la difficulté éprouvée par les deux malades pour ouvrir les
doigts
après vous avoir serré la main. De même ordre s
ieu, s'il tient. un far- deau et est obligé de fermer fortement les
doigts
pour le maintenir, il éprouve une grande diffic
difficulté à le laisser aller. De même s'il fléchit forte- ment les
doigts
dans la main, il ne peut les ouvrir que lentement
ments d'oreille et aux vertiges. Elle souffre beaucoup du froid aux
doigts
et aux orteils qui blanchissent, bleuissent et de
même temps la jambe était enflée, gardant en godet l'em- preinte du
doigt
. A la même époque elle devient, pour quelques jou
l'autre côté du ventre, sur les fesses, sur le dos des mains et des
doigts
; ces plaques de gangrène superficielle se succ
enveloppements ouatés possibles. Les orteils offrent l'aspect du «
doigt
mort ». La peau est marbrée, cyanosée par endroit
e'fait un mouvement brusque de recul de la jambe quand on appuie le
doigt
. Ce symptôme a été signalé par M. Bessière (1) qu
e, les malformations des oreilles, les difformités des membres, les
doigts
supplémentaires, etc. Parmi les tares psychique
e posture. L'aveugle ouvre déjà l'oeil gauche que touchent les deux
doigts
du Christ, et son regard se lève vers le ciel,
l’enfant; puis, cessant mes mouvements, et approchant un seul de mes
doigts
d’une surface nue ou recouverte, et sans contact
artie de légères contractions. Des mouvements se manifestent dans les
doigts
si c’est la main que j’aotionne, et souvent môme
lsifs ont été déterminés avec le plus de précision par l’approche des
doigts
du magnétiseur. M. Du Potet le présenta à la comm
lonté, et sans l’exprimer par la parole, par la seule approche de ses
doigts
, déterminer des mouvements convulsifs apparents.
vulsion ; il so pinça ensuite derrière le magnétisé et dirigea son
doigt
en premier lieu vers la cuisse gauche , puis vers
différence dans les résultats!... MM. Thillaye ot Marc dirigèrent les
doigts
sur diverses parties du corps, et provoquèrent qu
uvements convulsifs. Ainsi M. Petit a toujours eu, par l'approche des
doigts
, des mouvements convulsifs, soit qu’il ait eu ou
a tranquillité d’esprit désirable, nous portons une de nos mains, les
doigts
légèrement écartés et sans être tendus et roides,
et suivre le trajet du conducteur naturel, le bras, et par suite les
doigts
. Si les effets qui résultent ordinairement de c
s Je vîmes mouvoir sa main, la porter à ses lèvres, arracher avec ses
doigts
les mucosités épaisses qui tapissaient sa bouche.
aissances en médecine, l’organe principalement affecté et dirigez vos
doigts
en pointes sur sa surface lorsque vous l’aurez dé
ssirez encore. Votre magnétisation doit encore être simple ici; vos
doigts
en pointe dirigés sur l’organe en souffrance, vot
établi par une magnétisation de cinq à dix minutes, vous dirigez vos
doigts
en pointe dans la direction des nerfs qui sont af
mènes physiques les plus curieux. De loin, l’on peut, en dirigeant un
doigt
sur une partie douloureuse, y développer une sens
elquefois expérimenté dans ces cas graves. J’avais soin de tenir un
doigt
sur une artère, et lorsque la circulation prenait
us attachez avec persévérance à diriger sur la cavité intestinale vos
doigts
en pointe. Les malades qui peuvent vous rendre co
oculaire, toujours sans contact et sur des aveugles, en dirigeant mes
doigts
vers les orbites. Pour le cuir chevelu, la même
il aperçut la cuvette pleine de sang, et, portant instinctivement les
doigts
à la bouche, il demanda avec l’apparence de la pl
sition des sens qu’il a observé: le somnambule voyait par le boul des
doigts
, en sorte que, le bras étant considéré comme la b
uisse faire expliquer ce phénomène. Vous n’avez fait que promener vos
doigts
en face de lui, et tous ses sens se sont assoupis
t souffrir; car, au moment où le chirurgien toucha légèrement avec le
doigt
l’endroit que devait parcourir l’instrument, cet
ropre fureur, elles s’arrachent les cheveux, se mordent les bras, les
doigts
, d^chijcnt |eurs vêtements. La force de plus de s
guérirez pas. Vos tractions les plus fortes ne peuvent désunir les
doigts
de leurs mains, comme de leurs pieds, sondés ense
reste au lit des malades, les muscles conservent. leur souplesse, les
doigts
des pieds et des mains recourbés n’entrent plus d
magnétique me permet do faire les expériences les plus curieuses. Vos
doigts
et vos mains semblent appartenir plutôt à moi qu’
lairer, sonder tous les organes les uns après les autres, diriger les
doigts
en pointe suffisamment de temps sur chaque partie
qu’on le lui avait dépeint. Ce spectre était debout, et l’appelait du
doigt
. Alhénodore lui l’ait signe d’attendre un peu, et
-ci regarde encore une fois, et voit que l’on continue à l’appeler du
doigt
; alors, sans tarder davantage, il se lève,prend l
transpiration cutanée étant acide, il suffit d’avoir touché avec les
doigts
moites la partie du papier qu’on a plongée dans l
n agunt nisi si ni soluta). Sur la langue il rougit immédiatement. Le
doigt
mouillé produit le même effet. On doit des reme
ent. L’eau magnétisée est aussi d’une grande utilité. On dirige les
doigts
en pointe sur le vase qui la contient pendant un
— Si c’était un verre d’eau, il éprouvait un sentiment de brûlure aux
doigts
et cherchait à diminuer la surface sentante, ou b
, en éprouver également dans les os et les articulations, surtout des
doigts
et du poignet. Magnétisant un jeune homme qui a
portant la main à sa bouche, il s’aperçoit, en voulant la toucher du
doigt
, qu’il n’a plus sa dent. Le docteur Perrier trouv
forment un cercle autour de lui. M. CI)... l'invite à les compter du
doigt
, ce qu’il fait en évitant de comprendre dans cett
contre-épreuves, cl l’on se persuadera qu’ils finissent par mettre le
doigt
sur la vérité. Nous croyons qu’un médecin éclairé
e sur la tôle, sans contact et à quelques centimètres de distance, un
doigt
à l’endroit correspondant de l’organe phrénologiq
presqne instantanément se jette à genoux. Sur une autre indication le
doigt
fut dirigé sur l’organe de la mélodie, et un chan
andis que de l’autre elle tient une chaise pour l’en frapper. Mais le
doigt
dirigé sur la bienveillance fait cesser cette exa
ance phrénologique ou idée de localisation cérébrale. La direction du
doigt
Sur l’organe phrénologique est insignifiante ; bi
gnifiante ; bien plus on peut développer un sentiment en dirigeant le
doigt
sur un organe diamétralement opposé. On fait enco
la frictionnant à deux pouces de distance, je sentis, en mettant mes
doigts
au-dessus du sein, une sensation de froid, ce qui
dianes jusqu’au creux de l’estomac, j’éprouvai un engourdissement aux
doigts
, et je conçus alors que le siège du mal était tou
ue la contraction musculaire n’a pas lieu pour l’extenseur commun des
doigts
. Enfin , M. Duval présente une jeune fille de q
e anléro-poslérieur ; à peine ce dernier pouvait-il admettre le petit
doigt
. La dure-mère et le ligament qui recouvre la part
stérieure, de fourmillements et d'irradia-tions douloureuses dans les
doigts
des mains. Cette dernière circonstance, si vous v
cles de la îiain, des contractions fibril-laires qui communiquent aux
doigts
de légers mouvements. Charcot. Œuvres complètes
les sont, d'autres fois, assez énergiques pour mettre en mouvement un
doigt
, la main elle-même. Ces secousses fibrillaires n'
me du poignet qui, lui aussi, est souvent demi fléchi, tandis que les
doigts
sont recroquevillés vers la paume de la main (Fig
dans le membre supérieur contracture, en redressant les phalanges des
doigts
de la main. (J.-M. C.) troubles de la sensibili
qui se montrent inhabiles à saisir les objets. De temps en temps, les
doigts
se fléchissent involon-tairement dans la paume de
vide, on presse plus ou moins fortement ces divers organes entre les
doigts
, il se produit dans les membres inférieurs une pa
nt agitée de secousses brusques et inattendues, en même temps que les
doigts
s'étendent ou se fléchissent sans motif. J'ajou
je rechercherai, chemin faisant, l'occasion de vous faire toucher du
doigt
cer-taines particularités qu'offre souvent cette
pen-dant, il lui arrivait parfois de ressentir de la roideur dans les
doigts
, qui se redressaient obstinément. En dehors de ce
uce allongé repose sur l'index qui est légère-ment fléchi. Les autres
doigts
sont également dans la demi-flexion. Trois mois
décrit, gêne notablement les mouvements de flexion et d'extension des
doigts
. Les doigts de la main gauche sont habituellement
notablement les mouvements de flexion et d'extension des doigts. Les
doigts
de la main gauche sont habituellement allongés, m
r flexion se font complètement ; toutefois, dans l'état habituel, les
doigts
sont placés dans une position différente tes uns
ensiblement la même que celle de son os congénère. Les mouvements des
doigts
, c'est-à-dire ceux produits par l'action des musc
ceux produits par l'action des muscles fléchisseurs et extenseurs des
doigts
, se font beaucoup plus aisément que ceux exécutés
lieu habituellement dans l'ostéomalacie. Le bassin, non plus que les
doigts
des mains, ne présentent les déformations qui se
rvient un vertige et presque aussitôt M. W... sent successivement les
doigts
de sa main gauche se fléchir involon-tairement, l
lement le long du corps, exempts de ri-giaité articulaire. Seuls, les
doigts
étaient fléchis dans fa paume de la main sans qu'
lontaires partiels permettant d'atteindre un but déterminé. Seuls les
doigts
étaient fléchis et leurs articulations rigides; m
ophie porte à la fois sur les muscles flé-chisseurs et extenseurs des
doigts
: aux mains, les éminences thé-nar et hypothénar s
ire est excavé par suite de l'atrophie des interosseux ; de plus, les
doigts
sont fléchis assez fortement et d'une manière per
s mains, fort singulier. Les mouvements de flexion et d'extension des
doigts
sont très bornés. Depuis le mois de janvier, la m
nergiques pour produire des mouvements très prononcés d'extension des
doigts
et de la main tout entière lorsqu'on a produit à
s doigts et de la main tout entière lorsqu'on a produit à l'aide d'un
doigt
un choc léger sur la face dcvrsale de l'avant-bra
ce n'était pas complète et la malade pouvait encore remuer un peu les
doigts
. La contracture des membres inférieurs a fait éga
Cette paralysie s'accompagne d'un certain degré de contracture ; les
doigts
sont fléchis dans la paume de la main, le poignet
ehors. On trouve souvent la malade occupée à rejeter, à l'aide de ses
doigts
introduits dans sa bouche, les mucosités épaisses
risée par l'impossibilité où se trouvent les malades de maintenir les
doigts
et les orteils dans la position qu'on leur imprim
les motifs suivants : 1° Il faudrait y ajouter que les mouvements des
doigts
se font lentement et que ceux-ci ont une tendance
, Vathêtose ne reste pas toujours limitée aux muscles qui meuvent les
doigts
et les orteils ; quelquefois, en effet, la main t
gauche du corps et affectant la face, le cou, la main et le pied. Les
doigts
sont sans cesse en mouvement ; ils s'étendent et
d'abduction. Gr... ne peut pas tenir son poing fermé ; aussitôt, les
doigts
s'étendent et se portent dans toutes les directio
s les directions ; souvent le pouce est pris entre les deux pre-miers
doigts
. Elle ne se sert guère de sa main : quand elle a
a saisi un objet, elle le lâche bientôt par suite de l'ouverture des
doigts
. Lorsque la malade est debout, le pied est d'ab
ieur gauche sont rigides. — La main est fléchie sur l'avant-bras. Les
doigts
sont instables: tantôt ils se fléchissent, tantôt
s'étendent. L'attitude habituelle sem-ble être pour les deux premiers
doigts
, l'extension forcée. Quand on demande à la malade
'extension forcée. Quand on demande à la malade d'ouvrir la main, les
doigts
passent à l'extension forcée, les phalangettes se
nsion forcée, les phalangettes se renversent, et presque aussitôt les
doigts
et la main se fléchissent. Essaie-t-elle de fléch
hir le pouce, elle y parvient, mais simultanément et malgré elle, les
doigts
s'étendent. Les grands mouvements du bras ne sont
servation, nous trouvons mentionnées non-seu-lement Y instabilité des
doigts
, mais encore l'hémianesthésie, sous une forme att
he du corps. Lorsque la main gauche est fermée, on remarque que les
doigts
veulent constamment s'ouvrir et qu'il s'ajoute à
. — La main est-elle ouverte ? on note des mouvements d'extension des
doigts
. Pour obtenir un peu de repos, la malade est obli
bite, il est toujours parfaitement net et arrête du premier coup le
doigt
qui le recherche. Fixant l'index sur l'angle ex
ont des inclinations, se déssabillent, se déchirent, se tordent les
doigts
, les lèvres, s'écorchent les mains et la face san
ngue ou des lèvres, mais elle présente de légers tremblements des
doigts
. La sensibilité culanée à la douleur est obtuse.
meil est bon. Pas de tremble- ments de la langue, des lèvres et des
doigts
. Examen psychique. La malade se présente dans u
en, ni si la malade présente des tremble- ments de la langue et des
doigts
, la malade s'opposant à cet examen. LES MÉL
Biernacki, etc., absents). Légers tremblements de la langue et des
doigts
. La parole courante et normale. La marche est b
peu diminué, le réflexe cubital, des extenseurs et fléchisseurs des
doigts
, le réflexe rotulien sont conservés ; de même l
si de la gélatine avait été injectée sous la peau : la pression au
doigt
ne laissait pas de trace, mais il y avait comme
Ber- natzlii. L'insensibilité du muscle à la compression, entre les
doigts
, Archives, 2e série, t. VIL 5 66 REVUE DE P
- nières, mouvements d'adduction du pouce, et mouvements du petit
doigt
dépendant de l'action des muscles de l'éminence
ent connue : fourmillements par irradiation dans la région du petit
doigt
, et aussi de vagues douleurs locales ; 3° Une
ments de la langue. Les réflexes des fléchisseurs et extenseurs des
doigts
, normaux; le réflexe rotulien exagéré, le réfle
gue, laquelle garde les impressions dentaires. Des tremblements des
doigts
des deux côtés. Le signe de Biernaclii existe a
bien. Il n'y a pas de tremblements de la langue, des lèvres ni des
doigts
. Le réflexe pharyngien 'conservé. Les réflexes
entés. Il n'y a pas de tremblements de la langue, des lèvres ni des
doigts
. Il y a tendance aux états -catatoniques. Le réfl
t garde les impressions dentaires. La parole n'est pas altérée. Les
doigts
tremblent moins. Le réflexe pharyn- gien diminu
urs et des fléchisseurs conservés. 11 n'y a pas de tremblements des
doigts
. Les réflexes rotulien et plantaire conservés.
ssure labiale gauche en dehors; il y a aussi des trem- blements des
doigts
. Le signe de 131ernachi existe de deux côtés. I
. Elle n'offre pas des tremblements de la langue, des lèvres ni des
doigts
. Le goût est perverti, elle dit que l'acide cit
. La voûte du palais n'est pas excavée. La malade présente au grand
doigt
de la main droite une plaie presque cicatrisée,
ir eu lieu entre la mère et l'enfant, ce dernier la mordit au grand
doigt
de la main droite. L'acte médico-légal dit que la
as rester sur un pied. Il présente aussi de légers tremblements des
doigts
. La force musculaire est très diminuée. L'app
plantaire diminué. Il n'y a pas de tremblements de la langue ni des
doigts
. La sensibilité gé- nérale est diminuée, elle p
paraît un peu diminué. Il y a des tremblements de la langue et des
doigts
. Le réflexe pharyngien est conservé. La sensi
nuances. Peu de tremblements de la langue, mais plus manifestes aux
doigts
. Le goût et l'olfaction sont conservés. L'excit
c- tion normaux. Quelques légers tremblements de la langue et des
doigts
. Le signe de Biernacki existe à droite et à gauch
disparues à l'exception des quatre incisives inférieures ; mains et
doigts
courts ; ongles larges et courts ; poitrine aplat
jambe droite et une paralysie totale du bras droit avec flexion des
doigts
sur la paume de la main. L'apparition de cette
onvénients. Nous nous sommes enfin trouvé satisfait de la piqûre du
doigt
. On fait une légère incision à la partie extern
du doigt. On fait une légère incision à la partie externe du petit
doigt
, une incision de 1 centimètre, et l'on met un f
centimètre, et l'on met un flacon à large embouchure au-dessous du
doigt
. Le sang coule lentement. Ce sang est poisseu
e. Etat, présent. Front étroit et déclive, occiput aplati; petits
doigts
courts. Tremblement des mains avec incertitude da
s deux côtés. Maladresse dans l'exécution des petits mouvements des
doigts
, écriture légèrement ataxique. Faculté d'hypere
, par des panaris multiples, douloureux, Ceux-ci apparaissaient aux
doigts
et aux orteils, en même temps avec d'autres tro
vec une telle violence que son fils, en le maintenant, lui foula un
doigt
de la main droite. La crise passée, cet homme n
alie congénitale (microdactylie, absence de phalanges, ankylose des
doigts
; 14° le traitement médical est nul; le traite-
de l'enfance. Il y a trente ans, elle eut les premiers panaris aux
doigts
de la main gauche, en nombre de onze-treize, nota
a plus intense ; les regards fixés vers un point qu'elle désigne du
doigt
, elle se livre à une série de mou- vements de d
dans ses cheveux avec un geste de dégoût, ou semble tirer avec ses
doigts
quelque chose de sa bouche entr'ouverte. 1 d'au
our presque aussitôt sauter précipitamment de son lit, désignant du
doigt
le milieu de son matelas, elle s'écrie d'un ton
le niveau de l'ar- ticulation coxo-fémorale jusqu'à l'extrémité des
doigts
; durant la première semaine se produisit le ph
sur le dos un point très sensible à la pression, à trois travers de
doigt
au-dessous de la blessure ; deux semaines après
que le gauche pouvait à peine faire ceux de flexion du pied et des
doigts
, ceux d'extension étant impossibles. Cependant
ée, et le pied, dans la marche s'appuie seul par les extrémités des
doigts
(équinisme). Dans la note correspondant au 11 j
s en extension. Les mouvements d'extension dorsale du pied et des
doigts
sont nuls ; le réflexe patellaire gauche est très
tres au-dessous de l'articulation tibio-tarsienne, sur tout le gros
doigt
du pied et dans un coin étroit correspondant à la
tandis que dans l'opposé elle est très limitée dans le pied et les
doigts
; que l'anesthésie n'a pas disparu complète- men
r l'examen. En ordonnant à nos malades de regarder et fixer notre
doigt
à une distance de 15 à 20 centimètres : punctumpr
aux furent aussi envahis, entraînant les accidents ordinaires ; les
doigts
finirent par se fléchir dans la paume de la mai
lassiques ; toutefois, ce tremblement est limité aux mouvements des
doigts
et de la main sur Pavant- bras, de sorte qu'il
, de coudre, d'écrire; mais, si on lui immobilise le poignet et les
doigts
sur un crayon, elle trace bien une ligne horizo
là un tremblement net- tement segmentaire, c'est-à-dire limité aux
doigts
et à la main. Or, quand on analyse un trembleme
paraître définitivement peu de temps après. Quant à la mobilité des
doigts
, elle n'avait pas été modifiée par la blessure
à contours non définis, ombres rappelant grossièrement la forme des
doigts
. Pour M. Baraduc cette image résulte de l'actio
hmi- ques, choréiformes et limités au'membre supérieur droit. Les
doigts
de la main droite sont animés de mouvements at/tf
t ascendante, mais respecte la face. Le lendemain, elle atteint les
doigts
, les main ? les avant-bras ; pendant la nuit, e
glisse mieux sur le sol que le droit. Lorsqu'on lui fait serrer les
doigts
des mains, on trouve que l'effort musculaire es
e bras, que la main était en pronation et en flexion, enfin que les
doigts
étaient repliés dans la paume de la main. Tout mo
ques mouvements brusques, saccadés, sans atteindre le but visé. Les
doigts
, fortement fléchis dans la paume de la main, sa
à marcher à 2 ans 1/2. Aujourd'hui, nous le voyons d'ha- bitude les
doigts
dans la bouche (l'index). Par moments,il fait e
les compose, en même temps que le toucher suffit, au pas- sage du
doigt
sur les hémisphères, à les reconnaître par leur
complètement idiot. Notons, pour mémoire, l'habitude de mettre ses
doigts
dans la bouche. M... asuccombé à une bronchio
les mains à la bouche, principalement la droite, et se mordille les
doigts
; d'autrefois, il suce la manche de son vêtement
nie franche au début; le tissu ne crépite plus, est friable sous le
doigt
mais surnage encore. Les lobes supérieur et moy
et de les circonscrire grâce à la résistance qu'ils offrent sous le
doigt
. A leur niveau, la décortication de la pie-mère
sous forme d'un bourrelet rouge, induré, large de trois travers de
doigt
; elle intéresse moins l'autre fesse. A son nive
pression incertaine et inégale, soit en raison du déplace- ment des
doigts
, venant malencontreusement appuyer sur le bouch
laissait rouler à ses pieds, faute, en partie, de pouvoir fixer ses
doigts
dans les trous. Maintenant, il réussit à lui fair
y- HYSTÉRO-ÉPILEPSIE. 59 peresthésie cutanée, mais la pression du
doigt
donne lieu à des douleurs lancinantes qui s'irr
insulte. Il rit quand on imite devant lui les marionnettes avec les
doigts
. On lui demande par écrit s'il veut marquer sur
es autres soirs il reconnaissait son père à la bague qu'il porte au
doigt
; il n'en est rien en ce moment, et il frappe so
ire. Après il annonce qu'il sent sa boule descendre, et montre du
doigt
le trajet qu'elle suit, jusqu'au milieu du ventre
que des nodosités multiples, de volume différent, roulent sous le
doigt
en donnant la sensation d'un sac de noix. Au po
s que les plateaux du tibia forment une saillie appréciable sous le
doigt
, à la partie inférieure de la région poplitée.
e dureté absolue. Membre inférieur oanche. - Lorsqu'on promène le
doigt
sur la face antérieure de la cuisse, en palpant
bras et le poignet sont en pronation forcée avec demi-flexion ; les
doigts
sont repliés sans rai- deur dans le creux de la
res vraisemblablement artificielles et produites par la pression du
doigt
qui a dû rompre les adhérences pieurales. Elles
maman; » il reste immobile, suçant tantôt ses vêtements, tantôt ses
doigts
. Quelques croûtes d'impétigo sur le cuir chevel
enir dans ses mains; il mangeait ses excréments, bavait, suçait ses
doigts
(index et médius). Il se montrait parfois viole
ors «sa graisse brûlait sans qu'il dise rien ». Un jour il eut le
doigt
fortement contusionné par une porte et ne se plai
jours, mais moins souvent que par le passé. L'enfant mange avec les
doigts
, est très salace et aime à barholter dans la bo
Le foie est gros et dé- borde les fausses côtes de deux travers de
doigt
. T. R. 38°,4. Julep avec kermès, 0 gr. 10. - So
pulmonaire présente une teinte jaune clair, il est friable sous le
doigt
, ne surnage pas. Sur une coupe, bien qu'on n'ob
- Le foie (8;)(\ gr.) déborde les fausses côtes de deux travers de
doigts
. Il est gros, 'de teinte jaune rosée, présente
, volu- mineux, cunéiforme. Le reste du tissu est friable sous le
doigt
et ne surnage pas. La pression fait sourdre des g
consistant en tumé-faction de l'extrémité du membre, ulcérations des
doigts
, perte des ongles, etc., ne se montrent, en réali
Eruption particulière siégeant sur la face dorsale d'une main et des
doigts
, et probablement consécutive à la lésion des file
conséquence il s'étaitformé sur la peau du pouce et des deux premiers
doigts
de la main, des ulcères qui résistaient à tous le
acée même, mais qui cède toujours, momentanément, sous la pression du
doigt
. Dans des circonstances assez rares et que, jusqu
ortées à lapériphérie, analogues à celles qui se développent dans les
doigts
de la main, lors-que le nerf cubital a été froiss
més d'un mouvement presque pa-thognornonique. Le malade rapproche les
doigts
du pouce comme pour filer de la laine, simultaném
nnés. Ainsi, chez quel-ques malades, le pouce se meut- sur les autres
doigts
, comme cela a lieu dans l'acte de rouler un crayo
rayon, une boulette de pa- pier , chez d'autres, les mouvements des
doigts
sont plus com-plexes encore et rappellent l'acte
embres supérieurs mérite d'être relevée. Fig. 9. — Déformations des
doigts
de la main simulant celles du rhumatisme articula
rapprochés l'un de l'autre, comme pour tenir une plume à écrire; les
doigts
, mé-diocrement inclinés vers la paume de la main
l(F?V/.8). Ils montrent, en outre, dans Fig. 10. — Déformations des
doigts
de la main, simulant celles du rhumatisme articul
es mains réunies comme pour se soutenir. Pris dans leur ensemble, les
doigts
sont légèrement fléchis, l'amasses: la main entiè
ent spécifique. Vous verrez comment, au moment de saisir l'objet, les
doigts
s'écartent démesurément et s'étendent à l'excès e
e convul-sive par une flexion brusque et disproportionnée de tous les
doigts
. Cela appartient à l'ataxie; jamais vous n'observ
avait besoin du secours delà vue, sans quoi l'épingle s'échappait des
doigts
. A l'autopsie, on trouva une des plaques de sclér
itement. Cette douleur, je vous la ferai pour ainsi dire toucher du
doigt
dans un instant ; je vous en ferai reconnaître to
etc. ; elles s'éloignent brusquement, par un mou-vementinstinctif, du
doigt
investigateur. Joignez à cela un cer-tain degré d
loin, et, en pénétrant en quelque sorte dans l'abdomen, à l'aide des
doigts
, on arrive sur le véritable foyer de la douleur .
oureux qu'accusent lesmalades et que la pression, exercée à l'aide du
doigt
, met d'ailleurs en évidence. L'exploration prof
nsversalement et qui, pressé contre la paroi osseuse, glisse sous les
doigts
. Lorsque ce corps est tuméfié, ainsi que cela se
tion ou même seulement la sensibilité de l'ox^aire. L'introduction du
doigt
par le rectum ne serait, d'après notre auteur, un
ssaire d'user de toutes ses forces et l'application des deux premiers
doigts
de la main sur le siège présumé de l'ovaire suffi
ure hystérique. Nous sommes ainsi mis à même de vous faire loucher du
doigt
les particularités Fig. 22. — Contracture du me
pas trop accentuée, on réussit à produire,eu redressant vivement les
doigts
, un tremblement spasmodique de la main en tout se
rgée. Le 16, éruption miliaire, conflncnte, en vésicules, au bout des
doigts
. Urine chargée de phosphate, sans albumine. Dans
bras est fortement fléchi sur le bras, la main surl'avant-bras.et les
doigts
fléchis eux-mêmes arrivent à toucher l'épaule par
ce, légèrement infléchi, s'appuie d'habitude sur l'index ; les autres
doigts
sont un peu fléchis et ramassés les uns contre le
es coudes et plus à droite qu'à gauche. Les phalangettes des 3e et 4°
doigts
ont une tendance à se porter dans l'extension. La
u. Les mains ne présentent pas de déformation permanente : mais les
doigts
prennent facilement, et sans que le malade en ait
ndant le long du corps, sont un peu rigides dans la demi-flexion. Les
doigts
sont légèrement fléchis, les poi-gnets un peu éte
certains actes, comme celui de prendre un mouchoir dans la poche, les
doigts
sont parfois agités de quelques secousses rythmée
dent la physiono-mie effrayante; beaucoup étendent les trois premiers
doigts
de lamain, de maniôreà simuler le geste de lajett
incé, se plaindre peu après le petit accident, d'une douleur qui, des
doigts
, s'étend par en haut sur la main et l'avant-bras.
leur de fête vive et qui, par son caractère, rap-pelait la douleur du
doigt
piqué... Une intervention chirurgi-cale (p. 80) t
sez vive et un peu de gonflement. Deux ou trois jours après, le petit
doigt
de cette main commença à se fléchir d'une façon p
une façon permanente, puis fa flexion gagna successivement tes autres
doigts
, et te pouce s'ap-pliqua sur l'index et l'annulai
marque faite par Brodie, dans plusieurs cas de ce genre. Laflexiondes
doigts
, est tellement prononcée que la réduction est à p
e énergiquement fermé, que le poignet est rigide lui aussi, comme les
doigts
, qu'enfin il existe une anes-thésie complète occu
s la demi-flexion commença à se produire dans l'annulaire et le petit
doigt
de la main droite, ^es jours suivants, les trois
e petit doigt de la main droite, ^es jours suivants, les trois autres
doigts
de la même main furent envahis à leur tour par la
eux mois environ aprèsl'accident, on constate ce qui suit: Les quatre
doigts
internes de la main droite sont légèrement fléchi
btus d'environ 130° à 130°. Les deux dernières phalanges de ces mêmes
doigts
sont rigides, dans l'extension. Le pouce, quoique
mplète ; à la vérité, on peut, non sans effort toutefois, étendre les
doigts
complètement ou les fléchir, mouvoir le poignet d
tc.), les exercices des mains (fermer, ouvrir les mains, agiter les
doigts
, les allonger, les étendre- et les plier simult
morceaux de verre, ou il faire tomber les enfants, leur tordre les
doigts
, à leur mordre la verge,, etc... '. Les enfan
oite qui est en demi-flexion sur l'avant bras ; les quatre derniers
doigts
sont demi fléchis sur le métacarpe. Toute la ma
DE la malade.. 15 bras droit. Articulations saines. Mains petites,
doigts
effilés.- Ongles courts, aplatis. Membres inf
ade. bre supérieur est atteint au même degré que l'inférieur. Les
doigts
sont fléchis dans la main qui elle-même est forte
e de Le Tal... dit qu'elle a remarqué les mouvements convulsifs des
doigts
de la main paralysée (athétose) quand il a comm
it avec athétose : contorsions de la face à droite, mou- vement des
doigts
de la main qui se porte en arrière, etc. Le cer
oite, où la contracture est plus accentuée. Pouce dans l'extension,
doigts
fléchis dans la paume de la main, l'index très-
doigts fléchis dans la paume de la main, l'index très-peu, le petit
doigt
complè- tement, les autres dans des positious i
nts de toutes les articulations sont à peu près normaux. Les deux
doigts
, médius et auriculaire, restent en demi-flexion,
est en extension et adduction sur l'avant-bras. Les mouvements des
doigts
sont libres sauf ceux du pouce qui reste le plu
juger de l'état des articulations, sauf de celles du poignet et des
doigts
qui sont saines. Les membres inférieurs font da
embres supérieurs amaigris. Muscles sans puissance. Mains osseuses.
Doigts
longs et nerveux, non hippocra- tiques. - Rien
t en demi-flexion. AH mois, la main fut prise de contracture, les
doigts
se fléchirent et on ne pouvait les allonger. Les
ts des lèvres, et du bruit brrr...brrr.. Il se mordille parfois les
doigts
et suce tout ce qu'on lui pré- sente. Il ne rec
déviée sur le bord cubital. Le pouce est en adduction et les autres
doigts
repliés sur lui. Le membre supérieur gauche est
écès. - Cadane très amaigri. Très légère rigidité du coude et des
doigts
à gauche; même chose à droite. Rigidité des hanch
urs d'inégale longueur. Bras et avant-bras de conformation normale.
Doigts
et ongles hippocratiques des deux côtés. Trois
igris, peu musclés mais réguliers et cylindriques; mains violacées,
doigts
en fuseaux, un peu larges à l'union des phalang
er l'enfant à marcher ; mettre de la teinture de coloquinte sur ses
doigts
; l'empêcher de mettre ses doigts dans ses yeux
la teinture de coloquinte sur ses doigts ; l'empêcher de mettre ses
doigts
dans ses yeux (habitude fré- quente chez nos en
iage. (A deux, 60 bouteilles de bière en un jour.) Malformation dee
doigts
(trois doigts seulement à ta main droite). - Gr
0 bouteilles de bière en un jour.) Malformation dee doigts (trois
doigts
seulement à ta main droite). - Grand'mère pater-
et plus petit que le gauche et la main ne se termine que par trois
doigts
: le pouce, et deux autres doigts dont le plus
main ne se termine que par trois doigts : le pouce, et deux autres
doigts
dont le plus long et le plus gros est aussi le
rapproché du pouce, en sorte que, comme volume et comme forme, ces
doigts
rappellent le médius et l'annulaire. (Fig. 5).
oolisme. Le père, qui est déjà un dégénéré, et ne possède que trois
doigts
Ù la main droite, est de plus un alcoolique out
t à crier dès qu'on l'approche on qu'on lui parle. Il fait avec les
doigts
des mouvements bizarres et incohérents.. Dans l
.. commence par grincer des dents, en faisant des con- torsions des
doigts
comparables aux mouvements de l'athé- tose (fig
es mains demi-fermées, comme pour attraper une mouche, puis met ses
doigts
les uns sur les autres, de layon que l'extrémit
es doigts les uns sur les autres, de layon que l'extrémité du petit
doigt
et des suivants jusqu'à l'index touche l'articu
s jusqu'à l'index touche l'articulation métacarpo- phalangienne des
doigts
suivants. Il parvient à faire ce mou- vement co
u diagnos- tic. Sim ? idiot aveugle, a Yhabilutle de mettre ses
doigts
dans ses yeux, puis dans sa bouche, ou bien il
t d'abord, l'opération consistait en une incision à deux travers de
doigts
de la ligne médiane, 9 centimètres sur 6 millim
conscience. Elle bavait z constamment, se fourrait fréquemment les
doigts
dans la bouche et cela quelquefois pendant fort
ir ni faim, ni sommeil. Elle mange avec appétit, salement, avec ses
doigts
, sans salacité d'après le père ; son goût est p
ant-bras. Ossature et articulations saines. Mains grandes, maigres,
doigts
effilés, ongles longs, un peu bombés. - Membres
li- mètres, destinées à être saisies entre le pouce et les autres
doigts
; 2° de petits cylindres en bois de 6 centimètre
stinées à être prises soit à pleine main, soit avec l'extrémité des
doigts
. Ces différents objets per- mettent en même tem
pas d'épais- sissements rachitiques des épiphyses. Les mains et les
doigts
sont très larges, courts, épais; il en est de m
xiste à ce niveau un sillon vertical assez profond pour contenir le
doigt
. lIIemb1'es. - Etant donnée la taille exiguë de
un moi- gnon formé par la région métacarpienne et une portion des
doigts
rudimentaires. Il travaillait beaucoup, même de n
côté droit du cartilage thyroïde, quelques nodules roulant sous le
doigt
et appartenant peut-être au corps thyroïde, qui
u tronc, la peau est fine, d'un blanc mat, assez résistante sous le
doigt
, comme infiltrée et paraît recouvrir une épaiss
pparence oedémateuse. Ailleurs, elle est tendue, résistante sous le
doigt
et comme bouffie de graisse. On ne constate pas
rûlure dont la cicatrice a produit la rétraction des trois derniers
doigts
. La préhension est encore possible avec le pouc
euse, forme une pelotte épaisse, mais ce gonflement résiste sous le
doigt
et ne disparaît pas par la pres- sion. La main
iller qu'il tient de la main gauche et les autres aliments avec ses
doigts
. 11 boit également seul en tenant le gobelet av
t région pariétale, est rosée et un peu oedématiée ; la pression du
doigt
laisse une empreinte. On ne peut que présumer l
t en voie de desquamation. T.R., 38°,4. - Soir : 38°,6. 10. - Les
doigts
sont envahis par l'érysipèle, l'état général est
idée et, au premier .abord, parait oedématiée, mais l'empreinte des
doigts
ne s'y dessine pas. Il existe quelques poils ra
ices auriculo-ventriculaires admettent avec peine la pulpe des deux
doigts
index et médius réunis de la main gauche. Les v
un espace membraneux à travers lequel on pourrait passer le bout du
doigt
. La chevelure ezt blonde, peu abondante. - La f
. Ces désirs sont très bor- nés et peu nombreux. Il indique avec le
doigt
ce qu'il veut ob- tenir ; s'il éprouve, par exe
on trouve une certaine résistance quand on les com- prime avec les
doigts
. A l'intérieur de l'aorte, dans toute son étend
eau est épaissie, le pli que l'on y produit en la prenant entre les
doigts
mesure plus d'un centimètre, l'im- pression du
ant entre les doigts mesure plus d'un centimètre, l'im- pression du
doigt
ne s'y marque pas comme dans l'oedème, mais don
ien marquées, qui glissent sous la pression et, quoique donnant aux
doigts
la sensation du tissu lipomateux ou myxomateux,
habitude et ne causent aucune douleur lorsqu'on les saisit entre le
doigt
dans le rectum et la main placée sur l'abdomen.
et les bras sont bien faits; les mains sont petites, ramassées, les
doigts
sont courts, et les rides de la peau, plus abon
ait large, gros; la peau comme oedématiée; les mains ramassées; les
doigts
épatés étaient rouges, cyanosés, comme infiltré
et d'une fa.çon intermittente. Membre supérieur gaucho flasque, les
doigts
cependant serrent légèrement les objets. Hier l
ongs et noirs. Quelques ganglions lymphati- ques se sentent sous le
doigt
à la nuque ; rien ailleurs. La sensibilité géné
tin et soir. 27 avril. Foie douloureux, débordant d'un travers de
doigt
les fausses côtes ; abdomen mou et rétracté. A 2
doigt les fausses côtes ; abdomen mou et rétracté. A 2 tra- vers de
doigt
au-dessous de l'ombilic, on sent, sous la pa- r
êles et très amaigris. Deux cicatrices de vaccin à chaque bras; les
doigts
à leur extré- mité sont rouges. Membres infér
iquide dans la cavité abdominale. Le foie remonte à deux travers de
doigt
au-dessus du rebord cos- tal ; le diaphragme at
st engagé dans les voies respiratoires et menace de l'asphyxier. Le
doigt
porté profondément dans le fond de la gorge arr
ne faut-il pas de fibres nerveuses élémentaires pour mouvoir un seul
doigt
? Combien n'en faut-il pas pour la perception dis
u, énucléant d'un seul coup le noyau cérébral tout entier à l'aide du
doigt
rapidement promené entre le corps calleux et le b
e nom de couronnes radiantes (4). Ainsi M. Foville faisait toucher au
doigt
ce qu'avait entrevu Willis, mais avec combien plu
tusion au haut du tronc. Les mouvements demeurèrent libres, mais deux
doigts
de la main et la moitié du médius perdirent leur
est punie par le feu, et du milieu de ses tourments « elle implore le
doigt
d'une âme plus heureuse, et de-« mande une goutte
e extérieure. L'impression très-vive de chaleur qu'on éprouve dans un
doigt
enflammé n'éveille l'idée d'aucun contact; enfin,
era cependant très-distinctement ressentie à l'extrémité pulpeuse des
doigts
, sur leur face palmaire et dans la paume de la ma
gles jouent un rôle important. Quand, par exemple, nous appliquons le
doigt
à la surface d'un corps, les moindres pressionsdé
enduite d'une couche d'huile glisse sur une portion de la couche des
doigts
circonscrite par un petit cadre de baudruche, cet
reil étant ainsi disposé, dirigeons sur le bord du disque immobile le
doigt
d'un homme non prévenu, auquel on a, au préalable
ôt une certaine impression, une impression de contact. Éloignons le
doigt
pour un instant, et appliquons-le de nouveau sur
ndant l'intervalle de deux contacts; évidemment alors le point que le
doigt
rencontre n'est point celui qu'il avait primitive
maintenue dans une situation fixe, on fait tourner le disque sous le
doigt
qui le touche. Le frottement qui en résulte donne
nous le circonscrivons avec certains mouvements des extrémités de nos
doigts
, de ces cinq pointes d'une main parfaite, que M.
a une plus « grande quantité de houppes nerveuses à l'extrémité des «
doigts
que dans les autres parties du corps ; ce n'est p
t de superficie. Qu'on suppute « la superficie de la main et des cinq
doigts
, on la trouvera « plus grande,à proportion que ce
voir présenter aux « corps étrangers plus de superficie; ensuite, les
doigts
peu-« vent s'étendre, se raccourcir, se plier, se
rand nombre de parte lies, qu'elle fût, par exemple, divisée en vingt
doigts
, que « ces doigts eussent un plus grand nombre d'
te lies, qu'elle fût, par exemple, divisée en vingt doigts, que « ces
doigts
eussent un plus grand nombre d'articulations et «
saisissons point à pleine main. Nous les louchons des extrémités des
doigts
, légèrement promenés sur leurs surfaces. Nous les
mouvements coordonnés, ou bien nous les motions en mouvement sous les
doigts
d'une certaine façon. Dans ce cas, nous jugeons l
la forme bien plus que nous ne la sentons. Si, par exemple, nos cinq
doigts
rapprochés embrassent une tige, nous jugerons que
, si en lui imprimant un mouvement de rotation sur son axe, aucun des
doigts
qui l'embrassent n'est déplacé par ce mouvement.
sensation. Mais que dire de cette main divisée en une multitude de
doigts
composés eux-mêmes d'un nombre infini d'articulat
n ce genre? Comment ce grand homme pouvait-il songer à cette foide de
doigts
, quand le plus souvent, pour mieux loucher, les h
is. Encore cela n'est-il utile que pour les corps solides, qu'un seul
doigt
ne pourrait aisément circonscrire. Car, pour les
prises dans des plans, on les déter mine plus aisément avec un seul
doigt
qu'avec plusieurs. Si l'idée de Buffon élait ju
seul doigt qu'avec plusieurs. Si l'idée de Buffon élait juste, les
doigts
de la main la plus parfaite auraient à peu près l
la nôtre. Ne voit-on pas que notre langue, bien plus sensible que nos
doigts
cependant, ne peut nous donner une idée précise d
oujours les plus sensibles. Ainsi la pulpe tactile de l'extrémité des
doigts
est fort peu chatouilleuse. La face palmaire ou p
oint vous paraîtra plus gros et rayonné ; alors, si vous placez votre
doigt
à droite de l'œil ouvert, et que vous l'approchie
couvrir ce point lumineux, vous verrez distinctement l'ombre de votre
doigt
venir au contraire de gauche à droite, et passer
on le trouvera plus promptement en laissant aller sans réflexion ses
doigts
sur l'instrument, qu'en y donnant beaucoup d'atte
t lentes, ait présidé en particulier à chacun d'eux? Au moment où les
doigts
se précipitent dans une gamme foudroyante, quel m
ne gamme foudroyante, quel musicien pourrait se dire : J'ai remué tel
doigt
, frappé telle touche? Il sait sans doute qu'il se
ntraîneront, sans que l'attention y ait aucune part, le mouvement des
doigts
. Alors le grand exécutant oublie son corps; élevé
non est le plus attentif à ses recherches, promène légèrement sur son
doigt
étendu le dos d'un scalpel. Celui-ci jette un cri
gémissements ni cris, mais elle se mit à rire, et faisant claquer ses
doigts
, elle insultait au tribunal disant : juge, consul
oir plus leurs dimensions naturelles, et tels que je les sentais, mes
doigts
n'étaient plus que des fils sans épaisseur. J'ai
uelqu'il fût, n'était accompagné d'aucune douleur. J'ai dit que mes
doigts
me semblaient être des fils d'une finesse singuli
s spontanément le sentiment dont j'étais tourmenté. Or, je voyais mes
doigts
, je raisonnais, et l'erreur n'était pas possible,
de la règle des associations antérieures. Celui-là croira avoir pour
doigts
des fils fragiles; tel autre affirmera qu'ils son
e table libre sur le sol, et posent simultanément sur ses bords leurs
doigts
étendus ; une certaine disposition des mains unie
ls ont poussé ! Il suffit de réfléchir un instant pour voir que les
doigts
demeurant adhérents à la table, c e n'est point d
ait son enfant; mais l'eau n'ayant pas atteint les intervalles de ses
doigts
, l'enfant naquit blanc, sauf les intervalles des
valles de ses doigts, l'enfant naquit blanc, sauf les intervalles des
doigts
qui étaient noirs (2). Paracelse,Vanhelmont, Fi
uctuante, engagée dans l'orifice du col utérin ne permettait point au
doigt
d'y pénétrer et d'examiner l'état intérieur des c
s mains, c'est-à-dire, en appli-« quant le pouce entre le pouce et le
doigt
index de son voisin. « Alors on presse le pouce q
ndre ! voir! flairer et goûter par l'épigastre ou par l'extrémité des
doigts
! Voilà ce que Pétetin dit avoir observé, et ce q
'électricité peuvent transmettre les impressions à l'épigastre ou aux
doigts
. Un bâton de cire à cacheter intercepte toute com
ILLE, Bicêtre, 1903. ? XXXIV Enseignement DU chant. Exercices des
doigts
. Pour obtenir l'agilité et l'indépendance des d
Exercices des doigts. Pour obtenir l'agilité et l'indépendance des
doigts
, j'ai imaginé un petit clavier de cinq touches
our faire basculer une touche, l'élastique formant ressort exige du
doigt
un effort plus marqué. En pra- tiquant cet exer
fermes et souples et, si l'on lait faire cet exercice à tous les
doigts
, on obtiendra ainsi l'indépendance de ceux-ci.
touche 1, les index la touche 2 et ainsi de suite jusqu'aux petits
doigts
, qui s'ap- pliqueront sur la touche 5. 1 ? Ex
présence du clavier posé sur une table, il devra mettre les cinq
doigts
sur les cinq touches, appuyer avec le pouce (ICI)
ppuyer avec le pouce (ICI) une dizaine de fois, sans que les autres
doigts
quittent les touches qui leur sont destinées; l
t les touches qui leur sont destinées; l'on fera faire aux autres
doigts
la même gymnastique, aller et retour. Quand l'e
1''r et 2", puis 2° et 3°, 3° et 4°, 4° et 5". Exercice n° 3. Les
doigts
1, 2 et 3, un doigt après l'autre, puis 2% 33°
t 3°, 3° et 4°, 4° et 5". Exercice n° 3. Les doigts 1, 2 et 3, un
doigt
après l'autre, puis 2% 33° et 4°; ci°, ! 1" et
, 5e; 7 lcr 2°, 3° et 5°. Exercice n° 5. 1er, 2°, 3°, ! 1° et 5° un
doigt
après l'autre aller et retour. Les doigts qui
r, 2°, 3°, ! 1° et 5° un doigt après l'autre aller et retour. Les
doigts
qui manoeuvrent devront se lever le plus Enseig
de l'en- fant obtiendra l'agilité, la force et l'indépendance des
doigts
. Enseignement du dessin. Grande école. Cet ense
ns prises par lcpcrsonncl, chargé delà toilette de ces enfants. Les
doigts
de l'in- firmière et les serviettes sont certai
relever la lan- gue, et donne t pour /; ; le maitre, alors avec son
doigt
, repoussera la pointe de la langue le plus poss
n habituera l'enfant à maintenir lui-même la langue avec son propre
doigt
, et peu il peu la langue s'habituant il cet exe
ille, bouche, algue, dent, cou, épaule, bras, coude, poignet, main,
doigt
, Education DE la parole. CLRIII poitrine, dos
vers le poignet. Epaules basses et tombantes. Forme des mainsetdes
doigts
normale. Pas d'onychophagie. Préhension naturel
son, on cria au feu, et au même moment, son mari revint avec deux
doigts
sciés. La mère n'eut pas de syncope, mais elle
rs : de forme, d'attitude, de volume nor- maux. Jointures, mains et
doigts
, rien ¡'¡ noter. Pas d'ony- chophagie. Préhensi
les saillies musculaires sont légèrement esquissées. Les mains, les
doigts
, les on- gles, n'offrent rien de particulier. P
simule pas les masses musculaires il la contraction. Les mains, les
doigts
et les ongles sont bien conformés. Pas d'onycho
mineux. Orifice hyménéal circulaire, admettant l'extrémité du petit
doigt
. La sensibilité est intacte dans tous ses modes
pouce, il n'en est séparé par un sillon qu'au niveau de l'ongle. Ce
doigt
bifide est séparé du deuxième orteil nor- mal p
d'encoches profondes. Mains. Carpe large. Métacarpe court et large,
doigts
gros, courts et boudinés, mais bien proportionn
s cuisses ne se touchent pas et sont séparées de trois tra- vers de
doigt
. Tibias normaux. Léger degré de genu valgus. Dé
des petites lèvres. Hymen perforé, lais- sant passer l'extrémité du
doigt
. - Vestibule profond. L'un des malades dont nou
ment développés. Mains assez petites, rouges, rugueuses et froides.
Doigts
bien séparés, Fig. 13. - Oreille mongolienne.
rmés DE nanisme. un peu courts et boudinés. L'enfant metsouvent les
doigts
àsa bouche, mais c'est une manie, il n'y a pas
èvres; orifice de l'hymen très large admettant l'extrémité du petit
doigt
; colonne antérieure du vagin fortement saillan
ant d'ouvrir la main, elle touchait le métacarpe près la racine des
doigts
; de même, quand on lui disait de la fermer ; si
t-il, les 256 Imbécillité, hémiplégie, état DE MAL ÉPILEPTIQUE. '
doigts
me piquent », et aussitôt, il est pris d'un tremb
Le pouce fléchi clans le milieu de la main est caché par les autres
doigts
. Le membre inférieur gauche est a peu près flas
par cette ligne la paroi crânienne est déprimée. A la pression, le
doigt
enfonce très légèrement, mais ne tarde pas à pe
rallongement porte sur tous les segments, bras, avant-bras, mains,
doigts
. Il y a un léger degré de contracture plus marq
ne pâleur cadavé- rique. 24-30 mars. S.. a la manie de porter ses
doigts
à ses lèvres et de s'arracher la muqueuse. Sauf
tion épileptoïde des muscles droits abdominaux en traçant avec le
doigt
appuyé fortement une ligne transversale au niveau
i sur le bras ; la main est rabattue et déviée vers le cubitus, les
doigts
sont en flexion, les mouvements ne peuvent être
es masses musculaires sont atrophiées, molles et s'écrasent sous le
doigt
. Le membre inférieur est contracté en flexion,
largeur que la moitié gauche. Cette partie droite ré- sonne sous le
doigt
, et recouvre une tumeur dure, développée IMBÉ
corps sont de consistance molle, très friables, s'écrasant sous le
doigt
en montrant du nombreux cris- taux très réfring
t enle- ver pour l'examen, il a d'abord paru très mal habile et les
doigts
étaient raides ; après quelques tâtonnements il
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, XXXII. L'action électromotrice des
doigts
; par Sommer. (Neurolog. Centralbl., XXIV, L1)0.
ée peut être enlevée par le contact de la surface du verre avec les
doigts
; mais si l'on se contente de faire le tour du
la dé- charge n'a pas lieu; il faut toucher l'endroit même avec le
doigt
, La décharge est prompte quand on souffle sur l
u'une partie de la charge ait disparu. Eloigne-t- on maintenant ses
doigts
, l'aiguille reprend sa position première. Les d
maintenant ses doigts, l'aiguille reprend sa position première. Les
doigts
posséderaient-ils une force électromotrice ? Il i
es feuilles divergent et demeurent écartées. Ap- prochons alors les
doigts
du vase de verre : ils attirent la feuille corr
Or, si de cet instrument convenablement chargé on approche la- le
doigt
, celui-ci attire à lui la feuille d'or déjà écar-
le d'or déjà écar- tée de l'autre. Il est probable que la pointe du
doigt
influence la charge de l'électroscope et que, s
Ce n'est donc pas une force électromotrice permanente inhérente au
doigt
; c'est une action par influence sur l'électric
lectricité qui occupe l'électroscope. Pourquoi, en certains cas, le
doigt
, en s'approchant de l'ins- Lrumenl, chargé, l'e
ée néga- tive, la seconde positive, les feuilles d'or divergent. Le
doigt
, lait,- REVUE D'ANAT9MIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
ité du même C nom que celle des feuilles. L'électricité négative du
doigt
annihile l'éleclricité positive du vase de verr
est pourquoi celles-ci vont l'une vers l'autre quand on approche le
doigt
; elles paraissent l'('poussées parle doigt. Mê
re quand on approche le doigt ; elles paraissent l'('poussées parle
doigt
. Même chose a lieu quand, après décharge totale
le frottement l'enveloppe (h'verre et, qu'on en approche ensuite le
doigt
latéralement. .Chargeons maintenant l'enveloppe
ssent ; l'électros- cope ne paraît pas chargé. Place-t-on alors les
doigts
sur le pla- teau, les feuilles s'écartent, Il s
doigts sur le pla- teau, les feuilles s'écartent, Il semble que les
doigts
chargent du Il'ul' ('lrcLrieitú naLUI'elle 1'{o
ppe de verre l'emporte rt attire les feuilles qui dhcr- gent. Les
doigts
ne sont donc pas une source d'électricité. P. K
Les 3/4 des sujets étaient affectés d'un fort tremblement dans les
doigts
explicable par le travail des bras. Les réflexes
il lui faut, pour y arri- 1\)1', oule\el' clwcune d'elles aH'C les
doigts
l'une après l'autre. 148 REVUE DE PATHOLOGIE
opération exécutée, il ne peut, plus fermer la bouche; a l'aide des
doigts
il pèse de bas en haut sur la lèvre el sur le m
élevée (haussement d'épaules). L'avant-bras exagère sa flexion, les
doigts
sont épar- gnés par la contraction : s'ils étai
ure en extension exagé- rée que présentent les athétusiques. Si les
doigts
étaient fléchis, ils se crispent en exagérantle
petites oscillations rapides, visibles seulement à l'extrémité des
doigts
, et de faible amplitude, variable aux divers doig
l'extrémité des doigts, et de faible amplitude, variable aux divers
doigts
. Ce tremblement, n'a aucun des caractères du tr
; souple, il est dilatable jusqu'à un maximum du 2 cm. environ. Le
doigt
arrive à travers le col sur la fontanelle antér
IE PATHOLOGIQUES. 205 \LVII. - Le réflexe de l'extenseur commun des
doigts
; par ARTURO Morselli- (In Rivista depathologia
phtalmie et quelques secousses nystagmiformes, un tremblement des
doigts
menu et inconstant ; crise de salivation ; sensat
auche avec hyperextension de la première phalange des deux derniers
doigts
el. flexion des deux dernières phalanges. Aut
ouleurs violentes, lancinantes, paroxysti- ques, localisées dans le
doigt
gangreneux et s'irradiant dans le reste des mem
la peau, présentant un oedème dur, mar- qué surtout aux extrémités,
doigts
boudinés. Masque spécial, an niveau du visage,
, elles ne se sont pas ulcérées comme les années précédentes; ses
doigts
se sont allongés et lui ont permis de tenir la pl
été accidentellement pendu par cette main à un croc d'étal) ; petit
doigt
désarticulé et annulaire brisé (cal volu- mineu
olisme; cau- chemars, hallucinations terrifiantes, tremblements des
doigts
. Entré à l'asile, on note l'inégalité pupillair
parties de son corps et de ses vêtements, désigne par leur nom les
doigts
de la main, elle compte seule jusqu'à vingt. Au
; la gauche est réduite à une impotence à peu près complète, les
doigts
en grille. Du côté de la face, il y a une hémia
es mains sont creuses, le pouce s'op- pose difficilement aux autres
doigts
, avec beaucoup d'efforts et LA SCLÉROSE LATÉR
s avoir subi d'atrophie; toutefois, l'opposition dupouce aux autres
doigts
ne se fait que péniblement et imparfaitement, à
yeux, par Dufour, 152. Distinctions honorifiques, 80, 159, 239.
Doigts
. L'action électromotrice des , par Sommer, 138.
férieures, pnr Bech, ierew, 140. Le - de l'exten- seur commun des
doigts
, 1)tir Arluro Morse)) ! , 205. - dans l'hysté
, ce singe présentait un trouble de coordination des mouvements des
doigts
pour les opérations de la préhension. Hering es
rmet d'enregistrer graphiquement les mouvements de la main et des
doigts
dans l'espace à trois dimensions. Cet appareil, d
inverse de la rigidité hémiplégique, laquelle est plus marquée aux
doigts
qu'aux poignets, aux poignets qu'au( coude, et
qu'au poignet, au poignet qu'au* REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 53
doigts
, etc. Les raisons de l'auteur pour faire de cette
grâce à un artitice puéril, soutien de la tête par une main, par un
doigt
, la volonté débile du sujet replace sa tête dro
és; chez plusieurs, l'eau coulait très abondamment des mains et des
doigts
. Ceux-ci m'ont avoué qu'il en était de même tou
de cinq ans, un coup de volant d'une machine à battre lui broya les
doigts
plus particulièrement au niveau des phalanges et
lcoolique. Il ne présente- pas de trem- blement de la langue et des
doigts
. Il a été réformé du service mi- litaire pour l
service militaire. Il peut à peine signer son nom. En ce moment ses
doigts
tremblent, ce qui n'exis- terait pas d'ort'inai
e. L'index et l'auriculaire sont moins déformés que les deux autres
doigts
. On constate surtout au niveau du médius et de
la griffe cubi- tale, avec cette différence que les mouvements des
doigts
se font assez facilement. En outre, les mouveme
côté gauche de sa langue, et il est obligé de les enlever avec les
doigts
. Sa voix disparut au REVUE DE PATHOLOGIE NERVEU
e très complète de ces individus, observation qui ferait toucher du
doigt
facilement le degré de leur respon- sabilité.
la dure-mère; ces adhérences sont très facilement détachées avec le
doigt
. (l. et IL) Les nerfs olfactifs sont réduits à
ou tel mouvement intentionnel : con- traction isolée du pouce, des
doigts
, de la main, des lèvres, de la langue, des musc
pontanéité. Ainsi, à la suite de l'extirpation du centre moteur des
doigts
et de la main, ces parties ne se contractent pl
pouce de la main droite secontracturait en flexion; puis les autres
doigts
et la main se mettaient en extension, l'avant-b
complète du pouce, une parésie complète de la main et des autres
doigts
, de la langue, de la moitié droite de la face, un
s, tous les L'ÉPILEPSIE PARTIELLE. PATHOGÉNIE' ET TRAITEMENT. 373
doigts
, à l'exception du pouce, avaient récupéré leur mo
par- tielle. Elles commençaient par un mouvement d'écartement des
doigts
. Puis l'avant-bras, en légère abduction, exécutai
tes : les attaques débutaient par une sensation de raideur dans les
doigts
et dans le pouce de la main droite; immédiate-
vie de la contraction successive du pouce, de l'index et des autres
doigts
de la main droite. Une fois la dure-mère incisé
artiellement; l'index l'était totalement. Les mou- vements du petit
doigt
étaient empreints de faiblesse; les mouve- ment
scles intérosseux, à l'exception de celui qui fait mouvoir le petit
doigt
, étaient para- lysés. De même, les muscles de l
par une aura dans l'index et le médius de la main gauche ; puis les
doigts
se fléchissaient, ainsi que l'avant-bras qui, d
s se raidissaient. Bientôt la tête se tournait vers la gauche ; les
doigts
de la main 378 CLINIQUE NERVEUSE. gauche se r
l'écorce, dont l'excitation faradique détermina des mouvements des
doigts
et de la main, à gauche, mais pas de mouvements
paru. Le troisième jour, le malade a éprouvé de la raideur dans les
doigts
de la main gauche. Le cinquième jour, la paraly
Le cinquième jour, la paralysie avait envahi les fléchis- seurs des
doigts
, les fléchisseurs, les pronateurs et les supinate
it toujours encore paralysée, rouge, ainsi que les fléchisseurs des
doigts
de la main gauche. 2° HORSLEY (Remarks on thé s
onvulsions généralisées qui débutaient - par des secousses dans les
doigts
et dans la jointure du poignet. Le 16 jan- vier
tical dont l'excitation électrique détermi- nait des mouvements des
doigts
et de la main fut excisé. Au mois de juillet su
uence est allée en augmentant. Elles débutaient par une flexion des
doigts
et de la main, à droite; ensuite survenaient de v
nt faradique, on a provoqué des mouve- ments d'extension des autres
doigts
de la main droite, des secousses cloniques (fle
même temps que l'excitation. Immédiatement après l'opération, les
doigts
et le poignet ont été trouvés paralysés, à droi
hine au malade. On a constaté une anesthésie du pouce et des autres
doigts
de la main droite; cette main était atteinte d'
pouce, on procède à ce que l'on croit être le centre cortical de ce
doigt
, dans l'hémisphère du côté opposé, et qu'on obt
séparés des membres n'ont rien d'ataxique, sauf le tremblement des
doigts
d'origine alcoolique. 11 existe du nystagmus pe
lade, assise, prend son point d'appui sur les coudes et demeure les
doigts
des mains écartés; le moindre attou- chement, m
elque- fois l'anesthésie arrive à n'occuper que la face dorsale des
doigts
. La forme mentale où cette anesthésie se rencon
aciale n'existe pas. L'avant-bras droit en flexion sur le bras, les
doigts
sur la paume, la main en semi-flexion sur l'ava
le-ci légèrement sur le bas- sin, le pied en varus équin, ayant les
doigts
fortement étendus, principalement le gros doigt
s équin, ayant les doigts fortement étendus, principalement le gros
doigt
, on pouvait l'étirer, mais pas autant que le pi
servait dans le pied gauche; dans le pied droit la position du gros
doigt
était, à l'état habituel, la même que la posi-
tes articulations (la main en griffe ou déformations partielles des
doigts
). Mais il ne pourrait être question de ce cas n
cilement. Son membre supérieur droit devient rigide en flexion, les
doigts
de la main flexionnés aussi, mais sans l'appliq
sujet. Il est ainsi décrit : « Ordonner à l'individu d'écarter les
doigts
, de les étendre et de les appuyer fortement et
bicnlôf vous sen- tirez de petits chocs, comme si les os de chaque
doigt
se repoussaient brusquement l'un l'autre et -me
les femmes. Il n'est pas nécessaire de faire appuyer fortement les
doigts
; une pression modérée suffit en général, une pr
sensation. Il faut aussi se méfier du frottement de l'extrémité des
doigts
contre la peau épaisse de la paume de la main,
t préparé et le point où l'on veut opérer choisi, on marque avec le
doigt
de la main gauche l'espace interapophysaire et
able quand ils REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 497 touchent de leurs
doigts
n'importe quel étranger, en sont affectés : il
a têle en l'air dans l'extension forcée, il peut aisément suivre un
doigt
qu'on abaisse et cela sans baisser la tête, le mo
irement, mais il cligne des yeux et les ferme lorsqu'on approche le
doigt
. Les mouvements volontaires des yeux, à gauche,
.), les exercices des mains (fermer, ouvrir les mains, agiter les
doigts
, les allonger, les étendre et les plier simulta
le ressentit une autre émotion vive, à la vue d'un enfant, dont les
doigts
de pied avaient été écrasés. Elle avait cru que c
rayeur avait eu une influence sur les déformations congénitales des
doigts
du pied que pré- sente notre malade. Accoucheme
pression ; le foie déborde les fausses côtes de deux tra- vers de
doigt
. Son bord est saillant, et est perceptible en a
ès dilaté, dépasse l'ombilic en bas et à gauche, de deux travers de
doigt
. Foie volumineux. A la surface de l'abdomen, le
n'étant éloignés, au niveau de leur racine, que de trois travers de
doigt
de la racine du nez ; sur les tempes, les cheve
aude, au niveau de l'articulation nétacftrpo-phalamgienie du second
doigt
de la main droite. Au-dessus : lymphangite s'ét
s de rumination, pas de vomissements. Il suce continuel- lement ses
doigts
. Il ne se sert que de la cuillère pour man- ger
ochés du tronc les avant-bras en demi-flexion, la main fléchie, les
doigts
en extension. Le développement des membres supé
aire, ni troubles de la sensibilité. T... ne peut rien tenir de ses
doigts
qui cependant sont normaux. Quand on le fait ma
urnés davantage. 1880. 26 juin. L'enfant ne parle pas : il suce ses
doigts
, et se balance sur sa chaise; il a l'habitude d
lgie. - Zone sous claviculaire externe bilatérale, de la largeur du
doigt
, prédominante à gauche où répond la douleur dor
ligne axillaire au niveau du 5e espace ; elle est de la largeur du
doigt
; à droite, elle est peu marquée. -La pression sur
s de développement étrangères à tous les types spécifiques actuels (
doigts
supplémen- taires, reins réunis sur la ligne mé
rêles, de mêmes dimensions à. droite et à gauche. Les ongles et les
doigts
sont normaux; ceux-ci sont constamment fléchis
rès décès. Rigidité cadavérique assez prononcée aux poignets et aux
doigts
des doux côtés, à la hanche et au genou gauches
droit parait un peu relevé; les articles sont normaux; la main, les
doigts
, le tronc et le bassin sont bien conformés. T
gées d'un liquide spumeux. La base est dure et se déchire sous le
doigt
. A la coupe on voit sourdre des petites bronches
nnaît bien. Pas de kleptomanie, de pynomanie, pas de tics; suce ses
doigts
. 1879. Grand gâteux en robe. (PL. VII). Ne sait
t inférieurs sont bien constitués. Les mains sontassez petites; les
doigts
, les orteils et les ongles normaux. Jan. est vi
t inférieurs sont minces, mais bien constitués et symétriques ; les
doigts
, les orteils et les ongles normaux. Les mains s
ire sur un tableau, une ardoise, du papier ou sur une table avec un
doigt
; dans ce cas il mouille le doigt avec de la sa
u papier ou sur une table avec un doigt ; dans ce cas il mouille le
doigt
avec de la salive. Il aime beau- coup à interro
. Les lobes supé- rieurs des deux côtés sont très volumineux, et le
doigt
y laisse son empreinte. Il crépitent bien. On v
es. Les bras, mesuraient 35 cent. de l'acromion à l'extré- mité des
doigts
; les mains étaient grandes et ridées comme cel
in de vapeur. Le corps entier est bouffi, sans que la pression du
doigt
laisse nulle part d'empreintes. Circonférence du
pèce de sttc u, les ongles sont bien développés, les mouvements des
doigts
sont lourds. La malade boutonne ses habits avec
pas une lon- gueur proportionnée a celle du tronc; les mains et les
doigts
sont courts, carrés; il n'y a pas de déformatio
ce que c’est que magnétisme et phrénologie : dites-lui de diriger un
doigt
sans contact vers telle partie du cerveau de votr
ous dit que l’âme du somnambule déplace le rôle des sens, se sert des
doigts
ou de l’épigastre pour lire ; car, s’il en est ai
émotion sur un léger sourire forcé. Un mouchoir a été agité dans des
doigts
invisibles et arraché violemment pour s’envoler c
s... Une main , une véritable main blanche et fine , composée de cinq
doigts
, aux ongles de nacre, s’est montrée sans l’oblig
estait de portions nécrosées sur le bord alvéolaire. Alors, avec le
doigt
, je sentis une esquille mobile dans la profondeur
à tappes prolongées et se prit à dessiner dessus, avec le bout de ses
doigts
, des signes cabalistiques ; au second signe, l’un
mouvements. En même temps, je faisais des mouvements très-légers des
doigts
(1). Ils furent bientôt reproduits, d’abord pénib
au lieu de diriger tous ses efforts sur ce point, s’était occupé des
doigts
, puis de la main, puis du bras, et en dernier lie
e fis ainsi exécuter successivement tous les mouvements possibles des
doigts
, puis de la main, puis du poignet, en ayant soin
de l’Allemagne. Il germera, ce grain, car je l’ai enfoncé avec mes
doigts
nerveux , plus que par mes idées, dans les cervea
selle et se prolongeant le long etau-dedans du bras gauche, jusqu’aux
doigts
annulaire et auriculaire. Cette névralgie, dont l
on du cœur jusqu’à l’aisselle, puis le long du bras jusqu’au bout des
doigts
. Deux minutes de magnétisation suffirent pour f
is, sur le Pont-Neuf, par un brillant soleil. Paracelse me désigne du
doigt
un pavé très-éclairé. J’y dirige mes Clen. Vos
laçant la main droite sur la poitrine, en arrondissant et fermait les
doigts
: — « Comme ça. — « Et puis ? — « Elle a de
exion que dans celle de ses habitants. J’ai tâché de faire toucher du
doigt
à tous les magnétistés le réservoir puissan-tiel
sembleront à une silhouette sur un fond faiblement éclairé; enfin les
doigts
paraîtront avec leur propre lumière ; ils auront
nt une bougie. Cette main s’étendra plus longue qu’en réalité. Chaque
doigt
émet un prolongement luisant, et de son extrémité
stances, gagne de la longueur totale ou de la moitié de la mesure des
doigts
corporels. Moyennant ces jets flamboyants, la mai
a la bouche contractée , les dents violemment serrées ; elle pose un
doigt
sur ses lèvres qu’elle ne peut plus écarter, et,
de petits rires entrecoupés s’échappaient du fond de son gosier ; ses
doigts
ne pouvaient diriger son crayon, qui gambadait pa
sion. Ces messieurs affirmèrent qu’ils avaient parfaitement palpé ses
doigts
dont le contact était exactement semblable à celu
alpé ses doigts dont le contact était exactement semblable à celui de
doigts
humains. Pendant que cela se passait, les mains d
r un morceau de papier, et de l'administrer en le roulant entre leurs
doigts
, pour que, dans une üèvre intermittente, le malad
emblait encore, et s’écria comme s’il eût été inspiré, en montrant du
doigt
le parquet : — Là, là... J’ai entendu un bruit
tant mis en somnambulisme,, pour produire la chaleur, j’agis avec les
doigts
réunis en faisceau et approchés le long du menton
produire l’électricité, j’agis en même temps avec les deux mains, les
doigts
réunis en faisceau, entre les deux jeintures du g
ent les causes qui avaient insensiblement amené cette personne â deux
doigts
de la mort. Toute jeune et déjà très-forte, elle
i ferez promettre de ne plus se lever la nuit, et vous lui mettrez un
doigt
sur le front, en lui ordonnant de se rappeler
. Les personnes ont ensuite frappé successivement la table avec leurs
doigts
, et aussitôt le même bruit se répétait comme un é
ngourdi, que, malgré mes efforts, je ne pus faire aucun mouvement des
doigts
: je le crus cassé. Vidé par un passant, mon br
ment, je me magnétisai le bras par des passes de l’épaule au bout des
doigts
, mais plus souvent à partir du coude seulement, q
culer, car beaucoup s’arrêtaient pour me regarder et me montraient du
doigt
les uns aux autres ; je n’en pris nul souci, ne p
nsant qu’à me soulager. Plusieurs fois, j’essayai bien de mouvoir mes
doigts
, mais ce fut toujours en vain. Enfin instinctivem
ue je plaçai en face et près de la gauche toujours inerte, je fis des
doigts
quelques mouvements comme pour les indiquer à l’a
faire répéter; quel ne fut pas mon étonnement, lorsque je sentis les
doigts
de la main malade se mouvoir peu à peu comme d’eu
it envahi tout le bras, disparut, ainsi que l’engourdissement, et les
doigts
reprirent toute leur élasticité première. Pour
orsque mes passes ne partaient que du coude , je dois ajouter que les
doigts
se murent d’abord et avec douleur, que la douleur
sant, il se servait, comme d’habitude, de sa main droite, il avait au
doigt
l’anneau pastoral et au col sa croix d’or, objets
ue nous nous en citons approchés et que nous y avions mis Je bout des
doigts
, que ia presence d’une force étrange, singulière!
nce seule du magnétisme. Quand elle eut adhéré , je dirigeai avec mes
doigts
réunis en pointe un courant de fluide vers la bas
t réellement eu lieu. Ces préparatifs terminés, je commençai avec mes
doigts
le simulacre de l'opération et voulais que la poc
r, avec l’intention de jeter les molécules gâtées dans l’eau avec les
doigts
; surtout tâchez de décharger J’épi-gastre. Cec
dans sa main gauche , indique successivement chaque lettre du bout du
doigt
. Avec quelque précaution, cette manœuvre peut s’o
âssis, comme un battoir. Toutes les personnes du cercle ayant les dix
doigts
de leurs mains étendus sur la table, il était méc
s ténèbres obligées, on me présenta une corde de la grosseur du petit
doigt
, longue de plusieurs mètres et formée, dans toute
ossier, je bouchai l’intervalle des barreaux de manière à enlever aux
doigts
toute liberté d’action. Après ces préparatifs , j
ver lecontact immédiat de l’esprit, et à l’instant la pulpe de quatre
doigts
s’applique sur mes joues et se fait nettement sen
nettement sentir. Je tends la main à John : il en presse le bout des
doigts
avec les siens, qui restent cependant insaisissab
l’esprit de me faire sentir sa main sur la nuque ; aussitôt les cinq
doigts
et la paume d’une main de grandeur ordinaire s’ap
t que l'on produit en frappant sur une table avec l’articulation d'un
doigt
fermé; ce sont de véritables coups, accompagnés d
re une décision délicate ou difficile. On sent, on voit, on touche du
doigt
combien les médecins belges se sentent parfois dé
ns les contrées encore inexplorées du centre de l'Afrique. Appuyez le
doigt
sur la détente d'une carabine chargée s poudre. A
r qu'il l'entende dans ce cas, il suffit que le magnétiseur place ses
doigts
contre l'oreille du sujet de telle manière que le
s contre l'oreille du sujet de telle manière que le son passe par les
doigts
avant d'arriver à l'oreille. (1) Comme dans le
our du col de la vessie, un gonflement un peu moins gros que le petit
doigt
et plein de sang, comme les veines gonflées qui f
octobre. — V... (Paul). 8 ans. Urine tous les jours au Ht, tette ses
doigts
, est lourd d'esprit et apprend difficilement. — A
en lignes de couleur; une légère constrictîon autour du poignet ou du
doigt
de la main insensible fait apparaître l'image vis
nt comprise par les sujets ; lorsqu'on imprime un mouvement passif au
doigt
d'une main insensible, le sujet décrit parfois ce
nne, etc., bien que cette forme indécise soit réellement celle de son
doigt
, comme on peut s'en assurer par la concordance de
oigt, comme on peut s'en assurer par la concordance des mouvements du
doigt
et de l'image visuelle. Il résulte de ceci que la
ma main sur son front, en faisant l'occlusion des paupières avec les
doigts
, et j'attendis sans rien dire, puisqu'elle n'ente
ndre contact sur le trajet des fléchisseurs produisait la flexion des
doigts
, l'incurvation de la main sur le poignet pouvant
même action sur le trajet des extenseurs relève la main, redresse les
doigts
jusqu'à l'extension forcée. Mêmes effets du côt
quand vous voudrez entrer en communication avec elle, en touchant du
doigt
ma main, quand vous voudrez lui parler. Faites et
vec son immobilité marmoréennne, et, tout en disant, j'approchais mon
doigt
indicateur de la table en question, qu'elle ne vo
teur de la table en question, qu'elle ne voyait même pas. Dès que mon
doigt
touche un objet : C'est telle chose ! exclame Mar
oigt touche un objet : C'est telle chose ! exclame Marie; dès que mon
doigt
ne touche plus, elle ne voit plus; et. en effet,
le reconnaissez-vous? R. — Je ne vois rien. Je le touche du bout du
doigt
, en un point quelconque de la personne, sa main,
ais plus au contact, elie ne le voyait plus. Je porte de nouveau le
doigt
sur le verre, elle s'en empare. Au moment où elle
laquelle nous étions assis. Elle ne les voyait pas ! Je porte le
doigt
sur l'aiguille, qu'elle saisit: de même pour le f
x de sa main gauche qui tenait l'objet : elle traversa le bout de son
doigt
sans s'en apercevoir, et continua son couvre tout
oigt sans s'en apercevoir, et continua son couvre tout en cousant -on
doigt
à plusieurs tours de fil. Elle nous donnait ain
ent. Elle était devant elle, elle ne la voyait pas... je la touche du
doigt
, elle s'en empare. D. — Allons, écrivez!... lui
ez pas. Elle prend une feuille de papier sur laquelle j'ai porté !e
doigt
sans la prévenir: elle met sa plume sur le papier
s remporté. Comment est-il donc possible que le fait d'avoir posé les
doigts
pendant un instant sur cette cane ait suffi pour
uivant que la nature du morceau l'indique, elle fait saillir sous ses
doigts
des pluies de notes qui crépitent en sons harmoni
d avec son esprit.sa mémoire, son intelligence, il l'exprime avec ses
doigts
, et ses doigts sont dirigés par son oreille. Ses
it.sa mémoire, son intelligence, il l'exprime avec ses doigts, et ses
doigts
sont dirigés par son oreille. Ses doigts devienne
rime avec ses doigts, et ses doigts sont dirigés par son oreille. Ses
doigts
deviennent les interprêtes dociles de sa pensée e
lles ressentiraient une secousse dans les muscles (tantôt au bout des
doigts
seulement, tantôt dans toute la main, le poignet,
ions variées, telles, pat exemple, qu'une certaine gêne à mouvoir les
doigts
. L'une d'elles (une dame d'une quarantaine d'anné
sensation (faible au premier tour), une sensation limitée au bout des
doigts
chez la plupart: mais elles ont varié beaucoup da
« Je ne puis vous le dire, cela dépend, c'est quelque chose dans les
doigts
, essayez donc vous-même et vous le saurez. » Alor
Auguste R.... 25 ans. certifie n'avoir pas éprouvé de sensation ???
doigts
sur la carte qu'il signale. « Pourquoi vous y ête
chose pour détourner l'attention. La pièce touchée, serrée entre les
doigts
durant une minute, m'est immédiatement révélé
Suggestion : distinguera la distance de 3 pas, de l'œil gauche, les
doigts
de ma main et les traits de ma figure ; également
ngue clairement a la distance de 3 pas les traits de ma figure et les
doigts
que je lui montre; il lit également à la distance
its chimiques enveloppés de papier. Attraction provoquée. — Pour le
doigt
de !a main droite du sensitif. — Pour les uns :
agréable? 7* Quand vous appliquez légèrement l'extrémité de vos dix
doigts
contre un mur. n'éprouvez-vous pas au bout d'un c
ctuent sans énergie, elle est notamment incapable de se servir de ses
doigts
pour saisir les petits objets. Son intelligence p
n étudiait assez loin de moi pour qu'il me fût impossible de voir les
doigts
de l'exécutant, ne me transmettait aucun son ; j'
. quand, au moyen d'une jumelle, je pouvais suivre les mouvements des
doigts
. société de médecine de berlin SJaace du 10 a
gâtisme. Il va et vient, à la condition d'être tenu par le bout du
doigt
, De plus, il s'habille et se déshabille. Fig.
la main des idiots, à leur apprendre à opposer le pouce aux autres
doigts
, ce que beaucoup ne savent (1) Nous avons prépa
un cône, de petites chevilles qu'il est obligé de tenir du bout des
doigts
et de diriger vers un endroit donné. 3° cliev
parties de son corps et de ses vêtements, désigne par leur nom les
doigts
de la main, elle compte seule jusqu'à vingt. Au
d'ailleurs, fait sourdre quel- ques gouttes de liquide. Les autres
doigts
et les orteils sont absolument indemnes. Légère
ourdonnements d'oreilles. Sur la face dorsale des deux mains et des
doigts
, rougeur et gonflement sans oedème. Rien sur le
pières supérieures et inférieures, la face dorsale des mains et des
doigts
. On cons- tate de plus une coloration vermillon
u côté gauche où l'oeil parait moins grand. Sur la face dorsale des
doigts
et des mains, rougeur intense et gonflement rem
ynx qui est très fortement coloré. La face dorsale des mains et des
doigts
est notable- ment tuméfiée et présente même de
la partie supérieure du thorax, la face dorsale des mains et des
doigts
, parfois envahir le pharynx ; c'est-à-dire, en
ts ni surtout de leur localisation aux pouces, alors que les autres
doigts
n'ont été atteints que plus rare- ment et d'une
istance. L'avant-bras est un peu fléchi. Le poignet est fléchi, les
doigts
sont étendus et écar- tés, les deux dernières p
s sont un peu épaissies. L'orifice n'admet que l'extrémité du petit
doigt
. Il y a un certain degré de rétrécissement mitr
bras restent quelques secondes raides mais la main est ouverte, les
doigts
écartés ; si on les fait se rapprocher ils s'éc
cris de joie essaie; de rapprocher ses deux mains dont il tient les
doigts
écartés comme [s'il voulait les frotter l'un co
grêles, mais symé- triques. Les mains sont d'apparence normale, les
doigts
sont longs, cyanoses, l'annulaire des deux main
se croisent devant la face, comme si R... ne voulait pas voir. Les
doigts
sont contractures dans la flexion complète, les
- ment sous la peau ; si on exerce une pression, on sont sous les
doigts
de 'véritables ondulations de serpent. Cette at
orte sans tremblement à sa bouche. Une règle étant placée entre les
doigts
du malade assis, ou compte 28 oscillations en 1
à peine appréciable. Il le devient par l'inter- position entre les
doigts
d'une règle ou d'un crayon ainsi que par l'écri
porter l'index droit sur le nez, il arrive au but, mais aussitôt le
doigt
et le nez tremblent. Le tremble- ment est moins
a préhension du verre ou de la cuiller, les mouvements exagérés des
doigts
et les contor- sions de la bouche qu'on observe
ment tétaniforme de tout le corps qui l'empêchait de parler. Les
doigts
et les orteils étaient « ratatinés, crispés ». Le
t bien et rejette dès qu'il est vide. Après 1.3 repas, elle met ses
doigts
dans sa bouche et rend sou\en' : les aliments,
du tronc en même temps qu'elle tourne la n'ain g mche et agite les
doigts
. La température rectale, prise matin et soir pe
on des poumons dénote de la submatité et une résistance spéciale au
doigt
da os les régions sous-claviculai- res. A l'aus
petite partie de la nuit. Quand il se réveille, il s'amuse avec ses
doigts
qu'il agite, en poussant un léger grognement, t
s son 206 Folie de l'adolescence. orifice admet la pulpe du petit
doigt
. Quelques poils longs sur le périnée. Poils ass
en arrière sur la région lombaire; je soulève , avec un ou plusieurs
doigts
, la portion des parois abdominales comprise entre
renversée sur le bord radial de l'avant-bras, était réduite à quatre
doigts
. Il n'y avait pas vestige de pouce, lequel aurait
enversée sur le côté radial de l'avant-bras : il n'y avait que quatre
doigts
; le pouce manquait complètement. Le cubitus C ét
es lésions en apparence si dissemblables; le pied-bot, le défaut d'un
doigt
, la luxation congéniale des fémurs, le rétrécisse
entriculaire du même côté, lequel pouvait admettre assez librement le
doigt
indicateur. La coïncidence d'une lésion dans la
générale qui augmentait en noirceur à mesure qu'elle « approchait des
doigts
des pieds. Le scrotum surtout était d'un noir d'e
son extérieur; en voulant, dis-je, la fendre, elle s'écrasa sous mes
doigts
et le scalpel; il n'y eut qu'à « son extrémité su
ère, la face dorsale du pouce, et la seconde la face dorsale du petit
doigt
de la main droite. On y voit des concrétions gout
, sur le périoste CP, CP, CP, et sous les tendons extenseurs CT. Les
doigts
intermédiaires de la main droite et de la main ga
piens correspondans et très-peu mobiles sur les autres phalanges. Les
doigts
étaient fléchis à angle droit sur la paume de la
n avait aussi une assez grande quantité dans les gaines fibreuses des
doigts
. Articulations coxofémorales. Têtes des fémurs
es détruites en grande partie, soit régulièrement, et dans ce cas les
doigts
conservent leur direction naturelle; soit irrégul
ilier, aujourd'hui médecin distingué à Limoges, l'exploration avec le
doigt
, je dois dire qu'il est plus difficile à acquérir
e densité, dans les maladies chroniques du larynx par exemple, que le
doigt
peut-être de quelque utilité. J'en ai acquis la p
e. Fluctuation obscure; on dirait que le flot du liquide n'arrive aux
doigts
explorateurs qu'à travers une grande épaisseur de
estomac répondent à lcpigastre : percutez doucement l'abdomen avec le
doigt
, ou, ce qui est bien préférable, avec la plaque d
sensations tactiles et visuelles obtuses et tardives : plaçait-on le
doigt
au-devant de l'œil, la paupière supérieure ne s'a
paume des mains déterminent quelques contractions des orteils et des
doigts
; mais ce sont là des mouvemens qui résultent d'u
. P est le pouce, I l'index, M le médius, A l'annulaire, P D le petit
doigt
. On voit qu'à la région dorsale de la main, l'é
ucoup de précaution toute la portion de corne qui déborde la pulpe du
doigt
correspondant. DES TUMEURS CANCÉREUSES DES MÉNI
mmation. En explorant avec soin sa cavité, nous rencontrâmes avec les
doigts
un corps dur, situé entre elle et le rectum. La v
t moindre que celle du cerveau; aussi changeait-elle de forme sous le
doigt
qui la comprimait; l'aspect que présentait son ti
mmation. En explorant avec soin sa cavité, nous rencontrâmes avec les
doigts
un corps dur, situé entre elle et le rectum. La v
embres paralysés sont amaigris, atrophiés. Les secondes phalanges des
doigts
renversées sur les premières. Du reste, à la mani
loïde. J'agrandis et l'incision de la peau et celle de la tumeur; mon
doigt
, introduit dans le fond de la plaie, reconnaît un
, je vidai complètement la poche,et je pus voir à l'œil et toucher au
doigt
une vaste cavité à parois fibreuses, très-dures,
ixée dans une extension propor-« tionnée au degré du déplacement, les
doigts
sont plus ou moins fléchis; le carpe fait une « s
avisai d'imprimer des mouvemens en sens inverse aux articulations des
doigts
; ces mouvemens réveillèrent la douleur et produi
e; il suffit alors de frotter légèrement la membrane muqueuse avec le
doigt
pour l'enlever en pulpe molle, il suffit même de
ême temps qu'il se réduit à une espèce de zone de quelques travers de
doigt
de largeur. Tant que la maladie est bornée à l'es
l'estomac; néanmoins le pylore permettait encore le passage du petit
doigt
. L'altération consistait dans une dégénération ar
sa face antérieure , « vers sa petite courbure et à trois travers de
doigt
du pylore, un léger engorgement squirrheux, très-
u qui succomba à l'hôpital Beaujon huit jours après l'amputation d'un
doigt
. L'amputation avait été nécessitée par l'écraseme
d'un doigt. L'amputation avait été nécessitée par l'écrasement de ce
doigt
; le malade alla boire de l'eau-de-vie immédiateme
u'on éprouve une très-grande résistance lorsqu'on le déchire avec les
doigts
. Le cerveau, le cervelet et les tubercules quadri
quence assez fréquente de l'hypertrophie du tissu utérin lui-même. Le
doigt
introduit dans cet orifice reconnaissait parfaite
telles, que le malade provoque le vomissement par l'introduction des
doigts
dans la bouche, manœuvre qui le soulage et amène
estomac, je trouve que le foie déborde le thorax, et en enfonçant les
doigts
sous les dernières côtes, je reconnais quelques b
le biliaire. Une perforation qui permettait la facile introduction du
doigt
, établissait une communication entre la cavité du
cholédoque, rempli par un calcul ovoïde, pouvait aisément admettre le
doigt
indicateur ; le canal hépatique et ses principale
re d'un pouce de long, espèce de filière, à travers laquelle le petit
doigt
ne pouvait pas être introduit, même en usant de v
vaisseaux lymphatiques qui atteignent quelquefois le volume du petit
doigt
et même un volume plus considérable encore dans l
oint de soif ; point de vomissements: crampe légère à la jambe et aux
doigts
. Les selles sont abondantes et cholériques. Rien
parcourent successivement les pieds, les jambes , les cuisses et les
doigts
. A la suite de ces crampes , le pouls est filifor
e glace pour boisson. A dix heures du soir, le pouls filant sous le
doigt
, la tendance à l'extinction me paraissant imminen
que pendant les crampes les plus violentes et les plus générales, les
doigts
restèrent convulsivement écartés et les extrémité
ouvent se former des filaments, à la manière de la synovie, entre les
doigts
qu'on écarte. Dans un grand nombre de cas, la s
ien présenté de particulier, )) On pouvait facilement introduire le
doigt
dans le vagin; il n'existait pas de membrane hyme
sans beaucoup d'effort de l'anneau sous-pubien : il s'était alongé en
doigt
de gant ; il n'était ni épaissi ni altéré dans so
velle formation et le péritoine était éminemment dilatable; plusieurs
doigts
pouvaient y être introduits facilement. La cavité
action, le vagin se renverse peu à peu sur lui-même à la manière d'un
doigt
de gant. Le prolapsus suppose donc une force qui
te leur longueur dans la paume de la main et maintenus par les autres
doigts
fortement fléchis. Pour les étendre, il faut empl
tourner l'obstacle. Il n'est pas besoin de dire que l'introduction du
doigt
dans le rectum facilite beaucoup ces diverses ten
athétérisme. Le 4e jour, ne pouvant réussir, malgré l'introduction du
doigt
dans le rectum, et sûr que j'étais dans une bonne
rétention d'urine, ne put jamais parvenir à introduire la sonde j le
doigt
introduit dans le rectum , joint au siège de l'ob
e. Je cherche à le tourner ; vains efforts. Un peu de sang paraît. Le
doigt
introduit dans le rectum reconnaît une prostate e
rectum reconnaît une prostate extrêmement volumineuse, si bien que ce
doigt
est de nul secours pour le cathétérisme. J'avais
de la jambe. Un abcès dans l'épaisseur du muscle extenseur commun des
doigts
. Benoit (Esther) blanchisseuse, 25 ans, accouch
ue à un abcès qui occupait l'épaisseur du muscle extenseur commun des
doigts
. C'est cet abcès bien circonscrit qui a été repré
rée de pus. Les fig. 3, et 3', représentent le muscle extenseur des
doigts
de la malade qui fait le sujet de la dernière obs
ord que cet étranglement existait au collet du sac herniaire, mais le
doigt
introduit dans l'orifice ou collet du sac ne renc
droits. $j Le jeune malade peut faire exécuter des mouvements à ses
doigts
, mais il lui est impossible de soulever le bras o
r l'insertion du cordon ombilical, qui était desséché à un travers de
doigt
du nombril, )) comme si on y eût fait une ligatur
lèvres qui rendait l'émission des urines extrêmement douloureuse. Le
doigt
ne put pas être introduit dans le vagin, pour exp
nomalie. « Saisissant alors la tête de l'enfant à pleine main et un
doigt
introduit dans la bouche, je la fis descendre dan
ciale gauche, et qui eut le courage de continuer en soutenant avec le
doigt
la commissure des lèvres du côté paralysé ; il av
é. La peau du tronc paraît fine, d'un blanc mat, résistante sous le
doigt
, comme infil- trée ; il semble qu'elle recouvre
aideur, de froid, d'engourdissement. Mais nulle part la pression du
doigt
ne détermine de godet, et l'urine ne renferme p
ce d'un dollar. Le cou et les mains sont fortement oedèmatiés , les
doigts
élargis en forme de massue, sans incurvation de
e qui équivaut à trois fois la distance normale). A l'extrémité des
doigts
, il faut un écart de cinq douzièmes de pouce po
la tête. Il lui semblait marcher sur un coussin, et l'extrémité des
doigts
paraissait serrée comme par un dé à coudre. Ell
ce palmaire et dorsale de la dernière phalange du pouce. Le bout du
doigt
était rouge , à vif, creusé de fissures doulour
frois- sement du nerf cubital répond un léger mouvement dans les
doigts
, mais aucune contraction nettement localisée, auc
, l'aspect de la face fait croire à un oedème brightique. Mais le
doigt
ne détermine pas de cupule à la pression ; le gon
présente une fausse apparence d'oedème sans cupule à la pression du
doigt
, nulle part mieux marquée qu'à la face; une col
DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 151 peau ne conserve l'empreinte du
doigt
. Les rides sont très accusées, particulièrement
es, arrondies, sans grâce ». Les mains sont larges, grossières, les
doigts
élargis en forme de massue ; le tout rappelle p
é, est totale et complète. A toutes les périodes, on peut mettre le
doigt
au contact de la cornée, sans que la pupille ch
n jour, au moment où elle saisissait le verre, j'ai pu lui mettrele
doigt
sur la cornée sans que l'oeil se ferme et sans
et sans avoir recouvré ses sens; on peut quelquefois lui porter le
doigt
sur la cornée sans que son oeil se dévie; puis,
lucination. Quand le regard est absolument fixe, on peut appuyer le
doigt
sur la pupille sans qu'elle se dévie d'un côté
et des coudes. Aux poignets et aux articulations de la main et des
doigts
, il existe non seulement du gonflement, mais de l
rougeur et le gonflement persistent encore aux arti- culations des
doigts
. L'insensibilité de la peau est toujours la mêm
bras et le poignet sont en pronation forcée avec demi-flexion : les
doigts
sont repliés sans raideur dans le creux de la m
s vraisemblablement artificielles et pro- duites par la pression du
doigt
qui a dû rompre les adhérences pleurales. Elles
e avec bredouillement Un seul exemple de gangrène circonscrite à un
doigt
. Intégrité de deux femmes jadis aliénées, au mi
ints, la première aux deux mains, le second à la main droite et aux
doigts
de l'ensemble symptomatique d'ordre vaso-moteur
ation glaciale des régions atteintes : ce sont les phalangettes des
doigts
et des orteils, les oreilles, le nez, les lèpre
n permanente de froid dans les parties les premières affectées. Les
doigts
donnent la sensation de bougies stéariques. Int
(thorax, abdomen) semblent en telle autre région collés sur les os (
doigts
, articu- lations, omoplate, clavicule, pieds, a
e huile donnée par le diable; ou bien de chandelles fixées à chaque
doigt
ou de torches enchantées Fig 18. Fig. 19 -
chaque période et pour chaque malade, de constater que la pulpe du
doigt
posée au contact de la cornée, dans le champ pu
30 octobre. Le fond de l'utérus remonte jusqu'à quatre travers de
doigt
au-dessus de l'ombilic. L'ombilic lui-même, por
s venons de localiser, que la pression peut provoquer le réveil. Le
doigt
, introduit dans le vagin, peut comprimer autant
Budin ne peut y par- venir. On n'arrive point à les sentir sous les
doigts
; les parois utérines sont molles, dépressibles
, et glissant sur la surface de l'utérus qui formait alors sous les
doigts
un plan résistant. La pression sur cette petite t
ontraction utérine, on sentait le ligament rond qui formait sous le
doigt
une corde dure ; mais le corps globuleux formé
ts ovariens ont remonté, et quand on lui demande de montrer avec le
doigt
le siège de la douleur, elle désigne deux point
, éviter elles-mêmes sa produc- tion par l'application d'un ou deux
doigts
sur la région ovarienne. Il-n'était donc pas né
le est toujours modifiée à la face palmaire de a main droite et des
doigts
, le malade ne se rend pas compte de la forme et
sous forme d'un bourrelet rouge, induré, large de trois travers de
doigt
; elle intéresse moins l'autre fesse. A son nivea
ns les deux états de veille et de somnambulisme, en lui appliquant le
doigt
sur le front, entre les deux yeux; nous pouvons d
tête et sur le front, tantôt sur le cou, en ayant soin de diriger les
doigts
avec légèreté; quelquefois même il faisait tenir
dents et les douleurs d’oreille , en appliquant convenablement leurs
doigts
sur la mâchoire. Valenlin Greatrakes, ce célèbr
iens ; il se traduisait de deux manières : i° en ouvrant la main, les
doigts
serrés ; 20 en tenant le pouce et les deux premie
main, les doigts serrés ; 20 en tenant le pouce et les deux premiers
doigts
étendus, les deux derniers restant fléchis. La pr
ux, le grand-prêtre imposait les mains, en élevant les trois premiers
doigts
, les autres étant fermés. Pythagore , qui parco
es expressions métaphysiques étaient eonsacrées par l’usage. Le mot
doigt
était une expression analogue : « Le* magiciens d
Suivant Pierre Yalérien (4), on donnait à l’index le nom de medicus,
doigt
médical. (1) Aclesdcs Apùlres, ch. 19. (2) Ib
. I.e sieur do La Chambre (i), au contraire, affirme (¡110 c’est au
doigt
annulaire que los anciens médecins attribuaient d
s vertus cordiales, et qu’ils s’en servaient de préférence aux autres
doigts
pour préparer leurs niédicamenls. Nous rencontron
sque je réalise sous vos yeux les prodiges de l’antiquité, et que mes
doigts
semblent tenir une baguette magique. L’ai-je empr
encore dans chacune d’elles des pôles opposés, dans la main le petit
doigt
sera le pôle opposé du pouce, le second doigt par
, dans la main le petit doigt sera le pôle opposé du pouce, le second
doigt
participera de la vertu du pouce, et le quatrième
t participera de la vertu du pouce, et le quatrième de celle du petit
doigt
; et celui du milieu , semblable au centre ou équa
des picotements, un engourdissement ou des fourmillements le long des
doigts
; souvent aussi ils éprouvent une douleur analogue
que Mesmer touchait un malade pour la première fois, il dirigeait ses
doigts
sur l’épigaslre, qu’il regardait comme le point c
e espèce de commotion électrique, il retirait sa main en élendant les
doigts
; il s’établissait alors entre lui et le magnétisé
ment à nos malades. Suivant Deleuze (i), «c’est par l’extrémité des
doigts
, et surtout par les pouces, que le fluide s’échap
ordent à reconnaître au pouce une action plus énergique qu’aux autres
doigts
. Le contact des pouces ou de la main est le mod
ngorgements, etc. On obtient les courants digitaux en dirigeant les
doigts
réunis en pointe sur le siège du mal. « Le fluide
iège du mal. « Le fluide sort alors avec plus d’abondance de tous les
doigts
réunis et se précipite plus vivement que lorsqu’i
es d’une manière évidente, quand on a soin de fixer les mains (ou les
doigts
) en opposition l’une avec l’autre. On ne confondr
rigeant les mains de la poitrine aux épaules, jusqu’à l’extrémité des
doigts
, et les ramenant au même point pour descendre jus
ier la ferveur de sa prière au charme des notes magiques; je sens les
doigts
glisser plus doucement sur mon bras ; la mère s’i
ns le plaisir de lui faire tou- cher la chose, non pas seulement du
doigt
, mais à pleines mains. Mme D..., rue Désirée :
e lendemain, il me suffit d’un quart d’heure pour l’entraîner par les
doigts
. Al. D..., garde-magasin de ia Douane,avait de
une demoiselle Wilson d’une énorme chaîne de glandes, hautes de trois
doigts
, et s’étendant depuis l’oreille jusqu’à l’épaule;
nt j’avoue que j’aime à ne croire aux choses que lorsqu’on m’a mis le
doigt
dessus. Je désirerais donc m’assurer par moi-même
gnétiseurs: que voulez-vous? cinq ou six minutes de pression avec les
doigts
allongés sur les tempos du sujet suffisent pour l
ie de fermer les yeux. Ce qui étant fait, il lui passe rapidement les
doigts
du milieu du front à l’angle externe des yeux , e
lui presse alors les lèvres l’une contre l’autre avec le bout de ses
doigts
, et lui fait une passe ordinaire sous la mâchoire
e dernière passe brusque l’a comme extraite au-delà de la main et des
doigts
, cl elle n’a plus reparu. De plus, cet ouvrier s’
e faisait, non des passes, mais des frictions douces avec le bout des
doigts
, dans le sens des côtes, sur la partie malade, et
ue pas; 011 croit parce qu'on voit. De même, le simple mouvement du
doigt
devrait faire croire à un courant d’un fluide ner
luide nerveux ou magnétique, lancé par la volonté, du cerveau vers le
doigt
, pour y faire exécuter l’ordre de l’intellect (co
matière. Tout le monde sent instinctivement qu’on ne remuerait pas le
doigt
si on n'avait la volonté de le remuer, et ce n’es
l’étendue de celte puissance. Jusqu’où va-t-elle? Peut-on agir sur le
doigt
d’autrui, comme on agit sur le sien propre?... Au
e Collin à présenter au somnambule la bague-chevalière qu’il avait au
doigt
, et dont la pierre ovale, souvenir d’une personne
Quand pourrez-vous parcourir toutes ces pages où il a gravé tic son
doigt
sacre la vérité de son être et de ses mystères ?
rs, vis-à-vis du pouce; si vous pressez avec un peu de force ces deux
doigts
en raidissant les nerfs de votre bras autant que
sif que l’autre : Je prends un verre plein d’eau pure, je passe mes
doigts
le long de ses parois , ou je les laisse suspendu
ferme volonté de la charger du fluide électrique qui s’échappe de mes
doigts
. Lorsque je veux ajouter à l’effet du remède, je
passes énergiques, dites-nous si vous ne voyez pas s’échapper de mes
doigts
un fluide quelconque ? » Et mon ami, grand partis
h faire des passes énergiques. « Je ne vois rien s’échapper de vos
doigts
; mais je sens de vous à moi une action qui me fat
destinée à le ranimer, une personne lui introduisit très-doucement le
doigt
dans la bouche, et replaça sa langue dans la posi
ue. Le magnétiseur excite facilement des commotions, en dirigeant ses
doigts
en pointe sur diverses parties du corps de la mal
iquait au-dessous des épaules deux cautères fictifs, au moyen de deux
doigts
de sa main pressant en pointe de chaque côté de l
ésordonnée au cours de l'une desquelles elle se coupe légèrement un
doigt
en cassant un carreau ; elle mange malpropremen
s primordiaux.se présente comme une tuméfaction dure et tendue ; le
doigt
y laisse néanmoins son empreinte sous forme de
it des troubles ataxiques, une certaine gaucherie, surtout dans les
doigts
, qui disparaissent complètement au bout de quel-
al peut exécuter avec le bras, l'avant-bras, et même la main et les
doigts
divers mouvements, qui se perfectionnement par
sagers et à peine marqués, tantôt plus accuséset plus durables; les
doigts
traî- nent sur le sol et la patte se pose souve
épilepsie jacksonnienne commençant par des convulsions des 4e et 5e
doigts
de la main droite, qui s'étendaient à tout le m
le plus souvent aux muscles de l'épaule, plus rarement il ceux des
doigts
. Paralysie du grand dentelé droit, qui s'amélio
s. Dans le cas de l'A. les convulsions commencèrent d'abord par les
doigts
, puis par REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
t souvent, simultanément par deux segments, surtout l'épaule et les
doigts
; beaucoup de petites attaques furent de simple
du corps pi- tuitaire.. F. TISSOT. XIV. Arthropathies séniles des
doigts
; par PARISOT et ET1EN\E. (Nouv. Icon. de la Sal
ment de la base des articulations phalangiennes, sans déviation des
doigts
, sans dou- leurs au niveau des jointures, sans
inaire, plus d'acuité auditive et tactile que les aveugles. Même le
doigt
lecteur d'un aveugle pré- sente une sensibilité
pré- sente une sensibilité tactile moindre que celle de ses autres
doigts
, à cause du durcissement de la peau. Comme le s
ur -voir, pour se diriger, elle était obligée de soulever, avec les
doigts
ses deux paupières qui étaient complètement par
eue de cheval pa- raissent normaux le cul-de-sac dorsal, exploré au
doigt
, est souple et paraît sain. L'intervention ne
et dorsale, à cause de la marche et du début par les trois derniers
doigts
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 303 Diplégie cérébrale in
el concierge, le silence subit de tel prêtre à qui elle montre deux
doigts
en croix, l'air de surprise de telle personne q
ord des neuvaines, ensuite des gestes conjuratifs tels que les deux
doigts
mis en croix, des élévations spirituelles » des
ore à dessein devant elle, c'est celui de se passer l'extrémité des
doigts
des mains droite ou gauche un peu au-dessous de
ens des mouvements passifs) est nulle dans la flexion (passive) des
doigts
et elle est conservée dans l'extension et dans
nsion et dans les mouvements d'écartement et de rapprochement des
doigts
. Hypoesthésie vibratoire sur les extrémités infér
spaces interosseux de la face dorsale de la main et du pied avec un
doigt
ou avec un porte-plume pro- voquent chez le mal
lade de vives douleurs et des paresthésies qui s'irradient dans les
doigts
. Les réflexes olécraniens et les réflexes des p
face dorsale de la main ; hyperalgésie et dysesthésie aux bouts des
doigts
(le simple attou- chement produit une douleur b
ement produit une douleur brûlante) ; douleurs fulgurantes dans les
doigts
, sensation de la sensibilité diminuée dans les ma
naies. La sensibilité articulaire au ni- veau des articulations des
doigts
est diminuée encore davantage, mais les trouble
r le mouvement latéral vers le côté cubital et pour l'extension des
doigts
. Les troncs ner- veux, comme auparavant, ne son
les 2e et 3e examens). La sen- sibilité articulaire, au niveau des
doigts
, commence à se rétablir, surtout du côté gauche
la sensibilité articulaire dans les divers mouve- ments passifs des
doigts
de la main droite et de la main gauche. Les ner
a face palmaire et l'hyperalgésie avec la dysesthésie aux bouts des
doigts
restent en- core. La sensibilité musculo-articu
restent en- core. La sensibilité musculo-articulaire au niveau des
doigts
s'est rétablie complètement. L'hypoesthésie des
de la face palmaire avec l'hyperalgésie peu marquée aux bouts des
doigts
. Les paresthésies des mains et des pieds incommod
s paresthésies (engourdissement, brûlemenl) peu prononcées dans les
doigts
et dans les orteils. Dans l'examen ob- jectif,
les espaces interosseux de la face dorsale de la main à l'aide d'un
doigt
ou d'un porte-plume ; il se produit alors de l'
alors de l'irradiation des douleurs et des paresthé- sies dans les
doigts
laquelle est très caractéristique pour l'inflam
principalement dans les mouvements passifs, bien déter- minés des
doigts
. Vraiment, lors du premier examen, le malade ne
lors du premier examen, le malade ne per- cevait pas la flexion des
doigts
(dans l'articulation mé- tacarpo-phalangienne e
langes), tandis qu'il percevait bien les autres mouve- ments des
doigts
; après quinze jours (deuxième examen), au mome
vement vers le côté radial, tandis que les autres mouve- ments des
doigts
étaient comparativement bien perçus par le mala
le malade percevait bien quel- ques-uns des mouvements passifs des
doigts
et ne perce- vait pas les autres. Quant à l'a
ître si on se rappelle la complexité de l'innervation sensitive des
doigts
et les anastomoses extrêmement riches entre les
une diminution diffuse de la sensibilité articulaire au niveau des
doigts
, tantôt - on cas du pro- cossus plus léger et n
qu'on observait pendant une longue durée et dans les mouvements des
doigts
bien déterminés, ces troubles ne peuvent pas dé
auteurs qui étudiaient l'innervation sen- sitive de la main et des
doigts
portaient leur attention particulièrement sur l
minces qui provien- nent des nerfs dorsaux internes et externes des
doigts
(/ ? . n. dorsales dlgitorlam interni et exteiq
r le geste antagoniste efficace de Brissaud, par simple pression du
doigt
; ce n'est pas cependant un torticolis mental,
ure chez les-, par Quinque, p. 93. AUTIIHOPA TIIll : sséniles des
doigts
par Parisot et Etienne, p. 74. Forme ostéo-hy
elle-même un jour devant l'enfant, au moment où elle s'était piqué un
doigt
en travaillant à la machine à coudre. Mais j'en
ari. — Oui, cela est vrai, plusieurs fois; ma mère également a eu les
doigts
des mains enflés et déformés. M. Charcot.— Voic
très affaibli, mais cependant est un peu déformé par ce fait que les
doigts
sont tous rigides, étendus en masse de façon à fa
e, car on éprouve une résistance élastique lorsqu'on veut mouvoir les
doigts
aussi bien du côté de la flexion que du côté de l
une rigidité spasmodique, mais certes ce n'est pas là l'attitude des
doigts
en crochet que l'on observe clans les hémiplégies
ne amaurose complète ; on peut s'en assurer en approchant vivement un
doigt
de l'œil gauche, le réflexe du clignement n'a pas
in où le malade conserve quelques notions des mouvements imprimés aux
doigts
ou au poignet, le sens musculaire est compiè- D
rsées par des lames de feu; cela me partait dans les genoux, dans les
doigts
de pieds, quelquefois dans les talons et aussi da
re du bord cubital de l'avant-bras, l'éminence hypothénar et le petit
doigt
. — Voilà, dit-elle, où je les ressens, mais là, e
ssentez-vous habituellement un engourdissement dans les deux derniers
doigts
des mains? La malade: Oui, monsieur, mais non c
bligé de garder le lit. Notre mère était rhumatisante: elle avait les
doigts
tout déformés, tout tordus. M. Charcot. — Tout
et si, pendant que le malade effectue ces mouvements, on applique les
doigts
sur les apophyses épineuses, on sent facilement u
re homme pour provoquer la douleur rachiclienne d'exercer à l'aide du
doigt
,avec une certaine force,une pression profonde sur
encore lorsqu'on comprime légèrement un pli cutané compris entre deux
doigts
, la sensation produite chez le patient n'est pas
e Basedow se distingue par cette circonstance que dans ce dernier les
doigts
ne tremblent pas individuellement, contrairement
du les enfants témoins descènes violentes; une tante paternelle a les
doigts
des mains déformés par le rhumatisme articulaire
e lésion organique, alors même qu'ils ont conservé les mouvements des
doigts
de la main droite, sont, dans l'immense majorité
ulez-vous regarder les objets qui sont sur la table et me désigner du
doigt
ceux dont je vais prononcer le nom ; montrez-moi
se ferma: le malade ne pouvait plus l'ouvrir sans l'aide d'un de ses
doigts
et il remarqua qu'elle était animée de mouvements
, mis à nu, un peu au-dessus du pli de l'aine, l'extrémité des quatre
doigts
étendus de sa main droite qu'il dirige vers le pe
s les bras ? La malade. — Oui monsieur, fort souvent au bout de ces
doigts
-là qui sont engourdis. (Elle désigne, en disant c
qui sont engourdis. (Elle désigne, en disant cela, les deux derniers
doigts
de chacune des mains.) M. Gharcot. — Vous voyez
des mains, lequel disparait si on fait étendre la main et écarter les
doigts
. 1, Paul Richer. De l'attaque hystéro-épileptiq
légèrement fléchi sur l'avant-bras et entraîné dans l'abduction. Les
doigts
rigides dans l'extension, sont fléchis en masse,
note, Messieurs, de cette déformation particulière de la main et des
doigts
que je vous ai fait remarquer déjà dans des circo
aJe ex.^cule parfaitement à l'aide de ces membres et spécialement des
doigts
delamain les mouvements généraux qui lui sont pre
des lettres et des mots. Le sujet qui d'ailleurs a conservé dans les
doigts
de la main l'exécution normale de tous les mouvem
la compassion. On peut dire que l'une et l'autre ont été touchées du
doigt
par la fatalité antique, aujourd'hui remplacée pa
1. Voici le résultat des mensurations faites à quatre, travers des
doigts
, au-dessus et au-dessous du coude et du genou.
e de l'extrémité supérieure droite, depuis l'épaule jusqu'au bout des
doigts
, et de l'extrémité inférieure gauche,depuis l'art
sques. Depuis l'articulation du poignet droit jusqu'à l'extrémité des
doigts
, et depuis l'articulation du pied gauche jusqu'au
e septième jour, elle commença à mouvoir le bras droit,la main et les
doigts
, et la sensibilité se manifesta en même temps à l
e l'émi-nence thénar et hypothénar ; les mouvements du poignet et des
doigts
sont très faibles; impossibilité d'écarter les do
poignet et des doigts sont très faibles; impossibilité d'écarter les
doigts
et de fermer le poing complètement. L'anesthésie
te des mouvements qui, lorsqu'il a les yeux clos, sont imprimés à ses
doigts
. Les limites de cette anesthésie sont très spécia
ue, peuvent aboutir sans douleur, à la perte d'un ou de plusieurs des
doigts
de la main ; enfin certaines tournioles, suivies
rs, symétriquement, en avant comme en arrière, depuis l'extrémité des
doigts
de la main, jusqu'aux attaches des épaules, l'app
egré d'extension en masse de la main, les mouvements particuliers des
doigts
étant impossibles. Par suite de la prédominance d
rquée. 3° Depuis 1884, il s'est produit à plusieurs reprises soit aux
doigts
de la main, soit aux orteils, des panaris superfi
ain droite les mouvements chez notre homme sont, au poignet comme aux
doigts
, paralysés aussi bien pour la flexion que pour l'
dorsale; elle est due à un œdème dur, ne recevant pas l'empreinte du
doigt
; la teinte des téguments sur les parties tuméfiée
que ces troubles de la sensibilité sont uniformément répandus sur les
doigts
, la main, le poignet et le cinquième inférieur de
ns musculaire au contraire paraissent notablement obnubilées dans les
doigts
de la main. Il est remarquable que les troubles
e modifier chirurgicalement la griffe qui existe et dans laquelle les
doigts
sont maintenus en crochets par le raccourcissemen
(30 juillet), il ne recouvra que quelques très légers mouvements des
doigts
et de la main. Quanta la face, au dire du malad
ale, et à peu près absolue. Quelques légers mouvements de flexion des
doigts
et d'extension de la main, voilà tout ce que le m
a cuisse. L'anesthésie des membres est profonde. On peut tordre les
doigts
, les tirailler sans que le malade accuse la moind
jusqu'à l'extase; de temps en temps elle envoie un baiser du bout des
doigts
. Verre vert. — Sourire ; elle fait le geste d'e
uelque distance de son nez et flaire un fleur qu'elle tient entre ses
doigts
. Elle la passe ensuite à une boutonnière de son c
l de cuisine. — Elle fait le geste de prendre quelque chose entre ses
doigts
, de le porter à sa bouche et de le goûter avec so
tc., elle ne bronche pas. Au contraire, si on bat du tambour avec les
doigts
sur une table ou une vitre, elle paraît regarder
uchon. Simulacre de baiser sur la joue (fait en touchant la joue du
doigt
et en imitant le bruit du baiser). — Il s'adresse
battait contre des Prussiens imaginaires. Une plume placée entre ses
doigts
lui suggérait l'idée d'écrire. Mais nous laissero
pfft ! pfft ! des chats en colère. Parfois elle s'arrête, dispose ses
doigts
en griffes et gratte le pied de la table, puis le
lui fassions fixer un objet quelconque, par exemple le bout de notre
doigt
placé à quelque di s tanceTdes'yeux, ainsi que ce
insi qu'environ un mois après l'entrée on provoqua par la fixation du
doigt
une attaque qui dura trois quarts d'heure, et le
bruit produit. Etant donc tombé en attaque par fixation du bout du
doigt
, il fait les quelques contorsions qui en marquent
que c'est pas mauvais à manger... Bon! en voilà une qui m'a mordu le
doigt
. » Il suce le bout de son doigt. D. « Dis donc, v
.. Bon! en voilà une qui m'a mordu le doigt. » Il suce le bout de son
doigt
. D. « Dis donc, vois-tu ce poteau ? » R. « Où ça?
suffisait pour cela de faire fixer par le malade un objet, le bout du
doigt
, par exemple, placé à quelque distance de la raci
ses yeux la figure de la bête poursuivie. Il la tient alors dans ses
doigts
et de l'autre main fait le geste de la déchiquete
allonge les mains pour l'attraper. Si on frappe en mesure avec les
doigts
sur une table, imitant ainsi plus ou moins grossi
on délire spontané, v. plus haut). « Ça déteint... ne te f... pas les
doigts
sur la figure... Alors tu badigeonnes comme ça to
pour sûr!... .Ce qu'elle sent bon!... Ah! malheur! passe-lui donc un
doigt
mouillé sur la figure, sur son magasin à plâtre..
ouciant de tout ce qui se passe à côté de lui. On lui met presque les
doigts
dans les yeux sans qu'il s'en inquiète. Il semble
On peut crier à ses côtés, lui parler dans les oreilles, promener les
doigts
autour de sa figure et jusque sur ses conjonctive
ns musculaire de ce côté n'est point absolue ; il sent qu'on remue un
doigt
, mais sans indiquer toujours sûrement lequel. La
n pronation forcée ; la paume de la main en arrière et en dehors, les
doigts
fléchis. Le bras soulevé reste, raidi, dans la
ude calme d'une personne qui sommeille. Nous imitons alors avec les
doigts
, en frappant sur une table, une marche militaire
de plongeon, au « moins ?.... » En frappant sur une table avec les
doigts
, on imite le bruit du tambour. Le malade, se parl
me niveau dans la gorge... Le contact sur une de ces régions, avec le
doigt
ou autre chose à l'extérieur (une barbe de plume
zone douloureuse est limitée en arrière à trois ou quatre travers de
doigt
du pavillon de l'oreille. Il n'y a en avant de l'
placards de psoriasis aux deux mains (dos et paume de la main, petit
doigt
et annulaire gauches). Il est porteur de psoriasi
Aux mains, l'engourdissement occupe les deux premières phalanges des
doigts
. Enfin il accuse une sensation de gonflement et d
le caractère lancinant, avec paresthésie dans les orteils et dans les
doigts
, surtout au pouce. Démarche talonnante, incertain
, chez aucun d'eux on ne peut deviner encore l'ataxie : un seul a les
doigts
en massue et une fille de dix-neuf ans est hystér
De dix à douze ans (1878-1880) daterait une gêne des mouvements des
doigts
, en particulier du pouce, et de la main, cpui obl
ue de l'hypo-thénar gauche. Le pouce est légèrement écarté des autres
doigts
, et sur celui de gauche, la seconde phalange est
e phalange est un peu fléchie sur la première. La flection des autres
doigts
sur la paume de la main est plus forte adroite qu
la pronation, on observe les mêmes caractères au pouce et aux autres
doigts
de chaque main. Ceux-ci sont volumineux, surtout
ment) l'annulaire, à droite il ne peut dépasser l'index. Aux autres
doigts
, la flexion, qui est la position de repos, est fo
place une épingle sur son lit, il est incapable de la saisir avec les
doigts
. Il y arrive encore très bien lorsqu'elle est ten
e est quelquefois accompagnée de sensation d'engourdissement dans les
doigts
de la main droite, jamais dans les lèvres ou la f
douzaine d'années, qui, présent au moment où sa mère, s'étant pris un
doigt
dans une porte, poussa un cri de surprise et de d
bien proportionnés, un peu courts cependant. Mains petites, larges,
doigts
courts, légèrement palmés, ongles bien plantés.
i; ses quatre membres étaient rigides " on ne put lui desserrer les
doigts
". Pouce fléchi dans la paume, perte com- plète
omplète. Bave abondante. L'enfant tette en mangeant. Ne suce ni ses
doigts
, ni son linge. - Ni rumi- nation, ni vomissemen
w Température à l'entrée. IDIOTIE complète ; diplégie. 57 Î Les
doigts
sont légèrement fléchis. Les mouvements provo-
r au palper ne présentent rien d'anormal. La forme, la longueur des
doigts
; des mains, des ongles est régulière; pas d'ony
s le bord radial dans sa phalangette (1). Les ongles de ces trois
doigts
ne présentent rien de particulier ; ils sont asse
qui est difficilement opposa- ble, suit la direction des autres
doigts
de la main. Le premier méta- carpien est long
alange. La phalan- gette assez longue, va s'écartant des autres
doigts
. Lorsque le pou- ce est dans sa position natu
degrés avec la face palmaire. On remarque également chez ce même
doigt
une tendance à se fléchir. La phalangette (1) I
ient la place de l'éminence thénard. Les mouvements des trois
doigts
normaux (index, médius et annu- laire ) sont
iste il ce niveau un sillon vertical assez profond pour contenir le
doigt
. (Compte-rendu du service des enfants de l31cêt
servira de la percussion avec le bord cubital de la main, avec les
doigts
, avec le dos d'un couteau, avec une cuiller, et
us rare en clinique : on l'obtient en saisissant le gland entre les
doigts
il travers le prépuce, on le comprime légèremen
e prépuce, on le comprime légèrement jusqu'à ce qu'il s'échappe des
doigts
. On le perçoit en palpant l'urètre au niveau de
on d'oc- clusion de la paupière qui se produit quand on touche du
doigt
la cornée. Ce réflexe disparait dans le sommeil c
Le cou est extrêmement court et gros (0,565me). En avant, sous le
doigt
, on sent très nettement les cartilages du larynx
ité passez prononcée des articulations métatarso-phalangiennes. Les
doigts
commen- cent à être mous. Membre supérieur dr
t rigides, ainsi que les articulations métalarso-phalangiennes. Les
doigts
sont un peu raides. Membre inférieur droit :
ieurs réguliers, normaux, cylindriques, potelés, mais peu musclés ;
doigts
longs, ongles courts. Membres inférieurs : rien
t défini. Si on lui fait tenir un objet des deux mains, on voit les
doigts
s'allonger démesurément, d'une manière convjlsi
limètres de dia- mètre. Rien sur le reste du corps. -La pression du
doigt
ne fait disparaître ni le pointillé, ni les tac
main. Comme manie l'enfant il celle de porter continuellement les
doigts
à la bouche. Il a de nombreux accès de colère et
abondance. La matité remonte en arrière seulement à deux travers de
doigt
au-dessous de l'angle inférieur de l'omoplate.
lence épouvantable, il s'arrache la bouche, les lèvres, enfonce les
doigts
dans ses yeux, se mord (1) et cherche il mordre c
ant de saisir un objet, et quand il l'a saisi le crispe entre ses
doigts
. A des mouvements ner- veux des mains, de la
is transversa- lement dans la paume de la main, les quatre : autres
doigts
fléchis sur le pouce. Il existe une contracture
nt. La contracture du poignet peut être vaincue ainsi que celle des
doigts
. Ces mouvements provoqués sont douloureux Hypot
it que l’on applique, sans le moindre effort, la main ou seulement un
doigt
sur la poitrine, ses épaules ou son visage, pour
la main en pronation légèrement écartés, le pouce éloigné des autres
doigts
; la mâchoire inférieure est fortement encore l
pied était bien moins enflé, et elle pouvait en remuer légèrement les
doigts
; le soir, les mouvements étaient et plus faciles
s centres nerveux, cela à l’insu du magnétiseur. b° Les bras et les
doigts
sont les conducteurs naturels du fluide, ceci en
u pied fitdes progrès rapides. Un jour, pendant la magnétisation, les
doigts
remuèrent: Cela fit pleurer et rire de bonheur la
ante de joie, elle me dit : « Voyez, monsieur Didier, voyez comme mes
doigts
remuent. » A dater de cette époque. Use déclara u
e époque. Use déclara une amélioration lente, mais bien marquée : les
doigts
, le poignet, les bras, recouvrèrent peu à peu le
le pouls est bon, la marche est moins pénible, il remue très-bien les
doigts
de la main gauche et ¡1 porte facilement cette
de bonne volonté à côté de lui qui prend comme lui la table entre les
doigts
libres des deux mains, puis il doit enlever cette
onnant sa main droite à moi, il a réussi, en touchant par le bout des
doigts
de sa main gauche, à soulever une table de quatre
e dit pas comment cette eau a été magnétisée. Est-ce en dirigeant les
doigts
en pointe vers le goulot de la bouteille ; en ten
e moins d’un litre, me sert à transporter le fluide qui s’échappe des
doigts
, dans toutes les parties du liquide. Si j’ai à di
Si, lui faisant ouvrir la main gauche, vous présentez l’extrémité des
doigts
de votre main droite et les promenez lentement et
à quelque distance de la racine de la main ouverte jusqu’au bout des
doigts
, il ressentira comme un souffle frais, léger, agr
ui se meut dans sa main, suivant la direction que vous imprimez à vos
doigts
. Vous aurez par là une preuve expérimentale de pl
s, s’échappent avec une sorte de véhémence de l’extrémité de tous les
doigts
. Avec ces différences d’éclat et de vivacité da
de la main droite, ainsi que les flammes qui se dégagent du bout des
doigts
, sont bleues; celles de la main gauche, d’un roug
rre (il vaut mieux se servir de cette baguette que de l’extrémité des
doigts
, parce que le verre, mauvais conducteur de la cha
distance de la longueur du bras et de la main gauche, moins celle des
doigts
, devant un jeune médium américain, lié par les ja
: abaissement du boni de la table sur les genoux par la pression des
doigts
de la main gauche sur les bords de ladite table.
. l.ES CHARMEURS DE SERPENTS. surs (1) Zeb posa alors un de ses
doigts
au sommet de la tête du naja, mais si légèrement
de la tête du naja, mais si légèrement qu’on aurait pas su dire si ce
doigt
cabalistique touchait ou non à cette tète fixe, v
n magnétique ; on eût dit qu’il partait des étincelles du bout de ses
doigts
, de la pointe de ses cils ; il fulminait ; des pa
a la bouche contractée, les dents violemment serrées; elle pose un
doigt
sur ses lèvres qu’elle ne peut plus écarter, et,
docteur delà science, ud'unhomme au cœur intelligent, d’un maître aux
doigts
habiles, b dit le texte (peut-on désigner plus cl
indiquez-moi parmi vous « un homme au cœur intelligent, un mal/re aux
doigts
habiles. » « IG. Le basilicogrammale Tholh-em-h
que le seul moyen de répandre la vérité était de la faire toucher du
doigt
, c’est-à-dire de guérir des malades. A cet effe
dérangeait que pour venir d’un temps à l’autre appli-« quer un de ses
doigts
sur le front de ceux ou celles qui lui « paraissa
e de nos jours. Les malades a étaient encore magnétisés au moyen du
doigt
et de la baguette de fer promenée devant le visag
agnétisés surtout par l’application des mains, et par la pression des
doigts
sur les hypochondres et sur les régions du bas-ve
émission du fluide magnétique ou vital, non-seulement par le bout des
doigts
, mais par toutes les parties du corps; pourtant c
les parties du corps; pourtant cette émission est plus active par les
doigts
. Il ressort de cette émission des courants plus o
de toutes les parties de ton corps, quoique plus abondamment par les
doigts
, entraîne avec elle une partie du magnétisme prop
t le plus sensible. Je plaçai alors ma main droite sur sa tête, les
doigts
écartés, le pouce sur le front, à la naissance du
tervenlriculaire, échancrure capable de laisser pénétrer le bout du
doigt
. Aorte située comme à cheval sur cette échancru
m.), ouverture de la cloison interventriculaire pouvant admettre le
doigt
, faisant com- muniquer le ventricule droit avec
artie supérieure, une ouverture ovalaire admettant l'extrémité du
doigt
annulaire et faisant communiquer les deux ven-
côté droit du cartilage thyroïde, quelques nodules roulant sous le
doigt
et 'appartenant peut-être au corps thyroïde.
tronc, la peau est fine, d'un blanc mat, assez ré- sistante sous le
doigt
, comme infiltrée et parait recouvrir une épaiss
nce myxoe- démateusc. Ailleurs, elle est tendue, résistante sous le
doigt
et comme bouffie do graisse. On ne constate pas
lure dont la ci- catrice a produit la rétraction des trois derniers
doigts
. La préhension est possible avec le pouce et l'
teuse, forme une pelote épaisse, mais ce gonflement résiste sous le
doigt
et ne disparaît pas par la pression. La main ga
iller qu'il tient de la main gauche et les autres aliments avec ses
doigts
. Il boit également seul en tenant le gobelet av
5 octobre. Nous essayons de lui faire prendre du lait, il trempe le
doigt
dans le vase, le porte à sa bouche et re- pouss
à plusieurs reprises et les arrêter à vo- lonté en exerçant avec le
doigt
une forte compression sur la zone hystérogène (
nstant après : « Je le vois ! je le vois ! » et il fait le geste du
doigt
. Ailleurs, gémissement sourd et mâchonnement co
la zone d'hyperesthésie située au niveau du bregma ; à peine les
doigts
ont-ils frôlé les cheveux en ce point, qu'un état
échi, la main pendante à angle droit. Poignet flasque ainsi que les
doigts
. L'épaule présente une raideur qu'on a peine à
t lesquelles l'enfant soulevait brusquement la main en écartant les
doigts
. P. 1 ? G; T. li. 39°,4. Les yeux étaient terne
la pie-mère et la substance cé- rébrale a complètement disparu. Le
doigt
, introduit dans le ventricule, soulève le sac m
idérations sur la distribution anatomique des nerfs collatéraux des
doigts
. Un vol. in-8 de 1 : 1.4 pages.- Prix : 3 fr. 5
u froide, chaude, magnétisme, etc.,furent employées inutilement ; les
doigts
au contraire s’enfoncaient de plus en plus dans l
morale, je fis une insufflation chaude très-prolon-gée à travers les
doigts
. La patiente laissa échapper un soupir de bonhe
un soupir de bonheur, car, comme par enchantement, sa main et ses
doigts
venaient de recouvrer leur usage. Après des fai
e piano n’était en contact visible qu’avec le plancher et le bout des
doigts
de M. Willis. M’étant glissé sous le piano pour m
ssinée. Elle sé tenait dans une position horizontale, et indiquait du
doigt
le-colonel Manson, etc... » M. Jabez Woodman, a
es parties du corps, en commençant par une des articulations du petit
doigt
; et alors elle déclara qu’elle entendait la voix
t ; et alors elle déclara qu’elle entendait la voix d’un chanteur. Le
doigt
voisin fut actionné, et elle dit entendre une sec
oix qui accompagnait la première, et ainsi de suite. Quand les quatre
doigts
de la même main eurent été actionnés, elle dit en
elle du poids suspendu par un fil dont on tient l’extrémité entre ses
doigts
?... Il termine cette partie de son récit par cet
oup de foudre électrise toute l’assemblée! Une plume s'agite dans les
doigts
magnétisés, et voilà qu’ils présentent aux regard
ille maîtresse (j’aime la supposer telle) exerce avec l'extrémité des
doigts
, les ongles venant en aide, sur cette partie de l
t, et cela avec une sorte de volupté. Cet exercice du frôlement des
doigts
sur la nuque doit être pratiqué pendant dix à qui
e el appréciables par toute personne qui a des yeux pour juger et des
doigts
pour toucher. En foi de quoi nous avons délivré
ut le côté gauche du corps était paralysé ; elle ne pouvait remuer un
doigt
; sa parole était embarrassée, de sorte qu’il éta
e de choroïdite. Jecommençai paranesthésier l’ouïe en approchantles
doigts
des oreilles : mais le moyen de se faire entendre
ngeai à la transposition des sens et je rencontrai l’ouïe au bout des
doigts
. —Vous m’entendez? — Fort bien.—Occupez-vous de d
fier le sang. Ayant quitté la main en ce moment, l’ouïe abandonna les
doigts
; je la cherchai au sommet de la tète, aux pieds,
oux; je mis ma main sur cette main, cherchant à la saisir par les
doigts
, mais, malgré mes efforts, je lie pus la retenir
es efforts, je lie pus la retenir qu’un instant, elle glissait de mes
doigts
aussitôt que je la serrais; quatre fois je pris c
atre fois je pris cette main froide, quatre fois elle fondit dans mes
doigts
. Monsieur le baron, il vous sera plus facile de v
te petite main caresser la mienne depuis le poignet jusqu’au bout des
doigts
; pendant tout ce temps j'éprouvais un bien-être,
e je me gardais bien d’interrompre en voulant saisir ces trois petits
doigts
. La main disparut, et en même temps je sentis qu’
e papier, pourvu que les yeux étant tenus abaissés parla pression des
doigts
d’un autre personne, l'objet fût placé vis à vis
- pos au-dessus comme à côté de l’électrophore. Mais ayant mis le
doigt
au fil. il se mit à osciller comme auparavant, et
elle énergie. Mais pourquoi, en mettant en contact l’extrémité de son
doigt
avec celui d’une autre personne, le fluide émané
ues secondes, sa vue devint trouble, égarée, ses yeux larmoyants; ses
doigts
s’agitèrent doucement ; ses paupières se fermèren
e posa ses mains l’une sur l’autre , l’une prenant successivement les
doigts
de l’autre, comme si elle eût voulu exprimer l’ac
ue vous apercevez distinctement parfois. Ainsi dirigeant une main, un
doigt
sur la main d’un sujet sensible, il court le long
passer : le pouls était à peine sensible, les extrémités froides, les
doigts
des mains livides et glacés. A minuit, les deux d
e qui prend racine au coude du bras gauche et finit à l’extrémité des
doigts
, ne pouvant rester assis ou debout une seule minu
oin de placer votre main gauche .sur la tête et de laisser tomber vos
doigts
perpendi- culairement sur le bout de votre ne
la main droite, celle-ci devant fonctionner à la hauteur du bout des
doigts
de la gauche ; par ce moyen, une portion du plus
la main droite sur le creux de la gauche une croix allant du bout des
doigts
jusqu’à la saignée du bras, et vous serez ainsi d
her, et puis, lorsqu’il veut y retourner, il fait des signes avec ses
doigts
, et de suite la lumière se fait pour lui. Il a
eur. Il dit que le fluide est une fumée ou vapeur qui s’échappe des
doigts
du magnétiseur et pénètre chez le magnétisé, que
dra à vos interpellations, si je vous touche seulement du bout de mon
doigt
; il dira qui vous êtes , teinturier-dégraisseur,
lle que cause une énorme fatigue, et une forte con -traction du petit
doigt
, que le sujet s'efforça , mais en vain, de faire
u-dessus de celles du sujet, comme pour l’attirer e» haut : alors les
doigts
du dormeur se mettent à trembler, puis toute la m
s dont il a été parlé : et cependant, quand on avait fait claquer les
doigts
près de ses oreilles, il y avait eu un léger
prison, ils avouèrent leur crime, en disant qu’ils reconnaissaient le
doigt
de Dieu dans la pompte découverte de leur crime.
, le diable apparaît, et avec une plume trempée dans le sang du petit
doigt
, écrit le nom de l’audacieux sur son livre. Aussi
tincte. Des rayons semblent s’échapper des corps vivants, surtout des
doigts
. On voit combien il y a de rapport entre ces ex
a « couleur jaune. « Deuxièmement, en posant les dix extrémités des
doigts
a très-légèrement sur le mur d’une chambre, l'imp
droit de la couleur jaune. lieux d'entie elles ont, en appliquant les
doigts
sur une muraille , éprouvé les sensations indiqué
et cela avec une sorte de volupté. « Cet exercice du frôlement des
doigts
sur la nuque doit être pratiqué pendant dix à qui
es, sans exception aucune, ont affirmé voir rayonner le fluide de mes
doigts
. Ensuite, plus d’une fois magnétisant dans un sal
onnants phénomènes qui se manifestaient par la simple apposition d'un
doigt
sur tel ou tel organe, représenté par telle ou te
ccident, il souffrait dans toute la partie gauche du corps, un de ses
doigts
était devemi roide et si douloureux qu’il lui éta
p si sec et si précipité, qu’il nous cloua tous sur place, et que les
doigts
dc la piaiiiste restèrent comme pétrifiés sur le
manière à comprimer le oerf qui va distribuer la sensibilité au petit
doigt
de la main correspondante ; tout aussitôt votre d
bilité au petit doigt de la main correspondante ; tout aussitôt votre
doigt
s’engourdira. Dans les plaies de tête, si le ceiT
telles mains impures. Aussi la postérité, toujours juste, marque du
doigt
le front de ces hommes qui ont obstinément et sys
tempes. Dans ces crises, elle m’avait recommandé de k magnétiser les
doigts
en pointe S'il' le ventre : ces crises salutair
une part d'illusion, d’ignorance ou d’imperfection là où elle voit le
doigt
de Dieu. Comme si les envoyés de Dieu cessaient d
er^ devant vous des expériences concluantes; je vous ferai mettre /îj
doigts
dans les trous comme saint Thomas; je vous persua
et tont cela sans se réveiller. Lorsqu’on le touche, même du bout du
doigt
, il se plaint, entre en furie, et veut nous tuer
e soustraire le fluide que tu auras donné, dégageant les bras par les
doigts
, le corps par les jambes et de là par les pieds,
er me coucher. «Tiens, dit-il, prends-moi la main,lesdoigtó entre les
doigts
; serre, serre plus fort. » Ah ! Il pousse un cri
roire qu’une sécrétion invisible du fluide électrique s’opère par les
doigts
du magnétiseur, et que ce fluide seul a le pouvoi
r, dans l'intérêt de la science qui nous occupe. 5” Les brns el les
doigts
sont les conducteurs naturels du fluide, ceci en
n bras fût soutenu par une écharpe, et elle ne pouvait pas remuer les
doigts
. Les cbirurgiena prétendaient qu'elle avait un os
Pendant la magnétisation, il le voyait s’échapper de la pointe de mes
doigts
, plus abondamment, selon lui, du doigt indicateur
’échapper de la pointe de mes doigts, plus abondamment, selon lui, du
doigt
indicateur que du médius, plus faiblement de l’an
'un poids de plus de vingt kilogrammes était suspendu k chacun de ses
doigts
: en même lemps celte main était devenue insensibl
ortement cliaque jour que je viendrai, à la troisième fois j’aurai le
doigt
inseusible, je ne sentirai aucune douleur, et ave
e pense être guéri en moins dc six jours. 2« séance. — Comment vale
doigt
? _Bien; le docteur sera fort surpris de voir c
ceau de toile propre. 3« séance. — Désirez-vous que je magnétise le
doigt
? _Oui, monsieur, aujourd'hui il deviendra enti
tièrement insensible. â* séance. — Jugez-vous la magnétisatiou du
doigt
nécessaire ? — Non, monsieur, puisque le doigt
la magnétisatiou du doigt nécessaire ? — Non, monsieur, puisque le
doigt
est presque guéri. Il est bon d’ajouter que la
uite? Elle étend de nouveau sa main droite surlabolte, et touche du
doigt
indicateur le tube mercuriut dvus. — Combien de
tigue. Depuis de longues années (vitigi ans environ) elle avait les
doigts
de la main droite roides, wainttnanl ils ont reco
ous croyions peu jadis, mais que le magnétisme nous a fait toucher du
doigt
. Sur ce sujet nous nous trouvons en complet désac
e au conduit auditif interne une action plus spéciale. Qu’il place le
doigt
auriculaire dans son oreille et fasse jouer sa mâ
entière du membre ; si j’agis seulement sur une articulation, sur un
doigt
, ou sur une phalange, je provoque simplement la p
plus d'une fois fatal. Outre cette précaution, je secoue souvent mes
doigts
pendant l’opération. 2” MAGNÉTISATION ELECTRO-M
agnétiser avec la main à plat, de manière que l’extrémité de tous les
doigts
repose exactement sur l’épiderme du malade que l’
muscle avec les doigta formés en pointe, ou mieux encore avec un seul
doigt
. Plus on appuie fortement le doigt ou la main sur
inte, ou mieux encore avec un seul doigt. Plus on appuie fortement le
doigt
ou la main sur l’épiderme, moins on craint de voi
ur ou bien une personne m?sc en rapport, introduit l’extrémitô de ses
doigts
dans le tuyau de l’oreille et que cette personne
un piano dont un grand nombre de touches s'immobiliseraient sous ses
doigts
ou dont les notes ne seraient pas accordées. A
ilité complète. Ayant saturé de fluide les jambes, les cuisses et les
doigts
de la main, ils acquirent à leur tour une rigidit
ferai cette observation: Quand on magnétise, c est de l’extrémité des
doigts
qu’émane par leurs nerfs la masse de fluide que l
e à un somnambule, et, pendant qu'il est occupé à lire, appliquez vos
doigts
sur ses paupières et exercez un frottement assez
la tête ici, les coudes là... répondit la somnambule en touchant cTii
doigt
les parties désignées sur le corps de madame U...
cueillir un bouton de rose..,. Ab ! elle s'est piquée; elle suce son
doigt
,... Maintenant elle se dirige vers l’écurie; elle
bililé était exaltre dans celles démagnétisées ; le simple contact du
doigt
la faisait horriblement souffrir. Les métaux av
core bien plus. L’habilude que nous avons contractée de secouer nos
doigts
de temps en temps, pendant la magnétisation, ne p
être saturé plus ou moins; 3» Nous n’avons pas tort de secouer nos
doigts
de temps à autre pendant la magttétisation : parc
3® leur cessation. 1* Qu’arrive-t-il quand le magnétiseur pose ses
doigts
sur quelque partie? Une décharge à'Od (2) se prod
anxiété; chez quelques-uns les sensations couraient au devant de mes
doigts
: ils sentaient des eÎFets aux genoux, quand j'ét
-Il Au (arse ouoou-de-pied. . . . fraîcheur. . . 20 — id 21» Aux
doigts
........froid, ... 26 - id! De ces rapprochemeut
ima myodes (muscle peaucier), je produisais la chaleur, parce que mes
doigts
allaient contre la direction des nerfs. Ces résul
Sous l'influence de l'émotion vive qu'elle ressentit, elle vit ses
doigts
perdre peu à peu de leur cou- leur et devenir d
remarqua que ses orteils deve- - niaient pâles, décolorés comme ses
doigts
. La malade incrimina l'impression du froid. L
t alors pour la première fois un état d'asphyxie suc- céder sur ses
doigts
à l'état de syncope. Les phénomènes se repro- d
ds éprouve tout d'abord une sensation nette d'en- gourdissement aux
doigts
et aux orteils, en même temps que sur- viennent
partie interne de la joue adroite. Lorsque la syncope survient, les
doigts
commencent à pâlir, tout d'abord au niveau de l
halanges et en quatre ou cinq minutes, elle atteint l'extrémité des
doigts
. La paume de la main conserve sa coloration nor
de la main conserve sa coloration normale. A l'état de syncope, les
doigts
sont d'un blanc de cire très net Les pha- lange
ent de coloration se produit rarement au même instant dans tous les
doigts
de la main. Parfois un doigtreste encore à l'ét
annonce par une sensation de picote- ment qui disparait lorsque les
doigts
reprennent leur couleur nor- male. Parfois, l'a
les mêmes conditions, les mêmes chan- gements de coloration que les
doigts
. L'asphyxie a été quelquefois presque généralis
reparait ensuite. Pendant la syncope, les frictions faites sur les
doigts
paraissent augmenter la durée de cet état. La m
plongeant les mains dans l'eau chaude. Au moment des crises, les
doigts
deviennent insensibles subjecti- vement. La sen
u d'en- vahir les deux mains, elle n'envahit qu'une main ou un seul
doigt
de la main. 17 avril, une syncope au petit do
main ou un seul doigt de la main. 17 avril, une syncope au petit
doigt
de la main gauche, durée dix minutes. Puis, l
roidissement est considérable. La malade a perdu la sensibilité des
doigts
dont elle ne peut plus se servir. Elle est de n
ous-de-pied, les genoux, les poignets, les coudes, les épaules, les
doigts
et la colonne vertébrale, et qui disparut en un
quiète, préoccupée; elle commence à se plaindre .qu'on la montre du
doigt
, qu'on chuchote sur son passage, qu'on sourit en
Antécédents personnels. Déformation congénitale des deux mains. Les
doigts
sont rabougris, informes. . De vingt à vingt-hu
ngt et un ans, main gauche écrasée, 3 métacarpiens enlevés avec les
doigts
correspondants. A trente ans, fracture de la cl
aisait sentir le matin sur les deux mains ou sur une main ou sur un
doigt
par des phéno- mènes de syncope locale durant q
us avons vu A. B..., dit M. Delta, les deux dernières phalanges des
doigts
des deux mains étaient cyanosées. Elles étaient
comme une commotion violente de tout son être. Presque aussitôt les
doigts
de ses deux mains devenaient blancs jusqu'à leu
ns au froid par les plus fortes gelées. L'ischémie de la peau des
doigts
durait environ un quart d'heure après les scari
larmes, cris, désespoir sans perte de connaissance. Contracture des
doigts
non seulement du côté électrisé, mais encore de
me a eu de violentes convulsions suivies d'un délire ner- veux. Les
doigts
ont repris momentanément leur teinte cya- nosée
e presque subite , FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHR011fÉLALGIE. 113 des
doigts
qui sont fortement fléchis dans la paume de la ma
re, elle eut dans la journée quatre attaques pendant lesquelles les
doigts
devenaient bleus aux mains, glacés et insensibl
'ostéo-arthropathie étaient cantonnées au niveau des extrémités des
doigts
et des orteils, et limitées nettement aux phala
s se distinguent l'une de l'autre par le tremblement individuel des
doigts
qui n'existe que chez l'alcoo- lique. La para
t toujours une certaine tendance à se porter en hyperpronation, les
doigts
étant enfoncés dans la paume de la main ; la mê
s deux côtés au niveau du mamelon, comme si un anneau large de deux
doigts
entourait la poitrine. La veille de l'opération
oiffure ou son numéro matricule qu'il remue machinalement entre ses
doigts
; de temps à autre seulement il lance un coup d'o
rois jours par une angine. Les phénomènes syncopaux généralisés aux
doigts
des deux mains disparurent, mais, en revanche,
douleur était si intense qu'elle l'empêchait parfois de dormir. Le
doigt
était le siège d'une suppuration aiguë, profond
parfois en se surprenant à rouler des boulettes de papier entre les
doigts
. 'Elle se trouvait alors lasse et s'endormait pro
riode menstruelle. Elle avait antérieurement accusé la sensation de
doigt
mort au niveau du pouce. droit. 182 ) PATHOLO
leurs articulaires. Elle eut une teinte violacée des extrémités des
doigts
alternant avec de l'anesthésie. Puis survint un
doigts alternant avec de l'anesthésie. Puis survint une nécrose des
doigts
de la main allant jusqu'à la partie moyenne de
vulsions faciales; balancements brusques de la tête; flexions des
doigts
et des bras; élévations continuelles des pieds; n
quante-neuf ans, volumeexagéré du nez, du maxillaire inférieur, des
doigts
, la peau est également atteinte ; saillie prononc
éduit à i uni point, fà 51, s'endormait immédiatement dès que mon
doigt
qui servait de signal était sur le périmètre au d
lexion, les poignets tantôt étendus, tantôt fortement fléchis ; les
doigts
se pla- cent en extension forcée dans des posit
périeurs sont demi-fléchis, le poignet est en flexion forcée et les
doigts
en extension avec des positions bizarres. La po
membre supérieur droit, depuis le coude jusqu'aux extré- mités des
doigts
. Cet état qui survenait aux mêmes moments que l
lques trépidations et des mouvements rythmiques de flexion dans les
doigts
, mais ne rappelant en rien ce que l'on voit dan
le médius et l'annulaire symétriquement. Les auteurs libérèrent les
doigts
par une-opération qu'ils décrivent et donnent u
tion sont très limités et presque impossibles, les fléchisseurs des
doigts
forment, au niveau du poignet, des reliefs très
l, les avant-bras sont fléchis, en pronation et en adduction. Les
doigts
sont fléchis (il y a non seulement flexion de la
t porter dans la paume de la main, du moins, ceux des deux derniers
doigts
, car le médius et l'index sont écartés de la pa
ement disparu. On peut, sans trop de peine, étendre passivement les
doigts
, mais ils restent cependant toujours un peu flé
ffi- culté. Quand on dit à la malade d'étendre volontairement les
doigts
, on voit qu'elle n'y parvient pas tout à fait, il
nt étendue, la pha- langine reste fléchie. Elle ne peut écarter ses
doigts
les uns des autres. Il lui est impossible d'éte
mains lui per- mettant de serrer un objet, ni de faire usage de ses
doigts
. La description qui précède a été faite surtout
se fléchir) ; dans la main droite, les deux dernières phalanges des
doigts
sont un peu fléchies, les interosseux commencen
en ayant soin d'écraser la coupe sous le couvre-objet, soit avec le
doigt
, soit avec un morceau de moelle de sureau. En o
le sciatique, l'aide sent nettement la moelle se déplacer sous ses
doigts
. Le professeur Güssenbauer fixant un point déte
le bouton E pendant tout le temps de l'opé- ration, en soulevant le
doigt
petit à petit, car il suffit de le retirer, pour
i on couvrait un des yeux du malade et on lui disait de fixer notre
doigt
à 15 ou 20 centimètres de distance; on remarqua
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 97 XIV. CONTRIBUTION A la théorie DU
DOIGT
A RESSORT ; par M. BERNHARDT. (Centralbl, f. Ne
léchir ou d'étendre, au delà d'une certaine limite, un ou plusieurs
doigts
; de grands efforts ou l'aide de l'autre main pr
ard. (Cenlralbl. f. Nervenheilk., 1884.) La main est placée à plat (
doigts
réunis); on en dirige la paume en haut en l'ori
ractile des téguments abdominaux qui repoussent énergi- quement les
doigts
; ceux-ci perçoivent assez souvent le dia- phra
ar des excitations superfi- cielles de la peau : le contact avec le
doigt
, ou un pinceau à aqua- relle, quelques gouttes
t du triangle de Scarpa, la malléole interne, divers seg- ments des
doigts
, etc. - Chez quelques malades, presque toutes l
s les garde-robes et passe la nuit à pétrir fiévreusement entre ses
doigts
les matières fécales. Il se lamente de l'insucc
és, bien musclés, ne · présentent pas de traces de rachitisme ; les
doigts
sont longs, les ongles normaux, la voûte planta
? bien.muscles, ne .présentent aucune trace - ,de rachitisme ; les
doigts
sont longs, les ongles normaux* la voûte ..plan
suite du volume des muscles des éminences thénar et hypolhénar. Les
doigts
sont maigres, courts : ils sout habituellement
taires les plus simples, tels que l'exten- sion et la flexion des
doigts
, il est assez facile de s'assurer que ce ne s
il exécute avec hardiesse et rapidité le mouvementde flexion des
doigts
, puis, ce mouvement exécuté, il éprouve une p
e mouvement exécuté, il éprouve une peine extrême à éten- dre les
doigts
, et la main reste serrée pendant un temps relat
la main de quelqu'un c'est avec difficulté et avec lenteur que ses
doigts
se détachent de la main étrangère. Enfin tous les
est modifié, 220 RECUEIL DE FAITS. que lui-même ne porte plus aux
doigts
de piqûres d'aiguilles. Il ne se souvient pas d
e pression s'effectuait en comprimant fortement le tendon entre les
doigts
et le pouce. Une pression légère ou une percuss
c cet état) met souvent les femmes affaiblies et fatiguées à deux
doigts
de l'aliénation mentale (excitabilité, maussaderi
face interne des tibias; la voûte plantaire est peu accentuée, les
doigts
longs et normaux. La coloration des extrémités
Il est gai, joueur, n'a pas d'autres tics que de têter toujours son
doigt
. Il est assez affectueux, en particulier pour s
es; il commence à se servir de la cuillère. Il continue à sucer ses
doigts
et bave sans cesse, la bouche toujours entr'ouv
er avec de petits bâtons ; il se balance souvent, suce toujours ses
doigts
, ne bave plus; pas d'onanisme. Il marche seul e
; pas de gâtisme. Le foie déborde les fausses côtes d'un travers de
doigt
, et remonte presque jusqu'au niveau du mamelon
men.. Membres supérieurs grêles, bien conformés; mains violacées,
doigts
longs; pas de ganglions axillaires. Membres infér
férieurs maigres, sans déviations; extrémités violacées et froides,
doigts
longs, voûte plantaire normale; pas de ganglion
dans l'adduction forcée, l'avant-bras fléchi à angle droit et les
doigts
dans la flexion forcée. Craignant que ces contrac
le 2 décembre, elle s'arrache littéralement l'oeil droit avec ses
doigts
; elle refuse de manger : il faut la surveiller ét
même que l'adhérence du lobule de l'oreille, l'hypospadias ou le
doigt
palmé, elles sont la traduction des déviations nu
otisaient en fatigant les organes visuels à l'aide de mouvements de
doigts
. Cette pra- tique ne lui a pas fourni de résult
95. Digestifs (troubles d'origine ner- veuse), par \Icehms; 96.
Doigt
à ressort (théorie), parler- nhardt, 97. Ecch
n continue et à une sorte de contracture des muscles fléchisseurs des
doigts
. Donc si le sujet a la volonté bien arrêtée de su
sant son impuissance pour obtenir le relâchement des fléchisseurs des
doigts
et aussi pour contracter les extenseurs antagonis
chose fait effort pour accroître la contraction des fléchisseurs des
doigts
! Est-ce lut, est-ce la même volonté, la même pen
environ cinq minutes. En outre il sentait toujours à trois travers de
doigts
, à droite de l'ombilic, des picotements continus,
oux ; alors la douleur revint à droite de l'ombilic à neuf travers de
doigts
de distance, continue, lancinante, comme si on en
ège exact de la douleur et montrant un point placé à trois travers de
doigt
de l'ombilic à sa droite, je dis : C'est là qu'es
quelques larmes. Puis, en après, luy a esté frotté le palais avec le
doigt
de poudre de hyèble simple, et luy a eslé mis ded
ense, les jours suivants, dans une étendue de deux à trois travers de
doigt
au-dessus de l'aine. La pression de cette région
simples s'obtiennent en passant lentement et à plusieurs reprises les
doigts
de la main le long d'un membre et à une certaine
il suffît, par le môme procédé employé tout à l'heure, de passer les
doigts
à une certaine distance, mais alors à la face pos
re et en sens inverse, c'est-à-dire en faisant de nouveau mouvoir les
doigts
dans la direction du mouvement que l'on veut obte
re suivre telle ou telle route que je lui indique par le tracé de mes
doigts
dans l'air. J'ai parlé tout à l'heure de la sug
certainement la plus fréquente... une déformation caractéristique des
doigts
est la conséquence de cette habitude. Sa fréque
psychothérapie. Berthe P., âgé de onze ans, s'est toujours sucé les
doigts
, rongé les ongles et livrée à l'onanisme. A l'âge
upe d'états bulbaires qu'une aura éveille l'un après l'autre comme le
doigt
fait successivement vibrer les cordes d'une harpe
. La sensibilité cutanée des bords opposés de l'annulaire et du petit
doigt
de la main gauche s'éteignit, j'eus des accès de
de 5, 10, 15 centimètres ou davantage, et la maintenir immobile, les
doigts
allongés, vis-à-vis une partie quelconque du corp
ies. 8° Cette influence se dégage naturellement par l'extrémité des
doigts
, mais elle se dégage aussi à l'état diffus de tou
ant autour de la main un fil de fer qui se termine en pointe aux cinq
doigts
, on augmente notablement la rapidité et l'intensi
viter des troubles nerveux. — D'autres expériences s'appliquaient aux
doigts
de la main. La nuit, on avait un ou plusieurs doi
appliquaient aux doigts de la main. La nuit, on avait un ou plusieurs
doigts
entourés d'un ruban (ou d'une ficelle), ordinaire
ettait la chose (ruban, ficelle ou gant) sur le membre (pied, main ou
doigt
), ne l'y retenant que quelques minutes ; on l'enl
vec le membre une certaine relation. Ainsi, la perception de quelques
doigts
peut faire qu'en réve on s'occupe des nombres se
faire qu'en réve on s'occupe des nombres se rapportant au nombre des
doigts
intéressés, par exemple qu'on voit des choses dan
s dans une ou plusieurs quantités faisant des multiples du nombre des
doigts
en question. Cela accuse un calcul mental fait pe
. Sans doute, ce fait — des nombres rêvés à cause d'une sensation aux
doigts
— accuse la relation infinie qui existe depuis no
ation infinie qui existe depuis notre enfance entre les nombre et les
doigts
de la main. Voilà les formes ordinaires des rêv
elle quelquefois, en rêve, les sensations cutanées et musculaires des
doigts
disparaissent, supprimées par le calcul mental.
ne saurait mieux. J'ai avant-hier pu marcher en mettant seulement un
doigt
sur le bâton. » Dans une lettre du 10 mai 1892, i
on, le membre soulevé. D'autres essaient quelques mouvements avec les
doigts
ou la main, laissant le reste du membre immobile;
ent comme un ressort à sa première place, quand il a été déplacé. Les
doigts
écartés et mis dans les positions les plus bizarr
pouces du sujet contre le bout du nez, l'autre pouce contre le petit
doigt
de la première main, de façon à figurer le pied d
ine durée. Cette dernière envahit-elle par le gros orteil, par un des
doigts
de la main ? le malade cherche souvent instinctiv
e monde sait qu'on arrive au même but en recourbant énergiquement les
doigts
dans la paume de la main d'un épilep-tique quand
mon remède infaillible. En réalité, je ne fais que de les toucher du
doigt
. Je lui suggère qu'il oubliera l'existence de ses
tait collé contre le corps et raide, et on ne pouvait l'étendre ; les
doigts
pouvaient remuer. . Le membre inférieur était flé
porter un sceau plein et le monter au premier étage, parce que les
doigts
formaient crochet; il était content de faire ce
ue des distractions seules peuvent surmonter) de voir se fermer ses
doigts
et se fléchir son poignet , parce que cette fle
pris de battements ; la main se porte vers le bord radial, puis les
doigts
se crispent; l'avant-bras, le bras se contracture
bien encore : « ? lion Dien ! mon Dieu ! » Quand la contracture des
doigts
peut être vaincue, l'accès avorte, sinon il éclat
ion vicieuse; la paume est aplatie ainsi que la face antérieure des
doigts
, par suite de la pression continuelle de la mai
e produite par l'autre main; dès qu'il l'abandonne à elle-même, les
doigts
se fléchissent peu il peu, ou bien, restant dro
se fléchir et à venir se mettre en opposition avec la base du petit
doigt
. Lorsque la flexion s'est produite par hasard, il
tir aussi, principalement la nuit, un engourdissement dans le petit
doigt
de la main droite ; la sensibilité dans ses diver
dorsale des premières phalanges des premier, quatrième et cinquième
doigts
; pas de traces de lymphangite; par l'incision i
urmillements, des convulsions d'abord localisées aux orteils et aux
doigts
de la moitié droite du corps ; celles-ci se gén
xtension, main fermée pouce en dedans, bras gauche en demi-flexion,
doigts
écartés, le pouce tantôt dans l'extension, tant
ans l'extension, tantôt fléchi dans la paume de la main, les autres
doigts
fléchis. Membres inférieurs dans l'extension in-
pproche de l'atliétose; lorsqu'elle est abandonnée à elle-même, les
doigts
se mettent dans l'extension forcée; il y a même
en arrière de la première phalange; si on vient alors à placer les
doigts
dans la demi-flexion, ils reviennent d'eux- mêm
de de la fermer, il arrive avec effort à fléchir les trois derniers
doigts
et le pouce; mais l'index, en raison de sa sub-
des espaces de peau blanche, elles s'effacent sous la pression du
doigt
, pour reparaître aussitôt, et donnent lieu à des
.- Raideur assez pronon- cée de la nuque. Membre supérieur droit.
Doigts
fléchis, avant-bras en demi-flexion L'articulat
en demi-flexion L'articulation du poignet est flasque, celles des
doigts
, du coude et de l'épaule présentent un certain
du coude et de l'épaule présentent un certain degré de raideur. Les
doigts
sont le siège de quelques mouvements spontanés
cou- vrent la rotule. Membre supérieur gauche. - Demi-flexion des
doigts
et de l'avant-bras. Rigidité du coude et de l'é
droite qu'à gauche. On observe des deux côtés des mouve- ments des
doigts
étendus, mouvements plutôt convulsifs que volon
he. - Ongles assez mal conformés. Verruessur le dosdes mains et les
doigts
. Pigmentation as- sez marquée de toute la peau.
A 1 h. 45, la sensibilité existe dans tout le côté droit, sauf aux
doigts
de la main, et sur le côté droit de la muqueuse
nd nombre de sujets des deux sexes et de tout âge. la déformation des
doigts
si caractéristique qui en est la conséquence. Ne
Chez l'homme les usages des ongles sont de protéger l'extrémité des
doigts
, d'eu uHennir la pulpe, de l'appliquer plus exact
ion du toucher. Sous l'influence de r«»nvehophagic. l'extrémité des
doigts
subit une déformation très caractéristique. L'ext
t de celte habitude chez les enfants en leur frottant l'extrémité des
doigts
avec une substance amère aloès. pied d'artichauts
i- purent justement attribuer au fait d introduire dans sa bouche ses
doigts
. — «mal malpropres, un grand nombre tle troubles
s, rondes, de quatre millimètres d'épaisseur. Les extrémités des deux
doigts
sueés étaient ratatinées. L'enfant, compreuanl
e s endormir dès le aoir même, rt les jours suivants, sans mettre ses
doigts
dans sa bouche. Dès le lendemain, j étais averti
vauts : C'est siegjlier. j'ai à chaque instant entie de mellre u.- -
doigts
dans ma bouehc. mais je sens que je ne peux pas.
il, on a eu recours à divers traitements, en particulier à l'usage de
doigts
en caoutchoue. Dès qu'ils étaient retirés, le suj
Tous les ongles sont réduits â la plus simple expression ; à certains
doigts
de la main gauche, il n'en reste pour ainsi dire
us. Ils n'ont pas plus d'un millimètre do long. La déformation de ses
doigts
est très accusée et il est devenu d'une maladress
i sons rapide. Enfant I..... âgée de 9 ans. s'est toujours sucé les
doigts
et rongé Ions les oagles. Elle lient celle habitu
end pour ainsi dire connaissance de sou être interne. Elle saisira le
doigt
de l'hypnotisenr et le promènera avec précision s
l se doute que l'impulsion donnée se fait involontairement de ses
doigts
à l'objet, par une trahison inconsciente de sa pe
vai difficile d'insister pour la faire asseoir au piano el placer ses
doigts
sur les touches. Tout d'abord je lui fis taire le
noide- rable et diverse on ses éléments, qui nous fout loucher du
doigt
l'influence que Tolstoï n exercé et exerce encore
malgré elle, parée qu'elle ne peut faire autrement. L'examen de ses
doigts
nous révèle qu'elle se ronge les ongles avec rage
onstaté que reniant pouvait se tenir suspendu par les mains, soit aux
doigts
de l'observateur, soit à une baguette de même dia
e une anesthésïe se terminant en ligne d'amputation à cinq travers de
doigt
au-dessus de l'articulai ion du genou. La piqûr
t d'une demi-heure l'une première séance la malade pouvait remuer les
doigts
de pied: il existait quelques mouvements limités
rdrix, ou un lièvre blessés, dont le sang se répandait à ilot sur ses
doigts
, et les teignait en rouge. Je l'ai revu, il y a d
ché de ne faire aucun bruit en touchant l'eau du verre, soit avec mes
doigts
, soit avec une épingle, etc., etc. J'ajoute que l
le sommeil hypnotique. Si, en tenant un de ces instruments entre les
doigts
, à la manière d'une plume û écrire, on en dirige
douloureuse contracture des muscles pliants de la main droite et les
doigts
perdirent peu â peu toute leur puissance de s'éte
ns difficulté sa main et lui suggérai la souplesse et la mobilité des
doigts
et des muscles. Apre» quelques minutes lorsque je
fice extérieur, ainsi qu'un noyau de cerise que l'on presse entre les
doigts
et qui, par suite de la pression, s'en échappe. E
, c'est d'abord que j'avais constaté sur moi-même, en introduisant le
doigt
auriculaire dans le tuyau d'une de mes oreilles,
es, lors des mouvements de mastication, qu'on sent, tout autour de ce
doigt
, une pression qui le repousse au dehors; c'est en
t séro-pnrulent continue â diminuer. Il n'y a plus de tremblement des
doigts
: la déviation de la face a favorablement changé :
. Les hernies ne se sont plus reformées. Ou peu! encore introduire le
doigt
indicateur dans le trou herniaire ombilical, mais
ant s'échangeait entre nous, en indiquant dans la rivière un point du
doigt
: Le voilà —où ? — à gauche — il disparait — le v
ant endormez-vous, » « En même temps je fermai ses paupières avec les
doigts
de ma main gauche. Puis doucement Je lui répétai
s comme forme atavique do l'activité intellectuelle. On touche ici du
doigt
la préoccupation de trouver la lare pour justifie
le besoin d'uriner, il peut très facilement enlever lui-même, avec le
doigt
, la petite couche de collodion. Par ce procédé. M
e. La paralysie est localisée aux muscles moteurs de la main et des
doigts
Elle porte surtout sur les fléchisseurs et les
a face. La main droite est un peu plus froide que la gauche ; les
doigts
sont un peu violacés. Aux membres inférieurs, le
t d'un rouge noi- râtre et ne disparaissent pas sous la pression du
doigt
. Ce sont bien 1 Brocq. Loc. cil., p. 818. TRO
ochanters. Couchée depuis un mois, gâte par moments. Les ongles des
doigts
sont colorés en brun. t Loc. cil. · 2 Morer.
lbl., XV, 1896.) Attire-t-on brusquement la rotule en bas avec deux
doigts
et la maintient-on dans cette situation, on all
, elle fait une grimace de douleur, se bouche les oreilles avec les
doigts
et vous prie de ne pas répéter ce qu'on vient d
IONS DE la moelle épinière dans un cas d'amputation congénitale des
doigts
; par MM. Souques et Marinesco. (Presse médicale
d'une malade, qui présentait une amputation con- génitale des trois
doigts
du milieu et une atrophie notable du pouce et d
cal de la substance grise, centre de l'innervation vaso-motrice des
doigts
. Là, on constatait une hémiatrophie massive de
uvées dans les faits- d'amputation chirurgicale ou accidentelle des
doigts
. A. FENAYROU. XXXIV. Contribution A la QUESTION
e qu'elle est incapable de distinguer les objets, ni de compter les
doigts
qu'on lui montre. Souvent elle ne peut même pas
entrait derrière la joue, la malade devait l'en retirer à l'aide du
doigt
. Les mouvements de la langue étaient très limit
econnaître celles-ci, ne peut distinguer combien on lui présente de
doigts
, ni même si la main est ouverte ou fermée. La p
19 août subitement elle eut d'abord un tremblement convulsif des
doigts
de la main droite, puis l'immobilisation de cette
lons », « fermez le» yeux », « couchez-vous », « touchez avec votre
doigt
le bout du nez », etc., etc. Tous ces ordres so
ans la suite. A l'examen actuel, on constate que les mouvements des
doigts
et des poignets sont faibles et limités des deu
rière, au niveau de la 9° vertèbre dorsale, en avant à 4 travers de
doigt
au-dessus de l'ombilic ; celte anasthésie s'étend
re sur les tempes. La peau des mains et des 180 clinique mentale.
doigts
est lisse, brillante; les poils du dos des mains
s poils du dos des mains ont complète- ment disparu. Les ongles des
doigts
ont une coloration rouge- brun. Sur la peau des
signifiants : colora- tion rouge-brun des ongles des orteils et des
doigts
; les ongles sont altérés dansleur forme et pré
Les ongles des orteils et celui du 184 CLINIQUE MENTALE. deuxième
doigt
du pied droit ont complètement disparu. L'ongle
qu'à la racine ; sous l'ongle il y a un peu de pus. Celui du petit
doigt
est déplacé d'un demi-centimètre, on voit derri
ongles présentent une stratification pulvérulente. Les ongles des
doigts
sont également déformés et colorés en jaune brun.
11 n'y a pas d'albumine ni de sucre dans les urines. Les ongles des
doigts
sont bruns; ils présentent des sillons assez pr
le cuir chevelu ; aucun renseignement sur son début. Les ongles des
doigts
présentent une stratification à couches friable
sorte d'altération qui le rend plus friable ; la simple pression du
doigt
suffît souvent à briser les côtes sur le cadavr
roite, dix sur la gauche, surtout autour des articulations. Sur les
doigts
, elles étaient volumineuses et plus nombreuses. C
des interosseux et des lombricaux. L'abduction et l'adduction des
doigts
étaient impossibles, et la main gauche avait légè
es et ne contiennent pas trace de testicules; on a beau enfoncer le
doigt
aussi avant que possible dans le canal inguinal
ysie des membres supérieurs, portant sur les muscles extenseurs des
doigts
, de la main et du bras. A. FENAYROU. IV. Névr
els sans valeur dans certaines familles, comme la forme du nez, des
doigts
, etc., qu'il rapproche de l'hérédité de certain
he, n) Motilité. Pas de déforma- tion de la main, ni de griffes des
doigts
: main en position nor- male ; phalanges en dem
main et les unes sur les autres. Immobilité à peu près complète des
doigts
: les fléchisseurs et les extenseurs sont à peu
rand palmaire, cubital antérieur, extenseurs communs et propres des
doigts
; triceps brachial. Parésie : rond pronateur, ca
férences d'intensité suivantes : les fléchisseurs de la main et des
doigts
peuvent encore ébaucher quelques mouvements. Le
gts peuvent encore ébaucher quelques mouvements. Les extenseurs des
doigts
sont aussi para- lysés que du côté gauche, mais
. Mêmes phénomènes, et de plus : à gauche, hypo- estitésie du petit
doigt
et du bord interne de la main. Le grand pec- to
interne du bras, de l'avant-bras, bord interne de la main et petit
doigt
. A droite, elle reste localisée à la face inter
uche, l'autre me détourne la main en grande vitesse et me saisit le
doigt
pour le mordre de rage. « L'extrémité où je s
actylologie, n'est autre que celui des mouvements de la main et des
doigts
: « C'est, selon moi, écrit M. Brissaud, jusqu'
t surtout en rapport avec un trouble du sens de la localisation des
doigts
et de la faculté d'apprécier les reliefs, de re
de la main droite étendus et écartés; faites rentrer la langue, ces
doigts
se re- ferment. Même constatation lorsqu'on fai
puis trois ans, l'accès débutait par une aura sensitive partant des
doigts
de la main gauche. On pra- tiqua à deux reprise
naître une attaque convulsive unilatérale gauche, partant du petit
doigt
, identique aux convulsions sponta- nées. Ce poi
i, 66. Lésions de la - dans un cas d'amputa- tion congénitale des
doigts
, par Souques et Marinesco, 86. Sarco- . matos
mte, est venue à Cherbourg pour se faire traiter d’une rétraction des
doigts
de la main. Il y a sept semaines, dans une chute
par tous les élèves qui, pour essayer leur puissance, dirigent leurs
doigts
sur lui ou le magnétisent par la pensée; car il s
a peau, Sanaqu1 tool c’ manòg’ Pével'le; CVndanl P dlitingu' »oui »e»
doigt
» Un ch’veu d’môle oa d'femelle, El par son es
ilité de la pupille, qui ne se contracte pas,, même par le contact du
doigt
sur le globe oculaire. Troisième groupe. — Clai
dé. Peu importe, en effet, qu’on magnétise avec un, deux ou plusieurs
doigts
, avec le pied, le regard, etc., pourvu qu'on intr
boire. » Ensuite, à titre d’essai phrénomesmérique, on lui pose un
doigt
sur l’organe de limitation, et aussitôt elle se m
cet isoloir improvisé. Dans cette « situation, lorsqu’on touchait du
doigt
le crâne à « l’endroit du cervelet, on déterminai
eur Beaumont, qui détournait à dessein son attention, je dirigeai mon
doigt
d’abord, puis un fragment de latte, vers la nuque
ssible, elle y substitua udc pression à peine sensible du bout de ses
doigts
sur ta main de l’interrogateur, ou bien de la pre
aimant du pôle « sud,en touchant simplement ces deux pôles avec les «
doigts
. « La commission s’est assurée par des expérien
bien plus fortement qu’à M. Grimaut; et lorsque je mettais un de mes
doigts
dans chacune de ses mains, pendant que la baguett
ans tout sou corps, e« surtout dans sc» mains et à l’extrémité de ses
doigt
«, une certaine impression ou .sensation nerveuse,
ampistron. « Avant d’endormir Prudence, M. Laurent place à l’un des
doigts
de celle-ci une bague aimantée dans laquelle il p
ette valeur se trouve inférieure à celle de l’ai, elle compte sur scs
doigts
. Par opposition, elle ne verra pas un objet qu’on
objets, tandis qu elle n'a jamais su reconnaître le lorgnon parmi les
doigts
de son propriétaire. o Prudence chante ou s’int
e^, etc.9 fitc. Il arciva plus d’une fois qu’au simple contact de son
doigt
indicateur gauche des poutres ¿énormes se crevass
étant disposées comme il vient d’être dit, vous étendez le bras et un
doigt
vers l’objet mobile et suspendu de manière à vous
ps s’ébranle, oseille de droite à gauche, finit par présenter à votre
doigt
son côté large, et s’arrête dans cette position j
, danslescns névrur- gique (magnétique), n’étendez ni le bras ni le
doigt
: tenez-vous en repos, et regardez fixement l'obj
etc.), c’est la surface la plus galvanique qui se présentera à votre
doigt
, conducteur, tube, etc. Sixième expérience. «
(le côté qui touche le corps de l’animal) qui se tournera vers votre
doigt
, vers vos yeux, etc.; si c’est un fétu de paille
n esprit montrent, dit Bodin, comme en plein jour, et font toucher au
doigt
et à l'œil l’erreur de ceux qui ont écrit que ce
ais sur un pivot dépassant quelque peu lu boite. » Présentez-lui le
doigt
(vous, l’homme à puissance névrurgique quelconque
e vers la terre d’environ soixante-douze degrés.) « A l’approche du
doigt
, cette aiguille a subi également des attractions
lors de plusieurs pas, et, l’appareil en repos, ¡’étendis vers lui le
doigt
. . L’aiguillo ne manqua pas de montrer les même
Dans les dispositions que l’on vient de voir, au lieu de bras et du
doigt
étendus vers l’aiguille, je dirigeai, à pareille
ulisme lucide, avec transposition du sens de la vue à l’extrémité des
doigts
. VARIÉTÉS. Le magnétisme à Lyon. — Le magnéti
yeux exactement fermés, et distinguait seulement par l’extrémité des
doigts
tous les objets qui lui étaient présentés. Après
eiller, et à peine lui -eus-je touché légèrement avec l’extrémité des
doigts
la partie supérieure des paupières, qu’elle se ré
chèrent ensuite do la malade; plusieurs médecins introduisirent leurs
doigts
dans la plaie béante, qui avait plus do huit cent
i, dans une main, le pouce et l’index participent à un pôle, le petit
doigt
et l’annulaire au pôle opposé; le doigt médium es
rticipent à un pôle, le petit doigt et l’annulaire au pôle opposé; le
doigt
médium est l’équateur. 5° La même loi régit les
pied ou une main, le pouce et l’index participent ù un pôle; le petit
doigt
et l’annulaire au pôle opposé; le doigt médium es
rticipent ù un pôle; le petit doigt et l’annulaire au pôle opposé; le
doigt
médium est l’équateur. 11 en est de môme pour l
égatif ou nord ; le pouce et l’index le pôle positif ou sud, le petit
doigt
et l’annulaire le pôle négatif ou nord, et ainsi
it mois auparavant, en coupant un morceau de bois, je m’étais fait au
doigt
une coupure légère en réalité, mais qui saignait
rfs superficiels constitue un fait tellement général, que, même aux
doigts
, les fines veinules qui émanent des nerfs colla
mène la disparition de la première. ' Fig. 9. Nerfs collatéraux des
doigts
. N, N, nerfs collatéraux. V, V, vaisseaux colla
e doulou- reuse est limitée en arrière à trois ou quatre travers de
doigt
du pavillon de l'oreille. Il n'y a en avant de
lacards de psoriasis aux deux mains (dos et paume de la main, pelit
doigt
et annulaire gauches). Il est porteur de psoria
ux mains, l'engourdissement occupe les deux premières phalanges des
doigts
. Enfin il accuse une sensa- tion de gonflement
caractère lancinant, avec paresthésies dans les orteils et dans les
doigts
surtout au pouce. Démarche talonnante, incertaine
zaine d'années, qui : présent au moment où sa mère, s'étant pris un
doigt
dans une porte, poussa un cri de surprise et de
on des tendons des fléchisseurs de la jambe et des extenseurs des
doigts
n'est pas suivie d'effet. Au lit, Lamb. présent
e l'iodure de potassium. P. K. XIX. GONFLEMENT DES phalangettes DES
DOIGTS
. TROUBLE trophique encore inconnu; par 0. ROSEN
e l'extrémité articulaire de ces organes des troisième et quatrième
doigts
(consistance de l'exos- tose), chez des femmes
de la ménopause. Douleurs, pares- thésies, dans l'avant-bras et les
doigts
, sur le trajet et la sphère d'évolution du cubi
re, de velouté; des douleurs lancinantes, aux pieds, aux mains, aux
doigts
, aux orteils, aux phalangettes, quelquefois à t
bras du sujet dans l'attitude du ser- ment, la main ouverte et les
doigts
écartés. L'écriture est troublée. Si on la comp
n même temps qu'elle descend de l'épaule jusqu'aux extré- mités des
doigts
du même côté. Une fois, cette épilepsie sensiti
ivant le membre infé- rieur du même côté jusque dans la main et les
doigts
. C'est là, bien que sous une forme atténuée, un
ez aucun.d'eux on ne peut devi- ner encore l'ataxie : un seul a les
doigts
en massue et une fille de dix-neuf ans est hyst
est immobilisée par les masticateurs fortement con- tracturés. Les
doigts
de la main droite sont convulsivement fléchis dan
iocubitale jadis atteinte. Sur les deux mains, on observe entre les
doigts
des rudiments de membranes inlerdiâi- tales (pa
a chaleur, le long du membre supérieur droit, surtout au niveau des
doigts
de la main, et, sur le tronc, jusqu'à la sixièm
e, outre la paralysie (incomplète) et l'atrophie des extenseurs des
doigts
et de la main des deux côtés, on observait que
, car à chaque instant elle cherche à ouvrir ses paupières avec ses
doigts
, et, impatientée de ne pou- voir réussir, elle
e divergent ou convergent, des tics généralisés et persistants, des
doigts
palmés ou même la réunion complète d'une main o
de la main rappelle celle que prendrait une main nor- male dont les
doigts
seraient fortement serrés pour ne pas laisser é
s géométriques 3. Des organes entiers, ou des parties d'organes, un
doigt
, la main ou la cuisse, deviennent anesthésiques
ement étudiée, la syringomyélie. Ils ont des traces de brûlures aux
doigts
et ils se plaignent de se brûler à chaque insta
nantes siégeant à la paume de la main : cette anesthésie faible aux
doigts
était en effet complète au niveau de l'émi- nen
démons- trative. Je l'ai habituée à s'endormir quand elle voit mon
doigt
levé devant elle, c'est une de ces suggestions
et l'oeil gauche fixé sur le point central, j'avance lentement mon
doigt
sur l'arc de cercle, il n'est pas encore au deg
re de ciseaux que je lui avais mise dans la main, elle a glissé les
doigts
dans les anneaux, et sa main se met à ouvrir et
evant elle un papillon, et qu'au moment où je toucherai son polit
doigt
, elle verra un oiseau bleu. C'est une suggestion
la cache par un écran, et, cela fait, je touche légèrement le petit
doigt
de la main Cf. Pures, cil., 1. 1, p. 73. L'AN
se trompe jamais; il faut donc que la sensation du contact au petit
doigt
ou au pouce existe d'une façon quelconque, pour
.insensible et je détourne la tête du sujet. Vous voyez d'abord les
doigts
, entourer le crayon et se placer dans la positi
nt. · La santé physique est bonne. I ! n'a pas de tremblement des
doigts
ni de la langue. Il a peu mangé jusqu'à présent e
nt par : douleurs, paresthésies, sensation de froid avec pâleur des
doigts
, puis, colo- ration bleue envahissant toute la
ian, 35; sortie des aliénés -, par Sollier, 419. Phalangettes des
doigts
(gonfle- ment des), par Rosenbach, 100. Pie-m
gidité, de même pour sa langue ; quand elle jouait du piano, ses
doigts
ne se déliaient qu'aubout de quelques instants
mouvement, se lever de sa chaise, etc.. Lorsqu'il tenait entre ses
doigts
un objet peu volumineux, il ne pouvait le lâche
ne le lâche pas aussitôt qu'il veut ; difficulté pour étendre les
doigt
une fois fermés. Les muscles du tronc, de la ve
ripètes : Lucoe comprime l'orifice du méat auditif avec la pulpe du
doigt
. J'em- ploie la poire à air ordinaire armée d'u
ne première tache, irrégulièrement quadrilatère, de la largeur d'un
doigt
, située en partie sur la couche optique, en par
lents et très désordonnés. La face grimace, les dents claquent. Les
doigts
sont tantôt crispes, tantôt dans l'extension co
que de l'extenseur propre du gros orteil, de l'extenseur commun des
doigts
et des péroniers. Asymétrie des muscles vaste i
u moment de la visite, avait essayé de lui crever les yeux avec les
doigts
. 108 SOCIÉTÉS SAVANTES. promettent la discipl
once par un soupir et par le défléchissement lent et progressif des
doigts
. La période des contorsions et des grands mouve
e, souriante, contemple avec ravissement ce qu'elle tient entre ses
doigts
. Les bras s'allongent ensuite sur le lit et J..
con- naît pas le langage par signes, elle l'imite en donnant à ses
doigts
des attitudes bizarres, où l'on ne retrouve rie
lle plie la lettre imaginaire, la remet à quelqu'un en désignant du
doigt
une direction. Elle revient ensuite à ses geste
e, quoique de valeur différente suivant les régions. La main et les
doigts
sont ré- 238 REVUE DE pathologie nerveuse. tr
s muscles de l'avant-bras, paralysie absolue des flé- chisseurs des
doigts
, atrophie considérable de l'avant-bras, de l'ém
d'un traitement électrique, amenant la flexion des trois derniers
doigts
et l'extension de l'index. Le pouce n'est pas plu
eu commen- çant par l'index, qui demeure plus faible que les autres
doigts
. Ce fait vient 1 l'appui d'observations analogu
centre moteur et peut être sensitif du pouce et de celui des autres
doigts
. ' Il. IL 246 REVUE DE pathologie NERVEUSE. X
langue le pro- fesseur introduisait dans la bouche de son élève ses
doigts
, des prismes et des anneaux de diverses grandeu
. Puis, à titre d'exemple, il prome- nait dans sa propre bouche les
doigts
du disciple, afin de lui faire palper les posit
ouvrait des horizons plus vastes que le loucher' et la mimique des
doigts
; aussi se soumit-il ultérieurement aux exercic
l mord un gardien assez cruellement pour nécessiter l'amputation du
doigt
. Puis le calme et la raison reviennent. A parti
léger contact, notamment est parfaitement' senti à la pointelrles.
doigts
. Il n'y a pas de sensation1 de fourmillement ?
sur le trajet de la veine fémorale d'un cordon dur, roulant sous le
doigt
, peu douloureux. 13 3 ma·s.-La malade a mal pas
La mo- î 'U< » i -'iii'ii. » tilité du bras est altérée ; les,
doigts
et la main se meuvent bien, l'avant-bras se flé
ntôt paralysie to- tale avec sensation de, froid aux extrémité^ des
doigts
en'même temps, le malade était pris d'une. somn
l f r» ? ? 3, Foie augmente de. volume, dépasse de trois travers de
doigt
le rebord, des lausses cotes ; sa' surface para
l i»'If"l 11 PMI' ''I' HiHlMi i/ ,·,1 ? .- muscles fléchisseurs des
doigts
, par exemple, une.cer-, 1. , , 111 Itlt, ),lit,
;tt : ? pio;r} ! arrrrr a t( tout le membre intéresse. L action du
doigt
,pro- arf(,,r( i aP1 rn ? t· 'rr pnti .fuRtrrM
les obtient pari excitation cutanée la plus légère, 1 action» du
doigt
a distance, du regard (sic); d un, rayon lumi-
du tremblement de la langue; parole trébuchante, tremble- ment des
doigts
, démarche incertaine à pas écartés; affaiblisse-
n extrêmement douloureuse, occupant l'étendue de trois travers de
doigts
sur le flanc droit, et, d'ailleurs, mal limitée ;
elle baye une bouton- nière du diamètre d'une pièce de un franc. Le
doigt
y sent un corps dur et allongé, enclavé dans le
sées ; on observe quel- quefois la syncope ou l'asphyxie locale des
doigts
et des orteils. Il existe souvent des troubles
e bracelet en caoutchouc durci, assez large pour embrasser les cinq
doigts
à leur racine, et moulé grossièrement sur la fo
. Pour écrire, le malade ne doit introduire que les quatre premiers
doigts
dans cet anneau. Celui-ci, trop large dès lors,
ui-ci, trop large dès lors, tomberait, si le patient n'écartait les
doigts
pour le fixer. Dans cette position, le bracelet
puie par les éminences thénar et hypothénar, et par l'extrémité des
doigts
. On conçoit que, pour maintenir solide- ment l'
cueillies ailleurs. Ce qu'on n'a pas vu, ce qu'on n'a pas touché du
doigt
, on n'y croit pas. C'est la doctrine sceptique
a raconté, à savoir qu'il était obligé autrefois de relever avec le
doigt
ses aliments qui tombaient dans la gouttière gi
rifiée dans le confessionnal en voyant le prêtre mon- trer ses cinq
doigts
il travers la grille : un autre jour, elle a sent
au malgré elle. Ils lui dictent tous ses actes. Ils font remuer ses
doigts
de pied. Ils la font parler malgré elle, surtou
bres inférieurs. Le territoire atteint s'étend de l'extrémité des
doigts
à une ligne circulaire située à la partie moyenne
mpérature persiste. Les mou- vements imprimés aux articulations des
doigts
des poignets ne sont pas sentis'. Troubles va
est soulevée, mais par le trapèze; les mains sont en pronation, les
doigts
fléchis ne sont susceptibles que d'un mouvement
sensibilité au contact, à la piqûre persiste, mais les mains, les
doigts
sont devenus sensibles à la température, et seule
elle délimitation des troubles sen- sitifs dissociés (fig. 5) ; les
doigts
sont devenus sensibles à la pi- qûre, au chatou
les modes comprenant les CAS DE PARALYSIE DES QUATRE MEMBRES. 41
doigts
, et limitée en haut par uue ligne circulaire supé
sensibilité à la température et à la piqûre se montrent seules ; 4°
doigts
: sensibilité normale. L'ahdomen est insensible
ntact, douleur. 3" Dissocialion des troubles de la sensibilité. Les
doigts
récupèrent les premiers, d'abord la sensibilité
sertion du del- toïde. Simultanément la zone sensible au contact (
doigts
), persiste sans modification, mais la sensibili
observations dues à M. Charcot et à M. Berbez, il est noté que les
doigts
sont vio- lacés, froids comme dans certaines pa
mouvements du tronc, de la tète, de flexion des avant-bras et des
doigts
qui venaient frapper le thorax. Les épaules étaie
marche. La sensibilité et les autres phénomènes sont les mêmes. Les
doigts
de la patte gauche postérieure sont garnis de n
iminuée. L'accès débutait par une sensation de formication dans les
doigts
de la main gauche; presque en même temps surven
iderme au niveau de la paume de la main et de la face in- terne des
doigts
. Atteinte des filets sudoraux, trophiques et vaso
gauche avec ichthyose diffuse de la face interne de la main et des
doigts
. Anesthésie limitée à un côté, qui a guéri complè
musculaires (depuis la station jusqu'aux plus légers mouvements des
doigts
, à la suite de mouvements choréiformes continue
à une diminution fonction- nelle ; les mouvements de la main et des
doigts
sont affaiblis, sauf les mouvements que command
tains cas, un grand intérêt pratique. Je vous aurai fait toucher du
doigt
les chances d'erreur auxquelles on s'expose tou
soir d'Hérophyle. Le trou fait dans l'os permet le passage du petit
doigt
sur une longueur de 2 à 3 centi- mètres. Les ch
te- ment le battement d'une artère, qu'on sent facilement avec le
doigt
. Cette artère, qui donné énormément de sang, cont
re centimètres carrés pouvant loger la dernière phalange d'un petit
doigt
ordinaire. A cet endroit, le cuir chevelu a con
ue l'articulation proprement dite soit indemne. Le poignet et les
doigts
sont insensibles; c). Le sens musculaire est abol
rtaines parties de la peau. Par exemple, les mouvements passifs des
doigts
et de la main, là où la peau est complètement a
sauf à la moitié gauche du menton, aux membres supérieurs sauf aux
doigts
; sur le ventre et la partie supérieure du thora
u'à une ligne horizontale passant par l'ombilic; sur le bras et les
doigts
où il sent cependant lorsqu'il est mouillé. A d
ux, avec laxilé des ligaments du pouce et mouvements exagérés de ce
doigt
. - Depuis son entrée le malade a eu, en décembr
à gauche; les pouces sont fléchis dans l'intérieur de la main, les
doigts
repliés sur les pouces. Ces attaques durent une q
ans l'espèce divers arrêts de formation, notamment aux mains et aux
doigts
. ' M. Lei-,4. Un cas médico-légal d'abus de la
des fourmis leur sortir des pores de la peau ou sous les ongles des
doigts
, ils sont prolixes dans leurs écrits et leurs dis
cinq années de direction n'avaient pas suffi à me faire toucher du
doigt
l'étendue relative des devoirs qui m'incombaient
poursuivi avec la certitude qu'il allait, lui, me faire toucher du
doigt
l'étendue rela- tive desdits devoirs. Mais non;
t il s'est dérobé. J'aurais été pourtant bien heureux de toucher du
doigt
l'étendue relative des devoirs administratifs;
grande qui, l'instant d'avant, l'empêchait de me faire toucher du
doigt
l'étendue relative des devoirs administratifs, s'
▲