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1 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
iivre, une histoire de l'intelligence humaine, faite de manière à la distinguer par des caractères précis, des facultés analogues
microscope découvre en chacun d'eux une organisation compliquée. On y distingue en effet : 1° une gaîne tubuleuse finement striée
aux. L'antérieur, le moyen, le postérieur; deux sillons longitudinaux distinguent ces cordons. L'un d'eux, assez mal défini, est le
t attachées leurs racines postérieures ; on sait que ces dernières se distinguent aisément par un petit amas ou renflement gris qu'
ence. Rolando, avons-nous dit, a signalé les différences d'aspect qui distinguent la substance de leurs cornes antérieures de celle
'est aussi là qu'elles atteignent à un plus grand volume ; on peut en distinguer deux amas principaux : l'un qui occupe la limite
la sensation la plus simple ? Enfin, ne sait-on pas que la faculté de distinguer par le toucher des impressions très-rapprochées a
ides. Ces choses peuvent être aperçues sans aucune dissection. Pour distinguer nettement l'origine des pyramides antérieures, il
e Leur rapprochement est quelquefois si intime qu'on peut à peine les distinguer ; aussi, le plus souvent, n'aperçoit-on, au premie
es publiées par plusieurs anatomistes modernes, au milieu desquels se distinguent surtout M. Arnold et M. Foville. La protubéranc
Elle l'est surtout dans l'éléphant. Sa face libre est convexe ; on y distingue : a) Une vallée médiane qui suit la direction du
nculaire. En examinant avec attention la surface des pédoncules, on distingue surtout chez l'enfant naissant, une bande longitu
tes les autres cette divergence dont nous avons parlé. Cette bande se distingue au commencement de la vie par sa blancheur nacrée
tés qui sont, à proprement parler, les ventricules du cervelet. On en distingue trois, une médiane qui répond aux cervelets média
nsidéré, le quatrième ventricule est une cavité fort compliquée, on y distingue un corps et sept prolongements. Deux de ces pro
de l'isthme. Un sillon bien distinct (sillon latéral de l'isthme) les distingue du pédoncule cérébral proprement dit. Reil les av
et, comme M. Tiedemann l'a fort à propos observé, ils commencent à se distinguer de la masse de ces faisceaux latéraux vers la rég
ntre de la couche optique; d'abord très-adhérente au noyau, elle s'en distingue bientôt sous forme d'un cordon où la substance bl
ue à la face supérieure du cervelet entre les deux pédoncules moyens, distingue deux régions dans le cœur. L'une, antérieure, com
édiane, plus ou moins saillante, qui est le monticule, dans lequel on distingue le culmen et le déclive ; le monticule se prolong
er mieux aux besoins de la comparaison en anatomie zoologique. Nous distinguons , dans la masse générale du cervelet, trois masses
istincts. Ils ont reçu des noms divers que nous ne changerons pas, on distingue : 1° Les lobes postéro supérieurs ou seminulair
plusieurs groupes secondaires très-variables, dans chacun desquels on distingue plusieurs feuilles diversement inclinées. On a es
hérie et les tranchants confondus sur une lame basilaire. Cette forme distingue au premier aspect le lobe semilunaire de toutes l
ez ces singes, et dans les autres sapajous, il n'est plus possible de distinguer des autres parties du cervelet latéral, ce lobe e
Cette fosse, d'abord béante, est la vallée de Sylvius, à laquelle on distingue un bord antérieur qui répond au lobe frontal, un
pports, est la première qui apparaisse dans le cerveau des singes, et distingue déjà le pli marginal inférieur, dans certaines es
externe. Us entourent la grande ouverture de l'hémisphère. On peut y distinguer trois grands lobes, séparés par deux scissures fo
es anatomistes, Arnold, M. Foville et plusieurs autres, ont essayé de distinguer , par la dissection, les divers faisceaux longitud
elles ont une inclinaison légère d'arrière en avant, ce qui permet de distinguer deux ordres de fibres transversales, les unes dro
igné sous le nom de locus niger, substantia nigra, d'endroit noir, le distingue de l'étage supérieur que composent essentiellemen
noir a pour base une masse grise amorphe, au milieu de laquelle l'œil distingue une grande quantité de cellules multipolaires que
res blanches. Les cellules de la substance grise sont incolores et se distinguent par leur pâleur, d'ailleurs elles ne présentent r
l'avoir généralisée en la rendant plus précise. Cet habile médecin distingue , dans toute l'étendue de l'écorce du cerveau, plu
veau, et d'autre part, quelque attention qu'on y mette, on ne peut en distinguer plus de trois. Les observations qu'on peut fair
ulte des expansions cérébrales de la commissure antérieure. On peut distinguer dans la commissure antérieure deux choses : le fa
idées qu'éveille l'organe de la vue un complément nécessaire. Nous distinguons dans chaque hémisphère, à partir de sa face inter
partout les tractus fibreux qui les doublent. Parmi ces tractus, nous distinguons au premier abord une bande blanche qui, de la fac
mmissures propres connues sous le nom de racines du nerf olfactif. On distingue en outre la coiffe grise, et les fibres qui, de l
erfs sous-occipitaux, ce qui réduit à neuf le nombre de paires qu'ils distinguaient dans le crâne. Quelques anatomistes modernes en a
plongent immédiatement dans la coiffe grise du lobe olfactif. On doit distinguer parmi ces nerfs celui qui, dans la plupart des ma
ue le centre ovale reçoit la quantité exceptionnelle de fibres qui le distinguent . Cette hypothèse ne serait pas mieux fondée que l
s demeurent attaches aux couches optiques, le long des lignes où l'on distinguera plus tard les habenœ de la glande pinéale ; mais
i s'étend entre les couches optiques et les corps striés internes, et distinguent , en conséquence, le vestibule du ventricule moyen
és beaucoup de sa grandeur relative. A l'intérieur des ventricules on distinguait déjà des élévations correspondantes aux couches o
le sillon médian, deux plans fibreux émanés des faisceaux moyens. On distinguait , en outre, avec la plus grande évidence, les pédo
ieurs. Ces lobes n'ont à aucune époque ces grands vermis latéraux qui distinguent le cervelet de la plupart des mammifères, et en p
ervelet. Elle a d'ailleurs dès le principe le caractère qui doit la distinguer toute la vie, c'est-à-dire que ses plans profonds
ales des plis frontaux sont bien dessinées, la scissure parallèle qui distingue le pli marginal inférieur de la scissure de Sylvi
ns tous les cas que j'ai observés, ai-je vu la scissure parallèle qui distingue le pli marginal inférieur se dessiner à droite av
tière fibreuse du centre ovale n'a point cette couleur blanche qui la distingue dans l'adulte ; quant aux couches corticales, ell
l n'en est plus de même quand, descendant au détail, il essaye de les distinguer les uns des autres et de les connaître dans leur
tiales, différences qu'il importe d'autant plus de signaler, qu'elles distinguent peut-être mieux les Êtres que celles de l'âge adu
s-je, trouvera-t-on un seul encéphale de mammifère? Loin de là; il se distingue , en effet, par une physionomie particulière, par
Faisons remarquer, en premier lieu, qu'une différence fondamentale distingue les formes primitives de l'encéphale de l'homme à
vie fœtale l'homme est homme en puissance, des caractères définis le distinguent , et s'il est soumis aux lois générales qui domine
isines de celles que présentent certains singes et, d'autre part, à distinguer dans la suite de ses développements une série d'é
cerveau est presque absolument lisse. Ainsi, les premiers plis qui se distinguent ici sont inférieurs à la scissure de Sylvius. C
se dessinent sont : 1° le sillon de Rolando ; 2° un petit sillon qui distingue , dès cette époque, le lobe occipital. La scissure
s deux lames de la dure-mère ; on leur a donné le nom de sinus. On en distingue un assez grand nombre. L'un d'eux suit le bord
s un sens déterminé, et s'ils n'ont point ces parois contractiles qui distinguent en général les veines, cette anomalie est command
breuses la maintiennent dans l'axe du tube formé par la dure-mère. On distingue parmi ces attaches : 1° à son extrémité inférieur
e l'encéphale ont pour troncs communs les sinus de la dure-mère. On distingue : 1° Les veines cérébrales supérieures. Leurs r
ès Arnold (1), fort abondants dans la pie-mère. Cet habile anatomiste distingue dans cette membrane trois réseaux superposés. Les
avec l'intelligence, je veux dire avec la liberté. Ici l'individu se distingue dans sa race par une forme qui est à lui, par un
us apparente; et bien que la race ait une physionomie générale qui la distingue , cette physionomie commune n'implique plus aucune
vrage récent (1), a étudié cette question avec le plus grand soin. 11 distingue seize déformations principales. Mon but n'est pas
est certain que les hommes de Toulouse ont une forme de tête qui les distingue , et qui se transmet par la génération. Mais nous
ssus se moquerait des hommes droits. Ainsi les particularités qui les distinguent sont, aux yeux des nations, le critérium de la so
vons-nous dit, au milieu de ce développement général trois régions se distinguent plus particulièrement par leur grandeur, savoir:
les fibres centrales et les fibres périphériques. 11 faut toujours distinguer avec soin les résultats immédiats des expériences
s, et il s'est élevé de nouvelles théories. Parmi ces travaux on doit distinguer , au premier rang, ceux de M. Schiff (de Francfort
res de la protubérance sont peu connues, parce qu'il est difficile de distinguer clairement l'effet particulier de ses lésions, de
, agit seul ou réclame le concours des « lobes cérébraux. » Il faut distinguer avec soin le mouvement de rotation sur l'axe qui
'il n'en soit ainsi quelquefois. Mais il n'est pas toujours facile de distinguer si, quand l'animal tourne, il agit spontanément e
la section des corps restiformes, et dès lors il eût dû s'efforcer de distinguer dans ses expériences la part réelle du cervelet d
têtre discutées (l). Cet illustre physic ien montrait la nécessité de distinguer dans les saveurs les effets produits sur le goût,
pas l'être par excellence. Ce n'est pas tout, on a cru nécessaire de distinguer absolument cet être de ce qui est connu par lui,
ons difficiles. Aristote avait déjà manifesté une tendance évidente à distinguer de lame qui anime le corps, anima, l'esprit raiso
sance! Les hypothèses de Willis, si elles s'étaient arrêtées là, se distingueraient à peine d'avec celles des partisans de l'automati
end évidemment à un matérialisme absolu. En vain affirme-t-il qu'il distingue de celte âme corporelle une âme directrice, le No
'autant d'élé ments doués d'une propriété spéciale que nous pouvons distinguer de couleurs. Certaines expériences de M. Cl. Bern
me perçoit les joies de Vénus, Veneris gaudia percipit ; le quatrième distingue le pesant du léger. Quant à l'âpre et au doux, il
devancé notre spirituel maître, M. le professeur Gerdy. Cet écrivain distingue , en effet, quatre touchers distincts comme Cardan
ond sens de Cardan. — La deuxième espèce comprend le sens du tact qui distingue le chaud et le froid, l'humide et le sec, le pesa
andry. Des observations curieuses et fort bien faites le conduisent à distinguer dans le toucher « quatre sensations spéciales, de
e perçoit point l'humidité, pas plus que plongée dans l'huile elle ne distingue l'oléagineux. En effet, des corps qu'une couche i
igts circonscrite par un petit cadre de baudruche, cette sensation se distingue à peine d'avec celle d'un simple contact. Voilà
ment, c'est l'idée d'extériorité. Placé sur la limite du moi, il le distingue du non-moi plus que tous les autres sens. Si la v
ne ligne droite que celle d'une ligne courbe, et il est impossible de distinguer une concavité d'avec une convexité pour peu que l
sur une surface parfaitement polie, où le sens du contact ne pourrait distinguer aucune inégalité, une figure circonscrite par une
la divination des aveugles, qu'on a pu quelquefois croire capables de distinguer les cou leurs par le toucher. Tel était, dit-on
eur; certaines espèces sont excitantes, les autres énervantes; on les distingue aussi quant à leur énergie et quant à leur étendu
sont innombrables. Il est donc, en beaucoup de cas, fort difficile de distinguer dans certaines impressions complexes la part de c
r n'est pas une simple sensation olfactive. M. Chevreul a donné, pour distinguer ces éléments d'une sensation complexe, un procédé
de contact. M. Chevreul, qui a étudié ce sujet mieux que personne, distingue quatre catégories de corps agissant sur l'organe
les attitudes et les mouvements du corps. L'homme posé sur ses pieds distingue fort bien le bas du haut, et de la même manière a
es optiques d'un seul œil; 4° que l'esprit lui-même entre en jeu pour distinguer dans l'image totale ses parties constituantes. Va
r les Enfin, un cinquième et dernier élément est l'impossibilité de distinguer nettement le détail des objets éloignés, tandis q
uer nettement le détail des objets éloignés, tandis que la faculté de distinguer ce détail augmente à mesure que les objets se rap
que, tout ce qui étincelle d'harmonie, tout ce qu'une forme limite et distingue , tout ce qui se meut, tout ce qui est dans l'espa
que que, dans des dessins où plusieurs lignes se croisent, l'œil peut distinguer à volonté des figures diverses. Ainsi l'esprit, p
rième état est celui de l'extase, état encore mal défini, mais qui se distingue de l'état d'hallucination et de sommeil par des t
sera de même nature. La lumière du soleil, par exemple, empêchera de distinguer à une faible distance la flamme d'une bougie, mai
s imaginer était joué en réalité par un orchestre éloigné. Mon ami le distingua parfaitement et m'affirma de nouveau qu'auparavan
et en particulier Jouffroy, en ont fait le caractère principal qui la distingue du sommeil. Mais ce caractère seul n'établit pas
terminer dans quelles limites on doit avoir créance aux songes, qu'il distingue de la manière suivante : « Il y a, dit-il, rêve
ce, et ne peut être compris qu'à l'aide d'une interprétation. Macrobe distingue cinq espèces de songes (1). 1° Le particulier,
Lorsqu'une idée par sa vivacité s'exalte, elle arrive au point de se distinguer dans l'esprit par une sorte d'individualité, et c
tion qualitative. 1° Des hallucinations essentielles. On peut les distinguer en tant qu'elles sont primitives ou consécutives.
é avec un rare talent l'histoire des hallucinalions psychiques, qu'il distingue très-heureusement des hallucinations auxquelles l
n réelle. Toutes ces hallucinations ont un caractère commun qui les distingue de la plupart des hallucinations nocturnes. Celle
dont la vision n'est point suspendue ; et c'est précisément là ce qui distingue les hallucinations, des rêves de l'extase. Souven
ea à leurs yeux en un cadavre d'homme; l'un voyait sa jambe, un autre distinguait nettement sa tête. Des cris d'horreur se firent e
difficile de ne pas partager sur ce point l'opinion de Jam-blique. 11 distingue avec soin les inspirations célestes de ces divina
Dans l'état normal de la veille, cette erreur n'a jamais lieu. Nous distinguons aisément le monde réel d'avec le monde imaginaire
trop insister sur ces choses. Une impression pénible dont l'esprit ne distingue point la cause, se change en un sentiment général
ion dans la production des maladies de la pensée. D'ailleurs, il faut distinguer avec soin les excitations par influence, d'avec l
d'une même sorte, et d'où résulte la physionomie des professions ? Ne distingue-t -on pas, sous un costume analogue, le militaire d'
e corps humain des propriétés analogues à celles de l'aimant ; « on y distingue des pôles également divers et opposés. L'ac-« tio
is non telles que celles que l'on perçoit par l'oreille, et faciles à distinguer de ces dernières. Ces paroles, qui parlent des pr
'œil ne serait point un organe de vision. Admettons qu'une somnambule distingue ce qu'elle applique à son épigastre, qu'elle en a
era-t-on prétendre à expliquer clairement ces différences natives qui distinguent , quant aux aptitudes intellectuelles, les hommes
ans l'ordre de l'instinct. Toute la différence est là. Mais comment distinguer dans les animaux ces deux parts de la vie de l'âm
te faculté supérieure, une idée de l'intelligence; aussi, les Hébreux distinguaient -ils le plus intelligent des êtres terrestres, sou
l'intelligence une fois établie, tout s'éclaircit et l'on commence à distinguer la limite qui s'élève entre les animaux et l'homm
des mouvements sympathiques. Toutefois, les mouvements symboliques se distinguent par quelques nuances qu'il peut être intéressant
maine si vaste de la science. § 4. Du langage de l'homme. On peut distinguer quatre éléments distincts dans le langage de l'ho
chose comprend l'idée. Ainsi, la faculté de peindre implique celle de distinguer dans un objet toutes celles de ses parties et de
els nous réagissons contre une odeur mauvaise. Ainsi, l'homme ne se distingue point d'avec l'animal en tant qu'il a des sensati
n allant à l'affût mettent son calcul en défaut. (1) » Si la pie ne distingue pas en quoi quatre hommes diffèrent de cinq, cela
pas du tout. Si trois hommes peuvent à la fois frapper ses sens, elle distinguera aisément trois de deux, sans les compter. De même
trois objets affectent nos sens autrement que deux, mais notre œil ne distingue pas neuf de dix; ceci est l'affaire de l'intellig
point été de décrire en détail l'intelligence de l'homme, mais de la distinguer par ses véritables caractères. Ce livre ne peut ê
orné; mais la finesse de cet odorat, dans cette analyse qui leur fait distinguer avec tant de précision les aliments salubres des
2 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
vant quelle loi ces variations s'expriment, m'efforçant sans cesse de distinguer avec le plus grand soin ce qui est essentiel et c
ace externe de l'hémisphère. A. Sur la face interne, M. Cruveilhier distingue : \° La circonvolution du corps calleux. C'est,
externe. C. Circonvolutions de la face externe. M. Cruveilhier les distingue en circonvolutions frontales, pariétales et occip
ed. Arnoldi Tab. anat., fasc. 1; Turici, 1838). Ce célèbre anatomiste distingue ou plutôt admet quatre lobes dans l'hémisphère, 1
ates (pl. 11, fig. 1, 2, 3, 4, 5). Le Singe (on voit que M. Leui'et distingue peu entre les Singes) a trois circonvolutions ant
émisphère. Parmi les circonvolutions du troisième ordre, M. Foville distingue , sur la face interne, 1° le groupe quadrilatère;
age inférieur sera pour nous le lobe temporo-spkénoïdal. Ainsi nous distinguons , sur la face externe de l'hémisphère, quatre lobe
ois au lobe temporal et à l'étage inférieur du lobe occipital. Nous distinguons ainsi, sur la face interne de l'hémisphère, 1 "
rand sillon du lobe fronto-pariétal. L'un des deux plis que ce sillon distingue confine au corps calleux; au-dessus du genou post
us ces faits sont déjà bien apparents dans les Semnopithèques, qu'ils distinguent des Cercopithèques ou Guenons ; mais ils se dével
ieure il se déve îoppe et forme un lobule assez grand. Ce caractère distingue à la fois les vrais Macaques des Rhésus et des Cy
es communs que les Chœropithèques ont avec les vrais Macaques, ils se distinguent aisément d'avec les autres Singes. Par la grandeu
ndeur de leur lobe pariétal et la richesse des plis cérébraux, ils se distinguent du Rhésus. Par la petitesse du prolongement posté
etitesse du prolongement postérieur du deuxième pli ascendant, ils se distinguent d'avec les vrais Macaques; enfin, par la grandeur
série, à quel groupe peut-on plus immédiatement le comparer? Il se distingue 1 " des Macaques à queue courte par la grandeur d
Sylvius, la richesse et la complication générale des plis secondaires distinguent , au premier abord, ce cerveau de celui de tous le
jour dans ce labyrinthe, et cette grande complication disparaît. On distingue alors, avec la plus grande facilité, 1"* le lobul
individus. Ils varient, en effet, de la façon la plus capricieuse, se distinguent ou se confondent en mille manières différentes, e
§ XXY. Voilà, d'une manière générale, les principaux caractères qui distinguent ou rapprochent les plis cérébraux de l'Homme de c
Homme de ceux des Singes. Disons maintenant quelques mots de ceux qui distinguent les cerveaux des différentes races ou espèces hum
caucasique. Ils présentent, à la région frontale, un espace que l'œil distingue aussitôt (comparez, pl. H, les fig. 1 et 2). On l
r que la parole « est une action plus particubère à l'Homme et qui le distingue davantage des brutes que la main, qu'Anaxagore ,
fait irrécusable de la nécessité du corps, secundum sîatum prœsentem, distinguer l'esprit, en tant que puissance, de l'intelligenc
s , ou sorte que, tout en conservant les caractères d'infériorité qui distinguent leur groupe , ils s'élèvent néanmoins par na subt
ulièrement réduit; ses trois étages sont, d'ailleurs, assez faciles à distinguer dans VAtèle. 3° Le sillon qui limite en arrière
tile de résumer ici l'ensemble des caractères qui peuvent servir à le distinguer . r Le cerveau des Sajous est plus globuleux que
ns un même groupe ; quelques zoologistes même ne paraissent point les distinguer . Le fait que je signale ici ne semble pas favorab
règles lumineuses que M. Chevreul a données , touchant la manière de distinguer entre les variétés simples , les races, les sous-
e du cerveau est tout à fait unie. D'ailleurs sa forme générale ne se distingue en rien de celle du cerveau des autres Singes, et
s, qui sont des divisions naturelles de l'hémisphère cérébral. Nous distinguons cinq lobes sur la face externe de l'hémisphère de
nd d'une grande vallée. Cette vallée est la scissure de Sylvius. On distingue aisément 1** le lobe frontal, qui forme l'extrémi
cendant fournit de bons caractères à l'aide desquels on peut aisément distinguer les vrais Macaques, oii elle est longue, des Rhés
trois; ils sont parallèles entre eux et à la scissure de Sylvius. On distingue aisément 1** le pli temporal supérieur, qui borde
du corps calleux et de l'ouverture cérébrale. Une longue scissure les distingue . Le pli qui limite l'ouverture est le pli de la
riable. Les plis du lobe occipito-temporal sont mieux définis. Nous distinguons 1° le pli temporal supérieur interne ou pli godro
es Atèles, les Cynocéphales, les Chimpanzés, les Orarigs et VHomme se distinguer , au milieu de tous les Primates, par la richesse
lles d'étudier assez longtemps les Singes soumis aux expériences pour distinguer les effets particuliers de la soustraction d'un p
3 (1934) Oeuvre scientifique
ue un signe objectif d'autant plus remarquable qu'il permet même de distinguer la paralysie de la sixième paire due à une lési
êt. La disparition du réflexe achilléen permet dans certains cas de distinguer la névrite sciatique de la pseudo-sciatique hysté
onner divers caractères que j'ai découverts et qui peuvent servir à distinguer l'hémi- plégie organique de l'hémiplégie hystér
nt toujours, lorsqu'on a acquis de l'expérience en cette matière, à distinguer le vrai du faux. Les perturbations dans l'excit
s plus caractéristiques de la crise épileptique et permettent de la distinguer des attaques hystériques. On enseigne généralemen
eut résoudre le problème qui se présente si souvent en clinique, de distinguer des manifestations hysté- riques celles qui dép
ffaiblis et l'on s'accorde à dire qu'il est sou- vent impossible de distinguer à la première période l'hémiplégie hysté- rique
flexe que l'on explorait est aboli. Pourtant on arrive aisément à distinguer du réflexe « légitime » le « faux » mouvement r
midal siégeant au-dessus de leurs centres. CARACTÈRES PERMETTANT DE DISTINGUER LA SURRErLECTIYITE. - (Causes d'erreur d'appréc
res ('). Aussi s'agit-il de déterminer les caractères permettant de distinguer d'avec les réflexes tendineux simplement forts,
ariétés d'épi- lepsie spinale. Et pourtant, il est essentiel de les distinguer puisque, je (') De l'épilepsie spinale fruste,
e réac- tion qui diffère suivant le point où elle est pratiquée. On distingue trois réflexes cutanés abdominaux : l'inférieur
e défense ? 11 y a trois caractères principaux qui permettent de la distinguer : l'am- plitude des mouvements est plus grande,
o- cier ; il n'en est pas moins vrai qu'il est indispensable de les distinguer l'un de l'autre. Je n'insiste pas davantage sur
tracture qui peuvent d'ailleurs s'associer une dénomination qui les distingue , j'ai proposé d'appliquer à l'une le qualificat
rganiques et que les phénomènes extrinsèques seuls permettraient de distinguer ces deux espèces de troubles. Je soutiens une
ion épileptoïde le tremblement hystérique, dont les oscillations se distinguent aisément par leur irrégularité de celles du vra
rde, une exagération des réflexes ; mais on arrivera généralement à distinguer ce pseudo-réflexe du réflexe légitime à l'aide
démontrer qu'il est essentiel, au point de vue pratique, de savoir distinguer l'hémiplégie organique de l'hé- - miplégie hyst
d'observer des cas de ce genre. Les caractères dont on se sert pour distinguer l'hémiplégie organique de l'hémiplégie hystériq
rcherai à mettre en lumière les caractères qui peuvent permettre de distinguer l'une de l'autre les deux espèces d'hémiplégie fa
hystérique a un aspect cli- nique tout particulier qui permet de la distinguer de la paralysie faciale liée à l'hémiplégie org
flexe tendineux). Le plus souvent une simple inspection suffit pour distinguer ces deux phénomènes l'un de l'autre ; c'est ain
faiblis, et l'on s'ac- corde à dire qu'il est souvent impossible de distinguer il la première période l'hémiplégie hystérique
ns un tableau, les caractères relatifs aux troubles de motilité qui distinguent l'hémiplégie organique de l'hémiplégie hystérique
tés cliniques relatives à la motilité, qui contribuent encore à les distinguer de l'hémi- plégie hystérique. L'hémiplégie al
ssivement les divers caractères d'ordre moteur qui peuvent servir à distinguer l'hémiplégie organique de l'hémiplégie hystériq
e l'exagération du réflexe de défense physiologique. Comment donc distinguer l'état pathologique et sur quels signes se fond
bres supérieurs, il était nécessaire de faire une subdivision et de distinguer deux formes de rigidité musculaire qui souvent,
i-dessus décrite. Un autre caractère plus important et conduisant à distinguer l'état physiologique de l'état pathologique est
extension des orteils du côté paralysé. Ce réflexe pathologique se distinguerait des autres réflexes tendineux parce que la réac
es de contrac- tures qui peuvent s'associer une dénomination qui la distingue , j'ai proposé d'appliquer à l'une le qualificat
e. Nous les rapprochons des réflexes de dé- fense, mais nous les en distinguons . Les unes et les autres peuvent d'ail- leurs êt
bien différents des « mouvements associés homolatéraux ». Pour les distinguer , nous les désignerons sous la dénomination de «
ris, séance du 3 février ig21 . Il peut être difficile parfois de distinguer , dans les mouvements consé- dits de défense ou
avons ici en vue présentaient un syndrome de Brown-Séquard.) Pour distinguer d'une façon spéciale les réflexes que nous venons
Ce qui prouve qu'il n'en est pas ainsi, c'est d'abord que le malade distingue lui-même ces deux ordres de mou- vements, c'est
a- tion préalable, et par la conservation du réflexe consensuel, se distingue de l'abolition vraie du réflexe à la lumière, l
rcation entre les deux ordres de faits que nous envisageons. Pour distinguer nettement les affections du cervelet de celles du
des et démesurés, dans d'autres affections ? Et si oui, peut-on les distinguer des mouvements démesurés cérébelleux ? ' ? Au
jambes écartées, en oscillant continuellement et ses mouvements se distinguent par leur maladresse (Ungeschichlichloeit), leur
our constituer l'ataxie. « Dans l'ataxie cérébelleuse, dit-il, nous distinguons nettement deux ordres de faits de nature et d'o
tations très différentes ; mais, de manière à peu près analogue, il distingue les phénomènes initiaux d'avec les phénomènes t
affections du cervelet. D'autres, au contraire, estiment qu'elle se distingue véritable- ment de l'ataxie tabétique, mais ils
ns désordres cérébelleux, les mouvements démesurés, par exemple, se distinguent de troubles observés chez les ataxiques. Nous r
si, comme l'a magistralement démontré Duchenne de Boulogne, il faut distinguer la démarche titubante de certains cérébelleux d
ysies psychiques, on peut considérer ce signe comme per- mettant de distinguer , dans certains cas, la chorée de Sydenham de la
ntracture des membres inférieurs, de paraplégie spasmodique, qui se distingue par son aspect clinique et ses caractères anatomi
une question controversée (2), je rappel- lerai seulement qu'il se distingue par les signes suivants : contracture en (') Su
ne perçoit aucun des objets que l'on place devant l'oeil ; elle ne distingue guère que le jour de la nuit. Du côté droit, l'ac
matière, m'a déclaré nettement qu'il est impossible, selon lui, de distinguer objectivement cette lésion de la sclérose du ta
e la névrite rétro-bulbaire. Parinaud estime qu'il serait bon, pour distinguer cette forme de névrite de celle qui est causée
uchenne, et qui, malgré des analogies pouvant induire en erreur, se distingue par des caractères cliniques bien tranchés du tab
té gauche l'acuité visuelle est de 5/1; du côté droit, le malade ne distingue aucune couleur; à gauche il n'y a pas de dyschrom
ésente encore des troubles sensitifs nettement appréciables : il ne distingue pas la pointe d'une épingle de sa tête, un corps
n voulu examiner la pièce. Voici la note qu'il nous a remise : « On distingue dans la prépara- tion : 10 une partie fibreuse,
es lésions scléreuses (sclérose multiloculaire). Ce qui per- met de distinguer ces affections les unes des autres, c'est que dan
parfois semblable à celle qui dépend d'une lésion destructive, s'en distingue généralement, ainsi que nous avons cherché à le
it enfin de reconnaitre la nature de la compression et notamment de distinguer une tumeur juxta-médullaire énucléable, où l'indi
e suffit pour écarter l'hypothèse de simulation ; elle peut aider à distinguer la sciatique vraie de la sciatique hystérique q
oxale. MM. Brissaud etMeige ont cherché à établir qu'il y a lieu de distinguer les tics des spasmes, que l'hémispasme facial p
mais ». Or une définition étant « une énonciation des attributs qui distinguent une chose, qui lui appartiennent à l'exclusion
rie n'est pas définissable équivaudrait à dire que l'hystérie ne se distingue par aucun caractère d'autres affections nerveus
s'être formé au préa- lable une idée plus ou moins nette de ce qui distingue cet état névropa- ! i58 HYSTÉRIE-PITHIATISilfE
ette reproduction est rigoureusement exacte et il est impossible de distinguer les troubles hystériques de ceux qui sont créés p
r par ce moyen une imitation très impar- faite, qu'il est facile de distinguer de l'original f ). Que l'on essaie par exemple
ie sont donc exactement semblables à celles de l'hypnotisme. Ce qui distingue ces deux états c'est que dans le premier les trou
ne qu'on examine qu'elle devra faire signe dès qu'elle commencera à distinguer l'index, avant même qu'il ne soit perçu d'une m
s et la repro- duction est tellement fidèle qu'il est impossible de distinguer la copie du modèle ; il me semble inutile d'ins
le d'obtenir, par ce moyen, une imitation très imparfaite, facile à distinguer de l'ori- ginal ; je défie par exemple de faire
ec moi pour déclarer que cette propriété constitue un caractère qui distingue la syphi- lis cérébrale des autres maladies org
ans lesquelles elles ont pris naissance il serait impossible de les distinguer les unes des autres ; nous avons vu d'ailleurs,
s inévitables, car l'on n'avait à sa disposition aucun moyen sûr de distinguer ces deux espè- ces de paralysie. On admettait,
ne possédait aucun des moyens dont nous disposons actuellement pour distinguer l'hémiplégie organique de l'hémipligie hystériq
., rangés, de l'avis unanime, dans l'hystérie. Il est impossible de distinguer objectivement ces deux ordres de faits les uns
des phénomènes qui sont également des troubles fictifs, mais qui se distinguent des précédents parce qu'ils ne peuvent résulter
nspirer la curiosité, l'étonnement ou la commisération, bref, de se distinguer d'une manière quelconque. Un très grand nombre
e de Sydenham de telle manière que je n'aurais pas été en mesure de distinguer la copie de l'original, mais cette impuissance
ation spéciale à ce groupe de phénomènes, comme à tout objet qui se distingue , ne serait-ce que par un seul attribut. J'ai pr
rai l'épithète d' « émotifs ». Il y a, en effet, des caractères qui distinguent nettement ces deux espèces de manifestations le
nion, mais ce qu'on peut dire dès maintenant c'est que ce groupe se distingue des deux précédents plus nettement encore que ceu
distingue des deux précédents plus nettement encore que ceux-ci se distinguent l'un de l'autre ; en effet, les phénomènes émotif
nt la guérison. 4° Connaissant les limites du pithiatisme, il saura distinguer les troubles qui ne font, pas partie de ce doma
uci pri- mordial consista dans la recherche de signes permettant de distinguer l'hypnotisme vrai, s'il en existe un, de l'hypn
tière n'apporterait aucune lumière, étant donnée l'impossibilité de distinguer le sommeil hypnotique légitime d'un sommeil simul
iques, éveillent l'idée de phénomènes hystériques, dont on peut les distinguer cependant. Je n'ignore pas non plus qu'il peut
riques ont été fréquemment observées dans certains Centres. Elle se distinguent déjà des crises épileptiques par l'absence cons
imités consciemment ou inconsciemment. Les attaques hystériques se distinguent encore par la forme qu'elles revêtent, grands m
hystériques et les contractures hypnotiques, ce qui est tout un, se distinguaient nettement des pseudo-contractures volontaires.
ité, ni de la vaso-motricité. Aucun signe clinique ne permet de les distinguer des contractions voulues. Leur localisation est
taloube étudiaient récemment encore ces « oedèmes de striction » et distinguaient deux phases dans leur évolution : si, pen- dant
hiatiques, ils résistent à la contre-suggestion. Ces accidents se distinguent des manifestations hystériques par divers carac
s résultats des recherches d'Erb et de Rümpf); cette amyotrophie se distingue de l'atrophie dégénérative. Elle est généralement
orie de troubles de motilité de nature physiopathique que l'on doit distinguer à la fois des phénomènes organiques, à propreme
o-milital1'es (que l'on peut être appelé el prendre, il y a lieu de distinguer , parmi les troubles de motilité, dits fonctionn
ies et les contractures liées à des lésions du système ner- veux se distinguent par des caractères objectifs qui leur appartienne
ico- militaires que l'on peut être appelé à prendre, il y a lieu de distinguer , parmi les troubles de motilité dits fonctionne
'accompagnent des signes objectifs sui- vants qui permettent de les distinguer des accidents nerveux de la pre- mière catégori
e en extension. Cette forme qui, d'ailleurs sauf cette attitude, se distingue radicalement du tabes dorsal spasmodique de Cha
4 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
856, au concours ouvert par l'Académie des sciences, qui a bien voulu distinguer honorablement mon travail. J'avais déjà consigné
ement à ces deux époques de la vie. Le système nerveux de l'enfant se distingue par un développement proportionnel beaucoup plus
ndent à ces diverses altérations, afin que l'on puisse parvenir à les distinguer pendant la vie. En attendant, nous les confondron
s effets ordinaires de cette forme de la maladie. Je me résume : on distingue dans la production des lésions ana-tomiques deux
e. Sur cette autre, nous voyons plusieurs pointes. On peut, en effet, distinguer deux cas au point de vue de cette disposition exc
'où l'obscurité très-grande du diagnostic. Avec de l'attention , on distingue une déformation dépendant du mal vertébral d'un s
ignalées dans l'anatomie pathologique. Voici un mal cervical; on en distingue deux espèces : Io le mal qui frappe les cinq dern
—Il y a deux espèces de gibbosités, deux classes de bossus qu'il faut distinguer à tout jamais. Les différences qui séparent ces d
ifs. Sur le vivant, dans la rue, à travers les vêtements, vous pouvez distinguer ces deux genres de bosses. Mais le diagnostic dif
d'une complication, d'un abcès placé dans un côté. % ^Nous pouvons distinguer ces cas. Je mets en regard ces deux moules, qui s
lonnes, laquelle présente une courbure principale à convexité droite, distinguer une deuxième courbure supérieure à convexité gauc
lieu, de reconnaître la nature de l'altération. Si nous savions bien distinguer chaque lésion qui peut provoquer la destruction d
perficielle ; ils peuvent être dus à l'affection tuberculeuse. On les distingue , en général, à l'intensité des symptômes, lesquel
nt la portion lombaire de l'épine ou la région dorsale inférieure. Je distingue trois degrés dans ces abcès. 1" Degré. — La col
erment. 2° Dans le second cas, l'abcès est plus profond ; la vue ne distingue pas bien la tumeur, la fluctuation est obscure; o
ir l'objet d'études sérieuses. IL Degrés de la paralysie. — On peut distinguer trois degrés dans la paralysie produite par le ma
que. Paris, 1855. On peut enfin rencontrer de grandes difficultés à distinguer la compression de la moelle par le mal vertébral
. § 1er. Anatomie pathologique. L'anatomie pathologique permet de distinguer deux maladies sous-occipitales, ainsi que je l'ai
ceux que produit le mal des autres régions, des affaissements, qui se distinguent toutefois en ce qu'ils peuvent s'effectuer en dif
ne expression moins vulgaire, adopteront celle d'ohstipité. Il faut distinguer le torticolis en une foule d'espèces; je le divis
variétés sont quelquefois réunies chez le même sujet. Il s'agit de distinguer ces différents cas. J'ai insisté précédemment sur
iaux que présentait la maladie d'un enfant; ils vont nous servir pour distinguer l'affection osseuse du torticolis musculaire cont
scles profonds ; c'est alors le toucher plus que la vue qui permet de distinguer ce cas. La douleur est un phénomène commun aux de
ent réunies chez le même sujet, et qu'il n'existe pas de moyen de les distinguer toujours sûrement. I. Traitement de la synovite
ations coxo-fémorales par rapport à l'étendue du déplacement, on peut distinguer trois cas : a. Il peut arriver que la tête du f
ines iliaques antéro-supérieures, comme dans la pseudarthrose. Ce qui distingue ces cas, ce sont les faits relatifs à la tête fém
si elle est coxalgique, congénitale ; je ne m'arrête qu'à un point : distinguer la luxation congeniale des luxations traumatique
un cotyle de dimensions énormes. Ces faits sont rares; il faudra les distinguer des autres cas de luxations fémorales. Il faut ég
on voit une luxation sus-cotyloïdienne. Pendant la vie, on ne pouvait distinguer la tête du fémur. Comment reconnaître que cette t
) Dans toutes les maladies chroniques des os ou des articulations, je distingue deux phases successives, la période douloureuse d
Le strabisme fixe pourrait être confondu avec la paralysie : il s'en distingue en ce qu'il s'accompagne encore de quelques mouve
deur, mais non ceux d'un texte ordinaire ; l'œil droit, au contraire, distingue bien les lettres de toutes les dimensions. L'abdu
Un cas qui présente de l'analogie avec le précédent, bien qu'il s'en distingue sous un rapport, nous est offert par cette jeune
nfiler une aiguille. La vision est très-faible de l'œil gauche, qui distingue à peine de gros caractères d'imprimerie et nullem
laire de ce côté est sain. L'œil droit, affecté de staphylôme ancien, distingue seulement la clarté des ténèbres. Le strabisme au
e taies. L'œil droit n'aperçoit qu'une ligne noire là où l'œil gauche distingue nettement des caractères d'imprimerie. Dans le
érencient du strabisme. Ces caractères ne suffisent pas toujours pour distinguer d'une véritable paralysie primitive la faiblesse
anomalie de conformation, c'est un véritable valgus. Il importe de distinguer dans la pratique les pieds plats qui tendent à s'
bots à quatre groupes ; commençons par les varus. A. Varus. — On en distingue quatre variétés : Io Le varus direct, simple ad
et J. B. Lé veillé, Paris, 1804, in-8". veut; mais alors il faudra distinguer deux sortes de rétractions : la simple contractio
le pied équin commun. L'identité est telle, dans les deux cas, qu'on distingue à peine les squelettes de ces deux espèces de pie
ble des symptômes, et en observant la marche de ces affections, qu'on distinguera leur effet local du vrai pied bot. Même quand l
ertains accès d'éclampsie. Il faut, dans tous ces cas, s'attacher à distinguer la contraction de la rétraction. On déterminera
é du sujet; l'indocilité est une conséquence de la douleur. On peut distinguer trois âges, eu égard aux difficultés que je signa
lement de ces extrémités s'efface plus tard, et on ne peut plus les distinguer . Cependant, à l'examen d'une coupe comprenant le
r ici autre chose que des difformités rachitiques. États qu'il faut distinguer du rachitisme. — Nous devons, en effet, limiter n
at particulier avec d'autres atteints de fractures réelles, pour bien distinguer ces deux cas. La consolidation des fractures ch
Glisson, divers auteurs ont modifié cet ordre de fréquence. Il faut distinguer , à cet égard, les trois altérations rachitiques p
ais, dans ces modifications qu'éprouve le système musculaire, il faut distinguer les muscles profonds et les superficiels. Les pre
e. Diagnostic différentiel. — Cet ensemble de symptômes suffit pour distinguer le rachitisme des autres cachexies de l'enfance,
n manifeste du liquide inlra-crânien, il n'est pas toujours facile de distinguer cette maladie du rachitisme céphalique. MM. Ril
mpression, dans l'hydrocéphalie, peuvent éclairer le diagnostic. On distingue la déviation essentielle du rachis de celle qui e
épaisseur en avant, et il s'établit une courbure par déformation. On distingue le premier cas du second à ce que la flexion disp
faissée et aplatie (1). » Mais on voit par ce passage même que Galien distinguait la gibbositè de l'épaule saillante et volumineuse
, c'est la courbure latérale normale permanente du rachis, qu'il faut distinguer , vous le savez, de la flexion latérale fonctionne
es, à moins qu'ils n'offrent quelques traces de rachitisme. Il faut distinguer deux degrés dans cette disposition anatomique : 1
sujets. Celles-ci sont un effet de la déviation, et il importe de les distinguer des simples flexions habituelles qui ne sont pas
es deux courbures qui les produisent ; c'est là un des caractères qui distinguent celte période de la suivante. Les déformations
s, la courbure cervico-dorsale principale, la troisième période ne se distingue de la deuxième que par le degré de la difformité,
n diagnostic différentiel. a. Ce qu'il importe, en premier lieu, de distinguer de la vraie scoliose, ce sont les autres vices de
vicieuse, en grande partie volontaire, passée à l'état d'habitude. On distingue de la même manière les cas où des attitudes analo
es dont ce fait a été l'occasion (1), il n'est pas toujours facile de distinguer si une attitude pareille est purement volontaire,
s régions dorsale et lombaire. Cette disposition, lorsqu'elle existe, distingue suffisamment la scoliose de tous les autres états
qui a souvent fait croire à des guérisons spontanées, c'est qu'on ne distingue pas toujours avec assez de soin les simples flexi
plutôt la cyphose que la scoliose; mais vous savez que les anciens ne distinguaient pas clairement ces deux formes. A. Paré a repro
Ancienneté de la maladie..................... ib. Etats qu'il faut distinguer du rachitisme.............. 269 § Ier. —¦ Anato
5 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
une substance claire-jaunâtre. Au centre des petits îlots rouges, on distingue un tout petit point plus rouge, répondant à la ve
rvu d'un nucléole. 11 y a souvent deux noyaux. Certains foies même se distinguent par la prédomi-nance des cellules à deux noyaux (
er à vous exposer les caractères ana-tomiques les plus importants qui distinguent , dans les con-ditions normales, les cellules hépa
. Il y a souvent deux troncs artériels pour un seul tronc veineux. On distingue trois ordres de rameaux ar-tériels : a) Les capsu
nérale de ces canaux. De même que pour la veine porte, il convient de distinguer : a) les branches principales qui se forment suiva
ale, les cas où ces voies renferment un liquide séro-muqueux pour les distinguer de ceux où, au contraire, elles renferment de la
recherchons maintenant en quoi la fiè-vre intermittente hépatique se distingue de toutes les autres. J'invoquerai ici les déta
ans la vésicule, comme dans les autres points des voies biliaires, on distingue les calculs proprement Charot. Œuvres complètes
tre de la couche formée par les aiguilles rayonnantes, il convient de distinguer dans les calculs com-posés et qui sont, en somme,
ous forme de saillies mamelonnées. Quand il y a une écorce, elle se distingue presque toujours très nettement de la zone moyenn
de dire un mot de la structure des parois de la vésicule du fiel. On distingue dans ces pa-rois deux tuniques : l'une à la fois
ant plus accentuée d'habitude sur cer-tains points. C'est ainsi qu'on distingue un point cystique, indiqué par Flemming, et qui o
biliaire. — Calculs bi-liaires intra-hépa'iques ; caractères qui les distinguent des calculs de la vési-cule biliaire. Symptômes
t la structure radiée, les couches concentriques, ni les facettes qui distinguent les calculs nés dans la vésicule. L'existence d
per particu-lièrement, de résumer devant vous les traits généraux qui distinguent ce genre d'inflammation. 1° Tout d'abord, ce qu
rencontrent pas dans la cirrhose de Laennec. CUniquement, elle s'en distingue : 1° par la présence habituelle, constante peut-êt
Ictère. — Hypertrophie du foie ou hépato-mégalie; —carac-tères qui la distinguent de la tumeur hépatique amyloïde et de l'hypermé-g
» Nous allons voir d'ailleurs que les particularités anatomiques qui distinguent la cirrhose hyper-trophique, comparée à la cirrho
palpation attentive, permettrait d'ailleurs déjà, à vo-lume égal, de distinguer les diverses altérations du foie capa-bles de pro
ment du l'oie gras. L'hypermégalie de la cirrhose hyper/rophique se distingue d'ailleurs de Vhypermégalie consécutive à l'oblit
le qu'elle deviendra plus commune, à mesure que les caractères qui la distinguent auront été vulgarisés. Mais, pour ce qui est de l
r l'exposé des caractères anatomo-pathologiques, ma-croscopiques, qui distinguent la cirrhose atrophique. Une propension, à propr
e relevés et qui contrastent d'une façon si remarquable avec ceux qui distinguent la cir-rhose vulgaire, ne sont pas l'apanage excl
'aplatissement. Toutefois, avec un peu plus d'attention, on finit par distinguer dans quelques-uns des lobules qui forment les gra
embrane sans structure apparente, à la surface interne de laquelle on distingue , sur-tout après les imprégnations d'argent, une c
présentent les vaisseaux sanguins ; de fait, il est fort difficile de distinguer un tube descendant de Henle, coupé en travers de
ique reconnaît dans le rein. L'anatomie descriptive, vous le savez, distingue dans le rein deux régions principales : l'une, la
ne papillaire ; 2° la zone-limitante ou intermédiaire. La première se distingue par une coloration généralement claire, la second
ement chronique du rein, surtout la néphrite interstitielle — Il faut distinguer de ces cylindres granuleux les cylindres granulo-
dans un aperçu sommaire, les caractères anatomiques et cliniques qui distinguent ces espèces dont je vous présenterai plus tard un
hypertrophie. En somme, il serait assez difficile, à cette époque, de distinguer la néphrite interstitielle de la néphrite parench
llules remplissent la lumière des conduits, ceux-ci sont difficiles à distinguer , sur les coupes du tissu embryonnaire qui les ent
ainsi que cela se voit sur une planche de MM. Corni! et Ramier, on distingue des cylindres cireux au milieu de la matière coll
se produire une colo-ration jaune générale, au millieu de laquelle on distingue des stries ou quelquefois des plaques, suivant qu
res-santes. Sur celles qui son! faites au voisinage de la papille, on distingue : des canaux collecteurs dont les parois sont épa
es kystes ; en tout cas, la réaction par l'iode permettra toujours de distinguer ce rein amyloïde atrophié, du rein contracté de l
s présents à l'esprit, je me con-tenterai de vous rappeler que ce qui distingue particulière-ment ce produit, comparé au produits
le, toutes les albumines qu'on rencontre dans le sang et qu'on sait y distinguer se retrouvent avec les mêmes caractères dans les
é à établir un parallèle entre les diverses espèces d'albumines qu'on distingue dans le sérum du sang et celles qu'on trouve dans
serve les caractères physico-chimiques qui lui sont propres et qui la distinguent de l'albumine serine. Et bien ! il y a lieu de re
dissout par un excès d'acide. L'hémoglobine, d'après ce caractère, se distingue déjà de l'albumine vulgaire. Ajoutons que l'analy
ans la dernière leçon, fait ressortir quelques-uns des caractères qui distinguent ces deux ordres de faits. I. Actuellement, no
e, après avoir été précipitée, mais il croyait que cette propriété la distinguait de l'albumine du sang ou sérum. Bien au contraire
al. Voici ce qu'il faut enten-dre par là. L'albumine de l'œuf, qui se distingue chimique-ment de la serine, s'en distingue aussi
'albumine de l'œuf, qui se distingue chimique-ment de la serine, s'en distingue aussi par la propriété qu'elle a de traverser le
imiquement comme l'al-bumine inassimilable du blanc d'œuf. Eile ne se distingue au contraire de la serine du sang normal par aucu
ication du même genre ne font certes pas défaut non plus. Il faudra distinguer , dans l'exposé qui va suivre, les cas où le troub
les du même coup et au même degré. Il y a lieu, à ce point de vue, de distinguer dans un rein atteint de cette sorte de néphrite :
biliaire. — Calculs bi-liaires intra-hépatiques ; caractères qui les distinguent des calculs de la vési-cule biliaire. Symptômes
ctère. — Hypertrophie du foie ou hépato-mégalie; — carac-tères qui la distinguent de la tumeur hépatique amyloïde et de l'hypermé-g
6 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
inférieurs jusqu'à l'homme, en passant, par le singe. Il y a lieu de distinguer , d'ailleurs, parmi les circonvolu-tions les plis
s complètement ce sillon. Le lobe pariétal et le lobe sphénoïdal se distinguent moins exactement chez le singe et, pour établir l
ge, le lobe occipital des lobes pariétal et sphenoidal. Vous pouvez distinguer aisément enarrière du sillon de Ro-lando, entre c
u, la circonvolution delà corne d'Am-mon, celle deTinsula de Reil, se distinguent , quant à l'aspect, de l'écorce grise des circonvo
de la cellule. On les appelle pro-longements du protoplasma, pour les distinguer d'une autre espèce de prolongement dont je vais m
entant le type le plus vulgaire, le plus répandu, c'est celui où l'on distingue , sur des coupes minces, examinées au microscope,
peut présenter la substance grise. A ce point de vue, il y a lieu de distinguer , d'après lui, à la surface des hémisphères, deux
ste, je le répète, tout un département où la structure de l'écorce se distingue par un détail intéressant. 11 s'agit de la présen
nces de M. Ferrier lui-même et par celles, antérieures, de Hitzig, se distingueraient , d'après M. Betz, par la présence des cellules py
rne entre le lobe occipital et le lobe sphénoïdal. Là, il convient de distinguer surtout deux circonvolutions dirigées dans le sen
pil-laires, suivant la nomenclature de M. Ch. Robin. Ce caractère les distingue des vaisseaux des ganglions centraux qui s'en-fon
ble d'une circonvolution faites per-pendiculairement à la surface, on distingue d'abord,à la péri-phérie, la substance grise qui
e. Comment, sur de pareilles coupes, se comportent lès artères ? On y distingue aisément deux sortes d'artères nour-ricières, ain
le d'un ovoïde avec une extrémité antérieure, l'autre postérieure. On distingue , dans sa compo-sition, deux parties : ^a) Le tier
nt le nom de faisceaux rayonnants (Stab-kranzbùnclel). Il y a lieu de distinguer : 1° les faisceaux rayonnants des corps striés; 2°
tères cli-niques spéciaux, a) Ainsi, on est dans l'impossibilité de distinguer , pendant la vie, une lésion limitée au noyau le
Celle, forme d'hémiplégie cérébrale peut être dite cen-trale, pour la distinguer des paralysies motrices qui résultent quelquefois
les troubles de la sensibilité, se présentant avec les caractères qui distinguent V hémianesthésie cérébrale, s'y adjoignent parfoi
sent dans ce tractusune perte de substance irréparable. Il importe de distinguer ce cas de celui où la capsule interne serait inté
ar le système des fibres ner-veuses, mises à nu parla préparation, on distingue un faisceau en quelque sorte détaché de l'ensembl
s ai proposé de qualifier du nom à'hémianesthésie cé-rébrale, pour la distinguer de toutes les autres formes d'ob-nubilation ou de
bandelettes et les nerfs optiques, il y avait, comme il a été dit, à distinguer ceux qui s'entrecroisent dans le chiasma et ceux
s (1) D'après la théorie, les hémianesthésics cérébrales devront se distinguer de celles qui résulteraient d'une lésion de la pr
stance grise et un manteau médullaire. Dans la subs-tance grise, vous distinguez : 1° les cornes antérieures avec les cellules dit
lage de tubes nerveux à direction presque partout longitudinale, on y distingue deux régions : 1° les faisceaux antéro-latéraux,
rmer un réseau au milieu duquel il est au moins fort difficile de les distinguer . Il n'en est plus de même dans les pédoncules c
acines les nerfs moteurs oculaires com-muns. En avant de ce point, on distingue les prolongements des faisceaux antérieurs spinau
dans la moelle et le bulbe du nouveau-né les faisceaux pyramidaux se distinguaient des parties voisines en raison même de l'état rud
au milieu des fibres transver-sales propres à la région. Cependant on distingue encore assez facilement les faisceaux secondaires
orce grise de l'hé-misphère sur laquelle j'appelle votre attention se distingue de toutes les autres, non seulement par sa config
s cas de dégénération descendante où ces fibres sont altérées, de les distinguer au milieu des fibres restées saines de la ré-gion
dégénération secondaire des deux faisceaux de Goll ; et au-dessous on distingue , dans l'aire du cordon antéro-latéral, le triangl
ce genre), bien que faite sur le modèle delà moelle de l'homme, s'en distingue cependant par quelques particularités anatomiques
cité et de mouvements volontaires. 2° Il serait également facile de distinguer la contracture per-manente des hémiplégies des co
logique de ce phénomène. -- A la suite de la lésion cérébrale il faut distinguer deux périodes dans le développement de la lésion
et, à son défaut, l'exagération des réflexes musculaires et tendineux distinguent , cliniquement, d'après mes observations, cette fo
tive ou inflammatoire. On a pro-posé, dans ces derniers temps, de les distinguer par une déno-mination qui tend à indiquer, du mêm
la clinique avec un certain nombre de traits com-muns et propres aies distinguer de toutes les affections spinales occupant dans l
iculier par des réactions électriques spéciales. C'est là un fait qui distingue du premier coup ces paralysies de celles qui résu
ès ce qui reste des masses musculaires du bras et de l'avant-bras, on distingue , en certains points, un frémissement cutané corre
ogique de ce phénomène. -- A la suite de la lésion cérébrale, il faut distinguer deux périodes dans le développement de la lésion
7 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
à l'émergence des pédoncules cérébraux. Sur la surface de section, on distingue , en avant, deux croissants foncés, pigmentés (LN)
is la paroi du ventricule jusqu'à l'écorce grise. 11 y a donc lieu de distinguer , d'une façon très générale, Vécorce et le centre
ent séparée. En effet, si ces deux parties blanches sont difficiles à distinguer l'une de l'autre, en raison de l'identité de leur
avant surtout, les deux lèvres sont encore assez écartées pour qu'on distingue entre elles un mamelon (PI), qui représente le ce
enre (schéma 49). En dedans (c'est-à-dire à droite sur le schéma), on distingue deux gros noyaux, proémiiiant dans les cavités ve
dessous de l'opercule du fond de Sylvius (OS), à la surface duquel on distingue toujours un, deux, ou trois petites incisures sup
ée l'incisure du cap (ica). De cette division résulte la nécessité de distinguer dans la région du cap deux segments, parfaitement
circonvolution (GR) va de l'extrémité antérieure du cerveau, où l'on distingue le sillon rostral {SB), jusqu'au voisinage du chi
on pied, se continue directement avec l'opercule frontal (OP) où l'on distingue l'incisure frontale de Sylvius (if), ou incisure
le plan vertico-transversal. Mais au milieu de ces fibres blanches on distingue un gros faisceau (FS), représenté par une surface
constater sur les coupes plus antérieures. La lame festonnée (LFE) se distingue toujours nettement au fond de la scissure calcari
oblique en avant et en dedans : ses fibres sont moins foncées. On ne distingue ici en efl'et qu'une lame demi-circulaire, représ
s-unes de ses fibres n'ont pas encore pris cette direction, et on les distingue sous la forme d'une strie foncée, antéro-postérie
veau de l'angle supéro-interne du ventricule, il est difficile de les distinguer l'un de l'autre; et lorsque la cavité ventriculai
pas encore dans la région plus antérieure que nous examinons. On les distingue cependant (voy. fig. 14, 15 et suiv), à l'angle i
irrterne, se présente sous l'aspect d'un faisceau aplati, dout ou ne distingue qu'une partie très faible, confondue avec ce qui
sur cette coupe, où ses fibres sont parallèles au plan de section, se distingue facilement sur les figures suivantes (14, 15, 16)
e externe du faisceau sensitif (FS). Devenues verticales, elles ne se distinguent plus de celles du faisceau occipital vertical (FO
gnaler: A la partie inférieure du pentagone du lobe carré (PEN), on distingue une encoche qui correspond exactement au point où
uit tout le long de ses méandres, accolé à sa surface profonde. On le distingue difficilement sur les coupes verticales de cette
upées perpendiculairement à leur axe, elle ont la teinte foncée qu'on distingue sur les figures 54, 55, 56 de la planche XVI; par
isceaux du centre ovale avec l'écorce. Sur les figures 57 et 42, on distingue au-dessous du corps calleux (ce), sur la ligne mé
ieure de la circonvolution de l'hippocampe (Hip). Sur la figure 58 on distingue encore quelques taches grises correspondant au re
re ; mais il est au bout de son trajet. Plus loin (fig. 47, 48) on ne distingue plus la teinte foncée grâce à laquelle nous pouvi
uc de Sylvius. — Au pourtour de l'aqueduc de Sylvius (Aq, fig. 52) on distingue une masse de substance grise qui tapisse de toute
ous du noyau caudé (NC, fig. 52), dans la lame blanche du tapetum, on distingue encore une petite lame grise, verticale (TAP), qu
tions plus antérieures du noyau caudé (NC). Sur les figures 52, 55 on distingue encore, à sa partie inférieure, la coloration fon
oujours par une couche de substance grise. Et c'est pourquoi on ne le distinguait pas encore sur les coupes Face inférieure de la
— Juste au-dessus des fibres transversales du pont de Varolc (PV) on distingue vers la ligne médiane un tractus foncé (Lem) nett
lution limbique. Dans la quatrième circonvolution temporale, on ne le distingue plus. FCF. Le faisceau compact du fornix, insen
ée au-dessus de l'aqueduc, plus claire et plus diffuse au-dessous, se distingue très bien, à sa partie externe, du faisceau de Re
aisceau du centre ovale (CO, fig. 63). TAP. Le tapetum (fig. 62) se distingue toujours très nettement, grâce à la coloration fo
ouche optique (Th, fig. 62) et plus spécialement du pulvinar, où l'on distingue un faisceau (Rth) situé au-dessus de la bandelett
e pourrait être appelée noyau postérieur du thalamus (NpC). 11 faut distinguer ici le noyau postérieur du thalamus et le pulvina
se termine dans la région interpédonculaire. Ici (fig. 71, 72) on ne distingue que la portion initiale de ce faisceau, c'est-à-d
e est complètement enveloppé de substance lilanche, permet donc de le distinguer très facilement de la couche On r(3inarqi]cra s
e intégrante du faisceau de la calotte. Elles sont assez difficiles à distinguer du faisceau de la commissure, puisqu'elles ont la
fait des coupes vcrtico-transversales en série, on arrive toujours à distinguer , comme sur la coupe 77, un dédoublement de la bas
veau, de fibres courtes. Sur la coupe 79, il n'est pas possible de le distinguer de la bandelette sous-optique (BSO) dont la direc
rtes du faisceau longitudinal postérieur (FLP). Sur la coupe 90, on distingue , en dehors du trajet déjà décrit du faisceau long
dans la striation transversale qu'on reconnaît à ce niveau, il y a à distinguer deux ordres de fibres. Les stries blanches appart
séparées par la capsule externe (CE). Mais il ne faut pas, pour cela, distinguer le faisceau parallèle et la capsule externe et le
du cul-de-sac du sillon de l'hippocampe {RAII}. Sur la coupe 94 on distingue encore, entre la corne d'Ammon (représentée par l
es et sur les coupes horizontales. Il est encore assez difficile de distinguer ici le putamen des fibres Vue scliéniatique du
ntent d'anastomoses. A l'angle inférieur . et externe du putamen on distingue une petite tache foncée, allongée verticalennmt,
XXV). FSe. Le faisceau sensitif externe (fig. 99, 100, 101, 102) se distingue maintenant aussi nettement que possible du putame
fig. 108). GLM. Le globus medialis (fig. 108). Ces deux noyaux se distinguent maintenant très aisément, grâce à la formation pl
la capsule interne. Mais le faisceau capsulaire (MF) est celui qui se distingue le plus nettement des autres par le fait qu'il tr
au-dessous d'elle, est un faisceau bien compact, au milieu duquel on distingue des stries blanches verticales. Ces stries conver
) avant de plonger dans sa profondeur. Sur les coupes 105, 106, on ne distingue pas encore ces fibres; les coupes en question pas
nt qu'a lieu sa dissociation (fig. 104, CA), il est très difficile de distinguer ses fibres de celles de la racine inférieure du t
parlé à plusieurs reprises. FVA. Le faisceau de Vicq-d'Azyr, qu'on distingue dans tout son développement vertical sur la coupe
fet, a disparu dans le lobe occipital, et le faisceau pyramidal qu'on distinguait encore sur la coupe 107 de la planche précédente
), mêlée en partie avec le faisceau d'Arnold (Ail) dont on ne peut la distinguer que par la différence de direction de ses fibres,
nfondu en arrière avec la substance grise de la lame terminale; on le distingue difficilement sur les coupes verticales ; il est
atement en avant et au-dessus du chiasma optique (fig. 128). On ne le distingue pas encore sur la coupe 127 ; on ne le distingue
(fig. 128). On ne le distingue pas encore sur la coupe 127 ; on ne le distingue plus sur la coupe 129. Il est comme perdu dans la
cloison, ou, plus improprement encore le cinquième ventricule. On ne distingue donc sur les coupes vcrtico-transversales que la
tendent à devenir plus transversales. Enfin, sur la figure 138, on ne distingue plus sa véritable direction, la région frontale d
'est déjà presque plus la corne d'Ammon, puisque sur la coupe 9 on ne distingue plus que des vestiges de substance grise accolée
erne (LMl). Sur les coupes plus supérieures (fig. 11) il n'y a plus à distinguer de noyaux. Le thalamus (Th) est constitué par une
xe (FRF). Enfin, juste en avant de la commissure postérieure (CP), on distingue l'amas de substance grise du ganglion de l'habénu
é. Cependant l'incision, traversant une région un peu plus élevée, on distingue , au fond de la vallée de Sylvius, le gyrus falcif
8 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
rée avec tous les caractères anatomiques et symptomatologiques qui la distinguent , en Algérie (Haspel, Maladies de l'Algérie, t. II
Anglais, nous verrons bientôt à l'aide de quels caractères on peut le distinguer de notre dothiénentérie. — Les affections qui peu
e célè-bre observateur avait fait remarquer que la fièvre typhoïde se distingue des autres maladies par une « modification profon
une noso-graphie assez, complète du laryngo-typhus. Il faut d'abord y distinguer deux formes principales : la forme ulcéreuse et l
symptômes et des lésions, comme on peut le faire, lorsqu'il s'agit de distinguer la variole des autres fièvres éruptives. Ce sont,
même qu'elle conduirait sûre-ment, ce qui n'est pas touioursle cas, à distinguer le typhus fever delà fièvre typhoïde, ne suffirai
cts, à titre d'espèces ou de variétés de ce genre. Les caractères qui distinguent ces affections suffiront toujours pour motiver un
runtée surtout à ceux des médecins anglais qui se sont efforcés de le distinguer nettement de la fièvre typhoïde, et d'en faire un
(Jenner). — Quoi qu'il en soit, on voit qu'il est assez difficile de distinguer les taches du typhus fever, lorsqu'elles n'ont pa
s de la Grande-Bretagne, il est parfois matérielle-ment impossible de distinguer le typhus fever de la fièvre typhoïde. PRONOSTI
histoire générale des typhus (1567). L'appareil symptomati-que qui le distingue se retrouve en entier dans les descriptions quele
nt observée et décrite par le docteur Jenner, qui s'est efforcé de la distinguer du typhus fève)' et de la fièvre typhoïde, avec l
tologie et diagnostic. — Dans la scolie de l'observation XI, Forestus distingue nettement deux formes de peste. Dans l'une de ces
r comment quelques auteurs du XVIe et du XVIIe siè-cle, cherchaient à distinguer la peste des fièvres malignes et pétéchiales pest
l'escharre s'élimine et la cicatrisation s'opère. Il faut d'ailleurs distinguer deux es-pèces de charbon pestilentiel, comme on d
d'ailleurs distinguer deux es-pèces de charbon pestilentiel, comme on distingue aussi deux espèces de pustule maligne : tantôt, e
i ont manié leurs dépouil-les. On parviendrait, de la môme manière, à distinguer la pus-tule maligne des cas où la peste se tradui
ée sous le nom de typhus amaril, par Rochoux, qui s'est efforcé de la distinguer de la fièvre jaune des Antilles. Elle n'en diffèr
partout où règne la fièvre jaune dont il est souvent difficile de les distinguer . Elles ont en effet avec cette dernière maladie d
nt observée et décrite par le docteur Jenner, qui s'est efforcé de la distinguer du typhus fever et de la fièvre typhoïde. (Voyez
greneuse du sacrum et de quelques points de la cuisse. Il faut donc distinguer les effets de l'irritation de la moelle épi-nière
simple cessation d'action de ces parties; en d'autres termes, il faut distinguer les effets de Yaclion morbide, de ceux de Yabsenc
able, d'une décoloration notable du tégument externe avec la canitie, distinguent notablement ce dernier exemple à la fois de ceux
ée. Lorsqu'ils ont été incisés, on y constate tous les caractères qui distinguent l'altération de Bright (,3e degré). — Les capsule
é pins tardive qui, souvent même, ne se montre jamais. Mais quant à distinguer parmi les kystes ceux qui sont hydatiques, séreux
us ne savons pas trop si la ponction exploratrice serait apte à faire distinguer les kystes hydatiques; ce n'est en effet qu'accid
, une coloration rouge très intense, tout à fait analogue à celle qui distingue les cristaux d'hé-matoïdine. — 4° Dans quelques-u
sence de ventouses et de crochets. Ces végétations des hydatides se distinguent des scolex de ténia par d'autres caractères encor
re presque toujours des circonstances plus ou moins saillantes qui le distinguent des faits précédents et lui donnent un certain in
de l'ombilic par un bord convexe. Jamais la palpation n'a permis de distinguer l'existence d'une tumeur dure dans l'abdomen. M
dans la cavité du péri-toine auraient dû présenter les caractères qui distinguent les épanchements sanguins datant de plus de quinz
, étant bien déterminées, il ne devrait plus y avoir de prétexte pour distinguer deux sortes de médecines, l'une agissante et l'au
iser un mouvement critique. Il faut, dans ces cas-là, chercher à bien distinguer ce qui appartient à la nature et ce qui appartien
maladies chroniques primitives ou primitivement chroniques, pour les distinguer de celles qui ne deviennent chroniques qu'après a
il n'y a, disait Galien, qu'un habile herboriste qui puisse alors les distinguer l. » Cette obscurité, qui couvre le diagnostic au
s grande. La vue elle-même a subi un amendement favorable ; la malade distingue bien la place des fenêtres, elle voit la lumière
entrevoit de mieux en mieux l'ombre des personnes qui l'entourent et distingue le blanc du noir. Chez la malade dont nous veno
il n'existe malheureusement aucun caractère clinique qui permette de distinguer les cas favorables à l'emploi des sels d'argent,
leue de la peau. Il serait donc de la plus haute importance de savoir distinguer les cas favorables à cette médication de ceux qui
. Existe-t-il des caractères cliniques, à l'aide desquels on puisse distinguer les cas qui se prêtent à l'intervention médi-cale
9 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
classification anatomique des symptômes, et, avant tout, de pouvoir distinguer les troubles d'origine radiculaire et ceux d'or
intures et par une marche différente. La spondylose rhizomélique se distingue non moins nettement des autres formes d'ankylos
tager cette opinion. En somme il n'y arien dans cette étiologie qui distingue la spondylose rhizomélique de toutes les formes
BROUAIIDEL et Gilbert, 2e édit., 190. xix ' 3 34 MARIE ET Llhn distinguer cliniquement de la maladie décrite par P. Marie q
se d'anormal. Après avoir mentionné que notre malade sait très bien distinguer le goût du doux, du salé et de l'aigre, mais pa
te altération clinique de la figure et du crâne manquent. Mais nous distinguons dans la clinique des cas typiques et atypiques
· FAISCEAUX LONGITUDINAL INTÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL 107 ceau se distingue toutefois de la couche des radiations thalamiques
insiste à plu- sieurs reprises sur la grande difficulté qu'il y a à distinguer les fibres du faisceau de Turck de celles du fa
oma]). La seconde époque de la floraison de la sculpture grecque se distingue par une représentation plus réaliste du sujet,
chez ce sujet des caractères suffi- samment particuliers pour même distinguer son affection de la scoliose banale des jeunes
ra- tiquées dans leur épaisseur ont une coloration blanchâtre, on y distingue des traînées fibreuses ; elles ne laissent écou
mporale profonde. Comme sur la coupe précédente il est difficile de distinguer entre couche externe et couche interne ; le tapet
ituent dans leur ensemble un véritable contingent d'associa- tion à distinguer du contingent purement commissural, du corps call
de Türck, prennent une coloration nettement plus faible ; elles se distinguent par leur teinte plutôt grise ou brune. Enfin ce
ination et pénètrent dans la moelle ; il est en effet impossible de distinguer avec certitude les fibres régénérées des fibres
i se rapproche de celui d'un cylindraxe normal et on ne peut les en distinguer que lorsqu'elles se terminent par une massue (P
que cette régénération possède des caractères très spéciaux, qui la distinguent de la forme actuellement classique et qui en fo
née dans les différentes circonvo- lutions. Parois de l'abcès. On distingue dans la paroi de l'abcès 3 zones : une externe,
st formée des éléments précédents, en voie de désintégration ; on y distingue des débris de plasmazellen, et il semble que le
ogliques, qui se présentent sous des aspects divers assez faciles à distinguer , paraissent être toutes en régression. Nulle part
difformité que représentent les photographies. 11 y a donc lieu de distinguer de la maladie de Reckl inghausen une mala- die
e est presque constant dans les tableaux de Téniers. A droite, on distingue dans la pénombre la porte entr'ouverte de l'ap-
nt d'une branche perforante du nerf intercostal du côté opéré. On y distingue en nombre à peu près égal, de ce côté, comme du c
ortante dans d'autres. Histologiquement, cette dégénérescence ne se distingue en rien de la dégéné- rescence wallérienne. Le
nous voyons que l'accord est facile à établir entre elles. Rien ne distingue les lésions vues par nous au 250e jour de celles
total sur toutes les préparations, qu'une seule fibre dégénérée. On distinguait par contre sur plusieurs prépara- tions d'assez
eprésente une coupe trans- sale du cordon gauche (côté opéré). On y distingue nettement une zone en tra- pèze, occupant par s
ue toutes terminées. Il est, d'autre part, extrêmement difficile de distinguer dans le sympathique les gai- nes vides des fibr
ionnaires sont normales de nombre, de dimension et de structure. On distingue les fibres des racines postéiieures, partiellemen
maux étant abattus au bout de 8, 12, 30 et 40 jours, on ne pouvait distinguer (1) Il existait dans les rami-communicantes, à
à peu près jusqu'à son milieu. Sur la figure 3 (planche 1LVI11),ou distingue bien ces gaines avec leurs (1) t4twRINfiSCO, Se
t survécu que quinze jours après la section des racines sacrées, on distinguait au milieu d'un grand nombre de fibres saines un c
de fibres fines serrées, et d'aspect tout à fait normal. On ne les distinguait pas sur les coupes des racines du chat I, mais co
r- sales postérieures du même côté dans leur trajet extradural). On distingue de nom- breuses fibres fines et quelques fibres
des coupes, car il est extrêmement difficile dans les dernières de distinguer les fibres restées intactes au milieu des débri
t, par contre, cha- cun 2 à 3 fibres de différents calibres, qui se distinguent ici bien plus facilement qu'on ne pouvait le fa
es de myéline pro- venant des gaines complètement dégénérées. On ne distingue aucune fibre restée in- demne (fixation sublimé
nes à myéline, vraisemblablement régénérées au milieu desquelles on distingue encore quelques boules de myéline (même techni-
ans la même proportion que dans les filets symé- triques droits. On distingue un certain nombre de fibres dégénérées, quelques-
ortion de la coupe longitudi- nale du ler ganglion sacré gauche. On distingue à la droite de la figure, les fibres noires, ré
en majorité saines, mais entremêlées de fibres dégénérées que l'on distingue plus aisément sur la figure 3 de la même plan-
nnaire de ces mêmes racines. Au milieu de ces fibres régénérées, on distinguait un certain nombre de fibres légèrement plus gross
ro-carmin,et coupés dans le sens transversal. Sur les coupes, on ne distingue aucune sorte d'altération cellulaire spéciale a
glionnaire de ces filets, au milieu de nombreuses fibres saines, on distingue un nombre appréciable de fibres en voie de dégéné
clérose diffuse. « Au point de vue clinique, cette forme morbide se distingue également par quelques caractères ; elle survie
ncore derniè- rement discutée par Edouard Muller. Dans son livre il distingue une sclé- rose en plaques d'origine endogène (s
uité auditive est un peu affaiblie. La vision est peu nette ; il ne distingue pas les traits des gens à moins qu'ils ne soien
let de systématisation des désordres du langage musical. Cet auteur distingue six formes cliniques : 1° L'amusie motrice (o
IEROS ¡A 11l'ùsie sensorielle véritable (le Réceptive ou sujet ne distingue pas les sons). sensorielle. Alexie musicale (il
a soudure des côtes » (P. Marie). Cette maladie osseuse de Paget se distingue facilement de l'acromégalie ; elle frappe les o
ile. Pas de troubles intellectuels. Troubles de la vision à droite. Distingue à peine les objets. Pas de troubles de la motil
t ainsi une sorte d'appareil spiral entre les spires duquel on peut distinguer parfois des noyaux oblongs. De plus, on rencont
les que nous ve- nons de décrire dans les racines postérieures ; on distingue aussi quelques fibres qui se couvrent de myélin
xtrémités, la débilité intellectuelle existant chez notre malade la distinguent suffisamment de ce premier groupe. 1 Lorsque à
est garnie par un groupe assez heu- reusement planté,mais que l'on distingue difficilement sur la reproduction ci-contre. Le
uère mul- tipliés. Ailleurs ce sont des placards dans lesquels on distingue à peine quelques fibres atrophiées. Le plus gra
uns ont une coloration violette intense ; d'autres sont pâles et on distingue à leur intérieur quelques granulations plus foncé
persiste par une ou deux fibres à myéline au centre de laquelle on distingue encore un cylindre-axe. Sur chacune de ces fibr
ymateuses et interstitielles. Parenclî ? J1 ? ! ateuses,eJles ne se distinguent guère^des dégénérescences des nerfs, lorsque ce
s classique ; par contre l'absence de signes génito- urinaires l'en distingue nettement. La névrite interstitielle hypertroph
même temps syphiliti- ques, et on verra combien il est difficile de distinguer chez eux les symp- tômes et les lésions du mal
espondant à l'arête osseuse. Il semble qu'on puisse, au microscope, distinguer deux ordres de lésions : a) Des lésions probabl
tement. Dans nos deux premiers cas de mal de Pott cervical, comment distinguer , parmi les troubles des membres supérieurs, les
re est aux trois quarts constituée par un caillot organisé, où l'on distingue des leucocytes plongés dans une substance rouge
obe semi-lunaire supérieur forme une dégénéres- cence massive. On distingue de plus 5 foyers : . Deux antérieurs, l'un exte
e foyer de dégénérescence intra- ciliaire'a disparu. Plus bas, on distingue encore 3 foyers : l'un antérieur, formé de deux s
10 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
devront plus particulièrement fixer notre attention. Il importe de distinguer , d'ailleurs, ce qu'on pourrait appe-ler l'archite
est parfois marqué par des lignes pig-mentaires. Il y a donc lieu de distinguer sur la base des lobu-les sous-pleuraux, en outre
r, parmi celles-ci, il convient, pour le but que nous poursuivons, de distinguer celles dont le diamètre dé-passe un millimètre, d
toire. Dans les inflammations aiguës des tissus vasculaires, il y a à distinguer , vous ne l'avez pas oublié, deux groupes de phéno
géré l'importance. Quoi qu'il en soit avec cet auteur, il y a lieu de distinguer ce qu'il appelle, à tort ou à raison, Yirritation
orme des petits noyaux d'induration lobulaire qui, à l'état frais, se distinguent , sur une surface de section éclairée par la lumiè
nasto-mosent entre eux, de manière à former un réseau ; mais ils s'en distinguent principalement en ce que leur lumière est compara
liet et Barthez ont donné des caractères excellents qui permettent de distinguer ces deux lésions. Pour la pneumonie lobaire, c'es
escription en règle dans le travail de Legendre et Bailly. On doit Je distinguer de Yatéleclasic que .Jœrg le premier a fait conna
ur celte erreur, car malgré de réelles analo-gies, il est possible de distinguer les deux lésions, même par le simple examen macro
e * Loc. cit., p. 294, elpassim. de vomique, et ils cherchaient à distinguer de toutes les au-tres espèces de phtisie celle qu
à présent, d'indiquer les caractères à l'aide desquels on pourrait la distinguer de la pneumonie chronique proprement dite. Si cep
ient, ce nous semble, pour spécifier l'induration inflammatoire et la distinguer de celle qui ne reconnaîtrait point une pareille
pneumo-nie chronique est une inflammation parenchymateuse. On peut y distinguer deux formes ou plutôt deux degrés: 1° la pneumoni
cette lésion, aussi bien que ses caractères purement anatomiques, la distinguent comme on voit très nettement des diverses formes
tracé les principaux caractères, dans le but de leur opposer ceux qui distinguent l'induration grise, de la pneumonie chronique pro
s cavités ont été désignées sous le nom (ïidcères du poumon, pour les distinguer des abcès de la pneumonie aiguë et des cavernes t
n ; ils l'ont désignée sous le nom de carnisation, et il faut bien la distinguer delà carnifica-tion, laquelle n'est autre chose q
rme aiguë se retrouvent encore sous une forme atténuée ou effacée. On distingue autour des bron-chioles, à un examen attentif, de
s: 1° tantôt ce-sont de fines granulations qu'il serait impossible de distinguer des granulations pigmentaires ; 2° tantôt, au con
lalloïdes réfractant fortement la lumière, faciles, par conséquent, à distinguer des particules de charbon. 2° Quant aux caractè
un tubercule élémentaire, mais d'une agglomération de nodules dont on distingue encore la forme : ce sont autant de cercles conce
un certain nombre de centres de formation. D'ailleurs, il y a lieu de distinguer deux zones : 1° une zone centrale caséeuse, percé
tion caséeuse du tubercule. Encore une fois, il est très important de distinguer la caséification du tubercule de celle qui peut s
t facilement reconnaissable à la présence des tuniques élastiques, se distingue vers la partie centrale du néoplasme tuberculeux,
dense, composé de lamelles fibreuses dans l'intervalle desquelles on distingue à peine quelques éléments cellulaires. Ces partie
i, autour de ce tubercule de guérison, toute une rangée d'alvéoles se distingue des autres en ce que les parois de ces alvéoles s
d'après la doctrine régnante, n'ont rien, il faut le répéter, qui les distingue originairement des inflammations vulgaires ; il s
er que de ceux-ci, offrent une constitution complexe, il y a lieu d'y distinguer deux régions: 1° Région centrale; celle-ci paraît
latérale et inférieure du côté gauche du thorax. Par la palpation on distingue immédiatement sous le rebord des fausses côtes ga
bules de cette caté- gorie conservent un caractère important et qui distingue surtout l'état normal, c'est-à-dire qu'ils manque
oins régulièrement sphérique, sphéroïdale ou polyé-drique. Ce qui les distingue particulièrement, c'est un noyau sphérique ou, pl
, sans nucléole du volume de 0,005 à 0,008 de millim. Ces cellules se distinguaient aisément des globu-les blancs très nombreux qui l
comme on l'a vu, de tous les caractères anatomiques ou chimiques qui distinguent les diverses varié-lés de la matière pigmentaire
s disposés à le croire, on comprend qu'il serait important de pouvoir distinguer , à certains caractères clini-ques, les cas de cet
a lieu dans la mélanémie, les deux genres de coloration pourraient se distinguer à certains caractères, autant qu'on peut en juger
us provenant des ramollissements aigus de l'endocarde \ Mais ce qui distingue plus particulièrement Xendocardite ulcéreuse à fo
et s'affaisse pendant la diastole du cœur. Mais il faut avoir soin de distinguer ces battements des oscillations dans le sens anté
Au premier temps, il existe un battement et un souffle, qu on peut distinguer 1 un de 1 autre : au second temps, û existe un ba
sme inlra-thoracique. On parviendra souvent, par le même procédé, à distinguer des anévrismes de l'aorte ceux qui siègent sur le
des anévrismes aortiques, ce phénomène est intermittent: c'est ce qui distingue les apho-nies d'origine purement laryngée de cell
trer dans les cas d'ané-vrisme. f) 11 est souvent très difficile de distinguer les affections chroniques du larynx des lésions a
hypertrophie du cœur, peuvent simuler les ané-vrismes aortiques, s'en distinguent par le siège habituel des bruits anormaux; par l'
ymptomatique avec les anévrismes de l'aorte ; or ne peut guère les en distinguer que par un degré moins con-sidérable d'impulsion,
ismes du tronc brachio-cëphalique sont quel-quefois très difficiles à distinguer de ceux qui naissent delà portion transversale de
endre en pareil cas l'utilité de la trachéotomie ; au reste, Gairdner distingue , au point de vue clinique, trois espèces de dyspn
pasmodique, par suite de l'irritation du nerf récurrent. Mais il faut distinguer , d'après lui, les cas où il existe une véritable
e pulmonaire, ou avec les cavités du cœur. Ces trois variétés, qui se distinguent par quelques signes particuliers, ont cepen-dant
28 ont été observés chez l'homme. Les caractères anatomiques qui les distinguent des coarctations inflammatoires sont les suivants
ner une sténose aorti-que, et les antécédents du sujet permettront de distinguer un rétrécissement congénital d'une oblitération a
té fait mention plus haut. Il faut, suivant le docteur Heschl, bien distinguer l'infarctus hémoptoïque proprement dit, de Y obst
11 (1911) La pratique neurologique
NERF OPTIQUE ET DE LA RÉTINE , Au point de vue fonctionnel, il faut distinguer dans la rétine deux parties, l'une centrale, 't
er si le malade voit passer l'ombre delà main devant son oeil, s'il distingue les lumières, s'il localise les fenêtres de la pi
Quelquefois ils se troublent d'une manière diffuse qui empêche, de distinguer le fond de l'oeil (trouble diffus du cristallin
précédents et la coexistence d'autres signes d'hystérie. Il faut la distinguer de l'amaurose par double hémianopsie cérébrale
- lion de réflexes pupillaires à la lumière, ce qui suffirait il la distinguer de la cécité corticale. Hémianopsie par lésio
ne inégalité de réfraction des deux yeux. Plusieurs caractères le distinguent du strabisme paralytique. Il survient chez les
champ du regard. Strabisme paralytique. Le strabisme paralytique se distingue du strabisme non paralytique par tous les signe
s' certaines directions du ;globe oculaire. C'est par cela qu'il se distingue des autres variétés de nystagamus (Voir Nystagmus
, nous le verrons, donne lieu il des symptômes particuliers, qui la distinguent de celle des onze autres muscles. Il suffirait,
iations optiques. ' Au niveau du pédoncule, on ne peut actuellement distinguer les fibres antérieures des postérieures. Ces fi
ation pupillaires ont des caractères spéciaux qui permettent de les distinguer entre elles. Les uns, que nous étudierons plus
nce, il ne faut accepter cette défini- tion que sous réserves. On distingue plusieurs variétés de tremblement oculaire suivan
agmus congénital donne à ce groupe une assez grande cohésion, et le distingue de ta plupart des autres nystagmus dont la caus
ses yeux dans le sens d'action du muscle parésié. Il faut savoir le distinguer du véritable nystagmus. Autres variétés rares d
pagne d'une diminution souvent considérable de la vision, ce qui la distinguerait au besoin delà dyschromatopsie du daltonisme. A
persiste. Dans les cas de syndrome vestibulaire de Raymond, qui se distinguent cliniquement du syndrome de Ménière par 1 absence
it l'exci- tation de l'appareil vestibulaire. Lannois et Chavanne distinguent des formes complètes, des formes atténuées, des
- miné une fracture du crâne, ou traumatisme indirect dont Passow distingue il groupes : a) violences portant sur le crâne (c
artério- sclérose bulbaire. Ce vertige des arterio-scfereux ne se distingue en rien des autres ver- tiges, si ce n'est par
nitial l'apoplexie serait peu de chose, et d'autre part, on ne peut distinguer facilement l'apoplexie du coma post-apoplectiqu
précoces et d'un grave pronostic. La ponction lombaire permet d'en distinguer certaines variétés, mais non toutes; un examen
avec amnésie au réveil. Ce sont là de véri- tables fugues, il bien distinguer toutefois des déplacements impulsifs, mais cons
(" au point de vue dune hérédité possible; pour les descendants, de distinguer la surdi- nuttité acquise de la siireli-mulité
once correctement et il haute voix un certain nombre de mots; il se distingue du bulbaire vrai par l'absence de secousses fib
lement existants à expliquer les accidents reconnus. Il convient de distinguer avec soin l'agnosie tactile des paralysies motric
s des cas de diagnostic dé- licat. Troubles de la mimique. H faut distinguer la mimique émo- tive qui sert à l'expression de
a démence; elle peut être abolie (amimie). D'après Morselli il faut distinguer deux variétés d'amimic : Y amimie asthénique ct
mie, dia- bète), dans certains cas de tumeur cérébrale. ' 11 faut distinguer aussi la démence de la débilité mentale, de l'ioa
es, mais qui sont localisés dans le temps d'une façon erronée. On distingue deux variétés d'amnésie : les amnésies organiques
le : « L'hallucination est une perception sans objet. » , Il faut distinguer J'hallucination de l'interprétation délirante; da
e valeur sémiologique différente, il y. a intérêt en pratique à les distinguer et à conserver l'ancienne division des hallucin
placés sous la protection de t autorite judiciaire. La loi de 18.18 distingue des placements volontaires et des placements d'
l'idiotie permettra de décrire plusieurs variétés ; Bour- IH'yiJ1e distingue : 1° L'idiotie complète ou absolue. La marche,
les personnes. Leur vie de relation est donc très bornée, et ce qui distingue ce second groupe du précédent, suivant Bournevi
ptiques et fendues en amande ; le nez est court et polit et rien ne distingue au point de vue intellectuel les mongoliens des
5 degrés et 27 degrés C. Tandis que la peau des joues et des tempes distinguent des différences de 4/10-7/10 C., celle du dos n
le front, les lèvres, les joues, les tempes et le dos de la langue distinguent des différences de 11/40-1/50. La face dorsale et
de soupeser simultanément les deux boîtes placées devant lui et de distinguer la plus lourde de la plus légère. Ce dernier proc
ue, l'hypertension du liquide céphalo-rachidien. - -. Lésions. On distingue les altérations observées au cours des radi- cu
raphie régionale et la prédominance spéciale de leurs symptômes. On distingue ainsi des formes presque exclusivement sensitiv
pas exactement il un territoire anatomique. Ces signes aideront il distinguer les troubles fonctionnels des anes- thesies org
qués par une névralgie ilr'o-scrotale; il faut dans cette affection distinguer deux formes cliniques : tantôt il s'agit d'une
e infantile. Au point de vue purement clinique, il y aurait lieu de distinguer Y hémiplégie récente de l'hémiplégie ancienne,
ale. En réalité, nous manquons de caractères spéciaux permettant de distinguer sûrement ces deux formes d'hémiplégie, car on n
cours de phénomènes bulbaires. , De cette forme chronique, il faut distinguer les formes subaiguës, qui, justement, sont les
ccombent dans le marasme. A côté de cette forme avec ictus, on peut distinguer , d'après Lherinitte, une paraplégie lacunaire cér
écem- ment attiré l'attention. D'après Lhermitte et Lejonne on peut distinguer deux types, l'un de paraplégie en flexion prono
lésion médullaire. D'un autre côté, il est fréquemment difficile de distinguer le syndrome de la moelle sacrée du syndrome de la
e. Le syndrome révélateur de ses lésions est en général difficile à distinguer de celui de la moelle lomho-sacréc ou epiconc e
it la tête et l'incline latéralement. Long du cou. Insertions. On distingue dans ce muscle trois portions distinctes : la p
s'étendre d'une apophyse transverse ! lune apo- physe épineuse. On distingue trois groupes différents de faisceaux : les dem
pronostic bénin. Comby dit qu'au point de vue du pronostic on doit distinguer les paralysies qui surviennent dans les présent
FÉRENTIEL. ' 661 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL L'atrophie musculaire se distingue de l'amaigrissement par sa loca- lisation. L'at
très longtemps indemnes. La paralysie est souvent très difficile à distinguer de l'atrophie intis- culaire ; toute paralysie
qu'elle en peut être une cause. L'atrophie musculaire est facile à distinguer de la paralysie dans les cas où la diminution d
,.qui en a récem- ment repris l'étude, cette forme amyotrophique se distingue par certains caractères du. syndrome Aran-Duche
oigts. Quand la main est celle d'Aran-Duchenne, la syringomyélie se distingue par la dissociation de la sensibilité objective
infectieuses). Les atrophies consécutives aux lésions des nerfs se distinguent des atrophies d'origine spinale par un certain
néralement prédominantes vers la périphérie des membres. Ce qui les distingue surtout, c'est d'une part l'adjonction à la par
autre part l'état actuel de nos connaissances ne nous permet pas de distinguer , à coup sur, l'amyotrophie progressive spinale
n. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL .^ Ces signes permettent en général de distinguer l'hypertrophie muscu- laire vraie d'un certain
un des groupes, par quels caractères histologiques essentiels il se distingue des autres. 1" Croupi- : HYPERTROPHIES PHYSIO
iles : ce processus sera l'origine de l'atrophie. .Ces caractères distinguent les fibres atteintes d'hypertrophie préatro- ph
plus ou moins diffuses que nous venons de signaler et qui ne s'en - distinguent guère que par l'absence de la réaction myotonique
e étude clinique nous ont semblé indispensables pour montrer ce qui distingue nettement les hypertrophies bien classées des t
nce bien plus considérable. De plus, il y a peu de temps qu'on sait distinguer de l'ataxie la titubationetl'asynergie, et cell
variétés d'incoordination ; mais on ne sait pas encore actuellement distinguer le siège de la lésion d'après la variété sympto
une démarche spéciale, vraiment tout à fait caractéris- tique, qui distingue certains asynergiques très avancés des cérébelleu
aladie de Friedreich et dans la maladie isolée par P. Marie; ce qui distingue celle-ci, c'est, outre le début plus tardif, la c
lexes rotuliens, déformation des pieds et du rachis. Mais elle s'en distingue par l'hypertrophie des troncs nerveux, même des
s de la sensibilité, parfois un tremblement inten- tionnel. Elle se distingue aussi par les caractères de l'incoordination; l
ie; Charcot, qui l'a décrite avec ses élèves P. Riche et 111ocd, en distinguait une forme paralytique et une forme ataxique. En
exemple de prendre son porte-plume et d'écrire. Encore faudra-t-il distinguer suivant différentes conditions et en particulie
ite aiguë ou sub- aiguë avec ou sans phénomènes spinaux associés. Distinguer le ramollissement de l'hémorragie bulbaire est ma
et de la dysphagie, l'effacement relatif des troubles parétiques la distinguent immédiatement des troubles pa- raplégiques et d
ytiques, sur la nature également des troubles de l'articulation. On distinguera ainsi le pseudo-bulbaire infantile de V arriéré
elques vocables émis par l'anarthique, qui ne sait plus parler ; on distingue à peine les phrases chuchotées par le pseudo-hul-
ment et fatigue. Quoi qu'il en soit, on peut, d'une façon générale, distinguer à la. marche des troubles deux étapes distincte
cérébrales peuvent donner des convulsions généralisées que rien ne distingue de l'épilepsie vraie. Un diagnostic localisateu
remblement. Les mouvements choréiques qui sont étudiés plus loin se distinguent par un certain nombre de caractères : ce sont d
ont ni réguliers ni rythmés, et leur incoordination suffit pour les distinguer du tremblement. L'asynergie cérébelleuse décrit
ns différentes : c'est ainsi que Charcot, et à son exemple llnibou, distingue les tremblements suivant les modifications que le
eurs, et peut-être faut-il admettre avec Blocq et Grenet qu'il faut distinguer les troubles psychiques réellement très fréquen
mouvements choréiques; nous aurons du reste l'occasion plus loin de distinguer , dans le chapitre dès myoclonies, les caractère
caractéris- tiques de la chorée de Sydenham. Blocq pense qu'il faut distinguer parmi eux les troubles choréiques et les troubl
ation de Euzière et Maillet [Gazelle des Hôpitaux, 7 juin 1910) qui distinguent les trois variétés suivantes : , ' 1° myoclon
pasmodiques, d'après leur cause et d'après leur aspect clinique. Il distingue : des torticolis névralgiques et des torticolis
) a justement insisté, ne peuvent être reproduits par la volonté et distinguent nettement t 1 hemispasme facial des tics : tell
ace sont pré-paralytiques et surtout post-paral y tiques ce qui les distingue encore des tics C). ? Le« tic douloureux de la
tat de veille. En dehors du tic de Salaam ou spasme mitant, Cruchet distingue : 1° des rythmies essentielles à l'étal de somm
ucinations éprouvées. - Séglas fait observer que la catatonie est à distinguer du tétanisme. Ce dernier est caractérisé par un
nt associés. Les lmvi ne nous arrêteront qu'un instant. Faciles à distinguer sur le tégument où leur couleur et leur aspec
adiposes. On ne saurait rigoureusement, parmi les oedèmes nerveux, distinguer un groupe d'oedèmes aigus et un groupe d'oedèmc
ormation de séquestres et destructions osseuses. Ces lésions sont à distinguer des cas où l'atrophie osseuse, sans lésion des té
ersistent à un degré minimum pendant assez longtemps. On peut enfin distinguer des fièvres éphémères de courte durée, de 'i't
existe également des fièvres atypiques irrégulières. On peut encore distinguer les fièvres d'après leur élévation de température
e tremblement à tel point même que l'on peut, suivant Pierre Marie, distinguer les tremblements en deux groupes, ceux qui s'ac
des précautions rigoureuses. Traitement. .Nous savons qu'il faut distinguer deux sortes de rétentions : rétention complète
inconscience. " Dans l'incontinence vraie, il est très important de distinguer s'il y a paralysie du sphincter ou regorgement.
s dans le liquide ainsi excrété, mais leur rareté même permet de le distinguer du sperme dont nous n'avons jamais vu une vérit
éterminer l'origine de ce spasme. A ce propos, l'on est justifié il distinguer avec A. Mathieu deux ordres de spasmes, le spas
aire simule une sténose juxta-car- diaque. On doit s'efforcer de le distinguer d'une sténose vraie, orga- nique, puis de recon
sté- rique. qu'influence la médication psychique (Mathieu), il faut distinguer mie sialorrhée nerveuse, simple, existant chez
à l'épigastre. Un certain nombre de types cliniques sont faciles à distinguer dans ce groupe. Le vomissement partiel est fréq
mulation involontaire joue un grand rôle. Ces états pithiatiques se distinguent facilement des crises légitimes par l'absence abs
ique ') 'ni TROUBLES PSYCHIQUES. 1003 type simple, il convient de distinguer un neurasthénique dégénéré (Mathieu et J.-Ch. R
'oesophage et accompagner une pituite; d'autre part, il y a lien de distinguer le tic simple du dyspep- tique, de l'aérophagie
olément des secousses cloniques, il pourrait être bien difficile de distinguer le tic d'un spasme du voile lié à des lésions c
t facile en clinique. jusqu'à une période plus ou moins tardive, de distinguer s'il s'agit d'un trouble du développement congé
syringomyélie, l'absence d'hypertrophie de la face et de la langue, distinguent en tout cas la chiromégalie de l'acromégalie. L
et des avant-bras. A la période suivante, la maladie de Raynaud se distingue tout lait de la sclérodactylie ; cette période
(le genll valgum et la scoliose sont fréquents) : il importe de le distinguer du « pied tabétique » que nous avons décrit, qu
mme pouvant déterminer une dystrophie gigantesque. Ce syn- drome se distinguerait par la présence des stigmates d'Hutchinson, du
Ils mènent une vie purement végétative. On voit que cette forme se distingue facilement des syndromes précé- dents. Fémini
r l'origine centrale méningo-médullaire de certains zonas et de les distinguer des zonas périphériques. Un point intéressant d
pneumocoques ou 1. Malgré la cécité, cetle idiotie épendymogenc se distingue aisément de l'idiotie amaurotirfue de Sachs qui
ance de la fièvre est moins propre que l'examen du fond de l'oeil à distinguer l'épen- dymite pseudo-méningée de la méningite
ra-vcntriculaire et arachnoïdienne. 11 est à peu près impossible de distinguer avec les seules ressources de, l'analyse sympto
e qui aboutit il un coma prolongé. Ce coma ependymo-cboroïdicn se distingue du coma méningitique par sa durée, plus longue,
s une intégrité relative des épiphyses. On pourrait, donc peut-être distinguer , à côté de l'arthropathie tabétique classique, un
respondent sen- siblement à celles des nerfs moteurs; elles ne s'en distinguent que par de faibles divergences : la différence
courants faradi- ques suivant leurs fréquences, et l'on peut t distinguer les courants avec inter- ruptions rares ou es
urants. Dans les applications du courant galvano-faradique, il faut distinguer deux genres un peu différents, suivant que le c
es par l'examen des malades. Au point de vue clinique nous aurons à distinguer la manière dont se comporte la réaction de dégé
sance; elle suit une certaine évolution dans laquelle nous aurons à distinguer une période de début, une période d'état et une
appelant par quelques caractères la réaction myotonique; elles s'en distinguaient par le fait qu'elles se montraient surtout à l'
NCE ÉLECTRIQUE DU CORPS La résistance électrique du corps humain se distingue de la résistance des autres conducteurs par div
à ceux de la poliomyélite; il n'est même pas toujours facile de les distinguer les uns des autres. Ces complications sont souv
er guérir réellement le tabes par le traitement électrique si on en distingue les cas que l'on a rangés dans la classe des ps
12 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
nte les dimensions d'une noix. Dans le centre de cette zone on peut distinguer un point central plus foncé. Il est de toute év
arrêtée depuis long- temps. Il est donc de toute nécessité de bien distinguer chez les géants : ceux qui sont encore en activ
nitions mêmes, les sujets qu'on disait infantiles du type Lorain se distinguent des infantiles de Brissaud parce qu'ils ne prés
ef les différences cliniques essentielles, jusque-là méconnues, qui distinguent deux syndromes morphologiques, deux états somat
e des épiphyses la valeur d'un caractère différentiel permettant de distinguer à coup sur l'infantilisme vrai de l'infantilisme
ie. Dans la région lombaire, surtout quand on regarde de profil, on distingue uneensellure très marquée. Les réflexes patel
ligne assez bien délimitée, riche- ment infiltrée tout autour. On y distingue deux sortes de tissus. Premièrement des foyers
de l'ombilic. Le sens articulaire est troublé des deux côtés. Il ne distingue pas la position des doigts et même quelquefois
int un tel degré, qu'au premier coup d'oeil on n'arrrive même pas à distinguer la substance blanche de la grise. Ce n'est qu'a
vical on ne trouve presque plus de cellules nerveuses ; ça et là on distingue le contour d'une cellule pâle, [sans cylindraxe a
troite, par place elles sont 74 FLATAU tellement serrées qu'on ne distingue pas entre elles de globules rouges. Par place c
non dans l'os de la vertèbre. Quant aux symptômes de la maladie, on distingue dans le tableau cli- nique des tumeurs vertébra
différentiel des tumeurs vertébrales, il est très difficile de les distinguer de la carie vertébrale. La ressemblance est telle
qu'à l'année 1907. Schlesinger donne les indications suivantes pour distinguer la tumeur delà carie. Premièrement la forme de
nets et plus marqués notamment du côté temporal. On peut très bien distinguer la lame cribreuse au milieu des faisceaux nerveux
ite est à peu près complètement aveugle, elle n'est plus capable de distinguer la forme des objets. Si on lui place sous le ne
es nombreux tâtonnements avec ses mains. C'est à peine si elle peut distinguer la lumière du jour de la nuit. Examen des aut
façon sommaire ; il paraît pourtant qu'elle soit encore capable de distinguer , bien que d'une façon assez grossière, les dilf
erveux atrophiés. La vue chez Aurélie est complètement perdue, elle distingue difficilement le jour de la nuit. Examen des
on de leur voix, mais encore par leur démarche. Elle est capable de distinguer de cette façon l'approche de sa mère ou de ses
très émous- sés chez elle. En effet, elle n'est pas même capable de distinguer les goûts; quoique très avide et affamée, elle
e diminntion nette de l'acuité visuelle. Elle est encore capable de distinguer les objets environnants, mais elle le fait d'un
inité pathologique. Dans les différentes formes familiales, on doit distinguer avant tout l'extension delà lésion dégénérative
es gonflées et dégénérées. Dans quelques-unes de ces masses on peut distinguer un point plus rouge (cylindraxe) et une zone ro
ofondément dans la moelle, puisqu'il nous était impos- sible de les distinguer de la névroglie. - Nulle part de traces d'infla
le. Avec nos con- naissances actuelles il est souvent impossible de distinguer les cas où la tumeur extravertébrale a pénétré
ration des voies lymphatiques médullaires. Non, il faut d'après lui distinguer deux systèmes de voies lymphatiques : 1° le sys
, il répond : « Pour moi, il n'existe aucun critérium permettant de distinguer les phénomènes suggérés des phé- nomènes simulé
ire, la simulation hystérique offre quelques particularités, qui la distinguent de la dissimulation vulgaire, cupide. L'hysté
traumatique, en ceci il faut admettre la doctrine de Charcot, ne se distingue en rien de l'hystérie d'autre origine, Cela est é
x troubles doivent aller de pair. , 3° Les contractures . Il faut distinguer celles qui sont indolores et celles qui s'accom
avec les contractures symptomatiques d'une lésion du Fy. Elles s'en distinguent facilement : a) par le début brusque ; b) l'int
s auront disparu de la symptomatologie. Il faut, il est vrai, les distinguer tout d'abord des anesthésies organi- ques : leu
s inconscient et involontaire, qui a droit à une indemnité, comment distinguer le simulateur tout à fait conscient de sa tromp
a femme d'à peine une demi-tête. Son oeil droit, qui semble intact, distingue seulement la lumière du jour : ce serait un rel
intacte, mais l'interne est modifiée à tel point qu'on ne peut pas' distinguer la substance blanche de la grise ni les diffé-
ents ont également leur conformation interne modifiée. On peut déjà distinguer la substance grise de la blanche, mais les corn
ance grise a perdu complè- tement ses contours normaux. Çà et là on distingue des Ilots irréguliers et peu nets de substance
rs et peu nets de substance grise. Même au sein de ces îlots, on ne distingue plus de cellules nerveuses normales. Partout su
s lésions du tissu nerveux étaient telles qu'il était impossible de distinguer la sub- stance blanche de la grise. On voyait u
ure-mère le long de la face postérieure de la moelle). La tumeur se distingue par sa coloration grisâtre. Elle ressemble à un
lus grand volume) des lésions si profondes qu'il est impossible d'y distinguer la substance grise et de s'orienter convenablemen
s d'autres les corpuscules de Nissl en désagrégation. Parfois on ne distingue plus les contours de la cellule nerveuse, rien
lement sur ce point que les prolongements cylindraxiles se laissent distinguer , quoi- qu'ils soient pour la plupart du temps m
fiée (fig. 19). Dans la moi- tié droite de la moelle on peut encore distinguer la substance blanche de la grise; dans la moiti
sparaît. Dans les endroits où la gomme pénètre dans la moelle,on ne distingue plus la pie-mère]de l'arachnoïde. Ensem- ble el
idale, fusiforme et polygonale. Au point de vue du volume, il y a à distinguer également de petites cellules de Betz, dont le
sont le siège de lésions emphyséma- teuses très prononcées, et on y distingue quelques tubercules crus de la grosseur d'une f
d'une consistance molle. Depuis le Il segment dorsal on commence à distinguer la configuration de la moelle. On y voit dis- t
cas de Pntnam et Warren la maladie évolua pendant 19 ans. Gowers distingue les tumeurs méningées de celles de la moelle par
de Brown-Séquard, un dé- veloppement graduel de l'affection où l'on distingue des stades précités (un névralgique, un du type
) les lésions sont tellement prononcées qu'il est fort difficile de distinguer la substance blanche de la grise (et cela de deux
e, 1903, bd. 3. 518 ARCHAMBAULT · I interne de l'hémisphère, on distingue un faisceau sagittal bien délimité qui représen
rend ces observa- tions très incomplètes. Geoffroy Saint-Hilaire distingua les nains véritables des nains rachiti- dues,dé
a été décrite sous le nom de pygméisme par Poncet et Lenoir qui se distingue des autres par l'absence de toute tare physique
ont très rares (PI. LXIV, E). A la limite supérieure du ganglion on distingue un petit filet nerveux qui se dirige vers les a
s 3e et 4 rayons étaient courts ? Quoi qu'il en soit il convient de distinguer la brachytlactylie d'origine métapodiale, de la b
a brachymélie métapodiale comprend une variété acquise : elle ne se distingue des raccourcissements dus au spina-ventosa que pa
ins dense, dégage les cylindraxes et permet de les suivre et de les distinguer sur une plus longue étendue. Recherche des co
les névrogli- ques enchevêtrées en un lacis très embrouillé où l'on distingue de très fines fibrilles,et d'autres plus volumi
es régressives, de calcification. Autre constatation qui aide à les distinguer des plaques athé- romateuses. L'endothélium e
s, l'en- chevêtrement de leurs fibres étant trop considérable. On distingue très nettement à ce niveau les deux couches sagit
de haut en bas, est représentée par le cingulum que l'on commence à distinguer plus facilement et dont les fibres se colorent
tèmes se confondent en grande par- tie, bien que l'on puisse encore distinguer quelques fascicules qui se dégagent du trigone
fle pour former un forceps majeur typique (fig. 4) qu'on ne saurait distinguer du for- ceps calleux normal si ce n'est que son
son segment supérieur que dans son segment inférieur. On commence à distinguer à ce niveau, le faisceau transverse du cunéus de
al et des circonvolutions de la face médiane de l'hémisphère, on ne distingue que deux couches sagitta- les prôfondes. Toutef
il se rende pour former un forceps majeur que l'on ne saurait guère distinguer du forceps calleux normal ; en même lemps, il se
t l'aspect d'une masse amorphe, au milieu de laquelle on ne pouvait distinguer que le pouce ; d'autres doigts étaient comme si
13 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
ure, on voit sous le microscope une petite lésion, dans laquelle on distingue de nombreux corps granuleux. Autour de cette lé
he des radiations de Gratiolet on remarque une petite lésion, où on distingue de nombreux corps granuleux. A l'entour de cett
terne est plus blanche que ses autres parues, sous le microscope on distingue dans cette région la rareiaction des fibres à m
le ne semble pas être troublée. ' La malade nous affirme qu'elle ne distingue pas le goût des substances qu'elle ingère et en
, de sulfate de quinine ou avec du vinaigre, sans qu'elle puisse en distinguer le goût. Cet examen a été pratiqué également en
la bouche une quantité assez considérable de ces solu- tions, elle distinguait parfois un goût aigre ou doux, mais elle ne recon
l est rétracté, triangulaire ou polyédrique. Le plus souvent, on ne distingue pas le nucléole, et lorsqu'il est visible il es
l'élément est gros, de forme sphérique, globuleuse et l'on ne peut distinguer les substances chro- matiques ou achromatiques
s ou achromatiques ; les prolongements sont pâles, mais on peut les distinguer ; le noyau est tuméfié, sphérique et peu coloré.
une de ses extrémités sur l'enveloppe exté- rieure ; à la loupe, on distingue à l'extrémité libre convexe des saillies latéra
tes des vers vésiculaires, formes de transition des ténias qui s'en distinguent par l'absence constante d'organes génitaux. L
e à la face externe de la vésicule. La même particularité permet de distinguer l'échinocoque du coenure qui vit dans le cerveau
mité osseuse, aboutissant à la coudure de celle-ci : notre cas s'en distingue fa- cilement par l'absence de toute déformation
uffre ce dernier. Rien dans son attitude ni dans son maintien ne le distingue du Christ ou du disciple. Je n'ai malheureusement
ur à quelques kilomè- 94 HEITZ très de Palerme. De son abside, on distingue la Méditerranée. A son côté, s'élève un cloître
L'extrémité inférieure de l'humérus a l'aspect d'un pilon ; on n'y distingue rien qui rappelle l'épicondyle, le condyle, la tr
upement des cas d'hémimélie il nous semble que l'on pourrait encore distinguer parmi eux trois groupes prin- cipaux : les hémi
: mais au point de vue du traitement, il est de toute nécessité de distinguer la paralysie du spasme car le traitement diffèr
arois de la fosse cérébrale antérieure ; à la face supérieure on la distinguait difficile- ment a cause de sa minceur., Tous se
les autres, les limites moins nettes, et dans certains points on ne distingue plus' qu'une masse amorphe. Tous ces aspects se
ilieu d'un amas, les cellules s'écartent laissant un espace où l'on distingue aisément quelques globules sanguins. Cette périod
la périphérie. Quelquefois, et c'est là un point très important, on distingue un pédicule qui rattache le globe à un vaisseau v
s aient subi de modifications. Cette absence de paroi véritable les distingue des vaisseaux. Cependant leur nature vasculaire
riques de la tumeur, ce sont des vaisseaux de petit calibre. Ils se distinguent des fentes par une paroi propre qui les isole des
ons comme celle de Pouchet (5) et Spillmann (6). Brault (7) enfin distingue le sarcome angiolithique, tel que l'ont décrit
ire se colore d'une façon diffuse et sur certaines d'entre elles on distingue des vacuoles. Les altérations les plus importan
seulement par le volume ; la troisième enfin plus petite encore, se distingue des deux autres par l'opacité de son contenu qu
nt très atteintes, l'en- vahissement par ces corps est tel qu'on ne distingue plus que des débris cellulaires. On retrouve
s paralytiques géné- raux. Après coloration au bleu polychrome, ils distinguent les noyaux de névroglie par leur réseau de chro
ernum, la peau est rosée et présente l'aspect de la couperose. On y distingue à l'oeil nu de petits vaisseaux sinueux, tandis
Si l'on présente au malade des échantillons de laine de couleur, il distingue difficilement ceux teintés en bleu, en vert et
. cherche à analyser et à expliquer son état mental. Elle cherche à distinguer des actes ou des pensées réellement cou- pables
ui s'était formée en premier est plus grande que la voisine et s'en distingue par sa structure. Au bord postérieur du bulbe de
rizontales qui étaient visibles dans la coupe précédente et on peut distinguer les parties correspondant aux faisceaux de Goll
s changé et une moitié du bulbe, comme dans la coupe précédente, se distingue de l'autre. D'un côté du canal central qui est
res du cervelet, son lobe médian n'étant pas développé. Ce cas se distingue des cas précédents. Déjà à l'oeil nu (Phot. 4) on
n anatomique. Cette description est reprise en 1571 par Winkler qui distingue lui aussi un rachitisme foetal ordinaire, non éte
ngs pour sa taille. Ce sont là autant de signes qui permet- tent de distinguer facilement le rachitisme de l'achondroplasie qui
deux affec- tions signalées par Muiter, Winkler, Parrot, etc., les distinguent clini- quement. Le rachitisme vrai évolue après
est la preuve (Pl. XL, D). Il est facile de voir maintenant ce qui distingue l'achondroplasie du rachitisme. Dans le rachiti
9 - La'similitude de l'expression clinique est telle, qu'on ne peut distinguer les unes des autres des encéphalopathies aussi
ux pour le sys- tème nerveux est également démontrée (2). Klippel distingue judicieusement les accidents de la tumeur et ceux
habituées à la compression qu'avait causée cette enfonçure, et l'on distinguait un endroit où l'os temporal enfoncé, avait été br
se colorant fortement par l'éosine. Entre les faisceaux fibreux, on distingue des cellules allongées dont les noyaux ne pren-
est donc en voie de 370, DUPRÉ ET DEVAUX nécrose caséeuse ; on ne distingue pas de gouttelettes graisseuses, la recherche'
prend bien la couleur. Lorsque la cellule se teint vivement, on ne distingue parfois même plus le nucléole dans le corps cel
tion. Les cellules sont considérablement atrophiées, le noyau ne se distingue pas du reste du corps cellulaire (Pl. LI, E, F)
des deux os, peu profond d'ailleurs, et au fond de la mortaise, on distingue des traces de l'interligne péronéotibial inférier
diffuse des cellules rondes, disposées sans ordonnance et où on ne distingue plus les cellules thyroïdiennes des leucocytes mi
diographies du malade de Gail- liard, et avoir fait remarquer qu'on distinguait , sinueuses, annelées, jus- qu'aux arcades plant
vations attentives et de nécropsies minutieuses, de reconnaître, de distinguer et de localiser les centres et les conducteurs
aississement avec sclérose du tissu conjonctif sous-cutané. Elle se distingue de l'oedème par sa consistance ferme, élastique
affec- tion des plus rares, dont le caractère familial suffit à la distinguer d'un certain nombre de manifestations oedémateu
our persuader ce qu'il dit, qu'il ait la vue nette et perçante pour distinguer les moindres objets, de sorte qu'il n'ait point d
14 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
nt jamais sur le nerf privé de son névrilème. La meilleure manière de distinguer ces fibres névrilémati-ques des fibres nerveuses,
trou pour le passage de l'artère sternale ; mais dans cette masse on distingue encore les noyaux médullaires qui concourent à la
, et après l'avoir fait durcir dans l'alcool, je n'ai pu parvenir à y distinguer aucune séparation correspondante à celle que j'ai
s simples qui sortent par les espaces inter-ganglionaires. Je n'ai pu distinguer , à ces raci' nés, de fibres transverses; elles
s sont de forme lenticulaire, et en les examinant au microscope, on y distingue des fibres Ion -giludinales qui viennent des cord
même que les fibres des nerfs, sont canali culées, et l'on parvient à distinguer et à faire sortir les globules contenus dans leur
s ferment l'entrée à l'aide d'un opercule mobile que l'on a peine à distinguer de la terre environnante : elles mettent tout à-l
doucement, et sautent dessus avec une grande promptitude. Ce qui les distingue des araignées-loups, c'est qu'elles se suspendent
apercevions un peu ce qui se passait dans l'intérieur, nous pouvions distinguer que la soie de la coque était coupée cir-culairem
bral a été confondu avec les ganglions olfactifs; j'ai dit qu'il s'en distinguait par la présence d'une commissure dont il est pour
et des nerfs est entièrement composée de fibres canaliculées ; qu'il distingue ces fibres en fibres rectilignes et en fibres art
ration me semble une condition secondaire de son existence; ce qui la distingue réellement, c'est sa forme granulée mise en oppos
inférieur droit avec la lame optique gauche, et réciproquement. On ne distingue bien la commissure dont il s'agit qu'à l'aide du
transverses de la moelle sont toutes excessivement fines et on ne les distingue bien isolées, qu'à l'aide d'un grossissement de 6
. (?) Liv. ix, chap. 43. la teinte des eaux de la mer, ne permet de distinguer cet animal que quand il n'est plus temps de fuir
on, c'est celle qui a été publiée par Arsaky (1), toutefois on y peut distinguer de très petits ganglions olfactifs, des ganglions
lobe gauche; une dépression qui rappelle la voûte àtrois piliers, les distingue l'une de l'autre, plutôt qu'elle ne les sépare. L
s du noyau dont il s'agit, que naît la commissure inférieure que l'on distingue très bien, notamment chez la couleuvre, du chiasm
sation, jusqu'à ces amas de matière qu'un reste de mouvement spontané distingue à peine de la nature inorganique, et se décomposa
a même pour chacun de nous ; l'un entend à peine des sons que l'autre distingue très nettement. Mais celui qui entend le mieux n'
favorable à la ponte. De la ruse, à un faible degré, est donc ce qui distingue les tortues et les place au-dessus des grenouil
ement éloignés de la terre, qu'ils sont devenus invisibles pour nous, distinguent une proie à la surface du sol, se précipitent sur
uit, et s'envolent avec promptitude à l'approche d'un ennemi, car ils distinguent souvent si la cause du bruit qu'ils entendent est
appris à leurs dépens que l'homme est à craindre pour eux'; aussi le distinguent -ils très bien de tous les animaux. Les chasseurs
rvir la bande tout entière, dans l'impossibilité où il se trouvait de distinguer ceux auxquels il devait des alimens, de ceux auxq
aucune différence entre nos palais et nos chaumières; que l'aigle ne distingue pas, dans les mou-vemens des différens peuples su
a personne qu'il aime ; il apprécie donc l'action d'embrasser ; il la distingue très bien de celle de frapper : il la juge donc.
, avait donc été prévue par Buffon; mais Buffon donne comme moyens de distinguer les sexes, des caractères purement extérieurs, Ga
s qu'il émet sont au moins hasardées. A la seule inspection du crâne, distinguer les deux sexes, sans se tromper jamais ! Quand on
rébrale en avant el en arrière, serait-il un caractère propre à faire distinguer les oiseaux intelligens de ceux qui ne le sont pa
té faite d'après les planches et non pas d'après la nature ; ainsi il distingue les animaux en ceux qui ont des circonvolutions s
;aractères pris dans la disposition même des circonvolutions, qui le distinguent de tous les animaux inférieurs, et même de 1 tous
de précision dans les faits, comment localiser les facultés, comment distinguer chaque circonvolution, chaque partie d'une circon
st très bien marqué sur le lion et le chat (fig. lrt). Les chats se distinguent donc des renards, quant à leurs circonvolutions c
sont remarquables que par leur situation, car rien autre chose ne les distingue des sous-divisions antérieures de la première cir
peut éviter un peu d'arbitraire en les comptant, parce qu'on ne peut distinguer nettement les divisions principales des sous-divi
des groupes ou familles, dont se compose la classe des mammifères, se distinguent encore par d'autres caractères tirés de la config
autre explication serait inadmissible. » Suivant l'auteur ce ce qui distingue surtout l'intelligence des animaux de celle de l'
es sens exquis, et même par de l'intelligence. La belette de Buffon distinguait très bien le ton de la menace et celui des caress
bien frappant de cette vérité. Chez nous le bœuf connaît son gîte: il distingue son maître; il entend s'il faut s'avancer ou s'ar
rvations exactes sont en trop petit nombre pour nous mettre à même de distinguer , sur ce point, la vérité de l'erreur. Les marin
nt, que les singes reconnaissent les femmes habillées, et sachent les distinguer des hommes; ils sont également lubriques en prése
ainsi que celui du phoque et de la brebis : le crâne de la brebis se distingue sous ce rapport d'une manière frappante de celui
ient fondés à me répondre, si je leur faisais cette objection, qu'ils distinguent l'attachement à vie ou mariage de l'attachement a
ien développée, qui sont cachés derrière les fosses nasales; pour les distinguer des cerveaux étroits et comme effilés, il faut le
se fait remarquer par la vénération qu'il porte à l'homme, cet animal distingue parfaitement dans la maison qu'il habite, le rang
comparaison du volume absolu ne peut donc pas suffire pour nous faire distinguer les animaux les plus intelligens de ceux qui le s
15 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
il est surtout formé de fibres à direction sagitlale, mais il s'en distingue par la longueur de ses fibres. Dans la région du
réticulée du thalamus (Fig. 25). Par son aspect, ce con- tingent se distingue nettement des fibres du segment postérieur (Cip)
st situé sur le prolongement du segment postérieur (Cip) et ne s'en distingue que par la direction de ses fibres; sur les coupe
uite à la partie postérieure du ruban de Reil (Fig. 48), dont il se distingue par le trajet horizontal de ses fibres et leur
bien constitué et occupant le plancher de la cavité ventriculaire, distingue complètement nos cas des observations d'agénési
interhémisphérique et à la face inférieure de chaque hémisphère on distingue un lobe frontal et un lobe sphéno-occipital sépar
s deux tiers postérieurs du lobe sphénoïdal sont développés et l'on distingue en particulier la circonvolution de l'hippocamp
e l'artère sylvienne (Fig. 199). A la base du cerveau (Fig. 199) on distingue un losange opto-pcdonculceire bien déve- loppé
.) Cette disposition n'existe pas dans la région occipitale où l'on distingue une pointe, une face interne, une face inférieu
ite de la force mus- culaire. L'absence de tout trouble paralytique distingue nettement ce cas, des lésions traumatiques ou o
e lui, perpendiculairement à son axe, le taenia semicircularis s'en distingue toutefois par la faible coloration de ses fibres
rieure du corps du trigone, entrent dans sa constitu- tion et ne se distinguent des fascicules ammoniques que par leur colora-
re par l'étude des dégé- nérescences secondaires. Chez l'enfant, on distingue dans le tapetum deux couches, l'une mince inter
e une disposition sensiblement différente de celle de l'homme. On y distingue un petit sè- ment inférieur ou ventral qui occu
ur du septum lucidum, s'adosse au fornix longus de Forel dont il se distingue facilement grâce à la plus faible coloration de s
um toutes les fibres commissu- rales du trigone; depuis Ganser on y distingue un feuillet antérieur ou ventral et un feuillet
LIONS 1NlItlCOItTICAU\ : COIiPS STRIÉ. 327 triculaire. Cet auteur y distingue néanmoins trois parties (dorsale, moyenne et ve
nom de couche zonale, de stratum zonale (Strz, Fig. 290). Burdach distingua dans la couche optique quatre noyaux : les noyaux
optique se disposent en groupes de volume et de forme variables et distingua chez le lapin près de vingt groupes cellulaires
érieur principal (ant. a.), plusieurs noyaux accessoires ; v. Monakow distingue un noyau interne et un autre ventral. Le noyau
ogues à celles du noyau principal, la substance fondamentale seule se distingue par une moindre densité de son réticulum. Le
me du noyau interne et du centre médian de Luys, ces deux noyaux se distinguent très bien, soit à l'état frais, soif sur des co
traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, le noyau externe se distingue du pulvinar par son aspect plus foncé et par le
ompose chez les mammifères de deux masses grises, que l'on peut distinguer , avec Nissl et Cajal, en noyau inlerne et noy
sillonnée de fines fibres entre-croisées dans tous les sens, et se distingue surtout de la zone réticulée thalamique par l'abs
bas (Fig. 320 à 328, T. Ie ? p. G 1 ). La commissure de Meynert se distingue très nettement des fibres parallèles, serrées e
de la pre- mière paire est le nerf sensoriel de l'olfaction. Il se distingue des autres nerfs sensitifs et sensoriels cranio
continue dans la bandelette optique croisée; le faisceau temporal se distingue par des hachures IIIII; le faisceau nasal par d
ostérieure du chiasma, s'étend d'un corps genouillé à l'autre et se distingue très nettement des fibres visuelles de la bandele
e chaque côté le tiers antérieur du sillon marginal antérieur et se distingue des deux lobes précédents par ses dimensions pl
MORPHOLOGIE DU RHOMBENCEPHALE. 463 rieur. Ce sillon est facile il distinguer des sillons interlobaires el interlo- Imlaires
e constitue la partie la plus proéminente du vermis inférieur. On y distingue trois petits lobules secondaires, aplatis d'avant
ilrUl;. - LOBE DU NODULE : NODULE ET FLOCCULUS Le lobe du nodule se distingue des autres lobes primordiaux du cervelet : 1° p
e continue avec le bord antérieur de l'aile de la luette dont il se distingue par sa minceur et sa mobilité, et adhère à la sub
é chez les solipèdes, les ruminants et les rongeurs. Ce faisceau se distingue des fibres transversales de la protubérance parce
du bulbe (stratum zonale d'Arnold, stratum transversale) , pour les distinguer des fibres arciformes externes postérieures , i
ersales et sagittales au travers de cet organe. Elles permettent de distinguer la substance blanche centrale des hémisphères,
fais- ceaux de fibres segmentent en plusieurs noyaux. Weidenreich y distingue un volumineux noyau interne (nucleus medialis),
contre d'une épaisse couche de substance blanche, dans laquelle on distingue trois zones nettement différenciées Bibliothèqu
avité du noyau dentelé, le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) se distingue mal du feutrage intra-ciliaire dont il dérive (
avons déjà figuré dans le tome 1er (Fig. 328, p. 661). On peut donc distinguer dans l'entre-croisement des pédoncules cérébell
s C5, H7, Fig. 361 et 397, p. 561). Par leur gros calibre, elles se distinguent néanmoins toujours facilement des fibres du péd
e encore sous les noms d'olive inférieure, de grosse olive, pour la distinguer de l'olive supérieure, petite ou protubérantielle
s denticules les plus nombreux. Comme dans l'olive cérébelleuse, on distingue un feutrage intra-ciliaire, et un feutrage extr
es sont for- tement colorées par la laque hématoxylinique. Elles se distinguent de ce fait très facilement des fibres longitudi
403, p. 573), immédiatement au- dessus de la décussation, il ne se distingue que par l'obliquité de ses fibres lâchement fas
e, le faisceau lon- gitudinal postérieur (Flp). Ce faisceau, qui se distingue par le gros calibre de ses fibres et leur color
calotte, les fibres longitudinales sont toujours clairsemées. On y distingue trois amas cellulaires, l'olive supé- rieure (O
éticulée externe ou grise (formatio reticularis griset) (SRg). On y distingue un court et large segment antérieur ou inler-ol
. Monakow sous le nom de ruban cortical, Rizzdenschleife. Bechterew distingue dans la couche rubanée ou ruban de Reil médian un
iC(coupesHl2 etH13, Fig. H2 et ! 4.3,p.Gï` ? ,Gii); ses fibres se distinguent net- tement des autres fibres qui s'entre-cro
s arrondis, faiblement colorés par la laque hématoxylinique, qui se distinguent par conséquent facilement des libres denses, se
on- tingent important de fibres. Le ruban de Reil laléral, facile à distinguer grâce à l'obliquité de ses fibres, n'est plus s
face antérieure se fusionne avec la formation réticulée, dont il se distingue toutefois par la coloration plus intense de ses
que le profond sillon transverse antérieur (sta) diminue, et ne se distingue guère des premiers par sa pro- fondeur dans la
s sagittal, à contours lisses, non bos- selés, et ces caractères le distinguent nettement du globule (Ngl) et de l'olive cérébe
, qui limitent le lobe semi-lunaire supérieur en haut et en bas, se distinguent seuls par leur plus grande profondeur des autres
e désigné sous le nom d'entre-croisement supérieur (xsPcs), pour le distinguer du grand entre-croisement principal ou inférieu
ont plus clairsemées- le long de son bord concave, ce qui permet de distinguer très nettement les- fibres longitudinales de la
vant la périphérie antérieure du pont. La calotte de cette coupe se distingue de celle de la coupe précédente (coupe Hl) : pa
coupe précédente le sillon latéral de l'isthme de l'encéphale. On y distingue nettement les fascicules arrondis aberrants de la
ent l'aspect si caractéristique de l'olive bulbaire dont elle ne se distingue que par son volume infiniment plus considérable.
toison (fec), que ses fibres. fortement colorées par l'hématoxyline distinguent seules du reste de la sub- stance blanche centr
réticulée blanche forme sur cette coupe une couche homogène; on n'y distingue même plus la légère diminution de teinte visible
sent comme les fibres arciformes pzrélrigécrzinales - dont elles se distinguent par leur section oblique - en avant de la grosse
cérébello-olivaire. Les fibres arciformes interréticulées (fir) se distinguent des fibres cérébello- olivaires par leur volume
i que la diminution considérable de volume de l'olive bulbaire(0\), distingue surtout la coupe H 15 de la coupe H 14. La pyra
e (SRg). Une agglomération plus grande de substance grise permet de distinguer un noyau latéral poslérieur (Nltp) et un noyau la
Burdach (NB) ne le cède pas en volume au noyau de Goll, dont il se distingue par les ilois arrondis ou oblongs de substance gr
re la corne postérieure (Cop) et la corne antérieure (Coa), mais se distingue toujours facile- ment, grâce il son aspect gros
me caractéristique propre à la moelle cer- vicale supérieure ; on y distingue une corne antérieure reliée par une large base
nt toutes coudées, affectent une direction longitu- dinale et ne se distinguent des autres libres constitutives du cordon latéral
RVELET 1° Structure de l'écorce cérébelleuse. L'oeil nu permet de distinguer deux couches dans l'écorce cérébelleuse, l'une ex
trémité libre est légèrement renflée'(Fig. 45G). Ces caractères les distinguent des épines longues et grêles qui recouvrent les
s dans la partie inférieure de l'olive cérébelleuse, sont faciles à distinguer l'une de l'autre sur toutes les coupes qui inté
ment des noyaux du toit. Ces deux entre-croisements sont faciles à distinguer l'un de l'aulre, l'entre-croisement commissural
. 433, p. 645). Il semble donc que dès à présent on soit autorisé à distinguer les fibres semi-circulaires en groupe externe et
16 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
une brusque aggrava- tion. Bref, dans cette évolution, nous pouvons distinguer deux phases. Une première, lente, progressive,
ère- ment épaissie à leur niveau; profondément, il est difficile de distinguer des sur- faces articulaires, les tendons ; on n
un Hermès ilhyphallique ; dans le fond, un per- sonnage donl on ne distingue que la tête et les épaules. Est-ce un jeune éph
néoplasique; seule, son extré- mité libre est indépendante ; on en distingue assez nettement le tractus fascicule qui abouti
-jacentes et, par leur intermédiaire, aux tumeurs elles-mêmes, s'en distingue ce- pendant par l'existence, dans la zone qui l
pas de canal central et, dans chaque segment, il est impossible de distinguer la substance blanclie de la grise et réciproqueme
s souvent tous les frais. Il en est cependant dans le nombre qui se distinguent par une réelle originalité. Nous aurons l'occasio
pen- dant trois semaines ; puis aurait aussi vu trouble,'ne pouvant distinguer cor- rectement les objets à 2 mètres de distanc
'éblouisse- ments ; il lui semblait voir tout noir bien qu'elle pût distinguer nettement les objets qui l'entouraient. Elle pu
ographie par la méthode de Roentgen, permettront toujours de les en distinguer . . Nous n'en connaissons qu'un exemple, dû à Ta
poitrine, bien que fruste et dété- rioré par l'oxydation, permet de distinguer le relief du pectoral gauche el les saillies co
sentant d'une fa- mille médicale qui, pendant trois générations, se distingua en France, par des travaux scientifiques mémora
, si semblables les unes aux autres qu'il eût été impossible de les distinguer une fois mélangées. Et -Morand fit à peu près c
lade Ù l'une ou à l'autre de ces affections, qui puisse aider à les distinguer ». , Depuis Sydenham, nombre d'auteurs'sont ven
rs parois tuméfiées, vitreuses, homogènes, il est impossible de les distinguer sur les coupes. . La circonférence interne de l
te pas de canal central et dans cbaque segment il est impossible de distinguer la substance blanche de la grise et réciproque-
ogressivement tous ses caractères du côté gauche de la coupe; on ne distingue plus ses limites qui semblent diffuses et elle
Dans tout l'espace qui correspond au manteau blanc de ce côté on ne distingue plus de tubes nerveux, ni les nombreux noyaux név
u'un alfias de détritus informes où il est absolument impossible de distinguer quoi que ce soit, plus haut on retrouve diffici
u conjonctif très serré dans lequel les vaisseaux sont difficiles à distinguer . Elle est nettement séparée de la moelle, mais
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE seules les cellules de l'opendyme peuvent se distinguer par leur aspect si spé- cial. Les muscles voi
et de la paralysie alcoolique. Ces mêmes éléments vous serviront à distinguer la paralysie arsenicale des aulrcs variétés de po
lite antérieure. Je vous ai déjà dit combien il vous sera facile de distinguer le pseudo-tabes arsenical du tabes dorsa- lis v
vous cette triade fondamentale, et vous ne serez jamais en peine de distinguer la syringomyélie d'une paralysie arsenicale. e.
DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 353 réduite à l'une de ses moitiés où se distingue encore assez nettement la corne grise. La moi
droit de la coupe est presque saine dans ses parties centrales, on distingue les cellules de la corne antérieure, la colonne
lacé sans nucléole. Le sillon médian antérieur est très large, on distingue encore nettement les vaisseaux spinaux antérieu
ôté gauche de la coupe, quelques fragments nerveux dans lesquels on distingue encore les cellules du groupe antéro-interne de l
, noyés dans le tissu conjonctif épaissi de la pie-mère. On ne peut distinguer l'artère de la veine, un des vaisseaux présente
tées qui rem- plit presque tout le canal rachidien, on ne peut plus distinguer ce qui dans cette couche fibreuse appartient il
. Examinons chacun des éléments de la coupe : la substance grise se distingue nettement de la substance blanche, mais on ne s
don postérieur. N Queue de cheval. Ici il redevient impossible de distinguer la substance blanche de la grise, la moelle est
n anté- rieur. Il y a là un tissu fibreux très serré dans lequel on distingue encore net- tement l'artère aplatie, vide. La v
scope, voici comment se présentent les coupes. Région cervicale. On distingue assez nettement la substance grise de la subs-
pect normal 1 mais à la périphérie du côté gauche de la coupe on ne distingue plus ses limi- tes qui semblent diffuses et von
érieures ont perdu leur structure normale, elles sont impossibles à distinguer Tune de l'autre et sont représentées par des fe
. Dans la substance grise les cellules se voient avec peine, ou les distingue mal dans leurs contours et dans leur structure
ment due la moelle paraît encore plus atteinte, il est impossible de distinguer dans la substance grise une seule cellule nerve
son caractère natif : c'est ce bredouillement inintelligible qui le distingue parmi tout le peuple des marionnettes. C'est un
ractère de personnage grotesqu.e et ridicule. Il est difficile de distinguer , dans cette'période fabuleuse de l'histoire de
pel et quelques menus objets. Sur un coin de planche fixé au mur on distingue encore des récipients- pharmaceutiques. L'int
17 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
orriger celle dernière proposition en ce qu'elle a d'absolu. Ce qui distingue l'hérédité progressive, celle des ca- ractères
oordination qui est la manifestation prédominante de la maladie, se distingue encore du syndrome général des lésions purement
e classique en particulier, nous avons vu qne cliniquement, il s'en distingue en effet : le Par sa cause, par le rôle qu'un t
atomo-pathologique, il est très aisé par le seul examen clinique de distinguer de l'ostéite déformante le syndrome isolé par M
à l'ostéomalacie mais à l'ostéoporose. Il semble donc qu'il faille distinguer dans le groupe artificiel de l'ostéomalacie dite
la femme. (i) Schiffmacher (Munch. med. Wochenschr., 29 mars 1904) distingue soigneusement aussi l'ostéomalacie chez le viei
logiques si différents. L'observation des faits permet cependant de distinguer deux grandes catégories d'observations. Dans un
nique des démences organiques. Ces deux séries de cas permettent de distinguer un puérilisme aigu et un puérilisme chronique.
r des passions politiques ou religieuses, et je ne sais pourquoi je distingue des passions qui dans la pratique sont confondu
eu effacé par le temps, de Simone Martini (n° 1240 des Offices), on distingue encore très bien l'extension du gros orteil du
fférentes du phé- nomène de Babinski. Il est également facile de le distinguer des mouve- ments volontaires de défense que l'e
s ai dit, Messieurs, que s'il était utile pour la classification de distinguer entre elles les diverses races, il ne fallait pas
s de l'ataxie familiale. En effet, sur quoi se basait-on pour les distinguer ? sur t'age d'appa- 128 RAYMOND rition ? Mais
logiques sont les sui- vantes : A. Ecorce cérébrale. - Elle ne se distingue d'une écorce normale que par la gracilité de so
nts, attribué à l'hérédo- ataxie cérébelleuse pourrait suffire à la distinguer de la maladie de Frie- dreich, sclérose primiti
es, par exemple, à côté de la forme inférieure, la plus commune, on distingue des formes cervicales, cérébrobulbaires. Dans la
ifférences de localisation de la lésion dans le système cérébelleux distinguent seules, toutes transitions possibles, les varié
e la tumeur dépassé, l'écorce colorée au carmin ne pourrait plus se distinguer de celle d'une coupe normale. Les masses gris
n la touche, surtout aux jambes. Amaurose presque complète ; elle distingue à peine le jour de la nuit. Pu- pilles générale
atisme n'était pas en réalité dû à un accès épilep- tiforme. Ce qui distingue encore cette observation des précédentes, c'est l
etites que dans une préparation normale et il n'est pas possible de distinguer les images en soleil de la fibre nerveuse. Nous
des extrémités, qui, quoique voisines de la maladie de Marie, s'en distinguent cependant par des caractères très nets, tels qu
de moelles de paralytiques généraux dans des mé- moires successifs, distingue deux types lésionnels fondamentaux : l'un const
e idée plus large faisant des affections nerveuses, que la clinique distingue , de simples syndromes à correspondance anatomiq
ablir un seul caractère essentiel profond par lequel nous puissions distinguer les trois formes entre elles. Avant d'aborder l
flroy-Saint-Hilaire. La pseudencéphalie et l'anencéphalie, que l'on distingue assez ordinairement t l'une de l'autre, possède
a théorie des adhérences. Vers la même époque, Ad. Burggraeve (2) distingue des anencéphales par maladie et des anencéphale
tion entre l'effraction de la boîte crânienne et sa résorption ; il distingue les phases de l'anencéphalie suivant le degré d
, chez lesquels tout au moins la tumeur est extrêmement réduite, on distingue le Dérencéphale dont le crâne et la région cerv
nt beaucoup plus de la disposition habituelle. Il est impossible de distinguer les limites entre l'écaille occipitale et l'os
é de la moelle lom- baire, au point d'origine du filum terminal, on distingue sur les coupes transversales un tissu nerveux a
our de la tumeur. Sur les coupes pratiquées dans ces conditions, on distingue nette- ment, à une certaine distance de la tume
dessus d'elle les assises malpighiennes et les assises cornées ; on distingue également, dans le derme sous-jacent, un nombre
peau par une membrane conjonctive, assez épaisse, dans laquelle on distingue un certain nombre de capillaires (Pl. XLV-E). L
des éléments constitutifs de la moelle. Au milieu de ces débris, on distingue quelques cellules ayant encore des contours assez
le cas précé- dent. C'est une bouillie informe, dans laquelle on ne distingue plus aucun élé- ment cellulaire. Ce n'est que t
isté. Il est cependant un point par lequel ce tissu encéphalique se distingue : ici les vaisseaux ne sont que très exceptionn
l rachidien montre des dispositions importantes. Sur les coupes, on distingue nettement la moelle ; mais elle est réduite à u
moelle se trouve une bouillie informe, dans le sein de laquelle on distingue toutefois un reste de l'épithélium épendymaire
res, ainsi que le démontre leur situation et les relations que l'on distingue par endroits, tant avec la moelle qu'avec le ga
te gaine quand le nerf est bien fixé. En faisant varier le point on distingue les fibrilles qui.le composent. Elles courent par
rossissement montre quantité de détails. Dans les vaisseaux on peut distinguer les globules rouges et les différentes sortes d
D'EXAMEN DU SYSTÈME NERVEUX 403 Cerveau. Dans substance blanche on distingue , les noyaux et les cy- lindraxes coupés dans to
il est donc intention- nel au sens strict du mot. Malgré cela il se distingue nettement du trem- blement de la sclérose en pl
de- mander si, comme ont tenté de le faire divers auteurs, on doit distinguer au point de vue nosographique des types netteme
e trop précis, sans être absolument exact au point de vue clinique. Distinguer entre cette forme et la forme paraplégique pure
grand inconvénient à le maintenir. Mais il vaudrait peut-être mieux distinguer des formes spinale, bulbo-spinale et bulbo-cérébe
, C). MM. Brissaud et Meige ont cherché à établir qu'il y a lieu de distinguer les tics des spasmes, que l'hémispasme facial p
er- vations qui semblent relever de l'achondroplasie vraie ; il les distingue du rachitisme et tend à les rapporter à la syph
un foetus à membres 'courts et à tête volumineuse. M. Müller (1860) distingue , comme deux variétés de la même affection, le r
nsi que Apert (1901-1902), Méry et Labbé (1902), les caractères qui distinguent ces malades des myxoedémateux avec lesquels on
n sur un certain nombre de points qu'il importe de vérifier afin de distinguer en particulier le rachi- tisme, la dysplasie pé
eu exagérées. La consistance des os de la voûte est normale, ce qui distingue l'achondroplasie pure de la dysostose cléido-crân
ses musculaires. Les dents apparaissent à leur terme normal, ce qui distingue l'enfant achon- droplasique des rachitiques et
gique), Gracilité des os de l'avant-bras. Aux membres inférieurs on distingue , comme chez les achondroplasiques, des plis cut
dys- trophies osseuses que le microscope nous permet aujourd'hui de distinguer net- tement. Les diaphyses sont en général dr
e. 1° Ossification chondrale. - Dans la zone d'ossification on peut distinguer trois cou- ches successives en se portant du ca
e dystrophie osseuse congénitale, plus rare que la précédente, s'en distingue essentiellement par l'intégrité de l'ossification
reprenant l'ensemble des faits publiés, groupent les observations, distinguent ces deux formes de dystrophies osseuses et cher
sait manifestement qu'ils étaient flexibles dans leur milieu ; on y distinguait même une crépitation plus ou moins sensible.... D
ossède une base du crâne normale, des os palatins normaux, et ne se distingue des autres bovidés que par une atrophie portant
pement. Dans ce cas les courbures sont moins fortes, mais les os se distinguent de ceux des achondroplases par leurs surfa- ces
décrire les lésions osseuses du syphilitique, au même titre que l'on distingue le foie ou le coeur tuberculeux d'avec le foie
ucider la nature des lésions achon- droplasiques vraies afin de les distinguer des autres affections osseuses de nature ou de
re quelque jour d'établir un diagnostic étiologique plus précis,et de distinguer les achondroplasies syphilitique, tuberculeuse,
pas complet; certains signes font défaut; on ne peut, par exemple, distinguer aucun phénomène du côté des yeux isolés de leur c
u d'athé- rome. Reins fortement hyperémiés ; les deux substances se distinguent mal, mais'la zone corticale n'est nullement atr
XXV b et c). Chaque foyer a pour centre un vaisseau et l'on en peut distinguer plusieurs types : a) La paroi et la lumière du
e ces capsules surrénales ne diffère nullement de la normale : on y distingue les deux substances, corticale et médullaire, d
? ), qu'il semble vouloir écarter de son bras'étendu. A gauche, on distingue un homme dans l'attitude d'un' supplicié; ça et l
18 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
r- cies par les bichromates et colorées par la méthode de Forel, on distingue en général très facilement à l'examen histologi
ase d'implantation cérébrale ; de sorte que l'on peut dès à présent distinguer au nerf optique rudimentaire, un segment antéri
ieur primitif de Mis s'étend d'avant en arrière, et on y peut alors distinguer deux faisceaux, le faisceau longitu- dinal post
on de sa cavité, qui se transforme en aqueduc de Sylvius, et qui se distingue des cavités des Nerfs qui naissent du cerveau
ez les poissons osseux et dans les autres classes des vertébrés, on distingue nettement : le corps strié et le manteau cérébral
un lissencéphale ou d'un gyrezzcé- phale, il est toujours facile de distinguer dans le manteau cérébral deux parties : l'une,
mps que le caractère épithélial des cellules est manifeste, on peut distinguer avec His, trois zones sur une coupe transversale
de 6 1/2 à 8 Leur protoplasma clair et transparent, dans lequel His distingue à un fort grossissement, une couche endoplasmiq
ingulièrement par leur aspect pyriforme aux neuroblastes, mais s en distinguent cepen- dant, par la facilité avec laquelle leur
amine le canal neural d'un embryon de la quatrième semaine, on peut distinguer dans la sub- stance grise embryonnaire, très ép
st. très précoce dans les racines antérieures de la moelle. On'peut distinguer dans cette colonne de noyaux une partie médio-
fus de rameaux qui en- tourent le petit corps cellulaire, on peut distinguer avec Golgi tous les intermédiaires entre des ra
rites par Ranvier, Renaut et Vignal. Les cellules névrogliques se distinguent des cellules nerveuses par leurs rameaux droits
avec beaucoup de soin dans la moelle épinière par v. Lenhossek, qui distingue plusieurs types. a. Les cellules araignées gé
les araignées du voisinage de. la commissure grise posté- rieure se distinguent par leur disposition caractéristique. Dans cette
s, tout à fait sembla- bles à celles de la moelle adulte, ne s'en distinguent que par leur vo- lume et leur absence de pigmen
. 165 Le prolongement cytznd ? 'eaxzte est en général unique; il se distingue tacitement des dendrites par sa parfaite régu
HISTOGENÈSE DIT SYSTÈME NERVEUX. 18.* *) connectives (Vignal), se distingue cependant d'avec le cylindre-axe d'une fibre de
ès Flesch, à des différences dans leur fonctionnement, les ont fait distinguer par Weigert en cellules chîo2zol)hî*les et en c
leur aux nerfs péri- phériques, les tubes à myéline du névraxe s'en distinguent cependant par certaines particularités de struc
ÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 109 nerfs périphériques. Mais ce réseau se distingue de celui des nerfs périphé- riques en ce qu'il
rès serrées. Ces vaisseaux artériels, veineux et capillaires, ne se distinguent de ceux des autres tissus que par l'existence d
rs, tout à fait comparable aux cellules olfactives, dont elle ne se distingue que par la longueur de son prolongement périphé
nière uniforme, dans le ganglion rachidien ou cérébral. On peut les distinguer en cellules marginales., beaucoup plus nombreus
DULTE. 213 tine, décrit par Ewald et Kühne (fig. 131), mais il s'en distingue en ce qu'il se colore en noir par l'osmium, tan
o- ration assez faible, qui, pour Ranvier, suffit cependantpour les distinguer des fibres du tissu conjonctif. Le même auteur
Dans ces conditions et après dissociation, on peut très facilement distinguer les fibres de Remak des fibres connectives, car
visent chaque hémisphère en . lobes, lobules et circonvolutions. On distingue ces anfractuosités, en scissures qui limitent l
jeter directement dans la scis- sure de Sylvius (fig. 163). On distingue à cette circonvolution trois par- ties : l'un
rpariétal se termine dans la scissure perpendiculaire externe cl se distingue ainsi nettement de celui de l'homme. La partie
ente douce, dans le sillon marginal postérieur (mp). . Schnopfhagen distingue deux parties dans le lobule de l'insula : l'une
le est également convexe par sa face infé- rieure. Ses fibres ne se distinguent pas à l'état normal des libres visuelles, mais
de Gudden se caractérise par la grande finesse de ses libres et se distingue ainsi nettement des libres visuelles, qui prése
tricules laté- raux. dum est souvent si rudimentaire, que l'on ne distingue que difficilement z ces différentes couches. En
aspect strié et sa coloration spéciale, rougeâtre JI0' et pâle, le distinguent nettement du noyau interne, plus foncé et de colo
voit pénétrer dans la masse blanche des circonvolutions, dont il se distingue par ses contours assez nets. Il est séparé du ven
s d'agénesie du corps calleux au faisceau occipito-frontal (OF), se distingue nettement du Gorrr- relet du corps calleux par
avant et entoure le noyau antérieur (\a). Le noyau interne (Ni) se distingue par son aspect homogène d'avec le noyau, extern
ux noyaux, le noyau interne et le noyau externe (Ne). Ce dernier se distingue du premier par sa coloration plus pâle et son a
rc) et le faisceau uncinatus (Fu). Dans le lobe temporal on ne peut distinguer aucun faisceau. Les fibres courtes, comme les fib
e trigone (Tg) qui lui est uni dans sa partie interne, et qui ne se distingue du corps calleux que par sa coloration foncée,
coupe intéresse l'hémisphère cérébelleux; sur la face supérieure on distingue le lobe supào-antIJI'Í1 ! W' (Lsa), le lobe supér
ce extra-ventriculaire de la couche optique. Écorce. L'écorce ne se distingue que par des différences insignifiantes, d'avec
trent, au faisceau occiilo-f i·oz7tal de Forel (OF). Ce faisceau se distingue des fibres calleuses par la coloration moins fo
tale (F,), (pal'lie interne [mu;], ou partie orbitaire [oF,]) on ne distingue pas de faisceaux d'association nettement circonsc
ment postérieur, se mé- langent aux fibres précédentes, dont ils se distinguent facilement grâce il leur coloration foncée et s
it la lame médullaire interne du noyau lenticulaire (Lme). Elles se distinguent en général facilement des autres fibres, car el
) et par les fibres enchevêtrées de la musse blanche, dont elles se distinguent par leur direction et leur coloration plus fonc
lui viennent du segment antérieur de la capsule interne (Cia). Il se. distingue faci- lement par son aspect du noyau externe du
ces mêmes régions, la zone réticulée est beaucoup plus large; on y distingue la sec- tion de faisceaux de fibres, non seulem
e ou seg- ment antérieur de la capsule interne (Cia), dont elles se distinguent cependant toujours facilement par leur aspect f
nt, il est par contre mal délimité du noyau interne (Ni) dont il se distingue cependant facile- ment, grâce à sa richesse en
on sous-thalamique supérieure, au- dessus du corps de Luys. Elle se distingue de la précédente par la dimi- nution du segment
oupes précédentes nos 12 et 13 (fig. 311 et 312), on pouvait encore distinguer dans l'insula la circonvolution postérieure (Ip),
nt le même trajet et présentent la même direction. Ces dernières se distinguent cependant nettement des libres des radiations o
Meynert, la coupe intéresse la bandelette op- tique (II), facile à distinguer de cette dernière. La commissure de Meynert (CM)
stérieurs (Qp) présentent un aspect particulier, et sont faciles il distinguer des ccnlrriczzr·.c (Qa) des coupes précédentes .
il latéral ou infé- rieur (Itl). Ce ruban de Reil inférieur (Ri) se distingue du ruban de Reil médian (Rm) par sa situation d
a 4° et la. 5° couche de Mevnert n'en font en réalité qu'une seule, distingue avec . Schwalbe dans la région psycho-motrice d
même dans toute l'étendue de l'écorce cérébrale, et il convient de distinguer à cet égard l'écorce du manteau cérébral (palli
lules considérées jusqu'à lui comme étant de nature névroglique, et distingua dans cette couche trois espèces de cellules : des
e sont très nombreuses et on peut, d'après leur mode d'origine, les distinguer avec Cajal en tige ascendante ou dendrite primo
da, strata- medio de Golgi, fig. 329 et 339, C.). Cette couche se distingue de la précédente par le plus grand volume des c
,. Elles se confondent insensiblement avec ces dernières, mais s'en distinguent par leur situation nettement intra-corticale. C
l'écorce présente à ce niveau des particularités spéciales. Meynert distinguait huit couches dans l'écorce du lobe occipital, e
euses fibres à myéline. Le type cortical à 8 couches stratifiées se distingue donc du type à 5 couches de Meynert, par la pré
). . II. - ÉCORCE DU RHINENCÉPHALON L'écorce du rhinencéphalon se distingue de celle du manteau cérébral non seulement par
nvolution limbique (L,) ou cir- convolution du corps calleux, ne se distingue de celle du manteau cérébral, que par quelques
e l'écorce. L'écorce de la première circonvolution limbique (L,) se distingue encore de celle des circonvolutions du manteau
se confondent avec l'écorce grise des hémisphères (Blumenau). Cajal distingue trois couches dans les nerfs de Lancisi, une su
LE. 717 1 3. Stratum oriens. Couche des cellules polymorphes. Cajal distingue dans le stratum oriens deux zones : l'une infér
Schaffer, Cajal, que les cellules ovoïdes du stratum granulosum se distinguent des cellules pyramidales par un certain nombre
ar leur cylindre-axe, les cellules ovoïdes du stratum granulosum se distinguent encore nettement des cellules pyramidales des aut
cu- laire de la région godron- née de la corne d'Am- mon. Cajal distingue dans cette couche trois ou quatre zones secon
ellules nerveuses, analogues à celles de l'écorce, dont elles ne se distinguent que par l'absence de stratification. AZOULAY
T COMMISSURAUX. 747 rielles ou cérébelleuses (Cajal). Ces fibres se distinguent des cylindres-axes des cellules pyramidales non
cerne le système des fibres de projection. Caractères qui les 1 distinguent dos fibres do projection. 1 m. 372. - Coupe t
e que ces fibres ne se recouvrent de myéline chez l'enfant et ne se distinguent de la masse générale des fibres nerveuses, que
ntre-croisent avec le faisceau longitudinal inférieur dont elles se distinguent , sur les coupes microscopiques colorées au Weiger
tie de leur trajet au faisceau occiht.'lo-fiotztal : celui-ci ne se distingue des longs faisceaux d'association que par sa si
re de la corne occipitale, en un mince faisceau annulaire, facile à distinguer sur les coupes traitées par la méthode de Weige
la commissure antérieure et avec le faisceau uncinatus, mais s'en . distinguent par leur plus gros calibre et leur intense colo
en dedans par le faisceau longitudinal inférieur, et ses fibres se distinguent , de celles de ce dernier par leur direc- tion e
les de ccr- veaux durcis dans le bichromate (lig. 239 à 260), et se distingue par con- séquent facilement des radiations call
de for- nix periphericus, appliqué par Arnold au cingulum. Or, nous distinguons dans le trigone cérébral le corps du fornix, le
es radiations tha- lamiques et du faisceau uncinatus; ses fibres se distinguent par conséquent facilement des fibres du faiscea
19 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
contraire. En sorte que l'on peut, à côté de la maladie de Raynaud, distinguer trois grandes classes d'asphyxie chronique :
syncope locales. C'est là un caractère différentiel suffisant pour distinguer l'acrocyanose de la 'maladie de Raynaud, qui lu
ution » des impressions dans les centres nerveux (2), puisque, pour distinguer les deux pointes du compas de Weber, il faut bien
achet, d'une certaine modalité qualita- tive qui nous permet de les distinguer , tout en ne signifiant rien par elles- mêmes. «
Bonnier, ce certain cachet, cette couleur locale qui nous permet de distinguer ces sensations qui ne signifient rien, qui vari
bien demander à quoi bon ces formes diverses qui nous permettent de distinguer les lettres de l'alphabet, puisque ces lettres
. Je ne serais pas surpris non plus qu'au fond de cet urinai on put distinguer comme un soupçon de petit être, homunculus, qui
cellules rondes en longues traînées parfois unicellulaires. Elle se distingue encore nettement de la subs- tance nerveuse, do
les-mêmes qu'un amas de noyaux vivement colorés. Dans cette zone se distinguent des taches claires tranchant sur le bleu som- b
i sont entourés par un manchon nucléaire étroit. Les tuniques ne se distinguent plus en gé- néral ; l'adventice est complètemen
née ; on est obligé de la conduire pour la faire marcher. Elle sait distinguer sa droite de sa gauche, elle peut s'habiller seul
érieur, soit aux radiations optiques, soit au tapetum. A droite, on distingue encore un certain nombre de fibres à direction an
La reconnaissance des couleurs fut possible tant que la malade put distinguer les formes. Le parallélisme entre ces différent
dont elle est ainsi nettement distincte (Pi. XXVI). A droite, on distingue la rotule, à gauche, elle manque. Tibia. Les de
he, l'astragale semble absent, le calcanéum est très allongé. On ne distingue ni le scaphoïde, ni le cuboïde. Des quatre métata
augmenté de volume. La PI. XXXII montre l'aspect de la lésion : On distingue très nettement les divers détails exté- . rieur
-postérieur ; ses contours sont bien délimités par la pie-mère ; on distingue nettement le sillon antérieur, les points de term
. Le reste de la moelle ne paraît pas considérablement modifié ; on distingue assez bien la substance grise et sa gaine de su
es cellulaires sont bien évidemment des émanations des cellules. On distingue très nettement les prolongements qui partent des
ar Gull, Charcot et Joffroy, et quelques observations personnelles, distinguent nettement dans leur tra- vail, une syringomyéli
une tumeur des testicules. Chez notre malade, le système sexuel se distingue par son développement extraordi- naire : l'enfa
ce doigt. Ce cas semble donc intermédiaire aux deux catégories que distingue M. Lannelongue. C'est bien une hypertrophie vra
ont, l'une et l'autre, une forme sensiblement normale ; elles ne se distinguent de leurs similaires de la main droite que par l
Ces cas ne peuvent en aucune façon être rapprochés du nôtre. Ce qui distingue celui-ci, en effet, c'est la forme même et le s
obtenir que des contours osseux très vagues, qui ne permettaient de distinguer aucun segment osseux. Traitement. Le malade est
s de 1891 et de 1894 (1 ) et dans son Traité de chirurgie, Chipault distingue avec une grande justesse deux catégories d'arthro
ieu, est-il possible, cliniquementet anatomo-pathologi- quement, de distinguer les cas tabétiques vrais des tabétiformes d'une p
nous a été impossible de savoir. En tout cas, celte hypertrophie se distingue des faits visés plus spécialement par Henry Mei
minées entre les fibres larges ou réunies en -petits faisceaux, s'y distinguent plus nettement. Les fibres sont généralement as
ve parfois des traînées de noyaux petits et ovoïdes dont on ne peut distinguer nettement le corps cellulaire. Les cellules a
it faisceau ner- veux étouffé par son périnèvre exubérant. Ce qui distingue les fibres nerveuses du bout périphérique de cell
es adultes complètement différenciées. Ces dernières, cependant, se distinguaient des tubes nerveux normaux par la largeur insoli
Le rouge devenant noir en photographie, on ne peut, malheureusement, distinguer les cylindraxes noirs des rouges. Le cylindraxe
. Mais le trophoedème jouit à ce point de vue d'un caractère qui le distingue nettement du pseudo- oedème catatonique : il dé
de(l); la lipomatose diffuse symétrique de Mosny et Beaufumé qui se distingue par la maigreur générale des masses musculaires
'urine s'y trouvent en quantité normale. Le syndrome de Dercum se distinguera .donc du pseudo-oedème, cata- tonique par sa loc
par le deuxième ; l'association des deux syndromes s'observe. Il se distinguera du tropheedème en ce qu'il respecte les mains e
tent des accès quotidiens. La stéréotypie du mouvement de lécher se distingue donc objectivement t de ce que serait un vérita
nt très limité ne sont pas moins facilement re- connaissables et se distinguent nettement des actes purement réflexes d'origine
e ou tonique, et c'est en cela qu'il différera d'un tic; mais il se distinguera de l'acte vulgaire de lécher par la déformation d
ce parallèle que s'il importe pour des raisons noso- graphiques de distinguer nettement les stéréotypies des tics par leurs ma-
aigus se sont dissipés, alors dans le délire alcoolique continu on distingue en premier lieu les hallucinations et les illus
inu est plus accusé, le nombre des voix est assez grand ; le malade distingue nettement non seulement des phrases, mais des dia
voix ne s'entendent pas continuellement : le malade commence à les distinguer , lorsqu'il y a un silence autour de lui, ou lor
comme à bon droit l'Alle- magne peut se glorifier d'en produire se distinguerait certainement par des qualités tout autres. Po
20 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
escence se montrent plus caractérisées. Ainsi il serait possible de distinguer parfois la syringomyélie purement intra-médullair
, Thornburn rattache le Grand Pec- toral à la V. cervicale; Edinger distingue au contraire avec juste raison, un Pectoral cla
, de Schoenúom (2), de Noguès et Sirol (3) et de Hoff- mann (1), se distingue par son caractère très typique de variété atro-
caractéristique pour les cas décrits par les auteurs précédents, se distingue beaucoup de la localisation des dystrophies mus
foule de points noirâtres qui remplacent les vais- seaux que l'on y distingue il l'état normal. A l'état normal en effet, la
r axe et paraissent émerger directement du tissu nerveux sans qu'on distingue autour d'eux une cavité. Dans le cas de lacune
petites hémorragies très limitées qui évoluent sans fracas et ne se distinguent pas cliniquement des la- cunes. ' Tels sont l
ré qui s'est caractérisé surtout par ce fait qu'il sera possible de distinguer au microscope un espace suffisamment étendu entre
ois sont tou- jours très épaissies. Dans un cerveau normal, on peut distinguer aux artérioles les trois tuniques caractéristiq
par l'hématoxyline comme les noyaux cellulaires des tuniques on les distingue facilement. Ce sont des éléments en pleine acti
t se colorent assez facilement, leur petite dimension les fait bien distinguer des cellules nerveuses. Enfin le réseau de fibres
r les procédés ordinaires convenant le mieux au système nerveux, on distingue dans les parois de la cavité lacunaire trois zone
e membrane qui limiterait la cavité du côté du tissu cérébral. « On distingue , limitant celle-ci (la cavité), une mince pelli
brisées en plusieurs places. Il est en général im- possible de les distinguer des fibres névrogliques, sauf quand elles sont en
nt excen- trique. Ce protoplasma prend les couleurs acides : on n'y distingue pas nette- ment de granulations. Il est du rest
auteur considère surtout la valeur esthétique de l'affection, qu'il distingue cependant en congénitale ou acquise, et il étab
140 GASTON DANIEL sence de lésions cérébrales, il faul évidemment distinguer les lésions cé- rébrales, que l'on rencontre da
te d'un certain cachet, d'une couleur locale qui nous permet de les distinguer . Nous reconnaîtrons donc, parmi ces multiples s
bon ce certain cachet, cette cou- leur spéciale qui nous permet de distinguer ces sensations qui ne signifient rien, qui vari
amidales. Par la coloration au bleu de méthylène, on peut nettement distinguer dans ces cellules étoilées un gros noyau clair av
sus dé- crites, formant une masse compacte dans laquelle on ne peut distinguer aucun centre ni aucune orientation des éléments
es circonvolutions des hémis- phères nornaux,-dans laquelle on peut distinguer la substance grise avec ses cellules pyramidale
envoient de courts prolongements étoilés ; il n'est pas possible de distinguer la moindre ramification fibrillaire partant de
nt qu'on peut, avec une certaine habitude de la lecture des tracés, distinguer net- tement le tracé d'un sujet de celui de l'a
us voyons une masse irrégulière, formée de tissu spongieux, où l'on distingue les deux condyles, et la rotule allongée, sou-
moins avortés (Isidore G. St-Ililaii-e). Parmi les ectromélies, on distingue , tou- jours depuis le même auteur : les ectroda
s et de l'éva- sement du bassin si caractéristiques chez eux. Ilsen distingue en outre com- plètement au point de vue psychiq
u'il fait en ce moment grand jour ; mais il est hémianopique. Il ne distingue pas les objets qui sont placés dans la moitié d
lésions histo- logiques fines, notamment du cylindraxe, difficile à distinguer sur les coupes longitudinales. Aussi pour un
breux adulte plus ou moins dense ; cependant sur quelques coupes on distingue entre les racines et les gaines conjonctives, u
fascicules radiculaires sont si petits et si irréguliers qu'on les distingue difficilement à un faible grossissement (fit. 4
d'éléments nerveux, ou les masquent en tous cas au point qu'on n'en distingue qu'avec la plus grande difficulté. On conçoit c
ette déduction c'est que parfois au centre d'un de ces amas on peut distinguer un LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TA
rapports avec un vaisseau ne peuvent pas toujours être établis. On distingue enfin des foyers hémorragiques récents, il est
atrophiées, quel- ques capsules péri-cellulaires sont épaissies. On distingue des amas nucléaires représentant les uns des pr
Obj. AA. Oc.2. 318 THOMAS ET HAUSER l'hématoxyline, permettent de distinguer à la limite de la racine et de sa gaine fibreus
ns chacun de ces petits placards (intensivement coloré en rouge) on distingue quelquefois une ou deux fibres avec un cylindre-a
, il y a une zone de transition dans la- quelle il est difficile de distinguer les gaines des fibres nerveuses du tissu conjon
dans chaque groupe, à côté d'une ou deux fibres d'aspect normal on distingue des petits placards colorés en rouge vif dus sa
en plus grande (fig. 10). Dans l'intervalle des fibres saines, l'on distingue des fibres désorganisées à contours flous, dont
oir une importance aussi considérable que les précédents. Ils ne se distinguent guère, dans leur apparence extérieure, des symp
rigine psychique. A cet égard, il est encore un point par lequel se distinguent les phéno- (1) P. l\ ! ASO¡ : o1, Remarques sur
rations colorées à 1'liématéine-éosiiie, la racine pos- térieure se distingue aussitôt par sa teinte beaucoup plus accentuée du
résultat, la disparition totale ou partielle de la gaine. Gombault, distingue à ce propos la destruction brusque du centre tr
comparables à ceux qu'a obtenus Nageotte ; toutefois il y a lieu de distinguer d'une part l'épinévrite lésion habituelle, mais
s d'affection de la q1e1te de cheval à des cas pathologiques qui se distinguent par l'intégrité, par- tielle ou totale, des fon
dans un cas donné, à diagnostiquer le siège précis de la lésion, à distinguer une affec- tion nucléaire de la portion inférie
a une grande ressem- blance entre les deux processus, et que, pour distinguer ces deux ordres de lésions, il est nécessaire d
laire, soit vers la zone des grains. A un fort grossissement, on ne distingue nettement que les noyaux de ces cellules : ils
ortement co- lorés. Ces noyaux, dont l'atmosphère de protoplasma se distingue mal, pré- sentent des dimensions variables ; le
velet normal après coloration par la méthode de Nissl, on peut déjà distinguer quelques-unes de ces cellules, soit éparses dans
les cartilagineuses. Dès 1832, Isidore Geoffroy Saint-Hilaire (1) distinguait , parmi les anomalies par augmentation générale
21 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
térieure des cordons postérieurs de la moelle, il est impossible de distinguer celles qui sont des fibres endogènes de celles
p de soin par Lissauer, dans son mémoire cité plus haut. Cet auteur distingue plusieurs régions qui sont d'arrière en avant,
cordon postérieur les dé- bris de myéline altérée empêchent de bien distinguer , à ce grossissement, les fibres endogènes conse
es tracés de ce second type possèdent un caractère spécial, qui les distingue très nettement du type normal correspondant : ici
étude de la marche. Si l'enduit est trop épais, il ne permet pas de distinguer les lignes papillaires ; s'il est trop ténu, il n
ni hérédité ni traumatisme; et, par ces divers points notre cas se distingue des spondyloses du type Marie et du type Bechte
rps cellulaire, n'est pas uniforme ; souvent l'une des dendrites se distingue beaucoup des autres par sa grosseur. Les con- t
dépourvue des appendices collatéraux. Les appendices collatéraux se distinguent les uns par une dimension très petite, d'autres
ndrite est issue (V. fig. 2). - Ici les appen- dices collatéraux se distinguent par leur dimension assez grande et sont très vi
mais les troubles de la prononciation sont assez accusés pour qu'on distingue mal la réponse. Toutefois, en dépitde cette bon
ue fibreuse. Le noyau calcifié présente une apparence ostéoïde ; on distingue des rudiments de lamelles os- seuses et des app
es nerveuses. Les faisceaux de Burdach sont moins alté- rés, ils se distinguent par des limites très nettes du faisceau de Goll :
ainsi,aux xe etxi9 siècles, une série de documents médicaux qui se distinguent par des qualités exceptionnelles. Ces qualités ne
tion : de sorte que les prétendus types ne sont pas aussi faciles à distinguer qu'on pourrait le croire et qu'il est très diffic
e quelques vaisseaux (en particulier ceux du 4" lombaire gauche) on distingue très nettement des leucocytes dont le protoplasma
e, et sur le trajet ou même dans l'intérieur de plusieurs fibres ou distingue aisément un semis de petites granulations noires
HAUSER noir; la surcharge pigmentaire n'est pas très accentuée. On distingue quel- ques proliférations capsulaires, soit à l
dorsale, deux à la région lombaire. Les lésions sont ici minimes : on distingue bien quelques cellules petites en voie^ d'atrop
e extrême des racines postérieures dans leur bout central : à peine distingue-t -on quelques fibres à myéline. Le nombre des cel
ngées dans le sens des fibres nerveuses au milieu desquelles on les distingue difficilement; mais elles peuvent t aussi conse
s, encore pour- vues de leur gaine de myéline, on pouvait nettement distinguer un semis de gouttelettes de myéline extrêmement
possible : toute- fois pour la commodité de la description, on peut distinguer , comme nous l'avons fait au début de ce travail
nelées. Par- fois il se colore en masse intensivement et on ne peut distinguer le nucléole et les fines granulations qui l'occ
Dans certains cas,ce tissu paraît normal ; dans d'autres cas,il se distingue par la multiplication des cellules conjonctives
up : le pig- ment n'a pas toujours, d'après lui,le même aspect ; il distingue un pigment très fin, poussiéreux, clair ; un au
lement curables, et celles très rares par paralysie in- fantile, se distinguent par la notion de cause, les symptômes concomitant
ies, occasionnent aussi des troubles sensoriels et sensitifs, et se distinguent très clairement par leurs symptômes généraux; cép
rticulier oedème papillaire. . La paralysie bulbaire progressive se distingue facilement de la forme bulbaire, par son évolut
.. la maladie porte l'empreinte d'une sorte d'individualité, qui la distingue des malades semblables, qu'on observe dans d'au
ement la couleur noire, ce qui se comprend, vu que les maniaques se distinguent toujours par un amour particulier de tout ce qu
alisé, mis au même rang les deux travailleuses ; nous ne sau- rions distinguer les deux broderies ni par la qualité du dessin, n
laquelle se dirige la procession dansante. Parmi les fervents, on distingue un groupe de quatre danseurs, hommes âgés qui s
ant la majeure partie du faisceau. A un fort grossissement, on peut distinguer dans le muscle, deux ordres de lésions : les un
t que l'examen à un fort grossissement de ces lésions permet de les distinguer d'une manière certaine des capillaires qui côto
culaires qu'il présentait. On sait que dans les myopathies, on peut distinguer au point de vue de l'état des muscles, trois fo
étroite bande périphérique et un mince quadrant; pourtant le malade distinguait à peine une personne habillée en blanc et n'avait
clinique, de l'état c demi-voyant », l'état qui permet au malade de distinguer le jour de la nuit sans lui permettre de reconn
un peu de l'oeil gauche une per- sonne habillée en blanc, mais n'en distinguait pas les traits » ; or, son nerf optique gauche
vrais, bien que quelques signes permettent au- jourd'hui de les en distinguer . Ce sont aussi ces mêmes lésions que nous avons
le malade conserve des sensations lumineuses plus ou moins vives et distingue la lumière du jour, parfois les lumières artifi
e l'existence d'une paroi névroglique épaisse ne suffit nullement à distinguer la syringomyélie d'autres cavités. Dans un de nos
t à signaler. Ils' peuvent simuler de près les névromes qui ne s'en distinguent guère que par l'orientation en tour- billons et
on la considère comme l'effet d'une réaction secondaire. Rien ne la distingue le plus souvent de celle. que peut susciter tout
avités par dégénérescence de leurs éléments. La diffi- culté est de distinguer le gliome ou la gliose, néoplasie névroglique pri
cher ou le soin d'isoler. as En regardant de plus près sa figure on distingue aisément un empâte- ment de la joue, du menton
lon médian antérieur. A un examen plus attentif, après chromage, on distingue très nettement dans les coupes antérieures cervic
de ces manifestations pathologiques de la peau, parmi lesquelles il distingue : le pseudo-oedème du pied, l'érythème polymorphe
ent très limité, ne sont pas moins facilement reconnaissables et se distinguent nettement des actes (1) Pitres, Gaz. met., 1888
22 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
st ingénié à la dépister dans ses moindres ma- nifestations et à la distinguer des autres affections cérébrales. Cette étude e
symptomatiques de la syphilis artérielle de l'encéphale. - On peut distinguer dans l'évolution de la syphilis des artères cér
es oblitérantes agissent surtout par l'ischémie cérébrale. Elles se distinguent simplement par l'adjonction de symptômes de com
mixtes. Tels sont les symptômes qui peuvent quelquefois servir à distinguer la forme artérielle des autres variétés de [syphi
région de l'entrecroissement des pyramides, on peut avec certitude distinguer un territoire antérieur destiné il la région la
la phase de dégénérescence. A cette période les cellules lésées se distinguent par leur hypertrophie et par leur coloration fo
estation du réactif sur la cellule nerveuse, et que nous pouvons en distinguer les dessins artificiels produits sur un tissu m
c des signes suffisants pour qu'on ne doive la méconnaître. Elle se distingue surtout par la prédominance des signes soma- ti
un aveugle ordinaire. Sa vue est si faible qu'elle est incapable de distinguer les objets, ni de compter les doigts qu'on lui
t apparut une cécité complète, de sorte qu'il ne pou- vait même pas distinguer la clarté des ténèbres, et perdit en même temps
la couleur verte) et ne se trompait pas même dans leurs nuances. Il distinguait très mal les physionomies des personnes qui l'e
ésentent une symptomatologie un peu particulière, permettant de les distinguer quelquefois des autres formes de syphilis céréb
roubles paresthésiques, rarement de l'anesthésie complète. Ce qui distingue surtout ces troubles, c'est leur pe2,)îia- nenc
récédente est rare. On pourrait, comme dans la syphilis artérielle, distinguer deux périodes dans son évo- DIAGNOSTIC DIFFÉREN
emps de cesser ses travaux de broderie ; elle voit tout en gris, ne distingue plus les couleurs ; souvent des brouillards et
us qu'un angle de 15-20°. Aclero- rnatopsie complète ; la malade ne distingue plus aucune couleur. Diminution considérable de
atée et immobile. L'oeil droit est un peu moins atteint : la malade distingue d'où vient la lumière, elle voit très vaguement
bjets et les personnes, mais ne peut reconnaître celles-ci, ne peut distinguer combien on lui présente de doigts, ni même si l
e sorte d'individualité nosographique. Il propose en conséquence de distinguer l'amenza stupide avec une forme simple ou torpeur
ar leur ter- minaison, qu'il n'y a pas lieu, semble-t-il, de les en distinguer d'une façon essentielle, et qu'elles doivent êt
hotique, germe toujours sur un terrain préalablement lésé. Wernicke distingue bien les unes des autres les idées autochtones,
rmes du délire généralisé sont très nombreuses; on pourra notamment distinguer le délire géné- ralisé hallucinatoire et le dél
e et climatérique tendant à la chronicité. On peut s'en servir pour distinguer la stupeur de la démence et pronostiquer l'incu
ommencé par une atrophie considérable de la cuisse. Il importe de distinguer ces formes médullaires de l'amyo- trophie d'ave
e nerveuse telle qu'elle résulte de ses recherches personnelles. Il distingue dans cette cellule trois éléments essentiels :
eçon clinique. M. Ballet mentionne les caractères qui permettent de distinguer cette variété d'amaurose des'amauroses organiqu
s deux affections, mais des caractères importants permettent de les distinguer : 1, Les caractères généraux des symptômes et l
intérêt. Vous pensez qu'il y a danger à le communiquer. Nous n'en distinguons pas les raisons. Personnellement, j'aurai commu-
écutés mélancoliques forment un groupe homogène dans lequel on peut distinguer un certain nombre de variétés cliniques. Ils so
euvent se développer à tout âge, suivant les circonstances, il faut distinguer d'autres perversions dont on retrouve les premi
ltat naturel d'un mode d'exis- tence trop hautement différencié. Il distingue deux groupes parmi les instables, ceux à réacti
s malades ; de leur faire con- naître brièvement les caractères qui distinguent le patronage familial du régime des asiles ferm
igus, soit isolément sous une forme plus ou moine atténuée. Il faut distinguer les cas où le délire s'accompagne de phéno- mèn
ition aux formes chroniques et plus ou moins systématisées, on peut distinguer différents degrés constituant autant de variété
sive dans sa forme la plus simple '. Ettmuler, cité par Esquirol 2, distingue déjà les manifes- tations délirantes de l'affec
tonnets en particulier. Dans toutes les autres unités nerveuses, on distingue deux par- ties principales : la cellule nerveus
es sens, par celle de la muqueuse olfactive des vertébrés : elle se distingue de la cellule neuroépitheliale par la possessio
provenant de la moelle épinière d'un supplicié 1 sain et jeune. Il distingue dans ces cellules dont il énumère plusieurs typ
à poursuivre cette striation jusqu'au cône d'origine. Le noyau se distingue , avant tout, par la grosseur considérable de so
gauche bilatérale. Phys,ologiquement et cliniquement, au lieu de distinguer l'oeil droit et l'oeil gauche, ils vont mieux d
au lieu de distinguer l'oeil droit et l'oeil gauche, ils vont mieux distinguer la moitié droite des deux yeux et la moitié gau
indépendamment du fond de la préparation qui reste incolore et de distinguer nettement les deux éléments conslitutifs du cyto-
ewski. J'ai voulu simplement montrer que par la méthode de Nissl on distingue mieux les lésions que par tout autre procédé. C
ions que par tout autre procédé. Cette méthode per- met en outre de distinguer une série de transformations par lesquelles pas
OCIÉTÉS SAVANTES. 417 complexe du délire aigu, on pouvait nettement distinguer les symptômes caractéristiques de la paralysie
ent; sa forme générale est celle d'un fuseau; macroscopiquement, on distingue mal ce qui reste de la moelle au point maximum
laquelle, après les manipulations ordinaires, il est impossible de distinguer ce qui appartient à chaque cellule. Par points,
35. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 479 on peut distinguer des types de mélancolie vraie, essentielle, aya
l'auteur observe que la non-équivalence des hémisphères cé- rébraux distingue l'homme de tous les autres animaux. A. FENAYROU
oncée. Le noyau, bleu pâle, avec ses nucléoles, bleu foncé, où l'on distingue quelques petits endroits clairs, tranche toujou
23 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
ntérieures, il en est un, vous le savez, qui, dans chaque cellule, se distingue entre tous par des caractères anatomiques bien tr
. Quant aux autres prolongements cellulaires, qu'on désigne, pour les distinguer du précédent, du nom de Protoplasmaforsatze (prol
à la fois divers points du système cérébro-spinal, et il y a lieu de distinguer , dans la description clinique des deux affections
car l'affaiblissement de la vue, comme la lésion qui l'a produite, se distingue par une marche à peu près fata-lement progressive
auteurs, permettent de reconnaître l'amaurose des ataxiques, et de la distinguer de toutes les autres formes d'affaiblissements de
le offre dans sapartie centrale; enfin la teinte légèrement rosée qui distingue au contraire sa partie périphérique, et qui est d
nsemble, un syndrome à peu près caractéristique. Ils permettraient de distinguer aisément l'a-maurose tabétique de celle, par exem
ux périodes de la névrite optique, et opposons-les aux caractères qui distinguent la papille tabétique. A. Pour ce qui concerne l
auquel on doit plusieurs travaux importants sur ce sujet, propose de distinguer dans l'arthropathie des ataxi-ques : 1° le dévelo
us haute valeur. De plus, parmi les pseudo-névralgies, il y a lieu de distinguer une espèce particulière qui prête, dans le cas où
particuliers sous lesquels elle se présente et qui per-mettent de la distinguer des paralysies cervicales liées à la compression
ment permanent du membre, cette grande laxité des jointures permet de distinguer à coup sûr le pied bot résul-tant de la paralysie
étroite dans les cornes antérieures et tous les autres caractères qui distinguent celles de l'enfant. Mais l'autopsie n'a pas encor
a établir tout à l'heure comment les amyotrophies deuléropathiques se distinguent de l'amyotro-phie protopathique, mais aussi par t
térieure des zones radiculaires postérieures, de manière à ne plus se distinguer bientôt ni des unes ni des autres. Cependant, m
du faisceau anléro-laléral. Dans cet espace, la substance blanche se distingue par une teinte grisâtre, appré-ciable à l'œil nu.
hale et du bulbe qui sont en relation avec les faisceaux laté-raux se distinguent , comme ceux-ci, chez le fœtus, par un dé-veloppem
que est assez frappant, assez caractéristique, pour qu'on puisse le distinguer aisément de celui qui relève de l'altération limi
et qu'il n'y a aucune tendance à la formation des escarres. Elle se distingue encore, vous allez le reconnaître, par d'au-tres
vations que, cliniquement, cette atrophie musculaire des ataxiques se distingue par quelques caractères spéciaux. Ainsi, elle ne
lte. Quoi qu'il en soit, il y a lieu, au point du vue clinique, d'y distinguer deux périodes, reconnues du reste par tous les au
u premier abord, que je vous proposais tout à l'heure d'accepter pour distinguer cette forme pathologique. L'affection dont il s'a
t radicalement, ainsi que je vous l'ai laissé pressentir, de ceux qui distinguent la myélite uri-yiaire. Le tableau, tracé par M.
nté, en raccourci, il est vrai, les caractères plus accentués qui les distinguent aujourd'hui. Ainsi, la malade se souvient fort bi
ers modes de la sensibilité sont là conservés. Cependant la malade ne distingue pas nettement la différence qu'il y a entre deux
e sa subordination en quelque sorte nécessaire aux symptômes laryngés distinguerait le genre de « vertige qui nous occupe, des divers
Ces éléments font une saillie notable à la surface du vaisseau, et se distinguent facilement des noyaux de l'en-dothélium qui sont
dérables. Il faut se servir d'un fort grossissement pour arriver à en distinguer un certain nombre. Les plus petites qui soient
lari-sation diminue, les tubes à myéline apparaissent de nouveau ; on distingue çà et là des cellules nerveuses reconnaissables ;
u-dessus de la surface de section, et dans lequel il est difficile de distinguer aucun élément. Mais ces foyers, renflés à leur pa
le coloration rouge ; par contre, les muscles propres de la langue se distinguent par leur pâleur et par une diminution évidente de
times, au contraire, peuvent être étudiées dans les deltoïdes, qui se distinguaient , pendant la vie, par une augmentation de volume t
ement atrophiés qu'il faut user de la plus grande at-tention pour les distinguer dans l'épaisseur du tissu conjonctif interstitiel
res leçons à la Salpêtrière \ M. Char-cot a exposé les caractères qui distinguent une variété de Vhémichorée post-hémiplégique, à l
e, paralysie et contracture des membres inférieurs.) — Caractères qui distinguent la pachyméningite cervicale hypertrophique de la
24 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
prédominance des hallucinations et des idées délirantes, elle s'en distingue par la rapidité et lamultiplicité des hallucina
des conceptions délirantes et la rareté des hallucinations. Meynert distingue en propres termes la Verriickthcit aiguë primit
lucinatorische Veiwiiilheil), le Walazsinn et la Verrücletlceit. Il distingue la première et la sépare des divers délires, parc
algré lui et non direc- tement. Quant à la forme chronique, elle se distinguerait dé la folie systématique vraie ou Verrüclalaeit
quemment, il a été précédé de troubles psychiques antérieurs. Il se distinguerait de la mélancolie par le dévelop- pement plus ac
i-même. ELudiant ensuite la sensibilité des tissus viscéraux, il en distingue trois sortes, les séreuses, les muscles et les
et excito-méta- boliques. De même, dans les algio-moteurs, il faut distinguer les algio-musculaires, algio-glandulaires, algi
ns, devient le grand Dr Calmeil ; l'autre, qui avait treize ans, se distingua comme avocat et occupa à Poitiers une place con
fection. Rostan s'occupait beaucoup de ses élèves et, parmi eux, il distingua le jeune Calmeil. Celui-ci prit sous sa directi
es survenant au cours ou à la suite des infections aiguës, l'auteur distingue ceux qui sont une manifestation directe et dépe
que (chronische Verriicktheit) elle-même n'est pas-toujours aisée à distinguer delà confusion mentale ( l'eriuirrlheit), parce
des lambeaux de délire de grandeur et de persécution. Mais elle se distingue de la folie systématique (paranoïa), par l'état
olie systématique primi- tive (ou 17e ? î,üeletheil), il y aurait à distinguer une folie systé- matique originelle (originoere
de la paranoïa. Il se sert donc exclusivement du mot paranoïa et distingue : une paranoïa aiguë simple, une paranoïa ch2,o-
e 1'ez·rüclctheit). Ce qui, malgré les difficultés de l'entreprise, distinguerait l'amentia aiguë de la paranoïa aiguë, ce serait
a devrait être rangée parmi les psychoses dégénératives. Schoenthal distingue aussi de la façon suivante la Perzcirrtheit de
cirrtheit de la paranoïa acuta. « La paranoïa acuta (Wahnsinn) se distingue de la Verzuirr- theit parla finesse d'exécution
nts et de l'autre, les psychoses du sentiment. Le criminel-né ne se distingue pas toujours nettement du criminel d'occasion.
oscillations dont la réunion cons- titue le tremblement). Elles se distinguent l'une de l'autre par le tremblement individuel
en plaques tremblent par rotation autour du bras du sujet. Elles se distinguent de l'hystérie et de l'alcoolisme en ce que l'él
Pour M Zambaco, toutes ces maladies, qu'on s'efforçait jusqu'ici de distinguer les unes des autres en invoquant des caractères c
s : 1° les myélites chroniques; 2° les myélites aiguës dont on peut distinguer deux formes : a, la forme nodulaire ; 6, la forme
tence du délire chronique tel qu'il est formulé par Magnan. Pour distinguer un délire systématisé dégénératif d'un délire c
elle elle a été décrite en France, en ajoutant primitive afin de la distinguer des formes où il y a aussi confusion, mais seco
lade, par suite d'une dissolution plus marquée devient incapable de distinguer les idées vraies des fausses. IX. DE l'absenc
autant que possible comme une salle d'hôpital moderne; ce que l'on distinguera tout simplement ce seront les installations ind
là ne concordent pas avec les cas dont il a été question. Comment distinguer cette forme de confusion mentale halluci- natoi
sordre des mouvements, et l'exagération de l'idéo- genèse. On les distinguera des psychopathies dues à l'épuisement, à la par
rage, de la malaria, de la fièvre jaune sont presque impossibles à distinguer de celui dont nous nous occupons ici : cela se
l apparaît à l'état d'organe pâle un peu gonflé dans lequel on peut distinguer des lacunes plus claires. Quelques cellules moins
culaire. Ce dernier déborde le noyau lenticulaire en arrière, et se distingue du premier par la direction de ses fibres qui,
durée de la ma- ladie ne peut, par exemple, servir de boussole pour distinguer DE LA PARANOÏA. 277 la confusion mentale (Ver
itsch, Salgo, Meynert, Wille. Il y a même une certaine difficulté à distinguer la folie systématique surtout hallucina- toire
lons résumer maintenant, ce sont les carac- tères qui permettent de distinguer le groupe paranoïa des autres maladies mentales
econdaire, con- > sécutive aux idées délirantes. C'est là ce qui distingue ces faits' de la manie (expansion gaie primitiv
ats affectifs ? Pour rendre. les «recherches plus faciles, M. Ribot distingue dans ces derniers quatre' groupes : 1° les save
suite de la. fatigue, chez les alcooliques et les maniaques. Ce qui distingue la pensée parlée de la pensée écrite sans choix
es violences impulsives. Le remplacement de la manie par la stupeur distingue ces faits-de ceux de la stupeur circulaire de S
sont loin d'être définitives. Il ne me semble pas suffisant de les distinguer en obsessions, impul- sions et phobies; ce sont
e peut passer par ces trois formes, il est. bon, sans doute, de les distinguer ; mais pour étudier la formation, pour détermine
xième (papa) est correctement écrit, il n'est plus possible de rien distinguer d'un troisième (pantalon). Le 2 mars, la gêne
istes hommes passionnés, il y a impotence psy- chique. II faut donc distinguer la passion (pronostic défavorable) de la nécess
t, on termine par l'expérience décisive des pièces de monnaie. S'il distingue une pièce de vingt francs d'une pièce de cent f
u rétablissement de la raison par une sorte de réaction. Esquirol distinguait de la démence chronique une démence aiguë qui s
chives générales de médecine (mai et juin 189). Ce der- nier auteur distingue une confusion mentale secondaire, une symptomat
rapprochent de telle ou telle affection ; non seule- ment il faudra distinguer , dans les cas très intenses, les délires de col
artiers sont, en effet, ce qui caractérise l'asile d'aliénés et les distingue de toute autre maison hospitalière ; selon ce q
25 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
r se livrer à l'observation d'une manière fruc-tueuse. Mais on peut distinguer toutefois, à cet égard, les besoins réels de notr
seule inspection des tracés thermométriques peut souvent permettre de distinguer entre elles ces deux mala-dies, dont le diagnosti
savoir en chercher la mani-festation. Il est donc très important de distinguer ici les résultats de la thermométrie axillaire de
ap-pelés à reconnaître, au lit du malade, combien il est difficile de distinguer la goutte du rhumatisme, surtout dans leurs forme
. simultanément les genoux et les poignets, pourra être difficile à distinguer , au lit du malade, d'une affection pure-ment rhum
t voir les dépôts sous-jacents. Ces divers caractères permettent de distinguer les tophus des déformations caractéristiques du r
mènes redoutables de la goutte remontée à l'estomac. Il y a lieu de distinguer ici, avec Budd etScudamore, deux formes symptomat
ets du traumatisme à cet égard. Relativement aux phlegmasies, on peut distinguer trois cas : 1° L'affection intercurrente (pneum
-mine des rétractions musculaires et d'autres accidents. On peut en distinguer deux espèces. Tantôt primitive, tan-tôt consécuti
de cette affection ; car les diverses formes qu'elle peut revêtir se distinguent surtout par leurs caractères cliniques, et présen
de ces lésions avec celles du rhumatisme chronique. Caractères qui distinguent l'arthrite déformante des autres arthropathies.
DÉPENDANTES DU RHUMATISME. Un mot maintenant sur les caractères qui distinguent l'ar-thrite déformante des autres arthropathies c
é à décrire avec soin les lésions arti-culaires de la syphilis. Il en distingue deux espèces : 1° les arthropathies secondaires,
ce qui concerne le mode d'envahissement, il existe des caractères qui distinguent très nettement le rhumatisme de la goutte. D'aprè
rculatoire, ils vont au loin produire des accidents variés. Il faut distinguer ici les accidents produits par le déplace-ment de
sont les accidents les plus ordinaires en pareil cas. Mais on peut distinguer ici deux formes tout opposées. Dans la forme atro
es et la rigidité consécutive des jointures, la symétrie des lésions, distinguent les effets du rhumatisme chronique de ceux que pr
par la palpation ou la percussion est nulle, ou presque nulle, ce qui distingue cette arthropa-thie de celles qui sont de mauvais
ion, fut le point de départ d'un rhumatisme articulaire aigu. Il faut distinguer ce fait de ceux où l'érysipèle fait partie des ma
i existe entre les affections arti-culaires et la scarlatine. Il faut distinguer ici deux espèces de cas. Tantôt la scarlatine pro
scarlatine provoque l'explosion d'une affection articulaire qui ne se distingue en rien du rhumatisme aigu; tantôt, au contraire,
nalo-gies ; aussi les a-t-on souvent confondues et même lorsqu'on les distingue , on est forcé de les rapprocher dans toute bonne
hent, et vous auriez, si vous n'étiez pas prévenus, grand peine à les distinguer l'une de l'autre. Aussi, lorsque Wunderlich (loc.
élèvera jusqu'à 40 degrés par exemple. Ce ca-ractère suffit déjà pour distinguer l'affection de celles qui ap-partiennent au group
ure. Nous verrons dans la leçon prochaine à quels carac-tères on peut distinguer , dans un cas où la défervescence s'é-tablit au dé
ractère des douleurs musculaires rhumatismales, et les malades les en distinguent facilement. On voit donc que l'examen des princ
s par les malades nous paraissent pu-rement excitatrices, et elles se distinguent de la précédente en ce qu'elles sont suivies géné
é que des reins durs et granulés à leur surface chez les goutteux. Il distingue deux formes de lésion rénale, l'une portant sur l
peu probable qu'à Londres les professions à émanations saturnines se distinguent entre toutes, en ce qui concerne le mode d'alimen
our ne citer qu'un exem-ple, lorsqu'elles affectent les mains, on les distingue en général aisément des déformations que détermin
ogique, la néphrite albumineuse, lorsqu'elle est liée à la goutte, se distingue , peut-être, entre toutes, par sa bénignité appare
placent les ouvriers en général — et ceux qui manient le plomb ne se distinguent en rien sous ce rap-port — dans des conditions sp
les, offrait les formes cristallines et les caractères chimi-ques qui distinguent l'urate de soude. On rencontrait, en outre, chez
if ; c'est le rhuma-tisme noueux des auteurs. Les cas de ce groupe se distinguent surtout en ce que l'affection présente habituelle
t, moins habituelles dans le premier cas que dans le second, elles se distinguent aussi par leur intensité moindre et parla moindre
productions osseuses ont ul-céré la peau et se sont montrées à nu. On distinguerait aisément les tubercules osseux ainsi mis à découv
pédicule. Dans l'épaisseur de quelques-unes de ces petites masses, on distingue , à l'aide du microscope, des cellules plus ou moi
cependant, d'après ce que j'ai observé, que cette forme du diabète se distingue le plus souvent par sa bénignité rela-tive ; le r
de ces lésions avec celles du rhumatisme chronique. Caractères qui distinguent l'arthrite déformante des autres arthropa-thies.—
26 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
exercée sur eux par la position du malade. Le premier caractère ne distingue en aucune façon notre cas du paramyoclonus; il
la névrose tiqueuse diffère de l'hystérie par sa nature, elle s'en distingue aussi par son pronostic ; les deux maladies son
pas coloré, présentant une certaine réfringence (voir fig. 8). On y distingue des contours peu nets qui limitent des espaces de
des cas types, il existe une folie systématique mélancolique qui se distingue très nettement de la mélancolie pure, même de l
noyaux de la zone ou champ externe du côté opposé; dans l'espèce se distingue , comme couche intermédiaire des olives propreme
ues sous-cutannés, panaris analgésiques ou douloureux que l'interne distingue de la maladie de Morvan, des phlegmons, des abc
e, il ne reste plus grand'chose à en dire. Par Cotugno,. qui sut ia distinguer de toutes les autres affections douloureuses ou
pendamment de cette hérédité, sans présenter aucun caractère qui la distingue de la variété héré- ditaire. La chorée, que l'o
ième espèce répondant à la variété précédente. On devra désormais distinguer les tremblements suivant qu'ils se produisent d
cation à la Société médicale des hôpitaux ('1 avril 1889). Pitres distingue trois formes de tremblements hystériques : la v
quel je reviendrai plus loin, Buzzard insiste sur la diffi- , culte distinguer les deux ordres de trépidation. Enfin, tout MAL
ent, substituer une division basée sur des analogies cli- niques et distinguer , comme je l'ai fait plus haut : le type de la p
érentiel, à exprimer l'incertitude où l'on se trouve quelquefois de distinguer le trouble fonctionnel de l'altération organiqu
sumé de nos connaissances sur le choc nerveux local, il convient de distinguer nettement avec Groe- ningen' ces derniers phéno
roit la vraie paralysie générale syphilitique fort rare. Elle ne se distingue guère de la paralysie générale ordinaire, le tr
la démence complète est rare et la durée très longue; l'auteur les distingue des fous mo- raux et des imbéciles, avec lesque
une lésion destructive. M. SOLLIER fait observer qu'il y a lieu de distinguer , comme il l'a fait l'an dernier dans un mémoire
. MINDEL. Sans doute les psychoses consécutives à l'influenza ne se distinguent en rien de celles qui suivent les maladies infec-
port de contact avec aucun noyau nerveux, avec aucune racine, il se distingue nette- ment du faisceau solitaire lui-même très
ossédons tous à un degré plus ou moins accentué, mais la copie se distinguera aisément de l'original, soit en faisant éclore
e, un spasme glosso-labié, mais les caractères seront fa- ciles à distinguer de ceux qui appartiennent à la para- lysie faci
devant elle ;si elle fermait l'oeil gauche elle ne pouvait non plus distinguer aucun objet; au contraire, si elle fer- maitl'o
ite; une légère amblyopie à droite; delà dyschromatopsie; la malade distingue toutes les couleurs,sauf le violet, en ce qni con
certainement une action favorable. Nous n'avons donc là rien qui distingue la migraine ophthalmique commune de celle qui r
quelques filaments peu serrés les uns contre les autres, elle ne se distingue pas de la substance grise dans laquelle ses fib
git pas seule- ment de percevoir une ombre donnée, il faut encore distinguer la forme de cette ombre, il faut lire les lettr
Nous savons, d'après les travaux psychologiques récents, qu'il faut distinguer plusieurs espèces de mémoires; l'une, mémoire é
la diminution de ces images actuelles; c'est ainsi qu'elle ne nous distingue pas à notre voix; que d'autre part, bien que no
cérébraux des vertébrés, il y a peu de choses, sinon rien, qui les distinguent des animaux normaux. Ils conservent leur attitu
l'avoir saisi. Non seulement ils prennent leur nourriture, mais ils distinguent entre les différentes sortes de nourriture, cho
sissant les unes, rejetant les autres; jusqu'à un certain point ils distinguent les couleurs, car lorsqu'on'jette dans l'eau un p
résulte que les poissons sans hémisphères céré- braux peuvent voir, distinguer jusqu'à un certain point les cou- leurs, attrap
grimpent pour y rester tranquilles. En fait il serait difficile de distinguer par leurs mouvements et les réponses aux excitant
le sièpe de la maladie et les symptômes observés. La difficulté de distinguer les effets directs ou indirects des lésions cér
pupillaires cen- tripètes sui generis. - Il convient d'après lui de distinguer entre l'engourdissement réflexe unilatéral cara
les échelles de 0 à 100, mais déjà entre 90 et 100 il se trompe; il distingue entre 200 et 250 grammes entre 250 et 300 grammes
uvent nuire à la netteté du tableau clinique ; il faut aussi savoir distinguer le scolome névropathique de la diminution de l'
ôt l'étiologie, tantôt d'autres éléments. C'est justement ce qui la distingue avec avantage de tous les systèmes, parce qu'elle
la pierre de touche; l'âge ne fait rien à l'affaire. Il convient de distinguer à cet égard trois grands groupes. 1° Celui des
27 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
raie. L'existence constante au contraire du syndrome spasmodique la distingue de la forme centrale posté- rieure. Les différe
sonnes qui l'approchaient, mais il ne voyait absolument rien (il ne distinguait pas le jour de la nuit), il avait devant les ye
gie et l'évolution ultérieure de ces trois cas nous permettent de distinguer trois périodes : 1° la période des symp- tômes
nnes qui s'approchaient, mais il ne voyait absolument rien (il ne distinguait pas le jour de la nuit). » b). Symptômes oculai
isparition de 116 CLINIQUE NERVEUSE. toute trace de paralysie. On distingue très nettement deux ordres de symptômes : A). S
lieu, soit dans la moelle épinière, soit dans les méninges, nous distinguons la forme intra-spiuale ou intra-myélitique et l
les trophiques des ongles qui étaient atrophiés, amincis et où l'on distinguait des stries transversales. Afcm)'es ! <pe)' !
atomie. La contracture léthargique présente des caractères qui la distinguent nettement d'une contracture volontaire et qui per
ttitudes qu'on'im- prime à ses membres ou à son corps.' . On peut distinguer par des procédés graphiques semblables à ceux q
elconque, puisqu'il a des propriétés matérielles spécia- les qui le distinguent , qui ne peuvent être simulées, et il y a donc l
la multiplicité des causes dans chaque cas et sur la difficulté de distinguer la part de chacune. Difficulté ne veut pas dire i
olontaires. Les mouvements de l'agitation maniaque, volontaires, se distinguent en deux espèces : 1° Les uns correspondent au t
ourtant matière à enseignement; puissent-ils au moins y apprendre à distinguer la Vérité de cette fausse science, mise sans ce
ons de bois se laissent aisément trancher et les coupes obtenues se distinguent dans ce cas par une solidité qui facilite toutes
'opé- rations. Lorsqu'une cloche résonne à notre oreille. 1° nous distinguons le son qu'elle produit, voilà Y audition Archiv
Les cas qui sont tombés sous notre observation nous permettent de distinguer les formes simples et fondamentales suivantes :
age a présentées chez nos malades appartenant à cette forme, nous distinguons (a), l'aphasie motrice; (6), la surdité verbale
voyait rien. La perception lumineuse a tout à fait disparu ; il ne distinguait plus le jour de la nuit. En même temps, il avait
même temps, le malade avait perdu presque complètement la vue; il distinguait un peu la lumière. Au bout de quelques minu- te
rception luminense disparait à son tour tout à fait et le malade ne distinguait pins le jour de la nuit. Ses conjonctives aurai
ant trois semaines après l'accident, le malade ne voyait rien et ne distinguait pas le jour de la nuit, n'avait, dit-il, devant
hypnotiques et les hypnotiques appartenant à cette catégorie qui se distingue par la présence de phénomènes somatiques, sont
sky, le nerf est infatigable. Dans ces études, il est nécessaire de distinguer deux sortes de fatigue : 1° La fatigue par épui
se préoccupent point, ils ne se trouvent pas fatigués. C'est ce qui distingue cet état de la distraction commune. L'aprosexie
sation en hauteur du crâne par la région de la fontanelle. Ce qui distingue ce crâne de l'oxycéphale, c'est l'enfoncement de
'essence même de l'hérédité. Ou en est réduit à la statistique pour distinguer la répétition atavique de la dégénérescence acqui
à constater ces anévrysmes ont besoin d'explication. M. Leewenfeld distingue les ectasies diffuses des anévrismes ; M. de Ze
uit observations avec autopsie. On est d'après ces faits autorisé à distinguer , à côté de l'aphasie motrice (de Broca) de l'ap
critères, au nombre de cinq, ont souvent pour objet de permettre de distinguer les vrais phénomènes de déficit des phénomènes
latéraux, l'autre où ils se montrent seuls, Luciani croit devoir en distinguer au moins trois : une première où les phénomènes
te des fonctions de toute l'écorce cérébrale; nous ne pouvons les distinguer nettement de celles qui appar- tiennent aux gan
e de reconnaître chez l'animal la cécité absolue, plus difficile de distinguer l'hémia- nopsie de l'héiiiiamblyopie. Les diffé
t l'effet d'un simple contact. Quant à la température, le malade la distingue à peine aux jambes, même avec un écart de 20°;
; dans la hanche droite, il y a même des endroits où le malade peut distinguer même la différence de 29° 3'->O; mais il ne
lade peut distinguer même la différence de 29° 3'->O; mais il ne distingue nulle part une différence de 2 degrés. La sensa
ain que le lecteur comprendra au moins en quoi la pseudo-maladie se distingue de la véritable. Pour cela, il suffit de compar
Lille. .lucmna, t. 1\ IL 2j 386 pathologie nerveuse. signes qui distinguent la pseudo-tabes du tabes vul- gaire. Avant to
percevait que l'oeil droit était presque uniformément noir et on ne distinguait plus la cornée de la sclérotique. Il n'y avait
ononçait que quelques sons inarticulés. En même temps, le malade ne distinguait pas les objets environnants, il n'avait conserv
tat actuel, 3 septembre 1883. Le malade marche bien, on ne peut pas distinguer le moindre boitement. C'est seulement après une
paralysie, qui parait relever de la lésion d'un centre spécial, se distingue entre autres caractères par une di- plopie part
28 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
plus ou moins durable. Mais, chez eux, tout se borne là. Ce qui les distingue donc, c'est leur absence com- plète de préoccup
ux voix perçues par l'oreille, en une sorte de combat, où le malade distingue de bons et de mauvais esprits en lutte. « C'est
vant des Lettres spirituelles sur l'Oraison mon- trera que l'auteur distingue aussi plusieurs sortes de fausses perceptions,
sent plus qu'un reste d'agitation intérieure '. ' Sainte Thérèse distingue nettement quatre degrés d'oraison, comme les bo
(de Krafft Eling. Allg. Zeitsch. f. Psycolog., t. XXXV.) Pour bien distinguer le chicanier physiologique du chicanier psychop
du terme de c paranoïa », M. Soukhanotf reconnaît que ce malade se distingue beaucoup des autres malades dont les idées déli
nce de l'astigmatisme ou de t'asthénopie; néanmoins, ce syndrûme se distingue de l'asthénopie parce qu'il n'est ni toujours,
opie, et parce qu'il y a des cas où l'asthénopie fait défaut. Il se distingue aussi de toutes les phobies par l'absence de répu
qu'ils éprouvent, plus forte que leur désir ou leur volonté. Il se distingue enfin de l'ataxie, une des formes de l'ophasie
ellule, des ramuscules arborescents, dont la forme varie, et sert à distinguer les fibres nerveuses en deux catégories distinc
icale ne saurait prédominer. » Bref, « on doit éviter de chercher à distinguer entre elles les cel- lules et les fibres nerveu
AINES 113 3 se termine en fines ramifications arborescentes. Ce qui distingue le nerf sensible du nerf moteur ne serait donc
formée par des fibres venant du noyau lenti- culaire. Ces noyaux se distinguent les uns des autres par la forme et l'agencement
- téressant de les rapprocher dans une étude d'ensenble. L'auteur distingue dans la grossesse nerveuse : 1° la pseudo-grosses
X plus ou moins d'intensité de symptômes communs aux affections à distinguer , paraissent insuffisants pour conclure de même fa
e et l'imbécillité jusqu'à la simple faiblesse d'es- prit), on peut distinguer , parmi les congénitaux à idées déli- rantes rel
pose : qui a pu avoir intérêt à commettre cet incendie ? Il faut distinguer trois classes de motifs : 1° ceux qui sont raison
observations où le tabétique était dans l'impossibilité absolue de distinguer par l'odeur ou par le goût la nature des alimen
davantage sur quelques points. L'énumération précédente sépare et distingue les troubles de la pituitaire et de la muqueuse
us ou moins long qu'ils ne percevaient plus aucune odeur, qu'ils ne distinguaient plus la nature des aliments qu'ils prenaient. C
graphique des cordons auxquels ces cel- lules donnent naissance, on distingue : a, les cellules du cordon antéro-latéral du m
ascendantes ou descendantes des fibres radiculaires sensitives, on distingue des collatérales longues desti- nées à la corne
ébrale, identique au fond chez tous les mammi- fères, Ramon y Cajal distingue quatre couches : : 1° zone moléculaire; 2° couc
où sortent des expansions protoplasmiques très nombreuses où l'on distingue : a, une tige ascendante, épaisse, se ramifiant d
en T, avec une ou deux fibres nerveuses de la substance blanche. On distingue dans cette couche des cellules à cylindraxe cou
i les connexions de la cellule nerveuse cérébrale n'ont rien qui la distingue des autres cellules nerveuses de même type. Que
ique de la pensée, la science ne doit point perdre courage : ce qui distingue les cellules cérébrales de celles de la moelle
nt de vue anatomique et physiologique, une per- ception sensible se distingue d'une autre de même nature, c'est-à- dire appar
phologiques des cellules typiques de Deiters.Selon Cajal on doit distinguer la névroglie de la substance blanche de la névrog
asma modifié, dit Weigert ; au point de vue de la coloration, il se distingue du corps protoplasmique de sa cellule d'origine e
plus au contraire qu'en contiguïté avec le corps cellulaire. Ce qui distingue donc la fibre de névroglie, c'est qu'elle est à
rapidement à toute la substance grise. Ces différentes myélites se distinguent donc essentiellement les unes des autres par la
rance, se fait quelquefois sous une forme aiguë. Elle paraît ne se distinguer des myélites citées plus haut, qui tuent rapideme
t une réaction à la médication thy- roïdienne qui permettent de les distinguer nettement de la vraie maladie de Basedow. M.
énie qui doit être envisagé en pre- mier lieu. Il est nécessaire de distinguer aussitôt que possible ces deux affections, surt
le petit mal. * Parmi les divers troubles dits épileptiques il faut distinguer : 1° l'épilepsie vraie, caractérisée par des ac
. Il convient, dans cette question du personnel de surveillance, de distinguer les grands asiles, les cli- niques et les établ
néoplasme pri- maire, n'est pas fondée. Discussion. M. ALSHEIIER distingue , dans le cerveau, la dégé- nérescence hyaline e
gie récente particulièrement abondante. Les cas en ques- tion ne se distinguent des apoplexies avec hémiplégie habituelle- ment
nswanger et Alzbeinner. Les résultats de l'autopsie, sont faciles à distinguer des lésions de la paralysie générale et de la dém
ui a établi la division de la paralysie générale en trois périodes, distinguait trois degrés dans la période terminale. Au 2 de
ARALYSIE GÉNÉRALE. 443 Ces deux catégories de malades m'ont paru se distinguer en- core cliniquement par une différence dans l
nées dont nous disposons à l'heure actuelle il parait impossible de distinguer , à l'aide des seuls phénomènes cliniques les di
ladies nerveuses. Quant à l'étiologie de la neurasthénie, il faut distinguer les causes prédisposantes des causes accidentel
son manque d'évolution, sa disparition fréquente permettent de l'en distinguer . Le délire ambitieux du dégénéré a toujours les
29 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
sous cette forme ascendante. Cette dégénération localisée permet de distinguer nettement le contingent olivaire des fibres du
par la méthode de Weigert,par l'hématoxyline-éo- sine. - On doit distinguer au niveau de la peau des tumeurs fibreuses infra-
s, déterminer de godet par la pression. On peut, à ce point de vue, distinguer trois variétés de tumeurs : les plus molles son
s côtes en avant, les omoplates et les ailes iliaques en arrière se distinguent aussi nettement que sur un squelette préparé. L
çon le besoin démanger ». C'est bien là l'anorexie vraie qu'il faut distinguer des anorexies dues aux douleurs provoquées par l'
ain nombre de théories ont été émises (a). Tout d'abord, on a voulu distinguer entre le météorisme proprement dit et le tympan
enfant d'une véritable mons- truosité, ensuite parce que ce fait se distingue nettement de ceux qu'on ob- serve ordinairement
par une ligne endothéliale : c'est la seule paroi propre qu'on leur distingue . Les coupes de la peau offrent le même tissu et
loque frangée hissée sur un long bâton, guenille polychrome où l'on distingue encore les traces de peintures terrifiantes et
s exactement confondu, perdu dans la tumeur dont on ne peut pas les distinguer . La tumeur chevauche des deux côtés sur les ocu
coma. Si on appelle ce cas un cas de coma il faut alors renoncer à distinguer ce sommeil très spécial des autres sommeils pat
laires que périphériques. Dans ce dernier groupe de localisation on distingue même, d'une part, des névrites localisées dues
onnels et par ses signes cli- niques la polynévrite syphilitique se distingue de la poliomyélite. Le diagnostic de cause sera
t de mes propres études, j'ai dit qu'il était de toute nécessité de distinguer le pas simple d'avec le. double pas (1).Le prem
la marche par l'hémiplégie hystérique; mais il faut . tout d'abord distinguer l'allure de la marche suivant que la jambe .ma-
isir. En effet, la cinématographie nous fait voir qu'il y a lieu de distinguer l'allure du pas antérieur de celle du pas posté
e ne présente pas du tout l'allure de la jambe normale. Mais ce qui distingue l'allure de la jambe oscillante non paraly- sée
ent s'infiltrer profondément dans les masses musculaires du cou, se distinguent par leur apparition précoce dans le jeune âge.
e ne s'observe jamais dans l'adéno-lipomatose. Le Iymphadénome se distingue par la consistance des tumeurs, par les douleur
ypomatose que nous avons créé. Par ce terme, nous n'avons pas voulu distinguer toute infiltration graisseuse péri- ganglionnai
u, la main gauche est dans un état de flexibilité complète et ne se distingue en rien de la main droite. Si l'on fait serrer
arcs vertébraux. Malgré la maigreur du malade, il est impossible de distinguer les unes des autres les apophyses épineuses de la
axone est toujours privé de blocs chromatiques, ce qui permet de le distinguer des prolongements protoplasmiques. Le protoplas
réparations. a) Moelle allongée. - Les noyaux des nerfs réséqués se distinguent déjà à un faible grossissement par la coloratio
ce chromatophile groupés ou agglomérés. On ne peut absolument pas distinguer de blocs isolés dans certaines cellules (PI. XL
, mais il n'y a pas encore de désagrégation des blocs, et l'on peut distinguer entre eux le protoplasma qui est parfaitement c
pâle, prise par le protoplasma, sans qu'il soit toutefois possible de distinguer quels blocs ont diffusé. Après une série de t
ette bordure attentivement on ne peut réussir que très rarement â y y distinguer des blocs isolés ; le plus souvent le liséré es
t plus que par un mince filament. La cellule est si pâle qu'on la distingue à peine et son protoplasma est en lambeaux. C
uée par un réticulum né- vroglique à larges mailles, dans lequel on distingue quelques noyaux névrogli- ques au point d'entre
roits entre eux des espaces vides assez larges, dans lesquels on ne distingue ni cellule ni feutrage névroglique ; les fibres
hon et le noyau sphérique sont beau- coup moins nombreuses : on n'y distingue pas les beaux faisceaux de fibres qui, normalem
n des fibres de la masse blanche des hémisphères ; on peut ainsi en distinguer quelques-unes qui se détachent du corps restiform
- Sauf les fibres du corps restiforme, tout le reste a disparu, on distingue à peine quelques fibres isolées. Les fibres s
on qui fait le su- jet de ce travail. L'observation de Pierret se distingue encore plus particulièrement par le début préco
itation dans le même groupe. L'observation de Rojel, et Collet s'en distingue nettement - par la consistance squirrheuse du c
nde admet qu'anatomiquement l'atrophie non familiale du cervelet se distingue peut-être encore plus nettement de l'a- trophie
r spasmodiques appar- tiennent à la paralysie pseudo-bulbaire et la distinguent nettement de l'atrophie du cervelet. On a sig
és, cruellement fatiguées d'ailleurs, témoignent de son désir de se distinguer du commun des paysans et semblent évoquer un pass
n fond de paysage égaye cette scène de chirurgie rudimentaire; on y distingue une maison avec une tour carrée à toit proémine
Ci, Editeurs ARRACHEURS DE DENTS 445 res; les plus achalandés se distinguaient par des cols et des parements proportionnés à l
AUVOIS J'ai vu, dit l'auteur, des Pétophiles (1) être incapables de distinguer les odeurs. Mais les troubles de cet organe p
s ennemi du tabac au point de cacher la vérité. ' Le médecin doit distinguer l'état de l'organisme. Les vieillards, dont le
ipliant t les observations analogues à ces deux cas, permettront de distinguer , à côté de l'ostéoal'thropathie tabétique class
aud et Grasset, on est en droit* au nom de l'ana- lyse clinique, de distinguer dans la symptomatologie si riche et si variée d
plètement. Tout est parfaitement rentré dans l'ordre, et même on ne distingue plus la coloration plus foncée des éléments don
ules sont si serrés les uns contre les autres qu'on a de la peine à distinguer le proto- plasma et le noyau qui occupe de nouv
b) ont également réorganisé leur substance chromatique, elles ne se distinguent des cellules normales que par une très grande r
les de Nissl sont si nombreux et si foncés que l'on a de la peine à distinguer le protoplasma cellulaire. C'est l'état pycknomor
t ratatinées, recroquevillées, difformes et fon- cées. On ne peut y distinguer un noyau ; elles se rapetissent de plus en plus
droit, mais le malade lo- calise parfaitement les sensations et en distingue les modalités. La sensibilité au chaud et au fr
e quand parfois on lui promène un corps froid sur l'épiderme. Il ne distingue pas le pincement de la piqûre aussi bien il la
itiale, due à l'irritation nutritive de ces cellules, et il faut la distinguer de la réaction secondaire, plus tardive des mêm
u au premier abord. On affirmait naguère encore la possibilité de distinguer les noyauxmo- teurs des noyaux sensibles par le
bité qui doit être la règle de toutes les actions, il faut qu'il se distingue de ceux qui veu- lent en imposer aux autres (1)
lairée à gauche par' une baie garnie de vitraux. Dans le fond, on distingue l'amorce d'un escalier, une étagère garnie de p
30 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le. Leur attitude, leurs mine, faciéset regard les fontfacilement distinguer des autres aliénés. En effet, nous n'avons pas ic
besoins, finissent par devenir incon- tinents, gâteux, sales. On distingue trois degrés dans la mélancolie : 10 mélanco- l
elles réagissent bien à la lumière et à l'accommodation. La malade distingue bien les couleurs. La langue offre des légers t
et le toucher sont normaux, vue faible, 'légère myopie, l'enfant ne distingue rien dans la demi-obscurité (héméralopie) ; par
oïncidence est pathognomonique du stade initial. Elle peut servir à distinguer le tabès du pseudotabes, mais cela demande une
érales, en particulier sur la fausse angine de poi- trine qui ne se distingue guère de la vraie que par l'état du pouls, sur
elle ne peut pas localiser l'endroit piqué. La vision normale; elle distingue bien les couleurs; le goût et l'odorat nor- mau
t irrégulière, réagissant un peu faiblement. Le malade connaît et distingue bien les couleurs, mais ne peut pas bien différen
alise assez bien. ' La sensibilité spéciale est bonne; le malade ne distingue pour- tant pas assez bien les couleurs. Le goût
réagissent bien directement et moins par association. Le malade ne distingue pas bien les diverses nuances des couleurs. L'o
bilité spéciale conservée, la malade reconnaît bien les couleurs et distingue les nuances. Légère ovarie. Les mouvements resp
lumière et à l'accommo- dation. Il n'y a pas de diplopie. Le malade distingue bien les cou- leurs et les nuances. Le sens de
mann. Cet auteur nie, en effet, l'hérédité des caractères acquis et distingue dans l'organisme humain deux parties distinctes
le public ; c'est en cela, surtout, que la législation écossaise se distingue des législations anglaise et française ; mais t
me temporale ; une partie du gyrus fornicatus. Ces territoires, qui distinguent le cerveau humain de celui des anthropoïdes, dé
lle autre, ce sont les fibres d'association ; ce qui permet déjà de distinguer les zones en centres de projections et en centres
faisceau d'Arnold. C'est l'étude de la myélinisation qui permet de distinguer ces organes et de noter les irrégularités dans
terminaux et l'écorce du cerveau ? La couche optique en tout cas se distingue des autres émissaires de conducteurs sensoriels
e et leur sens moral; quant aux instables et aux pervers, ils ne se distingueraient des enfants ordi- naires que dans la manifestat
lésions histologiques des centres nerveux et des viscères jusqu'à y distinguer des groupes de lésions dont chacun a une origin
spéciale et comporte, par le fait, un enseignement particulier. Il distingue les altérations selon qu'elles sont primitives
istologiques qui commandent un même syndrome alors que ces types se distinguent néanmoins par leur lésion, leur aspect clinique
gnostic du délire aigu est à faire avec la fièvre typhoïde qui s'en distingue par la marche régulière de la température, l'ér
u'il est exceptionnel. Il faut, dans les opérations gynécologiques, distinguer deux groupes : 1° Celles qui s'adressent aux
nérale. Au lieu de considérer les paralytiques en bloc, il faut les distinguer par catégories, suivant la nature de leurs antécé
est indemne de toute hérédité vésanique. Enfin et surtout il faudra distinguer les enfants conçus avant la syphilis, de ceux c
ne forme religieuse exaltée ? Hertz, Ripping, Nasse et Samt ('1874) distinguent aussi ces Werrucktheit ou "Wahnsinn4 primitives
iété religieuse également. En Italie, Morselli8et Buccola (1883), distinguent aussi plusieurs formes de paranoïa; et à côté d
nces particulières, natives et premières de l'individu. On pourrait distinguer encore parmi les délires dits secon- daires, au
entaire, en effet, dans les cas de folie communiquée, que l'on peut distinguer deux sortes de délirants; les uns, actifs, impo
neurones. Toutefois, même chez l'adulte, Held reconnaît qu'on peut distinguer , grâce à la ligne réfringente de séparation, ce
remise en place, pratique constante que préconise l'au- teur et qui distingue absolument son opération de la craniotomie. Il
de la psychonévrose mélancolique. Comment reconnaître la paranoïa, distinguer ce qui revient à la psychoné- vrose ? Il faut s
ma- tisé post-mélancolique. Il est important à ce point de vue de distinguer les délires secondaires en précoces et tardifs. L
il y ait recours aussitôt après chaque rechute. D'ailleurs, il faut distinguer nettement l'alcoolique et le dipsomane. Le premie
isage l'aspect symptomatique et l'évolution de l'affection, on peut distinguer : 1° des cas à évolution chro- nique; 2° des ca
ordinaires. Mais, en les analysant de plus près, elles semblent se distinguer par quelques notes très particulières. C'est
équence des hallucinations, l'anxiété réaction- nelle, ces faits se distinguent aisément de la mélancolie et se rapprochent au
e concours indispensable de mémoire et d'attention. Ce processus se distingue des autres processus psychiques, tels que l'obs
ation s'applique aux mutismes fonction- nels ou amnestiques. Nous y distinguons entre autres les variétés sensorielles suivante
hobénie et la plus importante pour le logo- pathologiste. Il faut y distinguer Y établissement tardif de la parole et la mutil
e, parmi ceux des adultes le mutisme fonctionnel. ' Ce mutisme se distinguerait de l'aphasie motrice sensoiielle orga- nique en
croissances adénoïdes ou encore la perforation du palais. Il faut distinguer du balbutiement la prononciation vi- cieuse d'u
ente-huit jours, elle était com- plète, il y avait impossibilité de distinguer le jour de la nuit; elle disparut brusquement.
31 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ue, à côté de la folie systématisée, les folies périodiques dont il distingue quatre groupes : les formes délirante*, les for
és simples par les au- teurs sont et seront ioujoxirs impossibles à distinguer des cas de manie récidivante ou intermittente,
e la dépres- sion simple et la dépression périodique. De même, on distingue les cas dans lesquels il existe une alternance
opre pour désigner les formes inter- mittentes ou périodiques qu'on distingue générale- ment en maniaques et mélancoliques.
ostérieur de la moelle, très analogue à celle du tabès dont elle se distingue cependant par l'existence dans les cordons post
dal. Dans les paralysies générales ah piques aphasiques, l'au- teur distingue une forme aphasique à prédominance motrice et u
it pas toute l'efficacité que nous lui avions attribuée. Or il faut distinguer . Ces auteurs ont eu à soi- gner des dégénérés i
illons qui les séparent sont réduits à des fentes très difficiles à distinguer . On reconnaît faci- lement le grand sillon circ
avant et en dedans. Sur la face interne, vaguement quadrilatère, on distingue les lobules di- gastrique elsemilunuire, dont l
partie fusionné avec l'hémisphère droit, dont il est difficile à distinguer sur l'organe entier; ses diamètres vertical et
e tiers du pédoncule gauche. Le noyau rouge droit est difficile à distinguer il l'oeil nu, et paraît, en fout cas, 1-11(tA
vinars, se perdent bientôt dans le sinus calleux correspondant : on distingue à leur face supérieure de légères saillies long
ière convergent vers la partie moyenne de sa lèvre postérieure ; on distingue dans sa profondeur plusieurs saillies arrondies
n très précoce, pénètre directement dans la protubérance où il se distingue nettement des autres voies cérébel- leuses, pou
versales venues des pédoncules cérébelleux moyens et difficiles à distinguer à l'oeil nu des faisceaux de fibres pyramidales
cté- riseraient surtout. B) Les psychoses des vieillards. Il faut distinguer les psychoses de la vieillesse (vieillards-alié
e la marche volontaire et consciente de la volonté motrice, et ceci distinguerait symptomatiquement les faits dont je parle des f
part de l'hystérie et de la simulation. Il me paraît difficile de distinguer , à cet égard, le rôle respectif des deux psychis-
nt pathognomoniques de la démence précoce. La forme mélancolique se distingue par l'état mental parli- culier : douleur moral
gidité et l'absence de satisfaction sexuelle, ces observa- tions se distinguent entre elles par le mobile auquel obéit la nymph
ptôme commun est la brièveté relative des mem- bres. Il y a lieu de distinguer deux variétés de micromélies con- génitales : l
description des maladies familiales, il vaudrait peut- être mieux y distinguer des formes spinale, bulbo-spinale, bulbo- céréb
s. C'est seulement à ces cas exceptionnels, pour les bien isoler et distinguer , qu'il faut réserver le nom de folie gémellaire
à laquelle il faut réserver le nom de folie gémellaire, afin de la distinguer des psychoses qui se montrent indistinctement c
ette de Lecoq et s'amusait à les vêtir de bleu et de rouge pour les distinguer , comme les deux héroïnes du maestro. Toujours
d l'essai relève des empêchements intérieurs. Le trait commun qui distingue l'influence du brome dans les différentes reche
tiques, au point de vue de son degré de toxicité spécifique peut se distinguer en hypotoxique et hyper- toxique. Il est hypoto
iche qu'avec la méthode de Cajal et il est quelquefois difficile de distinguer les formations réticulées, qu'elle met en évide
du milieu familial, scolaire, social, etc.). Parmi les premiers, il distingue : les irréguliers des fonctions végétatives (diff
e mal de mer qui sur- vient par les gros temps, .l'en suis arrivé à distinguer , d'une part, le mal de mer vrai, contre lequel
et le mal de mer ima- ginaire ; on devrait nous dire en quoi ils se distinguent l'un de l'autre. M. Le Menant des C.HESNA15.
la convergence. Myopie prononcée. Nystagmus et léger strabisme. Ne distingue pas les cou- leurs, et n'a aucune notion précis
e trouve autour d'elle, n'a aucune préférence pour les aliments, ne distingue pas les saveurs ; mange gloutonnement. La masti
no REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. phasie hystérique » ; 6) th distinguer de as, deux types ce qu'on pourrait appeler le
équemment en clinique,ne se manifeste pas ; il convient donc de les distinguer . 5" Les réflexes tendineux de la trépidation ép
ésultats les plus marqués et les plus durables. M.Demonchy. Il faut distinguer entre les Américains autoch- tones et les Améri
des diverses démences les données anatomiques de il ! . Klippel et distingue nettement les démences dont la lésion est purem
oui, en vertu de quelle décision ? Quelles mesures sont prises pour distinguer les hospi- talisés des reclus au point de vue m
32 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rotuliens, la di- plopie, la miction retardée ; tous ces signes le distinguent des paraplégiques et en font un tabétique. Au
ux yeux ; champ visuel rétréci notamment à droite; l'oeil gauche ne distingue pas le violet et le vert; l'oeil droit ne perço
diagnostic surles mêmesarguments que le Maître nous a indiqués pour distinguer l'attaque de sommeil, à savoir sur l'existence
ans la Camargue, l'église des Saintes-Mariés. Parmi les ex-voto, je distinguai le moule en plâtre du membre inférieur d'une je
es aiguës avec chacune son microbe. -2 Folie systématique aiguë. Se distingue de la folie systématiqu e chronique par l'install
Kaes (même recueil, V. Archives de Neurolog ? revues analyti- ques) distinguait dans l'écorce : 1° une couche tangentielle, la pl
s- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 111 sible de distinguer des fibres optiques les éléments qui établissent
e centrale des ventricules, autour de l'aqueduc de Sylvius. Il faut distinguer les racines descendantes et motrices des racines
nt mat, mesurant 12 à 50 , dans lesquelles il est parfois permis de distinguer un noyau central et une écorce périphérique, ma
roupes les difficultés que soulève l'acception du mot caractère. Il distingue les change- ments du caractère des troubles pas
ntuer dans son tour vicieux ; 8° leur conduite dans l'asile qui les distingue nettement des autres fous; 9° leur conduite à l
s fous; 9° leur conduite à l'état libre dans la société; ce qui les distingue des gens sains d'es- prit ; 10° la rareté de le
nie (qui est elle-même un élément favorable) et de stupeur. Elle se distingue de la manie par la soudaineté des accidents et le
e cas, comme appartenant au groupe des troubles hystériques, qui se distingue par l'absence des stigmates bien connus, et dit
roite, l'autre en avant et à gauche. En un seul endroit de l'arc on distingua une ,âpreté. Le champ de l'opération était libr
autre pour être étudiés parallèlement, les caractères cliniques qui distinguent la sclérose laté- rale amyotrophique de l'affec
ellulo-adipeux ambiant, au point qu'il est très difficile de les en distinguer . Le biceps est réduit au volume du petit doigt.
iceps où au contraire le tissu adi- peux dominait. Radial. Ce qui distingue surtout les préparations, c'est la plus grande
de granulations de myéline, mais encore par cela, que nous avons pu distinguer nettement un fragment de tube nerveux dans cert
autrefois comprise par M. Metchnikoff. Nous n'avons pu, en effet, distinguer nulle part d'indices certains de l'action cyto-
les nettoyer. Il connaît les diverses parties de son corps, mais ne distingue pas le côté droit du gauche. Il n'a aucune ins-
u globe ocu- laire. L'exposé de Perlia est parfait : il y a lieu de distinguer en effet un noyau ventral postérieur (inféra-po
de la myélite dorsale a-t-elle des caractères différentiels qui la distinguent ? Il faudra l'observer. - 3° Parmi les formes n
g (d'Heidelberg) une moelle épinière avec son bulbe. Cette pièce se distingue des autres qui ont été faites jusqu'ici en ce q
e de la moelle dorsale ; à cette époque, il n'est guère possible de distinguer le segment externe du segment interne à moins d
otrices. Ces dernières sont l'objet d'une étude approfondie. Il les distingue avec soin de l'impulsion verbale et de la parole
t jusqu'ici, il fallait admettre des obsessions hallucinatoires, et distinguer deux cas : 1° ou bien l'idée obsédante s'accomp
t à des troubles de cette fonction; ce sont les disgraphies, qui se distinguent en organiques et fonctionnelles, les hallucinat
ologie des paralysies est exposée avec de grands détails. M. Richer distingue : 1° l'amyosthénie, qui n'est qu'un léger degré
sbasies psychiques dont l'intérêt est en effet considérable. Il les distingue en afonctionnelles, parafonctionnelles et hyper
rentrer dans les troubles de la marche. Les dysbasies trophiques se distinguent de même en atrophiques (atrophies musculaires), p
ux de Charcot, de Pitres et de leurs élèves, parmi lesquels se font distinguer ceux de Dutil et de Bitot, sont trop connus, po
ons conscientes à forme interrogative ou dubita- tive et qu'on peut distinguer en deux grandes classes : dans l'une les malade
ns la néga- tion l'âme, la nature et Dieu. Ces idées de négation se distinguent facilement de celles qui surviennent chez les p
que; par le Dr SZCZI'PIORSKI. L'ataxie locomotrice de Friedreich se distingue assez nettement des deux affections voisines :
s de dégénérescence mentale qui constitue la paranoia chronique, on distingue deux facteurs psychologiques, d'un côté l'obnub
S QUI L'ACCOMPAGNENT ; - - par le Henry SlIfITH-`V1LLIAM. 11 faut distinguer trois états d'âme : l'état de veille, l'état de s
secondairement qu'ils s'accompagnent de troubles amalgamés. Ils se distinguent des cas de Verucktheit proprement dits ou de pa
33 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
est excessivement distraite, leur mémoire vague et infidèle. Ils ne distinguent qu'impar- faitement les faits de conscience des
reconnaître des vaisseaux san- guins 'dilatés. A la loupe, on peut distinguer de nombreuses cavités plus petites. Il n'y a qu
issant souvent antérieurement à l'obsession. II y a lieu aussi de distinguer deux espèces de douleurs, les uns se figurent n
oit possible de trouver des tares héréditaires, les symptômes . qui distinguent une grande partie, des criminels d'habitude des
sons, c'est surtout par les sentiments affectifs que les détenus se distinguent des sujets normaux; on observe aussi des anomal
iculaires prennent une telle extension, qu'il devient impossible de distinguer ce qui appartient au trajet inlra-médullaire de
révélait leur méprise. «. Il nous semble impossible, dit Rostan, de distinguer cette maladie du ramollissement; même marche gr
ssible d'éviter une erreur 2 », et Gendrin insinue qu'on ne saurait distinguer cette lésion dont les signes se confondent avec
utés sont des dégénérés et qu'il n'y a, par conséquent, pas lieu de distinguer le délire de persécution du délire des dégénérés.
vait Lasègue, on voyait des persécutés partout; aujourd'hui il faut distinguer les variétés du délire de persécution. Le délir
tic favorable. Et cependant quels autres caractères avons-nous pour distinguer les variétés cliniques et modifier le pronostic
rop le répéter, que l'essentiel dans tous ces exercices, ce qui les distingue de la gymnastique, c'est que le malade doit app
ployés des postes, qui en soupesant sur la main les lettres peuvent distinguer des différences de poids, imperceptibles pour d
dation. 11 n'y a ni strabisme, ni'diplopie, ni nystagmus. Le malade distingue bien les couleurs. Son acuité visuelle est bonn
de tendance à la production de phlyctène ou de gan- grène ; elle se distingue de l'oedème bleu de Charcot par l'absence d'oed
SAVANTES. 225 croit communément. Mais, à cet égard, il convient de distinguer deux ordres de faits. La longue durée de la par
dans les mouvements (ataxie).. , SOCIÉTÉS SAVANTES. 227 7 On peut distinguer , en outre, selon l'intensité : 228 SOCIÉTÉS SAV
osé la nécessité d'établissements pour aliénés délinquants. Il faut distinguer , car,à côté des aliénés vraiment dangereux se tro
s voterons donc les deux premières conclusions du rapport. La loi distingue deux sortes de placements : les placements d'offi
ne confusion dans l'esprit de beaucoup de personnes. Il convient de distinguer : 1° Les criminels devenus aliénés; 2° les aliéné
x qui commettent des actes réputés crimes ou délits. Il faut encore distinguer , dans cette dernière catégorie, les aliénés incon
Délire des persécutions à double forme. M. Vallon. On sait que l'on distingue deux sortes de persé- cutés : les persécutés ra
quée. Ils offrent des caractères particuliers qui permettent de les distinguer du délire vésanique proprement dit; 3° un certa
répandront aussi en direction cellulipète. M. Schaffer propose de distinguer deux catégories d'affections de la corne antéri
d'un certain axe de direction dans un plan unique. » Il s'attache à distinguer les trem- blements des trémulations et des fris
distinguer les trem- blements des trémulations et des frissons. Il distingue le tremble- ment en général et partiel; parle d
le tremblement sénile et celui de la paralysie agitante. L'auteur distingue avant tout les tremblements proprement dits, ou
normale. A la piqûre : la malade ne peut sur les membres inférieurs distinguer la sensa- sation qu'elle ressent. Si par exempl
gyll Robertson. Elles régissent bien à l'ac- commodation. Le malade distingue bien les couleurs. Rien du côlé de l'ouïe, du g
gré de ptosis. 11 n'y a pas de diplopie, ni de strabisme. Le malade distingue bien les couleurs. Les pupilles sont égales des
re, mais très bien à l'accommo- dation. Le malade a la vue bonne et distingue très bien les cou- leurs. L'ouïe, le goût, l'od
point de vue organique et psychique l'en- semble des caractères qui distinguent leur physionomie morale ; 2° les anomalies psyc
ctère psychologique sont plus nombreuses que les analogies. On peut distinguer parmi les aliénés : a) ceux qui offrent un état
à reconnaître l'aphasie des troubles qui peuvent la simuler ; 2° à distinguer entre elles ses diverses variétés. Le diagnosti
qu'il lit après quelques mots de lecture. Cette affection facile à distinguer de l'aphasie sensorielle vraie, tiendrait à un tr
rdifs et moins constants. Parmi les démonomanes, il importe donc de distinguer , comme l'a fait très justement M. H. Dagonet',
aincus qu'ils portent le diable dans leur corps. Il faut en effet distinguer la possession et l'obsession. Dans la première,
t de la personnalité. C'est un point très délicat, car il faut bien distinguer le vrai dédoublement de la personnalité qui se
e que Cotard a désignée sous le nom de délire d'énormités pour la distinguer du vrai délire des grandeurs. Les pseudo-mégaloma
entes « de celles que l'on perçoit par l'oreille, et bien faciles à distinguer de ces dernières ». Ce malade entendit ainsi, u
ns des centres nerveux consécutives à la section nerveuse, il y a à distinguer également deux périodes : la 1'° où les éléments
seraient très rares chez les sujets nerveux. Il va sans dire qu'il distingue la nervosité de la prédisposition aux troubles
34 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
min, de sorte que, sur les coupes ainsi colorées, cette couche se distingue , même à l'eeil nu, comme un ruban foncé décriva
e Krause, et au noyau externe de Huguenin. Schwalbe ' de son côté distingue trois noyaux d'ori- gine au nerf auditif : son
rieure; l'autre postérieure et supérieure. Ces deux faisceaux se. distinguent par le caractère de leurs tubes nerveux. 2° Dan
lions cérébro-spinaux. Horbaczewski ` (v. Rente, loc. cit., p. 461) distingue deux espèces de fibres nerveuses, dans le nerf
s d'axe ne se colorent pas au carmin. (Pi,. V, fig. 5, B), et ne se distinguent que sous la forme de points foncés ; souvent mê
lionnaires qui s'accentuent encore davantage, fait que les îlots se distinguent notoirement des tubes ner- veux qui les entoure
t grenu de Gerlach. Dans les cloisons conjonctives de ce réseau, on distingue des éléments cellulaires et des vaisseaux capil
rf auditif et le facial, dans le méat auditif interne. Cet auteur distingue une double relation entre ces nerfs. La pre- mi
de la peau est notablement diminuée; ainsi sur les joues, la malade distingue difficilement les deux 1 Hammond. On mi/.xoedem
faiblissement très marqué : il était impos- sible pour la malade de distinguer par la saveur ou l'odeur un poisson d'un « roas
uche correspond à l'apparence confuse de la papille dont on ne peut distinguer les vaisseaux, tandis que les examens ophthal-
c, il est surtout important de 102 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.' distinguer l'hémorrhagio'intra-vcntriculaire primitive do l'
qu'au bout de quelques mois qu'elle parvint à se recon- naître et à distinguer qu'elle avait affaire à des médecins et à des i
dermique est une espèce nosolo- gique nettement définie et que l'on distingue facile- ment des états morbides tels que les af
triste fureur qui domine leur raison et leurs sens. VI. Ce qui les distingue encore, c'est une sorte de quiétude dans laquel
'une vive imagi- nation et d'une intelligence remarquable. Elles se distinguent dans toutes les études, surtout sur la musique,
nomènes généraux, pas de troubles intellectuels. Cette affection se distingue de la cho- rée vulgaire par l'absence des troub
r l'excitation portée sur une plaque d'hyperesthésie. Ce qui paraît distinguer ce réflexe cutané du réflexe tendineux, c'est u
c la paralysie générale survenant chez un saturnin ; mais elle s'en distingue par quelques-uns de ses symp- tômes, et surtout
ion de la rétine qui a perdu la perception des cou- leurs, mais qui distingue encore le clair de l'obscur. Chez les hémianest
mment à la Salpêtrière sur trois hystériques hypnotisables. On peut distinguer dans la catalepsie deux phases diverses en ce q
sses. Avec un grossissement de quarante à cinquante diamètres, on y distingue une grande quantité de fig. 28. recueil DE fa
r BOURNEVILLE et WUILLAMIÉ. Un examen attentif des idiots permet de distinguer un cer- tain nombre de classes différant les un
suivi dans la partie externe et inférieure du pont de Varole; il se distingue des faisceaux moteurs en ce que ses fibres au l
el : exemple les aliénés dangereux, et encore parmi ceux-là faut-il distinguer et ne les considérer comme tels que lorsque le
etour incomplet de la sensibilité sensorielle, la variété du délire distinguent de la troisième période (des poses plastiques),
rise, sans fraude possible, la léthargie hystérique pro- voquée, la distingue de la catalepsie, du somnambulisme hystéri- que
des zones bystéro-épilepto- gènes, jointe aux signes déjà indiqués, distinguera 1'li,stéro-épilep- sie de l'épilepsie. La quatr
de la sen- sibilité sont la règle dans la pseudo-paralysie, qui se distingue 'encore en ce que la paralysie y commence toujo
re a une guérison. En somme, la pseudo-paralysie des alcooliques se distingue autant par sa marche que par ses symptômes; ell
35 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
variétés, malgré le petit nombre d'obser- vations connues. M. Blocq distingue trois formes, selon que les fonctions sont amoi
its en granu- lations. Vers la périphérie, surtout de la lésion, on distingue les signes d'une myélite, les tuniques des vais
On constate des corps granuleux très nombreux. 11 est à noter qu'on distingue çà et là un certain nombre de tubes nerveux res
ormal. Au contraire, l'aspect de la région dorsale est tacheté : on distingue des points plus clairs et plus jaunes qui tranc
oc). Forme aphasique. La clinique est arrivée, on le sait bien, à distinguer quatre modes spéciaux de mémoire du mot, à savo
ni sur une chienne qui a survécu huit mois à l'opération '. Il faut distinguer deux périodes et même trois. Dans la première,
ée et musculaire étaient presque un signe pathognomonique servant à distinguer une lé- sion de la base d'une lésion de l'écorc
ensation de boule, mais provoque comme des coups de marteau ». Elle distingue bien les couleurs des deux côtés. Ouïe moins bo
uche. En somme, les phénomènes de l'aura prédominent à gauche. Elle distingue bien les couleurs. Pas d'onanisme. Elle ne rech
uches concentriques comme les couches corticales de l'oignon, ne se distinguent pas du reste de l'endo-nerf, et ne présentent p
erveux, cylindraxile, est toujours ramifié ; lui et ses branches se distinguent des prolongements pro- toplasmiques par leur as
t, leurs bords lisses, uniformes ; leur finesse permet aussi de les distinguer des prolongements potoplas- miques ; 4° il y a
aractéristiques. Malgré ces éliminations successives on peut encore distinguer quatre autres formes de mélancolie : cl). La
, son délire spécial, enfin ses lésions propres; si on a soin de la distinguer des paralysies géné- rales de causes diverses (
épileptiques, analyse d'une façon générale les troubles du langage, distingue les désordres mentaux variés que l'on a groupés
imaginaires. Par quels caractères propres la cellule nerveuse se distingue-t -elle, au point de vue objectif, des autres étém
ellule, des ramuscules arbores- cents dont la forme varie et sert à distinguer les fibres nerveuses en deux catégories bien ne
u nerveux de l'écorce, en fines ramifications arborescentes. Ce qui distinguerait le nerf sensible du nerf moteur ne serait donc
de vue clinique et en ce qui concerne l'anatomie pathologique, de distinguer la maladie qui nous occupe des autres affections
Séance du 29 juin 1889. M. uLWCUS. De quelques particularités qui distinguent les phéno- mènes et l'évolution de la mélancoli
moraux; a° Elles se rattachent à l'hébéphrénie dont on a cru devoir distinguer deux espèces sous les noms d hebéphrénie propre
1 et de l'absence de bien des symptômes importants. Il faut bien distinguer laparalysie générale qui se greffe chez des syphi
sur une affection organique ou dynamique, c'est ce qu'il s'agira de distinguer , se traduisant pendant la vie par des symptômes
iphé- riques suivant les autres, c'est ce qu'il s'agira encore de distinguer , mais qui en tous cas, pratiquement, se révèle
omme celle-ci a des caractères particuliers qui permettent de les distinguer des affections analogues. J'ajouterai enfin que
pathologistes, c'est-à-dire celle de savoir s'il est pos- sible de distinguer la sclérose de la maladie de Fried- reich des a
léroses combinées pseudo-systématiques », il est encore possible de distinguer ces cas, de la sclérose vraiment systématique d
des coupes préparées selon la méthode de Wei- gert, cette bande se distingue très nettement des parties avoisinantes décolor
té de la ligne médiane, à la partie externe des cordons de Goll, on distingue une zone (Voir fig. 42'), qui, sans être absolu
rilles qui émanent de leurs prolongements et en rayonnent; elles se distinguent des fibrilles qui font corps avec la substance
e de Friedlander, sans compter des microbes indé- terminés. On peut distinguer des méningites primitives et secon- daires ; ce
être si exactement simulée par la stupeur secondaire qu'on ne peut distinguer l'un de l'autre ces deux états qu'avec l'aide d
36 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
CHix : Vision : oeil droit- simple perception lumineuse ; la malade distingue le .our de la nuit; oeil gauche : diminution de
sez volumineux. Odorat troublé ; -, ne reconnait pas les odeurs, ne distingue même pas les bon- nes odeurs des mauvaises, ain
iques, mastzcllen). En se fondant sur ces données, on pourrait déjà distinguer deux formes nettement tranchées de psychose aig
ntes de persécution, sans évolution, ni systématisa- tion ce qui la distingue de la paranoïa alcoolique chroni- que. La prédo
ets contradictoires et en apparence inconciliables à condition de distinguer deux thérapeutiques psychiques absolument diffé
me partie du livre premier, M. Régis ex- pose sa classification. Il distingue deux grands groupes de psychopathies : les mala
génératrice un certain nom- bre de caractères qui permettent de les distinguer assez facilement des états psychopathiques anal
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 129 taire d'origine cérébrale et oscillant se distinguerait -il de celui de l'innervation volontaire émané d
tologique sur le durcisse- ment du cerveau qu'on a dû de pouvoir la distinguer des étais voisins : il faut injecter dans la ca
'endar- térite vulgaire de l'a 1-Lé 1-i O-sclé l'ose. Cet état se distingue : a) de la porose de M. P. Marie, sorte d'emphy
laques, paralysies spinalesspasmodiqucs). Ce réflexe peut servir il distinguer une paralysie organique d'u- ne paralysie hysté
o- mes. Ces malades ont leurs hons ut leurs mauvais jours, ce qui distingue l'affection delà chorée chronique. 3 observations
que le choix du mode réactionnel ; si d'un point de vue général on distingue des catégories d'anormaux opposa- bles l'une à
e de celui des microcéphales. La structure de l'écorce cérébrale se distingue de celle des mammifères, plus intciligents, en
s qui ont surtout attiré l'attention des auteurs. Parmi ces cas ils distinguent particulière- ment ceux dans lesquels les manif
aide de deux malades, la fausseté du critérium autrefois admis pour distinguer les ophtalmoplégies fonctionnelles des ophtalmo
ralement les objets usuels qu'il voit chaque jour, mais ne sait pas distinguer les couleurs. Gymnastique nulle. A la fin de l'
e et se déshabille pres- que seul, il sait lacer, nouer, boutonner, distingue les couleurs et reconnaît quelques lettres et q
de l'an- née, etc ? 19°3. - Les progrès scolaires continuent; il distingue le masculin du féminin, le singulier du pluriel
se à la lecture courante. Il fait de petits exercices de grammaire, distingue le genre et le nombre, sait faire l'addition, l
omme les principales par- ties de son corps et de ses vêtements. Il distingue un plus grand d'un plus petit, un objet lourd d
ou- leurs et les surfaces. Il s'intéresse aux leçons de choses et distingue un certain nombres d'objets. Il sait lacer, bou
de. Enfin, elle connaît toutes les lettres, commence à écrire. Elle distingue bien toutes les couleurs, reconnaît les légumes
ces par le traumatisme (psychose traumatique vraie). On a, pour les distinguer , divers éléments que nous passerons brièvement
na- ture du traumatisme et ses conditions de réalisation, on peut distinguer les plaies siégeant en tel ou tel point de de l
la maison, à rechercher les femmes qui s'appro- chaient, sans même distinguer sa mère. L'érection, au paroxysme, s'accompagna
able à celui de l'alcoolique classique (1). D'autre part, il faut distinguer l'état du blessé anté- rieurement à l'accident
cellules dégénérées qui forment deux gros groupes, dans lesquels on distingue de petits îlots plus on moins séparés. A. la pa
ve représente.par contre, un tableau anatomique particulier, qui se distingue surtout par : 1°) l'hyperplasie (pseu- dohypel'
conclut en interprétant de nombreuses obser- vations cliniques, et distingue quatre variétés de névroses dites Iraumatiques
lle réussissait à raisonner avec clarté en de pareils moments, et à distinguer avec finesse ces différents états. De grands ef
e, elle commence à écrire, forme à peu près toutes les lettres, les distingue les unes des autres, ainsi que les chiffres; el
on défensive et par la richesse vasculaire. Avec Kôlpin on peut lui distinguer deux couches. La couche interne, placée au vo
en vaisseaux plutôt que par ses caractères irritatifs et qui ne se distingue du tissu nerveux voisin normal que par cette ex
es par la méthode de Weigert pour la coloration de la névroglie, on distingue des fibrilles névrogliques, entremêlées aux élé
le, l'oeil gauche est fortement dévié en dedans ce qui l'empêche de distinguer les lettres à première vue. Malgré tous ces inc
nnaît tout ce qui est contenu dans les boîtes aux leçons de choses, distingue très bien les couleurs, elle compte assez bien
nt, en sont le résultat et non la cause. La méningite foetale ne se distingue pas anatomiquement de celle de l'enfant etde l'
37 (1913) Exposé des travaux scientifiques
faiblis et l'on s'accorde à dire qu'il est souvent impossible de la distinguer , lorsqu'elle est à sa première période, de l'hé
se assez commune. J'ai indiqué quelques moyens qui permettraient de distinguer le phénomène des orteils légitime d'une extensi
tre de déceler l'existence d'une affection grave de l'encéphale, se distinguerait des autres réflexes tendineux parce que la réac
les réflexes tendineux et les réflexes de défense, je suis arrivé à distinguer par des caractères intrinsèques diverses espèce
e pyramidale, il était nécessaire de faire une sub- division, et de distinguer deux formes de rigidité musculaire, qui souvent
ose constatée dans l'observation III, par sa rapide disparition, se distingue de celle qu'on observe dans la syphilis des cen
ment du pied du côté malade; de là, une attitude toute spéciale qui distingue cette scoliose des diverses déformations provoq
suffit pour écarter l'hypo- thèse de simulation ; elle peut aider à distinguer la sciatique vraie de la sciatique hystérique q
PÉRIPHÉRIQUE BrissaudetMeigeont cherché à établir qu'il y a lieu de distinguer les spasmes de la face d'avec les tics, que l'h
isuels sont en opposition avec le diagnostic de tabes. Ce fait se distingue du pseudo-tabes alcoolique où on ne voit guère
des plus nets. Il faut d'abord remarquer la différence notable qui distingue les liquides recueillis à 2fi heures d'interval
s lèvres et la joue et en leur imprimant des mouvements passifs. On distingue ainsi l'asymétrie faciale due à l'affaiblisseme
sif, on l'abandonne à elle-même. C'est là un signe qui peut aider à distinguer l'hémi- plégie organique de l'hémiplégie hystér
mpression de l'encéphale peut avoir des caractères permettant de la distinguer de 132 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE l'hémiplégie
observer aussi des mouvements brusques et sans mesure, mais ils se distinguent de ceux qui dépendent d'une affection cérébelle
dans les paralysies psychiques, on peut admettre qu'il permet de distinguer , dans certains cas, la chorée de Sydenham de la c
oi de le dire, l'insuffisance des moyens dont on disposait pour les distinguer m'avait frappé. On croyait, je le rap- pelle, q
nsidérant uniquement les caractères des trou- bles moteurs, on peut distinguer la paralysie faciale hystérique de la paraly si
cture, un spasme glosso-labié, mais ses caractères seront faciles à distinguer do ceux qui appartiennent à la paralysie faciale.
38 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
sus, jusqu'à quel point ces secousses comme électriques du tiqueur se distinguent profondément des gesticulations lentes et permane
« Ischias nervosa » et que dans ce dernier groupe il y avait lieu de distinguer encore Y « Ischias nervosa antica » (névralgie cr
nt ou relevés comme tels occupent les lieux d'élection. Ainsi, nous distinguons un point sacro-iliaque (a), un point fessier (ô),
e par elle-même aucune particularité nosographique qui permette de la distinguer des neurasthénies développées sous L'influence de
inique par des caractères vraiment particuliers et qui permettront de distinguer l'affection ainsi produite, de toutes les névrose
ents nerveux produits par l'action du sulfure de carbone, afin de les distinguer aussi nettement que possible de ceux qui relèvent
usement qu'on ne l'a fait jusqu'ici, et s'attacher surtout à les bien distinguer des symptômes hystériques qui se développent dans
logie des phénomènes nerveux saturnins et alcooliques, il faut savoir distinguer ce qui appartient à l'hystérie provoquée par l'in
s grands éléments pathologiques que l'analyse clinique nous conduit à distinguer chez notre malade. Vous avez bien compris qu'il
rges [Chorea as a fatal disease.— On chorea, p. 172. London 1881), de distinguer dans l'espèce deux ordres de cas tout à fait diff
t à peu près jamais accompagnées de perte de connaissance, ce qui les distingue de la plupart des formes diverses du petit mal.
arrivée à la période atrophique,il est généralement facile encore de distinguer la papille d'un blanc mat, aux bords nébu- I eu
névrite optique, de la papille nacrée aux bords nets et tranchés qui distingue la forme tabétique. N'oubliez pas le pronostic fa
i Fa forcée de rester alitée ce jour-là ; le lendemain matin, elle ne distinguait que difficilement les objets. Ces symptômes avaie
tabétiques, sera certainement ou très vraisemblablement utile et les distinguer de ceux où son application serait de nul effet,ou
Il y a longtemps que j'ai appelé l'attention sur la nécessité de bien distinguer en clinique le vertige ab aure Isesa, à crises di
ysie générale progressive, le tremblement de la maladie de Basedow se distingue par cette circonstance que dans ce dernier les do
ion. Il est assez particulier, je crois, pour qu'il soit permis de le distinguer des complexus symptomatiques qui peuvent s'en rap
s caractères de la neuras-thésie spinale et qu'elle peut contribuer à distinguer celle-ci des parésies ou paraplégies par lésions
re à reconnaître les grands caractères qui, suivant quelques auteurs, distingueraient la névrose traumatique des autres formes de Yhy
, sa physionomie, son regard ne présentent rien de particulier qui le distingue d'un homme parfaitement éveillé et à l'état norma
tude, les grandes gesticulations de certaines chorées ; mais ils s'en distingueraient immédiatement, vous l'avez compris, par cette cir
marche, conformément à la définition de l'astasie et l'abasie. Pour distinguer les faits de ce groupe, je proposerai d'adopter l
u'il soit nécessaire d'insister sur les caractères qui permettront de distinguer cliniquement les troubles moteurs abasiques de ce
qu'en effet, ces membres sont douloureux, hyperesthésiés. et il y a à distinguer , sous ce rapport, les douleurs ou sensations péni
ue des cellules motrices de la région. à). Une première catégorie à distinguer dans ce groupe, comprend les cas qui répondent cl
qu'on ne pouvait pas se servir du rétrécissement du champ visuel pour distinguer l'hystérie de I'épilepsie, parce qu'il se rencont
ives de Virchow (2), sont revenus sur ce sujet. Il faut naturellement distinguer , dans ces expériences, les effets de la fulgurati
; cela dura pendant dix ou douze jours, après quoi on ne pouvait plus distinguer les parties qui avaient été paralysées. Il import
t, — est présente dans notre cas, douée de tous les caractères qui la distinguent cliniquement. Hémianesthésie sensitive et sensori
liniques tellement particuliers qu'ils paraissent devoir permettre de distinguer , à coup sûr, la maladie des tics de toutes les au
e, « jusqu'à quel point les secousses comme électriques du tiqueur se distinguent profondément des gesticulations lentes et permane
énéralisés. C'est justement dans la difficulté qu'il peut y avoir à distinguer ces deux cas, que gît l'intérêt de la situation,
ervices. Vous voyez qu'il n'était pas sans intérêt d'apprendre à bien distinguer , l'un de l'autre, deux états morbides dont le pro
ficultés qu'il pourrait y avoir, dans certains cas particuliers, à la distinguer de ce que l'on pourrait appeler l'abasie ou l'ast
iverses régions de la substance grise centrale, et ici il y a lieu de distinguer : a. les symptômes poliomyéliques antérieurs, à s
dont nous venons de mettre en relief les caractères fondamentaux, se distinguent encore par d'autres traits dont on ne saurait méc
ou la thermo-anesthésie restent plus étroitement localisées, elles se distinguent encore par leur mode de distribution fort remar
avaux récents, appartiennent à la syringomyélie et peuvent servira la distinguer vis-à-vis de la téphro-myélite antérieure chroniq
Ainsi, cela est bien entendu, les troubles sensitifs particuliers qui distinguent la syringomyélie de la plupart des maladies spina
39 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
cès thérapeutiques l'ont amplement, justifiée. Plusieurs temps sont à distinguer . Premier temps Le soir, quand le malade est e
mené-Discussion. M. Félix Regnault. — Il convient, ce me semble, do distinguer : iaV enfant précoce, qui exécute ce que d'autres
ggestion. Des suicides (1) Par M. le Dp Félix RegnauXT. Il faut distinguer parmi les suicides: 1° Le suicide volontaire, r
x ans après, il n'avait plus eu la moindre obsession. Il importe de distinguer ces divers modes de suicide, qu'on l'étudié chez
égage en outre ce fait important c'est que l'hypnotisme peut servir à distinguer les incorrigibles de ceux qui ne le sont pas. Dès
d acte qu'il doit romplir : exprimer les idées de l'auteur. Il faut distinguer au point dé vue de notre étude deux manières d'ex
rmonisait avec la délicatesse de ses sentiments et de ses goûts et la distinguait des autres filles de son rang. Elle était domesti
xte (3) Par M. le professeur Raymond Au point de vue clinique, on distingue trois sortes de fugues, celles des épileptiques,
: il réussit souvent et aune grande réputation. Le cautérisateur se distingue du barbier. La spécialité de ce dernier se limite
remonter l'ëtiologie à un facteur psychique. Il convient toutefois de distinguer nettement : 1° Les grossesses nerveuses à subst
ment du rythme n'aiment que la musique vulgaire et sont incapables de distinguer les hauteurs des sons, les notes fausses et le ti
térie n'est pas définissable équivaudrait à dire que l'hystérie ne se distingue par aucun caractère d'autres affections nerveuses
ociété de Neurologie de Paris. (1 novembre 1901.) nette de ce qui distingue cet état névropathique, ce qui revient à dire qu'
cette reproduction est rigoureusement exacte et il est impossible de distinguer les troubles hystériques de ceux qui sont créés p
tenir par ce moyen une imitation très imparfaite, qu'il est facile de distinguer de l'original ('). Que l'on essaie par exemple de
ystcriesont donc exactement semblablesàcelles de l'hypnotisme. Ce qui distingue ces deux états c'est que dans le premier les trou
et la dip. spmanie. En effet, quels sont les caractères qui ontfait distinguer la dîpsomanie de l'ivrognerie ? Ce sont : 1° Le
eption à la règle. Une fois le sommeil produit, il faut savoir bien distinguer , ainsi que l'a fait observer M. Richer, les sympt
parait aussi n'en être déjà plus à la première. • • * On peut distinguer aussi plusieurs sortes de conducteurs. Les uns on
uniquement expérimental, afin de démontrer qu'on devait dissocier et distinguer deux facteurs à savoir la suggestion mentale pure
. » Le monastère de Fontevrault n'avait donc rien de ce chef qui le distinguât de la plupart des autres, et il ne doit sa célébr
nous n'avons aucun saut à faire pour arriver aux cas suivants. Ils se distinguent seulement des précédents en ce que'les groupe
. Dans ses leçons cliniques sur l'hystérie, le professeur Pitres ne distingue pas moins de douze états dérivés du somnambulisme
de suggestion. On peut continuer ainsi, à la condition qu'on veuille distinguer à l'occasion ces diverses variétés ; cela est d'a
bservations se trouvent mélangées à des faits, dont il importe de les distinguer et toutes les manifestations décrites dans ce cha
a manifesta-lion que nous étudions spécialement ici, on peut toujours distinguer un sujet actif et l'autre passif, absolument inco
érencier des diverses télépathies auxquelles on l'a assimilée. Pour distinguer ce phénomène, que Flammarion appelle vue à distan
senté d'anormal au point de vue cérébral ou nerveux. ' Enfin ce qui distingue essentiellement l'antévision de ces divers états,
re, l'an té-voyant pourrait voir subjectivement toute personne qui se distinguerait par quelque particularité mais qui lui serait inc
leur promettant des prières si elles font bien leur office. 11 faut distinguer diverses auto-suggestions comme il existe diverse
réduit aux termes essentiels ; il énonce des définitions précises, il distingue , il disjoint, il met de l'ordre dans les touts co
40 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
coutumière que provoquait l'alcool. Dr Jules Voisin. — Il faut bien distinguer les alcooliques et les dipso-manes. Ceux-ci boive
t la nuance active ou passive des sentiments sexuels des invertis, on distingue , chez eux, un type masculiinforme et un type fémi
Bourget. lequel propose le termedepai/wwi/wiie, M. le Pr. Dieulafoy distingue deux catégories de pathomimes : il y a ceux qui s
nus uro-génital). Plus tard, dans l'embryon, les organes urinaires se distinguent progressivement des organes génitaux, ceux-ci con
ur par définition. Comme d'autre part l'inverti est parfois un esprit distingue et cultivé, imaginatif et émotif, c'est dans le c
s. De même qu'il y a des gens que nous appelons daltoniques, qui ne distinguent pas les couleurs les plus vives et ne voient qu'u
e mieux aujourd'hui qu'hier et demain qu'aujourd'hui. Il importe de distinguer l'émulation de l'envie et de la jalousie qui l'ac
rand air et de liberté le jeudi et le dimanche ? Il faut évidemment distinguer les cas. Il semble qu'avec certains élèves la dis
écrits, jusqu'à ce qu'il arrivât à moi. Or, pour ce faire, il avait à distinguer ma piste d'au moins cent autres pistes également
d'autant plus donloureux de perdre des hommes comme Liégeois, qui se distinguent par la clarté de leur esprit, la sûreté de leur j
s l'hystérie. 11 s'agirait de savoir si le suicide des hystériques se distingue par des caractères particuliers du suicide que l'
, le suicide hystérique a une existence propre. Tout d'abord, il faut distinguer le suicide-impul -sion, déterminé par une sensati
atières de l'enseignement comme inférieures aux antres. De même qu'on distinguait autrefois les arts majeurs et les arts mineurs, i
e ces mêmes chiens, devenus grands, n'avaient pas acquis l'aptitude a distinguer leurs congénères mâles des femelles. Mantegazza
ttire le mâle souvent à de grandes distances. ? lui donne le moyen de distinguer les femelles en chaleur de celles qui ne le sont
epuis deux mois et demi. Discussion M. Bérjxlox. - 11 convient de distinguer les fausses grossesses et les grossesses imaginai
prêtres, nommés papalois. et des prêtresses, appelées matimanlois, se distinguent par la coloration plus ou moins rouge foncé des m
ocalisations professionnelles et c'est un caractère qui permet de les distinguer des tésanies véritables. Il est en effet difficil
en particulier par Prayer ont démontré que des mammifères nouveau-nés distinguent , peu d'heures après leur naissance, les odeurs ag
ogne, il m'est arrivé de voir des viticulteurs assez embarrassés pour distinguer les produits de leurs crus, fortuitement mélangés
élicates. Us en donnent les preuves à l'appui. Certains* par exemple, distinguent très facilement les odeurs personnelles dos femme
mbre située à l'une des extrémités de son appartement elle sentait et distinguait toutes les odeurs de la cuisine située à l'autre
llait servir (2). Cadet de G-assicourt a observé une jeune dame qui distinguait à l'odeur seule les hommes et les femmes ; elle n
f, de dispositions très surprenantes. Aux Antilles les nègres marrons distinguaient au nez la trace d'un blanc de celle d'un noir.
source de vertus guerrières. Discussion : M. Bertllox. — Il faut distinguer les homosexuels d'occasion, dont le cas n'est pas
huile et l'encens. (1) Les dieux ont chacun leur odeur propre qui les distingue . Les divinités célestes répandent une snave odeur
lui chaque individu animé que nous pouvons expliquer comment le chien distingue la piste du lièvre de celle du renard et celle du
us ou moins forte, mais spécifique. Un odorat exercé saura facilement distinguer un Anglais d'un Eusse, un Français d'un Allemand.
les suit partout, qu'un odorat moyennement exercé n'a pas de peine à distinguer . « H n'est personne qui n'ait remarqué, dit à ce
n'y parvient pas, car elle confond les caractères de l'écriture et ne distingue que de petits espaces, les uns blancs, les autres
ionne, son odorat décèle rapidement les choses dont il est friand, il distingue de la même façon les matières étrangères incorpor
, surtout dans nos pays latins. Avant de les étudier, il importe de distinguer l'éducation attrayante de l'éducation purement am
thérapie suggestive et sur les nombreux agents psychiques qn'il faut distinguer de la suggestion proprement dite. Au même taux qn
er de la suggestion proprement dite. Au même taux qn'en physiatrie on distingue le massage de l'électricité ; tels sont l'emp
ur n'a aucune difficulté de calculer les distances et peut facilement distinguer le réel de l'irréel. A la nuit tombante ? quand l
41 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on mentale secondaire. - Il est souvent difficile, dit M. Næcke, de distinguer une obsession véritable d'une idée délirante. Il
s phobies sont des névroses à part et dans ce groupe il y a lieu de distinguer : 1° les obsessions vraies, 2° les phobies. D
roubles de l'émotivité, les tendances aux actes de violence. Schuie distingue des psychoses traumatiques primain et secondair
° L'endonerf et le périnerf, très développés chez le nouveau-né, se distinguent du tissu interstitiel du nerf de l'adulte par u
ans son travail, publié dans les Archives de physiologie, Liouville distingue les trois formes suivantes de la tuberculose de
parsemé de noyaux et de leucocytes. Dans les faisceaux latéraux on distingue une pro- lifération de la névroglie dont les ré
. Régis a appelé la dromomanie. b) Impulsifs hystériques. - On peut distinguer deux ordres de faits : il est des malades qui m
faut séparer de la paralysie générale typique deux formes qui s'en distinguent au point de vue clinique et anatomique : 1° l'en-
ique interne. L'auteur admet, avec M. Binswanger, qu'il y a lieu de distinguer de la paralysie générale une dégénération du ce
est vrai, c'est qu'actuellement l'anatomie pathologique ne sait pas distinguer les affections syphi- litiques des vaisseaux (l
as de névrite alcoolique. « M. nIENDEL. - Dans bien des cas on peut distinguer 12s symp- tômes provoqués par une lésion en foy
orie, ou des tendances hypocondriaques. L'humeur est mobile. Ce qui distingue ces sujets des paralytiques, c'est le calme, la
es et les cellules qu'on aperçoit sont toutes absolument rondes; on distingue également dans ses inters- tices des cellules d
par l'hématoxyline, une coloration bleu gris un peu trouble; on y distingue encore assez bien les contours des fibres muscula
fibres, d'autant plus nombreuses qu'on se rapproche de la corne, se distingue assez nettement du reste de la moelle; elle est
suivant les cas ; tantôt cette lésion vasculaire, qu'il faut bien distinguer de la sclérose consécutive à la destruction des é
nt se concentrer en un point de myélite (OBs. IV) qui ne saurait se distinguer au microscope d'un foyer de myélite syphilitiqu
faut d'autres, nous montre combien ces symptômes de la méningite se distinguent difficilement de ceux du tabes confirmé. La d
le tabes. Au point de vue clinique, il ne nous est pas possible de distinguer les symp- 304 CLINIQUE NERVEUSE. tomes qui lu
ue les auteurs n'ont pu en réunir que 21 cas parmi lesquels on peut distinguer plusieurs variétés pathogéniques : 1° lésions i
r 0. HEBOLD. (Allg. Zeitschr. f. Psychiat., L. 3. 4.) L'auteur en distingue trois formes à localisation (Wernicke, 18 H) :
chargé de mission en Allemagne. On peut, pour en faciliter l'étude, distinguer dans l'histoire du développement de l'assistanc
tomiques de paralysie faciale otitique qui sont parfois possibles à distinguer cliniquement les unes des autres, comme les aut
me qui tout en res- semblant beaucoup à la maladie de Duchenne s'en distinguait par d'autres côtés et surtout par le résultat n
ne sont pas la cause fondamentale de leur métamorphose. . ! Ce qui distinguera forme subaiguë, de la forme chronique, c'est qu
ège. A la dernière période le noyau, complètement décoloré, ne se distingue plus du restant du corps cellulaire. (American jo
ISIG. (IYc2v'olor. Centt'albl., XHL 1894.) M. Flechsig propose de distinguer : 1° des centres sensoriels; 2° des centres d'a
s ascendantes. Il faut donc dans les altérations avoir soin de bien distinguer le point où la racine pénètre dans la moelle, c
ue dans les contrées où l'on boit le vin et l'eau-de-vie. Il faut distinguer les buveurs qui s'alcoolisent par suite de pré-
s cellules chromophiles dans les divers types de cellules. Elles se distinguent par leur apparence homogène, la disparition des d
l'hystérie et à l'ataxie hérédi- taire. 2° Le groupe sémitique se distingue par la prédisposition de ses membres aux maladi
quent chez les Israélites; le tabes est rare. 3° La race mongole se distingue surtout par la fréquence des psychoses à forme
ès délicat. M. OEI3EKG cherche à fixer les signes qui permettent de distinguer les persécuteurs et les processifs véritablemen
qui concerne celle destinée aux malpropres. Mais cette section se distingue des centres par des éléments spéciaux. Elle a une
ES MUSCULAIRES, ETC. 453 ment. Organes des sens : vue, assez bonne, distingue les princi- pales couleurs du spectre, ne confo
nt des échelles jumelles (système Pichery) et de l'échelle convexe; distingue toutes les lettres, lit sans épeler (d'après la
uelles (aliments, tissus, éclairage et chauf- fage) ; en grammaire, distingue le nom, l'adjectif et le verbe, sait mettre au
quelle on pourrait donner le nom de délire aigu bacillaire. Elle se distingue de toutes les autres, cliniquement par une intens
42 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e nature nerveuse. Quant au cerveau des vertébrés supérieurs, il se distingue de celui des poissons osseux et des ganoïdes pa
lité des pupilles, et que l'on pouvait, en se basant sur ce fait, distinguer les manifestations hystériques des états dus à l'
, indépendamment de tout exercice du libre arbitre. D'autres encore distinguent entre la responsabilité subjective et la respon
ATHOLOGIE NERVEUSE. 147 thodes ordinaires ne nous permettent pas de distinguer facilement de légers changements dans les réact
ieux, anesthésie au froid, dans la moitié droite du corps.Le malade distinguait mieux le chaud que le froid, et tou- jours appe
carrière de Swe- denborg. Tous les événements grands et petits qui distinguent celle-ci sont tout simplement le résultat logiq
s purs qu'on a pu rapprocher des érotiques et dont il faut aussi le distinguer ; chez lui en effet l'élément intellec- tuel pré
rocherait donc plutôt du théosophe de Matter, mais il faut aussi le distinguer du délirant systématisé progressif dont la marc
te perte de la vision est absolue et, pendant quatre jours, elle ne distingue plus aucun objet. Elle présente en même temps à
myosis. Réaction très nette à la lumière. La malade prétend ne rien distinguer du tout : elle a la sensa- tion du noir absolu.
ce une série de douches et peu à peu l'acuité semble revenir : elle distingue un doigt, puis deux, puis la main, puis le visa
ible et l'atropine ins- tillée la diminue considérablement : Marthe distingue difficilement les lettres des optotypes, les un
dit voir trouble de l'oeil gauche ; quelques minutes après, elle ne distingue plus rien de cet oeil ; mais ce n'est qu'un peu p
illette s'illumine aussitôt d'un reflet rouge intense, mais elle ne distingue rien ; elle continue à avoir la sensation du no
punis avec forte suggestion a l'état de veille ; le lendemain elle distinguait déjà le clair, et le surlendemain, elle recouvra
roit,puis, qu'on lui fasse lire ensuite l'échelle de Stilling, elle distingue exclusivement les lettres rouges, c'est-à-dire
soit devant l'oeil amblyope et le vert devant l'oeil droit, elle ne distingue d'abord que les lettres vertes grandes et petit
ant à ce qu'elle ait toujours les deux yeux ouverts, elle finit par distinguer le pain à cacheter de gauche : « celui-là est p
aintenant les résultats auxquels nous sommes arrivés. Nous devons distinguer trois états différents dans les descriptions qu
complexe du mouvement de l'iris. Le réflexe oculo-pupillaire qui se distingue du-réflexe sensitif - ordinaire par la lenteur
e ou l'absence constantes des germes dans le tissu nerveux, on doit distinguer deux classes de paralysies de Landry : 1° l'une
ir compte des lois anatomo-pathologiques du neurone, dans le but de distinguer , autant que possible, les altérations primitive
ous un aspect très différent de celui des maniaques simples. Ils se distinguent surtout de ces der- niers par la frayeur qui ca
ez eux, de la folie proprement dite, des vésanies. Ces caractères distinguent donc la descendance des paralytiques généraux d
Parmi les intoxications primitives, causes de la céphalée, il faut distinguer : 1° des intoxications spéciales systématiques (i
des erreurs grossières, puis totalement impos- sible : le malade ne distingue pas des différences de plusieurs kilogrammes, e
, partout et toujours. J'ai l'habitude, dans mon enseigne- ment, de distinguer plusieurs variétés de contracture. L'une, que j
objet déterminé. Ces phénomènes forment un groupe à part. Pour les distinguer , nous les comprendrons sous le nom générique de
aspects grotesques ou menaçants. Un homme, au repos sous un arbre, distingue , dans un bouquet de feuilles, un pantin, dont l
AL11. Dura et DELARUE rapportent sept cas d'astoso-basophobie. Ils distinguent trois formes : simple, associee, mixte. Au point
reconnaissent deux formes, l'une con- tinue, l'autre par accès. Ils distinguent enfin trois types : l'un paralytique, l'autre s
riérés la caté- gorie intéressante des simples bornés. Krafit-Ebiug distingue les représentations impulsives, des impulsions
la peau conservait sa coloration habi- tuelle. Il y a donc lieu de distinguer , ce qui, je crois, n'a pas encore été fait jusq
lus et de former quatre groupes différents. En outre il convient de distinguer également deux degrés dans la dermographie selo
aut entendre par personnel secondaire ; il lui semble que l'on doit distinguer le personnel secondaire et le personnel inférie
isiter le pavillon de chirurgie de l'Asile clinique. Ce pavillon se distingue de tous les pavillons similaires en ce qu'il co
ralisés, ils peuvent être pris pour des stéréotypies. Mais ils s'en distinguent parce que l'athétose est en général liée à d'au
rrain. On pourra alors espérer dans un avenir prochain parvenir à distinguer anatomiquement les psychoses aiguës des psychoses
43 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
atteints de troubles psychiques très divers qu'il im- porte de bien distinguer ; car ce que nous dirons d'un de ces troubles, c
la scissure frontale supérieure n'existe pour ainsi dire pas. On ne distingue d'ailleurs bien nettement sur ces lobes que la
t en arrière, et avec la troisième eu bas et en avant. En effet, on distingue , cor- respondant à ces deux régions, deux énorm
es de grandeur) ou passives (idées de persécution). On peut ainsi distinguer deux formes de folie systématisée. En plus Griesi
es grandeurs. La seconde sous-variété, hallucinatoire exaltée, se distingue par la prédominance des hallucinatious visuelles,
er et l'exa- gération du sentiment de la personnalité. Krafft-Ebing distingue deux sortes de Paranoïa, primitive : l'une avec
me année (1880), revient sur la distinction déjà faite par Samt, et distingue deux. formes principales de la maladie, eu éqar
rveau d'un fou systématique chronique halluciné. Kroepehn* (1883) distingue : 1° la Primâre herrüclcllzeit sans état de déb
, ni les aliments, ne saisit plus le sens de ce qu'on lui dit, mais distingue les questions et les injonctions d'après le ton
de de préparation peu propre à l'étude de l'anatomie fine permet de distinguer les principaux faisceaux de fibres qui parcoure
it de condamner l'analyse clinique et physiologique qui a permis de distinguer les uns des autres divers troubles de la foncti
lus loin qu'on ne l'a fait généralement l'analyse clinique, et de distinguer , par exemple, dans chacun des quatre syndromes
- Loc, cil., p. Ci. 182 PATHOLOGIE NERVEUSE. nalyse clinique peut distinguer un certain nombre de syndromes différents, jusq
éduction du lan- gage à un jargon inarticulé, au milieu duquel on distinguait de temps en temps un ou plusieurs mots, tels qu
s cas, elle constitue une forme clinique spéciale. On peut même y distinguer deux variétés. Tantôt le malade répète les mots
nne des renseignements très détaillés sur la folie systématisée. Il distingue de la façon la plus for- melle Wahnsinn de Verr
hallucinatoire aiguë ('a ? 'at : ota/M//MC ! Ma<0 ! 'MocM<a) en distingue deux formes : l'une héréditaire, l'autre asthén
t dite, leur curabilité limitée. Au point de vue du délire, on peut distinguer deux formes : 1° le délire des persécutions à c
t rentrées dans l'ordre, et elle appelle noirs les carrés dont elle distinguait tout à l'heure la couleur violette. L'oeil gauc
té différentielle pour toutes les couleurs augmente aussi, car elle distingue plusieurs nuances; cependant, les teintes très
bout de quelques séances la notion des couleurs était revenue et il distinguait le rouge, l'orangé, le jaune, le vert, le bleu,
le fond même de la thèse, qui consiste à soutenir qu'il y a lieu de distinguer une vésanie ou psychose à marche progressive et
is par jour il a des étourdissements dans lesquels il voit trouble, distingue les objets qui se trouvent devant lui, mais san
out très nettement le son de la voix humaine ; mais il ne pouvait distinguer ce qu'on disait qu'en prêtant une grande attentio
ui siffle; il prétend même entendre les instru- ments de musique et distinguer les airs. Quoi qu'il en soit, il entend le son
fut pris d'un tremblement, de vertiges, voyait tout noir quoi qu'il distinguât très bien les objets, perdit connaissance penda
de conscience du sujet. 11-fant enfin (comme l'a fait Krafft-Ebing) distinguer la Paranoïa vraie de certains délires plus ou m
rions ainsi une marche : . 1 LA. PARANOÏA. 397 Salemi-Pace (1885) distingue deux sortes de Paranoïa : l'une, Paranoia simpl
ous le nom de délire des néga- tions une forme psychopathique qu'il distingue du délire des persécutions avec lequel on pourr
ur. Mais, en dehors des caractères particuliers qui peu- vent faire distinguer la nature de ces idées, il faut dire que ce dél
auteurs tout en rapprochant les idées fixes de la Paranoia, les en distinguent cependant à cause de la conservation de la cons
ticipation aux milieux ambiants, des jeux de la physionomie, ce qui distinguait les malades des déments paralytiques ou séniles
REVUE D'ANATOMtK ET I)E PHYSIOLOGIE. )3 largeur permet seule de les distinguer des fibrilles conjonctives voire hypertrophiés.
les asiles mêmes. Je les fais mettre aux agités, section qui ne se distingue des autres que par l'enceinte d'un mur élevé, e
44 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ections nerveuses. - Côté maternel. De ce côté, tous ses parents se distinguent par un caractère très violent. - Mère a été enf
s. Mais cette première partie du diagnostic posée, il faut savoir distinguer le tabes combiné du tabès ataxique, du tabes sp
les sensitifs qui enlèveront toute difficulté au diagnostic. Pour distinguer le tabes combiné d'une myélite dif- fuse ordina
ans certains cas, ne présente « aucun caractère qui puisse la faire distinguer de celle de la pa- « ralysie générale. Il arriv
qu'on est littéralement dans l'impossibilité presque absolue de les distinguer l'un de l'autre. mais qui présentent en outre u
accès de manie 0,07 0,11 ? Les mêmes sujets mettront pour réagir et distinguer la valeur de la sollicita- tion 0,30; 0 ? 7; 0,
que cette commissure renferme divers systèmes de fibres; on devrait distinguer un plan inférieur l' (ventral) qui de très bonn
sur des enfants à terme âgés de quelques semaines. Il y a' lieu de distinguer entre les fibres transverses de la protubérance
nfant atteint de syphilis héréditaire. Il importe du reste, de bien distinguer l'inertie pupillaire de la paralysie de l'accom
e de Jendrassik sur le phénomène du genou ? - Son procédé permet de distinguer sa névrite du tabes. Dans les premières atfecti
ILLE et P. BKICON. Parmi les formes déjà nombreuses que l'on peut distinguer dans l'idiotie, l'une des plus curieuses et des
5, complait jusqu'à 50, multipliait par 2 jusqu'à 12; elle pouvait distinguer trois couleurs. Elle apprit un peu à ourler. El
e à droite; l'odorat est un peu obtus; le goût est normal, et Gr... distingue les couleurs également des deux côtés. Gr...
le flanc droit existe un point très douloureux. Yeux. Le malade ne distingue pas les objets de l'oeil gau- che ; il voit seu
its du même genre, et pose les éléments à l'aide desquels on peut distinguer l'ataxie d'une paralysie alcoolique (paralysie at
e, tantôt celui de la catatonie au sens de Kahlbaum '. On en peut distinguer deux groupes : Le premier groupe est caractéris
e cependant des formes mixtes dans les- quelles il est difficile de distinguer s'il y a catatonie ou paralysie générale. M.
e ni de l'un, ni de l'autre côté; le goût est altéré; le patient ne distingue plus ni l'acide, ni le salé. Le malade sent si
e la température qui est un peu troublée; dans l'avant-bras il ne distingue pas une différence de 5°; pas de paralysies et de
ers la chemise, comme le dit le malade lui-même, quoiqu'il puisse distinguer la pointe d'une épingle de sa tête, mais il ne re
que quand il regarde d'un oeil ; des deux yeux ouverts ensemble il distingue parfai- tement les couleurs. Je crois que je
leus et noirs, l'oeil gauche les voit jaunes. Les deux yeux ouverts distinguent bien les couleurs. Macropie, comme chez le suje
sauf le pied qui fait corps avec la frontale ascendante et ne s'en distingue que par une scissure très superficielle. Ce déd
les séminales normales. - L'humérus droit enlevé est normal. - On distingue encore la limite des épiphyses. Il en est de même
eux soeurs se ressemblaient tellement, que leur mise ne pouvait les distinguer l'une de l'autre. La simple inspection de la ph
ituent des types ; le clinicien qui veut affirmer son diagnostic et distinguer entre les modalités psycho- pathiques, doit obs
ique, dominent cliniquement l'un ou l'autre, de sorte que l'on peut distinguer un désordre de l'idéogé- nèse sensoriel et un d
pas anéanti. Le genre en est tout différent. On y pourrait encore distinguer , selon le degré de la déchéance, un désordre « ra
du tact, mais aussi la faculté de percevoir le froid, tandis qu'il distingue encore nette- ment la chaleur et les impression
rd du froid, tandis qu'elle sentait les impressions douloureuses et distinguait parfaitement divers degrés de chaleur entre 27°
45 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
onversation facile, la riposte rapide, que rien, en un mot, ne semble distinguer du reste des humains; que cette personne, dis-je,
uisent, qui n'ont pas Dieu, mais le démon pour auteur. Mais comment distinguer les faux miracles des vrais? Il y a pour cela u
ns bizarres, irraisonnées, impulsions parfois irrésistibles. Ce qui distingue d'une manière fondamentale les imposteurs de ce g
raient comme siège organique des lésions cérébrales ; mais ce qui les distingue et les caractérise, c'est la brusquerie ordinaire
ait toujours exactement la substance que je mettais dans ma bouche et distinguait parfaitement si je goûtais du sel, du poivre ou d
vent du dehors et qui le sollicitent a l'action. Pour résumer, nous distinguons donc dans le cerveau deux ordres, différents d'ac
posé par une volonté qui domine la sienne. C'est une forme qu'il faut distinguer de toutes les autres, car elle en est bien nettem
té est abolie, — je me rends coupable d'un acte mauvais. Il faut donc distinguer avec le Saint-Siège et avec la science le phénomè
ne base fragile. Le vénérable prélat oublie, peut-être, que l'on peut distinguer , séparer l'hypnose et les suggestions coupables,
eils de santé de Vienne, de Rome, de Bade et de Milan. Il faut donc distinguer avec soin l'hypnotisme thérapeutique, médical, pr
opposites. Dans leur traduction en actes, il n'est pas impossible de distinguer la part de la nature de celle de l'éducation. Loi
de l'hypnotisme dam le* réunions privées. Je crois qu'ici il5 faut distinguer et distinguer surtout, messieurs, d'apre» l'accue
me dam le* réunions privées. Je crois qu'ici il5 faut distinguer et distinguer surtout, messieurs, d'apre» l'accueil que nous
que j'ai laites récemment démontrent que l'écriture dans l'hypnose se distingue aisément de l'écriture à l'état de veille. Le sac
et, dans certains cas, c'est l'évolution seule qui permet de les distinguer . Cela explique pourquoi tant d'erreurs sont commi
ve, je fis disparaître M. Mathieu, et je me plaçai derrière lui. B... distingua toujours, sans jamais se tromper, je dois le dire
particulière, un esprit de sage temporisation, une grande aptitude à distinguer le vrai du faux. Mais, quelque laborieuse qu'elle
baissée, surtout à droite, insuffisante pour la lecture. L'œil gauche distingue encore fort bien les objets, l'œil droit servirai
ie, portant différentes effigies, de manière à pouvoir facilement les distinguer les unes des autres dans la suite. Puis, après le
s je trouve qu'il a raison. Qu'est-ce que la suggestion : Il faut y distinguer deux notions: i° le fait psychique qui se passe d
seconde séance, qui a duré 20 minutes : sommeil léger. Suggestion : distinguera la distance de 3 pas, de l'œil gauche, les doigts
gros caractères a la distance de 20 cent. Apres la séance, le malade distingue clairement a la distance de 3 pas les traits de m
ésultat positif. Le malade, aujourd'hui, s'est promené cnvilleet a pu distinguer clairement tous les objets qui l'entouraient. L
ui ai suggéré de lire distinctement â la distance de 35 centim. et de distinguer le; objets à la distance de 2 pas. La malade a
tenue rapidement par la fixation du regard. Suggestion : Vous devez distinguer les objets à la distance de 4 pas et lire à la di
e. Hypnose obtenue et après un quart d'heure. Suggestion : Vous devez distinguer les objets à la distance de Ó pas et lire à la di
st positif. Le 13 mai, 4' séance. Sommeil très rapide. Suggestion : Distinguer clairement les objets à la distance de S pas et G
pe des corps, et, d'après les descriptions qui en ont été données, se distingue de l'électricité, du magnétisme, de la chaleur et
) D. la, les conclusions suivantes: i* Il y a des individus qui distinguent les corps d'après le genre de réactions qu'ils en
emble, d'exiger que mes affirmations soient au moins contrôlées. Je distingue trois degrés d'hypnotisme. Le premier comprend to
en général. Le public goûte surtout ce qui est fort et puissant : il distingue à peine l'œuvre de mérite de t'ccuTre de génie ;
46 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
lement visible à l'œil nu ; une simple loupe suffit du moins pour les distinguer nettement ; le diamètre du vaisseau peut varier d
re présentent néanmoins la structure pour ainsi dire rudimentaire qui distingue à l'état normal les plus petites artérioles ou ve
ulier de symptômes. Au point de vue symptomatologique, il y a lieu de distinguer deux formes principales de l'apoplexie intra-arac
neuse du sacrum et de quelques points de la cuisse. ?« Il faut donc distinguer les effets de l'irritation de la moelle épinière
imple cessation d'action de ces parties ; en d'autres termes, il faut distinguer les effets de l'action morbide de ceux de l'absen
e est d'une consistance assez dure, comme charnue. Sur la coupe, on y distingue une zone extérieure violacée, de consistance asse
donc présentée ici, douée de tous les attributs caractéristiques qui distinguent l'arthrite avec exsudation séro-fibrineuse et tel
tant par les mouvements qui déplacent les surfaces articulaires, fera distinguer le plus souvent l'arthrite des hémiplégiques de l
e est achromatopsique ou dys-chromatopsique, il a perdu la faculté de distinguer une ou plusieurs couleurs. « On sait que, dans
ire assez pour vous faire connaître les traits essentiels. Il y a à distinguer la métallothérapie interne, et la métallothérapie
e. 11 y avait diminution de l'acuité visuelle et elle ne pouvait plus distinguer les couleurs, ce qui l'empêchait d'exercer sa pro
a été, en effet, administré depuis un mois et aujourd'hui, la malade distingue très-bien toutes les couleurs. L'anesthésie qui o
ansfert se produit du côté des organes des sens. Cette jeune fille ne distinguait pas les couleurs avec son œil gauche ; elle voyai
que tous vous perdiez la notion des couleurs et que vous ne puissiez distinguer rien autre chose que du gris ou du blanc. Vous av
lysie hystérique très-marquée. Il y a presque une paraplégie. Comment distinguer une paralysie hystérique d'une paralysie due à un
u membre raidi un changement d'attitude (flexibilitas cerea). Pour la distinguer de l'immobilité cataleptique proprement dite, l'o
son mouvement dans l'attitude figurée ci-contre (Pl. V, fig. 1). — On distingue parfaitement, sur cette photographie, la corde sa
pleurer, de Duchenne. lèvre supérieure, dont il est difficile de la distinguer ; il arrive fréquemment que l'élévateur commun de
us voulons au moins indiquer ici les caractères par lesquels elles se distinguent de celles que nous venons d'étudier. Lorsque la
ire, etc., etc. Cliniquement, ces sortes de contractures doivent se distinguer de celles dont il a été question ici, et les prin
carac- Charcot. (Euvr. comp. t. ix, Hypnotisme. 3o tères qui les distinguent , et d'en indiquer autant que possible la théorie
électrique. Je me bornerai à vous signaler l'énorme différence qui distingue la décharge dans l'air de la pile de celle de la
na-tomie. La contracture léthargique présente des caractères qui la distinguent nettement d'une contracture volontaire et qui per
s les attitudes qu'on imprime à ses membres ou à son corps. On peut distinguer par des procédés graphiques semblables à ceux que
lus ou moins d'importance à telle ou telle particularité, mais qui se distinguent toutes par un caractère commun, l'absence de phén
t quelconque, puisqu'il a des propriétés matérielles spéciales qui le distinguent , qui ne peuvent être simulées, et il y a donc lie
s hypnotiques et les hypnotiques appartenant à cette catégorie qui se distingue par fa présence des phénomènes somatiques, sont t
47 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
859, nous traçâmes une esquisse du nouveau genre. Les traits qui le distinguent de la monomanie sont nombreux, et présentent un
s livres religieux. Entrée à quatorze ans aux Orphelines, elles'y distingue par sa piété et ses succès dans l'étude. A dix-
on suivante appartient à ce dernier groupe de faits; mais elle s'en distingue par plusieurs particularités inté- ressantes.
on conçoit que sur les sec- tions ainsi faites, il sera possible de distinguer celles des fibres qui se dirigent horizontaleme
démence, l'auteur s'attache à mettre en lumière les caractères qui distinguent cette impotence intellec- tuelle, d'origine épi
projet soit impraticable à cause de la difficulté qu'il y aurait à distinguer les curables des incurables; il n'admet pas que
s et cherche sa satisfactiou en des procédés anormaux. 1>I. Kirn distingue une impulsion sexuelle ayant trait à des indivi-
l'ont que trop mérité par leurs crimes. A ce point de vue, on peut distinguer deux grandes classes de mélancoliques : ceux qu
r le monde extérieur et leur propre existence. Il importe de bien distinguer cet état d'hypochondrie morale de l'hypochondri
atives des idées délirantes et il est quelquefois malaisé de les en distinguer ; chez les anxieux, le phénomène hallucinatoire
tions avec la précédente, c'est la conscience religieuse. Elle s'en distingue pourtant, et j'en veux pour preuve les luttes q
de l'hémorrhagie cérébrale ordinaire, dont il est impossible de les distinguer . B. Symptômes de l'hémorrhagie. En ce qui conce
avec des conceptions antérieures. Ily aurait lieu, suivant lui, de distinguer deux sortes de fonds sur lesquels roulent ces c
vroses, en outre de ses] richesses au point de vue scientifique, se distingue par ses qualités essentiellement pratiques. Le
porté des cas de ce genre au chapitre de la Démono- manie; Fodéré distinguait du délire de culpabilité et de damnation ou dan
impérieuse, avec tous les caractères d'irresponsabilité qui la font distinguer . Mais qu'à la place desclousde sou- liers, de b
oyait une substance néoplasique, blanche, durcj'circulaire;1 qui se distinguait par un contour très accentué du reste de- là' sub
t au milieu de la corne épaissie une taché foncée'(Iï7(/. 2) qui se distinguait du reste de la moelle par une plus grande'épais-
a catégorie des tumeurs de tissu conjonctif.1 Parmi celles- ci ; il distingue celles dont les éléments cellulaires; liés'cntr'e
lules indépendantes comme l'épithélion.i Il faut encore, dit'Klebs, distinguer les vrais sarcomes de ceux, qu'on appelle faux
s de tissu conjonctif 'jeune; 'primitif;' tous '.Mes autres, qu'on; distingue généralement'sous ce nom;lsont des neurogliomes
ard ou pas du tout. Enfin Klebs conclut que, les neurogliomes ne se distinguent pas his- tologiquement entre eux, qu'ils sorten
ut des névro- glies. Il résulte que le système nerveux central se distingue des autres organes par la pression de deux sort
ut être générale (Fritz), alter- ner avec celle de chaleur, états à distinguer des véritables fris- sons de la période de cons
s'occupe de l'étude des artères qui contribuent à sa formation. Il distingue dans cet organe deux systèmes vasculaires : 1°
urs. c Parmi les artères périphériques des faisceaux blancs, nous distinguions comme l'auteur allemand des artères courtes et
e celle de contracture par distension des antagonistes ; et pour la distinguer de la contrac- 1 Brissaud et Ch. Richet. ' Fait
48 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rvées. - Par contre, quelques faits acquis nous permettent de les distinguer de celles observées dans le tabes. En effet, comm
que, les délires systématisés. (a) Mélancolie. Plusieurs cas sont à distinguer : 1° Les uns, peut-être plus nombreux, mais moi
-èi-etit pendant huit mois. En pareille occurrence, il importe de distinguer soigneu- sement ces états mélancoliques des cri
actions musculaires isolées ne sont pas dans la nature. » On a pu distinguer parmi les mouvements coordonnés deux sortes de
guère de commun entre eux que ce nom. Sans doute on commence à en distinguer quelques-uns, on ne confond plus notamment l'as
laire s'accompagne de changements de caractère. A ce sujet, il faut distinguer le tuberculeux et le phtisique. Le tuberculeux
; sinon on les gave. Quant à l'état mental de ces malades, il faut distinguer ceux qui sont atteints de tuberculose pulmonair
lie, la névropathie, àlaquelle Queyrat substitue l'hystérie. Ilibot distingue les cont.radictoiras successifs, les contradictoi
étiologie et leur pathogénie'. En 1881, dans un premier article, il distingue trois sortes de folie à deux : 1° la folie impo
trois formes cliniques décrites ; mais pour lui la folie imposée se distingue de la folie communiquée par l'intensité de la t
u clinique présenté par le sujet passif, trois éléments sont donc à distinguer : '1" les manifestations déli- rantes communiqu
pulsion est à l'acte, ce que l'obsession est à l'idée. On peut donc distinguer : idée obsédante, obsession, impulsion et acte
bsédante qu'elle ne voit plus clair et surtout qu'elle ne peut plus distinguer les couleurs; souvent alors elle demandait à son
s même dans le pain. Aussi prétend-elle ne pas voir clair et ne pas distinguer les couleurs, mais tout cela se réduit à une mê
être des billets de banque, qui se trouveraient là et dont elle ne distinguerait pas la couleur. La malade met trois heures à s'
te nous devons ajouter, et avec beaucoup de justesse, que M. Magnan distingue deux varié- tés d'impulsions. Dans la premièr
os de la jambe). Les particularités de cette obser- vation, qui la distinguent d'autres cas similaires sont : l'intégrité des
le monde est à peu près d'accord pour admettre que les criminels se distinguent de la foule par une ma- nière d'être physique e
ination les délires d'intoxication que nous nous étions appliqués à distinguer des vrais délires sous le nom de faux délires p
d'hôpital. Ne voit-on pas l'intérêt considé- rable qu'il y a à les distinguer pour ne pas envoyer à l'asile et les traiter co
plus spécialement sous le nom de folie post-opératoires pour les distinguer des délires transitoires précédemment étudiés n
rones de la moelle, pas du tout celles du cerveau. Il y a lieu de distinguer l'inflammation qui suit le trajet des vais- sea
ie et l'anatomie pathologique que la porencéphalie traumatique se distingue des autres faits de porencéphalie. Le traumatisme
vidus jeunes; 4° il n'y a pas de raisons cliniques suffisantes pour distinguer une astasie sénile artériosclérolique de l'asta
92 ) sociétés savantes. M. 1'nLncL considère qu'il est important de distinguer les symp- tômes hépato-rénaux des symptômes pol
la suggestion pédago- SOCIÉTÉS SAVANTES. 29& Clique, il faut distinguer entre les sujets. Les enfants sont vicieux, ind
écrit. Il lit mieux les mots imprimés en noir qu'en rouge, mais il distingue bien les couleurs l'une de l'autre. Vision des de
de l'oeil droit = - - , vision de l'oeil gauche = Le 10 dO malade distingue bien les couleurs. Il déchiffre les caractères im
l'orientation dans la vie quotidienne du sujet. Deux groupes sont à distinguer , a : Sensations et mouvements gou- vernés par l
actuellement encore la vue de l'oeil gauche = 0,6-0,7; l'oeil droit distingue les doigts à 25 centimètres de loin; le fond de
x et la maladie de Thomsen est ordinairement facile. Ou doit encore distinguer des tics certaines athétoses, les tremblements
homas. PHYSIO-PSYCHOLOGIE DES RELIGIEUSES. 433 de piété' ». Il se distingua « par une piété singulière ». Il mourut le 26 m
vec les états pathologiques (psychoses, névroses). Il faut en outre distinguer les obsessions entre elles (obsessions accident
différents au point de vue sexuel que les jeunes filles; et elle ne distinguait pas plus les adultes en raison de leur sexe. El
, phé- nomènes mentaux. Il y a plus : par sa définition, l'auteur distingue nettement les manifestations hystériques d'avec
QUE. Il va sans dire que si la définition de l'hystérie vaut pour distinguer entre eux les accidents psychiques, elle vaut a
ur des lobes cérébraux. Pour en apprécier le code il faut seulement distinguer entre les sillons transitoires et les sillons p
s autrefois dans Esquirol, Michéa, Calmeil et la vie des Saints. Il distingue deux catégories de médiums, le médium soi-disan
49 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- sociés à des troubles moteurs des membres du côté droit, on les distingue facilement de l'aphasie, car on constate, non u
p. 223-224). Plus récemment M. Uhthoffl dans un important mémoire distingue du nystagnus vrai accentué et très apparent, qui
pure, et cela est encore plus évident à l'heure actuelle : on peut distinguer chez eux au moins trois races origi- nelles : l
trer, pour y rester, pour REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 157 i s'y distinguer , la lutte est plus âpre pour eux que pour les aut
hémiplégie, etc. Enfin au point de vue pathogénique, il faut encore distinguer une scoliose paralytique et une scoliose par co
sion mentale. Quand une image est assez nette pour être décrite, on distingue deux principaux genres d'éléments : les uns for
ts : par exemple, dans une page d'im- pression, des lettres dont on distingue bien la forme et le caractère; mais sans pouvoi
psychoses, du délire aigu, des encéphalites. - 3° Il y a lieu de distinguer cette altération organique de la cornée, essent
'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE qu'éprouve Thérèse; elle a bien soin de distinguer les yeux de l'âme de ceux du corps. Que veut
istinctes ; on ne les entend pas des oreilles du corps, mais on les distingue plus clairement que si elles lui venaient par l
es côtés. Cependant, comme il n'y avait aucune image, je ne pouvais distinguer sous quelle forme il était ; mais pour être tou
uté ineffable ; mais quelque désir que j'en eusse, je ne pus jamais distinguer la couleur ni la grandeur de ses yeux. Dès que
.VIII. Diagnostic. La' principale difficulté diagnostique est de distinguer le tic du spasme; celui-ci caractérisé par des mo
e Lasègue et Falret, Baillarger fit remarquer qu'il y avait lieu de distinguer les cas de véritable folie communiquée « de ceu
sychose polynévritique de Korsakofr. La ponction lombaire permet de distinguer la paralysie géné- rale des diverses formes de
ait impossible dans ces cas. La ponction lombaire permet aussi de distinguer la paralysie générale, au début, d'une psychose
man toujours nouveau. Parmi ces dégénérés auto-accusateurs, on peut distinguer plusieurs lypes : Les débiles intellectuels s
les gliomes ont un aspect tout à fait particulier qui permet de les distinguer déjà à première vue de toutes les autres tumeur
et sur les lésions anatomiques de ces tumeurs. Cette classification distingue : 1° les sarcomes solitaires (sarcomes solitaires
es et triangulaires) présentent cette particularité unique, qui les distingue des autres nenrones cérébro- spinaux, de posséd
à la neurasthénie classique ses stigmates physiques, mais qui s'en distingue par un état mental spécial. C'est ce que l'auteur
1° la tache blanche, indice de la circulafion locale,' , permet de distinguer la rougeur par paralysie vaso-motrice de la rou
la myo- pathie progressive. , - Dans la fibre musculaire, il faut distinguer la fibrille striée ou myoplasma, portion différ
t grenu, qui n'est pas de la dégénérescence, mais ce que l'auteur distingue sous le nom de tuméfaction trouble. Telle est la
ur d'elle, les regards et les gestes de ses compagnes (dont elle ne distingue pas les discours), croit toujours qu'on l'accus
stes), car notre malade n'entend pas pro- férer les accusations, ne distingue pas d'accusations, malgré toute l'attention qu'
après bien d'autres évidemment. C'est, à mon avis, en s'attachant à distinguer surtout net- tement les idées délirantes qui pr
e de la première séance d'exercices thérapeutiques, la malade put distinguer le jour et l'obscurité ; à la troisième séance, l
s ; il existe cependant une série de signes qui i permettent de les distinguer : l'auteur les expose en détail dans : on travail
- bique ; 3° L'état obsédant à idée anxieuse ou monoïdéique. On distinguait autrefois et notamment Freud les deux pre- mièr
ve à ne plus bouger parce que tout ce qui l'entoure l'eflraye. On distingue dans l'état panophobique, l'attente anxieuse et
thèse récente fait une classification d'après le trouble mental et distingue aussi trois classes : '10 Phobies relatives à u
iagnostic se heurte à quelques difficultés, mais parfois aussi pour distinguer l'atrophie musculaire juvénile au début d'autre
1'édo-ataxie cérébelleuse, que nous ne pouvons encore sur le vivant distinguer de la maladie de Friedreich, est une modalité c
ne le présentent pas; c'est donc là un signe qui peut contribuer à distinguer de l'ataxie tabé- tique ce désordre que l'on a
r ensemble un syndrome particulier appelé catatonique et pouvant se distinguer en : u) besoin de mouvement (actes sans but, mo
50 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
le les surfaces articulaires sont soudées entre elles. Il faut bien distinguer la rigidité articulaire de l'ankylose qu'elle sim
n moins s'appliquera l'ankylose proprement dite, dont j'ai cru devoir distinguer quatre espèces bien distinctes: i° L'ankylose pér
rticulaires sont adhérentes entre elles, de telle façon qu'on ne peut distinguer ce qui appartient à l'une de ce qui appartient à
soudés entre eux. Dans l'ankylose par fusion, il y a impossibilité de distinguer les limites qui sépareot les deux extrémités osse
tissu osseux proprement dit, dont il est extrêmement facile de les distinguer . 4° On trouvait çàet là des grains osseux ou ossi
tour des pertes de substance, des productions osseuses très faciles à distinguer des os du crâne, et qui semblent destinées à répa
te émanée du tendon de son extenseur propre; à sa face inférieure, on distinguait parfaitement les muscles court fléchisseur et abd
re. Il n'est pas aussi facile qu'on le croirait au premier abord de distinguer la rigidité articulaire de l'ankylose. Combien de
u'une étude clinique plus approfondie de l'ankylose, en permettant de distinguer la rigidité musculaire de l'ankylose proprement d
r direction naturelle et peut-être à leurs mouvemens. Cela posé, je distingue quatre espèces d'ankyioses : i° U ankylose péri
iculaires sont adhérentes entre elles, mais de telle façon qu'on peut distinguer ce qui appartient à une extrémité osseuse de ce q
ses sont soudées entre elles de telle manière qu'il est impossible de distinguer ce qui appartient à l'une de ce qui appartient à
itré, la rétine et la choroïde, sont ordinairement confondus et ne se distinguent du corps vitré, de la rétine et de la choroïde d'
ive et pathologique, t. m, pag. 3y5) dit qu'il n'est pas difficile de distinguer si les rétrécissemens de l'œsophage qui dépendent
cette bride naissait par une base large, celluleuse, sur laquelle on distinguait trois petits cordons bientôt réduits à deux qui e
pour les uns, violacés et même noirâtres pour les autres. On ne peut distinguer d'orifice sur aucun d'eux. En les comprimant modé
qui sont d'un rouge violet. La cavité de ces follicules est facile à distinguer ; la couleur de sa surface est analogue à celle du
cryptes sont serrés les uns contre les autres, et on peut facilement distinguer leurs nombreux orifices. L'appendice vermiculaire
euse du tube digestif n'offrent rien d'anormal : il est impossible de distinguer sur leur surface, ainsi que sur celle du mésentèr
aphragme. C'est à travers un flot de liquide facile à déplacer, qu'on distingue le corps du fœtus. Il y a évidemment ascite. On t
son épaisseur. On eût dit d'une gelée dense, au milieu de laquelle se distinguaient différens corps opaques qu'on y aurait mêlés. L
nt rosé et très bien conservé. Le long des vertèbres thoraci-ques, on distinguait très bien la chaîne des ganglions du grand sympat
ncies et éraillées. Enfin, J. L. Petit donne quatre caractères pour distinguer la hernie ombilicale qui a lieu par l'anneau de c
ons intestinales se dessinent à travers ces enveloppes, et qu'on peut distinguer le gros intestin CO de l'intestin grêle IG, IG. A
onsidérable, a une enveloppe parfaitement transparente, qui permet de distinguer le foie et les intestins. De même que dans le c
plutôt que dans la nature de la phlegmasie. Il faut d'ailleurs bien distinguer l'aspect rugueux et inégal que donne à la muqueus
démateux. Les caillots disparaissent dans les petites divisions. Je distingue l'œdème rouge ou séro-sanguinolent de l'œdème sér
épaisseur plusieurs gros tubercules d'une dureté pierreuse, faciles à distinguer de la mamelle à raison de cette dureté. Au bout
constriction circulaire qui porte sur la base du thorax. Or, comment distinguer ces foies pro-éminens par déformation , des foies
forme d'hydrocèle cervicale. Rien d'ailleurs ne serait plus facile à distinguer Y une de l'autre que ces deux espèces de kyste, l
nt se traduire au lit du malade par des symptômes propres à les faire distinguer l'un de l'autre. (i) Dictionnaire de médecine e
oppement variqueux se propageait dans leur épaisseur, et il faut bien distinguer cette participation des os à l'état variqueux de
bien qu'il est extrêmement difficile, pour ne pas dire impossible, de distinguer plusieurs tuniques dans leur épaisseur. Dans les
s le nom dacrodynie. Qu'on ne croie pas qu'il soit toujours facile de distinguer la paralysie par suspension de circulation artéri
ne à l'autre, « et l'examen le plus attentif à la loupe ne peut faire distinguer la partie qui appartient au « sac de celle qui dé
tions dans lesquelles se trouve le vaisseau. Quant à la difficulté de distinguer une tumeur pulsatile par soulèvement d'une tumeur
ne du tissu du cœur, si bien qu'au premier abord il est impossible de distinguer les caillots du tissu du cœur. La tranche des s
préciation de l'adhérence des caillots sanguins du cœur, il faut bien distinguer Xadhérence mécanique de Xadhérence organique. Dan
e et comme caverneux du cœur; de telle sorte qu'il était difficile de distinguer au premier abord les colonnes charnues et leurs c
x visites. Voici d'ailleurs quelques considérations propres à faire distinguer l'œdème pulmonaire de la pneumonie œdémateuse. L'
s l'histoire des tumeurs développées dans le crâne : on devrait les distinguer en celles qui naissent de la face supérieure du r
affaissement de l'aile du nez était le seul phénomène qui piAit faire distinguer de quel côté avait eu lieu l'hémiplégie faciale.
ent de la substance cérébrale ? Bien qu'il soit par fois difficile de distinguer l'un de l'autre ces deux sièges différens des tum
icatrices de ramollissemens. Il ne serait peut-être pas impossible de distinguer ces cas de ceux de démence, sans lésion organique
S la scissure de Sylvius. La coupe a atteint le ventricule V, où l'on distingue le plexus choroïde PC. On voit un petit foyer a
l'utérus, revenu sur lui-même, était remarquable par sa fragilité. On distinguait très bien à sa surface interne le lieu de l'inser
vé assez souvent dans les plexus choroïdes, et j'ai toujours su les distinguer des kystes séreux ou de ces collections de sérosi
rfaites rassemblées jusqu'à ce jour sur les véritables caractères qui distinguent « les uns des autres les principes tirés du règne
oint été constaté. Il serait d'ailleurs on ne peut plus facile de les distinguer des calculs d'acide urique. Il faut bien distin
s facile de les distinguer des calculs d'acide urique. Il faut bien distinguer les calculs prostatiques proprement dits, c'est-à
la peau dégénérée dans toute son épaisseur. L'œil, armé d'une loupe, distinguait , à travers la transparence de cette couche superf
ilité, leur isolement parfait des parties voisines, permettent de les distinguer du tissu de la glande en même temps qu'elles les
loppés au milieu de la glande mammaire intacte s nt bien difficiles à distinguer de la transformation fibreuse du tissu glanduleux
n outre participé à la dégénération, si bien qu'il était difficile de distinguer dans la tumeur, ce qui avait appartenu à ce muscl
dégénérées, n'était que de 6 lignes environ. On pouvait parfaitement distinguer ce qui, dans la tumeur, appartenait à la peau de
ux est d'ailleurs celui qui marche avec le plus de lenteur : il ne se distingue anatomiquement de la transformation fibreuse que
e: il occupe les deux hypochondres et dépasse même l'ombilic. On peut distinguer les bosselures de sa surface à travers l'épaisseu
nt généraux, et, dans cette dernière hypothèse, y a-t-il moyen de les distinguer les uns des autres? Voilà des questions du plus g
dait à la zone la plus supérieure du vagin, qu'il était impossible de distinguer du col utérin, au bas-fond de la vessie, à toute
érations d'organes. 5e liv., pl. i, p. a,3. DÉLIRE. Difficulté de distinguer le délire symptomatîque du délire idiopatliique.
10e liv., pl. v, vi,j». — Caractères anatomiques ; caractères qui le distinguent de l'ulcère cancéreux ; obscurités des causes ; s
ractères de la douleur hépathique. 40e liv., pl. 1, p. 3. — Moyens de distinguer la proéminence du foie par déformation de celle p
quelques fibres cérébrales. 5e liv., pl. iv, v, p. 2. — Difficulté de distinguer l'idiotie congéniale de l'idiotie acquise. 6e liv
le chronique de l'estomac. Caractères anatomiques ; caractères qui le distinguent de l'ulcère cancéreux. 10e liv., pl. v, vi, p. 1
51 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t. Au niveau du segment arrondi ou segment artériel principal, on distingue la succession des diverses tuniques qui sont atte
ne lésion péri-cércbrale, il est peut-être encore plus difficile de distinguer entre les diverses variétés d'hémorrhagies méni
SE. 37 38 RECUEIL DE FAITS. symptômes cliniques qui permettent de distinguer l'idiotie symptomatique de la sclérose tubéreus
pillaires et des cellules de l'écorce cérébrale. Cette affection se distingue essentiellement comme maladie de la para- lysie
9.) Il y a lieu tout d'abord, quand on envisage cette question de distinguer parmi ceux qui abusent des boissons alcooliques d
oral, sera plus profondément faite par une femme ; elle saura mieux distinguer qu'un homme ce qui en reste. Elle se pénétrera
llement organique, physiologique, l'autre psychologique ; et pour y distinguer en outre deux formes, suivant que l'attention 7
nt prouvé l'existence de grosses masses de ces fibres, mais on peut distinguer beaucoup de libres dont l'examen donne l'im- pr
central des vertébrés nous empêche et nous empêchera toujours de distinguer la connexion de ces granulations avec chacune des
ÉS SAVANTES. Maladies mentales familiales {discussion). - M. ARNAUD distingue les maladies familiales des maladies héréditair
s membres supérieurs ont été pris les premiers. Leyden a cru devoir distinguer deux formes, bulbaire et névritique, afin d'exp
n effet, par des amas embryonnaires, entre les cellules desquels on distinguait par places, de nombreuses fibrilles, probableme
es troubles psy- chiques de la puberté. M. Gilbert Ballet (Paris) distingue les psychoses se produisant pendant la puberté
s'occupait surtout de son rôle de conducteur. Désormais, on allait distinguer les parties qui, dans le nevraxe, servent à la
ui ont cours dans les autres branches de la pathologie. On se mit à distinguer des lésions parenchymateuses et des lésions int
; les recherches cliniques de Charcot et Vulpian nous apprenaient à distinguer cette sclérose en plaques de la paralysie agita
emble d'appareils, aux fonctions distinctes, mais synergiques. Nous distinguons , dans cet ensemble, et nous localisons les con-
ambiant, à la surface ou dans la profondeur de nos organes. Nous distinguons et nous localisons, de même, les territoires qu
te, le siège et le mécanisme des maladies nerveuses ou mentales, de distinguer celles qui résultent d'une perturbation fonctio
ion du traitement des maladies mentales par le repos au lit il faut distinguer le « système d'alitement» comme mode d'organisa
e électrique. Je voulais simplement démontrer que cette force ne se distinguait en rien d'une force physique, et était absolume
nt caractéristique. L'anatomie pathologique nous aidera toutefois à distinguer les deux variétés, car, d'après Meynert, on tro
onces le poids normal. D'après Besch, l'hypertrophie du cerveau se distingue de l'hydrocéphalie chronique par les caractères
très peu développée, tan- dis que la substance grise de l'écorce se distingue par son abon- dance prodigieuse. Ces cerveaux,
ce blanche des hémisphères se supplée par la substance grise qui se distingue par la richesse de son développement et l'épais
a substance blanche et qui s'ac- compagne de microgyrie. Ce type se distingue du type ordinaire du cerveau microcéphalique, p
me période sur l'idiotie ou mieux les idioties, nous sommes amené à distinguer , quant à présent, au point de vue anato1l ! o-
importance médico-légale. L'aphasie motrice pure (sans agraphie) se distingue de l'attaque d'aphasie de nature hystérique par
a sénilité, les troubles psychiques de la période d'involution s'en distinguent cependant. La mélancolie comprend, pour Kraepel
struire à Nietleben un pavillon d'admission dont les fenêtres ne se distinguaient des fenêtres ordi- naires que par leur mode de
nification cli-. nique différents, et qu'il importe tout d'abord de distinguer . 396 PSYCHOLOGIE. Le groupement qui nous para
e meilleur est celui qui s'ap- plique à l'hallucination vraie. Nous distinguons ainsi les halluci- nations psychiques en deux g
de la paralysie spasmodique familiale, mais cela permet aussi de la distinguer de la paralysie infantile où la reaction de dég
ibres de projection, et pour- les- quelles il n'est pas d'usage- de distinguer des centres de projection et d'association. I
ce que toute l'écorce soit myé- liuisée. Il est ainsi impossible de distinguer un nombre déterminé de régions d'après leur myé
ments. Dans les préparations Weigert ou dans des imitations on ne distingue que la substance grise décolorée à côté de la sub
quilibrés de tous genres. C'est donc suivant nous une erreur que de distinguer , comme le font SECTION DE psychiatrie. 487 ce
52 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tifs habituels se font avec une intensité normale, ce qui permet de distinguer parfaitement la lésion. Cependant il arrive ass
t à une obser- vation antérieure de Dalby (B. M. J., 16 mars 1895), distinguent la surdité hystérique de la surdité fonctionnel
un ensemble de troubles sensoriels, parmi les- quels il convient de distinguer la surdité assez accusée du côté gauche, avec p
ertaines circonstances,' ces deux phénomènes sont plus difficiles à distinguer , ou du moins on ne s'attache pas et il n'y pas
uteur estime toutefois qu'il n'est pas ordinai- rement difficile de distinguer la folie de la criminalité pourvu que l'on soit
ne que Havelock Ellis appelle l'insensibilité morale, et qu'il faut distinguer avec soin de ce que l'on a désigné sous le nom
iendrait de lui préférer le mot de « dépravation morale >, et de distinguer une forme active (perversité morale) et une forme
elativement à la mesure et à la cadence du vers; ces per- sonnes ne distinguaient pas une fausse note, mais une faute de quantité
ux mots, ou aphasie sensorielle, serait fournie par l'incapacité de distinguer les sons musicaux des autres bruits (amnésie se
Wallaschek). En général, dans l'aphasie sensorielle, le pouvoir de distinguer les sons subsiste. Mais il est des personnes qu
a déclaré à l'auteur qu'il con- naissait une personne incapable de distinguer le son du violon de celui de la trompette. Il n
e. Il n'est pas très rare de rencontrer des sol- dats incapables de distinguer les sonneries du clairon. Brazier rapporte quin
e existe tou- jours, au moins au degré nécessaire pour permettre de distinguer un son très haut d'un son très bas. A partir de
nes, des scènes dans la rue, etc. Les visions ainsi provoquées se distinguent des visions spontanées, en ce que : 1° la visio
i ne sont pas plus d'une quinzaine. ` Symptomatologie. - L'auteur distingue deux formes : 1° la forme délirante ; 2° la for
même plus fort que la faible volonté du malade. Ce dernier, pour se distinguer , inventait toutes sortes de raisons : tantôt il
Elle est relativement rare, généralement disséminée et difficile à distinguer de la contusion générale. Lacération. Elle se c
phériques. Ces atrophies, de par leur siège et leur répartition, se distinguent de l'atrophie ordi- naire de la paralysie génér
iblesse intellectuelle congénitale ou acquise dans le jeune âge. On distinguera : a) l'idiotie avec hydrocéphalie; h) l'idiotie
les bras des deux côtés. On disait que la chorée de Huntington se distingue des autres variété ? de chorée par les caractèr
é infiniment faible. Le malade ne voyait pas la main du médecin. On distinguait sur cet oeil une opa- cité blanchâtre enchâssée
vue depuis près de cin- quante ans. Le lendemain de l'opération, il distinguait la main à cinquante centimètres, et le troisièm
bientôt il put mesurer une distance, re;on- naître une personne et distinguer les objets environnants. Pendant les années de
es pavillons réservés aux autres sujets. Dans les anciens asiles ou distinguait des quartiers pour les tranquilles - pour les dem
moyenne. Les médecins tout en se servant du mot générique idiots, distinguent plusieurs espèces, suivant les degrés d'idiotie :
e correspon- dante droite. Les noyaux cellulaires sont difficiles à distinguer ; les prolongements sont sans modifications. Au-
e l'action qu'il commettait était mauvaise, en d'autres termes pour distinguer entre le bien et le mal : 3° l'existence d'illu
outes leurs facultés. Ils sont d'autant plus dangereux qu'on ne les distingue pas des gens sensés, à moins de les étudier à f
ou moins rempli de granu- lations basophiles; 2° ce neuroplasme se distingue nettement de la substance fibrillairc différenc
litique qui donne sous le microscope l'impression d'un sarcome s'en distingue par l'exten- sion du processus à la substance n
analogies entre ces deux variétés d'altérations, il y a lieu de les distinguer . Le prolongement cylindraxe d'un neurone étant
ras et le bras, la sensibilité à la piqûre est normale et le malade distingue nettement la pointe de deux épingles à 5 millimèt
c des béquilles, il prend part à tous les jeux. Il a de la volonté, distingue le bien du mal. Il est toutefois facile à entra
uté minutieusement cette question et a conclu qu'il y avait lieu de distinguer la paréso-analgésie à panaris des extrémités su
formes cliniques sont très variables, mais il est difficile de les distinguer en différentes caté- gories, reliées à chaque f
53 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
servation D...). Il est donc très difficile dans ces conditions, de distinguer , au point de vue mental, le délire d'origine hé
e jamais rassassié, flaire ' ses aliments. Place bien les couleurs, distingue les surfaces, uu plus grand nombre d'un plus pe
ne anté- rieure est arrondi ; les groupes cellulaires que l'on peut distinguer sont au nombre de 6 : antéro-interne, antérieur
é de cette dernière à l'égoïste d'un individu ? D'ailleurs, il faut distinguer entre le secret médical et la discrétion médica
ules sont peu différenciées, à tel point qu'il devient difficile de distinguer les couches qui apparaissent si nettement à l'é
s est très amaigri. La région sacrée présente une vaste eschare. On distingue sur la face antérieure de la verge la trace for
résente un état de sclérose déjà avancé; il n'est plus possible d'y distinguer de fibres optiques et il n'entre plus dans sa s
is, il a éclaté en certains points comme en 11 par exemple où on ne distingue plus que sa partie interne; presque partout ils
ts de la couche des cônes et des bâton- nets, sont peu nets, on les distingue mal les uns des autres et on peut constater la
Marie ne pense pas non plus que l'absence d'épilepsie per- mette de distinguer une affection spinale d'une affection céré- bra
tions qu'il a faites sur un guenon et sur de nombreux chevaux; il distingue un hypnotisme fortuit avec, suivant les cas, cata
Leur nombre augmentera car elle est absolument exacte. M. Séglas distingue avec raison deux ordres de faits très différent
trices.) · · Dans le groupe de l'encéphalite inflammatoire, on peut distinguer un processus marqué surtout par l'hyperhémie av
t jamais arrivé à trouver un crité- rium histologique pouvant faire distinguer de telles lésions de celles des autres inflamma
ns encore imparfaitement tous les processus. Qui peut se flatter de distinguer , à l'heure présente, les diverses modalités des
a division des paralysies générales pro- posée par M. Klippel. Nous distinguons , comme lui, trois grands groupes de paralysies
r. 1895. Amélioration pour la parole ; il assemble quelques mots, distingue les couleurs, place les lettres et les chiffres.
ropre dans le jour; mais urine fréquemment la nuit dans son lit. Il distingue les couleurs, les lettres et les chif- fres qu'
fait propre, continue à pro- gresser, il fait des petites dictées, distingue le genre et le nombre, fait l'application de l'
de lui, tels que les jours de la semaine, les mois de l'année; sait distinguer le mascu- liti du féminin, le singulier du plur
e thérapeutique s'accompagne d'amélioration. Il n'y a pas intétèt à distinguer entre le traitement antisyphilitique par les an-
toires et laryngés. Mais en dehors des tics proprement dits, qui se distinguent par leur carac- tère convulsif, les lèvres sont
médical est impuissant à modifier leur trouble organique. Ce qui distingue ces malades des criminels, c'est la spontanéité,
longues veilles. Brissaud indique une classification analogue; il distingue parmi les neurasthéniques : 1° ceux qui s'étant
rs le dehors jusqu'à 10°, vers le dedans jusqu'à 40°. Le patient ne distingue les couleurs qu'au centre du champ visuel et qu
ment au centre du champ visuel droit. De l'oeil gauche le malade ne distinguait que les mouvements des doigts et encore les doi
rapporter quelques exemples et qu'il me semblerait assez logique de distinguer simplement par la dénomination de psychose cata
leurs papilles sont floues et même blanchâtres, ils peuvent encore distinguer les caractères fins. Rapporter les lésions qu
pupillaire, peut-être pourrait-il servir, comme le veut Galassi, à distinguer une paralysie périphé- rique de l'oculomoteur c
n, et, comme telle, accompagnée du signe en question, peut servir à distinguer une suggestion réelle d'une sug- gestion simulé
il semble résulter que le delirium tremens d'origine morphinique se distingue de celui des alcooli- ques parla gaité : le mal
place à une sorte dedysesthé- sie, qui ne permet plus au malade de distinguer les diverses excitations de la sensibilité, mai
colorée. A une petite distance de ce restant de substance grise, on distingue le sillon médian-antérieur, bien individualisé
és parlent à voix basse, mais seulement lorsqu'ils sont seuls et se distinguent des précédents parce fait qu'ils ne pailent en
toires et laryngés. Mais, en dehors des tics proprement dits qui se distinguent par leur caractère convulsif, les lèvres sont e
e ce temps, de mon collègue et ami Gom- bault, il devait bientôt se distinguer lui-même. Il fut un histolo- giste remarquable,
54 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
demande continuelle- ment un certain effort d'attention. Le malade distingue mal les faits qui se passent autour de lui, il
elles sont assez précises pour caractériser l'hystérie seule et la distinguer des autres maladies de l'esprit. Considérons
est nette, l'amnésie est absolue, l'attaque et le somnambulisme se distinguent bien de la veille, les idées fixes ne sont pas
ère moral de l'hystérie pour lui con- server sa place, il suffit de distinguer les maladies mentales les unes des autres. No
distinctif est effacé. D'autre part, la paralysie corticale, qui se distingue parmi les paralysies céré- brales par sa plus g
ne plus grande facilité de dissociation, elle ne manque pas de s'en distinguer par des caractères importants. D'abord elle n'e
Dans tout son trajet, le sinus est régulièrement calibré. On peut distinguer les voies de sûreté et de dégagement en veines
ont la branche nerveuse représente l'axe. Dans cette cavité il faut distinguer deux sortes d'orifice : les uns placés au fond
G. DOURDOUFI. Pathogénie de la maladie de Graves. - Le rap- porteur distingue : 1° les formes chirurgicales de cette maladie et
e. - Leçoils cliniques, par Mairet. (Montpellier, 1893.) L'auteur distingue , sans les définir, la folie syphilitique de l'ali
une portion diffuse qui envahit les cor- dons postérieurs et qui se distingue nettement de la première. De plus, on peut aper
l en résulte que cette portion du néoplasme paraît énucléable et se distingue parfaitement du reste; son tissu ne contient pl
il a même un aspect très finement granuleux et les fibrilles ne se distinguent plus guère. Dans le renflement cervical, où il es
s on n'en peut voir les parties les plus importantes; on peut alors distinguer les lobes frontal, occipital, pariétaux et temp
Suivant la prédominance des symptômes dans tel ou tel appareil, il distingue les formes atteignant le sys- tème nerveux (cér
ns un premier groupe concernant l'hydrocéphalie simple, les auteurs distinguent l'hydrocéphalie sans malformations importantes
la dénomination très vague de délirants mystiques ou dépossédés, se distinguent des mélanco- liques possédés ou négateurs et re
entôt en s'effilant; mais, parmi ces derniers, il est possible d'en distinguer parfois un qui garde, un calibre régulier et qu
r toute la tumeur l'écorce cérébrale envahie par le néoplasme ne se distingue plus du reste. Sur les limites de l'écorce sain
ions à cet égard, car les éléments embryonnaires de la tumeur ne se distinguent pas les uns des autres; il est pourtant plus pr
tat, normal, ainsi que je m'en suis assure, la région motrice ne se distingue pas des autres par sa richesse plus grande en f
l prédisposés, n'offrent la plupart du temps aucun symptôme qui les distingue des aliénés ordinaires. Les individus appartena
néral du délire des persécutions ou des grandeurs. » Il y a lieu de distinguer à ce sujet. Il y a des cas (rares) dans lesquel
stériques. - . M. REtas : C'est jouer sur les mots que d'essayer de distinguer l'hémianesthésie ou hémiparésie fonctionnelle d
la question de savoir quels sont les principes qui* permettent de distinguer d'une part les maladies des tics convulsifs des m
die. Il n'y a donc pas de caractère particulier qui puisse le faire distinguer de celui de la sclérose en plaques. Sa patho- g
e et les faisceaux pédonculaires. 5° Sous le corps calleux, on peut distinguer un trousseau, coupé transversalement qui ne con
la coupe, on constate un ton uniformément brunâtre, dans lequel on distingue parfaitement fibres et cellules nerveuses. P. K
e la sensibilité générale. L'espace est bien restreint où l'on peut distinguer la fonction motrice de la fonction sensitive et
ifférenciation suffisante pour y déterminer plusieurs couches. On y distingue 1° des noyaux du tissu conjonctif; 2° des cellu
légèrement coloré. Aucun prolongement n'est encore visible; à peine distingue-t -on de ci et de là une ébauche de prolongement d
isseaux altérés. Ces modifications dans la forme du nerf optique se distinguent nettement des anomalies congénitales de cet org
la confusion mentale, l'amentia de Meynert, dans laquelle l'auteur distingue quatre variétés : 1° con- fusion mentale primai
encé à entendre parler de loin, sous le lit, dans la cheminée. Elle distinguait deux voix, une d'homme, une de femme. Ces voix
a dénomination très vague de délirants mystiques ou de possédés, se distinguent des mélancoliques possédés ou négateurs, et ren
nt des fibres du' pédoncule 'du lobule du pneumogastrique permet de distinguer les fibres de' cepédon-^' ' culetde celles du p
55 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
uvent, ce sont des mouvements de circumduction. Ces deux qualités les distinguent des mouvements de la phase clonique, qui sont pré
physionomie se produit avec une lenteur relative, et par-là même se distingue facilement de l'agitation convulsive et par-tiell
avantage des contorsions grimaçantes des clowns. Les contorsions se distinguent des attitudes tétaniques de la pé-riode épileptoï
ie avec la richesse d'imagination dont est douée la malade. On peut distinguer deux phases: la phase des hallucinations gaies et
série d'attaques qui se succèdent et dans chacune desquelles on peut distinguer , malgré une apparente complication, les trois pér
-pagné d'hallucinations sur lesquelles nous insisterons plus loin, se distingue assez nettement des attitudes passionnelles qui c
délire, l'état de l'in-telligence et des divers sens permet encore de distinguer la troi-sième période de la quatrième. Dans la tr
e de la période épileptoïde et dans la période des contor-sions, s'en distinguent aisément. Nous avons déjà signalé comme caractère
a). La période épileptoïde est bien marquée, mais assez courte. On y distingue très nettement la phase tonique et la phase cloni
11 heure 50 a). La période épileptoïde est d'assez courte durée, on y distingue cependant les trois phases habituelles, et l'écum
équivoques. Elle demeure parfois comme en extase. Il est facile de distinguer dans ce que nous venons de rapporter la période é
t continuellement. Ce sont des soupirs et des sanglots étouffés. On y distingue parfois : « Oh ! là, la tète !... » Tous ces mo
former une série, et présentent toutes la même physionomie. On peut y distinguer trois phases; nous en notons quelques-unes : Un
titudes illogiques variées (les jambes en l'air), parmi lesquelles on distingue Yarc de cercle. Le début de l'attaque est marqué
Caillot, dans sa thèse inaugurale (Dissertation sur l'hystérie,! 833) distingue deux degrés dans l'expression symptomatique de l'
rme, dans l'exposé qu'il fait des crises de l'hystérie vulgaire. Il distingue trois degrés, suivant la violence des symptômes.
s dont nous avons parlé plus haut; il est toujours bien facile de les distinguer . Quelquefois, après quel-ques instant de constric
quer, au sujet des hallucinations des hystériques, qu'il importe de distinguer celles qui appartiennent à l'hystérie, de celles
aques se succèdent sans interruption, et dans chacune d'elles on peut distinguer deux phases. phase. — Débute au milieu de la ré
ués, ne peuvent se défendre d'une pénible émotion. Marc... etLer... distinguent fort bien elles-mêmes les attaques qu'elles nomme
D. de méd. et de cliir. prat. ArL Extase. 2, Brierre de lioismoiil distingue l'extase physiologique et l'extase morbide Dans l
t représenter une personne dif-férente de celle de la malade, et s'en distinguait exactement en se rendant objective et en parlant
tendre le piétinement des chevaux. Mais elle a beau faire effort pour distinguer les soldats dont elle entend le bruit, elle ne pe
ilité musculaire un signe obligé de cette variété de sommeil, pour le distinguer de cet autre sommeil où l'hyperexcitabilité ne se
es dans son étude sur le somnam-bulisme (in Arch. méd. 1860) et qu'il distingue nettement de ce qu'il appelle lenoctainbulisme. L
figure de la malade; ses yeux sont ouverts, mais elle paraît ne rien distinguer de ce qui l'entoure, elle ne répond pas aux quest
ut plus de cinquante attaques d'une autre maladie, dans lesquelles on distinguait trois temps; le commencement et la fin étaient de
dans l'eau ; et aux dernières fêtes de Noël, durant une attaque, elle distinguait confusément une personne à ses côtés;'elle s'en s
egré le plus léger de ce trouble fonctionnel. Une hystérique qui ne distingue pas le violet est, dans la règle, une hystérique
sie n'est pas complète, la malade a conservé la notion du rouge. Elle distingue donc la couleur rouge des deux yeux, mais de l'œi
gue donc la couleur rouge des deux yeux, mais de l'œil gauche elle ne distingue ni le jaune, et, suivant la règle, ni le bleu, ni
sous le rapport de la vision des couleurs. Nous avons dit qu'elle ne distinguait de cet œil que le rouge ; en effet, toutes les au
, on constate qu'au bout de la troisième minute de Vap-plication elle distingue le jaune. Puis la vision des autres couleurs repa
pour l'œil droit. Cette fois il n'y a pas eu de transfert. La malade distingue parfaitement toutes les couleurs des deux yeux, e
uge clair. Et cependant il n'en est rien. De même qu'une personne qui distingue parfaitement les couleurs, notre hystérique décla
n'a conservé que la vision d'une seule couleur, le rouge. L'œil droit distingue parfaitement toutes les couleurs. Dans ce cas,
lade qui ne voit pas le rouge ou le bleu, suivant les cas, ne saurait distinguer aucune des autres couleurs; h) une malade qui voi
'agit de montrer par quels ca-radores décisifs l'hystéro-épilepsie se distingue nettement de l'épilepsie véritable. Je ne rappe
au merveilleux et la crainte superstitieuse des esprits. Paracelse distinguait trois espèces de chorée d'après les symptômes : l
orce et ressemblance aux plus gros chiens, qu'on aurait de la peine à distinguer ses aboiements des leurs, si on n'en était pas té
ent, les dents serrées, le visage'etles mains glacés, sans qu'on piit distinguer le souffle respiratoire; au sortir de cette extas
issements, cris inarticulés, aigus, rapides, tout se confondait et se distinguait pourtant dans ce bruit affreux. J'étais malade d'
euses victimes; je voyais des lèvres perfides toucher leur visage, je distinguais les paroles à peine articulées de leurs confessio
56 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
mphocytes sont considérablement augmentés et que de celait, elle se distinguerait justement de l'hydropisie par stase et des simp
reconnaître ces mots en tant qu'images totales sans être en étal de distinguer les diffé- rentes lettres qui les composent. L.
ipoli lui sont restés absolument inintelligibles. Nous pouvons donc distinguer entre trois degrés différents dans le pou- voir
phies osseuses forment un groupe touffu au milieu duquel peuvent se distinguer plusieurs grands syndromes : rachitisme, achondro
Son teint est oli- vâtre comme celui des levantins. Sur la face, on distingue quelques petites cicatrices blanchâtres (variol
ous les diamètres. Bassin en général rétréci. A la radiographie, on distingue une légère asymétrie ; le bassin est incliné de
me se l'attribue nettement à la fin du Traité de l'llomme lorsqu'il distingue avec soin ce qu'il emprunte aux notions alors c
colloïdes non résolubles, c'est-à-dire dans lesquels on ne peut pas distinguer des particules à l'ultramicroscope parce qu'elles
dans certains cas, comme il en est pour la gélatine, on ne peut pas distinguer une phase solide et une phase liquide, mais Büt
ns deviennent de plus en plus denses. A la fin, on ne peut plus les distinguer , elles constituent un réticule qui présente des
ar un système bi- phasique. Il est vrai qu'il n'est pas possible de distinguer dans la gélatine même au fort grossissement une
ar différents tons d'émeraude. Au point de vue de la forme, on peut distinguer des granulations pigmentaires, des bâtonnets ou
uscules de Nissl (fig. 10). Au point de vue de la tonalité, on peut distinguer des cellules blanc jaunâtre, blanc d'argent et
action delà membrane nucléaire, de sorte que dans ces conditions on distingue deux régions, l'une, celle du noyau qui change
dation de la coagulation et même dans l'alcool an 1/6 on commence à distinguer les granulations. Un autre phénomène important, c
ontestable que dans l'action des substances alcalines nous de- vons distinguer trois catégories de faits : Tout d'ahord, c'est l
sont absolument diaphanes (fig. 22) ; dans les pre- mières on peut distinguer encore quelques granulations fines qui font ESS
e devient plus large. En ce qui concerne l'aspect du cytoplasma, on distingue non seulement de nombreuses granulations lumine
ophyses présentent aussi de grandes différences de dimensions. On distingue facilement les 5 vertèbres lombaires, que l'on re
la partie supérieure porte 4 paires de cûtes. Au-dessous d'elle se distinguent 8 vertèbres munies chacune d'une paire de côtes
res qui se sont soudées entre elles au cours du développement. On distingue assez facilement 4 côtes de chaque côté. L'origin
'extrémité de la queue ; et les régions qu'on a pris l'habitude d'y distinguer n'ont des limites ni fixes, ni bien déterminées
une entité no-' sologique et insiste sur l'importance qu'il y a à. distinguer les cas t) piques d'autres cas « dont le pronos
, les cas extrêmes étant impossibles à déterminer. La difficulté de distinguer l'hys- térie de la catatonie a d'ailleurs été s
cavité non gliomaleuse. Une étude un peu plus minutieuse permet de distinguer ce niveau Des lésions méningo-vasculaires ; L
ent parler de thrombose et l'on peut, à un plus fort grossissement, distinguer dans l'intérieur des vaisseaux des globules rou
s des troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité, lâche de distinguer plusieurs formes cliniques principales de l'aff
uche et dans les trois doigts correspondants engourdis. Le sujet ne distingue pas les deux pointes il 2 centimètres et commet d
Entre la dernière vertèbre lombaire et le sacrum, 410 PASTINE on distingue nn processus d'ossification et de soudure, diffus
n d'ailleurs d'être la règle absolue et l'on peut à ce point de vue distinguer un type diffus tlcénuno-hypotlhé- z narien et d
yés dans un tissu environnant uniformément blanchâtre et mou. On ne distingue plus ni substance médullaire, ni substance cort
ebs désigne l'hypertrophie cardiaque comme une cardio-mégalie, sans distinguer , lui attribuant la même origine que la déformat
'électricité sur la pulsation et leur influence bio z logique. Il distingue deux électrisations naturelles : macrocosmique et
tout d'abord de l'hémi- plégie. Au point de vue thérapeutique il distingue plusieurs formes d'hémiplé- gies dont quelques-
57 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
reuses, des vaisseaux blancs, d'une si excessive ténuité qu'ils ne se distinguent au microscope que sous des grossissemens excédant
ums de la muqueuse vésicale. Dans la femme, la muqueuse vaginale se distingue par ses replis longitudinaux et sa texture vascul
CAVITÉS DU TRONC. 1° TÊTE. Les cavités et enveloppes de la tête sa distinguent en celles du crâne et de la face. Crâne. La gra
onc. 1 Planche 6. Le sous-clavier, isolé de tous les autres, s'en distingue par l'épaisseur de son enveloppe, l'aponévrose co
ciaîis. A partir de l'aponévrose sous-cutanée, le membre abdominal se distingue dans ses quatre fractions: la portion pelvi--fémo
inférieur; 5° Membrane mu-» queuse. Continuation de la peau, elle se distingue par les glan-dulcs labiales, situées dans le tiss
-mental et l'extrémité du grand confluent jugulaire, 7° Nerfs. Ils se distinguent en superficiels et profonds. Les premiers sont fo
parée de sa congénère par le grand sillon vertical, au fond duquel se distingue la saillie des apophyses épineuses, chacune des r
les branches postérieures des intercostaux. La région dorsale ne se distingue au point de vue chirurgical que par rapport aux f
nal, qui forment les deux limites suivant le diamètre transversal, on distingue à l'extérieur : i° en avant, le triangle axillair
les incisions nombreuses que motivent les maladies de l'aisselle, se distingue celle qui a pour objet la ligature de l'artère nu
rtent, que cette région offre quelque intérêt. Parmi les maladies, se distinguent les fractures de l'humérus, del'acromion ou de l'
re eux par des cloisons aponévrotiques. 5° Vaisseaux et nerfs. Ils se distinguent en superficiels et profonds : en plan sus-aponévr
tissus fibreux articulaires. Parmi les maladies réputées curables se distinguent : la luxation de la rotule en dehors et ses fract
postérieure au milieu et interne en bas. Outre les gros vaisseaux se distinguent : (a) l'anse de terminaison de la veine saphène p
que avec celle du coude-pied leur intermédiaire. Toutefois elles s'en distinguent suffisamment en chirurgie, eu égard aux maladies
rations spéciales dont elles sont le siège. Chacune de ces régions se distingue à l'extérieur par la saillie sous-cu tance de la
ns de l'usage le plus habituel sont le bistouri et les ciseaux. On en distingue plusieurs variétés : les uns en quelque sorte typ
ors : eu égard à la direction que suit la main de l'opérateur, on les distingue aussi en incisions de gauche ci droite, de droite
-temps à ces premiers élémens de médecine opératoire, si l'on veut se distinguer plus tard par la grâce et la facilité à manier l'
ette précision, cette aisance, cette harmonie dans les mouvemens, qui distinguent les grands chirurgiens, et qui les accompagnent s
s. INCISIONS DE DEHORS EN DEDANS ET DE GAUCHE A DROITE \ Elles se distinguent en simples et en composées. INCISIONS SIMPLES.
ment les trois cinquièmes de la longueur totale de l'instrument. On distingue trois sortes de ciseaux . les droits, les courbes
e. Troisième procédé. — Serre-nœuds sur diverses surfaces. 11 ne se distingue des autres que par le mécanisme des instrumens do
ont aujourd'hui presque généralement tombés en désuétude. Enfin, on distingue encore les caustiques pulvérulens, désignation so
ers, solides, liquides ou gazeux, dont on doit faire l'extraction, se distinguent , dans la pratique chirurgicale, suivant leur orig
tissu, ou qui suit la chute d'une escharre. Quant aux capillaires, on distingue l'hémorrhagie active, due à l'exaltation cle la c
actement les parois. 5° Durée de l'application. Sous ce rapport, on distingue la ligature en temporaire et en permanente. La li
c., qui renferment le tannin. Parmi les agens employés en solution se distinguent : les sulfates de fer, de zinc, de cuivre, d'alum
e par le développement d'un réseau vascu-laire très fin. La verrue se distingue par sa production spontanée, sans frottemens, à l
. i° L'instrument spécial est la lancette (pl. 2y. a, b, c, d). On en distingue de trois sortes , suivant l'angle que forme la po
nnaître le tendon du biceps et, à son côté interne, l'artère facile à distinguer à ses battemens; s'assurer de sa profondeur, de s
en tout cas faire absterger avec soin la plaie pour pouvoir toujours distinguer les parties qui s'y présentent. Parvenu sur l'apo
ec la pince; écarter de suite en bas et en dehors la veine , facile à distinguer à sa mollesse fluctuante et à ses battemens clans
e public : il serait trop long de les nommer. Deux cas, cependant, se distinguent des autres par la hardiesse et la nouveauté de la
u de réserver plus spécialement le nom de méthode à la ligature, pour distinguer entre eux les différens modes par lesquels on l'e
49, %• 2 et 3). Au point de vue opératoire, les corps étrangers se distinguent , suivant leurs formes et leurs dimensions, en deu
Suivant leur siège, leur marche, ou les causes qui les produisent, on distingue les abcès en superficiels ou profonds, aigus ou c
es grammes à plusieurs kilogrammes. Au point de vue opératoire on les distingue en superficielles ou sous-cutanées, et profondes
isses comme un cartilage, les autres sont rugueux ou anguleux. On les distingue encore suivant qu'ils sont organisés ou anorganiq
ênent et ralentissent la marche. Les scies sont en grand nombre, on distingue : 10 les scies continues, dont la grandeur et l'é
fiiï- 5 et 6). Sous le point de vue anatonio-pathologiquc, on peut distinguer trois variétés principales de fausses articulatio
tre millimètres (deux lignes). EXOSTOSE (pl. 5o, fig. i et l). On distingue plusieurs espèces d'exostoses : — i° selon leur s
és ou d'extraire des esquilles d'os. En effet, nous voyons Hippocrate distinguer avec soin les indications du trépan dues aux acci
les résections. Cet auteur, le premier, en fixe les principes et les distingue des amputations en prouvant, devant l'académie de
es qui réclament les résections, donner les raisons qui les motivent, distinguer les cas qui les contre-indiquent et les font reje
nnotateurs, Costéus et Mon-gius, qui commentent le texte de Celse, ne distinguent pas non plus les deux espèces d'amputations ( Avi
dextre et de se servir de la main gauche. Procédé de Delpech. Il se distingue par l'extrême exiguité du lambeau externe ou plut
de la malléole interne, à cinq centimètres directement au-dessous se distingue en pressant, au toucher, l'apophyse interne du ca
usse. Les anneaux des deux branches sont obliques et divergens. On en distingue de trois sortes, qui ne diffèrent que par les lam
58 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
acé par un amas de trabécules conjonctives, au milieu desquelles on distingue encore il peine quelques fibres. Les mêmes lési
suel et rendre leur marche plus aisée. Ce point noté par M. Souques distingue l'altitude camptocormique d'une simple flexion
ires où l'amplitude du mouvement se trouvait limitée par un but. Il distingue deux phases dans l'accomplissement de ces actes.
ré ? Ce n'est pas le cas chez nos malades : en général nous pouvons distinguer deux possibilités : 10 le mouvement est très' v
ques des hémiplégiques ou du decerebrale rigidlly ; mais elles s'en distinguent par leur irrégularité. Aux mem- bres supérieurs
ns décrit. Pourtant je crois que le plus souvent on sera en état de distinguer les deux syndromes. Rappelons encore certains tra
les attitudes de la main qu'il importe de bien connaître. Avant de distinguer les différents types cliniques, il est utile de d
vasomoteurs, secrétoires ettrophi- ques caractéristiques. On doit distinguer deux types cliniques : A. Les paralysies complè
naître l'adulte qui l'aime et qui est estimable, de même savent-ils distinguer parmi nous ceux qui sont dignes de respect et c
ien ne me paraît pouvoir fixer l'attention sur la myélite aiguë, ni distinguer l'invasion d'une de ces myélites de celle d'une
tions d'Oppenheim 26 observations emprun- téesà divers auteurs ! Il distingue deux formes de dysartlirie,l'uneparaly- tique,
t devant une tâche diagnostique très difficile, lorsqu'il s'agit de distinguer chez les sujets âgés entre une hémorragie céréb
d'une nouvelle hémorragie, est recommandée pour une maladie qui se distingue en principe si peu de celle-ci. La pression a
réflexe oculo-cardiaque, nous possédons un moyen très commode pour distinguer les paralysies larynx- gées dues à la lésion un
tions - ankylosantes. D'autre part l'arthropathie du genou droit se distingue net- tement de la tumeur blanche de par le seul
indispensables au développement Foiiiatique normal que les sexes se distinguent , et que se constitue ce qu'on appelle en biolog
ifs ou principaux et des caractères secondaires, comme Ileinter les distingua le premier en 1872. Darwin, qui étudia si profond
tablir une séparation parfaite dans les caractères sexuels. Le Dantec distingue : un sexe physiologique, c'est-à-dire déterminé
corps thyroïde, tantôt le testicule ou l'ovaire. Nous proposons de distinguer un infan- (1) Cordier et Rebattu, Sur l'autonom
-môme, admettant un infantilisme pur (echter infantilismus) pour le distinguer des cas dits d'infantilisme symptomatique, lais
ntilisme que nous appelle- rons, avec Gilford, essentielle, pour la distinguer de la forme sympto- matique. La première comp
u'il appelle echter infantilismus (infantilisme véritable) et qu'il distingue des infantilismes résultant de maladies des gla
rd, qui l'avait déjà adoptée pour l'infantilisme essentiel, pour le distinguer ainsi de {'infantilisme symptomatique. Mais le
es paroles : « Infantilisme essentiel ou cryptogénique. Celui-ci se distingue de l'infantilisme symptomatique par son degré pro
e. Il faut savoir dès maintenant que c'est là un des caractères qui distinguent le type eunuchoïde de la dystrophie génito-glandu
ènes se déclarent dans l'âge mûr, et qui pour cela précisé- ment se distingue de la forme commune : c'est l'eunuelioïdisrne tar
isolée, l'autre, associée à une lésion organique, qu'il importe de distinguer , particulièrement du point de vue thérapeutique.
as de camptocormie. Nous n'avons, en effet, aucun moyen clinique de distinguer la simulation de l'hystérie. « S'il s'agit ou d
maison aux pignons dentelés, l'épée et la dague, etc... En plus, on distingue un canon, un jeu de cartes.et un jeu de tric-trac
ossible d'en lire les inscriptions. En dépit des variantes qui la distinguent nettement des figurations précédentes, cette gr
59 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fois par jour; ces accès n'ont pas cessé depuis lors. Le malade les distingue très explicitement d'un endolorissement, d'un e
choses du cer- veau valide. Mais Schùle montre la nécessité de bien distinguer les formes aiguë et chronique, la paranoïa chro
nnent au même groupe. Du reste, ces cas particuliers de paranoïa se distinguent de la paro- noïa classique, même quand les phén
a moelle, dans les névrites périphériques, dans les névroses. Aussi distingue-t -il l'athé- tose double d'origine cérébrale, et
atisfaction; ils déclarent en effet qu'il est souvent impossible de distinguer dans leurs effets, tant les déterminations caus
ralysie générale très précoce, juvénile; quelques caractères qui la distinguent de la paralysie générale venant à son heure, da
t aux accès de manie inconscients, l'état de conscience seul les en distingue . Il est très robuste, je l'ai vu une fois briser,
te période avec celle du diabète et de l'alcoolisme chronique. On distingue néanmoins l'atrophie optique du tabes de l'ambl
la malade a présenté des hallucinations dites psychiques, qu'elle distingue parfaitement des autres, parce qu'elle ne les ent
le aspire à l'idéal. Elle a, dit-elle, une maladie de l'âme. -(Elle distingue l'âme et le coeur). Son chagrin lui vient de ce q
s s'accompagner d'une sensation auditive spé- ciale que les malades distinguent nettement de celles que produisent les voix ext
teurs français comme une des formes de la folie du doute; elle s'en distingue pourlant par quel- ques caractères importants ;
nt presque, caractéristiques. Cet état est souvent très difficile à distinguer de l'état somnambulique. Lorsqu'il dure un cert
Les états de som- nambulismes, souventdifficiles à différencier, se distinguent surtout par l'absence de cette violence, de cel
systèmes des fibres au fond du troisième ventricule du cerveau. Ils distinguent trois ' systèmes de fibres : la commissure de G
famille pathologique nettement définie, à caractères propres qui la distinguent de toutes les autres espèces morbides. De même
alogue à propos de la dyschromatopsie hys- - térique. Une malade ne distinguait que le rouge et ne voyait pas les autres couleu
les mélancoliques, et l'on doit se demander s'il n'y a pas lieu de distinguer des mélancoliques ayant ces halluci- nations de
gnées d'hallucina- tions et c'est ainsi que l'on tend aujourd'hui à distinguer la stupeur hallucinatoire de la stupeur proprem
heures ce morceau gonflé et d'aspect velvétique permet de très bien distinguer la substance grise de la substance blanche. Au
présentent comme s'il s'agissait de groupes mus- culaires ; il les distingue et les décrit avec une minutieuse précision. On
ou acte psychique par les mouvements qui lui sont consécutifs, nous distinguons une série d'actes dont les rapports sont complexe
térêt. Les mouvements qui indiquent l'intelligence ne paraissent se distinguer par aucun caractère intrinsèque particulier, ma
pensent que les neuroglobulines des différentes espèces animales se distinguent par la richesse en phosphore, et à chaque espèc
pécuniairement respon- sable de la mise en liberté. . M. GARNIER distingue le danger immédiat du danger futur. La loi de 1
philis dans les altérations du bulbe. Les altérations corticales se distinguent cliniquement et anatomique ment de celles de la
onvient de ranger dans le cadre de l'hystérie mâle. Il propose d'en distinguer trois catégories princi- pales. 1° Les faits
l'hémiageusie locales s'accompagnent de l'impossibi- lité totale de distinguer sur la langue et sous le nez, quelque soit le c
60 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
queuse. Quand on fait exécuter des mouvements de la langue, il faut distinguer en- tre les mouvements exécutés à l'extérieur e
ent ; le malade commence à per- cevoir l'attouchement à froid et il distingue convenablement le sens des mou- vements du pied
pération. 10. - 15 juillet. - Mouvements plus libres ; le malade ne distingue pas toujours exactement-la direction du mouveme
sure que l'on descend dans l'échelle des êtres. Encore faut-il bien distinguer les cas où les segments d'une région ra- chidie
nt jouer le rôle de soutien. Dans le trajet des fibres nerveuses,on distingue çà et là des parties moins colorées que leur vo
évrogli- que en général nous soit encore permise. La possibilité de distinguer les éléments cellulaires des fibrilles de Weige
avec ses prolongements (plasmatiques), il est souvent difficile de distinguer la fibre de Weigert d'un prolongement plasmatiq
r un prolongement plasmatique. Enfin il ne nous reste plus qu'à les distinguer les uns des autres par leur aspect fin ou gros,
forment des groupes et restent en connexion syncy- liale. Elles se distinguent également des cellules amiboïdes vraies par la
ylindrique. La coloration peu foncée de leurs noyaux permet de bien distinguer la structure de ces derniers. La coloration du co
V. llansemann a appelé ensuite « nanosomia primordialis », pour la distinguer de la « nanosomia infantilis » chez laquelle on t
per, je les appellerais volontiers c7aotch·o7 ? ]¡aplasies pour les distinguer nettement de l'achondroplasie classique avec la
s de dystrophies j'ai proposé le nom de chondrohypoplasie, pour les distinguer des formes typiques, très évidentes dont elles
c succès à tous les sports, et, par suite de cette circonstance, se distinguait par une musculature très développée. Il lui arr
ec rupture des proportions normales. Déjà, dans ses conclusions, il distinguait un gigantisme acromégalique et un gigantisme in
chez les eunuques et chez les animaux castrés expérimentalement, se distinguent précisé- ment par les caractères que l'on retro
ce que la glande n'est pas toujours dans le même état. Gauthier (2) distingue même deux formes de sclérodermie : à l'hyperthy-
tion spéciale d'une altération générale du système végétatif. Il se distingue des affections apparentées par la modification de
est là justement ce qui caractérise la sclérodermie et permet de la distinguer des scléroses banales de la peau. Après le derm
atéral par un mince pont de subs- tance nerveuse, dans lequel on ne distingue plus aucune fibre à myéline. A la limite postér
mme une cavité creusée à l'emporte-pièce. A la limite supérieure on distingue cependant, aussi bien sur la photographie macro
ès la paralysie du nerf facial est devenue plus précise, et l'on en distingue aujourd'hui un plus grand nombre de variétés.
ments associés involontaires, analogues aux précédents, mais qui se distinguent essentiellement d'eux, en ceci que non seulement
produire ou de les arrêter par la volonté seule permettaient de les distinguer des tics convul- sifs. Ils en différaient surto
mouvements de cligne- ment physiologique des paupières (2). Pour distinguer ces états de « contracture frémissante », peut-on
notre travail. Parmi les mouvements convulsifs de la face, il faut distinguer ceux qui apparaissent dans certains cas de para
e aux mouve- ments syncinétiques post-paralytiques permetlra de les distinguer plus facilement des tics vrais de la face à loc
e à localisation unilatérale. Peut-être permettra-t-il aussi de les distinguer de certaines formes de spasme facial primitif.
six observations cliniques dont l'analogie, contrairement à ce qui distingue la nôtre, va jusqu'à la coexistence de signes i
igine hypophysaire du syndrome. Dans l'hypophyse on doit maintenant distinguer trois portions : 1° Une portion antérieure qui
sse déterminer son empreinte sur les parois ? Mais nos malades se distinguent de ceux de l'auteur italien par leman- que de t
furent plus tard vérifiées. Tous les signes cliniques, donnés pour distinguer les amyotrophies protopathiques des deutéropath
sale par un profond sillon. La tête de la lre phalange est facile à distinguer . La phalange unguéale est, sur l'un et l'autre
61 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
e (1). La différence entre les deux a quelque analogie avec celle qui distingue l'illusion de l'hallucination dans l'hypnose. L
t d'une association de représentations spontanée et capricieuse et se distinguent par leur développement fantastique. Néanmoins, ce
u desquelles nous nous sommes mus qui est cause de l'amnésie qui nous distingue à l'égard de nos rêves, c'est-à-dire de l'extrême
te une très grande variété de rêves dénommés prophétiques. On peut en distinguer plusieurs espèces. Par exemple, on rêve qu'on é
chiques de l'hystérie. par M. le dr Paul Tesdorpf (de Munich). On distingue d'ordinaire deux groupes de phénomènes hystérique
nous par exemple suggérer la gaieté à un mélancolique ? Nous devons distinguer deux hypothèses : a). Le sujet est hypnotisé. I
t sa conscience a été limitée très étroitement, n'a pas les moyens de distinguer clairement l'apparence de la réalité. Il y a pl
illaire s'accompagne de changements du caractère. A ce sujet, il faut distinguer le tuberculeux et le phtisique. Le tuberculeux pr
t. sinon, on les gave. Quant .à l'état mental de ces malades, il faut distinguer ceux qui sont atteints de tuberculose pulmonaire
et aux personnes de leur entourage, personnes trop peu éclairées pour distinguer dans cette circonstance le vrai du faux. Ce fut
ne impulsion extérieure actuelle pour être réalisé. — C'est ce qui le distingue de Pacte réflexe simple comme le soulèvement de l
nisme rigoureux sans variations et sans caprices ». — C'est ce qui le distingue de l'acte psychique supérieur. Les actes automa
rs, automatisme inférieur). Ils sont dans l'écorce cérébrale, mais se distinguent des centres du psychisme supérieur, également sit
s phases de son agonie comme l'actrice dont parle Darwin. Condillac distinguait en lui le Moi d'habitude et le Moi de réflexion :
. Félix Regnault.—Dans l'emploi de la suggestion pédagogique, il faut distinguer entre les sujets. Les enfants sont vicieux, indis
un signe de dégénérescence. Discussion Félix Regnault. — Il faut distinguer dans les familles qui fournissent beaucoup de mem
aire les choses bien clairement, un cas typique, bien caractérisé, on distinguera , ce me semble, facilement la suggestion au sens s
cinations provoquées chez une hystérique... Il n'est plus possible de distinguer la maladie mentale, qui est pourtant une triste r
l de suggestion. On peut continuer ainsi, à la condition qu'on semble distinguer à l'occasion ces diverses variétés.» Pour ma pa
VIIIe siècle et elle persiste encore de nos jours. • Il convient de distinguer le prophète ou veli des Arabes qui, étant hystéri
s, du prêtre chargé du culte, homme instruit et conservateur. On le distinguera aussi du saint ami de Dieu qui mène une vie d'aus
nnes, il vaudrait mieux donner à ces inspirés le nom de devin qui les distinguerait non seulement des prophètes, mais encore des augu
notiseur sur l'hypnotisé qu'on appelle suggestion et qu'est-ce qui la distingue des autres influences comme la persuasion, le con
e chante, un état d'émotivité qui ne l'abandonne jamais, mais qu'elle distingue nettement de l'état du trac, qui paralyse ses moy
allucination complète qu'éprouve Sainte Thérèse ; elle a bien soin de distinguer les yeux de l'âme de ceux du corps. Que veut di
t distinctes; on ne les entend pas des oreilles du corps, mais on les distingue plus clairement que si elles lui venaient par l'e
62 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
nnée à la congestion diminue d'autant celle de la bronchite, qui s'en distingue principalement par sa durée, par la lenteur de sa
amassée par un labeur de longues années, telle sont les qualités qui distinguent cet ouvrage. Nous ne savons si l'avenir en adopte
vision binoculaire; il amortit l'éblouissement, relève la faculté de distinguer les objets ; il rétablit la vue à distance, la vu
ment permanent du membre, cette grande laxité des jointures permet de distinguer à coup sûr le pied bot résultant de la paralysie
'où l'aspect d'une framboise (moins la cou-leur, bien entendu) .On ne distingue ni poils, ni orifices glandulaires. Le tégument c
tubes du nerf cubital, avant la cicatrice, paraissaient normaux ; on distinguait le cylindre-axe entouré de myéline et les noyaux
de 48 p. Paris, F. Savy, éditeur. plus de doute sur la nécessité de distinguer , dans les symptômes bien connus de l'alcoolisme,
vertèbres lombaires sont seules intactes. Dans cet orifice, on peut distinguer trois parties : une supérieure de beaucoup la p
s, — Spring dans son remarquable mémoire sur les her-nies du cerveau1 distingue trois variétés de tumeurs congeniales : Io La Mén
e se déchire assez facilement, et, sur la surface ainsi dilacérée, on distingue très-bien les tubes séminifères enroulés et augme
n que découlent la plupart des principes de l'électrothé' rapie. On distingue en médecine deux espèces de courants électriques
autre exemple : Dans une chaudière de loco-motive, il y a également à distinguer la quantité d'eau élevée à une certaine températu
c un courant assez intense et une seule interruption par se-conde, on distingue toujours sur des muscles sains les deux con- tr
ime maladie infectieuse dont l'angioleucite est un élément; ce qui le distingue des fièvres éruptives, c'est que ces dernières so
rique que l'on introduit artificielle-ment ? Nous avons également à distinguer les trois phases : Io état initial; 2° état défin
Mais, à côté de cette grande division, il est encore nécessaire de distinguer les courants induits entre eux, car, selon leur m
d'ailleurs, seulement par l'intensité que ces accidents convulsifs se distinguent , c'est encore par la forme qu'ils revêtent, et, c
de mal. 11 y a d'ailleurs, dans cet état de mal des épileptiques, à distinguer ce qu'on nomme les petites séries, composées de 2
s qui se passent dans le muscle. • « Les analyses les plus récentes distinguent dans le contenu musculaire du sarcolemne deux par
spiratoires et l'ensemble des phénomènes qui lui succèdent. » On peut distinguer deux espèces d'asphyxie : l'as-phyxie par intoxic
culaires séparés par de larges traînées de tissu conjonctif : on peut distinguer dans ces dernières un syslèmc de lacunes, appréci
st partout notablement plus déve- loppé qu'à l'état ordinaire et se distingue par une prolifération nucléaire très-abondante. —
lète, la partie comprimée est le siège d'altérations profondes qui se distinguent par certains caractères spéciaux des autres forme
autre espèce de production néoplasique. En conséquence, nous aurons à distinguer , au point de vue histologi-que, plusieurs variété
e sale, et son sommet semble toucher la membrane de Descemet. — Morse distingue à peine la main placée à 20 centimètres de sa fig
qu'est mentionné l'ictère grave. Le diagnostic de l'ictère se borne à distinguer la coloration de la peau, produite par la bile, d
63 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
tient également au goitre basedowien. Dans certaines régions on ne distingue même plus de formations folli- culaires et on n
les névrites, et les crampes professionnelles. Remak assurément les distingue , tout en les réunissant sous le nom générique d
t des gens de cour. Ces bouffons, loin de ressembler à des fous, se distinguaient , au contraire, si l'on en croit l'histoire, par
ne se con- fondra pas avec celle de la manie furieuse. Mais comment distinguer , le masque imprimé par la mélancolie, psychose
s de modifications bien appréciables ; lorsqu'elle se contracte, on distingue une déviation de l'ensemble des traits vers la
rouesses sexuelles surtout. Rien de tout cela dans notre cas qui se distinguait par une intelligence moyenne sans aucun ca- 146
pré- sentatives d'idées. En résumé, la fonction intellectuelle se distingue des autres comme celles-ci se différencient ent
propre. Elle diffère de la fonction circulatoire comme celle-ci se distingue de la fonction respiratoire Sous tous les rapport
s pour la facilité de son étude ; comme on ne pourrait pas toujours distinguer sous le microscope une cellule médullaire d'une
lement sur les crampes fonctionnelles. Toutefois le bégaiement se distingue des crampes fonctionnelles par un certain nombr
r admettent deux formes : spasmodique et pa1'al ! Jti- que. Jaccoud distinguait quatre variétés : ]'akinpsie, les troubles de s
de le rattacher aux névroses coor- dinatrices d'occupation et de le distinguer -du tremblement delà sclérose en plaques, de la
le malade et son syndrome morbide. D'une façon générale, il faut distinguer , au point de vue du pronos- tic, les crampes d'
s ce cas pour indiquer la nature épileptique de l'affection, qui se distinguait de la crampe des écrivains ordinaire par ce fai
e tombait à terre; le spasme cessait avec le travail. Il importe de distinguer cette crampe professionnelle de la névrite corr
l'os une masse compacte dans laquelle il n'est plus possible de la distinguer . Pour le tibia, il faut noter une raréfaction c
sticateurs. LES ALTÉRATIONS OSSEUSES AU COURS DE LA MYOPATHIE 237 distingue cependant bien les trabécules osseuses ; la dimin
la tumeur, est très altéré ; il se colore ma par les réactifs ; on distingue seulement une masse granuleuse présentant quelq
ic de polynévrite. . Enfin l'affection de notre malade pouvait se distinguer de la poliomyélite antérieure aiguë par l'absen
oloration par l'héma- téine-éosine. les coupes de nerf sciatique se distinguent immédiatement de coupes provenant d'un nerf nor
dans un tronc nerveux normal ; d'autre part on peut à première vue distinguer deux espèces de noyaux : les uns sont petits, a
cas, par le fait même de la structure des fibres à myéline, on peut distinguer deux degrés : ou bien la cellule à myéline est
qui, bien qu'occupant la région du pyramidal croisé, sont faciles à distinguer , même sur les coupes colorées an Weigert-Pal, d
s dénominations de nævus-vascularile et de næl'us-né- vrite, Ils se distinguent l'un de l'autre par leur origine, par leur pathog
nale et la métamérie ra- diculaire ont été confondues ; il faut les distinguer nettement l'une de l'au- tre. Au niveau du tron
la paroi postérieure de la poitrine. Nous avons donc été amenés à distinguer , avons-nous dit, dans le grand chapitre de derm
ose de la colonne vertébrale. Osipoff et toute l'école de Bechterew distinguent deux formes de la maladie et soulignent l'origine
articulation, présentent un ensemble anatomo- pathologique qui les distingue facilement des autres lésions ou néoforma- tion
vraie face. Outre cela, dans le tiers supérieur du côté interne on distingue plusieurs exostoses de la grosseur d'une noiset
qu'une description. Sur les photographies ci-jointes (Pl. LVII) on distingue la grosse tête avec le front fuyant, le thorax
est donné comme constant; en réalité il l'est si peu, que Jonckerai distingue une forme d'ostéite non douloureuse et une form
ens qu'il s'agit également de dégénérations systématiques ; il s'en distingue néanmoins très nettement par la topographie diffé
des deux côtés, mais ses limites présentent un certain flou ; on ne distingue plus le hile qui est presque absolument décolor
ap- paraît comme une masse arrondie, décolorée, dans laquelle on ne distingue plus les circonvolutions. Au microscope, dans
analogues, elles sont plus accentuées du côté gauche ; à droite on distingue encore un peu la forme des circonvolutions oliv
une nouvelle classification des affections du cervelet (1). Il en distingue six classes : trois n'ont pas trait aux atrophies
relle. On pourrait, il est vrai, parmi les atrophies systématisées, distinguer celles qui s'accompagnent de sclérose névrogliq
nces, claires, leur substance médul- laire, très peu développée, se distingue à peine. Les ovaires sont oblongs, lis- ses, ég
es généra- lisées à tous les os des membres et nous ont appris à en distinguer deux sortes, relevant de deux processus très di
finités spéciales à chacune de ses combinaisons et ses réactions se distinguent des réactions inorganiques comme celles-ci se d
ctère d'universalité, il ap- pela les premiers instinctifs pour les distinguer des seconds. Le terme «instinct» est donc le pr
convention- nelle qui tranche dans les phénomènes naturels pour les distinguer . Sont donc qualifiées instinctives l'ensemble d
lui sont imposées et, je pense, également imposées. L'habitude se distingue des manifestations vitales dont il vient d'être
l m 718 LEFÈVRE IV Les phénomènes d'habitude et d'aptitude se distinguent par un ensemble de caractères dont quelques-uns
ssance, mais adaptée à des résultats qualifiés artificiels pour les distinguer conventionnellement des précédents ; elles relè
64 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
peut- être même impossible, sur des coupes de bulbe nor- mal, de distinguer ce qui appartient à l'entrecroisement moteur et
fevnert, ' 1 Iluguenin, Sappey et Mathias Duval. ". M. Huguenin 2 distingue dans le bulbe trois cntre- 1 Meynert. - Von GeM
asmiques volumineuses teintées en jaune, et au niveau desquelles on distingue un nombre quelquefois considérable de noyaux co
colorée èn'¡i.oir par l'acide osmique e,t au.imilieu, desquelles on distingue un certain, nombre, de noyaux colorés 'en rouge
ci les deux accès sont de nature pénible, mais la perte du souvenir distingue celui qui dépend de l'épilepsie. D'autres foi
i multipliés qu'ils se rappro- chaient de l'état de mal dont ils se distinguaient , en ce sens que, après chaque accès, l'enfant r
l'état du malade. La paralysie motrice a peu dimi- nué ; le malade distingue un peu plus nettement les objets. 22 mars , 6 h
se. Dans les points où la lésion n'est pas très avancée, on peut la distinguer nettement du parenchyme cérébral, quoiqu'elle f
ne une région plus profondé- ment affectée, il devient difficile de distinguer la pie-mère et de la différencier du tissu nerv
es ! petites mailles, dont, jecpnenu est impossible à définir. On y distingue également un certain ^nombre de)Cescorpuscu1esr
lfll"5 ';m''lul'W Ji 1 `l li i ? `· ont les caractères tranchés qui distinguent les cellules Gi0(U ! G'JI<OUhil .'JlJ;f11'"
If";rtll" 211,,jLf/n'r'O' nées; et comme ils sont tortueux, on n en distingue que rr n'str,r o t) ' ;> ,1 <1')11(\1,,11
H ; n > r' > ,. i ,, 0- ,.uu i. effet dans les deux types que distingue M. Lasègue : le premier comprenant « les'délire
formes de délire, malgré leur enchevêtrement, deviennent faciles à distinguer lorsqu'on est prévenu. M. Gar- nier a observé d
s au moins des cas d'aliénetion attribués à l'alcoolisme. Comment distinguer l'alcoolisme primitif de l'alcoolisme secondaire
t un parallélisme complet avec celui de l'aisselle» (page 92). On y distingue , par conséquent, les trois périodes classiques,
e ventri- cule latéral était dilaté : déprimés sur ses parois, on distinguait la couche optique et le noyau caudé. Sur l'hémi
ÉBRALES. 371 interne et externe, de Gratiolet) (PL. X, XI, po) : on distingue moins nettement le sillon interpariétal (PL. X,
cation tranchée ; peu à peu la névro- glie devient plus lâche, on y distingue quelques cel- lules et une certaine quantité de
moindre trace de myéline ; et sur les bords du foyer seulement, on distingue quelques cylindres axiles. Chose remarquable,
ation de ce tissu morbide, elle est excessivement restreinte. On ne distingue pas dans les nodules scléreux le riche réseau c
sféré, c'est la sensibilité. Une fois ce résultat obtenu, rien ne distingue plus l'évolu- tion des phénomènes de celle qu'o
forme et en étendue, se déve- loppent d'une façon uniforme; rien ne distingue celle qui est voisine du métal. Elles ont d'abo
t ne se font pas en bloc, pour ainsi dire. On peut, au contraire, y distinguer des phases de transition pendant lesquelles les
à myéline et de fibres de Remak ; autour des faisceaux nerveux, on distingue nettement une gaîne de péri- nèvre. La moelle
ysiologie pathologique de ce symptôme; or, dans les deux formes que distingue M. Lion, l'état physiologique de la fibre strié
t des deux côtés à un degré avancé : le malade ne pouvait alors que distinguer les lettres du n° 2 de Jager. On commença ce mê
par Aug. WALLER. (ThePractztC07t72eT, août 1880, p. 101.) On doit distinguer deux formes de crampes professionnelles, la for
btttr, la;troisième 'circonvolution frontale .(PL. XIV, fig. 2). On distingue clairement; ! surjette "coiïpefl'invôlutiôn à€&
peut \\-,< -8 ? nm.Ki v 'j't ? 6 ? **> : ''k" ii» %o ; 1 en distinguer nettement qu après .avoir plonge la si 41) ,t0«
(de coiïps^Ile m3q z ment ; mais a cote de ces .petites taches se distinguaient par- fâiteWrit^eWa^ nilarmllnülès dimehsionâf
lle bégaiement, agitation spasmodique, bredouillement convulsif. Il distingue le bégaiement, qui est la répétition de sons ou
gie de ces phénomènes avec l'as- phyxie locale de Raynaud; ils s'en distinguent cependant par un certain nombre de caractères;
(6'or ? '. Blatt fier Schweiz. Aerzte, janvier 1880.) M. Massini distingue deux formes de migraine : 1° la forme angioloni
le plus grand soin l'épi- lepsie partielle d'origine syphilitique, distingue dans l'épilepsie partielle trois variétés : l'é
alade est hébétée et il est rare qu'elle tombe dans le coma, ce qui distingue cette forme de l'épilepsie vraie. Cette épileps
nta- nément un rôle important dans l'aura hystérique. Il faut les distinguer de la dermalgie, car tandis que dans celle-ci la
tes, colorée en noir par l'acide osmique et au milieu desquelles on distingue un certain nombre de noyaux colorés en rouges.
65 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
il ne semble pas que les y timlrcs-avcs soient interrompu* ; on les distingue nettement, aussi loin qu'on peut suivre les lib
é visuelle est normale, l'enfant voit bien de près et de loin; elle distingue et reconnaît les couleurs. Le nez est droit, sy
est en croissant. Pas d'ona- nisme. Le goût est normal, l'enfant distingue bien les saveurs acides ou sucrées. Elle mange
aroi des capillaires, elles perdent leur gaine de Schwann, et ne se distinguent plus des autres libres de la moelle. D'autres f
rnier étant demeuré intact sur presque toute sa longueur. Il faut distinguer dans le complexus symptomatique les dégâts dire
e, coe- xistent chez notre malade, et s'y laissent assez aisément distinguer , reconnaissant tout à la fois une pathogénie de
t le contenu de nos idées conscientes. Les lecteurs de pensées se distinguent du commun des mortels en ce (pie, possédant de
res et Fli. qui du côté sain apparaît sous forme d'un U noir, ne se distingue presque pas dans sa partie inférieure de Rth. D
nonce dcs paroles plus ou moins inintelligibles parmi lesquelles on distingue certains mots tels que « Dodo, gros bébé, mon m
qu'impose la nature d'un sujet déjà si complexe par lui-même, et de distinguer par- mi les phénomènes qui ont été décrits sous
nt autant d'éléments qui devront donner l'éveil, en contribuant à distinguer l'affaiblissement définitif du dément précoce d
a- raît qui frappe assez rapidement l'observateur attentif et qui distingue l'activité en question d'une activité com- plèt
l'hémianopsie par lésion anatomique du cervelet, desquelles elle se distingue par sa marche et par la pré- sence d'autres phé
es fois le type continu de la fièvre typhoïde. Fabre, de Marseille, distingue cinq formes : éphémère, chronique, inter- mitte
ation motrice du sarcoplasme anémié, fatigué ou mourant, et elle se distingue par l'absence complète de propagation do l'onde
érieurs et des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Les premiers se distinguent par l'existence d'epaississements, de gonflemen
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 305 fixe dans la zone motrice. 11 faut distinguer avec le plus grand soin le torticolis mental du
jours par Bail, Chaslin, Séglas cL Anglade. Il faut tout d'abord distinguer les cas dans lesquels la confusion estle trouble
bservations minutieusement analysées, dans lesquelles l'accès ne se distingue en rien de l'épilepsie fonctionnelle, soif tlue
oniques, psychoses systématisées primitives ou secondaires. Il faut distinguer , au point de vue pratique l'isolement, mesure thé
malade répond qu'elle ne voil absolu- ment rien. Elle ne commence à distinguer les objets ({u'à une distance très rapprochée d
optries à gauche contre 5,1-)o à droite, et encore le sujet ne peut distinguer (pie la lettre E qui lui parait de grandeur plu
boîte devant les yeux de la malade qui répond sans hésiter qu'elle distingue deux points de dimensions égales, de la grandeu
écédente et dis à Valentine de lire en fermant l'oeil gauche : elle distingue après hésitation les lettres de la fin de la ph
rien avec l'oeil droit ; elle paraît donc amaurotique et ne devrait distinguer que la lettre F en rapport avec l'oeil sain ; o
'mpéricncu préctnicnte n 23, ou constate également que l'oeil droit distingue parfaitement les images, en dehors de la vision
rouge sur le vert, ce qui donne noir, la vision droite peut encore distinguer les lettres rouges, mais ces lettres sont dimin
ui l'cntourent, n'a a pas J'amblyopie de son oeil malade ; cet oeil distingue parfaitement par lui-même les objets, soit seul
é- raux entraînent une incontinence urinaire permanente qui ne se distingue pas essentiellement de l'incontinence spinale. 3°
rectement des troubles de l'intelligence. On peut ce point de vue distinguer deux catégories de malades donnant lieu chacune
avaux, il prit à nos discus- sions une part des plus actives, et se distingua dans les Commissions par son esprit très ouvert
66 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
xcitabilité électrique, et jamais de modification qualitative, ce qui distingue absolument ces altérations musculaires de l'atrop
gré la volonté de l'expérimentateur qui résistait. Rien jusqu'ici qui distingue nettement le cas du simulateur de celui de la mal
par une lésion systématique. Au point de vue symptomatique, on peut distinguer trois périodes.. La première période,période né
u malade s'est amélioré aujourd'hui d'une façon notable, il faut donc distinguer deux périodes : l'une du 3 au 30 mars, la seconde
arisée parmi nous, de cette forme clinique. Notre cas, ajoutai-je, se distingue de la plupart de ceux du même genre qui ont été p
e en pleine mer, je vous répondrais que, quoique sachant parfaitement distinguer les trois choses très différentes et sachant très
laquelle se serait surajouté l'élément spasinodi-que qui suffit à la distinguer . Ce groupe est nosologiquement distinct et très l
ion de dégénérescence dans quelques-uns des muscles atrophiés. Ils se distinguent cliniquement de la sclérose latérale amyotrophiqu
ent parfaitement être rapportés à la forme juvénile. Mais celle-ci se distingue cependant de l'atrophie musculaire progressive de
es. Pour mieux mettre en relief les caractères si particuliers qui le distinguent , j'ai voulu employer la méthode des contrastes ;
u champ visuel, plus accentué du côté droit. De ce côté, le malade ne distingue pas le violet, tandis qu'à gauche il reconnaît to
produit spontanément, inaugurant ainsi une nouvelle attaque qui ne se distingue en rien de la première et qui peut être suivie de
ans la paume de sa main ; lorsqu'il ne les regarde pas, jl ne saurait distinguer , sans s'aider du palper, une pièce de 5 rancs d'u
es caraclères spéciaux, qui permettraient, suivant M. Parinaud, de la distinguer des autres espèces du même genre. Le cristalin
ces causes, la polyopie des hystériques paraît, je vous l'ai dit, se distinguer par des caractères propres. Je veux parler de la
de quelques centimètres de l'un des yeux, l'autre élant fermé, il ne distingue alors qu'une seule image. Mais si lo crayon est é
s cliniques de la monoplégie de Porcz... ne diffèrent pas de ceux qui distinguent certaines formes de paralysies hystériques bien a
s signes pourra-t-on reconnaître ces arthralgies sine materia, et les distinguer des arthropathies organiques ? — Le diagnostic es
étude des caractères qui suivent nous sera sans doute plus utile pour distinguer ces deux affections. 3° La douleur présente des
bornerai seulement à relever que, parmi les caractères cliniques qui distinguent la contracture signalée par M. Yolkmann, il faut
essieurs, voici l'énuméralion des grands caractères qui, suivant moi, distinguent le mutisme hystérique et en font 1. Voir I'Appe
ité et sur le mouvement, présentant en un mot tous les caractères qui distinguent les paralysies hys-téro-traumatiques, considérées
, pour ainsi dire, de diagnostiquer sa nature à première vue et de la distinguer des diverses formes d'aphasie de cause organique.
il est difficile de tracer les caractères qui pourraient permettre de distinguer cliniquement les aphasies corticales (par lésion
67 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
olismefuL présente quelques0 nuances/quelques -touches; : qui l'en) distinguent c en une certaine mesure ;- par exemple, ces ph
on puisqu'elle n'était pas malade, et en outre, la possibilité de distinguer du sang à quatre heures du matin en hiver, à la
caractéristique. Indépendamment des anamnestiques, comment en effet distinguer la neurasthénie spinale simple' de la névrose t
aître ces REVUE'DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 41 faits et de savoir les distinguer pour éviter, comme ici, d'impor- tantes erreurs
araplégie répond ! cliniquement' à la myé- lite transverse. On l'en distingue jusqu'à'un certain point,' non par les symptôme
faiblissement secondaire des facultés intellec- tuelles. Il faut le distinguer de la confusion mentale ou désordre dans les id
nservent le souvenir. Le délire systématique hallucinatoire aigu se distingue du délire sys- lématique chronique (paranoïa) p
lée n'a pas admis cette thèse. Il résulte de sa décision qu'il faut distinguer entre les asiles publics dont l'administration
ique que tous les criminels sont des anormaux. Dans la pratique, on distingue ceux qui sont susceptibles de s'amender et les
ois tableaux pathologiques, mais ils sont tout à fait indiqués pour distinguer ces trois tableaux morbides sur le fonds commun
ence mentale. Il est vrai que nous manquons d'un critérium sûr pour distinguer dans la pratique celles des impulsions qu'on do
en clinique de conserver à l'hystérie son individua- lité et de la distinguer autant que possible des autres modalités de la
uction. Il y aurait donc lieu, parmi les névrites périphériques, de distinguer celles qui sont de cause centrale et celles qui
s nerveuses indépendantes d'une lésion des. centres nerveux ! On en distingue deux grandes catégories, suivant qu'elles sont
de ces recherches dans l'essai de classification suivant : On peut distinguer trois grandes catégories d'altérations péri- ph
q cents places de l'asile d'alcooliques ? M. A. Voisin (de Paris) distingue les ivrognes occasionnels et les ivrognes de pr
observe que, de même que pour l'hystéro-traumatisme, il y a lieu de distinguer une neurasthénie traumatique distincte de la ne
provoqué et l'état qui succède à l'expérience de Strumpell, qu'elle distingue formellement, en revanche, de son sommeil norma
ntralbl., 1893.) i , 1 . Femme de soixante ans. Hémichorée qui se distingue des clio- rées ordinaires de l'enfance, du jeun
élancolique, elle représente la phase ultime de la pre- mière etsse distingue de celle-ci par le substratum de la faiblesse i
issent, guérissent, quand celui-ci prend son cours normal. Cela les distingue de ce qu'on a appelé la folie menstruelle typiq
ingue de ce qu'on a appelé la folie menstruelle typique; ce qui les distingue encore, c'est l'existence d'une très minime pré
eur revendique à l'angoisse sont tout à fait les mêmes que ceux qui distinguent l'hystérie de la neurasthénie : telles la parap
sthénie. L'auteur établit nettement les principaux carac- tères qui distinguent les fugues dans ces diverses neuropathies et qu
bien là < ces voix hypnotiques » comme il les appelle, pour les distinguer des voix naturelles, ces « invisibles » si nomb
devenir la base d'un système de conceptions organisées. Cet auteur distingue : une Ve2,rücktheil mélancolique une Verrùckthe
ce sont encore eux qui nous serviront de guides quand il s'agira de distinguer , en présence d'une confusion mentale avec une a
chronica ou secondaire qu'il est bien difficile, on le conçoit, de distinguer de la démence confuse (dementia coifus(z ? Peut-e
temps hallucinations accompagnées de délire suraigu dans lequel on distingue déjà un noyau d'idées délirantes coordonnées; p
peut être difficile de délimiter la folie systématique aiguë, de la distinguer de plusieurs cas de mélancolie hypocondriaque,
ésajustées ou déplacées (Incon- gruoenz). La confusion mentale se distingue donc, de par sa nature, de la folie systématiqu
e donc, de par sa nature, de la folie systématique aiguë; elle s'en distingue aussi de par son étio- logie, puisqu'elle début
r telle ou telle terminologie. On est donc parfaitement en droit de distinguer deux variétés de folie intellectuelle primitive
logie générale. Pour arriver, en se tenant dans la clinique pure, à distinguer et à grouper les maladies, itfautparvenir à ass
68 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ts de Duchenne comme des cas de myélite- diffuse subaiguë qui ne se distinguent d'autres cas -de cette maladie que. parce, que
use subaiguë. Il fait remarquer toute- fois que ces myélopathies se distinguent de la myélite subaiguë habituel le en ce que da
risant le type qu'il voulait établir,mais ce sont des cas qui ne se distinguent pas par des caractères bien/ nets des 'faits or
onnaître la lésion fondamentale qui caractérise ces amnésies et les distingue de tous les autres. - Il y a d'abord dans la mé
ompliquées qui nous permettent de reconnaître les souvenirs, de les distinguer soit des imaginations, soit des sensations prés
ie droite ou d'hémiparésie. Affection de courte durée. Mort. Ce qui distingue ce fait de ceux de Berlin, c'est que le patient
sse les cas connus d'après leur évolution et leur étio- logie. Il distingue : 1° Les faits à évolution suraiguë, mort en qu
Il est certain que c'est au spé- cialiste qu'appartient la tâche de distinguer rigoureusement la ma- ladie de la dégradation m
2; il parle notamment de la difficulté constatée par Binswanger de distinguer suffisamment les épilep- tiques aliénés des épi
champ visuel est un peu rétréci (70° du côté externe). Le ma- lade distingue confusément les couleurs, mais. sa dischromatopsi
out de quatre jours, le matin ; et la cécité complète (le malade ne distingue pas. le jour de la nuit),, dure cette fois pend
En même temps la malade a remarqué que quelquefois elle ne pouvait distinguer les objets que d'un seul côté (hémiopie), à dro
oient en état d'indiquer la direction du mouvement du corps et d'en distinguer les approches ou la distance. Tel est le problè
, elles se manifestent sous des formules différentes. On peut ainsi distinguer : 1° des idées hypocondriaques de néga- tion, c
emps de Lasègue, et des recher- ches ultérieures nous ont permis de distinguer des variétés parm les délires de persécution qu
e, ainsi qu'il en arrive chez les persé- cutés pour lesquelles nous distinguons aujourd'hui certaines variétés différant par l'
essionnés par ce mode de traitement. Ces deux genres de maladies se distinguent donc par bien des côtés, par l'expression sympt
r la physionomie générale de son délire à tous les persécutés, s'en distingue cependant par un caractère de premier ordre. C'
l, avec la synostose préma- turée. » Au point de vue opératoire, il distingue la crctniectomie linéaire et la crdniectomie à
petites phrases, connaît le nom de toutes les parties de sou corps, distingue les couleurs, etc., etc. Cette seconde série
été décrite par M. Dela- siauve, en ajoutant primitive, afin de la distinguer des formes où il y a aussi confusion, mais seco
les amnésies partielles; et, dans chacun de ces grands groupes, il distingue , selon que les amnésies sont systéma- tisées, o
athologie spinale. Parmi les dégénérations descen- dantes, l'auteur distingue celles qui sont consécutives aux lésions du cer
s. Pas de nistagmus. - OEil droits Légère discromatopsie. La malade distingue très bien toutes les couleurs, mais elle appell
jours plus limitées; ainsi à l'heure présente elles ne sauraient se distinguer en rien des paresthésies, qui ont été ressentie
l'amnésie hystérique. Nous rappellerons seulement qu'il y a lieu de distinguer des formes généralisées, localisées et sys- tém
goût et l'odorat sont abolis complètement des deux côtés. Cha... ne distingue pas l'odeur du sulfate de carbone ni le goût d'un
aunehémianesthésiesensitivo-senso- rielle épileptique impossible à distinguer de celle qui accom- pagne l'hystérie. Mais nous
tc.) adoptées jusqu'à présent. De telle sorte, qu'au lieu de devoir distinguer , comme M. Féré le proposa, des migraines ophtal
De même pour l'odorat. Cécité complète de l'oeil gauche qui ne peut distinguer la lumière du jour des ténèbres de la nuit. Pas
munication ne saurait s'appli- quer qu'à l'ivresse délirante que je distingue du délire alcoollique. M. GaisNtea se défend d'
gue ressemblance avec ces paralysies spasmodico-choréïques, il s'en distingue notamment par ce point que la contracture et l'
sale. Les ascendantes étaient atrophiées. Mais il faut s'attacher à distinguer la chorée, infantile et la chorée d'lluntington
sons que nous avons indiquées dans notre travail précédent, on peut distinguer les quatre classes suivantes : 1° psychologie des
69 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
ée dominante. Il est impossible de décrire mieux les caractères qui distinguent le somnambulisme hystérique ou délire de la phase
ude d'une personne qui regarde au loin : « Quel est cet homme ? Je ne distingue pas bien. Tiens, voilà un poteau. » — D. « Quelle
ge. » Et épelant une inscription la tête penchée en avant, comme s'il distinguait les lettres avec difficulté: « Jeune homme, vou
iser en quelques mots cette sorte de concentration hallucinatoire qui distingue les somnambules de ce genre. Nous avons vu ailleu
des caractères propres du délire que présentait ensuite le malade, de distinguer cet état de somnambulisme hystérique de la vérita
eux seuls un élément d'appréciation indiscutable. Les différences qui distinguent les divers cas les uns des autres sont toujours d
'existence du somnambulisme naturel ou noctambulisme simple (1). Pour distinguer nos (1) Il y a cependant sur ce point certaines
ouver dans leur récit un certain nombre de caractères qui suffisent à distinguer le dédoublement de la personnalité, et qui se tro
endrai plus loin sur cette question des différences qui permettent de distinguer le dédoublement de la personnalité du somnambulis
'hypnotiser. M. Ladame décrit, ainsi qu'il suit, les caractères qui distinguaient chacune des deux personnalités de sa malade. «
lente et emportée. C'est donc surtout une différence de caractère qui distingue l'état second. En ce qui concerne le souvenir, il
isés par des modifications psychiques, physiques et pathologiques qui distinguent nettement chacun d'eux de tous les autres. Inut
plus en plus effacées et courtes. Son mari seul était capable de les distinguer , tellement bien elle savait les cacher, de façon
ns toutes ses apparitions. Le phénomène le plus caractéristique qui distingue cet état et empêche dès l'abord toute confusion a
est beaucoup moins prononcé (60° à gauche, 70° à droite) et la malade distingue parfaitement bien toutes les couleurs (v. Fig. 5)
ig. 8!. Il n'existe, d'autre part, aucun trouble de la motilité qui distingue cet état du précédent. Fig. 8. — Champ visuel d
modifications qui peuvent survenir dans l'état second et servir à les distinguer de l'état normal. Tout d'abord nous trouvons so
s fois par jour; ces accès n'ont pas cessé depuis lors. Le malade les distingue très explicitement d'un endolorissement, d'un eng
ronique. On (1) Galezowski. — Traité des maladies des yeux, 1875. distingue néanmoins l'atrophie optique du tabès de l'amblyo
de la tuberculose. Nous en avons trouvé un certain nombre, faciles à distinguer . 2° Examen des pièces durcies. — a. Une mince t
oculaire externe, en arrière. Sur la préparation faite à ce niveau on distingue très bien le trajet des fibres du facial qui, par
te à ce niveau sur le noyau du moteur oculaire externe droit, dont on distingue toutefois encore quelques cellules. Il dépasse le
épileptique (1). On sait qu'il est de règle générale de dire, pour distinguer un épileptique d'un hystérique, en ce qui concern
issent beaucoup moins fréquents que l'aura véritable. Les auteurs les distinguent en général de cette dernière et, pour cette raiso
différent du scotome scintillant et la malade savait parfaitement les distinguer l'un de l'autre. Il est donc vraisemblable d'adme
70 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
psycho- infantiles » ne sont pourtant pas des imbéciles ; ils s'en distinguent sur- tout par le caractèreje maintien et la log
s extérieures telles que le froid humide. Elles ont enfin permis de distinguer , parmi elles, deux principaux types auxquels on
906. (6) Pour M. P. Marie, au contraire, le rhumatisme chronique se distingue essentiel- lement de la spondylose rhizomélique
ans ces gaines volumineuses sont parfois assez bien conservées ; on distingue facilement-leur cylindre-axe entouré d'une gain
ondant, sans dégénération ou sclérose. Au contraire la toison ne se distingue pas, par sa coloration plus foncée, de la subst
rendre compte des lésions dégénératives ». Ces atrophies seraient à distinguer des atrophies simples et congénitales où le cer
st seul admissible, comme il va être dé- montré, bien que ce cas se distingue par un certain nombre de points de ceux qui ont
e. Mais cet oedème aigu,angio-neurotique, la maladie de Quincke, se distingue absolument du trophoedèmes et par sa fuga- cité
au diag- nostic de trophoedème que nous avons adopté. Henry Meige distingue , d'ailleurs, lui-même un trophoedème familial e
e le tra- pèze apparaît trop mince, privé de son aponévrose ; on ne distingue guère le rhomboïde ; les apophyses épineuses de
tique se souviennent certainement du soin que j'ai mis à leur faire distinguer sous la peau du modèle ces divers états muscula
chez les sujets vigoureux en pleine santé.. Les muscles écorchés se distinguent les uns des autres par leurs reliefs et des sil
èrent les descriptions des formes diverses des myopathies, que l'on distinguait soigneusement les unes des autres, nous pourrio
DE DYSOSTOSE CLÉIDO-CRANIENNE 233 tose cléido-crânienne, elle s'en distingue par contre par l'existence d'un certain nombre
Ces cellules épithélia- les ne sont pas différenciées et on ne peut distinguer ni cellules de Sertoli ni aucune cellule de la
S. 300 KL1PPEL ET BOUCHET sont normales. Puis, plus en dehors, se distinguent trois muscles, dirigés lon- gitudalement suivan
rofonde de la peau. Parmi les muscles de la région antérieure on ne distingue que le cubital antérieur et le fléchisseur des
é numérale ; sur la base du prisme qui termine en bas l'humérus, on distingue une base interne et un sommet externe. Il existe
ecouvrant les bour- geons sont richement vascularisées, mais on n'y distingue pas de corpuscules de Meissner, mais la pièce n
n haut et en avant; le calcanéum paraît très irrégulier. On ne peut distinguer les os du tarse qui semblent soudés à l'os uniq
oudés à l'os unique de la jambe. Le métatarse existe au complet. On distingue très nettement les métatarsiens à leur insertion
tion atrophique. Les libres névrogliques sont déjà très denses ; on distingue pourtant celles qui appartiennent Il couche mol
tout le reste du processus sclé- reux a un aspect qui doit le faire distinguer de la plaque véritablement sénile : la névrogli
au milieu d'autres lésions, elles, séniles (Pl. LXII, fig. 2). On distinguera avec la même assurance un cervelet sénile du cerv
ais très rares dans le cervelet sénile. Ainsi le cervelet sénile se distingue parfaitement du cervelet atrophi- que et du cer
i n'est pas exceptionnel dans les tumeurs de l'encéphale, le cas se distingue par quelques particularités cliniques qui seron
et est admis à l'Hôtel-Dieu dans le service de M. de Lapersonne. Il distinguait encore les couleurs et voyait très bien, dit-il
le cas de Moucheté ! Vaillant, et le cas de Pagenstecher. On peut distinguer parmi les hémimélies, trois groupes : a) Hémimé
masses de tissu spécialement condensé, dans les- quelles on ne peut distinguer aucune indication de segmentation entre les mét
t sont séparées par une aréole de tissu condensé. Muscles : On peut distinguer l'un de l'autre : grand pectoral, petit pec- to
eur, les mus- cles de la main ; c'est il ce moment seulement que se distinguent nette- ment les différents muscles qui composen
ion qui en a été donnée par \111. Bourneville et Sol- lier, pour la distinguer de la porencéphalie vraie. Ce cas nous a paru in-
les autres sont dues à des variations de localisation. 3° On doit distinguer dans les déviations du torticolis celles de la tê
71 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
particu- lière ; ils sontenchâssés entre les premiers. Flechsig en distingue parti- culièrement trois : l'antérieur ou le fr
pan- chement supposé sur les surfaces libres du cerveau. Todd (2) distingua le premier deux sortes de contractures : la contr
re. Mais déjà dans la partie supérieure de la capsule interne on ne distingue plus, avec la méthode de Weigert-Pal, des espac
oblitémnte transitoire ou permanente, de cause inconnue. Elle se distingue des faits classés habituellement sous la rubrique
e métacarpien du pouce donne à gauche une ombre pres- que opaque on distingue facilement à droite des travées osseuses fines al
dans la petite bourse infé- rieure de la figure 19, qui ne peut se distinguer , quant au caractère que nous considérons, des o
les bizarreries du costume comme des caractéristiques aptes à faire distinguer la vraie.manie de la simple exaltation maniaque
voir la saillie des tendons. A travers la chemise entr'ouverte, on distingue chaque détail du cou et de la région sternale. La
égion maculaire. L'acuité visuelle est nulle, le malade ne pourrait distinguer le jour delà nuit. Pas de troubles de l'intelli
son exaltation durant les accès (Pl. XXVIII). Le plus souvent on y distingue nettement la trame des processus délirants qui
petites vésicules le protoplasma est assez étendu pour qu'on puisse distinguer les cellules principales de Langendorff et les
ies émises pour les expliquer. Les faits. , Il faut immédiatement distinguer les modifications psychiques qui font partie in
syndrome d'allure basedowiforme produit par l'hyperthyroïdie. Il se distingue des troubles nerveux ordinaires par un nervosisme
iffèrent peu de ceux de l'hémiplégie hystérique. Il faut au moins distinguer dans la démarche hémiplégique organique deux pé
a démarche dans la coxite organique. Deux sortes de démarche sont à distinguer chez les coxi tiques organiques : 1° la démarch
ilité intense de son contenu, et ensuite son uniformité. On ne peut distinguer à l'intérieur du noyau l'élégant réticulum acid
art, un oeil non prévenu aurait quelque peine, au premier aspect, à distinguer ces lésions : Cette absence d'exubérance du pro
se rhizomélique ; la raison en est dans l'absence d'hyperostose qui distingue cette affection du rhumatisme anky- losant vert
mptômes très accusés d'irritation spinale est un des caractères qui distinguent le syndrome de Bechterew de celui de Marie Strump
l jusqu'à la dixième année à peu près et la petite Marguerite ne se distinguait d'aucune façon à cet âge des autres enfants nor
la vision s'accentua de telle façon que le patient ne pouvait plus distinguer que les objets placés de côté, surtout ceux du cô
as parvient à avoir un volume énorme. On peut par ta. je le répète, distinguer l'acromégalie du gigantisme et de quelques hype
fut définitivement perdue après un érysipèle en 1890. Cependant il distingue en- core, même actuellement la silhouette, des
ologique en a été étudiée par Zuckerkandl (1), parHa- notte (2) qui distingue nettement ce genre de crâne-des déformations hy
vue et même de l'odorat sont plus importants à pré- ciser. Patry distingue au cours de la déformation crânienne plusieurs ty
loyaient, soit par maladie, soit par répétition physiologique. Pour distinguer arbitrairement ce cas du suivant avec lequel se c
ujours physiologique, mais qu'on pourrait appeler organique pour le distinguer du précédent, de l'excitation consi- (1) FÉnH :
, elle est autre. Son excès de sensibilité, d'impressionnabilité la distingue des autres états considérés comme normaux. Ce
e. De la faiblesse musculaire névro- sique qui, en elle-même, ne se distingue pas de l'état organique de même nom, nous arriv
e prend le nom.d'hyperes- thésie. La névrose et l'état normal ne se distinguent donc que dans leurs cas extrêmes, comme la rais
il n'est pas douteux que, dans ses manifestations avancées, elle se distingue parfaitement de la condition normale et qu'elle
au hasard sous l'une ou l'autre rubrique. Je comprendrais que l'on distinguât les états névrosiques les uns des autres, si ch
ilial à propos de deux soeurs ; pour lui l'infantile tuberculeux se distinguerait des autres non seulement par l'exiguïté de ses fo
72 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ressort, quand ils ne se le pressaient pas les uns aux autres? Ce qui distingue notre société contemporaine et européenne de ces
sonne sur une autre, psychologiquement polarisée. 11 y a sans doute à distinguer le respect dont on a conscience, et celui qu'on s
autres rapports. Une rechute me paraît tout-à-fait impossible; ce qui distingue peut-être mon état actuel, c'est qu'en effet j'ai
elle ne s'écarte pas de l'aspect ordinaire, et n'a rien qui puisse la distinguer . Ce sont des délirants quelconques, chez lesquels
ressionabilité, l'illusion est si complète qu'il ne parviennent pas à distinguer la montre n° 4 de la montre véritable quand on la
ir que toutes les passions sont du domaine de la folie, car le fou se distingue du sage en ce qu'il se laisse conduire par ses pa
ouir d'une santé mentale parfaite. Il est souvent assezdifficile de distinguer la dipsomanie de l'ivro-gnerie vulgaire, avec laq
ôt la mesure: la maison où l'on est toujours le bienvenu est facile à distinguer de celle où il faut se faire désirer. Revenez
et du 1er septembre 1889 p. 72. Avec la dialectique serrée qui le distingue et attribuant aux formes si différentes, aux type
vroses traumatiques. Il n'y a pas de signes objectifs permettant de distinguer la simulation de | la non-simulation. M. Oppenh
e marche et des caractères généraux communs qui les réunissent et les distinguent de toutes les autres folies. En conservant la d
étapes successives d'une même maladie : le délire chronique. Facile à distinguer du délire hypocondriaque, des états mélancoliques
uelque valeur. Mais n'est-ce pas le cas de rappeler à ce confrère qui distingue si bien la paille dans l'œil d'autrui, qu'il fera
it prendre des notes, lire, l'heure sur une montre à fines aiguilles, distingue ! le bleu et le rouge, se promener sans être condu
insistent pour cher-cher dans l'étude la raison de ces phénomènes et distinguer ce qui appartient à la science ce qui est charlat
avant soin de faire remarquer que les obsessions, parmi lesquelles il distingue une « Fragesucht » en une « Zweifelsucht » sont,
ens observateurs n'aient pas soupçonné déjà les traits essentiels qui distinguent l'idée fixe de l'obsession. Delasiauve (4) rapp
1869 p. 217 Citons encore un curieux passage de Renaudin (1) qui distingue dans la monomanie deux espèces d'idées fixes et d
ésitation les obsessions dans les nèvroses . émotionnelles Westphal distingue 3 espèces d'obsessions : 1°Celles qui restent pur
eux substances ne sont pas comparables. Cependant, de même qu'il faut distingue : i alcoolisme de ladipsomanie. de même il faut sé
sobriété ; l'abstinence est pour lui le pire des supplices. Il faut distinguer parmi les morphinomanes, les néophytes, les habit
arqué que les baudets vigoureux, destinés aux juments mulassiéres, se distinguaient généralement par une grosse tête. Quelle est do
l'une - l'autre. Fixé sur cette nature assimilatrice, il s'agit de distinguer son son mécanisme fondametal, c'est la part du se
vrais travailleurs. Voilà des accusations bien graves, et notre très distingue collègue de la Revue générale de clinique et de t
juge la portée de ses actes, elle a la notion du bien et du mal, elle distingue par l'esprit, sinon par le sentiment, le fas du n
u moyen d'un petit écran qui donne une séparation précise, on pouvait distinguer nettement le développement de la Lohée de l'air c
tre et dans l'espèce des centres génito-spinaux. On peut, on le sait, distinguer dans la sphère sexuelle trois régions: la moelle
vé à peu près l'ouïe et l'odorat, mais elle est achromatopsique et ne distingue aucune couleur sauf le rouge, fait, pour le dire
73 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
plus saillante que la gauche. Yeux grands, pupilles égales ; R... distingue bien les couleurs. Nez aquilin, un peu obliqué à
é publiées durant la même période sur l'idiotie, nous ont amené à distinguer , quant à présent, au point de vue anatomo- path
e et très sensible au froid. La vue est bonne ; sa mère dit qu'elle distingue plu- sieurs couleurs. L'ouïe est normale ; pour
Mais où peuvent surgir les difficultés, c'est quand il s'agit de distinguer les idiots myxoedémateux des cré- tins. Personn
morcelle le tissu. La première et la seconde couche ne se peu- vent distinguer , il n'y a pas de transition nette entre les deux.
ésintégration à centre vacuolaire sont assez étendus pour qu'on les distingue à l'oeil nu sur les coupes. Ils s'étendent jus-
vancées que la convexité; les sériations longitudinales s'y peuvent distinguer il existe seulement une vascularisation rameuse
niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur distinguer trois étapes : 10 prolifération vasculaire; 2°
x petits, très nombreux : la première, la plus superficielle, ne se distingue plus. Au-dessous de celte bande, la couche des
sous-jacenls, la plupart des grosses cellules sont globuleuses. On distingue entre elles des taches étoilées fixant en parti
canal de l'épendyme est conservé. Son épithélium est intact ; on y distingue sur certains points les cils des cellules. La t
e que sur les parties voisines. Sensibilité spéciale. - Vision : Il distingue nettement toutes les couleurs des deux yeux. Qu
sation de boule, mais provoque « comme des coups de marteau n. Elle distingue bien les couleurs des deux côtés. Ouïe moins bo
ettre; fait sur l'ardoise des 11, des o, des Il et des chiffres. Il distingue le rouge, le bleu, le blanc et le noir. Si on l
74 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
seul contient de l’eau magnétisée longtemps avant la séance : elle le distingue aussitôt. Cette expérience est renouvelée trois f
sions devant elle un courant avec une grande énergie de volonté, elle distinguait alors le fluide magnétique sous forme d'étincelle
s et de la tète de leur magnétiseur.} H i ajoute qpe quelqnps-:un» le distinguent encore pty-sieurs minutes après avoir été réveill
ée. L’homme, au contraire, innove sans cesse, et c’est par quoi il se distingue de toute l’animalité. Vouloir l'empêcher d’innove
e qu’il traite. On voit assez l'abnégation, le dévouement qui doivent distinguer le magnétiseur-médecin des autres hommes. C'est p
r rien dans ma crise. » Mais alors , objectai-je, comment pouvez-vous distinguer un objet magnétisé d’un autre qui ne l’est pas ?
nétisés, vous les confondez avec d’autres qui ne le sont pas : je les distingue ; le fluide prétendu est aussi étranger à ce phéno
épeindre les choses du ciel son impuissance est manifeste. Mais il se distingue par dçs oeuvres et non par des discours. Que nos
. Voilà ce qui vous explique pourquoi, -étant éveillée, je ne saurais distinguer une maladie, ni prescrire un moyen curatif, tandi
pas toujours méprisé l’auxiliaire de cette émanation vitale, qu’elle distingue si facilement sur vos vêtements , et qu’elle doit
’auteur du récit prouve en même temps qu’il connaissait la nuance qui distingue les deux élats, et l’importance qu’il atlachait à
s vérilés fussent immortelles. Il a donné à l’homme la faculté de les distinguer de l’erreur . et de détruire celle-ci pour avance
ieux examen. Nous devons seulement signaler ces écarts, pour que l’on distingue ; les travaux de chaque ordre. « Figurons-nous,
lie montre, je lis le nom du fabricant..... Ah! un soldat passe, je distingue ses traits. Il porte le numéro 57 sur son schako,
vos choix; car elle doit voir des guides dans les personnes que vous distinguez de la foule. Elle a manifesté sa satisfaction par
ique pi'r ce qu’il a de plus évi- dominent physique. Ses travaux se distinguent entre tous par une précision qu’on pourrait appel
il rendu que ce service à la cause, ce trait serait-il le seul qui le distinguât , vous lui devriez déjà des encouragements; car, s
meilleur livre n’eût pu faire, une guérison l’a produit. Mais il faut distinguer entre le fait abstrait et les circonstances qui y
s les distinctions , nous n’aurions fait qu’accomplir un devoir. Il distinguera notre hommage de tous ceux qu'il a reçus du monde
chargés. _ Agréez Messieurs, l’assurance de mes sentiments les plus distingues , ° Baron L. P. Messieurs, J’ai reçu hier vo
se jour ou nuit, qu’on allume ou qu'on éteigne les lampes, on le voit distinguer , nommer les objets qui l’entourent; il saisira un
rs aux connaissances anatomiques et médicales, ils ne savent pas même distinguer ce qui est malade de ce qui ne l’est pas ; ils ne
que temps de cette arme terrible ; ils frapperont sur nous tous, sans distinguer le sincère du perfide, l’homme éclairé de l’ignor
75 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ufenen psyclliscllen I'2,ctîzkbei- ten, )Jrlangen 1868). Cet auteur distingue trois cas : 1° Ceux dans lesquels la folie est
te de la rétine est aveugle. Enfin il peut arriver que l'ani- mal distingue le fragment d'aliment, mais, qu'au lieu d'aller
dant de la rétine, ou la rétine tout entière, est amblyopique. On distingue ainsi, avec plus ou moins de difficulté, la céc
ent amblyo- pique, le chien ou le singe reconnaîtra par la vue et distinguera les morceaux de liège des morceaux de viande, s
s ne présentaient guère de différence appréciable qui permît de les distinguer à cet égard des tortures normales'. Mais, chez
les sensations de la vue étaient redevenues parfaites : ces animaux distinguaient les plus petits objets, mais n'en reconnaissaie
s plus petits objets, mais n'en reconnaissaient pas la nature. Pour distinguer , par exemple, des morceaux de liège mêlés à des
vent. De même, si dans son hallucination il voyait une forêt, il ne distinguait que la cime des arbres, les parties inférieures
artérielle oblitérée par une embolie. Au gyrus angularis droit, on distingue un petit foyer hémorrhagique de la grosseur d'u
ires à la région lombaire. Dans les mailles du tissu myélitique, on distingue des perles de gaz qui distendent et dilatent le
plus intenses, ne présentait pas d'altération intellectuelle et se distinguait par une particula- rité : la glande thyroïde ét
idement les quelques signes sur lesquels on peut se fonder pour les distinguer : 1° le délire hypo- condriaque de la paralysie
nations NÉGA- TIVES chez LES aliénés ET sur LES différences QUI LES distinguent CHEZ LES HYPNOTISÉS ET LES aliénés. Il a observ
morcelle le tissu. La première et la seconde couche ne se peu- vent distinguer , il n'y a pas de transition nette entre les deux.
sintégration, à centre vacuolaire sont assez étendus pour qu'on les distingue à l'oeil nu sur les coupes. Ils s'étendent jus-
vancées que la convexité; les sériations longitudinales s'y peuvent distinguer ; il existe seulement une vascularisation rameus
niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur distinguer trois étapes : 1° prolifération vasculaire; 2°
x petits. très nombreux : la première, la plus superficielle, ne se distingue plus. Au-dessous de cette bande, la couche des
sous-jacents, la plupart des grosses cellules sont globuleuses. On distingue entre elles des taches étoilées fixant en parti
canal de l'épendyme est conservé. Son épithélium est intact ; on y distingue sur certains points les cils des cellules. La t
e que sur les parties voisines. Sensibilité spéciale. - Vision : 11 distingue nettement toutes les couleurs des deux yeux. Qu
ident initial. M. KPPEN.De l'albuminurie chez les aliénés. -Il faut distinguer trois groupes de faits : 1° celui des psychoses
ez l'embryon, ressemble beaucoup à celui des autres vertébrés, on y distingue alors deux parties : le noyau caudé et le pulamen
la description clinique de son malade, insiste sur la difficulté de distinguer sûrement entre la paralysie bulbaire franche et
thénie cérébrale toutes les psychoses possibles. Il conviendrait de distinguer . La neurasthénie se recon- naît, non pas à l'in
uteur signale à ce propos l'extrême difficulté dans certains cas de distinguer l'hémiplégie liée à la sclérose en plaques d'av
76 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es idées qui la meublent (WlmNICIOE). C. Diagnostic différentiel. Distinguons l'idée fixe pa- thologique de l'idée délirante
physiolo- gique, de l'obsession. z10 L'idée fixe pathologique se distingue de Vidée délirante passagère de la façon suivan
qui donne naissance à l'idée fixe. « 2° L'idée fixe pathologique se distingue de l'c1'l'ew' phy- siologique par les caractère
davantage d'un côté ou de l'autre. Elle n'empêche pas le malade de distinguer un ensemble, mais elle nuit à la perception des
e armée de prophètes qui se lève et il n'est pas toujours facile de distinguer les écrits des vulgaires lliéo- 1 Voir Archives
(Presse médicale, 4 mars 1899.) D'après l'auteur, il y a lieu de distinguer trois sortes de myxoc- dème infantile : 1° le m
complet. M. Bri- quet étudie le myxoedème spontané infantile qui se distingue du myxoedème spontané de l'adulte, en ce que la
L u'en a jamais aperçu en cette région. Une autre particularité qui distingue l'écorce visuelle des autres aires corticales,
prolongé des injections. Au point de vue du pronostic, M. Debove distingue entre les grands morphinomanes et les petits mo
(Il«ll. de la Soc. de méd. ment, de Belgique, mars 1899.) Il faut distinguer , d'après l'auteur, parmi les sujets qui s'adon-
tre aussi uu peu gonflés. Du côté clinique, la forme de Déjerine se distingue par son évolution pio- gressive plus accusée, e
faim et l'inanition, inti- mement liées l'une à l'autre. On peut distinguer deux sortes d'abstinence : 1° l'abstinence volo
res ner- veuses viennent s'y terminer ou y prennent naissance. On distingue dans cette écorce deux sortes de zones : les zone
flexes, mais plus compliqués. Au point de vue psychologique, ils se distinguent des mouve- ments réflexes automatiques parce qu
lexie ordinaire nous pouvons dire que l'apoplexie progressive ne se distingue pas essentiellement de l'apoplexie ordinaire.
e constatation des lésions dans les centres nerveux, il faut savoir distinguer ce qui revient à l'hyper- thermie de ce qui rev
confusion BIBLIOGRAPHIE. l, Il b mentale hallucinatoire aiguë. On distingue le délire palustre sub- aigu qui, comme le déli
enciations pré- sentent des difficultés surtout lorsqu'il s'agit de distinguer la pas- sion à son paroxysme de la maladie, et
il importe tant au point de vue du pronostic que du traitement, de distinguer les obsessions-inhibitions des phéno- mènes ana
ent d'un anus contre nature, etc. M. le D'' Régis', au contraire, distingue , dans l'ensemble des troubles psychiques post-o
des alternatives irrégulières d'excitation et de dépression. On ne distingue pas l'existence de conceptions délirantes systé
neurone moteur périphérique viennent compliquer le tableau, faut-il distinguer deux formes de paralysie ascen- dante, l'une né
rité des nerfs des vaisseaux et du tissu conjonctif. Si l'on doit distinguer des types pathologiques extrêmes différenciés p
s. On doit, en ce qui concerne la grosseur et le nombre des mottes, distinguer trois espèces de cellules : 1° La cellule clair
sent cimentés par une substance intermédiaire qui les empêche de se distinguer les uns des autres. Tandis que la cellule se co
Ceutoalbl., XVII, 1898.) Dans la bandelette optique de l'oiseau, on distingue un groupe REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
erne qui a fait irruption dans la cavité ramollie. Après lavage, on distingue parfaitement que la lésion s'est formée de plus
e chose de beaucoup plus complexe. Dnchenne (de Boulogne), en 1852, distingua la « sensibilité mus-' culaireD qui renseigne s
r de la maladie, le malade voit la bougie qui brûle sur la table et distingue ; les pupilles réagissent lentement mais nettem
grosses lettres, compte les doigts à 50 centimètres de dis- tance, distingue le blanc des couleurs vives ; la tuméfaction du
taques congestives épileptiformes de la démence paralytique. Ils se distinguent des angoisses neurasthéniques en ce que l'angoi
dissociation serait antiscientifique. « Les facultés de l'âme ne se distinguent en aucune façon des fonctions de notre écorce g
77 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
ds, danois ou moscovites, trophées des soldats de Gustave-Adolphe. On distinguait au milieu des bannières suédoises, couvertes de c
public nombreux ne voit qu’une masse confuse, où ses yeux ne peuvent distinguer un seul individu. Sur le trône élevé d'où le ro
pas encore le nom de toutes. J’en vois plus de trois maintenant, j’en distingue quatre, peut-être cinq, et qui sait? plus encore.
un assentiment de la raison, au point que je trouve fort difficile de distinguer entre les deux. Je ne suis pas franchement autori
La nuit de l’intelligence s’épand sur la France, à peine si déjà on distingue les hommes et les monuments. Comme des éclairs, d
vons de clartés durables; le bruit de la lempête qui mugit empêche de distinguer la voix qui résonne à notre oreille. C’est l’imag
terribles effets : l'innocent sera frappé comme le coupable. Dieu ne distingue plus les hommes; ne sont-ils pas tous enfants de
it inaperçue. 2. M. d’Eisenstein avait cru constater que Léopoldine distinguait parfaitement, au moyen du toucher, la diversité d
t douées de la puissance de magnétiser par voie d’attouchement, et de distinguer , de la même manière, des corps magnétisés. Les ex
’observation et d’appréciation qui remonte à Bacon et à Locke, et qui distingue l’école écos- (t) Esdaile, Mcsmerism in India a
ion de mutation, enregistrement, transfert et autres formalités. On distingue ici de la dette publique, la créance qui intéress
emands, sur le même sujet. Ceux-ci sont plus riches en images, ils se distinguent encore par beaucoup de mots nouveaux d’une grande
réponses des esprits, M. Cahagnet n’ait point encore rencontré ce qui distingue les génies des simples mortels, et qu’il n’ait po
e ionienne, avait créé un système de physique générale dans lequel il distinguait une cause motrice différente de la matière, mais
isme produit souvent un sommeil plus ou moins profond, sommeil qui se distingue quelquefois du sommeil ordinaire parles phénomène
nt aujourd’hui et qui donneront la mort le lendemain, il ne saura pas distinguer le pourquoi du changement nécessaire de la médica
’entendais des personnes {iii me calomniaient, mais je ne pouvais les distinguer ; j’éprouvais des maux de tête, j’étais inquiet,
-el-Kader comment il désire s’assurer que le sujet, dans un tel état, distingue les objets sur lesquels on appelle son attention.
signé dans les écrits magnétiques sous le nom de comte Maxime pour le distinguer de ses frères, le comte Chas-tenet et le marquis,
toujours reconnu en vous le remarquable organe de la logique qui vous distingue , je me Ilatte que vous n’hésiterez pas à me prouv
nt pénétrer dans ma chambre que quelques rayons lumineux pour pouvoir distinguer les objets. Je me plaçais alors sur un siège dans
incipale propriété thérapeutique, sa vertu dominante, le trait qui le distingue des médicaments, dont aucun n’agit de même. Tous
rogés. 11 est difficile, en elTet, d’admettre qu’un sujet clairvoyant distingue nos organes ou nos maladies, comme nous distinguo
n sujet clairvoyant distingue nos organes ou nos maladies, comme nous distinguons les caractères dimpies-sion d’un livre placé sous
n pas quil y a des aveugles auxquels la sensibilité du tact permet de distinguer les couleurs? toutes les sensations ne peuvent-el
té de langage me mettant dans l’obligation de la conserver. Les uns distinguent leurs organes et, par suite, les lésions dont ils
fondément altérée, en apparence et en qualité , que les sensitives la distinguent infailliblement de celle qui ne l’est pas; 3° cet
rgicaux de l’opération, M. Esdaile ajoute : « La seule chose qui le distinguât d’un cadavre était le trouble de la respiration v
78 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
avec une entière liberté et une grande vivacité. Dans cet état, elle distinguait , sans la moindre difficulté, les couleurs des obj
e difficulté, les couleurs des objets qui lui étaient présentés, elle distinguait les cartes et en détaillait les divers dessins ;
ul d’Ivoi a inséré dans le Messager (h février), une chronique qui se distingue des autres, en ce qu’il V affirme avoir été témoi
er sainement, connaît une grande partie de la science. » Hippocrate distingue deux espèces principales de songes, les uns divin
ns. Cet homme intérieur, c’est l’organe cérébral. Mais il faut encore distinguer ici les impressions qui lui sont essentiellement
timents de l’avenir dans les songes, et de là, comme Hippocrate, nous distinguons les'Songes en surnaturels et naturels, appelant d
naturellement à moi. Puisque ce fluide est double, comment faire pour distinguer ces deux fluides l’un de l’autre, et leur donnerà
du fluide boréal ou po sitif. En procédant de la même manière, je pus distinguer encore dans le corps humain plusieurs autres cent
, produit sur le malade une action salutaire qu’il est impossible de distinguer de l'action magnétique; c’est ce [ue reconnaît M.
11 soutienne le contraire. » DIAGNOSTIC. 1. En général. — Il faut distinguer la sommation de la léthargie, du somnambulisme, d
ystérie. 2. De ta léthargie. — La léthargie étant un sommeil qui se distingue par sa force et sa durée, diffère totalement de l
s et par la supériorité nécessaire des bons sur les mauvais. Pour les distinguer , il faut interroger les mœurs de ceuv qui les évo
les d’être simulés ; il peut être employé comme pierre de touche pour distinguer l’or du clinquant ; les magnétistes consciencieux
l’enfant était en état de percevoir le bruit. le,.plus léger et de . distinguer les différents ^ns. A.oût-octobre. Madame Buçk,
absents, je porte un toast à la mémoire de Mesmer. Ce toast, qui se distingue par son laconisme, a été vivement applaudi. Il an
euil de Java à tôte blanche, folâtrant avec la grâce et l’agilité qui distinguent cette charmante espèce de rongeurs. Un nid sphéri
t il s’agit est variable dans son in tensité, et l’on peut en effet y distinguer diverses nuances. C’est ainsi que depuis le bruit
diverses nuances. C’est ainsi que depuis le bruit éclatant et qui se distingue au loin , on retrouve des variétés de bruit, de f
e sur la région épigastrique. Elle en lut parfaitement le titre. Elle distingua plus difficilement des caractères plus petits. J’
pourra en réduire certaines à leur juste valeur, après avoir appris à distinguer ce qu’elles recèlent de vrai ou de divin de l’all
it ou non une rétribution ; et il est de principe que là où la loi ne distingue pas, nul n’a droit de distinguer. On doit donc re
l est de principe que là où la loi ne distingue pas, nul n’a droit de distinguer . On doit donc reconnaître que l’art. 479 est appl
ps et l’âme. (De Bonald.) — Du moment qye nul homme n’est à même de distinguer par les sens, d’un fil ordinaire et indifférent,
n endroit où il y avait si peu de clarté, qu’on ne pouvait ni lire ni distinguer de petits objets. Après avoir fait sa prière, ell
e caquetage d’un grand nombre d’oiseaux attira mon atten- tion : j’en distinguai bientôt un groupe nombreux et composé d'espèces d
e. Etonné de cette singulière manœuvre, je m’approchai sans bruit, et distinguai bientôt un gros serpent noir (coluber constrictor
ge Michel. D’abord Tenfant dit : Je vois quelque chose de blanc, sans distinguer ce que c’est. Ensuite il se mit à sauter et à s’a
t le cerveau et en général tout le système nerveux. Néanmoins il faut distinguer dans cet organe lui-même deux grands centres d’ac
de ce médicament, dans un état de lucidité des plus merveilleux. Elle distinguait tout ce qui se passait dans la rue quoique couché
é ce sentiment plutôt que tout autre? — Parce que c’était ce qui le distinguait lui-même dans sa petite ville, lorsqu’il était su
ttribue les phénomènes magnétiques à l'action du fluide nerveux qu’il distingue du fluide électrique. 11 admet que, par le seul
79 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
nsister plus particulièrement sur l'une d'entre elles et arriver à la distinguer des autres, de quelques affections qui ont pour c
s. D'après ces données, il n'est pas très difficile, en général, de distinguer la lèpre de la sclérodermie dac-tylique. Nous all
re de la sclérodermie dac-tylique. Nous allons apprendre maintenant à distinguer l'une et l'autre de la maladie de Morvan. Messi
ique ont été décrits et classés de façon à permettre désormais de les distinguer dans la pratique. Cinq mois plus tard, M. Pitre
un tremblement hystérique). ; Comme vous le voyez, Messieurs, nous distinguons d'abord deux catégories bien différentes. Dans la
toxication hydrargy-rique ; mais qu'à côté de lui il faut apprendre à distinguer des cas où, chez les hydrargyriques, l'hystérie s
de Basedow enfin, ne présente pas une pareille mobilité, et qu'il se distingue au contraire dans ces affections-là, surtout la p
umière. Nous trouvons là, remarquez-le en passant, les caractères qui distinguent les paralysies périphériques ou basilaires de l'o
ement. Je vous ai déjà montré qu'il était quelquefois difficile de le distinguer d'un trouble trophique analogue survenant dans la
imple il ne reste plus grand'chose à en dire. Par Cotugno, qui sut la distinguer de toutes les autres affections douloureuses ou n
e, vous le savez, les sciatiques en primitives et symptomatiques ; on distingue une forme bénigne qui relève plutôt de la scia-ti
affections, avec les maladies amyotrophiques en particulier. Pour la distinguer , ce qui doit être toujours possible, sinon facile
s sur une affection organique ou dynamique, c'est ce qu'il s'agira de distinguer , se traduisant pendant la vie par des symptômes d
fs périphériques suivant les autres, c'est ce qu'il s'agira encore de distinguer , mais qui en tous cas, pratiquement, se révèle pa
là comme celle-ci a des caractères particuliers qui permettent de les distinguer des affections analogues. J'ajouterai enfin que c
ésent, la paralysie du facial inférieur chez un hystérique, semble se distinguer par quelques caractères de celle que l'on rencont
mplexe dont l'étage inférieur se divise en trois bandelettes que l'on distingue d'après leur situation en interne, moyenne et ext
ltérieurement. Pour ce qui est des membres inférieurs, il nous faut distinguer ce qui appartient à chacun d'eux. A droite, exist
r dans un groupe plus ou moins artificiel, celles que nous arrivons à distinguer entre toutes par la connaissance plus exacte de l
dents d'aujourd'hui n'ont, dans leur apparence clinique, rien qui les distingue de ceux qui pourraient résulter d'un foyer de ram
80 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
udimentaire, ou absence totale de ce membre. D'où la possibilité de distinguer deux va- riétés d'amèles. (1) Nous avons dû l
er- diction prouve sûrement l'existence des faits interdits. « On distinguait les Etuves, ou bains de vapeur,des bains tiède. L
côté, comme une gaine de maître-queux. Tels sont les attributs qui distinguent ces opérateurs rustiques, travail- lant à tour
ttent pas de préciser exactement la nature de ces accessoires; on y distingue cependant des pinces, des scies, une sorte de vil
eur et intéressant la totalité du lobe frontal, il est difficile de distinguer une séparation tranchée entre le tissu morbide et
ger changement de coloration : la tumeur est plus rouge.- Quant à distinguer , dans le cerveau lui-même, entre la substance gri
;/Mnno/M/jooM</tMt6, il lui arrive quelquefois qu'il ne peut pas distinguer le chaud du froid. Observation III. Gass...,
ésente l'attitude que nous lui avons décrite, celle-ci suffira à la distinguer de la main hystérique. Dans les polynévrites ou d
on- sistance ou de leur volume. . La douleur de l'apophysalgie se distingue des douleurs ayant pour cause la propagation de
très différents. C'est ainsi que pour le membre supérieur, on a pu distinguer le centre de commandement de la flexion, de l'e
ue; mais quoi qu'il en soit et c'est la un point essentiel, on peut distinguer facilement les bandes du pro- cessus de gliose
ngomyélie, un cachet spécial qui permet jusqu'à un certain point de distinguer cette atrophie de celle due à d'autres altérati
ymptôme tic. D'après la distinction établie plus haut, il faut bien distinguer , pour chacun de ces trois mots, le sens symptom
petits adultes, hien conformés et qui, par la stature seulement, se distinguent de leurs congénères. Ils mériteraient d'être ap
près continue, ayant environ 2 centi- mètres de largeur. On peut distinguer à ce naevus trois portions, l'une centrale, dan
on des fibres radiculaires postérieures. Parmi ces collatérales, il distingue en première ligne : a) Les collatérales pour la
mentée parun légerépanchcmentpleural gauche. Douleurs thoraciques à distinguer de la douleur en ceinture qu'avait eue antérieu
ne diffèrent pas du rhumatisme chronique; mais, si on devait les en distinguer , elles n'en ren- treraient pas moins dans le gr
n devine cependant à leur position qu'elles sont inertes. Mais l'on distingue nettement l'atrophie musculaire qui réduit l'un
vu de dos, auquel un per- sonnage charitable remet un vêtement. On distingue sur le torse des taches colorées, indice d'une
e de Cologne (n° 116), donnant une aumône à un in- firme dont on ne distingue que la moitié du corps : il se tient à genou, s
tournée de profil dans une attitude un peu forcée. Sur le front, on distingue des traces d'ulcérations ou de pustules; l'oeil,
en effet recouverte d'un linge ou d'un emplâtre. Derrière lui, on distingue la figure d'un homme barbu à la chevelure hirsu
ambe est dissimulée par l'étoffe dont le bas du corps est drapé. On distingue cependant encore le pied droit, com- plètement
lheureusement, les renseignements de la cou- leur font défaut. On distingue sur les membres dénudés des taches destinées à fi
paille, ayant à côté de lui une béquille et un linge sur lequel on distingue un crâne d'animal et quelques pièces de monnaie
81 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en que Baillarger, à l'exemple de Duchenne de Boulogne, s'attache à distinguer les symptômes mentaux du tabes de ceux de la pa
eur, au contraire est atteint dans son ensemble mais il y a lieu de distinguer diverses zones inégalement sclérosées. Le max
siège en deux points : au niveau de la zone de Lissauer où l'on ne distingue que de très rares fibres éparses; la dégénéresc
pâle que les cordons ;it)Léto-IaLériux. Il est cependant facile de distinguer des zones plus fournies de libres, et l'on doit
ébut, si généralisée, présente des caractères particu- liers qui la distinguent de tous les autres états démentiels ; elle cons
uée en avant des cornes postérieures, forme un bloc, dans lequel on distingue à peine la saillie des cornes antérieures. La
tion des granulations chromatophiles, comble l'espace clair dont on distingue à peine les contours. Souvent, au contraire, le
oumis à des intoxications multiples (alcoo- lisme et saturnisme) de distinguer quelle est la cause de la paraly- sie ; enfin i
cation propre. Dans l'étude des réactions anormales élémentaires il distingue deux catégories : la première comprend les modi
. Les coupes transversales faites à cette hauteur ne laissent guère distinguer de substance médullaire; rien que le tissu néof
e-mère épaissie. , , 1 Cependant un examen plus minutieux permet de distinguer dans la partie centrale de la coupe les contour
concen- trée à l'extérieur de la pie-mère, tandis que la moelle se distingue bien sur le fond du néoplasme par sa teinte cla
s intercalaires. Ces différents états sont quelquefois difficiles à distinguer . Il faut tenir compte exactement de l'état des
suite d'une opéra- tion, quelle que soit leur forme. Il y a lieu de distinguer ceux qui dépendent seulement de l'intervention
aux et l'incurvation de la colonne vertébrale suffi- raient pour la distinguer de la pachyméningite. ' A ce propos les habitud
vise les névrites selon leur origine centrale ou péri- phérique. Il distingue parmi ces dernières celles d'origine infec- tie
me alors en une mince pellicule de 1 millimètre d'épaisseur où l'on distingue des cellules nerveuses, les faisceaux fondâmes
e mot de Lasègue, son inventivité qui suffi- rait à elle seule à le distinguer des confusions mentales d'autre origine. Par so
le reconnaître au milieu de complexus délirants d'autre nature. Ne distinguons -nous pas journelle- ment ce qui revient à l'alc
face; par les Drs FEINDEL et Meige. Rien n'est plus malaisé que de distinguer , de prime abord, un tic d'un spasme, tant les a
tachent les absences, les vertiges, l'automa- tisme épileptique, se distingue du grand mal par l'absence de con- mIsions. U
e aspect et la même consti- tution histologique. On peut facilement distinguer deux formes principales en laissant décote ce q
e et constituent un réseau très serré dans les mailles duquel on ne distingue que de nombreuses cellules de neuroglie. Les va
e prolifération se manifeste. Les corps des cellules proliférées se distinguent difficilement; mais en revanche leurs noyaux so
atisme. Au point de vue psychologique, le mouvement volontaire se distingue du mouvement involontaire : a) parce qu'il est
nerveux ; 12° la marche et le mode d'apparition de la maladie ne se distinguent en rien de l'épilepsie idiopathique habituelle.
et qui peut occuper tout le champ de la substance blanche. Elle se distingue de la première en ce qu'elle est plus tardive, mo
par W. OTUSZEWSKI. (Neurolo. Centl'¡tlbl., XVII, 1898.) Flechsig distingue , comme chacun sait, quatre centres sensoriels :
mbre de cellules qui ont pour fonction unique d'associer. Voilà qui distingue la théorie du mécanisme d'association de Flechs
82 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ans trois cas nouveaux l'élut nerveux pathologi- que spécial qui se distingue «d'une phobie du regard d'autrui toute spéciale
ils Ulliqlll',il parail awirrluunlcu;·allu. A l'âge scolaire, il se distingua par un caractère faible el caché, qUl'lqllenol1
- runcedans la vue des deux yeux qui fait que lait gauche ne peul distinguer les détails d'un objet à n'importe quelle distanc
quelle distance, par exemple : il voit les lignes, mais ne peul pas distinguer les lettres même les plus grandes. L'examen o
re sont mnrls clclmis longtemps de causes in- connues ; son père se distinguait par une grande nervosité et il buvait. Ses SICI
Ses SICI11'S étaient anémiques et nerveuses. Le malade lui-même se distinguait depuis longtemps par sa nervosité qui augmenta
nt au fonctionne- ment du cerveau et à celui de la moelle, l'auteur distingue , dans la moelle comme dans le cerveau, deux app
ment sa largeur normale. La gradation de celte transition permet de distinguer cet état du morcellement en écale, ou de l'atro
ns le renflement en massue (figures). Ces pro- duits artificiels se distinguent des noircissures pathologiques ; en ce dernier
rcedu cervelet de n'importe quel animal les cellules de Purkinje se distingue nettement entre toutes les autres, par la riche
sombre doivent rester dans la solution jusqu'à ce qu'à l'oeil nu on distingue la substance grise de la substance blanche. Cel
été soumis à la ponc- tion lombaire. 11 s'agissait, par exemple, de distinguer entre la démence précoce, la folie circulaire,
rpente neuro-fibril- laire des cellules nerveuses centrales où l'on distingue également des fibrilles principales et des ramu
Le trac par asynergie des images mentales. M. Paul FAREZ. Il faut distinguer trois formes de trac : 1° La forme ordinaire, c
ais exclusive, de l'un des deux facteurs. Autrefois, on cherchait à distinguer l'hypochondrie, né- vrose particulièrement rése
des mains, ne sont pas démonstratifs à cet égard. Formes. On peut distinguer les processus ascendants initiaux rapprochés de
Cependant au point de vue pathogénique, je pense qu'il y a lieu de distinguer les cas où l'hallucination est d'origine primit
En résumé, nous dirons que la démence précoce à forme paranoïde se distingue très facilement du délire des persécu- tés pers
poisonnement, in- terne ou externe, il s'agit. Il y a lieu enfin de distinguer , suivant les cas, la psychose infectieuse de la
éritables psychoses de la pneumo- nie, dans lesquelles nous pouvons distinguer , comme pour les précédentes : 1° les psychoses
Les ganglions inférieurs sont des centres réflexes des- quels se distinguent les ganglions antérieurs que Wandt appelle « de
moyen de res- ter peu de temps éloignés de Paris, c'estde se faire distinguer par le jury des concours d'adjuvat, de se class
ions actuellement insoupçonnées, et ne suffit pas pour permettre de distinguer deux processus anatomiques différents. » (Iig.
ères, incomplètes, des exceptions. L'ostéite déformante de Paget se distingue do ce s ndrome par quelques caractères bien spé
indisciplinés morbides que le« auteurs.onf tort, il notre avis, de distinguer des indisciplinés pal' IllllUnli : ,e ,ulonté.
ccasion d'examiner. Cette oeuvre de longue haleine leur a permis de distinguer les uns des autres trois types nette- ment cara
un tissu vaguement aréolaire, à mailles très larges, dans lequel on distingue difficile- ment quelques rares libres isolées :
son diamètre antéro-postérieur et augmentée dans le transversal. Un distingue encore, bien que moins nettement que normalemen
sée sur sa face anté- rieure el un peu aussi latéralement ; elle se distingue assez nef- tement du tissu épidural et ne prése
83 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
re quai la périphérie de la coupe. Dans le centre de la coupe on ne distingue plus de lobules, mais des masses confluentes de
observe des noyaux de lympho- cytes. Avec un plus fort objectif, on distingue un contour cellulaire dans l'in- térieur duquel
ion du plasma germinatif par excès de nutrition locale (6). Blanc distingue dans la polydactylie trois catégories : z La po
i raconte un rêve. Il est souvent très difficile, en pareil cas, de distinguer la fabulation consécutive à l'onirisme Oll au rêv
nd. rhizom. P. Marie). - Anamnèse. Hérédité normale. Le malade se distinguait auparavant par une grande force physique et n'é
écifique, formée aux dépens du tissu osseux, qui paraît épaissi, se distingue par une zone plus claire, limitée par un cercle s
lise mal la piqûre, ce qui est en partie dû à l'ataxie du bras, mais distingue la pointe de la tête de l'épingle. Pas de Stauu
ient expliquer les variations rapides des symptômes cliniques. On distingue , dans le tableau clinique de l'apoplexie, les sym
trépan. Coupes sériées. - Très tôt déjà, le lobe occipital droit se distingue du gau- che. Les noyaux sont plus denses et plu
rès satisfaisante la plupart de nos images. Notons que le Pourpoint distingue les goutes froydes et les goules chauldes, et a
distance, sans offrir de traits différentiels qui permettent de les distinguer chronologiquement, en un mot paraissant du même
écoce des rapports plus étroits qu'on ne le croit généralement et à distinguer des formes intermé- diaires. C'est ainsi qu'a
gique de notre cas, aucune structure articulaire n'apparaît ; on ne distingue ni les contours de la tête de la côte, ni les f
n bas en deux liges osseuses unies; les facettes articulaires ne se distinguent ni à la coupe, ni sur la surface, et dans une c
ution ulté- rieure la différencie de la spondylose rhizomélique. On distingue trois formes de la spondylose rhumatismale :
Spondylite déformante (forme partielle d'arthrite déformante).- On distingue aujourd'hui trois formes de celte affection : I
mités sont toujours affectées. II. - L' arthrite sèche ulcéreuse se distingue de la forme précédente par une prédominance des
se myopathique sont toutes les deux des affections spéciales qui se distinguent de la spondylose rhizomélique par leur nature et
lations; 2G6 KRABBE quelquefois il est si dense qu'on ne peut pas distinguer le noyau. Les auteurs pensent que ces cellules
ions fuchsinophiles ; c) enfin dans d'autres noyaux on ne peut plus distinguer ni membrane, ni réseau de linine, ni granulations
tic ce- ci) J'ai mesuré la mâchoire inférieure de 70 malades qui se distinguaient soit par une taille au-dl ssus de la moyenne, s
ire, ignore les faits les plus simples ; il ne sait pas compter, ne distingue pas la monnaie, ne connaît pas la date du jour.
aire ici à la démence précoce. Le cas que nous venons de décrire se distingue par certains symptômes atypiques et rares : on
la coloration des deux régions est très foncée ; cependant elles se distinguent bien, car la zone centrale a des tonalités bleues
lation se fait toujours d'une façon rapide, pres- que brusque et se distingue comme signe de début : c'est de suite après la
s analogues ou proches voisins. Ce dont les infantiles réversifs se distinguent le mieux, c'est précisé- ment des infantiles or
spa- rition complète du testicule. Encore faut-il apprendre à les distinguer cliniquement; or, les châtrés adultes sont mal
s thyroïde, tantôt le testicule ou l'ovaire. Nous proposons donc de distinguer un in- fantilisme myxoedémateux (ou thyroïdien)
sions sont moins marquées, la struc- ture mieux conservée permet de distinguer la fasciculée, mais les spongiocytes sont très
ssible de nous assurer complètement de ce fait. Il est dilficile de distinguer , par la palpation, lés différents os du métatarse
84 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
onculaire moyen qui, parsa couleur gris-perle et sa consistance, se distingue de la façon la plus nette du tissu nerveux envi
ocus zziger de Soemmering, dont la teinte naturellement grise ne se distingue que difficilement de la coloration acquise par
on acétonémique soit moins évidente. 40 Troubles nerveux. Il faut distinguer ici deux ordres de faits : les phénomènes initi
la vingtième année. - Enfin, la myopathie atrophique progressive se distingue de la « forme .juvénile » de Erb par la partici
r, des cellules nerveuses de la moelle épinière. Mais on ne saurait distinguer si tels ou tels groupes fasci- culaires ont plu
qui sont la principale cause de ses souffrances actuelles et qu'il distingue bien des an- ciennes douleurs fulgurantes; cell
campimètre ou par tout autre moyen plus simple mais suffisant. On distingue plusieurs variétés d'hémianopsie : 10 L'hémiano
termes pour désigner les variétés de l'hémianopsie verticale. Nous distinguons et nous adop- tons : a) L'hémianopsie tempora
ner à étudier l'influence de l'hérédité. Dans ce cas, il faut alors distinguer entre eux : les héréditaires d'ordre congestif
phase maniaque avec désordre dans les idées. , M. l''ALK. Il faut distinguer si la psychose succède de bonne 1 Voy. Archives
énéralisés, pro- duits, par conséquent, par action réflexe ; on les distinguerait en états de surexcitation et états de paralysie
ession dépendent du mode et du degré de compression. Il y a lieu de distinguer trois degrés. Dans un premier degré, la compres
ultanément destruction de la matière nerveuse; les phénomènes ne se distinguent pas de ceux du traumatisme ordinaire. M. Muel
aires se présentent en bien des points dans la couche externe. On distinguera cette maladie de la sclérose multiloculaire par
el, en outre, lésion systé- matique de la moelle. S'agit-il de la distinguer de la paralysie générale et, notam- ment, des c
pe du coma, c'est le coma qui, au point de vue symptomatique, ne se distingue pas du sommeil si ce n'est par l'impossibilité
t des jours entiers à la suite d'un état de Inal épileptique. 11 se distingue du sopor, lequel est caractérisé d'une part par
énomènes de l'intoxica- tion alcoolique. Ainsi Barkhausen, en 4828, distingue le délire asthénique, le plus fréquent, du déli
re variable. Malgré l'examen le plus attentif, il est impossible de distinguer dans les segments ainsi modi- fiés le moindre v
c'est seulement par l'étude individuelle des tubes nerveux que l'on distingue ces altérations seg- mentaires qui échappent à
tions noires, grises, jaunes ou am- brées. Entre ces sphères, on ne distingue aucune trace de cylindre-axe; s, segments norma
hain a pu imiter les productions de Hansen, quand M. Charcot a pu distinguer les différentes phases, quand M. Bern- heim a r
l'autre sur sa propre prédisposition héréditaire. Cette forme ne se distingue de la première qu'en ce que le sujet passif est
tions noires, grises, jaunes ou am- brées. Entre ces sphères, on ne distingue aucune trace de cylindre-axe; - s, segments nor
85 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
observés, des notions théoriques déjà établies. Deux choses sont à distinguer : 1° l'action physique locale, 2° les modificat
ensemble de ces deux circonvolutions comme un tout, dans lequel ils distinguent seulement deux feuillets superposés, l'un supér
mouvement dans l'attitude figurée ci-contre (PL. IX, fig. 1). - On distingue parfaitement, sur cette photo- graphie, la cord
lévateur propre de la lèvre supérieure, dont il est difficile de la distinguer ; il arrive fréquemment' que l'élévateur commun
euvent reconnaître leur nom, soit imprimé, soit écrit, sans pouvoir distinguer au- cune des lettres qui le composent. Il se pr
attaque d'apoplexie, fut dans l'impossibilité de lire et même de distinguer une lettre d'une autre; mais, si un nom ou une
plus grande exactitude. Néanmoins, il était incapable de lire ou de distinguer ce qu'il avait écrit. '' b) Un homme, à la suit
alade, qui ne connaissait plus les lettres à la vue, a appris à les distinguer de nouveau par le toucher (lettres en relief).
aît son nom manuscrit, mais non lorsqu'il est imprimé, sans pouvoir distinguer aucune lettre dans ce mot. Quelque temps après
ait au hasard plusieurs lettres et même quelques lettres qu'elle ne distinguait pas encore au loucher et dont on ne lui avait p
leur font, tourner la tête du côté d'où vient le bruit. Ils peuvent distinguer au timbre différentes sonnettes. Ils peuvent '
squ'on leur parle, ils n'entendent qu'un bruit confus, sans pouvoir distinguer les syllabes et sans saisir la signification de
l de leur nom. Ils le perçoivent comme un bruit connu dont ils ne distinguent aucune des parties constituantes ; il est probabl
appel de son nom qu'il percevait comme un bruit connu, sans pouvoir distinguer les parties qui le composent ; 230 1, T-. , REV
bservation 'à"l'appui) ? 11 semble, au surplus, qu'il y ait lieu de distinguer ,11' d'après M. Strümpell, au sein des manifesta
ez eux, la marche diffère aussi de la forme classique, dont elle se distingue par l'absence habi- tuelle des prodromes ordina
Hautes Etudes, attaché au laboratoire de M. Frémy, au Muséum, il se distingua là, comme il devait plus tard se distinguer ail
Frémy, au Muséum, il se distingua là, comme il devait plus tard se distinguer ailleurs ; et il puisa dans ses travaux laborieux
86 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
lques-uns de ces ouvrages et signalent les points par lesquels ils se distinguent . Ici c’est surtout un passage de la préface écr
e vérité si sainte. Oui, l’homme porte en soi ce qui doit à jamais le distinguer de toute l’animalité , Dieu lui a donné en partag
, le sentiment, de la lumière ; puis, à force de soins, il parvient à distinguer , à apercevoir, tantôt un gros objet, puis enfin l
aître les couleurs avec les doigts, quoique nous puissions parvenir à distinguer au moyen du toucher, le corps ou le grain de quel
doigts, fussent-ils môme aptes à sentir la lumière, ne pourraient que distinguer le jour de la nuit. « Mais, comme ces parties n
é dans ce qu’on appelle l’état magnétique ne saurait, dans aucun cas, distinguer , même vaguement, le jour de la nuit à l’aide de s
r avec les yeux bandés, ou avec les doigts, ou avec l’épigastre, pour distinguer ce qui se passe dans la maison voisine, ou pour f
avouons-le, un travail exempt de difficultés, que celui de chercher à distinguer toujours, dans cet ouvrage protéiforme, l’intenti
ilieu duquel le savant professeur du grand séminaire de Versailles se distingue , dans cet écrit remarquable, par une grande sincé
res, sonder la nature dans ce qu’elle a de mystérieux et de caché, et distinguer le vrai des choses. C’est ainsi qu’il y a vingt
et comme, au point de vue théologique, il n’y a pas de critérium pour distinguer les miracles de Dieu de ceux du diable, ou du moi
s v un sommeil factice, l’homme voit à travers les corps « opaques, distingue ce qui se passe à de grandes dis-« tances, etc.,
les fonctions de toute espèce. Nous n’en avons pas moins le droit de distinguer les actions pour les classer. Si la modificatio
és, — Pythonisses, — illuminés,— Phamtù/ues (1), — etc. Il faudrait distinguer ensuite les états divers de crise intellectuelle,
sera bon de faire observer que, dans tous les genres énoncés, il faut distinguer avec soin deux modes, le mode harmonique et le mo
nte aux effluves mystérieuses du magnétisme cette essence éthérée qui distingue l’amour de la brutalité !... Eli bien i tous le
re, dans la plupart des sujets soumis à l’exorcisme, les qualités qui distinguent les sujets sensibles au magnétisme ; ce sont géné
guérison des maladies. Les tribunaux civils n’ont pointqualité pour distinguer entre les pratiques permises aux laïques et les p
s clairons, le soldat cherche vainement avec une attention soutenue à distinguer la voix de ses chefs. « La nature des aberratio
e multitude de chameaux, des voitures, des troupes nombreuses dont je distinguais même les uniformes. Ou \oit s’élever aussi devant
amp de trèfle ; je comptais les folioles de ce trèfle imaginaire ; je distinguais môme les étamines de ses fleurs ; mais je finis p
on sommeil. « Le ragle et le sommeil sont assez soment difficiles à distinguer l’un de l’autre; il arrive un moment où ils se co
est impuissante. Parmi les maladies dont la guérison a eu lieu, nous distinguons les suivantes : chorée ou danse de saint Gui (che
ération par laquelle l’individu s’affirme à lui-même son existence et distingue le moi du non-moi; notre conscience, à la voix de
ur la chasse, s’éloigna armé d’un fusil et (le munitions afin de se distinguer en abattant quelque tigre. Si son absence n’eût p
nsistait à entendre des voix qui l’insultaient ou le calomniaient; il distinguait parfois les auteurs de ces propos offensants, par
sujet. Aussitôt que le bandeau fut appliqué, le sujet fut en état de distinguer les objets. « On n'employa ni passes ni manipul
ès qu’il sera mieux étudié et plus généralement connu. Mais ce qui le distingue profondément des autres branches, c’est que, loin
87 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
in n’a-t-il pas observé clans plusieurs cas de catalepsie tout ce qui distingue le caractère somnambulique d’aujourd’hui, la conn
re ne tire d’un bloc que la statue qui s’y trouvait sans qu’on pût la distinguer , et qui pouvait y rester éternellement sans l’évo
! ! ! Vous rêvez ! s’écrie le magnétiseur. — Je ne rêve pasl je les distingue .... très-positivement. — Que signifie ce langag
e- (1) Chez certains sujets, il est, pour ainsi dire, impossible de distinguer l’état normal de l'état de crise imparfaite , ou
fête de Mesmer, pendant laquelle les récompenses seront décernées, se distinguera elle-même par une splendeur nouvelle due à de nom
édifier sur l'identité des personnages? line lucide m’affirme qu elle distingue du mélange à la lumière des esprits trompeurs, de
r, après un examen plus attentif, que les variétés des caractères qui distinguent chaque société sont presque infinies, et aussi no
; ma vue, appropriée pur une contemplation suffisante, parvient à le distinguer d’une manière nette , comme le font les somnambul
mique, il déniait des antipodes aux habitants de la terre ("). o On distingue trois époques ou phases dans l'existence des civi
en pleine psychologie, car l’âme qui pense et qui raisonne est ce qui distingue l’homme de la brute, et le génie est son apanag
usieurs autres cas analogues. Mais il ne nous dit pas comment on peut distinguer les communications trompeuses des véritables ; il
n de ces obstacles, je posai le pied dans un trou que rien ne faisait distinguer dans les flaques d’eau, et une violente douleur d
rture. Et quoique j’aperçusse clairement la canne tout entière, je ne distinguais rien qui la fît mouvoir. Les coups devenant de pl
et se brouillaient devant ses yeux au point qu’il ne pouvait plus les distinguer . Il a été magnétisé pendant plusieurs mois de 5 à
ctricité vitale ou d’électricité nerveuse, tout en paraissant même la distinguer quelquefois du mesmérisme, n’a pas au fond la pré
une substance moelleuse blanche, et le système ganglionnaire facile à distinguer du premier par la couleur grise de la substance.
uer vers la périphénie, et l’observateur physionomiste sait très-bien distinguer par la nuance du teint l’emportement brutal qui e
iculièrement les magnétistes. En effet, la plupart des caractères qui distinguent la catalepsie peuvent être obtenus artificielleme
arties du crâne dont les protubérances correspondent aux qualités qui distinguent la personne en question. Supposons, par exemple
la psychométrie, qui sont doués de facultés exceptionnelles , ce qui distingue en propre la méthode américaine (qui paraît appar
pouvait lire le contenu, parce que sa vue était trouble, mais qu’elle distinguait bien les armes d’Autriche. Ou constata ainsi, par
dent déjà à sortir des sectes sur le nouveau continent (1). On peut distinguer les évocations en deux classes, celles où l’espri
oppé à un très-haut degré chez certains hommes, surtout chez ceux que distinguent la force du tempérament, l’énergie de la volonté,
obbes , que Mabillon appelle la plus célèbre académie des Gaules, que distinguèrent ses richesses, la foule de grands hommes qu’elle
il raisonnable de nier la continuité d'existence de l’homme? On 11e distingue pas mieux les lignes de démarcation entre les dif
sentiment, correspondaient , autant que nous pûmes en juger, à ce qui distinguait l'esprit quand il venait sur terre. Les personnes
c une telle fidélité que nous y sommes trompés et que nous ne pouvons distinguer une copie prise sur le vif d’une épreuve prise su
ur le danger de poursuivre comme ennemis de Dieu les individus qui se distinguaient par des facultés exceptionnelles, par des actions
88 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aptitudes upposées ; puis j'ai mis en lumière les ca- ractères qui distinguent les deux groupes (évolution onto et phy- logéni
Vallon et DENY ; ce dernier pense qu'il est relativement facile de distinguer la psychose à base d'in- terprétation des autre
pre. La craniectomie chez les enfants arriérés. M. DovEx. Il faut distinguer aussi promptement que possible si l'enfant rent
ciser ce qu'on entend par responsabilité. Il faut à ce point de vue distinguer la responsabilité morale et la responsabilité s
e d'Anatole France dans l'Histoire Comique « sur les médecins qui distinguent des moitiés de responsabilité, des tiers de res
ériodique des auteurs français et la folie maniaque de Kraepelin se distinguent par certains points qui nécessi- tent de faire
complets ou plus ou moins pro- longés, à cause de la difficulté de distinguer l'intervalle lucide vrai de la simple rémission
les de plusieurs années. Il s'agit là de simples récidives. Il faut distinguer aussi avec soin d'a- vec les états vraiment pér
umé, les troubles du premier groupe, que j'appelle pithiatiques, se distinguent des troubles du second groupe et aucun fait cli
ction des cellules ganglionnaires. La syphilis cérébrale diffuse se distingue essentiellement sinon toujours aisément de la p
age de tapisserie et qui, tout-à-coup, au milieu de son travail, ne distingue plus la couleur des lai- nes. Son aiguille s'ég
ble, très mauvais, qui lui fait une grande peur, mais il ne peut en distinguer ni les formes, ni la couleur ; ce « quelque cho
ies des hystériques et des neurasthéniques. Les cénesthopathes se distinguent de^ hypocondriaques par le caractère primitif e
qui forme le caractère principal de ce congrès international,qui le distingue de ses devanciers et qui on peut l'affirmer san
ue ce sont des phénomènes voisins, mais qu'il y a cependant lieu de distinguer : les obsessions ont un développement moins com-
rmation banale que l'hystérie est une maladie men- tale et on ne la distingue d'aucune autre de ces maladies. Si on con- sidè
es. Tous les observateurs sont au- jourd'hui convaincus, qu'il faut distinguer avec précision des ré- flexes cutanés en tendin
on, suggestion, association, idée fixe, obsession, etc., qu'il faut distinguer dans les délires les idées fixes de telle ou tell
ion de l'aptitude à les exploiter. Par certains traits notre cas se distingue des cas ha- bituels. Les deux codélirant vivent
tés bien définies par Jolly, Murri, Goldflam,Flora, Grocco, doit se distinguer de la réac- tion myasthénique proprement dite d
28, le, juillet 1906.) A.doute que les méthodes « qui permettent de distinguer facile- ment les lésions de la P. G. de celles
s la P. G., no- tamment dans le cortex que rien ne permet encore de distinguer des lésions purement dégénératives des éléments
dans lequel on classe ce que l'on ne sait où placer. Il faut aussi distinguer , au point de vue du pronostic et du traitement,
Ain. Né à Pont-de-Veyle (Ain). le 20 avril 1840, M. le Dr Goujon se distingua pendant l'épidémie cholérique de la Nièvre en 1
ssi sous une forme typhoïde (Richardière) (2),laquelle doit-on bien distinguer des cas de la vraie infection spécifique (fièvr
ce sénile n'est pas un des traits les moins ' caractéristiques qui- distinguent cette forme des états dépressifs de la psychose
cquise ou congénitale. Diagnostic : l'idée ob- sédante est facile à distinguer de l'idée fixe normale ou pathologi- que,cette
primitivement et dont la pathogénie est d'ailleurs inconnue. II. distingue de ce trouble le « besoin de communiquer » des
89 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
il arrive que. tout â cette chose qui frappe le sens de la vue, on la distingue peu à peu beaucoup mieux, â mesure «pie par l'att
de bon sens. Du moulent que. dans le sommeil complètement formé, «m distingue doux pôles, dnpl~es la distribution des forces ne
jets à unr distance à laquelle personne, à l'état normal, ne pent les distinguer ; ou bien sur des objets observés à une petite di
istinguer ; ou bien sur des objets observés à une petite distance ils distinguent des détails qui échappent absolument à l'u-il le
circonstance, j'ai signalé un malade, qui, dans le sommeil hypnotique distinguait parfaitement l'une de l'autre les deux faces «l'u
ent indéterminécsel tendent à perdre le caractère automatique qui les distingue . Quand, par suite dune complexité croissante et d
assage d'un phénomène de mouvement idéal à la réalité est ce que nous distinguons sous le nom de volonté. Dans l'arie volontaire, c
ue l'o-il du corps » (1). — Il est vrai, dit M. Ribot. qu'on pourrait distinguer deux espèces d'éléments moteurs : « ceux qui serv
somnambulisme, la inalades'anuonceque.dansqiiatrcjours, elle verra et distinguera bien lesobjetsavec l'œil privé encore de la vue.
uge résultant de tendances variées ou antagonistes, pas plus qu'on ne distingue par un nom spécial le début de l'abaissement d'un
ion sur cette forme en 1884 dans un travail cilé plus haut. On peut distinguer aussi la neurasthénie par insuflisanre pathologiq
a volonté n'est pas autre chose que cette représentation; si elle se distingue spéciûquement d'une antre représentation, c'est p
ices convergentes. On peut s'expliquer ainsi pourquoi la volonté se distingue des autres représentations de mouvement coexistan
épondit : • J'en ai besoin pour la cible, s Avec ces verres-là, il ne distinguait plus les yeux de ceux qui lui parlaient, mais il
l fit six expériences dont trois semblèrent avoir réussi. Elles ne se distinguaient en rien de toutes celles qu'on a pu voir avec les
ires. Il n'y a pas eu délibération, pas de volonté par conséquent. On distingue parfaitement cet état de celui où l'acte a été vo
: telle est la volonté du vulgaire. La psychologie scientifique n'en distingue pas d'autre. En adoptant la doctrine de l'insépar
érées se confondaient : la malade ne pouvait dans une certaine mesure distinguer ce qui était vrai de ce qui était suggéré. Elle
evient acte, toute image évoquée devient chez eux une réalité, ils ne distinguent plus le monde réel du monde imaginaire suggéré, e
otent trop souvent une maladie mentale : cependant il faudrait encore distinguer les sincères des autres, et, bien que M. Nordau a
sformations qui s'opèrent dans notre propre organisme. Cependant nous distinguons deux sortes de perceptions différentes : les unes
a Graphologie. Le caractère particulier de quelqu'un, c'est ce qui le distingue d'entre les autres èlrcs de son espèce ; c'est sa
90 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
formes et les contractures. Ce sont là des raisons suffisantes pour distinguer ces deux ordres de lé- sions dans les rapports
leptiformes (épilepsie partielle, jacksonienne ou corticale) qui se distinguent des précédentes parce qu'elles débutent 28 NOUV
par lésions limi- tées de l'écorce cérébrale. Car, si nous avons pu distinguer , pour les be- soins de l'analyse et de la descr
des lésions destructives de l'écorce. C'est pourquoi nous pouvons distinguer pour les paralysies partielles, bien mieux que
le » . Telles sont les principales variétés d'aphasie que permet de distinguer l'analyse des phénomènes physiologiques concour
iées. Les progrès de la physiologie pathologique tendent en effet à distinguer dans l'écorce cérébrale autant de centres dif-
rachidien qui va se continuer avec la moelle épinière. On peut donc distinguer à la protubé- rance deux régions : une région s
cription qui va suivre, et les seules variétés qu'il y aura lieu de distinguer sont affaire d'intensité, d'évolution ou de loc
n'en méritent pas moins une sérieuse attention, afin de pouvoir les distinguer des déterminations organiques auxquelles ils em
rinaud). D'après le même auteur, le second moyen que nous ayons de distinguer ces paralysies centrales des paralysies périphé
squement et sans autre douleur que celle de l'acte même, ce qui les distingue des vomisse- ments par gastralgie ou hyperesthé
a décrivent prétendent qu'elle n'offre rien de constant, qu'elle se distingue par son ex- trême irrégularité et qu'il n'y a p
par une infiltration cellulaire abondante, au milieu de laquelle on distingue , il l'aide d'un fort grossissement quelques fibri
que, sur les préparations traitées par la double coloration, on ne distingue plus d'éléments nerveux. La pie-mère adjacente
dubitables. Il est donc évident, qu'il est absolument nécessaire de distinguer les deux genres de l'hyperkinésie frontale ; l'
ffuses que nous avons eues en vue précédemment, il y a donc lieu de distinguer une pachyméningo-myélite syphilitique. On conço
du côté gauche. La cor- née du même côté est opaque ; et le malade distingue à peine les objets de cet oeil. Il prétend que,
a marche, il n'en est pas toujours de même ; et il y aurait lieu de distinguer une forme grave de paraplé- gie syphilitique co
, à décrire à part l'arté- rite syphilitique de la moelle, comme on distingue la méningite et l'arté- rite syphilitique du ce
fixer d'une manière défini- tive les particularités anatomiques qui distinguent les méninge-myélites syphilitiques des autres l
oeil gauche étant même aveugle tout il fait. Ainsi il faut que nous distinguions - com- me le fil le premier M. llogyes les part
le titre des « Aliénés voyageurs » plusieurs groupes de malades. Il distingue en particulier parmi eux, les captivés qui cons
91 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE très prononcées. Mais ces lésions se distinguent nettement du tabès : d'abord, dans les cordons
s alcoolique, et je crois vous avoir convaincu, qu'il est facile de distinguer cette forme de polynévrite des affections de la
ge des exemples illustrés par des planches. Je crois qu'il faut les distinguer aussi de toute espèce de tumeur se montrant che
à l'heure. - - Au point de vue morphologique, il y a donc lieu de distinguer trois états physiologiques du muscle, le relâch
ongement et son amincis- sement, Sur l'homme vivant, il faut donc distinguer la contraction qui s'accompagne de raccourcisse
cia- les à la contraction et à la distention, c'est-à-dire qu'il se distingue par l'accen- tuation des divers, faisceaux, don
qui se meut, il soit complètement impossible, dans certains cas, de distinguer dans quel sens il se meut. D'où il résulte que,
ues conclusions intéressantes A. Dans les mouvements lents, il faut distinguer deux cas : 1° Ceux qui s'exécutent dans un plan
ion de la partie du faisceau latéral droit qui déjà il l'oeil nu se distinguait par sa coloration du reste delà substance médulla
ndamment des rares qualités de compo- sition et d'exécution qui les distinguent , sont-elles toujours des docu- ments du plus ha
nt d'une' porte,' est pleine de lumière et richement décorée : on'y distingue la moitié d'une cheminée ci colonnes avec des c
ment d'octobre, lorsque tous les cheveux venaient d'être coupés, de distinguer l'ancien emplacement des plaques. (1) C. li.
ions postérieures et latérale sont disparu, et il est impossible de distinguer leur position par la couleur des cheveux. A cet
la région, on voit que la peau de la face antérieure de la verge se distingue nettement de celle des bourses tant par les pli
terventions chirur- gicales portant sur la même région du corps. On distinguera ainsi les opérations sur la tête, sur les membr
broc d'étain, et un panier d'oeufs. Enfin, en haut d'une perche on distingue une sorte de planchette à la- quelle sont suspe
insister encore, car de tous les documents ana- logues, celui-ci se distingue par sa sévérité l'intention satirique est presq
deau à demi ouvert sépare le fond de la pièce du laboratoire : on y distingue un fourneau, une cornue, des fioles, des pots, un
i-même, tenant dans la main droite une- lige bou- tonnée dont on ne distingue pas l'extrémité inférieure. De la main gauche,
ou- vent. Le réticulum névroglique reste à peu près intact et on le distingue encore fort bien dans tout ce tissu. Dans la su
ivant les points, ses limites très nettes sont irrégulières ; on le distingue facilement à l'oeil nu sur les cou- pes où il f
gauche au delà du r 30e degré, De ce même côté gauche le malade ne distingue aucune couleur. Les troubles de la sensibilité
92 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
n- tenus dans mon travail sur la capsule; elle permet en effet de distinguer les expansions capsulaires les plus élevées. De
t actuel de la science, je ne connais aucun signe permettant de les distinguer l'une de l'autre. La prédisposition à marche fa
diagnostic et eu rendent la certitude impossible, car comment les distinguer ? En suivant attentivement les malades, dit M.
pare à une sensation d'isolement. Il voit encore lalumière. mais ne distingue rien pendant les quelques secondes que du- rent
s le nom de délire des négations, une forme de délire spécial qu'il distingue du délire de persécution et ratta- che à la mél
ade, on voit qu'elles ont aussi des caractères particuliers qui les distinguent de celles que l'on observe chez les aliénés att
abord, surtout lorsqu'elle est comme ici logiquement déduite, de la distinguer des idées du même genre que l'on trouve chez le
. Cette prédominance des troubles sensoriels commence donc déjà à distinguer cette forme particulière de la mélancolie anxie
onnaissance des symptômes et del'évolution de la maladie, fera vite distinguer . REVUE CRITIQUE JUMPING, LATAII, MYRIACHIT;
et en haut, entre les-bras duqucli-est l'opercule. Seliwall)e 1 en distingue un troisième,'(très petit, qui constitue, en ré
e l'appeler sulcus temporalis inferior (Bischofl), sinon comment la distinguerait -on du sulcus temporalis infe- rior d'Ecker, c'e
1 En un mol ? comme 'dans sa scrofule efjdu. tuberculose)1 on peut distinguer une ltébéphrénierlloridéet'·uue hébéphrénie'tor
part Ziemssen. (Arch. f. lilin. 111édic.. t. XXX., -1883). Il se t, distingue des autres galvanomètres absolus parcefaitducl'in
SAVANTES. 231 1 vit pour la première fois. Zeller fut l'auteur qui distingua une forme primitive et une forme secondaire de
urtout à gauche, si bien que l'oeil droit étant fermé, la malade ne distingue presque plus les objets. L'oeil gauche est en out
8° Il va de soi que les autres éléments de diagnose utilisés pour distinguer l'accès de mal comitial de la grande attaque d'
les par les prolongements qu'elles projettent en divers sens. On en distingue deux formes principales ; les unes ne possèdent
ont les cellules des cornes an- térieures qui souffrent le plus. On distingue trois stades : un pre- mier stade de tuméfactio
des opérations assez com- pliquées d'arithmétique, aime la musique, distingue très bien les couleurs. Elle devient bientôt ph
ue ; il rappelle ensuite les caractères aujourd'hui bien connus qui distinguent chacun de ces types. Les symptômes objectifs
dans certains complexus fé- briles, de sorte qu'il y aurait lieu de distinguer une dyslexie toxique et une dyslexie organique.
intervalles lucides intervient parfois à son tour; elle contraint à distinguer dans la vésanie typique complète les folies ci do
93 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ves spécialement affectées à ces impressions. En fait il vaut mieux distinguer d'une part les troubles du sens muscu- laire co
ire faisaient partie intégrante du syn- drome. Charcot crut pouvoir distinguer dans cette étroite région qu'il appela lé carre
des de lucidité et 3° après sa mort. Dans l'état de maladie il faut distinguer la période prodromique, la période d'état et la
psychologie clinique et thérapeutique, septembre 1898.) L'auteur distingue entre le sommeil profond, suggéré, identique au
avorisant la répétition. Parmi ces phobies inhibitoires les auteurs distinguent : 1° les phobies constitution- nelles qui se so
mère. Mais dans l'étude des résultats du traitement, il convient de distinguer entre les cas qui appar- tiennent à la première
s sillons du lobe pariétal et du lobe occipital. On sait que ce qui distingue le cerveau de l'homme de celui des singes anthr
pinaux est constitué par un composé voisin de la nucléine, qui s'en distingue par une teneur plus faible en phos- phore ; il
u nerf examiné. Nous ne possé- dons donc aucun point de repère pour distinguer quelles sont. parmi les fibres dégénérées, cell
tre de déceler l'existence d'une affection grave de l'encéphale, se distinguerait des autres réflexes tendineux parce que la réac
comparable à l'un de ces trois groupes de troubles analogues. Il se distingue du premier par une hyperdiurèse peu abondante,
ion graisseuse) ; 4° un état spécial d'bydrémie anémique qu'il faut distinguer de la dégénérescence du crétinisme. 1° L'aute
du sommet droit permet de rattacher ce cas à la bacillose. Il se distingue des formes habituelles par sa longue durée, sa lo
lques cas, tous les autres mouvements des pupilles étant perdus, de distinguer une paralysie périphérique d'une paralysie cent
ble du corps : leur calibre et leur colora- tion les fait nettement distinguer des fibres du premier système. Les fibres du ru
e chez le lapin. C'est chez le chien et le chat que nettes elles se distinguent des autres fibres dans les circonvolutions de l
ambes et des bras), est très caractéris- tique de l'affection et la distingue des paralysies bulbaires orga- niques. Dans l
udo-méralgie radiculaire : 1° La pseudo-méralgie tabétique. Elle se distingue par le caractère des troubles sensitifs, plus h
c des petites bougiesqui dansent, il y aaussi une figure mais il ne distingue pas bien », et si l'on renouvelle l'expérience, c
ie d'un homme qui souffre du tabès dorsalis ataclica. De ce type se distingue clairement les malades atteints de tabès supéri
iveau des dixième et onzième paires dorsales, il était difficile de distinguer ces fibres médianes descendantes de celles de l
encore très longtemps. 7) La méthode de formol-méthylène permet de distinguer une grande quantité de parties constitutives de
; c'est presque une décérébration qu'un examen minutieux peut seul distinguer de la démence. L'asymbolie n'est d'ailleurs sou
n bleue, y est déjà presque uniformément répartie; toutefois on y distingue encore de fines granulations et la teinte bleue,
tement au centre des cellules, sa coloration est d'un bleu pâle, on distingue en son centre un nucléole fortement teinté. Mais
cette nuit ; toute la journée d'hier, il a entendu des insultes, il distinguait très nettement la voix d'un individu qui l'appe
r; par M. G. MARINESCO. (Presse médicale, 16 août' 1899.) On peut distinguer dans le noyau du facial, chez presque tous les
dire l'importance de ce facteur. Diagnostic : Cette affection se distingue de l'ataxie locomotrice par l'absence de syphil
renfermer dans quelques descriptions, ces minus habentes, qui ne se distinguent des enfants normaux que par des signes négatifs
94 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aire est normale. A part la sclérose des faisceaux pyramidaux on ne distingue pas de dégénérescence. Au-dessus de la lésion,
ographie permettra de multiplier les observations de ce genre et de distinguer , à côté de l'ostéoar- thropathie tabétique clas
. Leur représentant le plus clair est l'ostéo- malacie. Vierordt en distingue : une période d'acmé, et une période de régénér
crime commis est donc insuffisante. Chapin en propose une autre, et distingue : 1° Le criminel incorrigible, indiscipliné, ma
UTIQUE. cite trois cas, dont l'un, absolument aveugle, commença à distinguer les objets après plusieurs séances de suspension
Paviot, con- sidérant que par la coloration au Nissl, on peut déjà distinguer quelques-unes de ces cellules sur un cervelet n
en rapport avec les fils du réseau. Quelques-uns de ces nodules se distinguent par un volume plus considérable et rappellent d
Sur une coupe de l'écorce d'un foetus de chien presque à terme, on distingue trois couches : une couche supérieure super- fi
nge auquel on a enlevé les lobes frontaux, et qui avant cela savait distinguer , à l'aide de ses sens, un morceau de craie d'un
'écorce de vio- lentes irritations centripètes ; nous ne pouvons le distinguer de la douleur et de l'insomnie. On conçoit comm
s cas, forment le complexus si connu et si caractéristique. Pour en distinguer les stades précoces le premier rang revient à l
e faciale récidivante. Le symptôme complexe de l'hémicranie, qui se distingue par la périodicité des accès, s'accompagne souv
ou devenu sourd avant qu'il n'ait totalement appris à articuler, se distingue de celle d'Un enfant normal par une modulation
t tantôt seules, tantôt à l'état de combiuaison, sans qu'on puisse, distinguer une évolution comparable à celle du délire chro
ns la maladie de Fiiedreich, on a là un nouveau caractère servant à distinguer cette affection du tabes. M. Marie ne s'en éton
tribuer à la solution de cette question. , Bien ne permettrait de distinguer ce myopathique de tous les myopathiques reconnu
ant sur ce cas et sur des faits analogues, les auteurs proposent de distinguer une forme senso- rielle de la paralysie général
franc. M. IE1GE présente un malade atteint de spasme facial pur à distinguer du tic en ce que le spasme qui est l'équivalent d
M. Ballet demande que l'on précise toujours la terminologie e pour distinguer les spasmes des tics et insisle sur la mauvaise
amalade, qui s'était remise au travail, se rendit compte qu'elle ne distinguait plus les objets que dans une moitié du champ vi
ualitative est abolie : l'intéressé voit les objets, mais il ne les distingue plus les uns des autres. - La cécité verbale ;
tiques dans toute son épaisseur, est également homonyme. Elle ne se distingue des deux moda- lités précédentes que par la nat
cherche à analyser et à expli- quer son état mental. Elle cherche à distinguer des actes ou des pensées réellement coupables c
ons sur le délire par introspection, le critérium néces- saire pour distinguer l'élaboration d'un travail mental ou même les m
cessaire à la connaissance de ce domaine, et ceux qui le peuvent se distinguent de ceux qui présentent des troubles, pathologiq
au moins dans ses prémisses, il dit qu'on lui parle et il arrive à distinguer et à décrire toute une lutte engagée avec des e
ste immobile, ou bien se porte en arrière. Ce caractère permet de distinguer de la surdité hystérique où le vertige voltaïqu
ce que confirme l'exemple des intoxications. Le difficile est de distinguer dans les formes cliniques les symptômes essentiel
eurs commises comportent un enseignement. Il a pu arriver ainsi à distinguer des psychoses d'apparence identique mais à pronos
95 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
oppées par une membrane, c'est-à-dire enkystées. Les vésicules BBB se distinguent par leur volume au milieu de cette masse globuleu
ncé relativement à la gangrène du poumon. Toujours est-il qu'on devra distinguer la gangrène primitive du poumon de la gangrène su
dépassaient pas leur volume naturel. Il est donc bien difficile de distinguer les phénomènes de l'apoplexie de la moelle de ceu
e, c'est ce que j'ai cru devoir appeler ankylose avec fusion, pour la distinguer des autres espèces d'ankylose. A quelle maladie
e répéter, les phlébites dominent pour ainsi dire la pathologie; j'en distingue trois espèces : la phlébite des veines libres; i°
cé ce tissu à côté d'une tumeur érectile , il a été impossible de les distinguer l'un de l'autre. Après un lavage répété, la moiti
auque ; la tuméfaction du voile du palais moins considérable. On peut distinguer trois plaques blanches sur les piliers postérieur
calement dirigée, et sillonnant la partie antérieure de la tumeur. On distingue même toutes les franges de la trompe, qui étaient
trompe, qui étaient libres, excepté dans un point. On peut très-bien distinguer le ligament de l'ovaire LO, le ligament large déf
ise pour une ascite et ponctionnée comme telle. Rien de plus facile à distinguer de l'ascite qu'une hydropisie enkystée de l'ovair
ssion médiate ou immédiate, la précision peut être portée au point de distinguer , dans le cas de complication, ce qui appartient a
e voit souvent sans ce dernier symptôme. Il me paraît impossible de distinguer , dans l'état actuel de la science, le kyste unilo
a paru la même dans les deux cas : mais je crois qu'on pourra souvent distinguer le kyste multiloculaire du kyste uniloculaire : d
er terme. On voit donc que, dans beaucoup de cas, il est difficile de distinguer l'idiotie congéniale de l'idiotie acquise, la pre
stacle; et, dans ce dernier cas, il est quelquefois très-difficile de distinguer la transformation de la production enkystée, d'au
es signes certains à l'aide desquels ils puissent, dans tous les cas, distinguer le délire symptomatique du délire idiopathique. A
crâne et des fongus de la dure-mère. Il pense que les premiers, qu'il distingue en fongus médullaires et en fongus hématodes, son
t autres phénomènes de compression cérébrale, permettront toujours de distinguer l'hémiplégie symptomatique d'une tumeur cancéreus
l'hémiplégie symptomatique d'un foyer apoplectique : on peut même les distinguer l'une de l'autre dans le cas d'instantanéité par
ation ramollissement gélatiniforme du cerveau. Une teinte jaunâtre la distinguait d'ailleurs de la substance cérébrale environnante
anes séreuses, est très-sujette à l'inflammation [arthrite), que l'on distingue , sous le rapport des causes, en traumatique, rhum
vu plusieurs cas de cette espèce. Mais rien n'est plus facile que de distinguer un véritable corps étranger cartilagineux d'un fr
lques cas, et en particulier dans celui qui vient de nous occuper, de distinguer les altérations physiques ou chimiques des altéra
s de la veine parfaitement saine à son intérieur. III. Il faut bien distinguer les foyers purulens qui se forment autour des vei
foie au sein de quelques-unes de ces tumeurs. XIX. Au lieu donc de distinguer les maladies cancéreuses du foie, en celles qui s
t formées aux dépens du tissu propre du foie, je crois qu'il faut les distinguer en celles qui attaquent çà et là une ou plusieurs
nt à des vaisseaux différents. Du reste, il est extrêmement facile de distinguer la surface interne d'un vaisseau lymphatique, de
irculaires bien distinctes des valvules. Il n'est pas moins facile de distinguer les veines d'avec les vaisseaux lymphatiques, et
; si bien que le médecin appelé éprouvait un moment d'hésitation pour distinguer cette maladie factice d'une maladie réelle. La su
t dans les pédoncules cérébraux. )) Des nerfs cérébraux, on ne peut distinguer que les origines des première, deuxième et troisi
ue toutes ont lieu du côté de la face utérine du placenta; on peut en distinguer deux espèces. Dans l'une, c'est une coque osseuse
ernie diaphragmatique. A travers la transparence du sac herniaire, on distinguait un grand nombre de circonvolutions intestinales,
de la mâchoire d'un enfant nouveau-né, qu'il serait impossible de les distinguer les unes des autres. Admettrons-nous que des frag
vertébrale est très fortement recourbée sur elle-même. Au tronc, on distingue la cavité thoracique delà cavité abdominale à l'a
i a beaucoup d'analogie avec celle du liquide mélanique. Il faut bien distinguer cette coloration morbide de la coloration noire a
aine,, tantôt reçue dans une érosion très superficielle. Il faut bien distinguer cette coloration noire de la muqueuse gastrique,
aniques constituent la phthisie avec mélanose de Bayle : il faut bien distinguer les tubercules mélaniques du poumon, d'ailleurs f
96 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
s sans queue, ce qui me lit une peine extrême, car je ne pus plus les distinguer des hommes bienfaisants dont ils avaient pris l'a
t appréciées à leur juste valeur, et le public, trompé quelque temps, distingue aujourd'hui les charlatans et commence à s’éloign
qu'au front, de manière que les yeux, fussent-ils ouverts, ne pussent distinguer ce que je présentais. Prudence les signala T mais
elles d’une manière différente, de telle façon « qn’elles ont pu les distinguer les uns des autres, bien « qu’ils aient été entou
édecins; c’est le comble de la sottise, car il faut que l’humanité se distingue des bêtes, ne serait-ce que par la souffrance.
t aussi malheureux que les autres hommes; les apôtres religieux ne se distinguent nullement deceux qui n’ont point de principes: ce
t dans sa chambre, étant cependant placée de manière à ne pouvoir les distinguer dans le cas môme où elle se serait réveillée. L
e; et, en effet, la boîte ne renfermait que ces deux couleurs. Elle distingue parfois ce qui se passe à des distances très-éloi
l laisse plusieurs ouvrages sur le magnétisme, parmi lesquels on peut distinguer son Esquisse de la nalure humaine, et un Essai de
n Essai de psychologie physiologique, Ami de Deleuze, comme lui il se distingua par son amour constant pour la vérité et par une
notre cause est gagnée; on ne confondra plus les ommes, on saura les distinguer . Le magnétisme est sali, pollue chaque jour, et
ier. Tous les hommes ne peuvent pétrir le bronze et animer la toile ; distinguons ceux à qui Dieu réserva cette laveur. A M. Paul
int compris le Christ, c’est leur ignorance qui ne leur permet pas de distinguer ce qui est condamnable de ce qui ne peut l’être,
cinq ans, ayant une hernie plus grosse que le poing qui empêchait de distinguer de quel sexe il était, s’est trouvé au bout de ci
bien auquel il peut se flatter d'avoir concouru pendant sa vie. On distingue dans le cours de la vie de l’homme sept époques o
ité et de bizarrerie celle nouvelle méthode de vêlement proposée pour distinguer invariablement les sept époques de la vie, si l’o
erprétations des songes ne viennent-elles pas do Dieu ? » Les Grecs distinguaient l’oniropole de l’oniromante. L’oniropole était le
happent les songes véritables, les anciens nôus apprennent qu'il faut distinguer différentes espèces de songes, et que la base pre
lui parler du pauvre malade, et je lui demandai s’il croyait pouvoir distinguer à distance. Il me répondit qu’il se sentai t dans
toulc leur gravité. Enfin, tel était l’état de l’œil all'ecté, qu’il distinguait à peine le jour d’avec les ténèbres, lorsque je l
que durant une grande partie de l’exéculion il « était impossible de distinguer qu’il y en avait deux. « J'ai vu une dame qui éta
de, que pouvaient savoir les savants, si ce n’est l’avenir, pour se distinguer des ignorants? Ils devaient donc braquer la lunet
ître ce qui vienl de l’égarement de nos sens ou de noire imagination, distinguer ce qui appartient en propre à la nature, ce qui s
blé; dis-moi si dans cette goutte de liqueur séminale tes yeux savent distinguer l’être humain qui s’y trouve; il y esl cependant,
nambulisme qu'après une ma- gnélisalion plus ou moins prolongée, et distinguez avec peine ce qu’on veul vous faire voir. La prés
l éloigne lout esprit positif. C’est donc de ne pas savoir ou vouloir distinguer ces deux ordres que vient l’explication forcée de
it; riches et pauvres vont s'engloutir dans un vaste océan; mais Dieu distingue ceux qui lurent justes et bons, qui travaillèrent
97 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
nnes qu’elles n’ont jamais vues, les appelant par leurs noms , et les distinguent par les professions qu’elles font. 2» Qu’estant
Bavent et que plusieurs fois elle revint dessus, disant qu'il fallait distinguer les scènes de sabbat d'avec les autres, priant le
de la mer, mais il dit que l’eau est claire et peu profonde et qu'il distingue au fond des objets divers ; cela ressemble à une
çon à ne répandre qu’une clarté douce, mais cependant suffisante pour distinguer les objets sur la table, cette table fut ébranlée
vit aucune des autres personnes qui étaient dansl chambre, et elle ne distingua que les objets appartenant» magnétiseur ou placés
prétentions opposées se valent au fond, aucune n’a de critérium pour distinguer un faux esprit d’un vrai, chacune se fait un titr
s intellectuelles s’appliquant à obtenir le même résultat; ce qui les distingue seulement, c’est la différence de situation .des
uve : A l’état de veille, étant couché les yeux fermés, je commence à distinguer un point bleu, puis bientôt des figures de person
on d’un agrégat mixte. i(Or, dans cet agrégat, on est bien obligéde distinguer une partie matérielle qui tombe dans les sens, —
individu sent, entend, et le témoignage de ses sens l’empêche seul de distinguer les erreurs de la vérité. Jusqu’à présent, le seu
E DE LA NAISSANCE DE MESMER a:« liai 1858. Cette dernière fête se distingue de ses aînées par une réunion plus nombreuse d’ho
leur vue pénètre même à distance dans l'intérieur du corps humain, en distingue les lésions el indique les remèdes. Et ce qu’il y
qui restaient mélangés à l’état confus, tendent de plus en plus à se distinguer . De là une division plus apparente que réelle.
qui, usurpant le rôle du médecin, prétend diagnostiquer les maladies, distinguer les lésions des organes profonds et indiquer les
dans l’électrisation humaine comme dans le somnambulisme, nous devons distinguer un grand nombre de nuances et de variétés dans le
le double caractère de la science et de la vertu, parmi lesquels nous distinguons des prélats romains, des grands-vicaires, des pro
eux avec lequel elle disait être en rapport, resta invisible ; on put distinguer le mouvement de ses lèvres, mais on n’entendit pr
raindre un entraînement facile, car il n’est pas toujours possible de distinguer ce qui appartient à l’un ou à l’autre de ces deux
u’on élevait l’objet à la hauteur des yeux, elle ne pouvait plus rien distinguer ; il n'était donc pas démontré quelle pût voir à
s confus, comme si un épais brouillard était interposé, et ne peuvent distinguer même une lettre ; c’est ce 'qu’ont éprouvé plusie
s sage des mortels. Si du moins on avait dit à quels signes on devait distinguer la sagesse et quelle en était la mesure I «i Le
agnétisme que les hommes généreux et compatissants ; mais comment les distinguer ? Quelles épreuves exigera-t-on des néophytes? Qua
ommunication émane du personnage dont elle porte le nom, mais même de distinguer si elle vient d’un Esprit bon ou mauvais. Chacun
chemin. Un savant brille" surtout par son entêtement, c’est ce qui le distingue du vulgaire. Je perds donc chaque jour mon temps
ement, comme 011 eût dit au moyen âge. Ou lui répète : Il faut savoir distinguer ceux qui se livrent sérieusement à ces intéressan
artenant, les uns à la magie et les autres au magnétisme, comme il ne distingue point les causes de ces divers ordres de faits, e
ement. Il faudrait donc soumettre les rêves une étude suivie, afin de distinguer ceux qui d’entre eux appartiennent aux digestions
98 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e nom de plagio- céphalie, il faut, pour éviter toute confusion, la distinguer nettement de la plagiocéphalie ordinaire. (Ce m
la Salpêtrière, n° 1, 1903.) Les auteurs pensent qu'il y a lieu de distinguer dans l'affection décrite par Brissaud et Meige,
rmales de la maladie de Parkinson, M. Collet envisage celles qui se distinguent par des anomalies du tremblement. C'est ainsi q
tinguent par des anomalies du tremblement. C'est ainsi que l'auteur distingue les foi mes suivantes : 1° Maladie de Parkinson
nique, le principal élément de diagnostic, celui qui peut les faire distinguer d'un néoplasme céré- belleux, est l'existence p
m au niveau des scissures calcarines : à l'examen histologique on distingue seulement quelques tractus fibreux sains qui para
uré spécifique, le bacille de Hansen. Au point de vue cli- nique on distingue deux formes, la forme tégumentaire ou tubercule
malades depuis 8 ans au maximum, il ne manquait jamais. 11 faut en distinguer le réflexe deltoïdien produit par la percussion
récent traité de pathologie mentale de M. Gilbert-Ballet, M. Arnaud distingue seulement, suivant la période de la vie à laque
et déjà, on soit en droit, au nom de l'anatomie patholo- gique, de distinguer la démence précoce des folies dites dégénéra- t
i les observations qui ont été publiées sous ce nom, il y a lieu de distinguer deux ordres de faits : les uns concernent des a
'intervention judiciaire, sou- vent due au hasard, qui puisse faire distinguer cette catégorie d'aliénés des aliénés simplemen
bles à ces différents troubles fonction- nels ; 3° Il y a lieu de distinguer parmi les troubles respiratoires observés chez
ied. Dans le groupement postéro- latéral et post-postéro-latéral on distingue facilement des grou- pements secondaires représ
ions et les hallucinations du côté des organes visuel et auditif se distinguaient aussi par un carac- tère indécent, obscène et c
malies ; propor- tion : 52,6 p. 100. La' cérébelleuse supérieure se distingue par une grande constance mais souvent elle se r
t, dit l'auteur, hors de doute qu'il appartienne au facial. Pour le distinguer du noyau principal ou inférieur au facial, depu
Chez l'hémiplégique la marche de flanc vers le côté paralysé ne se distingue pas essentiellement de la marche de flanc normale
, dit l'auteur, des psychoses syphilitiques secon- daires. Elles se distinguent cliniquement peu des psychoses toxi- ques et au
ment. 2. Ce traitement doit être nommé photothermothérapie, pour le distinguer de la photothé- rapie. 3. La photothermothérapi
ter- mination d'espèces morbides naturelles. On peut présentement distinguer : 1° La paralysie générale. Il n'est pas except
résultant de l'arrachement ou de l'excitation du plexus solaire. Il distingue expérimentalement un certain nombre de syndrome
- tomopathologique, voire pathogénétique. Il est indispensable de distinguer exactement les mesures utiles à la céphalométrie,
Neurologie, 1903, n° 20.) En dehors des tics proprement dits qui se distinguent par leur caractère convulsif, les lèvres sont c
ptibles d'une intervention chirurgicale. Elle est utile encore pour distinguer la syphilis cérébrale des autres maladies du cerv
de la Soc. de méd. mentale de Belgique, juin 1902.) Cet appareil se distingue des autres par deux organes essentiels : tu une
rurent après l'établissement tardif des règles. M. Dupré. Il faut distinguer entre le puérilisme et l'infantilisme. L'hystér
99 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
e périphérique. Cette fillette présente un très grand intérêt et se distingue très nette- ment d'autres monstruosités de même
emps, l'une d'elles présentait l'aspect d'un foetus de 8 mois et se distinguait fortement de sa soeur qui était complètement fo
trophiés (biceps, pectoraux). Les nerfs du membre infé- rieur ne se distinguent en rien des nerfs normaux. Macuoscopiquement, l
vous montrez que vous portez au pouce une grosse bague, ce qui vous distingue aussitôt des confrères be- soigneux et vous att
e. Le médecin a du décorum, et la femme qui présente le breuvage se distingue par un naturel parfait qui n'est pas dénué d'él
peau, ses gants, sortent de chez le même faiseur. Cependant pour se distinguer , il a pris un habit vert bouteille; son nez est
énignes, certains lipomes, par exemple, ou certains fibromes qui se distinguent par une double singularité : elles sont multipl
lus fortement, et paraissent touchés alors que par le Pal ils ne se distinguent en rien des faisceaux normaux. Dans cette régio
,la plus concrète est ce que j'ai nommé sens des attitudes. Il faut distinguer , pour analyser le domaine et l'exercice de ce s
e de la variation dans l'espace à celle de l'effort exercé. Il faut distinguer trois points dans cette question délicate. Premie
e absolument superposable à celui que révèle le labyrinthe. Il faut distinguer l'indocilité que met le globe à se conformer immé
r façon particulière de rechercher l'équilibre perdu ; il faut donc distinguer dans le signe de Romberg l'insuffisance ou l'ir
iffère aucunement en ce point de tous les labyrinthiques. Ce qui le distingue , c'est l'incoordination motrice qui apparaît quan
issement bilatéral du champ auditif, une impos- sibilité absolue de distinguer les couleurs, seul l'odorat était conservé; enf
e il n'y a qu'un instant. Derrière ces groupes, au dernier plan, on distingue l'arrière-officine, à demi voilée par un rideau
non équivoque, cède aux besoins les plus impérieux de la nature. On distingue même le louable résultat de ses efforts. Plaisa
sséminées paraissent très semblables au premier abord mais elles se distinguent cependant l'une de l'autre par quelques caractère
s presque toujours avec succès. Les malades d'amour de Jan Steen se distinguent toutes par une inté- ressante pâleur des person
iques, tout cela nous le reconnaissons bien. Je crois même que l'on distingue , sous le fichu blanc qui encapuchonne la tête,
ment d'une porte, est pleine de lumière et richement décorée : on y distingue une cheminée à colonnes avec des chenets de cui
ain, que Brissaud appelle gringalets. Les infantiles type Lorain se distinguent par leurs proportions fines et élan- cées. Les
re leur cylindre-axe ; 3° des fibres minces où il est impossible de distinguer un Fig. 2. - Coupe musculaire. véritable cyli
st lente : c'est un de ses caractères principaux, suffisant pour la distinguer des névrites. La progression est tellementra- l
eur mode de distribution et de circonscription; on sait aujourd'hui distinguer suivant leur origine les anesthésies en rapport
a correcte monotonie. Frans van Mieris, surnommé le Vieux pour le distinguer de son fils et de son petit-fils, qui furent pe
lus les divers éléments du champ de Cohnheim sont très difficiles à distinguer même à un examen attentif. Les parties claires qu
nteau blanc de la face externe du ventricule n'est pas lésé ; on en distingue les différentes couches. Dans la substance blan
100 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
volontaire,' c'est-à-dire du sens musculaire ; en clinique elle se distingue par les résultats négatifs de l'épreuve des yeu
dans ses Leçons sur les ma- ladies nerveuses des femmes (1885). Il distingue tout d'abord deux modes d'incoordination motric
ont mises en jeu par les mouvements de locomotion du corps et les distingue des spasmes fonctionnels. Mais cette distinctio
rs dimensions normales, mais elles sont granuleuses et l'on ne peut distinguer leurs noyaux. Elles sont, en général, arrondies
sant à la persistance des trou- bles spasmodiques. (C'est là ce qui distingue cette amyotrophie de l'amyotrophie cellulaire d
héorique des formes oblige à fixer, à observer, regarder, comparer, distinguer , assembler, réfléchir, juger et préparer l'util
et la description que nous en avons tirée, il est déjà possible de distinguer plusieurs formes d'astasie et d'abasie correspo
c rigidité. Dans ce dernier cas, la contracture est trop facile à distinguer pour que l'erreur soit possible. Dans le premie
r le redressement de la pointe du pied. Il n'y aurait pas lieu de distinguer l'affection qui 196 pathologie nerveuse. nous
ssure temporale est très irrégulière et tronçonnée. - On ne saurait distinguer de troisième circonvolution temporale, qui, ici
re, tronçonnée, mais on peut à la rigueur, surtout postérieurement, distinguer une troisième circonvolution temporale égalemen
dis que la loquacité déclamatoire (Redesucht) ' La confabulation se distingue de la verbigération par son caractère d'imagina
rencie des aliénations idiopathiques et sympathiques. On pourrait distinguer des formes de Catatonie épileptique, r tétaniqu
étanique, choréique, cataleptique, indifférente; mais il vaut mieux distinguer des cas faibles ou simples, graves ou compli- q
d'extase ou de l'indifférence vide. l3rosius croit que déjà on peut distinguer trois formes de Ca- tatonie : 1° une forme méni
uRy expose que l'évolution spéciale du délire chronique suffit à le distinguer des autres formes mentales, dont la symptomatol
émontré qu'au point de vue des réactions patho- logiques il fallait distinguer , dans les cordons posté- rieurs de la moelle, d
est ferme. Ni à sa surface ni sur les coupes transversales on ne distingue de teinte grisâtre au niveau des cordons postérie
lle peut se transformer en l'une quelconque des formes dont il la distingue auparavant (redesucht ordinaire, radolerie des
ncoordination motricedes membres supérieurs chez l'ataxique elle se distingue de l'incuordination athétosique en ce que le dé
rie de gâteux que l'auteur fait une étude psychopathologique. Il en distingue trois classes : la pre- mière comprend le gâtis
thologique, pas- sager, épisodique, étranger la personnalité; on en distingue trois catégories, suivant la région où siège l'
pour l'audition. Elle indique elle-même comment elle est arrivée à distinguer le temps écoulé, en récupérant la réflexion, la
qu'il propose de désigner sous le nom de délire d'énormités pour la distinguer du vrai délire des grandeurs. Ce délire d'énorm
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