iivre, une histoire de l'intelligence humaine, faite de manière à la
distinguer
par des caractères précis, des facultés analogues
microscope découvre en chacun d'eux une organisation compliquée. On y
distingue
en effet : 1° une gaîne tubuleuse finement striée
aux. L'antérieur, le moyen, le postérieur; deux sillons longitudinaux
distinguent
ces cordons. L'un d'eux, assez mal défini, est le
t attachées leurs racines postérieures ; on sait que ces dernières se
distinguent
aisément par un petit amas ou renflement gris qu'
ence. Rolando, avons-nous dit, a signalé les différences d'aspect qui
distinguent
la substance de leurs cornes antérieures de celle
'est aussi là qu'elles atteignent à un plus grand volume ; on peut en
distinguer
deux amas principaux : l'un qui occupe la limite
la sensation la plus simple ? Enfin, ne sait-on pas que la faculté de
distinguer
par le toucher des impressions très-rapprochées a
ides. Ces choses peuvent être aperçues sans aucune dissection. Pour
distinguer
nettement l'origine des pyramides antérieures, il
e Leur rapprochement est quelquefois si intime qu'on peut à peine les
distinguer
; aussi, le plus souvent, n'aperçoit-on, au premie
es publiées par plusieurs anatomistes modernes, au milieu desquels se
distinguent
surtout M. Arnold et M. Foville. La protubéranc
Elle l'est surtout dans l'éléphant. Sa face libre est convexe ; on y
distingue
: a) Une vallée médiane qui suit la direction du
nculaire. En examinant avec attention la surface des pédoncules, on
distingue
surtout chez l'enfant naissant, une bande longitu
tes les autres cette divergence dont nous avons parlé. Cette bande se
distingue
au commencement de la vie par sa blancheur nacrée
tés qui sont, à proprement parler, les ventricules du cervelet. On en
distingue
trois, une médiane qui répond aux cervelets média
nsidéré, le quatrième ventricule est une cavité fort compliquée, on y
distingue
un corps et sept prolongements. Deux de ces pro
de l'isthme. Un sillon bien distinct (sillon latéral de l'isthme) les
distingue
du pédoncule cérébral proprement dit. Reil les av
et, comme M. Tiedemann l'a fort à propos observé, ils commencent à se
distinguer
de la masse de ces faisceaux latéraux vers la rég
ntre de la couche optique; d'abord très-adhérente au noyau, elle s'en
distingue
bientôt sous forme d'un cordon où la substance bl
ue à la face supérieure du cervelet entre les deux pédoncules moyens,
distingue
deux régions dans le cœur. L'une, antérieure, com
édiane, plus ou moins saillante, qui est le monticule, dans lequel on
distingue
le culmen et le déclive ; le monticule se prolong
er mieux aux besoins de la comparaison en anatomie zoologique. Nous
distinguons
, dans la masse générale du cervelet, trois masses
istincts. Ils ont reçu des noms divers que nous ne changerons pas, on
distingue
: 1° Les lobes postéro supérieurs ou seminulair
plusieurs groupes secondaires très-variables, dans chacun desquels on
distingue
plusieurs feuilles diversement inclinées. On a es
hérie et les tranchants confondus sur une lame basilaire. Cette forme
distingue
au premier aspect le lobe semilunaire de toutes l
ez ces singes, et dans les autres sapajous, il n'est plus possible de
distinguer
des autres parties du cervelet latéral, ce lobe e
Cette fosse, d'abord béante, est la vallée de Sylvius, à laquelle on
distingue
un bord antérieur qui répond au lobe frontal, un
pports, est la première qui apparaisse dans le cerveau des singes, et
distingue
déjà le pli marginal inférieur, dans certaines es
externe. Us entourent la grande ouverture de l'hémisphère. On peut y
distinguer
trois grands lobes, séparés par deux scissures fo
es anatomistes, Arnold, M. Foville et plusieurs autres, ont essayé de
distinguer
, par la dissection, les divers faisceaux longitud
elles ont une inclinaison légère d'arrière en avant, ce qui permet de
distinguer
deux ordres de fibres transversales, les unes dro
igné sous le nom de locus niger, substantia nigra, d'endroit noir, le
distingue
de l'étage supérieur que composent essentiellemen
noir a pour base une masse grise amorphe, au milieu de laquelle l'œil
distingue
une grande quantité de cellules multipolaires que
res blanches. Les cellules de la substance grise sont incolores et se
distinguent
par leur pâleur, d'ailleurs elles ne présentent r
l'avoir généralisée en la rendant plus précise. Cet habile médecin
distingue
, dans toute l'étendue de l'écorce du cerveau, plu
veau, et d'autre part, quelque attention qu'on y mette, on ne peut en
distinguer
plus de trois. Les observations qu'on peut fair
ulte des expansions cérébrales de la commissure antérieure. On peut
distinguer
dans la commissure antérieure deux choses : le fa
idées qu'éveille l'organe de la vue un complément nécessaire. Nous
distinguons
dans chaque hémisphère, à partir de sa face inter
partout les tractus fibreux qui les doublent. Parmi ces tractus, nous
distinguons
au premier abord une bande blanche qui, de la fac
mmissures propres connues sous le nom de racines du nerf olfactif. On
distingue
en outre la coiffe grise, et les fibres qui, de l
erfs sous-occipitaux, ce qui réduit à neuf le nombre de paires qu'ils
distinguaient
dans le crâne. Quelques anatomistes modernes en a
plongent immédiatement dans la coiffe grise du lobe olfactif. On doit
distinguer
parmi ces nerfs celui qui, dans la plupart des ma
ue le centre ovale reçoit la quantité exceptionnelle de fibres qui le
distinguent
. Cette hypothèse ne serait pas mieux fondée que l
s demeurent attaches aux couches optiques, le long des lignes où l'on
distinguera
plus tard les habenœ de la glande pinéale ; mais
i s'étend entre les couches optiques et les corps striés internes, et
distinguent
, en conséquence, le vestibule du ventricule moyen
és beaucoup de sa grandeur relative. A l'intérieur des ventricules on
distinguait
déjà des élévations correspondantes aux couches o
le sillon médian, deux plans fibreux émanés des faisceaux moyens. On
distinguait
, en outre, avec la plus grande évidence, les pédo
ieurs. Ces lobes n'ont à aucune époque ces grands vermis latéraux qui
distinguent
le cervelet de la plupart des mammifères, et en p
ervelet. Elle a d'ailleurs dès le principe le caractère qui doit la
distinguer
toute la vie, c'est-à-dire que ses plans profonds
ales des plis frontaux sont bien dessinées, la scissure parallèle qui
distingue
le pli marginal inférieur de la scissure de Sylvi
ns tous les cas que j'ai observés, ai-je vu la scissure parallèle qui
distingue
le pli marginal inférieur se dessiner à droite av
tière fibreuse du centre ovale n'a point cette couleur blanche qui la
distingue
dans l'adulte ; quant aux couches corticales, ell
l n'en est plus de même quand, descendant au détail, il essaye de les
distinguer
les uns des autres et de les connaître dans leur
tiales, différences qu'il importe d'autant plus de signaler, qu'elles
distinguent
peut-être mieux les Êtres que celles de l'âge adu
s-je, trouvera-t-on un seul encéphale de mammifère? Loin de là; il se
distingue
, en effet, par une physionomie particulière, par
Faisons remarquer, en premier lieu, qu'une différence fondamentale
distingue
les formes primitives de l'encéphale de l'homme à
vie fœtale l'homme est homme en puissance, des caractères définis le
distinguent
, et s'il est soumis aux lois générales qui domine
isines de celles que présentent certains singes et, d'autre part, à
distinguer
dans la suite de ses développements une série d'é
cerveau est presque absolument lisse. Ainsi, les premiers plis qui se
distinguent
ici sont inférieurs à la scissure de Sylvius. C
se dessinent sont : 1° le sillon de Rolando ; 2° un petit sillon qui
distingue
, dès cette époque, le lobe occipital. La scissure
s deux lames de la dure-mère ; on leur a donné le nom de sinus. On en
distingue
un assez grand nombre. L'un d'eux suit le bord
s un sens déterminé, et s'ils n'ont point ces parois contractiles qui
distinguent
en général les veines, cette anomalie est command
breuses la maintiennent dans l'axe du tube formé par la dure-mère. On
distingue
parmi ces attaches : 1° à son extrémité inférieur
e l'encéphale ont pour troncs communs les sinus de la dure-mère. On
distingue
: 1° Les veines cérébrales supérieures. Leurs r
ès Arnold (1), fort abondants dans la pie-mère. Cet habile anatomiste
distingue
dans cette membrane trois réseaux superposés. Les
avec l'intelligence, je veux dire avec la liberté. Ici l'individu se
distingue
dans sa race par une forme qui est à lui, par un
us apparente; et bien que la race ait une physionomie générale qui la
distingue
, cette physionomie commune n'implique plus aucune
vrage récent (1), a étudié cette question avec le plus grand soin. 11
distingue
seize déformations principales. Mon but n'est pas
est certain que les hommes de Toulouse ont une forme de tête qui les
distingue
, et qui se transmet par la génération. Mais nous
ssus se moquerait des hommes droits. Ainsi les particularités qui les
distinguent
sont, aux yeux des nations, le critérium de la so
vons-nous dit, au milieu de ce développement général trois régions se
distinguent
plus particulièrement par leur grandeur, savoir:
les fibres centrales et les fibres périphériques. 11 faut toujours
distinguer
avec soin les résultats immédiats des expériences
s, et il s'est élevé de nouvelles théories. Parmi ces travaux on doit
distinguer
, au premier rang, ceux de M. Schiff (de Francfort
res de la protubérance sont peu connues, parce qu'il est difficile de
distinguer
clairement l'effet particulier de ses lésions, de
, agit seul ou réclame le concours des « lobes cérébraux. » Il faut
distinguer
avec soin le mouvement de rotation sur l'axe qui
'il n'en soit ainsi quelquefois. Mais il n'est pas toujours facile de
distinguer
si, quand l'animal tourne, il agit spontanément e
la section des corps restiformes, et dès lors il eût dû s'efforcer de
distinguer
dans ses expériences la part réelle du cervelet d
têtre discutées (l). Cet illustre physic ien montrait la nécessité de
distinguer
dans les saveurs les effets produits sur le goût,
pas l'être par excellence. Ce n'est pas tout, on a cru nécessaire de
distinguer
absolument cet être de ce qui est connu par lui,
ons difficiles. Aristote avait déjà manifesté une tendance évidente à
distinguer
de lame qui anime le corps, anima, l'esprit raiso
sance! Les hypothèses de Willis, si elles s'étaient arrêtées là, se
distingueraient
à peine d'avec celles des partisans de l'automati
end évidemment à un matérialisme absolu. En vain affirme-t-il qu'il
distingue
de celte âme corporelle une âme directrice, le No
'autant d'élé ments doués d'une propriété spéciale que nous pouvons
distinguer
de couleurs. Certaines expériences de M. Cl. Bern
me perçoit les joies de Vénus, Veneris gaudia percipit ; le quatrième
distingue
le pesant du léger. Quant à l'âpre et au doux, il
devancé notre spirituel maître, M. le professeur Gerdy. Cet écrivain
distingue
, en effet, quatre touchers distincts comme Cardan
ond sens de Cardan. — La deuxième espèce comprend le sens du tact qui
distingue
le chaud et le froid, l'humide et le sec, le pesa
andry. Des observations curieuses et fort bien faites le conduisent à
distinguer
dans le toucher « quatre sensations spéciales, de
e perçoit point l'humidité, pas plus que plongée dans l'huile elle ne
distingue
l'oléagineux. En effet, des corps qu'une couche i
igts circonscrite par un petit cadre de baudruche, cette sensation se
distingue
à peine d'avec celle d'un simple contact. Voilà
ment, c'est l'idée d'extériorité. Placé sur la limite du moi, il le
distingue
du non-moi plus que tous les autres sens. Si la v
ne ligne droite que celle d'une ligne courbe, et il est impossible de
distinguer
une concavité d'avec une convexité pour peu que l
sur une surface parfaitement polie, où le sens du contact ne pourrait
distinguer
aucune inégalité, une figure circonscrite par une
la divination des aveugles, qu'on a pu quelquefois croire capables de
distinguer
les cou leurs par le toucher. Tel était, dit-on
eur; certaines espèces sont excitantes, les autres énervantes; on les
distingue
aussi quant à leur énergie et quant à leur étendu
sont innombrables. Il est donc, en beaucoup de cas, fort difficile de
distinguer
dans certaines impressions complexes la part de c
r n'est pas une simple sensation olfactive. M. Chevreul a donné, pour
distinguer
ces éléments d'une sensation complexe, un procédé
de contact. M. Chevreul, qui a étudié ce sujet mieux que personne,
distingue
quatre catégories de corps agissant sur l'organe
les attitudes et les mouvements du corps. L'homme posé sur ses pieds
distingue
fort bien le bas du haut, et de la même manière a
es optiques d'un seul œil; 4° que l'esprit lui-même entre en jeu pour
distinguer
dans l'image totale ses parties constituantes. Va
r les Enfin, un cinquième et dernier élément est l'impossibilité de
distinguer
nettement le détail des objets éloignés, tandis q
uer nettement le détail des objets éloignés, tandis que la faculté de
distinguer
ce détail augmente à mesure que les objets se rap
que, tout ce qui étincelle d'harmonie, tout ce qu'une forme limite et
distingue
, tout ce qui se meut, tout ce qui est dans l'espa
que que, dans des dessins où plusieurs lignes se croisent, l'œil peut
distinguer
à volonté des figures diverses. Ainsi l'esprit, p
rième état est celui de l'extase, état encore mal défini, mais qui se
distingue
de l'état d'hallucination et de sommeil par des t
sera de même nature. La lumière du soleil, par exemple, empêchera de
distinguer
à une faible distance la flamme d'une bougie, mai
s imaginer était joué en réalité par un orchestre éloigné. Mon ami le
distingua
parfaitement et m'affirma de nouveau qu'auparavan
et en particulier Jouffroy, en ont fait le caractère principal qui la
distingue
du sommeil. Mais ce caractère seul n'établit pas
terminer dans quelles limites on doit avoir créance aux songes, qu'il
distingue
de la manière suivante : « Il y a, dit-il, rêve
ce, et ne peut être compris qu'à l'aide d'une interprétation. Macrobe
distingue
cinq espèces de songes (1). 1° Le particulier,
Lorsqu'une idée par sa vivacité s'exalte, elle arrive au point de se
distinguer
dans l'esprit par une sorte d'individualité, et c
tion qualitative. 1° Des hallucinations essentielles. On peut les
distinguer
en tant qu'elles sont primitives ou consécutives.
é avec un rare talent l'histoire des hallucinalions psychiques, qu'il
distingue
très-heureusement des hallucinations auxquelles l
n réelle. Toutes ces hallucinations ont un caractère commun qui les
distingue
de la plupart des hallucinations nocturnes. Celle
dont la vision n'est point suspendue ; et c'est précisément là ce qui
distingue
les hallucinations, des rêves de l'extase. Souven
ea à leurs yeux en un cadavre d'homme; l'un voyait sa jambe, un autre
distinguait
nettement sa tête. Des cris d'horreur se firent e
difficile de ne pas partager sur ce point l'opinion de Jam-blique. 11
distingue
avec soin les inspirations célestes de ces divina
Dans l'état normal de la veille, cette erreur n'a jamais lieu. Nous
distinguons
aisément le monde réel d'avec le monde imaginaire
trop insister sur ces choses. Une impression pénible dont l'esprit ne
distingue
point la cause, se change en un sentiment général
ion dans la production des maladies de la pensée. D'ailleurs, il faut
distinguer
avec soin les excitations par influence, d'avec l
d'une même sorte, et d'où résulte la physionomie des professions ? Ne
distingue-t
-on pas, sous un costume analogue, le militaire d'
e corps humain des propriétés analogues à celles de l'aimant ; « on y
distingue
des pôles également divers et opposés. L'ac-« tio
is non telles que celles que l'on perçoit par l'oreille, et faciles à
distinguer
de ces dernières. Ces paroles, qui parlent des pr
'œil ne serait point un organe de vision. Admettons qu'une somnambule
distingue
ce qu'elle applique à son épigastre, qu'elle en a
era-t-on prétendre à expliquer clairement ces différences natives qui
distinguent
, quant aux aptitudes intellectuelles, les hommes
ans l'ordre de l'instinct. Toute la différence est là. Mais comment
distinguer
dans les animaux ces deux parts de la vie de l'âm
te faculté supérieure, une idée de l'intelligence; aussi, les Hébreux
distinguaient
-ils le plus intelligent des êtres terrestres, sou
l'intelligence une fois établie, tout s'éclaircit et l'on commence à
distinguer
la limite qui s'élève entre les animaux et l'homm
des mouvements sympathiques. Toutefois, les mouvements symboliques se
distinguent
par quelques nuances qu'il peut être intéressant
maine si vaste de la science. § 4. Du langage de l'homme. On peut
distinguer
quatre éléments distincts dans le langage de l'ho
chose comprend l'idée. Ainsi, la faculté de peindre implique celle de
distinguer
dans un objet toutes celles de ses parties et de
els nous réagissons contre une odeur mauvaise. Ainsi, l'homme ne se
distingue
point d'avec l'animal en tant qu'il a des sensati
n allant à l'affût mettent son calcul en défaut. (1) » Si la pie ne
distingue
pas en quoi quatre hommes diffèrent de cinq, cela
pas du tout. Si trois hommes peuvent à la fois frapper ses sens, elle
distinguera
aisément trois de deux, sans les compter. De même
trois objets affectent nos sens autrement que deux, mais notre œil ne
distingue
pas neuf de dix; ceci est l'affaire de l'intellig
point été de décrire en détail l'intelligence de l'homme, mais de la
distinguer
par ses véritables caractères. Ce livre ne peut ê
orné; mais la finesse de cet odorat, dans cette analyse qui leur fait
distinguer
avec tant de précision les aliments salubres des
vant quelle loi ces variations s'expriment, m'efforçant sans cesse de
distinguer
avec le plus grand soin ce qui est essentiel et c
ace externe de l'hémisphère. A. Sur la face interne, M. Cruveilhier
distingue
: \° La circonvolution du corps calleux. C'est,
externe. C. Circonvolutions de la face externe. M. Cruveilhier les
distingue
en circonvolutions frontales, pariétales et occip
ed. Arnoldi Tab. anat., fasc. 1; Turici, 1838). Ce célèbre anatomiste
distingue
ou plutôt admet quatre lobes dans l'hémisphère, 1
ates (pl. 11, fig. 1, 2, 3, 4, 5). Le Singe (on voit que M. Leui'et
distingue
peu entre les Singes) a trois circonvolutions ant
émisphère. Parmi les circonvolutions du troisième ordre, M. Foville
distingue
, sur la face interne, 1° le groupe quadrilatère;
age inférieur sera pour nous le lobe temporo-spkénoïdal. Ainsi nous
distinguons
, sur la face externe de l'hémisphère, quatre lobe
ois au lobe temporal et à l'étage inférieur du lobe occipital. Nous
distinguons
ainsi, sur la face interne de l'hémisphère, 1 "
rand sillon du lobe fronto-pariétal. L'un des deux plis que ce sillon
distingue
confine au corps calleux; au-dessus du genou post
us ces faits sont déjà bien apparents dans les Semnopithèques, qu'ils
distinguent
des Cercopithèques ou Guenons ; mais ils se dével
ieure il se déve îoppe et forme un lobule assez grand. Ce caractère
distingue
à la fois les vrais Macaques des Rhésus et des Cy
es communs que les Chœropithèques ont avec les vrais Macaques, ils se
distinguent
aisément d'avec les autres Singes. Par la grandeu
ndeur de leur lobe pariétal et la richesse des plis cérébraux, ils se
distinguent
du Rhésus. Par la petitesse du prolongement posté
etitesse du prolongement postérieur du deuxième pli ascendant, ils se
distinguent
d'avec les vrais Macaques; enfin, par la grandeur
série, à quel groupe peut-on plus immédiatement le comparer? Il se
distingue
1 " des Macaques à queue courte par la grandeur d
Sylvius, la richesse et la complication générale des plis secondaires
distinguent
, au premier abord, ce cerveau de celui de tous le
jour dans ce labyrinthe, et cette grande complication disparaît. On
distingue
alors, avec la plus grande facilité, 1"* le lobul
individus. Ils varient, en effet, de la façon la plus capricieuse, se
distinguent
ou se confondent en mille manières différentes, e
§ XXY. Voilà, d'une manière générale, les principaux caractères qui
distinguent
ou rapprochent les plis cérébraux de l'Homme de c
Homme de ceux des Singes. Disons maintenant quelques mots de ceux qui
distinguent
les cerveaux des différentes races ou espèces hum
caucasique. Ils présentent, à la région frontale, un espace que l'œil
distingue
aussitôt (comparez, pl. H, les fig. 1 et 2). On l
r que la parole « est une action plus particubère à l'Homme et qui le
distingue
davantage des brutes que la main, qu'Anaxagore ,
fait irrécusable de la nécessité du corps, secundum sîatum prœsentem,
distinguer
l'esprit, en tant que puissance, de l'intelligenc
s , ou sorte que, tout en conservant les caractères d'infériorité qui
distinguent
leur groupe , ils s'élèvent néanmoins par na subt
ulièrement réduit; ses trois étages sont, d'ailleurs, assez faciles à
distinguer
dans VAtèle. 3° Le sillon qui limite en arrière
tile de résumer ici l'ensemble des caractères qui peuvent servir à le
distinguer
. r Le cerveau des Sajous est plus globuleux que
ns un même groupe ; quelques zoologistes même ne paraissent point les
distinguer
. Le fait que je signale ici ne semble pas favorab
règles lumineuses que M. Chevreul a données , touchant la manière de
distinguer
entre les variétés simples , les races, les sous-
e du cerveau est tout à fait unie. D'ailleurs sa forme générale ne se
distingue
en rien de celle du cerveau des autres Singes, et
s, qui sont des divisions naturelles de l'hémisphère cérébral. Nous
distinguons
cinq lobes sur la face externe de l'hémisphère de
nd d'une grande vallée. Cette vallée est la scissure de Sylvius. On
distingue
aisément 1** le lobe frontal, qui forme l'extrémi
cendant fournit de bons caractères à l'aide desquels on peut aisément
distinguer
les vrais Macaques, oii elle est longue, des Rhés
trois; ils sont parallèles entre eux et à la scissure de Sylvius. On
distingue
aisément 1** le pli temporal supérieur, qui borde
du corps calleux et de l'ouverture cérébrale. Une longue scissure les
distingue
. Le pli qui limite l'ouverture est le pli de la
riable. Les plis du lobe occipito-temporal sont mieux définis. Nous
distinguons
1° le pli temporal supérieur interne ou pli godro
es Atèles, les Cynocéphales, les Chimpanzés, les Orarigs et VHomme se
distinguer
, au milieu de tous les Primates, par la richesse
lles d'étudier assez longtemps les Singes soumis aux expériences pour
distinguer
les effets particuliers de la soustraction d'un p
ue un signe objectif d'autant plus remarquable qu'il permet même de
distinguer
la paralysie de la sixième paire due à une lési
êt. La disparition du réflexe achilléen permet dans certains cas de
distinguer
la névrite sciatique de la pseudo-sciatique hysté
onner divers caractères que j'ai découverts et qui peuvent servir à
distinguer
l'hémi- plégie organique de l'hémiplégie hystér
nt toujours, lorsqu'on a acquis de l'expérience en cette matière, à
distinguer
le vrai du faux. Les perturbations dans l'excit
s plus caractéristiques de la crise épileptique et permettent de la
distinguer
des attaques hystériques. On enseigne généralemen
eut résoudre le problème qui se présente si souvent en clinique, de
distinguer
des manifestations hysté- riques celles qui dép
ffaiblis et l'on s'accorde à dire qu'il est sou- vent impossible de
distinguer
à la première période l'hémiplégie hysté- rique
flexe que l'on explorait est aboli. Pourtant on arrive aisément à
distinguer
du réflexe « légitime » le « faux » mouvement r
midal siégeant au-dessus de leurs centres. CARACTÈRES PERMETTANT DE
DISTINGUER
LA SURRErLECTIYITE. - (Causes d'erreur d'appréc
res ('). Aussi s'agit-il de déterminer les caractères permettant de
distinguer
d'avec les réflexes tendineux simplement forts,
ariétés d'épi- lepsie spinale. Et pourtant, il est essentiel de les
distinguer
puisque, je (') De l'épilepsie spinale fruste,
e réac- tion qui diffère suivant le point où elle est pratiquée. On
distingue
trois réflexes cutanés abdominaux : l'inférieur
e défense ? 11 y a trois caractères principaux qui permettent de la
distinguer
: l'am- plitude des mouvements est plus grande,
o- cier ; il n'en est pas moins vrai qu'il est indispensable de les
distinguer
l'un de l'autre. Je n'insiste pas davantage sur
tracture qui peuvent d'ailleurs s'associer une dénomination qui les
distingue
, j'ai proposé d'appliquer à l'une le qualificat
rganiques et que les phénomènes extrinsèques seuls permettraient de
distinguer
ces deux espèces de troubles. Je soutiens une
ion épileptoïde le tremblement hystérique, dont les oscillations se
distinguent
aisément par leur irrégularité de celles du vra
rde, une exagération des réflexes ; mais on arrivera généralement à
distinguer
ce pseudo-réflexe du réflexe légitime à l'aide
démontrer qu'il est essentiel, au point de vue pratique, de savoir
distinguer
l'hémiplégie organique de l'hé- - miplégie hyst
d'observer des cas de ce genre. Les caractères dont on se sert pour
distinguer
l'hémiplégie organique de l'hémiplégie hystériq
rcherai à mettre en lumière les caractères qui peuvent permettre de
distinguer
l'une de l'autre les deux espèces d'hémiplégie fa
hystérique a un aspect cli- nique tout particulier qui permet de la
distinguer
de la paralysie faciale liée à l'hémiplégie org
flexe tendineux). Le plus souvent une simple inspection suffit pour
distinguer
ces deux phénomènes l'un de l'autre ; c'est ain
faiblis, et l'on s'ac- corde à dire qu'il est souvent impossible de
distinguer
il la première période l'hémiplégie hystérique
ns un tableau, les caractères relatifs aux troubles de motilité qui
distinguent
l'hémiplégie organique de l'hémiplégie hystérique
tés cliniques relatives à la motilité, qui contribuent encore à les
distinguer
de l'hémi- plégie hystérique. L'hémiplégie al
ssivement les divers caractères d'ordre moteur qui peuvent servir à
distinguer
l'hémiplégie organique de l'hémiplégie hystériq
e l'exagération du réflexe de défense physiologique. Comment donc
distinguer
l'état pathologique et sur quels signes se fond
bres supérieurs, il était nécessaire de faire une subdivision et de
distinguer
deux formes de rigidité musculaire qui souvent,
i-dessus décrite. Un autre caractère plus important et conduisant à
distinguer
l'état physiologique de l'état pathologique est
extension des orteils du côté paralysé. Ce réflexe pathologique se
distinguerait
des autres réflexes tendineux parce que la réac
es de contrac- tures qui peuvent s'associer une dénomination qui la
distingue
, j'ai proposé d'appliquer à l'une le qualificat
e. Nous les rapprochons des réflexes de dé- fense, mais nous les en
distinguons
. Les unes et les autres peuvent d'ail- leurs êt
bien différents des « mouvements associés homolatéraux ». Pour les
distinguer
, nous les désignerons sous la dénomination de «
ris, séance du 3 février ig21 . Il peut être difficile parfois de
distinguer
, dans les mouvements consé- dits de défense ou
avons ici en vue présentaient un syndrome de Brown-Séquard.) Pour
distinguer
d'une façon spéciale les réflexes que nous venons
Ce qui prouve qu'il n'en est pas ainsi, c'est d'abord que le malade
distingue
lui-même ces deux ordres de mou- vements, c'est
a- tion préalable, et par la conservation du réflexe consensuel, se
distingue
de l'abolition vraie du réflexe à la lumière, l
rcation entre les deux ordres de faits que nous envisageons. Pour
distinguer
nettement les affections du cervelet de celles du
des et démesurés, dans d'autres affections ? Et si oui, peut-on les
distinguer
des mouvements démesurés cérébelleux ? ' ? Au
jambes écartées, en oscillant continuellement et ses mouvements se
distinguent
par leur maladresse (Ungeschichlichloeit), leur
our constituer l'ataxie. « Dans l'ataxie cérébelleuse, dit-il, nous
distinguons
nettement deux ordres de faits de nature et d'o
tations très différentes ; mais, de manière à peu près analogue, il
distingue
les phénomènes initiaux d'avec les phénomènes t
affections du cervelet. D'autres, au contraire, estiment qu'elle se
distingue
véritable- ment de l'ataxie tabétique, mais ils
ns désordres cérébelleux, les mouvements démesurés, par exemple, se
distinguent
de troubles observés chez les ataxiques. Nous r
si, comme l'a magistralement démontré Duchenne de Boulogne, il faut
distinguer
la démarche titubante de certains cérébelleux d
ysies psychiques, on peut considérer ce signe comme per- mettant de
distinguer
, dans certains cas, la chorée de Sydenham de la
ntracture des membres inférieurs, de paraplégie spasmodique, qui se
distingue
par son aspect clinique et ses caractères anatomi
une question controversée (2), je rappel- lerai seulement qu'il se
distingue
par les signes suivants : contracture en (') Su
ne perçoit aucun des objets que l'on place devant l'oeil ; elle ne
distingue
guère que le jour de la nuit. Du côté droit, l'ac
matière, m'a déclaré nettement qu'il est impossible, selon lui, de
distinguer
objectivement cette lésion de la sclérose du ta
e la névrite rétro-bulbaire. Parinaud estime qu'il serait bon, pour
distinguer
cette forme de névrite de celle qui est causée
uchenne, et qui, malgré des analogies pouvant induire en erreur, se
distingue
par des caractères cliniques bien tranchés du tab
té gauche l'acuité visuelle est de 5/1; du côté droit, le malade ne
distingue
aucune couleur; à gauche il n'y a pas de dyschrom
ésente encore des troubles sensitifs nettement appréciables : il ne
distingue
pas la pointe d'une épingle de sa tête, un corps
n voulu examiner la pièce. Voici la note qu'il nous a remise : « On
distingue
dans la prépara- tion : 10 une partie fibreuse,
es lésions scléreuses (sclérose multiloculaire). Ce qui per- met de
distinguer
ces affections les unes des autres, c'est que dan
parfois semblable à celle qui dépend d'une lésion destructive, s'en
distingue
généralement, ainsi que nous avons cherché à le
it enfin de reconnaitre la nature de la compression et notamment de
distinguer
une tumeur juxta-médullaire énucléable, où l'indi
e suffit pour écarter l'hypothèse de simulation ; elle peut aider à
distinguer
la sciatique vraie de la sciatique hystérique q
oxale. MM. Brissaud etMeige ont cherché à établir qu'il y a lieu de
distinguer
les tics des spasmes, que l'hémispasme facial p
mais ». Or une définition étant « une énonciation des attributs qui
distinguent
une chose, qui lui appartiennent à l'exclusion
rie n'est pas définissable équivaudrait à dire que l'hystérie ne se
distingue
par aucun caractère d'autres affections nerveus
s'être formé au préa- lable une idée plus ou moins nette de ce qui
distingue
cet état névropa- ! i58 HYSTÉRIE-PITHIATISilfE
ette reproduction est rigoureusement exacte et il est impossible de
distinguer
les troubles hystériques de ceux qui sont créés p
r par ce moyen une imitation très impar- faite, qu'il est facile de
distinguer
de l'original f ). Que l'on essaie par exemple
ie sont donc exactement semblables à celles de l'hypnotisme. Ce qui
distingue
ces deux états c'est que dans le premier les trou
ne qu'on examine qu'elle devra faire signe dès qu'elle commencera à
distinguer
l'index, avant même qu'il ne soit perçu d'une m
s et la repro- duction est tellement fidèle qu'il est impossible de
distinguer
la copie du modèle ; il me semble inutile d'ins
le d'obtenir, par ce moyen, une imitation très imparfaite, facile à
distinguer
de l'ori- ginal ; je défie par exemple de faire
ec moi pour déclarer que cette propriété constitue un caractère qui
distingue
la syphi- lis cérébrale des autres maladies org
ans lesquelles elles ont pris naissance il serait impossible de les
distinguer
les unes des autres ; nous avons vu d'ailleurs,
s inévitables, car l'on n'avait à sa disposition aucun moyen sûr de
distinguer
ces deux espè- ces de paralysie. On admettait,
ne possédait aucun des moyens dont nous disposons actuellement pour
distinguer
l'hémiplégie organique de l'hémipligie hystériq
., rangés, de l'avis unanime, dans l'hystérie. Il est impossible de
distinguer
objectivement ces deux ordres de faits les uns
des phénomènes qui sont également des troubles fictifs, mais qui se
distinguent
des précédents parce qu'ils ne peuvent résulter
nspirer la curiosité, l'étonnement ou la commisération, bref, de se
distinguer
d'une manière quelconque. Un très grand nombre
e de Sydenham de telle manière que je n'aurais pas été en mesure de
distinguer
la copie de l'original, mais cette impuissance
ation spéciale à ce groupe de phénomènes, comme à tout objet qui se
distingue
, ne serait-ce que par un seul attribut. J'ai pr
rai l'épithète d' « émotifs ». Il y a, en effet, des caractères qui
distinguent
nettement ces deux espèces de manifestations le
nion, mais ce qu'on peut dire dès maintenant c'est que ce groupe se
distingue
des deux précédents plus nettement encore que ceu
distingue des deux précédents plus nettement encore que ceux-ci se
distinguent
l'un de l'autre ; en effet, les phénomènes émotif
nt la guérison. 4° Connaissant les limites du pithiatisme, il saura
distinguer
les troubles qui ne font, pas partie de ce doma
uci pri- mordial consista dans la recherche de signes permettant de
distinguer
l'hypnotisme vrai, s'il en existe un, de l'hypn
tière n'apporterait aucune lumière, étant donnée l'impossibilité de
distinguer
le sommeil hypnotique légitime d'un sommeil simul
iques, éveillent l'idée de phénomènes hystériques, dont on peut les
distinguer
cependant. Je n'ignore pas non plus qu'il peut
riques ont été fréquemment observées dans certains Centres. Elle se
distinguent
déjà des crises épileptiques par l'absence cons
imités consciemment ou inconsciemment. Les attaques hystériques se
distinguent
encore par la forme qu'elles revêtent, grands m
hystériques et les contractures hypnotiques, ce qui est tout un, se
distinguaient
nettement des pseudo-contractures volontaires.
ité, ni de la vaso-motricité. Aucun signe clinique ne permet de les
distinguer
des contractions voulues. Leur localisation est
taloube étudiaient récemment encore ces « oedèmes de striction » et
distinguaient
deux phases dans leur évolution : si, pen- dant
hiatiques, ils résistent à la contre-suggestion. Ces accidents se
distinguent
des manifestations hystériques par divers carac
s résultats des recherches d'Erb et de Rümpf); cette amyotrophie se
distingue
de l'atrophie dégénérative. Elle est généralement
orie de troubles de motilité de nature physiopathique que l'on doit
distinguer
à la fois des phénomènes organiques, à propreme
o-milital1'es (que l'on peut être appelé el prendre, il y a lieu de
distinguer
, parmi les troubles de motilité, dits fonctionn
ies et les contractures liées à des lésions du système ner- veux se
distinguent
par des caractères objectifs qui leur appartienne
ico- militaires que l'on peut être appelé à prendre, il y a lieu de
distinguer
, parmi les troubles de motilité dits fonctionne
'accompagnent des signes objectifs sui- vants qui permettent de les
distinguer
des accidents nerveux de la pre- mière catégori
e en extension. Cette forme qui, d'ailleurs sauf cette attitude, se
distingue
radicalement du tabes dorsal spasmodique de Cha
856, au concours ouvert par l'Académie des sciences, qui a bien voulu
distinguer
honorablement mon travail. J'avais déjà consigné
ement à ces deux époques de la vie. Le système nerveux de l'enfant se
distingue
par un développement proportionnel beaucoup plus
ndent à ces diverses altérations, afin que l'on puisse parvenir à les
distinguer
pendant la vie. En attendant, nous les confondron
s effets ordinaires de cette forme de la maladie. Je me résume : on
distingue
dans la production des lésions ana-tomiques deux
e. Sur cette autre, nous voyons plusieurs pointes. On peut, en effet,
distinguer
deux cas au point de vue de cette disposition exc
'où l'obscurité très-grande du diagnostic. Avec de l'attention , on
distingue
une déformation dépendant du mal vertébral d'un s
ignalées dans l'anatomie pathologique. Voici un mal cervical; on en
distingue
deux espèces : Io le mal qui frappe les cinq dern
—Il y a deux espèces de gibbosités, deux classes de bossus qu'il faut
distinguer
à tout jamais. Les différences qui séparent ces d
ifs. Sur le vivant, dans la rue, à travers les vêtements, vous pouvez
distinguer
ces deux genres de bosses. Mais le diagnostic dif
d'une complication, d'un abcès placé dans un côté. % ^Nous pouvons
distinguer
ces cas. Je mets en regard ces deux moules, qui s
lonnes, laquelle présente une courbure principale à convexité droite,
distinguer
une deuxième courbure supérieure à convexité gauc
lieu, de reconnaître la nature de l'altération. Si nous savions bien
distinguer
chaque lésion qui peut provoquer la destruction d
perficielle ; ils peuvent être dus à l'affection tuberculeuse. On les
distingue
, en général, à l'intensité des symptômes, lesquel
nt la portion lombaire de l'épine ou la région dorsale inférieure. Je
distingue
trois degrés dans ces abcès. 1" Degré. — La col
erment. 2° Dans le second cas, l'abcès est plus profond ; la vue ne
distingue
pas bien la tumeur, la fluctuation est obscure; o
ir l'objet d'études sérieuses. IL Degrés de la paralysie. — On peut
distinguer
trois degrés dans la paralysie produite par le ma
que. Paris, 1855. On peut enfin rencontrer de grandes difficultés à
distinguer
la compression de la moelle par le mal vertébral
. § 1er. Anatomie pathologique. L'anatomie pathologique permet de
distinguer
deux maladies sous-occipitales, ainsi que je l'ai
ceux que produit le mal des autres régions, des affaissements, qui se
distinguent
toutefois en ce qu'ils peuvent s'effectuer en dif
ne expression moins vulgaire, adopteront celle d'ohstipité. Il faut
distinguer
le torticolis en une foule d'espèces; je le divis
variétés sont quelquefois réunies chez le même sujet. Il s'agit de
distinguer
ces différents cas. J'ai insisté précédemment sur
iaux que présentait la maladie d'un enfant; ils vont nous servir pour
distinguer
l'affection osseuse du torticolis musculaire cont
scles profonds ; c'est alors le toucher plus que la vue qui permet de
distinguer
ce cas. La douleur est un phénomène commun aux de
ent réunies chez le même sujet, et qu'il n'existe pas de moyen de les
distinguer
toujours sûrement. I. Traitement de la synovite
ations coxo-fémorales par rapport à l'étendue du déplacement, on peut
distinguer
trois cas : a. Il peut arriver que la tête du f
ines iliaques antéro-supérieures, comme dans la pseudarthrose. Ce qui
distingue
ces cas, ce sont les faits relatifs à la tête fém
si elle est coxalgique, congénitale ; je ne m'arrête qu'à un point :
distinguer
la luxation congeniale des luxations traumatique
un cotyle de dimensions énormes. Ces faits sont rares; il faudra les
distinguer
des autres cas de luxations fémorales. Il faut ég
on voit une luxation sus-cotyloïdienne. Pendant la vie, on ne pouvait
distinguer
la tête du fémur. Comment reconnaître que cette t
) Dans toutes les maladies chroniques des os ou des articulations, je
distingue
deux phases successives, la période douloureuse d
Le strabisme fixe pourrait être confondu avec la paralysie : il s'en
distingue
en ce qu'il s'accompagne encore de quelques mouve
deur, mais non ceux d'un texte ordinaire ; l'œil droit, au contraire,
distingue
bien les lettres de toutes les dimensions. L'abdu
Un cas qui présente de l'analogie avec le précédent, bien qu'il s'en
distingue
sous un rapport, nous est offert par cette jeune
nfiler une aiguille. La vision est très-faible de l'œil gauche, qui
distingue
à peine de gros caractères d'imprimerie et nullem
laire de ce côté est sain. L'œil droit, affecté de staphylôme ancien,
distingue
seulement la clarté des ténèbres. Le strabisme au
e taies. L'œil droit n'aperçoit qu'une ligne noire là où l'œil gauche
distingue
nettement des caractères d'imprimerie. Dans le
érencient du strabisme. Ces caractères ne suffisent pas toujours pour
distinguer
d'une véritable paralysie primitive la faiblesse
anomalie de conformation, c'est un véritable valgus. Il importe de
distinguer
dans la pratique les pieds plats qui tendent à s'
bots à quatre groupes ; commençons par les varus. A. Varus. — On en
distingue
quatre variétés : Io Le varus direct, simple ad
et J. B. Lé veillé, Paris, 1804, in-8". veut; mais alors il faudra
distinguer
deux sortes de rétractions : la simple contractio
le pied équin commun. L'identité est telle, dans les deux cas, qu'on
distingue
à peine les squelettes de ces deux espèces de pie
ble des symptômes, et en observant la marche de ces affections, qu'on
distinguera
leur effet local du vrai pied bot. Même quand l
ertains accès d'éclampsie. Il faut, dans tous ces cas, s'attacher à
distinguer
la contraction de la rétraction. On déterminera
é du sujet; l'indocilité est une conséquence de la douleur. On peut
distinguer
trois âges, eu égard aux difficultés que je signa
lement de ces extrémités s'efface plus tard, et on ne peut plus les
distinguer
. Cependant, à l'examen d'une coupe comprenant le
r ici autre chose que des difformités rachitiques. États qu'il faut
distinguer
du rachitisme. — Nous devons, en effet, limiter n
at particulier avec d'autres atteints de fractures réelles, pour bien
distinguer
ces deux cas. La consolidation des fractures ch
Glisson, divers auteurs ont modifié cet ordre de fréquence. Il faut
distinguer
, à cet égard, les trois altérations rachitiques p
ais, dans ces modifications qu'éprouve le système musculaire, il faut
distinguer
les muscles profonds et les superficiels. Les pre
e. Diagnostic différentiel. — Cet ensemble de symptômes suffit pour
distinguer
le rachitisme des autres cachexies de l'enfance,
n manifeste du liquide inlra-crânien, il n'est pas toujours facile de
distinguer
cette maladie du rachitisme céphalique. MM. Ril
mpression, dans l'hydrocéphalie, peuvent éclairer le diagnostic. On
distingue
la déviation essentielle du rachis de celle qui e
épaisseur en avant, et il s'établit une courbure par déformation. On
distingue
le premier cas du second à ce que la flexion disp
faissée et aplatie (1). » Mais on voit par ce passage même que Galien
distinguait
la gibbositè de l'épaule saillante et volumineuse
, c'est la courbure latérale normale permanente du rachis, qu'il faut
distinguer
, vous le savez, de la flexion latérale fonctionne
es, à moins qu'ils n'offrent quelques traces de rachitisme. Il faut
distinguer
deux degrés dans cette disposition anatomique : 1
sujets. Celles-ci sont un effet de la déviation, et il importe de les
distinguer
des simples flexions habituelles qui ne sont pas
es deux courbures qui les produisent ; c'est là un des caractères qui
distinguent
celte période de la suivante. Les déformations
s, la courbure cervico-dorsale principale, la troisième période ne se
distingue
de la deuxième que par le degré de la difformité,
n diagnostic différentiel. a. Ce qu'il importe, en premier lieu, de
distinguer
de la vraie scoliose, ce sont les autres vices de
vicieuse, en grande partie volontaire, passée à l'état d'habitude. On
distingue
de la même manière les cas où des attitudes analo
es dont ce fait a été l'occasion (1), il n'est pas toujours facile de
distinguer
si une attitude pareille est purement volontaire,
s régions dorsale et lombaire. Cette disposition, lorsqu'elle existe,
distingue
suffisamment la scoliose de tous les autres états
qui a souvent fait croire à des guérisons spontanées, c'est qu'on ne
distingue
pas toujours avec assez de soin les simples flexi
plutôt la cyphose que la scoliose; mais vous savez que les anciens ne
distinguaient
pas clairement ces deux formes. A. Paré a repro
Ancienneté de la maladie..................... ib. Etats qu'il faut
distinguer
du rachitisme.............. 269 § Ier. —¦ Anato
une substance claire-jaunâtre. Au centre des petits îlots rouges, on
distingue
un tout petit point plus rouge, répondant à la ve
rvu d'un nucléole. 11 y a souvent deux noyaux. Certains foies même se
distinguent
par la prédomi-nance des cellules à deux noyaux (
er à vous exposer les caractères ana-tomiques les plus importants qui
distinguent
, dans les con-ditions normales, les cellules hépa
. Il y a souvent deux troncs artériels pour un seul tronc veineux. On
distingue
trois ordres de rameaux ar-tériels : a) Les capsu
nérale de ces canaux. De même que pour la veine porte, il convient de
distinguer
: a) les branches principales qui se forment suiva
ale, les cas où ces voies renferment un liquide séro-muqueux pour les
distinguer
de ceux où, au contraire, elles renferment de la
recherchons maintenant en quoi la fiè-vre intermittente hépatique se
distingue
de toutes les autres. J'invoquerai ici les déta
ans la vésicule, comme dans les autres points des voies biliaires, on
distingue
les calculs proprement Charot. Œuvres complètes
tre de la couche formée par les aiguilles rayonnantes, il convient de
distinguer
dans les calculs com-posés et qui sont, en somme,
ous forme de saillies mamelonnées. Quand il y a une écorce, elle se
distingue
presque toujours très nettement de la zone moyenn
de dire un mot de la structure des parois de la vésicule du fiel. On
distingue
dans ces pa-rois deux tuniques : l'une à la fois
ant plus accentuée d'habitude sur cer-tains points. C'est ainsi qu'on
distingue
un point cystique, indiqué par Flemming, et qui o
biliaire. — Calculs bi-liaires intra-hépa'iques ; caractères qui les
distinguent
des calculs de la vési-cule biliaire. Symptômes
t la structure radiée, les couches concentriques, ni les facettes qui
distinguent
les calculs nés dans la vésicule. L'existence d
per particu-lièrement, de résumer devant vous les traits généraux qui
distinguent
ce genre d'inflammation. 1° Tout d'abord, ce qu
rencontrent pas dans la cirrhose de Laennec. CUniquement, elle s'en
distingue
: 1° par la présence habituelle, constante peut-êt
Ictère. — Hypertrophie du foie ou hépato-mégalie; —carac-tères qui la
distinguent
de la tumeur hépatique amyloïde et de l'hypermé-g
» Nous allons voir d'ailleurs que les particularités anatomiques qui
distinguent
la cirrhose hyper-trophique, comparée à la cirrho
palpation attentive, permettrait d'ailleurs déjà, à vo-lume égal, de
distinguer
les diverses altérations du foie capa-bles de pro
ment du l'oie gras. L'hypermégalie de la cirrhose hyper/rophique se
distingue
d'ailleurs de Vhypermégalie consécutive à l'oblit
le qu'elle deviendra plus commune, à mesure que les caractères qui la
distinguent
auront été vulgarisés. Mais, pour ce qui est de l
r l'exposé des caractères anatomo-pathologiques, ma-croscopiques, qui
distinguent
la cirrhose atrophique. Une propension, à propr
e relevés et qui contrastent d'une façon si remarquable avec ceux qui
distinguent
la cir-rhose vulgaire, ne sont pas l'apanage excl
'aplatissement. Toutefois, avec un peu plus d'attention, on finit par
distinguer
dans quelques-uns des lobules qui forment les gra
embrane sans structure apparente, à la surface interne de laquelle on
distingue
, sur-tout après les imprégnations d'argent, une c
présentent les vaisseaux sanguins ; de fait, il est fort difficile de
distinguer
un tube descendant de Henle, coupé en travers de
ique reconnaît dans le rein. L'anatomie descriptive, vous le savez,
distingue
dans le rein deux régions principales : l'une, la
ne papillaire ; 2° la zone-limitante ou intermédiaire. La première se
distingue
par une coloration généralement claire, la second
ement chronique du rein, surtout la néphrite interstitielle — Il faut
distinguer
de ces cylindres granuleux les cylindres granulo-
dans un aperçu sommaire, les caractères anatomiques et cliniques qui
distinguent
ces espèces dont je vous présenterai plus tard un
hypertrophie. En somme, il serait assez difficile, à cette époque, de
distinguer
la néphrite interstitielle de la néphrite parench
llules remplissent la lumière des conduits, ceux-ci sont difficiles à
distinguer
, sur les coupes du tissu embryonnaire qui les ent
ainsi que cela se voit sur une planche de MM. Corni! et Ramier, on
distingue
des cylindres cireux au milieu de la matière coll
se produire une colo-ration jaune générale, au millieu de laquelle on
distingue
des stries ou quelquefois des plaques, suivant qu
res-santes. Sur celles qui son! faites au voisinage de la papille, on
distingue
: des canaux collecteurs dont les parois sont épa
es kystes ; en tout cas, la réaction par l'iode permettra toujours de
distinguer
ce rein amyloïde atrophié, du rein contracté de l
s présents à l'esprit, je me con-tenterai de vous rappeler que ce qui
distingue
particulière-ment ce produit, comparé au produits
le, toutes les albumines qu'on rencontre dans le sang et qu'on sait y
distinguer
se retrouvent avec les mêmes caractères dans les
é à établir un parallèle entre les diverses espèces d'albumines qu'on
distingue
dans le sérum du sang et celles qu'on trouve dans
serve les caractères physico-chimiques qui lui sont propres et qui la
distinguent
de l'albumine serine. Et bien ! il y a lieu de re
dissout par un excès d'acide. L'hémoglobine, d'après ce caractère, se
distingue
déjà de l'albumine vulgaire. Ajoutons que l'analy
ans la dernière leçon, fait ressortir quelques-uns des caractères qui
distinguent
ces deux ordres de faits. I. Actuellement, no
e, après avoir été précipitée, mais il croyait que cette propriété la
distinguait
de l'albumine du sang ou sérum. Bien au contraire
al. Voici ce qu'il faut enten-dre par là. L'albumine de l'œuf, qui se
distingue
chimique-ment de la serine, s'en distingue aussi
'albumine de l'œuf, qui se distingue chimique-ment de la serine, s'en
distingue
aussi par la propriété qu'elle a de traverser le
imiquement comme l'al-bumine inassimilable du blanc d'œuf. Eile ne se
distingue
au contraire de la serine du sang normal par aucu
ication du même genre ne font certes pas défaut non plus. Il faudra
distinguer
, dans l'exposé qui va suivre, les cas où le troub
les du même coup et au même degré. Il y a lieu, à ce point de vue, de
distinguer
dans un rein atteint de cette sorte de néphrite :
biliaire. — Calculs bi-liaires intra-hépatiques ; caractères qui les
distinguent
des calculs de la vési-cule biliaire. Symptômes
ctère. — Hypertrophie du foie ou hépato-mégalie; — carac-tères qui la
distinguent
de la tumeur hépatique amyloïde et de l'hypermé-g
inférieurs jusqu'à l'homme, en passant, par le singe. Il y a lieu de
distinguer
, d'ailleurs, parmi les circonvolu-tions les plis
s complètement ce sillon. Le lobe pariétal et le lobe sphénoïdal se
distinguent
moins exactement chez le singe et, pour établir l
ge, le lobe occipital des lobes pariétal et sphenoidal. Vous pouvez
distinguer
aisément enarrière du sillon de Ro-lando, entre c
u, la circonvolution delà corne d'Am-mon, celle deTinsula de Reil, se
distinguent
, quant à l'aspect, de l'écorce grise des circonvo
de la cellule. On les appelle pro-longements du protoplasma, pour les
distinguer
d'une autre espèce de prolongement dont je vais m
entant le type le plus vulgaire, le plus répandu, c'est celui où l'on
distingue
, sur des coupes minces, examinées au microscope,
peut présenter la substance grise. A ce point de vue, il y a lieu de
distinguer
, d'après lui, à la surface des hémisphères, deux
ste, je le répète, tout un département où la structure de l'écorce se
distingue
par un détail intéressant. 11 s'agit de la présen
nces de M. Ferrier lui-même et par celles, antérieures, de Hitzig, se
distingueraient
, d'après M. Betz, par la présence des cellules py
rne entre le lobe occipital et le lobe sphénoïdal. Là, il convient de
distinguer
surtout deux circonvolutions dirigées dans le sen
pil-laires, suivant la nomenclature de M. Ch. Robin. Ce caractère les
distingue
des vaisseaux des ganglions centraux qui s'en-fon
ble d'une circonvolution faites per-pendiculairement à la surface, on
distingue
d'abord,à la péri-phérie, la substance grise qui
e. Comment, sur de pareilles coupes, se comportent lès artères ? On y
distingue
aisément deux sortes d'artères nour-ricières, ain
le d'un ovoïde avec une extrémité antérieure, l'autre postérieure. On
distingue
, dans sa compo-sition, deux parties : ^a) Le tier
nt le nom de faisceaux rayonnants (Stab-kranzbùnclel). Il y a lieu de
distinguer
: 1° les faisceaux rayonnants des corps striés; 2°
tères cli-niques spéciaux, a) Ainsi, on est dans l'impossibilité de
distinguer
, pendant la vie, une lésion limitée au noyau le
Celle, forme d'hémiplégie cérébrale peut être dite cen-trale, pour la
distinguer
des paralysies motrices qui résultent quelquefois
les troubles de la sensibilité, se présentant avec les caractères qui
distinguent
V hémianesthésie cérébrale, s'y adjoignent parfoi
sent dans ce tractusune perte de substance irréparable. Il importe de
distinguer
ce cas de celui où la capsule interne serait inté
ar le système des fibres ner-veuses, mises à nu parla préparation, on
distingue
un faisceau en quelque sorte détaché de l'ensembl
s ai proposé de qualifier du nom à'hémianesthésie cé-rébrale, pour la
distinguer
de toutes les autres formes d'ob-nubilation ou de
bandelettes et les nerfs optiques, il y avait, comme il a été dit, à
distinguer
ceux qui s'entrecroisent dans le chiasma et ceux
s (1) D'après la théorie, les hémianesthésics cérébrales devront se
distinguer
de celles qui résulteraient d'une lésion de la pr
stance grise et un manteau médullaire. Dans la subs-tance grise, vous
distinguez
: 1° les cornes antérieures avec les cellules dit
lage de tubes nerveux à direction presque partout longitudinale, on y
distingue
deux régions : 1° les faisceaux antéro-latéraux,
rmer un réseau au milieu duquel il est au moins fort difficile de les
distinguer
. Il n'en est plus de même dans les pédoncules c
acines les nerfs moteurs oculaires com-muns. En avant de ce point, on
distingue
les prolongements des faisceaux antérieurs spinau
dans la moelle et le bulbe du nouveau-né les faisceaux pyramidaux se
distinguaient
des parties voisines en raison même de l'état rud
au milieu des fibres transver-sales propres à la région. Cependant on
distingue
encore assez facilement les faisceaux secondaires
orce grise de l'hé-misphère sur laquelle j'appelle votre attention se
distingue
de toutes les autres, non seulement par sa config
s cas de dégénération descendante où ces fibres sont altérées, de les
distinguer
au milieu des fibres restées saines de la ré-gion
dégénération secondaire des deux faisceaux de Goll ; et au-dessous on
distingue
, dans l'aire du cordon antéro-latéral, le triangl
ce genre), bien que faite sur le modèle delà moelle de l'homme, s'en
distingue
cependant par quelques particularités anatomiques
cité et de mouvements volontaires. 2° Il serait également facile de
distinguer
la contracture per-manente des hémiplégies des co
logique de ce phénomène. -- A la suite de la lésion cérébrale il faut
distinguer
deux périodes dans le développement de la lésion
et, à son défaut, l'exagération des réflexes musculaires et tendineux
distinguent
, cliniquement, d'après mes observations, cette fo
tive ou inflammatoire. On a pro-posé, dans ces derniers temps, de les
distinguer
par une déno-mination qui tend à indiquer, du mêm
la clinique avec un certain nombre de traits com-muns et propres aies
distinguer
de toutes les affections spinales occupant dans l
iculier par des réactions électriques spéciales. C'est là un fait qui
distingue
du premier coup ces paralysies de celles qui résu
ès ce qui reste des masses musculaires du bras et de l'avant-bras, on
distingue
, en certains points, un frémissement cutané corre
ogique de ce phénomène. -- A la suite de la lésion cérébrale, il faut
distinguer
deux périodes dans le développement de la lésion
à l'émergence des pédoncules cérébraux. Sur la surface de section, on
distingue
, en avant, deux croissants foncés, pigmentés (LN)
is la paroi du ventricule jusqu'à l'écorce grise. 11 y a donc lieu de
distinguer
, d'une façon très générale, Vécorce et le centre
ent séparée. En effet, si ces deux parties blanches sont difficiles à
distinguer
l'une de l'autre, en raison de l'identité de leur
avant surtout, les deux lèvres sont encore assez écartées pour qu'on
distingue
entre elles un mamelon (PI), qui représente le ce
enre (schéma 49). En dedans (c'est-à-dire à droite sur le schéma), on
distingue
deux gros noyaux, proémiiiant dans les cavités ve
dessous de l'opercule du fond de Sylvius (OS), à la surface duquel on
distingue
toujours un, deux, ou trois petites incisures sup
ée l'incisure du cap (ica). De cette division résulte la nécessité de
distinguer
dans la région du cap deux segments, parfaitement
circonvolution (GR) va de l'extrémité antérieure du cerveau, où l'on
distingue
le sillon rostral {SB), jusqu'au voisinage du chi
on pied, se continue directement avec l'opercule frontal (OP) où l'on
distingue
l'incisure frontale de Sylvius (if), ou incisure
le plan vertico-transversal. Mais au milieu de ces fibres blanches on
distingue
un gros faisceau (FS), représenté par une surface
constater sur les coupes plus antérieures. La lame festonnée (LFE) se
distingue
toujours nettement au fond de la scissure calcari
oblique en avant et en dedans : ses fibres sont moins foncées. On ne
distingue
ici en efl'et qu'une lame demi-circulaire, représ
s-unes de ses fibres n'ont pas encore pris cette direction, et on les
distingue
sous la forme d'une strie foncée, antéro-postérie
veau de l'angle supéro-interne du ventricule, il est difficile de les
distinguer
l'un de l'autre; et lorsque la cavité ventriculai
pas encore dans la région plus antérieure que nous examinons. On les
distingue
cependant (voy. fig. 14, 15 et suiv), à l'angle i
irrterne, se présente sous l'aspect d'un faisceau aplati, dout ou ne
distingue
qu'une partie très faible, confondue avec ce qui
sur cette coupe, où ses fibres sont parallèles au plan de section, se
distingue
facilement sur les figures suivantes (14, 15, 16)
e externe du faisceau sensitif (FS). Devenues verticales, elles ne se
distinguent
plus de celles du faisceau occipital vertical (FO
gnaler: A la partie inférieure du pentagone du lobe carré (PEN), on
distingue
une encoche qui correspond exactement au point où
uit tout le long de ses méandres, accolé à sa surface profonde. On le
distingue
difficilement sur les coupes verticales de cette
upées perpendiculairement à leur axe, elle ont la teinte foncée qu'on
distingue
sur les figures 54, 55, 56 de la planche XVI; par
isceaux du centre ovale avec l'écorce. Sur les figures 57 et 42, on
distingue
au-dessous du corps calleux (ce), sur la ligne mé
ieure de la circonvolution de l'hippocampe (Hip). Sur la figure 58 on
distingue
encore quelques taches grises correspondant au re
re ; mais il est au bout de son trajet. Plus loin (fig. 47, 48) on ne
distingue
plus la teinte foncée grâce à laquelle nous pouvi
uc de Sylvius. — Au pourtour de l'aqueduc de Sylvius (Aq, fig. 52) on
distingue
une masse de substance grise qui tapisse de toute
ous du noyau caudé (NC, fig. 52), dans la lame blanche du tapetum, on
distingue
encore une petite lame grise, verticale (TAP), qu
tions plus antérieures du noyau caudé (NC). Sur les figures 52, 55 on
distingue
encore, à sa partie inférieure, la coloration fon
oujours par une couche de substance grise. Et c'est pourquoi on ne le
distinguait
pas encore sur les coupes Face inférieure de la
— Juste au-dessus des fibres transversales du pont de Varolc (PV) on
distingue
vers la ligne médiane un tractus foncé (Lem) nett
lution limbique. Dans la quatrième circonvolution temporale, on ne le
distingue
plus. FCF. Le faisceau compact du fornix, insen
ée au-dessus de l'aqueduc, plus claire et plus diffuse au-dessous, se
distingue
très bien, à sa partie externe, du faisceau de Re
aisceau du centre ovale (CO, fig. 63). TAP. Le tapetum (fig. 62) se
distingue
toujours très nettement, grâce à la coloration fo
ouche optique (Th, fig. 62) et plus spécialement du pulvinar, où l'on
distingue
un faisceau (Rth) situé au-dessus de la bandelett
e pourrait être appelée noyau postérieur du thalamus (NpC). 11 faut
distinguer
ici le noyau postérieur du thalamus et le pulvina
se termine dans la région interpédonculaire. Ici (fig. 71, 72) on ne
distingue
que la portion initiale de ce faisceau, c'est-à-d
e est complètement enveloppé de substance lilanche, permet donc de le
distinguer
très facilement de la couche On r(3inarqi]cra s
e intégrante du faisceau de la calotte. Elles sont assez difficiles à
distinguer
du faisceau de la commissure, puisqu'elles ont la
fait des coupes vcrtico-transversales en série, on arrive toujours à
distinguer
, comme sur la coupe 77, un dédoublement de la bas
veau, de fibres courtes. Sur la coupe 79, il n'est pas possible de le
distinguer
de la bandelette sous-optique (BSO) dont la direc
rtes du faisceau longitudinal postérieur (FLP). Sur la coupe 90, on
distingue
, en dehors du trajet déjà décrit du faisceau long
dans la striation transversale qu'on reconnaît à ce niveau, il y a à
distinguer
deux ordres de fibres. Les stries blanches appart
séparées par la capsule externe (CE). Mais il ne faut pas, pour cela,
distinguer
le faisceau parallèle et la capsule externe et le
du cul-de-sac du sillon de l'hippocampe {RAII}. Sur la coupe 94 on
distingue
encore, entre la corne d'Ammon (représentée par l
es et sur les coupes horizontales. Il est encore assez difficile de
distinguer
ici le putamen des fibres Vue scliéniatique du
ntent d'anastomoses. A l'angle inférieur . et externe du putamen on
distingue
une petite tache foncée, allongée verticalennmt,
XXV). FSe. Le faisceau sensitif externe (fig. 99, 100, 101, 102) se
distingue
maintenant aussi nettement que possible du putame
fig. 108). GLM. Le globus medialis (fig. 108). Ces deux noyaux se
distinguent
maintenant très aisément, grâce à la formation pl
la capsule interne. Mais le faisceau capsulaire (MF) est celui qui se
distingue
le plus nettement des autres par le fait qu'il tr
au-dessous d'elle, est un faisceau bien compact, au milieu duquel on
distingue
des stries blanches verticales. Ces stries conver
) avant de plonger dans sa profondeur. Sur les coupes 105, 106, on ne
distingue
pas encore ces fibres; les coupes en question pas
nt qu'a lieu sa dissociation (fig. 104, CA), il est très difficile de
distinguer
ses fibres de celles de la racine inférieure du t
parlé à plusieurs reprises. FVA. Le faisceau de Vicq-d'Azyr, qu'on
distingue
dans tout son développement vertical sur la coupe
fet, a disparu dans le lobe occipital, et le faisceau pyramidal qu'on
distinguait
encore sur la coupe 107 de la planche précédente
), mêlée en partie avec le faisceau d'Arnold (Ail) dont on ne peut la
distinguer
que par la différence de direction de ses fibres,
nfondu en arrière avec la substance grise de la lame terminale; on le
distingue
difficilement sur les coupes verticales ; il est
atement en avant et au-dessus du chiasma optique (fig. 128). On ne le
distingue
pas encore sur la coupe 127 ; on ne le distingue
(fig. 128). On ne le distingue pas encore sur la coupe 127 ; on ne le
distingue
plus sur la coupe 129. Il est comme perdu dans la
cloison, ou, plus improprement encore le cinquième ventricule. On ne
distingue
donc sur les coupes vcrtico-transversales que la
tendent à devenir plus transversales. Enfin, sur la figure 138, on ne
distingue
plus sa véritable direction, la région frontale d
'est déjà presque plus la corne d'Ammon, puisque sur la coupe 9 on ne
distingue
plus que des vestiges de substance grise accolée
erne (LMl). Sur les coupes plus supérieures (fig. 11) il n'y a plus à
distinguer
de noyaux. Le thalamus (Th) est constitué par une
xe (FRF). Enfin, juste en avant de la commissure postérieure (CP), on
distingue
l'amas de substance grise du ganglion de l'habénu
é. Cependant l'incision, traversant une région un peu plus élevée, on
distingue
, au fond de la vallée de Sylvius, le gyrus falcif
rée avec tous les caractères anatomiques et symptomatologiques qui la
distinguent
, en Algérie (Haspel, Maladies de l'Algérie, t. II
Anglais, nous verrons bientôt à l'aide de quels caractères on peut le
distinguer
de notre dothiénentérie. — Les affections qui peu
e célè-bre observateur avait fait remarquer que la fièvre typhoïde se
distingue
des autres maladies par une « modification profon
une noso-graphie assez, complète du laryngo-typhus. Il faut d'abord y
distinguer
deux formes principales : la forme ulcéreuse et l
symptômes et des lésions, comme on peut le faire, lorsqu'il s'agit de
distinguer
la variole des autres fièvres éruptives. Ce sont,
même qu'elle conduirait sûre-ment, ce qui n'est pas touioursle cas, à
distinguer
le typhus fever delà fièvre typhoïde, ne suffirai
cts, à titre d'espèces ou de variétés de ce genre. Les caractères qui
distinguent
ces affections suffiront toujours pour motiver un
runtée surtout à ceux des médecins anglais qui se sont efforcés de le
distinguer
nettement de la fièvre typhoïde, et d'en faire un
(Jenner). — Quoi qu'il en soit, on voit qu'il est assez difficile de
distinguer
les taches du typhus fever, lorsqu'elles n'ont pa
s de la Grande-Bretagne, il est parfois matérielle-ment impossible de
distinguer
le typhus fever de la fièvre typhoïde. PRONOSTI
histoire générale des typhus (1567). L'appareil symptomati-que qui le
distingue
se retrouve en entier dans les descriptions quele
nt observée et décrite par le docteur Jenner, qui s'est efforcé de la
distinguer
du typhus fève)' et de la fièvre typhoïde, avec l
tologie et diagnostic. — Dans la scolie de l'observation XI, Forestus
distingue
nettement deux formes de peste. Dans l'une de ces
r comment quelques auteurs du XVIe et du XVIIe siè-cle, cherchaient à
distinguer
la peste des fièvres malignes et pétéchiales pest
l'escharre s'élimine et la cicatrisation s'opère. Il faut d'ailleurs
distinguer
deux es-pèces de charbon pestilentiel, comme on d
d'ailleurs distinguer deux es-pèces de charbon pestilentiel, comme on
distingue
aussi deux espèces de pustule maligne : tantôt, e
i ont manié leurs dépouil-les. On parviendrait, de la môme manière, à
distinguer
la pus-tule maligne des cas où la peste se tradui
ée sous le nom de typhus amaril, par Rochoux, qui s'est efforcé de la
distinguer
de la fièvre jaune des Antilles. Elle n'en diffèr
partout où règne la fièvre jaune dont il est souvent difficile de les
distinguer
. Elles ont en effet avec cette dernière maladie d
nt observée et décrite par le docteur Jenner, qui s'est efforcé de la
distinguer
du typhus fever et de la fièvre typhoïde. (Voyez
greneuse du sacrum et de quelques points de la cuisse. Il faut donc
distinguer
les effets de l'irritation de la moelle épi-nière
simple cessation d'action de ces parties; en d'autres termes, il faut
distinguer
les effets de Yaclion morbide, de ceux de Yabsenc
able, d'une décoloration notable du tégument externe avec la canitie,
distinguent
notablement ce dernier exemple à la fois de ceux
ée. Lorsqu'ils ont été incisés, on y constate tous les caractères qui
distinguent
l'altération de Bright (,3e degré). — Les capsule
é pins tardive qui, souvent même, ne se montre jamais. Mais quant à
distinguer
parmi les kystes ceux qui sont hydatiques, séreux
us ne savons pas trop si la ponction exploratrice serait apte à faire
distinguer
les kystes hydatiques; ce n'est en effet qu'accid
, une coloration rouge très intense, tout à fait analogue à celle qui
distingue
les cristaux d'hé-matoïdine. — 4° Dans quelques-u
sence de ventouses et de crochets. Ces végétations des hydatides se
distinguent
des scolex de ténia par d'autres caractères encor
re presque toujours des circonstances plus ou moins saillantes qui le
distinguent
des faits précédents et lui donnent un certain in
de l'ombilic par un bord convexe. Jamais la palpation n'a permis de
distinguer
l'existence d'une tumeur dure dans l'abdomen. M
dans la cavité du péri-toine auraient dû présenter les caractères qui
distinguent
les épanchements sanguins datant de plus de quinz
, étant bien déterminées, il ne devrait plus y avoir de prétexte pour
distinguer
deux sortes de médecines, l'une agissante et l'au
iser un mouvement critique. Il faut, dans ces cas-là, chercher à bien
distinguer
ce qui appartient à la nature et ce qui appartien
maladies chroniques primitives ou primitivement chroniques, pour les
distinguer
de celles qui ne deviennent chroniques qu'après a
il n'y a, disait Galien, qu'un habile herboriste qui puisse alors les
distinguer
l. » Cette obscurité, qui couvre le diagnostic au
s grande. La vue elle-même a subi un amendement favorable ; la malade
distingue
bien la place des fenêtres, elle voit la lumière
entrevoit de mieux en mieux l'ombre des personnes qui l'entourent et
distingue
le blanc du noir. Chez la malade dont nous veno
il n'existe malheureusement aucun caractère clinique qui permette de
distinguer
les cas favorables à l'emploi des sels d'argent,
leue de la peau. Il serait donc de la plus haute importance de savoir
distinguer
les cas favorables à cette médication de ceux qui
. Existe-t-il des caractères cliniques, à l'aide desquels on puisse
distinguer
les cas qui se prêtent à l'intervention médi-cale
classification anatomique des symptômes, et, avant tout, de pouvoir
distinguer
les troubles d'origine radiculaire et ceux d'or
intures et par une marche différente. La spondylose rhizomélique se
distingue
non moins nettement des autres formes d'ankylos
tager cette opinion. En somme il n'y arien dans cette étiologie qui
distingue
la spondylose rhizomélique de toutes les formes
BROUAIIDEL et Gilbert, 2e édit., 190. xix ' 3 34 MARIE ET Llhn
distinguer
cliniquement de la maladie décrite par P. Marie q
se d'anormal. Après avoir mentionné que notre malade sait très bien
distinguer
le goût du doux, du salé et de l'aigre, mais pa
te altération clinique de la figure et du crâne manquent. Mais nous
distinguons
dans la clinique des cas typiques et atypiques
· FAISCEAUX LONGITUDINAL INTÉRIEUR ET OPTIQUE CENTRAL 107 ceau se
distingue
toutefois de la couche des radiations thalamiques
insiste à plu- sieurs reprises sur la grande difficulté qu'il y a à
distinguer
les fibres du faisceau de Turck de celles du fa
oma]). La seconde époque de la floraison de la sculpture grecque se
distingue
par une représentation plus réaliste du sujet,
chez ce sujet des caractères suffi- samment particuliers pour même
distinguer
son affection de la scoliose banale des jeunes
ra- tiquées dans leur épaisseur ont une coloration blanchâtre, on y
distingue
des traînées fibreuses ; elles ne laissent écou
mporale profonde. Comme sur la coupe précédente il est difficile de
distinguer
entre couche externe et couche interne ; le tapet
ituent dans leur ensemble un véritable contingent d'associa- tion à
distinguer
du contingent purement commissural, du corps call
de Türck, prennent une coloration nettement plus faible ; elles se
distinguent
par leur teinte plutôt grise ou brune. Enfin ce
ination et pénètrent dans la moelle ; il est en effet impossible de
distinguer
avec certitude les fibres régénérées des fibres
i se rapproche de celui d'un cylindraxe normal et on ne peut les en
distinguer
que lorsqu'elles se terminent par une massue (P
que cette régénération possède des caractères très spéciaux, qui la
distinguent
de la forme actuellement classique et qui en fo
née dans les différentes circonvo- lutions. Parois de l'abcès. On
distingue
dans la paroi de l'abcès 3 zones : une externe,
st formée des éléments précédents, en voie de désintégration ; on y
distingue
des débris de plasmazellen, et il semble que le
ogliques, qui se présentent sous des aspects divers assez faciles à
distinguer
, paraissent être toutes en régression. Nulle part
difformité que représentent les photographies. 11 y a donc lieu de
distinguer
de la maladie de Reckl inghausen une mala- die
e est presque constant dans les tableaux de Téniers. A droite, on
distingue
dans la pénombre la porte entr'ouverte de l'ap-
nt d'une branche perforante du nerf intercostal du côté opéré. On y
distingue
en nombre à peu près égal, de ce côté, comme du c
ortante dans d'autres. Histologiquement, cette dégénérescence ne se
distingue
en rien de la dégéné- rescence wallérienne. Le
nous voyons que l'accord est facile à établir entre elles. Rien ne
distingue
les lésions vues par nous au 250e jour de celles
total sur toutes les préparations, qu'une seule fibre dégénérée. On
distinguait
par contre sur plusieurs prépara- tions d'assez
eprésente une coupe trans- sale du cordon gauche (côté opéré). On y
distingue
nettement une zone en tra- pèze, occupant par s
ue toutes terminées. Il est, d'autre part, extrêmement difficile de
distinguer
dans le sympathique les gai- nes vides des fibr
ionnaires sont normales de nombre, de dimension et de structure. On
distingue
les fibres des racines postéiieures, partiellemen
maux étant abattus au bout de 8, 12, 30 et 40 jours, on ne pouvait
distinguer
(1) Il existait dans les rami-communicantes, à
à peu près jusqu'à son milieu. Sur la figure 3 (planche 1LVI11),ou
distingue
bien ces gaines avec leurs (1) t4twRINfiSCO, Se
t survécu que quinze jours après la section des racines sacrées, on
distinguait
au milieu d'un grand nombre de fibres saines un c
de fibres fines serrées, et d'aspect tout à fait normal. On ne les
distinguait
pas sur les coupes des racines du chat I, mais co
r- sales postérieures du même côté dans leur trajet extradural). On
distingue
de nom- breuses fibres fines et quelques fibres
des coupes, car il est extrêmement difficile dans les dernières de
distinguer
les fibres restées intactes au milieu des débri
t, par contre, cha- cun 2 à 3 fibres de différents calibres, qui se
distinguent
ici bien plus facilement qu'on ne pouvait le fa
es de myéline pro- venant des gaines complètement dégénérées. On ne
distingue
aucune fibre restée in- demne (fixation sublimé
nes à myéline, vraisemblablement régénérées au milieu desquelles on
distingue
encore quelques boules de myéline (même techni-
ans la même proportion que dans les filets symé- triques droits. On
distingue
un certain nombre de fibres dégénérées, quelques-
ortion de la coupe longitudi- nale du ler ganglion sacré gauche. On
distingue
à la droite de la figure, les fibres noires, ré
en majorité saines, mais entremêlées de fibres dégénérées que l'on
distingue
plus aisément sur la figure 3 de la même plan-
nnaire de ces mêmes racines. Au milieu de ces fibres régénérées, on
distinguait
un certain nombre de fibres légèrement plus gross
ro-carmin,et coupés dans le sens transversal. Sur les coupes, on ne
distingue
aucune sorte d'altération cellulaire spéciale a
glionnaire de ces filets, au milieu de nombreuses fibres saines, on
distingue
un nombre appréciable de fibres en voie de dégéné
clérose diffuse. « Au point de vue clinique, cette forme morbide se
distingue
également par quelques caractères ; elle survie
ncore derniè- rement discutée par Edouard Muller. Dans son livre il
distingue
une sclé- rose en plaques d'origine endogène (s
uité auditive est un peu affaiblie. La vision est peu nette ; il ne
distingue
pas les traits des gens à moins qu'ils ne soien
let de systématisation des désordres du langage musical. Cet auteur
distingue
six formes cliniques : 1° L'amusie motrice (o
IEROS ¡A 11l'ùsie sensorielle véritable (le Réceptive ou sujet ne
distingue
pas les sons). sensorielle. Alexie musicale (il
a soudure des côtes » (P. Marie). Cette maladie osseuse de Paget se
distingue
facilement de l'acromégalie ; elle frappe les o
ile. Pas de troubles intellectuels. Troubles de la vision à droite.
Distingue
à peine les objets. Pas de troubles de la motil
t ainsi une sorte d'appareil spiral entre les spires duquel on peut
distinguer
parfois des noyaux oblongs. De plus, on rencont
les que nous ve- nons de décrire dans les racines postérieures ; on
distingue
aussi quelques fibres qui se couvrent de myélin
xtrémités, la débilité intellectuelle existant chez notre malade la
distinguent
suffisamment de ce premier groupe. 1 Lorsque à
est garnie par un groupe assez heu- reusement planté,mais que l'on
distingue
difficilement sur la reproduction ci-contre. Le
uère mul- tipliés. Ailleurs ce sont des placards dans lesquels on
distingue
à peine quelques fibres atrophiées. Le plus gra
uns ont une coloration violette intense ; d'autres sont pâles et on
distingue
à leur intérieur quelques granulations plus foncé
persiste par une ou deux fibres à myéline au centre de laquelle on
distingue
encore un cylindre-axe. Sur chacune de ces fibr
ymateuses et interstitielles. Parenclî ? J1 ? ! ateuses,eJles ne se
distinguent
guère^des dégénérescences des nerfs, lorsque ce
s classique ; par contre l'absence de signes génito- urinaires l'en
distingue
nettement. La névrite interstitielle hypertroph
même temps syphiliti- ques, et on verra combien il est difficile de
distinguer
chez eux les symp- tômes et les lésions du mal
espondant à l'arête osseuse. Il semble qu'on puisse, au microscope,
distinguer
deux ordres de lésions : a) Des lésions probabl
tement. Dans nos deux premiers cas de mal de Pott cervical, comment
distinguer
, parmi les troubles des membres supérieurs, les
re est aux trois quarts constituée par un caillot organisé, où l'on
distingue
des leucocytes plongés dans une substance rouge
obe semi-lunaire supérieur forme une dégénéres- cence massive. On
distingue
de plus 5 foyers : . Deux antérieurs, l'un exte
e foyer de dégénérescence intra- ciliaire'a disparu. Plus bas, on
distingue
encore 3 foyers : l'un antérieur, formé de deux s
devront plus particulièrement fixer notre attention. Il importe de
distinguer
, d'ailleurs, ce qu'on pourrait appe-ler l'archite
est parfois marqué par des lignes pig-mentaires. Il y a donc lieu de
distinguer
sur la base des lobu-les sous-pleuraux, en outre
r, parmi celles-ci, il convient, pour le but que nous poursuivons, de
distinguer
celles dont le diamètre dé-passe un millimètre, d
toire. Dans les inflammations aiguës des tissus vasculaires, il y a à
distinguer
, vous ne l'avez pas oublié, deux groupes de phéno
géré l'importance. Quoi qu'il en soit avec cet auteur, il y a lieu de
distinguer
ce qu'il appelle, à tort ou à raison, Yirritation
orme des petits noyaux d'induration lobulaire qui, à l'état frais, se
distinguent
, sur une surface de section éclairée par la lumiè
nasto-mosent entre eux, de manière à former un réseau ; mais ils s'en
distinguent
principalement en ce que leur lumière est compara
liet et Barthez ont donné des caractères excellents qui permettent de
distinguer
ces deux lésions. Pour la pneumonie lobaire, c'es
escription en règle dans le travail de Legendre et Bailly. On doit Je
distinguer
de Yatéleclasic que .Jœrg le premier a fait conna
ur celte erreur, car malgré de réelles analo-gies, il est possible de
distinguer
les deux lésions, même par le simple examen macro
e * Loc. cit., p. 294, elpassim. de vomique, et ils cherchaient à
distinguer
de toutes les au-tres espèces de phtisie celle qu
à présent, d'indiquer les caractères à l'aide desquels on pourrait la
distinguer
de la pneumonie chronique proprement dite. Si cep
ient, ce nous semble, pour spécifier l'induration inflammatoire et la
distinguer
de celle qui ne reconnaîtrait point une pareille
pneumo-nie chronique est une inflammation parenchymateuse. On peut y
distinguer
deux formes ou plutôt deux degrés: 1° la pneumoni
cette lésion, aussi bien que ses caractères purement anatomiques, la
distinguent
comme on voit très nettement des diverses formes
tracé les principaux caractères, dans le but de leur opposer ceux qui
distinguent
l'induration grise, de la pneumonie chronique pro
s cavités ont été désignées sous le nom (ïidcères du poumon, pour les
distinguer
des abcès de la pneumonie aiguë et des cavernes t
n ; ils l'ont désignée sous le nom de carnisation, et il faut bien la
distinguer
delà carnifica-tion, laquelle n'est autre chose q
rme aiguë se retrouvent encore sous une forme atténuée ou effacée. On
distingue
autour des bron-chioles, à un examen attentif, de
s: 1° tantôt ce-sont de fines granulations qu'il serait impossible de
distinguer
des granulations pigmentaires ; 2° tantôt, au con
lalloïdes réfractant fortement la lumière, faciles, par conséquent, à
distinguer
des particules de charbon. 2° Quant aux caractè
un tubercule élémentaire, mais d'une agglomération de nodules dont on
distingue
encore la forme : ce sont autant de cercles conce
un certain nombre de centres de formation. D'ailleurs, il y a lieu de
distinguer
deux zones : 1° une zone centrale caséeuse, percé
tion caséeuse du tubercule. Encore une fois, il est très important de
distinguer
la caséification du tubercule de celle qui peut s
t facilement reconnaissable à la présence des tuniques élastiques, se
distingue
vers la partie centrale du néoplasme tuberculeux,
dense, composé de lamelles fibreuses dans l'intervalle desquelles on
distingue
à peine quelques éléments cellulaires. Ces partie
i, autour de ce tubercule de guérison, toute une rangée d'alvéoles se
distingue
des autres en ce que les parois de ces alvéoles s
d'après la doctrine régnante, n'ont rien, il faut le répéter, qui les
distingue
originairement des inflammations vulgaires ; il s
er que de ceux-ci, offrent une constitution complexe, il y a lieu d'y
distinguer
deux régions: 1° Région centrale; celle-ci paraît
latérale et inférieure du côté gauche du thorax. Par la palpation on
distingue
immédiatement sous le rebord des fausses côtes ga
bules de cette caté- gorie conservent un caractère important et qui
distingue
surtout l'état normal, c'est-à-dire qu'ils manque
oins régulièrement sphérique, sphéroïdale ou polyé-drique. Ce qui les
distingue
particulièrement, c'est un noyau sphérique ou, pl
, sans nucléole du volume de 0,005 à 0,008 de millim. Ces cellules se
distinguaient
aisément des globu-les blancs très nombreux qui l
comme on l'a vu, de tous les caractères anatomiques ou chimiques qui
distinguent
les diverses varié-lés de la matière pigmentaire
s disposés à le croire, on comprend qu'il serait important de pouvoir
distinguer
, à certains caractères clini-ques, les cas de cet
a lieu dans la mélanémie, les deux genres de coloration pourraient se
distinguer
à certains caractères, autant qu'on peut en juger
us provenant des ramollissements aigus de l'endocarde \ Mais ce qui
distingue
plus particulièrement Xendocardite ulcéreuse à fo
et s'affaisse pendant la diastole du cœur. Mais il faut avoir soin de
distinguer
ces battements des oscillations dans le sens anté
Au premier temps, il existe un battement et un souffle, qu on peut
distinguer
1 un de 1 autre : au second temps, û existe un ba
sme inlra-thoracique. On parviendra souvent, par le même procédé, à
distinguer
des anévrismes de l'aorte ceux qui siègent sur le
des anévrismes aortiques, ce phénomène est intermittent: c'est ce qui
distingue
les apho-nies d'origine purement laryngée de cell
trer dans les cas d'ané-vrisme. f) 11 est souvent très difficile de
distinguer
les affections chroniques du larynx des lésions a
hypertrophie du cœur, peuvent simuler les ané-vrismes aortiques, s'en
distinguent
par le siège habituel des bruits anormaux; par l'
ymptomatique avec les anévrismes de l'aorte ; or ne peut guère les en
distinguer
que par un degré moins con-sidérable d'impulsion,
ismes du tronc brachio-cëphalique sont quel-quefois très difficiles à
distinguer
de ceux qui naissent delà portion transversale de
endre en pareil cas l'utilité de la trachéotomie ; au reste, Gairdner
distingue
, au point de vue clinique, trois espèces de dyspn
pasmodique, par suite de l'irritation du nerf récurrent. Mais il faut
distinguer
, d'après lui, les cas où il existe une véritable
e pulmonaire, ou avec les cavités du cœur. Ces trois variétés, qui se
distinguent
par quelques signes particuliers, ont cepen-dant
28 ont été observés chez l'homme. Les caractères anatomiques qui les
distinguent
des coarctations inflammatoires sont les suivants
ner une sténose aorti-que, et les antécédents du sujet permettront de
distinguer
un rétrécissement congénital d'une oblitération a
té fait mention plus haut. Il faut, suivant le docteur Heschl, bien
distinguer
l'infarctus hémoptoïque proprement dit, de Y obst
NERF OPTIQUE ET DE LA RÉTINE , Au point de vue fonctionnel, il faut
distinguer
dans la rétine deux parties, l'une centrale, 't
er si le malade voit passer l'ombre delà main devant son oeil, s'il
distingue
les lumières, s'il localise les fenêtres de la pi
Quelquefois ils se troublent d'une manière diffuse qui empêche, de
distinguer
le fond de l'oeil (trouble diffus du cristallin
précédents et la coexistence d'autres signes d'hystérie. Il faut la
distinguer
de l'amaurose par double hémianopsie cérébrale
- lion de réflexes pupillaires à la lumière, ce qui suffirait il la
distinguer
de la cécité corticale. Hémianopsie par lésio
ne inégalité de réfraction des deux yeux. Plusieurs caractères le
distinguent
du strabisme paralytique. Il survient chez les
champ du regard. Strabisme paralytique. Le strabisme paralytique se
distingue
du strabisme non paralytique par tous les signe
s' certaines directions du ;globe oculaire. C'est par cela qu'il se
distingue
des autres variétés de nystagamus (Voir Nystagmus
, nous le verrons, donne lieu il des symptômes particuliers, qui la
distinguent
de celle des onze autres muscles. Il suffirait,
iations optiques. ' Au niveau du pédoncule, on ne peut actuellement
distinguer
les fibres antérieures des postérieures. Ces fi
ation pupillaires ont des caractères spéciaux qui permettent de les
distinguer
entre elles. Les uns, que nous étudierons plus
nce, il ne faut accepter cette défini- tion que sous réserves. On
distingue
plusieurs variétés de tremblement oculaire suivan
agmus congénital donne à ce groupe une assez grande cohésion, et le
distingue
de ta plupart des autres nystagmus dont la caus
ses yeux dans le sens d'action du muscle parésié. Il faut savoir le
distinguer
du véritable nystagmus. Autres variétés rares d
pagne d'une diminution souvent considérable de la vision, ce qui la
distinguerait
au besoin delà dyschromatopsie du daltonisme. A
persiste. Dans les cas de syndrome vestibulaire de Raymond, qui se
distinguent
cliniquement du syndrome de Ménière par 1 absence
it l'exci- tation de l'appareil vestibulaire. Lannois et Chavanne
distinguent
des formes complètes, des formes atténuées, des
- miné une fracture du crâne, ou traumatisme indirect dont Passow
distingue
il groupes : a) violences portant sur le crâne (c
artério- sclérose bulbaire. Ce vertige des arterio-scfereux ne se
distingue
en rien des autres ver- tiges, si ce n'est par
nitial l'apoplexie serait peu de chose, et d'autre part, on ne peut
distinguer
facilement l'apoplexie du coma post-apoplectiqu
précoces et d'un grave pronostic. La ponction lombaire permet d'en
distinguer
certaines variétés, mais non toutes; un examen
avec amnésie au réveil. Ce sont là de véri- tables fugues, il bien
distinguer
toutefois des déplacements impulsifs, mais cons
(" au point de vue dune hérédité possible; pour les descendants, de
distinguer
la surdi- nuttité acquise de la siireli-mulité
once correctement et il haute voix un certain nombre de mots; il se
distingue
du bulbaire vrai par l'absence de secousses fib
lement existants à expliquer les accidents reconnus. Il convient de
distinguer
avec soin l'agnosie tactile des paralysies motric
s des cas de diagnostic dé- licat. Troubles de la mimique. H faut
distinguer
la mimique émo- tive qui sert à l'expression de
a démence; elle peut être abolie (amimie). D'après Morselli il faut
distinguer
deux variétés d'amimic : Y amimie asthénique ct
mie, dia- bète), dans certains cas de tumeur cérébrale. ' 11 faut
distinguer
aussi la démence de la débilité mentale, de l'ioa
es, mais qui sont localisés dans le temps d'une façon erronée. On
distingue
deux variétés d'amnésie : les amnésies organiques
le : « L'hallucination est une perception sans objet. » , Il faut
distinguer
J'hallucination de l'interprétation délirante; da
e valeur sémiologique différente, il y. a intérêt en pratique à les
distinguer
et à conserver l'ancienne division des hallucin
placés sous la protection de t autorite judiciaire. La loi de 18.18
distingue
des placements volontaires et des placements d'
l'idiotie permettra de décrire plusieurs variétés ; Bour- IH'yiJ1e
distingue
: 1° L'idiotie complète ou absolue. La marche,
les personnes. Leur vie de relation est donc très bornée, et ce qui
distingue
ce second groupe du précédent, suivant Bournevi
ptiques et fendues en amande ; le nez est court et polit et rien ne
distingue
au point de vue intellectuel les mongoliens des
5 degrés et 27 degrés C. Tandis que la peau des joues et des tempes
distinguent
des différences de 4/10-7/10 C., celle du dos n
le front, les lèvres, les joues, les tempes et le dos de la langue
distinguent
des différences de 11/40-1/50. La face dorsale et
de soupeser simultanément les deux boîtes placées devant lui et de
distinguer
la plus lourde de la plus légère. Ce dernier proc
ue, l'hypertension du liquide céphalo-rachidien. - -. Lésions. On
distingue
les altérations observées au cours des radi- cu
raphie régionale et la prédominance spéciale de leurs symptômes. On
distingue
ainsi des formes presque exclusivement sensitiv
pas exactement il un territoire anatomique. Ces signes aideront il
distinguer
les troubles fonctionnels des anes- thesies org
qués par une névralgie ilr'o-scrotale; il faut dans cette affection
distinguer
deux formes cliniques : tantôt il s'agit d'une
e infantile. Au point de vue purement clinique, il y aurait lieu de
distinguer
Y hémiplégie récente de l'hémiplégie ancienne,
ale. En réalité, nous manquons de caractères spéciaux permettant de
distinguer
sûrement ces deux formes d'hémiplégie, car on n
cours de phénomènes bulbaires. , De cette forme chronique, il faut
distinguer
les formes subaiguës, qui, justement, sont les
ccombent dans le marasme. A côté de cette forme avec ictus, on peut
distinguer
, d'après Lherinitte, une paraplégie lacunaire cér
écem- ment attiré l'attention. D'après Lhermitte et Lejonne on peut
distinguer
deux types, l'un de paraplégie en flexion prono
lésion médullaire. D'un autre côté, il est fréquemment difficile de
distinguer
le syndrome de la moelle sacrée du syndrome de la
e. Le syndrome révélateur de ses lésions est en général difficile à
distinguer
de celui de la moelle lomho-sacréc ou epiconc e
it la tête et l'incline latéralement. Long du cou. Insertions. On
distingue
dans ce muscle trois portions distinctes : la p
s'étendre d'une apophyse transverse ! lune apo- physe épineuse. On
distingue
trois groupes différents de faisceaux : les dem
pronostic bénin. Comby dit qu'au point de vue du pronostic on doit
distinguer
les paralysies qui surviennent dans les présent
FÉRENTIEL. ' 661 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL L'atrophie musculaire se
distingue
de l'amaigrissement par sa loca- lisation. L'at
très longtemps indemnes. La paralysie est souvent très difficile à
distinguer
de l'atrophie intis- culaire ; toute paralysie
qu'elle en peut être une cause. L'atrophie musculaire est facile à
distinguer
de la paralysie dans les cas où la diminution d
,.qui en a récem- ment repris l'étude, cette forme amyotrophique se
distingue
par certains caractères du. syndrome Aran-Duche
oigts. Quand la main est celle d'Aran-Duchenne, la syringomyélie se
distingue
par la dissociation de la sensibilité objective
infectieuses). Les atrophies consécutives aux lésions des nerfs se
distinguent
des atrophies d'origine spinale par un certain
néralement prédominantes vers la périphérie des membres. Ce qui les
distingue
surtout, c'est d'une part l'adjonction à la par
autre part l'état actuel de nos connaissances ne nous permet pas de
distinguer
, à coup sur, l'amyotrophie progressive spinale
n. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL .^ Ces signes permettent en général de
distinguer
l'hypertrophie muscu- laire vraie d'un certain
un des groupes, par quels caractères histologiques essentiels il se
distingue
des autres. 1" Croupi- : HYPERTROPHIES PHYSIO
iles : ce processus sera l'origine de l'atrophie. .Ces caractères
distinguent
les fibres atteintes d'hypertrophie préatro- ph
plus ou moins diffuses que nous venons de signaler et qui ne s'en -
distinguent
guère que par l'absence de la réaction myotonique
e étude clinique nous ont semblé indispensables pour montrer ce qui
distingue
nettement les hypertrophies bien classées des t
nce bien plus considérable. De plus, il y a peu de temps qu'on sait
distinguer
de l'ataxie la titubationetl'asynergie, et cell
variétés d'incoordination ; mais on ne sait pas encore actuellement
distinguer
le siège de la lésion d'après la variété sympto
une démarche spéciale, vraiment tout à fait caractéris- tique, qui
distingue
certains asynergiques très avancés des cérébelleu
aladie de Friedreich et dans la maladie isolée par P. Marie; ce qui
distingue
celle-ci, c'est, outre le début plus tardif, la c
lexes rotuliens, déformation des pieds et du rachis. Mais elle s'en
distingue
par l'hypertrophie des troncs nerveux, même des
s de la sensibilité, parfois un tremblement inten- tionnel. Elle se
distingue
aussi par les caractères de l'incoordination; l
ie; Charcot, qui l'a décrite avec ses élèves P. Riche et 111ocd, en
distinguait
une forme paralytique et une forme ataxique. En
exemple de prendre son porte-plume et d'écrire. Encore faudra-t-il
distinguer
suivant différentes conditions et en particulie
ite aiguë ou sub- aiguë avec ou sans phénomènes spinaux associés.
Distinguer
le ramollissement de l'hémorragie bulbaire est ma
et de la dysphagie, l'effacement relatif des troubles parétiques la
distinguent
immédiatement des troubles pa- raplégiques et d
ytiques, sur la nature également des troubles de l'articulation. On
distinguera
ainsi le pseudo-bulbaire infantile de V arriéré
elques vocables émis par l'anarthique, qui ne sait plus parler ; on
distingue
à peine les phrases chuchotées par le pseudo-hul-
ment et fatigue. Quoi qu'il en soit, on peut, d'une façon générale,
distinguer
à la. marche des troubles deux étapes distincte
cérébrales peuvent donner des convulsions généralisées que rien ne
distingue
de l'épilepsie vraie. Un diagnostic localisateu
remblement. Les mouvements choréiques qui sont étudiés plus loin se
distinguent
par un certain nombre de caractères : ce sont d
ont ni réguliers ni rythmés, et leur incoordination suffit pour les
distinguer
du tremblement. L'asynergie cérébelleuse décrit
ns différentes : c'est ainsi que Charcot, et à son exemple llnibou,
distingue
les tremblements suivant les modifications que le
eurs, et peut-être faut-il admettre avec Blocq et Grenet qu'il faut
distinguer
les troubles psychiques réellement très fréquen
mouvements choréiques; nous aurons du reste l'occasion plus loin de
distinguer
, dans le chapitre dès myoclonies, les caractère
caractéris- tiques de la chorée de Sydenham. Blocq pense qu'il faut
distinguer
parmi eux les troubles choréiques et les troubl
ation de Euzière et Maillet [Gazelle des Hôpitaux, 7 juin 1910) qui
distinguent
les trois variétés suivantes : , ' 1° myoclon
pasmodiques, d'après leur cause et d'après leur aspect clinique. Il
distingue
: des torticolis névralgiques et des torticolis
) a justement insisté, ne peuvent être reproduits par la volonté et
distinguent
nettement t 1 hemispasme facial des tics : tell
ace sont pré-paralytiques et surtout post-paral y tiques ce qui les
distingue
encore des tics C). ? Le« tic douloureux de la
tat de veille. En dehors du tic de Salaam ou spasme mitant, Cruchet
distingue
: 1° des rythmies essentielles à l'étal de somm
ucinations éprouvées. - Séglas fait observer que la catatonie est à
distinguer
du tétanisme. Ce dernier est caractérisé par un
nt associés. Les lmvi ne nous arrêteront qu'un instant. Faciles à
distinguer
sur le tégument où leur couleur et leur aspec
adiposes. On ne saurait rigoureusement, parmi les oedèmes nerveux,
distinguer
un groupe d'oedèmes aigus et un groupe d'oedèmc
ormation de séquestres et destructions osseuses. Ces lésions sont à
distinguer
des cas où l'atrophie osseuse, sans lésion des té
ersistent à un degré minimum pendant assez longtemps. On peut enfin
distinguer
des fièvres éphémères de courte durée, de 'i't
existe également des fièvres atypiques irrégulières. On peut encore
distinguer
les fièvres d'après leur élévation de température
e tremblement à tel point même que l'on peut, suivant Pierre Marie,
distinguer
les tremblements en deux groupes, ceux qui s'ac
des précautions rigoureuses. Traitement. .Nous savons qu'il faut
distinguer
deux sortes de rétentions : rétention complète
inconscience. " Dans l'incontinence vraie, il est très important de
distinguer
s'il y a paralysie du sphincter ou regorgement.
s dans le liquide ainsi excrété, mais leur rareté même permet de le
distinguer
du sperme dont nous n'avons jamais vu une vérit
éterminer l'origine de ce spasme. A ce propos, l'on est justifié il
distinguer
avec A. Mathieu deux ordres de spasmes, le spas
aire simule une sténose juxta-car- diaque. On doit s'efforcer de le
distinguer
d'une sténose vraie, orga- nique, puis de recon
sté- rique. qu'influence la médication psychique (Mathieu), il faut
distinguer
mie sialorrhée nerveuse, simple, existant chez
à l'épigastre. Un certain nombre de types cliniques sont faciles à
distinguer
dans ce groupe. Le vomissement partiel est fréq
mulation involontaire joue un grand rôle. Ces états pithiatiques se
distinguent
facilement des crises légitimes par l'absence abs
ique ') 'ni TROUBLES PSYCHIQUES. 1003 type simple, il convient de
distinguer
un neurasthénique dégénéré (Mathieu et J.-Ch. R
'oesophage et accompagner une pituite; d'autre part, il y a lien de
distinguer
le tic simple du dyspep- tique, de l'aérophagie
olément des secousses cloniques, il pourrait être bien difficile de
distinguer
le tic d'un spasme du voile lié à des lésions c
t facile en clinique. jusqu'à une période plus ou moins tardive, de
distinguer
s'il s'agit d'un trouble du développement congé
syringomyélie, l'absence d'hypertrophie de la face et de la langue,
distinguent
en tout cas la chiromégalie de l'acromégalie. L
et des avant-bras. A la période suivante, la maladie de Raynaud se
distingue
tout lait de la sclérodactylie ; cette période
(le genll valgum et la scoliose sont fréquents) : il importe de le
distinguer
du « pied tabétique » que nous avons décrit, qu
mme pouvant déterminer une dystrophie gigantesque. Ce syn- drome se
distinguerait
par la présence des stigmates d'Hutchinson, du
Ils mènent une vie purement végétative. On voit que cette forme se
distingue
facilement des syndromes précé- dents. Fémini
r l'origine centrale méningo-médullaire de certains zonas et de les
distinguer
des zonas périphériques. Un point intéressant d
pneumocoques ou 1. Malgré la cécité, cetle idiotie épendymogenc se
distingue
aisément de l'idiotie amaurotirfue de Sachs qui
ance de la fièvre est moins propre que l'examen du fond de l'oeil à
distinguer
l'épen- dymite pseudo-méningée de la méningite
ra-vcntriculaire et arachnoïdienne. 11 est à peu près impossible de
distinguer
avec les seules ressources de, l'analyse sympto
e qui aboutit il un coma prolongé. Ce coma ependymo-cboroïdicn se
distingue
du coma méningitique par sa durée, plus longue,
s une intégrité relative des épiphyses. On pourrait, donc peut-être
distinguer
, à côté de l'arthropathie tabétique classique, un
respondent sen- siblement à celles des nerfs moteurs; elles ne s'en
distinguent
que par de faibles divergences : la différence
courants faradi- ques suivant leurs fréquences, et l'on peut t
distinguer
les courants avec inter- ruptions rares ou es
urants. Dans les applications du courant galvano-faradique, il faut
distinguer
deux genres un peu différents, suivant que le c
es par l'examen des malades. Au point de vue clinique nous aurons à
distinguer
la manière dont se comporte la réaction de dégé
sance; elle suit une certaine évolution dans laquelle nous aurons à
distinguer
une période de début, une période d'état et une
appelant par quelques caractères la réaction myotonique; elles s'en
distinguaient
par le fait qu'elles se montraient surtout à l'
NCE ÉLECTRIQUE DU CORPS La résistance électrique du corps humain se
distingue
de la résistance des autres conducteurs par div
à ceux de la poliomyélite; il n'est même pas toujours facile de les
distinguer
les uns des autres. Ces complications sont souv
er guérir réellement le tabes par le traitement électrique si on en
distingue
les cas que l'on a rangés dans la classe des ps
nte les dimensions d'une noix. Dans le centre de cette zone on peut
distinguer
un point central plus foncé. Il est de toute év
arrêtée depuis long- temps. Il est donc de toute nécessité de bien
distinguer
chez les géants : ceux qui sont encore en activ
nitions mêmes, les sujets qu'on disait infantiles du type Lorain se
distinguent
des infantiles de Brissaud parce qu'ils ne prés
ef les différences cliniques essentielles, jusque-là méconnues, qui
distinguent
deux syndromes morphologiques, deux états somat
e des épiphyses la valeur d'un caractère différentiel permettant de
distinguer
à coup sur l'infantilisme vrai de l'infantilisme
ie. Dans la région lombaire, surtout quand on regarde de profil, on
distingue
uneensellure très marquée. Les réflexes patel
ligne assez bien délimitée, riche- ment infiltrée tout autour. On y
distingue
deux sortes de tissus. Premièrement des foyers
de l'ombilic. Le sens articulaire est troublé des deux côtés. Il ne
distingue
pas la position des doigts et même quelquefois
int un tel degré, qu'au premier coup d'oeil on n'arrrive même pas à
distinguer
la substance blanche de la grise. Ce n'est qu'a
vical on ne trouve presque plus de cellules nerveuses ; ça et là on
distingue
le contour d'une cellule pâle, [sans cylindraxe a
troite, par place elles sont 74 FLATAU tellement serrées qu'on ne
distingue
pas entre elles de globules rouges. Par place c
non dans l'os de la vertèbre. Quant aux symptômes de la maladie, on
distingue
dans le tableau cli- nique des tumeurs vertébra
différentiel des tumeurs vertébrales, il est très difficile de les
distinguer
de la carie vertébrale. La ressemblance est telle
qu'à l'année 1907. Schlesinger donne les indications suivantes pour
distinguer
la tumeur delà carie. Premièrement la forme de
nets et plus marqués notamment du côté temporal. On peut très bien
distinguer
la lame cribreuse au milieu des faisceaux nerveux
ite est à peu près complètement aveugle, elle n'est plus capable de
distinguer
la forme des objets. Si on lui place sous le ne
es nombreux tâtonnements avec ses mains. C'est à peine si elle peut
distinguer
la lumière du jour de la nuit. Examen des aut
façon sommaire ; il paraît pourtant qu'elle soit encore capable de
distinguer
, bien que d'une façon assez grossière, les dilf
erveux atrophiés. La vue chez Aurélie est complètement perdue, elle
distingue
difficilement le jour de la nuit. Examen des
on de leur voix, mais encore par leur démarche. Elle est capable de
distinguer
de cette façon l'approche de sa mère ou de ses
très émous- sés chez elle. En effet, elle n'est pas même capable de
distinguer
les goûts; quoique très avide et affamée, elle
e diminntion nette de l'acuité visuelle. Elle est encore capable de
distinguer
les objets environnants, mais elle le fait d'un
inité pathologique. Dans les différentes formes familiales, on doit
distinguer
avant tout l'extension delà lésion dégénérative
es gonflées et dégénérées. Dans quelques-unes de ces masses on peut
distinguer
un point plus rouge (cylindraxe) et une zone ro
ofondément dans la moelle, puisqu'il nous était impos- sible de les
distinguer
de la névroglie. - Nulle part de traces d'infla
le. Avec nos con- naissances actuelles il est souvent impossible de
distinguer
les cas où la tumeur extravertébrale a pénétré
ration des voies lymphatiques médullaires. Non, il faut d'après lui
distinguer
deux systèmes de voies lymphatiques : 1° le sys
, il répond : « Pour moi, il n'existe aucun critérium permettant de
distinguer
les phénomènes suggérés des phé- nomènes simulé
ire, la simulation hystérique offre quelques particularités, qui la
distinguent
de la dissimulation vulgaire, cupide. L'hysté
traumatique, en ceci il faut admettre la doctrine de Charcot, ne se
distingue
en rien de l'hystérie d'autre origine, Cela est é
x troubles doivent aller de pair. , 3° Les contractures . Il faut
distinguer
celles qui sont indolores et celles qui s'accom
avec les contractures symptomatiques d'une lésion du Fy. Elles s'en
distinguent
facilement : a) par le début brusque ; b) l'int
s auront disparu de la symptomatologie. Il faut, il est vrai, les
distinguer
tout d'abord des anesthésies organi- ques : leu
s inconscient et involontaire, qui a droit à une indemnité, comment
distinguer
le simulateur tout à fait conscient de sa tromp
a femme d'à peine une demi-tête. Son oeil droit, qui semble intact,
distingue
seulement la lumière du jour : ce serait un rel
intacte, mais l'interne est modifiée à tel point qu'on ne peut pas'
distinguer
la substance blanche de la grise ni les diffé-
ents ont également leur conformation interne modifiée. On peut déjà
distinguer
la substance grise de la blanche, mais les corn
ance grise a perdu complè- tement ses contours normaux. Çà et là on
distingue
des Ilots irréguliers et peu nets de substance
rs et peu nets de substance grise. Même au sein de ces îlots, on ne
distingue
plus de cellules nerveuses normales. Partout su
s lésions du tissu nerveux étaient telles qu'il était impossible de
distinguer
la sub- stance blanche de la grise. On voyait u
ure-mère le long de la face postérieure de la moelle). La tumeur se
distingue
par sa coloration grisâtre. Elle ressemble à un
lus grand volume) des lésions si profondes qu'il est impossible d'y
distinguer
la substance grise et de s'orienter convenablemen
s d'autres les corpuscules de Nissl en désagrégation. Parfois on ne
distingue
plus les contours de la cellule nerveuse, rien
lement sur ce point que les prolongements cylindraxiles se laissent
distinguer
, quoi- qu'ils soient pour la plupart du temps m
fiée (fig. 19). Dans la moi- tié droite de la moelle on peut encore
distinguer
la substance blanche de la grise; dans la moiti
sparaît. Dans les endroits où la gomme pénètre dans la moelle,on ne
distingue
plus la pie-mère]de l'arachnoïde. Ensem- ble el
idale, fusiforme et polygonale. Au point de vue du volume, il y a à
distinguer
également de petites cellules de Betz, dont le
sont le siège de lésions emphyséma- teuses très prononcées, et on y
distingue
quelques tubercules crus de la grosseur d'une f
d'une consistance molle. Depuis le Il segment dorsal on commence à
distinguer
la configuration de la moelle. On y voit dis- t
cas de Pntnam et Warren la maladie évolua pendant 19 ans. Gowers
distingue
les tumeurs méningées de celles de la moelle par
de Brown-Séquard, un dé- veloppement graduel de l'affection où l'on
distingue
des stades précités (un névralgique, un du type
) les lésions sont tellement prononcées qu'il est fort difficile de
distinguer
la substance blanche de la grise (et cela de deux
e, 1903, bd. 3. 518 ARCHAMBAULT · I interne de l'hémisphère, on
distingue
un faisceau sagittal bien délimité qui représen
rend ces observa- tions très incomplètes. Geoffroy Saint-Hilaire
distingua
les nains véritables des nains rachiti- dues,dé
a été décrite sous le nom de pygméisme par Poncet et Lenoir qui se
distingue
des autres par l'absence de toute tare physique
ont très rares (PI. LXIV, E). A la limite supérieure du ganglion on
distingue
un petit filet nerveux qui se dirige vers les a
s 3e et 4 rayons étaient courts ? Quoi qu'il en soit il convient de
distinguer
la brachytlactylie d'origine métapodiale, de la b
a brachymélie métapodiale comprend une variété acquise : elle ne se
distingue
des raccourcissements dus au spina-ventosa que pa
ins dense, dégage les cylindraxes et permet de les suivre et de les
distinguer
sur une plus longue étendue. Recherche des co
les névrogli- ques enchevêtrées en un lacis très embrouillé où l'on
distingue
de très fines fibrilles,et d'autres plus volumi
es régressives, de calcification. Autre constatation qui aide à les
distinguer
des plaques athé- romateuses. L'endothélium e
s, l'en- chevêtrement de leurs fibres étant trop considérable. On
distingue
très nettement à ce niveau les deux couches sagit
de haut en bas, est représentée par le cingulum que l'on commence à
distinguer
plus facilement et dont les fibres se colorent
tèmes se confondent en grande par- tie, bien que l'on puisse encore
distinguer
quelques fascicules qui se dégagent du trigone
fle pour former un forceps majeur typique (fig. 4) qu'on ne saurait
distinguer
du for- ceps calleux normal si ce n'est que son
son segment supérieur que dans son segment inférieur. On commence à
distinguer
à ce niveau, le faisceau transverse du cunéus de
al et des circonvolutions de la face médiane de l'hémisphère, on ne
distingue
que deux couches sagitta- les prôfondes. Toutef
il se rende pour former un forceps majeur que l'on ne saurait guère
distinguer
du forceps calleux normal ; en même lemps, il se
t l'aspect d'une masse amorphe, au milieu de laquelle on ne pouvait
distinguer
que le pouce ; d'autres doigts étaient comme si
ure, on voit sous le microscope une petite lésion, dans laquelle on
distingue
de nombreux corps granuleux. Autour de cette lé
he des radiations de Gratiolet on remarque une petite lésion, où on
distingue
de nombreux corps granuleux. A l'entour de cett
terne est plus blanche que ses autres parues, sous le microscope on
distingue
dans cette région la rareiaction des fibres à m
le ne semble pas être troublée. ' La malade nous affirme qu'elle ne
distingue
pas le goût des substances qu'elle ingère et en
, de sulfate de quinine ou avec du vinaigre, sans qu'elle puisse en
distinguer
le goût. Cet examen a été pratiqué également en
la bouche une quantité assez considérable de ces solu- tions, elle
distinguait
parfois un goût aigre ou doux, mais elle ne recon
l est rétracté, triangulaire ou polyédrique. Le plus souvent, on ne
distingue
pas le nucléole, et lorsqu'il est visible il es
l'élément est gros, de forme sphérique, globuleuse et l'on ne peut
distinguer
les substances chro- matiques ou achromatiques
s ou achromatiques ; les prolongements sont pâles, mais on peut les
distinguer
; le noyau est tuméfié, sphérique et peu coloré.
une de ses extrémités sur l'enveloppe exté- rieure ; à la loupe, on
distingue
à l'extrémité libre convexe des saillies latéra
tes des vers vésiculaires, formes de transition des ténias qui s'en
distinguent
par l'absence constante d'organes génitaux. L
e à la face externe de la vésicule. La même particularité permet de
distinguer
l'échinocoque du coenure qui vit dans le cerveau
mité osseuse, aboutissant à la coudure de celle-ci : notre cas s'en
distingue
fa- cilement par l'absence de toute déformation
uffre ce dernier. Rien dans son attitude ni dans son maintien ne le
distingue
du Christ ou du disciple. Je n'ai malheureusement
ur à quelques kilomè- 94 HEITZ très de Palerme. De son abside, on
distingue
la Méditerranée. A son côté, s'élève un cloître
L'extrémité inférieure de l'humérus a l'aspect d'un pilon ; on n'y
distingue
rien qui rappelle l'épicondyle, le condyle, la tr
upement des cas d'hémimélie il nous semble que l'on pourrait encore
distinguer
parmi eux trois groupes prin- cipaux : les hémi
: mais au point de vue du traitement, il est de toute nécessité de
distinguer
la paralysie du spasme car le traitement diffèr
arois de la fosse cérébrale antérieure ; à la face supérieure on la
distinguait
difficile- ment a cause de sa minceur., Tous se
les autres, les limites moins nettes, et dans certains points on ne
distingue
plus' qu'une masse amorphe. Tous ces aspects se
ilieu d'un amas, les cellules s'écartent laissant un espace où l'on
distingue
aisément quelques globules sanguins. Cette périod
la périphérie. Quelquefois, et c'est là un point très important, on
distingue
un pédicule qui rattache le globe à un vaisseau v
s aient subi de modifications. Cette absence de paroi véritable les
distingue
des vaisseaux. Cependant leur nature vasculaire
riques de la tumeur, ce sont des vaisseaux de petit calibre. Ils se
distinguent
des fentes par une paroi propre qui les isole des
ons comme celle de Pouchet (5) et Spillmann (6). Brault (7) enfin
distingue
le sarcome angiolithique, tel que l'ont décrit
ire se colore d'une façon diffuse et sur certaines d'entre elles on
distingue
des vacuoles. Les altérations les plus importan
seulement par le volume ; la troisième enfin plus petite encore, se
distingue
des deux autres par l'opacité de son contenu qu
nt très atteintes, l'en- vahissement par ces corps est tel qu'on ne
distingue
plus que des débris cellulaires. On retrouve
s paralytiques géné- raux. Après coloration au bleu polychrome, ils
distinguent
les noyaux de névroglie par leur réseau de chro
ernum, la peau est rosée et présente l'aspect de la couperose. On y
distingue
à l'oeil nu de petits vaisseaux sinueux, tandis
Si l'on présente au malade des échantillons de laine de couleur, il
distingue
difficilement ceux teintés en bleu, en vert et
. cherche à analyser et à expliquer son état mental. Elle cherche à
distinguer
des actes ou des pensées réellement cou- pables
ui s'était formée en premier est plus grande que la voisine et s'en
distingue
par sa structure. Au bord postérieur du bulbe de
rizontales qui étaient visibles dans la coupe précédente et on peut
distinguer
les parties correspondant aux faisceaux de Goll
s changé et une moitié du bulbe, comme dans la coupe précédente, se
distingue
de l'autre. D'un côté du canal central qui est
res du cervelet, son lobe médian n'étant pas développé. Ce cas se
distingue
des cas précédents. Déjà à l'oeil nu (Phot. 4) on
n anatomique. Cette description est reprise en 1571 par Winkler qui
distingue
lui aussi un rachitisme foetal ordinaire, non éte
ngs pour sa taille. Ce sont là autant de signes qui permet- tent de
distinguer
facilement le rachitisme de l'achondroplasie qui
deux affec- tions signalées par Muiter, Winkler, Parrot, etc., les
distinguent
clini- quement. Le rachitisme vrai évolue après
est la preuve (Pl. XL, D). Il est facile de voir maintenant ce qui
distingue
l'achondroplasie du rachitisme. Dans le rachiti
9 - La'similitude de l'expression clinique est telle, qu'on ne peut
distinguer
les unes des autres des encéphalopathies aussi
ux pour le sys- tème nerveux est également démontrée (2). Klippel
distingue
judicieusement les accidents de la tumeur et ceux
habituées à la compression qu'avait causée cette enfonçure, et l'on
distinguait
un endroit où l'os temporal enfoncé, avait été br
se colorant fortement par l'éosine. Entre les faisceaux fibreux, on
distingue
des cellules allongées dont les noyaux ne pren-
est donc en voie de 370, DUPRÉ ET DEVAUX nécrose caséeuse ; on ne
distingue
pas de gouttelettes graisseuses, la recherche'
prend bien la couleur. Lorsque la cellule se teint vivement, on ne
distingue
parfois même plus le nucléole dans le corps cel
tion. Les cellules sont considérablement atrophiées, le noyau ne se
distingue
pas du reste du corps cellulaire (Pl. LI, E, F)
des deux os, peu profond d'ailleurs, et au fond de la mortaise, on
distingue
des traces de l'interligne péronéotibial inférier
diffuse des cellules rondes, disposées sans ordonnance et où on ne
distingue
plus les cellules thyroïdiennes des leucocytes mi
diographies du malade de Gail- liard, et avoir fait remarquer qu'on
distinguait
, sinueuses, annelées, jus- qu'aux arcades plant
vations attentives et de nécropsies minutieuses, de reconnaître, de
distinguer
et de localiser les centres et les conducteurs
aississement avec sclérose du tissu conjonctif sous-cutané. Elle se
distingue
de l'oedème par sa consistance ferme, élastique
affec- tion des plus rares, dont le caractère familial suffit à la
distinguer
d'un certain nombre de manifestations oedémateu
our persuader ce qu'il dit, qu'il ait la vue nette et perçante pour
distinguer
les moindres objets, de sorte qu'il n'ait point d
nt jamais sur le nerf privé de son névrilème. La meilleure manière de
distinguer
ces fibres névrilémati-ques des fibres nerveuses,
trou pour le passage de l'artère sternale ; mais dans cette masse on
distingue
encore les noyaux médullaires qui concourent à la
, et après l'avoir fait durcir dans l'alcool, je n'ai pu parvenir à y
distinguer
aucune séparation correspondante à celle que j'ai
s simples qui sortent par les espaces inter-ganglionaires. Je n'ai pu
distinguer
, à ces raci' nés, de fibres transverses; elles
s sont de forme lenticulaire, et en les examinant au microscope, on y
distingue
des fibres Ion -giludinales qui viennent des cord
même que les fibres des nerfs, sont canali culées, et l'on parvient à
distinguer
et à faire sortir les globules contenus dans leur
s ferment l'entrée à l'aide d'un opercule mobile que l'on a peine à
distinguer
de la terre environnante : elles mettent tout à-l
doucement, et sautent dessus avec une grande promptitude. Ce qui les
distingue
des araignées-loups, c'est qu'elles se suspendent
apercevions un peu ce qui se passait dans l'intérieur, nous pouvions
distinguer
que la soie de la coque était coupée cir-culairem
bral a été confondu avec les ganglions olfactifs; j'ai dit qu'il s'en
distinguait
par la présence d'une commissure dont il est pour
et des nerfs est entièrement composée de fibres canaliculées ; qu'il
distingue
ces fibres en fibres rectilignes et en fibres art
ration me semble une condition secondaire de son existence; ce qui la
distingue
réellement, c'est sa forme granulée mise en oppos
inférieur droit avec la lame optique gauche, et réciproquement. On ne
distingue
bien la commissure dont il s'agit qu'à l'aide du
transverses de la moelle sont toutes excessivement fines et on ne les
distingue
bien isolées, qu'à l'aide d'un grossissement de 6
. (?) Liv. ix, chap. 43. la teinte des eaux de la mer, ne permet de
distinguer
cet animal que quand il n'est plus temps de fuir
on, c'est celle qui a été publiée par Arsaky (1), toutefois on y peut
distinguer
de très petits ganglions olfactifs, des ganglions
lobe gauche; une dépression qui rappelle la voûte àtrois piliers, les
distingue
l'une de l'autre, plutôt qu'elle ne les sépare. L
s du noyau dont il s'agit, que naît la commissure inférieure que l'on
distingue
très bien, notamment chez la couleuvre, du chiasm
sation, jusqu'à ces amas de matière qu'un reste de mouvement spontané
distingue
à peine de la nature inorganique, et se décomposa
a même pour chacun de nous ; l'un entend à peine des sons que l'autre
distingue
très nettement. Mais celui qui entend le mieux n'
favorable à la ponte. De la ruse, à un faible degré, est donc ce qui
distingue
les tortues et les place au-dessus des grenouil
ement éloignés de la terre, qu'ils sont devenus invisibles pour nous,
distinguent
une proie à la surface du sol, se précipitent sur
uit, et s'envolent avec promptitude à l'approche d'un ennemi, car ils
distinguent
souvent si la cause du bruit qu'ils entendent est
appris à leurs dépens que l'homme est à craindre pour eux'; aussi le
distinguent
-ils très bien de tous les animaux. Les chasseurs
rvir la bande tout entière, dans l'impossibilité où il se trouvait de
distinguer
ceux auxquels il devait des alimens, de ceux auxq
aucune différence entre nos palais et nos chaumières; que l'aigle ne
distingue
pas, dans les mou-vemens des différens peuples su
a personne qu'il aime ; il apprécie donc l'action d'embrasser ; il la
distingue
très bien de celle de frapper : il la juge donc.
, avait donc été prévue par Buffon; mais Buffon donne comme moyens de
distinguer
les sexes, des caractères purement extérieurs, Ga
s qu'il émet sont au moins hasardées. A la seule inspection du crâne,
distinguer
les deux sexes, sans se tromper jamais ! Quand on
rébrale en avant el en arrière, serait-il un caractère propre à faire
distinguer
les oiseaux intelligens de ceux qui ne le sont pa
té faite d'après les planches et non pas d'après la nature ; ainsi il
distingue
les animaux en ceux qui ont des circonvolutions s
;aractères pris dans la disposition même des circonvolutions, qui le
distinguent
de tous les animaux inférieurs, et même de 1 tous
de précision dans les faits, comment localiser les facultés, comment
distinguer
chaque circonvolution, chaque partie d'une circon
st très bien marqué sur le lion et le chat (fig. lrt). Les chats se
distinguent
donc des renards, quant à leurs circonvolutions c
sont remarquables que par leur situation, car rien autre chose ne les
distingue
des sous-divisions antérieures de la première cir
peut éviter un peu d'arbitraire en les comptant, parce qu'on ne peut
distinguer
nettement les divisions principales des sous-divi
des groupes ou familles, dont se compose la classe des mammifères, se
distinguent
encore par d'autres caractères tirés de la config
autre explication serait inadmissible. » Suivant l'auteur ce ce qui
distingue
surtout l'intelligence des animaux de celle de l'
es sens exquis, et même par de l'intelligence. La belette de Buffon
distinguait
très bien le ton de la menace et celui des caress
bien frappant de cette vérité. Chez nous le bœuf connaît son gîte: il
distingue
son maître; il entend s'il faut s'avancer ou s'ar
rvations exactes sont en trop petit nombre pour nous mettre à même de
distinguer
, sur ce point, la vérité de l'erreur. Les marin
nt, que les singes reconnaissent les femmes habillées, et sachent les
distinguer
des hommes; ils sont également lubriques en prése
ainsi que celui du phoque et de la brebis : le crâne de la brebis se
distingue
sous ce rapport d'une manière frappante de celui
ient fondés à me répondre, si je leur faisais cette objection, qu'ils
distinguent
l'attachement à vie ou mariage de l'attachement a
ien développée, qui sont cachés derrière les fosses nasales; pour les
distinguer
des cerveaux étroits et comme effilés, il faut le
se fait remarquer par la vénération qu'il porte à l'homme, cet animal
distingue
parfaitement dans la maison qu'il habite, le rang
comparaison du volume absolu ne peut donc pas suffire pour nous faire
distinguer
les animaux les plus intelligens de ceux qui le s
il est surtout formé de fibres à direction sagitlale, mais il s'en
distingue
par la longueur de ses fibres. Dans la région du
réticulée du thalamus (Fig. 25). Par son aspect, ce con- tingent se
distingue
nettement des fibres du segment postérieur (Cip)
st situé sur le prolongement du segment postérieur (Cip) et ne s'en
distingue
que par la direction de ses fibres; sur les coupe
uite à la partie postérieure du ruban de Reil (Fig. 48), dont il se
distingue
par le trajet horizontal de ses fibres et leur
bien constitué et occupant le plancher de la cavité ventriculaire,
distingue
complètement nos cas des observations d'agénési
interhémisphérique et à la face inférieure de chaque hémisphère on
distingue
un lobe frontal et un lobe sphéno-occipital sépar
s deux tiers postérieurs du lobe sphénoïdal sont développés et l'on
distingue
en particulier la circonvolution de l'hippocamp
e l'artère sylvienne (Fig. 199). A la base du cerveau (Fig. 199) on
distingue
un losange opto-pcdonculceire bien déve- loppé
.) Cette disposition n'existe pas dans la région occipitale où l'on
distingue
une pointe, une face interne, une face inférieu
ite de la force mus- culaire. L'absence de tout trouble paralytique
distingue
nettement ce cas, des lésions traumatiques ou o
e lui, perpendiculairement à son axe, le taenia semicircularis s'en
distingue
toutefois par la faible coloration de ses fibres
rieure du corps du trigone, entrent dans sa constitu- tion et ne se
distinguent
des fascicules ammoniques que par leur colora-
re par l'étude des dégé- nérescences secondaires. Chez l'enfant, on
distingue
dans le tapetum deux couches, l'une mince inter
e une disposition sensiblement différente de celle de l'homme. On y
distingue
un petit sè- ment inférieur ou ventral qui occu
ur du septum lucidum, s'adosse au fornix longus de Forel dont il se
distingue
facilement grâce à la plus faible coloration de s
um toutes les fibres commissu- rales du trigone; depuis Ganser on y
distingue
un feuillet antérieur ou ventral et un feuillet
LIONS 1NlItlCOItTICAU\ : COIiPS STRIÉ. 327 triculaire. Cet auteur y
distingue
néanmoins trois parties (dorsale, moyenne et ve
nom de couche zonale, de stratum zonale (Strz, Fig. 290). Burdach
distingua
dans la couche optique quatre noyaux : les noyaux
optique se disposent en groupes de volume et de forme variables et
distingua
chez le lapin près de vingt groupes cellulaires
érieur principal (ant. a.), plusieurs noyaux accessoires ; v. Monakow
distingue
un noyau interne et un autre ventral. Le noyau
ogues à celles du noyau principal, la substance fondamentale seule se
distingue
par une moindre densité de son réticulum. Le
me du noyau interne et du centre médian de Luys, ces deux noyaux se
distinguent
très bien, soit à l'état frais, soif sur des co
traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, le noyau externe se
distingue
du pulvinar par son aspect plus foncé et par le
ompose chez les mammifères de deux masses grises, que l'on peut
distinguer
, avec Nissl et Cajal, en noyau inlerne et noy
sillonnée de fines fibres entre-croisées dans tous les sens, et se
distingue
surtout de la zone réticulée thalamique par l'abs
bas (Fig. 320 à 328, T. Ie ? p. G 1 ). La commissure de Meynert se
distingue
très nettement des fibres parallèles, serrées e
de la pre- mière paire est le nerf sensoriel de l'olfaction. Il se
distingue
des autres nerfs sensitifs et sensoriels cranio
continue dans la bandelette optique croisée; le faisceau temporal se
distingue
par des hachures IIIII; le faisceau nasal par d
ostérieure du chiasma, s'étend d'un corps genouillé à l'autre et se
distingue
très nettement des fibres visuelles de la bandele
e chaque côté le tiers antérieur du sillon marginal antérieur et se
distingue
des deux lobes précédents par ses dimensions pl
MORPHOLOGIE DU RHOMBENCEPHALE. 463 rieur. Ce sillon est facile il
distinguer
des sillons interlobaires el interlo- Imlaires
e constitue la partie la plus proéminente du vermis inférieur. On y
distingue
trois petits lobules secondaires, aplatis d'avant
ilrUl;. - LOBE DU NODULE : NODULE ET FLOCCULUS Le lobe du nodule se
distingue
des autres lobes primordiaux du cervelet : 1° p
e continue avec le bord antérieur de l'aile de la luette dont il se
distingue
par sa minceur et sa mobilité, et adhère à la sub
é chez les solipèdes, les ruminants et les rongeurs. Ce faisceau se
distingue
des fibres transversales de la protubérance parce
du bulbe (stratum zonale d'Arnold, stratum transversale) , pour les
distinguer
des fibres arciformes externes postérieures , i
ersales et sagittales au travers de cet organe. Elles permettent de
distinguer
la substance blanche centrale des hémisphères,
fais- ceaux de fibres segmentent en plusieurs noyaux. Weidenreich y
distingue
un volumineux noyau interne (nucleus medialis),
contre d'une épaisse couche de substance blanche, dans laquelle on
distingue
trois zones nettement différenciées Bibliothèqu
avité du noyau dentelé, le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) se
distingue
mal du feutrage intra-ciliaire dont il dérive (
avons déjà figuré dans le tome 1er (Fig. 328, p. 661). On peut donc
distinguer
dans l'entre-croisement des pédoncules cérébell
s C5, H7, Fig. 361 et 397, p. 561). Par leur gros calibre, elles se
distinguent
néanmoins toujours facilement des fibres du péd
e encore sous les noms d'olive inférieure, de grosse olive, pour la
distinguer
de l'olive supérieure, petite ou protubérantielle
s denticules les plus nombreux. Comme dans l'olive cérébelleuse, on
distingue
un feutrage intra-ciliaire, et un feutrage extr
es sont for- tement colorées par la laque hématoxylinique. Elles se
distinguent
de ce fait très facilement des fibres longitudi
403, p. 573), immédiatement au- dessus de la décussation, il ne se
distingue
que par l'obliquité de ses fibres lâchement fas
e, le faisceau lon- gitudinal postérieur (Flp). Ce faisceau, qui se
distingue
par le gros calibre de ses fibres et leur color
calotte, les fibres longitudinales sont toujours clairsemées. On y
distingue
trois amas cellulaires, l'olive supé- rieure (O
éticulée externe ou grise (formatio reticularis griset) (SRg). On y
distingue
un court et large segment antérieur ou inler-ol
. Monakow sous le nom de ruban cortical, Rizzdenschleife. Bechterew
distingue
dans la couche rubanée ou ruban de Reil médian un
iC(coupesHl2 etH13, Fig. H2 et ! 4.3,p.Gï` ? ,Gii); ses fibres se
distinguent
net- tement des autres fibres qui s'entre-cro
s arrondis, faiblement colorés par la laque hématoxylinique, qui se
distinguent
par conséquent facilement des libres denses, se
on- tingent important de fibres. Le ruban de Reil laléral, facile à
distinguer
grâce à l'obliquité de ses fibres, n'est plus s
face antérieure se fusionne avec la formation réticulée, dont il se
distingue
toutefois par la coloration plus intense de ses
que le profond sillon transverse antérieur (sta) diminue, et ne se
distingue
guère des premiers par sa pro- fondeur dans la
s sagittal, à contours lisses, non bos- selés, et ces caractères le
distinguent
nettement du globule (Ngl) et de l'olive cérébe
, qui limitent le lobe semi-lunaire supérieur en haut et en bas, se
distinguent
seuls par leur plus grande profondeur des autres
e désigné sous le nom d'entre-croisement supérieur (xsPcs), pour le
distinguer
du grand entre-croisement principal ou inférieu
ont plus clairsemées- le long de son bord concave, ce qui permet de
distinguer
très nettement les- fibres longitudinales de la
vant la périphérie antérieure du pont. La calotte de cette coupe se
distingue
de celle de la coupe précédente (coupe Hl) : pa
coupe précédente le sillon latéral de l'isthme de l'encéphale. On y
distingue
nettement les fascicules arrondis aberrants de la
ent l'aspect si caractéristique de l'olive bulbaire dont elle ne se
distingue
que par son volume infiniment plus considérable.
toison (fec), que ses fibres. fortement colorées par l'hématoxyline
distinguent
seules du reste de la sub- stance blanche centr
réticulée blanche forme sur cette coupe une couche homogène; on n'y
distingue
même plus la légère diminution de teinte visible
sent comme les fibres arciformes pzrélrigécrzinales - dont elles se
distinguent
par leur section oblique - en avant de la grosse
cérébello-olivaire. Les fibres arciformes interréticulées (fir) se
distinguent
des fibres cérébello- olivaires par leur volume
i que la diminution considérable de volume de l'olive bulbaire(0\),
distingue
surtout la coupe H 15 de la coupe H 14. La pyra
e (SRg). Une agglomération plus grande de substance grise permet de
distinguer
un noyau latéral poslérieur (Nltp) et un noyau la
Burdach (NB) ne le cède pas en volume au noyau de Goll, dont il se
distingue
par les ilois arrondis ou oblongs de substance gr
re la corne postérieure (Cop) et la corne antérieure (Coa), mais se
distingue
toujours facile- ment, grâce il son aspect gros
me caractéristique propre à la moelle cer- vicale supérieure ; on y
distingue
une corne antérieure reliée par une large base
nt toutes coudées, affectent une direction longitu- dinale et ne se
distinguent
des autres libres constitutives du cordon latéral
RVELET 1° Structure de l'écorce cérébelleuse. L'oeil nu permet de
distinguer
deux couches dans l'écorce cérébelleuse, l'une ex
trémité libre est légèrement renflée'(Fig. 45G). Ces caractères les
distinguent
des épines longues et grêles qui recouvrent les
s dans la partie inférieure de l'olive cérébelleuse, sont faciles à
distinguer
l'une de l'autre sur toutes les coupes qui inté
ment des noyaux du toit. Ces deux entre-croisements sont faciles à
distinguer
l'un de l'aulre, l'entre-croisement commissural
. 433, p. 645). Il semble donc que dès à présent on soit autorisé à
distinguer
les fibres semi-circulaires en groupe externe et
une brusque aggrava- tion. Bref, dans cette évolution, nous pouvons
distinguer
deux phases. Une première, lente, progressive,
ère- ment épaissie à leur niveau; profondément, il est difficile de
distinguer
des sur- faces articulaires, les tendons ; on n
un Hermès ilhyphallique ; dans le fond, un per- sonnage donl on ne
distingue
que la tête et les épaules. Est-ce un jeune éph
néoplasique; seule, son extré- mité libre est indépendante ; on en
distingue
assez nettement le tractus fascicule qui abouti
-jacentes et, par leur intermédiaire, aux tumeurs elles-mêmes, s'en
distingue
ce- pendant par l'existence, dans la zone qui l
pas de canal central et, dans chaque segment, il est impossible de
distinguer
la substance blanclie de la grise et réciproqueme
s souvent tous les frais. Il en est cependant dans le nombre qui se
distinguent
par une réelle originalité. Nous aurons l'occasio
pen- dant trois semaines ; puis aurait aussi vu trouble,'ne pouvant
distinguer
cor- rectement les objets à 2 mètres de distanc
'éblouisse- ments ; il lui semblait voir tout noir bien qu'elle pût
distinguer
nettement les objets qui l'entouraient. Elle pu
ographie par la méthode de Roentgen, permettront toujours de les en
distinguer
. . Nous n'en connaissons qu'un exemple, dû à Ta
poitrine, bien que fruste et dété- rioré par l'oxydation, permet de
distinguer
le relief du pectoral gauche el les saillies co
sentant d'une fa- mille médicale qui, pendant trois générations, se
distingua
en France, par des travaux scientifiques mémora
, si semblables les unes aux autres qu'il eût été impossible de les
distinguer
une fois mélangées. Et -Morand fit à peu près c
lade Ù l'une ou à l'autre de ces affections, qui puisse aider à les
distinguer
». , Depuis Sydenham, nombre d'auteurs'sont ven
rs parois tuméfiées, vitreuses, homogènes, il est impossible de les
distinguer
sur les coupes. . La circonférence interne de l
te pas de canal central et dans cbaque segment il est impossible de
distinguer
la substance blanche de la grise et réciproque-
ogressivement tous ses caractères du côté gauche de la coupe; on ne
distingue
plus ses limites qui semblent diffuses et elle
Dans tout l'espace qui correspond au manteau blanc de ce côté on ne
distingue
plus de tubes nerveux, ni les nombreux noyaux név
u'un alfias de détritus informes où il est absolument impossible de
distinguer
quoi que ce soit, plus haut on retrouve diffici
u conjonctif très serré dans lequel les vaisseaux sont difficiles à
distinguer
. Elle est nettement séparée de la moelle, mais
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE seules les cellules de l'opendyme peuvent se
distinguer
par leur aspect si spé- cial. Les muscles voi
et de la paralysie alcoolique. Ces mêmes éléments vous serviront à
distinguer
la paralysie arsenicale des aulrcs variétés de po
lite antérieure. Je vous ai déjà dit combien il vous sera facile de
distinguer
le pseudo-tabes arsenical du tabes dorsa- lis v
vous cette triade fondamentale, et vous ne serez jamais en peine de
distinguer
la syringomyélie d'une paralysie arsenicale. e.
DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 353 réduite à l'une de ses moitiés où se
distingue
encore assez nettement la corne grise. La moi
droit de la coupe est presque saine dans ses parties centrales, on
distingue
les cellules de la corne antérieure, la colonne
lacé sans nucléole. Le sillon médian antérieur est très large, on
distingue
encore nettement les vaisseaux spinaux antérieu
ôté gauche de la coupe, quelques fragments nerveux dans lesquels on
distingue
encore les cellules du groupe antéro-interne de l
, noyés dans le tissu conjonctif épaissi de la pie-mère. On ne peut
distinguer
l'artère de la veine, un des vaisseaux présente
tées qui rem- plit presque tout le canal rachidien, on ne peut plus
distinguer
ce qui dans cette couche fibreuse appartient il
. Examinons chacun des éléments de la coupe : la substance grise se
distingue
nettement de la substance blanche, mais on ne s
don postérieur. N Queue de cheval. Ici il redevient impossible de
distinguer
la substance blanche de la grise, la moelle est
n anté- rieur. Il y a là un tissu fibreux très serré dans lequel on
distingue
encore net- tement l'artère aplatie, vide. La v
scope, voici comment se présentent les coupes. Région cervicale. On
distingue
assez nettement la substance grise de la subs-
pect normal 1 mais à la périphérie du côté gauche de la coupe on ne
distingue
plus ses limi- tes qui semblent diffuses et von
érieures ont perdu leur structure normale, elles sont impossibles à
distinguer
Tune de l'autre et sont représentées par des fe
. Dans la substance grise les cellules se voient avec peine, ou les
distingue
mal dans leurs contours et dans leur structure
ment due la moelle paraît encore plus atteinte, il est impossible de
distinguer
dans la substance grise une seule cellule nerve
son caractère natif : c'est ce bredouillement inintelligible qui le
distingue
parmi tout le peuple des marionnettes. C'est un
ractère de personnage grotesqu.e et ridicule. Il est difficile de
distinguer
, dans cette'période fabuleuse de l'histoire de
pel et quelques menus objets. Sur un coin de planche fixé au mur on
distingue
encore des récipients- pharmaceutiques. L'int
orriger celle dernière proposition en ce qu'elle a d'absolu. Ce qui
distingue
l'hérédité progressive, celle des ca- ractères
oordination qui est la manifestation prédominante de la maladie, se
distingue
encore du syndrome général des lésions purement
e classique en particulier, nous avons vu qne cliniquement, il s'en
distingue
en effet : le Par sa cause, par le rôle qu'un t
atomo-pathologique, il est très aisé par le seul examen clinique de
distinguer
de l'ostéite déformante le syndrome isolé par M
à l'ostéomalacie mais à l'ostéoporose. Il semble donc qu'il faille
distinguer
dans le groupe artificiel de l'ostéomalacie dite
la femme. (i) Schiffmacher (Munch. med. Wochenschr., 29 mars 1904)
distingue
soigneusement aussi l'ostéomalacie chez le viei
logiques si différents. L'observation des faits permet cependant de
distinguer
deux grandes catégories d'observations. Dans un
nique des démences organiques. Ces deux séries de cas permettent de
distinguer
un puérilisme aigu et un puérilisme chronique.
r des passions politiques ou religieuses, et je ne sais pourquoi je
distingue
des passions qui dans la pratique sont confondu
eu effacé par le temps, de Simone Martini (n° 1240 des Offices), on
distingue
encore très bien l'extension du gros orteil du
fférentes du phé- nomène de Babinski. Il est également facile de le
distinguer
des mouve- ments volontaires de défense que l'e
s ai dit, Messieurs, que s'il était utile pour la classification de
distinguer
entre elles les diverses races, il ne fallait pas
s de l'ataxie familiale. En effet, sur quoi se basait-on pour les
distinguer
? sur t'age d'appa- 128 RAYMOND rition ? Mais
logiques sont les sui- vantes : A. Ecorce cérébrale. - Elle ne se
distingue
d'une écorce normale que par la gracilité de so
nts, attribué à l'hérédo- ataxie cérébelleuse pourrait suffire à la
distinguer
de la maladie de Frie- dreich, sclérose primiti
es, par exemple, à côté de la forme inférieure, la plus commune, on
distingue
des formes cervicales, cérébrobulbaires. Dans la
ifférences de localisation de la lésion dans le système cérébelleux
distinguent
seules, toutes transitions possibles, les varié
e la tumeur dépassé, l'écorce colorée au carmin ne pourrait plus se
distinguer
de celle d'une coupe normale. Les masses gris
n la touche, surtout aux jambes. Amaurose presque complète ; elle
distingue
à peine le jour de la nuit. Pu- pilles générale
atisme n'était pas en réalité dû à un accès épilep- tiforme. Ce qui
distingue
encore cette observation des précédentes, c'est l
etites que dans une préparation normale et il n'est pas possible de
distinguer
les images en soleil de la fibre nerveuse. Nous
des extrémités, qui, quoique voisines de la maladie de Marie, s'en
distinguent
cependant par des caractères très nets, tels qu
de moelles de paralytiques généraux dans des mé- moires successifs,
distingue
deux types lésionnels fondamentaux : l'un const
e idée plus large faisant des affections nerveuses, que la clinique
distingue
, de simples syndromes à correspondance anatomiq
ablir un seul caractère essentiel profond par lequel nous puissions
distinguer
les trois formes entre elles. Avant d'aborder l
flroy-Saint-Hilaire. La pseudencéphalie et l'anencéphalie, que l'on
distingue
assez ordinairement t l'une de l'autre, possède
a théorie des adhérences. Vers la même époque, Ad. Burggraeve (2)
distingue
des anencéphales par maladie et des anencéphale
tion entre l'effraction de la boîte crânienne et sa résorption ; il
distingue
les phases de l'anencéphalie suivant le degré d
, chez lesquels tout au moins la tumeur est extrêmement réduite, on
distingue
le Dérencéphale dont le crâne et la région cerv
nt beaucoup plus de la disposition habituelle. Il est impossible de
distinguer
les limites entre l'écaille occipitale et l'os
é de la moelle lom- baire, au point d'origine du filum terminal, on
distingue
sur les coupes transversales un tissu nerveux a
our de la tumeur. Sur les coupes pratiquées dans ces conditions, on
distingue
nette- ment, à une certaine distance de la tume
dessus d'elle les assises malpighiennes et les assises cornées ; on
distingue
également, dans le derme sous-jacent, un nombre
peau par une membrane conjonctive, assez épaisse, dans laquelle on
distingue
un certain nombre de capillaires (Pl. XLV-E). L
des éléments constitutifs de la moelle. Au milieu de ces débris, on
distingue
quelques cellules ayant encore des contours assez
le cas précé- dent. C'est une bouillie informe, dans laquelle on ne
distingue
plus aucun élé- ment cellulaire. Ce n'est que t
isté. Il est cependant un point par lequel ce tissu encéphalique se
distingue
: ici les vaisseaux ne sont que très exceptionn
l rachidien montre des dispositions importantes. Sur les coupes, on
distingue
nettement la moelle ; mais elle est réduite à u
moelle se trouve une bouillie informe, dans le sein de laquelle on
distingue
toutefois un reste de l'épithélium épendymaire
res, ainsi que le démontre leur situation et les relations que l'on
distingue
par endroits, tant avec la moelle qu'avec le ga
te gaine quand le nerf est bien fixé. En faisant varier le point on
distingue
les fibrilles qui.le composent. Elles courent par
rossissement montre quantité de détails. Dans les vaisseaux on peut
distinguer
les globules rouges et les différentes sortes d
D'EXAMEN DU SYSTÈME NERVEUX 403 Cerveau. Dans substance blanche on
distingue
, les noyaux et les cy- lindraxes coupés dans to
il est donc intention- nel au sens strict du mot. Malgré cela il se
distingue
nettement du trem- blement de la sclérose en pl
de- mander si, comme ont tenté de le faire divers auteurs, on doit
distinguer
au point de vue nosographique des types netteme
e trop précis, sans être absolument exact au point de vue clinique.
Distinguer
entre cette forme et la forme paraplégique pure
grand inconvénient à le maintenir. Mais il vaudrait peut-être mieux
distinguer
des formes spinale, bulbo-spinale et bulbo-cérébe
, C). MM. Brissaud et Meige ont cherché à établir qu'il y a lieu de
distinguer
les tics des spasmes, que l'hémispasme facial p
er- vations qui semblent relever de l'achondroplasie vraie ; il les
distingue
du rachitisme et tend à les rapporter à la syph
un foetus à membres 'courts et à tête volumineuse. M. Müller (1860)
distingue
, comme deux variétés de la même affection, le r
nsi que Apert (1901-1902), Méry et Labbé (1902), les caractères qui
distinguent
ces malades des myxoedémateux avec lesquels on
n sur un certain nombre de points qu'il importe de vérifier afin de
distinguer
en particulier le rachi- tisme, la dysplasie pé
eu exagérées. La consistance des os de la voûte est normale, ce qui
distingue
l'achondroplasie pure de la dysostose cléido-crân
ses musculaires. Les dents apparaissent à leur terme normal, ce qui
distingue
l'enfant achon- droplasique des rachitiques et
gique), Gracilité des os de l'avant-bras. Aux membres inférieurs on
distingue
, comme chez les achondroplasiques, des plis cut
dys- trophies osseuses que le microscope nous permet aujourd'hui de
distinguer
net- tement. Les diaphyses sont en général dr
e. 1° Ossification chondrale. - Dans la zone d'ossification on peut
distinguer
trois cou- ches successives en se portant du ca
e dystrophie osseuse congénitale, plus rare que la précédente, s'en
distingue
essentiellement par l'intégrité de l'ossification
reprenant l'ensemble des faits publiés, groupent les observations,
distinguent
ces deux formes de dystrophies osseuses et cher
sait manifestement qu'ils étaient flexibles dans leur milieu ; on y
distinguait
même une crépitation plus ou moins sensible.... D
ossède une base du crâne normale, des os palatins normaux, et ne se
distingue
des autres bovidés que par une atrophie portant
pement. Dans ce cas les courbures sont moins fortes, mais les os se
distinguent
de ceux des achondroplases par leurs surfa- ces
décrire les lésions osseuses du syphilitique, au même titre que l'on
distingue
le foie ou le coeur tuberculeux d'avec le foie
ucider la nature des lésions achon- droplasiques vraies afin de les
distinguer
des autres affections osseuses de nature ou de
re quelque jour d'établir un diagnostic étiologique plus précis,et de
distinguer
les achondroplasies syphilitique, tuberculeuse,
pas complet; certains signes font défaut; on ne peut, par exemple,
distinguer
aucun phénomène du côté des yeux isolés de leur c
u d'athé- rome. Reins fortement hyperémiés ; les deux substances se
distinguent
mal, mais'la zone corticale n'est nullement atr
XXV b et c). Chaque foyer a pour centre un vaisseau et l'on en peut
distinguer
plusieurs types : a) La paroi et la lumière du
e ces capsules surrénales ne diffère nullement de la normale : on y
distingue
les deux substances, corticale et médullaire, d
? ), qu'il semble vouloir écarter de son bras'étendu. A gauche, on
distingue
un homme dans l'attitude d'un' supplicié; ça et l
r- cies par les bichromates et colorées par la méthode de Forel, on
distingue
en général très facilement à l'examen histologi
ase d'implantation cérébrale ; de sorte que l'on peut dès à présent
distinguer
au nerf optique rudimentaire, un segment antéri
ieur primitif de Mis s'étend d'avant en arrière, et on y peut alors
distinguer
deux faisceaux, le faisceau longitu- dinal post
on de sa cavité, qui se transforme en aqueduc de Sylvius, et qui se
distingue
des cavités des Nerfs qui naissent du cerveau
ez les poissons osseux et dans les autres classes des vertébrés, on
distingue
nettement : le corps strié et le manteau cérébral
un lissencéphale ou d'un gyrezzcé- phale, il est toujours facile de
distinguer
dans le manteau cérébral deux parties : l'une,
mps que le caractère épithélial des cellules est manifeste, on peut
distinguer
avec His, trois zones sur une coupe transversale
de 6 1/2 à 8 Leur protoplasma clair et transparent, dans lequel His
distingue
à un fort grossissement, une couche endoplasmiq
ingulièrement par leur aspect pyriforme aux neuroblastes, mais s en
distinguent
cepen- dant, par la facilité avec laquelle leur
amine le canal neural d'un embryon de la quatrième semaine, on peut
distinguer
dans la sub- stance grise embryonnaire, très ép
st. très précoce dans les racines antérieures de la moelle. On'peut
distinguer
dans cette colonne de noyaux une partie médio-
fus de rameaux qui en- tourent le petit corps cellulaire, on peut
distinguer
avec Golgi tous les intermédiaires entre des ra
rites par Ranvier, Renaut et Vignal. Les cellules névrogliques se
distinguent
des cellules nerveuses par leurs rameaux droits
avec beaucoup de soin dans la moelle épinière par v. Lenhossek, qui
distingue
plusieurs types. a. Les cellules araignées gé
les araignées du voisinage de. la commissure grise posté- rieure se
distinguent
par leur disposition caractéristique. Dans cette
s, tout à fait sembla- bles à celles de la moelle adulte, ne s'en
distinguent
que par leur vo- lume et leur absence de pigmen
. 165 Le prolongement cytznd ? 'eaxzte est en général unique; il se
distingue
tacitement des dendrites par sa parfaite régu
HISTOGENÈSE DIT SYSTÈME NERVEUX. 18.* *) connectives (Vignal), se
distingue
cependant d'avec le cylindre-axe d'une fibre de
ès Flesch, à des différences dans leur fonctionnement, les ont fait
distinguer
par Weigert en cellules chîo2zol)hî*les et en c
leur aux nerfs péri- phériques, les tubes à myéline du névraxe s'en
distinguent
cependant par certaines particularités de struc
ÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 109 nerfs périphériques. Mais ce réseau se
distingue
de celui des nerfs périphé- riques en ce qu'il
rès serrées. Ces vaisseaux artériels, veineux et capillaires, ne se
distinguent
de ceux des autres tissus que par l'existence d
rs, tout à fait comparable aux cellules olfactives, dont elle ne se
distingue
que par la longueur de son prolongement périphé
nière uniforme, dans le ganglion rachidien ou cérébral. On peut les
distinguer
en cellules marginales., beaucoup plus nombreus
DULTE. 213 tine, décrit par Ewald et Kühne (fig. 131), mais il s'en
distingue
en ce qu'il se colore en noir par l'osmium, tan
o- ration assez faible, qui, pour Ranvier, suffit cependantpour les
distinguer
des fibres du tissu conjonctif. Le même auteur
Dans ces conditions et après dissociation, on peut très facilement
distinguer
les fibres de Remak des fibres connectives, car
visent chaque hémisphère en . lobes, lobules et circonvolutions. On
distingue
ces anfractuosités, en scissures qui limitent l
jeter directement dans la scis- sure de Sylvius (fig. 163). On
distingue
à cette circonvolution trois par- ties : l'un
rpariétal se termine dans la scissure perpendiculaire externe cl se
distingue
ainsi nettement de celui de l'homme. La partie
ente douce, dans le sillon marginal postérieur (mp). . Schnopfhagen
distingue
deux parties dans le lobule de l'insula : l'une
le est également convexe par sa face infé- rieure. Ses fibres ne se
distinguent
pas à l'état normal des libres visuelles, mais
de Gudden se caractérise par la grande finesse de ses libres et se
distingue
ainsi nettement des libres visuelles, qui prése
tricules laté- raux. dum est souvent si rudimentaire, que l'on ne
distingue
que difficilement z ces différentes couches. En
aspect strié et sa coloration spéciale, rougeâtre JI0' et pâle, le
distinguent
nettement du noyau interne, plus foncé et de colo
voit pénétrer dans la masse blanche des circonvolutions, dont il se
distingue
par ses contours assez nets. Il est séparé du ven
s d'agénesie du corps calleux au faisceau occipito-frontal (OF), se
distingue
nettement du Gorrr- relet du corps calleux par
avant et entoure le noyau antérieur (\a). Le noyau interne (Ni) se
distingue
par son aspect homogène d'avec le noyau, extern
ux noyaux, le noyau interne et le noyau externe (Ne). Ce dernier se
distingue
du premier par sa coloration plus pâle et son a
rc) et le faisceau uncinatus (Fu). Dans le lobe temporal on ne peut
distinguer
aucun faisceau. Les fibres courtes, comme les fib
e trigone (Tg) qui lui est uni dans sa partie interne, et qui ne se
distingue
du corps calleux que par sa coloration foncée,
coupe intéresse l'hémisphère cérébelleux; sur la face supérieure on
distingue
le lobe supào-antIJI'Í1 ! W' (Lsa), le lobe supér
ce extra-ventriculaire de la couche optique. Écorce. L'écorce ne se
distingue
que par des différences insignifiantes, d'avec
trent, au faisceau occiilo-f i·oz7tal de Forel (OF). Ce faisceau se
distingue
des fibres calleuses par la coloration moins fo
tale (F,), (pal'lie interne [mu;], ou partie orbitaire [oF,]) on ne
distingue
pas de faisceaux d'association nettement circonsc
ment postérieur, se mé- langent aux fibres précédentes, dont ils se
distinguent
facilement grâce il leur coloration foncée et s
it la lame médullaire interne du noyau lenticulaire (Lme). Elles se
distinguent
en général facilement des autres fibres, car el
) et par les fibres enchevêtrées de la musse blanche, dont elles se
distinguent
par leur direction et leur coloration plus fonc
lui viennent du segment antérieur de la capsule interne (Cia). Il se.
distingue
faci- lement par son aspect du noyau externe du
ces mêmes régions, la zone réticulée est beaucoup plus large; on y
distingue
la sec- tion de faisceaux de fibres, non seulem
e ou seg- ment antérieur de la capsule interne (Cia), dont elles se
distinguent
cependant toujours facilement par leur aspect f
nt, il est par contre mal délimité du noyau interne (Ni) dont il se
distingue
cependant facile- ment, grâce à sa richesse en
on sous-thalamique supérieure, au- dessus du corps de Luys. Elle se
distingue
de la précédente par la dimi- nution du segment
oupes précédentes nos 12 et 13 (fig. 311 et 312), on pouvait encore
distinguer
dans l'insula la circonvolution postérieure (Ip),
nt le même trajet et présentent la même direction. Ces dernières se
distinguent
cependant nettement des libres des radiations o
Meynert, la coupe intéresse la bandelette op- tique (II), facile à
distinguer
de cette dernière. La commissure de Meynert (CM)
stérieurs (Qp) présentent un aspect particulier, et sont faciles il
distinguer
des ccnlrriczzr·.c (Qa) des coupes précédentes .
il latéral ou infé- rieur (Itl). Ce ruban de Reil inférieur (Ri) se
distingue
du ruban de Reil médian (Rm) par sa situation d
a 4° et la. 5° couche de Mevnert n'en font en réalité qu'une seule,
distingue
avec . Schwalbe dans la région psycho-motrice d
même dans toute l'étendue de l'écorce cérébrale, et il convient de
distinguer
à cet égard l'écorce du manteau cérébral (palli
lules considérées jusqu'à lui comme étant de nature névroglique, et
distingua
dans cette couche trois espèces de cellules : des
e sont très nombreuses et on peut, d'après leur mode d'origine, les
distinguer
avec Cajal en tige ascendante ou dendrite primo
da, strata- medio de Golgi, fig. 329 et 339, C.). Cette couche se
distingue
de la précédente par le plus grand volume des c
,. Elles se confondent insensiblement avec ces dernières, mais s'en
distinguent
par leur situation nettement intra-corticale. C
l'écorce présente à ce niveau des particularités spéciales. Meynert
distinguait
huit couches dans l'écorce du lobe occipital, e
euses fibres à myéline. Le type cortical à 8 couches stratifiées se
distingue
donc du type à 5 couches de Meynert, par la pré
). . II. - ÉCORCE DU RHINENCÉPHALON L'écorce du rhinencéphalon se
distingue
de celle du manteau cérébral non seulement par
nvolution limbique (L,) ou cir- convolution du corps calleux, ne se
distingue
de celle du manteau cérébral, que par quelques
e l'écorce. L'écorce de la première circonvolution limbique (L,) se
distingue
encore de celle des circonvolutions du manteau
se confondent avec l'écorce grise des hémisphères (Blumenau). Cajal
distingue
trois couches dans les nerfs de Lancisi, une su
LE. 717 1 3. Stratum oriens. Couche des cellules polymorphes. Cajal
distingue
dans le stratum oriens deux zones : l'une infér
Schaffer, Cajal, que les cellules ovoïdes du stratum granulosum se
distinguent
des cellules pyramidales par un certain nombre
ar leur cylindre-axe, les cellules ovoïdes du stratum granulosum se
distinguent
encore nettement des cellules pyramidales des aut
cu- laire de la région godron- née de la corne d'Am- mon. Cajal
distingue
dans cette couche trois ou quatre zones secon
ellules nerveuses, analogues à celles de l'écorce, dont elles ne se
distinguent
que par l'absence de stratification. AZOULAY
T COMMISSURAUX. 747 rielles ou cérébelleuses (Cajal). Ces fibres se
distinguent
des cylindres-axes des cellules pyramidales non
cerne le système des fibres de projection. Caractères qui les 1
distinguent
dos fibres do projection. 1 m. 372. - Coupe t
e que ces fibres ne se recouvrent de myéline chez l'enfant et ne se
distinguent
de la masse générale des fibres nerveuses, que
ntre-croisent avec le faisceau longitudinal inférieur dont elles se
distinguent
, sur les coupes microscopiques colorées au Weiger
tie de leur trajet au faisceau occiht.'lo-fiotztal : celui-ci ne se
distingue
des longs faisceaux d'association que par sa si
re de la corne occipitale, en un mince faisceau annulaire, facile à
distinguer
sur les coupes traitées par la méthode de Weige
la commissure antérieure et avec le faisceau uncinatus, mais s'en .
distinguent
par leur plus gros calibre et leur intense colo
en dedans par le faisceau longitudinal inférieur, et ses fibres se
distinguent
, de celles de ce dernier par leur direc- tion e
les de ccr- veaux durcis dans le bichromate (lig. 239 à 260), et se
distingue
par con- séquent facilement des radiations call
de for- nix periphericus, appliqué par Arnold au cingulum. Or, nous
distinguons
dans le trigone cérébral le corps du fornix, le
es radiations tha- lamiques et du faisceau uncinatus; ses fibres se
distinguent
par conséquent facilement des fibres du faiscea
contraire. En sorte que l'on peut, à côté de la maladie de Raynaud,
distinguer
trois grandes classes d'asphyxie chronique :
syncope locales. C'est là un caractère différentiel suffisant pour
distinguer
l'acrocyanose de la 'maladie de Raynaud, qui lu
ution » des impressions dans les centres nerveux (2), puisque, pour
distinguer
les deux pointes du compas de Weber, il faut bien
achet, d'une certaine modalité qualita- tive qui nous permet de les
distinguer
, tout en ne signifiant rien par elles- mêmes. «
Bonnier, ce certain cachet, cette couleur locale qui nous permet de
distinguer
ces sensations qui ne signifient rien, qui vari
bien demander à quoi bon ces formes diverses qui nous permettent de
distinguer
les lettres de l'alphabet, puisque ces lettres
. Je ne serais pas surpris non plus qu'au fond de cet urinai on put
distinguer
comme un soupçon de petit être, homunculus, qui
cellules rondes en longues traînées parfois unicellulaires. Elle se
distingue
encore nettement de la subs- tance nerveuse, do
les-mêmes qu'un amas de noyaux vivement colorés. Dans cette zone se
distinguent
des taches claires tranchant sur le bleu som- b
i sont entourés par un manchon nucléaire étroit. Les tuniques ne se
distinguent
plus en gé- néral ; l'adventice est complètemen
née ; on est obligé de la conduire pour la faire marcher. Elle sait
distinguer
sa droite de sa gauche, elle peut s'habiller seul
érieur, soit aux radiations optiques, soit au tapetum. A droite, on
distingue
encore un certain nombre de fibres à direction an
La reconnaissance des couleurs fut possible tant que la malade put
distinguer
les formes. Le parallélisme entre ces différent
dont elle est ainsi nettement distincte (Pi. XXVI). A droite, on
distingue
la rotule, à gauche, elle manque. Tibia. Les de
he, l'astragale semble absent, le calcanéum est très allongé. On ne
distingue
ni le scaphoïde, ni le cuboïde. Des quatre métata
augmenté de volume. La PI. XXXII montre l'aspect de la lésion : On
distingue
très nettement les divers détails exté- . rieur
-postérieur ; ses contours sont bien délimités par la pie-mère ; on
distingue
nettement le sillon antérieur, les points de term
. Le reste de la moelle ne paraît pas considérablement modifié ; on
distingue
assez bien la substance grise et sa gaine de su
es cellulaires sont bien évidemment des émanations des cellules. On
distingue
très nettement les prolongements qui partent des
ar Gull, Charcot et Joffroy, et quelques observations personnelles,
distinguent
nettement dans leur tra- vail, une syringomyéli
une tumeur des testicules. Chez notre malade, le système sexuel se
distingue
par son développement extraordi- naire : l'enfa
ce doigt. Ce cas semble donc intermédiaire aux deux catégories que
distingue
M. Lannelongue. C'est bien une hypertrophie vra
ont, l'une et l'autre, une forme sensiblement normale ; elles ne se
distinguent
de leurs similaires de la main droite que par l
Ces cas ne peuvent en aucune façon être rapprochés du nôtre. Ce qui
distingue
celui-ci, en effet, c'est la forme même et le s
obtenir que des contours osseux très vagues, qui ne permettaient de
distinguer
aucun segment osseux. Traitement. Le malade est
s de 1891 et de 1894 (1 ) et dans son Traité de chirurgie, Chipault
distingue
avec une grande justesse deux catégories d'arthro
ieu, est-il possible, cliniquementet anatomo-pathologi- quement, de
distinguer
les cas tabétiques vrais des tabétiformes d'une p
nous a été impossible de savoir. En tout cas, celte hypertrophie se
distingue
des faits visés plus spécialement par Henry Mei
minées entre les fibres larges ou réunies en -petits faisceaux, s'y
distinguent
plus nettement. Les fibres sont généralement as
ve parfois des traînées de noyaux petits et ovoïdes dont on ne peut
distinguer
nettement le corps cellulaire. Les cellules a
it faisceau ner- veux étouffé par son périnèvre exubérant. Ce qui
distingue
les fibres nerveuses du bout périphérique de cell
es adultes complètement différenciées. Ces dernières, cependant, se
distinguaient
des tubes nerveux normaux par la largeur insoli
Le rouge devenant noir en photographie, on ne peut, malheureusement,
distinguer
les cylindraxes noirs des rouges. Le cylindraxe
. Mais le trophoedème jouit à ce point de vue d'un caractère qui le
distingue
nettement du pseudo- oedème catatonique : il dé
de(l); la lipomatose diffuse symétrique de Mosny et Beaufumé qui se
distingue
par la maigreur générale des masses musculaires
'urine s'y trouvent en quantité normale. Le syndrome de Dercum se
distinguera
.donc du pseudo-oedème, cata- tonique par sa loc
par le deuxième ; l'association des deux syndromes s'observe. Il se
distinguera
du tropheedème en ce qu'il respecte les mains e
tent des accès quotidiens. La stéréotypie du mouvement de lécher se
distingue
donc objectivement t de ce que serait un vérita
nt très limité ne sont pas moins facilement re- connaissables et se
distinguent
nettement des actes purement réflexes d'origine
e ou tonique, et c'est en cela qu'il différera d'un tic; mais il se
distinguera
de l'acte vulgaire de lécher par la déformation d
ce parallèle que s'il importe pour des raisons noso- graphiques de
distinguer
nettement les stéréotypies des tics par leurs ma-
aigus se sont dissipés, alors dans le délire alcoolique continu on
distingue
en premier lieu les hallucinations et les illus
inu est plus accusé, le nombre des voix est assez grand ; le malade
distingue
nettement non seulement des phrases, mais des dia
voix ne s'entendent pas continuellement : le malade commence à les
distinguer
, lorsqu'il y a un silence autour de lui, ou lor
comme à bon droit l'Alle- magne peut se glorifier d'en produire se
distinguerait
certainement par des qualités tout autres. Po
escence se montrent plus caractérisées. Ainsi il serait possible de
distinguer
parfois la syringomyélie purement intra-médullair
, Thornburn rattache le Grand Pec- toral à la V. cervicale; Edinger
distingue
au contraire avec juste raison, un Pectoral cla
, de Schoenúom (2), de Noguès et Sirol (3) et de Hoff- mann (1), se
distingue
par son caractère très typique de variété atro-
caractéristique pour les cas décrits par les auteurs précédents, se
distingue
beaucoup de la localisation des dystrophies mus
foule de points noirâtres qui remplacent les vais- seaux que l'on y
distingue
il l'état normal. A l'état normal en effet, la
r axe et paraissent émerger directement du tissu nerveux sans qu'on
distingue
autour d'eux une cavité. Dans le cas de lacune
petites hémorragies très limitées qui évoluent sans fracas et ne se
distinguent
pas cliniquement des la- cunes. ' Tels sont l
ré qui s'est caractérisé surtout par ce fait qu'il sera possible de
distinguer
au microscope un espace suffisamment étendu entre
ois sont tou- jours très épaissies. Dans un cerveau normal, on peut
distinguer
aux artérioles les trois tuniques caractéristiq
par l'hématoxyline comme les noyaux cellulaires des tuniques on les
distingue
facilement. Ce sont des éléments en pleine acti
t se colorent assez facilement, leur petite dimension les fait bien
distinguer
des cellules nerveuses. Enfin le réseau de fibres
r les procédés ordinaires convenant le mieux au système nerveux, on
distingue
dans les parois de la cavité lacunaire trois zone
e membrane qui limiterait la cavité du côté du tissu cérébral. « On
distingue
, limitant celle-ci (la cavité), une mince pelli
brisées en plusieurs places. Il est en général im- possible de les
distinguer
des fibres névrogliques, sauf quand elles sont en
nt excen- trique. Ce protoplasma prend les couleurs acides : on n'y
distingue
pas nette- ment de granulations. Il est du rest
auteur considère surtout la valeur esthétique de l'affection, qu'il
distingue
cependant en congénitale ou acquise, et il étab
140 GASTON DANIEL sence de lésions cérébrales, il faul évidemment
distinguer
les lésions cé- rébrales, que l'on rencontre da
te d'un certain cachet, d'une couleur locale qui nous permet de les
distinguer
. Nous reconnaîtrons donc, parmi ces multiples s
bon ce certain cachet, cette cou- leur spéciale qui nous permet de
distinguer
ces sensations qui ne signifient rien, qui vari
amidales. Par la coloration au bleu de méthylène, on peut nettement
distinguer
dans ces cellules étoilées un gros noyau clair av
sus dé- crites, formant une masse compacte dans laquelle on ne peut
distinguer
aucun centre ni aucune orientation des éléments
es circonvolutions des hémis- phères nornaux,-dans laquelle on peut
distinguer
la substance grise avec ses cellules pyramidale
envoient de courts prolongements étoilés ; il n'est pas possible de
distinguer
la moindre ramification fibrillaire partant de
nt qu'on peut, avec une certaine habitude de la lecture des tracés,
distinguer
net- tement le tracé d'un sujet de celui de l'a
us voyons une masse irrégulière, formée de tissu spongieux, où l'on
distingue
les deux condyles, et la rotule allongée, sou-
moins avortés (Isidore G. St-Ililaii-e). Parmi les ectromélies, on
distingue
, tou- jours depuis le même auteur : les ectroda
s et de l'éva- sement du bassin si caractéristiques chez eux. Ilsen
distingue
en outre com- plètement au point de vue psychiq
u'il fait en ce moment grand jour ; mais il est hémianopique. Il ne
distingue
pas les objets qui sont placés dans la moitié d
lésions histo- logiques fines, notamment du cylindraxe, difficile à
distinguer
sur les coupes longitudinales. Aussi pour un
breux adulte plus ou moins dense ; cependant sur quelques coupes on
distingue
entre les racines et les gaines conjonctives, u
fascicules radiculaires sont si petits et si irréguliers qu'on les
distingue
difficilement à un faible grossissement (fit. 4
d'éléments nerveux, ou les masquent en tous cas au point qu'on n'en
distingue
qu'avec la plus grande difficulté. On conçoit c
ette déduction c'est que parfois au centre d'un de ces amas on peut
distinguer
un LÉSIONS RADICULAIRES ET GANGLIONNAIRES DU TA
rapports avec un vaisseau ne peuvent pas toujours être établis. On
distingue
enfin des foyers hémorragiques récents, il est
atrophiées, quel- ques capsules péri-cellulaires sont épaissies. On
distingue
des amas nucléaires représentant les uns des pr
Obj. AA. Oc.2. 318 THOMAS ET HAUSER l'hématoxyline, permettent de
distinguer
à la limite de la racine et de sa gaine fibreus
ns chacun de ces petits placards (intensivement coloré en rouge) on
distingue
quelquefois une ou deux fibres avec un cylindre-a
, il y a une zone de transition dans la- quelle il est difficile de
distinguer
les gaines des fibres nerveuses du tissu conjon
dans chaque groupe, à côté d'une ou deux fibres d'aspect normal on
distingue
des petits placards colorés en rouge vif dus sa
en plus grande (fig. 10). Dans l'intervalle des fibres saines, l'on
distingue
des fibres désorganisées à contours flous, dont
oir une importance aussi considérable que les précédents. Ils ne se
distinguent
guère, dans leur apparence extérieure, des symp
rigine psychique. A cet égard, il est encore un point par lequel se
distinguent
les phéno- (1) P. l\ ! ASO¡ : o1, Remarques sur
rations colorées à 1'liématéine-éosiiie, la racine pos- térieure se
distingue
aussitôt par sa teinte beaucoup plus accentuée du
résultat, la disparition totale ou partielle de la gaine. Gombault,
distingue
à ce propos la destruction brusque du centre tr
comparables à ceux qu'a obtenus Nageotte ; toutefois il y a lieu de
distinguer
d'une part l'épinévrite lésion habituelle, mais
s d'affection de la q1e1te de cheval à des cas pathologiques qui se
distinguent
par l'intégrité, par- tielle ou totale, des fon
dans un cas donné, à diagnostiquer le siège précis de la lésion, à
distinguer
une affec- tion nucléaire de la portion inférie
a une grande ressem- blance entre les deux processus, et que, pour
distinguer
ces deux ordres de lésions, il est nécessaire d
laire, soit vers la zone des grains. A un fort grossissement, on ne
distingue
nettement que les noyaux de ces cellules : ils
ortement co- lorés. Ces noyaux, dont l'atmosphère de protoplasma se
distingue
mal, pré- sentent des dimensions variables ; le
velet normal après coloration par la méthode de Nissl, on peut déjà
distinguer
quelques-unes de ces cellules, soit éparses dans
les cartilagineuses. Dès 1832, Isidore Geoffroy Saint-Hilaire (1)
distinguait
, parmi les anomalies par augmentation générale
térieure des cordons postérieurs de la moelle, il est impossible de
distinguer
celles qui sont des fibres endogènes de celles
p de soin par Lissauer, dans son mémoire cité plus haut. Cet auteur
distingue
plusieurs régions qui sont d'arrière en avant,
cordon postérieur les dé- bris de myéline altérée empêchent de bien
distinguer
, à ce grossissement, les fibres endogènes conse
es tracés de ce second type possèdent un caractère spécial, qui les
distingue
très nettement du type normal correspondant : ici
étude de la marche. Si l'enduit est trop épais, il ne permet pas de
distinguer
les lignes papillaires ; s'il est trop ténu, il n
ni hérédité ni traumatisme; et, par ces divers points notre cas se
distingue
des spondyloses du type Marie et du type Bechte
rps cellulaire, n'est pas uniforme ; souvent l'une des dendrites se
distingue
beaucoup des autres par sa grosseur. Les con- t
dépourvue des appendices collatéraux. Les appendices collatéraux se
distinguent
les uns par une dimension très petite, d'autres
ndrite est issue (V. fig. 2). - Ici les appen- dices collatéraux se
distinguent
par leur dimension assez grande et sont très vi
mais les troubles de la prononciation sont assez accusés pour qu'on
distingue
mal la réponse. Toutefois, en dépitde cette bon
ue fibreuse. Le noyau calcifié présente une apparence ostéoïde ; on
distingue
des rudiments de lamelles os- seuses et des app
es nerveuses. Les faisceaux de Burdach sont moins alté- rés, ils se
distinguent
par des limites très nettes du faisceau de Goll :
ainsi,aux xe etxi9 siècles, une série de documents médicaux qui se
distinguent
par des qualités exceptionnelles. Ces qualités ne
tion : de sorte que les prétendus types ne sont pas aussi faciles à
distinguer
qu'on pourrait le croire et qu'il est très diffic
e quelques vaisseaux (en particulier ceux du 4" lombaire gauche) on
distingue
très nettement des leucocytes dont le protoplasma
e, et sur le trajet ou même dans l'intérieur de plusieurs fibres ou
distingue
aisément un semis de petites granulations noires
HAUSER noir; la surcharge pigmentaire n'est pas très accentuée. On
distingue
quel- ques proliférations capsulaires, soit à l
dorsale, deux à la région lombaire. Les lésions sont ici minimes : on
distingue
bien quelques cellules petites en voie^ d'atrop
e extrême des racines postérieures dans leur bout central : à peine
distingue-t
-on quelques fibres à myéline. Le nombre des cel
ngées dans le sens des fibres nerveuses au milieu desquelles on les
distingue
difficilement; mais elles peuvent t aussi conse
s, encore pour- vues de leur gaine de myéline, on pouvait nettement
distinguer
un semis de gouttelettes de myéline extrêmement
possible : toute- fois pour la commodité de la description, on peut
distinguer
, comme nous l'avons fait au début de ce travail
nelées. Par- fois il se colore en masse intensivement et on ne peut
distinguer
le nucléole et les fines granulations qui l'occ
Dans certains cas,ce tissu paraît normal ; dans d'autres cas,il se
distingue
par la multiplication des cellules conjonctives
up : le pig- ment n'a pas toujours, d'après lui,le même aspect ; il
distingue
un pigment très fin, poussiéreux, clair ; un au
lement curables, et celles très rares par paralysie in- fantile, se
distinguent
par la notion de cause, les symptômes concomitant
ies, occasionnent aussi des troubles sensoriels et sensitifs, et se
distinguent
très clairement par leurs symptômes généraux; cép
rticulier oedème papillaire. . La paralysie bulbaire progressive se
distingue
facilement de la forme bulbaire, par son évolut
.. la maladie porte l'empreinte d'une sorte d'individualité, qui la
distingue
des malades semblables, qu'on observe dans d'au
ement la couleur noire, ce qui se comprend, vu que les maniaques se
distinguent
toujours par un amour particulier de tout ce qu
alisé, mis au même rang les deux travailleuses ; nous ne sau- rions
distinguer
les deux broderies ni par la qualité du dessin, n
laquelle se dirige la procession dansante. Parmi les fervents, on
distingue
un groupe de quatre danseurs, hommes âgés qui s
ant la majeure partie du faisceau. A un fort grossissement, on peut
distinguer
dans le muscle, deux ordres de lésions : les un
t que l'examen à un fort grossissement de ces lésions permet de les
distinguer
d'une manière certaine des capillaires qui côto
culaires qu'il présentait. On sait que dans les myopathies, on peut
distinguer
au point de vue de l'état des muscles, trois fo
étroite bande périphérique et un mince quadrant; pourtant le malade
distinguait
à peine une personne habillée en blanc et n'avait
clinique, de l'état c demi-voyant », l'état qui permet au malade de
distinguer
le jour de la nuit sans lui permettre de reconn
un peu de l'oeil gauche une per- sonne habillée en blanc, mais n'en
distinguait
pas les traits » ; or, son nerf optique gauche
vrais, bien que quelques signes permettent au- jourd'hui de les en
distinguer
. Ce sont aussi ces mêmes lésions que nous avons
le malade conserve des sensations lumineuses plus ou moins vives et
distingue
la lumière du jour, parfois les lumières artifi
e l'existence d'une paroi névroglique épaisse ne suffit nullement à
distinguer
la syringomyélie d'autres cavités. Dans un de nos
t à signaler. Ils' peuvent simuler de près les névromes qui ne s'en
distinguent
guère que par l'orientation en tour- billons et
on la considère comme l'effet d'une réaction secondaire. Rien ne la
distingue
le plus souvent de celle. que peut susciter tout
avités par dégénérescence de leurs éléments. La diffi- culté est de
distinguer
le gliome ou la gliose, néoplasie névroglique pri
cher ou le soin d'isoler. as En regardant de plus près sa figure on
distingue
aisément un empâte- ment de la joue, du menton
lon médian antérieur. A un examen plus attentif, après chromage, on
distingue
très nettement dans les coupes antérieures cervic
de ces manifestations pathologiques de la peau, parmi lesquelles il
distingue
: le pseudo-oedème du pied, l'érythème polymorphe
ent très limité, ne sont pas moins facilement reconnaissables et se
distinguent
nettement des actes (1) Pitres, Gaz. met., 1888
st ingénié à la dépister dans ses moindres ma- nifestations et à la
distinguer
des autres affections cérébrales. Cette étude e
symptomatiques de la syphilis artérielle de l'encéphale. - On peut
distinguer
dans l'évolution de la syphilis des artères cér
es oblitérantes agissent surtout par l'ischémie cérébrale. Elles se
distinguent
simplement par l'adjonction de symptômes de com
mixtes. Tels sont les symptômes qui peuvent quelquefois servir à
distinguer
la forme artérielle des autres variétés de [syphi
région de l'entrecroissement des pyramides, on peut avec certitude
distinguer
un territoire antérieur destiné il la région la
la phase de dégénérescence. A cette période les cellules lésées se
distinguent
par leur hypertrophie et par leur coloration fo
estation du réactif sur la cellule nerveuse, et que nous pouvons en
distinguer
les dessins artificiels produits sur un tissu m
c des signes suffisants pour qu'on ne doive la méconnaître. Elle se
distingue
surtout par la prédominance des signes soma- ti
un aveugle ordinaire. Sa vue est si faible qu'elle est incapable de
distinguer
les objets, ni de compter les doigts qu'on lui
t apparut une cécité complète, de sorte qu'il ne pou- vait même pas
distinguer
la clarté des ténèbres, et perdit en même temps
la couleur verte) et ne se trompait pas même dans leurs nuances. Il
distinguait
très mal les physionomies des personnes qui l'e
ésentent une symptomatologie un peu particulière, permettant de les
distinguer
quelquefois des autres formes de syphilis céréb
roubles paresthésiques, rarement de l'anesthésie complète. Ce qui
distingue
surtout ces troubles, c'est leur pe2,)îia- nenc
récédente est rare. On pourrait, comme dans la syphilis artérielle,
distinguer
deux périodes dans son évo- DIAGNOSTIC DIFFÉREN
emps de cesser ses travaux de broderie ; elle voit tout en gris, ne
distingue
plus les couleurs ; souvent des brouillards et
us qu'un angle de 15-20°. Aclero- rnatopsie complète ; la malade ne
distingue
plus aucune couleur. Diminution considérable de
atée et immobile. L'oeil droit est un peu moins atteint : la malade
distingue
d'où vient la lumière, elle voit très vaguement
bjets et les personnes, mais ne peut reconnaître celles-ci, ne peut
distinguer
combien on lui présente de doigts, ni même si l
e sorte d'individualité nosographique. Il propose en conséquence de
distinguer
l'amenza stupide avec une forme simple ou torpeur
ar leur ter- minaison, qu'il n'y a pas lieu, semble-t-il, de les en
distinguer
d'une façon essentielle, et qu'elles doivent êt
hotique, germe toujours sur un terrain préalablement lésé. Wernicke
distingue
bien les unes des autres les idées autochtones,
rmes du délire généralisé sont très nombreuses; on pourra notamment
distinguer
le délire géné- ralisé hallucinatoire et le dél
e et climatérique tendant à la chronicité. On peut s'en servir pour
distinguer
la stupeur de la démence et pronostiquer l'incu
ommencé par une atrophie considérable de la cuisse. Il importe de
distinguer
ces formes médullaires de l'amyo- trophie d'ave
e nerveuse telle qu'elle résulte de ses recherches personnelles. Il
distingue
dans cette cellule trois éléments essentiels :
eçon clinique. M. Ballet mentionne les caractères qui permettent de
distinguer
cette variété d'amaurose des'amauroses organiqu
s deux affections, mais des caractères importants permettent de les
distinguer
: 1, Les caractères généraux des symptômes et l
intérêt. Vous pensez qu'il y a danger à le communiquer. Nous n'en
distinguons
pas les raisons. Personnellement, j'aurai commu-
écutés mélancoliques forment un groupe homogène dans lequel on peut
distinguer
un certain nombre de variétés cliniques. Ils so
euvent se développer à tout âge, suivant les circonstances, il faut
distinguer
d'autres perversions dont on retrouve les premi
ltat naturel d'un mode d'exis- tence trop hautement différencié. Il
distingue
deux groupes parmi les instables, ceux à réacti
s malades ; de leur faire con- naître brièvement les caractères qui
distinguent
le patronage familial du régime des asiles ferm
igus, soit isolément sous une forme plus ou moine atténuée. Il faut
distinguer
les cas où le délire s'accompagne de phéno- mèn
ition aux formes chroniques et plus ou moins systématisées, on peut
distinguer
différents degrés constituant autant de variété
sive dans sa forme la plus simple '. Ettmuler, cité par Esquirol 2,
distingue
déjà les manifes- tations délirantes de l'affec
tonnets en particulier. Dans toutes les autres unités nerveuses, on
distingue
deux par- ties principales : la cellule nerveus
es sens, par celle de la muqueuse olfactive des vertébrés : elle se
distingue
de la cellule neuroépitheliale par la possessio
provenant de la moelle épinière d'un supplicié 1 sain et jeune. Il
distingue
dans ces cellules dont il énumère plusieurs typ
à poursuivre cette striation jusqu'au cône d'origine. Le noyau se
distingue
, avant tout, par la grosseur considérable de so
gauche bilatérale. Phys,ologiquement et cliniquement, au lieu de
distinguer
l'oeil droit et l'oeil gauche, ils vont mieux d
au lieu de distinguer l'oeil droit et l'oeil gauche, ils vont mieux
distinguer
la moitié droite des deux yeux et la moitié gau
indépendamment du fond de la préparation qui reste incolore et de
distinguer
nettement les deux éléments conslitutifs du cyto-
ewski. J'ai voulu simplement montrer que par la méthode de Nissl on
distingue
mieux les lésions que par tout autre procédé. C
ions que par tout autre procédé. Cette méthode per- met en outre de
distinguer
une série de transformations par lesquelles pas
OCIÉTÉS SAVANTES. 417 complexe du délire aigu, on pouvait nettement
distinguer
les symptômes caractéristiques de la paralysie
ent; sa forme générale est celle d'un fuseau; macroscopiquement, on
distingue
mal ce qui reste de la moelle au point maximum
laquelle, après les manipulations ordinaires, il est impossible de
distinguer
ce qui appartient à chaque cellule. Par points,
35. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 479 on peut
distinguer
des types de mélancolie vraie, essentielle, aya
l'auteur observe que la non-équivalence des hémisphères cé- rébraux
distingue
l'homme de tous les autres animaux. A. FENAYROU
oncée. Le noyau, bleu pâle, avec ses nucléoles, bleu foncé, où l'on
distingue
quelques petits endroits clairs, tranche toujou
ntérieures, il en est un, vous le savez, qui, dans chaque cellule, se
distingue
entre tous par des caractères anatomiques bien tr
. Quant aux autres prolongements cellulaires, qu'on désigne, pour les
distinguer
du précédent, du nom de Protoplasmaforsatze (prol
à la fois divers points du système cérébro-spinal, et il y a lieu de
distinguer
, dans la description clinique des deux affections
car l'affaiblissement de la vue, comme la lésion qui l'a produite, se
distingue
par une marche à peu près fata-lement progressive
auteurs, permettent de reconnaître l'amaurose des ataxiques, et de la
distinguer
de toutes les autres formes d'affaiblissements de
le offre dans sapartie centrale; enfin la teinte légèrement rosée qui
distingue
au contraire sa partie périphérique, et qui est d
nsemble, un syndrome à peu près caractéristique. Ils permettraient de
distinguer
aisément l'a-maurose tabétique de celle, par exem
ux périodes de la névrite optique, et opposons-les aux caractères qui
distinguent
la papille tabétique. A. Pour ce qui concerne l
auquel on doit plusieurs travaux importants sur ce sujet, propose de
distinguer
dans l'arthropathie des ataxi-ques : 1° le dévelo
us haute valeur. De plus, parmi les pseudo-névralgies, il y a lieu de
distinguer
une espèce particulière qui prête, dans le cas où
particuliers sous lesquels elle se présente et qui per-mettent de la
distinguer
des paralysies cervicales liées à la compression
ment permanent du membre, cette grande laxité des jointures permet de
distinguer
à coup sûr le pied bot résul-tant de la paralysie
étroite dans les cornes antérieures et tous les autres caractères qui
distinguent
celles de l'enfant. Mais l'autopsie n'a pas encor
a établir tout à l'heure comment les amyotrophies deuléropathiques se
distinguent
de l'amyotro-phie protopathique, mais aussi par t
térieure des zones radiculaires postérieures, de manière à ne plus se
distinguer
bientôt ni des unes ni des autres. Cependant, m
du faisceau anléro-laléral. Dans cet espace, la substance blanche se
distingue
par une teinte grisâtre, appré-ciable à l'œil nu.
hale et du bulbe qui sont en relation avec les faisceaux laté-raux se
distinguent
, comme ceux-ci, chez le fœtus, par un dé-veloppem
que est assez frappant, assez caractéristique, pour qu'on puisse le
distinguer
aisément de celui qui relève de l'altération limi
et qu'il n'y a aucune tendance à la formation des escarres. Elle se
distingue
encore, vous allez le reconnaître, par d'au-tres
vations que, cliniquement, cette atrophie musculaire des ataxiques se
distingue
par quelques caractères spéciaux. Ainsi, elle ne
lte. Quoi qu'il en soit, il y a lieu, au point du vue clinique, d'y
distinguer
deux périodes, reconnues du reste par tous les au
u premier abord, que je vous proposais tout à l'heure d'accepter pour
distinguer
cette forme pathologique. L'affection dont il s'a
t radicalement, ainsi que je vous l'ai laissé pressentir, de ceux qui
distinguent
la myélite uri-yiaire. Le tableau, tracé par M.
nté, en raccourci, il est vrai, les caractères plus accentués qui les
distinguent
aujourd'hui. Ainsi, la malade se souvient fort bi
ers modes de la sensibilité sont là conservés. Cependant la malade ne
distingue
pas nettement la différence qu'il y a entre deux
e sa subordination en quelque sorte nécessaire aux symptômes laryngés
distinguerait
le genre de « vertige qui nous occupe, des divers
Ces éléments font une saillie notable à la surface du vaisseau, et se
distinguent
facilement des noyaux de l'en-dothélium qui sont
dérables. Il faut se servir d'un fort grossissement pour arriver à en
distinguer
un certain nombre. Les plus petites qui soient
lari-sation diminue, les tubes à myéline apparaissent de nouveau ; on
distingue
çà et là des cellules nerveuses reconnaissables ;
u-dessus de la surface de section, et dans lequel il est difficile de
distinguer
aucun élément. Mais ces foyers, renflés à leur pa
le coloration rouge ; par contre, les muscles propres de la langue se
distinguent
par leur pâleur et par une diminution évidente de
times, au contraire, peuvent être étudiées dans les deltoïdes, qui se
distinguaient
, pendant la vie, par une augmentation de volume t
ement atrophiés qu'il faut user de la plus grande at-tention pour les
distinguer
dans l'épaisseur du tissu conjonctif interstitiel
res leçons à la Salpêtrière \ M. Char-cot a exposé les caractères qui
distinguent
une variété de Vhémichorée post-hémiplégique, à l
e, paralysie et contracture des membres inférieurs.) — Caractères qui
distinguent
la pachyméningite cervicale hypertrophique de la
prédominance des hallucinations et des idées délirantes, elle s'en
distingue
par la rapidité et lamultiplicité des hallucina
des conceptions délirantes et la rareté des hallucinations. Meynert
distingue
en propres termes la Verriickthcit aiguë primit
lucinatorische Veiwiiilheil), le Walazsinn et la Verrücletlceit. Il
distingue
la première et la sépare des divers délires, parc
algré lui et non direc- tement. Quant à la forme chronique, elle se
distinguerait
dé la folie systématique vraie ou Verrüclalaeit
quemment, il a été précédé de troubles psychiques antérieurs. Il se
distinguerait
de la mélancolie par le dévelop- pement plus ac
i-même. ELudiant ensuite la sensibilité des tissus viscéraux, il en
distingue
trois sortes, les séreuses, les muscles et les
et excito-méta- boliques. De même, dans les algio-moteurs, il faut
distinguer
les algio-musculaires, algio-glandulaires, algi
ns, devient le grand Dr Calmeil ; l'autre, qui avait treize ans, se
distingua
comme avocat et occupa à Poitiers une place con
fection. Rostan s'occupait beaucoup de ses élèves et, parmi eux, il
distingua
le jeune Calmeil. Celui-ci prit sous sa directi
es survenant au cours ou à la suite des infections aiguës, l'auteur
distingue
ceux qui sont une manifestation directe et dépe
que (chronische Verriicktheit) elle-même n'est pas-toujours aisée à
distinguer
delà confusion mentale ( l'eriuirrlheit), parce
des lambeaux de délire de grandeur et de persécution. Mais elle se
distingue
de la folie systématique (paranoïa), par l'état
olie systématique primi- tive (ou 17e ? î,üeletheil), il y aurait à
distinguer
une folie systé- matique originelle (originoere
de la paranoïa. Il se sert donc exclusivement du mot paranoïa et
distingue
: une paranoïa aiguë simple, une paranoïa ch2,o-
e 1'ez·rüclctheit). Ce qui, malgré les difficultés de l'entreprise,
distinguerait
l'amentia aiguë de la paranoïa aiguë, ce serait
a devrait être rangée parmi les psychoses dégénératives. Schoenthal
distingue
aussi de la façon suivante la Perzcirrtheit de
cirrtheit de la paranoïa acuta. « La paranoïa acuta (Wahnsinn) se
distingue
de la Verzuirr- theit parla finesse d'exécution
nts et de l'autre, les psychoses du sentiment. Le criminel-né ne se
distingue
pas toujours nettement du criminel d'occasion.
oscillations dont la réunion cons- titue le tremblement). Elles se
distinguent
l'une de l'autre par le tremblement individuel
en plaques tremblent par rotation autour du bras du sujet. Elles se
distinguent
de l'hystérie et de l'alcoolisme en ce que l'él
Pour M Zambaco, toutes ces maladies, qu'on s'efforçait jusqu'ici de
distinguer
les unes des autres en invoquant des caractères c
s : 1° les myélites chroniques; 2° les myélites aiguës dont on peut
distinguer
deux formes : a, la forme nodulaire ; 6, la forme
tence du délire chronique tel qu'il est formulé par Magnan. Pour
distinguer
un délire systématisé dégénératif d'un délire c
elle elle a été décrite en France, en ajoutant primitive afin de la
distinguer
des formes où il y a aussi confusion, mais seco
lade, par suite d'une dissolution plus marquée devient incapable de
distinguer
les idées vraies des fausses. IX. DE l'absenc
autant que possible comme une salle d'hôpital moderne; ce que l'on
distinguera
tout simplement ce seront les installations ind
là ne concordent pas avec les cas dont il a été question. Comment
distinguer
cette forme de confusion mentale halluci- natoi
sordre des mouvements, et l'exagération de l'idéo- genèse. On les
distinguera
des psychopathies dues à l'épuisement, à la par
rage, de la malaria, de la fièvre jaune sont presque impossibles à
distinguer
de celui dont nous nous occupons ici : cela se
l apparaît à l'état d'organe pâle un peu gonflé dans lequel on peut
distinguer
des lacunes plus claires. Quelques cellules moins
culaire. Ce dernier déborde le noyau lenticulaire en arrière, et se
distingue
du premier par la direction de ses fibres qui,
durée de la ma- ladie ne peut, par exemple, servir de boussole pour
distinguer
DE LA PARANOÏA. 277 la confusion mentale (Ver
itsch, Salgo, Meynert, Wille. Il y a même une certaine difficulté à
distinguer
la folie systématique surtout hallucina- toire
lons résumer maintenant, ce sont les carac- tères qui permettent de
distinguer
le groupe paranoïa des autres maladies mentales
econdaire, con- > sécutive aux idées délirantes. C'est là ce qui
distingue
ces faits' de la manie (expansion gaie primitiv
ats affectifs ? Pour rendre. les «recherches plus faciles, M. Ribot
distingue
dans ces derniers quatre' groupes : 1° les save
suite de la. fatigue, chez les alcooliques et les maniaques. Ce qui
distingue
la pensée parlée de la pensée écrite sans choix
es violences impulsives. Le remplacement de la manie par la stupeur
distingue
ces faits-de ceux de la stupeur circulaire de S
sont loin d'être définitives. Il ne me semble pas suffisant de les
distinguer
en obsessions, impul- sions et phobies; ce sont
e peut passer par ces trois formes, il est. bon, sans doute, de les
distinguer
; mais pour étudier la formation, pour détermine
xième (papa) est correctement écrit, il n'est plus possible de rien
distinguer
d'un troisième (pantalon). Le 2 mars, la gêne
istes hommes passionnés, il y a impotence psy- chique. II faut donc
distinguer
la passion (pronostic défavorable) de la nécess
t, on termine par l'expérience décisive des pièces de monnaie. S'il
distingue
une pièce de vingt francs d'une pièce de cent f
u rétablissement de la raison par une sorte de réaction. Esquirol
distinguait
de la démence chronique une démence aiguë qui s
chives générales de médecine (mai et juin 189). Ce der- nier auteur
distingue
une confusion mentale secondaire, une symptomat
rapprochent de telle ou telle affection ; non seule- ment il faudra
distinguer
, dans les cas très intenses, les délires de col
artiers sont, en effet, ce qui caractérise l'asile d'aliénés et les
distingue
de toute autre maison hospitalière ; selon ce q
r se livrer à l'observation d'une manière fruc-tueuse. Mais on peut
distinguer
toutefois, à cet égard, les besoins réels de notr
seule inspection des tracés thermométriques peut souvent permettre de
distinguer
entre elles ces deux mala-dies, dont le diagnosti
savoir en chercher la mani-festation. Il est donc très important de
distinguer
ici les résultats de la thermométrie axillaire de
ap-pelés à reconnaître, au lit du malade, combien il est difficile de
distinguer
la goutte du rhumatisme, surtout dans leurs forme
. simultanément les genoux et les poignets, pourra être difficile à
distinguer
, au lit du malade, d'une affection pure-ment rhum
t voir les dépôts sous-jacents. Ces divers caractères permettent de
distinguer
les tophus des déformations caractéristiques du r
mènes redoutables de la goutte remontée à l'estomac. Il y a lieu de
distinguer
ici, avec Budd etScudamore, deux formes symptomat
ets du traumatisme à cet égard. Relativement aux phlegmasies, on peut
distinguer
trois cas : 1° L'affection intercurrente (pneum
-mine des rétractions musculaires et d'autres accidents. On peut en
distinguer
deux espèces. Tantôt primitive, tan-tôt consécuti
de cette affection ; car les diverses formes qu'elle peut revêtir se
distinguent
surtout par leurs caractères cliniques, et présen
de ces lésions avec celles du rhumatisme chronique. Caractères qui
distinguent
l'arthrite déformante des autres arthropathies.
DÉPENDANTES DU RHUMATISME. Un mot maintenant sur les caractères qui
distinguent
l'ar-thrite déformante des autres arthropathies c
é à décrire avec soin les lésions arti-culaires de la syphilis. Il en
distingue
deux espèces : 1° les arthropathies secondaires,
ce qui concerne le mode d'envahissement, il existe des caractères qui
distinguent
très nettement le rhumatisme de la goutte. D'aprè
rculatoire, ils vont au loin produire des accidents variés. Il faut
distinguer
ici les accidents produits par le déplace-ment de
sont les accidents les plus ordinaires en pareil cas. Mais on peut
distinguer
ici deux formes tout opposées. Dans la forme atro
es et la rigidité consécutive des jointures, la symétrie des lésions,
distinguent
les effets du rhumatisme chronique de ceux que pr
par la palpation ou la percussion est nulle, ou presque nulle, ce qui
distingue
cette arthropa-thie de celles qui sont de mauvais
ion, fut le point de départ d'un rhumatisme articulaire aigu. Il faut
distinguer
ce fait de ceux où l'érysipèle fait partie des ma
i existe entre les affections arti-culaires et la scarlatine. Il faut
distinguer
ici deux espèces de cas. Tantôt la scarlatine pro
scarlatine provoque l'explosion d'une affection articulaire qui ne se
distingue
en rien du rhumatisme aigu; tantôt, au contraire,
nalo-gies ; aussi les a-t-on souvent confondues et même lorsqu'on les
distingue
, on est forcé de les rapprocher dans toute bonne
hent, et vous auriez, si vous n'étiez pas prévenus, grand peine à les
distinguer
l'une de l'autre. Aussi, lorsque Wunderlich (loc.
élèvera jusqu'à 40 degrés par exemple. Ce ca-ractère suffit déjà pour
distinguer
l'affection de celles qui ap-partiennent au group
ure. Nous verrons dans la leçon prochaine à quels carac-tères on peut
distinguer
, dans un cas où la défervescence s'é-tablit au dé
ractère des douleurs musculaires rhumatismales, et les malades les en
distinguent
facilement. On voit donc que l'examen des princ
s par les malades nous paraissent pu-rement excitatrices, et elles se
distinguent
de la précédente en ce qu'elles sont suivies géné
é que des reins durs et granulés à leur surface chez les goutteux. Il
distingue
deux formes de lésion rénale, l'une portant sur l
peu probable qu'à Londres les professions à émanations saturnines se
distinguent
entre toutes, en ce qui concerne le mode d'alimen
our ne citer qu'un exem-ple, lorsqu'elles affectent les mains, on les
distingue
en général aisément des déformations que détermin
ogique, la néphrite albumineuse, lorsqu'elle est liée à la goutte, se
distingue
, peut-être, entre toutes, par sa bénignité appare
placent les ouvriers en général — et ceux qui manient le plomb ne se
distinguent
en rien sous ce rap-port — dans des conditions sp
les, offrait les formes cristallines et les caractères chimi-ques qui
distinguent
l'urate de soude. On rencontrait, en outre, chez
if ; c'est le rhuma-tisme noueux des auteurs. Les cas de ce groupe se
distinguent
surtout en ce que l'affection présente habituelle
t, moins habituelles dans le premier cas que dans le second, elles se
distinguent
aussi par leur intensité moindre et parla moindre
productions osseuses ont ul-céré la peau et se sont montrées à nu. On
distinguerait
aisément les tubercules osseux ainsi mis à découv
pédicule. Dans l'épaisseur de quelques-unes de ces petites masses, on
distingue
, à l'aide du microscope, des cellules plus ou moi
cependant, d'après ce que j'ai observé, que cette forme du diabète se
distingue
le plus souvent par sa bénignité rela-tive ; le r
de ces lésions avec celles du rhumatisme chronique. Caractères qui
distinguent
l'arthrite déformante des autres arthropa-thies.—
exercée sur eux par la position du malade. Le premier caractère ne
distingue
en aucune façon notre cas du paramyoclonus; il
la névrose tiqueuse diffère de l'hystérie par sa nature, elle s'en
distingue
aussi par son pronostic ; les deux maladies son
pas coloré, présentant une certaine réfringence (voir fig. 8). On y
distingue
des contours peu nets qui limitent des espaces de
des cas types, il existe une folie systématique mélancolique qui se
distingue
très nettement de la mélancolie pure, même de l
noyaux de la zone ou champ externe du côté opposé; dans l'espèce se
distingue
, comme couche intermédiaire des olives propreme
ues sous-cutannés, panaris analgésiques ou douloureux que l'interne
distingue
de la maladie de Morvan, des phlegmons, des abc
e, il ne reste plus grand'chose à en dire. Par Cotugno,. qui sut ia
distinguer
de toutes les autres affections douloureuses ou
pendamment de cette hérédité, sans présenter aucun caractère qui la
distingue
de la variété héré- ditaire. La chorée, que l'o
ième espèce répondant à la variété précédente. On devra désormais
distinguer
les tremblements suivant qu'ils se produisent d
cation à la Société médicale des hôpitaux ('1 avril 1889). Pitres
distingue
trois formes de tremblements hystériques : la v
quel je reviendrai plus loin, Buzzard insiste sur la diffi- , culte
distinguer
les deux ordres de trépidation. Enfin, tout MAL
ent, substituer une division basée sur des analogies cli- niques et
distinguer
, comme je l'ai fait plus haut : le type de la p
érentiel, à exprimer l'incertitude où l'on se trouve quelquefois de
distinguer
le trouble fonctionnel de l'altération organiqu
sumé de nos connaissances sur le choc nerveux local, il convient de
distinguer
nettement avec Groe- ningen' ces derniers phéno
roit la vraie paralysie générale syphilitique fort rare. Elle ne se
distingue
guère de la paralysie générale ordinaire, le tr
la démence complète est rare et la durée très longue; l'auteur les
distingue
des fous mo- raux et des imbéciles, avec lesque
une lésion destructive. M. SOLLIER fait observer qu'il y a lieu de
distinguer
, comme il l'a fait l'an dernier dans un mémoire
. MINDEL. Sans doute les psychoses consécutives à l'influenza ne se
distinguent
en rien de celles qui suivent les maladies infec-
port de contact avec aucun noyau nerveux, avec aucune racine, il se
distingue
nette- ment du faisceau solitaire lui-même très
ossédons tous à un degré plus ou moins accentué, mais la copie se
distinguera
aisément de l'original, soit en faisant éclore
e, un spasme glosso-labié, mais les caractères seront fa- ciles à
distinguer
de ceux qui appartiennent à la para- lysie faci
devant elle ;si elle fermait l'oeil gauche elle ne pouvait non plus
distinguer
aucun objet; au contraire, si elle fer- maitl'o
ite; une légère amblyopie à droite; delà dyschromatopsie; la malade
distingue
toutes les couleurs,sauf le violet, en ce qni con
certainement une action favorable. Nous n'avons donc là rien qui
distingue
la migraine ophthalmique commune de celle qui r
quelques filaments peu serrés les uns contre les autres, elle ne se
distingue
pas de la substance grise dans laquelle ses fib
git pas seule- ment de percevoir une ombre donnée, il faut encore
distinguer
la forme de cette ombre, il faut lire les lettr
Nous savons, d'après les travaux psychologiques récents, qu'il faut
distinguer
plusieurs espèces de mémoires; l'une, mémoire é
la diminution de ces images actuelles; c'est ainsi qu'elle ne nous
distingue
pas à notre voix; que d'autre part, bien que no
cérébraux des vertébrés, il y a peu de choses, sinon rien, qui les
distinguent
des animaux normaux. Ils conservent leur attitu
l'avoir saisi. Non seulement ils prennent leur nourriture, mais ils
distinguent
entre les différentes sortes de nourriture, cho
sissant les unes, rejetant les autres; jusqu'à un certain point ils
distinguent
les couleurs, car lorsqu'on'jette dans l'eau un p
résulte que les poissons sans hémisphères céré- braux peuvent voir,
distinguer
jusqu'à un certain point les cou- leurs, attrap
grimpent pour y rester tranquilles. En fait il serait difficile de
distinguer
par leurs mouvements et les réponses aux excitant
le sièpe de la maladie et les symptômes observés. La difficulté de
distinguer
les effets directs ou indirects des lésions cér
pupillaires cen- tripètes sui generis. - Il convient d'après lui de
distinguer
entre l'engourdissement réflexe unilatéral cara
les échelles de 0 à 100, mais déjà entre 90 et 100 il se trompe; il
distingue
entre 200 et 250 grammes entre 250 et 300 grammes
uvent nuire à la netteté du tableau clinique ; il faut aussi savoir
distinguer
le scolome névropathique de la diminution de l'
ôt l'étiologie, tantôt d'autres éléments. C'est justement ce qui la
distingue
avec avantage de tous les systèmes, parce qu'elle
la pierre de touche; l'âge ne fait rien à l'affaire. Il convient de
distinguer
à cet égard trois grands groupes. 1° Celui des
raie. L'existence constante au contraire du syndrome spasmodique la
distingue
de la forme centrale posté- rieure. Les différe
sonnes qui l'approchaient, mais il ne voyait absolument rien (il ne
distinguait
pas le jour de la nuit), il avait devant les ye
gie et l'évolution ultérieure de ces trois cas nous permettent de
distinguer
trois périodes : 1° la période des symp- tômes
nnes qui s'approchaient, mais il ne voyait absolument rien (il ne
distinguait
pas le jour de la nuit). » b). Symptômes oculai
isparition de 116 CLINIQUE NERVEUSE. toute trace de paralysie. On
distingue
très nettement deux ordres de symptômes : A). S
lieu, soit dans la moelle épinière, soit dans les méninges, nous
distinguons
la forme intra-spiuale ou intra-myélitique et l
les trophiques des ongles qui étaient atrophiés, amincis et où l'on
distinguait
des stries transversales. Afcm)'es ! <pe)' !
atomie. La contracture léthargique présente des caractères qui la
distinguent
nettement d'une contracture volontaire et qui per
ttitudes qu'on'im- prime à ses membres ou à son corps.' . On peut
distinguer
par des procédés graphiques semblables à ceux q
elconque, puisqu'il a des propriétés matérielles spécia- les qui le
distinguent
, qui ne peuvent être simulées, et il y a donc l
la multiplicité des causes dans chaque cas et sur la difficulté de
distinguer
la part de chacune. Difficulté ne veut pas dire i
olontaires. Les mouvements de l'agitation maniaque, volontaires, se
distinguent
en deux espèces : 1° Les uns correspondent au t
ourtant matière à enseignement; puissent-ils au moins y apprendre à
distinguer
la Vérité de cette fausse science, mise sans ce
ons de bois se laissent aisément trancher et les coupes obtenues se
distinguent
dans ce cas par une solidité qui facilite toutes
'opé- rations. Lorsqu'une cloche résonne à notre oreille. 1° nous
distinguons
le son qu'elle produit, voilà Y audition Archiv
Les cas qui sont tombés sous notre observation nous permettent de
distinguer
les formes simples et fondamentales suivantes :
age a présentées chez nos malades appartenant à cette forme, nous
distinguons
(a), l'aphasie motrice; (6), la surdité verbale
voyait rien. La perception lumineuse a tout à fait disparu ; il ne
distinguait
plus le jour de la nuit. En même temps, il avait
même temps, le malade avait perdu presque complètement la vue; il
distinguait
un peu la lumière. Au bout de quelques minu- te
rception luminense disparait à son tour tout à fait et le malade ne
distinguait
pins le jour de la nuit. Ses conjonctives aurai
ant trois semaines après l'accident, le malade ne voyait rien et ne
distinguait
pas le jour de la nuit, n'avait, dit-il, devant
hypnotiques et les hypnotiques appartenant à cette catégorie qui se
distingue
par la présence de phénomènes somatiques, sont
sky, le nerf est infatigable. Dans ces études, il est nécessaire de
distinguer
deux sortes de fatigue : 1° La fatigue par épui
se préoccupent point, ils ne se trouvent pas fatigués. C'est ce qui
distingue
cet état de la distraction commune. L'aprosexie
sation en hauteur du crâne par la région de la fontanelle. Ce qui
distingue
ce crâne de l'oxycéphale, c'est l'enfoncement de
'essence même de l'hérédité. Ou en est réduit à la statistique pour
distinguer
la répétition atavique de la dégénérescence acqui
à constater ces anévrysmes ont besoin d'explication. M. Leewenfeld
distingue
les ectasies diffuses des anévrismes ; M. de Ze
uit observations avec autopsie. On est d'après ces faits autorisé à
distinguer
, à côté de l'aphasie motrice (de Broca) de l'ap
critères, au nombre de cinq, ont souvent pour objet de permettre de
distinguer
les vrais phénomènes de déficit des phénomènes
latéraux, l'autre où ils se montrent seuls, Luciani croit devoir en
distinguer
au moins trois : une première où les phénomènes
te des fonctions de toute l'écorce cérébrale; nous ne pouvons les
distinguer
nettement de celles qui appar- tiennent aux gan
e de reconnaître chez l'animal la cécité absolue, plus difficile de
distinguer
l'hémia- nopsie de l'héiiiiamblyopie. Les diffé
t l'effet d'un simple contact. Quant à la température, le malade la
distingue
à peine aux jambes, même avec un écart de 20°;
; dans la hanche droite, il y a même des endroits où le malade peut
distinguer
même la différence de 29° 3'->O; mais il ne
lade peut distinguer même la différence de 29° 3'->O; mais il ne
distingue
nulle part une différence de 2 degrés. La sensa
ain que le lecteur comprendra au moins en quoi la pseudo-maladie se
distingue
de la véritable. Pour cela, il suffit de compar
Lille. .lucmna, t. 1\ IL 2j 386 pathologie nerveuse. signes qui
distinguent
la pseudo-tabes du tabes vul- gaire. Avant to
percevait que l'oeil droit était presque uniformément noir et on ne
distinguait
plus la cornée de la sclérotique. Il n'y avait
ononçait que quelques sons inarticulés. En même temps, le malade ne
distinguait
pas les objets environnants, il n'avait conserv
tat actuel, 3 septembre 1883. Le malade marche bien, on ne peut pas
distinguer
le moindre boitement. C'est seulement après une
paralysie, qui parait relever de la lésion d'un centre spécial, se
distingue
entre autres caractères par une di- plopie part
plus ou moins durable. Mais, chez eux, tout se borne là. Ce qui les
distingue
donc, c'est leur absence com- plète de préoccup
ux voix perçues par l'oreille, en une sorte de combat, où le malade
distingue
de bons et de mauvais esprits en lutte. « C'est
vant des Lettres spirituelles sur l'Oraison mon- trera que l'auteur
distingue
aussi plusieurs sortes de fausses perceptions,
sent plus qu'un reste d'agitation intérieure '. ' Sainte Thérèse
distingue
nettement quatre degrés d'oraison, comme les bo
(de Krafft Eling. Allg. Zeitsch. f. Psycolog., t. XXXV.) Pour bien
distinguer
le chicanier physiologique du chicanier psychop
du terme de c paranoïa », M. Soukhanotf reconnaît que ce malade se
distingue
beaucoup des autres malades dont les idées déli
nce de l'astigmatisme ou de t'asthénopie; néanmoins, ce syndrûme se
distingue
de l'asthénopie parce qu'il n'est ni toujours,
opie, et parce qu'il y a des cas où l'asthénopie fait défaut. Il se
distingue
aussi de toutes les phobies par l'absence de répu
qu'ils éprouvent, plus forte que leur désir ou leur volonté. Il se
distingue
enfin de l'ataxie, une des formes de l'ophasie
ellule, des ramuscules arborescents, dont la forme varie, et sert à
distinguer
les fibres nerveuses en deux catégories distinc
icale ne saurait prédominer. » Bref, « on doit éviter de chercher à
distinguer
entre elles les cel- lules et les fibres nerveu
AINES 113 3 se termine en fines ramifications arborescentes. Ce qui
distingue
le nerf sensible du nerf moteur ne serait donc
formée par des fibres venant du noyau lenti- culaire. Ces noyaux se
distinguent
les uns des autres par la forme et l'agencement
- téressant de les rapprocher dans une étude d'ensenble. L'auteur
distingue
dans la grossesse nerveuse : 1° la pseudo-grosses
X plus ou moins d'intensité de symptômes communs aux affections à
distinguer
, paraissent insuffisants pour conclure de même fa
e et l'imbécillité jusqu'à la simple faiblesse d'es- prit), on peut
distinguer
, parmi les congénitaux à idées déli- rantes rel
pose : qui a pu avoir intérêt à commettre cet incendie ? Il faut
distinguer
trois classes de motifs : 1° ceux qui sont raison
observations où le tabétique était dans l'impossibilité absolue de
distinguer
par l'odeur ou par le goût la nature des alimen
davantage sur quelques points. L'énumération précédente sépare et
distingue
les troubles de la pituitaire et de la muqueuse
us ou moins long qu'ils ne percevaient plus aucune odeur, qu'ils ne
distinguaient
plus la nature des aliments qu'ils prenaient. C
graphique des cordons auxquels ces cel- lules donnent naissance, on
distingue
: a, les cellules du cordon antéro-latéral du m
ascendantes ou descendantes des fibres radiculaires sensitives, on
distingue
des collatérales longues desti- nées à la corne
ébrale, identique au fond chez tous les mammi- fères, Ramon y Cajal
distingue
quatre couches : : 1° zone moléculaire; 2° couc
où sortent des expansions protoplasmiques très nombreuses où l'on
distingue
: a, une tige ascendante, épaisse, se ramifiant d
en T, avec une ou deux fibres nerveuses de la substance blanche. On
distingue
dans cette couche des cellules à cylindraxe cou
i les connexions de la cellule nerveuse cérébrale n'ont rien qui la
distingue
des autres cellules nerveuses de même type. Que
ique de la pensée, la science ne doit point perdre courage : ce qui
distingue
les cellules cérébrales de celles de la moelle
nt de vue anatomique et physiologique, une per- ception sensible se
distingue
d'une autre de même nature, c'est-à- dire appar
phologiques des cellules typiques de Deiters.Selon Cajal on doit
distinguer
la névroglie de la substance blanche de la névrog
asma modifié, dit Weigert ; au point de vue de la coloration, il se
distingue
du corps protoplasmique de sa cellule d'origine e
plus au contraire qu'en contiguïté avec le corps cellulaire. Ce qui
distingue
donc la fibre de névroglie, c'est qu'elle est à
rapidement à toute la substance grise. Ces différentes myélites se
distinguent
donc essentiellement les unes des autres par la
rance, se fait quelquefois sous une forme aiguë. Elle paraît ne se
distinguer
des myélites citées plus haut, qui tuent rapideme
t une réaction à la médication thy- roïdienne qui permettent de les
distinguer
nettement de la vraie maladie de Basedow. M.
énie qui doit être envisagé en pre- mier lieu. Il est nécessaire de
distinguer
aussitôt que possible ces deux affections, surt
le petit mal. * Parmi les divers troubles dits épileptiques il faut
distinguer
: 1° l'épilepsie vraie, caractérisée par des ac
. Il convient, dans cette question du personnel de surveillance, de
distinguer
les grands asiles, les cli- niques et les établ
néoplasme pri- maire, n'est pas fondée. Discussion. M. ALSHEIIER
distingue
, dans le cerveau, la dégé- nérescence hyaline e
gie récente particulièrement abondante. Les cas en ques- tion ne se
distinguent
des apoplexies avec hémiplégie habituelle- ment
nswanger et Alzbeinner. Les résultats de l'autopsie, sont faciles à
distinguer
des lésions de la paralysie générale et de la dém
ui a établi la division de la paralysie générale en trois périodes,
distinguait
trois degrés dans la période terminale. Au 2 de
ARALYSIE GÉNÉRALE. 443 Ces deux catégories de malades m'ont paru se
distinguer
en- core cliniquement par une différence dans l
nées dont nous disposons à l'heure actuelle il parait impossible de
distinguer
, à l'aide des seuls phénomènes cliniques les di
ladies nerveuses. Quant à l'étiologie de la neurasthénie, il faut
distinguer
les causes prédisposantes des causes accidentel
son manque d'évolution, sa disparition fréquente permettent de l'en
distinguer
. Le délire ambitieux du dégénéré a toujours les
sous cette forme ascendante. Cette dégénération localisée permet de
distinguer
nettement le contingent olivaire des fibres du
par la méthode de Weigert,par l'hématoxyline-éo- sine. - On doit
distinguer
au niveau de la peau des tumeurs fibreuses infra-
s, déterminer de godet par la pression. On peut, à ce point de vue,
distinguer
trois variétés de tumeurs : les plus molles son
s côtes en avant, les omoplates et les ailes iliaques en arrière se
distinguent
aussi nettement que sur un squelette préparé. L
çon le besoin démanger ». C'est bien là l'anorexie vraie qu'il faut
distinguer
des anorexies dues aux douleurs provoquées par l'
ain nombre de théories ont été émises (a). Tout d'abord, on a voulu
distinguer
entre le météorisme proprement dit et le tympan
enfant d'une véritable mons- truosité, ensuite parce que ce fait se
distingue
nettement de ceux qu'on ob- serve ordinairement
par une ligne endothéliale : c'est la seule paroi propre qu'on leur
distingue
. Les coupes de la peau offrent le même tissu et
loque frangée hissée sur un long bâton, guenille polychrome où l'on
distingue
encore les traces de peintures terrifiantes et
s exactement confondu, perdu dans la tumeur dont on ne peut pas les
distinguer
. La tumeur chevauche des deux côtés sur les ocu
coma. Si on appelle ce cas un cas de coma il faut alors renoncer à
distinguer
ce sommeil très spécial des autres sommeils pat
laires que périphériques. Dans ce dernier groupe de localisation on
distingue
même, d'une part, des névrites localisées dues
onnels et par ses signes cli- niques la polynévrite syphilitique se
distingue
de la poliomyélite. Le diagnostic de cause sera
t de mes propres études, j'ai dit qu'il était de toute nécessité de
distinguer
le pas simple d'avec le. double pas (1).Le prem
la marche par l'hémiplégie hystérique; mais il faut . tout d'abord
distinguer
l'allure de la marche suivant que la jambe .ma-
isir. En effet, la cinématographie nous fait voir qu'il y a lieu de
distinguer
l'allure du pas antérieur de celle du pas posté
e ne présente pas du tout l'allure de la jambe normale. Mais ce qui
distingue
l'allure de la jambe oscillante non paraly- sée
ent s'infiltrer profondément dans les masses musculaires du cou, se
distinguent
par leur apparition précoce dans le jeune âge.
e ne s'observe jamais dans l'adéno-lipomatose. Le Iymphadénome se
distingue
par la consistance des tumeurs, par les douleur
ypomatose que nous avons créé. Par ce terme, nous n'avons pas voulu
distinguer
toute infiltration graisseuse péri- ganglionnai
u, la main gauche est dans un état de flexibilité complète et ne se
distingue
en rien de la main droite. Si l'on fait serrer
arcs vertébraux. Malgré la maigreur du malade, il est impossible de
distinguer
les unes des autres les apophyses épineuses de la
axone est toujours privé de blocs chromatiques, ce qui permet de le
distinguer
des prolongements protoplasmiques. Le protoplas
réparations. a) Moelle allongée. - Les noyaux des nerfs réséqués se
distinguent
déjà à un faible grossissement par la coloratio
ce chromatophile groupés ou agglomérés. On ne peut absolument pas
distinguer
de blocs isolés dans certaines cellules (PI. XL
, mais il n'y a pas encore de désagrégation des blocs, et l'on peut
distinguer
entre eux le protoplasma qui est parfaitement c
pâle, prise par le protoplasma, sans qu'il soit toutefois possible de
distinguer
quels blocs ont diffusé. Après une série de t
ette bordure attentivement on ne peut réussir que très rarement â y y
distinguer
des blocs isolés ; le plus souvent le liséré es
t plus que par un mince filament. La cellule est si pâle qu'on la
distingue
à peine et son protoplasma est en lambeaux. C
uée par un réticulum né- vroglique à larges mailles, dans lequel on
distingue
quelques noyaux névrogli- ques au point d'entre
roits entre eux des espaces vides assez larges, dans lesquels on ne
distingue
ni cellule ni feutrage névroglique ; les fibres
hon et le noyau sphérique sont beau- coup moins nombreuses : on n'y
distingue
pas les beaux faisceaux de fibres qui, normalem
n des fibres de la masse blanche des hémisphères ; on peut ainsi en
distinguer
quelques-unes qui se détachent du corps restiform
- Sauf les fibres du corps restiforme, tout le reste a disparu, on
distingue
à peine quelques fibres isolées. Les fibres s
on qui fait le su- jet de ce travail. L'observation de Pierret se
distingue
encore plus particulièrement par le début préco
itation dans le même groupe. L'observation de Rojel, et Collet s'en
distingue
nettement - par la consistance squirrheuse du c
nde admet qu'anatomiquement l'atrophie non familiale du cervelet se
distingue
peut-être encore plus nettement de l'a- trophie
r spasmodiques appar- tiennent à la paralysie pseudo-bulbaire et la
distinguent
nettement de l'atrophie du cervelet. On a sig
és, cruellement fatiguées d'ailleurs, témoignent de son désir de se
distinguer
du commun des paysans et semblent évoquer un pass
n fond de paysage égaye cette scène de chirurgie rudimentaire; on y
distingue
une maison avec une tour carrée à toit proémine
Ci, Editeurs ARRACHEURS DE DENTS 445 res; les plus achalandés se
distinguaient
par des cols et des parements proportionnés à l
AUVOIS J'ai vu, dit l'auteur, des Pétophiles (1) être incapables de
distinguer
les odeurs. Mais les troubles de cet organe p
s ennemi du tabac au point de cacher la vérité. ' Le médecin doit
distinguer
l'état de l'organisme. Les vieillards, dont le
ipliant t les observations analogues à ces deux cas, permettront de
distinguer
, à côté de l'ostéoal'thropathie tabétique class
aud et Grasset, on est en droit* au nom de l'ana- lyse clinique, de
distinguer
dans la symptomatologie si riche et si variée d
plètement. Tout est parfaitement rentré dans l'ordre, et même on ne
distingue
plus la coloration plus foncée des éléments don
ules sont si serrés les uns contre les autres qu'on a de la peine à
distinguer
le proto- plasma et le noyau qui occupe de nouv
b) ont également réorganisé leur substance chromatique, elles ne se
distinguent
des cellules normales que par une très grande r
les de Nissl sont si nombreux et si foncés que l'on a de la peine à
distinguer
le protoplasma cellulaire. C'est l'état pycknomor
t ratatinées, recroquevillées, difformes et fon- cées. On ne peut y
distinguer
un noyau ; elles se rapetissent de plus en plus
droit, mais le malade lo- calise parfaitement les sensations et en
distingue
les modalités. La sensibilité au chaud et au fr
e quand parfois on lui promène un corps froid sur l'épiderme. Il ne
distingue
pas le pincement de la piqûre aussi bien il la
itiale, due à l'irritation nutritive de ces cellules, et il faut la
distinguer
de la réaction secondaire, plus tardive des mêm
u au premier abord. On affirmait naguère encore la possibilité de
distinguer
les noyauxmo- teurs des noyaux sensibles par le
bité qui doit être la règle de toutes les actions, il faut qu'il se
distingue
de ceux qui veu- lent en imposer aux autres (1)
lairée à gauche par' une baie garnie de vitraux. Dans le fond, on
distingue
l'amorce d'un escalier, une étagère garnie de p
le. Leur attitude, leurs mine, faciéset regard les fontfacilement
distinguer
des autres aliénés. En effet, nous n'avons pas ic
besoins, finissent par devenir incon- tinents, gâteux, sales. On
distingue
trois degrés dans la mélancolie : 10 mélanco- l
elles réagissent bien à la lumière et à l'accommodation. La malade
distingue
bien les couleurs. La langue offre des légers t
et le toucher sont normaux, vue faible, 'légère myopie, l'enfant ne
distingue
rien dans la demi-obscurité (héméralopie) ; par
oïncidence est pathognomonique du stade initial. Elle peut servir à
distinguer
le tabès du pseudotabes, mais cela demande une
érales, en particulier sur la fausse angine de poi- trine qui ne se
distingue
guère de la vraie que par l'état du pouls, sur
elle ne peut pas localiser l'endroit piqué. La vision normale; elle
distingue
bien les couleurs; le goût et l'odorat nor- mau
t irrégulière, réagissant un peu faiblement. Le malade connaît et
distingue
bien les couleurs, mais ne peut pas bien différen
alise assez bien. ' La sensibilité spéciale est bonne; le malade ne
distingue
pour- tant pas assez bien les couleurs. Le goût
réagissent bien directement et moins par association. Le malade ne
distingue
pas bien les diverses nuances des couleurs. L'o
bilité spéciale conservée, la malade reconnaît bien les couleurs et
distingue
les nuances. Légère ovarie. Les mouvements resp
lumière et à l'accommo- dation. Il n'y a pas de diplopie. Le malade
distingue
bien les cou- leurs et les nuances. Le sens de
mann. Cet auteur nie, en effet, l'hérédité des caractères acquis et
distingue
dans l'organisme humain deux parties distinctes
le public ; c'est en cela, surtout, que la législation écossaise se
distingue
des législations anglaise et française ; mais t
me temporale ; une partie du gyrus fornicatus. Ces territoires, qui
distinguent
le cerveau humain de celui des anthropoïdes, dé
lle autre, ce sont les fibres d'association ; ce qui permet déjà de
distinguer
les zones en centres de projections et en centres
faisceau d'Arnold. C'est l'étude de la myélinisation qui permet de
distinguer
ces organes et de noter les irrégularités dans
terminaux et l'écorce du cerveau ? La couche optique en tout cas se
distingue
des autres émissaires de conducteurs sensoriels
e et leur sens moral; quant aux instables et aux pervers, ils ne se
distingueraient
des enfants ordi- naires que dans la manifestat
lésions histologiques des centres nerveux et des viscères jusqu'à y
distinguer
des groupes de lésions dont chacun a une origin
spéciale et comporte, par le fait, un enseignement particulier. Il
distingue
les altérations selon qu'elles sont primitives
istologiques qui commandent un même syndrome alors que ces types se
distinguent
néanmoins par leur lésion, leur aspect clinique
gnostic du délire aigu est à faire avec la fièvre typhoïde qui s'en
distingue
par la marche régulière de la température, l'ér
u'il est exceptionnel. Il faut, dans les opérations gynécologiques,
distinguer
deux groupes : 1° Celles qui s'adressent aux
nérale. Au lieu de considérer les paralytiques en bloc, il faut les
distinguer
par catégories, suivant la nature de leurs antécé
est indemne de toute hérédité vésanique. Enfin et surtout il faudra
distinguer
les enfants conçus avant la syphilis, de ceux c
ne forme religieuse exaltée ? Hertz, Ripping, Nasse et Samt ('1874)
distinguent
aussi ces Werrucktheit ou "Wahnsinn4 primitives
iété religieuse également. En Italie, Morselli8et Buccola (1883),
distinguent
aussi plusieurs formes de paranoïa; et à côté d
nces particulières, natives et premières de l'individu. On pourrait
distinguer
encore parmi les délires dits secon- daires, au
entaire, en effet, dans les cas de folie communiquée, que l'on peut
distinguer
deux sortes de délirants; les uns, actifs, impo
neurones. Toutefois, même chez l'adulte, Held reconnaît qu'on peut
distinguer
, grâce à la ligne réfringente de séparation, ce
remise en place, pratique constante que préconise l'au- teur et qui
distingue
absolument son opération de la craniotomie. Il
de la psychonévrose mélancolique. Comment reconnaître la paranoïa,
distinguer
ce qui revient à la psychoné- vrose ? Il faut s
ma- tisé post-mélancolique. Il est important à ce point de vue de
distinguer
les délires secondaires en précoces et tardifs. L
il y ait recours aussitôt après chaque rechute. D'ailleurs, il faut
distinguer
nettement l'alcoolique et le dipsomane. Le premie
isage l'aspect symptomatique et l'évolution de l'affection, on peut
distinguer
: 1° des cas à évolution chro- nique; 2° des ca
ordinaires. Mais, en les analysant de plus près, elles semblent se
distinguer
par quelques notes très particulières. C'est
équence des hallucinations, l'anxiété réaction- nelle, ces faits se
distinguent
aisément de la mélancolie et se rapprochent au
e concours indispensable de mémoire et d'attention. Ce processus se
distingue
des autres processus psychiques, tels que l'obs
ation s'applique aux mutismes fonction- nels ou amnestiques. Nous y
distinguons
entre autres les variétés sensorielles suivante
hobénie et la plus importante pour le logo- pathologiste. Il faut y
distinguer
Y établissement tardif de la parole et la mutil
e, parmi ceux des adultes le mutisme fonctionnel. ' Ce mutisme se
distinguerait
de l'aphasie motrice sensoiielle orga- nique en
croissances adénoïdes ou encore la perforation du palais. Il faut
distinguer
du balbutiement la prononciation vi- cieuse d'u
ente-huit jours, elle était com- plète, il y avait impossibilité de
distinguer
le jour de la nuit; elle disparut brusquement.
ue, à côté de la folie systématisée, les folies périodiques dont il
distingue
quatre groupes : les formes délirante*, les for
és simples par les au- teurs sont et seront ioujoxirs impossibles à
distinguer
des cas de manie récidivante ou intermittente,
e la dépres- sion simple et la dépression périodique. De même, on
distingue
les cas dans lesquels il existe une alternance
opre pour désigner les formes inter- mittentes ou périodiques qu'on
distingue
générale- ment en maniaques et mélancoliques.
ostérieur de la moelle, très analogue à celle du tabès dont elle se
distingue
cependant par l'existence dans les cordons post
dal. Dans les paralysies générales ah piques aphasiques, l'au- teur
distingue
une forme aphasique à prédominance motrice et u
it pas toute l'efficacité que nous lui avions attribuée. Or il faut
distinguer
. Ces auteurs ont eu à soi- gner des dégénérés i
illons qui les séparent sont réduits à des fentes très difficiles à
distinguer
. On reconnaît faci- lement le grand sillon circ
avant et en dedans. Sur la face interne, vaguement quadrilatère, on
distingue
les lobules di- gastrique elsemilunuire, dont l
partie fusionné avec l'hémisphère droit, dont il est difficile à
distinguer
sur l'organe entier; ses diamètres vertical et
e tiers du pédoncule gauche. Le noyau rouge droit est difficile à
distinguer
il l'oeil nu, et paraît, en fout cas, 1-11(tA
vinars, se perdent bientôt dans le sinus calleux correspondant : on
distingue
à leur face supérieure de légères saillies long
ière convergent vers la partie moyenne de sa lèvre postérieure ; on
distingue
dans sa profondeur plusieurs saillies arrondies
n très précoce, pénètre directement dans la protubérance où il se
distingue
nettement des autres voies cérébel- leuses, pou
versales venues des pédoncules cérébelleux moyens et difficiles à
distinguer
à l'oeil nu des faisceaux de fibres pyramidales
cté- riseraient surtout. B) Les psychoses des vieillards. Il faut
distinguer
les psychoses de la vieillesse (vieillards-alié
e la marche volontaire et consciente de la volonté motrice, et ceci
distinguerait
symptomatiquement les faits dont je parle des f
part de l'hystérie et de la simulation. Il me paraît difficile de
distinguer
, à cet égard, le rôle respectif des deux psychis-
nt pathognomoniques de la démence précoce. La forme mélancolique se
distingue
par l'état mental parli- culier : douleur moral
gidité et l'absence de satisfaction sexuelle, ces observa- tions se
distinguent
entre elles par le mobile auquel obéit la nymph
ptôme commun est la brièveté relative des mem- bres. Il y a lieu de
distinguer
deux variétés de micromélies con- génitales : l
description des maladies familiales, il vaudrait peut- être mieux y
distinguer
des formes spinale, bulbo-spinale, bulbo- céréb
s. C'est seulement à ces cas exceptionnels, pour les bien isoler et
distinguer
, qu'il faut réserver le nom de folie gémellaire
à laquelle il faut réserver le nom de folie gémellaire, afin de la
distinguer
des psychoses qui se montrent indistinctement c
ette de Lecoq et s'amusait à les vêtir de bleu et de rouge pour les
distinguer
, comme les deux héroïnes du maestro. Toujours
d l'essai relève des empêchements intérieurs. Le trait commun qui
distingue
l'influence du brome dans les différentes reche
tiques, au point de vue de son degré de toxicité spécifique peut se
distinguer
en hypotoxique et hyper- toxique. Il est hypoto
iche qu'avec la méthode de Cajal et il est quelquefois difficile de
distinguer
les formations réticulées, qu'elle met en évide
du milieu familial, scolaire, social, etc.). Parmi les premiers, il
distingue
: les irréguliers des fonctions végétatives (diff
e mal de mer qui sur- vient par les gros temps, .l'en suis arrivé à
distinguer
, d'une part, le mal de mer vrai, contre lequel
et le mal de mer ima- ginaire ; on devrait nous dire en quoi ils se
distinguent
l'un de l'autre. M. Le Menant des C.HESNA15.
la convergence. Myopie prononcée. Nystagmus et léger strabisme. Ne
distingue
pas les cou- leurs, et n'a aucune notion précis
e trouve autour d'elle, n'a aucune préférence pour les aliments, ne
distingue
pas les saveurs ; mange gloutonnement. La masti
no REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. phasie hystérique » ; 6) th
distinguer
de as, deux types ce qu'on pourrait appeler le
équemment en clinique,ne se manifeste pas ; il convient donc de les
distinguer
. 5" Les réflexes tendineux de la trépidation ép
ésultats les plus marqués et les plus durables. M.Demonchy. Il faut
distinguer
entre les Américains autoch- tones et les Améri
des diverses démences les données anatomiques de il ! . Klippel et
distingue
nettement les démences dont la lésion est purem
oui, en vertu de quelle décision ? Quelles mesures sont prises pour
distinguer
les hospi- talisés des reclus au point de vue m
rotuliens, la di- plopie, la miction retardée ; tous ces signes le
distinguent
des paraplégiques et en font un tabétique. Au
ux yeux ; champ visuel rétréci notamment à droite; l'oeil gauche ne
distingue
pas le violet et le vert; l'oeil droit ne perço
diagnostic surles mêmesarguments que le Maître nous a indiqués pour
distinguer
l'attaque de sommeil, à savoir sur l'existence
ans la Camargue, l'église des Saintes-Mariés. Parmi les ex-voto, je
distinguai
le moule en plâtre du membre inférieur d'une je
es aiguës avec chacune son microbe. -2 Folie systématique aiguë. Se
distingue
de la folie systématiqu e chronique par l'install
Kaes (même recueil, V. Archives de Neurolog ? revues analyti- ques)
distinguait
dans l'écorce : 1° une couche tangentielle, la pl
s- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 111 sible de
distinguer
des fibres optiques les éléments qui établissent
e centrale des ventricules, autour de l'aqueduc de Sylvius. Il faut
distinguer
les racines descendantes et motrices des racines
nt mat, mesurant 12 à 50 , dans lesquelles il est parfois permis de
distinguer
un noyau central et une écorce périphérique, ma
roupes les difficultés que soulève l'acception du mot caractère. Il
distingue
les change- ments du caractère des troubles pas
ntuer dans son tour vicieux ; 8° leur conduite dans l'asile qui les
distingue
nettement des autres fous; 9° leur conduite à l
s fous; 9° leur conduite à l'état libre dans la société; ce qui les
distingue
des gens sains d'es- prit ; 10° la rareté de le
nie (qui est elle-même un élément favorable) et de stupeur. Elle se
distingue
de la manie par la soudaineté des accidents et le
e cas, comme appartenant au groupe des troubles hystériques, qui se
distingue
par l'absence des stigmates bien connus, et dit
roite, l'autre en avant et à gauche. En un seul endroit de l'arc on
distingua
une ,âpreté. Le champ de l'opération était libr
autre pour être étudiés parallèlement, les caractères cliniques qui
distinguent
la sclérose laté- rale amyotrophique de l'affec
ellulo-adipeux ambiant, au point qu'il est très difficile de les en
distinguer
. Le biceps est réduit au volume du petit doigt.
iceps où au contraire le tissu adi- peux dominait. Radial. Ce qui
distingue
surtout les préparations, c'est la plus grande
de granulations de myéline, mais encore par cela, que nous avons pu
distinguer
nettement un fragment de tube nerveux dans cert
autrefois comprise par M. Metchnikoff. Nous n'avons pu, en effet,
distinguer
nulle part d'indices certains de l'action cyto-
les nettoyer. Il connaît les diverses parties de son corps, mais ne
distingue
pas le côté droit du gauche. Il n'a aucune ins-
u globe ocu- laire. L'exposé de Perlia est parfait : il y a lieu de
distinguer
en effet un noyau ventral postérieur (inféra-po
de la myélite dorsale a-t-elle des caractères différentiels qui la
distinguent
? Il faudra l'observer. - 3° Parmi les formes n
g (d'Heidelberg) une moelle épinière avec son bulbe. Cette pièce se
distingue
des autres qui ont été faites jusqu'ici en ce q
e de la moelle dorsale ; à cette époque, il n'est guère possible de
distinguer
le segment externe du segment interne à moins d
otrices. Ces dernières sont l'objet d'une étude approfondie. Il les
distingue
avec soin de l'impulsion verbale et de la parole
t jusqu'ici, il fallait admettre des obsessions hallucinatoires, et
distinguer
deux cas : 1° ou bien l'idée obsédante s'accomp
t à des troubles de cette fonction; ce sont les disgraphies, qui se
distinguent
en organiques et fonctionnelles, les hallucinat
ologie des paralysies est exposée avec de grands détails. M. Richer
distingue
: 1° l'amyosthénie, qui n'est qu'un léger degré
sbasies psychiques dont l'intérêt est en effet considérable. Il les
distingue
en afonctionnelles, parafonctionnelles et hyper
rentrer dans les troubles de la marche. Les dysbasies trophiques se
distinguent
de même en atrophiques (atrophies musculaires), p
ux de Charcot, de Pitres et de leurs élèves, parmi lesquels se font
distinguer
ceux de Dutil et de Bitot, sont trop connus, po
ons conscientes à forme interrogative ou dubita- tive et qu'on peut
distinguer
en deux grandes classes : dans l'une les malade
ns la néga- tion l'âme, la nature et Dieu. Ces idées de négation se
distinguent
facilement de celles qui surviennent chez les p
que; par le Dr SZCZI'PIORSKI. L'ataxie locomotrice de Friedreich se
distingue
assez nettement des deux affections voisines :
s de dégénérescence mentale qui constitue la paranoia chronique, on
distingue
deux facteurs psychologiques, d'un côté l'obnub
S QUI L'ACCOMPAGNENT ; - - par le Henry SlIfITH-`V1LLIAM. 11 faut
distinguer
trois états d'âme : l'état de veille, l'état de s
secondairement qu'ils s'accompagnent de troubles amalgamés. Ils se
distinguent
des cas de Verucktheit proprement dits ou de pa
est excessivement distraite, leur mémoire vague et infidèle. Ils ne
distinguent
qu'impar- faitement les faits de conscience des
reconnaître des vaisseaux san- guins 'dilatés. A la loupe, on peut
distinguer
de nombreuses cavités plus petites. Il n'y a qu
issant souvent antérieurement à l'obsession. II y a lieu aussi de
distinguer
deux espèces de douleurs, les uns se figurent n
oit possible de trouver des tares héréditaires, les symptômes . qui
distinguent
une grande partie, des criminels d'habitude des
sons, c'est surtout par les sentiments affectifs que les détenus se
distinguent
des sujets normaux; on observe aussi des anomal
iculaires prennent une telle extension, qu'il devient impossible de
distinguer
ce qui appartient au trajet inlra-médullaire de
révélait leur méprise. «. Il nous semble impossible, dit Rostan, de
distinguer
cette maladie du ramollissement; même marche gr
ssible d'éviter une erreur 2 », et Gendrin insinue qu'on ne saurait
distinguer
cette lésion dont les signes se confondent avec
utés sont des dégénérés et qu'il n'y a, par conséquent, pas lieu de
distinguer
le délire de persécution du délire des dégénérés.
vait Lasègue, on voyait des persécutés partout; aujourd'hui il faut
distinguer
les variétés du délire de persécution. Le délir
tic favorable. Et cependant quels autres caractères avons-nous pour
distinguer
les variétés cliniques et modifier le pronostic
rop le répéter, que l'essentiel dans tous ces exercices, ce qui les
distingue
de la gymnastique, c'est que le malade doit app
ployés des postes, qui en soupesant sur la main les lettres peuvent
distinguer
des différences de poids, imperceptibles pour d
dation. 11 n'y a ni strabisme, ni'diplopie, ni nystagmus. Le malade
distingue
bien les couleurs. Son acuité visuelle est bonn
de tendance à la production de phlyctène ou de gan- grène ; elle se
distingue
de l'oedème bleu de Charcot par l'absence d'oed
SAVANTES. 225 croit communément. Mais, à cet égard, il convient de
distinguer
deux ordres de faits. La longue durée de la par
dans les mouvements (ataxie).. , SOCIÉTÉS SAVANTES. 227 7 On peut
distinguer
, en outre, selon l'intensité : 228 SOCIÉTÉS SAV
osé la nécessité d'établissements pour aliénés délinquants. Il faut
distinguer
, car,à côté des aliénés vraiment dangereux se tro
s voterons donc les deux premières conclusions du rapport. La loi
distingue
deux sortes de placements : les placements d'offi
ne confusion dans l'esprit de beaucoup de personnes. Il convient de
distinguer
: 1° Les criminels devenus aliénés; 2° les aliéné
x qui commettent des actes réputés crimes ou délits. Il faut encore
distinguer
, dans cette dernière catégorie, les aliénés incon
Délire des persécutions à double forme. M. Vallon. On sait que l'on
distingue
deux sortes de persé- cutés : les persécutés ra
quée. Ils offrent des caractères particuliers qui permettent de les
distinguer
du délire vésanique proprement dit; 3° un certa
répandront aussi en direction cellulipète. M. Schaffer propose de
distinguer
deux catégories d'affections de la corne antéri
d'un certain axe de direction dans un plan unique. » Il s'attache à
distinguer
les trem- blements des trémulations et des fris
distinguer les trem- blements des trémulations et des frissons. Il
distingue
le tremble- ment en général et partiel; parle d
le tremblement sénile et celui de la paralysie agitante. L'auteur
distingue
avant tout les tremblements proprement dits, ou
normale. A la piqûre : la malade ne peut sur les membres inférieurs
distinguer
la sensa- sation qu'elle ressent. Si par exempl
gyll Robertson. Elles régissent bien à l'ac- commodation. Le malade
distingue
bien les couleurs. Rien du côlé de l'ouïe, du g
gré de ptosis. 11 n'y a pas de diplopie, ni de strabisme. Le malade
distingue
bien les couleurs. Les pupilles sont égales des
re, mais très bien à l'accommo- dation. Le malade a la vue bonne et
distingue
très bien les cou- leurs. L'ouïe, le goût, l'od
point de vue organique et psychique l'en- semble des caractères qui
distinguent
leur physionomie morale ; 2° les anomalies psyc
ctère psychologique sont plus nombreuses que les analogies. On peut
distinguer
parmi les aliénés : a) ceux qui offrent un état
à reconnaître l'aphasie des troubles qui peuvent la simuler ; 2° à
distinguer
entre elles ses diverses variétés. Le diagnosti
qu'il lit après quelques mots de lecture. Cette affection facile à
distinguer
de l'aphasie sensorielle vraie, tiendrait à un tr
rdifs et moins constants. Parmi les démonomanes, il importe donc de
distinguer
, comme l'a fait très justement M. H. Dagonet',
aincus qu'ils portent le diable dans leur corps. Il faut en effet
distinguer
la possession et l'obsession. Dans la première,
t de la personnalité. C'est un point très délicat, car il faut bien
distinguer
le vrai dédoublement de la personnalité qui se
e que Cotard a désignée sous le nom de délire d'énormités pour la
distinguer
du vrai délire des grandeurs. Les pseudo-mégaloma
entes « de celles que l'on perçoit par l'oreille, et bien faciles à
distinguer
de ces dernières ». Ce malade entendit ainsi, u
ns des centres nerveux consécutives à la section nerveuse, il y a à
distinguer
également deux périodes : la 1'° où les éléments
seraient très rares chez les sujets nerveux. Il va sans dire qu'il
distingue
la nervosité de la prédisposition aux troubles
min, de sorte que, sur les coupes ainsi colorées, cette couche se
distingue
, même à l'eeil nu, comme un ruban foncé décriva
e Krause, et au noyau externe de Huguenin. Schwalbe ' de son côté
distingue
trois noyaux d'ori- gine au nerf auditif : son
rieure; l'autre postérieure et supérieure. Ces deux faisceaux se.
distinguent
par le caractère de leurs tubes nerveux. 2° Dan
lions cérébro-spinaux. Horbaczewski ` (v. Rente, loc. cit., p. 461)
distingue
deux espèces de fibres nerveuses, dans le nerf
s d'axe ne se colorent pas au carmin. (Pi,. V, fig. 5, B), et ne se
distinguent
que sous la forme de points foncés ; souvent mê
lionnaires qui s'accentuent encore davantage, fait que les îlots se
distinguent
notoirement des tubes ner- veux qui les entoure
t grenu de Gerlach. Dans les cloisons conjonctives de ce réseau, on
distingue
des éléments cellulaires et des vaisseaux capil
rf auditif et le facial, dans le méat auditif interne. Cet auteur
distingue
une double relation entre ces nerfs. La pre- mi
de la peau est notablement diminuée; ainsi sur les joues, la malade
distingue
difficilement les deux 1 Hammond. On mi/.xoedem
faiblissement très marqué : il était impos- sible pour la malade de
distinguer
par la saveur ou l'odeur un poisson d'un « roas
uche correspond à l'apparence confuse de la papille dont on ne peut
distinguer
les vaisseaux, tandis que les examens ophthal-
c, il est surtout important de 102 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.'
distinguer
l'hémorrhagio'intra-vcntriculaire primitive do l'
qu'au bout de quelques mois qu'elle parvint à se recon- naître et à
distinguer
qu'elle avait affaire à des médecins et à des i
dermique est une espèce nosolo- gique nettement définie et que l'on
distingue
facile- ment des états morbides tels que les af
triste fureur qui domine leur raison et leurs sens. VI. Ce qui les
distingue
encore, c'est une sorte de quiétude dans laquel
'une vive imagi- nation et d'une intelligence remarquable. Elles se
distinguent
dans toutes les études, surtout sur la musique,
nomènes généraux, pas de troubles intellectuels. Cette affection se
distingue
de la cho- rée vulgaire par l'absence des troub
r l'excitation portée sur une plaque d'hyperesthésie. Ce qui paraît
distinguer
ce réflexe cutané du réflexe tendineux, c'est u
c la paralysie générale survenant chez un saturnin ; mais elle s'en
distingue
par quelques-uns de ses symp- tômes, et surtout
ion de la rétine qui a perdu la perception des cou- leurs, mais qui
distingue
encore le clair de l'obscur. Chez les hémianest
mment à la Salpêtrière sur trois hystériques hypnotisables. On peut
distinguer
dans la catalepsie deux phases diverses en ce q
sses. Avec un grossissement de quarante à cinquante diamètres, on y
distingue
une grande quantité de fig. 28. recueil DE fa
r BOURNEVILLE et WUILLAMIÉ. Un examen attentif des idiots permet de
distinguer
un cer- tain nombre de classes différant les un
suivi dans la partie externe et inférieure du pont de Varole; il se
distingue
des faisceaux moteurs en ce que ses fibres au l
el : exemple les aliénés dangereux, et encore parmi ceux-là faut-il
distinguer
et ne les considérer comme tels que lorsque le
etour incomplet de la sensibilité sensorielle, la variété du délire
distinguent
de la troisième période (des poses plastiques),
rise, sans fraude possible, la léthargie hystérique pro- voquée, la
distingue
de la catalepsie, du somnambulisme hystéri- que
des zones bystéro-épilepto- gènes, jointe aux signes déjà indiqués,
distinguera
1'li,stéro-épilep- sie de l'épilepsie. La quatr
de la sen- sibilité sont la règle dans la pseudo-paralysie, qui se
distingue
'encore en ce que la paralysie y commence toujo
re a une guérison. En somme, la pseudo-paralysie des alcooliques se
distingue
autant par sa marche que par ses symptômes; ell
variétés, malgré le petit nombre d'obser- vations connues. M. Blocq
distingue
trois formes, selon que les fonctions sont amoi
its en granu- lations. Vers la périphérie, surtout de la lésion, on
distingue
les signes d'une myélite, les tuniques des vais
On constate des corps granuleux très nombreux. 11 est à noter qu'on
distingue
çà et là un certain nombre de tubes nerveux res
ormal. Au contraire, l'aspect de la région dorsale est tacheté : on
distingue
des points plus clairs et plus jaunes qui tranc
oc). Forme aphasique. La clinique est arrivée, on le sait bien, à
distinguer
quatre modes spéciaux de mémoire du mot, à savo
ni sur une chienne qui a survécu huit mois à l'opération '. Il faut
distinguer
deux périodes et même trois. Dans la première,
ée et musculaire étaient presque un signe pathognomonique servant à
distinguer
une lé- sion de la base d'une lésion de l'écorc
ensation de boule, mais provoque comme des coups de marteau ». Elle
distingue
bien les couleurs des deux côtés. Ouïe moins bo
uche. En somme, les phénomènes de l'aura prédominent à gauche. Elle
distingue
bien les couleurs. Pas d'onanisme. Elle ne rech
uches concentriques comme les couches corticales de l'oignon, ne se
distinguent
pas du reste de l'endo-nerf, et ne présentent p
erveux, cylindraxile, est toujours ramifié ; lui et ses branches se
distinguent
des prolongements pro- toplasmiques par leur as
t, leurs bords lisses, uniformes ; leur finesse permet aussi de les
distinguer
des prolongements potoplas- miques ; 4° il y a
aractéristiques. Malgré ces éliminations successives on peut encore
distinguer
quatre autres formes de mélancolie : cl). La
, son délire spécial, enfin ses lésions propres; si on a soin de la
distinguer
des paralysies géné- rales de causes diverses (
épileptiques, analyse d'une façon générale les troubles du langage,
distingue
les désordres mentaux variés que l'on a groupés
imaginaires. Par quels caractères propres la cellule nerveuse se
distingue-t
-elle, au point de vue objectif, des autres étém
ellule, des ramuscules arbores- cents dont la forme varie et sert à
distinguer
les fibres nerveuses en deux catégories bien ne
u nerveux de l'écorce, en fines ramifications arborescentes. Ce qui
distinguerait
le nerf sensible du nerf moteur ne serait donc
de vue clinique et en ce qui concerne l'anatomie pathologique, de
distinguer
la maladie qui nous occupe des autres affections
Séance du 29 juin 1889. M. uLWCUS. De quelques particularités qui
distinguent
les phéno- mènes et l'évolution de la mélancoli
moraux; a° Elles se rattachent à l'hébéphrénie dont on a cru devoir
distinguer
deux espèces sous les noms d hebéphrénie propre
1 et de l'absence de bien des symptômes importants. Il faut bien
distinguer
laparalysie générale qui se greffe chez des syphi
sur une affection organique ou dynamique, c'est ce qu'il s'agira de
distinguer
, se traduisant pendant la vie par des symptômes
iphé- riques suivant les autres, c'est ce qu'il s'agira encore de
distinguer
, mais qui en tous cas, pratiquement, se révèle
omme celle-ci a des caractères particuliers qui permettent de les
distinguer
des affections analogues. J'ajouterai enfin que
pathologistes, c'est-à-dire celle de savoir s'il est pos- sible de
distinguer
la sclérose de la maladie de Fried- reich des a
léroses combinées pseudo-systématiques », il est encore possible de
distinguer
ces cas, de la sclérose vraiment systématique d
des coupes préparées selon la méthode de Wei- gert, cette bande se
distingue
très nettement des parties avoisinantes décolor
té de la ligne médiane, à la partie externe des cordons de Goll, on
distingue
une zone (Voir fig. 42'), qui, sans être absolu
rilles qui émanent de leurs prolongements et en rayonnent; elles se
distinguent
des fibrilles qui font corps avec la substance
e de Friedlander, sans compter des microbes indé- terminés. On peut
distinguer
des méningites primitives et secon- daires ; ce
être si exactement simulée par la stupeur secondaire qu'on ne peut
distinguer
l'un de l'autre ces deux états qu'avec l'aide d
CHix : Vision : oeil droit- simple perception lumineuse ; la malade
distingue
le .our de la nuit; oeil gauche : diminution de
sez volumineux. Odorat troublé ; -, ne reconnait pas les odeurs, ne
distingue
même pas les bon- nes odeurs des mauvaises, ain
iques, mastzcllen). En se fondant sur ces données, on pourrait déjà
distinguer
deux formes nettement tranchées de psychose aig
ntes de persécution, sans évolution, ni systématisa- tion ce qui la
distingue
de la paranoïa alcoolique chroni- que. La prédo
ets contradictoires et en apparence inconciliables à condition de
distinguer
deux thérapeutiques psychiques absolument diffé
me partie du livre premier, M. Régis ex- pose sa classification. Il
distingue
deux grands groupes de psychopathies : les mala
génératrice un certain nom- bre de caractères qui permettent de les
distinguer
assez facilement des états psychopathiques anal
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 129 taire d'origine cérébrale et oscillant se
distinguerait
-il de celui de l'innervation volontaire émané d
tologique sur le durcisse- ment du cerveau qu'on a dû de pouvoir la
distinguer
des étais voisins : il faut injecter dans la ca
'endar- térite vulgaire de l'a 1-Lé 1-i O-sclé l'ose. Cet état se
distingue
: a) de la porose de M. P. Marie, sorte d'emphy
laques, paralysies spinalesspasmodiqucs). Ce réflexe peut servir il
distinguer
une paralysie organique d'u- ne paralysie hysté
o- mes. Ces malades ont leurs hons ut leurs mauvais jours, ce qui
distingue
l'affection delà chorée chronique. 3 observations
que le choix du mode réactionnel ; si d'un point de vue général on
distingue
des catégories d'anormaux opposa- bles l'une à
e de celui des microcéphales. La structure de l'écorce cérébrale se
distingue
de celle des mammifères, plus intciligents, en
s qui ont surtout attiré l'attention des auteurs. Parmi ces cas ils
distinguent
particulière- ment ceux dans lesquels les manif
aide de deux malades, la fausseté du critérium autrefois admis pour
distinguer
les ophtalmoplégies fonctionnelles des ophtalmo
ralement les objets usuels qu'il voit chaque jour, mais ne sait pas
distinguer
les couleurs. Gymnastique nulle. A la fin de l'
e et se déshabille pres- que seul, il sait lacer, nouer, boutonner,
distingue
les couleurs et reconnaît quelques lettres et q
de l'an- née, etc ? 19°3. - Les progrès scolaires continuent; il
distingue
le masculin du féminin, le singulier du pluriel
se à la lecture courante. Il fait de petits exercices de grammaire,
distingue
le genre et le nombre, sait faire l'addition, l
omme les principales par- ties de son corps et de ses vêtements. Il
distingue
un plus grand d'un plus petit, un objet lourd d
ou- leurs et les surfaces. Il s'intéresse aux leçons de choses et
distingue
un certain nombres d'objets. Il sait lacer, bou
de. Enfin, elle connaît toutes les lettres, commence à écrire. Elle
distingue
bien toutes les couleurs, reconnaît les légumes
ces par le traumatisme (psychose traumatique vraie). On a, pour les
distinguer
, divers éléments que nous passerons brièvement
na- ture du traumatisme et ses conditions de réalisation, on peut
distinguer
les plaies siégeant en tel ou tel point de de l
la maison, à rechercher les femmes qui s'appro- chaient, sans même
distinguer
sa mère. L'érection, au paroxysme, s'accompagna
able à celui de l'alcoolique classique (1). D'autre part, il faut
distinguer
l'état du blessé anté- rieurement à l'accident
cellules dégénérées qui forment deux gros groupes, dans lesquels on
distingue
de petits îlots plus on moins séparés. A. la pa
ve représente.par contre, un tableau anatomique particulier, qui se
distingue
surtout par : 1°) l'hyperplasie (pseu- dohypel'
conclut en interprétant de nombreuses obser- vations cliniques, et
distingue
quatre variétés de névroses dites Iraumatiques
lle réussissait à raisonner avec clarté en de pareils moments, et à
distinguer
avec finesse ces différents états. De grands ef
e, elle commence à écrire, forme à peu près toutes les lettres, les
distingue
les unes des autres, ainsi que les chiffres; el
on défensive et par la richesse vasculaire. Avec Kôlpin on peut lui
distinguer
deux couches. La couche interne, placée au vo
en vaisseaux plutôt que par ses caractères irritatifs et qui ne se
distingue
du tissu nerveux voisin normal que par cette ex
es par la méthode de Weigert pour la coloration de la névroglie, on
distingue
des fibrilles névrogliques, entremêlées aux élé
le, l'oeil gauche est fortement dévié en dedans ce qui l'empêche de
distinguer
les lettres à première vue. Malgré tous ces inc
nnaît tout ce qui est contenu dans les boîtes aux leçons de choses,
distingue
très bien les couleurs, elle compte assez bien
nt, en sont le résultat et non la cause. La méningite foetale ne se
distingue
pas anatomiquement de celle de l'enfant etde l'
faiblis et l'on s'accorde à dire qu'il est souvent impossible de la
distinguer
, lorsqu'elle est à sa première période, de l'hé
se assez commune. J'ai indiqué quelques moyens qui permettraient de
distinguer
le phénomène des orteils légitime d'une extensi
tre de déceler l'existence d'une affection grave de l'encéphale, se
distinguerait
des autres réflexes tendineux parce que la réac
les réflexes tendineux et les réflexes de défense, je suis arrivé à
distinguer
par des caractères intrinsèques diverses espèce
e pyramidale, il était nécessaire de faire une sub- division, et de
distinguer
deux formes de rigidité musculaire, qui souvent
ose constatée dans l'observation III, par sa rapide disparition, se
distingue
de celle qu'on observe dans la syphilis des cen
ment du pied du côté malade; de là, une attitude toute spéciale qui
distingue
cette scoliose des diverses déformations provoq
suffit pour écarter l'hypo- thèse de simulation ; elle peut aider à
distinguer
la sciatique vraie de la sciatique hystérique q
PÉRIPHÉRIQUE BrissaudetMeigeont cherché à établir qu'il y a lieu de
distinguer
les spasmes de la face d'avec les tics, que l'h
isuels sont en opposition avec le diagnostic de tabes. Ce fait se
distingue
du pseudo-tabes alcoolique où on ne voit guère
des plus nets. Il faut d'abord remarquer la différence notable qui
distingue
les liquides recueillis à 2fi heures d'interval
s lèvres et la joue et en leur imprimant des mouvements passifs. On
distingue
ainsi l'asymétrie faciale due à l'affaiblisseme
sif, on l'abandonne à elle-même. C'est là un signe qui peut aider à
distinguer
l'hémi- plégie organique de l'hémiplégie hystér
mpression de l'encéphale peut avoir des caractères permettant de la
distinguer
de 132 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE l'hémiplégie
observer aussi des mouvements brusques et sans mesure, mais ils se
distinguent
de ceux qui dépendent d'une affection cérébelle
dans les paralysies psychiques, on peut admettre qu'il permet de
distinguer
, dans certains cas, la chorée de Sydenham de la c
oi de le dire, l'insuffisance des moyens dont on disposait pour les
distinguer
m'avait frappé. On croyait, je le rap- pelle, q
nsidérant uniquement les caractères des trou- bles moteurs, on peut
distinguer
la paralysie faciale hystérique de la paraly si
cture, un spasme glosso-labié, mais ses caractères seront faciles à
distinguer
do ceux qui appartiennent à la paralysie faciale.
sus, jusqu'à quel point ces secousses comme électriques du tiqueur se
distinguent
profondément des gesticulations lentes et permane
« Ischias nervosa » et que dans ce dernier groupe il y avait lieu de
distinguer
encore Y « Ischias nervosa antica » (névralgie cr
nt ou relevés comme tels occupent les lieux d'élection. Ainsi, nous
distinguons
un point sacro-iliaque (a), un point fessier (ô),
e par elle-même aucune particularité nosographique qui permette de la
distinguer
des neurasthénies développées sous L'influence de
inique par des caractères vraiment particuliers et qui permettront de
distinguer
l'affection ainsi produite, de toutes les névrose
ents nerveux produits par l'action du sulfure de carbone, afin de les
distinguer
aussi nettement que possible de ceux qui relèvent
usement qu'on ne l'a fait jusqu'ici, et s'attacher surtout à les bien
distinguer
des symptômes hystériques qui se développent dans
logie des phénomènes nerveux saturnins et alcooliques, il faut savoir
distinguer
ce qui appartient à l'hystérie provoquée par l'in
s grands éléments pathologiques que l'analyse clinique nous conduit à
distinguer
chez notre malade. Vous avez bien compris qu'il
rges [Chorea as a fatal disease.— On chorea, p. 172. London 1881), de
distinguer
dans l'espèce deux ordres de cas tout à fait diff
t à peu près jamais accompagnées de perte de connaissance, ce qui les
distingue
de la plupart des formes diverses du petit mal.
arrivée à la période atrophique,il est généralement facile encore de
distinguer
la papille d'un blanc mat, aux bords nébu- I eu
névrite optique, de la papille nacrée aux bords nets et tranchés qui
distingue
la forme tabétique. N'oubliez pas le pronostic fa
i Fa forcée de rester alitée ce jour-là ; le lendemain matin, elle ne
distinguait
que difficilement les objets. Ces symptômes avaie
tabétiques, sera certainement ou très vraisemblablement utile et les
distinguer
de ceux où son application serait de nul effet,ou
Il y a longtemps que j'ai appelé l'attention sur la nécessité de bien
distinguer
en clinique le vertige ab aure Isesa, à crises di
ysie générale progressive, le tremblement de la maladie de Basedow se
distingue
par cette circonstance que dans ce dernier les do
ion. Il est assez particulier, je crois, pour qu'il soit permis de le
distinguer
des complexus symptomatiques qui peuvent s'en rap
s caractères de la neuras-thésie spinale et qu'elle peut contribuer à
distinguer
celle-ci des parésies ou paraplégies par lésions
re à reconnaître les grands caractères qui, suivant quelques auteurs,
distingueraient
la névrose traumatique des autres formes de Yhy
, sa physionomie, son regard ne présentent rien de particulier qui le
distingue
d'un homme parfaitement éveillé et à l'état norma
tude, les grandes gesticulations de certaines chorées ; mais ils s'en
distingueraient
immédiatement, vous l'avez compris, par cette cir
marche, conformément à la définition de l'astasie et l'abasie. Pour
distinguer
les faits de ce groupe, je proposerai d'adopter l
u'il soit nécessaire d'insister sur les caractères qui permettront de
distinguer
cliniquement les troubles moteurs abasiques de ce
qu'en effet, ces membres sont douloureux, hyperesthésiés. et il y a à
distinguer
, sous ce rapport, les douleurs ou sensations péni
ue des cellules motrices de la région. à). Une première catégorie à
distinguer
dans ce groupe, comprend les cas qui répondent cl
qu'on ne pouvait pas se servir du rétrécissement du champ visuel pour
distinguer
l'hystérie de I'épilepsie, parce qu'il se rencont
ives de Virchow (2), sont revenus sur ce sujet. Il faut naturellement
distinguer
, dans ces expériences, les effets de la fulgurati
; cela dura pendant dix ou douze jours, après quoi on ne pouvait plus
distinguer
les parties qui avaient été paralysées. Il import
t, — est présente dans notre cas, douée de tous les caractères qui la
distinguent
cliniquement. Hémianesthésie sensitive et sensori
liniques tellement particuliers qu'ils paraissent devoir permettre de
distinguer
, à coup sûr, la maladie des tics de toutes les au
e, « jusqu'à quel point les secousses comme électriques du tiqueur se
distinguent
profondément des gesticulations lentes et permane
énéralisés. C'est justement dans la difficulté qu'il peut y avoir à
distinguer
ces deux cas, que gît l'intérêt de la situation,
ervices. Vous voyez qu'il n'était pas sans intérêt d'apprendre à bien
distinguer
, l'un de l'autre, deux états morbides dont le pro
ficultés qu'il pourrait y avoir, dans certains cas particuliers, à la
distinguer
de ce que l'on pourrait appeler l'abasie ou l'ast
iverses régions de la substance grise centrale, et ici il y a lieu de
distinguer
: a. les symptômes poliomyéliques antérieurs, à s
dont nous venons de mettre en relief les caractères fondamentaux, se
distinguent
encore par d'autres traits dont on ne saurait méc
ou la thermo-anesthésie restent plus étroitement localisées, elles se
distinguent
encore par leur mode de distribution fort remar
avaux récents, appartiennent à la syringomyélie et peuvent servira la
distinguer
vis-à-vis de la téphro-myélite antérieure chroniq
Ainsi, cela est bien entendu, les troubles sensitifs particuliers qui
distinguent
la syringomyélie de la plupart des maladies spina
cès thérapeutiques l'ont amplement, justifiée. Plusieurs temps sont à
distinguer
. Premier temps Le soir, quand le malade est e
mené-Discussion. M. Félix Regnault. — Il convient, ce me semble, do
distinguer
: iaV enfant précoce, qui exécute ce que d'autres
ggestion. Des suicides (1) Par M. le Dp Félix RegnauXT. Il faut
distinguer
parmi les suicides: 1° Le suicide volontaire, r
x ans après, il n'avait plus eu la moindre obsession. Il importe de
distinguer
ces divers modes de suicide, qu'on l'étudié chez
égage en outre ce fait important c'est que l'hypnotisme peut servir à
distinguer
les incorrigibles de ceux qui ne le sont pas. Dès
d acte qu'il doit romplir : exprimer les idées de l'auteur. Il faut
distinguer
au point dé vue de notre étude deux manières d'ex
rmonisait avec la délicatesse de ses sentiments et de ses goûts et la
distinguait
des autres filles de son rang. Elle était domesti
xte (3) Par M. le professeur Raymond Au point de vue clinique, on
distingue
trois sortes de fugues, celles des épileptiques,
: il réussit souvent et aune grande réputation. Le cautérisateur se
distingue
du barbier. La spécialité de ce dernier se limite
remonter l'ëtiologie à un facteur psychique. Il convient toutefois de
distinguer
nettement : 1° Les grossesses nerveuses à subst
ment du rythme n'aiment que la musique vulgaire et sont incapables de
distinguer
les hauteurs des sons, les notes fausses et le ti
térie n'est pas définissable équivaudrait à dire que l'hystérie ne se
distingue
par aucun caractère d'autres affections nerveuses
ociété de Neurologie de Paris. (1 novembre 1901.) nette de ce qui
distingue
cet état névropathique, ce qui revient à dire qu'
cette reproduction est rigoureusement exacte et il est impossible de
distinguer
les troubles hystériques de ceux qui sont créés p
tenir par ce moyen une imitation très imparfaite, qu'il est facile de
distinguer
de l'original ('). Que l'on essaie par exemple de
ystcriesont donc exactement semblablesàcelles de l'hypnotisme. Ce qui
distingue
ces deux états c'est que dans le premier les trou
et la dip. spmanie. En effet, quels sont les caractères qui ontfait
distinguer
la dîpsomanie de l'ivrognerie ? Ce sont : 1° Le
eption à la règle. Une fois le sommeil produit, il faut savoir bien
distinguer
, ainsi que l'a fait observer M. Richer, les sympt
parait aussi n'en être déjà plus à la première. • • * On peut
distinguer
aussi plusieurs sortes de conducteurs. Les uns on
uniquement expérimental, afin de démontrer qu'on devait dissocier et
distinguer
deux facteurs à savoir la suggestion mentale pure
. » Le monastère de Fontevrault n'avait donc rien de ce chef qui le
distinguât
de la plupart des autres, et il ne doit sa célébr
nous n'avons aucun saut à faire pour arriver aux cas suivants. Ils se
distinguent
seulement des précédents en ce que'les groupe
. Dans ses leçons cliniques sur l'hystérie, le professeur Pitres ne
distingue
pas moins de douze états dérivés du somnambulisme
de suggestion. On peut continuer ainsi, à la condition qu'on veuille
distinguer
à l'occasion ces diverses variétés ; cela est d'a
bservations se trouvent mélangées à des faits, dont il importe de les
distinguer
et toutes les manifestations décrites dans ce cha
a manifesta-lion que nous étudions spécialement ici, on peut toujours
distinguer
un sujet actif et l'autre passif, absolument inco
érencier des diverses télépathies auxquelles on l'a assimilée. Pour
distinguer
ce phénomène, que Flammarion appelle vue à distan
senté d'anormal au point de vue cérébral ou nerveux. ' Enfin ce qui
distingue
essentiellement l'antévision de ces divers états,
re, l'an té-voyant pourrait voir subjectivement toute personne qui se
distinguerait
par quelque particularité mais qui lui serait inc
leur promettant des prières si elles font bien leur office. 11 faut
distinguer
diverses auto-suggestions comme il existe diverse
réduit aux termes essentiels ; il énonce des définitions précises, il
distingue
, il disjoint, il met de l'ordre dans les touts co
coutumière que provoquait l'alcool. Dr Jules Voisin. — Il faut bien
distinguer
les alcooliques et les dipso-manes. Ceux-ci boive
t la nuance active ou passive des sentiments sexuels des invertis, on
distingue
, chez eux, un type masculiinforme et un type fémi
Bourget. lequel propose le termedepai/wwi/wiie, M. le Pr. Dieulafoy
distingue
deux catégories de pathomimes : il y a ceux qui s
nus uro-génital). Plus tard, dans l'embryon, les organes urinaires se
distinguent
progressivement des organes génitaux, ceux-ci con
ur par définition. Comme d'autre part l'inverti est parfois un esprit
distingue
et cultivé, imaginatif et émotif, c'est dans le c
s. De même qu'il y a des gens que nous appelons daltoniques, qui ne
distinguent
pas les couleurs les plus vives et ne voient qu'u
e mieux aujourd'hui qu'hier et demain qu'aujourd'hui. Il importe de
distinguer
l'émulation de l'envie et de la jalousie qui l'ac
rand air et de liberté le jeudi et le dimanche ? Il faut évidemment
distinguer
les cas. Il semble qu'avec certains élèves la dis
écrits, jusqu'à ce qu'il arrivât à moi. Or, pour ce faire, il avait à
distinguer
ma piste d'au moins cent autres pistes également
d'autant plus donloureux de perdre des hommes comme Liégeois, qui se
distinguent
par la clarté de leur esprit, la sûreté de leur j
s l'hystérie. 11 s'agirait de savoir si le suicide des hystériques se
distingue
par des caractères particuliers du suicide que l'
, le suicide hystérique a une existence propre. Tout d'abord, il faut
distinguer
le suicide-impul -sion, déterminé par une sensati
atières de l'enseignement comme inférieures aux antres. De même qu'on
distinguait
autrefois les arts majeurs et les arts mineurs, i
e ces mêmes chiens, devenus grands, n'avaient pas acquis l'aptitude a
distinguer
leurs congénères mâles des femelles. Mantegazza
ttire le mâle souvent à de grandes distances. ? lui donne le moyen de
distinguer
les femelles en chaleur de celles qui ne le sont
epuis deux mois et demi. Discussion M. Bérjxlox. - 11 convient de
distinguer
les fausses grossesses et les grossesses imaginai
prêtres, nommés papalois. et des prêtresses, appelées matimanlois, se
distinguent
par la coloration plus ou moins rouge foncé des m
ocalisations professionnelles et c'est un caractère qui permet de les
distinguer
des tésanies véritables. Il est en effet difficil
en particulier par Prayer ont démontré que des mammifères nouveau-nés
distinguent
, peu d'heures après leur naissance, les odeurs ag
ogne, il m'est arrivé de voir des viticulteurs assez embarrassés pour
distinguer
les produits de leurs crus, fortuitement mélangés
élicates. Us en donnent les preuves à l'appui. Certains* par exemple,
distinguent
très facilement les odeurs personnelles dos femme
mbre située à l'une des extrémités de son appartement elle sentait et
distinguait
toutes les odeurs de la cuisine située à l'autre
llait servir (2). Cadet de G-assicourt a observé une jeune dame qui
distinguait
à l'odeur seule les hommes et les femmes ; elle n
f, de dispositions très surprenantes. Aux Antilles les nègres marrons
distinguaient
au nez la trace d'un blanc de celle d'un noir.
source de vertus guerrières. Discussion : M. Bertllox. — Il faut
distinguer
les homosexuels d'occasion, dont le cas n'est pas
huile et l'encens. (1) Les dieux ont chacun leur odeur propre qui les
distingue
. Les divinités célestes répandent une snave odeur
lui chaque individu animé que nous pouvons expliquer comment le chien
distingue
la piste du lièvre de celle du renard et celle du
us ou moins forte, mais spécifique. Un odorat exercé saura facilement
distinguer
un Anglais d'un Eusse, un Français d'un Allemand.
les suit partout, qu'un odorat moyennement exercé n'a pas de peine à
distinguer
. « H n'est personne qui n'ait remarqué, dit à ce
n'y parvient pas, car elle confond les caractères de l'écriture et ne
distingue
que de petits espaces, les uns blancs, les autres
ionne, son odorat décèle rapidement les choses dont il est friand, il
distingue
de la même façon les matières étrangères incorpor
, surtout dans nos pays latins. Avant de les étudier, il importe de
distinguer
l'éducation attrayante de l'éducation purement am
thérapie suggestive et sur les nombreux agents psychiques qn'il faut
distinguer
de la suggestion proprement dite. Au même taux qn
er de la suggestion proprement dite. Au même taux qn'en physiatrie on
distingue
le massage de l'électricité ; tels sont l'emp
ur n'a aucune difficulté de calculer les distances et peut facilement
distinguer
le réel de l'irréel. A la nuit tombante ? quand l
on mentale secondaire. - Il est souvent difficile, dit M. Næcke, de
distinguer
une obsession véritable d'une idée délirante. Il
s phobies sont des névroses à part et dans ce groupe il y a lieu de
distinguer
: 1° les obsessions vraies, 2° les phobies. D
roubles de l'émotivité, les tendances aux actes de violence. Schuie
distingue
des psychoses traumatiques primain et secondair
° L'endonerf et le périnerf, très développés chez le nouveau-né, se
distinguent
du tissu interstitiel du nerf de l'adulte par u
ans son travail, publié dans les Archives de physiologie, Liouville
distingue
les trois formes suivantes de la tuberculose de
parsemé de noyaux et de leucocytes. Dans les faisceaux latéraux on
distingue
une pro- lifération de la névroglie dont les ré
. Régis a appelé la dromomanie. b) Impulsifs hystériques. - On peut
distinguer
deux ordres de faits : il est des malades qui m
faut séparer de la paralysie générale typique deux formes qui s'en
distinguent
au point de vue clinique et anatomique : 1° l'en-
ique interne. L'auteur admet, avec M. Binswanger, qu'il y a lieu de
distinguer
de la paralysie générale une dégénération du ce
est vrai, c'est qu'actuellement l'anatomie pathologique ne sait pas
distinguer
les affections syphi- litiques des vaisseaux (l
as de névrite alcoolique. « M. nIENDEL. - Dans bien des cas on peut
distinguer
12s symp- tômes provoqués par une lésion en foy
orie, ou des tendances hypocondriaques. L'humeur est mobile. Ce qui
distingue
ces sujets des paralytiques, c'est le calme, la
es et les cellules qu'on aperçoit sont toutes absolument rondes; on
distingue
également dans ses inters- tices des cellules d
par l'hématoxyline, une coloration bleu gris un peu trouble; on y
distingue
encore assez bien les contours des fibres muscula
fibres, d'autant plus nombreuses qu'on se rapproche de la corne, se
distingue
assez nettement du reste de la moelle; elle est
suivant les cas ; tantôt cette lésion vasculaire, qu'il faut bien
distinguer
de la sclérose consécutive à la destruction des é
nt se concentrer en un point de myélite (OBs. IV) qui ne saurait se
distinguer
au microscope d'un foyer de myélite syphilitiqu
faut d'autres, nous montre combien ces symptômes de la méningite se
distinguent
difficilement de ceux du tabes confirmé. La d
le tabes. Au point de vue clinique, il ne nous est pas possible de
distinguer
les symp- 304 CLINIQUE NERVEUSE. tomes qui lu
ue les auteurs n'ont pu en réunir que 21 cas parmi lesquels on peut
distinguer
plusieurs variétés pathogéniques : 1° lésions i
r 0. HEBOLD. (Allg. Zeitschr. f. Psychiat., L. 3. 4.) L'auteur en
distingue
trois formes à localisation (Wernicke, 18 H) :
chargé de mission en Allemagne. On peut, pour en faciliter l'étude,
distinguer
dans l'histoire du développement de l'assistanc
tomiques de paralysie faciale otitique qui sont parfois possibles à
distinguer
cliniquement les unes des autres, comme les aut
me qui tout en res- semblant beaucoup à la maladie de Duchenne s'en
distinguait
par d'autres côtés et surtout par le résultat n
ne sont pas la cause fondamentale de leur métamorphose. . ! Ce qui
distinguera
forme subaiguë, de la forme chronique, c'est qu
ège. A la dernière période le noyau, complètement décoloré, ne se
distingue
plus du restant du corps cellulaire. (American jo
ISIG. (IYc2v'olor. Centt'albl., XHL 1894.) M. Flechsig propose de
distinguer
: 1° des centres sensoriels; 2° des centres d'a
s ascendantes. Il faut donc dans les altérations avoir soin de bien
distinguer
le point où la racine pénètre dans la moelle, c
ue dans les contrées où l'on boit le vin et l'eau-de-vie. Il faut
distinguer
les buveurs qui s'alcoolisent par suite de pré-
s cellules chromophiles dans les divers types de cellules. Elles se
distinguent
par leur apparence homogène, la disparition des d
l'hystérie et à l'ataxie hérédi- taire. 2° Le groupe sémitique se
distingue
par la prédisposition de ses membres aux maladi
quent chez les Israélites; le tabes est rare. 3° La race mongole se
distingue
surtout par la fréquence des psychoses à forme
ès délicat. M. OEI3EKG cherche à fixer les signes qui permettent de
distinguer
les persécuteurs et les processifs véritablemen
qui concerne celle destinée aux malpropres. Mais cette section se
distingue
des centres par des éléments spéciaux. Elle a une
ES MUSCULAIRES, ETC. 453 ment. Organes des sens : vue, assez bonne,
distingue
les princi- pales couleurs du spectre, ne confo
nt des échelles jumelles (système Pichery) et de l'échelle convexe;
distingue
toutes les lettres, lit sans épeler (d'après la
uelles (aliments, tissus, éclairage et chauf- fage) ; en grammaire,
distingue
le nom, l'adjectif et le verbe, sait mettre au
quelle on pourrait donner le nom de délire aigu bacillaire. Elle se
distingue
de toutes les autres, cliniquement par une intens
e nature nerveuse. Quant au cerveau des vertébrés supérieurs, il se
distingue
de celui des poissons osseux et des ganoïdes pa
lité des pupilles, et que l'on pouvait, en se basant sur ce fait,
distinguer
les manifestations hystériques des états dus à l'
, indépendamment de tout exercice du libre arbitre. D'autres encore
distinguent
entre la responsabilité subjective et la respon
ATHOLOGIE NERVEUSE. 147 thodes ordinaires ne nous permettent pas de
distinguer
facilement de légers changements dans les réact
ieux, anesthésie au froid, dans la moitié droite du corps.Le malade
distinguait
mieux le chaud que le froid, et tou- jours appe
carrière de Swe- denborg. Tous les événements grands et petits qui
distinguent
celle-ci sont tout simplement le résultat logiq
s purs qu'on a pu rapprocher des érotiques et dont il faut aussi le
distinguer
; chez lui en effet l'élément intellec- tuel pré
rocherait donc plutôt du théosophe de Matter, mais il faut aussi le
distinguer
du délirant systématisé progressif dont la marc
te perte de la vision est absolue et, pendant quatre jours, elle ne
distingue
plus aucun objet. Elle présente en même temps à
myosis. Réaction très nette à la lumière. La malade prétend ne rien
distinguer
du tout : elle a la sensa- tion du noir absolu.
ce une série de douches et peu à peu l'acuité semble revenir : elle
distingue
un doigt, puis deux, puis la main, puis le visa
ible et l'atropine ins- tillée la diminue considérablement : Marthe
distingue
difficilement les lettres des optotypes, les un
dit voir trouble de l'oeil gauche ; quelques minutes après, elle ne
distingue
plus rien de cet oeil ; mais ce n'est qu'un peu p
illette s'illumine aussitôt d'un reflet rouge intense, mais elle ne
distingue
rien ; elle continue à avoir la sensation du no
punis avec forte suggestion a l'état de veille ; le lendemain elle
distinguait
déjà le clair, et le surlendemain, elle recouvra
roit,puis, qu'on lui fasse lire ensuite l'échelle de Stilling, elle
distingue
exclusivement les lettres rouges, c'est-à-dire
soit devant l'oeil amblyope et le vert devant l'oeil droit, elle ne
distingue
d'abord que les lettres vertes grandes et petit
ant à ce qu'elle ait toujours les deux yeux ouverts, elle finit par
distinguer
le pain à cacheter de gauche : « celui-là est p
aintenant les résultats auxquels nous sommes arrivés. Nous devons
distinguer
trois états différents dans les descriptions qu
complexe du mouvement de l'iris. Le réflexe oculo-pupillaire qui se
distingue
du-réflexe sensitif - ordinaire par la lenteur
e ou l'absence constantes des germes dans le tissu nerveux, on doit
distinguer
deux classes de paralysies de Landry : 1° l'une
ir compte des lois anatomo-pathologiques du neurone, dans le but de
distinguer
, autant que possible, les altérations primitive
ous un aspect très différent de celui des maniaques simples. Ils se
distinguent
surtout de ces der- niers par la frayeur qui ca
ez eux, de la folie proprement dite, des vésanies. Ces caractères
distinguent
donc la descendance des paralytiques généraux d
Parmi les intoxications primitives, causes de la céphalée, il faut
distinguer
: 1° des intoxications spéciales systématiques (i
des erreurs grossières, puis totalement impos- sible : le malade ne
distingue
pas des différences de plusieurs kilogrammes, e
, partout et toujours. J'ai l'habitude, dans mon enseigne- ment, de
distinguer
plusieurs variétés de contracture. L'une, que j
objet déterminé. Ces phénomènes forment un groupe à part. Pour les
distinguer
, nous les comprendrons sous le nom générique de
aspects grotesques ou menaçants. Un homme, au repos sous un arbre,
distingue
, dans un bouquet de feuilles, un pantin, dont l
AL11. Dura et DELARUE rapportent sept cas d'astoso-basophobie. Ils
distinguent
trois formes : simple, associee, mixte. Au point
reconnaissent deux formes, l'une con- tinue, l'autre par accès. Ils
distinguent
enfin trois types : l'un paralytique, l'autre s
riérés la caté- gorie intéressante des simples bornés. Krafit-Ebiug
distingue
les représentations impulsives, des impulsions
la peau conservait sa coloration habi- tuelle. Il y a donc lieu de
distinguer
, ce qui, je crois, n'a pas encore été fait jusq
lus et de former quatre groupes différents. En outre il convient de
distinguer
également deux degrés dans la dermographie selo
aut entendre par personnel secondaire ; il lui semble que l'on doit
distinguer
le personnel secondaire et le personnel inférie
isiter le pavillon de chirurgie de l'Asile clinique. Ce pavillon se
distingue
de tous les pavillons similaires en ce qu'il co
ralisés, ils peuvent être pris pour des stéréotypies. Mais ils s'en
distinguent
parce que l'athétose est en général liée à d'au
rrain. On pourra alors espérer dans un avenir prochain parvenir à
distinguer
anatomiquement les psychoses aiguës des psychoses
atteints de troubles psychiques très divers qu'il im- porte de bien
distinguer
; car ce que nous dirons d'un de ces troubles, c
la scissure frontale supérieure n'existe pour ainsi dire pas. On ne
distingue
d'ailleurs bien nettement sur ces lobes que la
t en arrière, et avec la troisième eu bas et en avant. En effet, on
distingue
, cor- respondant à ces deux régions, deux énorm
es de grandeur) ou passives (idées de persécution). On peut ainsi
distinguer
deux formes de folie systématisée. En plus Griesi
es grandeurs. La seconde sous-variété, hallucinatoire exaltée, se
distingue
par la prédominance des hallucinatious visuelles,
er et l'exa- gération du sentiment de la personnalité. Krafft-Ebing
distingue
deux sortes de Paranoïa, primitive : l'une avec
me année (1880), revient sur la distinction déjà faite par Samt, et
distingue
deux. formes principales de la maladie, eu éqar
rveau d'un fou systématique chronique halluciné. Kroepehn* (1883)
distingue
: 1° la Primâre herrüclcllzeit sans état de déb
, ni les aliments, ne saisit plus le sens de ce qu'on lui dit, mais
distingue
les questions et les injonctions d'après le ton
de de préparation peu propre à l'étude de l'anatomie fine permet de
distinguer
les principaux faisceaux de fibres qui parcoure
it de condamner l'analyse clinique et physiologique qui a permis de
distinguer
les uns des autres divers troubles de la foncti
lus loin qu'on ne l'a fait généralement l'analyse clinique, et de
distinguer
, par exemple, dans chacun des quatre syndromes
- Loc, cil., p. Ci. 182 PATHOLOGIE NERVEUSE. nalyse clinique peut
distinguer
un certain nombre de syndromes différents, jusq
éduction du lan- gage à un jargon inarticulé, au milieu duquel on
distinguait
de temps en temps un ou plusieurs mots, tels qu
s cas, elle constitue une forme clinique spéciale. On peut même y
distinguer
deux variétés. Tantôt le malade répète les mots
nne des renseignements très détaillés sur la folie systématisée. Il
distingue
de la façon la plus for- melle Wahnsinn de Verr
hallucinatoire aiguë ('a ? 'at : ota/M//MC ! Ma<0 ! 'MocM<a) en
distingue
deux formes : l'une héréditaire, l'autre asthén
t dite, leur curabilité limitée. Au point de vue du délire, on peut
distinguer
deux formes : 1° le délire des persécutions à c
t rentrées dans l'ordre, et elle appelle noirs les carrés dont elle
distinguait
tout à l'heure la couleur violette. L'oeil gauc
té différentielle pour toutes les couleurs augmente aussi, car elle
distingue
plusieurs nuances; cependant, les teintes très
bout de quelques séances la notion des couleurs était revenue et il
distinguait
le rouge, l'orangé, le jaune, le vert, le bleu,
le fond même de la thèse, qui consiste à soutenir qu'il y a lieu de
distinguer
une vésanie ou psychose à marche progressive et
is par jour il a des étourdissements dans lesquels il voit trouble,
distingue
les objets qui se trouvent devant lui, mais san
out très nettement le son de la voix humaine ; mais il ne pouvait
distinguer
ce qu'on disait qu'en prêtant une grande attentio
ui siffle; il prétend même entendre les instru- ments de musique et
distinguer
les airs. Quoi qu'il en soit, il entend le son
fut pris d'un tremblement, de vertiges, voyait tout noir quoi qu'il
distinguât
très bien les objets, perdit connaissance penda
de conscience du sujet. 11-fant enfin (comme l'a fait Krafft-Ebing)
distinguer
la Paranoïa vraie de certains délires plus ou m
rions ainsi une marche : . 1 LA. PARANOÏA. 397 Salemi-Pace (1885)
distingue
deux sortes de Paranoïa : l'une, Paranoia simpl
ous le nom de délire des néga- tions une forme psychopathique qu'il
distingue
du délire des persécutions avec lequel on pourr
ur. Mais, en dehors des caractères particuliers qui peu- vent faire
distinguer
la nature de ces idées, il faut dire que ce dél
auteurs tout en rapprochant les idées fixes de la Paranoia, les en
distinguent
cependant à cause de la conservation de la cons
ticipation aux milieux ambiants, des jeux de la physionomie, ce qui
distinguait
les malades des déments paralytiques ou séniles
REVUE D'ANATOMtK ET I)E PHYSIOLOGIE. )3 largeur permet seule de les
distinguer
des fibrilles conjonctives voire hypertrophiés.
les asiles mêmes. Je les fais mettre aux agités, section qui ne se
distingue
des autres que par l'enceinte d'un mur élevé, e
ections nerveuses. - Côté maternel. De ce côté, tous ses parents se
distinguent
par un caractère très violent. - Mère a été enf
s. Mais cette première partie du diagnostic posée, il faut savoir
distinguer
le tabes combiné du tabès ataxique, du tabes sp
les sensitifs qui enlèveront toute difficulté au diagnostic. Pour
distinguer
le tabes combiné d'une myélite dif- fuse ordina
ans certains cas, ne présente « aucun caractère qui puisse la faire
distinguer
de celle de la pa- « ralysie générale. Il arriv
qu'on est littéralement dans l'impossibilité presque absolue de les
distinguer
l'un de l'autre. mais qui présentent en outre u
accès de manie 0,07 0,11 ? Les mêmes sujets mettront pour réagir et
distinguer
la valeur de la sollicita- tion 0,30; 0 ? 7; 0,
que cette commissure renferme divers systèmes de fibres; on devrait
distinguer
un plan inférieur l' (ventral) qui de très bonn
sur des enfants à terme âgés de quelques semaines. Il y a' lieu de
distinguer
entre les fibres transverses de la protubérance
nfant atteint de syphilis héréditaire. Il importe du reste, de bien
distinguer
l'inertie pupillaire de la paralysie de l'accom
e de Jendrassik sur le phénomène du genou ? - Son procédé permet de
distinguer
sa névrite du tabes. Dans les premières atfecti
ILLE et P. BKICON. Parmi les formes déjà nombreuses que l'on peut
distinguer
dans l'idiotie, l'une des plus curieuses et des
5, complait jusqu'à 50, multipliait par 2 jusqu'à 12; elle pouvait
distinguer
trois couleurs. Elle apprit un peu à ourler. El
e à droite; l'odorat est un peu obtus; le goût est normal, et Gr...
distingue
les couleurs également des deux côtés. Gr...
le flanc droit existe un point très douloureux. Yeux. Le malade ne
distingue
pas les objets de l'oeil gau- che ; il voit seu
its du même genre, et pose les éléments à l'aide desquels on peut
distinguer
l'ataxie d'une paralysie alcoolique (paralysie at
e, tantôt celui de la catatonie au sens de Kahlbaum '. On en peut
distinguer
deux groupes : Le premier groupe est caractéris
e cependant des formes mixtes dans les- quelles il est difficile de
distinguer
s'il y a catatonie ou paralysie générale. M.
e ni de l'un, ni de l'autre côté; le goût est altéré; le patient ne
distingue
plus ni l'acide, ni le salé. Le malade sent si
e la température qui est un peu troublée; dans l'avant-bras il ne
distingue
pas une différence de 5°; pas de paralysies et de
ers la chemise, comme le dit le malade lui-même, quoiqu'il puisse
distinguer
la pointe d'une épingle de sa tête, mais il ne re
que quand il regarde d'un oeil ; des deux yeux ouverts ensemble il
distingue
parfai- tement les couleurs. Je crois que je
leus et noirs, l'oeil gauche les voit jaunes. Les deux yeux ouverts
distinguent
bien les couleurs. Macropie, comme chez le suje
sauf le pied qui fait corps avec la frontale ascendante et ne s'en
distingue
que par une scissure très superficielle. Ce déd
les séminales normales. - L'humérus droit enlevé est normal. - On
distingue
encore la limite des épiphyses. Il en est de même
eux soeurs se ressemblaient tellement, que leur mise ne pouvait les
distinguer
l'une de l'autre. La simple inspection de la ph
ituent des types ; le clinicien qui veut affirmer son diagnostic et
distinguer
entre les modalités psycho- pathiques, doit obs
ique, dominent cliniquement l'un ou l'autre, de sorte que l'on peut
distinguer
un désordre de l'idéogé- nèse sensoriel et un d
pas anéanti. Le genre en est tout différent. On y pourrait encore
distinguer
, selon le degré de la déchéance, un désordre « ra
du tact, mais aussi la faculté de percevoir le froid, tandis qu'il
distingue
encore nette- ment la chaleur et les impression
rd du froid, tandis qu'elle sentait les impressions douloureuses et
distinguait
parfaitement divers degrés de chaleur entre 27°
onversation facile, la riposte rapide, que rien, en un mot, ne semble
distinguer
du reste des humains; que cette personne, dis-je,
uisent, qui n'ont pas Dieu, mais le démon pour auteur. Mais comment
distinguer
les faux miracles des vrais? Il y a pour cela u
ns bizarres, irraisonnées, impulsions parfois irrésistibles. Ce qui
distingue
d'une manière fondamentale les imposteurs de ce g
raient comme siège organique des lésions cérébrales ; mais ce qui les
distingue
et les caractérise, c'est la brusquerie ordinaire
ait toujours exactement la substance que je mettais dans ma bouche et
distinguait
parfaitement si je goûtais du sel, du poivre ou d
vent du dehors et qui le sollicitent a l'action. Pour résumer, nous
distinguons
donc dans le cerveau deux ordres, différents d'ac
posé par une volonté qui domine la sienne. C'est une forme qu'il faut
distinguer
de toutes les autres, car elle en est bien nettem
té est abolie, — je me rends coupable d'un acte mauvais. Il faut donc
distinguer
avec le Saint-Siège et avec la science le phénomè
ne base fragile. Le vénérable prélat oublie, peut-être, que l'on peut
distinguer
, séparer l'hypnose et les suggestions coupables,
eils de santé de Vienne, de Rome, de Bade et de Milan. Il faut donc
distinguer
avec soin l'hypnotisme thérapeutique, médical, pr
opposites. Dans leur traduction en actes, il n'est pas impossible de
distinguer
la part de la nature de celle de l'éducation. Loi
de l'hypnotisme dam le* réunions privées. Je crois qu'ici il5 faut
distinguer
et distinguer surtout, messieurs, d'apre» l'accue
me dam le* réunions privées. Je crois qu'ici il5 faut distinguer et
distinguer
surtout, messieurs, d'apre» l'accueil que nous
que j'ai laites récemment démontrent que l'écriture dans l'hypnose se
distingue
aisément de l'écriture à l'état de veille. Le sac
et, dans certains cas, c'est l'évolution seule qui permet de les
distinguer
. Cela explique pourquoi tant d'erreurs sont commi
ve, je fis disparaître M. Mathieu, et je me plaçai derrière lui. B...
distingua
toujours, sans jamais se tromper, je dois le dire
particulière, un esprit de sage temporisation, une grande aptitude à
distinguer
le vrai du faux. Mais, quelque laborieuse qu'elle
baissée, surtout à droite, insuffisante pour la lecture. L'œil gauche
distingue
encore fort bien les objets, l'œil droit servirai
ie, portant différentes effigies, de manière à pouvoir facilement les
distinguer
les unes des autres dans la suite. Puis, après le
s je trouve qu'il a raison. Qu'est-ce que la suggestion : Il faut y
distinguer
deux notions: i° le fait psychique qui se passe d
seconde séance, qui a duré 20 minutes : sommeil léger. Suggestion :
distinguera
la distance de 3 pas, de l'œil gauche, les doigts
gros caractères a la distance de 20 cent. Apres la séance, le malade
distingue
clairement a la distance de 3 pas les traits de m
ésultat positif. Le malade, aujourd'hui, s'est promené cnvilleet a pu
distinguer
clairement tous les objets qui l'entouraient. L
ui ai suggéré de lire distinctement â la distance de 35 centim. et de
distinguer
le; objets à la distance de 2 pas. La malade a
tenue rapidement par la fixation du regard. Suggestion : Vous devez
distinguer
les objets à la distance de 4 pas et lire à la di
e. Hypnose obtenue et après un quart d'heure. Suggestion : Vous devez
distinguer
les objets à la distance de Ó pas et lire à la di
st positif. Le 13 mai, 4' séance. Sommeil très rapide. Suggestion :
Distinguer
clairement les objets à la distance de S pas et G
pe des corps, et, d'après les descriptions qui en ont été données, se
distingue
de l'électricité, du magnétisme, de la chaleur et
) D. la, les conclusions suivantes: i* Il y a des individus qui
distinguent
les corps d'après le genre de réactions qu'ils en
emble, d'exiger que mes affirmations soient au moins contrôlées. Je
distingue
trois degrés d'hypnotisme. Le premier comprend to
en général. Le public goûte surtout ce qui est fort et puissant : il
distingue
à peine l'œuvre de mérite de t'ccuTre de génie ;
lement visible à l'œil nu ; une simple loupe suffit du moins pour les
distinguer
nettement ; le diamètre du vaisseau peut varier d
re présentent néanmoins la structure pour ainsi dire rudimentaire qui
distingue
à l'état normal les plus petites artérioles ou ve
ulier de symptômes. Au point de vue symptomatologique, il y a lieu de
distinguer
deux formes principales de l'apoplexie intra-arac
neuse du sacrum et de quelques points de la cuisse. ?« Il faut donc
distinguer
les effets de l'irritation de la moelle épinière
imple cessation d'action de ces parties ; en d'autres termes, il faut
distinguer
les effets de l'action morbide de ceux de l'absen
e est d'une consistance assez dure, comme charnue. Sur la coupe, on y
distingue
une zone extérieure violacée, de consistance asse
donc présentée ici, douée de tous les attributs caractéristiques qui
distinguent
l'arthrite avec exsudation séro-fibrineuse et tel
tant par les mouvements qui déplacent les surfaces articulaires, fera
distinguer
le plus souvent l'arthrite des hémiplégiques de l
e est achromatopsique ou dys-chromatopsique, il a perdu la faculté de
distinguer
une ou plusieurs couleurs. « On sait que, dans
ire assez pour vous faire connaître les traits essentiels. Il y a à
distinguer
la métallothérapie interne, et la métallothérapie
e. 11 y avait diminution de l'acuité visuelle et elle ne pouvait plus
distinguer
les couleurs, ce qui l'empêchait d'exercer sa pro
a été, en effet, administré depuis un mois et aujourd'hui, la malade
distingue
très-bien toutes les couleurs. L'anesthésie qui o
ansfert se produit du côté des organes des sens. Cette jeune fille ne
distinguait
pas les couleurs avec son œil gauche ; elle voyai
que tous vous perdiez la notion des couleurs et que vous ne puissiez
distinguer
rien autre chose que du gris ou du blanc. Vous av
lysie hystérique très-marquée. Il y a presque une paraplégie. Comment
distinguer
une paralysie hystérique d'une paralysie due à un
u membre raidi un changement d'attitude (flexibilitas cerea). Pour la
distinguer
de l'immobilité cataleptique proprement dite, l'o
son mouvement dans l'attitude figurée ci-contre (Pl. V, fig. 1). — On
distingue
parfaitement, sur cette photographie, la corde sa
pleurer, de Duchenne. lèvre supérieure, dont il est difficile de la
distinguer
; il arrive fréquemment que l'élévateur commun de
us voulons au moins indiquer ici les caractères par lesquels elles se
distinguent
de celles que nous venons d'étudier. Lorsque la
ire, etc., etc. Cliniquement, ces sortes de contractures doivent se
distinguer
de celles dont il a été question ici, et les prin
carac- Charcot. (Euvr. comp. t. ix, Hypnotisme. 3o tères qui les
distinguent
, et d'en indiquer autant que possible la théorie
électrique. Je me bornerai à vous signaler l'énorme différence qui
distingue
la décharge dans l'air de la pile de celle de la
na-tomie. La contracture léthargique présente des caractères qui la
distinguent
nettement d'une contracture volontaire et qui per
s les attitudes qu'on imprime à ses membres ou à son corps. On peut
distinguer
par des procédés graphiques semblables à ceux que
lus ou moins d'importance à telle ou telle particularité, mais qui se
distinguent
toutes par un caractère commun, l'absence de phén
t quelconque, puisqu'il a des propriétés matérielles spéciales qui le
distinguent
, qui ne peuvent être simulées, et il y a donc lie
s hypnotiques et les hypnotiques appartenant à cette catégorie qui se
distingue
par fa présence des phénomènes somatiques, sont t
859, nous traçâmes une esquisse du nouveau genre. Les traits qui le
distinguent
de la monomanie sont nombreux, et présentent un
s livres religieux. Entrée à quatorze ans aux Orphelines, elles'y
distingue
par sa piété et ses succès dans l'étude. A dix-
on suivante appartient à ce dernier groupe de faits; mais elle s'en
distingue
par plusieurs particularités inté- ressantes.
on conçoit que sur les sec- tions ainsi faites, il sera possible de
distinguer
celles des fibres qui se dirigent horizontaleme
démence, l'auteur s'attache à mettre en lumière les caractères qui
distinguent
cette impotence intellec- tuelle, d'origine épi
projet soit impraticable à cause de la difficulté qu'il y aurait à
distinguer
les curables des incurables; il n'admet pas que
s et cherche sa satisfactiou en des procédés anormaux. 1>I. Kirn
distingue
une impulsion sexuelle ayant trait à des indivi-
l'ont que trop mérité par leurs crimes. A ce point de vue, on peut
distinguer
deux grandes classes de mélancoliques : ceux qu
r le monde extérieur et leur propre existence. Il importe de bien
distinguer
cet état d'hypochondrie morale de l'hypochondri
atives des idées délirantes et il est quelquefois malaisé de les en
distinguer
; chez les anxieux, le phénomène hallucinatoire
tions avec la précédente, c'est la conscience religieuse. Elle s'en
distingue
pourtant, et j'en veux pour preuve les luttes q
de l'hémorrhagie cérébrale ordinaire, dont il est impossible de les
distinguer
. B. Symptômes de l'hémorrhagie. En ce qui conce
avec des conceptions antérieures. Ily aurait lieu, suivant lui, de
distinguer
deux sortes de fonds sur lesquels roulent ces c
vroses, en outre de ses] richesses au point de vue scientifique, se
distingue
par ses qualités essentiellement pratiques. Le
porté des cas de ce genre au chapitre de la Démono- manie; Fodéré
distinguait
du délire de culpabilité et de damnation ou dan
impérieuse, avec tous les caractères d'irresponsabilité qui la font
distinguer
. Mais qu'à la place desclousde sou- liers, de b
oyait une substance néoplasique, blanche, durcj'circulaire;1 qui se
distinguait
par un contour très accentué du reste de- là' sub
t au milieu de la corne épaissie une taché foncée'(Iï7(/. 2) qui se
distinguait
du reste de la moelle par une plus grande'épais-
a catégorie des tumeurs de tissu conjonctif.1 Parmi celles- ci ; il
distingue
celles dont les éléments cellulaires; liés'cntr'e
lules indépendantes comme l'épithélion.i Il faut encore, dit'Klebs,
distinguer
les vrais sarcomes de ceux, qu'on appelle faux
s de tissu conjonctif 'jeune; 'primitif;' tous '.Mes autres, qu'on;
distingue
généralement'sous ce nom;lsont des neurogliomes
ard ou pas du tout. Enfin Klebs conclut que, les neurogliomes ne se
distinguent
pas his- tologiquement entre eux, qu'ils sorten
ut des névro- glies. Il résulte que le système nerveux central se
distingue
des autres organes par la pression de deux sort
ut être générale (Fritz), alter- ner avec celle de chaleur, états à
distinguer
des véritables fris- sons de la période de cons
s'occupe de l'étude des artères qui contribuent à sa formation. Il
distingue
dans cet organe deux systèmes vasculaires : 1°
urs. c Parmi les artères périphériques des faisceaux blancs, nous
distinguions
comme l'auteur allemand des artères courtes et
e celle de contracture par distension des antagonistes ; et pour la
distinguer
de la contrac- 1 Brissaud et Ch. Richet. ' Fait
rvées. - Par contre, quelques faits acquis nous permettent de les
distinguer
de celles observées dans le tabes. En effet, comm
que, les délires systématisés. (a) Mélancolie. Plusieurs cas sont à
distinguer
: 1° Les uns, peut-être plus nombreux, mais moi
-èi-etit pendant huit mois. En pareille occurrence, il importe de
distinguer
soigneu- sement ces états mélancoliques des cri
actions musculaires isolées ne sont pas dans la nature. » On a pu
distinguer
parmi les mouvements coordonnés deux sortes de
guère de commun entre eux que ce nom. Sans doute on commence à en
distinguer
quelques-uns, on ne confond plus notamment l'as
laire s'accompagne de changements de caractère. A ce sujet, il faut
distinguer
le tuberculeux et le phtisique. Le tuberculeux
; sinon on les gave. Quant à l'état mental de ces malades, il faut
distinguer
ceux qui sont atteints de tuberculose pulmonair
lie, la névropathie, àlaquelle Queyrat substitue l'hystérie. Ilibot
distingue
les cont.radictoiras successifs, les contradictoi
étiologie et leur pathogénie'. En 1881, dans un premier article, il
distingue
trois sortes de folie à deux : 1° la folie impo
trois formes cliniques décrites ; mais pour lui la folie imposée se
distingue
de la folie communiquée par l'intensité de la t
u clinique présenté par le sujet passif, trois éléments sont donc à
distinguer
: '1" les manifestations déli- rantes communiqu
pulsion est à l'acte, ce que l'obsession est à l'idée. On peut donc
distinguer
: idée obsédante, obsession, impulsion et acte
bsédante qu'elle ne voit plus clair et surtout qu'elle ne peut plus
distinguer
les couleurs; souvent alors elle demandait à son
s même dans le pain. Aussi prétend-elle ne pas voir clair et ne pas
distinguer
les couleurs, mais tout cela se réduit à une mê
être des billets de banque, qui se trouveraient là et dont elle ne
distinguerait
pas la couleur. La malade met trois heures à s'
te nous devons ajouter, et avec beaucoup de justesse, que M. Magnan
distingue
deux varié- tés d'impulsions. Dans la premièr
os de la jambe). Les particularités de cette obser- vation, qui la
distinguent
d'autres cas similaires sont : l'intégrité des
le monde est à peu près d'accord pour admettre que les criminels se
distinguent
de la foule par une ma- nière d'être physique e
ination les délires d'intoxication que nous nous étions appliqués à
distinguer
des vrais délires sous le nom de faux délires p
d'hôpital. Ne voit-on pas l'intérêt considé- rable qu'il y a à les
distinguer
pour ne pas envoyer à l'asile et les traiter co
plus spécialement sous le nom de folie post-opératoires pour les
distinguer
des délires transitoires précédemment étudiés n
rones de la moelle, pas du tout celles du cerveau. Il y a lieu de
distinguer
l'inflammation qui suit le trajet des vais- sea
ie et l'anatomie pathologique que la porencéphalie traumatique se
distingue
des autres faits de porencéphalie. Le traumatisme
vidus jeunes; 4° il n'y a pas de raisons cliniques suffisantes pour
distinguer
une astasie sénile artériosclérolique de l'asta
92 ) sociétés savantes. M. 1'nLncL considère qu'il est important de
distinguer
les symp- tômes hépato-rénaux des symptômes pol
la suggestion pédago- SOCIÉTÉS SAVANTES. 29& Clique, il faut
distinguer
entre les sujets. Les enfants sont vicieux, ind
écrit. Il lit mieux les mots imprimés en noir qu'en rouge, mais il
distingue
bien les couleurs l'une de l'autre. Vision des de
de l'oeil droit = - - , vision de l'oeil gauche = Le 10 dO malade
distingue
bien les couleurs. Il déchiffre les caractères im
l'orientation dans la vie quotidienne du sujet. Deux groupes sont à
distinguer
, a : Sensations et mouvements gou- vernés par l
actuellement encore la vue de l'oeil gauche = 0,6-0,7; l'oeil droit
distingue
les doigts à 25 centimètres de loin; le fond de
x et la maladie de Thomsen est ordinairement facile. Ou doit encore
distinguer
des tics certaines athétoses, les tremblements
homas. PHYSIO-PSYCHOLOGIE DES RELIGIEUSES. 433 de piété' ». Il se
distingua
« par une piété singulière ». Il mourut le 26 m
vec les états pathologiques (psychoses, névroses). Il faut en outre
distinguer
les obsessions entre elles (obsessions accident
différents au point de vue sexuel que les jeunes filles; et elle ne
distinguait
pas plus les adultes en raison de leur sexe. El
, phé- nomènes mentaux. Il y a plus : par sa définition, l'auteur
distingue
nettement les manifestations hystériques d'avec
QUE. Il va sans dire que si la définition de l'hystérie vaut pour
distinguer
entre eux les accidents psychiques, elle vaut a
ur des lobes cérébraux. Pour en apprécier le code il faut seulement
distinguer
entre les sillons transitoires et les sillons p
s autrefois dans Esquirol, Michéa, Calmeil et la vie des Saints. Il
distingue
deux catégories de médiums, le médium soi-disan
- sociés à des troubles moteurs des membres du côté droit, on les
distingue
facilement de l'aphasie, car on constate, non u
p. 223-224). Plus récemment M. Uhthoffl dans un important mémoire
distingue
du nystagnus vrai accentué et très apparent, qui
pure, et cela est encore plus évident à l'heure actuelle : on peut
distinguer
chez eux au moins trois races origi- nelles : l
trer, pour y rester, pour REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 157 i s'y
distinguer
, la lutte est plus âpre pour eux que pour les aut
hémiplégie, etc. Enfin au point de vue pathogénique, il faut encore
distinguer
une scoliose paralytique et une scoliose par co
sion mentale. Quand une image est assez nette pour être décrite, on
distingue
deux principaux genres d'éléments : les uns for
ts : par exemple, dans une page d'im- pression, des lettres dont on
distingue
bien la forme et le caractère; mais sans pouvoi
psychoses, du délire aigu, des encéphalites. - 3° Il y a lieu de
distinguer
cette altération organique de la cornée, essent
'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE qu'éprouve Thérèse; elle a bien soin de
distinguer
les yeux de l'âme de ceux du corps. Que veut
istinctes ; on ne les entend pas des oreilles du corps, mais on les
distingue
plus clairement que si elles lui venaient par l
es côtés. Cependant, comme il n'y avait aucune image, je ne pouvais
distinguer
sous quelle forme il était ; mais pour être tou
uté ineffable ; mais quelque désir que j'en eusse, je ne pus jamais
distinguer
la couleur ni la grandeur de ses yeux. Dès que
.VIII. Diagnostic. La' principale difficulté diagnostique est de
distinguer
le tic du spasme; celui-ci caractérisé par des mo
e Lasègue et Falret, Baillarger fit remarquer qu'il y avait lieu de
distinguer
les cas de véritable folie communiquée « de ceu
sychose polynévritique de Korsakofr. La ponction lombaire permet de
distinguer
la paralysie géné- rale des diverses formes de
ait impossible dans ces cas. La ponction lombaire permet aussi de
distinguer
la paralysie générale, au début, d'une psychose
man toujours nouveau. Parmi ces dégénérés auto-accusateurs, on peut
distinguer
plusieurs lypes : Les débiles intellectuels s
les gliomes ont un aspect tout à fait particulier qui permet de les
distinguer
déjà à première vue de toutes les autres tumeur
et sur les lésions anatomiques de ces tumeurs. Cette classification
distingue
: 1° les sarcomes solitaires (sarcomes solitaires
es et triangulaires) présentent cette particularité unique, qui les
distingue
des autres nenrones cérébro- spinaux, de posséd
à la neurasthénie classique ses stigmates physiques, mais qui s'en
distingue
par un état mental spécial. C'est ce que l'auteur
1° la tache blanche, indice de la circulafion locale,' , permet de
distinguer
la rougeur par paralysie vaso-motrice de la rou
la myo- pathie progressive. , - Dans la fibre musculaire, il faut
distinguer
la fibrille striée ou myoplasma, portion différ
t grenu, qui n'est pas de la dégénérescence, mais ce que l'auteur
distingue
sous le nom de tuméfaction trouble. Telle est la
ur d'elle, les regards et les gestes de ses compagnes (dont elle ne
distingue
pas les discours), croit toujours qu'on l'accus
stes), car notre malade n'entend pas pro- férer les accusations, ne
distingue
pas d'accusations, malgré toute l'attention qu'
après bien d'autres évidemment. C'est, à mon avis, en s'attachant à
distinguer
surtout net- tement les idées délirantes qui pr
e de la première séance d'exercices thérapeutiques, la malade put
distinguer
le jour et l'obscurité ; à la troisième séance, l
s ; il existe cependant une série de signes qui i permettent de les
distinguer
: l'auteur les expose en détail dans : on travail
- bique ; 3° L'état obsédant à idée anxieuse ou monoïdéique. On
distinguait
autrefois et notamment Freud les deux pre- mièr
ve à ne plus bouger parce que tout ce qui l'entoure l'eflraye. On
distingue
dans l'état panophobique, l'attente anxieuse et
thèse récente fait une classification d'après le trouble mental et
distingue
aussi trois classes : '10 Phobies relatives à u
iagnostic se heurte à quelques difficultés, mais parfois aussi pour
distinguer
l'atrophie musculaire juvénile au début d'autre
1'édo-ataxie cérébelleuse, que nous ne pouvons encore sur le vivant
distinguer
de la maladie de Friedreich, est une modalité c
ne le présentent pas; c'est donc là un signe qui peut contribuer à
distinguer
de l'ataxie tabé- tique ce désordre que l'on a
r ensemble un syndrome particulier appelé catatonique et pouvant se
distinguer
en : u) besoin de mouvement (actes sans but, mo
le les surfaces articulaires sont soudées entre elles. Il faut bien
distinguer
la rigidité articulaire de l'ankylose qu'elle sim
n moins s'appliquera l'ankylose proprement dite, dont j'ai cru devoir
distinguer
quatre espèces bien distinctes: i° L'ankylose pér
rticulaires sont adhérentes entre elles, de telle façon qu'on ne peut
distinguer
ce qui appartient à l'une de ce qui appartient à
soudés entre eux. Dans l'ankylose par fusion, il y a impossibilité de
distinguer
les limites qui sépareot les deux extrémités osse
tissu osseux proprement dit, dont il est extrêmement facile de les
distinguer
. 4° On trouvait çàet là des grains osseux ou ossi
tour des pertes de substance, des productions osseuses très faciles à
distinguer
des os du crâne, et qui semblent destinées à répa
te émanée du tendon de son extenseur propre; à sa face inférieure, on
distinguait
parfaitement les muscles court fléchisseur et abd
re. Il n'est pas aussi facile qu'on le croirait au premier abord de
distinguer
la rigidité articulaire de l'ankylose. Combien de
u'une étude clinique plus approfondie de l'ankylose, en permettant de
distinguer
la rigidité musculaire de l'ankylose proprement d
r direction naturelle et peut-être à leurs mouvemens. Cela posé, je
distingue
quatre espèces d'ankyioses : i° U ankylose péri
iculaires sont adhérentes entre elles, mais de telle façon qu'on peut
distinguer
ce qui appartient à une extrémité osseuse de ce q
ses sont soudées entre elles de telle manière qu'il est impossible de
distinguer
ce qui appartient à l'une de ce qui appartient à
itré, la rétine et la choroïde, sont ordinairement confondus et ne se
distinguent
du corps vitré, de la rétine et de la choroïde d'
ive et pathologique, t. m, pag. 3y5) dit qu'il n'est pas difficile de
distinguer
si les rétrécissemens de l'œsophage qui dépendent
cette bride naissait par une base large, celluleuse, sur laquelle on
distinguait
trois petits cordons bientôt réduits à deux qui e
pour les uns, violacés et même noirâtres pour les autres. On ne peut
distinguer
d'orifice sur aucun d'eux. En les comprimant modé
qui sont d'un rouge violet. La cavité de ces follicules est facile à
distinguer
; la couleur de sa surface est analogue à celle du
cryptes sont serrés les uns contre les autres, et on peut facilement
distinguer
leurs nombreux orifices. L'appendice vermiculaire
euse du tube digestif n'offrent rien d'anormal : il est impossible de
distinguer
sur leur surface, ainsi que sur celle du mésentèr
aphragme. C'est à travers un flot de liquide facile à déplacer, qu'on
distingue
le corps du fœtus. Il y a évidemment ascite. On t
son épaisseur. On eût dit d'une gelée dense, au milieu de laquelle se
distinguaient
différens corps opaques qu'on y aurait mêlés. L
nt rosé et très bien conservé. Le long des vertèbres thoraci-ques, on
distinguait
très bien la chaîne des ganglions du grand sympat
ncies et éraillées. Enfin, J. L. Petit donne quatre caractères pour
distinguer
la hernie ombilicale qui a lieu par l'anneau de c
ons intestinales se dessinent à travers ces enveloppes, et qu'on peut
distinguer
le gros intestin CO de l'intestin grêle IG, IG. A
onsidérable, a une enveloppe parfaitement transparente, qui permet de
distinguer
le foie et les intestins. De même que dans le c
plutôt que dans la nature de la phlegmasie. Il faut d'ailleurs bien
distinguer
l'aspect rugueux et inégal que donne à la muqueus
démateux. Les caillots disparaissent dans les petites divisions. Je
distingue
l'œdème rouge ou séro-sanguinolent de l'œdème sér
épaisseur plusieurs gros tubercules d'une dureté pierreuse, faciles à
distinguer
de la mamelle à raison de cette dureté. Au bout
constriction circulaire qui porte sur la base du thorax. Or, comment
distinguer
ces foies pro-éminens par déformation , des foies
forme d'hydrocèle cervicale. Rien d'ailleurs ne serait plus facile à
distinguer
Y une de l'autre que ces deux espèces de kyste, l
nt se traduire au lit du malade par des symptômes propres à les faire
distinguer
l'un de l'autre. (i) Dictionnaire de médecine e
oppement variqueux se propageait dans leur épaisseur, et il faut bien
distinguer
cette participation des os à l'état variqueux de
bien qu'il est extrêmement difficile, pour ne pas dire impossible, de
distinguer
plusieurs tuniques dans leur épaisseur. Dans les
s le nom dacrodynie. Qu'on ne croie pas qu'il soit toujours facile de
distinguer
la paralysie par suspension de circulation artéri
ne à l'autre, « et l'examen le plus attentif à la loupe ne peut faire
distinguer
la partie qui appartient au « sac de celle qui dé
tions dans lesquelles se trouve le vaisseau. Quant à la difficulté de
distinguer
une tumeur pulsatile par soulèvement d'une tumeur
ne du tissu du cœur, si bien qu'au premier abord il est impossible de
distinguer
les caillots du tissu du cœur. La tranche des s
préciation de l'adhérence des caillots sanguins du cœur, il faut bien
distinguer
Xadhérence mécanique de Xadhérence organique. Dan
e et comme caverneux du cœur; de telle sorte qu'il était difficile de
distinguer
au premier abord les colonnes charnues et leurs c
x visites. Voici d'ailleurs quelques considérations propres à faire
distinguer
l'œdème pulmonaire de la pneumonie œdémateuse. L'
s l'histoire des tumeurs développées dans le crâne : on devrait les
distinguer
en celles qui naissent de la face supérieure du r
affaissement de l'aile du nez était le seul phénomène qui piAit faire
distinguer
de quel côté avait eu lieu l'hémiplégie faciale.
ent de la substance cérébrale ? Bien qu'il soit par fois difficile de
distinguer
l'un de l'autre ces deux sièges différens des tum
icatrices de ramollissemens. Il ne serait peut-être pas impossible de
distinguer
ces cas de ceux de démence, sans lésion organique
S la scissure de Sylvius. La coupe a atteint le ventricule V, où l'on
distingue
le plexus choroïde PC. On voit un petit foyer a
l'utérus, revenu sur lui-même, était remarquable par sa fragilité. On
distinguait
très bien à sa surface interne le lieu de l'inser
vé assez souvent dans les plexus choroïdes, et j'ai toujours su les
distinguer
des kystes séreux ou de ces collections de sérosi
rfaites rassemblées jusqu'à ce jour sur les véritables caractères qui
distinguent
« les uns des autres les principes tirés du règne
oint été constaté. Il serait d'ailleurs on ne peut plus facile de les
distinguer
des calculs d'acide urique. Il faut bien distin
s facile de les distinguer des calculs d'acide urique. Il faut bien
distinguer
les calculs prostatiques proprement dits, c'est-à
la peau dégénérée dans toute son épaisseur. L'œil, armé d'une loupe,
distinguait
, à travers la transparence de cette couche superf
ilité, leur isolement parfait des parties voisines, permettent de les
distinguer
du tissu de la glande en même temps qu'elles les
loppés au milieu de la glande mammaire intacte s nt bien difficiles à
distinguer
de la transformation fibreuse du tissu glanduleux
n outre participé à la dégénération, si bien qu'il était difficile de
distinguer
dans la tumeur, ce qui avait appartenu à ce muscl
dégénérées, n'était que de 6 lignes environ. On pouvait parfaitement
distinguer
ce qui, dans la tumeur, appartenait à la peau de
ux est d'ailleurs celui qui marche avec le plus de lenteur : il ne se
distingue
anatomiquement de la transformation fibreuse que
e: il occupe les deux hypochondres et dépasse même l'ombilic. On peut
distinguer
les bosselures de sa surface à travers l'épaisseu
nt généraux, et, dans cette dernière hypothèse, y a-t-il moyen de les
distinguer
les uns des autres? Voilà des questions du plus g
dait à la zone la plus supérieure du vagin, qu'il était impossible de
distinguer
du col utérin, au bas-fond de la vessie, à toute
érations d'organes. 5e liv., pl. i, p. a,3. DÉLIRE. Difficulté de
distinguer
le délire symptomatîque du délire idiopatliique.
10e liv., pl. v, vi,j». — Caractères anatomiques ; caractères qui le
distinguent
de l'ulcère cancéreux ; obscurités des causes ; s
ractères de la douleur hépathique. 40e liv., pl. 1, p. 3. — Moyens de
distinguer
la proéminence du foie par déformation de celle p
quelques fibres cérébrales. 5e liv., pl. iv, v, p. 2. — Difficulté de
distinguer
l'idiotie congéniale de l'idiotie acquise. 6e liv
le chronique de l'estomac. Caractères anatomiques ; caractères qui le
distinguent
de l'ulcère cancéreux. 10e liv., pl. v, vi, p. 1
t. Au niveau du segment arrondi ou segment artériel principal, on
distingue
la succession des diverses tuniques qui sont atte
ne lésion péri-cércbrale, il est peut-être encore plus difficile de
distinguer
entre les diverses variétés d'hémorrhagies méni
SE. 37 38 RECUEIL DE FAITS. symptômes cliniques qui permettent de
distinguer
l'idiotie symptomatique de la sclérose tubéreus
pillaires et des cellules de l'écorce cérébrale. Cette affection se
distingue
essentiellement comme maladie de la para- lysie
9.) Il y a lieu tout d'abord, quand on envisage cette question de
distinguer
parmi ceux qui abusent des boissons alcooliques d
oral, sera plus profondément faite par une femme ; elle saura mieux
distinguer
qu'un homme ce qui en reste. Elle se pénétrera
llement organique, physiologique, l'autre psychologique ; et pour y
distinguer
en outre deux formes, suivant que l'attention 7
nt prouvé l'existence de grosses masses de ces fibres, mais on peut
distinguer
beaucoup de libres dont l'examen donne l'im- pr
central des vertébrés nous empêche et nous empêchera toujours de
distinguer
la connexion de ces granulations avec chacune des
ÉS SAVANTES. Maladies mentales familiales {discussion). - M. ARNAUD
distingue
les maladies familiales des maladies héréditair
s membres supérieurs ont été pris les premiers. Leyden a cru devoir
distinguer
deux formes, bulbaire et névritique, afin d'exp
n effet, par des amas embryonnaires, entre les cellules desquels on
distinguait
par places, de nombreuses fibrilles, probableme
es troubles psy- chiques de la puberté. M. Gilbert Ballet (Paris)
distingue
les psychoses se produisant pendant la puberté
s'occupait surtout de son rôle de conducteur. Désormais, on allait
distinguer
les parties qui, dans le nevraxe, servent à la
ui ont cours dans les autres branches de la pathologie. On se mit à
distinguer
des lésions parenchymateuses et des lésions int
; les recherches cliniques de Charcot et Vulpian nous apprenaient à
distinguer
cette sclérose en plaques de la paralysie agita
emble d'appareils, aux fonctions distinctes, mais synergiques. Nous
distinguons
, dans cet ensemble, et nous localisons les con-
ambiant, à la surface ou dans la profondeur de nos organes. Nous
distinguons
et nous localisons, de même, les territoires qu
te, le siège et le mécanisme des maladies nerveuses ou mentales, de
distinguer
celles qui résultent d'une perturbation fonctio
ion du traitement des maladies mentales par le repos au lit il faut
distinguer
le « système d'alitement» comme mode d'organisa
e électrique. Je voulais simplement démontrer que cette force ne se
distinguait
en rien d'une force physique, et était absolume
nt caractéristique. L'anatomie pathologique nous aidera toutefois à
distinguer
les deux variétés, car, d'après Meynert, on tro
onces le poids normal. D'après Besch, l'hypertrophie du cerveau se
distingue
de l'hydrocéphalie chronique par les caractères
très peu développée, tan- dis que la substance grise de l'écorce se
distingue
par son abon- dance prodigieuse. Ces cerveaux,
ce blanche des hémisphères se supplée par la substance grise qui se
distingue
par la richesse de son développement et l'épais
a substance blanche et qui s'ac- compagne de microgyrie. Ce type se
distingue
du type ordinaire du cerveau microcéphalique, p
me période sur l'idiotie ou mieux les idioties, nous sommes amené à
distinguer
, quant à présent, au point de vue anato1l ! o-
importance médico-légale. L'aphasie motrice pure (sans agraphie) se
distingue
de l'attaque d'aphasie de nature hystérique par
a sénilité, les troubles psychiques de la période d'involution s'en
distinguent
cependant. La mélancolie comprend, pour Kraepel
struire à Nietleben un pavillon d'admission dont les fenêtres ne se
distinguaient
des fenêtres ordi- naires que par leur mode de
nification cli-. nique différents, et qu'il importe tout d'abord de
distinguer
. 396 PSYCHOLOGIE. Le groupement qui nous para
e meilleur est celui qui s'ap- plique à l'hallucination vraie. Nous
distinguons
ainsi les halluci- nations psychiques en deux g
de la paralysie spasmodique familiale, mais cela permet aussi de la
distinguer
de la paralysie infantile où la reaction de dég
ibres de projection, et pour- les- quelles il n'est pas d'usage- de
distinguer
des centres de projection et d'association. I
ce que toute l'écorce soit myé- liuisée. Il est ainsi impossible de
distinguer
un nombre déterminé de régions d'après leur myé
ments. Dans les préparations Weigert ou dans des imitations on ne
distingue
que la substance grise décolorée à côté de la sub
quilibrés de tous genres. C'est donc suivant nous une erreur que de
distinguer
, comme le font SECTION DE psychiatrie. 487 ce
tifs habituels se font avec une intensité normale, ce qui permet de
distinguer
parfaitement la lésion. Cependant il arrive ass
t à une obser- vation antérieure de Dalby (B. M. J., 16 mars 1895),
distinguent
la surdité hystérique de la surdité fonctionnel
un ensemble de troubles sensoriels, parmi les- quels il convient de
distinguer
la surdité assez accusée du côté gauche, avec p
ertaines circonstances,' ces deux phénomènes sont plus difficiles à
distinguer
, ou du moins on ne s'attache pas et il n'y pas
uteur estime toutefois qu'il n'est pas ordinai- rement difficile de
distinguer
la folie de la criminalité pourvu que l'on soit
ne que Havelock Ellis appelle l'insensibilité morale, et qu'il faut
distinguer
avec soin de ce que l'on a désigné sous le nom
iendrait de lui préférer le mot de « dépravation morale >, et de
distinguer
une forme active (perversité morale) et une forme
elativement à la mesure et à la cadence du vers; ces per- sonnes ne
distinguaient
pas une fausse note, mais une faute de quantité
ux mots, ou aphasie sensorielle, serait fournie par l'incapacité de
distinguer
les sons musicaux des autres bruits (amnésie se
Wallaschek). En général, dans l'aphasie sensorielle, le pouvoir de
distinguer
les sons subsiste. Mais il est des personnes qu
a déclaré à l'auteur qu'il con- naissait une personne incapable de
distinguer
le son du violon de celui de la trompette. Il n
e. Il n'est pas très rare de rencontrer des sol- dats incapables de
distinguer
les sonneries du clairon. Brazier rapporte quin
e existe tou- jours, au moins au degré nécessaire pour permettre de
distinguer
un son très haut d'un son très bas. A partir de
nes, des scènes dans la rue, etc. Les visions ainsi provoquées se
distinguent
des visions spontanées, en ce que : 1° la visio
i ne sont pas plus d'une quinzaine. ` Symptomatologie. - L'auteur
distingue
deux formes : 1° la forme délirante ; 2° la for
même plus fort que la faible volonté du malade. Ce dernier, pour se
distinguer
, inventait toutes sortes de raisons : tantôt il
Elle est relativement rare, généralement disséminée et difficile à
distinguer
de la contusion générale. Lacération. Elle se c
phériques. Ces atrophies, de par leur siège et leur répartition, se
distinguent
de l'atrophie ordi- naire de la paralysie génér
iblesse intellectuelle congénitale ou acquise dans le jeune âge. On
distinguera
: a) l'idiotie avec hydrocéphalie; h) l'idiotie
les bras des deux côtés. On disait que la chorée de Huntington se
distingue
des autres variété ? de chorée par les caractèr
é infiniment faible. Le malade ne voyait pas la main du médecin. On
distinguait
sur cet oeil une opa- cité blanchâtre enchâssée
vue depuis près de cin- quante ans. Le lendemain de l'opération, il
distinguait
la main à cinquante centimètres, et le troisièm
bientôt il put mesurer une distance, re;on- naître une personne et
distinguer
les objets environnants. Pendant les années de
es pavillons réservés aux autres sujets. Dans les anciens asiles ou
distinguait
des quartiers pour les tranquilles - pour les dem
moyenne. Les médecins tout en se servant du mot générique idiots,
distinguent
plusieurs espèces, suivant les degrés d'idiotie :
e correspon- dante droite. Les noyaux cellulaires sont difficiles à
distinguer
; les prolongements sont sans modifications. Au-
e l'action qu'il commettait était mauvaise, en d'autres termes pour
distinguer
entre le bien et le mal : 3° l'existence d'illu
outes leurs facultés. Ils sont d'autant plus dangereux qu'on ne les
distingue
pas des gens sensés, à moins de les étudier à f
ou moins rempli de granu- lations basophiles; 2° ce neuroplasme se
distingue
nettement de la substance fibrillairc différenc
litique qui donne sous le microscope l'impression d'un sarcome s'en
distingue
par l'exten- sion du processus à la substance n
analogies entre ces deux variétés d'altérations, il y a lieu de les
distinguer
. Le prolongement cylindraxe d'un neurone étant
ras et le bras, la sensibilité à la piqûre est normale et le malade
distingue
nettement la pointe de deux épingles à 5 millimèt
c des béquilles, il prend part à tous les jeux. Il a de la volonté,
distingue
le bien du mal. Il est toutefois facile à entra
uté minutieusement cette question et a conclu qu'il y avait lieu de
distinguer
la paréso-analgésie à panaris des extrémités su
formes cliniques sont très variables, mais il est difficile de les
distinguer
en différentes caté- gories, reliées à chaque f
servation D...). Il est donc très difficile dans ces conditions, de
distinguer
, au point de vue mental, le délire d'origine hé
e jamais rassassié, flaire ' ses aliments. Place bien les couleurs,
distingue
les surfaces, uu plus grand nombre d'un plus pe
ne anté- rieure est arrondi ; les groupes cellulaires que l'on peut
distinguer
sont au nombre de 6 : antéro-interne, antérieur
é de cette dernière à l'égoïste d'un individu ? D'ailleurs, il faut
distinguer
entre le secret médical et la discrétion médica
ules sont peu différenciées, à tel point qu'il devient difficile de
distinguer
les couches qui apparaissent si nettement à l'é
s est très amaigri. La région sacrée présente une vaste eschare. On
distingue
sur la face antérieure de la verge la trace for
résente un état de sclérose déjà avancé; il n'est plus possible d'y
distinguer
de fibres optiques et il n'entre plus dans sa s
is, il a éclaté en certains points comme en 11 par exemple où on ne
distingue
plus que sa partie interne; presque partout ils
ts de la couche des cônes et des bâton- nets, sont peu nets, on les
distingue
mal les uns des autres et on peut constater la
Marie ne pense pas non plus que l'absence d'épilepsie per- mette de
distinguer
une affection spinale d'une affection céré- bra
tions qu'il a faites sur un guenon et sur de nombreux chevaux; il
distingue
un hypnotisme fortuit avec, suivant les cas, cata
Leur nombre augmentera car elle est absolument exacte. M. Séglas
distingue
avec raison deux ordres de faits très différent
trices.) · · Dans le groupe de l'encéphalite inflammatoire, on peut
distinguer
un processus marqué surtout par l'hyperhémie av
t jamais arrivé à trouver un crité- rium histologique pouvant faire
distinguer
de telles lésions de celles des autres inflamma
ns encore imparfaitement tous les processus. Qui peut se flatter de
distinguer
, à l'heure présente, les diverses modalités des
a division des paralysies générales pro- posée par M. Klippel. Nous
distinguons
, comme lui, trois grands groupes de paralysies
r. 1895. Amélioration pour la parole ; il assemble quelques mots,
distingue
les couleurs, place les lettres et les chiffres.
ropre dans le jour; mais urine fréquemment la nuit dans son lit. Il
distingue
les couleurs, les lettres et les chif- fres qu'
fait propre, continue à pro- gresser, il fait des petites dictées,
distingue
le genre et le nombre, fait l'application de l'
de lui, tels que les jours de la semaine, les mois de l'année; sait
distinguer
le mascu- liti du féminin, le singulier du plur
e thérapeutique s'accompagne d'amélioration. Il n'y a pas intétèt à
distinguer
entre le traitement antisyphilitique par les an-
toires et laryngés. Mais en dehors des tics proprement dits, qui se
distinguent
par leur carac- tère convulsif, les lèvres sont
médical est impuissant à modifier leur trouble organique. Ce qui
distingue
ces malades des criminels, c'est la spontanéité,
longues veilles. Brissaud indique une classification analogue; il
distingue
parmi les neurasthéniques : 1° ceux qui s'étant
rs le dehors jusqu'à 10°, vers le dedans jusqu'à 40°. Le patient ne
distingue
les couleurs qu'au centre du champ visuel et qu
ment au centre du champ visuel droit. De l'oeil gauche le malade ne
distinguait
que les mouvements des doigts et encore les doi
rapporter quelques exemples et qu'il me semblerait assez logique de
distinguer
simplement par la dénomination de psychose cata
leurs papilles sont floues et même blanchâtres, ils peuvent encore
distinguer
les caractères fins. Rapporter les lésions qu
pupillaire, peut-être pourrait-il servir, comme le veut Galassi, à
distinguer
une paralysie périphé- rique de l'oculomoteur c
n, et, comme telle, accompagnée du signe en question, peut servir à
distinguer
une suggestion réelle d'une sug- gestion simulé
il semble résulter que le delirium tremens d'origine morphinique se
distingue
de celui des alcooli- ques parla gaité : le mal
place à une sorte dedysesthé- sie, qui ne permet plus au malade de
distinguer
les diverses excitations de la sensibilité, mai
colorée. A une petite distance de ce restant de substance grise, on
distingue
le sillon médian-antérieur, bien individualisé
és parlent à voix basse, mais seulement lorsqu'ils sont seuls et se
distinguent
des précédents parce fait qu'ils ne pailent en
toires et laryngés. Mais, en dehors des tics proprement dits qui se
distinguent
par leur caractère convulsif, les lèvres sont e
e ce temps, de mon collègue et ami Gom- bault, il devait bientôt se
distinguer
lui-même. Il fut un histolo- giste remarquable,
demande continuelle- ment un certain effort d'attention. Le malade
distingue
mal les faits qui se passent autour de lui, il
elles sont assez précises pour caractériser l'hystérie seule et la
distinguer
des autres maladies de l'esprit. Considérons
est nette, l'amnésie est absolue, l'attaque et le somnambulisme se
distinguent
bien de la veille, les idées fixes ne sont pas
ère moral de l'hystérie pour lui con- server sa place, il suffit de
distinguer
les maladies mentales les unes des autres. No
distinctif est effacé. D'autre part, la paralysie corticale, qui se
distingue
parmi les paralysies céré- brales par sa plus g
ne plus grande facilité de dissociation, elle ne manque pas de s'en
distinguer
par des caractères importants. D'abord elle n'e
Dans tout son trajet, le sinus est régulièrement calibré. On peut
distinguer
les voies de sûreté et de dégagement en veines
ont la branche nerveuse représente l'axe. Dans cette cavité il faut
distinguer
deux sortes d'orifice : les uns placés au fond
G. DOURDOUFI. Pathogénie de la maladie de Graves. - Le rap- porteur
distingue
: 1° les formes chirurgicales de cette maladie et
e. - Leçoils cliniques, par Mairet. (Montpellier, 1893.) L'auteur
distingue
, sans les définir, la folie syphilitique de l'ali
une portion diffuse qui envahit les cor- dons postérieurs et qui se
distingue
nettement de la première. De plus, on peut aper
l en résulte que cette portion du néoplasme paraît énucléable et se
distingue
parfaitement du reste; son tissu ne contient pl
il a même un aspect très finement granuleux et les fibrilles ne se
distinguent
plus guère. Dans le renflement cervical, où il es
s on n'en peut voir les parties les plus importantes; on peut alors
distinguer
les lobes frontal, occipital, pariétaux et temp
Suivant la prédominance des symptômes dans tel ou tel appareil, il
distingue
les formes atteignant le sys- tème nerveux (cér
ns un premier groupe concernant l'hydrocéphalie simple, les auteurs
distinguent
l'hydrocéphalie sans malformations importantes
la dénomination très vague de délirants mystiques ou dépossédés, se
distinguent
des mélanco- liques possédés ou négateurs et re
entôt en s'effilant; mais, parmi ces derniers, il est possible d'en
distinguer
parfois un qui garde, un calibre régulier et qu
r toute la tumeur l'écorce cérébrale envahie par le néoplasme ne se
distingue
plus du reste. Sur les limites de l'écorce sain
ions à cet égard, car les éléments embryonnaires de la tumeur ne se
distinguent
pas les uns des autres; il est pourtant plus pr
tat, normal, ainsi que je m'en suis assure, la région motrice ne se
distingue
pas des autres par sa richesse plus grande en f
l prédisposés, n'offrent la plupart du temps aucun symptôme qui les
distingue
des aliénés ordinaires. Les individus appartena
néral du délire des persécutions ou des grandeurs. » Il y a lieu de
distinguer
à ce sujet. Il y a des cas (rares) dans lesquel
stériques. - . M. REtas : C'est jouer sur les mots que d'essayer de
distinguer
l'hémianesthésie ou hémiparésie fonctionnelle d
la question de savoir quels sont les principes qui* permettent de
distinguer
d'une part les maladies des tics convulsifs des m
die. Il n'y a donc pas de caractère particulier qui puisse le faire
distinguer
de celui de la sclérose en plaques. Sa patho- g
e et les faisceaux pédonculaires. 5° Sous le corps calleux, on peut
distinguer
un trousseau, coupé transversalement qui ne con
la coupe, on constate un ton uniformément brunâtre, dans lequel on
distingue
parfaitement fibres et cellules nerveuses. P. K
e la sensibilité générale. L'espace est bien restreint où l'on peut
distinguer
la fonction motrice de la fonction sensitive et
ifférenciation suffisante pour y déterminer plusieurs couches. On y
distingue
1° des noyaux du tissu conjonctif; 2° des cellu
légèrement coloré. Aucun prolongement n'est encore visible; à peine
distingue-t
-on de ci et de là une ébauche de prolongement d
isseaux altérés. Ces modifications dans la forme du nerf optique se
distinguent
nettement des anomalies congénitales de cet org
la confusion mentale, l'amentia de Meynert, dans laquelle l'auteur
distingue
quatre variétés : 1° con- fusion mentale primai
encé à entendre parler de loin, sous le lit, dans la cheminée. Elle
distinguait
deux voix, une d'homme, une de femme. Ces voix
a dénomination très vague de délirants mystiques ou de possédés, se
distinguent
des mélancoliques possédés ou négateurs, et ren
nt des fibres du' pédoncule 'du lobule du pneumogastrique permet de
distinguer
les fibres de' cepédon-^' ' culetde celles du p
uvent, ce sont des mouvements de circumduction. Ces deux qualités les
distinguent
des mouvements de la phase clonique, qui sont pré
physionomie se produit avec une lenteur relative, et par-là même se
distingue
facilement de l'agitation convulsive et par-tiell
avantage des contorsions grimaçantes des clowns. Les contorsions se
distinguent
des attitudes tétaniques de la pé-riode épileptoï
ie avec la richesse d'imagination dont est douée la malade. On peut
distinguer
deux phases: la phase des hallucinations gaies et
série d'attaques qui se succèdent et dans chacune desquelles on peut
distinguer
, malgré une apparente complication, les trois pér
-pagné d'hallucinations sur lesquelles nous insisterons plus loin, se
distingue
assez nettement des attitudes passionnelles qui c
délire, l'état de l'in-telligence et des divers sens permet encore de
distinguer
la troi-sième période de la quatrième. Dans la tr
e de la période épileptoïde et dans la période des contor-sions, s'en
distinguent
aisément. Nous avons déjà signalé comme caractère
a). La période épileptoïde est bien marquée, mais assez courte. On y
distingue
très nettement la phase tonique et la phase cloni
11 heure 50 a). La période épileptoïde est d'assez courte durée, on y
distingue
cependant les trois phases habituelles, et l'écum
équivoques. Elle demeure parfois comme en extase. Il est facile de
distinguer
dans ce que nous venons de rapporter la période é
t continuellement. Ce sont des soupirs et des sanglots étouffés. On y
distingue
parfois : « Oh ! là, la tète !... » Tous ces mo
former une série, et présentent toutes la même physionomie. On peut y
distinguer
trois phases; nous en notons quelques-unes : Un
titudes illogiques variées (les jambes en l'air), parmi lesquelles on
distingue
Yarc de cercle. Le début de l'attaque est marqué
Caillot, dans sa thèse inaugurale (Dissertation sur l'hystérie,! 833)
distingue
deux degrés dans l'expression symptomatique de l'
rme, dans l'exposé qu'il fait des crises de l'hystérie vulgaire. Il
distingue
trois degrés, suivant la violence des symptômes.
s dont nous avons parlé plus haut; il est toujours bien facile de les
distinguer
. Quelquefois, après quel-ques instant de constric
quer, au sujet des hallucinations des hystériques, qu'il importe de
distinguer
celles qui appartiennent à l'hystérie, de celles
aques se succèdent sans interruption, et dans chacune d'elles on peut
distinguer
deux phases. phase. — Débute au milieu de la ré
ués, ne peuvent se défendre d'une pénible émotion. Marc... etLer...
distinguent
fort bien elles-mêmes les attaques qu'elles nomme
D. de méd. et de cliir. prat. ArL Extase. 2, Brierre de lioismoiil
distingue
l'extase physiologique et l'extase morbide Dans l
t représenter une personne dif-férente de celle de la malade, et s'en
distinguait
exactement en se rendant objective et en parlant
tendre le piétinement des chevaux. Mais elle a beau faire effort pour
distinguer
les soldats dont elle entend le bruit, elle ne pe
ilité musculaire un signe obligé de cette variété de sommeil, pour le
distinguer
de cet autre sommeil où l'hyperexcitabilité ne se
es dans son étude sur le somnam-bulisme (in Arch. méd. 1860) et qu'il
distingue
nettement de ce qu'il appelle lenoctainbulisme. L
figure de la malade; ses yeux sont ouverts, mais elle paraît ne rien
distinguer
de ce qui l'entoure, elle ne répond pas aux quest
ut plus de cinquante attaques d'une autre maladie, dans lesquelles on
distinguait
trois temps; le commencement et la fin étaient de
dans l'eau ; et aux dernières fêtes de Noël, durant une attaque, elle
distinguait
confusément une personne à ses côtés;'elle s'en s
egré le plus léger de ce trouble fonctionnel. Une hystérique qui ne
distingue
pas le violet est, dans la règle, une hystérique
sie n'est pas complète, la malade a conservé la notion du rouge. Elle
distingue
donc la couleur rouge des deux yeux, mais de l'œi
gue donc la couleur rouge des deux yeux, mais de l'œil gauche elle ne
distingue
ni le jaune, et, suivant la règle, ni le bleu, ni
sous le rapport de la vision des couleurs. Nous avons dit qu'elle ne
distinguait
de cet œil que le rouge ; en effet, toutes les au
, on constate qu'au bout de la troisième minute de Vap-plication elle
distingue
le jaune. Puis la vision des autres couleurs repa
pour l'œil droit. Cette fois il n'y a pas eu de transfert. La malade
distingue
parfaitement toutes les couleurs des deux yeux, e
uge clair. Et cependant il n'en est rien. De même qu'une personne qui
distingue
parfaitement les couleurs, notre hystérique décla
n'a conservé que la vision d'une seule couleur, le rouge. L'œil droit
distingue
parfaitement toutes les couleurs. Dans ce cas,
lade qui ne voit pas le rouge ou le bleu, suivant les cas, ne saurait
distinguer
aucune des autres couleurs; h) une malade qui voi
'agit de montrer par quels ca-radores décisifs l'hystéro-épilepsie se
distingue
nettement de l'épilepsie véritable. Je ne rappe
au merveilleux et la crainte superstitieuse des esprits. Paracelse
distinguait
trois espèces de chorée d'après les symptômes : l
orce et ressemblance aux plus gros chiens, qu'on aurait de la peine à
distinguer
ses aboiements des leurs, si on n'en était pas té
ent, les dents serrées, le visage'etles mains glacés, sans qu'on piit
distinguer
le souffle respiratoire; au sortir de cette extas
issements, cris inarticulés, aigus, rapides, tout se confondait et se
distinguait
pourtant dans ce bruit affreux. J'étais malade d'
euses victimes; je voyais des lèvres perfides toucher leur visage, je
distinguais
les paroles à peine articulées de leurs confessio
mphocytes sont considérablement augmentés et que de celait, elle se
distinguerait
justement de l'hydropisie par stase et des simp
reconnaître ces mots en tant qu'images totales sans être en étal de
distinguer
les diffé- rentes lettres qui les composent. L.
ipoli lui sont restés absolument inintelligibles. Nous pouvons donc
distinguer
entre trois degrés différents dans le pou- voir
phies osseuses forment un groupe touffu au milieu duquel peuvent se
distinguer
plusieurs grands syndromes : rachitisme, achondro
Son teint est oli- vâtre comme celui des levantins. Sur la face, on
distingue
quelques petites cicatrices blanchâtres (variol
ous les diamètres. Bassin en général rétréci. A la radiographie, on
distingue
une légère asymétrie ; le bassin est incliné de
me se l'attribue nettement à la fin du Traité de l'llomme lorsqu'il
distingue
avec soin ce qu'il emprunte aux notions alors c
colloïdes non résolubles, c'est-à-dire dans lesquels on ne peut pas
distinguer
des particules à l'ultramicroscope parce qu'elles
dans certains cas, comme il en est pour la gélatine, on ne peut pas
distinguer
une phase solide et une phase liquide, mais Büt
ns deviennent de plus en plus denses. A la fin, on ne peut plus les
distinguer
, elles constituent un réticule qui présente des
ar un système bi- phasique. Il est vrai qu'il n'est pas possible de
distinguer
dans la gélatine même au fort grossissement une
ar différents tons d'émeraude. Au point de vue de la forme, on peut
distinguer
des granulations pigmentaires, des bâtonnets ou
uscules de Nissl (fig. 10). Au point de vue de la tonalité, on peut
distinguer
des cellules blanc jaunâtre, blanc d'argent et
action delà membrane nucléaire, de sorte que dans ces conditions on
distingue
deux régions, l'une, celle du noyau qui change
dation de la coagulation et même dans l'alcool an 1/6 on commence à
distinguer
les granulations. Un autre phénomène important, c
ontestable que dans l'action des substances alcalines nous de- vons
distinguer
trois catégories de faits : Tout d'ahord, c'est l
sont absolument diaphanes (fig. 22) ; dans les pre- mières on peut
distinguer
encore quelques granulations fines qui font ESS
e devient plus large. En ce qui concerne l'aspect du cytoplasma, on
distingue
non seulement de nombreuses granulations lumine
ophyses présentent aussi de grandes différences de dimensions. On
distingue
facilement les 5 vertèbres lombaires, que l'on re
la partie supérieure porte 4 paires de cûtes. Au-dessous d'elle se
distinguent
8 vertèbres munies chacune d'une paire de côtes
res qui se sont soudées entre elles au cours du développement. On
distingue
assez facilement 4 côtes de chaque côté. L'origin
'extrémité de la queue ; et les régions qu'on a pris l'habitude d'y
distinguer
n'ont des limites ni fixes, ni bien déterminées
une entité no-' sologique et insiste sur l'importance qu'il y a à.
distinguer
les cas t) piques d'autres cas « dont le pronos
, les cas extrêmes étant impossibles à déterminer. La difficulté de
distinguer
l'hys- térie de la catatonie a d'ailleurs été s
cavité non gliomaleuse. Une étude un peu plus minutieuse permet de
distinguer
ce niveau Des lésions méningo-vasculaires ; L
ent parler de thrombose et l'on peut, à un plus fort grossissement,
distinguer
dans l'intérieur des vaisseaux des globules rou
s des troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité, lâche de
distinguer
plusieurs formes cliniques principales de l'aff
uche et dans les trois doigts correspondants engourdis. Le sujet ne
distingue
pas les deux pointes il 2 centimètres et commet d
Entre la dernière vertèbre lombaire et le sacrum, 410 PASTINE on
distingue
nn processus d'ossification et de soudure, diffus
n d'ailleurs d'être la règle absolue et l'on peut à ce point de vue
distinguer
un type diffus tlcénuno-hypotlhé- z narien et d
yés dans un tissu environnant uniformément blanchâtre et mou. On ne
distingue
plus ni substance médullaire, ni substance cort
ebs désigne l'hypertrophie cardiaque comme une cardio-mégalie, sans
distinguer
, lui attribuant la même origine que la déformat
'électricité sur la pulsation et leur influence bio z logique. Il
distingue
deux électrisations naturelles : macrocosmique et
tout d'abord de l'hémi- plégie. Au point de vue thérapeutique il
distingue
plusieurs formes d'hémiplé- gies dont quelques-
reuses, des vaisseaux blancs, d'une si excessive ténuité qu'ils ne se
distinguent
au microscope que sous des grossissemens excédant
ums de la muqueuse vésicale. Dans la femme, la muqueuse vaginale se
distingue
par ses replis longitudinaux et sa texture vascul
CAVITÉS DU TRONC. 1° TÊTE. Les cavités et enveloppes de la tête sa
distinguent
en celles du crâne et de la face. Crâne. La gra
onc. 1 Planche 6. Le sous-clavier, isolé de tous les autres, s'en
distingue
par l'épaisseur de son enveloppe, l'aponévrose co
ciaîis. A partir de l'aponévrose sous-cutanée, le membre abdominal se
distingue
dans ses quatre fractions: la portion pelvi--fémo
inférieur; 5° Membrane mu-» queuse. Continuation de la peau, elle se
distingue
par les glan-dulcs labiales, situées dans le tiss
-mental et l'extrémité du grand confluent jugulaire, 7° Nerfs. Ils se
distinguent
en superficiels et profonds. Les premiers sont fo
parée de sa congénère par le grand sillon vertical, au fond duquel se
distingue
la saillie des apophyses épineuses, chacune des r
les branches postérieures des intercostaux. La région dorsale ne se
distingue
au point de vue chirurgical que par rapport aux f
nal, qui forment les deux limites suivant le diamètre transversal, on
distingue
à l'extérieur : i° en avant, le triangle axillair
les incisions nombreuses que motivent les maladies de l'aisselle, se
distingue
celle qui a pour objet la ligature de l'artère nu
rtent, que cette région offre quelque intérêt. Parmi les maladies, se
distinguent
les fractures de l'humérus, del'acromion ou de l'
re eux par des cloisons aponévrotiques. 5° Vaisseaux et nerfs. Ils se
distinguent
en superficiels et profonds : en plan sus-aponévr
tissus fibreux articulaires. Parmi les maladies réputées curables se
distinguent
: la luxation de la rotule en dehors et ses fract
postérieure au milieu et interne en bas. Outre les gros vaisseaux se
distinguent
: (a) l'anse de terminaison de la veine saphène p
que avec celle du coude-pied leur intermédiaire. Toutefois elles s'en
distinguent
suffisamment en chirurgie, eu égard aux maladies
rations spéciales dont elles sont le siège. Chacune de ces régions se
distingue
à l'extérieur par la saillie sous-cu tance de la
ns de l'usage le plus habituel sont le bistouri et les ciseaux. On en
distingue
plusieurs variétés : les uns en quelque sorte typ
ors : eu égard à la direction que suit la main de l'opérateur, on les
distingue
aussi en incisions de gauche ci droite, de droite
-temps à ces premiers élémens de médecine opératoire, si l'on veut se
distinguer
plus tard par la grâce et la facilité à manier l'
ette précision, cette aisance, cette harmonie dans les mouvemens, qui
distinguent
les grands chirurgiens, et qui les accompagnent s
s. INCISIONS DE DEHORS EN DEDANS ET DE GAUCHE A DROITE \ Elles se
distinguent
en simples et en composées. INCISIONS SIMPLES.
ment les trois cinquièmes de la longueur totale de l'instrument. On
distingue
trois sortes de ciseaux . les droits, les courbes
e. Troisième procédé. — Serre-nœuds sur diverses surfaces. 11 ne se
distingue
des autres que par le mécanisme des instrumens do
ont aujourd'hui presque généralement tombés en désuétude. Enfin, on
distingue
encore les caustiques pulvérulens, désignation so
ers, solides, liquides ou gazeux, dont on doit faire l'extraction, se
distinguent
, dans la pratique chirurgicale, suivant leur orig
tissu, ou qui suit la chute d'une escharre. Quant aux capillaires, on
distingue
l'hémorrhagie active, due à l'exaltation cle la c
actement les parois. 5° Durée de l'application. Sous ce rapport, on
distingue
la ligature en temporaire et en permanente. La li
c., qui renferment le tannin. Parmi les agens employés en solution se
distinguent
: les sulfates de fer, de zinc, de cuivre, d'alum
e par le développement d'un réseau vascu-laire très fin. La verrue se
distingue
par sa production spontanée, sans frottemens, à l
. i° L'instrument spécial est la lancette (pl. 2y. a, b, c, d). On en
distingue
de trois sortes , suivant l'angle que forme la po
nnaître le tendon du biceps et, à son côté interne, l'artère facile à
distinguer
à ses battemens; s'assurer de sa profondeur, de s
en tout cas faire absterger avec soin la plaie pour pouvoir toujours
distinguer
les parties qui s'y présentent. Parvenu sur l'apo
ec la pince; écarter de suite en bas et en dehors la veine , facile à
distinguer
à sa mollesse fluctuante et à ses battemens clans
e public : il serait trop long de les nommer. Deux cas, cependant, se
distinguent
des autres par la hardiesse et la nouveauté de la
u de réserver plus spécialement le nom de méthode à la ligature, pour
distinguer
entre eux les différens modes par lesquels on l'e
49, %• 2 et 3). Au point de vue opératoire, les corps étrangers se
distinguent
, suivant leurs formes et leurs dimensions, en deu
Suivant leur siège, leur marche, ou les causes qui les produisent, on
distingue
les abcès en superficiels ou profonds, aigus ou c
es grammes à plusieurs kilogrammes. Au point de vue opératoire on les
distingue
en superficielles ou sous-cutanées, et profondes
isses comme un cartilage, les autres sont rugueux ou anguleux. On les
distingue
encore suivant qu'ils sont organisés ou anorganiq
ênent et ralentissent la marche. Les scies sont en grand nombre, on
distingue
: 10 les scies continues, dont la grandeur et l'é
fiiï- 5 et 6). Sous le point de vue anatonio-pathologiquc, on peut
distinguer
trois variétés principales de fausses articulatio
tre millimètres (deux lignes). EXOSTOSE (pl. 5o, fig. i et l). On
distingue
plusieurs espèces d'exostoses : — i° selon leur s
és ou d'extraire des esquilles d'os. En effet, nous voyons Hippocrate
distinguer
avec soin les indications du trépan dues aux acci
les résections. Cet auteur, le premier, en fixe les principes et les
distingue
des amputations en prouvant, devant l'académie de
es qui réclament les résections, donner les raisons qui les motivent,
distinguer
les cas qui les contre-indiquent et les font reje
nnotateurs, Costéus et Mon-gius, qui commentent le texte de Celse, ne
distinguent
pas non plus les deux espèces d'amputations ( Avi
dextre et de se servir de la main gauche. Procédé de Delpech. Il se
distingue
par l'extrême exiguité du lambeau externe ou plut
de la malléole interne, à cinq centimètres directement au-dessous se
distingue
en pressant, au toucher, l'apophyse interne du ca
usse. Les anneaux des deux branches sont obliques et divergens. On en
distingue
de trois sortes, qui ne diffèrent que par les lam
acé par un amas de trabécules conjonctives, au milieu desquelles on
distingue
encore il peine quelques fibres. Les mêmes lési
suel et rendre leur marche plus aisée. Ce point noté par M. Souques
distingue
l'altitude camptocormique d'une simple flexion
ires où l'amplitude du mouvement se trouvait limitée par un but. Il
distingue
deux phases dans l'accomplissement de ces actes.
ré ? Ce n'est pas le cas chez nos malades : en général nous pouvons
distinguer
deux possibilités : 10 le mouvement est très' v
ques des hémiplégiques ou du decerebrale rigidlly ; mais elles s'en
distinguent
par leur irrégularité. Aux mem- bres supérieurs
ns décrit. Pourtant je crois que le plus souvent on sera en état de
distinguer
les deux syndromes. Rappelons encore certains tra
les attitudes de la main qu'il importe de bien connaître. Avant de
distinguer
les différents types cliniques, il est utile de d
vasomoteurs, secrétoires ettrophi- ques caractéristiques. On doit
distinguer
deux types cliniques : A. Les paralysies complè
naître l'adulte qui l'aime et qui est estimable, de même savent-ils
distinguer
parmi nous ceux qui sont dignes de respect et c
ien ne me paraît pouvoir fixer l'attention sur la myélite aiguë, ni
distinguer
l'invasion d'une de ces myélites de celle d'une
tions d'Oppenheim 26 observations emprun- téesà divers auteurs ! Il
distingue
deux formes de dysartlirie,l'uneparaly- tique,
t devant une tâche diagnostique très difficile, lorsqu'il s'agit de
distinguer
chez les sujets âgés entre une hémorragie céréb
d'une nouvelle hémorragie, est recommandée pour une maladie qui se
distingue
en principe si peu de celle-ci. La pression a
réflexe oculo-cardiaque, nous possédons un moyen très commode pour
distinguer
les paralysies larynx- gées dues à la lésion un
tions - ankylosantes. D'autre part l'arthropathie du genou droit se
distingue
net- tement de la tumeur blanche de par le seul
indispensables au développement Foiiiatique normal que les sexes se
distinguent
, et que se constitue ce qu'on appelle en biolog
ifs ou principaux et des caractères secondaires, comme Ileinter les
distingua
le premier en 1872. Darwin, qui étudia si profond
tablir une séparation parfaite dans les caractères sexuels. Le Dantec
distingue
: un sexe physiologique, c'est-à-dire déterminé
corps thyroïde, tantôt le testicule ou l'ovaire. Nous proposons de
distinguer
un infan- (1) Cordier et Rebattu, Sur l'autonom
-môme, admettant un infantilisme pur (echter infantilismus) pour le
distinguer
des cas dits d'infantilisme symptomatique, lais
ntilisme que nous appelle- rons, avec Gilford, essentielle, pour la
distinguer
de la forme sympto- matique. La première comp
u'il appelle echter infantilismus (infantilisme véritable) et qu'il
distingue
des infantilismes résultant de maladies des gla
rd, qui l'avait déjà adoptée pour l'infantilisme essentiel, pour le
distinguer
ainsi de {'infantilisme symptomatique. Mais le
es paroles : « Infantilisme essentiel ou cryptogénique. Celui-ci se
distingue
de l'infantilisme symptomatique par son degré pro
e. Il faut savoir dès maintenant que c'est là un des caractères qui
distinguent
le type eunuchoïde de la dystrophie génito-glandu
ènes se déclarent dans l'âge mûr, et qui pour cela précisé- ment se
distingue
de la forme commune : c'est l'eunuelioïdisrne tar
isolée, l'autre, associée à une lésion organique, qu'il importe de
distinguer
, particulièrement du point de vue thérapeutique.
as de camptocormie. Nous n'avons, en effet, aucun moyen clinique de
distinguer
la simulation de l'hystérie. « S'il s'agit ou d
maison aux pignons dentelés, l'épée et la dague, etc... En plus, on
distingue
un canon, un jeu de cartes.et un jeu de tric-trac
ossible d'en lire les inscriptions. En dépit des variantes qui la
distinguent
nettement des figurations précédentes, cette gr
fois par jour; ces accès n'ont pas cessé depuis lors. Le malade les
distingue
très explicitement d'un endolorissement, d'un e
choses du cer- veau valide. Mais Schùle montre la nécessité de bien
distinguer
les formes aiguë et chronique, la paranoïa chro
nnent au même groupe. Du reste, ces cas particuliers de paranoïa se
distinguent
de la paro- noïa classique, même quand les phén
a moelle, dans les névrites périphériques, dans les névroses. Aussi
distingue-t
-il l'athé- tose double d'origine cérébrale, et
atisfaction; ils déclarent en effet qu'il est souvent impossible de
distinguer
dans leurs effets, tant les déterminations caus
ralysie générale très précoce, juvénile; quelques caractères qui la
distinguent
de la paralysie générale venant à son heure, da
t aux accès de manie inconscients, l'état de conscience seul les en
distingue
. Il est très robuste, je l'ai vu une fois briser,
te période avec celle du diabète et de l'alcoolisme chronique. On
distingue
néanmoins l'atrophie optique du tabes de l'ambl
la malade a présenté des hallucinations dites psychiques, qu'elle
distingue
parfaitement des autres, parce qu'elle ne les ent
le aspire à l'idéal. Elle a, dit-elle, une maladie de l'âme. -(Elle
distingue
l'âme et le coeur). Son chagrin lui vient de ce q
s s'accompagner d'une sensation auditive spé- ciale que les malades
distinguent
nettement de celles que produisent les voix ext
teurs français comme une des formes de la folie du doute; elle s'en
distingue
pourlant par quel- ques caractères importants ;
nt presque, caractéristiques. Cet état est souvent très difficile à
distinguer
de l'état somnambulique. Lorsqu'il dure un cert
Les états de som- nambulismes, souventdifficiles à différencier, se
distinguent
surtout par l'absence de cette violence, de cel
systèmes des fibres au fond du troisième ventricule du cerveau. Ils
distinguent
trois ' systèmes de fibres : la commissure de G
famille pathologique nettement définie, à caractères propres qui la
distinguent
de toutes les autres espèces morbides. De même
alogue à propos de la dyschromatopsie hys- - térique. Une malade ne
distinguait
que le rouge et ne voyait pas les autres couleu
les mélancoliques, et l'on doit se demander s'il n'y a pas lieu de
distinguer
des mélancoliques ayant ces halluci- nations de
gnées d'hallucina- tions et c'est ainsi que l'on tend aujourd'hui à
distinguer
la stupeur hallucinatoire de la stupeur proprem
heures ce morceau gonflé et d'aspect velvétique permet de très bien
distinguer
la substance grise de la substance blanche. Au
présentent comme s'il s'agissait de groupes mus- culaires ; il les
distingue
et les décrit avec une minutieuse précision. On
ou acte psychique par les mouvements qui lui sont consécutifs, nous
distinguons
une série d'actes dont les rapports sont complexe
térêt. Les mouvements qui indiquent l'intelligence ne paraissent se
distinguer
par aucun caractère intrinsèque particulier, ma
pensent que les neuroglobulines des différentes espèces animales se
distinguent
par la richesse en phosphore, et à chaque espèc
pécuniairement respon- sable de la mise en liberté. . M. GARNIER
distingue
le danger immédiat du danger futur. La loi de 1
philis dans les altérations du bulbe. Les altérations corticales se
distinguent
cliniquement et anatomique ment de celles de la
onvient de ranger dans le cadre de l'hystérie mâle. Il propose d'en
distinguer
trois catégories princi- pales. 1° Les faits
l'hémiageusie locales s'accompagnent de l'impossibi- lité totale de
distinguer
sur la langue et sous le nez, quelque soit le c
queuse. Quand on fait exécuter des mouvements de la langue, il faut
distinguer
en- tre les mouvements exécutés à l'extérieur e
ent ; le malade commence à per- cevoir l'attouchement à froid et il
distingue
convenablement le sens des mou- vements du pied
pération. 10. - 15 juillet. - Mouvements plus libres ; le malade ne
distingue
pas toujours exactement-la direction du mouveme
sure que l'on descend dans l'échelle des êtres. Encore faut-il bien
distinguer
les cas où les segments d'une région ra- chidie
nt jouer le rôle de soutien. Dans le trajet des fibres nerveuses,on
distingue
çà et là des parties moins colorées que leur vo
évrogli- que en général nous soit encore permise. La possibilité de
distinguer
les éléments cellulaires des fibrilles de Weige
avec ses prolongements (plasmatiques), il est souvent difficile de
distinguer
la fibre de Weigert d'un prolongement plasmatiq
r un prolongement plasmatique. Enfin il ne nous reste plus qu'à les
distinguer
les uns des autres par leur aspect fin ou gros,
forment des groupes et restent en connexion syncy- liale. Elles se
distinguent
également des cellules amiboïdes vraies par la
ylindrique. La coloration peu foncée de leurs noyaux permet de bien
distinguer
la structure de ces derniers. La coloration du co
V. llansemann a appelé ensuite « nanosomia primordialis », pour la
distinguer
de la « nanosomia infantilis » chez laquelle on t
per, je les appellerais volontiers c7aotch·o7 ? ]¡aplasies pour les
distinguer
nettement de l'achondroplasie classique avec la
s de dystrophies j'ai proposé le nom de chondrohypoplasie, pour les
distinguer
des formes typiques, très évidentes dont elles
c succès à tous les sports, et, par suite de cette circonstance, se
distinguait
par une musculature très développée. Il lui arr
ec rupture des proportions normales. Déjà, dans ses conclusions, il
distinguait
un gigantisme acromégalique et un gigantisme in
chez les eunuques et chez les animaux castrés expérimentalement, se
distinguent
précisé- ment par les caractères que l'on retro
ce que la glande n'est pas toujours dans le même état. Gauthier (2)
distingue
même deux formes de sclérodermie : à l'hyperthy-
tion spéciale d'une altération générale du système végétatif. Il se
distingue
des affections apparentées par la modification de
est là justement ce qui caractérise la sclérodermie et permet de la
distinguer
des scléroses banales de la peau. Après le derm
atéral par un mince pont de subs- tance nerveuse, dans lequel on ne
distingue
plus aucune fibre à myéline. A la limite postér
mme une cavité creusée à l'emporte-pièce. A la limite supérieure on
distingue
cependant, aussi bien sur la photographie macro
ès la paralysie du nerf facial est devenue plus précise, et l'on en
distingue
aujourd'hui un plus grand nombre de variétés.
ments associés involontaires, analogues aux précédents, mais qui se
distinguent
essentiellement d'eux, en ceci que non seulement
produire ou de les arrêter par la volonté seule permettaient de les
distinguer
des tics convul- sifs. Ils en différaient surto
mouvements de cligne- ment physiologique des paupières (2). Pour
distinguer
ces états de « contracture frémissante », peut-on
notre travail. Parmi les mouvements convulsifs de la face, il faut
distinguer
ceux qui apparaissent dans certains cas de para
e aux mouve- ments syncinétiques post-paralytiques permetlra de les
distinguer
plus facilement des tics vrais de la face à loc
e à localisation unilatérale. Peut-être permettra-t-il aussi de les
distinguer
de certaines formes de spasme facial primitif.
six observations cliniques dont l'analogie, contrairement à ce qui
distingue
la nôtre, va jusqu'à la coexistence de signes i
igine hypophysaire du syndrome. Dans l'hypophyse on doit maintenant
distinguer
trois portions : 1° Une portion antérieure qui
sse déterminer son empreinte sur les parois ? Mais nos malades se
distinguent
de ceux de l'auteur italien par leman- que de t
furent plus tard vérifiées. Tous les signes cliniques, donnés pour
distinguer
les amyotrophies protopathiques des deutéropath
sale par un profond sillon. La tête de la lre phalange est facile à
distinguer
. La phalange unguéale est, sur l'un et l'autre
e (1). La différence entre les deux a quelque analogie avec celle qui
distingue
l'illusion de l'hallucination dans l'hypnose. L
t d'une association de représentations spontanée et capricieuse et se
distinguent
par leur développement fantastique. Néanmoins, ce
u desquelles nous nous sommes mus qui est cause de l'amnésie qui nous
distingue
à l'égard de nos rêves, c'est-à-dire de l'extrême
te une très grande variété de rêves dénommés prophétiques. On peut en
distinguer
plusieurs espèces. Par exemple, on rêve qu'on é
chiques de l'hystérie. par M. le dr Paul Tesdorpf (de Munich). On
distingue
d'ordinaire deux groupes de phénomènes hystérique
nous par exemple suggérer la gaieté à un mélancolique ? Nous devons
distinguer
deux hypothèses : a). Le sujet est hypnotisé. I
t sa conscience a été limitée très étroitement, n'a pas les moyens de
distinguer
clairement l'apparence de la réalité. Il y a pl
illaire s'accompagne de changements du caractère. A ce sujet, il faut
distinguer
le tuberculeux et le phtisique. Le tuberculeux pr
t. sinon, on les gave. Quant .à l'état mental de ces malades, il faut
distinguer
ceux qui sont atteints de tuberculose pulmonaire
et aux personnes de leur entourage, personnes trop peu éclairées pour
distinguer
dans cette circonstance le vrai du faux. Ce fut
ne impulsion extérieure actuelle pour être réalisé. — C'est ce qui le
distingue
de Pacte réflexe simple comme le soulèvement de l
nisme rigoureux sans variations et sans caprices ». — C'est ce qui le
distingue
de l'acte psychique supérieur. Les actes automa
rs, automatisme inférieur). Ils sont dans l'écorce cérébrale, mais se
distinguent
des centres du psychisme supérieur, également sit
s phases de son agonie comme l'actrice dont parle Darwin. Condillac
distinguait
en lui le Moi d'habitude et le Moi de réflexion :
. Félix Regnault.—Dans l'emploi de la suggestion pédagogique, il faut
distinguer
entre les sujets. Les enfants sont vicieux, indis
un signe de dégénérescence. Discussion Félix Regnault. — Il faut
distinguer
dans les familles qui fournissent beaucoup de mem
aire les choses bien clairement, un cas typique, bien caractérisé, on
distinguera
, ce me semble, facilement la suggestion au sens s
cinations provoquées chez une hystérique... Il n'est plus possible de
distinguer
la maladie mentale, qui est pourtant une triste r
l de suggestion. On peut continuer ainsi, à la condition qu'on semble
distinguer
à l'occasion ces diverses variétés.» Pour ma pa
VIIIe siècle et elle persiste encore de nos jours. • Il convient de
distinguer
le prophète ou veli des Arabes qui, étant hystéri
s, du prêtre chargé du culte, homme instruit et conservateur. On le
distinguera
aussi du saint ami de Dieu qui mène une vie d'aus
nnes, il vaudrait mieux donner à ces inspirés le nom de devin qui les
distinguerait
non seulement des prophètes, mais encore des augu
notiseur sur l'hypnotisé qu'on appelle suggestion et qu'est-ce qui la
distingue
des autres influences comme la persuasion, le con
e chante, un état d'émotivité qui ne l'abandonne jamais, mais qu'elle
distingue
nettement de l'état du trac, qui paralyse ses moy
allucination complète qu'éprouve Sainte Thérèse ; elle a bien soin de
distinguer
les yeux de l'âme de ceux du corps. Que veut di
t distinctes; on ne les entend pas des oreilles du corps, mais on les
distingue
plus clairement que si elles lui venaient par l'e
nnée à la congestion diminue d'autant celle de la bronchite, qui s'en
distingue
principalement par sa durée, par la lenteur de sa
amassée par un labeur de longues années, telle sont les qualités qui
distinguent
cet ouvrage. Nous ne savons si l'avenir en adopte
vision binoculaire; il amortit l'éblouissement, relève la faculté de
distinguer
les objets ; il rétablit la vue à distance, la vu
ment permanent du membre, cette grande laxité des jointures permet de
distinguer
à coup sûr le pied bot résultant de la paralysie
'où l'aspect d'une framboise (moins la cou-leur, bien entendu) .On ne
distingue
ni poils, ni orifices glandulaires. Le tégument c
tubes du nerf cubital, avant la cicatrice, paraissaient normaux ; on
distinguait
le cylindre-axe entouré de myéline et les noyaux
de 48 p. Paris, F. Savy, éditeur. plus de doute sur la nécessité de
distinguer
, dans les symptômes bien connus de l'alcoolisme,
vertèbres lombaires sont seules intactes. Dans cet orifice, on peut
distinguer
trois parties : une supérieure de beaucoup la p
s, — Spring dans son remarquable mémoire sur les her-nies du cerveau1
distingue
trois variétés de tumeurs congeniales : Io La Mén
e se déchire assez facilement, et, sur la surface ainsi dilacérée, on
distingue
très-bien les tubes séminifères enroulés et augme
n que découlent la plupart des principes de l'électrothé' rapie. On
distingue
en médecine deux espèces de courants électriques
autre exemple : Dans une chaudière de loco-motive, il y a également à
distinguer
la quantité d'eau élevée à une certaine températu
c un courant assez intense et une seule interruption par se-conde, on
distingue
toujours sur des muscles sains les deux con- tr
ime maladie infectieuse dont l'angioleucite est un élément; ce qui le
distingue
des fièvres éruptives, c'est que ces dernières so
rique que l'on introduit artificielle-ment ? Nous avons également à
distinguer
les trois phases : Io état initial; 2° état défin
Mais, à côté de cette grande division, il est encore nécessaire de
distinguer
les courants induits entre eux, car, selon leur m
d'ailleurs, seulement par l'intensité que ces accidents convulsifs se
distinguent
, c'est encore par la forme qu'ils revêtent, et, c
de mal. 11 y a d'ailleurs, dans cet état de mal des épileptiques, à
distinguer
ce qu'on nomme les petites séries, composées de 2
s qui se passent dans le muscle. • « Les analyses les plus récentes
distinguent
dans le contenu musculaire du sarcolemne deux par
spiratoires et l'ensemble des phénomènes qui lui succèdent. » On peut
distinguer
deux espèces d'asphyxie : l'as-phyxie par intoxic
culaires séparés par de larges traînées de tissu conjonctif : on peut
distinguer
dans ces dernières un syslèmc de lacunes, appréci
st partout notablement plus déve- loppé qu'à l'état ordinaire et se
distingue
par une prolifération nucléaire très-abondante. —
lète, la partie comprimée est le siège d'altérations profondes qui se
distinguent
par certains caractères spéciaux des autres forme
autre espèce de production néoplasique. En conséquence, nous aurons à
distinguer
, au point de vue histologi-que, plusieurs variété
e sale, et son sommet semble toucher la membrane de Descemet. — Morse
distingue
à peine la main placée à 20 centimètres de sa fig
qu'est mentionné l'ictère grave. Le diagnostic de l'ictère se borne à
distinguer
la coloration de la peau, produite par la bile, d
tient également au goitre basedowien. Dans certaines régions on ne
distingue
même plus de formations folli- culaires et on n
les névrites, et les crampes professionnelles. Remak assurément les
distingue
, tout en les réunissant sous le nom générique d
t des gens de cour. Ces bouffons, loin de ressembler à des fous, se
distinguaient
, au contraire, si l'on en croit l'histoire, par
ne se con- fondra pas avec celle de la manie furieuse. Mais comment
distinguer
, le masque imprimé par la mélancolie, psychose
s de modifications bien appréciables ; lorsqu'elle se contracte, on
distingue
une déviation de l'ensemble des traits vers la
rouesses sexuelles surtout. Rien de tout cela dans notre cas qui se
distinguait
par une intelligence moyenne sans aucun ca- 146
pré- sentatives d'idées. En résumé, la fonction intellectuelle se
distingue
des autres comme celles-ci se différencient ent
propre. Elle diffère de la fonction circulatoire comme celle-ci se
distingue
de la fonction respiratoire Sous tous les rapport
s pour la facilité de son étude ; comme on ne pourrait pas toujours
distinguer
sous le microscope une cellule médullaire d'une
lement sur les crampes fonctionnelles. Toutefois le bégaiement se
distingue
des crampes fonctionnelles par un certain nombr
r admettent deux formes : spasmodique et pa1'al ! Jti- que. Jaccoud
distinguait
quatre variétés : ]'akinpsie, les troubles de s
de le rattacher aux névroses coor- dinatrices d'occupation et de le
distinguer
-du tremblement delà sclérose en plaques, de la
le malade et son syndrome morbide. D'une façon générale, il faut
distinguer
, au point de vue du pronos- tic, les crampes d'
s ce cas pour indiquer la nature épileptique de l'affection, qui se
distinguait
de la crampe des écrivains ordinaire par ce fai
e tombait à terre; le spasme cessait avec le travail. Il importe de
distinguer
cette crampe professionnelle de la névrite corr
l'os une masse compacte dans laquelle il n'est plus possible de la
distinguer
. Pour le tibia, il faut noter une raréfaction c
sticateurs. LES ALTÉRATIONS OSSEUSES AU COURS DE LA MYOPATHIE 237
distingue
cependant bien les trabécules osseuses ; la dimin
la tumeur, est très altéré ; il se colore ma par les réactifs ; on
distingue
seulement une masse granuleuse présentant quelq
ic de polynévrite. . Enfin l'affection de notre malade pouvait se
distinguer
de la poliomyélite antérieure aiguë par l'absen
oloration par l'héma- téine-éosine. les coupes de nerf sciatique se
distinguent
immédiatement de coupes provenant d'un nerf nor
dans un tronc nerveux normal ; d'autre part on peut à première vue
distinguer
deux espèces de noyaux : les uns sont petits, a
cas, par le fait même de la structure des fibres à myéline, on peut
distinguer
deux degrés : ou bien la cellule à myéline est
qui, bien qu'occupant la région du pyramidal croisé, sont faciles à
distinguer
, même sur les coupes colorées an Weigert-Pal, d
s dénominations de nævus-vascularile et de næl'us-né- vrite, Ils se
distinguent
l'un de l'autre par leur origine, par leur pathog
nale et la métamérie ra- diculaire ont été confondues ; il faut les
distinguer
nettement l'une de l'au- tre. Au niveau du tron
la paroi postérieure de la poitrine. Nous avons donc été amenés à
distinguer
, avons-nous dit, dans le grand chapitre de derm
ose de la colonne vertébrale. Osipoff et toute l'école de Bechterew
distinguent
deux formes de la maladie et soulignent l'origine
articulation, présentent un ensemble anatomo- pathologique qui les
distingue
facilement des autres lésions ou néoforma- tion
vraie face. Outre cela, dans le tiers supérieur du côté interne on
distingue
plusieurs exostoses de la grosseur d'une noiset
qu'une description. Sur les photographies ci-jointes (Pl. LVII) on
distingue
la grosse tête avec le front fuyant, le thorax
est donné comme constant; en réalité il l'est si peu, que Jonckerai
distingue
une forme d'ostéite non douloureuse et une form
ens qu'il s'agit également de dégénérations systématiques ; il s'en
distingue
néanmoins très nettement par la topographie diffé
des deux côtés, mais ses limites présentent un certain flou ; on ne
distingue
plus le hile qui est presque absolument décolor
ap- paraît comme une masse arrondie, décolorée, dans laquelle on ne
distingue
plus les circonvolutions. Au microscope, dans
analogues, elles sont plus accentuées du côté gauche ; à droite on
distingue
encore un peu la forme des circonvolutions oliv
une nouvelle classification des affections du cervelet (1). Il en
distingue
six classes : trois n'ont pas trait aux atrophies
relle. On pourrait, il est vrai, parmi les atrophies systématisées,
distinguer
celles qui s'accompagnent de sclérose névrogliq
nces, claires, leur substance médul- laire, très peu développée, se
distingue
à peine. Les ovaires sont oblongs, lis- ses, ég
es généra- lisées à tous les os des membres et nous ont appris à en
distinguer
deux sortes, relevant de deux processus très di
finités spéciales à chacune de ses combinaisons et ses réactions se
distinguent
des réactions inorganiques comme celles-ci se d
ctère d'universalité, il ap- pela les premiers instinctifs pour les
distinguer
des seconds. Le terme «instinct» est donc le pr
convention- nelle qui tranche dans les phénomènes naturels pour les
distinguer
. Sont donc qualifiées instinctives l'ensemble d
lui sont imposées et, je pense, également imposées. L'habitude se
distingue
des manifestations vitales dont il vient d'être
l m 718 LEFÈVRE IV Les phénomènes d'habitude et d'aptitude se
distinguent
par un ensemble de caractères dont quelques-uns
ssance, mais adaptée à des résultats qualifiés artificiels pour les
distinguer
conventionnellement des précédents ; elles relè
peut- être même impossible, sur des coupes de bulbe nor- mal, de
distinguer
ce qui appartient à l'entrecroisement moteur et
fevnert, ' 1 Iluguenin, Sappey et Mathias Duval. ". M. Huguenin 2
distingue
dans le bulbe trois cntre- 1 Meynert. - Von GeM
asmiques volumineuses teintées en jaune, et au niveau desquelles on
distingue
un nombre quelquefois considérable de noyaux co
colorée èn'¡i.oir par l'acide osmique e,t au.imilieu, desquelles on
distingue
un certain, nombre, de noyaux colorés 'en rouge
ci les deux accès sont de nature pénible, mais la perte du souvenir
distingue
celui qui dépend de l'épilepsie. D'autres foi
i multipliés qu'ils se rappro- chaient de l'état de mal dont ils se
distinguaient
, en ce sens que, après chaque accès, l'enfant r
l'état du malade. La paralysie motrice a peu dimi- nué ; le malade
distingue
un peu plus nettement les objets. 22 mars , 6 h
se. Dans les points où la lésion n'est pas très avancée, on peut la
distinguer
nettement du parenchyme cérébral, quoiqu'elle f
ne une région plus profondé- ment affectée, il devient difficile de
distinguer
la pie-mère et de la différencier du tissu nerv
es ! petites mailles, dont, jecpnenu est impossible à définir. On y
distingue
également un certain ^nombre de)Cescorpuscu1esr
lfll"5 ';m''lul'W Ji 1 `l li i ? `· ont les caractères tranchés qui
distinguent
les cellules Gi0(U ! G'JI<OUhil .'JlJ;f11'"
If";rtll" 211,,jLf/n'r'O' nées; et comme ils sont tortueux, on n en
distingue
que rr n'str,r o t) ' ;> ,1 <1')11(\1,,11
H ; n > r' > ,. i ,, 0- ,.uu i. effet dans les deux types que
distingue
M. Lasègue : le premier comprenant « les'délire
formes de délire, malgré leur enchevêtrement, deviennent faciles à
distinguer
lorsqu'on est prévenu. M. Gar- nier a observé d
s au moins des cas d'aliénetion attribués à l'alcoolisme. Comment
distinguer
l'alcoolisme primitif de l'alcoolisme secondaire
t un parallélisme complet avec celui de l'aisselle» (page 92). On y
distingue
, par conséquent, les trois périodes classiques,
e ventri- cule latéral était dilaté : déprimés sur ses parois, on
distinguait
la couche optique et le noyau caudé. Sur l'hémi
ÉBRALES. 371 interne et externe, de Gratiolet) (PL. X, XI, po) : on
distingue
moins nettement le sillon interpariétal (PL. X,
cation tranchée ; peu à peu la névro- glie devient plus lâche, on y
distingue
quelques cel- lules et une certaine quantité de
moindre trace de myéline ; et sur les bords du foyer seulement, on
distingue
quelques cylindres axiles. Chose remarquable,
ation de ce tissu morbide, elle est excessivement restreinte. On ne
distingue
pas dans les nodules scléreux le riche réseau c
sféré, c'est la sensibilité. Une fois ce résultat obtenu, rien ne
distingue
plus l'évolu- tion des phénomènes de celle qu'o
forme et en étendue, se déve- loppent d'une façon uniforme; rien ne
distingue
celle qui est voisine du métal. Elles ont d'abo
t ne se font pas en bloc, pour ainsi dire. On peut, au contraire, y
distinguer
des phases de transition pendant lesquelles les
à myéline et de fibres de Remak ; autour des faisceaux nerveux, on
distingue
nettement une gaîne de péri- nèvre. La moelle
ysiologie pathologique de ce symptôme; or, dans les deux formes que
distingue
M. Lion, l'état physiologique de la fibre strié
t des deux côtés à un degré avancé : le malade ne pouvait alors que
distinguer
les lettres du n° 2 de Jager. On commença ce mê
par Aug. WALLER. (ThePractztC07t72eT, août 1880, p. 101.) On doit
distinguer
deux formes de crampes professionnelles, la for
btttr, la;troisième 'circonvolution frontale .(PL. XIV, fig. 2). On
distingue
clairement; ! surjette "coiïpefl'invôlutiôn à€&
peut \\-,< -8 ? nm.Ki v 'j't ? 6 ? **> : ''k" ii» %o ; 1 en
distinguer
nettement qu après .avoir plonge la si 41) ,t0«
(de coiïps^Ile m3q z ment ; mais a cote de ces .petites taches se
distinguaient
par- fâiteWrit^eWa^ nilarmllnülès dimehsionâf
lle bégaiement, agitation spasmodique, bredouillement convulsif. Il
distingue
le bégaiement, qui est la répétition de sons ou
gie de ces phénomènes avec l'as- phyxie locale de Raynaud; ils s'en
distinguent
cependant par un certain nombre de caractères;
(6'or ? '. Blatt fier Schweiz. Aerzte, janvier 1880.) M. Massini
distingue
deux formes de migraine : 1° la forme angioloni
le plus grand soin l'épi- lepsie partielle d'origine syphilitique,
distingue
dans l'épilepsie partielle trois variétés : l'é
alade est hébétée et il est rare qu'elle tombe dans le coma, ce qui
distingue
cette forme de l'épilepsie vraie. Cette épileps
nta- nément un rôle important dans l'aura hystérique. Il faut les
distinguer
de la dermalgie, car tandis que dans celle-ci la
tes, colorée en noir par l'acide osmique et au milieu desquelles on
distingue
un certain nombre de noyaux colorés en rouges.
il ne semble pas que les y timlrcs-avcs soient interrompu* ; on les
distingue
nettement, aussi loin qu'on peut suivre les lib
é visuelle est normale, l'enfant voit bien de près et de loin; elle
distingue
et reconnaît les couleurs. Le nez est droit, sy
est en croissant. Pas d'ona- nisme. Le goût est normal, l'enfant
distingue
bien les saveurs acides ou sucrées. Elle mange
aroi des capillaires, elles perdent leur gaine de Schwann, et ne se
distinguent
plus des autres libres de la moelle. D'autres f
rnier étant demeuré intact sur presque toute sa longueur. Il faut
distinguer
dans le complexus symptomatique les dégâts dire
e, coe- xistent chez notre malade, et s'y laissent assez aisément
distinguer
, reconnaissant tout à la fois une pathogénie de
t le contenu de nos idées conscientes. Les lecteurs de pensées se
distinguent
du commun des mortels en ce (pie, possédant de
res et Fli. qui du côté sain apparaît sous forme d'un U noir, ne se
distingue
presque pas dans sa partie inférieure de Rth. D
nonce dcs paroles plus ou moins inintelligibles parmi lesquelles on
distingue
certains mots tels que « Dodo, gros bébé, mon m
qu'impose la nature d'un sujet déjà si complexe par lui-même, et de
distinguer
par- mi les phénomènes qui ont été décrits sous
nt autant d'éléments qui devront donner l'éveil, en contribuant à
distinguer
l'affaiblissement définitif du dément précoce d
a- raît qui frappe assez rapidement l'observateur attentif et qui
distingue
l'activité en question d'une activité com- plèt
l'hémianopsie par lésion anatomique du cervelet, desquelles elle se
distingue
par sa marche et par la pré- sence d'autres phé
es fois le type continu de la fièvre typhoïde. Fabre, de Marseille,
distingue
cinq formes : éphémère, chronique, inter- mitte
ation motrice du sarcoplasme anémié, fatigué ou mourant, et elle se
distingue
par l'absence complète de propagation do l'onde
érieurs et des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Les premiers se
distinguent
par l'existence d'epaississements, de gonflemen
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 305 fixe dans la zone motrice. 11 faut
distinguer
avec le plus grand soin le torticolis mental du
jours par Bail, Chaslin, Séglas cL Anglade. Il faut tout d'abord
distinguer
les cas dans lesquels la confusion estle trouble
bservations minutieusement analysées, dans lesquelles l'accès ne se
distingue
en rien de l'épilepsie fonctionnelle, soif tlue
oniques, psychoses systématisées primitives ou secondaires. Il faut
distinguer
, au point de vue pratique l'isolement, mesure thé
malade répond qu'elle ne voil absolu- ment rien. Elle ne commence à
distinguer
les objets ({u'à une distance très rapprochée d
optries à gauche contre 5,1-)o à droite, et encore le sujet ne peut
distinguer
(pie la lettre E qui lui parait de grandeur plu
boîte devant les yeux de la malade qui répond sans hésiter qu'elle
distingue
deux points de dimensions égales, de la grandeu
écédente et dis à Valentine de lire en fermant l'oeil gauche : elle
distingue
après hésitation les lettres de la fin de la ph
rien avec l'oeil droit ; elle paraît donc amaurotique et ne devrait
distinguer
que la lettre F en rapport avec l'oeil sain ; o
'mpéricncu préctnicnte n 23, ou constate également que l'oeil droit
distingue
parfaitement les images, en dehors de la vision
rouge sur le vert, ce qui donne noir, la vision droite peut encore
distinguer
les lettres rouges, mais ces lettres sont dimin
ui l'cntourent, n'a a pas J'amblyopie de son oeil malade ; cet oeil
distingue
parfaitement par lui-même les objets, soit seul
é- raux entraînent une incontinence urinaire permanente qui ne se
distingue
pas essentiellement de l'incontinence spinale. 3°
rectement des troubles de l'intelligence. On peut ce point de vue
distinguer
deux catégories de malades donnant lieu chacune
avaux, il prit à nos discus- sions une part des plus actives, et se
distingua
dans les Commissions par son esprit très ouvert
xcitabilité électrique, et jamais de modification qualitative, ce qui
distingue
absolument ces altérations musculaires de l'atrop
gré la volonté de l'expérimentateur qui résistait. Rien jusqu'ici qui
distingue
nettement le cas du simulateur de celui de la mal
par une lésion systématique. Au point de vue symptomatique, on peut
distinguer
trois périodes.. La première période,période né
u malade s'est amélioré aujourd'hui d'une façon notable, il faut donc
distinguer
deux périodes : l'une du 3 au 30 mars, la seconde
arisée parmi nous, de cette forme clinique. Notre cas, ajoutai-je, se
distingue
de la plupart de ceux du même genre qui ont été p
e en pleine mer, je vous répondrais que, quoique sachant parfaitement
distinguer
les trois choses très différentes et sachant très
laquelle se serait surajouté l'élément spasinodi-que qui suffit à la
distinguer
. Ce groupe est nosologiquement distinct et très l
ion de dégénérescence dans quelques-uns des muscles atrophiés. Ils se
distinguent
cliniquement de la sclérose latérale amyotrophiqu
ent parfaitement être rapportés à la forme juvénile. Mais celle-ci se
distingue
cependant de l'atrophie musculaire progressive de
es. Pour mieux mettre en relief les caractères si particuliers qui le
distinguent
, j'ai voulu employer la méthode des contrastes ;
u champ visuel, plus accentué du côté droit. De ce côté, le malade ne
distingue
pas le violet, tandis qu'à gauche il reconnaît to
produit spontanément, inaugurant ainsi une nouvelle attaque qui ne se
distingue
en rien de la première et qui peut être suivie de
ans la paume de sa main ; lorsqu'il ne les regarde pas, jl ne saurait
distinguer
, sans s'aider du palper, une pièce de 5 rancs d'u
es caraclères spéciaux, qui permettraient, suivant M. Parinaud, de la
distinguer
des autres espèces du même genre. Le cristalin
ces causes, la polyopie des hystériques paraît, je vous l'ai dit, se
distinguer
par des caractères propres. Je veux parler de la
de quelques centimètres de l'un des yeux, l'autre élant fermé, il ne
distingue
alors qu'une seule image. Mais si lo crayon est é
s cliniques de la monoplégie de Porcz... ne diffèrent pas de ceux qui
distinguent
certaines formes de paralysies hystériques bien a
s signes pourra-t-on reconnaître ces arthralgies sine materia, et les
distinguer
des arthropathies organiques ? — Le diagnostic es
étude des caractères qui suivent nous sera sans doute plus utile pour
distinguer
ces deux affections. 3° La douleur présente des
bornerai seulement à relever que, parmi les caractères cliniques qui
distinguent
la contracture signalée par M. Yolkmann, il faut
essieurs, voici l'énuméralion des grands caractères qui, suivant moi,
distinguent
le mutisme hystérique et en font 1. Voir I'Appe
ité et sur le mouvement, présentant en un mot tous les caractères qui
distinguent
les paralysies hys-téro-traumatiques, considérées
, pour ainsi dire, de diagnostiquer sa nature à première vue et de la
distinguer
des diverses formes d'aphasie de cause organique.
il est difficile de tracer les caractères qui pourraient permettre de
distinguer
cliniquement les aphasies corticales (par lésion
olismefuL présente quelques0 nuances/quelques -touches; : qui l'en)
distinguent
c en une certaine mesure ;- par exemple, ces ph
on puisqu'elle n'était pas malade, et en outre, la possibilité de
distinguer
du sang à quatre heures du matin en hiver, à la
caractéristique. Indépendamment des anamnestiques, comment en effet
distinguer
la neurasthénie spinale simple' de la névrose t
aître ces REVUE'DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 41 faits et de savoir les
distinguer
pour éviter, comme ici, d'impor- tantes erreurs
araplégie répond ! cliniquement' à la myé- lite transverse. On l'en
distingue
jusqu'à'un certain point,' non par les symptôme
faiblissement secondaire des facultés intellec- tuelles. Il faut le
distinguer
de la confusion mentale ou désordre dans les id
nservent le souvenir. Le délire systématique hallucinatoire aigu se
distingue
du délire sys- lématique chronique (paranoïa) p
lée n'a pas admis cette thèse. Il résulte de sa décision qu'il faut
distinguer
entre les asiles publics dont l'administration
ique que tous les criminels sont des anormaux. Dans la pratique, on
distingue
ceux qui sont susceptibles de s'amender et les
ois tableaux pathologiques, mais ils sont tout à fait indiqués pour
distinguer
ces trois tableaux morbides sur le fonds commun
ence mentale. Il est vrai que nous manquons d'un critérium sûr pour
distinguer
dans la pratique celles des impulsions qu'on do
en clinique de conserver à l'hystérie son individua- lité et de la
distinguer
autant que possible des autres modalités de la
uction. Il y aurait donc lieu, parmi les névrites périphériques, de
distinguer
celles qui sont de cause centrale et celles qui
s nerveuses indépendantes d'une lésion des. centres nerveux ! On en
distingue
deux grandes catégories, suivant qu'elles sont
de ces recherches dans l'essai de classification suivant : On peut
distinguer
trois grandes catégories d'altérations péri- ph
q cents places de l'asile d'alcooliques ? M. A. Voisin (de Paris)
distingue
les ivrognes occasionnels et les ivrognes de pr
observe que, de même que pour l'hystéro-traumatisme, il y a lieu de
distinguer
une neurasthénie traumatique distincte de la ne
provoqué et l'état qui succède à l'expérience de Strumpell, qu'elle
distingue
formellement, en revanche, de son sommeil norma
ntralbl., 1893.) i , 1 . Femme de soixante ans. Hémichorée qui se
distingue
des clio- rées ordinaires de l'enfance, du jeun
élancolique, elle représente la phase ultime de la pre- mière etsse
distingue
de celle-ci par le substratum de la faiblesse i
issent, guérissent, quand celui-ci prend son cours normal. Cela les
distingue
de ce qu'on a appelé la folie menstruelle typiq
ingue de ce qu'on a appelé la folie menstruelle typique; ce qui les
distingue
encore, c'est l'existence d'une très minime pré
eur revendique à l'angoisse sont tout à fait les mêmes que ceux qui
distinguent
l'hystérie de la neurasthénie : telles la parap
sthénie. L'auteur établit nettement les principaux carac- tères qui
distinguent
les fugues dans ces diverses neuropathies et qu
bien là < ces voix hypnotiques » comme il les appelle, pour les
distinguer
des voix naturelles, ces « invisibles » si nomb
devenir la base d'un système de conceptions organisées. Cet auteur
distingue
: une Ve2,rücktheil mélancolique une Verrùckthe
ce sont encore eux qui nous serviront de guides quand il s'agira de
distinguer
, en présence d'une confusion mentale avec une a
chronica ou secondaire qu'il est bien difficile, on le conçoit, de
distinguer
de la démence confuse (dementia coifus(z ? Peut-e
temps hallucinations accompagnées de délire suraigu dans lequel on
distingue
déjà un noyau d'idées délirantes coordonnées; p
peut être difficile de délimiter la folie systématique aiguë, de la
distinguer
de plusieurs cas de mélancolie hypocondriaque,
ésajustées ou déplacées (Incon- gruoenz). La confusion mentale se
distingue
donc, de par sa nature, de la folie systématiqu
e donc, de par sa nature, de la folie systématique aiguë; elle s'en
distingue
aussi de par son étio- logie, puisqu'elle début
r telle ou telle terminologie. On est donc parfaitement en droit de
distinguer
deux variétés de folie intellectuelle primitive
logie générale. Pour arriver, en se tenant dans la clinique pure, à
distinguer
et à grouper les maladies, itfautparvenir à ass
ts de Duchenne comme des cas de myélite- diffuse subaiguë qui ne se
distinguent
d'autres cas -de cette maladie que. parce, que
use subaiguë. Il fait remarquer toute- fois que ces myélopathies se
distinguent
de la myélite subaiguë habituel le en ce que da
risant le type qu'il voulait établir,mais ce sont des cas qui ne se
distinguent
pas par des caractères bien/ nets des 'faits or
onnaître la lésion fondamentale qui caractérise ces amnésies et les
distingue
de tous les autres. - Il y a d'abord dans la mé
ompliquées qui nous permettent de reconnaître les souvenirs, de les
distinguer
soit des imaginations, soit des sensations prés
ie droite ou d'hémiparésie. Affection de courte durée. Mort. Ce qui
distingue
ce fait de ceux de Berlin, c'est que le patient
sse les cas connus d'après leur évolution et leur étio- logie. Il
distingue
: 1° Les faits à évolution suraiguë, mort en qu
Il est certain que c'est au spé- cialiste qu'appartient la tâche de
distinguer
rigoureusement la ma- ladie de la dégradation m
2; il parle notamment de la difficulté constatée par Binswanger de
distinguer
suffisamment les épilep- tiques aliénés des épi
champ visuel est un peu rétréci (70° du côté externe). Le ma- lade
distingue
confusément les couleurs, mais. sa dischromatopsi
out de quatre jours, le matin ; et la cécité complète (le malade ne
distingue
pas. le jour de la nuit),, dure cette fois pend
En même temps la malade a remarqué que quelquefois elle ne pouvait
distinguer
les objets que d'un seul côté (hémiopie), à dro
oient en état d'indiquer la direction du mouvement du corps et d'en
distinguer
les approches ou la distance. Tel est le problè
, elles se manifestent sous des formules différentes. On peut ainsi
distinguer
: 1° des idées hypocondriaques de néga- tion, c
emps de Lasègue, et des recher- ches ultérieures nous ont permis de
distinguer
des variétés parm les délires de persécution qu
e, ainsi qu'il en arrive chez les persé- cutés pour lesquelles nous
distinguons
aujourd'hui certaines variétés différant par l'
essionnés par ce mode de traitement. Ces deux genres de maladies se
distinguent
donc par bien des côtés, par l'expression sympt
r la physionomie générale de son délire à tous les persécutés, s'en
distingue
cependant par un caractère de premier ordre. C'
l, avec la synostose préma- turée. » Au point de vue opératoire, il
distingue
la crctniectomie linéaire et la crdniectomie à
petites phrases, connaît le nom de toutes les parties de sou corps,
distingue
les couleurs, etc., etc. Cette seconde série
été décrite par M. Dela- siauve, en ajoutant primitive, afin de la
distinguer
des formes où il y a aussi confusion, mais seco
les amnésies partielles; et, dans chacun de ces grands groupes, il
distingue
, selon que les amnésies sont systéma- tisées, o
athologie spinale. Parmi les dégénérations descen- dantes, l'auteur
distingue
celles qui sont consécutives aux lésions du cer
s. Pas de nistagmus. - OEil droits Légère discromatopsie. La malade
distingue
très bien toutes les couleurs, mais elle appell
jours plus limitées; ainsi à l'heure présente elles ne sauraient se
distinguer
en rien des paresthésies, qui ont été ressentie
l'amnésie hystérique. Nous rappellerons seulement qu'il y a lieu de
distinguer
des formes généralisées, localisées et sys- tém
goût et l'odorat sont abolis complètement des deux côtés. Cha... ne
distingue
pas l'odeur du sulfate de carbone ni le goût d'un
aunehémianesthésiesensitivo-senso- rielle épileptique impossible à
distinguer
de celle qui accom- pagne l'hystérie. Mais nous
tc.) adoptées jusqu'à présent. De telle sorte, qu'au lieu de devoir
distinguer
, comme M. Féré le proposa, des migraines ophtal
De même pour l'odorat. Cécité complète de l'oeil gauche qui ne peut
distinguer
la lumière du jour des ténèbres de la nuit. Pas
munication ne saurait s'appli- quer qu'à l'ivresse délirante que je
distingue
du délire alcoollique. M. GaisNtea se défend d'
gue ressemblance avec ces paralysies spasmodico-choréïques, il s'en
distingue
notamment par ce point que la contracture et l'
sale. Les ascendantes étaient atrophiées. Mais il faut s'attacher à
distinguer
la chorée, infantile et la chorée d'lluntington
sons que nous avons indiquées dans notre travail précédent, on peut
distinguer
les quatre classes suivantes : 1° psychologie des
ée dominante. Il est impossible de décrire mieux les caractères qui
distinguent
le somnambulisme hystérique ou délire de la phase
ude d'une personne qui regarde au loin : « Quel est cet homme ? Je ne
distingue
pas bien. Tiens, voilà un poteau. » — D. « Quelle
ge. » Et épelant une inscription la tête penchée en avant, comme s'il
distinguait
les lettres avec difficulté: « Jeune homme, vou
iser en quelques mots cette sorte de concentration hallucinatoire qui
distingue
les somnambules de ce genre. Nous avons vu ailleu
des caractères propres du délire que présentait ensuite le malade, de
distinguer
cet état de somnambulisme hystérique de la vérita
eux seuls un élément d'appréciation indiscutable. Les différences qui
distinguent
les divers cas les uns des autres sont toujours d
'existence du somnambulisme naturel ou noctambulisme simple (1). Pour
distinguer
nos (1) Il y a cependant sur ce point certaines
ouver dans leur récit un certain nombre de caractères qui suffisent à
distinguer
le dédoublement de la personnalité, et qui se tro
endrai plus loin sur cette question des différences qui permettent de
distinguer
le dédoublement de la personnalité du somnambulis
'hypnotiser. M. Ladame décrit, ainsi qu'il suit, les caractères qui
distinguaient
chacune des deux personnalités de sa malade. «
lente et emportée. C'est donc surtout une différence de caractère qui
distingue
l'état second. En ce qui concerne le souvenir, il
isés par des modifications psychiques, physiques et pathologiques qui
distinguent
nettement chacun d'eux de tous les autres. Inut
plus en plus effacées et courtes. Son mari seul était capable de les
distinguer
, tellement bien elle savait les cacher, de façon
ns toutes ses apparitions. Le phénomène le plus caractéristique qui
distingue
cet état et empêche dès l'abord toute confusion a
est beaucoup moins prononcé (60° à gauche, 70° à droite) et la malade
distingue
parfaitement bien toutes les couleurs (v. Fig. 5)
ig. 8!. Il n'existe, d'autre part, aucun trouble de la motilité qui
distingue
cet état du précédent. Fig. 8. — Champ visuel d
modifications qui peuvent survenir dans l'état second et servir à les
distinguer
de l'état normal. Tout d'abord nous trouvons so
s fois par jour; ces accès n'ont pas cessé depuis lors. Le malade les
distingue
très explicitement d'un endolorissement, d'un eng
ronique. On (1) Galezowski. — Traité des maladies des yeux, 1875.
distingue
néanmoins l'atrophie optique du tabès de l'amblyo
de la tuberculose. Nous en avons trouvé un certain nombre, faciles à
distinguer
. 2° Examen des pièces durcies. — a. Une mince t
oculaire externe, en arrière. Sur la préparation faite à ce niveau on
distingue
très bien le trajet des fibres du facial qui, par
te à ce niveau sur le noyau du moteur oculaire externe droit, dont on
distingue
toutefois encore quelques cellules. Il dépasse le
épileptique (1). On sait qu'il est de règle générale de dire, pour
distinguer
un épileptique d'un hystérique, en ce qui concern
issent beaucoup moins fréquents que l'aura véritable. Les auteurs les
distinguent
en général de cette dernière et, pour cette raiso
différent du scotome scintillant et la malade savait parfaitement les
distinguer
l'un de l'autre. Il est donc vraisemblable d'adme
psycho- infantiles » ne sont pourtant pas des imbéciles ; ils s'en
distinguent
sur- tout par le caractèreje maintien et la log
s extérieures telles que le froid humide. Elles ont enfin permis de
distinguer
, parmi elles, deux principaux types auxquels on
906. (6) Pour M. P. Marie, au contraire, le rhumatisme chronique se
distingue
essentiel- lement de la spondylose rhizomélique
ans ces gaines volumineuses sont parfois assez bien conservées ; on
distingue
facilement-leur cylindre-axe entouré d'une gain
ondant, sans dégénération ou sclérose. Au contraire la toison ne se
distingue
pas, par sa coloration plus foncée, de la subst
rendre compte des lésions dégénératives ». Ces atrophies seraient à
distinguer
des atrophies simples et congénitales où le cer
st seul admissible, comme il va être dé- montré, bien que ce cas se
distingue
par un certain nombre de points de ceux qui ont
e. Mais cet oedème aigu,angio-neurotique, la maladie de Quincke, se
distingue
absolument du trophoedèmes et par sa fuga- cité
au diag- nostic de trophoedème que nous avons adopté. Henry Meige
distingue
, d'ailleurs, lui-même un trophoedème familial e
e le tra- pèze apparaît trop mince, privé de son aponévrose ; on ne
distingue
guère le rhomboïde ; les apophyses épineuses de
tique se souviennent certainement du soin que j'ai mis à leur faire
distinguer
sous la peau du modèle ces divers états muscula
chez les sujets vigoureux en pleine santé.. Les muscles écorchés se
distinguent
les uns des autres par leurs reliefs et des sil
èrent les descriptions des formes diverses des myopathies, que l'on
distinguait
soigneusement les unes des autres, nous pourrio
DE DYSOSTOSE CLÉIDO-CRANIENNE 233 tose cléido-crânienne, elle s'en
distingue
par contre par l'existence d'un certain nombre
Ces cellules épithélia- les ne sont pas différenciées et on ne peut
distinguer
ni cellules de Sertoli ni aucune cellule de la
S. 300 KL1PPEL ET BOUCHET sont normales. Puis, plus en dehors, se
distinguent
trois muscles, dirigés lon- gitudalement suivan
rofonde de la peau. Parmi les muscles de la région antérieure on ne
distingue
que le cubital antérieur et le fléchisseur des
é numérale ; sur la base du prisme qui termine en bas l'humérus, on
distingue
une base interne et un sommet externe. Il existe
ecouvrant les bour- geons sont richement vascularisées, mais on n'y
distingue
pas de corpuscules de Meissner, mais la pièce n
n haut et en avant; le calcanéum paraît très irrégulier. On ne peut
distinguer
les os du tarse qui semblent soudés à l'os uniq
oudés à l'os unique de la jambe. Le métatarse existe au complet. On
distingue
très nettement les métatarsiens à leur insertion
tion atrophique. Les libres névrogliques sont déjà très denses ; on
distingue
pourtant celles qui appartiennent Il couche mol
tout le reste du processus sclé- reux a un aspect qui doit le faire
distinguer
de la plaque véritablement sénile : la névrogli
au milieu d'autres lésions, elles, séniles (Pl. LXII, fig. 2). On
distinguera
avec la même assurance un cervelet sénile du cerv
ais très rares dans le cervelet sénile. Ainsi le cervelet sénile se
distingue
parfaitement du cervelet atrophi- que et du cer
i n'est pas exceptionnel dans les tumeurs de l'encéphale, le cas se
distingue
par quelques particularités cliniques qui seron
et est admis à l'Hôtel-Dieu dans le service de M. de Lapersonne. Il
distinguait
encore les couleurs et voyait très bien, dit-il
le cas de Moucheté ! Vaillant, et le cas de Pagenstecher. On peut
distinguer
parmi les hémimélies, trois groupes : a) Hémimé
masses de tissu spécialement condensé, dans les- quelles on ne peut
distinguer
aucune indication de segmentation entre les mét
t sont séparées par une aréole de tissu condensé. Muscles : On peut
distinguer
l'un de l'autre : grand pectoral, petit pec- to
eur, les mus- cles de la main ; c'est il ce moment seulement que se
distinguent
nette- ment les différents muscles qui composen
ion qui en a été donnée par \111. Bourneville et Sol- lier, pour la
distinguer
de la porencéphalie vraie. Ce cas nous a paru in-
les autres sont dues à des variations de localisation. 3° On doit
distinguer
dans les déviations du torticolis celles de la tê
particu- lière ; ils sontenchâssés entre les premiers. Flechsig en
distingue
parti- culièrement trois : l'antérieur ou le fr
pan- chement supposé sur les surfaces libres du cerveau. Todd (2)
distingua
le premier deux sortes de contractures : la contr
re. Mais déjà dans la partie supérieure de la capsule interne on ne
distingue
plus, avec la méthode de Weigert-Pal, des espac
oblitémnte transitoire ou permanente, de cause inconnue. Elle se
distingue
des faits classés habituellement sous la rubrique
e métacarpien du pouce donne à gauche une ombre pres- que opaque on
distingue
facilement à droite des travées osseuses fines al
dans la petite bourse infé- rieure de la figure 19, qui ne peut se
distinguer
, quant au caractère que nous considérons, des o
les bizarreries du costume comme des caractéristiques aptes à faire
distinguer
la vraie.manie de la simple exaltation maniaque
voir la saillie des tendons. A travers la chemise entr'ouverte, on
distingue
chaque détail du cou et de la région sternale. La
égion maculaire. L'acuité visuelle est nulle, le malade ne pourrait
distinguer
le jour delà nuit. Pas de troubles de l'intelli
son exaltation durant les accès (Pl. XXVIII). Le plus souvent on y
distingue
nettement la trame des processus délirants qui
petites vésicules le protoplasma est assez étendu pour qu'on puisse
distinguer
les cellules principales de Langendorff et les
ies émises pour les expliquer. Les faits. , Il faut immédiatement
distinguer
les modifications psychiques qui font partie in
syndrome d'allure basedowiforme produit par l'hyperthyroïdie. Il se
distingue
des troubles nerveux ordinaires par un nervosisme
iffèrent peu de ceux de l'hémiplégie hystérique. Il faut au moins
distinguer
dans la démarche hémiplégique organique deux pé
a démarche dans la coxite organique. Deux sortes de démarche sont à
distinguer
chez les coxi tiques organiques : 1° la démarch
ilité intense de son contenu, et ensuite son uniformité. On ne peut
distinguer
à l'intérieur du noyau l'élégant réticulum acid
art, un oeil non prévenu aurait quelque peine, au premier aspect, à
distinguer
ces lésions : Cette absence d'exubérance du pro
se rhizomélique ; la raison en est dans l'absence d'hyperostose qui
distingue
cette affection du rhumatisme anky- losant vert
mptômes très accusés d'irritation spinale est un des caractères qui
distinguent
le syndrome de Bechterew de celui de Marie Strump
l jusqu'à la dixième année à peu près et la petite Marguerite ne se
distinguait
d'aucune façon à cet âge des autres enfants nor
la vision s'accentua de telle façon que le patient ne pouvait plus
distinguer
que les objets placés de côté, surtout ceux du cô
as parvient à avoir un volume énorme. On peut par ta. je le répète,
distinguer
l'acromégalie du gigantisme et de quelques hype
fut définitivement perdue après un érysipèle en 1890. Cependant il
distingue
en- core, même actuellement la silhouette, des
ologique en a été étudiée par Zuckerkandl (1), parHa- notte (2) qui
distingue
nettement ce genre de crâne-des déformations hy
vue et même de l'odorat sont plus importants à pré- ciser. Patry
distingue
au cours de la déformation crânienne plusieurs ty
loyaient, soit par maladie, soit par répétition physiologique. Pour
distinguer
arbitrairement ce cas du suivant avec lequel se c
ujours physiologique, mais qu'on pourrait appeler organique pour le
distinguer
du précédent, de l'excitation consi- (1) FÉnH :
, elle est autre. Son excès de sensibilité, d'impressionnabilité la
distingue
des autres états considérés comme normaux. Ce
e. De la faiblesse musculaire névro- sique qui, en elle-même, ne se
distingue
pas de l'état organique de même nom, nous arriv
e prend le nom.d'hyperes- thésie. La névrose et l'état normal ne se
distinguent
donc que dans leurs cas extrêmes, comme la rais
il n'est pas douteux que, dans ses manifestations avancées, elle se
distingue
parfaitement de la condition normale et qu'elle
au hasard sous l'une ou l'autre rubrique. Je comprendrais que l'on
distinguât
les états névrosiques les uns des autres, si ch
ilial à propos de deux soeurs ; pour lui l'infantile tuberculeux se
distinguerait
des autres non seulement par l'exiguïté de ses fo
ressort, quand ils ne se le pressaient pas les uns aux autres? Ce qui
distingue
notre société contemporaine et européenne de ces
sonne sur une autre, psychologiquement polarisée. 11 y a sans doute à
distinguer
le respect dont on a conscience, et celui qu'on s
autres rapports. Une rechute me paraît tout-à-fait impossible; ce qui
distingue
peut-être mon état actuel, c'est qu'en effet j'ai
elle ne s'écarte pas de l'aspect ordinaire, et n'a rien qui puisse la
distinguer
. Ce sont des délirants quelconques, chez lesquels
ressionabilité, l'illusion est si complète qu'il ne parviennent pas à
distinguer
la montre n° 4 de la montre véritable quand on la
ir que toutes les passions sont du domaine de la folie, car le fou se
distingue
du sage en ce qu'il se laisse conduire par ses pa
ouir d'une santé mentale parfaite. Il est souvent assezdifficile de
distinguer
la dipsomanie de l'ivro-gnerie vulgaire, avec laq
ôt la mesure: la maison où l'on est toujours le bienvenu est facile à
distinguer
de celle où il faut se faire désirer. Revenez
et du 1er septembre 1889 p. 72. Avec la dialectique serrée qui le
distingue
et attribuant aux formes si différentes, aux type
vroses traumatiques. Il n'y a pas de signes objectifs permettant de
distinguer
la simulation de | la non-simulation. M. Oppenh
e marche et des caractères généraux communs qui les réunissent et les
distinguent
de toutes les autres folies. En conservant la d
étapes successives d'une même maladie : le délire chronique. Facile à
distinguer
du délire hypocondriaque, des états mélancoliques
uelque valeur. Mais n'est-ce pas le cas de rappeler à ce confrère qui
distingue
si bien la paille dans l'œil d'autrui, qu'il fera
it prendre des notes, lire, l'heure sur une montre à fines aiguilles,
distingue
! le bleu et le rouge, se promener sans être condu
insistent pour cher-cher dans l'étude la raison de ces phénomènes et
distinguer
ce qui appartient à la science ce qui est charlat
avant soin de faire remarquer que les obsessions, parmi lesquelles il
distingue
une « Fragesucht » en une « Zweifelsucht » sont,
ens observateurs n'aient pas soupçonné déjà les traits essentiels qui
distinguent
l'idée fixe de l'obsession. Delasiauve (4) rapp
1869 p. 217 Citons encore un curieux passage de Renaudin (1) qui
distingue
dans la monomanie deux espèces d'idées fixes et d
ésitation les obsessions dans les nèvroses . émotionnelles Westphal
distingue
3 espèces d'obsessions : 1°Celles qui restent pur
eux substances ne sont pas comparables. Cependant, de même qu'il faut
distingue
: i alcoolisme de ladipsomanie. de même il faut sé
sobriété ; l'abstinence est pour lui le pire des supplices. Il faut
distinguer
parmi les morphinomanes, les néophytes, les habit
arqué que les baudets vigoureux, destinés aux juments mulassiéres, se
distinguaient
généralement par une grosse tête. Quelle est do
l'une - l'autre. Fixé sur cette nature assimilatrice, il s'agit de
distinguer
son son mécanisme fondametal, c'est la part du se
vrais travailleurs. Voilà des accusations bien graves, et notre très
distingue
collègue de la Revue générale de clinique et de t
juge la portée de ses actes, elle a la notion du bien et du mal, elle
distingue
par l'esprit, sinon par le sentiment, le fas du n
u moyen d'un petit écran qui donne une séparation précise, on pouvait
distinguer
nettement le développement de la Lohée de l'air c
tre et dans l'espèce des centres génito-spinaux. On peut, on le sait,
distinguer
dans la sphère sexuelle trois régions: la moelle
vé à peu près l'ouïe et l'odorat, mais elle est achromatopsique et ne
distingue
aucune couleur sauf le rouge, fait, pour le dire
plus saillante que la gauche. Yeux grands, pupilles égales ; R...
distingue
bien les couleurs. Nez aquilin, un peu obliqué à
é publiées durant la même période sur l'idiotie, nous ont amené à
distinguer
, quant à présent, au point de vue anatomo- path
e et très sensible au froid. La vue est bonne ; sa mère dit qu'elle
distingue
plu- sieurs couleurs. L'ouïe est normale ; pour
Mais où peuvent surgir les difficultés, c'est quand il s'agit de
distinguer
les idiots myxoedémateux des cré- tins. Personn
morcelle le tissu. La première et la seconde couche ne se peu- vent
distinguer
, il n'y a pas de transition nette entre les deux.
ésintégration à centre vacuolaire sont assez étendus pour qu'on les
distingue
à l'oeil nu sur les coupes. Ils s'étendent jus-
vancées que la convexité; les sériations longitudinales s'y peuvent
distinguer
il existe seulement une vascularisation rameuse
niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur
distinguer
trois étapes : 10 prolifération vasculaire; 2°
x petits, très nombreux : la première, la plus superficielle, ne se
distingue
plus. Au-dessous de celte bande, la couche des
sous-jacenls, la plupart des grosses cellules sont globuleuses. On
distingue
entre elles des taches étoilées fixant en parti
canal de l'épendyme est conservé. Son épithélium est intact ; on y
distingue
sur certains points les cils des cellules. La t
e que sur les parties voisines. Sensibilité spéciale. - Vision : Il
distingue
nettement toutes les couleurs des deux yeux. Qu
sation de boule, mais provoque « comme des coups de marteau n. Elle
distingue
bien les couleurs des deux côtés. Ouïe moins bo
ettre; fait sur l'ardoise des 11, des o, des Il et des chiffres. Il
distingue
le rouge, le bleu, le blanc et le noir. Si on l
seul contient de l’eau magnétisée longtemps avant la séance : elle le
distingue
aussitôt. Cette expérience est renouvelée trois f
sions devant elle un courant avec une grande énergie de volonté, elle
distinguait
alors le fluide magnétique sous forme d'étincelle
s et de la tète de leur magnétiseur.} H i ajoute qpe quelqnps-:un» le
distinguent
encore pty-sieurs minutes après avoir été réveill
ée. L’homme, au contraire, innove sans cesse, et c’est par quoi il se
distingue
de toute l’animalité. Vouloir l'empêcher d’innove
e qu’il traite. On voit assez l'abnégation, le dévouement qui doivent
distinguer
le magnétiseur-médecin des autres hommes. C'est p
r rien dans ma crise. » Mais alors , objectai-je, comment pouvez-vous
distinguer
un objet magnétisé d’un autre qui ne l’est pas ?
nétisés, vous les confondez avec d’autres qui ne le sont pas : je les
distingue
; le fluide prétendu est aussi étranger à ce phéno
épeindre les choses du ciel son impuissance est manifeste. Mais il se
distingue
par dçs oeuvres et non par des discours. Que nos
. Voilà ce qui vous explique pourquoi, -étant éveillée, je ne saurais
distinguer
une maladie, ni prescrire un moyen curatif, tandi
pas toujours méprisé l’auxiliaire de cette émanation vitale, qu’elle
distingue
si facilement sur vos vêtements , et qu’elle doit
’auteur du récit prouve en même temps qu’il connaissait la nuance qui
distingue
les deux élats, et l’importance qu’il atlachait à
s vérilés fussent immortelles. Il a donné à l’homme la faculté de les
distinguer
de l’erreur . et de détruire celle-ci pour avance
ieux examen. Nous devons seulement signaler ces écarts, pour que l’on
distingue
; les travaux de chaque ordre. « Figurons-nous,
lie montre, je lis le nom du fabricant..... Ah! un soldat passe, je
distingue
ses traits. Il porte le numéro 57 sur son schako,
vos choix; car elle doit voir des guides dans les personnes que vous
distinguez
de la foule. Elle a manifesté sa satisfaction par
ique pi'r ce qu’il a de plus évi- dominent physique. Ses travaux se
distinguent
entre tous par une précision qu’on pourrait appel
il rendu que ce service à la cause, ce trait serait-il le seul qui le
distinguât
, vous lui devriez déjà des encouragements; car, s
meilleur livre n’eût pu faire, une guérison l’a produit. Mais il faut
distinguer
entre le fait abstrait et les circonstances qui y
s les distinctions , nous n’aurions fait qu’accomplir un devoir. Il
distinguera
notre hommage de tous ceux qu'il a reçus du monde
chargés. _ Agréez Messieurs, l’assurance de mes sentiments les plus
distingues
, ° Baron L. P. Messieurs, J’ai reçu hier vo
se jour ou nuit, qu’on allume ou qu'on éteigne les lampes, on le voit
distinguer
, nommer les objets qui l’entourent; il saisira un
rs aux connaissances anatomiques et médicales, ils ne savent pas même
distinguer
ce qui est malade de ce qui ne l’est pas ; ils ne
que temps de cette arme terrible ; ils frapperont sur nous tous, sans
distinguer
le sincère du perfide, l’homme éclairé de l’ignor
ufenen psyclliscllen I'2,ctîzkbei- ten, )Jrlangen 1868). Cet auteur
distingue
trois cas : 1° Ceux dans lesquels la folie est
te de la rétine est aveugle. Enfin il peut arriver que l'ani- mal
distingue
le fragment d'aliment, mais, qu'au lieu d'aller
dant de la rétine, ou la rétine tout entière, est amblyopique. On
distingue
ainsi, avec plus ou moins de difficulté, la céc
ent amblyo- pique, le chien ou le singe reconnaîtra par la vue et
distinguera
les morceaux de liège des morceaux de viande, s
s ne présentaient guère de différence appréciable qui permît de les
distinguer
à cet égard des tortures normales'. Mais, chez
les sensations de la vue étaient redevenues parfaites : ces animaux
distinguaient
les plus petits objets, mais n'en reconnaissaie
s plus petits objets, mais n'en reconnaissaient pas la nature. Pour
distinguer
, par exemple, des morceaux de liège mêlés à des
vent. De même, si dans son hallucination il voyait une forêt, il ne
distinguait
que la cime des arbres, les parties inférieures
artérielle oblitérée par une embolie. Au gyrus angularis droit, on
distingue
un petit foyer hémorrhagique de la grosseur d'u
ires à la région lombaire. Dans les mailles du tissu myélitique, on
distingue
des perles de gaz qui distendent et dilatent le
plus intenses, ne présentait pas d'altération intellectuelle et se
distinguait
par une particula- rité : la glande thyroïde ét
idement les quelques signes sur lesquels on peut se fonder pour les
distinguer
: 1° le délire hypo- condriaque de la paralysie
nations NÉGA- TIVES chez LES aliénés ET sur LES différences QUI LES
distinguent
CHEZ LES HYPNOTISÉS ET LES aliénés. Il a observ
morcelle le tissu. La première et la seconde couche ne se peu- vent
distinguer
, il n'y a pas de transition nette entre les deux.
sintégration, à centre vacuolaire sont assez étendus pour qu'on les
distingue
à l'oeil nu sur les coupes. Ils s'étendent jus-
vancées que la convexité; les sériations longitudinales s'y peuvent
distinguer
; il existe seulement une vascularisation rameus
niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur
distinguer
trois étapes : 1° prolifération vasculaire; 2°
x petits. très nombreux : la première, la plus superficielle, ne se
distingue
plus. Au-dessous de cette bande, la couche des
sous-jacents, la plupart des grosses cellules sont globuleuses. On
distingue
entre elles des taches étoilées fixant en parti
canal de l'épendyme est conservé. Son épithélium est intact ; on y
distingue
sur certains points les cils des cellules. La t
e que sur les parties voisines. Sensibilité spéciale. - Vision : 11
distingue
nettement toutes les couleurs des deux yeux. Qu
ident initial. M. KPPEN.De l'albuminurie chez les aliénés. -Il faut
distinguer
trois groupes de faits : 1° celui des psychoses
ez l'embryon, ressemble beaucoup à celui des autres vertébrés, on y
distingue
alors deux parties : le noyau caudé et le pulamen
la description clinique de son malade, insiste sur la difficulté de
distinguer
sûrement entre la paralysie bulbaire franche et
thénie cérébrale toutes les psychoses possibles. Il conviendrait de
distinguer
. La neurasthénie se recon- naît, non pas à l'in
uteur signale à ce propos l'extrême difficulté dans certains cas de
distinguer
l'hémiplégie liée à la sclérose en plaques d'av
es idées qui la meublent (WlmNICIOE). C. Diagnostic différentiel.
Distinguons
l'idée fixe pa- thologique de l'idée délirante
physiolo- gique, de l'obsession. z10 L'idée fixe pathologique se
distingue
de Vidée délirante passagère de la façon suivan
qui donne naissance à l'idée fixe. « 2° L'idée fixe pathologique se
distingue
de l'c1'l'ew' phy- siologique par les caractère
davantage d'un côté ou de l'autre. Elle n'empêche pas le malade de
distinguer
un ensemble, mais elle nuit à la perception des
e armée de prophètes qui se lève et il n'est pas toujours facile de
distinguer
les écrits des vulgaires lliéo- 1 Voir Archives
(Presse médicale, 4 mars 1899.) D'après l'auteur, il y a lieu de
distinguer
trois sortes de myxoc- dème infantile : 1° le m
complet. M. Bri- quet étudie le myxoedème spontané infantile qui se
distingue
du myxoedème spontané de l'adulte, en ce que la
L u'en a jamais aperçu en cette région. Une autre particularité qui
distingue
l'écorce visuelle des autres aires corticales,
prolongé des injections. Au point de vue du pronostic, M. Debove
distingue
entre les grands morphinomanes et les petits mo
(Il«ll. de la Soc. de méd. ment, de Belgique, mars 1899.) Il faut
distinguer
, d'après l'auteur, parmi les sujets qui s'adon-
tre aussi uu peu gonflés. Du côté clinique, la forme de Déjerine se
distingue
par son évolution pio- gressive plus accusée, e
faim et l'inanition, inti- mement liées l'une à l'autre. On peut
distinguer
deux sortes d'abstinence : 1° l'abstinence volo
res ner- veuses viennent s'y terminer ou y prennent naissance. On
distingue
dans cette écorce deux sortes de zones : les zone
flexes, mais plus compliqués. Au point de vue psychologique, ils se
distinguent
des mouve- ments réflexes automatiques parce qu
lexie ordinaire nous pouvons dire que l'apoplexie progressive ne se
distingue
pas essentiellement de l'apoplexie ordinaire.
e constatation des lésions dans les centres nerveux, il faut savoir
distinguer
ce qui revient à l'hyper- thermie de ce qui rev
confusion BIBLIOGRAPHIE. l, Il b mentale hallucinatoire aiguë. On
distingue
le délire palustre sub- aigu qui, comme le déli
enciations pré- sentent des difficultés surtout lorsqu'il s'agit de
distinguer
la pas- sion à son paroxysme de la maladie, et
il importe tant au point de vue du pronostic que du traitement, de
distinguer
les obsessions-inhibitions des phéno- mènes ana
ent d'un anus contre nature, etc. M. le D'' Régis', au contraire,
distingue
, dans l'ensemble des troubles psychiques post-o
des alternatives irrégulières d'excitation et de dépression. On ne
distingue
pas l'existence de conceptions délirantes systé
neurone moteur périphérique viennent compliquer le tableau, faut-il
distinguer
deux formes de paralysie ascen- dante, l'une né
rité des nerfs des vaisseaux et du tissu conjonctif. Si l'on doit
distinguer
des types pathologiques extrêmes différenciés p
s. On doit, en ce qui concerne la grosseur et le nombre des mottes,
distinguer
trois espèces de cellules : 1° La cellule clair
sent cimentés par une substance intermédiaire qui les empêche de se
distinguer
les uns des autres. Tandis que la cellule se co
Ceutoalbl., XVII, 1898.) Dans la bandelette optique de l'oiseau, on
distingue
un groupe REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
erne qui a fait irruption dans la cavité ramollie. Après lavage, on
distingue
parfaitement que la lésion s'est formée de plus
e chose de beaucoup plus complexe. Dnchenne (de Boulogne), en 1852,
distingua
la « sensibilité mus-' culaireD qui renseigne s
r de la maladie, le malade voit la bougie qui brûle sur la table et
distingue
; les pupilles réagissent lentement mais nettem
grosses lettres, compte les doigts à 50 centimètres de dis- tance,
distingue
le blanc des couleurs vives ; la tuméfaction du
taques congestives épileptiformes de la démence paralytique. Ils se
distinguent
des angoisses neurasthéniques en ce que l'angoi
dissociation serait antiscientifique. « Les facultés de l'âme ne se
distinguent
en aucune façon des fonctions de notre écorce g
ds, danois ou moscovites, trophées des soldats de Gustave-Adolphe. On
distinguait
au milieu des bannières suédoises, couvertes de c
public nombreux ne voit qu’une masse confuse, où ses yeux ne peuvent
distinguer
un seul individu. Sur le trône élevé d'où le ro
pas encore le nom de toutes. J’en vois plus de trois maintenant, j’en
distingue
quatre, peut-être cinq, et qui sait? plus encore.
un assentiment de la raison, au point que je trouve fort difficile de
distinguer
entre les deux. Je ne suis pas franchement autori
La nuit de l’intelligence s’épand sur la France, à peine si déjà on
distingue
les hommes et les monuments. Comme des éclairs, d
vons de clartés durables; le bruit de la lempête qui mugit empêche de
distinguer
la voix qui résonne à notre oreille. C’est l’imag
terribles effets : l'innocent sera frappé comme le coupable. Dieu ne
distingue
plus les hommes; ne sont-ils pas tous enfants de
it inaperçue. 2. M. d’Eisenstein avait cru constater que Léopoldine
distinguait
parfaitement, au moyen du toucher, la diversité d
t douées de la puissance de magnétiser par voie d’attouchement, et de
distinguer
, de la même manière, des corps magnétisés. Les ex
’observation et d’appréciation qui remonte à Bacon et à Locke, et qui
distingue
l’école écos- (t) Esdaile, Mcsmerism in India a
ion de mutation, enregistrement, transfert et autres formalités. On
distingue
ici de la dette publique, la créance qui intéress
emands, sur le même sujet. Ceux-ci sont plus riches en images, ils se
distinguent
encore par beaucoup de mots nouveaux d’une grande
réponses des esprits, M. Cahagnet n’ait point encore rencontré ce qui
distingue
les génies des simples mortels, et qu’il n’ait po
e ionienne, avait créé un système de physique générale dans lequel il
distinguait
une cause motrice différente de la matière, mais
isme produit souvent un sommeil plus ou moins profond, sommeil qui se
distingue
quelquefois du sommeil ordinaire parles phénomène
nt aujourd’hui et qui donneront la mort le lendemain, il ne saura pas
distinguer
le pourquoi du changement nécessaire de la médica
’entendais des personnes {iii me calomniaient, mais je ne pouvais les
distinguer
; j’éprouvais des maux de tête, j’étais inquiet,
-el-Kader comment il désire s’assurer que le sujet, dans un tel état,
distingue
les objets sur lesquels on appelle son attention.
signé dans les écrits magnétiques sous le nom de comte Maxime pour le
distinguer
de ses frères, le comte Chas-tenet et le marquis,
toujours reconnu en vous le remarquable organe de la logique qui vous
distingue
, je me Ilatte que vous n’hésiterez pas à me prouv
nt pénétrer dans ma chambre que quelques rayons lumineux pour pouvoir
distinguer
les objets. Je me plaçais alors sur un siège dans
incipale propriété thérapeutique, sa vertu dominante, le trait qui le
distingue
des médicaments, dont aucun n’agit de même. Tous
rogés. 11 est difficile, en elTet, d’admettre qu’un sujet clairvoyant
distingue
nos organes ou nos maladies, comme nous distinguo
n sujet clairvoyant distingue nos organes ou nos maladies, comme nous
distinguons
les caractères dimpies-sion d’un livre placé sous
n pas quil y a des aveugles auxquels la sensibilité du tact permet de
distinguer
les couleurs? toutes les sensations ne peuvent-el
té de langage me mettant dans l’obligation de la conserver. Les uns
distinguent
leurs organes et, par suite, les lésions dont ils
fondément altérée, en apparence et en qualité , que les sensitives la
distinguent
infailliblement de celle qui ne l’est pas; 3° cet
rgicaux de l’opération, M. Esdaile ajoute : « La seule chose qui le
distinguât
d’un cadavre était le trouble de la respiration v
avec une entière liberté et une grande vivacité. Dans cet état, elle
distinguait
, sans la moindre difficulté, les couleurs des obj
e difficulté, les couleurs des objets qui lui étaient présentés, elle
distinguait
les cartes et en détaillait les divers dessins ;
ul d’Ivoi a inséré dans le Messager (h février), une chronique qui se
distingue
des autres, en ce qu’il V affirme avoir été témoi
er sainement, connaît une grande partie de la science. » Hippocrate
distingue
deux espèces principales de songes, les uns divin
ns. Cet homme intérieur, c’est l’organe cérébral. Mais il faut encore
distinguer
ici les impressions qui lui sont essentiellement
timents de l’avenir dans les songes, et de là, comme Hippocrate, nous
distinguons
les'Songes en surnaturels et naturels, appelant d
naturellement à moi. Puisque ce fluide est double, comment faire pour
distinguer
ces deux fluides l’un de l’autre, et leur donnerà
du fluide boréal ou po sitif. En procédant de la même manière, je pus
distinguer
encore dans le corps humain plusieurs autres cent
, produit sur le malade une action salutaire qu’il est impossible de
distinguer
de l'action magnétique; c’est ce [ue reconnaît M.
11 soutienne le contraire. » DIAGNOSTIC. 1. En général. — Il faut
distinguer
la sommation de la léthargie, du somnambulisme, d
ystérie. 2. De ta léthargie. — La léthargie étant un sommeil qui se
distingue
par sa force et sa durée, diffère totalement de l
s et par la supériorité nécessaire des bons sur les mauvais. Pour les
distinguer
, il faut interroger les mœurs de ceuv qui les évo
les d’être simulés ; il peut être employé comme pierre de touche pour
distinguer
l’or du clinquant ; les magnétistes consciencieux
l’enfant était en état de percevoir le bruit. le,.plus léger et de .
distinguer
les différents ^ns. A.oût-octobre. Madame Buçk,
absents, je porte un toast à la mémoire de Mesmer. Ce toast, qui se
distingue
par son laconisme, a été vivement applaudi. Il an
euil de Java à tôte blanche, folâtrant avec la grâce et l’agilité qui
distinguent
cette charmante espèce de rongeurs. Un nid sphéri
t il s’agit est variable dans son in tensité, et l’on peut en effet y
distinguer
diverses nuances. C’est ainsi que depuis le bruit
diverses nuances. C’est ainsi que depuis le bruit éclatant et qui se
distingue
au loin , on retrouve des variétés de bruit, de f
e sur la région épigastrique. Elle en lut parfaitement le titre. Elle
distingua
plus difficilement des caractères plus petits. J’
pourra en réduire certaines à leur juste valeur, après avoir appris à
distinguer
ce qu’elles recèlent de vrai ou de divin de l’all
it ou non une rétribution ; et il est de principe que là où la loi ne
distingue
pas, nul n’a droit de distinguer. On doit donc re
l est de principe que là où la loi ne distingue pas, nul n’a droit de
distinguer
. On doit donc reconnaître que l’art. 479 est appl
ps et l’âme. (De Bonald.) — Du moment qye nul homme n’est à même de
distinguer
par les sens, d’un fil ordinaire et indifférent,
n endroit où il y avait si peu de clarté, qu’on ne pouvait ni lire ni
distinguer
de petits objets. Après avoir fait sa prière, ell
e caquetage d’un grand nombre d’oiseaux attira mon atten- tion : j’en
distinguai
bientôt un groupe nombreux et composé d'espèces d
e. Etonné de cette singulière manœuvre, je m’approchai sans bruit, et
distinguai
bientôt un gros serpent noir (coluber constrictor
ge Michel. D’abord Tenfant dit : Je vois quelque chose de blanc, sans
distinguer
ce que c’est. Ensuite il se mit à sauter et à s’a
t le cerveau et en général tout le système nerveux. Néanmoins il faut
distinguer
dans cet organe lui-même deux grands centres d’ac
de ce médicament, dans un état de lucidité des plus merveilleux. Elle
distinguait
tout ce qui se passait dans la rue quoique couché
é ce sentiment plutôt que tout autre? — Parce que c’était ce qui le
distinguait
lui-même dans sa petite ville, lorsqu’il était su
ttribue les phénomènes magnétiques à l'action du fluide nerveux qu’il
distingue
du fluide électrique. 11 admet que, par le seul
nsister plus particulièrement sur l'une d'entre elles et arriver à la
distinguer
des autres, de quelques affections qui ont pour c
s. D'après ces données, il n'est pas très difficile, en général, de
distinguer
la lèpre de la sclérodermie dac-tylique. Nous all
re de la sclérodermie dac-tylique. Nous allons apprendre maintenant à
distinguer
l'une et l'autre de la maladie de Morvan. Messi
ique ont été décrits et classés de façon à permettre désormais de les
distinguer
dans la pratique. Cinq mois plus tard, M. Pitre
un tremblement hystérique). ; Comme vous le voyez, Messieurs, nous
distinguons
d'abord deux catégories bien différentes. Dans la
toxication hydrargy-rique ; mais qu'à côté de lui il faut apprendre à
distinguer
des cas où, chez les hydrargyriques, l'hystérie s
de Basedow enfin, ne présente pas une pareille mobilité, et qu'il se
distingue
au contraire dans ces affections-là, surtout la p
umière. Nous trouvons là, remarquez-le en passant, les caractères qui
distinguent
les paralysies périphériques ou basilaires de l'o
ement. Je vous ai déjà montré qu'il était quelquefois difficile de le
distinguer
d'un trouble trophique analogue survenant dans la
imple il ne reste plus grand'chose à en dire. Par Cotugno, qui sut la
distinguer
de toutes les autres affections douloureuses ou n
e, vous le savez, les sciatiques en primitives et symptomatiques ; on
distingue
une forme bénigne qui relève plutôt de la scia-ti
affections, avec les maladies amyotrophiques en particulier. Pour la
distinguer
, ce qui doit être toujours possible, sinon facile
s sur une affection organique ou dynamique, c'est ce qu'il s'agira de
distinguer
, se traduisant pendant la vie par des symptômes d
fs périphériques suivant les autres, c'est ce qu'il s'agira encore de
distinguer
, mais qui en tous cas, pratiquement, se révèle pa
là comme celle-ci a des caractères particuliers qui permettent de les
distinguer
des affections analogues. J'ajouterai enfin que c
ésent, la paralysie du facial inférieur chez un hystérique, semble se
distinguer
par quelques caractères de celle que l'on rencont
mplexe dont l'étage inférieur se divise en trois bandelettes que l'on
distingue
d'après leur situation en interne, moyenne et ext
ltérieurement. Pour ce qui est des membres inférieurs, il nous faut
distinguer
ce qui appartient à chacun d'eux. A droite, exist
r dans un groupe plus ou moins artificiel, celles que nous arrivons à
distinguer
entre toutes par la connaissance plus exacte de l
dents d'aujourd'hui n'ont, dans leur apparence clinique, rien qui les
distingue
de ceux qui pourraient résulter d'un foyer de ram
udimentaire, ou absence totale de ce membre. D'où la possibilité de
distinguer
deux va- riétés d'amèles. (1) Nous avons dû l
er- diction prouve sûrement l'existence des faits interdits. « On
distinguait
les Etuves, ou bains de vapeur,des bains tiède. L
côté, comme une gaine de maître-queux. Tels sont les attributs qui
distinguent
ces opérateurs rustiques, travail- lant à tour
ttent pas de préciser exactement la nature de ces accessoires; on y
distingue
cependant des pinces, des scies, une sorte de vil
eur et intéressant la totalité du lobe frontal, il est difficile de
distinguer
une séparation tranchée entre le tissu morbide et
ger changement de coloration : la tumeur est plus rouge.- Quant à
distinguer
, dans le cerveau lui-même, entre la substance gri
;/Mnno/M/jooM</tMt6, il lui arrive quelquefois qu'il ne peut pas
distinguer
le chaud du froid. Observation III. Gass...,
ésente l'attitude que nous lui avons décrite, celle-ci suffira à la
distinguer
de la main hystérique. Dans les polynévrites ou d
on- sistance ou de leur volume. . La douleur de l'apophysalgie se
distingue
des douleurs ayant pour cause la propagation de
très différents. C'est ainsi que pour le membre supérieur, on a pu
distinguer
le centre de commandement de la flexion, de l'e
ue; mais quoi qu'il en soit et c'est la un point essentiel, on peut
distinguer
facilement les bandes du pro- cessus de gliose
ngomyélie, un cachet spécial qui permet jusqu'à un certain point de
distinguer
cette atrophie de celle due à d'autres altérati
ymptôme tic. D'après la distinction établie plus haut, il faut bien
distinguer
, pour chacun de ces trois mots, le sens symptom
petits adultes, hien conformés et qui, par la stature seulement, se
distinguent
de leurs congénères. Ils mériteraient d'être ap
près continue, ayant environ 2 centi- mètres de largeur. On peut
distinguer
à ce naevus trois portions, l'une centrale, dan
on des fibres radiculaires postérieures. Parmi ces collatérales, il
distingue
en première ligne : a) Les collatérales pour la
mentée parun légerépanchcmentpleural gauche. Douleurs thoraciques à
distinguer
de la douleur en ceinture qu'avait eue antérieu
ne diffèrent pas du rhumatisme chronique; mais, si on devait les en
distinguer
, elles n'en ren- treraient pas moins dans le gr
n devine cependant à leur position qu'elles sont inertes. Mais l'on
distingue
nettement l'atrophie musculaire qui réduit l'un
vu de dos, auquel un per- sonnage charitable remet un vêtement. On
distingue
sur le torse des taches colorées, indice d'une
e de Cologne (n° 116), donnant une aumône à un in- firme dont on ne
distingue
que la moitié du corps : il se tient à genou, s
tournée de profil dans une attitude un peu forcée. Sur le front, on
distingue
des traces d'ulcérations ou de pustules; l'oeil,
en effet recouverte d'un linge ou d'un emplâtre. Derrière lui, on
distingue
la figure d'un homme barbu à la chevelure hirsu
ambe est dissimulée par l'étoffe dont le bas du corps est drapé. On
distingue
cependant encore le pied droit, com- plètement
lheureusement, les renseignements de la cou- leur font défaut. On
distingue
sur les membres dénudés des taches destinées à fi
paille, ayant à côté de lui une béquille et un linge sur lequel on
distingue
un crâne d'animal et quelques pièces de monnaie
en que Baillarger, à l'exemple de Duchenne de Boulogne, s'attache à
distinguer
les symptômes mentaux du tabes de ceux de la pa
eur, au contraire est atteint dans son ensemble mais il y a lieu de
distinguer
diverses zones inégalement sclérosées. Le max
siège en deux points : au niveau de la zone de Lissauer où l'on ne
distingue
que de très rares fibres éparses; la dégénéresc
pâle que les cordons ;it)Léto-IaLériux. Il est cependant facile de
distinguer
des zones plus fournies de libres, et l'on doit
ébut, si généralisée, présente des caractères particu- liers qui la
distinguent
de tous les autres états démentiels ; elle cons
uée en avant des cornes postérieures, forme un bloc, dans lequel on
distingue
à peine la saillie des cornes antérieures. La
tion des granulations chromatophiles, comble l'espace clair dont on
distingue
à peine les contours. Souvent, au contraire, le
oumis à des intoxications multiples (alcoo- lisme et saturnisme) de
distinguer
quelle est la cause de la paraly- sie ; enfin i
cation propre. Dans l'étude des réactions anormales élémentaires il
distingue
deux catégories : la première comprend les modi
. Les coupes transversales faites à cette hauteur ne laissent guère
distinguer
de substance médullaire; rien que le tissu néof
e-mère épaissie. , , 1 Cependant un examen plus minutieux permet de
distinguer
dans la partie centrale de la coupe les contour
concen- trée à l'extérieur de la pie-mère, tandis que la moelle se
distingue
bien sur le fond du néoplasme par sa teinte cla
s intercalaires. Ces différents états sont quelquefois difficiles à
distinguer
. Il faut tenir compte exactement de l'état des
suite d'une opéra- tion, quelle que soit leur forme. Il y a lieu de
distinguer
ceux qui dépendent seulement de l'intervention
aux et l'incurvation de la colonne vertébrale suffi- raient pour la
distinguer
de la pachyméningite. ' A ce propos les habitud
vise les névrites selon leur origine centrale ou péri- phérique. Il
distingue
parmi ces dernières celles d'origine infec- tie
me alors en une mince pellicule de 1 millimètre d'épaisseur où l'on
distingue
des cellules nerveuses, les faisceaux fondâmes
e mot de Lasègue, son inventivité qui suffi- rait à elle seule à le
distinguer
des confusions mentales d'autre origine. Par so
le reconnaître au milieu de complexus délirants d'autre nature. Ne
distinguons
-nous pas journelle- ment ce qui revient à l'alc
face; par les Drs FEINDEL et Meige. Rien n'est plus malaisé que de
distinguer
, de prime abord, un tic d'un spasme, tant les a
tachent les absences, les vertiges, l'automa- tisme épileptique, se
distingue
du grand mal par l'absence de con- mIsions. U
e aspect et la même consti- tution histologique. On peut facilement
distinguer
deux formes principales en laissant décote ce q
e et constituent un réseau très serré dans les mailles duquel on ne
distingue
que de nombreuses cellules de neuroglie. Les va
e prolifération se manifeste. Les corps des cellules proliférées se
distinguent
difficilement; mais en revanche leurs noyaux so
atisme. Au point de vue psychologique, le mouvement volontaire se
distingue
du mouvement involontaire : a) parce qu'il est
nerveux ; 12° la marche et le mode d'apparition de la maladie ne se
distinguent
en rien de l'épilepsie idiopathique habituelle.
et qui peut occuper tout le champ de la substance blanche. Elle se
distingue
de la première en ce qu'elle est plus tardive, mo
par W. OTUSZEWSKI. (Neurolo. Centl'¡tlbl., XVII, 1898.) Flechsig
distingue
, comme chacun sait, quatre centres sensoriels :
mbre de cellules qui ont pour fonction unique d'associer. Voilà qui
distingue
la théorie du mécanisme d'association de Flechs
ans trois cas nouveaux l'élut nerveux pathologi- que spécial qui se
distingue
«d'une phobie du regard d'autrui toute spéciale
ils Ulliqlll',il parail awirrluunlcu;·allu. A l'âge scolaire, il se
distingua
par un caractère faible el caché, qUl'lqllenol1
- runcedans la vue des deux yeux qui fait que lait gauche ne peul
distinguer
les détails d'un objet à n'importe quelle distanc
quelle distance, par exemple : il voit les lignes, mais ne peul pas
distinguer
les lettres même les plus grandes. L'examen o
re sont mnrls clclmis longtemps de causes in- connues ; son père se
distinguait
par une grande nervosité et il buvait. Ses SICI
Ses SICI11'S étaient anémiques et nerveuses. Le malade lui-même se
distinguait
depuis longtemps par sa nervosité qui augmenta
nt au fonctionne- ment du cerveau et à celui de la moelle, l'auteur
distingue
, dans la moelle comme dans le cerveau, deux app
ment sa largeur normale. La gradation de celte transition permet de
distinguer
cet état du morcellement en écale, ou de l'atro
ns le renflement en massue (figures). Ces pro- duits artificiels se
distinguent
des noircissures pathologiques ; en ce dernier
rcedu cervelet de n'importe quel animal les cellules de Purkinje se
distingue
nettement entre toutes les autres, par la riche
sombre doivent rester dans la solution jusqu'à ce qu'à l'oeil nu on
distingue
la substance grise de la substance blanche. Cel
été soumis à la ponc- tion lombaire. 11 s'agissait, par exemple, de
distinguer
entre la démence précoce, la folie circulaire,
rpente neuro-fibril- laire des cellules nerveuses centrales où l'on
distingue
également des fibrilles principales et des ramu
Le trac par asynergie des images mentales. M. Paul FAREZ. Il faut
distinguer
trois formes de trac : 1° La forme ordinaire, c
ais exclusive, de l'un des deux facteurs. Autrefois, on cherchait à
distinguer
l'hypochondrie, né- vrose particulièrement rése
des mains, ne sont pas démonstratifs à cet égard. Formes. On peut
distinguer
les processus ascendants initiaux rapprochés de
Cependant au point de vue pathogénique, je pense qu'il y a lieu de
distinguer
les cas où l'hallucination est d'origine primit
En résumé, nous dirons que la démence précoce à forme paranoïde se
distingue
très facilement du délire des persécu- tés pers
poisonnement, in- terne ou externe, il s'agit. Il y a lieu enfin de
distinguer
, suivant les cas, la psychose infectieuse de la
éritables psychoses de la pneumo- nie, dans lesquelles nous pouvons
distinguer
, comme pour les précédentes : 1° les psychoses
Les ganglions inférieurs sont des centres réflexes des- quels se
distinguent
les ganglions antérieurs que Wandt appelle « de
moyen de res- ter peu de temps éloignés de Paris, c'estde se faire
distinguer
par le jury des concours d'adjuvat, de se class
ions actuellement insoupçonnées, et ne suffit pas pour permettre de
distinguer
deux processus anatomiques différents. » (Iig.
ères, incomplètes, des exceptions. L'ostéite déformante de Paget se
distingue
do ce s ndrome par quelques caractères bien spé
indisciplinés morbides que le« auteurs.onf tort, il notre avis, de
distinguer
des indisciplinés pal' IllllUnli : ,e ,ulonté.
ccasion d'examiner. Cette oeuvre de longue haleine leur a permis de
distinguer
les uns des autres trois types nette- ment cara
un tissu vaguement aréolaire, à mailles très larges, dans lequel on
distingue
difficile- ment quelques rares libres isolées :
son diamètre antéro-postérieur et augmentée dans le transversal. Un
distingue
encore, bien que moins nettement que normalemen
sée sur sa face anté- rieure el un peu aussi latéralement ; elle se
distingue
assez nef- tement du tissu épidural et ne prése
re quai la périphérie de la coupe. Dans le centre de la coupe on ne
distingue
plus de lobules, mais des masses confluentes de
observe des noyaux de lympho- cytes. Avec un plus fort objectif, on
distingue
un contour cellulaire dans l'in- térieur duquel
ion du plasma germinatif par excès de nutrition locale (6). Blanc
distingue
dans la polydactylie trois catégories : z La po
i raconte un rêve. Il est souvent très difficile, en pareil cas, de
distinguer
la fabulation consécutive à l'onirisme Oll au rêv
nd. rhizom. P. Marie). - Anamnèse. Hérédité normale. Le malade se
distinguait
auparavant par une grande force physique et n'é
écifique, formée aux dépens du tissu osseux, qui paraît épaissi, se
distingue
par une zone plus claire, limitée par un cercle s
lise mal la piqûre, ce qui est en partie dû à l'ataxie du bras, mais
distingue
la pointe de la tête de l'épingle. Pas de Stauu
ient expliquer les variations rapides des symptômes cliniques. On
distingue
, dans le tableau clinique de l'apoplexie, les sym
trépan. Coupes sériées. - Très tôt déjà, le lobe occipital droit se
distingue
du gau- che. Les noyaux sont plus denses et plu
rès satisfaisante la plupart de nos images. Notons que le Pourpoint
distingue
les goutes froydes et les goules chauldes, et a
distance, sans offrir de traits différentiels qui permettent de les
distinguer
chronologiquement, en un mot paraissant du même
écoce des rapports plus étroits qu'on ne le croit généralement et à
distinguer
des formes intermé- diaires. C'est ainsi qu'a
gique de notre cas, aucune structure articulaire n'apparaît ; on ne
distingue
ni les contours de la tête de la côte, ni les f
n bas en deux liges osseuses unies; les facettes articulaires ne se
distinguent
ni à la coupe, ni sur la surface, et dans une c
ution ulté- rieure la différencie de la spondylose rhizomélique. On
distingue
trois formes de la spondylose rhumatismale :
Spondylite déformante (forme partielle d'arthrite déformante).- On
distingue
aujourd'hui trois formes de celte affection : I
mités sont toujours affectées. II. - L' arthrite sèche ulcéreuse se
distingue
de la forme précédente par une prédominance des
se myopathique sont toutes les deux des affections spéciales qui se
distinguent
de la spondylose rhizomélique par leur nature et
lations; 2G6 KRABBE quelquefois il est si dense qu'on ne peut pas
distinguer
le noyau. Les auteurs pensent que ces cellules
ions fuchsinophiles ; c) enfin dans d'autres noyaux on ne peut plus
distinguer
ni membrane, ni réseau de linine, ni granulations
tic ce- ci) J'ai mesuré la mâchoire inférieure de 70 malades qui se
distinguaient
soit par une taille au-dl ssus de la moyenne, s
ire, ignore les faits les plus simples ; il ne sait pas compter, ne
distingue
pas la monnaie, ne connaît pas la date du jour.
aire ici à la démence précoce. Le cas que nous venons de décrire se
distingue
par certains symptômes atypiques et rares : on
la coloration des deux régions est très foncée ; cependant elles se
distinguent
bien, car la zone centrale a des tonalités bleues
lation se fait toujours d'une façon rapide, pres- que brusque et se
distingue
comme signe de début : c'est de suite après la
s analogues ou proches voisins. Ce dont les infantiles réversifs se
distinguent
le mieux, c'est précisé- ment des infantiles or
spa- rition complète du testicule. Encore faut-il apprendre à les
distinguer
cliniquement; or, les châtrés adultes sont mal
s thyroïde, tantôt le testicule ou l'ovaire. Nous proposons donc de
distinguer
un in- fantilisme myxoedémateux (ou thyroïdien)
sions sont moins marquées, la struc- ture mieux conservée permet de
distinguer
la fasciculée, mais les spongiocytes sont très
ssible de nous assurer complètement de ce fait. Il est dilficile de
distinguer
, par la palpation, lés différents os du métatarse
onculaire moyen qui, parsa couleur gris-perle et sa consistance, se
distingue
de la façon la plus nette du tissu nerveux envi
ocus zziger de Soemmering, dont la teinte naturellement grise ne se
distingue
que difficilement de la coloration acquise par
on acétonémique soit moins évidente. 40 Troubles nerveux. Il faut
distinguer
ici deux ordres de faits : les phénomènes initi
la vingtième année. - Enfin, la myopathie atrophique progressive se
distingue
de la « forme .juvénile » de Erb par la partici
r, des cellules nerveuses de la moelle épinière. Mais on ne saurait
distinguer
si tels ou tels groupes fasci- culaires ont plu
qui sont la principale cause de ses souffrances actuelles et qu'il
distingue
bien des an- ciennes douleurs fulgurantes; cell
campimètre ou par tout autre moyen plus simple mais suffisant. On
distingue
plusieurs variétés d'hémianopsie : 10 L'hémiano
termes pour désigner les variétés de l'hémianopsie verticale. Nous
distinguons
et nous adop- tons : a) L'hémianopsie tempora
ner à étudier l'influence de l'hérédité. Dans ce cas, il faut alors
distinguer
entre eux : les héréditaires d'ordre congestif
phase maniaque avec désordre dans les idées. , M. l''ALK. Il faut
distinguer
si la psychose succède de bonne 1 Voy. Archives
énéralisés, pro- duits, par conséquent, par action réflexe ; on les
distinguerait
en états de surexcitation et états de paralysie
ession dépendent du mode et du degré de compression. Il y a lieu de
distinguer
trois degrés. Dans un premier degré, la compres
ultanément destruction de la matière nerveuse; les phénomènes ne se
distinguent
pas de ceux du traumatisme ordinaire. M. Muel
aires se présentent en bien des points dans la couche externe. On
distinguera
cette maladie de la sclérose multiloculaire par
el, en outre, lésion systé- matique de la moelle. S'agit-il de la
distinguer
de la paralysie générale et, notam- ment, des c
pe du coma, c'est le coma qui, au point de vue symptomatique, ne se
distingue
pas du sommeil si ce n'est par l'impossibilité
t des jours entiers à la suite d'un état de Inal épileptique. 11 se
distingue
du sopor, lequel est caractérisé d'une part par
énomènes de l'intoxica- tion alcoolique. Ainsi Barkhausen, en 4828,
distingue
le délire asthénique, le plus fréquent, du déli
re variable. Malgré l'examen le plus attentif, il est impossible de
distinguer
dans les segments ainsi modi- fiés le moindre v
c'est seulement par l'étude individuelle des tubes nerveux que l'on
distingue
ces altérations seg- mentaires qui échappent à
tions noires, grises, jaunes ou am- brées. Entre ces sphères, on ne
distingue
aucune trace de cylindre-axe; s, segments norma
hain a pu imiter les productions de Hansen, quand M. Charcot a pu
distinguer
les différentes phases, quand M. Bern- heim a r
l'autre sur sa propre prédisposition héréditaire. Cette forme ne se
distingue
de la première qu'en ce que le sujet passif est
tions noires, grises, jaunes ou am- brées. Entre ces sphères, on ne
distingue
aucune trace de cylindre-axe; - s, segments nor
observés, des notions théoriques déjà établies. Deux choses sont à
distinguer
: 1° l'action physique locale, 2° les modificat
ensemble de ces deux circonvolutions comme un tout, dans lequel ils
distinguent
seulement deux feuillets superposés, l'un supér
mouvement dans l'attitude figurée ci-contre (PL. IX, fig. 1). - On
distingue
parfaitement, sur cette photo- graphie, la cord
lévateur propre de la lèvre supérieure, dont il est difficile de la
distinguer
; il arrive fréquemment' que l'élévateur commun
euvent reconnaître leur nom, soit imprimé, soit écrit, sans pouvoir
distinguer
au- cune des lettres qui le composent. Il se pr
attaque d'apoplexie, fut dans l'impossibilité de lire et même de
distinguer
une lettre d'une autre; mais, si un nom ou une
plus grande exactitude. Néanmoins, il était incapable de lire ou de
distinguer
ce qu'il avait écrit. '' b) Un homme, à la suit
alade, qui ne connaissait plus les lettres à la vue, a appris à les
distinguer
de nouveau par le toucher (lettres en relief).
aît son nom manuscrit, mais non lorsqu'il est imprimé, sans pouvoir
distinguer
aucune lettre dans ce mot. Quelque temps après
ait au hasard plusieurs lettres et même quelques lettres qu'elle ne
distinguait
pas encore au loucher et dont on ne lui avait p
leur font, tourner la tête du côté d'où vient le bruit. Ils peuvent
distinguer
au timbre différentes sonnettes. Ils peuvent '
squ'on leur parle, ils n'entendent qu'un bruit confus, sans pouvoir
distinguer
les syllabes et sans saisir la signification de
l de leur nom. Ils le perçoivent comme un bruit connu dont ils ne
distinguent
aucune des parties constituantes ; il est probabl
appel de son nom qu'il percevait comme un bruit connu, sans pouvoir
distinguer
les parties qui le composent ; 230 1, T-. , REV
bservation 'à"l'appui) ? 11 semble, au surplus, qu'il y ait lieu de
distinguer
,11' d'après M. Strümpell, au sein des manifesta
ez eux, la marche diffère aussi de la forme classique, dont elle se
distingue
par l'absence habi- tuelle des prodromes ordina
Hautes Etudes, attaché au laboratoire de M. Frémy, au Muséum, il se
distingua
là, comme il devait plus tard se distinguer ail
Frémy, au Muséum, il se distingua là, comme il devait plus tard se
distinguer
ailleurs ; et il puisa dans ses travaux laborieux
lques-uns de ces ouvrages et signalent les points par lesquels ils se
distinguent
. Ici c’est surtout un passage de la préface écr
e vérité si sainte. Oui, l’homme porte en soi ce qui doit à jamais le
distinguer
de toute l’animalité , Dieu lui a donné en partag
, le sentiment, de la lumière ; puis, à force de soins, il parvient à
distinguer
, à apercevoir, tantôt un gros objet, puis enfin l
aître les couleurs avec les doigts, quoique nous puissions parvenir à
distinguer
au moyen du toucher, le corps ou le grain de quel
doigts, fussent-ils môme aptes à sentir la lumière, ne pourraient que
distinguer
le jour de la nuit. « Mais, comme ces parties n
é dans ce qu’on appelle l’état magnétique ne saurait, dans aucun cas,
distinguer
, même vaguement, le jour de la nuit à l’aide de s
r avec les yeux bandés, ou avec les doigts, ou avec l’épigastre, pour
distinguer
ce qui se passe dans la maison voisine, ou pour f
avouons-le, un travail exempt de difficultés, que celui de chercher à
distinguer
toujours, dans cet ouvrage protéiforme, l’intenti
ilieu duquel le savant professeur du grand séminaire de Versailles se
distingue
, dans cet écrit remarquable, par une grande sincé
res, sonder la nature dans ce qu’elle a de mystérieux et de caché, et
distinguer
le vrai des choses. C’est ainsi qu’il y a vingt
et comme, au point de vue théologique, il n’y a pas de critérium pour
distinguer
les miracles de Dieu de ceux du diable, ou du moi
s v un sommeil factice, l’homme voit à travers les corps « opaques,
distingue
ce qui se passe à de grandes dis-« tances, etc.,
les fonctions de toute espèce. Nous n’en avons pas moins le droit de
distinguer
les actions pour les classer. Si la modificatio
és, — Pythonisses, — illuminés,— Phamtù/ues (1), — etc. Il faudrait
distinguer
ensuite les états divers de crise intellectuelle,
sera bon de faire observer que, dans tous les genres énoncés, il faut
distinguer
avec soin deux modes, le mode harmonique et le mo
nte aux effluves mystérieuses du magnétisme cette essence éthérée qui
distingue
l’amour de la brutalité !... Eli bien i tous le
re, dans la plupart des sujets soumis à l’exorcisme, les qualités qui
distinguent
les sujets sensibles au magnétisme ; ce sont géné
guérison des maladies. Les tribunaux civils n’ont pointqualité pour
distinguer
entre les pratiques permises aux laïques et les p
s clairons, le soldat cherche vainement avec une attention soutenue à
distinguer
la voix de ses chefs. « La nature des aberratio
e multitude de chameaux, des voitures, des troupes nombreuses dont je
distinguais
même les uniformes. Ou \oit s’élever aussi devant
amp de trèfle ; je comptais les folioles de ce trèfle imaginaire ; je
distinguais
môme les étamines de ses fleurs ; mais je finis p
on sommeil. « Le ragle et le sommeil sont assez soment difficiles à
distinguer
l’un de l’autre; il arrive un moment où ils se co
est impuissante. Parmi les maladies dont la guérison a eu lieu, nous
distinguons
les suivantes : chorée ou danse de saint Gui (che
ération par laquelle l’individu s’affirme à lui-même son existence et
distingue
le moi du non-moi; notre conscience, à la voix de
ur la chasse, s’éloigna armé d’un fusil et (le munitions afin de se
distinguer
en abattant quelque tigre. Si son absence n’eût p
nsistait à entendre des voix qui l’insultaient ou le calomniaient; il
distinguait
parfois les auteurs de ces propos offensants, par
sujet. Aussitôt que le bandeau fut appliqué, le sujet fut en état de
distinguer
les objets. « On n'employa ni passes ni manipul
ès qu’il sera mieux étudié et plus généralement connu. Mais ce qui le
distingue
profondément des autres branches, c’est que, loin
in n’a-t-il pas observé clans plusieurs cas de catalepsie tout ce qui
distingue
le caractère somnambulique d’aujourd’hui, la conn
re ne tire d’un bloc que la statue qui s’y trouvait sans qu’on pût la
distinguer
, et qui pouvait y rester éternellement sans l’évo
! ! ! Vous rêvez ! s’écrie le magnétiseur. — Je ne rêve pasl je les
distingue
.... très-positivement. — Que signifie ce langag
e- (1) Chez certains sujets, il est, pour ainsi dire, impossible de
distinguer
l’état normal de l'état de crise imparfaite , ou
fête de Mesmer, pendant laquelle les récompenses seront décernées, se
distinguera
elle-même par une splendeur nouvelle due à de nom
édifier sur l'identité des personnages? line lucide m’affirme qu elle
distingue
du mélange à la lumière des esprits trompeurs, de
r, après un examen plus attentif, que les variétés des caractères qui
distinguent
chaque société sont presque infinies, et aussi no
; ma vue, appropriée pur une contemplation suffisante, parvient à le
distinguer
d’une manière nette , comme le font les somnambul
mique, il déniait des antipodes aux habitants de la terre ("). o On
distingue
trois époques ou phases dans l'existence des civi
en pleine psychologie, car l’âme qui pense et qui raisonne est ce qui
distingue
l’homme de la brute, et le génie est son apanag
usieurs autres cas analogues. Mais il ne nous dit pas comment on peut
distinguer
les communications trompeuses des véritables ; il
n de ces obstacles, je posai le pied dans un trou que rien ne faisait
distinguer
dans les flaques d’eau, et une violente douleur d
rture. Et quoique j’aperçusse clairement la canne tout entière, je ne
distinguais
rien qui la fît mouvoir. Les coups devenant de pl
et se brouillaient devant ses yeux au point qu’il ne pouvait plus les
distinguer
. Il a été magnétisé pendant plusieurs mois de 5 à
ctricité vitale ou d’électricité nerveuse, tout en paraissant même la
distinguer
quelquefois du mesmérisme, n’a pas au fond la pré
une substance moelleuse blanche, et le système ganglionnaire facile à
distinguer
du premier par la couleur grise de la substance.
uer vers la périphénie, et l’observateur physionomiste sait très-bien
distinguer
par la nuance du teint l’emportement brutal qui e
iculièrement les magnétistes. En effet, la plupart des caractères qui
distinguent
la catalepsie peuvent être obtenus artificielleme
arties du crâne dont les protubérances correspondent aux qualités qui
distinguent
la personne en question. Supposons, par exemple
la psychométrie, qui sont doués de facultés exceptionnelles , ce qui
distingue
en propre la méthode américaine (qui paraît appar
pouvait lire le contenu, parce que sa vue était trouble, mais qu’elle
distinguait
bien les armes d’Autriche. Ou constata ainsi, par
dent déjà à sortir des sectes sur le nouveau continent (1). On peut
distinguer
les évocations en deux classes, celles où l’espri
oppé à un très-haut degré chez certains hommes, surtout chez ceux que
distinguent
la force du tempérament, l’énergie de la volonté,
obbes , que Mabillon appelle la plus célèbre académie des Gaules, que
distinguèrent
ses richesses, la foule de grands hommes qu’elle
il raisonnable de nier la continuité d'existence de l’homme? On 11e
distingue
pas mieux les lignes de démarcation entre les dif
sentiment, correspondaient , autant que nous pûmes en juger, à ce qui
distinguait
l'esprit quand il venait sur terre. Les personnes
c une telle fidélité que nous y sommes trompés et que nous ne pouvons
distinguer
une copie prise sur le vif d’une épreuve prise su
ur le danger de poursuivre comme ennemis de Dieu les individus qui se
distinguaient
par des facultés exceptionnelles, par des actions
aptitudes upposées ; puis j'ai mis en lumière les ca- ractères qui
distinguent
les deux groupes (évolution onto et phy- logéni
Vallon et DENY ; ce dernier pense qu'il est relativement facile de
distinguer
la psychose à base d'in- terprétation des autre
pre. La craniectomie chez les enfants arriérés. M. DovEx. Il faut
distinguer
aussi promptement que possible si l'enfant rent
ciser ce qu'on entend par responsabilité. Il faut à ce point de vue
distinguer
la responsabilité morale et la responsabilité s
e d'Anatole France dans l'Histoire Comique « sur les médecins qui
distinguent
des moitiés de responsabilité, des tiers de res
ériodique des auteurs français et la folie maniaque de Kraepelin se
distinguent
par certains points qui nécessi- tent de faire
complets ou plus ou moins pro- longés, à cause de la difficulté de
distinguer
l'intervalle lucide vrai de la simple rémission
les de plusieurs années. Il s'agit là de simples récidives. Il faut
distinguer
aussi avec soin d'a- vec les états vraiment pér
umé, les troubles du premier groupe, que j'appelle pithiatiques, se
distinguent
des troubles du second groupe et aucun fait cli
ction des cellules ganglionnaires. La syphilis cérébrale diffuse se
distingue
essentiellement sinon toujours aisément de la p
age de tapisserie et qui, tout-à-coup, au milieu de son travail, ne
distingue
plus la couleur des lai- nes. Son aiguille s'ég
ble, très mauvais, qui lui fait une grande peur, mais il ne peut en
distinguer
ni les formes, ni la couleur ; ce « quelque cho
ies des hystériques et des neurasthéniques. Les cénesthopathes se
distinguent
de^ hypocondriaques par le caractère primitif e
qui forme le caractère principal de ce congrès international,qui le
distingue
de ses devanciers et qui on peut l'affirmer san
ue ce sont des phénomènes voisins, mais qu'il y a cependant lieu de
distinguer
: les obsessions ont un développement moins com-
rmation banale que l'hystérie est une maladie men- tale et on ne la
distingue
d'aucune autre de ces maladies. Si on con- sidè
es. Tous les observateurs sont au- jourd'hui convaincus, qu'il faut
distinguer
avec précision des ré- flexes cutanés en tendin
on, suggestion, association, idée fixe, obsession, etc., qu'il faut
distinguer
dans les délires les idées fixes de telle ou tell
ion de l'aptitude à les exploiter. Par certains traits notre cas se
distingue
des cas ha- bituels. Les deux codélirant vivent
tés bien définies par Jolly, Murri, Goldflam,Flora, Grocco, doit se
distinguer
de la réac- tion myasthénique proprement dite d
28, le, juillet 1906.) A.doute que les méthodes « qui permettent de
distinguer
facile- ment les lésions de la P. G. de celles
s la P. G., no- tamment dans le cortex que rien ne permet encore de
distinguer
des lésions purement dégénératives des éléments
dans lequel on classe ce que l'on ne sait où placer. Il faut aussi
distinguer
, au point de vue du pronostic et du traitement,
Ain. Né à Pont-de-Veyle (Ain). le 20 avril 1840, M. le Dr Goujon se
distingua
pendant l'épidémie cholérique de la Nièvre en 1
ssi sous une forme typhoïde (Richardière) (2),laquelle doit-on bien
distinguer
des cas de la vraie infection spécifique (fièvr
ce sénile n'est pas un des traits les moins ' caractéristiques qui-
distinguent
cette forme des états dépressifs de la psychose
cquise ou congénitale. Diagnostic : l'idée ob- sédante est facile à
distinguer
de l'idée fixe normale ou pathologi- que,cette
primitivement et dont la pathogénie est d'ailleurs inconnue. II.
distingue
de ce trouble le « besoin de communiquer » des
il arrive que. tout â cette chose qui frappe le sens de la vue, on la
distingue
peu à peu beaucoup mieux, â mesure «pie par l'att
de bon sens. Du moulent que. dans le sommeil complètement formé, «m
distingue
doux pôles, dnpl~es la distribution des forces ne
jets à unr distance à laquelle personne, à l'état normal, ne pent les
distinguer
; ou bien sur des objets observés à une petite di
istinguer ; ou bien sur des objets observés à une petite distance ils
distinguent
des détails qui échappent absolument à l'u-il le
circonstance, j'ai signalé un malade, qui, dans le sommeil hypnotique
distinguait
parfaitement l'une de l'autre les deux faces «l'u
ent indéterminécsel tendent à perdre le caractère automatique qui les
distingue
. Quand, par suite dune complexité croissante et d
assage d'un phénomène de mouvement idéal à la réalité est ce que nous
distinguons
sous le nom de volonté. Dans l'arie volontaire, c
ue l'o-il du corps » (1). — Il est vrai, dit M. Ribot. qu'on pourrait
distinguer
deux espèces d'éléments moteurs : « ceux qui serv
somnambulisme, la inalades'anuonceque.dansqiiatrcjours, elle verra et
distinguera
bien lesobjetsavec l'œil privé encore de la vue.
uge résultant de tendances variées ou antagonistes, pas plus qu'on ne
distingue
par un nom spécial le début de l'abaissement d'un
ion sur cette forme en 1884 dans un travail cilé plus haut. On peut
distinguer
aussi la neurasthénie par insuflisanre pathologiq
a volonté n'est pas autre chose que cette représentation; si elle se
distingue
spéciûquement d'une antre représentation, c'est p
ices convergentes. On peut s'expliquer ainsi pourquoi la volonté se
distingue
des autres représentations de mouvement coexistan
épondit : • J'en ai besoin pour la cible, s Avec ces verres-là, il ne
distinguait
plus les yeux de ceux qui lui parlaient, mais il
l fit six expériences dont trois semblèrent avoir réussi. Elles ne se
distinguaient
en rien de toutes celles qu'on a pu voir avec les
ires. Il n'y a pas eu délibération, pas de volonté par conséquent. On
distingue
parfaitement cet état de celui où l'acte a été vo
: telle est la volonté du vulgaire. La psychologie scientifique n'en
distingue
pas d'autre. En adoptant la doctrine de l'insépar
érées se confondaient : la malade ne pouvait dans une certaine mesure
distinguer
ce qui était vrai de ce qui était suggéré. Elle
evient acte, toute image évoquée devient chez eux une réalité, ils ne
distinguent
plus le monde réel du monde imaginaire suggéré, e
otent trop souvent une maladie mentale : cependant il faudrait encore
distinguer
les sincères des autres, et, bien que M. Nordau a
sformations qui s'opèrent dans notre propre organisme. Cependant nous
distinguons
deux sortes de perceptions différentes : les unes
a Graphologie. Le caractère particulier de quelqu'un, c'est ce qui le
distingue
d'entre les autres èlrcs de son espèce ; c'est sa
formes et les contractures. Ce sont là des raisons suffisantes pour
distinguer
ces deux ordres de lé- sions dans les rapports
leptiformes (épilepsie partielle, jacksonienne ou corticale) qui se
distinguent
des précédentes parce qu'elles débutent 28 NOUV
par lésions limi- tées de l'écorce cérébrale. Car, si nous avons pu
distinguer
, pour les be- soins de l'analyse et de la descr
des lésions destructives de l'écorce. C'est pourquoi nous pouvons
distinguer
pour les paralysies partielles, bien mieux que
le » . Telles sont les principales variétés d'aphasie que permet de
distinguer
l'analyse des phénomènes physiologiques concour
iées. Les progrès de la physiologie pathologique tendent en effet à
distinguer
dans l'écorce cérébrale autant de centres dif-
rachidien qui va se continuer avec la moelle épinière. On peut donc
distinguer
à la protubé- rance deux régions : une région s
cription qui va suivre, et les seules variétés qu'il y aura lieu de
distinguer
sont affaire d'intensité, d'évolution ou de loc
n'en méritent pas moins une sérieuse attention, afin de pouvoir les
distinguer
des déterminations organiques auxquelles ils em
rinaud). D'après le même auteur, le second moyen que nous ayons de
distinguer
ces paralysies centrales des paralysies périphé
squement et sans autre douleur que celle de l'acte même, ce qui les
distingue
des vomisse- ments par gastralgie ou hyperesthé
a décrivent prétendent qu'elle n'offre rien de constant, qu'elle se
distingue
par son ex- trême irrégularité et qu'il n'y a p
par une infiltration cellulaire abondante, au milieu de laquelle on
distingue
, il l'aide d'un fort grossissement quelques fibri
que, sur les préparations traitées par la double coloration, on ne
distingue
plus d'éléments nerveux. La pie-mère adjacente
dubitables. Il est donc évident, qu'il est absolument nécessaire de
distinguer
les deux genres de l'hyperkinésie frontale ; l'
ffuses que nous avons eues en vue précédemment, il y a donc lieu de
distinguer
une pachyméningo-myélite syphilitique. On conço
du côté gauche. La cor- née du même côté est opaque ; et le malade
distingue
à peine les objets de cet oeil. Il prétend que,
a marche, il n'en est pas toujours de même ; et il y aurait lieu de
distinguer
une forme grave de paraplé- gie syphilitique co
, à décrire à part l'arté- rite syphilitique de la moelle, comme on
distingue
la méningite et l'arté- rite syphilitique du ce
fixer d'une manière défini- tive les particularités anatomiques qui
distinguent
les méninge-myélites syphilitiques des autres l
oeil gauche étant même aveugle tout il fait. Ainsi il faut que nous
distinguions
- com- me le fil le premier M. llogyes les part
le titre des « Aliénés voyageurs » plusieurs groupes de malades. Il
distingue
en particulier parmi eux, les captivés qui cons
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE très prononcées. Mais ces lésions se
distinguent
nettement du tabès : d'abord, dans les cordons
s alcoolique, et je crois vous avoir convaincu, qu'il est facile de
distinguer
cette forme de polynévrite des affections de la
ge des exemples illustrés par des planches. Je crois qu'il faut les
distinguer
aussi de toute espèce de tumeur se montrant che
à l'heure. - - Au point de vue morphologique, il y a donc lieu de
distinguer
trois états physiologiques du muscle, le relâch
ongement et son amincis- sement, Sur l'homme vivant, il faut donc
distinguer
la contraction qui s'accompagne de raccourcisse
cia- les à la contraction et à la distention, c'est-à-dire qu'il se
distingue
par l'accen- tuation des divers, faisceaux, don
qui se meut, il soit complètement impossible, dans certains cas, de
distinguer
dans quel sens il se meut. D'où il résulte que,
ues conclusions intéressantes A. Dans les mouvements lents, il faut
distinguer
deux cas : 1° Ceux qui s'exécutent dans un plan
ion de la partie du faisceau latéral droit qui déjà il l'oeil nu se
distinguait
par sa coloration du reste delà substance médulla
ndamment des rares qualités de compo- sition et d'exécution qui les
distinguent
, sont-elles toujours des docu- ments du plus ha
nt d'une' porte,' est pleine de lumière et richement décorée : on'y
distingue
la moitié d'une cheminée ci colonnes avec des c
ment d'octobre, lorsque tous les cheveux venaient d'être coupés, de
distinguer
l'ancien emplacement des plaques. (1) C. li.
ions postérieures et latérale sont disparu, et il est impossible de
distinguer
leur position par la couleur des cheveux. A cet
la région, on voit que la peau de la face antérieure de la verge se
distingue
nettement de celle des bourses tant par les pli
terventions chirur- gicales portant sur la même région du corps. On
distinguera
ainsi les opérations sur la tête, sur les membr
broc d'étain, et un panier d'oeufs. Enfin, en haut d'une perche on
distingue
une sorte de planchette à la- quelle sont suspe
insister encore, car de tous les documents ana- logues, celui-ci se
distingue
par sa sévérité l'intention satirique est presq
deau à demi ouvert sépare le fond de la pièce du laboratoire : on y
distingue
un fourneau, une cornue, des fioles, des pots, un
i-même, tenant dans la main droite une- lige bou- tonnée dont on ne
distingue
pas l'extrémité inférieure. De la main gauche,
ou- vent. Le réticulum névroglique reste à peu près intact et on le
distingue
encore fort bien dans tout ce tissu. Dans la su
ivant les points, ses limites très nettes sont irrégulières ; on le
distingue
facilement à l'oeil nu sur les cou- pes où il f
gauche au delà du r 30e degré, De ce même côté gauche le malade ne
distingue
aucune couleur. Les troubles de la sensibilité
n- tenus dans mon travail sur la capsule; elle permet en effet de
distinguer
les expansions capsulaires les plus élevées. De
t actuel de la science, je ne connais aucun signe permettant de les
distinguer
l'une de l'autre. La prédisposition à marche fa
diagnostic et eu rendent la certitude impossible, car comment les
distinguer
? En suivant attentivement les malades, dit M.
pare à une sensation d'isolement. Il voit encore lalumière. mais ne
distingue
rien pendant les quelques secondes que du- rent
s le nom de délire des négations, une forme de délire spécial qu'il
distingue
du délire de persécution et ratta- che à la mél
ade, on voit qu'elles ont aussi des caractères particuliers qui les
distinguent
de celles que l'on observe chez les aliénés att
abord, surtout lorsqu'elle est comme ici logiquement déduite, de la
distinguer
des idées du même genre que l'on trouve chez le
. Cette prédominance des troubles sensoriels commence donc déjà à
distinguer
cette forme particulière de la mélancolie anxie
onnaissance des symptômes et del'évolution de la maladie, fera vite
distinguer
. REVUE CRITIQUE JUMPING, LATAII, MYRIACHIT;
et en haut, entre les-bras duqucli-est l'opercule. Seliwall)e 1 en
distingue
un troisième,'(très petit, qui constitue, en ré
e l'appeler sulcus temporalis inferior (Bischofl), sinon comment la
distinguerait
-on du sulcus temporalis infe- rior d'Ecker, c'e
1 En un mol ? comme 'dans sa scrofule efjdu. tuberculose)1 on peut
distinguer
une ltébéphrénierlloridéet'·uue hébéphrénie'tor
part Ziemssen. (Arch. f. lilin. 111édic.. t. XXX., -1883). Il se t,
distingue
des autres galvanomètres absolus parcefaitducl'in
SAVANTES. 231 1 vit pour la première fois. Zeller fut l'auteur qui
distingua
une forme primitive et une forme secondaire de
urtout à gauche, si bien que l'oeil droit étant fermé, la malade ne
distingue
presque plus les objets. L'oeil gauche est en out
8° Il va de soi que les autres éléments de diagnose utilisés pour
distinguer
l'accès de mal comitial de la grande attaque d'
les par les prolongements qu'elles projettent en divers sens. On en
distingue
deux formes principales ; les unes ne possèdent
ont les cellules des cornes an- térieures qui souffrent le plus. On
distingue
trois stades : un pre- mier stade de tuméfactio
des opérations assez com- pliquées d'arithmétique, aime la musique,
distingue
très bien les couleurs. Elle devient bientôt ph
ue ; il rappelle ensuite les caractères aujourd'hui bien connus qui
distinguent
chacun de ces types. Les symptômes objectifs
dans certains complexus fé- briles, de sorte qu'il y aurait lieu de
distinguer
une dyslexie toxique et une dyslexie organique.
intervalles lucides intervient parfois à son tour; elle contraint à
distinguer
dans la vésanie typique complète les folies ci do
ves spécialement affectées à ces impressions. En fait il vaut mieux
distinguer
d'une part les troubles du sens muscu- laire co
ire faisaient partie intégrante du syn- drome. Charcot crut pouvoir
distinguer
dans cette étroite région qu'il appela lé carre
des de lucidité et 3° après sa mort. Dans l'état de maladie il faut
distinguer
la période prodromique, la période d'état et la
psychologie clinique et thérapeutique, septembre 1898.) L'auteur
distingue
entre le sommeil profond, suggéré, identique au
avorisant la répétition. Parmi ces phobies inhibitoires les auteurs
distinguent
: 1° les phobies constitution- nelles qui se so
mère. Mais dans l'étude des résultats du traitement, il convient de
distinguer
entre les cas qui appar- tiennent à la première
s sillons du lobe pariétal et du lobe occipital. On sait que ce qui
distingue
le cerveau de l'homme de celui des singes anthr
pinaux est constitué par un composé voisin de la nucléine, qui s'en
distingue
par une teneur plus faible en phos- phore ; il
u nerf examiné. Nous ne possé- dons donc aucun point de repère pour
distinguer
quelles sont. parmi les fibres dégénérées, cell
tre de déceler l'existence d'une affection grave de l'encéphale, se
distinguerait
des autres réflexes tendineux parce que la réac
comparable à l'un de ces trois groupes de troubles analogues. Il se
distingue
du premier par une hyperdiurèse peu abondante,
ion graisseuse) ; 4° un état spécial d'bydrémie anémique qu'il faut
distinguer
de la dégénérescence du crétinisme. 1° L'aute
du sommet droit permet de rattacher ce cas à la bacillose. Il se
distingue
des formes habituelles par sa longue durée, sa lo
lques cas, tous les autres mouvements des pupilles étant perdus, de
distinguer
une paralysie périphérique d'une paralysie cent
ble du corps : leur calibre et leur colora- tion les fait nettement
distinguer
des fibres du premier système. Les fibres du ru
e chez le lapin. C'est chez le chien et le chat que nettes elles se
distinguent
des autres fibres dans les circonvolutions de l
ambes et des bras), est très caractéris- tique de l'affection et la
distingue
des paralysies bulbaires orga- niques. Dans l
udo-méralgie radiculaire : 1° La pseudo-méralgie tabétique. Elle se
distingue
par le caractère des troubles sensitifs, plus h
c des petites bougiesqui dansent, il y aaussi une figure mais il ne
distingue
pas bien », et si l'on renouvelle l'expérience, c
ie d'un homme qui souffre du tabès dorsalis ataclica. De ce type se
distingue
clairement les malades atteints de tabès supéri
iveau des dixième et onzième paires dorsales, il était difficile de
distinguer
ces fibres médianes descendantes de celles de l
encore très longtemps. 7) La méthode de formol-méthylène permet de
distinguer
une grande quantité de parties constitutives de
; c'est presque une décérébration qu'un examen minutieux peut seul
distinguer
de la démence. L'asymbolie n'est d'ailleurs sou
n bleue, y est déjà presque uniformément répartie; toutefois on y
distingue
encore de fines granulations et la teinte bleue,
tement au centre des cellules, sa coloration est d'un bleu pâle, on
distingue
en son centre un nucléole fortement teinté. Mais
cette nuit ; toute la journée d'hier, il a entendu des insultes, il
distinguait
très nettement la voix d'un individu qui l'appe
r; par M. G. MARINESCO. (Presse médicale, 16 août' 1899.) On peut
distinguer
dans le noyau du facial, chez presque tous les
dire l'importance de ce facteur. Diagnostic : Cette affection se
distingue
de l'ataxie locomotrice par l'absence de syphil
renfermer dans quelques descriptions, ces minus habentes, qui ne se
distinguent
des enfants normaux que par des signes négatifs
aire est normale. A part la sclérose des faisceaux pyramidaux on ne
distingue
pas de dégénérescence. Au-dessus de la lésion,
ographie permettra de multiplier les observations de ce genre et de
distinguer
, à côté de l'ostéoar- thropathie tabétique clas
. Leur représentant le plus clair est l'ostéo- malacie. Vierordt en
distingue
: une période d'acmé, et une période de régénér
crime commis est donc insuffisante. Chapin en propose une autre, et
distingue
: 1° Le criminel incorrigible, indiscipliné, ma
UTIQUE. cite trois cas, dont l'un, absolument aveugle, commença à
distinguer
les objets après plusieurs séances de suspension
Paviot, con- sidérant que par la coloration au Nissl, on peut déjà
distinguer
quelques-unes de ces cellules sur un cervelet n
en rapport avec les fils du réseau. Quelques-uns de ces nodules se
distinguent
par un volume plus considérable et rappellent d
Sur une coupe de l'écorce d'un foetus de chien presque à terme, on
distingue
trois couches : une couche supérieure super- fi
nge auquel on a enlevé les lobes frontaux, et qui avant cela savait
distinguer
, à l'aide de ses sens, un morceau de craie d'un
'écorce de vio- lentes irritations centripètes ; nous ne pouvons le
distinguer
de la douleur et de l'insomnie. On conçoit comm
s cas, forment le complexus si connu et si caractéristique. Pour en
distinguer
les stades précoces le premier rang revient à l
e faciale récidivante. Le symptôme complexe de l'hémicranie, qui se
distingue
par la périodicité des accès, s'accompagne souv
ou devenu sourd avant qu'il n'ait totalement appris à articuler, se
distingue
de celle d'Un enfant normal par une modulation
t tantôt seules, tantôt à l'état de combiuaison, sans qu'on puisse,
distinguer
une évolution comparable à celle du délire chro
ns la maladie de Fiiedreich, on a là un nouveau caractère servant à
distinguer
cette affection du tabes. M. Marie ne s'en éton
tribuer à la solution de cette question. , Bien ne permettrait de
distinguer
ce myopathique de tous les myopathiques reconnu
ant sur ce cas et sur des faits analogues, les auteurs proposent de
distinguer
une forme senso- rielle de la paralysie général
franc. M. IE1GE présente un malade atteint de spasme facial pur à
distinguer
du tic en ce que le spasme qui est l'équivalent d
M. Ballet demande que l'on précise toujours la terminologie e pour
distinguer
les spasmes des tics et insisle sur la mauvaise
amalade, qui s'était remise au travail, se rendit compte qu'elle ne
distinguait
plus les objets que dans une moitié du champ vi
ualitative est abolie : l'intéressé voit les objets, mais il ne les
distingue
plus les uns des autres. - La cécité verbale ;
tiques dans toute son épaisseur, est également homonyme. Elle ne se
distingue
des deux moda- lités précédentes que par la nat
cherche à analyser et à expli- quer son état mental. Elle cherche à
distinguer
des actes ou des pensées réellement coupables c
ons sur le délire par introspection, le critérium néces- saire pour
distinguer
l'élaboration d'un travail mental ou même les m
cessaire à la connaissance de ce domaine, et ceux qui le peuvent se
distinguent
de ceux qui présentent des troubles, pathologiq
au moins dans ses prémisses, il dit qu'on lui parle et il arrive à
distinguer
et à décrire toute une lutte engagée avec des e
ste immobile, ou bien se porte en arrière. Ce caractère permet de
distinguer
de la surdité hystérique où le vertige voltaïqu
ce que confirme l'exemple des intoxications. Le difficile est de
distinguer
dans les formes cliniques les symptômes essentiel
eurs commises comportent un enseignement. Il a pu arriver ainsi à
distinguer
des psychoses d'apparence identique mais à pronos
oppées par une membrane, c'est-à-dire enkystées. Les vésicules BBB se
distinguent
par leur volume au milieu de cette masse globuleu
ncé relativement à la gangrène du poumon. Toujours est-il qu'on devra
distinguer
la gangrène primitive du poumon de la gangrène su
dépassaient pas leur volume naturel. Il est donc bien difficile de
distinguer
les phénomènes de l'apoplexie de la moelle de ceu
e, c'est ce que j'ai cru devoir appeler ankylose avec fusion, pour la
distinguer
des autres espèces d'ankylose. A quelle maladie
e répéter, les phlébites dominent pour ainsi dire la pathologie; j'en
distingue
trois espèces : la phlébite des veines libres; i°
cé ce tissu à côté d'une tumeur érectile , il a été impossible de les
distinguer
l'un de l'autre. Après un lavage répété, la moiti
auque ; la tuméfaction du voile du palais moins considérable. On peut
distinguer
trois plaques blanches sur les piliers postérieur
calement dirigée, et sillonnant la partie antérieure de la tumeur. On
distingue
même toutes les franges de la trompe, qui étaient
trompe, qui étaient libres, excepté dans un point. On peut très-bien
distinguer
le ligament de l'ovaire LO, le ligament large déf
ise pour une ascite et ponctionnée comme telle. Rien de plus facile à
distinguer
de l'ascite qu'une hydropisie enkystée de l'ovair
ssion médiate ou immédiate, la précision peut être portée au point de
distinguer
, dans le cas de complication, ce qui appartient a
e voit souvent sans ce dernier symptôme. Il me paraît impossible de
distinguer
, dans l'état actuel de la science, le kyste unilo
a paru la même dans les deux cas : mais je crois qu'on pourra souvent
distinguer
le kyste multiloculaire du kyste uniloculaire : d
er terme. On voit donc que, dans beaucoup de cas, il est difficile de
distinguer
l'idiotie congéniale de l'idiotie acquise, la pre
stacle; et, dans ce dernier cas, il est quelquefois très-difficile de
distinguer
la transformation de la production enkystée, d'au
es signes certains à l'aide desquels ils puissent, dans tous les cas,
distinguer
le délire symptomatique du délire idiopathique. A
crâne et des fongus de la dure-mère. Il pense que les premiers, qu'il
distingue
en fongus médullaires et en fongus hématodes, son
t autres phénomènes de compression cérébrale, permettront toujours de
distinguer
l'hémiplégie symptomatique d'une tumeur cancéreus
l'hémiplégie symptomatique d'un foyer apoplectique : on peut même les
distinguer
l'une de l'autre dans le cas d'instantanéité par
ation ramollissement gélatiniforme du cerveau. Une teinte jaunâtre la
distinguait
d'ailleurs de la substance cérébrale environnante
anes séreuses, est très-sujette à l'inflammation [arthrite), que l'on
distingue
, sous le rapport des causes, en traumatique, rhum
vu plusieurs cas de cette espèce. Mais rien n'est plus facile que de
distinguer
un véritable corps étranger cartilagineux d'un fr
lques cas, et en particulier dans celui qui vient de nous occuper, de
distinguer
les altérations physiques ou chimiques des altéra
s de la veine parfaitement saine à son intérieur. III. Il faut bien
distinguer
les foyers purulens qui se forment autour des vei
foie au sein de quelques-unes de ces tumeurs. XIX. Au lieu donc de
distinguer
les maladies cancéreuses du foie, en celles qui s
t formées aux dépens du tissu propre du foie, je crois qu'il faut les
distinguer
en celles qui attaquent çà et là une ou plusieurs
nt à des vaisseaux différents. Du reste, il est extrêmement facile de
distinguer
la surface interne d'un vaisseau lymphatique, de
irculaires bien distinctes des valvules. Il n'est pas moins facile de
distinguer
les veines d'avec les vaisseaux lymphatiques, et
; si bien que le médecin appelé éprouvait un moment d'hésitation pour
distinguer
cette maladie factice d'une maladie réelle. La su
t dans les pédoncules cérébraux. )) Des nerfs cérébraux, on ne peut
distinguer
que les origines des première, deuxième et troisi
ue toutes ont lieu du côté de la face utérine du placenta; on peut en
distinguer
deux espèces. Dans l'une, c'est une coque osseuse
ernie diaphragmatique. A travers la transparence du sac herniaire, on
distinguait
un grand nombre de circonvolutions intestinales,
de la mâchoire d'un enfant nouveau-né, qu'il serait impossible de les
distinguer
les unes des autres. Admettrons-nous que des frag
vertébrale est très fortement recourbée sur elle-même. Au tronc, on
distingue
la cavité thoracique delà cavité abdominale à l'a
i a beaucoup d'analogie avec celle du liquide mélanique. Il faut bien
distinguer
cette coloration morbide de la coloration noire a
aine,, tantôt reçue dans une érosion très superficielle. Il faut bien
distinguer
cette coloration noire de la muqueuse gastrique,
aniques constituent la phthisie avec mélanose de Bayle : il faut bien
distinguer
les tubercules mélaniques du poumon, d'ailleurs f
s sans queue, ce qui me lit une peine extrême, car je ne pus plus les
distinguer
des hommes bienfaisants dont ils avaient pris l'a
t appréciées à leur juste valeur, et le public, trompé quelque temps,
distingue
aujourd'hui les charlatans et commence à s’éloign
qu'au front, de manière que les yeux, fussent-ils ouverts, ne pussent
distinguer
ce que je présentais. Prudence les signala T mais
elles d’une manière différente, de telle façon « qn’elles ont pu les
distinguer
les uns des autres, bien « qu’ils aient été entou
édecins; c’est le comble de la sottise, car il faut que l’humanité se
distingue
des bêtes, ne serait-ce que par la souffrance.
t aussi malheureux que les autres hommes; les apôtres religieux ne se
distinguent
nullement deceux qui n’ont point de principes: ce
t dans sa chambre, étant cependant placée de manière à ne pouvoir les
distinguer
dans le cas môme où elle se serait réveillée. L
e; et, en effet, la boîte ne renfermait que ces deux couleurs. Elle
distingue
parfois ce qui se passe à des distances très-éloi
l laisse plusieurs ouvrages sur le magnétisme, parmi lesquels on peut
distinguer
son Esquisse de la nalure humaine, et un Essai de
n Essai de psychologie physiologique, Ami de Deleuze, comme lui il se
distingua
par son amour constant pour la vérité et par une
notre cause est gagnée; on ne confondra plus les ommes, on saura les
distinguer
. Le magnétisme est sali, pollue chaque jour, et
ier. Tous les hommes ne peuvent pétrir le bronze et animer la toile ;
distinguons
ceux à qui Dieu réserva cette laveur. A M. Paul
int compris le Christ, c’est leur ignorance qui ne leur permet pas de
distinguer
ce qui est condamnable de ce qui ne peut l’être,
cinq ans, ayant une hernie plus grosse que le poing qui empêchait de
distinguer
de quel sexe il était, s’est trouvé au bout de ci
bien auquel il peut se flatter d'avoir concouru pendant sa vie. On
distingue
dans le cours de la vie de l’homme sept époques o
ité et de bizarrerie celle nouvelle méthode de vêlement proposée pour
distinguer
invariablement les sept époques de la vie, si l’o
erprétations des songes ne viennent-elles pas do Dieu ? » Les Grecs
distinguaient
l’oniropole de l’oniromante. L’oniropole était le
happent les songes véritables, les anciens nôus apprennent qu'il faut
distinguer
différentes espèces de songes, et que la base pre
lui parler du pauvre malade, et je lui demandai s’il croyait pouvoir
distinguer
à distance. Il me répondit qu’il se sentai t dans
toulc leur gravité. Enfin, tel était l’état de l’œil all'ecté, qu’il
distinguait
à peine le jour d’avec les ténèbres, lorsque je l
que durant une grande partie de l’exéculion il « était impossible de
distinguer
qu’il y en avait deux. « J'ai vu une dame qui éta
de, que pouvaient savoir les savants, si ce n’est l’avenir, pour se
distinguer
des ignorants? Ils devaient donc braquer la lunet
ître ce qui vienl de l’égarement de nos sens ou de noire imagination,
distinguer
ce qui appartient en propre à la nature, ce qui s
blé; dis-moi si dans cette goutte de liqueur séminale tes yeux savent
distinguer
l’être humain qui s’y trouve; il y esl cependant,
nambulisme qu'après une ma- gnélisalion plus ou moins prolongée, et
distinguez
avec peine ce qu’on veul vous faire voir. La prés
l éloigne lout esprit positif. C’est donc de ne pas savoir ou vouloir
distinguer
ces deux ordres que vient l’explication forcée de
it; riches et pauvres vont s'engloutir dans un vaste océan; mais Dieu
distingue
ceux qui lurent justes et bons, qui travaillèrent
nnes qu’elles n’ont jamais vues, les appelant par leurs noms , et les
distinguent
par les professions qu’elles font. 2» Qu’estant
Bavent et que plusieurs fois elle revint dessus, disant qu'il fallait
distinguer
les scènes de sabbat d'avec les autres, priant le
de la mer, mais il dit que l’eau est claire et peu profonde et qu'il
distingue
au fond des objets divers ; cela ressemble à une
çon à ne répandre qu’une clarté douce, mais cependant suffisante pour
distinguer
les objets sur la table, cette table fut ébranlée
vit aucune des autres personnes qui étaient dansl chambre, et elle ne
distingua
que les objets appartenant» magnétiseur ou placés
prétentions opposées se valent au fond, aucune n’a de critérium pour
distinguer
un faux esprit d’un vrai, chacune se fait un titr
s intellectuelles s’appliquant à obtenir le même résultat; ce qui les
distingue
seulement, c’est la différence de situation .des
uve : A l’état de veille, étant couché les yeux fermés, je commence à
distinguer
un point bleu, puis bientôt des figures de person
on d’un agrégat mixte. i(Or, dans cet agrégat, on est bien obligéde
distinguer
une partie matérielle qui tombe dans les sens, —
individu sent, entend, et le témoignage de ses sens l’empêche seul de
distinguer
les erreurs de la vérité. Jusqu’à présent, le seu
E DE LA NAISSANCE DE MESMER a:« liai 1858. Cette dernière fête se
distingue
de ses aînées par une réunion plus nombreuse d’ho
leur vue pénètre même à distance dans l'intérieur du corps humain, en
distingue
les lésions el indique les remèdes. Et ce qu’il y
qui restaient mélangés à l’état confus, tendent de plus en plus à se
distinguer
. De là une division plus apparente que réelle.
qui, usurpant le rôle du médecin, prétend diagnostiquer les maladies,
distinguer
les lésions des organes profonds et indiquer les
dans l’électrisation humaine comme dans le somnambulisme, nous devons
distinguer
un grand nombre de nuances et de variétés dans le
le double caractère de la science et de la vertu, parmi lesquels nous
distinguons
des prélats romains, des grands-vicaires, des pro
eux avec lequel elle disait être en rapport, resta invisible ; on put
distinguer
le mouvement de ses lèvres, mais on n’entendit pr
raindre un entraînement facile, car il n’est pas toujours possible de
distinguer
ce qui appartient à l’un ou à l’autre de ces deux
u’on élevait l’objet à la hauteur des yeux, elle ne pouvait plus rien
distinguer
; il n'était donc pas démontré quelle pût voir à
s confus, comme si un épais brouillard était interposé, et ne peuvent
distinguer
même une lettre ; c’est ce 'qu’ont éprouvé plusie
s sage des mortels. Si du moins on avait dit à quels signes on devait
distinguer
la sagesse et quelle en était la mesure I «i Le
agnétisme que les hommes généreux et compatissants ; mais comment les
distinguer
? Quelles épreuves exigera-t-on des néophytes? Qua
ommunication émane du personnage dont elle porte le nom, mais même de
distinguer
si elle vient d’un Esprit bon ou mauvais. Chacun
chemin. Un savant brille" surtout par son entêtement, c’est ce qui le
distingue
du vulgaire. Je perds donc chaque jour mon temps
ement, comme 011 eût dit au moyen âge. Ou lui répète : Il faut savoir
distinguer
ceux qui se livrent sérieusement à ces intéressan
artenant, les uns à la magie et les autres au magnétisme, comme il ne
distingue
point les causes de ces divers ordres de faits, e
ement. Il faudrait donc soumettre les rêves une étude suivie, afin de
distinguer
ceux qui d’entre eux appartiennent aux digestions
e nom de plagio- céphalie, il faut, pour éviter toute confusion, la
distinguer
nettement de la plagiocéphalie ordinaire. (Ce m
la Salpêtrière, n° 1, 1903.) Les auteurs pensent qu'il y a lieu de
distinguer
dans l'affection décrite par Brissaud et Meige,
rmales de la maladie de Parkinson, M. Collet envisage celles qui se
distinguent
par des anomalies du tremblement. C'est ainsi q
tinguent par des anomalies du tremblement. C'est ainsi que l'auteur
distingue
les foi mes suivantes : 1° Maladie de Parkinson
nique, le principal élément de diagnostic, celui qui peut les faire
distinguer
d'un néoplasme céré- belleux, est l'existence p
m au niveau des scissures calcarines : à l'examen histologique on
distingue
seulement quelques tractus fibreux sains qui para
uré spécifique, le bacille de Hansen. Au point de vue cli- nique on
distingue
deux formes, la forme tégumentaire ou tubercule
malades depuis 8 ans au maximum, il ne manquait jamais. 11 faut en
distinguer
le réflexe deltoïdien produit par la percussion
récent traité de pathologie mentale de M. Gilbert-Ballet, M. Arnaud
distingue
seulement, suivant la période de la vie à laque
et déjà, on soit en droit, au nom de l'anatomie patholo- gique, de
distinguer
la démence précoce des folies dites dégénéra- t
i les observations qui ont été publiées sous ce nom, il y a lieu de
distinguer
deux ordres de faits : les uns concernent des a
'intervention judiciaire, sou- vent due au hasard, qui puisse faire
distinguer
cette catégorie d'aliénés des aliénés simplemen
bles à ces différents troubles fonction- nels ; 3° Il y a lieu de
distinguer
parmi les troubles respiratoires observés chez
ied. Dans le groupement postéro- latéral et post-postéro-latéral on
distingue
facilement des grou- pements secondaires représ
ions et les hallucinations du côté des organes visuel et auditif se
distinguaient
aussi par un carac- tère indécent, obscène et c
malies ; propor- tion : 52,6 p. 100. La' cérébelleuse supérieure se
distingue
par une grande constance mais souvent elle se r
t, dit l'auteur, hors de doute qu'il appartienne au facial. Pour le
distinguer
du noyau principal ou inférieur au facial, depu
Chez l'hémiplégique la marche de flanc vers le côté paralysé ne se
distingue
pas essentiellement de la marche de flanc normale
, dit l'auteur, des psychoses syphilitiques secon- daires. Elles se
distinguent
cliniquement peu des psychoses toxi- ques et au
ment. 2. Ce traitement doit être nommé photothermothérapie, pour le
distinguer
de la photothé- rapie. 3. La photothermothérapi
ter- mination d'espèces morbides naturelles. On peut présentement
distinguer
: 1° La paralysie générale. Il n'est pas except
résultant de l'arrachement ou de l'excitation du plexus solaire. Il
distingue
expérimentalement un certain nombre de syndrome
- tomopathologique, voire pathogénétique. Il est indispensable de
distinguer
exactement les mesures utiles à la céphalométrie,
Neurologie, 1903, n° 20.) En dehors des tics proprement dits qui se
distinguent
par leur caractère convulsif, les lèvres sont c
ptibles d'une intervention chirurgicale. Elle est utile encore pour
distinguer
la syphilis cérébrale des autres maladies du cerv
de la Soc. de méd. mentale de Belgique, juin 1902.) Cet appareil se
distingue
des autres par deux organes essentiels : tu une
rurent après l'établissement tardif des règles. M. Dupré. Il faut
distinguer
entre le puérilisme et l'infantilisme. L'hystér
e périphérique. Cette fillette présente un très grand intérêt et se
distingue
très nette- ment d'autres monstruosités de même
emps, l'une d'elles présentait l'aspect d'un foetus de 8 mois et se
distinguait
fortement de sa soeur qui était complètement fo
trophiés (biceps, pectoraux). Les nerfs du membre infé- rieur ne se
distinguent
en rien des nerfs normaux. Macuoscopiquement, l
vous montrez que vous portez au pouce une grosse bague, ce qui vous
distingue
aussitôt des confrères be- soigneux et vous att
e. Le médecin a du décorum, et la femme qui présente le breuvage se
distingue
par un naturel parfait qui n'est pas dénué d'él
peau, ses gants, sortent de chez le même faiseur. Cependant pour se
distinguer
, il a pris un habit vert bouteille; son nez est
énignes, certains lipomes, par exemple, ou certains fibromes qui se
distinguent
par une double singularité : elles sont multipl
lus fortement, et paraissent touchés alors que par le Pal ils ne se
distinguent
en rien des faisceaux normaux. Dans cette régio
,la plus concrète est ce que j'ai nommé sens des attitudes. Il faut
distinguer
, pour analyser le domaine et l'exercice de ce s
e de la variation dans l'espace à celle de l'effort exercé. Il faut
distinguer
trois points dans cette question délicate. Premie
e absolument superposable à celui que révèle le labyrinthe. Il faut
distinguer
l'indocilité que met le globe à se conformer immé
r façon particulière de rechercher l'équilibre perdu ; il faut donc
distinguer
dans le signe de Romberg l'insuffisance ou l'ir
iffère aucunement en ce point de tous les labyrinthiques. Ce qui le
distingue
, c'est l'incoordination motrice qui apparaît quan
issement bilatéral du champ auditif, une impos- sibilité absolue de
distinguer
les couleurs, seul l'odorat était conservé; enf
e il n'y a qu'un instant. Derrière ces groupes, au dernier plan, on
distingue
l'arrière-officine, à demi voilée par un rideau
non équivoque, cède aux besoins les plus impérieux de la nature. On
distingue
même le louable résultat de ses efforts. Plaisa
sséminées paraissent très semblables au premier abord mais elles se
distinguent
cependant l'une de l'autre par quelques caractère
s presque toujours avec succès. Les malades d'amour de Jan Steen se
distinguent
toutes par une inté- ressante pâleur des person
iques, tout cela nous le reconnaissons bien. Je crois même que l'on
distingue
, sous le fichu blanc qui encapuchonne la tête,
ment d'une porte, est pleine de lumière et richement décorée : on y
distingue
une cheminée à colonnes avec des chenets de cui
ain, que Brissaud appelle gringalets. Les infantiles type Lorain se
distinguent
par leurs proportions fines et élan- cées. Les
re leur cylindre-axe ; 3° des fibres minces où il est impossible de
distinguer
un Fig. 2. - Coupe musculaire. véritable cyli
st lente : c'est un de ses caractères principaux, suffisant pour la
distinguer
des névrites. La progression est tellementra- l
eur mode de distribution et de circonscription; on sait aujourd'hui
distinguer
suivant leur origine les anesthésies en rapport
a correcte monotonie. Frans van Mieris, surnommé le Vieux pour le
distinguer
de son fils et de son petit-fils, qui furent pe
lus les divers éléments du champ de Cohnheim sont très difficiles à
distinguer
même à un examen attentif. Les parties claires qu
nteau blanc de la face externe du ventricule n'est pas lésé ; on en
distingue
les différentes couches. Dans la substance blan
volontaire,' c'est-à-dire du sens musculaire ; en clinique elle se
distingue
par les résultats négatifs de l'épreuve des yeu
dans ses Leçons sur les ma- ladies nerveuses des femmes (1885). Il
distingue
tout d'abord deux modes d'incoordination motric
ont mises en jeu par les mouvements de locomotion du corps et les
distingue
des spasmes fonctionnels. Mais cette distinctio
rs dimensions normales, mais elles sont granuleuses et l'on ne peut
distinguer
leurs noyaux. Elles sont, en général, arrondies
sant à la persistance des trou- bles spasmodiques. (C'est là ce qui
distingue
cette amyotrophie de l'amyotrophie cellulaire d
héorique des formes oblige à fixer, à observer, regarder, comparer,
distinguer
, assembler, réfléchir, juger et préparer l'util
et la description que nous en avons tirée, il est déjà possible de
distinguer
plusieurs formes d'astasie et d'abasie correspo
c rigidité. Dans ce dernier cas, la contracture est trop facile à
distinguer
pour que l'erreur soit possible. Dans le premie
r le redressement de la pointe du pied. Il n'y aurait pas lieu de
distinguer
l'affection qui 196 pathologie nerveuse. nous
ssure temporale est très irrégulière et tronçonnée. - On ne saurait
distinguer
de troisième circonvolution temporale, qui, ici
re, tronçonnée, mais on peut à la rigueur, surtout postérieurement,
distinguer
une troisième circonvolution temporale égalemen
dis que la loquacité déclamatoire (Redesucht) ' La confabulation se
distingue
de la verbigération par son caractère d'imagina
rencie des aliénations idiopathiques et sympathiques. On pourrait
distinguer
des formes de Catatonie épileptique, r tétaniqu
étanique, choréique, cataleptique, indifférente; mais il vaut mieux
distinguer
des cas faibles ou simples, graves ou compli- q
d'extase ou de l'indifférence vide. l3rosius croit que déjà on peut
distinguer
trois formes de Ca- tatonie : 1° une forme méni
uRy expose que l'évolution spéciale du délire chronique suffit à le
distinguer
des autres formes mentales, dont la symptomatol
émontré qu'au point de vue des réactions patho- logiques il fallait
distinguer
, dans les cordons posté- rieurs de la moelle, d
est ferme. Ni à sa surface ni sur les coupes transversales on ne
distingue
de teinte grisâtre au niveau des cordons postérie
lle peut se transformer en l'une quelconque des formes dont il la
distingue
auparavant (redesucht ordinaire, radolerie des
ncoordination motricedes membres supérieurs chez l'ataxique elle se
distingue
de l'incuordination athétosique en ce que le dé
rie de gâteux que l'auteur fait une étude psychopathologique. Il en
distingue
trois classes : la pre- mière comprend le gâtis
thologique, pas- sager, épisodique, étranger la personnalité; on en
distingue
trois catégories, suivant la région où siège l'
pour l'audition. Elle indique elle-même comment elle est arrivée à
distinguer
le temps écoulé, en récupérant la réflexion, la
qu'il propose de désigner sous le nom de délire d'énormités pour la
distinguer
du vrai délire des grandeurs. Ce délire d'énorm
▲