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1 (1911) La pratique neurologique
encore de machine dont on puisse retirer, imprimé sur un ticket, le diagnostic d'un malade. C'est donc, dans une certaine mesu
renseignements qui peuvent être utiles, non seulement pour poser le diagnostic clinique d'une maladie nerveuse, mais encore po
ostic clinique d'une maladie nerveuse, mais encore pour en poser le diagnostic anato- mique et anatomo-pathologiquc : la topog
orés. " , . 11 est bon, pour affermir d'une manière indiscutable le diagnostic de scotome central pour une couleur, de complét
paralysé. En tout cas, cette exploration constitue un élément de diagnostic fort im- portant qu'il ne faut pas négliger.
il est souvent difficile, avec la seule diplopie, de préciser un diagnostic . Dans ces conditions, l'exploration directe des
de bien connaître ce symptôme et d'ap- prendre à l'utiliser pour le diagnostic . ' ' Recherche de la diplopie. Il est, en génér
tempe, verres fumés, colorés, concaves, convexes). On en fait le diagnostic par les caractères précédents et la coexistence
- DIMINUTION DE LA VISION. 55 souvent dans la vision binoculaire. Diagnostic et traitement comme pour l'amaurose double. A
leur éten- due. Toutes ces variations sont .uti- lisables pour le diagnostic de la nature et du siège des lésions pro- duc
voit à l'ophtalmoscope aucune lésion marquée suffisant à établir le diagnostic . ' Amblyopie diabétique. Voir p. 57. Lésions
mites périphériques du champ visuel, il vaut mieux, pour établir le diagnostic , s'en rapporter aux autres symptômes concomitan
rétine {plaque de cho1'Ofdite, hémorragie, décollement, etc.). Le diagnostic entre ces diverses affections se fait par l'ophta
s pupillaires à la lumière. Ce fait a une grosse importance pour le diagnostic du siège de la lésion qui provoque la cécité. Sur
préexistante, par la marche de la température qu'on peut arriver au diagnostic véritable. La syphilis produit des gommes syphi
s (Voir Nystagmus). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 61 Diagnostic A l'aide DE la DIPLOPIE. Tous les signes précéd
s ou paralysies des muscles moteurs des globes servent à établir le diagnostic . Ils se contrôlent les uns les autres. En génér
rdissements, de vision double. Ces paralysies incomplètes sont d'un diagnostic difficile, mais ce sont les plus fréquentes et
'aide de cette diplo- pie, employée seule, que nous allons faire le diagnostic très exact de la paralysie. En présence d'une
iques de la lésion interruplrice; 5° la nature de cette lésion. ' Diagnostic des muscles paralysés. Il peut y en avoir un se
des onze autres muscles. Il suffirait, semble-t-il, pour arriver au diagnostic , de constater les troubles produits par le musc
de la diplopie. PARALYSEES DES MUSCLES .MOTEURS DES GLOBES. ) ! 5 Diagnostic de la paralysie d'un seul muscle. - Le malade aya
monyme). . PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 65 Voilà le diagnostic fait par la' diplopie seule, sans qu'il soit beso
facile, avec les données de ce schéma, de faire ensuite posément le diagnostic delapàralysie. PIIATIQUE JOEUIlOL. ' 5 - - [F
chémas de diplopie. PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GLOBES. 67 Diagnostic quand plusieurs muscles sont paralysés. - Il se f
lus complexes. Dans ces conditions, il est utile, pour compléter un diagnostic incertain, de recourir à l'usage du périmètre,
sés dépendent d'un même tronc nerveux, du M. 0. C., par exemple, le diagnostic est facile (Voir p. (i9). Vérification du diagn
ar exemple, le diagnostic est facile (Voir p. (i9). Vérification du diagnostic de paralysie d'un muscle. Quand, au moyen de la
iquée, on a déterminé le muscle paralysé, il est bon de vérifier le diagnostic . Il suffit pour cela de se rappeler les fonctio
es paralysies) . Aspects cliniques suivant le siège DE la lésion. Diagnostic du siège. Quand, il l'aide de la diplopie ou des
e muscle ou les muscles atteints, il faut encore, pour arriver à un diagnostic complet, localiser le siège de la lésion dans l
plet, localiser le siège de la lésion dans les voies oculomotrices ( diagnostic du siège). Cela fait, il ne reste plus qu'à dét
a fait, il ne reste plus qu'à déterminer la nature de cette lésion ( diagnostic étiologique). Suivons les voies optiques de la pé
riations symptomatiques contribuant beaucoup il rétablissement d'un diagnostic précis. Syndrome type Foville dans les lésions
en ignorons le siège. 51'I : C'l's VARIABLES SUIVANT LA CAUSE. ( Diagnostic étiologique.) Les paralysies oculaires varient
lésion cérébrale, la ponction lombaire, sera souvent utile pour le diagnostic et quelquefois pour le traitement. Méningite.
érit bien par le traitement. La ponction lombaire permet souvent le diagnostic entre ces deux variétés écologiques. Maladies
tc.... suivant la cause qui les a pro- duites, mais, en général, le diagnostic étiologïque doit se baser sur la constatation d
driase spasmodique). L'usage de ces collyres peut aider beaucoup au diagnostic des affec- tions pupillaires. D'après Coppez ('
dans sa pratique journalière, cherche à étahlir avec pré- cision le diagnostic d'une affection nerveuse. Dilatation PUPILLAIIO
f, sans autre lésion appréciable du système nerveux. Elle a pour le diagnostic de syphilis une valeur séméiologiquc considérable
s atrophiées que d'autres. Mais dans le glaucome aigu ou ancien, le diagnostic est toujours facile par la constatation de lési
ontré dans une lésion à l'intérieur du lobe tem- poro-sphénoïdal. Diagnostic différentiel. Le ptosis vrai ou chute paralytique
ant la inutilité des paupières est intacte. Dans ces conditions, le diagnostic est facile; il suffit d'être prévenu, et d'exam
également au début de certaines myopathies progressives (fig. 60). Diagnostic du siège. Aspects cliniques variables suivant le
s logiques de Fleschsig, sur les fonctions de l'écorce cérébrale. Diagnostic de la cause. Aspects cliniques variables suivant
e peut fermer l'oeil du côté paralysé en laissant l'autre ouvert. Diagnostic différentiel. La lagophtalmie accompagne, en géné
ons de lui décrire, a une valeur séméiologique considérable pour le diagnostic de la maladie de Basedow. II faut .toujours reche
sensibilité cor- neenne qu'il faudra, dans tous les cas, établir le diagnostic de kératite ncurn-haralytinlllu. TROUBLES SEN
ortance considérable. Le plus souvent, c'est avec eux qu'on fait le diagnostic de l'existence et du siège de la « tumeur céré-
me une atrophie papillaire, possèdent une réelle importance pour le diagnostic de tumeur cérébrale, la valeur séméiologique de
étriqucs, un ÉTUDE GÉNÉRALE DES TROUBLES DE l/OUIE. 13 L moyen de diagnostic entre les lésions du labyrinthe et celles du tron
i ceux que l'on pourrait rencontrer dans un abcès cérébelleux et le diagnostic est fort délicat, d'autant plus que la pyo- lah
e Rosentilai. La lésion est probablement d'origine vasculaire. Le diagnostic est facile si l'on se rappelle « qu'en dehors de
ger aux affections du nez et des sinus : on fait trop facilement le diagnostic de névralgie sus-orbitaire essentielle sans exame
laré, ils prennent par contre souvent une réelle importance pour le diagnostic étiologique quand ils le précèdent, quand ils se
OLOGIE En présence d'un vertige, la cause peut en être évidente, le diagnostic étiologique s'impose; dans le plus grand nombre
gineuse, peuvent être d'un grand intérêt pour mettre sur la voie du diagnostic causât.' 1° Vertige auriculaire. En présence d'
fs. Ce qui est bien plus caractéristique et, plus important pour le diagnostic , c'est que presque tous les vertiges auriculaires
. etc., surtout de l'hypoacousie ou de la surdité : dans ces cas le diagnostic de la cause est. évident, dans d'autres il se r
n plaques, tumeurs cérébrales, syphilis, etc.), qui éclairciront le diagnostic étiologique et la pathogénie dans la grande ma-
sion qui précèdent et commandent le vertige per- mettront un facile diagnostic , de sa cause; l'examen de l'oeil complétera ce
un facile diagnostic, de sa cause; l'examen de l'oeil complétera ce diagnostic . On ne prendra pas pour un signe de l'origine ocu
se constater chez les aveugles. APOPLEXIE ET COMA. 179 pléter le diagnostic éventuel d'hémiplégie, inspiré par les déviations
de l'ensemble des fonctions, tant intellectuelles que physiques. Diagnostic différentiel de l'apoplexie. Nous voulons parler
nostic différentiel de l'apoplexie. Nous voulons parler ici du seul diagnostic de l'ictus, et renvoyons à plus tard le diagnosti
rler ici du seul diagnostic de l'ictus, et renvoyons à plus tard le diagnostic et la valeur séméiologique du coma : peu d'acci
, l'évolution des accidents contri- buent à circonscrire bientôt le diagnostic . La syncope est en général brève; le malade est
l'épilepsie, maladies à crises, simu- lent parfois l'apoplexie. Le diagnostic peut être délicat. On s'appuiera pour déceler l
des stigmates, mais on pourra déceler des zones hysterogenes. Le diagnostic de l'ictus épileptique est parfois très difficile
g sur la tête fait envisager la possibilité d'un trauma- tisme : le diagnostic se précise si l'on constate un écoulement de liqu
tension, isolée ou associée à une faible lymphocylose (saturnisme). Diagnostic différentiel du coma. Le coma étant un sommeil mo
ppression ou l'affaiblissement de la conscience et du mouvement. Le diagnostic peut donc être très difficile, surtout dans les c
des conditions déterminantes, un tableau bien distinct du coma. ' Diagnostic étiologique de l'apoplexie et du coma. Ce diagnos
nct du coma. ' Diagnostic étiologique de l'apoplexie et du coma. Ce diagnostic est souvent difficile, et l'on ne saurait trop
'importance des anamnestiques. Il peut être impossible de porter un diagnostic précis sans l'interrogatoire des parents, des t
l'interrogatoire des parents, des témoins à un titre quelconque. Le diagnostic est évidemment facile, quand le coma dépend objec
articipe a priori à la béni- gnité antérieure des accidents. ' Le diagnostic de traumatisme est en général évident. Nous avons
e tuberculome des méninges, les tumeurs et les abcès du cerveau. Le diagnostic est difficile si le malade est examiné dans le
éleront d'ordinaire la cause du mal. - Il convient d'ajouter que le diagnostic peut rester en suspens, l'urémie, les tumeurs c
, tels sont les accidents du coup de froid et de l'insolation. Leur diagnostic est facile; on sait que. le coup de chaud s'acc
t autre. Nous n'insistons pas sur les signes capables d'affermir le diagnostic , bruit de galop ou furonculose, etc. Il convien
Il nous reste à examiner les comas par intoxication extrinsèque. Le diagnostic en est difficile, parfois impossible. si l'on ign
orbides, et cela ne laisse point que de restreindre les éléments de diagnostic en diminuant la valeur de la plupart d'entre eux.
nt tous les signes d'une obnu- hilalion intellectuelle profonde. Le diagnostic est en général aisé. La maladie du sommeil prés
sommeil symptomatique d'une ! néoplasie cérébrale est souvent d'un diagnostic délicat. La coexistence d'hémiplégies transitoi
carac- téristiques et suffisent pour permettre souvent de porter le diagnostic précis avant tout autre examen. Les uns tiennen
du côté apraxique (épreuve du choix d'un objet. Liepmann.) , ' Le diagnostic de l'apraxie est souvent délicat. Il faut commenc
aît l'objet et sait exprimer verbalement la faconde s'en servir. Le diagnostic sera parfois complexe et délicat. - , . L'APRAX
ale postérieure, notamment des lobules lingual et fusiforme. ' Le diagnostic des agnosies est délicat. II repose sur l'existen
e, les discours des aliénés : ils sont très utiles pour orienter le diagnostic . On notera avec soin la physionomie des malades
du malade. On comprend quelle peut èlre la gravité d'une erreur de diagnostic , soit que 1 on ait considéré comme aliéné un in
une valeur sémiologique très importante, ils aident bien souvent au diagnostic des affections mentales. Certains psychopathes, c
doivent; être notés, ils peuvent avoir leur utilité dans des cas de diagnostic dé- licat. Troubles de la mimique. H faut dis
nnaissance des acjes des aliénés est indispensable pour préciser le diagnostic des types cliniques en psychiatrie. Il est imposs
particularités de l'aiiection. Il n'est pas nécessaire de faire un diagnostic très précis. Le certificat doit con- clure à la
ent, exagéré du tissu adipeux qu'on observe chez certains idiots. Diagnostic . Le diagnostic de l'idiotie ne se pose guère que
du tissu adipeux qu'on observe chez certains idiots. Diagnostic. Le diagnostic de l'idiotie ne se pose guère que chez les bébé
e maladie. Nous avons déjà dit sur quels signes on pouvait baser ce diagnostic : indifférence de l'enfant, inertie de ses mouv
uvements, accès de cris, retard de révolution. A partir d'un an, le diagnostic est absolument évident dès que 1 on a constaté
as de Toulouse et Marchand (Soc. Médicale des hôpitaux, 1899). Le diagnostic de l'idiotie étant posé, on cherchera il le rappo
ien dans une certaine direction, le mettre en un mot sur la voie du diagnostic , et partant du pronostic de l'affection en caus
rmettant pas, dans l'étal actuel de nos connaissances, de porter un diagnostic de localisation, dans les lésions des centres ner
n; elle constitue un facteur de grande valeur dans la discussion du diagnostic d'une affection nerveuse. On peut avoir affaire
que les faits anatomo-cliniques permettent actuellement de faire un diagnostic de localisation, uniquement basé sur les caract
e est d'origine centrale (thalamique) ou corticale. Les éléments du diagnostic différentiel reposeront donc sur les symptômes co
'excitation corticale lais- seront supposer une lésion du cortex. Diagnostic des hémianesthésies cérébrales. Le diag- nostic
roubles sensitifs dans les névroses, sur quels caractères repose le diagnostic différentiel entre l'hémianesthésic organique e
n côté avec paralysie du côté opposé, avec ou sans hyperesthésie. Diagnostic . Lorsque l'hémianesthésie spinale fait partie du
e séméiologique des troubles sensitifs à topographie radiculaire. Diagnostic . Le seul diagnostic qui soit à discuter ici est c
troubles sensitifs à topographie radiculaire. Diagnostic. Le seul diagnostic qui soit à discuter ici est celui de la paraplé
des troubles sensitifs à type syringomyélique permettra de faire le diagnostic . Lorsque les troubles moteurs et sensitifs sont
bles moteurs et sensitifs sont associés, on procédera comme pour le diagnostic différentiel des hémianesthésies organiques et
es- thésie, à sa partie supérieure, est donc un élément précieux de diagnostic [ROUSSY.] Fig. 24. - Schéma dc topographie ra
signe de Westphall et d'Argyll Robertson, permettre de porter un diagnostic précis. Lorsque l'affection est cons- tituée,
a sensibilité. Un signe fréquent, qui peut également servir pour le diagnostic du tabes, c'est l'anesthésie du nerf cubital à la
in. Le fait pathognomonique de ce type de paralysie, qui en rend le diagnostic , facile, est l'existence, du même côté que la p
nt décrits au chapitre traitant des « Troubles de la inutilité ». Diagnostic des paralysies radiculaires et des lésions médull
s difficile. Voyons quels sont les signes qui peuvent aider dans ce diagnostic . " Les caractères des troubles sensitifs sont,
és des seuls troubles sensitifs sont loin d'être suffisants pour le diagnostic , puisqu'on peut rencontrer des paralysies purem
s dans les lésions des racines. Force est donc de recourir, pour le diagnostic , aux autres symptômes concomitants (signes mote
ais êtrc négligé. Cet examen pourra quelquefois servir utilement au diagnostic différentiel des lésions radiculaires et médul-
le clinicien peut, au moyen des troubles sensitifs seuls, porter un diagnostic précis de lésions radiculaires ou médullaires,
visageant les choses dans leurs grandes lignes, on peut dire que le diagnostic différentiel est pratique- ment moins difficile
e des données qui suivent, aura de très grandes chances de faire un diagnostic exact : 1° Les lésions traumatiques de la queue
nt, il y a en général des signes vertébraux, permettant de poser un diagnostic de localisation. Si les signes vertébraux manqu
es, on admet encore des formes disséminées et généralisées, dont le diagnostic avec le tabes est souvent difficile, mais dont l'
s traiter en connaissance de cause. L'un des éléments essentiels du diagnostic consiste notamment dans la détermination de la
n clinique des caractères particuliers qui permettent de faire leur diagnostic étiologique. Ces caractères sont particulièrement
sont le plus souvent des manifestations hystériques surajoutées. DIAGNOSTIC DES ANESTHÉSIES FONCTIONNELLES HÉMIANESTHÉSIE O
signes d'affection organique, par exclusion pour ainsi dire, que ce diagnostic doit être porté. Il se sou- viendra combien son
ste leur topographie (paraplégie, monoplégie, hémianesthésie). Le diagnostic le plus important est celui de ]'Aem/'a ? ïcs<
n examen médical. On conçoit aussi combien il importe de faire le diagnostic étiologique de ces anesthésies fonctionnelles.
ubles sensi- tifs en psychiatrie est donc de peu de secours pour le diagnostic . Les troubles sensitifs objectifs chez les alié
euse; souvent ce sont eux qui, les premiers, mettent sur la voie du diagnostic ou amènent le malade à consulter; il en est ain
u rachis. Ces. faits sont importants à retenir pour a discussion du diagnostic ; ici les malades sont impotents, non pas en ra
es avec les sujets, ne peuvent être que d'un faible secours pour le diagnostic étiologique de la douleur, mais elles serviront
ique, etc. Par leur présence ou leur absence enfin, elles aident au diagnostic ; l'absence de douleur permettant par exemple d'
permettent qu'exceptionnellement comme symptôme isolé de porter un diagnostic précis, elles ont tout au moins une valeur d'in
la maladie, et peut, par sa pré- sence, soit guider, soit fixer le diagnostic . Le neurologiste doit avant tout, dans la reche
s douleurs, ordi- nairemcut. localisées, sont un excellent signe de diagnostic et doivent être recherchées avec soin dans tous
en, puisque, dans certains cas, elles peuvent servir il orienter le diagnostic de localisation. En se basant sur leur nature p
», qui, jointes à d'autres symptômes, lui permettront de l'aire un diagnostic de iocaiisation dans les lésions cérébrales en
'elles surviennent chez un névropathe, qu'on arrivera à en faire le diagnostic . Mais ici une cause d'erreur est possible : une
, durent des mois et des rnées. Les récidives sont fréquentes. Le diagnostic des névralgies est en général facile. Je ne puis
ie, ovaires, etc.), elles sont parfois la cause d'erreurs graves de diagnostic et peuvent conduire à des interventions chirurg
trent à l'occasion de la mastication, d'où l'inanition possible. Le diagnostic du siège des excitations algésiogènes est importa
si les examens radiographiques sont-ils bien souvent utiles dans le diagnostic étiologique des névralgies intercostales rebell
par l'ensemble des sym- ptômes concomitants que l'on peut faire un diagnostic étiologique. Certaines céphalalgies se manifest
auvaise technique conduit souvent les observateurs à des erreurs de diagnostic . Nous insisterons donc sur chacun des points de l
e. n'a aucune valeur pathologique ou du moins aucune valeur pour le diagnostic d'une maladie organique. C'est là, semble-t-il,
liens : la constata- tion de ce symptôme permettra donc de faire un diagnostic précoce de l'ataxie locomotrice. Comparant le
ouchés. Et c'est la constatation de ce signe qui permet de faire le diagnostic de l'atteinte du nerf sciatique, soit dans les
t l'abolition perma- nente des réflexes a une grande valeur pour le diagnostic de la section de la moelle, suivant Baslian.
895) a publié une étude sur la valeur du réflexe patellaire pour le diagnostic et le pronostic de ces affections. Dans les m
vant lui. avant l'apparition du tabès et permet de faire prévoir ce diagnostic . U est très probable, toutefois, qu'il s'agit d
nt montré Pierre Marie et Guillain. Nous n'avons pas à faire ici le diagnostic de la cause de l'hémiplégie : l'hémorragie. le
Ils pensent que ce phénomène doit être un symptôme précieux pour le diagnostic et qu'il doit être expliqué par l'action des pois
é sur l'hémiplégie organique et, dans ses importants travaux sur le diagnostic différentiel de l'hémiplégie hystérique et de l
ension des orteils existait déjà et put nous permettre de porter le diagnostic d'hémiplégie organique. D'antres faits ont été
r l'adduction du pied : ce réflexe aurait une grande valeur pour le diagnostic d'une affection organique du système nerveux.
x est étroitement lié a la fonction génitale et il parait servir au diagnostic différentiel de l'impuissance génitale organiqu
'observent fréquemment chez les hémiplégiques (Bris- saud, etc.). Diagnostic . A) De l'hémiplégie avec les maladies qui peuvent
us liant l'article, Apraxie, HÉMIPLÉGIE. 469 II) De la lésion. Ce diagnostic est souvent fort difficile. Un début subit doit
ales s'accompagne d'épi- lepsie jacksonienne. Bien entendu, dans le diagnostic de cette variété d'hémiplégie, il faudra tenir
ncontrer constamment dans les lésions thalamiques. et en réalité le diagnostic des lésions de ce genre est rare- ment assuré.
l n'existe pas d'hémiplégie alterne pouvant mettre sur la voie ; le diagnostic sera alors très difficile, l'intensité anormale
de convergence des yeux, ophlal- moplégie interne. e) Moelle. Le diagnostic de l'hémiplégie spinale est souvent fort délica
érieur que pour le supérieur. Ce qui permettra le mieux de faire le diagnostic d'hémiplégie spinale, ce sera de dépister l'exi
dans un article mémorable de la Gazette des hôpitaux du 5 mai 1900 ( Diagnostic différentiel de l'hé- 111 plégie organique et d
cas, mais elle parait à Babinski un signe de premier ordre pour le diagnostic différentiel de l'hémiplégie hystérique et de ] l
pcll et à nous-même par sa présence chez un labéti- que de faire le diagnostic des scléroses combinées et il reflète dans ce cas
signe qu'il' a considéré comme ayant une valeur très grande pour le diagnostic des méningites tuberculeuse ou ccrebro-spinate.
olue de ce signe : associé il d'autres symptômes, il peut rendre un diagnostic de méningite très plausible. Nous ne ferons que
o-spinale fruste, dont il a constitué un des éléments importants de diagnostic . Dans ce cas, une céphalée, une légère paralysi
auche était le seul symptôme clinique, en l'absence de syphilis, le diagnostic de cette hémiplégie était très délicat; le signe
égie était très délicat; le signe de Kernig nous permit de faire le diagnostic de méningite cén)bro-spi- nale fruste presque a
ers la paralysie spinale de l'adulte, avec atrophie, confirma notre diagnostic . C'est dans ces formes ambulatoires de méningit
dère ce signe comme très important non seulement au point de vue du diagnostic de ces réactions méningées. mais encore comme p
eurs autres symptômes de méningite, il pourra mettre sur la voie du diagnostic qui sera confirmé par la ponction lombaire. . t
paraplégique est le symptôme le plus important à bien connaître. Le diagnostic général de la maladie est à ce prix, et la conn
résentent généralement une topographie radiculaire et permettent le diagnostic en hauteur du siège et de l'étendue de la lésion
endant des mois, et permettre cependant à lui seul l'orientation du diagnostic . On devra donc tenir pour suspect de lésion médul
quelque réflexe dont l'exagération manifeste mettait sur la voie du diagnostic évolutif. Nous reviendrons un peu plus loin sur
ratique des paraplégies, permettant au non-spécialiste d'arriver au diagnostic avec le moins de chances d'erreur possibles est
die, mais des malades. Nous exposerons tout d'abord les éléments du diagnostic différentiel des troubles de la marche; nous sé
e une fois se présenter successive- ment ces différents tableaux. Diagnostic différentiel du syndrome paraplégie. La paraplé
lesquelles débuta le trouble nouveau mettent parfois sur la voie du diagnostic . Dressés sur leurs jambes, ils ne peu- vent pro
s et des para- plégies flasques. Afin de simplifier les éléments du diagnostic , les para- plégies fonctionnelles, le plus souv
on des réflexes sans contracture; atrophie musculaire constante. Le diagnostic des maladies rentrant dans ce cadre est assez f
temps encore. Ce sont les anamnestiques surtout qui permettront le diagnostic en sem- blable matière. b) Paraplégies spasmo
blable matière. b) Paraplégies spasmodiques avec contracture. 1° Le diagnostic éliologique s'impose. II en est ainsi lorsque l
c- tion de la moelle et provoque le syndrome de Brown-Sequard. Le diagnostic etiotogique est encore facile lorsque la lésion e
nt sous sa dépendance la tuberculose vertébrale ou mal de l'oll. Le diagnostic en est parfois très facile : il en est ainsi tont
vertébrale de toute paraplégie survenant chez un scolio- tique. Le diagnostic peut évidemment être aisé. Les lésions du rachi-
verté- brales sont suffisamment pathognomoniques pour entraîner le diagnostic , et nous nous occuperons spécialement de ces ca
ut même noter la dissociation caractéristique de la sensibilité. Le diagnostic entre les deux affections est alors difficile.
ces périodes où la contracture diminue, où la marche est facile. Le diagnostic est aisé lorsqu'avec.. ta paraplégie coexistent t
e contractures n'a donc aucune valeur pour infirmer ou confirmer le diagnostic d'hystérie, [MOUTIER.] Mi2 PARAPLÉGIE. ' pa
sie puisse rarement à vrai dire s'ac- compagner d'atrophie. Pour le diagnostic , général de ces formes, nous nous reporterons a
us réunirons tout d'abord un certain nombre de cas dans lesquels le diagnostic , s impose d'emblée. 1 Le diagnostic éliologique
ombre de cas dans lesquels le diagnostic, s impose d'emblée. 1 Le diagnostic éliologique de la paraplégie est évident. - Nous
ise des centres. De fait, il est fréquemment difficile de porter le diagnostic de polio- myélite ou de polynévrite. Un tel pro
a parfois l'occasion de surpendre un détail incitant sur la voie du diagnostic . Il y avait ainsi à Bicètre un paraplégique hysté
ne saurait donc s'entourer de trop de pré- cautions pour porter le diagnostic de paraplégie fonctionnelle et tout spécialemen
n lombaire sera d'un grand secours. Le dia- gnostic sera souvent un diagnostic par élimination, mais ce serait encore s'expose
se pour facteur étiologique. ' Nous avons longuement insisté sur le diagnostic de la paraplégie hystérique; c'est là, en effet
-existe une parésie parfois très accusée des membres inférieurs. Le diagnostic est généralement 1 , 0 PARAPLÉGIE. 509 faci
pendant, il peut exister des cas très frustes. On peut confirmer un diagnostic hésitant en recherchant et constatant la pré- s
tile. En dehors des lésions caractéristiques de la spina bifida, le diagnostic serait facilité par l'étude des réflexes. Us sont
lleuse de Pierre Marie. Sans entrer davantage dans la discussion du diagnostic . nous signalerons seulement que chez les parapl
Considérations générales. Nous n'avons pas à nous occuper ici du diagnostic en hauteur ou diagnostic topographique des parapl
es. Nous n'avons pas à nous occuper ici du diagnostic en hauteur ou diagnostic topographique des paraplé- gies, qui doit être
sidérations d'utilité générale. Mage du malade permet d'orienter le diagnostic en une certaine mesure. Les grandes lésions cér
u, par les procédés mécanothérapiqucs, le massage, l'électricité. DIAGNOSTIC EN HAUTEUR DU SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES t
lier il limiter exactement l'n.vTy,cr vsono ? 33 [MOOMB.] ] 514 DIAGNOSTIC EN HAUTEUR DU, -SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES.
. De cette délimitation précise dépend en effet en grande partie le diagnostic en hauteur du siège de la lésion. Mais, à propo
hie des muscles du cou. Fig. 1. Schémas radiculaires de Thorbnrn. DIAGNOSTIC EN HAUTEUR DU SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES. 5 !
achilien (D'après Sicard, in Pra- l ique 111édico-chirul'gicale). DIAGNOSTIC .EN HAUTEUR DU SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES. 517
opposé il lésion, et au-des- sous d'elle (d'après Brissaud). 518 DIAGNOSTIC EN HAUTEUR DU SIÈGE DES LÉSIONS MÉDULLAIRES. ra
niveau du périnée et des organes génitaux, permettent d'orienter le diagnostic . Il yole le plus souvent constipation et incont
dans les antécé- dents n'ont pas eu une influence incontestable. Le diagnostic se fera d'après la triade symptomatique que nou
ractérise surtout la paralysie radiculaire inférieure et en rend le diagnostic facile, c'est l'existence de troubles oculo-pupil
s, sans troubles moteurs concomitants, sont excep- tionnelles. Le diagnostic du siège des paralysies radiculaires se fera par
ar la topographie radiculaire des troubles de la sensibilité que le diagnostic de ces para- lysies peut se faire on clinique.
alysie faciale centrale a une symptomatologie un peu spéciale. Le diagnostic du siège de la paralysie faciale périphérique se
ents faisceaux du nerf soient inégalement atteints et parlant qu'un diagnostic topographique exact des lésions ne puisse être pr
ent déterminer des dou- leurs. Il est souvent difficile de faire le diagnostic avec les névralgies du pharynx : on éliminera l
qu'effectivement sa constatation a mis très souvent sur la voie du diagnostic de l'anévrisme. De même, mais avec une moins gr
l'adénopathie trachéo-bronchique, un cancer de l'mso- phage, etc., diagnostic si facilité aujourd'hui par la radioscopie. PAR
de plusieurs années de durée donnant lieu à de fâcheuses erreurs de diagnostic . C'est surtout la toux nasale qu'on rencontre f
libres musculaires, permet- trait dans les cas douteux de faire le diagnostic histologique de l'atrophie musculaire; divers i
t qu'ils paraissent justifiés par l'obliga- tion thérapeutique d'un diagnostic précis; de semblables nécessités sont bien exce
Aussi nous n'insistons pas sur la description de ces instruments. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL. ' 661 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL L
description de ces instruments. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL. ' 661 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL L'atrophie musculaire se distingue
u abolie, mais d'autres muscles sont moins atteints et l'on lait le diagnostic d'atrophie musculaire en reconnaissant dans le mo
i. Sciences, 1849. [A. LÉRI. 662 ATROPHIES MUSCULAIRES. Mais le diagnostic devient plus délicat, soit quand l'atrophie ne s'
eul symptôme : or la paralysie ne se manifeste pas autrement, et le diagnostic ne peut être fait que par analogie avec des cas
s et du mode d'évolution qui permet seule une différenciation et un diagnostic parfois plus rétrospectif qu'ac- tuel : c'est s
ce début pré- coce est un caractère de première importance pour le diagnostic . Il [A. LÉRL 0''6 ATROPHIES MUSCULAIRES. se
t tous peuvent s'observer clans les atrophies de cause nerveuse. Le diagnostic résultera d'une pari de la réunion plus ou moin
ont des réserves sur ce cas parce qu'il leur est arrivé de faire un diagnostic d'atrophie des intercostaux que l'autopsie n'a
ent syphi- litique, en présence d'une amyotrophie Aran-Duchenne; le diagnostic se trouvera confirmé si plus tard apparaissent
on atmosphérique brusque (maladie du caisson) rendront sou- vent le diagnostic évident. Dans les myélites qui se traduisent pa
és et troubles objectifs de la sensibilité, complète ou confirme le diagnostic de compression médullaire. b) Atrophies consécu
estion, d'origine le plus souvent médicale (Bernheim, Babinski). Le diagnostic d'amyotrophie hystérique ne' devra jamais être fa
ôté opposé, soit à l'état de repos, soit à l'etat de contraction. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL .^ Ces signes permettent en généra
ie de Thom- sen, que son existence est en revanche indispensable au diagnostic de cette maladie^ mais seulement parce qu'elle
nant, parfois exclusif (nervo-tabes périphérique de Dejerine). Le diagnostic du pseudo-tabes par polynévrite se fera par l'abs
spéciaux de l'infection ou de l'intoxication causale. En somme, le diagnostic sera généralement facile, mais il ne faut pas p
poacousie ou surdité, que l'on constate très souvent, fera faire le diagnostic du point de départ topographique de l'ataxie.
t des autres de ces symptômes que l'on arrivera très fréquemment au diagnostic de lésion cérébelleuse. Les mouvements démesu
ale, et la comparaison du coté malade avec le côté sain facilite le diagnostic ; quand 1 asynergie est unilatérale, le malade t
s précédents ? De quels facteurs pathogéniques dépendent-ils ? Quel diagnostic en un mot est-il indiqué de porter lorsque l'on
éclonculaire (sclérose en plaques, syringomyélie par exemple). Le diagnostic de la paralysie Iabio-glosso-laryngée bulbaire es
cérébelleux bulbaire; syndrome olivaire. Il est exceptionnel que le diagnostic de lésion des olives bulbaires soit porté. Cett
[MOUTIER ] 806 SÉMÉIOLOGIE DU BULBE. expliquent la difficulté du diagnostic des tumeurs du bulbe. Celles-ci peuvent siéger
s paralysies nucléaires. L'on a parfois en telle occurrence posé le diagnostic de tabès (Gianelli, Paviot) ou de sclérose en p
es toutefois, le syndrome d'hyper- tension crânienne fait défaut. Diagnostic . Il n'existe point d'atrophie chez les pseudo-bul
ntraire dans les poliencéphalites infé- rieures chroniques. Mais le diagnostic le plus délicat intéresse la myasthénie d'Erb-G
ato-pha- ryngien, les points caractéristiques indispen- sables au diagnostic 'différentiel de l'affection. Il existe en outr
e peut reprendre, une marche progressive, inéluctable cette fois. Diagnostic . Maladie caractérisée seulement après plusieurs i
telligence, les troubles cardio-respiratoires rendent en général le diagnostic assez facile. Du reste dans toutes ces affections
us ou moins rappeler la dysarthrie étudiée. On se souviendra que le diagnostic doit s'appuyer en cas de doute sur l'existence
crises peuvent se renouveler pendant plusieurs heures de suite. Le diagnostic de cette singulière affection ne saurait être dif
) a, tout au contraire, récemment observé une hyperleuco- cytose. Diagnostic . Le diagnostic des formes bien caractérisées de l
ntraire, récemment observé une hyperleuco- cytose. Diagnostic. Le diagnostic des formes bien caractérisées de la myasthénie
tomatique. En de tels cas, il faudrait savoir se prémunir contre un diagnostic hâtif de maladie bulbaire ou de neu- rasthénie
ulsions généralisées que rien ne distingue de l'épilepsie vraie. Un diagnostic localisateur pourra cependant s'appuyer sur la co
and ces signes sont encore peu marqués, vagues, on doit réserver le diagnostic et penser il la possibilité d'une encéphalite. No
symptôme de la tétanie, surtout chez le nourrisson. Ce n'est pas un diagnostic facile. Aussi IIarvier (Thèse de Paris, 1909),
on ne trouverait rien pendant la crise - suffit à orienter déjil le diagnostic . Hanter a pu ainsi rap- porter à la tétanie des
s convulsions survenues chez des enfants entrés à l'hôpital avec le diagnostic de méningite. Une ponction lombaire - pour [ROU
it être outillé, amenant des résultats né'ra- tifs, confirmerait le diagnostic . B) Chez l'adulte, le diagnostic étiologique de
ats né'ra- tifs, confirmerait le diagnostic. B) Chez l'adulte, le diagnostic étiologique des convulsions est tantôt facile,
terminer la scène. Malheureusement, il y a une cir- constance où le diagnostic peut être malaisé; c'est dans l'urémie par néph
lsive), s'accompagnant de trismus; on a dans ce cas, pour servir au diagnostic , les commémoratifs et, sou- vent, la présence d
qui viennent d'avoir des convulsions généralisées. Dans ce cas, le diagnostic ne devra par s'égarer. En examinant le malade on
l est vrai, marquer tout à fait le début de l'état infectieux et le diagnostic être moins aisé. On attendra pour se prononcer,
utres loca- lisations tuberculeuses évidentes fournit un appoint au diagnostic , quand des convulsions partielles ou généralisé
e profonde, se compliquant bientôt de phénomènes paralytiques. Le diagnostic des convulsions est encore facile dans d'autres a
s aussi des cas de méningite chronique, un hématome. Terminons ce diagnostic en rappelant les convulsions qui résultent de l
ale diaque, nasale, etc.). ' Nous venons d'énumérer les cas où le diagnostic étiologique des con- vulsions est relativement
ans d'autres, au contraire, le salut du malade pourra dépendre d'un diagnostic précis et sur. ],'héiiio7,i,agie méningée peut
s deux états; peu importe. Mais voici des cas où il faudra faire un diagnostic précis. Des convulsions généralisées ou partiel
enté et autorisé de faire appliquer le trépan autant dans un but de diagnostic que de traitement. Dans des éventualités plus r
convulsions, Y hystérie et l'épilepsie. Nous les rangeons avec les diagnostics difficiles, non pas que leur symptomatologie ne
fficile quand elle simule l'épilepsie ou l'allaque jacksonienne, le diagnostic de la grande crise convulsive hystérique est pl
ques démoniaques, d'extase, de syn- cope et de sommeil, etc. - Le diagnostic différentiel entre la crise convulsive épileptiqu
e titre d'une per- turbation probable du système nerveux central. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL Y a-t-il tremblement ? - On ne con
tion siégeant sur un point quelconque d'un arc réflexe : tel est le DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT. S7 spasme qui accom
ertains cas, se transformer en mouvement arythmique choréiforme. .. DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT Il faut nous demande
sensation de froid que présente le malade en font faire aisément le diagnostic qui est confirmé par l'appa- rition de la tempé
autre part, ce tremblement est imitatif, tout un membre est emporte DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT. 859 par ses oscilla
ui est en effet très analogue à celui de la sclérose en plaques. Le diagnostic de la maladie se fera par l'ataxie statique, le
e sol quand le malade s'appuie sur la partie antérieure du pied.. . DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT. - 841 La mâchoire e
, enfin les troubles psychiques pourront concourir à faire faire le diagnostic . Le tremblement n'y est du reste pas toujours c
transversal qui lui donne l'apparence du tremblement affirmatif 011 DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT. 84." du tremblement
es de recrudescence après lesquelles il redevient très peu apparent DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT. 845 et ne gêne pas
en recherchant les symptômes de ces maladies que l'on peut faire le diagnostic . 2" Tremblement de rythme moyen. Les tremblemen
mène des orteils, le nystagmus qui seuls pourront faire affirmer le diagnostic de la sclérose en plaques. 5" Tremblement len
Le tableau ci-dessous résume les caractères de ces tremblements : DIAGNOSTIC DE LA CAUSE DU TREMBLEMENT. 847 î Suivant Debov
ouvements choréiques sont à peine évidents, et alors les erreurs de diagnostic peu- vent se faire très facilement. II est un
intercurrente comme la tuberculose, la scarlatine ou la diphtérie.. Diagnostic différentiel. Le diagnostic de la chorée doit se
culose, la scarlatine ou la diphtérie.. Diagnostic différentiel. Le diagnostic de la chorée doit se faire avec les autres mouv
arties du corps manquant de point d'appui. Nous venons de voir le diagnostic différentiel de la chorée en général avec les a
les antres mouvements normaux, Une nous suffit pas d'avoir porté le diagnostic de chorée, elle n'est qu'un syndrome, elle fera r
ques qui vont suivre que l'on pourra faire cette différenciation. Diagnostic de la variété des chorées. La chorée varie d'as
ogie de la chorée de Sydenham, c'est qu'elle est importante dans le diagnostic de cette affection : c'est en effet par l'âge d
umatisme, d'une infection, d'une hérédité nerveuse que l'on fait le diagnostic de chorée de Sydenham. Cependant, la chorée de
méliorations, sans toutefois que l'on puisse espérer la guérison. Diagnostic . Le diagnostic réside surtout dans la différencia
ans toutefois que l'on puisse espérer la guérison. Diagnostic. Le diagnostic réside surtout dans la différenciation des tics
s autres mouvements involontaires. iCROUZON.-] 872 . ATHETOSE.. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL Nous avons vu que la chorée était
et la démarche cérébelleuse ou cërébello-spasmodique orientent le " diagnostic vers. la sclérose en pla- ques ; la paralysie a
rébrale : c'est, comme l'athétose double, une diplégie cérébrale. DIAGNOSTIC . ET DESCRIPTION DES VARIÉTÉS D'ATHÉTOSE Nous av
otions étiologiques qu'il faut rechercher systématiquement dans les DIAGNOSTIC ET DESCRIPTION DES VARIÉTÉS D'ATHETOSES 87 anté
sommeil, mais ils s'exagèrent par les émotions et par les efforts. DIAGNOSTIC ET DESCRIPTION DES VARIÉTÉS D'ATHÉTOSE. 87. La
ant les principaux caractères des tics, ce qui permet d'en faire le diagnostic . La maladie ne va pas sans une atteinte profond
a signification logique de ces émissions bruyantes ou verbales. r DIAGNOSTIC Le spasme (tic matériel de Pitres et Cruchet) d
r. Le tic hystérique. Congrès de Pan, J 904.. > [il. LÉRI. 894 DIAGNOSTIC ? $ nocturnes. On l'observe souvent chez des en
générescence mentale. Dans les périodes où les tics prédominent, le diagnostic avec les tics simples ou la maladie des tics ne
e ces différents cas, il faut porter avec la plus grande réserve le diagnostic de gangrène d'origine trophique. Il faut tenir co
seuses, l'indolence, il. convient, nous le répétons, d'orienter son diagnostic vers le tabès ou vers la syringomyélie. On a sign
le syndrome spécial a chacune de ces deux alléchons facilitera le diagnostic . Remarquons d'ail- leurs que, par ordre d'élect
de structure, de fonctionnement, ou de fixa- tion de l'organe. Le diagnostic en est difficile, car il n'est pas toujours possi
douleur névralgique du congénère, fait des plus importants pour le diagnostic qui oblige, à multiplier les investigations et
ous les traitements et conservent une grande intensité. Parfois, le diagnostic est entouré de grandes difficultés; on se basera
Elles deviennent de plus en plus rares à mesure que les tnoyens de diagnostic se perfectionnent. On a invoqué les causes les
en cause, la mobilité rénale, la lithiase et la tuberculose. Si le diagnostic de rein fini tant est facile, les deux autres aff
ini tant est facile, les deux autres affec- tions sont parfois d'un diagnostic épineux, surfont la tuberculose urinaire. On sa
in, l'urine ne renferme ni micro-organismes ni éléments anormaux. Diagnostic . Il n'est que trop facile de méconnaître les névr
ible intensité contraste avec la violence des symptômes, conduit au diagnostic . Pour plus de certitude, on s'aidera du cystosc
nécessaires et confèrent .une certitude. . Plus difficile est le diagnostic de la cause. Les névralgies vésicales essentiel
n l'observe, quelquefois volontaire, chez des déments. Symptômes et diagnostic . Rien n'est plus simple que de reconnaître l'ex
aut le pratiquer qu'avec les précautions indiquées plus loin.. Le diagnostic des rétentions chroniques, et de celles qui se so
sphinctérien. d'où précocité du regorgement. Aussi ne fera-t-on le diagnostic d'incon- tinence vraie qu'après le palper recto
le, infantile, elle fera l'objet du chapitre suivant : Symptômes et diagnostic . Suivant que l'on a affaire à des mictions invo
et de les avoir toujours présentes à l'esprit. On ne peut porter le diagnostic d'in- continence essentielle que lorsqu'on les
sentielle que lorsqu'on les a éliminées. Le traitement dé- coule du diagnostic et la disparition de la cause amène ordinairement
vésicale si, comme pendant le sommeil, la volonté n'est plus là. Le diagnostic en est facile au moyen du cathétérisme. Le boul
t-on sonder, dans une affection du système nerveux, que, lorsque le diagnostic et le Il'ai- tement y obligeront absolument.
arfois de. la polyurie nerveuse sous l'influence d'une émotion. . Diagnostic . - La conséquence de la sécrétion exagérée est la
citabilité vésicale est créée. La quantité d'urine rendue impose le diagnostic , mais on ne doit con- clure à l'origine nerveus
sement de l'urètre, notion qui augmente l'hypocondrie du malade. Le diagnostic est facile. et il faut en faire la démonstratio
urs deviennent de véri- tables aliénés ou sont portés au suicide. Diagnostic . - Deux points sont à considérer : y a-t-il sperm
ésence de spermatozoïdes dans l'urine ne suffit pas pour établir le diagnostic , car celle-ci peut avoir été recueillie peu de
rétrite ou d'une prostatite chronique. Quant au deuxième point du diagnostic , la spermatorrée ayant été démontrée réelle, il
anisme est souvent un signe du début l'i doit mettre sur le voie du diagnostic quand il apparaît chez des sujets qui, ne s'y l
eudo-appendiculaire d'une hystérique, ne laissent point d'être d'un diagnostic plus délicat. SÉMÉIOLOGIE DES VOIES DIGESTIVES
ns la pachyméningite, etc., tous signes qui permettent d'établir le diagnostic . Enfin, les paralysies généralement accompagnée
ses moitiés ou sur sa totalité. L'hypertrophie unilatérale est d'un diagnostic facile, il suffit de ne pas prendre le côté sai
la pro- fondeur vers les piliers, l'oreille, le voile du palais. Le diagnostic est toujours difficile. On l'étaie sur l'unilat
'angoisse; une syncope peut même survenir dans ces conditions. Le diagnostic clinique du symptôme est rarement facile. 11 est
ustiques, déglutition de corps étranger, aideront singulièrement au diagnostic . D'un autre côté, quand il s'agit d'un spasme sim
Il s'agit là. en somme, d'un mouvement de défense de l'estomac. Le diagnostic en est facile; le spasme est peu intense, ne s'
romes exclusivement douloureux simuler une dysphagïc inférieure. Le diagnostic en est aisé : en de semblables cas. la sonde pa
ccusés. L'inanition est toute relative; et cela seul l'ait faire le diagnostic . Mais ces vomissements incoercibles, en plus de
n urémique, et 1 examen des urines ne donne pas toujours la clef du diagnostic . Il s'agit d'une femme jeune ayant éprouvé une
après une crise typique de la névrose. Hématémèses nerveuses. Le diagnostic des hématémèses d' O1'i- (fille hystérique offr
ables. Leur rareté va crois- sant avec la précision plus grande des diagnostics et l'on n'en publie aucune observation nouvelle
formes avec hématémèses. La défi- nition en est plus facile que le diagnostic . Aussi en présence d'un malade il grandes crise
aphie radiculaire. Il serait fastidieux d'énu- mérer les erreurs de diagnostic possibles; tout ce qui est syndrome douloureux
chet tout particulier. De fait, il est dificile, au point de vue du diagnostic a porter, de délimiter exactement quel est le f
eun, mais plus souvent après le repas. Il faut du reste réserver le diagnostic de vertige stomacal pour les seuls cas influenc
alorrhée due .') une lésion de la corde du tympan, contribueront au diagnostic . Seu- lement, il ne faudrait pas prendre les sy
dant avec le syndrome de Stokes- Adams. Avant de songer à porter un diagnostic aussi exclusivement neuropathique, il faudrait
on rebelle. Troubles de le défécation révélant un état mental. Le diagnostic est simple dans tous ces cas. Parfois il s'agit
Quand ses mouvements sont associés à des mouvements de la face, le diagnostic est aisé; mais si le voile présentait isolément
MOUTIER] 1008 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. ulcère; le diagnostic en a été affirmé par des hématémèses, des crises
quc est à la vérité insuffisante pour permettre de façon précise un diagnostic de. localisation. (Voir troubles digestifs : sphi
iguës les plus diverses; il coïncide généralement avec le délire. Diagnostic du syndrome « gâtisme ». Le gâtisme se rencontre
tableau morbide une indication qui met l'observateur sur la voie du diagnostic ou limite le nombre des diagnostics différentiels
met l'observateur sur la voie du diagnostic ou limite le nombre des diagnostics différentiels, elles peuvent être enfin par ell
lles-mêmes suffisamment pathognomoniques pour qu'on puisse faire le diagnostic par le seul examen de la main. On comprend donc
I.] 1014 . SÉMÉIOLOGIE DE LA MAIN. clinique qui en permettrait un diagnostic immédiat : des dystrophies ostéo-articulaires s
rmation osseuse : il nous paraît plus utile d'en faire plus loin le diagnostic avec les autres variétés de mains-botes congéni
ntaux et de la selle tur- cique,) etc., complètent ou confirment le diagnostic . Gigantisme. La main du géant est régulièrement
ostéo-arthropathic hypertrophiante; dans ces cas intermédiaires le diagnostic n'est pas tou- jours aisé. B) Dans les affect
ins du rhumatisme déformant sont souvent assez typiques pour que le diagnostic puisse se faire à première vue par le simple exam
s ne restent pourtant pas indemnes et leur examen peut confirmer le diagnostic ; les pieds se prennent d'ordinaire en même temps
a des tophus ou des déformations de la diaphyse des pha- langes, le diagnostic avec le rhumatisme chronique est aisé; quand les
atose, grains de iiiolluseilli, et taches pigmentaires, rendront le diagnostic facile pour peu (pion y pense ('). 1. Un cas
ut à fait dissemblables : nous donnerons les principaux éléments du diagnostic . Les principales attitudes vicieuses sont des d
ils caractérisent nette- ment la goutte. En l'absence de tophus le diagnostic peut être hésitant, car les déformations ne son
ains ou débute par les pieds. . Nous ne pouvons insister ici sur le diagnostic de ces différents oedè- mes ; leurs caractères
ladies causales permettront en général de faire assez facilement ce diagnostic . D) Dans LES affections mutilantes. 17 Les mu
de la maladie, dont le pied-bot n'est qu'un symptôme, qu'on fera le diagnostic de sa nature, paralytique ou spasmodique, diagnos
qu'on fera le diagnostic de sa nature, paralytique ou spasmodique, diagnostic capital pour la direction du traitement. Les
localisée au niveau de la scissure ra- chidienne, faciliteront le diagnostic dans les cas de spina-hifida latent, où la tu
peut exister encore une splanchnomégalie plus ou moins uniforme. Diagnostic du gigantisme acromégalique. Le diagnostic est en
plus ou moins uniforme. Diagnostic du gigantisme acromégalique. Le diagnostic est en général très simple. La maladie de Paget
source dont nous disposions. Tel ou tel organe est choisir selon le diagnostic étiologique; mais le corps thyroïde est certainem
l'intégrité de la face qui acquiert une certaine importance pour le diagnostic différentiel du syndrome. Nanisme chez les ar
u repli cutané (épicanthus) qui bride l'angle interne de l'oeil. De diagnostic également l'acile sont l'idiot simiesque, aux t
dans certains cas cette notion sera suffisante pour per- mettre le diagnostic ; ` ? ° La lésion est souvent unique, cependant
t laisser derrière elle la syphilis et qui pourront éclairer sur le diagnostic étiologique. Nous ne voulons pas cependant term
de mentionner ; quelquefois un seul stigmate mettra sur la voie du diagnostic , ce sera, par exemple, les lésions den- taires,
ous ne pouvons entrer ici dans l'exposé de la technique de ce séro- diagnostic , nous nous contenterons d'indiquer les résultats
s vertèbres une éponge chaude. Ce procédé s'utilise souvent dans le diagnostic du mal de Pott. Signalons, au niveau de la base
quide céphalo-rachidien comme moyen thérapeutique ou comme moyen de diagnostic . , Technique de la ponction lombaire ? Avant de
e a de 5 centimètres cubes dans une ponction lombaire pour un cyto- diagnostic . Dans une ponction lombaire thérapeutique, la qua
e le mot chromo-diagnostic a été créé pour désigner les éléments de diagnostic qui peuvent être tirés de cet aspect. Chromo-
assermann, comme la réaction de Porges, peuvent être faites pour le diagnostic de la syphilis avec le liquide céphalo-rachidie
F Monod, Widal, Sicard et Ravaut dans leurs comiruri Jti le cyto- diagnostic du tabès; après eux, Séglas, Nageotte et"jo1fronf
c gué- rison, dans ces cas, la lymphocytose avait été un appoint au diagnostic : on a pu voir disparaître cette lymphocytose a
quide sur sang gélose de neZm1\On et Griffon permet de compléter le diagnostic par la constatation du bacille de Koch. Il) M
ébro-spinales avérées que la ponction lombaire a permis de poser un diagnostic ferme. Pinault, Apert et Griffon ont constaté d
e méningée (Achard et Grenet). L'examen bactériologique complète le diagnostic . Enfin, Vincent et Bellolonl décrit une réactio
rifugé qui constitue, en l'absence de culture, un moyen pratique de diagnostic . Cyto-diagnostic dans la paralysie infantile. D
ce d'éléments figurés, et ont montré l'utilité de ce signe, pour le diagnostic d'avec la' méningite cérébro- spinale. La pon
ats mon- trent l'utilité de la ponction lombaire au point de vue du diagnostic de la syphilis oculaire; en effet, en dehors de
au cours des traumatismes du crâne y suffit pour faire admettre le diagnostic de fracture et la clarté du liquide écarte complè
nostic de fracture et la clarté du liquide écarte complète- ment ce diagnostic . Cette valeur a été admise par Demoulin, par Poir
La ponction lombaire a été employée non seulement comme moyen de diagnostic des fractures du crâne, mais encore comme moyen d
bante et pouvait même légitimer le SYNDROMES VENTRICULAIHES. 1149 diagnostic d'ataxie cérébelleuse (Parkes-Weber, Finkelburg,
de surdi-mutité, d'idiotie ('). Les symptômes cliniques imposent le diagnostic d'hydrocéphalie. La ponction lombaire, suivant
rocéphalie apparemment Idiopathique ou associée à une méningite. Ce diagnostic d'hydrocéphalie est confirmé lorsque la ponctio
fait purulent, épais, homogène ou grumeleux, cilrin ou verdâtre, le diagnostic d'em- pycme hydrocéphaloïde ne fait pas de dout
la fièvre, la gravité des accidents, on ne manque pas de porter le diagnostic d'abcès cérébral. On trépane. Devant l'intégrit
t plus fréquents, révolution un peu plus rapide. Pour ce qui est du diagnostic étiologique, on ne manquera pas de penser à la
s du pouls qui devenait petit et rapide. La difficulté extrême du diagnostic étiologique tient à ce que rien, ni dans l'état
épendymites uniquement bulbaires et chroniques. La difficulté du diagnostic ne tient, pas ici il l'imprécision des signes m
faut y penser systématique- ment, et surtout ne pas se contenter du diagnostic commode, mais peu précis, de polyurie essentiel
un pré- cieux moyen d'investigation, susceptible non de suppléer au diagnostic clinique, mais de lui faire suite en le complét
tains cas les rayons ont été employés pour contribuer il établir un diagnostic , cas de radiographie ou de radioscopie, dans d'
vées d'un radius ou d'un tibia doit pouvoir permettre d'affirmer un diagnostic de maladie de Paget douteux, un élargissement de
ois même la radiographie per- mettra de préciser un de ces derniers diagnostics en révélant un trait de fracture au lieu du cor
z dissemblable dans ces différents cas pour permettre d'en faire le diagnostic clinique; la radio- graphie lui viendra puissam
moins grande, une fracture ou une luxation vertébrale qui feront le diagnostic cherché, mais elle ne révélera jamais les hémorra
s ou du rachis dont l'élimination serait nécessaire pour aboutir au diagnostic , si important au point de vue pronostique ou th
a symptomatologie du début, serait souvent assez fruste pour que le diagnostic ait besoin d'un contrôle radiographique. Il nou
e et si son siège correspond il la localisation des convulsions, le diagnostic causal est rendu des plus faciles; mais, même au
ette, plus ou moins linéaire, bien ou mal limitée, qui permettra le diagnostic : et ce diagnostic sera d'autant plus important
linéaire, bien ou mal limitée, qui permettra le diagnostic : et ce diagnostic sera d'autant plus important qu'une trépanation
rait être de même sur le vivant : il serait intéressant, et pour le diagnostic et pour le traitement, de s'en assurer dans les o
ns donnerait il l'image radiographique un aspect qui permettrait un diagnostic très précoce. b) Rachis. Les lésions localisé
e moment l'abcès est, généralement trop volumineux déjà pour que le diagnostic clinique n ait encore pu être fait. La constata
volumineux ostéophytes pourrait-elle parfois permettre de faire ce diagnostic , mais nous manquons actuellement complètement de
te et ne parait pas présenter un notable intérêt au point de vue du diagnostic . On considère généralement les scolioses dites
ie musculaire : ici encore la radiologie peut à la fois préciser le diagnostic et éclairer la pathogénie. L'étude radiographiq
différentiels pouvaient apparaître sur l'épreuve et servir ainsi au diagnostic . Il a constaté les caractères suivants : . 1. R
l'inégalité pupillaire et de l'ataxie. On conçoit la difficulté du diagnostic dans ces cas. Stefani signale de même une forme
tre elles,, d'ailleurs, le radiodiagnostic ne fait que confirmer un diagnostic clinique .facile : il s'agit de déformations port
'une tumeur hypo- physaire, doit. aujourd'hui permettre de poser un diagnostic d'une façon ferme dansées cas cliniquement les
bsolument établi qu'elles aient, au point de vue de la précision du diagnostic et de l'évolution de la tumeur hypophysaire, la
as douteux assez rares, l'examen radio- graphique peut servir il ce diagnostic étiologique. L'arrêt de développement du systèm
rt, sans que l'autopsie montrât de métastases rachidienncs comme le diagnostic en avait tout d'abord été porté. On peut estime
; une laminectomie faite ultérieurement montra que, conformément au diagnostic qui avait été porté, il s'agissait d'une tumeur
quelles justement on l'oppose. APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ . AU DIAGNOSTIC ET AU TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEU
ta la Salpètiiére. L'électricité est souvent employée soit pour le diagnostic , soit pour le traitement des maladies du systèm
plupart des applications du courant galvanique au traitement et au diagnostic des maladies nerveuses. Comme les électrodes so
gné. C'est ce procédé que nous utiliserons généralement en électro- diagnostic pour localiser l'excitation électrique sur les ne
pratiquée avec le métronome inverseur. Voir à ce sujet : Manuel de diagnostic médical de DEDOVE et Aciurd, t. II, p. 45, et S
moteurs ou les muscles en vue du traitement ou en vue de l'électro- diagnostic , on emploie habituellement la méthode polaire don
ment à leur extrémité, comme dans l'électrode d'Erb.Pour l'électro- diagnostic il y a souvent lieu d'employer des courants assez
s des nerfs et des muscles est très impor- tante au point de vue du diagnostic et du pronostic. à CONSERVATION DES RÉACTIONS N
nt dites, montre certaines particularités assez importantes pour le diagnostic . L'hyperexcitabilité est générale- ment plus ac
dérante, en raison de la signification qu'elles ont souvent pour le diagnostic et le pronostic, il celles qui constituent la r
fication générale très importante permettant souvent de préciser le diagnostic quand on la rapproche des autres constatations
sur un certain nombre RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC . il de muscles, quand la maladie n'est pas trop
SIGNIFICATION DE LA RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC La DR a une grande valeur au point de vue du di
T DE VUE DU DIAGNOSTIC La DR a une grande valeur au point de vue du diagnostic . Elle indique qu'il existe des lésions du neuro
e trouve localisée dans un territoire d'innervation radiculaire, le diagnostic se trouve orienté vers des lésions de racines n
mode d'évolution de la DR fournit de son côté certains éléments de diagnostic . En présence d'une DR bien constatée, il y a souv
DR, à ses diverses périodes, est de nature à éclaircir ce point du diagnostic . , A d'autres points de vue, la DR donne encore
données fournies par l'examen clinique, on peut souvent formuler un diagnostic précis. Puisque la DR est une expression sympto
ou encore des polyné- RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC . 1259 vrites d'étiologie assez mal déterminée,
al déterminée, attribuables souvent à des auto- intoxications. Leur diagnostic avec d'autres affections du système ner- veux c
la topographie de la DR fournit un élément assez important pour ce diagnostic . Mais il n'en est pas toujours ainsi; souvent,
es et étio- logiques doivent intervenir pour permettre d'établir le diagnostic . Les névrites dyscrasiques, comme celles observ
ulaires. Elles constituent des signes objectifs important ? pour le diagnostic de la maladie de Thomsen et elles I HATIQUK \EU
évolution des lésions et à bien fixer les détails que comportent le diagnostic et le pronostic. On peut commencer le traitemen
Aérophagie, 1004. Agnosie, 501. tactile, visuelle, 226. lésions, diagnostic , 227. Agoraphobie d'origine auriculaire, 146.
de l'oreille, 145. du la- rynx, 040. Anesthésies fonctionnelles, diagnostic , : i56. hystériques, 552. Caractères, intensité
ue 1551. Apoplexie. Description clinique, 177. et coma, I 77. - Diagnostic différentiel, 181. étiologique, 184. Traite-
gastriques, 991. .Athétose, 871. Description et variétés, 872. Diagnostic des mouvements athétosiques avec les tics, 895.
brales, 122. Atrophies musculaires. Définition, 657. Signes, 658. Diagnostic différentiel, 661. Formes cliniques, classifica
mixtes, nucléaires et fasciculaires, avec hémiplégie croisée, 804. Diagnostic des affections bulbaires, 806. Réac- tion de
n,diaânostic avec les tics. 894. - électrique de Bergeron, 867. - Diagnostic avec les tics, 8Jla.-rle Dubtrri, 8GS. - Diagno
geron, 867. - Diagnostic avec les tics, 8Jla.-rle Dubtrri, 8GS. - Diagnostic avec les tics, 894. - fibrillaire de Morvan, 8G
54. Symptômes, 855. Formes. Complications, 858. Évolu- tion, 859. Diagnostic avec les tics, 894. Traitement électrique, 1559
iption, 849. - Com- plications, 85'1. - Formes. Evolution, t ! 5. Diagnostic différentiel, 855. - Diagnostic de la variété,
85'1. - Formes. Evolution, t ! 5. Diagnostic différentiel, 855. - Diagnostic de la variété, 854. symplo- maliques, 864. Ch
bol, U 052. Diplopie, recherche, 20 ? mensuration, 22. Dans le diagnostic des muscles oculaires paralysies, 6U . Diplopie
ctromélie et ectrodactylie, 1015, 1042. Électricité. Application au diagnostic des maladies du système nerveux, 1191. Couran
997. jacksonienne d'ori- gine traumatique, application du radio- diagnostic , '1'169.- partielle continue, 869. Épileptiqu
an- tilisme, IOSO. - eunuchoïde, 1081.- avec acromégalie, 1081. - Diagnostic du - acromégalique, 108). - Traite- ment, 108
ns-cor- ticale, 509. hystérique, 554. organique et fonctionnelle, diagnostic différentiel, 557. pédonculaire, 514. - p)'o&
.- khstic de l'- avec les maladies qui peuvent la simuler, 468. - Diagnostic de la lésion, 469. de la localisation, 470. -
génitale des membres, 1010, '10l ? musculaire. Carac- tères, 755. Diagnostic différentiel. Variétés, 756. Hypertrophies musc
vements, 267. - TitouDLE.3 PIIT- SIQUES, 268. - Variétés,' 268. - Diagnostic , 270. - Complications, 275. complète, profonde,
paraffine, 1355. Incontinence d'urine. Étiologie, 955. symptômes. Diagnostic . Traitement; 1 957. essentielle de l'enfance, 9
TOMES bulbaires, symptômes spinaux, 815. - Réaction myasthénique. Diagnostic , 816. ' . Myasthénies épisodiques, 813. Mala-
. Idiopathique, 945. - Symptomatique, 946. - Sym- .ptômes, 947. - Diagnostic , 948. Traitement, 949. Névralgies et algies,
Atrophies secondaires, 719. de type Aran-Duchenne, 706. - Radio- diagnostic des troubles trophiques os- seux, 1175. - Réact
n, 1018. - Le pied, 1045. Ostéomalacie. La main, 1026. - Radio- diagnostic , 1180, 1182. Ostéomes du crâne, radiodiagnostic
ysés, 61. - Dia- gnostic de la paralysie d'un seul muscle, gaz. - Diagnostic quand plusieurs mus- cles sont paralysés, 67. -
c quand plusieurs mus- cles sont paralysés, 67. - Vérification du diagnostic , 68. - Diagnostic du siège, 68. - Aspects clini
mus- cles sont paralysés, 67. - Vérification du diagnostic, 68. - Diagnostic du siège, 68. - Aspects cliniques suivant le
e. Description et formes cliniques, 486. - Classification, 491. - Diagnostic différentiel du syn- drome, 492. - Valeur séméi
- Considérations générales, D'il. - Pronostic et traitement, 512. Diagnostic topographique, 515. aiguë, 491, 502. ataxique,
ype total (lombo-sacré). - Syndrome de la queue de cheval, 559. - Diagnostic des paralysies radiculaires et des lésions médu
tic, 1261. - Traitement par l'électricité, 1501. Polyurie, 965. - Diagnostic . Traitement, 964. 4 Ponction lombaire. Techni
(Paralysie -). Symp- tômes, 807. - Evolution. Formes cli- niques. Diagnostic , 811. Pséudo-péritonite hystérique, 999. Pseu
ion, 52. - paralytique, - isolé, 98. accompagné ou associé, 99. - diagnostic différentiel des ptosis. Diagnostic du siège, 1
accompagné ou associé, 99. - diagnostic différentiel des ptosis. Diagnostic du siège, 100. - Diagnostic de la cause, 102. -
. - diagnostic différentiel des ptosis. Diagnostic du siège, 100. - Diagnostic de la cause, 102. - traumatique cu- raide, co
io- logie, 545. Queue de cheval (Syndrome de la -), 559, 517. - Diagnostic des paralysies radiculaires et des lésions médu
es processus chro- niques, 1255. Signification au point de vue du diagnostic , 1255. Lésions de l'encéphale, 1256. - Lésions
. 5. Sous-scapulaire. Innervation, physiolo- gie, 525. Spasmes. Diagnostic différentiel avec les tics, 891. (le la face, 8
ataxie, 711 1. - Cytodiagnostic dans la - nerveuse, I 158. Cyto- diagnostic dans la-sans accidents ner- veux, 'Il ? - Vol.
tifs. - de dé- ylzcfiliora, de spulation, de mâchonne- ment, z. - Diagnostic , 891. - Traitement. Rééducation motrice des t
nfluence des mouvements vo- lontaires. Evolution. Graphique, 855. Diagnostic différentiel, 856. - Diagnos- tic de la cause,
HABÉTIQUE. Vertiges provoqués. - galvanique, 159. Applications au diagnostic , 161. Vertige rotatoire, 162. - Vertige des m
2 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
d (gangrène symétrique des extrémités) ; sclerodermic dactylique (son diagnostic , résorption des tissus des doigts sans nécrose de
masque scléroder-mique, qui, s'il existait, pourrait apporter pour le diagnostic un appoint décisif. Cet aspect spécial de la face
liez pas le masque scléro-dermique, d'une importance capitale dans le diagnostic de cette maladie. Arrivons maintenant à la lèpr
, si dans la sclérodermie vous avez en fin de compte comme élément de diagnostic la présence du masque sclérodermique, dans la lèp
nnaître cette particularité, pour ne pas être tenté de repousser le diagnostic de maladie de Morvan, par ce seul fait que l'on a
mais cela est loin d'être constant. Vient maintenant la question du diagnostic , qui se trouve déjà aux trois quarts élucidée par
. Mais ceci n'a pas trait à la clinique et ce n'est qu'une affaire de diagnostic post-mortem. Connaît-on le substratum anatomiqu
points intéressants à examiner. Il est à peine besoin de justifier le diagnostic d'hystérie. La névrose est chez lui présente avec
e présente Desf..., ceux-ci suffiraient à eux seuls à faire porter le diagnostic de monoplégie hystérique. Il y a déjà plusieurs a
ntégrité des sens spéciaux, etc. Ce n'est pas à dire que souvent le diagnostic entre les deux maladies ne soit pas difficile. Le
trer chez les hystériques et souvent aussi les arthroclynies, dont le diagnostic est quelquefois si ardu. Ces phénomènes peuvent s
ls j'ai insisté depuis longtemps. Il s'appuyait surtout pour faire ce diagnostic de monoplégie hystérique, qu'il formulait netteme
ue, constituera un caractère important, pouvant contribuer à fixer le diagnostic . Il est des cas encore où l'on constatera que le
s bulletins de sortie des divers services où il est entré portent les diagnostics de sclérose en plaques, alcoolisme, myélite chron
e. L'analogie avec la sclérose en plaques était telle que l'erreur de diagnostic a été faite clans l'un des hôpitaux où a séjourné
urné le malade antérieurement à son arrivée à la Salpêtrière. L'autre diagnostic porté dans un autre hôpital, celui d'alcoolisme,
dent à s'éterniser dans les intervalles. Un mot en terminant sur le diagnostic . La migraine ophthalmoplégique ne saurait être co
esthésie, ni raideur. On appela un médecin. Celui-ci aurait fait le diagnostic d'arthrite nerveuse et essayé dès le début le sal
le gonflement persistent et enfin, au bout de quinze jours, malgré le diagnostic porté, le médecin place la main et le poignet dan
ce phénomène devrait présenter un jour ou l'autre au point de vue du diagnostic . J'ai d'ailleurs déjà présenté ce cas l'an dernie
Mardi (1), en insistant sur les difficultés qu'il soulevait dans son diagnostic avec la syringo-myélie. C'est qu'en effet l'œdème
ystérie ou être simulé par elle, suivant les cas. Cette difficulté du diagnostic est encore rendue bien plus grande, si, étant don
: début de la sciatique double ; début de l'amyotrophie dégénérative. Diagnostic : alcoolisme ; saturnisme; diabète; blennorrhagie
nement, et vous montrer de quelles difficultés est parfois entouré le diagnostic d'une affection réputée simple. C'est avec les ap
e n'est qu'à moitié remplie, car il me reste à traiter la question du diagnostic . C'est évidemment à une sciatique que nous avons
tic entraîne généralement dans l'esprit du clinicien exercé un pareil diagnostic ; la sciatique double étant presque tou jours s
ébrale ne laissait aucun doute sur la nature de la paraplégie, et mon diagnostic était déjà posé lorsque le malade m'apprit qu'il
out à l'heure, je dois vous assurer que je ne me suis pas arrêté à ce diagnostic . A ce propos, permettez-moi de vous rappeler le
ctique du malade à son arrivée plaidait, il est vrai, en faveur de ce diagnostic ; aujourd'hui, l'état général est meilleur, et en
e peut plus en être question. Est-il donc impossible de formuler un diagnostic précis ? Nous y arrivons enfin. On divise, vous l
^Ophthalmoplegie externe, ou faciès oVHutchinson; ses caractères, son diagnostic . Caractères cliniques de l'oplithalmoplégie exter
, soit à l'atrophie musculaire généralisée (polioencéphalomyélite). — Diagnostic (I). L'ophthalmoplégie externe, considérée en t
ans l'espèce et dont nous discuterons plus loin la valeur à propos du diagnostic de la polioencéphalo-myélite avec l'atrophie myop
côtés, constatée par un médecin de Varsovie qui fit dès ce moment le diagnostic de polioencéphalite supérieure de Wernicke. Les
s les notes prises par le premier médecin qui vit ce malade et fit le diagnostic de polioencéphalite supérieure. Le traitement con
.. (Neurol. Ctbl. 1891, p. 162). avait le premier porté chez lui le diagnostic de polio-encéphalite supérieure et dont les notes
e. L'habitus extérieur constitue à lui seul un élément important de diagnostic . Nous disons l'habitus extérieur tout entier et n
cquerra une importance décisive et pourra seul permettre d'établir le diagnostic . Ce sont ceux dans lesquels aux phénomènes de par
rvés une bonne fois, et qui permettent presque de faire à distance le diagnostic de la maladie myopathique. On peut en dire auta
me Déjerine-Klumpke, et où il nous paraît bien difficile d'établir un diagnostic posi-tif (1). Il s'agit dans ce cas d'un malade
évrite, l'intoxication saturnine, ce sera pour l'exclure et porter le diagnostic de polioencéphalite. La guérison ultérieure du ma
malade ne doit même pas être un obstacle à l'affirmation d'un pareil diagnostic . En effet on a vu que l'un de nos malades était e
yélie mériterait qu'on s'y arrêtât un instant et qu'on en discutât le diagnostic avec quelques développements si l'on n'y trouvait
ystagmus dans l'autre. Nous nous bornerons là en ce qui concerne le diagnostic de la polioencéphalomyélite. C'est une affection
Glycosurie considérable. Analogies avec la paraplégie alcoolique.— Diagnostic avec le tabès. — Diabète et tabès, tabès et glyco
et le diabète à forme paraplégique. Il n'y aurait plus pour faire le diagnostic de l'ataxie liée à la maladie sucrée que l'absenc
résie vésicale véritable vous confirme dans l'exclusion de ce dernier diagnostic . Eh bien! Messieurs, notre malade n'est pas un
ne risquent plus comme autrefois de tomber à chaque instant dans des diagnostics erronés en prenant pour une maladie à lésion orga
tigmates hystériques bien accentués fournissait un appoint de plus au diagnostic . Tout d'abord il existe une anesthésie absolue po
de façon à rendre plus difficile à cet égard qu'on ne le pensait, le diagnostic entre l'hémiplégie capsulaire et l'hémiplégie hys
ncore signalée, si je ne me trompe, et faite en vérité pour égarer le diagnostic d'un observateur non prévenu. 4 Leçon du 24 fév
faveur d'une néoplasie tuberculeuse. Mais fallait-il s'arrêter à un diagnostic si mal sonnant et entraînant avec lui un pronosti
até la paralysie alterne caractéristique. Inutile de vous dire que le diagnostic d'une lésion 1 Fleichsmann. — Wien. med. Woch.,
ont inconstants et que leur absence n'autorise nullement à rejeter le diagnostic de spasme. Mais alors, me direz-vous, en l'absenc
» Vous voyez l'embarras du médecin chargé d'annoncer à la famille un diagnostic et un pronostic de cet ordre. Fort heureusement q
le ce souvenir, c'est uniquement pour vous montrer les difficultés du diagnostic entre le spasme et la paralysie de la paupière. I
ni résistance spéciale, de connaître un signe qui permit d'établir ce diagnostic . Je sais bien que le chloroforme serait décrétoir
définitive, nous pouvons, je crois, nous arrêter chez notre malade au diagnostic de blépharospasme tonique d origine hystérique, A
n possession de plus de signes qu'il n'en faudrait pour asseoir notre diagnostic , mais il faut avouer que de prime abord la coexis
us voyez quelle serait la situation d'un médecin qui, sur la foi d'un diagnostic anatomique, eût ici déclaré l'existence d'une lés
plus, qui viendrait, s'il en était besoin, plaider en faveur de notre diagnostic . Voici les détails de l'observation qui a seimr
omyélie *. Sommaire. — Cas frustes de syringomyélie, difficultés du diagnostic . — Observation d'un malade :'lésion de la moelle,
rne du service. formes, qui serait si intéressante pour éclairer le diagnostic dans les cas difficiles, n'est pas même commencée
connaîtrez que je poursuis un but plus sérieux. C'est une question de diagnostic différentiel que je vais agiter devant vous, et p
que je vais agiter devant vous, et précisément dans le cas actuel, le diagnostic n'est pas, tant s'en -faut, chose indifférente.
dit tout à l'heure que l'examen du malade semble d'abord justifier le diagnostic de syringomyélie. Avant de procéder à cet examen,
ais après tout, elles ne s'opposent pas d'une manière absolue à notre diagnostic de syringomyélie, L'absence de symétrie surtout n
alie ne saurait suffire, si tout le reste concorde à faire fléchir le diagnostic . D'ailleurs, voici un nouveau trait : c'est l'e
ose; il semble s'agir d'une altération osseuse primitive. Voilà notre diagnostic singulièrement renforcé, la scoliose étant un des
ec dissociation syringomyélique qui est un des éléments principaux du diagnostic accepté. Nous n'avons rien à changer à ce qui a é
e interne. — Cire, circonflexe. — C, cubital. vous allez voir notre diagnostic de tout à l'heure se transformer comme par enchan
pent, au lieu de pêcher en eau trouble. Mais cette détermination d'un diagnostic rationnel n'offre pas seulemeut des avantages d'o
re vous avoir montré, par cette sorte de débat contradictoire, que le diagnostic de la syringomyélie est parfois chose délicate, e
, on compare les faits, souvent môme on relève d'anciennes erreurs de diagnostic . Cette étude rétrospective, toujours intéressante
l'atrophie musculaire n'est pas bien certainement la seule erreur de diagnostic qui ait pu être commise. En raison de la multipli
rien enfin. M. Charcot affirme donc à M. X... qu'il y a eu erreur de diagnostic , qu'il a une affection spinale spasmodique, sur l
er chez M. Charcot un mois plus tard, lui affirmant que cette fois le diagnostic sera formel et que M. Charcot prononcera enfin le
n ne manque au tableau. Et même, si l'on voulait pousser plus loin le diagnostic topographique de la lésion spinale, rien n'empêch
oins une réelle importance et permet à un médecin exercé do porter un diagnostic précis sur-le-champ. Nous avons, en effet, en neu
giques, la démarche est telle qu'elle suffit souvent seule à faire le diagnostic étiologique do l'affection. (I) Leçon recueilli
l'hémiplégie. Importance du syndrome « épilepsio partielle » dans le diagnostic de l'hémiplégie syphilitique. Lésions de la syp
re, je pense, d'affirmer que la syphilis est en cause. D'ailleurs, ce diagnostic se trouve confirmé, dès à présent, par le succès
ou anormaux de cette maladie. Lésions de la papille du nerf optique; diagnostic avec la papille tabétique. Autres symptômes ocula
ion, c'est parce qu'il va tout à l'heure nous servir de guide dans le diagnostic des formes atypiques que nous allons aborder ense
ie existent, que le tableau est complet, en un mot, ou à peu près, le diagnostic est écrit en gros caractères. Mais, comme je le d
pidement. Elle date du jour où une autopsie à surprise vint donner au diagnostic formulé durant la vie un démenti anatomique. C'ét
spinal, alors que, du vivant du malade, nous nous étions rattachés au diagnostic de sclérose latérale amyotrophique. Ces résulta
de reconnaître sur le vivant ces anomalies cliniques et contrôler le diagnostic à l'autopsie. L'occasion ne se fit pas longtemps
-être (1) Gazette médicale de Paris, 8 janvier 1878. (2) Charcot. Diagnostic des formes frustes de la sclérose en plaques, Pro
ès, cette malade succomba et l'autopsie vint confirmer pleinement mon diagnostic . La planche que voici, dessinée à l'époque, vous
trécissement du champ visuel. tiques, et, pour la première fois, le diagnostic avait été, je le répète, consacré par les résulta
eure. Fig. 47. En établissant, à cette époque, les éléments de ce diagnostic , en montrant que, sous le masque de la paraplégie
uligner l'importance de l'examen ophthalmoscopique au point de vue du diagnostic des formes atypiques de la sclérose en plaques. V
ée d'ordinaire par la paraplégie spasmodique. Vous baserez donc votre diagnostic sur les mêmes principes et procéderez de la même
ne investigation ainsi conduite doit mener presque infailliblement au diagnostic . Je vais dans quelques instants vous en donner la
e. Dans ces cas insolites qui simulent le tabes, pour asseoir votre diagnostic , vous rechercherez encore les vertiges, les ictus
ique de cette simulation est donc facile ; il n'en est pas de même du diagnostic . Il faut avant tout, pour éviter les méprises, êt
iloculaire, eh bien, vous commettrez presque fatalement une erreur de diagnostic . Mais commettre une erreur après avoir mis en œuv
de ces formes frustes et d'appliquer les principes nécessaires à leur diagnostic . Voici d'abord une femme du nom de B...y. C'est
ui possède la formule, je veux dire les notions fondamentales pour le diagnostic de ces formes frustes. Vous voyez que ses mains n
oculaire, et fournissent en même temps des arguments décisifs pour le diagnostic . Déjà, mardi dernier, à propos de R...bes, chez
happé à la finesse de l'observateur qui a, pour ainsi dire, touché le diagnostic du doigt. Le passage suivant est bien fait, il
t-on dire, et avec toute la précision désirable. Un pas de plus et le diagnostic était formulé. La malade, âgée de 41 ans, que v
nt les principes et la méthode qu'il faut appliquer pour arriver à un diagnostic ferme. J'ai l'intime conviction que, si vous les
és des muscles paralysés, donnent assez souvent lieu à des erreurs de diagnostic ; tantôt on croit à lu contracture primitive, tan
périphériques. Est-il possible chez cette jeune fille de porter un diagnostic positif basé sur la connaissance des troubles don
ticale ou sous-corticale du côté gauche. Nous ajouterons que c'est le diagnostic qui a été porté par M. le Pr Charcot dans la leço
cription ; nous emprunterons toutefois à ce travail les éléments d'un diagnostic différentiel. Aussi bien, du reste, n'est-ce pas
bien, du reste, n'est-ce pas presque toujours avec l'épilepsie que le diagnostic s'impose lorsqu'il s'agit de manifestations hysté
sont pas très développés, mais suffisants néanmoins pour confirmer le diagnostic . La sensibilité est conservée dans tous ses mod
ues convulsives proprement dites et les attaques de bâillements. Le diagnostic différentiel des bâillements ne nous arrêtera pas
mates qui, en dehors des bâillements eux-mêmes, ne permettront pas au diagnostic de s'égarer. Mais enfin on peut supposer que ce s
estation monosymptomatique de l'hystérie. Dans ce cas, la question du diagnostic différentiel peut se poser. Lorsque les bâillemen
ément d'appréciation qui permettrait, très probablement, d'établir un diagnostic certain avec les accès de bâillements épileptique
d (gangrène symétrique des extrémités) : sclérodermie dactylique (son diagnostic , résorption des tissus des doigts sans nécrose de
: début de la sciatique double ; début de l'amyotrophie dégénérative. Diagnostic : alcoolisme ; saturnisme ; diabète ; blennorrhag
l'ophthalmoplégie externe ou fades d'Hutchinson ; ses caractères, son diagnostic . Caractères cliniques de l'ophthalmoplégie extern
^, soit à l'atrophie musculaire généralisée (polioencéphalomyélite). — Diagnostic . (Extrait d'un travail de MM. Georges Guinon et
Glycosurie considérable. Analogies avec la paraplégie alcoolique. — Diagnostic avec le tabès. Diabète et tabès; tabès et glycosu
(Leçon). Sommaire. — Cas frustes de syringomyélie, difficultés du diagnostic . — Observation d'un malade : lésion de la moelle,
l'hémiplégie. Importance du syndrome « épilepsie partielle » dans le diagnostic de l'hémiplégie syphilitique. Lésions de la syp
ou anormaux de cette maladie. Lésions de la papille du nerf optique; diagnostic avec la papille tabétique. Autres symptômes ocula
névropathie, 368. Atrophie musculaire progressive de Duchenne Aran ( diagnostic avec la polioencéphalomyélite), 233 ; — dans la s
35. Morvan : maladie de — , 1 ; — historique, 9; — pronostic. 15; — diagnostic , 15; — anatomie pathologique, 17 ; — observation,
ulaires dans la —, 400, 403, 407; Formes frustes de la —, 402, 409; Diagnostic des formes frustes de la —, 405 ; Formes abortive
de la céphalée syphilitique, 366, 378. Sourcil : signe du — dans le diagnostic du ptosis paralytique et du ptosis spasmodique, 3
myélie: 16; —typeMorvan, 243; — et maladie de Morvan, 244, 252, 361 ; Diagnostic rétrospectif de la —, 351 ; — asymétrique, 338 ;
3 (1934) Oeuvre scientifique
ie qui est le fondement de la clinique. J'estime que les erreurs de diagnostic proviennent bien (1) Leçon faite à l'Hôpital de
de sa valeur sémiologique (in Semaine médit ? 27 juillet 1898) ; 4" Diagnostic dZO'érenciel de l'hémiplégie organique et de l'hé
médecin qui devra ordinairement en tenir compte au point de vue du diagnostic , du pronostic et du traitement qu'il aura à éta
issance de pareils symptômes que vous serez en mesure de porter des diagnostics rigoureusement précis et de résoudre soit comme
e voir une fois de plus l'intérêt qui s'attache, au point de vue du diagnostic , dans les paralysies des nerfs moteurs, à la di
mposition (fibrine, albumine, substances colorantes) fournissent au diagnostic des éléments de premier ordre. Mais je puis dir
rveuses et donnent des indications fondamentales au point de vue du diagnostic . L'abo- lition des réflexes tendineux est carac
gne du peaucier, la griffe spéciale de la main (voir : Leçon sur le diagnostic différentiel de l'hémiplégie organique et de l'hé
oubles circulatoires, les troubles sécré- toires apportent aussi au diagnostic des éléments d'appréciation d'ordre majeur. Il
à l'accès comitial; et, en effet, ce sont des éléments précieux de diagnostic , qui dans la plupart des cas peuvent être utili
é inaperçus, vous serez alors ordinairement en mesure de porter des diagnostics précis et, en tout cas, en procédant de cette m
ourg. Les signes sur lesquels le clinicien s'appuie pour établir le diagnostic peuvent être divisés, d'une manière générale, e
ifestation, conduire le malade à consulter et mettre sur la voie du diagnostic . Les douleurs à type radiculaire sont parfois l
es cas de reconnaitre l'existence d'une tumeur intra-rachi- dienne, diagnostic ayant eu pour conclusion une intervention chirurg
les d'éclairer la situa- tion, sur quoi se fonder afin d'établir le diagnostic ? Je vais vous rapporter une observation très a
signe objectif d'affection organique du système nerveux, je porte le diagnostic de 22 LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE paraplégie hys
et montre que les articulations sont absolument libres. Je porte le diagnostic de contracture et coxalgie hystériques. M. Char
hobie. Si vous avez bien suivi ma pensée, vous devez conclure qu'un diagnostic fondé uniquement sur des symptômes subjectifs,
érieures. L'importance du phénomène des orteils, au point de vue du diagnostic , ressort de l'exposé des faits dont je vous ai
st un phénomène qui présente une valeur capitale au point de vue du diagnostic , mais qui ne cause aucune gène et qui, de plus, n
groupes. Au premier appartiennent trois grandes affections pour le diagnostic desquelles l'absence des réflexes osso-tendineu
ion du réflexe rotulien et qu'il a une valeur prépondérante pour le diagnostic de la maladie de Duchenne à son début; cela, d'ai
réflexes tendineux et osseux, et c'est là un signe capital pour le diagnostic . On constate l'abolition des réflexes dans tout
sciatique, l'irréflectivité peut faire défaut, et pour éta- blir le diagnostic on se fonde en particulier sur l'existence de cer
d'une lésion du nerf sciatique est souvent difficile à affirmer. Le diagnostic différentiel de cette forme d'avec la pseudo-scia
territoires qui sont frappés par les lésions, et constitue pour le diagnostic et le pronostic un signe objectif de grande val
époque où les signes dont on se sert couramment aujourd'hui pour le diagnostic (phénomène des orteils, mouvement combiné de fl
Il est facile d'imaginer, avec les notions actuelles, le nombre de diagnostics erronés dont une semblable règle a dû être la sou
Congrès international de médecine, à l'occasion du rapport sur le « Diagnostic de l'hémiplégie organique et de l'hémiplégie hy
us plus tard avouer loyalement qu'ils avaient commis des erreurs de diagnostic . » Ces réflexions conservent toute leur portée,
ation des mouvements passifs sont des phénomènes connexes. ' VI DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ET DE L'
n pronostic et un mode de traitement absolument différents et qu'un diagnostic erroné peut conduire le médecin à des prescript
saire de disserter longuement pour établir que dans bien des cas ce diagnostic est difficile et même impossible, si, pour se fai
émiplégie organique, pour saisir l'insuffisance, au point de vue du diagnostic différentiel, des caractères précédents. Il est
e de les observer et de se fonder sur leur présence pour établir le diagnostic . De ce qui précède, ressort l'insuffisance des
ssort l'insuffisance des caractères extrinsèques au point de vue du diagnostic différentiel des deux espèces d'hémiplégie. Dep
flexe plantaire. Et pourtant le réflexe cutané plantaire fournit au diagnostic différentiel des indications de premier ordre, si
e de l'hémiplégie hystérique et là encore on trouve des éléments de diagnostic . Cette contracture donne lieu ordi- nairement à
sitoires pouvant ne durer que quelques instants et qui éclairent le diagnostic . Voici par exemple deux sujets atteints, l'un d
nique, présente une importance de premier ordre, au point de vue du diagnostic . Vous pourrez encore constater le caractère pré
ystérie, leur présence dans l'hémiplégie alterne facilite encore le diagnostic . La paralysie de la troisième paire aide aussi
r ces données, il nous a été possible d'établir plu- sieurs fois un diagnostic clinique de tumeur extra-dure-mérienne. Depuis
e, il sera possible d'acquérir ainsi des données précieuses pour le diagnostic topographique des lésions. IX RÉFLEXES DE DÉF
occuper et certaines conséquences que l'on peut en déduire pour le diagnostic . Me plaçant d'abord sur le terrain de l'observa
E L'exagération des réflexes de défense conduit-elle seulement au diagnostic de perturbation de la voie pyramirale ? N'est-ell
donnée est établie déjà sur un certain nombre d'observations où le diagnostic a été vérifié pendant l'opération. , On a aus
il sera possible d'acquérir ainsi des données intéressantes pour le diagnostic topographique des lésions, surtout si on les ra
pourrait tirer de l'état des réflexes de défense au point de vue du diagnostic différentiel entre les sections complètes et les
nconstance de la limite d'une anesthésie ne permet pas d'exclure le diagnostic d'anesthésie organique, sa fixité nous autorise à
'abolition du réflexe du tendon d'Achille avait, au point de vue du diagnostic , au moins autant d'impor- tance, sinon plus, qu
maladie organique du système nerveux, on est en droit de porter le diagnostic de tabes fruste. Il y a tout lieu de supposer q
que a été fréquemment signalée ; mais dans les faits de ce genre le diagnostic d'ataxie s'imposait, et il n'y avait aucune raiso
nce de troubles pupillaires ne peut en rien contribuer à établir le diagnostic d'anévrisme, si le réflexe à la lumière est abo
t en me fondant sur ce caractère que j'ai porté pen- dant la vie le diagnostic , confirmé par la nécropsie, d'affection cérébel-
intra- crânien siégeant à la partie gauche du bulbe rachidien ; le diagnostic de tumeur repose sur la céphalée, les vomisseme
re, et il faut que les aides l'attirent en avant. » Conformément au diagnostic qui avait été porté on constata, la malade étan
e pas sensible- ment le trouble. Si donc l'on y regarde de près, le diagnostic sera aisément établi, en prenant exclusivement
ailleurs il est rare qu'un signe suffise à lui seul pour établir un diagnostic et qu'il puisse être considéré, même quand il est
ano- malie et se demander si elle est en opposition avec un pareil diagnostic . N'y aurait-il pas lieu de supposer par exemple
démateuse double des plus prononcées, et le Dr Parinaud confirme ce diagnostic ; l'acuité visuelle est peu réduite; O. D. i/3,
Pas d'albumine. Pas de sucre. Il me paraît impossible de porter un diagnostic précis avec certitude. S'agit-il d'un néoplasme
t sans doute à ce qu'on publie de préférence les observations où le diagnostic clinique a été vérifié par l'examen pratiqué à l'
as, la céphalée, les vomissements, la stase papillaire rendaient le diagnostic de néoplasme intracrànien extrêmement probable.
méthode de Neisser, serait peut- être le seul moyen de conduire au diagnostic . Ainsi donc, dans ces deux cas, la céphalée éta
u faisceau pyramidal, sans dégénération secondaire. Contribution au diagnostic précoce des néoplasmes intracrauicns, par J. Babi
talmoscopique qui décèle de la stase papillaire ; on porte alors un diagnostic exact. Le malade est soumis à une cure hydrargy
décidée, il reste à choisir le lieu où elle devra être faite. Si le diagnostic de néoplasme est certain et si l'on a pu en déter
ome parkinsonien fruste consécutif à une encéphalite épidémique. Ce diagnostic , qui pourrait être discuté, aujourd'hui surtout,
mment émise quant à leur nature et ne pourrait-elle pas conduire au diagnostic d'hystérie ou d'association hys- téro-organique
and on soupçonne la simulation. Ils peuvent contribuer à établir le diagnostic d'une affection organique du système nerveux ce
aine qu'il s'agit d'une myélite non destructive et peut conduire au diagnostic de sclérose en plaques. 7° L'hémiplégie dans
FAISCEAU PYRAMIDAL SANS DÉGÉNÉRATION SECONDAIRE (Contribution au diagnostic précoce des néoplasmes INTRA-CRANIENS. [J. Babi
tologie des paralysies par com- pression du système pyramidal et du diagnostic précoce des néoplasmes intra-crâniens. Un hom
douleurs de tête, son urine ne contient ni sucre ni albumine. Le diagnostic le plus probable me paraît être le suivant : arté
es sensitifs ni sensoriels. Les crises épileptiformes confirment le diagnostic de lésion corticale porté dès le début, mais el
deux de nos collègues, appelés en consultation, sont d'avis que le diagnostic de néoplasme cérébral est peu vraisemblable, en
se double, coïncidant avec une diminution de 'acuité visuelle. Le diagnostic de tumeur cérébrale me paraissant devoir s'impose
ous les moyens employés, le malade succombe. Comme on le voit, le diagnostic porté peu de temps après le début de la maladie
ntervention est moins tar- dive. Il est donc essentiel de porter un diagnostic précoce et il est par conséquent important d'an
un myxosarcomc. 33o P1R : 11LL;GICS - AFFECTIONS DE LA MOELLE Mon diagnostic de tumeur cérébrale avait été mis en doute au déb
d'écarter l'idée de tumeur cérébrale. J'avais fondé en partie mon diagnostic sur les caractères de l'hémiplé- gie. On sait,
, pseudo-hystérique ». C'est à l'aide de signes extrinsèques que le diagnostic peut être établi, sinon avec certi- tude, au mo
grande valeur à l'appui de cette idée. Pouvant ainsi conduire à un diagnostic précoce de néoplasme intra- crânien et dénotant
de l'épaule constituent un ensem- ble symptomatique cadrant avec ce diagnostic . Ce serait même un cas assez banal ne méritant
de ce trouble dans le tabes, sur son importance au point de vue du diagnostic de cette affection et permettre d'établir, à cet
u réflexe du tendon d'Achille a une aussi grande importance pour le diagnostic du tabès que le signe de Westphal. Chez la plupar
re de chacun de ces deux sujets est lui-même atteint de tabès. Le diagnostic de tabès me paraît certain chez ces deux jeunes f
éningo- encéphalite diffuse. On pourrait, il est vrai, contester ce diagnostic et, comme l'a fait Gumpertz (3) dans un cas ana
ndons d'Achille et les troubles pupillaires permettent de porter le diagnostic de tabès. Les vomissements et la céphalée, en rai
certainement spécifique ; à gauche, de la pâleur de la papille. Le diagnostic de tabès est incontestable et il en est de même d
e peuvent être parfois de la plus grande utilité au point de vue du diagnostic et surtout au point de vue du pronostic de cett
une amblyopie toxique. Le fait est d'importance au point de vue du diagnostic et surtout du pronostic de l'affection. Et cett
lames vertébrales. Cette notion de longueur peutencore servir au diagnostic différentiel des compressions intra et extra-du
us avons observés et où il y a eu une intervention chirurgicale, le diagnostic a été pleinement confirmé. Par contre, la longu
ement difficile. En présence de cet ensemble de signes, on porte le diagnostic de compression des XIe et XIIe segments de la m
e d'Argyll Robertson et l'étendue de la lésion nous conduisaient au diagnostic de méningite syphilitique hypertrophique. Nou
rmer les données de la clinique et en vérifier tous points de notre diagnostic . Il s'agissait en effet d'une compression de la
ésion. N'y a-t-il pas là une donnée pou- vant être utilisée pour un diagnostic différentiel entre une lésion intra- médullaire
il est encore bien des points relatifs à ce sujet, entre autres le diagnostic différentiel, qui ont besoin d'être approfondis.
du Par Delbet, après avoir examiné les préparations, porte le même diagnostic de chordome. Quelques jours après l'opération l
notre premier examen et l'évolution de l'affection conduisirent au diagnostic extrême- ment probable de compression de la moe
Mais ce qui faisait la difficulté et l'intérêt de ce cas, c'était le diagnostic de la nature de la lésion déterminant la compre
hie, dans la pensée qu'elle nous conduirait peut-être à modifier le diagnostic posé, et nous fûmes alors frappés par ce fait q
blait pouvoir donner quelques renseignements utiles au point de vue diagnostic . Nous priâmes notre collègue, le I)' Bailleul, do
iqua sous l'écran, il arriva, comme nous, à cette conclusion que le diagnostic de mal de Pott semblait devoir être exclu. A l'
e d'habitude, dit-il, en ponctionnant un abcès par congestion. Le diagnostic de tumeur est ainsi devenu extrêmement probable e
ans, nous est adressée par le Pr Orzechowski, de Varsovie, avec le diagnostic de syndrome de Brown-Séquard dû probablement à un
tier. Les données séméio- logiques en question conduisaient déjà au diagnostic probable de compres- sion par tumeur intra-dure
rvés chez cette malade, leurs caractères, leur mode d'évolution, le diagnostic de compression de la moelle, proba- blement par
la dure-mère et c'est la première fois, croyons-nous, qu'un pareil diagnostic a été établi clini- quement. XVII PARAPLÉGI
eau de la 5e cervicale. Du point de vue de l'épreuve lipiodolée, le diagnostic restait en suspens et c'est là un fait sur lequ
uve du lipiodol. Pour les raisons que nous exposerons plus loin, le diagnostic probable de tumeur extra-dure-mérienne comprima
is l'absence de douleurs de ce genre ne permettait pas d'exclure ce diagnostic , puisque des faits analogues ont été assez sou-
observation même, du point de vue de l'épreuve de l'huile iodée, le diagnostic devait donc rester en suspens. Nous rappelleron
ol donnant un résultat négatif permettait, oui ou non, d'exclure le diagnostic de compression. Depuis M. Guillain avait rappor
négatif de l'épreuve en question n'est pas en oppo- sition avec le diagnostic de compression, même lorsque les troubles moteu
épreuve de Sicard Forestier, qui donne parfois le moyen de faire un diagnostic précoce de compression médullaire, ferait par con
stacle était infranchissable ; il n'en est pas moins vrai que notre diagnostic de compression s'est trouvé encore fortifié par
par la dure-mère, ne peut en dessiner pareillement la forme. Notre diagnostic a été confirmé à l'opéra- tion. Possédons-nous
syringomyélie. Société de Neurologie, 6 février igi3. XIX SUR LE DIAGNOSTIC DES COMPRESSIONS SPINALES [J. Babinski et J. Ja
ion, par la radiographie, et qui peuvent déjà conduire à exclure le diagnostic d'une tumeur juxta-médullaire nous tenons à att
ar exemple, et qui peut servir, dans un cas dou- teux, à établir le diagnostic de sciatique. Cette donnée est devenue classiqu
nce d'un malade qui se plaint de douleurs au bras on se contente du diagnostic vague de rhumatisme. Cette variété de lésion du
on trouve un ensemble de signes qui condui- sent inévitablement au diagnostic de lésion bulbaire, probablement bila- térale,
osologiques. Tout médecin qui a porté, ne serait-ce qu'une fois, le diagnostic d'hystérie, à moins d'employer des mots qui soi
hystérique, par J. Babinski, Société médicale, 5 mai 8g3, et aussi Diagnostic différentiel de l'hémiplégie organique et de l'hé
e choisir comme objets d'étude des cas bien nets au point de vue du diagnostic et écartez systématiquement ceux qui sont frust
tratives. On a, par exemple, publié des faits (') Voir à ce sujet : Diagnostic différentiel de l'hémiplégie organique et de l'hé
énéra- lement, les auteurs de ces observations s'appuient dans leur diagnostic sur ces deux arguments : présence de stigmates
re pas l'immu- nité contre les autres maladies et, d'autre part, un diagnostic par exclu- sion est toujours sujet à caution. P
ie tient à trois causes principales : 1" on a commis des erreurs de diagnostic , en considérant comme hystériques des affection
pris naissance étaient les seules données permettant d'éta- blir le diagnostic . Or, c'est le contraire qui est la vérité. Je ne
caractères intrinsèques de l'hémiplégie peuvent seuls conduire à un diagnostic précis. Si on l'ignorait jadis c'est que, aigui
musculaire, le phénomène de la pronation qui conduisent aussi à un diagnostic certain. Ce sont actuel- lement des notions uni
rganique de l'hémipligie hystérique et que de nombreuses erreurs de diagnostic ont été commises. Si maintenant l'on réfléchi
La fièvre même, s'il y en avait, ne faisait pas repousser un pareil diagnostic , car il était tout naturel, après avoir admis que
r appartient et qu'on les perd de vue avant que la rectification du diagnostic se soit imposée ; elles s'expliquent, enfin, pa
e champ de l'hystérie a été démesurément agrandi par les erreurs de diagnostic qui ont été commises et parce qu'on ne s'est pa
aralysies ayant une autre origine. J'ajoute, par parenthèse, que le diagnostic des accidents de nature sugges- tive se fonde s
nous occupons fournit donc des indications très précieuses pour le diagnostic , toutefois c'est surtout leur évolution qui leu
DÉMEMBREMENT DE L'HYSTÉRIE TRADITIONNELLE 499 suite d'erreurs de diagnostic commises, faute d'une séméiologie suffisante et
ion de ces prétendus troubles hystériques repose sur des erreurs de diagnostic et sur la méconnaissance de la superche- rie, l
les, ont fait poser, dans le cas 12, à des neurologistes avertis, le diagnostic d'hystérie. Chez cette malade, en particulier,
ait aucun mouvement. Cette observa- tion serait démonstrative si le diagnostic d'hystérie était incontestable; mais rien n'est
des caractères signalés dans l'observation ne permet d'écar- ter ce diagnostic qui n'a même pas été envisagé. Ainsi donc, aucu
ne, abatte- ment consécutif, tout en étant des éléments précieux de diagnostic , ne sont pas concluants, car ils pourraient êtr
rs de nature hystérique, on courrait au-devant de graves erreurs de diagnostic . Ce sont des erreurs de ce genre qui ont sans d
n litige. Voici comment il procéda dans un cas où il avait porté le diagnostic de contracture hystérique : « J'ai placé, dit-il,
que les contractures liées aux lésions des 'centres nervenx. Or, le diagnostic de contracture réflexe n'a même pas été envisag
re attiré l'attention au moment de la communication de Déjerine, ce diagnostic n'a même pas été discuté. Or, dans les parésies e
ion ancienne paraissait donc bien avoir pour origine des erreurs de diagnostic : des oedèmes simulés, artificiellement réalisé
uels symptômes était-il possible alors de se fonder pour établir ce diagnostic ? ° L'amyotrophie d'origine réflexe, quand elle
oubles circulatoires, les troubles sécré- toires apportent aussi au diagnostic des éléments d'appréciation d'ordre majeur... S
l'espèce, d'avoir recours à tous les moyens permettant d'établir un diagnostic précis, que l'on avait affaire à un sujet qui ava
tendineuse bien caractérisée ne suffisait pas à justifier un pareil diagnostic . (1) J. Babinski et J. Froment, Les modificatio
ès appréciables. La réfrigération peut donc être uti- lisée pour le diagnostic . Il est à remarquer que les modifications de la
et des contractures se présentaient toujours à l'état de pureté, le diagnostic serait relativement simple, mais il est loin d'en
res de la neurologie et il ne faut pas se croire tenu à formuler un diagnostic simple. Le problème clinique consiste ordinaire
Mai 1907. Si l'utilité de la ponction lombaire, comme procédé de diagnostic des affections du système nerveux, n'est plus à
'est plus à démontrer, l'impor- tance de cette intervention dans le diagnostic des maladies de l'ap- pareil de la vision n'a p
mpor- tance de cette ponction dans certains cas, au point de vue du diagnostic . PONCTION LOMBAIRE DANS LES NÉVRITES OPTIQUES .
re les maux de tête, la stase de la papille, furent contraires à ce diagnostic . Les cas que nous venons de rapporter peuvent ê
compression intra-crânienne qu'ils présentaient. Dans le cas où le diagnostic est douteux, cette persistance de la névrite opti
tais à la rachicentèse dans un but thérapeutique ou en vue du cyto- diagnostic , m'avait montré que d'ordinaire la résistance à l
ble plein de promesses et permettra sans doute de faire parfois des diagnostics plus précis et plus précoces, la localisa- tion
ns les 13 cas de tumeurs juxta-médullaires que j'ai fait opérer, le diagnostic de localisation posé par moi ou par mes élèves Ja
atières fécales. Légère excoria- tion à la fesse. Nous portons le diagnostic de compression par tumeur au niveau des cinquième
l'anesthésie et la limite des réflexes de défense, nous portons le diagnostic probable de tumeur extra-dure- mérienne. Lecène
de la moelle atteignant particulièrement le système pyramidal ; ce diagnostic est fondé sur l'exagération des réflexes rotuli
e si l'on accepte, au moins à titre d'hypothèse vraisem- blable, le diagnostic de tumeur, de sarcome intrarachidien. VI 11 R
d., re février igoo). 58. Tabes conjugal (Id., 5 avril igoo). 5g. Diagnostic différentiel entre l'hémiplégie organique et l'hé
ielles et troubles vaso-moteurs d'origine réflexe ou centrale. Leur diagnostic différentiel par l'oscillométrie et l'épreuve du
n neurologique internationale annuelle, 8 juin 1923). 276. Sur le diagnostic des compressions spinales (en collaboration avec
elle, 8 juin i ! p3). 277. Sur l'épreuve du lipiodol comme moyen de diagnostic des compressions de la moelle (Société de Neuro
chiale organique. Mouvements actifs et mouvements passifs... 88 VI. Diagnostic différentiel de l'hémiplégie organique et de l'hé
Tumeur intramédullaire de la région lombo-sacrée.. 420 XIX. Sur le diagnostic des compressions spinales 4a5 XX. Méningite hém
4 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
es, de l'hémorrhagie, du ramollisse- ment cérébral, etc., et que le diagnostic offre parfois de sérieuses dif- ficultés. Quant
ielles. Et la ressemblance est parfois si frappante qu'elle rend le diagnostic des plus ardus. On a quelquefois désigné sous le
l'heure actuelle, en nosologie spi- nale, il n'y a qu'un seul grand diagnostic à faire : celui de l'hystérie. En effet, les ma
QUES « SIMULATEURS ». 9 les éléments du pronostic reposaient sur un diagnostic erroné. Cepen- dantle pronostic de l'hystérie n
t curables, et c'est précisément à cause de cette curabilité que le diagnostic s'impose; un traitement convenablement dirigé pou
stérie et de la sclérose en plaques; 1Y. Les principaux éléments du diagnostic différentiel. CHAPITRE I Syndromes hystérique
plète. Avant d'entrer à Necker où M. le professeur Dieulafoy fit le diagnostic d'hystérie, ce malade sortait d'un service hosp
stic d'hystérie, ce malade sortait d'un service hospitalier avec le diagnostic « sclérose en plaques » sur sa feuille de sorti
e sortie. En quittant récemment le service de M. Dieulafoy, ce même diagnostic a été porté, dans un autre hôpital. Et pourtant
s en plaques à tableau incomplet, à marche lente, on aurait posé ce diagnostic sans hésitation, il y a dix ans. Aujourd'hui, nou
re, où il a passé un an. Hystérie et rien qu'hystérie, tel a été le diagnostic de M. le professeur Charcot. Nous l'avons revu
thèse inaugurale, mentionne un cas du même genre. On avait fait le diagnostic de sclérose en plaques, et l'autopsie vint révé
de publier un cas identique : l'autopsie donna un démenti formel au diagnostic de sclérose formulé pendant la vie. Cet observa-
ezcdo-tabes. Il était impossible, dit l'auteur, de ne pas porter ce diagnostic durant la vie. A l'autopsie, on ne trouva aucune
tal Necker. Il est né d'une mère épilep- tique; tel est du moins le diagnostic qui ressort de ses descriptions; son père était
ELLE ICONOGRAPHIE DE LAIS AL P Ê T 1\ 1 È 1\ E. L'auteur discute le diagnostic qui pour lui n'est pas de la sclérose en plaque
t de ces mouvements tremblants, on fit à la clinique d'Eichhorst le diagnostic non de sclérose en plaques, mais de névrose tre
st rappelle qu'il a connu un homme chez lequel on avait fait divers diagnostics , surtout celui de sclérose en plaques. Plusieur
lade âgé de trente ans atteint de symptômes nerveux com- plexes. Le diagnostic peut osciller, dit-il, entre une sclérose multilo
51 - NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. la valeur à propos du diagnostic de la poliencépllalomyélite avec l'atrophie myo
but de montrer la voie où je me suis engagé. L'étude du malade, le diagnostic aussi exact que possible de l'affection dont il
s, etc., à ne considérer que le symptôme tremblement, une erreur de diagnostic à ce sujet nous semblerait difficile à justifier.
es stigmates hystériques qu'il faudra avoir recours pour établir le diagnostic . Ons. VIII. Tremblement hystérique des membres
t la fausseté de 128 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. mon diagnostic . Il est évident que nous avions eu affaire à un h
l'hystérie, telles sont les données sur lesquelles devra reposer le diagnostic de ce trem- blement hystérique purement intenti
ptique. du nystagmus. A côté de ces signes qui rendaient certain le diagnostic de sclérose en plaques, survint un tremblement
mique du membre supérieur droit, que je ne pouvais accorder avec le diagnostic de sclérose multiple. A un premier essai d'hyp-
revue. 132 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. CHAPITRE IV DIAGNOSTIC DE LA « SIMULATION » Les considérations dans le
s, des antécédents, etc., qu'il faut aller chercher les éléments du diagnostic différentiel. 1° Le tremblement intentionnel d'
ivers caractères, dont la réunion permettra d'ordinaire de faire un diagnostic précis, il faut encore tenir compte des données
utre n'est pas toujours chose facile. Les éléments principaux de ce diagnostic ont été étudiés avec soin par M. Charcot dans ses
nférieurs consécutive à une fracture de la colonne verté- brale, le diagnostic topographique est le plus souvent facile. Il n'en
paraplégies dues à une compression lente. Quoi qu'il en soit de ce diagnostic régional, il en est un autre qui s'impose aujou
pratique de ces méprises ; elle n'a d'égale que les difficultés du diagnostic . Sans remonter bien loin, Brodie ne dit-il pas
t qu'il faut bien con- naître : elles peuvent mettre sur la voie du diagnostic . A. SOUQUES, Interne (Médaille d'or) de Cli
ôtés, constatée par un médecin de Varsovie qui fit des ce moment le diagnostic de polioencé- phalite supérieure de Wernicke.
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. premier médecin qui vit ce malade et fit le diagnostic de polioencéphalite supérieure. Le traitement c
rouge grosse vésicule d'herpès ou de pemphigus ? Exeat le 20 mai. Diagnostic : problème. Telle est l'intéressante observatio
it mépris sur la nature de la maladie, mais n'aurait pas formulé de diagnostic . Le 11, l'éruption s'était généralisée, moins a
a paralysie agitante, M. Oppenheim, qui avait porté tout d'abord le diagnostic de paralysie agitans, énumère les différentes r
t elle est le siège qu'à l'affaiblissement musculaire révélé par le diagnostic . Tremblement. La main droite en effet est const
re donne une idée assez nette des difficultés que peut présenter le diagnostic différentiel d'un tremblement hysté- rique et d
nnaissance), l'absence d'anesthésie et de zones liysléro- gènes, le diagnostic de tremblement hystérique. Or, dans la nuit du
ment et en détail, non pas qu'à lui seul il suffise pour établir le diagnostic de l'affection que vous cherchez, mais il acqui
t.) Nous reviendrons d'ailleurs sur ce point plus loin il propos du diagnostic . Ajoutons enfin que certains muscles sont telle
valeur de ces signes tant positifs que négatifs au point de vue du diagnostic de la lésion spinale, diag- nostic que vient en
L'habitus extérieur constitue à lui seul un élément important de diagnostic . Nous disons l'habitus extérieur tout entier el n
uerra une importance décisive et pourra seul permettre d'établir le diagnostic . Ce sont ceux dans lesquels aux phénomènes de p
és une bonne fois, et qui permettent presque de faire à distance le diagnostic de la maladie myopathique. On peut en dire auta
Déjerine-Klumpke, et où il nous paraît bien difficile d'établir un diagnostic positif. Il s'agit dans ce cas d'un malade, don
rite, l'intoxication saturnine, ce sera pour l'exclure et porter le diagnostic de polioencépllalite. La guérison ulté- rieure
alade ne doit même pas être un obstacle à l'affirmation d'un pareil diagnostic . En effet on a vu que l'un de nos malades était
lie mériterait qu'on s'y arrêtât un instant et qu'on en discutât le diagnostic avec quelques développements si l'on n'y trouvait
ystagmus dans l'autre. Nous nous bornerons là en ce qui concerne le diagnostic de la polio- encéphalomyélite. C'est une affect
ophie satur- nine. Nous nous sommes expliqués là-dessus à propos du diagnostic . Le pronostic de l'ophthalmoplégie externe comb
hie, joints au facies cl'Hutclaizsoz permettent d'af- J ! firmer le diagnostic . L'absence de réaction de dégénérescence, plu-
ous sommes suffisamment' ! expliqués, n'est pas faite pour écarter le diagnostic de lésion spinale l ' et, à plus forte raison,
ques vices de conformation des paupières dont vous aurez à faire le diagnostic étiologique au point de vue de l'origine acquis
tail mérite de fixer l'attention, car il met souvent sur la voie du diagnostic d'une maladie qui se rencontre assez souvent ch
nant de vue double. M. Parinaud qui l'examina à cette époque fit le diagnostic de paralysie de la convergence, et conseilla l'
ison dans l'une, l'amélioration très rapide dans l'autre rendent cc diagnostic certain. L'auteur n'hésite pas du reste à le fo
onclut à l'hystérie seule provoquée par la syphilis. Assurément, le diagnostic ne s'impose pas. Un an après le début d'une syp
cronica del midollo spinale guarito. L'auteur discute longuement le diagnostic et admet définitivement l'existence d'une myéli
t la véritable nature de l'affection. Le Dr Empis consulté porta le diagnostic d'entéro-péritonite, sans en préciser la nature
cherchant dans le passé et dans le mode de début qu'on arrive à un diagnostic ferme. Car il faut bien avouer qu'une paraplégi
e d'abord, étant donné ses antécédents héréditaires, étant donné le diagnostic supposé de mal de Pott, à une ménin- gite tuber
taches rosées fit songer à la fièvre typhoïde ; néanmoins, même ce diagnostic , à cause des antécédents, resta en suspens. La
les cas difficiles. Il est ici absolument nécessaire d'arriver à un diagnostic certain. Ons. XLV (inédite) (Extrait du Regis
iqué la paraplégie par la compression et envoyé la ma- lade avec ce diagnostic en chirurgie, à l'hôpital Broussais, dans le serv
on provoquée et de la marche saccadée et tétanique que je portai le diagnostic de paraplégie spasmodique... Je cher- chai a ét
diagnostic de paraplégie spasmodique... Je cher- chai a établir un diagnostic et je conclus a une sclérose' latérale symétrique
ue primitive ou 'tabès dorsal spasmodique de Charcot. C'est avec ce diagnostic que j'adressai l'enfant à M. Charcot. » Et M. l
i, assurément. Et cependant tout sem- blait conjuré pour écarter ce diagnostic . En raison de l'âge du malade, de ses antécéden
e soupçonnée et que, n'était l'événement ultérieur, tous les autres diagnostics pos- sibles étaient défendables. Mais aujourd
. 1888 (Bulletin médic., 11 juill. 1888). . 3. Eichhorst, Traité de diagnostic médical (Traduction française de \IVi. Marfan et
mis sur le compte du rachitisme. Comme le dit Tripier' à propos du diagnostic des déformations limitées du squelette, quelle
de l' oCltlo-motetl1' externe. " 1. Nuthnagel, Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encéphale. Traduction françai
malies morphologiques de la nuque, intéressantes par les erreurs de diagnostic qu'elles peuvent entraîner. I. Chez le nouvea
ique de la région lombaire, et signalait à ce propos les erreurs de diagnostic dues à l'ignorance de la saillie normale produite
la constatation actuelle d'une paraplégie, avaient rait discuter le diagnostic de fracture vertébrale ancienne, et l'utilité d
e toux, etc.; le 18 août, elle entrait à l'hôpital Saint-Joseph. Le diagnostic fut le suivant : tuberculose pulmonaire, myélit
e présentait des râles dans la fosse sus-épineuse droite. On fit le diagnostic de tuberculose pulmonaire. Elle resta dans le mêm
pulmonaire, tuberculose méningée, myélite tuberculeuse, tel est le diagnostic qui semble s'imposer. En effet les phénomènes pul
étant dans le coma et le délire, du moins pendant quelque temps. Le diagnostic de tuberculose parais- sant certain, il a fallu
vrose, la mobilité des symptômes, leur évolution, etc., imposent le diagnostic . On a songé récemment, à l'hôpital Saint-Joseph
araplégie spinale syphilitique.- M. le professeur Polain discute le diagnostic . Après avoir soulevé et rejeté diverses hypothè
s jours, la contractilité se perd peu à peu, il faudra se défier du diagnostic . Vous le voyez, mème.avec une dis- cussion appr
fondie de toutes les circonstances du fait, nous n'arrivons qu'à un diagnostic indécis, et nous sommes obligés d'attendre, pour
définitive. » Et le résultat lui donna raison. - CHAPITRE VIII DIAGNOSTIC DE LA SIMULATION Il est des cas complexes où l'
ifs, évolu- tion, etc., que l'on puisera les véritables éléments du diagnostic . Lorsqu'en fin de compte, on ne constatera aucu
qu'il faudra éliminer successivement pour arriver par exclusion au diagnostic de paralysie hystérique. Les para- plégies par
s'accom- pagnent de contractures, de convulsions, d'excitations. Le diagnostic , au début, peut être très difficile. La syphi
hysté- rique. On risquera donc de conclure à la syphilis sans quele diagnostic soit prouvé rigoureusement. Le rhumatisme est
889, p. 33C. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 381 diagnostic . D'ordinaire, elle coexiste avec d'antres trouble
o-tabétique, et enfin nous mentionnerons les principaux éléments du diagnostic ; en un mot, nous suivrons l'ordre ci-dessous :
rose dite « pseulo-tabes »; 3' Association hystéro-tabétique ; 4° Diagnostic différentiel du tabes et du syndrome hystérique.
bes, perte du sens musculaire, paresse- vésicale, diplopie, etc. Le diagnostic de tabes qui semblait s'imposer a réellement ét
du pied etde la jambe gauches. M. le profes- seur Dieulafoy fit le diagnostic d'hystérie. Après un court séjour à Necker, 388
ieurs fois dans ce chapitre, nous arriverons très certaine- ment au diagnostic pur et simple de syndrome hystérique simula- te
es médecins qui ont vu le malade, tous sans exception, ont porté le diagnostic d'ataxie locomotrice. La même erreur a été comm
ng, in Bril. med. Journ., 10 avril 1886, p. 691). L'auteur fit le diagnostic de tabes avec anesthésie hystérique. D'après lu
e, parallèlement, chacune pour leur propre compte. CHAPITRE XII DIAGNOSTIC DE LA SIMULATION HYSTÉRIQUE DU TABES Simulation
uloir aujourd'hui fixer, d'une manière irrévocable, les éléments du diagnostic . Il nous semble néanmoins qu'il est permis, à l'h
er le tabes, et de tout rapporter à la névrose ? Les éléments de ce diagnostic doivent se tirer de la double étude des symptôm
1) IL Étude de l'évolution. L'évolution est un élément capital de diagnostic . Les manifestations de l'hystérie sont par natu
membres droits, et sort, pouvant marcher à l'aide de béquilles. Le diagnostic porté à cette époque fut celui d'hystérie. Au m
x divers arguments que nous venons de faire valoir. CHAPITRE XLIV DIAGNOSTIC DE LA SIMULATION Démontrer que l'atrophie muscu
aux deux catégories hystérique et organique ont, au point de vue du diagnostic , une valeur tout aussi négative ; - 3° Le deg
aucoup discuté déjà, dit-il, la plupart, des questions relatives au diagnostic différentiel de la syringomyélie, et, il propos
champ visuel dans la syringomyélie. M. Roth, dans un travail sur le Diagnostic de la gliomatose médullaire (lloscou, 1890), que
l'hystérie plus frappante, ne peut qu'augmenter les difficultés du diagnostic différen- tiel. Jusqu'ici, en effet, on s'est b
pièces du procès, puisse juger en connaissance de cause. 1. Roth, Diagnostic de la gliomalose médullaire. Moscou, 1890. 418
donner rai- son à M. le professeur Charcot. OBs. LXXIV (Roth, in Diagnostic de la gliomatose médullaire. Moscou, 1890). Syn
Il s'agit évidemment là d'un hystérique. L'auteur incline vers ce diagnostic qui explique plus facilement le petit nombre de t
à rattacher son cas à la gliomatose. Tout en reconnaissant que ce diagnostic devient aujourd'hui douteux, tont en affirmant
lade, il incline à penser qu'il s'agi de gliomatose. Et il fonde ce diagnostic sur les raisons suivantes : 1° Sur l'absence de
reste à citer parleront dans ce double sens. Ons. LXXVI (Roth, in Diagnostic de la gliomatose médullaire. Mos- cou, 1890). M
II du mémoire de Roth, qui, malgré l'anesthésie tactile, rejette le diagnostic de maladie de Morvan pour for- muler franchemen
orvan pour for- muler franchement celui de gliomatose. Il écarte le diagnostic d'hys- térie. Nous acceptons l'existence de l
i exerça la sagacité de cliniciens très compétents et fit faire les diagnostics les plus opposés. Uns. LXXIX (Oppenheim in eod.
XXIX (Oppenheim in eod. loc.). Hystérie et syringomyélie. Le double diagnostic de M. Oppenheim s'impose. A la place de névrose
ennent il la névrose hystérique, et réciproquement. CHAPITRE XVII DIAGNOSTIC DE L'HYSTÉRIE SIMULATRICE DE LA SYRINGOMYÉLIE L
le tableau soit complet pour qu'il y ait si- mulation et. matière à diagnostic Dans tous les cas, c'est sur les prin- cipaux é
c'est sur les prin- cipaux éléments suivants qu'il faudra baser ce diagnostic différentiel. 1° La dissociation de la sensibil
notre avis, de ce côté qu'il faudra chercher des clé- ments pour le diagnostic : c'est sur son mode de début, sur sa marche, s
'épilepsie avec délire consécutif aux attaques ; un autre. porte le diagnostic d'hystéro-épilepsie avec somnambu- lisme. Exa
tenu de bons résultats du nouveau traitement ne savent pas faire le diagnostic entre le pseudo-tabes et l'ataxie locomotrice a
5 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
hésitant parfois et embarrassé même, dans certains cas, à décider un diagnostic , à proclamer un pronostic ou à instituer un trait
convulsives, etc. En pareil cas, il peut y avoir, parfois, pour le diagnostic , des difficultés vraiment sérieuses. Cependant, m
t suffisante, cependant, à elle seule pour nous mettre sur la voie du diagnostic . Je ne saurais trop vous engager, Messieurs, su
t progressé. Il faut arriver jusqu'à Valleix pour voir la question du diagnostic des névralgies s'enrichir de la notion des points
attention en commençant, pourrait, elle aussi, contribuer à fixer le diagnostic dans les cas réguliers, classiques ; mais il y a
er trop de soin dans l'étude du cas que de nous efforcer de fonder le diagnostic sur une analyse comparative régulière et de ne pa
it; et immédiatement pour ne pas prolonger sans profit cette étude de diagnostic différentiel, je vous dirai qu'il s'agit chez cet
ifficulté spéciale de l'articulation me mirent bientôt sur la voie du diagnostic . J'appris d'ailleurs que pendant plus d'un mois,
nous devons nous appliquer encore à bien établir chez notre homme le diagnostic hystérie. Nous ne reviendrons pas sur les sympt
ale qui est ici en jeu, et cette constatation qui vient corroborer le diagnostic hystérie, trouve son complément lorsqu'on fait ti
ant nos yeux, et après cela il n'est pas nécessaire, pour affirmer le diagnostic hystérie, de chercher ailleurs. Sans doute notr
yeux et le malade a entendu plusieurs fois retentir à ses oreilles le diagnostic : hémisection latérale de la moelle épinière. Défa
ns les mêmes conditions. D'autres points à relever sont relatifs au diagnostic . J'ai déjà montré les différences assez considéra
ides, comme dans le cas que nous avons actuellement sous les yeux, le diagnostic se pourra faire du premier coup, car la résolutio
vous, longuement, parce qu'il explique parfaitement son affaire. Le diagnostic , certes, après ce colloque, ne vous paraîtra pas
ttention. Il reste cependant encore, avant de fixer complètement ce diagnostic et de procéder au traitement, à rechercher s'il n
chez quelques-uns d'entre vous, éveiller certaines idées relatives au diagnostic . Cette démarche, certes, n'est point spéciale à u
ence marquée de l'action du bromure fournit un caractère que, pour le diagnostic , on pourrait utiliser, dans certains cas difficil
i m'accompagnait. »En voilà suffisamment, je crois, pour justifier le diagnostic hystéro-neurasthénie que nous vous proposons d'ad
. (A propos de ces deux cas, on fait ressortir l'importance pour le diagnostic de l'étude des troubles oculaires.) 3e Malade.
èmes attenant à la pathologie nerveuse, surtout en ce qui concerne le diagnostic et le pronostic. ri -1- lre Malade. [Une ma
our que vous soyez en mesure bientôt de formuler dans votre esprit le diagnostic . Je me suis assuré, messieurs, qu'avant cette d
opie par exemple ou la parésie vésicale, puisse permettre de fixer le diagnostic à une époque où la maladie en est encore à ses pr
ne vous ferai pas l'injure, messieurs, de suspendre plus longtemps le diagnostic ; tous vous avez compris, depuis longtemps déjà c
ante et pourrait déjà par elle-même, dans certains cas, contribuer au diagnostic . Mais je n'insisterai pas plus longuement sur l'h
rfaitement normale. Il y avait donc eu, dans le temps, erreur dans le diagnostic . Par contre, procédant méthodiquement et sans p
fournir, clans la catégorie qui vous occupe, de précieux éléments de diagnostic . Le rétrécissement régulier et concentrique du ch
et justement l'analogie que nous signalons ici a pu souvent rendre le diagnostic fort embarrassant. Mais ce n'est pas tout: ainsi
x membres, inférieurs - « chloro-an °m*e très accentuée », ter est le diagnostic qu'elle a ¦alors entendu prononcer aiû+our. d e11
on; c'est elle enfin qu'il faut apprendre à connaître pour établir le diagnostic , le pronostic, et instituer convenablement le tra
ssi comment l'ensemble des signes classiques sur lesquels reposent le diagnostic de la maladie peut à cette époque être quelquefoi
istance, et c'est bien à juste titre, les difficultés que présente le diagnostic du mal vertébral, à son origine, avant l'appariti
ez comment elles ont pu un instant donner le change et faire errer le diagnostic ; mais bientôt survinrent des attaques qui devaie
vent déjà dans son évolution, et que dans aucun d'euxparconséquent le diagnostic n'a laissé subsister l'ombre d'un doute. La plupa
avérés,déjà avancés dans le mal, et chez lesquels,par conséquent, le diagnostic avait pu être nettement établi.Chez presque tous,
attentif fournirait déjà à lui seul un élément fort important pour le diagnostic . Ce tremblement occupe, non seulement les membres
nt voué aux études neuropathologiques, laisser paraître, à l'égard du diagnostic des « maladies à tremblement », des hésitations q
ude sur les paralysies psychiques et qui ici contribueront à fixer le diagnostic . D'ailleurs l'insensibilité, ainsi que je le disa
août de l'an dernier ; veuillez me la remettre. Elle porte en tête le diagnostic : « Crises comitiaies ambulatoires », puis vient l
té le précédent ?... peut-être ! Vous savez, messieurs, quel est le diagnostic auquel nous nous sommes arrêtés à propos de ce ca
compliqués, avec impulsion a marcher, à se déplacer, à voyager. Ce diagnostic , je voudrais, chemin faisant, essayer de le justi
dans votre cas ; sur quels fondements faites-vous donc reposer votre diagnostic ? Je vous répondrai, messieurs, que je n'ai nullem
rs, le principal argument que je puisse faire valoir en faveur de mon diagnostic est plutôt d'ordre pratique. L'emploi du bromure
point les événements sont venus justifier notre hypothèse relative au diagnostic . Yoici, en effet, ce qui s'est passé à partir du
s en présence tantôt du cancer gastrique, tantôt de l'ulcère rond. Ce diagnostic était erroné cependant : la véritable nature du m
es troubles gastriques si particuliers peuvent permettre d'établir le diagnostic pendant la période souvent fort longue, qui, dans
us decinqans, sans accompagnement de désordres moteurs chez M. T...Le diagnostic était rendu facile dans ce cas, par l'existence d
ue. Ce sont là des circonstances intéressantes principalement pour le diagnostic et sur lesquelles nous aurons à revenir. 4° Un
à porter toujours avec lui une pancarte où se trouvait écrit le vrai diagnostic , destinée à être placée sous les yeux des médecin
et pour empêcher, en ce qui concerne ces dernières, de tomber dans le diagnostic erroné d'une affection organique de l'estomac. La
je ne crois pas nécessaire de nous arrêter, Messieurs, à discuter le diagnostic que nous avons formulé tout à l'heure et dans leq
e paralysie, dont je veux vous laisser le soin de faire vous-mêmes le diagnostic à mesure que l'exposé des symptômes vasedérouler,
permettant de suivre de plus près la ligne qui doit nous conduire au diagnostic étiologique. Nous ne reviendrons pas sur les tr
cas de Béribéri-Sec, affection essentiellement exotique, que, dans le diagnostic , il sera généralement facile d'éliminer. J'ajoute
, dans le but d'obtenir d'elle des aveux nous permettant d'asseoir le diagnostic , cette fois sur des bases inébranlables. Eh bien,
Anne, et de Sainte-Anne à Yillejuif, service de M. le Dr BrHnd, où le diagnostic a été formulé ainsi qu'il suit : « Alcoolisme c
' Il n'était pas inutile, je crois, de nous arrêter un instant sur le diagnostic de ces deux espèces morbides que rapprochent des
and intérêt au point de vue de la théorie et aussi au point de vue du diagnostic . Elles constituent, en quelque sorte les caractèr
cale, c. Points hystérogènes. très grand intérêt au point de vue du diagnostic . Je tiens à vous montrer jusqu'à quel point cette
es d'euphorie se confondent les unes avec les autres, il n'y a pas de diagnostic à faire ; le sujet n'éprouve aucune souffrance ma
il pas là assez pour lever tous les doutes et légitimer absolument le diagnostic ? A quoi bon discuter, cela est clair comme le jo
rée chronique dite d'Huntington ; — on insiste sur les difficultés du diagnostic . 3e, 4e et 5e Malades.— Cas d'abasie : 1° Abasi
ue la plupart d'entre vous hésiteraient, j'en suis sûr, à formuler le diagnostic ; et, de cette hésitation, messieurs, vous n'aurie
ir debout et marcher tout en titubant comme un homme ivre et alors le diagnostic est en général facile. D'autres fois, la station
a symptomatologie du syndrome astasie paralytique (1). Ici l'œuvre de diagnostic pourra rencontrer des difficultés très sérieuses
d'ailleurs, — deux fois par M. Schultze, une fois par M. Kahler — le diagnostic affirmé pendant la vie, par nos confrères alleman
utopsie. Malgré tout, ces messieurs sont loin de méconnaître que le diagnostic dans les circonstances en question, pourra encore
outer : si ce n'est toutefois sur un point et ce point est relatif au diagnostic . On a beaucoup discuté, déjà, messieurs, la plu
ucoup discuté, déjà, messieurs, la plupart des questions relatives au diagnostic différentiel de la syringomyélie, et à propos des
tions rattachées pendant la vie à la syringomyélie dans lesquelles le diagnostic a été vérifié par l'autopsie. Ce n'est pas à dire
onsidérablement de celle de la gliomatose : il y aura donc là pour le diagnostic une pierre d'achoppement. Je n'insisterai pas l
le, n°97, 20 août 1885, p. 1162, sous ce titre significatif: Essai de diagnostic d'une affection hauteur ; que.quefois cependant
hropathie du coude gauche. Le fait est que jusqu'au dernier terme, le diagnostic est resté oscillant. La connaissance des travaux
lité, ou autrement dit de paralysie sensitive partielle, appliquée au diagnostic 67 de la syringomyélie qui constitue la décou
dont il sera question par la suite, on peut affirmer, dis-je, que le diagnostic est fait: c'est d'un cas de syringomyélie qu'il s
nstance remarquable et qui pourra contribuer puissamment à établir le diagnostic , que jamais, jusqu'à ce jour du moins, on n'a vu,
e clinique de la syringomyélie ; ils offrent, en particulier, pour le diagnostic , un vif intérêt, bien qu'ils n'appartiennent pas
ableau clinique propre à la syringomyélie et embarrasser peut-être la diagnostic Pour en finir avec l'aperçu sommaire que j'ai t
t l'évolution de la maladie, son pronostic, son étiologie et enfin le diagnostic . Elle paraît être plus fréquente chez l'homme q
r la guérison, correspondent peut-être à de certaines erreurs dans le diagnostic sur lesquelles nous aurons à insister tout à l'he
ue chose à faire pour établir sur des bases solides les fondements du diagnostic différentiel de la syringomyélie. Il est clair
la est évidemment dans la logique des choses. Sur cette question du diagnostic de la syringornyélie,nous nous bornerons, à propo
a syringomyélie. Des considérations du même ordre s'appliqueront au diagnostic du tabes, et de la pachyméningite cervicale hyper
le commencement de cette leçon, doit être établi, au point de vue du diagnostic , entre la syringomyélie, maladie organique du cen
rvicale hypertrophique. Mais en somme, il fautbien le reconnaître, le diagnostic est resté flottant jusqu'à l'époque, où éclairé p
e la syringomyélie et certaines formes d'hystérie de façon à tenir le diagnostic en échec. Je relèverai en premier lieu que la d
après cela, à l'aide d'arguments adverses, je viendrais combattre le diagnostic accepté, renversant pièce par pièces l'échafaudag
ement construit, et établir enfin sur des fondements inébranlables le diagnostic : hystérie. Il faut donc, pour que cela soit ains
e fois de plus, voilà des faits qui ne permettent pas de respecter le diagnostic que je vous avais proposé d'accepter tout à l'heu
sont certainement pas faits pour nous embarrasser dans notre nouveau diagnostic . Sans doute, notre malade n'a point d'attaques, p
es les plus significatifs se sont accumulés chez lui, au point que le diagnostic proposé s'en trouve confirmé de la façon la plus
ques. A propos de ces deux cas on fait ressortir l'importance pour le diagnostic de l'étude des troubles oculaires. . . 162 3° mal
-rée chronique dite d'Huntington. On insiste sur les difficultés du diagnostic .................. 463 3% 4° et 5e malades. — Ca
— Début, 374. — (Des différents mouvements dans Ã), 356, 358, 360. — Diagnostic , 366. — (Ecriture dans Ã), 359. — et choree vulga
86. — de cause articulaire, 75. — dans la syringomyélie, 495, 496. — Diagnostic de l'atrophie syringomyélique, 501. Atrophies mus
es, 414, 415. Atrophi e musculaire progressive et myopathie, 413. — Diagnostic , 414. Atr. musc. sp. prog. dans la paralysie in
reaijx, 118. Buzzard, 336, 341. C Cancer (Vomissements noirs du), diagnostic avec Tabes, 331. Canaux semi-circulaires et mou
si Chorée chronique, Tic), 7, 14, 37, 130. — (Délire dans la), 106. — Diagnostic avec Abasie, 366. — Emotionnelles, 111. — et dé
crises gastriques, 334. — Crises gastriques de longue durée, 340. — ( Diagnostic ), 339. — et arthropa-thie, 336. — et crises laryn
21, sq.,— et sclérose en plaques, 162. Hystérie et syringomyélie.— ( Diagnostic ), 489. — Sensibilité, 516, 517. — Troubles sens
rition dans l'attaque de sommeil, 69. — Paralysie, 521. — Paraplégie ( diagnostic avec Fabasie), 366. — (Périodes de la grande atta
stérie, epilepsie, 420 ^sq. — Importance des périodes au point de vue diagnostic , 433. — Périodes d'amorphinisme, 431. — Périodes
musculaire progressive). — et Atrophie musculaire progressive 413. — Diagnostic , 414. Myopathies primitives, 414. — Etiolo-gie, 4
e hypertrophique, 536. — et syringomyélie, 51t. — et syringomyélie ( diagnostic ). 502. — Pathogénie, 536. — Rétractions tendineus
son (maladie de). Paralysie alcoolique. —(Amnésies dans la), 389. — Diagnostic , 388. — Douleurs, 87.— et névrite périphérique,
du Mal de Pott. (Voy. Pott.) Paraplégie spasmodique. — Démarche,356— Diagnostic avec abasie, 366. —Rétractions tendineuses, 538.
ans le), 190. — Compression de la moelle, 179, 182. — Difficulté du diagnostic au début, 189,191. Pott (Mal de) et hystérie.
Souza leite, 68. Spasme glosso-labié, 262. Spasmes fonctionnels ( Diagnostic avec abasie), 366. Stabb, 488,499. Steppage,
s, 498. Atrophie musculaire, 495. — Causes, 499. — Cicatrices, 498. — Diagnostic , 500. — Diagnostic avec l'atrophie musculaire,
ulaire, 495. — Causes, 499. — Cicatrices, 498. — Diagnostic, 500. — Diagnostic avec l'atrophie musculaire, 501, — Eruptions huil
, 501, — Eruptions huileuses, 497. Syringomyélie. — et hystérie. — ( diagnostic ), 489. — Sensibilité, 497, 517, 519. — Troubles t
phiques viscérales,498. — etpachyméningite cervicale hypertrophique. ( Diagnostic ), 502 — et paraplégie cervicale hyp., 511. — et s
— et paraplégie cervicale hyp., 511. — et scoliose, 498. — et tabès ( diagnostic ), 502. Syringomyélie. — Evolution, 499. — Fau
333. — Démarche, 346. — Déro-bement des jambes, 157, 277, 278. 279. — Diagnostic avec abasie, 366. — Diplopie, 155, 164, 278. — Do
nystagmus, 164. — et parai, alcoolique, 388. — et syringo- . myélie ( Diagnostic ), 502. — (Formes bénignes du), 199. — (Impuissanc
2 — hystérique, 471, 472, 530, 531. — mercuriel, 232. Tremblements ( Diagnostic des), 431. Tristram Shandy, 93. Troltsch, 225
u tabès, 331,334. — noirs et crises gastriques, 334, 342, 343, 344. — Diagnostic avec le cancer, 331. Vomissements hystériques,.
6 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
de la taille, déjà acquise a t'àge de 17 ans justifie également le diagnostic de gigantisme dans notre cas. Cet homme de 48 a
es sur les géants, on s'attend presque toujours à voir confirmer le diagnostic clinique de gigantisme par la persistance des c
l'infantilisme vrai. Tout en me gardant de discuter à distance le diagnostic énoncé par M. E. Levi, je me crois autorisé à f
gistes les plus illustres s'efforçaient unique- ' ment de faire les diagnostics les plus précis, le moment est venu où la préoc-
es neurologistes et les chirurgiens étudient à fond la question des diagnostics et des indica- tions opératoires. Le travail
ions du pli de l'aine gauche sont mieux palpables que les droits. Diagnostic : tumeur de la colonne vertébrale au niveau des v
ulière, elle rappelle les cellu- les endothéliales proliférantes. Diagnostic . Endothéliome tabulaire. Il faut supposer que c'e
des masses musculaires fessières et diminution de leurs mouvements. Diagnostic : tumeur de la colonne vertébrale dans la parti
l s'agissait sans doute d'une tumeur des vertèbres. En faveur de ce diagnostic partent les douleurs incessantes dans toute la co
rrement de l'abdomen. On ne constate ni tuberculose ni syphilis. Le diagnostic de la tumeur médullaire au niveau des VIlle-IX"
res médecins, nous serviront comme illustration de l'état actuel du diagnostic de l'anatomie pathologique et de la thérapeutique
s dans la colonne vertébrale sont tellement caractéristiques que le diagnostic s'impose par soi-même. Billroth affirme qu'il r
gnes, leurs traits caractéristiques sont à peu près ana- logues. Le diagnostic différentiel se déduit de la nature du néoplasme
des tumeurs est décelée seulement sur la table d'autopsie. Quant au diagnostic différentiel des tumeurs vertébrales, il est très
). Ce n'est que le développement ultérieur de la maladie qui met le diagnostic sur la vraie voie. En outre, Bruns attire l'att
t pour la plupart négative. Quant aux autres moyens de faciliter le diagnostic , les roentgenogrammes n'ont pas rendu de servic
la moitié gauche du sa- crum dans le cas de Leyden-Bassenge). Le diagnostic différentiel doit être fait avec les névralgies,
rien d'anormal dans la moelle (Bruns). Dans un autre cas on fit le diagnostic de carcinome des vertèbres cervicales ; il y av
o- ciation caractéristique des symptômes péremptoires qu'on fait le diagnostic PARALYSIES RADIALES LÉPREUSES (1) - paii MM.
la sensibilité des extrémités, aurait au besoin évité une erreur de diagnostic qui ne pouvait guère être faite dans les con- d
t encore que si le signe du cubital a une valeur capi- tale dans le diagnostic des formes nerveuses de la lèpre, le nerf, radial
peu avancée. Dans un cas douteux il ne faudrait donc pas rejeter le diagnostic de lèpre parce que le cubital, ordinairement at
de nos observations, il s'agit d'en discuter la valeur, de poser un diagnostic et enfin de s'arrêter un moment sur une foule d
toute la hauteur du poumon gauche et la respiration bronchique. Le diagnostic de pleurésie gauche avec épanche- ment fut pron
tuel la marche de la maladie fut tellement atypique qu'on a fait le diagnostic d'épanchement pleurétique. Il est évident que d
aire. Dans un autre cas analogue il celui-ci (obs. IX) on a posé le diagnostic d'un épanchement pleural et ce n'est qu'une exa
u-dessus de la clavicule et la paraplé- gie qui ont fait changer le diagnostic . .. - Observation XII. Le malade M. Gas., âgé
: nous dirons quelques mots à propos de leur localisation, de leur diagnostic , de leur anatomie pathologique et de leur thérape
eur anatomie pathologique et de leur thérapeutique. Localisation ET diagnostic Des cas précités il résulte que la tumeur se lo
rachidien à travers les trous de conjugaison sans attaquer l'os. Le diagnostic de ces cas est quelquefois facile, pour les malad
maladie des symptômes médullaires. Dans beaucoup de cas pourtant le diagnostic se heurte à de grandes diffi- cultés, par exemp
Des neuro- logistes illustres faisaient dans des cas semblables le diagnostic de myélite aiguë ou subaiguë, d'abcès extradura
sclérose en plaques et ce n'est que sur la table d'autopsie que le diagnostic devenait clair. Quant au tableau clinique de l'
ité, etc. Tous ces symptômes sont tellement caractéristiques que le diagnostic ne présente pas de difficultés. A côté des tu
de Blaringhem, chez Alcan. I>E L'HYSTÉRIE TRAUMATIQUE 20H § 2. Diagnostic des accidents de l'hystéro-traumalisme. Ce préa
e cet ouvrage ne me permet ni de les décrire ni même d'exposer leur diagnostic différentiel d'une façon complète. le voudrais
inférieur. Lorsque les contractures s'accompagnent de douleurs, le diagnostic , plus difficile,-se pose avec la contracture ré
up plus grande, l'absence de lésion pour les ex- pliquer rendent ce diagnostic facile. S" Les mouvements anormaux, - Ils sont
e nombreux procès, allant de médecins en médecins, avec toujours un diagnostic nouveau, beau type de sinistrose en même temps
joint à quelques si- gnes d'hypothyroïdisme, permettait de faire le diagnostic de maladie de Dercum. Dans une contraction brus
romperie, qui s'efforce de duper pour avoir une rente et (1) Sur le diagnostic de la simulation voir : CoUSTAN, La.simulalion da
Montpellier, 1901, no 19 ; GIRAUn, Th. Paris, 1894-1898 ; Cnnvtcw, Diagnostic des maladies simulées ; BAILLIÈRE, 1906 ; SAI;D,
218 ô , roux naît la conviction, non la certitude. Il n'y a pas de diagnostic plus difficile que celui de la simulation cupid
te, s'ajoute de la simulation volontaire et intéressée. Le problème diagnostic est alors tout à fait inso- luble, car, en véri
? De cette délimitation préalable devrait dépendre la précision du diagnostic . Mais comment prétendre à une exac- titude rigo
ellectuelle de leurs sujets, de leurs élèves. C'est réelle- ment un diagnostic clinique qu'il s'agit d'établir. Cette opération
s donc volontiers~qu'il y a des cas douteux, même à la lumière d'un diagnostic bien alimenté. C'est pourquoi j'ai préféré reteni
imentaires ; l'attention difficile à fixer. M. Bourneville porta le diagnostic de : déchéance mentale d'origine épilepli- que
e. Certainement je ne crois pas qu'aujour- d'hui on puisse faire le diagnostic d'achondroplasie chez un enfant qui présente de
, de Florence, entre à l'asile des aliénés le 21 avril 1909 avec le diagnostic de dé- mence sénile. Ses antécédents hérédita
ent ce dia- gnostic. Nous ne pouvons non plus nous appuyer sur le diagnostic d'ostéo-tu- berculose, dont la malade ne présen
nombre d'arguments suffisant pour ne pas insister davantage sur le diagnostic d'acromégalie. Nous ne pouvons pas non plus ass
lésions osseuses elles-mêmes, il ne nous reste, évidemment, d'autre diagnostic à faire que celui d'ostéite déformante de Paget,
r le liquide céphalo-rachidien déposent sûremenl en faveur d'un tel diagnostic . Il me paraît au. contraire plus utile de recherc
tout le temps de sa maladie avec le Dr Dunin et nous avons posé le diagnostic de tumeur médullaire. Après consultation avec le
r. L'absence de tout signe de tuberculose ou de syphilis rendait ce diagnostic plus probable. La localisation de la tumeur pou
IIe segment dorsal était lésé. En effet l'opération démontra que le diagnostic topographique fut juste. Il faut encore dire qu
que même lorsque l'opération fut décidée, nous n'étions pas sûrs du diagnostic . Nous avons éliminé la sclérose en plaque et la m
s vertèbres dor- sales moyennes. On a hésité longtemps à poser le diagnostic définitif. Notre expérience personnelle et les
et les données de la littérature nous rendaient sceptique envers le diagnostic de myélite chronique ; nous voulions donc dès le
ronique ; nous voulions donc dès le premier moment trouver un autre diagnostic de l'affection. Nous pouvions éliminer la myéli
conclusion qu'ils'agissait d'une tumeur médullaire.En faveur de ce diagnostic parlaient les fortes douleurs permanentes ou qu
veloppement progressif de la maladie, t'age de la malade. Pour le diagnostic de la tumeur parlait aussi, ceteris paribus, le t
ne présentait pas de pulsations. La moelle était aplatie. Vu que le diagnostic n'était pas absolument certain, on n'a pas cher
certain temps la malade éliminait beaucoup d'urine (normale). Le diagnostic fut posé de syphilis cérébrale et de diabète insi
ficile de dire si c'est un état pathologique). Nous avons posé le diagnostic dans ce cas de syphilis cérébrale. Pen- dant le
des éléments anatomo-pathologiques, soit au point de vue de l'exact diagnostic différentiel, ou de l'examen radiographique subsi
bjectifs et subjectifs relevés sur la malade, ressort clairement le diagnostic du tabes. Je me limiterai donc à rappeler seule
erai donc à rappeler seulement les symptômes qui m'ont conduit à ce diagnostic , et de passer rapidement en revue les plus impo
ce diagnostic, et de passer rapidement en revue les plus importants diagnostics différentiels. Parmi les symptômes relevés, les
tèbres se divisent en trois groupes : -. a) Ceux dans lesquels le diagnostic est principalement basé sur les données anamnes
l'examen objectif, et sur les critériums cliniques ; b) Ceux où le diagnostic est appuyé par un examen soigné des éléments an
seulement une valeur de probabilité, parce que, si, d'une part, un diagnostic différentiel avec le mal de Pott ou avec un pro
pas de difficultés, de l'autre, il en est tout différemment pour le diagnostic différentiel avec le rachitisme et l'ostéo-malaci
e ; car si, d'un côté, il a été ainsi possible d'établir un certain diagnostic d'arthropathie tabétique de la colonne vertébrale
es, sinon la totalité, des altérations ci-dessus rapportées pour le diagnostic d'arthropathie tahétique de la colonne vertébra
ogique n'est pas d'accord avec celle maladie. Plus difficile est le diagnostic différentiel avec l'ostéomalacie et le rachi- t
parfois incon- tinence de l'urine. Pas de douleurs. On pose comme diagnostic probable : tumeur dans la région cervicale. Le
tumeur (consistance et coloration différentes). Symptomatologie et Diagnostic . ' Dans une monographie bien connue sur les aff
ires parue en 1874, Leyden a émis l'opinion que lorsqu'il s'agit de diagnostic des tumeurs médullaires, on ne peut pas s'arrêt
. En 1908, Bruns, dans une grande monographie, dit également que le diagnostic des tumeurs médullaires sera toujours une des que
sur certains points importants concernant la symptomatologie et le diagnostic de ces néoplasmes . Nous répétons que la question
urs méningées. Son absence même complète ne peut faire repousser ce diagnostic . Par contre nous avons observé très souvent l'a
tante et bien localisée dans les vertèbres qui joue un rôle dans le diagnostic . Dans quelques cas de tumeurs intra et extraméd
naissance de cette richesse de combinaisons cliniques facilitera le diagnostic dans les cas un peu compliqués. A côté des symp
on ces derniers temps, sur certains faits qui peuvent aider dans le diagnostic . Nous citerons comme particulièrement important
On a voulu souvent se servir des rayons de Roentgen pour assurer le diagnostic . Ce n'est que dans quelques cas que cette méthode
résent cette méthode n'a pas acquis une grande impor- tance dans le diagnostic en question. Il est très important de constater
quelcon- que du corps. Ainsi, par exemple, dans le cas de Bruns, le diagnostic fut facilité grâce à la constatation d'une tume
édiastin, des orga- nes internes ou la neuro-fibromatose. Pour le diagnostic différentiel entre les tumeurs méningées et d'aut
lombaire disparurent les douleurs et les paresthésies. Une fois le diagnostic de la tumeur posée, il reste encore à définir son
aires) n'ont pas toujours une importance absolue au point de vue du diagnostic tnpographique. Ils peuvent apparaître dans une ré
du ta- bleau clinique et se basant sur cette connaissance, poser le diagnostic déter- minant le siège de la tumeur. , On se
l dresser la liste d'une série de symptômes qui serviraient pour le diagnostic différentiel de ces deux localisations : En fav
e ambre, transparent avec beaucoup de lymphocytes et de fibrine). ' Diagnostic différentiel. Ici en première ligne il faut ind
l, Leyden était bien sceptique en ce qui concerne la possibilité du diagnostic différentiel de ces deux sortes de tumeurs. La
rition et la durée des différents symptômes qui peuvent éclairer le diagnostic . Stertz croit qu'un des symptômes les plus impo
ale, la syringomyélie et la méningite spinale séreuse pour faire le diagnostic différentiel entre elles et les tumeurs des mén
fférenciée de la tumeur; il faut pourtant avouer que quelquefois le diagnostic reste longtemps hésitant entre ces deux affecti
nal exclusivement. Assez souvent alors j'hésitais longtemps pour le diagnostic définitif, et ce n'était que l'évolution ultéri
malade pendant un temps assez long, même pendant quelques mois. Le diagnostic s'éclaircit ordinairement. Nous voudrions pourt
les douleurs radiculaires (Bruns). Boettiger a décrit un cas où le diagnostic de tumeur (les symptô- mes de Brown-Séquard et
ant à la syringomyélie, elle peut présenter des difficultés pour le diagnostic différentiel quand elle est accompagnée par la pa
Bruns, K. Mendel, Montet, où l'opération seule démontra l'erreur du diagnostic . Dans un cas diagnostiqué « tumeur des méninges
res, puisqu'elles n'offrent pas généralement de difficultés pour le diagnostic différentiel ; la méningo-myél i te syphilitiqu
l y a plusieurs tumeurs dans la même moelle épi- ni8re, et alors le diagnostic est bien difficile. Il a été observé un cas où
s tumeurs sont assez éloignées l'une de l'autre qu'on peut poser un diagnostic précis. Au cours des tumeurs diffuses (sarcomes
e tout ce qui précède nous voyons combien difficile reste encore le diagnostic des tumeurs méningées/Les neurologistes les plus
ption de son cas qu'Erb ne pouvait pas se décider à choisir entre 5 diagnostics différents. Nous croyons pourtant que plus s'en
sent nos matériaux cliniques, plus nous sera facilité le travail de diagnostic différentiel. Comme résumé nous pouvons conclur
ns généralisée. Ces. diverses lésions engagent l'auteur à porter le diagnostic suivant : Encéphalite hémorragique difluse avec
ant tout à fait nor- mal à la naissance parle toujours en faveur du diagnostic d'infantilisme. En tout cas nous considérons le
ntionnés comme étant d'une importance beaucoup plus grande pour, le diagnostic entre infantilisme et microsomie. 328 . ETTORE
ement d'accord avec M. Pellizzi ; cet auteur soutient t que pour le diagnostic d'infantilisme les symptômes psychiques sont de
'accord avec Pellizzi pour donner la plus grande importance pour le diagnostic d'infantilisme, aux faits d'ar- rêt de développ
des cartilages épiphysaires comme des symptômes importants pour le diagnostic d'infantilisme. Ces carac- tères sont, selon no
ux naines de 36 ans) chez lesquels peut-être on aurait pu poser le. diagnostic de microsomie pure; tous les autres individus é
iques d'infantilisme, surtout psychique, ont porté M. De Sanctis au diagnostic d'infantilisme tout en lui faisant admettre qu'
mmes pas complète- ment d'accord avec le Professeur romain dans son diagnostic ,car d'après ce que savons de son cas par la lec
ttre ces individus à un examen systématique en dehors du- quel tout diagnostic est impossible. - Il nous a semblé toutefois qu
ne pouvons faire acte de foi, et sur ce point si important pour le diagnostic , nous ne pouvons apporter aucune certitude. -
tous les segments et colorées par la méthode de Pal) ont confirmé le diagnostic de tabes : les lésions sont limitées aux cordon
accusés. Elle est morte dans la démence et le gâtisme en 1908. Le diagnostic de tabes a été vérifié à l'autopsie. D'un côté,
ne vertébrale peut perdre sa statique assez facilement. Bien que le diagnostic nous permette de localiser sa tu- meur avec une
ite de septicémie). Dans un cas de 'Varrington et Montsarrat, où le diagnostic de tumeur fut posé, on constata pendant l'opéra
niste de se prononcer sur la nature de la maladie et de formuler le diagnostic . En général, lorsqu'un personnage historique a
ture exacte des troubles psy- chiques en cause, et pour formuler un diagnostic rétrospectif indiscu- table. Dans le cas présen
uments anciens, dus à des témoins incompétents, les élé- ments d'un diagnostic certain, est une occasion rare dans la Médecine d
'Histoire. Elle valait la peine d'être signalée. Les éléments de ce diagnostic sont tous contenus dans une vieille chro- nique
logiques, cliniques et anatomiques, que l'on parvient à formuler un diagnostic différentiel sûr et certain entre ces deux ordr
la maladie à l'asile : 2 mois. Il meurt dans un ictus paralytique. Diagnostic clinique et anatomique : Paralysie générale. Ce
en clinique, confir- mé par l'examen anatomique, permit de poser le diagnostic de syphilis céré- brale diffuse. Les lésions ao
t à l'asile après trois ans de séjour, dans le marasme paralytique. Diagnostic clinique : Paralysie générale. L'AORTITE MOYE
assez caractéristique et permet dans la plupart des cas de poser le diagnostic sans grandes diffi- cultés. - Il n'y a hésita
on détaillée de nos cas nous permettra d'être très bref au sujet du diagnostic différentiel ; il suffira, en effet, de jeter un
ous bornerons à prendre en considération nos sujets adultes, car un diagnostic différentiel absolu entre nanisme et infantilisme
résultats de 666 ETTORE LEVI cet examen comme essentiels pour le diagnostic différentiel, non seule- ment entre les différe
'est vraie, selon nous, quedaus certaines limites, et pour poser le diagnostic de nanisme, il faudra toujours se trouver en pr
nt souvent depetits Hercules, ne montrent jamais. En discutant le diagnostic de nos sujets et leur attribution à l'une ou l'
ent déjà atteint l'âge adulte, car nous nous sommes convaincu qu'un diagnostic sûr et définitif ne peut être posé dans de tels
sée ; et cela semble nécessaire surtout quand il s'agit de faire le diagnostic difffé- rentiel entre microsomie pure et infant
lui le nanisme date de la naissance, nous poserions sans hésiter le diagnostic général d'infantilisme vrai, de très haut degré !
es cartilages épiphysaires. Pouvons-nous alors affirmer chez lui le diagnostic d'infantilisme de Lorain ? - Non plus ! car n
et justement pour cela nous ne pou- vons poser chez notre sujet le diagnostic d'infantilisme de Brissaud. Avant tout l'examen
s nous croyons devoir nous fon- der pour éliminer dans notre cas le diagnostic d'infantilisme de Brissaud pur ; mais l'infanti
es hernies in- guinales. Nous avons déjà dit que nous croyons qu'un diagnostic sûr et définitif de microsomie ne saurait être
7 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
898. ` N° 25 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL \ e , el4l ENTRE LA SYPHILIS ARTÉR
solument notre avis; nous croyons qu'on peut arriver quelquefois au diagnostic de la variété analo- mique de la lésion. Et cel
parfaitement inutile dans la syphilis des artères. Sans doute ce diagnostic est extrêmement délicat ; il sera souvent rendu
s dans la littérature, que nous essaierons d'établir les bases d'un diagnostic diffé- rentiel entre ces trois variétés de lési
hale. Mauriac. Syphilis tertiaire et syphilis héréditaire, p. 862 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. : 1 CHAPITRE PREMI
est réveillée ni par la pression ni par la percussion du crâne. · DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. S La céphalalgie,
yphilis artérielle, mais leur présence ne doit pas faire rejeter ce diagnostic . Dans quelques cas on a pu, à l'ophtalmoscope,
rtère dilatée comme dans le cas rapporté plus loin. Loin d'aider au diagnostic elles ne peuvent guère qu'induire en erreur en
ut caractéristique. Nous y reviendrons. Tels sont les éléments de diagnostic qui nous sont fournis par l'analyse des symptôm
cérébrales syphilitiques (Gaz. hebdoma- claire, 1892, p. 579). 1 DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. -1 exercice modéré
ie syphil. (Gaz. hebd., 1877, n° 6). Traité de la syphilis, 1800. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 9 intellectuel le
ne hémianopsie bilatérale nasale. Tous ces faits, loin de servir au diagnostic , ne peu- vent que l'égarer en faisant songer à
nts très limités dans tous les points de la substance cérébrale. Le diagnostic de la cause se basera surtout sur l'étude des a
actuelles, l'absence d'autres causes, d'oblitération vasculaire. Le diagnostic de la syphilis une fois posé, l'absence de tout
ue de méd., 18(H, p. 771. Letulle. Presse médicale, 1896, p. 605. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. '11 sont pas excep
ires (compression). La ponction lombaire pourra peut-être servir au diagnostic . Déjà Quincke, en 1894, admettait que ce sera l
Quincke, en 1894, admettait que ce sera là un puis- sant élément de diagnostic pour les cas dans lesquels sponta ? nément ou a
analogue que nous donnerons plus loin pour la syphilis méningée. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 13 14 ? CLINIQUE N
ulcération de nature suspecte. , Son amant interrogé confirme le diagnostic de syphilis. Elle n'a jamais subi aucun traitem
Mais la malade n'a aucune difficulté à trouver ses mots, elle les DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 15 prononce diffic
rtères protubérantiellesprésenfent en outre des dilatations monili- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 17 formes. Autour
semée de stries rouges. Dans cette observation, non seulement le diagnostic pen- Archives, 2e série, t. V ? 2 18 CLINIQUE
roite ou à gauche part de l'hémisphère opposé (il admet toujours la DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 19 nous forçait à
C'est qu'en général on n'examine pas à fond les paralytiques : leur diagnostic n'exige pas un exa- men minutieux du corps, des
suivi d'abord toutes les paralytiques de Villejuif, celles dont le diagnostic a été confirmé et maintenu. Le nombre des paral
ont résumées; mais comme preuves incontestables de l'exactitude des diagnostics , nous rapportons les certificats des maîtres, M
arole. Inégalité pupillaire. » M. le Dr Vallon a également porté le diagnostic de paralysie générale « avec affaiblissement in
servation en est due à M. Lanceraux' : le malade ayant succombé, le diagnostic de paralysie générale fut confirmé par l'autops
plusieurs fois et examinée par M. le D'' Sérieux, qui a confirmé le diagnostic de mal perforant. En voici l'observation : Ob
t alors son intensité symétrique et sa bilatéralité qui assurent le diagnostic de névrose fonctionnelle. Les formes rares du t
nution de volume de ces éléments, ni altération de leur structure ( diagnostic avec l'atrophie simple et l'atrophie dégénérative
s faits' cliniques s'accompagnant d'abolition du goût, alors que le diagnostic avait localisé la lésion aux racines du trijume
les membres fléchis, etc.) ne permettent pas toujours de porter un diagnostic ferme. Dans quelques cas, un syndrome spécial s
ance, syndrome dit céré- belleux, permet de faire avec certitude le diagnostic . Ce syndrome est composé de trois phénomèmes pr
des membres du côté opposé à l'abcès, nystagmus latéral.. Pour le diagnostic différentiel de l'abcès du cervelet et de l'abcès
celui qui nous demande conseil ? Quels scron t, à son suj et, notre diagnostic , notre pronostic, notre traitement ? Le traitem
ce ? M. ARNAUD regrette que l'autopsie ne vienne pas confirmer le diagnostic . Il fait remarquer que la paralysie générale n'a
nt a été atteinte lajeune fille de M. Sollier doit faire écarter le diagnostic de paralysie gêné raie. M. 1313RAND. On ne pe
roscopiques de paralysie générale, il est bien difficile de nier ce diagnostic . M. ARNAUD. Il existe plusieurs cas non douteux
signification de l'étude clinique détaillée de pareils cas, dont le diagnostic est parfois possible même pendant la vie des ma
. i N° 36' z ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL ENTRE LA SYPHILIS ARTÉRIELLE, LA S
u près toujours accompagnées, dès leur début, de phénomènes spas- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 1 modiques : raide
tc. Dans les intervalles de tranquillité on trouve que la mémoire DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. loi est à peu près
mment encore nous avons pu hésiter pendant plusieurs jours entre le diagnostic de syphilis cérébrale et celui de fièvre typhoï
s ne savons pas davantage si elle a une valeur au point de vue du diagnostic des différentes formes de syphilis cérébrale. Tou
ns la syphilis artérielle, distinguer deux périodes dans son évo- DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 103 lution. Pendan
heim ' croit ses symptômes si caractéristiques qu'ils permettent le diagnostic de nature, même en l'absence de commémoratifs.
vant les yeux. L'hémiplégie droite a laissé encore quelques traces. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 105 Pas d'aphasie.
le éprouve des douleurs très vives dans les bras et les jambes, les DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 107 reins, la nuqu
s et trépidation épileploide du côté droit. Incontinence d'urine. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 109 G juillet. Les
tte observation la symptomatologie a été assez tranchée pour que le diagnostic ne soit pas un instant dou- teux : l'intensité
' Cet examen a été fait par M. Z la compétence est bien connue. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. l'l'1 '1 [ensilé d
t;'p/c/i., 1897, p. 315. 1 Déjerine. Société de Biologie, 1897. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 113 3 femme attein
degré de surdité verbale), de l'agraphie, un peu de paraphasie. Le diagnostic s'imposait : embolie partie du poumon ou de la
euse et mal limitée. L'abcès put facilement être extrait en entier, DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. '1 I ) La cause de
amen ophtalmoscopique peut apporter des notions importantes pour le diagnostic des tumeurs gommeuses du cerveau. Nous avons vu
ent l'action tout au moins prétlomi- ' Bouveret. Lyon méd., )89C. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 117 nante de l'exc
rales. Dans la syphilis artérielle et méningée on pose d'abord le diagnostic de syphilis cérébrale; ce n'est qu'ensuite et p
se minutieuse des symptômes qu'on arrive, et encore pas toujours au diagnostic de la variété anato- mique. Dans la syphilis
ique. Dans la syphilis gommeuse, au contraire, on pose d'abord le diagnostic de tumeur cérébrale; ce n'est que par la con- n
que. Le traitement spécifique peut apporter son secours habituel au diagnostic . Cependant il ne faut pas s'y fier d'une façon
er l'observation suivante . Jusqu'à l'intervention chirurgicale, le diagnostic restait simplement tumeur cérébrale, sans que n
M. Jaboulay en cette matière nous est un garant de l'exactitude du diagnostic de gomme syphilitique posé pendant l'opération.
. lioration passagère. Trépanation avec ouverture des méninges et DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 119 découverte d'u
agies. Réfraction statique : emmétropie. Vision à 5 mètres = 1/6. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 121 j'oe gauche. S
eu plus faible que le gauche. Il y a un très léger degré de parésie DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 123 faciale droite
22 mars. Crise semblable. 25. Analyse des phosphates urinaires DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 125 qui ne présent
. Nous nous sommes efforcé dans cette étude de poser les bases du diagnostic différentiel entre trois variétés anato- miques
s mélange de lésions diverses, et avec vérification indiscutable du diagnostic . Nous LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 127 7 nous somme
e générale n'in- diquent-elles pas par leur diversité des signes de diagnostic différenciel, n'impliquent-elles pas qu'il peut
particulier. Bien que le certificat d'admission à l'asile portât le diagnostic de paralysie générale, le médecin qui l'avait s
aucun des symptômes de cette maladie à l'appui de son opinion : ce diagnostic d'ailleurs ne fut confirmé ni par l'examen du m
à ['hystérie qu'à la paralysie générale. Pour arriver à établir le diagnostic de la paralysie géné- rale l'auteur se base : s
héréditaires de la malade lui soient inconnus, l'auteur formule le diagnostic de tremblement hérédi- taire, état morbide que
Régis. (Presse médicale, 7 avril 1897.) D'après l'auteur, dans le diagnostic de la neurasthénie et de la paralysie générale
, ceux résultant d'une auto-intoxi- cation ou d'une infection. Le diagnostic peut se faire, dans les infections aiguës, par ce
rale peut être à peu près sûrement écartée ; quand elle existe, le diagnostic doit être basé sur le caractère, soit nerveux, so
la ponction lombaire fournit des renseigne- ments décisifs pour le diagnostic . A. FsNAYRou. SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE N
st entré à Villejuif, le 18 août 1896. M. le D'' Pacteta porté le diagnostic suivant : « Paralysie géné- rale. Affaiblisseme
r et hésitation de la parole. Paralysie générale pro- bable. » Le diagnostic a été affirmé plus tard, et le malade présente
es ne furent examinés. Un point d'interrogation se pose donc sur le diagnostic . La même année, 1876, Yerneuil'' communiquait à
Il tente de se tuer en 1885, est déclaré incurable en 1886 avec le diagnostic : délire chro- nique de persécution, hallucinat
paralysies des nerfs crâniens, des attaques épileptiformes, etc. Le diagnostic avec la méningite de la base reposait principal
née de photographies- et des mesures anthropométriques du sujet. Le diagnostic a été basé sur la constatation des symptômes su
ses, nécessité l'interruption du traitement. A. FENAYRou. VII. DU DIAGNOSTIC DES AFFECTIONS ORGANIQUES OU FONCTIONNELLES DU
comparant les résultats, quelques indications importantes pour le diagnostic différentiel. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE NERV
la moindre plaie sur aucune région du corps, pas de trau- matisme. Diagnostic rigoureux (ni rage, ni méningite, ni strych- ni
dite essentielle est presque toujours un symptôme de l'hystérie. Le diagnostic de cette polyurie hystérique est faite lorsqu'e
la suggestion hypnotique est de nature hystérique. Mais ce moyen de diagnostic est souvent incertain ; la suggestion hypno- ti
aucoup de dégé- nérés ont l'hystérie en puissance. Parfois aussi le diagnostic de la polyurie neurasthénique est à peu près im
nien, ou au cours d'une affection cérébrale telle qu'une tumeur, le diagnostic peut offrir les plus grandes difficultés. L'hys
a persisté. Ces deux par- ticularités ne sauraient faire rejeter le diagnostic de migraine oplitalmoplégique ; d'une part, si
nition, les causes, la symptomatologie, les formes, l'évolution, le diagnostic et le pro- nostic de ce « syndrome, c'est-à-dir
loignement sous l'influence du traitement parait donner raison à ce diagnostic . Cette jeune fille avait eu [deux soeurs ainées
sul- tante d'une condition toxique des liquides de l'économie. Le diagnostic de la neurasthénie simple est facile ; mais le ta
use de l'existence d'un trau- matisme qui rendait très difficile le diagnostic entre une paralysie brachiale radiculaire et un
fasc. 7. 1896.) L'analgésie du nerf cubital ne peut être exclue du diagnostic entre la démence paralytique et les autres psyc
comprend deux termes : 1° l'association hystéro-paralytique 2" le diagnostic différentiel de la névrose et de la maladie orga-
intellectuels et la marche de la maladie que l'on pourra établir le diagnostic . 20. De l'Ereuthophobie ou Obsession de la roug
nir de plus en plus féconde en résultats pratiques, à mesure que le diagnostic se précisera davantage et que les opérations sero
faire une telle analyse, le but et la portée de son livre : 1° Le diagnostic de localisation joue un rôle capital dans la ch
inique extrêmement fine et précise, établissant rigou- reusement le diagnostic entre l'atonie simple et la dilatation, l'atonie
enu à insister sur les signes cliniques de la maladie, c'est que le diagnostic lui-même permet de rapporter à l'hys- térie maj
importantes : A. au point de vue clinique et pour se guider dans le diagnostic , le pronostic et le traitement, on doit retenir :
c les mouvements volontaires de façon à rap- peler l'hémichorée. Le diagnostic anatomique suppose uue lésion du pédoncule céré
souvent défaut dans les cas de tumeurs médullaires, ce qui rend le diagnostic plus difficile ; BIBLIOGRAPHIE. 423 2° les sy
ce of optic newitis and subacute transverse Alyelitis; On the early diagnostic of some organic diseuses of the nervous System;
NEUROLOGIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE. UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. DIAGNOSTIC DU SIÈGE PAR LES LOCALISATIONS RADICULAIRES ;
ons radicu- laires, à l'heure actuelle assez bien connues, faire le diagnostic exact du siège de la lésion ; la superposition
le, ni des sensibilités spéciales. Aucun trouble encéphalique. Le diagnostic porté à ce moment par M. le professeur Teissier
ette observation nous paraît intéressante au triple point de vue du diagnostic , delà physiologie pathologique, de l'ana- tomie
, delà physiologie pathologique, de l'ana- tomie pathologique. Le diagnostic n'était pas sans difficultés. L'existence aux m
ype est la méningo-myélite syphilitique. Nous éliminâmes ce dernier diagnostic pour les raisons suivantes : a). Non seulemen
s de compressions radiculaires; au-dessus, intégrité complète. Le diagnostic s'imposait donc ; cause pathologique agissant s
pression, résultant du développement très rapide de la tumeur. Le diagnostic de nature de la lésion pouvait-il être fait ? A
ns les sillons médians antérieur et pos- rieur de la moelle. D'un diagnostic difficile, quoique le plus souvent pénible, ayant
u zona prémonitoire de la tuberculose. Rouquelte (Pierre). Sur le diagnostic et l'anatomie pathologique de la lithiase rénale
(troubles du pouls, de la respiration, paralysies oculaires). Le diagnostic , incertain au début, se fera surtout par l'évolut
. - Pour l'écrit, les questions étaient : 11 dit foie, symptômes et diagnostic ; fracture du péroné; 2° Diphtérie, diagnos- tic
hristian, 138. Etude sur la lucidité et la - par J. Dumaz, 499. Diagnostic des affections du sys- tème nerveux, par Bury,
2. - et corps thyroïde, par Moral, 481. Syphilis de l'encéphale : Diagnostic dtfftienHei.par J. Teissieret J. Row, 1, 91.
8 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DEUX OBSERVATIONS , POUR SERVIR AU DIAGNOSTIC DES PARAPLEGIES SYPHILITIQUES (Hôpital Saint-Lo
était la bonne ? Nous le ne croyons pas. X. n'a jamais présenté de DIAGNOSTIC UES PARALYSIES SYPHILITIQUES 3 stigmales hystér
NCIDANT AVEC UNE ÉRUPTION CUTANÉE L. BATTAILLI : : CIE Editeurs DIAGNOSTIC DES PARALYSIES SYPHILITIQUES 5 vés à la Salpêtr
de plus en plus les réflexes rotuliens sont toujours absents. Le diagnostic de myélite syphilitique produisant une paralysie
s les attaques convulsives antérieures, cet état mental parliculier DIAGNOSTIC DES PARALYSIES SYPHILIT1QES 7 avec lacunes de l
, il n'y a cependant pas là de raison suffi- sante pour infirmer le diagnostic , qui est imposé par tous les autres signes : ha
pas non plus un fait qui doive nous arrêter dans rétablissement du diagnostic . Il semble que l'on doive désormais attacher mo
service de mon maître M. le professeur Charcot, et dans lequel, le diagnostic de myopathie du type Landouzy-Dé- jerine ne fai
is et un médecin de l'hôpital français de Londres auraient porté le diagnostic de méningite. Le petit malade guérit cependant
C'est précisé- ment cette étrangeté qui fit porter il M. Charcot le diagnostic d'hystérie ; il se basait d'ailleurs sur la mob
orité si compétente. Mais ce qui va suivre justifie si largement le diagnostic de M. le professeur Charcot que nous ne pouvons
ouvements et de l'arc de cercle, cette période suffit en général au diagnostic , mais elle peut manquer comme la période des ha
nu son isolement et sa séparation d'avec sa famille. La question du diagnostic est bien plus délicate et les difficultés sont
insolite de névrose convulsive (5) ; on conclut dans ce cas que le diagnostic de lésion organique devait être abandonné pour le
ds mouvements, poses plastiques, hallucinations), on conçoit que le diagnostic devienne très déli- cat. On pourra néanmoins af
urologie du mois de novembre 1892, sous le titre de Contribution au diagnostic différentiel entre l'hystérie et les maladies org
de la lan- gue, ni incontinence d'urine. Conscience parfaite. Le diagnostic d'hystérie porté à la Salpètrière et qui a paru é
t ou sous l'influence des divers agents thé- rapeutiques. Mais le diagnostic n'est pas toujours aussi aisé. Chez les enfants e
de la forme de l'anesthésie qui fournit les éléments principaux du diagnostic . Tandis que cette anesthésie fait défaut dans les
rnante, la guérison brusque de l'affection ne font que confirmer ce diagnostic et il ne saurait être ébranlé ni par l'appariti
pas toujours ainsi et nous avons vu déjà à quelles diffi- cultés de diagnostic on était exposé chez les enfants pour qui les par
ec ceux de l'aphasie organique : c'est là surtout ce qui importe au diagnostic . Le mutisme est rare en effet dans l'aphasie or
0 et 12 environ concernent des enfants. Eu égard aux difficultés du diagnostic , on peut les diviser, croyons-nous, en trois ca
, en trois catégories. La première comprend les observations d'un diagnostic facile, dans les- quelles l'apparition brusque
e syphilis. La deuxième catégorie renferme les observations dont le diagnostic est rendu difficile par l'ignorance de la cause
-être faut-il con- fier au temps le soin d'éclairer complètement le diagnostic . B. Lésions de la protubérance. SYNDROMES HYS
de la sûreté des méthodes qui permettent aujourd'hui d'affirmer un diagnostic en pathologie nerveuse. Mais ce qui n'est pas m
était bien plus difficile de préciser la nature de la lésion et le diagnostic a pu flotter long- temps indécis entre une tume
ui les avait envoyé au médecin du can- ton. Celui-ci avait porté le diagnostic d'hystérie. Lorqu'il vit l'enfant pour la premi
a paru né- cessaire pour vous mettre en garde contre des erreurs de diagnostic . Ceux d'entre vous qui voudraient étudier la qu
i- nique publiée dans le Mercredi médical du 30 décembre 1890. Le diagnostic peut quelquefois se poser entre la syringomyélie
de plaie, et dans le voisinage des troubles nerveux trophiques, le diagnostic s'impose. Mais il est, comme on en rencontre touj
ration bien notable. Réflexions. C'est peut-être un peu forcer le diagnostic que de consi- dérer ce cas comme une maladie de
D'autre part, il n'y a ni nystagmus, ni trou- bles du langage. Le diagnostic repose donc uniquement sur la déformation caracté
ontinence des urines et des matières fécales. Fièvre légère : 38°5. Diagnostic : myélite syphilitique. Ordonnance : Kl, fricti
re. C'est là un caractère fondamental qui nous servira plus loin au diagnostic de la nature organique ou dynamique des lésions
Cer- tainement, on doit la faire entrer en ligne de compte dans le diagnostic différentiel des affections organiques ou hysté
fficultés non moins sérieuses, et certes, plus importantes, dans le diagnostic clinique de cette affection ? L'erreur est surt
cessymptômesn'estpathognomonique, aucun même n'est indispensable au diagnostic de la maladie ; mais ils ne prennent de valeur
des cas et qui peuvent au moins servir à nous mettre sur la voie du diagnostic . Or, les auteurs dé- crivent à la période d'inv
e la méningite par la variété et la mobilité de leurs symptômes. Le diagnostic des deux affections n'en devient alors que plus
nts, quoique plus rares, n'en ont qu'une valeur plus grande dans le diagnostic de la méningite : ils se font sans efforts, alime
à l'hystérie. Nous avons hâte d'arriver maintenant aux éléments de diagnostic différentiel entre les méningites vraies et les
s zones, faite en dehors des crises est d'une grande valeur pour le diagnostic , ainsi qu'en témoigne l'observation XX rapporté
mbre suffisant d'éléments qui permettront l'affirmation certaine du diagnostic . Dans un cas des plus inté- ressants, M. Chante
itue ici une démonstration suffisante de leur nature hystérique. Ce diagnostic est en effet fort probable, mais nous ne pouvon
, on ne pou- vait se défendre de songer à une méningite. C'était le diagnostic porté à l'unanimité par les élèves du service.
ervice. Cependant, les faits suivants ne cou- cordaient pas avec ce diagnostic , d'abord les pupilles égales, le pouls égal et
ochés des crises nerveuses d'autrefois fortifient singulièrement le diagnostic d'hystérie qui se serait ma- nifestée à l'occas
a- nurie, qui oblige à pratiquer le cathétérisme. En sorte que le diagnostic du médecin qui penchait au début vers la ménin-
tard, on se rejeta encore du côté de l'urémie, ce qui faisait trois diagnostics différents en moins de huit jours. Quoi qu'il
nt chez les enfants aux diverses maladies de l'en- céphale. V. Le diagnostic obéit il des règles fixes et à des méthodes sûres
e pronostic et le traitement sont intimement liés à l'exactitude du diagnostic qui n'intéresse pas moins le médecin que l'aven
e de médecine (1) sur la valeur de l'examen bactériologique dans le diagnostic des formes fous- tes et anormales de la lèpre,
e et de la faire suivre de quelques considérations sommaires sur le diagnostic différentiel de la lè- pre systématisée nerveus
nsitifs et surtout à la cause pathogénique de ces lésions. Aussi le diagnostic restait-il en suspens. Il existait bien quelques
tes s'élevèrent cependant dans notre esprit sur le bien fondé de ce diagnostic après que nous eûmes pris connaissance de la comm
à qui nous avons soumis nos préparations ont d'ailleurs confirmé ce diagnostic bactériologique. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE
caractéristiques qui, il elles seules, auraient mis sur la voie du diagnostic . MM. le Dantec et Vergniaud, en voyant ces lésion
perposer pour ainsi dire, il celle de la syringomyélie et rendre le diagnostic très difficile sinon impossible de prime abord.
ur attribuer et on ne saurait plus tabler sur elles pour asseoir un diagnostic différentiel. En comparant, avec les observatio
(4) Thibierge. Loc. cil. (5) .Marestang. Contribution à l'étude du diagnostic différentiel de la lèpre anesthési- que et de l
rande considération et peser d'un grand poids dans la discussion du diagnostic . On comprend néanmoins qu'ils ne suffisent pas
gagne le bulbe. C'est ainsi que chez deux syringomyéliques dont le diagnostic a été vérifié par l'au- topsie et dont M. Ghaba
Ghabanne a relaté brièvement les observations dans sa (1) Roth. Du diagnostic de la gliomatose médullaire. Recueil des travaux
rte qu'on ne saurait leur accor- der une très grande valeur dans le diagnostic différentiel des deux affec- tions. 5 L'hyper
pparu alors que le microscope avait déjà levé les incer- titudes du diagnostic . 7 C'est en effet dans l'examen bactériologique
ipal, nous serions môme disposés à dire, le seul élément certain de diagnostic dans les cas douteux. A. Pitres, J. SABRAZÈS,
l fut obligé de s'aliter. Il resta au lit 3 mois. Le médecin fit le diagnostic de luxation, dit-il, sans essayer la réduction.
tion de l'âme ou bien d'un état émotionnel quelconque facilitent le diagnostic de ces affaiblissements passagers du muscle don
ux membres supérieurs. Mort des suites d'un érysipèle de la face. Diagnostic : Méningite cérébro-spinale syphilitique, pachymé
it de la lenteur de la parole, et un léger frémissement des lèvres. Diagnostic hésitant entre méningite cérébro- spinale syphi
. Les lésions rencontrées du côté des centres nerveux justifient le diagnostic de méningite cérébro- spinale syphilitique, por
2 mai à la consultation de M. le professeur Fournier, qui porte le diagnostic de syphilis (plaques muqueuses hypertrophiques vé
des paraplégies syphi- 1 i t iqnes méritent d'être notées en vue du diagnostic . Nous avons vu com- bien les accidents de la pé
de la paraplégie elle-même que l'on puisse fonder les éléments d'un diagnostic différentiel en dehors de toute anamnèse. 256 N
, mais qui n'en présentent pas moins le plus haut intérêt en vue du diagnostic . Et pour notre part nous serions tenté de reche
pour notre part nous serions tenté de rechercher les éléments d'un diagnostic différentiel, en dehors des caractères de la pa
pé- cifiques absolument étrangères au tabes ordinaire, alors que le diagnostic d'ataxie locomotrice avait été justifié par les
it place à une exaltation consi- dérable des réflexes rotuliens. Le diagnostic de tabes fut alors définitive- ment écarté. I
urra être soupçonnée à bon droit, non pas en prenant pour base d'un diagnostic différentiel les carac [ères de la paralysie el
l'examina soigneuse- ment et fit même une leçon sur lui, portant le diagnostic de paralysie par ful- guration. Pendant 8 mois,
lla d'aller prendre les eaux il Carlsbad. Là le D1' Schnee porta le diagnostic d'épilepsie et lui fit des applications de pointe
es pérégrinations étranges ? Assurément. Et il faut savoir faire le Diagnostic . - En première ligne, il faut citer l'affection q
marquer quelque chose d'anormal. Là se bornent les analogies, et le diagnostic est aisé à l'aire. Dans le mal comitial ambulat
igmates n'existent pas, comme chez un des malades de M. Charcot, le diagnostic s'impose par l'amnésie presque com- plète des f
écrit en entier de la main de Renaudot est notre premier traité de diagnostic clinique, débarassé des préjugés d'alors et du
2. Paraplégies syphilitiques, (Deux observa- tions pour servir au diagnostic ), par Gilles de la Tourette et IIudelo, 1. Re
9 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ue j'insisterai sur- tout, après avoir très rapidement légitimé mon diagnostic ; je passerai brièvement sur la très intéressan
té aujourd'hui par la malade ; on voit qu'il justifie pleinement le diagnostic de tumeur céré- brale que j'avais porté dès le
ce d'une tumeur céré- brale et je ne m'attarderai pas à discuter le diagnostic . Il est au contraire beaucoup plus difficile de
c, dans le cas sus-décrit, il est difficile de disputer au sujet du diagnostic du symptôme-complexe de Kahlbaum. Nous devons d
faut faire attention à la démence secondaire; si nous admettons ce diagnostic , alors il faut indiquer après quelle psychose a
déjà très nettement visible. Se basant sur ces par- ticularités, le diagnostic d'une mélancolie pure au commen- cement de la m
r l'état actuel du malade, nous nous comptons en droit, au sujet du diagnostic , d'écarter ici la démence consécutive secondair
ent compliquer aussi d'au- tres maladies mentales. Dans le but d'un diagnostic dilféren- tiel, les symptômes catatoniques qui
rvation personnelle de ce cas, nous ne pouvons pas instituer ici un diagnostic absolu. Le plutôt qu'on peut rapporter ce cas'a
, vu la courte durée de l'observation, on ne pouvait pas établir de diagnostic précis, mais en rapport pronostique on peut env
Allg. Encycl. der Wissensch. und Iiünste. Bd. XXXIV. - 13. Sommer. Diagnostic der eistes krankheiten. 14. Tschige. Katatonie.
wers. L'auteur insiste sur l'importance de la latéropulsion pour le diagnostic des lésions. ' R. Charron. XVII. Les lésions
on a déjà à sa disposition d'autres signes permettant d'établir le diagnostic . Il'faut se défier pour la recherche de la sens
dernier des enfants vivants est nettement hérédosyphi- litique. Le diagnostic probable est donc tabès juvénile par hérédité s
n enfant. Nous verrons tout à l'heure que cette affection répond au diagnostic de paralysie géné- rale. A l'entrée on consta
recommandant de ne pas dire qu'elle a été hypnotisée, quel sera le diagnostic : hémiplégie hystérique. Comme dans l'hémiplégi
ours à la même épo- que. D'autres caractères permettent de faire le diagnostic : Mélancolie simple : apparait à la suite d'une
ie, les mêmes douleurs, les mêmes obsessions. , Indépendamment du diagnostic avec la mélancolie simple, le médecin ne doit p
s volontaires les plus perverses et toute la ruse de l'aliéné. Le diagnostic de l'élément histrionique en tant que partie in
de notre article 64 du code pénal. Dr A. Marie. XXX. A propos du diagnostic de l'épilepsie et de la paralysie géné- rale ;
ie. L'observation prolongée du malade a seule permis d'arriver à un diagnostic précis. En deux années, l'état mental, loin de
lytique que des sujets antérieurement syphilitiques. SIMON. XXXV. Diagnostic précoce de la paralysie générale; par F. X. DER-
ité d'examiner avec le plus grand soin tout état neurasthénique. Le diagnostic peut être fait avant les signes physiques, si l
ue le Nissl en témoignent. Il est l'occasion fréquente d'erreurs de diagnostic . Tout trouble mental, accompagné de fièvre, doi
gré de réaction mentale. - / Smox. XLIII. De quelques éléments de diagnostic de la démence pré- coce ; par William Rush Dunt
lésions classiques de la paralysie générale. M. Vallon croit que le diagnostic de folie à double forme doit être réservé et il
r l'un d'eux. M. TOULOUSE croit qu'il faut distinguer les cas où le diagnostic de paralysie générale a pu être posé dès le déb
observées chez le malade de M. Vigouroux, on doit plutôt porter le diagnostic de démence, avec lésions circons- crites, chez
i qu'on l'a dit, un signe différentiel qui per- mette d'en faire le diagnostic . De plus, le liquide céphalo-rachi- dien conten
ions restées dans l'urne étaient les suivantes : 1° a) symptômes et diagnostic du cancer de l'esto- mac. b) phlegmon diffus. 2
- mac. b) phlegmon diffus. 2° a complication de la scarlatine. b) diagnostic et traitement de la hernie crurale étranglée. Q
, femmme P..., trente-trois ans, entrée le 14 novembre 1902 avec le diagnostic ; démence, gâtisme, inconscience absolue ; signe
ntrent quelques enseignements précieux donnés par les rêves pour le diagnostic de l'épi- lepsie et citent à l'appui les 4 obse
ite avec hémorrhagies réti- niennes. De la discussion bien faite du diagnostic , il découle qu'il s'agit d'un ramollissement du
cées par un tissu fibroïde souple. - .' - 'A' Iii seconde phase, le diagnostic ne peut être hésitant pourper- sonne ? A la pre
ment du sujet font seuls soupçonner la maladie-; à cette période le diagnostic est souvent méconnu. L'auteur'- rapporte "deux
OGIQUES. 243 médullaire et des atrophies musculaires, fit dévier le diagnostic . Dans le premier cas, on porta tout d'abord le
dévier le diagnostic. Dans le premier cas, on porta tout d'abord le diagnostic de sclérose latérale amyotrophique à cause des
réflexes avec trépidation épileptoïde. En second lieu, on porta le diagnostic de mal de Pott cervico-dorsal à cause d'une imm
du sommet droit. .L'autopsie permit de constater une ostéomalacie, diagnostic qui avait été porté un moment mais auquel on ne
nt, prêta encore davan- tage à l'erreur. Dans celui-ci, on porta le diagnostic de méningo- myélite et de myélite transverse. '
ie qui n'est pas signalée et n'est pas envisagée au point de vue du diagnostic . Il fait remarquer en outre que les douleurs rach
les centrales et périphériques et à devenir un des éléments de leur diagnostic differentiel. G. C. LI. Paralysie motrice et se
la folie apparaît d'ordinaire chez les imbéciles conduit souvent au diagnostic de folie de l'adolescence. Si l'on considère ma
ésions graves générales du cer- veau. ' N. P. PosTOVSKY trouve le diagnostic du lues cérébral trop géné- ralisé et aurait vo
résentent, les idées de négation peuvent contribuer à en établir le diagnostic différentiel. Tel est le point que l'auteur se
r la possibilité de l'enrayer ; c'est dans tous les cas, établir un diagnostic précis, et d'emblée être fixé sur la nature de
hez elle, quelle est leur valeur clinique au double point de vue du diagnostic et du pronostic. Je vous montrerai les points d
et des muscles, les signes stéthoscopiques, nous avions porté le diagnostic de polynévrite éthylique chez une tuberculeuse ;
'une véritable neul'o-myo- site cancéreuse multiple, et l'erreur de diagnostic était dans l'espèce presque fatale. Parmi les
CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX. 295 médullaires, mais surtout votre diagnostic sera conduit par la présence d'une tumeur axill
rencontre le plus souvent comme facteur pathogé- nique. .. Ici le diagnostic avec les lésions intrarachidiennes est difficil
psules surrénales, utérus, prostate, etc., que vous serez amenés au diagnostic , et la découverte d'un cancer latent sera pour
atent sera pour vous une précieuse révélation. A dire vrai, si le diagnostic est parfois très aisé, s'impo- sant presque, pl
7 Je voudrais, Messieurs, discnter avec vous plus longue- ment le diagnostic différentiel de ces diverses affections, mais c
s'agit d'une para- lysie saturnine à localisation très limitée, de diagnostic différentiel et étiologique délicat, ainsi que
récède, l'enquête nous a permis de porter dans cette observation le diagnostic ferme de paralysie saturnine. Si ce dernier est
signes électriques, etc). Nous n'envisageons d'ailleurs pas ici le diagnostic dogma- tique de la paralysie saturnine dans son
u- leurs à base de sels de plomb : la profession fait donc ici le diagnostic , confirmé encore par la constatation d'un liséré
mme symptôme initial, quelques mois ou quelques années avant que le diagnostic ait pu être fait.' Elles se produisent presque
siées. Cette dissociation des sensibilités permet donc de porter le diagnostic de syringomyélie. Cette affection nerveuse esl
a disparu sous l'influence de la suggestion, ce qui a compliqué le diagnostic et le pronostic. A ce moment le malade a succom
quadriceps. Ce phénomène peut avoir une certaine importance dans le diagnostic entre le pseudo- tabès polynévritique et le tab
s pour croire à de la cécité corticale, il ne faut pas réformer son diagnostic sur le seul fait de l'abolition du réflexe à la
t subite de sa grand'mere. Examiné à cette époque le médecin fit le diagnostic de maladie de Thomsen et le fit entrer à l'hôpi
ute la durée de la maladie pour l'observation II, ce qui a rendu le diagnostic facile avec le tremble- ment d'origine organiqu
e, et de tout stigmate pendant ces intervalles; tout cela imposa le diagnostic , d'autant qu'il y a plus de dix ans que les cho
e simple, intervenait, pour la période - antérieure à 1890, dans le diagnostic , dans la proportion notable de 13, 8 p. 100, se
de-lacunes. «Bref, le praticien demeure toujours, pour établir son diagnostic , réduit - aux symptômes du moment.» L'obnubil
ableau clinique commun de la P. G. d'écarter, comme on l'a fait, le diagnostic de méningo-encéphalite diffuse. Mais plutôt de
rale, et vous montrer le rôle souvent décisif qu'ils jouent dans le diagnostic de cette maladie. Aussi fréquente dans la cli
tèle privée, la paralysie .générale du moins à ses débuts, est d'un diagnostic délicat et souvent même difficile. Pour faire c
st d'un diagnostic délicat et souvent même difficile. Pour faire ce diagnostic nous pouvons nous appuyer sur des symptômes psy
sez caractérisés pour permettre d'affirmer d'une manière absolue le diagnostic de cette maladie. Et si l'affaiblissement intel
la paralysie générale et qu'on est presque en mesure d'affirmer le diagnostic . Les troubles somatiques eux aussi, sont d'impo
issipait les doutes et nous permettait d'affirmer sans réserve un diagnostic jusqu'alors indécis. Seulement la constatation de
ir raison des incertitudes et permettre d'affirmer ou de rejeter le diagnostic de para- lysie générale. C'est pour tous ces
du malade que dans le cabinet du médecin. Leur importance dans le diagnostic de la paralysie géné- rale est considérable, le
s le liquide céphalo-rachi- dien n'a pas une valeur absolue pour le diagnostic de la paralysie générale » j'en dirai tout auta
a paralysie générale. Les signes oculaires concourent grandement au diagnostic de cette affection, mais.ils sont insuffisants
s thoraciques. J. SEGLAS. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXXVII. Le diagnostic des blessures de tête; parAmTOn B. HER- rick. (
usgrave-Clay. XXXVIII. Pseudo-tabes syphilitique : une observation; diagnostic différentiel du tabès; par Joseph COLLINS. (The
rte de reconnaître dès le moment de leur apparition. G. C. XXXXI. Diagnostic des méningites infantiles par la réaction du li
cale, Lyon, mars 1901, p. 136.) MM. Weill et Péhu ont appliqué au diagnostic des méningites infantiles, le procédé de M. Bar
par les auteurs, le procédé a donné des résultats décisifs pour le diagnostic . G. Carrier. XXXXII. Névrite professionnelle du
s. Les autres méta- tarsiens sont très courts. Au point de vue du diagnostic , dit l'auteur, les cas de nanisme peuvent se ra
es de méningite delà convexité. Petite hémorragie méningée récente. Diagnostic macroscopique de la tumeur : Gliome. Les aute
en est pas de même des troubles paialyliques qui sont un élément de diagnostic important et qui se caractérisent par leur marc
essivement et un mois après ils avaient disparu. Au point de vue du diagnostic , les auteurs rejettent et une lésion organique
blements, troubles de la sen- sibilité et troubles psychiques. Le diagnostic doit être fait avec l'hystérie et des lésions org
e. » Les moyens préventifs conseillés sont : « 1° La précocité du diagnostic de la tuberculose; 2° l'isolement de tous les m
et même une démence profonde. Cela ne doit pourtant pas exclure le diagnostic de mélancolie récidivante en nous montrant la pos
tudiants se familiariseraient avec les maladies mentales, avec leur diagnostic au moment même où il est le plus difficile à la f
rentrer M. N... ? Je ne pose que pour l'éliminer immédiatement le diagnostic de mélancolie; autrefois, on rangeait dans la d
u retour de plusieurs accès à peu près identi- ques portera-t-on le diagnostic de folie intermittente ? Non, sans doute, puisq
s accès sont évidemment conditionnés par cet état de déficit. Ces diagnostics étant éliminés, nous nous demanderons si M. N..
L'étude clinique de la psychose permet d'ailleurs d'éli- miner le diagnostic de dégénérescence. On ne peut grouper parmi les
n hallucinatoire, comme on en observe dans l'hébéphrénie. Mais le diagnostic me paraît jugé par l'évolution et sur- tout par
qui auraient pu faire penser à la gravité de l'affec- tion, mais le diagnostic pouvait certainement être posé dès la fin de la
.. n'est ni aussi violent ni aussi agressif. 1903. Décembre. - Le diagnostic de paralysie générale porté- au début se confir
é son internement. Le certificat médical d'admission ne donne aucun diagnostic précis. A son entrée à l'asile, lors de l'exame
cas de cette malade montre bien les difficultés qui accompagnent le diagnostic d'une tumeur céré- brale. D'abord, il n'y avait
l'instabilité comme un symptôme de tumeur cérébrale, permettant le diagnostic diffé- rentiel entre la tumeur et le ramollisse
récieuses. La suggestion hypnotique est surtout utile pour faire le diagnostic différentiel des troubles purement fonctionnels
e médecine, il ressort ce fait que les tumeurs ne peuvent servir au diagnostic des localisations cérébrales', et cette autre c
oser l'existence d'une infection autre que la tubercule : et que le diagnostic de méningite tuberculeuse repose dans ces c. su
le trajet des nerfs ne laissent aucun doute sur la légi- timité du diagnostic . Cet homme est obligé, par sa profession de coc
me, mais l'affection n'avait plus progressé, et l'on avait porté le diagnostic de paralysie ascendante aiguë d'origine probabl
s de politesse, de propreté permettent dès celte époque de poser le diagnostic et de prévoir l'avenir qui est réservé à ces pr
ation entre l'asile fermé et les soins pri- mitifs à domicile où le diagnostic se dessine d'un échelon inter- médiaire qui .es
' Bégaiement. Le - graphique, par Berillon, 502. Blessures. Le diagnostic des - de 1 la tête, par Derrick, 390. Bourrea
tive et spéciale du liquide ce' phalo-rachidien, par Dufour, 172- Diagnostic des - infantiles par la réaction du liquide cép
teils. De l'abduction des , par Itnbmshi, 80. OS'l'I : 0114LACIE. Diagnostic de 1'- à la phase « osleomalacia fragilisa, p
ue, par Pierret, 157. KU"10" gie de la générale, par llurii, 159. Diagnostic précoce de la - générale, par Lle.lcum, 159. Fl
e, voir Troubles trophiques. Du signe de 1'oil)i(;tlldire dans le diagnostic de la faciale, par Barri. 243. - motrice etse
par Trepsat, 260. Pseudo-tares syphilitique : une ob- servation. diagnostic différentiel du tabès, par Collins, 390. Psyc
10 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e pense pas que l'imitation ait 1 Blocq et Oiianofï. Séméiologie et diagnostic des maladies nerveuses. 1892, p. 62. 4 CLINIQ
tt numéro.) DE LA MALADIE DES TICS. (tics, chorée, IlTllillll : : diagnostic ); Par le D' L. C(1.1BBEItI', de Toulouse, L'é
e quelque particularité sur l'étiologie, la symptomato- logie ou le diagnostic de l'affection. Groupés ensemble, ils donnent,
trième tire surtout son intérêt des difficultés que présen- tait le diagnostic . Observation I. An... L..., quarante-deux ans.
em- blances parfaitement tranchées, qui autorisent à repousser le diagnostic de chorée vulgaire ou de chorée de Sydenham. Co
s de la maladie, ce n'est pas une raison suffisante pour laisser le diagnostic en suspens, surtout lorsque les symptômes obser
valeur de premier ordre, et sa présence chez la malade confirme le diagnostic de maladie des tics. La coprolalie n'existe pas
(Obs. I). HOSPICE DE la SALPËTRIËRE. M. CHARCOT, CONTRIBUTION AU DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL ENTRE L'HYS- TÉRIE ET LES MALADIES
de nos cas (deuxième et troisième) et nous l'avons utilisée pour le diagnostic , moins pour ses caractères intrinsèques que pou
l'état mental du malade. Dans tous les cas une grande difficulté au diagnostic nous a été présentée par l'absence des zones hy
de la Tourette, aurait pu nous fournir des résultats utiles pour le diagnostic différentiel, n'a pas été faite par nous pour l
les soupcons d'une lésion organique. Chez la pre- mière malade, le diagnostic de tuberculose paraissait s'imposer par ses ant
praticiens fort distingués... Nous avons donc dû utiliser, pour le diagnostic , d'autres con- sidérations que nous grouperons
uée dans les deux premiers cas, et nous en avons tiré parti pour le diagnostic . Dans le troisième cas, la manifestation brusqu
me et quatrième), nous ont fourni des preuves valables à l'appui du diagnostic d'hystérie. 2° Le caractère spécifiquement hyst
un signe utile. Ceci nous a servi comme un argument de renfort au' diagnostic , jamais comme une base, parce que nous savons q
ons-nous, très caractéristique et qui confirme de tous points notre diagnostic . Maintenant, il est temps de tirer de nos obser
andonne l'hôpital au mois de juin 1892 considérablement amélioré. Diagnostic . -Dans ce cas, le diagnostic d'hystérie, qui a
juin 1892 considérablement amélioré. Diagnostic. -Dans ce cas, le diagnostic d'hystérie, qui a été confirmé après par l'issu
'appareil circulatoire nous pouvaient très facilement conduire à un diagnostic erroné. Cette erreur pouvait être raffermie par
nerons à faire quelques remarques sur son interprétation et sur son diagnostic . Pour ce qui est de l'interprétation, nous croy
formée. Pendant le coma apoplectiforme, nous nous baserons pour le diagnostic surles mêmesarguments que le Maître nous a indi
avons exposé précé- demment les raisons pour lesquelles ce moyen de diagnostic ne nous paraît pas utilisable dans la pratique
rante. La présence d'une déviation faciale ne parle pas contre le diagnostic d'hystérie. Elle peut dépendre, ou d'une parésie,
à M. Charcot le mérite d'avoir fait connaître ce précieux moyen de diagnostic *. La paralysie faciale, pourvu qu'elle soit bor
S ORGANIQUES DU CERVEAU. SI inférieur, ne dépose non plus contre le diagnostic d'hystérie. En effet, elle a été signalée dans
que. Pour les autres formes, nous ne pourrions nous guider, pour un diagnostic sûr, que sur l'évolution et sur les phénomènes
précédée. En d'autres termes, nous serons réduits alors à faire le diagnostic différentiel entre l'hémiplé- gie hystérique et
ux qui lui donnèrent origine furent de 1 nature hystérique. Donc le diagnostic d'apoplexie hystérique 1 mis en tête de ce trav
maladie de B..., sur lequel nous reviendrons dans la discussion du diagnostic en nous contentant pour le moment de l'indiquer
possible de découvrir aucune anomalie pendant que B... marchait. Diagnostic Un rapide coup d'oeil jeté à Bo..., lorsque pou
la démarche hélicopoïde étaient des phé- nomènes à justifier un tel diagnostic . Cependant un examen plus soigné de l'anamnèse
dée à présent, nous avons les arguments suivants pour affirmer le diagnostic : 1° L'hémianesthésie est toujours allée plus s
encore l'auto-suggestionnabilité, stigmate aussi précieux pour le diagnostic que pour la physiologie pathologique de l'hys-
atique. Ce cas nous démontre que de prudence est nécessaire dans le diagnostic des maladies nerveuses, même lorsque, par l'app
qui nous paraît s'en écouler tout logi- quement. C'est que dans le diagnostic entre l'hystérie et les maladies organiques, il
reparaissent (cas de Broch). Cette hypotoxicité est un élé- ment de diagnostic pour affirmer que la série n'est pas finie et q
e mal. Dans certains cas, elle peut être une cause de difficulté de diagnostic et sa disparition est d'un pro- nostic favorabl
M. GARNIER ne voit pas sur quelles bases M. Roubinovitch étaie son diagnostic de psychose à évolution systématique et progressi
OCIÉTÉS SAVANTES. Discussion : M. le Dr W. ROTH'est d'accord sur le diagnostic du cas rapporté, mais il rappelle que dans la g
é, à type syringomyélique. Les auteurs français ont mis en doute le diagnostic de quelques cas qu'il a publiés ; l'un de ces c
que le cours de la maladie des autres cas a complètement prouvé le diagnostic de gliomatose médullaire. M. le professeur KOJR
à être décrit à un point de vue plus général. Des chapitres sur le Diagnostic pratique, sur le Traitement, sur la Médecine lé
une émotion en l'absence de signes physiques extérieurs, de même le diagnostic des troubles mentaux ne peut être basé que sur
dernières le médecin a rempli toute sa tâche lorsqu'il a posé un diagnostic et formulé une prescription pharmaceutique ou enc
u Progrès médical. Pour les abonnés des Archives, 16 fr. CHERVix. Diagnostic différentiel du bégaiement et des autres troubles
TÉRALE .1\II'OTROPIIIQUE OU AMYOTROPHIE HYSTÉRIQUE ? DIFFICULTÉS DE DIAGNOSTIC . (Leçon recueillie par M. le D' DUTIL.) Messi
hique, soit la paralysie du type Duchenne-Aran. Cette question du diagnostic différentiel des atro- phies musculaires progre
trer dans le cours du tabès. Mais alors 164 CLINIQUE NERVEUSE. le diagnostic est trop facile, je n'ai pas à y insister. . Je
. C'est à ce point qu'il me sera impossible de vous pro- poser un diagnostic ferme, et que, par conséquent, le pronostic et
rvation bulbaire; nous n'en sommes pas moins conduits à accepter le diagnostic de sclérose latérale amyotrophique de date réce
4 CLINIQUE NERVEUSE. teurs peu familiarisés avec les difficultés de diagnostic que crée l'intervention fréquente de l'hystérie
as l'examen électrique des muscles permetleplus souvent de fixer le diagnostic ; car il n'a pas été démontré du moins jusqu'à
;tm ! /o<)'op/tt(/M6 ou Amyotrophie hystérique ? (difficultés de diagnostic ). Troq..., trente et un an, placier; né en Belg
tion, soit qu'elles offrent 'de l'intérêt par les difficultés d'un diagnostic complexe, ou par une évolution spéciale, soit q
t s'en être aperçus ; et qui reçoivent même avec un air de doute le diagnostic et le pronostic portés; tandis que, chez d'autr
t, par les iodures et par la digitale à la fin, montre l'utilité du diagnostic étiologique. Je compte 12 à 15 de ces cas par a
ant à des cas semblables dont on a pu faire l'autopsie, de poser le diagnostic à' arrêt de développement cérébral. Cette atrop
tie méningitique et peuvent concourir, dans une certaine mesure, au diagnostic . Sim..., idiot aveugle, a l'habitude de mettre
u reste de symptôme patbo- gnomonique de la paralysie nucléaire; le diagnostic repose sur l'examen de l'espèce, de l'étendue,
ostate; hydronéphrose bilatérale très pro- noncée. L'auteur base le diagnostic de syphilis sur l'évolution et les accidents cl
LE DE Friedreich; par S. GOLDFLA31. (Neurolog. Centralbl., 1892.) Diagnostic par exclusion. P. K. XXVII. UN cas DE paralysie
é une tumeur de la région motrice gauche; l'opé- ration confirma le diagnostic , mais il ne fut pas possible d'enlever toute la
xtrémités, et il existe des trou- bles généraux de la nutrition. Le diagnostic , ainsi fait, contre-indi- querait la craniectom
ec la polio- myélite de la corne antérieure de la moelle. Si un tel diagnostic pouvait être fait dans un cas donné, une opérat
mandé d'écrire sur ce sujet. Il a pensé qu'il n'est pas question du diagnostic . Le Dr Fry a mal compris le rapport du cas, parce
nés dans le langage, leur valeur séméiologique au point de vue du diagnostic et du pronostic des affections mentales où ils se
cliniques de la démarche étant ainsi connus, M. Blocq en résume le diagnostic et la sémeiologie, implicitement contenus dans
eçon a trait aux symptômes nerveux attribuables à la syphilis; leur diagnostic est souvent possible d'après les caractères de si
utions des lésions. L'auteur y passe en revue les symp- tômes et le diagnostic de nombreux processus syphilitiques du sys- tèm
r les paralysies des yeux, et sur leur valeur sémeiologique dans le diagnostic des neuropalhies syphilitiques. Dans la dernièr
uestions orales ont été les suivantes : l^8 Séance : Symp- tômes et diagnostic de la pneumonie franche aiguë; hernie cru- rale
° de l'examen clinique d'un malade à propos duquel on doit faire le diagnostic , le pro- nostic et le traitement; 2° de l'exame
concours consiste en épreuves : 1° examen d'un malade et exposé du diagnostic ; 2° description d'une pièce du laboratoire serv
tic; 2° description d'une pièce du laboratoire servant à établir un diagnostic . A mérite égal, il sera donné la préférence à c
ie brachiale hystérique chez l'homme, présentant des difficultés de diagnostic . , An : anws, t. XXV. 21 1 322 1), CLINIQUE N
et le surmenage subi par le patient ont provoqué l'éclo- sion. Le diagnostic dans ce cas ne présentait aucune difficulté; ca
la consultation de la Salpêtrière en 1887, puis de nouveau en 1890. Diagnostic : sclérose en plaques. Depuis deux ans, il gagn
de la papille, relèvent incontesta- blement de cette maladie, et le diagnostic sur ce point est bien assuré. Mais comment in
produits des microbes ou la résorption des poisons de l'économie. Diagnostic . Dans la manie, quoique par moment le malade pu
vent l'exagération du déséquilibre mental plus ou moins latent ; le diagnostic avec le délire alcoolique sera fondé sur les an
ence de symptômes réellement mélancoliques serviront à établir le diagnostic . Pour le délire aigu, le moment de son appariti
ui sera surtout jugée par la terminaison ordinairement fatale. Le diagnostic avec la paranoïa aiguë est d'autant plus difficil
c- compagne de troubles intellectuels, de mémoire chancelante. Le diagnostic de la catalepsie pure est facile, grâce aux deux
ermine cet intéressant travail par quelques considéra- tions sur le diagnostic différentiel de cette maladie. . R. DE lUSGB.1V
ile de le différencier du délire des dégénérés héréditaires. VI. Ce diagnostic différentiel est pratiquement utile, au moins p
l'intermittent se révèlent parfois sous les dehors de la manie. Le diagnostic est souvent diffi- cile, en particulier chez le
hénomène. M. Ba- binski, par exemple, montre que l'on peut faire ce diagnostic en étudiant : 1° l'aspect symptomatique; 2° l'é
et intéressants, ils peuvent; dans la plupart des cas, permettre le diagnostic de l'hystérie. De même M. Gilles delaTouretteda
es habitudes d'exa- men et de langage s'entendent à peu près sur le diagnostic de l'hystérie, mais les auteurs qui ont reçu un
l a expliqué comment on pouvait par une analyse minutieuse faire le diagnostic entre une paralysie organique et une paralysie
érielles des nerfs, de la moelle ou de l'encé- phale. Ces études de diagnostic ont été et sont encore'capi- tales, il est très
ant les procédés de la suggestion comme une méthode scientifique de diagnostic et d'analyse des maladies nerveuses. Il a montr
à aucune autre affection la crise convulsive qu'il a valeur dans le diagnostic de l'hystérie. Nous aurions voulu reproduire ce
je pense de la symptomatologie spé- ciale de cette maladie et à son diagnostic différentiel. Pour le mo- ment, je m'en tiendra
'un moteur morbide qui doit être l'objet réel des investigations du diagnostic . Il se pourrait très bien que le même moteur pa
rêt de la théorie que de la pratique, d'exiger que l'on formule son diagnostic en le tirant du ^mécanisme même de la formation
8. Hypnotisme à Paris et à Nancy par Robertson, 464. Hystérie , diagnostic différentiel avec les maladies organiques du
11 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
ges, l'absence de tout trouble articulaire, infirment absolument ce diagnostic ; notre malade est simple- ment une pagétique q
la radio- graphie ne pouvait en certains cas fournir un élément de diagnostic . La collection du musée Dupuylren nous offrait
fférenciation qui assurément ne sera souvent que le complément d'un diagnostic clinique déjà fait, mais qui néanmoins pourra par
cal offrait de légers mouvements de latéralité et que l'on posa le diagnostic de fracture de la rotule, que vint confirmer de
une malade alitée dans un service de chirurgie de l'hôpital avec le diagnostic de luxation de la troisième ou quatrième vertèb
he où pouvait s'enfoncer le doigt. Le médecin posa tout de suite le diagnostic de luxation des vertèbres cervi- cales en se ba
ale, et la malade fut envoyée à l'hôpital Saint-Jean de Turin où le diagnostic au premier abord fut confirmé et la patiente pa
n effet avaient entraîné des chirurgiens très distingués à poser le diagnostic de luxation totale ou partielle de la Ille ou I
s le domaine de la XIe paire et de la moelle cervicale. Quel est le diagnostic que l'on peut faire dans ce cas ? 2 Au premier
r les symptômes cliniques que nous avons rappelés, avaient porté le diagnostic de luxation trauma- tique de la colonne cervica
e que deux cas très obscurs cités par Albert dans son Traité sur le diagnostic des maladies chirurgical- les (1), où l'on peut
opédique et après un traitement électrique. L'autre (1) E. Alueiit, Diagnostic des maladies chirurgicales. Traduction italienne
s que le résultat de l'examen électrique nous autorise à rejeter le diagnostic de myopathie, et que dans celte dernière on n'obs
et du larynx, voilà autant de symptô- mes qui cadrent bien avec le diagnostic d'une affection myélopathique. Parmi ces derniè
ait différente, mais nous ne croyons pas que l'on puisse rejeter le diagnostic de la polyomyélite seulement en se basant sur s
en règle générale, mais dans le cas présent je persiste à poser le diagnostic de polyomyélite antérieure, parce que à part l'
ui a une remarquable analogie avec le nôtre. La séméiologie et le diagnostic de la paralysie des muscles de la nuque ont été
ns cadrant avec le tableau de la D. R.partielle. L'auteur posa : le diagnostic d'amyotrophie myélopathique à début scapulo- hu
ue, selon les idées de Dejerine, il faudrait pencher plutôt pour le diagnostic de sclérose latérale amyotrupltique. A part ce
de la moelle cervicale et des noyaux médullaires du nerf spinal, le diagnostic du siège de la lésion reste facilité et, comme
ition et de la phonation, le médecin consulté tout de suite posa le diagnostic de laryngite aiguë. Après quelque temps Ferrio
s. Il consulta un grand nombre de médecins qui portèrent différents diagnostics , et lui in- ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNEL
s affections meniales sont rarement justicia- bles de ce procédé de diagnostic , le seul qu'on puisse appliquer aux documents f
rité mentale correspondante. Il est parfaitement licite de faire un diagnostic rétrospectif d'après une peinture ou une sculptur
être appréciés par la seule inspection d'une image. Les éléments de diagnostic sont alors plutôt d'ordre dynamique que d'ordre
et de la Renaissance, il serait difficile de remplacer les anciens diagnostics par de nouveaux, étayés sur des données plus vala
ie dans l'art. L'image du délire : voilà le seul et le meilleur des diagnostics qu'on puisse en faire. Comment démon- trer que
'art. Et,en attendant, il faut redoubler de circonspection dans les diagnostics rétrospectifs de ce genre. Ici encore, ceux qui
donner de notre nain est suffisante, il nous semble, à affirmer le diagnostic d'achondroplasie telle qu'elle a été décrite da
non seulement parce que le caractère congénital est inséparable du diagnostic de cette affection, mais aussi parce que les sy
pnotisme. On hésite, à cause de l'état mental de M. A... à faire le diagnostic de paralysie générale au début ; mais le malade n
e d'Argyll, et une ponction lombaire est négative. On porte donc le diagnostic de tremblement fonctionnel (crampe des violonis
la guérison une fois obtenue peut se maintenir définitivement. Le diagnostic de ces affections est en général facile ; le plus
r. Toulefois il existe un certain nombre de cas où véritablement le diagnostic peut être il. bon droit hésitant, et où plusieurs
limine la crampe des écrivains à forme trémulente, et l'on porte le diagnostic de chorée rythmée unilatérale, de nature hystér
lle cesse par la répétition de l'effort. D'une façon géné- rale, le diagnostic de crampe des écrivains est en somme aisé, et nou
écrivains est en somme aisé, et nous n'avons cité ces deux ou trois diagnostics délicats que parce qu'il faut y penser comme ca
, ne doit pas être si alarmant que l'ont dit nombre d'auteurs. Le diagnostic d'une crampe professionnelle autre que la crampe
. Il importera donc d'y penser, et d'en rechercher les signes. Le diagnostic se précisera ensuite par un examen somatique géné
et qui seule peut expliquer la spécialisation de la névrose. , Le diagnostic en effet, pour être complet, doit s'appuyer sur l
ser sa force de caractère. Ce n'est qu'armé de tous ces éléments de diagnostic que le médecin pourra former un pronostic, et e
rticulations des mains, lumbago, douleurs généralisées, posèrent le diagnostic d'arthrite goutteuse et il lui fut prescrit un
oyons pas qu'il soit difficile de classer notre cas et d'établir le diagnostic chez notre malade. Il s'agit incontestablement
e et à mar- quer leur différence, ce qui est très important pour le diagnostic diffé- rentiel. Quanta notre cas, nous supposon
lytique. Malgré l'absence apparente de lésion cardiaque, on fait le diagnostic d'embolie cérébrale. 21 janvier. Les vomissemen
i le même tableau que j'avais noté 18 mois auparavant, j'ai fait un diagnostic identique à celui qui avait suivi mon premier exa
décrits, cette seconde fois comme la pre- mière fois, j'ai fait le diagnostic de psychalgie brachiale hystérique, compli- qué
s côtes cer- vicales (1), de son côté, amène à la conclusion que le diagnostic de la (1) La plus grande partie de la littératu
(12), SPILLER and Gittings (13)]. Cette coexistence peut égarer le diagnostic en ce qu'on attribue un rôle essentiel à la côte
ue je viens d'énumérer ne peuvent pas jouer de rôle décisif dans le diagnostic . Enfin, les données existant dans la littératur
IFFER (2)]. Les notions sus-mentionnées,en résumé, indiquent que le diagnostic des côtes cervicales, même à l'aide de la radio
est plus soumis à l'influence médicale et les récidives. VIII. Le diagnostic d'une névrose coordinatrice d'occupation est en
duiraient d'ailleurs par les troubles somatiques correspondants. Le diagnostic se poursuivra par l'examen attentif du membre att
cale qui exigerait aussitôt une thérapeutique appropriée. Mais le diagnostic ne sera complet que si l'on fait attentivement l'
lendemain, elle est de 38°3. Cette faible hy- perthermie élimine le diagnostic d'hémorragie cérébrale. Le 24 janvier 1908, le
r l'hypothèse d'une embolie cérébrale, d'origine anévrysmatique. Ce diagnostic paraissait être corroboré parla coexistence d'u
ire et fécale persiste. En présence de ces différents symptômes, le diagnostic de polynévrite fut porté par le Dr Verhoogen.
cédé ni que la motricité ne se soit complètement rétablie. . Quel diagnostic pouvait-on conclure de cet ensemble symptomatique
fférencie nettement la myélite aiguë du cas que nous étudions. Le diagnostic différentiel de la polynévrite avec la myélite ai
- rieurs et l'existence de vives douleurs permettraient de faire le diagnostic de polynévrite. . Enfin l'affection de notre
n microscopique du système nerveux, vinrent pleinement confirmer le diagnostic de polynévrite. Ce sont les résultats de ces re
circonstances fort diverses. 4° Nerfs périphériques. Par suite du diagnostic de polynévrite qui avait été porté, l'intérêt s
isser rapidement les traits essentiels, confirme péremptoirement le diagnostic de polynévrite. La survie de la malade nous a f
3 éléments d'épaisseur. Cette lésion, importante au point de vue du diagnostic de syphilis, qu'elle suffirait à légitimer, ne se
yélite et la méningite cérébro-spinale épidémique et la question du diagnostic dif- férentiel entre ces deux maladies. ' Pui
ie ? J'examinerai, en outre, la ques- tion, si souvent discutée, du diagnostic différentiel entre la poliomyélite et la polyné
LITE AIGUË, PARTICULIÈREMENT DES SYMPTÔMES DE MÉNINGITE AIGUË ET DU DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL ENTRE LA POLIOMYÉLITE ET LA MÉNING
tous les cas d'une poliomyélite aiguë, mais ils hésitent, quant au diagnostic différen- tiel, avec une méningite céi-ébiosoin
te ; au contraire, il propose d'employer le signe de Kernig pour le diagnostic différentiel entre la méningite et la poliomyélit
réquent (Scheltema, van der Bergh) et Boonacker hésite aussi sur le diagnostic différentiel entre la poliomyélite et la méning
ours de la poliomyélite aient souvent causé des difficultés pour le diagnostic différentiel' avec une mé- ningite cérébro-spin
La numération dans les cas où, dans l'état actuel de la science, le diagnostic ne nous fait pas présumer une augmentation des
maladie est si nette qu'ils ont une importance considérable pour le diagnostic différentiel ; c'est-à-dire que, si nous nous t
ces derniers temps, nous avons observé un cas où cette loi pour le diagnostic différentiel nous a rendu de très grands services
ic différentiel nous a rendu de très grands services et, quoique le diagnostic soit restéjusclu'à, un certain point indécis, l'o
longtemps pour provoquer une dysp- née ou une cyanose marquée. Le diagnostic de ce cas présente assurément des difficultés trè
ndineux. Contre ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 401 ce diagnostic parle naturellement l'anesthésie caractéristique
la paralysie a été pour nous une autre raison très forte contre le diagnostic d'une poliomyélite aiguë. A ce moment-là, nous
nostic d'une poliomyélite aiguë. A ce moment-là, nous avons fait le diagnostic d'une hématomyélie, s'é- tendant sans interrupt
t employer cette conception sur les voies de la sensibilité pour le diagnostic de ce cas. Il n'y avait d'abord que de l'anal-
e qui serait par conséquent la cause de tous les symptômes. Mais le diagnostic d'une myélomalacie nous semble moins improbable q
e diagnostic d'une myélomalacie nous semble moins improbable que le diagnostic d'une hématomyélie primaire, plus tard compliquée
ite secondaire. En tout cas nous pouvons sans hésitation écarter le diagnostic d'une poliomyélite aiguë (comme nous l'avons fa
on XI nous fournit un exemple des difficultés qu'il y a de faire le diagnostic différentiel entre une méningite qui a quelque te
te beaucoup de ces cas dans une épidémie, il est bien évidentque le diagnostic différentiel ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLI
s auteurs sont quelquefois demeurés dans l'indécision pour faire le diagnostic entre ces deux maladies épidémiques (Caverly, M
épidémiques (Caverly, Macphail, Mackenzie, Boonacker). z Pour ce diagnostic différentiel, l'examen cytologique du liquide cé-
n nous voulons remarquer qu'il y a quatre cas où nous avons fait le diagnostic d'une méningite séreuse : nous y reviendrons bi
cytologiques faites après ponction lombaire. Quant à la question du diagnostic différentiel entre la poliomyélite ai- guë et l
rs ayant étudié les épidémies norvégiennes, traitent la question du diagnostic différentiel entre les deux maladies comme une
s comme une question encore indécise (Harbitz et Scheel). Pour ce diagnostic différentiel, nous croyons que les résultats de l
idémique peut certainement avoir une très grande importance pour le diagnostic entre les deux maladies. Pour notre part, nous
tre les deux maladies. Pour notre part, nous jugeons la question du diagnostic différentiel en- tre la poliomyélite et la méni
UR LA POLIOMYELITE AIGUË 417 l - ple, et nous ne croyons pas que ce diagnostic puisse causer de difficultés, si nous nous trou
re dans un certain nombre de cas ou dans une véritable épidémie, le diagnostic différentiel ne doit pas être difficile; mais,
icile; mais, si nous nous trouvons devant des cas spo- radiques, le diagnostic différentiel peut certainement être très difficil
duise de parésie. Dans lous les cas où il a des difficultés pour ce diagnostic différentiel, nous croyons, d'après notre expér
gique par la ponc- tion lombaire un moyen très précieux de faire le diagnostic . Si le diagnostic différentiel entre la poliomy
tion lombaire un moyen très précieux de faire le diagnostic. Si le diagnostic différentiel entre la poliomyélite et la méningit
ne fait pas trop de difficultés, il en est tout autre- ment pour le diagnostic entre la poliomyélite et la méningite séreuse. En
Quand il y a les paralysies caractéristiques de la poliomyélite, le diagnostic différentiel ne peut causer aucune difficulté.
s méningites sé- reuses, il est hien évident que les difficultés du diagnostic différentiel 418 PETRÉN ET EHRENBERG doivent
nons aux cas sporadiques, nous avons perdu ce point d'appui pour le diagnostic , et il est bien naturel qu'il soit difficile da
e ne peut en- core se pencher en avant de façon normale. Quant au diagnostic de ces cas, une méningite séreuse ne nous semble
mais, comme tous les symptômes ont disparu en quelques semaines, ce diagnostic sem- ble difficile ci accepter. Par conséquent,
ci accepter. Par conséquent, une méningite séreuse nous sem- ble le diagnostic le plus probable ; toutefois, il faut se rappeler
ous semble im- probable qu'il s'agisse de cas de poliomyélite. Le diagnostic différentiel entre les cas de poliomyélite avec m
essayant d'empêcher le mouvement). Par conséquent, on peut faire le diagnostic d'une parésie des muscles du dos, qui sont les ex
s suivi la malade : nous ne pensons pas que cela puisse infirmer le diagnostic porté : il est établi en effet d'une part que l
re cas nous per- mettra d'être brefs dans la justification de notre diagnostic . Mario Palazzi représente en effet un cas class
de ses organes génitaux nous font mettre de côté actuelle- ment le diagnostic de gigantisme infantile. Nous avons dit que Pal
ventricule gauche est de 1 cm. 1/2; le muscle est d'un rouge brun. Diagnostic : Récente pachyméningite hémorragique interne. At
u con- jonctif fibreux. Il résulte de cette étude histologique le diagnostic suivant : mé71>7go-céplta- lile et méningo-m
e facilité pendant la vie du ma- lade et peut ainsi aidera faire un diagnostic précis dans les cas, qui ne sont pas très rares
pection, la palpation etc. il serait impossible d'obtenir. Ainsi le diagnostic reste comme je l'ai déjà indiqué, chose assez f
ez facile : de telle façon qu'une minutieuse discussion au sujet du diagnostic différentiel serait complètement inutile. Il es
peuvent pas être prises en considération comme une donnée utile au diagnostic différentiel que nous discutons. L'examen éle
pas comme des plus typiques, il n'est pas difficile de défendre le diagnostic d'ostéite déformante. L'âge auquel surviennent
s du tronc sont épaissis. Ceci est très important pour établir le diagnostic d'ostéite 'déformante et devra nous faire admet
bres supérieurs et le crâne. Je crois avoir suffisamment discuté le diagnostic différentiel de mon cas; il ne vaut pas la pein
ces chez le sujet, leur coloration, permettent d'éviter l'erreur de diagnostic . Il ne s'agit pas certainement de gelures, puis
ée de 30 ans, observée à la clinique, et pour laquelle j'ai fait le diagnostic de tumeur du cerveau, à gauche, probablement du l
r les troubles moteurs de la vessie comme un moyen précieux pour le diagnostic différentiel entre la myélite ordinaire et diffus
té faites par M. Pisani. 582 ETTORE LEVI ET GIUSEPPE FRANCHINI Le diagnostic rétrospectif de l'infeclion syphilitique par la m
c. fr. de Dermat. et Syphil., novembre 1894, p. 522. GIOAOA.^11. Le diagnostic des tumeurs de l'hypophyse par la radiographie .
ut entre 8 et 10 ans une maladie éruptive dont il ne connaît pas le diagnostic . Il passe pour prati- quer indistinctement l'ho
amen sérieux. Les sensibilités profondes parais- saient indemnes Le diagnostic de syndrome de Wéber était évident ; on s'était
miplégie spastique droite. Cet ensemble symptomatique im- posait le diagnostic de lésion bulbaire ou bulbo-protubérantielle gauc
a néoplasie permettaient, comme nous venons de le dire, de poser le diagnostic de gliome. C'est ce que vint confirmer l'examen
et la mort. L'évolution clinique pouvait-elle mettre sur la voie du diagnostic exact de gliome ponto-bulbaire ? Toute tumeur
o-bulbaire ? Toute tumeur encéphalique comporte, au point de vue du diagnostic , la constatation des signes généraux de néoplas
as démontre une fois de plus l'absence de ces signes généraux. Le diagnostic de localisation bulbo-protubérantielle put par co
tuberculeuses permettaient de poser avec beaucoup de probabilité le diagnostic de gliome. Nous avons vu le volume considérable
vi d'autopsie, où pour la première fois il a porté, intra vitam, le diagnostic exact de destruction de l'épiphyse en se basant
deuxième observation, il s'agit d'une jeune fille de 16 ans avec le diagnostic : hydrocéphalie grave secondaire à une tumeur d
tre patient fut atteint d'une affection broncho-pulmouaire,dont le diagnostic fut broncho-pneumonie apicale droite tuberculeu
tout aussi bien se rapporter à la mé- ningite. Raymond a basé le diagnostic différentiel (auquel il attribue'une valeur pra
SUR H POLIOMYÉLITE AIGUË 667 dessus ne peuvent servir pour faire le diagnostic entre la poliomyélite et la polynévrite, les ca
maintenant faire des mouve- ments très minimes avec les pieds. Le diagnostic de la polynévrite dans ces trois cas semble être
ce travail, me semblent bien être de nature à mettre en lumière le diagnostic différentiel entre les deux maladies. Je vais ind
moins d'une telle si équence qu'ils sont d'une haute valeur pour le diagnostic . De même, si nous passons à l'extension et à la
res, forme, comme on l'admet généralement, une raison forte pour le diagnostic d'une polynévrite (c'est-à-dire quand s'agit de f
de ces différences entre les deux maladies, je ne crois pas que le diagnostic fasse souvent de difficultés réelles. Comme exe
'attention sur quelques observations pu- bliées par Brissaud, où le diagnostic différentiel entre la poliomyélite et la polyné
. Journ., vol. XXII, p. 501, 1908. 13. Brissaud (E.) et Londe (P.). Diagnostic de poliomyélite et de névrite aiguë à propos de
hmiergeld. Un cas de paraplégie flasque des membres inférieurs d'un diagnostic difficile, Rev. neurol., t. XV, p. 169, 1907. 7
12 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de paralysie hystérique avec amyotrophie; mais il faut fonder ce diagnostic et démontrer rigoureusement que les différents
zone cru- rale ; et au premier abord rien ne semble contredire ce diagnostic : on s'explique en effet très bien de cette faç
inutile d'insister sur la portée de ce phénomène au point de vue du diagnostic . Quant à l'amyotrophie, il nous paraît de toute
chapitre précédent et nous rever- rons dans le suivant (à propos du diagnostic ), que l'individualité symptomatique est parfait
ile pour la physiologie pathologique générale de l'axe spinal. V. DIAGNOSTIC , PRONOSTIC ET TRAITEMENT. Les documents sont en
n cependant de rappeler les principes du DU TABES COMBINÉ. ' ` 35 diagnostic différentiel : c'est la conclusion naturelle de
rd qu'on a affaire à une maladie de la moelle : ce premier temps du diagnostic est commun à toutes les autres maladies spinale
toutes les autres maladies spinales. Mais cette première partie du diagnostic posée, il faut savoir distinguer le tabes combi
er ici les symptômes céphaliques parmi ceux qui peuvent servir à ce diagnostic diffé- rentiel. Car ils appartiennent aux trois
ôme qui, dans certains cas, aura une très grande importance pour le diagnostic que nous étu- dions. La loi de Westphal sur l
al d'autres troubles sensitifs qui enlèveront toute difficulté au diagnostic . Pour distinguer le tabes combiné d'une myélite
quand on les rapproche des phénomènes spinaux proprement dits. Le diagnostic est plus difficile avec la sclérose en plaques.
pendant il y a des signes qui, dans beaucoup de cas, permettront un diagnostic . 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. Les lésions de la sc
lement caractéristique qu'a décrit Charcot et qui enlèvera alors le diagnostic . . Dans le tabès combiné, tout marche au contra
ations suivies d'autopsie. Le pronostic est plus difficile que le diagnostic ; mais c'est là un principe général. En présenc
général. En présence d'une maladie quelle qu'elle soit, on fait son diagnostic , on indique le traitement : ce qui embarrasse l
es caractères cliniques sont assez tranchés pour rendre possible le diagnostic différentiel. Le tabes combiné a beaucoup d'i
ctions présentent entre eux une si com- « plète ressemblance que le diagnostic différentiel ne peut être « établi que par l'hi
ortance considérable que ces faits peuvent avoir au point de vue du diagnostic de la paralysie générale au début, l'auteur fai
donble paralysie de l'oculomoteur externe, de sorte qu'au début le diagnostic était impossible. Plus tard se montrèrent les aut
eau de la partie inférieure du plancher du quatrième ventricule. Le diagnostic ne pouvait hésiter qu'entre une contracture spa
. On a sans doute confondu, jadis, souvent tabès et polynévrite. Le diagnostic différentiel réside dans l'examen élec- trique
her sont en faveur de la simulation, qui, du reste, n'exclut pas le diagnostic de débi- lité mentale simultanée. M. LmAN. Le
lle n'en reste pas moins un symptôme de première importance pour le diagnostic de l'hystérie. Dans l'épilepsie pure, d'après n
que, épileptique, paralytique. vésanique, etc.), au point de vue du diagnostic , du pronostic, du traitement et de la méde- cin
que où l'hys- térie chez l'homme n'était VIS encore connue, et le diagnostic exact n'avait pas été porté à ce moment; c'est
service des. Merklen, médecin du Bureau, central, qui con- firma le diagnostic de M. Brun et qui, après avoir gardé le ma- lad
E MUSCULAIRE. 183 18 \ CLINIQUE NERVEUSE. discuterons même pas le diagnostic . Il s'agit là, sans qu'il soit possible de le c
imple au point de vue électrique. Cette donnée pourrait servir au diagnostic dans un cas où l'on serait dans le doute pour s
décidé à rompre avec les traditions et à porter chez ces malades le diagnostic d'hystérie, aurait-il osé aller plus loin et at
cette idée lui était venue à l'es- prit, d'être affirmatif dans son diagnostic , et en pour- suivant l'examen de ses malades, i
es graves efforts de vomissements faits pendant le mal de mer. Ce diagnostic est naturellement donné sous toute réserve. La
avec athétose ; par LCFWENFELP. (tYezerol. CentralGl., 4 b8.) Le diagnostic est basé sur l'évolution de la maladie. Un homme
il attribue à des mouvements incoercibles des doigts des mains le diagnostic d'athétose primitive bilatérale périphérique, par
par excitation névritique ascendante des faisceaux pyramidaux. Ce diagnostic est vivement critiqué par E. Remake à propos d'un
xiste nulle part de réaction dégénérative. Malade en traitement. Le diagnostic émane de l'âge auquel ap- parurent les premiers
qui n'ont cessé de se montrer indemnes (facial) des deux côtés. Le diagnostic de iiévrite iiiulli- loculaire subaiguë émane d
. Guérison d'une promptitude remarquable, ce qui confirme encore le diagnostic et exclut l'idée d'une lésion des centres nerve
protubérance peuvent produire de nom- breux symptômes; néanmoins le diagnostic se trouve relative- ment facilité par l'associa
guérison complète en six mois de traitement. L'au- teur discute le diagnostic différentiel entre la poliomyélite antérieure s
s, ni-l'examen ne fournissent aucune trace de signe en faveur de ce diagnostic . Mort malgré la prescrip- tion de K I et sublim
n sur l'existence du coma et l'héllliparesie gauche qui excluent le diagnostic d'hystérie. En ce qui a trait aux allures du ph
%. f. Psych., XVI, 3). I. Hémianopsie temporale gauche unilatérale. Diagnostic erroné de tumeur cérébrale. La constatation suc
ds, troubles de la sensibilité justifie- raient en quelque sorte le diagnostic de tumeur à progression lente siégeant dans la
ncées tout le long du rachis; mort par paralysie de la respiration. Diagnostic ainsi formulé : méningo-myélite aiguë ; la myél
e leurs caractères (voy. le texte) élimine, d'après M. Mercklin, le diagnostic d'hystérie. Le malade est encore en observation
és, dans la pluralité des faits, il a été impos- sible d'établir un diagnostic et un pronostic convenables. L'auteur communiqu
ns nerveuses quatre ans auparavant après une chute d'un arbre. Le diagnostic ne pouvait hésiter qu'entre l'hystérie et une m
s est évident et je ne veux pas hésiter plus longtemps à établir le diagnostic d'hystérie. OBSERVATroN VL-5..., soldat de vi
ouverts et fermés. Il peut même courir. Je ne m'étendrai pas sur le diagnostic : il est évi- dent. · Faisons maintenant un r
a pas d'importance pour l'étiologie de la maladie. Par rapport au diagnostic , on peut diviser tous les cas ci-dessus en deux
les accès accompagnés de convulsions hystéro-épilep- tiques, où le diagnostic est extrêmement facile même pour ceux qui ne so
ara- piégé (cas 6). Ce qui contribue considérablement à porter un diagnostic certain, ce sont les troubles par- tiels de la
articulation tibio-tarsienne et à celle du genou. Dans la suite, le diagnostic est confirmé par la prompte disparition de tout
sies, ces dernières restaient au statu quo; mais, aussitôt que le diagnostic était établi, et que j'avais recours aux exerci
L'enfant dont il s'agit était évidemment atteinte de myxoedème ; ce diagnostic avait été confirmé par M. Charcot. Nous ajouter
e l'absence de tout goitre, et que Legrand du Saulle avait porté le diagnostic de crétinisme. Les deux cas suivants sont empru
le des organes génitaux externes et internes. M. Routh a porté le diagnostic de crétinisme spora- dique avec myxoedème, diag
th a porté le diagnostic de crétinisme spora- dique avec myxoedème, diagnostic qui fut confirmé successivement par MM. Gowers,
Les différents certificats inscrits sur les registres portent les diagnostics suivants : Idiotie avec arrêt de développement (M
symptômes présentés par la malade sont suffisants pour justifier le diagnostic de crétinisme sporadique qu'il considère comme
ne croit pas à l'état crétinoïde avec cachexie pachydermique. Le diagnostic de myxoedème nous paraît cependant devoir être
comme ayant 4 à 5 fois son volume normal. doit être léservé, car le diagnostic de myxoedème nous parait discutable. Dans les c
nce des autres signes myxoedémateux permet de faire facilement le diagnostic . Le. diagnostic entre le myxoedème et la scléro
ignes myxoedémateux permet de faire facilement le diagnostic. Le. diagnostic entre le myxoedème et la sclérodermie s'établit
-huit ans, elle entre dans le service de M. Trélat, qui porte comme diagnostic : Manie hystérique. On avait voulu la faire mar
unn étaient normaux quoique très roses (hyperémie physiologique). Diagnostic . Le Dr Beevor et moi nous avons montré que les
malade disait que son bras droit était faible pour quelque temps. Diagnostic . - Dans une communication (Proceedings of the Roy
juste au-dessous de la légère dépression du crâne. Faisant le même diagnostic , il pratiquait l'opération exploratrice suivant
ides qui constituent des types ; le clinicien qui veut affirmer son diagnostic et distinguer entre les modalités psycho- pathi
ubles de la motilité, L'auteur porte sur les deux premiers faits le diagnostic de lésion du centre cortical mo- teur, sur les
physiologie et de la pathologie. Charpentier. X. Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encéphale basé sur l'étude de
l'observation rapprochée des résultats de l'autopsie pour faire le diagnostic topographique des lésions en foyer de l'encépha
mes de déficit, phénomènes d'arrêt, phénomènes d'excitation pour le diagnostic local, la localisation des lésions. Nous devons
senter les médecins. Alors seulement, lesimé- decins réunis font le diagnostic et le pronostic pour décider du trai- dent en c
ites le 28 juillet se composent des questions suivantes : Signes et diagnostic de la fièvre typhoïde. Diagnostie de la hernie
uinale. Attaque d'épilepsie, fracture de la clavicule. Symptômes et diagnostic de la pleurésie aiguë. Fractures des côtes. La
des côtes. La question traitée par les candidats était : Signes et diagnostic de la fièvre typhoïde et diagnostic de la herni
les candidats était : Signes et diagnostic de la fièvre typhoïde et diagnostic de la hernie inguinale. A la suite de ce concou
13 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
publiés par MM. Philippe et OberthÜr (1). D'ailleurs, l'étude du diagnostic différentiel de la maladie de Friedreich nous c
es polynévritidues. C'est plutôt pour mémoire que je rappellerai le diagnostic avec le tabes dorsalis. L'âge de Louise V..., l
eich, principalement par son caractère familial. Mais je réserve ce diagnostic pour la discussion qui fera l'objet d'une prochai
énérique d'ataxie familiale ? Tel est, messieurs, bien établi, le diagnostic de la maladie de Louise V... Le moment est ve
signes im- portants et suflisants pour esquisser un commencement de diagnostic topogra- phique, savoir : 1° L'hémiparaplégie
normal de la région cervico- dorsale. En résumé, les éléments du diagnostic topographique convergent, comme nous le faision
de ces supposi- tions. D'ailleurs,il est de bonne règle, lorsqu'un diagnostic comporte un mauvais pronostic, de chercher autr
is pronostic, de chercher autre chose, et lorsque deux ou plusieurs diagnostics d'égale valeur sont en présence, de choisir d'a
sion segmentaire et ses conséquences. Nous avons donc posé les deux diagnostics successifs suivants : 1° Diagnostic anatomique
Nous avons donc posé les deux diagnostics successifs suivants : 1° Diagnostic anatomique ; myélite transverse ; 2° Diagnostic
ifs suivants : 1° Diagnostic anatomique ; myélite transverse ; 2° Diagnostic pathogénique : myélite segmentaire métatraumatiqu
y a cinq ans, j'avais, sans grande conviction d'ailleurs, établi le diagnostic de sclérose en plaques de forme fruste, d'une d
réflexes, pas de nystagmus. La neurologie a évolué depuis 1885. Le diagnostic de M. Jaccoud ne reçut pas, à ma connaissance,
es, contient des arguments qui peuvent servir ébranler fortement le diagnostic de ces formes. En 1885, le syndrome du déficit
fire pour réaliser un ramollissement limité du vermis supérieur. Ce diagnostic de localisation ne saurait évidemment être défini
paraphasies(l). Il y aurait de ce fait un intérêt,réel à établir le diagnostic exact des aphasies amnésiques, puisqu'on pourra
t l'autopsie de'certains vieillards chez lesquels on avait porté le diagnostic de maladie de Paget en évolution, notre maître,
F et Il. 68 uocQour ET MOUTIER reviendrons plus loin à propos du diagnostic , l'absence de douleur à la pression des os, d'a
r part un certain nombre d'entre eux. Après avoir traité ce côté du diagnostic , nous nous efforcerons de déterminer la place q
la confusion : l'illusion est due à la vue, le palper fait faire le diagnostic . Après avoir étudié les signes communs aux deux
retrou- vées chez nos malades et acquérant ainsi au point de vue du diagnostic une valeur positive. Le thorax est tout différe
moins prononcée des membres. Nous n'aurions pas songé à discuter le diagnostic de certains détails du syn- drôme que nous avon
s les termes de moria, de Witzel- sucht ou d'euphorie joviale. Le diagnostic du puérilisme démentiel sénile s'impose par le ca
econnaissent à sa bonne mine pour un gentilhomme, ils confirment ce diagnostic en le faisant déchausser, en constatant qu'il por
ements fort exacts que nous avons recueillis. Dans l'étude de son diagnostic différentiel, ce caractère familial nous permet
d'ordinaire comme un signe d'importance capitale au point de vue du diagnostic . Le cas d'Henri R... occupe donc une place enco
nt-ils au moins fournir des résultats assez probants pour étayer un diagnostic posthume d'hérédo-ataxie cérébelleuse ? « Le
vant la mort. Je me suis donc cru autorisé à porter dès le début le diagnostic de maladie de Friedreich et l'évolution de la m
Eschares profondes et exitus en mai 1901. L'autopsie confirma le diagnostic de tumeur de la région frontale. La pl. XXIV mo
rire idiot. quitta la'clinique en avril 1896 quelque peu amélioré. Diagnostic probable : sclérose en plaques. Le 23 novembre
ésence d'une papillite (Stauungs-papille) tout à fait prononcée. Le diagnostic de tumeur de la région des corps quadrijumeaux
é. Gâ- tisme. Exitus le 10r novembre 1902. L'autopsie confirme le diagnostic de tumeur intracrânienne, Poids du cer- veau se
albumine dans les urines. En présence de ces symptômes, on pose le diagnostic de tumeur ( ? ) de la calotte pédonculaire au v
à plusieurs reprises s'est occupé de cette question le problème du diagnostic topographique qui se pose à leur sujet, est bea
turcique. C'est donc, on le voit, une question de définition et de diagnostic , non une question d'anatomie pathologique, enco
ence d'un souffle rude à la partie moyenne du ventricule et fait le diagnostic de communication inter- ventriculaire. Une fo
état syncopal. C'est au cours de cette convalescence qu'on pose le diagnostic de rétrécissement de l'artère pulmonaire. Depui
Il entre dans le service de M. le professeur Graziadei qui pose le diagnostic de fièvre typhoïde, diagnostic qui fut plus tard
le professeur Graziadei qui pose le diagnostic de fièvre typhoïde, diagnostic qui fut plus tard confirmé par la séro- réactio
'une observation très difficile à étudier. Elle fut envoyée avec le diagnostic d'hé- moglobinurie paroxystique. Toutes les nui
tous les phénomènes morbides, et que sur les données des traités de diagnostic nous avons marqué d'un nom le tableau symptomat
ente, nous avons fait bien peu de chose. Lorsque nous avons posé le diagnostic de « maladie de Quinke », nous n'en savons pas
ni du coeur, ni des vaisseaux, ni même des signes d'hystérie, notre diagnostic n'est pas douteux. Notre première observation se
nt. Antécédents personnels. - Syphilis probable. A son entrée, le diagnostic de paralysie générale fut porté par le Dr Blin.
ut transféré de l'hôpital à l'asile Ste-Anne. Le Dr Magnan porta le diagnostic de paralysie générale. A l'entrée, il présente de
ile et dure qui acquiert rapidement le volume d'une grosse noix. Le diagnostic de gomme du masséter fut porté; sous l'influence
taient difficiles et la marche devenait de plus en plus pénible. Le diagnostic de tabes fut porté à la consultation de la Salpè-
ns, cocher, entre à l'asile de Vaucluse le 10 décembre 1902 avec le diagnostic de P.G., avec idées hypochondriaques (Dr Magnan).
gé de 45 ans, entre à l'asile de Vaucluse le 18 avril 1903, avec le diagnostic de P. G. porté par les D" Legras et Magnan. Il
1902, venant de l'hôpital Saint-Antoine, où le Dr Thoinot, porta le diagnostic de paralysie gé- nérale progressive avec agitat
renseignement sur ses antécédents héréditaires et personnels. Le diagnostic de paralysie générale a été porté par les D" Legr
de paralysie générale a été porté par les D" Legras et Magnan ; ce diagnostic est confirmé ; le malade présente de l'affaibliss
gal, il bénéficia d'un non-lieu et fut interné à Sainte- Anne. Le diagnostic de paralysie générale porté par les D°9 Dubuisson
présentait des troubles moteurs, sensoriels et mentaux tels que le diagnostic des lésions causales put être fait très exactem
renseignement de la part de la famille, ne pouvait-il permettre un diagnostic exact : l'aspect de la main et du pied du côté pa
ture réelle de l'affection, et que certains d'entre eux ont émis le diagnostic d'hystérie et de nature psychique des accidents
gestion sous toutes ses formes) nous avait permis déjà d'écarter le diagnostic d'hystérie; mais l'évolution ultérieure de l'af
ie; mais l'évolution ultérieure de l'affection fut conforme à notre diagnostic de myasthénie grave,et enfin la mort au milieu
ait toujours 0°, 5-1° Il plus basse que celle de la peau voisine. Diagnostic . Nous avons vu les caractères cliniques de l'oedè
due, quels caractères morphologiques pourrons-nous invoquer pour le diagnostic ? les plaques ortiées sont pâles, sont étendues
de Quinke de couleur rosée et qui démangent, comment ferons-nous le diagnostic ? '1 Le critérium étiologique a été alors invoq
nique qui aboutissent à la guérison après un 278 VALOBRA blir son diagnostic d'altération trophique pratiqua la recherche de l
que à cette observation, et que des détails si précis confirment le diagnostic de maladie de Paget chez un sujet qui avait l'at-
exactement localisé le point de départ du proces- sus en portant le diagnostic de polio-encéphalo-myélite. En fait, les divers
are dans l'hérédo-ataxie cérébelleuse, nous permettent d'écarter ce diagnostic . Reste la paraplégie spastique familiale, telle
rvation de deux malades, frère et soeur, chez les- quels il fait le diagnostic de pseudo-sclérose en plaques de Westphal et qu
ur Georges H... Avec ce malade on a fait, et on devait le faire, le diagnostic d'hérédo- AFFECTION SPASTIQUE BULBO-SPINALE FAM
417 ataxie cérébelleuse, alors qu'aujourd'hui la possibilité de ce diagnostic est tout à fait excluse (1). Un autre fait qu
. Pierre Marie, à la Société de Neurologie, inclina en faveur de ce diagnostic . 418 ' BALLET ET ROSE Hodge.. Brit. med. Jour
on trouve un ensemble de signes qui con- duisent inévitablement au diagnostic de lésion bulbaire, probablement bilatérale, ma
otence fonc- tionnelle des quatre membres ; notre maître formula le diagnostic de myopathie primitive ; progressive familiale.
on d'entrer ici dans les détails, mais avant d'appliquer à certains diagnostics à chirurgicaux les notions maintenant classique
mènes hystériques ont deux propriétés essentielles, permettant t un diagnostic précis : 9 Leur reproduction par suggestion che
doivent nous guider dans l'étude des accidents hystériques dont le diagnostic nous intéresse : les contractures et les pa- ra
rès, à l'étude du symptôme en soi. 446 BROCA ET Illinnl;'iET Le diagnostic sera facile lorsqu'existera cette véritable diath
oire s'est installée assez lentement. Un autre élément important de diagnostic est fourni par l'existence d'une cause occasion
Celle-ci est presque indolore et nous avons alors un bon élément de diagnostic , car une lésion ostéo- articulaire ne provoque
ne se déviait que le matin au réveil. Quant le fait est observé, le diagnostic est de toute évidence. Un dernier point doit êt
uisque de stigmates il n'est pas question, capables de justifier ce diagnostic . A l'aide de ces caractères généraux, nous sero
ed redevenu souple. Exeat, le 30 septembre. Les motifs de notre diagnostic sont faciles à déduire de l'observation ci-dess
urs la douleur aux mêmes points. La preuve thérapeutique rend notre diagnostic certain : sans elle nous fussions restés embarr
eté désignes névropathiques, on n'en persiste pas moins à porter le diagnostic de contracture hystérique, que le traitement d'ai
sensoriel. Devant une telle évolution, on n'hésite pas à porter le diagnostic de tortico- lis par contracture hystérique, et
ni d'hyperesthésie, aucun signe sensoriel. Malgré tout on porte le diagnostic de torticolis hystéro-traumatique. On sou- met
où la suggestion joue le rôle principal, n'en sera pas modifié. Le diagnostic n'offre pas grande difficulté, car dans le tort
er l'histoire qu'après plusieurs mois d'observation, ce qui rend le diagnostic certain. Ol3s. V. Scoliose hystél'o-tmumatique.
région ovarienne est particulièrement sensible à la pression. Le diagnostic de scoliose névropathique est posé par éliminatio
e se maintenait. Les motifs pour lesquels dans cette observation le diagnostic de scoliose hystérique est fait sont assez faci
e affection, chaque malade a ses allures originales, d'où dépend le diagnostic différentiel, tantôt avec un mal de Pott, tantô
même existé pendant toute la maladie sans gibbosité. Ces cas, d'un diagnostic toujours délicat, se reconnaissent surtout à de
le mode de début, l'état stationnaire depuis six mois rendaient ce diagnostic peu probable : mais on a déjà vu des cliniciens a
mois plus tard, à l'autopsie, une tumeur encéphalique. Ce dernier diagnostic ne pouvait être éliminé d'emblée, et il nous a
n d'ordre chirurgical, et de montrer comment nous sommes arrivés au diagnostic . De l'étude de ces différentes observations, ta
fort complexe, et d'une interprétation parfois difficile. Quant au diagnostic , nous avons vu qu'il peut reposer sur l'étude de
ronostic doit être jusqu'à certain point réservé dans ces cas où le diagnostic est fait tardive- ment : ce n'est pas impunémen
édia- blement. Cette éventualité'suffit à montrer l'importance du diagnostic qui doit entraîner immédiatement la mise en oeu
Ollier, les nanismes divers, etc., etc., seront abordés à propos du diagnostic et de la pathogénie. xi ii 32 482 PORAK Er DU
l'antiquité de ce trouble de développement dont on peut établir le diagnostic rétrospectif aussi bien chez certains dieux de
e rachitisme, mais dont Porak, P. Marie, Regnault ont pu établir le diagnostic rétrospectif. Le dieu égyptien Phtah, le dieu H
tte même catégorie. Plus près de nous, enfin, Regnault pose le même diagnostic pour le nain Oweu Farel mort en 1742 qui avait
ondroplasique est aujour- d'hui bien établi et permet d'en faire le diagnostic par simple inspection. Nous attirerons plus loi
ostic par simple inspection. Nous attirerons plus loin, à propos du diagnostic , l'attention sur un certain nombre de points qu
er entre elles, aussi nous paraît-il encore prématuré d'établir un. diagnostic ferme il propos de ces formes anormales en l'ab
érera avec l'âge et présente une certaine valeur au point de vue du diagnostic de l'achondroplasie d'avec les autres dystrophies
hypoplastique de Kaufmann. En l'absence d'examen his- tologique, le diagnostic doit, nous semble-t-il, demeurer en suspens, car
c, en dehors des cas types, nécessaire actuellement pour asseoir un diagnostic cer- tain ; il est indispensable pour s'assurer
possédait des mem- bres inférieurs courts, ramassés et boudinés. Le diagnostic posé avait été : achondroplasie limitée aux mem
miner la micromélie sont multiples. Nous les étudierons à propos du diagnostic . Il importe de les connaître, de les avoir pré-
ider ces différences en recher- chant chez l'animal les éléments de diagnostic histologique que nous avons constatés chez l'ho
proposons d'en reprendre l'étude dans un travail ultérieur. IV DIAGNOSTIC Pris isolément, les principaux symptômes cliniq
ses saillantes sont des pré- somptions suffisantes pour soutenir le diagnostic . Sur le squelette, les déformations angulaires
thognomonÙ/lte de cette affection il sa période d'état. A propos du diagnostic , nous passerons en revue les divers nanismes et i
génitaux se développent normalement chez ! 'acb6ndropiasique. Le diagnostic est d'autant plus intéressant à poser que, chez l
ré qu'il s'agissait de rachitisme type. 518 PORAK ET DURANTE Le diagnostic clinique du nain rachitique s'établira sur l'aspe
de ces affections sont assez tran- chés pour pouvoir en établir le diagnostic , à la condition de s'aider de la radiographie p
actères particuliers qui nous mettraient aujourd'hui sur la voie du diagnostic exact. Si LES MICROMÉLIES CONGÉNITALES 519 no
l'étude de l'a- chondroplasie et d'en avoir apporté les éléments de diagnostic . Il importe, enfin, de ne pas oublier que les d
lière. Il I se peut aussi que la syphilis en soit la cause. 4° Le diagnostic entre l'Achondroplasie et la Dysplasie périostale
but acquis ou congénital que l'on trouvera l'élé- ment essentiel du diagnostic , mais dans les caractères cliniques et surtout
n de la clinique que de réunir de parti pris tous les faits dont le diagnostic différentiel est difficile ? ` ? Dans le cas
stic différentiel est difficile ? ` ? Dans le cas particulier, le diagnostic clinique est, croyons-nous, toujours possible e
ogrès de la science permettent peut- être quelque jour d'établir un diagnostic étiologique plus précis,et de distinguer les ac
rmet d'affirmer avec la plus grande certitude l'exactitude de notre diagnostic . Cette ressemblance entre notre cas et les autr
fesseur Obregia, nous avons pu étudier un second cas dans lequel le diagnostic d'achondroplasie est encore celui qui convient
s symptômes positifs dépasse celui des symptômes négatifs. Aussi le diagnostic d'achron- droplasie nous semble le meilleur mal
une méningite appréciable à l'autopsie (Léri). Le plus sou- vent le diagnostic de l'origine syphilitique trouvera un appui dans
qui le premier a mis ces faits en lumière, en tirait un élément de diagnostic pour la pseudencéphalie au cours de la grossess
Je n'y contredirai pas. Toutefois, il convient de remarquer que le diagnostic de pied-bot est le plus ordinairement porté, en
ence, d'après l'aspect superficiel seul. Rarement, sinon jamais, le diagnostic a été contrôlé par l'étude directe de l'articul
aladie exostosi- que qu'il nous resterait à étudier, c'est celui du diagnostic différentiel avec les diverses malformations ou
ataracte secondaire). Peut-être y a-t-il du décollement de la rétine ( diagnostic du professeur Tartuferi). Cet enfant présenté d
ifficile, selon moi, par le seul examen macros- copique de faire un diagnostic différentiel exact entre exostoses et enchon- d
use, sous laquelle on trouve les tissus osseux, propose comme moyen diagnostic différentiel' l'acupuncture. « Si l'épingle, di
des sujets, le développement surtout de la tumeur, s'opposent à ce diagnostic . En ce qui concerne mon VIe cas, où l'exostose
ute de simplifier la discus- sion et d'arriver plus rapidement à un diagnostic rationnel. 672 RudLer ET rondot , Myopathies
ple). Joseph LAULAIGNE. - Contribution à l'étude de l'anencéphalie. Diagnostic pendant la grossesse et l'accouchement. Thèse d
14 (1913) Exposé des travaux scientifiques
ce du réflexe achilléen constitue un signe de grande valeur pour le diagnostic de la névrite et du tabes, qu'il est une manife
s du côté paralysé. Ce réflexe pathologique qui, au point de vue du diagnostic , a ceci d'important qu'il peut permettre de déc
que 54 SÉMIOLOGIE je viens de spécifier, constitue, à l'appui du diagnostic de perturbation du système pyramidal, un signe
qu'il y aurait lieu de prendre en considération au point de vue du diagnostic . Il s'en faut, d'ailleurs, qu'il soit pathognom
on peut dire que dans certains cas la ponction lombaire apporte au diagnostic un élément très impor- tant et que parfois elle
en particulier, il n'existe aucune ébauche du signe de Kernig. Quel diagnostic porter ? La ponction lombaire donne issue à un
pus délayé dans du liquide céphalo-rachidien et du coup s'impose le diagnostic de méningite cérébro-spinale à forme ambulatoir
quer que dans aucun des 6 cas de lymphocytose nette qui restent, le diagnostic clinique n'est suffisamment établi pour exclure
ilité d'un tabcs ou d'une paralysie générale ; dans 2 cas même, ces diagnostics sont presque probables. « Il semble donc que
ravail est fondé étaient au nombre de trois ; dans 2 de ces cas, le diagnostic fut vérifié à l'autopsie. « Les faits que nous
ment t cortical. On peut même l'affirmer pour l'observation I où le diagnostic a été vérifié l'autopsie. « De plus, l'élude
ar exemple, et qui peut servir, dans un cas dou- teux, à établir le diagnostic de sciatique. Celle donnée est devenue classiqu
nce d'un malade qui se plaint de douleurs au bras on se contente du diagnostic vague de rhumatisme. Cette variété de lésion du
dont la raison, d'ailleurs, nous échappe entièrement, un caractère diagnostic absolu. » En rapprochant la paraplégie spasmodi
lition du réflexe rotulien et il a une valeur prépondérante pour le diagnostic du tabès à son début ; cela se conçoit TABES 91
es ont-elles des caractères intrinsèques permettant d'en établir le diagnostic , abstraction faite des signes con- comitants qu
rachidien donna un résultat négatif, et il en fut de même du cyto- diagnostic ; j'ajoute qu'à la suite d'un traitement par le s
u tabes, dont mes études sémiologiques ont contribué à faciliter le diagnostic , étaient souvent méconnues jadis. Depuis longte
atténuation notable des troubles visuels sont en opposition avec le diagnostic de tabes. Ce fait se distingue du pseudo-tabes
sicaux. Comme dans le cas précédent, il fut pos- sible de porter le diagnostic de compression spinale et de localiser celle-ci
d'une pachyméningite ; mais, à cet égard, on ne peut pas porter de diagnostic précis. Il est impos- sible aussi de dire si le
(il s'agis- sait en l'espèce d'une radiographie pratiquée en vue du diagnostic ). Huit jours environ après la première séance r
L'ENCÉPHALE ET DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE Diagnostic . On admettait autrefois que l'hémiplégie organi
cerner les deux espèces d'hé- miplégie. La fréquence des erreurs de diagnostic commises à cette époque faisait apparaître l'in
é des cas d'hémiplégie organique, grâce aux signes intrinsèques, le diagnostic peut aujourd'hui être établi avec certitude.
de balancement du bras. TUMEURS INTRA-CRANIENNES. OEDÈME CÉRÉBRAL Diagnostic . A. J'ai attiré l'attention sur ce fait que les
l, car on est exposé, quand on l'ignore, à commettre des erreurs de diagnostic dont les conséquences peuvent être graves. B.
ent de grande valeur à l'appui de cette idée. Pouvant conduire à un diagnostic précoce do néoplasme inlra-crû- nien et dénotan
tômes cérébelleux que j'ai décrits (voir pp. 136-157) facilitent le diagnostic des tumeurs intéressant le cervelet. Quand ils
s indications précises (voir p. I ( I ). Ces symptômes servent au diagnostic des tumeurs ponto-cérébel- leuses qui se manife
nt le même côté ; c'est là une donnée importante au point de vue du diagnostic . Comment expliquer l'adiadococinésie ? Voici l'
re, et il faut que les aides la tirent en avant. » Conormément au diagnostic qui avait été porté, on put constater, à la nec
grés, se montait à t,li ? 8 seconde. L'examen permit d'écar- ter le diagnostic d'affection labyrinthique. Gall mit alors ce tr
forme syrin- gomyélique. AFFECTIONS DE L'APPAREIL VESTIBULAIRE Diagnostic . Troubles du vertige voltaïque. Depuis quelqu
gnostic. Troubles du vertige voltaïque. Depuis quelques années le diagnostic des affections de l'appareil vestibulaire a acq
tives aux accidents du travail. Ils peuvent contribuer à établir le diagnostic d'une affection organique du système nerveux ce
sus-indi- quées constituent des signes précieux au point de vue du diagnostic différentiel de la surdité hystérique et de la
maintenant autorisés à dire que ce mode d'investigation apporte au diagnostic des lésions de l'appa- reil vestibulaire des do
e a été fréquemment signalée ; mais, dans les faits de ce genre, le diagnostic d'ataxie s'imposait, et il n'y avait aucune rai
ent à l'hystérie. Mais, pour aucun de ces faits, la vérification du diagnostic porté n'a été fournie ; générale- ment, ceux qu
aniques dont ils constituent, par conséquent, des attributs; que le diagnostic de ces deux espèces do paralysies, au lieu de s
so-moteurs, de l'hypothermie du côté paralysé ; en pareil cas, d'un diagnostic erroné d'hémiplégie hystérique on devait inévi-
actères d'authenticité excluant la simulation ? Bien loin de là. Le diagnostic différentiel de l'hystérie et delà simulation e
abès conjugal (Id., 5 avril igloo). 222 INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 5G. Diagnostic différentiel entre l'hémiplégie organique et l'hé
e et DE l'appareil ESTIBULAIRE .... 116 Hémiplégie organique Il G Diagnostic 1 G Modifications des réflexes tendineux mi P
ment du bras) 128 Tumeurs intra-cràniennes. OEdème cérébral 130 - Diagnostic 130 Traitement I 33 Médication hydrargyrique.
syringomyélique.. 166 Affections de l'appareil vestibulaire.. 167 Diagnostic 167 Troubles du vertige voltaïque 167 Désorie
15 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
vants : . a) Définition, caractérisation et individualisation; b) Diagnostic différentiel ; c) Pathogénie ; d) Conception
Développement intellectuel normal. L'examen du sang a confirmé le diagnostic du mal de Hodgkin (pseudo- leucémie lymphatique
même époque elle a présenté des troubles oculaires. A l'asile, le diagnostic de paralysie générale est confirmé par la ponctio
aississements de la pie-mère dépendent de la paralysie générale. Ce diagnostic a été confirmé par l'examen microscopique des c
J vail ne pourraient laisser, à notre avis, le moindre doute sur le diagnostic de l'acromégalie., i p , 1 . , < .»>,, 1
u des résultats assez remarqua- bles à mon avis, aussi bien pour le diagnostic que pour la pathogénie et le mécanisme de l'exp
ts de mes expériences contribuent considé- rablement à faciliter le diagnostic de l'épilepsie et de l'hystérie. En effet, la p
n mécanique de l'accès est d'une très grande valeur dans des cas de diagnostic différentiel entre l'épilepsie et l'hystérie, ent
he des réactions électriques, sont indispensables pour aboutir à un diagnostic précis. Mais le neurologiste un peu exercé pour
ur), la constatation de troubles vasculaires notables conduiront au diagnostic exact. III. LÉSIONS DU NERF médian. Le médian
t de la pression artérielle con- firmera d'ailleurs bien souvent ce diagnostic . Les troubles vasomoteurs sont caractérisés par
et. C'est cette particularité qui avait été la cause de l'erreur de diagnostic pour laquelle ils nous s avaient tous été adres
nous s avaient tous été adressés. C'est pour éviter des erreurs de diagnostic ana- logues qu'il nous paraît intéressant de le
deux semaines l'oedème dimi- nua, puis il augmenta à nouveau. Le diagnostic de syringomyélie fut alors posé, en se basant sur
réelle, des troubles vaso-moteurs et surtout trophiques comme signe diagnostic d'une section nerveuse complète. M. Meige, M. L
ES AIGUËS ÉPIDÉMIQUES. DEUX ÉPIDÉMIES MILITAIRES 215 D'ailleurs, le diagnostic d'envoi de nos malades a toujours été très va-
e certaine individualité clinique. Je n'insisterai pas ici sur le diagnostic à la phase d'état. Le diagnostic de myélite est
ue. Je n'insisterai pas ici sur le diagnostic à la phase d'état. Le diagnostic de myélite est net quand existent les troubles
IES MILITAIRES 225 De cette obscurité, je trouve la preuve dans les diagnostics d'envoi ou de passage dans les différentes form
elques années, j'ai observé à la clinique un cas, où le problème du diagnostic différentiel entre une polynévrite par syphilis
poumons. Le malade succombe le jour même. Autopsie (prof. QUENSEL). Diagnostic pathologique : cachexie, néphrite parenchymateu
d. D'après mon opinion, il n'y a pas de raison de penser à un autre diagnostic que celui de la lèpre (symptômes des quatre mem
234 ' PETREN » cription de ce qu'il faut demander pour admettre le diagnostic d'une polynévrite du type ordinaire. On trouv
a cependant des raisons de penser à d'autres possibi- lités pour le diagnostic qu'à celle d'une polynévrite et j'y reviendrai bi
de Cestan (obs. 2), de Fordyce). En outre, il y a quatre cas où le diagnostic de la polynévrite semble très probable et l'âge
paralysie des jambes. La moelle et le cerveau très mous (weich). Le diagnostic est évidem- DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU M
il semble en tout cas impossible d'expliquer le reste par un autre diagnostic . Le diagnostic d'une polynévrite me semble très p
out cas impossible d'expliquer le reste par un autre diagnostic. Le diagnostic d'une polynévrite me semble très probable pour
est hésitant, s'il faut regarder le cas comme polynévrite, mais ce diagnostic me semble bien évident. Pour en finir avec les
cas d'une intoxication mercu- rielle, et il me semble encore que ce diagnostic est ici de beaucoup la plus probable. Spillma
t attribuer à une intoxication mercurielle, il faut conclure que le diagnostic d'une polynévrite mercurielle est très probable
rcurielles. En même temps, il y avait des symptômes de néphrite. Le diagnostic de ce cas me semble assez douteux, malgré que l
mercu- rielle et l'hystérie comme la cause de l'anesthésie, mais le diagnostic de ce cas me semble incertain, surtout quand on
tions peut subsister dans l'organisme). Certainement le problème du diagnostic nous a causé des difficultés très grandes penda
lade, et comme j'espère que nous pourrons puiser des leçons pour le diagnostic de tels cas par l'étude de cette observation, j
Cependant, je crois qu'il faut admettre que les difficultés pour le diagnostic ont été très grandes ou insurmontables au moment
l'étude de mon cas pourront rendre des services à l'avenir pour le diagnostic de cas de cette espèce. Nous avons trouvé que d
ide de nature syphilitique. C'est avec l'espoir de pouvoir faire le diagnostic différentiel un peu moins diffi- cile, si l'on
ivera assez souvent que le médecin se trouvera de- vant un cas d'un diagnostic douteux, savoir si les symptômes présents sont
pour guérir le malade s'il s'est agi de syphilis et pour venir à un diagnostic sûr ex juvantibus sive et non juvantiblts. - C'
a symptomatologie est donc celle de l'amyotrophie Charcot-Marie, le diagnostic paraît s'im- poser. Le malade déclare du reste
l'amyotrophie n'est pas encore considérable, à gauche du moins. Le diagnostic d'amyotrophie Charcot-Marie était donc bien loi
n. Cette constatation était pourtant insuffisante à faire porter le diagnostic de syphilis. L'amyotrophie Charcot-Marie est ca
erman s'y montra nettement et complètement positive. Dès lors, le diagnostic s'imposait : l'amyotrophie était d'origine syphi-
eul côté ou du syndrome de Foville pourraient mettre sur la voie du diagnostic . Nous ne notons aucun trouble moteur ou sensiti
l'intégrité de ces diverses collatérales. DIPLÉGIE FACIALE 277 Le diagnostic Sera facile. Par la paralysie de la corde du tymp
conque lorsqu'on essaye de l'en empêcher. Et ainsi nous arrivons au diagnostic de diplégie faciale névritique par lésion des b
d'asymétrie faciale. A première vue, il est impossible de faire un diagnostic de prosoplégie. Il faut rechercher soigneusemen
cas d'Hertoghe. La participation du squelette ne s'oppose pas à ce diagnostic , car elle existait aussi dans d'autres cas. F
arce que leur faiblesse rend leur sentiment plus vif (p. 340). 2) Diagnostic . - « Il importe extrêmement dans la pratique de d
hénie par Sauvages est remar- quable par sa clarté relative ; si le diagnostic est trop bref, l'étude de l'étiologie, dans sa
liens sont très exagérés et le signe de Babinski est positif. Notre diagnostic est : Diplégie cérébrale de cause spécifique remo
bilité, il existe nombre de caractères d'une grande. valeur pour le diagnostic différentiel, qui ont été sérieusement étudiés
le clinicien doit rencontrer sur ce terrain une foule de cas où le diagnostic offre des difficultés insurmontables, et où une
mettre, viennent compléter la collection. . 1'0 Observation I. Diagnostic clinique : Néphrite interstitielle chronique avec
sous-arachnoïdienne (Hémorragie cérébrale) ? `t '- - 311) INGVAR Diagnostic pathologique anatomique : Hémorragie sous-arachno
er dans la suite. Obseuvation III. E. W..., mariée, 53 ans. - Diagnostic clinique : Néphrite chronique interstitielle. Hém
clinique : Néphrite chronique interstitielle. Hémorragie cérébrale. Diagnostic pathologique anatomique : Artériosclérose. Auévri
Observation IV. E. L..., employé de chemin de fer, âgé de 37 ans. Diagnostic clinique : Hémorragie cérébrale. Diagnostic pat
e fer, âgé de 37 ans. Diagnostic clinique : Hémorragie cérébrale. Diagnostic pathologique anatomique : Anévrisme de l'artère c
tteindre l'espace sous-arachnoïdien et à s'y répandre. , Quant au diagnostic différentiel entre l'hémorragie artificielle, cau
le aiguë, débutant brusquement, peut offrir des difficultés pour le diagnostic différentiel, comme Ehrenberg l'a démontré. Les
pital Régin, dans son service de Chirurgie, M. Paul Reynier posa le diagnostic d'aphonie hysté- rique et fit évacuer le malade
tile. On pratiqua aussitôt la rééducation psycho-motrice, malgré le diagnostic de paralysie du récurrent inscrit sur un des bi
trop rapide pour permettre une affirmation. (1) PURYBS STEWART, Le diagnostic des maladies nerveuses, trad. Scherb. Alcan, 19
que cervical et du sympathique thoracique. (1) PURVKS Stewart, Le diagnostic des maladies nerveuses, trad. Scherb. Alcan, 19
le à diagnosti- quer par simple élimination. Et le bien fondé de ce diagnostic fut vite dé- montré par la guérison complète ap
bilité galva- nique et faradique. - On est ainsi amené à faire le diagnostic de troubles réflexes purs du (1) Presse médical
n, clinique fondamentale du syndrome, celle qui empêche l'erreur de diagnostic . r En ce qui concerne le médian, l'hyperesthési
e tout ceci ressort, en somme, que les procédés modernes d'électro. diagnostic mettent en évidence l'existence d'un syndrome d'i
ce faradique de vitesse d'excitabilité. xxvm - 25 CONTRIBUTION AU DIAGNOSTIC DES LÉSIONS TRAUMATIQUES DU PNEUMOGASTRIQUE -
UES DU PNEUMOGASTRIQUE - PAR , MM. COLLET et PETZETAKIS. 1 Le diagnostic des lésions traumatiques unilatérales du pneumoga
ons nous borner à l'exposé clinique. Nous tenterons à l'occasion du diagnostic de déduire quelques consi- dérations générales.
al, entre au centre de la VIIIe armée le 11 septembre 1917, avec le diagnostic : « Atrophie progressive des muscles, des.mains
on est maintenue, sans que nous possé- dions aucun document sur les diagnostics posés ; il ne semble pas que la nature de l'aff
ropathies syphilitiques tertiaires réside dans la difficulté de son diagnostic , en raison de sa ressemblance d'aspect avec cer
ntir des troubles de la vision qui s'aggravèrent avec le temps : le diagnostic de choroïdite atrophique maculaire a été établi
dystrophie génito-glandulaire présente des signes qui permettent un diagnostic immédiat, à la seule inspection des - formes ex
. Une telle diffé- rence, on le conçoit, n'aura aucune valeur si le diagnostic se fait sur un vieillard. L'aspect ridé de la p
pter une semblable notion. Trois éléments sont fondamentaux pour le diagnostic du syndrome de Frôhlich : l'adiposité, l'hypopl
DE CASTRO Il importe donc de voir par quels éléments on décidera le diagnostic différentiel du syndrome de Friiiilicli, du typ
mpossible) combiné avec la radioscopie, met aisément sur la voie du diagnostic . Avant de traiter l'incurvation né- vrosique de
ont été faits par plusieurs médecins des centres neurologiques, le diagnostic est facile. Non seulement la flexion du tronc e
in de la Place de Paris le fait entrer à l'hôpital Itollin, avec le diagnostic : embarras gastrique et douleurs. 11 était très
u s'entend à ['Urologie. Un coup d'oeil lui suffit pour assurer son diagnostic ; impossible de se tromper, c'est bien de folie q
refais un cerveau tout entier, s'il y manque la sagesse. » Après le diagnostic , voyons le traitement. Il est chimique ou chirur-
ustes d'irritation du plexus brachial, 353. Collet et Petzetakis. Diagnostic des lé- sions traumatiques du pneumogastrique,
- névrite syphilitique ou mercurielle, 226. Petzetakis et Collet. Diagnostic des lésions traumatiques du pneumogastrique, 36
16 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ies récentes. » ' UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 3 Le diagnostic de tumeur cérébrale probable fut alors posé. A
organes digestifs sont sains. Utérus et annexes normaux. I. - Le diagnostic de tumeur cérébelleuse fut posé en pré- sence d
xistence de la surdité pouvait être une première indication pour un diagnostic de localisation plus précise ; mais l'otite moy
nt la preuve d'une compres- sion progressive de la protubérance. Le diagnostic de la loca- lisation pouvait donc être posé d'u
marquer en outre l'in- tégrité de la 5° paire. Dans notre cas, le diagnostic de tumeur cérébelleuse une fois posé, chose fac
rvation, notons-le en passant, est une preuve de la diffi- culté du diagnostic des tumeurs du cervelet : au début, le diagnost
diffi- culté du diagnostic des tumeurs du cervelet : au début, le diagnostic d'hystérie fut un instant posé. Les troubles men-
e syphilis. -Rien au coeur, rien dans le bassin. Pas d'hystérie. Le diagnostic était difficile et ne pouvait se faire que par
lefeld (Westphalie). Il. RELLAY. VI. L'électricité COMME moyen de diagnostic ET DE traitement (Elect1'o-diagnosis and electr
de maladie de Little appliqué à ce cas; mais ce n'est là que le diagnostic clinique, quel est le diagnostic anatomi- q
e cas; mais ce n'est là que le diagnostic clinique, quel est le diagnostic anatomi- que, de quelles lé- sions dépendent
rs au cas qu'il présente, M. Raymond montre l'extrême difficulté du diagnostic anatomique. Eliminant la sclé- rose en plaques
laire du type Aran-Duchenne asso- ciées à un élémentspasmodique; le diagnostic elliiiiquq, n,fi : saurait Fif ! . 7, 1 ItE1'
latérale amyo- trophique, à début bulbaire. Mais ce n'est là qu'un diagnostic clinique les relations qui existent entre la pa
ez les deux malades présentés au début de cette leçon d'affirmer le diagnostic de sclérose latérale amyotro- phique, diagnosti
eçon d'affirmer le diagnostic de sclérose latérale amyotro- phique, diagnostic clinique n'impliquant pas anatomiquement, malgr
dico-légal qui avait été rédigé et qualifia d'ignorance médicale le diagnostic de folie qui avait été formulé. Un peu plus tar
ntérêt pratique à distin- guer ces maladies l'une de l'autre, si le diagnostic différentiel est faisable dans bien des cas, su
orte de savoir différencier nettement l'une de l'autre, car avec le diagnostic varie le pronostic. Toutes ces polynévrites se
s la leçon suivante, le professeur Raymond revient en détail sur le diagnostic différentiel de la poliomyélite antérieure aiguë
l'adulte et de la polynévrite systématisée motrice. Cliniquement le diagnostic est possible, et il est très important à établir
s cardinaux qui ne man- quent pour ainsi dire jamais et imposent le diagnostic . Au pronostic fatal de la maladie, le traitemen
Constitution du bureau. Soir : Discussion de la première question : diagnostic de la paralysie générale. Rapporteur : M. Arnau
ie et de l'exagération des réflexes tendineux nous fait porter le diagnostic de sclérose latérale amyotrophique. Voilà une m
us aurez d'avance une idée de ce cas en parcourant quelques-uns des diagnostics inscrits sur les billets de ce malade à sa sort
allez voir que tout cela n'est pas contradictoire. Chacun de ces diagnostics reflète successivement soit le détail du musée
in, articulations et tissu fibreux. Donc pas d'hésita- tion pour le diagnostic de sclérose mulliple disséminée; nous en avons
ral, on parle de complication, d'ex- tension, ou bien on change son diagnostic . La vraie interprétation de ces faits me paraît
ue je vous ai dit souvent qu'à un tabétique quel- conque, dès votre diagnostic posé, vous pouvez hardiment poser la question :
e des forces : le dynamomètre indique 9 à droite, 23 à gauche. Le diagnostic de polynévrite est facile : il ne s'agit pas d'un
he Journal of mental Science, juillet - 1896.) Au point de vue du diagnostic , l'auteur établit qu'il s'agit là d'un cas de s
certains cas curables. LWOFF. XIV. Cas montrant l'importance D'UN diagnostic précis dans LES maladies mentales; par M. Danie
100). Les attaques de coma surtout à la fin sont la règle. Si le diagnostic des tumeurs et lésions massives du lobe préfronta
en et la thérapeutique des malades ordinaires. Arriver à établir un diagnostic sûr en aliénation mentale, connaître à fond son
X. Contracture HYSTÉRIQUE CHEZ une FILLETTE DE ONZE ANS. INTÉRÊT du diagnostic ; par Byron BRAINLL. (EdinbÓU1'gh Med. Journal,
dans le membre inférieur gauche. L'auteur discute avec détails le diagnostic de l'affection. Une lésion de la moelle peut-el
auteur fait observer combien il faut être réservé quand on porte le diagnostic : hystérie, et éviter de croire et de laisser c
tre jours, elle marchait très bien, ce qui confirmait absolument le diagnostic . P. RELL1Y. XI. Un C\S DE paralysie du trijumea
atteinte et il survint une paralysie du muscle droit externe. Le diagnostic de la lésion causale est difficile. Elle doit i
mpréhension du mot écrit et de l'objet qu'il désigne, impliquent le diagnostic d'agrnphie amnésique partielle. Il n'existe auc
e la pression du sang et des mouvements respiratoires complètent le diagnostic . Le vomissement réflexe a disparu sous l'influe
n de santé de Vanves (Seine), sur la première question du Congrès : Diagnostic de la paralysie générale. Les points essentiels
la paralysie générale. Les points essentiels de cette étude sur le diagnostic de la mala- die ont été résumés par l'auteur en
ie générale n'est pathognomonique. On n'est pas autorisé à poser le diagnostic uniquement d'après les signes physiques ou d'ap
la maladie, ni l'examen direct du malade ne suffisent à établir un diagnostic légitime (certaines folies congestives et pseudo-
étude des faits l'on peut déduire quelques règles pratiques pour le diagnostic . A partir de cinquante-cinq ans, la paralysie g
nte ans, il convient de redoubler d'atten- tion et de n'admettre le diagnostic de paralysie générale que sous le bénéfice d'un
ux conceptions délirantes,' elles n'ont également de valeur pour le diagnostic que si elles revê- tent le cachet démentiel pro
ces deux espèces de malades est dans ce cas tellement grande que le diagnostic différentie immé- diat est très fréquemment imp
port de M. Arnaud, qui est un exposé très complet de la question du diagnostic de la paralysie générale, il résulte qu'aucun s
attribue ses observations d'hystérile infantile à des erreurs de diagnostics , ces cas devant être classés dans l'épilepsie, la
ectives. L'auteur insiste sur la bénignité du pronostic, lorsque le diagnostic et le traitement sont établis de bonne heure, e
en quelque sorte une véritable crise hystérique en miniature. Le diagnostic de l'hystérie chez les incontinents est justifié,
De plus, l'emploi de la suggestion hypnotique éclairera souvent le diagnostic et le pro- nostic en permettant de différencier
s dans l'enfance, tandis que l'hystérie est fréquente à cet âge. Le diagnostic se fait en =énÉ- ral par la brusquerie du début
les travaux de Charcot et la découverte des stigmates si utiles au diagnostic , parce que ces stigmates manquent le plus souve
sie-abasie, une paraplégie et une mimoplégie sans stigmates dont le diagnostic a été singulièrement facilité par l'ex- plorati
en dehors de la suggestion. L'électricité est encore très utile au diagnostic ; ses observations le prouvent. L'existence de l
on multiple des nerfs crâniens. Il fit attention à la difficulté du diagnostic différentiel dans certains cas, entre une affec
éraux, et il insiste sur la néces- sité de les séparer, par voie de diagnostic différentiel, des divers états mentaux avec les
régulières, appétit excellent. En présence de cette situation, quel diagnostic pouvais-je poser ? Etait-ce de la méningite ? N
ité des membres, l'absence d'exaltation des réllexes éloignaient ce diagnostic . Devait-on penser à un accident occasionné par
é de se rattacher, et cela mal- gré l'absence de stigmates, au seul diagnostic d'hystérie. C'était une contracture hystérique;
sie cutanée. Enfin la guérison presque immédiate acheva de fixer le diagnostic d'hysté- rie que je posais dès le début. Je d
mère paternelle, oncle paternel excessivement nerveux) je pose le diagnostic : paraplégie et hypéresthésie hystéro-traumalique
mbre et pas de déformation. Le 30, la guérison était complète. Le diagnostic au début de la paralysie devait'se faire avec la
trace, sans marque d'atrophie ni de déformation, achève de fixer le diagnostic de contracture et de paralysie hystérique. 01
ssez nette. Pouls agité, température 37°,5. Dans l'incertitude du diagnostic je fais apposer sur la tête : de la glace, des
Elle n'entend, ni ne voit. Le médecin qui soigne l'enfant porte le diagnostic ménin- gite ». On lui applique de la glace sur
ent insuffisantes (car pas de stigmates hystériques) pour porter un diagnostic précis. Quelques acctdents survenus plus tard n
gré cette attention, entraîneront, le plus aisément, des erreurs de diagnostic . Nous nous trouvons, six mois après (février 18
ralysie du droit supérieur et du réflexe lumineux du côté droit. Le diagnostic de migraine ophtalmoplégique s'impose. L'étude
te des réflexes patellaires mais sans trépidation épileptoïde. Le diagnostic avait pu se poser avec une maladie de Little. En
édullaires; les artères ne sont presque pas du tout atteintes. Le diagnostic différentiel de la sclérose syphilitique dissémin
beaucoup de difficulté ; souvent la ressemblance est telle, que le diagnostic clinique est même impos- sible (Cassier). Dans
positifs, qui peuvent servir, d'après la plupart des au- teurs, au diagnostic différentiel. Voici ces symptômes : 1° l'appari-
e combinaison de deux processus morbides, ne peut servir de base au diagnostic entre la sclérose disséminée simple et syphilit
al et de la région voisine. D'après l'avis de M. 110R1\ILOFI·, le diagnostic du cas rapporté ne peut être posé qu'avec un ce
psychique défigure cer- tains troubles organiques, fait hésiter le diagnostic dans quelques dyspepsies, l'angine de poitrine,
maternelles très impression- nables, névropathes ; j'avais porté le diagnostic : étouffement, enroue- ment hystérique. Diminut
certes, paraissait nullement souffrir, il s'amusait. Je réserve mon diagnostic : était-ce une crise réservée à la dentition ? Ét
masquer les stigmates de la névrose chez l'enfant, l'incertitude du diagnostic est plus fréquente ici que partout ailleurs, et
n'est pas encore développée et combien il est malaisé d'établir un diagnostic sur ces simples données, vivacité, colère, pleu
, je l'examine alors plus attentivement. j'avais fait une erreur de diagnostic , je la sors de son appareil et lui fais compren
guérison (résultat qui aurait pour- tant dû lui faire douter de son diagnostic ). Il y a cependant un symptôme que je n'ai, pas
ffections organiques que l'on est souvent entraîné à des erreurs de diagnostic , que l'on peut s'imaginer parfois se trouver en
ose sans avoir touché à l'affection qui lui est associée 1. 6° Le diagnostic de l'hystérie, chez l'enfant, est de beau- coup
drome, et c'est sur ce syndrome qu'il faut tabler pour fixer son diagnostic . Je sais bien qu'on aura, pour s'aider, les ant
n est obligé de faire ! L'avenir vient seul fréquemment éclairer le diagnostic et vous per- mettre de poser, sur tel accident
ouvais penser à l'hystérie, prononcer le nom, mais je sen- tais mon diagnostic fort discutable. Sydenham a bien dit : « Lorsqu
squelles ils sont survenus, et si, malgré cette étude attentive, le diagnostic ne semble pas d'une certitude absolue, la pru-
ique, j'avais voulu me servir de l'hypnotisme comme d'un élément de diagnostic . Je viens de dire le résultat. 388 ' CLINIQUE N
peu d'urine, la muqueuse non ulcérée est aussi congestionnée. Le diagnostic anatomo - pathologique peut se résumer ainsi :
nstituent les nerfs. . C'est dire que nous nous sommes arrêtés au diagnostic de névrite plutôt qu'à celui de myélite arsenic
des encéphalites méconnues. Plusieurs cliniciens ont déjà fait ces diagnostics délicats, et les observations, dont les premièr
onc ac- quise. , Nous ne voulons pas nous attarder à faire ici un diagnostic différentiel de la maladie avec d'autres affect
orne donc à une paralysie complète de la troisième paire droite. Le diagnostic de la lésion causale était difficile; on s'arrêta
e» aux arthropathies des tabétiques, des trois phalanges digitales. Diagnostic ' syringomyélie de la moelle cervicale et dor-
contracture dans les affections des organes digestifs. Description, diagnostic , traitement. M. Jules Geoffroy (de Paris). - Da
chent de pair, peuvent s'influencer l'une, l'autre, au point que le diagnostic présente parfois des difficultés presque insolubl
uent pas exclusivement la maladie et ne sont de sûrs guides pour le diagnostic qu'à la condition d'être accompagnés des vues d
tion et pathogénie du de la persécution, par Toy et'l'aty, 527. Diagnostic précis dans les maladies mentales, par Arthu :
17 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
ogie, de la marche, des terminaisons, de l'anato-mie pathologique, du diagnostic , du pronostic, du traitement du mal vertébral, je
x des organes thoraciques, ils ne doivent pas nous arrêter. § II. — Diagnostic . Occupons-nous maintenant du sujet vivant, et c
pendant la vie les lésions révélées par l'autopsie ; c'est l'objet du diagnostic anatomique. bouvier. 2 Je distinguerai ici tr
aître cet état latent? C'est à l'aide des symptômes. Vous fonderez le diagnostic sur la douleur, l'attitude, l'état des mouvements
s abcès, la paralysie ont plus de valeur ; ils servent à éclaircir le diagnostic dans celle période. Dans tous les cas, on devra s
his étant d'effacer leur courbure naturelle. Cette période est d'un diagnostic quelquefois difficile. Ne confondez pas ce léger
ique unie à des symptômes de maladie, d'où l'obscurité très-grande du diagnostic . Avec de l'attention , on distingue une déforma
x moyens d'exploration, la vue et le toucher, permettent d'arriver au diagnostic dans cette période, où la déformation bien manife
L'une et l'autre de ces formes ont la même valeur au point de vue du diagnostic . Il y a en outre, comme nous l'avons dit, des gib
ous pourriez vous tromper, si vous n'aviez égard qu'à la gibbosité. Diagnostic différentiel. — Je passe au diagnostic différenti
iez égard qu'à la gibbosité. Diagnostic différentiel. — Je passe au diagnostic différentiel des cas qui offrent quelque analogie
vêtements, vous pouvez distinguer ces deux genres de bosses. Mais le diagnostic différentiel n'est pas toujours aussi facile. On
enfin que la gibbosité postérieure manque, nous avons, comme moyen de diagnostic , les symptômes de la maladie. Quand le malade est
les maladies de la moelle ; je n'insisterai pas sur les éléments d'un diagnostic souvent difficile à établir; il me suffira d'avoi
à établir; il me suffira d'avoir indiqué que l'erreur est possible. Diagnostic de la lésion. — Encore un mot sur la diagnose de
clavicule, en suivant le trajet rétrograde que je viens d'indiquer. Diagnostic des abcès par congestion. — Il faut reconnaître l
orme est variable, ordinairement globuleuse. Leur siège peut aider au diagnostic . Un autre bon signe est celui-ci : en pressant su
uefois au fond de la dépression circulaire dont je viens de parler. Diagnostic différentiel. — Les abcès symptomatiques du mal v
re. On a vu des praticiens éminents s'y tromper. On peut arriver à un diagnostic précis en examinant les fosses iliaques, en voyan
douloureux à la colonne vertébrale. Lorsqu'il y a une gib-bosité, le diagnostic devient plus facile. B. Abcès froids. — On a vu
lles sont précisément en rapport avec la portion du rachis altérée. Diagnostic différentiel de la paralysie. — Voici un jeune en
dernières, à l'ouvrage de M. Duchenne (1), qui aide puissamment à ce diagnostic souvent difficile. (1) De Vélectrisation locali
que produit une simple affection musculaire; nous verrons comment le diagnostic peut être établi entre ces deux états. Mais ce
le sujet ne peut plus alors rétablir la rectitude du tronc. g IL — Diagnostic . Le diagnostic de l'affection sous-occipitale c
plus alors rétablir la rectitude du tronc. g IL — Diagnostic. Le diagnostic de l'affection sous-occipitale comprend celui de
ion suffirait seule pour expliquer l'attitude de la tête; aussi notre diagnostic a-t-il été quelque bouvier. 6 temps incertain.
u pins au moins et sont presque toujours insuffisants pour établir le diagnostic d'une manière positive. Supposez, en troisième
par la lésion de la moelle et du cerveau ajoutent aussi aux moyens de diagnostic . Ce sont ordinairement ceux des congestions : ver
renseignements que fournissent les fistules, la nature du pus, etc. Diagnostic différentiel. — Une première maladie qu'on peut c
le second, elle était générale ; cette circonstance servit à fixer le diagnostic . Quand la contracture des muscles du cou existe
je parlerai d'abord d'une manière générale, afin de mieux préciser le diagnostic : il s'agit du torticolis. Je désigne sous ce nom
ômes propres de l'affection osseuse vertébrale sont aussi un moyen de diagnostic . Si vous examinez le sujet vivant, vous voyez u
, dans l'autre maladie, la douleur siège aux attaches des muscles, le diagnostic peut être douteux. B. Nous venons d'examiner le
tères peuvent exister dans une affection arthralgique ancienne, et le diagnostic serait alors difficile. Qui nous dit que le sujet
. J'ai aussi indiqué un grand ordre d'affections osseuses à propos du diagnostic de l'affection sous-occipitale; les considération
, a suffi à M. Malgaigne pour détruire d'un trait de plume le premier diagnostic . Je n'hésite pas, à défaut même de renseignements
tion semblent parfois avoir subi la transformation fibreuse. g IL — Diagnostic . (1) Dupuytren a le premier tracé avec détail l
anque des renseignements tirés de la comparaison des deux membres; le diagnostic est alors plus embarrassant. Cependant, à la vue
4e cas. — Ce nouveau cas est des plus remarquables sous le rapport du diagnostic . Il faut que vous sachiez que certains sujets boi
les articulations des hanches. (1) Treizième leçon, 10 août 1855. Diagnostic différentiel des luxations coxo-fémorales.— On pe
it évidemment une pseudarthrose. Ce fait montre les difficultés de ce diagnostic dans certains cas, La luxation est simulée parf
e d'erreur ne vous échappera pas. Si la pseudarthrose est double , le diagnostic n'offrira plus en général de difficulté ; il pour
bassin et l'excavation lombaire. Je signale un dernier cas dans le diagnostic différentiel. La paralysie peut produire des phén
n localisée. Il reste encore à examiner d'autres points relatifs au diagnostic . Il faut déterminer si la luxation est traumatiqu
licité des luxations est une autre circonstance qui met sulla voie du diagnostic : elle doit faire supposer que la maladie date de
les congénitales. Les caractères locaux fournissent des éléments de diagnostic d'une certaine valeur. Ce n'est que dans la luxat
l'enfant. Les antécédents constituent donc un élément important de diagnostic ; il est même des cas où cet élément est le seul
du sujet. Cette pièce est un exemple de l'obscurité qui enveloppe le diagnostic différentiel des deux ordres de lésions, si l'on
ique survenue dans l'enfance, cités par MM. Levieux et Verneuil. Le diagnostic doit encore faire reconnaître, s'il est possible,
es variétés de coxalgie qui sont suivies de luxation. se méfier des diagnostics : ils peuvent être erronés. Humbert a présenté pl
, d'un mirage, et, pour parler sans métaphore, d'une simple erreur de diagnostic . On n'a pas su reconnaître les luxations fémorale
s du strabisme, en même temps qu'ils établiront ce qui est relatif au diagnostic de cette lésion. jer caSi — cc premier malade e
men des malades que j'ai placés sous vos yeux, que, pour arriver à un diagnostic complet du strabisme, on ne doit pas se contenter
ste pas sur les moyens de reconnaître l'existence d'un strabisme ; le diagnostic se fait ordinairement à la première vue. Cependan
° Le nystagmus pourrait être confondu avec le strabisme variable ; ce diagnostic demande de l'attention. Dans la première de ces d
mme cela a lieu dans la rétraction isolée de chacun de ces muscles. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DU PIED BOT. — Il semble tout d'ab
IAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DU PIED BOT. — Il semble tout d'abord que le diagnostic des pieds bots ne peut présenter aucune difficult
frappe les yeux. Cependant la vue peut tromper en pareil cas, et le diagnostic différentiel de ces déviations des pieds mérite q
trouvait quelque chose d'insolite dans la démarche de sa fille. Notre diagnostic fut négatif; plus tard, nous trouvâmes sur la jeu
genoux, surtout le gauche, sont fortement déviés en dedans. § II. — Diagnostic du rachitisme. Le diagnostic du rachitisme se d
fortement déviés en dedans. § II. — Diagnostic du rachitisme. Le diagnostic du rachitisme se déduit de ses caractères anatomi
nt la digestion est pénible et fréquemment accompagnée de diarrhée. Diagnostic différentiel. — Cet ensemble de symptômes suffit
s symptômes de compression, dans l'hydrocéphalie, peuvent éclairer le diagnostic . On distingue la déviation essentielle du rachi
ntestin côlon. Ces caractères et les symptômes généraux établiront le diagnostic . Je conviens que l'ostéomalacie peu avancée se ra
r malade que je vous présente est fort remarquable au point de vue du diagnostic . C'est une jeune fille affectée à la fois de scol
. C'est là évidemment une courbure rachitique du deuxième degré. D. Diagnostic différentiel. — J'ai insisté, à l'occasion de plu
férents états que l'on peut confondre avec la scoliose, à établir son diagnostic différentiel. a. Ce qu'il importe, en premier l
s causée par la douleur, celles qui accompagnent le mal vertébral. Le diagnostic est alors fondé sur les caractères extérieurs de
quée par les signes qui lui sont propres. Je ne m'étends pas sur le diagnostic différentiel de la scoliose et du mal vertébral d
pathologiques; on peut donc leur appliquer ce que je viens de dire du diagnostic différen- (1) Voy. p. 21 et suiv. tiel de la
scoliose, 3 moins qu'elle ne succède à la pleurésie, à l'empyème. Le diagnostic peut offrir quelque obscurité dans ce dernier cas
mple compression de la moelle. Je devrais encore vous entretenir du diagnostic des espèces étio-logiques de la scoliose; mais je
rveux........ 3° Déformation de la moelle................ § II. — Diagnostic du mal vertébral............... 17 Première pér
Valeur diagnostique des différentes formes de gibbosités...... 21 Diagnostic différentiel..................... *k 1° Déviati
4 3° Voussure par débilité des enfants et des vieillards...... 25 Diagnostic de la lésion. ,................... § III. — Abc
........... VIL Abcès dorso-cervicaux antérieurs............. **• Diagnostic des abcès par congestion........ • • • ¦ • • *1
.. **• Diagnostic des abcès par congestion........ • • • ¦ • • *1 Diagnostic différentiel..................... ~ A. Abcès ph
................... 2° Altération de la moelle................ 41 Diagnostic différentiel de la paralysie.............. 42 §
75 Déformation de la tête et du rachis............... 78 § II. — Diagnostic ...................... 79 I. Douleur............
veuses.................... 84 V. Abcès......................... • Diagnostic différentiel..................... 1° Torticolis
.........• 1*8 III. Os, muscles , etc.................... § II. — Diagnostic ...................... 115 I. Raccourcissement d
............... 121 V. État des mouvements................... 122 Diagnostic différentiel des luxations coxo-fémorales........
degrés........... 213 b. Talus pied creux................... 215 Diagnostic différentiel du pied bot............... 217 § I
298 III. Origine des lésions rachitiques.............. 305 .§ IL — Diagnostic du rachitisme................ 311 I. Signes ana
............ ib. II. Signes physiologiques................... ib. Diagnostic différentiel................... 313 g III. — Tr
443 C. Influence de la scoliose sur les fonctions......... 447 D. Diagnostic différentiel................. 457 IV. Traitemen
18 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
que dans un très petit nombre des cas publiés. Avant de porter un diagnostic ferme sur une forme atypique, on a dû recherche
, ou bien d'une pseudo-méralgie ; mais l'auteur après avoir fait le diagnostic par exclusion et tenu compte de la possi- bilit
uente dans le tabes. Cette complication vertébrale s'impose pour le diagnostic et ne complique le pronostic général du tabes q
ne tubercu- lose pulmonaire en voie d'amélioration. L'auteurpose le diagnostic de polynévrite tuberculeuse par élimination de
New-Yol ? Médical Record, 18 novembre 1899.) Revue de pathologie, diagnostic et traitement. L'auteur insiste sur la méthode
, n° 675.) Il s'agit d'un cas datant de deux ans, cas rebelle et de diagnostic difficile pour lequel dix-huit médecins furent
fréquentes qu'autrefois... Nous faisons aujourd'hui, dit-il, notre diagnostic par l'immobilité pupillaire, l'altération du ré
similaires suivies d'autopsie conduisent l'auteur à écarter pour le diagnostic anatomo-pathologique la paralysie bulbaire vraie,
erveuses de nature hystérique. Dis- cussion clinique portant sur le diagnostic et la pathogénie et résu- mée comme suit : Peti
t révision; il est même bizarre qu'il n'y ait pas plus d'erreurs de diagnostic ; c'est qu'on ne place pas les cas de début. On
e du 11 novembre 1901, PRÉSIDENCE DE M. LE professeur RAYMOND,. ' Diagnostic de la poliomyélite et de la névrite aiguës à prop
opos de deux cas de monoplégie crurale. MM. BRISSAUD ET LONDE. Ce diagnostic est très important. En effet les données anatom
ces, indépen- dantes de toute lésion spinale. Enfin, la question du diagnostic influe sur celle du pronostic, qui est un point
, par conséquent : méningite spinale et lésion sous la pie-mère. Le diagnostic se cir- conscrit à la poliomyélite et à la poly
poliomyélite et à la polynévrite. En fin de compte nous arrivons au diagnostic de névrite radicu- laire toxi-infectieuse, prob
stagmus, le tout sans ancun trouble de la sensibilité : On porta le diagnostic : tumeur de la base située près du chiasma des
'ayant été relevée dans aucun autre organe. Il y avait eu erreur de diagnostic , au moins de localisation. Y aurait-il un rappo
idée de phénomènes rabiques éventuels pouvaient obscurcir encore le diagnostic . ' M. Marie propose de renvoyer à une date ulté
é électrique. M, Brissaud présente un enfant il lui adressé avec le diagnostic de chorée molle, mais atteint en réalité de myo
marche comme un névritique. Il y aurait des réserves à faire sur le diagnostic de myopathie. ' M. Marie. En effet le sujet e
chez des hommes soumis à de grands ébranlements traumatiques. Leur diagnostic s'imposait, pour ainsi dire, à première vue.
que du côté gauche. Les autres organes des sens sont normaux. Le diagnostic de paralysie hystéro-alcoolique bénigne des ma-
us rebelle à mesure qu'elle persiste. D'où la nécessité de faire un diagnostic rapide et d'instituer un traitement précoce, ca
état dura six semaines. Un confrère, consulté par la malade, lit le diagnostic du tabès d'une façon vague, mais ordonna le tra
e l'oreille. Analyse de 9 cas. En somme, rien qui puisse aider au diagnostic : mais un plus fort pourcentage de gros lymphocit
érose en plaques, etc. ; mais chaque fois, il y avait une erreur de diagnostic . Toutefois, il est incontes- table que la sugge
pratique, il condense en quelques pages les éléments essentiels au diagnostic et surtout au traitement des affections des nerfs
ssification et de nomenclature des aliénistes », et se demande quel diagnostic aurait posé tel ou tel maître devant son malade
ids : 8j5 grammes. Observation III. Admise à dix-huit ans avec le diagnostic de manie aigué. Morphinomane. Renvoyée, puis ré
nisé, tableau résumant les effets obtenus dans 53 cas. Simon. XVII. Diagnostic différentiel des états paralytiques et pseudo-
t aux manifestations para- lyliques. Accroît aussi la difficulté du diagnostic la modification que parait subir la paralysie g
par des idées de grandeur. Après ce préambule, l'auteur établit les diagnostics différentiels de la paralysie avec les affec- t
st l'aide le plus pré- cieux et l'élément le plus important pour le diagnostic . Smo. XVIII. Pathologie générale des maladies m
Mais tout d'abord c'est un axiome parmi les médecins d'asile qu'un diagnostic rapide et un prompt transfert dans un hôpital s
er des médications, et même en dépit de médications mauvaises et de diagnostics faux. Miracles pour les ignorants, ces guérison
aussi transitoirement se rencontrer en d'autres maladies ; - 4° le diagnostic de la paralysie générale ne se peut établir que
cile il surprendre a son début, de la première à la seconde. ' Le diagnostic différentiel, si important au point de vue pratiq
malade a été présentée il y a huit ans à cette même société avec le diagnostic de troubles nerveux relevant du pes planus. La
état démentiel rappelant les symptômes de la paralysie générale (le diagnostic de p. g. fut porté dans quelques cas) tels ont
Les candidats ont eu à traiter comme question écrite, symptômes et diagnostic de la pneumonie franche, fracture du tibia comp
fonal... Elle n'est d'ailleurs qu'un signe de peu de valeur pour le diagnostic ou le pronostic, sauf quand elle est liée à l'e
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 317 , . 1 laires sert à faire le diagnostic différentiel avec les accidents hys- tériques.
te toujours accessoire, ne laissent pas cependant, que de rendre le diagnostic incertain jusqu'à ce qu'un examen plus prolongé
alement entrecoupée et de nature spasmodique. -- L'auteur fait le diagnostic de : mélancolie delà vieillesse. Quant au cri,
e dans les cas de la syphilis avérée, qu'on a le droit de douter du diagnostic de l'auteur, en ce qui concerne les phéno- mène
de qui, dans certaines circonstances bien définies, peut, en cas de diagnostic difficile ou douteux, entraîner la certitude.
Ce caractère négatif présente un intérêt de premier ordre pour le diagnostic entre les psychoses pures et les affections il su
tif dans le premier cas, positif dans le second, permet de faire un diagnostic immédiat. Il est fréquent de voir l'affaiblisse
ile des facultés appa- raitre prématurément chez l'alcoolique. Le diagnostic peut donc se poser entre la démence sénile, et la
il ne faudrait pas conclure de la présence de ces mêmes éléments au diagnostic de paralysie générale, car on risquerait de la
la confondre avec la méningite chronique alcoolique dout le cyto- diagnostic est également positif. A. M. 34G BIBLIOGRAPHIE.
anger. Bien que les signes physiques manquassent à cette époque, le diagnostic de para- lysie générale fut posé. Ce diagnost
cette époque, le diagnostic de para- lysie générale fut posé. Ce diagnostic ne tarda pas a être confirmé; les signes physique
e développée, doit être considérée comme vraie. L'auteur discute le diagnostic entre la dystrophie muscu- laire progressive de
vations d'achondroplases adultes, l'au- teur discute la question du diagnostic différentiel de l'achondro- plasie et du rachit
es. L'auteur ne compte indiquer que les points importants pour le diagnostic . 1° Peau : ne pas oublier que l'on sera rarement
s ces cas, la syphilis peut ressembler à la sclérose disséminée; le diagnostic différentiel est souvent très difficile; il ser
diffuses, simulant la paralysie générale pro- gressiue : ici encore diagnostic souvent difficile, d'autant que la paralysie gé
es altérations syphilitiques portent sur les cornes antérieures, le diagnostic peut être difficile : on le fera surtout par le
tremble- ment, la variabilité de forme de la contraction rendent le diagnostic parfois malaisé. On a dit que le traitement, ét
it que le traitement, étant toujours suivi de succès, facilitait le diagnostic : l'auteur ayant eu deux cas de mort dans cette
ans les deux sexes. L'auteur insiste ensuite sur quelques points du diagnostic différentiel et terminé par quelques indication
ces phénomènes d'aspect si varié, faudra-t-il donc porter autant de diagnostics qu'il y a de formes différentes de spasme ? il
es et de l'hyperesthésie abdominale il la pression, sans lésion. Le diagnostic porté est celui de grande hystérie. Un peu plus
les, dans le lobe temporal droit. L'examen histologique confirme le diagnostic de paralysie géné- rale. Cette topographie de
innervés par le groupe radiculaire supé- rieur présentent la HO. Le diagnostic était hésitant entre une para- lysie infantile
alaires supérieures du plexus brachios. Il y a lieu de dtscuter le diagnostic de polyomyélite antérieure aiguë et celui de lési
es de lésions ayant sans doute été assez fréquente. Pour établir le diagnostic , l'examen cyloscopique du liquide céphalo-rachi
men n'ayant pu être fait dans ce cas, les présentateurs basent leur diagnostic de polyomyélie antérieure aiguë sur l'apparition
membres ou de la nuque. Ils croient aussi assez important, pour le diagnostic , dans le cas actuel, le fait que des lésions as
nc et les membres supérieurs sont animés des mêmes mou- vements. Le diagnostic est difficile. Il reste en suspens pour le SOCI
fin que les hommes sont trois fois plus atteints que les femmes. Le diagnostic doit se faire avec l'arthrite déformante, la lè
fication des réflexes, quelques indications positives, soit pour le diagnostic de la maladie elle-même, soit pour la différencia
essante à un double titre. D'abord, elle soulève des problèmes de diagnostic topogra- phique, extrêmement délicats, j'espère
a même époque, car, Charcot, que la malade alla consulter, porta le diagnostic d'hémi- anopsie avec épilepsie sensorielle. E
rès de l'adynamie cardiaque. -L'autopsie a démontré l'exactitude du diagnostic porté : à droite, un foyer de ramollissement oc
458 CLINIQUE NERVEUSE. tionnés dans les ouvrages qui traitent du diagnostic topo- graphique des affections de l'encéphale :
sus qui intéresse la voie optique dans son parcours terminal. 1 Diagnostic . - Qu'est-ce que peut bien être la lésion qui,
la zone visuelle corticale. En fin de compte, je formule ainsi le diagnostic anato- mique que je crois devoir porter chez no
à l'hémianopsie, que vous réussirez à tran- cher cette question de diagnostic différentiel. Jusqu'ici, il n'a été question qu
ons avec la forme d'hémianopsie, qui en résulte. Naturellement le diagnostic topographique des lésions qui, intéressant les
côté que la lésion. Vous voyez que pour résoudre les problèmes de diagnostic topographique, soulevés par la constatation d'u
tique asiles d'aliénés. ' '807 générale devrait la connaitre ; le diagnostic rapide et le prompt traitement effectif d'un ca
eille ; il peut être le seul signe objectif permettant d'établir le diagnostic et mérite, par conséquent, d'être connu des aur
- rose en plaques dont la marche a fait hésiter au début entre le diagnostic réel et l'hystérie, en raison de rémissions et de
ment. C'est là un signe d'une grande importance, au point de vue du diagnostic , entre les déments précoces excités et les inte
La thèse de M. Michaud est une étude clinique où il insiste sur le diagnostic des formes unilatérales de la maladie de Parkinso
de Parkinson avec les tremblements prac et post hémiplégiques. Le diagnostic avec les tremblements præhémiplégiques se fera :
e agitante unilaté- rale, sont l'hémichorée et l'hémiathétose. Le diagnostic de[l'hémichorée symptomatique se fera : par les
lectique en matière de pathogénie dans l'alalie idio- pathique Le diagnostic doit se faire avec la surdi-mutité, l'idiotie, le
des maladies. C'est ainsi seule- ment qu'on arrivera à établir des diagnostics comparables à ceux de la pathologie interne. On
ons de l'humeur. Ces symptômes n'ont aucune signification pour le diagnostic . Bien plus importants sont d'autres signes tels q
'évolution est capitale. Il est actuellement difficile de poser des diagnostics qui ne soient autre chose qu'une simple constatat
in nombre de cas typiques. Pour chaque malade Kraepelin a établi un diagnostic précis et un pronostic déterminé après un mois
ic précis et un pronostic déterminé après un mois d'observation. Le diagnostic définitif n'a été inscrit qu'après plu- varia.
années, d'inscrire, pour chaque malade, après le premier examen, le diagnostic et le pronostic, afin que les erreurs commises
es états para- ivliuues et pseudo-palalytlques, par A. Hurd, 221. Diagnostic de la générale, par Timofeiw, 23 i. - faciale
ragus, 331. Etiologie de la -, par Marie, 513. Système neraeux. Diagnostic pré- coce de certaines affections du - par L.
19 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tiqués manie, l'évolution de l'affectionne per- mit de maintenir ce diagnostic que fois. Otto-Ilinrichinsen aégalement remarqu
s à la médecine étala chirurgie de faire d'immenses progrès dans le diagnostic , le pronostic et le traitement d'une foule d'affe
t capables 11'inlerlnr- ter les résultats obtenus au point de we du diagnostic et du trai- tement des malades. En conséquence,
ution à la question de l'utilisation de la rota- tion centrifuge au diagnostic et à la thérapeutique ; par ni. 1L1N ? (Qbozrén
xpliquent bien les cas, à pre- mière vue étranges, dans lesquels un diagnostic , établi nette- ment pendant la période délirant
plus évidente et la plus incontestable, le syndrome paralytique. Ce diagnostic a été affirmé, dans des certificats médi- pas,
lité pupillaire et des modifications des réflexes palellaires. Le diagnostic de paralysie générale ne paraît pas douteux pour
lle folie rappelle les modalités si diverses de l'alcoo- lisme ; le diagnostic différentiel est des plus difficiles à étahlir.C'
mari, la voyante fit en fermés amphigouriques et contradictoires un diagnostic tout à fait erroné, auquel elle ajoutait, pour
ui concerne l'art médical, la prétendu clairvoyance relativement au diagnostic et au traite- ment est contraire aux faits bien
nt renforcer et justifier l'état affectif. Le chapitre IV traite du diagnostic . Le caractère primordial de la mélancolie, c'es
erra plus loin, que par des symptômes trop vagues pour permettre un diagnostic précis. Les trois premières observations sont r
de. l'ar suite, l'anesthésie cornéenne est une indication pour le diagnostic rétrospectif ou ctiologique. Lors- que ce signe
s imbéciles et même chez des individus sains. Leur valeur pour le diagnostic est donc discutable. Cependant, il faut les sig
us épileptiformes ; ce serait même là un excellent symptôme pour le diagnostic rétrospec- tif dans le cas d'un malade entrant
XXII. 7 . 98 CLINIQUE MENTALE. là encore un clément précieux de diagnostic . La déco- loration commence par le côté tempora
ent de l'atrophie. C'est là le symptôme le plus essen- tiel pour le diagnostic , et i^faut considérer avec Klein (2) que ce seu
ment etprennent,de ce fait, une signification importante pour le diagnostic étiologique. De même aussi, les hémorrhagies en
réfringentes existant sur la surface de la rétine peuvent aider au diagnostic rétrospectif (ictus) ou de complications (album
progressive, qui, lorsqu'elle est bilatérale, signifierait pour le diagnostic : « une lésion nucléaire entraînant la paralysi
it être de s'assurer que l'inculpé ressortit bien à la névrose. Son diagnostic doit être basé sur les symptômes somatiques et
accidents viscéraux, somnambulisme, état crépuscu- laire, etc. Le diagnostic posé, le médecin légiste a deux points essen- t
pas avec elle, car on peut être mythomane sans être hystérique. Le diagnostic différentiel entre la my- thomanie et l'hystéri
xcitée maniaque et déprimée et pour laquelle on aurait pu porter le diagnostic de démence pré- coce. D'énormes ecchymoses appa
écialiste. De l'emploi d'un nouvel appareil, sthcnomètre pottr le diagnostic , Le pronostic et le traitement de cer<a'ne m
montrent l'emploi utile que l'on peut faire du sthénomètre pour le diagnostic , le pronostic et le traitement d'un grand nombr
D (Clr.). - Récent expériences in Kidney surgerv and the utility of diagnostic aids. In-8. de 20 pages. CHET\V0017 (Ch.-H.). -
u bromisme des sujets. A ce propos, nous insisterons sur ce dernier diagnostic d'état de mal, appliqué à des accidents caracté
ance, l'élévation de température, l'ébauche de crises convulsives ; diagnostic controuvé à la séance même de la Société par M.
tre et demi. Les bords en sonl un peu indurés, ce qui fait faire le diagnostic de gomme syphiliti- que. Divel'sc5 coupes pra
ique et qu'elle avait plusieurs fois assisté aux crises de sa mère. Diagnostic . Je crus qu'il-s'agissait très probablement d'un
nts je me déclare encore dans l'impossibilité absolue d'établir -un diagnostic pour l'avenir. Le signe le plus impor- tant est
à la Salpêtrière ; néanmoins, on put le reconstituer et porter le diagnostic de tumeur localisée primitivement au corps call
nvahi la couche optique droite. L'autopsie confirma l'exactitude du diagnostic ; on trouva un sarcome à cellules polymorphes,
t longtemps isolée qui a permis, dans le deuxième cas, de porter un diagnostic de localisation calleuse primitive. De cette
tiques meurent le plus souvent au cours d un état de mal et que les diagnostics n'indiquent pas si les sujets sont tuberculeux.
Ce n'est que, par suite, grâce aux inoculations en série, que le diagnostic bactériologique rabique a pu être infirmé. Il ne
IX. L'analyse mathématique des courbes de fatigue comme pureté de diagnostic dans les maladies nerveu- ses ; par Mlle YOTEYK
loureux), est le plus souvent indolore : c'est là un bon élément de diagnostic , car dans une lésion osléo-articulaire la contr
es antérieures de la moelle, soit peut être du cortex (Raymond). Le diagnostic en est relati- vement facile soit avec les lési
menuisier. Il n'est point besoin de s'attarder ici à discuter un diagnostic qui s'impose.La monoplégie brachiale si carac-
à l'asile de `'illc,juif. REMÈDES ET PROPHYLAXIE 2° Sélection. - Diagnostic précoce par les moyens de cli- nique et de labo
oires. Re- cherche du bacille. -Epreuve de la tuberculine. -Séro- diagnostic de Arloing et Courmont. 2° Isolement. - Désinfe
qu'ils réclament ; notre tâche est de passer en revue les moyens de diagnostic précoce à l'admission dont peut disposer l'alié
Grancher, sont les meilleurs 304 PATHOLOGIE INTERNE. moyens de diagnostic précoce. Toutefois en l'absence de signes génér
tion à la tuberculine et la séroagglu- tination. Si ces moyens de diagnostic ne valent pas les anciennes méthodes d'investig
e 1905, le Prof. Robin a signalé l'importance, au point de vue du diagnostic précoce de la phtisie, de l'examen spirométriqu
e, et la nature de ces combustions ne peut en aucun cas servir au diagnostic précoce de la tuberculose pulmonaire. Mais ce s
cool chlorhydrique, bleu de méthylène, etc.) Pourtant ce procédé de diagnostic , qu'Anglade consi- dère comme aisé, semble prés
recherche du bacille de Koch dans les selles n'est pas un moyen de diagnostic précoce et n'est facile que s'il pullule dans l
éaction thermique qui suit leur administration a fourni un moyen de diagnostic précoce qu'on emploie avec succès, semble-t-il,
ze heures qui suivent, l'élévation ther- mique dépasse 2 degrés, le diagnostic est acquis. La statistique porte sur 40 malades
, à l'Asile de Quarto-al-Mare, le Dr Luigi Scabia fait également le diagnostic préalable des aliénés à isoler par la tuberculi
as d'établissement où elle soit entrée dans la pratique courante du diagnostic . On a bien fait des tentatives analogues avec l
gnostic d'Arloing et Courmont. En France, on applique depuis peu au diagnostic qui nous occupe la séro-agglutination découvert
préventifs, par les conclu- sions suivantes (1) : 1° Précocité du diagnostic de la tuberculose. 2° Isolement de tous les mal
rag zur Diagnose des Cysticercus ventriculi quarti (Contribution au diagnostic du cysticercus du 4° ventricule); par 11ARL UST
ui porte actuellement son nom et qui permit deux fois de faire un diagnostic contrôlé par l'autopsie : longues périodes au cou
ls devenait quelquefois plus rapide et il y avaitdel'hyperthémie.Le diagnostic hésita entre sclérose en pla- que et tumeur du
ent pas de symptôme spécial. Mort subite sans autre aggravation. Le diagnostic de vraisemblancefutposé pendanl la vie. L'épe
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE X\'II.- Démence précoce paranoïde. ( Diagnostic différen- tiel de la Paranoïa) ; par JI. le Dr
cadres de la démence paranoide et ceux de la paranoïa a typique, le diagnostic différentiel est en général possible. ,1. Si';G
habituelles, les seuls êtres anormaux. G. D. XXII. Contribution au diagnostic des irrégularités men- tales. Les frontières an
nés à l'asile pour des causes quelconques. Ce qui rend difficile le diagnostic de la P. G., surtout au début, chez les Arabes
ible. M. Valentino. En effet, on ne nous apporte aucun élément de diagnostic entre le mal de mer vrai et le mal de mer ima-
. Félix Regnaun. Sans doute je ne peux pas vous fournir de moyen de diagnostic . Mais, dans votre pratique nerveuse, il vous ar
estion vous sert de pierre de touche ; grâce à elle, vous faites un diagnostic . Quant à la distinction entre le mal de mer vra
s, jusqu'à ce jour, que les examens courants de mi- crobiologie, de diagnostics d'exsudats, et quelques éludes cyto- logiques m
GIE 4;ânâlysénathématique des courbes de fatigue comme procédé de diagnostic dans les maladies nerveuses ; Par Mlle le D'
s fournir quelques éléments de dia- gnostic. Or, quand il s'agit de diagnostic , la clinique ne rcculepas devant un examen minu
ion, mon intention est de vous parler de l'ergographie appliquée au diagnostic des ma- ladies nerveuses ; autrement dit, j'ai
t vous dire quelles peuvent être les applications de cette étude au diagnostic des maladies. Cette communi- cation n'est que p
ires arrondis, de dimensions iné- gales qui permettent de porter le diagnostic de fibro-sar- côme (Fig. 31, T, tumeur) ; (Fig.
nconscience, etc. A son entrée, elle s'était un peu améliorée et le diagnostic porté fut celui d'imbécillité prononcée. IV.
ue est a rapprocher des autres mutismes des états dépressifs; 3" Le diagnostic de ce mutisme volontaire des hystériques est fa-
liquide clair, lymphocytose prédominante, pas de microorganismes. Diagnostic posé : Abcès encéphalique masqué antérieurement
lles précédemment publiées. Elle n'apporte aucun élément nouveau de diagnostic de la tuber- culose ulcéreuse du nourrisson.
ogie est toujours vague par l'absence de signes de localisation. Le diagnostic , précis est fait exceptionnel- lement. Seule la
bes. - L'analyse mathé- matique des - de fatigue comme procédé de diagnostic dans les maladies nerveuses, par Mlle Ioteyko
gine pleu- rale, par Roch, p. 223. CYSTICERCUS. Contribution au diagnostic du - du 4c ventri- cule, par Osterwald, p. 398.
précoce, par de Buck et Derou- baix, p. 388. précoce para- noide ( Diagnostic différentiel de la Paranoïa), par Ferrarini,
L'analyse mathématique des courbes de fatigue comme pu- reté de diagnostic dans les - nerveuses, par Mlle Yoteyko, p. zI
. 24. Sthénomètre. De l'emploi d'un nouvel appareil, -, pour le diagnostic , le pronostic et le traitement de certaines mal
20 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
morbides, et, du même coup, par une conséquence inévitable donner au diagnostic plus de pénétration et de rigueur. J'ai placé s
ts de repère qui dirigent le clinicien dans la difficile recherche du diagnostic . VI. On comprend, par ce qui précède, l'impor
érielles. Et la ressemblance est parfois si frappante qu'elle rend le diagnostic des plus ardus. On a quelquefois désigné, sous le
électrique. La localisation des troubles suffit déjà pour guider le diagnostic . On sait aujourd'hui, d'après des études nombreus
même assez régulière pour pouvoir être utilisée, dans certains cas de diagnostic difficile. Ainsi, dans certaines arthrites de la
lé comme pouvant, dans certains cas difficiles, contribuer à fixer le diagnostic . Il s'agit d'une femme de 62 ans, chez laquelle
ssons qu'il s'agit d'un cas vulgaire, des plus classiques, et dont le diagnostic est malheureusement des plus faciles à établir.
ttention sur les troubles visuels, si intéressants au point de vue du diagnostic . Généralement, quand il y a insensibilité d'un cô
attaque qui viennent d'être signalés suffisent amplement à établir le diagnostic ; ce n'est pas de l'épilepsie, c'est bien de l'hy
ers les cinq heures, suivie, peu après, d'attaques convul-sives. Le diagnostic , parait-il, fut hésitant ; on aurait parlé d'une
Il n'est pas nécessaire, après la précédente analyse, d'établir un diagnostic différentiel. Il serait superflu de confronter ce
énacité, elle pourra céder à l'action d'un traitement approprié. Ce diagnostic peut être basé: 1° sur Vintensitè même de la cont
la station verticale et de la marche, elle peut contribuer à fixer le diagnostic . Les douleurs, loin de se limiter, envahirent b
ffisamment insisté ne saurait, entre autres, arrêter un instant notre diagnostic . Pour en finir avec ce cas, si parfaitement typ
e qui concerne les centres nerveux, est venue confirmer pleinement le diagnostic . En terminant ce qui concerne ce cas, j'appelle
equel les attaques avaient pris l'aspect de l'épi-lepsie partielle. — Diagnostic de ce cas: importance des stigmates hystériques.
égie brachiale, chez un homme de 19 ans, hystérique. — Difficultés du diagnostic dans ce cas. Messieurs, Je viens terminer auj
but de la paralysie, celle-ci était devenue absolument complète *. Le diagnostic resta incertain, la thérapeutique inefficace. La
malade. On devait donc, de toute nécessité, écarter encore, dans le diagnostic , cette dernière hypothèse, et celle d'une lésion
ur révéler la nature hystérique d'une paralysie. En conséquence, le diagnostic « hystérie » était franche- ment, résolument ad
justifier nos prévisions et, du mêm coup, confirmer pleinement notre diagnostic . Le 15 mars, 4 jours après l'entrée du malade,
Messieurs, ou, pour mieux dire, cette esquisse de guérison, après le diagnostic auquel nous nous étions arrêté, ne devait pas nou
modifications dans les réactions électriques des muscles paralysés. — Diagnostic : commotion ou contusion du plexus brachial ; cara
à la suile d'une chute sur l'épaule, monoplégie qui présente pour le diagnostic des difficultés très sérieuses. Ces difficultés,
ment même où, après discussion, il s'agira de fixer définitivement le diagnostic . Quelle est donc la nature de cette monoplégie
(Suite)l. — Monoplégies hystéro-traumatique s. Sommaire. — Suite du diagnostic . — Amyotrophies dépendant d'une lésion articulair
jeure et coniribuer puissamment à dévoiler l'hystérie, dans un cas de diagnostic difficile. Il s'agit de lajoo lyopie monoculair
z lui, en définitive, qui ne relève de l'hystérie. Voilà donc notre diagnostic fixé. A la vérité, j'accorderai, c'est du reste l
eront l'un à l'autre plus étroitement encore. Dans la discussion du diagnostic , nous avons été conduits, chez Pin..., à éliminer
e qui concerne les centres nerveux, est venue confirmer pleinement le diagnostic . J.-M.-C. tout le côté gauche du corps, y com
ue à la suite d'un traumatisme, est de nature hystérique. Or, ici, le diagnostic entraîne tout naturellement avec lui le pronostic
n grand nombre de caractères cliniques communs qui rendent souvent le diagnostic très difficile. Depuis fort longtemps connues,
r sur diverses jointures et simuler, jusqu'à rendre des plus ardus le diagnostic , une lésion organique grave de l'articulation. C'
de l'articulation. C'est surtout quand elle siège à la hanche que le diagnostic de cette affection est difficile; une coxalgie no
iculaires à lésions profondes, et conduire ainsi, en faisant errer le diagnostic aux conséquences les plus graves. Mais à quels
s sine materia, et les distinguer des arthropathies organiques ? — Le diagnostic est particulièrement difficile, surtout quand, ai
valeur diagnostique absolue. Yous voyez, Messieurs, qu'en somme le diagnostic entre la coxalgie hystérique et la coxalgie organ
qu'on doit d'en avoir fait remarquer l'importance au point de vue du diagnostic . J'ajouterai qu'ayant remarqué qu'à la suite de
'être accumulés, des doutes peuvent subsister encore, relativement au diagnostic . Il n'est pas facile, en effet, en présence d'une
grand poids, à l'aide desquels nous nous sommes efforcé d'établir ce diagnostic . Et cependant, quelques doutes, quelques scrupule
s étaient avant la cliloroformisation. Quoi qu'il en soit, voici le diagnostic désormais complètement assuré. Bien entendu, il n
ois utile d'arrêter voire attention sur un point qui touche encore au diagnostic de la coxalgie hystérique. Si j'ai tenu aussi i
ui ne cessent de se produire depuis près de 10 ans, on penche vers le diagnostic coxalgie hystérique, tout en faisant des réserves
développer avec une rapidité remarquable !. Quoi qu'il en soit, le diagnostic auquel nous nous arrêtons va se trouver pleinemen
conservé la faculté d'écrire couramment et de converser par signes. — Diagnostic du mutisme hystérique. Son importance dans certai
lain-pied dans l'exposé de son histoire et d'essayer de justifier mon diagnostic , je crois utile, pour rendre, notre démonstration
ien qu'il écrivit en français et non dans sa langue maternelle. Mon diagnostic était fixé, et depuis quelque temps déjà: « C'est
ns votre esprit, serez-vous mis à même, à votre tour, d'arriver à ces diagnostics rapides qui, en somme, ne sauraient être considér
'existence. Leur présence contribuera singulièrement à affirmer votre diagnostic . J'y ajoute la contracture d'un membre provoquée
e importance pratique capitale quand il s'agit d'une pure question de diagnostic , en ville ou à l'hôpital ; on peut alors faire fa
l'affection monoplégique qui vont être décrits dans un instant et le diagnostic de M. Merklen fut, comme celui de M. le Dr Brun,
s par cette malade et à les grouper ensemble, de façon à arriver à un diagnostic rationnel, que trouvons-nous? Une monoplégie as
nous attarder davantage, de nous créer des difficultés imaginaires de diagnostic , la nature purement hystérique de cette paralysie
ne méningite aiguë ; le Dr Mayor, appelé en consultation, confirme ce diagnostic . Le surlendemain, le malade revenait à lui. Rechu
véla aucune lésion organique, ni aucun phénomène inflammatoire, et le diagnostic fut: paralysie des cordes vocales par défaut d'in
ois à l'hôpital. Tous ceux qui l'ont examinée ont été d'accord sur le diagnostic de paralysie hystérique des muscles du larynx. Di
ux, qui pense que, dans l'hystérie, l'aphasie n'est pas un élément de diagnostic ; ce sont, au contraire, dit-il, les signes bien
'on puisse, à l'exemple d'un maître rompu à toutes les difficultés du diagnostic désaffections nerveuses, préciser aussi nettement
un autre de la surdité; cet ensemble symptomatique vient confirmer le diagnostic . L'hémiplégie, qui est survenue chez quelques mal
lequel les attaques avaient pris l'aspect de l'épilepsie partielle. — Diagnostic de ce cas : importance des stigmates hystériques.
légie brachiale chez un homme de 19 ans, hystérique. — Difficultés du diagnostic dans ce cas................ 280 VINGTIÈME LEÇON
modifications dans les réactions électriques des muscles paralysés. — Diagnostic : commotion ou contusion du plexus brachial ; car
e (suite); — monoplégies hystéro-traumatiques. Sommaire. — Suite du diagnostic . — Amyotrophies dépendant d'une lésion articulair
conservé la faculté d'écrire couramment et de converser par signes. — Diagnostic du mutisme hystérique. Son importance dans certai
, 374; —provoquée par l'hypnotisme, 391; — hys-téro-organique, 388; — diagnostic avec la coxalgie tuberculeuse, 380. D Démen
ulaire. 304; — Pas de modification des réactions électriques, 305 ; — Diagnostic d'avec la névrite, 311 , — Diagnostic des lésio
éactions électriques, 305 ; — Diagnostic d'avec la névrite, 311 , — Diagnostic des lésions en foyer; 316; — Absence de participa
Stigmates hystériques chez l'homme, 253 ; — leur importance pour le diagnostic des paralysies hystéro-traumatiques, 321. Stryc
21 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ive, intégrité relative telle qu'elle garde toute sa valeur pour le diagnostic différentiel de la paralysie faciale centrale e
e, sans délire, ou au moins avec pâles concep- tions délirantes. Le diagnostic n'en reste pas moins démontré par l'ensemble de
thésie à gauche servant de bases à l'étude complète et raisonnée du diagnostic des tumeurs cérébrales, La plupart des observat
ements précis sur le siège et la nature de la lésion. Ce chapitre diagnostic constitue une véritable synthèse des leçons pré
pour la nature de la tumeur. Pratiquement, il im- porte de faire un diagnostic précoce. Certains symptômes s'ob- servent avec
nviron dans 90 p. 100 des cas. Ces symptômes permettent de faire le diagnostic de tumeur encéphalique. Mais tel quel, ce dia
de faire le diagnostic de tumeur encéphalique. Mais tel quel, ce diagnostic est insuffisant. Le clinicien doit préciser le
sayer la seule thérapeutique possible : l'ablation du néoplasme. Ce diagnostic topographique repose sur les localisations céré
st donc avec ces trois affections qu'il faut s'efforcer de faire le diagnostic ; c'est ce que le professeur Raymond, avec sa p
subaiguë est une occasion pour le pro- fesseur Raymond d'établir le diagnostic d'avec la polimyélite, dia- gnostic souvent dél
le pronostic, mais, pour l'un comme pour l'autre il faut d'abord un diagnostic ; aussi, l'auteur établira-t-il longuement, pour
s, résultats d'obser- vations toute personnelles. Première leçon. Diagnostic et pronostic de Vhémorrhagie cérébrale et des é
acutus, tous symptômes alarmants. L'auteur insiste ensuite sur le diagnostic différentiel des états apoplectiques ou comateu
neurasthénique vrai dépend souvent de l'état social du malade. Le diagnostic différentiel doit se faire d'abord entre les état
et il y a lieu d'insister sur ce point,avec la paralysie générale, diagnostic différentiel souvent si difficile au début, quel-
un et de l'autre dans l'en- semble symptomatique. L'importance du diagnostic des états neurasthéniques est d'autant plus imp
et faire partie des déclassés des grandes villes. Troisième leçon. Diagnostic et traitement de l'épilepsie. - Les coriiiliaux
absences, les vertiges. Tous ces éléments devront entrer dans le diagnostic ainsi que les heures d'apparition des crises, l'a
ès lui-même sur lequel l'auteur insiste longuement ainsi que sur le diagnostic différentiel avec l'hystérie qui en dernier resso
'est pas énergiquement soigné à temps, l'anorexie. Cinquième leçon. Diagnostic el traitement du tic douloureux de la face et d
'hérédité semble jouer un certain rôle, le pronostic est sombre, le diagnostic en général facile sauf toutefois avec les parox
e le vertige de Menière a pris la place du vertige dit stomacal; le diagnostic différentiel doit être fait avec l'ictus laryngé,
urtout, accompagnées d'atrophie. BIBLIOGRAPHIE. 89 DixOEEn.çoN. Diagnostic et traitement de l'ataxie locomotrice. Dans cet
rant, arthropathies, atrophie musculaire. Il insiste ensuite sur le diagnostic du tabès avec les névrites périphériques, le ps
t Vannée scolaire 1897-1898, M. IOISSEL : Contribution à l'étude du diagnostic des paralysies hystériques et de la pseudo-para
s'il était possible d'en tirer des conclusions au point de vue d'un diagnostic différentiel quelconque. Ces recherches se ra
à 300 aliénés non paralytiques. Les paraly- tiques chez lesquels le diagnostic n'était pas douteux ressor- tissaient aux diffé
et que, par conséquent, elle ne peut servir d'élément en matière de diagnostic différentiel. Cramer, en discutant ces données
ue l'analgésie du cubi- tal n'a pas de valeur en matière de quelque diagnostic diffé- rentiel que ce soit ? Cramer pensait q
'un symptôme aussi incertain ne peut avoir de valeur réelle pour un diagnostic différentiel quelconque. Cette réserve faite, n
signe de Biernacki pourra constituer un élément déplus en faveur du diagnostic . PATHOLOGIE' MENTALE. LES MÉLANCOLIQUES '.
s du sein par exemple. L'auteur apporte quatre observations où le diagnostic était difficile , mais a été rendu possible par l
is n'empêchant pas la vue. Autres fonctions organiques normales. Le diagnostic de tumeur comprenant l'aire rolandique fut port
main est en moiteur. Supprsesion des règles. Urine normale, etc. Le diagnostic de tumeur située au niveau de la sphère motrice
des accidents épileptiformes d'origine syphilitique possible. Le diagnostic de paralysie générale, de mon jeune malade avait
e et en prévoir l'évolution, de quelque secours en un mot pour le diagnostic et le pronostic. En ce qui concerne le diagnost
un mot pour le diagnostic et le pronostic. En ce qui concerne le diagnostic , les troubles du sens tactile que nous venons d
une seule altération du tact qui serait d'un grand secours pour le diagnostic précoce de la paralysie générale, c'est l'anest
C'est dire que c'est sur- tout au médecin de famille qu'incombe le diagnostic , la thérapeu- tique et surtout la prophylaxie d
légal. (TAe calienist and 72eztî-ologist, avril 1898.) E. B. VII. Diagnostic précoce de la paralysie progressive; pau le U I
prend l'insistance avec laquelle l'auteur attire l'attention sur le diagnostic précoce de la paralysie générale. M. Hoche ét
al, idées extravagantes de grandeur, etc. Puis se trouve discuté le diagnostic différentiel de la paralysie générale au début
ifférentiel de la paralysie générale au début avec la neurasthénie, diagnostic parfois fort difficile ; avec l'alcoolisme chro
pêche le malade de ruiner sa famille ou de causer des scandales, le diagnostic précoce de la paralysie générale évite aussi po
e distinguent néanmoins par leur lésion, leur aspect clinique, leur diagnostic . Les altérations périphériques du système nerve
aillarger pressentait cliniquement il y a quarante ans. Au chapitre diagnostic , l'auteur décrit le syndrome paralytique 218
riques ; il y a de la constipation et de la rétention d'urine. Le diagnostic du délire aigu est à faire avec la fièvre typhoïd
mènes de dépression mentale, on comprend l'intérêt qui s'attache au diagnostic et au traitement précoces de la mélancolie. La
névralgies rebelles sans que l'examen des dents puisse éclairer le diagnostic . L'éclairage par transparence des dents à la lumi
ges isolés, que chez les enfants des grandes villes. Les erreurs de diagnostic à l'égard de l'hystérie peuvent avoir deux caus
qu'il s'agit d'hystérie. C'est dire que dans les cas difficiles le diagnostic d'hystérie exige des connaissances approfondies
tteints eux-mêmes de paralysie générale. J'ai pu me con- vaincre du diagnostic relatif aux parents en consultant des docu- men
du muscle droit ocu- laire interne et du côté droit. Hémicranie. Diagnostic . Ataxie cérébelleuse héréditaire. Particularité
domaine des branches supérieures du tri- jumeau. L'auteur fait le diagnostic de la syringomyélie et s'arrête sur la valeur d
mais elles prennent une importance particulière au point de vue du diagnostic avec les précédentes. Arrêtons-nous un instan
assiques ordinaires de ces états suffisent d'ordinaire à établir le diagnostic . Démences. Dans la démence sénile et dans la dé
éments paralytiques l. Il y aura donc lieudans ces cas, de faire le diagnostic avec la paralysie générale et aussi avec les ps
is, Baillarger ajoute un correctif à ce rapproche- ' Delasiauve. Du diagnostic différentiel de la 1 ? émveie (Annales »iéel. p
ital dans cette association, au délire auto-toxique, de la folie. Diagnostic . Lorsque le diagnostic entre une psychose auto-
tion, au délire auto-toxique, de la folie. Diagnostic. Lorsque le diagnostic entre une psychose auto-toxique etla vésanie pu
emploi de la séro-réaction de Widal, a pu, dans un cas, préciser le diagnostic et recon- naître sous le masque d'une mélancoli
Ce qui frappe sur- tout chez elle, et ce qui a permis d'établir le diagnostic , c'est la myasthénie dont elle est un type rema
e est très intéressante et elle semble être très importante dans le diagnostic de la paralysie pseudo- bulbaire d'origine céré
ns fausses de la malade. Passons rapidement en revue les différents diagnostics qui peuvent se discuter, à ne s'en tenir simple
eporter à la définition de M. Chaslin pour écarter immédiatement ce diagnostic : « La confusion mentale primitive, idiopathiqu
n'est qu'une preuve de plus que« la teneur du délire ne fournit au diagnostic que de bien vagues indications et est incapable
en vagues indications et est incapable, par elle-même, de donner un diagnostic complète). Voyons donc si, par l'étude de la ge
lacement d'office à l'asile Sainte-Anne. Dès lors, la question du diagnostic s'éclaire d'un nouveau jour; nous sommes en pré
s de cette erreur peuvent être des plus regrettables et le point de diagnostic diffé- rentiel établi par le maître de la Salpê
judicieusement mis en relief, ont permis aux auteurs d'affirmer le diagnostic de maladie de Thomsen. R. Ciiaron. 362 REVUE
us chaque jour la précision se substituer à l'à-peu-près dans votre diagnostic , tandis que vous fixez judicieusement les indic
tisés dont la systémati- sation est quelquefois si parfaite, que le diagnostic entre la mélan- colie et la paranoïa, présente
la connaissance parfaite du rôle de ces deux éléments, découlent le diagnostic et le pronostic d'un délire systématisé post-mé
'une névrite, n'étaient pas suffisantes pour que je pusse porter un diagnostic certain. Peu à peu, les accidents s'aggravèrent
on de dégénérescence, mais elle ne nous servit pas pour faire notre diagnostic entre la poliomyélite antérieure aiguë.et la névr
ce qui ne se voit guère dans la poliomyélite. J'écarte également le diagnostic de sclérose latérale amyotro- phique et la syri
rose en plaques. En tous cas, alors même qu'on n'accepterait pas ce diagnostic , un fait reste acqms : c'est que nous avons là
n ou d'anxiété plus ou moins accentué, d'idées de suicide, etc., le diagnostic de mélancolie parait indiscutable. Il est loi
e, dans les cas de ce genre envisagés jusqu'ici, un des éléments de diagnostic a été le polymor- pibisîiîe du délire; les idée
st d'autres cas, tout à fait analogues, où cet élément important de diagnostic fait défaut, les idées d'auto-accusa- tion cons
tion au système délirant d'auto-accusation ne fait que confirmer le diagnostic . Quelques malades au contraire pas- sent du dél
érale, etc... Et nous fûmes ainsi amené à porter par élimination le diagnostic de folie systématique avec délire, de teinte pa
lui faire prendre ses repas avec les autres malades. Nous posons le diagnostic de dépression mélancolique. Les jours suivant
emarques. Nous avons intitulé notre observation hys- térie mâle; ce diagnostic ,' en effet, nous paraît s'imposer. Notre homme
nt bien par l'hystérie et ne peuvent s'expliquer que par elle. Le diagnostic d'hystérie étant établi, examinons en détail le
agnan, le déclarant atteint de mélancolie, nous avons porté le même diagnostic ; P... était bien en effet dans la dépression mé
halie acquise : l'examen macroscopique et microscopique confirme ce diagnostic en reconnaissant comme cause du porus : dans le
comme on le croit généralement de valeur réelie au point de vue du diagnostic pathogénique, mais seulement du diagnostic chro
éelie au point de vue du diagnostic pathogénique, mais seulement du diagnostic chronologique. B. Ciimion. XL11. Une singuliè
u réflexe du tendon d'Achille a une aussi grande importance pour le diagnostic du tabès que le signe de Westphal. f XLVL D
lule pyrami- dale, en particulier dans la - z. par, Anplade, 143. Diagnostic ptécoce de la par Hoche. Les ? parKlippel, 21
22 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
es cas exceptionnels sont la source des plus grandes difficultés de diagnostic . On éprouve de l'embarras à déterminer la cause
aris, 1900. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 3 pour le diagnostic . Chez l'adulte, au contraire, le foyer tuberculeu
a Tuberculose (Paris, octobre 1905), insistant sur la difficulté du diagnostic en pareil cas. Sur 20 cas de mal de Pott chez l
mal de Pott sans gibbosité, afin.de mieux souligner les erreurs de. diagnostic dont chacune d'elles peut être la cause. § 1.
lité à la pression des premières vertèbres lombaires, permettant le diagnostic de mal de Pott. D'ordinaire, aux douleurs en
itive. Ensuite survint la paraplégie, qui éclaira définitivement le diagnostic . Le rachis, jusqu'à la terminaison fatale, cons
s premières vertèbres dorsales, mais l'absence de gibbosité rend le diagnostic hésitant entre : mal de Pott, anévrysme aortiqu
flexibilité des régions saines du rachis. A plus forte rai- son le diagnostic est-il malaisé lorsque la lésion siège en une rég
r fréquence et de leur précocité, ont une grande importance pour le diagnostic . A ces douleurs en ceinture, s'ajoutent souvent
dans celui de M. Achard, comment aurait-on pu éviter une erreur de diagnostic ? II. Cas avec compression médullo-radiculaire
à un mal de Pott lombo-sacré sans signes rachidiens nets sont d'un diagnostic extrêmement difficile, le plus souvent. Voici
aru, la sciatique est très atténuée. Quoique sans autopsie, et d'un diagnostic pas absolument certain, le cas de MM. Raymond e
né une sédation des douleurs, tant qu'a duré l'immobi- lisation. Le diagnostic de « myopathie » a été récemment porté ; en effet
ous le titre de mal de Pott probable, « à cause de la difficulté du diagnostic et des discussions auxquelles il peut donner li
nd et Huet, cas de Triot), ce qui ajoute une nouvelle difficulté au diagnostic , déjà, cependant, si délicat d'habi- tude. '
erritoire des racines sacrées et lombaires inférieures, ou porte le diagnostic de lésion de la queue de cheval ou du cône term
24 heures après l'application d'une minerve, ce qui fait porter le diagnostic de mal de Pott latent. Dans sa « Leçon sur le m
tuliens. Dans l'autre, dont M. Brissaud n'affirme pas absolument le diagnostic qui est seulement probable, il y avait du côté
la partie latérale gauche de la 3e vertèbre cervicale permettent le diagnostic : le toucher buccal montre un léger empâtement
longue échéance, de douleurs radiculaires dont l'importance pour le diagnostic ne saurait être trop mise en évidence. Les tr
un certain degré d'ataxie, qui existait chez notre malade. § 2. - Diagnostic . Tel sont les principaux aspects cliniques des
ression de la moelle et des racines. On conçoit aisément combien le diagnostic peut devenir embarrassant, même pour un neurolo
ignes rachidiens, ou bien que ceux-ci sont seulement ébauchés. I. Diagnostic différentiel. Au début, nous l'avons vu dans to
ALQUIER ponction lombaire pourra donc, dans certains cas, aider au diagnostic . Les douleurs radiculaires du mal de Pott ont,
ophiques (eschares, oedèmes) qui i ne sont d'aucune utilité pour le diagnostic . Ce qui attire surtout l'attention du malade et
ie flasque des membres inférieurs pourra donner lieu aux erreurs de diagnostic suivantes : a) Si l'atrophie musculaire est peu
électrique des muscles, mais sans fournir désigne net permettant le diagnostic . Et cependant, plusieurs particularités rendent
tson vient, dans bien des cas de syphilis médullaire, corroborer le diagnostic ; enfin la ponction lombaire donne un bon signe
roupe Duchenne- Erb, ou du groupe Aran-Duchenne), on conçoit que le diagnostic puisse présenter certaines difficultés. Dans no
scoliose, simulaient assez bien le tableau de la syringomyélie ; le diagnostic n'avait pu être établi que grâce à l'intensité
ssion. Telles sont les principales causes d'erreur que rencontre le diagnostic des troubles nerveux survenant au cours du mal
méningo-myélite tuberculeuse indépen- dante du mal de Pott, dont le diagnostic offre les plus grandes difficultés. 26 ALQUIER
dire que les quatre variétés donc nous avons rapidement étu- dié le diagnostic différentiel représentent seulement les aspects l
; au-dessus et au-dessous, lésions dégénératives. II. Eléments du diagnostic positif. Les signes positifs, permettant de rap
cologie de Nantes (1901), est, malheureusement loin de permettre le diagnostic dans les cas douteux : elle n'a donné que des rés
ERVEUX 29 troubles nerveux sans gibbosité, il arrive parfois que le diagnostic est absolument impossible. En particulier, il
indépendant de la colonne vertébrale. On avait pu déjà écarter les diagnostics de spondylose de Marie-Strümpell ou de Bechtere
on semblable à celle-ci et d'une bacillose pulmonaire imposerait le diagnostic étiologique. Sans être absolument affirmatifs,
du malade et l'évolution de l'affection uous avaient fait porter le diagnostic de spondylose rhizomélique dans l'étiologie de
ortions de la colonne vertébrale et des hanches devait justifier ce diagnostic . Le ligament vertébral commun antérieur paraît
mment le dissentiment s'accuse dans une question capitale, celle du diagnostic . Qu'est-ce donc que l'infantilisme ? , Un éta
E PSYCHIQUE 63 l'arrêt delà croissance ne suffit pas à justifier le diagnostic d'infantilisme, l'accroissement normal de la ta
e est associé ci la dégénérescence mentale. Voilà un autre point du diagnostic qui me semble indiscutable, et sur lequel je re-
sur l'état du corps thyroïde, car c'est le seul moyen d'émettre un diagnostic ferme dans les cas difficiles, mais l'obésité d
Hertoghe, jugeons, par les résultats du traitement, à quel point un diagnostic d'infantilisme : myxoedématcux est exact » (3). E
coeur congénitale, dont on ne pouvait pas faire pour le mo- ment un diagnostic exact. ' Le médecin s'étant aussi adressé à moi
uffre aussi de syringomyélie, cependant je n'o- serais pas poser ce diagnostic , quoiqu'il présente quelques symptômes, qu'on r
e. L'école française me semble parfois un peu trop libérale avec le diagnostic de l'hérédo-syphilis. D'après les information
propos de laquelle se pose le problème délicat de l'étiologie et du diagnostic . Le octobre 1905, entre salle Sainte-Madeleine,
mbes, ce qui n'est pas chez la malade. CoHcmoH.Je pense que le seul diagnostic à porter est celui d'achon- droplasie partielle
gatifs mettent en doute une polynévrite. Faut-il mettre en doute le diagnostic des myopathies à la suite de ces nouvelles cons
hausen : il manque au tableau morbide les tumeurs des nerfs. Tout diagnostic différentiel est rendu superflu parles reproducti
'à des beso- gnes n'exigeant pas grand effort. Tel est le cas. Le diagnostic n'est pas douteux. Le malade n'avait rien, et,
ncre, même l'esprit le plus prévenu, de la rigoureuse exactitude du diagnostic «paralysie des béquilles ». Vrai- ment, le diag
exactitude du diagnostic «paralysie des béquilles ». Vrai- ment, le diagnostic est si peu douteux qu'à ce point de vue, notre ob
ssible, la ré- traction du ventre, la raie méningitique, on pose le diagnostic de méningite tuberculeuse. 26. Coma, extensio
fig. 1 et 2) dans l'hémisphère gauche du cervelet pour confirmer le diagnostic . Or l'examen histologique (professeur Askanazy) d
ible, si l'on peut reconstituer son passé pathologique, de faire le diagnostic et de séparer cette affection des syndromes qui p
aires à la sclérose polyfasciculaire,; mais, nous le répé- tons, le diagnostic de ces différents états est possible dans la plur
ces différents états est possible dans la pluralité des cas. Si ce diagnostic n'a point, quant à présent du moins, une importan
nt hâtée par une com- plication intercurrente. Pour ce qui est du diagnostic , il est en général des plus simples ; l'ab- sen
malade assiste en pleine connaissance à sa déchéance progressive. Diagnostic clinique. Le diagnostic des paraplégies qui s'acc
ne connaissance à sa déchéance progressive. Diagnostic clinique. Le diagnostic des paraplégies qui s'accompa- gnent de rétract
nt au début de leur développement ou tout à fait ébau- chées que le diagnostic prête à des hésitations. L'affaiblissement mote
ux,les phénomènes de Babinski, d'Op- penheim, viendront affirmer le diagnostic d'hémiplégie double ; ou bien la parésie se ser
tre que celle du cerveau. Plus difficile est dans bien des cas le diagnostic de la paraplégie muscu- laire d'avec la paraplé
ra dans les cas douteux être d'un grand secours. En réalité le seul diagnostic délicat est à faire avec le rhumatisme chro- ni
plégie par myosite. Ainsi que nous l'avons dit à l'introduction, le diagnostic avec le rhumatisme fibreux décrit pour la premi
E GÉNÉRAL NON TABÉT1QUE 281 symptômes qui permirent à M. Joffroy le diagnostic rétrospectif d'une paralysie générale à évoluti
ral. Donc pas de trachéocèle dans toute cette région cervicale ; le diagnostic de hernie du poumon se confirme davantage par cet
que dans certains cas il serait t absolument impossible de faire un diagnostic différentiel entre une forme consécutive par ex
certaine intégrité des cylindraxes, cela peut suffire à ren- dre le diagnostic histologique extrêmement délicat. L'état des méni
ue de la syphilis spinale, ce qui rend alors extrêmement délicat le diagnostic différentiel. Ce fait d'ailleurs est reconnu au
le, mais nous pensons aussi que parfois, nous devons le répéter, le diagnostic différentiel est très difficile sinon tout à SC
. I, 1891. (4) BLOCQ et ONANOFF, Maladies nerveuses, séméiologie et diagnostic . Paris, 1892. 368 1NGEGNIEROS ¡A 11l'ùsie sen
teuse dans le premier, ne con- tribua en aucune façon à éclairer le diagnostic . De fait, aucun des foyers n'était en communica
s diaphyses. Cette dystrophie n'est pas un rhumatisme déformant. Le diagnostic différentiel clinique se base : 1° Sur l'aspe
répétition, crampes dans les jambes, pollakiurie nocturne, etc.) le diagnostic semble être : polysclérose avec poussée subaigu
que signaler : on trouve des altérations rénales qui confirment le diagnostic de mal de Bright et d'urémie et des lésions ple
pituitaire. Chez le malade dont on vient de lire l'observation, le diagnostic ne pou- vait guère être hésitant et l'hypothèse
polichinelle (P. Marie). La netteté des symptômes rendait facile le diagnostic différentiel dans notre cas. Bien que notre m
entaux du myxoedé- mateux. Il n'est guère utile d'insister sur le diagnostic différentiel avec la mala- die osseuse de Paget
Pbototypi. Berthaud, Pan 1 UN CAS d'acromégalie 397 En somme le diagnostic d'acromégalie s'imposait chez notre malade ; au
nt de publier son observation complète. Nous n'avons pas discuté le diagnostic entre l'acromégalie et le gigan- tisme qui a fa
lé des trois planches à l'eau-forte dont était orné. « On ferait le diagnostic sur ces dessins» ,s' écria-t- i 1. Il voulut en c
criante ; c'est le cas de répéter le mot de Charcot : « On fait le diagnostic sur ces statuettes. » Chaque clinique devrait e
'autopsie suivie d'examen histologique nous a permis de vérifier le diagnostic , nous avons pensé qu'il était intéressant de rapp
angue, joues, pharynx et musculature oculaire). Il discute enfin le diagnostic avec la paralysie infantile, la paralysie d'ori
trois cas n'a été publiée. Nous ne nous attarderons pas à faire le diagnostic de ces cas avec la pa- ralysie infantile généra
fes- seur Grasset un homme qui avait été envoyé à l'hôpital avec le diagnostic de syringomyélie et qui présentait certains sym
ie et qui présentait certains symptômes permettant de dis- cuter le diagnostic de lèpre. Bien que la question n'aitpu être absol
élique de la sensibilité. SYRINGOMYÉLIE OU LÎ'sPIIE 457 Les seuls diagnostics qu'il y ait lieu de discuter chez ce sujet sont l
gne où la lèpre est assez fréquente (province de Valence) et que le diagnostic de lèpre a été discuté par un des médecins appe
insisté dans l'observation a été le symptôme qui a fait hésiter le diagnostic entre la syringomyélie et la lèpre. Ces placa
gèrement pigmentée, large environ d'un centimètre. Pour trancher le diagnostic , il faudrait dans les coupes d'un fragment de p
a majorité des arguments soient en faveur de la syringomyé- lie, le diagnostic de lèpre ne peut être écarté d'une façon absolue
lue on sait que, dans un cas analogue de MM. Pitres et Sabrazès, le diagnostic put être fait seulement par la recherche des ba
airement, chez l'homme, à d'autres symptômes assez nets pour que le diagnostic de la cause puisse être établi. Les caractères
oteurs et sensoriels, les lésions du fond de l'oeil per- mettent le diagnostic et quelquefois la localisation de la tumeur. A cô
trentaine. » Parmi les différents symptô- mes pouvant permettre le diagnostic des tumeurs cérébrales il faut ajou- ter la stu
amen des crachats, fait à plusieurs reprises, est resté négatif. Le diagnostic de bronchite chronique avec emphysème nous para
la jambe droite semble aussi s'appuyer difficilement sur le sol, le diagnostic d'hémiplégie se présente naturellement à l'espr
la séro-réaction de Courmont, que l'on a proposées comme moyens de diagnostic dans le cas de mal de Pott, sans signes rachidi
e la valeur pathognomonique de l'hémiasynergie cérébelleuse pour le diagnostic des lésions du système cérébelleux. Cet examen
nférieurs sont normaux. Autopsie (faite 12 heures après la mort). Diagnostic anatomique : Aortite chronique avec sclérose myoc
23 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uivi le malade pendant quelque temps qu'on fut conduit à reviser le diagnostic primitif et. à admettre l'hystérie. On releva e
des organes d'émission de la voix. Nous ne reviendrons pas sur le diagnostic du bé- DU BÉGAIEMENT HYSTÉRIQUE. 23 gaiement
(à la suite de l'aphasie) est subit dans la plupart des cas, 1 Ce diagnostic était d'autant plus rationnel qu'a cette époque o
a tèle et le cou, des mouvements curieux et presque incessants ; le diagnostic en est difficile et mérite de nous arrêter. Quo
IQUE nerveuse. en date dans le service, et, en outre, parce que son diagnostic , plus facile que celui de l'autre, nous permett
nt. prêter à des considérations pratiques au double point de vue du diagnostic et du pronostic. I. - IL s'agit d'une jeune fil
dernier. La chorée électrique doit être, en tout cas, éliminée, du diagnostic , dans le fait que je vous rapporte, pour les mê
Voilà, semble-t-il, assez d'éliminations. Il est temps de faire un diagnostic positif. Qu'a donc notre malade ? Je vous dirai
utorité encore à ces travaux issus de la Salpêtrière, a consacré au diagnostic des tics avec l'hystérie, une leçon clinique da
tance capitale, au point t de vue pratique, à la connaissance et au diagnostic de la maladie, et enlève, par contre, presque t
Il résulte des deux observations relatées dans ce travail que le diagnostic du mal de Polt d'avec la rachialgie hystérique pe
ou moins grand nombre permettront dans beaucoup de cas d'établir le diagnostic de tumeur cérébelleuse. G. D. V. UN cas d'absen
fection (le sujet a actuel- lement vingt ans) permet de penser à ce diagnostic sans qu'on ait de certitudes cliniques, ni d'él
d'un hémisphère cérébral, réalisant ces conditions-là. P. K. XIX. Diagnostic ET interprétation DES SYMPTOMES pupillaires ; par
oparalylique au début. Infiltration du sommet gauche; hyperthermie. Diagnostic confirmé. Tumeur tuberculeuse de la protubéranc
ncule ; cérébral par G. RossoLYnco. (Neurol. Centralbl., 1886.) . Diagnostic . Embolie de Tarière sylvienue gauche; affection c
E physiologie pathologique. 95 XXIII. UNE méthode simple d'électro- diagnostic POUR déterminer l'irritabilité galvanique quant
marquer toutefois que l'observation du malade entraînait au delà du diagnostic de sclérose des cordons posté- rieurs et latéra
e Hanovre), présente un malade atteint de névrose traumatique 2. Le diagnostic ne peut hésiter qu'entre l'espèce mor- bide con
erlin. Juin, Wo- chenschrcf't 1888, n° 5). Voici la confirmation du diagnostic . Les cordons de Goll et les faisceaux pyramidau
juvénile, il caractère familial ; sans antécédents héréditaires. Le diagnostic de l'aflection est discuté avec soin et bien ét
stiques, dont l'importance eût été grande par conséquent et pour le diagnostic et pour le pronostic, si on avait pu les découv
lique et expansive, sur les diverses paralysies générales, sur leur diagnostic différentiel, sur les variétés cliniques de la
ens musculaire ce sont deux symptômes négatifs importants pour le diagnostic d'avec l'ataxie locomotrice. Les symptômes poly
pneumogastrique. Pour la question orale elle a été : « Symptômes et diagnostic de la rougeole; » < Calhéiirisme de l'oesoph
antes : « Eliologie de la fièvre typhoïde et rétention d'urine; » « Diagnostic de la pneumonie franche et luxation de la mâcho
S ET TREMBLEMENT. 191 Telle est l'histoire de la malade. Passons au diagnostic . Ce qui domine chez notre malade, ce sont donc
nts. Une analyse plus complète des phénomènes'permet d'écarter ce diagnostic . ' Le tremblement de la maladie de Parkinson po
contraire; du tremblement -;sénile. · 1 , ' ' ' j " Est-ce là un diagnostic complet, un diagnostic nosologique ? Qu'est-ce;
ent -;sénile. · 1 , ' ' ' j " Est-ce là un diagnostic complet, un diagnostic nosologique ? Qu'est-ce; en effet, que- le-trem
née; nous aurions fait du même coup, chez notre malade, le double diagnostic symptomatique et nosologique. Je crois cependant
seconde, comme Chambard en a cité un exemple). C'est donc, pour le diagnostic qui nous occupe, un élément séméiologique de pe
dans la suite. PARALYSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 211 Le diagnostic définitif est donc le suivant : Tremblement de
e mal indiqué, l'examen des organes des sens - si important pour le diagnostic fait toujours défaut. Cependant il y a des cas
e attribués à une lésion d'un nerf; nous n'in- sisterons pas sur ce diagnostic différentiel, le mode de distri- ' bution de l'
age, femmes de mé- nage) voilà pourl'étiologie. L'auteur discute le diagnostic d'avec : névralgie, compression des troncs nerv
onnementnormal, témoigne de la véracité de pareille interprétation. Diagnostic : névrose irri- tative sans'lésion organique. P
lexie qui laisse après elle de la surdité verbale avec paeapleusie. Diagnostic . Lésion circonscrite de la première temporale e
a de l'iris et de la choroïde chez un frère plus âgé. Discussion du diagnostic . Pas d'autopsie. P. K. LXI. UN cas d'alexie a
L. Bruns et B. STÆLTING (Neurol. Centralbl., 1888). Discussion du diagnostic , avec schémas et documents biblio- graphiques.
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXIV. Importance DE la MIMIQUE POUR LE diagnostic DE la FOLIE; par SiKonsKy, (Neurol. Centralbl.,
THÉRAPEUTIQUE 1. Recherches expérimentales A l'appui de l'électro - diagnostic ; par Martius. (Arc/¡. f. Psych. XVIII, 2.) L
ENTE ; par R.-H. Pierson. - Contribution A la THÉ- RAPEUTIQUE ET au diagnostic DE l'hydropisie intermittente DU GENOU ; par A.
ité plus ou moins grande avec laquelle leurs au- teurs admettent le diagnostic de syphilis, d'ailleurs fort ardu à établir. Il
s. Il pense que, dans tous les cas où il est impossible de faire le diagnostic différentiel entre la paralysie générale vraie
ues cérébraux et non comme des paralytiques généraux vrais, pour le diagnostic certain desquels il faut la démence et les trou
Relous, co-auteurs d'un mémoire sur les difficultés que présente le diagnostic différentiel de la paralysie générale dans les
constatation peut, dans certains cas, comme le précédent, servir au diagnostic d'une affection coexistante, telle que les form
4 bibliographie. bides en syndromes qui lui permettent d'établir le diagnostic et le pronostic. On assiste à la fois à l'étude
ose 1. Ajoutons enfin que l'intérêt pratique qu'il y a à établir le diagnostic d'une mala- die dont le pronostic diffère essen
ne viendrait à l'idée de personne de contester la légitimité de ce diagnostic . Voici maintenant un autre malade exactement se
erminaison et il n'y a aucun stigmate hystérique. En pareil cas, le diagnostic d'hystérie peut paraître difficile à soutenir.
à bon droit, 310 CLINIQUE NERVEUSE. porter, même dans ce cas, le diagnostic de mu- tisme hystérique. Ce que nous venons de
is si ces divers renseignements font défaut, et si, pour établir le diagnostic , on en est réduit à l'obser- vation exclusive d
-uns des arguments sur lesquels on peut fonder dans un cas donné le diagnostic d'hystérie et nous avons choisi, à dessein, des
it spécial quand ils sont sous la dépendance de l'hys- térie, et le diagnostic , en pareil cas, n'est pas douteux. Mais il est
e lésion organique et même de certaines névroses, et mener ainsi au diagnostic . c) L'hystérie ne conduit que rarement à la dé-
nt apporter dans certains cas, quelques probabilités en faveur du diagnostic . On sait en effet que le plus sou- vent le brom
ortance individuelle de chacun d'eux, on sera amené à accepter le diagnostic d'hystérie. avec ou sans réserves, et par- fois
ujets atteints à la fois de migraine ophthalmique et d'hystérie. Le diagnostic s'impose en effet, dans ces divers cas, et il s
suffisent pas toutefois à ôter toute valeur à cette observation. Le diagnostic de migraine ophthal- mique hystérique peut être
tance à ce symptôme que nous crûmes être de grande valeur pour le diagnostic différentiel des troubles liés aux affections r
nostic différentiel des troubles liés aux affections rétiniennes, - diagnostic souvent assez dif- flcilH, comme, par exemple,
e. On voit de là toute l'importance du symptôme de relation pour le diagnostic différentiel de l'amblyopie dans l'hystérie et
la per- ceptibilité différentielle ajoute un symptôme de plus au diagnostic différentiel des troubles occulaires dans ces d
alade à l'entrée. Quelles conclu- sions en tirer au point de vue du diagnostic et du pronostic ? Tout d'abord l'hystérie nous
élioration est-elle assez notable pour justifier à la fois et notre diagnostic et l'opportunité du traitement. PHYSIOLOGIE PAT
uand les deux phénomènes morbides en question sont bilaté- raux, le diagnostic entre eux deux n'est toujours pas possible, car
té verbale; hallucinations de l'ouïe du côté droit. Démence rapide. Diagnostic . Lésion dans le voisinage du lobe temporal gauc
qu'il était dans les habitudes de Vandevoir de se tromper quant au diagnostic . C'est ainsi qu'une fistule à l'anus était trai
'un d'entérite chronique, et l'autre de laryngite chro- nique ; les diagnostics posés par Vandevoir furent emphysème et' maladi
l'arrivée du VARIA . 449 Or Carlier, étaient à la hauteur de ses diagnostics . Depuis l'entrée d'un médecin dans l'associatio
le médecin se bornait à les écrire sous dictée et à les signer ; le diagnostic continuait à être posé par Vandevoir. Ajoutons qu
. impulsive, par Fritsch, 252; - importance de la mimique pour le diagnostic de la - , par Sikorsky, 251;- poids du corps
hystérique, par Babinski, 305. Mimique, importance de la pour le diagnostic de la folie, par Si- Lorsiiy, 2af. Moelle '1¡
24 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
hologique, étioiogie, symptômes, — marche, — durée, — terminaisons, — diagnostic , — pronostic, — enfin traitement. — J'ai cru devo
mais il faut bien l'avouer, il est à peu pires impossible de faire le diagnostic de ces diverses variétés, et le traitement doit ê
ne donnent aucun renseignement sur l'en-droit où séjourne la balle. Diagnostic . Plaie de l'articulation du genou avec complicati
à la Salpètrière en 1870. (Mouvement médical, 1870, p. 340 et 341.) Diagnostic . Entre les arthropaties des ataxiques et les mani
neux est un mémoire de M. Bouchut sur Vophthalmoscopie appliquée au diagnostic des maladies de la moelle épinière, mémoire duque
1870, pages 193 cl 22U ; 1871, p. 9. - Moritz Rosenthal, Handbuch der Diagnostic und Therapie der Nervenkrank-heiten, p. 571. se
mission dans l'établissement. L'autopsie nous a permis de vérifier le diagnostic porté pendant la vie : rupture de l'utérus et pér
rémie, de montrer l'importance de la ther-mométrie au point de vue du diagnostic entre ces deux maladies :— Éclampsie puerpérale e
iète encore sur la cornée ne permet pas de préciser plus nettement le diagnostic . Instillations d'atropine qui, en dilatant la pup
. Pupilles naturelles. P. 72 ; Pi. 24 ; Température axillaire 57°,77. Diagnostic : suppres-sion de la fonction du rein gauche depu
este plus court ou devient plus long que son conjoint. PRONOSTIC ET DIAGNOSTIC . Le pronostic doit être basé sur une appréciati
crois, n'a été l'occasion de si nombreuses erreurs au point de vue du diagnostic que la médullite phlegmoneusc clans ses formes
îne une aggravation du pronostic. En face de l'utilité si grande d'un diagnostic exact, il faut y tendre par tous les moyens et re
absolument les mêmes, je crois inutile de chercher des subtilités de diagnostic . Dans l'un et l'autre cas, on incisera, et, par l
n, on ira voir s'il y a ou non un os à nu. Je n'ai pas à établir de diagnostic avec Yostéite ou Y ostéomyélite aiguë, puisque la
un temps précieux. Leur application n'est légi-time qu'autant que le diagnostic reste incertain. Les sangsues, excellent antiph
r le bistouri et pénétrer dans l'os sans retard. Si, par suite d'un diagnostic incertain ou d'une prudence dange-reuse, le chiru
isoii; Vous voyez par là que ce phénomène n'a pas, au point de vue du diagnostic anatomique, l'importance que quelques personnes l
-tuent un ensemble de symptômes dont l'importance, au point de vue du diagnostic est à peu près décisive. Rien de semblable ne s'o
ant des circonstances vraiment décisives qui per-mettent d'établir le diagnostic . 1° Àlb... a des attaques hystériques depuis l'
que l'interpré-tation clinique de ces deux cas, en ce qui concerne le diagnostic . Mais voici le point où, dans ces cas même et dan
de vue des caractères anatomiques, — comme leur symptomatologie, leur diagnostic et le traitement qu'ils réclament sont les mêmes,
ut donc y at-tacher qu'une importance tout à fait secondaire. § VI. Diagnostic . —Au début de la maladie, le diagnostic est im-po
ut à fait secondaire. § VI. Diagnostic. —Au début de la maladie, le diagnostic est im-possible. — Plus tard, quand le kyste est
— Plus tard, quand le kyste est volumineux, très-volumi-neux même, le diagnostic est encore difficile. Que faut-il pour arriver
era de se tenir dans une sage réserve. Il est plus aisé de faire le diagnostic avec les tumeurs du foie; le siège de la matité e
'on a été assez heureux pour parvenir à poser d'une façon certaine le diagnostic : kyste de la rate, que reste-t-il à faire ? Di
consécutifs aux sections incomplètes des nerfs. IL BIBLIOGRAPHIE Diagnostic des manifestations secondaires de la syphilis sur
dives intermédiaires; puis, dans un paragraphe suivant, il établit le diagnostic de ces syphili-des entre elles et avec les autres
es lésions tardives intermédiaires ; — 3° Dans la plupart des cas, le diagnostic des syphilides de la langue peut être fait à l'ai
oique minime est très-suffisante pour entraîner une grande er-reur de diagnostic . En effet, la plaie explorée avec le stylet à bou
ymptômes présentés par ces organes, on pourra quelque-fois arriver au diagnostic . D'après Niemeyer, la dégénérescence du parench
ieuses et avec celui de la cachexie palustre. Il faudra, dès que le diagnostic sera établi, faire prendre au ma-lade d'assez for
evait être très-mau-vais et faire prévoir une mort très-prochaine. Le diagnostic était très-incertain, les renseignements manquant
dans le cerveau. Mais, si bien établi qu'eût pu et qu'eût dû être le diagnostic , les lésions du cœur étaient si extraordinaires,
sienne. Nous allons surtout nous occuper de la symptomatologie et du diagnostic de la nature de ces tumeurs. Depuis un an envir
ins, avec les autres médecins lé-moins du fait dont il s'agit, que le diagnostic peut être établi dans ce cas par exclusion, et qu
haque fois que le sang est altéré dans l'économie. IV. Symptômes et diagnostic . — Parmi les symptômes de la con-gestion de la ra
e productrice de l'hypé-rémie et qui peuvent être très-utiles pour le diagnostic . — 11 faut chercher ces symptômes surtout dans de
enerales de médecine, 1832. Rosch. —Ibidem, 1832. Piorry. — Traité de diagnostic , t. II, 1837. Andral. — Précis d'anatomie patholo
résolution sans qu'il y ait eu de suppuration en aucune sorte. IV. Diagnostic . — La splénite est souvent méconnue, et lorsqu'il
ec la splénite, et quoi-que les auteurs aient cherché à en établir le diagnostic différentiel, nous ne ferons que les indiquer. 11
une appréciation rigoureuse des symp-tômes, on ne peut arrivera aucun diagnostic précis. La percussion est le mode d'exploration q
au trouble fonctionnel des viscères voisins, mettront sur la voie du diagnostic . 11 faut donc s'assurer avant tout que les orga
certain temps, lorsque laphlegmasie chronique n'est pas primitive; le diagnostic est alors un peu moins ohscur. Aux sym-ptômes loc
equ'elle a aujourd'hui. A pari cela, Duplech jouit d'une bonne santé. Diagnostic : tumeur ence'phaloïde. 27 mai. — Opération. On
es moyens d'ana-lyse; — dans la seconde, ces moyens sont appliqués au diagnostic de la paralysie de chaque muscle en particulier ;
ym-ptômes, de donner une idée de la délicatesse et de la précision du diagnostic . Lorsqu'un muscle oculo-moteur est paralysé, un
nche cervico-faciale; la branche supérieure du fa-cial est intacte. Diagnostic . — Parmi les tumeurs qu'on peut rencontrer à la r
rs malignes ou cancers, qu'il nous reste à établir le dia-gnostic. Ce diagnostic est ici facile, car l'absence absolue des deux ca
ux et par l'état général pour faire re-pousser l'idée du cancer. Le diagnostic d'adénome, porté d'emblée par M. Broca, conduit à
à tous les âges, et même chez le fœtus (Charcot). IV. Symptômes et diagnostic . — Pour la symptomatologie, nous devons admettre
on, et d'ailleurs les résultats de l'autopsie sont venus confirmer le diagnostic porté pendant la vie. Des considérations que no
s venons de développer, il résulte que la rupture de la rate est d'un diagnostic difficile ; l'hypertrophie antérieure de cet orga
a rup-ture d'un anévrysme ou d'un gros vaisseau de l'abdomen. Mais le diagnostic ne peut jamais reposer que sur des probabilités,
ansfusion du sang délibriné, par de Bélina (anal. G. Peltier), 188. — Diagnostic des manifestations se-condaires de la syphilis su
25 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ncurabilité imprimés, dont il avait rempli les blancs en portant le diagnostic d'hystérie et en imitant la signature illisible
es, il existe d'autres signes qui nous suffisent pour établir notre diagnostic . En effet, nous observons chez L'inculpé une an
le second, qui s'en rapportant, avait-il dit, trop servilement au diagnostic de son confrère, lui avait refusé un élargisse-
survenue dans la menta- lité de Cing... et par suite la négation du diagnostic de délire des persécutions, dont il avait été r
premier certificat. Je devais d'autant plus relever cette erreur de diagnostic d'aliénation que la folie étant admise dans son
rification posl morlem. Vladimir Aluratov 2 se base pour établir le diagnostic d'une lésion corticale avec une lésion capsulai
ération, affaiblissement, abolition) au début du mal, pour faire le diagnostic , dans les cas douteux. Les troubles de ces réfl
court pour qu'on puisse l'imputer à l'amélioration des éléments du diagnostic . · 2° Les rémissions sont devenues fréquentes e
n'offre aucun symptôme qui lui soit propre et, en ce qui a trait au diagnostic différentiel avec la paralysie générale, l'erre
Les deux seuls signes qui, peut-être, pourront parfois faciliter le diagnostic de pachyméningite, sont : 1° La gravité des ict
esponsabi- lité criminelle se réduit actuellement à une question de diagnostic ; mais les médecins légistes sacrifient encore,
on ; c'est le signe de la maladie mentale. C'est donc assez pour le diagnostic et, partant, pour la décision de l'expert ». A.
s'aggravant, et en juillet 189 l'auteur voit le malade, et porte le diagnostic de myxoedème. Il y avait de l'engourdissement e
au point de vue de la valeur de la ponction lombaire comme moyen de diagnostic ; par José L. Hmsn. (1'he New York Médical Journ
quassent clairement l'existence d'une méningite cérébro-spinale, le diagnostic absolu ne pouvait être fourni que par la poncti
llulnl'is mêningilidis. La ponction lombaire a donc ici confirmé le diagnostic ; mais 76 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. elle a d'au
t en de simples altérations nutritives, le pronostic, pourvu que le diagnostic soit suffisamment précoce, doit devenir beaucoup
a forme, ni le poids. Les sensi- bilités profondes sont abolies. Le diagnostic est : pachyméningite gommeuse de la région rola
de l'autopsie d'un homme chez lequel M. Pierre Marie avait fait le diagnostic de syringomyélie et d'hydrocéphalie et qui mour
et d'une canne. Hypoesthésie sur le territoire du fémoro-cutané. Le diagnostic de rhumatisme déformant ayant été porté par plu
pérament et délinquance. Etude statistique; par le D'' J. M\RTY. Le diagnostic des tempéraments est bien imprécis, et la reche
ois qu'on pourra toujours arriver par un examen soigneux à faire le diagnostic différentiel et à attribuer à chaque maladie le
. Il est marié et sa femme ne présente aucun .signe d'infection. Le diagnostic était à faire entre l'épi- lepsie et la syphili
central; le retour nocturne des paroxysmes militait en faveur d'un diagnostic aussi bien que de l'autre ; mais la rapidité de
Ce réflexe pathologique, qui a ceci d'important au point de vue du diagnostic qu'il peut permettre de déceler l'existence d'u
e aux membres de la Société si quelqu'un d'entre eux peut porter un diagnostic ferme. Tic d'élévation des deux yeux. M. O. C
sans qu'aucun trouble psychique ou somatique ait pu faire porter un diagnostic de paralysie géné- rale. 11 s'agit donc chez
e n'est pas aussi complète que celle de la syringomyélievraie et le diagnostic reste ordinairement possible, quoique parfois dil
sieurs heures dans un coma absolu. Il n'y a donc aucun doute sur le diagnostic d'épilepsie essentielle. L'opération a eu, ch
minance du rouge dans les tableaux du rêve est à remarquer. Si le diagnostic de certains cas d'épilepsie peut tirer quelque
s ophtalmiques (29 avril) ; 6° Sur l'épilepsie idiopa- thiqzie, son diagnostic et son traitement (Kbr trinitrine hyoscitze, etc.
York Médical Journal, 23 avril 1898.) Tout le monde sait combien le diagnostic des attaques nocturnes d'épilepsie est quelquef
de rechercher avec soin les autres symptômes propres à confirmer le diagnostic d'épilepsie. Il. DE 1\lUSGItAVE-CLAY. REVUE DE
. H. de ! \IOSGR : 1VR-CL.1Y. XXXIII. Le crétinisme sporadique; son diagnostic différentiel avec certaines formes d'idiotie et
siles les y prédispose d'ailleurs. Il. de Musgrave-Clay. XL. Sur le diagnostic précoce de la démence paralytique ; par STEWART
e qua- rante à cinquante ans. On peut appliquer à la précocité du diagnostic de la démence paralytique, cette remarque de Hein
romique de durer plusieurs années ajoute souvent à la difficulté du diagnostic , sans compter que les symptômes de cette périod
e. Ou ne sau- rait trop insister sur la nécessité qu'il y a pour le diagnostic à ne pas admettre que la démence paralytique à
E PATHOLOGIE MENTALE. 231 attaques épileptiformes, il faut faire le diagnostic différentiel avec l'épilepsie : l'âge du malade
beaucoup, l'épilepsie étant une maladie à début jeune. En résumé le diagnostic de la dé- mence paralytique au début est toujou
sur les symptômes psychiques. ' R. DE nIUSGR.IVE-CL : 1Y. XLI. Le diagnostic précoce de la paralysie générale' (démence prog
ayant avec le type fondamental une si étroite ressem- blance que le diagnostic différentiel peut être fort malaisé et dont cep
out une importance prépondé- rante, car on ne pourrait pas faire le diagnostic sur la foi des seuls symptômes physiques. Mais
il fut positif. Malgré cette constatation je préférai maintenir le diagnostic d'hys- térie seule, que confirma promptement la
ont été décrites, est suffisamment net pour qu'on puisse porter le diagnostic d'épilepsie ; les relations de cause à effet av
avaux antérieurs sur le sujet. En ce qui concerne en particulier lé diagnostic , l'auteur pense que l'on devra soupçonner une t
causés par irrita- lion nerveuse, exemples qui montrent combien le diagnostic peut être quelquefois difficile. Suit la rela
localisée, douleur à la percussion de la zone rolandique, etc. Le diagnostic de lésion tuberculeuse au niveau de la zone rolan
un cas d'épilepsie jacksonienne d'ori- gine hystérique. G. D. XI. Diagnostic de la paralysie bulbaire chronique progressive ;
l'importance à ce propos des troubles pharyngiens et termine par le diagnostic différentiel avec les paralysies pseudo-bulbair
le douzième nerf est responsable des troubles moteurs de la langue. Diagnostic . -La différenciation doit être faite particulière
pseudo-bulbaire et la paralysie bulbaire dégéné- rative vraie. Le diagnostic avec la paralysie pseudo-bulbaire est plus diffic
lus difficile à cause de l'absence d'atrophie dans les deux cas. Le diagnostic de paralysie bulbaire vraie repose sur les cara
igine radiculaire. M. A. CHIPULT. Parmi les quelques difficultés de diagnostic qu'est susceptible de soulever la méralgie pare
les cas bilaté- raux et à évolution tabétique ultérieure ; c'est le diagnostic avecles lésions des premières racines lombaires
gnostiqué méralgie paresthé- sique. Je fis de même tout d'abord. Ce diagnostic me devint sus- pect le jour où j'assistai à une
s radiculaires par lésion vertébrale sont du reste d'ordinaire d'un diagnostic moins délicat : qu'elles soient d'origine traum
prise par la malade, rappelaient absolument la méralgie et c'est un diagnostic auquel, en l'ignorance de la cause j'aurais for
. Historique, psychophysiologie, étiologie, symptômes, pronostic, diagnostic et traitement, telles sont avec des faits cliniqu
is au milieu de la nuit, d'un accès de delirimn tremens, d'après le diagnostic du médecin qui fut appelé immédiatement. Plus
ec l'atrophie optique, et la perte du champ visuel temporal rend le diagnostic de tumeur pituitaire presque certain. - 4° L'hé
ïa alcoolique ; les autres relèvent de la pa- ranoïa sexuelle. Le diagnostic entre la jalousie passionnelle exagérée et le dél
aire est la démence. La médecine légale se ramène à une question de diagnostic . En cas de délire de la jalousie bien caractéri
- Formes cliniques de l'urémie. Patho- logie externe : Symptômes et diagnostic de la hernie étranglée. Mal de Pott. - Signes e
ômes et diagnostic de la hernie étranglée. Mal de Pott. - Signes et diagnostic de la cuoealgie. En ce qui concerne l'internat
omen ne fait pas découvrir de ganglions mésentériques volu- mineux. Diagnostic : tuberculose. Mérne traitement général, plus 2
olence. Deux accès de faiblesse colossale. Jamais de con- vulsions. Diagnostic . Tumeur cérébrale probable. La paralysie ne s'a
alcoolisme. Le cas est intéressant en ce qu'il a permis de poser un diagnostic précoce. D'autre part les symptômes sont tels q
ement) mais il est impossible de dire l'importance de ce facteur. Diagnostic : Cette affection se distingue de l'ataxie locomo
une dissociation des sensi- bilités, ce qui pouvait faire porter le diagnostic de syringomyélie. On évite l'erreur en considér
tiers des cas). Plusieurs de ces symptômes peuvent manquer et le diagnostic ne peut guère être fait que par la marche ultérie
crâniens, même faiblesse et douleurs dans les extrémités. Pour le diagnostic , il faut se baser sur : les rémissions et les arr
nant de ces tumeurs est le trouble de l'intelligence. D'ailleurs le diagnostic ne peut être fait que post mortes. Le malade, â
ade présentait les phénomènes rénaux depuis dix ans, on prononce le diagnostic de l'urémie. A l'examen microscopique de l'urin
s dissemblables, il était nécessaire de compléter et de préciser le diagnostic . Parmi les maladies dont l'existence pouvait êt
te affec- tion ; le jeune âge du sujet, ne pouvait faire rejeter ce diagnostic , puisqu'il est aujourd'hui établi, contrairemen
diplégie cérébrale spasmodique infantile ou maladie de Little. Le diagnostic de la sclérose en plaques et de la diplégie céréb
Raymond en cite plusieurs exemples. Dans le cas dont il s'agit, le diagnostic de diplégie céré- brale spasmodiqne a été rejet
gie cérébrale spasmodique tendait encore à faire rejeter ce dernier diagnostic . Malgré cela M. le professeur Raymond ne se pro
s par guérison, on a toujours le droit de douter de l'exactitude du diagnostic et de se demander si on n'a pas été en présence
ur la dysphagie hystérique, sur l'historique de la question, sur le diagnostic différentiel de la maladie et sur le trai- teme
se auto-suggérée ; 2° un jeune enfant à propos duquel il discute le diagnostic d'hémiplégie organique et d'hémiplégie hys- tér
forme d'épidémies, ce qui dans de tels cas est un bon guide pour le diagnostic . Chez nous l'affection étant toujours isolée, e
ns, de tels cas nous font naturellement penser à la méningite et le diagnostic nous est plus difficile. Deux faits de chirur
s multiples avec atrophie musculaire et mutilation de phalanges, le diagnostic avait hésité entre lèpre et maladie de Morvan.
'Académie de Médecine lui décernait un prix pour son mémoire sur le diagnostic et le traitement de la mélancolie. L'un des prin-
concernant la médecine men- tale, publiés par Armand SEMELAIGNE. Diagnostic et traitement de la dipsomanie (Journal de Médeci
les diverses espèces de 538 BIBLIOGRAPHIE. suicide (idem) ; - Du diagnostic , différentiel du délire aigu (idem) ; Cas remar
E. Traitement thyroïdien dans le- sporadique par Kophk 70. Le - ; diagnostic avec l'idio- tie, par Kophk, 243. Crimes. Les
DES MATIERES. 549 Les stéréotypies dans les -, par Ricci, 236. Diagnostic précoce de la - paralytique, par l'aton, 259.
infantile et de l' - , pal' 'l'allzi, 236. Crétinisme sporadique diagnostic avec l' -, par Koplek, 243. symptoma- tique.
en tranches et théorie mé- tamérique de Brissaud, parCrocq, 330. Diagnostic de la - bulbaire. parJtosce, 331. - bulbaire, a
t, par Tanzi. 233. Si- philis cérébrale et -, par Pa- trick, 240. Diagnostic précoce de la -, par Sachs, 251. Paralytiques
26 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
vue l'année 1889. Atteint d'ataxie locomotrice progressive, dont le diagnostic avait été établi par nombre de sommités médical
GIE NERVEUSE. 45 compliquait, assez développée pour avoir permis le diagnostic du vivant, hérédité convergente. A. M. lit. U
tterelb dans un cas d'hémi- plégie avec épilepsie. A. M. XVII. Du diagnostic DES affections cérébelleuses; par Risien Russel
iverses phases de l'évo- lution de la lésion cutanée, et rendant le diagnostic absolument certain. Le traitement thyroïdien, l
a rendu d'autre service que de nous mettre sur la bonne piste ; le diagnostic une fois confirmé par l'examen microscopique, l
propre comme moyen thérapeutique, peut fournir d'utiles éléments au diagnostic a été proposé pour la pre- mier fois par Quinck
l'hydrocéphalie crânienne : il pense enfin que, au point de vue du diagnostic , la valeur de cette méthode est nettement établ
essants travaux, tant en ce qui concerne la physiologie que pour le diagnostic et la théra- peutique. ÉLECTRO- PHYSIOLOGIE.
oclonus (Progrès médical, 1895) après avoir soigneusement établi le diagnostic diffé- rentiel et les analogies du paramyoctonu
axie des maladies morales; c'est il lui qu'on demandera de faire le diagnostic diffé- rentiel des criminels curables et des cr
protection de la Société à l'égard des criminels incu- rables. Le diagnostic doit logiquement précéder le traitement. Personne
particularités mentales ou morales peuvent être utilisées en vue du diagnostic , de la classification et du traite- ment, et c'
toute-puissante et déplo- rable influence de l'hérédité. Quand le diagnostic et la classification du criminel ne sont pas fo
Les points principaux de ce travail sont relatifs à l'utilité du diagnostic différentiel entre la mélancolie légère et la neu
paralysie générale à symptômes alaxiques ? En faveur de ce dernier diagnostic , on peut alléguer que les symptômes physiques é
'incoordination musculaire. En tout état de cause, ce qui décide du diagnostic dans le torti- colis mental, c'est l'état menta
qui doivent dans bien des cas être attribuées à une intoxication. Diagnostic . Le délire initial est d'un diagnostic très diffi
tribuées à une intoxication. Diagnostic. Le délire initial est d'un diagnostic très difficile, tant qu'il n'y a pas de symptôm
lirants antérieurs, les intoxications orien- teront au contraire le diagnostic vers un autre sens. Le diagnostic avec les état
s orien- teront au contraire le diagnostic vers un autre sens. Le diagnostic avec les états délirants accompagnés de confusion
choses d'épuisement, offre des difficultés. L'auteur insiste sur le diagnostic avec l'amen- tia, avec le délire de collapsus,
que quotidienne, et cet examen physique soigneux . sans lesquels le diagnostic et la thérapeutique des formes si variées de la
n, prendre, auprès des familles, les renseignements sans les- quels diagnostic et pronostic ne peuvent être précisés. Il lui fau
laisser prendre quelques décisions, qu'il le charge de résoudre tel diagnostic délicat, de proposer une solution pour telle ou
u courte et un peu insuffisante, ce qui tient sur- tout à ce que le diagnostic exact n'a pas été fait pendant la vie. En revan
légèrement ceux du larynx, n'était atteint. L'auteur pensa que le diagnostic ne pouvait hésiter qu'entre une embolie et une
la nature de la lésion pulmonaire, il aurait au contraire adopté le diagnostic d'embolie infectieuse. Le lendemain, les crises
tuelle qui est loin de lui être habituelle. - Rectifiant alors son diagnostic , l'auteur, mieux informé, est d'avis qu'une embol
i. L'auteur termine par quelques considérations sur l'origine, le diagnostic , la localisation des abcès du cerveau : il pense
la lésion cérébelleuse. Beaucoup des signes qui aident à établir le diagnostic d'une affec- tion du cervelet manquaient chez c
yeux de l'enfant sont grands et les globes oculaires saillants. Le diagnostic se pose entre un céphalhémalorne ossifié et une
itaire. L'auteur expose les raisons qui lui font adopter ce dernier diagnostic , ainsi que celles qui lui ont fait écarter l'hy
du rachitisme. R. M. C. XII. LE réflexe du genou au point DE VUE du diagnostic ; par William-111. LESZYNS61. (The Neiv-York Méd
gine de l'atrophie musculaire dans l'hémiplégie. R. M. C. XIV. LE diagnostic différentiel DES lésions traumatiques intra- CR
, M. Phelps avait déjà indiqué la facilité relative que présente le diagnostic différentiel des traumatismes cérébraux avec le
a-craniens, en même temps qu'il signalait la difficulté qu'offre le diagnostic différentiel des diverses lésions encéphaliques e
ques entre elles. De nouveaux faits sont venus aider à éclaircir le diagnostic . Dans son premier mémoire il publiait 124 cas,
p plus communes dans les autres lésions, ne peuvent ici aider qu'au diagnostic 'du siège, après que le diagnostic de la nature
ions, ne peuvent ici aider qu'au diagnostic 'du siège, après que le diagnostic de la nature du mal a été établi à l'aide d'aut
ubles comme des signes de l'existence d'une lacération. En somme le diagnostic de lacération cérébrale repose surtout sur la p
vés sont trop nombreux pour qu'on en puisse déduire les éléments du diagnostic . En résumé, dans les lésions intra-craniennes d
si courte, qu'il faut une observation très attentive pour poser le diagnostic avec quelque précision. Mais si, dans ces lésio
e longue haleine et s'y initier aux difficultés que présentent le diagnostic , le pronostic, le traitement de la folie. Une m
es sujets atteints de maladies contagieuses sont isolés et quand le diagnostic est confirmé, sont envoyés à l'hôpital municipal.
ises ou repoussées pour arriver à établir d'après les symptômes, le diagnostic anatomique de la lésion. L'autopsie lui montra
e New-York Médical Journal, 25 mai 1895.) 'Il s'agit d'un cas où le diagnostic est rendu très difficile par la possibilité où
mes énumérés plus haut que l'auteur s'est appuyé pour éta- blir son diagnostic . Si maintenant on étudie ce tremblement même, l
a été régulièrement suivi et observé, et tout est venu confirmer le diagnostic primitivement porté de sclérose postérieure. L'
expérimentaux, et pour cela il s'appuie sur 97 cas dans lesquels le diagnostic a été vérifié à l'autopsie ; ces cas se répar-
vie un néoplasme du lobe cérébelleux droit : l'autopsie vérifia le diagnostic tout en précisant la nature de la tumeur qui ét
e fait est relatif à une malade qui vit encore, et chez laquelle le diagnostic demeure hésitant entre une tuberculose ou un ab
apporter quelques cas intéressants ou difficiles au point de vue du diagnostic , et de tirer des faits obser- vés quelques conc
gion fronto-pariétale gauche. Le traitement dans ce cas confirma le diagnostic . Les symptômes étaient ceux de la paralysie gén
surtout vers le côté gauche et l'engourdissement du bras gauche. Le diagnostic porté fut celui de syphilis cérébrale. Le chanc
s symptômes : mais tous les stig- mates hystériques manquaient : le diagnostic de syphilis fut donc adopté, et vérifié par le
rébrale, elle donne lieu, à son début, à de fré- quentes erreurs de diagnostic , et qu'elle risque surtout d'être con- fondue a
et ne respectent pas la face. Les médecins de l'Orégon ont fait le diagnostic d'érysipèle et ont vainement épuisé chez lui to
, mais ten- dance à la régénérescence. P. K. LVI. Contribution au diagnostic différentiel ENTRE LES TUMEURS DES TUBERCULES Q
'association de l'ophlalmoplégie et de l'ataxie n'implique point le diagnostic de : J8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tumeurs
ode, avec un soin scru- puleux, de manière à permettre d'établir un diagnostic aussi précis possible, diagnostic souvent très
manière à permettre d'établir un diagnostic aussi précis possible, diagnostic souvent très difficile et qui ne peut reposer, de
maladie et sur la nature du traumatisme initial. Cette question du diagnostic et du pronostic a du reste un intérêt spé- cial
,) L'étude de la physionomie peut être d'un utile secours dans le diagnostic des maladies .mentales, c'est ce que démontre M.
tion I. -D... Julienne vinft-six ans, entrée le 6 mars 1891 avec le diagnostic : « dépression mélancolique avec mutisme, refus
elle avec quelques-uns de ces états a été obscurcie par la manie de diagnostic différentiel dont sont possé- dés quelques écri
'autre (la démence paralytique) de huit années. L'auteur établit le diagnostic d'avec la névrite atrophique par exemple du tab
ement rare dans la moelle. - On pourrait, d'après l'auteur faire le diagnostic différentiel de vivo, entre la myélite syphilitiq
t de stupeur. L'auteur termine par les applications du myographe au diagnostic de la simulation des états cataleptoïdes. Dr A.
aux témoignages suggérés. (Rapp. : D'' BLarLr.ov, à Paris.) 5. Le diagnostic de la « Moral Insanity » et son rapport avec la
'hôpital des Enfants malades où il n'a fait qu'un court séjour ; le diagnostic posé était : méningo- myélite. Puis il y est re
qu'à bien voulu transmettre M. le Directeur des Enfants-Malades, le diagnostic était au départ : Coxalgie avec appa- reil, éta
isite qu'ils faisaient dans notre service et ils ont confirmé notre diagnostic . 1 Grasset, - Leçons de clinique médicale, 11°
s (Biernacki) parait être un signe pathogno- monique, un élément de diagnostic de paralysie générale (chez l'homme), mais elle
bilité à la douleur du tronc ulnaire ne peuvent servir d'élément de diagnostic pour ou contre la paralysie générale. REVUE D
s symp- tômes qui ne cadrent pas avec la théorie de l\Ioebius. Le diagnostic de l'hystérie chez les enfants peut souvent être
ésie hystérique dont la nature fut démontrée par le transfert. Le diagnostic de certains s3,inptômeohysLéi-iques avec la simul
observé des cas d'hystérie à quatre et à cinq ans ; il considère le diagnostic d'hystérie chez les enfants à la mamelle comme
dont on fit quelque temps a tort l'apanage de la syringomyélie. Le diagnostic est ici facile avec la névralgie et la névrite;
nent chez ceux qui en sont atteints. La syringomyélie donne lieu au diagnostic le plus délicat. Le syndrome syringomyélique (d
yphoïde à marche absolument anormale qui donna lieu à une erreur de diagnostic . Les accidents méningés firent croire jus- qu'a
tion dans l'encéphale humain, par Flechsig, 375. Cérébelleuses. Diagnostic des affec- tions -, par Hlsier, 19. Symp- tôm
par Arndt, 51. Atrophie et sclérose du -, par Hubert Boud, 213. Diagnostic différentiel entre les tumeurs des tubercules q
phiques chez les aliénés, par Cowen, 348. 1 : sTRACR.\lilEli)¡ES. Diagnostic des 502 TABLE DES MATIÈRES. lésions traumatiq
lbe, par Jacob- sohn, 472. RÉrLExEs du genou au point de vue du diagnostic , par Leszinsky, 216. peu connus dans les maladi
S quadbijumeaux. Une gomme dans la région des -, par llberg, 228. Diagnostic entre les tumeurs des - et celles du cer- vel
27 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et la manoeuvre qu'elle répète à REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. I. Diagnostic différentiel DE la folie ; par le Dr BURR. Tout
étude de la température superficielle de la tête peut-elle aider au diagnostic des maladies cérébrales D'après les recherches
ssement et l'is- sue mortelle (figures). Discussion intéressante du diagnostic com- prenant aussi l'histoire du centre cortica
amena l'extension abusive de ce terme à beaucoup d'affections d'un diagnostic dou- teux. Il y aurait lieu de déterminer clair
nce sur les modifications de la faculté auditive. Il insiste sur le diagnostic différentiel avec les affections de l'oreille m
ale périphérique avec stabisme convergent (2 figures). A. M. XVI. Diagnostic des caries spinales par LE procédé DE ROENTGEN; .
ion pe la photograDhie à travers les corps par les rayons X pour le diagnostic précis d'une carie de vertèbres au début d'un m
la sonde sur les filets du pneumo-gastrique ? Il établit ensuite le diagnostic différentiel de la tétanie gastrique, le plus s
lésions des centres nerveux l'ensemhle des symp- tômes entraine le diagnostic . Les anti-spasmodiques en piqûres et lavements
troubles de la sensibilité pareils à ceux de la syrien- gomyélifij diagnostic : pachyméningite cervicale. En 1894, exagéra- t
inférieurs, paralysie de la vessie, de tout temps peu de douleurs; diagnostic : gliome au niveau du renflement cervical. Opér
mois ont cédé les douleurs et phénomènes moteurs des extrémités. Diagnostic : protodiplégie périphérique siégeant, à droite,
t eux-mêmes sa us certificat. L'auteur en donne une statistique par diagnostic ; beaucoup de rechutes de malades déjà traités, de
eul, le mode de terminaison d'une fibre parait être décisif pour le diagnostic de sa fonction. Pour Nansen, qui est bien aussi
rtificielle devient presque impossible. Divers médecins portent des diagnostics différents, redoutant une lésion médullaire ou
automatique peut en cela être d'un précieux secours. 4° Eléments de diagnostic précieux dans l'hystérie infantile; causes souv
précoce ; elle favorise alors le développement du cerveau. Mais le diagnostic des cas dans lesquels il convient d'y avoir rec
ès tout fort simple, prendrait place parmi les procédés reconnus de diagnostic et deviendrait peut-être un acheminement à un n
la même époque Lichtheim en signalait la valeur au point de vue du diagnostic de diverses formes de méningite. Celte année (1
vue de la thérapeutique, elle est considérable au point de vue du diagnostic ; elle permet en effet de constater : 1° la press
déjà insisté sur la valeur du taux de l'albumine au point de vue du diagnostic diffé- rentiel entre les tumeurs cérébrales, le
al, et la signification de ses divers caractères au point de vue du diagnostic différentiel. En résumé, on peut au moyen de la
o-médullaires; elle présente de grands avantages au point de vue du diagnostic différentiel des diverses affections inflammato
t de faire de l'exercice en plein air. R. de MusGRavE CLAY. VIII. Diagnostic ET traitement DES HÉfORRHAGIES cérébrales MENIN-
« limites » se présentent avec des anomalies qui rendent souvent le diagnostic hésitant. C'est ainsi que la paralysie générale
la maladie peuvent être réguliers et continus, lents ou rapides. Le diagnostic est presque toujours facile. Le pronostic est n
n des cas assez rares où les symptômes sont surtout unilatéraux. Le diagnostic tou- tefois, est à faire entre une hémiplégie i
s'agit sont morts vers l'âge de deux ans, en état de marasme. Le diagnostic différentiel est à faire avec la syphilis hérédit
avec l'idiotie congénitale commune ; les antécédents éclaireront le diagnostic dans le premier cas; dans le second, l'absence de
pas trait à son délire. Doit être considérée comme irrespon- sable. Diagnostic : délire systématisé hallucinatoire : (hallucinat
le bien. Il a conscience de sa situation. Pas d'idées délirantes. Diagnostic . - Le crâne en forme de tour ne constitue pas à l
rticales, par Berkley; - Classification de la folie et obscurité du diagnostic , par Mitchell ; Cas de cécité subite avec retou
élire en question comporte un autre enseignement pra- tique pour le diagnostic du délire de persécutions en dehors du tabes lu
au fond et dont il n'est qu'une forme purement symptomatique. Le diagnostic se fera facilement pourvu qu'on songe à la poss
élateurs à une époque précoce et servir par conséquent à établir un diagnostic ? Le fait n'est pas dou- teux, à la condition q
uteur entre ensuite dans des considérations assez détaillées sur le diagnostic , l'étiologie et le traitement du cas dont il s'ag
myxoedème faisaient défaut ; aussi est-il permis de penser que son diagnostic GO myxoedème de la gorge » n'est peut-être pas su
dra : 1° Questions mises il l'ordre du jour : Pathologie mentale. - Diagnostic de la paralysie générale. Rapporteur : M. le Dr
sans compter que cette révélation pourra quelquefois éclairer un diagnostic douteux, une thérapeutique et une hygiène appro
remis la note suivante : Réactions électriques en rapport avec le diagnostic de paralysie saturnine. Réaction de dégénérescenc
l'enfant. L'état de la fontanelle est d'un précieux secours dans le diagnostic de cer- taines affections encéphaliques. La fon
x. En 1886, il fut interné pen- dant trois ans dans un asile, où le diagnostic porté snr son état mental fut celui de GO paran
flexes. Epilepsie spinale. Mort dans le marasme paralytique. ' Le diagnostic de paralysie générale a été confirmé par l'autops
cins spécialistes qui avaient observé la malade avaient-ils posé le diagnostic de syphilis céré- brale, de tumeur du cerveau,
deparalysie générale chez les adultes. Paul Sérieux. LVI. SUR LE diagnostic précoce DE la paralysie générale ; par M. Gnoss
ce même de ces troubles, il est habituellement possible de faire le diagnostic différentiel d'après l'ensemble des symptômes p
nos méthodes d'examen actuelles, d'établir d'une façon assurée, le diagnostic différentiel entre la neurasthénie et le stade
l'âge adulte. Une guérison apparente ne suffira pas pour écarter co diagnostic . L'auteur a observé un certain nombre de cas de
. Aucun signe de para- lysie générale, ni physiques, ni psychiques. Diagnostic : délire hypocondriaque. Amélioration rapide. S
is, un accès délirant avec idées hypocondriaques et de persécution. Diagnostic : délire hy- pocondriaque. Il sort amélioré apr
ieux des signes psychiques aurait alors permis de faire d'emblée le diagnostic . LVII. La signification DES IDÉES délirantes au
c. LVII. La signification DES IDÉES délirantes au POINT DE VUE DU diagnostic ; par M. SCH : 11·FENBUBG (Heidelberg). ' Pour r
ent de nous un pronostic précis, il nous faut pouvoir formu- ler un diagnostic exact. Il est donc nécessaire de rechercher des
ions délirantes. Cramer, dans son rapport sur la délimitation et le diagnostic différentiel de la paranoïa, a considéré les co
l'intervalle des accès, des symp- mes somatiques qui facilitent le diagnostic ? Les signes de dégé- nérescence sont plus fréq
chez les autres aliénés (53 p. 100), mais ils ne peuvent servir au diagnostic . Dans le plus grand nombre des cas, il n'existe
ussion. M. 11R.11.PELIuIT insiste sur la valeur, au point de vue du diagnostic , de la mauvaise humeur épileptique qu'il a mainte
teur précédent, accorde une certaine importance, au point de vue du diagnostic , aux ano- malies de l'humeur qui surviennent sa
point de vue médico-légal, il considère comme indispensable pour le diagnostic l'existence d'accès convulsifs ou vertigineux.
bunaux, être très réservé dans la signification, au point de vue du diagnostic , d'un symp- tôme psychique unique ; il ne faut
certains accès convulsifs. Fürstner insiste sur les difficultés du diagnostic quand il s'agit de délimiter et de classer les
e l'inefficacité du bromure chez ces sujets. Le fait peut servir au diagnostic entre l'hystérie et l'épilepsie. M. Siemerling
tatonie de Kahlbaum comme une entité clinique réelle. Sans doute le diagnostic est souvent difficile, mais il est certain que
sclérose n'est alors qu'une lésion accessoire. Au point de vue du diagnostic différentiel clinique, il faut citer, comme sig
dans le sexe masculin. L'importance de ce signe au point de vue du diagnostic s'accroîtra lorsqu'on aura pu étudier d'une faç
DE paralysie BULBAIRE AIGUË, avec remarques SUR la pathogénie ET LE diagnostic ; par W. AUZAL. (New-York médical Journal, 14 ma
observation par des considérations étendues sur la pathogénie et le diagnostic de la paralysie bulbaire aiguë. R. DE MUSGBAVE-
stic de la paralysie bulbaire aiguë. R. DE MUSGBAVE-GLAY. LIX. LE diagnostic DE l'hystérie ; par 1lUGIi T. PATRICE. (Neiv-Yo
nvier 1896.) Travail intéressant, mais impossible à analyser, où le diagnostic de l'hystérie est très bien exposé : l'auteur e
et 39°. Après quelques journées de séjour l'enfant succombait. Le diagnostic porté avait été tumeur siégeant au niveau des p
oids du coeur 413 grammes. Poids des reins 130 et 135 grammes. Le diagnostic de maladie osseuse de Pajet n'est pas douteux.
la connaissance, durant les paroxysmes con- vulsifs, un élément de diagnostic différentiel entre l'épilepsie et l'hystérie, l
veau des vertèbres dorsales inférieures et lombaires supérieures. Diagnostic : Tumeur (fbrosarcome) de la moelle épinière com-
les cor- respondant à l'origine médullaire de la troisième paire. Diagnostic : tumeur métastatique des méninges dont le centre
du faisceau pyramidal. Suivent des considérations générales sur le diagnostic topogra- phique, le pronostic et l'opportunité
OJEWNIKOV indiqua sur la signification pro- gnostique très grave du diagnostic différentiel entre le trouble aphasique et le t
, M. Magnan décrit le délire chronique à évolution systématique. Le diagnostic de ce délire est basé sur l'état mental primord
qui permettra avec l'étude de l'état m'entai antérieur de faire le diagnostic avec le délire chronique. La manie raisonnante
otte. Recherches sur la région de la -, par Mouakow, 118. Caries. Diagnostic des - spiuales par les rayons de Roentgen, par
, par Ganser, 244. Signification des idées - au point de vue du diagnostic , par Aschall'enburg, 382. Délire de la chicane,
devant la pour- suite correctionnelle, par Ahbott, 317. Folie. Diagnostic différentiel de la - , par Burr, 35. Quelques e
Hystérie. Cas remarquable de grande -, par Marino y Sanchez, 125. Diagnostic de Il -, par Texier, 154. Diagnostic de Il -
, par Marino y Sanchez, 125. Diagnostic de Il -, par Texier, 154. Diagnostic de Il - par Patrick, ego. Perte de con- naiss
Psendo - par Ilyslop, 375. - à début précoce par Alzheimer, 377. Diagnostic précoce de la -, par Gross, 380. Paranoïa inv
28 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
système nerveux central, et à se familiariser avec les méthodes de diagnostic . 3° Au point de vue du recrutement des malades,
ou ceux d'autres formes voisines qu'il importe de connailre pour le diagnostic différentiel 2. » Logements des médecins et des
malade une amélioration très marquée presque à tous les égards. Le diagnostic est difficile, intéressant et l'auteur ne se pr
ment et qu'il est dû à l'autotoxémie, et il indique les éléments du diagnostic diffé- rentiel avec diverses autres formes ment
tte époque, en 1886, il entre à la clinique de Charcot qui porte le diagnostic d'hémiplégie chez un tabétique. Depuis cette ép
gurantes, mais ne présentaient pas toutefois le signe d'Arg,11. Le diagnostic de tabès lombaire incipiens était donc très proba
(et mon opinion a été confirmée par Mills) 3, a, au point de vue du diagnostic du tabes, autant d'importance, sinon plus que l
dolore, à distri- bution segmentaire. Dans le cas le plus étudié le diagnostic devait être fait avec le myxoedème. Il s'agit v
te la région bul- baire était cependant envahie par le néoplasme. Diagnostic de la nature des Tumeurs Cérébrales; par M. Dupon
ontrant ses prépara- tions insiste sur les difficultés apportées au diagnostic par l'ad- jonction à l'ataxie tabétique des phé
e des idées avec crises d'excitation maniaque. En résumé, pour le diagnostic de la folie gémellaire, il faut donc s'attacher
ner avec des séries d'accès, ce qui est dans ce cas un bon moyen de diagnostic de spécificité de la névrite, surtout lorsque t
IImzlc (de Halle), A. Pick. (de Prague). Résumé du rapport sur Le diagnostic de l'hémiplégie organique, et l'hémiplégie hyst
l. Il est cependant possible, dans la plupart des cas, d'assurer le diagnostic , si l'on prend en considération plusieurs facte
me de Dabinski : phénomène des orteils). Résumé du rapport sur Le diagnostic de l'hémiplégie organique et de l'hémiplégie hy
rganique et l'hémiplégie hystérique, et d'établir les bases pour le diagnostic différentiel de ces deux formes. Cependant, il
ie d'un seul de ceux qui sont imprimés en gros caractères assure le diagnostic d'une hémiplégie organique, si rien n'oblige à
ie et détaillé^ de ces données peut avoir une grande valeur pour le diagnostic , si les symptômes seuls ne suffisent pas pour l
sion d'observer et qui peuvent, à mon avis, contribuer à établir le diagnostic différentiel entre l'hémiplégie organique et l'
s deux affections, différence qui peut être utilisée comme signe de diagnostic diffé- rentiel entre l'hémiplégie hystérique et
On voit de là toute l'importance du symptôme de rela- tion pour le diagnostic différentiel de l'amblyopie dans l'hystérie et
me paraissent pou- voir contribuer pour une large part à établir le diagnostic diffé- rentiel entre l'hémiplégie organique et
. M. CnocQ (de Bruxelles). Depuis plusieurs années je m'occupe du diagnostic différentiel de l'hémiplégie organique et de l'hé
'ai été embarrassé et j'ai dû même quelquefois renoncer à porter un diagnostic définitif. Aussi ai-je été très heureux de lire
naissant que ce symp- tôme constitue une grande présomption pour le diagnostic d'hémiplégie organique, pense qu'il n'est pas i
oprement dite). 'La forme cérébro-spinale est la plus fréquente. Le diagnostic de la maladie de Beard est par- ticulièrement d
e de l'épaule liée à la syringomyélie. 111. JoirRoy appuie aussi le diagnostic porté par 111. Touche, l'iné- galité pupillaire
n de la fonction sudorale permet ainsi de porter ou de confirmer un diagnostic . Recherches expérimentales sur la psychologie d
gnes trop obscurs et trop peu définis pour permettre d'arriver à un diagnostic rétrospectif.' Chez les fils, les deux membres
l'un donné par le Dr Leppmann (psychiatrie clinique, exercices de diagnostic , rédaction de rapports, etc.) trois fois par sema
ion maligne de l'estomac, l'examen du liquide laveur éclairerait le diagnostic . R. ne : u\IusGnvr-CLar. V. De la tolérance des
actuellement le moyen le plus simple et le plus sur pour établir le diagnostic de rage chez le chien mordeur. Si la constatati
inée, il n'est pas possible actuellement de faire avec certitude le diagnostic de la thrombose des sinus crâ- niens et des vei
avoir les plus funestes effets lorsqu'elle repose sur une erreur de diagnostic , - comme le cas de Oppenheim en est une éclatan
auteurs considèrent comme une maladie distincte. Au point de vue du diagnostic différen- tiel, on distinguera l'atrophie muscu
ur insiste ensuite sur les caractères qui permettent d'éta- blir le diagnostic de cette forme spéciale du mal de tôle et entre
pale à terminai- son favorable. R. de 111csca,vE-CLar. -' XXV. Le diagnostic précoce de tabes ; par Philip 111cmownTZ. (Tlte
du réflexe rotulien permet de porter avec une grande probabilité le diagnostic de tabes. Il. de Musgrave-Clay. XXVI. Un cas d'
bien souvent très obscure ce qui ajoute encore aux difficultés du diagnostic . L'observation que nous allons rapporter constitu
ire inférieure); bour- donnements d'oreille (nerf acoustique). Le diagnostic porté fut donc celui de lésion de la base et, d
es lésions auri- culaires avaient été constatées et où par suite le diagnostic n'avait souffert aucune difficulté. Notre mal
lh, où, à la suite de toute une série de circonstances, on porta le diagnostic d'urémie cérébrale; il y avait, d'ail- leurs, a
tion du processus aigu qui détermina sa mort. 1 Dans le cas où le diagnostic ferme eût pu être posé, aurait- on pu du moins
lbumine et à l'intégrité du coeur et des poumons nous fait poser le diagnostic de congestion cérébrale apoplectiformi chez un
de la rage. leur valeur au point de vue de la symptomatologie et du diagnostic ; par van Geiiucii- Tex. (Journal de Neurologie
rage et de leur valeur au point de vue de la symptomatologie et du diagnostic . Ayant examiné dans ces derniers temps les gang
PATHOLOGIE MENTALE. 323 doit jamais être omis ni négligé : les deux diagnostics , objectf et subjectif, ne se remplacent pas, ma
citation sexuelle n'a été constatée que dans 3 p. 100 des cas. Le diagnostic se fera avec la manie où n'existe ni confusion, n
explosive. Il y a hypertrophie de certains groupes musculaires. Le diagnostic est difficile à établir entre cet état et la ch
ues, mais dont l'intelligence remarquable lui a permis d'établir le diagnostic . Trois cas de généralisation cancéreuse sur le
bservés dans le liquide de la ponction lombaire ont pu confirmer le diagnostic d'ailleurs fort probable de paralysie générale.
Kroepelin, débute à un âge plus avancé et chez des affaiblis. Le diagnostic de cette mélancolie présénile est souvent délicat
8° dé 37 pages. Paris, 1900. Librairie Masson et C-1. Iloux (J.). Diagnostic el traitement des maladies nerveuses. Piéface d
e chute sur le ventre ne pourrait-elle; en pareil cas, impliquer le diagnostic d'hystéro-traumatisme, ou les lésions contuses
mois pesait, frais, 3u3 gr. 5. P. KERAVaL. XXXIII. Contribution au diagnostic des paralysies hystériques ; parM.-N. Fedorow.
; pronostic favorable à moins de complications de myélite aiguë ; diagnostic généralement facile et dont la pierre de touche e
s, 'indépendance de toute influence extérieure permet de poser le diagnostic de maladie familiale. M. H. LI. Sur le diagnost
met de poser le diagnostic de maladie familiale. M. H. LI. Sur le diagnostic général de la syphilis du cerveau et de la moel
manente ; ce sont là des signes qui ne sont pas sans valeur pour le diagnostic . On ne se trompera guère en suspectant la syphi
malade meurt à la suite de convulsions généralisées. On porta le diagnostic d'hémorragée méningée spinale, que l'autopsie v
rdiaques et respiratoire. R. de Musgrave-Clay. LIV. Importance du diagnostic précoce de l'ataxie locomotrice résultant de la
tique, c'est ordinairement l'atrophie du nerf optique qui révèle le diagnostic . ' Tous les cas d'impuissance génitale dus à l'
topie embryonnaire subsiste. . Il ne reste donc guère pour faire un diagnostic précis que les données histologiques, et elles
thélial ; enfin 5° il n'y a aucune donnée positive à opposer à ce diagnostic . L'étude des différentes modalités de genèse de
ivers néoplas- mes dont nous venons de parler va peut-être aider au diagnostic . Le carcinome est rare dans le cerveau, et il e
te. L'auteur après ce tableau clinique se propose d'insister sur le diagnostic et le traitement. Le diagnostic est souvent mal
inique se propose d'insister sur le diagnostic et le traitement. Le diagnostic est souvent malaisé, il est à faire différentie
ci un caractère tout à fait spécial et très capable de faciliter le diagnostic . Les phénomènes moteurs sont représentés par un
réaction sont des signes de lésions profondes de dégénérescence. Le diagnostic différentiel est à faire avec : 1° la paralysie
e; 2° la manie alcoolique aiguë simple. Dans la plupart des cas, le diagnostic différentiel avec la paralysie générale reste p
as plus graves, ne soupçonnant pas la ma- ladie, il n'a pas fait le diagnostic .- Les épileptiques ont été parti- culièrement a
inent. Réflexions. Il me paraît inutile de discuter longuement le diagnostic chez mon malade. C'est, à n'en pas douter, un c
nfluera probablement dans les résultats. Mais malheureusement, ce diagnostic , dans l'état actuel, ne peut qu'être soupçonné '.
de ce signe pouvait être démontrée, on aurait au moins un moyen de diagnostic bien utile, sans parler de l'avantage momentané
ôle dans l'éliologie d'une affection, et servir ainsi à préciser le diagnostic . Il nous a aidé de cette façon dans un cas en m
at mental. Le signe de Quinquaud pourrait être encore un élément de diagnostic différentiel dans les cas d'hébétude soit qu'il
moment dans l'asile un cas de scartine on n'eut aucun doute sur le diagnostic . Le début de la scarlatine était du 12 septembr
ous garantir le diag- nostic hâtif, essentiel, de l'imbécillité, le diagnostic différentiel entre l'imbécillité morale et 1 im
int des aliénés, et ne peuvent profiter de l'immunité attachée à ce diagnostic tant qu'ils n'ont pas franchi les bornes de la
'origine rhumatismale. M. Toulouse insiste sur les difficultés du diagnostic delà para- lysie générale juvénile à une certai
alade je me SOCIÉTÉS SAVANTES. 503 rallierais assez volontiers au diagnostic de paralysie générale juvé- nile vraie, car ell
e. J'ai publié, il y a quel- ques années, un cas comparable'dont le diagnostic est resté malgré l'autopsie, très difficile. Ce
paralysie générale. M. Buiand. Ce qui m'a fait surtout réserver le diagnostic de pa- ralysie juvénile vraie, c'est la persist
a même valeur. 1,L'\Iarie, il est vrai, est disposé à abandonner ce diagnostic . Il soutient seulement qu'il s'agit non d'une a
nées dans leurs rapports avec les symptômes doivent faire porter le diagnostic de la nature hystérique des accidents. M. Bi3
ssociée des muscles droits supérieurs, par Noguès et Cirode. 340. Diagnostic des - liystéri- ques, par rcdorow, : 399. - de
)e,parMar ! nesco, 88. Un cas deamyotrophiqup, par Mirallié, 171. Diagnostic pré- coce du , par Jleiowitz, 257. Conipticat
.ve clonique librétlitaiie, ltar Lannois, 34. Tumeurs cérébiules. Diagnostic et nature des , par Dtpont, 85. tuberculeuse,
29 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ils exposent la symptomatologie, la physiologie pathologique et le diagnostic différentiel. La présence d'une contracture sec
ion de la sensibilité aux extrémités des deux mem- bres supérieurs. Diagnostic de syringomyélie. Mort par tubercu- lose pulmon
rs. Diagnostic de syringomyélie. Mort par tubercu- lose pulmonaire. Diagnostic vérifié à l'autopsie par la constatation de lés
e que l'épilepsie créé le pouvoir agglutinant et qu'il y a un séro- diagnostic du mal comitial. 0 G2 REVUE d'anatomie ET DE PH
sommes désormais en possession de trois procédés pouvant servir au diagnostic de l'épilepsie : 4° La recherche directe du par
'analyse des effets de la compression des paires bulbaires, aide le diagnostic topographique. 11 importe surtout, pour le choi
auditif interne. Au point de vue clinique, le principal élément de diagnostic , celui qui peut les faire distinguer d'un néoplas
sion de la salive ont été les seuls symptômes. Autopsie. - Etude de diagnostic par exclusion; par H. ALTS- CIIUL. (771e Ne w-
yélite; 5° Le raisonnement par exclusion peut nous conduire à des diagnostics qu'il serait impossible d'établir autrement. R.
quinze ans. Cette région est douloureuse au toucher. On a porté le diagnostic d'épilepsie jacksonienne. J'ai pu. grâce à la sug
phères cérébrales, ce qui 86 - SOCIÉTÉS SAVANTES. n'exclut pas le diagnostic de la psychose de KORSAKOFF. Pour con- clusion,
tions anatomiques dans le cerveau, cela ne contredit nullement au diagnostic de la psychose de Ionsaaorr. M. SEHBSKY envisag
bien au courant de la question, commettre facilement une erreur de diagnostic très grave dans ses con- séquences. C'est qu'en
des bras puis sur la joue gauche. Les médecins consultés portent le diagnostic d'eczéma circiné et instituent un traitement io
paraissent et, à Genève, les mé- decins portent une seconde fois le diagnostic d'eczéma cir- ciné et de nouveau prescrivent l'
es pieds et les mains, entre à l'hôpital d'Hanoi où l'on porte le diagnostic de lèpre anesthésique. La' thermoanesthésie était
s-je consacrer quelques développements à l'examen de ce problème du diagnostic de l'affection causale en pré- sence de laquell
ne erreur grossière que de porter dans les cas qui nous occupent le diagnostic d'atrophie musculaire du type Arau-Duchenne.
res, et nos malades ne pré- ' sentent aucun stigmate d'hystérie. Le diagnostic d'atrophie musculaire par poliomyélite est donc
autant d'éléments qui pourraient au premier abord faire admettre le diagnostic de syringomyélie : vous n'ignorez pas en effet
palpant les nerfs périphériques et qui présente au point de vue du diagnostic une importance essentielle. Pour toutes ces rai
voilà donc autant de raisons d'éliminer, dans le cas présent, le diagnostic de névrite interstitielle hypertrophique. Pourr
terminé la nature de l'affection en cause dans le cas présent et le diagnostic serait incomplet si nous ne cherchions à précis
nstituer un masque assez caractéristique pour permettre de faire le diagnostic à distance. Quant aux troubles trophiques qui o
nt bien le plus souvent. La radiographie peut aider beaucoup à leur diagnostic . Leurs causes restent à pré- ciser ; elles peuv
lenteur de combinaison. SOCIÉTÉS SAVANTES. 173 Sur la question du diagnostic de la psychose de K01'sakotf. ' S.-A. SOUKHAXOF
vé un tableau, ressemblant au tableau de la maladie donnée, mais le diagnostic différentiel est comparativement facile dans ce
rtout pour ce qui con- cerne le cerveau ; elles sont très utiles au diagnostic et donnent 182 asiles- d'aliénés. des lumière
ition, même nombreuse, de noevi acquis n'a pas d'importance pour le diagnostic des tumeurs malignes comme le voulait Trélat. M
t leur permanence qu'ils peuvent apporter une utile contribution au diagnostic . Quoi qu'il en soit, la symptomatologie de la d
signalées résultent probablement, en majeure par- tie d'erreurs de diagnostic ou doivent être considérées comme des rémission
ion de ce signe, bien qu'encore inexpliquée, ne doit pas infirmerie diagnostic . M. Régis (de Bordeaux). J'estime, contrairemen
maison, SOCIÉTÉS SAVANTES. 233 la malade entre à l'asile avec le diagnostic de « mélancolie avec hallucinations de la vue »
s). L'examen des réflexes est considéré comme peu important dans le diagnostic de l'hystérie ; l'aboli- tion du réflexe pharyn
à l'état normal, constitue un facteur banal peu propre à établir le diagnostic d'hystérie ; 2° L'exagération des réflexes tend
tue un signe au moins aussi précieux que ce dernier pour établir le diagnostic . Très fréquente dans les formes à accès (84,12
correspondent des signes particuliers qui permettent d'en faire le diagnostic . Le Dispensaire anti-alcoolique de Paris et le
lablement la suggestibilité naturelle du sujet, en un mot, faire le diagnostic de la suggestibi- lité ; 2° Provoquer l'état d'
s, quelques vomissements et des cépha- lées, on aurait pu porter le diagnostic de sclérose latérale amyotro- puisque avec trou
avant jugement lorsqu'un examen médico-légal a per- mis de faire un diagnostic à temps; les autres, après jugement et incarcér
est en rapport avec les muscles fessiers. Contribution à l'étude du diagnostic et du traitement de quelques états vertigineux.
c et du traitement de quelques états vertigineux. Le Dr RoYET. Le diagnostic de la cause des états vertigineux et de certain
qui proviennent de troubles de'l'oreille ne sont pas toujours d'un diagnostic facile d'avec ceux dont l'origine est dans les
médiate, de l'état vertigineux. Il y a donc là un moyen précieux de diagnostic et de traitement d'une catégorie importante d'é
e tout un ensemble de phénomènes surajoutés et rendre pos- sible un diagnostic exact. Etant donné cette notion nouvelle, je cr
ormes de défec- tuosité mentale, qui nous conduit à l'étiologie, au diagnostic et au pronostic des divers cas d'idiotie et d'i
ofuses, fièvre, pouls faible ; elle succombe le lendemain matin. Le diagnostic hésite entre : hémorrhagies d'une tumeur de la
mptômes permanents de l'hystérie sont peu marqués. Assez souvent le diagnostic de l'hystérie ne se fait que par l'existence d'
convulsifs et automatiques ont une importance aussi grande pour le diagnostic que les con- vulsions toniques, les contracture
aitement spécifique constituent les éléments les plus importants du diagnostic des troubles syphilitiques de la sphère nerveus
le jour des accès, ni la veille. Il n'est pas épileptique. D'où le diagnostic . P. Kerival. II. Contribution à l'anatomie pa
piteptifonnes, ni avec des attaques congestives apoplectiformes. Le diagnostic de paralysie générale ressort et du tableau cli
tigmates, les asociations morbides, l'évolution, le pronostic et le diagnostic de cette affection, l'auteur étudie les diverses
s. Cet auteur analysant ' Cité par Nothnagel, in Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encéphale, traduit par Kerava
. La mort survint accidentellement à la suite d'une entérite aiguë. Diagnostic posé : Polio-encephalite infantile. Autopsie.
l est réformé peu après. Sitôt admis à l'asile, ou pose chez lui le diagnostic de mélancolie avec idées de persécution basées
cal, d'appliquer l'apparition de convulsions musculaires isolées au diagnostic d'un foyer sié- geant dans la région des tuberc
é des lésions de la rage des laboratoires ne permettent de faire le diagnostic post mortem de la maladie; 4° que l'anatomie pa
retentit par influence sur ces mêmes centres. Au point de vue du diagnostic , il est intéressant de rechercher le point de d
n a attaché dans ces dernières années une grande importance pour le diagnostic de la paralysie générale à la constatation de c
Baden) Gerhardt (Erlangen). La ponction lombaire au point de vue du diagnostic et de la thérapeutique. La ponction lombaire
tuberculeuse, épidémique, métastatique) ; elle rend des services au diagnostic et au pronostic dans le typhus, la pneumonie, e
manifestations de l'état morbide du système ner- veux et permet le diagnostic précoce de la paralysie générale. . G. DENY.
dérable de folie maniaque-dépressive, puis il aborde la question du diagnostic de cette psychose avec la démence pré- coce.
ion du diagnostic de cette psychose avec la démence pré- coce. Ce diagnostic est difficile surtout dans les cas de stupeur : o
on veut leur faire exécuter des mouvements actifs ou passifs. Le diagnostic différentiel entre l'agitation maniaque et l'agit
grand et se montre jusqu'à un certain point désordonnée; mais ou le diagnostic devient parti- culièrement difficile et même im
un malade qui a eu certainement du délire religieux. A propos du diagnostic , l'auteur fait remarquer que certains symptômes
al- baum a-assignes à la catatonie, l'auteur hésite à admettre ce diagnostic , l'existence de la folie catatonique ne lui parai
nvulsions localisées au bras et à la jambe droites, etc. On posa le diagnostic de méningite cérébro-spinale et on pro- voqua u
par un tableau cli- nique restreint, montre la grande difficulté dû diagnostic des tu- meurs intramédullaires qui, surtout lor
spasme douloureux. Les hémispasmes hystériques sont en général d'un diagnostic fa- cile ; leur début est assez caractéristique
traumatisme). La recherche des stygmates oriente complètement le diagnostic . Le seul diagnostic' auquel on puisse songer est
x diverses scléroses viscérales si fréquentes à un âge avancé. Le diagnostic devra être fait avec toutes les paraplégies spas-
nsorielle (surdité verbale). En présence de pareils symptômes, le diagnostic semblait être : vaste ramollissement de l'hémis
L'auteur insiste sur ce fait que la radiographie permet de faire le diagnostic à début osseux. G. C. LX.Deux cas de Chorée chr
que le symptôme confusion n'a jamais uniquement servi pour faire le diagnostic de démence précoce, mais surtout d'affaiblissem
ant aux rémis- sions, elles sont la plupart du temps des erreurs de diagnostics . Je ne comprends pas le gâtisme comme un signe
onfusion mentale est souvent le seul symptôme invoqué pour faire le diagnostic de démence vésanique. Paralysie générale et pac
-méningée à symptômes l1u ! ningi/iques. MM. Achard et RAMOnD. - Le diagnostic entre l'hémorrhagie méningée et la méningite es
par Vigouroux, 360 Etats vertigineux. Contribution à l'étude du diagnostic et du traite- ment de quelques - -, par Hoyet,
sioll de la salive ont été les seuls symptômes Autopsie. Etude de diagnostic par exclusion, par Altschul, 67. - cérébro-spin
ar Oberthuret Roger, 270. Ponction lombaire La au point de vue du diagnostic et de la thérapeutique ; par Gerhardt, +la. G
30 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
à saisir des différences qui permettent presque toujours déposer le diagnostic sans diffi-culté. IV. On a coutume d'établir
à tort, comme des coliques de plomb. Il y avait là une difficulté de diagnostic à propos de laquelle j'en-trerai plus tard dans q
cinq ans, sans accompagne-ment de désordres moteurs, chez M. T... Le diagnostic était rendu facile, dans ce cas, par l'existence
ment. Les digestions sont régu-lières dans l'intervalle des accès. Le diagnostic est facilité dans ce cas par l'existence d'un str
me temps qu'elles. Ce concours de circonstances pourrait obscurcir le diagnostic , et faire songer à l'existence d'une lésion céréb
sive de la papille. — Nécessité de l'examen oph-talmoscopique dans le diagnostic de quelques affections cérébrales. Existence is
que, ayant été bien des fois témoin de la sûreté, de la précision du diagnostic établi par les médecins versés en ces matières, j
intérêt qui doit s'attacher à toutes les ques-tions qui concernent le diagnostic du tabès dorsal. II. L'énoncé sommaire de deu
éphaliques, les tumeurs, par exemple avec une telle similitude que le diagnostic en devient des plus difficiles, et je vous ferai
mportance. Ils peuvent, en effet, contribuer puissamment à établir le diagnostic , dans les cas où les symptômes ophtal-moscopiques
nels qu'il nous reste à signaler sont plutôt de nature à obscurcir le diagnostic ; mais en raison de cela même, ils méritent, eux
et c'est la connaissance de ces caractères qui permettra d'assurer le diagnostic . IV. Pour atteindre ce but, il nous faut entr
le parti qu'on peut tirer de ces no-tions pour le plus grand bien du diagnostic . Je me bornerai à un exemple particulier. Tout
urs La première est une ataxique, et personne ne saurait suspecter ce diagnostic , bien que le critérium anatomique fasse défaut;
deux malades, que la perplexité, pendant longtemps, a été grande, le diagnostic absolument incertain. Il n'est pas douteux pour m
babilité, les cas de ce genre se reproduiront danslaprati- que — le diagnostic n'est-il pas bien embarrassant ? Permet-tez-moi e
taxiques. — Jointures qu'elle intéresse. — Ses caractères spéciaux. — Diagnostic entre l'arthropathie des ataxiques et l'arthrite
peuvent acquérir ces épiphénomènes dans certaines circonstances où le diagnostic reste incertain. B. Il y a quelque raison de su
e dont je viens de faire usage, et l'histologie ne changera rien à ce diagnostic tout local, tout anatomique. Le problème serait-i
us placez au véritable point de vue, pourra contri-buer à éclairer le diagnostic et à éviter des erreurs regretta-bles. Combien de
partielles. — Déformation de la colonne vertébrale. — Difficultés du diagnostic dans certains cas : osteomalacic, pachy-ménin-git
st elle qui fournit, dans l'immense majorité des cas, les éléments du diagnostic . En effet ainsi que je vous le faisais remarquer
de cette assertion, de vous rappeler, par exemple, les difficultés du diagnostic de la carie vertébrale à ses débuts. Les symptô
atente et vous n'ignorez pas quelles difficultés on rencontre pour le diagnostic dans les premiers temps de la maladie. La condi
se trouver en présence de plus d'une difficulté de nature à égarer le diagnostic . Je me conten-terai, quant à présent, de vous sig
oient absolument spécifiques et propres à conduire, sans embarras, au diagnostic . Loin de là, des difficultés peu-vent survenir ;
ner, pour le moment, à appeler votre attention sur ces difficultés de diagnostic . C'est un sujet sur lequel je me propose de reven
rimitive. Ensuite survint la paraplégie qui éclaira définitivement le diagnostic . Le rachis, jusqu'à la terminaison fatale, conser
, dont la raison, d'ailleurs, nous échappe entière-ment, un caractère diagnostic absolu. E. Il est de règle aussi dans la myélit
15.) 1 Ogle. — Patholog. Society, 1863, p. il. 2 Brown-Séquard. — Diagnostic et traitement des principales formes de paralysie
ué ; la symptomatologie en est assez précise d'ordinaire, pour que le diagnostic puisse se faire sans grande difficulté. J'ajouter
e spinale, elle n'en fournit pas moins un élément intéressant pour le diagnostic et vous savez qu'à ce point de vue rien n'est à n
ation motrice, etc., seraient toujours là pré-sents, pour éclairer le diagnostic . J'ai déjà signalé plusieurs fois le mécanisme
e Vélectrisation localisée, 3e édition, 1872, p. 454. IV. dans le diagnostic et aussi, ce qui est plus grave, dans le pro-nost
tiques particuliers, susceptibles d'être rattachés aujourd'hui par le diagnostic à leur origine organique. Ainsi se trouve constit
ion. — Mode d'envahissement des membres. — Pronostic et traitement. — Diagnostic : Sclérose en plaques de forme spinale, contractur
ments qui précèdent, — est en général chose aisée. Les difficultés du diagnostic ne sont pas de ce côté ; où elles gisent, en réal
atérale amyotrophi-que, sclérose en plaques disséminées, etc. Dans le diagnostic du tabès spasmodique, ce seront donc bien moins l
qu'il s'agit ici d'un exemple de cette dernière affection. 1 Sur le diagnostic de la contracture hystérique voir : Charcot. — Le
légie spinale avec anes- 1 Loc. cit., p. 98. thésie croisée et le diagnostic serait rendu par là plus facile encore à détermin
ut s'attendre à rencontrer plus d'une fois la pierre d'achoppement du diagnostic . Lorsque la sclérose multilocu-laire se présente
s de cette combinaison, je ne vois plus sur quelles bases so-lides le diagnostic pourrait être établi : il ne resterait plus guère
abès dorsal spasmodique, a succombé. — L'autopsie n'a pas confirmé le diagnostic qui, d'ailleurs, avait été posé avec quelques rés
ussent dû, si l'on y eût prêté plus d'attention mettre sur la voie du diagnostic . Pour le moment nous nous bornons à faire ressort
stérie. Historique. — Le vertige de Meniere est encore peu connu. — Diagnostic : congestion cérébrale apoplectiforme ; — petit m
ection qui est en cause en est rendue, jusqu'à un certain point, d'un diagnostic difficile. Vous pouvez tout d'abord constater de
ciale, parce que, dans l'espèce, il est, je pense, au point de vue du diagnostic surtout, d'une impor-tance capitale. Je veux parl
s difficultés, en réalités parfois très sérieuses, que peut offrir le diagnostic . Je crois pourtant que, dans la règle, le vertige
e tous les éléments qui viennent d'être rassemblés, dans l'intérêt du diagnostic . Je me réserve de vous faire connaître dans une
gner d'utiliser puisqu'il pourra quelquefois contribuer à éclairer le diagnostic . Après avoir recueilli les renseignements qui v
t les malades atteints de syphilis cérébrale, voir au point de vue du diagnostic les re-marques intéressantes de M. Buzzard. (Loc.
arquable de cette forme de l'amyotrophie chronique. Ici, du reste, le diagnostic , confirmé plus tard par l'examen anatomique, avai
re, comme un exemple d'atro-phie musculaire spinale protopathique. Ce diagnostic était fondé sur les principaux caractères suivant
sive de la papille. -- Nécessité de l'examen ophtalmoscopique dans le diagnostic de quelques affections cérébrales. Existence is
ataxîques. — Jointures qu'elle intéresse.— Ses caractères spéciaux. — Diagnostic entre l'arthropathie des ataxiques et l'arthrite
artielles. — Déformations de la colonne vertébrale. — Difficulté du diagnostic dans certains cas : osteomalacic, pachyméningite
ion. — Mode d'envahissement des membres. — Pronostic et traitement. — Diagnostic : Sclérose en plaques de forme spinale, contractur
stérie. Historique. — Le vertige de Ménière est encore peu connu. — Diagnostic : congestion cérébrale apoplectiforme ; — petit m
ues, 64, 366. — Température, 67. — Formes et symptômes, 67 et suiv, — Diagnostic , 69. — Lésions desos,7t, 373. — Lésions des cor-n
omè-nes bulbaires, 2J1, 439, 45:}. — Physiologie pathologique, 264. — Diagnostic avec le tabès spasmodi-que, 32ù. — Deux cas 439.
— Comparaison avec le tabès ataxique,303,304, etsulv. —Causes, 312. — Diagnostic , 315 — Démar-che, 307. — Durée, 313. — Mar-che, 3
31 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la coxalgie, par exemple, et qu'elle peut même servir il établir le diagnostic de la sciatique dans un cas douteux. C'est ains
umérer suffisent à éliminer l'hypothèse de coxalgie et à établir le diagnostic de sciatique. La dé- formation s'est développée
entes. Pour des motifs analogues à ceux que nous avons invoqués, le diagnostic de sciatique s'impose, et il suffit de lire att
gnostic de sciatique. Mais est-il besoin de faire remarquer que le diagnostic ayant été porté par M. Charcot, après examen at
eu de s'arrêter sur ce point. Il nous reste maintenant à établir le diagnostic diffé- rentiel de la déformation que nous venon
ieuse de la sciatique un aspect particulier qui permet d'établir le diagnostic . SUR UNE AFFECTION CARACTÉRISÉE PAR DE L'ASTASI
de Gom..., dont nous donnons plus loin l'observation. Il établit le diagnostic différentiel de ce cas, facile à confondre avec
et n'est accompagnée d'autres commentaires que de la discussion du diagnostic dif- férentiel '. Nous aurons terminé cette r
s. Nous terminerons enfin en discutant le 51 1 CLINIQUE NERVEUSE. diagnostic de la lésion qui chez notre premier malade a pu
hes de M. Straus (1879), dans lesquelles cet auteur a appliqué au diagnostic du siège de la lésion dans la paralysie faciale
11 était nécessaire de rappeler ces détails non pour contrôler un diagnostic déjà posé et d'une exactitude incontestable, ma
ression toute historique est plus que suffisante pour corroborer le diagnostic rétrospectif. On s'exagérait du reste, singuliè
cemment acquises, il est encore de nombreux cas où il est permis au diagnostic d'hésiter. Pendant la première moitié du siècle
ystérique des phénomènes actuellement soumis à son observation. Son diagnostic trouve donc dans les anamnestiques un point d'a
, il est amené à l'hôpital, et tous renseignements font défaut : le diagnostic devra s'établir néan- moins ; ce qui n'est pas
érescence des nerfs périphériques. ' Après avoir étudié, analysé le diagnostic différentiel entre la sclérose en plaques, et u
neux si accusés des extrémités; ce n'est alors que plus tard que le diagnostic des accidents cérébraux apparaît indubi- table.
sque-là para- lysés reprennent leur motilité; intégrité de l'urine. Diagnostic : polynévrite rhumatismale compliquée de glycos
e, mais cécité de l'oeil gauche par atrophie blanche de la papille. Diagnostic : éruption de furoncles ayant déterminé une mén
l'appétit et accélère les échanges nutritifs; 2° sert à assurer le diagnostic dans les cas douteux; 3° accélère l'excrétion d
athie de l'épaule sont des signes caractéristiques, confirmant le diagnostic . A ces derniers, il faut ajouter l'hypo- condri
OGIE NERVEUSE. Tous ces symptômes permettent à peine de douter du diagnostic gliomatose spinale et bulbaire à tel point ils
musculaire associée à l'anesthésie par- tielle diffuse confirme le diagnostic définitivement; les petits mouvements spasmodiq
viendrait se combiner aux symptômes d'une affection organique. Diagnostic . Les caractères fondamentaux de l'af- fection s
des membres inférieurs , quelle qu'elle puisse être. Cependant, le diagnostic est difficile dans quelques cas, et, dans la pl
cet égard, même par des médecins distingués. De plus, l'emploi d'un diagnostic différentiel rigoureux confirmera l'autonomie d
si ce mot est pris dans sa signification la plus large (de fait, ce diagnostic a été porté au sujet de la ma- lade de notre ob
tivo-vaso-moteurs qui viennent compliquer la marche et obscurcir le diagnostic de la maladie. J'ai pu m'assurer de ces lésions
n d'autres symptômes dont le groupement laisse peu de doute pour le diagnostic . Or ici tout autre signe fait défaut : quant au
ptômes particuliers à la Catatonie et qui peuvent servir à faire le diagnostic même avant le stade de stupeur. C'est d'abord l
le plus souvent sous forme de rémissions et d'intermittences. Le diagnostic de cette maladie serait en somme facile, et voi
ns passagères survenues à la suite de maladies physiques. Mais le diagnostic n'est vraiment difficile que dans deux cas : d'
troubles intellectuels mélancoliques. Des signes importants pour le diagnostic seront alors la répétition d'un mot ou d'un dis
clinicien. Cet en- semble est la Catatonie. Neisser ne fait pas le diagnostic diffé- rentiel, ni l'étiologie, ni l'anatomie p
t extrêmement importante; elle est même capitale au point de vue du diagnostic , ainsi que nous le verrons ultérieurement. Il r
us ce rapport, les documents nous manquent, car, aujourd'hui que le diagnostic des attaques de sommeil s'établit le plus souve
int de vue. En effet, négligeant même la question très précise du diagnostic , il est à se demander si véritablement, dans ces
des conclusions sur lesquelles nous aurons à revenir en traitant du diagnostic différentiel des attaques de sommeil, M. Achard
l'importance s'exagérer en traitant, ainsi que nous l'avons dit, du diagnostic différentiel. Abordons maintenant l'étude de l'
quatre ans, malade depuis longtemps, observée par M. Martinenq*. Le diagnostic porté le 17 mai 1878 avait été : « Folie hystér
facile à établir, il n'en est pas toujours de même, loin delà, du diagnostic , et, nous n'hésitons pas à le dire, ce sont les
élèves qui seuls ont permis de l'asseoir sur des bases solides. Le diagnostic positif découle du reste des considérations que
e, il deviendra facile de comprendre de quel intérêt capital est le diagnostic de l'hystérie, tant à la période d'apoplexie qu
On pourrait nous objecter que, lorsque le malade est ré- veillé, le diagnostic de l'attaque de sommeil est parfaitement t inut
nique. Déplus, il est un phénomène qui, lorsqu'il existe, permet au diagnostic de s'établir : l'hystérique peut être amaurotiq
, 2° éd., p. 267. 2 Spasme glosso-labié unilatéral des hystériques. Diagnostic entre l'hé- miplégie capsulaire et l'hémiplégie
i en a rapporté une si remarquable observation 3. Dans ce cas, le diagnostic différentiel sera de minime importance, car les f
semblent former tout naturellement un même groupe dans lequel le diagnostic a besoin de se faire d'une façon immédiate. Il
de ceux que nous allons étudier maintenant au même point de vue du diagnostic différentiel. 1 Des différentes variétés delà
... » La lecture de cette observation permet de comprendre que le diagnostic différentiel entre la narcolepsie (sans préjuger
s autres signes propres aux dormeurs hys- tériques, pour établir le diagnostic . Nous avons dit que l'autopsie n'avait révélé a
a paralysie générale. Nous en tenant exclusivement à la question du diagnostic différentiel avec les attaques de sommeil hysté
erme de mort apparente a été prononcé par les anciens auteurs. Le diagnostic devra s'établir dans ces cas avec la mort réelle
s souvent une irrégularité qui permet, à elle seule, d'éta- blir le diagnostic différentiel; cependant on a pu s'y tromper. Il
ion concerne un homme de quaranteet un ans, entré àDalldorf avec le diagnostic de paralytique général. On cons- tatait en effe
omatiques (aucune hé- sitation dans la démarche, aucune alaxie). Le diagnostic de tumeur avait contre lui : l'absence de verti
aussi faciles à établir; à propos de plusieurs d'entre elles, où le diagnostic paraissait fixé, on obtint cependant une guéris
idité de la nuque; mort le 10 juin. On ne put pratiquer l'autopsie. Diagnostic probable; tubercule occu- pant l'extrémité post
tous les médecins qui ont vu le malade ont porté, sans réserves, le diagnostic d'ataxie loco- motrice progressive. J'ai moi-mê
es présentés par ce malade, faire des réserves sur la légitimité du diagnostic porté durant sa vie; dire, par exemple, que la
méde- cins expérimentés, ayant posé, durant la vie du malade, le diagnostic de sclérose en plaques ou de paralysie bulbaire
que tout en reconnaissant, tant au point de vue du pronostic que du diagnostic , une grande importance à l'exploration électriq
et 227, janvier et mars 1888. 380 CLINIQUE NERVEUSE. de porter un diagnostic rétrospectif. Nous avons déjà parlé incidemment
FAITS. - DEUX CAS D'ATHÉTOSE. Il ne nous reste plus qu'à établir le diagnostic différentiel entre la chorée et l'athétose doub
trouver passagère- ment des hallucinations de l'ouïe qui rendent le diagnostic parfois très difficile. Je laisse de côté des
s du délire alcoolique subaigu, insistait particulièrement sur le diagnostic avec le délire de persécution. Plus tard encore a
S. systématisé avec les idées de persécution suffirait à poser un diagnostic . Ce serait là une erreur, car cet héritier des Bo
le, pour me servir de l'expression de M. Cotard, ne suffit pas au diagnostic , il faut aussi s'enquérir de la marche et de la s
ances ambitieuses. M. Féré fait remarquer qu'on ne fait alors qu'un diagnostic rétrospectif. ' M. Briand. Rétrospectif dans
porte pas moins un pronostic à longue échéance. D'ailleurs tous les diagnostics ne sont-ils pas plus ou moins rétrospectifs ? Q
opinion ? D'ail- leurs, qu'importe pour la doctrine qu'on fasse le diagnostic de cette affection à telle ou telle période ? L
ité pupillaire (mydriase gauche). Un peu de parésie faciale gauche. Diagnostic : sclérose en plaques. Une plaque occupe l'ap-
n du cen. tre ciliospinal), de l'anhidrose du côtédroit de la face. Diagnostics ' Voy. Revues analytiques. 1 in. 480 SOCIÉT
d'une zone hypéresthésique des téguments très caractéristiques. Le diagnostic doit être fait d'avec les para- lysies organiqu
32 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
lade vous a suffisamment édifiés sur ce point ni sur la facilité du diagnostic . Je veuxsimplement, avant de terminer, vous rap
Ces frictions rendaient, dit-elle, les jambes plus souples ». Le diagnostic de tabes spasmodiquo infantile s'imposait, Il n'é
ant constaté les symptômes que j'ai énumérés plus haut je portai le diagnostic de tabes dorsalis et j'envoyai le malade à La Mal
e la parole, ni symptômes d'hémiplégie, il en arriva à confirmer le diagnostic de tabes classique et à attribuer la paraplégie
e an- née, je l'examinai avec le plus grand soin et je confirmai le diagnostic de tabes dorsalis vulgaire. Je ne constatai auc
n'était positivement pas possible à cette époque de porter un autre diagnostic que celui de 13bes; if n'y avait aucun trouble in
nerveux périphérique, et qui soulèvedes problèmes très délicats de diagnostic et de traitement, lesquels intéressent à peu près
ppements, surtout pour ce qui concerne deux points de vue, celui du diagnostic et celui' du traitement, et sans avoir la préte
n ensemble assez caractéristique pour nous conduire sur la piste du diagnostic que je vous ai indiqué au début de cette leçon.
ffre actuellement cette femme, et nous' serons en état d'établir le diagnostic de la maladie, diagnostic qui va nous fixer sur l
mme, et nous' serons en état d'établir le diagnostic de la maladie, diagnostic qui va nous fixer sur le pronostic 'et le trait
facile à un médecin tant soit peu instruit, d'éviter une erreur de diagnostic . Avec une autre affection douloureuse de la rég
ffection douloureuse de la région sacro-fémorale, cette question de diagnostic différentiel se pose dans des termes plus complex
CTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL 75 Par contre, il y a lieu de faire le diagnostic différentiel des affections de la queue de chev
'un des membres inférieurs. D'autres fois, cette même question de diagnostic différentiel peut se poser a propos de cas path
qué un cancer de la vessie. Vous voyez(là un exemple des erreurs de diagnostic auxquelles exposent les lésions qui intéressent i
tum, le professeur RosentUal, de Vienne, n'a pas hésité à porter le diagnostic d'affection du cône terminal. Vous voyez donc que
, et du traitement en général, avant de vous exposer la question de diagnostic ; c'est par là que je terminerai. TRAITEMENT.
its dont médecins et chirurgiens devront tenir compte à l'avenir. DIAGNOSTIC . La question de diagnostic que je me propose de
giens devront tenir compte à l'avenir. DIAGNOSTIC. La question de diagnostic que je me propose de vous exposer soulève des p
es tirent leur origine. Il est difficile de préciser davantage ce diagnostic . En principe, cepen- dant, vous diagnostiquerez
rachidien. Lorsqu'il y a eu traumatisme antécédent, la question de diagnostic to- pographique est en général facile à résoudr
ntenant en mesure, Messieurs, de revenir au cas de notre malade. Le diagnostic de l'affection dont elle est atteinte comporte
meurs susceptibles d'en imposer singulière- ment au point de vue du diagnostic différentiel. Landouzy (1) connaît la descripti
que nous allons analyser. En tenant compte de tous ces faits, le diagnostic nous semble facile à établir, et, cependant, il
e chose qu'une légère prolifération des éléments glandulaires. Le diagnostic , si l'on lient compte des particularités que nous
e savions plus que faire lorsqu'un nouvel examen vint substituer au diagnostic , porté par ceux qui avaient vu le malade avant no
nous et par nous-mêmes jusqu'à ce jour, de névralgie du cubital, le diagnostic de névralgie de la VHP racine cervicale droite.
erf, mais d'une pseudo-névralgie radiculaire. Nous en avons fait le diagnostic par la délimitation rigoureuse de la zone hyper
ous faire rectifier le 146 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DELA SALPÊTRIÈRE diagnostic jusque-là porté si nous n'avions pris la hande po
plus bas et plus en dedans, et parfaitement insensible. L'erreur de diagnostic qui fut faite si longtemps dans iotre cas nous
nerf sciatique lui-même. Quoi qu'il en soit de celle probabilité le diagnostic de pseudo-névralgie de la VIIIe racine, cervica
eil du malade, ses douleurs avaient, confirmation heureuse de notre diagnostic , absolument disparu, et lui, qui depuis des ann
, sept ans plus tard, par Scllultze (2). Elle permit de réformer le diagnostic , en révélant les traces d'une- (1) Eiui. drchiv
qu'il convient d'instituer. Je regrette presque de m'être arrêté au diagnostic d'hématomyélie. S'il s'était agi chez lui d'une l
i us de l'hystérie, et dans 4. cas (I, II, III et IV) considérer le diagnostic de l'hystérie comme indubitable, étant donné le c
peut t (1) Dublin, Med. Journ. 1918. Nolhnagel, Traité clinique de diagnostic des maladies de l'r.rzcr'phale. Traduit par I\é
malade était si caractéristique au point de vue ana- tomique que le diagnostic du siège de la lésion pouvait être posé avec une
l'on feint de ne pas voir. Ces audacieux ne dissimulent guère le diagnostic . J. Steen place dans ses Visites du médecin de
M. Gilbert, une « hypoplasie angiohémalique ». Voilà sans doute le diagnostic que le grave urologue à toque' noire cherche à
croire Hippocrate qui avait déjà enseigné le remède. Si, d'après un diagnostic fait sur peinture, il est permis de porter un p
rapprochement possible. S'il n'était pas téméraire de proposer des diagnostics précis pour les nombreux tableaux intitulés vag
umaine. LES OPÉRATIONS SUR LA TÊTE 229 On ne lit pas seulement le diagnostic du mal dont le patient est atteint; on comprend
ssification basée sur la nature même de la maladie. Les éléments du diagnostic ex pictura sont toujours assez douteux. Néanm
st, peut à la rigueur être suf- fisant. Pour plusieurs tableaux, ce diagnostic est parfaitement défendable. Dans d'autres., il
essitent toujours une opération délicate et dangereuse, car si leur diagnostic est déjà fort ardu sur le vivant, a fortiori do
n de sang, sans dangers et sans trop vives douleurs. . r Un tel diagnostic peut salisfaire; mais il n'est pas le seul qui ju
ons sommaires d'anatomie normale vont nous permettre d'a- border le diagnostic topographique. Imaginez un foyer morbide, occupan
niens (facial, hy- poglosse, vague et phrénique). On avait porté le diagnostic de polioencé- phalite supérieure, analogue aux
te-deux ans atteint d'une affection convulsive dont il discutait le diagnostic , s'exprimait en ces termes (op. cit., no 7, p.
ier cas, où l'hystérie est le plus souvent monosympto- mastique, le diagnostic , en se fondant sur la constatation des stigmates,
ar M. Bouilly qui nous l'adresse deux ou trois jours après, avec le diagnostic de . crises tétaniques chez une femme enceinte
dans sa dégénérescence mentale des éléments d'appréciation pour le diagnostic . Deux fois,alors qu'il était libre de ses actes
com- plaît l'hystérie. Intéressant par le fait de la complexité du diagnostic il éclaire en outre par certains côtés la patho
ue celui-ci dirige alors à la Pitié. Si l'on en croit le malade, le diagnostic porté d'abord aurait été celui de luxation de l
stic porté d'abord aurait été celui de luxation de l'épaule gauche, diagnostic reconnu inexact le lendemain par M. Lejars lui-
se ni périphérique, ni centrale. Nous ne pouvons en faveur de notre diagnostic faire intervenir l'hé- rédité directe si souven
ab- sence constitue des signes négatifs des plus importants pour le diagnostic de l'amyotrophie d'origine myopathique, nous cr
un sujet atteint de cette affection pour être en mesure de faire le diagnostic des cas nouveaux qui se présen- tent. Dans tout
5. · (3) Voy. le remarquable travail sur les formes cliniques et le diagnostic de la mala- die de Parkinson de M. E. Bechet, T
CONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE assise ou en marche permet défaire le diagnostic . Il s'agit d'un cas typi-' . que de paralysie a
ans couvertures, avec leur seul drap. - Malgré cette anomalie, le diagnostic s'impose, et cette observation ajoutée il celle
onsécutive à la rupture des vaisseaux méningés, observation dont le diagnostic rétrospectif ne nous semble pas douteux. « L'un
irant sur un fil tenu entre les dents, et préfère pour arriver à ce diagnostic faire souffler fortement le patient, la bouche et
33 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
Cependant le professeur IL Nothnagel, dit dans son oeuvre Topischen Diagnostic etc. (Berlin, 1879, p. 508) : « Veniger im Intere
ou sur les meubles et en traînant sa jambe gauche. Autopsie. Le diagnostic posé, pendant la vie, de lésion de la région rola
lis des deux côtés. Pas de troubles de la sensibilité cutanée. Le diagnostic à appliquer à cette atrophie partielle du membre
d'état spasmodique du côté gauche du corps; on comprend donc que le diagnostic soit resté incertain et que l'hypo- thèse d'une
vidualisée. Son im- portancepratique n'est pas négligeable, car son diagnostic , la connais- sance de son pronostic exact évite
ures annexées à celle-ci nous dispenseront de discuter longtemps le diagnostic : les radiographies attestent l'absence de tout
autre part, aucun autre symptôme n'a le droit de déterminer seul le diagnostic , pour lequel le fait décisif doit toujours être e
les cas douteux, toute importance du phénomène dans la formation du diagnostic , cesse. Résumé. 1° Les accessoires de l'habil
, avec leur facile évidence, concourir à la plus grande facilité du diagnostic ; dans les formes de mala- dies douteuses pour l
on enfin est suffisam- ment développé pour qu'on puisse affirmer le diagnostic . Quant à ta femme qui, de ses épaules, soutient
pas été reconnue. Rien ne pouvait faire penser à un anévrysme et le diagnostic avait été : tumeur cérébrale bénigne. En rais
ux est d'un grand intérêt pour le praticien, à cause des erreurs de diagnostic qu'il peut occasionner, et parce que l'interven
mmet droit, des signes de tuberculose, on crut pouvoir s'arrêter au diagnostic de mal de Pott. L'oedème augmenta progressiveme
EUX 115 lui rachis y compris la radiographie ne saurait trancher le diagnostic . Celui-ci est basé surtout sur la recherche des
e rénal. Même dans les cas où le sarcome vertébral est primitif, le diagnostic du mal de Pott tuberculeux est souvent porté ;
déterminé une compression de la moelle et des plexus brachiaux; le diagnostic clinique avait été celui de mal de Pott tubercu
s marqué à gauche. Il n'y a pas de troubles pupillaires. On fait le diagnostic d'hémiparésie gauche légère, vraisemblablement pa
M. Boidin, et qui ne donne issue qu'à du sang, est en faveur de ce diagnostic , impliquant un certain degré d'inflamma- mation
ébite de quelques veines radi- culaires postérieures, permettent le diagnostic de syphilome scléreux. La comparaison des coupe
cheval d'autre part (2), on s'efforce, pendant la vie, de faire un diagnostic différentiel (3), que ne confirme pas toujours
ce sont des nuances ou des symptômes contingents qui in- clinent le diagnostic . Ici j'avais pensé d'abord à une lésion médulla
évolution ultérieure de la maladie sembla d'ailleurs confir- mer le diagnostic car la jeune fille commença aussitôt à s'améliore
tant, on la reconduisit à l'Asile le 2 juin 1906, où on corrigea le diagnostic primitif de mélancolie en celui de Dementia pra
que la polinévrite amyotrophique /et la poliomyélite aiguë dont le diagnostic différentiel n'est pas toujours très facile à f
otre cas est de fait parmi ceux qui peuvent prêter à des erreurs de diagnostic , car l'asymétrie de la paralysie initiale et l'ab
iphérique on avait un argument d'une très grande valeur en appui du diagnostic de polinévrite. En disant cela je ne veux pas n
domine, suivant la- quelle il serait toujours possible d'établir un diagnostic histologique dif-, férentiel entre les névrites
démontrée dans l'arbre généalogique ci-joint (Voy.page 184). * Le diagnostic du cas de notre malade, Alice Wherrell, aurait pr
x connue, on puisse lui attribuer un nom scientifique plus court. Diagnostic différentiel. 11 est à peine nécessaire d'entre
t à peine nécessaire d'entrer dans le détail des choses à propos du diagnostic différentiel. Ceci a déjà été fait par Meige d'un
stérie. En présence d'un pareil tableau symptomatique j'ai porté le diagnostic de syringomyélie, que je ne m'attarderai pas à
es précèdent les symptômes physiques, on conçoit la dif- ficulté du diagnostic qui seul permet l'opothérapie efficace. Interpr
e période de démar- che hémiplégique que Todd et Charcot fondent le diagnostic différentiel entre les deux affections. ' Ce
ondent le diagnostic différentiel entre les deux affections. ' Ce diagnostic ne pourrait-il donc être fait au cours de la prem
e pourrait t fournir d'importants renseignements au point de vue du diagnostic . LA DÉMARCHE DANS LA COXO-TUBERCULOSE. Pour s
é- tiques (hystériques) des articulations », pour ce qui regarde le diagnostic différentiel avec les vraies lésions des articu
ons, remarque que : « La valeur du signe de la claudication dans le diagnostic est la même que celle de la douleur. Il peut êt
cas, la contradiction prouve le défaut de réalité. La difficulté de diagnostic est la plus grande lorsqu'il n'y a qu'une claud
é ou mollesse particulières des articulations. Ils ne sont pas d'un diagnostic difficile; lorsque la jointure est réellement m
s leur démarche qui aideront le médecin attentif au point de vue du diagnostic . Dans l'hystérie on rencontre encore bien d'aut
e que, je crois, on s'exposerait bien peu à commettre une erreur de diagnostic en prononçant d'emblée le mot : hystérie. 240 N
ications telles que leur simple constatation suffit pour établir le diagnostic , les affections hystériques au contraire M'MMjo
résenter des t5pes pathologiques et nous allons essayer de faire le diagnostic des afiec- tions auxquelles il faut les rattach
il s'agit peut-être de rétraction de l'aponévrose palmaire,,mais ce diagnostic nous paraît devoir être écarté en raison de la
es et à la colonne vertébrale serait peut-être en faveur du premier diagnostic , mais l'attitude si caractéristique de la colonne
e et qui accompagne le bord extérieur et inférieur de la papille ». Diagnostic de l'oculiste : Atrophie bilatérale de la papil
es sur la question de l'infantilisme et nous nous bornerons dans le diagnostic différentiel à la discussion des formes purement
hémianopsie. - . QUELQUES altérations DU tissu cérébral 361 Le diagnostic différentiel était devenu impossible et seule l'o
nvier 1907. Il fut très difficile, sinon impossthle, d'arriver à un diagnostic dépas- sant la probabilité. La somnolence très
ous n'avons par conséquent aucune raison d'admettre pour nos cas le diagnostic d'infantilisme mixte ou combiné quia été par exem
ardio-dystrophique. Nous ne voulons pas ici pousser plus loin notre diagnostic , ni chercher à démêler quelles glandes à sécrét
e des testicules. Nous avons donc établi pour nos trois sujets le diagnostic d'infantilisme de Lorain et déterminé les cause
des cartilages épiphysaires n'est pas un argument valable contre le diagnostic d'infantilisme cle Lorain.Il nous faut à présent
us, sajuste valeur à l'analyse des facultés intellectuelles pour le diagnostic des' infantilismes. De Sanctis accepte la conce
ifférents cas selon les différents âges et la nécessité de poser le diagnostic d'infantilisme psychique chaque fois qu'il nous
globes oculaires amauro- tiques depuis deux ans déjà. Quel est le diagnostic le plus probable pour cette seconde affection ?
tion ? Nous ne voulons pas nous perdre en d'inutiles virtuosités de diagnostic différentiel et nous ne discuterons en conséque
système nerveux central toujours assez graves pour faire porter un diagnostic erroné de tumeur cérébrale ; dans quelques cas
développement (plus de deux ans) ne parle pas absolument contre le diagnostic de tumeur cérébrale, parce que nous savons que
erniers temps d'un symptôme précieux de toute objec- tivité pour le diagnostic éventuel d'une néoformation endocrinienne. Nous
paraissait que 10 et dont la taille était de 123 cent- mètres. Le diagnostic anatomique post mortem fut le suivant : Infantili
'intégrité de l'hypophyse chez la soeur cadette Adrienne. Contre un diagnostic de tumeur de l'hypophyse on peut invoquer enfin
un symptôme pathognomoni- que de néoformation de l'hypophyse. Ce diagnostic nous laissanl partiellement en défaut, voyons si
ptôme d'un processus aigu fait défaut, de sorte que cette partie du diagnostic est facilitée. Parfois cette forme de méningite
cquise se résout en une guérison plus ou moins complète et alors le diagnostic se fait a poste- riori d'après la marche de la
la symptomatologie est beaucoup plus riche et telle que l'erreur de diagnostic avec une tumeur cérébrale est presque inévitable
aire peut par exemple très bien simuler tout cela et les erreurs de diagnostic furent en effet très fréquentes jusqu'à présent
E'LEVI plexe, tracée plus haut, et qui conduit presque forcément au diagnostic de tumeur cérébrale, et nous n'eûmes non plus a
e en somme en tout analogue à celui décrit par Quincke. Contre le diagnostic d'hydrocéphalie idiopathique de l'adulte ou de mé
hocytes n'était tout de même pas telle qu'elle pût nous conduire au diagnostic d'une forme spécifique. Pour ce diagnostic parl
e pût nous conduire au diagnostic d'une forme spécifique. Pour ce diagnostic parle enfin la marche rémittente de la maladie qu
utes les objections d'ordre clini- que que nous avons opposées à ce diagnostic , le fait si évident de la dila- taLion de la se
chez ces trois 464 ETTORE LEVI malades perme ! tent d'affirmer le diagnostic d'une forme vraie d'infanti- lisme, et nous cro
ne Akr·orneralie. Wiener klin. Rundschau. 1901, nos 47-48. Fucus. Diagnostic des tumeurs de l'hypophyse. Iahrb. f. Psych., 190
ue ou myxoedème fruste. Nouv. Icon. de la Salpêtr., 1899, p. 261. Diagnostic de la possibilité d'une reprise de croissance dan
casse les carreaux et essaie de fuir. Somme toute, à ce moment, le diagnostic est évident. L'enfant est atteinte de tabes et
rmal. " - L'examen microscopique permet de faire aussitôt le double diagnostic d'encéphalite chronique et de tabes incipiens.
s deux, comme des conséquences naturelles de la brûlure. Je pose le diagnostic d'aphonie hysté- rique, et j'obtiens bientôt la
ade jure n'avoir pris aucun médicament, ni aucun poison. Je pose le diagnostic d'ulcération gastrique avec perforation, je fais
que : nous n'avons pas d'examen nécroscopique qui nous aide dans le diagnostic , et nous devons nous borner à des argu- ments c
énomènes, mais cela ne diminue pas leur importance clinique pour le diagnostic de l'hystérie. 2 Joséphine présenta des plaques
isque nous avons dû exclure ces hypothèses, devons-nous renoncer au diagnostic ? Je crois que non. ' En regardant les plaques
aladie, nous parlons de diarrhée basedowienne » ; et nous posons ce diagnostic parfois même lorsque le sujet est atteint d'une
34 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t pas diminuer proportion- nellement à l'importance des lésions; le diagnostic n'est donc à faire qu'avec les névrites atrophi
ous avons observées. Il ne nous était donc pas possible de poser un diagnostic étiologique certain. D'autre part, l'atrophie
tion, Paris, 1863. Galezowski. Union médicale, 1866. BOUCIIUT. Du diagnostic des maladies du système nerveux par l'ophthalmo
ysis of the insane. The British Med. Jotti-il., 1898. KLRAVAL. Le diagnostic de la paralysie générale. Echo inécli- cal du N
chances de succès. Nous ne nous étendrons pas sur cette question de diagnostic , car elle nous conduirait à passer en revue tou
nous croyons qu'il ne faut admettre qu'à bon escient un semblable diagnostic ; il n'est pas rare de voir chez les tabétiques d
iques, même les mieux faites et les plus utiles en clinique pour le diagnostic de la maladie, sont insuffisantes pour la théra
part des articulations du tronc et des membres. L'auteur élimine le diagnostic de rhumatisme déformant, d'ankyloses con- génit
ne décèle aucun lymphocyte dans le liquide céphalo-rachidien. Le diagnostic étiologique de la lésion est orienté vers le mal
e (médecine et chirurgie) ; 20 Insuffisance hépatique (symptômes et diagnostic ). Mal perforant plantaire. Deuxième séance. Q
forant plantaire. Deuxième séance. Question sortie : Symptômes et diagnostic du goitre exophtalmique. - Questions restées da
ymptomatologie dé l'in- toxication saturnine. Hydrocèle, étiologie, diagnostic et traitement. Questions restées dans l'urne :
: 1° Séméiologie des vomissements. Hernie étranglée ombilicale ; 2° Diagnostic des céphalées, fistules anales : symptômes, dia
ilicale ; 2° Diagnostic des céphalées, fistules anales : symptômes, diagnostic , traitement. Quatrième séance. Questions sortie
a première période ; fracture de la base du crâne; 2° pathologie et diagnostic du zona. Diagnostic et traitement des fractures
fracture de la base du crâne; 2° pathologie et diagnostic du zona. Diagnostic et traitement des fractures de l'olécrane. Cinq
uième séance. Questions sorties : Cirrhose hépatique : étiologie et diagnostic . Rétrécissement de l'oesophage. -Questions rest
médecine et chirur- gie ; 2° méningite tuberculeuse : symptômes et diagnostic , fracture du maxillaire inférieur. Comme on l
de la fièvre typhoïde. Questions restées dans l'urne : Symptômes et diagnostic de l'ulcère simple de l'estomac; et plaies de l
l'ulcère simple de l'estomac; et plaies de l'abdomen ; Symptômes et diagnostic de la pleurésie aignë et étranglements herniair
unié, 15; M. Viollet, 16 Question de garde (séance du 7 décembre) i Diagnostic et traite- ment de l'occlusion intestinale. Que
nes de l'accouchement imminent; soins à donner à la partu- riente ; Diagnostic et traitement de l'hémoptisie. Ont obtenu : Ai.
eillent l'ablation. Un chirur- gien refuse d'intervenir. Intérêt du diagnostic au point de vue du traitement. IL Paralysie d
pe splénique après la mort. Le signe de Kernig a permis de faire un diagnostic et un pronostic exacts REVUE DE PATHOLOGIE NERV
es que Gublec a décrites chez les ouvriers qui manient le plomb. Le diagnostic de paralysie radiale, d'origine saturnine parai
t huit mois consécutifs. Les auteurs portèrent, dès ce moment, le diagnostic de syphilis héréditaire. En octobre 1897, la ma
rises d'épilepsies jaksoniennes, entra de nouveau à l'hôpital où le diagnostic de kyste du cerveau consé- cutif à un traumatis
écutifs à l'aérophagie qui n'est pas un symptôme concomiltant. Le diagnostic se fera par l'examen attentif du malade, cepen-
ulier, plus que regrettable, mais facile à éviter dans l'avenir. Le diagnostic de la paralysie générale au début n'est pas tel
manie intermittente. La constatation des lym- phocytes confirma le diagnostic de paralysie générale, caractérisée d'ailleurs,
rachidien, par ponction lombaire, comme un élément considérable de diagnostic de la paralysie générale. La présence des éléme
gouroux a toujours eu recours à la ponction lombaire pour faire des diagnostics difficiles. M. Toulouse demande si ces éléments
onstatation d'une tumeur hypophysaire confirme ici non seulement le diagnostic d'acromégalie posé pendant la vie, mais .encore
opsie d'un malade pour lequel M. Touche et lui-même avaient posé le diagnostic de sclé- rose en plaques, maladie dont le sujet
de, qui disparut brusque- ment dès que la malade put se lever. Le diagnostic découle des considérations qui précèdent. On ne
infec- tieux pourrait dès lors constituer un élément précieux de diagnostic . Quoi qu'il en soit, cette distinction est indisp
tue une variété qu'il importe au chirurgien de bien connaître. Le diagnostic des formes est important à établir, puisqu'il c
ST-OPÉRATOiRES. 225 5 ne soient pas précisés et que d'autre part le diagnostic de la confusion mentale n'ait pas été discuté.
paralysie générale probable. RuFLEXfos. Il est regrettable que le diagnostic de paralysie générale probable posé à la fin de
ltation mon ami le Dr Brault, médecin des hôpitaux qui confirme mon diagnostic , de péritonite aiguë, de nature bacillaire très
On fait une ponction exploratrice qui retire du pus et on fait le diagnostic du foie suppuré le 28 septembre 1898. Entrée à
roit; puis l'amaurose était devenue double. Il y a un an, on lit le diagnostic de tumeur cérébrale. La malade succomba dans un
ment une affection cérébelleuse. M. Lépine n'admit pas toutefois ce diagnostic , connaissant d'une part, la possibilité de pare
lésion matérielle, et notamment sans calcul. C'est la difficulté de diagnostic qui a amené nombre d'auteurs à contester l'exis
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ques indications sur l'étiologie et le diagnostic de cette affection. {Revue neurologique, septem
s. Les autres symptômes très nets ne permettaient pas d'infirmer le diagnostic et d'attribuer ce tremblement à l'hystérie. M.
rose des cordons postérieurs permirent seuls de poser nettement le diagnostic de tabes. Il y avait en outre une altération nota
ogr. de la Salpèlrière, nos 3 et 4, 1899.) L'auteur estime que le diagnostic d'amyotrophie Charcot-Marie a été porté .abusiv
qui les ont accompagnés, que l'auteur se croit autorisé à porterie diagnostic de polynévrite mo- trice. Comme il est établi,
suffisance rénale. Chez le premier, homme de cinquante-huit ans, le diagnostic , appuyé sur la constatation de plusieurs signes
oie et des reins. M. PACTET croit qu'on porte très fréquemment le diagnostic de délire alcoolique, alors qu'il s'agit de dél
M. Toulouse. On subit trop l'influence de Lasègue, en portant le diagnostic de délire alcoolique, d'après la description erro
er ils pensent que la n marche de flanc » peut aidera è. établir le diagnostic différentiel de l'hémiplégie hystérique et de l
pnotisable et même, dans ces cas, l'hypnotisme est un instrument de diagnostic comme de pronostic. Cette réserve faite, je mai
commun. ! ' Séance du 15 février 1902. Dr N.-P. POSTOVSKY. Sur le diagnostic des psychoses syphilitiques. Se basant sur deux
nelle des malades en question, ne peuvent pas être d'accord avec le diagnostic du rapporteur. D'A. Bernstein trouve que le rap
omac et de rein » de notre religieuse, nous permettent de porter le diagnostic d'hystéro- neurasthénie. 3° L'hépatite suppur
indiqué. Chaque accès est précédé et suivi d'une légère exaltation. Diagnostic impossible. P. KERavaL. Il. De l'origine de la
Crouzon ont cherché quels étaient les signes permettant de faire le diagnostic de cette forme des scléroses com- binées qui es
z les tabétiques a pu leur permettre de faire dans plusieurs cas le diagnostic de sclérose combinée. Ils ont pu, par une autop
stérie, la neurasthénie, l'épilepsie, les vésanies, l'idiotie. Le diagnostic des tics se fera avec les gestes habituels, avec
nt un parallèle entre le torticolis-tic et le toiticolis-spasme. Le diagnostic avec les chorées, le paramyoclonus multiplex et
uments, il est plus facile de faire, à deux siècles de distance, le diagnostic de l'affection dont mourut Pierre- Thomas du Fo
topographie des atrophies musculaires ne peuvent servir de base au diagnostic de siège médullaire ou radiculaire de la lésion
alysie agitante et la sclérose disséminée, l'auteur s'arrête sur la diagnostic de la pse2c- dosclérose sans déterminer l'essen
niques. Ces dernières seraient de toutes les plus fréquentes. Le diagnostic doit être fait avec les états physiologiques (idé
ns le dernier chapitre, ils étudient l'étiologie des impulsions, le diagnostic . la marche et la durée, le pronostic et le trai
ître et qui sont iden- tiques aux accidents hystériques. » ' Voir Diagnostic différentiel de l'hémiplégie organique et hystéri
à l'hystérie et que, pour les autres (maladies non hystériques) le diagnostic , non seulement n'est pas scientifiquement établ
à l'anxiété nerveuse. M. Bernheim paraît avoir à coeur de faire un diagnostic différentiel précis, de dégager ce qui est orga
ou ceux d'autres formes voisines qu'il importe de connaître pour le diagnostic différentiel » (Ladame). Sur le corridor de la
mmeuses des méninges comprimant une artère ; il ne s'arrête à aucun diagnostic et ne fait que signaler le fait. G. Carrier. LX
conférence du mercredi sera consacrée à des exercices pratiques de diagnostic .) Des cartes d'admission sont délivrées au secr
es de la moitié droite du corps et des extrémités droites. Diabète. Diagnostic : Affection de la moelle allongée. Cas 11. Mala
es phénomènes morbides sous l'influence d'un traitement spécifique. Diagnostic : Affection spécifique du tegmentum du pont de
rps. Abaissement du goût sur toute la moitié droite de la langue. Diagnostic : Affection du tegmentum du pont de Varole et de
de la moitié gauche de la langue un léger affaiblissement du goût. Diagnostic : Affection spécifique du tegmentum du pont de
re, etc. La ponction lombaire a montré une riche lymphncytose, le diagnostic porté la première fois a été méningite tuberculeu
ouvrages sur la Psychologie, l'Etiologie, la symptomatologie et le diagnostic des diverses psychoses, sur l'anthropologie cri
les. Encéphalites. Voir Sclérose céré- Grale. Enfants arriérés. Diagnostic et trai- tement, par Warner, 98. Epilepsie. V
sthénique bulbo-spinale, par Le- clerc. ils. générale. Voir Cylo- diagnostic . Sur un cas de - al- terne avec déviation conju
l'étude des post-opératoires, par Picqué et l3riand, 209. Sur le diagnostic des syphihtiques. par l'otowsky, 306. infectieu
35 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Arnaud abordait incidemment cette question dans son rapport sur le diagnostic de la paralysie générale, mais sans en montrer
blication faite en 1885 S il estime qu'il faut parfois se méfier du diagnostic de paralysie générale chez les médullaires déli
ysie générale chez les médullaires délirants, car, dans ces cas, le diagnostic clinique n'est pas toujours vérifié à l'autopsi
on des deux affections. Sur cette difficulté qu'il y a d'établir un diagnostic exact dans le cas où l'on se trouve en présence
ou d'une maladie de la moelle, qu'il faut être plus réservé pour le diagnostic . Je me bornerai à rappeler ici, pour ce qui a t
4 z CLINIQUE MENTALE. quelques-unes de ses observations Cé soit ce diagnostic qu'il aurait dû porter. Quoi qu'il en soit, la
lement s'y tromper et qu'il- y a,, dans la plupart de ces cas, un diagnostic très difficile à établir. Déjà, dès 1892, dans un
cordons et des racines postérieures, ne permettent de s'arrêter au diagnostic de tabes spinal postérieur. Observation. Asil
au soulevé, regardé comme la cause première de tout le mal. Mais ce diagnostic ne pouvait se soutenir en présence des autres s
ersistent, puis surviennent des symptômes nouveaux qui remettent le diagnostic en question. Le malade sans doute ne parle pres
le malade gâte, grince des dents durant de longues heures. Bref le diagnostic de paralysie générale juvénile vient de s'impos
une lésion organique de la moelle, mais elle excluait à coup sur le diagnostic d'ataxie locomotrice progressive. Du reste, à a
aladie, les troubles paraplégiques n'ont permis de s'ar- rêter à ce diagnostic ; même, ils suffisaient pour l'écarter. Nous in
. Evidemment on n'est pas en droit de prendre pour base unique d'un diagnostic histologique la structure et la forme d'un fais
ie faciale. La recherche du bacille de la lèpre a été négative : le diagnostic de syringomyélie, porté par les auteurs , a été
'un cas clinique, dont l'analyse très détaillée conduit l'auteur au diagnostic de paralysie labio-glosso-lar3-ngée ou po- lyen
nt : A. Il n'existait aucun signe clinique permettant d'affirmer le diagnostic de contusion cérébrale, plutôt que celui d'hél1
r; l'envahissement des parties voisines rend la plupart du temps ce diagnostic impossible. Toutefois il y a lieu d'appeler l'a
consciencieusement et se défendent d'avoir commis aucune erreur de diagnostic dans les observations qu'ils ont publiées. ' M.
départagera ? Ils affirment aussi ne pas avoir commis d'erreurs de diagnostic . Pour nous faire partager leur conviction, il e
soit enfin par leur évolution. Il estime que l'élément essentiel du diagnostic , dans les cas difficiles, repose sur la déter-
la démence se soit affirmée, pour qu'on soit autorisé à porter le diagnostic de paralysie générale, Marcel BRI\ND. SOCIÉTÉ D
en faisant ressortir la valeur de ces signes dyskynésiques dans le diagnostic des simulations. . A la discussion prennent par
e provenir de sujets notoirement paralytiques géné- raux et dont le diagnostic de paralysie générale avait été contrôlé et vér
à son arrivée à l'asile de Toulouse, transféré de Limoux où le même diagnostic avait été porté. Sans doute, un examen plus app
es qu'il sera intéressant de bien observer. Ils aideront à faire un diagnostic précoce de la maladie. Et qui sait si, de ce di
à faire un diagnostic précoce de la maladie. Et qui sait si, de ce diagnostic précoce, ne pourrait pas résulter un traitement
exagérée. Le 16 juillet elle est transférée à l'infirmerie avec le diagnostic de fièvre typhoïde. La malade continue à rire à
à la dothiénen- terie une curieuse guérison. M"° G..., vingt ans. Diagnostic . Imbécillité. Parle et comprend peu, absence d'
ès la sortie de l'auberge jusqu'à son arrestation, G. D. XXXIII. LE diagnostic différentiel DES crises HYSTÉRIQUES ET des cris
ar PELI- ZOEIH. (Neurolog. Cealrnl6l., XVI, 1897.) Il s'agit d'un diagnostic difficile, non résolu par la Société de psychia
voir, la dégénérescence les a fait disparaître. L'auteur établit le diagnostic avec la pachyméningite cervicale hypertrophique
l peut arriver de l'encépha- lite protubérantielle et cérébelleuse. Diagnostic d'avec la ménin- gite cérébrospinale et la lept
. ARCHIVES, 3'série, t. VI. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE. voie du diagnostic clinique. Le fait est que de douze cas con- nus
verse (Cramer '), à une méningo-myélite aiguë (Schulz), etc. , Le diagnostic était aussi hérissé de difficultés presque in-
ractères tellement spéciaux qu'il suffit pour mettre sur la voie du diagnostic : telle l'impulsion épileptique qui porte, pour a
ion autoriserait cette mesure. Pour cela, afin de pouvoir porter un diagnostic , indiquer un pronostic et instituer un traiteme
de depuis quelque temps, tout en insistant sur cer- tains points de diagnostic différentiel. ' Le nommé Manuel de la 0..., âgé
ico-brachial de la moelle s'impose presque de lui-môme. Dès lors le diagnostic différentiel ne sera discuté qu'entre cette der
a trois points sur les- quels nous allons insister pour établir ce diagnostic différen- tiel : le manque d'éruption, les loca
A mon avis, ces deux exemples doivent faire hésiter à por- ter le diagnostic « folie tuberculeuse » lorsque l'on se trouve e
et héréditaires compliqués d'alcoolisme chronique. Discussion du diagnostic . L'auteur insiste particulièrement sur les partic
icago, décembre 1897.) Les néoplasmes du bulbe sont rares et d'un diagnostic diffi- cile. Ce n'est pas qu'ils ne manifestent
en raison du' peu de signification de symptômes, de l'indécision du diagnostic , qui n'a pu être fait qu'à l'autopsie par la dé
es cardinaux d'une tumeur cérébrale, il était difficile de faire un diagnostic et surtout de localiser la lésion. Cet état d
s'est trouvée seule abolie dans le cas particulier. RELLAY. VIII. Diagnostic D'UNE TUMEUR cérébrale sans localisation possible
s vifs; accélération du pouls. Bronchopneumonie. Mort. On a fait le diagnostic de gliose du bulbe et de la moelle cervicale. A
uisent à l'application des dixièmes ou centièmes de milliampères au diagnostic des affections uni ou bilatérales. B. Courant f
dans les cas de lésions en foyers (Wernicke) ; peut-elle servir au diagnostic de la localisation, ne concerne-I-elle que quel
rattacher tels ou tels éléments électrophysiologiques à tel ou tel diagnostic , d'autant que la lenteur de la contraction elle-m
de nouveaux horizons, mais n'a encore rien fondé qui permette le diagnostic sûr des maladies nerveuses. P. KEKAVAL. XIV. La
. Mais le praticien n'est pas moins placé dans un grand embarras de diagnostic si, voyant le malade, pour la première fois sur
sante; elle est un exemple frappant des difficultés que présente le diagnostic différentiel de la paralysie générale et de l'é
e l'embarras extrême où on se trouve quelquefois quand il s'agit du diagnostic différentiel entre l'épi- lepsie et la paralysi
6, cystite et pyélonéphrite avec fièvre. Mort le 14 février 1896. Diagnostic clinique : tabes dorsales. A1'autopsie on const
onservée, dyspnée, cyanose. Mort dans la nuit du 16 au 17 avril. Le diagnostic intra vitam fut celui de myélite aiguë ascendante
ure si particulière que pas un spécialiste n'hésitera à en faire le diagnostic d'un simple coup d'oeil, subit bien l'action di
. - Elisabeth B..., née en 1822, est admise le 6 septembre 1852. Le diagnostic porté à l'entrée était lypémanie. Une note de 1
atteinte, il y aurait là un élément d'autant plus précieux pour le diagnostic et un traitement précoce que la paralysie génér
eu trou- blée au début ; aussi peut-on à cette période établir le diagnostic différentiel avec l'alcoolisme chronique mais les
abondance d'albumine, absence complète d'acide clilorydrique libre. Diagnostic : hystérisme, avec atonie gastrique et tumeur s
troubles moteurs permirent dès l'arrivée du ma- lade, de porter le diagnostic d'abcès cérébral dans le lobe temporal gauche.
isinage : l'opération chirurgicale devait être demandée aussitôt le diagnostic posé, et il l'avait été le jour même de l'entrée
'autre affection, diamétralement opposés. Malgré les difficultés du diagnostic entre le tic et le spasme de la face, la questi
séquilibration et qui doit, de l'avis de Brissaud servir de base au diagnostic , ce malade pourrait être rangé parmi les tiqueu
oire antérieurement frappé de paralysie, permettent de se ranger au diagnostic du spasme. Mais il s'agit d'un spasme chez un m
ent essentiel héréditaire, suivi de considérations générales sur le diagnostic de cette variété de tremblement. J. S. CIV. S
sement complet de sa santé intellectuelle et physique. A. V. XLV. Diagnostic ET traitement DE la mélancolie; par le D'' ZtEO
rasthénique, variété hystérique, mélancolie périodique. Quand le diagnostic de l'état mélancolique a été fait, il reste à é
diagnostic de l'état mélancolique a été fait, il reste à établir le diagnostic différentiel, avec la démence paralytique, avec
M. le Dr Déjerine à Bicêtre, fut faite l'autopsie d'un cas dont le diagnostic clinique porté avait été : paralysie pseudo-bul
sant sur les constatations que nous venons de faire, nous posons le diagnostic histologique suivant : in- .Ilammation en foyer
ns le tabès, par association comme dans certains cas d'hystérie. Le diagnostic souvent liés difficile avec la paralysie généra
Loevenfeld,205, Hystérie infantile, par'Pa5'lor, 295. IIosÉmnoes. Diagnostic différentiel des crues -, par Bonjour, 120. P
étés de la -, et de la course, par P. Rucher, 317, ï. Mélancolie. Diagnostic et traite- ment de la -, par Ziehen, 425, - a
Minor, 08. T(rnI;CULOSEeta11él1at1011, par Paris, 144. Tumeurs. Diagnostic d'une céré- brale sans localisation possible,
36 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d'un malade pour lequel l'absence de ce signe avait fait porter le diagnostic de neurasthénie, diagnostic qu'il mit en doute
bsence de ce signe avait fait porter le diagnostic de neurasthénie, diagnostic qu'il mit en doute à cause de la présence du ré
La sensibilité au contact et à la douleur était normale. On posa le diagnostic de « foyer sous-cortical limité de Fa gauche. U
t, du centre du membre .supérieur. Voici les éléments principaux du diagnostic topographique : Siège dans la région rolandique
éditaire d'origine spécifique limitée au côté droit.En faveur de ce diagnostic on peut invoquer les résultats obtenus par le t
la syringomyélie, les troubles cutanés appartiennent à la lèpre. Le diagnostic n'a pu être tranché par au- cune investigation
nt chacun aurait pu exister indépendamment de l'autre et il pose le diagnostic de mélancolie avec états psychiques obsédants.
démence pro- fonde (sans but, inconscientes, amnésiques). Pour le diagnostic différentiel, se reporter à un travail du même
la période normale a été prise pour une période de dépression,et le diagnostic peut en présenter des grandes difficultés. Mé
on psychopathique de l'involution sénile du cortex. A l'appui de ce diagnostic , ils invoquent l'apparition de la gangrène symé
ans hallucina- tions et il insiste à ce propos sur la difficulté du diagnostic diffé- rentiel entre la psychose à base d'inter
uelles le traqueur est entraîné àne plusse sentir émo- tionné. Le diagnostic de la suggestibilité. M. CARILLON précise les d
ter a l'hystérie épileptiforme. L'hypnotisme est un moyen ultime de diagnostic .comme aussi de traitement.Il faudrait, dans l'i
em- placer et qu'on dise au médecin ; donnez-nous seulement votre diagnostic ; voilù votre seul rôle ; nous nous débrouilleron
s bien. Donc, je le répète, l'expert n'a pas seulement à poser un diagnostic ; il doit dire si, comment et dans quelle mesure,
le.. On ne fait pas de la métaphysique en disant comme déduction du diagnostic mé- dical que l'individu doit être considéré co
able ou irresponsable et on est obligé de tirer des déductions du diagnostic médical quand on conclut au placement dans un a
la question de responsabilité, mais bien à des divergences dans le diagnostic . M. Ballet a eu raison de signaler les inconvén
déclarations sur la responsabilité ne sont que le corollaire de son diagnostic médical. M. Régis (de Bordeaux). L'expert n'a p
l. M. Régis (de Bordeaux). L'expert n'a pas seulement à porter un diagnostic médical,il doit conclure,il faut une dé- ductio
onner dans sa mission, qui, à mon avis, comprend trois parties : un diagnostic , un pronostic, un traitement. Le diagnostic c
nd trois parties : un diagnostic, un pronostic, un traitement. Le diagnostic comprend la détermination de l'état mental de l
le monde» dont J. Falret a laissé une magistrale description. Le diagnostic de l'accès de manie et de mélancolie de la foli
pression de l'énergie psychi- que, irritabilité anormale, etc. Le diagnostic différentiel particulièrement délicat est celui
des accès d'excitation et de dépression de la démence précoce. Le diagnostic des états mixtes peut être très difficile. Le p
opa- ihies, Prof.MAHAiM : A propos de 1'aphasiel3ovJOUR(Lausanne; Diagnostic différentiel des crises épileptiques'et des crise
se du liquide céphalo-rachidien permet d'éliminer avec certitude le diagnostic de méningite tuberculeuse. Cette co- loration s
s..., entrée à l'asile le 25 juin 1896. Elle est âgée de vingt ans. Diagnostic : épilep- sie avec accès quotidiens. Très souve
outis- sant, la période terminale d'une maladie. A l'époque où le diagnostic de démence précoce peut se poser par l'évo- lut
ître des réactions variées, d'ordre anxieux ou hypocondriaque. Le diagnostic des cénesthopathies doit et peut être fait d'a-
états anxieux qui masquent le fond psychique et rendent souvent le diagnostic difficile,non impossible, com- me un réactif fi
crétion interne. Rapporteur : Dr 1,AIGNr--L-LkVASTINE (Pa- ris). 2° Diagnostic et formes cliniques des névralgies. Rap- pqrteu
ystèmes médullaires, à l'exception des cornes antérieures. Quant au diagnostic du siège en hauteur des lésions on ne peut guè-
roubles sensitifs et absence absolue de tout phénomène bulbaire. Le diagnostic porté par M. Leclerc est celui d'atrophie muscu
Aran-Duchenne, à forme scapulo-)zumérale. M. Leclerc, à propos du diagnostic avec les myopathies primi- REVUE DE PATHOLOGIE
6.) Deux observations de tumeurs des méninges médullaires dont le diagnostic n'a été fait qu'à l'autopsie. Dans la première ob
de tumeurs des méninges médullaires doivent mettre sur la piste du diagnostic . Pour lui, le vrai caractère clinique, qui doit,
lait s'être laite par poussées successives embarras- santes pour le diagnostic . Apre des douleur; vives de la région lombaire
du système nerveux. Les organes génitaux sont bien développés. Le diagnostic de perversion sexuelle, sous la forme de sadism
sadisme compliqué de fétichisme, est bien clair dans ce cas et ce diagnostic n'a pas besoin de commentaires. Mais no- tre ob
qu'elles portent sur des malades insuffisamment surveillés, et les diagnostics restent souvent contestables, faute de contrôle
e des ganglions de la base était veloutée. Après durcissement, le diagnostic de paralysie générale fut con- firmé par l'exam
rieurs et du thorax et dégénérescence vallérienne ; ils écartent le diagnostic de polimyoélite antérieure subaiguë et de sclér
la débilité mentale qui n'est pas un diagnos- tic clinique, mais un diagnostic étiologique, nous élimine- rons d'abord les mal
réagissent à la convergence, mais non à l'éclairage alternatif, le diagnostic se pose entre l'im- mobilité réflexe des deux p
le l'absence du clonus vibratoire peut avoir une importance pour le diagnostic parce qu'elle indique une lésion organique ; ma
un interrogatoire trop approfondi facilite souvent les er- reurs de diagnostic . Il insiste sur la possibilité des simulations
; il insiste sur les troubles sensitivo-sensoriels pour éclairer le diagnostic . L. WAHL. XXIX.-Suggestionet hystérie. Répons
reconnaître 95 % de polynucléaires, contre 5 % de lymphocytes ; le diagnostic d'abcès sous-dure-mérien s'imposait. Opération
rs domaines qui règlent ces réflexes ». Le Prof. Raymond établit le diagnostic de l'hystérie et de la psy- chasthénie ;cette d
-médullaire consistant en paralysies spasmo- diques ou flasques. Le diagnostic est facile quand les signes rachi- diens sont n
bles douloureux du début donnent fréquemment lieu à des erreurs de diagnostic . La paraplégie des membres inférieurs pourra être
tions qu'on confond souvent avec la neuras- thénie ; nécessité d'un diagnostic précis préalable pour instituer un traitement r
is.de Berne,formule à nouveau la vieille objection : «A quoi bon un diagnostic précis qui coûte tant de peine et ne chan- ge r
élève avec rai- son contre ce geste de découragement«.Si,il faut un diagnostic pré- cis quand ce ne serait que pour éviter de
goisse ou d'anxiété de Bris- saud. Ballet indique les éléments d'un diagnostic qui pour n'être pas toujours facile, a besoin d
ADe `VICART et V1.ILIIET. (Bulletin médical, 1906, numéro 89.) Le diagnostic de cette affection n'est pas toujours possible lo
ès important; de plus, la ponction lom- baire est précieuse pour le diagnostic . Le signe de Kernig,au con- traire, est des plu
ne de Kernig,au con- traire, est des plus trompeur. Pour arriver au diagnostic .il faut exa- miner avec soin les fonctions de l
du malade; la marche ultérieure delamaladie, ayant bien confirmé ce diagnostic , a mis en même temps à jour quelques particular
ntral comme cause de l'ataxie et tout cela nous oblige à adopter le diagnostic de l'ataxie polyizévritique aiguë. La connexion
ux dus à l'acronévrite; cette connexion parle aussi en faveur de ce diagnostic . La perte de la sensibilité de la langue et du
'abolition graduelle concomitante des réflexes profonds. Ainsi le diagnostic définitif dans notre cas est le sui- vant : ata
ion en quelques jours des troubles gastro-intestinaux, contredit ce diagnostic . Dans l'in- toxication aiguë par le cuivre, les
homards frais mais conservés en boîte, ne peut pas influencer notre diagnostic de la gastro-entérite d'origine infectieuse.. O
peut pas préciser la durée de cette période. Quoi qu'il en soit, le diagnostic de la maladie à la suite de laquelle s'est prod
d'un peu forcé et se termine par de prudentes conclusions sur le - diagnostic de la nature, motrice, sensorielle ou associative
s, en surgissant dans la conscience, ses réactions habituelles ; le diagnostic est alors difficile, d'une part, avec certains
du liquide céphalo-rachidien avaient été impuis- sants à fournir le diagnostic précoce qui a permis l'intervention chirurgical
ques, les troubles génitaux. Elle peut être acquise ou congénitale. Diagnostic : l'idée ob- sédante est facile à distinguer de
que dans les comas non hémiplégiques, il y aurait un bon élément de diagnostic . Cas de névrite parenchymateuse et de compressi
ie. Les affections qu'on confond souvent avec la , nécessité d'un diagnostic précis préalable pour instituer un traitement
Thomas, p. 167. Stérilité. Voir Hypnotisme. Suggestibilité. Le diagnostic de la -, par Bérillon, p. 90. Suggestion. Voi
la substance blan- che de la zone motrice (région du bras).Sur le diagnostic diffé- rentiel du siège cortical ou sous-cort
37 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
e d'Argyll Robertson et l'étendue de la lésion nous conduisaient au diagnostic de méningite syphilitique hypertrophique. Nou
rmer les données de la clinique et en vérifier tous points de notre diagnostic . Il s'agissait en effet d'une compression de la
GUALE ET LE COMPLEXUS symptomatique présenté par NOTRE MALADE. - Ce diagnostic , en particu- Il) D'après les renseignements qui
s de compression dans le mal de Pott, mais confirment par contre le diagnostic d'une tumeur comprimant la moelle, et relativem
des douleurs en particulier, contribua notable- ment à faciliter le diagnostic . Oppenheim a attiré l'attention sur ce symp- tô
l'observation II nous soulignerons l'appa- rence trompeuse pour le diagnostic différentiel des douleurs dans la cage thoraciq
ymorphisme et leur séquence illogique pour les séparer des lies. Le diagnostic entre les deux états morbides peut être quelquefo
éprouvé des périodes d'intensité diverse. Avant de nous occuper du diagnostic des myoclonies nous devons trai- ter de leur cl
ndispensables pour établir sur des bases sûres cette orientation. Diagnostic . Le tableau symptomatologique des myoclonies ét
tôt avec une autre, nous trouvons parfois des difficultés dans leur diagnostic . Les bornes des myoclonies ne sont pas les même
erons encore tout à l'heure. Il ne vaut pas la peine de parler du diagnostic différentiel entre les mouvements myocloniques
yoclonie ; mais il y a des formes intermédiaires dans lesquelles le diagnostic peut offrir des difficultés comme, par exemple,
t avoir été de nature hystérique. Il nous faut, aussi, établir le diagnostic différentiel entre les myoclonies et les tics.
génie. Ce sont des cas qui donnent parfois de vraies difficultés de diagnostic . Gilles de la Tourette et, après lui, Guinon et
mander si les caractères que nous avons appréciés comme éléments de diagnostic différentiel entre les tics généralisés et les my
ration entre les deux hyperci- nésies. En effet, la difficulté du diagnostic est parfois énorme dans les cas intermédiaires
plus ils se rapprochent de la myoclonie. Et voilà la difficulté du diagnostic . On dit même qu'il y a des myoclonies qui ont c
ifficulté dans un de ses derniers travaux sur ce sujet, à propos du diagnostic différentiel de sa maladie : « je ne fais, disa
énomanie post-mélancolique compliquée de manie chronique). Quant au diagnostic entre la manie chronique vraie et la manie chroni
eurs parties purement narratives, nous ont permis de poser certains diagnostics cliniques et de faire la critique d'affirmations
de psychose périodique, à forme de mélancolie in- termittente. Ce diagnostic n'est pas celui qui fut toujours posé. A la suite
m- menl, modifié son opinion (4). Certains auteurs ont proposé le diagnostic de neurasthénie, d'hystérie ou encore d'hysLéro
ue, le mitralique..1e parlerai plus loin, quand il sera question du diagnostic différentiel, des principales caractéristiques de
une manière si caractéristique qu'on peut en faire tout de suite le diagnostic , on a observé des formes incomplètes chez lesqu
ec des lésions limitées aux membres inférieurs. M. Dufour a fait le diagnostic d'achondroplasie incomplète dans un cas parce q
ssent d'une rare vigueur. Il ne vaut pas la peine d'insister sur le diagnostic différentiel avec le nanisme ostéomalacique et
mportance que l'on doit attribuer aux phénomènes psychiques pour le diagnostic de l'infantilisme, même là où les signes somati
ur de symptôme général, mais non 1)(ilho- gn01ll0nique, que pour le diagnostic de l'achondroplasie faut attribuer : \ la petites
e 182 FERRUCCIO RAVENNA étude faite avec soin permet d'établir le diagnostic avec certitude. Dans d'autres formes, l'achondr
ur ainsi dire latente, et au pre- mier abord on pourrait exclure ce diagnostic ; mais des mesures exactes par comparaison perm
enté des troubles psychiques qu'on peut étiqueter, pensons-nous, du diagnostic de confusion mentale agitée ou si l'on préfère
PROPOS D'UN CAS D'ACHONDROPLASIE ? Ú5 206 ' BAUMEL ET MARGAROT Le diagnostic de la dystrophie présentée par cette malade nous
parfaitement inconnues, peut présenter des symptômes aigus dont le diagnostic ne donne-pas lieu, en général, à de remarquables
x affections. Deux points seuls pourraient fournir un appui pour le diagnostic : dans certains cas on voit l'origine de l'hydroc
de profit on pouvait retirer des déduc- tions de Bonhoeffer pour le diagnostic différentiel avec les néoformations de la fosse
e raisons et de considérations cliniques m'entraîne à ad- mettre le diagnostic exposé plus haut, et j'en conclus qu'une ponction
La ponction lombaire a donc servi dans mon cas à nous confirmer le diagnostic . Le résultat thérapeutique ne pouvait être meil
ai- nement les derniers à disparaître. Une difficulté spéciale du diagnostic différentiel existe quelquefois pour déterminer
itabilité observée peut être la suite d'une DR passée inaperçue, le diagnostic de névrite peut par- faitement être accepté.
cette paralysie, apporte, on va le voir, au débat, des éléments de diagnostic très précieux. Il nous per- met, de préciser qu
; la ligne de sa marche présente une déviation à gauche. Avec le diagnostic , « tumeur de la région du Ville droit (Kleinhirnb
gauche. Le réflexe rotulien est moins marqué à gauche qu'à droite. Diagnostic : « Kleinhirnbrückewinkeltumor il gauche». Sous l
Observation II (Pi. XXXIX, XL, XLI). (Service du D'' LECLEnc.) Diagnostic résumé. Troubles de la sécrétion interne du testi
6. ' (4) W. OSLER, On diffuse scleroderma vith spécial référence to diagnostic and the use of the thyroïd gland extracf. Journ
i cette présentation de la malade, Joffroy fait des réserves sur le diagnostic de sclérodermie. Samouilson (1) relate le cas
avait été reçue, dans la clinique d'Erb, 4 ans auparavant, avec le diagnostic de Basedow. Depuis deux ans elle souffre de tro
9. (11) W. OsLER, On diffuse sclero-derma with spécial référence to diagnostic and the use of the thyroïd gland extract. Journ
e l'on retrouve dans les muscles atteints de myopathie essentielle. Diagnostic radiologique. Mains (position dorso-palmaire).-
ns pu observer chez notre malade. Il n'y a pas de doute à propos du diagnostic : il s'agit bien d'une forme de sclérodermie gé
Tous ces troubles d'ordre trophique ont donné lieu à des erreurs de diagnostic ; ainsi, dans l'observation de Renon, en se basan
Busi (2) où plusieurs médecins antérieurement avaient tous porté le diagnostic de gangrène symétrique des doigts. Fréquemmen
t justement relever Busi, la radiographie peul aisément corriger le diagnostic , car les tophi goutteux sont facilement travers
ent ce qu'on observe dans la maladie de Paget ; sans s'arrêter à ce diagnostic il (il des réserves sur le diagnostic de tabes
e Paget ; sans s'arrêter à ce diagnostic il (il des réserves sur le diagnostic de tabes dans les cas précités. Souques (11)
agit à n'en point douter d'un névrome d'amputation. C'est avec ce diagnostic que le malade est opéré le 4 avril 1912 sous anes
ons ici en présence d'un état maniaque . Sans doute nous faisons le diagnostic objectivement, puisque le malade est incapable
le d'exprimer verbalement ses sensations et ses sentiments. Mais le diagnostic n'en est pas moins certain. L'excitation du suj
ente. A notre avis, le signe différentiel le plus important dans ce diagnostic serait la consta- tation à l'état de veille de
ais de la face : elle peut donc être prise en considération pour le diagnostic différentiel des mouvements convulsifs de la face
nction lombaire, recher- ches directes et indirectes (1), est-ce le diagnostic qui fut porté. Pour avoir plus de garanties, un
nait d'aucune sensation subjective pouvant mettre sur la voie de ce diagnostic . Seul un signe pouvait être rapporté à la lésion
ait la diversité des symptômes observés et la difficulté à poser un diagnostic avant une vérification anatomique. L'un de nous
ensemble de faits assez compliqués il se déduit naturellement qu'un diagnostic rigoureusement exact était impossible à atteindre
atteinte de plusieurs tumeurs cérébrales. Nous n'avions pas fait ce diagnostic , par suite nous ne pouvions guère nous méfier de
E PAGET 453 déformation des membres faisait défaut, de sorte que le diagnostic ne put être établi avec certitude qu'en constat
onnaissance de celte formule radiographique peut être utile pour le diagnostic des cas douteux (comme nous en avons observé un e
ctuel. Ce sont les cas de Debierre (1) et deBonardi (2), quoique le diagnostic de tabes eut été mis en doute par Petren (3). M
qu'a fourni le même examen pratiqué sur le pied-bot tabétique. Le diagnostic de notre dernier cas avec le pied tabétique se po
ion III. J. Jur..., âgé de 32 ans, laboureur. Entré le 16 mai 1912. Diagnostic : sar- come de la colonne vertébrale ( ? ). N
e généralisée. Chez nos deux- premiers malades, nous avons porté le diagnostic de méningo-myélite avec symphyse méningée, ayan
céphalo-rachidien. L'examen du liquide céphalo-rachidien réunit ces diagnostics variés dans un même chapitre. En effet la ponct
écialement du fibrinogène, fait sur lequel on a basé une mélhode de diagnostic différentiel entre les transsudats passifs et l
sultat paradoxal de ces deux réactions comme un précieux élément de diagnostic des néoplasmes rachidiens (1). Enlre les 47 cas
38 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
jusqu'à la 2e côte ; X... se rappelle aussi que le médecin porta le diagnostic d'hémisection de la moelle. Voici brièvement ce
IIO-l6go). Musée de Buda-Pesth. 106 Année N° 2 Mars-Avril 1891 DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE SANS LOCALISATION POSSIB
e croira donc pas que nous veuillons l'aire oublier une er- reur de diagnostic en commençant par accuser la chirurgie cérébrale.
pouvait pas être diagnostiquée ; et comme, après tout, l'erreur de diagnostic a été commise, nous désirons simplement discute
tions d'opérer sont formelles, lors toutefois qu'on peut établir le diagnostic du siège de la lésion. Ce diagnostic de la loca
outefois qu'on peut établir le diagnostic du siège de la lésion. Ce diagnostic de la localisation est basé dans l'immense majo
tsurtout leur présence par (1) Médical Record, February, I, 1896. DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE 75 des troubles variés d
ne lésion de voisinage, irritative ou vasculaire ; par cela seul le diagnostic de localisation sera faussé. Une autre fois le né
auche, mais très légers et très fugitifs. Le bras ne fut d'ailleurs DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE 77 jamais ni affaibli, n
nique toujours sujette à caution, nous n'arrivions pas à établir un diagnostic sur des éléments de certitude ; et comme, au deme
nciblement ramenés. Le traitement sembla apporter une sanction à ce diagnostic , car sous 78 E. BRISSAUD ET E. DE MASSARY l'i
Au bout.de quelques heures les crises épileptiques éclatèrent avec DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE 79 une violence inouïe,
de névroglie aplaties. D'ailleurs les parties sous-jacentes elles- DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE 81 mêmes sont également
es nourricières ? On peut donc formuler d'une façon très précise le diagnostic histolo- gique de la tumeur : sarcome à cellule
térale, en tout cas, ne saurait être conseillée comme un procédé de diagnostic . On a, jusqu'à ce jour, le droit de douter de s
trépanation, c'est seulement dans les cas où elle est un élément de diagnostic accessoire, c'est-à-dire lorsqu'elle ne constit
t intac- tes, et on sait qu'en l'absence de la stase papillaire, le diagnostic des tu- meurs ne comporte- jamais de certitude
e la pic mcrc, lobe frontal droit. MASSON & cie, Éditeurs. 5. DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉBRALE 83 céphalée diffuse peut
surent à la main un cachet si spécial qu'on peu ! faire aisément le diagnostic de la syringomyélie sans avoir procédé à un exa
l'auteur a constaté de la dissociation de la sensibilité et posé le diagnostic de syrin- gomyélie. Massius (1) a vu dans un
vu à la Pitié a affirmé qu'elle était de nature spécifique. Le même diagnostic a été porté par un autre chirurgien de l'Hôtel-
certain nombre de chirur- giens comme étant de nature syphilitique, diagnostic qui n'a pas été accepté par Ricord. En examinan
s caractéristique et constitue a elle- même un élément principal de diagnostic . Tous les détails qu'on constate à l'étal norma
aspect toujours changeant de la couleur des mains de nos malades. Diagnostic La main-succulente est un mélange original de deu
flement. 11 suffit d'avoir vu et palpé cette main pour en l'aire le diagnostic de syringomyélie même avec grande facilité et p
Aussi ces deux derniers symptômes ne servent en aucune ma- nière au diagnostic différentiel. Il est évident que la difficulté po
le de la main et par les caractères de l'oedème, j'ai pu exclure le diagnostic de syringomyélie. Il est inutile, je pense, de fa
diagnostic de syringomyélie. Il est inutile, je pense, de faire le diagnostic entre le phlegmon de la main et la main succulent
s signes de l'inflammation locale, tumor, dolor, rubor, calor. Le diagnostic avec 1'6rythromélalgie mérite quelque attention p
un trau- matisme, d'hystérie pour ainsi dire monosymptomatique. Le diagnostic nous semble ressortir incontestablement des dét
n, des paralysies du type radiculaire, seulement son cas était d'un diagnostic difficile et cet auteur incline volontiers vers
laire, elle n'en fournit pas moins un élé- ment intéressant pour le diagnostic et vous savez du'il ce point de vue rien n'est
vie des atrophies musculaires avec troubles de la sensibilité ; le diagnostic n'a pas été posé et nous avons trouvé une pachy-
x l'état du corps thyroïde qui pourrait seul permettre d'émettre un diagnostic ferme (1). » Dans tout cela il n'est pas questi
il me faudrait indiquer au moins en quelques mots les élé- ments du diagnostic différentiel de l'infantilisme myxoedémateux et d
cutanées avec les neurofibromes, la réserve, en ce qui concerne le diagnostic de névrome plexiforme appliqué aux deux tumeurs
e et cutanée. « Aussi les objections qu'on pouvait élever contre le diagnostic des deux difformités prises individuellement pe
uite de leur existence chez le même sujet. « En d'autres termes, le diagnostic des deux fibromatoses parait ici non seulement
t couvertes de varices. Pour qui connaît l'habitus acromégalique le diagnostic ne pouvait manquer, comme on dit, de sauter aux
reconnaît à distance ou en trois mots de description; elle aide au diagnostic de l'affection causale, dont elle est une manif
opathie nerveuse et ce fait suffit à faire soupçonner une erreur de diagnostic (la syringomyélie n'était pas connue encore). P
trad. de LuBAisKI), 1878, 20 édi- tion. Il est difficile d'avoir un diagnostic ferme sur ce cas. x 27 386 PAUL LONDE de co
un peu de tremblement peut-être alcoolique; on conçoit pourquoi le diagnostic de syringomyélie n'est pas discuté (5). (1) R
l y avait un oedème dur dans tout le domaine de la paraplégie. Le diagnostic de rhumatisme coïncidant s'applique peut-être mie
les sujets at- teints de cette affection se ressemblent, et que le diagnostic peut être porté, pour ainsi dire, à première vu
é. Il faut se résigner à laisser de côté cet impor- tant élément de diagnostic . Cependant les seules données de l'inspection s
ressemblent, quels que soient leur âge, leur sexe et leur race : le diagnostic peut se faire, grâce à cette uniformité d'aspec
, on le voit, suffisamment accen- tués pour permettre d'en faire le diagnostic à la simple inspection d'un sujet. Aussi peut-o
déformations qui l'accompagnent sont un des principaux éléments du diagnostic de la Lèpre sur les images artisti- ques. L'éma
n fait aujourd'hui. On pourrait évidemment discuter à leur égard le diagnostic de la mala- die d'Aran-Duchenne et de la Syring
adie. Nous n'insisterons pas davantage sur ces notions générales de diagnostic appliqué aux monuments figurés. Il sera plus in
ain- cre, par ces premières remarques, qu'il est permis de faire le diagnostic de la Lèpre d'après les monuments de l'Art, en
preuves catégoriques. A fortiori, sera-t-on en droit d'affirmer un diagnostic lorsque, sur la même image, se trouveront réuni
es chez les Lépreux et plus d'une raison milite ici en faveur de ce diagnostic . En effet parmi les autres infirmes de la fresq
s de la Lèpre avec quelque vraisemblance, il manque des éléments de diagnostic précis qui sont visibles au contraire sur les o
es où la vérité pathologique soit rendue avec plus de sincérité. Le diagnostic s'impose, encore qu'il ne soit pas des plus ais
tions et dislocations : c'est plus qu'il n'en faut pour formuler le diagnostic de l'infirme que Conrad Witz a figuré dans son
la maladie ne m'a laissé aucun doute. » Virchow a aussi discuté le diagnostic des lésions syphilitiques. Il le rejette judici
u Dr Keller, il nous semble difficile d'accepter, sans réserves, le diagnostic de syphilis. D'abord, en ce qui concerne les ul
rouve souvent les plus grandes difficultés à faire sur le vivant le diagnostic causal d'une ulcération, d'une pustule, etc. ; rt
une pustule, etc. ; rt fortiori, faut-il se montrer réservé dans un diagnostic fait ex pictura, sur une image qui ne vise pas
il une intéres- sante leçon. Quelque séduisant que puisse être ce diagnostic on peut hésiter cepen- dant à s'y arrêter, en r
ur des difformités humaines. Cependant, dans le cas présent, un tel diagnostic ne saurait être qu'une simple hypothèse. Non
s de la Lèpre sont souvent figurés avec une exactitude qui rend son diagnostic indubitable, et qui s'explique par le grand nombr
(1 planche), 404. Tumeur cérébrale sans localisation pos- sible ( diagnostic d'une) (2 phototypies), par E. Brissaud et E. d
39 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
hui, et de plus à cause de la complication qui pouvait en rendre le diagnostic difficile au premier abord. Voici l'histoire de
sans zones hystérogènes ni attaques. Quel que soit d'ailleurs le diagnostic ferme auquel on s'arrête pour le second malade,
ts nous paraissent particulièrement intéressants au point de vue du diagnostic . Si rien n'est plus facile, en effet, que de re
symptôme de l'hystérie. En pareille occurrence, on porte souvent le diagnostic de tremblements « nerveux », de chorée, etc., e
oments de vive agitation 1. P. Marie. -Contribution à l'élude et au diagnostic des formes frustes de la maladie de Basedow.
b...) pré- sentent exactement les mêmes particularités (fig. 20). Diagnostic . - Parmi les tremblements qui ont été méthodiquem
ue leur ressemblance même puisse être jamais l'origine d'erreurs de diagnostic . Les états morbides auxquels ils appartiennent
sitâmes pas un instant, après avoir envisagé tous les éléments d'un diagnostic différentiel qu'il serait trop long d'exposer e
que, à l'inverse de bien des observations encore peu anciennes, le diagnostic d'hystérie ne pût un seul instant être mis en dou
e que nous avons exposé, la question se résume tout entière dans le diagnostic , et ces stigmates de dégénérescence qu'on a enc
artie. Il faut éliminer, en effet, de la simulation, les erreurs de diagnostic . Nous nous souvenons très bien avoir vu autrefo
se mit à courir en criant. Où trouver une meilleure confirmation du diagnostic de « simulation » qu'on porta sur sa pancarte ?
e est ici bien caractéristique et ne permet point le doute quant au diagnostic à poser. En outre l'intensité des déforma- tion
ialement l'attention à cause de la valeur qu'ils présentent pour le diagnostic de la carcinose vertébrale. Il est facile de se
ription; nous emprunterons toutefois à ce travail les éléments d'un diagnostic différentiel. Aussi bien, du reste, n'est-ce pas
en, du reste, n'est-ce pas presque toujours avec l'épilepsie que le diagnostic s'impose lorsqu'il s'agit de manifestations hys
pas très déve* loppés, mais suffisants néanmoins pour confirmer le diagnostic . La sensibilité est conservée dans tous ses mod
s convulsives proprement dites et les attaques de bâillements. Le diagnostic différentiel des bâillements ne nous arrêtera pas
tes qui, en dehors des bâillements eux-mêmes, ne permettront pas au diagnostic de s'égarer. Mais enfin on peut supposer que ce
tation monosymptomatique de l'hystérie. Dans ce cas, la question du diagnostic différentiel peut se poser. Lorsque les bâillemen
t d'appré- ciation qui permettrait, très probablement, d'établir un diagnostic certain avec les accès de bâillements épileptiq
racturé. Quelle est cette forme de contracture ? Si l'on tient à un diagnostic , on peut formuler sans trop de crainte de se tr
intéressante à mentionner, bien que l'auteur n'envisage pas ici le diagnostic de certaines formes de polynévrite avec la paraly
us prononcées à gauche qu'à droite. Nous n'insisterons pas sur le diagnostic clinique à propos de cette observation. Il nous
es sur le cas de Fraentzel, nous ne pouvons tirer de conclusions du diagnostic porté chez sa fille l'affec- tion étant la même
t par devers moi l'espoir que je pourrai quelque jour confirmer mon diagnostic en constatant l'extension et l'augmentation des
ndriaque. Il n'y a point, dans ce cas, àépiloguer longuement sur le diagnostic . Il ne pouvait s'agir d'ostéo-arthropathie hype
mplet de l'ophtha)- moplégie progressive. Aussi, au point de vue du diagnostic différentiel, cette observation présente-t-elle
mmodateur. Ce dernier signe a donc une valeur incontestable pour le diagnostic de la paralysie nucléaire. Est-ce à dire que la
on de la musculature interne de l'oeil à la paralysie s'oppose à ce diagnostic ? Evidemment non; la lésion nucléaire peut frap
t que l'autopsie restée négative permet d'accepter sans réserves le diagnostic d'ophthalmoplégie- névrose. 1. Ballet, Revue
ion syringomyélique de la sensibilité. Elle soulève une question de diagnostic d'un certain inté- rêt : s'agit-il d'un cas de
e des observations de Steudener, de Lan- gi1ans, de Rosenbach où le diagnostic était des plus difficiles. Langhans même a publ
ontrée. Leloir a également rapporté plusieurs faits analogues où le diagnostic eût été absolument impossible si les manifestat
périphériques. Est-il possible chez cette jeune fille de porter un diagnostic positif basé sur la connaissance des troubles d
cale ou sous-corticale du côté gauche. Nous ajouterons que c'est le diagnostic qui a été porté par M. le professeur Charcot dans
c et qui avait eu trois ans auparavant une sciatique. Albert fit le diagnostic de tuberculose verté- brale et fut fort étonné
consultation. M. Cuffér lui fait appliquer, après avoirfait le même diagnostic , huit ventouses scarifiées dans la région fessi
e, dans la sta- tion debout, qu'elle permet d'ordinaire de faire le diagnostic de sciatique à distance, et même d'indiquer pre
entie. III Dans les observations que nous venons de rapporter, le diagnostic de sciatique ne saurait être mis en doute un se
RAPHIE DE LA SAL1'E'l'ItILItE. Nous croyons qu'outre les erreurs de diagnostic qu'il peut quelquefois éviter, il donnera des i
ainsi dire pas en longueur. Au point de vue histologique pur, le diagnostic de névrite périphé- rique ne peut à notre avis,
obligée de garder le lit, elle fait appeler un médecin qui porte le diagnostic de goutte. Ce gonflement du pied qui, au dire d
ant les effets de la piqûre du e ventricule lui permit de porter le diagnostic de paralysie oculaire d'origine nucléaire. Depu
ale gauche avec déviation de la bouche et de la langue. On porta le diagnostic de paralysie faciale a frigorie. - Guérison (purg
40 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
llusion à l'existence, chez un sujet atteint de paralysie générale ( diagnostic con- firmé à l'autopsie) d'obsessions au cours
phénomènes dans la plupart des cas, de la difficulté d'arriver à un diagnostic positif. Le diagnostic de ces phénomènes est, e
art des cas, de la difficulté d'arriver à un diagnostic positif. Le diagnostic de ces phénomènes est, en effet, le plus souven
amé- lioration se produit de chercher systématiquement à faire un diagnostic rétrospectif des hallucinations psycho-motrices
nte-huit ans, entré à Villejuif, venant de l'Asile clinique avec le diagnostic de paralysie générale, G mars 1900. Antécéden
les troubles du sens génital . Reste la question du pronostic et du diagnostic . Il n'est pas douteux pour nous qu'à la période
puissance totale persistante a aussi sa valeur au point de vue du diagnostic quand la santé est bonne. De même la persis- ta
précocité et leur accen- tuation, elles peuvent grandement aider au diagnostic de la paralysie générale à la période prodromiq
es attaques hystériques, et qu'on ne peut utiliser ce signe pour le diagnostic différentiel de l'hystérie et de l'épilepsie. On
ons [scléreuses d'origine artérielle disséminées sur le névraxe. Le diagnostic anatomique serait donc sclérose cérébro-spinale
ic anatomique serait donc sclérose cérébro-spinale disséminée et le diagnostic clinique : tremblement sénile avec symptômes de
lit sans grande importance : le médecin de la prison avait porté le diagnostic de syphilis cérébrale et tumeur cérébelleuse.
i s'impose pour attein- dre ce résultat, c'est l'isolement après un diagnostic précoce, les malades devant être isolés avant q
RAWIIIFF croit que la sonde n'est même pas nécessaire pour faire le diagnostic , car l'interrogatoire seul suffit pour établir
sérieuses, une troisième pré- sentait une tumeur abdominale dont le diagnostic pour les raisons déjà indiquées n'a pu être éta
on fit une opération libéra- trice qui démontra l'exactitude de ce diagnostic . Immédiatement après cette intervention, les tr
ans l'un des cas ce fut l'attaque convulsive qui permit de faire le diagnostic . L. D. II. Cas* d'automatisme alcoolique extrêm
t d'un processus inflammatoire local adjacent. ' Sans nécropsie, le diagnostic de la nature des lésions primitives ne saurait
thénie et rarement chez les alcooliques, les dégénérés, etc.. Le diagnostic étiologique est souvent difficile. Dans l'autom
er à cette impulsion morbide. Dans le cas présenté par l'auteur, le diagnostic d'automatisme ambulatoire repose sur les faits
crrs. (1'heJoum. of' NervotlS and l11entai Desease.) Deux fois le diagnostic de tumeur de la queue de cheval fut posé, deux
véolaire. Deuxième cas. Homme de 39 ans, venu à l'hôpital avec le diagnostic d'ataxie locomotrice. Cyphose marquée au niveau d
arcome à petites cellules. Réflexions. Dr B. Sachs, pour poser le diagnostic du siège au niveau de la queue de cheval s'est
t dés vomissements, signes révélateurs d'une tumeur cérébrale. Le diagnostic de siège fut fait d'une part par l'existence d'at
irement et simplement les notions théoriques indispensables pour le diagnostic et le traite- ment des troubles de la réfractio
tion), la description de l'oeil schéma- tique, la description et le diagnostic différentiel des amétropies, les règles qu'il f
ons. Il ne s'agit évidemment pas du tableau de la manie vraie. Le diagnostic symptomatique posé en présence de cette malade
t hallucinations. D'autres auteurs propo- seraient pour cet état le diagnostic de confusion mentale hallucinatoire. On sait
u système nerveux. Ce réflexe est alors d'un grand "=eeours pour le diagnostic ; 6° Ce réflexe, très exceptionnellement, se mon
t jusqu'au dernier degré de l'épuisement et de la consomption. Le diagnostic du délire aigu, en général facile grâce à s 1 s
pour des délires aigus des cas qui n'étaient pas justiciables de ce diagnostic . M. GILBERT-B2.LLET. - Il faut, en effet, bien
résentent les délirants aigus. Elle a une grande importance pour le diagnostic et on la trouve non seulement dans la période p
service de M. le professeur Lépine, qui l'envoie à l'Asile avec le diagnostic de paralysie géné- rale. A l'entrée, étal men
stituent la principale cause occasionnelle. M. Delarras s'arrête au diagnostic du délire des inventions qui peut souvent être
leurs guides qui puissent être donnés au clinicien pour établir le diagnostic de l'affection, il faut signaler : le regard vagu
divers auteurs qui l'ont traitée. il aborde ensuite la question du diagnostic , et insiste sur la valeur que l'on peut attribuer
ifs de la céphalalgie syphilitique. Puis il examine sommairement le diagnostic dillé- rentiel de la syphilis cérébrale avec le
obscurité profonde. La première remarque de l'auteur à propos du diagnostic , c'est que l'hystérie, comme l'a fort bien dit
emble des symptômes, et non sur un seul qu'il convient d'établir le diagnostic . Les causes de l'hystérie sont en prédisposante
. 27. Presque pas de vomissements. Etat mental parfait. On porte le diagnostic de tumeur de la base du cerveau, siégeant à gau
ulation de liquide céphalo-rachidien. R. de Musgrave-Clay. XL. Le diagnostic de l'hystérie ; par Charles-W. l3ul\l\. (The New
éterminent dans ses fonctions des modifications pathologiques. » Le diagnostic de l'hystérie se fait, comme la plu- part des d
ques. » Le diagnostic de l'hystérie se fait, comme la plu- part des diagnostics , d'abord par la constatation des symptômes, pui
310 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. \ de tel ou tel phénomène : le diagnostic ne peut se faire qne par l'étude de tous les sy
nt toutefois presque toujours les petites articulations. Quant au diagnostic de la crise hystérique, il peut être fort aisé
été passivement placé. En somme, quand l'hystérie existe seule, son diagnostic est rela- tivement facile; malheureusement elle
ons organiques ou même provoquée par ces lésions, et le problème du diagnostic peut alors devenir singulièrement com- pliqué.
Dans le premier cas, il s'agit d'un paralytique général, dont le diagnostic n'était possible que depuis peu de temps. Ce mala
e série, t. XII. 23 354 SOCIÉTÉS SAVANTES. mettent sur la voie du diagnostic pathogénique. Les nombreuses analyses faites no
tande. In-8o de 680 pages, avec 250 ligures. Leipzig, 1901. Roux. Diagnostic des maladies nerveuses. In-16 de xvt 560 pages.
auf un épanchement abondant de liquide sous-arachnoïdien. Ici; le diagnostic de délire aigu- d'origine urémique ne saurait m
sans signification pathognomonique, aucun symptôme n'orientât le diagnostic dans cette direction. Observation II. P..., qua
u point de vue - somatique par le syndrome de l'urémie. , D'où le diagnostic de psychose urémique suraiguë qui nous z asiles
vec d'autres' phénomènes con- nexes, avec lesquels il faut faire le diagnostic . Nous éliminerons d'abord les mouvements athéto
des mouve- ments stéréotypés. Dans ces'différentes hypothèses, le diagnostic est très facile. Voici maintenant des cas où il
es automatiques secondaires (Ilartley). - Après avoir éliminé ces diagnostics qui sont en somme faciles, il nous reste à abor
sous une forme désormais immuable, automatique et stéréotypée. Le diagnostic des stéréotypies peut encore être fait avec cer
, confondus avec les stéréoty- pies. Il nous reste à éliminer les diagnostics les plus difficiles, les tics et les spasmes. N
ort importants que nous aurions besoin de con- naître pour faire un diagnostic rétrospectif certain. Notre unique but est de c
ceux des gens qui sont aliénés, il ne faut pas penser à établir le diagnostic anatomopathologique des psychoses fonctionnelle
nnue pendant la vie, la coexistence d'autres lésions ayant rendu le diagnostic très difficile. Les particularités les plus int
au, l'extension du gros orteil, et il estime, qu'au point de vue du diagnostic notamment entre une hémiplégie organique et une
es à la réaction. De la critique de son propre cas et de l'étude au diagnostic différentiel, l'auteur conclut que dans l'acrop
duellement complétés. M. Magnan rappelle que, dans certains cas, le diagnostic d'al- cooliques chroniques avec lésions méningi
s de paralysie générale juvénile. L'observation montre combien le diagnostic de paralysie géné- rale est difficile, quand ce
un adoles- , cent et que- les antécédents du malade font défaut. Le diagnostic d'imbécillité, porté tout d'abord, était inexac
ion de poids comme on en ren- contre dans la paralysie générale. Le diagnostic s'étayait d'ailleurs sur les autres signes habi
méningo-encéphalite chro- nique. M. Vallon. - 11 me semble que le diagnostic qui résulte de l'observation est celui de paral
Enfin, M. Vigouroux rappelle, en terminant, combien est délicat le diagnostic entre l'incohérence véritable de l'aliéné et l'
de leurs intonations on finit par les comprendre. M. PACTET. - Le diagnostic de tumeur cérébrale n'est souvent fait qu'à l'a
et la neuras- thénie chez les jeunes sujets, par de Merritt, 307. Diagnostic de 1 ? par Burr, 309. Agents provo- cateurs d
41 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l s'agissait d'une névrite optique qui avait occasionné l'erreur de diagnostic en question à cause des hémorragies nombreuses
pas de paraphasie, '64 , SOCIÉTÉS SAVANTES. rien qui permette un diagnostic certain. L'origine organique sem- ble seule pou
place à ceux qui l'avaient perdue par suite d'une maladie. ' III. Diagnostic des maladies de la moelle. Siège des lésions ; pa
raplégie croisée. Dans un second chapitre, l'auteur fait l'étude du diagnostic de siège des lésions, en hauteur. Après avoir é
lésions, en hauteur. Après avoir établi les principes géné- raux du diagnostic en hauteur, il examine successivement le syn- d
névrite optique oedémateuse, qui nous avait empêché de porter un diagnostic étiologique précis ; cette absence est fort bien
la ligne entr'ouverte ;des cils, l'éclair d'un regard curieux. Mon diagnostic était fait ; je déclarai que la malade n'était
3 le contenu du canal rachidien et par quelques réflexions sur le diagnostic , le pronostic et le traitement de ces lésions. G.
des mouvements des yeux, des membres et du tronc. L'auteur base son diagnostic sur la marche lente et progressive de la maladi
loré, le malade étant daltoniste à l'égard de cette couleur. ' Le diagnostic d'hystérie fut porté nettement. Un examen ultér
t masqué pendant un certain temps, une tumeur cérébrale. Le premier diagnostic d'hystérie avait été l'expression de la vérité,
gique de la paralysie générale est intéressante au point de vue du diagnostic . En effet l'existence d'un délire à base d'halluc
dance innée à l'émotivité, source de l'anxiété et de l'angoisse. Le diagnostic ne comporte aucune diffi- culté. Pronostic : Gé
e névrose et la maladie de Béard. SOCIÉTÉS SAVANTES. 257 .VIII. Diagnostic . La' principale difficulté diagnostique est de
tion, liés' comme l'obsession à un besoin impérieux, angoissant. Le diagnostic du tic et du spasme facial est aussi très diffi
rticolis-tic et du torticolis-spasme. Nous n'insisterons pas sur le diagnostic des tics et des chorées, nous rappellerons que
a troisième est celle d'une adolescente de dix-neuf ans. Il fait le diagnostic différentiel avec la démence précoce simple, la
t de délirants. In-8" de 66 pages. 1' : IlefrancUe. 1902. CL.1D0. Diagnostic gynécologique, oganes génitaux cl mamelles. In-
aison, nous constatons divers faits qui éclairent singulièrement le diagnostic de la maladie : au sujet de la crise convulsive
ccombé en état de mal. De l'utilité de la ponction lombaire pour le diagnostic de la paralysie générale. MM. A. Joffroy et E
. MM. A. Joffroy et E. Mercier. Dans un grand nombre de cas' - le diagnostic de la paralysie générale, impossible par les anci
la paralysie générale, tandis que leur absence permet de rejeter ce diagnostic . A l'appui de cette affirmation, les auteurs de
conditions d'évolution que rencontre le clinicien dans le cas où le diagnostic est difficile. Ils pensent qu'au début de la pa
saient, dans des cas par ailleurs tout à fait semblables, tantôt le diagnostic de para- lysie générale, tantôt celui d'alcooli
ujours donné raison. Or, avant l'emploi de la ponction lombaire, le diagnostic immédiat était impossible dans ces cas. La po
ticulier d'un accès curable de manie ou de mélancolie, alors que le diagnostic sans aide'serait tout à fait impossible. Les
ralysie générale dans certains cas où sans la ponction lombaire, le diagnostic avec le ramollissement cérébral serait très dif
il y a des cas très rares où la ponction lombaire ne peut servir au diagnostic de la paralysie générale. Ce sont ceux où il ex
a fait faire un progrès considérable à la question si importante du diagnostic de cette affection. Discussion : M. Joffroy. Je
avons ponctionné des malades tout au début de leur maladie, dont le diagnostic même était encore très hésitant. Dans certains
s. En conséquence, je crois légitime de classer ces malades sous le diagnostic de névrose d'angoisse. Note sur l'évolution des
ucide et véridique. Le problème qui se pose à l'expert est celui du diagnostic de l'état mental de l'autoaccusateur, lequel se
elle justifie pleinement l'intervention chirurgicale qui, en cas de diagnostic précoce, peut amener une guérison complète et d
étendue à toute la hauteur des méninges cérébro-spinales. Ainsi le diagnostic se pose, suivant les cas, avec les méningites b
ion de deux d'entre eux. - L'autopsie des deux frères confirme le diagnostic clinique : , épaississement des méninges, adhér
e les cas où il est impossible d'admettre la syphilis sans baser le diagnostic sur une pétition de principe ne sont pas except
ue l'auteur appelle la neurasthénie à interprétation pessimiste. Le diagnostic n'est délicat qu'avec la période d'incubation d
la vérification nécropsique et Iiis- tologique qui seule permit le diagnostic exact et qui révéla un pro- cessus de dégénéres
par maladies intercurrentes). Après avoir établi les difficultés du diagnostic , M. Castin discute la question au point de vue
n tel complexus symptomatique nous pouvons, croyons-nous, porter le diagnostic de psychose à base d'interpré- tation délirante
. A la lumière des documents bibliographiques l'auteur en étudie le diagnostic diffé- rentiel, la localisation, l'étiologie. I
stion. A. Fenayrou. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 431 1 XX VI. Le diagnostic différentiel de la maladie des tics et de la ch
ableau suivant : 1t3' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. muns, dont le diagnostic est facile il est des faits complexes dans lesq
e diagnostic est facile il est des faits complexes dans lesquels le diagnostic reste hésitant, car ils empruntent leurs caract
ui existe en réalité, ils sont considérés comme primitifs et que le diagnostic porté est celui de neurasthénie. Ces désordres
Sikora recommande la ponction lombaire comme le meilleur moyen de diagnostic de celte affection ; grâce à cette opération, ino
n se fondai) t sur ce caractère qu'il a pu porter pendant la vie le diagnostic , confirmé par la nécropsie, d'affection cérébel
d'autres phénomènes clini- ques qui peuvent contribuer à établir le diagnostic , et, d'autre part, les troubles de motilité eng
avité sous-arachnoïdienne et du liquide céphalo- rachidien. Déjà le diagnostic y puise de précieux renseignements ; et sans do
c fruit un chapitre nouveau dont s'est enrichie la clinique dans le diagnostic des mala- dies nerveuses. L.-E. MOREI,. IX. R
usses-membranes peu résistantes. ' De ce qui précède, s'impose le diagnostic de pneumonie centrale des deux lobes du poumon
le des cailloux pour faire sa digestion. D'après ce qui précède, le diagnostic de notre malade est : Dégénérescence et débilit
e la recherche de ce réflexe peut être utile, non seulement pour le diagnostic différentiel entre l'atrophie scapulo- humérale
HOLOGIQUES. 491 gine spinale ou névritique, quand naturellement. ce diagnostic se heurte à quelques difficultés, mais parfois
s la région scapulo-humérale. Au surplus, celui qui veut établir un diagnostic exact, doit exami- ner complètement l'organisme
lumière, etc., il peut contri- buer à l'établissement plus exact du diagnostic . P. KI RA VAL. XXXIV. De l'automatisme postparo
voie pyramidale et acquérir ainsi une valeur aussi grande pour le diagnostic que le signe de Babinski. Pourquoi ce réflexe s
enfant arriéré ou à intelligence défectueuse » comme constituant un diagnostic suffisant, et il faut étudier séparément chacune
udier séparément chacune des facultés mentales, comme pour faire un diagnostic ordinaire, on examine séparément chacun des org
estinée à montrer la différence entre un dia- gnostic médical et un diagnostic psychologique. Les anciens traités de psycholog
phases successives et peut donner lieu parfois à des hésitations de diagnostic difficiles à trancher, si l'on n'est pas sur se
ion. Quand la maladie est à la période d'état, le seul élément de diagnostic certain réside dans les antécédents : l'idiot et
ut pu supposer beaucoup plus mauvais. Notons aussi que le pre- mier diagnostic qu'on pose sur l'état mental d'un enfant est sou-
tative d'éducation qu'on peut établir un dia- gnostic définitif. Le diagnostic et le pronostic du médecin en cette matière ont
atteinte de mal de Pott lombaire s iiiiii- lai2l une myopathie. Le diagnostic de myopathie ayant cependant paru douteux, la r
pré- coce parmi les affections fréquentes. Sur ces 40 malades, le diagnostic de démence précoce n'avait été posé qu'une seul
Miracles. Etudes sur les de la Salette. par Rouby, 380. Moelle. Diagnostic des maladies de la -, siège des lésions, par Gr
echteruw, 490. De l'épuise- ment (les - tendineux et de sa valeur diagnostic dans les mala- dies nerveuses, par Bechterew,
42 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
profonde (Boudin, Etudes de géologie médicale, Paris, 1845, p. 23). DIAGNOSTIC . a. Sans doute il est des cas, et c'est heureus
ment parfois pendant plusieurs jours, et attendre, avant de porter un diagnostic irrévocable, qu'on ait pu recueillir un nombre su
, lorsque la maladie revêt la forme typhoïde (825, B.), l'erreur de diagnostic sera le plus souvent très dif-ficile à éviter; pr
s affections qui peu-vent simuler les fièvres typhoïdes et rendre son diagnostic difficile sont tellement nombreuses, que nous n'a
t soumis au traitement de M. De-larroque, 48 malades chez lesquels le diagnostic d'une fièvre typhoïde ne pouvait présenter aucune
etarder de beaucoup l'époque de la guéri-son définitive (Corrigan). DIAGNOSTIC . Nous avons eu soin de faire ressortir, à l'art
e qui a sévi Delft de 1557 à 1558. — Obs. X à XIV. Symptomatologie et diagnostic . — Dans la scolie de l'observation XI, Forestus d
lté-rations notables. — i\. On sait fort peu de choses relativement DIAGNOSTIC . A. Au début des épidémies, il arrive souvent q
ari-tion de cette dernière maladie est une éventualité supposable, le diagnostic pourrait certainement présenter, parfois, de sé-r
ui de la fièvre jaune, est venu s'ajouter à l'élément paludéen. Si Je diagnostic ne suffisait pas, le traitement viendrait bientôt
es, capables, en temps d'épidémie, de faire éclore la fièvre jaune. DIAGNOSTIC . Les fièvres intermittentes pernicieuses, les p
ec celles-là doit être l'objet principal de ce paragraphe consacré au diagnostic ; mais il ne sera peut-être pas hors de propos d'
la fièvre jaune. Yoici, en peu de mots, comment on trouve ce point de diagnostic établi dans un traité de patho-logie devenu class
alors même qu'elle revêt une forme anormale, mettrait sur la voie du diagnostic . 7. Il suffira, sans doute, d'esquisser rapidem
Sous le rapport des accidents qu'ils occasionnent et sous celui du diagnostic , les kystes hydatiques, situés ou dévelop-pés dan
le frémissement hydatique. C est la première fois que nous voyons le diagnostic posé d'une manière complète, et les kystes hydati
ion d'urines purulentes et de gaz, sont venus simplement confirmer un diagnostic qui avait été établi à l'avance, à l'aide de la p
ce qui, par elle seule, serait bien de nature à mettre sur la voie du diagnostic , puisqu'elle paraît être la règle, et la non-coïn
us du détroit supérieur, la palpation abdominale viendra compléter le diagnostic . La percussion surtout devra être pratiquée avec
atiques seront rejetés au dehors. Hors cela, il faut bien le dire, le diagnostic différentiel sera difficile à établir. « On peu
nt suffisamment des kystes hydatiques. » Lors de l'accouchement, le diagnostic devient plus ardu encore, et en même temps, les i
ans cette circonstance, les accoucheurs mettre en présence, dans leur diagnostic différentiel, les tumeurs les plus dissem-blables
ymptômes, nous avions été ame-nés à poser, avec réserve toutefois, le diagnostic : Ulcères simples de l'estomac siégeant près du p
là les principales circonstances qui nous avaient dirigés dans notre diagnostic que l'autopsie est venue confirmer. II. Vomis
ble; le délire ne s'était jamais montré. En raison de ces faits, le diagnostic avait été établi de la manière suivante : 1° Ob
hent. Le médecin sait ici qu'il ne doit rien brusquer : dès que, le diagnostic étant fixé, il connaît le caractère de l'affectio
controverse dont la solution doit être donnée, ce nous semble, par le diagnostic étiologique. 11 s'agit, en effet, de savoir si la
médecine rationnelle, dit M. le professeur Rostan, est fondée sur le diagnostic 1 ; il ne peut en exister d'autres ; les erreurs
sur le diagnostic 1 ; il ne peut en exister d'autres ; les erreurs du diagnostic sont des plus funestes, ce sont celles qui font l
et il y aura probablement toujours, un trop grand nombre de cas où le diagnostic restera nécessairement incertain. Cela est surtou
e qui puisse alors les distinguer l. » Cette obscurité, qui couvre le diagnostic au début des maladies épidémiques, réclame en gén
trate d'argent. Mais on peut se demander si, dans ces cas heureux, le diagnostic était à l'abri de toute critique. Il est évident
i par le nitrate d'ar-gent. On ne pouvait admettre aucun doute sur le diagnostic chez ce sujet, qui présentait, de la manière la p
erses : or, rien n'est plus difficile en pratique, que de formuler le diagnostic des désordres qui ont provoqué cette manifestatio
Etiologie...................................................... 17 Diagnostic ..................................................
Symptomatologie.............................................. 57 Diagnostic ..................................................
Nécroscopie................................................... 106 Diagnostic ..................................................
Etiologie...................................................... 143 Diagnostic ..................................................
acquise, 145 ; — immunité des indigènes, 146 ; — émotions, 1 46; — diagnostic , 146; — avec la re-lapsing fever, 147; — avec la
22; — conditions d'immu-nité, 23; — distribution géogra-phique, 24; — diagnostic , 24; — avec la fièvre synoque, 25; — avec les fiè
8. Hydropisies, sels d'argent dans les —, 435. I Ictère, grave: diagnostic avec la fièvre jaune, 151 ; — caractères anatomiq
218, 222, 224; — symptô-mes, 241 ; — phénomènes de voi-sinage, 241; — diagnostic avec les kystes de l'ovaire, 225; — chez l'homme,
avec des kystes d'au-tres organes, 241 ; — issue des —, 240, 242 ; — diagnostic : avec les abcès, 242; — avec les tumeurs sanguin
lions lymphatiques, 106, 107 ; — rate, 106; — ecchymoses, Ki6, 107; — diagnostic , 108 ; — analogie avec la lièvre charbonneuse, 10
— issue du sang dans le péritoine, 298, 299. Relapsing fever, 81; — diagnostic avec la fièvre jaune, 147, 149. Rhumatisme arti
ses de l'exanthème, 62; — sudamina, 64 ; — durée, convalescence, 64 ; diagnostic , 64 ; - pronostic, 65 ; nécroscopie, 66; — hémato
43 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
encore un de ces accès de fièvre avec état quasi comateux dont le diagnostic est incertain. 3 novembre. Toutes les nuits mou
-ci, avant l'entre-croisement des pyramides. L'autopsie justifia le diagnostic , on trouva au lieu REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
nerveuse, ou musculaire; dans ces cas l'électricité peut t aider au diagnostic . L'emploi' thérapeutique de l'électricité peut
nt. Les autres questions proposées étaient : Rougeole, symptômes et diagnostic ; Péricardite, symp- tômes et traitement. Les ép
écrite : Cordon postérieur de la moelle. Question orale : Signes et diagnostic du mal de Bright. Les candidats admis sont pour
es Agiles d'aliénés de la Seine. Peu de lésions nerveuses sont d'un diagnostic plus générale- ment obscur que la pachyméningit
ris, 1895. UN CAS DE PACHYMÉNINGITE HÉMORRAGIQUE. 101 lion que le diagnostic ait été exactement fait. Par contre Béhier ' se
: « paralysie générale avec ictus apoplectiforme ». A l'arrivée ce diagnostic fut accepté. Au bout de deux semaines la rémiss
Parmi Pes questions que le médecin pose au malade pour établir son diagnostic , il en est une des plus importantes et qui n'es
mélange de fails réels et de divagations. Un élément précieux de diagnostic est une lettre qu'il écrivit du manicome. On y li
ncéphale. Il faudra pour cela arriver à perfeclionner les moyens de diagnostic , ce qui n'est pas impossible. En résumé, la crani
nir sur son séant; regard stupide ; pas de parésie ni de strabisme. Diagnostic : idiotie par ossification prématuiée; les pare
nification du phénomène du genou en psychiatrie, au point de vue du diagnostic et du pronostic. L'auteur a recueilh de nombreu
exagération du réflexe rotulien n'a d'importance au point de vue du diagnostic que dans des cas exceptionnels ; 7° L'exagérati
au contraire, la valeur de l'exagération de ce phé- nomène pour le diagnostic de cette même affection, parait insignifiante.
l ne faut pas vouloir diminuer la signification, au point de vue du diagnostic , de l'exa- gération du phénomène du genou, sous
puisé, une exagération notable du phénomène du genou peut servir au diagnostic de la paralysie générale. Il importe seulement
querulantenwahnsinn » (folie des réclamations), s'ima- gine que le diagnostic de maladie mentale repose essentiellement sur l
s constituer le symptôme prédominant, il ne faut pour justifier son diagnostic s'appuyer sur le fait des réclamations. Il faut
un symp- tôme qui, là comme ailleurs, ne peut suffire à lui seul au diagnostic . Y a-t-il pour la folie des persécuteurs, comme
suivant les variétés cli- niques. « Délire de persécution » est un diagnostic insuffisant : cette formule brute est appelée à
Puisque l'anatomie pathologique nous manque, au moins formulons un diagnostic exact et précis qui nous permette de porter un
M. CHARPENTIER. - Chercher à porter un pronostic, fondé sur un ici diagnostic exact et précis, c'est risquer des erreurs, à moi
re l'insuffisance de nos moyens d'investigation, de nos éléments de diagnostic et de pronostic. Si nos éléments d'appréciation
localisa- tion différente de la lésion. L'important en effet est le diagnostic topographique exact qui seul permet une interve
s abonnés : 5 francs. Ë Fraxcotte (X.). De/la symptomatologie et du diagnostic de la pa-1 ralysie gétxërc6le ? Brochure in-8°
V. Analyse DES observations. Nous croyons inutile d'insister sur le diagnostic chez nos malades. Là-dessus il ne peut y avoir
on, de la déglutition, etc.). S'il n'y a pas lieu d'insister sur le diagnostic aujourd'hui banal -- de l'oedème bleu avec le p
trière en 1889-1890, puis à l'Asile clinique (25 juin 1890) avec le diagnostic suivant : Dégéné- rescence mentale avec attaque
e ou l'absence d'hallucination est un des plus précieux éléments de diagnostic . Nous savons tous que le persécuté-persécuteur
s successeurs, de songer toujours à l'hystérie, avant d'asseoir son diagnostic définitivement ; 3° peut-être pour- rait-on con
ment volontaire. Ce danger d'un certificat unique est une erreur de diagnostic ; ce qu'il faut examiner c'est la compétence du
iquement maintenir. L'aliéniste seul doit juger de ces questions de diagnostic de psychoses tardives, de démence simple ou de
président. Questions proposées. Les questions adoptées sont : 1° Diagnostic différentiel de la paralysie générale. - Rapporte
tence. La durée de cette affection peut être extrêmement longue. Le diagnostic doit être fait avec l'anorexie hystérique, l'an
die. Il y a plus qu'on ne le croit générale- ment de difficultés de diagnostic entre la neurasthénie et la para- lysie général
nie et la para- lysie générale. Ce qui doit dominer pour établir le diagnostic , c'est la recherche de la syphilis. L'hérédité
ES moteurs DE l'articulation DE la parole. 267 K... est affecté, le diagnostic serait du reste toujours, aisé à cause de l'act
s cas bien tranchés comme celui- ci n'offrent pas de difficulté, le diagnostic en est facile. CAMUSET. XXVII. LE sein HYSTÉRIQ
tiqué une simple névralgie du cubital, après un examen attentif, ce diagnostic fut rectifié. La zone hyperesthésique correspon
kinson sont tellement caractéristiques, qu'on fait ordinairement le diagnostic à première REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 299
lutôt que de gommes tuberculeuses. Les auteurs conviennent que le diagnostic anatomique se base surtout sur les lésions vasc
on de la sensibilité tactile. Le professeur main- tient pourtant le diagnostic de syringomyélie. L'affection, lente au début,
ets sont très suspects. A quelle affection a-t-on affaire ? Trois diagnostics doivent être discutés : la tuberculose cérébral
telle pendant deux jours. On diag- nostique une syphilis cérébrale, diagnostic que l'autopsie vint bientôt confirmer. On trouv
t absolument sains. La suite de la maladie prouva, du reste, que le diagnostic était exact, il s'agissait bien, en effet, d'un
foyer du cerveau font défaut ou sont peu accentuées, une erreur de diagnostic peut aisément être commise. L'auteur rapporte
, un état de confusion hallucinatoire avant qu'on ait pu établir un diagnostic exact. Il s'agit d'un jeune homme robuste qui,
entionnels et en non-intentionnels, on y recourt pour simplifier le diagnostic et pour faire le diagnostic différentiel. Il cr
onnels, on y recourt pour simplifier le diagnostic et pour faire le diagnostic différentiel. Il critique les classifications d
tremblement. L'auteur termine par quelques con- sidérations sur le diagnostic différentiel, le pronostic et le batte- ment de
ces sujets. Camuset. - 388 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1 XXVIII. Diagnostic , pronostic ET prophylaxie DE la folie; par FIEL-
r une modalité du langage et n'en- traînent jamais l'agraphie. Le diagnostic de l'aphasie consiste : 1° à reconnaître l'aphasi
la simuler ; 2° à distinguer entre elles ses diverses variétés. Le diagnostic avec les troubles du langage des paralytiques g
uite l'étude de l'agraphie qui joue un rôle si considérable dans le diagnostic des aphasies.Il combat l'opinion de Charcot et
tait-il conduit par « l'oreille sénestre », il faisait le bien. Le diagnostic de ces cas avec les formes périodiquement al- t
n délire religieux à systématisa- tion primitive et progressive. Le diagnostic n'est pas moins délicat entre la forme qui nous
e la moelle siège bien au-dessus du centre urinaire. En somme, le diagnostic de la compression de la moelle à l'endroit sus-
comme très intéressante, ce qui est vrai, mais il n'affirme pas son diagnostic d'une façon absolue. CAMUSET. LII. DE l'influen
s le sens. » 11 existe aussi une amusie à peu près complète. - Le diagnostic n'est pas douteux : on se trouve en présence d'
érieur est parfait. C'est un cas de surdité verbale avec amusie. Le diagnostic delà lécion est assez difficile à préciser : un
mprimant ou ayant détruit la région de la surdité verbale. Quant au diagnostic du siège de la lésion, l'intégrité du langage i
n journal of 121siiiiity, avril 189G.) E. B. LXV. Contribution au diagnostic DE la syringomyélie ; par Bregman. (Neurolog. C
cervicale et cervico-thoracique supérieure. M. Bregman discute le diagnostic avec l'hystérie, la névrite périphérique du radic
point d'annihiler toute idée de famille, le médecin peut poser le diagnostic d'état mental interdisant toute liberté de dispos
ée à une epoque déterminée (on dit que l'inversion est acquise). Le diagnostic n'est-il pas bien fragile puis- qu'il repose su
alcoolisme, par Banmster, 133 - paralytique, par Peeters, : 383. Diagnostic de la , parBlandford, 388. Traitement de la -
44 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
cès de boulimie et ne peut se rassasier. Constipation habituelle. Diagnostic . Artério-sclérose généralisée. Troubles de la cir
constata- tion, semblable aurait pu nous mettre sur la voie du vrai diagnostic . L'état, que nous venons de décrire se perpétua
u connue, spécialement pour les particularités qui se rapportent au diagnostic . Si nous résumons d'abord l'observation que nou
stigmates sont souvent absents ; peut- être est-ce pour cela que le diagnostic n'est pas porté, au grand dommage des malades.
représente la photographie que nous publions aujourd'hui. Après dix diagnostics , aussi variés qu'étranges, signés des maîtres l
e réformer. Ce fait provoque les réflexions suivantes : 1° Sur le diagnostic proprement dit. Il semble qu'il puisse être ran
uisse des phénomènes si fortement accusés chez notre sujet. Le seul diagnostic qui nous paraisse mériter discussion dans le cas
t la tension pouvait paraître pathologique et à l'aire accepter des diagnostics de météorisme ou même de péritonite tuberculeus
cavité réelle ? on l'a discuté, et même on a entrepris d'assurer le diagnostic différentiel de ces deux loca- lisations aujour
e hebdomadaire, 1867, p. 490. 11. Racle, FERKET et Sthaus. Tr. de diagnostic médical, 6e édit., 1878, p. 546. 12. Axenfeld e
ujourd'hui bien connue. Et de fait sommeil hystérique, tel a été le diagnostic porté pendant la vie par des médecins très ins-
je n'ai jamais eu un seul instant d'hésitation et j'ai repoussé le diagnostic du sommeil hystérique dès les premiers mo- ment
ie oculaire. Dans l'espèce la chose fut assez embarrassante pour le diagnostic . On sait qu'une petite tumeur peut exercer dans
umeur de la base n'est pas une raison suffisante pour renoncer à un diagnostic que d'autres signes imposent. Si le fait est co
absence de tout document clinique se rapportant à cet image rend ce diagnostic osé, sinon erroné. P. Blocq, dans le Manuel de
, dans le Traité de chirurgie de Le Deiiil et Delbet, mentionne, au diagnostic du mal de Pott, l'erreur possible avec les fractu
ication no- table. L'état de. la malade au contraire se modifia, le diagnostic fut recti- fié et changé en celui de tabes. A l
st pres- que aussi grande que celle des nécropsies ; en révélant le diagnostic dans certains cas douteux de tabes frustes ou d
ésions. La radio- graphie ci-jointe vient heureusement compléter le diagnostic (PI. XXI). Le fémur droit est incurvé et sa con
exostoses con- sidérables qui déforment assez la région pour que le diagnostic entre la luxa- tion et la fracture du col, avec
uatre ans que durait son affection ; enfin, peu satis- faits par ce diagnostic , nous cherchâmes le tabes et nous parvînmes à le
ande netteté, mais leur rapprochement permet toutefois d'édifier le diagnostic de tabes. Du reste la radiographie ci- jointe m
s le service et c'est par 152 GIBERT elles que nous avons fait le diagnostic deux fois sur quatre (Observ. III et IV). Il
s électriques (comme pour la motilité volontaire) il résulte que le diagnostic de névrites est plus vraisemblable que celui d'al
pidement au traitement iodo-mercuriel. Dans la majorité des cas, le diagnostic est aisément porté, et dans l'es- pèce, il n'of
ylindraxe, devons-nous cependant montrer que, si le plus souvent le diagnostic de polynévrite s'impose au point de'vue cli- ni
ues la polynévrite syphilitique se distingue de la poliomyélite. Le diagnostic de cause sera ici un diagnostic d'exclusion. On p
se distingue de la poliomyélite. Le diagnostic de cause sera ici un diagnostic d'exclusion. On pourra bien remarquer que la po
ite hydrargyrique nous paraît être la véritable pierre de touche du diagnostic ; c'est donc là un nouveau point de rapprochement
me cirsoïde. L'absence de bruits anormaux nous permet d'éliminer ce diagnostic . Ce ne sont pas des dilatations artérielles ser
du sang d'une des tuméfactions nous rend possible l'élimination du diagnostic de lymphan- 172 GEORGES GASNE ET GEORGES GUILLA
nifestations cliniques peuvent être considérées comme rares et d'un diagnostic délicat. DOUBLE SYNDROME DE WEBER SUIVI d'aut
la mar- che des personnes atteintes d'hémiplégie fonctionnelle ; le diagnostic de cette hémiplégie est devenu très facile. Voi
e à elle-même et facile à reconnaître. ' Si pourtant des erreurs de diagnostic ont été commises, c'est que jus- qu'ici la mala
e. La ressemblance entre ces deux affections peut être telle que le diagnostic différentiel paraît presque impossible (voir au c
gnostic différentiel paraît presque impossible (voir au chapitre du diagnostic les observations de Bessio et deReverdin). Chipau
lui doivent toujours éveiller l'idée d'une paralysie et servent au diagnostic avec l'état neurasthénique ; le malade eut jusq
d'étudier la symptomato- logie des atrophies cérébelleuses et leur diagnostic ; elles seront suivies de quelques considération
tte série d'expériences qui peut être d'une si grande utilité pour le diagnostic de l'affection que nous étudions et que nous av
les analogies cliniques qui rapprochent ces deux observations ; le diagnostic avait été fait avec d'autant plus de certi- tud
nique et l'examen anatomique ont été rapportés par l'un de nous. Le diagnostic s'appuie dans les deux observations sur les tro
e l'hérédité n'ait pu être établie, l'auteur croit néanmoins que le diagnostic d'hérédo-ataxie cérébelleuse peut être posé mai
t; ce n'est pas, il est vrai, une raison suffisante pour rejeter le diagnostic d'af- fection familiale ou héréditaire; n'exist
on semble jouer un rôle important (obs. de Spiller). En réalité, le diagnostic clinique des atrophies cérébelleuses entre elle
3 tement en cause, nous impose quelques réserves sur la facilité du diagnostic de l'atrophie du cervelet et de l'atrophie oliv
une quasi-certitude, diagnostiquer une atrophie cérébelleuse. Le diagnostic avec d'autres affections du cervelet telles que t
e, les vomisse- ments, la céphalée, sont des excellents éléments de diagnostic des tumeurs, abcès ou méningites cérébelleuses,
eut être envisagé comme une éventualité exceptionnelle, et faire le diagnostic de l'un et de l'autre consisterait sim- plement
ions telles que la scoliose et le pied-bot qui sont des éléments de diagnostic de pre- mier ordre; la scoliose est, en effet,
et dans les cas bien authentiques, avec confirmation anatomique, le diagnostic de maladie de Friedreich avait été fait. l. l
oexistence de troubles nerveux de nature différente faciliteront le diagnostic . Il faut faire toutefois quelques réserves sur
localisation anatomique, mais encore de la nature des lésions. Le diagnostic avec la sclérose en plaques est parfois délicat;
ntense sinon absolue, il existe quelques signes qui faci- litent le diagnostic . Dans l'otite labyrinthique, le signe de Romber
révèlent par- fois les caractères des atrophies cérébelleuses \ le diagnostic est le plus (1) James, The serse of dizziness i
M. Bergmann le meilleur traitement. On a songé cependant à poser le diagnostic du trajet de la balle, en l'inférant des signes
chomoteur jusqu'au centre semi- ovale sous la capsule interne... Ce diagnostic fut complètement confirmé par les rayons Roentg
on du lobe temporal à la place où la bandelette optique en sort. Ce diagnostic clinique correspond à la situation de la cicatr
fidèle des cas cliniques déjà cités et correspondent exactement au diagnostic de la localisation de la lé- sion posé par C. W
fection préexistante. " D'après tout ce que nous venons de dire, le diagnostic du siège de la lésion ne présentera de difficul
essive myélopathique type Aran-Duchenne. Il est aisé d'écar- ler le diagnostic de névrite périphérique. Restent les myopathies
t t'arrière-gorge de la poudre de tabac. Les médecins portèrent les diagnostics les plus bi- zarres et le malade abandonné par
et variqueux, ce troisième fétide et purulent. Le médecin pose son diagnostic : le premier appartient à un individu de. tempé
pille gauche est un peu ovale, mais du reste tout à fait nor- male. Diagnostic : Ptosis incomplet gauche, paralysie complète de
t de caractère progres- sif de la maladie, nous permet d'exclure ce diagnostic . Ce n'est pas non plus un processus des os crân
ies, enfin l'apparition des symptômes nous permettent d'éliminer ce diagnostic . Ce ne peut être non plus une affection radicul
t logique, ce sera notre excuse de l'avoir for- mulée. PRONOSTIC. DIAGNOSTIC ET TRAITEMENT. En somme, la présence d'ostéo-ar
iolente, au tiraillement même brutal de l'articulation, imposent le diagnostic . La difficulté croît avec les arthropathies des p
estations goutteuses. Elle ^atteint son maximum d'intensité dans le diagnostic des ostéo-arthropathics vertébrales. Cependant si
z l'un d'eux, d'éli- miner une à une toutes les causes d'erreur. Ce diagnostic différentiel doit 1 être établi pour chacune de
du malade, l'his- toire de ses antécédents suffiront à rectifier le diagnostic . Mais il est toute une longue série de déviatio
rile affirmerait le diagnos- tic d'une façon définitive. Poser un diagnostic rapide et sûr n'est d'ailleurs pas de toute impor
l'aspect du malade était celui d'un sujet atteint d'oreillons et le diagnostic fut mis en conséquence : myélite aiguë avec ore
ire. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLITE AIGUË 575 réserve dans le diagnostic de la rage par la seule lésion histologique. Je
s des vaisseaux sanguins et lymphatiques ont plus de valeur pour le diagnostic histologique de la rage, que la présence des tu
ent par Van Gehuchten et Nélis, sont d'une grande utilité pour le diagnostic histologique de la rage. Leur absence, ainsi qu
côtés pour voir tout ce qui l'entoure, on a déjà presque porté son diagnostic d'immobilité des globes oculaires. L'ap- parenc
us l'histoire et pour laquelle on avait songé au myxoedème. Mais ce diagnostic ne me satisfaisait pas en raison de la vivacité
ormal ; on sent nettement le lobe gauche. Bien qu'à cette époque le diagnostic le plus probable parût être le myxoe- dème, il
aillants de cette observation familiale. Et d'abord la question' de diagnostic . Il était relativement facile d'élimi- ner tout
ts, de troubles menstruels marqués, etc., devaient faire écarter ce diagnostic . La localisation des troubles aux membres inférie
ement séreux consécutif aux mouchetures ne pouvait que confirmer ce diagnostic et la notion d'hérédité permit de clas- sifier
es de la peau, n'avaient pas encore frappé notre atten- tion. notre diagnostic fut hésitant.. , Il n'existait pas de signes d'
pasmodique (Strumpell, Kah- ler, Schlesinger, etc... etc.). Notre diagnostic en était là, incertain, instable, quand nous vînm
s le long des nerfs rachidiens. Ces lésions de la peau suffisent au diagnostic de la maladie de Recklin- ghausen. Le début par
45 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u- tion de la maladie, ni faire l'autopsie. Cependant, quoique le diagnostic de ces cas ne soit pas ferme, je pense qu'on ne
e, je pense qu'on ne peut sûrement, dans aucun d'eux, éliminer le diagnostic de tabes. » (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE HOS
tance qui, incontestablement, est bien faite pour rendre parfois le diagnostic difficile, en masquant la véritable nature du m
es tics, etc., il y aura lieu d'insister sur les difficultés que le diagnostic peut présenter; 7° Il nous reste à vous présent
e voudrais entrer dans quelques détails, à propos de la question du diagnostic . Il peut en réalité, je vous l'ai fait pressent
quelquefois dans la maladie des tics. Et ici, remarquez-le bien, le diagnostic est d'un grand intérêt pratique, car, les accid
certainement; je n'oserais pas en dire autant de 11 première. Le diagnostic serait plus facile s'il s'agissait chez .Tul...
s les muscles innervés par le médian, se con- tractent excepté lui. Diagnostic : névrite périphérique par excès de travail. Am
0) on peut diagnostiquer la- tumeur avec certitude, dans 3 cas le diagnostic ne put en être établi, surtout parce que l'on ne
ration chirurgicale, mais aussi dans ces cas il peut arriver que le diagnostic tumeur soit inadmissible ou simplement hypothétiq
fection symétrique mais inégalement symétrique quant à l'intensité. Diagnostic différentiel d'avec les arthrites goutteuses ou
rieures, nerfs périphériques). Comme il est impossible d'établir le diagnostic d'ataxie de Fried- reich, de sclérose en plaque
la périphérie des quatre membres, semble suffisante pour établir le diagnostic de névrite périphérique, et, pour écarter toute
rol. Central6l., 1890.) Il n'est pas toujours possible d'établir un diagnostic différentiel réellement certain entre la forme
ques que l'on connait. M. Siemerling insiste, en ce qui concerne le diagnostic d'une affection syphilitique de la moelle, sur
ue (observations n°s 34, 35, 36). Etude analytique; discus- sion du diagnostic . P. KERAVAL. IV. Contribution A la' casuistique
(Allg. Zeitsch. f. Psych., XLVII, 3, 4.) Sept observations sous le diagnostic : mélancolie aiguë. Il n'y avait tare héréditai
ître, si l'on veut éviter, tous les jours, de grossières erreurs de diagnostic . . Geoacis Guinon. BIBLIOGRAPHIE. 125 II. L
sont de la chorée, et ces cas-là ne devaient trouver place qu'au diagnostic . Il n'en reste pas moins que c'est un livre à c
étaient : nerf de la langue; ;nerf spinal. L'épreuve orale a été : diagnostic de la pneumonie; signes et diagnostic de l'étran-
inal. L'épreuve orale a été : diagnostic de la pneumonie; signes et diagnostic de l'étran- glement herniaire. Sontrestées dans
venons de relater l'observation. En dépit de l'âge du patient le diagnostic s'impose véritablement. Rien ne manque au table
é L..., quarante ans, entré à l'asile de Cadillac en 1886,' avec le diagnostic : Manie, et sans aucun renseignement sur ses an
temps et les accès mania- ques devinrent de plus en plus rares. Le diagnostic était dès lors fixé. A la suite des homicides
un même individu. Sans doute il pourra se pré- senter des cas où le diagnostic devra rester en suspens, z mais, le plus souven
es communs sur lesquels il est impossible de tabler pour établir le diagnostic différentiel des deux affections. C'est évidemm
out à fait spéciale qui, quand elle est typique, permet de faire le diagnostic à distance. M. Charcot, dans une leçon déjà cit
etc...'; aux résultats d'un traitement approprié, ils éclairent le diagnostic et entraînent la conviction. Mais, en définitiv
taxie locomotrice progressive en particulier ; 3° Pour établir le diagnostic de ces cas d'association et les séparer du pseu
que de dix-neuf ans, hystérique et astasique-abatique depuis un an ( diagnostic porté par le Dr Grasset). La seconde fille, act
ice de M. Falret). Le certificat 206 RECUEIL DE FAITS. portait le diagnostic de dégénérescence mentale, dépression mélan- co
rvice de M. Falret. Entrée à la Salpêtrière le 20 mars 1888 avec le diagnostic : Délire mélancolique. - Voix intérieures. -
ion survenue et ses bizarreries ont nécessité l'internement actuel. Diagnostic : mélancolie avec agitation. Son état mental, a
lade s'est amélioré. R. M. C. XI.' Sur la difficulté d'établir UN diagnostic précis chez LES aliénés ; par llal7at1 RAN.(The
présentent le plus accentués les carac- tères dégénératifs. · Le diagnostic de ces manifestations épileptiques doit se faire
r comme une perversion de la sensibilité sans lésion nerveuse. Le diagnostic de l'anesthésie n'est pas ordinairement difficile
de l'aliéna- tion, il y aurait là un élément nouveau et précieux de diagnostic . Les malades chez lesquels l'analgésie existe d
M. Schultze qu'en un cas; en trois autres cas; il dut prononcer le diagnostic d'aggravation par le traumatisme de troubles an
8E1VL011n. *La diminution du champ visuel n'a aucune valeur dans le diagnostic de la névrose traumatique. Sans doute, chez l'h
he ulté- rieure de la maladie ont mis hors de doute l'exactitude du diagnostic porté par l'auleur. Chez le premier malade, out
e dont l'ignorance pourrait conduire à de regretta- bles erreurs de diagnostic . En guise de préambule il examine comment l'ass
ques « simulateurs ne fera évidemment que s'élargir à mesure que le diagnostic de l'hys- térie deviendra plus facile et plus s
ns le dernier livre de Mil. P. Blocq et J. OnanolT, 5'èmeiologie et diagnostic des maladies nerveuses, 1892, p. 199. l'anest
e l'albumine dans certains cas, pourrait être une cause d'erreur de diagnostic avec l'éclampsie. L'albuminurie chez les épilep
essortir l'im- portance de plusieurs d'entre eux, et j'établirai un diagnostic basé sur leur ensemble, ce qui constituera la c
C'est là un caractère psychologique intéressant au point de vue du diagnostic , et qui peut être utile dans la recherche de la
es, et c'est ce qui contribue à rendre ainsi obscure la question du diagnostic . Y a-t-il seulement lésion profonde, élémentair
ssas- sinat commis par l'accusé. Quelques mots encore au sujet du diagnostic de l'accès d'aliénation mentale présenté par A.
. Il n'est pas même utile, tant la chose est évidente, d'exposer un diagnostic différentiel ' Dans beaucoup de circonstances,
Psych., XXII, 2.) Observation avec autopsie et examen histologique. Diagnostic anatomique : gliosarcome diffus de la moitié an
ues épileptoides; le médecin qui les soignait prononça en un cas le diagnostic d'encéphalite, que semble établir en effet l'ex
extrémités du côté droit et aphasie; intégrité du facial. On fit le diagnostic de syphilis héréditaire par les indications du
nt possible, d'en exprimer le suc. P. Keraval. VIII. Séméiologie et diagnostic des maladies nerveuses; par le D'' Paul BLOCQ e
rouver là sous une forme concise toutes les méthodes d'examen et de diagnostic nécessaires. Se basant exclusivement sur la cli
homicide, par Camuset, 157,370; par Savage, 220; difficutté du diagnostic chez les -, par Raw, 220; -société de patronage
e, l'hystérie et l'idiotie, par Bourneville, 441 ; séméiologie et diagnostic des maladies nerveuses, par P. Blocq et Onano
46 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
locaux d'auscultation et de percussion ne viennent pas confirmer mon diagnostic . Je reste de plus en plus convaincu que c'était s
être placée sur son séant, je me contentai, quant à la pneumonie, du diagnostic puisé dans l'étude des fonctions. Le 3i mai, l'
imprimés aux membres, obtenir le bruit de crépitation comme moyen de diagnostic ; il n'est pas besoin de dire que ces mouvemens p
recueilli aucun renseignement. Ce cas pouvait servir de type pour le diagnostic de ce genre de luxation : ainsi, raccourcissement
ès vives douleurs. Or, il est quelquefois très difficile d'établir le diagnostic différentiel entre l'ankylose et la rigidité; mai
it naître cette observation sont d'abord relatives à la difficulté du diagnostic . Quel est, en effet, celui que l'on devait porter
vomissemens couleur de suie sont venus confirmer l'exactitude de mon diagnostic , et plus tard l'autopsie démontra que je ne m'éta
fréquent ; malaise général; sentimens de fatigue et de faiblesse. « Diagnostic . — Stomatite et entérite chronique avec inflammat
a malade est gaie et même facétieuse. Je n'eus pas de grands frais de diagnostic à faire ; car la malade me dit de suite qu'elle a
nation est toujours plus on moins problématique ; et lors même que le diagnostic serait aussi positif qu'il est douteux, lors même
ar un cancer encéphaloïde circulaire du gros intestin. — Obscurité du diagnostic . — Sensation d emphysème. —Perforation spontanée
uisait par une pression très forte. L'autopsie justifia pleinement le diagnostic que j'avais porté. 6° La perforation de l'intes
andes lumières sur la structure, sur les usages des organes et sur le diagnostic de leurs maladies. (1) Voyez xme livraison, et
a pratique, j'ai souvent commis cette erreur ; plus tard je portai un diagnostic douteux, et il me semble qu'aujourd'hui je me tro
ne autre cause que le cancer de l'intestin, on conçoit les erreurs de diagnostic qui doivent résulter de cet effet commun de lésio
nt abaisser suffisamment la partie malade pour permettre d'établir le diagnostic . J'ai vu un cas dans lequel une dégénération dont
ine auprès duquel j'ai été appelé en consultation; j'hésitai dans mon diagnostic entre une perforation et un étranglement interne
s, mais sans soulagement. J'ignore ce qu'elle entend par opération. Diagnostic . D'après l'état actuel rapproché des commémoratif
ion horizontale, le doigt pénétrait dans la perte de substance. Mon diagnostic était donc celui-ci: dégénération de l'utérus occ
reconnu avait suggéré aux parens quelque méfiance sur l'exactitude du diagnostic que nous avions porté sur la maladie, et plusieur
uvent se développer dans toutes les parties du corps qu'il a porté le diagnostic suivant qui est un des plus remarquables faits de
porté le diagnostic suivant qui est un des plus remarquables faits de diagnostic qui existent dans la science. Une femme vint le c
scur et lointain en bas, pouls très fréquent, peau chaude et sèche. Diagnostic . Pleurésie compliquée d'altération organique du f
r toute idée de colique de plomb. Gardons-nous des à-peu-près dans le diagnostic et dans le traitement des maladies. Dans beauco
us à la médecine pratique à cet égard, en disant qu'elle a éclairé le diagnostic du cancer du foie, qu'elle a démontré pourquoi, d
caché sous l'hypochondre droit, elle est complètement muette pour le diagnostic . Je dirai cependant qu'un moyen, dont je me ser
, je crus y reconnaître quelque chose de rémittent, et j'ajournai mon diagnostic : des cataplasmes, des lavemens, la diète, des boi
qui ont signalé ie début et la première période de la maladie. Ici le diagnostic était facile. Le siège et la vivacité de la doule
à laquelle je n'attache qu'une médiocre importance sous le rapport du diagnostic de l'hépatite. J'ai quelques observations prati
s et ne s'est reproduite que dix jours avant l'entrée de la malade. Diagnostic . Il y a obstacle au cours de la bile, lésion de c
re attention sur une circonstance bien remarquable, et qui donnait au diagnostic une certitude aussi complète que possible. Il ava
es petits cancers mélaniques de la peau qui ont si utilement servi au diagnostic dans le cas présent, étaient-ils antérieurs aux t
ins consistans du corps thyroïde. Dans certains cas, la difficulté du diagnostic d'un kyste du corps thyroïde vient non-seulement
re latéral peut quelquefois donner lieu à des erreurs remarquables de diagnostic . On sait combien souvent un goitre latéral, que s
la pneumonie. Les symptômes locaux n'arrivent que comme complément du diagnostic . Souvent je demande à ces malades si elles crache
nt à la pleuro-pneumonie. L'expectoration caractéristique complète le diagnostic : encore, dans le cas de pleuro-pneumonie, est-il
ce fistuleux, à chaque expiration forcée, à chaque effort de toux. Le diagnostic ne pouvait d'ailleurs être douteux. A l'occasion
l'étude clinique de la gangrène spontanée est relatif à une erreur de diagnostic auquel elle peut donner lieu dans quelques cas, a
emens du cœur s'entendent, mais faiblement, à leur place ordinaire. Diagnostic . Anévrysme de l'aorte thoracique. Aucune autre lé
te la région du ioie. Quelques personnes avaient porté de ce cas un diagnostic différent : c'était, suivant elles, un cœur énorm
peu vigoureux, vu la faiblesse de ses battemens: je maintins donc mon diagnostic ,savoir, que les tumeurs pulsatiles étaient essent
nt des maladies les plus graves de ces organes. 3° llelativement au diagnostic , la présence d'une tumeur pulsatile sur quelqu'un
ce des caillots qui amortissent le choc du sang contre ses parois. Le diagnostic , dans le cas qui fait le sujet de ces réflexions,
ent fixé mon attention, est venu ajouter de nouvelles incertitudes au diagnostic des tumeurs cervicales pulsatiles, au moins quant
nes, il était impossible de méconnaître une tumeur anévrysmale, et ce diagnostic une fois posé, il me parut évident que la tumeur
'œdème. Le jeune malade n'a pas la moindre inquiétude sur son état. Diagnostic . J'hésitai un instant, pour le diagnostic, entre
inquiétude sur son état. Diagnostic. J'hésitai un instant, pour le diagnostic , entre une dilatation avec hypertrophie du cœur e
aient à leurs empereurs que deux choses, du pain et des spectacles. Diagnostic . Hydro-péricarde. Pronostic. La suffocation paraî
ie. Mais quelle était cette maladie ? Peut-être qu'avec les moyens de diagnostic nouveaux acquis sur les maladies du cœur, ce prob
rotégées par la formation des caillots sanguins. Je ne parle pas du diagnostic et de la thérapeutique des ruptures du cœur; rien
rieur ; un peu d'épanchement dans les deux plèvres, dans l'abdomen. Diagnostic . — Tout est limité au centre de la circulation. R
droit du poumon , caractérisée par le souffle et la voix tubaires. Diagnostic . — Hydropéricardite. L'orthopnée, l'infiltration
l est purgatif à la dose d'un gros. Relativement à la difficulté du diagnostic dans le cas de co-existence d'un épanchement pie
ions cérébrales; car, avant toutes choses, il fallait soulager. Mon diagnostic avait été celui-ci : compression du cerveau par u
aucune diminution dans la sensibilité soit générale soit spéciale. Diagnostic . — Lésion de Vorigine de la moelle. — Je n'ai poi
tomie pathologique des maladies de cet organe, et par conséquent leur diagnostic et leur thérapeutique laissent encore beaucoup à
iselle Honoré entra le 14 mai et ce n'est que le 27 que j'établis mon diagnostic d'une manière positive. Le malade observé par D
s, à la suite de douleurs de tête intolérables et d'étourdissemens. Diagnostic . Maladie delà moelle. Quelle maladie? Est-ce comp
issu propre de la moelle n'était pas altéré dans son organisation, le diagnostic avait été bien établi, il aurait été possible de
stincte pour que je puisse établir sur elle un XXXVe LIVRIVSON. i diagnostic positif. Les comménioratifs ne m'éclairent pas da
loppée autour de la moelle, et l'autopsie a parfaitement justifié mon diagnostic . En outre, comme la douleur avait disparu complèt
r comme dans les cas ordinaires. Une circonstance qui peut aider au diagnostic de ces tumeurs cérébrales, c'est la présence dans
s même jusqu'à la membrane ventriculaire ; 8° que, sous le rapport du diagnostic , le ramollissement rouge et le ramollissement bla
tés intellectuelles. L'articulation des sons n'est pas embarrassée. Diagnostic . Ramollissement du cerveau. Je me fonde sur la ri
ion du sentiment. Le mode d'invasion de la maladie confirme encore ce diagnostic . Le vomissement à l'invasion d'une apoplexie ou d
reconnaître une apoplexie capillaire disséminée? J'ignore si l'art du diagnostic pourra aller jusque-là ; car, si les fonctions cé
e foyer apoplectique ordinaire, si bien que lorsque je veux porter un diagnostic rigoureux sur la cause matérielle d'une hémiplégi
ans la bouche: elles déterminent un léger mouvement de déglutition. Diagnostic . Cet état d'abolition complète des fonctions céré
s l'atrophie du cerveau et l'hydrocéphalie. Je ne connais aucun signe diagnostic déduit de la conformation extérieure du crâne pro
e violens;du reste point de coups reçus, point de chute antérieure. — Diagnostic . Œdème actif suite probable de suppression de tra
ble et les détails des autres symptômes qui viennent à l'appui de mon diagnostic . Soupirs et bâillemens fréquens ; paresse tout-à-
e était la fétidité habituelle des urines. D'après ce qui précède, le diagnostic était facile, il parut évident à M. Perrot que le
ètement dans l'épanchement séreux, peuvent d'ailleurs suffire pour le diagnostic différentiel. Du reste, on conçoit que la ponct
rois du vagin, disposition qui avait jeté une grande obscurité sur le diagnostic , et qui a fait croire à l'existence de polypes à
emarquable. Cette considération ne serait pas sans importance pour le diagnostic de la maladie, qui serait impossible si l'on s'at
arda pas à s'effectuer. Quelle était la cause de cette phlébite ? Mon diagnostic ne put pas remonter à la véritable cause. Le 3o
douleur lombaire, et surtout à la douleur sacro-coccygienne, pour le diagnostic des maladies de l'utérus : il est rare qu'une lés
suivantes. — Téallier, Du Cancer de la matrice, de ses causes, de son diagnostic et de son traitement, Paris , i836 , in-8. été
s poumons et celle de la matière tuberculeuse dans les trompes, et le diagnostic d'une pareille affection serait bien difficile à
seur. Réflexions. Grâces aux progrès de l'anatomie pathologique, le diagnostic , dans les hy-dropisies ascites, ne se borne plus
s mois auparavant, pouvait-il rendre compte de la maladie actuelle. Diagnostic . Le dévoiement, qui, du reste, s'arrête de suite,
empâtement permanent de l'abdomen, ne sont jamais à dédaigner dans le diagnostic des maladies abdominales. Le 6 août, la malade
iv., pl. ni, p- i.— Périodes de formation de ces abcès ; obscurité du diagnostic ; traitement préservatif et curatif : exemple d'a
exie de la moelle épinière. 3e liv., pl. vi, p. y. — Difficulté de ce diagnostic . 3e liv., pl. vi, p. 8.— Conséquences thérapeutiq
Marche de la maladie; thérapeutique. 27e liv., pl. v, p. 6.—Erreur de diagnostic à laquelle peut donner lieu la gangrène spontanée
3. CANCER. Cancer du rein. lTe liv., pl. iv, p. /. — Difficulté du diagnostic du cancer du rein. lre liv., pl. iv, p. 3. — Ce d
ficulté du diagnostic du cancer du rein. lre liv., pl. iv, p. 3. — Ce diagnostic est plus difficile encore pour le rein droit que
lection pour le pylore. 10e liv., pl. ni et iv, p. i. — Difficulté du diagnostic de cette affection; analyse anatomique. 10e liv.,
érales de cette altération. 12e liv., pl. 11, m, p. /. — Obscurité du diagnostic . 12e liv., pl. 11, m, p. i, 7,8 ; 37e liv., pl. i
oumons, offrant l'aspect de bouillie grisâtre. 37e?liv.,pl. iv,p. 3. - Diagnostic du cancer du foie. 37e liv., pl. iv, p. 4.— Nulli
reté de ce mode d'envahissement. 39e liv., pl. m, p. i.—Difficulté du diagnostic du cancer de l'utérus. 39e liv., pl. 111, p /, 2.
passage du premier au second. 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v, p. / /, DIAGNOSTIC . Difficulté du diagnostic du cancer du rein. 1" l
ond. 14e liv., pl. 1, n, ni, iv, v, p. / /, DIAGNOSTIC. Difficulté du diagnostic du cancer du rein. 1" liv., pl. iv, p. 3, 4. — Mo
ns l'arliculalion scapulo-humérale. 6e liv., pl. v, p./. EPIDIDYMË. Diagnostic distinclif des maladies de l'épididyme et de cell
iforme el sur le ramollissement pultacé de l'estomac : possibilité du diagnostic de celle affection. 10e liv., pl. 1, n, p. /. — S
prédilection pour le pylore. 10e liv., pl. m, iv, p. — Difficulté du diagnostic decelle affection ; analyse analomique. 10e liv.,
ldeson véritable caractère. 12e liv., pl. n, ni, p. i. — Obscurité du diagnostic . 12e liv., pl. n, m, p. / ,7, S.—Le traitement du
ons, offrant l'aspect de bouillie grisâtre. 37e liv., pl. iv, p. 3. — Diagnostic du cancer du foie. 37e liv., pl. iv, p. 4- — Null
tat de la phlébite ; périodes de formation de ces abcès; obscurité du diagnostic ; traitement préservatif et curalif. Exemple d'ab
e de la maladie ; thérapeutique. 26e liv., pl. v, p. G. — Erreur de diagnostic à laquelle peut donner lieu la gangrène spontanée
p. 1. —Considérations générales sur les goitres latéraux ; erreurs du diagnostic auxquelles le goitre latéral peut donner lieu ; a
liv., pl. v, p../. — Importance des phénomènes hémiplégiques dans le diagnostic des affections cérébrales. 20e liv., pl. m, iv, p
/. — Trois catégories de hernies du poumon. 21e liv., pl. m, p. 2. — Diagnostic de la hernie du poumon. = Les hernies du poumon p
rtées par l'hypertrophie de la prostate à l'évacuation des urines, au diagnostic de la pierre vésicale et au cathélérisme. 17e liv
par un cancer encéphaloïde circulaire du gros intestin. Obscurité du diagnostic . Sensation d'emphysème. Perforation spontanée de
Apoplexie foudroyante de la moelle épinière. 3e liv., pl. vi, p. 6. — Diagnostic de l'apoplexie de la moelle épinière. 3eliv., pl.
lexie de la moelle épinière. 3eliv., pl. vi, p. 7. — Difficulté de ce diagnostic . 3e liv., pl. vi, p. 8. — Conséquences thérapeu
dipeux qui environne le bassinet et l'uretère. lr° liv., pl. v, p. /.— Diagnostic de la néphrite spontanée. lro liv.,pl. v, p. 3. —
es cancéreuses de la plèvre. 27e liv., pl. m, p. i,5. PNEUMATOCÈLE. Diagnostic de la pneumatocèle. 21e liv., pl. 111,2?. 3. PN
pl. ni,p. /. —Trois catégories de pneumocèle. 21e liv., pl. m, p. 2.— Diagnostic de la hernie du poumon. = Les hernies du poumon p
moyenne de la prostate ; difficulté que celle disposition apporte au diagnostic de la pierre et au calhétérisme. 17e liv., pl. 11
ier sur le ramollissement gélatiniforme de l'estomac ; possibilité du diagnostic de celte affection. 10e liv., pl. 1, n, p. i. — S
pos, p. iv. — Cancer du rein. lre liv., pl. vi, p. 1. — Difficulté du diagnostic du cancer du rein. lre liv., pl. iv, p. 3. — Le d
ficulté du diagnostic du cancer du rein. lre liv., pl. iv, p. 3. — Le diagnostic du cancer du rein est plus difficile encore pour
bcès autour du bassinet ouvert dans sa cavilé. lreliv.,pl. v, p. /. — Diagnostic de la néphrite spontanée. = Mode d'exploration du
t celluleux. 35e liv., pl. iv,p. /. —Des goitres latéraux. Erreurs de diagnostic auxquelles le goitre latéral peut donner lieu; al
t être rejetée de la pratique. 39e liv., pl. m, p. i. — Difficulté du diagnostic du cancer de l'utérus. 39e liv., pl. m, p. /, a.
e moyenne de la prostate; difficulté que cette disposition apporte au diagnostic de la pierre et au cathétérisme. 17e liv., pl. n,
47 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
pe constant qui peut même servir comme élément isolé il formuler un diagnostic . A côté de ces fièvres, on peut en grouper d'au
le polymorphisme symp- tomatique ne permettait pas de confirmer les diagnostics formulés. Au mo- ment où l'on craignait le plus
ris chez cette malade, ' il paraîtrait qu'il fut facile de faire le diagnostic des deux accès qu'elle eût trois ans après ; ma
une et dans la calculeuse, la mort est la terminaison ordinaire. Le diagnostic d'anurie hystérique assis sûrement, le pronostic
e maladies organiques, ce qui a fait commettre de graves erreurs de diagnostic ; la coxalgie hystéri- que, par exemple, a indu
te d'attirer tout particulièrement l'atten- tion au point de vue du diagnostic . Puis nous nous occuperons de l'écriture et de
pla- ques et de la maladie de Friedreich. Huet, quand il fait le diagnostic différentiel de la chorée chronique avec l'athé
ré. En général il reste pendant longtemps le même. Au chapitre du diagnostic différentiel nous retrouverons les points de si
lade s'est réa- lisé, il fallait, dis-je, pour arriver à établir le diagnostic un examen très attentif en môme temps que la co
dix ans et plus, de telle sorte que si vous attendiez pour faire le diagnostic la venue de l'incoordination motrice, vous pour
, en dehors de toute in- coordination des mouvements, d'affirmer le diagnostic . Aujourd'hui, depuis les remarquables travaux d
ertson, troubles vésicaux, douleurs fulgurantes, pour établir notre diagnostic sur des bases indiscutables. Toutefois cet homme
lose pulmo- naire intercurrente. L'autopsie montre, conformément au diagnostic , une sclérose en plaques de la moelle, avec int
che qu'entraînait la flexion du tronc étaient de nature à égarer le diagnostic . Une critique minutieuse des divers symptômes,
ronique (démence). La démarche particulière est un autre élément de diagnostic . Ces contractures sont difficiles parfois même
nation, craniotomie) et malgré tout parait en être peu partisan. 5. Diagnostic . Le diagnostic de l'athétose double est aujourd
ie) et malgré tout parait en être peu partisan. 5. Diagnostic. Le diagnostic de l'athétose double est aujourd'hui assez facile
aires dans l'athétose double, permettraient à eux seuls de faire le diagnostic . Rappelons-nous, en effet, que ces mouvements i
ractères propres qui ont une grande importance au point t de vue du diagnostic ; le choréique est agité par les mouvements IeS 1
mais. L'étiologie de la chorée seule pourra fournir les éléments de diagnostic . Elle se développe exceptionnellement avant l'â
le il soit facile de confondre l'athétose double. C'est pourquoi le diagnostic nous arrêtera un moment. Clay-Schaw autrefois e
-Schaw autrefois et Huet plus récemment se sont occupés beaucoup du diagnostic différentiel de ces deux maladies. A vrai dire
paramyoclonus multiplex sont assez voisins de l'athétose double, le diagnostic doit se poser. Mais les mouve- ments involontai
ce d'au- tres particularités symptomatiques permettront de faire le diagnostic . En effet dans la maladie des tics les mouvemen
és intellectuelles (l'imbé- cillité). Nous insisterons peu sur le diagnostic différentiel de l'athétose double et des autres
ives peuvent survenir et assurer la permanence de la scoliose. Le diagnostic des scolioses sciatiques est facile. Toutefois la
cée de cette manière. Il sera parfois fort difficile d'établir le diagnostic entre la coxalgie hys- térique et la sciatique
récemment notre attention et qui est intéressant au point de vue du diagnostic entre les deux variétés de scoliose sciatique.
nos jeunes maî- tres les plus compétents en pathologie nerveuse; le diagnostic ne fut for- mulé d'une façon précise par M. Cha
e réaction, fournit des signes objectifs autorisant ;'1 affirmer le diagnostic de maladie de Thomsen. - E. HUET, Ancien in
uche. Cela dit, il semble qu'il n'y ait plus besoin de s'occuper de diagnostic entre les deux maladies, lequel diagnostic doit
s besoin de s'occuper de diagnostic entre les deux maladies, lequel diagnostic doit être aussi facile à faire qu'enlre l'athét
l spasmodique et de fait, on peut être fort empêché pour établir un diagnostic différentiel. La prin- cipale cause d'erreur, c
hétoïdes et pourquoi les étudions-nous ici même dans le chapitre du diagnostic de l'alhétose dou- ble ? Les considérations qui
rve jamais dans l'athétose double et qui nous servent pour faire le diagnostic , sont : 1° que les mouvements involontaires des
les sens spécieux ». Quoique le cas soit unique dans la science, le diagnostic est peu embar- rassant, car il n'y a ici qu'un
toujours aux mouvements involontaires et nous en ferons toujours le diagnostic par le manque de tous les autres signes habitue
usses de la face et des désordres de la parole, nous suffit pour le diagnostic . 260 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
toujours identique à lui-même, à marche fixe, à pronostic connu, à diagnostic certain ; comme toute autre affection, il est inc
érie. 4° C'est en cela que réside en réalité la seule difficulté du diagnostic de l'athétose double. En ce qui concerne le dia
ifficulté du diagnostic de l'athétose double. En ce qui concerne le diagnostic d'avec les autres affec- tions qui peuvent la s
squée bien avant que ne survînt une guérison brusque, confirmant le diagnostic . De là nous est venue l'idée de cette thèse. Il
caractère des enfants ne saurait suffire il nos yeux pour porler le diagnostic d'hystérie et encore moins pour soupçonner un éta
devoir et le droit d'être plus exigeants que nos devanciers sur le diagnostic ferme de la névrose. Cette pauvreté d'observa
tant plus en éveil pour se prémunir contre les erreurs possibles de diagnostic . « Cette ressemblance, dit M. Charcot (6), qui dé
a lésion organi- que des centres nerveux. Mais les difficultés de diagnostic ne sauraient exister pour les cas extrê- mes. N
ssible d'examiner ce jeune malade ; M. Simon étant alors absent, le diagnostic de l'affection, tel que nous le formulerons plu
diagnos- tic d'hystérie. Il nous reste maintenant il justifier ce diagnostic et nous croyons pou- voir pour cela résumer not
es il s'en éloigne ; 3° Enfin, sur quelles bases on peut asseoir le diagnostic de syndrome hystérique. Les signes qui plaida
que nous sommes heureux d'enregistrer ici démontre le bien fondé du diagnostic . (13 novembre 1892.) (A suivre) A. BARDOL,
e et contribuer puissam- ment à découvrir l'hystérie dans un cas de diagnostic difficile (1). » Cette polyopie s'observe dans
. En présence du tableau symptomatique que nous av ons esquissé, le diagnostic s'impose. La grande névrose est là seus ses trait
48 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
faire l'objet de la leçon de ce jour se rapporte à une question de diagnostic différentiel, que j'ai longuement, et à maintes
nnatique, diagnostiquer une myélite. Au surplus, pareille erreur de diagnostic est commise encore très fréquem- ment par des m
R. D. dans le vaste interne et le jambier antérieur du côté droit. Diagnostic , - Messieurs, la question de diagnostic, que soul
er antérieur du côté droit. Diagnostic, - Messieurs, la question de diagnostic , que soulève le cas de ce malade, me parait des
guë généralisée. Je ne ferai du reste que reprendre une question de diagnostic différentiel, dont je me suis occupé maintes re
lectriques étaient moins bien accusées. Etiologie. Pronostic. Notre diagnostic est donc : polynévrite aiguë généralisée forme
ente. Peu importe, en l'espèce. L'essentiel est de savoir que notre diagnostic entraine une conclusion pronostique du plus hau
ant les caractères que nous venons d'indiquer, il semble qu'un seul diagnostic s'impose, c'est celui de myopathie primitive pr
donc très vraisemblable et nous nous ar- rêterions volontiers il ce diagnostic si, à côté des symptômes qui nous ont amenés à
Quoi qu'il en soit, nous nous arrêterons, pour ne rien préjuger, au diagnostic de maladie de Thomsen à l'orme fruste avec une at
établie et ne pouvant plus être l'objet d'aucun doute sérieux ; son diagnostic est facile dans tous les cas où les symptômes mor
es muscles du front pendant l'effort de l'attention. Hémicranie. Le diagnostic repose sur l'ensemble des données suivantes : 1
plus ample discussion. Il ne reste clonc plus de doute sur le vrai diagnostic qui est celui cl'cc- TROIS CAS D'ATAXIE CÉRÉBEL
vite la portée. D'ailleurs, Jan Steen lui-même va nous souffler son diagnostic . Ce n'est pas que JAN Steen ait été grand clerc
es hollandais et flamands ont maintes fois représenté ce procédé de diagnostic . Nous aurons souvent l'occasion d'y revenir. NO
Mal d'amour ! .... Veut-on, dès à présent, avoir confirmation de ce diagnostic ? On la trouvera à Munich, dans l'ancienne Pina
nerveux ou telle racine. Enfin j'espère vous démontrer que si le diagnostic de localisation radi- culaire nous est devenu p
. Si sa limite supérieure eût été moins franchement horizontale, le diagnostic aurait pu hésiter. Les trophonévroses des membres
x nous a montré les lésions suivantes concordant absolument avec le diagnostic anatomique porté pendant la vie, à savoir la lo
e atteinte. Ce nystagmus cessait avec l'ouverture des paupières. Le diagnostic s'imposait, à mon avis, d'un tabes débutant, comm
plaque de sclérose n'a pas changé d'aspect. Chez cette enfant le diagnostic était des plus faciles à établir étant donné le
le 2° et le 3e métatarsien et les phalanges correspondantes. ' Le diagnostic de cette lésion cutanée n'est pas sans présenter
vu le jeune âge du sujet. Si l'on avait eu affaire à un adulte, le diagnostic de sclérodermie aurait été posé sans hésitation
spect réticulé. Au reste rien ne peut en réalité faire repousser le diagnostic de sclérodermie et nous ne voyons pas ce qui peut
eillir sur ce ma- lade ; il a été examiné par M. Marie qui porta le diagnostic du type d'atro- phie qu'il a décrit avec Charco
nsaire a soigné deux de ces enfants et avait effectivement porté le diagnostic de méningite sans songer, m'a-t-il dit, à la syph
hérédité SYPHILITIQUE A TRÈS LONG TERME 223 de trois semaines ; le diagnostic porté par le médecin fut celui de ménin- gite.
me des mains, l'eczématisation diffuse en moins, et confirmaient le diagnostic de syphilide psoriasiforme ancienne palmaire et
toujours le cou très découvert. Je n'hésitais donc pas à porter le diagnostic de syphilis ignorée, basé sur les caractères ob
rigine de cette véritable hécatombe ! . On pourra objecter que le diagnostic dut rester hésitant pour le médecin qui n'a pas
des causes, des symptômes, des compli- cations, une pathogénie, un diagnostic , une thérapeutique. Les médecins, dit-il, défin
copes, etc. défaut d'hématoscopie, on trouve là de quoi orienter le diagnostic . Plus tard, dans sa Nosologie méthodique qui fu
du tableau de la chlorose et ils suffisent souvent à éta- blir son diagnostic . Rappelons-les donc brièvement En premier lieu,
tre, arrivait peut-être à percevoir la nuance qui dé- cidaitde leur diagnostic .Aujourd'hui la psycho-physiologie expérimentale
. Ne vois-tu pas que c'est le mal d'amour ? Plus de doute sur le diagnostic . Et pour nous obligera le lire, Jan Steen a pla
obles manières, attentifs et graves, uniquement préoccupés de leurs diagnostics ou de leurs ordonnances. Des servantes parfois.
te que le corps thyroïde est d'un volume inférieur à la normale, ce diagnostic acquiert une grande vrai-. semblance. L'effet f
ale de médecine de Belgique, 1S9 ï, 4" sér., t. XI, no 9, 18ï). (2) Diagnostic de la possibilité d'une reprise de croissance, et
avec t'ar- rèt notable de la croissance et l'idiotie crétinique, le diagnostic est sim- ple. - Le sujet qui doit nous servir
le couramment et son intelli- gence est complètement éveillée. Le diagnostic ne s'impose plus d'une manière aussi évidente lor
tôme hémorrhagique. c'est qu'il nous sera des plus précieux dans le diagnostic et la découverte de l'hypothyroï- die bénigne.
yphilis et, bien souvent, constituent l'unique moyen d'arriver à un diagnostic certain. De même, la thyroïdine est la pierre d
dernière, 73 kilog. 500. La perte en poids très modérée confirme le diagnostic et prouve que l'infiltration myxoedé- mateuse é
ar M P. Marie : aucun doute ne peut être élevé sur la légitimité du diagnostic clinique. Voici le résumé des lésions qui ont été
Steen, Metzu a dû le lui emprunter. Nous savons qu'il équivaut à un diagnostic . C'est bien encore le Mal d'Amour. Metzu a pein
- ble de la sensibilité tactile ou de la sensibilité musculaire. Le diagnostic de contracture hystérique doit donc être écarté
re s'est-il développé ? L'origine en est amusante et confirme notre diagnostic . Cette brave dame, d'une fa- mille assez normal
titielle. Orchite tuberculeuse double. Dans cette observation, le diagnostic différentiel avec la syringomyélie se posait ;
adie faisaient défaut; aussi n'avons-nous pas hésité à maintenir le diagnostic d'atro- phie musculaire progressive, myélopathi
atrophies musculaires, il est d'une importance capitale de faire un diagnostic étiologique, de savoir s'il s'agit d'une ma- la
. x r Nous croyons absolument inutile de discuter longuement le diagnostic et de faire la séméiologie des diverses atrophi
nlenoise (8) observent une malade entrée à l'asile de Dijon avec le diagnostic de manie aiguë ; mais, ajoutent les 406 F. FARN
peuvent néanmoins contribuer donner le caractère de certitude à un diagnostic de présomption fait sur la constatation de phén
r toute hésitation dans un cas où des doutes s'élèveraient entre le diagnostic du tabes vrai et celui du pseudo-tabes périphér
es peintres humoristiques aient songé à tirer parti d'une erreur de diagnostic prêtant à la raillerie. Voilà une jeune fille
groupe précédent, d'un jeune aide qui, lui aussi, s'inté- resse au diagnostic de l'urologue, tandis qu'au fond de l'officine un
nition, plutôt moliéresque, de certaine couleur est à retenir. Le diagnostic de la localisation est assez obscur. 11 y a appar
ive) on de- vait songer à l'hystérie. Tel fut en effet le premier diagnostic , et l'on aurait pu s'en contenter. Mais, en pou
des 458 HENRY MEIGE corps thyroïdes de mouton. On voit par là les diagnostics qui sont venus successivement à l'esprit des mé
y aurait à rappeler qu'une fièvre typhoïde tellement bénigne que le diagnostic en demeure incertain. Enfin on ne retrouve aucun
es poussées d'inflammations veineuses ? Si le cas était isolé, ce diagnostic serait il coup sûr défendable, bien qu'à vrai d
de manifestations oedémateuses. Pour la première de nos malades, le diagnostic d'oedème hystérique eut été certainement conser
oedème névropathique. Aussi, M. Debove, conseil- lant de laisser le diagnostic en suspens, se contenta-t-il de proposer le le
us ordinai- rement dans la ligne maternelle qu'on le retrouve. Le diagnostic , ajoute Desnos, peut être difficile à faire avec
on trapèze disparaissent. Nous ne nous attarderons pas à faire un diagnostic différentiel, et à rechercher s'il s'agit d'un
49 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
inte simultanée du système osseux (1)(',i-iostite), Lou[ conduit au diagnostic énoncé plus haut. La fausse sensation tient à l
histologiques différen- tiels de ces deux affections permettent le diagnostic à l'examen des préparations. Dans la paralysie
le, pas de signe d'Argyll. MM. Marie et Babinski n'acceptent pas le diagnostic de tabès. Névrite radiculaire cervicale et dors
gique, il y avait bien des éléments qui permet- taient de porter un diagnostic ; on n'explique pas, en effet, les troubles sph
sensi- bilité et de la motilité, qui peut-être auraient permis le diagnostic ; l'hospitalisation plus fréquente de ces mala-
(les observations soignées. Vomi- ci d'abord le bilan de 1 8 cas ci diagnostic clinique indubitable pour lesquels il a étéprat
tes polynucléaires. , La ponction lombaire permet-elle d'assurer le diagnostic delà paralysie générale ! Le diagnobticen l'esp
ue la ponction lut faite. Sans doute il pourra arriver que le cyto- diagnostic fournisse certains points de repère propres à sép
s qui se produisirent autour du corps étranger. Trente-deux cas à diagnostic obscur, ont été soumis à la ponc- tion lombaire
s, l'analyse du liquide céphalo-ra- chidien n'a permis d'assurer le diagnostic différentiel. Quinze ob- servations à l'appui.
ide cérébro-spinal « constitue un auxiliaire très important pour le diagnostic de la « paralysie générale, la lymphocytose n'e
- Examen du liquide céphalo-rachidien de 10 paralytiques généraux à diagnostic certain ; de 3 paralysies générales douteuses ;
llité (1 fois) ; 4 cas. d'épilepsie traumatique (2 fois) ; un cas à diagnostic irrésolu. Dans laparalysie générale cliniquemen
ue la lymphocytose peut dans les cas douteux, servir à éclairer le- diagnostic . entre la paralysie gé- nérale et une autre mal
re. La psychose est depuis des années abso- lument stationnaire. Le diagnostic de paralysie générale devient d'année en année
e spéciale de la réaction à la lumière des pupilles confirmèrent le diagnostic . L'inertie pupillaire hémianopslque précisa l'a
s délires par auto-intoxication, à lI. Damaye, auteur d'un Essai de diagnostic entre les états de débilité mentale ; à M. Petit
l'attitude et de la motilité. L'écriture peut ser- vir à établir le diagnostic précoce de certaines affections, telles, par ex
cutés hypochondriaques ; .. mais ce qui importe, c'est bien plus le diagnostic étiologique que le diagnostic différentiel de c
is ce qui importe, c'est bien plus le diagnostic étiologique que le diagnostic différentiel de ces derniers états morbides. 17
le sur des certificats de guérison. Etal mental des malades. - Le diagnostic de l'étal mental est important. Dans mon articl
celui du chirurgien ne l'est pas moins. Il faut parallèlement un diagnostic mental précis et un diagnostic chirurgical exact
pas moins. Il faut parallèlement un diagnostic mental précis et un diagnostic chirurgical exact et je pense partager l'opinio
t le cerveau) ; elle constitue souvent alors une simple « erreur de diagnostic » faite par le malade cherchant à s'expliquer a
t en dehors de l'in- fluence de la volonté. B. Au point de vue du diagnostic , existait une certaine difficulté, par suite d'
actuel des conseils de revision est insuf- fisant pour permettre un diagnostic exact des nerveux ou des aliénés. Il est indisp
, dans leurs rapports médico-légaux sur les accidents du travail. Diagnostic Le diagnostic ne devra être fait qu'à bon escie
rapports médico-légaux sur les accidents du travail. Diagnostic Le diagnostic ne devra être fait qu'à bon escient. Il ne faut
out par la palpation des troncs nerveux souvent hypertrophiés. Le diagnostic de traumato-névrose ascendante s'impose par- fo
de une grande valeur. Le signe de Kernig est, en effet, un signe de diagnostic , puisqu'on le trouve à toutes les périodes de l
signe d'Argyll-Robertson,il peut mettre le clinicien sur la voie du diagnostic . C'est aussi un signe important du pronostic. I
nfirmés. Il traitedu vertige voltaïque et de son importance dans le diagnostic de lésions cérébrales et auriculaires, d'après
ont ponctionné tout au début de leur maladie des mala- des dont le diagnostic même était encore douteux. Dans cer- tains cas,
'épilepsie. 228 CONGRÈS DES MEDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. Diagnostic de la démence précoce à forme paranoïde et des
ntes, et quels si- gnes pourraient servir à établir dès le début le diagnostic en- tre ces formes, de maladie mentale. En effe
le diagnostic en- tre ces formes, de maladie mentale. En effet, le diagnostic de deux psychoses si différentes dans leur évol
in l'évolution même de ces deux psychoses nous parait un élément de diagnostic un peu plus tardif, ilest vrai,néan- moins exce
s sur des inter- prétations délirantes, aux idées de grandeur. Le diagnostic mérite d'être fait d'une façon plus serrée pour
l'atteinte des viscères ou de la non-élimination des poisons. 4° Diagnostic . Les psychoses du début des infections aiguës,
, il est des signes qui peuvent per- mettre au médecin d'établir le diagnostic de psychose infectieuse pré-fébrile et qui, en
a- toire, confus, son acuité. C. Rougé a insisté récemment sur ce diagnostic (1903). Une autre erreur bien souvent commise,
bord, puis de la parésie et enfin de la paralysie. L'auteur fait le diagnostic différentiel de ces diverses formes. Le repos g
J. FÉDOROW. (Obozréuié psichiatrii, V1U. 1903.) Etude raisonnée de diagnostic sur le gliome ou gliosarcome des tubercucules q
très serrée dont l'auteur fait suivre son observation, qu'un autre diagnostic puisse être posé que celui d'hystérie ; rien '
thologique du sang, l'examen du liquide céphalo-rachidien que le diagnostic était exact. I)u reste, l'autopsie, pratiquée par
LÉMIE ET MÉLANCOLIE. 365 Placé à Sainte-Anne, le Dr Magnan porta le diagnostic : de (. retire mélancolique avec hallucinations
ion fournit actuellement quelques renseignements'au point de vue du diagnostic . L'élude de la densité et, de la pression osino
ES. il a étudié la question aux points de vue de la technique, du diagnostic et de la thérapeutique La ponction lombaire est.
t baclériologique du liquide céphalo-rachidien constitue un mocn de diagnostic puissant que tout praticien doit pouvoir employ
e 10 ans, présente la forme juvénile de celte maladie. Discutant le diagnostic , le Professeur Raymond est amené à don- ric.23.
pétition, mais sans tendance il la fixité ; dans ces conditions, le diagnostic en est parfois délicat. Il faut savoir qu'il Il
its emplois méca- niques. .\1. We"Zil](1 reconstitue l'évolution le diagnostic de leur a 1 l'pd ion. Chez les 3 premiers par e
hé"ie croisée du froid à droite, du chaud h gauche, qui autorise le diagnostic de 1l1 élite ll'ans' erse segll1en tai re 111 é
ucher et Barbe, Thibierge, séparent les deux maladies ef en font le diagnostic différentiel. D'autres auteurs comme Grasset, F
n le soumettrait à un examen Inologiquect mental qui permettrait un diagnostic . On de- vmil s'occuper slIL'touLde : ; SUIJlLUl
sénilité peuvent la reproduire. L'auleur parle, en terminant, du diagnostic de l'affection avec la paralysie générale, munt
ques divers, et si l'avenir ne nous réserve pas la possibilité d'un diagnostic piffé- rentiel Pour ce qui regarde la compres
t qu'il s'agit de mall'orma- tions par arrêt de développement. Le diagnostic est important à cause du pronostic c : cl·rcux
endant dans le canal rachidien jusqu'à la première paire dorsale. Diagnostic des tumeurs cérébrales. , M. CESTAN.Lanévritoop
i produit le vertige chez un sujet sain. Il y aurait là un moyen de diagnostic . F. ! 301SSIER. BIBLIOGRAPHIE 11 ? Les écrits
rch. gén. de méd., n° 42, 1903.) 23. La ponc- tion lombaire dans le diagnostic précoce de la paralysie générale (Concours médi
un caractère essentiellement pratique : la sympto- matologie et le diagnostic seront particulièrement développés et exposés a
rs, par Léri et Wil- son, p. 323. Ponction lombaire et le cyto- diagnostic , par Devaux, p. 108. L'importance de la pour
dans les asiles d'aliénés, par Topor- ] : ow, p. 486. Tumeurs. Diagnostic des cé- rébrales, par Cestan, p. 492. Ulcérat
50 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
ts de différenciation, il est le plus souvent possible d'établir un diagnostic séparatif. Néanmoins, là comme ailleurs, il exist
le. Maxillaire normal. Ce cas est cité seulement au point de vue du diagnostic différentiel de ces états avec l'acromégalie.
a été traitée à l'hôpital cantonal du 29 mars au 10 mai 1902 et le diagnostic porté sur l'observation est : épilepsie essentiel
ci-dessus rapportés. J'ai insisté avec quelque complaisance sur le diagnostic différentiel de l'affection queje veux décrire
phénomènes. Le fond de l'oeil est normal : il y a là un élément de diagnostic encore avec l'érythromélalgie, dans laquelle le
i l'ac- compagnent. Il ne me parait point utile de parler encore du diagnostic de cette affection : j'ai montré plus haut avan
ique avec quelles affections elle peut prêter au doute, bien que le diagnostic différentiel en soit cependant possible. Quant
, méd. des hôp. de Paris, 15 mars 1893, p. 235. (2) BERTIIEKAND, Le diagnostic de la tuberculose pulmonaire chez les jeures enfa
a débuté il y a plus de deux ans. Tel est le tableau clinique. Quel diagnostic nosologique porter ? : ' Il ne peut s'agir d'oe
L'uromancien a lorgné le liquide ambré; un coup d'oeil a suffi. Le diagnostic est fait. (1) L'influence de Jan Steen se fait
bonne pratique. Sans médecine et sans alchimie, elle sait faire le diagnostic juste; elle confirme par sa mimique les révélat
oins. Nous dirons donc qu'il s'agit d'une scène d'uromancie et d'un diagnostic de grossesse : divination par l'inspection des
signe de Babinski. Pas de scoliose. Aucun phénomène bulbaire. Le diagnostic porté est celui de syringomyélie. Il se fonde sur
ée suppurative d'allure chroni- que. Ce dernier caractère limite le diagnostic ,en l'absence des symptômes SYPHILIS HÉRÉDITAIRE
, établies par Ray- mond (2) dès 1886, et dont quelques points d'un diagnostic histolo- gique très délicat ont été mis en lumi
berculeuses des centres nerveux. A défaut de signes cliniques, le diagnostic peut être établi avec cer- titude en présence d
même amputation... Bien qu'il soit toujours audacieux de porter des diagnostics rétrospec- tifs sur des documents figurés, on p
; on pourrait dire d'un angio-gliome. Nous discuterons plus loin ce diagnostic . Auparavant il nous faut étudier certaines part
eur de la tumeur que nous étudions, un rapide examen des coupes, le diagnostic anatomique ne pouvait hésiter qu'entre les deux
rcomes pouvaient aussi s'y rencontrer. Virchow reconnaissait que le diagnostic n'était pas toujours facile. Aussi quelques auteu
ils PARAPLÉGIE CERVICALE INCOMPLÈTE 185 se sentaient de porter un diagnostic certain, se servaient-ils du terme mixte de gli
si complète qu'on eut pu le désirer. La mort survint avant qu'aucun diagnostic satisfaisant eût été porté. Symptômes nerveux.
s complète de la conduction motrice ou sensitive de la moelle. Le diagnostic n'est pas toujours aisédans ces cas. Les douleurs
transversale complète. Dans ces différents cas, on comprend que le diagnostic causal reste sou- vent hésitant, un même ensemb
olution clinique débuté vers les racines C : . 'III et D.I. 2" Le diagnostic des tumeurs intramédullaires offre les plus grand
menton, caché par de longs poils, est devenu saillant et pointu. Le diagnostic d'acromégalie, qui avait pu être discuté il y a q
alaires, la courbure du nez et la proéminence du menton, rendait le diagnostic indiscutable. D'autre part, la tumeur hypophysa
nov..déc. 1902, p. 540. (2) Béclère, La radiographie du crâne et le diagnostic de l'acromégalie, Soc. méd. des hôp., 5 déc. 19
ésen- tés récemment à la clinique de la Salpêtrière, un problème de diagnostic et de classification nosographiques. Nous avons
c qui tordent le corps d'une façon tout à fait analogue. Le premier diagnostic , après un examen rapide, pouvait être : contractu
pendant un examen un peu attentif permet d'écarter immédiatement ce diagnostic . En effet, le tremblement est rapide ; le graph
es spasmes et les tremblements avec systématisation partielle. Ce diagnostic , qui nous fait ranger ce spasme du côté gauche et
circulatoires ni urinaires. Pas de troubles de l'état général. Le diagnostic peut hésiter entre un trouble fonctionnel du memb
sion qui aurait agi à un moment donné sur le plexus brachial ? Le diagnostic de trouble fonctionnel des muscles élévateurs de
ouble psycho-moteur ? (Brissaud, Meige et Feindel). A vrai dire, le diagnostic différentiel est parfois délicat. Il existe en
rganique. L... ne présente aucune modification de ces fonctions. Le diagnostic de tic se vérifie encore, dans notre observation,
ats obtenus par le traitement rééducateur con- firment également le diagnostic de tic. Le mot de tic d'attitude ou de tic toni
vague, le geste rare : un simple coup d'oeil suffit pour porter le diagnostic d'infantilisme myxoedémateux, qu'un examen plus
nghausen et notamment des deux pigmentations suffisait à assurer le diagnostic d'une forme incomplète. Or, outre la double p
on du coude à la suite d'une plaie de la région olécranienne. Si le diagnostic de la lésion articulaire s'impose, il n'en est pa
ostic de la lésion articulaire s'impose, il n'en est pas de même du diagnostic de l'affection médullaire causale. On peut tout
liens on peut admettre un tabes fruste. IL En dehors de ce point de diagnostic cette observation soulève une question plus dir
n chant. Plaques muqueuses, évidemment ; il ne peut y avoir d'autre diagnostic . D'ailleurs, tout parle en faveur de celte inte
anosée, coeur affolé, oedème des malléoles, température 40, mort. Diagnostic . Tabes, paralysie générale, pleurésie droite, ins
inerte; alors, vraiment, il fallait recourir à l'exorcisme, car le diagnostic de possession était confirmé. Nous n'avons pas
. klin. Chir., LI, 1896). LE PSEUDO-OEDÈME CATATONIQUE Symptômes. Diagnostic . Pathogénie (1) PAR MAURICE DIDE, Professeu
oint dans la tentative de synthèse qui terminera ce travail. III. Diagnostic du ]Jseudo-oedème catatonique. Dans un récent t
ville (1880). Nous scinderons la question pour essayer de rendre le diagnostic plus clair. Etudions d'abord les troubles men
up plus vive à ce qui se passe autour de lui. (Voir PL LXVII). Le diagnostic est simple puisque dans le pseudo-oedème catatoni
. Barres très tranchantes. Mo- laires irrégulières avec surdents. Diagnostic L'habitude de lécher les poils ou autres objets
insi désignés appartiennent-ils aux tics ou aux stéréoty- pies ? Le diagnostic différentiel peut paraître délicat. N'observe-t-o
dans cette période de la maladie, il est très difficile de poser un diagnostic exact. Mais lorsque les accès aigus se sont dis
e, la maladie peut prendre un caractère pro- gressif très marqué. Diagnostic différentiel. - Comme il a été déjà dit plus haut
mens, alors il est bien entendu qu'au commencement de la maladie le diagnostic est difficile et ne peut pas être fondé sur des b
e malade éprouve de pré- férence des hallucinations auditives. Le diagnostic du délire alcoolique continu devient plus facile
que continu, appartiennent à la classe non intel- ligente. Sur le diagnostic différentiel entre le délire alcoolique continu e
rappelant le delirium tremens, il faut encore avoir en vue dans le diagnostic différentiel, la paranoïa alcoolique ; malgré qu'
51 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
anisme de l'association des idées qui la meublent (WlmNICIOE). C. Diagnostic différentiel. Distinguons l'idée fixe pa- tholo
ble de guérison pour les débiles ou, hys- tériques contagionnés; le diagnostic du délirant actif prin- cipal sera des plus imp
langue, et, enfin, peu à peu, les mouvements se généralisèrent. Le diagnostic de chorée franche s'imposait alors. La première
syphilitique et les gommes syphilitiques intnuventé6rule·, dont le diagnostic étiologique relativement facile, impose le trai
fréquente des commémoratifs étiologiques, l'extrême importance du diagnostic précoce, et la vérification même de ce diagnostic
ême importance du diagnostic précoce, et la vérification même de ce diagnostic par l'efficacité du traitement spécifique énerg
nsi présenté, le fait trouve une explication facile. Cepen- dant le diagnostic a présenté quelques difficultés. Chen... a été
appris qu'ils avaient existé pendant toute l'enfance de Chen ? Le diagnostic de sclérose cérébrale semble bien légitime. Au-
, avec orteils en griffe et plantes voûtées. M. Rossolimo fait le diagnostic de la forme de Déjerine, de névrite interstitie
Je n'ai fait d'ailleurs qu'émettre une hypothèse et je demande quel diagnostic il conviendrait d'appliquer. M. ARNAUD. Si la
tion, au point de vue de l'histologie, la clinique en est faite. Le diagnostic , qui semble s'appliquer le mieux à l'observatio
ue hystérique et pourrait, dans un cas douteux, servir à établir le diagnostic d'épilepsie. Je dois ajouter que l'absence de c
présence des con- vulsions infantiles dans le cas de difficulté de diagnostic entre l'épilepsie et l'hystérie doit faire adme
e diagnostic entre l'épilepsie et l'hystérie doit faire admettre le diagnostic d'épi- lepsie ; 5° Chez les convulsifs infantil
on; cependant il peut s'y produire diverses lésions matérielles. Le diagnostic surtout dans la forme mixte est parfois très di
quels les faits de ce genre ont donné lieu, et l'on comprendra « le diagnostic d'infirmière » auquel on est trop souvent obligé
suite aux cas plus ou moins hybrides pour lesquels l'énoncé bref du diagnostic caractérise plutôt la pré- dominance d'un syndr
rédité de métamorphose. L'auteur consacre ensuite quelques pages au diagnostic . Après avoir rappelé les signes qui révèlent la
ation du début. Conservation des mouvements des yeux compensateurs. Diagnostic . Lésion de l'organe de station; conser- vation
. Quand elle voit l'appareil tourner, elle est prise de ver- tiges. Diagnostic . Les canaux semi-circulaires chargés de perce-
ue de la marche. G. DE Majewska. XVI. Des'principes essentiels du diagnostic et du traitement de l'épilepsie dite essentiell
pé- ciales, puisées dans les circonstances et le milieu. Quant au diagnostic , il comprend plusieurs points : 1° la distinc-
est comme toujours avant tout, en médecine légale, une question de diagnostic . Cette capacité et cette respon- sabilité varie
et en particulier de l'aboulie des mélancoliques. Généralement le diagnostic est assez facile : cependant il est des cas où il
de vapeurs médicamenteuses. Lagorse (Joseph). BIBLIOGRAPHIE. 251 Diagnostic et traitement de la paralysie spinale infantile p
. Les esquilles pénétrantes dans les fractures du crâne. Mécanisme, diagnostic et traitement. Leroy (Eugène-Bernard). Etude su
considérations sur les accès éclamptiques, principalement sur leur diagnostic et leur traitement. Maclitou (Moïse). Sur la na
èrent les divers symptômes qu'il présenta, mais ne purent porter le diagnostic de sa maladie, parce qu'à l'époque où ils écriv
r anglais de neuro- logie. Le malade vint trouver l'auteur, avec ce diagnostic découra- geant et l'afliimation que la médecine
ion reconnue, peut conduire dans la pra- tique, à des pronostics et diagnostics à longue portée permettant d'éviter des interve
essortir toute l'importance que présentent pour lui au point de vue diagnostic , les phénomènes spasmodiques des muscles des me
ctant également les fibres motrices et sensitives. A. Marie. XXXVI. Diagnostic différentiel entre la sclérose en plaques et l'
nt elle nous rendait visite. » P. Keraval. 1LIII. Contribution au diagnostic électrique des paralysies de l'oculomoteur comm
n'en saurait être question. L'auteur passe cependant en revue le diagnostic différentiel d'avec : la sclérose en plaques, le
nsidérée comme d'origine intra-utérine (voy. le cas de Schuize). Le diagnostic en est, en tout cas, simple quoiqu'il y ait des p
. Syphilis congénitale chez quatre frères. L'autopsie con- firme le diagnostic ainsi que l'examen histologique du cerveau. A.
de l'encéphale a donné dans les cinq cas, la preuve que ce dernier diagnostic , malgré cer- taines apparences contraires, deva
esthésie dans le domaine de ce nerf. Les sphincters sont intacts. Diagnostic : Lésion de la queue de cheval, principalement à
s après l'accident avec paralysie bilatérale des nerfs péroniers. Diagnostic : Hématomyélie centrale immédiatement au-dessus d
des pieds. Les sphincters et les réflexes rotuliens sont intacts. Diagnostic : Lésion probablement combinée et limitée (hémato
ne des deux nerfs musculo-cutanés, principalement du côté gauche. Diagnostic : Hématomyélie centrale au niveau de la première
18 pages. - Bueuos-Aires, 1899. Imprenta de J. Peuser. Grasset. - Diagnostic des maladies de la moelle (Siège des lésions).
émoire et de l'intelligence. Le Dr moufter conclut à l'hystérie. Ce diagnostic est sanctionné par M. le D'' Gilbert Ballet qui
itation nerveuse, etc. A aucun moment, il n'y eut d'ophtal- mie. Le diagnostic du syndrome goitre exophtalmique fut con- firmé
lement chez les vieillards à la démence, dit Brissaud, et, quant au diagnostic , «lorsqu'à la suite d'un ictus apoplectique, on
u ramollissement, ce mot ne peut- être considéré comme exprimant un diagnostic anatomo- pathologique qu'à la condition d'être
été diagnostiquée pour aucune d'elles avant l'admission. De fait le diagnostic , ramollissement cérébral est souvent, dans la p
psychiques particuliers, dont l'étude puisse conduire ou aider au diagnostic de ramollissement cérébral en foyer ? C'est ce
sultation de la Salpé- trière où les Drs Souques et Dutil firent le diagnostic de tabes dorsalis et lui ordonnèrent des pointe
ors l'interroger et voici le résultat de notre examen confirmant le diagnostic de paralysie générale : Affaiblissement intelle
t nombreux et variés. Ce qui vient compliquer la difficulté de leur diagnostic , c'est qu'à côté des pai alysies névritiques, à
nature peut être difficile à reconnaître. Or, dans ces cas où le diagnostic entre la névrite périphérique d'origine toxique
articularités qui permettent le plus souvent, sinon d'af- firmer le diagnostic , au moins de le rendre très probable. L'auteur
r les bras, les régions antérieure et interne. Au point de vue du diagnostic clinique, lorsque, chez un épilep- tique avéré
d'adduction, on pourra affirmer la spontanéité de la fracture. Le diagnostic des fractures spontanées présente une grande im
ncées supprime les éblouis- sements. Après examen des éléments du diagnostic relatifs à l'hystérie aux embolies, thromboses,
t six semaines et demie ; à cette époque il recouvre ses capacités. Diagnostic : uévrose hystérique par terreur : perte de 490
tation mécanique en rapport avec le lancement de la jambe droite. Diagnostic . L'absence de fièvre exclut la poliomyélite anté-
cité verbale. P. KERAVAL. LXIV. Deux cas de tumeur cérébrale avec diagnostic précis de la localisation; par L. Bruns. (.\-eu
signes d'une démence paralytique avec obnubilation épileptoïde. Le diagnostic hésite entre une épilepsie traumatique, une par
dent, il a eu une affection organique. En admettant l'exactitude du diagnostic de M. Francke, entre l'hystérie et une affectio
di et samedi, à 9 h. 1/2. - ai. Magnan : Exercices cliniques sur le diagnostic de la folie, le vendredi à 9 1/2. Asile de Vill
athique dans ,1 - par Souques, 158. Des prin- cipes essentiels du diagnostic et du traitement de l' -, par Les- zynsky, 23
ientifique, par Crocq, 1 U. Oculomoteur commun, Contribution au diagnostic électrique des pata- lysies de l' -, par Weithe
, 307. Sur )adinh- térique, par 13d.tLers, 313. Cou- tribution au diagnostic électrique des de l'oculo-moteuruommun, par W
emblement segmentai ! dans la -, par Grasset, 49. par Henni, 312. Diagnostic différen- tiel entre la et l'hystérie, par Bl
ries maladies nerveuses, par Gauppe. 497. Tumeurs cérébrales avec diagnostic rie la localisation, par Bruns, 493. Tampan
52 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
signes subjectifs du petit brightisme, souvent si précieux pour le diagnostic , car les délirants ne rendent pas un compte exa
, n'est-ce point déjà avoir fait un grand pas que d'avoir établi le diagnostic de délire toxique ? Au point de vue thérapeutiq
le de Vaucluse, le 31 mai 1902, venant de l'Asile clinique; avec le diagnostic suivant : Délire mé- lancoliqave avec idées con
ale des hôpitaux, 10 juillet 188à. 10 CLINIQUE NERVEUSE. porté le diagnostic : Alcoolisme, hallucinations. Insomnie. Propos
-Albert, 36 ans, entre dans le ser- vice le 5 juillet 1902 avec les diagnostics suivants : délire alcooli- que, hallucinations,
esseur étudia ensuite le chapitre de l'épilepsie au point de vue du diagnostic et de la médecine légale. A propos des psychose
ébraux, mais il en a montré les utiles résultats au point de vue du diagnostic et du pronostic dans certains cas douteux. Son
quées pendant la vie (Bristonie et Giese) : on a dû se contenter du diagnostic de tumeur du cerveau. Sur 20 cas de lésions du
sensorielle. L'auteur rapporte une intéressante observation où le diagnostic se pose entre une hémiplégie organique avec aph
ie dite de Little où la dou- ble lésion cérébrale ferait défaut. Le diagnostic différentiel (d'inté- rêt purement scientifique
ères pathologiques, qui peuvent permettre aux médecins de faire des diagnostics ré- trospectifs. Les oeuvres de Velasquez fou
iennes, des tumeurs fantômes, des pseudo-péri- tonites. Une fois le diagnostic posé, l'intervention chirurgicale ne doit être
rétine de l'autre côté. L'examen histologique est venu confirmer le diagnostic clinique et nous a décelé les lésions ordinaire
Il ne fit que passer à l'asile clinique où M. le Dr Magnan porta le diagnostic suivant : « Léger affaiblissement intellectuel
substance corticale. L'examen histologi(lite du cerveau confirme le diagnostic de mé- ningo-encéphalite. La pie-mère est épa
: Un homme de 18 ans, entre dans le service le 8 mai 1902, avec le diagnostic de paralysie générale, confirmée à l'examen par
des symptômes peuvent dès la petite enfance mettre sur la voie d'un diagnostic précoce. Mais souvent la disposition névropa- t
e tient le milieu entre la tétanie et la m.o- hymie. La question du diagnostic et de l'étiologie est fort étudiée dans le mémo
a perdu son énergie et son initiative. C'est encore en faveur du diagnostic .. P. Keraval. XXI. Chromodiagnostic du liquide
éaction de dégénérescence dans les membres frappés d'asthénie. Quel diagnostic doit-on porter en cette ocnurcnce ? La parésie
vancée du côté gauche. Les oreilles n'offrent rien à signaler. Le diagnostic est certainement ici compression intrv-crC7aienzz
sûrement que lapremière à la destruction des facultés mentales. Le diagnostic de l'épilepsie psychomotrice est toujours facil
s de l'épilepsie, fait qu'il importe deconnaitre au point de vue du diagnostic de la nature de certaines secousses myocloni- q
uvent attrayante, ces leçons font une très large place à l'étude du diagnostic différentiel, sans compter que des développemen
e, confus, délirant, mais il est autre- ment intéressant défaire le diagnostic de cette excitation, de cette dépression, de ce
, de façon à ce qu'il ne puisse pas y avoir le moindre doute sur le diagnostic . Jusqu'ici ces observations font défaut ; c'est
aractères et leur évolution, tout concourait pour faire admettre ce diagnostic . Or, en recher- chant dans les antécédents pers
rence, d'épilepsie mé- connue, ultérieurement suivie de démence, le diagnostic de démence hébéphréno-catatonique, ayant été so
ur persévérance et de leur dévouement. Au point de vue clinique, le diagnostic idiotie peut être remplacé les progrès venant,
. Elles disparaissent ensemble après un traitement convenable. Le diagnostic présente une certaine difficulté liée à ce que le
la première dorsale a suffi à certains cliniciens pour confirmer le diagnostic de paralysie géné- rale. C'est là une erreur. A
mples, on ne constate absolument rien d'anormal. L'auteur étudie le diagnostic généralement aisé, parfois difficile dans les c
te actuellement aucun cas de poliomyélite aiguë de l'adulte dont le diagnostic ait été confirmé par l'examen de la moelle ».
ice, d'épilepsies méconnues, ultérieurement suivies de démence. Les diagnostics de démence hébé-phrénocatatoniquc (Meeus) sont
deux fois indiqué où se trouvaient encore des morceaux de fer. Le diagnostic de la démence. M. M.4ss\UT (Charleroi). A défau
habituelles et automatiques, les plus élémentaires. Le problème du diagnostic de la démence est double : il consiste : 1° à dis
ions personnelles qui peuvent contribuer à fixer plus fidèlement le diagnostic de la catalonie. Il pense que l'intervention co
elle guérissable ? (Dé- monstration). JËst-il possible de mettre un diagnostic différentiel précis entre la folie maniaque et
arcoses comportent desappli- cations multiplesen ce qui concerne le diagnostic et le traitement. Le diagnostic est souvent écl
ions multiplesen ce qui concerne le diagnostic et le traitement. Le diagnostic est souvent éclairé et, cela, de deux manières di
tantanée. Ces caractères purement objectifs suffisent pour faire le diagnostic de spasme facial; celui- ci doit être confirmé
n propre à la maladie organique perdent de leur individualité. Leur diagnostic est plus ardu. Il n'en est que plus nécessaire
a jambe; les tissus au dessus de .l'ulcération paraissent sains. Le diagnostic ne sem- ble pas douteux; on pourrait, un instan
e de la Bible ne permet pas de poser sur la folie de Saiil, d'autre diagnostic que celui de folie périodique. On peut en juger :
ieure qui les accable. Le Saut de Rembrandt est un mélancolique; ce diagnostic nous semble acceptable, autant du moins qu'il e
postérieure du cou et dans les mains (la sensation des fourmis). Diagnostic . Le malade souffrait-il réellement de l'acroméga-
' UN CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE DE CÉCITÉ. 397 nous avons établi le diagnostic suivant : Tumor partis occipitalis hemispherae
celles du cou en particulier. Thérapeutique. En me fondant sur mon diagnostic de Neo- plasma du cerveau, je conseillai à mon
offrent encore beaucoup d'intérêt. P. Keraval. XXH. Application au diagnostic des neurasthénies et hystéries traumatiques de
regardée comme le symptôme pathognomonique de la syringomyélie. Le diagnostic des cavités pendant la vie est extrêmement diff
exe du genou conservé, syphilis. Dans le premier cas, le seul où le diagnostic ait été vérifié à l'autopsie, il existait une d
et ordre viennent à être observés, ils éclairciront certainement le diagnostic de plusieurs affections nerveuses dans lesquell
es cas, reconnus de bonne heure,, ils donnent lieu à des erreurs de diagnostic , il y a d'ailleurs dans la marche de ces symptô
- minution des réflexes qui est assez commune tend à confirmer ce diagnostic . Ordinairement la diminution de volume des musc
ux manquent de netteté, on peut avoir quelque difficulté à faire le diagnostic diffé- rentiel avec la paralysie générale. Ce t
l'on en tire sont nombreux et importants, tant au point de vue du diagnostic que du pronostic.- Il est un trouble du langage
la connaissance peut souvent fournir des indications utiles pour le diagnostic et le pro- nostic des diverses maladies mentale
II. Valeur séméiologique L'existence du monologue ne peut servir au diagnostic de l'aliénation puisque le monologue se rencont
L'existence pure et simple du monologue ne peut non plus servir au diagnostic de telle ou telle forme d'aliénation, car on pe
'on pourra tirer à l'occasion quelques indica- tions utiles : 1° au diagnostic ; 2° au pronostic. Les indications diagnostique
lusieurs personnes inconnues de lui. D'autres indications utiles au diagnostic peuvent découler du caractère logique ou décous
dre ces interpré- tations avec des hallucinations unilatérales ; ce diagnostic est maintes fois fort difficile, si bien que ce
t ainsi précisément ce qu'ils auront besoin de savoir plus tard, le diagnostic et le traitement des maladies mentales à leur déb
cidents du travail. M. S)CtttD ajoute que si ces signes imposent le diagnostic de lésion organique la ponction lombaire complè
nistes, par Abraham, U4. Démence. Voir Accès épileptiformes. Le diagnostic delà par Mas- saut, 347. - précoce, voir Cata-
par Romme, 153. De la sénile, par Gnmauri, 286. ippli- cation au diagnostic des - et hystéries traumatiques de l'enre- TA
r Soelrier, 430. De la fa- tigue ries - tendineux et de la valeur diagnostic de ce symptôme dans les affections nerveuses, p
53 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
es communications très documentées. M. le Dr Jules Voisin a exposé le diagnostic différentiel des anomalies intellectuelles chez l
Dr Pamart. — Epilepsie ou hystérie : la psychothérapie facilitant le diagnostic . Discussion : Dr Paul Magnin, Dr Berillon, DrJu
s neurologistes savent combien il est parfois difficile d :établir un diagnostic ferme entre l'épilepsie et l'hystérie épileptoïde
n au travail. Seul un médecin compétent est qualifié pour porter le diagnostic d'anormal et jusqu'ici on a paru faire peu de cas
ion du médecin doit être prépondérante dans cesques-tions. Lorsque le diagnostic d'anormal a été porté, le médecin doit devenir le
l'objet de nombreuses discussions. L'intervention du médecin dans le diagnostic et le traitement de l'anormal y a été reconnu com
et psychologique d'un enfant anormal ; les éléments fondamentaux du diagnostic et du pronostic (avec projections). M. GUENON
l et psychologique d'un enfant anormal ; les éléments fondamentaux du diagnostic et du pronostic (avec projections). M. Guenon,
ant rien venir, une deuxième sage-femme est demandée, qui confirme le diagnostic de la grossesse et déclare à la patiente qu'on s'
disparaître. Aujourd'hui la radiographie permet de faire sûrement le diagnostic , sans le secours de l'anesthésie. Le traitement
confiance, à me faire une idée juste de l'état de leurs organes. Le diagnostic de la maladie posé, j'étudie le moral du malade e
e mon exposition. Je lui expose les données sur lesquelles repose mon diagnostic et mon pronostic et lui cite quelques guérisons h
oici un malade dont les antécédents paraissaient imposer nettement le diagnostic d'épilepsie vraie, diagnostic confirmé par les év
dents paraissaient imposer nettement le diagnostic d'épilepsie vraie, diagnostic confirmé par les événements ultérieurs. Si nous e
lus ou moins prononcée et prolongée au réveil — voici des éléments de diagnostic qui sont éloquents. A la Salpêtrière, mon malade
r diathèse. S'il est hystérique, son histoire nous montrerait qu'un diagnostic maintenu pendant quinze ans doit être modifié en
Inoffensive en elle-même, elle pourrait être un moyen de contrôle du diagnostic , et, chez certains malades, tels que celui-ci, pe
ultats ils seront intéressants à comparer. La débilité mentale, son diagnostic et son traitement (1), par le Dr Blin, médecin
ce, classant l'enfant parmi les débiles. Comme je l'ai déjà dit, le diagnostic des états inférieurs de débilité mentale, idiotie
faut le reconnaître, ni importance : la chose est évidente en soi, le diagnostic s'impose le plus souvent et, d'une façon générale
, le diagnostic s'impose le plus souvent et, d'une façon générale, le diagnostic reste sombre. Diagnostic de la débilité mentale
plus souvent et, d'une façon générale, le diagnostic reste sombre. Diagnostic de la débilité mentale. A mesure qu'on se rapproc
che de l'état normal, la difficulté en même temps que l'importance du diagnostic s'accroissent, et c'est dans l'espoir de. précise
ir la signification de ces statuettes, il ne suffit pas d'en faire le diagnostic , il nous faudrait savoir à quel usage elles étaie
arriérés sont des plus fréquentes. Une tache s'impose : en faire le diagnostic aussi précis que possible. *** Présentons d'a
l'autosuggestion et le phénomène, l'accident hystérique s'installe. Diagnostic différentiel des crises épileptiques et des crise
ssister à une crise. La considération des points suivants rendra le diagnostic plus facile : 1° Contrairement à l'opinion actu
t la morsure de la langue. Elle permet, nous semble-t-il. de fixer le diagnostic avec exactitude. L'examen de près de trente cas
é signalée par personne et nous ne doutons pas que ce moyen facile de diagnostic différentiel ne sera reconnu comme vrai. COURS
rouverez en clientèle, et il peut prêter quelquefois à des erreurs de diagnostic . Une jeune dame de 32 ans est venue nous consul
idemment d'un spasme du second temps de la déglutition. Pour que le diagnostic soit complet, il faut rechercher la nature de ce
ressés de procéder ù l'autopsie. Leurs constatations ont confirme les diagnostics qui avaient été faits du vivant de la malade. L
adies organiques. Epilepsie ou hystérie ? — L'hypnotisme procédé de diagnostic . Dans la « Presse médico-chirurgicale de Pest »
Une jeune fille, âgée de 20 ans, intelligente, se présente avec le diagnostic d'épilepsie. La maladie dure depuis quatre ans. L
e dans la conjonctive. Dans ce cas l'hypnose a été très utile pour le diagnostic puisqu'il a permis d'établir l'origine hystérique
ourts, au corps bien développé. Il est difficile de leur imposer un diagnostic , car ils sont dessinés à grands traits, avec une
lopigie caractérise la race (Mariette, Quatrefages, etc.), et, sur ce diagnostic , on a bâti force théories. Mais les femmes hushme
ux. Or, l'obésité est fréquente chez l'achondroplase ; et c'est là le diagnostic qui s'impose. Si on compare Ati à une femme achon
elle permet, à première vue, sans autre renseignement, de formuler un diagnostic certain. L'absence de stigmates physiques, caract
ève un problème de haute philosophie, ni un cas où les difficultés du diagnostic ne le cèdent qu'à son extrême rareté ; pas davant
x.— Mlle Ioteyko : L'analyse des courbes de fatigue comme procédés de diagnostic dans les maladies nerveuses ; Les substances algo
gmentés d'intensité. Ces signes suffisent amplement pour établir le diagnostic d'une pneu- ; monie chronique, d'origine vraisemb
s avancée en ces temps reculés. Jésus, fin psychologue, expert sur le diagnostic , appliquait la suggestion avec un talent particul
modernes, Velephantiasis graicorum. C'est ici aussi que nous avons le diagnostic différentiel du vitiligo et de la cicatrice blanc
issements à propos de la dite maladie : Ainsi, il ne faut porter le diagnostic de véritable zaraath que lorsque les taches ont u
uement intéresser la clinique. Elle ne nous fournit pas d'éléments de diagnostic suffisants et ne nous donne sur la nature tout co
il ne sera rattaché à la névrose que par exclusion, la méthode de diagnostic différentiel étant la seule rationnelle. Dans cer
isoirement d'affaire en déclinant toute compétence au point de vue du diagnostic de l'aliénation mentale. Mais l'idée énoncée ne t
errain nerveux. L'âge et le sexe ont aussi une grande influence. Le diagnostic de paresthésie pharyngée est, en général, facile,
u Coran et la politique musulmane, par Ubeyd-Oullah, p. 229, 258. Diagnostic différentiel des crises épi- leptiques et des c
54 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mes longuement étendus, nous permettaient, à eux seuls, de poser le diagnostic de sarcome; nous avons vu que l'élude histologi
ener, dont on con- naît la grande compétence, a confirmé ce premier diagnostic , établi à la table d'autopsie, et a levé tous l
querie des accidents et sur les asymétries faciales pour porter son diagnostic . Comme nous le disons plus haut, pour nous le s
romique peut acquérir une certaine valeur en mettant sur la voie du diagnostic , si l'on se rap- pelle la place que prend la cé
me aliéné, lui con-tituent un faciès spécial qui porte avec lui son diagnostic ; mais il y a loin de là à confondre toutes les
ment dits. Il convient surtout que les alié- nistes ne porle pas de diagnostics différents. Voici, d'après, l'auteur, la meille
use de mort. En présence d'un malade, l'expert, avant de poser le diagnostic de commotion cérébrale, s'enquerra des circonstan
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. En somme donc, l'affection répond au diagnostic de pachymé- ningite cervicale avec paralysie at
s et trophiques. Quand on sait que le sujet est syringomyélique, le diagnostic de ces arthrites est facile, sinon les erreurs
Salpêtrière, 1894, n° 5.) Dans ce travail, l'auteur n'étudie pas le diagnostic des arthrites neuropathiques, il se borne à l'e
i est bien un cas d'étude. Pour être complet il discute à la fin le diagnostic . L'hypothèse d'une lésion médullaire comme fact
signes de syphilis héréditaire. Intelligence très déve- loppée. Le diagnostic est évident : Tabes spasmodique infantile. Le t
ment que dans le cas précédent. Amélioration. Dans ces deux cas, le diagnostic s'impose, il s'agit évidemment de deux cas de m
ques occupant une place prépondérante. Il insiste longuement sur ie diagnostic si important dans l'espèce et démontre un fait
importance si capitale et qui ont été la cause de tant d'erreurs de diagnostic d'in- terprétation et de traitement, tiennent u
connaissons aucun aliéniste ancien qui se soit rendu coupable d'un diagnostic aussi fantaisiste. Et de ce que Tardieu n'a jam
. » Soit. Les raisons d'Esquirol ne suffisent pas à justifier son diagnostic pourtant très vraisemblable. Mais est-ce là un
e la femme qui accouche et il pourra poser, en dépit de Tardieu, un diagnostic de folie transitoire solidement établi. Qu'on i
es de. l'épilepsie; l'auteur insiste sur l'utilité médico-légale du diagnostic de l'épilepsie psychique. - Il termine par quel
avec excitation mentale modérée. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXVIII. Un diagnostic A faire; par REGINALD H. l\100TT. (The Journal
de l'affection pour- raient permettre, s'ils étaient confirmés, un diagnostic précoce et par conséquent une intervention thér
t. XXIV, n° 2.) L'auteur cite trois observations dans lesquelles le diagnostic porté a été : « délire aigu ». Le premier cas e
ccès de dyspnée cardiaque, ce grand symptôme sur lequel est bâti le diagnostic différentiel de la folie cardiaque. Or, en repr
e la tuberculose dans la moelle, mais on ne saurait en certifier le diagnostic . Enfin cet auteur déclare que la méningite spin
. Ils ont, le plus souvent, l'aspect d'une myélite transverse. Le diagnostic d'une lésion organique de la moelle n'est point
de Pott. Dans les cas suraigus (le cas de Raymond, par exemple), le diagnostic d'une myélite tuberculeuse est des plus diffici
nes qui nous semblent avoir quelque impor- tance au point de vue du diagnostic . Ce qui nous frappe dans ces cas de myélites, c
e la même maladie ? Peut-on, dans le second cas, ne pas porter le diagnostic d'épilepsie avant d'avoir vu les convulsions elle
mêmes ? S'il en devait être ainsi, il vaudrait autant dire qu'aucun diagnostic n'est possible. Nous sommes donc bien réellemen
a concordance des signes dont nous avons parlé permet d'en faire le diagnostic . Ce qui est plus important et souvent plus déli
iculté réside surtout dans le dia- gnostic qu'il s'agit d'en faire, diagnostic qui consiste non seulement à constater l'impuls
s qui seraient de nature à laisser planer un doute à son sujet., Ce diagnostic fait, les conséquences se déduisent presque d'ell
oins très déli- 246 SOCIÉTÉS SAVANTES. cate. Il doit ne poser son diagnostic qu'après s'être entouré de tous les éléments po
ite un nouveau point de la discussion ; il prouve la possibilité du diagnostic entre les impulsions irrésis- tibles dues à l'é
pilepsie et celles que l'on observe quelquefois dans l'hystérie. Le diagnostic le plus difficile à faire est celui de la para-
faisons de l'état mental des épileptiques ? Peut-être porte-t-on le diagnostic d'épilepsie par ignorance; et l'examen plus app
l'examen plus approfondi du malade pourrait peut- être autoriser le diagnostic d'hystérie. C'est là un point à débattre dans l
ent considérables quand il s'agit de lésions en foyer multiples. Le diagnostic est souvent impossible : chez un sujet diagnost
l'absence de troubles de l'équilibre et de phénomènes ataxiques, le diagnostic avait été réservé. Il est certain que tous les
tions de la pru- dence qu'il faut apporter lorsqu'on veut porter un diagnostic précis chez ces malades. Tous les paralytiques
n quatre semai- nes ; deux ans après celle-ci se maintenait. , Le diagnostic et Je pronostic de ce cas ont présenté des diffic
uivirent, à quelques jours de distance, les convulsions appuient le diagnostic de compression cérébrale, que la fugacité des sym
extrémités. Ce cas réalise la plupart des caractères permettant le diagnostic : hypertrophie des extrémités, de la langue, de
on classés, nec plura. P. KERAVAL. XXI. CONTRIBUTION casuistique au diagnostic d'affections CÉRÉDROSPI- NALES A HÉSIIFARÉSIE S
. , P. SOLLIER. XXXVII.. L'anesthésie localisée comme guide dans LE diagnostic DES LÉSIONS DE la partie supérieure DE la MOELL
ntribue ainsi à faciliter le traitement en éclai- rant à la fois le diagnostic et le pronostic. M. Rooatrtovtxca (de Paris). S
des deux côtés du corps. Tel est le cas. Au point de vue mental, le diagnostic de « démence juvénile » nous semble assez indiq
Pensant qu'il s'agissait d'une hydrorachis sans spina-bifida, le diagnostic de tumeur congénitale des méninges, possible auss
Drs A. CHIPAULT et A. DEmouLiN. A propos d'une malade chez qui le diagnostic hypothétique d'abcès de la capsule interne droi
hypothétique d'abcès de la capsule interne droite avait été porté, diagnostic non justifié d'abord au moment d'une interventi
peut, dans certains cas, donner des indications précieuses pour le diagnostic et, dans un article intéressant, il passe en re
e morbidité générale manque sou- vent par suite de la difficulté du diagnostic au début et du décès dans une bonne partie des
e déclarer qu'il s'agit du délire des persécutés-persécu- teurs. Le diagnostic est d'ailleurs toujours très délicat. M. OEI3EK
die de Thomsen. - Les pages consacrées à la symptoma- tologie et au diagnostic sont particulièrement à signaler. L'ana- tomie-
uelles elle s'est déve- loppée, de son étiologie. Les éléments de diagnostic caractéristiques sont : le début la plupart du
polyné- vrite et de l'amnésie, qui aideront utilement à établir le diagnostic . La psychose polynévritique se montre presque t
un cachet assez caractéristique pour permettre parfois d'établir un diagnostic étiologique. Le pronostic des différentes varié
une origine infectieuse. Les symptômes les plus importants pour le diagnostic de siège des processus intéressant le vermis in
L'auteur a observé un cas qui n'a pas duré plus de quatre jours. Le diagnostic différentiel doit être fait avec : 1° l'halluci
algésie du cubital comme un signe caractéristique pouvant servir au diagnostic dillérentiel, mais il a "au contraire spécifié
omène du genou n'a- t-elle pas une signification importante dans le diagnostic de la paralysie générale, bien que ce signe ne
ar Berkley, 395. DÉVOVOe.tTtua. Un cas de -, par Bonfigli, 469, Diagnostic à faire par Moott, 162. Dissimulation chez les
>'oecke, 41. Rétlexes superficiels et profonds comme moyens de diagnostic , ' par Agostini, 468. Responsabilité. Critéri
55 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
naissance de rien. Les symptômes 'constatés ce matin suffisent au diagnostic d'une nouvelle lésion destructive, siégeant dans
apo- plectique. Ce fait pouvait primitivement rendre incertain le diagnostic : depuis, la marche des phénomènes paralytiques
e affection somatique soii étiologie, ses symptômes, sa marche, son diagnostic et son pronostic. Si l'on admet comme possible
cours de la maladie des reins. Ce qui revient' à dire que c'est le diagnostic de la lésion rénale qui permet le. diagnostic d
à dire que c'est le diagnostic de la lésion rénale qui permet le. diagnostic de l'urémie. Or, si un diabétique succombe dans l
ait qui nous parait essentiel comme élément 64 REVUE CRITIQUE. de diagnostic et qui ne permet pas de confondre le collapsus
même des phénomènes d'intoxication. A elle seule, elle per- met le diagnostic ; et, sans autre renseignement, en présence d'un
au contraire, ils attirent toute l'attention, au point d'égarer le diagnostic . Taylor a signalé la fréquence des douleurs gas
au point de vue clinique, avec discussion analytique, critique, et diagnostic différen- tiel entre elles et les faits parallè
et rapide; l'amélioration obtenue per- met d'espérer une guérison. Diagnostic : poliomyélite antérieure subaiguë avec quelque
reproduire ici, nous nous bornerons à dire qu'elles confirmaient le diagnostic . L'auteur fait remarquer en terminant que l'int
hée par le courant. L'exposé de deux autres faits sert à établir le diagnostic différentiel entre ]'hémianesthésie cérébrale e
soi-disant choréiques. Abstraction faite de cette objection que le diagnostic établi chez un animal ne comporte que difficileme
iennent, on est forcé de reconnaître que dans la plupart des cas le diagnostic n'a pas été rigoureu- sement établi. Reste un
ne étaient les suivantes : hémoptysie; du mal de Pott et symptômes; diagnostic de l'occlusion intestinale; fractures du col du
se rattachant à l'habitus extérieur du malade nous font réserver le diagnostic . , Comment s'est développée et à quelles causes
cisément le contraire dans le tabes combiné; d'où la possibilité du diagnostic différentiel entre les deux tabes. Nous trouv
res d'altération. A peu près à la même époque, Erb% à propos du diagnostic différentiel du tabès dorsal spasmodique et du
était du tabes combiné. « ... On avait, après discussion, admis ce diagnostic (de tabes dorsalis); mais il faut avouer que qu
es et la marche de l'affection ramenaient presque invinciblement au diagnostic : tabes dorsalis. Ce diagnostic s'imposait de p
enaient presque invinciblement au diagnostic : tabes dorsalis. Ce diagnostic s'imposait de plus en plus au sur et à me- sure
rd, et ne s'accompagna de presque aucun autre symptôme cérébral. Le diagnostic topographique de la lésion fait pendant la vie
façon à en faire un document d'une utilité incontestable pour le diagnostic au point de vue pratique. Deuxièmement, pour ep
larité pupillaire, par névrose ou atrophie du nerf optique, et leur diagnostic est facilité par la présence des signes de la p
à l'examen microsco- DE L'HEMIANOPSIE CORTICALE.. 9 199 pique. Le diagnostic de Haab pendant la vie avait été : embolie de l
le docteur William H. Draper fut appelé en consulta- tion et fit le diagnostic formel d'endocardite ulcéreuse ou maligne. Quel
bandelette optique ou des premiers centres visuels d'un côté. Ce diagnostic peut être encore fortifié et rendu presque cer-
nné ce qu'on voit dans l'hystérie, particularité importante pour le diagnostic de ces deux névroses ; sur laquelle M. Charcot
SUR un cas d'affection spinale avec cécité ET paralysie géné- RALE. Diagnostic précoce par constatation DE l'absence DU phé- K
servation. SOCIETES SAVANTES. 261 M. Charpentier ne tient pas au diagnostic d'idiot pourson sujet; il a surtout voulu prése
de L. Meyer, décrites sous le nom d'hystérie aiguë mortelle ; tout diagnostic exact est du reste impossible. En tout cas, il
région du facial et au bras du côté gauche; tout cela élimine le diagnostic inscrit. Sinon il faudrait ranger sous la dénomin
drome hystérique; la dégé- nérescence des ovaires n'autorise pas ce diagnostic après coup. La dégénérescence du coeur est rema
OCIÉTÉS SAVANTES. 283 nemis ; mémoire extraordinairement affaiblie. Diagnostic . Com- pression du lobe occipital gauche par une
e maladie; mais on ne saurait en admettre la réalité que quand le diagnostic ne souffre aucun doute, quand la disparition grad
(cholémie, uré- mie). Emploi de l'analyse spectrale du sang pour le diagnostic des dégénérescences hématiques. N. Hallager.
vingt-huit dernières années \. L'intérêt de ce rapport gît dans le diagnostic et le classement uniformes adoptés par l'auteur,
mment, électrisation dépourvue de méthode et de plan, basée sur les diagnostics vagues et variés de lésion de la moelle et d'hy
hant bien, rencontrerait-on d'autres signes permettant d'établir un diagnostic différentiel entre le tubes ataxique idiopalhiq
ard (un exemple de l'auteur), ce qui pourrait servir d'élé- ment au diagnostic différentiel entre le délire et les étals d'agi-
oies respiratoires. Durée totale de la maladie : neuf mois environ. Diagnostic clinique. Lésion des cordons postérieurs conséc
yeux sont des signes de tabes ataxique qui rendent plus probable le diagnostic de tabes combiné. Enfin j'ai vu un troisième
ôle nécropsique, on ne peut pas, en effet, affirmer l'exactitude du diagnostic posé. J'ai donc dû réunir dans les auteurs tout
et acceptée, on acceptera les faits sans autopsie et on posera les diagnostics de bonne heure, on pourra recueillir sur l'état
ait déterminé une fracture du crâne et la perte de l'oeil droit. Le diagnostic porté à son entrée à l'asile est celui de démen
ls sont survenus si rapidement qu'on' a porté en toute confiance le diagnostic d'hémorrhagie cérébrale, probable- ment ventric
Un cas de ce genre doit suggérer quelques réflexions au sujet - du diagnostic et du traitement; peut-on' en faire le diagnostic
ons au sujet - du diagnostic et du traitement; peut-on' en faire le diagnostic différentiel avec l'bémorrhagie cérébrale, surt
ment, il y aurait lieu évidemment de le modifier en présence d'un diagnostic précis; mais l'analogie des symptômes avec ceux d
rocédé; peut- être faut-il chercher dans ce contraste un élément de diagnostic en faveur d'une lésion centrale. ' Conclusion
suppose communément. Bien que je ne puisse citer aucun « cas où le diagnostic et le traitement d'une affection utérine « aien
aine qu'il s'agit d'une myélite non destructive et peut conduire au diagnostic de sclérose en plaques. A cette étude anatomiqu
56 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
e qui ont été adressés par leur médecin soucieux de permettre il un diagnostic hésitant de s'établir sur des bases solides. Ce
plus souvent des déterminations multiples et que généralement leur diagnostic est assez difficile pour qu'il y ait lieu de ne
au lit, souffrant beaucoup de douleurs lombaires et en ceinture. Le diagnostic de mal de Pott fut porté et on lui appliqua un
oint de vue nosographique, apportent-elles aussi leur contingent au diagnostic différentiel des diverses variétés d'hémiplégie ?
jambe et du pied on s'exposerait bien peu à commettre une erreur de diagnostic en prononçant d'emblée le mot d'hystérie. Cet
actères de marche seraient d'un grand secours. Ils permettraient au diagnostic de s'éta- blir, de même qu'au pronostic qui var
issance exacte et précise des formes exté- rieures normales pour le diagnostic des défolmations que lui font subir les maladie
ne observation du même genre, où l'on a dû faire pour ainsi dire un diagnostic rétrospectif dont la malade a bénéficié. Observ
un tel souci de la vérité jusque dans les moindres détails, que le diagnostic de l'affection dont il est atteint est des plus
n'est plus occupée que par les rétractions fibro- tendineuses ? Ce diagnostic est possible le plus souvent avec les moyens d'
é de la bande d'Esmarch peut aussi rendre service pour assu- rer le diagnostic dans quelques cas : on sait que l'ischémie déterm
mations produites par la fracture sera d'un grand secours pour le diagnostic ; de plus, la paralysie alcoolique est le plus sou
complète. eett- 80 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Si le diagnostic des paralysies consécutives aux fractures de la t
de de la constitution du malade deviendront très importants pour le diagnostic entre les paralysies traumatiques et les paraly
leçon de M. Charcot : Spasme glosso-labié unilatéral des hystériques. Diagnostic elltrt l'hémiplégie capsulaire et t'hémiplégie
saillie de la langue enlève un signe d'une importance décisive , le diagnostic peut hésiter, le sujet est atteint ou d'hémispasm
x affections qui donnent lieu à une déformation analogue et dont le diagnostic dans la pratique n'est pas sans présenter quelq
ent décrites et méritent d'entrer en grande ligne de compte dans le diagnostic de l'affection 2. Puisque nous en sommes sur le
médicale, 1868, t. VI, p. 89). - De l'épi- lepsie simulée et de son diagnostic par les caractères sphygmographiques du partis (A
ment dans le cas où elle se montre isolée, elle peut faire errer le diagnostic . » On trouvera dans le mémoire de MM. Charcot e
ons, et l'arthropathie a pu débuter à une période de l'ataxie où le diagnostic était encore incertain. C'est ainsi que, dans
ait, dans la coxalgie hystérique, el constitue un puissant moyen de diagnostic . Chez le ma- lade de M. Debove, dont j'ai parlé
proché du nystagmus ordinaire, et pourrait avoir une valeur pour le diagnostic , considérable, surtout en l'absence du nystagmu
x, signe d'Argyll Robertson, perle des membres dans le lit, etc. Le diagnostic d'ataxie locomotrice n'est pas douteux. Il y a
Soigné dans le service de M. Kicaise à l'hôpital Laënnec, on fil le diagnostic d'arthrite nerveuse, après avoir pensé à l'exis-
penser à l'arthropathie des ataxiques. » (Trélat.) Cependant, le diagnostic , malgré les caractères propres à l'arthro- path
abétique, est parfois très difficile. ' Dans la plupart des cas, le diagnostic sera facilité, non par les signes particuliers
n écoulement, les caractères spéciaux de l'arthrite faciliteront le diagnostic . L'hydarthrose a une évolution lente; il n'y a
sion par tumeur, syphilis, etc.) La tumeur blanche est parfois d'un diagnostic très difficile. Mais, en général, elle est doul
rès facilement le ballottement latéral du pied. Nous terminerons le diagnostic par ces quelques lignes emprun- - tées à M. Blu
complètement méconnue et a passé inaperçue, c'est qu'en réalité le diagnostic ne laisse pas d'être très délicat... 1. Du pi
ée et si spéciale que le médecin quelque peu expérimenté en fait le diagnostic à distance, dans la rue, ou aux premiers pas du m
bien d'autres caractères communs permettant d'asseoir sûre- ment le diagnostic et de faire entrer B... dans la grande famille de
s seulement les faits suivants. Les médecins traitants portèrent le diagnostic de fracture du rachis sié- geant au niveau des
ariage, il aurait « eu de l'eau dans le genou droit », sui- vant le diagnostic porté par un médecin alors consulté. Vésicatoire,
ebout prolongée. -, . - - . - - Sans nous étendre longuement sur le diagnostic des lésions anato- miques de la moelle qu'on po
tébrale. Toute- fois, il ne se rappelle pas avoir entendu porter le diagnostic de fracture du rachis par les médecins, et n'in
57 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
essemble singulièrement à celle du somnambulisme hystérique et le diagnostic psychologique nous semble bien .difficile. Aussi
èse de M. Saint-Aubin qui semblait se proposer la discussion de. ce diagnostic ', malheu- reusement l'auteur ne décrit que des
psychologiques subconscients. " ," Si nous continuons ces études de diagnostic , nous rencon- trons d'autres états mentaux qu'i
3. 22 REVUE GÉNÉRALE. transitoire de la désagrégation mentale. Ce diagnostic de l'hystérie et des délires toxiques nous appr
'il devait se présenter d'une ma- nière particulière pour servir au diagnostic de l'hystérie et que, en un mot, c'était un sym
membres inférieurs. L'auteur, après avoir discuté les différents diagnostics , arrive à admettre celui d'atrophie musculaire id
aractères spéciaux; il n'est jamais partiel, toujours général. Le diagnostic repose par conséquent tout entier sur la constata
D'une forme mal décrite de délire consécutif à l'épilepsie, 1832 ; Diagnostic différentiel du déli- rium tremens (Reu. méd.,
Diagnostic différentiel du déli- rium tremens (Reu. méd., 1851 ; Du diagnostic différentiel de la lypémanie (Annales médico-ps
lypémanie (Annales médico-psychologiques, 1851) ; Classification et diagnostic différentiel de la paralysie générale; Paris, 185
tômes et l'apparition des troubles classiques de la sensibilité. Le diagnostic , égaré par un tableau clinique insolite, a mené
. - Je fus, je l'avoue, fort perplexe pour établir dans l'espèce un diagnostic précis. Je passai successivement en revue les a
comme caracté- ristique de ces diverses maladies. Je m'arrêtai au diagnostic suivant : aclcyméningite cervicale hypertrophiq
syringomyélie était mal connue. Traitement. - En conséquence de mon diagnostic , je fis mettre des pointes de feu, fréquemment,
ique uri' moment donné. C'est cette con- tracture qui fait errer le diagnostic , parce que j'ai cru devoir faire intervenir ? p
niques qui pendant la'vie avaient pu faire songer un ", moment à ce diagnostic étaient la durée de la maladie, la cyphose, .la
' apparences^ d'une myélite transverse - .dorsale. Dans ,ce cas,.le diagnostic peut s'aider de, symptômes d'ordre secondaire s
, -1 f1 ¡O¡r,q...t la On diagnostiquera de bonne heure le tabès (ce diagnostic précoce prévient bien des accidents), en¡ reche
rature conservée. Sens mus7 culaire presque totalement aboli. ` ' Diagnostic : tumeur du centre ovale, basé sur l'absence des
forme.L'auteur présente 1 ensuite des considérations^ l'appui du diagnostic paramyoclonus et à l'exclusion de; celui de. chor
amment." L'absence de peptomurie ne doit 'donc pas faire'exclure le diagnostic de' folié paralytique, ai moins d'examens répét
s le 'développement voulu, il 'n'en est'pas'moins' certain' que le, diagnostic est indéniable à rai- l''son : < de"l'hypert
si 1 peut arriver que. la langue ne dévie pas du côté du spasme. Le diagnostic du spasme lingual trouve dans l'impossibilité p
balance en faveur de l'idée d'une affection fonctionnelle quand le diagnostic hésite entre une hémiplégie organique et une hé
e le médecin.éprouve à caractériser les troubles de la,parole et le diagnostic de l'état' mental lui-même. Il y a évidemment t
ent pleines de faits nouveaux, au point de vue de la pathogénie, du diagnostic et du pronostic *. Outre les leçons dont nous v
ritable chef- d'oeuvre d'examen des malades, de séméiologie et de diagnostic ', et les deux volumes. de Clinique des mala- d
atérale amyot1'ophique ou amyotrophie hystérique ? diffi- cultés de diagnostic , 1893. II. - Travaux publiés dans le Progrès Mé
de monoplégie brachiale chez l'homme, présentant des difficultés de diagnostic ; La médecine vibratoire : Application des vibrat
ion, sont encore assez accusés pour ne permettre aucun doute sur le diagnostic . Foie et rate moins engorgés. Fonctions digesti
1892, nov., p. 877.) L'enfant était un garçon âgé de vingt mois. Le diagnostic était microcéphalie et arrêt dans le développem
. Elle présente le type de l'arilhmomanie à forme continue. Dans le diagnostic de ce cas, l'auteur démontre que cette malade n
; c'est surtout à cause de la symptomatologie, et, partant, de leur diagnostic , qui présentent en effet une physionomie à part
la malade et des renseignements fournis sur son compte, on porte le diagnostic de tumeur cérébrale. Les 76 CLINIQUE NERVEUSE.
détruit le groupement nosologique des affections de la moelle et le diagnostic qui repose en réalité sur le concert de l'analy
précisément parce que l'expérience et la recherche, mécontentes du diagnostic de myélite chronique, ont porté leurs investiga
diffuse à marche chronique et l'on a été forcé de ne formuler ce diagnostic qu'après avoir exclu ceux de sclérose disséminée,
et W. RoTH ne partagent pas l'avis du rappor- teur relativement au diagnostic . M. le Dr FOKARSKY. Sur la maladie des tics con
vait oublié trois langues sur quatre qu'il parlait couramment. Le diagnostic n'est en général pas difficile à faire. D'abord,
retrouvons dans la plupart des cas de sclérose. Dans son Traité de diagnostic des maladies de l'encéphale, où sont colligés les
dans celles qui, par l'augmentation de volume qu'elles ' Traité de diagnostic des maladies de l'encéphale. Trad. Keraval, p.
re part, leur fréquence dans la sclérose en plaques, les erreurs de diagnostic auxquelles ils peuvent donner lieu, légitiment,
ystagmus ou les troubles de la parole de la sclérose en plaques. Le diagnostic ne peut se baser que sur la recherche des signe
nent l'atrophie cérébelleuse, d'insister sur les difficultés de son diagnostic , et de faire connaître le symptôme nouveau révé
e à l'égard de toute aliénée. P. KERAVAL.. XLVII. CONTRIBUTION au diagnostic anatomique DE la paralysie GÉNÉRALE PAR L'ÉTAT
leur classification, de l'anatomie pathologique, de l'étiologie, du diagnostic , de la thérapeutique générale, de la législatio
e et à l'étiologie des maladies mentales. Le chapitre qui traite du diagnostic con- tient beaucoup de conseils précieux. Nous
et que j'ai signalés plus haut, après un examen rapide du sujet, le diagnostic fut vite établi. Les troubles de la sensibilité
pharyngienne et enfin l'histoire du fils venant encore éclairer le diagnostic . C'était un hystérique. Je l'en- dors très faci
, en l'absence d'autres stigmates, m'ont suffi pour que je porte le diagnostic : hystérie. C'était bien en effet de vomissemen
penser aussitôt à l'hystérie. L'examen direct me confirma dans mon diagnostic . Anesthésie pharyngienne, diminution de la sens
es qu'on me l'amena. L'examen direct de la maladie me fit porter le diagnostic : hystérie avec perversion du goût, idées impul
lgré l'absence de signes stéthoscopiques, je crois à la phtisie, le diagnostic ne semblait-il pas, du reste, jus- ticié ? N'ay
en ! je vis avec stupéfaction que j'avais fait une grosse erreur de diagnostic , ma phtisique n'était qu'une hysté- DE L'HYSTÉR
ffements), et des constatations directes que je venais de faire, le diagnostic hystérie traumatique s'imposait, du reste la su
ique s'imposait, du reste la suggestion hypnotique vint éclairer le diagnostic , le con- firmer par les résultats qu'elle obtin
es des mains, l'absence des tremblements fibrillaires écartaient ce diagnostic . Ce n'était pas l'atrophie mus- culaire hérédit
s plusieurs mois. Voilà encore un bel exemple de la difficulté de diagnostic de l'hystérie, quand elle est associée aux affe
t à ces diverses mala- dies'. L'hypnotisme peut servir d'élément au diagnostic et je con- fesse que c'est surtout dans le but
Neurol., n° 60) dans lequel cet auteur fait connaître les règles du diagnostic de l'hystérie. DE L'HYSTÉRIE EN VENDÉE. 471 1
cinq maisons de ce village. Qu'est-ce que j'y trouve ? Certes, mon diagnostic fut peu varié, nervosisme partout. Dans une mai
frustes dont'il importe "cependant clé s'inquiétertpour arriver au- diagnostic ;" à' plus forte'raison"n'ectait'- cil-il passes
al qui se montra dans ces trois cas, eût-il pu suffire à établir ce diagnostic ? La cause de l'herpès labial réside dans les c
ar Herderkrankung, mit einem Beilrage zur Lehre von der topis- chen Diagnostic der Sclthügel-Loesio7ze2z. Brochure in-8° de 10 p
58 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
t examiné par le Professeur Pescarolo qui établit à cette époque le diagnostic d'hydrocéphalie et conseilla des ponctions lomb
ique de Turin le vit à son tour en consultation et, confir- mant le diagnostic d'hydrocéphalie, il établit l'existence d'une atr
ologique de l'oxycé- phalie ; à lui seul, il suffit pour établir un diagnostic ; en dehors de toute altération de la calotte,
ation les petits malades à l'âge de 2 à 4 ans, avaient tous posé le diagnostic d'hydrocéphalie et de rachitisme. Mon argument
ence de ces impressions digitales, localisées de (1) M. BRRTOLOTTI, Diagnostic différentiel entre l'hydrocéphalie aiguë sans aug
présence de l'usure des os de la calotte très rapidement. Or, le diagnostic différentiel entre la méningite séreuse venlricul
'y méprendre le syndrome cérébelleux. Quincke lui-même admet que le diagnostic différentiel entre les tumeurs cérébelleuses et l
(1). Tous les symptômes du vivant du malade portaient à établir le diagnostic d'une tumeur cérébel- leuse. A la radiographi
e comment il a été pos- sible, grâce à la radiographie, de faire le diagnostic différentiel entre les tumeurs cérébrales et l'
lia dans la Review of Neurology and Psyc/¿iatry un travail sur « le diagnostic différentiel entre l'hydrocéphalie sans augmentat
s phénomènes cliniques que nous venons d'exposer nous ontconduit au diagnostic de maladie de Recklinghausen avec acromégalie.
mps, les cas qui offrent un complexus symptoma- tique justifiant le diagnostic de tumeur cérébrale, mais où plus tard la march
u groupe des pseudo tumeurs cérébrales les cas où on peut porter le diagnostic pathogénélique. Ce sont surtout ceux de méningite
opique du liquide céphalo- rachidien, nous ont mis sur la voie d'un diagnostic exact. Chez tous les deux il s'agit de la ménin
tout ce qu'on lui donne. Ayant en vue ces symptômes nous mettons le diagnostic de tumeur cérébrale. ° Un confrère appelé en co
sommes d'avis que ce résultat constitue un fadeur important pour le diagnostic différentiel entre la méningite séreuse et une
alement sur l'importance de la ponction lombaire au point de vue du diagnostic et du traitement. Ua 1 i III (6) est, au contrair
nerait pas des résultats caractéris- tiques permettant de donner un diagnostic certain. Dans le même sens est le cas de V. Sta
éreuse. La ponction lombaire est très importante au point de vue du diagnostic différentiel d'avec une tumeur du cerveau ou du
caractérisés, ni symptômes oculaires, ni incoordination motrice. Le diagnostic ne semble à discuter qu'avec la sclérose en plaqu
pparence indemnes de toute lésion nerveuse, n'a-t-il pas orienté le diagnostic vers une syphilis méconnue, vers un tabès comme
sidérations, s'il en est de capables de prévenir l'incertitude d'un diagnostic . A ce point de vue,notre cas démon- tre une foi
gée mettrait en lumière ; il il résulte de tout cela des erreurs de diagnostic plus ou moins prolongées qui font prendre pour
le pas empêcher, dans des cas fort rares il la vérité, de porter le diagnostic de tabes, si d'autres symptômes y invitent. If.
ieurs, aux fémurs. Mais ce ne serait pas une raison pour écarter le diagnostic d'achondroplasie, car on a décrit l'achondropla
, Degouy et Tissot. D'autres raisons militent aussi pour écarter le diagnostic d'achondro- 142 CRESP1N ET BONNET plasie. San
sme, il n'en est pas moins vrai que d'autres anomalies orientent le diagnostic du côté de cette dernière affection. Les fontanel
s ans, voilà un ensemble qui cadre bien avec le rachitisme, d'où le diagnostic complet de nanisme avec micromélie rhizomélique
casion de ces cas, des opinions contradictoires se font jour, et le diagnostic de cha- cun est souvent déterminé par l'importa
E RHIZOMELIQUE PARTIELLE 143 alors que pour le clinicien voisin, le diagnostic sera tout autre parce que le précédent signe n'
étude très complète, tout en indiquant parfaitement les éléments du diagnostic , n'ont garde d'omettre la mention des formes fr
mination sont nulles où à peu près. On peut pourtant arri- ver à un diagnostic qui parait légitime. Ce qu'il faut retenir, c'e
festations tégumentaires une indication suffisante pour affirmer ce diagnostic . De même nous éliminerons les hyperchromies par
renseignement), elles constituent un signe de grande valeur dans le diagnostic de la maladie de Hansen. Notons encore en faveu
, trouve un nombre assez considérable d'arguments pour légitimer ce diagnostic étiologique. Il y a très longtemps que l'affect
die actuelle : en tant que praticien, il est exposé à une erreur de diagnostic ; en tant qu'observateur scientifique, est exposé
e de l'intoxica- tion, elle peul permettre de confirmer au début un diagnostic d'alcoolis- me chronique, et d'affirmer la natu
phiques des ongles des or- teils qui sont épaissis et rugueux. Le diagnostic s'impose de soi-même et il nous semble inutile de
ntérêt en séméiologie nerveuse, grâce au secours qu'elle apporle au diagnostic . Il suffit, en effet, de voir ou- même, dans quel
considéré comme une catatonie de Kahlbaum et laissa la question du diagnostic ou- verte et indéterminée. Pétrel ! par conlre
Sérieux etc.). Par celle raison, on esl tenu à rester sceptique du diagnostic catatonie dans les cas où, après une maladie pa
autre groupe. Dans les cas analo- gues, on est tenu à considérer le diagnostic comme incertain, les cas extrêmes étant impossi
être prudents lorsqu'il s'agit t d'établir, dans ces cas scabreux, diagnostic et pronostic. La vieille conception de l'hystér
os pagétique. La localisation des lésions n'exclut pas non plus le diagnostic maladie de Paget : l'extrémité inférieure du ti
-elle pas excessive ? (1) JACOT, L'ostéite dé/ormante de Paget, son diagnostic différentiel et ses rapports avec les autres os
E ET FOIX buté comme une paralysie saturnine dans lequel il pose le diagnostic de poliomyélite, et. M. Muet, à ce sujet, témoi
et. M. Muet, à ce sujet, témoigne avoir vu des cas analogues où le diagnostic de.névrite dut être par la suite écarté et qu'il
dessous nous prouvera quelles difficultés présente parfois un exact diagnostic de l'affection. Observation. Ch. K..., 72 ans
i a été dit plus haut, nous devons conclure que 404 4 ROTSTADT le diagnostic du mal de Pott sans gibbosité chez un vieillard é
rvations, cet abcès froid aurait permis probablement d'aboutir à un diagnostic adéquat. BIBLIOGRAPHIE. i. ALQUIER et Lhehmit
beaucoup de formes mixtes, de formes de passage, qui troublent les diagnostics différentiels, si précis et si justifiés soient
A. Léri, Pierre Marie et A. Léri, Nouv. Icon., 1906, n° 1 ; A. Léri, Diagnostic clinique et anatomique des maladies tcn7tlosanE
on sur l'importance de cette compression osseuse au point de vue du diagnostic et du traitement, qui quelquefois peut être chi
t assez typiques pour qu'il n'y ait pas de doute au point de vue du diagnostic . Nous les publions ensemble comme contribution
opsie. Il reste alors à définir le siège de la lésion et ce dernier diagnostic nous parait particulièrement difficile. Au pr
on exclusivement thénarienne ne suffit donc pas à faire por- ter le diagnostic de névrite ; peut-on par contre, en raison de la
de la diffusion thén aro-hypothénarienne des symptômes, éliminer ce diagnostic ? Pas l'atrophie isolée non progressive DES PET
ubital et du médian. La douleur ne fournit pas un meilleur moyen de diagnostic . Elle existe dans tous les cas : Névrite périph
naire plus diffus). On le voit, tout cela reste un peu flou, et, le diagnostic de lésion de- meure en partie une affaire d'imp
I'IXE ET VIARD d'en avoir vu un cas (1) pour faire immédiatement le diagnostic . Les oedèmes liés aux affections des veines, du
59 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lution de la maladie, de l'absence d'antécédents hérédi- taires, le diagnostic « délire chronique » put être porté. Aujourd'hu
, le diagnostic « délire chronique » put être porté. Aujourd'hui ce diagnostic est confirmé, car la malade est en pleine pério
s le Wahnsinn ou dans la Verrucktheit sans troubler les éléments du diagnostic diffé- rentiel. Ce qui donne un caractère spé
t pourquoi il en faut rapprocher le délire aigu. Les difficultés du diagnostic sont grandes. (A suivre.) ARCBIVES, t. XXIX.
thésie de la peau qui correspondent aux différents organes, pour le diagnostic du siège exact des lésions viscérales. Quant au
ns l'évolution des symptômes. L'auteur insiste sur la difficulté du diagnostic dans de semblables cas avec l'hémiplégie hystériq
comme des accès pernicieux, peuvent être rapportés à l'hystérie. Le diagnostic de l'hystérie paludéenne se base sur l'existenc
débats, lève l'interdiction. Le Tribunal admet avec les médecins le diagnostic de la maladie, il admet que c'est une maladie m
s candidats ont eu à traiter les questions suivantes : 1° Signes et diagnostic de l'urémie et de la hernie étranglée; 2° Insuf
ranglée; 2° Insuffisance aortique, plaies de poitrine; 3° Signes et diagnostic de la pneumonie et des tumeurs des bourses; can
dysbasies neurasthéniques. La quatrième, à propos de laquelle le diagnostic différentiel avec la claudication intermittente
ui a délivré le certificat que nous transcri- vons ; il confirme le diagnostic de neurasthénie, déjà évident à la seule lectur
lement en empirant. Il y a deux ans je voulus me faire réformer. Le diagnostic formulé à cette occasion, portait à peu près ce
une marche défavorable, abstraction faite de quelques cas dont le diagnostic est douteux. La Verrüclctheit est un groupe de la
Neurologie, n° 95. FORME HYSTÉRIQUE ET ÉltYT11ROlÉrALGIr. '103 Le diagnostic de la maladie de Raynaud n'est pas douteux d'ap
ntra ou extra-rachidiens, il y a lieu à ce point de vue à un double diagnostic de siège, avant de procéder à une laminectomie.
n, part. III, 1893, p. 405.) L'auteur pense qu'on peut arriver au diagnostic de syphilis de la moelle en dehors de l'aveu mê
tiques pour les méninges de la base, et la marche de la maladie, le diagnostic porté fut : plaque de méningite scléro-gommeuse
che et de l'origine du tronc du moteur oculaire commun gauche. Le diagnostic se trouva confirmé par l'influence du traitement
ous le titre d'Epilogue à la dis- cussion sur la délimitation et le diagnostic différentiel de la paranoïa. Il s'exprime en ce
s, à raison des syndromes qui empêchent momentanément d'en faire le diagnostic : Nous voulons parler des épisodes maniaques ou
ervé un cas d'érythromélalgie associé à la ma- ladie de Raynaud. Le diagnostic du cas peut être résumé : érythromé- lalgie sou
aire ; 9° Il est nécessaire, pour le traitement des malades et le diagnostic étiologique du syndrome, de pénétrer dans l'histo
nt pour établir la notion de la dégénérescence que pour formuler le diagnostic de délire chronique. Et encore n'est-on pas bie
un grand nombre de parties motrices, c'est la capsule interne. Le diagnostic de M. Blocq fut donc lésion de la capsule interne
ces conclusions, qu'en l'absence de renseignements on peut baser le diagnostic entre l'hémiplégie double et la paralysie bulba
ans les idées et dans les actes, agitation incessante, insomnie, le diagnostic clinique ne laissait pas que d'offrir de grande
ces malades des idées de persécution sous la forme ordinaire. Le diagnostic peut se faire : a. avec l'hystérie, tandis que l'
ncolie, les caractères généraux du délire, qui serviront de base au diagnostic différentiel; c. avec le délire des négations m
te-Anne, le D''Magnan, à Ville-Evrard nous-mêmes avions confirmé le diagnostic du Dr Garnier. Louis-Eugène B... était convainc
ien et sans que le tribunal ait ordonné une expertise médicale. Les diagnostics étaient les suivants : folie intermittente, idé
aine qui suit l'explosion de la confusion mentale (Verwirrtheit). Diagnostic différentiel. On constate d'une manière générale
m, T. 3'7,3, puis 41,3. Mort. L'anatomie pathologique démontre le diagnostic . On apprend ainsi qu'à l'endroit dont provient la
on n'obtient pas de commémoratifs, il est plus malaisé d'établir le diagnostic . Dans la confusion mentale idéopathique ou amen
de l'ap- pareil nerveux. En revanche, rhébétitde, qui facilite le diagnostic d'avec l'amen- tia et la paralysie générale, le
revêt dans la mélancolie et dans la folie circulaire, et enfin son diagnostic et son . pronostic. Dans la Seconde partie, M
ste pendant un état de mal épileptique, être la source d'erreurs de diagnostic . Elle fait penser en particulier à l'éclampsie.
aux autres, a fortiori de la'véracité de'la formule adoptée pour le diagnostic . Nous7 n'en sommes pas nous- 1 mêmes plus certa
ent rare et qu'on ne saurait faire de la dégénérescence un signe de diagnostic différentiel, dans les termes que propose Magnan.
leur égalité de. caractère qui, dans l'espèce, élimine d'emblée le diagnostic de manie ou de mé- lancolie. Quant aux épisodes
matique chronique..., ils rie prêtent pas longtemps à l'illusion du diagnostic . , , . r, L'aphorisme de Cramer reste donc bien
ssant de présenter "sous, forme de tableau les points principaux du diagnostic différentiel. '' "'1' ' ' . ? I ,r "t. r- '>
médico- psycholog., série ]X", t. XVI, p. 22 ? ) DELASL1UVE. Dit diagnostic différentiel de lu lypémaatie. (Annales médico-
iberg, pour la belle opération qu'il a bien voulu faire d'après mon diagnostic . S..., Marie-Christine, non mariée, âgée de vin
'attaque épileptique non précédée de ces convulsions localisées. Le diagnostic ne pouvait donc pas être douteux : une lésion irr
centre comprenant une assez grande partie de la région motrice, un diagnostic topogra- phique plus minutieux était désirable.
que indice, quel- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE, i 311 que appui au diagnostic : un homme qui présente des signes nom- breux d
rreurs, soit qu'il s'agisse d'erreur judiciaire ou d'erreur dans le diagnostic et dans le pronostic de l'état mental et moral
e de la vessie et du rectum. ' < Il fut impossible de poser un diagnostic . Il mourut le 19 dé- cembre 1892 dans le même é
. C'est avant tout une malade à idées fixes ; ce n'est pas là un diagnostic , si' vous voulez, c'est au moins l'énoncé du symp
triculaires. Au point de vu-- clinique je crois qu'on peut faire le diagnostic de l'étiologie. Si la température centrale est
rale, elle a une très grande valeur, une importance extrême pour le diagnostic de l'hystérie. Si l'on constate cette anesthési
r l'esprit sur la nature d'une maladie dont il importe d'établir le diagnostic exact et d'instituer le traitement. En résu- ma
s le nom de confusion délirante ou hallucinatoire. Dans le chapitre diagnostic , on voit qu'en définitive le symptôme confusion
s, extrêmement importante à consulter. Chaslin fait observer que le diagnostic a donné lieu en Allemagne à des discussions qui
ches. Electro-diagnostic L'emploi de l'électricité comme moyen de diagnostic tend comme tous les autres moyens physiques à p
. Mais il faut aussi pour se servir de l'électricité comme moyen de diagnostic une éducation spéciale et qui ne s'acquiert que
it combien l'étude des réactions électriques de l'oeil est utile au diagnostic des maladies nerveuses quoiqu'elles soient loin
aranoïa peut débuter de toutes les façons, mais on ne peut poser ce diagnostic qu'après l'apaisement du stade aigu qui peut s'
60 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
et analysé l'histoire de notre malade, il nous reste à chercher le diagnostic et l'explication de la maladie. D'abord on pour
bord on pourrait penser à une paralysie bulbaire classique, mais ce diagnostic de paralysie bulbaire de Duchenne (de Boulogne) e
escence ne nous permet pas de penser à cette espèce morbide. ; Le diagnostic d'une paralysie pseudo-bulbaire doit être réfuté
ême cas comme une poliomyé- lite des noyaux bulbaires, cependant ce diagnostic n'est pas accepté par Oppenheim (1) à cause de
tiologiques et symptoma- tiques qui semblent pouvoir être utiles au diagnostic , au pronostic et au traitement de ces localisat
ce ne sont pas rares, les observations complètes dans lesquelles le diagnostic est affirmé par la présence du parasite sont en
intra-crâniennes rencontre 12 kystes. Mais la plupart du temps, le diagnostic ne semble reposer que sur l'as- pect macroscopi
ires. Il nous faut donc, avant tout, préciser quelques points de ce diagnostic anatomique. Disons d'abord que pour Davaine, Ha
céphaliques. Ce signe pourrait, d'après lui, servir pour établir le diagnostic de cas analogues, il propose d'aus- culter la t
quelqu efois Parmi les tumeurs cérébrales, il n'en est pas dont le diagnostic positif f soit plus difficile que celui des kys
marche progressive des tumeurs logées dans la boîte crânienne. Le diagnostic différentiel ne peut d'autre part s'appuyer le pl
E GOTIIARD ET RICHE La difficulté qu'apporte à l'établissement d'un diagnostic l'absence de symptôme ou tout au moins le manqu
la violence de la céphalée est telle que nous por- tons d'emblée le diagnostic de néoplasme cérébral. Elle est cependant nomenta
lis héréditaire. Les urines ne contiennent ni sucre ni albumine. Le diagnostic de la déformation présentée par notre malade ne p
, sur une femme qui lui présente sa main droite. Un oeil exercé aux diagnostics médicaux ne pourra s'empêcher de remar- quer co
uvertes. Il semble manquer un ou deux doigts à la main gau- che. Le diagnostic n'est pas douteux. Seule à celle époque, la lèpre
dix lépreux de l'Evangile (ici, le nombre dix est un certificat de diagnostic ). Ils sont représentés à peu près comme celui que
rdissement est particulièrement cligne d'intérêt au point de vue du diagnostic . La première idée qui vient, en effet, à l'esprit
, que le malade ait conscience de la gravité de son affection. Le diagnostic est en général facile pour les affections nerveus
irmité vue par lui. Peut-être pouvons-nous même essayer de faire le diagnostic de la maladie qu'il a voulu reproduire. L'avant
n, le Dr Sauvineau examine, à Lariboisière, le malade et formule le diagnostic suivant : « Atrophie postnévritiquedes deux ner
deux jours. L'évolution d'un tel syndrome avait permis de porter le diagnostic de néoplasme izatra-crâziieia, siégeant à la ba
ase, du côté gauche, et de nature sarcomateuse probable. Mais si le diagnostic de tumeur avait été depuis longtemps formulé, l
qué pour le cas précédent. Mais je crois superflu d'insister sur le diagnostic d'épilepsie non vermineuse en raison de l'héréd
ue quelconque. Nous n'avons point constaté ce tremble- ment. II Diagnostic ET interprétation (l31aet-Satglé). La lésion cu
rature et une hypertrophie du tissu cellulaire sous-cutané. Ici le diagnostic devient difficile à faire. Aussi bien ne le ferai
n léger défaut de convergence des yeux. Toutefois j'appuie moins le diagnostic d'hystérie sur ce groupement sémiologique que s
fait lorsqu'une observation ayant été prise avec soin, on a posé un diagnostic . Il reste encore à interpréter l'ob- servation.
n spina-bifida caché. Elle acquiert ainsi une réelle valeur pour le diagnostic de la lésion rachidienne sous-jacente et a été
l'Art » (Nouv. Icono- graphie de la Salpêtrière, 1896),de porter un diagnostic rétrospectif alors qu'il est déjà délicat de se
personnages rendent la réponse tout à fait incertaine. Ce point de diagnostic rétrospectif de l'achondroplasie dans l'art doit
êmes caractères cli- niques. * .. * Avant d'aborder l'exposé du diagnostic de l'achondroplasie avec les au- tres variétés
céphalie des achondroplasiques prête à l'erreur et a fait porter le diagnostic erroné d'hydrocéphalie. Quelques nains sont, à
arretier; entre à l'hôpital Desgenettes le 30 décembre 1900 avec le diagnostic « tremblement hystérique ». Antécédents hérédit
plasique, est telle, qu'elle a souvent donné lieu à des erreurs de diagnostic . Lugaro (2) en a récemment publié un exemple pr
simulé une tumeur du lobe frontal gauche. L'auteur avait fondé son diagnostic de néoplasme frontal gauche sur tout un ensembl
de l'écorce. L'erreur inverse a aussi été maintes fois commise : le diagnostic d'uré- mie cérébrale a été posé, dans des cas o
l'art, p. 12 et s.). Tout en reconnaissant le peu de solidité d'un diagnostic rétrospectif r fait ex picturasur des personnag
-ci et la maladie de Friedreich. Le premier cas avec autopsie où le diagnostic d'hérédo-ataxie cérébel- leuse fut fait avant l
résentait Haud... pouvait créer certaines difficultés pour faire le diagnostic d'hérédo-ataxie HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 385
ntait, il y a quelques années, étaient très caractéristiques. Notre diagnostic devient encore plus cer- tain si nous examinons
vés, plutôt exagérés. Troubles de la sensibilité. Chez ce malade le diagnostic d'hérédo-ataxie cérébelleuse est certain, et la
tout avec des symptômes aussi semblables. Nous pensons alors que le diagnostic d'hé- rédo-ataxie cérébelleuse chez notre malad
ons. Il me paraît superflu d'insister sur l'intérêt que présente le diagnostic de ces diverses formes au point de vue du trait
lysie antérieure. L'histoire du premier cas qui m'a éclairé pour le diagnostic du second est très instructive. Observation I
nar, les réactions électriques étaient normales. Par conséquent, le diagnostic de paralysie organique du nerf cubital s'im- po
one cutanée, voilà des données plus que suffisantes pour établir ce diagnostic . Quelle â pu être la cause de cette paralysie ?
e innervée par le cubital. Observation II. Le 2e cas corrobore ce diagnostic ; c'est un homme de 78 ans, dont vous pouvez ob
igts prirent cette position. Il n'est pas difficile de faire ici un diagnostic rétrospectif : paralysie du nerf cubital par bl
ir les mêmes détails, qui seraient alors d'un grand secours pour le diagnostic , au début de l'affection. Dans sa communication
tération vasculaire et, sans apporter une grande précision dans le diagnostic , nous ne cachons pas notre inquiétude. 11. -
ie dont ils relèvent un caractère de précision propre à affirmer le diagnostic , ils ne se présentent pas tou- jours sous la fo
susceptibles en raison de leur physionomie ébauchée, de dérouter le diagnostic et d'em- barrasser grandement l'observateur. L'
émasquer. Remarquons, à ce propos, combien il a été heureux pour le diagnostic que ce début fébrile, chez Alice, ait été marqu
t pas sans une certaine confiance en l'avenir, que nous émettons le diagnostic d'attente que nous avons cru pouvoir formuler.
euses analogues- L'auteur s'ap- plique avec grand soin à établir le diagnostic différentiel qui la sépare ou la rapproche des
ème considérable du membre infé- rieur droit, M. Meige admet que le diagnostic de troubles trophiques consécutifs à une ancien
issance... La persistance du cartilage d'accroissement éliminait le diagnostic de rachitisme. Malheureusement, l'enfant abando
la tète du fémur (1). * " " De quoi peut-il s'agir, et de quel diagnostic étiqueter ce cas ? Il ne s'agit certainement, n
61 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
depuis sa sortie aucun excès alcoolique. 11 n'a bu que de l'eau. Le diagnostic alcoolisme me parait dès lors suspect et je réd
de l'existence' de' cette'complication ? "j llâintënânt,pôûrquôi le diagnostic de folie urémique et;non celui 9dè' folie'alcoo
,l a&b'a9V172 9 ! TIL. iy Un] autre. )argument)en faveur) du l diagnostic , de folie uré- tmique, ciest la-rechute survenu
i y 9·.r·y ! "·c ! 11'f W yirla5 £ ir. -w1 .e, q m .W 4 11 , ,,1 Le diagnostic .entre lâf lèpre et la syringomyélie est,.dans cer
don conjonctif. * ? 0, "' ^ ? i-y Quelque tempsapîès,ialôrë que' le diagnostic était établi par la découverte des bacilles; de
caractéristiques delà lèpre^ à 'elles seules elles eussent'fixé le diagnostic , si elles s'étaient montrées plus tôt. ''' ' ' *%
reusement conduit, ' reste le principal, sinon le seul élément de diagnostic ." ., .` ' ,.r . . ' ' , ' ' t s 4 i .. , - : ,r .
r les distinguer pour éviter, comme ici, d'impor- tantes erreurs de diagnostic et de pronostic.,ire ,yt,. 1 ,,f ' tantes erreu
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 15 XXIV. Deux observations POUR SERVIR au diagnostic DES paraplégies syphilitiques; pârrMUIa' GILLES
ces deux observations et établissent, dans ' 1 es s deux 'cas,6 Je' diagnostic d " - ' ' " 1 ' ' " ' h *Iitiqii ? P ui - ils e
t penser' au tabès,'mais l'exagération, des réflexes i éclaire le . diagnostic . Le traitement-, échoue, parce, que, z sans f d
11 n'y a ni ankylose, ni douleur, ni rougeur. Ce cas est fruste, le diagnostic un peu hasardé, car on ne peut savoir si la mar
natomie, et physiolo- gie ; pour la composition orale : Péritonite, diagnostic et étiolo- gie ; - Fracture du radius, diagnost
ale : Péritonite, diagnostic et étiolo- gie ; - Fracture du radius, diagnostic et traitement. Les questions restées dans l'urn
rminaison, fonctions ; pour l'épreuve orale : Insuffisance fforMue, diagnostic , pronostic et traitement; Luxations de l'épaule
tions de l'épaule. ''diagnostic "et traite- ment; Hernie étranglée, diagnostic et traitement'; - Ictère. Les deux candidats on
dans l'urne étaient : Mal de Pott dorsal, symptômes et traitement, diagnostic différentiel de fièvres éruptives. Les candidat
inus cérébraux. Epreuve orale. La, question, tirée au, sort a été : Diagnostic différentiel des méningites. Les deux questions
yphoïde; à Toulouse : Fractures de côtes; à Montpellier : Signes et diagnostic de la pleurésie. - · · Parmi les questions re
leur place. Cette dame fut quand même traitée par la quinine. Le diagnostic de la neurasthénie palustrene peut être sérieu-
r de certaines myélopathies comme la syringomyélite par exemple. Le diagnostic différentiel est parfois difficile quand le tra
c'est la pseudo-paralysie générale d'origine syphilitique. 7° Le diagnostic différentiel de la pseudo-paralysie générale est
le beaucoup le coma et pourrait ainsi en imposer au point de vue du diagnostic , avec le coma urémique et le collapsu s diabéti
elle qui est connue sous le nom de Verrûcktheit. 2° Les éléments du diagnostic différentiel entre la confusion mentale, le Wah
ns orales : Colique hépa- tique ; Etranglement herniaire, signes et diagnostic . Restées dans l'urne : Fièvre typhoïde; Fractur
estées dans l'urne : Fièvre typhoïde; Fracture du rocher, signes et diagnostic ; Erysipèle de la face; Rétrécissement de l'urè
ostic ; Erysipèle de la face; Rétrécissement de l'urètre, signes et diagnostic . Sur les 7 candidats, 5 ont été déclarés admiss
profonde de fixer de nou- veaux souvenirs ». En d'autres termes, Je diagnostic de ces troubles de la mémoire pouvait se formul
et permanence de la glycosurie (48 grammes de sucre par litre). Le diagnostic ne laissait pas que d'être assez délicat, eu ég
ents mouve- ments, des irrégularités intéressantes qui précisent le diagnostic et complètent les renseignements fournis par l'
des masses musculaires des gastrocnémiens, partant de confirmer le diagnostic de myopathie. L'incapacité fonctionnelle, de rele
ez une enfant de six ans, au cours d'une atteinte d'in- iluenza. Le diagnostic de sclérose en plaques a été établi sur l'exist
e; je n'hésite pas à répondre par l'affir- mative. On peut faire ce diagnostic en s'appuyant : 1° sur la pré- pondérance des t
9onoma- nie et délire partiel. La teneur du délire ne fournit au diagnostic aucune indication précise. Il faut étudier : 1° s
d'un état général. - En somme, la teneur du délire ne fournit au diagnostic que de bien vagues indications. Elle est incapa
bien vagues indications. Elle est incapable de nous per- mettre un diagnostic complet, c'est-à-dire un diagnostic com- portan
ncapable de nous per- mettre un diagnostic complet, c'est-à-dire un diagnostic com- portant du même coup le pronostic. Inter
persécution), mais courts et limités à un petit nombre d'idées. Le diagnostic devient d'ailleurs facile si l'on tient compte
causes les peuvent faire naître. Il cile un exemple analogue où un diagnostic erroné de rein flottant condui- sit à une opéra
frappante à certains cas de sclérose en plaques d'avec lesquels le diagnostic est très difficile à établir en dehors du carac
Comme on voit, ce fait n'est pas sans importance au point de vue du diagnostic différentiel dans les affections du système nerve
On voit par là toute l'importance du symptôme de relation pour la diagnostic différentiel de l'amblyopie dans l'hystérie et da
circonstances difficiles un diagnos- tic douteux ou la preuve d'un diagnostic probable. Pour bien connaître la nature et la v
érant qu'on pourra peut-être arriver par la suite à un élément de diagnostic important, d'autant plus important que le début d
olution. Aussi se croit-il en droit de conclure que dans les cas de diagnostic douteux l'absence de peptone dans l'urine perme
e fait le plus souvent défaut au début de l'affection, alors que le diagnostic est incertain. Donc là encore, au moins d'après
- ment : Voici une urine de paralytique ou permettant de faire un diagnostic différentiel. 1 Par le procédé de Wassermann :
rie anesthésique. La constatation de ce signe permettra de poser un diagnostic précis entre une lésion organique et une lésion
dresser et suivre l'état civil et médi- cal, de façon à assurer un diagnostic précis; 2° ces registres seront contrôlés et so
r dans les sourds-muets crétins et idiots; 6° pour l'exactitude des diagnostics , surtout en ce qui a trait aux crétins, l'inter
es, son hémianes- thésie, etc., nous dispenseront d'insister sur ce diagnostic . 456 CLINIQUE MENTALE. Mais sa polyurie est-e
s en général. Il existait donc des « myélites syphi- litiques ». Ce diagnostic que Ricord n'avait jamais osé formu- ler, même
r les déterminations méningées. Les éléments les plus précieux du diagnostic sont fournis ici, non par les symptômes spinaux
i n'en sont pas moins intéressants, étantdonnés la délica- tesse du diagnostic et de l'intervention dans les cas analogues. Dans
, de déter- miner ceux qui étaient capables de servir à formuler un diagnostic 492 SOCIÉTÉS SAVANTES. et un pronostic, on di
aiguë. Si réellement le complexus morbide n'était que passager, le diagnostic était 'justifié, sinon la paranoïa [acuta deven
nait la folie systématique aiguë et inversement, quand il posait le diagnostic de folie systématique aiguë, ce que devenait l'
les signes de la démence qui nous ont servi de guides, au début du diagnostic , et ce sont encore eux qui nous serviront de gu
c nombre de maniaques n'éprouve aucune difficulté à établir son c diagnostic à moins qu'il ne soit un débutant ou un médecin
n à l'étude des pseudo-méningites hystériques; symp- tomatologie et diagnostic ; par le Dr BRUGÈRE. (Thèse de Bordeaux n° 47.)
ou à la réalité d'une prétention juridique établie, ne font pas le diagnostic de persécutés persécuteurs processifs. En l'espèc
de cinq ans, par Moussons, 41 ; deux observations pour servir au diagnostic des pa- raplégies -, par Gilles de la Tou- re
62 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
le de syringomyélie. Tout à l'heure je m'efforcerai de justifier ce diagnostic ; mais, dès maintenant, je tiens à vous dire qu
itation par lesquelles il nous a fallu passer avant d'établir notre diagnostic sur les bases d'une certitude pres- que absolue
la syphi- lis, cette circonstance n'aurait aucune inlluence sur le diagnostic porter. Il y a sept ou huit ans, la malade a ép
men, quels qu'ils eussent été, n'auraient en rien pu modifier notre diagnostic . l'époque dont je vous parle, les réflexes tend
pé- ciale. Ainsi le cas publié par Asmus (7) où on avait porté le diagnostic de (1) 111cua ? Zur Genèse der Iloehlen nu Ruck
e, 1895. 16 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Voilà pour le diagnostic . Quant à la question de pronostic, elle me'pa-
multiples actuelles. A quelle affection avons- nous affaire ? Trois diagnostics doivent être discutés : 1. La tuberculose : Gom
à faire sans aucune hési- tation, sans interrogatoire préalable, le diagnostic chaude-pisse sans jamais s'être trompé une seul
les particularités suivantes, qui auront leur im- portance pour le diagnostic topographique de la lésion : d'une façon géné-
netteté de leur limite supérieure, ils éclairent précieusement le diagnostic du siège de la lésion. Aux membres inférieurs l
ui dénonçait la participation du centre cilio-spinal, on formula le diagnostic suivant : , Paraplégie par lésion de la moelle
observations sont seules accompagnées d'un examen histologique. Le diagnostic de syphilis n'était solidement établi que pour
erveux, nous croyons devoir nous arrêter au moins un instant sur ce diagnostic délicat, pour le fait qui nous concerne. On s
i nous concerne. On sait combien est souvent embarrassant un pareil diagnostic , puisque dans la forme anatomique qui aboutit à
usieurs de ses faits. IL Considérations PHYSIOLOGIQUES. . Notre diagnostic clinique, basé sur l'analyse des symptômes nerveu
ur le premier où l'on pourrait incriminer la variole. Mais, pour le diagnostic , il ne saurait en être de même. Le ta- bleau cl
ation cérébelleuse. Rien n'autorise, dans tous les cas, à porter le diagnostic de sclérose en plaques. Depuis, M. Moncorvo (
nous ignorons. On peut espérer aussi qu'elles nous faciliteront le diagnostic de certaines tumeurs osseuses à leur période in
chez un de nos amis électricien distingué où il est arrivé avec un diagnostic aussi peu précis que possible. ' L'état génér
us R... La lecture de celte observation suffirait pour permettre au diagnostic de s'établir, car elle contient des particularité
ont rien démontré de précis quant à ces accidents syphilitiques, le diagnostic porté sur sa pancarte étant : céphalée. En 18
't Gilles de n Touhette et IIfTILLO. Deux observations pour servir au diagnostic des paraplégies syphilitiques. Nouv. Iconograph
, l'est encore à celui des hésitations par lesquelles dut passer le diagnostic étiologi- que. Mis en présence de phénomènes
orta à l'Hôtel-Dieu, dans le service de M. Richet, où l'on porta le diagnostic de luxa- tion de la hanche gauche. Cette luxati
le su- périeure. . M. Jules Simon l'examina à nouveau et porta le diagnostic de mal de Pott, on constatait à ce niveau une l
-on s'entourer de trop de prudence lorsqu'on se hasarde à porter un diagnostic sur un document figuré. Ces réserves faites, il
extérieur des myxoedémateux, il n'est pas suffisant pour établir un diagnostic définitif. Les troubles fonctionnels et psychiq
formes extérieures, est-il prudent de ne pas .préciser davantage le diagnostic de ce nain de bronze. Mais il faut insister enc
vertébrale. Aussi, ces seuls caractères suffisent-ils à rendre le diagnostic de Mal de Pott infiniment vraisemblable. ' .
reille repose sur le deltoïde. Tous ces signes réunis confirment le diagnostic de Mal de Pott. La statuette égyptienne que nou
x, en l'absence de renseignements circonstanciés, d'ap- pliquer ces diagnostics à des oeuvres d'art. (t) Th. Paris, 1892, Batta
ant cette seule obligation de n'accepter que les tabétiques dont le diagnostic était certain, et de les ac- cepter tous. Voi
s petites le 21, au mo- ment que j'allais partir. , DISCUSSION ET DIAGNOSTIC . A la suite de cette observation, Morand fait c
LA FILLE DE SAINT-GÉOSI)IES 245 C'est alors que Morand formule son diagnostic sur l'étrange maladie de la Fille de St-Géosmes
plus affirmatif et se prononcer plus catégorique- ment en faveur du diagnostic d'hystérie pour lequel nous avons aujour- d'hui
n'ont pas été suffisamment mis en relief par Morand pour étayer son diagnostic . La plupart d'ailleurs ont été entrevus par l'é
e des phénomènes d'hystérie locale. Leur apparition rend souvent le diagnostic très difficile avec les affections pul- - monai
, quelquefois de délire ». Mais il n'y a pas là de quoi infirmer le diagnostic . Le « délire », les troubles respiratoires, la
ussion basée sur des arguments scientifiques indiscu- tables, et le diagnostic d'hystérie qu'il affirme expressément, font le pl
p, â peu près synonymes. L'approbation que rencontre aujourd'hui ce diagnostic plus que sécu- laire prête également à réflexio
parle, dans l'Iconographie de la Salpêtrière, 1894, d'un fait où le diagnostic d'hémarthrose fut porté ; enfin, tout dernièremen
es tapisseries sont imprégnées d'arsenic. Vous concevez déjà que le diagnostic étiologique, facile dans certains cas, pourra,
tinaux, dont vous aurez à tenir compte, quand le doute plane sur le diagnostic étiologique. Les désordres gastro-i n lestina ux
as- sent surtout dans les jointures du poignet et du cou-de-pied. Diagnostic . - Voilà les traits de ressemblance et les caract
e el de l'alcoolisme. Vous voilà donc en possession des éléments du diagnostic différentiel de la pa- résie arsenicale et de l
. Muller (1), qu'en présence d'un cas de paralysie arseni- cale, le diagnostic s'impose d'une façon immédiate et irrésistible, d
63 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
Jacksonienne; raisons tirées de la vascularisation de cette région. Diagnostic des causes de l'épilepsie partielle crurale. — Tu
écipitèrent le dénoûment fatal. Dès lors, l'occasion de vérifier le diagnostic que nous avions porté, durant la vie, sans aucune
ve représentés dans un cas donné, un fondement solide pour établir le diagnostic . Et ce sont justement ces documents-là que je veu
ntifiques, avoue son erreur et rétablit après l'autopsie le véritable diagnostic . Et, à ce propos, il importe aussi de relever,
que tout semble fait pour égarer un observateur non prévenu, dans le diagnostic de la tuberculose paracentrale. En effet, il est
propre- ment dite. Mais, peut-être avons-nous commis une erreur de diagnostic , en ce sens qu'après application du trépan nous n
et auxquels M. Charcot (3) a consacré plusieurs de ses leçons. Leur diagnostic est souvent des plus embarrassants. Les formes si
. M. Charcot les considère comme des « équivalents épileptiques. » Le diagnostic en sera aisé, si le malade présente des crises co
somnámbulo-delirante. Il est généralement facile de faire un pareil diagnostic quand on est à même d'observer un noctambule pend
nvulsives, de cris, d'angoisse », pendant lesquelles elle faisait des diagnostics et guérissait les maladies. Dans ses deux ouvrage
ue courante, constitue le meilleur, pour ne pas dire le seul moyen de diagnostic , dans un cas de longue durée. L'oubli de la per
d'une fois la découverte du sucre dans l'urine est venue réformer le diagnostic . Mais il ne faudrait pas croire que la présence
l'évolution de la maladie, ni faire J'autopsie. Cependant, quoique le diagnostic de ces cas ne soit pas ferme, je pense qu'on ne p
ferme, je pense qu'on ne peut sûrement, dans aucun d'eux, éliminer le diagnostic de tabès. » IV. Il ne nous reste maintenant q
hez un même individu. Sans doute il pourra se présenter des cas où le diagnostic devra rester en suspens, mais, le plus souvent un
gnes communs sur lesquels il est impossible de tabler pour établir le diagnostic différentiel des deux affections. C'est évidemm
tout à fait spéciale qui, quand elle est typique, permet de faire le diagnostic à distance. M. Charcot, dans une leçon déjà citée
ve, etc.. ; aux résultats d'un traitement approprié, ils éclairent le diagnostic et entraînent la conviction. Mais, en définitive,
'ataxie locomotrice progressive en particulier ; 3° Pour établir le diagnostic de ces cas d'association et les séparer du pseudo
nique de dix-neuf ans, hystérique et astasique-abasique depuis un an ( diagnostic porté par le D1' Grasset). La seconde fille, actu
ques, il n'y a cependant pas là de raison suffisante pour infirmer ce diagnostic , qui est imposé par tous les autres signes : habi
t pas non plus un fait qui doive nous arrêter dans l'établissement du diagnostic . Il semble que l'on doive désormais attacher moin
e, dans le service de mon maître, M. le Pr Charcot, et dans lequel le diagnostic de myopathie du type Lanclouzy-Dejerine ne faisan
i fréquentes chez les épileptiques. Mais strictement, la formule de diagnostic , telle que nous la donnions plus haut, si elle es
on de l'une et des autres. On conçoit que dans les cas de ce genre le diagnostic devient beaucoup plus difficile entre l'hystérie
cela seulement, on aurait encore de grandes chances d'erreur dans le diagnostic . C'est surtout sur les caractères de l'attaque el
rétrécissement du champ visuel, points hystérogènes, que se basera le diagnostic positif entre l'hystérie et le mal comitial, diag
se basera le diagnostic positif entre l'hystérie et le mal comitial, diagnostic quelquefois difficile néanmoins. Mais dans les ca
ette aura peut, dans certains cas, rendre singulièrement difficile le diagnostic , dans beaucoup d'autres, au contraire, il n'appor
qui dressent avec le plus de précision possible une première liste de diagnostics . A son arrivée à l'hospice, M. Charcot trouve c
est possible de consacrer à chacun qu'un temps fort court. Lorsque le diagnostic est clair et facile à établir, cela est tout simp
de cas il est impossible de poser ex abrupto, en quelques minutes, un diagnostic positif. On fait alors revenir à l'intérieur de l
rigé par M. Parinaud, qui fournit souvent sur eux, au point de vue du diagnostic , des renseignements de première importance. Les p
85. (Prog. mèd., 1885, n° 49, p. 490). (2) Une partie des listes de diagnostics qui m'ont servi à établir la statistique ci-contr
die de Basedow. 1 Association du tabes et du diabète sucré .... 1 Diagnostics non déterminés et douteux. 35 Cas ne se rapport
nes touchant de très près aux affections nerveuses, et nécessitant un diagnostic précis. Ainsi dans les 153 sujets en question se
d'amyotrophies sont largement représentées dans notre statistique. Le diagnostic est loin d'en être toujours facile et on a vu que
nstance qui, incontestablementj est bien faite pour rendre parfois le diagnostic difficile, en masquant la véritable nature du mal
des tics, etc., il y aura lieu d'insister sur les difficultés que le diagnostic peut présenter. 7° Il nous reste à vous présent
je voudrais entrer dans quelques détails, à propos de la question du diagnostic . Il peut en réalité, je vous l'ai fait pressentir
t quelquefois dans la maladie des tics. Et ici, remarquez-le bien, le diagnostic est d'un grand intérêt pratique, car les accident
ès certainement; je n'oserais pas en dire autant de la première. Le diagnostic serait plus facile s'il s'agissait chez Jul... d'
acksonnienne; raisons tirées de la vascularisation de cette région. Diagnostic des causes de l'épilepsie partielle crurale. — Tu
érique, 390, 410, 415, 420. Automatisme comitial ambulatoire, 61; — diagnostic de F—, 63. c Catalepsie : excitation des sens
Chirurgie cérébrale, 16. Comitial (automatisme — ambulatoire), 61 ; diagnostic de F—, 63. Contagion : dans l'hystérie, 449 ;
cuité des —, 446 ; Absence habituelle dos stigmates dans les —, 447 ; Diagnostic , pronostic des —, 448, 453 ; Contagion dans l'éti
64 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ncom- plets, et d'un examen insuffisamment prolongé, de porter un diagnostic précis. Les Archives générales de médecine ont
l ouvrage, grossier ou délicat; elle coud, tricote, écrit, etc... Diagnostic . - Les anesthésies reconnaissent deux causes prin
ns dire que nous ne partageons pas l'avis de l'auteur au sujet du diagnostic . M. Adamkiewicz se fonde, comme on le voit, pour
gnostic. M. Adamkiewicz se fonde, comme on le voit, pour rejeter le diagnostic d'hystérie sur les motifs suivants : 1° absence
rmettant de rejeter l'hypothèse d'hystérie. Voyons maintenant si le diagnostic porté par M. Adamkie- wicz est de son côté sout
a constatation du signe de Westphall chez les diabétiques pour le diagnostic et le pronostic tant à l'aide de quatre observati
être matière a intéressante observation sinon même élément utile de diagnostic à tenter chez les diabétiques le rappel du réfl
, n'offrent au clinicien aucun signe même incertain pour établir le diagnostic de ce genre de productions. Elles constitueront
e médecin s'il n'y prend garde et l'a- mener à un pronostic et à un diagnostic faux. Le pronostic dans la névrite multiple est
chondriaque des paralytiques et comme un exemple des difficultés du diagnostic , lorsque le délire existe seul et est assez res
z restreint pour empêcher de juger du niveau mental des malades. Le diagnostic de la paralysie générale ne pouvait, dans l'esp
pliquer par la pneumonie ultime. Il n'accepterait, pour sa part, ce diagnostic comme rigoureux que si l'examen microscopique d
ru intéressante à rapporter, précisément à cause des difficultés du diagnostic ; il ne se dissimule pas d'ailleurs que, considé
chacun des faits cliniques et anatomo-pathogiques sur lesquels son diagnostic repose n'a qu'une valeur relative. La spécifici
preuves do la perspicacité et de la sincérité de l'artiste, que ce diagnostic rétrospectif d'une affection nerveuse alors méc
es auras incomplètes,' vient encore presque toujours confirmer le diagnostic . De tous ces stigmates hystériques, le plus con
omènes hystériques généraux et de troubles sensoriels, je portai le diagnostic de monoplégie partielle de l'avant-bras. hystér
r Charcot, qui voulut bien m'aider de ses conseils et confirmer mon diagnostic . Dans le but de réveiller l'image psychique des
Adamkiewicz n'admet pas l'hystérie chez sa malade ; il repousse ce diagnostic , parce que les signes géné- raux de l'hystérie
ensitives et trophiques des nerfs du mem- bre supérieur et porte le diagnostic suivant : affection rhu- matismale probable des
nd, et voici la singulière argumen- tation sur laquelle il base son diagnostic . « Quelle peut être, dit-il, la lésion des cent
NERVEUSE. DES MONOPLÉGIES PARTIELLES. eaux. Il rejette cependant ce diagnostic sur ce motif assuré- ment plausible, qu'une hém
ion mentale, nous paraîtrait insuffisant et nous laisserait tout le diagnostic à faire. Si nous disons excitation maniaque ou
étaient écoulés. On comprend combien .il est difficile de poser un diagnostic précis. Il peut se faire que le baron Seillère
- tées par le tribunal. Les événements subséquents ont vérifié le diagnostic . Discussion. M. MUELLER. Ce malade m'a été conf
les pieds; dé- marche incertaine, parole anxieuse avec bégaiement. Diagnostic . Affection organique du cerveau, par inflammati
à l'aide de faibles courantsiui avait occasionné un accès syncopal. Diagnostic : C'est une tumeur cérébrale car on a constaté
Ssonssy a fait une communication « sur la mimique comme élément de diagnostic de l'aliénation mentale ». La compa- raison des
tement, de connaître l'existence de ces apoplexies et d'en faire le diagnostic . Tel est l'objet de la thèse de M. Acliard. Dan
appés n'offrent point à première vue les signes de l'hystérie et le diagnostic de l'apoplexie organique semble tout indiqué. T
thésie avec ses caractères qui, dans les cas de ce genre, a pour le diagnostic la plus grande valeur, car les autres symptômes
l'absence de toute médication antisyphilitique, fit à la fois le diagnostic et le traitement. Un troisième groupe de faits
tique, la valeur de l'hémi-anesthésie sensitivo-sensorielle dans le diagnostic de l'hystérie, l'influence des intoxications su
storique, l'ana- tomie pathologique, les symptômes, l'étiologie, le diagnostic et le traitement. Après avoir rappelé que l'hon
nt de symp- tômes bien fait pour égarer le clinicien qui n'admet le diagnostic que s'il trouve l'ensemble des symptômes classi
attendre le développement de trou- bles médullaires pour porter le diagnostic on risquerait d'être surpris par le dénouement
surpris par le dénouement fatal avant d'avoir pris une décision. Le diagnostic facile quand tous les symptômes existent sera a
ous les symptômes existent sera ardu dans les formes atténuées : le diagnostic différentiel devra Archives, t. XIV. 20 306 B
estait inex- pliquée, ce qui nous fit renoncer momentanément à un diagnostic plus détaillé. Le professeur Kahler fut plus he
ze ", publié quelques mois plus tôt, présenteune confirmation de ce diagnostic . Chez une femme âgée de trente-sept ans, on voi
IRE. 375 dérable à symptômes cliniques nettement accusés, dont le diagnostic semblait établi d'une manière précise, malgré l
, doit contribuer à DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. 379 faciliter le diagnostic de la maladie, dans les premières périodes de s
ce qui est important, tant pour son étude ultérieure que pour le diagnostic et la thérapeutique de cette affec- tion. ' J
tat ultérieur. Ce cas satisfait entièrement aux considérations du diagnostic établies par Schultze. Nous avons : 1° atro- ph
ion ont trait à une maladie nerveuse encore peu con- nue et dont le diagnostic précis nous parait offrir quelque dif- ficulté.
PARALYSIE INFANTILE ; TUBERCULOSE PULMONAIRE ; HÉMIPLÉGIE DROITE ; DIAGNOSTIC FAIT tuberculose pulmonaire ; hémiplégie DROITE
OITE ; DIAGNOSTIC FAIT tuberculose pulmonaire ; hémiplégie DROITE ; DIAGNOSTIC FAIT AU LIT DU MALADE : « TUBERCULE CÉRÉ- BRAL
ontracture (Brissaud), et quelquefois par la paralysie (Ricoux). Le diagnostic pour être complet doit nous apprendre à quel ty
verses, etc., qui peuvent accompagner la céphalée, l'auteur fait le diagnostic différentiel d'avec les cépha- lées syphilitiqu
65 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e l'aspect du tympan au début et à la fin de l'observation. Pour le diagnostic et le pronostic, les épreuves par les pressions
hyse externe sont saillants et bordés d'un filet rouge, à gauche. Diagnostic : légère congestion de la muqueuse auriculaire
ue valent les épreuves des pressions centripètes au point de vue du diagnostic des lésions des fenêtres ou de l'étrier. DU V
arier d'une semaine à l'autre, peut être d'un grand secours pour le diagnostic de l'épilepsie nocturne ou vertigineuse. Non se
par là dans certains cas un indice précieux, qui met sur la voie du diagnostic de la maladie. En dehors de la paralysie géné
que. Ces faits, qui ne sont peut-être pas très fréquents, sont d'un diagnostic difficile, si bien qu'il arrive assez souvent qu'
emble de l'appa- reil clinique qu'on avait en présence, on porta le diagnostic : sclé- rose en plaques à forme fruste. Des c
le suivant emprunté à M. Charcot : c'est le plus frappant modèle de diagnostic posé du vivant de la malade, diagnostic qui a é
le plus frappant modèle de diagnostic posé du vivant de la malade, diagnostic qui a été confirmé un an plus tard par l'autopsie
sa place, il entra dans le service de M. Millard où l'on a porté le diagnostic de pacbyméningito chronique. Le 23 juillet 1882
vésico-rectales, l'existence de manifestations bulbaires, porte le diagnostic de sclérose multiluculaire cérébro-spinale, d'o
titre : Des symp- tômes de l'état de santé intellectuelle el de son diagnostic avec la folie. Il recherche les signes auxquels
ber dit avoir observé un exemple très net de cette affection, où le diagnostic fut confirmé par l'autopsie et dans lequel le t
arie début ressemblait à celui d'une myélite et ce fut même sous ce diagnostic que le malade fut admis à. l'hôpital. L'examen
sium. M. Seguin a observé le même fait et il croit que souvent le diagnostic est impossible entre la paralysie saturnine et l'
jours élevée. SOCIÉTÉS SAVANTES. 119 L'auteur conclut : 1° que le diagnostic des tumeurs inlra-crâ- niennes est plus facile
facile quand la tumeur occupe les par- ties corticales ; 3° que le diagnostic des tumeurs du lobe frontal ne peut se faire qu
lumineuses de la protubérance peuvent être reconnues ; enfin que le diagnostic des tumeurs du cervelet est ordinairement facil
nature. M. Seguin ne nie pas l'importance de la céphalalgie pour le diagnostic , mais il croit qu'elle manque souvent ; quant à
s formes atté- 150 CLINIQUE NERVEUSE. nuées ou plus complexes. Le diagnostic des affections cérébrales semble devoir trouver
oeil. Cette forme de paralysie, qui me fit porter dès le début le diagnostic de lésion de la protubérance, aurait été infail
s. Lorsque la paralysie conjuguée latérale est peu prononcée, son diagnostic est quelquefois difficile. La diplopie n'offre
ns possible ce mouvement de convergence. Dans les cas douteux, le diagnostic se pose entre une paralysie de la sixième paire
vec l'oeil malade. Ce signe différentiel rendra presque toujours le diagnostic facile. On tiendra compte encore de la coïncide
galement un peu dans la lèvre et toute la mâchoire inférieure. Le diagnostic de tumeur cérébrale porté dès le début par M. C
ébut par M. Charcot se confirme par cet ensemble de symptômes. Ce diagnostic a été légitimé par l'autopsie dont le résultat
oint de vue du bourdonnement et pas d'amé- lioration de la surdité. Diagnostic : épaississement général des tissus et raideur
m- ples les services que peuvent rendre les deux épreuves pour le diagnostic des lésions qui siègent au niveau des fenêtres
tige de Ménière est ainsi poussée beaucoup plus loin; le rôle et le diagnostic des lésions de l'étrier et des fenêtres ovale e
atoires après huit années de maladie. L'autopsie vient confirmer le diagnostic de lésion cervicale interrompant inté- gralemen
witzlcy (de Varsovie). Les auteurs insistent sur les difficultés du diagnostic . Ils avaient songé à une fracture, malgré l'app
avi- culaire en avant du souffle et des râles sous-crépitants. Le diagnostic , porté d'après cet ensemble symptomatique est l
OT0RRIIÉE, Z 337 ! . (. ,, En présence des pareils symptômes, le diagnostic fut quelque peu hésitant et., après mûr examen,
nt être examinés avec soin;' s'ils sont insuffisants pour dicter le diagnostic ," le pronostic ? * une étude détaillée ^des, sy
cas avec des héntorrhagies traumati- ques. Hasner allait porter ce diagnostic quand, retournant la pau- pière de son malade,
e. Un résumé de leur histoire montrera les bases solides du premier diagnostic et l'importance delà découverte de cette entité
sium et de l'emploi des cou- rants faradiques. Il fallut changer le diagnostic . Les contractures, les troubles de la sensibili
utanés,-1 lf exagération "des"réflexésl0p'atèllairès, d'établir, le diagnostic de dégénérescence "dès1' cordons' 'latéraux. L'
nt ceci de particulier que seule des réflexes tendineux a permis le diagnostic de l'altéralioni et de l'atteinte de la région
décidera de l'état névropathiquo particulier de , l'inculpé ou, du diagnostic ; aliénation mentale. Il faudrait conclure dans
je me suis convaincu de l'impossibilité de lixet, en pareil cas un diagnostic certain. Ou les autopsies, qui seules pourraien
inisme; 6o Imbécillité (faiblesse intellectuelle congénitale). Le diagnostic de la forme psychopathique importe moins que la
veinent part à la discussion qui se résume ainsi : Faufil exiger le diagnostic de la forme morbide (Sander) ? Couvieut-ild'adolt
n de Hoffmann (colonne dans laquelle le médecin puisse inscrire son diagnostic ) ? L'assemblée adopte le texte de Westphal sans
base du cemeaee. La pièce est présentée et décrite à la Société. Le diagnostic de la tumeur avait été établi pendant la vie. L
érique, de la clinique médico-légale de cet état morbide, et de son diagnostic , sans oublier un appendice très important sur l
e, l'analogie avec le délire alcoolique, cause commune d'erreurs de diagnostic , mérite d'être lu pour quiconque veut se famili
ci type continu (folie circulaire de larcé), sans rémission. . Le diagnostic est souvent difficile, car suivant la phase penda
aison, l'auteur aborde dans le chapitre VI l'importante question du diagnostic . « Ici, l'auteurne laisse échapper aucun des dé
lque analogie avec le délire aigu et arrive ainsi avec certitude au diagnostic . Il ne néglige aucune des affections cérébrales
dont le délire, parfois très actif, peut causer des difficultés de diagnostic ; il aborde également les difficultés résultant
233. Santé intellectuelle (des symptômes de l'état de et de son diagnostic avec la folie), 116. Z> Sclérose en plaque
66 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
acune d'elles, le-quel permet d'établir, dans la majorité des cas, le diagnostic . J'ai appelé aussi, autrefois, votre attention su
(9 obs ,6 nu moins douteuses). — Dupré, Gaz. medic, janv. lev. 1853 ( Diagnostic ). Baimbert, Gaz. hebdom. 1856, page 655, 2 observ
rapporter l'histoire présentait des symptômes qui avaient con-duit au diagnostic suivant: induration occupant dans toute son étend
ade dans son mouvement de retrait. C'est là un sujet de recherches. Diagnostic . — A moins qu'on n'ait assisté aux premiers dé-ve
s, il sera bien diffi-cile, pour ne pas dire impossible, d'arriver au diagnostic de la pneumonie chronique. La tuberculisation pul
que sans efforts. Ces données suffiraient sans doute pour conduire au diagnostic . Il peut arriver cependant quelquefois que dans l
la pourrait peut-être suffire, les circonstances aidant, à décider le diagnostic . D. L'histoire clinique de la carnisation qui s
nfiltration cancéreuse du poumon, pourrait encore, au point de vue du diagnostic , être mise en parallèle avec l'induration de la p
ontrent dans des circonstances ana-logues. Il faudrait aussi, pour le diagnostic , tenir compte des cas où les troubles cérébraux q
. ' Gazette hebdomadaire, 5 juin 1857, p. 387. huerait à fixer le diagnostic dans les cas douleux : la fièvre in-termittente e
accidents observés; il nous a été cepen-dant impossible d'établir un diagnostic précis. Un fait quelque peu exceptionnel devait
ymptôme n'était cepen-dant pas de nature à nous mettre sur la voie du diagnostic . On a constaté l'existence d'un pareil souffle da
très prononcé de la valvule aorlique, faiblesse du cœur, tel était le diagnostic complexe auquel nous avions cru devoir nous arrêt
lle preuve, s'il en était besoin, de l'obscurité qui couvre encore le diagnostic des anévrismes partiels du cœur, malgré les savan
-viennent de plus en plus marqués et l'on n'hésite pas à maintenir le diagnostic que l'on avait d'abord formulé avec une assez gra
, telles sont les circonstances qui avaient surtout servi de bases au diagnostic . La fréquence bien plus grande des alté-rations d
sur la connaissance de cas analogues, M. le docteur Charcot porta le diagnostic suivant : obturation des troncs principaux de l'a
aire, et à ceux où elle est le résultat de l'embolie. Pour arriver au diagnostic , il sera, par conséquent, nécessaire de faire int
e, sont, en réalité, les seuls indices qui permettraient d'établir le diagnostic avec quelque apparence de raison. Pronostic. —
yens thérapeutiques qu'on a conseillé d'opposer à l'aortite aiguë; le diagnostic de cette affection est encore trop obscur pour qu
t athéromateux, ou à l'avulsion d'une plaque crétacée. Symptômes et Diagnostic — Les signes physiques d'une induration calcaire
cette aug-mentation de volume. Les signes rationnels fournissent au diagnostic des indices plus sûrs. Il est rare qu'une ossific
quence relative des anévrismes aortiques, mais encore à en établir le diagnostic , dans un grand nombre de cas. On ne possédait c
quelques praticiens éminents, surtout en Angleterre, et la science du diagnostic a réalisé de nouveaux progrès sous ce rapport. Ma
en physiques et en rationnels. Les premiers peuvent seuls fournir au diagnostic des bases positives : les seconds ne peuvent offr
laissée perforer, et que la tumeur vient faire saillie au dehors, le diagnostic devient moins difficile. On constate alors l'exis
le côté de la poitrine qu'elle occupe. C'est là encore un élément de diagnostic ; mais il ne faut point oublier que l'on voit aus
ffisance aortique : de semblables indications sont précieuses pour le diagnostic , chez les sujets qui présentent déjà les signes r
c compression du nerf récurrent. L'au-topsie justifia complètement ce diagnostic . Il est à peine nécessaire de signaler l'hémopt
artilage intervertébral pour venir atteindre les parties aortiques. Diagnostic . — Reconnaître la présence d'un anévrisme de l'ao
vue des signes physiques que nous allons nous placer pour étudier le diagnostic des ané-vrismes de l'aorte ; nous n'invoquerons l
es de l'aorte sus-diaphragmatique et ceux de l'aorte abdominale. I. Diagnostic différentiel des anévrismes de la portion sus-dia
ant, les principaux symptômes qui peuvent, en pareil cas, éclairer le diagnostic . Anévrisme de l'aoi te. ?1° L'altération de l
et présente dans le sens transversal des limites fort étroites. IL Diagnostic différentiel des anévrismes de la portion sons-di
divers phénomènes, on parvient, en général, à éviter toute erreur de diagnostic à cet égard; mais il est des cas, où le médecin s
aut cependant tenir compte de l'immense difficulté que présen-tait le diagnostic des anévrismes internes, avant la découverte de l
ués à la méthode de Valsalva ne reposaient-ils pas sur des erreurs de diagnostic ? Il est certain que chez le ma-lade dont la guéri
es des artères et des veines. Trad. Breschet. Paris, 1819.—Bouillaud. Diagnostic des anéerismes de l'aorte. Thèse de Paris, 1823.
scendante et de la crosse de l'aorte, 1841. — Gendrin. Mémoire sur le diagnostic des anévrismes des grosses artè-res. In Revue méd
e, sur les communica-tions de l'aorte avec l'artère pulmonaire, et le diagnostic de cette lésion; enfin, l'observation fort intére
, dans le cas de Syme, la communication était directe. Symptômes et Diagnostic . — A. Quand la tumeur ané-vrismale occupe la port
ents liquides dans les cavités séreuses : mais le fait est rare. Le diagnostic est quelquefois possible (Skoda, Walshe). Il s'ap
te chez l'homme, offrent une impor-tance capilale, au point de vue du diagnostic . Si la paraplégie n'a pas été toujours observée c
Macoppe, qui rap-porte une observation de ce genre, dans laquelle le diagnostic fut porté pendant la vie (!). Un professeur cél
ieurs, il n'en a rien été. Pendant cette période de trois mois, où le diagnostic était possible, facile même pour les initiés, le
Malgré la netteté des symptômes qui viennent d'être rap-portés, le diagnostic était resté incertain; on avait parlé de rhumatis
terminaison, 5u7 ; — mort, 508; — guérison, 508; — étiologie, 509; — diagnostic , 511 ; — an. de la portion sus-diaphrag-matique
diagnostic, 511 ; — an. de la portion sus-diaphrag-matique, 511; — diagnostic diffé-rentiel des an. de la crosse, 517; pronosti
a-ture et origine, 473; — ramol-lissement, 475; — ulcérations, 476; — diagnostic , 477; — mar-che; — bibliographie, 478. Atrophie
imple de l'aorte, histo-rique, 544 ; — siège, 544 ; — pa-rois, 544: — diagnostic , 545; — bruit de souffle, 545: — traite-ment, 546
rétablissement de la circulation dans les —, 552; — symptômes, 552; — diagnostic , 553; — pronostic, 553; — traite-ment, 554. Rét
67 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
isme. Th. de Paris, 1881. notisme thérapeutique, pour lesquelles le diagnostic semble douteux et dans lesquelles celui qui les l
se attentivement croit pouvoir reconnaître l'hystérie. Et de fait, le diagnostic de la névrose n'est pas toujours exempt de diffic
à notre examen, il est de la plus grande importance de bien faire le diagnostic de l'hystérie. Parmi les éléments du diagnostic,
ance de bien faire le diagnostic de l'hystérie. Parmi les éléments du diagnostic , les troubles de la sensibilité sont des premiers
d'anesthésie cornéenne a tout autant d'importance au point de vue du diagnostic qu'une anesthésic totale. Il est donc évident qu'
suivantes : 1° Il est de la plus grande importance de bien faire le diagnostic de l'hystérie et en particulier de rechercher les
sa sensibilité et je découvre une hémianesthésie totale à droite. Le diagnostic n'est pas douteux : il s'agit donc d'une hémichor
souvenant aussi que l'hypnotisme est parfois un précieux instrumentde diagnostic , je me hasarde à suggérer d'emblée la disparition
Voici une affection qui a souvent donné lieu à de graves erreurs de diagnostic de la part des médecins et des chirurgiens ; une
x, ni trace de fluctuation sous-jacenle. On ne doit donc pas faire le diagnostic de phlegmon, môme chronique, car celui-ci ne va p
car celui-ci ne va pas sans toucher l'état général. Néanmoins ce faux diagnostic de phlegmon, a été fait plus d'une fois et cela p
de mes malades, dont j'ai publié l'observation, j'avais fait jadis ce diagnostic parce que je n'avais pas pu réduire les contractu
la malade a guéri par un traitement suggestif et que par là même, le diagnostic est certain. Observation. — Le 21 février 1901,
progressivement, il en est qui récidivent d'une façon (1) Boulay. — Diagnostic et traitement de l'aphonie hystérique. — Galette
s la question est si neuve que peu de vétérinaires oseraient poser le diagnostic hystérie : on parle d'épilepsie et surtout de rag
es eux-mêmes voient de la rage, partout, ne cherchent plus à faire un diagnostic différentiel, à tel point que, comme l'écrit humo
tiples de la vue et de l'ouic, ainsi que des idées de persécution. Le diagnostic fait lors de son entrée à l'asile est le suivant
Le début de la maladie remonte au mois de mai de la même année. Le diagnostic porté au moment de son entrée à l'asile est le su
cha s'en sert systématiquement pour tous les malades quel que soit le diagnostic , et il récite en même temps des prières : il réus
pas se fier uniquement aux troubles de la sensibilité pour faire des diagnostics différentiels. Actuellement, cette femme présen
) hystériques. Dans certains cas il n'y a pas de doute sur ce dernier diagnostic puisque les évangiles spécifient que le sujet mue
aconte-t-on, a une appendicite, une périmètrite ou une péritonite. Le diagnostic fut très hésitant et l'on prescrivit des sangsues
à de curieuses constatations et est souvent un élément utile dans le diagnostic différentiel avec l'hystérie. Cette intéressant
dra service au médecin qui n'a jamais trop de signes pour aider à son diagnostic , parfois délicat et difficile. on peut observ
nosologiques. Tout médecin qui a porté, ne serait-ce qu'une fois, le diagnostic d'hystérie, à moins d'employer des mots qui soien
t hystérique, par J. lî.u..:... . Soc. médicale, 5 mai 1893, et aussi Diagnostic différentiel de l'hémiplégie organiquo et de l'hé
à dès lors fixés sur les qualités de ces cinq témoins, et l'erreur de diagnostic qu'ils commirent n'aura plus lieu de nous surpren
jeune garçon de 13 ans a, lui aussi, des crises convulsivcs, mais le diagnostic en est différent. Il va à l'école depuis l'âge
pas eu d'anesthésie, nous aurions été très embarrassés pour faire un diagnostic différentiel. Toutefois, pour s'éclairer, il faut
urs, a pour but d'étendre la portée et l'exactitude des moyens de diagnostic dans le domaine psychique, de rechercher ce qu'il
bord, l'impression qu'il s'agit d'un tremblement sénile. Toutefois ce diagnostic comporte certaines réserves. En effet, il y a d
femme est très intéressant parce qu'il soulève une double question de diagnostic et de responsabilité. II s'agit d'une femme de
cat, je décrirai avec beaucoup de soin les phénomènes qui fondent mon diagnostic d'hystéro-traumatisme. Mais je me garderai bien d
z que des cas de ce genre ont donné lieu à de monstrueuses erreurs de diagnostic : des chirurgiens ont même été jusqu'à pratiquer l
ection purement nerveuse, ou de l'association des deux? Pour faire le diagnostic différentiel, nous avons deux moyens : le chlorof
statée. L'hypnotisme de son côté; fournit aussi un excellent moyen de diagnostic , en même temps qu'un agent de curation. Dans un
ici un malade au sujet duquel on pourrait faire une grosse erreur •de diagnostic , si l'on n'y prenait pas garde. z . C'est un homm
vous faire remarquer que rien ne justifie, ni de près, ni de loin, ce diagnostic . Il n'existe ni signe somatique se rapportant à c
affaiblissementglobal des facultés intellectuelles,etc.) Un semblable diagnostic estfautif à tous égards. Il s'agit bien, en l'esp
u côté des yeux, des hémorrhagies rétiniennes. On incline à porter le diagnostic de paralysie générale ; or cet homme a très bien
ge imagé ; un chirurgien lui enlève l'utérus, et je crois bien que le diagnostic qu'il aurait fallu porter pour ces douleurs utéri
de la nutrition. Jeudi, à 9 h. — Salle des consultations spéciales — Diagnostic des maladies de la nutrition : M. Michel assist
gastro-intestinal. Les digestions se font bien. Règles régulières. Diagnostic .— En présence de ce tremblement trépidatoire très
ion du sens musculaire et articulaire, de ces points hystérogènes, le diagnostic était facile. Il fallait penser à l'hystérie quoi
criminel-né » n'apporte en lui rien de fixe, ni d'absolu ; les signes diagnostics de la criminalité native, tels que les définit Lo
68 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
profonde et générale qui devait s'accomplir n'est pas commencée. Le diagnostic est à la portée de tous, et il n'est pas besoin d
phasie. Une maladie mitrale dûment caractérisée nous fait porter le diagnostic d'hémiplé- gie par embolie d'origine cardiaque.
limie paroxystique seront suffisamment caractéristiques pour que le diagnostic n'hésite pas un seul moment. Graves et Basedow
ces, au début de la maladie, en l'absence de signes phy- siques, le diagnostic de l'affection fondamentale ne soit pas sans offr
ux reprises se manifester un état catatonique, bien caractérisé. Le diagnostic ne présentait ici aucune difficulté, puisqu'il s'
t en garde contre l'existence possible d'une paralysie générale, le diagnostic définitif dut rester un certain temps en suspen
et se contrôlent ainsi au besoin l'un par l'autre dans le cas où le diagnostic séméiologique pourrait autoriser quelqu'hésitat
fié sa description, et qui nous permettent d'éliminer à coup sûr le diagnostic de cyphose hérédo-traumatique. Dans un intéress
te vertébrale. Cliniquement, ce qui permettrait presque de faire le diagnostic à première vue, c'est l'habitus très particulier
SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE VERTEBRAL 43 Si l'on accepte ce diagnostic , une première réflexion s'impose..C'est que les
par nos prédécesseurs de ces phéno- mènes douloureux). En somme, le diagnostic le plus probable est donc : atro- phie musculai
la présence d'un néo- plasme des voies biliaires. Pour vérifier le diagnostic d'atrophie musculaire de nature myélopathique o
tanée, l'état normal des réflexes rotuliens semblaient légitimer ce diagnostic . L'intégrité des muscles du tronc et des membre
s'expliquait par l'arrêt de l'évolution de la maladie. L'erreur de diagnostic vient du fait qu'on a négligé un symptôme im- p
culaire. Il y a là un fait important qui doit permettre de faire le diagnostic de lésions périphériques dans certaines formes cl
e des nerfs est une caractéristique et peut permettre d'en faire le diagnostic sur le vivant. La symptomatologie de cette form
ne doive admettre, sans de sérieuses réserves selon nous, un pareil diagnostic dans un cas où la croissance s'est effectuée no
eint le chiffre de 45 kilogrammes en six semaines. Dans ce cas le diagnostic de trouble pituitaire est donc corroboré aussi
e fondement de la méde- cine ». Sans elle, pas de chirurgie, pas de diagnostic possible : sans elle, un médecin n'est qu'un Sg
le, elle peut, dans bien des cas, donner immédiatement la clef d'un diagnostic , le rend plus facile et plus précis. Elle appelle
es organes n'a permis de révéler aucun trouble fonctionnel. .- Le diagnostic de trophoedème est seul admissible, comme il va ê
lémentaires, ni varices veineuses ou lymphatiques. Quel est donc le diagnostic qui convient dans ce cas ! 1 L'absence de toute
e point de vue complètement négatif. Il ne reste plus debout que le diagnostic de trophoedème chronique ainsi que l'a si bien
ent que cette différence n'a aucune im- portance au point de vue du diagnostic et qu'elle ne nous fera nulle- ment hésiter dan
e du diagnostic et qu'elle ne nous fera nulle- ment hésiter dans le diagnostic de trophoedème chronique que nous avons établi
lade les défor- mations et les anomalies qui mettent sur la voie du diagnostic et du trai- tement. t. Ce serait tout au moin
tude analomo-palhologique, comme il aurait fallu pour formuler leur diagnostic avec certitude. Ce nombre de cas en une seule a
para- lysie spinale infantile. Je crois que, pour en faciliter le diagnostic , il convient de grouper les cas en trois formes
sultations, plusieurs médecins, qui formulèrent de co mun accord le diagnostic de paralysie spinale infantile, ce qui comportait
ces mêmes caractères, appliqués à l'enfant, peuvent servir pour le diagnostic de la polynévrite aiguë infan- tile, en tenant
e que dans la paralysie spinale in- fantile, ce qui éclaire déjà le diagnostic ; cette modification est toujours accompagnée,
, de DR, de troubles sphinc- tériens nous dispensent de discuter le diagnostic de myopathie qui est évident. L'intérêt du ca
de 44 ans, est entré à l'asile de Vaucluse le lee août 1906 avec le diagnostic porté par M. le Dr Dupré : Débilité mentale ave
e ; mais on ne saurait être trop circonspect avant d'en affirmer le diagnostic . Dans son étude de la séméio- logie pupillaire,
ions ». Nous trouvons ce principe trop large et nous croyons que le diagnostic de la mydriase'hyslérique doit être soumis à la
e généralement pas de désordres physiques notables. AAbassieh, le diagnostic de l'aliénation par le haschich dépend de l'his
ment, ce témoignage n'est pas pris en considération pour établir le diagnostic de l'aliénation par le haschich. « Occasionnell
ieurs années à se constituer, peu d'hypothèses sont possibles et le diagnostic de syringomyélie est évident. Si l'on ne tenait
). - ' - La maladie de Morvan et surtout la ]épie sont parfois d'un diagnostic plus délicat ; mais, chez ce jeune homme, tout
s carac- téristiques. Il nous paraît donc inutile de prolonger le diagnostic différentiel : la syringomyélie s'impose. ' M
F... il n'existe aucun des signes classiques de l'acromégalie et ce diagnostic n'est pas à prendre en considération. Cette chi
l'appétit resta bon et M. G... devint obèse. En 1902, alors que le diagnostic était encore douteux, G... fut, après consultatio
es aurait-elles encore été capables de restitution à l'époque où le diagnostic de tumeur s'imposa ? Urne semble qu'en pareil c
avons eu l'occasion dans ces derniers temps de pratiquer le radio- diagnostic dans un cas très intéressant. , On pourra const
position oblique à gauche. En présence de ces symptômes, on pose le diagnostic clinique de sténose du cardia, probablement de
Voici, à présent, les données qu'on a pu établir au moyen du radio- diagnostic : A l'examen radioscopique antérieur (PI. LVII,
la pointe. Après cet examen radioscopique on n'a pu formuler aucun diagnostic , on rejette seulement par exclusion le diagnost
pu formuler aucun diagnostic, on rejette seulement par exclusion le diagnostic de dilatation aortique posé par d'autres médeci
ntérêt anatomo-pathotogique, puisqu'elle échappe très facilement au diagnostic clinique. Seulement dans trois cas : cas de Hay
lement dans trois cas : cas de Haybaum, de Rumpell etdeSchwôrer, le diagnostic fut fait pendant la vie du malade sans l'appui de
et l'extrême volume de la tumeur. Il fut impossible de formuler un diagnostic topogra- phique jusqu'à l'apparition d'unesaill
mais n'en présente pas moins un certain intérêt au point de vue du diagnostic et de la signification nosologique des paralysi
in est exagéré. Il n'y a pas de paralysie des muscles de l'oeil. Le diagnostic porté était celui de paralysie pseudo-bulbaire. P
venons d'énumérer s'en ajoutaient d'autres qui eussent pu rendre le diagnostic assez difficile, si la malade avait été moins âgé
e pseudo-bulbaire et auraient pu, 'avons-nous dit, faire hésiter le diagnostic si l'àge avait été moins avancé, et surtout, si l
on de la ma- ladie. En 1900, le malade entre à la Salpêtrière et le diagnostic porté dès cette époque fut celui de syringomyél
galie de l'hypertrophie acromégalique de la main. Dans notre cas le diagnostic était extrêmement facile et la confusion avec l
partie inférieure du pariétal. En 1901. Jumpolski (3) a porté le diagnostic possible de porencéphalie de l'hémisphère droit
e l'a montré M. Brissaud, un fait capital, qui permet d'affirmer le diagnostic de torticolis mental et qui le différencie des
69 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
trouvé réduit à une complète impuissance ; mais « il est vrai que le diagnostic de cette insidieuse affection est « entouré de ta
a méthode laryngoscopiquê. De quel puissant et infaillible moyen de diagnostic des affections laryngiennes, ces illustres savant
ement. De l'atrophie musculaire progressive de l'enfance, et de son diagnostic éclairé par l'iconographie photographique. Les
sous le nom d'atrophie musculaire progressive de l'enfance, dont le [ diagnostic peut se lire pour ainsi dire sur la face du malad
léphantiasique. La figure suivante, empruntée à l'excellent traité du diagnostic des tumeurs de M. A. Després(p. 33o), nous offre
tumeur principale a mis des années à acquérir le volume qu'elle a, le diagnostic est confirmé. Des ramollissements, des kystes, de
ndant plusieurs mois et même toujours, d'après quelques auteurs. Le diagnostic de syphilide pigmentaire est ordinairement facile
et les faits concomitants peuvent, dans les cas douteux, éclairer le diagnostic . Les éphélides dont le siège de prédilection es
ttentive ne fait découvrir aucune trace de décollement rétinien. Le diagnostic : hémorrhagies de la rétine, me faisait un devoir
assé la dernière période de la maladie. » BIBLIOGRAPHIE Traité du diagnostic des maladies chirurgicales, par Fou-cher et Despr
ns pour le talent et le zèle qu'il a mis à la remplir. Le Traité du diagnostic des maladies chirurgicales est rédigé suivant l'o
miers chapitres de l'ouvrage sont consacrés à l'étude des éléments de diagnostic chirurgical et des manœuvres nécessaires à ce dia
éléments de diagnostic chirurgical et des manœuvres nécessaires à ce diagnostic . L'auteur résume en 165 pages une pathologie gé
nd, en outre de la pathologie générale dont nous venons de parler, le diagnostic des plaies et contusions, des fractures, des luxa
flammations et des gangrènes. Un appendice de M. A. Després traite du diagnostic des ulcères et des fistules, des vices de conform
t le récit eût à coup sûr encombré l'exposé des principes généraux du diagnostic , permet au lecteur de ne jamais perdre de vue le
s. Comme le dit Foucher lui-même dans sa préface : « les problèmes du diagnostic sont presque toujours complexes, et nos descripti
ionnels dont la description n'a pas dû nous arrêter. » Le Traité du diagnostic des tumeurs, de M. A. Després, qui forme la secon
gnostic des tumeurs, de M. A. Després, qui forme la seconde partie du diagnostic des maladies chirurgicales, se divise lui-même en
se divise lui-même en deux sections principales : l'une consacrée au diagnostic des tumeurs en général, l'autre à celui des tumeu
tte difficulté se présente à l'esprit de celui qui ouvre le Traité du diagnostic des tumeurs, mais il semble que M. Des-orés ne l'
xposé dans la première partie de l'ouvrage. En résumé, le Traité du diagnostic des maladies chirurgicales s'offre au public médi
atation pure et simple d'un polype dans la cavité du larynx serait un diagnostic tronqué et insuffisant. On ne saurait tirer de co
rdite ulcéreuse : le reste de l'observation montrera la vérité de son diagnostic . Le soir. P. 120; T. 40°,6. 13 février. La di
on par l'électricité d'une tumeur fibreuse........... 125 Traité du diagnostic des maladies chirurgicales par Foucher et Despr
70 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
uste et cruel ? Avec la doctrine que semble professer M. Luys, le diagnostic démence, justifierait le divorce, avec celle qu
fâcheux ne se réalise pas ». Ces fausses démences compliquent le diagnostic et eu rendent la certitude impossible, car comm
con- tinue, je ne connais aucun signe différentiel autorisant le diagnostic . En présence donc d'un aliéné, offrant, même de
NIQUE MENTALE. Seuls, les signes perçus par raisonnement font les diagnostics différentiels. Que dire maintenant du diagnosti
nement font les diagnostics différentiels. Que dire maintenant du diagnostic de l'étendue des pertes subies par l'intellect
, le 24 janvier, Brug... était en proie à une vive agitation; et le diagnostic « manie » fut porté. Le certificat de quinzaine
ternatives de rémissions et d'exacerbations et, en octobre 1872, le diagnostic démence fut porté. Les prin- cipales notes rela
re, qui se contredit d'un moment à l'autre, suffit pour porter un diagnostic que viennent confirmer les symptômes propres à la
hondrie , hysté- rie, etc.), soit par une cause locale échappant au diagnostic (névralgie, paralysie, épilepsie, hystérie, hyp
qu'il a faites antérieu- rement sur cette maladie. Pour faire le diagnostic de tabes, il n'est pas besoin qu'un malade prés
c la présence de douleurs à caractère spécial permet d'éta- blir ce diagnostic d'une façon certaine. Un des symptômes précoces
'est là une donnée impor- tante puisqu'à elle seule, elle exclut du diagnostic un certain nom- bre d'affections organiques; ce
s et des hommes faits est soumise à des anomalies qui en rendent le diagnostic très difficile. Tantôt c'est une apoplexie av
n que dans plusieurs observations rapportées par M. Chantemesse, le diagnostic n'a pu être fait qu'à l'autopsie. On jugera par
'elles méritent, les lé- sions corticales, M. Chantemesse aborde le diagnostic des formes anomales qu'il a si bien étudiées. R
e, jusqu'au jour où des accidents cépha- liques viennent assurer le diagnostic ; 4» la forme hémiplégique avec ou sans aphasie,
attentif et minutieux de tous les phénomènes a permis de rejeter le diagnostic épilep- sie et d'affirmer que nous étions en pr
le, il existe des signes qui permettent d'établir avec certitude le diagnostic diffé- rentiel. Ces données, que nous avons déj
cidents ait provoqué des hésitations, tant s'impose avec netteté le diagnostic hystérie. Si cependant l'on veut bien se report
erche de la température peut donc être considérée comme un moyen de diagnostic de premier ordre dans les cas embarrassants. Le
nvulsives comme Rosa G..., celui-ci trouverait un nouvel élément de diagnostic différentiel entre l'é- pilepsie et l'hystérie
ritablement étonnant d'attaques. Voilà, en somme, trois éléments de diagnostic dif- férentiel d'une importance capitale. Ce qu
oppements, nous pouvons conclure qu'à côté des cas dans lesquels le diagnostic différentiel entre l'hystérie et l'épilepsie pe
pilepsie peut être fait aisément à l'aide des éléments habituels de diagnostic (effets de la compression ovarienne, du bromure
d'ambition; la terminaison est presque constamment fatale.1 - , * Diagnostic . Difficile à la période d'inquiétude, il est aisé
même impbssibie'quan'd le`temps d'observation est limité; '"6° Ce diagnostic repose avant tout'sur ]es éléments de f'étiologié
ant la part de l'habi- luté plus- grande des médecins dans l'art du diagnostic , et de leur jugement, général à notre époque, s
é, d'où il ert transféré à l'asile, en août 1881. On porte alors le diagnostic de folie systématique hallucinatoire. 11 en sor
soir, la température est des plus normale, de telle sorte que tout diagnostic reste impossible jusqu'au 4 ! >; ce jour-là,
une lésion corticale du cerveau, et encore moins l'épilepsie. Le diagnostic d'hystérie à convulsions jaksonniennes avait été
es (température et autres) qui seuls peuvent permettre de porter le diagnostic nosologique. Arrivés au terme de ce travail, no
gnificatifs, mais qui serviront aussi, pour leur part, à établir le diagnostic de la nature hys- térique des accidents (ouvert
i ; seule, la sensibilité tactile resta un peu diminuée. Quant au diagnostic , l'auteur, après avoir examiné les différentes hy
s; la mort eut lieu par suite de dyspnée avec oedème pulmonaire. Le diagnostic se base sur l'intégrité du cerveau et de la moe
e la parésie des extré- mités gauches, tous accidents permettant le diagnostic de proces- sus bulbaire progressif, mais ne don
r coïncidence avec les violences exercées permettent de formuler le diagnostic d'épanchement sanguin, consécutif au traumatism
perturbation considérable du sens des couleurs, sur l'ceil gauche. Diagnostic . Tumeur (de la base ? ) occupant l'angle antéri
nouit devant les mêmes représentations. M. Kirchhoff insiste sur le diagnostic porté, et sur J'énergie du simulateur qui sut s
que, épileptique, paralytique, vésanique, etc.), au point de vue du diagnostic , du pronostic, du traitement et de la médecine
ent. Ces allures permirent à l'auteur de songer, tout en portant le diagnostic paralysie générale, à l'existence d'une affection
rg) lit un Mémoire, intitulé : Contri6u- tion à la pathologie et au diagnostic de la formation de cavités dans la moelle. 11 s
e, lorsque le malade sort de l'asile (il n'a encore que 29 ans), le diagnostic se formule par ces mots : « Démence épileptique
M. Sénator procède à sa communication annoncée : Contribution au diagnostic des lésions prolubérantielles. Ce mémoire sera pu
V, XVI, XX, passent brièvement en revue l'anatomie pathologique, le diagnostic et le pronostic, les causes elle trai- tement d
71 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oignée pendant 8 jours il l'hôpital Trousseau où on aurait porté le diagnostic « torticolis. » Quinze jours après sa sortie de
lle a été opérée, nous dit .Il. le 1) Monod dans une lettre, sans diagnostic précis, et pour essayer d'obtenir une décompres-
seur Brissaud. Un mois après, bien qu'il y ait eu hésitation sur le diagnostic et en vue de décomprimer le cerveau, M. Moxoo a
tiges par symphyes salpingo-pharyngiennes Notions nouvelles pour le diagnostic et le traitement des vertiges ; par le Dr ROUET
tions visuelles sur les hallucinations auditives rend en général le diagnostic facile entre le delirium tremens et l'hallucino
hérédité. Parla, l'emploi du la suggestion hyp- notique facilite le diagnostic et constitue un procédé très prati- que pour ar
France une affection dont l'intérêt est capital au point de vue du diagnostic et du pronostic. Citons encore comme particuliè
écises. Des chapitres distincts trai- tent de la pratique médicale ( diagnostic , traitement, assis- tance), de la pratique médi
o-réaction et sur- tout la ponction lombaire facilitent beaucoup le diagnostic . A l'autopsie des enfants morts au milieu d'acc
t souvent méconnu et qu'on doit lui faire une certaine part dans le diagnostic des tumeurs cérébrales. Les kystes des méninges
iplégie coïncidant avec des troubles trophiques et vaso-moteurs. Le diagnostic exact de la (1) SA'm. f/&frcy6 ? cer ? e)tf
lent rapidement, disparaissent de même après avoir été extrêmes. Le diagnostic s'appuie sur la décoloration temporale des deux
t un malade cher qui la pré- cocité de la sclérodacty lie rendit le diagnostic difficile au début. Maladie de 7cc ? NMM)t. ave
cevait toutes les caracté- ristiques d'un malade, et faisait un bon diagnostic . Tous les symptômes, tous les signes, étaient i
per- çus, coordonnés dans son cerveau, examinés, critiqués, et le diagnostic le plus exact possible était établi. Son ensei-
des médecins militaires au double point de vue, de la difficulté du diagnostic clinique et de sa ressem- 158 VARIA. hlancc
it pas d'autres indications. La malade arrive à la Clinique avec le diagnostic d'épilcpsie. Pas d'alcoolisme. Etat actuels S ?
choréiformes, rapides, instantanés, de notre malade, im- pose le diagnostic de chorée électrique. Cette catégorie de chorée
ents conjugués de latéralité. Dans les deux cas qu'ils publient, le diagnostic fut porté de localisation centrale dans la calo
pas cependant un phénomène pouvant trancher d'une façon absolue le diagnostic entre l'hystérie et une )c ! -ion organique tou
es des munies oculaires, lésions cardiaques, et concilient ( que le diagnostic , différentiel d'avec un grand nombre d'autres a
terme de paraplégie spasmodique). M. Piéry s'appuie pour faire le diagnostic de tétanie, sur l'exis- tence de crises fréquen
t 5e paires sacrées, mais on fut dans l'impossi- hilité de faire le diagnostic de la nature de la lésion, et la ponc- tion lom
rofesseur Rohmcr et analysée lrar : 11. l1ernheilll qui rejetant le diagnostic tl'hysL{I'o-lr'aumal¡sl11e attribue lus troubles
, l'anatomie pathologique de cette malformation, les difficultés du diagnostic que la ponction exploratrice seule peul confirm
es aiguës et chroniques, l'anatomiepatho- logique, puis la question diagnostic et traitement. Il insiste sur l'importance du t
érose de la rétine elle-même, qui permet. 232 BIBLIOGRAPHIE. le diagnostic précoce de l'arttrin-·cli·rnse crt·boalc. Le nerf
ge des inclusions il. la culloïdinu et il la paraf- fine. Pour le diagnostic rapide et pratique des ail éral ions du système
que les chiffres jusqu'à 100. Ce malade qui à son entrée portait le diagnostic « d'idiotie » pourrait être classé parmi les ar
en cellule. A l'entrée idiotie complète; aujourd'hui on poserait le diagnostic : imbécillité. 1903- - Les progrès sont lents,
ge), renvoyée de l'école. Emission inconsciente d'urine. D'après ce diagnostic , il était permis de douter d'une grande amélior
" série, 1903, t. XXI. ? 0 306 clinique mentale. La question du diagnostic des psychoses traumatiques implique tout d'abor
d'une propagation directe. Malgré cela, il peut servir de moyen de diagnostic entre les pa- ralysies générales centrales et l
sclérose en plaque, mais l'examen histologique n'a pas confirmé ce diagnostic . L'atrophie de la corne antérieure a joué sans
ons orales. - lie Séance : 1" Insuffisance cortique (Symp- tômes et diagnostic ). Tétanos (Symptômes et diagnostic). Questions
fisance cortique (Symp- tômes et diagnostic). Tétanos (Symptômes et diagnostic ). Questions restées dans l'urne : 1° Complicati
2° HéLenliond.l11'ine, Complications de la rougeole. 2" Séance : 1" Diagnostic delà tuberculose pulmonaire au dé- but. Fistule
2° Varioloïde (causes, signes et marche de la maladie) - Signes et diagnostic de la hernie étranglée. z Séance : 10 Symptômes
es et diagnostic de la hernie étranglée. z Séance : 10 Symptômes et diagnostic de la pleurésie franche aiguë. Symptômes, diagn
0 Symptômes et diagnostic de la pleurésie franche aiguë. Symptômes, diagnostic et traitement des fractures de côtes. Questions
fractures de côtes. Questions restées dans l'urne : 1" Symptômes et diagnostic des anévrismos de l'aorte, tumeur blanche du ge
u genou ; 2° Appen- dicite (médecine et chirurgie). 4" Séance : I Diagnostic de l'anévrisme de la crosse de l'aorte. Diagnos
ns l'urne : 1" Appendicites (médecine et chirurgie) ; 2° symptômes, diagnostic et terminaison delaphelgmatiaalbadolens, Diagno
2° symptômes, diagnostic et terminaison delaphelgmatiaalbadolens, Diagnostic et traitement des hernies étranglées. Nombre de
gereux pour lui-même et pour les' autres, diriger sur Sainte-Anne. ( Diagnostic hésitant entre simulation et état délirant vrai
lle des névroses traumatiques. Il y a lieu cependant de réserver le diagnostic au sujet des vertiges épileptiques, bien que, d
almique. C'est un obstacle infranchis- sable que celui d'établir un diagnostic différentiel entre l'épilepsie visuelle sensiti
ux, ont ainsi dressé le tableau de quaranle-six observations, où le diagnostic de labes paraît certain. Ils ajoutent une obser
nduit, malgré quelques symptômes aberrants d'al- lure tabétique, au diagnostic de sclérose latérale amyo- trophique que nous d
de la maladie de Charcot. Si donc nous devons malgré tout porter le diagnostic de paraly- sie générale associée, nous ne pouvo
sé, nystagmus intermittent et mouvements choréiformes. D'après ce diagnostic , il est facile de comprendre que l'état général
ntement niais, de satisfaction béate. Il est un élément précieux de diagnostic entre divers états psychopathiques et différenc
72 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
une pierre ; du sang s'écoula par le nez et la bouche ; on porta le diagnostic de fracture du crâne. Durant trois mois, l'eufa
u premier abord on pourrait penser à l'onyxis syphilitique, mais ce diagnostic ne résiste pas à un examen sérieux. On ne peu
tance du gonflement t et l'élude radiographique permettent seuls un diagnostic précoce. Enfin l'affection peut s'installer ins
fonds des valeurs anthropométriques de ce sujet. 20 BERTOLOTTI Diagnostic . Les symptômes cardinaux que présente cette malad
rs hypophysaires; à tel point que l'on a prétendu en faire un signe diagnostic différentiel (Hoffmann, Falta, Kummel, Burnie,
tion sus-hypophysaire. ' Nous sommes aujourd'hui au point de vue du diagnostic roentgen- logique des tumeurs de la base du crâ
a base du crâne, tellement avancés de façon à pouvoir poser même un diagnostic différentiel entre les tumeurs siégeant t dans
ioi- sl1lage. Mais il y plus : il est certain par exemple que le diagnostic radio- logique est différent entre les cas typi
ous avons contribué dans plusieurs travaux à démontrer la fixité du diagnostic radiologique dans les formes acromégaliques con-
ont très importants pour la contribution qui nous ont porté pour le diagnostic différentiel entre les tumeurs sus-sellaire, so
e la tige hypophysaire sur la tente de l'hypophyse. Posé ainsi le diagnostic de siège de tumeur de la tige pituitaire, il est
est toujours positive dans les formes acromégaliques. Ainsi posé le diagnostic de tumeur de la tige pituitaire et constatés les
es organes internes est complètement négatif. Nous avons formulé le diagnostic de spasme tonique de nature hysté- rique de l'o
énin, ne s'est localisé qu'aux paupières et aux conjonctives, et le diagnostic n'en était guère possible que grâce à la no- ti
le corps, et particulièrement abondantes au tronc et au thorax : Le diagnostic de maladie de Reckliughausen s'impose. Elle aurai
tion et il n'existe aucune démangeaison, ce qui est un élé- ment de diagnostic important. Au commencement de 1912 le malade, q
pas suggestible ; mais il pensait lentement et avec difficulté. Mon diagnostic fut qu'il s'agissait d'un simple cas de tension m
e ou du conduc- teur centripète. 1 Outre que nous devons faire ce diagnostic topographique par exclusion, sa certitude est p
ceux qui dépendent des nerfs moteurs, contribue à faire accepter le diagnostic 164 ' BARRAQUER topographique que j'indique.
gressive primitive et de névrite périphérique. Je n'insiste pas, le diagnostic est facile en raison des phénomènes concomitants
itue, dans bien des cas, en même temps qu'une importante méthode de diagnostic , un moyen à retenir pour juger de l'opérabililé
sociation alhumino- cytologique « a une certaine importance pour le diagnostic des compres- albumino-cytologique au cours des
qu'en cas d'insuffisance ou d'échec de l'opération palliative. le diagnostic et le traitement des tumeurs hypophysaires, du gi
tenir à l'extérieur de ces extrémités, on serait enclin à porter le diagnostic de syndactylie pure. L'examen du squelette, prati
c aphasie motrice, ou sen- sorielle, qui suggéraient tout à fait le diagnostic d'une altération organi- que des centres cérébr
rs, même les plus dis- tingués, se montrent très perplexes entre le diagnostic d'hystérie et celui d'une affection vaso-motric
du néoplasme, immédiatement après l'autopsie, a déjà con- firmé le diagnostic que l'on pouvait poser d'après l'aspect macroscop
s endothéliales et des corpuscnles calcaires nous engage à poser le diagnostic anatomique suivant : Il Endothelioma psarmnorna
e ces longues rémissions que nous avons observées. El puis, de deux diagnostics en présence, on préfère clioisir celui dont le
re à une guérison définitive et ébranler quelque peu la solidité du diagnostic . Ces guérisons, même passagères, semblent en ef
e, tout en atté- nuant la rigueur du pronostic. Pour concilier le diagnostic anatomique avec ces longues et intéres- santes
, a été trouvée vagabondant et internée à l'asile Marentza, avec le diagnostic d'épilepsie. Dans les actes de son internement,
8), d'ailleurs dis- cutables. Sur quoi d'ailleurs se fonderait le diagnostic d'acromégalie : il n'y a aucun signe hypophysai
donc, excepté dans des cas très peu nombreux, aucune valeur pour le diagnostic différentiel. Le symptôme de la papillite est p
marquées. Ces dernières n'ont donc qu'une assez faible valeur comme diagnostic différentiel et l'on peut dire la même chose de d
plus mauvaise. Ce phénomène est donc certainement sans valeur comme diagnostic différentiel, car la prédominance de l'usage de
comme les autres phénomènes déjà décrits, que peu de valeur pour le diagnostic différentiel. S'ils sont aussi présents dans le
vons essayer de combler, autant que possible, cette lacune de notre diagnostic par une anamnèse très serrée. Cette der- nière
arté (ce qui n'est cependant pas la méthode de choix pour porter un diagnostic exact). On devrait ainsi s'attendre peut- - êtr
lie interne, deux cas certains, un cas douteux.. Hystérie, un cas à diagnostic certain, deux cas avec symptômes pres- que uniq
quels, sur une base purement clinique, on ne pouvait porter d'autre diagnostic - pourtant erroné - que d'épilepsie essentielle
'en trouve seule- ment 30, peut-être encore moins, pour lesquels le diagnostic est vraiseni- blablement juste ou, en d'autres
que nous devrons chercher i< l'avenir les moyens auxiliaires de diagnostic différentiel, mais malheureusement on ne sait q
se de la pathogénie ; ils sont donc tous sans aucune valeur pour le diagnostic différentiel. On a déjà beaucoup publié sur la
ractère et la démence secondaire ne peuvent servir comme élément de diagnostic différentiel. 2° L'épilepsie cérébrale se produ
men minu- tieux on vérifie l'absence des éléments qui confirment le diagnostic de ces états morbides. Ces épilepsies curable
73 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
ceci va nous donner des documents très importants pour discuter le diagnostic de l'acromégalie. Dans la mensuration des diver
me. Ainsi que l'arrêt de la croissance ne suffit pas à justifier le diagnostic d'infantilisme, l'accroissement normal de la tail
suffisants, et assez accusés, pour caractériser l'acromégalie. Le diagnostic de cette maladie se résume,en définitif.dans une
s de l'ostéomalacie sénile et chez laquelle nous avons fait le même diagnostic . . Nous ne possédons malheureusement pas l'obse
es fléchies. Cette malade succombant, nous avons pu confirmer notre diagnostic , et il nous a été permis de pratiquer l'examen
es auteurs allemands, ontétudié la séméiologie, porté ou discuté le diagnostic , recherché l'anatomie pathologique de l'affection
du 10 juin 1909, p. 593. xxiv 7 98 DEVAUX ET LOGRE établir le diagnostic différentiel entre la presbyophrénie et la psycho
ndividualiser, il dissocie et généralise. Au lieu de restreindre le diagnostic de Presbyophrénie, à une forme clinique de la d
erme de passage, un instrument de perfection, et comme le gage d'un diagnostic plus complet. Conclure à la Preshyophré- nie, c
dividualité légitime, mais qui est susceptible d'égarer' parfois le diagnostic . Ces vieillards affaiblis qui confabulent (obs.
le à Lige de la démence sénile, el l'on pourrait se contenter de ce diagnostic , si l'examen systématique des réflexes ne metta
eptique, ou même d'une paralysie générale au début, certains de ces diagnostics pouvant d'ailleurs s'associer, En thèse générale,
nique évoluer parallèlement t à l'ictère ou à l'albuminurie (3). Le diagnostic différentiel est, dans tous ces cas, d'autant p
iation et de l'immobilité du dos. La malade est morte le 14 mai 1905. Diagnostic clinique : tabes dorsalis, spondylose rhizoméli
mourut le ler mars 1909. Il séjourna à l'hôpital pendant 29 jours. Diagnostic clinique : Spondylose rhizomélique. Tuberculosis
e et aux articulations affectées. Il est malade de- puis 4 ans 1/2 ( Diagnostic , : Spond. rhizomélique). Anamnèse. - Le père du
et dans les articulations des épaules. Il est malade depuis 5 ans. Diagnostic : Rhumatisme chronique ankylosant. Anamnèse.
e pathologique, etc.. Nous nous arrêterons plus spécialement sur le diagnostic différentiel. Symptomatologie. 1° Cette malad
uel- conque de la moelle épinière, nous avons porlé tout d'abord le diagnostic : Arthropathie avec fracture du col du fémur pr
Guillain et ALQl11EII, Loc. cil. (6) G. PHICE, Adipose douloureuse. Diagnostic et Pathogénie. Philadelphie Soc.Neu- rol., 1908
Evreux en 1870. Le certificat de transfert (Sal- pêtrière) porte le diagnostic d'imbécillité avec épilepsie et cécité. La cécité
appelé crut avoir affaire il un alcoolique et nous l'envoya avec ce diagnostic . z F. est complètement désorienté sur le temps
celui-ci à penser alors déjà à cette possibilité et à en assurer le diagnostic . Elles pourront alors être opérées naturellement
plasme et l'inutilité d'une intervention chirurgicale : ce moyen de diagnostic ne devrait jamais être négligé. La ponction des
r, âgé de 29 ans, entre à l'asile d'Amiens le 17 juin 1910, avec le diagnostic : confusion mentale hallucinatoire et aphasie.
si exacte sur certains visages que le médecin n'hésite pas dans le diagnostic . D'ailleurs chaque personnage est souligné d'un
spaces sous-arachnoïdiens. L'histoire clinique est très obscure. Le diagnostic n'a pas été fait : dans le second cas on a pens
sseur Raymond pour syndrome d'hypertension intra-crâniennr, avec le diagnostic de tumeur céré- brale. Deux ans auparavant, tro
importance et peuvent être d'un grand secours dans la recherche du diagnostic exact. Voici l'observation du cas : i Observa
e, la cypho-scoliose sont des caractères qui suffisent à établir le diagnostic . Il me semble donc inutile de rappeler aussi le
ussi les autres symptômes existant chez notre malade et discuter un diagnostic différentiel, la conclusion n étant déjà éviden
nce précoce. Et l'on n'aurait pas la moindre hésitation à porter ce diagnostic si l'on ne connaissait pas l'évolution antérieure
formes, on peut se rendre compte de la difficulté de ce problème de diagnostic . Kroepelin lui-même a relevé à ce sujet, dans s
, qui a un rapport avec la maladie de la spondylose rhizomélique. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL En nous basant sur les faits que n
rvés et sur la littéra- ture de la question, nous allons étudier le diagnostic différentiel de la 244 1 BLDAHOFF Conclusio
la spondylose. Nous en parlerons avec plus de détails en faisant le diagnostic différentiel de la spondylose rhizomélique et des
ernière maladie, le nodule n'a pas une valeur pathognogmonique ; le diagnostic histologique de rage ne peut être porté qu'aprè
E PAIT LÉSION PÉRIPHÉRIQUE 311 Pour ces raisons nous éliminerons le diagnostic de tumeur cérébrale; de façon absolue pour ce q
typique, vu l'absence des déformations du côté des extrémités ; son diagnostic ce- ci) J'ai mesuré la mâchoire inférieure de 7
rfs crâniens, faisant penser à une tumeur, ne font que confirmer le diagnostic . À notre grand regret, le crâne n'a paspu être
essita des cautérisations répétées. Caractère impressionnable. Le diagnostic porté avait été : Tabès spasmodique atypique, abo
que peu précis et les manifestations de ces états atrophiques. Le diagnostic neurologique se propose de parvenir à la connaiss
rme. Il était donc, dans notre cas, impossible d'arriver à poser le diagnostic d'atrophie médullaire et c'eût été même un cont
ontre-sens logique que de chercher à l'établir, La possibilité d'un diagnostic d'atrophie ne saurait être admise que dans les
eur des os. La simple inspection de notre sujet permet de porter le diagnostic d'achon- droplasie. On ne peut songer au rachit
aud ou de Lorain ; la micromélie fait éliminer le nanisme banal. Le diagnostic de nanisme achondroplasique s'impose; macrocéphal
philis. Tous deux sont morts rapidement d'affections aiguës dont le diagnostic rétrospectif est difficile poser. Ils avaient u
ssent pas, les lésions elles ma- nifestations thyroïdiennes. 111. Diagnostic . Reste à situer ce syndrome clinique, à détermi
ander quelle est celle qui a été primitivement atteinte ; et un tel diagnostic n'est guère compromettant. Il est vrai que pour
ickulicz avec hypo-ovarie, hypothyroïdie, hypo-épinéphrie ; mais le diagnostic qui s'imposait chez son malade était celui de s
observa- tions de Leriche et Cotte, utilisée dans notre chapitre de diagnostic . Le point le plus discuté parmi les effets de l
pantes qu'on pourrait confondre les deux observations (1) et que le diagnostic fut posé dès que nous vîmes le malade. Les lési
de l'hypophyse... L'autopsie et l'examen histologique confirment le diagnostic clinique, les altérations pluriglandulaires étant
re, il pensera à une insuffisance des surréna- les. Il résumera son diagnostic sous le nom d'insuffisance de trois glandes vas
o- carpienne est complète, l'impotence est absolue. Nous portons le diagnostic clinique de luxation ancienne du semi-lunaire,
ortons le diagnostic clinique de luxation ancienne du semi-lunaire, diagnostic confirmé par la radio- graphie. Radiographie.
est pratiquée à une date rapprochée de l'accident en vue d'aider au diagnostic . Elle peut avoir disparu s'il s'agit d'une radi
74 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
impossible, si les renseignements sont incertains, d'é- tablir un diagnostic . Le cas ci-après nous paraît être une de ces dé
ubstance grise sont largement inté- ressés. C'est, nous croyons, un diagnostic des plus 58 PATHOLOGIE MENTALE. rationnels ;
e phé- nomène altéré : cela transforme à mon avis complètement le diagnostic médical. Suivant que nous attribuons le trouble d
aggravent. Le malade meurt le 24 juillet. Autopsie impossible, mais diagnostic confirmé par Charcot et Nothnagel. Obs. IL -
nes que comporte la fonction et leur décours dans le temps; - 9° Le diagnostic local des lésions cérébrales est, en temps que
1889, il arrive au chiffre de vingt-six cas positifs. L'examen des diagnostics formulés nous permet de penser qu'il s'agissait s
maladies. Le chapitre IV traite de l'étiologie, le chapitre V du diagnostic , le chapitre VI du pronostic, le chapitre VII de
insisté sur les analyses symptomatiques du maître, ses procédés de diagnostic , ses méthodes de traite- ment. A cette époque,
ne part ce qui a trait à l'anatomie pathologique, l'étiolo- gie, au diagnostic et au traitement considérés en général, d'autre
oses, des types cliniques ainsi déter- minés, et des difficultés de diagnostic parfois soulevées en ces cir- constances. Peut-
non de série. La recherche de la toxicité urinaire est un moyen de diagnostic important et la connaissance de ce fait peut em
sque ces phénomènes constituent l'aura d'une attaque convulsive, le diagnostic s'impose. Lorsque l'au2,a de la mi- graine opht
z un sujet porteur de stigmates douteux, comment arrivera-t-on au diagnostic ? La question serait très importante pour le tr
inique qui parait être pathogno- monique', permettrait de porter un diagnostic sur l'hystérie. Mais, il est certain que, même
sont pas encore si complètes et si sûres, pour nous per- mettre un diagnostic certain. La forme hémiopique de l'amblyopie tra
rouve le dire de sa femme et déclare que c'est de nais- sance. Le diagnostic s'impose d'aphasie motrice incomplète par lésion
choses qui permettront d'apporter une précision plus grande dans le diagnostic des localisations et la nature des maladies aus
tout appréciée au point de vue de la lumière qu'elle a jetée sur le diagnostic des maladies cérébrales et les moyens de les tr
t approprié des lésions chirurgicales, c'est-à-dire de celles où le diagnostic des localisa- tions aide plus ou moins les indi
lativement restreint à leur égard. Nous pouvons faire le redoutable diagnostic d'une façon trop certaine, et nous pouvons indi
que ; c'est une amblyopie alcoolicotabétique. La marche confirme ce diagnostic ; début graduel, amélioration par intervalles a
le croyait; mais dans ce cas elles revêtent toujours les caractères diagnostics d'ab- surdité, de mobilité, de diffusion, de co
prouve une observation que lit M. Sé- glas. Aussi, pour trancher le diagnostic , les signes pathognomoni- ques habituels de la
tale. L'idée d'immortalité de son côté n'est pas plus nécessaire au diagnostic de délire des négations que l'idée de grandeur
e possession, d'immortalité même, n'est pas indis- pensable pour le diagnostic de ce délire de négation, lorsque l'on peut con
alysie qu'à la condition de le consi- dérer comme l'expression d'un diagnostic p;-ovisoi-e. M. Mégis. L'observation de M. Vall
ier a décrit sous le nom de syphilis pseudo-démente ou torpide : ce diagnostic eût mérité d'être détaillé; je ne vois pas la n
ÉGLAS. -Je ferai observer à M.Régis qu'il faut tenir compte pour le diagnostic de l'élévation de la température notée chez le
s points de vue de sa production, de son rôle symptomatique, de son diagnostic , de sa valeur séméiologique tant au point de vue
NERVEUSE. HOSPICE DE la SALPÊTRIÈRE. - M. CHARCOT CONTRIBUTION AU DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL ENTRE L'HYS- TÉRIE ET LES MALADIES
recueillies par le D' F. GHILARDUCCI, , de Fivizzano (ltalie). Le diagnostic différentiel entre l'hystérie et les maladies o
x du langage et de l'intelligence, etc. Dans cet ordre de faits, le diagnostic différentiel se réduit donc essentiellement à l
ief, il sera facile dans la plus grande partie des cas d'établir le diagnostic . 4 Travail de la clinique de M. le professeur C
moelle ou du cerveau. Et cette ressemblance peut être telle que le diagnostic devient incertain, sinon impossible. Ces diff
iagnostic devient incertain, sinon impossible. Ces difficultés de diagnostic , M. le D''Souques les a montrées dans son excel
t par les très grandes difficultés que présentait, croyons-nous, le diagnostic . Ces observations concernent : a). Quatre cas d
ncement de mai, 1-0 Gi... a été soumise à l'électricité statique. Diagnostic . L'observation de ce cas nous paraît extrême- m
rgeons pas artificiellement les teintes de ce tableau, c'est que le diagnostic d'épilepsie sensitive, par lésions de l'écorche
, nous aurions ainsi une démons- tration en plus pour appuyer notre diagnostic . Avant tout, nous ferons remarquer, en général,
xceptionnel, que nous ne croyons pouvoir le prendre comme base d'un diagnostic . d. - Aurait-on à faire avec la méningite chron
n issue. Nous nous croyons donc autorisé à maintenir dans ce cas le diagnostic d'hystérie. Cette observation nous démontre com
s. L'examen des viscères abdominaux donne des résultats négatifs. Diagnostic - 1° L'interprétation des crises convulsives, L
d'une lésion organique du cerveau. , Ce qui contribuait à rendre le diagnostic très difficile c'était la morsure de la langue,
cédent : si l'on s'en tient à l'examen de la crise en elle-même, le diagnostic d'une grave lésion organique s'impose. Si l'on
t des stigmates très nets de la névrose hystérique confirme notre diagnostic d'hystérie qui était basé sur l'étiologie et sur
ons générales au con- traire se sont améliorées considérablement. Diagnostic Le tableau d'une épilepsie motrice crurale est
respond à une lésion du lobule parencentral. Et tel en effet fut le diagnostic porté du premier coup, main- tenu pendant longt
up, main- tenu pendant longtemps. Cependant, même pour ce cas, le diagnostic d'hystérie peut être affirmé en se basant sur les
tions, nous nous croyons autorisé à émet- tre, même pour ce cas, le diagnostic d'hystérie. Pour ce qui est de l'étiologie de c
la soif. Du reste pas de trace d'aphasie sensorielle ou motrice. Diagnostic . - Ce cas nous offre un tableau extrêmement res
laires et s'impose davantage par sa gravité, l'on pourra ajouter au diagnostic de migraine ou d'épilepsie partielle, l'amblyop
t à des lésions qui vont devenir organiques. VI. Au point de vue du diagnostic des maladies nerveuses, l'amblyopie transitoire
périmètre la forme et l'étendue. L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. 445 Le diagnostic différentiel entre l'amblyopie transitoire et d
384.) 462 CLINIQUE NERVEUSE. prétation des symptômes, mais sur le diagnostic médical de cette malade. Mais aujourd'hui, aprè
'hystérie (Charcot, Rendu, Pitres, Dutil, Sou- ques). Ainsi donc le diagnostic d'hystérie ne nous semble pas douteux, mais rap
chille avec application d'un appareil; résultat nul. Je formulai le diagnostic d'athétose avec unpoint d'interrogation ( ? ).
, par Bins- wanger, 120; et droit, par Cullerre, 477. HYSTÉRIE, diagnostic différentiel entre l'- et les affections orga-
75 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e la science a acquis dernièrement tous les éléments nécessaires au diagnostic certain d'un microbe, du moment que nous pouvon
ade. La marche ultérieure de la maladie confirma complètement notre diagnostic quant à l'affection fondamentale et vint appuye
Des localisations cérébrales, rôles qu'elles peuvent jouer dans le diagnostic et le traitement. (Jour. de méd. et de chir prat.
épart de l'aura dans l'épilepsie jackson- nienne et permettent le « diagnostic régional » précis de l'affection en- céphalique
l'exoplillialmie, le goitre, la tachycardie permettant d'établir le diagnostic de maladie de Basedow. Conclusion : La maladie de
ux latéraux cérébelleux et des cordons de Goll sont ascendantes. Le diagnostic de la forme qui nous occupe ici est encore imposs
mort a interrompu le processus anatomique. Après avoir discuté les diagnostics de : myé- lite centrale hémorrhagique lombaire
vait pasprésenté de trouble de la parole au cours de son affection ( diagnostic douteux ? ). Un septième également renvoyé comm
s pas que c'est s'étayer sur une base bien fragile que d'établir un diagnostic sur la terminaison d'une ma- ladie ? On ne peut
t le tribunal et qui n'est jamais en définitive, qu'une question de diagnostic médical n'arrivât pas à ce tribunal, avec cette
érification ; il faudrait que les juges pussent, en un mot, opposer diagnostic à diagnostic. La conception eût été certainemen
il faudrait que les juges pussent, en un mot, opposer diagnostic à diagnostic . La conception eût été certainement grotesque, ma
village ils se piqueraient de médecine et opposeraient leur propre diagnostic aux rapports des médecins. Non, messieurs, je
médicaux, qu'ils s'en- foncent dans les profondeurs laborieuses du diagnostic ? Quelle sera donc leur attitude en présence de
er les réquisitions écrites du procureur, c'est-à-dire, en fait, le diagnostic des médecins ? Voilà donc les chambres du conse
eut simuler l'hémiplégie par lésion du cerveau ; les indications du diagnostic différentiel sont tirées dans ces cas de l'évol
i nous a fourni les résultats suivants. De loin, on peut faire le diagnostic de la paraplégie spasmodique, car on entend le
cile de suppléer par l'imagination. * Nothnagel. Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encé- phale basé sur l'etudc
ité pupillaire ou le ptosis en de semblables cas ne renverse pas le diagnostic clinique, pas plus que ces manifesta- lions ne
soit. D'ailleurs, il en est de même de l'ataxie locomotrice dont le diagnostic se fait plusieurs années avant la confirmation de
se puisse per- pétuer malgré l'absence de folie. Mais, avant que le diagnostic définitif d'un malade ou d'un prétendu malade s
, son repos ne saurait être troublé par des recherches relatives au diagnostic , si ce n'est à la requête du tribunal. 4° Un as
agner son salut, s'agite, et, de temps à autre, devient ma- niaque. Diagnostic . Folie systématique hallucinatoire aiguë. Huit
le laisser sortir. Je vais plus loin, et 314 varia. je dis qu'un diagnostic d'aliénation moniale n'est pas si facile que ce
on que la maladie soit d'origine parasitaire n'a pas de données'. Diagnostic . Nous avons vu que le symptôme le plus caractér
u sens de la température, plus souvent combiné à de l'analgésie. Le diagnostic est facile dans les cas oui) des troubles de se
nt masquer les symptômes caractéristi- ques fondamentaux. Mais le diagnostic est quand même possible; il ne faut pas oublier
anesthésie caractéristique de la gliomatose lèvent la difficulté du diagnostic . Il est plus difficile à faire, si l'on observe
ltération de sensibilité caractéristique, sans quoi bien entendu un diagnostic anatomique précis des cas semblables de- viendr
muscles, des articulations et probablement aussi dans les nerfs. Le diagnostic de la gliomatose doit être posé DE LA GLIOMATOS
orsalis. Il nous semble qu'on peut supposer trois alternatives à un diagnostic différentiel : 1)Thermanesthésie partielle av
(oculaires, perte du réflexe ro- tulien, douleurs, ataxie, etc.) le diagnostic : tabes ; 2). Thernianesthésie partielle (avec
, disposition par région, etc.) manque de symptômes, nécessaires au diagnostic du tabes; diagnostic : gliomatose de la moelle
n, etc.) manque de symptômes, nécessaires au diagnostic du tabes; diagnostic : gliomatose de la moelle épinière; DE LA GLIOM
locomoteur, sans symptômes diagnostiques de l'ataxie locomotrice diagnostic douteux. Dans les paraly- sies alcooliques (Kor
lade. Si je réussis par ma communication à faciliter à quelqu'un le diagnostic précoce d'un cas de gliomatose écrébro-spinale
souvent, n'est l'objet que d'un examen sommaire. VII. Pronostic, diagnostic , etc. Le pronostic de l'épilepsie procursive pr
l'épilepsie ordi- naire et par conséquent sont très variables. Le diagnostic nous paraît facile. Les accidents pro- cursifs,
érébro-spinal. Paris, 1865, p. 616. Nothnagel. Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encc- phale baie sur l'étude
vent montrer au milieu du sommeil nocturne. L'auteur insiste sur le diagnostic différentiel entre le paramyo- clonus multiple
daux de la moelle lombaire par névrite des racines postétiettt·es. Diagnostic : Myélite pure, dès l'origine interstitielle, mai
vaiion I. Paralysie musculaire de l'aeil, unilatérale niais totale. Diagnostic . Syphilis circonscrite du revêtement de la fosse
râne. Pas d'autopsie. Trois observations de paralysie nucléaire. V. diagnostic , étude critique. Pas d'autop- sie. Dans l'un de
pareille question. Messieurs, s'il s'agissait en effet d'un simple diagnostic à établir; s'il s'agissait d'un simple traiteme
malade. Il y a cette distinction capitale à établir : s'agit-il du diagnostic , du traitement, s'agit-il parti- culièrement du
nt impossible de donner au médecin, qui est souverain en matière de diagnostic , le droit de décision, le droit de tirer les co
ic, le droit de décision, le droit de tirer les conséquences de ce' diagnostic et de statuer à lui tout seul sur l'état et la
76 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
884, et a été vue par M. le professeur Charcot, qui a contrôlé le diagnostic rétrospectif. Pas un des trois auteurs pré- céd
amène son enfant en consul- tation chez M. Charcot, qui confirme le diagnostic . Etant donné l'état relativement favorable du s
strique artificiel. P. K. III. Contribution A la pathologie et au diagnostic de la formation DE CAVITÉS DANS LA MOELLE ÉPINI
e rotulien faisait défaut, ce qui a permis dès le début de faire le diagnostic confirmé d'ailleurs par la suite de la maladie.
constituer le seul signe du tabès, et donner lieu à des erreurs de diagnostic et à l'emploi d'un traitement spé- cialement di
leur intelligence; souvent même ils faisaient preuve, en matière de diagnostic , d'une habileté à laquelle il ne manquait que d
ent actuellement et M. Willis lui-même ne purent que con- firmer le diagnostic . La femme du malade, interrogée avec le plus gr
que d'habitude. M. Savage se déclare fort embarrassé pour poser un diagnostic ; s'il fallait absolument en donner un il inclin
L'autour pose, de concert avec une autorité médicale allemande, le diagnostic de dyspepsie nerveuse résultant de neurasthénie.
les plus nets de dyspepsie ; le traitement demeura inefficace, le diagnostic impossible. L'autopsie pratiquée par Recldiii2sha
nt. L'unique modification de la tonicité musculaire accessible à un diagnostic analytique et sûr, c'est son augmentation anor-
ital, le 13 septembre. Le* octobre, on la transporte à l'asile; son diagnostic d'entrée est ainsi for- mulé : affaiblissement
sions, malgré l'infiltration des centres moeurs. Il rappelle que le diagnostic est parfois possible, quand on sent des cystice
REUM conteste l'utilité de l'oplitlialmoscope comme instru- ment de diagnostic , dans l'espèce. M. LAXGREUTEK. Des cysticerques
té Allg. Zeitscle. f. Psych., 4 871), dans lequel on put établir le diagnostic pendant la vie. M. F. Falk. Sur quelques accusa
nir prouva la réalité des assertions de l'ora- teur et confirma son diagnostic : épilepsie. Le malade guérit au bout de six mo
r. C'est la teneur d'une riche expé- rience, d'une ample moisson de diagnostics et de méthodes thé- rapeutiques qu'il consigne.
mes le moment, de l'attaque pour être à même de mieux asseoir notre diagnostic . Effectivement, trois jours plus tard nous fûme
fournis par la malade et les phénomènes observés, conduisaient au diagnostic d'hystérie à forme convulsive. « Opposé à la po
é pratique de ce livre. P.M. VI. Contribution ophthalmologique au diagnostic des maladies du cerveau; par Hermann Wilbrand (
lequel il est du plus haut intérêt d'insister, au point de vue du diagnostic différentiel, qui sera surtout difficile pendan
l'existence de ces variétés de troubles. On conçoit déjà combien le diagnostic diffé- rentiel s'en trouvera éclairé. 174 CLI
amais ils exis- taient seuls, on pourrait immédiatement porter un diagnostic : car ils sont paihognomoniques, jamais ils ne
Nous croyons qu'il est maintenant nécessaire, avant d'établir le diagnostic , le pronostic et le traitement de l'affection q
faisait son service tout en proférant des mots obscènes. Quant au diagnostic , il y a lieu d'établir ici quelques divisions d
ent se joindre des cris inarticulés . A cette seconde période, le diagnostic devient déjà sensiblement plus facile, quoique
l'acmé d'une convulsion, le malade pousse un cri inar- ticulé ; le diagnostic , dans ce cas, est-il éclairé par ce nouveau sym
une foule de conditions contingentes qui ne permettront jamais au diagnostic de s'égarer, s'il était possible qu'il s'é- gar
culés avec écholalie et coprolalie. A partir de cette période, le diagnostic s'établit pour ainsi dire de lui-même. A l'occa
amment en mouvement; intégrité de la sensibilité; signe de Romberg. Diagnostic de Friedreich : affection médul- laire ; deErb
emble symptomatique, on doit user de la plus grande réserve dans le diagnostic . Un signe différentiel certain entre la dégénér
ême temps apparaissent des phénomènes cérébraux. Mort dans le coma. Diagnostic . D'abord, dégénéres- cence multiloculaire de la
ements ? Telle est la question la plus difficile à résoudre dans le diagnostic des traumatismes de la moelle épinière. L'hémat
. Petit en phénomènes primitifs et consécutifs pourrait servir au diagnostic . Une question importante à étudier ici, est de
mptomatique se modifie com- plètement. 312 PATHOLOGIE NERVEUSE. Diagnostic . Le diagnostic est-il toujours possible, et ave
modifie com- plètement. 312 PATHOLOGIE NERVEUSE. Diagnostic. Le diagnostic est-il toujours possible, et avec quels élément
e le malade n'y apporte aucune attention, nous devons avouer que le diagnostic immédiat est impos- sible, et si le malade succ
dans la littérature médicale, sur quelles bases on peut établir le diagnostic . La symptomatologie est très difficile à établi
Westphal lui rap- pelle qu'il a pendant la vie du malade formulé le diagnostic d'un 1 Voy. Archives de Neurologie, t. VIII, p.
niée; aucun signe, aucun commémoratif en permettent d'en établir le diagnostic rétrospectif. Chez 9 indi- vidus, un chancre mo
LEAU. (Thèse de Paris, 4885.) De l'épilepsie syphilitique et de son diagnostic différentiel avec l'épilepsie vulgaire ; par J.
e, épilep- tique, paralytique, vésanique, etc.), au point de vue du diagnostic , du pronostic, du traitement et de la médecine
com- lrlète du), 327, 33 ? . Maladies mentales ( difficulté de diagnostic ), 73; consécutives à une élévation de températu
- dies nerveuses et mentales. Ophthalmologique (contribution au diagnostic des maladies du cer- ' veau), par 1'illraml, 13
77 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e médecine, 1883, p. 254.) l'. Marie. Contribution iL l'étude et au diagnostic des formes frustes de 11 maladie de B(isedow. (
stème nerveux qu'il faut chercher la cause première du mérycisme. Diagnostic . Dans un des premiers chapitres de ce mé- moire
chever l'étude de ce point, nous citerons enfin un autre élément de diagnostic qu'un mérycole seul peut apprécier. « Ce qui me
rendre A l'encéphale ; par W. ERB. (Neurol. Centralbl., 1882.) Le diagnostic porté pendant la vie du malade que ce fait con-
tobre, alors qu'aucun phénomène hystérique n'était appréciable, le diagnostic pouvait être incertain. Aussi, M. Charcot, qui ob
ion de l'hé- mianesthésie droite, lui firent abandonner son premier diagnostic , et le portèrent il penser qu'il s'agissait d'a
ont montrés les phénomènes franchement hystériques. Aujourd'hui, le diagnostic ne saurait être douteux : nous avons affaire à
ntes. 131 La première série de 8,000 attaques offrait un élément de diagnostic de la plus grande valeur : l'absence d'élévatio
r M. Féré, et qui, de jour en jour, ont fait pencher davantage le diagnostic vers l'hystérie. Mais , ,durant la première pério
ement hystériques ne se soient pas mon- trés, et on concevra que le diagnostic serait resté singulièrement hésitant entre les
dépit des phénomènes hystériques permanents constatés chez elle, le diagnostic était resté hésitant. S'agissait-il réellement
ient de nous fournir la clef de 1 : J1 Il ¡iIBL ! O(,HAPII11 ? ce diagnostic délicat, en nous montrant que l'hystérie peut em-
: Signes et diagnostic' de la fièvre typhoïde; Eliologie, signes et diagnostic du phlegmon diffus; - Signes et diagnostic du c
de; Eliologie, signes et diagnostic du phlegmon diffus; - Signes et diagnostic du cancer de l'estomac; Signes et diagnostic de
on diffus; - Signes et diagnostic du cancer de l'estomac; Signes et diagnostic des anévrismes artériels du creux poplité. Ce c
ter de faire fausse route en présence de certains cas de tabes d'un diagnostic difficile. Nous faisons allusion à l'anaJotoh7a
nt moins bien connues qu'au- jourd'hui, on ne s'étonnera pas que le diagnostic ait été un instant hésitant. M. Vidal, en eff
analogues, qui avaient, du vivant du malade, prêté à des erreurs de diagnostic , ont été relevées. Je n'en veux pour preuve que
ions tenté de rapporter un troisième fait. Mais vu l'incertitude du diagnostic , dans le cas eu ques- tion, nous sommes tenu, à
ent avouéetde l'inefficacité de la médicationantisyphilitique, le diagnostic resta en suspens. - Il y avait quelques mois à
sans plus ample informé, un cas d'atrophie linguale tabétique. Le diagnostic , on le voit, peut être hésitant et il ne suffit
et ses recherches, et n'éliminer celle-ci pour s'arrêter à un autre diagnostic qu'après une sérieuse enquête. DE LIiE1\IIA'l
La feuille d'admission à l'hospice de la Salpêtrière porte comme diagnostic : Paralysie de la partie inférieure des jam- be
sinon tout à fait nul dans le processus pathologique. En portant le diagnostic de tumeur cérébrale, M. Charcot avait fait tout
s un grand intérêt et une grande valeur séméiologique, tant pour le diagnostic que pour le pronostic. Mais s'il est une affect
us ou moins transitoire dans la plupart des affections 1 Bary. - Vu diagnostic des lésion* des reins dans les affections des v
ciale il s'agit. , Ce qu'il importerait surtout de faire, c'est un diagnostic , mé- dical, ne nécessitant pas une exploration
etc.) et des sens spéciaux qui pourrait être très précieux pour le diagnostic , et, d'autre part, il n'est pas faitmention, da
s pures expressions symp- tomaliques zostériformes. Il en est de ce diagnostic différenciel comme de savoir distinguer une sca
ébuta par de la céphalalgie et de la diarrhée, ce qui fit porter le diagnostic de fièvre typhoïde. Plus lard, la lenteur REVUE
ion nocturne, la race méningitiqu", etc., permirent de rectifier le diagnostic . A l'autopsie, on trouva dans les poumons des t
parole qui ont notablement augmenté quelque temps ataut la mort. Le diagnostic , fait par exclusion des autres entités morbides
médecin circonspect, mais non pas le priver d'un excellent moyen de diagnostic et de traitement. On peut aussi craindre que le
BIER. Thèse de Paris, 1883. Note sur un cas de myélite chronique ci diagnostic douteux (sclé- rose latérale amyotrophique ou s
epsie en ravalant les aliments sans les mâcher, ce qui assombrit le diagnostic . Il en était ainsi dans le second cas de Pônsge
prématurée des accidents du décubitus. L'impossibilité d'établir un diagnostic s'explique par le mode de propagation de l'infl
dans le coma. La durée totale du processus (trois mois) élimine le diagnostic de la sclérose multiloculaire et de la dégénére
ractile, au plus fort des pertur- bations anatomiques, éliminent du diagnostic l'atiopliie muscu- laire progressive (poliomyél
ade serait prêt à sacri- fier une phalange digitale pour assurer le diagnostic . P. K. XXXVI. Contribution a l'étude des locali
lcoolisme. Sil'ophthahnoscope est impuissant à lui seul à donner le diagnostic de la paralysie pro- gressive, il nous apprend
1 fr. ; pour nos abonnés, 70 c. Marie. Contribution à l'étude et au diagnostic des formes frustes de la maladie de Basedow. Vo
78 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la véritable nature de la paralysie. Nous ne reviendrons pas sur le diagnostic anatomique, qui ne nous semble pas douteux ; il
montrent l'intérêt pratique des cas de ce genre au point de vue du diagnostic et du pronostic et leur connaissance est de nat
ie des mollels. Est-ce dû la dyslropbie musculaire progressive ? Ce diagnostic aurait pour lui : l'hypertrophie des mollets, q
muscles qu'innerve le sciatique poplité externe. ll n'y a pas de diagnostic possible. P. hrR.tv.tt.. XV. Un cas de chorée c
ste pas de lésions spécifiques de la paralysie géné- rale et que le diagnostic histopathologique de celte affection doit être
un cas à placer à côté de la folie imposée. P. Keraval. y, Sur le diagnostic différentiel de la maladie de Kor- sakoff ; par
x côtés. La ponction lombaire n'a montre aucune 1(,¡[(;41cylol', le diagnostic reste incertain. S'il y a tic mental, la méthod
ions librillaires et de réaction de dégénérescence jus- Cilieiit le diagnostic de poliomyélite à marche subaiguë. Hémiplégie s
nl aux muscles paralysés. 3131. Déjlhine et Thomvs discutent sur le diagnostic de la po- liom;2°lite anloiuure, sur la nalnm r
, en présence d'une nouvelle poussée cutanée, porta sans hésiter le diagnostic de svphilides papuleuses, et prescrivit aussitô
térations papillaires se forment. Bien peu nombreux sont les cas de diagnostic incertain relatif à l'origine de la papille étr
ttre une forme indépendante ; c'est surtout l'évolution qui juge le diagnostic . Les mêmes symptômes se peu- vent montrer en d'
des sinus. Le liquide élj¡'t\ esL hém')I'L'Il(\gic¡ue (CIIl'UII11) diagnostic ) ;Ij> lI1alalLies chro- niques du système ne
de penser à la paralysie générale. M. Vallon ne croit pas que le diagnostic de folie circulatoire soiL justifié, parce que
la constatation de la lymphocy tose les lit pencher vers ce dernier diagnostic , que la marche de la maladie, frèsamé- liorëed'
un ou plusieurs points douloureux qui facilitent ou corroborent le diagnostic . Drames de l'alcoolisme. Atteint de folie alcoo
uves du concours onL les suivantes : Question écrite : Symptômes et diagnostic de lo cirrhose alruphiquc. Symptômes, diagnosti
ite : Symptômes et diagnostic de lo cirrhose alruphiquc. Symptômes, diagnostic et traitement de la coxalgie. - Questions orale
: Indications el manuel opératoire de la llmrucenti,e ; 2e séance. Diagnostic et traitement des kemorrinmies utérines. BULLET
répétait à liante voix le même nombre pendant de longues heures. Le diagnostic semblait d'autant plus vrai- semblable que le s
et nous firent STÉRÉOTYPIE DES DÉMENTS PRÉCOCES. 210 rectifier le diagnostic clans le sens de la dégénérescence mentale. A
égénérescence graisseuse des cellules des cornes anté- rieures). Le diagnostic anatol1lo-pathologi<¡ue peut être formulé «
que, soit au niveau deson origine bulbaire, soit sur son trajet. Le diagnostic est en général facile,il doit être fait avec le
ut observer un bruit de galop; d'autres fois de l'angorpëctoris. Le diagnostic différentiel avec la tachycardie essentielle es
s accompagnement de troubles quelconques. Avant d'assurer un pareil diagnostic il faut se mettre à l'abri du la supercherie :
e de fièvre hystérique avec pseudo-affection viscérale qui est d'un diagnostic extrêmement difficile. L'erreur est possible da
spiration el l'inversion de la formule des phosphates facilitent le diagnostic . La durée de cette maladie est variable : une s
impossible de l'établir à cause de l'insuflisance de la science du diagnostic en matière de psychiatrie canine. , P. 11ERA\'.
il et surtout la présence de phénomènes d'anxiété paroxystiques. Le diagnostic est parliculièremcnldiflicile al ec le torticol
la réparation ; l'impossibilité absolue d'uriner ; la constipation. Diagnostic : all'ection du système nerveux léripltér iyuc pe
a- tatie de suicide. Le professeur Coudet arrive par exclusion au diagnostic de maladie de Dercum mais d'une forme exception-
chille d'un cote, troubles de la sensibilité cutanée) (assurent le diagnostic : observation à l'appui. Ces douleurs sont non se
syphilitique ne laisse pas d'être embarrassante au point de vue du diagnostic . Observa- tion à l'appui avec autopsie. La de
tion à l'appui avec autopsie. La dernière observation a trait au diagnostic différentiel de l'é- pilepsie alcoolique et de
190, no 38.) Cas intéressant surtout en raison de la difficulté du diagnostic dos phénomènes tetanifurmes que présenta le mal
de la physiologie normale et pathologique du système nerveux et au diagnostic des affections nerveuses. Elle permet en charge
: enfant* de 8 ans atteint de forme délirante et halluci- natoire. Diagnostic confirmé par examen ltistoloeiclue et inocula-
: homme de 3G ans, mort en trois jours de forme hydro- phobique. Diagnostic confirmé histologiquement et expérimentalement.
de l'examen après la mort. ' 4e Cas : Forme furieuse chez un homme. Diagnostic confirmé par inoculation et histologie; résulta
e la nuque, les glandes crises tétaniques typiques, confirmèrent le diagnostic . Le malade était entré à l'hôpital, en effet, pou
outre de la titubation, des vertiges et de l'oedeme-papillaire. Le diagnostic fut celui de tumeur de l'hémis- phère gauche du
ion honorable à M. le 1),- Henri à à l'asile de Yaucluse : Essai de diagnostic entre les états de débilité mentale. ' Prix A
n dont on dispose aujourd'hui,à la radioscopie en particulier, le diagnostic de la nature et du siège des corps étrangers da
enu par une intervention précoce et l'utilité de recourir pour le diagnostic il l'examen radioscopiquo, l'examen direct par
z les malades de M. Bour- 440 CHIRURGIE DES ALIENES. , ncvillc,le diagnostic causal des accidents ne put être fait qu'à l'au
e de si- gnes cliniques s'ajoute, pour augmenter la difficulté du diagnostic , l'absence de renseignements. Les sujets dé- me
ts les plus variés, se trouver aux prises avec les difficultés d'un diagnostic que, souvent, bien peu de 474 NÉCROLOGIE. ren
t épileptiques à Lyon, par Bourneville, 410. Ataxie cérébelleuse. Diagnostic dill'érentiel enlre 1' cérébel- leuse herédit
et diététique, 335. Kleptomanie. Voir Mutisme. KORSAKOFF. Sur le diagnostic différentiel de la maladie de , par Soukhanof
79 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nos constatations seront d'un appoint considérable pour établir le diagnostic et le pro- nostic des maladies mentales. Néan
se sont, dans ces cas, fort utiles et sou- vent même nécessaires au diagnostic différentiel..le re- trouve dans des notes anci
cas sont catalogués à tort « alcoolisme ». Il semble qu'en de tels diagnostics , le mé- decin se laisse influencer trop facilem
à la Maison de Santé de Ville-Evrard au mois de mars 190G, avec le diagnostic d'« al- coolisme subaigu avec impulsion iL la d
si l'on avait connu la symptomatologie de ces fu- gues, l'erreur de diagnostic n'eùt pas sans doute été commise. X. est réelle
et les préjugés populaires ne facilitent sou- vent à leur sujet des diagnostics erronés. Peut-être s'agit- il ici parfois de ci
sur les caractères même de la fugue. On songera, pour élablir le diagnostic différentiel des premières, aux états maniaques
omitances (crises convulsives,- stigmates), des fugues hystériques ( diagnostic généralement facile) et épilepti- ques (diagnos
s hystériques (diagnostic généralement facile) et épilepti- ques ( diagnostic souvent délicat). (A suivre.) REVUE D'ANATOMIE
après les renseignements peut être anormale : très difficile est le diagnostic de la simulation dans ce cas. à moins qu'elle n
sommes étonné de ne pas voir citer par l'auteur, comme élément de diagnostic , l'élévation de température signalée depuis long-
croit pas inutile d'insister sur les éléments qui aident à faire un diagnostic précis : ces éléments sont les suivants : 1° ex
étiologiquement et clini- quement aussi bien qu'au point de vue du diagnostic et du pronos- tic comme entièrement distincts d
hommes, mais elle est moins commune qu'autrefois dans les cas où le diagnostic porté est celui de paralysie générale ; 6° la m
environ un an avant l'entrée du malade à l'asile, on avait porté le diagnostic de sclérose disséminée. Après l'entrée à l'asil
ic de sclérose disséminée. Après l'entrée à l'asile, d'ailleurs, le diagnostic est demeuré quelque temps douteux, mais bientôt
signer à reconnaître qu'il est des cas de pathologie nerveuse où le diagnostic clinique est à peu près impossible. R. de Musgr
se en effet que le médecin aliéniste, en même temps qu'il posait le diagnostic exact, a soigné le malade en conséquence, l'a g
eux mois, y est interne pour la seconde fois au mois d'août, 11JO6. Diagnostics antérieurs : « Excitation maniaque, manie aigué
bre 1900 dans une maison de santé dont le médecin traitant porte le diagnostic de « neurasthénie psychi- que '. Périodes de st
re à la maison de santé de Ville-Evrard, le 4 juillet 1906, avec le diagnostic de « dégénéres- cense mentale », etc. La mère a
a maison de santé de Ville-Evrard, au mois de janvier 1905. avec le diagnostic de « dé- générescence mentale ». C est un débil
tre il la Maison de sanlé de Ville-Evrard en septembre 1905 avec le diagnostic de «Confusion mentale, idées hypocondriaques, hal
gues de notre malade VIII seraient des « fugues d'impulsion » si le diagnostic , de démence précoce se confirmait. Je renvoie à
sem- ble l'apanage des paralytiques appellent en quelque sorte ie diagnostic .il n'en est plus de même au début de la ma- lad
étées ; le sujet présente une véritable crise de mouvement inquiet. Diagnostic différentiel a) fugues d instabilité des dément
tic varie avec la forme.Les formes graves sont parfois mortelles.Le diagnostic est très difficile : il doit être fait avec l'é
Raymond insiste avec raison sur ces formes qui sont si souvent d'un diagnostic si difficile, particulièrement à la période pré
POINTE pense que la malade est hystérique. M. Colin incline vers le diagnostic de débilité mentale avec sclé- rose en plaques
tasie aortique. La radios- cupie et la radiographie confirmèrent le diagnostic d'ectasie aorti- que, à forme légèrement ampull
ence de tout signe organique amena AIAI. Charpentier et Babinski au diagnostic de phobie hystérique, diagnostic confirmé par l
a AIAI. Charpentier et Babinski au diagnostic de phobie hystérique, diagnostic confirmé par le traitement psychique. Acromég
ise contradictoire est un mythe ; en fait, elle n'existe pas. Ou le diagnostic de l'aliénation s'impose, et il n'y a pas lieu
que- ment et violemment à la douleur morale qui l'oppresse.» » Le diagnostic devient difficile dans les cas où les mala- des
s'sont troublées chez les déments précoces. Mais pour être sur du diagnostic , il faut faire des examens cliniques répétés, o
être pris en considération. C'est ainsi que Ziehen a pu établir un diagnostic très difficile chez un malade dont tous les phé
ter, fut le seul symptôme qui fit penser à la démence précoce. Le diagnostic s'affirma par la suite. Dans les cas difficiles
, stupeur etc). Quant ù la stupeur de la démence précoce et son diagnostic d'avec celle des lypéméniaques, nous n'a- vons
sthénie et le déficit'intellectuel se maintiennent et justifient le diagnostic de démence précoce posé par 11. le I)' L\\ 011'
'oeil atteint fonctionne dans la vision binoculaire, ce qui rend le diagnostic avec la simulation quelquefois très difficile.
tion, sur- tout quand il s'agit d'aliénés réclamant leur sortie. Le diagnostic de la dissimulation exige une observation perso
harles Nollen. Epreuve écrite de 3 heures : Pneumothorax; signes et diagnostic des fractures du, crâne. Res- taient dans l'urn
nce marquée du langage parlé et de l'incohé- rence paraphasique. Le diagnostic de katatonie ne paraît avoir ici aucune signifi
nées, non douloureuses et paraissant être des lipomes ; mais ici le diagnostic est demeuré douteux'en ce qui touche la paralysie
tre pour marquer notre ignorance, mais qui conduit à des erreurs de diagnostic et de pronostic des plus regrettables. D'après
mphocytose céphalo- rachidienne. La syphilis est peu probable et le diagnostic se pose entre le saturnisme et une poliomyélite
ne atrophie musculaire des quatre memhres : les au- teurs posent le diagnostic de polynévrite associée peut-être à de la polio
ts graves. 2° Epreuves orales : 1° Pneumothorax (étiologie, signes, diagnostic et traite- ment) : 2°anurie (causes, signes, di
ie, signes, diagnostic et traite- ment) : 2°anurie (causes, signes, diagnostic ) ; 3° accidents de la lithiase biliaire ; 4° fr
dans l'urne étaient : Com- plications de la rougeole et Symptômes, diagnostic el traitement du mal de Pott ; Diagnostic des i
la rougeole et Symptômes, diagnostic el traitement du mal de Pott ; Diagnostic des ictères et fracture du col chirur- gical du
ral les actes ne suffisent pas pour apprécier un état mental, qu'un diagnostic ne peut être posé qu'à la suite d'examens répé-
mal de Pott de l'adulte, est une cause de grandes difficultés du diagnostic ou d'erreurs cliniques, tous les syndromes de com
c..) ; il énumère ensuite les éléments qui per- mettent de poser le diagnostic de tuberculose vertébrale et con- clut enfin qu
80 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
r l'expérience, j'ai pu tout récemment, dans un cas obscur, porter un diagnostic qui paraissait bien hasardé aux praticiens étrang
iltrée, combinée, déposée, etc., etc. Rien de plus difficile que le diagnostic du cancer du rein; le plus souvent il n'existe au
u'on n'a de prise ni sur le mal local, ni sur la cause générale. Le diagnostic , difficile pour le rein gauche, l'est encore bien
ement gélatini-forme ; mais je ne me dissimulais pas l'incertitude du diagnostic , et je trouvais dans cette maladie quelque chose
il a fait naître dans mon esprit, me semble jeter quelque jour sur le diagnostic , si obscur en général, de la néphrite spontanée.
n des urines , les urines troubles, sanguinolentes, compléteraient le diagnostic . Je dois y joindre un mode d'exploration qui me
mode d'exploration qui me paraît propre à jeter un grand jour sur le diagnostic des maladies du rein. Généralement on explore le
difficile d'arriver, dans un certain nombre de cas, aune précision de diagnostic qui ne laisse rien à désirer, cherchons donc à ét
ation sont souvent, pour le thérapeutiste, bien plus importans que le diagnostic le plus matériellement positif sur le siège, et c
ée, avait prescrit un vomitif qui amena immédiatement l'hémoptysie. Diagnostic . Hémoptysie, suite de maladie du cœur ; peut-être
t de la gangrène en général s'augmente encore ici de l'incertitude du diagnostic . L'anatomie pathologique doit reconnaître son ins
lui l'injection intestinale à la gène apportée dans la respiration. Diagnostic . L'apoplexie de la moelle s'annonce-t-elle par de
ux qui résultent d'une compression de cet organe. Cette difficulté de diagnostic lui est commune avec l'apoplexie cérébrale que l'
l'apoplexie de la moelle avec l'arachnitis spinal. C'était même là le diagnostic que j'avais porté dans le cas qui fait le sujet d
s connues qui aient pu préparer de loin et provoquer cette maladie. Diagnostic . Tumeurs probablement de nature cancéreuse obstru
quer les sangsues, une fois à l'anus et une autre fois à l'abdomen. — Diagnostic . Affection abdominale. Mais quel en est le siège,
ons cadavériques, rapprochées des symptômes, confirment pleinement le diagnostic et s'expliquent réciproquement. L'affaissement,
sions, les moins connues peut-être de la chirurgie, les bases de leur diagnostic et de leur thérapeutique. Cancer alvéolaire (fi
naissance exacte, on est tous les jours exposé à de graves erreurs de diagnostic et de thérapeutique ! c'est pour remplir autant q
s d'hydropisies enkystées des ovaires, établir autant que possible le diagnostic différentiel de ces diverses espèces, et exposer
forme de l'abdomen. A l'aide de quels signes établirons-nous donc le diagnostic différentiel de ces deux maladies, diagnostic qui
établirons-nous donc le diagnostic différentiel de ces deux maladies, diagnostic qui n'est pas seulement intéressant comme théorie
ns domestiques et se plaignait depuis quelque temps de céphalalgie. Diagnostic . Foyer apoplectique très-considérable de la couch
ra peut-être à un hasard heureux la confirmation pleine et entière du diagnostic et du pronostic que j'ai portés au moment de l'en
issa dans l'incertitude sur le véritable caractère de cette tumeur. Diagnostic . Foyer apoplectique à droite n'intéressant que mé
naturel. La respiration inégale, alternativement lente et précipitée. Diagnostic : méningite sous-arachnoïdienne de la base avec a
e lendemain, la malade est tellement bien qu'on aurait pu regarder le diagnostic de la veille et le prognostic extrêmement grave q
es et le vin qu'elle n'aimait pas auparavant. Dépérissement rapide. — Diagnostic . Je soupçonne une affection cérébrale, quelque tu
t enfant est malade depuis quelques jours et qu'il a beaucoup vomi. — Diagnostic . Maladie cérébrale, peut-être tubercule ancien au
nquième. Des sangsues avaient été appliquées derrière les oreilles. Diagnostic . Méningite sous-arachnoïdienne de la base. (Saign
entérite folliculeuse aiguë ; et l'autopsie justifia complètement mon diagnostic . Dans l'un et l'autre cas, les méninges étaient m
valeur très-secondaire, et je n'attache que peu d'importance pour le diagnostic à l'existence comme à la non-existence de la doul
outes les boissons ; depuis plusieurs jours constipation opiniâtre. Diagnostic . Entérite folliculeuse aiguë sous sa forme la plu
e qui le conduit ajoute qu'il a un peu de délire depuis la veille. —• Diagnostic : Entérite folliculeuse aiguë sous la forme ataxi
e. A peine fréquence dans le pouls. Selles et urines involontaires. Diagnostic . Entérite folliculeuse suraiguë sous une forme ex
. Les facultés intellectuelles sont dans un état parfait d'intégrité. Diagnostic . Entérite folliculeuse aiguë sous forme ulcéreuse
ancéreuses de la dure-mère en sont restées, sous le triple rapport du diagnostic , du traitement et de l'anatomie pathologique, à p
telle partie du corps. Mais il est des cas dans lesquels l'erreur de diagnostic , au moins quant à la cause comprimante, est inévi
it de la surface externe de la membrane , et nous allons voir que mon diagnostic était erroné. La voûte du crâne enlevée , nous
os et en particulier sur celle des os du crâne, et sur les erreurs de diagnostic auxquelles elle peut donner lieu. Ici existaient
rébrales; peut-être encore, lors même que nous pourrions arriver à un diagnostic rigoureux, n'aurions-nous, dans l'état actuel de
e idée il le saigne largement, et donne le tartre stibié en lavage. Diagnostic . — Compression large du cerveau, probablement par
est tachetée d'ecchymoses de dimensions variables. Réflexions. — Le diagnostic a donc été vrai quant à la compression du cerveau
veau, erroné quant à la cause de cette compression. J'aurais porté un diagnostic vrai de tout point si j'avais pesé mûrement toute
ladies de l'épididyme et celles du corps du testicule. J'attache à ce diagnostic différentiel une importance extrême, puisque je r
esticule lui-même P Oui, sans doute, s'il était possible d'établir un diagnostic différentiel entre le cancer enkysté et le canc
isonnement, et pour leur violence et pour la rapidité de la mort, des diagnostics très-remarquables ont été portés depuis que l'éve
uve matérielle de l'existence d'une lésion organique de l'estomac, le diagnostic offre d'énormes difficultés. IX. L'analyse anat
tel était l'avis des divers praticiens qui avaient été consultés. Mon diagnostic fut celui-ci : « Cancer à l'estomac, si toutefois
ez intense pour produire une mort plus ou moins immédiate. VIII. Un diagnostic différentiel rigoureux de l'ulcère simple de l'es
ancéreux. Le teint jaune-paille de la peau semble encore confirmer ce diagnostic . Trois semaines se passent dans cet état; enfin,
c'est-à-dire, une inflammation lobulaire, mode d'inflammation pour le diagnostic duquel l'auscultation et la percussion sont de nu
du véritable caractère de cette redoutable affection, l'obscurité du diagnostic , le silence complet de la thérapeutique, font le
on aussi grave et toujours nécessairement mortelle, sont réduits à un diagnostic incertain et à un traitement plus incertain encor
donnant l'éveil sur la gravité de la maladie. XXIV. L'obscurité du diagnostic , déjà si grande par elle-même, est encore augment
e liquide, mais de l'inflammation propre de ces vaisseaux. Quant au diagnostic de cette maladie, il est bien difficile de l'étab
st tellement caractéristique, qu'il suffit en général pour établir le diagnostic . Il se compose de l'enfoncement des yeux dans les
rler des autres formes de péricardite et plus particulièrement de son diagnostic sur lequel les travaux récens de MM. Louis et Bou
mois, lorsque des os ont été intéressés et baignent dans le pus. Le diagnostic des abcès traumatiques du foie est extrêmement ob
ion considérable de la partie moyenne de la prostate peut apporter au diagnostic de la pierre vésicale en soulevant le bec de la s
effet sans exemple dans les hernies extérieures; ce qui jette sur la diagnostic et par conséquent sur le traitement, une obscurit
lle-ci parut céder complètement au traitement qui fut mis en usage. Diagnostic . Hypertrophie excentrique des ventricules ; parié
umeur. Réflexions. Que de causes se réunissaient ici pour rendre le diagnostic de la maladie du rein presque impossible. L'infil
ure de l'abdomen, me paraît permettre d'établir assez positivement le diagnostic de la maladie. L'affection du cœur était trop peu
ngsues, des bains, deux vésicatoires aux cuisses , deux sinapismes. Diagnostic . En rapprochant les commémoratifs de Fétat actuel
des symptômes d'étranglement, jetèrent beaucoup d'incertitude sur le diagnostic . J'ai fait représenter (ire liv.) une rate dont
à la pression ; de sorte qu'elle fut jugée de nature rhumatismale. Diagnostic . — Gastrite chronique ; bronchite légère ; douleu
l'observation précédente ne peut être que d'un faible secours pour le diagnostic . Toutefois l'invasion des symptômes cérébraux, l'
oupçonner le ramollissement; ou plutôt, en m'en rapportant aux signes diagnostics établis par M. Lallemand entre l'apoplexie et le
tout aussi instantanée. J'attache beaucoup plus d'importance dans le diagnostic différentiel de l'apoplexie et du ramollissement
81 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
ints de cette affection, ne laisse aucun doute sur le bien fondé du diagnostic (1). Nous insistons sur cette déformation si pa
tion du grand os de la jambe, il serait bien difficile d'établir un diagnostic . On se rendra un compte exact de ces déformatio
alie de M. P. Marie, avec laquelle il faut toujours compter pour le diagnostic différentiel. De même, pour ce qui regarde les
rd, et les dessins que Breughel en a fait, confirment pleinement ce diagnostic rétrospectif. Les danseurs de St-Guy ont des at
t d'une étude en apparence éloignée de la médecine, des éléments de diagnostic nouveaux dont Charcot avait si bien compris la va
hiques comparées à celles des sujets normaux. C'est là un chapitre de diagnostic peu étudié jusqu'à ce jour, mais sur lequel nou
, nerveuse,' il devient impossible dans certains cas de formuler un diagnostic en rapport avec les -i- ' " ' ' v. i < (1)
des pro- priétés contractiles du muscle et qui confirment encore le diagnostic . ce titre, l'observation de Pauline L. se rappr
rence de stupidité et d'abrutissement qui expliquent les erreurs de diagnostic plusieurs fois commises à leur égard. On a souv
latérale amyotrophique ou. amyotrophie hystérique ? Diffi- culté du diagnostic . Arch. de Neurol., 1893, n' 74. CHA.RCOT ? <
lus remarquable, c'est que les chirurgiens d'autrefois, habitués au diagnostic des maladies articulaires, aient laissé passer la
té que purement sensitive. Pour vous édifier sur la certitude de ce diagnostic , je vous dirai dès à présent que le tableau sympt
ette époqueaucun plié- nomèue ll1oteur,M. Charcot portait déjà le diagnostic de labes. Il n'y a que dix- huit mois que le ta
e la nature de l'arthropathie n'était donc pas possible à faire. Le diagnostic de était paralysie spastique. Les malades des deu
e la lèpre avec la syringomyélie; nous y reviendrons au chapitre du diagnostic . Parmi les titres d'observations que nous avons
ue sous bénéfice d'inventaire. Quant cette anamnèse fait défaut, le diagnostic pathogénique rétrospectif devient encore plus d
'ORIGINE DES NERFS RACHIDIENS AVEC LES APOPHYSES ÉPINEUSES I Le diagnostic de niveau des lésions de la moelle est devenu,
trées dans le domaine chirurgical. Mais pour devenir pratique, ce diagnostic doit avoir pour corollaire la connaissance du
sensibilité et troubles trophiques, est nécessaire pour établir le diagnostic , l'importance que peut prendre chaque symptôme
d'où la variation des types syringomyéliques et les difficultés du diagnostic . Le cas que nous allons relater se signale par
opérations. Nous verrons quelle impor- tance ces faits ont pour le diagnostic et comment ils éclairent la pathogénie de l'aff
ère (2). Nous renvoyons le lecteur à cette leçon très suggestive. Diagnostic . On peut avoir à faire le diagnostic de t'arthrop
à cette leçon très suggestive. Diagnostic. On peut avoir à faire le diagnostic de t'arthropathie syringomyélique dans deux con
pathie que secondai- rement. 1. 1 Nous passons au second point du diagnostic . Une arthropathie syringo- myélique précoce ne
des syringo- myéliques avec arthropathies, nous dirons un mot de ce diagnostic . Diagnostic avec la lèpre. Nous avons vu dans l
myéliques avec arthropathies, nous dirons un mot de ce diagnostic. Diagnostic avec la lèpre. Nous avons vu dans l'historique pl
, du coude par exemple. Ces arthropathies seraient donc un moyen de diagnostic clinique de la syringomyélie par gliose spinale
de diagnostic clinique de la syringomyélie par gliose spinale. Le diagnostic peut rester hésitant entre une arthropathie tabét
ingomyélique. Nous n'en voulons pour preuve que le (1) 111ARESTAXG, Diagnostic différentiel de la lèpre anesthésique et de la sy
philitique (1). Ce qui permit dans le cas de M. Charcot de faire le diagnostic c'est l'ensemble des signes positifs précédents
a pas en réalité de caractère artlwopatllique distinctif. Aussi le diagnostic , comme presque toujours, doit-il s'appuyer sur
bez dans la France médicale, 1885, p. 1162 sous ce titre : Essai de diagnostic d'une affection de la moelle indépendante du la
athies trophiques intéressent le chirurgien au point de vue de leur diagnostic et de leur traitement. I La nécessité de leur
de leur diagnostic et de leur traitement. I La nécessité de leur diagnostic oblige l'opérateur il la connaissance pra- tiqu
une arthropathie tabétique, me parait curieuse par la difficulté du diagnostic entre ces poussées et une hémarthrose simple (c
veut, pour expliquer l'indo- lence articulaire). C'est du reste ce diagnostic cl liémarlhrose que avais cl abord porte, en y
isse et crises syncopales, etc. A l'origine on commet une erreur de diagnostic , d'ailleurs très excusable, on dit coxalgie et on
dé à l'association de toutes ces idées. Il est vraisemblable que le diagnostic du médecin, ses questions, son exploration, son t
habité avec eux en famille.' La contagion a donc été possible et le diagnostic de lésion tuberculeuse semblé vraisemblable,' s
er et faire vérifier aux chirurgiens assistants l'exactitude de mon diagnostic ; la IVe vertèbre cervicale était bien subluxée
82 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pto- matique qu'elles peuvent réaliser ; et, dans la pratique, le diagnostic des diverses formes entre elles et même avec les
se montrant sous la forme intermittente suffisaient à établir le diagnostic d'hémorrhagie sous-méningée. Dans plusieurs obs
e caractère est, croyons- nous, assez tranché pour aider souvent au diagnostic . Or on sait combien il est difficile de porter
ent au diagnostic. Or on sait combien il est difficile de porter ce diagnostic et de l'af- 14 -fit CLINIQUE NERVEUSE. firmer
crâne et la dure- mère, le plus souvent d'origine traumatique, son diagnostic deviendra malaisé en l'absence de celte notion
absence de celte notion étiologique. Et cependant cette question de diagnostic anatomique et topographique des hémorrhagies in
HAGIE MÉNINGÉE SOUS-ARACHNOÏDIENNE. lia ficile souvent de porter un diagnostic ferme, du moins un diagnostic de siège et de lo
NE. lia ficile souvent de porter un diagnostic ferme, du moins un diagnostic de siège et de localisation. Il est bien certai
ar les paralytiques, leur valeur au point de vue du pronostic et du diagnostic ; tous points sur lesquels nos recherches patiem
que à son entrée à l'asile, malgré son âge, une paralysie générale, diagnostic que l'autopsie confirma. Les points les plus re
eins). Il faut même chercher en dehors du cerveau les éléments d'un diagnostic différentiel. Si parfois le tableau clinique es
générale. Ce mémoire se termine par quelques considérations sur le diagnostic , le pronostic, le traitement et la prophylaxie.
demeurés sains du caractère et de l'esprit sur laquelle reposent le diagnostic et le traitement moral, sera plus profondément
saires, l'asile fermé comme les autres modes, c'est une question de diagnostic et d'espèces. » D. M. VI(LLa statistique des
t la nuque sont couverts de tâches pigmentaires. La confirmation du diagnostic dépendra de l'examen histologique. Tumeur du
ustré du tableau des lésions trouvées chez les décédés, en face des diagnostics ; un second tableau indique les sorties et leurs
ent que je n'aurais pas pu, sans l'aide de mon appareil, établir ce diagnostic . Dans son Manuel de massage et de gymnastique (
e, quelque manifeste qu'il soit, quelque précis qu'en aient été les diagnostics et les localisations, il faut noter des cas inn
possible employés aux travaux champêtres et hospitalisés dès que le diagnostic aura pu être posé; ? Pour les arriérés propreme
u crâne siégeant au niveau de la tempe. Dans la majorité des cas le diagnostic de tuberculome avait été considéré comme très p
ncée ou généralisée. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. I. Le diagnostic différentiel de l'apoplexie hystérique et de l'
porte deux faits qui prouvent que l'on aurait tort de considérer le diagnostic de l'apoplexie hystérique comme -facile. En ten
à une conclusion exacte, mais il en est d'autres dans lesquelles le diagnostic pourra présenter des difficultés insurmontables.
accidents ne sauraient être attribués à une lésion médullaire : le diagnostic différentiel doit se limiter entre une affectio
térie ont per- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 153 mis d'établir le diagnostic . Tous les traitements possibles ont échoué, sau
gération des ré- flexes tendineux. Le professeur Raymond discute le diagnostic entre une méningite tuberculeuse et la sclérose
iations morbides présentent souvent des difficultés très grandes de diagnostic . Témoin le fait de syringomyélie chez un malade
ons du cône terminal est suffisamment nette et précise, pour que le diagnostic soit facile à faire. Le professeur Raymond put
Le point délicat est de reconnaître la cause de la polynévrite : le diagnostic de- vient encore plus délicat chez un syphiliti
en (de Berlin), Crocq (de Bruxelles), Marinesco (de Bucharest) ; 4° Diagnostic de l'hémiplé- gie organique avec l'hémiplégie h
echsig (de Leipzig), Hitzig (de Halle), von Monakow (de Zurich). Le diagnostic de l'hémi- plégie organique et de l'hémiplégie
des muscles de la ceinture scapulaire du côté gauche. On posa le diagnostic de pachyméningite spécifique de la région cervi
phénomènes depuis la cause jusqu'à la terminaison, si bien que le diagnostic implique nécessairement le pronostic. D'autre p
de la catatonie, de la confusion mentale... C'est ce qui en rend le diagnostic difficile. La forme légère ou démence pré- coce
héti- ques, etc... M. TRRNFL (Rouen) insiste sur la difficulté du diagnostic de la démence précoce à laquelle aboutit généra
us en viendrions à opposer les troubles mentaux qui se prêtent à un diagnostic topo- graphique rigoureux parce qu'ils sont en
pourra pathologie nerveuse, de fonder, sur des bases objectives, le diagnostic topographique des maladies mentales. Déjà, nous
de 19 pages. Rouen, 1900. Impri- merie Blondel. c Babinski (J.). Diagnostic différentiel de l'hémiplégie organique et de l'
quelque rapport de cause à effet entre la fréquence plus grande du diagnostic de ce dementia prrccox » et l'application du re
ase ou d'une phrase, même de plusieurs phrases entières. Quant au diagnostic différentiel, l'aphasie motrice pure peut être
a été la conséquence des progrès de la bron- chite tuberculeuse. Le diagnostic porté du vivant du malade a été celui de néopla
rieurs. L'autopsie a fourni la confirmation de l'exac- titude de ce diagnostic . La partie postérieure de la moitié droite de l
ndeur, humeur gaie sans signes de faiblesse psychique) serviront au diagnostic , qui dans certains cas pourra être difficile. L
et de la lucidité. De sérieuses difficultés se rencontrent pour le diagnostic avec la paralysie générale. Les cas qui survien
pendant les premières séances nous employons le massage à titre de diagnostic . Le diagnos- tic palpatoire (die pal patorische
ours est le suivant : 1° cours de psychiatrie clinique; 2° cours de diagnostic psychiatrique; 3° cours de psychiatrie médico-l
stmi. Etude sur les réflexes superficiels et profonds comme aide au diagnostic dans les maladies mentales, 189G. 452 li CLINIQ
e nerveux et d'électrothérapie du D' Hemah ; - le cours (payant) de diagnostic neuropathologique et d'électrothérapie du D'' E
ices pratiques du D1' Goldscheider : -les conférences (payantes) de diagnostic et de traitement des maladies du système nerveu
de Babinski peut collaborer, de concert avec d'autres symptômes, en diagnostic différentiel entre une affection organique et f
pratiqué l'autopsie du garde-frein; elle a pleinement confirmé les diagnostics des médecins ; plusieurs lésions du cerveau ont
, par Ladame,327. -motticepure, par llagalhaes, 504. Apoplexie. Diagnostic de in hysté- rique et de l'- organique,' par
83 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
ique à l'examen de la poitrine, cette mensuration fournissant pour le diagnostic de la congestion pulmonaire et des épanche-ments
'arthritique. Il a eu pendant longtemps des habitudes alcooliques. Le diagnostic , porté par MM. llillairet, Bazin, Hardy et Laille
opportun d'établir devant vous, avec toute la certitude possible, le diagnostic de celte difformité. Vous savez que le torticol
u par rétraction ; antagonistes, ou par paralysie. 4° année. 3 Le diagnostic entro ces deux ordres de laits est généralement l
s enfants que le rhumatisme articulaire. Mais, avant de poser notre diagnostic d'une manière absolue, di-sons qu'une affection o
r une fracture de l'extrémité supérieure de l'humé-rus droit, dont le diagnostic était rendu très-difficile par un gon-flement con
et dans les premiers mois de 1870, ne pouvait mettre sur la voie d'un diagnostic exact : les différentes fonctions s'accomplissaie
uses et présentent alors un danger double à cause de la difficulté du diagnostic . La seconde partie du travail de M. Armaingaud
M. Féréol, présente un très-grand intérêt. Mais ici, à vrai dire, le diagnostic de la tumeur était singulièrement éclairé par l
r la palpation hypogastrique et le toucher vaginal ou rectal, fixe le diagnostic ; — ou bien elles coexistent, et alors la mensurat
onnu et qu'il avait déjà servi à établir, d'une façon indubitable, le diagnostic différentiel de l'hypertrophie du col et de la de
la première fois une opération de ce genre, par suite d'une erreur de diagnostic . On fit la ligature de la tumeur, qui avait été p
comme cela a été fait plusieurs fois, mais encore on devra porter un diagnostic aussi complet que possible.—Du diagnostic, en eff
s encore on devra porter un diagnostic aussi complet que possible.—Du diagnostic , en effet, résultent des indications pour le trai
topsie, pratiquée plus tard par M. Sappey, vérifia l'exactitude de ce diagnostic . En 1858, L. Hirschfeld communiqua à la Société
enterons d'appeler l'attention sur deux points seulement. A propos du diagnostic de la congestion pulmonaire et de la pleurodynie,
la pneumonie elle dépasse souvent 40 degrés. C'est donc un élément de diagnostic . L'auteur insiste sur l'étude du diagnostic dif
C'est donc un élément de diagnostic. L'auteur insiste sur l'étude du diagnostic différentiel de la congestion pulmonaire et des
sque ou tout au moins d'une tumeur molluscoïde. On a été conduit à ce diagnostic non-seulement par l'examen direct de la productio
illards et plus souvent chez les femmes que chez les hommes, est d'un diagnostic trés-difficile. Au début, les symptômes ne sont p
eule n'aboutit point; 3° l'emploi de pessaires, par suite d'erreur de diagnostic , ayant entraîné une aggravation fâcheuse; 4° les
aussi une question de nosographie, et par conséquent une question de diagnostic et de pronostic. Ces circon-stances suffiront, je
insi que je l'ai démontré, un caractère qui peut être utilisé pour le diagnostic . Mais il est temps d'en revenir à l'hystérie ép
r toute l'utilité qu'on peut tirer de ces recherches, surtout dans le diagnostic de certaines paralysies, je ne vous citerai que l
. Nous crûmes, et vous auriez certes, pour la plu-part, porté le même diagnostic , à une paralysie périphérique du nerf facial due
ôtés la même intensité de courant. Nous commençâmes à douter de notre diagnostic , d'autant plus qu'il nous semblait qu'il y avait
farado-muscu-laire. Ce seul fait nous porta à rejeter notre premier diagnostic , et nous fûmes forcé d'admettre une lésion centra
e qui 1 enlevé en quelques jours. L'autopsie nous a démontré que le diagnostic était exact, car il y avait un foyer de ramolliss
e la rate sont rares. M. Peltier étudie avec soin les symptômes et le diagnostic , et donne les indications du traitement médical e
pertrophie : dans l'infection paludéenne, la leucocy-thémie ; pour le diagnostic , il faudra tenir compte des phénomènes produils d
les paralysies de la face celles du nerf facial sont commu-nes, leur diagnostic est facile, leur pronostic peu inquiétant, car da
eures, leur étiologie est encore à faire tout entière. En traitant du diagnostic , l'auteur insiste sur les sensations que four-nis
mpression. L'anatomie pathologique, la pathogénie, les symptô-mes, le diagnostic et le traitement se trouvent successivement dé-cr
avec conservation des mouve-ments dans les extrémités inférieures. Diagnostic . — Le cancer de la colonne vertébrale est ordinai
vertébrale est ordinaire-ment secondaire lorsqu'il est primitif ; le diagnostic est toujours très-embarrassant. Les tumeurs des m
t prolapsus à la vulve. Ce caractère permettra d'établir d'em-blée le diagnostic de cette variété d'hypertrophie d'avec la forme f
souvent l'apparition de la couleur jaune et peuvent être un moyen de diagnostic ... Les vomissements sont formés ordinairement de
te de l'ictère simple et de l'ictère grave n'est nullement tracée; le diagnostic différentiel entre ces deux af-fections, chose ca
respiration et de l'innervation » qu'est mentionné l'ictère grave. Le diagnostic de l'ictère se borne à distinguer la coloration d
84 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
dimanche, le lundi, le mardi, sans que le médecin puisse établir un diagnostic précis de la nature de cette fièvre intense; en
C > PFC ou sur quelques muscles avec NFC = PFC. Dans ce cas le diagnostic de paralysie infantile est moins net que chez n
des troubles oculo-pupillaires que nous n'avons pas rencontrés. Le diagnostic de paralysie infantile nous parait plus probabl
ule topographie des atrophies musculaires ne peut servir de base au diagnostic de siège médullaire ou radiculaire de la lésion.
nous avons fait un myopathique, sans toutefois pouvoir affirmer le diagnostic d'une façon absolue à cause des particula- rité
à la consultation de M. le professeur Brissaud en mai 1901 avec le diagnostic de chorée molle, diagnostic que, dans l'état ac
professeur Brissaud en mai 1901 avec le diagnostic de chorée molle, diagnostic que, dans l'état actuel de la maladie, nous n'a
re Marie après avoir examiné notre malade ont hésité à se ranger au diagnostic de myopathie. Pour M. Babinski le con- traste d
isse, elle fut soignée à la clinique chirurgicale de Lausanne où le diagnostic de coxalgie hystérique aurait été posé. On fit en
sont des arguments qui permettent,, à notre avis, de considérer ce diagnostic comme des plus vraisemblables. Mais il est un
n coeur, son poumon, son foie, estomac, intestin sont normaux. Quel diagnostic faire dans ce cas ? Il faut d'abord faire certain
le au palper des nerfs périphériques. Je crois que, pour arriver au diagnostic , il faut envisager le cas comme une amyotrophie
ies, l'exclusion n'est pas un critérium suffisamment solide pour un diagnostic ferme. Sont-elles résolues toutes les questions
Déjerine). Prenons le cas de.Déjerine, 14 ans après le début : quel diagnostic aurions-nous porté ? Il est évident que, malgré l
cas que je présente : c'est un type Charcot-Marie. Cliniquement le diagnostic est irrécusable, et cependant 26 ans après le d
envahissement des membres supérieurs, n'est nullement nécessaire au diagnostic , et qu'il peut bien s'écouler toute une vie, av
e compte de sa distribution. Dès cette époque, nous avions porté le diagnostic d'affection de la queue de cheval. Dans la quin
ystite purulente et la sup- puration de l'eschare sacro-lombaire. Diagnostic . Messieurs, je vous ai déjà dit qu'en examinant p
ais diagnostiqué, chez lui, une affection de la queue de cheval. Ce diagnostic , je le maintiens ; il me reste à le justifier.
e comme celui que réalise notre malade, il ne faut pas s'arrêter au diagnostic ana- tomique que je viens d'émettre ; il faut a
férieure de la moelle, vous en serez toujours réduits à formuler un diagnostic de présomption. Ces réserves faites, je conclus
e-la portion la plus inférieure du canal rachidien. L'exactitude du diagnostic fut confirmée, au cours de l'opération pratiquée
s sans signaler une formation qui peut prêter à quelques erreurs de diagnostic . Nous voulons parler de la lacune linéaire. On tr
des mouvements. L'explication de ce cas est malaisée à fournir, le diagnostic de sclérose en plaque doit être écarté, à cause
érification d'ailleurs,et que j'ai mon- tré n'être qu'une erreur de diagnostic (2). § 8. - Le sens des attitudes et le sens st
ule topographie des atrophies musculaires ne peut servir de base au diagnostic de siège médullaire ou radiculaire de la lésion
milligramme de tuberculine, prati- quée par M.Dupont dans un but de diagnostic delà nature delà tumeur cérébrale, a amené une
s fil cesser complètement, ce qui parut à cette époque confirmer le diagnostic de mal comitial. Un autre fait également très r
minuant graduelle- ment jusqu'à l'opacité au niveau du pédicule, le diagnostic porté fut celui d'encéphalocèle ou plutôt de mé
e le caractère saillant de la mal- formation ? 9 ' Et d'abord, le diagnostic d'absence du tibia peut, nous semble-t-il, être
logique de l'écorce, en dehors de la lésion en foyer, a confirmé le diagnostic de paralysie géné- rale : épaississement des mé
intéressante sous bien des rapports, et surtout au point de vue du diagnostic . En effet, l'existence d'un délire à base d'hal
rachidien négatif. 1° Il nous semble bien inutile d'insister sur le diagnostic différentiel de la forme morbide à laquelle app
ré ces lésions du sque- lette, nous ne nous sommes pas arrêtés à ce diagnostic de syringomyélie, parce que, si nous avons trou
hénomènes d'aspect si varié, nous nous refusions à porter autant de diagnostics qu'il y a de formes différentes de spasme, et n
rillaire des paupières, signe dont Bard a noté l'importance dans le diagnostic de toutes les névropathies. Il n'y a point de
l'hérédo-ataxie et la maladie de Friedreich. Si bien que ce dernier diagnostic s'imposerait chez Vig., s'il existait seulement,
s membres inférieurs, lundis qu'on a pris l'habitude de réserver le diagnostic d'affection de la queue de cheval aux cas où, a
queue de cheval. Je vous avais exposé surquels éléments se fonde le diagnostic différentiel, tout cela à propos d'un malade ch
ccasion m'est fournie de revenir sur celte intéressante question de diagnostic différen- tiel, à propos d'une malade qui, elle
met gauche, qui actuellement parait être en voie de résolu- tion. Diagnostic . - Ceux d'entre vous qui ont présente à la mémoir
inaire. - Abolition du réflexe anal. Suppression des érections. Diagnostic . Messieurs, après ce que je vous ai dit, de la sy
d'une pachyméningite hémorrhagique. Mais tout compte fait, c'est le diagnostic de névrite radiculaire, d'origine alcoolique, int
du réflexe cutané plantaire et une certaine gêne de l'urination. Diagnostic . - Messieurs, aurions-nous de nouveau affaire, ch
r lesquelles je penche davantage chez notre dernier malade, vers le diagnostic d'hématomyélie ou plutôt de poliomyélite hémorr
racines du plexus sacro- coccygien. Pronostic et traitement. - Ce diagnostic comporte, cela va de soi, un pronostic plus som
ous ferons aussi remarquer l'importance de la latéropulsion pour le diagnostic des lésions de cette région ; nous avons eu plusi
tion dès le pre- mier abord et qui met immédiatement sur la voie du diagnostic . Pour expliquer ces différents symptômes nous a
actéristiques du crâne acromégalique et permettraient d'affirmer le diagnostic sur le seul examen de l'épreuve radiographique
Neur., 15 juin 1900. (3) BÉCLÈHE, La radiographie du crâne et le diagnostic de l'acromégalie. Soc. méd. des hôp. 5 déc. 190
85 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
ouvoir en tirer les conséquences, les déductions né¬cessaires pour le diagnostic , pour le pronostic et surtout pour le traitement.
capulum. Nous allons tirer les déductions de cet examen à propos du diagnostic . Yoilà ce que constate l'état local. Mais ce n'
fection dont il est atteint pour y porter remède, et c'est ici que le diagnostic a besoin d'être creusé pour savoir à quoi s'en te
s seulement malade, que l'articulation l'est elle-même. J'arrive au diagnostic de l'affection elle-même. C'est une affection art
le pronostic de cette affection. Ce n'est pas tout d'avoir étudié le diagnostic , il faut savoir si, aban¬ donnée à elle-même, l
qu'il vaut mieux subir les chances actuelles de l'opération. Si le diagnostic est bien posé, si nous avons la têtehumérale ma¬l
t déplorable, d'abord parce qu'elle était bien faite pour dérouler le diagnostic , ensuite parce qu'elle a empêché une intervention
chite simple, suite de refroidissement. La prescription répond à ce diagnostic . Douze jours après l'entrée du malade, c'est-à-
rations thoraciques et obscurité de la respiration. À ce moment, le diagnostic se modifie et l'on se tient en éveil sur l'inflam
s haut.) " Pouls : 23/4. —Température : 59°,5. » A cette date, le diagnostic avait dû être modifié de nouveau, et l'on déclara
ment aux révélations que nous fournira l'autopsie. Nous avons vu le diagnostic déjoué plusieurs fois au fur et à mesure que le
Leçons et qu'il a épuisé, à propos de chaque maladie, la question du diagnostic . Nous ne pouvons que l'en féliciter; tous nos eff
rches, tous nos tra¬vaux ne doivent-ils pas aboutir à cette notion du diagnostic qui, seul, conduira à une thérapeutique rationnel
les entoure. Au lit du malade, il serait peu commode de formuler un diagnostic différentiel d'une tumeur du sein ou de l'utérus
nouvelles évacuations renfermant quelques anneaux de tœnia solium. Le diagnostic d'abord embarrassant était maintenant posé ; le c
ppellerons les suivants, relevés par M. Brown-Séquard [Le¬çons sur le diagnostic et le traitement des principales formes de paraly
ncomitants, enfin et surtout le traitement, donnent un grand appui au diagnostic . Pourquoi donc M. Tarnowski a-t-il ensuite tant
es inflammations chroniques des gaines synoviales tendineu¬ses. Notre diagnostic sera donc le suivant : Inflammation chronique lim
es cas, l'examen avec l'ophthalmoscope simple, suffit pour établir le diagnostic d'une maladie du fond de l'œil, mais s'agit-il de
inois sont, sur ce point, plus savants que nous, et prononcent sur le diagnostic et le pronostic de toute maladie, au seul toucher
rite des symptômes, trop semblables à ceux du cancer, en rendent le diagnostic difficile. La cirrhose de l'estomac diffère essen
exact que met le sang à venir du cœur au pouls est importante pour le diagnostic des anévrysmes des gros¬ses artères ; car, ainsi
in à tous les points de vue: point de vue historique, point de vue du diagnostic , point de vue du mode opératoire, point de vue de
es: nous venons de voir que ces symptômes peuvent manquer et alors le diagnostic se trouve environné des plus grandes difficultés.
toucher vaginal mirent en nos mains les éléments les plus précis d'un diagnostic facile dont nous omettons les détails, nous borna
Nous proposâmes immédiatement une opération, et pour justifier notre diagnostic aux yeux de divers confrères qui n'avaient pas ét
86 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
auto-hypnotisation expérimentales. Mootin (Boulogne*sur-Seine) : Le diagnostic de la suggestibilité. — Examen critique des diver
ils créent la maladie en croyant à son existence et elle condamne les diagnostics pour leur tendance à développer des impressions m
es génératrices de la souffrance et de la maladie. » (p. 369). a Le diagnostic physique de la maladie, tend à produire la maladi
a par ces extraits de cette nouvelle philosophie. Au lieu de faire un diagnostic physique des organes, le guérisseur de l’avenir c
brile font penser au rhumatisme. Or, dans le cas présent, affirmer ce diagnostic (I) Présentation de malade faite :i la Clinique
e de suggestion. Ce cas montre combien il a été important de faire un diagnostic exact en tenant compte du terrain et de l'évoluti
ée par des manœuvres d'hypnotisme. Moutin (BouIogne-sur-Seine) : Le diagnostic de la suggestibilité. — Examen critique des diver
de de recourir en temps opportun aux moyens curatifs nécessaires : du diagnostic préalablement établi dépendra l’emploi de la méth
atisme ambulatoire, les fugues inconscientes chez les hystériques, le diagnostic différentiel des fugues épileptiques et des fugue
n effet des cas de pratique courante avec tant de clarté, il fait des diagnostics différentiels avec tant de précision et de sûreté
ation pharmaceutique, comme anesthésique opératoire, comme procédé de diagnostic , comme moyen d’expérimentation physiologique et p
uit leur est insupportable ; on leur évite cc désagrément, mais votre diagnostic est fait ; ce fils, cette fille a une phobie, c’e
re préliminaire qui s’impose au psychothérapeute soucieux de faire un diagnostic étiologique et, partant, d’instituer un traitemen
acle, la brusquerie de la disparition de l’œdème sont en faveur de ce diagnostic . Il existe donc des maladies d'origine hystériq
s guérisons de prétendues maladies organiques, il n'a pas été fait de diagnostic précis : or dans les recherches ultérieures sur c
rches ultérieures sur ce sujet il importera d'établir au préalable un diagnostic ferme; ainsi que nous l'a très souvent recommandé
ire et l’on ne pourrait dire qu'il se porte garant de l'exactitude du diagnostic . Dans le premier cas, il s’agit d’une jeune serva
contés par des gens dignes de foi. Ces cas n’ont pas été l’objet d’un diagnostic précis ; ils ont été vus par des yeux non médicau
men de la fonction sudorale permet ainsi de porter ou de confirmer un diagnostic . _ Les observations d’épilepsie sur les hommes
nt, noire travail doit être simplement critique : montrer combien les diagnostics qu’on a faits jusqu’à présent sur l’épilepsie des
ymptômes que l’on retrouve dans l’hystérie {'). C'était du reste le diagnostic que fît le professeur Hardy; il le traita de « fe
me possible du cerveau : je ne m’arrêterai d’ailleurs aucunement à cc diagnostic ; si je le cite, c’est simplement pour montrer qu
tagmus. Un médecin qui connaît bien les maladies nerveuses a porté le diagnostic de sclérose en plaques : or, c'est là une grosse
faut jamais se fier au tremblement, quand il est seul, pour faire le diagnostic de maladie organique. Ces troubles fonctionnels
sidérer les points suivants : 1* On constate souvent de3 erreurs de diagnostic dans les livres relatant les cas de guérison par
s qualités du médecin que de la suggestibilité du malade. Si donc, le diagnostic est juste et si le médecin est spécialement doué
mblyopie avec dilatation pupillaire monoculaire. REVUE DES LIVRES Diagnostic et traitement des maladies nerveuses, par le Dr J
la thérapeutique psychique, nous devons avoir fait, au préalable, un diagnostic précis de leur affection. Ainsi nous ne risqueron
nt la suggestion dans des cas de lésion anatomique confirmée. Mais ce diagnostic est souvent fort difficile : l’excellent livre de
malade et la façon de grouper les symptômes pour en faire jaillir le diagnostic et poser immédiatement quelques indications théra
éterminer leur véritable valeur clinique, les faire converger vers un diagnostic anatomique, étiologique ou nosologique et conclur
urdi-mutité ; Pathogénie ; Anatomie pathologique ; Symp-tomatologie ; Diagnostic et pronostic; Prophylaxie et traitement. Un Index
, la défloration : et cela par définition même de la maladie, dont le diagnostic ne peut être révélé qu’à l’occasion du coït. Ce
Laissez-moi dire seulement que je maintiens d’une manière absolue le diagnostic d’épilepsie que j’ai porté pour Gustave Flaubert.
e au traitement par la suggestion hypnotique, jusque là dédaignée. Le diagnostic de la ËUggestibüité m’ayant révélé qu’elle devait
e chez les animaux, par Félix Regnault, p. 208. Maladies nerveuses ( Diagnostic et traitement des), par Roux, p. 316. Manie des
87 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
néralisé de la vessie avec décom-position permanente de l'urine. Le diagnostic de la cystocèle vaginale est facde quand la tu-me
oin et Levret en 1749? H ^st aussi bien établi que Récamier, à qui le diagnostic des maladies utérines est si redevable, en faisai
ègles. Utilité du cathétérisme utérin. Elle est très-grande pour le diagnostic et quelquefois même pour le traitement de la plu-
u tissu utérin sont normales; et, lorsque la sonde a ainsi éclairé le diagnostic , on conclut au traitement par les préparations de
u corps de l'utérus par rétention du mucus utérin ; sans la sonde, ce diagnostic eût été évidemment impossible. Dans les allonge
s allongements hypertrophiques du col, le cathétérisme permet seul un diagnostic précis et empêche la confusion avec les polypes d
du col. A ces exemples de l'utilité du cathétérisme utérin pour le diagnostic , nous pourrions ajouter les signes importants qu'
; M. Huguier a mon-tré aussi comment les signes négatifs servaient au diagnostic des maladies des annexes. Mais ce que nous avons
s vu cl viii. Cette opération est, comme la précédente, un moyen de diagnostic ou un moyen de traitement. Elle porte générale-me
mmation de l'organe sur lequel on l'applique. Employés comme moyen de diagnostic , ces dilatateurs d'un volume con-sidérable ne per
mporte de ne pas entreprendre une opération sans avoir bien établi le diagnostic différentiel. C'est surtout le cathétérisme utéri
utérus. Quelques autres moyens complémentaires achèvent d'éclairer le diagnostic ; la palpa-tion de la tumeur formée par l'hypertr
; elle a, en outre, l'avantage d'éclairer des points im-, portants du diagnostic , tels que l'insertion et le volume du polype. L
fira de rappeler ici les précieux secours qu'elles peu-vent prêter au diagnostic et à la destruction des tumeurs fi-breuses de l'u
s utérines; en son-geant enfin aux incertitudes que peut présenter le diagnostic , aux difficultés de l'opération dans certains cas
e contre les corps fibreux sous-péritonéaux. Ce furent des erreurs de diagnostic qui conduisirent à exécuter cette opération; on l
avec un tube en caoutchouc pour vider le kyste s'il y avait erreur de diagnostic ; un cons-tricteur mécanique ou clamp ; un grand
la distension extrême de la vessie, donner lieu à une grave erreur de diagnostic . On a constaté, mais rarement, l'adhérence de la
nnent telles qu'il n'y a guère que la ponction qui puisse éclairer le diagnostic . Tumeurs. —11 n'est pas très-rare de rencontrer
us le nom de kystes de l'ovaire, et combien il importe de préciser le diagnostic pour pouvoir ap^ pliquer judicieusement les métho
qui en est résultée doit être évidement mise au compte des erreurs de diagnostic . D'autres fois on n'a pas injecté directement la
air avec le péritoine ; on contestait qu'il fût possible d'établir un diagnostic assez précis pour permettre de tenter l'opération
nt capital dans la détermination du chirurgien, c'est la précision du diagnostic ; des travaux importants ont été publiés sur ce su
'un kyste sont secondairement envahies par le cancer; parfois même le diagnostic est impossible. Mais quand l'habitude extérieure
l'accouchement est une circonstance fort embarrassante. Par erreur de diagnostic , on a fait l'ovariotomie dans des cas semblables,
hérences, et faut-il les rejeter d'une manière absolue comme moyen de diagnostic de l'espèce du kyste? La statistique de M. Clay s
peut dans des cas exceptionnels fournir des éléments de certitude au diagnostic , elle n'aug-mente pas beaucoup les dangers de l'o
après avoir tout préparé pour continuer l'extirpation du kyste, si le diagnostic est confirmé par cette incision ; elle devient al
s 23 autres cas, il a fallu s'arrêter parce qu'il y avait erreur de diagnostic . Sur les 585 extirpations complètes, on compte 33
ova-riques, 7 guérisons et i3 morts; et enfin après les 23 erreurs de diagnostic , 10 guérisons et 7 morts. Relativement à l'infl
ntitule : cas où Vincision exploratrice a été faite, pour éclairer le diagnostic . Le total est de 7, dont 4 guérisons et 3 morts.
88 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
Celle- ci est douteuse. Il s'agit d'une névrite cubitale dont le diagnostic est indiscutable, survenue sans autre causeappa
localisations aussi accentuées, et il n'y a pas lieu de discuter un diagnostic différentiel que cette seule particularité tranch
connue, et M. Bo- rel en a réuni un certain nombre dans lesquels le diagnostic avait été attribué la plupart du temps à une ca
pèce, car ce sont eux surtout qui permettraient, le cas échéant, au diagnostic différentiel de s'établir. Il existait en effet
démontrant qu'il n'existe pas de lésion papillaire appréciable, le diagnostic se trouve de ce fait môme singulièrement guidé
disant que dans de semblables cas, et lors de pareilles erreurs de diagnostic , certains chirurgiens n'avaient pas craint d'alle
inte à l'absence de tremblement, avait été la cause d'une erreur de diagnostic . Il y a donc quelque intérêt, au point de vue p
présente, dans le cas qui précède, sous la l'orme hémiplégique, le diagnostic n'en est pas moins, il nous semble, hors de tou
notre avis, présentent également, au point de vue clinique, pour le diagnostic différentiel, un intérêt de premier ordre. Ce
ui s'attache à la contracture des muscles delà face et du cou et au diagnostic pathogénique différentiel de ces contractures,
ns découvert, car lorsqu'il existera il ne sera plus permis plus au diagnostic d'hésiter. Et ce diagnostic dans l'espèce est d
istera il ne sera plus permis plus au diagnostic d'hésiter. Et ce diagnostic dans l'espèce est d'une singulière importance, ca
l'évolution clinique a été douteuse, un bon point de repère pour le diagnostic si l'on constate par exemple que la langue déviée
longtemps inexploré, et, fournissant des bases plus' larges pour le diagnostic de certaines manifestations locales de l'hystér
dans la circonstance, a une grande importance au point de vue du diagnostic différentiel. ^- Dans'Ces dernières années, j'a
c en pathologie nerveuse pour porter chez Marie- Anne Couronneau le diagnostic d'hémiplégie hystérique. Toutefois, il nous par
n ces circonstances des indices précieux, presque décisifs, pour le diagnostic . Mais il est incontestable que les symptômes lo
yperesthésie des téguments, tout cela peut aisément con- duire à un diagnostic erroné. Dans l'observation de M. Damaschino que
hénomènes inflammatoires susceptibles également de faire hésiter le diagnostic . Femme de trente-trois ans, père mélancolique.
sont les caractères sur lesquels on pourra s'appuyer pour faire le diagnostic de l'oedème hystérique, caractères qui, bien ente
es stigmates que des troubles urinaires permettant de corroborer le diagnostic , ou d'attri- buer l'oedème à toute autre cause,
'un accès d'épilepsie. C'était la une difficulté de plus ajoutée au diagnostic . Pendant le'sommeil, à intervalles variables, t
lance médicale constante à laquelle a été sou- mise la malade et le diagnostic indiscutable dans la circonstance. En 1887, ell
stigmates physiques nécessaires pour établir à l'état permanent le diagnostic de la névrose; les seconds sont ceux qui, en pl
à ses auditeurs tout l'intérêt que présentait cet homme chez qui le diagnostic avait été longtemps hésitant, et le serait prob
taient venues singulièrement éclairer la scène morbide. Plusieurs diagnostics se présentaient en effet à l'esprit. Duchenne (
8G8, dans le service de Monneret à l'hôpital Necker, avait porté le diagnostic d'atrophie muscu- - laire progressive. Cependan
cot montrait encore qu'on pouvait porter dans la circons- tance, le diagnostic de sclérose latérale amyotrophique, étant donné
l Neekcr, où il fut examiné par Duchenne (de Boulogne) qui porta le diagnostic « d'atrophie musculaire progressive ». Dans l
tain nombre de médecins allemands, et cela se voit du reste à leurs diagnostics , se refusent absolument à ad- mettre que l'hyst
éflexes tendi- neux n'étaient pas exagérés pathologiquement. . Le diagnostic d'hystérie que nous portâmes malgré les difficult
89 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
on équivoques de la maladie de Parkinson, dont vous pouvez faire le diagnostic rien qu'en regardant le malade, dont le faciès
mo- teurs. Peut-être pensez-vous à la possibilité d'une erreur de diagnostic , con- tre laquelle je veux vous mettre en garde
), en rapport avec l'absence de cachexie. OBs. IL Femme de 37 ans ; diagnostic clinique : paralysie générale, atro- phie des n
N, Interne des hôpitaux de Paris. Quand on a fait cliniquement un diagnostic de tabes basé sur les signes classiques de cett
ambes, paraplégie extension des orteils qui nous permet de faire ce diagnostic ; d'autre part, nous pensons que les discussions
ension des orteils. C'est le premier cas sur lequel ait été fait le diagnostic de sclérose combinée tabé- tique. ' Examen hi
nées si voisines du tabes que personne jusqu'ici n'en a pu faire le diagnostic pendant la vie » (1). Nous relaterons ici plu
(t) Nous avons dit plus haut que l'on pouvait aujourd'hui faire ce diagnostic . 60 CROUZON A l'autopsie, on a constaté, au n
d'une affection vertébrale primitive (spondylose), et confirment le diagnostic de sciatique. Ceci étant, comment interpréter l
aralytique réalisé par une tumeur du lobe frontal donnait lieu à un diagnostic intéressant et d'autre part le retentissement dég
caractéristiques que la forme même de ces troubles devait fixer le diagnostic de localisation. Mais cette symptomatologie a pu
hez notre malade à celle des paralytiques gé- néraux nécessitait un diagnostic différentiel rendu plus délicat par la res- sem
rt la malade ne paraissait pas avoir eu d'habitudes alcooliques. Le diagnostic se posait donc plus nettement avec la démence p
tardive des vomisse- ments et de la constipation vint confirmer le diagnostic posé par M. le pro- fesseur Pierret. Malgré que
pa- gnait et qui, englobant la région motrice, avait fait porter le diagnostic de tumeur i-olandique , Klippel (5) Saqui (6) m
ats de démence. Nous avons réuni sous ces termes certains cas où le diagnostic était douteux ou impossible. Il y a, par exemple,
méritent d'être rete- nus, commentés et discutés. Tout d'abord le diagnostic de myxoedème fruste, d'hypothyroïdie au sens d'
traînées rougeâtres de la surface firent porter au Dr Pinçonnat le diagnostic de lymphangite bien qu'il n'eût pas trouvé de p
tte observation et de se reporter aux photographies pour établir le diagnostic de l'affection dont D... est atteint. Ce mala
plications, sa technique. En 1893, Deux observations pour servir au diagnostic des paraplégies syphilitiques, en collaboration
e cette rare et très spéciale affection. Cependant les erreurs de diagnostic auxquelles elle donne lieu sont en- core très f
pathologiques et cliniques n'en sont pas assez connues, ou que son diagnostic exige un examen plus approfondi des (1) Travail
ntribuer à faire connaître cette maladie et à éviter ces erreurs de diagnostic en décrivant un cas que j'examine depuis neuf ans
rivant un cas que j'examine depuis neuf ans et qui a été l'objet de diagnostics variés : hystérie, syphilis des centres nerveux,
améliore toujours. Cette maladie rentre évidemment dans le cadre du diagnostic paralysie my({sthénir¡ue ; il n'y manque que la
en son plein n'en développement, n'offre pas de difficultés pour le diagnostic ; mais il est pas de même quand elle commence i
nt, entrer dans des considérations sur son mode de début et sur son diagnostic différentiel à cette période. Notre cas a début
isparaître complète- ment les céphalées, nous fait incliner vers le diagnostic : pachy-ménin- gille basilaire ou exostoses spé
signes qui classent ces cas dans l'hérédo- ataxie cérébelleuse. Ce diagnostic trouve un appui par l'atrophie du (1) Progrès m
nt de ce jour une certaine valeur pour la solution des questions de diagnostic et de pronostic. Mais il est incontes- table qu
ctions de l'autre. Nous savons le rôle actuel de l'écriture dans le diagnostic des maladies mentales. Une écriture bizarre, l'om
des secondaires, est placée pour la troisième fois à l'hospice. Ses diagnostics anté- rieurs sont : mania, ps. periodica ; dans
rsécution et de grandeurs en permettant d'établir chez la malade le diagnostic de paranoïa chronica. Les caractères fondamenta
clinique de l'arrondissement de Kazan. Rendue à la liberté avec le diagnostic de melancliolia. Le 12 mai 1888 elle est replacée
ies tiqueurs ? ... Inutile de chercher à faire d'après une image un diagnostic plus précis des mouvements nerveux qu'elle cher
tion de l'endonèvre et du périnèvre. .L'autopsie confirme donc le diagnostic que nous avions fait du vivant du malade : il s
erfs, les lésions un peu plus importantes, ne peuvent in- firmer le diagnostic de myopathie, puisqu'en somme ce que nous avons
des conclusions intéressantes. Tout d'abord, cet'examen justifie le diagnostic de myopathie familiale que nous avions porté du
oncrétions calcaires avec des caractères dignes d'être signalés. Le diagnostic de nature fut contrôlé et conlirmé par des réac
pourra'à propos de tel cas se heurter à des grandes difficultés de diagnostic histologique. Mais cette distinction justifiée au
me aigu ou subaigu on peut observer des troubles très analogues. Le diagnostic dans ces cas devra être très prudent, d'autant qu
sez malaisée, mais le fait existe. Toutes ces considérations sur le diagnostic de l'aphasie motrice dans la paralysie générale
e évolution plutôt régressive fit porter dans les premiers temps le diagnostic de paralysie ascendante aiguë d'origine probablem
tions d'hydropiques est-il prudent de n'admettre qu'avec réserve le diagnostic d'hydropisie, si l'on entend par là un épan- ch
e un hydropique. Mais il ne faut pas songer à préciser davantage le diagnostic . ' Tout le monde connaît l'admirable tableau de
90 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
plète ou légère ? . Non assuré- ment. Pourquoi donc se contenter du diagnostic d'idiotie . lorsque ces mêmes lésions se produi
,tll`if ? ? f"i,' ? , Mais si sérieuse que soit cette difficulté du diagnostic deal'af-,t ' fection cérébrale'1 dont' un des s
dè'p'orencéphia- " ; ; lie, qu'il le serait^ ! ' appliquer le seul diagnostic de'déments à un paralytique général et à' un"1
iotie'même légère et l'im- bécillité. Mais il existe' des cas où le diagnostic peut être em- barrâssant ? c'ést lorsqu'il n'ex
? 1 ' ? 1 ,lf : Séglas; après avoir'discuté pour les'éliminer, les diagnostics de manie aiguë,' de mélancolie,- de paranoïa ai
s l'histoire de là confusion mentale primitive que c'est' bien à ce diagnostic qu'il' faÏit"s'arrêt6r dans le cas présent. ;1"
L'auteur cherche à établir, d'après des documents de l'époque,un diagnostic de l'état mental de, cette reine dont il attribue
énés, de tels' écrits peuvent être un nouvel élément confirmatif du diagnostic de paranoïa érotiqueoureiigieuse.' ' " J. S. z
antécédents de la malade et sur les symptômes en présence prouve le diagnostic d'hystérie et la malade perdson procès. L'auteu
mentale, peu de questions plus intéressantes t au point de vue du, diagnostic , plusjimportantes'au point de vue du pronostic,
ablissent en réalité Archives, t. XXVII. 66 bibliographie. leur diagnostic sur ce fait que l'affection s'est arrêtée dans sa
des aliénistes. L'épi- lepsie existe-t-elle ? , telle est l'unique diagnostic , iformuler.1 Si oui, le malade mérite d'être ho
hologiques; la découverte des localisations cérébrales a éclairé le diagnostic . Dans le domaine de la théra- peutique, les hyp
s. Les conférences du mardi seront consacrées à l'étude pratique du diagnostic de la folie. Les leçons porteront plus particul
le n'était pas encore mûre; aussi M. Fournier n'a'-t-il' pas mis le diagnostic de' paralysie générale vraie sur les faits de.
ns après l'accident. , , M. Dercum insiste sur les difficultés du diagnostic reposant sur l'état fonctionnel, la motilité et
à pas, à toutes les phases de sa vie, la justesse indubitable de ce diagnostic . Au point de vue physique, C... est un jeune ho
s temps derniers à l'asile et son autopsie a pleinement confirmé le diagnostic . Le lobe frontal gauche était en grande partie
le même, sens. Enfin»l'autopsie confirma complètement plus ,tard le diagnostic . La'voici"b'rièvement,'6xposée1 : ûoiiulovoooii
lle, revêt; la forme de sclérose latérale amyotrophique, ence casle diagnostic se fait à l'aide des troubles de la sensibilité
nose, crevasses) petites vésicules sur les mains ; tout concourt au diagnostic : hyperplasie de la névroglie centrale. Mais en
lever les yeux, surtout l'oeil droit, au- dessus de l'horizontale.. Diagnostic : , Lésion du noyau des oculo- moteurs communs,
n, l'auteur entre dans des considérations inté- ressantes sur, le., diagnostic différentiel histologique de l'endothé- liome e
. l'atrophietmusculaire ! i des hémiplé- , giques qu'une erreur.;de diagnostic est possible sans les ananmes- tiques. Cela ne
lexe pharyn- gien ne peutr avoir, aucune valeur.au. point de.vue du diagnostic r)2 ? Il n'existe aucune corrélation entre l'ét
sensibilités., Un.chapitre très complet et très bien fait traite du diagnostic électrique et des différents appareils eu usage ?
, dè,1877 ? (îU'Oiii trouve; 'pour cette, catégorie' de malades, le diagnostic de paralysie générale, sur les registres de l'a
de 'là'maladie^ la démarche du malade'font éliminera à l'auteur le1 diagnostic de tabès médullaire" et formuler' celui *de pol
'n ? i' 9t B `ol^ aR frryi (1 "1,Hlirr7r ? ». -1. Contribution au , diagnostic des 31yoctonies; par le Dr Cornet. u .r- (Thèse
ra; par elle-même, une raison suffisante pour rectifier l'erreur de diagnostic commise du vivant du'maladc. Mais si on ren- co
xesjcbnservés; les urines et les selles sont involontaires. ' 1 , Diagnostic porté .' méningite"tuberculeuse ( ? ). Traitement
rmettant pas de faire un ,. ,- -,',' tà f.ehi, %%, 1 rltç ... ' , diagnostic etiologique certain de la microcéphalie, il est i
ile de Villejuif, dans le service de M. Marcel Briand, qui porte le diagnostic de paralysie générale. , ` , Etat actuel. On co
le - -'3d4 ' '- 1 1 ' ! j-r' clinique -mentale. '" "' '" * '7"' ? diagnostic de paralysie générale. L'histoire clinique de la
e, tous ces faits tne permettaient pâsd'liésiter : à formuler, : un diagnostic que vinrent confirmer les résultats, de, l'auto
oint de vue.anâtomo-pathotogique, nousrappenerons seulement crue le diagnostic de aralvsie ? énérale futconfirliiét .«. ? i, "
le fait généralement défaut au'début de l'affection, alors, que le, diagnostic estincerz tâin.· : yÀh4 ? I nfi nn'tstumno, I m
mence, au cours d'une vésanie car elle seule permet|de/-porter, le ( diagnostic d'incurabilité.r Tandis que, .dans -certains ca
doit 'remplir une coloration donnée' pour qu'elle puisse servir au diagnostic dé' Idî iôns p atho lobiq il eî, - " 1 ..., i J
s de , tabès. ayant versé dans,la r.t paralysie générale. Mais, ce^ diagnostic ,' pour si1, vraisemblable ? qul, sôit, nôus parai
elle en général des neurasthéniques, il faudra donc bien fixer-, le diagnostic par l'examen complet des urines, sans quoi on p
dans la pratique courante quand il s'agit seule- ment d'établir le- diagnostic (Ce fait a été démontré il y a environ quarante
ladies nerveuses ou mentales, nous avons trente-deux fois établi le diagnostic de tumeur cérébrale,, c'est-à-dire dans,l et de
vons autopsié ou opéré. Sur ces seize cas, il y a eu une erreur de, diagnostic » SOCIÉTÉS SAVANTES. 461 (kyste apoplectique);
llac : il crut à la perfecti- bilité de l'enfant et cette erreur de diagnostic nous a valu ses deux beauxrapporls. u ..., ..^
s sur les paralysies des membres inférieurs, 1865 ; Leço ? ? sur le diagnostic et le traitement, des' diverses r formes des af
récentes * sur ' le ? par Baker, 150; un- cas de- lésion du ? à 1 diagnostic douteux, par Westphal, 153; nouvelles méthodes
91 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
és comme non-avenus, car personne n'en avait compris l'importance. Le diagnostic local n'était jamais formulé, soit à l'hôpital, s
onséquent, manquer de fournir des indications précieuses tant pour le diagnostic que pour le pronostic. 11 fallait montrer enfin q
uvent permettre de distinguer entre elles ces deux mala-dies, dont le diagnostic différentiel est parfois assez difficile. Nous
e sénile. On parvient en effet chez plusieurs malades à formuler le diagnostic d'une inflammation pulmo-naire par la thermométri
résultats auxquels elle peut nous conduire, au triple point de vue du diagnostic , du pronostic et du traitement. Mais ce que j'ava
océdé est aisée à comprendre : c'est, clans bien des cas, un moyen de diagnostic excellent. 11 permet aussi de constater dans quel
cette dyscrasie particu-lière; ce serait donc là un utile élément de diagnostic dans les 1. Voyez Reynolds: A System of Medicïn
mique du sang, lorsqu'on veut arriver à une précision absolue dans le diagnostic . châtres ; ils peuvent enfin tomber, en laissan
(1). On comprend par là quelle est leur importance au point de vue du diagnostic . A défaut des concrétions de l'oreille externe,
bâton; beaucoup d'individus s'imaginent qu'ils ont une foulure, et le diagnostic est parfois difficile au premier abord. Cette sen
ts étaient mono- articulaires. 11 est évident qu'au point de vue du diagnostic , on peut tirer le plus grand parti de cette prédi
e à part. On ne saurait en exagérer l'importance au point de vue du diagnostic , car ils donnent naissance à des déformations spé
t le médecin qui a négligé de s'exercer d'une façon toute spéciale au diagnostic des cas de ce genre est exposé à commettre des
existait des troubles digestifs avant le premier accès de goutte ; le diagnostic fut fondé sur la présence d'une concrétion tophac
e de sujets. Il est facile, en effet, de commettre ici des erreurs de diagnostic ; et les coliques hépatiques ou néphréti-ques, le
opinion contraire ; et après avoir fait une large part aux erreurs de diagnostic , nous croyons que les diverses affections qu'on p
n effet, les signes physiques sontpeu caractérisés, et l'on arrive au diagnostic surtout par voie d'élimination. L'impulsion du
irconstances fout àfait exceptionnelles ; et que, grâce aux règles de diagnostic que nous établirons plus loin, ces deux affection
l'affection s'est localisée sur une seule articulation. En effet, le diagnostic peut alors offrir de grandes difficultés; car cet
pour tromper l'observateur non prévenu, et pour embarrasser encore le diagnostic . Ainsi la pneumonie lobairepeut se dissimuler s
in dans l'emploi méthodi-que du thermomètre au triple point de vue du diagnostic , du pronostic et de la thérapeutique, lorsqu'il l
ces maladies ; car c'est sur cette cir-constance même qu'est fondé ce diagnostic des maladies fébriles par la température, sur leq
ons pré-cieuses, non seulement pour le pronostic, mais encore pour le diagnostic Mais je n'ai pas terminé l'énumération des affec-
, dans, certaines circonstances, être une précieuse ressource pour le diagnostic ; les pertes de substance ou les cicatrices que l
ou le poignet. Ces circonstances expliquent et justifient l'erreur de diagnostic qui a été com-mise pendant la vie, et notre obser
i a été com-mise pendant la vie, et notre observation démontre que le diagnostic entre la goutte et le rhumatisme chronique est pa
ns pus, toutefois, accorder plus de con-fiance qu'il ne convient à un diagnostic fondé presque exclu-sivement sur les renseignemen
ui, le premier, a reconnu l'intérêt qu'elles peuvent acquérir dans le diagnostic de la goutte (Medico-chirurg. Transact., 1854, t.
ont été éliminées, pourrait, dans certaines circonstan-ces, aider au diagnostic . A ce propos, il n'est peut-être pas inutile de f
eux, acquièrent fréquemment une intensité exceptionnelle. Ce point de diagnostic a été discuté avec soin par M. Brinton, dans ses
mment sous l'influ-ence de la goutte. Il y a là un point important de diagnostic (p. 564). Affections gastro-intestinales liées
r Lynch, dans le travail déjà cité (obs. IV et V). Au point de vue du diagnostic , il est intéressant de remarquer que toutes les f
res déformées ou sur quelque autre point du corps, vient éclaircir le diagnostic . Chez quelques malades atteints de rhumatisme n
ndant la vie, par un ensemble de symptômes qui permet d'en établir le diagnostic . Les malades éprouvent des douleurs souvent très
rvations, 583 , 584; — traitement par le bromure de potassium, 583; diagnostic , 583. Cœur (Rupture du —) dans la goutte, 583, —
e, 94, 479 ; — forme spasmodique, 94 ; — fréquence, 95 ; — erreurs de diagnostic , 95, 546 ; — indiges-tions, 95. Goutte viscéral
senile, historique, 576, 577; — prédominance à la tête, 488 ; — —? diagnostic avec les spasmes ryth-més du cou, 579 : — observa
92 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
os confrères le soin déjuger cette question. MÉDECINE LÉGALE DU DIAGNOSTIC MÉDtCO-LÉGAL DE LA PYROMANIE PAR L'EXAMEN INDIR
ques pages les particularités qui permettront l'expert de poser son diagnostic alors même que tout élément d'appréciation dire
dans les crimes d'incendie n'au- torise donc pas, à elle seule, le diagnostic de pyroma- nie ; ce diagnostic n'est autorisé q
torise donc pas, à elle seule, le diagnostic de pyroma- nie ; ce diagnostic n'est autorisé que par la réunion en outre chez
s se rencontrent en nombre et en force suffisants pour permettre le diagnostic . Il appar- tiendra au médecin de les peser et d
en que très incomplets, ils me parurent pourtant suffisants pour le diagnostic , et sans hésita- tion je déclarai Hippolyte Ed.
jamais commis d'acte de méchanceté. Il me semble que dans ce cas le diagnostic ne pou- vait guère embarrasser l'expert. Tous l
rès nombreux, mais ils m'ont paru assez marqués pour justifier le diagnostic de pyromanie. Enrésuméj'avais affaire à un héré
ez idiot, malgré son imbécil- lité, pour agir avec inconscience, le diagnostic de pyromanie s'imposait dès lors. ' DE LA PYR
s profond de l'inconscient. II. Dans un très grand nombre de cas le diagnostic de cette maladie est impossible par l'examen di
l'état de leur esprit au moment des crimes. III. Dans ces cas le diagnostic peut être rigoureu- sement établi par certaines
té, son inintelligence ne permirent pas un examen fruc- tueux et le diagnostic resta indécis; la poitrine fut cependant reconn
de l'état puerpéral, d'a- bus alcooliques. Junn$(188-2) donne le diagnostic différentiel des délires systématisés et des fo
EaEKii. Du traitement des aliénés sitiophobesl. Après avoir fait le diagnostic exact des troubles pathologiques qui expliquent
ssion : M. de KRAFFT-EBING. - Il n'est souvent possible de poser un diagnostic différentiel entre la mélancolie et la folie sy
de chances de réussir chez l'enfant que chez l'adulte. Plus tôt le diagnostic est fait, plus tôt le traitement est institué,
médecine »; « du Coma dans la maladie de Bright chronique » ; « du diagnostic précoce de la chronicité de la maladie de Brigh
ats ont eu à traiter les questions suivantes : Ventricule latéral ; Diagnostic diffé- rentiel de la paralysie générale. 2° C
tômes et marche de la scarlatine régulière ; anthrax; 2° Signes et diagnostic de la première période de la phthisie pulmonaire
res de la clavicule; Les questions restées dans l'urne étaient : 10 Diagnostic de la pleurésie aiguë ; fracture de l'extrémité i
l'extrémité inférieure du radius ; 2° Ulcère simple de l'estomac ; diagnostic des luxations de l'épaule ; 3° Erysipèle de la
3° Erysipèle de la face ; fractures du col du fémur ; 4° Signes et diagnostic du rétrécissement mitral; hydrocèle de la tuniq
inée, et d'introduire par suite une préci- sion plus grande dans le diagnostic des cas complexes, aussi bien que des cas simpl
faciles à. caractériser; en d'autres termes, je ne crois pas que le diagnostic ait été porté aux dernières limites de la préci
uelle il manque, d'après Marie, cuitanin détails, pour permettre un diagnostic assez sûr. ° Deutsclee .lledzüwischc Wocliensch
ans le cas de Silvastrini, le réflexe rotulien 'manquait.) Quant au diagnostic , les tics ou certaines formes de tics sont l'af
es signes d'une très légère bronchite. Nous ne pensons pas que le diagnostic ici soit douteux un seul instant : l'incoordina
atique. 11. Moel) prétend que la teneur des idées ne peut servir de diagnostic entre la mélancolie et la folie systématique. M
d. 1880, VII. 1 Spitzka. Insane delusions; their mecanism and their diagnostic bearing (Journal of uerv. and ment, diseases, 1
la maladie, l'intelligence est émoussée. Impossibilité d'établir un diagnostic . En faveur d'une sclérose en plaques cérébro-sp
Le blépharospasme peut être le seul signe de l'hystérie et comme le diagnostic n'en est pas toujours fait, l'objet de cette pr
Vertiges procursi fs. -V. Analonzie pathologique. VI. Pronostic et diagnostic . VII. Considérations générales sur la Physiolog
faisceau cérébral sensitif). Il sera toujours bon, pour établir le diagnostic de ce type de surdité verbale, de s'assurer de
c la surdité verbale. Et cette coexistence vient à l'appui de mon diagnostic de surdité verbale brute. En effet, les fibres
nds sur lequel on admette que se développe le délire chronique, son diagnostic avec certains délires des dégénérés qui le simu
avec les accidents cliniques relatés. Les auteurs insistent sur le diagnostic différentiel entre ce genre de sclérose cérébra
hronique plus complet; nous n'en demandons pas davantage pour notre diagnostic . L'autre malade dont 11. Dagouet invoque l'obse
ble à tous et partant accessible à la reproduction expérimentale au diagnostic analytique des pre- miers venus. Le merveilleux
n trau- matisme grave du crâne, par Schroeter, 1252. Pyromanie ( diagnostic médico- légal de la par l'examen indirect), p
93 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
er à tous ce qu'est la suggestion et quelles sont ses applications au diagnostic et à la thérapeutique. Lymphatique, le. teint p
euses, l'expiration est soufflée avec retentissement de la voix. Le diagnostic s'impose ; il y aune indurafion tuberculeuse
t devenu rebelle à la suggestion. C'en était assez d'ailleurs pour le diagnostic du malade et de la douleur abdominale. Le malade
it plus, car elle constitue un moyen précieux d'éclairer à la fois le diagnostic et le pronostic. Les fugues chez les vagabonds
s faisons de l'état mental des epileptiques ? Peut-être porte-t-on le diagnostic d'épilcpsic par ignorance, et un examen plus appr
t un examen plus approfondi du malade pourrait peut-être autoriser le diagnostic de l'hystérie ? C'est là un point à débattre dans
ême douleur avec les mêmes caractères de ténacité vient corroborer ce diagnostic . Nous essayons la suggestion hypnotique; il s'y
uentes. Il faut donc intervenir très rapidement, et, pour ce fait, un diagnostic aussi précoce que possible s'impose, diagnostic t
et, pour ce fait, un diagnostic aussi précoce que possible s'impose, diagnostic très délicat d'ailleurs. Comme traitement, il fau
graduellement à l'autre ; et la suggestion elle-mêm peut éclairer le diagnostic . L'élément nerveux n'existe pas seulement dans
e sur l'élément dynamique et nerveux. C'est au clinicien à faire le diagnostic et à en déduire l'indication thérapeutique. SOC
grande émanation et perte absolue de l'appétit. Je posai aussitôt le diagnostic de sarcome. En présence du Dr Mattéo, de Roquebil
t, pousse l'exclamation imprudente qui la rend astasique-abasique. Le diagnostic hâtif du confrère, « paralysie infantile », sembl
uements aux deux sommels. Marie, pour justifier et concilier les deux diagnostics , vomit du sang, tousse et crache du sang. Les par
ion latente avant qu'elle ne se révèle cliniquement et aider ainsi au diagnostic ; enfin, il devient pathogène par son intensité o
n de la connaître même dans ses formes les plus exceptionnelles. Le diagnostic est en effet d'une importance capitale, car si l'
isme ne réussit pas. Mais en raison de ses antécédents de famille, le diagnostic d'hystérie fut maintenu. Il se peut que n'étant
i, de Vienne, M. Stoukovenkoff, de Kieff. Tous furent unanimes sur le diagnostic de sycosis. L'examen microscopique des squames,
e il ne s'agissait pas d'une épilepsie nette, j'ai tenu à formuler le diagnostic d'hystéro-épilepsie. Pendant les six semaines que
lle du sieur Hanquet. Ici, on peut supposer avec raison une erreur de diagnostic . Là, outre que (1) L'Hypnotisme devant les Cham
l contient des documents intéressants et ajoute un élément nouveau au diagnostic et au traitement de certaines formes d'angines de
: « la suggestion contribue dans ces cas à rectifier et à asseoir le diagnostic , en dégageant pour ainsi dire ce qui est simpleme
atations directes que nous pouvions faire confirmaient pleinement mon diagnostic . Quant à M. X.. il était évident qu'il avait exer
ésistait. Mais j'avais quelque chose de plus certain pour établir mon diagnostic , c'était sa correspondance. Or ces lettres, tant
pisodes est d'une grande importance pour le praticien pour établir un diagnostic juste et ne pas envoyer sans nécessité un malade
, les ganglions sont pris, si bien qu'un spécialiste consulté pose le diagnostic de tumeur maligne déjà inopérable. Malgré cela M.
la cuisse, en extension pour la jambe. On porta successivement les diagnostics dc névralgie, coxalgie, rhumatisme, myélite, névr
pris, mais la plus grande réserve nous est imposée avant de porter un diagnostic ferme dans les cas douteux. Le fait que j'ai l'
és, en dernier ressort, à nous éclairer sur ce point et à formuler un diagnostic ferme, établi par une étude prolongée du soi-disa
mps et avec intérêt ce détenu, m'a remise pour me communiquer son diagnostic ferme et le résultat de ses investigations renouv
ellement aveugle ou simulateur. Pour moi, je partage entièrement le diagnostic de M. le Dr Dehenne, si compétent en pareille mat
1886, devant le lit d'un malade atteint de poussées ambulatoires, Le diagnostic porté avait été celui .d'épilepsie larvée. J'obse
n si grand honneur ; il constitue un élément précieux pour établir le diagnostic et le pronostic, en vertu de l'adage si connu : n
de fascination de la couleuvre de 189. Pseudo-angines de poitrine, diagnostic et traitement par la suggestion, par Marchant, 25
94 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
tions, les viscères. Importance de ces altérations au point de vue du diagnostic et du pronostic. — Troubles de nu-trition consécu
ude, par exemple, lorsqu'il s'agit du cubital, et contribuer ainsi au diagnostic . Ces altérations produisent, au début, des symptô
nerfs qui les animent. — Importance de l'électrisation comme moyen de diagnostic et de pronostic. Recherches de M. Duchenne (de Bo
Bd. XLVIII, hft.3u. 4,1869). Celle- thropalhies, sous le rapport du diagnostic , le rhumatisme arti-culaire aigu ou subaigu étant
connaître, parce que, dans maintes circons-tances, elles ont rendu le diagnostic difficile. La plupart du temps, le pouce et l'ind
est là un caractère distinctif que nous aurons à faire valoir pour le diagnostic . Ainsi que l'a noté avec raison M. Benedikt, da
n plaques disséminées, au point de vue clinique.— Causes d'erreurs de diagnostic . Examen clinique d'un cas de sclérose en plaque
l'analyse d'un cas observé à la cliniquede Skoda, cas dans lequel le diagnostic Paralysie agitante avait été porté pendant la vie
iloculaire (2). Pendan l la vie, le professeur liasse avait établi le diagnostic : paralysie agitante et néanmoins on insiste, dan
s et qu'aujourd'hui, alors que des travaux récents (1) ont éclairé le diagnostic , il n'est guère permis de s'y laisser prendre. Ma
a sclérose multiloculaire. Il peut contribuer puissamment à fonder le diagnostic , principalement dans les cas, exceptionnels d'ail
aient prédominer, ils fussent de nature à embarrasser sérieusement le diagnostic ? Non. certes, et j'ai la convie-trou que, dans f
ens hémiplégiques; — Impor-tance de la température ou point de vue du diagnostic . Des périodes dans la sclérose en plaques. —Pre
là un caractère qui peut, dans certains cas, être mis àprofitpour le diagnostic . Il n'estpas nécessaire, jepense, d'en-trer dans
t pas tôt ou tard s'y adjoindre, permettraient cependant d'établir le diagnostic sur de fortes présomptions. Mais tel n'est pas
indice de la même catégorie, elle pourra vous conduire sur la voie du diagnostic dans les cas difficiles. VIII. Il me reste, M
rison. Vous voyez par là que ce phénomène n'a pas, au point de vue du diagnostic anatomique, une valeur absolue (1). 1. Dès 1868
tuent un ensemble de symptômes dont l'importance;, au point de vue du diagnostic , est à peu près décisive. Rien de semblable ne s'
nant des circonstances vraiment décisives qui permettent d'établir le diagnostic . a) Alb... a des attaques hystériques depuis l'
que l'in-terprétation clinique de ces deux cas, en ce qui concerne le diagnostic . Mais voici le point où, dans ces cas mêmes et da
aussi une question de nosographic, et par conséquent une question de diagnostic et de pronostic. Ces circonstances suffiront, je
insi que je l'ai démontré, un caractère qui peut être utilisé pour le diagnostic . Mais il est temps d'en revenir à l'hystérie ép
s effets de cette manœuvre, il ne faut pas voir seulement un moyen de diagnostic , un élément propre à éclaircir la théorie du mal
ant très accusées, bien que le tremblement y fasse défaut, et dont le diagnostic peut être rigoureusement établi. Ces considérat
ore que celui de M. R..., nous rend compte d'une singulière erreur de diagnostic qui est quelquefois commise. En raison de l'attit
nts de maladie de Parkinson. maladie de Parkinsonmi début et sur le diagnostic duquel on aurait quelque doute, il sera donc util
considérer comme une règle absolue que 1. Landolt. — Leçons sur le diagnostic des maladies des yeux, p. 155 et suivantes. les
n connaît, du reste, les difficultés qu'offre très habituelle-ment le diagnostic de l'hystérie locale en général, surtout lorsqu'e
une influence traumatique. Elles aurontd'aulantplus de portée que le diagnostic erroné auquel on se sera arrêté (arthrite, coxalg
tions, les viscères. Importance de ces altérations au point de vue du diagnostic et du pronostic. — Troubles de nu-trition consécu
rfs qui les animent. — Importance de l'électrisation comme moyen de diagnostic et de pronostic. Recherches de M. Duchenne (de Bo
plaques disséminées, au point de vue clinique. — Causes d'erreurs de diagnostic . Examen clinique d'un cas de sclérose en plaque
ens hémiplégiques. — Impor-tance de la température ou point de vue du diagnostic . Des périodes dans la sclérose en plaques. —Pre
194, 222. — Forme cérébro-spinale, 1Ï5, 222. — Causes d'erreurs de diagnostic , 223. — Diplopie, amblyopie, 233. — Symptômes c
95 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ant ce qu'il croyait être de son intérêt, de prouver les erreurs de diagnostic qu'il pensait avoir été commises. On juge par l
li, 1889. E. Morselli. - sella diraamo,9rnrta e sue applicazioni al diagnostics dei disordini motorii nelle ntalallie neruose.
le, enfin, les vomissements, étaient autant de preuves à l'appui du diagnostic adopté. Cependant, à l'autopsie, on constata un
Les conférences du mercredi sont consacrées il. l'étude pratique du diagnostic delà folie. Les leçons ont pour objet cette ann
pseudo-tabétique, dont M. Charcot a établi d'une façon décisive le diagnostic différentiel, et sur les caractères de laquelle j
, il faut rechercher avec tout le soin possible les élé- ments d'un diagnostic différentiel. A vrai dire, je le répète, il n'y
A coup sûr, aucun clinicien n'eût hésité il y a dix ans à porter ce diagnostic sans réserves. Cependant, il ne s'agit point ic
avec l'observance du régime. Ainsi, tout concourt à justifier notre diagnostic de paralysie alcoolique. Il n'y a pas lieu de
s en réalité le trouble abasique. ' Nous serons très court sur le diagnostic ; la confusion ^pour- rait se faire avec le tabe
lle devient hydrocéphale, et meurt dans un état de mal. On porte le diagnostic de tumeur cérébrale avec hydrocéphalie et lé- s
rch. f. Psych., XX, 1.) Observation très intéressante entraînant le diagnostic de : lésions du lobule pariétal inférieur ou de
laisse à désirer au point de vue clinique, n'en impose pas moins le diagnostic sus-désigné. L'autopsie est très dé- taillée et
et thermique, la sensibilité à la douleur per- sistant. On posa le diagnostic de : section du nerf médian et du nerf cubital,
ut, peuvent être confondus avec l'hystérie ; mais, ce qui permit.le diagnostic en l'espèce, ce fut une atrophie bilatérale des
dans les régions telles que la base du cerveau, par exemple, où le diagnostic est incer- tain et les opérations chirurgicales
e. Bien que le malade ait donné lieu pendant sa vie à une erreur de diagnostic , M. Rendu, avec un sen- timent de franchise sci
exagéré par les mouvements volontaires, une discussion clinique du diagnostic montre que l'hystérie est en jeu. L'auteur a ét
ore signalée, si je ne me trompe, et faite en vérité pour égarer le diagnostic d'un observateur non prévenu. Il nous a été a
faveur d'une néoplasie tuberculeuse. Mais fallait-il s'arrêter à un diagnostic si mal sonnant et entraînant avec lui un pronos
é la paralysie alterne caractéristique. Inutile de vous dire que le diagnostic d'une lésion pédouculaire est jusqu'à présent i
cons- tants et que leur absence n'autorise nullement à rejeter le diagnostic de spasme. Mais alors, médirez-vous, en l'absen
yez d'ici l'embarras du médecin chargé d'annoncer à la famille un diagnostic et un pronostic de cet ordre. Fort heu- reuseme
e cesouvenir, c'est uniquement pour vous montrer les difficultés du diagnostic entre le spasme et la para- lysie de la paupièr
ésislance spéciale, de connaître un si- gne qui permit d'établir ce diagnostic . Je sais bien que le chloroforme serait décréto
finitive, nous pouvons, je crois, nous arrêter chez notre malade au diagnostic de blépharospasme 1 tonique d'origine hystériqu
possession de plus de signes qu'il n'en faudrait pour asseoir notre diagnostic , mais il faut ^avouer que de prime abord la coe
voyez quelle serait la situation d'un médecin qui, sur la foi d'un diagnostic anatomique, eût ici déclaré l'existence d'une l
us, qui viendrait, s'il en était besoin, plaider en faveur de notre diagnostic . Voici les détails de l'observation qui a servi
outerai cependant quelques explications dans le but de permettre un diagnostic différentiel facile entre le bégayement hystéri
Faut-il ajouter que M. Ballet a complètement négligé d'établir le diagnostic différentiel pas plus entre le bégayement hystéri
1 en plaques ou de toute autre affection. Je ne veux pas faire ce diagnostic différentiel. Mon ambition s'est bornée, je le ré
ose en plaques ou de toute autre affection. II ne veut pas faire ce diagnostic différentiel. » Je regrette la ré- serve de M.
il ne méconnaîtrait pas l'importance qu'il y a, au point de vue du diagnostic notam- ment, à en bien étudier les diverses man
hique et scientifique, mais d'un intérêt pratique important pour le diagnostic et le traitement des maladies cérébrales. ROB
syphilitique n'agit pas quand le symptôme de la démence confirme le diagnostic ; il anémie et excite. Les paralytiques généraux
ait souvent embarrassé, comme bien d'autres aliénistes, de faire le diagnostic des affections aiguës se montrant chez des suje
des sujets jeunes âgés de seize à vingt ans; pour le même malade le diagnostic était successivement- mé- lancolie ou manie. Il
st, il est encore difficile de formuler des données solides pour le diagnostic de ces psychoses récur- rentes. A propos de c
96 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
n comprendre les motifs qui vont nous guider dans la re- cherche du diagnostic , il convient de rappeler brièvement quelques noti
mollissement. L'étude clinique peut établir la probabilité d'un tel diagnostic , l'étude nécrosco- pique permet seule de l'affi
moteurs corticaux chez l'homme. (2) NOT11riAGEL, Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encéphale, p. 404- 434. DE
les maladies nerveuses, p. 5.i2, (2) Nothnagel, Traité clinique du diagnostic des maladies de l'encéphale, p. 438. DE L'ÉPILE
t la disposi- tion de la charpente osseuse, constitue un élément de diagnostic de réelle importance et facilite singulièrement
5 mois, bien portant, porteur d'un pouce bifide du côté droit. Le diagnostic de la malformation a été facilité par la radiogra
patellaires normaux. On voit, en résumé, dans ces observations, le diagnostic de tabes établi cliniquement. Il est fondé en p
ance aortique, de pyélo-néphri Le suppurée et de tabes dorsalis. Le diagnostic de tabes avait été porté pendant la vie. La per
cevoir le corps thyroïde à la palpation vient en- core confirmer ce diagnostic , toules réserves faites sur la difficulté d'appré
deux malades, elle nous a donné des résultats qui confirment notre diagnostic . Chez le premier infantile, myxoedémateux qui e
dant son aîné de deux ans. Ceci permet d'entrevoir un procédé de diagnostic entre les deux variétés de l'infantilisme par l
lui, la paralysie de l'orbiculaire n'a de valeur au point de vue du diagnostic entre la paralysie supra-nucléaire et la paralysi
ssifiante multiple, progressive ». Durée, Terminaison, Pronostic, Diagnostic et Traitement. La durée de la myosite ossifiant
blige il passer leurs malheureux jours sur une chaise longue. - - Diagnostic . A une période assez avancée la myosite ossifiant
tre l'affection. De Noorden a indiqué un procédé pour établir le diagnostic de la pé- riode de la maladie : Les sels qui en
ande quantité que dans la nourriture prise. Tout à fait au début le diagnostic de la myosite ossifiante est très déli- cat. On
ssiste ici à leur évolution. Quelques cliniciens ont insisté sur le diagnostic différentiel de la myo- site ossifiante et de l
n anatomo-patllologique, quand il a pu être pratiqué, a confirmé le diagnostic de Maladie de Friedreich. Le fait que nous allons
. Pas de trou- bles trophiques, pas de pied-bot. Légère scoliose. Diagnostic porté par Charcot : Maladie de Friedreich. Agén
ce, et de même que chez les microcéphales, on peut déjà en faire le diagnostic pendant les premiers mois de leur apparition au m
e ce jour au cas d'une jeune m soulève une intéressante question de diagnostic topographique selon toute vraisemblance, d'un c
t vous intéresser à deux points de vue surtout : au point de vue du diagnostic ; au point de vue du traitement qui, sauf de rar
je crois devoir vous rappeler combien il faut tenir pour suspect le diagnostic de méningite, toutes les fois qu'il s'applique
mes et syncopales.. SUR UN CAS DE TUMEUR DU CERVELET 2t9 . .. Diagnostic . - En présence d'un pareil ensemble symptomatique
tiens il faire des réserves qui me sont dictées par des erreurs de diagnostic commises dans des cas analogues à celui de notre
donc à en tenir compte dans la 222 ' F. RAYMOND détermination du diagnostic topographique, dont je vais m'occuper main- ten
pas que le caractère titubant de la démarche entraîne fatalement le diagnostic de lésion du cervelet, et dans notre cas, il s'ag
c et traitement. -En l'étal des choses, c'est-à-dire en présence du diagnostic que je viens de porter, la question de pronostic
cause connue, l'aspect du petit malade, tout militait en faveur du diagnostic posé. Crâne natiforme. Au niveau des bosses fro
ord, dont une ordonnance (conservée par le malade) porte en tête le diagnostic suivant : « Chancre induré de la lèvre inférieu
enir sa tête droite ; il la laissait toujours tomber en arrière. Le diagnostic d'hydrocéphalie fut porté, et de nouveau un trait
dice, pour éveiller un soupçon, pour ouvrir une piste et diriger le diagnostic vers la recherche de 1 'hérédo-syphi 1 is. «
de la corne antérieure d'un côté, foyer de sclérose de l'autre. Le diagnostic peut d'autant mieux se poser que l'anam- nèse e
audication consécutive persistante par suite de luxation d'après le diagnostic posé. Huit ans après, douleurs dans tous les me
toitie (mars 1898); M. P. Marie, nui a vu le malade, a confirmé le diagnostic de Spondylose ltliizoméliyue. Observation Dur
e malade de Baumier et le-nôtre sont également des hommes jeunes. Diagnostic . Le diagnostic est à faire avec le mal de Poil,
mier et le-nôtre sont également des hommes jeunes. Diagnostic. Le diagnostic est à faire avec le mal de Poil, le rhumatisme ch
ux de la forme sclé- rodermique principalement). Cliniquement, ce diagnostic prêterait à d'intéressantes considérations ; ma
manifestement ceux d'une pleurésie diaphragma- tique et tel fut le diagnostic posé en présence des élèves. Pour tout traitement
ns relative se re- trouve facilement. Cet épanchement justifiait le diagnostic porté quelques jours auparavant avec cette circ
tement semblables. Nous avions donc un syndrome de conges- tion. Le diagnostic physique actuel était par conséquent : Poumon lég
de la com- pression de l'ovaire confirmerait, s'il était besoin, le diagnostic . Le deuxième crise à laquelle nous avons assist
carac- téristique que M. Charcot n'a pas hésité un instant dans son diagnostic en des cas où la dyspnée était la seule express
t en s'en sou- venant on évite de singulières erreurs aussi bien de diagnostic que de pro- nostic.Parmi les cas dont j'ai mémo
97 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e risquent plus comme autrefois de tomber à chaque instant dans des diagnostics erronés en prenant pour une maladie à lésion or
gmates hystériques bien accentués fournissait un appoint de plus au diagnostic . Tout d'abord il existe une anesthésie absolue
e façon à rendre plus difficile à cet égard qu'on ne le pensait, le diagnostic entre l'hémiplégie capsulaire et l'hémiplégie h
i pa- thognomiques, à étiologie toujours identique à elle-même, à diagnostic solidement établi. Bien plus, la pathogénie de ce
tation debout et la marche sont par conséquent impossibles. Notre diagnostic d'astasie-abasie nous paraît donc bien établi; il
re symptôme que les accidents classiques. Comme l'a dit Virchow, le diagnostic REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
Korsakof, Minor, Kornilof et Chatalof ne sont pas d'accord avec le diagnostic du rapporteur et ne trou- vent pas que les trou
». L'état du réflexe anal peut (au milieu d'autres signes) aider le diagnostic différentiel entre les affections anatomiques e
aîtrez que je poursuis un but plus sérieux. C'est une question de diagnostic . différentiel que je vais agiter devant vous, e
e je vais agiter devant vous, et précisément dans le cas actuel, le diagnostic n'est pas, tant s'en faut, chose indifférente.
t tout à l'heure que l'examen du malade semble d'abord justifier le diagnostic de syringo- myélie. Avant de procéder à cet exa
s après tout, elles ne s'opposent pas d'une manière absolue à notre diagnostic de syringomyélie, L'absence de symétrie surtout
e; il semble s'agir d'une altération osseuse primitive. Voilà notre diagnostic sin- gulièrement renforcé, la scoliose étant un
mblablement, n'appartient pas au complexus syringomyélique. Notre diagnostic semble donc bien établi; le pronostic en découl
dissociation syringomyélique qui est un des éléments principaux du diagnostic accepté. Nous n'avons rien à changer à ce qui a
E PARALYSIE DE LA PREMIÈRE PAIRE DORSALE. 171 vous allez voir notre diagnostic de tout à l'heure se transformer comme par ench
nt, au lieu de pêcher en eau trouble. Mais cette détermination d'un diagnostic ra- tionnel n'offre pas seulemeut des avantages
vous avoir montré, par cette sorte de débat contradictoire, que le diagnostic de la syringomyélie est parfois chose délicate,
du visage, dans la structure défectueuse du cerveau les éléments du diagnostic criminologique, et, par suite, à considérer les
ument distincte de l'alcoolisme, une série de 22 observations où le diagnostic reste en suspens, mais qui nous paraissent un p
préoccupations hypochondriaques, peuvent, on le conçoit, rendre le diagnostic difficile. On se trouve, en effet, en présence
rence semblables et créer par suite des difficultés très grandes de diagnostic . M. Magnan demande ensuite à M. Rousset la perm
ses conclusions dans les cas de difficulté ou d'impossibilité d'un diagnostic ferme. Il assure à l'inculpé l'indul- gence du
ux on manque de critérium suffisant ; mais il ne faut, parce que le diagnostic est obscur, conclure à une responsabilité mitig
motilité; 3° trois mois de galvanisation complètent la guérison. Diagnostic : névrite du nerf sus-scapulaire. M. M'fSTPH.L.
ande était la différence entre les deux affections, insistât sur le diagnostic . Un dernier fait en faveur de la nature épilept
phorètique pour des usages généraux ainsi que pour établir certains diagnostics . P. B. VIII. Seconde note sur les hallucination
ue de s'exposer en pareille circonstance à affirmer cliniquement un diagnostic que l'on sait pouvoir être infirmé par l'examen m
'une fois la découverte du sucre dans l'urine est venue réformer le diagnostic . ' Bouchard. De a po'e M )'e'/ ? M;M )'o<t;e
cette voie : dans ses cliniques de la Salpêtrière, il discute le diagnostic des délires de persécution systématisés, dont il
le plus marquant, il est très facile de porter chez notre malade le diagnostic d'hémia- trophie faciale progressive. Cependant
de le diagnostic d'hémia- trophie faciale progressive. Cependant ce diagnostic ne nous fournit que très peu; car, non seulemen
es porté à la conclusion, que les observateurs, tout en basant leur diagnostic sur ce seul symptôme qui est, à vrai dire, le p
ata une névrite interstitielle proliférante du nerf tri- jumeau. Le diagnostic de Virchow fut donc constaté. Mais en même temp
de pareilles lacunesn'empêchentpas, en général de formuler un gros diagnostic , elles peuvent créer des difficultés presque in
pour ainsi dire au hasard que le médecin a dû de pou- voir faire le diagnostic exact. Le médecin aliéniste appelé à prononcer
munication des docu- ments de police, susceptibles de contribuer au diagnostic et au pronostic. Pour notre compte, ces renseig
98 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
ra à Toulouse en 1897, seront traitées les questions suivantes : 1° Diagnostic différentiel de la paralysie générale ; 2° Hyst
rudiments de la pathologie mentale ?com-ment pourrait-il formuler un diagnostic que le médecin parfois n'établit qu'avec peine? O
dirons-nous, la préservation sociale est immédiatement intéressée au diagnostic exact de la folie ; en effet, un aliéné que l'on
chef-lieu du département. Là, dit-il, il sera encore visité, et si le diagnostic d'aliénation est confirmé, il sera transféré daus
ndance à s'endormir. Ce fait fut pour moi un éclair qui confirmait le diagnostic de la neurasthénie chez une personne nervoso-arth
alpant et le retournant sous toutes ses faces sans arriver à un autre diagnostic que celui de neurasthénie. Sur le conseil de l'un
nation proprement dite. En constituant une difficulté de plus pour le diagnostic , elle impose l'obligation absolue de faire l'exam
t nullement incommodés au point de vue uri-naire proprement dit. Leur diagnostic même serait assez délicat puisque l'on doit consi
hrotomie interne, qui aurait laissé après elle une cicatrice. Si le diagnostic étiologique était exact, — et l'événement a montr
sions un certificat. Une opération simulée nous a permis, une fois le diagnostic établi, de faire disparaître comme par enchanteme
sence de stigmates caractérisés de l'hystérie, nous penchâmes vers le diagnostic de ptosis hystérique et le résulat du traitement
200 ; 15° La mémoire che% les hypnotisés. VII, 29; 16° Deux cas de diagnostic chirurgical, posé au moyen de l'hypnose, 35 ; 17°
mais, où elle échouera, elle sera encore utile en servant de moyen de diagnostic de l'hypochondrie. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE
ue pas nécessairement, pour celui qui est adonné à cette habitude, le diagnostic de trouble mental entraînant l'incapacité de test
ue pas nécessairement, pour celui qui est adonné à cette habitude, le diagnostic de trouble mental entraînant l'incapacité de test
l où nous pourrions plus à notre aise l'étudier, j'avais abandonné le diagnostic de coliques néphrétiques, et à certains symptômes
eligion. Un vol. in-8 broché, 317 p. Paris 1897. Dr L. Montin. — Le diagnostic de la suggestibilité. Un vol. in-4° br., 110 p. P
L'examen attentif seul de la malade pouvait donner la réponse à ce diagnostic différentiel très délicat. Comme antécédents hé
. L'après-midi, je présentai cette malade à M. Valude qui admit mon diagnostic et me la confia. J'essayai d'abord du procédé d
d'ailleurs à ceux de l'observation précédente, me permit de porter le diagnostic de : Blèpharospasme tonique bilatéral douloureux,
uelque sorte ; d'où une plus grande difficulté encore pour établir le diagnostic . Sauf les lésions mécaniques consécutives, les
ncées dans la moitié droite du corps, finissent par se généraliser. Diagnostic . — Epilepsie jacksonnienne droite totale, permett
rate hypertrophiée, là coxalgie, la pérîty-phlite, et je m'arrête au diagnostic de contracture du psoas iliaque gauche. Reconst
critique de la thèse inaugurale du Dr Lucien Moutin. intitulée : « Le diagnostic de la suggestibilité. » Diverses notes sont lue
rendre aux chirurgiens d'indéniables services, soit comme élément de diagnostic , soit comme adjuvant du processus normal de la gu
le. L'examen clinique, hématologique et bactériologique le conduit au diagnostic précis de tuberculose tubo-métro-ovarienne ; la c
psychique devait, du reste, trancher les dernières difficultés de diagnostic , et donner du même coup à ces troubles, en appare
névropathes. Indispensable quelquefois pour établir avec certitude un diagnostic difficile, la suggestion, avec ou sans sommeil hy
ynévrite infectieuse chez un nerveux diathésique se développera. Le diagnostic du dynamisme psychique est délicat, le pronostic
pallier rappelle à cette occacion combien sont faciles les erreurs de diagnostic au sujet de prétendues maladies chirurgicales, te
ter de son emploi ; de plus, il permet quelquefois de porter un exact diagnostic des cas les plus douteux. » Bien qu'il eût pris
louse, le lundi 2 août 1897, sous la présidence de M. le Dr Ritti : Diagnostic de la paralysie générale. — Rapporteur M. le Dr A
99 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
s de thérapeutique suggestive avec applications de la suggestion au diagnostic et au pronostic; M. le D' A Voisin, médecin de la
rmule biométrique. Les modifications de celle tension permettent le diagnostic des tempéraments et fournissent les indications e
he. « Pour tous vos élèves, vous avez été le clinicien consommé, au diagnostic sûr et raisonné, à la thérapeutique variée autant
manie. Successivement, il écrit l'etiologie. la symptomatologie, le diagnostic et le prognostic de ce» états, puis il fait passe
cation dans l'étiologie de ces états pathologiques, puis il traite du diagnostic et du pronostic pour en venir au traitement psych
ite). Thérapeutique suggestive avec application de la suggestion au diagnostic et au pronostic (1), Par M. le professeur BERNH
seulement un moyen de traitement, mais qu'elle peut encore servir au diagnostic des maladies. Le premier concerne une fillette
sieurs circonstances, la présence de calculs est venue confirmer le diagnostic . — Cette malade a été en traitement à Vichy, il y
après nous retrouvions dans les selles un gros calcul, confirmant le diagnostic . Le frère de cette malade, jeune homme âgé de v
ne des caractères pathognominiques absolument précis qui ont rendu le diagnostic tout à fait indiscutable. C'était la terminaison
i leur véritable place dans le Cadre noso-logique et de confirmer le diagnostic . Dans le premier cas, en effet, outre les antéc
rtainement. Les médecins de la famille n'acceptèrent d'abord pas le diagnostic de M. Gibert, puis après enquête constatèrent sa
que j'ai eu l'occasion d'observer ces faits de scoliose spéciale. Le diagnostic de l'un d'eux a été fait par le maître lui-mémo.
t d'hérédité directe qui, il me semble, plaide très fort en faveur du diagnostic déjà posé : n'est-ce pas en effet en hystérie que
eine, puis chez M. de Saint-Germain, aux Enfants-Malades. On porte le diagnostic de scoliose vulgaire. M. de Saint-Germain affirme
s symptômes analogues à ceux de l'observation précédente, on porte le diagnostic de scoliose hystérique. En effet, cinq jours ap
es personnes qui l'entouraient, je ne songeais pas encore â porter ce diagnostic . Placée sur La bascule, elle accusa un poids de
-tuberculose aurait été plus grande et aurait pu causer une erreur de diagnostic préjudiciable à la malade. En second lieu, la jus
avoir éprouvé une vive douleur. Il nous reste à justifier ce double diagnostic . Pour cela, nous allons d'abord étudier ce qu'est
l était donc permis de songer à cette affection; mais pour établir un diagnostic ferme, il fallait éliminer certaines maladies ; j
ites mixtes signalées par Plicque, et enfin la coxalgie simulée. Le diagnostic avec la coxalgie vraie est, dans bien des cas, pl
l'hystérie et que celle-ci peut être monosymptomatique (5). Enfin, le diagnostic de coxalgie vraie se trouve éliminé, aujourd'hui,
aussi affirmantif, et l'on sait de quelles difficultés est entouré ce diagnostic ; aussi les cliniciens disent-ils de ne pas faire
nger le malade dans tous les cas; « s'il ne guérit pas. dit-il, votre diagnostic sera vérifié; s'il guérit, vous aurez le mérite d
. Terrillon. etc. (3). Malgré ces probabilités, on ne peut poser un diagnostic absolument certain, car lorsqu'on s'occupe de méd
en présence d'une simulatrice. Du reste, dans ce cas particulier, le diagnostic entre l'hystérie et la simulation n'a pas une gra
âge et même au-dessous (4). Je crois donc ètre autorisé à poser le diagnostic de pseudo-coxalgie chez cette enfant. Les phénomè
nt d'être soutenue à Paris (1), II me reste maintenant à justifier le diagnostic d'enfant menteur. II. — Enfant menteur. Ce n'
tó qu'on a pu lui faire. Nous trouvons un élément très important du diagnostic de la simulation hystérique dans la recherche mêm
iner le symptôme présenté, il est absolument impossible d'en faire le diagnostic . Rien, absolument rien dans la contracture des mâ
la croyaient endormie. Aussi nous nous hâtons de leur faire faire le diagnostic de ce sommeil simulé. Saisissant le bras de la ma
190. Thérapeutique suggestive avec application de la suggestion au diagnostic et au pronostic, par Bernheim, 147. Thérapeutiq
100 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
ique cette voyante est capable de se prononcer avec exactitude sur le diagnostic et le traitement des maladies, elle devrait bien
qui concerne l'art médical, la prétendue clairvoyance relativement au diagnostic et au traitement est contraire aux faits bien obs
e le traitement psychique constitue par lui-même le meilleur moyen de diagnostic , parce que, dans des cas douteux, il permet d'obt
lusieurs mois de l'estomac, il. Dubois appelé en consultation fait le diagnostic de tumeur cancéreuse et soumet la malade à un rég
urs heures et le sommeil redevient bon. Au bout de quelques jours, le diagnostic dyspepsie nerveuse était confirmé. Quatre semaine
du pylore. Le procédé psychique a été dans ces deux cas un moyen de diagnostic bien supérieur à celui du repas d'épreuve qui n'a
r emploi n'est dû qu'à une fausse interprétation des phénomènes, à un diagnostic erroné. Reproche plus grave, ils risquent aussi
tion. A celui-là il faut un examen de quelques jours pour affirmer le diagnostic ; celui-ci ne peut que s'en rapporter au médecin
A plus forte raison, il ne saurait acquérir le pouvoir de faire des diagnostics , de porter des pronostics, d'instituer des traite
approfondie ne nous parait pas prouver qu'il ait jamais été établi un diagnostic bien complet. On ne sort pas des généralités qu
ique : Il ne sera pas permis aux médecins d'affirmer publiquement son diagnostic et d'exposer les raisons qui l'ont amené à le
rieures sont évidentes, cela ne démontrera aucunement la réalité d'un diagnostic exact. La valeur d'un traitement résulte uniqueme
t. La valeur d'un traitement résulte uniquement de la précision de ce diagnostic , tenant compte, dans chaque cas particulier, de l
n'était autre que l'ancien magnétisme scientifiquement étudié. Les diagnostics de MIU X..., étaient réellement faits pour entraî
sous ie nom d'un de ses contremaîtres. Mlle X..., répond par un autre diagnostic et un autre traitement. Une enfant de huit ans
mari, la voyante fit, en teimes amphigouriques et contradictoires, un diagnostic tout à fait erroné, auquel elle ajoutait, pour ce
que, cette voyante est capable de se prononcer avec exactitude sur le diagnostic et le traitement des maladies, elle devrait bien
qui concerne l'art médical, la prétendue clairvoyance relativement au diagnostic et au traitement est contraire aux faits bien obs
accidents. Dans cette catégorie, l'assistance des enfants dépend du diagnostic de la névrose. C. Perte de l'intelligence. — La
mme. Sans doute, elles ne permettent pas, à elles seules, de poser un diagnostic formel, mais elles mettent l'attention en éveil e
— L'influence du traitement ne nous apporte pas un élément précis de diagnostic entre le mal de mer vrai et le mal de mer imagina
Félix Regnault. — Sans doute, je ne peux pas vous fournir de moyen de diagnostic . Mais dans votre pratique nerveuse, il vous arriv
uggestion vous scrl de pierre de touche; grâce à elle, vous faites un diagnostic . Quant à la distinction entre le mal de mer vrai
même coup pourquoi il n'a pu, lui neurologiste ëminent, arriver à un diagnostic qui s'impose avec la force de l'évidence. L'auteu
puis dix-neuf cents ans, l'humanité occidentale vit sur une erreur de diagnostic . Du moins j'ose espérer que, dépouillant en ent
turnes appartiennent, le plus souvent, au domaine de l'hystérie. Le diagnostic entre l'épilepsie et l'hystérie sera important à
e. D'Pamabt : Epilepsieou hystérie. La psychothérapie facilitant le diagnostic . Dr Bérillon : Le réflexe de la suggestibilité.
rapeutique physiologique et raisonnée, procède non seulement d'un bon diagnostic , mais aussi de questions de clinique, de pronosti
Dr Pamabt : Epilepsia ou hystérie. La psychothérapie facilitant le diagnostic . .Dr Bébillon : Le réflexe de la suggestibilité
les maladies à travers les corps et même à distance et en donnait le diagnostic détaillé d'après les sensations qui à ce moment l
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