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1 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
celui-ci : La méthode conduit-ellé à la guérison î Or, l’homœopathie demandait à faire ses preuves officielles ; on riait au ne*
tie des clients, et des bons clients, de ceux qui payent, était allée demander sa guérison à l’hommopathie, — afl'aire grave
ourni le moyen dintroduire l'instance. L’auteur du livre, qui avait demandé un compte-rendu, quel qu’il fût, content ou non d
pas une très-grande confiance dans la science thérapeutique. Je lui demandais « s’il reconnaissait la justesse du fameux mot de
et s’il en connaissait le pourquoi. — « Le pourquoi ! je me le suis demandé bien des fois ; mais le parce que, je ne me le su
t que j’étais interne à l’hôpital, une instruotioaministérielle avait demandé qu’on expérimentât le sulfate de quinine à hautes
e dangereux et qui ne guérissait PLUS. — « Faisiez-vous l’article,? demandai -je au docteur. Preniez-vous soin d’avertir le mal
opriétaire 11e donnerait pas pour mille dollars. Cette personne ayant demandé aux Esprits un témoignage qui pût prouver la véri
lle agit sur ceux qui l’environnent. « Venez, messieurs, on ne vous demande rien que Chonneur de voire présence; entre: sans
sque, en ce monde, il y a cent mille peul-Étre pour un certaine-mtnt. Demandez -le plutôt à Montaigne,... le grand douteur. « P
trations, dont la palpable évidence doit frapper tous les esprits, je demande aux hommes qui ne sont point tout à fait relégués
emain, il vint me retrouver, plus malade encore que la veille. Je lui demandai ce qu’il éprouvait ; il me dit qu'il ne s’était r
nde en suivant desycux les mouvements de sa main, et on ne lui en demande pas davantage ; ou bien on entend des coups parti
ait vers la maison de sa future épouse, une pauvre femme inconnue lui demanda l’aumône et reçut de lui une pièced'argent. Touch
chés de ce vice. M. Roux reT connaît d’ailleurs que j’ai eu raison de demander une traduction en français, puisqu’il en donne un
oi qu’ils firent, elle resta pour eux aveugle, sourde et muette. A ma demande , l’un d’eux lui appliqua la main sur le bras ; au
touche; sentiment instantané d'effroi, mouvements convulsifs. A ma demande , le préfet applique la sienne ; pas de sensations
alloués aux médecins. M' llougier a plaidé pour les médecins et a demandé la confirmation du jugement frappé d'appel. M.
et que tant d’autres volatiles de même fabrique, l’auteur, auquel on demande des renseignements, se trouve dans la même positi
se trouve dans la même position où aurait été Perrault, si on lui eût demandé l’adresse de Peau d'âne. Dès lors il n’y a pas de
sant le seuil de la porte, de trouver toute la maison en émoi. — Nous demandâmes la cause de tout ce mouvement inusité, et les dom
u’elle lui apparut dans sa prison et qu’elle lui dit, en réponse à sa demande , qu’elle serait délivrée de prison par une grande
r cette terre. Dimanche, j’irai communier à dix heures, à Paris, pour demander encore au Seigneur 1 affermissement de mon âme
. (Il fit mettre quelques aliments et du vin sur la table.) Or, je le demande à tous , n’est-ce pas à l’action mystérieuse de s
aguétisant de produire des secousses pareilles, el, 5 ce sujet, je me demande s'il n'y a pas quelque analogie entre le fluide n
ser franchement ma manière de voir. Après cela si je me trompe, je ne demande pas mieux que de faire amendf honorable et d abju
Ses plaintes et ses gémissements me firent monter chez lui, et je lui demandai s’il voulait bien me laisser tenter de lui procur
eus avec vous lors de mon dernier voyage à Paris, et vous m’avez fait demander si je songeais à vous adresser quelques articles
e autorisation spéciale, que je ne devais compter obtenir que sur une demande dûment appuyée. Je me préparai donc à présenter m
le, ma protectrice n’osa prendre sur elle d’appuyer ostensiblement ma demande , et, grâce à l’influence du corps médical,.j’obti
espèce d’ostracisme dont l’ont frappée les corps savants, alors on se demande d’où peut provenir cette déplorable indifférence,
trouver en présence, et que des raisons, que je te prie de ne pas me demander , m’empêchent présentement de te dire mon nom., je
douce satisfaction, lorsqu’après s’être longtemps brisé la tôte à se demander pourquoi tel phénomène s’est produit à nos yeux,
t de s’en rendre compte, a J'ai vu, dit-il, j'ai produit ; je me suis demandé : ce que j’ai vu est-il possible ? j'ai revu, rep
on article actuel, il s’applaudit d’avoir obtenu de moi la traduction demandée . Cette traduction ou plutôt cette paraphrase n'es
rang parmi les écrivains les plus distingués. L’analyse de son livre demanderait un travail à part : nous devons nous borner pour
rouve place tout ce qui a été dit de sensé sur le magnétisme, je vous demanderai , monsieur le Rédacteur, de me permettre de ra
ressée à Al. Allan Kardec, président de la Société spirite , pour lui demander d’être admise à étudier par elle-mêmecesfaitsque
favorable , bien que partout on me fit craindre que la faveur que je demandais ne me serait point accordée. Plusieurs personne
ne manquant ni à l'une ni à l'autre des parties opposées. n Je vous demande la permission de rapporter un fait à peu près ana
e de M. Henri ! — (Elle pouvait savoir qu’on l’avait reçue.) — Je lui demandai la date et d’où elle était datée, elle répondit :
is c'est ¿ga), ils on t eu bien peur... Ici, je l’in terrompis et lui demandai : A quel jour sommes-nous ? Au 10 ou au 20 mars,
e venait de nous raconter les détails un moment auparavant. « Je me demande à présent si son âme ou bien son esprit (pas dans
s, qui a dit : « Ce monde sera détruit et réparé dans le temps que le demande le gouvernement des Esprits. » Or, la science mod
scrit avec certitude des médicaments efficaces... Le docteur X... a demandé au tribunal la permission d’exposer sa doctrine.
ent, un medium monte au bureau près du secrétaire chargé d'écrire les demandes fiâtes par l’un des fidèles et les réponses qui s
naturel. La leçon profita aux partisans éclairés du magnétisme qui se demandèrent si, dans beaucoup de cas, les somnambules qui éto
e à inspirer de sérieuses réflexions suites miracles, et l’on peut se demander s’il en est beaucoup qui résisteraient à une pare
médecine et plusieurs magnétiseurs très-renommés se sont maintes fois demandé comment il peut se faire que la magnétisation pro
s. — Dans une soirée artistique et d’improvisation poétique, il fut demandé à M. Alexandre Ducros, qui était l’improvisateur
t l’improvisateur au bénéii;e duquel la soirée avait lieu, il lui fut demandé , dis-je, de faire une improvisation à la course a
e d’un mouchoir, dans la boutique où je me trouvais par hasard : elle demande si l’on ne pourrait pas lui donner un remède pour
Bockenheim chercher un médecin, un autre -disait qu’il fallait aller demander un verre d’eau à la maison ■■Voisine, un antre pr
en pareil cas, j’avouai mon incompétence, et les parents de la malade demandèrent une consultation. «On discuta longtemps, et l’o
n'a pas persisté dans cette voie rationnelle : le docteur noir avait demandé un délai de six mois, et, au bout de deux mois, i
s intelligentes et presque décisives de M. Guérin de Menneville qui a demandé aux lumières de la science d’éclairer ce qu’avait
adémie , soit extrait des bocaux d’une pharmacie brevetée! ? Ge qu’il demande , c'est qu'on le guérisse , avec ou sansidiplôme,
:> Vous prétendez avoir seuls droitià .la confiance publique; voug^ demandez qu’on poursuive tous ceux qui partagent aveovousl
ort avec la somnambule, se faisait obéir de la même manière. « A la demande du magnétiseur, elle indiquait les objets tenus e
moins nous nous crûmes fondés à penser ainsi. « La consultante lui demanda alors si elle pourrait lui donner des nouvelles d
qui pend hors du lit ! » « Comment la chambre est-elle meublée? lui demandai -je. — Il y a une alcôve ¡î droite en entrant, c
lles croyances d’autrefois, de ses préjugés, si l’on veut, et elle se demanda si ce n’était pas là un avertissement du ciel, le
elle, et la guidait évidemment par son influence flui-dique, nous lui demandâmes de s’éloigner. Refus de celui-ci et mauvaise hume
riences principales auxquelles nous provoquâmes ce somnambule. Nous demandâmes au premier venu un livre quelconque pris au hasar
ant à la disposition de la société, un de nos amis placé à notre côté demande à M. Lassaigne, en lui parlant à l’oreille et il
l’on est conduit à chercher les motifs d’un si grande réserve et à se demander s’il n’aurait pas au contraire un secret penchant
s causes et la nature du mal et les moyens d'y remédier. Mais si l’on demande à ces mêmes somnambules de faire une recherche da
clef et dûment scellée. M. Mabru ne pourrait refuser d’accéder à une demande aussi raisonnable. Si pourtant il avait la maladr
possédez ou que vous empruntez à ceux qui les possèdent, ou que vous demanderez à l’air, à l’eau, au feu, à toute la nature vivan
ecours, préférablement à tout autre genre de médication ; et, sans en demander alors davantage, je voulus seulement savoir si la
nfin à la question qui fait le sujet principal de cette lettre, et je demande si le portefeuille qui vient de jouer un si grand
enton ressemblait à un sac charnu d’une épaisseur de trois pouces. Je demandai quelle avait été la cause de ce cancer, et la mal
ères hideux. Pour être entièrement édifié sur toute cette affaire, je demandai au docteur s'il voulait bien me permettre d’assis
il me dit qu’il voyait que je serais .aussi médium guérisseur. Je lui demandai à quels signes il reconnaissait cette faculté, ca
t lucides sans le concours d’autrui. D'après ces exemples, on peut se demander si jusqu’ici l’on n'a pas exagéré le rôle du magn
gereuses, tes pratiques mensongères, les industries coupables, etelle demande cqu’une loi sévère, mais juste, vienne bientôt ré
des règlements qui supposent la réalité de cette faculté?... L’auteur demande qu’en créant des certificats d'aptitude à l'exerc
qui étaient attribuées à des Esprits supérieurs , un des spectateurs demanda que chacun mît ses pieds en évidence en les posan
rrivait quelquefois que le coup était plus faible que d’ordinaire. On demandait alors si la lettre qui venait d’être écrite, et q
que lentement etdifficilement. Enfin, au bout d’un quart d’heure, on demanda si le discours était achevé : un coup, voulant di
mêmes précautions, et les résultats furent toujours les mêmes. On demanda à l’Esprit s’il voyait ce que chacun écrivait, et
, mais les nombres de coups ne répondaient presque jamais aux nombres demandés ; il était évident que l’auteur des coups ignorai
ombres demandés ; il était évident que l’auteur des coups ignorait la demande et frappait au hasard. Quelquefois, après un cert
tait pour elle qu’un jeu dont elle semblait beaucoup s’amuser. « Je demandai un jour à la patiente où se trouvait actuellement
où nous devions rencontrer uu parent. Le fait était exact.... « Je demandai un autre jour à la somnambule ce que faisait ma f
t lui-même. Mais elle manquait rarement de me satisfaire, lbrsque mes demandes étaient relatives à des choses dont j'avais intim
ans un accès d’inquiétude jalouse, elle le fit venir à la cour et lui demanda ce que faisait lord Leicester au moment où elle p
femme. Cette fille luy fait voir dans un miroiter sa chambre, et luy demande si c’est elle, il luy accorde, voyant les figures
oyne qui luy tient le bras tout nud, estant sur un petit placet ; luy demande si c'estoit sa femme, il répond qu’oüy, et qu’il
'hiver. Voyant sa femme près de luy, les enfant s’estant retirez, luy demande en colère ce qu’elle l'aisoit une telle matinée e
emey a guéri ma femme abandonnée des médecins et à l’agonie. Elle m’a demandé une mèche de cheveux. Elle a été endormie par le
étanique des plus violentes se déclara ; je n’eus que le temps de demander : — Que faut-il faire ? — La main entre les deux
crédule alors à l’endroit de la clairvoyance magnétique, et qui avait demandé une consultation dans le seul but de nous confond
médecin lui-même qui resta confondu. « A quoi attribuer, lui avait demandé le docteur en nous regardant d’un air passablemen
e ressens tous les soirs ? « — A quoi ? et vous , médecin , vous le demandez à un ignorant comme moi, repartit aussitôt le som
omnambule. « Toutefois., avant d’accéder au désir de cette dame, je demande à examiner l’enfant, et, voyant à quel point il é
voir et ce que je vois très-bien, moi. « Je pris alors la parole et demandai à cette dame, qui était comme pétrifiée, si mon s
ait n’ait eu lieu dans une séance à laquelle je n'assistais point, la demande de mettre les pieds en évidence n’a pas été adres
en nette, j’allai, quelques jours après, trouver le médium, et je lui demandai pourquoi elle n’avait pas donné la satisfaction p
arvenir à voir enfin quelques-unes des merveilles si vantées. Nous ne demandons pas mieux que d'examiner avec impartialité et san
scription des spiritualistes français ne fournît promptement la somme demandée . Nous promettons de nous inscrire en tète de la l
omme un infâme, on se croirait souillé par son contact. Mais, nous le demandons à tout homme de bon sens, cette réprobation s’app
t une destination. L’art. 479 devra donc être révisé. Mais , avant de demander la révision de la loi sur la divination, il faudr
l’habitude de faire de la tapisserie et doutant de son habileté, lui demandèrent si elle avait un modèle, comme il est d’usage. El
me il est d’usage. Elle répondit qu’elle n’en avait pas besoin ; elle demanda seulement qu’on lui achetât un canevas et des soi
uvrage qui ainsi resterait inachevé. On lui acheta ce qu’elle avait demandé . Au jour indiqué, à minuit, elle se leva de son l
l se trouve. M. Tréfeu fait ensuite sortir l'un de ses acteurs et lui demande s’il peut deviner le nombre porté sur la face du
tirer du milieu des autres. « — Quel est le prénom écrit ici ? lui demande encore AI. Tréfeu. Après quelques instants, l’ois
tiseur, qui ne connaît pas la question, prend un des papiers pliés et demande à l’oiseau de répondre à ce qui lui est demandé.
des papiers pliés et demande à l’oiseau de répondre à ce qui lui est demandé . « Oui, répond-il. — C’est une réponse banale, di
oivent et mangent, semblant, comme tous leurs pareils mis en cage, ne demander qu’une chose : la liberté. « Tout cela n’est-il
u fond de tout cela? Question terrible. L’oiseau répond lorsqu'on lui demande « qui le fait agir » : Volonté. A l'homme de se d
arte portant le mot : dé. — Quel est le point que madame a choisi ? demanda M. Tréfeu , après avoir prié la dame de regarder
nt la lettre a. On me prie de prendre une pièce de monnaie, et l’on demande au cal fat n° 2 la valeur de celle pièce, l'effig
les nombres 3, 7,11 et 22. — Quelle est la troisième carte du jeu? demande M. Tréfeu au verdier; et celui-ci, plus habile qu
ître son opinion sur les affaires de son temps. Le troisième billet demandait : u Sous quel ciel es-tu né? Le verdier repondi
eu. Un passage complètement illisible interrompt le sens. M. Tréfeu demande au cardinal de déchiffrer ce griffonnage et sans
issent être, disparaissent devant lui. Enfin, nous ne cessons de nous demander si le magnétisme, darts ce qu’il a de plus transc
ant matérialisme des physiologistes et des médecins. n Non, nous en demandons bien pardon à l’auteur que nous avons osé combatt
nissent l’homme de bien qui les a dotées de pareils trésors. On s’est demandé quel était son secret. Il n’a pas manqué de gens
tous les jours elle est visitée par de nombreux malades qui vont lui demander la santé. Mais il y a d’autres médecins de ce gen
’adressa dernièrement à Mm" Dorman, pour un soulagement qu’elle avait demandé en vain à la Faculté. Il paraît que ses médecins
ffisamment rétablie pour parler, elle fit appeler le régisseur et lui demanda qui lui avait remis cette tête. « — C'est le fo
tre constamment en mesure de présenter des phénomènes à tous ceux qui demanderont à en être témoins. Nous avons déjà cherché à st
c admettre à des séances utiles toutes les personnes qui en feront la demande , et alors les moyens d’étudier la lucidité seront
vue, etc., etc. A Schleifmühl, toujours 1844. — lin de mes amis me demandait : « Eh bien ! comment se plaît-on à Schleifmühl ?
— Te voilà encore avec tes superstitions I » Dix jours après, on me demandait à Gand. J’omettais de dire une particularité de
, entre neuf et dix heures. h. -M. Hubert de Chémery, en 1850, me demande pour un malade qu'il traitait par le magnétisme.
es (le Rochester, dit la narration , étaient assises sur un divan. On demanda alors aux Esprits s’ils voulaient bien se manifes
is, tu me connais, di-« sait-il. Allons, vieil ami, fais ce que je te demande . Ap-« porte de l’eau et remplis ce vase que je te
payer bien cher un vase « d'eau ; mais n'importe ; fais ce que je te demande ,*et rem-« plis ce vase que je te présente. Plus
u’elles ne purent donner aucune consultation. « D’où vient cela? leur demanda la personne qui étaitauprès d'elles. — C’est que
t pas trop y songer. Toutefois, je crois me rappeler que le congé fut demandé et obtenu et que le jeune officier allait partir
un chapitre des Mille et une A uitt ; mais la critique est obligée de demander à l'auteur à quelles sources il a puisé, sur quel
déréglée et scandaleuse, que l'impératrice Marie-Thérèse crut devoir demander son renroi à la cour de Franco. on peut avoir
t sur sa tète qu’il le sauverait. La famille laissa faire. Cagliostro demanda à rester seul dans la chambre du mourant : on l’y
t par là que Dieu le secourait, Cagliostro prit courage et lui dit de demander à Dieu la grâce de lui faire voir l’ange Michel.
ls tentaient d’ouvrir les portes avant d’être appelés. Chaque convive demanda le mort qu’il désirait revoir. Cagliostro prit le
gme égyptien, il n’y avait point de mort). Ces convives d’outre-tombe demandés et attendus étaient : le duc de Choiseul, Voltair
es au comte A, à la baronne B, au marquis C, etc... Allez plutôt leur demander si ce n'est pas vrai. — Il y a encore une autre
ître, de la ville de Boston, où il était depuis quelque temps, il lui demanda en post-scriptum des nouvelles de son frère ; car
a porte s’ouvre, et ils aperçoivent celle qu’ils cherchaient. Ils lui demandent ce qu’elle a fait et ce qu’elle est devenue. Trem
ses cheveux et tout son corps prouvaient qu’elle disait vrai. On lui demande comment elle a pu entrer dans le puits et en sort
et vous aide ainsi que nous tous. —Amen, » reprit-elle. Son mari lui demanda si elle le connaissait. « Oui, dit-elle en pleura
main sur le berceau à côté, et se mit à pleurer et à soupirer. On lui demanda ce quelle voulait; elle répondit qu’elle avait mi
cembre, elle resta tranquille, parla peu, mais soupira beaucoup et ne demanda plus son enfant. Les témoins du fait sont Conrad
ychologie, mais il ne faut point, emportés par un sot orgueil, qu’ils demandent àia matière ce que c’est que l’âme, comme il ne f
matière ce que c’est que l’âme, comme il ne faut point qu’un aveugle demande son chemin à un autre aveugle. Nous remarquons
ppelle ces contes si poétiques dont a été bercée l’enfance, on se demande s’il est un moyen de les réaliser, si l’homme, pa
daignent pas en rendre l’accès plus facile à leurs successeurs. On se demande naturellement si ce trésor de science , fruit de
rofité de leur absence pour y tracer un barbouillage quelconque. J’ai demandé qu’on procédât dans de bonnes conditions, en ne p
. Qu’il produise donc des ■faits; il y a assez longtemps qu’on lui en demande ; son ■refus prolongé ne peut être regardé que com
011 y mettait du tabac délayé dans de l'eau. « M. Moreau (de Tours) demande si, lorsqu’on parlait à l'extrémité de la chaîne
pprochée d’elle entendait les sons articulés.— M. Brierre de Boismont demande aussi de combien de personnes se composait la cha
st l’instinct qui parle. Ceci me rappelle une observation que je vous demande la permission de raconter en abrégé. Il s’agit d’
M. Des Etangs. « Je ne crois pas, comme M. Bûchez, qu'on puisse demander à la physiologie l’explication de ces phénomènes
je me rappelai que le professeur Andral conseillait de s’en tenir aux demandes les plus vulgaires, mais de nature à être vérifié
rifiées sur l’heure. 11 suffirait, par exemple, disait ce médecin, de demander aux sujets qui s’attribuent le sommeil lucide, co
ue le magnétisme n’existe pas, je me sens pris, de l’envie de lui demander quel rôle il fait jouer à ce fluide dans les phén
udition dévorante des spectateurs, silence interrompu parfois par des demandes et des réponses. « Le piano était placé dans l’
tiseur achève d’endormir le sujet. « Comment vous trouvez-vous? lui demanda-t -il. « — Bien ! « — Vous êtes sous l’influence
chant de M. Etienne : — Pouvez-vous me dire le nom de cette dame? lui demandai -je tout bas. « — Oui, me répondit-il, c’est l’é
généralementqu’à la faiblesse de nos moyens d'investigation, et nous demandons alors à ceux qui y voient plus clair que nous, de
des vivants. » (Extrait de la Gazelle de France, 28 octobre.) ON DEMANDE DES MÉDIUMS. Le Spiritual Telegraph publie l’av
a défaveur dont les corps savants l’ont frappé, il se croit obligé de demander , pour ainsi dire, pardon de son audace. « J’éprou
ambules. L’auteur, frappé des inconvénients qu’oflVe le magnétisme, demande que la pratique et la surveillance en soient excl
et, pour la première fois, elle présente l’état cataleptique. Sur ma demande , elle ouvre les yeux, accuse de la somnolence; j’
— A 7 heures du soir et à minuit. 1 Après cette réponse, la malade demanda une demi-heure de sommeil. A peu près 5 minutes a
; que ce jour-là elle aurait un accès à 9 heures du soir. Enfin elle demande un sommeil de 20 minutes. Au bout de 18 minutes j
e la questionnai relativement aux quatre magnétisations qu’elle avait demandées le soir -, elle me répondit que la magnétisation
provoquera. Ce matin j’ai déjà eu des flueurs blanches. « La malade demande denouveauàètre magnétisée le lendemain à 3 heures
int que beaucoup de personnes autour d’elle la fatiguent ; enfin elle demande 20 minutes de sommeil. « Après son réveil, la m
forces et les accès reviendraient. « Après ces questions, la malade demande une demi-heure de sommeil, puis demande un verre
près ces questions, la malade demande une demi-heure de sommeil, puis demande un verre d’eau et quelques passes sur la tête, pa
s les questions de la veille ; les réponses sont les mômes. La malade demande à être opérée, et nous indique une place au sin-c
ique de Freppel pour arrêter le sang. — Après le pansement, la malade demande un quart d’heure de sommeil. — Avant de la réveil
emande un quart d’heure de sommeil. — Avant de la réveiller, nous lui demandons encore comment cet insecte a pu sortir du crâne :
n vaisseau sanguin et que l’insecte a trouvé ce vaisseau. Puis , elle demande quelques gouttes d’Hoffmann pour prévenir une syn
éponse. — Une demi-heure. «Après le réveil, la malade est gaie et demande à manger. «Le 17. Les règles ont cessé. « Le
stion. —Et les accès? « Réponse. — Je n’en aurai plus. «La malade demande 10minutes de sommeil. Au bout de ce temps, la mal
alade demande 10minutes de sommeil. Au bout de ce temps, la malade me demande en grâce de la réveiller. Je lui demande pourquoi
ut de ce temps, la malade me demande en grâce de la réveiller. Je lui demande pourquoi elle est si agitée ; elle me répond qu'à
titude de ces faits et de connaître les noms de ces messieurs. Je lui demandai : Quels sont ces messieurs?—Elle merépoadii.: Je
continuer encore le régime débilitant pendant trois semaines. Je lui demandai quel était le siège ordinaire de l’insecte. Elle
cène se renouvelle , mais moins forte et moins longue, puis la malade demande une tranche d’orange qu’elle mange avec appétit.
on reviendra et dès lors régulièrement tous les quatre semaines. Elle demande qu’on continue encore le régime débilitant. Le so
eant de gauche à droite. Le coma et la céphalalgie persistent. Sur la demande de la mère, je magnétise la malade. Elle me dit q
que les coups se faisaient invariablement entendre quand ils étaient demandés ; les sons ne paraissaient jamais venir de la por
ance, et nous n'éprouvons aucun regret it accorder l'insertion (Ju’il demande . Baron ou Potei. SPIRITUALISME. GONTRO VEBSES
mets au service, non du public, mais des gens sérieux auxquels je ne demande que du silence et du recueillement. L’espoir de t
devine. Nous aurions pu refuser de donner la satisfaction qu’on nous demande , le réquisitoire de M. Piérart étant de beaucoup
2 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ir mettre le feu. D'où vient ce con- traste ? Je me le suis souvent demandé sans jamais trouver une réponse très satisfaisa
lui faut encore se contenter du seul examen indirect. Aussi je me demande comment font nos confrères étrangers dans les p
Archives, t. XIU- 3 3'(- le MÉDECINE LÉGALE. dont la municipalité demandait d'urgence la consoli- dation sous peine de démo
guérison, dont je refusai de prendre seul la responsabilité. Sur ma demande , Mer... fut envoyé à Sainte-Anne et soumis à l'
'homicide et au suicide dont elle est à ce point consciente qu'elle demande la camisole et sup- plie qu'on lui fasse venir
impulsions dangereuses, et est sorti le 26 sep- tembre 185 ? sur la demande de sa famille. Il fut réintégré le 12 septembre
on du délire chronique mise à l'ordre du jour de la Société, sur la demande de M. Magnan, à la suite de l'intéres- sante di
i, par artifice, on arrive à le lui faire toucher à son insu. Je me demande enfin si les chan- gements de personnalité décr
ints de repère médicaux nécessaires en chaque cas particulier; leur demande serait adressée aux fonctionnaires de la police o
, sans autre altération des autres cellules. On peut, par suite, se demander si les différentes couches de cellules ne se re
osèrent le motif de leur visite et l'ordre du premier magistrat, et demandèrent la permis- sion d'examiner le sujet et la liber
on mal. Les parents et la jeune fille accé- dèrent volontiers à ces demandes et se mirent tout entiers à leur disposition po
t toute la durée de son jeûne, repous- saient très bien ensuite. On demanda à la mère pourquoi on avait coupé les cheveux à
ai- grissement où on peut l'observer maintenant. 126 VARIA. Aux demandes qui lui étaient faites si, pendant la nuit, il
andis que ces derniers s'efforçaient d'exécuter ce qu'on leur avait demandé , la jeune fille fut prise de suffocations et po
ou de crime. Pendant ce temps, tandis qu'on la surveillait, il fut demandé aux gouverneurs des environs et surtout à celui
ivait des syncopes fréquentes que la jeune fille pressentait : elle demandait alors de l'eau froide, non pour la boire, mais
si accablés et se désolent tant, voilà pourquoi son père et sa mère demandent chaque jour à Dieu si bon, par les plus ardente
, que la mort devait bientôt en résulter. Notre premier soin fut de demander au Sénat des lettres pour le gouverneur de l'îl
aquer à leurs différents travaux à la lueur des lanternes) : on lui demandait si elle souffrait du froid, elle affirmait au c
nsulter sur une maladie qu'il avait depuis quelque temps. Lui ayant demandé comment allait sa soeur malade, il m'assura qu'
rtant révision de la loi du 30 juin 1838 sur les aliénés. Quelqu'un demande-t -il la parole pour la discus- sion générale ? -
iscus- sion générale ? - M. Dupré, président de la commission. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M.
ir l'ardeur de votre commission. (Très bien 1 très bien ! ) Elle ne demande pas que l'on tienne compte de ses efforts autre
de nos premières préoccupa- tions. En le posant, le gouvernement ne demandait pas une loi nouvelle sur les aliénés, il accept
ment a donc agi avec sagesse en la conservant et en se bornant à en demander la révision. Empressons-nous de déclarer que
r, celui de la sécurité publique; mais que la justice et l'humanité demandent que cette règle soit appliquée avec modération.
éer un danger pour les autres ou pour elle-même, vient spontanément demander son internement. Telles sont encore les mesures
s il se produit, a eu recours à M. le garde des sceaux, qui, sur sa demande , a bien voulu en faire l'objet d'une enquête au
le se refuser à ces admissions en invoquant la loi, même lorsque la demande ou l'ordre d'interne- ment émane des magistrats
études successives et les discussions auxquelles, depuis 1867, les demandes de révision de la loi ont donné lieu. Je citera
urément, jamais un moment n'a été moins propice que ce- lui-ci pour demander l'inscription de nouveaux crédits à notre budge
a lieu de modifier la loi de 1838, de l'améliorer, et moi aussi, je demande à passer à la discussion des articles. M. DE GA
e demande à passer à la discussion des articles. M. DE GAVARDIE. Je demande la parole. (Exclamations à gauche.) M. le Minis
érable, mais ce n'est pas la seule ; il en est d'autres que je vous demande la permission de rappeler en quelques mots seul
qu'elle a rendu, et, assurément, ce n'est pas cette fois-ci que je demanderai des sup- pléments d'instruction. Mais ce que je
vice de la direction des asiles. Si M. le ministre de l'intérieur demandait au conseil d'Etat de faire un règlement d'admin
de leur liberté individuelle. La commission unique dont nous avons demandé la création est tout à fait différente; elle a
il a été fait, il y a deux ans, au ministère de l'intérieur, sur la demande de la commission. Le résultat de ces calculs es
ien ! très bien ! sur divers bancs). , M. le Président. Quelqu'un demande-t -il encore la parole pour la discussion générale
scussion à la prochaine séance. 1%1. LE Président. M. le rapporteur demande le renvoi à la pro- chaine séance. Il n'y a pas
en lumière son défaut de compréhension des paroles d'autrui. Lui demandait -on de donner la main, il tirait invariable- men
anquas- sent dans les mots, soit qu'elles y fussent altérées. Lui demandait -on le nom d'un objet présenté ? Elle dit un nom
endre la parole. Tel est le fait de M. Giraudeau' : « Lorsqu'on lui demande son nom, elle relève la tête, mais ne répond pa
nous fait des réponses qui n'ont aucun rapport avec ce que nous lui demandons . « Parfois même il est impossible de lui faire
de l'impression auditive à l'image motrice, à saisir le sens des demandes . Ce malade procédait de même pour l'écriture..
it le mal du pays, voulait absolument retourner chez lui ; sur sa demande instante, on le lui permit. On voit donc qu'il
ut pris de toux avec léser mouvement fébrile, ce qui le détermina à demander son admission à l'hôpital. Le malade est de trè
critiques parties de bancs voisins de la tribune, sur lesquelles je demande la permission de dire d'abord quelques mots.
r et les soigner. Ce sont les termes mêmes de la loi. Il n'en a pas demandé davantage. C'était déjà rendre un immense servi
la science moderne. ' Mais le Gouvernement, lorsqu'il a décidé de demander la révi- sion de la loi de 1838, s'est trouvé d
s complots et leurs mauvais desseins. Dans les prisons on a soin de demander pour les plus dangereux une place dans le quart
nd intérêt public, de joindre à la création que la com- mission lui demande pour l'éducation des jeunes idiots indigents, c
ragraphe de l'article fer. M. Dupré, président de la commission. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à M.
est à M. Dupré. M. Dupré, président de la commission. Messieurs, je demande la permission de dire un seul mot pour répondre
s bien ! très bien ! sur plusieurs bancs.) . . 111. ne GAVARDIE. Je demande la parole. ' · M. LE Président. La parole est à
avait sauvé la France un jour; ils passaient devant ce monument et demandaient ce que c'était. On leur répondit : « C'est aujo
touchez pas, du moins dans cet article. M. LE PRÉSIDENT. Quelqu'un demande-t -il encore la parole ? ... M. TFSTELIN. Je la de
T. Quelqu'un demande-t-il encore la parole ? ... M. TFSTELIN. Je la demande , Monsieur le Président. M. LE PRÉSIDENT. La par
is pas, pour ma part, ce grand principe; je ne l'ai ' pas saisi. Je demande seulement à M. le commissaire du Gouver- nement
T. Le troisième paragraphe me parait absolument indispensable. Je demande uu Gouvernement s'il l'accepterait plus facilemen
doit rester à la charge des départements et des communes. Nous vous demandons de supprimer le paragraphe 3, pour les deux mot
dit affecté à ce service. Par ce motif, messieurs, la commission ne demande pas mieux que de s'associer à la demande de M.
essieurs, la commission ne demande pas mieux que de s'associer à la demande de M. le ministre, de réserver le troisième par
s modèles dont elle propose la création. ,l M. GEORGES Martin. Je demande la parole. f *' ' M. L PRÉSmszJT, L'a parole es
la rédaction suivante que j'ai l'honneur de proposer, et dont je demande le renvoi à la commission pour qu'il soit statué
probation.) Je vois M. le ministre faire un signe d'assentiment. Je demande - que ma rédaction soit examinée par la commiss
emettre, monsieur le pré- sident. M. LE Rapporteur. La commission demande le renvoi ; il est indispensable qu'elle examin
ion que propose M. Georges Martin. M. LE Président. La commission demande le renvoi. M. Georges Martin. Je suis d'accord
s de discussion. M. DE GAVARDIE. Pardon, monsieur le président ! je demande la suppression, dans le premier paragraphe, des
e d'administration de l'établissement. » M. LE Président. Quelqu'un demande-t -il la parole sur l'ar- ticle 3... ? M. DE GAV
la parole sur l'ar- ticle 3... ? M. DE GAVARDIE, de sa place. Je demande une simple explication. Il est dit, à la fin de
ts ont décidé la commissiun à prendre la défense de ces asiles et à demander le maintien aux départements de la faculté de p
, parcelle du 10 août 1871. Le Gouvernement et la commission ont dû demander le réta- blissement de cette disposition comme
rédaction de la commission. (Très bien 1 gauche.) M. LACOMBF. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M.
mieux que par le passé. (Très bien ! ) M. le Président. Quelqu'un demande-t -il encore la parole sur l'article 3' ? ... Je l
banc de la commission.) 1 , M. le Rapporteur. La commission aurait demandé la même chose. M. LE Ministre. Je suis donc d
re. Je suis donc d'accord avec la commission ? (Oui ! oui ') . Je demande donc que ce paragraphe soit réservé. (Adhésion.)
ce paragraphe soit réservé. (Adhésion.) M. le PRÉSIDENT. Quelqu'un demande-t -il la parole sur l'un des quatre premiers parag
voix, sont adoptés.) M. LE Président. M. le ministre de l'intérieur demande que le dernier paragraphe soit réservé. 11 n'y
servé. Je passe à la lecture de l'article : 1. M. LE Rapporteur. Je demande à M. le président la permission de faire remarq
ne peut avoir une durée de plus de six mois. » M. DE Gavardie. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M.
lle, le droit qu'on voudrait lui refuser. M. Paris, de sa place. Je demande à dire quelques mots. La commission ne prévoit
e plein droit ? M. LE MINISTRE DE l'intérieur. C'est évident ! Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à M
uspension, soit le cas de retrait d'autorisation. Je voulais donc demander à la commission s'il y a pas là une omission ou
ne. M. LAMMBE. Implicitement. M. Paris. Monsieur le président, je demande à dire un mot. M. LE Président. La parole est à
Président. Vous n'avez pas de rédaction à me donner ? M. Paris. Je demande à la commission si elle verrait un inconvé- nie
eu d'adopter la proposition de l'honorable M. Paris. M. Paris. Je demande à dire un mot. J'avais raison, vous le voyez, d
xplications me donnent satisfaction. M. le Président. Personne ne demande plus la parole sur l'article ? ... Je consulte
. » Il faut réserver cet article. M. LE Ministre DE l'intérieur. Je demande que le paragraphe 3 soit réservé. M. LE Prési
ande que le paragraphe 3 soit réservé. M. LE Président. Quelqu'un demande-t -il la parole sur les 4°r, 2°, 40, 5° et 6° para
1,.r, qui ne soulève aucune difficulté. (Assentiment.) Personne ne demande la parole sur le paragraphe lor ? ... Je le met
u'ils présidassent personnellement aux soins donnés à ce malade. Je demande que l'on mette la disjonction « ou t, c'est- à-
domi- cile de cette personne ». Mon amendement avait' pour but de demander que la déclaration fût faite, non pas au procureu
le ; j'ai l'lion- neur, en conséquence, au nom de la commission, de demander que la suite de la discussion soit remise à la
les divers amendements qui ont été déposés. M. Roger-Marvaise. Je demande la parole. M. le PRÉSIDENT. La parole est à M.
ion à l'accomplissement de cette formalité. Dans ces conditions, je demande le renvoi à la commission, afin qu'elle puisse
! M. GEORGES MARTIN. Modifiez le texte ! L M. ROGER-MARVAisE.'Je demande la parole. M. LE Président. Ne parlez pas tous
cela que j'ai proposé d'ajouter le mot « étranger ». M. Paris. Je demande à dire un mot. M. LE Président. La parole est à
. M. LE Président. La parole est à M. Roger-Marvaise, qui l'avait demandée avant vous. M. Roger-Marvaise. J'insiste devant
nateur au centre. Mais il faut le dire. , - , M. ROGER-MARVAISE. Je demande le renvoi de l'article à la com- mission, afin
(Approbation sur plusieurs bancs.) Ni. Paris. Messieurs, le renvoi demandé par l'honorable M. Roger- Alarvaise de tout l'a
mission ? (L'article 7 est renvoyé à la commission.) M. Lacombe. Je demande que l'article 8 soit aussi renvoyé à la commiss
8 soit aussi renvoyé à la commission. M. le PRÉSIDENT. M. Lacombe demande le renvoi de l'article 8 à la commission. Je
combe. C'est une erreur que je rectifierai. , AI. LE RAPPORTEUR. Je demande la parole. ' M. le Président. La parole est à A
is consulter le Sénat sur le renvoi de l'article 8 à la commission, demandé par M. Lacombe. Mais le renvoi des articles 7 e
le, monsieur le président, de continuer la discussion de la loi. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M
nistre de l'intérieur. M. le Ministre de l'intérieur. Messieurs, je demande au Sénat de renvoyer à lundi la suite de la dis
veillance de l'Etat sur l'aliéné gardé à domicile. Pour ma part, je demande à la commission de se pro- noncer sans équivoqu
de la discussion à sa prochaine séance. M. DeLSOL, de sa place. Je demande la permission de poser une simplg-question à M.
rveillance les aliénés qui sont auprès de leurs proches parents. Je demande si le Gouvernement retire cetle partie de son p
contrôle de l'État doivent s'exercer. M. DELSOL. C'est ce que nous demandons . M. LE PRÉSIDENT. On demande le renvoi des arti
rcer. M. DELSOL. C'est ce que nous demandons. M. LE PRÉSIDENT. On demande le renvoi des articles 7 et 8 à la commission.
président, de continuer la discussion de la loi actuellement. Elle demande le renvoi de la discussion à la prochaine séanc
iscussion à la prochaine séance. 1 M. le PRÉSIDENT. La commission demande le renvoi de la discus- sion à la prochaine séa
nce presque normale. La soif, les con- vulsions cessèrent, l'enfant demanda à jouer, et devint vif, gai. La mère avertit en
i-minute après environ il, s'assied sur le rebord en pierre et à la demande de ce qu'il a eu il répond qu'il n'en sait rien
e à son ouvrage. Parfois, pendant les mouvements de trépidation, il demande son couteau pour s'ouvrir le ventre et dit : «
oloré, les paupières clignotent, le regard est moins fixe. On lui demande s'il a eu du plaisir à boire, il fait signe que
sans suite ou des fragments de mots comme un homme ivre. ' On lui demande s'il veut aller voir des filles, s'il désirerait
ants le malade est retombé dans sa stupeur habituelle. Quand on lui demande s'il veut de nouveau s'enivrer, il répond non,
noncées avec vivacité. 23 Janvier. A mangé seul d'un bon appétit. A demandé à boire, de la moutarde de Dijon et sur une rép
la mesure sur ses genoux en entendant une sonnerie de cavalerie. A demandé de l'absinthe eta dit l'aimer beau- coup. z4
ses rêves; mais il ne comprend pas ce que je veux dire quand je lui demande s'il peut à volonté imaginer, se représenter me
ots entendus ; il m'a même répondu affirmativement, quand je lui ai demandé s'il pouvait se représenter mentalement les mot
'idée correspondante au mot entendu lui fait défaut. Ainsi F... lui demande ce 1 Licliteim a déjà rapporté un cas suffisamm
ue des ciseaux. Aussitôt le malade regarde sa femme, comme pour lui demander conseil, et ré- pond : Des ciseaux, certainemen
'y a pas d'appétit, l'alimentation animale est surtout utile. On se demande toujours si l'on doit permettre le vin alors qu
sa conformation le prend pour un homme, en devient amoureuse et lui demande à partager son lit. Une mu- lâtresse fait à son
Voisin plaide les circonstances atténuantes pour l'hypno- tisme et demande seulement qu'on en conserve le monopole à la té
n effet, d'imaginer un délirant chronique plus complet; nous n'en demandons pas davantage pour notre diagnostic. L'autre mala
nditions sont-elles plus favorables que chez nous. On doit enfin se demander comment le public accepte cela. Dans les établi
ÉNÉS'. Séance du mardi 30 novembre 1886. M. Théophile ROUSSEL. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M.
éophile ROUSSEL. Messieurs, je viens, peut-être un peu tardivement, demander une rectification au procès-verbal de la séance
é renvoyé à la com- mission. M. Théophile Rousses, rapporteur. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à M.
es jeunes épileptiques, dans les établis- sements modèles dont elle demande la création à l'Etat, les conditions que le Gou
sque l'ancien paragraphe 3 est supprimé. M. le Président. Quelqu'un demande-t -il la parole sur la nou- velle rédaction propos
c le Gou- vernement, de proposer au vote du Sénat. M. Lacombe. Je demande la parole. M. le Président. Permettez, monsieur
M. le Président. Permettez, monsieur Lacombe ! M. Roger- Marvaise a demandé la parole avant vous. La parole est à M. Roger-
toutes les lois dont est saisi le Parlement. C'est pour cela que je demande au Sénat de vouloir bien renvoyer mon amendemen
ion. (Très bien) très bien ! sur divers bancs.) M. DE Marcère. Je demande la parole. (M. de Marcère se dirige vers la tri
e, en effet, cette mesure peut être jus- tifiée par des faits. Je demande à la commission de vouloir bien nous les faire
mande à la commission de vouloir bien nous les faire connaître ; je demande à la commission et à son honorable rap- porteur
aits qui ont frappé la commission et qui justifient la mesure qu'on demande au Sénat. Je suis convaincu que cette justifica
la mienne que cette justification soit apportée à cette tribune. Je demande à M. le rapporteur quels sont, je le répète, le
. Telles sont les raisons, les raisons tirées des faits, comme le demandait M. de Marcère, qui, indépendamment de celles que
mal résultant de la séquestration était complètement opéré. Nous ne demandons pas de pénétrer dans le sein des familles au dé
s caractérisés de ce que je viens de dire. SÉNAT. 455 Ce que nous demandons , ce n'est pas de pénétrer dès les pre- miers mo
sfe Sénat. Lorsqu'il y apla- cement volontaire, c'est-à-dire sur la demande de la famille, le doute peut se présenter. Quan
LES. Oui, mais l'article 8 se lie intimement à l'article 7. Nous ne demandons rien dans l'article 7. M. LE marquis DE Carné.
demandons rien dans l'article 7. M. LE marquis DE Carné. Si ! vous demandez une déclaration au bout d'un mois ! M. LE Min
issaire du Gouvernement. Non, pas aux parents rap- prochés. Nous ne demandons de déclaration qu'aux parents éloi- ; : nés, au
ticle 8, le droit de soigner leurs aliénés. M. Rogek-Marvaise. Je demande la parole. LE commissaire du GOUVERNEMENT. Dans
la parole. LE commissaire du GOUVERNEMENT. Dans l'article 7 nous demandons , dis-je, la déclaration des parents auxquels nous
des parents auxquels nous ne donnons pas le droit de soigner. Nous demandons dans l'article 8 que la déclaration soit faite
ue, primitivement, le Gouver- nement voulait que l'autorisation fut demandée . La commission a réuni ces deux dispositions en
ts ; dans deux cas pourtant il s'agit de buveurs avérés. On peut se demander si ces accidents rappelant le delirium tremens,
s mois. Les résultats ont été si satisfaisants, que le De Archibald demande instamment l'achat de l'installation par les Et
danger constant. Les administrateurs de l'asile d'Utica (N. Y.) ont demandé à l'Etat l'établissement de la lumière électriq
3 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
eux séries composées des enfants les plus raisonnables. (3) Nous en demandons et en obtenons également pour les enfants de la
c M. Baron, économe de l'établissement, nous avons organisé, sur la demande des maîtres, un petit diner mensuel auquel pren
us ou moins mal surveillés par des garçons de dor- toir. Nous avons demandé et obtenu qu'ils prissent leur repas en môme te
ncore pour que l'Administration les en récompense en accueillant la demande que nous lui avons adressée de les admettre suc
er, l'établissement n'ayant pas d'ate- liers similaires. Nous avons demandé et dans l'intérêt de ces malades et dans celui
ins pour le placement d'enfants à des familles qui sont venues nous demander des conseils à notre consultation. (Voir notre
rents habitent Paris, .mais qui sont nés dans les départements. Les demandes des préfets ont été plus nombreuses; toutes n'o
de l'Assistance publique en le priant d'adresser, dans ce sens, une demande à M. le ministre de l'instruction publique. Le
nait d'en profiter, de faire une révision générale de la section et demander en même temps tout ce qui était indispensable p
du service des enfants idiots et épileptiques. Ces travaux ont été demandés par M. le Chef de service. Ce sont les suivants
urgent d'améliorations. Sous le bénéfice de cette observation, il demande un avis favorable. M. FERRY critique le non-emp
économie, puisque l'ad- ministration, dans la suite, est obligée de demander de nou- vaux crédits. M. Ferry a peine à croi
er admire. Ce service, pour lequel on a fait de grandes dé- penses, demande à être complété ; 45.000 francs suffisent à le
ration s'incline devant les dispositions du Conseil municipal; elle demande au Conseil de surveillance de voter le fond de
Rochet et nous, les motifs qui venaient à l'appui'de notre nouvelle demande , il n'aurait fait aucune réserve après la lectu
uction du service, devait naturellement s'opposer au vote du crédit demandé . Depuis 1882 jusqu'à ce jour, il n'a pas encore
mentaires. notre ami Strauss au sujet de l'imputation de la somme demandée pour l'exécution des travaux complémentai- res
euls les fonds du pari mutuel peuvent la supporter. M. le Directeur demande au Conseil un avis favorable à cette imputation
quoi écarterait-on Bicêtre de cette répartition ? 't . M. Strauss demande instamment que le Conseil sanctionne son vote d
ement que les enfants aliénés dont les parents étaient venus nous demander les formalités à remplir pour l'admission dans
ec nos collègues de la 3e Commission du Conseil général, nous avons demandé que les malades peu aisés eussent les mêmes ava
de côté pour aujourd'hui, les placements volontaires d'adultes, je demande à la Commission de vouloir bien émettre le voeu
est pour mettre fin à une '-pratique aussi inhumaine que nous avons demandé au Conseil LIV Assistance DES aliénés. : 'gén
pas été comprise ou acceptée par la plupart des préfets. Aussi les demandes de transfert continuent-elles et les familles s
omicile de secours. Pour remédier à une situation si fâcheuse, nous demandons à la Commission de surveillance d'émettre le vo
depuis deux ans, soient maintenus dans les asiles dé là-seine et de demander à l'Administration de faire, auprès de M. le Mi
ments volontaires, au bureau d'admission de l'Asile clinique, et il demande à la Commission d'émettre le voeu que « toutes
oximité avec les adultes. - M. Bourneville invoque, à l'appui de sa demande : l'intérêt des familles et les décisions du Co
s seraient beaucoup mieux sauve- gardés si, comme je ne cesse de le demander depuis six ans, on les admettait directement da
'éton- ner de la voir invoquée par M. Bourneville à l'appui de sa demande , alors que personne n'ignore que depuis plusieurs
la promiscuité et, de l'encombrement. Pour en donner la preuve, je demande à la Commission de vouloir bien me permettre de
ucluse, ouverte en 1876 (1). C'est pour don- ner satisfaction à des demandes dont les auteurs ne sont pas spécifiés dans la.
: c.ap les rapports du Directeur de Sainte-Anne sont formels, sa demande est absolue..., il ne peut accepter plus longtemp
.... Votre 3me Commission est d'avis de donner. satisfaction;^ la demande si légitime du Directeur de Sainte-Anne, et -de
e,.je prie de nouveau la Commission de, vou- loir bien repousser la demande de M. le D1' Bott ? ,41evt-iie, -pela- tivement
'opinion de M. Bailly au sujet de ces deux propositions. Nous avons demandé il est vrai au Conseil général que les enfants
t, M. le Directeur de l'Asile clinique inscrira sur un registre les demandes de placement des enfants, et avisera, à tour de
t, une procédure qui pourra être essayée. Mais M. le Dr Bourneville demande , en outre, que les enfants en traitement dans n
ute votre attentention sur la nécessité d'examiner de très près les demandes de séquestration d'enfant» dont vous êtes saisi
e places dans ces derniers établissements. Sur près de cinquante, demandes de lits que j'ai adressées à des directeurs d'asi
e ces malades dans les asiles d'aliénés. M. le Dr BOURNEVILLE. Je demanderai aussi à la Commission et à l'Administration, pu
ment volontaire, M. le Directeur de l'Asile clinique inscrirait les demandes et aviserait à tour de rôle les familles, au su
nous avons réclamé leur admission dès l'âge de deux ans. Nous avons demandé une seule fois, sur les instances d'un conseill
re un vote de la Commission, comme on l'a prétendu, mais simplement demandé qu'on en revienne aux mesures votées (1) Nous a
bitation de l'enfant, nous avons prié M. le Directeur de Bicêtre de demander à M. le Directeur de l'Asile clinique s'il y av
du jour que lorsqu'elle nous a été faite par son auteur. Si j'ai demandé qu'elle fut repoussée ou tout au moins ajournée,
nés. de toutes dispositions législatives ou administratives, pour demander , avec M. le Du' Bourneville, « que toutes facilit
malheureux restent sans assistance ? Loin de moi cette pensée. Je demande au contraire que nous émettions le voeu que des
onnant les pièces à pro- duire par les familles à l'appui de chaque demande de place- Placement DES enfants. L3lv ment le
d'oilice, 15 placement volontaire, 1. Ce ne sont cependant pas les demandes de placements qui ont manqué, puisque j'en ai r
faites établir un registre à l'Asile clinique où l'on inscrira les demandes de placement d'enfants. Lorsque des vacances se
reau d'admission sous le régime des placements volontaires, je vous demande la permission de reproduire ici un passage de l
nouvelle loi sur les aliénés actuellement en préparation. Je n'en demande pas davantage. Si vous le permettez, messieurs,
era même installer à l'Asile clinique un registre d'inscription des demandes qui lui seront adressées dans ce but. Toute sat
au sur et à mesure des vacvnces dans les services spéciaux. Je ne demande pas autre chose ; c'est parce que les placements
entrées en mars et avril, que j'ai donnée tout à l'heure, que j'ai demandé que l'on en revienne à l'ancienne pratique : l'
dans l'intérêt des enfants et du service. M. le Dr Du MEsxtL. Je demande que M. le Dr Taule soit invité par l'Administra
es pour les placements volontaires d'enfants. , ' , M. Bailly. Je demande que la Commission ajourne le voeu qu'on lui pro
Bourneville, moins les mots « de nouveau ». M. PLTT) ? 1LTY. - Je demande à expliquer mon vote. L'Admi- nistration n'ayan
ge de leurs malades par l'infirmerie du Dépôt, je m'associerai à la demande d'ajournement de M. Bailly, afin de laisser à l
lus large mesure les placements volontaires. M. LE Roux. M. Pureaux demande l'étude de la question par l'Administration, et
ue mon intention n'a jamais été de lui infliger un blâme. Ce que je demande , c'est qu'au sur et à mesure des Vacances, les
y a la façon dont ils sont reçus et logés dans cette Infirmerie. Je demande donc à' la Commission de consacrer une de ses s
aussi bien pendant l'hiver que pendant l'été (1). (1) On peut se demander ce que M. le Préfet de police ou plutôt ses bur
cette visite, nous examinerons quelles amélio- rations nous pouvons demander . Mais, en attendant, il est de mon devoir de vo
d, médecin-directeur de l'Asile de Saint-Yon nous écrivit pour nous demander si nous consentirions à recevoir pendant quelqu
l'habillèrent proprement et cher- chèrent à le faire travailler. Il demanda ses papiers pour se placer et on les lui donna.
n'était pas possible aupa- ravant. Il est tranquille partout et ne demande qu'à travailler. Il présente un affaiblissement
nds mouvements du tronc. Enfin repos prolongé dans lequel le malade demande à boire. Il est 11 heures quand l'attaque prend d
, résiste, cherche à mordre. Repos. Cris prolongés et plaintifs. Il demande à boire et se couche sur le côté droit. Il est
heures et quart du soir. 28. Nous voyons sa soeur n° 5 qui vient le demander pour qu'il assiste à son mariage le lendemain.
ne. Après la dix-septième attaque le malade se réveille un peu et demande à boire. Deux minutes après avoir bu, les yeux se
. On fait sentir au malade un morceau d'enveloppe de lettre. On lui demande s'il sent, et il ré- pond « oui ». On déchire a
ite. On le reconduisit à son lit, et alors il se mit à pleurer et à demander du papier et un crayon pour écrire à son père q
elève, répare le désordre de ses vêtements et répond à ce qu'on lui demande . Puis tout à coup, après avoir fait quelques pas
R. 39°. L'agitation persiste : langage grosssior. etc.. Quand on demande à Schad... de montrer sa langue, il refuse obstin
un oeuf. Il s'est endormi à 7 heures 1/2. A 11 heures du soir, il a demandé à boire, s'est rendormi à une heure, puis .Dr=I
pre ni soigneuse de sa personne. La mère d'Antoinette était venue demander à l'un de nous la conduite à tenir envers elle.
s trouvé trace de glycosurie. M. H. Barth, a fait en 1878, sur la demande do M. Roger, 12 expériences sur 7 coque- lucheu
4 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
J’espère avoir des témoignages en faveur de ma sincérité. On s’est demandé souvent ce que c’est que la vie, et, après en avo
vos esprits ; car ce que je vous ai dit est étrange quoique ■vrai, et demande par conséquent un développement et des explicatio
st vrai peut se produire sans craindre aucune persécution. Mais on se demande : Comment les hommes si attentifs et qui firent
vous préoccuper de la cause qui les fait naître. Pourquoi donc, me demanderez -vous, s’est-on avisé si tard de l’existence de ce
ée chez M. le préfet de police, qui était alors M. Carlier, et on lui demanda ce que signifiaient les lettres qu’elle avait écr
nversé quelque temps, elle se recouchait. Le lendemain, lorsqu’on lui demandait ce qu’elle avait fait et dit le soir, elle restai
aller à l’armoire et se mettre à remuer tout le linge. Cet homme lui demanda ce qu’elle faisait, et elle lui répondit très-tra
s et la força à rester au lit. Immédiatement elle se réveilla, et lui demanda pourquoi il la retenait et pourquoi il la réveill
utôt dun maître révéré. Après un court silence, le petit vieillard me demanda si ses enfants pouvaient commencer, et je répondi
ole polytechnique, ne sourcillent pas. Exemple : Ces élèves avaient demandé à M. du Potet une conférence particulière pour ca
er. Trente-trois élèves de l’E-cole Polytechnique vinrent ensemble me demander de faire sur eux quelques expériences comme celle
et la crainte commençait à naître chez les spectateurs. Je dus, à la demande de ces derniers, cesser une démonstration dont le
eur restait aucun doute sur cette nouvelle puissance qu’ils m’avaient demandé de leur faire connaître. Baron DD POTET. To.'
profanes de tous les temps et de tous les temples ? — Ce que tu me demandes , m’avait dit le guéridon, n’est rien moins que la
tre pleine et entière satisfaction ; en foi de quoi je lui ai, sur sa demande , délivré le présent certificat. Acqui, le 1er a
tâchez avec votre incrédulité d’obtenir de tels résultats. » On se demande comment il se fait qu’une femme semblable, qui do
mais de dire aux consultants qu’elle sait d’avance ce qu’ils viennent demander , le chemin qu’ils ont pris, les rencontres qu’ils
us ont accompagnés chez moi, sans que vous les ayez vues ; elles vous demandent des prières et des bonnes œuvres. Empressez-vous
a médaille de Mesmer sont priés de faire parvenir, il l’appui de leur demande , les pièces sur lesquelles ils s’appuient, afin q
rêter un fluide ? Magnétisme, électricité, vous en avez deux, je n’en demande qu un pour le moment; ce n’est qu’à titre d’empru
r les ridicules des grandes personnes. Ses facultés intellectuelles demandent cependant à se former, indice assuré que l’époque
ert (de Garnay), ce magnétiste d’une expérience mathématique, m’avait demandé d’assister à la production de phénomènes qu’il n’
pièce du milieu, et la dame qui lui avait remis ces pièces lui ayant demandé ce que cette dernière pouvait avoir de particulie
-ce que vous n’êtes point impassible ainsi que je vous en avais prié? demandai -je au spectateur. — Ma foi ! c’est à jeter sa l
s choses. Veux-tu donc, pour croire, torturer un pauvre esprit qui ne demande que lumière ? et la trouve-t-on sur la terre, le
reste de dates précises : je les dois encore à vos souvenirs. Je te demande huit minutes de suspension. Juste à la terminai
; ils voient le remède et ils vous l’indiquent de corn lance. Ne leur demandez pas pourquoi ils vous le prescrivent, car ils son
ppeler les gens de la rue pendant plus d’un quart d'heure. M. Morin demandait , dans un des derniers numéros, que l’on constatât
out s’attacher à reconnaître s’ils se produisent spontanément ou à la demande des assistants ; s’ils paraissent pour tous les o
tion des opérateurs. M. Mabru met de la persistance dans ce défi ; il demande s’il est possible de savoir enfin à quoi s’en ten
le réponse devons-nous donc faire à celui qui vient sérieusement vous demander si le magnétisme existe, et s’il a un seul l'ait
tions à prendre contre la fourberie? Mais s’il plaît à l’incrédule de demander au magnétisme plus qu’il ne comporte ou d’imposer
’entendre et avec lequel il pourra y avoir profit à discuter. Nous ne demandons pas mieux que de continuer le débat avec lui, per
n’était qu’un jeune homme. Est-ce donc qu’il faut de nouveau aller demander aux Académies de constater tardivement l’existenc
cause aurait plus à y perdre qu’à y gagner. Lorsque le magnétisme a demandé à l’Académie ses lettres de naturalisation, il ne
me alors n’avait à dire que ceci : — J’existe, et c’est à vous que je demande de féconder mon avenir. Mais aujourd’hui il a déj
jà de longues années d’existence et de pratique, on a le droit de lui demander compte de son passé. Or nous avons produit des fa
ent à discerner quels sont les faits qui, ne pouvant être simulés, ne demandent qu’une constatation simple, pour laquelle il ne s
considérable pour nous faire désirer d’en connaître la cause. L’ayant demandée , on nous répondit que c’était la bonne qui avait
sur le somnambulisme qu’on a si rarement l’occasion d’observer, et de demander à ses collègues le fruit de leur propre expérienc
quelques droits à une récompense, à envoyer le plus tôt possible leur demande avec les pièces à l’appui, pour que les membres d
ation: « Veux-.tu donc, pour croire, torturer un pauvre esprit qui ne demande que lumière? Et, la trouve-t-on sur la terre, le
nce magnétique avait été accompagnée de fortes douleurs la somnambule demanda du vin vieux : le mari prit un flambeau et sortit
mpécha’ pas ensuite de continuer sa route, et de remonter avec le vin demandé II trouva sa femme m,truite de sa chute et de tou
sur celte vision des yeux si attentifs et si animés, que ma hière me demanda un jour si je voyais quelque chose dans l'air. To
rité ses relations? La prudence est de ne pas s’abandonner. J’avais demandé , par cette entremise, la venue de Gall cl de Spur
de la maison que j’habite est isolée, et forme un coin de rue). Nous demandâmes ce que cela signifiait. La table répondit : « C/e
la plus intime. Après la venue de ces petits miracles, la table nous demandait comment nons les avions trouvés, et si nous étion
été, suivant leurs besoins et l’emploi qu’ils en veulent faire, toute demande recevant satisfaction égale. La richesse, sur l
union qui émane de Dieu même et qui est éternelle comme lui. On nous demande souvent : — Tout le monde sera-t-il marié dans le
Ces dames s’étaient introduites dans cette maison sous le prétexte de demander une adresse. Ce qu’il y a de plus étrange, c’est
— Quelle serait la première condition pour améliorer l'humanité ? lui demanda-t -on. — « Dépouiller l’homme des langes de la mis
de la pièce où nous étions réunis. M“* M‘" en fut interdite ; moi, je demandai ce que cela nous annonçait. La table écrivit : «
nt les soleils astraux ne reflètent que d’infiniment pâles rayons. Me demanderez -vous si cette vue me semble réelle ? Oui ! vous r
vous laisserai point aller que vous ne m'ayez béni. « Cet homme lui demanda : Comment vous appelez-vous? 11 lui répondit je i
ez-vous davantage contre les hommes ? « Jacob lui fit ensuite cette demande : Dilcs-moi, je vous prie, comment vous vous appe
, je vous prie, comment vous vous appelez? 11 lui répondit : Pourquoi demandez -vous mon nom? Et il le bénit en ce même lieu. «
é du microscope, n'a plus qu'une vue malade et pervertie? M. Littré demande quel progrès ont amené les diverses épidémies ano
ats de rire!... et force quolibets I — Attendez I repartit la dame. Demandons si les Bourbons reviendront. — Eux? allons donc
erait la journée, et rarement il se trompait. Ce jour-là, lui ayant demandé comment il se trouvait : « Entre le bien et le
t de ce que notre âme gagne à l’émancipation, il fallait d’abord vous demander quelle influence l’incarnation et les passions on
, j’en suis sûr, vous intéresse , cher lecteur, permettez-moi de vous demander si vousn’avez pas besoin de commentaire. Un médec
suffisait pas de savoir la signification du mot alexipharmaqué; j’en demandai l’étymologie, et je vis qu’il venait d'alcxô (rep
connaître le contenu. Ils répondirent qu’ils allaient satisfaire à sa demande ; ils l’invitèrent à placer une feuille de papier
, ni par le mauvais temps. C’est pourtant à de telles gens que l’on demande compte de tous ces beaux résultats, et pour récom
nomène pour en parler en si bons termçs, fut la réponse. Je vous le demande , cher maître, est-il quelque chose de plus clair,
use fait quelquefois des coacs et le crapaud toujours. Quand on lui demande le petit nom de la cantatrice étrangère, elle dit
vous laisse à penser l’enthousiasme qui s’empara de ce néophite. 11 demanda quelques mots sur son bon maître qu’il venait d
ets et de les transporter au grenier. Elle se disposa à obéir à cette demande , et pendant qu’elle recueillait les bardes pour l
que Say eut repris connaissance, cette veuve envoya vers lui pour lui demander s’il pensait que les âmes des morts se connussent
a qu’il avait vu son nègre mourir pendant qu’il était en transe. Elle demanda où cet événement avait eu lieu. 11 répondit : Dan
lorsqu’on ne boit pas à la santé des morts. Nous n’avons point à nous demander comment le mot trinquer, si gai, si expressif, qu
ts à nous associer de cœur et d’âme à toute pensée généreuse. Nous ne demandons pas mieux, — même au milieu d’un repas, — que de
clatante de leurs travaux. M. Salvat s’approcha alors du président, demanda la faveur de dire un mot et prononça les paroles
istinction honorable qu’il daigne leur conférer. En satisfaisant à la demande de mes collègues, je dois me séparer d’eux pour u
et au moment de prendre congé de ces messieurs , je m’avisai de leur demander quand donc il me serait permis de dire quelque ch
à celui d'un corps tombant sur la table ; les esprits frappèrent pour demander de la lumière, on éclaira, et alors Gordon, assis
yon en main et glissai dessous une feuille de.papier. « Pourquoi ça ? demanda-t -elle ; dois-je écrire ? — Non, répondis-je, n’écr
, matière à réflexions. Dans une autre séance encore, après lui avoir demandé des nouvelles d’une ancienne amie de cœur, dont d
regret, elle était séparée par deux cents lieues de distance, sur ma demande si elle croyait la revoir bientôt, elle écrivit :
liés, notre extralucide se mit à la besogne. La cuvette est bientôt demandée , puis apportée, grâce au magnétiseur, qui a obéi
n phénomène de la nature utile à l’humanité ; mais il ne faut pas lui demander plus qu’il ne peut donner. Partout et toujours, c
i le début du Psyciiolo- GISTE : Qü’EST-CE QUE LE MAGNÉTISME? « Demandez à la science des académies quel est le prin -cipe
n saut vers lui, en traversant d’un bond la moitié du salon. Comme il demandait à la dame ce que cela voulait dire, la table saut
un côté et frappe du pied. Un coup veut dire oui; deux coups, non. On demande si l’on veut bien épeler la réponse , et, dans ce
inconnues aux personnes présentes. Je veux parler des cas où l’on ne demande pas ce que l’on sait déjà, c’est-à-dire son propr
la table. Ainsi, par exemple, une fois je vis mouvoir la table, et je demandai : c- Veux-tu me dire ton nom? — Oui. —Dis-le donc
s-prochain. Ce que j’ai vu là-dessus m’a convaincu que dans de telles demandes lasuggestion agit fortement sur l’intelligence qu
périmentateurs. Mais voici quelque chose d inattendu. Après plusieurs demandes et réponses, la somnambule, à laquelle je tournai
somnambule, à laquelle je tournais le dos, me cria, sur une nouvelle demande , « Je sais la réponse qui va venir. » ai e’ et ef
ainsi que la rétrospection d'une manière bien remarquable! je lui ai demandé si elle pouvait voir le nommé Peter Kovv (voir pl
P. Itovy. Bientôt elle commença à trembler et devint pâle, et sur mes demandes elle me dit qu’elle le voyait couché, pâle, immob
par la terre sur la pierre, ou plutôt entre toutes deux. Mais ai l’on demande pourquoi, comment la pierre tombe ou est attirée,
le que son opinion là-dessus soit tout à fait arbitraire. Aussi je me demande : si les visions de Franklin, etc., venaient du m
ce que, depuis quelque temps, on nous raconte sur les esprits, je me demande en vain ce qu’ont à y gagner le magnétisme et le
t comparaître, tour à tour et à la volonté des assistants, les I prus demandés , dont, à part moi et bien que je fusse à cote del
tion? Cette allégation serait peu digne d’un esprit sain ; car, je le demande , que pouvait-il arriver de pire à ces pauvres enf
Qu’as-tu fait de notre science ?... Maintenant, permettez-moi de vous demander en leur nom à tous — et môme en mon nom seul, pou
é, ne le croiront pas plus en voyant qu’en ne le voyant pas, et s’ils demandent des faits, ce n’est pas pour essayer d’opérer leu
... Aussi, notre collègue, M. Lecoq, a cent fois raison quand il se demande si ces savants — MM. Mabru et Auzoux — pensent qu
tes personnages soient amenés à nous par suite des expériences qu’ils demandent , ont-ils la prétention de croire que leur nouvell
uteur, sans doute dans l’espoir d’un meilleur accueil, vous vous êtes demandé comment les ombres pouvaient parler sans bouche m
élas!... ne font qu’enrayer, embourber le char du magnétisme? A une demande semblable la réponse est faite depuis longtemps,
ansition nécessaire. Un médium dont la mère est dans l’autre monde, demande à celle-ci des conseils. Si cette mère ne savait
se mit à interroger ce qu’il croyait être un esprit ; et, après avoir demandé que les coups fussent frappés en divers endroits,
titre du livre. Cinq coups rapides furent alors frappés : c’était la demande de l’alphabet, et il fut épelé: nous allons en av
L’alphabet ayant été redemandé, il fut épelé : vous êtes bienvenu. Je demandai si c’était mon vieil ami Goodall, et la réponse f
faisait entendre. L’aiguille des heures fut déplacée, comme cela fut demandé . Ces faits se produisirent à la lumière et dans d
s orteils; il flotta circulairement autour des têtes et, lorsqu’on le demandait , il posait les pieds sur la tête et (1) On peut
ue je constatai avant de croire aux. communations spirituelles. Je ne demande pas au lecteur d’en tirer les mêmes conclusions q
ne douleur de tête, comme elle vient elle-même de me l’assurer sur la demande que je lui avais fait faire de venir me confirmer
t je parlerai une autre fois). A peine entrée dans la chambre, je lui demandai comment elle se portait. — Bien, me répondit-elle
à le vaincre entièrement. Je l’endormis en quelques secondes et lui demandai alors quelle était la cause de ce sommeil dont el
ation et de reconnaissance, récompensa dignement le vieux sage et lui demanda par quel procédé magique il avait accompli ce pro
lui être d’aucun secours pour sa conclusion. Nous nous sommes aussi demandé à quelle fin ce lien entre les deux systèmes nerv
Philips. Mais ce n’est pas ici le lieu de développer cette idée, qui demande d’ailleurs encore à être, mûrie. A nos yeux, et
nales et lechef temporaire d’un peloton d’âmes végétatives. Nous ne demandons pas mieux — de temps en temps — que de nous lance
: o Oh ! voilà quelque chose qui doit être bien « amer. » Je lui ai demandé si elle trouvait la potion amère. — « Non, elle n
que vous ne voyez pas, et qui peut vous renseigner. « — Qui donc ? demanda-t -il. « — C’est, répondis-je, notre ancien ami Bl
Il avait une mère âgée, une femme et des enfants à New-York, et il se demandait à lui-même : — Que feront-ils cet hiver sans moi?
affermissait soi-même pour aller au-devant de sa destinée. « Je lui demandai comment il se faisait qu’ils vinssent chez nous e
nte et émanée des régions supérieures. « Je leur dis que je ne leur demande pas de recevoir ces choses comme vraies par cela
qui. ayant remarqué le triste état dans lequel il se trouvait, lui demanda la cause et la nature de sa maladie. 11 la lui ex
uvel hôpital où on lui avait conseillé de s’adresser. M. Capern lui demanda s’il voudrait consentir à différer sa résolution
ci « ce qu’elle me dit : Quand on a perdu quelque chose et « qu’on me demande de le rechercher, j’y pense toute la « journée ;
lus proches parents. Un jour, au grand étonnement de sa famille, elle demanda à écrire. On lui donna tout ce qu’il fallait, ell
procéder à l’exorcisme. Les parents se soumirent de bonne grâce à sa demande , et, en conséquence, le prêtre, revêtu de ses orn
sonnes qui sont mortes, les images de ces personnes paraîtront sur la demande de l’opérateur : il est bien entendu qu’on peut a
est que ce phénomène s’obtient par l’effet du mognétisme. « Je vous demanderais en grâce , Monsieur, pour ma satisfaction de voul
déplacer. Ils peuvent donc venir occuper une table , un panier, si la demande leur en est faite et manifester leur pensée, en r
tenté de recourir au suicide.... La dame âgée dont je parle ( sur la demande de laquelle il fit ces expériences) avait, certai
eux en même temps m’adresser directement 5, vous, Monsieur, pour vous demander si, soit comme individu privé, soit comme journal
la brochure du docteur Esdaile en lui soumettant respectueusement la demande suivante : « S’appuyant sur ce que le nom de l’
e appréciation consciencieuse et impartiale de votre part, et de vous demander respectueusement si c’est avec votre approbation
es d’Édimbourg, 11e fit point imprimer l’article qu’il avait lui-même demandé à M. Esdaile, et, après bien des détours et des f
» h22 1/2, Broadway, New-York, où devront « être adressées toutes les demandes . « Le prix , par lettre, contenant 8 paquets de
été, suivant leurs besoins et l’emploi qu'ils en veulent faire, toute demande recevant satisfaction égale. « Chaque sphère es
union qui émane de Dieu-même et qui -est éternelle comme lui. On nous demande souvent : Tout le monde sera-t-il marié dans le
de prononcer le mot Dieu. Le jeune homme ayant fait ce qui lui était demandé , elle prononça à son tour le mot Dieu ; elle le
ule de gens armés, le prévôt Martin envoya un moine à l’oratoire pour demander à l’évêque de conduire la communauté à la rencont
s’alarmera donc pas trop de ce terme-ressuscité de l’hébreu; mais il demandera des éclaircissements et des preuves. En voici. M.
; pourtant, ne voulant point non plus me laisser surprendre, elle nie demanda dans la soirée si je ne serais point fâché de voi
ix) qu’à propos d’un aveugle de naissance, les disciples de Jésus lui demandèrent si cette infirmité avait pour cause les péchés de
Journal du magnétisme (n» 239) du 10 juillet. Entre une guérison qui demande deux heures et celle qui s’effectue en quelques s
mbreux et imposants qui ont eu lieu sur ce sujet. Quelques incrédules demandaient ce qu’il adviendrait si la lumière, survenaut tou
ES. A Monsieur Durai de Fraville. Mon cher Condisciple, Vous me demandez mon opinion sur les faits étranges qui se passent
e d’elle-mème en prose ou en vers et toujours en termes propres; elle demande souvent du temps pour remplir certains bouts-rimé
n général de la conversation, c’est l’esprit du foyer; mais si on lui demande une épigramme contre une personne absente, elle e
spirée, fut un peu plus difficile ; il la traita de folle, et osa lui demander un miracle. Jeanne lui répondit qu’elle n’en avai
En songeant au bûcher fatal où périt celle qui sauva la France, on se demande : Comment ce crime du fanatisme n’a t-il pas du mo
redi 21 avril 18/jl, que l'usage du magnétisme, tel que C exposait la demande , n’est pas permis. De même, la sainte congrégatio
. Désirant vivement connaître le nom de l’esprit présent, nous le lui demandâmes , et le nom qui nous fut donné par l’alphabet fut
des dames présentes. Après avoir obteuu ce renseignement, M. J. P... demanda si l’esprit pourrait nous apparaître. Une réponse
MM. Bosco et Robert-Houdin. Cette hypothèse excite mou dégoût, et je demande au lecteur la permission de ne pas m’y arrêter.
t beaucoup moins désobligeaute et a le droit d’être examinée. On peut demander en effet sans offenser personne si des mouve- m
alors un phénomène de haute physiologie et même de psychologie. Je ne demande pas mieus qu’il en soit ainsi. C’est encore au le
s : là , comme un esprit sorti du purgatoire (ou 2* ciel) , qui vient demander des prières : plus loin, comme un esprit échappé
on ; et comme cette personne a\ait plusieurs fois obtenu des vers, on demanda un quatrain au guéridon, et le guéridon fit un qu
un autre ? — Oui. — Ainsi elle a ¿été mariée ? — Oui. — L’avais-tu demandée en mariage? — Non?— Sont-ce tes parents qui s’y s
? » La table garda le silence sur cette dernière question. Nous lui demandâmes alors : « Et dans le premier ciel avec qui est-on
re. Ici nous n’ avons qu’un galimatias tellement obscur qu’on peut se demander si les auteurs se sont compris eux-mêmes...,,^ Un
L) de produire soit le. sommeil, soit, des effets de curiosité.. On a demandé s’il n’était pas préférable d’introduire aussi l’
ne patiente à Laandam, sur laquelle il opère journellement ; on s’est demandé si le magnétiseur peut ainsi opérer sur ses patie
re uo M. le docteur Simpson, l'un es éditeurs de cette feuille, avait demandé à M. le docteur Esdaile , sur les opérations chir
5 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
erait pas là un motif suffisant pour encourager à des pratiques qui demandent un si long entraînement, qui déterminent une vé
atta- ché d'une manière spéciale au sens de la pression. Il s'est demandé : étant donnée une série de poids a, b, c, de q
ux causes de la chorée, M. Bastien, à qui est due l'observation, se demande si elles tiennent aux accès plus fré- quents d'
tes les prémisses de notre thèse. A la suite de cela, on est à se demander pourquoi tous les auteurs parlent de méningo-en
vue peut le remplacer quand il est absent. » Plus loin Maudsley se demande quel est le rapport du sens musculaire à l'intu
les arguments invoqués par M. Adamkiewicz. Tout d'abord on peut se demander si réellement dans ce cas tout stigmate de l'hy
mais que je ne saurais accepter sans réserve et à laquelle je vous demande la permission de présenter quelques observations.
m de Napoléon. Il se présenta aussitôt dans un poste de police pour demander qu'on l'aidât à monter sur le trône. Le lendema
NTES. 121 t de ce genre, la statistique a un rôle tout marqué et;il demande que la discussion soit continuée. M. LE Prési
e j'ai eu l'honneur de présenter sur les articles 7 et 8. Je vous demande maintenant la permission de vous faire con- naî
rai par l'état mental du malade. Je compreuds due dans ce cas, vous demandiez une déclaration ; je comprends en- core que vou
ieurs, l'imporlance des amendements que je soumets au Sénat. Je lui demande en premier lieu d'étendre le cercle de la famil
de la famille un peu plus loin que ne le fait la commission; je lui demande encore d'admettre que toutes les fois que ce sera
tration ; et enfin, au cas où la séquestration est indispensable je demande que tout au moins on respecte le droit le plus
rnière considération que je veuille invoquer devant vous - que vous demandez au père de famille une déclaration bien pénible
dements que j'ai eu l'hon- SÉNAT. 145 neur de déposer, et je vous demande de les sanctionner par un vote favorable. (Appr
e Président. La parole est à M. le rapporteur. M. LE Rapporteur. Je demande à faire une observation en ré- ponse aux derniè
s le cas où un fait lui paraîtrait délictueux ou coupable, pourrait demander l'application de l'ar- ticle 67 La commission
r enfermé est démontrée. C'est la mention de cette nécessité que je demande au Sénat, afin d'empêcher toute espèce d'arbitr
. LE Ministre DE l'intérieur. Le gouvernement et la commission vous demandent de combler cette lacune de la loi de 1838. L'ho-
mplement la loi de 1838, car l'honorable M. Roger- Marvaise ne vous demande pas autre chose. Il n'admet en effet l'action e
la loi. Voilà la. pensée qui a inspiré la disposition que nous vous demandons d'adopter. Est-ce que nous portons atteinte aux
tteinte aux droits de la famille ? Nul- lement ! Qu'est-ce que nous demandons par l'article 7 qui est soumis à vos délibérati
us n'exigeons rien. Alais aux parents, éloignés, aux étrangers nous demandons une simple déclaration au procureur de la Répub
c l'honorable M. Lacombe et avec l'honorable M. Roger-Marvaise pour demander certaines modifi- cations aux dispositions qui
on où lui seul sera reçu et retenu, il n'y aurait aucune garantie à demander ? M. 'l'ENAtLLE-S.1LICIVY. 11 n'y aura pas de c
code civil, nous constatons que tant que l'interdiction n'a pas été demandée , il n'est pas permis au procureur de la Républi
éger les biens de l'aliéné. Or, vous savez com- bien sont rares les demandes d'interdiction à l'égard des aliénés, parce qu'
fficile et coûteuse qui n'est pas à la portée de tous. Je me suis demandé moi-même s'il n'y avait pas quelque chosa à fai
par l'honorable M. Roger-Marvaise et par l'honorable M. Lacombe, et demandez -vous s'il est possible de déclarer que l'Etat n'a
rincipe même de la protection due aux aliénés par l'Etat. Nous vous demandons de dire hautement, nettement, que le Sénat ne p
rès bien ! très bien ! et applaudissements.) M. Rocen-llAnvaisr. Je demande la parole. (Aux voix ! aux voix ! ) M. LE Pré
claration. Eh bien, cette né- cessité de tenir l'aliéné enfermé, je demande que vous l'intro- duisiez dans l'article 7, afi
«Avec nécessité de le tenir enfermé. » M. LE Président. Quelqu'un demande-t -il la parole sur l'amen- dement de M. Roger-Mar
oix nombreuses. Parlez ! parlez ! 1 152 SENAT. M. DE Gavardie. Je demande la parole sur ce point, si personne ne la deman
. DE Gavardie. Je demande la parole sur ce point, si personne ne la demande . M. LE Président. La parole est à M. de Gavardi
tions et rires.), vieux d'ex- périence, veux-je dire, M. de Marcère demandait un renseigne- ment précieux. Mais enfin, monsie
, que ce ne sont pas les indigents qui gardent les aliénés ; ils ne demandent pas mieux que de s'en débarrasser ! Vous préten
enne, vous emparer complètement des enfants ! 11 a une école qui le demande ; mais j'espère que vous n'êtes pas encore assez
définitive, que ceux contre lesquels vous voulez réagir, et je vous demande au nom de ce qu'il y a de plus sacré dans notre d
te ! A gauche. Aux voix ! aux voix ! M. LE Président. Personne ne demande plus la parole ? ... Je donne une nouvelle lect
le que j'en rappelle les termes au Sénat. M. Rocen-1ll : nvarsE. Je demande la division, monsieur le prési- dent. M. LE P
E Président. Je donne d'abord' lecture de votre amende- ment ; vous demanderez ensuite la division, monsieur Roger- Marvaise.
nécessité de le tenir enfermé. 156 SÉNAT. M. Roger-Marvaise. Je demande qu'on mette d'abord aux voix ce paragraphe. M
le président, il y a de mauvais précédents en pareille matière ! Je demande la parole pour un rappel au règlement. M. LE
ous contenir dans ses li- mites. M. de Gavardie. Messieurs, je ne demande pas la parole, comme le dit M. le président, co
a parole, comme le dit M. le président, contre le règlement : je la demande pour l'interprétation saine du règlement. C'est
. LE Président. Quelle proposition faites-vous ? M. de Gavardie. Je demande qu'on vote sur l'ensemble, pour ou contre l'art
sa res- ponsabilité. » M. Lacombe. Monsieur le président, je vous demanderai de mettre aux voix ce paragraphe à l'exception
re la distance jusqu'au quatrième degré. M. DELSOL, de sa place. Je demande à rappeler, au nom de la commission... Plusie
raitement. » Cette addition a été acceptée par la commission, qui demande au Sénat delà voter. Je m'arrête là puisqu'on peu
Je m'explique sur le reste. La seconde niodificatioti 1 58 SÉNAT. demandée par l'honorable M. Lacombe est celle-ci : « Le co
'hypothèse adoptée par la commission, et, en conséquence, elle vous demande de conserver la rédaction que nous avons d'abor
e rédaction de la commission. M. Lacombe. Monsieur le président, je demande que l'on mette aux voix le paragraphe entier, à
question est déjà assez compli- quée comme cela. M. MoRrLLET. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à M.
nt. La parole est à M. Morellet. M. 1\IOII.LLET. Messieurs, je n'ai demandé la parole que pour une SENAT. 159 question de
rédaction nouvelle proposée par notre honorable collègue. Elle vous demande de voter la rédaction qu'elle vous a déjà soumi
, et qui ne pourront pas excéder trois mois. » M. LE Rapporteur. Je demande la parole. M. LE PRÉSIDENT. La parole est à M.
tré, c'est-à-dire où il est retenu chez lui par la force. J'avais demandé à la commission d'introduire ces mots « par voi
voie de coercition » dans le texte même de l'article. Je l'avais demandé , parce que cet article, tel qu'il a été rédigé pa
estvenuapportercetteappréciationde lacommission à la tribune. J'ai demandé qu'une déclaration aussi importante ne restât p
point de vue que je maintiens mon amen- dement. l. M. DELSOL,. Je demande la parole. . M. LE Président. La parole est à M
Sénat, s'appli- quent à deux points de son amendement. D'abord il a demandé 164 '1 SÉNAT. que le Sénat ajoutât à ces expr
laration. (Très bien ! très bien ! ) M. LE Président. Personne ne demande plus la parole ? ... Nous allons procéder par v
ns procéder par voie de réserve et par voie de division. M. Lacombe demande l'adjonction de ces mots : « par voie de coerci
djonction de ces mots : « par voie de coercition », et, de plus, il demande « que les ascendants et le conjoint ne soient p
s mots : «le tuteur, conjoint ou parent qui préside... » M. Lacombe demande qu'on joigne ceux-ci : « les ascendants elle co
erminés et qui ne pourront pas excéder trois mois. » M. Lacombe. Je demande à présenter une observation de ma place. Ce par
ccepte l'ajournement du para- graphe. M. LE PRÉSIDENT. M. Lacombe demande , d'accord avec la commission et le Gouvernement
- position pour votre compte. M. DE GAVARDIE,. J'en fais alors la demande au Sénat. M. LE Président. M. de Gavardie propo
ble, puisqu'il y a un paragraphe réservé. M. DE GAVARDIE. Peut-on demander la parole sur l'ensemble des paragraphes votés
ployés dans les établissements publics d'aliénés. » M. LACOMBE. Je demande qu'on réserve le paragraphe ;i. M. LE Ministre
u'on réserve le paragraphe ;i. M. LE Ministre de l'intérieur. Je le demande également. Ce paragraphe prévoit, en effet, la
acceptée par le Sénat. C'est pourquoi je me joins à M. Lacombe pour demander que le paragraphe 5 soit réservé. (Très bien !
nvoyée gratuitement aux abonnés des Archives de Neurologie sur leur demande . S'adresser à M. Maloine, libraire, 91, bouleva
ement elle se sert de sa main gauche pour tous les mouvements qui demandent un certain effort, tels que déplacer une chaise,
ndantes, et déterminé l'atrophie des muscles de la cuisse. Il ne se demande pas si la distribution segmentaire de l'anesthé
e n'a produit la moindre amélioration Quelque- fois même j'ai dû me demander s'il n'avait pas été nuisible. Enfin j'ai fait
des- traumatismes du crâne n'est pas douteuse, il est permis de se demander si les. blessures graves des autres organes doi
llis sont de beaucoup au-dessous de la réalité. ' Mais il faut se demander aussi si les maladies dont je viens de parler,
xillaire et la paralysie générale : c'est ce que je me suis souvent demandé . En résumé, la question des rapports de la para
e retrouve chez tous les paralytiques généraux, il est permis de se demander s'il n'y a pas, dans tous les cas, et à l'origi
luence étiologique toujours la même. Tout d'abord il convient de se demander s'il n'existe pas une prédisposition à la paral
fort exagéré, vio- lent ; il y a surmenage chaque fois que l'effort demandé est disproportionné avec la capacité de l'organ
ent aucune prédisposition, suc- combent cependant, parce qu'ils ont demandé à leur cerveau plus qu'il ne pouvait donner. Ce
journellement coupable. » Voici les renseignements fournis sur ma demande par le médecin traitant : « Elle est née de pèr
on abreuve MM. Falret et Motet rejaillissent sur nous tous. Je vous demande de donner une nouvelle preuve de confra- ternit
n termes émus la Société de l'ordre du jour qu'elle vient de voter, demande à exposer en quelques mots l'affaire du baron S
t de la préfecture de police, était envoyé par Ai. lePréfet qui lui demandait d'urgence un rap- 280 sociétés savantes. port
liquer les anomalies que présente cet état mental. . M. Voisin se demande si en présence des déraillements de l'opi- SOCI
il désiresa mise en liberté et espère qu'on pourra faire droit à sa demande . « M. R. Seillère a conscience de l'état morbid
i, pendant ces dernières semaines un être bien extravagant ! ... Il demande que tout cela soit oublié puisqu'il n'y pense p
l'amenait à l'asile ; les premiers jours, il par- lait encore peu, demandait à s'en retourner chez lui, mais depuis il est r
directeurs de ceux-ci, sous leur propre responsabilité. Une simple demande des parents ou du malade lui-même doit être suf
- recteur de l'établissement doit avoir le droit de rejeter toute demande de placement mal fondée, même lorsqu'elle est adr
e de la séance du mardi 30 novembre 4 886 1. - M. LE Rapporteur. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à M.
ut que joindre à M. le ministre de l'intérieur et à M. Lacombe pour demander qu'on réserve le paragraphe. M. LE Président. I
eu de réserver absolument que le paragraphe 5. M. de GAVARDIE. Je demande qu'on réserve l'article tout entier, et je dema
de GAVARDIE. Je demande qu'on réserve l'article tout entier, et je demande à donner quelques explications sur ce point. M
dis que cela n'est pas justifié, et voilà pourquoi j'ai le droit de demander qu'on réserve l'article tout entier. ' M. LE
le rapporteur regagne son banc.) M. le Président. M. de Gavardie demande qu'on réserve l'ar- ticle 9. Je consulte le Sén
Sénat. (L'article 9 n'est pas réservé.) M. LE Président. Quelqu'un demande-t -il la parole survie para- graphe 10r de l'artic
GAVARDIE. Comment ! il n'y a pas de discussion sur cet article ! Je demande la parole. M. le Président. Vous avez la parole
dent. Vous avez la parole, monsieur de Gavardie. M. DE GAVARDIE, Je demande le renvoi de la discussion s'il doit y en avoir
uve que cette loi est mauvaise sous ce rapport-là ! Je n'aurais pas demandé la modification de la loi de 1838 pour ce simpl
é rédigée ainsi, je dis que c'est d'une manière abusive, et je vous demande d'introduire une distinction dans l'article et d'
nt. Je mets aux voix l'ensemble de l'article 10. M. de Gavardie. Je demande la parole sur l'ensemble de l'ar- ticle 10. M
s, vous m'avez compris... (Rires), je l'espère du moins, et je vous demande de maintenir les termes de mon amendement. M. L
dent, la commission, d'ac- cord avec M. le ministre de l'intérieur, demande le renvoi de la discussion à la prochaine séanc
des spécialistes. Beaucoup de gouverneurs et de législateurs lui demandèrent conseil pour l'aménagement des asiles et des éta-
remplacement de 111. le D B.\R.%NDO,4. mis en disponibilité sur sa demande (arrêté du FAITS DIVERS. 319 28 juillet). - 1
ne position durable, comme dans la plupart des autres pays. On doit demander des hommes préposés à la garde des aliénés un g
e d'habitude, et, quand elle aperçoit son bonnet déchiré, elle se demande si ce n'est pas une mauvaise plaisanterie qu'on a
NIQUE NERVEUSE. ment de se plier à la discipline de l'hôpital, elle demande à sortir. (25 juin.) Bien qu'elle ne soit plu
yons son regard se fixer sur la feuille de papier et quand nous lui demandons ce qu'elle regarde, elle'nous répond : « Le por
r chez M. Grasset et dit y avoir été envoyée par M. Brousse. On lui demande comment elle a fait pour venir, elle répond qu'
hant pas l'adresse de M. Grasset, elle l'a 332 CLINIQUE NERVEUSE. demandée , on lui a dit, rue Basse, 6, mais dans la rue qu'
n-Jacques Rousseau); elle arrive pourtant à la porte de M. Grasset, demande l'étage où il loge, on lui dit le second, elle
te au premier abord de l'en- droit où elle se trouve ; quand on lui demande pourquoi elle est venue, elle répond qu'elle n'
veillée, elle se met à s'habiller et répond à M. Grasset qui lui en demande le motif : « J'ai quelque chose à faire, » trou
par la compression de l'ovaire, et on l'éveille par ordre. 28. Elle demande son exeat, qui lui est accordé. Mais aupa- rava
essive, soit-disant type Aran-Duchenne. Tous ces malades ne peuvent demander une assistance médicale que pour les phénomènes
is d'octobre 1884, la principale raison qui avait amené le malade à demander son admission à l'hôpital, et dont il mourut au
e est convaincue que pour atteindre le but de la revi- sion qui est demandée au Parlement, c'est-à-dire pour sauvegar- der l
omme amendement à l'article 21. Dans ces conditions, je ne puis que demander , avec la commission et les signataires de l'ame
RD aux. Je donne mon adhésion à ces réserves. M. RoGER-MApvAisE. Je demande la parole. M. le Président. M. Boulanger était
ar le ministre de l'intérieur. Je n'y fais aucune opposition ; je demande seulement que M. le ministre de l'intérieur veuil
culière qui avait déjà préoccupé le législateur de 1838. On s'était demandé à cette époque, alors que l'administration prov
visoite aux parents ou aux héritiers présomptifs de l'aliéné. On se demandait notamment ce qui arriverait si, le père étant a
'aurai sans doute plu- sieurs remarques à présenter à ce moment, je demande à la com- mission de vouloir bien réserver pour
M. LE Rapporteur. Oui, monsieur le président. M. DE Gavardie. Je demande la parole. (Exclamations à gauche.) M. LE PRÉSI
bien ! sur quelques bancs à droite.) M. LE Président. Personne ne demande plus la parole sur l'amendement de M. Bardoux ?
mme je l'ai fait chaque année avec plaisir, cette fois encore, à la demande qui m'est adressée, je m'empresse de venir joindr
e supplémentaire), depuis au moins quatre générations. Le Dr Beddoe demande que des recherches soient faites dans ce pays,
6 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
lieu souvent, le magnétiseur perd toute considération : ce qu’on lui demande , c’est de hâter le résultat promis, comme s’il po
me éloignée, la désigne sans se tromper. — Comment se porte-t-elle? demanda le médecin. — Elle n’est pas malade, répondit l
ue c’est que le magnétisme, et nous défient de les convaincre. Que ne demandent -ils aussi ce que c’est que l’électricité?... Qu
e , et même quand il verra des faits prodigieux, inexplicables, il se demandera s'il n’est pas dupe de quelque adroit artifice, s
r la table. Le membre, qui alors était hors d’état de les distinguer, demanda s’il pourrait avoir des communications des esprit
ve eut lieu au moyen de trois coups entendus distinctement. Le membre demanda si quelqu’un de ces esprits était présent, et, ap
, tout mouvement de la matière dénote l’action d’un esprit. 7° On a demandé pourquoi les esprits n’avaient pas annoncé d’avan
« Hé bien ! me dit-il, essayez vous-même. — Comment? « sur qui ? lui demandai -je. — Sur moi-même, me répon-« dit-il. — Non seul
a domestique courut à la porte et ne vit personne. Pendant qu’elle se demandait qui avait pu se faire ainsi un jeu de la déranger
ême maladie ; pour luiil n’y a pas deux cas semblables, et chaque cas demande un traitement particulier. M. Huguet rapporte,
ttre à l’épreuve : l’un apportait une mèche de cheveux d’un absent et demandait de ses nouvelles, un autre présentait une lettre
celui-là présentait un livre dont les pages n’étaient pas coupées et demandait que le somnambule lût à une page désignée. Alexis
re philosophique, son Siècle de Louis XI V et ailleurs , et vous vous demanderez s'il est possible que tant d’outrecuidance puisse
les mains des dames et des hommes. « Une dame, la comtesse de L..., demande que l’esprit de telle personne, morte depuis long
igerez beaucoup , reprit M. Hume avec empressement ; je vous l’aurais demandé , si j’avais osé. n Le général N... se coucha en
que l’esprit d’une personne morte depuis longtemps a été évoqué à la demande d’une dame, et s’est manifesté par trois coups fr
de P..., se préoccupant de faire des niches dans des expériences qui demandent tant de sérieux , s’amuse à serrer la main d’une
volonté sera forte, plus le phénomène sera grand. C’est pourquoi l’on demande habituellement dans des séances de magnétisme, de
it aux Juifs incrédules et hostiles : « Race méchante et adultère, tu demandes un miracle, mais il ne t’en sera point accordé. »
usque-là constamment donné des preuves. A la fin de la séance, je lui demandai la cause de son mutisme momentané : « C’est que c
la science et de juger pour eux-mêmes par leurs propres expériences, demandent à l’astrologue quelle influence est analogue, com
sans quinine, et sans que l’estomac ait à souffrir du remède. On demandera h ce grand art médical, implanté dans les nations
istingués, frappés de 1 abus qui pouvait être fait du magnétisme, ont demandé que l'exercice en fût soumis à des règlements éma
n’aurait à profiter des garanties organisées en sa faveur. Ou peut se demander si cette limite n’est pas dépassée. Ainsi la méde
ent en acceptant le régime actuel : qu’ils ne fassent pas la faute de demander des verges pour se faire battre. a. s. MORIN.
s finit par dire que l’on pouvait donner à la malade tout, oe qu’elle demanderait , qu’il n’y avait plus rien à faire pour lui. Il r
ique et au moral. « Hésitant encore à croire à cette découverte, je demandai par quels moyens avait été commise la soustration
n’a pas été suivie d’effet. Lorsque nous l’avons vu, nous lui avons demandé de quelle partie de l’Amérique il était originair
urraient répandre autour d’eux, dans les campagnes, où l’ignorance ne demande qu’à comprendre, où le génie du mal est si facile
« Un jour, c'était vers la fin de juillet dernier, madame T.... me demanda en riant si je savais magnétiser, et je fus bien
» n La chose en resta là pour ce jour, mais le lendemain, nouvelle demande , nouveau refus de ma part. « Je fus une troisiè
e l’embonpoint, de la gaîté, presque plus de flueurs blanches.— On me demande si j’ai tenu ma parole, je réponds affirmativemen
it donc être douteuse en droit. uDepuis cette condamnation, ils ont demandé le concours d’un homme de l’art. Divers médecins
âgé de quatorze ans, était à l’agonie ; l’enfant, se sentant mourir, demanda qu’on envoyât chercher Philippe de Néri, qui avai
and saisissement de l’assistance. « Voulez-vous mourir ou vivre ? lui demanda le saint. — J’ai entrevu au ciel ma mère et mi sœ
laudir de ce retour à la vie d’une personne chérie, ne songe qu’à lui demander si elle veut revivre ou remourir : ce dialogue re
s’étaient écoulées, et, en confirmation du rêve, il fit une nouvelle demande qui, cette fois, fut acceptée. Aujourd’hui ils so
. U y a quelques jours, une dame me présenta ses deux enfants et me demanda si je voulais les endormir, afin d'obtenir quelqu
la table a répondu : ou qu’elle ne voulait pas répondre, parce que la demande était indiscrète, ou que l’expérience durait depu
t trop goudronné pour aucun de nous. Entre autres choses, M. R... lui demanda s’il voulait répondre à une question qu’il lui po
Quatre des assistants durent se retirer. La séance étant reprise, on demanda à l’esprit s’il voulait se mettre en communicatio
lever et je courus chez mon ami. La sœur d’Ernest vint à moi. Je lui demandai comment allait son frère. — Pas plus mal qu’hier,
bre nudité et sa douteuse horreur. — Je courus chez M. Hume. Je lui demandai en pleurant ce qu’il fallait attendre. Il leva le
donner des preuves de sa puissance. dOn raconte qu’aux Tuileries il demandai l’Empereur s’il voulait voir la Providence. L’Emp
pas du tout l’air de viser à l'éclat; il ne se prodigue point, il ne demande aucun salaire; il ne va au-devant de personne ; i
Hier soir, je me trouvais chez un très-grand personnage, que je vous demanderai la permission de ne désigner ici que sous celte s
tion de l’honorable assemblée, et que tout ce qu’on voudrait bien lui demander de possible il tâcherait de l’exécuter. Aussitôt
s toutes les sonnettes furent subitement agitées ; et une dame, ayant demandé si on pouvait bien lui faire venir un livre qu’el
main invisible, vint tomber sur les genoux de la personne qui l'avait demandé . Après ce tour, ou plutôt ce prodige, qui causa u
de quelques messieurs qui avaient défié l'é— vocateur. « Enfin 011 demanda à 11. Hume d’agir d’après ses propres inspiration
rappante de l’intervention des esprits, qu’il prétend faire obéir. La demande était à peine formulée que j'éprouvai pendant que
ans les causes naturelles ; mais pourquoi alors hésiterions-nous à la demander à ces causes qui appartiennent à l'ordre surnatur
fort insignifiante en présence de l’intérêt de la santé publique qui demande qu’aucun moyen de guérison ne puisse être interdi
ncurable , que peut-être vous avez le moyen de la guérir. Il faut lui demander des détails sur ses longues douleurs, comment ell
recouvré l’ouïe et la vue. Je cite ces faits pour répondre à ceux qui demandent à quoi sert le spiritualisme. Depuis que ma fille
nne chanteuse, était trop faibl^ pour se livrer à un tel exercice. Je demandai qui m’avait accompagné. La réponse fut que c’étai
ue c’était ma sœur Anne qui était morte depuis vingt-deux ans. Je lui demandai s’il y avait un chant qu’elle préférât ; elle me
énédiction), annonçant qu’elle m’accompagnerait. Je fis ce qu’elle me demandait , et la voix spirituelle se joignit à la mienne. J
hanta avec autant de force que quand elle était bien portante. « Je demandai ensuite si quel qu’un des esprits qui nous visita
t la terre. Souvent, quand nous sommes dans l’obscurité, si nous leur demandons de nous montrer de la lumière, ils inondent la ch
le priant de consulter en grand secret ladite somnambule, afin de lui demander un remède pour une maladie chronique dont il souf
pour une maladie chronique dont il souffrait depuis longtemps. Cette demande faite au nom du persécuteur à la somnambule persé
e tout finit pour le mieux, faute de preuves. Quelque temps après, je demandai à la jeune fille comment elle s’en était tirée. M
e infraction à la foi de Moïse. Une femme de charge vint un jour me demander ses gages, je lui donnai trois sous ou pièces de
-il) un œil intelligent et une figure sympathique qui nous firent lui demander s’il savait le français. « Oui, Monsieur, nous di
ation tonique? M. M***, à qui le magnétisme n’était point étranger, demanda au médecin qui le soignait, — ce n’était pas le c
n de ma (1) Après cctt«communication, un membre de la Société ayant demandé pourquoi, le siège principal du mal étant à l’épa
je ne fais qu’effleurer dans cet instant reviendra demain ; car elle demande à être résolue. L’ignorance des prêtres de notre
Sociale buvait la ciguë, Jésus était mis en croix , Galilée à genoux demandait grâce pour avoir eu trop tôt raison. Jeanne d’Arc
étisme et contribuent en éloigner beaucoup de gens de bon sens qui ne demanderaient pas mieux que d’accepter les faits dont on les re
rouvent l’excellence du magnétisme dans une foule d’affections, on se demande si les médecins consciencieux fermeront encore lo
à voix de Stentor, ni pacte signé et scellé : il vient sans qu’on le demande , sans qu’on pense à lui, sans même que l'on croie
se met charitablement à nous aider, sans imposer de conditions, sans demander de remerciments, sans même nous avertir qu’il nou
tés espagnoles, ancien membre des cortès constituantes, qui avait demandé à M. du Potet la faveur de prononcer quelques mot
embres les plus distingués de la Société lyrique du Caveau : j’oserai demander à cet aimable convive de nous chanter quelques-un
it si bien faire goûter. Je prie M. de la Chesneraye d’accéder à ma demande , et j’ai l’honneur de porter un toste à vous, mes
i-heure d’intervalle , consacrée à des causeries intimes, M. du Potet demanda le silence, et procéda à la distribution des méda
de s’y maintenir pendan t un temps fort long : la feuille dévote nous demande si le magnétisme peut en faire autant. Les lecteu
autant. Les lecteurs des Mille et une A'uits pourraient, à leur tour, demander à l’Univers si son saint Cupertin serait en état
a main aux magnétistes studieux de toutes les écoles. Que peut-on lui demander de plus? Baion Dü roTET- CONFESSION D’UN SPIR
'il eût dit : elle donnera pour chacun autant et salon que chacun lui demandera . (*) Outre leurs hiéroglyphes, cm prèlres avaie
thèse au sujet des syncopes (voir le Journal du Magnétisme, n° 3), je demandai quelques explications à ma somnambule. Elle me ré
alement de cette lumière astrale, sans nous la définir; et quand j’ai demandé ce que c’était, on m’a répondu : C’est la lucidit
res des forêts et les plantes des friches n«vivent pas autrement; ils demandent à la terre et à l’air de quoi faire leurs tiges,
é de pouvoir à la volonté (lu plus privilégié des colons de la terre. Demandes et vous recevrez ! Méditez, étudiez ces paroles;
us endormie et qu’elle fut en état de lucidité, l'idée me vint de lui demander l’emploi de ma journée précédente. — « Je vous
te de faire valoir — vous inspire un peu de confiance en moi, je vous demande la permission d’ajouter quelques pages au travail
ns les nues. » Emerveillés de cette tirade, couramment écrite, nous demandâmes le nom de l’être quelconque qui l’avait tracée, e
e de nous répondre en vers. C’était au sujet de ses parents. Nous lui demandions ce qu’étaient devenus son père et sa mère, et s’i
is la séance dont je parle, n’y en eut-il pas une dans laquelle on ne demandât des vers, et presque toujours on en obtint. J’ai
chiffre nécessaire, jusqu’à la terminaison exacte du mot ou du nombre demandé , quelque composé qu’il fût (2). (1) Leur affect
des protes d’imprimerie, etc. C'esl incroyable, inimaginable. « On demandait à l'un d'eux (en présence de Duprez) quel est le
erez peut-être plus heureuse dans une plus forte tentative. — Je ne demande pas mieux. Madame du P..., sa belle-sœur, madam
yon et du papier. M. O... regarde sa femme avec un air étonné. Je demande si d’habitude elle écrit, lorsqu’elle est dans l’
idon s’agitait toujours et d’une manière tourmentée. — Madame P..., demandai -je, qu’avez-vous V — Je suis mal il l’aise : em
spiritualisme, et recherchait une occasion de s’en convaincre. Sur sa demande , RI. d’Ourches lui donne rendez-vous. Le 22 mai
mes du spiritualisme) ; j’allai frapper à cent portes diverses pour y demander la lumière dont j’étais avide.; je conversai avec
ons à nous entretenir du spirituamsmb ; mais nous devons d’abord nous demander ce que c'est que le spiritualisme, car ce mot a,
és par les journaux, de ses séances chez d’illustres personnages à la demande desquels il devait prochainement revenir en Franc
artout éminemment conservatrice. En partant de ces prolégomènes, je demande à tout magnétiste s’il reconnaît, au point de vue
l'animait d'écrire son nom. Il s’y est refusé. « Nous lui avons alors demandé si, tout en gardant l’incognito, il vou-« drail b
dire ceux qui prétendent que magnétiser, ce n’est pas électriser, et demandez -leur ce que c’csl que l'électricité. n Quelle e
iam dicla, tout est dans la religion allégorie, ne « craignons pas de demander aux sciences que Dieu nous a permis|d’ac-« quérir
c le président des « Anglais, il vint aussitôt des charlatans (2) lui demander « s’il \oulait qu’ils lui montrassent quelques to
prirent un petit morceau de bois, « et, l’ayant planté en terre, ils demandèrent à quelqu’un « de la compagnie quel fruit il voula
chemin. Est-ce que véritablement vous ne croyez point au diable ? me demandera-t -on. Pour ma péroraison, je déclare, une seconde f
l se sent tout à fait à son aise devant les gens convaincus ou qui ne demandent qu’à l’être. — Au bout d’une heure, M. Hume, qui
ses dents claquaient de froid. On s’empressa autour de lui, on lui demanda ce qu’il avait. Lui, se leva. — Bien, rien, dit
rais de la nuit ramena le calme dans son cœur. Le lendemain 011 lui demanda compte de ses souffrances ; on lui demanda s'il p
ur. Le lendemain 011 lui demanda compte de ses souffrances ; on lui demanda s'il pressentait la cause des impressions qu’il a
domaine, que rien ne lui est caché, etc., notre savant critique s’est demandé avec l’ironie spirituelle qu’il manie si bien : j
minutes, je (is, un jour, un soubresaut (sur sa chaise) , et, sur ta demande , je te dis que , voyant venir sur le chemin un c
sai pas en prendre un, parce que M. Dril... n’y était pas pour le lui demander . L’ayant trouvé dans une autre pièce, je te dis à
qu’il faisait une pluie froide et trop mauvaise pour sortir ; sur ta demande comment je le savais, je te répondis que, sans ri
séré au tome xv (1856, p. 245) un article par lequel le savant M. Max demande que ma relation fût complétée par quelques éclair
circonstances font qu’il a vu, bien vu, de ses propres yeux vu, il se demande encore comment on peut croire à ce qu’il appelle
ze jours. Un peu avant l’époque fixée, son mari l’ayant endormie, lui demanda ce qu’il y avait à faire pour empêcher cet accide
e cuillerée de la dissolution. M. Gréa la pria de bien réfléchir, lui demanda si elle était certaine de voir juste, et si la do
ité de cette Société, se croyait enceinte depuis trente-neuf mois, et demandait instamment qu’on lui fit l’opération césarienne.
se mit à interroger ce qu’il croyait être un esprit ; et, après avoir demandé que les coups fussent frappés en divers endroits,
e de l'ouvrage. Cinq coups rapides furent alors frappés; c’était pour demander l'alphabet, et il fut épelé : Nous en allons acui
bet ayant été redemandé, il fut encore épelé : Vous êtes bienvenu. Je demandai si c’était mon vieil ami Goodall, et la réponse f
auvre bête tomber morte du coup. Le cafetier et sa femme, désolés, se demandaient ce que tu dirais en apprenant qu’ils avaient tué
quitter, si cela est possible, que quand tu ne fais rien. » Sur ma demande , si c’était à cause de la couleur des verres que
ue déjà, dans les expériences auxquelles je me suis livré, je m’étais demandé comment les choses devaient se passer. J’adopte l
ar ce savant Esculape. Le magnétisme fui donc repoussé bien loin ; il demanda une consultation avec M. Andral (un des princes d
re dont cet esprit descendait en lui, il a répondu : « Quelle sotte demande ! Puis-je vous dire comment je le sais? Je le sai
it malin ; quiconque se sentait possédé pouvait, en toute sûreté, lui demander sa délivrance. Ce pauvre fou ne s’en tenait pas l
au moyen d’une cravate laissée par lui la veille de sa disparition. Demande au somnambule. — Pourquoi sommes-nous ici ? Rép
la poche de son habit une lettre cachetée avec soin, dans laquelle il demandait des renseignements sur l'enfant perdu, et il dema
ns laquelle il demandait des renseignements sur l'enfant perdu, et il demanda la réponse à cette lettre. Le médium, sans ouvrir
ts et la Compagnie lui ont parlé de salaire et de rémunération , il a demande quelques vivres qui lui étaient devenus indispens
alors la tête très-légère et entièrement débarrassée de son mal. Elle demanda son enfant qu’on avait éloigné pour ne pas être t
une appréciation très-sévère du Livre des Esprits de Allan Kardec, et demande ironiquement si l’on peut admettre que les esprit
r coup d’œil devoir être rangés parmi ceux du spiritualisme : nous ne demandions pas autre chose. Au reste, peut-être ai-je mal
n faire sa propre opinion. Aussi je m’estime heureux de l'entendre se demander , — comme je l’ai fait, — quel avantage la scien
ouvent l’excellence du magnétisme dans une foule d’affections , on se demande si les médecins consciencieux fermeront encore lo
ve parfois embarrassé; car, dans des maladies graves, les somnambules demandent souvent une médication tout opposée aux connaissa
’enseignement (du magnétisme), tel que la gravité et la question le demande ?... J’interroge, et partout où quelque lueur de
cine pour laquelle on doit au contraire employer, — ainsi que je l’ai demandé aussi, — les termes les plus simples, les plus us
mnambulisme, ni divination. Or, admettant la réalité du diable, on se demande quel pourrait être son but en venant effectuer ce
lescence après cinq jours d’un (1) I,a famille du malade avait fait demander par la voie télégraphique à M. le baron du Potct
ucidité sagement gardée donne des résultats qui sont utiles, mais qui demandent beaucoup de prudence et de discernement. Tel est
t assis le dos et la tête appuyés contre la cloison de la cellule, je demande à l’esprit de me faire sentir sa main sur la nuqu
puis plus fort, et plus fort, et enfin si fort, que je suis obligé de demander à ce que cela finisse. Je prie John de me faire g
accepta; nous nous mîmes à l’œuvre le môme jour; le lendemain, je lui demandai comment elle se trouvait : elle me dit que ses do
le. Madame Thiriot, étant dans son sommeil magnétique, nous lui avons demandé : Voyez-vous ce qu’est devenu notre fils, absent
Peu de temps après, elle nous a répondu , il est mort. Nous lui avons demandé : de quelle mort ? je vois qu’il est tombé dans l
is qu’il est tombé dans la rivière. Ce qui était vrai. Nous lui avons demandé aussi l’endroit où il était tombé : elle nous l’a
y, le 22 janvier 1856, étant dans son sommeil magnétique. Je lui ai demandé : Pouvez-vous me dire ce qu’est devenue ma montre
e me répond : Votre montre n’est pas bien éloignée de chez vous. J’ai demandé à ladite somnambule ce que le voleur voulait fair
ne se trouve pas sur les autres montres. Ce qui était vrai. Je lui ai demandé ce qu’elle voyait de remarquable à ladite montre.
ses habitudes, etc. Voici en résumé les réponses qu'il a laites à mes demandes : « Louna a eu trois fois le choléra. La derniè
lors elle est revenue peu à peu à son état normal. Je l’ai pressée de demandes , je n’ai pu recueillir aucune révélation de sa bo
its dont je parle ne tardent pas à se produire. Ces bruits, sur notre demande , se prolongeraient pendant une heure, s’il nous p
qui m’a pris ma bouteille de mort-aux-rats? — Quelle mort-aux-rats ? demanda Bill, — C’est la bouteille que j’avais mise ici,
de la forme ne peut suppléer à la stérilité du fond, et l’on ne peut demander des idées à celui qui, non seulement ne s’est pas
ace le plan de l’hôpital magnétique dont il désire la réalisation, il demande que les malades, classés par catégories, soient t
7 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
cela se voit quelquefois. Les premiers malades qui sont venus nous demander le soulagement ou la guérison de leurs maux étaie
à la suite se succéderont régulièrement. C’était la mise en train qui demandait du temps, et le principal est fait. Nous allons p
ec roideur tétanique. Le bras restait étendu aussi longtemps qu’on le demandait , et il fallait appliquer une force très-considéra
l’électro-moteur, non-seulement je souscrirais le témoignage qu’on me demanderait , mais que j’engagerais aussi les autres médecins
tait pas aux somnambules qu’on réservait les fortes secousses. « Je demandai à M. Regazzoni de nous amener son meilleur sujet;
ses doigts, étaient étendus et roides. « Lorsqu’elle fut assise, je demandai à M. Regazzoni de lui rendre les membres supérieu
les de la main gauche ; et moi.... je continuai mes expériences. Je demandai si la moitié gauche de la tête était encore bien
t de rire. « Voulez-vous encore des expériences plus décisives? lui demandai -je. » « A cette question, les lilles qui étaien
gardait constamment ce membre à travers les paupières mal fermées, je demandai au magnétiseur si cette extension durerait encore
endroits, elles doivent rire, pleurer, chanter, etc., selon qu’on le demande dans les expériences phréno-magnétiques. A chaque
deurs de l’ammoniaque, du soufre, etc. C’est une chose, dit-elle, qui demande toujours de longues préparations, qui sont répété
tte étude du rôle qui, suivant le personnage imaginaire de M. Schiff, demande de longues préparations qui sont répétiez très-so
on jette enfin les yeux sur le fond de votre savoir, et que l’on vous demande compte de vos insuccès et de vos fautes ? Vous
ont la lucidité merveilleuse commençait à faire grand bruit, pour lui demander l’explication de cet inquiétant mouvement et conn
sottise humaine est si grande que l’on voit les malades aller souvent demander la guérison de leurs maux aux hommes qui ne saven
-il, cet art, pourse jeter dans une pratique qui exclut la fortune et demande sans cesse et sans relâche le plus grand dévoueme
ie. » « En face d’une semblable accusation, j’ai dû, monsieur, vous demander la rectification d’une erreur grave commise, soit
le savant hausse les épaules de pitié, ne daigne pas répondre et nous demande si nous voulons rétablir les vieilles superstitio
Sans doute ; mais était-ce une raison pour abandonner la science, et demander à la religion le mot de l’énigme? Ne valait-il pa
arrivâmes au nombre de trois chez M. Laurent, médecin, qui, sur notre demande , fit venir M"* Prudence, et l'endormit après quel
avec sa fille, et se fit descendre rue de Grenelle-Saint-Honoré. Elle demanda aussitôt une consultation. On lui répondit qu’il
c elle. Je choisis donc ce jour là, et à deux heures précises, sur ma demande , la somnambule de Lyon était endormie. Je prése
sme sous toutes ses faces. Chacune des œuvres que nous allons citer demanderait une longue description, exigerait, par son import
ma portée, mes mains sont inépuisables : seulement il ne fout pas me demander une grosse somme à la fois. Magnétistes, rappel
mais il faut pour cela nous adresser à un autre ordre de savants, et demander aux physiciens les faits et les explications que
loureuse maladie qui avait épuisé ses forces, et il en était réduit à demander au magnétisme de ramener cbez lui la santé et la
s le secours de la magnétisation de son mari, elle serait morte. Elle demanda qu’on la laissât dans cet état jusqu’au lendemain
tion du traitement tonique, l’instinct des malades qui recherchent et demandent des boissons fortifiantes, du vin, etc. ?......
louse. A Monsieur le baron du Polel. Mon cher maître, ' Je vous demande mille pardons pour le retard que j’ai mis à vous
en imitant les gémissements des blessés et des mourants; et quand il demandait , ce qu’il faisait souvent, qui était tombé, ils l
susceptibilité pour les procédés mesmériques et hypnotiques. Nous lui demandâmes de demeurer paisiblement au coin du feu, de pense
ns la situation où ils ont été mis. S’il n’en est pas ainsi, vous lui demanderez avec une voix douce de les garder dans l’extensio
ux esprits quels qu’ils soient, en supposant qu’on en admette. J'ai demandé si l’on pourrait de même évoquer l’esprit d’une p
ilence mystérieux dont s’enveloppe la nature. » Maintenant, nous le* demandons , n’est-ce pas là la plus belle, la plus simple et
facultés nouvelles d’une manière prodigieuse, etc., etc. » Nous le demandons de bonne foi, est-ce bien le temps conditionnel q
is. Cela est si vrai, qu’un instant après voici ce qu’il ajoute : « Demander si l’électrisation humaine, et le somnambulisme q
l’on ne s’occupe point de parer à ces dangers ? Est-elle à nous, qui demandons sans cesse que le magnétisme, admis à la place à
ns bien en droit, peut-être, en nous appuyant de telles autorités, de demander comment il se peut que le magnétisme humain ainsi
vertes ou à découvrir : « La vérité, fille de la sagesse éternelle, demande du feu sacré dans l’âme qui la recherche; elle co
vait vu apparaître devant lui un être si effroyable, et qui lui avait demandé d’une voix tellement formidable ce qu’il lui voul
e guéris. A quelques jours de là un de ses amis le rencontre et lui demande si le mal de dents n’est pas revenu. « Oh, bien
enir à une certitude complète, et voici l’expérience qui eut lieu. Il demanda à une personne les noms d’un individu tout à fait
lui avait été confiée ; le défunt apparut, donna les éclaircissements demandés et invoqua le témoignage d’un autre mort qui appa
, m’armant de courage et me rappelant du conseil de la somnambule, je demandai ii ma belle-mère si elle voulait que j’essayasse
ulant dire : Faites ce que vous voudrez. « Où souffrez-vous ? » lui demandai -je. De la main elle me désigna son côté droit..
ce n’était que l’effet de la fatigue et d’un pur bien être, et je lui demandai : « Comment vous trouvez-vous? « — Bien.... t
ent complètement convulsés. Je l’invitai à ne pas se fatiguer, et lui demandai si elle voulait se reposer un peu. Elle me répond
ien de temps? « — Une demi-heure. » La demi-heure écoulée, je lui demandai si elle voulait être réveillée. Sur sa réponse af
es yeux petit à petit, et qui tout étonnée de me voir devant elle, me demande : « Est-ce que j’ai dormi, par hasard? « — Je
é qui pouvait satisfaire ses idées philosophiques. Il a eu le tort de demander à la psychologie seule la lumière qu’il voudrait
, et beaucoup mieux que par nous, discuter la compétence de Bailly et demander pourquoi la docte assemblée choisissait un rappor
st convenu avec M. Jacques que les faits ne comptent pas. Nous ne lui demanderons donc pas non plus où se trouvera la foi chez cet
rps par la simple imposition de ma main sur cette partie? Nous ne lui demanderons pas davantage quel est l’agent de ce phénomène, e
l’âme n’a pas, que nous sachions, grand chose à faire? Nous ne le lui demanderons pas, puisqu’il a décidé à tout jamais que le flui
elle du commandement, son regard exprime un ordre. Quelle sera, je le demande , l’action de cette volonté toute pleine d’une con
ps organique; le problème est-il résolu? Non, certes; car aussitôt je demande quelle force a formé cet agrégat que vous appelez
onner les explications d’ontologie que l’intelligence est en droit de demander et d’obtenir de toute doctrine qui a la raison du
es tendons, prostration et marasme portés à leur dernière période. Je demande si, de bonne foi, avec un groupe de symptômes aus
de père, il consentit à tenter immédiatement l’expérience que je lui demandais . « Mais avec la loyauté et la prudence qui le c
elques minutes après, il commença à interroger la somnambule , et lui demanda si elle savait ce qu’était devenu l’enfant, où il
En ce momont elle se mit à rire de tout son cœur. Le magnétiseur lui demanda ce qu’elle avait à rire. « Je n’en sais rien, d
it enfui de la maison paternelle après la mort de ses parents. Je lui demandai alors à lui-même ce qu’il faisait là, et il me ré
est plus de notre ressort, et dont nous ne saurions nous dispenser de demander compte à M. Ragon, c’est de ce qu’il dit dans son
t, pour la première fois, elle présente l’état cataleptique. Sur ma demande , elle ouvre les yeux, accuse de la somnolence ; j
A sept heures du soir et à minuit. » Après cette réponse, la malade demanda une demi-heure de sommeil. A peu près cinq minute
e ce jour-là elle aurait un accès à neuf heures du soir. Enfin elle demanda un sommeil de vingt minutes. Au bout de dix-huit
e la questionnai relativement aux quatre magnétisations qu'elle avait demandées le soir. Elle me répondit que la magnétisation ac
ovoquera. Ce matin , j’ai déjà eu des flueurs blanches. » La malade demande de nouveau à être magnétisée le lendemain à trois
d nombre de personnes qui l’entourent et qui la fatiguent. Enfin elle demande vingt minutes de sommeil. Après son réveil, la
orces, et les accès reviendraient. » Après ces questions, la malade demande une demi-heure de sommeil, puis demande un verre
près ces questions, la malade demande une demi-heure de sommeil, puis demande un verre d’eau et quelques passes sur la tête, pa
es les questions de la veille, les réponses sont les mêmes. La malade demande à être opérée, et nous indique une place au sinci
atique de Freppel pour arrêter le sang. Après le pansement, la malade demande un quart d’heure de sommeil. Avant de la réveille
demande un quart d’heure de sommeil. Avant de la réveiller, nous lui demandons en- core comment cet insecte a pu sortir du crâ
vaisseau sanguin , et que l’insecte a traversé ce vaisseau. Puis elle demande quelques gouttes d'Hoiïinann pour prévenir une sy
ormir? — Une demi-heure. » Après le réveil, la malade est gaie et demande à manger. Le 17, les règles ont cessé. Le 19, d
des vertiges. — Et les accès ? — Je n’eu aurai plus. La malade demande dix minutes de sommeil. Au bout de ce temps, elle
a malade demande dix minutes de sommeil. Au bout de ce temps, elle me demande en grâce de la réveiller. Je lui demande pourquoi
Au bout de ce temps, elle me demande en grâce de la réveiller. Je lui demande pourquoi elle est si agitée ; elle me répond qu’à
titude de ces faits et de connaître les noms de ces messieurs. Je lui demandai : «Qui sont ces messieurs?i) Elle me répondit : «
continuer encore le régime débilitant pendant trois semaines. Je lui demandai quel était le siège ordinaire de l’insecte. Elle
cène se renouvelle, mais moins forte et moins longue ; puis la malade demande une tranche d’orange qu’elle mange avec appétit.
reviendra et dès lors régulièrement toutes les quatre semaines. Elle demande qu’on continue encore le régime débilitant. Le so
eant de gauche à droite, le coma et la céphalalgie persistent. Sur la demande delà mère, je magnétise la malade. Elle me dit qu
plus donné la description exacte de son logement. Elle ajoute, sur la demande du défenseur de M. et de M™' Mongruel, M” Pezzani
Le témoin ajoute que sa femme étant allée, quelques jours auparavant, demander le prix d’une consultation, il lui avait été répo
e que le même moyen curatif est applicable à toutes. Or, je vous le demande , messieurs, quel est l’agent thérapeutique applic
aucune maladie, il s’applique à toutes. Et n’est-ce pas, je vous le demande aussi, exactement la confirmation du principe que
ait! Eu passant à Châtillon-sur-Seine, je vis un vieux médecin qui me demanda où j’allais. Je lui dis que c’était à Vichy, et l
me faire pratiquer l’amputation des deux côtes malades. Merci! Je me demande ce qui serait advenu de moi si j’avais suivi ce t
le noyé qui s’accroche à un fétu de paille, je résolus d’aller encore demander la santé à celui-là. Dans mon impatience, il me s
de mon mieux, quoique non sans peine. Arrivé chez ce monsieur, je lui demandai tout d’abord ce que c’était que !e magnétisme,
e l’endormis (il me suffisait pour cela de lui dire : dormez), et lui demandai , de me soulager, manifestant en même temps mon ét
divers meubles de sa maison, fatigué de ces sortes d’expériences, il demanda à l'esprit animateur s’il n’y avait pas d’autres
Cependant, au bout d’un certain temps, cet esprit, tourmenté par les demandes nombreuses et ardues que lui adressait son évocat
t, qu’il ne voulut plus continuer de se faire magnétiser. Nous lui en demandâmes la raison, et, tout partisan dévoué du magnétisme
e timidité de l’auteur de la Théorie positive du magnétisme, nous lui demanderons , à notre tour, dans quels ouvrages spéciaux à la
du Potet avait eu beaucop de succès dans ce genre de maladie, je lui demandai conseil sur le mode opératoire. Le procédé, qu’il
à. ma Théorie positive. L’expérience est certes bien facile ; elle ne demande que la plus vulgaire prudence et une parfaite bon
retrouve des faits analogues. Il devient dès lors indispensable de se demander comment, à ces différentes époques, on a théorisé
urel. Ce n’est plus un Dieu qui, pour tel ou tel effet, se manifeste, demande , récompense, punit ; c’est un être métaphysique,
ir passer le bout de l’oreille du fétichisme ; que nous pourrions lui demander si ce n’est pas son cerveau, dont l’économie géné
ec la faiblesse réelle de nos moyens ! Mais continuons. « Or, je le demande , cette attitude , ce geste, ce mouve-vement du ma
es esprits sans partialité. Mais comment croire ce qui est absurde? demande-t -on. Comment ajouter foi à des faits en opposition
si difficiles à expliquer que ceux qu’on refuse d’admettre. Or, je le demande , est-il un homme au monde qui puisse dire qu’il s
ndemain il meurt dans (l’affreux accès d’hydrophobie. Oh ! je vous le demande , si l’opium fait dormir, savons-nous pourquoi? Ou
Eh bien! qu’il apprenne à voir et à entendre à son tour. Nous ne lui demandons que cela pour juger sainement le magnétisme, et l
s après, la malade parut tout étonnée de me voir à côté d’elle, et me demanda comment je me trouvais là, ne m’ayant pas vu entr
eure ordinaire de nos séances, je l’endormis et je m’empressai de lui demander des nouvelles de ce qui s’était passé la veille,
e, qui était descendu aux enfers pour en ramener Eurydice — qui avait demandé à la mort le secret de la vie, — cet enchanteur t
ire : Le Christ est au milieu d’une foule. — « Qui m’a touché ? » demande-t -il..... — « Quelqu’un m’a touché !... Une kokce
disaient ï Vous voyez la foule qui vous serre de tous côtés, et vous demandez ; Qui m’a touché? 32. « Et il cherchait des yeu
le magnétisme appliqué à la guérison des maladies comme un art, nous demandons de reconnaître que le magnétisme est un moyen nat
ont plus saines que votre contact involontairement hostile. Nous le demandons à tout homme de bonne foi, à tout homme de sens,
oint fait connaître. i 28. « Alors cette femme lui dit : Y°us ai-je demandé un fils, Monseigneur? Ne vous ai-je pas dit : Ne
’appuvée de chaudes recommandations cléricales, la famille adressa la demande d’une neu-vaine au prince d’Hohenlohe (1). On reç
Iohenlohe. que dès qu'on pourrait fixer une époque pour la neuutine demandée , 011 s’empresserait d’en donner a\ is ii la famil
agnétiseur pour exercice illégal de la médecine, — c’est-à-dire — qui demandent que l’on condamne un homme sous prétexte qu’il gu
e,... — i)Q mettons pas de quoique, — pour abréger, soit donc ! Je ne demande pas mieux que de les respecter tous en bloc et sa
coup de fièvre, mais le délire avait commencé avant la fièvre. « On demandera peut-être comment ce noir pouvait s’imaginer qu’i
it emparée d’eux et avait pris la place de leur libre arbitre. Nous demanderons à ce sujet s’il existe un critérium pour discerne
lle regarda autour d’elle comme quelqu’un qui se réveille, et, sur la demande « comment elle se trouvait, » elle répondit : « T
mment elle se trouvait, » elle répondit : « Très-bien. » M. Tubbs lui demanda alors si elle pensait que l’opération fût faite.
lui dit la vérité ; elle en fut très - reconnaissante. Lorsqu’on lui demanda si elle avait senti quelque chose, elle répondit
ement. De cet appartement, éloigné de cinq mètres environ et sur la demande de plusieurs personnes, il a fait exécuter au mag
nviron de l’appartement où était resté le magnétisé, et de là, sur la demande qui lui en fut faite par ceux qui l’accompagnaien
et des boissons alcooliques qui oblige les disciples de l'islamisme à demander à d’autres préparations les imitations physiques
influence, qui poussait l’Europe contre l’Asie? Nous pouvons' nous le demander , aujourd’hui que l’esprit d’investigation1 ne s
es sur ce point délicat, dans le numéro du 24 juin 1853. Après s’être demandé qui est-ce qui fera connaître la vraie cause de c
t péristaltique intestinal et autres fonctions analogues. » Nous le demandons , à notre tour, quelle différence y a-t-il entre c
r, c’est moi; me répliqueront-ils. — Et le mot', qu’est-ce donc? leur demanderai -je. — Le moi, c’est l’âme. — En ce cas, si vous n
il vient aux labiés, ete., etc. qui, sans se douter de ce qu’on lui demande , édicté elle-même l’arrêt de sa sentence : « Jean
s les sens, et il n’y a pas de bras au bout. — il. Gray déclare avoir demandé aux esprits s’il était vrai qu’ils créassent des
rancs que le père devait solder ; quelques mois après, la jeune fille demanda à être retirée de cette maison pour des motifs qu
s médecins qui devaient toucher le pouls et désigna les témoins. A la demande successive des médecins et à la parole de l’exorc
n perdit à celte vaine discussion beaucoup plus de temps que n’aurait demandé l’examen contradictoire de sa proposition qui fin
s uu si triste état, qu’il était incapable de faire aucun service. Il demanda un congé de quelques jours pour se faire traiter,
our?— Oui, Monsieur, me dit-il, et je suis parfaitement guéri. Je lui demandai à quelle médecine il avait eu recours. — Je n’ai
ambulant qui, par des charmes, guérissait des morsures de serpent.On demanda l’assentiment du docteur, qui répondit : — Soit,
, les portions séparées des doigts n’avaient pas été recueillies : je demandai qu’on les cherchât. Quelqu’un alla à l’atelier, l
le permettent. i II m’est arrivé souvent, durant le traitement, de demander aux esprits si je réussirais, et la réponse a tou
en trouverait bien, et je lui défendis de se coucher à gauche. Je lui demandai le lendemain, à l’état de veille, de quel côté el
étisations à distance : nous en avons vu qui, en pareil cas, viennent demander au magnétisme de les guérir du mal attribué à cet
rus avec les de Merville, les Desmousseaux et autres démonolâtres, et demander le rétablissement des procès de sorcellerie. 11 e
nfructueux, c’est alors que l’on s’adresse au magnétisme et qu’on lui demande des miracles impossibles. Et parce qu’il n’aura p
s’en attribue la production. Nous répondrons en même temps à ceux qui demandent quel est l’avantage pratique des manifestations.
t la première fois qu’un esprit se donnait pour ce personnage, on lui demanda s’il avait quelque chose d’important à communique
us n’avions pas le loisir de faire à ce sujet des vérifications, nous demandâmes une autre séance chez nous. Elle eut lieu hier ma
n donne les noms. Le médium était M. Biggues Woodhard. M. I).-W. Wesh demanda si quelque esprit voulait converser avec lui. 11
sonnes en étaient éloignées d’au moins trois pieds. Le docteur Mash demanda : — Quel est l’esprit présent, et veut-il nous
uis la grandeur des promesses faisant douter de leur réalité, on se demande si l’on a affaire à un initiateur ou à un mystifi
n, ni en avoir vu opérer par d’autres. Bien plus, il va au-devant des demandes qui ne pouvaient manquer de lui être faites à ce
clatants, susceptibles de se reproduire à chaque instant; c’est qu’il demande de toutes ses forces la vérification et le contrô
8 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
celle du procureur général Courtin, qui, le lendemain do l'exécution, demanda aux chambres assemblées que l'on insérât dans les
un peu commodément sur une question aussi grave qu’importante et qui demande avant tout de la part de ceux qui la veulent écla
s objets. Ces articles contiennent une controverse à laquelle je vous demande la permission de prendre part. MM. G... de C...
nambule de me dire ce qu’il y avait dans une pièce voisine, et je lui demandai comment il le voyait, persuadé qu’il allait me ré
l m’assura qu’il se transportait dans la pièce voisine ; alors je lui demandai s'il passait au travers la cloison ; il me répond
recours à certains effets d’imagination que rien ne prouve. On nous demandera comment nous expliquons que l’esprit d’une somnam
i je l'ignorais, l’imperfection de ces lignes m’en instruirait. Je ne demande pas mieux que de rejeter mon erreur, si j’en comm
de rejeter mon erreur, si j’en commets une, mais je suis en droit de demander une réfutation aussi solide que possible et des p
ses jambes, l’instrument joua à ravir, et exécuta plusieurs morceaux demandés par nous, et même, au dire de quelques personnes,
x demandés par nous, et même, au dire de quelques personnes, sur leur demande mentale. Je ne fis point person- nellcment ce
e* évasives. J'ai vu ordinal»«* ment employer de «oytn suivant : Vc*H demandez À voUe «mi ou «aient évoqué d'écrire son nom de b
ompa neur Tôt*. Les défunt* sont tout aussi embarrassés quand «n'leur demande le lieu de tan naissance, leur prolesitoi ou tout
satisfaction serait complète. Mais il s'agit de science, et la raison demande ce qu’il y a de réel dans ce commerce entre deux
Ainsi s’écroule tout l’édifice des communications des esprit,«. On demande aussi comment il se fait qu’un esprit ne puisse é
qu’on parlait de son temps à Nazareth. Que M. Girard veuille bien lui demander d’écrire une seule fois dans cette langue (je sup
e mèche que vous me remettrez. Je vous la paierai le prix que vous me demanderez . Le coiffeur, ne pensant pas que les cheveux de
gnétiseur de Lyon ayant endormi sa fille, sujet très-lucide, lui demanda ce qu'eLe voyait. — Père, murmura la somnambule
urrences illicites dans l’art de guérir. On assure, toutefois, que la demande d'aggravation n’aurait pas été accueillie par la
e finirait par perdre toute personnalité ; puis il s’arrête. Nous lui demandons encore de s’expliquer; car, de nos jours, ces que
iolence. Déjà l’Union de Paris avait mentionné ces faits étranges qui demandent confirmation. 5” L’Ami des Sciences du 29 novem
blié plusieurs écrits estima- bles sur ces phénomènes mystérieux, demande qu'ils soient étudiés et constatés. 6° On lit d
édé habituel des gens qui veulent consulter les esprits frappeurs, et demanda : — De quoi s’agit-il ? — Annonce de mort, ré
’incrédulité de ceux qui refusent de les admettre, et quand nous vous demandons à voir, tout s’évanouit ; il ne reste que votre a
à sa parole tout doit s’incliner avec respect. On est en droit de lui demander oh il a puisé toutes ses affirmations. Ce ne peut
ce des évnée-ments qui vont s’accomplir? — Quels sont ces événements? demanda M. Roberaud. — Une révolution, un coup d’état, le
sition chimiques , il ne* peut être détruit comme le corps. « Mais, demandera-t -on encore, ce principe isolé de toute substance m
il faut les entendre pour pouvoir s'en former une idée. Un soir, j’ai demandé l’esprit de ('.harminy île 111'ex-pliquor le myst
Que la seule trinité de Dieu est amour, lumière et vérité. J'ai aussi demandé quel était le meilleur moyen pour devenir médium,
onnaissance des choses à tout homme de bien qui, par la prière, ne la demande que pour eu faire un bon emploi. « (Page 12/i). V
ui lui est présentée. Ceci est la moindre chose ; allons plus loin. Demandons -lui de nous lire et de nous écrire sans ouvrir le
et voilà qu’ils présentent aux regards terrifiés le texte de la page demandée . Le lecteur me dira que sans doute le volume
érira sans quinine et sans que l’estomac ait à souffrir du remède. On demandera à ce grand art médical, implanté dans les nations
ut-être à la veille de terminer leur apparition eu France, on peut se demander ce qu’en ont dit les savants, ce qu’ils ont pensé
didactyles ou monodactyles, est très-recherché par tous, et s’ils ne demandent pas, comme le perroquet, la répétition de cet exe
embarrassée, de sorte qu’il était difficile «le comprendre ce qu’elle demandait . Elle devint plus faible de jour en jour, et il s
que de lui-même. 11 y aurait ici un long chapitre à écrire, mais il demanderait du temps et de la réflexion, et le temps m’est re
ens d’éloi-gner cet instant, ils appellent le pouvoir à leur secours, demandent de nouvelles lois contre nous; mais, malheur au p
ns la pratique. Aujourd’hui on ne choisit plus les hommes, on ne leur demande plus qui ils sont, on leur dit : Prenez tous ce p
l’étude sérieuse et intime. Après la phase de naïve enfance ou il ne demandait qu’à se livrer de lui-même et sans conditions aux
« c’est de bonaugure. Quellesque soientdoncnos divergences, «je vous demande une place hospitalière pour des couplets «spiritu
oir de tout le plaisir qu’il avait causé, car l’assemblée entière !ui demanda avec prière de lui faire entendre un chant de sa
content de la lucidité de la somnambule. A la lin delà séance, on nie demanda si j’avais quelque question à faire. Une seule ob
peser mûrement les applications rigoureuses (2). Maintenant, je le demande aux scrutateurs sans prévention, est-il extraordi
écessité dans l’intérêt du développement de la science nouvelle, j’en demandais l’érection il va trois ans déjà (Journal l’Union
se de. l’Empereur, qui, par sa fermeté , a su résister à une pareille demande de la part d'un corps savant ; s’il en eût été au
thousiasme et cette sorte de foi bien propre a établir une vérité qui demande le désintéressement et de nobles passions. Le t
vétérans du magnétisme, reconnut la nécessité d'une réorganisation et demanda lui-même à l’autorité la dissolution de la Sociét
fond est vrai ; certains détails seuls sont erronés ; et, si nous ne demandons pas un jugement qui relève notre client complètem
se tourna vers moi qui avais soin des parfums et me dit : Benvenuto, demande -leur quelque chose. Je répondis que je désirais q
allait y retourner une seconde fois, que j’obtiendrais tout ce que je demanderais , pourvu que j’amenasse un jeune garçon qui eût sa
tiser le feu et à brûler des parfums. Par le conseil du nécromant, je demandai de nouveau à me trouver avec Angelica. Le nécroma
servie de charmes, etc, etc. Ici nous entendons nos antagonistes nous demanderai nous ajoutons foi aux philtres, au mauvais œil, a
gent. Cette femme s'estant depuis retrouvée au même lieu, le bouc lui demanda un bouquet de ses cheveux, lesquels l'italien cou
e Dieu seul. Quelques magnétiseurs, bien pénétrés de ces dangers, ont demandé que la pratique libre du magnétisme fût interdite
t devoir me confesser de l’infraction que je viens de commettre, à la demande des deux médecins les ¡plus célèbres en allopathi
le spiritualisme.) En ce moment une crise de tétanos commença; je lui demandai ce qu'il fallait pour la calmer. — I,a main entre
ous guiderait mieux que toutes vos pharmacopées. Ils me prièrent de demander l’origine de la maladie. — Cela acommencé dans le
s, craignant quelque supercherie, c’est mentalement que je le fis. Je demandai si mon père était présent: trois'coups frappés su
e, à côté de moi, fut la réponse affirmative ; de la môme manière, je demandai si ma femme, ma fille, ma sœur, ma grand’-mère ét
, en italien, sachant qu’aucun de la société ne le comprenait, je lui demandai s’il était heureux, s’il était souvent avec moi,
tive; lui ayant exprimé ma satisfaction de les savoir héureux, je lui demandai s’il pouvait m’écrire quelque chose que je pusse
e de ces coups, l’on pouvait juger qu’ils étaient nombreux. Après les demandes d’usage, il fut prouvé que mon père était absent,
re fille était avec elle et qu’elles étaient souvent avec moi. Je lui demandai si elle m’avait pardonné les torts que je pus avo
qui est très-jovial, et toujours disposé à faire ce que nous lui demandons ; c’est ordinairement lui qui se charge des manif
oir sous la table, mais il n’y en eut que deux qui furent noués. Je demandai à ma fille Rose si elle voulait m’écrire un mot,
gaie. Jinn frappait sous la table la mesure. La chanson finie, je lui demandai s’il voulait pincer de la guitare pendant que je
la guitare me fut arrachée des mains et placée sous la table. Je lui demande pourquoi il m’arrachait la guitare ; il me répond
ous ces coups étaient frappés on mesure. La ta-rantelle finie, je lui demandai s'il aimait cela; après les trois coups affirmati
en d’esprits à la fois, ne formant qu'un carillon inharmonieux. Ilfut demandé s’il y avaitbeaucoup d'esprits dans la chambre. T
nécessaire pour nous faire apprécier le bien auquel il conduit. Ayant demandé à un esprit d’une intelligence élevée si la prièr
vis à vis le front. En un mot, on laissait toute latitude, et l’on ne demandait qu’une chose, la vue sans le secours des yeux. M.
s, nous ne prétendons point fixer les limites du possible, et nous ne demandons que des faits bien constatés. Que M. Hare répète
iffèrent de celles admises par la généralité des magnétistes. Il se demande d'abord (note A, page 359), s’il faut, « à l’exem
e seulement maintenant. Mais ces discussions, pour être approfondies, demanderaient des volumes et nous voulons seulement ici faire q
éconise le mercure comme le seul messager de la santé. Cet autre ne demande que l’extrait de pavots pour endormir tous les ma
dre aux frontières contre les assauts extérieurs du remède. L’un ne demande ses médicaments qu’au règne minéral seul ; l’
malisées pour neutraliser les efforts de la maladie ; le quatrième ne demande qu’à frapper le malade pour tuer la maladie. Celu
aghdtiSMto comme agent, comme force, ou son action curative? Non*, il demande un fait exceptionnel, qui se produit très-raremen
ait, m’a raconté que, mis en communication avec la somnambule, il lui demanda d’écrire, dans son sommeil magnétique, une lettre
on ignorance de toutes ces choses et dans mon désir de m’éclairer, je demande , à ceux qui sont initiés à ces mystères, aux adep
itateur qui place là ses gobelets en signe de deuil. Le public ne lui demande pas de tours d'adresse ; il faut qu’il magnétise
évelopperait des facultés nouvelles d’une manière prodigieuse, etc. Demander si l’électrisation humaine et le somnambulisme qu
s, sans qu'on sût ni pourquoi, ni comment. Tous, les malades surtout, demandaient le Père Sauveur. Les frères, ne comprenant rien à
deaux, était inhabitable et qu’il avait dû la quitter; après quoi, il demandait que la résiliation du bail fût prononcée par just
démérites dans l’autre. » L’avocat, pour être conséquent, aurait dû demander que Latapy payât quelque redevance à de Vigne pou
e moi homme île cœur et incapable de manquer à ta parole. Je viens le demander un service que d’autres m’ont promis et qu’ils ne
la première de ces nuits lugubres. Il se rendit chez le magistrat, et demanda deux gendarmes. Asa vue, à la vue des deux gendar
parti de lui écrire une lettre qu'il fit déposer sur son tombeau ; il demandait au saint s’il permettait d’enlever le duc de son
offrent enfin le tableau des plus cruelles souffrances. Or, nous le demandons aux hommes de bonne foi, peat-on-reconnaître une
iron six heures, j’espérai que le dénoùment serait le même , et je me demandai si c’était la magnétisation qui avait produit cet
il ignorait la puissance et qu’il ne savait pas manier. Le magnétisme demande de l’étude et de l'expérience. Nous reproduison
eilleuse qu’on appelle le magnétisme. Cependant le jugement dont nous demandons l'information, les a assimilés à ces jongleurs, c
ondamnés pour la contravention. S’ils avaient commis un délit, ils ne demanderaient pas mieux que de se défendre. Jusque-là, permette
est semblable ou même moins favorable, ne soni point inquiétés. Nous demandons qu’on mette fin à cette situation précaire, qu’on
personne me déplaît, entendez-vous dire à chaque instant, et si vous demandiez pourquoi, 01111e saurait vous répondre. Heureux d
e usage pour sa propre santé. 'Dès la seconde magnétisation, clic demanda impérieusement le singulier et violent remède don
in, monsieur le baron , émerveillé de tout ce dont j’étais témoin, je demandais un jour à la somnambule si elle ne pourrait point
de mon frère qui était à Montévideo, et j’obtins plus que je n’avais demandé . Après avoir donné son signalement, parlé de scs
ici. » A la lin de l’une de ces conversations, le général I.amarlière demandai l’aide de camp : ,i Vous croyez donc à Mesmer, à
homme fut tellement étonné de ce qu’il venait d'entendre, qu’il n’en demanda pas davantage pour être convaincu. 11 paraît qu
ème jour de sa maladie, madame Park se leva subitement sur son séant, demanda à boire, et commença à causer avec sa sœur. Circo
s pieds. Cet état se prolongea la nuit et le jour suivant. « A la demande de quelques-uns de ses amis, on la transporta la
de sauver ma fille; mais ma femme persista avec tant d’opiniâtreté à demander que l’on recourût au télégraphe pour prier madame
e disaia-je; unc ârne it toffi là. Et, entraîné par ma conviction, je demandai Baïvetmeat Où siégeait l'âme. J'entends encore le
esprit qu’on doit prendre au sérieux se met à étudier Socrate: il lui demande compte de son génie, et la conclusion des recherc
de pareils abus de l’intelligence et du savoir, on serait tenté de se demander où sont les fous, de ceux qui dissertent ainsi su
ts qu’on a formés, nous en appellerons à M. Rouget lui-même, nous lui demanderons si, en recueillant soigneusement ses souvenirs, i
ayant pas toujours besoin dp^som-meil, s’y complaisent pourtant et en demandent la perpétuité, parce qu’ils se trouvent bien dans
Nous aurions beau jeu avec les savants , si, à notre tour, nous leur demandions ce que c’est que le calorique, ils ne répondraien
agnétiser, la difficulté a disparu. A la fin de chaque séance, on lui demande comment on doit le démagnétiser, et en suivant se
res, et, en effet, à chaque séance pendant la première demi-heure, il demandait doucement des renseignements à certains Esprits s
ous remettre une lettre ; par cette lettre, adressée à votre mère, il demande votre main. Un peu plus tard , je vois arriver ch
, bienveillant anonyme de Strasbourg, qui m’offrez votre amitié et me demandez mon opinion personnelle sur la question. Ami inco
appellent les incrédules, ils provoquent l’examen des savants, ils ne demandent pas mieux que de soumettre leurs expériences au c
té, et ne se contenteront plus de répondre par un refus d’épreuve aux demandes des incrédules qui ne demandent qu'à s’éclairer.
de répondre par un refus d’épreuve aux demandes des incrédules qui ne demandent qu'à s’éclairer. En attendant la formation du j
n observa que celui qui tenait le fil avait les mains brûlées. On lui demanda ce qu’il avait éprouvé : des douleurs inexprimabl
Avis ans Abonnes. Plusieurs personnes m’ont fait l’honneur de me demander si, cetie année , comme les années précédentes, j
’élèves se présenteraient d'ici au 25 de ce mois, j’accéderai à leurs demandes , et de nouveau je reprendrai un enseignement que
s-je, mon organisation, comme la vôtre, renferme un feu secret qui ne demande qu’à s’épancher au dehors; ses propriétés sont in
me sembla entrer dans le sommeil magnétique. Je l’interrogeai et lui demandai si elle dormait ; elle me répondit : « Je ne dors
j’eus la visite de quelques amis et de M. Manlius Salles, qui, sur ma demande réitérée, consentit à me faire quelques passes ma
urs. M. X... fut introduit auprès de M. Dominique ; celui-ci ne lui demanda rien , pas le moindre renseignement, et il lui ra
ntes, si dangereuse en des mains inhabiles ou coupables, voilà ce que demandait Mesmer; voilà seulement aussi ce que devrait dema
, voilà ce que demandait Mesmer; voilà seulement aussi ce que devrait demander M. Mabru, sans tant de cris et de colères. « Je
derniers progrès des sciences physiques. •> Est-ce clair ? J’en demande bien pardon à M. Mabru. Il voulait porter un coup
prodigues de relations pompeuses, ne sont jamais prêts quand on leur demande des fait*, trouvent toujours quelque prétexte; et
ent pendant tout le temps que dura son sommeil. Le révérend M. Gannet demanda à M. Col-lyer s’il avait eu l’intention de transp
personnes de la société. Le président (docteur Wiliam Ingalls) ayant demandé si l’enfant (Frédéric) était dans un état qui n’é
ttention soutenue qu’il prêtait à l'opératidn sur Frédéric, et il demanda à Bealss’il éprouvait lamême tranquillité quand i
Le docteur Storer ayant dit qu’elles pouvaient être simulées, on lui demanda s’il pouvait affirmer qu’elles le fussent. 11 rép
sé par M. Gregerson, parut s’endormir. Quand il fut réveillé, 011 lui demanda s’il 11’avait pas exécuté le même stratagème dont
es passes pendant une ou deux minutes, puis il cesse et s’assied. O11 demande alors à M. Stone ce qu'il éprouve ; mais il reste
r de lui, les yeux demeurant fixes et ne paraissant rien voir. On lui demande s’il peut parler : il répond très-bas : Oui, mons
sations confuses que je ne puis pas encore bien démêler. Quand on m’a demandé ce que je ressentais, je me suis figuré que je po
ambulisme. Quelques minute après, il fait «le nouvelles passes et demande au sujet : Me voyez-vous? — Oui. — Voyez-vous aut
ourne et ne répond rien. On produisit un grand bruit : M. Collyer lui demande doucement s'il entend quelque chose, il répond qu
ollyer lui fait faire par la pensée un voyage â Tremont-House. On lui demande où il est : il répond qu’il est à la salle d’audi
Vérification faite, il ne s'en trouve que quatre. Le magnétiseur lui demande s'il se compte lui-même dans les cinq : il répond
stait presque plus rien de la fatigue du dos. M. Creen-wood lui ayant demandé combien de temps il croyait avoir dormi, il répon
uinine prévalut. Quelque temps après, cependant, le médecin, inquiet, demanda une consultation. On le laissa libre de faire com
pendant il semble que ce soit là une de ces questions de principe qui demanderaient tout d’abord à être élucidées, si le mesmérisme v
n m’avait pu dire, la peur de l’enfer m’agitait encore souvent. Je me demandais : En quel état suis-je? si je mourais à l’instant
la consultait sur ses voyages et ses entreprises importantes ; il lui demandait même l’interprétation de scs rêves (3). Il résult
t son libertinage, si ce n’est sa crédulité aux sciences occultes. 11 demandait les secrets de l’avenir à un verre d’eau, et il f
je niai à priori, sans examen. J'étais cependant de bonne foi, je ne demandais que des faits, que quelques phénomènes probants,l
cembre. 2i Peut-être y a-t-il de ma part de la présomption à vous demander d'ouvrir les colonnes de votre journal à des fait
. Après troisséances, elle tombe en somnambulisme. Dansceté(at,je lui demande si le magnétisme lui fait du bien. — Maintenant,
ntaient de pouvoir reproduire à volonté des merveilles, ont éludé les demandes qui leur ont été faites, ont cherché à échapper s
choqués de cette manière d’opérer, seront certainement les premiers à demander qu’on s’y prenne de manière que leur loyauté ne p
ns le cas actuel, nous n’avons rien à craindre de semblable. Ceux qui demandent l’enquête ne sont pas hostiles au spiritualisme e
me et même ne le nient pas ; ce sont des chercheurs de bonne foi, qui demandent à s’éclairer, qui, n’ayant pu réussir à être témo
9 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
rte raison, avec un criminel, il en éprouve un malaise qui le porte à demander à être réveillé. S’il entre en contact avec une p
ait occupée à examiner un malade, lorsqu’elle s’arrête brusquement et demande un instant-de repos; puis tout à coup elle s’écri
l faut que cette faculté soit le résultat de l'inspiration, el non do demandes plus ou moins indiscrètes. Nous avons pu consta
s plus inexplicables que les communications télégraphiques. Nous leur demanderons encore d’abandonner l’éther inventé sans nécessit
son créateur, et quelle est l’œuvre qui surpasse l’ouvrier? « Nous demandons encore aux savants d’admettre le système des ondu
de l’appareil récepteur, il y a là-bas un autre esprit qui perçoit la demande , une autre volonté qui renvoie la réponse, sans i
ances de bien tomber, à quoi sert-il de s'occuper de pareils travaux? Demandez -le aux chercheurs de diamants, qui remuent des mo
qu’a répondu le plus célèbre des morts à son illustre veuve, qui lui demandait le lieu de sa résidence : « Près de toi volonta
sa place par la volonté de son vainqueur. « Ensuite le magnétiseur demanda à trois garçons de douze à quatorze ans, (pii éta
lles. Ils obéirent. a S’adressant alors à l’assemblée, M. de Rovère demanda qui voulait être magnétisé. M. L..., marchand caf
minaire d’épreuves plus grandes et plus extraordinaires, M. de Rovère demanda encore à d’autres personnes si elles voulaient se
parler et à répondre aux questions qui lui étaient faites. « On lui demanda : « — Pourriez-vous indiquer l’heure à une mont
rangement des parties qui dénote un art sublime, ils ne se sont point demandé pourquoi ceci était un tendon au lieu d’être un m
« Aspasie était chagrine. Soudain, j’entends nommer Poda-« Ivre ; je demande , on me dit que son temple est à Lycère; « je m’y
s’endormaient pour eux, et le dieu ne leur refusait « pas le bienfait demandé , n « Ici, avec cet oniiropole (vendeur de songe
nvoyés dans l’état ii mitoyen entre la veille et le sommeil. » (i Demandez à tout somnambule de vous décrire son état, il n'
désignée avait sur elle une boite d’allumettes en ferblanc. Je la lui demandai et la magnétisai pendant une minute. Il fut conve
t homme soit très-robuste , son bras fut étreint de telle sorte qu’il demanda grâce. Dans la même soirée, je ils une série d’
fait appel aux âmes des morts transportées dans ces meubles; 011 leur demande leurs noms, leurs histoires, on reçoit en réponse
l’Oter? « — Oui. «— Vous savez qu’il est dit dans l’Évangile : (( Demandez , « et il vous sera accordé ? » « — Oui. « — D
Évangile : ((Demandez, « et il vous sera accordé ? » « — Oui. « — Demandez avec moi, et dans ces sentiments, votre guérison
moi, et dans ces sentiments, votre guérison au Seigneur. (, — Je la demande . » Après une prière mentale de quelques seconde
monde invisible, d’entrer eu communication avec les esprits, de leur demander la révélation des événements futurs et des choses
s'adresse tour à tour à ces diverses classes d’esprits, auxquels 011 demande des réponses sur toutes sortes de matières. « O
plus reculés encore, 011 évoquait ces âmes de l’autre monde pour leur demander la révélation des choses cachées, puisque, au liv
re du Deutéronome, Moïse déclare que « Dieu a en abomination ceux qui demandent la vérité aux morts. » « Ainsi, le sage l’a dit
ons; » et en-lin la terrible réponse d’Abialiain au mauvais riche qui demande que Lazare vienne répandre une goutte d'eau sur s
ans un sentiment de respect pour la douleur qui les oppresse, ne leur demandons jamais d’autres paroles que ce cri touchant par l
i.e Président. Mais avant de dormir vous voyez les personnes; je vous demande à quelle époque on est venu vous consulter pour c
indique que cet article a élé inspiré par vous. M"'" Roger Je vous demande pardou, Monsieur le président, je n'ai rien comma
sûre ? Pas le moins du monde. Il était facile au ministère public de demander les pièces du procès poursuivi devant le jury de
devant le jury de Seine-et-Marne... M. le SuusTiTUT. Nous les avons demandées , nuis l'instruction se poursuit, elles ne nous so
e grande ulililé dans ce débat, et puisque M. le substitut les a fail demander , je demande alors qu’on remette la cause.... M.
ilé dans ce débat, et puisque M. le substitut les a fail demander, je demande alors qu’on remette la cause.... M. le Substitu
flil-il pas ? Le tribunal appréciera. M' Jules Favrb. Je persiste à demander la remise; je tiens beaucoup à connaître la décla
ue c’est mon droit; c’est ma maladie. M' Jules Favrb. Je persiste à demander la remise, parce que je ne conçois pas qu'un fail
éalisation d’une entreprise de ce genre ; et, cent fois, j’ai entendu demander pourquoi le magnétisme n’avait point son lieu con
e les confirmer, et, s'il en était autrement, il y aurait encore à se demander et à vérifier si un état morbide passager, en mod
ivant : X. —Me trouvant un dimanche chez M. Ségouin, ce magnétiseur demanda à Mn'° Bélisson, somnambule habituellement très-l
ne lettre qu’il m’a écrite, et que voici : Cher collègue, Vous me demandez comment je comprends la concordance de la sensibi
s’est mise à tourner et s’est ensuite dirigée dans tous les sens à la demande des spectateurs. Nous avons posé les doigts de mô
attention. Le sommeil magnétique est un phénomène physiologique. Je demanderai aux fluidistes si, quand ils se donnent à leurs s
ques pas d'eux, calme et recueilli; pour éviter toute surprise, on me demandait , par écrit, de mettre, je suppose, successivement
essaire au développement d’un fait aussi extraordinaire. « Peut on, demande-t -il, l’attribuer à l’action magnétique? Nous somme
tait là qui avait vécu sur la terre; elle disait son nom, sa patrie ; demandait qu’on priât pour elle... ; je vous fais grâce du
moments d'hésitation, j’acceptai. M. le curé eut la bonté d’agréer ma demande , et le rendez-vous fut donné au presbytère pour l
ne demi-heure se passe encore sans qu'on obtienne de résultat. On lui demande , si elle veut répondre, de tourner à gauche ou à
H.... Charles est mon nom de baptême. Je priai qu’on s’en tint là, et demandai à M. le curé de vouloir bien interroger l’esprit
ui ont des révélations précieuses à nous communiquer ; mais nous leur demandons de ne procéder qu’avec maturité , et de ne présen
loigne, Jeanne reste immobile... Le tableau est saisissant; mais nous demandons s’il y a des exemples d’effets aussi énergiques o
and elle aborde la question de la nature du magnétisme, quand elle se demandé si c’est une science terrestre, ou si ce n’est pu
A son réveil, il a froid et faim; il est lourd autant que fatigué. Il demande l’heure, la réponse l’étonne ; 011 lui dit ce qui
ence de l’empereur de Bagdad, qui était le calife Almamoun, il il lui demanda arrogamment qu’est-ce qu’il savait donc, en astro
Les soussignés, citoyens de la république des Etats-Unis d’Amérique, demandent respectueusement à exposer à votre honorable corp
onséquences prodigieuses pour le genre humain, nous, vos concitoyens, demandons instamment à être écoutés dans cette occasion.
oulent ou dont le sang se fige au récit du moindre événement, vous me demandez , comme le demanderait un enfant, de vous faire
g se fige au récit du moindre événement, vous me demandez, comme le demanderait un enfant, de vous faire voir les esprits sans co
és se lamentent sur leur malheur irrémédiable, les âmes du purgatoire demandent des messes, comme le faisaient les rnriitiitls d’
icitations, l’auteur de ce petit miracle se retirait, les curieux lui demandaient : Comment avez-vous fait? il répondait : ( Mes am
uses guérisons de fièvre des marais, obtenues par l’eau magnétisée, a demandé que le Jury consacrât son droit à cette innovatio
rent si admirables, que bientôt 011 vint de tous les alentours lui en demander . Directeur d’un établissement agricole important,
ns. n Après avoir établi ce point de départ, M. le D' Andraud s'est demandé s’il n’y aurait pas dans la nature certains corps
lter sur les causes et la nature des maladies, et auxquels 011 venait demander des remèdes, lin savant hébraïsant, d'Arnnut, a r
de l’argent à la pieuse crédulité d'une honnête femme. « Nous avons demandé souvent à des magistrats que nous savions croyant
s) empêche l’éclosion des fléaux d’inventions hasardées. » Et je me demandais : De qui se moque-t-on ? Lorsqu’une ordonnance
terrogation, on va, on va... 011 va indéfiniment, j’ai été jusqu’à me demander si M. Babinet n’avait pas voulu jeter un pavé à l
et que c’est un des phénomènes qu’il a pour but d’expliquer. 11 se demande même : « Quand on opère des mouvements « de bascu
cteur qui s’était empêtré dans la force vitale, et à qui un indiscret demandait une définition claire et sans phrases creuses. La
ments de la tête vers l’opérateur désigné, mais non suivis de l’effet demandé , le sujet lance ses bras autour du cou de l’indiv
llait qu'à un moment de la séance, antérieur à mes questions, j’eusse demandé si j’étais en rapport avec la chaîne. Une fois la
(à moi aussi) me faire sauver le genre humain. Je n’aurais pas mieux demandé ; mais j’aurais voulu qu'il m’expliquai clairement
ateurs qui a fini par ne plus croire aux dictées d’esprits, et qui ne demande plus depuis longtemps le nom de l'auteur; ce grou
. Qu’on rapproche analogiquement toutes ces inductions, et qu’on se demande s’il n’est pas possible que chez des individus ar
ant pour guides les principes de la science in-« ductive, quand on ne demandera ii cet ordre de lois de la « nature que ce qu'il
ur dieu ; et pour ce sacrifice, dont la durée était illimitée, ils ne demandaient que le pain de chaque jour et le vêtement des mal
premiers apôtres chretiens, sollicités par un pauvre boiteux qui leur demandait 1 aumône, lui dirent : « Nous n’avons ni or ni ar
envoyez chez les fous. « Attolés, mais par derrière, (4) L’auteur demande ici pardon à l'honorable conservateur du Muséo d'
mpathie. En terminant cette première partie de la fête, M. du Potet demande ù. porter un toste à l’Académie des sciences mora
tifié de connaissances solides. M. Lacaussade a adressé au Jury une demande de médailles en faveur de deux de ses collègues ;
devait passer le premier. Des renseignements furent, en conséquence, demandés ; mais il n’a pas fallu moins de trois ans pour av
Cahagnet un prophète. En conséquence, il vous propose de rejeter la demande . 11“ AJOURNEMENTS. Il n’a pas été possible d’
ir réfléchi long- temps, que l’individu sur le compte duquel on lui demandait des renseignements, s’était fait périr volontaire
atisfaisante. Mais tous s’entendent sur la réalité des phénomènes, et demandent qu’une commission soit nommée pour procéder à une
, chaussée de Ménilmontant, n° 87. Vous avez reçu, il y a un an, la demande d'une médaille en faveur de JI. Houlet, auteur d’
auteur d’un grand nombre de cures assez remarquables. Bien que celte demande fût formée par des personnes mêmes qui avaient ét
ogique, était dans ce moment en état de complète lucidité. 11 lui fut demandé ce qui se passait à la table, et il répondit : «
, en lui promettant qu’une autre fois il reverrait saint Paul, je lui demandai s’il voyait quelque chose ou quelqu’un à côté de
hier et ta plume (sans consulter la table ni le chapeau), écris telle demande et attends la réponse, n Ces sortes d’exercices o
il venait de voir sur son ami, voulut subir l’épreuve. Il écrivit une demande et attendit la réponse. Un instant après il se pl
. » 11 était pâle et point content. Il fut tellement convaincu, qu’il demanda au maître de céans de vouloir lui céder la feuill
au maître de céans de vouloir lui céder la feuille qui contenait ses demandes et réponses, et il l’emporta. Une autre fois, j
des personnes vivantes, soit à des personnes décédées. En quoi, je le demande , le premier phénomène est-il plus étonnant que le
aussi ingénieux que l’esf M. Th. Gautier, et ce n'est certes pas trop demander à MM. lfcs auteurs que de désirer que leurs œuvre
longé cet état de prostration simulée, le sorcier se lève, répond aux demandes qui lui ont été adressées et rend ses oracles.
vois que ça réveillera les muscles. — Pourquoi vos peaux fraîches? demandai -je àla seconde. — Parce que les muscles ont bes
c., forment un langage qui rend exactement la pensée, l’intention, la demande de celui qui opère, et ce au grand ébahissement d
ever habituel, le sergent Dudebaut est allé lui apprendre qu’il était demandé au greffe. Masson s’est habillé, et quelques minu
a la création d'une clinique dans l’un des hôpitaux de Paris. Mais sa demande ne fut point écoutée, et l’application régulière
s par des observateurs incompétents. E111848, lorsque tout le monde demandait quelque chose au gouvernement nouveau, M. Millet
e place. On peut varier ces exercices à l’infini. Ici encore, je le demande , pourra-t-on me démontrer une intervention lluidi
t essayé d’ouvrir un livre au hasard, de le poser loin de nous, et de demander le premier mot de la page ouverte. Je n’ai jamais
un sens, c’est-à-dire que l’esprit n’a jamais pu lire ce que nous lui demandions . Quoique j’aie réussi autant qu’il est possible
tés par des génies familiers ou des âmes errantes; le simple bon sens demande la révision des pièces du procès, il en appelle d
oup, la fixant dans les yeux de ce regard qui sonde la pensée, je lui demandai si elle connaîtrait quelque médicament qui aurait
re de sa maladie, désespéraient de le sauver. J’allai le voir, je lui demandai s’il voulait que je fisse venir chez lui une somn
e on fit l’application de l’emplâtre. Le lendemain , le malade me fit demander , me montra des linges tout tachés de sang, et me
M’étant éveillé dans le milieu de la nuit, et me sentant mouillé, je demandai de la lumière ; je vis alors que mes draps étaien
où une obscurité affectée cherche à masquer le vide des idées. On se demande si c’est une gageure de mystifier le public. Quel
iciens sans vous en douter. La magie est tout, comme vous voyez. Vous demanderez sans doute pourquoi appliquer la qualification de
le vient d’envoyer en toute hâte chercher M. B...; M"" de M..., donc, demande à la sibylle si elle veut se mettre en rapport av
te loin d’elle le papier qu’elle avait placé dans son corsage. On lui demande si elle voit, elle répond avec animation : «—Il
— Ah! le voilà qui s’éloigne; le voilà chez lui à présent. « On lui demande : « — Où était-il tout à l’heure? « Elle répo
jouer Lucie en allemand, se met en rapport avec la somnambule et lui demande ce que fait celui qui a écrit la lettre. _ « Mm
onoré, 17, sous le nom pompeux de triple-électro-galvanique. « Vous demanderez peut-être ce que c’est que le triple-électro-galv
, quand elle avait été mise en contact avec la serviette. Mais on lui demanda si elle avait déjà vu le personnage dont elle s’o
pas eu la moindre idée du but que je me proposais quand je lui avais demandé un jour, comme par hasard, si elle connaissait ce
l’a laissée seule. Après un moment, elle a rappelé l’enfant et lui a demandé si elle trouverait bien son chemin. La petite a r
que l’enfant perdu était sauf. Ayant ensuite ouvert la lettre sur la demande de M. Gaddock, je trouvai qu’Emma avait parfaitem
un penny, l’avait quittée près de l’église, l’avait rappelée pour lui demander si elle savait bien son chemin, et avait reçu une
ie. Ayant calmé ce que je regardais comme un accès hystérique, je lui demandai ce qu'elle éprouvait. Elle mè dit qu'elle avait e
endre, que son mari était tout «'1 fait rétabli. Très-surpris, je lui demandai quel était le médecin qui avait opéré un pareil p
sur laquelle ils auraient les mains se lèverait et répondrait à leurs demandes , cette tableauraitrépondu, et les opérateurs aura
Aymerich. De plus, voilà que cet enfant, en écrivant les réponses aux demandes qu’il trace sur le papier, se sent le bras saisi
ace qu’elles occupent dans l’alphabet, les lettres composant la ligne demandée , et, vérification faite, ces désignations ont été
u’aucun des expérimentateurs ne pouvait connaître à l’avance la ligne demandée ! Cette expérience répétée de même dans une autre
t magnétique plus ou moins avancé, n’aient eu l’intuition des lettres demandées et n’aient ainsi influencé le meuble en perdant e
pour ne plus se montrer. La malade pouvait enfin se tenir debout sans demander le secours de personne, mais elle n'osait encore
t l’usage des pilules balsamiques de Staal ; je la magnétisai, sur sa demande , tous les deux jours ; à la deuxième magnétisatio
s spiritualistes ont présenté au congrès de l’Union une pétition pour demander la nomination d’une commission scientifique charg
mille, et au point du jour ils se rendirent chez le ministre pour lui demander des éclaircissements. Le révérend fut aussi embar
immobile pendant dix minutes. u Une nuit, j'étais seul chez moi. Je demandai à l’esprit : — Veux-tu m’envoyer l’esprit de ma c
ait poussé par la force du magnétisme à me faire visite ; qu’ainsi ma demande a été exaucée. « Une autre fois, je demandai qu
re visite ; qu’ainsi ma demande a été exaucée. « Une autre fois, je demandai qu’on m’envoyât l’esprit de Marthe ***. Il fut ré
rits eux-mêmes (si ce sont des esprits) sont fort raisonnables, et ne demandent pas qu’on croie à moins de preuves palpables; ils
son magnétiseur et à fournir tous les renseignements qui lui étaient demandés sur une foule de choses, non-seulement par M. Hed
r d’une manière plus spéciale. Interrogé par son magnétiseur, qui lui demandait d'où lui venait cette précieuse faculté de lire d
qui se rendirent en foule chez mon père. Le jeune enfant , accablé de demandes et de questions de tous genres sur la politique,
mode. » Tout ce qu’elle dit est très-exact. On lui donne les objets demandés ; elle retrouve facilement son aiguille, se met &
rs que le Dr Kerner, auteur de ce récit, fut appelé près d’elle, à la demande qu’elle en fit en état de somnambulisme, état qui
iicllon, mort en 1740, à l’âge de soixante-dix-neuf ans, qui vint iui demander des conseils pour échapper à la persécution de de
la main droite du cadavre, cette main se souleva comme la gauche ; je demandai aussitôt un morceau d’amadou que j’appliquai sur
tifique et surtout médicale. 11 m’a semblé tout à fait insuffisant de demander aux malades ce qu’ils avaient éprouvé, parce que
quelque guerrier défunt, pose des questions : c’est généralement pour demander quel succès il aura dans la chasse qu’il a entrep
avons trouvé à louer, et nous l’avons fait sans y être obligé et sans demander une louange en retour. Nous avons blessé, il est
re irrécusable. 11 invite la science à revenir de ses préventions; il demande qu’on cherche à, déterminer les conditions qui pe
question, il faut l’aborder franchement et sérieusement, et nous lui demanderons où il a vu des gens prétendre que les tables et l
identité, et par ses manifestations il exprima qu’il était venu pour demander à M. Barlett le pardon de ses méfaits ; il ajouta
, tandis que les mouvements locomoteurs, simples dans leur évolution, demandent moins de vertus. — Rayonne-t-il au dehors de l’
e. Et cet interlocuteur 110 serait autre que moi-même ! Et si l’on me demande avec qui j’ai disputé (car il est arrivé souvent
a rien oublié, qui n’a renoncé à aucune de ses prétentions, et qui ne demanderait pas mieux que d’allumer de nouveaux bûchers pour
ui étaient là n’avait jamais entendu parler de personne de ce nom. On demanda où il avait vécu, il répondit : « A Wilmington
ui paraît si simple, maintenant qu’on a la comparaison sous les yeux, demandait un effort d’intelligence que personne n’a pu fair
s magnétiques ou somnambuliques, et provoque le rire chez ceux qui ne demandent qu’à croire. Cette légitime colère apaisée, l’hés
irer l’homme, le moraliser et le soulager dans ses souffrances? On se demandera ce qu’étaient devenus les Kant, les Spinosa, les
t été très-aimable, ne disait plus un mot. « Et vous, monsieur, lui demanda le prince de Ligne, qui « nous avait précédées à
à un singulier compagnon que nous avons là. « — Quel compagnon ? me demanda-t -il. « — Mais celui qui marche à ma gauche, et q
nte résonnnait encore à « mon oreille. Je lis un effort immense et je demandai à cet « être mystérieux qui il était et ce qu’il
a duchesse de Bourbon. Cette princesse avait eu l’extrême bonté de me demander à dîner chez moi ce jour-là, elle y vint de très-
pâle et tremblant ; il ne trouvait pas une parole. n — Est-ce vrai? demanda M. de Puységur. « — Oh ! comment peut-elle savo
en plus pâle, et son émotion était visible. « — Monsieur le comte, demanda encore M. de Puységur m d’un ton sérieux, doit-el
c d’Orléans essaya de nier le somnambulisme; la princesse sa sœur lui demanda d'assister à une séance, il le promit, et nous en
-curieux, et on allait la réveiller lorsque le maréchal de Stainville demanda s’il ne pourrait pas lui adresser des questions.
ême qu’elle désirait parler au maréchal. « — Je sais ce qu’il va me demander , et j'ai des choses a tristes à lui apprendre. »
re monsieur! dit-elle lentement et les larmes « aux yeux, pourquoi me demander ce que vous saurez vous-mnêine d’ici à bien peu d
le maréchal, laissez-moi « la réveiller. « n Pas avant que je lui aie demandé une seule chose, monsieur, interrompis-je. Qu’arr
Porticci, et la première parole que m’adressa Sa Sainteté fut pour me demander si j'étais de la famille du bon La Fontaine, le f
ement : « Tiens ! l’objet que je cherche est à tel endroit, » sans se demander d'où leur venait cette notion. Bien d'autres sans
le cœur net, et qu’un homme sensé ait osé formuler une accusation et demander une condamnation en affirmant qu’un fait constaté
’engouement universel pour les tables tournantes et parlantes sans se demander quelle est la puissance qui les fait mouvoir et d
fut-elle en crise, qu’elle partit d’un grand éclat de rire. Lui ayant demandé la cause de cette hilarité, elle répondit : . '
10 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
vous assure qu'il me l'a raconté ce matin. — Si le commissaire te le demande , que diras-tu ? — Je dirai ce qu'il m'a raconté.
s vilain mot. — Ma foi, cela m'a échappé. Je lui ai dit g...; je vous demande bien pardon. Il ne faut pas m'en vouloir. Est-ce
t dit des gros mots : cochon, etc. La police est venue, etc. Je lui demande son nom pour le donner au commissaire de police q
e mercredi, vers six heures, ***, dont la souffrance était grande, me demanda si je ne pouvais pas encore la lui enlever. J'acc
à accepter les soins d'un inconnu, me reçoit d'abord assez mal et me demande ce que je viens faire. — D'un ton très bref je ré
ait d'elle-même son alliance, embrasserait son mari et ses enfants et demanderait à manger. Avant de la réveiller, et pour ne pas
ument immobiles au réveil de la malade et de la laisser parler, agir, demander , etc.. sans manifester aucun éton-nement. Le ré
et la mît à son doigt en jetant à son mari un regard affectueux, puis demanda à embrasser ses enfants. Il y eut alors un temps
t faillit tomber à la dernière marche; il se traina jusqu'au salon et demanda à embrasser ses enfants, puis s'écria : « Ah ! me
s un siècle affairé comme le nôtre, le lecteur s'effraie quand on lui demande , tout d'un coup, un travail intellectuel trop con
odes et aux programmes d'enseignement actuellement adoptés. Je vous demande seulement d'y ajouter la proposition suivante :
M. de Freycinet dans le but d'attirer l'attention sur sa personne. Il demandait une réparation du soi-disant assassinat de sa fil
hôpitaux, soit » dans la pratique civile ou militaire. » Le travail demande peut être une thèse pour le doctorat, mais ce n'e
du concours sera adressé gratuitement aux personnes qui en feront la demande au Président, 38, rue Jacob. Paris. Inauguratio
a malade avait, depuis une heure, de très violentes douleurs, qu'elle demandait en grâce qu'on vînt la soulager. Après avoir co
'accouchement, !a malade étant toujours dans l'état de somnambulisme, demande quel est le sexe de son enfant, et exprime un gra
r, paraît surprise qu'on soit près d'elle à une heure si matinale, cl demande si elle a dormi longtemps ? Puis, portant la ma
elle ne se souvient de rien ! 1 Apprenant qu'elle est accouchée, elle demande si son enfant est une fille? Elle ignore absolume
'asile de Lafond, où il reprend conscience vers cinq heures du matin, demande à boire ; il est harassé et désire se reposer.
temps après la sortie du malade, il se produit de nouveaux accès qui demandent une nouvelle séquestration: d'autres fois, l'agit
'est contre ce que cette conclusion me parait avoir d'excessif que je demande a présenter quelques observations. Un des argum
que les Grecs, les Romains, les Turcs, les Persans même viennent nous demander , et conservez-lui aussi son caractère encyclopédi
ous ici les fils de l'Université, de cette Université que certains ne demanderaient qu'à enterrer, comptant bien sur un héritage qui,
qui concerne l'hygiène, nous sommes très près de nous entendre. Nous demandons tous, je crois, le progrès hygiénique du collège.
e manifeste une douleur épigastrique vive : sa soif est extrême. Elle demande du vin : pas de fièvre; les membres supérieurs tr
politiques de tous les temps et de tous les lieux, on est réduit à se demander si, parmi tous les penchants considérés actuellem
ersonne neutre, indifférente, ou simplement tierce. Je commence par demander à L... s'il voit quelqu'un autour de lui. Il prom
tuel, en bornant mon appréciation à l'examen des adolescents. Je me demande tout d'abord si ce surmenage intellectuel des jeu
quels ils sont matériellement assujettis. Les jeunes gens, je me le demande avec un certain nombre d'orateurs qui ont déjà ab
hargés d'un travail excessif ? Y a-t-il donc, dans tout ce qu'on leur demande , un abus, une fatigue, destinés à produire prémat
'une façon si luxuriante à cette époque de la vie ? — Nous devons lui demander , sous peine de déchéance, la mise en valeur de to
point de vue de la mise en jeu du cerveau, la participation que nous demandons a l'esprit de nos enfants! Les programmes d'étude
tuel des choses, il n'y a pas disproportion entre la somme de travail demandée à nos écoliers et la somme d'efforts destinée à l
s ne doivent pas être diminués au point de vue de la somme de travail demandée , car l'examen anatomique prouve que le cerveau d'
eur de l'Ecole d'Alfort, en remplacement de M. Goubaux. admis, sur sa demande , à la retraite. M. Goubaux est nommé directeur ho
es observés n'était pas encore venu. Dans ces conditions, nous nous demandons quelle peut être l'utilité d'une commission ainsi
ré la docilité extrême du sujet, qui peut accomplir tout ce qu'on lui demande , il est parfaitement inconscient de ses actes, le
ui que la nitro-glycérine est entrée dans la thérapeutique, nous nous demandons s'il ne serait pas préférable de l'appliquer seul
e l'histoire de la folie humaine dans les temps modernes, l'auteur se demande quelle forme cette folie prendra demain. Selon lu
On commençait à désespérer de sa vie. et le duc, averti de son état, demanda aussitôt à se confesser. Lorsqu'il eut accompli c
x suggestions, résista pendant quelques jours. Il finit cependant par demander une carte d'abstinence et la signer. Mais le jour
Angoisse générale. Claustropholie, envie de sortir à tout prix. Je me demandais déjà, me disait-il, si je ne sauterais pas par-de
de s'abstenir, il sera tout à fait guéri. Je lui ai particulièrement demandé de venir sans délai demander une séance d'hypnoti
à fait guéri. Je lui ai particulièrement demandé de venir sans délai demander une séance d'hypnotisme lorsqu'il sentirait quelq
s malades est mort sur ces entrefaites de coma diabétique, je me suis demandé si je n'avais pas, dans l'espèce, rendu a mon mal
C'est une lutte des plus curieuses: elle veut bien faire ce qu'on lui demande , mais il semble qu'une force supérieure l'empêche
Il n'est pas de médecin que cette résistance n'ait navré. Je me suis demandé si la suggestion hypnotique ne me permettrait pas
s tes cuisses l'une contre l'autre. » Pendant son sommeil, nous lut demandons à plusieurs reprises si elle nous entend bien. El
omnambule susceptible d'avoir subi une suggestion, il l'endort et lut demande les détails du fait, mais la défense faite de se
yen de découvrir le secret. Si, au lieu d'endormir le sujet et de lui demander ce qui s'est passé, on lui apprend à s'endormir l
e sujet Ignorait le contenu du flacon. A son réveil seulement, il lui demanda ce qu'elle éprouvait. La suggestion paraissait de
e est réveillée : elle ne témoigne rien spontanément. M. Focachon lui demande ce qu'elle éprouve. Elle répond : « J'ai l'estoma
e le flacon n°8; sommeil calme. A 3 heures 14, on la réveille. Je lui demande : « Comment allez-vous ? » Elle répond immédiateme
la poitrine un peu embarrassée. A 3 heures 5o, je la réveille, je lui demande comment elle va. Elle accuse une sensation de fai
s pas tombé sur un sujet favorable ; je ne dis pas le contraire. Je demande seulement que les expériences soient faites comme
pédagogue; M. Félix Hément, de ne jamais hypnotiser un enfant sans la demande formelle et parfois même écrite des parents. Da
vicieuse. Plusieurs jeunes gens de seize à vingt ans sont venus nous demander spontanément de les aider à se délivrer d'un vice
régner, pour y déposer la suggestion moralisatrice, voilà ce que nous demandons . Il n'y a ni fluides magnétiques, ni état contre
es plus saillants, l'observation que vous m'avez fait l'honneur de me demander . Je la crois iniéressante à plus d'un titre : voy
lever, se déshabiller, s'habiiler. Sa volonté était annihilée. Je lui demandai s'il me voyait ; il fit signe que non. Je lui ord
oup (sic); pour le reste, il y a une lacune dans son existence. Il se demandait comment il était allé se coucher et se trouvait t
elles fonctionne actuellement la Société. -— Actuellement, pour toute demande de renseignements, l'adresser à M. Gillet-Vital,
otte n'avait pas toujours la plénitude de ses facultés mentales. Elle demanda aux pouvoirs judiciaires un examen par des expert
un aliéné ordinaire, et. après les plaidoiries, M. le président lui a demandé s'il n'avait rien à ajouter à sa défense. Nous
sident lui a demandé s'il n'avait rien à ajouter à sa défense. Nous demandons , à notre tour, si, dans une situation mentale sem
une inspiration plus forte qu'elle. Le commissaire commence par se demander s'il n'a pas une folle devant lui ; mais il trouv
ut que livrent à ses dix millions de dot quantité de cavaliers qui ne demanderaient pas mieux que d'être appelés à les administrer, a
elle le supplie de ne pas la regarder de cette façon. — Pourquoi ? demande le baron. — Parce que mon mari me regardait ain
ler cette morte qui, malgré ses appels, se raidit de plus en plus, ¡1 demande en toute hâte un médecin. Il s'en présente un ;
heure prescrite ? — Si c'est possible ? répond le docteur Barillot. Demandez aux professeurs et aux docteurs Bernheim, Liebeau
gestions hypnotiques. En face d'une pareille situation, le baron se demandait à quel parti il devait s'arrêter. lorsqu'au cours
roseries. Dans ce sentiment, nous avons donc le droit et le devoir de demander jusqu'à quel point la terreur de la contagion à l
. Il me faut donc appeler à nouveau l'attention sur cette maladie, et demander à l'Académie de fixer la religion médicale sur le
es lycées. En revanche, j'ai vu souvent des parents qui venaient me demander un certificat constatant que leur enfant pouvait
t qu'il y avait là une question d'hygiène publique. M. Corsil. — Je demande la permission, avant que la discussion soit ouver
sort auquel on les condamne, n'étant nullement dangereux. M. Ollivier demande qu'on abroge les règlements actuels qui exigent l
au petit collège de Vanves, que le ministre de l'instruction publique demanda i MM. Hardy et Hillairet de se rendre au collège
s propres à prévenir les épidémies semblables. MM. Hardy et Hillairet demandèrent que dorénavant, dès leur arrivée au lycée, les él
aucoup diminué dans les lycées. C'est ce règlement dont M. Ollivier demande l'abrogation. Sur quoi notre collègue se fonde-
s sont changeants ? Il s'étaye encore d'une autre opinion. On s'est demandé s'il n'y avait pas plusieurs espèces de pelades,
pas spontanément expliquée devant l'assistance. Et si je le lui avais demandé , on m'aurait objecté que je lui en faisais la sug
macien du service qui nous dit: c J'ai mal compris ce qui m'avait été demande ; ce flacon contient de l'eau distillée pure. » L'
BOURRU. J'espère, Monsieur le Président (et j'ai l'honneur de le demander ), que la Société voudra bien insérer ma réponse d
titre le fait suivant, au sujet duquel plusieurs de nos lecteurs nous demandent notre avis. Un événement des plus extraordinair
aussire, a statué sur la proposition de M. le docteur Letourneau. qui demandait d'en faire une Société ouverte. Cet avis n'a pas
Pour que ces expériences fussent irréprochables, il eût fallu que les demandes fussent faites par un autre que moi, qui savais l
e tâchais bien de ne pas donner d'indications sur cette heure par mes demandes ; mais je ne suis pas sûr de moi. Quand on désire
« Ces: rouge. » De même, pour un papier bleu : « C'est bleu. » Je me demandai si, sous l'influence de l'hypnotisation, il n'y a
ans regarder derrière elle. Très souvent elle a des doutes: elle se demande pourquoi elle existe, pourquoi les choses sont fa
onne la promenade et le travail. Je recommande aux parents de ne plus demander à la malade si elle a froid, chaud, faim, etc., d
trois jours, je n'ai pas d'appétit et je vomis tout, même l'eau. » Je demande : « Allez-vous à la selle? — Non. » La langue est
e deux ou trois lois, lorsqu'elle ne voulait pas médire ce que je lui demandais . ». Le jeune homme découvrit ainsi par hasard l
lté. Elle paraissait égarée à l'instant du réveil, elle avait peur et demanda anxieusement où elle se trouvait. Je lui prop
en l'air. Son fiancé n'a pu la réveiller. Elle ne me reconnaît pas et demande « qui est ce monsieur ». Je fais des tentatives i
. Elle est encore dans l'état second. Elle ne me reconnaît pas, et me demande ce que je veux. Je lui dis qu'elle dort et que je
adifs qui ont fatigué l'esprit ? Nous regrettons qu'il ne se soit pas demandé si les accidents observés dans sa pratique pouvai
uleurs (1) Plusieurs de nos lecteurs nous ont. à diverses reprises, demande notre appréciation sur le travail de MM. Fontan e
ives à ce sujet... principalement des points suivants sur lesquels je demande des lumières et des renseignements à tout le mond
n grand, bel homme, puissamment bâti et bien élevé. Le reporter lui demanda : Pensez-vous que l'on vous a administré quelque
tenant que j'y pense, dit M. Loader, il me toucha. Je fumais et il me demanda du feu. En prenant mon cigare, il plaça sa main
berté, — et cela à ce point qu'il m'arrive à moi-même de devoir leur, demander s'ils sont encore hypnotisés ou non, et s'ils ne
Quelquefois, après être restés plusieurs heures dans cet etat, ils me demanderont d'eux-mêmes de les réveiller, ou me diront sur un
re, ni le coup de sonnette, ni la rentrée de ma fille. Le matin, je demande à la servante à quelle heure "ma fille est rentré
veille pas, réponds-moi », il répondra parfaitement bien à toutes les demandes que nous lui ferons, sans se ressouvenir de rien
aite qu'au bout d'un très long temps. L'expérience terminée, je lui demandai si des métaux avaient réellement une action sur s
Enfin, la section d'hygiène a émis, à l'unanimité, un vœu tendant à demander aux pouvoirs publics l'interdiction des séances p
sa physionomie est souriante ; les employées m'apprennent qu'elle ne demande plus à boire comme avant, et elle déclare qu'elle
'arriver à un résultat complet. Il est bien permis maintenant de se demander quelle est la nature de cette singulière maladie
t arrivé. En présence des vocations de plus en plus nombreuses et des demandes incessantes d'affiliation à son ordre, Sidi Mahmc
les convoqua devant sa demeure. Quand il les vit tous réunis, il leur demanda s'ils étaient décidés à le suivre n'importe où et
oindres villages donner des séances publiques d'hypnotisme on peut se demander s'il ne serait pas temps de réprimer les abus aux
loi, ils commettent le délit d'exercice illégal de la médecine. Je demande donc que la section d'hygiène appelle par un vote
certain, et il ne m'est jamais venu à l'idée de discuter ce droit. Je demande seulement que les séances publiques d'hypnotisme
crois que nous devons nous rallier à la proposition de M. Bérillon et demander que la pratique de l'hypnotisme ne soit plus lais
pris, à la Chambre des députés de Bel- gique. l'initiative de la demande d'interdiction des séances publiques d'hypnotisme
e séances données par les magnétiseurs. En nous joignant à ceux qui demandent l'interdiction des séances publiques d'hypnotisme
orts avec la jurisprudence et la médecine légale. Vous voulez bien me demander de donner aux lecteurs de la Revue quelques indic
e nous a été adresse par M. le professeur Liégeois auquel nous a'ions demandé de vouloir bien nous faire part des considération
ttant à l'ordre du jour une question qui n'a pas été soulevée par une demande du gouvernement, l'Académie sort de ses attributi
ot de liberté. Nous sommes les défenseurs de la liberté, lorsque nous demandons qu'on interdise les séances publiques d'hypnotism
déclarer que les spectacles publics d'hypnotisme sont dangereux et de demander que le gouvernement traduise cette résolution en
nt nous ne cessons de les battre nuit et jour. — Et une fois grands ? demanda le saint. — Une fois grands, ce sont des imbécile
s homme» à l'asile public d'aliénés de Sainte-Anne, est admis, sur sa demande , a faire valoir ses droits à la retraite pour cau
11 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
vous assure qu'il me l'a raconté ce matin. — Si le commissaire te le demande , que diras-tu ? — Je dirai ce qu'il m'a raconté.
s vilain mot. — Ma foi, cela m'a échappé. Je lui ai dit g...; je vous demande bien pardon. Il ne faut pas m'en vouloir. Est-ce
t dit des gros mots : cochon, etc. La police est venue, etc. Je lui demande son nom pour le donner au commissaire de police q
e mercredi, vers six heures, ***, dont la souffrance était grande, me demanda si je ne pouvais pas encore la lui enlever. J'acc
à accepter les soins d'un inconnu, me reçoit d'abord assez mal et me demande ce que je viens faire. — D'un ton très bref je ré
ait d'elle-même son alliance, embrasserait son mari et ses enfants et demanderait à manger. Avant de la réveiller, et pour ne pas
ument immobiles au réveil de la malade et de la laisser parler, agir, demander , etc.. sans manifester aucun éton-nement. Le ré
et la mît à son doigt en jetant à son mari un regard affectueux, puis demanda à embrasser ses enfants. Il y eut alors un temps
t faillit tomber à la dernière marche; il se traina jusqu'au salon et demanda à embrasser ses enfants, puis s'écria : « Ah ! me
s un siècle affairé comme le nôtre, le lecteur s'effraie quand on lui demande , tout d'un coup, un travail intellectuel trop con
odes et aux programmes d'enseignement actuellement adoptés. Je vous demande seulement d'y ajouter la proposition suivante :
M. de Freycinet dans le but d'attirer l'attention sur sa personne. Il demandait une réparation du soi-disant assassinat de sa fil
hôpitaux, soit » dans la pratique civile ou militaire. » Le travail demande peut être une thèse pour le doctorat, mais ce n'e
du concours sera adressé gratuitement aux personnes qui en feront la demande au Président, 38, rue Jacob. Paris. Inauguratio
a malade avait, depuis une heure, de très violentes douleurs, qu'elle demandait en grâce qu'on vînt la soulager. Après avoir co
'accouchement, !a malade étant toujours dans l'état de somnambulisme, demande quel est le sexe de son enfant, et exprime un gra
r, paraît surprise qu'on soit près d'elle à une heure si matinale, cl demande si elle a dormi longtemps ? Puis, portant la ma
elle ne se souvient de rien ! 1 Apprenant qu'elle est accouchée, elle demande si son enfant est une fille? Elle ignore absolume
'asile de Lafond, où il reprend conscience vers cinq heures du matin, demande à boire ; il est harassé et désire se reposer.
temps après la sortie du malade, il se produit de nouveaux accès qui demandent une nouvelle séquestration: d'autres fois, l'agit
'est contre ce que cette conclusion me parait avoir d'excessif que je demande a présenter quelques observations. Un des argum
que les Grecs, les Romains, les Turcs, les Persans même viennent nous demander , et conservez-lui aussi son caractère encyclopédi
ous ici les fils de l'Université, de cette Université que certains ne demanderaient qu'à enterrer, comptant bien sur un héritage qui,
qui concerne l'hygiène, nous sommes très près de nous entendre. Nous demandons tous, je crois, le progrès hygiénique du collège.
e manifeste une douleur épigastrique vive : sa soif est extrême. Elle demande du vin : pas de fièvre; les membres supérieurs tr
politiques de tous les temps et de tous les lieux, on est réduit à se demander si, parmi tous les penchants considérés actuellem
ersonne neutre, indifférente, ou simplement tierce. Je commence par demander à L... s'il voit quelqu'un autour de lui. Il prom
tuel, en bornant mon appréciation à l'examen des adolescents. Je me demande tout d'abord si ce surmenage intellectuel des jeu
quels ils sont matériellement assujettis. Les jeunes gens, je me le demande avec un certain nombre d'orateurs qui ont déjà ab
hargés d'un travail excessif ? Y a-t-il donc, dans tout ce qu'on leur demande , un abus, une fatigue, destinés à produire prémat
'une façon si luxuriante à cette époque de la vie ? — Nous devons lui demander , sous peine de déchéance, la mise en valeur de to
point de vue de la mise en jeu du cerveau, la participation que nous demandons a l'esprit de nos enfants! Les programmes d'étude
tuel des choses, il n'y a pas disproportion entre la somme de travail demandée à nos écoliers et la somme d'efforts destinée à l
s ne doivent pas être diminués au point de vue de la somme de travail demandée , car l'examen anatomique prouve que le cerveau d'
eur de l'Ecole d'Alfort, en remplacement de M. Goubaux. admis, sur sa demande , à la retraite. M. Goubaux est nommé directeur ho
es observés n'était pas encore venu. Dans ces conditions, nous nous demandons quelle peut être l'utilité d'une commission ainsi
ré la docilité extrême du sujet, qui peut accomplir tout ce qu'on lui demande , il est parfaitement inconscient de ses actes, le
ui que la nitro-glycérine est entrée dans la thérapeutique, nous nous demandons s'il ne serait pas préférable de l'appliquer seul
e l'histoire de la folie humaine dans les temps modernes, l'auteur se demande quelle forme cette folie prendra demain. Selon lu
On commençait à désespérer de sa vie. et le duc, averti de son état, demanda aussitôt à se confesser. Lorsqu'il eut accompli c
x suggestions, résista pendant quelques jours. Il finit cependant par demander une carte d'abstinence et la signer. Mais le jour
Angoisse générale. Claustropholie, envie de sortir à tout prix. Je me demandais déjà, me disait-il, si je ne sauterais pas par-de
de s'abstenir, il sera tout à fait guéri. Je lui ai particulièrement demandé de venir sans délai demander une séance d'hypnoti
à fait guéri. Je lui ai particulièrement demandé de venir sans délai demander une séance d'hypnotisme lorsqu'il sentirait quelq
s malades est mort sur ces entrefaites de coma diabétique, je me suis demandé si je n'avais pas, dans l'espèce, rendu a mon mal
C'est une lutte des plus curieuses: elle veut bien faire ce qu'on lui demande , mais il semble qu'une force supérieure l'empêche
Il n'est pas de médecin que cette résistance n'ait navré. Je me suis demandé si la suggestion hypnotique ne me permettrait pas
s tes cuisses l'une contre l'autre. » Pendant son sommeil, nous lut demandons à plusieurs reprises si elle nous entend bien. El
omnambule susceptible d'avoir subi une suggestion, il l'endort et lut demande les détails du fait, mais la défense faite de se
yen de découvrir le secret. Si, au lieu d'endormir le sujet et de lui demander ce qui s'est passé, on lui apprend à s'endormir l
e sujet Ignorait le contenu du flacon. A son réveil seulement, il lui demanda ce qu'elle éprouvait. La suggestion paraissait de
e est réveillée : elle ne témoigne rien spontanément. M. Focachon lui demande ce qu'elle éprouve. Elle répond : « J'ai l'estoma
e le flacon n°8; sommeil calme. A 3 heures 14, on la réveille. Je lui demande : « Comment allez-vous ? » Elle répond immédiateme
la poitrine un peu embarrassée. A 3 heures 5o, je la réveille, je lui demande comment elle va. Elle accuse une sensation de fai
s pas tombé sur un sujet favorable ; je ne dis pas le contraire. Je demande seulement que les expériences soient faites comme
pédagogue; M. Félix Hément, de ne jamais hypnotiser un enfant sans la demande formelle et parfois même écrite des parents. Da
vicieuse. Plusieurs jeunes gens de seize à vingt ans sont venus nous demander spontanément de les aider à se délivrer d'un vice
régner, pour y déposer la suggestion moralisatrice, voilà ce que nous demandons . Il n'y a ni fluides magnétiques, ni état contre
es plus saillants, l'observation que vous m'avez fait l'honneur de me demander . Je la crois iniéressante à plus d'un titre : voy
lever, se déshabiller, s'habiiler. Sa volonté était annihilée. Je lui demandai s'il me voyait ; il fit signe que non. Je lui ord
oup (sic); pour le reste, il y a une lacune dans son existence. Il se demandait comment il était allé se coucher et se trouvait t
elles fonctionne actuellement la Société. -— Actuellement, pour toute demande de renseignements, l'adresser à M. Gillet-Vital,
otte n'avait pas toujours la plénitude de ses facultés mentales. Elle demanda aux pouvoirs judiciaires un examen par des expert
un aliéné ordinaire, et. après les plaidoiries, M. le président lui a demandé s'il n'avait rien à ajouter à sa défense. Nous
sident lui a demandé s'il n'avait rien à ajouter à sa défense. Nous demandons , à notre tour, si, dans une situation mentale sem
une inspiration plus forte qu'elle. Le commissaire commence par se demander s'il n'a pas une folle devant lui ; mais il trouv
ut que livrent à ses dix millions de dot quantité de cavaliers qui ne demanderaient pas mieux que d'être appelés à les administrer, a
elle le supplie de ne pas la regarder de cette façon. — Pourquoi ? demande le baron. — Parce que mon mari me regardait ain
ler cette morte qui, malgré ses appels, se raidit de plus en plus, ¡1 demande en toute hâte un médecin. Il s'en présente un ;
heure prescrite ? — Si c'est possible ? répond le docteur Barillot. Demandez aux professeurs et aux docteurs Bernheim, Liebeau
gestions hypnotiques. En face d'une pareille situation, le baron se demandait à quel parti il devait s'arrêter. lorsqu'au cours
roseries. Dans ce sentiment, nous avons donc le droit et le devoir de demander jusqu'à quel point la terreur de la contagion à l
. Il me faut donc appeler à nouveau l'attention sur cette maladie, et demander à l'Académie de fixer la religion médicale sur le
es lycées. En revanche, j'ai vu souvent des parents qui venaient me demander un certificat constatant que leur enfant pouvait
t qu'il y avait là une question d'hygiène publique. M. Corsil. — Je demande la permission, avant que la discussion soit ouver
sort auquel on les condamne, n'étant nullement dangereux. M. Ollivier demande qu'on abroge les règlements actuels qui exigent l
au petit collège de Vanves, que le ministre de l'instruction publique demanda i MM. Hardy et Hillairet de se rendre au collège
s propres à prévenir les épidémies semblables. MM. Hardy et Hillairet demandèrent que dorénavant, dès leur arrivée au lycée, les él
aucoup diminué dans les lycées. C'est ce règlement dont M. Ollivier demande l'abrogation. Sur quoi notre collègue se fonde-
s sont changeants ? Il s'étaye encore d'une autre opinion. On s'est demandé s'il n'y avait pas plusieurs espèces de pelades,
pas spontanément expliquée devant l'assistance. Et si je le lui avais demandé , on m'aurait objecté que je lui en faisais la sug
macien du service qui nous dit: c J'ai mal compris ce qui m'avait été demande ; ce flacon contient de l'eau distillée pure. » L'
BOURRU. J'espère, Monsieur le Président (et j'ai l'honneur de le demander ), que la Société voudra bien insérer ma réponse d
titre le fait suivant, au sujet duquel plusieurs de nos lecteurs nous demandent notre avis. Un événement des plus extraordinair
aussire, a statué sur la proposition de M. le docteur Letourneau. qui demandait d'en faire une Société ouverte. Cet avis n'a pas
Pour que ces expériences fussent irréprochables, il eût fallu que les demandes fussent faites par un autre que moi, qui savais l
e tâchais bien de ne pas donner d'indications sur cette heure par mes demandes ; mais je ne suis pas sûr de moi. Quand on désire
« Ces: rouge. » De même, pour un papier bleu : « C'est bleu. » Je me demandai si, sous l'influence de l'hypnotisation, il n'y a
ans regarder derrière elle. Très souvent elle a des doutes: elle se demande pourquoi elle existe, pourquoi les choses sont fa
onne la promenade et le travail. Je recommande aux parents de ne plus demander à la malade si elle a froid, chaud, faim, etc., d
trois jours, je n'ai pas d'appétit et je vomis tout, même l'eau. » Je demande : « Allez-vous à la selle? — Non. » La langue est
e deux ou trois lois, lorsqu'elle ne voulait pas médire ce que je lui demandais . ». Le jeune homme découvrit ainsi par hasard l
lté. Elle paraissait égarée à l'instant du réveil, elle avait peur et demanda anxieusement où elle se trouvait. Je lui prop
en l'air. Son fiancé n'a pu la réveiller. Elle ne me reconnaît pas et demande « qui est ce monsieur ». Je fais des tentatives i
. Elle est encore dans l'état second. Elle ne me reconnaît pas, et me demande ce que je veux. Je lui dis qu'elle dort et que je
adifs qui ont fatigué l'esprit ? Nous regrettons qu'il ne se soit pas demandé si les accidents observés dans sa pratique pouvai
uleurs (1) Plusieurs de nos lecteurs nous ont. à diverses reprises, demande notre appréciation sur le travail de MM. Fontan e
ives à ce sujet... principalement des points suivants sur lesquels je demande des lumières et des renseignements à tout le mond
n grand, bel homme, puissamment bâti et bien élevé. Le reporter lui demanda : Pensez-vous que l'on vous a administré quelque
tenant que j'y pense, dit M. Loader, il me toucha. Je fumais et il me demanda du feu. En prenant mon cigare, il plaça sa main
berté, — et cela à ce point qu'il m'arrive à moi-même de devoir leur, demander s'ils sont encore hypnotisés ou non, et s'ils ne
Quelquefois, après être restés plusieurs heures dans cet etat, ils me demanderont d'eux-mêmes de les réveiller, ou me diront sur un
re, ni le coup de sonnette, ni la rentrée de ma fille. Le matin, je demande à la servante à quelle heure "ma fille est rentré
veille pas, réponds-moi », il répondra parfaitement bien à toutes les demandes que nous lui ferons, sans se ressouvenir de rien
aite qu'au bout d'un très long temps. L'expérience terminée, je lui demandai si des métaux avaient réellement une action sur s
Enfin, la section d'hygiène a émis, à l'unanimité, un vœu tendant à demander aux pouvoirs publics l'interdiction des séances p
sa physionomie est souriante ; les employées m'apprennent qu'elle ne demande plus à boire comme avant, et elle déclare qu'elle
'arriver à un résultat complet. Il est bien permis maintenant de se demander quelle est la nature de cette singulière maladie
t arrivé. En présence des vocations de plus en plus nombreuses et des demandes incessantes d'affiliation à son ordre, Sidi Mahmc
les convoqua devant sa demeure. Quand il les vit tous réunis, il leur demanda s'ils étaient décidés à le suivre n'importe où et
oindres villages donner des séances publiques d'hypnotisme on peut se demander s'il ne serait pas temps de réprimer les abus aux
loi, ils commettent le délit d'exercice illégal de la médecine. Je demande donc que la section d'hygiène appelle par un vote
certain, et il ne m'est jamais venu à l'idée de discuter ce droit. Je demande seulement que les séances publiques d'hypnotisme
crois que nous devons nous rallier à la proposition de M. Bérillon et demander que la pratique de l'hypnotisme ne soit plus lais
pris, à la Chambre des députés de Bel- gique. l'initiative de la demande d'interdiction des séances publiques d'hypnotisme
e séances données par les magnétiseurs. En nous joignant à ceux qui demandent l'interdiction des séances publiques d'hypnotisme
orts avec la jurisprudence et la médecine légale. Vous voulez bien me demander de donner aux lecteurs de la Revue quelques indic
e nous a été adresse par M. le professeur Liégeois auquel nous a'ions demandé de vouloir bien nous faire part des considération
ttant à l'ordre du jour une question qui n'a pas été soulevée par une demande du gouvernement, l'Académie sort de ses attributi
ot de liberté. Nous sommes les défenseurs de la liberté, lorsque nous demandons qu'on interdise les séances publiques d'hypnotism
déclarer que les spectacles publics d'hypnotisme sont dangereux et de demander que le gouvernement traduise cette résolution en
nt nous ne cessons de les battre nuit et jour. — Et une fois grands ? demanda le saint. — Une fois grands, ce sont des imbécile
s homme» à l'asile public d'aliénés de Sainte-Anne, est admis, sur sa demande , a faire valoir ses droits à la retraite pour cau
12 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
ir l’enfant; il le dépose, se lève ensuite avec un violent frisson et demande de l'eau-de-vie pour se réchauffer. On lui présen
, et si le mouvement dont on parle n’existait pas dans son sein, nous demandons comment on s’y prendrait pour opérer une guérison
e, qu’appliquant 1ns extrémités des doigts comre les siens (ce qui ne demanda pas plus d’une minute), nous la questionnâmes sur
ement d une capsule. Il fit feu et reconnut qu’on l’avait trompé ; il demanda alors que le fusil fût chargé, tira au blanc et c
ant. » ci On pioche la terre cl 011 trouve la serpe. « Un autre lui demande ce qu’est devenue une chaîne qu’il avait. Réponse
l avait. Réponse : « (¡’est un tel qui vous l’a prise. Allez la lui h demander , et il vous la rendra. » 11 La chaîne a été ren
r môme. « Un étranger arrive à Brion et questionne Postolet. 11 lui demande s’il le connaît, son nom, ses prénoms, d’où il vi
, vous » resterez un jour absent, etc., etc. » a l)n propriétaire lui demande ce qui se passe chez lui. Réponse : « Votre berge
» Et immédiatement après il fut frappé ! P. coups. La jeune dormeuse demanda 30 coups, elle fut uliéie. «Cent fois! » cria-t-e
ment. Un des assistants dit alors fort bas à son voisin, qu’il allait demander (5 coups; il se plaça devant le lit et fit la dem
, qu’il allait demander (5 coups; il se plaça devant le lit et fit la demande mentalement: les (5 coups se firent entendre; qua
de mentalement: les (5 coups se firent entendre; quatre autres furent demandés de même et exécutés. D'autres personnes tentèrent
ètre mystérieux; il en est même qui affirment avoir entendu, sur leur demande , des marches russes, autrichiennes, françaises, e
s ; mais généralement on obtient l’exactitude, après avoir réitéré la demande deux ou trois fois. 11 est arrivé aussi que l’esp
trois fois. 11 est arrivé aussi que l’esprit frappeur répondait à une demande d’âge par l'exécution d’une marche militaire. I
fié le Sauveur, malgré ses bienfaits et ses bénédictions. Puis elle demanda avec ferveur à Dieu de lui accorder la patience d
u ; elle répondit que le même homme lui apparaissait toujours; on lui demanda à quelle place elle le voyait; elle dit qu’il éta
le voyait; elle dit qu’il était au milieu des assistants. Puis on lui demanda encore si elle distinguait aussi les personnes pr
’être très-utiles à l'àme de son paroissien, qu’il les eût, du reste, demandées ou non. \ partir de ce moment, les coups ne se
u’à une classe spéciale de lecteurs ; fruit de longues recherches, il demande des hommes de loisir; œuvre de science, il veut d
it Catéchisme est, comme le livre dont il porte le nom, sous forme de demandes et de réponses. 11 est divisé en neuf chapitres,
on des commençants, les douze articles qui servent de réponse à cette demande : h Quels sont les principes ? » Les esprits atte
ètement de la définition du mol magnétiser. Nous aurions désiré, à la demande : u Qu’est-ce que magnétiser ? » Une réponse pl
même qu’il avait trouvé le secret de guérir leurs morsures. « Oléda demanda cent francs pour mettre le serpent en cage. Tous
animal guérit des maux que la médecine ordinaire ne guérit pas, je le demande à Votre Grandeur, y a-t-il le moindre doute que l
e de la part des somnambules eu de leurs magnétiseurs? Cela revient à demander si leur foi dans la science est une feinte, et si
’auteur en en reproduisant un extrait à son insu. Nous lui avons donc demandé l’autorisation de citer l’opinion qu’il émet sur
dans cette position pendant une demi-heure, elle se mit à genoux , et demanda à l’esprit pourquoi il prenait congé d'elle. « Ah
tter une marche très-gaie. Un monsieur qui était présent en ce moment demanda au frappeur combien d’esprits viendraient demain.
esprits viendraient demain. Six coups forts furent la réponse à cette demande . Quelques minutes après, la jeune fille se réveil
ents ayant recommencé, et Philippine étant éveillée, un assistant lui demanda quelle heure il était. « Je ne le sais pas, répon
fille étant endormie, des personnes qui n’habitent pas Bergzabem lui demandèrent le nombre de lieues qui les séparaient de cette v
ui leur avaient été enlevés par la mort. Or les réponses à toutes ces demandes furent d’une exactitude parfaite. Le h janvier,
demandes furent d’une exactitude parfaite. Le h janvier, un buveur demanda à l’esprit combien il avait bu de schoppes de vin
ni logique, ni savante. Voici comment il s’exprime : « Qu’on ne me demande pas l’explication des phénomènes que je raconte;
ris delà voir avancer résolument, et la bête rester tranquille, on en demanda la cause ; la somnambule répondit : « Ah ! c’est
avec le somnambulisme, bien qu’il en diffère essentiellement. On se demande si les animaux, qui rêvent comme nous, ne sont pa
nt. 11 gagna une somme assez forte, et quand il vint au chantier pour demander les bienheureuses bûches qui, richement encadrées
le ou agréable et obligeant, par l’effet de votre propre influence. Demandez , par exemple, à un ministre quelque chose de parf
e, avec la conviction qu'il vous le refusera, et vous serez repoussé. Demandez -lui quelque chose de parfaitement injuste, avec l
ette distinction est-elle sérieuse ou subtile? 11 est permis de se le demander . « Que le magnétisme soit en lui-même et en deh
r des personnes de l’assemblée. On était dans l’attente, et chacun se demandait peut-être comment il me serait possible de sortir
escharre blanche, de la grandeur d’une pièce de cinq francs. Je lui demandai ce qu’elle avait au fond de la main. Elle regarda
p. On vint me le dire, alors je la magnétisai pour l’endormir. Je lui demandai si elle voyait ce qu’il fallait faire pour arrête
« Je ne vois pas. » Appliquant ma main à plat sur l’abdomen, je lui demandai si ce moyen était bon. c Peut-être. » En effe
âmes, que des mesures législatives dictées par la raison ; je vous le demande encore dans l’intérêt de l’homme souffrant, et en
en pareille matière, niais l’accueil bienveillant que vous fîtes à ma demande , et tout dernièrement ù, moi-même, m’encourage à
blir. Elle rev ient à elle, mais dans l’état somnambulique ; je lui demande ce qu’elle éprouve, elle me dit que cette vision
ous m’avez faite, en m’engageant à continuer le résumé que, sur votre demande , j’ai commencé, il y a deux ans, des faits et ges
expériences dont j’ai été le témoin ou auxquelles j ai participé, je demande au lecteiu- la permission de lui rappeler quels s
e où j’écris ces lignes, je me tâte, m’interroge, m’observe, et je me demande surtout si je n’ai pas été dupe d’une illusion, v
lettre de notre honorable confrère M. Eissen, de Strasbourg, et, j’en demande bien pardon il nos confrères de la grande presse,
s variations. i Quelle utilité peut-on retirer de ces expériences ? demanderont les matérialistes à courte vue, et les négateurs
es et les minéraux plongés dans une obscurité absolue, tous ces faits demandent à être étudiés et interprétés par la science ; ma
re à l’esprit, cet agent de la vie universelle dont les Académies ont demandé ironiquement le certificat d’origine, et sur lequ
sons l’exactitude, qui est d’une portée ’iei’ . Un des opérateurs a demandé au meuble d’indiq. ' 8® _s manière, combien il av
possibles ; il a obéi de môme à ma simple volonté mentale. M. L... me demanda de faire répondre à une pensée , sur laquelle i
e fit entendre. Ce résultat encouragea les autres paysans. L’un d’eux demanda : « Combien y a-(i t-il de boutons à la totalité
estions qui, suivant les documents officiels, lui ont été posées. Lui demandait -on, par exemple, combien de chevaux il y avait de
d’une bourse remplie de pfen-nings, et qu’il avait dans sa poche, lui demanda quel était le nombre de pièces contenues dans cet
errogez les douleurs qu’il a soulagées, les maladies qu'il a guéries; demandez si ses effets sont bienfaisants, à cette mère qui
i entend aujourd’hui les concerts du printemps et la voix de sa mère; demandez -leur à tous si le magnétisme est sans vertu, et s
rèrent dans la pièce qui précédait celle où j’étais, ei l’une d’elles demanda si j’étais encore là ; elle m’aperçut, et ine dit
s cessèrent totalement, ainsi que la gêne de la respiration. Sur la demande que je lui fis si elle souffrait encore, elle me
sprit de ceux qui veulent des définitions rigoureuses. A ceux-là nous demanderons ce cpte sont les impondérables connus. Néanmoins
s sur la terre sont choisis par Dieu. Dans la dernière séance, j’ai demandé quelles étaient les qualités réputées les plus ha
que noire source nous a conservées, malgré notre chute, et qu’elle ne demande pas mieux que de développer en nous, pour nous ai
tinuel, c’est être bien éloigné de la justice et de la vérité, que de demander d’autres miracles qui ne pourront jamais être qu’
decine occulte ou hypnoscopi-que des premiers hommes. « Or, nous le demandons aux hommes vraiment éclairés, en méditant sérieus
parce qu’ils ne les connaissent pas. Evitons ce double écueil, et ne demandons au magnétisme que ce qu’il peut nous donner. Il p
nants et s’écartent des lois connues et observées jusqu’ici, plus ils demandent à être observés avec un soin rigoureux. Nous comp
t. Supposez deux opérateurs, l’un d’eux se charge d’interroger, et il demande que la table réponde en se levant de son côté, ce
combinaisons pour fournir des moyens de communication à celui qui ne demande qu’à entrer en rapport avec nous. Une foule de
n ne sert qu’à préparer d’autres phénomènes dont il est impossible de demander l’explication à une action musculaire quelconque.
disait, et qu’il indiquait les heures et les minutes quand 011 le lui demandait . Pour les heures, il frappait fortement le parque
ond même aux questions qu’on lui adresse, pourvu qu’on se borne à lui demander des choses connues. « Le temps nécessaire à la
de la force et de l’âge où un seul regard révolutionne un cœur qui ne demande qu’à aimer, cette chaîne, disons-nous, fera tourn
u’il y en a huit, ce qui est exact ; « 3° Combien ai-je d'écus? lui demande une personne qui en tenait deux dans une de ses m
écu dont il ne nous avait pas parlé. « h° Ai-je un piano chez moi, demande un médecin ? Oui. — Est-il placé dans le salon?
ans la salle à manger ? Oui. — Tout cela était exact. « 5° Combien, demande un autre docteur, ma femme a-t-elle envoyé de piè
t pas compter pour une pièce entière. « 6° Combien ai-je d’enfants? demande la femme d’un autre médecin. — La table frappe un
s, correspondant juste au terme de la grossesse de M",c C***. « Une demande analogue a été adressée par une autre dame qui se
t de femmes? — Quatre. « Tout était juste ; même précision pour les demandes analogues, variées sous toutes les formes, avec d
commencée, la table se borne à lever légèrement le pied ; et, sur la demande qui lui en est faite, elle indique depuis combien
âge, quand vous plaisez toujours ! « 8° Une jeune et jolie personne demande de combien de mille francs elle vient d’hériter.
it-on, est dupe de fraudes, de ruses ou de supercherie; cependant, il demande à expérimenter devant témoins. : Un médecin et
à. un des membres de la chaîne, une jeune fille de seize ans, il lui demanda quelle était cette pensée. I.a jeune personne, qu
grande question qu’on avait crue indigne de fixer l’attention ; on se demanda si l’on avait fait preuve de raison en traitant s
der le domaine théologique : restant dans la ligne scientifique, nous demanderons à M. de M.... qu’il veuille bien se placer au poi
urtout aux hommes non prévenus ; je leur raconte un fait : je ne leur demande que «le croire à ma bonne foi. Quelques réflexi
e présentait notre jeune somnambule. Je crois devoir dire qu'on lui demanda , quand je fus arrivé, s’il croyait que l’attaque
eux et le papier sur lequel les questions devaient être écrites. J’en demandai la permission au malade en ces termes : « Dis-m
s radicalement guérir l'affection nerveuse dont il était atteint ? 11 demanda un chien barbet, le fit laver avec de l'urine et
état de rejeter les faits dont il s’agit, nous serions induits à nous demander pourquoi les transpositions des sens ne sont pas
.pour.... ah!..... compter ses chemises, comme disent les matelots, demande un récipient pour s’alléger, et si l’expérience n
er, M. Philips a donné une dernière séance qui avait été généralement demandée . L’auditoire était nombreux. Nous avons remarqué
, qui jouissait de ses facultés complètes, ce point excepté. On lui a demandé s’il se rappelait la seconde lettre, il a répondu
nt le site, il voit des anthropophages; le sujet jes voit à son tour, demande des armes pour combattre; il n’en a pas; il sc
le devant lui. Le propriétaire de la chose dérobée adresse au lama la demande de lui indiquer l’endroit où elle est cachée. Le
attire le sujet en arrière, le repousse en avant. Le sujet auquel on demande compte de ce qu’il a éprouvé, déclare que ce n’es
Américains. J’ai essayé ce mode sur plusieurs individus, après avoir demandé à l'auteur des oscillations s’il écrivait par la
commissaire concevant in petto quelques doutes sur son authenticité, demanda la permission de l’emporter, afin de justifier de
uve étendue au milieu de la salle à manger ; je fais éloigner, sur sa demande impérieuse, toutes les femmes qui lui portaient s
idérées comme non avenues. » « De quel côté est la crédulité, je le demande , du côté de ceux qui ferment les yeux ou du côté
in de l’opération. 11 était donc absolument impossible que le chiffre demandé fût connu ou soupçonné par aucune d’elles. Ce n’é
e miracle. Mais avant de s abandonner à ces craintes, on aurait dû se demander d’abord s il existe un rapport quelconque entre l
mme de science et de conscience, regrettera d’avoir été si vif. 11 se demandera alors quel rapport existe entre le phénomène tel
nt, n’ignorant pas qu’il prête aux objections, et qu’une loi nouvelle demande à s’appuyer sur des faits absolument incontestabl
oursuivi le magnétisme des sarcasmes de son incrédulité, M. Lireux, a demandé sou pardon en consacrant tout le feuilleton du Co
écris avec l'espoir que vous nie lirez jusqu’au bout. « Je ne vous demande ni place, ni croix, ni argent, ni faveur d’aucune
t impuissante. C’est comme si, pour en lever un fardeau énorme et qui demande l’emploi de toutes nos forces, nous nous bornions
mit machinalement à cueillir une plante qui était près d’elle. On lui demanda pourquoi elle agissait ainsi; elle répondit que c
able, ni plus épouvantable, ni plus surnaturel que l’autre. Quant à demander pourquoi on ne fait pas tourner des maisons et de
etenu le distique suivant, dicté pas Y esprit de Lavoisier, auquel on demandait : Qu’est-ce que la mort? Réveil silencieuic d'u
ppé des réponses, qu’il se convertit subitement à la foi nouvelle, et demanda à être affilié. On le dit passé il l’état de medi
ton ciel étoilé..... — Mais un geste plaintif de la vierge endormie Demanda le silence, et, ce vœu respecté, On la vit tout
n’ai aucun souci de l’opinion et des scrupules des prétendus savants. Demandez au plus renommé d’entre eux ce que c’est que la v
ux. « D’après la lettre par laquelle vous me faites l’honneur de me demander mon opinion sur cet intéressant phénomène, il par
ous, de les présenter à M. le baron du Potet. « Je me rends à votre demande , pensant qu’il est du devoir de tout sincère magn
répondu avec le plus grand calme. Surpris de ce phénomène, je lui ai demandé : — Souffrez-vous? — Non, m’a-t-elle dit. —
is écrit le matin, mais que ma lettre n’avait point été finie; sur ma demande , elle en a lu le contenu. J’envoyai deux personne
les paroles de la somnambule l’avaient fidèlement traduite. Je lui demandai depuis quand elle n’avait reçu des nouvelles de s
-sandon et son philosophe, et l’illustre Faraday lui-même? Je vous le demande . Ici l’idée préconçue était loin d’être confirmée
usement mes affaires 11e me permettent pas de satisfaire à toutes ces demandes comme j’en aurais le désir. « Tous les jours mo
mble : «les mots et. des lettres, qu'il devine les choses qu’on lui demande . A la vérité, il magnétisa un petit garçon de qui
a cherché à connaître sa nature, son origine, sa destinée ; il s’est demandé quels liens l’unissaient aux autres êtres , à l’u
té, se hâte de conclure, et semble croire que le lecteur ne peut rien demander de plus. 11 consacre un chapitre au magnétisme.
si la découverte de Mesmer, jugée et condamnée par les académies, ne demandait point une réhabilitation. Vous vécûtes dans le do
qu’au Lotit des doigts. Après avoir agi ainsi pendant dix minutes, je demande à ce malheureux : — Sentez-vous quelque chose?
des effets qu’il produit. Revenu de mon étonnement, j’essayai, à sa demande , d’écarter le bras du corps en relevant le coude
bout de cinq minutes ses yeux se fermèrent, dix minutes après, sur ma demande , il me repondit qu’il dormait. Ayant été mis en
e poudre noire. Une dame me remet une petite bourse en me priant de demander au sujet ce que j'ai dans la main. La réponse f
r administrer, ceux qu’ils ont abandonnés comme morts guéris. « Que demande , après tout, M. Chevalier? l’application rigoureu
y magnétique. Voici la réponse que ce magistrat vient de faire à la demande ci-dessus ; Paris, le 8 décembre 1833. Monsie
lèbre; le DrFourc... sortit un peu surpris. « — Que dites-vous? lui demandai -je. « — Je dis que cela ne prouve rien. „ — Q
nze sous. » . , . « Je regardai le docteur, il était disparu. Je me demandai 9i c’était par le résultat du magnétisme. Le lend
pythiques ou ceux donnés par les oracles des Branchides. Lorsque nous demandâmes ensuite qu’est-ce qui succéderait à l’empereur ac
ieusement en colère, et nous craignons fort, qu’un j,our il ne vienne demander compte à M. Nisard. de ce délit de lèse original.
du magnétisme, et surtout de là lucidité de ma fille : je fus donc demandé . En arrivant auprès de cette malade, je fus effra
ui prescrirait le magnétisme ; je ne pus calmer son agitation. « Je demandai une carafe d’eau que je magnétisai fortement et i
13 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
es qu’ils avaient vraiment plus de vertus que les autres hommes, leur demandait leur bénédiction. Mais jugez de l’étonnement de t
es esprits : bêlas! détrompez - vous, car on ne les lit pas. Ce qu’on demande , ce que la généralité des hommes exige de vous, c
s, les neuf ou dix de cœur, de pique, etc., une addition, une phrase, demandaient un instant d’application ; d’où j'ai conclu que l
là somnambule, soufflait le mot indiqué en soufflant sur le verre. On demande une seconde expérience. » L’incrédule alors a élé
e tout le côté droit. Je l’explorai sans mot dire. Un des médecins me demanda dans combien de jours la malade serait guérie; je
ari, qui lui tenait le bras droit, crut qu’elle allait expirer. Il me demanda au nom de Dieu de faire cesser la crise, je lui r
r la crise, je lui répondis que je ne ferais que co que son épouse me demanderait ; alors je m’informai si elle voulait que la crise
es années, mon bicn-aimé collègue, que je m’appuie sur la prière pour demander an Seigneur la guérison des malades qui viennent
ans la pratique médicale à Constanlinople, que d’entendre des malades demander au médecin : a Dois-je me faire lire? Ne ferais-j
seur lui adressa plusieurs questions, obtint des réponses.... Puis ¡1 demanda : « Pourriez-vous nous accorder une dernière répo
murmurèrent quelques mots inintelligibles. « Eli bien, votre réponse? demande le magnétiseur. — J’ai aussi, répond-elle, un frè
les secrets les plus ca-chésdeson cœur... illuiavbue son amour et lui demande s’il est aimé lui-même. — La pudeur la retient d’
rine, et se croyant digne maintenant de celle qu’il aime, il vient la demander en mariage à son père. Irène, qui n’a pas le souv
ui-ci prend la chose du bon côté, si toutefois il y en a un, et vient demander à Henri de Clermont si par hasard il ne pourrait
de notre cœur. Est-il nécessaire de vous rappeler ce que nous vous demandons ? Non, vous le savez. Nous voulons seulement que p
élève la voix ou ose transgresser la loi que vous ferez rendre, nous demandons à être juges de la cause, à le punir s'il a tolér
rs la société. Tout ceci, M. le ministre, est, sans doute, beaucoup demander , mais nous espérons plus encore cependant. Notre
r si la nature pouvait guérir, à quoi serions-nous bons, nous vous le demandons , M. le ministre? On voudrait, de la sorte, ramene
Ainsi, M. le ministre, c’est une aggravation de peines que nous vous demandons pour les homœopathes et les magnétiseurs. Quant à
remèdes, et nous vous promettons qu’au bout d’un temps très-court ils demanderont merci, s'ils existent encore. Il est bien enten
s n’avez rien vu., et dès lors votre opinion est erronée. « Je vous demanderais bien l’insertion de ce qui précède, mais je crain
r; car toutes ces personnes honorables sont nos abonnés, et elles ont demandé avec instance qu’il fût inscrit comme un des fait
m’avait tant étonne dans les Calixtc, les Pi-geaire, les Prudence. Je demandais une somnambule lucide à toutes les jeunes filles
: « Vous pouvez continuer. » J’étais dans le ravissement. — Je lui demandai si elle voyait; elle me répondit presque fâchée :
par un hoquet qui paraît avec le sommeil et disparaît au réveil, elle demande parfois un peu d’eau. — Celle eau lui élanl pré
mari de prendre une bouteille d’eau de Sedlitz pour le purger. Je lui demandai si je ne pouvais pas la faire moi-même, et si ell
res qu’ils se proposent de faire ne pourront la re* hausser. Ce qu’on demande au médecin, c’est son savoir; ce que le malade ré
i, suant à grosses gouttes, après avoir fléchi cent fois sans tomber, demande , prie qu'on le retire de cette position. Il accus
estes. Mais au théâtre, le réel n’est pas nécessaire, le public ne le demande pas. Le succès immense de cette pièce atteste le
i se produisent de toutes parts, « uous sommes naturellement amenés à demander : « Pourquoi cette négligence de faits si importa
ire; mais est-ce à dire « qu’on ne doive l’essayer? Mais surtout nous demandons : « Pourquoi cette soudaine conversion par l’éthe
rdaient comme le plus malheureux état de l’humanité. » Ce préambule demanderait un volume, tant les choses à dire sont nombreuses
’occulte puissance qui y a été déposée au moment du tracé, tracé quia demandé quatre minutes de préparation seulement. Durant c
trouvé un lapidaire qui en sache le prix : nous la lui donnerons sans demander un grain de mil, trop heureux de la voir accueill
a bouche et avaler quelques gorgées de bière qu’elle avait instamment demandée . Elle éprouvait sur le trajet du liquide le senti
Le besoin de prendre des aliments devint bientôt im~ périeux : elle demanda des bouillons. On épuisa ce qui s’en trouvait à l
assistants, et qui déjà se sont emparés d’assemblées entières. Si on demande à ces gens simples d’où leur vient ce subit et si
en un premier sommeil m’a paru si surprenant, que je suis encore à me demander si elle n’a pas été produite par le grand désir q
Tuileries. Dès qu’il la vit, il alla au-devant d’elle et la pria de demander tout ce qui pourrait lui plaire. • Mais, généra
’ouvre, regarde et paraît surprise. « Qu’a-t-ellc d’extraordinaire? demandai -je. * _ Vous ne me croirez pas, me répondit-ell
à haute voix : PRÉDICTIONS DE MAISTRE NOËL OLIVARIUS. » Eli bien? demanda Joséphine. «— On dit qu’il est ici question de
lité : cependant elle connaissait son monde. Elle prépara des herbes, demanda des œufs frais, et fit monter trois seaux d’eau.
ce qui distribue les sucs médicinaux, les sucs nutritifs des plantes? Demandez aux agriculteurs si les astres n’y sont pour rien
fut amenée devant le juge pour être interrogée. « — Savez-vous, lui demanda-t -on, cc qu’est devenu Michel? « — Il est mort, »
corps. « — Il est dans l’aqueduc. « — Connaissez-vous l’assassin? demanda encore le juge, entraîné malgré lui par cet accen
t de l’avoir transporté dans la campagne. » Alors je suis entrée pour demander l’aumône pour Michel, et Catherine a mis dans ma
nt, qu’ils vous reçoivent, et aucun de nous n’ira vous troubler, vous demander d’ouvrir vos portes. Vous croyiez faire du mal au
onc qne ceux qui venaient ainsi, au noin de Jupiter hospitalier, nous demander de les recevoir parmi noos? Que les hommes de b
saint Pierre, se rendant au temple, rencontra un paralytique qui lui demanda l’aumône, et que l’apôtre lui dit : Je n'ai ni or
e loast trouva beaucoup d’écho dans l’assemblée. De toutes parts on a demandé que M. de Rovère permit de publier ce qu’il venai
ier. Art. 25. — Nul membre ne pourra prendre la parole sans l’avoir demandée et obtenue du président, qui devra l’accorder dan
enue du président, qui devra l’accorder dans l’ordre où elle aura été demandée . Elle sera donnée au censeur toutes les fois qu
e scrutin. Il y aura lieu à voter au scrutin toutes les fois que la demande en sera faite par trois membres de l’assemblée.
agissent que sur les gens nerveux; c’est un effet d’imagination! » Je demanderai à M. Trousseau ce qu'il entend par imagination ;
lisant cette double appréciation du magnétisme et de la phré-nologie, demanderait : Beliversor desbelivers, who are the fools? A qu
rl. Son mari la magnétisa et la mit en crise somnambulique, et on lui demanda si elle voyait des moyens de se procurer de l’eau
é par elle pour constituer une méthode expérimentale uniforme. Leur demande d’admission doit être appuyée par deux membres,
u k la simple majorité par assis et levé, ou au scrutin secret sur la demande de trois membres. L’admission des titulaires co
et dérouter l’espoir des mesmériens, on s’empressera d’ajouter : « On demandera si le siècle de « l’homœopathie avait beaucoup à
é. Un jour, après avoir ainsi fait quelques portraits en vers, on lui demanda le sien. Elle le fit soudain, fidèle, sans ménage
qu’elle n’hésite jamais, que ses réponses sont aussi promptes que les demandes . Quand on lui donne un sujet, elle s’y attache, e
. Les genres lui sont indifférents, et voici une énigme composée à la demande d’une personne doutant qu’elle put promptement vo
i, il y a des systèmes différents qui se présentent, et si un docteur demande à faire un cours, on lui fera d’abord dire quel e
de croire à l’iioniœopatliic, et de croire qu’elle guérit souvent. Je demanderai si jamais les professeurs qui seront appelés à ju
mettront renseignement d'un autre système que celui de la routine; je demande s’il sera permis d’enseigner une manière de guéri
d’enseigner une manière de guérir qui serait contraire à la règle; je demande si un homœopallie, qui ne se soumet pas au Codex,
l y a aussi l’hydropathie. (Oh! oh! A l’amendement!) Permettez : j’en demande bien pardon à MM. les savants, qui me paraissent
n état normal, il éprouva une douleur assez vive pour m’obliger à lui demander mille pardons de ma cruelle expérience, dont ce b
En effet, comme si M. le professeur eût lu dans mon intérieur, il me demanda , dans une de nos suivantes séances, si je voulais
de mademoiselle X**‘? R. — Oui, plusieurs. D. — M. Jacotot a-t-il demandé l’avis de madame Pouson, somnambule, afin de comp
l’emploi d’aucun moyen pour arriver à cette fin. Voici, au reste, les demandes et ses réponses. D. — M. Notré a-t-il soigné ma
ne habitation isolée se présente au milieu des champs ; il y court et demande , par grâce, un seul verre d’eau. 1.a bonne femme
Laurent, donnent des représentations de mimique passionnelle. Sur la demande des spectateurs, transmise par écrit par mademois
ressions désirées. On raconte U ce sujet qu’un honnête cokney avait demandé que la pytlionisse représentât le désespoir de Ca
er d'une assez forte somme, a été le premier à prendre la mouche et à demander compte au docteur, devant la justice, de sa mysti
ses recherches, et le 2 mars 1842 il écrivait à M. Chabert, auquel il demandait des renseignements sur le lieu de la mort de Mesm
ooghly, un rassemblement considérable devant lebureau de police. J’en demandai la cause ; il me fut répondu qu’on venait d’arrêt
qu’il connaissait très-bien, suivant un étranger, il l’arrêta et lui demanda ce qu’il faisait là. Mais celui-ci, qui avait l'a
rt. 3. —Les membres correspondants sont des résidants au dehors. Leur demande d’admission doit cire appuyée de deux membres tit
t qui viendrait fixer son domicile à la Nouvelle-Orléans peut, sur sa demande , et conformément à l'article qui précède, devenir
mbres stagiaires sont des magné-tisles qui désirent s’instruire. Leur demande d’admission doit être appuyée de deux membres tit
nts. Art. 16. — Quand une expérience est terminée, tout membre peut demander à faire des observations. Le Président l’accorde
demander à faire des observations. Le Président l’accorde par rang de demande ou d’inscription, Ct selon le temps disponible.
ant (T. IV, p. 21 ) ce qu’a proposé M. Ordinaire, et nous nous sommes demandé si l’Académie a pu exercer sou in-lluence sur le
m’assigna comme témoin devant le tribunal de police ; le magistrat me demanda si je croyais possible un enlèvement pareil ; je
ssible de leur faire comprendre ma pensée ; c’est pourquoi le juge me demanda si je voulais leur montrer qu’une personne peut s
ls furent obligés de me prier de l'éveiller. J’accédai ; alors on lui demanda s’il n’avait pas quitté la salle depuis qu’il y é
t capable à lui seul d’effrayer ceux qui désirent magnétiser. Si l’on demandait de choisir un magnétiseur modèle, je le prendrais
de Bissonalk, qui fut renvoyé du traitement le cinquième jour, sur la demande de M. Esdaile, parce qu’il avait une petite toux
au hasard, à la page 229.’; «A quelle page voulez-vous que je lise? demanda-t -il. _A la page 249, répondit Maquei. ' '* _Pe
. Alors il me vint l’idée de lui parler du pauvre malade, et je lui demandai s’il croyait pouvoir distinguer à distance. Il me
rêtant vers le point oil Paul se trouvait réellement. i—Yoyez-vous? demandai -je. — Oui, je vois. i , | Ditçs ce quç. vous
■>.. -oi'I « Pouvez-vous lire ce: que madame vient d’écrire ? lui demandai -je. — Oui, je lé crois, r — Savez-vous ouest
qui se trouvent dans la poche de l’un ou de l’autre de tes messieurs? demanda M. Marcillet. — Je peux tout dans ce moment-ci,
ffàMcriheiriji -i i:j- *iqr.q9l teoüo 21107 . »768 — « Une autre, » demanda le somnambule. •.! i„t — Esquiros tira de sa poch
rose à terre, et l’on avait marché dessus. « Etes-vous fatigué? lui demandai -je. — Oui, répondit-il ; mais si cependant vous
des remèdes. Il paraît que, depuis quelque temps, M. Mochez lui avait demandé des avis, et qu’elle avait prescrit des recettes
par le jury. Les Staluts seront envoyés à ceux qui eu adresseront la demande franco au siège du jury, 12, rue d’Antin. IIOPI
e ; j’ai aussitôt posé mon livre et je suis sorti pour voir celui qui demandait à me parler; j’ai trouvé un huissier, qui de suit
nécessaire pour cette œuvre, et chaque jour, par des aspirations, il demande à celui par qui tout vit et respire, de seconder
d jour il opère, une sorte de foi est nécessaire chez les malades. 11 demande celle qu’il possède ; c’est de cette conjonc- l
de la médecine ? Elle a payé pour l’aggravation de ses souffrances et demande la punition de celui qui a voulu la sauver. 11 s’
quemment, comme tout ce que nous faisons, du reste. Nombre de malades demandent notre secours, et nous n’y pourrions suffire -, c
t notre secours, et nous n’y pourrions suffire -, c'est pourquoi nous demandons qu’on nous envoie un parent, un ami, un voisin, e
vais essayer maintenant de répondre à la seconde. Mais d’abord, si je demande comment celle modification a lieu, voici ce qu’on
ctrmam tectamur, tedpropter doctrinam autoribut adheer entes. Je le demande maintenant : ces membres du clergé catholique et
a vie réelle. Ceci n’a pas d’autre mérite que d’être vrai. Je ne vous demande qu’une grâce, lecteur : c’est de croire que, si j
une prison, la pension enfin! Jamais il ne m'était venu à l’idée de demander si celle ville était belle ou laide. Je ne savais
bout de trois grandes heures, mes deux camarades étaient là. Je leur demandai ma bonne. Ils me répondirent qu’ils ne l’avait pa
assez près de ma fin pour qu’on eûleru devoir avertir ma famille. Je demandai la lettre de mon père... Il n’v avait point de
a boutique d’un papetier pour y acheter des plumes métalliques. On me demanda un franc. Il faisait déjà nuit. Je jetai une pièc
rsque j’entendis sonner, et aussitôt on vint me dire que quelqu’un me demandait . « — Mais j’avais défendu ma porte. — Mais la per
rd Poissonnière. J’avais faim, j’entrai chez un reslauraieur, et je demandai d’un plum-pudding qui était sur un plateau, et qu
n mot, et tout cela ne lui présentait ’¡en. Pour toute réponse, il me demanda : « Où est madame de N***, je ne la vois pas. — C
i parlai de vos belles expériences, et je lui promis môme que je vous demanderais de vouloir bien l’admettre un dimanche à l’une de
sée, et que tout cela était l’effet d’une imagination exaltée. Je lui demandai à mon tour si M. B... n’avait jamais donné liqu d
lus active. Mais l’exiguité de notre local, eu égard à l’afûuence des demandes , nous oblige à restreindre les entrées aux person
présenté au ministre de l’intérieur une pétition donl l'objel esl de demander un jury de savants , pour examiner contradictoire
e voulait pas être dérangé ; enfin il ouvrit les yeux, et sa première demande fut pourquoi tant de monde l'entourait. Il se t
du matin (moment de sa mesmérisation) jusqu’à l’instant même. Je lui demandai quand il m’avait vu en dernier lieu : — Hier, r
patient, vers la fin, offrit les signes ordinaires de la douleur: il demanda de l’eau el un punkah; mais quand il fut complète
h; mais quand il fut complètement remis, environ 10 minutes après, il demanda quand el par qui il avait été opéré. — 54 décembr
ant qu’elle le faisait souffrir terriblement. Un instant après je lui demandai si Bogobun Doss lui avait dit vrai ; « Oh ! oui,
que l’opérateur changeait d’insirumenl. — Qu’avez-vous, Plirosine ? demandait le magnétiseur. — J’ai Chaud ! bien chaud! —
Valette d’ètre auprès de moi ; de me donner la main comme je l’avais demandé . (MM. les médecins avaient insisté pour qu’elle n
licables, et cependant qu’il est obligé de les constater. » Vous me demanderez , chers lecteurs : Mais quel miracle produit donc
puissance inagnélique en agissant sur un de nos amis, qui a fini par demander grâce au milieu des éclats de rire de l’assemblée
cès. Si j’eusse connu le mode d’agir de M. el Mme Hermann, au lieu de demander un t, un s, un b, j’aurais demandé quel objet lou
de M. el Mme Hermann, au lieu de demander un t, un s, un b, j’aurais demandé quel objet louche monsieur? quelle carte a-t-il d
rtés sur les cas de diagnostic obscur, et c'est à cette science qu'il demande des notions sur la nature des maux qui affligent
r rend l’opération nulle, el que pour le succès de celle opération on demande une disposition particulière chez l’individu, on
arrêter ni le décourager ! Combien y a-t-il ,1e magnétiseurs, je le demande , qui auraient été disposés à en faire autant? Il
ants ont dans leur poche, el mille autres niaiseries semblables!!! Ne demandez pas à de telles gens de consacrer une partie de l
dont ils sont capables, de l’application du principe mesmérien; je ne demande pas qu’ils fassent plus que leurs forces, leur te
nos investigations plus avant, sinon, non! Jobard. Nota. — Sur la demande de collaboration qui nous avait été adressée par
satisfaire. Tout tressaillant, plein d’émotion, il semble par gestes demander grâce; je cesse l’opération : elle était complète
voix : — Otez ce miroir, dit-elle, j’y vois la mort. — La mortde moi, demandai -je? — Non, la mienne. — Et, s’élançant de nouveau
n* ne se soient qu’en partie justifiées à leur égard. M. le président demande à la prévenue : « Qu’avez-vous à répondre ? «
14 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
il prie même les personnes qui l’entourent de venir à son aide, et demande qu’on lui frotte le ventre. Aussitôt après la f
(c’est son expression pour désigner le mulâtre), tantôt à Fidèle. Il demande à son ennemi ce qu’il lui a fait pour mériter sa
lui du Dr Deléry « prévoyait et annonçait le retour de la crise », et demandait qu'on lui f\l des friction*...: C’est que l’intui
lle avait bon appé- tit, niais qu’elle ne mangeait pas trop. Je lui demandai si elle avait été jamais purgée, elle répondit qu
luit dans les ténèbres, devons-nous fermer les yeux ? i Novateurs, ne demandez jamais que l’on vous croie sur parole; justifiez
euse. Nous n’aimons pas voir se produire en public des mystères qui demandent l’isolement et le respect. On semble.prendre à
50. 4 « Pouvez-vous nie dire, madame, quelles sont mes occupations? demandai je à Mme Gournay, qui me voyait pour la première
.,Vna personne qui errât avoir trouvé utl spécifique contre la goutte demandait l’avlg de Ib dortaeuse Stir ce moyen, celle-ci lu
our y recueillir des minéraux, des plantes, des animaux auxquels elle demande des forces médicatrices. Nous allons au loin cher
ment qu’il en est ainsi, quand cependant cela nVàt pâs..... Quand oïl demande à plusieurs, s’ils savent comment eSt telle chose
x observateur, de vous soumettre quelques objections sérieuses. Je ne demande qu’à être persuadé, et je vous avoue franchement
mes avec le» nerfs placés sous sa direction immédiate. » Je me suis demandé , cher confrère, si ce ne serait pas cette connexi
la reconnaissance du fluide magnétique dans le somnambulisme. Je me demandais si, dans mes recherches, je n’élais pas tombé sur
n arrive à son tout-, répond aux interrogations. Le premier venu peut demander une apparition : les ombres complaisantes ne se f
cette question, leur bouche sera close et leurs voyants déconcertés. Demandez au moins qu’ils se transportent en plusieurs lieu
du résultat désiré. A M. Hébert (de Garnay). Monsieur, Vous me demandiez , dans votre dernière lettre, quelques renseigneme
udence sont un consentement écrit des parents , ou bien une lettre do demande (cela servirait au moins de pièco à l’appui, comm
es somnambules que j’avais déjà vues, me prévint en sa faveur. Je lui demandai le motif qui m’amenait auprès d’elle. Voici la ré
onneur de la science, je vous fais une large part, puisque je ne vous demande que deux réussites sur dix expériences. Vous ne
ues, les billets d’invitation que je délivre pour ces séances me pont demandés par les personnes qui veulent bieo y assister (i)
e n’est éloignée de plus de dix lieues de cette vrllé; ét je n'ai pat demandé un maravédit à aucurte d’tHes. Au lieH de s’infor
re soulevé. L’imâgiha-tfott se perd devant cette persistance; ellé 8e demande et elle mirait une base, ou si elle n’est qu’une
't'fcpérfteùéèS. !l 1 *t !•. " ' « Urte dernière expérience iüe fut demandée pàr lé président. *' « Mttnaleut-, tné dit-il
, i tfadn choix, un objet que je me contenterai de vous montrer; je demanderai moi-même à votre sujet la nature de cet objet. Es
as par le raa-cç guétismç, si vpu? y consentez, bien entendu, nous ,« demanderons à qetle jeune personne quel £st votre mMcret. .
duite gur le s\yet p^r ce sçmmeil instantané fut un peu apaisée, je demandai la permission de poser une question. « Mademois
temps après mon départ? « — A peu près deux minutes. « — Et cette demande a été faite subitement? « — Porte?-moi fiu jwdi
rrai, grâce à lui, parler aussi facilement en vers qu’en prose*. Je demandai comment, au jour indiqué, s’annoncerait celte mut
oure de mystère, commence par donner ses soins gratuitement ; puis il demande un peu d’argent, en donne quelquefois aux plus pa
tre tout le monde à genoux, et commence à frotter le cadavre, puis il demande à l’emporter chez lui, où il veut le soumettre à
déposé le témoin ; tout ce qu’il a fait était pour guérir. Quand il a demandé le corps de l’enfant, il le considérait comme mor
morceaux de papier blanc en disant : h Ayez bonne confiance. » 11 m’a demandé les 10 fr., que je lui ai donnés en lui disant qu
évérer comme une hostie, et d’y avoir autant de confiance. « Je lui demandai si je pouvais retourner à la mer, il me dit que o
fr., mais il avoue avoir reçu plusieurs lois loir, cl 20 fr. ; il a demandé 100 fr. pour une consultation, mois ne les a pas
oin d’en manger un petit morceau avec ses aliments. M. le président demande au prévenu s’il n’a pis suivi un traitement dans
visite, Riéder lui a remis un morceau de papier blanc magnétisé. 11 a demandé 10 fr., qui ont été payés. Inutile de dire que le
er les membranes muqueuses : les harengs produisent cet effet. S’il a demandé de l’argent, c’est pour se débarrasser des import
» C’est la maxime de J.-J. Rousseau et des sages de l'antiquité. Il demande à faire entendre comme témoins les personnes qu’i
quer sur la poitrine un cataplasme de bouse de vache; il ne lui a pas demandé d’argent. Le prévenu a suivi ce traitement pendan
’appliquer sur l’estomac un cataplasme de fiente de vache. Il m’avait demandé de l’argent; mais comme je n’avais que 10 fr. sur
veux; il en a reçu jo fr. pour une séance magnétique; il ne lui a pas demandé d’argent; mais il lui a dit : « Comme Dieu est bo
« I.a demoiselle a dormi pendant cinq heures. — Est elle lucide? lui demandai -je. — Non, pas cette fois; car je lui avais donné
. par mois, et un concierge à i fr. 5o c. par jour. M. le président demande au prévenu à l’aide de quels moyens il comptait
de Riéder, qu’à l’égard des femmes Pichon et Fourier; toutefois il se demande si le prévenu est parfaitement sain d’esprit, et
magnétiseur. « — Oui, reprit-elle, le a3. « — Qu’en pensez-vous? demanda-t -il à l’autre. « — Amélie se trompe, répondit ce
é qu’il ait pu apporter d’Europe. C’était peut-être un de ces cas qui demande un certain exercice du courage moral, et nous som
résentait, elle écrivit le nom du jeune homme. « Pourriez-vous, lui demanda-t -on alors, voir où il a caché les billet» et l'arg
police, où il raconta ce dont il avait été témoin. « Vos soupçons, demanda -t on à celle-ci, se portaient-ils bien réellement
lus, à l’état de veille, il ne les comprend pas et il est obligé d’en demander l’explication à celui qui les possède. Elles ont
it quelque chose de grandiose , qui étonnait agréablement, et l’on se demandait avec joie : si le nombre des ma-gnétistes continu
ation dont nous jouissons, toute imparfaite qu’elle soit, a cependant demandé plusieurs milliers d’années pour s’établir. « M
sentiment par M. Bonnellier, que, d’une voix unanime, l’assemblée en demanda une seconde lecture, Eugénie Foa dut jouir en ce
provoqué divers applaudissements, M. du Potet, reprenant la parole, a demandé à porter un toast au somnambule Alexis. Il a dit
oint elle qui prie? Et, dans sa prière, que voyons-nous? Un vœu , une demande ; et si Dieu ne répond pas toujours, la nature sup
la nature suppliée ne peut-elle point d’clle-même accorder le secours demandé ? Pourquoi donc serions-nous ingrats , et manque
iser, à laquelle il donne le nom de Magnétisme français. « L’auteur demande que cette note soit déposée aux archives de l’Aca
mouvement perpétuel ou la quadrature du cercle. « L’ordre du jour, demandé par plusieurs membres, est mis aux voix et adopté
ion unanime. M. de llovère, touché de tant de marques de sympathie, demanda d en exprimer ses remerciements. Il dit que, fi
urent applaudies chaleureusement. A ce moment, Mmc Bulté se leva et demanda ù exprimer, au nom d’uno députation del'Aube. les
du Potet avec tant d’elfusion , que tout le monde en était ému. II demanda à lire un poëme incorrect, dont l’idée cl les exp
s. Vouloir chercher dans la vie autre chose que la vie elle-mônïe, et demander à la poussière des tombeaux la pensée qu’on ne lu
e de Mutius Soo-vola. Pierre Paul Doussin, âgé de trente ans, ayant demandé la main d’une jeune fdle qu’il aimait, fut ajourn
ces de conscience de ce qui se passe autour d’elle. Sâ mère lui ayant demandé de lui serrer la main, qu’elle avait mise dans le
n’est en crise que parce que son âme est détachée de la matière, vous demandez : « Comment l’âuie, affranchie des entraves cor
eillait les objets que les spectateurs lui présentaient à l’envie, et demandait de loin â la somnambule quels étaient la chose, l
éiisme qui le mérite A tant de titres. C’est ce qu’ils n’ont cessé do demander , parce qu’ils savent que le meilleur moyen de se
r m’admirer; ma maison élait environnée d’une foule de malades qui me demandaient ma bénédiction (sic), on s’agenouillait devant mo
urtout de nombreuses let-très dans lequelles une foule de provinciaux demandaient , qui la recolle pour établir, sans aucune se- c
l parti, qui serait président, empereur ou roi? Enfin il y en eut qui demandèrent des talismans. La réponse suivante, conservée aux
sieur Mongruel, instituteur primaire dans le département de l’Eure, a demandé aux pratiques du magnétisme une existence qu’il d
er richement un enfant naturel, âgé de dix an9. La dame Lemoyne ayant demandé à la somnambule si son mari n’avait pas eu d’enfa
t dame Mongruel, sollicitent la remise après vacation, en basant leur demande sur ce que des affaires semblables à celle qui es
pied, et que, se trouvant là, elle avait eu la fâcheuse idée île lui demander si je lui faisais des traits, ou si je me comport
enfant naturel de dix ans, que j’aurais eu d’une maîtresse. — Je vous demande un peu si, depuis deux ans surtout, par le tracas
de ses annonces l’adresse de quelque somnambule des plus lucides, qui demande au public son argent, en retour des mille merveil
ience, qui font des efforts visibles pour n’y pas succomber. Sur la demande de M. le commissaire de police Truy, qui occupe l
sources d’eau... et des trésors. » Pour découvrir des trésors, elle demandait qu’on lui assurât le tiers de ce qu’elle découvri
ajuscules O. T. O. M., d’où cette dame a pris le surnom d’Otom. On se demandait ce que signifiaient ces majuscules. Etaient-ce de
longue fatigue physique, ou d’un pénible travail intellectuel, on se demande s’il n’est pas évident que cet homme a perdu de l
urrait faire relativement au fluide vu et décrit par les somnambules, demandent à être conduites avec une délicatesse extrême, po
ntrés dans l’application du mesmérisme; il ne voulut pas y croire, et demanda à s’assurer par lui-même de ce qu’il y avait de f
qui voudront bien mettre leur talent au service de sa cause. Sur la demande do ses adhérents, la Société, par les soins de sa
réclamations ont de fondé; mais elles menacent de se traduire en une demande de dommages-intérêls. En même temps que l’^pei-
grand prêtre, sous les traits d’un jeune homme en habit noir. 11 leur demanda quel était l’objet de leur consultation. M. Marti
ie mit en émoi toute la gente sibylline, et l’association protectrice demanda de nouveau protection, avec instance, dans une ci
surpris quelques secrets, un usage coupable dont la justice vient lui demander compte. Cethomme se nomme ClaudePonsignon; l’in
à ces divergences perpétuelles, qui font que la plupart des hommes se demandent s’il y a réellement des phénomènes magnétiques, s
ganes de la vie de relation, le repos du système nerveux. On pourrait demander pourquoi le système nerveux a-t-il besoin de repo
it, personne ne vous a vu l’écrire, vous l’avez fait chez vous ; vous demandez au somnambule de vous révéler votre secret; il pr
e où j’allais, ni ce que je prétendais faire. Arrivé chez lui, je lui demandai s’il pouvait me dire le motif qui m’avait amené e
et je vous dirai ce qu’il renferme. A peine pus-je obtenir ce que je demandais , tant ma proposition paraissait peu sé rieuse, ex
rtit les somnambules qu’il esl temps de revenir à la vie normale; ils demandent à être éveillés. Le passage d'une vie à l’autre s
e théorie scientifique ; on n’ira plus chez les somnambules pour leur demander les secrets de l’avenir; on ne comptera plus sur
s maladies dont ils ne savent pas quelquefois même le nom; on ne leur demandera plus ni prédictions ni recettes; mais on saura se
à son tour, encouragée et rassurée par la science, ne craindra pas de demander aux somnambules d’utiles et précieux renseignemen
on frère ; elle lui dit quelle venait consulter la somnambule, et lui demanda si lui-méme venait pour la consulter; mon frère l
her le chocolat ferrugineux chez le pharmacien de la rue Jacob; il me demande qui m’avait donné le remède prescrit; je lui dis
portrait commencé de ma fille était dans une chambre voisine; on lui demanda si elle le voyait, elle répondit que oui; on lui
sine; on lui demanda si elle le voyait, elle répondit que oui; on lui demanda s'il serait ressemblant ; elle répondit : « Elle
r éclairer sa religion. Mongruel. Monsieur le président, nous avons demandé l’audition de madame pour un fait capital; lorsqu
’ont pu avoir aucun rapport avec M. et Mme Mongruel. M° Jules Favre demande que deux témoins, Mrao Barotte et M. Lepresti, so
15 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
ntenu par un appareil approprié. Cinq minutes après le pansement on demande à la malade si elle veut être éveillée ; elle rép
opération est pratiquée. Sur une réponse négative, elle se désole, et demande avec instance à être opérée, l'n des assistants l
nt vivifier le domaine qu’elle fécondait dans d’autres temps. Ne nous demandez pas l’impossible; rappelez-vous que le terrible t
t « se mettre d’accord sur le siège de ces mêmes tuber-« cules. Si je demandais à ces messieurs comment « s’opère la conception,
e portai ma pensée sur un élève le plus sensible, M. Faivre, pour lut demander mentalement ce qu’il pensait du docteur. Quelque
noncé, et tout sembla rentrer clans l’ordre. Elle resta très-calme et demanda à être réveillée à cinq heures moins un quart. El
pu faire la comparaison, les effets étaient toujours plus marqués. Je demandai donc que l’enfant revînt avec moi chez sa lante,
in si Dieu vous rappelle à lui. Plus que toute chose, le magnétisme demande de la modération. M. de Puységur la conserva jusq
iences étaient satisfaisantes pour convaincre le plus incrédule; nous demandâmes néanmoins et obtînmes la faculté de les répéter.
tait autrement, à quoi serviraient les feuilles publiques, je vous le demande ? Mais je m’arrête ; j’ai pris la défense d’un fa
on enfant est sauvé. Elle s’éveilla sans conserver aucun souvenir, et demanda ce que le médecin ou d’autres avaient fait à son
si elle le voyait. a En présence d’un professeur de l’Université on demanda à la malade la description d’un couvent de la vil
uche se ferma un peu ; oubliant la situation de la patiente, je lui demandai de l’ouvrir, elle m’obéit de suite. La dent fat a
elle avait un peu plus de trois quarts de pouce de long. Quand on me demanda ce que je pensais à la fin de celte singulière op
e, et cela parce qu’elle avait ouvert la bouche quand je le lui avais demandé ; quand on me fit aussitôt remarquer queM. Garris
. Dans cet intervalle, elle devint triste et pleura amèrement. Je lui demandai le motif de son chagrin; elle me répondit : « Mes
la « reconnaissance du malade; mais ie commissaire du « théâtre lui a demandé son nom : c’est M. Théodore « Courant, qui, dit-o
ste de la nuit. « Le lendemain, je fis appeler le somnambule et lui demandai , sans affectation, à quoi il avait rêvé la nuit p
vous aviez lue ma mère, que son ombre sanglante m’était apparue pour demander vengeance. A cette vue j’ai été transporté d’une
’il ne pouvait pas rendre compte du don qui était en lui, et qu’il ne demandait pas mieux que d’êlro mis à l’é-prenve. « 11 fan
aminer les lieux; et, sans le prévenir de ce que je savais, je lui ai demandé s’il pourrait indiquer une source dans la vigne o
ous allions dire sur la sottise des hommes. Or, pour cela, on ne vous demandera point votre consenlement, on se méfie de vous; d’
vous; d’ailleurs, on n’a pas besoin de vos conseils : les bergers ne demandent point l’avis des moutons lorsqu’il 8’agitdeles to
ensemble de symptômes qu’on est convenu d’appeler inflammatoirés. Il demande à être saigné ; dans sa conviction, la saignée se
uve le fait suivant : « Une dame, adepte fervente du somnambulisme, demande une mèche de cheveux i sa nièce, aGn de s’en serv
Les expériences ont été faites une à une et successivement, sur la demande des membres de la société. La première de toute
e d’attraction entraînait celui de l’insensibilité. Eh bien , je le demande , quand la science magnétique n’aurait obtenu jusq
ssance des objets que l’on donne à son père. Mettez un autre bandeau, demandez vous-méme ce que vous avez dans la main , le tour
reflet de son visage. L’enfant répondit qu’il le voyait. Le magicien demanda un réchaud, qui fut apporté sur-le-champ, et déro
noir, U est tout habillé de noir, il a une barbe. — Est-ce lui ? nous demanda • le magicien d’un air fort naturel ; vous pouv
lai Bellier, mondrogman. Jetai dis de prendre à part Achmcd et de lui demander si, pour une somme d’argent qu’il fixerait, il vo
'Algérien. Malgré les nombreuses indications que nous recevions à nos demandes réitérées, nous parvînmes à peine à nous reconnaî
er en rage, et, au milieu de ces accès, « le forcer de répondre à mes demandes et de me dé-« voiler tous ses secrets. Quand je v
elle avait repris scs occupations de tous les jours ; et comme je lui demandai l’état de sa santé, elle répondit: «Oh ! Monsieur
norables armateurs de noire ville, prenant la main de Prudence, lui a demandé : « Où sommes-nous, Mademoiselle? — Nous « sommes
mais il est considérable si on en juge par l’empressement du public à demander les entrées aux séances mesméritechni-ques. C’est
voisiB, ânes qui vous revêtez de lapeau du lion; vieilles filles qui demandez au fard et aux pommades un peu de cette jeunesse
e. C’est le pendant du prix Bourdin. « Pour répondre aux nombreuses demandes qui ont été faites touchant le dépôt d’un billet
’influence du mesmé- risme, écrira les particularités du billet, je demande la permission de dire qu’un semblable dépôt a été
Première observation. (Suiie.) « Nous réglâmes nos conditions; il demanda quarante piastres d’Espagne et lo serment sur le
u’il ne dépend pas de M. Laurent d’en diminuer le poids. Si quelqu’un demande par exemple que le mouchoir n’ait que le poids d’
ubstitut du procureur du roi do Pri-vasme fit appelerau parquet et me demanda mon titre de médecin : je le l«i présentai, revôt
ndit faire voir dans un verre d’eau tout cc qu’on voudrait savoir. Il demanda quelqu’un de jeune et d’innocent pour y regarder,
en rechercher' le temps, qui ne se pourrait voir dans te verre. Il le demanda tout de sniteà la petite fille, qui n’avait jamai
e Bourgogne, Mme la duchesse de Bourgogne, ni M. le duc de Berry, lui demanda si elle no voyait point des figures de telle et t
ante union s’est bientôt établie, et, on se voyant si nombreux, en sc demandait si ce n’était pas là ¡la preuve du «progrès du ma
vez, Messieurs, fait preuve d’un trop grand désintéressement dans vos demandes au ministre de l'instruction publique; un homme q
d’action, deux enfin ne sentent rien. Seance du 1G avril. — M. Lovy demande si lo somnambulisme peut quelquefois revêtir les
matière, est venu satisfaire leur désir en attendant qu’ils puissent demander au bronze de perpétuer ces traits qu’ils contempl
par inhumanité, ni par jactance, etc. » « Sont-cc là, nous vous le demandons , la conduite et le langage d’un charlatan ? Si vo
es et un système complet de médecine pour la génération nouvelle. « Demandait -il une place pour lui, une récompense à scs longs
u en France, je n’ai pas « voulu les proposer ici. » « Nous vous le demandons encore une fois, reconnaisse*-vous là un charlata
éfenseurs et des propagateurs du mcsmèritrne est très-restreint, nous demandons le concours de tout homme de bonne foi, car notre
nt! Secouez donc vite votre indolence académique, car l’humanité vous demanderait bientôt compte de votre coupable indifférence.
es, un petit portefeuille porté plusieurs fois par Sixdeniers. Il lui demanda simplement : « Pouvez-vous nous dire où est celui
s intuitives. On lui remit comme à l:autre le portefeuille, et on lui demanda de quel côté on devait diriger les recherches. Bi
s. La Quotidienne du 26 mai, en rendant compte du banquet du 23, se demande « s’il y aurait dans le magnétisme quelque chose
y rester pourtant, car un doute cruel efface cette pâle clarté. Nous demandons au Ciel un miracle nouveau ; notre pensée s’élève
re ait prononcé. Puis il s’échappe, il fuit, tant il craint qu’on lui demande quelles sont ses espérances. 11 part, sa besogn
cœur compatissant et qu’il sache ou devine par instinct ce que tuMui demandes , cela suffit. Tout à l’heure ta langue cessera
issaient pas, et auxquelles ils ne pouvaient croire ; aussi m’ont-ils demandé a suivre toutes les magnétisations que j’aurai oc
ôme, ce sera prouver que vous êtes savants, et c’est ce que nous vous demandons , afin que, si les faits que nous allons signaler
, et tirez-en le papier que vous y « trouverez ; gardez ce papier, et demandez que maî-« tre Robert interroge de nouveau votre m
as un qui pût se soustraire à la nécessité d’avouer tout ce qu'il lui demandait , et par ce moyen avait forcé plusieurs innocents
aussi aveugles que toi. Regarde donc en lace tes guides peu sincères, demande -leur le fond de leur pensée!..-. Mais ils sont tr
de santé, le docteur Souberbielle, célèbre chirurgien, est venu nous demander de tenter la production de l'insensibilité sur qu
ial; hôte charitable qui ouvre sa porte à la vérité proscrite qui lui demande asile. Après connaissance faite avec les effets
n, la loi nous autorise et leurs plaintes seraient vaines. Quand nous demandons votre sang, votre or, c’est à vous d’obéir et de
matin, elle se trouva en son lit couchée; à quoi son maître ébahi lui demanda ce qu’elle avait eu. Alors elle s'écria en son la
ite fille. Pendant l’instruction du procès d llenriette, une servante demande son congé à la mère d’un enfant qu’elle gardait,
sistait à ce spectacle, un gladiateur, aprèsavoir eu la précaution de demander sa grâce, dit à son compagnon : Prends garde à ta
, elle est aussi une volupté. On a vu des hommes surpris par le froid demander en grâce qu’on ne les délivrât pas d’une mort dél
ÉTÉ PHIfcANTROPICO-MAGNÉTIQUE. Séance du 27 avril. — Huit personnes demandent à être magnétisées, et toutes éprouvent des effet
pourrait employer. La somnambule, entre autres choses qui lui furent demandées , fit connaître ce qui se faisait dans une maison
manière à dilater fortement la poitrine. Elle le fit aussitôt, sur la demande de son magnétiseur; mais ce moyen n’ayant pas été
e voulant un jour éprouver si elle avait connaissance de ce qu’on lui demandait , en s’adressant ù son ange gardien, ledit sieur c
une heure après il vit arriver la Bucaille, ce qui le surprit. Il lui demanda où elle allait; elle répondit : «J’obéis à « vos
tin commandé de ve-« nir ici par mon ange gardien. » Lui ayant encore demandé à quelle heure, elle dit : Entre cinq et six. «
lui ayant mis entre les mains un billet cacheté dans lequel un homme demandait éclaircissement sur plusieurs choses, elle répond
éclaircissement sur plusieurs choses, elle répondit pertinemment aux demandes qui lui étaient laites, sans ouvrir le billet, et
ches obligeants sur ce, qu'ayant ôté malade, elle ne 1 avait pas fa:t demander dans le cours de sa maladie, il lui citn « -Ne «v
aux questions des poursuivants lurent telles qu’il suit. Comme on lui demandait par quel art elle pouvait dire où se trouvaient c
e sortait point des piqûres quand on en « relirait l’épingle. Si l’on demandait à la patiente « où elle croyait qu’on la piquait,
, et le nom de six personnes qui se trouvaient dans la loge. Je lui demandai alors quelle avait été la marche de la guérison.
e genre do magnétisation donnait de la force, du ton. Quand je lui ai demandé si, en employant cette méthode, je serais arrivé
interprète des élè- vcs qui ont suivi le cours de M. du Potel, et a demandé qu’il voulût ltien accepter le titre de président
demoiselle, que je ne vous veux aucun mal, lui dis-«je, puisque je ne demande pas mieux que de vous « voir libre et éveillée. L
vence; bercées par ses flots invisibles, vous vous y endormirez; vous demanderez toutes à votre magnétiseur de ne jamais vous réve
On vous pique jusqu’au sang, vous n’éprouvez aucune douleur; on vous demande ce que c’est qu'une somnambule, vous répondez :
oir les faits merveilleux dont le tableau venait de lui être déroulé, demanda et obtint qu’il serait d’abord procédé aux expéri
vagues souvenirs que lui laissent les extases des somnambules, il se demande si, dans cet état singulier, une série de questio
invisible. Ce point gagné, fiez-vous au conteur pour vous donner, par demandes et par réponses, une théorie très-vraisemblable d
sion profonde; des cinq lutteurs un seul se déclare non convaincu, et demande à recommencer seul l’expérience. Il est déféré à
aincu, et demande à recommencer seul l’expérience. Il est déféré à sa demande . Il se place, une jambe en avant, de manière à él
Cependant, sa défaite étant évidente pour tous, l’assemblée en masse demande qu’il soit passé outre. Séance du 10 septembre.
cle très-justement pensé : « En 1827, M. Paramelle, curé de Cornac, demanda 600 francs au conseil général du Lot. C’était pou
endant il ne voulait pas spéculer. Pour tout concilier, il se borna à demander 10 ou 15 francs par source indiquée ; un autre en
orna à demander 10 ou 15 francs par source indiquée ; un autre en eût demandé 1,000, et cela les valait. Maintenant, nous voudr
elle imprime aux faits un caractère presque divin. On s’est souvent demandé : qu’est-ce que la vie ?Ce qui la manifeste ne pe
bli acquiert dans ce milieu la force nécessaire pour accomplir ce qui demande de grands efTorts, efforts bien au-dessus de sa p
de ce qui se rapporte au magnétisme ne vous est indifférent, je vous demande la permission de vous soumettre quelques idées qu
i donna un morceau de pain. Quelque temps après, un second vint aussi demander du pain; la fille lui en ayant refusé; il s’en al
voir se lever; elle était couverte de plaies. La famille se réunit et demanda une séparation, craignant avec raison qu’un sort
fait ce que nous appelons des miracles 4 « Ainsi, quand nous allons demander au médecin la santé, contrairement à toutes les l
opère. « Eh bien ! vous qui avec cette force magnétique, je ne vous demande pas ce qui sera dans mille ans, je vous demande :
agnétique, je ne vous demande pas ce qui sera dans mille ans, je vous demande : Demain, qu’arrivera-t-il relativement aux objet
e et frappe l’innocent; que voulez-vous? c’est une réforme qu'il faut demander au pouvoir, et on l’obtiendra, non pas de suite,
Son Excellence, par la rue des Anges. Le premier qu’il rencontre lui demande ce qu’il a ; il ré- pond : Une douleur enragée
pour rendre la loi, ils ne consultèrent point les populations; on ne demanda point l’avis des gens qui, dégagés d’intérêts, po
e dont on venait de paralyser l’ouïe, et qui, lorsqu’une personne lui demanda : . « M'entendex-vous? * répondit: « Non, je ne v
onsidérait attentivement son ventre pour découvrir ce qu’on lui avait demandé ; elle no put y parvenir, quoiqu'ellcsentîl et ind
convaincre les antagonistes qui se présentent ou les indifférents qui demandent simplement des preuves. Maintenant que nous n’a
ortir devant vous, sur vous-mêmes, lus plus étonnant» phénomènes. * Demandez -vous son utilité? Voici guéris nombre de malades
yeux sans mot dire! Ah I je vois votre trouble, votre embarras; vous demandiez des preuves, et celles-là vous accablent... Inévi
avait considéré cette affaire sous un aspect plus grave, se borne à demander une condamnation pour cause d’cxercico illégal de
16 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
coup d'autres phénomènes peuvent ne pas avoir lieu, même quand on les demande exprès ; mais les deux catégories citées apparais
s des bords. On attend 15, 30 minutes, parfois plus longtemps, sur la demande du médium (exprimée souvent par quatre coups, qui
laquelle nous tenons les mains, s'élève et retombe toujours, enfin je demande , et M. Starynkiewicz traduit en italien, que nous
l'apparition dura quelques secondes. Alors, très étonné et ému, j'ai demandé à toucher cette main ; trois coups de table (qui
ommeil est souvent agité, elle appelle sa mère pendant son sommeil et demande à boire. Dès le premier jour j'obtiens facileme
sommeil est obtenu de la même façon en 15 secondes. J'ajoutai sur la demande de sa mère des suggestions concernant le caractèr
es quittait son cabinet emportant une ordonnance signée de lui. Il se demandait avec angoisse ce qui adviendrait s'il s'était tro
ervatoire, il est rare qu'un ou plusieurs élèves ne viennent pas nous demander le secours de la suggestion contre des phobies su
orde pas devant lui de questions professionnelles. Mais dès qu'on lui demande un conseil relatif au notariat, il est pris d'une
en servant un de ses clients que sa main tremblait. Pris de peur, il demanda à s'absenter quelques minutes, mais ne revint pas
main moins sûre. Le léger tremblement de main l'a inquiété, il s'est demandé si sa réputation d'ouvrier habile n'en serait pas
acte déterminé. Il n'est d'ailleurs jamais venu à personne l'idée de demander l'internement de ces malades dans un asile d'alié
qu'elle était affectée par l'action caustique du médicament, nous lui demandâmes si l'irrigation la brûlait, « Nullement, fut sa r
ed sinapisé ; pendant ce bain de pieds il prononce quelques mots pour demander à manger; mais les mots qu'il prononce, quoique a
it radicalement guéri au bout de quelques semaines. J'étais obligé de demander un temps assez long pour arriver au résultat prom
droite (où j'avais caché entre les doigts le papier avec l'herbe), je demandai si elle se sentait très fatiguée. Eusapia fit sou
chacun de ces nombres. M. Siemiradzki expliqua à Eusapia ce qu'on lui demandait , je choisis une des enveloppes préparées par mon
pe 12 coups, j'affirme exprès, que j'en ai entendu 13. M. Siemiradzki demande si ce n'était 14 ; réponse négative; 13, réponse
allongée pour contrôler à son tour ce que je faisais des miennes. Je demandai à l'autre contrôleur, s'il sentait le pied du méd
emi-heures. Mais M. Glowacki ne me démentira pas, si je disque je lui demandai s'il contrôlait mon pied gauche, et qu'au moment
t employer, d'une façon sérieuse, l'action curative de la suggestion, demandent d'abord au patient une situation qui dispose au s
vations de Schaffer ayant été faites sur une hystérique, on pourra se demander si les contractures n'ont pas été suggérées d'une
une famille entière composée de cinq à six personnes, dans sa prison demandait sans cesse à ses gardiens « ce que les journaux d
ne conscience réelle. par répondre, sans s'éveiller, à ce qu'on lui demande , et du même coup il devient cataleptique comme le
nts. La lumière était très faible. « Eusapia — écrit M. Reichman (') — demanda au Dr Heryng, qu'elle considérait comme « sympath
t pas ; car elle s'adonna aux phénomènes habituels. Mais bientôt elle demanda une épingle et la jeta par terre, la disant trop
endit ainsi impossible de trouver l'épingle que j'ai vue, quoiqu'elle demandât elle-même, et avec effronterie, qu'on fit des rec
difficile d'introduire un fil dans l'appareil à l'aide de la tête, et demande à M. Reichman pourquoi, étant contrôleur d'Eusapi
tions nerveuses les plus variées. Les malades sont endormis, sur leur demande , en présence de nombreux médecins et étudiants. D
ine, et là, tombe évanouie. Une heure après, elle reprend ses sens et demande son enfant. On tarde un peu à le lui montrer; ell
re; ses traits exprimèrent comme de l'angoisse, de la peur. On lui en demanda la raison ; elle refusa de répondre. On insista
le d'impression, ça m'est désagréable de le voir. » Et pourquoi ? lui demanda-t -on. « Je ne sais pas, ajouta Louise G..., je l'ai
: « Je n'ai plus de mal, je suis guérie par la grâce de Dieu ! » Elle demanda ses* habits, se leva à l'instant et alla rendre g
le tremblement du corps entier et les convulsions, excepté quand elle demande la lumière elle-même, car alors son attention en
ue nous connaissons déjà. Elle exige la formation de la « chaîne » et demande que les assistants s'entretiennent entre eux : pe
ènes médianiques, comme toute autre catégorie de phénomènes naturels, demandent un ensemble de conditions déterminées et appropri
expérience aux conditions de l'existence même du phénomène, et ne pas demander à la lune de s'approcher de la terre pour que les
m ;Polognerusse), que je connais personnellement, une lettre où il me demande de mentionner les expériences médianiques, faites
ur en chef de la Revue de l'Hypnotisme, je fais volontiers droit à sa demande et j'extrais les détails suivants de deux numéros
iolent mal de tête. Avant l'expérience, les assistants mirent, sur la demande de M. Szydlowski, des questions écrites dans une
dit-il ; ce que je sens est horrible ». Le prêtre le regarde, il lui demande s'il croit fermement, et quand le patient eut rép
ans le rang et redeviennent des praticiens plus ou moins célèbres. Il demandait , dans l'intérêt bien entendu de tous ceux qui se
libre. (1} il y a quelques années, deux Ecoles dentaires, sans rien demander à l'Etat, ont organisa a Paris un enseignement pr
i agrégés ni pourvus du moindre enseignement officiel, sont honorés demandés au budget, jamais l'enseignement des Écoles denta
de voter la suppression pure et simple de l'agrégation, comme nous le demandions dans notre proposition. Mais, à peine ce vote éta
médecine, n'avait satisfait personne. Ceux que favorise le succès se demandent eux-mêmes si le résultat obtenu mérite bien la so
s ministres passent, mais le directeur de l'Enseignement reste. Il se demandera s'il est bien logique, à une époque où la Faculté
der, à leurs risques et périls, la carrière de l'enseignement. Ils ne demandent qu'une chose, c'est, après s'être munis d'un titr
ister incognito à quelques-unes des séances du concours actuel. Il se demandera d'abord pourquoi beaucoup de médecins éminents, q
ion garda souvent le silence ; d'autres fois elle prit la parole pour demander l'érection d'une église en ces lieux, pour exhort
ique éminent dont le monde savant déplore encore la perte prématurée, demandait à voir repousser un membre (') avant de reconnaît
gendrées sur place. Et, pour cette opération, il faut deux choses qui demandent du temps : le courant sanguin doit apporter des m
plus fort, dans son habitude invétérée. Le 6 août dernier, il nous demanda s'il n'y avait réellement aucun moyen assez puiss
de pratiquer l'hypnotisme ; 2° Ils ne peuvent le faire que sur une demande , signée devant témoins, par la personne à hypnoti
ler janvier 1895, en remplacement de M. le Dr Beaunis, relevé; sur sa demande , de ses fonctions et nommé directeur honoraire.
souvent plus légitime que l'autre. Qui de nous est vraiment vertueux? demande le Vautrin de Balzac (1) Que d'actions reprehensi
ève Gérard, qu'il força de boire. « Je le rendors de nouveau et lui demande à qui il a porté le premier verre d'eau. — « A M.
on pas qu'il fasse des réflexions sur la nature de la chose qu'on lui demande ? Pourquoi N.... qui sait qu'on le soumet à des ex
victime, qu'elle voit étendue à terre, baignant dans son sang. On lui demande si ce n'est pas moi qui lui aurait suggéré l'idée
a soif. Mais M. D... fait une question que je n'avais pas prévue ; il demande ce que contient le verre qu'on lui présente. Avec
Il faut alors que je rectifie ma suggestion. Je dis-: « Si l'on vous demande ce que contient ce verre, vous direz que c'est de
habituels, automatiques, sont inconscients. Mais on peut encore se demander s'il s'agit là d'une proximité définitivement éta
erveux. Les années s;écoulent, et rien d'anormal ne survient. Je me demande si je n'ai pas fait une erreur de diagnostic. Mme
pas être plus mauvaise que les nombreuses que l'on prône aujourd'hui. Demandez plutôt aux chauves. Je crois que sur ce point la
fallait que celle-ci eût sous les yeux ou dans la pensée la solution demandée ; sinon l'enfant restait muet. Le père en conclu
n cache à son insu sous les meubles, dans les tiroirs, etc. Si on lui demande ce que contient une bourse, il mentionne jusqu'au
Curier, dans un travail lu devant l'Académie de médecine de New-York, demande l'application de peines corporelles pour les mari
uvent interrogée à propos des illusions que je lui donnais. Je lui ai demandé , par exemple, si quandje me faisais apparaître à
ermer la main, ils se heurtent à une résistance énergique. On va me demander pourquoi J... n'a pas poussé jusqu'au bout la f
pendant qu'il l'embrassait. Mon gendre sorti, je rendors J... et lui demande pourquoi elle ne m'a pas obéi. « Je ne voulais pa
ansformer un somnambule en un instrument avantageux de crime ! J'ai demandé à nombre de personnes, à des magistrats entre aut
nd même on recueillerait des faits positifs, il resterait encore à se demander si l'on obtiendrait d'eux, mis en somnambulisme,
histoire. Car, quelques jours après, je recevais une dépêche qui me demandait en hâte. La malade avait une crise violente, le m
, déjà dépassée, était insuffisante, et, en désespoir de cause, on me demandait de tenter la suggestion. Plus rapidement que je
r un acte par la croyance au succès. Une objection se présente : La demande de pluies et de récoltes abondantes est bien évid
formule spéciale, que Macrobe nous a conservée, et dans laquelle ils demandaient aux Dieux de la cité de venir à eux. Les batail
simulateur, retourna à Lourdes et guérit encore. Est-il possible, me demandait le P. Norguès, qu'un homme jugé malade pendant si
les-mêmes être parfaitement sous l'influence de l'élément nerveux, je demanderai pourquoi M. le Df Boissarie se refuse obstinément
j'estime qu'ils s'expliquent sans faire intervenir le surnaturel, je demande seulement que ces miracles soient constatés plus
Nous sommes ainsi conduits à examiner le texte de la loi et à nous demander sur le second point de l'argumentation de MM. Plo
du consul espagnol de Genève, pour se présenter devant la commission demandée , il ne lui fut plus soufflé mot de cette affair
eux cas identiques extraite d'un journal médical allemand. Je me suis demandé bien des fois comment avait pu se former une si é
pnotisation, assoupir ou éteindre sa coupable passion, elle venait me demander d'entreprendre sur cet homme un traitement occu
m'avait dit que son fils était incapable d'épeler correctement et me demanda si je pouvais l'aider. La séance suivante, je s
e mot se graverait si profondément dans sa mémoire que. lorsqu'on lui demanderait d'épeler un mot, il en verrait distinctement chaq
excessive irritabilité nerveuse. 2e Cas. — Une dame âgée de 68 ans demande quelque soulagement à un eczéma du cuir chevelu d
, qui avait légèrement gelé les joues de la patiente. Quand elle me demanda mon avis, je l'envoyai à un dermatologiste. Au
tude de se ronger les ongles échappe à l'empire de sa volonté. Je lui demande de (1) La malade n'a pas cessé pendant ces jour
ine rentrées dans la case-infirmerie, elles sentent venir la crise et demandent la présence du Père. Le garde-malade m'appelle, j
la difficulté en pareille matière provient de ce que le transmetteur demande l'énervement, la surexcitation de la salle, alors
nt rapport à la suggestion de petits actes délictueux, j'accédai à la demande de ce collègue. Nous convînmes de faire faire u
e ; on ne tint pas compte des nôtres, et l'on refusa même l'expertise demandée par la défense. Mais ce n'est pas tout, Nous en
nous parait mériter les honneurs d'une reproduction in extenso. On se demande comment les professeurs de la Faculté de Médecine
et à exercer votre mémoire, et brusquement, sans transitions, on vous demande un travail original ! Pour intelligent que vous s
alement quelque chose de mauvais, mais de personnel. Plus avisé, vous demanderez un sujet à votre maître, ce sera meilleur, mais v
finiment l'immortelle cérémonie de Molière. A tel point qu'on peut se demander , les soirs où l'on joue le Malade imaginaire, si
r les vertiges au cours de la neurasthénie. Nous avons cherché sur sa demande , sans en trouver d'exemples bien nets, des cas de
t de l'alcool, du vulnéraire, de l'absinthe. Dans les pharmacies elle demandait de l'éther « plein sa bouteille », elle vidait la
teille », elle vidait la bouteille d'éther devant le pharmacien, puis demandait qu'on la remplit de nouveau, ce que cet honorable
e comme je l'ai fait à Saint-Antoine après son réveil, et si nous lui demandons de décrire cette impulsion qui l'entraîne. Elle r
vait un livre caché, et dans ce livre, la page, la ligne et la lettre demandées , qu'il marquait à l'aide d'une épingle. La prat
; loin de faire évanouir sa conscience et languir sa volonté, il leur demande des efforts extrêmes, qui maintenant encore se tr
17 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
it la porte et lui fit redescendre les escaliers du Paradis. Nous lui demandâmes si elle voulait conserver le souvenir de ce qu’el
nciennes continueront d’y être soumis, à moins que les ayant-droit ne demandent la conversion de leur entrée constante en un nomb
homme dont la vie ou les œuvres ont eu quelque retentissement ; on se demande comment il est arrivé à prendre rang dans la caté
n, et longtemps je fis le sourd. Ce n’est point que je regardasse ces demandes comme indiscrètes, car moi-même j’interrogeai sou
de préférence. Aujourd'hui, je vais répondre en quelques mots à ces demandes renouvelées; on veut connaître mon passé; peut-êt
sme ; je m’y prêtais forcément ; mais, en entendant le saint homme me demander gravement : « Le Père est-il Dieu? Je répondais:
de mes parents, où il y avait alors nombreuse compagnie, un monsieur demanda qui j’étais; on le lui dit : « Oh! oh! dit-il, c'
de quoi justifier Mesmer et tous scs adeptes ; niais lorsque l’on me demandait : « Comment agissez-vous? » Je répondais: * Mette
our recevoir des conseils et des éclaircissements, on venait aussi me demander la guérison. Et, m’étonnant de me trouver un auss
rtus, je chercherai à les acquérir; mais ce n’est point cela qu’on me demande ; ce n'est pas la morale que je veux enseigner : c
utinrent le magnétisme avec persévérance et courage : on ne peut leur demander plus qu’ils ne pouvaient produire. Un sot seul pe
Marlineau, au D' Elliotson. Miss Martineau, à qui le Docteur avait demandé quelques explications sur cette cure extraordinai
n aller aux champs. Voilà des faits. Nous ne les jugeons pas ; nous demandons qu’on les examine. Il y a là, pour la médecine hu
à une nécessité logique de sa curiosité naturelle. « Aussi s’est-on demandé d’où nous venait le magnétisme, qui s’annonçait e
le magnétisme rencontra pour défenseurs des docteurs renommés; ils ne demandaient qu’une chose : l’examen et une commission. « La
à ce sujet, 11011 pas une leçon assurément, mais des conseils. Je ne demande pas mieux que de les suivre. « J’ai écouté avec
de sa méthode. Mesmer rejeta toute espèce d’avantage pécuniaire, mais demanda avec empressement qu’une commission vérifiât les
coup la nouvelle somnambule, avec un frémissement nerveux. — Quoi? demanda l’époux. — Je vois tout tendu de noir ici. —
à le rendre fécond. N’ayant pour lui que son courage, on ne peut lui demander d’étre habile dans un art qu’il n’a point appris.
leur confiance en lui, et à lui en donner des preuves en venant leur demander conseil sur la conduite qu’ils ont à tenir dans t
peut aller implorer le Vaudoux et lui exposer ses voeux. Celui-là lui demande la faveur de toucher le cœur d’une insensible; ce
ensible; celle-là désire rappeler à elle un amant infidèle; une autre demande une longue vie, la guérison d’une maladie, la réu
Hâtons-nous donc d’en détourner les yeux. « Si maintenant 011 nous demande s’il est vrai que ces hommes ont, pour faire le m
il arriva que ma femme et mon fils se trouvaient malades, et ils lui demandèrent des conseils. M. le président. Et ces conseils,
Le témoin. C’est la vérité. M. le président. Ne vous a-t-elle pas demandé si vous connaissiez quelques jeunes gens qui euss
s l’avons régalée de notre mieux. M. le présidert. Et vous a-t-elle demandé de l’argent ? Marinier. Je crois bien; elle vou
r. de cierges, je ne voulais que rentrer dans mes avances, mais je ne demandais rien pour moi. Conformément aux conclusions de
e est bonne celle-là ! Je. vas faire mon rapport au colonel ! Je vous demande un peu , si je laisse échapper les prisonniers?..
ise, qui est assise au banc, insiste pour sortir. M. le président lui demande son nom. la dame. Je me nomme Mme de Sénéchal.
pour une grande stalle réservée aux dames, j’ai suivi ces dames ; je demande à m’en aller, (llires bruyants ; la dame sort.)
archer. L’homme qui sait dit peu ; mais it fait voir beaucoup. J’irai demander la science à qui la possède; je solliciterai la n
eins chez eux tout sentiment du cœur. Frappe, et il le sera ouvert; demande , et il te sera accorde. Suivant ces divins précep
’en appeler aux intuitions naturelles et à la raison humaine. 11 ne demande aucune croyance pour ses révélations, à raison de
nvertir aux miracles du mesmérisme, el de mon refus d’intéresser à sa demande l’impératrice, qui certainement n’aurait pas pris
ou, TOME X. — M" 129. — AVRIL 1851. 4 au mois d’août i8.|(), sur la demande * de plusieurs personnes qu’elle avail autrefois g
t d’un objet perdu, d’une clef dont je possédais le double qu’elle me demanda . Quand elle tint dans scs mains la seconde clef,
; je lui dis que c’était mon urine qui était bien échauffée, et j’en demandai la cause. Elle me répondit : « Cela tient à l’a
es plus sérieuses : il ne fut pas question d’urine. Mroe Chapelle lui demanda si son époque ordinaire viendrait bientôt. M“e Ro
me de nos victimes. En présence d’un tel concert d'éloges, on a pu se demander s’il s’agissait aujourd’hui de constater juridiqu
ra, ¡1 est vrai, la consolation de mourir dans les régies. Mais on sc demande alors si l’humanité est faite pour les médecins,
sait constamment le même effet (I ). • Esl-ce sérieusement qu’on nous demande ce que deviendra le somnambule s’il éprouve toute
lesquelles M. Anctin recevait un traitement fixe de M™" Rose, et l’on demande comment un docteur a pu se mettre à la solde d’un
a vindicte publique. Que l’on complète ses états de services, nous ne demandons pas mieux. Qu'on fasse le relevé de toutes les pe
ivit sous la dictée les mots Eau impériale, et signa l’ordonnance. On demanda cette substance à M. Bienvenu, pharmacien, qui ré
pu ne pas exister, ou être un poison. Quoi qu’il en soit, M. Combault demanda une explication à M11" Sursin, elle répondit que
s’adressent k Mm' Rose ne se sont pas bien trouvés de* médecins , ils demandent qu’on fasse autrement qu’eux pour ne pas subir la
’avait guérie d’une grande maladie, et que non-seulement elle n’avait demandé aucun honoraire, mais encore qu’elle lui avait en
ontrôle ?... Nous faisons trop peu pour les pauvres ! Mais à force de demander pour les pauvres, prenez garde qu’il ne reste rie
ches ; car si M"" Rose s’assujettissait strictement à ce que vous lui demandez , elle ne trouverait plus de temps pour soigner un
ruit que de ce singulier phénomène, et les incrédules de bonne foi se demandaient si réellement le magnétisme existait, et s’il ava
,ooo veaux marins (le poids était d’environ i5o ton- ncaux.) On lui demanda quelles étaient les personnes qu’il voyait à bord
isseaux dans les glaces; aussitôt il en découvrit un, et comme on lui demandait d’en chercher le nom , il épela sans hésitation l
lque distance d’un endroit appelé le rivage de la Furie. « Nous lui demandâmes de regarder autour de lui du nord au sud, pour vo
voir, et qu’il n’y avait pas de communication entre eux. « Nous lui demandâmes de nous dire le nom de ce dernier. Quoique ne pou
it être à une distance considérable du rivage de la Furie. a On lui demanda s’il voyait quelques vaisseaux se diriger du côté
dont il fut témoin à l’école vétérinaire. « Un chirurgien magnétiseur demanda un cheval dont la maladie ne laissait aucun espoi
lquefois à son front, affirmant que cela augmentait sa lucidité. Il demandait même, parfois, que celui-ci poussit son haleine s
analyse psychologique du passege de cette vie dans l’autre, nous nous demandons pourquoi s’adresser plutôt au législateur (1) M
tail les deux Hermès (i) et leurs livres mystiques qu’il fallait leur demander de reproduire; c’était ces hommes qui ont préparé
ing ihe Life of Sweden Oorg, page 76. Le voici : « M. Robsham ayant demandé à la femme du jardinier de Swedenborg, si elle av
rcuter son malade et de l’ausculter dans tous les sens. Cela fait, il demande du papier et se met à écrire une prescription for
d’escroquerie fut rejeté bien loin, puisqu’il fut prouvé que nous ne demandions rien et que souvent, au rapport des témoins, nous
s nous ont donné une célébrité que nous n’ambitionnons point; nous ne demandons qu’une chose: faire du bien à ceux qui souffrent.
réjudiciables au tempérament de ses malades. « Pourquoi cette malade, demandait notre romancier Pigaull-Lebrun à un somnambule, é
générale se prononcera pour nous contre la science officielle, et lui demandera raison de son antagonisme. Comme il était beau de
Toujours elles échoueront. C'est cinq francs d'amende Que l’on vous demande ? On paiera, On rira, Et l’on magnétisera.
les détails de cette splen-dite réunion ; beaucoup de voix en sortant demandaient s’il n’y aurait pas bientôt un autre banquet. C’e
ui se livrent aux pratiques du magnétisme curatif? Pour faire à cette demande une réponse satisfaisante, nous croyons utile de
t-il être considéré comme ayant exercé l’art de guérir, si, pressé de demandes , il a donné des consultations? Le doute ne nous p
une appréciation de ce cas remarquable. PETITE CORRESPONDANCE. On demande à acheter des actions du Journal du Magnétisme; l
s témoins de ses démonstrations, et elle ne peut suffire à toutes les demandes . L’incrédulité des assistants, considérée comme
us ma dépendance m’émotionnent si fort, qu’en vous les écrivant je me demande : Ai-je bien vu? bien entendu? Étais-je bien moi
Ià? M. du Polel ne m’actionnait-il point? Je me sens tenté de vous le demander , et tu pater die mihi. Un soir du mois d’avril
que par la cloison; une jeune fdle y était au plus bas, et me faisait demander . J’entre et je trouve cinq personnes : deux jeune
’arrêtera? Dans le père et la mère, pas la moindre surprise : je me demandais si c’était bien leur fille. « Monsieur, médit t
ndrez,par l’aete de volonté bien déterminé: Je veux que ce que Louise demande soit. » Après dix minutes de silence et de réfl
etits enfants restent insensibles; et, chose bizarre, quand Louise me demande le chanl des élus, voici ses trois accolytes, aux
n verre d’eau magnétisée, elle revint peu à peu de sa faiblesse et me demanda à dormir. La mère reprit l’aiguille qu’elle ava
reçu aucune amélioration. Cet aveugle a été plus clairvoyant; 011 lui demandait trente francs pour un conseil : « J’en don- ner
à nos lecteurs dans sa plus parfaite simplicité. « Maintenant, nous demanderons à la science qui admet le somnambulisme, si elle
lheureux, pour leur prodiguer des consolations ; je ne leur ai jamais demandé ni leur qualité, ni leur titre : je recevais tout
ouvra bientôt l’appétit et le sommeil. Dans les premiers temps, il ne demandait à être retiré de cet état qu’après une séance de
ui dirent : — Maître, la foule « vous presse et vous accable, cl vous demandez qui « vous a louché? — Jésus leur répondit : — Qu
ait dernièrement que « il expliquait les faits ! » Les malades ne lui demandent pas d’explication, mais qu’il produise d'heureux
ut le succès désiré. Dans un aulre sommeil, M. Léaumont lui ayant demandé s’il pourrait la faire accoucher sans douleur, en
e ne me touche. » Puis elle s’entretint de son enfant, d’elle-même, demanda et but un verre d’eau sucrée, avec de l’eau de fl
y a quelques semaines, les livres sur le magnétisme que je vous avais demandés par l’intermédiaire de Mme la comtesse d’Elgin. J
mation qui convient mieux au banquet qu’au Journal. Du moins, ici, on demanderait des faits, et non pas tant de discours. Mais chez
quence y abonde, mais les faits y manquent, selon moi. Je dois vous demander bien pardon de vous avoir dit mon opinion, à vous
is pas encore lu quand j’écrivis la lettre dans laquelle j’osais vous demander de plus amples renseignements sur vos découvertes
ement, il a pris un air mystérieux en me disant qu’il ne pouvait rien demander , que cela nuirait à son art, que celui qui le lui
et j'enlevai les trois racines,—une des deux dents en avait deux. Je demandai à la dame si elle avait ressenti une grande doule
e prouver la vérité de mes assertions d’une manière satisfaisante, je demande la permission de faire la proposition suivante :
voir exigé préalablement la somme de dix dollars de tout individu qui demandera à èlre instruit par nous, et de cinq dollars seul
me additionnelle de dix dollars, qui n’est que le montant de la somme demandée jusqu’à ce jour pour être instruit dans la scienc
ait d’être amené par un icatch man; il me parut réunir les conditions demandées par le Dr Fiskc, il élait à peu près ce qu'on app
e son état d’ivresse. Désirant toujours qu’on tentât l’expérience, je demandai à deux de mes amis de prier Al. Fiske de permettr
ême de sa propagation. Il y a d’ailleurs des gens à qui il répugne de demander un service qu’on sait être gratuit, mais qui n’hé
fait que le sujet était un enfant incapable de jouer un rôle qui eût demandé un talent d'imitation et une adresse consommée, e
tion rhumatismale du jeune homme; mais la mère justement alarmée nous demanda d’essayer aussi sur la jeune fille, atteinte d’un
avertisse instantanément le cerveau (nous avions donc raison de vous demander quelles étaient les maladies qui n’étaient pas ne
e locaux particuliers assez vastes pour contenir tous les adeptes qui demandent l’entrée de ses séances publiques, a repris hier
t... Il « veut vous rendre cet or !... Demain il ira à l’église, « il demandera un prêtre, et le suppliera, sous le « sceau de la
e tarda pas à témoigner la plus vive surprise : « Qu’y a-t-il donc? demanda le prince. — Une grande révolution dans votre p
ille faits,je vous rapporterai le suivant: Ces jours derniers, je fus demandé pour soigner une enfant de dix ans affectée d’une
e. — Ne me voyez-vous pas entouré comme d’une atmosphère lumineuse, demanda celui qui l’avait magnétisée involontairement ; j
nquillement un quart d’heure et de la réveiller ensuite. Mon ami 1 ni demanda : « Comment vous réveillera-t-on? — Fixez sur v
tendue sur un lit, entourée de plusieurs personnes; elle se leva sans demander à être dégagée, sans témoigner de malaise. Il e
aucune réflexion sur les faits que je viens de rapporter. Je pourrais demander au fluidiste quand même, comment on peut se magné
t du corps, s’échappant par les mains, rentre dans le corps. Je lui demanderai comment la seule vue d’un ma-gnéliseur m’a soulag
s éclats de rire, puis un sommeil plutôt d’ennui que magnétique. Je demanderai pourquoi un crétin est si pou susceptible au magn
ont été observés à la fin de la semaine. Les nouveaux malades qui ont demandé à être admis sont présentés au comité et sont exa
té mesmerienne. « Nous refusons toutes les semaines des malades qui demandent à être admis à l’infirmerie, parce que nous n’avo
et quand le médecin revint il trouva une grande amélioration dont il demanda la can e 11 approuva , et dit qu’il avait été a
de parler), est correct et choisi, son accent doux et pur. Si on lui demande comment elle a appris à s’exprimer avec celte dis
__ A la suite de plusieurs consultations pour lesquelles on lui avait demandé une rétribution de 5 francs par dix minutes, la s
ra, le pèsera, l’analysera, en donnera la substance; mais si vous lui demandez de vous montrer la force génératrice et germinalr
n osera dire et faire des choses au-dessus de votre portée, sans vous demander aucun conseil et prendre vos avis. Voici donc u
ut remède pharmaceutique, dans le traitement des maladies ordinaires; demander si elle est utile aux individus privés de raison,
t ni n’affaiblissaient l’effet magnétique; pour suppléer les cautères demandés avec tant d’instance par la malade, le magnétiseu
cessé de dire sur son état et sur les voies de sa guérison. On lui demanda si en la magnétisant deux fois par jour sa guéris
en le niant, vous donnez une preuve d’ignorance que personne ne vous demande . Si votre but est d’empêcher que la vérité ne se
t, en peu de jours, elle en reçut ce que le docteur avait inutilement demandé à ses drogues pendant près de deux mois. L’autr
ux de la célèbre Mme Otom ; je me rendis à son cabinet. M. Lolmède me demanda 10 fr. pour la consultation. Je lui dis qu’il m’é
elle finit par me dire : « La personne a une maladie. » J’allais lui demander quelle maladie et les remèdes à y apporter, mais
de son lait. Pendant le sommeil de la somnambule, le magnétiseur lui demandait si la famille avait des moyens, était en état de
nce, a-t-il réveillé la somnambule? Le témoin. Non ; je lui ai même demandé pourquoi; il m’a répondu qu’elle avait d’autres s
Interrogeant sur le fait de vente de remèdes secrets, M. le président demande au prévenu ce que c’est que les pastilles n° 3,
La prévenue. Je ne sais pas ; une fois éveillée, il ne faut rien me demander . M. le président. Oui, c’est la réponse ordinai
18 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
sentiments, notre journal aura cent voix pour une, et à ceux qui vous demanderont : Où esl le magnétisme ? vous répondrez : Venez,
ne leur doit pas même un souvenir. Sont-ce des hommes inconnus qui demandent voire concours? Non! ils ont payé leur dette, cha
ce registre, qui devra être communiqué au gérant chaque fols qu'il le demandera . Art. 30. Toutes délibérations prises par l'ass
La spéculation n’étant point le mobile de nos actes, je ne vous ai demandé que juste ce qu’il faut pour nous étendre, nous p
ont permises qu’aux médecins introduits par le médecin de la cure, ou demandés en consultation. 8° Produire le somnambulisme s
e sa destinée ou plutôt elle le détourne d’une étude si nécessaire. Demandez au savant du jour s’il sait d’où il vient, où il
on, mais il détourne la tète et ne veut point sonder ces profondeurs; demandez -lui ce que c’est que le sommeil ? il n'en suit ri
t indispensable pour l’isolement. Cela dit, — Quelle heure est-il ? demanda Alexandre Dumas. — Sept heures et demie. — Bi
pour un abîme de feu, semblait un peu trop douce. — Qu’avez-vous ? demanda le magnétiseur. — Oh! ce n’est rien, répondit l
vec et déterminer au loin, par la pensée, une série de phénomènes qui demandent ordinairement, pour être exécutés et réglés, la p
choses les plus invraisemblables, comme celle-ci, par exemple, qu’il demandait 4,000,000 de francs au roi Louis XVI, pour commun
noir ! — « Qui a donné l’ordre de faire tendre ainsi cette salle? » demanda-t -il d’un ton colère. — « Sire, personne que je sac
u fugitif; je présentai cette enveloppe à la femme Cheyroux et je lui demandai : Qui a écrit cette lettre ? elle me répondit : C
e songeais à faire un voyage dont le but était important pour moi. Je demandai à la somnambule ce qu’elle pensait de ce voyage;
somnambulisme. (Adhésion dans l’auditoire.) » La femme Cheyroux ne demandait pas d argent, il fallait insister pour lui faire
plaisance accompagné une dame de ma famille chez la dame Cheyroux. Je demandai à celle-ci : Qu’y a-t-il dans mon salon ’ Elle me
es bonnets à la paysanne). Le témoin ajoute : La prévenue ne m a Tien demandé ; je lui ai donné 2 francs. » J’avais un voyage
'a guéri avec du cresson et quelques autres remèdes. Elle ne m'a rien demandé et je ne lui ai rien donné. (Mouvement d’attendri
u du magnétisme. llsontpayéla somme de 1 ou 2 fr.; rarement on leur a demandé un salaire. » Le tribunal a reçu ensuite la dép
s, le mot Tourny, et je le laissai sur la table d’un cabinet; puis je demandai à la somnambule de lire ce mot à travers le mur.
er l’aiguille de ma montre, je lui plaçai la main sur la boîte et lui demandai l’heure; elle répondit : il est trois heures moin
e consultations; je n’ai donné que des conseils; du reste, on a pu me demander tout ce qu’on a voulu pendant que j’étais endormi
ion à la vérité mesmérienne, elle a été plus sage que ceux qui la lui demandaient , car elle a obligé cette vérité à chercher un asi
l est venu, ce temps où des associations puissantes vont se former et demanderont vengeance au pouvoir nouveau. Réjouissez-vous,
nt, il faut qu’une résolution prompte soit prise par tous et qu’une demande collective fasse appel au pouvoir, afin qu’un hôp
a médecine actuelle doit être réformée, l’humanité comme la vérité le demandent à grands cris! Magnétiseurs, aidez-nous dans noir
emier à persévérer cinq minutes, au bout desquelles il devint ivre et demanda la permission d’aller se coucher; ce qui lui fut
je tins la fiole d’éther sous son nez. Au bout de sept minutes, il demanda à se coucher et il fallut le porter sur son lit.
dre de lui vider doucement son m/issiik sur la tète et le dos. On lui demanda s’il sentait quelque chose, il répondit que non.
ois. Ces hommçs étaient capables de parler et d’agir, et faisaient la demande raisonnable qu’on leur ouvrit les yeux, quoiqu’il
je me suis proposé en m'occupant de cet écrit, et c’est par quelques demandes que je commence mes dites observations. D'où pr
ue, pour justifier leur idole, ils peuvent nous dire en réponse à mes demandes . On nous dit que si les autorités juives n’osèr
été enseignée dans quelque Université ou Académie. /fis positis, je demande maintenant, où trouvera-t-on en France une académ
ce. C’est un conseil, c’est votre avis, Monsieur, que je viens vous demander sur cette question : Quel serait servir le plus
e ? Celui-ci n’en possède aucun,je vous le puis affirmer; aussi je me demande si le levain, le vert-de-gris sont connus comme t
t nous avertir que les décrets de Dieu avaient reçu leur exécution. Demandez au peuple cette vigueur des trois jours, il ne l’
rrez » bientôt, saluant l’èred'un nouveau régime, tendre la » main et demander encore des places. » C’est donc au peuple que nou
ui vous avez donné des convictions, ne pourriez-vous faire appuyer ma demande de beaucoup de signatures pour obtenir l’autorisa
être sa seule occupation. Patience donc, nous obtiendrons ce que nous demanderons , car nos vœux sont humains autant que légitimes.
la voie d’une explication satisfaisante; quanta celle que nous avons demandée aux somnambules, nous pourrions en reparler une a
vres depuis plus de quatre ans, est venu de Draguignan (15 lieues) me demander de celte eau. En raison du service rendu à l’hu
magnétique dans cette occasion, je crois pouvoir me permettre de vous demander votre protection auprès du jury magnétique pour o
Hollande; mais le roi ne disait rien. — Bref! que me conseiliez-vous, demanda le plénipotentiaire, dois-je accepter et signer l
toutes les bouches; c’est de n’avoir point assez de ce métal. Nul ne demande la science véritable, nul ne songe à posséder les
ier dernier, une dame fort malade vint de la campagne à Paris pour me demander des conseils sur sa maladie; aprésavoir causé ave
future, je croirais profaner la Divinité, qui me les cache, si je les demandais à la créature. En fait d’avenir, je ne crois qu’à
étoile ne l’éclairait jamais qu’à quelque* pas devant lui. 11 ne lui demandait ni plus de lumière, ni plus d’éclat. Son ambition
MAGNÉTIQUE. Le vénérable M. Laforgue, dont la santé et le grand âge demandaient du repos, est allé passer quelque temps dansune m
ien. Elle avait lu, par hasard, quelque chose du magnétisme; elle nie demanda si j’y croyais. Oui, lui répondisse, et je vous y
je vous y ferai croire si vous voulez que je vous magnétise. Elle ne demandait pas mieux. Je m’y mots sans avoir l’idée que co
magnétiseur dit alors qu’il était certain de retrouver les objets, et demanda combien 011 donnerait pour leur remise. — 20 fr.,
les masses. Lise/, ceci à votre meilleure somnambule parisienne et demandez -lui si tout ce que contient cet article dicté par
irement, monsieur Yankirk. V. Je le voudrais bien aussi ; mais cela demande plus d’efforts que je ne suis capable d’en faire.
us ne me questionnez pas convenablement. P. Alors que. faut-il vous demander ? V. Il faut que vous commenciez par le commenc
ou la surexcitation de l’élément nerveux, et peut-être la nature ne demande-t -elle que la concentration de cet agent dans le pr
e grande variété d’infirmités, que je faisais cesser à volonté, je me demandais si les maladies véritables, dont j’avais sous les
; merci pour le présent. — Envoi prochain vou> sera fait du volume demandé . — Les détails transmis ont tout l'intérêt requis
mphe toujours ; les hommes passent, et la vérité demeure. » Vous me demandez si je fais des cures, car, vous le dites avec rai
je ne craignais d’abuser de ses moments et de sa complaisance, je lui demanderais ses conseils dont j’aurais grand besoin, m’étant
— M. S....d. — L’absence de M. du P...t a relardé sa réponse à voire demande ; incessammcnl vous l’aurez. New-Orléans. — M. J
es environ, et voyant que ses yeux se rem-plissaientde larmes, je lui demandai comme il se trouvait. « Ah! Monsieur, me dit-il,
our, je remettais à la femme Suire, et qui avait grand soin de me les demander ; le mal diminua d’intensité avec une rapidité qui
on, et certes pas à première vue. Mais le magnétisme en appelle. Il demande un jugement nouveau et sur de nouvelles pièces. I
r delà science va plus loin; que, même au cas où le magnétisme ne lui demanderait rien, elle aurait la mission d’éclairer à ce suje
pour son propre compte, sauf les droits de la critique. Or ce qu’elle demande pour soi, elle l’accorde à tout ce qui prétend de
seulement ce qui est en affinité naturelle, il n’est pas juste de lui demander efficacité dans tous les cas, même en cas d’antip
t la matière, c’est là tout ce qu’on en peut exiger, et, puisqu’on ne demande pas non plus au magnétisme minéral qu’il procède
u’il procède contrairement aux lois qui le gouvernent, on ne doit pas demander chose pareille à l’autre. Accepté dans ses cond
noncé en public, accusa cette somnambule d’imposture. M. d’Eisenstein demanda aussitôt une enquête, et une commission fut désig
articulière. Je lui montrais l’objet à deviner et moi seul faisais la demande au sujet, ou bien le jongleur devait se servir de
la demande au sujet, ou bien le jongleur devait se servir de la même demande pour des objets tout à fait différents, sans y aj
dans des conditions telles que la fraude ne fût point possible. Je demandai d’abord qu’on devinât le millésime d’nne pièce de
nt répétées dans ie même ordre. Je remarquai alors que la formule des demandes était différente pour chacune d’elles. Cet homme
ues brochures, un journal spécial et de célèbres feuilletons, on peut demander à juste titre, de la voir apprécier par des homme
découvertes dans les régions sublunaires, ne serait-ce pas le cas de demander que les sciences spéculatives, qui vont s’appauvr
que ce médicament guérit le mieux. Frappé de cette observation, il se demanda si la propriété fébrifuge du quinquina ne viendra
sorte de réserve? Ne suis-je pas entré dans unordre de phénomènes qui demandent une longue attention et un profond examen pour êt
ses habitudes, tout ce qui enfin caractérisait celui dont vous aurez demandé la venue, et vous serez convaincu de son existenc
rituelle. Moi-même j’ai voulu m’assurer de ce fait incroyable; j’ai demandé un ancien aini, fort inconnu de la voyante et de
naturel et en faits physiques. Et ceux-ci par leur simple nature ont demandé plus de 60 ans pour y habituer la raison. Il faut
production, et nous rendons témoins les hommes honorables qui nous le demandent , de scènes de véritable magie. Familiarisant ains
des substances au plaleau de verre frottécon-tredes coussins, et l’on demande si l’on comprend la production du (luide électriq
n philosophie médicale, m’écrivait en réponse à un conseil que je lui demandais pour entreprendre homœopa-thiquement le traitemen
ng : il faut que je me borncà ce que la question a de plus simple. Je demanderai donc de suite à l’homœopaihe : Connaissez-vous la
malpropreté et du contact incessant. En achevant ce chapitre, je me demande si on pourra trouver ma critique injuste ? Je ne
de M. Boméa; nous continuons. — Le lendemain de la révolution nous demandions réparation de la mesure arbitraire dont le comman
e une rapidité beaucoup plus grande que celle de la lumière. Ou lui demande si cette planète est habitée? elle répond affirma
ion des glandes dont vous parlez? El s il nous répond : Oui; uous lui demanderons ses preuves; car le magnétisme, seul, opère souve
ors; là les objets volés et les auteurs du larcin ; ailleurs on vient demander si l’objet aimé sera quelque jour son partage, s’
ra quelque jour son partage, s’il vous est fidèle; ailleurs encore on demande des détails sur les planètes, sur la vie du ciel
mmençant, il faut mourir ! ! Quelle est donc la meilleure médecine, demanderont avec anxiété ceux qui souffrent? Cette confusion
es assertions sans fondement. Etude digne d’un philosophe, car elle demande des facultés qui doivent saisir les rapports de t
volonté de n’avoir aucun rapport avec mes ennemis invisibles, et j’ai demandé instamment aux autorités de faire en sorte «pie j
chaleur qu’il fait, aucun des Africains présents à la séance. » On demande à Abd-el-Kader comment il désire s’assurer que le
ral, l’émir se contenu d’écrire son nom en français et en arabe et de demander qu’on le soumit à la somnambule. Aussitôt, celle-
lui sert de plume, fit un signe d’approbation et de contentement, et demanda qu’on délivrât la somnambule des obstacles qui la
près qu’on eut accordé quelques instants de repos à la somnambule, on demanda à Abd-el-Kader ce qu’il désirait qu’elle exécutât
La satisfaction que venait de montrer Abd-el-Kader nous engagea à lui demander de donner un ordre nouveau. Cette fois, l’émir dé
» Après le médecin, M. le rédacteur en chef du Mémorial des Pyrénées demanda à faire une expérience du même genre. Il fut mis
fatiguée, M. Lassaigne la réveilla. » Le professeur (Ricard) ayant demandé à l’émir ce qu’il pensait des phénomènes du somna
da pas à s’établir sur cette partie du droit criminel. » On peut se demander de quels éléments et de quelles données l’on a pu
en blanc me présenter à lui, lui faire l’aveu de ma position, et lui demander grâce. Savais-je d’ailleurs de quelle manière il
e Lyon il V a environ trois ans, des renseignements nous sont souvent demandés sur cette recherche. iNous croyons devoir publier
croyons devoir publier la lettre suivante pour répondre a toutes ces demandes . Mairie (le Briguais (Rliûnc). Ii' :tl juilli-l
session du Buste dr Mesmer, j'aurais désire pouvoir obtempérera votre demande , mais (ouïes mes recherches ont été infructueuses
à l’Opéra-Comi-que, l’Intérieur d’un ménage républicain, et l’auteur demandé fut le citoyen Chastenet. Plus tard, vers 1800, i
ue je suivrai atten- tivement le traitement que vous ferez. Je vous demande même la permission de le publier, en taisant les
Le moyen que je vous indique est douteux, mais il est le seul ; il demande une grande constance. Le succès serait un ehef-d'
f-d'œuvre de l’art ; mais que font tous les magnétiseurs , je vous le demande , puisqu’il n’ont à traiter que des incurables?
Je vous aurais tarit plus tôt pour vous transmettre l’autorisation demandée , mais une absence que j'ai élé obligé de faire ,
lion. « Voyez-vous bien votre étal et les remèdes (ju il vous faut? demandait un jour M. le comte Le Pellier d’Aunay à 1111 de:
rrait de grands dangers. Je la quittai à onze heures et demie, sur sa demande , après l’avoir laissée dormant d’un sommeil magné
« Vous savez que, dans une de mes dernières lettres, et d’après votre demande , je vous faisais l’énu-mération des magnétiseurs
lequel est, du reste, un jeune homme fort élégant. Madame F-., lui demanda comment il s’était procuré ce cabriolet. 11 répon
« candeur, je lui serrai la main et n’en dis pas da-« vantage. 11 me demanda mon nom, que je lui dis, « et nous restâmes à cau
faire voir, c’est que le mesmérisme possède une vertu curative, et il demande solennellement qu’on ne l’emploie jamais que pour
ambulisme; et, après trois ou quatre minutes de repos, le docteur lui demande : — Où est votre mal? — A l’estomac. — Qu’y
u depuis si longtemps dans l’estomac devait enfin être évacué, je lui demandai , endormie : — Quand ce sang sortira-t-il? — A
Un quart d’heure. « Au bout de dix minutes, montre en main , je lui demandai i — Combien de temps avez-vous encore à dormir?
nez, et il en fut aussi désagréablement affecté que moi-même. On lui demanda s’il avait déjà senti celte odeur, il répondit qu
te démangeaison. A ce moment j’entendis un des médecins visiteurs lui demander : Boluit durd liai? Souffrez-vous beaucoup ; il r
19 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
sans espoir. Tout est décoloré pour l’homme qui souffre ; ce qu’il demande avant tout, c’est la santé. Que lui parlez-vous d
il cherchera à Vous deviner j à savoir si voüs ôtes sincère* et vous demandera jusqu’aux moindres détails de l’art nouveau. Qu
pacifique que, depuis longtemps, nous appelons de nos vœux. Nous ne demandons que ce que demandent tous les magnétiseurs : Le t
longtemps, nous appelons de nos vœux. Nous ne demandons que ce que demandent tous les magnétiseurs : Le triomphe d’une vérité
inutile, et dont, à la rigueur, il peut en effet se passer. Ce qu’il demande , ce qu’il exige même, ce sont des idées neuves, d
avec ses doigts les mucosités épaisses qui tapissaient sa bouche. Il demanda à boire, on lui en donna et le liquide passa. Une
SUR DES A M. LE BARON DU POTET. Vous me faites l’honneur de me demander quelques détails sur la petite affaire qui a eu l
de l’entendre à MM. les professeurs de l’école do médecine, à qui je demandais justice, et qui, tout indignés qu’ils étaient, n’
blié de dire que M. Pécot, professeur de clinique chirurgicale, avait demandé comme une faveur la permission de faire magnétise
le dormit parfaitement toute la nuit. Lorsqu'elle se réveilla, elle demanda à manger, prit en efTet quelque nourriture, puis
s, après avoir passé par les traitements de quatre médecins, me fit demander ; voici comment je la trouvai : bouffissure génér
'abriter contre tout soupçon et lever tout obstacle. Ne rejetez passa demande , Monsieur le Ministre, car elle resterait pour ac
ons remplir avec discrétion et intelligence la mission dont nous vous demandons le fardeau. Mais si un autre vous en parait plus
loges et nos remerciements ne vous en seront pas moins acquis, car la demande que nous avons l’honneur do vous faire est pour l
qui veulent s’instruire nous croient sincère ; c’est tout ce que nous demandons . Il m’arrivait souvent de laisser mes somnambul
it souffrant. Je lui exprimai le regret de ne pouvoir satisfaire à sa demande et l’ajournai ; il me laissa son nom, son adresse
e le hachisch, par sa toute-puissance, me transposa en e.-pagnol. Les demandes et les réponses étaient presque raisonnables et r
, et produit ce que vous exigez de lui, quand, toutefois, ce que vous demandez et voulez est dans le domaine du possible. En v
t prendre ce délicieux breuvage! —Confiez-moiceque vous éprouvez, lui demande un des assistants. — Je ne puis le rendre. » L’in
ers sont connus nous empêche de les recueillir; mais bientôt nous lui demandons si Victor Hugo n’en est pas l’auteur; il répond q
ls donne cent pulsations; les yeux sont fermés et il les ouvre sur la demandé de son frère; la pupille est moins dilatée. « 1
connaît pas. Il aperçoit des objets qui n’existent pas. Son frère lui demande s’il voit dans son cerveau; non, il est vide; pui
ccupe aucun, et que cet être est le Père, le Fils et le Saint-Esprit, demandez -leur s’il n’est pas raisonnable de croire (raison
s était tranquille. Maintenant procédons par voie d’analyse. Vous demandiez la preuve de l’existence du magnétisme, vous l’av
insupportable produite par lu carie d’une dent, qui l’avait décidée à demander l’opération. AI. Lafontaine nous a déclaré qu’i
quoiqu’il eût les yeux clos, on les lui banda avec un foulard. On lui demanda alors s’il voulait toujours avoir la dent arraché
e le magnétiseur, revenu, voulût mentalement qu’il le crachât. « Il demanda qu’est-ce qui le faisait tant cracher, et un inst
ès se plaignit qu’il lui coulait quelque chose dans le gosier. On lui demanda alors s’il savait ce que c’était, et il répondit
leine de sang, et, portant instinctivement les doigts à la bouche, il demanda avec l’apparence de la plus grande surprise si sa
pris connaissance de ces ouvrages. Réveillée, je l’interrogeai et lui demandai si elle connaissait Y Anti-gone, elle me dit « qu
coste, jeune homme de dix-neuf ans, d’un tempérament nervoso-sanguin, demande à être magnétisé. Avant de commencer, l'on consta
vant la personne qu’il veut magnétiser et à quelques pas de distance, demande au magnétisé de le regarder attentivement, et lui
que les propositions leur arrivent de toutes parts; c’est à qui leur demandera de les magnétiser. Ils cèdent promptement, curieu
omnambule! on tremble qu’elle ne s’inocule les maux des personnes qui demandent à être mises en rapport avec elle; la plus grande
ences oiseuses ou inutiles, la pureté d’une lumière intérieure qui ne demandait que de la réserve et de la prudence pour se répan
chesse; votre domaine va s’augmenter par mon labeur, et jo ne vous demande en retour que votre tolérance; me l’accorderez-vo
s découvertes et réunies remplissent les conditions annoncées. Nous demandons si l’étude géologique peut amener (!) Les journ
de, et le laissai dormir dix à douze minutes, après lesquelles je lui demandai s’il désirait s’éveiller. « Comme vous le voudrez
ller. « Comme vous le voudrez, » fut sa réponse. Jo l’éveillai et lui demandai comment il se trouvait. «Très-bien! » Je lui mont
e de déclarations aussi positives faites par un professeur estimé, on demande de loutes parts des expéricn- ces-, mais il fau
. SOCIÉTÉ DE MESMÉRISME (1). Séance du 10 avril. — Cinq personnes demandent â être magnétisées; irois éprouvent des effets va
semblait un fer chaud tenu à une irès-petite distance de la peau. Il demandes revenir à la séance suivante. L’autre, M. Baill
indéfinissable, sent ses palpitations considérablement affaiblies et demande qu’on continue tant il se trouve bien. N. B. L’
mal fût créée à la Faculté de Médecine de Paris. J’ai examiné cette demande avec attention, et je regrette de ne pouvoir y do
ait par le moindre contact étranger, et le rapport, pour être établi, demandait certaines précautions que tous les livres publiés
ns les articulations. Il s'adressa alors en persan à l’envoyé, et lui demanda les motifs de son ambassade. Deux heures après, c
tion devait sur-le-champ être mise sous les yeux de l’empereur. Cette demande inattendue me donna quelque inquiétude ; j’étai
ue ceux que je produis tous les jours? Sont-ce des certificats que je demande à ceux qui veulent bien se rendre témoins de mes
étiseur impassible; qu’il garda sa pitié, ce n’est pas cela qu’on lui demande , mais sa force. Sou œuvre accomplie, c’ost seulem
e, signée Bonfilli, un officier Irançais faisait à lord Wellington la demande d’envoyer ses lettres aux avant-postes.... 11 n
suis souvent reproché, Monsieur le colonel, de n’avoir pas eu soin de demander le nom de mon bienfaiteur; sans cela, croyez-le b
otalement incompétent. Longtemps j’ai été sceptique et longtemps j’ai demandé cui bono, lorsqu’il y a quelques mois je dus à l’
ent la question, n’est-elle pas d’une nature assez attrayante pour en demander la répé-tion immédiate à ceux de mes confrères à
nt à celui où, très-inquiet de son état, j’allais de maison en maison demander de ses nouvelles. A.-T. de Saint-Marceau. AUT
’il obtint lui amena bieniôl de nouveaux infortunés, venant aussi lui demander le soulagement ou la guérison de leurs maux ; el
tersbourg, on ne parle, on ne veut que du somnambulisme. Chacun a une demande à faire pour s’assurer des sublimes facultés des
a fait peur, il recule; l’assurance que je lui donne d’empêcher toute demande indiscrète ne peut être mise en balance avec la
ez parler des facultés merveilleuses de vos somnambules, car 011 vous demandera à vérifier les faits que vous annoncez. Vous voud
iques. EFFETS MAGNÉTIQUES LATENTS. Ces cas sont assez nombreux et demandent un examen. On ne se sent ni croître ni décroître;
é. Le philosophe Athénodore vint a Athènes; il aperçut l’écriteau; il demande le prix. La modicité le met en défiance; il s’inf
des airs tendres, el de préférence des airs religieux. L’une d’elles demanda à plusieurs reprises V Ave-il aria; alors elles a
ne dirent que leur vision seulement ; quant aux détails qu’on leur demanda , elles répondirent qu’elles n’avaient point d’exp
tes, quelques-uns mômes s’en sont cruellement repenti. Un tel pouvoir demande de la sagesse et de la prudence, et le désir de f
somnambules magnétiques, au milieu d'un essaim « nombreux de malades, demander à quitter leur « place, en disant que leurs voisi
s les fois qu’on avance une vérité nouvelle, des myopes intellectuels demandent : Cuibono? Ce récit doit leur servir de réponse.
hénomènes. On veut voir, examiner, et, la curiosité satisfaite, on se demande pourquoi, à quoi bon, puis chacun discute, affirm
x spectacle de ces transformations qui s’opèrent autour d’elle, el se demande si les nouveaux Titans, plus heureux que leurs aî
même temps, rire aux éclats et pleurer à chaudes larmes. M. Ch... lui demande ensuite l'heure qu’il est au cadran de l’ilôlel-d
ativement des croquignoles, des tapes, el, lorsque le magnétiseur lui demande qui l’a frappé, il nomme leurs voisins avec un Io
faction : « I.c voici ! » «Connais-Hi MM. Camille T... cl !>.••? demande le ma-gnéliseur au jeune Régis. — Oui. Monsieur.
Par une de ces hardiesses communes à nos adversaires, 1111 médecin demanda la parole, l’obtint, et sa bouche, «n paroles féc
re acceptée par lui. C’était peut-être un mois do son temps qu’on lui demandait , car les phénomènes psychologiques ne s’improvise
s les plus chers. En rcfasanl, M. du Potel ne reculait point, car 011 demandait une chose non prévue par lui, et des engagements
able que celui rigoureusement nécessaire à l’obtention des phénomènes demandés . En voyant une foule de jeunes ecclésiastiques
lades abandonnés cherchant remède à leurs maux, ne pourrait-on pas se demander comment il a fait pour vivre et se perpétuer? Ce
’en aile d’honnéte homme et surtout de prêtre, je devais protester el demander que, vu l’absence de MM. Du Potel et Aubin-Gauthi
manifesta unegrandesurprisede l’en-« lève ment de son poôle, et il en demanda l’explication. Nous « lui dîmes que le poèlicr ét
e immodéré, causé par la stimulation de l’organe de la gaieté. Sur la demande dç M. le docteur Mathieu on fit recommencer lécha
’à Londres, dans l’expérience citée plus haut. M. le docteur Cruxen demande à procéder lui-même; sur l’affirmative qui lui es
at de somnambulisme, à se soumettre à l'opération , ou plutôt elle le demanda elle-même avec instances. Il fut donc décidé que
e n’ai ressenti aucune douleur; je ne me souviens de rien, d On lui demanda encore : « Comment donc avez-« vous su, tout à l’
elles lui duraient une heure. Dans la séance du 15 juillet, je lui demandai la cause de ses vomissements, elle me répondit qu
lques jours après elle devint somnambule, et, dans cet état, nous lui demandâmes pourquoi e!le était si agitée dans les séances pr
mes alors de cette manière, et elle fut en effet plus calme. Je lui demandai ensuite si nous parviendrions à la guérir, el si
s son rêve les personnes qui entouraient sa mère, s’imaginant qu’elle demandait sa petite-fille, portant le môme nom, aller la ch
) Il en est adressé franco un exemplaire à toute personne qui fuit la demande iiUVunctiic au bureau du journal, rue d'Aulin, 12
son traitement; qui, sans patience aucune, s'étonne qu’une chose qui demande parfois plusieurs semaines pour se produire n’app
serez accusé d’avoir produit 1 g fait extrême que les incrédules vous demandaient avec instance. Restez à la limite où la souffranc
emps où vous pourriez raisonnablement vous le permettre. Chacun a une demande à faire, une question ù poser, une mèche de cheve
n ne vous en accorde pas; et lorsque le magnétisé est fatigué par des demandes et des questions oiseuses, vous le réveillez. Il
ne pouvait marcher, tant il était accablé de goutte, vint chez moi me demander les secours de mon art. Scs jambes étaient gonf
tourait le moribond; c’était à qui consulterait un nouveau médecin et demanderait mon expulsion. Le malade avait de la fortune, et
PÉRÉGRINATIONS MAGNÉTIQUES. Il est un âge dans la vie où les forces demandent à s’épancher au dehors; une sorte d'ébullition se
e, magnétisé par M. Simon, ne parait rien éprouver, mais quand on lui demande cc qu’il éprouve, il fait de vains efforts pour r
20 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
ans toutefois y rien comprendre. S' adressant à la malade : Je vous demande ce que c'est qu'une admission d'urgence: — La mal
e lendemain elle revint à la baraque sans son mari et cette fois elle demanda à être hypnotisée. Le magnétiseur essaya à plus
'ai cité un exemple du genre qui me paraît bien frappant etqueie vous demanderai la permission de reproduire ici en quelques mots
, promené presque nu sur la place de la Banque-de-France; il est allé demander à acheter un cheval chez un marchand de nouveauté
m'a jamais vu hypnotiser et ne me connaît pas. Je l'interroge; je lui demande si elle a jamais été endormie. Elle répond que no
côté, lui donnera de l'appétit, du sommeil pour la nuit, etc. Je lui demande si elle a entendu parler des cures de M. Liébeaul
ouvient pas; je lui rappelle alors que je lui ai parlé, que je lui ai demandé si elle avait jamais été endormie, que je lui ai
éral. Art. VIII. Toutes les communications relatives aux Congrès, demandes d'admission, ouvrages manuscrits et imprimés, etc
été systématiquement hypnotisé pour arriver au résultat obtenu, nous demandons d'autres preuves que celles qui nous sont fournie
la presse médicale et politique, l'organisation du Congrès n'aura pas demandé plus de deux mois. La séance d'ouverture aura l
» Qu'il nous soit permis de trouver cette conclusion prématurée et de demander , à notre tour, si l'échec ne tient pas plutôt à l
ser en vain toutes les ressources de l'arsenal pharmaceutique. Ils ne demandent secours au traitement psychique que parce que tou
pique ! » dit-il. Tout à coup il se tourne vers un des infirmiers et demande impérieusement un bouton à la fin de la crise, il
tits fragments du bouton. Très souvent, pour ne pas dire toujours, il demande à boire après l'attaque. avale un verre de tisane
ns la version de L..., qui fut arrêté pour complicité de vol. Je me demandai s'il ne serait pas possible d'obtenir la vérité d
éral. Art. VIII. Toutes les communications relatives aux Congrès, demandes d'admission, ouvrages manuscrits et imprimés, etc
tains médecins en sont arrivés à prendre l'hypnotisme en horreur et à demander qu'on le bannisse de la thérapeutique, comme inut
. très agité et inquiet. Il m'annonce qu'il ne veut pas dormir, et me demande si l'hypnotisme n'a déjà pas rendu des gens fous
. Claude Bernard, président de la Société de Biologie, vil dans celte demande un sentiment honnête et il déféra a ce sentiment
regret de ne pouvoir assister a la séance d'ouverture du Congrès; il demandes l'assemblée de voter des remerciements au bureau
pplications thérapeutiques des suggestions hyno-tiqúes, comme on leur demande celle des méthodes et des procédés dans l'art opé
i pas dans la voie des réformes nombreuses et utiles, je crois, qu'il demande . Mais il est un point sur lequel tout le monde es
un autre comme lui commencera à parcourir la ru orucis. M. Pugliese demande aussi l'adjonction au juge d'instruction d'expert
istence et le succès de la Société d'Hypnologie. Les adhésions et les demandes de renseignements peuvent être adressées à M. le
nts auraient-ils hérité de cette idée fausse. On pourrait également demander des renseignements aux directeurs de haras sur le
intéressants aux yeux du public médical. Toutefois, M. Herbette ne demanderait pas mieux que de faciliter les études sur les con
de guérison de mé-trorrhagies par la suggestion verbale que je. vous demande la permission de vous communiquer. La première, q
e sang que sa vie était en danger et qu'elle n'avait plus la force de demander du secours. Une amie de la malade fait appeler le
perte va s'arrêter immédiatement, et. dans une demi-heure, vous aller demander a monitor, puis demain, vous m'écrirez pour me re
t utile, je lui montre des effets heureux et j'attends qu'elle me les demande elle-même. On trouve en ville beaucoup de personn
nts problèmes que la logique en est confondue et qu'on en arrive à se demander si l'on est en pleine possession de sa raison.
osition universelle, pour rendre hommage a la science française, leur demande de bien vouloir se .joindre a lui pour porter un
ppée. Les membres du Congrès vivement frappés des résultats obtenus demandent à M. Voisin un grand nombre d'explications auxque
eure et demie, l''enfant était plongé dans un protond sommeil. A la demande de la Camille, le médecin résolut alors de pratiq
la communication de M. le docteur Laurent, plusieurs membres lui ont demandé de formuler des conclusions qui pourraient itre t
quête. Il fut très difficile au mari de me fournir les renseignements demandés . Cependant il finit par comprendre, d'après les r
é de commerce, âgé de 20 ans, Jean Marabotti, se présente a moi et me demande de lui faire l'extraction d'une loupe siégeant a
formes, t l'état de veille, pendant le sommeil physiologique et je me demande dans tout cela ce qu'est devenu l'hypnotisme qui
ur passé. (M. Bernheim fait un signe d'assentiment). Eh bien! je Le demande : comment est-il possible d'admettre la suggestio
t tous susceptibles d'être sué-ris ou améliorés par la suggestion, je demanderai à M. Aug. Voisin s'il a obtenu des résultats favo
n hypnotique exige beaucoup plus de temps chez les aliènes et qu'elle demande de la part des médecins beaucoup plus de patience
a plus basse condition, rencontrés la nuit dans la rue et auxquels il demandait contre de l'argent de satisfaire sa passion. Rete
tai ensuite les tempes, en lui assurant qu'elle pouvait répondre à ma demande : « Sentez-vous ? » Pas de réponse, c'était comme
sent des siècles, j'ai vu des hommes à la figure énergique pleurer et demander à genou un compagnon de cellule. Mais le détenu s
ser directement a Mgr. Bitter, vicaire apostolique de Suède et de lui demander quelques renseignements précis. Il lui a été ré
sollicité de chercher à provoquer des effets de lucidité psychique, demanda à la jeune X.....mise en somnambulisme, de dire
nt être ou enfants ou fous, les seuls sur lesquels est permis, sur la demande de leurs familles, exercer une violence dans le b
à sec, et le quatrième jour, elle-même, convaincue de son erreur, me demanda d'abandonner le médicament, car elle était sûre d
faut opérer dans des conditions semblables et qu'il faut toujours te demander si l'état nerveux n'a pas varié. La seconde rem
ions d'asphyxie locale ont trait à des nerveux et il est permis de se demander , si dans certains cas, i! n'aurait pas été possib
Sa mère m'apprend qu'il est question de projets de mariage et elle me demande de lui en parler pendant son sommeil. Je lui su
lle m'apprend que les projets de mariage se sont accentués et elle me demande d'autoriser le mariage que j'avais désiré ne pas
nts l'ayant en grande estime, avaient coutume de le visiter et de lui demander sa bénédiction. Il refusa dans une audience publi
rmé de ceci, il ordonna que Chihab u din fut amené devant lui, et lui demanda : « Dites-vous que je suis un tyran ? » Il répondi
n. » Chihab u din répondait : « Je ne me rétrac- terai pas: » et il demandait le martyre. Le quatorzième jour,le sultan lui env
nées. Quelques receveurs d'impôts, incapables de percevoir le montant demandé , devinrent eux-mêmes les chefs des révoltés. VI
dition épouvantable des peuples de l'Inde, nous sommes tentés de nous demanderai c'étaient eux qui étaient atteints de folie ou le
ortes de criminels méritent un châtiment sévère, mais trois seulement demandent la mort, par la loi du Koran : les apostats, ceux
les révoltes dans une place qu'elles éclataient dans une autre, et il demanda à Burny de lui suggérer quelque remède. Celui-ci
n, il n'est Jamais venu à l'idée de personne de discuter ce droit. On demande seulement que les séances d'hypnotisme soient int
allucination, elle s'était écriée : assassin ! assassin! De là à se demander si Gabrielle Bompart était une complice conscient
'avez réalisé que des. crimes de laboratoires. » Tout d'abord on se demande comment M. Liégeois aurait pu faire d'autres expé
eure à laquelle il se réveillerait, pourrait s'asseoir sur sou lit et demanderait à manger ; on lui défendit de faire le moindre mo
puis avec sa sœur. De 1887, datent les actes dont le tribunal nous a demandé de déterminer le caractère. Dans la ligne pater
utique ou dans un autre but scientifique, un questionnaire qu'il leur demande de remplir complètement ou partiellement avec tou
eurs notes ou leurs travaux d'ensemble déjà publiés sur les questions demandées . — M. Schrenck-Notzing demande d'employer dans l'
emble déjà publiés sur les questions demandées. — M. Schrenck-Notzing demande d'employer dans l'appréciation du degré d'influen
autres suggestions hypnotiques et post-hypnotique s. Notre confrère demande en outre d'indiquer les méthodes d'hypnotisation
née. Méthode jointe à suggestion employée systématiquement. On peut demander des circulaires imprimées au dr baron de Schrenck
uspecte. En particulier. ils feront bien de se garder de répondre aux demandes de subventions qu'un institut magnétique espagnol
ue ne coûte rien a ceux qui s'en prétendent les détenteurs, nous nous demandons avec étonnement A quelle nécessité philanthropiqu
dons avec étonnement A quelle nécessité philanthropique répondent ces demandes de secours. L'Espagne ne serait-elle plus assez
r : « Je ne lui donnerais même pas mon chien à soigner. » Nous nous demandions sur quoi pouvait reposer cette prévention, car l'
dans des considérations d'un ordre plus élevé. On peut, en effet, se demander si, au point de vue humanitaire, le ministre a le
près des suggestions répétées. Au réveil, il accomplit le vol. Je lui demande : « Pourquoi avez-vous volé? » — « C'est pour rep
éloigné, mon excellent confrère et ami le docteur X...., que je vous demande la permission de ne pas nommer (uniquement pour n
ire une hystérie en forme de clownisme. Le docteur et la famille me demandèrent alors à la recevoir, à Montpellier, dans mon serv
e sommeil, elle cause et répond à toutes les questions ; quand on lui demande ce qu'elle fait, elle répond qu'elle dort. Elle e
iatement une diarrhée violente' accompagnée de coliques et les selles demandées dans un délai de 10 heures apparurent d'une façon
heure fixée d'avance par la suggestion l'apparence d'une température demandée (p.ex.de 36,0 et 38, 5 degrés). Mais quelquefois
andée (p.ex.de 36,0 et 38, 5 degrés). Mais quelquefois la température demandée dans certains cas anormaux se produisait avec un
avec le somnambulisme naturel. Seulement après l'exécution des faits demandés par la suggestion faite vingt-quatre heures d'ava
qu'elle les ait une entrer. Le lendemain 38 janvier M. Krafft-Ebing demande ù la malade à fixer une montre brillante. Immédia
les jurisconsultes, adoptant cette manière de voir, ont repoussé des demandes en nullité de testaments qui n'avaient d'autre ba
riorité, au moins certaines aptitudes particulières. Le Dp Corre se demande s'il faut attribuer a cette prédominence d'un élé
e, gérant Liman; 18°- Hygiène militaire, gérant Krocker. Toutes les demandes et communications doivent être adressées au secré
à la commission de la Société de biologie qui avait été chargée, à la demande de l'illustre Claude Bernard, d'étudier les trava
est dans ces conditions que je m'approchai de U malade, et que je lui demandai si elle voulait être endormie pour guérir rapidem
té droit sur le côté gauche, et vous aurez soin d'uriner seule ; vous demanderez le bassin, et on n aura plus besoin de vous sonde
it que la malade s'était réveillée au bout d'une heure, qu'elle avait demandé le bassin, et qu'on n'avait pas été obligé de la
'appris qu'elle n'avait plus d'incontinence d'urine, et qu'elle avait demandé le bassin. De jour en jour les progrès se sont ac
aiteur, quand je suis ces deux natures depuis leur naissance, je me demande si leur évolution morale n'était pas dans l'œuf,
st la responsabilité ? Quand je suis en présence d'un criminel, je me demande quelle était à l'origine la conformation native d
en un mol. M. D.. est un concurrent qui me ruine et m'offusque. Je demande , en consé- : quence l'interdiction des séances pu
, sortie des conferences sur le « Magnétisme animal qui m'avaient été demandées par M. le Directeur de l'Instruction publique du
donc, que je fus appelé a donner les conférences dont j'ai parlé, je demandai que l'on m'autorisât à présenter la démonstration
pprendre a son école. « Payait-on l'entrée de ces conférences, « se demande M. Del-« bœuf (2). » ou bien n'avaient-elles pas
u spirituelle boutade de M. le Juge d'instruction. Nous nous étions demande en lisant la note du Temps si le Juge en question
ol. Le programme détaillé sera envoyé à toute personne qui en fera la demande au siège de 1a Société, 38 rue Jacob, Paris. Un
t réunir une commission spécial pour l'examen de tout aliéné dont ont demande l'internement. Se confermant à cette décision l
ésespérément la lutte. C'est alors qu'un sergent, très habile tireur, demanda et obtint de mettre fin à cet scène sanglante. Il
ce temps, c'est s'exposera négliger plus ou moins ces devoirs. Nous demandons donc que cette demi-heure, obtenue si difficileme
nes de catalepsie associés à des convulsions hystériques. Beaumetz me demanda d'examiner avec lui cette malade, au double point
n sur le bouton de la porte qu'elle venait d'ouvrir, pour entrer nous demander un conseil. Elle présentait tous les troubles d
carrière du commandant F... eut été brisée et l'on est en droit de se demander pourquoi il aurait été interdit à des médecins mi
de ces expériences théâtrales dont tous les journaux ont parlé. Je demande donc a M. le Préfet de la Seine, vu nom des médec
irais presque de somnambulisme, expériences vraies ou fausses, j: lui demande quelles mesures il compte prendre pour empêcher d
hôpitaux, tout en respectant les droits de la science, a le devoir de demander A l'Administration quelles mesures elle compte pr
eur de l'Assistance publique. — Messieurs, l'honorable M. Després m'a demandé quelles mesures l'Administration comptait prendre
sans danger. Les médecins n'étant pas d'accord sur ce point, je me demande s'il est raisonnable d'appeler le Conseil municip
(Rires) M.després .— Ce n'est pas la question ! M. DESCHAMPS. — Ne demandez donc pas l'avis des médecins! M. Albert PÉTROT.
e pas ; que pour être profitable. L'étude de la suggestion hypnotique demande a être complétée par des connaissances psychologi
ent hystérique. En lisant cette intéressante observation, nous nous demandions quelle objection on pourrait opposer à ce que l'e
ellée toutes les deux heures au même endroit sans qu'on se fut jamais demandé pourquoi. La circulaire ne sera rapportée que l
cuter, celle de M. Delbœuf qui prétend que l'hypnotisé sait qu'on lui demande de jouer une comédie. M. Liégeois se range complè
a lecture de cet ouvrage serait elle éminemment profitable à ceux qui demandent trop à l'esprit, et croient saisir en lui l'absol
l'esprit, et croient saisir en lui l'absolu, comme à ceux qui ne lui demandent pas assez, et n'y veulent voir qu'un épiphénoméne
ond M. Janet. est trop souvent disposé à se déclarer incompétent et à demander à la physiologie un secours qu'elle ne peut lui f
ât, à faire témoins de cicatrices possible. Il s'entend que tout cela demande beaucoup d'études préparatoires de l'exercice, un
raphique, nous nous empressons 3e faire la rectification qui nous est demandée à ce sujet. Mutisme hystérique et suggestion
21 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rasthénie est « chose vraiment fréquente » chez les vaga- bonds, se demandait « si le vagabondage conduit à l'hys- téro-neura
absolu dès qu'il s'agit des autres états. Au bout de sept mois elle demande à finir le repas qu'un changement d'état a inte
on ne propose aucune explication des faits observés et se borne à demander la publication de l'observation intégrale avec fa
sse cessant à l'apparition de crises épileptiformes ; l'au- teur se demande s'il n'y a pas dans ce cas corrélation entre les
chez l'homme et chez les animaux. Quant au traitement, on peut se demander si celui qu'on sociétés savantes. 79 applique
as souffert de cette grève, le plus grand nombre des infirmiers ont demandé dès le lende- main et obtenu la permission de r
le était son fusil de chasse. Il put questionner Mme Quentin et lui demander si cotait elle qui s'était tuée. Elle répondit
s publics d'aliénés s'ouvrira il Paris le lundi 4 mars 1907, et les demandes des candidats, à ces épreuves seront reçues au
à l'avenir les séquestrations arbi- traires. Mais, tout d'abord, je demanderai : qu'est-co [(Il() LÉGISLATION. qu'une séques
n et réclamé un spécialiste. I Au surplus, personne d'entre nous ne demandait à exercer la médecine civile ; nous n'y sommes
sultatif signifie qu'on pourra dans tous les cas négliger de le lui demander ou passer outre. D'ailleurs, même au sein de la
ps jugera les diverses méthodes. Or si l'un des médecins de l'asile demande à la Com- mission de surveillance d'organi : er
5 sections. La première a pour objet : Les placements faits sur la demande des particuliers. - La distinction entre placem
et ce certificat pourrait contenir toutes les indications que l'on demande au rapport. Par- mi ces indications,on est surp
t expliquer qu'on va, dès le lendemain de l'en- trée du malade, lui demander son avis, et quinze jours après, le lui redeman
e le certificat primitif soit établi par un médecin du dehors, nous demandons que le médecin de l'asile puisse être appelé en
fiant à sa compétence, viendra le consulter pour un .aliéné et lui demander un certificat d'admission, il sera obligé de la
a réussi à faire accepter un amendement permet- tant aux maires de demander que le transfèrement soit opéré par le personne
rmiers ne courent aucun danger. L'art. 16 autorise les placements demandés par les ma- lades eux-mêmes, les auto-placement
si précieux aux médecins, sans aucune utilité pour personne. Nous demandons la suppression du 3e paragraphe, astreignant le
si tant de monde peut requérir la sortie même avant guérison, je me demande à quoi rime le ju- gement du tribunal.Colui-ci,
semble pas, d'après le texte, que le médecin ait l'initiative de la demande de sortie, ce qui est regrettable. De plus, il
e plus, il y a une étrange restriction : la personne qui a signé la demande d'admission peut faire opposition ! C'est, à me
ment de tout aliéné, quel qu'il soit ; mais jusqu'ici les maires ne demandaient , et les préfets n'accordaient bien souvent le p
ur le malade que pour la société ; c'est la raison qui nous porte à demander un texte à la fois plus bref et plus expressif.
a guérison, lorsque celle-ci est encore possible. C'est pourquoi je demande que tout aliéné, indigent ou non, soit traité q
é pour avoir voyagé sans billet et ramené à sa famille. Lorsqu'on demande au malade le motifquiapu lopousser à faire ces
de cinq francs : on peut d'ailleurs aller plus loin encore et se demander si l'inexactitude du terme ne correspond pas à l'
u hâtée par un accident du' travail et par là ouvrir la porte à une demande d'indemnité. R. M. C. XXXI IX. - Note ssur la
réorganisation des statistiques en matière de pa- thologie mentale, demanderait une traduction et non une analyse. R. M. C. X
mieux ne pas faire voyager les aliénés délirants. M. VIGounoux se demande si le délire ne tient pas plutôt à l'in- loxica
on constata la présence d'une lésion cérébelleuse. ,\1. ,IOFFROY demande si le malade présenta de l'amnésie rétro- antér
ils se posent, relativement à l'éliologie du délire, les auteurs se demandent si l'insuffisance fonctionnelle des capsules su
n contrôlée, du psychisme infé- rieur. » Nous prenons la liberté de demander si cette définition du demi-fou ne pourrait pas
adresser les adhésions et cotisations et toutes com- munications ou demandes de renseignements au I) Long, 6, rue Constantan
lèves internes a l'établissement. Adresser au directeur-médecin une demande de nomination accompagnée : 1° d'un certificat
ent ; 3° un extrait du casier judiciaire. Toute 174 FAITS DIVERS. demande d'inscription faite après l'époque fixée par l'af
'Assistance et de l'hygiène publiques) avant le 1er mars 1907, leur demande accompagnée de la justifi cation de leurs titre
collaboration constante de tous les organes. Il n'y a donc pas à se demander si la conjugaison de deux individus ne s'est pas
p. 95). L'argument vaut ce ce qu'il vaut. Mais plus d'un lecteur se demandera pour- quoi la conjugaison de deux individus seu
'dessus du pharynx, un ganglion céré- bral simple ou bilobé». Il se demande si « de la simpli- cité de leur ganglion cérébr
résente et l'absence de tout essai d'interprétation : «Pourquoi, se demande de son côté l'Auteur de la préface, possédons-n
il être une source de différences entre les deux co-êtres ? Je ne demanderai pas comment il se fait que le cerveau droit soi
s. Chaque moitié 'aurait ses idées pro- pres ; cela aurait du moins demandé a être prouvé; car il est vrai- semblable d'apr
s villes, et envoyés à l'asile où le médecin traitant ne pourra que demander leur ren- voi s'il ne les juge pas aliénés. Du
t être dirigé sur l'asile ordinaire ; ce sera au médecin traitant à demander l'évacuation sur le quartier de sûreté, lorsqu'
journal, qui n'en voient en aucun cas le besoin ; et 3° ceux qui demandent que ces asiles soient destinés aux aliénés dang
s placés dans les asiles de sûreté n'en doi- vent jamais sortir, je demande qu'aucun médecin ne soit attaché à ces établiss
aisons, je préférerais la faculté accor- dée au médecin traitant de demander la sortie au Préfet, dès que ['amélioration du
ésigner un de ses membres pour l'exercer ; au besoin, elle pourrait demander au Préfet qu'il lui soit adjoint un membre supp
i se sont occupés de la question réclamaient depuis longtemps. Nous demandons que l'administrateur ait les mêmes droits qu'ac
de ne pas se ranger à son avis. Je sais bien que l'interdit peut demander main levée ; mais en pratique il éprouvera bien
t, sur l'avis du Conseil supérieur de l'assistance publique et à la demande du Conseil général, adjoindre au directeur-méde
que l'aliéné ne reçoit pas les soins suffisants, le tribunal, à la demande du procureur de la Ré- publique ou d'un délégué
tour de la conscience après l'évanouissement. M. Lionel 1)aoiunc se demande si la reprise de la connaissance après l'évanou
is ceux de la Seine, le prix moyen de la journée est de 1 1*1-. 15. demande de porter ce prix à un liane et il a raison, ca
e» prorogations seront autorisées par décisions préfec- torales sur demandes motivées du chef deservice. Un interne ne pourr
néral, .\1. Louis Orandvilliers, àMey7.ieu\(lsère), qui enverra sur demande le texte complet des statuts. Nous ne saurions
orat en méde- cine, certificat de bonne vie et moeurs. Adresser les demandes a M. le directeur de l'asile de Clermont. Asi
a de nombreuses idées de négation. Tout son corps est mort, elle demande « de la faire ressusciter » plie n'a plu- de ce
ns délirantes mélan- coliques. Il est très conscient de son état et demande lui-même à èlre soigné dans un asile. Il entre
es mais de courte durée, elles sont suivies de période de calme. Il demande lui-même à être mis en cellule et qu'on lui mel
-Evrard, en 159fi, il se trouve dans le même état de mélancolie. Il demande à aller en cellule car il est le grand coupable
l est toujours magnétisé, on lui envoie des courants à distance. Il demande souvent d'aller en cellule, il ne mérite pas de '
e suicide. Négativisme. .Yovembre, Nouvelle tentative d'évasion. Il demande qu'on le lue. « Il se sent mourir. » Janvier
Il demande qu'on le lue. « Il se sent mourir. » Janvier 1900. Il demande du poison pim ils Négativisme. Février 1900.
uelques observations de troubles de la personnalité que l'Auteur va demander la confirma- tion du duplicisme, après quoi il
De plus, ces actes eux-mêmes, comme les souvenirs qu'ils expriment, demandent et traduisent la collabora- tion des deux moiti
ualisme longitudinal et ne songe qu'au dualisme transversal : il se demande si leur assimi- lation est légitime' (p. 78) et
rie, suivant les besoins du moment, la capacité des co-êtres. On se demandera sans doute ce que SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU
te autour d'elle, le médecin de la famille est consulté, souvent il demande l'avis d'un spécialiste, trop souvent aussi la
livre un certificat, et sur la présentation de cette pièce et d'une demande d'admission signée par un membre de la famille
avoir constaté son identité et cille de la personne qui a signé la demande d'admission. Le certificat doit avoir moins de
du directeur de l'établis- sement, ni de la personne qui a signé la demande . Dès son arrivée, le malade est examiné, interr
r est tenu de transmettre au Préfet du Départe- ment la copie de la demande d'admission, du certificat médical d'entrée, ac
avis du médecin et quoique non guéri un ma- lade peut sortir sur la demande du curateur, de l'époux, des ascendants, des de
Chambre. Nous retrouve- rons, avec les constatations d'identité, la demande d'ad- mission, qui devra être visée par le juge
du directeur de l'établisse- ment ou de la personne qui a signé la demande d'admis- sion (art. 14). Dans les 24 heures,
conjoint, d'un membre de la famille ou d'un ami. Le tribunal peut demander une expertise contradictoire ; sa décision est
par la Chambre, offre aux aliénés. Ce ne seront pas les visas de la demande e la réduction de la durée de validité du certi
oncerne ce rapport a été ajouté au moment de la discussion, sm la demande du Commissaire du Gouvernement (1) (2). En jéal
comme atteinte d'aliénation mentale s'il leur est remis : 1° Une demande d'admission contenant les nom, prénom, pro- fes
, à défaut, de la nature des relations qui existent entre elles. La demande est écrite et signée par celui qui la forme : ell
que dans les quarante-huit heures de l'admission. Si l'auteur de la demande ne sait pas écrire, celle-ci est reçue par le f
le fonctionnaire dont le visa est réclamé, qui en donne acte. Si la demande est formée par le tuteur d'un interdit il doit
cureur de la République. Si le maire ou le commissaire de police le demande , le transport sera effectué par les soins du pers
nne majeure qui, ayant conscience de son état d'aliénation mentale, demande à être placée dans un éta- blissement d'aliénés
être admise sans les formalités pres- crites par l'article 13. Une demande signée par elle et la production d'une pièce pr
tater son identité sont suffisantes. Si elle ne sait pas écrire, la demande est reçue conformément aux pres- criptions du p
dispositions de la présente loi concernant les placements faits sur demande des particuliers. ART. 16. Nul ne peut être con
sement d'aliénés ne peut être admis dans cet établissement sans une demande et sans un certificat médical, légalisés dans son
ine ou par un représentant diplomatique de ce pays en France. Si la demande et le certificat ne sont pas écrits en français,
esse le bulletin d'en- trée du malade, accompagné de la copie de la demande d'admis- sion, de celle du rapport prescrit à l
ssion et demeure de la personne, parenle ou non parente, qui l'aura demandée . Sont également transcrits sur ce registre : 1°
l'aura demandée. Sont également transcrits sur ce registre : 1° la demande d'admission ; 2° le rapport médical prescrit pa
aut des ascendants, les descendants ; 5° La personne qui a signé la demande d'admission, à moins qu'un parent n'ait déclaré s
eil de famille décide. Cesse éga- lement d'être retenue, si elle le demande , toute personne entrée volontairement et-ayant
e, toute personne entrée volontairement et-ayant signé elle-même sa demande d'admission. Néanmoins, si le médecin traitant
ments d'aliénés. Cet ordre est notifié à la personne qui a signé la demande d'admission, laquelle peut former opposition da
Il vaut donc mieux la réparer au plus lùt et j'ai l'honneur de vous demander , M. le préfet, de vouloir bien le proposer au C
'adresser les adhésions et coLisationset toutes commu- nications ou demandes de renseignements au Dr Long, G, rue Constantin
à sa thèse : mais sa bonne foi fut mal récompensée. Les motifs, se demande-t -il (p. 107-108), fournis par les coêtres, ou ti
2) et de psychologue : « Du dix-huitième mois à trois ans, l'enfant demandait : com- ment se nomment les choses ; de tiois à
les choses ; de tiois à six, comment elles sont. Maintenant, il va demander pourquoi elles sont ainsi. La notion de cause à
, tout progrès, toute mesure d'ordre devient impossible. Le médecin demande des ré- formes, que le directeur ne peut ou ne
même nans plusieurs iettres successives ont-ils à diverses reprises demandé la création d'un poste de médecin adjoint . Tou
infirmier- ! préposés il leur sur- 11'lllance, el cl'la malgré les demandes réitérées eL de l'iuspec'.ion générale et, du m
sonnes dont le- placement a été ef- fectué volontairement ou sur la demande des particuliers, et dans le cas où leur état m
rtie d'un des aliénés internés en vertu des articles 35, 36, 39 est demandée , le médecin traitant doit dé- clarer si l'intér
l peut décider qu'il ne sera procédé à l'examen de toute nouvelle demande qu'à l'expiration d'un délai qui ne peut se profo
tie immédiate. Il suffit, à cet effet, que le réclamant adresse une demande sur pa. pier non timbré au procureur de la Répu
t se pourvoir aux mêmes fins. Dans tous les cas communication de la demande est faite par le procureur de la République à l
dée de l'avis du conseil de famille, mais seulement lorsqu'elle est demandée par les parents, le conjoint ou l'associé. Dans l
trateur est nommé par le conseil de famille de l'aliéné, réuni à la demande de tout parent, et même d'office. Cette nominat
ne exploitation industrielle ou agricole, le président peut, sur la demande du con- joint ou de l'associé,et contradictoire
urs ne sont pas assujettis à l'hypothèque légale. Toutefois, sur la demande des parties intéressées, du curateur ou du procur
délibération contenant nomination, soit à toute époque postérieure, demander la constitution sur ses biens d'une hypothèque
ntenu par décision de l'autorité judiciaire, a le même effet qu'une demande en interdiction, au point de vue de l'applicati
le placement a été ordonné par le préfet, à moins que la famille ne demande leur admission dans un autre établisse- ment sp
is de leur entretien. Les alié- nés placés volontairement ou sur la demande des particuliers y sont également admis dans le
lacées ; à lrnr défaut, à la charge de ceux aux- quels il peut être demandé des aliments, aux termes des articles 205 et su
t il sera beaucoup plus rare chez un artisan exerçant un métier qui demande surtout de l'habileté et de l'adresse; et dans
Saint-\'incent-de-Paul à Lyon; Alaize, mis en disponibilité sur sa demande ; Courbon, appelé un posle de Saint-Venant (Pas
ie psychologique il faut penser à ce que les mots recouvrent, et se demander ce que représentent exactement les mots image,
er à d'autres activités physiologiques et biologiques. Je me suis demandé si certains troubles hystériques ne pouvaient p
gagné du tout quand on a d t que l'hystérie est un sommeil. Je lui demande bien pardon ; on y a gagné qu'en réveillant le
nne l'interprétation qu'on voudra, elles n'en existent pas moins et demandent une explication. J'ai donné la mienne ; que ceux
alisations : 15 ou 20 nations .seulement remplissent les conditions demandées . Grâce à une application fautive du lieu commun
es de leurs rapports annuels. Les salaires ont été relevés ou des demandes pressantes, dans ce sens, ont été faites. Des ess
en partie la foi cependant, il adresse au pape une supplique où il demande l'absolution, qu'il obtient; mais cette suppliq
dresser les adhésions et cotisations et toutes commu- nications ou - demandes de renseignements au Dr Long, G, rue Constantin
e juin aux adhérents déjà inscrits et aux médecins qui en feront la demande . Les membres adhérents et associés inscrits rec
s inscrits recevront en même temps un formulaire à remplir pour les demandes de billets de réduction sur les chemins de fer
22 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
Sur Adam, ol il s’endormit.. (GtKÉiB.chnp. ï. V. âl.) Nous avoDS demandé à un de nos collaborateui's [ui sait tout, comine
tions : ces personnes fournirent volontiers tous les éclaircissements demandés et dirent qu’il fallait les rendre publics, afin
e rester alitée depuis six mois ; son mari alla chez M. Dupont et lui demanda de prier pour elle ; aussitôt elle se trouva asse
. J’obtins un congé, et j'arrivai le lendemain de son enterrement, Je demandai la faveiïr de passer la nuit dans là cliam-breoù
agnétique me touchait fort peu. Je n’attendais point de réponse à une demande aussi délicate, le temps n’était pas venu encore
bieutôt et la mesure que j’indique sera prise. Quoi qu’il eu soit, ma demande a une date et l’histoh-e du magnétisme la recueil
r la moindre marque d’encouragement, et en vous écrivant, Sire, je ne demande rien poi^r moi : une seule pensée sufil^ à celle
ois le servir et lui faire obtenir, à ses risques et périls, ce qu'il demande , ce qui se trouve au pouvoir de la nature , je n
en qu’il soit à peine maintenu. Je lui adresse alors la parole et lui demande comment il se trouve ; il me répond qu’il se croi
des élèves pinça la cuisse environ deux minutes aeant l’amputation et demanda au malade s'il éprouvait de la douleur :« Ohl je
t, la preuve, c’est que ma cuisse a été coupée au mo-e mentoù vous me demandiez si j’éprouvais quelque douleur.» Or, ce n’est que
seraient obtenus. Par exemple, dans le cas dont il s’agit, au lieu de demander au sorcier la cessation immédiate de ses manœuvre
er que cette dernière prophétie s’est jusqu’ici réalisée, et on .se demande si ces sorciers étaient inspirés de Dieu ou du di
e. Baron du Potet. HYPNOTISME. UTTRE A MADAME B’**. ■.Vous me demandez , Madame, des renseignements sur une science dont
n Après cette sortie contre le doute et les doulfeürs, peut-être me demanderez -vous, Madame, si je crois qu’il y ait dans le mag
ans — le cltien a formé immédiatement ce chiffre. Une personne lui a demandé d'en soustraire la moitié, il a remplacé le chiff
l’avoir écrit avec autant d’exactitude que le premier, Lelio, si^' la demande d’additionner les deux âges, a écrit 24. Requis d
tôt son parti, il a tiré un â et un 3 , et a complété ainsi le nombre demandé . Que ce chien obéisse à une direction occulte o
d’ancunc de vos opinions, ni mCme de sacrifice dc votre raison. 11 ne demande rjuc peu de temps pour être fait, pourrez-vous re
moi, je iie voulus point condescendre au désii' de la société qui me demandât de nouvelles expériences, et me disposai à réveil
Je m’assis alors ^^9-à-vis d’elle, et, après quelques instants, lui demandai ce qui la préoccupait, car ses sourcils se fronça
mmes, en reprenant son caractère enjoué et même folâtre. Comme elle demanda bientôt à reparaître dans sa société, (1) Depui
rête point au traitement qui, àu surplus, est deâ plus simples, et je demande en âignalnnt ée fait soninàm-Ëüliÿiâ qui 3è repro
e serait pas plus avancée que la Turquie. (I J’u bien peur qu'on ne demande bientôt la suppression des Académies, comme obsta
rtes, mais la puissance vivante, active et pensante. On a’est souvent demandé si les miracles étaient possibles, s’ils ëtsûent
arrivés et qui ont arrêté ou modifié la lucidité de la voyante. On se demande pourquoi une personne, mise dans l'état magnétiqu
lqu’un la gênait: ignorant toujours les motifs de la consultation, je demandai quelle était la personne, et, sur son indication,
strations dont la palpable évidence doit frapper tous les esprits, je demande aux hommes, qui ne sont point tout à fait relégué
, en 1820, membre de la commisûon qui devait faire le rapport. Je lui demandai quand il se ferait, voici sa réponse : «¿a oomm
ine, une foule de maladies, qui en se développant plus tard, auraient demandé de longs traitements, trop son* vent, béks I alor
inal qui doit en découler nécessairement et être produit. Or, je le demande , une appréciation aussi merveilleuse, qui pourrai
rvenue» B«rçn DoPottt. A MOISSIEUR TBUnm. Monsieur» Voua m’avez demandé un résumé de mes cures magnétiques, je m’empresse
s ceux qui sauront noua prouver que noua avons tort. Mais aussi, noua demandons qu'on oons combatte comme il convient de le faire
ans la plus profonde erreur ; erreur de laquelle, au surplus, nous ne demandons pas mieux que de revenir, quand on nous l'aura fa
onner ici tout le développement nécessaire, nous nous contenterons de demander à ceux qui croient devoir nous combattre quant à
us la ti adi-tion : la foi est tout opposée à la science, car elle ne demande point de preuves ; votre père commun est infailli
ne. L’évcque. ayant reçu l’or, lui fit sur-le-champ la promesse qu’il demandait . Le philosophe vécut encore quelques années, et e
tant venu, il envoya cliercher les enfanls de son ami ; et leur ayant demandé s’ils avaient mis quelque chose dans le tombeau d
vaient mis que les linceuls ordinaires ; mais,sur ce quel’évêque leur demanda s’ils n’avaient pas mis quelque papier, ils se so
t de l’y faire revenir quand elle le souhaite. Il omint la gr^e qu’il demandait ; mais par malheur le domestique qui l’accompagna
e dans cette soirée. M.***étaitcompléiement éveillé quand quelqu’un demanda à M. Manlius de faire, sur le même sujet, une exp
e comble de l’absurde.... K Messieurs, qu’il me soit permis de vous demander , à mon tour, pour quel usage vous entendez réserv
(jue vous êtes fou et qu’on devrait vous enfermer. J’ai des miens qui demandèrent sérieusement si l’on ne pourrait me contraindre à
plus de gravité. On lui indiqua de nouveau une autre personne qui lui demanda une somme de cinquante francs, sans lui garantir
ciélé du mesmérisme de Paris, apprenant l’état do cette dame, lui fit demander un entretien. L’ayant obtenu, il visita son bras,
ement par ce qu’on est convenu d’appeler les corps savanls. Je vous demanderai la permission de vous faijre part, au courant de
, à des sceptiques, à Aessimptes curieux, en un mot. Ces personnes me demandaient presque toujours de tenter d’autres expiJrienccs,
mis par son médecin n’ayant pas apporté d'amélioration notable, il me demanda mon avis, et comme mes yeux ne voient pas dans l’
reur, qui refusa nettement d’acquiescer à cette barbare et abominable demande , nous serions aujourd'hui regardés comme criminel
e lui. Je vais te parler d’un phénomène intéressant pour toi, et te demander quelques conseils. Je ne sais si je t'ai dit qu
, tu le calmeras , il ne t’entendra pas de suite ; continue toujours, demande -lui doucement s’il t'entend, il finira par là ; a
voit, il me répond,je lui dis d’ètre tranquille, il se calme ; je lui demande ce qu’il faut faire pour prévenir ces accès, il m
pas dit que je voulais le réveiller. Enfin je cause avec lui; je lui demande des explirations sur le mot futigncr ; il élude,
l'état normal. Je le démagnétisai donc avec le plus grand soin et lui demandai ce que cette expérience avait produit en lui. lim
celui-ci entre autres, que, quand je magnétisais, je ne devais jamais demander au patient s'il dormait (ainsi que le veulent que
e chose ; je ne devais pas non plus dans les premières magnétisatioas demander au sujet s’il était magnétisé, sa réponse devant
ais de somnambulisme et de recherches sur les maladies cérébrales, je demandai une mèche de cheveux, que cette dame enveloppa da
es vols qu’ils avaient faits; et, comme daus l’interrogatoire on leur demanda ce que c’était et comment ils l’avaient eue, et q
: — La vérité naît de la discussion. Partant de cet axiome, je vous demanderai la permission de discuter quelques-uns des princi
s forcé de m’arrêter ici ; seulement, en matière de conclusion, je le demande à tous, ne suis-je pas en droit d’affirmer qu’en
'un Dieu boni Tonton, tontaine, tonlon. Un somnambule, M. Charavet, demanda la parole pour porter UD toast à la mémoire de Me
ps des atteintes de l’air, de la luQiière et de la chaleur. On nous demandera peut-être où nous voulons en venir par cette étud
qui sera fait àlaprésentecommunicalion pour l'examen de laquelle nous demandons une commission de membres qui croieot aux merveil
orer que le magnétisme existe, laissent sans secours des êtres qui ne demanderaient , pour être rappelés à l’existence, que des rayons
r lui fouroissait de DOS diverses séances ; mais il ne larda pas à me demander fui-même de lui faire une passe énergique sur la
oiagDètiâatioiis. Les personnes qui étaient autour de moi, m’ayant demandé ai j'avais quelque nouvelle, je répondis que non,
Lci médecins peuvenl te porter individuellement parties elvilea pour demander des dommage^-intérils résultant du préjudice maté
ces conditions sont établies dans l’espèce; 1 En ce qui concerne la demande des intervenants, parties civiles: 1 Attendu qu
ration ou société, mais se portentindividuellementpariiesciviles pour demander des dommages-lntérëts résultant du préjudice qui
judice matériel et préjudice moral ; a Que, pour Mre repousser leur demande , ou leur objecte qu’Hs n'ont pas un intérêt actue
ont pas un intérêt actuel et appréciable en argent; qu'ils ne peuvent demander une somme fixe de dommages-intérëts pour tous, sa
leur volonté, mais que chacun doit fixer séparément le chilTre de sa demande comme réparation du préjudice personnel qu'il a é
nul texte de la loi ne s’oppose à ce que chacun, en particulier, n’en demande la réparation, ni à ce que plusieurs parties lésé
à 15 fr. d'amende, 2 jours d'emprisonnement ; B Et, statuant sur la demande des intei-venants, condamne la demoiselle Bressac
nt revêtues de la signature d'un médecin. Mais la Cour, rejetant la demande de jonction. Attendu c[u’en matière de conüaven
ec votre malade. Je m’assis devant elle, sans la loucher, et je lui demanda mentalement de me parler. Bientôt je sentis qu’
ces intelligences. Je quitte la cataleptique en la laissant, sur sa demande , endormie pour quelques jours. Sa mère me recon
que moi, j'ai la satisfaction de me voir chaque jour de pins en plus demandé pour aller au secours des malades condamnés par l
onoré du témoignage de leur conversion, et comme on venait souvent me demander des explications sur les noms techniques qui sont
nétisme comme moyen de guérir les maladies, la plus grande récompense demandée depuis si longtemps par les sacrifices et le dévo
n’est point un soleil sur les ombres de la question. En efîet, je le demande aux enteodementô scrutateurs, sans décision prise
hir du préjugé, s’appelàt-il religion, science ou philosophie ; je le demande aux rares exceptions d’élite qui mûrissent et pès
dées régnantes et sous toute défiance de la tare de nos passions ; je demande ai le récit sincère des choses que l’on édite par
M. Lesage sollicita du propriétaire la résiliation de son bail. Cette demande fut accordée, el l'on fit venir, pour rédiger l'a
ent. Il se présenta un individu qui s'était trompé d’adresse et qui demanda un propriétaire demeurant dans le voisinage. Tand
ume n’est pas de prédire à mes malades ce qu'ils éprouveront. Je leur demande uniquement de le noter et de m’en informer. Je le
de l'Anliquili nous dit, avec tout le poids de sa compétence ; • On demande si la Philosophie Hermétique est une science, un
t leurs parents. Le médecin avouait ne plus savoir quoi faire. J’avms demandé sa présence : de nombreuses occupations ne permir
de Léon. — « En quoi consiste l’action spéciale de ce médicament ? demandai -je alors. — « Son action homéopathique, répondi
s jaillit la lumière. HiCOD, n aoflt 1860. Cher maître. Voua me demandez si, semblable à certain fakir, je passe mon temps
dit £««1. Me trouvant engagé personnellement dans ce débat, je vous demanderai la permission de joindre ma voix à la vôtre pour
t, et rarement plus d’une demi-Iieure, à moins que lescircoustancesle demandent ; j’ai reconnu que ce laps de temps, lorsqu’il est
même qui nous constitue. Mais j’arrête ici ces réflexions, car elles demanderaient un livre cnlier. Terminons par une citation empru
mes; nous sommes insensés ; la sagesse ne peut résider en nous : elle demande une étude longue et assidue, un esprit en paix et
sse tout à coup des cris étouffés, l’autre compagnon s'éveille et lui demande ce qu’il a. — Mais tu ne vois donc pas, dit le
t, anéantir la virtualité causale ? Si je pèche en ma croyance, je ne demande pas mieux que de subir sa rescision. Ne nous ar
fins? Par la pensée et la parole. Mais, pour le bien comprendre, demandons à Trismégiste quelques explications préliminaires
pouvoir à la vulonté du Élus priviféKié des coluns de la turre l o Demandez et voi's rkcevbk !!! > éditez, étudiez ces par
erme assez pour hypnotiser l’humanité tout entière; mais si vous leur demande * lecoinment et hpourquoi..., bonsoir : leur scien
Grove, Séguin aîné et l’orro nient l’existence de ce fluide, je leur demanderai de nous apprendre ce qu’il y a dans ce vase, car
mis en philosophie. 11 s’est rencontré de profonds génies qui se sont demandé si l’esprit humain, si subtil et si vaste, ne pon
ne s’occupent point du tout, ou du moins très-rarement, de choses qui demandent une grande conteniion d’csprlt. N’ayant jamais eu
s fois, à moi-méme, de m’arrôterau milieu de mes expériences et de me demander |quellc sera, dans cinquante ans, le plus tard, la
la main. Dès lors plus de crainte à avoir, il ouvre et sort pour lui demander compte d’une pareille conduite ; mais, nouvelle s
soit. Newtoo, par exemple, était d'une Mke>cB iKFATiaA£i.E. On lui demandait comment il avait fait ses grandes découvertes, il
elle s'eiitrelaçait un serpnnl. Etonné de ce phénomi'iip, il allait demander à l'incunnu ce que cela voulait dire, lorsque ccl
des yeux noirs elun petit nez camus. — Ce n’est pas cela que je vous demande . Oii apercevez-vous ladite peüte fille? Dans quel
i facilement, — A quelle époque pensez-vous réellement vous délivrer? demandai -je à la jeune femme. — Vers la fin du mois de jui
iiccoucbe pas sans souiïrir. — Ce t)’cst pas cela que je voulais vous demander ; je désirerais savoir si j'iinrai les couches lab
iinrai les couches laborieuses! — Je ne vous comprends pas. — Je vous demande si je me délivrerai facilenjeiii. — ^ DUS avez fa
aussitôt mon rêve ; mais une assiette n’étant point une serviette, je demande dans quoi elle a été apportée— Dans une serviette
rons également aux articles déjà cités du docteur Gérard, et nous lui demanderons ensuite si, en prenant toutes ces précautions et
son égard, ainsi qu’il eût dû le faire vis-à-vis de nous. Nou& demandons donc pourquoi cette attaque assez mal- veillanl
ucubrations soient recherchées du public. Nous eûmes nos renégats qui demandèrent , à qui ne leur demandait rien, pardon d’avoir écr
ées du public. Nous eûmes nos renégats qui demandèrent, à qui ne leur demandait rien, pardon d’avoir écrit d'une manière très-sen
une théorie quelconque, les mystères du magnétisme animal. mais nous demandons à ceux qui nient sa puissance de vouloir bien nou
itions importantes y sont énoncées, qui sojit controversables, et qui demanderaient au moins d’être plus fortement étayées ; mais ce
ouvoir imaginaire; il dira que la loi est trop douce pour nous, et en demandera l'aggramtioii; par exemple, que l’amende soit aug
e de magnétisme. Lettre de M. du Potet à l'Empereur des Français pour demander la création d'une chairs d'enseignement du magnét
5. Réglementation de l'exercice du ma gnétisme. M. le Dr Charpignon demande que le magnétisme soit considéré comme faisant pa
23 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
rce. Déjà, je commence a ne plus comprendre ma vie antérieure et à me demander pourquoi je n'avais pas pensé, auparavant à repou
ates de dégénérescence physique. Ont-ils une physionomie spéciale? se demande le Dr Emile Laurent. Les uns disent oui, les antr
précise, mais plus sage : oui et non. Le criminel est-il beau ? se demande toujours le Dr Emile Laurent. « Si on entend, d
vait été plusieurs fois, pris d'accès de rire à tel point que l'on se demandait avec anxiété s'il s'arrêterait. Ces troubles nerv
disant. « Viens camarade ! Voici Johnson et Chesney, à l'entrée, qui demandent quatre canons. Le lieutenant Mac et moi nous nous
out le monde cependant, désirait épargner le jeune officier. On ne me demanda un rapport direct, mais le chirurgien en chef en
pas pendant plus d'un mois. Une nuit que je l'entendis parler je lui demandai ce qu'il avait. Le lendemain il me reprocha de l'
nir les atomes inconcevables. De telle sorte qu'on est arrivé, à se demander si la Matière existait et s'il y avait autre chos
tal semble consister dans une défaillance de la volonté. Ils viennent demander au traitement par la suggestion un appui qui leur
nsent trouver dans le traitement psychique un secours qu'ils ont déjà demandé en vain à d'autres médications. Parmi les malad
s lui appliquerez votre main sur la figure. » Je le réveille et lui demande ce qu'il ferait en présence d'une sollicitation d
ses fruits. A l'annonce de ce nouveau cours, bien des gens se sont demandé : la Déontologie, qu'est cela? — Us avouaient ains
de toute injustice. Je ne remettrai à personne du poison, si on m'en demande , ni ne prendrai l'initiative d'une pareille sugge
grades sous le régime de la loi d'hier — mais des médecins qui lui demandent le titre honorifique de Docteur de Louvain, un se
nel. I- — Comment le médecin doit être. Certaines gens a qui vous demandez où est située Braine-l'Alleud, vous répondent : —
uxelles et Genappe? ce n'est pas la, c'est entre les deux ! » Je vous demande la permission de suivre un procédé analogue, d'al
trop mangé, l'enfant avait une indigestion. Et qu'avez-vous fait ? me demanda mon père. —Mais je l'ai mis à la diète, tout simp
r dignité et discrétion — des visites qui se paient, la où on vous en demande trop. Le Docteur Voletile entre chez vous en co
est de toutes les fêtes, dîners, bals, concerts, spectacles et on se demande quand il étudie? —Il n'étudie pas. Aussi n'es
ilosophe Marphunus ni Panurge qu'il convient de consulter. Si l'on me demandait mon avis, je dirais que le jeune docteur faitbien
plus grand bonheur est de voirie succès couronner nos efforts. On se demande de plus en plus si l'éducation moderne, tant à la
ole et au travail d'écolier, on peut affirmer que la somme de travail demandée actuellement aux enfants dépasse leurs forces--C'
I y a cent ans que le père de l'hygiène scolaire. jean-Pierre Frank a demandé que l'on n'épuise pas chez l'enfant les forces de
yphilis. Mais celle-ci, même admise, n'expliquerait pas tout. On se demandera encore pourquoi elle s'attaque au même organe che
voie le mari en pèlerinage ; on appelle le sorcier qui vient la nuit, demande a rester seul avec la malade pour conjurer le mal
sérieuses. C'est dans ces conditions que le Dr Gouel, de Paris, nous demande d'appliquer a la malade le traitement parla sugge
es cauchemars et des hallucinations pénibles. Le 20 juin 1888, sur la demande du Dr Desoix, de Paris, je soumets la malade a un
rés par les cliniciens les plus autorisés de tous les pays, nous nous demandons comment on a pu méconnaître si longtemps la valeu
e allait se jeter à la rivière. Un sergent de ville la rencontra, lui demanda la cause de son desespoir et lui rit si bien la m
choc normal peut faire cesser pourun temps les accès. On peut donc se demander si dans les cas où un résultat favorable a été ob
serait largement suffisant pour alimenter un asile spécial. M. Brunet demande donc que, contrairement à l'avis de la commission
nent. » Cette pensée est con-forme â l'opinion de Stricker (6) qui se demande si les idées fixes ne seraient peut-être point au
s sommes absolument du même avis. Nous irons même plus loin et nous demanderons que l'on sépare, en deux variétés cliniques disti
it pour un moment. Eh bien ? s'il y a un Dieu, je le verrai et je lui demanderai . Puis elle se creusait de nouveau la tête pour
dre ses forces, d'avoir bon appétit et de bien dormir. Si l'on me demande maintenant si un traitement semblable peut-être :
éi:r ne tarde p. a revenir, car la morphine ne guérit pas ; le malade demande vire une nouvelle piqûre et désormais le voilà pr
ience de ce qu'il faisait. 11 fut pendu et véritablement on peut se demander si le jugement a été conforme aux règles de l'équ
indifférence complète, l'absence de toute sensation voluptueuse. je demandais un jour à un voyageur qui avait étudié de près le
t voulu mettre à jour un nouveau et remarquable service que l'on peut demander à cette puissance inconcevable, qu'on l'appelle h
yens de contention, une opération relati-vement douloureuse, on se le demande . Chez les bètes bovines, j'ai souvent employé,
t récents surtout, n'ont guère êclairci la question.. On peut même se demander s'ils ne l'ont pas, à certains égards, obscurcie,
survécu a un double suicide auquel ils aviîent collaboré, !e me suis demande si cette survie, qui n'est en général que le fait
ar ses parents qui auraient dù lui venir en aide. Son fils lui aurait demandé à mourir avec elle et rien ne s'oppose, étant don
e vue je me suis placé dans celle question, je tiens cependant â vous demander une légère rectification de votre compte rendu. J
distinctes », comme votre correspondant me le fait dire à tort. J'ai demandé seulement qu'on leur lasse une place â part, plus
ernier malade, le prenant par le bras, l'interpella vivement pour lui demander sa sortie. Avant qu'il eût pu prononcer un mot, i
es fonctionnelles dites organiques ou végétativesives; l'auteur s'est demandé , et c'est en cela qu'il diffère de tous ceux qui
sous l'influence d'une suggestion hypnotique, la défense a en; devoir demander à un représentant de l'École de Nancy de venir dé
qui vous parle, c'est M. Pitres. » Alors Albcrtine, éclatant de rire, demanda ce que signifiait cette plaisanterie. Elle! à l'h
t je vais maintenant en analyser ici les résultats avec précision. Je demande qu'on fasse bon accueil a celte étude. Ce sont le
ypnMiime. * édition, ISifc, p. 136. pour un juge d'instruction, lui demande quels sont les motifs qui l'ont poussée à tuer un
victime qu'elle voit étendue à terre, beignant dans son sang. On lui demande si ce n'est pas moi qui lui aurait suggéré l'idée
senic. Je lui dis : * Voici M. D... qui a soif ; il va tout à l'heure demander à boire ; vous lui offrirez ce breuvage » — « Oui
eur «. — Mais M. D... fait une question que je n'avais pas prévue, il demande ce que contient le verre qu'on lui présente. Avec
Il faut alors que je rectifie ma suggeslion. Je dis : « Si l'on vous demande ce que contient ce verre vous direz que c'est de
ses crises de somnambulisme. Depuis lors, il a eu l'occasion de nous demander de le plonger dans l'hypnotisme pour subir une op
ais jusque-là, accomplit la chose infernale que l'on sait, je me suis demandé s'il n'avait pas agi sous l'influence d'un obsess
tKIU. I.'*>; ; ¦.].,!¦. de M. le professeur DcIIkciiI. Vous me demandez mes idées sur le cas de Gabrielle Bompard 1 ). Je
e, que je me borne à nier la portée des expériences, (1) Cette même demande vient de in'être faite par un illustre magistrat
faussaire en germe. Voilà, cher monsieur, l'espèce de consultation demandée . Puisse-t-elle ne pas endormir vos lecteurs et ne
nce combien en seraient désastreux les résultats. On s'est beaucoup demandé , an cours de ces dernières années, si les pratiqu
u deux séances, mais elle n'en éprouve de bons effets que lorsqu'elle demande elle-même à être endormie. Jamais le plus léger i
vropathes, la possibilité d'être hvpnotisés. Nous n'aurions pas mieux demandé , d'ailleurs, que d'arriver à un résultat, car c'e
n met le cadavre; elle passe la nuit arec le cadavre... » Et sur la demande du défenseur de l'inculpée, M. Liégeois — au cara
avait fondé tant d'espoir. Qu'on en juge plutôt : t Vous avez tous demandé à la fille Bompard, s'écriait l'honorable défenso
d'esprit, et il rendit aux Lyonnais de grands services. M. Bertrand demande qu'on donne son nom à une rue de Lyon ou qu'on lu
e devenir, n'a aucun titre à rester on fonctions. Est-il indiscret de demander les causes de cette inexplicable autant qu'injust
it de lui donner quelques détail* relatifs au crâne de Mozart; et lui demandait si, réellement, il avait l'intention de l'offrir
ne question de doctrine. Quand le défenseur de Gabrielle Bompard me demanda mon avis, je lui dis formellement que, si je pouv
nt que cela enlève la douleur; elle respire profondément, se calme et demande à chaque contraction sa compresse. A II h. la dil
sie du bras suggestive, hyperesihésie cutanée. Après 5 m. de sommeil, demande que je la réveille, que cela lui fait mal. Jela r
chaque fois qu'elle ne souffrira pas à son accouchement et qu'elle me demande de l'endormir dès qu'elle sentira les douleurs. S
chaque contraction, qui sont très fortes et durent 50-35 s., elle me demande de lui tenir le ventre et le dos, que cela lui Ol
rant chaque fois de ne pas souffrir pendant son accouchement et de me demander de l'endormir dès qu'elle aura des douleurs. Les
bile. Les contractions toutes les 5 m, très douloureuses. La patiente demande qu'on la soulage. Je l'endors au bout de '2 m. pa
oins profondément la personne en altérant son identité. L'auteur se demande ensuite s'il n'est pas des transformations intern
eune actrice, Clotilde J..., à Nice, vitriole son amant. Comme on lut demandait à quelle époque elle avait songé a. se venger : —
ues secousses musculaires et quelquefois par de l'anxiété qui le fait demander à être réveillé. Dans cet état, il se croit le po
re été et toujours à de longs intervalles. M. Delixeuf m'avait fait demander antérieurement si je serais disposé à tenter un e
rès désagréables et très douloureuses. Vers six heures et demie, je demandai à M. Delbœuf d'enjoindre à la parturiente de rest
s et semblait dormir plus profondément. J'en avisai M. Delbœuf qui me demanda s'il pouvait faire revenir les douleurs par sugge
s pûmes nous assurer que les douleurs revenaient comme 7ious l'avions demandé , alors qu'auparavant elles étaient plus espacées.
'on n'avait employé que des moyens locaux. La guérison des « entorses demande souvent plus de temps, et l'on ne saurait prévoir
ait place à un sommeil tellement profond et prolongé, que M— J... m'a demandé de la faire dormir moins ; ce qui fut facilement
;traction (elles reviennent toutes les 2 m. et durent 30-40 s.), elle demande k respirer la compresse et pousse, ne se plaint p
lsion est finie, jute ma main de ses yeux et elle les ouvre de suite, demande le sexe de Sun enfaul et dit qu'elle ne l'a pas s
[Hypnotisme (livraison de mars 1891) la lettre dont M. Delbœuf vous a demandé l'insertion. Cette lettre, rendue publique, ren
u Sénat, à l'intervention du jury pour l'internement des aliénés, que demandait Gambetta, celle du tribunal réuni en chambre du C
bunal qui statuerait, après rapport des médecins alie-uistes, sur les demandes de sortie qui pourront toujours lui être adressée
s son café au lait, se trouve bien ot n'accuse aucune douleur. Je lui demande pourquoi il a pleuré. II me raconte qu'un médecin
posé les questions suivantes : « L'hypnotisé ne sait-il pas qu'on lui demande de jouer une (1) Leçon» professée* à la Cliniqu
contrat, M. X... succombait. A la requête de la Compagnie, la veuve demande au médecin un eertiticat établissant la cause du
e bénéficiaire de l'assurance serait tenu de fournir, a l'appui de la demanda en pavement, un certificat de médecin constatant
tte assurance; il est établi et reconnu d'ailleurs que la dame X... a demandé un certificat au docteur qui a soigné son mari da
progrès de la science de la Suggestion. Permettez-moi aussi de vous demander de voler par acclamation des remerciements â M. l
e n'y ajouterai que deux choses : Le dimanche 26 janvier 1890, sur ma demande , elle se présentait à nouveau chez moi et me fais
ravant. La femme Fay, à l'état de veille, ne s'est pas décidée à me demander de la mettre en état de sommeil somnambuliquc; ce
à la troisième personne « cette femme » et me parla en me tutoyant. Demande (de moi) : Combien d'enfants ai-je? Réponse : J
nde (de moi) : Combien d'enfants ai-je? Réponse : Je ne sais pas. Demande ; Qu'est-ce que j'ai? Réponse : Tu n'es pas mal
s pas malade, tu es bien portant, intérieurement et extérieurement. Demande : Comment est ma femme? Comment sont ses cheveux?
angage dont il a déjà été question, se plaint de mauvaise position et demande un oreiller qu'on lui donne. Je lui déclare que j
on lui donne. Je lui déclare que j'ai des malades à lui montrer. Elle demande qu'on la laisse un instant prier, ce qu'elle fait
anxieux, confus et se plaint; regarde les médecins d'un air effaré et demande ce que l'on a fait avec elle: elle ressent une es
lui ont été posées sans pouvoir, à l'état de veille, se rappeler les demandes et les réponses. 2° Il faut admettre que la fem
des et n'a plus aucune gêne. 13 mars. — Elle va tout à fait bien et demande sa sortie. Il s'agit, dans cette observation, d
es sensations génitales, loin de les rechercher, elle les subit, elle demande qu'on l'en débarrasse, elle en souffre au point d
rnational de l'Hypnotisme, les adhérents au Congres, qui en feront la demande , seront, de droit, membres fondateurs de la Socié
24 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
n lui la chaîne du souvenir, interrompu à l'état normal, et qu'on lui demandera de donner tous les renseignements possibles sur l
estion, etc., etc. Le résultat prévu se réalise. Mais alors, sur ma demande , M. Liébeault lui fait successivement les suggest
ntanément ; vous oublierez ce » que je vous ai dit : si l'on vous demande si je ne vous aurais » pas suggéré ce vol, si l
MM. Lombroso, Gilles de la Tourettc et par tant d'autres. Il vint me demander conseil, parce qu'il se sentait entraîné à se prê
ion plus complète et n'avaient même plus le sentiment nécessaire pour demander conseil, pour chercher une garantie contre les dé
peut-être après, des paysans rencontrèrent cette infor-» tunée et lui demandèrent où elle allait: « Je vais me noyer, » répondit-
ur défendre la liberté des magnétiseurs ambulants que nous hésitons à demander une mesure destinée à la protection de la santé p
st aussi intact après qu'avant les séances d'hypnotisme, nous devrons demander qu'on fasse disparaître, ou, tout au moins, qu'on
savoir. D'ailleurs, ce n'est pas à la science que le P. de Bonniot demandera de prononcer sur les rapports des effets aux caus
'eût poussé qu'un cri : « Dieu est là! » est-ce à elle que vous allez demander la fixation des limites des forces naturelles?
llusion, je n'existe plus pour Mme M..., à qui M. Liébeault a, sur ma demande , suggéré que, une fois éveillée, elle ne me verra
je la pique avec une épingle, elle ne ressent aucune douleur; on lui demande où je suis, elle dit qu'elle l'ignore, que, sans
à l'heure, etc. Interpellée par moi, en mon nom personnel, toutes mes demandes restent sans réponse. Elle ne réalise que les idé
rvation concernant Mme M... M. Liébeault endort Camille, et, sur ma demande , il lui suggère qu'elle ne me verra, ni ne m'ente
Je besoin, que, si je m'adresse directement à Camille S..., si je lui demande , par exemple, comment elle va, depuis quand elle
déjà connue. Je dis à haute voix : a Camille a soif; elle va aller demander , à la cuisine, un verre d'eau qu'elle apportera s
impétueuse déjà plusieurs fois signalée chez les somnambules. On lui demande pourquoi elle a apporté le verre qu'elle vien
tc. » « Monsieur F..., comment va votre bronchite ? » M. F... lui demande pourquoi et comment elle dit tout cela. Et elle d
s qu'il croit entendre; ses yeux sont remplis de larmes, et si on lui demande ce qu'il éprouve, il répond que la sainte Vierge
es qui faisaient saillie sur la main de l'opérateur, etc. Si on lui demande ce qu'il y a à taire pour amener la guérison. ou
ai devant une armoire où je ne retrouvais pas certain objet et je lui demandai s'il pouvait voir où était cet objet et désigner
tourner le dos. Les savants, en effet, avant de croire et d'affirmer, demandent de la logique et des preuves. C'est pour cela qu'
nviction du P. de Bonniot est « de cette dernière forme ». Mais je me demande si lui-même ne se défendrait pas contre mon scrup
soleil, sont susceptibles de déterminer chez ces oiseaux, je me suis demandé si, par analogie, ces mêmes instruments ne se
astilles de composition secrète ; sa santé allait s'altérant. Elle me demanda si l'hypnotisme ne pourrait pas la soulager. Je l
'entre eux qui avait été l'objet de la suggestion prémentionnée. nous demandons s'il nous connaît. « Parfaitement, répond-il, c'e
et psychique une versatilité particulière. On est même en droit de se demander si des syndromes morbides, que l'on rapporte avec
'une de ses somnambules exprimer l'ctonncmcnt le plus complet, îl lui demanda ce qu'elle avait: « Je vois l'intérieur de mon
pas, comme moi, d'une prompte guérison. — Voycz-vous votre coeur > demanda le docteur Pétettn. — Oui. il est là. * Et la m
t qu'il s'agit là d'impressions purement personnelles. Ceci dit, il demande au rapporteur s'il pense avoir rempli consciencie
de M. Luys à l'Académie, il y a un an, nous avons tous été émus. J'ai demandé une discussion approfondie. car. cd fait de m
des sujets fatigués. Mais la faute lui en revient, car nous lui avons demandé le moment opportun pour intervenir et nous nous s
aussi longtemps qu'existera une loi sur l'art de guérir.) « Nous ne demandons certes pas qu'un monopole soit créé à cet égard ;
ait personne a l'hôpital général de Lyon qui n'y fût trompé. « Je lui demandai , ajoute-t-il. si elle ne sentait point une aura p
as; ils ne veulent pas, ou ne peuvent pas sortir; mais par contre ils demandent à n'être pas privés d'escrime... Certains cas. aj
rateurs ainsi qu'à ses correspondants français et étrangers pour leur demander dans quelle mesure elle peut compter sur leur con
MM. les docteurs Bourru et Burot. Nous avons eu la curiosité d'aller demander à notre aimable collaborateur, M. Burot, ce qu'il
jeune homme ne présente pas la moindre trace de lucidité et nous nous demandons encore sur quoi repose la légende édifiée à son s
es on prie ceux qui ont l'occasion d'approcher du jeune soldat de lui demander la cause, l'origine, le siège de mainte maladie,
yen de gagner tous les gros lots de la prochaine loterie de Milan. Il demande au somnambule de lui désigner à l'avance, moyenna
rveux suffisamment impressionnable. Il n'est pas nécessaire de lui en demander la permission : on l'hypnotise malgré lui. Il suf
nfondent avec eux. Ce sont les phénomènes du somnambulisme naturel. Demandons -nous d'abord ce que sont ces phénomènes et par qu
le à l'Université catholique de Louvain, a traité cette question et a demandé , dans un mémoire présenté à l'Académie de médecin
ne parviendra pas à l'endormir. 4 mars. — M. le Dr Bërillon, sur la demande de M. Mesnet, tente de provoquer le sommeil par s
ès de la médecine. C'est même au nom de l'humanité tout entière qu'il demande l'exclusion des étudiantes. Il craint que l'admis
issent confier leurs maux à des personnes de leur sexe, plutôt que de demander ailleurs les remèdes du corps ou les consolations
emme endormie le nom des personnes présentes. Il insiste, et enfin on demande àv-la femme endormie le nom d'un des assistants.
mmis à la caserne : il désigne les vrais coupables, paraît-il. On lui demande quel jour est arrivé, à la Nouvelle-Calédonie, un
direction et le faire rentrer. Parfois il racontait, quand on le lui demandait , ce qu'il venait de faire : il était allé aux env
ion et publient leurs résultats, qui souvent diffèrent. Pourquoi ? se demande-t -on de toute part; et les recherches recommencent,
n'aboutissait pas. 11 alla le trouver, lui exposa son affaire et lui demanda son concours, que Zamora lui promit. Rendez-vous
Mais non, vous n'étiez pas là ! > — * J'y étais; je vous ai parlé. Demandez à ces messieurs. > — * J'ai bien vu ces messie
orie. mais, or. en conviendra, difficile à réaliser en pratique. On demande des noms de magnétiseurs. Linden cite le cas d'un
entations publiques. Ils devraient être les premiers, ce me semble, à demander que ces questions, si belles et si graves, soient
enteurs et leurs hésitations ; autant vaudrait se railler du juge qui demande le temps nécessaire pour l'étude de diverses pièc
t donc pas facile d'en vérifier l'authenticité. Nous préférons nous demander si le magnétiseur n'a pas trouvé dans son sujet u
illes de la Tourctte. La Société, par un vote unanime, ¿1 résolu do demander au préfet de police l'interdiction des représenta
ux. Ce grand travail aurait été facile à faire si 1 on avait agréé la demande * que fit M. Félix Hément \±\ au préfet de police
de ce eue j'avance, à savoir que le sujet se prête à ce qu'on lui demande avec passivité, mais avec intelligence. Je ne dou
et amène une gène respiratoire assez marquée, au point que la malade demande toujours qu'on ouvre la fenêtre de la salle où cl
ment calme. Mardi 12. —Notre chef de service. M. le d' Carcassonne, demande à voir nos expériences, que nous répétons devant
res. Tous ces ordres sont très bien exécutés. Lundi 25. — La malade demande a sortir en ville. Nous lui ordonnons d'être i en
douleur que nous lui enlevons par suggestion. Jeudi 28. — La malade demande a sortir pour affaires, et cette fois ne rentre p
apparent de la volonté dirigée du sujet : il se prête à ce qu'on lui demande , avec passivité, mais avec intelligence. » Jusq
'a plus été fait de séance depuis le 8 février. Le 10 juin, le malade demande à sortir pour passer quelques jours dans sa famil
dant nous ne cessons de les bnttre nuit et jour.— Et une fois grands? demanda le saint. — Une fois grands, ce sont des imbécile
ant comme elles le méritent les inflictions corporelles. « qui a veu, demande Montaigne (il, aultrc effet aux verges, sinon de
leur nature spéciale; de même, dirons-nous, chaque aptitude organique demande à être exercée à part, dans le sens précis de ses
jure, la plupart du temps, avec la lourde somme de travail qu'on leur demande et les immenses services qu'on attend d'eux. La m
rée quotidienne de dix heures. Fonssagrives (3), au nom de l'hygiène, demande qu'on les réduise a sept, afin d'avoir du temps à
, mais dans le cas de non-acceptation du candidat présenté, il devait demander a la Faculté de faire un autre choix ; il ne pouv
nommer le sorcier; pen. dant quelque temps, elle feint d'éluder cette demande en alléguant son inhabileté dans l'art de deviner
imites de \u responsabilité médicale. Appelé à se prononcer sur une demande de dommages-intérêts intentée à un chirurgien par
Elle me présente la boîte, se lève toute chancelante, offre, sur ma demande , des bonbons aux autres personnes qui nous entour
ètement de sa mémoire, quand, un instant après, je la réveille et lui demande : D. — Qu'aviez-vous tout à l'heure entre les m
au mode d activité cérébrale que le réveil avait interrompu : elle me demande aussitôt ce qu'est devenue sa boîte, elle est en
très saisissant, que vous allez expérimenter vous-même : mais ne m'en demandez pas l'explication, car, scientifiquement, je ne s
ps inerte. — Entendez-vous ces messieurs qui vous parlent, qui vous demandent ceci, cela r lui dit M. Mcsnet. ¦ — Non. répond
iences renouvelées à l'infini le démontrent péremptoirement. Je lui demande ce qu'elle voit sur la table ? R. — Je ne sais
e quelques exemples empruntés à l'observation de Marie : D. —Je lui demande de recoudre le bouton de ma toque qui ne tenait p
lle étaient disposés tous le-, objets nécessaires pour écrire. Je lui demande de m'éenre quelque ehose soit pour moi, soit pour
gation, comme elle a l'habitude de le faire chaque fois qu'on lui demande quelque chose qui lui est désagréable. J insist
e:... dites-moi ce qu'il faut écrire, je vais le faire ; » mais ne me demandez pas une idée à moi... je n'en ai pas! D. —. Ce
demandez pas une idée à moi... je n'en ai pas! D. —. Ce que je vous demande est bien simple; vous avez bien quelque chose à d
de grande valeur, très détaillé, très complet, dont la préparation a demandé plus de deux ans et qui a paru en 1S87. Parmi l
ense la première fois et quelques-unes d'entre elles ont spontanément demandé de recommencer l'expérience. Il est fréquent,
comme un chatouillement des nerfs à l'intérieur ». I La majorité me demandaient ce que j'avais éprouvé moi-même ; à quoi je répon
série d'états encore mal définis et mal classés : on pourrait même se demander si quelques-uns d'entre eux appartiennent bien lé
ois pour uriner; l'urine était abondante et claire. Son médecin ayant demandé a analyser ses urines, trouva 4a grammes de sucre
aque gavage. Son état s'aggravait tous les jours et l'on pouvait se demander si sa vie n'était pas sérieusement en danger. Il
evins à la maison. Ma femme, surprise de me voir rentrer si tôt, m'en demanda la cause, mais je pris un air un peu mystérieux e
défiance et elle persista dans sa résolution de m'accompagner. Je ne demandais pas autre chose ; je dis au cocher, de façon a n'
La dernière fois que M. Rooillard l'interrogea devant nous, il lui demanda pourquoi elle ne voulait pas manger. ¦ Mais je ma
ns nullement i vous faire plaisir, je préfère ne pas manger. » Sur la demande que M. Rouillard lui faisait de nous raconter pou
je ne le deviendrai pas, quoi qu'on fasse pour cela. » Mme C... n'a demandé des nouvelles de sa fille qu'une seule fois ; enc
ET CHRONIQUE Un Congrès d hypnologie. il y a quelques mots, nous demandions , dans une courte noie, à nos collaborateurs et à
ssion, votait a fnnantmtté, moins deux voix, une résolution tendant à demander au gouvernement belge l'interdicuon dos séances p
vendredi dernier, j courant, dans laquelle un docteur de notre ville demandait l'interdiction absolue des séances publique* d'hy
is pleinement d'accord avec mon honorable confrère et que j'appuie sa demande , suinsamment motivée désormais, il faut l'espérer
l'unanimité une proposition de M. le l)f Gilles de la Tou-rette, qui demandait au gouvernement d'interdire les séances publiques
25 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
ut le monde sans être malade ou même sans être incommodé. Alors il se demande pourquoi il fume, dans quel but il s'amuse à resp
il s'amuse à respirer nne fumée acre, nauséeuse et empoisonnée; il se demande pourquoi il dépense son argent en cendres et en f
suggestion ambiante. Quand je fais mon examen de conscience, j- me demande par quelle chance heureuse j'y ai résisté. Car je
pour faire comme les amis. — Cela a dû vous rendre bien malade? me demanderez -vous avec un mauvais sourire sur les lèvres. —
uloir de guérir. Ce sont des paralytiques qui voudraient marcher; ils demandent simplement qu'un bras secourable les soutienne et
fait naître le vice, c'est elle qui le tuera. V Comment cela ? me demanderez -vous. La chose n'est peut-être pas toujours fac
UGÈNE CAUSTIER. professeur au lycée Biaise-Pascal. Nous devons nous demander d'abord par quel instinct le pigeon revient à son
n pays inconnu et que nous soyons rentrés directement chez nous, sans demander noire chemin, évidemment. Cela ne vous étonnera
utre chose. Elle parait, cependant assex bien motivée. Y a-t-il, se demande M. Viguier. un agent capable d'exercer sur les ap
... Je souffre horriblement ! El pendant que la femme de mon ami me demandait ce qu'elle pourrait bien me faire prendre pour me
ent rétablie, foie ayant ses dimensions normales. Très étonné, je luì demandai qui l'avait soignée. Elle me répondit en toute si
ociété, et, à ce titre, de le dispenser de toute cotisation. Sur la demande de plusieurs membres. Il est décidé que la Revue
rit; qu'il passait devant chaque personne, la regardait fixement, lui demandait le genre de maladie dont elle souffrait, puis ajo
othérapeutiques des perversions du sens génétique ». On pourrait se demander si l'auteur a bien fait de nous donner une étude
.. Mes prévisions furent bientôt justifiées... on ne tarda pas à me demander de vouloir bien employer la suggestion hypnotique
ble à cette faculté ? Et s'ils répondent par l'affirmative, je leur demanderais encore : « Qu'avez-vous donc fait pour prévenir
es gens en leur faisant des signes el qui les force a parler. Je vous demande un peu cette invention ! Tout en songeant, el pen
, les accusateurs et la hache et la robe du juge, et le président qui demande à Mathis: « — Pourquoi entendez-vous des bruits
calme, ou vos cris prouveront que vous êtes coupable. Mathis. — Je demande l'avocat Llnder, de Saverne; pour une affaire par
du songeur.) Le songeur, se précipitant. — Il dort. Que but-il lui demander ? Le président. — Ce qu'il a fait dans la nuit
ans la chambre. Le songeur. — Vous rentrez ? Mathis. — Oui. Il me demande combien jusqu'à Mulxig ?... Quatre petites lieues
en... rien !... Le songeur, au président. -- Que faut-il encore lui demander ? Le président. — C'est bien. [Au greffier. ) Vo
aire : le greffier : M. Faisant; le blessé : M. Bouvry. L'instituteur demanda k Bouvry qui l'avait blessé. « Je crois, répondu
ance de leurs facultés intellectuelles, nn de ces malades se décide à demander à la médecine de les guérir d'un mal qu'elle a pr
de traiter, Mme C..., âgée de cinquante-cinq ans, vint, en 18S7, nous demander le secours de la suggestion hypnotique contre des
ctueux et la faiblesse très accentuée. La malade ne venait pas nous demander de la guérir de l'habitude de la morphine; elle n
nt son chemin; quelques Jours après, la malade venait spontanément me demander de l'aider par la suggestion a se démorphiniser.
terrifiant. Quand slie pense aux douleurs qu'elle a éprouvée, elle se demande comment elle n'est pas restée folle- A son entrée
ent a une suggestion faite. Elle continua pendant quelques semaines à demander le secours de la suggestion contre des malaises q
esprit lamentable à certains moments: mais elle s'empressait de venir demander le secours de la suggestion et toutes ses souffra
voir qu'elle sera durable. Pendant quatre mois, la malade est Tenue demander de temps en temps le secours de la suggestion.
ec son voisin, se lever de sa place, s'informer de l'heure qu'il est, demander au président qu'il termine l'audience, c'en est a
facile à saisir et qu'elle reste dans le doute (2). » On pourrait se demander , il est vrai, si en telles matières le plus honnê
idée que d'en implanter une neuve, et ici on a les deux à faire. Cela demandera toujours un certain temps. Le temps même est ic
ider à agir. Mous nous laisserons aisément persuader quand on ne nous demandera qu'une application toute platonique. Faut-il en v
et avec elle en communication physique. Prenons la main d'un homme et demandons -lui quelque chose : pour dire non, il faudra qu'i
z la première malade, prend ici son siège dans la vessie et le malade demande à uriner sans pouvoir y parvenir. Enfin apparai
terprétation. « M. Janet a travesti et dénaturé les idées que, à la demande de M. le président Sidgwich, j'ai exposées au Con
gélina, M. le Procureur la fit conduire A la gendarmerie où il me fit demander , à onze heures du soir, pour examiner l'état ment
agnarde de nos pays. Lorsque je lui eu fais la remarque et que je lui demande pourquoi elle a un tablier bleu, une robe et des
u et les cordons de tirage pour les rideaux. C'est alors que je lui demande pourquoi elle n'a rien raconté de son histoire au
: Vu le peu de temps qui s'est écoulé entre notre réquisition et la demande de notre rapport, et étant donné que l'appréciati
que je viens de rapporter s'ajoutera à ce dossier et me permettra de demander à votre Société si. au point de vue Je la médecin
1. est amenée dans mou cabinet à la fin d'octobre 1892, et sa mère me demande ce que je puis faire pour son enfant. La malade
d'orthopédie à la Clinique française. En juin dernier, des amis me demandèrent un conseil pour leur domestique qui avait des cri
versité de de Bruxelles, d'instituer un cours semblable, et nous vous demandons l'autori-sation de l'établir sous ses auspices et
ne fille, répondit et conclut enûn : — «Je suis fatigué d'elle; je ne demande pas mieux que de m'en aller. « Que me donnerez-vo
eux que de m'en aller. « Que me donnerez-vous pour cela ? » Le prêtre demanda ce qu'il voulait. Le renard demanda, toujours par
erez-vous pour cela ? » Le prêtre demanda ce qu'il voulait. Le renard demanda , toujours par la même voix, certains gâteaux et c
doute n'existe pas dans l'esprit du demandeur. « Pour lui, la chose demandée n'est pas plus difficile à exécuter qu'un ordre à
s pleurs e: « des grincements de dents. » « Si, maintenant, on nous demande quelle est la nature de cette force, qui fournit
e, mais il lui répugnait de croire ici i une imposture. Alors, je lui demandai comment les docteurs de Bruxelles s'y étaient pri
) que cet article est écrit, je l'ai revu; il est resté guéri. il m'a demandé de le débarrasser de sa passion pour le tabac.
, il a subi la résection du nerf sus-orbicu!aire sans résultat. Il me demande de l'hypnotiser. Il ne sait pas ce que c'est que
tuer son mari et ses enfants, et qui. chaque matin, dans ton lit. se demandait avec angoisse si ce serait pour aujourd'hui. C'es
ments qui suivent de la lettre qne le mari a bien voulu m'écrire a ma demande , après guérison confirmée : c ... Je puis vous
n état de compensation. Aussi dut-on répondre par l'affirmative à une demande catégorique posée par le mari : La chloroformisat
ésie chirurgicale obtenus par suggestion, pria M. et Mme N... d'aller demander mon avis. Attendu que dans ce cas la méthode su
autre part, peu fait pour encourager les innombrables pèlerins venant demander leur guérison à la divinité du lieu. L'administra
eu. L'administration locale ne devrait pas souffrir ces choses-là! Je demandai à l'un de ces mendiants particulièrement affligé
nt là des gens dont les jours étaient comptés, et il est permis de se demander si l'hydrothérapie, même sacrée, était bien indiq
bien, témoignant ainsi qu'il entend de l'oreille gauche seule. Je lui demande alors comment il se fait qu'il m'entende alors qu
que nous fûmes amené à essayer la suggestion. Un soir la malade nous demanda si nous pourrions l'endormir et la guérir ainsi d
de les regarder. Tout le monde me sollicite et rient chez moi ; je ne demande pas d'argent ; je fais simplement une quète après
aments. » Dans ces conditions, le ministère public a été amené a se demander si, dans l'intention du législateur de 1892, les
it plus haut, le ministère public n'a pas conclu; il s'est borné à se demander « si le zouave Jacob ne devra pas être exempt de
23, avenu; de Mac-Mahon, une cinquantaine de malades qui viennent lui demander de les guérir, persuadés qu'ils sont que cet anci
ur du Bulletin Médical a interrogé MM. Cornil et Brouardel, et leur a demandé leur opinion sur la valeur d'une pareille thèse,
: Une femme depuis longtemps malade et découragée, vint à Lourdes et demanda à la Vierge de la guérir ou de la faire mourir. E
urdes un de nos plus distingués confrères, accompagné de sa femme, je demandai à celle-ci de vouloir bien me communiquer ses imp
nctuaire. Notre compartiment est envahi par des pèlerins. Celui-ci va demander à Notre-Dame-de-Lourdes la guérison de si main, c
ui ont été publiées dans les laboratoires ou ailleurs depuis 1870. On demande aussi une description complète des cours de psych
signation. Je la connaissais depuis plusieurs années, mais elle ne me demandait d'avis qu'à propos de névralgies et d'insomnies :
es moyens échouaient, les parents du malade et le patient lui-même me demandèrent d'essayer l'hypnose. Il s'endormit facilement d
lytique, que d'entreprendre un long voyage. Il interroge ses amis. Il demande des détails sur ces cures miraculeuses dont lui a
é du concours sera envoyé gratuitement aux personnes qui en feront la demande au président, 00 bis. rue Saint-Benoit, Paris.
ésignerons que par son prénom, Joséphine. Quelques jours après, il la demande en mariage et, sur les vires instances de la jeun
vanouissent. Le lendemain matin, la police qui les cherchait sur la demande des parents, pénètre dans la chambre, tous deux r
ntracture n'existe pas; l'état des poumons est excellent. Nous nous demandons alors s'il ne s'agit pas de phénomènes d'ordre hy
procéder qu'avec la plus grande prudence, nous nous contentons de lui demander ce qui lui est arrivé. Elle nous raconte alors, s
nsera de rapporter ici. Une phrase cependant me trappe ; quand je lui demande ce que lui a fait le premier individu qui l'a app
a beaucoup souffert pendant l'acte. Nous l'examinons alors, sur la demande formelle de la mère, et nous constatons qu'il n'e
l'absence de douleur qui nous servira tout à l'heure, quand nous nous demanderons s'il ne s'agit pas de coxalgie simulée. La cont
gulièrement, nous avons peu étudié son caractère. Il est permis de se demander s'il n'existe pas, chez elle, cet état mental par
précepte, et je m'en suis bien trouvé. Enfin, il était permis de se demander s'il ne s'agissait pas d'un cas de simulation, su
quelqu'un la voit embrasser sa poupée sur le haut des cuisses. On lui demande ce qu'elle fait ; elle répond que c'est ainsi que
65. faire ce qu'elle avait entendu lire dans le journal. Nous avons demandé s'il n'y avait pas une canse analogue pour notre
e cas d'une petite fille qui prétendait avoir été « touchée ». On lui demande par qui, elle ne sait que répondre. On lui demand
touchée ». On lui demande par qui, elle ne sait que répondre. On lui demande si c'est par tel individu que l'on sait absent, e
admis comme membres de l'Association de la Presse médicale. Sur la demande de M. Gilles de la Tourelle, secrétaire général d
t ceux quelle que soit la nature supposée de chorée? Cela étant, je demandai 4 mon confrère et ami, le Dr Leroux, qui est char
haut lieu de l'avis que des médecins compétents avaient formulé, à la demande de ion défenseur, sur l'état pathologique de l'ac
'avis des experts. « On ne saurait en droit refuser au défenseur de demander un avis en semblable affaire. « On ne saurait n
n provoque le sommeil hypnotique. Un problème intéressant est de se demander s'il est possible d'endormir le sujet sans qu'il
he en vain ; deux jours après nous l'endormons de nouveau et nous lui demandons ce que sa bague est devenue, elle répond aussitôt
énomène de la localisation des .sensations, je ne pensai pas a le lui demander ». « J'essayai, dit encore M. de Rochas, si la
où, se retournant brusquement et portant la main derrière sa tète, il demanda en riant qui lui tirait les cheveux, au moment pr
sée, pour ainsi dire, je supprime ces crises apres son réveil. J'ai demandé au malade ce qui le faisait pleurer, s'il était é
26 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
lorsqu'ils ont à se plaindre de quelque maladie, se contentent de lui demander une consultation. La psychologie de l'intimidat
d'Alamont est fort bégue. Le Roi, la première fois qu'il le vit, lui demanda quelque chose en bégayant, l'autre lui répondit d
ce avec le maréchal de Tlioiras. Un jour qu'il chassait au faucon, il demanda au maréchal en bégayant, ouest Toi... Toi... Toi.
e ! combien de ces névropathes auxquels la vie est à charge et qui ne demandent que d'en sortir par le suiciSe parce que rien ne
ement. (Les névropathes manquent souvent de persévérance.) Je ne leur demandais pourtant que de revenir toutes les deux ou trois
e nous ferons usage de ce procédé dans ce travail. Maintenant, nous demanderons à M. Grasset en quoi l'hypnotisme a été mauvais d
ième cas. Il s'agit d'une demoiselle du Midi de la France, à qui je demandai d'emblée beaucoup de temps en lui promettant la g
'ils interrompent le traitement de bonne heure, même lorsqu'on leur a demandé d'emblée de le suivre pendant plusieurs mois ou p
iques trop de médecins ne voient plus que le régime et oublient de se demander si la suggestion a affaire dans ces cas et ce qu'
Aux premiers l'émotion; les seconds distillent l'ennui. -Te me suis demandé si les expressions voix chaudes, productives d'ém
heures du soir, procurent un sommeil paisible et reposant, C'est à se demander si le remède ne possède pas une vertu propre à cô
as rendre les plus grands services. Répondant à M. Laumonier qui se demandait s'il y avait intérêt à diffuser ces notions de su
e qui doivent unir tous les membres de l'enseignement. Adresser les demandes de renseignements à M. le Dr Bérillon, président
érir. Il commence. Au bout d'un instant, elle ferme les yeux; lui, se demande si réellement elle dort déjà? Il lui enfonce une
ieu de sa phrase et s'endort. A ce moment, l'assistant commença de se demander si elle n'était pas hypnotisée. Il fit part de ce
s ou à subir plus facilement des influences étrangères. Quand je leur demande s'ils sentent qu'ils dépendent de moi (car c'est
il et Détente », me rappelle un fait personnel, déjà lointain, que je demande la permission de rapporter ici. Quand j'étais l
t recevoir de plus en plus cette éducation scientifique si désirable. Demandons moins à la mémoire beaucoup plus au raisonnement
nnée ». C'est pourquoi, j'ai été heureux de me joindre à ceux qui ont demandé , pour mon ami le Dr Bérillon, la distinction si m
lique. M. Bienvenu-Martin nous reçut d'une façon fort aimable et nous demanda l'objet de notre visite. Je le lui exposai en deu
de notre visite. Je le lui exposai en deux mots : « Nous venons vous demander la croix pour le Dr Bérillon ».— « Comment? nous
ent nombreux, étant donné ses excellentes places. Z. est donc prié de demander un palmarès à l'administration du Lycée. Or, dit-
s à l'administration du Lycée. Or, dit-il, un jour, il a oublié de le demander ; un autre jour, le secrétariat était fermé ; un
ritaire. Au début de l'année scolaire 1903-1904, quand son père lui demande quelle place il a eue en composition, il répond,
Au mois d'octobre dernier, ici même, M. Rollet me fit l'honneur de me demander ma collaboration médicale, et notamment d'appliqu
ppelle, ouvre la bouche et les yeux quelques secondes quand on le lui demande . La surveillante lui conseille de manger d'elle
ses d'études furent créées au Muséum. Dumontpallier me conseilla d'en demander une et mit tout en œuvre pour me la faire obtenir
La plupart de ceux auquels j'annonçais la publication de la Revue, me demandaient de les inscrire sur la liste des abonnés. Il en f
me. Ce fut d'une façon fort discrète que, au commencement de 1839, je demandai à mes lecteurs leur avis sur l'utilité de réunir
si précieux que nous apporta le professeur Tarde, en acceptant sur ma demande , de présider la séance d'ouverture de notre école
es . procédés mesmériques 'd'hypnotisation : « Quelle vertu ont donc, demande Faria, les attouchements, la présentation et les
it la nomination d'une commission destinée à examiner les aliénés qui demandent leur sortie et à ordonner cette sortie en dehors
el, que le médecin d'asile demeure souvent hésitant et troublé, et se demande quel est son devoir : rendre à la liberté ce conv
és lors des séances précédentes, manquaient totalement. M. Cumberland demanda à M. Chamberlain de concentrer toutes ses pensées
uer la suggestibilité. Dans la pratique de la psychothérapie, il faut demander aux malades d'en cesser l'usage. Ouvrages dépos
ion. Nous avons déjà noté sur 3e paragraphe « Méthode » comment Faria demandait à ses époptes de fermer les yeux et de penser au
ppartenir aux médecins, c'est la pratique de l'hypnotisme. Mais, on demandera , naturellement, si Braid n'a rien fait pour l'hyp
, le vrai et le grand mérife des travaux de Braid. Notre objet est de demander , seulement et simplement, plus de justice pour l'
par M. le D' Paul MaGNIX, professeur â l'Ecole de psychologie. Je demande à la Société la permission de lui communiquer som
responsabilité dans la pratique de l'art médical. Le tribunal nous demandait ensuite d'observer MU| X... et ses coïnculpés au
anté ou de celle des êtres qui les touchent de près. Le tribunal me demandait enfin de dire si M"° X..., jouissait de l'intégri
hute nécessitant un nouvel internement. La famille en fut réduite à demander au procureur de la République deX..., de qui je t
ue que j'ai eue avec lui. II y a quelque temps il m'écrivit pour me demander si je pouvais lui indiquer un traitement de la pe
s pour aller voir la Tour Eiffel. II s'y rendit directement sans rien demander à personne. Son embarras n'a commencé que lorsqu'
générale, démence épileptique). Chacune de ces catégories d'enfants demande , en elTct, une assistance particulière. A. Ma
s nausées et des crampes. Une neurasthénie intense s'installe... On demande l'avis d'un oncle qui est médecin en province. Ce
idées d'indignité, de honte du corps. La malade, qui n'est pas laide, demande qu'on lui change la courbure de ses yeux ; c'est
e de confiance du sujet ou du défaut de fixation... o On peut donc se demander si les anesthésies ainsi obtenues ne résultent pa
le beau renom de la médecine française, avait eu l'ingénieuse idée de demander aux lecteurs du Journal des Praticiens de lui don
........ 67 Douteux............... 2 Nota. — Beaucoup de médecins demandent que les professeurs ne fassent pas de clientèle.
pathologie comparée. à cette étude toute son ampleur, je me suis demandé s'il n'existait pas aussi chez les animaux (et, e
, Messieurs les Vétérinaires, si bien placés pour nous documenter, je demanderai : Connaissez-vous des faits analogues de sommei
z l'homme? • * • Messieurs, vous le voyez, je viens plutôt vous demander des lumières que vous en apporter. Je vous soumet
de mal de mer. Je sentais que j'allais en être atteint si je ne leur demandais de choisir un autre sujet de conversation. Lors
te d'une serviette. Lorsque j'ai épuisé mon aptitude à dormir, ce qui demande encore un certain temps, je détourne mon attentio
pu la soulager, et son mari, en désespoir de cause, lui conseille de demander mon avis et de me prier de faire quelque chose po
25 ans, n'a pas le droit de prendre la parole devant son père, ni de demander des explications sur un sujet quelconque. Immédia
vais avec le père. Faisant semblant de no pas être au courant, je demandai au père pourquoi les deux fils aines n'assistaien
mais il se montra inflexible aux sollicitations de son neveu qui lui demandait la permission d'assister, avec son cousin, âgé de
usin, âgé de 20 ans, aux réunions de famille. A l'école, si l'élève demande une explication sur un point quelconque de la leç
s certains cas se produire de façon intermittente. Nous nous sommes demandé si les animaux, et notamment les petits animaux,
aissaient bien, qui s'approchaient de nous, et tout en ayant l'air de demander une caresse ou de vouloir en donner, ouvraient la
de l'homme et celle des tics des animaux. Quant au traitement, ils se demandent si celui qu'on applique chez l'homme et que vous
Scientifiquement, Dieu n'existe pas, in-12, 180 pages, 1906. Adresser demandes à M. Brissaud, 151, rue de Javel, Paris. Df Cha
it, à l'autopsie, par l'existence d'un ramollissement. Ceci dit, je demanderai à M. Edmond Stapfer, de quel droit, admettant l'e
iens. Ils ont affirmé que Jésus était un homme supérieur, sans s'être demandé s'il avait réellement donné des preuves d'une int
par le fait même du supplément de travail que l'entraînement lui demande et devient plus charnu, plus ferme, plus apte à f
muscles, en les exerçant, une plus grande somme de travail sans leur demander plus d'efforts, et, simplement en utilisant mieux
al, avaient d'emblée rassuré M. Hardy, clinicien très expérimenté. 11 demanda à pratiquer un examen local que la pudeur de la f
t en priant sa mère de me la ramener le 5 novembre. Entre temps, je demandais à mon savant ami, M. Bouvier, professeur d'entomo
s avoir la grande satisfaction de vous les faire connaître. Mais ceci demande une explication ; il est nécessaire de s'entendre
illon, qui, seul représentant de l'enseignement libre, n'hésita pas à demander à prendre part à la discussion. Elle lui fut acco
it de prendre la parole sur un sujet quelconque devant le père, ou de demander des explications. On l'invite au silence par cett
'accès aux réunions où il assiste lui-même. « A l'école, si l'élève demande au maître une explication sur un point obscur de
ême dans les travaux professionnels les plus grossiers, dans ceux qui demandent plus de force que d'adresse. Mais alors il a pour
nt que, malgré tous les efforts, on n'arrive à rien, est désolé, mais demande à son fils de ne plus s'occuper de ce jeune homme
monde, j'écoute le récit qui m'est fait; en le terminant, Mme R... me demande de la débarrasser, par une opération, de cet hôte
ements dont j'ai souffert au cours de ces dernières années. » — Mais, demandons -nous à la malade, quels sont les phénomènes qui o
'ai déjà dit, elle aime à s'asseoir, et la fosse iliaque. * — Mais, demande un de nos confrères qui nous fait l'honneur de su
lgence par le trait d'esprit suivant : — « Messieurs, leur dit-il, on demandait un jour au vieux doge de Gênes, contraint par Lou
plus de place à la réflexion que les examens primaires. Ces timides demandent une bienveillance particulière et une attention s
rapidement chez les sujets qui ont atteint l'adolescence : on peut se demander alors, surtout quand on voit la guérison survenir
, on comprend que cet effort puisse suffire à la modifier. On peut se demander si l'anesthésie de retour, l'anesthésie post méta
e, parce que toutes les fois que je me présente quelque part pour demander une place, la peur m'envahit, j'ai de la difficul
demain, il se présente au directeur de la Banque, fait verbalement sa demande , s'exprime très bien et le directeur s'intéresse
ard originaire des Shetland-Islands, s'adressait à la commune et leur demandait si quelqu'un voulait porter témoignage de son sau
ervice de l'opinion qu'il avait si nettement exprimée en 1894. Il n'a demandé la suppression d'aucun concours. fl) Dans leur
ine, n'a satisfait personne, c'est que ceux que favorise le succès se demandent eux-mêmes si le résultat obtenu mérite bien la so
der, à leurs risques et périls, la carrière de l'enseignement. Ils ne demandent qu'une chose, c'est, après s'être munis d'un titr
ours qui viennent d'avoir lieu à la Faculté de Paris. Ils se seraient demandé d'abord pourquoi beaucoup de médecins éminent
Le û" 129 est un bon exemple. On y raconte la visite de M. Pétiet qui demande son frère Jérôme. Adèle le décrit minutieusemen
27 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
a généralement trait à l'heure, au jour et à la durée de ma crise. Je demande vingt fois de suite : « Quelle heure est-il ? » A
s tous les services qui ont été signalés. Il y aurait même lieu de se demander si la déchéance intellectuelle si fréquente chez
ns même de faire briller chez eux la flamme de l'idéal, sans quoi ils demanderont leurs rêves d'adultes aux breuvages qui détraquen
n doués l'instruction qui leur est due d'une façon obligatoire, on se demande ce qu'il pourra entreprendre pour les anormaux. D
ais à l'hôpital. Je -pourrais multiplier des exemples analogues. On demandait au philosophe Aristippe ce qu'on devait apprendre
s enfants soient conscients de leurs besoins naturels, qu'ils sachent demander la nourriture, qu'ils sachent manger seuls et qu'
e qui doivent unir tous les membres de l'enseignement. Adresser les demandes de renseignements à M. le D ' Bérillon, président
e qui doivent unir tous les membres de l'enseignement. Adresser les demandes de renseignements à M. le D' Bérillon, président,
r les joues et les yeux avec sa salive. Un autre, perclus de la main, demandait à César de la lui fouler avec son pied. Vespasien
lors Vespasien, au milieu d'une ioule attentive, exécute ce qu'on lui demande . A l'instant, la main du paralytique recouvre sa
ependant, une tendance à la tristesse (khaki, havane, gris variés) et demandent à être relevées. Toutes ces couleurs jouent u
e le matériel classique le plus convenable aux aveugles est celui qui demande à leur main le moins d'effort et le moins d'adres
qui échappent à cet état sont ceux qui, par une cause quelconque, ont demandé à leurs organes sensoriels, dès la première enfan
de la grossesse et ne voyant rien venir, une deuxième sage-femme est demandée , qui confirme le diagnostic de la grossesse et dé
nu ici parce que un tel est venu trouver mon père ou ma mère pour lui demander aide. Il leur a donné tant parce qu'il hait cette
personnes frappées par lui, le polong ne veut pas avouer ce qu'on lui demande , mais le malade crie quel est le ressentiment du
sse, dextérité, promptitude, compréhension immédiate des services demandés par l'opérateur. Enfin et surtout, résistance de
ation et au tact avec lesquels il a conduit les travaux du Congrès et demande trois hourras en son honneur. M. Julien Ray, pr
lui apprendre à supporter son sort avec résignation. L'examen moral demande beaucoup de tact. Le malade hésite rarement à vou
oir de la guérison. Si je juge la maladie guérissable, mais qu'elle demandera beaucoup de temps pour être menée à bien, j'insis
s facteurs qui, tous, peuvent être utiles. De même, s'il y a lieu, il demandera le concours des médications chimiques et physique
oir adresser un appel aux pouvoirs publics et consistoriaux pour leur demander d'intervenir. Aujourd'hui, après trois mois d'inf
mouvement et n'émet aucun son. Mais, quand elle désire boire, elle le demande , soit en frappant sur le lit avec une baguette qu
rfectibles. Chaque enfant est examiné séparément, et le maître ne lui demande pas plus qu'il ne peut donner. Celui dont l'atten
l'ordre du jour du Congrès de Genève-Lausanne et sur laquelle je vous demande la permission de m'étendre quelque peu: Il s'agit
Et in cauda venenum ! Ayant terminé son argumentation, le rapporteur demande au Congrès le vote immédiat d'un vœu dont il donn
n Fiance, en Belgique ainsi qu'en Suisse. » Et, une nouvelle fois, il demande , que le Congrès se prononce hic et nunc. Nouvel e
2 août, vers 2 heures s'ouvre une nouvelle séance générale. M. Ballet demande aussitôt la mise aux voix de son vœu. On va donc
olutionner avec autorité une question de cette nature. Et, je vous le demande à tous, quelle autorité aura, pratiquement, une d
urs arrêts s'en tiennent au texte de l'article 64 du Code pénal et ne demandent pas au médecin expert de résoudre lesdites questi
exemple de Mme de M..., témoigne d'une rare élévation de caractère et demanderait , dans l'intérêt des observations médicales, à êtr
ce, cela pourrait entraîner très loin. « Je suis médecin, dites-vous, demandez -moi des renseignements médicaux et rien d'autre.
s le droit de répondre, lui aussi : « Je suis commerçant, industriel, demandez -moi des renseignements commerciaux, industriels..
rendue en Cour d'assises le jour où le jury viendra dire : « Vous me demandez si un tel est coupable ; mais, comment voulez-vou
a regarde la justice ou la police ; je n'en suis pas ; ce que vous me demandez est en dehors de ma compétence. » Restons au po
s collègues comme libres de faire ou de ne pas faire ce que vous leur demandez . Vous ne pouvez pas ne pas parler le langage
t véritablement le triomphe de la division du travail. On pourra vous demander à quels caractères vous reconnaîtrez le philosoph
gez en philanthrope, en moraliste, en sociologue ! Un adversaire vous demandera d'où vous vient cette compétence en tant de matiè
er en ces matières, le législateur devrait, dans une certaine mesure, demander avis à l'expérience des cliniciens. Mais, encore
enir pour irresponsable. » (paragr. 4). Est-il donc responsable, se demande le lecteur ? Je lis : C'est parce qu'il était s
vrognerie est une circonstance atténuante. Dans quelle mesure, vous demande-t -on ? Et vous répondez : » C'est à la justice a
nt dit, ce n'est pas à son voisin, c'est à lui-même que la justice en demande compte. Alors cette question se pose : « X..., es
et dans tous les cas, par un oui formel ou par un non formel à cette demande : X... est-il ou n'est-il pas dément ? La voilà l
comme l'expert en écriture, comme l'expert chimiste lui-même. N« lui demandez pas plus qu'il ne peut fournir : Ne sutor ultra c
arrêtés. » En nous signalant cet Interview, un de nos lecteurs nous demande ce que nous en pensons. Nous lui répondrons qu'il
l'enfant ne pourrait long- temps résister à un pareil régime, me demanda d'intervenir avec toute la fermeté nécessaire.
cile, se montrant rétif, porté à la désobéissance, on doit d'abord se demander si ces dispositions d'esprit ne résultent pas de
térique, et en apposant des cachets de cire sur la peau, comme le demandent si justement les négateurs, des hémorragies cutan
semble, ainsi présentées par ordre d'importance décroissante. fL — Demandez , je suppose, à un hypnotisé de chanter tel air d'
ant la pensée non seulement de la mort, mais de la mort subite, et se demandait si cette idée évoquée continuellement ne pouvait
e Ambroise- Auguste Liébeault. Le 25 août 1905, une dame vient me demander si je pourrais soulager sa fille, âgée de 17 ans,
rconstances, disparition de l'instinct maternel. C'est alors que nous demandons à nos collègues qui s'occupent plus spécialement
es prier d'apaiser la colère du fiancé. Seulement, se dit-elle, si je demande à mes parents de venir au sujet de mon mariage, i
s avons la bonne fortune de tenir M. le professeur Brissaud, nous lui demanderons de vouloir bien entrer dans notre Comité de patro
ne idée de la largeur de ses vues : pendant le règne de son oncle, il demanda son affiliation à une loge maçonnique. Il en étai
s très légers, lait, œufs, sucre, café, qui se digèrent facilement et demandent à l'estomac un effort des plus restreints. De
e de jeûne, mais pour bien travailler de la pensée il faut jeûner, et demander à l'antagoniste du cerveau le travail le plus res
s ou « arrêts s'en tiennent au texte de l'art. 64 du Code pénal et ne demandent « pas au médecin expert de résoudre lesdites ques
qui a qualité pour se prononcer ? Est-ce le médecin, comme on le lui demande aujourd'hui ? Est-ce au contraire le juge ? En d'
qualité pour juger ? Est-ce le médecin (car personne ne s'y trompe : demander au médecin de conclure ferme dans le sens d'une r
veille ! Et c'est pour résoudre une question de pratique que vous lui demanderiez de résoudre un problème de métaphysique ! Pour fo
liniciens, tous les cas qui se présentent à nos investigations, je me demandé s'il en est seulement un où nous ne trouverons po
Plus que jamais nous tournons autour du pot, et dès lors que M. Farez demande si « tel acte est imputable àX, pour une trèsgran
ir. Eh quoi ! c'est à des hommes si peu sûrs de leur science que vous demanderez de construire un édifice de justice ! — L'expert
n commandant de l'armée, passant devant la boutique d'un boucher, lui demande le prix d'un morceau de viande : « C'est quatre f
reçoit de l'étranger des médicaments dangereux, des espions zélés se demanderont s'ils ne vont pas servir à empoisonner leur augus
le C... devient furieux et frappe M... lequel s'est défendu. « J'ai demandé à C... de me faire le ré3it de cette rixe. «
urs arrêts s'en tiennent au texte de l'article 64 du Code pénal et ne demandent pas au médecin expert de résoudre lesdites questi
Cela résulte d'un rescrit de l'empereur Marc-Aurèle, en réponse à la demande du magistrat Scapula Tertyllus, et depuis interca
u moins aux demi-coupables. Lorsque M. le professeur Gilbert Ballet demande qu'on débarrasse le langage médico-légal d'une ph
r les conditions de l'expertise médico-légale. Un juge ne devrait pas demander à un expert de se prononcer sur le degré d'une re
airement due ; que, dans ces circonstances, Sempère n'est pas fondé à demander l'allocation d'une rente. Si ce jugement fait j
u quatre jours ; son père, lui aussi, était un buveur. Il est venu me demander de le soigner, je l'ai trouvé très suggestible et
er les opinions de ses malades ; et lorsque ceux-ci ou leur entourage demandent si la situation est assez grave pour réclamer les
nts l'ayant en grande estime, avaient coutume de le visiter et de lui demander sa bénédiction. Dansuneaudience publique,ilrefusa
rmé de ceci, il ordonna que Chihab u din fût amené devant lui, et lui demanda : « Dites-vous que je suis un tyran ? » 11 répond
ion perfide est prête : « Est-il permis de guérir le jour de sabbat», demandent les pharisiens, ce à quoi Jésus répond par une au
nt * au nom du Christ ». Près du Temple un impotent de naissance ( ?) demandait l'aumône. « Pierre et Jean ayant les yeux arrêtés
Nombres xii). (3) Dans sa réponse aux envoyés de Jean-Baptiste, qui demandèrent s'il est celui qui doit venir, ou s'il faut en. a
nstituée. Ces conclusions nous sont dictées par les faits, mais elles demandent néanmoins une justification expérimentale, d'auta
urément bien assisté. Toute médaille cependant a son reverset je me demande si l'ambition de faire le bien ne pourrait un jou
er la 18' section (Pédagogie et Enseignement), j'ai l'honneur de vous demander de vouloir bien participer à nos travaux. Les que
s indications réellement par trop vagues. On est aussi en droit de se demander avec M. Cruchet « comment l'état normal de l'enfa
tion mentale défensive. Et, conséquent avec lui-même, M. Claparède se demande si les manifestations cutanées hystériques (troub
de faire courir à leur famille ou à leur milieu, il n'a pas hésité à demander contre eux des mesures de protection légitime. -
ence mentale, se sont livrés aux pires excentricités. On a pu même se demander s'il n'eût pus mieux valu qu'ils fussent franchem
ur. La malade ne veut pas de médecins puisqu'elle va mourir ; elle me demande cependant de l'aider devant l'horreur de la mort.
aisant allusion à ce rapport, un rédacteur de la Province médicale se demande s'il est bien utile de s'occuper de l'onychophagi
hologique distincte ; il est remonté aux origines. Pourquoi, s'est-il demandé , un individu de bonne apparence ne trans-formc-t-
ongle pareil, cela devient pour elle une telle obsession, que le mari demande à son ami de rester ganté pour calmer les crainte
28 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
x qui croient avoir quelques droits à cette distinction envoient leur demande motivée au président, M. lé baron du Potet, pour
l n’y avait encore aucun symptôme bien apparent d’amélioration, on me demanda mon opinion. Que pouvais-je dire?— Attendons, fut
en détail la question du Spiritualisme et celle du Rationalisme, nous demanderons la permission d’adresser quelques observations à
votre malade. « Je m’assis devant elle, sans la toucher, et je lui demandai mentalement de me parler. Bientôt je sentis qu’el
re horriblement de l’estomac. Nous nous empressâmes d'acquiescer à sa demande , puis nous la fîmes causer: nous la questionnâmes
ffre chez lui, aussitôt il magnétise. MAL DE TÊTE. Madame T... me demanda si je ne pourrais point faire quelque chose pour
la science du magnétiste qui guérit ou qui soulage. Ce que la nature demande , c’est la force que l'on peut extraire des organe
on que je craigne de voir renaître les obstacles vaincus ; mais je me demande si les vertus que semble exiger la pratique magné
orter les fatigues d’un voyage en voiture, M"' de Puységur ayant fait demander quelques hommes de bonne volonté pour le transpor
principaux partisans du magnétisme dans ce pays ont bien voulu, îi ma demande , célébrer, le 23 mai de cette année, la fèteanniv
rès-nets, très-sonores, très-distinctement appropriés à l’objet de la demande ( bruits de scies, bruits de marteaux, bruits d’i
it l’obtenir de Renier. Un jour qu’il était allé chez lui pour le lui demander de nouveau, ayant trouvé Biaise assise seule au f
ant, affirmait-on, d’une lucidité des plus rares. La dame B... la fit demander , et elle ne tarda pas à se présenter. Lorsqu’on
princes de la science sont satisfaits de cette situation. On ne leur demande pas de changer de système, de chercher des princi
e y était lorsque son frère arriva, avec l'intention d’aller à Home demander les dispenses nécessaires pour épouser sa belle-s
de sorte que la vision de miss 11. était accomplie jusqu’au bout. Je demandai souvent à miss 11. de quelle manière, par quel pr
de magnétisme. pensen! s'en èlre inoculé la connaissance! i.a Vérité demande plus de sérieux et plus de peine. M. (.'.omet,
: Nous exposerons en même temps la conduite des médecins qui, sur la demande de M. Cornet, lurent délégués par l’Académie aupr
, sur le malade, son tempéramment et son caractère, autant qu’ils ont demandé à l’être eux-mêmes. Les observations publiées dan
es trésors de l’étude moins féconds que le Cascalhâo du Brésil ? On demandait à Newton comment il avait réalisé ses Immenses dé
ssemblée. Mais celui qui, seul, savait quoi s’ea tenir à cet égard, demanda le silence et examina le magnétisé. 11 ne tarda p
ons.—Les bûtes ont souvent plus d’esprit que les gens. Ce que le lion demandait , c’était non des pilules, mais la liberté ; ce ro
cherchées jusqu’à présent sans les trouver. Mais persister dans cette demande serait absurde, rien ne se fera de ce côté. Deman
sister dans cette demande serait absurde, rien ne se fera de ce côté. Demander l’admission du magnétisme aux savants, c’est dema
era de ce côté. Demander l’admission du magnétisme aux savants, c’est demander à l’épicier de vous faire du drap, et au drapier
estpas leuralfaire.et qu’ils > n’entendent rien à ce que vous leur demandez . Chaque savant a ses idées favorites, ce qui va à
ue savant a ses idées favorites, ce qui va à son propre génie; ne lui demandez rien autre chose. Mais l’opinion publique attribu
ns leurs habits, comme préservatif efficace contre le mauvais œil. Je demande maintenant pourquoi ce brimborion a-t-il la forme
ulièrement, lorsqu’il avance que l’âme habite dans le sang. On lui en demande la raison; il répond qu’elle ne peut vivre dans l
ssion du corps du somnambule que par un seul Esprit étranger, je vous demanderai , en ce cas, où est allé celui du sujet, et pourqu
a pas l’électricité d'nne ville à l’autre. M. Jules Recv, je crois, demande h prouver ce fait par son système de communicatio
es. Me mettant entre les deux champions, je viens, à mon tour, vous demander un tout petit coin pour mes observations personne
rois opinions, il peut en surgir une quatrième, celle d’hommes qui se demandent et cherchent s’il n’y aurait pas autre chose qu’u
, plus elle devient inhabile et rétrograde ; et l’on peut dès lors se demander silaProvidence veille ausalutdeshumainsetsi les F
ut suivre nos indications, car bien observer est chose difficile, qui demande des hommes spéciaux ayant plus quede l’intelligen
n Goujon qui la regardait, couché en travers du seuil de la porte. 11 demanda qu’on dit des messes à son intention, en indignan
lui-même dans de semblables conditions vis-à-vis d’un malade '! Je le demande à tout praticien expérimenté et pas un ne pourra
« confiance absolue (1) » dans le somnambulisme; mais aussi pourquoi demandez -vous deux choses dans la même séance au lieu de v
rait aussi logique et peut-être plus logique que celui qui consiste à demander deux ckoses à un somnambule dans la même séance.
ce qui eut « lieu, à la suite d’un traitement de deux mois.» — Que demande donc de plus M. B...? Ce qu’a annoncé le , somnam
umaine n’était point aussi sotte quand il s’agit de sa santé, elle se demanderait quel est, dans les deux systèmes opposés, l’homœo
oujours, et qui prétend toujours vivre. La chose avorta, et l’on me demanda des conclusions formelles. Vous me connaissez ass
la forme, prétend que tout ça c’est de l’hystérie. — Bon. Un allié demande la parole — pas celui au manuscrit, — l’autre. Il
stant. Le président se couvre. Le tumulte peu après apaisé, un membre demande la parole. C’était un docteur, professeur de phys
cadémie. Étudions, dit le congrès. C’est déjàgrave-,mais il y a plus. Demander qu’on étudie les faits du somnambulisme artificie
r cette humiliation quelque pitié devant le trône du Seigneur. Il lui demanda , la voix étouffée par les sanglots, de lui laisse
des fronts qui s’inclinaient en signe d’assentiment ; mais chacun se demandait avec curiosité par quel motif il posait à deux fo
op sévèrement tantôt. A la rigueur, Nadir-Zeb aurait eu le droit de demander des excuses plus franches, mais il avait le proje
y. — Te donner ma fille ! — Oui, votre fille : songez que je vous demande une chose qui n’est plus à vous, et qui, si elle
chose qu’il avait jusqu’alors refusé de faire, « Le lendemain ayant demandé à ce philosophe comment il se faisait qu’il lui e
’une durée temporaire, subordonnée à l’action de la volonté. » — Je demanderai d’abord au contradicteur s’il connaît la durée qu
vertu n’agisse pas aussi promptement qu’efficacement pour la guérison demandée . » Le Dr A Guépin, professeur à l'école de médeci
t pas de son pouvoir. C'est parce que j'y crois moi-mime, que je vous demanderai ceci : « Pour le cœur qui prie vraiment, n'est-el
re horriblement de l’estomac. Nous nous empressâmes d’acquiescer à sa demande , puis nous la fîmes causer : nous la questionnâme
omier, après avoir endormi par la magnétisation une femme hystérique, demande au mari de cette femme la permission de faire une
elin. — Sa mauvaise épitaphe par un mauvais plaisant. XVII. D'Eslon demande et obtient une commission, et publie son Mémoire
l du Magnétisme, tome XVII, p. 287 et suiv.) — « Que deviennent, me demande mon contradicteur, les parties constitutives des
mystérieuse : Gouvernez au nord-ouest. Le passager, intrigué de cette demande , s’y conforma néanmoins. Le capitaine, ayant pris
serez peut-être plus heureuse dans une plus forte tentative. — Je ne demande pas mieux. « Mesdames Du Potet et sa belle-sœur
qu’elle est devenue muette. Elle s’empare du crayon et du papier. Je demande si, d’habitude, elle écrit, lorsqu’elle est dans
ce que vous n’êtes point impassible, ainsi que je vous en avais prié? demandai -je au spectateur. — Ma foi! c’est à jeter sa lang
c une annotation de M. le vicomte de Rougé. L’inscription relate la demande faite au Pharaon Ramsès-Méri-Amon II, par un prin
sté leur dit : « Je vous ait fait » appeler pour entendre ce qu’on me demande ; indiquez-moi parmi vous « un homme au cœur inte
pays de Bachtan pour combattre cet « esprit ? » ■ 19 Celte nouvelle demande parvint au roi en l’an 26, le I" du mois « de Pac
e seconde l'ois à l’assistance du pharaon, son gendre ; il fait alors demander l’un des dieux de l’Egypte, et le roi lui envoie,
elle parle par des symptômes, c’est à nous de comprendre. Ce qu’elle demande généralement c’est de la puissance : l’animal qui
ette surannée aberration. C’était justice ! autrement il eût fallu se demander si les études magnétiques ne sont qu'un tapis fra
ique fait de même, dit M. Albert Lemoine ; mais dans le secours qu’il demande aux hypothèses scientifiques, il ne laisse pas mô
vous « la prédominance accordée au sentiment sur la raison, » je vous demanderai comment l’cxpérience, la réflexion et la froide p
re proposition, ainsi tranchée, se fond dès lors avec la seconde, qui demande un développement beaucoup plus considérable en ce
la suite de quels faits il s’est produit, et alors que la commission demandée avait été accordée. Paris, le 16 aoust 1784.
. « L’exposé suivant a été extrait de ses registres : « 1° Sur la demande faite par M. Le Roux, chirurgien, au » nom de M.
ai 1778, dans laquelle M. Mesmer désavouait « toutes les démarches et demandes de M. Le Roux . . . n......etc. » « (Extraits d
rejeté l’examen des commissions qui lui avaient été accordées sur sa demande . Cet incident eut pour résultat de brouiller dé
ils de ce savant médecin, il exposa sa doctrine dans un Mémoire où il demande à prouver que « la i nature offre un moyen univer
État. « C’est une possession territoriale et non de l’argent que je demande , » disait-il (2). « Quelqu’interprétation qu’on d
enne, alla trouver un moine d’une grande piété nommé Hilarión. Il lui demanda la raison de cette persistance de la mauvaise for
sprit de lumière se montrera à vous, et vous pourrez lui adresser vos demandes . » Les musulmans de l’Inde et les Hindous font
vis rien de mieux que de mettre M"" André en somnambulisme et de lui demander ce qu’elle pensait d’un phénomène pareil. Voici
plications que je donne telles qu'elles m'ont ôté fournies à première demande , je me suis rappelé que, toutes les fois que j’ai
t sur les inférieures. Après trois minutes de passes à distance, je demandai à voix très-basse : — Êtes-vous en état de somm
a laissai ainsi environ trois minutes et demie, puis je renouvelai ma demande au sujet du sommeil. La réponse fut encore négati
29 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
nc beaucoup de sa dextérité. Il devient inapte à tous les travaux qui demandent une certaine agilité manuelle. Ce n'est qu'avec u
la constitution d'une habitude automatique, nous sommes portés à BOUS demander si celle adaptation n'est pas subordonnée â une p
linence nocturne d'urine el l'onanisme de l'ainé el du plus jeune ont demandé un peu plus de persévérance. La guérison a été ob
chez, sou oncle et sa tante, ceux-ci, au bout de fort peu île temps, demandent au père de reprendre sa fille. Malgré le boa
antiseptiques. Sans rien lui annoncer, je lui prends la main et lui demande de tenir ses veux fixés sur les miens. Au bou
â ma porte, à trente melres de distance. Elles m'en parlèrent, et me demandèrent «l'essayer mon art. J'hésitais, puis je nie décid
elque», tentatives d'hvpnolisaliou qui n'avaient pas réussi, et il me demandait mon intervention. J'arrivai: la jeune tille me
tigations antérieures. » Ces lignes sont tirées d'une lettre que j'ai demandes » a M. Von Winiwarter. pour ne |ias m'exposer, moi
t pu être prolongé l'impression monde intense produite en elle par la demande de sou hère et par sa promesse aurait pu être sur
n et de la Franche-Comté, lorsque M. le professeur Schiff, se levant, demanda qu'on lui prêtât un peu d'attention et s'exprima
ex bibliographique. L.. bremier. — Cas d'astnsie-abasie hystérique. Demande de dommages-intérêts. (The Journal nf Kereons and
et il cherche son couteau dans sa poche. À plusieurs reprises, sur sa demande , on a dû placer l'enfant au loin chez des parents
, veut tuer un innocent, sous l'influence d'une idée délirante, on se demande si déjà l'idée de tuer son beau-frère n'était pas
examen; or il quitte brusquement le collège et revient chez. lui. Il demande alors à entrer dans une école de commerce et comm
va devant lui vivant d'aumônes. Enfin il écrità ses parents pour leur demander de l'argent pour vivre, s'ils le veulent bien, di
recommencera plus; se dit très malheureux d'être séparé de sa mère cl demande sa sortie. Son père vient le voir, avec lui il es
uéri complètement et que son délire des persécutions persiste. Il m'a demandé à aller au devant de son père, jusqu'à h gare, ce
t recommencer les mêmes tentatives criminelles. D'une part sa famille demandait sa sortie et prenait la responsabilité de ses act
otisme, ou la protection gouvernementale ilu charlatanisme. Je vous demande la permission de vous lire trois passades qui vou
les détails, et dont nous n'avons pas même le droit, je pense, de lui demander compte. M. Thiry. — Si l'on permet à un homme q
nt : Lorsqu'un médecin étranger, diplômé, praticien distingué mémo, demande l'aulorisalion de s établir en Belgique, le- jury
ment des fails regrettables de se produire. M. le Président. — Vous demandez à l'Académie de fairr une démarche, mais vous ête
e pour la faire. Vous pouvez, en effet. prendre la parole au Sénat et demander au Ministre des renseignements sur la mesure qu'i
mentionne cette circonstance dans sa brochure. M. RoMMelaere. — Je demande qu'il soit donné lecture de l'arrêté ministériel.
92. sur l'hypnotisme : « Vu l'instruction à laquelle a été soumise la demande du sieur Astère Denis, de Verviers. tendinite a o
« Article premier— Le sinir Astère Denis est autorisé aux fins de sa demande . « Art. 2. — La présente autorisation est valab
es de considérations doivent présider aux décisions à prendre sur les demandes relatives û ces autorisations : il faut tenir com
semble convoiter du regard la pièce, mais ne la louche pas. .Je- lui demande pourquoi elle ne prend pas cette pièce, elle me r
ne le divulguer ni à moi ni à ma tille. Quelques jours après, elle me demande que je l'hypno-lise pour un tic douloureux dont e
tir, il se tourne du côté de son beau-frère qui l'accompagnait et lui demande : Avez-vous aussi été éleclrisé ? Celui-ci répond
it rien, me font venir pour me faire part de cet état de choses et me demander si je pouvais y apporter quelque remède. Il était
s'est exercé et quelle a été mon attitude dans cette affaire. Je vous demande purement et simplement la permission de donner le
nt la permission de donner lecture de deux pièces. Voici d'abord la demande d'autorisation : elle est ainsi conçue : « MoNs
'hypnotisme conformément â la loi du 30 mai 1892. « A 1 appui de ma demande , j'ai l'honneur de me recommander de M. le Dr Mas
nt les premiers à eu profiter. « Espérant que vous ferez droit à ma demande .îje vous prie de recevoir, Monsieur le Ministre,
« J'ai l'honneur de vous donner, ainsi qu'il suit, l'avis que vous me demandez concernant la requête de M. Astêre Denis, de Verv
constate qu'il pose la question d'une manière très correcte quand il demande de « pouvoir travailler avec des médecins désireu
celte condition : « le sieur Astêre Denis est autorisé aux fins de sa demande . » Messieurs, je n'en dirai pas davantage sur c
semblable. Le sieur X... y esl-il dit. « est autorisé aux fins de sa demande s et. dans sa requête, il demande de pouvoir se l
dit. « est autorisé aux fins de sa demande s et. dans sa requête, il demande de pouvoir se livrer à la pratique de l'hypnotism
s bougies, mais n'a pas su trouver la pièce. Avant qu'on l'arrêtât, a demandé si, par hasard, l'objet ne serait pas enfermé dan
ion, en tâtonnantAvec du temps il arrivera toujours à toucher l'objet demandé : quelque chuchotement l'en avertira, et de même
UNE RECTIFICATION MONSIEUR LE PRESIDENT, « Permettez-moi de vous demander une petite recliliration an compte rendu de la di
front, afin de voir si elle avait la tête encore chaude et lui ayant demandé ce qu'elle éprouvait, je m'aperçus qu'elle s'endo
u un autre mot qui ne commence pas par lesdites lettres. A lahle pour demander ce qu'il désire, il bégaie tellement que ses pare
s se trouvèrent obligés, il y a déjà cinq ans de lui commander de lui demander en chantant les choses dont il a besoin. Quand
re une commission quelconque il reste parfois comme muet sans pouvoir demander ce qu'il désire, il fait des tentatives pour parl
rison est reconnue indiscutable. Il parle, il lit, il récite bien, il demande :à table ce qu'il désire sans être obligé de chan
es occasions, avec de légères modifications. — Par exemple, je voulus demander à Lacy de penser un mot et de l'écrire sur une ba
e temps qu'elle me parle, sa main écrit : Vous êtes bon. Comme je lui demandais si cette phrase avait été tout entière dans sa pe
de lui raconter l'histoire de la Touche d'or. — Lucv satisfit à cette demande avec une extrême vivacité. — Pendant ce temps je
a couronné d'un plus rapide succès que quand elle fit naguère la même demande pour le vénérable abbé Didclot. » Nous ne pouvo
u'il leur sera donné, dans des établissements spéciaux, les soins que demande leur déplorable situation. » OUVRAGES REÇUS A L
t, on se débarrasse au moins de difficultés factices. On n'a pas â se demander , après Hume et tant d'autres, comment un « je veu
me il lui était impossible de quifer Marseille pour venir à Nancy, il demanda qu'on la lui envoyai à ses frais, ce qui fut acco
, el l'on esl plein de répulsion pour les vérités probables, mais qui demandent d'être vérifiées et que, par leur étrangeté. on r
mpli, nous interrogeâmes la malade : « Que venez-vous de faire .' lui demande un des magistrats présents. N'avez-vous pas commi
comprend rien â cette histoire de crime. El quand on insiste pour lui demander si elle n'a pas obéi à un ordre, si quelqu'un ne
e « obsession. » Mise de nouveau dans le sommeil hvpnntiquc, nous lui demandâmes s'il était vrai qu'elle eût assassiné une femme e
ions pas à lu malade l'endroit que nous piquions extérieurement, nous demandions simplement sentez-vous quelque chose ? » — a A qu
déclare qu'il a changé d'idée et, en faisant ses adieux à sa sœur, il demande à M. G... l'autorisation d'aller prendre congé de
atteint de neurasthénie, il lui est encore possible de sortir, par la demande de congé ou par la démission, d'une situation int
mis â l'obligation de recommencer, une telle angoisse le saisit qu'il demanda à son lieutenant de l'en dispenser. C'est alors q
'une voix étranglée, à tel point qu'après l'examen les assistants lui demandèrent pourquoi il s'était troublé de la sorte. Humilie,
de manger û son réveil. L'ayant tiré île non élut hypnotique, elle demanda aussitôt à boire un bol de luit et mangea quelque
dies mentales nul ne peut être sûr quis dans le récit des faits qu'il demande il un aliéné atteint île folie partielle, ce dern
le sens de la direction dans les mouvements qu'il recueille. On se demandait avec M. le docteur Dumontpallier. si la volonté s
Crossmann tendant à seconder les médecins russes qui se proposent de demander à être traités d'une façon plus libérale. M. le
lui dis : Dés que vous serez réveillée vous irez chez la concierge demander un bonbon, vous reviendrez ici et vous le mangere
impuissant à la guérir et qu'un miracle pourrait seul la guérir. Elle demanda à aller à Lourdes. M. Rommelacre l'engagea il se
hystérique la condamnant à une immobilité absolue. Un jour la malade demande à être transportée il Lourdes. Elle en revient ab
aler, au dessert, vient en droite ligne du gaule-manger médical. J'en demande humblement pardon a ceux de mes collègues qui ont
édé que. il la mort du prince de Danemark, époux de la reine Anne, il demanda une audience spéciale à la gracieuse Majesté en d
On commençait il désespérer de sa vie. et le due. averti de son étal, demanda aussitôt ii se confesser. Lorsqu il eut accompli
ral pour tous ceux qui n'ont pas pu assister à cette fête. On peut la demander par lettre en envoyant 1 fr. en timbres-poste. M.
ie de son lit. Cela réussit : la malade se lève et récite les prières demandées , — mais les douleurs ne disparaissent pas. — On p
qu'elle n'ose toucher les aliments de peur de le leur communiquer et demande qu'on les lui donne. On lui suggère d'attraper un
séance, elle.marchait en titubant, la physionomie hébétée. Si on lui demande son nom. elle dit lé vrai, mais après avoir regar
res sujets au contraire, très sceptiques et peu impressionnables, qui demandent a être influencés non par la douceur, mais par l'
s interprétations finidïques on ne peut lui reprocher d'avoir souvent demandé que les expérieuces d hypnotisme fusent soumises
ne et de chirurgie. La ii- éuuméraiion des travaux de Brown-Séquard demanderait plusieurs colonnes de la Revue. Nous nous bornero
lle à laquelle devront être parvenues au ministère de l'intérieur les demandes des candidats qui solliciteront l'autorisation de
mes que l'on hypnotisait pour les accoucher sans souffrance, et il ma demande si je ne pourrais agir de même dans la circonstan
es de rubans, je lui dis : a Quand en causant avec votre mari, je lui demanderai l'heure qu'il est, à ce moment vous vous trouvere
bureau d'un besoin si invincible de dormir qu'il entre dans un café, demande une consommation, sommeille quelques instants san
rend compte de l'écueil de ce procédé — certainement curieux mais qui demanderait à être dirigé par une main délicate et une âme fr
quelquefois le sommeil le gagne il se réveille aussitôt enrayé et se demande si pendant son sommeil il n'a pas eu une crise ép
30 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
r qu’ils portent, ou de liquider les capitaux des particuliers qui le demandent . ART. 5. Les produits des ventes des biens na
dans un pavillon; Urbain reste en compagnie de l’homme noir, qui lui demande salaire pour sa peine ; tout bonnement s’engager
it jamais méprise. Que m’importe que Monsieur Swedenborg réponde à sa demande ? ce n’est qu’un nom, une image; ce n’est point le
er, ché ailleurs qu’en moi la lumière qui me manquait. Vainement j’ai demandé aux hommes que je croyais instruits, je n’ai pu r
in. A une heure après minuit, le reconnaissant un peu rétabli, je lui demandai s’il ne prendrait pas un peu de bouillon, et je f
int reparu. « Je renouvelle ici ce que j’ai pris la liberté de vous demander dans le temps au sujet du Jury magnétique , afin
nt, appelé dans la même maison pour une autre maladie, comme on lui demandait ce qu il pensait du changement survenu si rapidem
mmage qui place l’élève au niveau du maître. Vous m’avez instamment demandé que ¡’analyse votre livre; je vais essayer de le
nd. — L’immortalité de l’âme est admise par la foi, mais la raison en demande la preuve empirique pour en faire passer la croya
un dessin fidèle confond l’étranger. Voilà, voilà, monsieur, ce que demande la raison éclairée, pour preuve de la palingénési
calme que je le croyais mort, car il ne respirait presque pas. Je lui demandai s'il dormait, il me dit : oui. S’il était bien, i
personnes qui, désirant concourir au succès de l’œuvre, en feront la demande . 2° A partir de ce jour, le prix des six premie
la vue, puis il tomba en somnambulisme , alors il cessa d’inhaler, et demanda la permission de se coucher. Au bout de quelques
vous ne pouvez comprendre, ce rôle est le plus facile de tous, il ne demande point qu’on se fatigue l’esprit, il dispense de t
ous n’êtes point de l’étoffe de M. Royer-Collard; celui-là, du moins, demandait qu’on examinât toutes choses , même ce qui parait
égaré dans une forêt, entra dans une cabane d’une pauvre femme et lui demanda si elle n’avait pas quelqu’un pour lui servir de
mesmérique. Quelques mois se passèrent, après lesquels je fus encore demandé par cette dame qui avait été si heureusement guér
ucunement l’effet. Etant revenu à mon hôpital, dix jours après, il me demanda la permission de toucher le mal avec l’acide, pen
femme était dans son état naturel. Quoi que je pusse penser do cette demande , j’y consentis : il loucha l’ulcère avec le bou
it bien. Marchant, .courant, sautant sans la moindre souffrance; il a demandé sa sortie, et je la lui ai accordée. 3° Rhumati
ar la seule annonce de la reprise de ses travaux a provoqué plusieurs demandes . 11 y a tout lieu de croire que d’ici à quelques
et l’animation vient. Il se dit ennuyé de rester dans l’inaction, et demande à être employé à la cuisine. Du 5 mai. La doule
ngali, dans laquelle il me dit que, étant parfaitement rétabli, il me demande la permission de retourner chez lui. Du 21. Il
t M. Magendie « vivent de la clien-« tèle », le monde, en général, ne demande pas mieux que de voir pour croire ensuite. « Je
rivent à Bruxelles, et que le hasard pourrait amener chez lui. Je lui demandai combien il avait payé une telle consultation. « 1
persécutions incessantes de la part d’un magnétiseur (on rit), et qui demande une pension alimentaire. « L’Assemblée passe à
er des déjections alvines : ce n’est ni nouveau ni rare ; mais chacun demandera la preuve qu’ils étaient ri-ciniques. Or l’analys
’auraient point connaissance des Statuts de la Société, à en faire la demande ; nous réitérons cet avis, et prions celles qui no
epuis longtemps par l’approche du fléau qui sévit parmi nous, j’ai dû demander au somnambulisme les moyens de le combattre, il m
aladie, comme une somnolence trop prolongée et un engourdissement, le demandent . Toute espèce de lavement refroidissant le malade
sitôt que vous m’aurez mis l’huile « j’entendrai. » « Le commandant demande alors la baguette de cristal dont il se sert d’ha
elle effleuré l’oreille du patient, que M. Laforgue s’arrête pour lui demander quel est son prénom ; Belocq répond aussitôt : Be
le étendit les bras, elle serra les mains de M. Gravé en pleurant, et demanda son père. Troisième séance. — Le lendemain la m
avait trente personnes autour d’elle, et plus de cent à la porte, qui demandaient à entrer. Après une heure trois quarts de magnéti
nfaisant magnétiseur, Il fut entouré de la foule émerveillée, qui lui demandait spn nom, son adresse, et implorait spn secours po
gées devraient pouvoir trouver dans leur sein sans avoir besoin de le demander au médecin qui, même magnétiste, ne pourrait le d
sez moi revoir ma mère! Ses impressions s effacent enfin ; il rit, et demande avec une sorte d’anxiété pourquoi il est à cette
ce monsieur est partagé par tous les assistants, et tous semblent se demander d’où est venue cette force dont l’effet a été si
upplice a déjà commencé : la vérité se répand partout triomphante, et demandera bientôt sa réhabilitation. DU POTET. (La suit
ou d’amis seulement, me semble être sorti de l’état de veille, je lui demande s’il est assez magnétisé. Presque toujours il me
sez magnétisé. Presque toujours il me répond négativement; et, sur ma demande , il me dirige dans ce que je dois faire. Je ne lu
e. Quand enfin il me dit se trouver dans de bonnes conditions, je lui demande : « A quoi pensez-vous ? » Le plus souvent il me
iquer ce qui peul me sembler obscur ; mais ii y a rarement lieu à lui demander des explications. En un mot, j écouté mes somnamb
e; il a uriné deux fois; une légère moiteur couvre tout son corps; il demande lui-même un bouillon gras , je l’accorde (son pou
sommeil me fait tant de bien! » me disait-il. J’adhère à ses vœux, il demande du riz au lait, qu’on lui prépare sur-le-champ, e
e point à mon sujet même, et je n’envisage que le terme, qui toujours demande une grande prudence et une grande attention. Je
i donc encore un secret? Sans doute ; mais, quel est-il? Ceci est une demande indiscrète à laquelle je ne suis pas tenu de répo
st découvert, les yeux des spectateurs se dirigent sur lui. Chacun se demande d’où lui vient sa vertu, et plusieurs doutent mêm
uver votre enfant, m Ordonnance. — « Donner au malade tout ce qu’il demandera . » Le cœur nâvré, je ramenai mon pauvre enfant
si je n'avais pas suivi les phases de son traitement, je serais il me demander si c’est hien le même enfant. P. MELAY, rue de
tigués. Il l’emporta chez lui ; et, un ou deux jours après, lui ayant demandé quel bien il en était résulté, il me répondit men
es de la pire espèce, et qu’il cherchait à peine à dissimuler. Je lui demandai , un jour, dans son état de veille, ce qu’il pensa
; tellement , qu’il semblait hors d’état de parler. Quand je lui eus demandé la cause de sa tristesse, il me dit : « Je vais v
t, ils retombent dans l’obscurité presque aussitôt. La vie du sommeil demande donc un nouvel examen. Sans doute on rencontre de
erche avec passion. Quand une question l’embarrasse, il va partout en demander la solution , et il ne s’arrête qu’après l’avoir
heurs. Je continuai de lui souffler sur les yeux, il s’en aperçut, et demanda à rester ainsi; je m’y refusai, en cherchant à le
e sur les yeux, qu’il ouvrit enfin. « Il paraissait éveillé. Je lui demandai qui j’étais, 11 me répondit : « Comment puis-je v
t mon (1) Voyo* Journal du Magnétisme, tome V, page 27t. aide lui demanda , en bengali, ce qui l’avait éveillé. 11 ne répond
fs. Au moment où la masse tomba, il dit à haute voix : Juggernath, et demanda à être éventé. 11 ouvrit les yeux et retomba inst
, dont il ne pouvait se rendre compte. « L’opération, retardée à la demande de diverses personnes qui désiraient en être témo
a bienveillance nécessaire. Et tout le calme qu’il faudra. Je lui demandais un soir si M. X, un d«; ses amis, obtiendrait du
1...., 1818. elle ne sortait pas d’elle-même de cet état, mais elle demandait qu’on l’éveillât. » Tous ces phénomènes offrent
andale : « Une femme affectée d’une violente inflammation des yeux, demanda à un écolier s’il ne connaissait pas quelques par
rvé pour la seconde promotion l’examen des travaux qui ont motivé des demandes en faveur de Messieurs ELLIOTSON ¡ CLAPIER ;
le, nécessaire, il reporte à Dieu les guérisons qu’il opère ; el s’il demande la conservation de ses jours, c’est uniquement pa
savant, aura à vos yeux suffisamment justifié la récompense que nous demandons . Car si nous pouvions donner cette année une méda
ils le méritent, ces faits nouveaux dans l’histoire de la chirurgie, demande que le Jury consacre par une médaille le souvenir
line Société magnétique est sur le point d'être établie ¡1 Turin. La demande d’autorisation a été envoyée au ministre, les sta
ourquoi quitterais-je ce bienfait d’une innocente tranquillité? Je ne demande rien et n’envie rien aux hommes. En éclairer quel
ant connue et répandue, le fou sera réhabilité malgré lui ; car il ne demande point à être classé parmi les sages de ce temps.
----■ - A M. Jules de Rovère. Monsieur, Pour satisfaire à votre demande , je vais donner ci-après un détail circonstancié
itement, pendant deux heures et plus, se joint à la mienne, pour vous demander , monsieur le Président, d’accorder à notre bienf
ont extrêmement remarquables , me fait espérer ma guérison , que j’ai demandée inutilement à fart médical. Je dois rendre justic
ecins d’Auxerre, pour le protéger à Troyes contre un appel formé à la demande de ces messieurs, appel dont il est sorti victori
C’est sous les inspirations de la plus vive reconnaissance, que j’ai demandé à exprimer tous mes sentiments d’admiration pour
Rovère, je me décidai à l’aller voir. Il me reçut avec bonté , et me demanda si j’avais été traité par la médecine. Je lui rép
a si j’avais été traité par la médecine. Je lui répondis : Oui. Il me demanda encore si j’en avais éprouvé du soulagement. Je l
étalage de facultés somnambuliques, toujours prêtes à se montrer à la demande des consultants qui se renouvellent chaque jour,
t si facilement égaré par l’usage arbitraire qu’on en fait. » Je le demande , a-t-on aujourd’hui trouvé la boussole qui puisse
une manière générale; mais il était réellement en rapport avec ce que demandait l’état de la malade. 11 fut suivi avec exactitude
icale , et pour le faire d’une manière sure, générale et évidente, je demande qu’on me confie une chaire clinique dans un hospi
, si les faits que je proclame sont soutenus pgr l’évidence, alors je demanderai sur quels motifs on s’appuierait, pour me refuser
ant, se trompe; il cherche d’abord un abri qu’il croit protecteur; il demande aux rois de la science de le protéger contre les
ieu. Allez, humains, allez aujourd’hui consulter vos oracles; allez demander à vos sages, à vos pontifes ce que vont être les
vous le voulez également : la richesse, afin d’être oisifs. Aucun ne demande plus; car c’est votre idéal, ce qui vous préoccup
la main du bourreau, après avoir souffert les douleurs de la torture. Demandez à nos docteurs d’aujourd’hui, ce que c’est que la
qu’on nous a lancé dans la voie du doute, nous avons bien le droit de demander sérieusement si quelqu’un pourrait affirmer que S
llement, et c’est précisément en raison de cette conviction, que nous demanderons pourquoi le révélateur de ces différents états du
érisme, des formes arcaniennes dont Swedenborg les a recouverts. Nous demandons la permission démontrer ici, dans un simple paral
sa seule volonté, tous les mouvements convenables selon les diverses demandes des consultants; et les indications de la clé son
ir décrit quels sont les mouvements de la clé, suivant que la chose demandée existe ou est vraie, ou bien n'existe pas ou est
31 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
utrëbente, etc., » Us se copient avec une-fidélité touchante, sans se demander un seul instant si l'argument mérite d'être reten
s, s'ils sont employés autrement qu'il ne convient. Va-t-on pour cela demander la suppression de l'alcaloïdothérapie ? Mais
n professeur d'une université de province écrit à Van Velsen pour lui demander de venir dans la ville de C, afin d'hypnotiser un
le allait prendre le train pour se rendre à Paris. Si, comme on me le demandait , j'avais pu donner un rendez-vous à cette malade
ffirme et cela lui suffit! Au cours de la même séance, un assistant demande à Tesson quelle conduite il tiendrait si pareil c
résentait chez un individu du sexe masculin. Tesson réplique que cela demanderait mûre réflexion mais il ne s'engage pas a ne pas o
la dépuration urinaire. Et puis, quand un individu est constipé, lui demande-t -on de manger de moins en moins, de manière qu'il
maintes fois exposée ; il me parait opportun de la rappeler ici et je demande la permission de me citer : « Nos petits incont
demi, provoquer la mise en jeu de son automatisme psychologique, lui demander formellement d'acquiescer a notre suggestion et m
informé à l'avance, par l'exploit à lui délivré, des faits qu'on lui demande de confirmer ou de démentir. Comme les juges, l
ue les initiés pouvaient être étrangers au corps médical ; il faut se demander alors si. parmi les moyens innombrables et les re
re attention.. M. P. ingénieur électricien vient me trouver pour me demander de le traiter par l'hypnotisme afin de le guérir
artie la cause de mon surmenage cérébral. » La question ainsi posée demandait des explications ; voici donc ce que M. F. me rac
é. Tenez, nous commençons, nous sommes hier, vous êtes venu pour me demander si je puis vous faire retrouver le dessin de votr
vec un étonnement non dissimulé : « C'est moi qui ai fait cela ? » me demande-t -il ; « c'est moi qui ai fait cela *? » Mais voilà
ela, avec ceci je suis certain d'arriver à ce que je veux. » Je lui demande alors si ce dessin est bien conforme à celui qu'i
'est bien moi qui ai fait cela ! je n'y comprends rien. Je vous avais demandé de faire l'expérience, mais je ne croyais pas que
devait donner au courant, il me regarde d'un air interrogateur et me demande : « C'est aussi moi qui ai écrit cela ! c'est en
rcle Odontologique de France. Au Congrès Dentaire d'Angers, où j'ai demandé que la valeur anes-thésique de l'hypnose fût étud
qui la faisaient agir. Début de ta maladie. Antécédents. — Quand on demande à la jenne fille de nous dire pour quel motif ell
de démontrer que la douleur a toujours eu des amis et des fanatiques, demandons à l'histoire, aux beaux-arts, aux lettres, enfin
Seigneur ou souffrir, ou mourir, « c'est la seule chose que je vous demande . » (Vie de Ste Thérèse, Ollier, Lettres. I. 390).
les « siècles de foi a. nous passons aux temps présents, et nous nous demandons quelle a été sur l'Algomanie l'influence de l'évo
ents résultats de la pédagogie suggestive et de l'orthopédie mentale, demanda au Dr Bérillon qu'un de ses collaborateurs voulut
a. dans de nombreuses circonstances, apportée à des médecins qui lui demandaient de les initier aux difficultés de la suggestion h
ailleurs été telles, qu'il ne fût sans doute demeuré personne pour en demander le renouvellement. d'aucun problème philosophiq
ontentait d'expliquer cette merveille par une parhélie. Ainsi, sans demander la répétition expérimentale d'un phénomène, on pe
us sensibles. Est algomane avant d'être tabacomane. le priseur qui ne demande tout d'abord (1) Quelques auteurs catholiques o
lant jusqu'à 1908. aux mêmes conclusions : le médecin et le pédagogue demandent , que l'éducation par la famille remplisse tout so
r modestement en disant « qu'ils feront pour le mieux » quand on leur demande un effort. Et l'on dit vulgairement de ces bonnes
u temps ou du mouvement. II Bien que l'étude sommaire qui précède demande à être complétée par une série d'applications et
alades que nous connaissons, ceux que nous fréquentons journellement, demandent a leur médecin de les soigner avec sa science, so
peu de cette question. Aucun d'eux, sous aucune forme, ne m'a jamais demandé une profession de foi quelconque, philosophique,
u religieuse (1). L' « héroïsme sans bornes » que Binet-Sanglé nous demande de professer à son exemple n'est pas si dangereux
procède pas d'un autre phénomène ». Or, c'est une impossibilité qu'il demande ! Constater ? Mais, constater c'est situer, ne se
possibilité de ces futurs ambigus, voilà la seule concession que nous demandons à Binet-Sanglé. pour donner un sens et une valeur
ce, il n'a nul droit de mobiliser telle science particulière pour lui demander un service qui ne ressortit point de sa compétenc
s d'un certain nombre de médecins. « Je sais bien qu'il ne faut pas demander à nos contemporains un héroïsme sans bornes. Je s
énomènes moraux ! Mais où s'arrêter dans cette voie ? Autant vaudrait demander aussi au chimiste de légiférer, par exemple, dans
'offorcent d'y remédier par l'application de règles essentielles. Ils demandent qu'une observation soit complète et directe. Or
oin de mouvement et d'occupation, on le laissera jouer à des jeux qui demandent un peu d'attention, de décision) de maîtrise de s
jours. Je lui dis que j'avais plaisir à apprendre cela. Comme elle me demandait la raison de cette soudaine guérison. je lui répo
conférencier très barbu, dont la personnalité n'était inconnue. Ayant demandé a quelques auditeurs quel était le nom du confére
elles. Un peu d'alcool leur rendait l'assurance nécessaire et ils lui demandaient le stimulant nécessaire pour réagir contre l'inti
er. M. X.. âgé de trente-cinq ans. m'écrit le 10 septembre, pour me demander un rendez-vous : « Je désire, dit-il. recourir h
vous remercier, si la chose réussit, et, dans le cas contraire, vous demander de continuer le traitement hypnotique, dont le su
de nous, chaque jour, pendant un certain nombre d'heures : elle ne demande ni temps ni peine pour être réalisée. 5° Enfin,
e suffit pour « fixer » en ce point les effets suggestifs, on peut se demander si la sensation étendue suscitée par le pansement
suggérant la formation d'une Tèsi-cole par brûlure nous lui eussions demandé l'impossible, cette suggestion n'èquivaudrait-ell
hypnotisée. Somnambulisme immédiat. Lorsqu'elle est endormie, je lui demande si jamais elle a eu quelque brûlure avec vésicule
, à la faveur duquel, le dressage avance, la suggestion opère et sans demander jamais d'autres mouvements, d'autres allures que
e il signifie quelque chose ou qu'il ne signifie rien. On pouvait lui demander de commencer au milieu du verset, il le faisait s
rset, il le faisait sans la moindre difficulté. On a eu l'Idée de lui demander le 32e verset d'un chapitre qui n'en possède qne
casion me parut favorable, et je priai le chirurgien de commencer. Je demandai plus tard à la jeune fille si elle avait senti qu
e de réaliser les états les plus profonds de l'hypnose. En effet, que demande-t -on à la personne sur laquelle on se livre à un si
Etats-Unis qui, lorsqu'ils les soumettent à des tentatives d'hypnose, demandent h leurs sujets de retenir leur respiration et de
e «de la suggestion à l'état de veille » ils auraient été amenés à se demander s'ils n'opéraient pas sur des sujets dans un état
u de la pensée, tant que des suggestions ne sont pas faites. Quand on demande à un sujet placé dans le sommeil hypnotique — et
ande à un sujet placé dans le sommeil hypnotique — et j'ai fait cette demande bien des fois—: « A quoi pensez-vous?» — presque
ns suivantes : « Sans discuter le côté moral de ce fait, on peut se demander , au point de vue scientifique, si ces paysans « h
'an passé, deux étudiants d'Oxford qui se destinaient à la politique, demandèrent à leurs professeurs s'il y aurait pour eux quelqu
eur Ubeyd-Oullah, actuellement député de Smyrne au parlement Ottoman, demandait à l'Ecole de psychologie de formuler le programme
és qui nous avaient inspiré tant de sympathie pour son père, nous lui demanderons d'être son continuateur dans nos réunions scienti
ors des débats, n'est-ce pas un fait nouveau ? » Et Henri Coulon de demander courageusement qu'on révise la loi sur la révisio
ur. Nous ne sommes heureusement pas des condamnés et nous devons nous demander tout d'abord en quoi consiste l'erreur et la véri
malgré tant de travaux absorbants, toujours plein de sérénité, je lui demandai s'il avait foi dans l'avenir de l'humanité. Il me
ans ma pensée. En lui entendant parler d'erreurs judiciaires, je me demandais , si en matière de justice, aussi bien d'ailleurs
inoffensif de l'Insomnie et des autres troubles du sommeil. Nous leur demandons également de noua signaler les remèdes populaires
une sage-femme : celle-ci écrivit h une sorcière de Monnaie pour lui demander son avis. La commère répondit denx jours après qn
é de médecine de Paris. Chaque année, M. le professeur Albert Bobin demande à quelques médecins d'exposer dans l'amphithéâtre
lics un mémoire résumant les revendications du Corps médical, mémoire demandé par le Ministre et resté sans réponse. Devant l
és h l'établissement du Dr Raffegeau, et après un de ces bains, il se demandait même si les sensations dont il s'était plaint n'é
ssion ne se fait pas à l'insu du malade. Le médciu, au contraire, lui demande d'associer continuellement ses efforts aux siens,
nsations et sachant que j'étudiais la question sexuelle, elle vint me demander mon avis. Je dois mentionner que. peu de temps
el elle avait une déception comme si quelque chose manquait. Je lui demandai alors si elle avait éprouvé l'orgasme vénérien. E
nombreux exemples analogues pourraient vous être signalés. On peut se demander si le développement de la mémoire des mots, pouss
s abandonnent eux-mêmes, je pousse mon interrogatoire plus loin et je demande en quoi se manifeste cette impuissance sexuelle,
g d'indiquer toutes les étapes successives de l'interrogatoire, qui a demandé plusieurs visites. La malade n'avouait qu'avec di
ns Vhypnotisme. Il ne saurait aller au-delà. Vouloir davantage, c'est demander l'impossible. Quand, au commencement de 1897, l
édecin d'arriver à y voir clair, a l'inconvénient d'être longue et de demander plusieurs mois d'observation. Aussi trouve-t-elle
, en fait, le droit de vote pour les idiots. En y réfléchissant on se demande comment la conr aurait pu en décider autrement. I
avait commencée et dont Gœthe approuvait la clairvoyance, au lieu de demander à la cosmogonie et aux vestiges des civilisations
rnal de Lille m'apportait une lettre de F., l'assassin présumé, et me demandait de faire l'étude psychologique de cet homme par l
avons reçu, il y a environ un mois, une lettre dans laquelle P. nous demandait d'annoncer qu'une des maisons qu'il représentait
raphologie scientifique » très estimé. « Pouves-vous, luiavons-nous demandé , d'après l'examen de cette écriture donner les ca
caractère plus énergique. Ne pensera-t-on pas que si, on nous avait demandé cette étude psychologique, dès le début de l'inst
lphabet, l'enfant exprime de la joie en prononçant cette lettre et ne demande qu'à recommencer ce petit exercice instructif, qu
32 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
extérité, les conserve dans s» main et s'en sert correctement. Je lui demande ensuite d'enfiler plusieurs aiguilles et enfin de
inant. Le jour de Noël la malade sort de son sommeil léthargique et demande à manger. Elle ne conserve aucun souvenir de ce q
mais je veux éviter d'allonger inutilement cet entretien, et je vous demande de rae faire crédit sur ce point et d'admettre de
muser l'enfant, à profiter de sa curiosité naturelle, sans jamais lui demander un effort de mémoire. Je vais maintenant au-dev
tâche que je travaille dans a petite mesure de mes forces, et je vous demande d'y travailler aussi. CHRONIQUE ET CORRESPOND
odeur se diffuserait dans l'air de l'amphithéâtre. Ea conséquence, je demandais auxasslstantsde lever la main aussitôt qu'ils per
rieuse expérience met en évidence l'automatisme de nos pensées. Si on demande à quelqu'un de penser à une carte, on évoquera le
, futurs violonistes. Pour êtresûr de garder toujours cette avance il demande à être surveillé, entretenu, mais non surmené-Dis
ns originalité d'œuvres musicales qu'ils ont entendues. De môme on se demande si Pascal enfant découvrit réellement les théorèm
e reste dans aucune maison et qu'elle se décide à travailler. On se demande si c'est au médecin ou bien au moraliste que de t
urs échecs à son examen par le fait de la peur, vint me trouver et me demanda la force, l'énergie nécessaire pour vaincre son é
e notre droit civil permettront en mainte occurrence à l'hypnotisé de demander des dommages et intérêts à l'hypnotiseur. 11 en s
pourraient en résulter pour sa santé, il ne serait pas à l'abri d'une demande de dommages et intérêts, car le sujet aurait donn
ontraires à la morale ou aux bonnes mœurs. Le sujet serait-il fondé à demander des dommages et intérêts à l'hypnotiseur pour att
t, et que la nullité du testament ou de la donation pourrait être demandée , s'il venait à être démontré que le donateur ou l
ine d'esprit. Je crois donc que la nullité de ces actes pourrait être demandée même si la signature avait été donnée en présence
aire. J'ajoute qu'en dehors de l'imputation d'insanité d'esprit, la demande en nullité pour cause de violence ou de dol, que
e d'invoquer la démence de l'hypnotisé. Nous devrons, le cas échéant, demander protection à d'autres textes et je pense que ces
d'incontinence d'urine, ce qu'ignore naturellement son fiancé, et me demande de la débarrasser de celte infirmité. (1) A. Cu
paration civile et la répression pénale. J'estime que nous ne pouvons demander davantage aux pouvoirs publics. L'intérêt de la s
lisme dontje voudrais faire preuve, je me sens mal à l'aise pour vous demander de vous déjuger après le remarquable réquisitoire
scur du brillant magnétiseur ». « —Au nom de la liberté, dit-il, nous demandons l'interdiction des spectacles publics, du servage
valescence fut régulière. On peut évidemment dans le cas présent se demander si les crises avaient été réellement de l'éclamps
in trouver le commissionnaire qui, tous les jours, va à Paris, et lui demandait de le conduire chez sa tante. Bien qu'une premi
chotérapie auraient pu'fournir de semblables résultats? devrait-on se demander . Quand nous disons que cette branche si important
éficier de la panique, va devenir trop petit, et qu'il y a lieu de se demander si les assureurs ne seraient pas les incendiaires
e nous sommes, appelés à soigner. • C'est d'ailleurs uneunion queje demande depuisbtenlongtemps. union que je souhaite pour l
e vint me prévenir du résultat de sa visite chez le Dr Bérillon et me demander de le recevoir le mercredi 23 mai. Le jour conv
ant de facilité à entrer dans tout ce qu'on lui faisait voir que Dieu demandoit d'elle, qu'il sembloit que les pensées des autres
s, passant un jour dans les rues de Cor-doue, vit le peuple assemblé, demanda la raison de ce concours, et apprit (!) Dans St
point le pouvoir divin pour guérir la lèpre. Mais le prophète Elisée demanda qu'on lui envoya Naaman. Naaman vint donc avec
Guéhazl, serviteur du prophète, poursuivit Naaman sur la route et lui demanda faussement de la part de son maître des lésions
'abord à cultiver leur volonté, à développer leur attention et à leur demander de participer à leur guérison par une interventio
olontaires. Après quelques séances on diminuera la contrainte et l'on demandera au sujet de seconder -volontairement les efforts
sse ont pu à tort se croire enceintes; mais n'y a-t-il pas lieu de se demander si, dans ces cas, la suggestion n'agirait pas enc
éel... et remerciez Dieu e d'en être quitte pour la peur. » Je vous demande la permission de vous citer d'autre part un extra
se crée toutes sortes de chimères ; avant d'entrer en place, elle se demande avec anxiété si elle sera capable de satisfaire s
eté de ses idées et la prémunir contre leurs conséquences ; mais cela demandera nécessairement beaucoup de temps et beaucoup de p
jusqu'à présent, n'avait pas dépassé une durée de cinq jours. — Nous demanderons à nos confrères de Périgueux de nous renseigner s
n mesure de reproduire par suggestion la même forme de monoplégie. Je demande qu'on procède de la même manière en présence d'un
i veut dire o ouvre-toi »• Parfois il annonce au delà de ce qu'on lui demande pour faire admettre sa toute-puissance, comme lor
ablement la toute-puissance de la foi. Il attendait que le malade lui demandât la guérison, comme ce lépreux qui lui dit : « Sei
t alors d'approcher. Une seule fois Jésus guérit quelqu'un qui ne lui demanda rien. C'est le paralytique qui attendait sa guéri
oi de l'entourage qui exerce une si grande influence. Quand l'aveugle demande la guérison (Marc X, 47), l'entourage augmente sa
it la foi. tin homme avait amené son fils possédé d'un esprit muet et demanda : « Si tu peux quelque chose, aide-nous et ai com
acles à ceux qui n'avaient pas la foi « cette race est méchante, elle demande un miracle et il ne lui en sera pas donné... » (L
montres-tu pour entreprendre de faire de telles choses (Jean II, 18J, demandaient les principaux sacrificateurs et les anciens à Jé
la malade est très malheureuse et a horreur d'elle-même. Je me suis demandé au sujet de cette observation, s'il ne serait pas
e fait savoir que la malade est incapable de venir me voir et l'on me demande de me rendre auprès d'elle. Je la trouve au lit,
ture à résoudre le problème des causes finales; perpétuellement il se demande ce que c'est que l'homme, pourquoi il est venu su
battements de cœur; puis, un beau jour, il perd connaissance. On se demande si l'angoisse sur un terrain d'hérédité et d'arté
t couvert de sueur. « Je te crois ! » s'écria-t-Il. Ses camarades lui demandèrent ce qu'il avait. « Ne voyez-vous pas, leur répondi
'éliminations successives qu'il se décide enfin à s'arrêter à l'objet demandé ou à la région visée. Qu'est-ce à dire, sinon qu'
nt la candeur, nous, nous dirons la loyauté de venir en personne nous demander notre appréciation. Xous devons à la fois l'en fé
sée par l'altération des sensations de poids et de volume, je vous ai demandé de désigner avec moi sous l'appellation d'auto-mi
Le D* Charles Jacobs, spécialiste des maladies nerveuses à Chicago, a demandé l'autorisation d'établir dans cette ville un « ét
pécialiste que, pour le moment, il ne pouvait accorder l'autorisation demandée . NOUVELLES Conférences de l'Ecole de psycho
r d'autres expérimentateurs. Tenant compte de cette remarque, je me demandai si le résultat que j'observais ne tenait pas simp
quitter Paris, pour aller fonder à Coni sa clinique infantile, il me demanda de m'occuper de M™* V..., ce que j'acceptai avec
vicieuse du placenta sur le col, causant de petites hémorrhagies. Je demandai à Mme X. de l'examiner. Elle y consentit, mais co
e. Quand cette malade guérira-t-elle? Je n'en sais rien. Si l'on mè demande un certificat, je décrirai avec beaucoup de soin
us constatons une faculté chez l'homme ou chez les animaux, nous nous demandons ordinairement de quels ancê- (1) Voir le numéro
r des raisons matérielles, n'ont pu paraître au compte rendu. Je vous demande la permission de les reprendre sous forme de comm
us éprouverez un très violent besoin d'aller à la garde-robe. Vous me demanderez de vous faire conduire aux cabinets et vous y fer
, de me retrouver dans le même état et surtout d'être obligée de vous demander les cabinets. — A ce propos, que devient votre
cabinets avant de sortir? — C'est que ça m'aurait ennuyé de vous le demander . Toute ma vie, -j'ai eu horreur de parler de ces
t à l'égout. — Cependant, je vous avais prescrit formellement de me demander , une fois éveillée, de vous faire conduire... —
dans la rue, j'ai cherché si je voyais un café. J'y suis entrée, j'ai demandé les cabinets et je m'y suis installée. Or, cet en
mprend rien. Enfin ses chefs impatientés le mettent en congé. Il n'en demande même pas les raisons ; cela lui est égal. Dans la
». C'est la lecture d'un tel article qui a déterminé le DrLcdrain à demander la convocation du bureau du Syndicat des Médecins
'exercice du magnétisme. Le 11 octobre 1825, l'Académie de médecine demande la répression de la pratique des magnétiseurs, ra
te, le bureau du Syndicat des Médecins de la Sarthe décide qu'il sera demandé à l'Union des Syndicats de faire le nécessaire au
cellules nerveuses à se reproduire en raison du travail qui leur est demandé , ce développement est l'occasion d'une création o
s, on conseille aux fillettes qui veulent se lever de bonne heure, de demander en se couchant aux âmes du Purgatoire de les réve
e cause raisonnablement, répondant bien aux renseignements que je lui demande pour que vous connaissiez ses antécédents ; en co
êmes douleurs que si certaines étoffes couvraient ses yeux. Si on lui demande de lire, elle voit les lettres, mais les lettres
ité, et, en conséquence, de pénalité. Mais, comment peut-on faire, je demande , pour mesurer exactement la quantité de liberté h
autre chemin que celui de la psychologie expérimentale. Et alors, je demande , comment peut-on baser tout l'édifice de ce systè
d'administrationàVincennes,âgé de 22ans, vient nous trouver pour nous demander de le guérir de ses habitudes d'alcoolisme. II
tes dans les conditions d'existence ou les milieux ». Darwin, lui, se demande uniquement quel est le procédé suivant lequel les
ge qu'il est en état de travailler, le'directeur le fait venir et lui demande s'il a une préférence marquée pour un métier quel
33 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
e première prescription contre son inappétence et sa dyspepsie, je me demandais ce que l'hypnotisme pourrait avoir d'utile dans l
s et dans les impressions partant des organes digestifs. On peut se demanderai , dans la production du rêve, cette première phase
orygmes, puis des besoins tellc-lement impérieux qu'il sera obligé de demander les cabinets chez mol, car il sera tellement pres
ère qui habile Alexandrie. A mon grand étonnementje vois le malade me demander la permission de s'en aller pour une chose urgent
moi, naturaliste, je me suis trouvé près du lit de la malade, sur la demande du docteur Genischek. J'essaie de3 suggestions
re, je tente alors d'endormir la malade, sans y réussir davantage. Je demande au docteur Genischek d'administrer le chloroforme
, et à l'estomac, et comme le bromure n'apporte acuun soulagement, je demande au docteur de lui prescrire quelques remèdes indi
de faire une intéressante enquête sur la somme de travail qu'on peut demander au cerveau au point de vue pédagogique. L'auteur
part de ce point de vue bien juste que le cerveau, comme les muscles, demande un exercice approprié. Lorsqu'on le surmène on n'
surtout occupé du travail cérébral des jeunes filles, on ne peut leur demander que: De5â8ans... ISheures parsemalne Del5àl6ans
umes cartonnés . est do 110 francs pour les nouveaux abonnés. Toute demande de numéros des années précédentes doit être accom
pinceau bras et comme elle réagit par un mouvement de défense je lui demande ce que je viens de faire. Elle mo répond d'une vo
e des plaintes et se soulève » plusieurs reprises sur son lit. Je lui demande où elle souffre, elle montre sa poitrine. A l'a
heures. Je cherche à éveiller ses facultés intellectuelles. Elle me demande le mois dans lequel nous étions et le jour du moi
as que je venais de découvrir, elle a un vif mouvement de surprise el demande ce que c'est. L'application du thermomètre la
oigne un moment de son lit pour me rendre dans la pièce voisine, elle demande à sa mère où est le médecin. Avant de sortir je
. Elle se soulève ù choque instant sur son lit, tousse fréquemment et demande un mouchoir pour cracher. Sur ma déclaration qu
son entourage. Lorsque le retour à la vie normale fut complet, elle demanda son ngc. Sa mère lut répondit 22 ans, faisant abs
poser l'importance. M. 8., reprenant conscience de son existence, demande son âge et la date présente. Elle a peine tout d'
et qu'elle est subconsciente d'une lacune dans son existence. Elle demande où est son grand-père, or ce dernier est mort il
ypnotisme, en 1889, qui fut présidé par son ami Dumontpalller. Sur la demande du DF Mes-net, à l'Hôtel-Dieu, le Dr Tillaux prat
igine des espèces vint accentuer cette curiosité. Or, quelques-uns se demandèrent même si elle ne réalisait pas lo type intermédiai
is kilomètres; elle lui montre qu'elle est en excellente santé et lui demande la permission d'aller danser. De 1880 à 1886, I
uelles clic était en relation jadis et les appelle par leur nom. Elle demande sa mère dont les trails sont restés dans sa mémoi
umes cartonnés), est de 110 francs pour les nouveaux abonnés. Toute demande do numéros des années prëoédentes doit être accom
t normaux; les maux de tète sont plus rares et moins intenses. Je lui demande cpmbien de temps elle pourra restera Saralow; ell
à Versailles, comme, après lui en avoir montré les splendeurs, on lui demandait ce dont il avait été le plus supris, il répondit
st facile, et que l'opérateur peut lui-même en être victime, nous lui demanderons , s'il nous prend pour juges du fait, de pouvoir f
et s'ils se défient d'un observateur qui a de la défiance, s'ils lui demandent au préalable, d'avoir la foi, inutile de continue
tation qui consacrerait son sexe d'une façon définitive. Le but de la demande était des plus louables. Au moment où elle allait
hoix, le clergyman chargé de procéder à la bénédiction nuptiale avait demandé à réfléchir. Pris de scrupules à la vue de la bar
rossesse ni à aucune autre influence extérieure. Lorsque J. B. vint demander au D' Chowne le certificat qui lui permettrait de
quelques années, ayant été bousculé par un de ses supérieurs qui lui demandait un travail pressé, il s'est mis à trembler et ne
a perdu l'aptitude d'écrire quand on le regarde ou même quand on lui demande de rédiger un peu vite. Il s'est montré très hy
umes cartonnéai, est de 110 francs pour les nouveaux abonnés. Toute demande de numéros des années précédentes doit être accom
omme dans un rêve, revient à la réalité, et répond à ce qu'on lui demande , puis elle retourne à sa rêverie qui n'a jamais d
ndément. Si je soulevais ses bras, ils restaient levés. Si je lui demandais où elle était, elle ne le savait pas. Je lui fi
menaçaient les Bené-Israftl, les zéqémms (anciens) de la peuplade lui demandèrent un roi. Ce lui fut une blessure profonde. Il fil
é incisive. Mais ils s'obstinèrent, et il dut leur accorder ce qu'ils demandaient . Le roi qu'il choisit fut un homme qu'il rencon
portante; mais un jeune homme de son pays, après l'avoir courtisée et demandée en mariage, a repris sa parole ; elle en éprouve
Vers dix-huit ans les seins ont acquis leur volume normal. On s'est demandés ! l'apparitionde la barbe ne se trouvait pas en ra
A l'âge de 32 ans, un citoyen américain s'éprit de ses charmes. Il la demanda en mariage. Pendant plusieurs années, elle vécut
sous l'influence de la moindre émotion. A vingt-deux ans, elle fut demandée en mariage; elle accepta, mais elle n'eût ni enfa
rs sentiments vindicatifs à l'égard du point d'honneur : tout affront demande vengeance, réparation dans le sang. Aussi, lors
-Arthur, leur aurait évité des pertes sanglantes. Mais, non ce qu'ils demandent , c'est savourer au plus tôt la vengeance. Que leu
ce préambule un peu étrange de ta part d'une malade qui m'avait fait demander comme médecin, et non comme psychothérapeute ; je
volumes cartonnés), est de 110 francs pour les nouveaux abonnés-Toute demande de numéros des années précédentes doit être accom
nuit. Les séances suivantes amènent du calme, elle devient propre, demande à se laver, va aux cabinets, travaille, écrit, do
buent pour plus de moitié à la guérison du malade. Sans doute, ils ne demandent pas la science et la finesse de raisonnement que
e éprouvait également des troubles nerveux, au sujet desquels elle me demanda une consultation. De plus, un certain nombre de r
conscience du danger. Sans diminuer en rien leur réelle valeur, on se demande ce qui peut soutenir certaines colonnes d'assaut
volumes cartonnés), est de 110 francs pour les nouveaux abonnés-Toute demande de numéros des années précédentes doit être accom
di par la bienveillance sur laquelle il peut et sait pouvoir compter, demande et reçoit tout ce qu'il lui est possible de deman
pouvoir compter, demande et reçoit tout ce qu'il lui est possible de demander et de recevoir; il se sent vivre dans une athmosp
ants? 11 n'est pas un acte de droiture, de justice, de volonté qui ne demande la mise en couvre d'une initiative dont le courag
umes cartonnés), est de 110 francs pour les nouveaux abonnés. Toute demande de numéros des années précédentes doit être accom
à éviter ce mouvement ; mais, comme nous l'avons dit plus haut, cela demande de grandes précautions et il vaut mieux, dans tou
eu dans nos observations; il suffit d'opérer en silence. La chaleur demande à être étudiée; le corps humain produit un calori
tout spiritueux pendant la durée du traitement. C'est peut-être leur demander un effort colossal puisque, le plus souvent, leur
psychique; h" » » transcendantale! i. Le Jeu de Piquet. — Je vous demande un peu ce que le Jeu de Piquet vient faire ici?
Le Juif est maudit, parce qu'il a refusé au Christ le banc qu'il lui demandait pour se reposer pendant quelques minutes... Mais
umes oartonnés), est de 110 francs pour les nouveaux abonnés. Toute demande de numéros des années précédentes doit être accom
s'est rendue malheureuse Inutilement et qu'elle a gâché sa vie. Nous demanderons à la psychothérapie de créer en elle le cran d'ar
rète du public, elle se décida à porter le costume masculin : Elle en demanda l'autorisation aux autorités italiennes, qui la l
avant d'invoquer l'Influence de l'aliénation mentale, 11 faudrait se demander si d'autres causes, en particulier la sédentarité
pour cacher la partie inférieure de son visage. L'accès terminé, elle demandait à rentrer à l'atelier. Cette malade était parfa
n surveillait le bateau avec plus de soin la nuit que le jour, je lui demandai d'écouter avec la plus grande attention ce que j'
olumes cartonnés!, est de 110 francs pour les nouveaux abonnés. Toute demande de numéros des années préoédentes doit être accom
l, que tout le monde a pu voir, attira fortement mon attention. Je me demandai quel pouvait bien être la cause du réveil. J'av
s, de diverses conditions sociales, qui n'ont pas hésité à venir nous demander le secours de la psychothérapie, nous ont permis
ir du médecin est nettement tracé. 11 doit prévenir la famille et lui demander l'autorisation de faire entendre à la malade les
t qui les a profondément bouleversés. Naturellement on est porté à se demander pourquoi tous les gens ne deviennent pas alcooliq
sans avoir pris une goutte d'alcool depuis le matin. Avant tout, je demande à l'alcoolique s'il a vraiment le désir sincère d
umes cartonnés), est de 110 francs pour les nouveaux abonnés. Toute demande de numéros des années précédentes doit être accom
ie dans un fauteuil. — Apres un mois, elle a horreur de l'éther; elle demande encore de la morphine pendant le sommeil, mais l'
eté revient; séances plus espacées, irrégulières; revient d'elle-même demander de temps à autre le sœmnoforme, quand elle voit,
guère qu'ébauchée. En effet, elle crie et gesticule un peu; puis elle demande de l'eau à boire. Le phénomène de strangulation a
tout, exécuter les mouvements de déglutition. Lasse et brisée, elle demande à se reposer pour un quart d'heure. Aussi, je pro
rs doués d'esprit scientifique. Souvent même. Il est permis de se demander si l'Imagination de ceux qui les rapportent ne le
le de cette femme inspirait une pitié profonde. Il était permis de se demander si son anomalie du système pileux n'avait pas été
evais la lettre suivante : « MoNSiEun le Docteur, « Je viens vous demander de me sauver. Voici ce qui m'amène chez vous. Il
mais avant pas de sottises. « Je te promets une partie de ce que tu demandes . Si tu as confiance en moi, tout ira bien. « Co
t extrêmement troublé et se disposa à aller trouver son père pour lui demander son consentement au mariage. Il allait se mettre
es suggestions post-hypnotiques. Avant de s'endormir, il nous avait demandé par écrit de lui faire les suggestions suivantes:
endormi par elle, s'il m'arrive de la rencontrer, s Les suggestions demandées furent faites ; après son réveil ¡1 nous demanda
Les suggestions demandées furent faites ; après son réveil ¡1 nous demanda d'écrire les mêmes suggestions sur une carte, afi
ours de sa convalescenoe ne voulait pas sortir de sa chambre, elle ne demande plus qu"à sortir, à se promener, à marcher, à cou
tout, la malade devient indifférente, ne s'intéresse plus à rien, ne demande qu'une chose c'est qu'on la laisse tranquille.
34 (1895) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1894
Commission de surveillance des asiles : « M. le Dr Bourneville. Je demande à M. le Direc- teur de l'Assistance publique et
déshérités une partie du bien dont les siens bénéficient, elle a demandé et obtenu l'autorisation de donner ses soins, p
ce qui aggrave la responsabilité de l'administration, nous avons demandé la création d'un 4" emploi d'instituteur que no
était entré comme instituteur dans notre service en octobre 1881, a demandé à être mis en disponibilité à la fin du mois de
n pour qu'elle les récompense en accordant une suite favorable à la demande que nous lui avons adressée afin de les faire a
arents habitent Paris, mais qui sont nés dans les départements. Les demandes des préfets ont été beaucoup plus nombreuses, m
arrivcrat-il ? c'est que dans la fiè- vre du jeu, lorsque le besoin demandera une satisfac- tion immédiate, l'enfant, pour ne
plus de 39.000 fr. Afin de ne pas nous trouver dans l'obligation de demander un nouveau crédit au Conseil, je propose à la C
ge en plus des premières prévisions ». Or, le reculement en arrière demandé par la commis- sion n'était que de 2 mètres (Pr
rochainement au Conseil de surveillance. Alimentation d'eau. Nous demandons à la Com- mission de renouveler sun voeu en ce
i veut présenter une motion préjudicielle. M. Georges Villain. Je demande au Conseil, avant l'ouverture du débat, d'adopt
x voix le projet de résolution déposé par M. Villain. J'ai reçu une demande de scrutin. Le scrutin auquel il est procédé su
s voulu faire une enquête spéciale sur ces faits ; seule- ment j'ai demandé à M. Robin s'il pouvait nous donner quel- ques
ns une plus grande amabilité dans l'accueil. Mais, quand je leur ai demandé des détails sur le point qui me préoccupait, il
on. Toute cause do mal entendu étant ainsi supprimée, M. Le Roux se demande quelle suite pourrait comporter cet incident.
l a regretté l'examen des enfants, il est non moins exact cjue j'ai demandé à plusieurs personnes, professeurs ou employés
afin de comparer les enfants normaux aux enfants de Bicêtre, je me demande en quoi j'ai eu tort. Voici aussi, pour couper
s vous ne le savez donc pas ? M. Deville. Si je le savais, je ne le demanderais pas. M. Levraud. J'attends toujours les révélat
maladies de l'enfance. Paris, 1872, p. 17.) M. Deschamps. Je vous demande la permission de com- pléter la citation que vi
ences délicates et non justifiées dans leur ensemble. Ceci posé, je demande ai M. le directeur de l'Assistance publique et
que et au besoin à M. le préfet de la Seine de nous rassurer. Je ne demande pas mieux que d'être rassuré. Je leur demande :
ous rassurer. Je ne demande pas mieux que d'être rassuré. Je leur demande : Est-ce qu'un système comme celui de Bicêtre p
re qu'une affection soit déclarée avant de s'en inquiéter, comme le demandait M. Deville, c'est renoncer à toute idée de surv
lôture ! La clôture, mise aux voix, est prononcée. M. Deville. Je demande la parole pour déposer l'ordre du jour suivant
eau, Levraud, Caumeau, Piperaud, Ernest Moreau. » M. Bassinet. Je demande l'ordre du jour pur et simple. M. Chausse. Très
ur pur et simple ayant la priorité, je le mets aux voix. Il y a une demande de scrutin. Le scrutin auquel il est procédé su
priorité pour l'ordre du jour de M. Lampué ! M. le Président. On demande la priorité pour l'ordre du jour déposé par M.
mets donc aux voix l'ordre du jour déposé par M. Lampué. H y a une demande de scrutin. Le scrutin, auquel il est procédé s
ot. M. Robin, ainsi qu'on le verra plus loin (pagel94,), nous avait demandé de suspendre l'exa- men des enfants, mais nous
Vous savez que tous les hygiénistes, et avec raison, s'accordent à demander la supression des puisards. Les dortoirs présen
idiots et à la fondation Vallée clicz les idio- tes. M. Robin m'a demandé de ne pas continuer dans cette voie jusqu'à ce
ments en bon état. A l'atelier il sait faire sa chaise entière ; il demande à être vannier et, comme il est laborieux, on a
qu'on ne peut tirer les idiots de la vie purement végétative, et demander qu'on se borne « à nourrir » le corps des idiot
pour nos instituteurs et nos infirmiers. Nous avons dit que nous demandions à notre per- sonnel; instituteurs, institutrice
hée. L'examen de l'audition ne donne aucun résultat; lorsque l'on demande à l'enfant si elle entend le tic-tac d'une montre
i cause plus. Alors elle vient trouver la surveillante pour qu'elle demande son pardon puis elle va embrasser son amie. Ell
ation ne nous le permet pas. Il y aurait en conséquence utilité à demander la création de dispositions légales analogues à c
en cju'au Conseil général on eût « commis une gaffe ». Aussi a-t-il demandé au Con- gres, avec une louable insistance, de l
nouveau. Mais pour que chacun puisse mieux s'en rendre compte, nous demandons à l'Administration de bien vouloir faire tradui
ques, dans sa lettre à M. le Président du Conseil des ministres, demande à saisir le Conseil supérieur de l'Assistance p
35 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
ctivité et je fus très salis-fait du résultat obtenu. Il vint môme me demander s'il pouvait céder à son désir de travailler et r
tal est proche. Prévenus de mon passage, mes deux confrères me font demander de me joindre à eux. Et aussitôt, les voisins de
cet état n'est pas grave, il guérira un jour ou l'autre. Ce que l'on demande au médecin, c'est l'atténuation ou même la dispar
ntraient dans la salle d'étude, et faisaient une courte prière « pour demander à Dieu de passer saintement le reste de la journé
r foi. — Celui de Jacqueline nous a été conservé. « D'où vient, lui demande le grand-vicaire, qu'il y a tant de personnes qui
étoient dans le monde. » * N'avez-Vous point de plaintes à faire ? demande le grand-vicaire. R. Non, Monsieur, paria grâce
a trouvé le moyen de les produire et de les reproduire à volonté. Ils demandent non pas des révélateurs mais des réalisateurs spé
éance. Art. VIII. Toutes les communications relatives au congrès, demandes d'admission, ouvrages manuscrits et imprimés, etc
l ne suffise pas qu'elle puisse exister et que je serais très fondé à demander la preuve qu'il existe; mais je veux seulement m'
'étrange à ce que, l'un de ces jours, une récidive survint. Alors, je demanderais qu'on me ramenât l'enfant et je reviendrais à la
e. Ayant appris que nous possédions un crâne humain, elle venait nous demander une dent. — « Quand on la porte sur soi, dit-elle
a qu'on le fit communier. Les médecins s'y opposèrent. Le 17 août, il demanda un ecclésiastique pour passer la nuit auprès de l
s leur mère, qui, si elles parlaient dans la rue à quelque amie, leur demandait d'un ton sec ce qu'elles avaient dit. Après sa
age> page n="82"> de la complication dont elle mourut, elle demanda la communion. Maie, avant de la lui donner, le cu
, se réveille en mer sur le pont d'un navire. II aperçoit une côte et demande quelle terre on aborde; on lui répond qu'on allai
une personne de cinquante-cinq ans. En résumé, cette dame qui nous demande conseil, a des crises d'automatisme ambulatoire e
ition envoyée par un groupe de magnétîsseurs et de masssurs, lesquels demandaient au Parlement d'ajouter au projet de loi sur l'exe
olue, suivant qu'il prêtait attention ou non aux bruits, M. Lépine se demanda si ces anesthésies sensorielles, si variables sou
n véritablement psychologique. Comment s'évanouit la conscience, se demande-t -il ? L'étude de l'anesthésie chirurgicale peut ai
u chatouillement, l'odorat disparaissent ou vont disparaître. Tel qui demande alors du chloroforme, si s? lui présente de la cr
cine et mysticisme A côté des Christian Scientist's, qui ne veulent demander qu'à la seule prière la guérison de leurs maux, i
Jésus-Christ. Tous deux promettaient de guérir pour 50 centimes. Ils demandèrent ce pendant 50 dollars à un phtisique/page> p
e second, qui a Pacte enadversion, disparait sans rien laisser. Il se demande qui fait faire a l'humanité les plus grands progr
temps de là, on l'hypnotise à nouveau, puis, à brûle pourpoint on lui demande combien de jours se sont écoulés depuis qu'on lui
écuté 123 jours après. Le 18 avril on l'hypnotise à nouveau et on lui demande s'il se rappelle la suggestion qu'on lui a faite.
études; mais il ne tarde pas à se rassurer. L'éducation asthmatique demande une tranquillité inébranlable, une fermeté cheval
e un peu, je n'essaie pas de l'en deshabituer, d'autant plus qu'il me demande de lui laisser sa prise, pour l'aider a oublier l
n ne le fait. Mais comme je n'avais pas atteint le chiffre de faits demandé par M. Decroix, les observations ne furent jamais
dres). " '(Suite et fin) Désireux de compliquer les expériences, je demande à C. (aussitôt après l'avoir suggestionnée et ava
a nuit et, à la fin, ne s'éveille pas toujours à l'heure dite. A la demande de la Société des Recherches Psychiques, plusieur
e réception parfaites pour accepter notre suggestion ; bien mieux, il demande â la recevoir, et son regard interrogateur et sup
les conditions requises pour être suggestionné, avec succès, et je me demande s'il ne serait pas possible d'expliquer les diver
beaucoup de ressentir de vives douleurs à chaque contraction. Elle me demande instamment de revenir près d'elle pour continuer
es conclusions que les observateurs américains. Naturellement, on a demandé à ce mort quelques documents sur sa vie extra ter
, et tout est dit.) — Que faites-vous, George, là où vous êtes? lui demanda-t -on — Je ne suis guère en état de faire grand'ch
Histoire du Mer-/page> page n="196"> vûl\euky s'empressa de demander â Azam les documents nécessaires pour vulgariser
munication de Velpeau, Azam, assîstantà la clinique de Trousseau, lui demanda s'il avait connaissance de l'hypnotisme. Troussea
ènes paraîtront si extraordinaires à beaucoup dé personnes, queues se demanderont si le fait est possible. Pour un certain nombre,
de que j'ai essayé sept ou huit fois d'hypnotiser ; chaque séance nie demandait au moins trois quarts d'heure et me causait beauc
ite ; je le prépare, je gagne sa confiance, de manière qu'ensuite, il demande de lui-même à être hypnotisé. Séance du mardi 2
par lui-même et il donne d'une façon précise des détails qu'on ne lui demande pas et qui ne lui ont pas été suggérés directemen
agistrats seront obligés, dans les cas qui leur paraîtront douteux, à demander un examen médico-légal fait par un médecin compét
in temps, vous constatez que les progrès se sont arrêtés et vous vous demandez si ie malade, plus profondément endormi, à l'état
nger â leur faire respirer quelques vapeurs d'élher, après leur avoir demandé leur assentimentj'ai pratiqué de la façon suivant
al quoique très lent. Comme la malade avait bon aspect, et qu'elle le demandait , oà l'autorisa â nourrir son enfant qu'elle adora
er à être soumise à la psychothérapie. M. Jules Voisin.— On peut se demander si cette malade est tout à fait inconsciente ou s
i un internement de plusieurs mois dans un asile d'aliénés et si elle demande nos soins, c'est qu'elle n'a pas envie d'être int
éance. Art. VIII. Toutes les communications relatives au congrus, demandes d'admission, ouvrages manuscrits et imprimes, etc
. En outre, il existe des malheureux qui ne sont pas malades et qui demandent du travail. La maison de secours aux malheureux l
e fille ou à une femme qu'elle engageait à quitter le monde : On vous demandera au couvent de Port-Royal « une obéissance qui vou
ertaine de ne le perdre jamais » Biaise Pascal, dans sa Prière pour demander à Dieu le bon usage des maladies, s'écrie : « Je
ine Bochard faisait ses délices de la retraite. Dans sa Prière pour demander à Dieu le bon usage des maladies. Biaise Pascal é
nombre des cas d'épilepsie de ce genre guéris par trépanation. On se demande même, en présence du fait rapporté plus haut, si
hode par l'impression qu'elle peut faire naître chez le malade, je me demande si la guérison n'est pas tout simplement due à la
éance. Art. VIII. Toutes les communications relatives au congrès, demandes d'admission, ouvrages manuscrits et imprimés, etc
'écriture des chiffres se fait de la même façon. Bien plus, si on lui demande do tracer des mots sur le sable avec la pointe du
ts de la suggestion religieuse. Biaise Pascal écrivit une prière pour demander à Dieu « le bon usage des maladies. » Jacquelin
dre contenance dès quo quelqu'un lui adressait la parole. Elle vint demander à la suggestion hypnotique la guérison de ses tro
une maison de santé; or j'ai entendu parler de vous, et je viens vous demander si, par le traitement hypnotique, vous ne pourrie
as la guérir ou, tout au moins, nous épargner cet internement. » Je demande alors d'amples détails sur l'évolution de la mala
nts. * • · Ainsi qu'il convient en pareil cas, j'avais eu soin de demander une analyse complète d'urine. Celle-ci a été fait
feuille d'analyse : le sens de la déviation n'y est pas mentionne. Je demande alors au pharmacien de consulter ses registres et
la faire rester à Paris après le départ de son mari. Mais elle ne me demandera pas â rentrer chez elle avant que je ne le lui pe
itter Paris et à rentrer chez elle; la cure de ce cas si complexe n'a demandé que dix-neuf séances quotidiennes. On pense bie
en effet, ce qui se présente chez celle malade. En effet, on peut se demander si la personnalité qu'elle présente dans l'état m
séance. ??t. VIIL Toutes les communications relatives au congrès, demandes d'admission, ouvrages manuscrits et imprimés, etc
s méridionales d'Europe sont caractérisées par des sens plus obtus et demandent des Impressions plus fortes que les races du Nord
o-mécanique. Le degré de l'amélioration obtenue est tel qu'on peut se demander si, malgré la symptomatologie du début, i! s'agit
e pour allumer une lampe, elle est gênée, incommodée, inquiète, et se demande anxieusement ce qu'elle va faire du pelit morceau
gare Saint-Lazare, il se trouve mal à l'aise, va chez un de ses amis, demande une chambre, s'y repose quelques heures et en par
éance. Art. VIII. Toutes les communications relatives au congrès, demandes d'admission, ouvrages manuscrits et imprimés, etc
re clinique serait bientôt désertée. Ce que les malades viennent nous demander , c'est l'hypnotisme, c'est le sommeil provoqué. N
ique fenêtre de son réduit darde directement sur lui. Copime nous lui demandions s'il se trouvait mieux, brusquement il répondqu'i
s fièvre, avec toute sa lucidité, mangeant et buvant parfaitement. 11 demandait d'ailleurs conseil sur plusieurs points. - Si nou
lisation. Enfin, le beau-père et un frère griffés au cours d'un accès demandaient s'ils devaient se rendre à l'Institut Pasteur.
-disant par ordre de la Sous-Préfecture et sur notre avis. On peut se demander quel aurait été, sans la révélation de la presse,
éance. Art. VIII. Toutes les communications relatives au congrès, demandes d'admission, ouvrages manuscrits et imprimés, etc
36 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
s dangers que ce traitement pourrait faire courir à sa santé Je lui demandai la permission de lui exposer en quoi consistait l
nt atténués depuis cinq années. Elle n'a pu faire autrement que de se demander à quel parti pris inexplicable obéissait son méde
xamen de la contrac-tilité musculaire. Voici mon procédé: Après avoir demandé au sujet de lever les bras en contractant énergiq
roduction de l'hypnotisme. Quand elle n'existe pas, il convient de se demander si elle n'est pas occasion née par l'influence d'
lui a fait prendre la décision de se remettre à boire. Il est venu me demander ce qu'il doit faire désormais. Il est prêt, si je
mités médicales de ces pays, les psychiatres et les jurisconsultes en demandent l'abolition. En effet les conséquences de ces
u royaux, mais aussi sur la débilité habituelle de leur esprit. On se demande même comment uu dogme a pu si longtemps conserver
rmé. J'estime que des parents sont bien inspirés quand ils viennent demander au médecin compétent d'employer les méthodes les
e qui doivent unir tous les membres de l'enseignement. Adresser les demandes de renseignements à M. le Dp Bèrillon. président,
avulsion de quatorze racines. L'opération fut faite avec lenieuret ne demanda pas moins de quelques minutes. Immédiatement aprè
sé par la logique de ses études. Etudiant la psychologie musicale, il demanda au Docteur Bèrillon de rechercher avec lui les va
vant à plus de deux millions. Si des invertis nous consultent et nous demandent de les guérir, c'est, le plus souvent, pour évite
uggestion est réalisable, que les prescriptions de l'hygiène génitale demandent à être formulées. La première concerne l'onanisme
re et de supprimer les actes homosexuels, qui sont plus compliqués et demandent plus de précautions. Sur ces manœuvres, le médeci
urnir sur le traitement de l'homosexualité, traitement fort long, qui demande des mois, parfois des années, et qui n'est point
pas s'en rapporter à son seul jugement. Il peut toujours en effet se demander s'il ne s'est pas trompé, s'il à bien exprimé ce
exprimé ce qu'il ressent. S'il peut constater ce qu'il éprouve, il se demande ainsi si le public l'éprouvera de même façon lors
ieurs enfants. 121 le est venue, au -cours de sa sixième grossesse me demander de l'hypnotiser pendant son prochain accouchement
'est qu'un moyen, non une fin, — prenons la question de plus haut, et demandons -nous quelle est la fin de l'instruction. « L'in
Je ne m'affligeais pas qu'il y eût au monde un Amalvy, mais j'aurais demandé au ciel qu'il yen eût deux, et que je fusse le se
es se piquent d'émulation et en apprennent plus que je ne leur aurais demandé . Par exemple, si on étudie ?p• de Sévigné, chaque
a société médicale des hôpitaux l'observation d'un malade qui. sur sa demande expresse, a été laparotomisé trois fois, en 1896,
'était do nouveau le masque impassible connu des hypnotiseurs. Je lui demandai s'il avait perdu conscience, « J'ai perdu conscie
ait l'influence de la suggestion sur la longévité. Incidemment, il se demandait si et comment les impressions mentales peuvent ré
qu'il a cessé de parler, un de ses collègues s'approche de lui et lui demande des nouvelles de son fils ; aussitôt, le comte Du
éricain, ftgé de 49 ans, a essayé, sans succès, depuis quinze ans, de demander la main d'une veuve pour laquelle il a une vive p
s et rapides, les ordres clairs, l'exécution exacte. Mais si on avait demandé subitement à (1) Campcnno : Essai de psychologi
bataille d'Austerlitz où il avait été grièvement blessé. Quand on lui demandait de ses nouvelles, il répondait « Tous voulez savo
rofesseur se plaignait de l'indifférence de ses élèves. Quelqu'un lui demanda : « Les aimez-vous ? * — Il répondit : Je n'ai pa
isfaisants depuis quelques années, — au dire des professeurs. — Il se demandait si cette décadence ne tenait pas à ce qu'on donne
e de la Concorde. Le jeune lycéen, intéressé à la vue de l'obélisque, demanda à son maître quelques renseignements que celui-ci
laisamment. La curiosité de Maspero fut si vivement excitée qu'il lui demanda d'interrompre la promenade et de rentrer au lycée
une assez grande facilité chez les jeunes gens intelligents. Si je demande , par exemple, à une personne de fixer ses yeux su
e fixe, obsédante, celle de ne pas perdre de vue les yeux qu'on lui a demandé de fixer. La fascination visuelle n'est, pas au
aisser induire en erreur par aucune autre émanation. Sans elle, on se demande comment ce chien lancé à la poursuite d'un cerf,
t éprouve des douleurs abdominales ; il appelle son domestique et lui demande de le frictionner avec le médicament. Voyant son
ine, en Conseil supérieur de l'Instruction publique); et 17 seulement demandaient une cérémonie publique. (1) Jusqu'alors on s'ét
us en rencontrons de nombreux exemples parmi nos élèves. La plupart demandent , avec raison, que toutes les élèves qui travaille
s ainsi que l'enfant. Si le quêteur revient lis soirs chez loi, qu'il demande l'hospitalité, comme s'il était étranger, qu'il p
ns-les-Balns, le 14 août dernier. M. Pierrot, le maire de Montmédy, demande que le portrait du professeur Jules . Liégeois fi
é, avec l'ordre de n'en parler qu'après sa mort. Un jour que je fui demandais si elle chantait encore, elle s'écria presque vio
e dont la justesse le hantait. Lors de l'affaire Eyrand-Bompard. il demanda à être entendu par le tribunal, car il était pers
e leur caractère, que notre tâche est loin d'être terminée et qu'elle demandera encore longtemps le concours, des plus nobles dév
ar ce qu'elle a entendu dire, que ce sont des crises d'hystérie. Elle demande ce qu'est cette maladie et comme on ne lui donne
de bonne grâce absolument dominer au point de ne rien faire sans lui demander son avis, il n'en a pas été de même de la part de
se essentiellement sur l'étude psychologique de l'enfant. Est-ce trop demander que de proposer qu'on étudie le caractère et les
d'aptitudes. Les enfants ayant des dispositions différentes, pourquoi demander à tous les mêmes études, les mêmes efforts, et s'
fouet court d'abord plus vite, puis il se ralentit, épuisé. Quand on demande trop à certains élèves, même bien doués, on ne do
élèves ont protesté contre les ennuyeuses distributions actuelles et demandé une véritable fête avec de la musique et des fleu
dividu sera en harmonie avec lui-même. Mais du jour ou les événements demandent un effort supérieur à celui que peut fournir l'in
rs de la névrose qui l'accompagne, que c'est un phénomène sérieux qui demande une surveillance attentive si on ne veut pas la v
ses études et craint de ne pouvoir rattraper le temps perdu ; elle se demande aveo inquiétude si elle pourra apprendre aussi bi
sparu ; Mllc X... se sent très bien, n'évite plus la compagnie, ne se demande pas si ses yeux sont cernés on non et n'a pas env
aisse dans les milieux divers où s'exerçait son activité ; mais on se demande avec amertume quel préjudice vont subir les diver
s se présentent successivement devant l'autel et font une prière, une demande . Le chef des papalois écoute attentivement, lèv
détermine déjà une fatigue mesurable, et, chez le neurasthénique, II demande un effort marqué. Or, malgré l'apparence, les réa
en servant un de ses clients, que sa mntn tremblait. Pris de peur, il demanda à s'absenter quelques minutes, mais ne revint pas
endre la main moins sûre. Le léger tremblement l'a inquiété, il s'est demandé si sa réputation d'onvrler habile n'en serait pas
e de l'enfant. Ce n'est qu'à une période assez récente que l'on s'est demandé s'il y avait une différence entre l'acuité olfact
rs fils, souvent très exercé. ' Us n'auraient pas même eu l'idée de demander à leurs filles si elles savaient qu'il y avait un
r de somnolence. On engage le malade a bien se tenir passif, à ne pas demander l'heure, k ne pas se renseigner sur les choses au
elque habitude, on peut en juger par l'expression du visage ; si k la demande : « Etes-vous calme et bien reposé ? » le malade
é, il en est très frappé : que peuvent bien signifier ces boutons, se demande-t -il avec inquiétude ? Il se rappelle que, six an
s prétexte d'affaires qui l'appellent en Europe, il viendra, k Paris, demander à un syphiligraphe renommé le traitement intensif
Le jour même de son arrivée à Paris, il court chez ce syphiligraphe demander non pas son avis, mais un traitement énergique po
ésœuvrement et aussi pour faire diversion à sa rumination mentale, il demande l'hospitalité à une professionnelle qu'il trouve
c empressement le moyen que je lui propose. Les vingt-quatre heures demandées pour l'analyse lui paraissent un siècle. Dès qu'e
, put vous causer du désagrément. « Mais que faites-vous donc là '? « demanda Hugo », je vois toutes les nuits nombre de person
dit-il ; ce que je sens est horrible. » Le prêtre le regarde, il lui demande s'il croit fermement, et quand le patient eut rép
la doctrine du Coran, une question de la plus brûlante actualité. H demandait à l'Ecole de psychologie de résoudre le problème
premier ministre Ou-San-Kouei ne sachant que faire, alla aux Grandes demander du secours aux Tartares Mandchoux, lesquels prépa
ain ; d'autres fois, sans avoir aucun contact avec son conducteur, il demande seulement à celui-ci de fixer l'objet qu'il s'agi
t pas nier de prime abord la question ci-dessus. Il faut seulement se demander , si moi, de même que mon vénéré ami, le grand maî
s'améliore pas, elle se plaint souvent de maux de tête et enfin nous demande si nous n'avons pas eu des cas on la malade qui d
guéris. Elle vint en novembre et partit en avril, sans avoir eu à me demander une consultation ; en fait-elle n'avait pas eu d'
payait comptant, lors de la livraison de l'objet précieux: elle avait demandé au joaillier de n'en parler à personne. Il avait
eur de la race, n'aurait rien d'invraisemblable. On peut également se demander si cette odeur très appréciable quand elle est co
mis sous les yeux des exemples de guérison par l'hypnotisme, elle me demanda de l'endormir, ce que je fis en présence de sa mè
s en croix, est invité à contracter énergiquement ses muscles. Je lui demande alors, par une détente brusque, de laisser retomb
femme d'environ 55 ans. Elle se présente à moi : elle pleure ; je lui demande son nom, je lui parle : elle pleure ; je veux la
n lui a dit : * C'est quelqu'un qui a de l'expérience. > — Elle me demande des explications, ce n'est que par une série d'ob
e M. le Dr Arthault de Vevey Mesdames, mes chers confrères. Si je demande la parole, sans y avoir été officiellement convié
on : comme un chien crevé* dans le qnarrler de Transtévere. iù\ Que demandes -tu. ? femme digne d'etre accouplée avec les plus
es uns de tes collègues et de tes élèves ont eu la bonne pensée de me demander de présider, d'une façon effective, le banquet qu
sa personnalité première. Au contraire la restauration de celle-ci a demandé beaucoup de temps et de peine. Le Dr Gota a con
I. qui se mit lui-même à genoux devant le grand suggestionneur et lui demanda sa bénédiction. Les lettres continuèrent à afflue
outes positions et confessions, implorant une guérison qu'ils avaient demandée en vain aux divers moyens thérapeutiques alors en
37 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
is. > Ce sont ces idées générales qui amenaient notre confrère à demander la création d'une société dont les réunions pério
névrose protéiforme. Ce sont ensuite les neurasthéniques qui viennent demander à la suggestion un secours contre leurs insomnies
nstitue enfin un agent antispasmodique de premier ordre Que peut-on demander de plus à une thérapeutique née d'hier? A moins q
e doute si, oui ou non, il aurait touché la personne. Sa toilette lui demandait beaucoup de temps, parce qu'il voulait que ses ha
d'ordre pathologique. Le doute ainsi se compliquait. Il commença à se demander s'il ne s'exposait pas de propos délibéré à être
es afin de préserver d'autres personnes d'un malheur. Aussi, il ne me demande pas de lui donner l'énergie nécessaire à s'oppose
ue moral, « social et matériel... J'espère que ce n'est pas trop vous demander que « de vouloir bien m'écrire encore pour le mêm
r l'élève paresseux, et celui-ci obtient de son camarade ce qu'il lui demande . A la lecture des deux copies, le professur ne
ir suivant. Il est très intéressant de remarquer qu'à son réveil elle demanda quand on l'endormirait à nouveau. Klle répondit n
n'en aurait eu nullement conscience, mais bien plus, si on lui avait demandé si elle avait été hypnotisée, elle eût certaineme
épileplique de M. Masoin, parue dans la livraison de juillet. Ils se demandent en vain sans doute à quoi peut rimer ce débordeme
fie de modeste. Croyez-moi, vos lecteurs vous en sauront gré. Car ils demandent à lire dans ce recueil des discussions scientifiq
nant pourquoi cette grande colère contre moi? J'en suis encore à m'en demander la cause, car. dans ma déposition devant le juge
squ'à ce jour acte d'adhésion à la Société. Art. 4. — Pourra sur sa demande être nommé membre honoraire, tout membre fondateu
depuis deux ans aux travaux de la Société. Art. S. — Pourra sur sa demande être nommé membre honoraire, tout membre titulair
ire doit lire en séance publique un travail inédit. Art. 8. — Toute demande d'admission, à quelque titre que ce soit, est ren
pas besoin de commentaires ; elle parle d'elle-même. A ce propos, je demanderai à mes confrères, non pas de rechercher chez les f
éaction, il n'y a pas de suggestion sans contre-suggestion. L'effet demandé esi d'aulant mieux obtenu que la contre-suggestio
rbés et tous les établissements de bains qu'elle a parcourus. Elle me demande si l'hypnotisme est capable de la guérir. A celte
nombreuses avaient attiré l'attention de tous les observateurs. On se demandait si les phénomènes étranges de cette puissance, en
pour s'identifier avec la volonté du magné- «tiseur. » On peut se demander , messieurs, s'il convient qu'un homme se soumette
ni desquel* il était complètement remis, amnésie à part. Quand on lui demandait comment il était tombé, il répondait qu'il ne sav
un grand nombre de perturbations d'une nature vasomotrice, et je vous demande encore quelques moments d'attention pour la commu
l était dans un état de grande faiblesse. Les yeux sont fermés. A mes demandes , il ne répond qu'avec des mouvements de tète; il
'y a pas suggestion. Mais si l'esprit du sujet médite la phrase et se demande pourquoi je l'ai dite, si celle phrase méditée év
réel. Après la discussion, la section a adopté une motion tendant à demander aux pouvoirs publics l'interdiction des séances p
roits qu'on lui reconnaît, par l'autorité qu'elle exerce ou qu'on lui demande d'exercer, elle est, en quelque sorte, ce que vou
s'induise dans tous les éléments nerveux voisins. On pourrait bien se demander si, dans ces conditions, une activité régulière n
médecine ait faites depuis uo quart de siècle; il nous faut plus. Je demande donc à M. Voisin de publier dans les plus minutie
t tout qu'il ne puisse exister aucun doute sur la pensée qui guide ma demande . Assurément, comme nous tous, j'ai une confiance
suggestions d'un élrc vicieux vivant avec lui, sera-t-on en droit de demander pour ce sujet l'exonération de touie peine? Perso
reils faits, à l'occasion desquels certains doutes subsistent encore, demande beaucoup de circonspection. Trop do légendes ont
sant en revue les exhibitions diverses que la loi a interdites, il se demande si on pourrait auioriser « des manatuvres dont le
n vaut un autre. Je contai à mon visiteur le cas de mon voisin et lui demandai de ni'accompagner. Nous trouvons J... affaissa
parce qu'il avait été promené d'hypnotiseur en hypnotiseur, à qui je demanderai un jour la permission de citer son nom, et à bon
ant près du poignet ». Naturellement, je lui faisais les passes qu'il demandait — pour voir. Quand il en avait assez à son gré, i
- Bérillon faire sur lui sa première tentative d'b'pnotisaiion, je me demandais , même en cas de réussite, quel bienfait le sujet
iculier de l'iodure de potassium Ce qui prouve qu'il faut toujours se demander quelle est la part de ta suggestion, ou même de l
e donner one précieuse indication de la valeur du traitement, et je demande donc de vous exposer en quelques mots plusieurs c
t d adresser à la Société de Biologie la note ei-jointe.doni il» nous demandent l'insertion. Paris, le 18 novembre 1891. Monsie
titude, qui ne sont pas diplômé* en médecine: (Interrupiions.j ???? demande pourquoi celte différence? Mais je l'ai dît, mess
et hypnotiseur, homme de science avant tout, qui aurait cherché, à la demande d'un médecin consciencieux, à modifier le caractè
s, d'une condition très aisée, n'ayant pas un tempérament nerveux, me demanda mes soins au commencement de l'année 1883 pour so
vre méritoire de détruire le mythe de la sincérité de l'enfant, et il demandait instamment aux éducateurs et aux médecins de le s
e que réfléchir docilement les images qu'ils ont reçu d'autrui, on se demande quelle peut être la valeur juridique de leur témo
us grande attention à mes paroles. Dans un instant, si quelqu'un vous demande votre nom de famille, que vous connaissez cependa
ues instants après, une ou deux minutes à peine, si un des assistants demande à l'enfant comment il se nomme, on peut observer
tellectuel, et qui accompagne sa mère venue pour me consulter. Je lui demande de raconter ce qu'il a fait depuis le malin dans
érieure persiste et qu'il est capable de la représenter dès qu'on lui demandera de le faire. Ce qui parait avoir fait défaut chez
Zakrevrskv, procureur général de Moscou, m'ayant fait l'honneur de me demander de lui exposer quelques-uns de ces faits, je m'ad
'osaient bouger ». Quelques instants après, j'invite M. Zakrewsky a demander à l'enfant V... s'il n'a pas assisté récemment, d
hésite un peu, puis finit par dire : « C'est le frère B... -.A cette demande : Pourquoi le frère a-t-il frappé l'enfant? Y... r
u'à reprendre son travail. Le 13, il continuait à bien se porter et demande à rentrer chez lui. l'argent qu'il avait apport
la méthode psychique. Ce cas m'intéressait au dernier degré, et je ne demandai pas mieux de pratiquer l'hypnotisme sur celte mal
e lapin qu'un farceur leur aurait pendue dans le dos, on peut bien se demander si ces gens-là jouissaient de la plénitude de leu
Ces buts deviennent chaque jour de plus en plus fréquents, et je me demande comment il se fait qu'on hésite encore à reconnaî
oduisit. Elle se décida alors à attirer l'attention sur ce point et à demander qu'on l'examinât. • L'œil était absolument sain
, médecin de la Salpétriére. Messieurs, Notre honoré président me demande à brûle-pourpoint de vous décrire en quelques mot
eut dire qu'il ne marche que poussé par l'Académie de Médecine, qui a demandé le projet de loi. Soit ! Mais les Académies se tr
s par la volonté du sorcier et mit dans l'impossibilité de parler. On demanda donc à la malade, en adressant la question à l'es
une résistance de o à 6 kilos à peu près. On entendit ensuite, sur demande de M. Ciolfi. qui connaissait beaucoup le médium,
ent parfaitement (dans leur langage spiritique et conventionnel), aux demandes qui lui étaient adressées sur l'âge des personnes
endirent claquer des mains. Le banquier Hirsch. qui était avec eux, demanda de parler avec une personne qui lui était chère;
le n'avait qu'un souvenir très vague de ce qui s'était passé. Je me demande si je me suis trompé en pensant que la respiratio
.V la Faculté de Droit de Nancy. M. le ])' Bérillon a bien voulu me demander de résumer en quelques pages, pour la Société d'H
acilité ! Il ne put y parvenir qu'aprèsque. de guerre lasse, il m'eût demandé de lever la prohibition que je venais de porter.
é avec la jeune fille M.... affectée d'angine psetuto-membraneuse qui demandait en plus du traitement général, un nettoiement dir
e livraison, il est un passage qui me concerne personnellement et qui demande rectification, car il dénature absolument l'altit
t trait a l'incident qui nous intéresse plus spécialement Ici. On lui demanda dans une de ses nombreuses répétitions : c Si c
s une de ses nombreuses répétitions : c Si ce qu'on luy a cy-devant demandé est pas véritable, notammont touchant le veau du
r militaire permet; se bien garder de donner sa démission; au besoin, demander le changement de garnison si le camarade lui fais
travail. Comme j'attache à sa communication une réelle importance, je demande au Bureau et à M. Voisin de bien vouloir me perme
leurs raisonnements ne pouvaient la ramener. C'est alors qu'elle me demanda de la suggestionner, mais sans la regarder el en
éprouvé aucun retour du mal. III. — Le lii décembre 1889, M^C... me demanda de l'hypnotiser pour l'extraction d'une dcol ; je
on : il en est de même du vigilambulitme; de wllo sorte qu'on peui se demander s'il ne s'agit pas ici de la prolongation d'une a
mons à la femme de François Godet, en la touchant au col; et comme on demandait à la mère de la démoniaque, et en présence de cel
ée et qu'elle frémissait toute en son corps. Quelqu'un s'avisa de lui demander : « Qui vous a misées meschanu? » Aussitôt les dé
ledit F. avoit heu dispu'.e avec ladite femme, et qua lors qu'on luy demande qui luy a donné le mal, elle dit, en se tourmenta
usculte et la percute, croit trouver quelques indices suspects et lui demande : « Toussez-vous? — Non, monsieur le docteur, je n
agination intestinale ou à un étranglement d'origine herniaire, et je demande à faire coucher la mnlade afin do pouvoir l'exami
appétit est diminué et les nuits sont presque sans sommeil. La malade demande à être hypnotisée, car elle ne veut pas prendre d
ppel à l'Académie de Médecine ! Le* honorables MM. Grosûis el Magis demandent que le contrôle qu'il s'agit d'organiser en matiè
ques à titre de curiosité « donnés en spectacle au public ». On m'a demandé si j'attachais i ces mots le même sens qu'à ceux-
c'estoit elle, mais que l'esprit le luy avoit dit. Si elle l'avoit demande à l'esprit ? R. Que non. S'il parle tous lesjou
esprit parle à elle ? R. Qu'il parle dedans elle, mais qu'elle ne lui demande rien. Ce symptôme assez fréquent chez les alién
rnaturel. Nous ne voulons rien écraser, ni excommunier personne. Nous demandons plus de lumières, plus de charité et plus de libe
38 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u importe pour l'in- cubation des autres maladies alors nous nous demandons comment on peut expliquer l'arrêt immé- diat de
onsidérable, plus d'excitation; accès de tristesse, de pleurs, elle demande sa famille, s'inquiète de ce qu'elle deviendra;
de chez elle, se figure que le shah de Perse l'aime et va venir la demander en mariage, chante conti- nuellement des airs d
ouïe ; elle parait aussi hallucinée de la vue; elle cause un peu et demande à sortir parce qu'elle coûte trop cher et que cel
t édifier la construction d'une maladie nouvelle sur un terrain qui demande la vie d'un homme pour être par- couru. M. Ball
dresse le bulletin d'entrée du malade, accompagné de la copie de la demande d'admission, du rapport prescrit à l'article 16
du projet de loi, celle qui règle les formalités des placements sur demande des particuliers appelés, d'un nom impropre, « pl
sons, les me- sures à réclamer de l'autorité publique devaient être demandées d'abord à l'autorité administrative, responsabl
supprime toute inter- vention active du préfet dans les placements demandés par les particuliers; il supprime l'obligation
e réduit, comme on voit, à recevoir deux notifications, celle de la demande de placement et celle de la décision du tribuna
ième paragraphe. M. de Gavardie. Si vous voulez le présenter, je ne demande pas mieux ! Je me suis adressé à vous, mon cher
sans hésitation cet article tout entier. M. le PRÉSIDENT. Quelqu'un demande-t -il la parole sur l'ar- ticle 20 ? M. Combes.
elqu'un demande-t-il la parole sur l'ar- ticle 20 ? M. Combes. Je demande la parole. M. le Président. Monsieur Combes, c'
uler d'ailleurs qu'en faisant appel en ce moment à son attention je demande peut-être beaucoup dans l'état d'agitation ou p
eurde l'établissement d'aliénés, pour qu'on rendit à sa mère qui le demandait , un jeune homme que son bon sens, à lui procure
quelques bancs.) Interro- gez-vous consciencieusement vous-mêmes et demandez -vous une dernière fois ce que leur apportera de
sions du rapport médical. C'est là son rôle, son unique rôle. Je le demande : Ce rôle est-il nécessaire, est-il digne du pr
ait beaucoup moins si, en sor- tant, de sa compétence, comme le lui demande le piojet de loi, elle se prêtait par faiblesse
lus ou moins scientifiques mais toujours intéressants et qui ont dû demander un travail considérable pour être rassemblés d'
l'attaque elle-même produit souvent une chute brusque, on peut .se demander si la chute prétendue causale n'a pas été un simp
ions le séjour prolongé des aliénés dans ces cabanons-cachots; nous demandions au ministre de l'intérieur d'exiger de ses préf
sible d'étudiants,-à défaut deprescriptionslégales-que nous avons demandé que l'on ne créât pas un internat spécial dans
du même établissement en remplace- ment du Dr Dagonet, admis sur sa demande à faire valoir ses droits à la retraite et nomm
t de fortes douleurs à l'épaule droite : il n'a pas répondu à notre demande si l'articulation était ou non gonflée; il ajoute
arin. Mais le moyen le plus pratique et le plus ra- dical serait de demander aux compagnies de naviga- tion de faire faire d
t écrire et qu'il ne répond que très diffici- lement à ce qu'on lui demande . 12 juillet. Maisonh... peut se tenir sur ses j
quoique très nettes étaient absolument incohérentes et quand on lui demandait son nom, par exemple, il répondait : » Les chev
tre le sujet dans la section de gâteux, et le lendemain même, il a demandé au médecin en chef de le placer ailleurs, en disa
e des persécutions, loin d'être immuable, pouvait se trans- former. demande à la Société de continuer la discussion par l'é
ntifique. Enfin en France, tout récemment, le gouverne- ment a fait demander leur manière de voir à tous les directeurs et m
re du physikus, pourquoi l'Etat lui-même (ordon- nance pour Berlin) demande-t -il qu'un praticien signe avec lui ? Ce sont là
M. de GAVARDIE. C'est ce que nous soutenons aussi. M. Tkstelin. Je demande la parole. M. le commissaire du Gouvernement. A
ont plus lieu, et cette garantie il faut la chercher. Allez-vous la demander encore aux médecins ? Vous créez fonc- tionnair
; c'était de faire intervenir l'administration préfec- torale et de demander aux préfets un ordre de séquestration, dans le
'intérêt des aliénés. (Très bien ! très bien ! ) M. de Gavardie. Je demande la parole. M. Testelin. Pardon ! je l'ai égalem
rdie. Je demande la parole. M. Testelin. Pardon ! je l'ai également demandée . M. le Président. M. 1'esterlin avait demandé l
! je l'ai également demandée. M. le Président. M. 1'esterlin avait demandé la parole avant vous, monsieur de Gavardie. La
Français et docteurs d'une des Facultés de médecine de l'Etat. Leur demande devra être adressée au ministre de l'intérieur
blic ou privé consacré au traitement de l'aliénation moniale. Toute demande sera en conséquence accompagnée des pièces fais
et d'un rapport qui pourra être communiqué aux candidats sur leur demande . Le maximum des points sera de 10. Les points pou
le sous- secrétaire d'État, signé : Léon Bourgeois. 4 Nous avions demandé un inspecteur général, médecin, ce qui nous sem
août). Asile de Chalons. - M. le Dl 11, Bonnet est admis, sur sa demande à faire valoir ses droits à la retraite (Arrêté d
naître dans la personne de son domestique l'auteur du crime ; il se demanda anxieu- sement s'il n'était pas de son devoir d
fait. A la poste où elle s'adresse pour envoyer une dépêche, on lui demande dix-huit francs; elle trouve cela extraordinair
e les réflexions sui- DE LA FOLIE COMMUNIQUÉE. 345 vantes : On se demande comment peut s'opérer, au point de vue psycholo
que, il semble- rait à priori qu'il y ait lieu, ajuste titre, de se demander si les accès n'auraient pas quelque rapport dir
des maladies mentales. - La Société de médecine mentale belge ayant demandé à la Société médico-psychologique un plan de cl
é les conditions d'admission; à côté du questionnaire médical, on demande encore le certificat du pasteur. M. Pelman. Il
n d'obtenir tous les renseignements médicaux nécessaires, quand ils demanderaient au besoin qu'on remplisse un questionnaire tout p
(Très bien ! très bien ! sur divers bancs.) M. le rapporteur. Je demanderai la permission de faire une ob- servation. J'ai,
res. Pour les placements volontaires, ils se font, quand le médecin demande la sortie, par le préfet. L'article 27 dit que
tat également engagée dans l'affaire. M. DELSOL. Messieurs, je vous demande la permission d'exposer devant le Sénat, et trè
ublic, lorsqu'il y a état de fureur, introduisent une instance pour demander l'interdiction de*ce malade. Que fait alors la
i ne peuvent pas être interdits ou dont les familles ne veulent pas demander l'interdiction que la loi actuelle a pour but d
Très bien ! sur divers bancs.) On prétend que l'opinion publique ne demandait pas cette réforme, et que c'est une pure illusi
la commission permanente. M. Delsol. Mais enfin, dans le projet, on demandait des garan- ties, précisément pour prévenir les
e nouvelle à celles qui pouvaient exister déjà dans la loi de 1838, demandait l'intervention de l'autorité judi- ciaire. Ce n
icultés de cette nature. M. Paris. Voulez-vous me permettre de vous demander qui payera tous ces frais ? 2 ' M. DELSOL. L'
public. Par conséquent, ce sont des affaires qui, par leur nature, demandent plus de temps que n'en demanderont les affaires
s affaires qui, par leur nature, demandent plus de temps que n'en demanderont les affaires concernant les placements définitifs
'aura qu'à rendre une décision qui, dans la plupart des cas, ne lui demandera que quelques minutes d'exa- men. M. de Gavard
- dinaire. (Marques nombreuses d'approbation.) M. de Gavardie. Je demande la parole. (Exclamations à gauche.) - La clôtur
son maintien dans l'asile ou sur sa sortie. » M. de Gavardie. Je demande la parole sur la proposition de la question. (N
cée. « Je consulte le Sénat. (L'épreuve a lieu.) M. de GAVARDIE. Je demande qu'on mette... (Exclamations à gauche.) M. LE
e lieu à un débat. M. le Président. Vous aurez la parole si vous la demandez , monsieur de Gavardie ; il est à peine cinq heu
dant un délai qu'elle fixe dans ledit jugement. » M. Bozérian. Je demande à poser une question à la commission. La décisi
deutaudo-t-il la parole sur l'article 31 ? ` ! M. de Gavardie. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M.
onvénients que présente cet article, et c'est pour cela que je vous demande de vouloir bien ordonner son renvoi à la commis
e aviser. (Aux voix ! aux voix ! ) M, le Président M. de Gavardie demande le renvoi de l'article à la commission. Je cons
( Le ren- voi à la commission n'est pas ordonné.) M. Lacombe. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M.
même point de vue que l'orateur qui descend de la tribune que j'ai demandé la parole. Je me bâte, de plus, de dire que je
personne immédiatement désignée, c'est celle dont l'internement est demandé et dont les rédacteurs du projet de loi ont vou
parents de la personne qu'il s'agit d'interdir pourraient toujours demander l'interdiction. S'ils peuvent provoquer cette m
e je viens de pré- senter. M. DELSOL, membre de la commission. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M.
rétablissement public ou privé où il-se trouvait ; qu'elle pourrait demander des renseignements à sa famille, notamment sur
nements à sa famille, notamment sur le but visé par la personne qui demande le placement de l'aliéné, sur la moralité de ce
La chambre du conseil, dans notre inten- tion, aurait la fncullé de demander tous ces ienseignemenls, et de les demander à q
n, aurait la fncullé de demander tous ces ienseignemenls, et de les demander à qui elle voudrait. M. de Gawrdie. Ce n'est do
e faire prononcer l'interdiction, les magistrats devant lesquels la demande sera portée se seront d'avance prononcés, et ce
tribunal en pareille circonstance. A mon sens, la garantie que l'on demande à l'intervention de l'autorité judiciaire consist
ent entrer dans un hospice d'aliénés ? M. L1COVBE. Je n'ai jamais demandé cela. M. de Gavardie. Vous violez les principes
e im- médiate. Il suffit, à cet effet, que le réclamant adresse une demande sur papier libre au procureur de la République,
en quelque sorte d'administration que l'on sollicite de lui. On lui demande , en effet, d'apprécier les circonstances dans l
n de la cornmssiou. Elle est jüâée ! M. LE Président. Personne ne demande plus la parole sur l'article 21 ? ... Je consul
onné satisfaction. Voix nombreuses. A lundi ! M. le Président. On demande le renvoi de la discussion. (Oui ! oui ! ) Il n
é- sentent pas la rigueur scientifique qu'on a l'liallude de leur demander aujourd'hui et ont plutôt un caractère anecdotiqu
39 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
itipsa Sémiramis. à calmer la surexcitation des esprits. Elle fit demander à Philippe II d'adoucir les édits de religion, ma
s ingénier à leur donner, à ce sujet, des explications qu'ils ne vous demandent pas ? Pourquoi ? Par la raison que celui qui dé
mprendre tous les changements qui se sont opérés autour d'elle,, elle demande des explications et celles-ci ne correspondant pa
ur fournir quelques indications. Mais avant d'aborder mon sujet, je demanderai la permission de donner quelques définitions et d
s considérer comme justiciables de la psychothérapie. Les joueurs qui demandent au traitement suggestif la guérison de leur passi
uie sur la tète d'un lion et l'autre sur celle d'un dogue. On peut se demander s'il ne faut pas rattacher l'Aphrodite barbue de
miracle et cela à bon escient. Lorsqu'un jour il dit à Bernadette : « Demande à la Sainte Vierge de faire fleurir le rosier de
s que j'ai commencé les expériences et je n'ai que 34 expériences. Je demanderai , pour énoncer des lois, qu'il y ait des expérienc
son visage pendant qu'elle priait, n Plus loin le père Fourcade se demande , ignorant des phases de la maladie, pourquoi l'ex
ainc curiosité mais seulement pour le cas où il y aurait lieu de leur demander des informations supplémentaires. Je me charger
rt et restèrent quelques jours sans se décider à sortir. Xous avons demandé à quelques vieux marins des renseignements sur l'
'elle doitd'étre considérée comme un fétiche. Avant le départ, on lui demande de se laisser rouler dans les filets. Au retour,
erses obligations de la religion ou de l'association dans laquelle il demande à être admis. Ces formalités remplies, il peut
nt et située hors de la ville. Embrassant les pieds du crucifix, elle demanda avec ferveur à Dieu, de lui changer le visage. 8a
Amasis, roi de Sicile, le père de Wilgeforte fut vaincu. Le vainqueur demanda pour prix de sa victoire, la main de la belle Wil
ïen la lui accorda. Pour échapper au sort qui l'attendait, Wilgeforte demanda à Dieu de l'enlaidir et de lui donner un visage r
damné à mort pour le prétendu vol de cette pantoufle, le pauvre homme demanda à être conduit devant la sainte. On accéda à sa d
pauvre homme demanda à être conduit devant la sainte. On accéda à sa demande . Il recommença à jouer l'air religieux qui avait
loyée par nous, disait-il, pour arriver à un pareil résultat; il nous demanda de bien vouloir suspendre les représentations, ma
ères comme si rien d'anormal ne s'était passé. Un jour Mlle V... se demanda pourquoi vivant la nuit avec son curé, il n'en se
etit berger et à une petite bergère des Alpes. La Vierge leur avait demandé qu'on fit pénitence ; elle leur avait confié des
ple magnifique sur la montagne de la Salette que la Vierge de Lourdes demande à Bernadette une église sur les roches de Massabi
dans la plupart de celles fournies par les hystériques. On pouvait se demander la raison de cette faible caractéristique, étant
par le parlement. Déjà un député, M. Gérault- Richard, se propose de demander le vote d'un crédit de cent mille francs et le mi
constituée sur la proposition de M. Audlffred, sénateur, et nous nous demandons si l'on trouvera jamais une meilleure occasion de
lé de Lucques (Itallui. être débarrassées de leurs maris. Elles lui demandent , en un mot. la mort de leur conjoint. Récemment
on d'une anatomie jugée, par eux, trop réaliste. On peut également se demander si des âmes pieuses n'ont pas voulu dissimuler le
e le premier article donnait d'énormes bénéfices, le second était peu demandé . Pour devenir un lieu de pèlerinage profitable,
onduit quelques tuyaux jusqu'à la rivière toute proche (1). Nous ne demandons ni enquête ni expertise à ce sujet : nous ne regr
dégoût ; mais tout est inutile. A la fin le père, désespéré, vient me demander mon avis. Je lui conseille l'hypnotisme ; mais le
tait servante dans une maison bourgeoise. Des mendiants étaient venus demander l'aumône. Elle les repoussa. En s'éloignant, ceux
: « Il faut encore prier trois : Gloire au Père, etc. » Alors je lui demandai : « Croyez-vous être délivrée du diable ! o Elle
auvre matrone n'en revenait pas : «Ce n'est pas une femme que vous me demandez d'accoucher, disait-elle, c'est un homme. ¦ Il lu
. Il doit apprendre à la connaître, pour apprendre à la déjouer. Nous demanderons à notre confrère, le D* Oourtault, de continuer s
rdait pas d'un peu près. Il s'agit d'une femme de 26 ans. Elle nous demande aide et protection, car on la persécute. Un épici
diathèse de scrupule : par exemple un virtuose, inquiet, douteur, se demande s'il sait son morceau, s'il n'aura pas d'absence
très consciencieusement; il les écrit même en entier de sa main. Lui demande-t -on de les réciter à haute voix, il ànonne, se tai
s été assez finement analysée. En somme, c'est un graphique auquel on demande de devenir, subitement, un parfait articulateur ;
ce sera accompagnée de nombreuses projections. Nos lecteurs peuvent demander des cartes d'entrée soit au siège de l'Associatio
ur remettre la suite de votre interrogatoire à la prochaine entrevue. Demandez au malade de vous rédiger son observation et de v
ir un instrument de guérison, et c'est là un point sur lequel je vous demande la permission d'insister. (à suivre.) PHYSIO-
cement de sa fortune. Il porta la parole au roi aux états de 1615, et demanda , au nom du clergé, le rétablissement de la religi
Mazarini (Mazarin) dans la faveur d'Anne d'Autriche qui, après avoir demandé pour lui le chapeau de cardinal, révoqua cette no
qui n'avoit point été en confesse depuis trois ans, mourut sans avoir demandé les sacrements dans sa dernière maladie. M. de Be
lorsque notre dévoué collègue, M. le D' van Renterghem, d'Amsterdam, demanda à la Société d'bypnologie et de psychologie d'ouv
Faculté, rcslaient encore indifférents. C'est alors que le Dr Dumont demanda à M. Liébeault d'appliquer sa méthode à quelques
t une correspondance active avec nombre d'amis ou d'élèves qui ne lui demandèrent jamais en vain ses conseils. Voici d'ailleurs l
on, bien-être. Il ne sort pas de chez lui ; en ville, il doit souvent demander son chemin ; il ignore le nom des rues et s'égare
de o fut exposée dans une étude fort intéressante que nous lui avions demandée , et qui parut dans la Revue de VHypnotîsmele 1" o
aux allures vaguement scientifiques, écrivit au Dr Liébeault pour lui demander son opinion. Il en reçut les réponses suivantes
théoriquement connaît à fond la question. Je ne puis m'empôcher de me demander avec inquiétude si, au point de vue pratique, il
ait été internée à différentes reprises, s'approcha du prédicateur et demanda à parler au pasteur Roeschmann. Elle se plaignit
'église de son village. Les deux pasteurs délibèrent longuement et se demandent sérieusement s'il ne faut pas y conduire la malad
ment, nettement, avec les mots qu'il fallait et sans trembler. Je lui demandais en somme un elîort considérable, et il a pu l'acc
e, en eût été débarrassé sans le moindre dommage. Mais l'amour ? Ceci demande réflexion. L'amour est un sentiment qui dilate, é
emière leçon à l'école pratique de la faculté de médecine : « Tous me demandez quelle est ma spécialité ? iCa réponse sera simpl
sement prêt, même quand il ne s'est point préparé. On s'est parfois demandé , non sans quelque bonne raison, si les esprits de
der la science en essayant de précipiter son mouvement. Je me le suis demandé plus d'une fois pour mon propre compte, sachant p
à faire une démarche, à rendre "ne visite, à adresser une requête, à demander un service, à imposer leur présence à quelqu'un e
othérapie méthodique. Ils ne se considèrent pas comme des malades. Us demandent simplement au traitement psychologique de les met
faisaient craindre le développement d'une démence précoce. » On se demande comment il peut venir à l'idée de croire ce jeune
lus ou moins de son cerveau d'une façon directe ou indirecte. Quant à demander si cela est de l'hypnose ou de la psychothérapie,
rapeutique. Mais ses résultats furent minimes et Bernheim à qui il en demandait la cause lui répondit : « Vous ne réussissez pas
la rencontrent dans un bois, errantjà l'aventure. Sa mère lui ayant demandé la raison de cette dernière fugue, Argen-lina rép
désapprouve par des mouvements de tête. Une autre fois, comme on lui demande d'ouvrir les yeux, elle répond : « Vous le voyez
le réveil, elle devient suggestionnable. Par exemple, un jour on lui demande de tirer la langue ; elle fait signe qu'elle ne l
ntrer la langue spontanément et la sortir autant de fois qu'on le lui demande . , Une fois, Argentina a pu être réveillée par
rigué à juste titre de cette forme nouvelle du cambriolage caprin, je demandai à Mme J..., comment la délinquante, accompagnée d
-huitième section (Pédagogie et Enseignement), j'ai l'honneur de vous demander de vouloir bien participer à nos travaux. Les que
ée de faire prendre des vessies pour des lanternes et il oublie de se demander si le procédé hypnotique n'est que cela et même s
re, le Dr Bérillon. Discussion Dr Jacques Bertixlox. — On peut se demander dans quelle mesure des actions suggestives sont i
a sans la moindre difficulté. Une fois qu'elle est éveillée, je lui demande son nom. Sans la moindre hésitation et à la stupé
ersonnes qui assistent à la séance, elle me répond : Ida. Puis je lui demande de quelle ville de l'Italie elle est originaire,
éfense formelle d'avoir le hoquet ou de vomir; puis je l'éveillai, et demandai à être tenu au courant du résultat. Le lendemain,
séjour ici avec le mien, et cela au dépens de graves intérêts. Je me demandais sans y rien comprendre par quel mystère mon actio
40 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
ne part parler des malades qui, soumis déjà à un traitement, viennent demander à l'exploration par les rayons X la confirmation
prié de boire avec eux, il dit qu'il voulait faire ma fortune, et me demanda si je n'aurais pas peur du Diable. Je fus curieux
règnes icy tremble et te musse tant pour répondre à ce que j'ay à te demander pour te retirer après qu'ainsy tu quittes et aban
terventions, au sujet desquelles la somme de connaissances qu'on leur demande pour la pratique ordinaire des accouchements, n'o
e la sagesse et la nécessité. Le traitement des maladies nerveuses, demande peut être plus que tout autre des connaissances a
andes à la divinité, déposées presque toujours par des souffrants qui demandent la guérison d'une maladie, soit pour eux ou leur
quelques très fidèles auditeurs des lettres fort intéressantes. On me demandait si, non content d'exhumer des souvenirs lointains
s interpréter en dehors de toute hypothèse extra-scientifique, ils me demandaient de leur donner à ce sujet une sorte de consultati
t offert à acheter, de pas en pas. Des gamins courent en criant : « Demandez le journal catholique national L'Etoile de Lourde
tion exacte entre le coupable et le malade, parce que la justice vous demande souvent des réponses trop précises sur ce qu'elle
té des plantes médicinales il est tenté par l'étude de la Médecine et demande dans quels ouvrages il pourrait bien l'apprendre.
e et ses hésitations pathologiques ; il tombe la face contre terre et demande aide à Dieu. Nouvelle crise nerveuse ; il s'endor
ce que la viande devienne un peu noire, (je cite textuellement). Cela demande généralement quelques minutes, à ce qu'il parait.
es aliénés au sens propre du terme. Or ce n'est pas aux aliénés qu'on demande une pathologie de l'aliénation. On les interroge,
s infectieuses, 1889, p. 2). Cette conception nouvelle de la fièvre demande un traitement nouveau conforme à sa notion pathog
ne réussit qu'à rendre la malade encore plus nerveuse; finalement, il demande qu'on la lui ramène dans dix jours. Dès lors, la
ma chambre; veux-tu t'en aller, vilaine». — Ce malade, si vous le lui demandez , vous décrira des pieds à ta tète cette personne;
la voix de son mari et de ses enfants qui se plaignent à elle et lui demandent secours ; après les avoir cherchés dans toute la
orait le récit qu'il tenait d'un ami de Gênes, devenu veuf, qui avait demandé à Eusapia d'évoquer l'esprit de sa défunte épouse
tout : le directeur du Caffaro conte que l'ingénieur Ramo-rino avait demandé au médium d'obtenir une empreinte du visage de so
ans. Je suis déjà sorti et je ne puis aller faire qu'à midi la visite demandée . Quand j'arrive, je trouve toute la famille con
es membres inférieurs en extension, accolés l'un contre l'autre. Je demande depuis quand cet état dure et comment il a débuté
radieux, court de toutes ses forces et arrive au but avant moi ! Je demande à la maman de l'habiller. Pendant ce temps, je ne
l? Au lieu de pousser des cris déchirants, il va, en toute confiance, demander à son père d'embrasser l'endroit contus et instan
e mon âme, comme s'il eût craint que je ne lui échap-« pât encore, me demanda de consentir qu'il se rendit maître de ma « l
je sentais toutes absorbées « en lui. « Un jour mon Divin Maître me demanda , après la sainte communion, « de lui réitérer le
« ne peux m'en rendre un plus grand qu'en faisant ce que je t'ai « demandé .» Marie présenta un jour à Jésus-Christ le test
je me servis pour graver son sacré nom de Jésus. Un jour, Jésus lui demanda de jeûner au pain et à l'eau pendant cinquante jo
é, il faut qu'il les « répande par ton moyen. Après ces paroles, il demanda mon cœur, je « le suppliais de le prendre, ce q
réserve les déductions thérapeutiques qu'il nous propose. Je veux demander un enseignement aux civilisations disparues : je
s, à tel point qu'il a cessé complètement de travailler. Quand on lui demande ce qu'il éprouve au moment où il est obligé d'aba
nge lui ayant donné la confiance qu'elle n'avait pas, au réveil, elle demanda avec empressement qu'on lui donnât la dite chemis
ontinue son histoire ainsi: Pour remercier Marie Alacoque, elle avait demandé cinq messes à un curé de la ville. Celui-ci diffé
accident purement hystérique, à savoir d'amaurose hystérique. On me demande , au sujet de cette femme, un rapport médico-légal
par l'observation psychologique de la vie ordinaire. L'on ne saurait demander davantage, car les faits psychologiques ont échap
associations seules agissent à l'exclusion des autres. Il faut ici se demander ce qui détermine cette sélection et fait éliminer
ieux. (1) Lyon, 1902. Je n'ai jamais vu, dit Leloir, de lépreux demander la mort, et je ne connais pas d'exemple de suicid
ra que Jésus la fit reposer fort longtemps sur sa poitrine, qu'il lui demanda son cœur, qu'il le prit et le mit à la place du s
'une manière inexplicable. Dans la vie de Marie Alacoque, Jésus lui demande son testament par écrit et en échange lui donne s
s écarter de la méthode la plus rigoureusement scientifique. Nous lui demanderons donc de bien vouloir nous continuer les marques d
nc vivement M. Guimet du grand honneur qu'il nous a fait, et nous lui demanderons de faciliter entre les deux écoles, les relations
ur être utiles et de répondre aux explications qu'ils pourraient nous demander . Ils nous aideront ainsi à réaliser l'œuvre que n
que concordants. Aucun doute ne semblait donc permis, lorsque M. Yung demanda à voir la bête et annonça son désir de répéter l'
heurs. A cette science, Messieurs, apportez d'abord ce qu'elle vous demande : des faits; et elle vous donnera ensuite ce que
ous demande : des faits; et elle vous donnera ensuite ce que vous lui demandez : des idées. La psychologie et la biologie Dis
la question indiscrète que posait Th. Morus à Descartes quand il lui demandait où était le moi, c'est-à-dire l'âme, chez les pet
train. Il se désole de rester improductif, et cependant il refuse les demandes d'articles qu'on lui adresse : en définitive, il
au réveil, avec plus ou moins de netteté; certains au point qu'on se demande s'ils n'ont pas été des réalités. D'autres rêves
ins et M. P. Janet, pour qui la démonstration était préparée. Je leur demandai une seule chose : c'était d'être aussi sérieux et
i comme pour bien les étudier, puis, fixant les yeux du sujet, je lui demandai à haute et forte voix : « Veux-tu être guéri ? »
sse l'étreignait. Il avait encore tant à faire. « Vivrai-je six mois, demanda-t -il au médecin qui était près de lui ? a Le médeci
stion des relations sexuelles les inquiète, ces pauvres diables ; ils demandent la permission, timidement, d'une voix craintive.
sa place ; puis sa femme vient à mourir. Il en est bouleversé; il se demande ce qu'il va devenir et cherche à savoir de quelle
t homme une étonnante faculté pour interroger les esprits et elle lui demande de rester avec elle. Il devient donc médium et, à
prophétique des élus de Dieu exigea d'eux des miracles. Les Juifs en demandaient à Jésus, les Arabes en réclamèrent également à Ma
miracle de la lune fendue. Pour convaincre les infidèles qui avaient demandé un signe à Mahomet, la lune fut séparée en deux,
r. Page 153: Texte de M. le DR Rouby. Un jour mon Divin Maître me demanda après la Sainte Communion de lut reitérer le sacr
ruire dans leur estime. Texte de MarGuerite-Marie Alacooce. Il me demanda , après la Sainte Communion, de lut réitérer le sa
Ici les deux textes sont évidemment contradictoires, et la religieuse demande à Notre-Seigneur précisément l'opposé de ce que l
euse demande à Notre-Seigneur précisément l'opposé de ce que lui fait demander la citation. Toujours à la même page 153, M. le
Ce ne fut qu'au bout d'une quinzaine qu'il se souvint de célébrer les demandes et il commença à les acquitter de suite. Sœur Cla
de cette faiblesse. Elle s'informa alors si les messes qu'elle avait demandées avaient été dites. Elle apprit non sans étonnemen
uvent. A Paray-le-Monial on n'en sait rien ; j'ai écrit à Annecy pour demander s'il existait encore quelque circulaire manuscrit
approche des examens du Conservatoire, plusieurs élèves viennent nous demander le secours de la suggestion contre des phobies su
d'une façon très précise, pour le seul acte pour lequel elle l'avait demandée . En effet, comme elle avait nettement exprimé l
son compagnon de chambre et de lit. Il n'est pas rare en Amérique de demander , par voie d'annonce dans les journaux, un Room-ma
es membres doivent à tour de rôle répondre aux questions et poser des demandes sur des sujets médicaux tirés au sort. Chacun dev
ute cette organisation n'est ni imposée, ni subie à regret, mais bien demandée par les élèves qui veulent en avoir pour la valeu
un non. Pas d'ambages, pas de circonlocutions, pas d'hésitations. Les demandes et les réponses se succèdent sans trêve, la mémoi
cis; sur un signe du professeur la classe entière vocifère la réponse demandée . Des notes sont données; elles comptent aux exame
différents cours professés dans la semaine étant susceptibles d'être demandés sous forme d'interrogations, il s'ensuit que l'él
n souverain maitre redouble ses faveurs qu'elle est contrainte de lui demander de les suspendre ou d'étendre sa capacité pour le
41 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ux atteints de sciatique de même intensité. - Mais on peut aussi se demander si cette déformation n'est pas tout simplement
chaise ou couché, il ne présente rien d'anormal. Mais lorsqu'on lui demande de se lever, il déclare que cela lui est absolu
tral donnant des signes évi- dents d'aliénation mentale fut, sur la demande de son père, interné pour la première fois le 2
IÉNÉS Suite de la séance du jeudi 2 décembre 18S6 '. M. PAR'S. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M.
. La commission s'y associe également. M. le Président. Personne ne demande plus la parole ? ... Nous nous trouvons toujour
ccepté l'article Il. (Très bien ! sur divers bancs.) M. LACOMBE. Je demande la parole. - M. LE PRÉSIDENT. La parole est à M
istrateur. (Assentiment.) Notre honorable collègue, M. Boulanger, a demandé que le troi- sième paragraphe de l'article 12 f
mandé que le troi- sième paragraphe de l'article 12 fût réservé. Je demande , à mon tour, qu'on réserve également le premier
ledit établissement, lors- qu'ils le jugent convenable. D Quelqu'un demande-t -il la parole sur l'article 13 ? M. Paris, de
de la surveillance du service des aliénés. Mais les termes dont je demande la suppression semblent per- mettre au procureu
ieur le rapporteur ; il faut que la commission s'explique. M. Paris demande , d'abord, la suppression de ces mots : « ou d'un
médecin inspecteur des aliénés assiste celui qui fait la visite. Il demande ensuite^qu'on ajoute aux mots : « Le procureur de
. 0 SÉNAT. 147 M. le Rapporteur. La première phrase dont M. Paris demande la supi-es31oii : « ou un autre médecin choisi
, je défère avec plaisir à l'invitation de ! Il. de Gavardie qui me demande si le Gouvernement juge utile de reconstituer l
sa disposition s'il en désire de plus étendues. M. de Gavardie. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à 111
s de mé- decine et des différentes facultés. M. de Gavardie. J'ai demandé qu'on s'explique purement et simplement. Ainsi
désaccord que sur les articles 11 et 12; que pour les modifications demandées sur l'article 45 et qui résultent de la lecture
le Ministre et la commission étaient d'accord. 111, DE GIVARDIE, Je demande la parole. M. le Président. La parole est à 111
vernement ne l'acceptera pas. M. le commissaire du Gouvkrnement. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à JI.
! très bien ! sur un grand nombre de bancs.) AI. de G.aVARDIB. Je demande la parole. (A suivre.) VARIA JEUNE PRODIGIEUX
isme de minime importance survenu dans une chute, et l'on peut se demander si c'est la chute ou l'émotion qui l'accompagne
ement habituels qu'on les accomplit sans en avoir cons- cience. Demandons -nous maintenant comment s'opère cette transform
est donc aux expériences portant sur ce nerf que nous essaierons de demander la solution du pro- blème. Lorsqu'on examine
ydriase éphidrose. Constatons les faits, précisons les inconnues et demandons la solution du problème à de nouvelles expérien
ont il va faire usage. Il a tout à fait l'air d'un dément. Quand il demande quelque chose, par exemple à manger, il est trè
exemple à manger, il est très tenace, et réitère plusieurs fois sa demande . Il ne refuse jamais de faire ce qu'on lui ordo
ssive- ment jusqu'à 36°,8. - Le 17 et jours suivants, le malade a demandé à aller à l'école, ou chez ses parents, le tout e
'une voix criarde et en gesticulant vivement sa maladie au médecin, demandait à ne plus suivre de traitement « pour se cherch
négligeant même la question très précise du diagnostic, il est à se demander si véritablement, dans ces cas anciens, les mal
rine du délire chronique qu'il accepte très volontiers. M. Falret demande la continuation de la discussion actuelle, qu'o
à la publicité le secret des familles. M. le Président. Personne ne demande plus la parole ? ... Hui. LE Rapporteur. Je dem
nt. Personne ne demande plus la parole ? ... Hui. LE Rapporteur. Je demande à répondre à M. de Gavardie. 1li. LE Président.
parole est à 111. le Rapporteur. Lut. le Rapporteur. Messieurs, je demande à dire un mot au sujet de ce répertoire sur leq
voir com- munication. M. LE Président. Monsieur de Gavardie, vous demandez la sup- pression de l'article ? M. de Gavardi
président, de l'article tout entier. M. le Président. Personne ne demande plus la parole sur l'ar- ticle 15... ? Je le me
endre conforme aux dispositions qui viennent d'être votées, et vous demandez la suppression'des secrétaires des com- mission
e commissions perma- nentes. Mais il me semble que vous devez aussi demander la sup- pression des mots « et des médecins adj
einte d'aliénation men- tale, s'il ne leur est remis : . « 1° Une demande d'administration contenant le nom, profes- sion
défaut, de la nature des relations qui existent entre elles « La demande est écrite et signée par celui qui la forme; elle
que dans les quarante-huit heures de l'admission. Si l'auteur de la demande ne sait pas écrire, celle-ci est reçue par le f
ctionnaire dont le visa est ré- clamé, qui en donne acte. « Si la demande est formée par le tuteur d'un interdit, il doit
être rectifiées ou complétées dans un délai de quinze jours, sur la demande du directeur de l'établissement ou sur celle de
établissement ou sur celle de la commission permanente. » Quelqu'un demande-t -il la parole sur l'article 16 ? M. de Gavardi
inspecteur. Nous avons voté cette institution. Donc, si personne ne demande la parole, je vais mettre aux voix ce paragraph
ce de ce que nous avons voté tout à l'heure. 1VL, de Gavardie. Je demande la parole. 1VI. LE Président. Vous avez la paro
s les asiles privés, et surtout dans l'asile de la famille. Je vous demande donc de voter contre l'article'tout entier. M
épileptiques qui ne peuvent payer le médicament, et qui en font la demande ; d'autres fois, cette substance est vendue par
corps législatifs une grande libéralité, on doit penser, qu'on peut demander actuellement des réformes plus modernes pour le
cles ; c'est la forme essentiellement bénigne dont la guérison ne demande habituellement qu'un délai de vingt à vingt-cin
tation de leur excitabilité mécanique. La guérison sera lente, elle demandera des mois entiers et plus encore; très souvent e
électrique, il ne faut pas s'en exagérer la valeur et ne pas lui demander des indications d'une rigueur absolue. Il n'y a
ie et de mélancolie atto- nita avec phénomènes cataleptiques. Il se demande si les cas décrits comme typiques méritent de c
auras intellectuelles). - En conséquence de cette théorie, l'auteur demande une étude comparée de toutes ces maladies du sy
on clinique, je ne puis assurément répondre que par les faits et je demande la permission d'invoquer les observa- tions d'u
sentées ne réclament pas de nouveaux arguments de ma part; aussi je demande la permission de passer à la com- munication de
tre. L'absurda, dit-il, ne l'arrête pas, il est tout-puissant. Je demande à M. Cotard la permission de faire observer que
Quelqu'un demande-t-illa parole sur cet article ? M. Paris. Je la demande , monsieur le président. M. LE Président. La par
ident. La parole est à M. Paris. M. Paris. Messieurs, la commission demande , dans l'article 16, que le rapport adressé par
moins, la commission ne fait pas d'opposition à la substitution. Je demanderai à M. le commissaire du Gouverne- ment, -car c'e
ublique. Ces dispositions s'appliquent aux placements effectués sur demande des particuliers et aux placements ordonnés par
nne majeure qui, ayant conscience de son état d'aliénation mentale, demande à être placée dans un établissement d'aliénés,
y être admise sans les formalités prescrites par l'article 16. Une demande signée par elle est suffi- sante. Si elle ne sa
de signée par elle est suffi- sante. Si elle ne sait pas écrire, la demande est reçue conformé- ment aux prescriptions du p
dispositions de la présente loi concernant les placements faits sur demande des particuliers. » - (Adopté.) « Art. 19. - Nu
sement d'aliénés ne peut être admis dans cet établissement sans une demande et sans un certificat médical, légalisés dans s
ine ou par un représentant diplomatique de ce pays en France. Si la demande et le certificat ne sont pas écrits en français
, soit de l'article 29 de la présente loi. » M. le Rapporteur. Je demande la parole. M. le Président. La parole est à M.
le rapporteur. M. LE Rapporteur. M. le commissaire du Gouvernement demande que le paragraphe où il est dit : « Le préfet e
ger ! M. LE Président. Le Sénat a entendu la modification qui est demandée parla commission, d'accord avec le Gouvernement,
nt le représentant diplomatique du pays d'origine, etc. » Quelqu'un demande-t -il la parole ? M. de Gavardie. Je la demande, s
, etc. » Quelqu'un demande-t-il la parole ? M. de Gavardie. Je la demande , si personne ne la demande. (Rires et exclamati
e-t-il la parole ? M. de Gavardie. Je la demande, si personne ne la demande . (Rires et exclamations à gauche.) M. le Prés
dent. La parole est à M. de Gavardie. M. DE Gavardie. Messieurs, je demande la suppression de cet article. C'est encore une
auvais, qu'il n'est justifié par aucun précédentsérieux, et je vous demande de le rayer. M. LL Rapporteur se lève pour ré
nt ces mots : Aux voix ! Il faut ré- pondre ! , LE Rapporteur. Je demande la parole. A gauche. Non] Ne répondez pas ! M
trouvent. (Très bien ! à gauche. Aux voix ! ) M. DE Gavardie. Je demande la parole. (Réclamations à gauche.) M. SCIIEUIt
de Gavardie. ' SÉNAT. 493 DE Gavardie. J'y arrive ! Messieurs, je demande que cet article soit renvoyé à la commission, e
, je demande que cet article soit renvoyé à la commission, et je le demande pour que M. le ministre des affaires étrangères
ministre des affaires étrangères. M. le Président. M. de Gavardie demande le renvoi de l'article 19 à la commission. Je c
I y aura une discussion sur cet article, monsieur le président ; je demande le renvoi à la prochaine séance. (Appuyé ! )
42 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
umulation et décharge de l'énergie nerveuse. L'opinion de M. Renaut demande à être confirmée; nous l'avons men- tionnée à c
itive et symétrique des faisceaux latéraux de la moelle épinière et demandait le contrôle d'observations nouvelles, et commen
n ordre d'un juge d'une « cour de record ·, ordre établi d'après la demande sur laquelle sont consignés les actes du malade
r lui. Le juge peut encore requérir d'autres preuves, en plus de la demande et du certificat médical ou donner une nouvelle
nde et du certificat médical ou donner une nouvelle audience sur la demande d'un parent d'aliéné. De plus, si la personne s
es étrangères à la méde- cine. Pour restreindre un peu le nombre de demandes d'appel, il a REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 63
re payer les frais de procédure aux parents ou amis qui ont fait la demande d'internement. (The alienisl and nezcrologist,
et des innocents », affirma qu'ils n'étaient que des malades, et demanda pour eux la construction d'un hôpital, fait d'un
médecins dans la répartition des aliénés travailleurs. LE Président demande à M. Toulouse de remettre à une autre séance le
me civilement res- ponsable de l'acte commis par X... M. S. Garnier demanda à la société s'il a commis une faute en envoyan
nce et dans d'autres ser- vices des asiles de la Seine. M. ARNAUD demande s'il existe réellement, ainsi qu'on voudrait le
ippale (paralysie de respiration ? ). La nutrition avec une sonde demande beaucoup de précautions remarqua l'auteur, car
t et le Midi, ont accordé la réduction de demi-place qui leur a été demandée par M. le Dr Ritti, président du Congrès. L'Oue
a des fêtes en leur'honneur et leur offrira un banquet. Mais elle demande instamment à être fixée au commencement de juille
se voit dans la nécessité de l'abandonner à son abject destin et de demander qu'il soit mis hors d'état de nuire. C'est la f
adictoires, visent uniquement des variétés différentes. Soit, je ne demande pas mieux; et au fond, c'est ma manière de voir
on, maman », ni écrire que son nom : « Henri Guénier». Quand on lui demandait d'écrire oui, papa, soupe, ou autres mots très
TATIONNAIRE. 127 pas beaucoup. Il comprenait bien tout ce qu'on lui demandait , faisait immédiatement tout ce qu'on lui comman
la malade a de l'appétit et peut prendre 1 litre de bouillon. Elle demandait du porc que nous croyons prudent de lui refuser
ernier jour à l'avortement, on n'aurait pas pu la sauver ? Et je me demande , si, chez A4 ? X... qui fait le sujet de cette
6.) M. Grohntann a installé un établissement du genre de ceux que demandait 111. Moebius dans son mémoire (Die Behandlung and
le, qui court d'étranges risques en pareille aventure. - L'au- teur demande le rappel au respect de la loi, qui est une lui d
d'Angleterre les malades qui viennent eux- mêmes, sans certificat, demander leur internement, et sur les formes d'aliénatio
sent le plus ordinairement ceux qui en sont atteints à formuler ces demandes . R. M. C. III. Sur LES aliénés dangereux accusé
de celui- REVUE D'ASSISTANCE ET DE LÉGISLATION. 165 ci ; car ils demanderaient une explication plutôt qu'une analyse; nous nou
été chercher dans la rue et dans les « bars » du voisinage. Puis il demanda au malade s'il savait pourquoi on l'avait amené
e penser que le 166 REVUE d'assistance ET DE législation. jury ne demandait pas mieux que de le faire entretenir aux frais de
as mieux que de le faire entretenir aux frais de l'État; mais il se demande quel aurait été le verdict si le malade s'était
encombrés d'ivrognes qu'on ne sait où cou- cher. Les pétitionnaires demandent que tout ivrogne remontré à l'intérieur ou à la
., désireuse de pousser ses études beaucoup plus loin encore, avait demandé , il y a quelques mois, samise en disponibilité
moelle ; sa pointe touche la commissure postérieure. L'on doit se demander comment s'établit la continuité entre la virgul
nsistance, dont les mailles sont nom- breuses et larges. On peut se demander si la persistance du seul tissu de soutènement
n constate qu'ils ne diffèrent qu'en trois points : nécessité de la demande du Conseil général pour la division des service
n'ayant peut-être jamais mis les pieds dans un asile et à qui on ne demande pas autre chose que d'avoir des protecteurs inf
par toute la France au lieu de le limiter à quelques asiles sur la demande des Conseils généraux, elle rendrait un LE PERS
i-même, l'impulsion dans un asile doit être médicale, or, je le lui demande , n'est-ce pas le médecin traitant qui est le pl
à n'accepter cette situation que comme un pis-aller momentané et à demander tout de suite, au grand détriment de la thérape
édecin en chef et de directeur, le nouveau projet de loi exige la demande du Conseil général. D'une manière générale, j'avo
ttent presque tous l'argent employé à secourir cette infortune. Ils demanderont , je crois, plus sou- vent la réunion que la dis
ds asiles de douze et quinze cents lits si les Conseils généraux ne demandent pas la divi- sion et ce sera certainement le ca
en qui ils n'en ont plus. Il serait souverainement injuste de leur demander compte d'actes commis par des serviteurs dont i
son receveur ou son secrétaire, il est obligé ou de le subir ou de demander sa révocation ou de s'en aller lui-même. C'est
table. - ' LE PERSONNEL' DES ASILES PUBLICS D'ALIÉNÉS. 219 foi Je demanderai donc que pharmaciens, économes, receveurs et se
, je l'espère, les déve- loppements. Dans son rapport le Dl' Dubief demande que.le 220 ASILES d'aliénés. médecin traitant
ître à fond son sujet et trouver les moyens appropriés à son cas, demandent non pas seulement des heures, mais des jours et
s aux aliénés confiés à ses soins que, à l'inverse du Dr Dubief, je demande que la clientèle, en dehors des cas de sa spéci
, je suis tout à fait d'accord avec M. Petrucci sur la nécessité de demander à l'anatomie pathologique l'explication des fai
hérédité goutteuse très chargée. Dans le même travail, l'auteur se demande si les hémoptysies hystériques ne reconnaîtraie
ancement des médecins adjoints a été mis en jeu par M. Brunet qui a demandé que les places de médecin directeur ne soient a
neté et à l'avancement exclusif au choix. C'est là une mesure qui demande à être mûrement étudiée, et c'est, sans doute, pa
e l'y a pas autorisé parce qu'elle n'avait pas la contre-partie. Je demande donc la publication des autres rapports avant d
ant, par le misonéisme, contre celui qui tient la vérité, et qui ne demande qu'à la répandre dans le moude ? La vérité po
ques ». C'est là une assertion tellement extraordinaire que j'avais demandé qu'elle fùt justifiée. Car de deux choses l'une
de côté la question d'argent. Elle a cependant son importance. J'ai demandé à M. Ma- randon de nous faire le devis de son v
à qui j'eusse osé confier un fusil ; on ne peut raisonnablement pas demander à nus asiles d'avoir des territoires de chasse
ns. M. Marandon, qui a tous les héroïsmes, a prêché l'exemple. Il a demandé lui-même l'amputation de son service et l'a obt
des autres médecins vient lui rendre compte de ce qu'il a fait, lui demande et reçoit ses conseils. Pensez-vous que ce systèm
quittaient pas de l'oeil. Après vingt-quatre heures, l'étranger ne demandait qu'à filer. Al. Toulouse voulait qu'on ne se ma
d'aussi simple quoique paradoxal au premier abord. Mais alorsje me demande ce que viennent faire dans des asiles ces alién
séparés. Il est évident cependant qu'en effet ou n'aura plus rien à demander aux surveillants, car leur rôle sera singuliè-
le aux malades, c'est de prolonger inutilement leur isolement. Nous demandons qu'on essaye le système écossais avec libéralisme
essemblance. Dans ce travail privé de base clinique, M. le D'' Vial demande à ce qu'on fasse rentrer dans le groupe des dég
de la hiérarchie. Pour un directeur rien de semblable. On ne lui demande ni diplôme de bachelier, ni certificat d'études.
quel bureau, avoir occupé n'importe quelles fonctions. On ne lui demande ni qui il est, ni d'où il vient. Une fois nommé,
ose toutes sortes de réformes. « En y regardant de près, on peut se demander si l'utilité du directeur n'est pas chose fort
ntérieure des asiles. La commission d'assistance du conseil général demandait , on se le rappelle, le remplacement du titre de
ions qui devrait légitime- ment leur revenir dans des questions qui demandent leur concours réciproque. L'article 56 du règ
ne peut résoudre, le dossier ne lui étant pas communiqué. On ne lui demande qu'une investiture physique, c'est déjà quelque
és au service médical « pour faits relatifs à ce service que sur la demande ou l'avis préalable du médecin en chef». Mieux
Les bulletins médicaux sont de deux sortes : ils répondent à une demande de renseignements, ou bien ils les provo- quent
11 du règlement dit que le directeur transmet, aux familles qui les demandent , des bulletins rédigés par le médecin en chef,
difficile; ses colères sont violentes quand on lui refuse ce qu'il demande . Cris fréquents, sommeil agité. Le début de l'a
t des cris de colère, il pleurait lors- qu'on lui refusait ce qu'il demandait . Jamais de convulsions, santé excellente. Quant
n robinet continuel, disent-ils; en effet, à une de mes visites, je demande de l'urine dans le but de la faire analyser, «
ce active sur l'enfant, de ne pas le laisser boire quand il le leur demanderait . Le résultat fut le suivant : l'amaigrissement s'
t d'hyslérie, l'auteur, en présence de la dyspragie cérébrale, se demande si la moelle ne peut pas être elle aussi, en état
générale. MM. Mairet et Vires (de Montpellier). Nous nous sommes demandé si derrière l'unité symptomatique et anatomique d
coïncidant avec les accès de fièvre intermittente. M. Doutrebente demande à M. Rey, s'il a noté le pays d'origine de ses
le natale, où il a habite véritable- ment le faubourg Baniez. On se demande comment le malheureux fou a pu venir jusqu'à Pa
n et d'irritabilité extrême, il parle, profère des vociférations et demande , continuellement ses habits pour partir, il de
la raison génétique de ces formes du crâne nous échappe, on peut se demander si elles ne sont pas plutôt des effets que des
lution, sinon arbitraire. Mais on peut procéder objectivement et se demander si l'une est pri- maire et l'autre secondaire,
en remontant graduellement le long des membres inférieurs, et leur demande une action inhibitrice sur la moelle. Le plus
re- Mares, en remplacement de M. le D'' DEL,\.poRTE, admis sur sa demande à faire valoir ses droits à la retraite (30 août)
ations cli- niques et physiologiques nous avons été amenés à nous demander si, chez les épilepliques, il n'y aurait pas para
dues. En présence des résultats qui précèdent, nous nous som- mes demandé si cet isochronisme constant entre les varia- t
s délirants à forme maniaque. RECUEIL DE FAITS. UNE OBSERVATION DEMANDE AIGUË CHEZ UNE ACROMÉGALIQUE; PAR LES DOCTEUR
t au bout de la quinzaine cette femme sort de son état d'apathie et demande à s'occuper. Sans avoir beaucoup d'initiative,-
M. LE Roux répond affirmativement. En ce qui le concerne, il s'est demandé si la suppléance du médecin en chef qui incombe
s, hau, dia. » Il vous sangle le pauvre gentilhomme. Il ne faut pas demander comment; lequel se réveilla de belle heure aux
versité des enfants traduits en jnstice pendant l'année 1896, et il demande aux tribunaux de se montrer de plus en plus sév
ion CHEZ LES IDIOTS. Le Dr de Forest Willard (de Philadelphie) nous demande ; dans une lettre circulaire, notre opinion sur
e de Saint-Ylie en remplacement de M. le Dr Rousse, maintenu sur sa demande médecin adjoint à l'asile de Bron; M. le Dr DEa
43 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
tre élève sur ces deux mots différents, nous les reprenons et lui demandons de les placer à son tour. Lorsque ces deux cart
ces certificats, depuis 1883 jusqu'à la fin de 1899. Il) Nous avons demandé aussi à envoyer notre personnel enseignant à l'
d'Acclimatation, M. A. Porte, qui veut bien chaque année, sur notre demande , autoriser nos enfants et les petites filles de l
s, c'est qu'ils ont des permissions de sorlie et des congés, sur la demande des familles, à toutes les époques de l'année et
e, guéris ou améliorés ou Thymus et glande thyroïde. XCllI sur la demande de celle-ci; ` ? 2 ont été défalqués à la suite
s d'aliénés, sur le choix de leurs auxiliaires et qu'il ne leur est demandé aucun renseignement quand il s'agit de leur ava
lot, sans avoir jamais visité le sert ice et ne nous avoir jamais demandé de renseignements. Nous avons persisté dans nos
qui attendent leur placement à la Fondation. L'Administration nous demande d'approuver ce projet dont le devis s'élève à 1
système Croppi et le tout à l'égout. Signalons aussi que, sur notre demande , des blouses de toile ont été enfin données au
, p. 00.) Le 17 octobre, un inspecteur cle la Préfecture est venu demander à Milo Langlet, surveillante à la Fon- dation,
considérables qu'elles rendent : aussi n'hési- tons-nous pas à vous demander de renouveler votre voeu en faveur de la créati
s notre pays. En ce qui nous concerne, nous sommes heureux que la demande de ce haut fonctionnaire étranger, qui nous par
tion des enfants. Nous souvenant de ces circonstances, nous avons demandé à M. Bossée, de hien vouloir nous faire con- na
cette région. J'en vois aussi la réalisation plus lointaine Je vous demande des renseignements précis sur ce qui se fait da
sollicitude de la part des Conseils royaux et que je me réserve de demander plus tard un rapport plus détaillé sur leur dév
art de ce qui s'est fait jusqu'à présent. Les renseignements que je demande ; sont les suivants : y-a-t-il eu des enfants qu
mmes en face aujourd'hui des mêmes besoins qui existaient en 1884 : demandes nombreuses, insuffi- sance des lits, et qui ont
brement de quelques-uns des services d'enfants, et faire face aux demandes des familles, M. le (le la Seine, clans la lett
rect dans les quartiers spéciaux qui leur sont réservés. Toutes les demandes doivent être centralisés à l'asile Clinique où
our ces motifs, j'ai l'intention de saisir le Conseil général d'une demande de crédit de 50.000 francs, ayant pour objet l'
eux, nous avons proposé le transfèrcment des malades non visités et demandé qu'une autre partie des enfants, devenus adulte
il la proposition qui nous est faite par l'Administration et vous demander d'émettre un avis favorable. Les secours 1 domi
/(¡'ne1'ille et qui me soit parvenue, n'ait pas reçu de suite. Je demanderai il M. le Président de vouloir bien ordonner l'i
ne. .1. DE SELVES. Secours A domicile. clxxxiii il. Emile Caron demande si le crédit de 50.000 francs auquel il. le D1'
C'est un gonflement mou, non oedémateux, indolore, et on peut se demander si sa localisation en certains points de la fac
« Papa, maman. » Ce n'est qu'à cet âge qu'elle devint propre et sut demander le vase. - Léger écoulement menstruel ( ? ) il
s de diarrhée, mais G... vomit tout ce qu'elle prend. Très altérée, demande conti- nuellement à boire. Langue saburrale, ro
partement de la Manche. 94 Hystérie mâle de l'enfance. quement et demande qu'est-ce qui vient de se passer. Il se rendort
,i,ILI : Dls L'l· : NI'e1N( : li. minutes de repos complet, sur une demande que nous lui faisons, il répond qu'il veut dorm
primaires. Les parents satisfaits des résultats du traitement nous demandent à le reprendre à titre d'essai à la fin de Nove
à cause de son tremblement des mains. Au mois d'août, les parents demandent sa sortie. On lui accorde un congé renouvelable
ense. La parole, parfois, est presque inintelligibie. Il vient nous demander de le faire entrer à 128 Amblyopie, diplopie, n
uellement, aux asiles de Bicêtre et de la Salpêtrière, les médecins demandent et obtiennent le passage du quartier d'aliénés
on retour à la maison, il avait de la fièvre, a refusé de manger, a demandé à se coucher. Vers dix heures, il a appelé : «
ent dans la gorge, les mains se sont décrispées », il a pleuré et a demandé à boire. Pas de Caractères DES attaques. 143
on de l'amélioration très notable qui s'est produite, sa mère vient demander un congé cl'essai d'un mois promet- tant de l'e
battait souvent, si bien que sur les conseils de ses parents, elle demanda le divorce. Elle ne fournit que peu de renseign
otement une image sacrée qu'elle garde en ses mains. Vient-on à lui demander son nom, elle répond : « Je suis Jeanne d'Are,
sa température sans difficulté ( : ;1 ? 1,). Dans la journée, elle demande à s'occuper des petits cnfants qui sont à l'inf
pent moins, elle semble mieux. 8 mars. Gas... est raisonnable, elle demande à descendre travailler à l'ouvroir. 22 mars.
qu'on est bête quand on est amoureux ! » Enfin, fatiguée, elle a demandé at manger, puis s'est couchée et s'est endormie d
est endormie d'un profond sommeil. , 30 mars. L'enfant est calme, demande -Il descendre jouer avec les autres enfants, le
s. Lui-même ne travaille pas régulièrement à cause de son mal. Il demande des secours pour subvenir aux besoins de sa fam
passe autour de lui, ne se souvient de rien. 12 juillet. Après sa demande d'entrée à Bicêtre il a trouvé du travail. D'av
salaire a été suffisant pour qu'il n'ait pas eu besoin de faire des demandes de secours. Le' moral est meilleur pendant cett
doit accoucher dans deux ou trois jouis. C'est encore la misère. Il demande qu'on vienne à son aide. 20 )t0).'e)))b7'e. - S
Celle-ci n'arriva qu'une demi-heure après la venue de l'enfant. Il demande des secours. 1891. 13 avril. - Depuis le 18 mar
s le 28 janvier. C'est encore le dénùment, la misère menaçante ; il demande qu'on lui vienne en aide. 23 mars. - Il ne tr
st pâle et plus maigre que d'habitude. Il se plaint de la misère et demande des secours. 17 décembre. Dans son dernier accè
t blessé le menton en janvier. 1897. 25 novembre, - Il revient pour demander un secours. Sa femme est accouchée en novembre.
sexuels avec elle. 1900. Mars. En octobredernier, altantporter une demande de secours il l'assistance publique, il a été p
44 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nre de vie qui se prépare pour elle. Chaque matin à la visite, elle demande à être envoyée chez une nourricière. Placée à
pété et môme rabâché à la nour- ricière, mais c'était vraiment trop demander à cette fem- me qu'aucune éducation préalable n
saire en morale et en sociologie ? Comprend-on maintenant ce que je demandais à la biologie ? Ce n'est pas une démonstration
ont tous dit : « Si ce n'est que des motifs de doute que vous venez demander à la biologie, oh ! elle vous en fournira ! » M
e mon duplicisme, étaient anéantis ! Je courus à la Bibliothèque et demandai : P. Janet, 1894, page 'sil5. Le bibliothécaire
est composé de deux co-êtres soumis à une existence conjuguée Il et demandons -nous en quoi chacune de ces quatre catégories de
ginelle- ment double, que nous en revenons ; c'est à lui qu'il faut demander le point de départ de la formation de l'urèthre
oir exposé les différences physiologiques (p. 206, 207), je me suis demandé , en termes on ne peut plus explicites (p.208),s
exercés sont au service du cerveau « plus intellectuel ». L'exemple demandé reste donc en- core à trouver : dois-je conclur
néral tous les états spastiques s'opposent à sa production. L'A. se demande si le trouble de la coordination ne dépend pas
désaccord avec la théorie soutenue par l'auteur ; mais celui-ci se demande à ce propos quel est l'aliéné que l'on ne peut
t cependant d'une façon très nette qu'il avait compris ce qu'on lui demandait et que l'incapacité ou il était de le faire lui
prétations et n'a pas subi d'évolution systématique. Les auteurs se demandent si ces deux aliénés doi- vent être considérés c
ont placés dans les services ordinaires, les médecins pourront- ils demander leur transfert dans ce service spécial ? Et qui d
ns ce service spécial ? Et qui déci- dera de la sortie ? M. Colin demande que la discussion soit renvoyée à la prochaine
ciles (discussion). M. H. Colin répond à M. Vigouroux qui lui avait demandé à la dernière séance dans quelles conditions se
indocile, se mon- trant rétif, porté à la désobéissance, on doit se demander si ces dispositions d'esprit ne résultent pas d
ues suivantes : sortes de grognements ou mouvements du bras, pour demander à boire, et déglutition de cent vingt-cinq gramme
àgéc se présentait au poste de police de la rue cles ProU\ aires et demandait à être hospita- lisée. Je m'appelle dit-elle, E
t jaquette noir, se presentaitaucommissariat du quai de Oestres et. demandait à parler à 11. Picot, commissaire de po- lice,
ville, se rendit au couvent où se trouvait la religieuse et la fit demander . Elle l'attendit vainement pendant plusieurs heur
recteur. Comme j'ai confiance « en vous, vous me permettrez de vous demander des explica- tions, que jusqu'ici je n'ai pu av
'intervention du médecin dans les questions de res- ponsabilité, je demande la permission d'en ajouter une autre d'ordre en
e solliciter le retour pur et sim- ple à l'article 64, les médecins demandent la consécration par la loi de l'usage établi pa
la consécration par la loi de l'usage établi par les magistrats de demander aux médecins leur avis sur la responsabilité mé
au placement dans un asile d'aliénés, car l'autorité administrative demande à l'ex- pert d'affirmer la nécessité du placeme
rrêts s'en tiennent au texte de l'ar- ticle 6-1 du code pénal et ne demandent pas au médecin expert de résoudre les dites que
ério-sclérose neurasthénique ; il vient même la confirmer. On s'est demandé si l'affection mentale de Rousseau était curabl
occuper celte fonction sont invités à adresser immédiatement, leur demande au directeur médecin en chef de l'établissement
Lescondi- tions pour être admis sont les suivantes : 1° Envoi d'une demande au médecin-directeur ; 2° Certificat de scolari
bre des appels correctionnels, présidée par M. Saint-Aubin. A l la demande de M.Marx, l'avocat du prévenu, la cour ordonna u
ergne (Vaucluse) en remplacement de M. le Dr PICHENOT, admis sur sa demande à faire valoir ses droits à la retraite et nomm
S-.Inférieure) en remplacement de M. le 1)'' lIISAUD, admis, sur sa demande , à faire valoir ses droits à la retraite et nommé
me de cécité plus bu moins complète. Dans ce cas, il convient de sè demander s'il ne s'agit pas du vertige épileptique lui-m
mptabilité publique, signé : Vuarnier. Il y a lieu sans doute de se demander si ce précédent ne pourrait pas s'appliquer aux
avoir pour les médecins d'asiles l'arrêté du 31 juil- let 1907, et demandent avec énergie l'observation rigoureuse du décret
par l'article 4. Les candidats absents de Paris ou empêchés peuvent demander leur inscription par lettre re- commandée. Tout
s peuvent demander leur inscription par lettre re- commandée. Toute demande d'insciiption faite après le jour fixé pour la
rents ont à proposer des récusations, ils forment immédiatement une demande motivée, par écrit et cachetée, adressée au pré
os nettoya- ges. Ce sentiment les honore. C'est d'ailleurs à leur demande que les servantes furent ren- voyées, car elles
e de la maladie, sauf chez un sujet, dans la famille, et on peut se demander s'il s'agit d'une anomalie congénitale ou d'une
cette thèse, de reproduire la Préface que nous avons écrite à la demande de notre très dévoué collaborateur M. Royer. Mo
nt de thèse, notre ami le Professeur BIIISSAUV, nuus avons toujours demandé , dans les postes divers que nous avons remplis,
ut, sur le rapport de l'inspecteur des enfants assistés, et, sur la demande du préfet, dans les départements, ou du directe
28 juin 1904 sur l'éducation des pupil- les difficiles ou vicieux, demande , avant de donner son avis, que les résultats de
s, du côté juridique et pas assez du côté médical,c'est pourquoi il demande qu'avant l'inter- nement il y ait une consultat
criptions. Personnellement nous avons combattu cette condi- tion et demandé qu'on exigeât moins d'inscriptions. Les obliga-
a nourriture, au chauffage, à l'éclairage et au blanchis- sage. Les demandes devront être adressées à 11. le Directeur-Mé- d
traliser et de les transmettre à M. le Préfet de la Mayenne. Chaque demande devra être accompagnée des pièces suivantes : 1
- ques(ration, s'est retirée chez ses parents, dans l'Aude, et va demander le divorce. (Journal des Débals, 17 septembre.)
de ce genre,ce n'était que le garrottage qui l'inté- ressait. Il se demandait toujours : : de quelle manière garrotte-t-on le
fonctionnaires une fois accompli, les empêcher de ré- pondre à une demande de conseils,de donner une consulta tion ? De fa
disposées, elles aussi, à créer des établissements spéciaux, elles demanderont la par- ticipation de l'Etat ; mais cette parti
e qui sera exigée et du temps de service considérable qui leur sera demandé chaque semaine, les ar- riérés devant être plac
motifs et d'en soutenir la discus- sion : Article premier. Sur la demande des communes et des départements peuvent être c
sociation n'ont fait que s'accuser da- vantage d'année en année, et demande à l'assemblée de se pronon- cer tout d'abord su
. ART. 4. Sont de droit membres actifs, après en avoir adressé la demande au comité, tous les médecins et anciens médecins
re. L'assem- blée générale devra toujours être convoquée lorsque la demande en aura été adressée au président, par lettre r
le. Si vous estimez que nous sommes dans la bonne voie, nous vous demandons d'être des nôtres et de ne pas oublier que le plu
aucun fonctionnaire ne pourra être mis à la retraite, sans l'avoir demandé . Voilà, mon cher rédacteur en chef, très sommai
médecin en chef dans le sectionnement qui lui a été confié. * Je demande donc à la Commission, administrative de vouloir
sentait des symptômes de dérangement cérébral. La nuit dernière, il demanda à sa femme d'aller lui chercher un ha- reng.Lor
er lui chercher un ha- reng.Lorsque sa femmere vint avec le poisson demandé . le sculp- teur se mit soudain en fureur et s'é
ie la'première ; nous l'avons été en même temps ». On pourrait se demander si la réponse de Mme Granet « Je le suis aussi
Saint-Michel,une jeune fille blonde, 18 ans, me suivait. Je lui ai demandé ce qu'elle me voulait, alors elle m'a demandé p
la concierge cons- tate qu'elle ne se nourrit plus, les locataires demandent son expul- sion. Un jour, elle entend la voix d
feuilleton sont oubliés. La malade est très étonnée quand nous lui demandons des nouvelles de l'héritage de sa demi-soeur. »
ante dans la police,elle adresse au Commissaire de son quartier une demande de secours. Le secrétaire la prie de revenir le
de faire un'rapport. C'est la police qui modère le chauffage, je me demande seulement pourquoi on ne l'arrête pas tout à fa
ourd'hui, comme tout ce qu'on lui raconte est très suspect, elle se demande , malgré les papiers qu'on lui a fournis, papier
is, papiers qu'il est bien facile de se procurer, dit-elle, elle se demande s'il est réellement mort. ' Entrée à l'asile le
n effet, plus lard, quand elle se rend à la Brasserie des 11 ? pour demander à M. UN CAS DE DÉLIRE D'INTERPRETATION 353 Pa
ment-là, toutes les clientes qui d'ordinaire boivent du vin, lui demandent de la bière des M.. Dès lors, les difficultés sur
tte maison, on téléphone ; étant seule, elle doit aller écouter. On demandait la soeur de M. A... Or on savait bien que la so
Archives, 3' série, 1907, l. II. S3 354 PATHOLOGIE MENTALE. lui demande de lui laver les pieds. Il était très gros, et il
nt qu'à prendre un homme pour ce travail ; mais ils ne devaient pas demander cela à une femme comme elle. Elle n'est qu'une
iant, dans une sorte d'explo- sion, et qu'aussitôt après elle s'est demandé si le brasseur ne lui- donnerait pas finalement
nditions : Nationalité française. Huit inscriptions. z Adresser les demandes au Directeur-Médecin de l'Asile avec un certifi
evant la puissance de l'in- conscient dans certains cas, on peut se demander , dit Dupouy, si ce n'est pas une erreur de la p
médicale des classes et écoles d'enfants anormaux. Le Dl Régis a demandé à l'administration municipale de lui adjoindre
n (10 juil.) a eu lieu 6 mois après,lorsque le ma- Inde est venu me demander des renseignements au sujet du trai- MmCL't d'é
lle aux diverses descriptions données ; mais n'au- rait-il pas à se demander si le nombre des cas non classés, ou classés pa
condaire de ces troubles est à discuter dans chaque cas. On a pu se demander si la fuite des idées est bien un trouble du la
enfants de l'esprit nouveau, il y a opposition radicale. Ce qu'on demande à l'expert, c'est simplement : Tel inculpé est-il
par l'article 4. Les candidats absents de Paris ou empêchés peuvent demander leur inscription par lettre recom- mandée. Tout
s peuvent demander leur inscription par lettre recom- mandée. Toute demande d'inscription faite après le jour fixé pour la
les règles à appliquer aux choix des (1) Il serait peut-être hon de demander que chaque candidat don- ne aux juges un exposé
raient êtie assutées par un di- plôme spécial ; il convient donc de demander aux pouvoirs publics : 1" que des cliniques psy
45 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sée à frapper un inconnu, un ami, un parent; elle résiste, s'isole, demande à être enfermée dans une chambre où elle reste
objets, cinq assiettes, cinq bouteilles, etc., elle s'empresse d'en demander une sixième pour ' ne pas avoir à réfléchir au
déshabille lentement, prenant grand soin de ne pas se découvrir, et demande avec inquiétude à sa femme de chambre si elle n
ent où je me trouve, une de ces paroles se présente à mon esprit et demande , pour ainsi dire à être exprimée; tout effort c
- matologique avec la deuxième variété de Duchenn6, qu'on peut se demander si la paralysie générale spi- nale diffuse suba
ont beaucoup. plus dif- ficiles à reproduire sur une estrade; elles demandent toujours, quand elles sont possibles; une obser
elque froideur. Elle en est très surprise et vient tout inquiète me demander ce que 'Charcot. - Leçons du Mardi il la Salpêt
t bas à la sur- veillante de la salle. Comme il était naturel, j'ai demandé en sortant à Mlle la surveillante ce qu'avait a
lle l'amnésie HYSTÉRIQUE. 33 semble devenir stupide, la voici qui demande qui vous êtes et elle s'étonne qu'un élève nouv
grade, comme dit justement M. Charcot. Encore aujourd'hui elle vous demande avec anxiété où elle est : Vous lui répondez qu
stituer un souvenir complet. A propos de chacune d'elles, nous nous demanderons , si elle est sup- primée ou lésée gravement dan
en dans l'esprit les sensa- tions tactiles et visuelles. On peut se demander s'il n'en serait pas de même pour les images qu
es souvenirs et que nous n'avons pas réussi. C'est pourquoi je vous demande la permission de vous montrer le procédé qui ne
nce. 42 CLINIQUE NERVEUSE Sion l'interroge directement, si je lui demande , par exemple, de prononcer ou même d'écrire vol
mouvement et écrire ce mot : « M.Lamy. » De la même manière je lui demande ce qu'elle s'est fait à la main gauche et elle
ils qui ne sont pas aujourd'hui indispensables. Tout ce que je vous demande de constater, c'est que cette écriture involont
a toucher, lui parler aux oreilles sans qu'elle se retourne. Je lui demande ainsi : « Comment s'appellent les deux malades
Nous avons compris l'amnésie hystérique en général, mais je me suis demandé souvent si l'on ne pouvait pas analyser avec pl
s acci- dentels, elle me dit spontanément : « Vous m'avez souvent demandé ce qui s'est passé au mois d'août et au mois de s
fications pure- ment morales, c'est que M. Charcot les a vus et m'a demandé de vous les présenter. Il faut dans la science
certain intérêt, mais là encore, il allait tout seul. Quand on lui demande la raison de cet isolement, il répond : c Je n'
ssommant et trouve à redire à tout D, ajoute sa femme; quand on lui demande ce qu'il a, il dit simplement : t je sens que j
êmes chemins. Le soir il arrive à Vincennes, entre dans un hôtel et demande une chambre pour passer la nuit. Le lendemain mat
oté, h ' 13 mars 1892. Le malade est revenu nous revoir sur notre demande . Il a suivi le traitement bromuré jusqu'au mois d
pas de sensations désagréables, se prête volontiers à ce qu'on lui demande , mais ne peut réussir, ce qui le navre ou l'irrit
ite des autres sans s'émouvoir autrement de son incohérence. On lui demande : « Comment s'ap- pelle votre fille ? » Réponse
uïe. Cet homme avait l'attitude d'un dément. M. Christian s'était demandé à diverses reprises si ces hallucinations n'étaie
nomènes visuels qu'il ne sau- rait expliquer autrement. M. Briand demande à M. Christian si le régime du bagnols et du z
cide. M. PAUL GARNIER. Notre confrère M. Samuel Garnier m'a prié de demander l'avis de la Société sur le cas suivant : 11 s'
débiles avaient lié connaissance à l'asile de Kloster- neuburg, ils demandent à sortir, contre promesse de retour; ils se mar
léchir mûrement et de déterminer av.ec précision ce que nous devons demander et recommander t. Supprimer les expressions de
rité ayant, à Iéna même, considéré la question comme prématurée. Il demande donc qu'on s'en remette à la dis- crétion du bu
non celle de l'ivrogne- rie, mais celle de la dipsomanie. Nous nous demanderons pour apporter de la clarté dès le début : 1°
il hypnotique, on suggère de dormir une heure, et, à son réveil, de demander à l'infirmière une feuille de papier à lettre.
réveil, « ne pourrais-je pas écrire une lettre », dit-elle. On lui demande pourquoi elle parle ainsi; elle est incapable d
er à l'hospice, comme elle le devait, elle est allée, le soir venu, demander au bureau de police un billet de logement et un
En raison de son âge, on ne crut pas devoir lui refuser ce qu'elle demandait , et, munie du bon, elle se rendit chez M. Gibard,
asiles et l'enfant y séjourne jusqu'à ce que surgisse une nouvelle demande de transfert. L'enfant fait la navette entre sa
supporté par la Seine. Si j'ai tant insisté sur ce sujet avant de demander au Conseil général la même mesure dans le Loire
, trop pauvres pour faire la dépense du voyage. A propos de cette demande de M. le docteur Riu, le rapport préfectoral s'
, le rapport préfectoral s'exprime ainsi : ' « Le prix très élevé demandé par les asiles de Paris ou de la banlieue ne pe
le à ladite Faculté, pour suppléer M. Bail, qui est en congé sur sa demande , pour cause de maladie. Hospice de la Salpêtr
ent, et malgré tous ses efforts elle ne peut pas s'empêcher de se demander : « Mais, si c'était vrai ? » 164 pathologie me
ainsi que de rares occasions de s'inquiéter. De temps à autre, elle demande à son entourage, à ses domestiques : Ne vous ai-j
d, elle a des manifestations singulières de folie du doute. Elle se demande si, faisant sa toilette, un foetus, un enfant ne
par le voeu de ne pas se marier, elle ne sait comment accepter une demande de mariage qui lui agrée ; elle finit par faire
fois la nuit pour vérifier si les portes sont bien fermées, elle se demande si elle est réellement mariée et elle revient s
série d'interrogations mentales. Pour toute sorte d'objels, il se demande ce qu'ils deviennent, ce qu'ils sont devenus, et
rès le délire épileptique et la démence ; 6° Enfin nous nous sommes demandés quelle est la toxicité nor- male des urines des
rcevait de suite de son erreur, mais il ne pouvait la rectifier; il demandait une table pour un verre et se désespérait quand
tres vivants. » . Des hommes fiers de leurs connaissances pratiques demanderont : « Que peut-il résulter de bon de pareilles mi
un ennemi qui a envahi le corps sans provenir de lui; nous ne nous demanderons pas davantage si le médecin doit s'at- tacher à
thermiques auxquelles elle est simultanément soumise. Alors on lui demande si elle ressent une ou deux impressions thermiq
e la santé intellectuelle au sein des familles qui ne nous ont rien demandé . Une question que nous devons prévoir est celle
relatif au secret médical; nous ne nous en plaignons pas et nous ne demandons pas qu'il soit effacé du Code. En ce qui concerne
ncerne son application en médecine mentale, je voudrais seulement demander s'il a raison d'être appliqué et dans quelles mes
ite de la famille avant de parler. Il en est de même lorsqu'on vous demande des renseigne- ments sur des malades internés d
ible entre elles et les affirmations d'un homme de l'art. M. TaIVCT demande à M. Régis ce qu'il entend par la famille du ma
e, l'économie. Mais il existe dans les asiles; ce qui pro- voque la demande de création de colonies agricoles, c'est l'encom-
cultes et l'on aura à dépenser pour établir les colonies. Aussi, je demanderais qu'on votât qu'à côté des asiles on ne vienne p
mpose. Que cet encombrement résulte de la ' C'est ce que nous avons demandé bien des fois de notre côté. Il s'agit naturell
malades qui en retireraient un gland béné- fice. M. BOUItNEVILLE demande la parole pour rectifier certains points de la
es renvoient à la moindre incartade. C'est pour cela que-nous avons demandé bien des fois que l'on fasse faire à ce personn
rs malades les terrains voisins de l'hos- pice. Nous avions pensé à demander l'un d'eux pour les enfants de notre section en
leurs droits civils. De quel droit les placerez-vous à Dun ? Je me demande enfin pourquoi vous les assisterez au nom du dé
s idées de persécution de quelques-uns de ces malades. ' M. Régis demande si, chez les persécutés qui tiennent à la fois et
se ranger à la théorie parenchymateuse de la paralysie générale et demande à M. Joffroy quelques explications complémentai
en faveur du traitement médico-pédu- gogique. ' M. Gilbert-Ballet demande à M. Bourneville s'il a vu un seul cas où le dé
es miens, avant que les résultats définitifs aient été connus. Cela demandera plusieurs années, et en attendant, nous devons fa
un directeur fasse la besogne, sans l'aide de médecins adjoints, je demande de mettre dans le rapport que chacun des trois gr
ivent pas courir la colonie comme un constable de police. Je vous demande également d'insister auprès du Gouvernement pou
une opposition de la famille. Le secrétaire colonial sera chargé de demander au Parlement la levée de cet interdit. Le Dr Mo
250, surtout s'il y a dans une forte proportion des cas récents, on demandera deux médecins-adjoints. » Le Dr Arlidge dit à
édecins-adjoints. » Le Dr Arlidge dit à propos du même sujet : « On demande un médecin adjoint pour 300 ou 350 maladies chr
ts et chronique tout à la fois (comme dans la Nouvelle- Zélande, on demande pour chaque catégorie un adjoint pour un nombre
avec le jet en lance. Les douches tièdes que des malades craintifs demandent à la place des douches froides, ne sont d'aucun
à présent pas grand'chose à désirer. Elle répond avec rapidité aux demandes qu'on lui fait, elle décrit ses sensations avec
giquement les rattacher à cette névrose. A présent nous devons nous demander pourquoi cette sensation anormale s'est systéma
ras gauche fléchi les vais- selles contenant les portions qu'on lui demandait , tandis qu'avec la main elle tenait tout ce qu'
ir à nouveau combien cela était fatigant à cette époque. Ce travail demandait une vigueur physique peu ordi- naire, et une mé
trouve mal déterminée, ce qui ressort encore davantage lorsqu'il se demande : « Cette irritation qui détermine tant de trou
lle change de visage. Comme elle me regarde d'un air étonné, je lui demande ce qu'elle a et ce qui l'inquiète : « Mais, je
est devenu absolument normal. Que s'est-il passé ? Il suffit de lui demander son âge. « J'ai huit ans, » nous dit- elle. Voi
re existe-t-il chez tous les hommes d'une manière constante ou bien demande-t -il pour se produire certaines dispositions ment
seules. Elles viennent souvent, quand elles ont confiance en vous, demander un secours moral du même genre. Marguerite vien
une patère. Cette suggestion faite, et en apparence oubliée, je lui demandai poliment : a Il4ademoi- selle, vous devriez bie
chapeau qui me gêne pour écrire et le mettre sur une patère. Je ne demande pas mieux, dit-elle. » Et la voici qui essaye d
ce, ne sont pas les mêmes. L'acte volontaire de prendre mon chapeau demande , dans l'esprit de la malade, la notion de sa pe
e semblent constituer un véritable i experimentum crucis » comme le demandait Bacon, et nous montrer la relation étroite qui
'ombre les arguments de la statistique, certains auteurs sont venus demander des arguments à la thérapeutique. Dans cet ordr
ctif au moment de leur passage à l'infirmerie du Dépôt. M. Briand demande ce que M. Marandon de Montyel entend z exacteme
LOGIE EXPÉRIMENTALE. Monsieur LE rédacteur en chef, Vous m'avez demandé de résumer pour les Archives les princi- pales
46 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
té desquels planait toujours le doute scientifique. Aussi, on peut se demander , avec M. Dumontpallier, s'il n'y a pas, entre l'é
ne se souvenait pas. Elle dormait donc déjà à ce moment, et je me demande dans quel état je l'aurais laissée, si, me fiant
Certes, quand il affirmait au duc d'Orléans que jamais il ne îui demanderait une faveur, il était de bonne foi, le brave artil
se soustraire à cette maudite équitation, le capitaine Pivot, las de demander des exemptions pour des vertiges, ou pour des fur
t vous, capitaine Pivot !... serais-je assez heureux pour que vous me demandiez quelque chose ? — Hélas, oui, Altesse, et le pl
elle que vous m'aviez dit que jamais vous n'auriez quelque chose à me demander . — Eh ! ce n'est pas ma faute, mais c'est cel
n rapport, il attribuait une place considérable à l'hypnotisme, et il demandait qu'on fixât la terminologie de cette science. Il
ent aussitôt les parents par une sorte de circulaire dans laquelle il demande de rapporter l'objet ou d'en faire parvenir le pr
x uns ce qui sera démontré pour les autres. Tout d'abord, nous nous demanderons si, parmi les cas de connaissance d'événements qu
une réelle incompétence en la matière. Nous savons bien qu'on ne peut demander à un membre correspondant de l'Académie de médeci
er là un pronostic d'incurabilité. Mais ce que nous avons le droit de demander à M. Fiessinger, c'est de se défier lui-mêmede ce
s ruses, trois ou quatre procédés dont il ne s'écarte pas. Mais il ne demande pas mieux que d'augmenter ses connaissances, que
où les passions, ensevelies dans les replis les plus cachés du cœur, demanderont impérieusement à être assouvies; les moyens d'exé
n Belgique la situation est assez étrange. Au Congrès de Bruxelles je demandai de faire étudier les moyens prophylactiques d'emp
s grand nombre de cas: « maintes fois il m'est arrivé d'hésiter et de demander l'adjonction d'un « de nos confrères plus compéte
cin pourra déjouer la simulation, et nous formerons dans l'espèce une demande reconventionnelle pour ainsi parler : oui, dirons
uéri ou amélioré, hors d'état de nuire, le plus souvent. Et si nous demandons l'expertise médicale, ce n'est pas seulement pour
comme il était poursuivi pour coups et blessures, le ministère public demande au tribunal de lui appliquer une peine assez fort
spérant de guérir par les médicaments ordinaires qu'ils se décident à demander à la méthode suggestive un soulagement à leurs so
'entre eux, n'est point difficile à obtenir; car le neurasthénique ne demande qu'à être rassuré {'). a La difficulté commence l
mplet de la neurasthénie féminine. La malade m'a fait venir pour me demander mon avis sur les injections du sérum artificiel,
ui n'est pas absolument liquide. Comme il crachotle sans cesse, il se demande s'il ne s'en ira pas de la poitrine. Mais c'est l
sse dit une parole et fait un geste, il s'éveilla spontanément. Je me demandai si ce réveil n'était pas l'effet d'une sorte de c
ers lui, je m'aperçus qu'il dormait. Dès que nous fûmes seuls, je lui demandai pourquoi il s'était ainsi endormi sans ma permiss
je ne me trompe, assistait M. W. dont j'ai déjà parle, Gustave me demanda l'autorisation de rentrer chez lui (il demeurait
un visible intérêt. Je le désignai par écrit à notre président qui me demanda , toujours par écrit, quand je voulais expérimente
lendemain. Le lendemain, l'œil étant toujours aussi amblyope, nous demandons à haute voix le fer rouge et nous appliquons une
e malade, il déroulera ses réponses en série mathématique ; si on lui demande chez qui il a travaillé, il répondra par le nom d
nos gloires nationales, MM. Jean Charcot et Edwards se sont bornés à demander à l'éminent directeur de la Comédie-Française de
éâtre, est monté avec gravité dans sa chaire. Quand le professeur lui demanda le sujet de la leçon, il répondit qu'il voulait t
M. le professeur Thiriar, membre de la Chambre des Députés, qui avait demandé des mesures de répression. Ces lettres ont paru d
oires invraisemblables sur lesquelles M. Lombroso s'était appuyé pour demander l'interdiction des séances publiques. 1er Histoir
de faire à J... des piqûres à la langue. « Alors, à J... éveillée, on demanda d'avancer la langue et on la lui perça plusieurs
es organisateurs du 3e Congrès de psychologie expérimentale m'avaient demandé de faire, devant l'Assemblée qui devait se réunir
sur l'Etat actuel de la question des suggestions criminelles. La même demande avait été adressée à Delbœuf. Lui et moi avions a
ons qu'il me faisait, cinq ans plus tôt, et vouloir les retirer. Il a demandé à nombre de personnes, à des magistrats entre aut
hes d'études qui ont tenté l'activité exubérante de Delboeuf, j'avais demandé à un philosophe émi-nent ce qu'il pensait des tra
remercie : Paris, 1er Octobre 1896. « Mon cher ami, « ... Vous me demandez ce que je pense de ses travaux philosophiques. Je
le d'aliénés. Cas 45. Était le fils d'un lord. Je l'hypnotisai à la demande instante de sa famille. Il m'assura qu'il n'avait
chemises au vent, cuisses nues, attitudes faunesques. Visions qui ne demandent qu'à devenir des réalités. Et la reproduction i
de rester le directeur de conscience de ces malades qui viennent lui demander le soulagement de leur misère psychologique et l'
l s'approcha et, s'adressant à celui-ci : — Vous me reconnaissez? lui demanda-t -il. — Le Dr Charpentier le regarda et n'eut en ef
ine on n'a pas des troubles somatïques ou des troubles psychiques. Je demanderai à M. Auguste Voisin si, dans le nombre considérab
a plus grosse voix et m'adjurer solennellement de lui répondre, je me demande avec inquiétude s'il ne s'est pas plutôt transfor
était aussi philosophe, et c'est comme confrère en Aristotc qu'il me demande une consultation sur un point très controversé pa
lle entre* chacune de vos séances. Ëh bien, o'est tout ce que je vous demandais pour ce qui vous regarde, où-plutôt, je ne vous l
je vous demandais pour ce qui vous regarde, où-plutôt, je ne vous le demandais pas à vous personnellement. -Car j'étais par avan
r l'abdomen, La malade est tres impressionnée par cette séance ; elle demande avec inssistance si elle pourra se lever, manger
nes, a fait distribuer, avant la représentation, la préface suivante, demandée à notre rédacteur en chef : « Le jour est proch
eillies par elles), — mais seulement si elles en font expressément la demande . _ Nom et adresse (ces deux indications ne sero
sur 75 cent, de largeur. — Congrès de Médecine de Moscou. — Sur la demande du Comité exécutif du Congrès de Moscou, la Socié
vifs reproches de son mari pour ses familiarités avec les hommes. Demandée en mariage à 17 ans, par un jeune homme du meille
tous surpris en acceptant les propositions d'un amoureux qui l'avait demandée en mariage, car nous savions, sa mère et moi, que
j'irais tout de suite faire auprès de sa mère la démarche qu'elle me demandait , et que dans le second je lui donnerais un remède
es circonstances dans lesquelles ces tatouages ont été faits. Notre demande , appuyée par M. Vincens, chef de bureau à l'Admin
reux de rendre hommage, nous accorda, le 19 juin 1896, l'autorisation demandée . M. le Directeur de la Petite Roquette nous acc
nus par voie de correction paternelle, soient assez rares, on peut se demander si l'autorité paternelle est assez étendue pour o
uatre dans le second, huit dans le troisième... et ainsi de suite, on demande : 1° Combien il y aura de grains dans le quarante
. La correspondance imprimée comprend les journaux habituels et une demande de souscription à l'Annuaire des Sociétés savante
voit maigrir, envisage l'avenir avec une inquiétude croissante, et se demande anxieusement ce que deviendrait sa famille, dont
le résultat d'une impression mentale. * Où est alors la difficulté », demande-t -il, a de comprendre la raison pour laquelle une i
s réveils durent deux minutes à peine ; elle ouvre les yeux, appelle, demande impérieusement à boire ou à manger et, si ell
minalité. Rapporteur : M. le Dr C. Moreau, de Charleroi. Toutes les demandes de renseignements doivent être adressées au secré
cette personne puisse être rémunérée de son temps et de sa peine, il demande que l'on constitue une petite rente et, dans ce b
de Drury-Lane, pour lui montrer Richard III joué par Garrick. On lui demanda ensuite si la représentation lui avait fait plais
t bien qu'Otto est encore très jeune, et l'on aurait mauvaise grâce à demander que ses fonctions psychologiques supérieures fuss
Par exemple, s'il faisait voir au patient un mouton imaginaire et lui demandait alors gaiement de quelle couleur était l'animal,
—« Blanc » — ou le nom de quelque autre couleur brillante; puis, s'il demandait encore : « De quelle couleur est-il à présent ?»
47 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
rachidienne. Passé ce point l'ensellure se manifeste, et le malade demande grâce. La flexion de la cuisse, lorsque la jamb
ée de quatre à cinq minutes). Elle revient à elle tout d'un coup et demande à manger. Pas de pleurs ni de rires exagérés. P
ar l'apparition intercurrente d'un anthrax ont poussé l'auteur à se demander si l'on ne serait pas en droit d'at- tendre de
agique est extrêmement rare dans les cas aigus de folie. On peut se demander si dans le cas dont il s'agit l'excitation mani
donné suite à un vote émis par le Congrès de médecine mentale, qui demandait la création d'un comité destiné à élaborer un q
ait un éloge mérité, sollicite le titre de membre de la Société. 11 demande que cette candidature soit votée par acclamatio
autres membres s'associent à l'opinion de M. Briand. ' M. FALRET demande que les termes dont il s'est servi pour trans-
ET demande que les termes dont il s'est servi pour trans- mettre la demande de M. Roussel soient considérés comme un rappor
ue mes expériences méri- tent de fixer l'attention de la Société et demandent à être vérifiées par d'autres observateurs. MAR
articulier des colonies d'aliénés.= Il est tout à fait oiseux de se demander s'il vaut mieux traiter les aliénés par le syst
ion des noyaux; on trouvait çà et là des cellules à noyaux. A une demande de M. Jolly, M. BUCIIHOLZ réplique que la lésion
oit être tenu pour le facteur de ces dégénérescences. M. Sciiuele demande combien de temps on peut prolonger l'administra
ôté gauche exclusivement.' Il y avait là autant de motifs propres à demander les bénéfices de l'atténuation de la responsabi
VI, p. 101, 300, 458; t. XV11, p. 133 314. SÉNAT. 1 : : 11 1 Je demande le rejet de l'article tout entier, comme inutile
t, pour ma part, jamais je ne m'associerai à de pareils votes. Je demande le rejet de l'article tout entier. M. DFLSOL. J
otes. Je demande le rejet de l'article tout entier. M. DFLSOL. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à M.
uyée par M. Paris est meilleure que celle de la commission, nous ne demandons pas mieux que d'accepler le renvoi de l'amen- d
sceaux. Maintenant, comme il ne nous a remis aucune rédaction, nous demandons au Sénat de ren- voyer cette partie de l'articl
rsque la sortie d'un des aliénés en vertu des articles 38 et 39 est demandée , le médecin traitant doit déclarer si l'interné
as de guérison, s'il est ou non légitimement suspect de rechute. La demande et la déclaration susdites accompagnées de l'av
présumée aliénée a lieu en vertu d'un arrêté du préfet,.pris sur la demande de l'autorité judiciaire. « Si l'expertise a li
égrée dans la prison, aus- sitôt que le chef responsable en fait la demande au préfet, pour motif de sécurité ou autre moti
placement a été ordonné par le préfet, à moins que la famille ne demande leur admission dans un asile privé et ne subvienn
s placées; à leur défaut, à la charge de ceux auxquels il peut être demandé des aliments, aux termes des articles 205 et su
arrière, puisqu'il n'a pas voté moins de vingt-sept articles, jelui demande au nom de la commission, qu'après le vote sur l
s explications qui, j'espère, le satisferont. M. LE président. Vous demandez alors que le Sénat statue sur l'article 47 ?
. » ' M. le rapporteur. C'est cela ! M. LE président. Personne ne demande la parole sur le change- ment de rédaction qui
ié, est mis aux voix et adopté.) . M. LE président. La commission demande le renvoi de la dis- cussion à la prochaine séa
Société contre l'abus du tabac La société contre l'abus du tabac a demandé au ministre de l'Instruction publique d'ajouter,
sur l'hygiène et la mora- lité. » Le ministre a fait droit à cette demande . Incendie d'un asile d'aliénés (ÂMÉRtQUE). Nous
duellement à la coloration noire du tissu environnant. On doit se demander s'il existe quelque rapport entre la formation
nts, nerveux ou protoplasmiques, des cellules nerveuses, Forel se demande pourquoi l'on continue à parler de ganglions d'
lle-ci, de différences morphologiques bien tranchées. Pour- quoi, demandait -il, les éléments centraux des divers organes de
de ces conclusions n'ont pas besoin d'être répétés ici ; mais elles demandent une attestation plus grande par des recherches
e, sans parler de l'hérédité de son sujet. M. IIIARANDON DE Montyel demande si le malade portait des signes physiques de dé
de l'origine non spinale d'une atrophie musculaire donnée. M. ERB demande à M. Hitzig s'il a observé la scissiparité des
la bandelette optique du côté lésé; seulement cette dégénérescence demande plusieurs années chez l'adulte. M. Schultze (de
physikat a prévu des épreuves de ce genre. Il y a lieu cependant de demander que tous les praticiens soient interrogés sur l
seur Rü6le, décédé dans le courant de l'été dernier. Le président demande à l'assistance si elle entend communi- quer à l
ils de divers ordres, aln-i que notre rédacteur en chef l'a souvent demandé . 280 sociétés savantes. les troubles de la mo
raison.» Il n'aime pas d'ailleurs à être amené sur ce sujet. Il ne demande cependant guère sa sortie, reste calme, lit, ca
pui delà science officielle. Les congres- sistes sont d'accord pour demander : 1° la suppression des séances publiques d'hyp
nt efficace, mais qui pour porter ses fruits, pour être mené à bien demande beaucoup de persévérance, beaucoup de coeur, be
proposer la restauration de l'empire d'Allemagne, et M. Ireland se demande avec raison si ce grand comédien, fanatique de
oi sur les bords du lac avec le Dr Gudden, le renvoi des gardiens demandé par le roi et imprudemment accordé par le médecin
d'années se présentait chez un pharmacien de la rue Saint- Maur et demandait qu'on lui donnât une certaine 296 FAITS DIVERS.
de non-recevoir absolue. Le préfet du Nord oppose, en effet, à la demande de son col- lègue la prescription de cinq ans é
rente ans ; en conséquence, le préfet de la Gironde retranche de sa demande ce qui est atteint par cette prescription et ré
icat et son ouvrier, un nommé Leblond. Le tribunal la déboula de sa demande . Mais la cour de Caen vient de réformer ce juge
es diabétiques, on les a regardées comme primitives, sans même se demander si, au contraire, elles ne pou- vaient pas être
, ainsi que le prétendent d'autres auteurs. On est en droit de se demander quel est le méca- nisme de la production de ces
trou- bles oculaires, sans crises gastriques ni laryngées. Je me demande , Messieurs, s'il ne s'est pas produit ici ce qu
liques paraplégiques mar- chant encore que j'ai observés, que je me demande si elle n'est pas la règle presque absolue. D'a
la dépendance de l'altéra- tion scléreuse, elle-même, permet de se demander jusqu'à un certain point s'il s'agit en l'espèc
inconsciente. Le premier terme de l'ex- périence, étant évident, ne demande pas d'explication. Il n'en est pas de même des
rvations de Westphal', de Popoff3, de Fried- reich \ Si nous nous demandons commentnous pouvons in- terpréter les résultats
t qu'il ait été ordonné par l'autorité, doivent recevoir avis de la demande de mise en liberté formulée par la personne int
portant lui-même à la gorge une légère blessure qui saigne. On lui demande ce qu'il a fait, et il répond : « Ne le voyez-v
ue pour un rien il lui en feiait autant. A l'arrivée du médecin, il demande si l'enfant est mort, et sur la réponse affirma
secrétaire général donne lecture d'un rapport de candida- tures et demande de ne plus admettre comme membres titulaires le
l'asile de Prémontré, le bénéfice des précédents établis. M. BALL demande la revision des statuts en ce qui concerne la r
ibilité et l'activité mentale ? Poury répondre, il convient t de se demander si l'on ne constate, pas les mêmes détails en d
racé. On obtient ainsi simultanément le mot écrit, la rapidité qu'a demandée l'opéra- tion et la courbe de l'écriture. Il es
s réguliers (de cinq minutes) du point où en est le devoir. On leur demandera , par exemple, de compter des lettres, d'apprend
nés - et il a mesuré, à l'aide du chronoscope de Hipp, le temps que demandait chacune des associations sous l'influence des p
télégraphes, déposera prochainement sur le bureau de la Chambre une demande de crédit supplémentaire, en vue d'assurer aux
. Le programme détaillé sera envoyé à toute personne qui en fera la demande au siège de la Société, 38, rue Jacob, Paris.
ne petite ville du Nord, s'étant vu obligé de changer de résidence, demanda à passer de nouveaux examens devant le jury de
48 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s^ qui le secouent et puis après qu'une chateur le, brûle, partout; demande .qu'on le. guérisse; qu'on", fasse tout son pos
érne^èst faite 'avec succès ? Le malade-' se'montre ' l inqûiét;usé demande " ce'qû'bn^eûtFfaire ? . demeure qu'on lui'passe
uvée sur d'autres religieuses, mais répondit au commissaire qui lui demandait si elle avait informé les supérieurs de la mais
UE. elles de un à quatre ans. L'une disait que voyant soeur Buvée demander des potages au lait. elle crut que c'était une
r « l'abord' ». Une quatrième fit remarquer que soeur Buvée avait demandé du linge plus souvent qu'à l'ordinaire, qu'elle
tres, il y a satisfait, elles se trouvent datées d'Auxonne. On luy demanda pourquoi il impose, il dit que l'official les dat
, .- . ,- , t. ,. ,. Cas d'une femme adultère.leontre laquelle une demande en divorce fut faite et qui était aliénée au mo
é depuis un, qui s'accuse d'avoir commis un attentat à la pudeur et demande à être condamné. Or le crime est réel. Son'déli
U (Bordeaux), FENAYRou (Toulouse), Monertio (Montpellier). Sur la demande d'un caractère simplement officieux du prési- d
nommés par le même concours. 1 Asile d'aliénés DE DURY-LÈS-A111ENS, Demande d'interne. Uue place d'interne en médecine va ê
entent une cer- taine analogie avec notre neurasthénie. On est à se demander si cette particularité des effets du climat du
fois, il n'en ferait rien. D. Arrive ce qu'il plaira à Dieu, je te demande et te commande au nom de Jésus-Christ de me dir
le même but de dénigrement dans les questions posées. L'exorciste demanda au démon Verrine quelle était la langue des cré
t et continu qu'on arrivera à des résultats ; aussi cette éducation demande-t -elle une attention de tous les instants. L'aute
pêtrière, la cause des vergetures restait douteuse et on pouvait se demander s'il ne s'agissait pas de troubles trophiques :
er à d'autres guides, à d'autres manières de voir. M. ,TASTROWITZ demande que l'on ne passe à la discussion que lorsque l
orsque les deux rapports seront imprimés. Adopté. i M. le président demande que dans la prochaine séance on s'oc- cupe para
les infirmiers religieux ? 2 Il se déclare prêt, si personne ne le demande , à se charger du rapport. Adopté. M. MENDEL.-
llicitude de toutes les autorités et de la presse locale; 8° sur la demande du Dr Hospital, organisateur du Congrès, le Con
at-docent de neuropathologie. Asile d'aliénés D'ARMENTIÈRES (Nord). Demande d'interne. z Une place d'interne en médecine es
nt pour la première année un traitement de 600 francs. Adresser les demandes au directeur, médecin en chef. Asile d'aliénés
au directeur, médecin en chef. Asile d'aliénés de DURY-LÈS-AMIENS. Demande d'interne. Une place d'interne en médecine va ê
nd-elle. Cette adresse est donnée par elle chaque fois qu'on lui en demande une, celle de ses amies, de l'église dans laque
u premier empire, Louis XIV celle d'un roi de France ; comme je lui demande ce qu'était Colbert, elle me répond que c'est u
laines de toutes les couleurs. Cinq minutes environ après, je lui demande ce que je lui ai fait voir, elle ne se rappelle p
l'après-midi : Comme je lui manifeste mon élonnement, et que je lui demande sur quoi elle s'est basée pour admettre ce fait
ste donc pas simple- ment ± dans l'affaiblissement de la mémoire et demande (d'au- tres conditions psychologiques, surtout
janvier 1862 avec 145 malades. Mais les locaux le per- mettant, il demanda bientôt des malades au département de la Seine,
éature et de la laisser entièrement libre, ce qu'estant exécuté, on demanda à la fille si elle ne sentoit point de douleur,
elle parut être surprise d'y voir la marque notable du feu, on luy demanda que c'estoit, elle dit qu'elle n'en sçavoit rie
uy demanda que c'estoit, elle dit qu'elle n'en sçavoit rien, on luy demanda si elle sentoit de la douleur, elle commença à
extraordinaires et au- dessus de la nature. Cependant il y en a qui demandent encore un signe univoque, et voila qu'en deux j
out dépens et dommages interests; en ce qui concernoit la provision demandée par la ditte Buvée, il y seroit faict droit en
uté pour après la ditte instruction, estre pourvu sur la réparation demandée par la ditte Buvée, adjudication de ces dommage
c conservation des phénomènes subconscients et automatiques. Ceci demande quelques explications. La conscience est un phé
llement sur un terrain dégénéré. On peut même aller plus loin et se demander si l'hystérie n'est pas une des modalités de la
orte de l'officine elle s'évanouit. Quand elle reprit ses sens elle demanda son enfant, et comme on tardait à lui mon- trer
e cet état qui résistait à tous les traitements, on commençait à se demander déjà s'il ne serait pas utile de recourir à une
riques affectent un caractère spécial et qui leur est propre. Je le demande à M. Ballet lui-même; lorsqu'on lui apprend qu'un
sez de ses rapports avec la folie : c'est pour ce motif que je vous demande la permission de vous présenter quelques remarq
, ainsi que les Archives et le Progrès Médical, dès l'origine l'ont demandée . DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQUES. Le Congrès a pas
t déterminé le trouble durable de ses fonc- tions. » . Si on nous demande maintenant quels bons effets on peut espé- rer
sultes les plus compétents se rallient aujourd'hui aux médecins qui demandent la création d'asiles spéciaux pour le traitement
253 3 des malades que pour une durée minimum de une année. On ne demande à l'entrée ni voeu ni promesse. Chaque cas est co
élire passé ? La raison est bien simple. Il m'est arrivé souvent de demander la sortie de semblables alcooliques. Ils me son
fois, toujours dans, les conditions que je viens de rapporter. Je demande qu'un individu de cette sorte qui a démontré qu'i
ciété, qu'il est un danger pour SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 2S7 elle, je demande à ce qu'on l'enferme dans un asile spécial où la
ion ne nous le permet pas. Il y aurait, en consé- quence, utilité à demander la création de dispositions légales analogues à
es asiles spéciaux. M. Deschamps, conseiller général de la Seine, demande au Con- grès un programme à suivre pour l'édifi
t dans un grand embarras. M. Deschamps, qui les y a mis, vient nous demander de les en tirer, en traçant ici, séance tenante
et, d'un établissement hybride. M. Deschamps a cru aussi utile de demander au Congrès ce qu'il faut entendre par alcooliqu
Le programme est tout à fait différent suivant les cas. * c Vous demandez si vos deux asiles celui des hommes alcooliques[1
our parer, dans une certaine mesure, aux dangers qu'elle présente ? Demander aux buveurs de restreindre leurs excès de boiss
r de sérieuses espé- rances. Il n'est pas possible non plus de leur demander de ne boire que des alcools de bonne qualité, e
u prix élevé de ceux-ci. Mais un voeu qu'on peut formuler, c'est de demander à l'État de surveiller la fabrication des alcoo
Mps qui se rend compte de la faute commise par le Con- seil général demande au Congrès d'émettre le voeu qu'une commis- sio
. La discussion semble s'égarer. M. Vallon reprend la parole pour demander simplement le désencombrement de son service, il
en de désencombrer vos asiles. Au Conseil général de la Seine, nous demandons des conseils, tout en vous offrant 500 places nou
par l'administration de la Seine ; que l'élaboration du'programme demandé exigera des recherches et du temps; que les archi
ès quelques observations de MM. Vallon et Charpentier, M. CHRISTI1N demande à M. RIST si on ne se trouve pas là en pré- sen
un syphilitique, un cancéreux qui délire, mais ils négligent de se demander pourquoi ce tuberculeux au milieu de mille autr
faire de la possession des Ursulines. On lui refusa encore ce qu'il demandait , mais, par ordre du roi, une com- mission fut c
u'il avait dit devant M. Legoux n'était que des réponses faites aux demandes que celui-ci prenait sur des mémoires écrits de
auvais vouloir d'un con- seil général qui, au sur et à mesure d'une demande de liquidation de leurs droits à une pension, c
douteux que la guérison complète s'ensuive à bref délai. M. Régis demande à M. Souques s'il fait une différence entre le
ydenham) s'est présentée dans des conditions où il est permis de se demander si elle ne représentait pas un symptôme initial
question de la vente et de la location des biens immobiliers, ni me demander jusqu'à quel point le département, créancier de
de de deux ans, à l'asile de Bron, trente ventes mobilières ont été demandées , presque toutes à la requête des propriétaires
e un mobilier qu'il y a lieu de sauvegarder, le service des aliénés demande au médecin trai- tant un certificat de situatio
nouveau certificat de situation, pour vente de mobilier, est alors demandé au médecin traitant. Le médecin est prié dans c
alors demandé au médecin traitant. Le médecin est prié dans cette demande , de faire connaître s'il considère le malade co
ution, tel est notre désir aujourd'hui, désir pour lequel nous vous demandons vos bienveillants conseils et l'appui de votre
ix observations à l'appui. La neurasthénie syphilitique héréditaire demande l'ingestion permanente des altérants et des ton
homme. Quand on voit l'épilepsie s'améliorer, on est eh droit de se demander si l'on n'est pas en présence de symptômes hyst
'existence d'asiles spéciaux pour les aliénés dits criminels. 11 se demande pourquoi en France rien de semblable n'existe m
ons ne sont pas à craindre. La Sicreté de l31cétre, dont nous avons demandé la suppression, est là pour montrer que les murs
e de sa commune ou le commissaire de- police de son quartier. Toute demande d'inscription faite après l'époque fixée par les
ieront, en outre, de leur inscription à l'Ecole de Pharmacie. Toute demande d'inscription faite après l'époque fixée par le
tion d'un surveillant en chef. 10'r,000 marcs (130,000 francs) sont demandés . C'est adopté. (Allg. Zeilseh f. Psych., LI, 1.
ns cesse, lui conseillant toujours d'abandonner son mari. Elle se demande si les autres malades ne sont pas payées pour lui
ler, se moquer ». Un jour, une femme entre dans sa boutique, et lui demande l'adresse d'une garde-malade. Henriette y voit
t au bazar Napoléon, mais les vendeurs « tous électriciens » lui en demandent un prix exorbitant, pour l'empêcher d'en posséder
lle boit, la flanelle qu'elle porte sont électrisées. Un matin elle demande une purgation pour la délivrer de cette électri
elle, de charcuter les gens comme cela ? i Elle commence enfin à se demander pourquoi on l'a ainsi per- sécutée; mais elle n
cutable l'origine de certaines hyperdiurèses traumatiques, et de se demander si leur origine n'est pas hystérique, d'autant
e suivre les avis de Westphal et d'en faire une étude exacte, de se demander d'abord s'il existe une folie systématique aigu
u amentia et en fit une forme morbide, les auteurs en l'étudiant se demandèrent , en présence de ce qu'il désignait sous le nom
création ultérieure de quelques autres conceptions de ce genre, se demande s'il a bien devant lui un type de paranoïa aigu
nuisible. Mieux vaudrait s'en tenir au bon sens d'un profane que de demander l'appréciation BULLETIN bibliographique. 531
49 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
pour répondre à cette question, c'est à l'expérience seule qu'il faut demander la réponse, et non à des à-priori métaphysiques.
orrible forfait imaginaire, continue ainsi : « A qui fera-ton croire, demande-t -il, qu'une fille qui, sans émotion, tire sur sa m
pour laquelle il avait la plus grande affection : « Pourquoi N..., demande M. Delbœuf, qui sait qu'on le soumet à des expéri
stions qui se répondent pour ainsi dire d'elles-mêmes. Pourquoi, nous demande-t -il en propres termes, pourquoi vos deux « somnamb
base raisonnée d'un jugement. En conséquence, le tribunal rejette la demande en nullité de testament et déclare valable le leg
qu'il est partout sonore. Cela posé, je découvre l'abdomen et je lui demande où il a mal. Il me signale la région qui est à dr
le. Je lui dis : Lève toi et va travailler. Tu es à l'atelier. Je lui demande : Où es tu? Il répond : à l'hôpital. La suggestio
, ne se souvenant absolument de rien. Il ne réalise pas la suggestion demandée . Je vais le mettre sur la voie et il va la réalis
orçait de les rouvrir. Je me trouvai en face d'une résistance. Je lui demandai pourquoi il ne voulait pas dormir. Il me dit avoi
la tendance du malade à les ouvrir, pour obtenir l'hypnose. Le 29, je demande au malade si les séances le fatiguaient ; il conv
itter l'hôpital, je le trouve déjeûnant avec d'autres malades. Je lui demande comment ça va. Il me montre que la douleur est re
it pas toujours. Quand un malade se confie à moi et que la famille me demande si je réponds de la guérison, alors même que je c
ère nuit du voyage, Nicole reprit tout à coup ses sens d'elle-même et demanda à manger aux gardes qui la veillaient. (I) Hist
être traitée accessoirement et à la fin d'une communication. Je vous demande la permission d'en faire prochainement l'objet d'
sonore normalement et ne présente aucune tumeur. 11 répond, sur ma demande , qu'il n'a pas de douleur en urinant. L'appétit e
stion consécutive à l'idée que je lui ai donnée le 9, quand je lui ai demandé s'il avait de la douleur en urinant? Les douleu
23, avenue de Mac-Mahon, une cinqunataine de malades qui viennent lui demander de les guérir, persuadés que cet ancien zouave po
la tuberculose ; je l'ai appelée névropathie prémonitoire. On peut se demander si les toxines créées parla tuberculose ne peuven
a chose que par les soupirs et les souffles qu'il poussait. Lui ayant demandé ce qu'il avait, il répondit : « C'est une mauvais
mnésie prouve que les crises sont épileptiques. 11 est permis de se demander si l'irritation des centres nerveux qui provoque
itation, on peut toujours, alors même que celle-ci a joué un rôle, se demander si cette adaptation n'est pas subordonnée à une p
évidente. — Maltraitée plus que jamais et rejetée de partout, elle ne demande pas mieux que de guérir et, cette fois, elle n'es
u 'c plaisir d'être présenté au président de Magdalen College, je lui demandai ce qui se faisait chaque année sur le sommet de s
ur sa production à l'état de veille est connue, si bien qu'on peut se demander si la fatigue ressentie le matin au réveil ne pro
foule, X... va donner le départ aux coureurs, quand, tout à coup, il demande où ils sont ; il se répond à lui-même qu'il ne do
nt, il faut comprendre l'hydrothérapie et le massage, mais leur étude demanderait un développement qui n'entre pas directement dans
faits dont ils sont témoins, mais sous aucun prétexte, ils ne peuvent demander et on ne leur donne d'explications. S'il y a lieu
aladies nerveuses, le dimanche à 10 heures. M. Albert Robin avait demandé que le laboratoire de thérapeutique annexé au ser
z, à Cochin, fût transféré à la Pitié. Le Conseil a fait droit à sa demande . Les instruments et le matériel du laboratoire de
n au rendez-vous au Temple de Saint-Sauveur ; « Que dois-je faire ? » demanda le malade, une fois à l'intérieur de l'église. «
al. Là encore, l'isolement produisit de bons résultats. L'auteur se demande si les actes d'imitation dont il est question dan
force, me le présenter, et je dois dire qu'il fut charmant. Quand on demandait à Dumas comment il expliquait, autrement qu'avec
on de certains passages de son livre. Le tribunal a fait droit à la demande . Il a déclaré que les passages visés étaient diff
e Cécile elle-même (pour la partie musicale sans doute). Le Wratsch demande irrévérencieusement si le rédacteur en chef n'est
finit cependant par y aller. La sorcière exécute quelques simagrées, demande de l'argent pour faire une neuvaine je ne sais où
urieux de traiter un cas de ce genre; j'accueillis sa requête. Je lui demandai de me raconter son histoire par écrit. Je cop
it ouvrir les yeux sans le tirer de l'état d'hypnose — comme pour lui demander protection et appui. Enfin, il se décida à lâcher
bservation, l'auteur, et c'est le côté intéressant de son travail, se demande s'il existe une paralysie des abducteurs d'origin
en fait d'hypothèses, il est permis d'aller plus loin encore et de se demander si les modifications dans les ramifications ne so
st amenée chez moi par un de nos confrères, qui m'avait préalablement demandé si Ton pouvait espérer obtenir, par le moyen du t
uelle était la naturede celte influence? Mon premier soin fut donc de demandera M1"" B. si elle n'avait jamais été hypnotisée par
l'amène. Mon fils commence à courir. Au milieu des enfants, Je demanderai à Dieu De me le conserver avec soin. Mon fi
squ'à présent. « Dernièrement, un jeune homme de ma connaissance me demande , dans un salon où toute une société était réunie,
réglementation plus libérale. Actuellement, tout médecin peut, sur sa demande , être autorisé, après avis du doyen,'k faire un c
ciel de donner l'enseignement à tous les étudiants. En résume, ce que demande M. Bérillon, c'est simplement la création d'un Ce
rt. 2. — Le droit d'admission au congrès est fixé à vingi francs. Les demandes d'admission devront être adressées, avec le monta
s mémoires ou communications au programme imprimé devront en faire la demande écrite avant le 15 mai 18ii6, au Comité d'organis
ire des communications non annoncées au programme devront en faire la demande écrite au président. L'Administrateur-Gérant: E
. Après avoir ainsi répandu la nouvelle, il s'avisa sur le soir de se demander de qui il pouvait bien la tenir. Il chercha, et,
te du Dr Dehenne. — Mon cher maître, vous m'avez fait l'honneur de me demander mon avis sur le cas du nommé F..., détenu à Mazas
ce, car avant de faire entrer le malade dans le cabinet noir, jfavais demandé aux personnes qui m'entouraient de ne faire aucun
dans ce qu'elles pourraient avoir d'excessif. Quoi qu'il en soit, je demande la permission à mes collègues de mettre sous leur
outes les communications relatives aux travaux de ce Comité et toutes demandes dc renseignements doivent être adressées à M. le
énements ultérieurs ont prouvé que j'étais dans le vrai), que V... ne demandait pas mieux, considérant ma tâche comme considérabl
pas mieux, considérant ma tâche comme considérablement facilitée, je demandai donc au malade : ß Y a-t-il quelque chose ou quel
ea de bon appétit, tout en ayant cependant l'air un peu égaré. Je lui demandai de se rendormir, ce qu'il fit à l'instant même, e
pnotisé par personne, pas même par moi, si ce n'est quand il l'aurait demandé . Malheureusement, le service militaire le récla
voir sur lui-même pour ne plus être hypnotisé, si ce n'esta sa propre demande . HISTOIRE D'UN CAS DR LÉTHARGIE Ce cas, rel
faudra plus jamais une application nouvelle du traitement employé. Je demanderai à ceux-là si, souffrants de céphalalgie, ils espè
mé et M1" Ch... continuant à dormir. Avant de la réveiller, je lui ai demandé si elle était accouchée, elle m'a répondu : « Non
savoir quelle attitude l'Académie doit adopter. Il faut d'abord se demander si les lois existantes ne fournissent pas des arm
Non, non, non », en montrant le poing à un ennemi imaginaire. On lui demanda des explications sur son attitude, mais on ne put
n de procéder : il réunissait dans sa cuisine quatre ou cinq malades, demandait à chacun d'eux ce dont il souffrait et indiquait
uivre ce médicastre illuminé, car, dans le peuple, on savait qu'il ne demandait rien ; il acceptait cependant les cadeaux, mais j
e. La superstition est tellement grande chez ces braves gens qu'ils demandent même la guérison de parents qui n'ont pu les acco
t avant une heure de la nuit, allant tous les soirs au théâtre. Je me demande , à supposer que les imbéciles dorment plus longte
50 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
souvent les torticolis chez les idiots et les imbéciles. On peut se demander si, dans ces cas, la déformation du cou n'est p
ment intéressant au point de vue de la symptomatologie. Nous nous demandons aussi si l'Observation III du 1 Haymond. Scléro
la nature probable et de la pathogénie des lésions, il reste à nous demander quelle est la symp- 1 L. Landouzy et G. Ballet.
osses iliaques donne un résultat très douteux. G avril. liucli... demande avec instance à prendre des douches et, comme o
ête verte, sans pattes, qui a des yeux verts et qui rampe ». Elle demande qu'on l'arrête. Ces phénomènes délirants et hallu
avait guère qu'une centaine d'attaques par jour. M. Ballet. Si je demande la parole, c'est pour faire ressortir l'intérêt
droguier, dont la création à la pharmacie de Sainte-Anne avait été demandée à l'Administration depuis trois ans par M. Méli
lé. L'Administration devrait d'autant plus tenir grand compte de la demande des pharmaciens des hôpitaux, que ceux-ci, en a
. par an. Logement, chauffage, blanchissage, éclairage. Adresser sa demande au directeur. - Il faut au moins douze inscript
sile de Quim- per, en remplacement de M. le Dr Beaume, admis sur sa demande à faire valoir ses droits à la retraite et nomm
ration un'vaeu par lequel le conseil d'arrondisse- ment de Bordeaux demandait un accroissement de garanties pour obtenir plus
charge des communes. «En conséquence, une ville n'est pas fondée à demander la nul- lité de la délibération du conseil géné
prement dite, et le malade peut faire tous les mouvements qu'on lui demande . Pendant son séjour dans nos salles, nous n'avo
tuelle dans le rhumatisme chronique. Nous serions donc porté à nous demander si les lésions arti- culaires observées chez le
nfirmées. Se rappelant alors le cas du frère cadet, notre maître se demanda si l'hémiatrophie de la langue observée chez ce
de l'affection pour se préoccuper de la notion de mala- die, on se demande comment, après tout, on peut envi- sager en nos
hystérique, on a signalé une polyurie épileplique, dont l'existence demande de nouvelles preuves. On observe quelquefois un
de service, effrayés de la responsabilité qui leur incombe, avaient demandé à voir cette responsabilité partagée par une comm
a sortie et que le médecin ne croit pas pouvoir la lui accorder, sa demande est envoyée à une commission supé- rieure dont
ion, car tels de nous qui repoussent la création d'asiles spéciaux, demandent au contraire une législation spéciale pour les
ple suivant, une lacune dans la loi de 4838. Un fils, dit-il, avait demandé l'interdiction de sa mère placée chez moi pour
er un administrateur provisoire des biens de la mère, repoussait la demande en interdiction. Quelques jours après, je recev
is qu'un aliéné, quelque délirant qu'il soit, faisant l'objet d'une demande en inter- diction, devait être immédiatement mi
ait écrire par la malade, devant le procureur de la République, une demande de séjour libre pour une durée d'un mois, en at
(iHRIST1.1N. M. Mottet se place dans l'hypothèse où le magis- trat demanderait des renseignements au médecin. Est-ce bien SOCI
ividus interdits, mais jamais le juge ne s'est donné la peine de me demander mon avis. M. MOTTENT. Tous les magistrats n'ont
lle preuve : Un juge se présente un jour à notre maison de santé et demande à voir un de nos malades au sujet d'une demande
maison de santé et demande à voir un de nos malades au sujet d'une demande en interdiction. M. Mesnet et moi lui remettons
embres de la famille, sa mère voulut faire un nouvel essai. Elle me demanda un congé de deux mois que je ne lui accordai qu
à signalés. mon tour, je dirai que les sorties d'essai sont souvent demandées par les parents dans un tout autre but que celu
où des imprimés ad hoc sont remplis par le membre de la famille qui demande la sortie du malade, sous sa responsabilité et
x des aliénés qui sont loin d'être inoffensifs, expose le médecin à demander leur mise en liberté, alors que au contraire, i
r et d'annuler son certificat de sortie et d'en faire un autre pour demander le main- tien du malade. Afin d'éviter les inco
péciale surtout dans les cas d'aliénés dangereux dont la sortie est demandée . Si comme le porte, je crois, le nouveau projet
a commission spé- ciale. L'intervention de celle-ci pourrait n'être demandée que dans les cas où il y a quelque doute ou que
d'une pensionnaire de Charenton écrivit un jour au préfet pour lui demander d'autoriser la sortie quotidienne de sa nièce, da
c'était au médecin seul d'en juger sur l'opportunité, et renvoya la demande au médecin traitant. 4" , , ' Voici maintenan
idées de persécution, mais cependant assez calme. Comme la famille demandait avec insistance de reprendrele malade, je résol
ques qui désirent faire partie de la Société doivent adresser leurs demandes à M. le Dr Testut, 33, rue Bouffard, à Bordeaux
à Bordeaux, secrctaile général ; la Société étant constituée, leur demande doit être appuyée par deux membres. Revue philo
gent certaines facultés d'analyse psychologique. On ne peut guère demander à des aliénés, s'ils se représentent mentalemen
sieurs minutes sans qu'il eût rien introduit dans sa bouche, je lui demandai la raison de ces mouvements de la mâchoire ; il
ous nous sommes arrêtés à un groupement de profession que nous vous demandons la permission de vous soumettre, groupement art
e courant. J'en arrive à la phase somnambulique et, à ce propos, je demanderai un renseignement : L'expérience du miroir a bie
séance « la surveillance des aliénés à domicile ». M. CHR1ST1.\N demande si le nouveau projet de loi donne à l'Etat un d
de la Société auquel M. Voisin fait allusion et j'avais simplement demandé à M. Ta- guet si les symptômes de tuberculose c
ten- dra l'obligation de faire cette déclaration ? 2 M. CHRIST19N demande quel est le but de cette discussion ; avons- no
pose partout. L'attente est, par conséquent, rationnelle. Le bureau demande simplement à ceux des membres du congrès qui, s
pour que l'on puisse espérer épuiser l'ordre du jour, le président demande si l'on préfère la présentation des pièces anno
risconsultes et de méde- cins, a élaboré un projet de loi qu'elle a demandé à l'Académie de médecine de mettre à son ordre
certificat d'admission, M. Blanche se rallie à cette innovation; il demande seulement que, dans les cas urgents, on puisse
intérêt d'humanité, n'ont pas besoin d'être développées. M. Blanche demande en outre qu'un aliéné indigent, même non danger
ir de funestes conséquences pour la sécurité pu- blique. M. Blanche demande donc que le nouveau projet de\loi comble cette
ent les autres ma- lades contre des actes de violence. M. Blanche demande en outre que, dans ces asiles, il soit réservé
termédiaire de son tu- teur. Pour les aliénés dangereux, M. Blanche demande que ce soit la justice et non le médecin qui pt
; ilmontle que, neuf fois sur dix, l'internement s'im- pose ; il se demande comment, dans les cas exceptionnels où le doute
ement des malades à leur entrée étant reconnu impossible, l'orateur demande s'il ne serait pas plus convenable de les réparti
viendra plus directement. Quant aux moyens d'application, M. Lunier demande , comme l'a déjà proposé M. Mesnet, que les alié
ter l'importance de l'enseignement des maladies mentales, M. Bail demande que tous les élèves soient astreints à passer un
servé à une catégorie spéciale de médecins. En terminant, l'orateur demande qu'à l'a- venir, le dossier des malades placés
la gestion des biens et des intérêts des aliénés. 10° Enfin, nous demandons que toutes les affaires concernant le service d
une grande variété de sujets d'instruction. Serait-il indiscret de demander à M. de Moray quels motifs secrets l'ont poussé à
riction que le médecin en chef n'est pas obligé de souscrire àcette demande avant la décision du conseil. De même que dans
loi d'août 1851. Les membres du cinquième groupe ont été unamimes à demander que les médecins des deux catégories soient nom
trouvait même pas à Iudevillers au moment où son internement était demandé ; et, d'autre part, que le certificat médical av
umière, parait-il, de ces escapades. A sa sortie d'Au- theuil, elle demanda à un conducteur de voiture, qui passait, de vou
51 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
remier. Afin d'exciter encore l'émulation des élèves, nous avions demandé à M. le président de la Société pour l'instruct
de varioleux. Service dentaire. - Ce service, institué sur notre demande et confié à un spécialiste des plus distingués,
énard, maître serrurier, et Mar- chai, maître vannier. Nous avons demandé diverses améliorations, et no- tamment des prom
ant tous les 2 ou 3 mois, les gardant comme un troupeau. Nous avons demandé deux infirmières jeunes et un infirmier âgé, le
unes et un infirmier âgé, le Directeur de l31cêtré a transmis notre demande au directeur général qui a répondu qu'il n'étai
éces- saire à la construction des bâtiments à édifier. On peut se demander si cette diminution de périmètre n'amoindrira pas
la zono militaire : RAPPORT DE M. E. FERRY. XXXUt des allocations demandées par l'Assistance publique au Conseil municipal,
inistration de l'Assistance publique et par M. le Préfet, nous vous demandons la permis- sion d'entrer dans quelques développ
autre côté, conformément au voeu exprimé par vous, l'Administration demande votre autorisation pour admettre à la Salpêtriè
e cin- quantaine d'enfants ( ? ). L'ancienne 4" Commission vous a demandé de renouveler le voeu relatif aux enfants de Bi
ent vivement M. Thulié et, d'un commun accord, il fut convenu qu'il demanderait au Conseil de sur- veillance : 1° La constructi
eux dont le Directeur réclame le passage à Bicêtre ; les nombreuses demandes non suivies d'effet que reçoit l'Administration
s idiots, épileptiques, etc., devait remplir. Cela fait, nous avons demandé à M. le Directeur de l'Assistance pu- XLVI EXAM
e pour la construction de nouveaux pavillons au sur et à mesure des demandes (1). Il fut décidé, en outre, que les ateliers
s autres seront construits ulté- rieurement, au sur et à mesure des demandes faites par l'Ad- ministration. Service des gâ
ré que « la proposition est opportune en soi, » M. le Rapporteur se demande si elle « doit obtenir, d'urgence, la préférenc
, et ne préjudicier en rien à l'importance des allocations qui sont demandées au Conseil municipal par l'Assis- tance publiqu
se nécessaire à la construction des bâtiments à édifier. On peut se demander si cette diminution de pé- (1) M. le Président-
spéciale, ne préjudiciant en rien à l'impor- tance des allocations demandées par l'Assistance publique au Con- seil municipa
pas indiqué d'imputation de crédit, contrairement à la règle, s'est demandé comment il pourrait être procédé a l'exécution
uats disponibles à la fin de l'exercice 1883. Votre Commission vous demande encore : 1° D'insister au- près de M. le Préfet
, et M. Gallois, architecte, nous avons pensé qu'il y avait lieu de demander à l'Administration d'employer à la continuation
n certain nombre de lits de sangle, des tables sco- laires, etc. Il demande ce qui arrête ces travaux dont l'exécution est
cin- quante nouveaux enfants dont l'hospitalisation immédiate est demandée . « M. le Préfet a répondu, le 5 juin présent mo
il Bicêtre. J'ai l'honneur de faire savoir à lI, le Préfet que j'ai demandé , il y aulr MOIS DÉJA, au clirec- de Bicêtre, de
section et se rendre compte par lui-même de la suite donnée à ses demandes . Se trouvant dans le bâtiment des réfectoires, il
ville répond affirmativement, et, au su- jet des mesures prises, il demande , devant M. le Préfet, M. Roux, M. Leclère et qu
rruptions). Et il s'agit de moi comme des autres. Si jamais je vous demandais quoi que ce soit pour l'hôpital de la .Charité,
ral, ce que vous ne feriez pas pour moi qui, d'ailleurs, ne vous le demanderais pas. J'y insiste : Ne croyez pas aux médecins o
un boni de 428,000 fr., l'Administration, sur notre proposition, a demandé au Conseil municipal d'affecter 228.547 fr. à l
n est notablement diminuée. La main étant dans l'extension, si on demande au malade de la fermer, il arrive avec effort à f
enfant était sans fièvre; il avait bien dormi la nuit précédente et demandait à se livrer à ses jeux habituels; cependant la
t espérer que Rent... était guéri do l'épilepsie et que nous avions demandé son passage du quartier des aliénés dans l'une
es vêtements. Ses frayeurs nocturnes continuaient, et lorsqu'on lui demandait pourquoi il se cachait sous son lit il disait :
lent pas apporter de l'eau. Au secours ! ». Après une demi-heure.il demanda tout haut : « Où suis-je ? ». Le matin, à la vi
fut pas sensiblement modifié, sa mère, cédant à ses instan- ces, demanda à le reprendre en janvier 1882. C'est alors qu'
mer quand un gardien survint. A cette occasion, M. le docteur Bigot demanda le transfert de S... à Bicêtre, et fit, en cons
s près du veilleur qu'il paraît reconnaître, et comme cet homme lui demande ce qu'il cherche, il répond « Vi- 158 AMÉLIORAT
du provisoirement à sa famille par M. le Dr Bourneville, et vous me demandez s'il me convient de visiter cet enfant. Mes att
TIE. 161 1° M. le Préfet oublie que c'est lui-même qui, sur notre demande , a autorisé les congés; que, par conséquent, en
e contrarie vite, n'aime pas les observations. C'est lui-même qui a demandé à venir nous revoir. La santé physique est bonn
is au voisinage du domicile de sa mère, l'a fait appeler pour lui demander quelques secours. Celle-ci l'a engagé à revenir
irmé en appel, le 15 janvier 1884. c Nous sommes intervenus, sur la demande de la mère d'après l'avis de l'avocat ; mais ni
s tenu à vérifier tous ses dires et le récit de sa mère. Nous avons demandé des renseignements dans les divers hôpitaux où
52 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
ôtés du ventre, la douleur est plus intense à droite. Et quand on lui demande de préciser le point douloureux, elle montre la r
ris de bête féroce ou bien déclame des discours insensés. Tantôt elle demande à grands cris pardon à Dieu de ses FiG. 2. — Ac
apaisée, et que Gen... sent l'imminence de ses grandes attaques, elle demande elle-même la camisole, qu'elle conserve parfaitem
ui s'en séparent jusqu'à présent, parce que l'altération des sens qui demande à être recher-chée avec soin, a passé jusqu'ici i
riblement, elle tire la langue. La fixité de son regard fait qu'on se demande si elle n'a pas quelque effrayante vision. Elle s
st dirigé en haut. Et Fig. 62. — Attitude passionnelle. si on lui demande , en la réveillant subitement par la pression ova-
i ». A genoux, les bras ouverts tout prêts à l'étreindre, elle semble demander ou attendre une explication (fig. 66). Sa phy-
tour à tour elle craint, elle espère, elle doute, elle affirme, elle demande , elle supplie, elle respire la. joie, ou se laiss
Ces scènes lubriques sont entremêlées de danses et de chants. Elle demande du punch..... Elle agite les bras en cadence en
prime abord, portent les personnes non habituées à son commerce à se demander si Ler... jouit bien de l'intégrité de sa raison.
utant ça que de savoir écrire... Ça fait autant de bien... Si papa me demande pourquoi je suis rouge, je dirai que j'ai couru..
t dans le commerce, et l'entremêle d'injures et de rires.) » Je lui demande combien elle portait d'argent lorsque les voleurs
lit. A pçine couchée elle est saisie d'un tremblement nerveux. Elle demande des boules aux pieds. « Oh! les bêtes, fait-elle
feu ; elle crie « Achat !...à chat!... »; elle faitdes culbutes, elle demande à boire, et boit le gobelet aux dents, elle enten
remue ! » Se plaint de voir double, fait des grimaces. Enfin, elle demande à boire, avale un verre d'eau d'un seul trait et
atrième période. Contractures généralisées. souffre horriblement et demande à grands cris qu'on la sou-lage. c) De plus, l'
ments rapides de rotation de la tête, pousse des grognements de rage, demande à boire. Elle boit, suivant son habitude, le gobe
s'accompagnent d'une perte de connaissance de courte durée. La malade demande à grands cris qu'on la soulage. Nous lui donnon
rendu son séjour dans sa famille into-lérable et forcé ses parents à demander son admission à l'hospice de la Salpêtrière. Elle
draps de votre couche, Et, de sa lèvre blême effleurant votre bouche Demander un baiser pour un morceau de pain. « Toutes ces
tante et les personnes qui sont au-près d'elle, mais c'est pour leur demander secours contre le fantôme qui la poursuit. Le d
s : Une attaque est terminée, la malade a repris connaissance, elle demande à boire, et cause avec les personnes qui l'entour
solution d'aller en pèlerinage à une grotte très renom-mée. Elle nous demandait le temps d'aller et de revenir. Une courte appa-r
e amélioration n'était survenue. Les crises conti-nuaient. La famille demanda que le professeur Charcot fût appelé en con-sulta
la malade la liberté de ses mou-vements, on la fit sortir du lit. Je demandai de l'eau très froide, et celle d'un puits qui se
u'elle retrace. Elle voit également l'es objets teints en rouge. Elle demande de l'eau, on lui en apporte. Elle n'en veut pas :
ui en apporte. Elle n'en veut pas : « C'est du vin, dit-elle; je vous demande de l'eau, l'eau n'est pas rouge. » On lui apporte
l accentua les effets pré-cédents. Dans quelques minutes, la patiente demanda à être débarrassée, sous peine d'avoir une attaqu
enir la malade à elle; celle-ci pousse des cris de douleur, pleure et demande à tous ceux qui l'entourent de la soulager au plu
oings fer-més, veut s'en aller, et est dans une sorte de délire, elle demande sa mère, se plaint, soupire; dès cet instant, la
avait placés. Elle éprouvait une fatigue et un malaise général. Elle demanda à boire et à manger; le reste du jour fut assez t
ne voix touchante, elle disait ses derniers adieux à sa famille, elle demandait ses enfants pour les embrasser; puis calme et fro
usivement, au moment des règles. La malade sent venir ses attaques et demande à être camisolée. Pendant les jours qui précèdent
a malade a-un abandon général de tout le corps. Elle dit étouffer, et demande le chloroforme, dont elle est très friande; si on
ontraires, elle n'a pas complètement [lertlu connaissance. Lorsque je demande le chloroforme elle fait des signes non douteux d
décrire sous le nom d'accès incomplets. Mais l'on peut également se demander si l'on n'est pas ici en présence d'une attaque l
u! » Enfin, elle se plaint d'être fatiguée, courba-turée. Lorsqu'on demande à L... de raconter ce qu'elle a vu, sa physionomi
es rats!... Des crapauds! Des crapauds! » L... a peur; elle pleure; demande qu'on retire ces animaux, se débat. Nous comprimo
savoir qui a.pu te le dire?... Une vieille femme?.-. On ne me l'a pas demandé ... L'autre, je le dirais bien; toi, non, il n'y a
a du la fixer dans son lit. A 7 heures, elle est revenue à elle et a demandé k boire ^. Il n'est pas difficile, après ce que
is subitement il reprend connaissance au bout de 20 ou 30 minutes, et demande en riant ce qu'il a fait depuis une demi-heure.
nt à la fin du paroxysme, elle délirant cependant encore un peu; elle demandait parfois une plume, de l'encre et du papier, et se
prise de terreurs subites, très pénibles, mais passagères. Si on lui demande la cause de ces terreurs, elle dit qu'elle ne la
d'une foule de choses, mais impossible de pré-ciser ses idées ; elle demande à manger, et à partir de ce moment elle entre en
dent toujours d'un trouble du fonctionnement régulier de l'organisme, demandent pour lemuléveloppement une prédisposition spécial
son esprit. Elle lui réclame sa sortie. Depuis quelque temps c'est la demande qu'elle ne cesse d'adresser à M. Charcot. Il su
crit le panorama de la ville qui se déroule à ses pieds, etc.. On lui demande si elle n'a pas peur. Elle répond non. Mais nous
z pour le sentir, et finalement en semble fort embarrassée. Si on lui demande ce qu'elle tient entre les mains, elle renouvelle
pas; la malade demeure im-passible. Cependant ce curieux phénomène ne demande qu'une occasion pour se développer, et il se prod
e se met à genoux, profère des paroles d'admiration, et, si on lui en demande la raison, elle répond qu'elle voit la sainte Vie
'une attaque. D'autres fois, elle s'arrête court; tout est fini. Elle demande s'il n'y a personne près d'elle, et sur notre rép
n résultat) à toute autre chose qu'à ce qui s'est produit : nous nous demandions , si nous ne parviendrions pas à faire disparaître
r présenteles petits mouvements cloniques dont il a déjà été parlé et demanda si on n'allait pas bientôt retirer son bandeau. L
inaperçu, car il est de ceux qui ne se révèlent pas par eux-mêmes et demandent à être recherchés. Le médecin prévenu trouvera là
utes les couleurs, des fleurs splendides... A peine réveillée, on lui demande si elle les voit encore : elle regarde au plafond
de la fin de chaque accès. » Quand elle fut hors de l'accès, on lui demanda pourquoi elle se touchait le front pour le frotte
uppliant de la laisser en repos, car elle est très fatiguée. Elle lui demande de la laisser se coucher, et lui reproche de lui
preinte de la main, — Il n'y a pas d'agitation. La malade ne cesse de demander à boire et de dire que quelque chose la brûle; ma
pport avec son hallucination; mais elle ne reconnaît personne, — Elle demandée grands cris de l'eau, de la glace pour éteindre c
de voir la domestique levée, de nous trouver près d'elle, et nous en demande la cause : elle ignore complètement ce qui vient
le la malade s'entretenait avec sa fille aînée, faisant à la fois les demandes et les réponses. Cet état durait de trois à cinq
é-sirs : (( Mes enfants m'attendent, nous disait-elle souvent, ils me demandent , ils ont' besoin de moi. » Malgré les analogies
uvre complètement connaissance, se plaint d'un violent mal de tête et demande à boire. Au bout da-20 minutes, elle se rendort.
élire. La malade croit alo3*s avoir dormi et veut dormir encore; elle demande à boire, elle est gaie eS reconnaît toutes les pe
façon inconvenante, et je priai un sergent de ville de l'arrêter. Je demandai à boire; on fit chercher un citron pour faire de
les croie sincères; les personnes présentes doutaient parfois, et me demandaient si je ne me jouais pas d'elles; car j'avais ma ra
oujours. Puis, j'allais faire des visites; je causais, je faisais les demandes et les réponses; j'allais au café, je demandais u
ausais, je faisais les demandes et les réponses; j'allais au café, je demandais une glace, je trouvais que les garçons avaient l'
gênés. Beaucoup sont anesthésiques sans le savoir. C'est un signe qui demande à être cherché et sur lequel les premiers inté-re
tait portée, mais la contracture n'a pas été obtenue. Ces expériences demanderaient à être généralisées. Cette contracture obtenue
ques. La malade, prévenue par les prodromes qui annoncent les crises, demandait le compresseur qu'une fille de service lui appliq
ression ovarienne. Chez quelques-unes, la compression est aisée et ne demande que peu de force; chez d'autres, la résistance de
ratiques spéciales qui constituent le traitement hydro-thérapique. Il demande à être dirigé par une main sûre et expé-rimentée.
des se trouvaient soulagés en se faisant balancer et berner; d'autres demandaient qu'on les frappât rudement sur la plante des pied
ue nuit les visiter en leur couvent et les solliciter au mal. Le curé demanda â la sœur Claire comment elle le reconnaissait pu
nce qu'on lui avait faite de sa personne. Ledit Gran-« dier lui ayant demandé de quelle façon on lui avait dépeint sa personne,
pu en recevoir, surtout dans son état présent, il se contenta de lui demander pourquoi l'effet ne s'en était point ensuivi, à q
n'étaient que le résultat d'une simulation bien entendue. Si nous lui demandions alors quel intérêt elle pouvait avoir à simuler u
tu du saint sacrement les oblige à dire yérité sur tout ce qu'il leur demande et par cette déposition M. le commissaire dresse
é a dit : « Messieurs, le diable est grand théologien.» Barré a aussi demandé comment s'appelait le démon qui était là. Et la s
vec convulsions et résistances l'a enfin nommé Asmodée. Puis il lui a demandé com-bien ils étaient de démons. Et elle a répondu
souvenait de ce qui s'était passé dans ses convulsions. Et lui ayant demandé , a dit ne se souvenir d'aucune chose. Avons répli
ites convulsions, pour ce que par le rituel l'exorciste est averti de demander les mouvements de l'esprit et du corps de la poss
ledit Barré s'étant retiré auprès d'elle, M. Daniel Drouyn lui aurait demandé si elle se souvenait de ce qui s'était passé dura
mos et adjurations et a fait ét fait faire beaucoup de prières, lui a demandé le nombre des démons qui étaient dans son corps e
s, et cela est arrivé par diverses fois. Dans les exorcismos. Barré a demandé au prétendu démon : Per quocl pacíum ingressiis e
e nouveau relevé, alla combattre Isaacarum, auquel le père Tranquille demanda d'oîi lui venait cette audace de vexer le Père ;
l'horreur, de la révérence et du désespoir : que l'exorciste lui ayan demandé ce qu'il avait adoré, il dit, après quelques refu
il les obligeait d'adorer la nature humaine en son Fils. Le père lui demande ensuite quelle était la meilleure voie par laquel
de la supérieure, le père Surin après que le démon se fut retiré, lui demanda si elle se souvenait bien de tout ce qu'elle avai
Marie, et qu'il les défiait de Voter du corps qu'il occupait. On lui demanda , pourquoi il défiait un Dieu qui est tout-puissan
cier) s'avisa d'envoyer promptement à niondit sei-gaeur d'blvreux lui demander permission. Cependant ne croyant pas contrevenir
aint-Sacrement possédée du démon Putifar. Mon-ieur le pénitencier lui demanda si elle était paisible, elle répondit qu'oui. En
sur les autels, tâcher â tout rompre, dire cent paroles d'insolence, demander à tout le peuple des ado-rations, mépriser Dieu a
ussent s'en apercevoir. Après une heure environ, Marie se réveilla, demanda du pain, mais elle ne put manger. Le lendemain
pents sur son chapeau, ce qui lui causait une grande frayeur, et elle demandait vivement qu'on l'en délivrixt. » Peu à peu les
l elle était depuis plusieurs jours, elle se rendit totalement, et ne demanda plus que son confesseur ordinaire, disant qu'auta
expression de Lataste, que la manière dont certaines convulsionnaires demandaient à Dieu des miracles. « Tan-tôt, en effet, d'après
u trouver de meilleur moyen que d'exciter quelques convulsionnaires à demander de petits secours d'une espèce, qui sans qu'elles
os avec des livres. Tous ces changements se font à mesure qu'elle les demande . On lui ceint le front avec une chaîne de fil de
i, pour la première fois, c'étaient des clous carrés ordinaires. J'en demande un que je conserve; les mains, surtout la droite,
une tenaille. Nous sommes deux à aider le prêtre. M. de Latour-Dupin demande un des clous, il entrait dans le bois de plus de
upa la place de milieu, et d'une voix douce et pleine d'affection, il demanda aux fidèles si ce qu'avait dit sou frère était ar
re : « elle la prit et en fut bien malade » dit fun; « qu'a-t-elle? » demande-t -on. « Oh! la maladie du revival » répond-on; « J'
); et par l'amour et la grande révérence qu'il avait â la sainte, lui demanda conseil; la sainte femme l'encouragea fort, disan
53 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uis plusieurs années, il conversa avec elles, et quand sa femme lui demanda avec qui il causait, il le lui dit, ne s'étonnant
nt. Moins calme que le jour de son entrée, il veut quitter son lit, demande à s'en aller, dort très mal, se plaint de cauch
20 juillet au 22 août et a été à cette époque mis en liberté sur sa demande . La confusion mentale a disparu, ainsi que tout
dmission des malades, la personne qui la sollicite doit rédiger une demande écrite au directeur; c'est tantôt un parent, le
'internement. On reçoit également des pensionnaires sur leur propre demande ; ils peuvent obtenir leur sertie sur leur deman
s sur leur propre demande; ils peuvent obtenir leur sertie sur leur demande , à moins de danger pour la sécurité publique. D
e la clinique est fréquemment appelée à fournir des rapports sur la demande de la justice, des sociétés d'assurances contre l
érêt au point de vue de la science et de l'enseignement. § 4. Une demande d'admission écrite doit être adressée au directeu
firmités, par l'autoiité militaire, le directeur d'une clinique. La demande d'admission peut être faite par le malade lui-mêm
mande d'admission peut être faite par le malade lui-même. § 5. A la demande d'admission doivent être jointes les pièces sui-
tre admis provisoirement par le Directeur sur la présentation d'une demande d'admission. Les formalités prescrites par le p
té de secours mutuels, etc., on exigera de la personne qui signe la demande d'admission une obligation par laquelle celle-c
l'autorité judiciaire : inculpés à mettre en observation. 3° par demande de l'administration pénitentiaire : détenus deven
une personne capable de fournir tous renseignements pou- vant être demandés par la clinique dans l'intérêt du malade. Les p
: 1° lorsque toute chance de rechute doit être écartée ; 2" sur la demande du représentant du malade ou sur la propre requ
es sentiments affectifs, pas de mauvais instincts. Il est propre et demande à faire ses besoms. . Réflexions. Il s'agit évi
ît passa mère. Il repousse les autres enfants, même sa soeur. Il ne demande pas à manger, mastique mal, est gâteux. Le déve
ement et de grincement ont beaucoup diminué. Les cris ont cessé. Il demande à aller aux cabinets en disant « envie ». 189
superficiellement les malades, n'ont quelque- fois ni vu ni lu, le demandent , les considérant comme insus- ceptibles de tout
syringomyélie, avec mains succulentes : il est donc légitime de se demander , autant que permet de le faire l'étude de deux
les caractères hystologiques du sarcome angiolithique. On peut se demander si les crises convulsives du premier malade ne so
me pour laquelle je plaide, je me trans- forme en accusateur. et je demande la condamnation d'uneSociété qui, pouvant empêc
nte de savoir très bien danser, il quitte son ht pour faire un pas, demande «IL sortir, se plaint de ses voisins, est-très
u depuis le 2 lévrier. Après quelques jours de calme, il e-t sur sa demande mis à un régime alimentaire moins exclusif, mal
périodes d'élection pour des modifications mentales passagères qui demandent à être reconnues et soignées. Il suffit d'un pe
entral. , Hémiparésie dénature indéterminée. MM. Dufouii et Cnllx demandent l'avis des membres de la société au sujet d'une
des tics sont de véritables équiva- lences comitiaux. M. Brissaud demande qu'on emploie un langage plus net. Ces phénomèn
e de la jeune fille : Je suis le père de la prévenue. Je viens vous demander de la mettre dans une maison de correction. Che
e pratique religieuse. Mais il se remit alors à prier Dieu et à lui demander plusieurs fois par jour la force de résister à
céphalées tenaces. Alité, il ne peut se réchauffer dans son lit et demande , en plein été, qu'on lui donne un édredon. Les pu
frappait. Mais aussitôt, s'apercevant qu'elle avait fait mal, elle demandait pardon, disant : "Je ne l'ai pas fait exprès. »
délégation chargée d'exposer les griefs communs et la menacer d'une demande d'expulsion par le commissaire de police. Elle se
s'impatiente facilement, tape sur les tables. Elle aime tout ce qui demande beaucoup d'exercice. Elle est heureuse qu'on s'
la consultation de la Salpêtrière. M. Gilles de la Tourette aurait demandé si Georgette prononçait des mots orduriers. Sur
t heures l'enfant avait subi une véritable transfor- mation. A la demande de sa tante, nous lui avons accordé un congé. E
ic. Jusqu'ici ces observations font défaut ; c'est une lacune qui demande à être comblée, et pour commencer, voici un premi
e devant lui en mettant une main sous chacun de ses coudes ; on lui demande d'abandonner com- plètement ses bras sur les su
quand il se méconduit, ou qu'il devient trop turbulent, le médecin demande son admission à l'infirmerie, et remplit un bulle
finir la paralysie générale une maladie parasyphililique. Alors, je demanderai à ces auteurs quelle estla nature de cette mala
-mêmes que se fixe le processus dès le début. On pourrait encore se demander si le stade initial varie suivant les cas et en
ne, en remplacement de M. le Dr JIUSin, mis en disponibilité sur sa demande . i\1. le Dl> LALMMAND. directeur médecin à Q
uxerre, en remplacement du UT 1111gnot, mis en disponibilité sur sa demande . M. le Dr Coulonjou, 6° du concours, nommé méde
ctorat en médecine, certificat de bonne vie et moeurs. Adresser les demandes à M. le Directeur de l'Asile de Clermont. Fac
s; ne cessant d'adresser aux pouvoirs publics des réclamations pour demander son élargissement, elle voudrait venirlui rendr
la fête sans jamais s'occuper de visiter la clientèle. Quand on lui demandait de ses nouvelles, il adressait à la maison des
nitude de ses facultés, il assaille le Par- quet de suppliques pour demander sa mise en liberté provisoire. Il se proclame l
ofit de la femme. Le médecin de Mazas frappé de ses excen- tricités demande son transfert à l'infirmerie spéciale pour cause
ns commettre des actes repréhensibles. Mais sa mère ne cessait de demander son élargissement, s'engageant à le surveiller et
Dans le courant du mois de juin 1902, il se présents à l'asile pour demander une place de gardien. 11 se dit ancien adjudant d
rdiens pour les motifs les plus futiles; tantôt il se dit malade et demande le médecin, tantôt il vent qu'on certifie qu'il j
mesure d'économie aussi, on a consenti à le rendre à sa mère qui demandait son transfert dans un autre asile à titre de pl
ion et de l'insomnie dans les maladies mentales et nerveuses, c'est demander presque, de résoudre celle du traitement de l'a
nions des auteurs. La vérification de l'action d'un seul médicament demande des mois d'études. L'examen de la question au
rnis par M. Vigouroux. médecin de l'asile de Ville-Evrard. Ce point demanderait à être mieux éclairci, 'et il serait utile de f
à des accidents pulmonaires d'origine tu- berculeuse. M. A. Marie demande a M. Cullerre s'il a essayé l'emploi de la séru
e sarcoplasme est moins excitable que la substance fibrillaire : il demande , pour réagir, non seulement une torce d'excitan
le, mais une chaîne de cellules différenciées. On peut toutefois se demander si chaque segment interannulaire est formé aux dé
ison soient tous aliénistes. - M. Masoin (de Louvain). La réforme demandée n'est pas si difficile à obtenir. Quant à la di
le des aliénés en liberté qui commettent des cri- mes ou délits. Il demande qu'un groupe d'études soit constitué pour en ét
pituitaire rencontrées dans quelques cas d'infantilisme, on peut se demander si certaines dys- trophies n'ont pas une origin
veilleux moyen de propagande pour ses salutaires idées. Il a donc demandé aux « artistes » de lui fournir des illustrations
rculeux se trouvent groupés, pas un seul ne se soit plaint et n'ait demandé à changer. Les malades atteints de tuberculos
raîne aucune compression des parties voisines. On peut toutefois se demander pourquoi les phénomènes de sensation paraissent
é musculaire et dans les muscles qui doivent accomplir le mouvement demandé , et dans ceux des régions voisines. de sorte qu
cas. Mais l'impossibilité mentale d'exécuter un mouvement voulu ou demandé est le fond de l'état de négativisme de certains
e aux questions qu'on lui adresse et essaie d'exécuter ce qu'on lui demande , cela d'une façon saccadée. Les facultés sont b
la fondation qu'il fil et qui permit aux malades indigents de venir demander aux sources le soula- gement ou la guérison de
rs, d'une voix unanime, sans souscription d'aucune sorte, sans rien demande ;1 à personne : je tiens à le dire bien haut.
e, au logement, au chauffage, à l'éclairage et au blanchissage. Les demandes devront être adressées à 11. le directeur-médec
traliser et de les transmettre à M. le Préfet de la Mayemie. Chaque demande devra être accompagnée des pièces suivantes : 1
rs la fin de la vie dans tous les territoires voisins. On peut se demander ensuite pourquoi les phénomènes spinaux se sont
ogués, sorte de conversation dans laquelle le malade fait à la fois demandes et réponses. Parfois même le malade change de r
onses. Parfois même le malade change de registre pour répondre à la demande qu'il vient de faire. 11 emploie tel ton pour l
ondre à la demande qu'il vient de faire. 11 emploie tel ton pour la demande , tel ton pour la réponse. Tel est par exemple D
tuyaux à gaz. Je suis bien satisfait de vous voir. Je voudrais vous demander un petit service. Pre- nez-moi donc cette petit
ée qu'on serait tenté de leur attribuer » ; ne vaut-il pas mieux se demander pourquoi. lorsque cette association d'idées pré
s qu'ils nécessitent pendant la nuit : chacun de ces cas d'ailleurs demande à être observé et manié suivant les indications
par un mot, par une image, par une phrase ou par un acte qu'on leur demande de répéter ou d'exécuter incidemment. Leur auto
; mais vient-on à trou- bler ces conditions de la vision normale, à demander aux muscles oculaires un effort voulu, un acte
s certain que la malade de M. Dide soit bien une démente précoce et demande que la suite de l'obser- vation soit communiqué
t qu'en effet, il était admirablement préparé à la tâche que je lui demandais . Antérieurement, il avait lait un premier interna
la perte de l'un des siens. « Peut-il en être autrement,je vous le demande , Messieurs, lorsque, pendant des années, deux v
t, par une étude critique, établissait ce qu'on peut vrai- ment lui demander ; il collaborait dans le « Traité de médecine »
e) en remplacement de M. le D'' Parant, mis eu disponibilité sur sa demande . Asile public d'aliénés DE la IIOCHE-G%NDO-4 (à
e, au logement, au chauffage, à l'éclairage et au blanchissage. Les demandes devront être adressées à M. le directeur-médeci
traliser et de les transmettre à M. le Préfet de la Mayenne. Chaque demande devra être accompagnée des pièces suivantes : 1
54 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
apprendront pas plus que le simple tracé linéaire auquel nous avons demandé notre expérience fondamentale et nous ne les mu
arrive par degrés à des variétés telle- ment frustes qu'on peut se demander , en présence de chaque cas, s'il s'agit du somm
e vérité incontestable, on peut du moins, dans chaque cas isolé, se demander si un sujet déterminé est réellement en- dormi
pas, on n'a aucune raison de les séquestrer à moins qu'ils ne le demandent . Mais dès que surviennent des hallucinations, la
dispositions nouvelles du projet de loi. M. le Président. Quelqu'un demande-t -il la parole sur l'article 22 ? .. Je le mets a
profession et demeure de la personne, pa- rente ou non, qui l'aura demandé . « Sont également transcrits sur ce registre :
l'aura demandé. « Sont également transcrits sur ce registre : 4° la demande d'admission ; 2° les rapports médicaux prescrit
tions, s'il y a lieu. » M. le Rapporteur. Monsieur le président, je demande la per- mission de faire remarquer une faute co
Président. Ainsi, c'est le singulier au lieu du pluriel. Quelqu'un demande-t -il la parole sur l'article ainsi modifié ? ...
ticle ainsi modifié ? ... M. DE GAVARDIE. Monsieur le président, je demande qu'on mette, au commencement du 2° paragraphe,
faut d'as- cendants, les descendants; 5° la personne qui a signé la demande d'admission, à moins qu'un parent n'ait déclaré
sieur le président ? AI. LE Président. Il est supprimé. Personne ne demande la parole sur l'article 25 ? ... Je le mets aux
ents d'aliénés. Cet ordre, est notifié à la personne qui a signé la demande d'ad- mission et au chef responsable de l'établ
comme pour les placements volontaires. M. le Président. Personne ne demande plus la parole sur l'ar- ticle 32 ? ... Je le m
personnes dont le placement a été effectué volontairement ou sur la demande de particuliers, et dans le cas où leur état me
préalable, mais consécutive à l'inter- nement. ' M. le Président. Demandez -vous la parole, monsieur le rappor- teur, pour
servation qui vient de se produire. M, le Président. Personne ne demande plus la parole sur l'article 33 ? ... Je le met
M. le Président. Ce n'est qu'une simple observation. Personne ne demande la parole sur l'article 31 ? ... Je le mets aux v
inspecteur et de l'administrateur. » M. le Président. Personne ne demande la parole ? ... Je consulte le Sénat. M. de G
et qui avaient pour objet les SÉNAT. 141 internements opérés sur demande des particuliers : les règles ne sont plus les
l y a une question qui devrait être bien précisée. Les internements demandés par les simples particuliers sont soumis à l'au
e, je le répète, de lire l'article 31. M. le Président. Personne ne demande plus la parole sur l'ar- ticle 35 ? ... Je le m
quartiers ou locaux sont confiés au préfet. M. le Rapporteur. Je demande la parole. M. LE Président. La parole est à M.
ion. ~(Très bien ! très bien ! ) ! ) M. le Président. Personne ne demande plus la parole ? ... Je mets aux voix l'article
jours à l'expiration de leur peine ? Non ! 1 M. LE Rapporteur. Je demande la parole. ' M. LE Président. La parole est à M
sion ne voit pas d'ailleurs d'inconvénient à substi- tuer, comme le demande M. Paris, les mots « pourront être con- duits »
substituer au mot « sont » les mots « pourront être ». Personne ne demande la parole sur cet amendement ? ... Je mets aux
rticle 20, sauf celles du 2- paragra- phe de cet article. Quelqu'un demande-t -il la parole sur l'ar- ticle 39 ? M. LACOMBE.
'un demande-t-il la parole sur l'ar- ticle 39 ? M. LACOMBE. Je la demande , monsieur le président. M. LE Président. La par
, je le répète, elle ne peut jamais être motivée. Dès lors, je me demande comment, sans arbitraire et sans vio- lation de
s bien connu où il y a eu un acquittement, mais où cependant il est demandé à la cour d'assises une condamnation à des domm
s déclarer confondu. Toutefois, qu'il nous soit encore permis delui demander comment il reconnaît quand un sujet dort vérita
égeois lui-même que dopuis deux années que nous avons formulé notre demande , à la série de viols en léthargie que nous avio
e nous avons écrit. « En terminant sur ce point, dit-il (p. G37) je demanderai à M. Gilles de la Tourette, dont je ne veux méc
sirent devenir médecins d'asile ne se conten- tent pas de faire une demande écrite; ils viennent faire des démarches à Pari
qui sont aujourd'hui des postes de début. Ces asiles ne seront plus demandés que par des médecins ayant des intérêts dans le
mettre que, dans l'intérêt de l'enseignement, il y avait lieu de demander un concours spécial pour la nomination des médeci
bjet d'un rapport qui pourra être communiqué aux candidats sur leur demande . Le maximum des points sera de dix. Ils devront
et d'un rap- port qui pourra être communiqué aux candidats sur leur demande . Le maximum des points sera de dix. Les points
qui désirent prendre part aux concours devront faire parvenir leur demande , sur papier timbré, au ministère de l'intérieur
de l'As- sistance publique, avant le te, décembre prochain. Cette demande , qui devra indiquer dans quelle région le can-
ort du Dr Bertliier, médecin de Bicêtre, il y a eu une vingtaine de demandes adressées à l'administration préfectorale pour la
malade à porter de temps à autre la main à la tôle. Lorsqu'on lui demande son nom, elle relève la tête, mais ne répond pa
de Norwich'. Quand ou montrait une bourse au malade, et qu'on lui demandait de dire ce que c'était, le ma- lade répondait :
ses instructions; puis pensant qu'il avait oublié quelque chose, il demanda à voir la lettre qu'il venait d'écrire, mais il
', peut à première vue paraître de la cécité verbale ? r Quand on demandait au malade de lire un livre, il se servait d'exp
vait lu, quoiqu'il employât un jargon incom- préhensihle, si on lui demandait de lire à haute voix. Un tel cas peut certain
uement par la mimique. Je lui ai donné un journal à lire; lui ayant demandé s'il comprenait, il m'a fait un signe affirmati
enti un malaise général indéfinissable ; un de ses compagnons lui demande si il souffre et où ; il répond qu'il ne se porte
dire que la suggestion explique tout et suffit à tout. On peut se demander maintenant par suite de quelles expé-. riences
trière sont, suivant M. Bernheim, des cas artificiels, on peut se demander , fait remarquer M. Charcot, pourquoi, ne fût-ce
e sur la tète d'un infirmier du service de M. Dagonet. M. l3nt.wo demande si le malade de M. Camuset était sujet à des at
épressive qu'ils rendent nécessaires. Comme conclusion, M. Chambard demande la suppression des séances publiques d'hypnotis
in consulté, affirme la persistance de l'aliénation mentale. On lui demande alors si cette malade serait en état de délibér
NÉS. Suite de la séance du lundi 6 décembre 1880 J. M. DELSOL. Je demande la parole. M. Le président. La parole est à M.
sinon plus tard, un état d'aliénation men- tale. 'M. Lacombe. Je demande la parole. M. DELSOL. Que vous propose la commi
si ardu que pose l'acquittement des aliénés dits criminels. Nous demandons au Sénat de vouloir bien le voter. (Très bien ! t
à quelques minutes d'intervalle, le même membre du parquet qui aura demandé au jury de condamner l'individu et qui aura fai
assure le bénéfice de l'in- tervention judiciaire... M. Paris. Je demande la parole. M. DELSOL. Assurément, l'autorité ju
mmission, me paraît réaliser une amé- z lioration importante que je demande la permission au Sénat de faire connaître. Je c
du 18 janvier 1889.) Un ancien interne, très au courant du service, demande un emploi dani un asile public ou privé. Adress
ts, mais il n'avait pas perdu connais- sance. A ce moment, on lui demande comment il va; le malade ne répond que ha ! ha
tendance à la lipothymie et des douleurs aux membres inférieurs; il demanda qu'on le déshabillât et alors il vit qu'il avai
après, il se plaignait d'avoir une forte douleur à l'oeil gauche et demandait à ses compagnons si ses yeux étaient ' Loc. cil
ue; quand on lui enleva le casque, il dit qu'il se portait bien, et demanda qu'on le déshabillât, parce qu'il était midi et
femme a eu pendant quelques jours une amnésie complète. M. Vallon demande s'il est certain que la névrite ait débuté depu
e. M. Briand a publié des cas analogues qui ne sont pas rares. Il demande si la mémoire était complètement abolie ou si plu
, dajis sa critique, M. Luys a pris position. Il aurait voulu qu'on demandât l'anatomie les élé- ments d'une classification
notre maître, M. Magnan, s'honore d'avoir été l'élève, je veux vous demander , Messieurs, s'il est possible, aujourd'hui, apr
omme de génie qui en fera une oeuvre à peu près parfaite. M. BALL demande à répondre à M. Garnier dans la prochaine séanc
· Conditions d'admission : L'enfant aura moins de quinze ans; -la demande d'admission sera adressée au président de la comm
teur-médecin de l'asile de Vaucluse est mis en disponibilité sur sa demande . - M. ]eDrBOUI)RIE, directeur-médecin de l'asil
rétaire de la Société médico-psychologique. Les communications ou demandes de renseignements, ainsi que les adhésions, doi
55 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s conditions suivantes : A la fête de la place d'Italie, l'enfant demandait un sou pour monter sur les chevaux de bois. Sa
sur les chevaux de bois. Sa mère refuse, l'enfant persiste dans sa demande et tout d'un coup tombe raide ; elle resta quar
ent de la ranimer. Elle se réveilla spontanément, appela sa mère et demanda à manger. Elle fut menée à la Salpêtrière où Ch
00 dans les premiers mois de son séjour, nous lui accordons, sur la demande de sa mère, un congé de deux mois. Tableau B.
taire ne serait autre qu'un prétendu. o février. Sa mère vient nous demander si R... peut se marier. Le prétendu, âgé de vin
on, ne l'ont jamais frappé ; il n'en disait rien, même quand on lui demandait des renseignements sur REVUE d'aNATOMIE ET DE P
s sujets groupés par lui sous le nom de retardataires' ; il 1 On se demande pourquoi créer ce nouveau terme ? Le mot arriéré,
ellent conseil en demandant que les arriérés soient mensurés; on se demande même pourquoi il n'a pas cru devoir prendre sur
s de clinique ou internes des hôpitaux nommés au concours. / Leur demande devra être adressée au ministre de l'Intérieur, q
st exclusivement chargé de l'organisation du concours). ' ' Cette demande sera accompagnée de l'acte de naissance du pos-
de l'Eui-e, fer janvier 1895.) La gendarmerie de Montargis, sur la demande du maire de Châ- lette, s'est transportée au ha
, nommé Kirschtinck, âgé de vingt- six ana, ouvrier tapissier, vint demander aux excursionnistes de se joindre à eux. Ces de
ier de la fièvre typhoïde pour les centres nerveux, et l'on peut se demander si l'infection ébertbienne, qui, longtemps enco
s la preuve.de la justesse de notre hypothèse. Toutefois on peut se demander si de pareils sujets persisteront indéfiniment
effrayantes, tenait des propos inco- hérents, au milieu desquels il demandait à être interné et parlait t de l'infirmerie du
on irrésistible au commissariat de police, où il dit être malade et demande à être dirigé sur l'infir- merie-du Dépôt, où l
parfois elle .les attribuera au malin esprit ; quelquefois elle se demandera si sa raison n'est pas égarée. « Prenez pour vo
en théo- logie ; alors seulement elle commence de mémoire, sur la demande de ses directeurs, son autobiographie qui nous la
qui lui avait refusé la confession et la communion lorsqu'elle les demandait . C'est ainsi REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
rement une consé- quence de la syphilis acquise, on est amené à -se demander pourquoi les malades de la première catégorie p
z les enfants atteints de syphilis héréditaire : la mère, en ellet, demande promptement conseil pour son enfant et lui admi
tés qu'ils ont eu à subir, même dans ces dernières années ; on se demandera pourquoi .cette maladie n'est pas devenue plus fr
e), tandis que l'autre (le sou- venir) est très précis. M. Vallon demande si les observations de M. Philippe ont été tout
M. Philippe appelle les éléments logiques. q M. J. Philippe. J'ai demandé à un étudiant de me décrire une page du diction
rits de méningo-encéphalite d'intensité exceptionnelle. 111. Vallon demande quelle a été la durée de la phase hallucina- to
e donnait lieu à des altérations de la fibre nerveuse. Restait à se demander comment se comportait le corps cellu- laire du
t elle ne pouvait combiner ce qu'elle doit faire. Elle-même elle ne demande aucun ouvrage.. · Etat présent. Sa face a un
t terne, effaré, distrait de ce qui l'entoure. Il parle seul ; fait demandes et réponses ; semble écouter des voix, ramasse de
ée, et, conséquemment, ne devraient pas, le sachant par avance, lui demander ce dont il souffre et ce qu'il pense. L'ex- pre
on exacte entre le coupable et le malade, parce que la justice vous demande souvent des réponses trop précises sur ce qu'el
rieur, conscient, volontaire, libre et responsable. A ce propos, je demande à éta- blir une distinction, que je crois justi
tic ? Point du tout. Nous disons : il a un torticolis. et nous nous demanderons si ce torticolis est musculaire ou non musculai
etc... Agissons-nous autrement en présence d'une hémiplégie ? Ne se demande-t -on pas toujours, d'abord, si elle est d'origine
but, à propos de l'association des obsessions avec les tics, que de demander à nos collègues occupés de ce sujet si, dans une
sition de la dilettante, pour lui fournir tous les ren- seignements demandés sur le mécanisme de son art en joignant l'exemp
sans en éprouver le moindre malaise. M. Bérillox. Les malades qui demandent le secours de l'hypnotisme ont essayé tous les
ui n'ont besoin ni d'un traitement, ni de soins spéciaux, et qui ne demandent qu'a vivre dans la société. Depuis vingt ans, d
ent, nourriture, chauffage, éclairage, blanchis- sage. Adresser les demandes au Dr Anglade, directeur, médecin en chef. Un
nstant. « Nous parlons, il y a peut-être un appareil ici. Vous nous demandez d'écrire,-ce n'est pas l'affaire d'un jour : vo
lement au bout de neuf mois. D. « Pourquoi expulsées ? ` ? - R. « Demandez -le lui.. Annette. « J'ignorais le genre de la m
blème de quoi ? . R. (Chorus). Nous ne savons pas ! Nous ne l'avons demandé à personne. Peut-être avions-nous tort : nous a
onceplions de l'amour de Dieu. Elle ajoute : « Comme un jour, je me demandais pourquoi, Dieu étant juste, privait de ses care
. M. Dupré porte ensuite, en vers, le toast suivant : Vous m'avez demandé des vers Comme si j'étais un poète. Depuis, j
mple, lorsqu'un tabétique présente des troubles mentaux, on doit se demander s'il s'agit de troubles pas- sagers, ou si l'on
centres de l'écriture et de la parole. M. DOUTI11.BIdN1'I : . Je demande à M. Joffroy de nous dire s'il pourrait nous fo
ue nous soumettons périodiquement à la ponction. Nous nous sommes demandé , en effet, si le nombre des lymphocytes progressa
éshérités. C'est pour vulgariser l'assistance des anormaux que nous demandons aux membres du Congrès d'émettre, avec l'autori
essions-impulsions cri- minelles. Le malade, douleur et anxieux, se demande s'il a réelle- SOCIÉTÉS SAVANTES. 349 ) ment
atténuation dans sa condamnation ; mais, à l'heure actuelle, je me demande toujours s'il n'y aurait pas eu peut-être, chez
on vague, sans caractères bien définis; ils doutent d'eux-mêmes, se demandent s'ils sont coupables; mais ils ne franchissent pa
ur la majorité de ses petits-enfants. M. Doutrebente (de Blois). Je demande à M. Joffroy. de nous dire s'il pourrait nous f
drait que le juge ne se conten- tât pas d'une simple question, mais demandât au prévenu une série de calculs simples, comme
un prévenu ayant reçu une certaine instruction et auquel on pourra demander quelques notions générales. Il est bien enten
'expertise si le juge d'instruction ne l'ordonnait pas d'office. Je demande donc aux membres du Congrès de com- mencer ce p
t toxiques, la seconde vingt fois plus que la première. » Vous vous demandez , Messieurs, comment un tel conflit a pu se crée
r préjudice à sa famille et surtout à ses enfants. Lorsque nous lui demandons de s'occuper un peu, elle s'écrie, désespérée,
e : ce n'est pas seulement parce que persécutée qu'elle arrive à se demander si ses per- sécutions ne sont pas justifiées, m
e, parce qu'elle n'a plus d'estomac, plus de poi- trine, etc. Je me demande si ces idées de négation ne seraient pas simple
s Annette ayant dit : « Nous ne sommes pas les plus fortes », elles demandent elles-mêmes leur repas. C'est à ce propos que la
fait cette remarque : « Annette est leur soeur supérieure ». Leur demande-t -on d'écrire un résumé de leur vie, Jeanne et Cl
l'affaire d'un jour etqu'on les retiendra trop longtemps. A la même demande , qu'on renouvelle plus tard, après les avoir sé
s laisse tranquilles. Les gens sont ici très convenables et nous ne demandons qu'à rester ici jusqu'à la fin de nos jours ou
sonner ? Elle n'en n'est pas sûre, elle attend et voici ce qu'elle demande : « Qu'on lui rende son mari dont la mort mysté
? J... comme le trouble d'nn cerveau malade, à tel point qu'elle a demandé des soins « pour son pauvre fils, qui perdait l
voisines, qui remarquant qu'elle avait les yeux cernés lui auraient demandé si elle ne « s'amusait pas toute seule ». « On di
r un peu pendant le jour ; quelques-uns pendant les premiers temps, demandent à se recoucher ; 21° il ne convient pas de soum
sion est qu'en somme ce qui 'manque pour réaliser les améliorations demandées pour chacun de ces points, c'est avant tout un
vant médecin de l'asile d'Illenau, dans le Grand-Duché de Bade, lui demanda en 1894, une préface à son Traité d'aliénation
ion de cette loi. Qu'il nous suffise de rappeler ici que IL Dagonet demandait des garanties plus larges pour la liberté indiv
ions apportées au régime des aliénés chez les diver ses nations. Il demandait en somme un rouage intermédiaire entre l'asile
ile de repro- duire textuellement les renseignements que, sur notre demande , M. Doutrebente a bien voulu nous adresser. Il
faut interpeller un passant, entrer dans un magasin pour parler, demander quelque chose, afin de me donner une nouvelle p
liquide que doit être probablement attribuée la mort. On peut se demander pourquoi un épanchement aussi considérable ne f
qui l'intriguait beaucoup. Il alla trouver « une dormeuse » et lui demanda conseil. Celle-ci lui apprit que le coeur était
délivré... » Néan- moins, il entre encore dans diverses maisons et demande de l'eau bénite. Il finit par en obtenir et acc
n agit-il, et quel était son but ? Malgré notre insistance à le lui demander , nous ne pûmes obtenir de réponses satisfaisant
alade de mercure quelquefois pendant deux ans. On ne s'est jamais demandé jusqu'ici si ce n'est pas le mercure qui déterm
amis, et la morale ordinaire du monde. A la fin, il en arriva à se demander si la vérité elle-même avait une valeur » et si s
philosophait à coups de marteau. » Et M. Freland, en terminant, se demande comment les livres de Nietzche peuvent être lus
tardé à disparaitre, faisant place à la trépidation spinale. Je me demande si le signe de Babinski, qui n'existe pas de l'av
ueux, le jeune Ferdinand était souvent fort émé- ché. Son patron se demandait où il allait boire, lorsqu'il décou- vrit le dé
56 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e. Cette intégrité est passée à l'état de dogme, si bien que l'on a demandé à l'auatomie la cause de cette anomalie apparen
mettre un examen sérieux de leur état actuel. Aux autres nous avons demandé s'ils étaient chasseurs, s'ils avaient été sold
eur, ce n'est pas à l'anatomie, mais à la physiologie qu'il faut en demander la raison. Le facial supérieur doit son intégri
ie, la paralysie du facial supérieur est pour ainsi dire latente et demande à être recherchée. 4° Le rétrécissement de la f
e, du nombre de ses enfants, sur l'époque de la mort de son mari. Demandée pourquoi elle se plaint toujours ? Elle nous répo
long intervalle de réflexion et si nous répétons plusieurs fois la demande qu'elle nous répond enfin à la question posée.
. La perception se fait bien. Quoiqu'il comprenne bien ce qu'on lui demande , il ne répond qu'à la suite des menaces. L'asso-
ce à répondre aux questions, quoique avec quelques hésitations; il. demande des journaux, qu'il lit en se pro- 46 PATHOLO
s ». Parfois elle dit qu'elle n'a pas d'estomac, d'autres fois elle demande à lui ouvrir l'estomac pour en extraire des ali-
pour ses enfants est exagérée, elle pleure quand on lui eu parle et demande qu'on la laisse partir pour voir ses enfants. E
'est évanoui cinq minutes. En revenant à lui, il est tout étonné et demande ce qui vient de se passer. - A diverses reprise
r un peu du violon, parait heureux de l'attention qu'on a pour lui, demande qu'on lui pro- mette de le laisser faire de la
l. Elle peut servir à distinguer le tabès du pseudotabes, mais cela demande une observation plus complète. L'analgésie du c
menter la motilité des paupières. L'opération fut exécutée sur la demande de l'auteur par le Dr A. Forselles, d'après une m
uelque difficulté à l'examen, il exéculelen- tement ce que nous lui demandons de faire. Le regard fixe; la figure pâle exprim
ents, se soumet à l'examen, mais exécute difficilement ce qu'on lui demande , un manque d'énergie et volonté caractéristique
n disant qu'elle a déjà répondu à d'autres docteurs ce que nous lui demandons . La mémoire paraît conservée. L'idéation et le
é des autres malades. Il se soumet à l'examen, exécute ce qu'on lui demande , mais avec beaucoup de lenteur, un manque d'éne
Ils'accuse d'être coupable, mais sans spécifier de quelle faute, et demande qu'on lui donne une autre punition, qu'on l'env
après insistance, il refuse la viande parce qu'elle le rend malade. Demande à faire maigre. Observation XXI. La nommée Rosa
Elle parle très peu, répondant avec grande peine à ce que nous lui demandons et c'est à peine perceptible. Elle dit LES MÉ
uis quand elle est malade et comment la maladie lui est venue. Elle demande avec insistance à partir à la maison, disant qu
Elle se tient retirée dans un coin, sans prononcer une parole, sans demander la moindre chose même la plus nécessaire et ind
rveiller; il vit alors l'un d'eux faire de l'oeil à sa femme et lui demander s'il faut ou non le frapper avec le couteau. Il
ières années, sur nos services d'aliénés et ont servi de thème pour demander aux pouvoirs publics une refonte complète de no
CE, D'ANGLETERRE, ETC. 135 qu'à titre d'experts ! Ne peut-on pas se demander , en outre, si la lenteur apportée dans le place
ment est soumis à une ordonnance du shérif, sur la production d'une demande ou pétition du Board et sur le vu de deux certifi
par exemple. Quant aux malades placés dans les asiles privés, je me demande si cet appel orbi et urbi est bien nécessaire e
il ne faut pas s'en prendre à nos règlements. M. le D1' Toulouse demande pour le département de la Seine une organisatio
séparées, les cellules pyramidales ont dégénéré. De même on peut se demander si l'aphasie a été produite par une lésion du c
produit la paralysie générale elle cesse d'être bénigne. M. BRI.IND demande à M. Ballet si la terminaison de la syphilis pa
atin, deux agents de cet établissement se présentaient à l'hôtel et demandaient à parler à M. C... Mis en présence de celui-ci,
in et Petit ont fait l'examen bactério- logique du sang, et se sont demandés si, en dehors de l'auto- intoxication, il ne fa
'est pas produit et ceux où il s'est produit en sens inverse, je me demande s'il ne s'agit pas de simples coïncidences, non
s déjà publiés sur 198 PATHOLOGIE MENTALE. Il nous reste à nous demander si les altérations du tact peuvent être de quel
la folie » qu'apporte le certificat. C'est dans cet esprit qu'on a demandé qu'une clause concernant la folie au début fut
s l'hystérie, en parti- culier chez les enfants; mais il reste à se demander si la simula- tion elle-même n'est pas déjà une
a présidence. M. Christian, rapporteurde la Commission des comptes, demande leur approbation et émet le voeu que la Société
ditaires. Il y a là une question d'espèce. C'est pourquoi M. Arnaud demande à la Société de maintenir à son ordre du jour l
t des pratiques religieuses les plus exagérées. Morel, après s'être demandé souvent si les dispositions puisées dans le mil
rappelle plus ce qu'on vient de lui dire, ce qu'il vient de faire, demande un objet qu'il tient dans la main, veut dîner q
s rapports de l'hystérie et de la folie. Voici le passage, que nous demandons la permission de repro- duire. a ..... P1. Ba
rappeler leur mémoire, leur poser de petits problèmes et leur en demander ^plus tard la solution. Cet exercice intellectuel,
ntre la folie et le rêve et que ces termes sont vagues, l'auteur se demande s'il ne conviendrait pas d'abandonner cette dén
é dans le chapitre des auto-intoxications rénales et j'en suis à me demander à l'heure actuelle si la confusion mentale aigu
un état morbide du centre génito-spinal ou de l'âge. , Ce réflexe demande , pour être recherché, une certaine expé- rience
ement établie pour être ébranlée par ces travaux dont les résultats demandent encore à être revus comparativement avec ceux q
temps. Pour le voyage de Toulon, aller et retour, le 1/2 tarif sera demandé à la Compagnie P.-L.-M. MM. les Congressistes n
nt que de rares réponses, souvent fausses et suggestionnées par nos demandes . Chez les quelques malades où nous avons pu obt
st qu'après avoir tout prévu, tout organisé et mis en marche, qu'il demanda luirmeme à être relevé de ses fonctions de dire
pour le service incomparable qu'il veut bien nous rendre. Sur- la demande de M. DOURSOUT, directeur médecin de l'asile de
et au sujet de la discussion qui a suivi le rapport de M. Anglade, demande à dire quelques mots sur certaines de ces forme
e, mais bien un syndrome lié à un état infectieux. Le D1' Anglade demande à poser quelques questions à M. Ballet à propos
chirurgicaux qui sont appliqués ordinairement dans les hôpitaux. Il demande simplement si le Congrès juge utile qu'on emplo
int en province savait, comme le juste, se contenter de son sort et demandait à se recueil- lir et à travailler dans le silen
a Société des Médecins Russes en mémoire de ilT.-1. Pirogo/J' ayant demandé à la Société de 1\'europulholoyie et de Psychia
et après une observation du malade pendant trois mois au moins, La demande en divorce ne pourra être soulevée que lorsque la
12 1 BIBLIOGRAPHIE. Comme conclusion à cette étude nous devons nous demander s'il est possible de guérir l'irritabilité. En
is encore on lui tiendra un langage aimable ou rail- leur... » Cela demande sans doute une grande habitude des malades, un
malaisément fournir les explications qu'on peut avoir besoin de lui demander et que, par la, il peut être une cause de désordr
ieutenant, mais en 1877 il est mis en réforme pour dettes. Sa femme demande et obtient la séparation de biens. La même anné
sivement des emplois fort divers. En 1892, la sépa- ration de corps demandée par sa femme est prononcée. Rien de particulier
cte beaucoup. Le 7 décembre, il se présente au palais de justice et demande à parler au substitut de service. Introduit dev
dernier pour abus de confiance avec bénéfice de la loi Béranger il demande à faire sa peine, déclarant qu'il est un malheu
t, il garde le silence. Il n'a pas l'air de comprendre ce qu'on lui demande , ni de se rendre compte de l'endroit où il se tro
; il comprend qu'il est à Vllle,juif dans un asile d'aliénés et il demande pourquoi. Jusque- là il voyait bien sur les piè
a Aujourd'hui, quoi- qu'ayant complètement ma raison, je viens vous demander en grâce de m'admettre dans votre service où vo
rses qui me ronge. » Naturellement nous n'avons pu faire droit à la demande de P... et recevoir dans un service d'aliénés u
ait : « Je 468 RECUEIL DE FAITS. vais bien. » Mais, si nous lui demandions : « Où habitiez-vous avant de venir ici ? » nou
fournir l'explication cherchée. 20 En second lieu, on pourrait se demander si ce n'est pas le régime des prisons et du cor
carrière au point de vue du dia- gnostic. li-0 Enfin, on peut se demander si des aliénés avérés ou débu- tants ne seraien
turelle et expliquant si bien tous les événements, qu'il ne peut se demander s'il y a autre chose d'au- tant que la notion d
oi Dubief, peut-être la spécialisation de l'ex- pertise sera-t-elle demandée . Il apparaît d'ailleurs de plus en plus nécessa
nés, ont été portés comme réformés pour une autre cause. M. Régis demande qu'il y ait un examen préalable avant l'incor-
atiqué par les médecins du corps avec adjonction possible, sur leur demande , d'experts civils pris sur la liste dressée chaqu
n, le traitement et l'édu- cation des enfants idiots et arriérés et demande au Congrès de l'aider dans sa lâche en adoptant
les aliénés chroniques, imbéciles et épileptiques. M. DOUTREBE1'E demande à MM. Marie et Vigouroux de le rassurer sur l'e
s médecins; les malades agités sont renvoyés à Bourges. Personne ne demande l'application des asiles à portes ouvertes pour
eur marquée, intelligence obtuse, il ne comprend pas ce qu'on lui demandé ; aphasie, hémiplégie droite complète avec paraly
tant, vis-à-vis de la cellule motrice. Quant à la nature on peut se demander si ces éléments ne représentent pas des leucocy
57 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
être provoqués ou arrêtés par des excitations expérimentales. » Je demande la division de l'article avant de le voter. J'a
ont plus profonds et a les fleurs plus larges »! Je me suis parfois demandé où trouver le moteur vraiment digne d'un tel demi
èce, les preuves ne peuvent être qu'a posteriori ; elles doivent être demandées aux faits. Aussi, pour vous exposer à grands trai
ns pendant les périodes aiguës du délire, de véritables dialogues par demandes et réponses nettement formulées. Xous sommes dans
ectifs de l'activité du système nerveux central, on aurait lieu de se demander pourquoi, après une apparition fortuite, la sélec
sociations seules expliquent difficilement ; toutefois on doit se demander s'il existe des motifs suffisants pour admettre l
as hésité à déclarer que, par exemple, consultés par un père qui leur demanderait s'il peut en toute sécuri té donner sa fille à un
ortait que les espérances d'une belle carrière, qu'il y avait lieu de demander au futur de contracter une assurance sur la vie p
au monde, elle faisait environ 15 fois l'Opération. et toujours à la demande des parents. « ¦ ¦ M. Paul Fagot, le folklo
arole. Les médecins l'exécutent également à l'aide de ciseaux, à la demande des familles. Les sages-femmes font l'opération
ans le sgàrgiu et coupe le frein de la langue. « Beaucoup de femmes demanderont compte plus tard de cette opération, si leurs enf
ment de l'acte, tel dégénéré s'observe, s'analyse, s'interroge; il se demande s'il a raison de faire comme ceci, s'il ne devrai
dication spéciale de l'hyponar-cose. Certains malades voudraient bien demander à l'hypnotisme la guerison de leurs maux; mais il
s maîtres et je souhaite la bienvenue â nos jeunes collègues. Je leur demande de nous faire profiter de leurs travaux, de soule
ai la suggestion de m'accompagner sans crainte. A son réveil, elle me demanda elle-même d'aller chez le dentiste. Celui-ci décl
t-bras; les deux premiers se contractent également des deux côtés. Je demande à cette femme de se coucher, puis de se relever;
périmentations, depuis lors si fécondes en résultats, on ne s'est pas demandé s'il s'agissait d'une découverte réelle; on ne s'
ribueraient encore un sens exclusif ou bien une portée exagérée. Nous demandons en quoi la suggestion éveillée diffère de la pers
calme dont il a grand besoin. Le lendemain, un coup de téléphone me demande rendez-vous pour 5 heures. La cérémonie religieus
ue, dans l'état de la malade, il n'y fallait pas songer. La dame me demanda de l'hypnotiser. Son père y consentit. L'insensib
contre Henri d'Angleterre par les dominicains et les franciscains qui demandaient des réformes dans l'Eglise et dans l'Etat, fut ex
ien à tort « essentielle ». Pour confirmer cette relation causale, je demande que le lavement froid soit donné systématiquement
l'issue de l'urine ; elle parvient à se retenir toute la nuit et à ne demander le vase qu'à l'heure du lever. Cette enfant a mai
ent, un lavement lui soit administré le soir. De loin en loin, elle demande encore le vase pendant la nuit; mais, pour cela,
demi, provoquer la mise en jeu de son automatisme psychologique, lui demander formellement d'acquiescer à notre suggestion et m
r aidé d'ailleurs d'un procédé de contention. Mon eminent confrère se demande si, réellement, on doit bien attribuer à l'hypnos
que chez ce dernier, encore plus que chez les autres, ces phénomènes demandent à être connus et étudiés car ils peuvent être d'u
à des facultés psychiques élevées et sont capables de penser! On se demande ce que devient, dans un tel raisonnement, la loi
s laquelle ils ont été placés pendant quelques instants. On s'est demandé si l'intelligence n'est pas sortie de l'instinct
orait puis empirait de nouveau. Etant en ce moment en vacances, on me demanda de voir la malade. A ma première auscultation j
a main droite de saint Jean-Baptiste. 2o) Louis ïiercelin (3j s'est demandé s'il ne pourrait pas être question également du m
(2) On sail que saint Jean-Baptiste fut décapité en l'an 32, sur la demande de la danseuse Salomé, fille d'Hérodiade, saint J
revue La Nature par M. le Dr Cartaz. C'est pour cela que nous avons demandé à notre maître et ami M. le professeur Blanchard
s phénomènes de l'hypnotisme sont bien connus, c'est à eux qu'on doit demander la vérification expérimentale des faits dont il s
w du dispensaire antialcooliques où les malades viennent en affluence demander de la thérapeutique suggestive la guérison de leu
pas sous l'empire d'une crainte imaginaire que bon nombre de vivants demandent , par disposition testamentaire spéciale, qu'avant
breux et on en trouve dans toutes les parties du monde. Nous leur demandons .de nous aider à faire revivre la physionomie de l
Le Menant des Chesnais s'excuse de ne pouvoir assister à la séance et demande que sa communication soit inscrite à l'ordre du j
ucieux; mon front s'est plissé. Quand mes amis me rencontrent, ils me demandent de quelle maladie je souffre et me harcèlent pour
cantharide, toujours sans aucun résultat. C'est alors qu'il vient me demander de le soigner par la suggestion hypnotique. Trè
e l'aime; mon plus vif désir serait de l'épouser; mais je ne ferai ma demande que si je suis complètement guéri. Aidez-moi à fa
suggéré. La guérison est donc manifeste. Tout rayonnant, il fait sa demande et est agréé ; on décide que le mariage aura lieu
pnotisme. Déjà, l'Est républicain, dans un de ses derniers numéros, demandait que le nom de Liébeault fut donné à la rue de Nan
ue; mais cette étude, ce n'est pas à eux en première ligne qu'il faut demander de s'y livrer. Tout d'abord, remarquons qu'elle e
'affranchissant de toutes conceptions préconçues. L'exercice de l'art demande de celui qui s'y livre une individualité marquée
leur que grâce à des éléments venus d'ailleurs, on est en droit de se demander s'il est permis de parler de Part comme ayant une
ciels » de Paris. Au nom des amis du docteur Liébeault, nous avions demandé la croix de la Légion d'honneur pour le modeste s
t avec un indigène, qui, apprenant que le colonel était de Nancy, lui demanda aussi des nouvelles du docteur Liébeault Les pr
le. [Est républicain). Dans un troisième article, l'Est républicain demande au Conseil municipal de Nancy de donner le nom de
matins, 50 à 70 malades allèrent consulter ce sorcier diplômé, qui ne demandait pas d'argent. Naturellement, ses confrères le t
ye}. AUX AMIS ET ADMIRATEURS DU Dr LIÉBEAULT. L'appel que, sur la demande de MM. les Dre van Renterghem, d'Amsterdam, et Ll
sseur Liégeois, correspondant de l'Institut, nous apprend que, sur sa demande , le Conseil municipal de Nancy vient de décider q
texte de l'éloquente adresse par laquelle M. Liégeois avait appuyé sa demande au Conseil municipal de Nancy. Un fait qui prouve
étition signée de 80 habitants de la rue de Bellevue, avait également demandé au Conseil municipal de Nancy, le remplacement du
ez les autres. Nous ne saurions donc partager les idées de ceux qui demandent à l'art de traduire et de réveiller des sentiment
onducteur de l'art? A quelle tendance religieuse l'artiste devrait-il demander son inspiration ? Les exigences des pasteurs sera
enir compte des pensées, des sentiments et des besoins intérieurs qui demandent à être traduits dans les œuvres d'art. L'élémen
e l'illusion de la réalité. Suivant les divers besoins psychiques qui demandent satisfaction, nous nous retrempons par le secours
'il approuve ou désapprouve ce que vous lui dites. Nous nous sommes demandés , si, en restant silencieux, cet homme ne se confo
soit, le pouvoir d'hypnotiser. » A la suite de cet entretien, nous demandâmes à Stanley de vouloir bien inscrire une pensée sur
it uniquement de reproduire, de répéter, ce qui est déjà connu, on se demande en vain quel en est le sens. « Si l'art », dit m.
ction aussi fidèle que possible de la réalité, on aura le droit de se demander : à quoi bon? La réalité resterait préférable à l
d'un malade, atteint d'une maladie incurable du système nerveux, lui demandent avec angoisse s'il est vraiment possible que la m
58 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
ues qui a eu lieu à Paris au printemps dernier, a bien voulu nous demander des renseignements sur ce que nous faisions à B
par suite de l'insuffisance des vêtements de promenade. (1) Nous demandons également une permission pour les enfants de la S
r qu'elle les en récompense en accordant une suite favorable à la demande que nous lui avons adressée, afin de les faire
, l'établisse- ment n'ayant pas d'ateliers similaires. Nous avons demandé et dans l'intérêt de ces malades et dans celui
toires et, pour remédier à une situation aussi fâcheuse, nous avons demandé la reconstruction du calorifère. Ces travaux, q
'l'hi- tecte en chef du département, est venu officieusement nous demander , non pas un programme détaillé du futur asile,
n de bâti- ments pouvant conctnir 400 enfants. o L'Administration demande l'avis de la Commission de surveillance sur le
er il l'établissement des devis détaillés de l'o- pération, je vous demanderai , Monsieur le Président, de vouloir bien provoqu
nt, en raison de la nature du sol et de sa disposi- tion sur rampe, demandera des fondations d'une assez grande profondeur(3'
notre collègue M. le Dr Bottrtiet-ille , que l'Administration nous demande un avis de principe relativement à la construc-
lle l'attention de la Commission sur un ne autre ordre d'idées : Je demande si l'achat de tous les ter- rains mentionnés au
pour les enfants valides, et il en existe un certain nombre. Je ne demande pas mieux toutefois que de m'en rap- porter sur
i permettra de rendre cent lits au service des femmes. \I. l3nill a demandé où en est la proposition de loi concernant les
e rédiger le pro- gramme d'un asile de ce genre. M. Potier. Je me demande si la prudence ne comman- (lerait pas de s'assu
'eau de son puits, des sources de Rungis et de la Seine. Nous avons demandé l'augmentation de son appprovisionnement et mon
emplaire vous a été adressé hier au soir à domicile. Si personne ne demande la parole sur la discussion générale, je vais d
n qui a fini par se ranger à l'avis de M. le Dr Bourneville, lequel demande , que ces bâtiments ne soient qu'à un étage en r
es ateliers du chemin de fer de Lyon, et qui est venu ce matin nous demander un service, Un certain nombre de nos malades de
ssistance des aliénés. choisir leur asile, les familles signent une demande de place- ment ; payent le premier, quelquefois
ent payant en placement gratuit. Par contre, les familles qui ont demandé le placement gratuit protestent lorsque l'Adminis
iots et arriérés. Par délibérations antérieures, le Conseil avait demandé que le service de répartition des enfants idiots
reçus, sauf à ajourner, lorsqu'on manquera de lits disponibles, les demandes de placements volontaires. En prévision de ces
blissement d'enfants, d'un registre spécial où seront inscrites les demandes auxquelles il sera donné satisfaction, suivant
ion ; d'inviter la clile Administration il examiner d'ur- gence les demandes qui lui sont faites à ne pas prolonger pendant
, et avec raison, d'étendre cette mesure de 18 il 21 ans. Nous vous demandons d'é- mettre sur ce point un avis favorable qui
e ininter- rompue d'une année dans la même commune. Art. 3. - Les demandes d'admission peuvent être formées par toutes per
ar le Maire de l'arrondissement ou de la commune. AnT. ! t. - Toute demande d'admission doit être écrite et signée par la p
ite et signée par la personne qui la présente ; si l'auteur de la demande ne sait pas écrire, celle-ci est reçue par le Mai
de la nature des relations qui existent entre elles. AnT. 5. - La demande doit être accompagnée- : . 1° D'un certificat d
u dans une commune de la Seine, depuis trois ans, au moment de la demande d'admission, et qu'ils habitent avec eux. ART.
ents, et aucun enfant ne devant séjourner à l'asile Clini- que, les demandes de placement volontaire auxquelles il ne peut ê
ermes des articles 205 et suivants du Code civil. ART. -13. - Les demandes relatives aux dispenses totales ou partielles d
les instructions ministérielles. M. le Président. Si personne ne demande la parole, je vais mettre aux voix l'adoption d
t arriérés, nous pouvons attendre, avant de les admettre a première demande , le vote de la nouvelle loi en préparation et s
pulsion étant donnée, d'autres dépar- tements suivront. M. Bailly demande qu'avant de rien faire, nous attendions le vote
réitérés du Conseil géné- ral. M. le PRÉSIDENT. - Si personne ne demande plus la parole, je mets aux voix l'adoption des
berté, au nom du Bureau des écoles cle la Ville de Londres, de vous demander le concours de vos conseils éclairés sur cette
res lors- qu'on lui refusait ce qu'elle désirait. Les parents ont demandé le placement de leur fille parce qu'elle est tr
ers la main sur les sous ou les friandises qui sont à sa portée, et demande de l'argent aux personnes qu'il voit chez lui. Il
nvier. - Le T... se montre très désobéissant. Ten- dance au vol; il demande de l'argent aux personnes qui vien- nent visite
fant est exercé à la petite gymnaslique. Il pleure et a l'air de se demander ce qu'on lui veut. Il saisit mal les échelons e
e. Gauc... maigrit de nouveau et parait très faible. Cependant elle demande encore, par des cris, son lait, additionné de p
té le seul signe observé, du 30 juin au 8 ou 10 juillet, on peut se demander si l'enfant n'a pas eu une fièvre typhoïde (1),
intestinaux dans ses selles. A demi-gâteux, il urine sous lui, mais demande depuis l'âge de 5 ans pour aller à la selle. Il
rapport, aucune modi- fication depuis l'entrée. Cependant l'enfant demande très bien le vase lorsque ses parents viennent
qu'on lui fait faire, elle est fort capricieuse et n'obéit pas à la demande d'exécution. A cette occasion, elle se met fréque
rrivés à un RÉFLEXIONS. 255 degré très prononcé. Nous nous sommes demandé quelle était la première phase du processus pat
ions si diverses et parfois si profondes qu'ils présentent. Je me demande ce que peut faire, pour la guérison, une ouvert
lu dans un journal le récit des opérations de M. Lannelongue, il demanda l'avis de M. le Dr Petcl (de Rouen). Celui-ci lui
s paro- les spontanées étaient le plus souvent incohérentes; elle demandait à manger, « -il faire dodo », sans avoir ni faim,
cher une grande importance, et tous les petits détails que nous lui demandons n'ont jamais beaucoup attiré son attention. En
(339°,4.) Potion avec bismuth et laudanum. 1h octobre. - L'enfant demande constamment il boire, ne se plaint d'aucune sou
ception théorique, démentie parles pièces anatomiques. On peut se demander aussi ce qu'une telle opération peut avoir d'in
ommence à se tenir sur ses jambes, ne gàteplus « que : par moments, demande le vase. Il dit très bien : papa, « maman, çà y
59 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dans un train en partance pour Paris. A Provins, le contrôleur lui demanda son billet qu'il ne put pro- duire et fut remis
n, Cing... voyant, a-t-il déclaré, qu'il n'apprenait pas de métier, demanda son transfert au quartier correctionnel de Roue
que alors pour Al- ger, où il ne trouve pas à s'occuper, car on lui demande des réfé- rences et des certificats, qu'il n'a
tale. Transféré, en fé- vrier 1892, dans un asilé d'aliénés, sur la demande du médecin de la prison qui le certifiait hysté
n. Alors M. C... me piqua la tête, le front avec une épingle' et me demanda si je sentais. Je disais que non sur le front, ma
ttre au chef de quartier, que je cachais dans la terre. « Puis je demandais au Directeur une feuille de papier à lettre et
. Apres avoir pris connaissance de celte véritable confession, je demandai à Cing... quelques explications complémentaires
par vaincre la répugnance de Cing... qui consentit a ce que je lui demandais et aussitôt du fauteuil où il était assis dans
ue et dès lors je n'eus plus de raison pour lui refuser ce qu'il me demandait avec insistance, de l'occuper dans l'en- ceinte
du reste, n'acceptant pas d'observa- tions d'eux, et lorsqu'il leur demandait quelque chose, il entendait être servi de suite
ides, il eût fallu discuter la pathogénie de tous les autres et se. demander pourquoi la nature eût été assez marâtre chez C
s son rapport de 189T, au conseil général, : 11. le D'' Brousse ayant demandé que le médecin-adjoint de Maison-Blanche, fût c
e une moyenne de 300 lits; est-ce trop ? oui, pour les médecins qui demandent l'assimilation absolue des services d'aliénés à
ue les services de 200 malades, et même 150, ainsi que cela a été demandé au Congrès de Toulouse, ne sont pas moins dangere
n'est-ce pas trop se presser, et aller trop vite en besogne que de demander la démolition de' ceux qui existent ? Nous avon
'une manière accidentelle, ou ne fait qu'uriner au lit. Est-ce trop demander au personnel de ces quartiers qui, soit dit en
en bloc il l'heure actuelle. La détermination des points de détail demande de nouvelles recherches. De même que pour l'é
re mois, par exemple, après l'intervention chirurgicale, on peut se demander si l'acte opératoire a eu une réelle influence
. Mais il faut : 10 que l'internement, après avis médical : a) soit demandé pour établir l'état mental, b) soit praticable sa
que les magistrats renoncent a poser aux médecins-experts, cette demande : Ce prévenu est-il responsable ? Quel était son
euvent répondre qu'à côté de la question. Ce que la justice devrait demander aux médecins- experts, c'est de déterminer sous
nergie immense, issue des profondeurs de la vie affective et qui ne demande qu'à être canalisée dans le sens de la guérison
nce, à l'enfance, à l'adolescence et à l'âge adulte. Ce serait trop demander à un traitement que de réclamer de lui une égal
t même suivie d'effets fâcheux : on en arrive même quelquefois à se demander si le remède n'est pas pire que le mal. Une opini
usque ; il faut donc pratiquer la décliloralisatiori lente. Sur une demande de 11. Marie, : \1. Ballet ajoute que malgré la r
et de plus des signes de péritonite récente. Le juge d'instruction demandait si la mort était le fait de l'hémorragie ou de
sychiques dans la chorée dégénérative, il est donc nécessaire de se demander de quelle affection on entend parler. Il est év
pathologie mentale et la responsabilité des aliénés. M. Toulouse demande en conséquence que la Société émette un voeu en
as dans les usages de la Société d'émettre des voeux. M. TOULOUSE demande alors la nomination d'une Commission spéciale c
t été alors vraisemblablement 170 SOCIÉTÉS SAVANTES. conduit à se demander si la flexion du pied et l'extension des orteil
ussi par l'exci- tation d'autres parties du tégument. M. P. A1 me demande jusqu'où s'étend la zone active de la peau. M.
ie n'a jamais vu de troubles trophiques semblables dans le tabès et demande aux membres de la Société si quelqu'un d'entre
n ni systématisation spéciales. 174 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. JORFROY demande ce qu'a été l'évolution ; si les lésions ont co
ants, il est inutile et impossible d'interner les buveurs. L'auteur demande donc la fondation d'asiles de buveurs analogues
r de plus en plus rapide et complète. Il s'estime bientôt guéri, ne demande plus qu'à reprendre ses occupations et il sort
ou de réveiller les par- ties de son corps anesthésiées, je lui ai demandé : Sentez-vous votre corps en entier ? Non, je n
doucement les points cérébraux sans avoir prévenu ma malade. Je lui demande ce que je lui fais et ce qu'elle ressent et à m
s viscéraux ? ` ? Je percute la zone de l'estomac, par exemple ; je demande à la malade, plongée en somnambulisme, de me di
pondait avec précision aux questions qu'on lui adressait. Elle se demandait si ses attaques épileptiques avaient bien com-
n de ses amis, qui part à son travail. Quelques heures après on lui demande de prêter aide pour remonter chez lui cet ami,
ion psychique. Si les mots soulèvent ici quelque objection, nous ne demandons pas mieux que de les supprimer et de les rempla
chéance mentale rabaisse alors l'homme au niveau de l'animal. On se demande souvent, en faisant une autopsie d'aliéné tuber-
agérés durant la première période; quant aux réflexes tendineux ils demandent à être mieux étudiés qu'ils ne l'ont été jusqu'
des cas de ce genre, ils doivent être tout à fait exceptionnels. Je demande que le phé- nomène des orteils soit maintenu à
de traitement, c'est-à-dire par à peu près tout le monde. Nous qui demandons depuis dix ans la réor- ganisation de tout notr
ugée. Reprenant une excellente idée du Dr Bourneville, M. Pornain demande ensuite la création de classes spéciales annexées
tance et que cette assistance ne soit jamais refusée quand elle est demandée . Le D1' Pornain émet encore deux regrets : le p
indispensable en l'espèce, peut-être est-il prudent de ne pas trop demander d'un coup. Il sera plus facile d'obtenir gain d
s. Avec tous ceux qui se sont occupés de ce point particulier, il demande non seulement des asiles spéciaux, mais encore un
teur du ciel et de la terre ? » - « Oui, » me répondit-il. » Je lui demandai : -. « Crois-tu en Jésus-Christ son fils unique
tais de sa foi, il répond brusquement : « Tu n'as pas besoin de me demander tout cela ; je comprends tout, je comprends tout.
Il a quatre jours, dans la nuit, il se plaint du mal de gorge et demande à boire. Sa mère lui offre de l'eau de Lourdes, m
ent qu' « il n'y a pas d'hypnotisme » et à M. le Dl' Hartenberg qui demande que l'on ne « parle plus d'hypnotisme, ce mot s
nt que dans les services d'aliénés, il n'a rien vu de pareil, et se demande si des cerveaux de paralytiques généraux peuven
ogique, on de- vrait y renoncer, au moins pour l'alimentation et en demander pour cet usage a la ville de Dijon qui, certes,
de M. DAGONET, médecin à l'Asile clinique. Messieurs, Cédant à la demande qui m'en a été faite avec insistance par M. le
cadre avive encore le tableau, - qu'une pauvre malade infirme avait demandé à être portée auprès du lit mortuaire du Dr Bou
satisfait à la loi sur le 382 VARIA. recrutement de l'armée. Leur demande devra être adressée au ministre de l'intérieur,
le est agréée et s'ils sont admis à prendre part au concours. Les demandes devront être parvenues au ministère de l'intérieu
sous les mêmes conditions de nationalité, d'âge et de stage. Toute demande sera, en conséquence, accompagnée des pièces fa
et d'un rapport qui pourra être communiqué aux candidats sur leur demande . Le maximum des points sera de 10. Les points pou
citée lors de son entrée, est calme et répond avec intelligence aux demandes qui lui sont faites. C'est une femme petite, pl
aperçoit des lueurs tremblo- tantes, des étincelles, et, si on lui demande l'endroit le plus éclairé, il désigne celui où
14 juin. L... a très peu dormi ; cependant il est resté calme et demande sa liberté, se disant guéri. Le tremblement a dim
angue avec du papier roulé, après avoir fermé les yeux de 13..., il demande : « Pourquoi m'avez-vous mis de la saleté sur l
diopa- thique. Il est évident que le premier groupe, par exemple, demande à être hospitalisé. Il faut examiner encore, au p
ravaux de Hughlings Jackson sur les folies épileptiques, on peut se demander si la manie alcoolique n'est pas la conséquence
tabes, je m'informe, s'il est marié, de l'état de son conjoint, je demande à l'examiner, si cela est possible, et je suis
nt est presque toujours très fruste, qu'il echappe souvent et qu'il demande une recherche très minutieuse. Pseuclo-myome;
mécanique. Le degré de l'amélioration obtenue est tel qu'on peut se demander si, malgré la symptomatologie du début, il s'ag
où l'on se trouve d'attirer son attention. Cependant, lorsqu'on lui demande la main, il arrive à la donner sans trop d'hési
cellules pyramidales d'apparence saine 1 N'est-il pas logique de se demander enfin si la présence de ces éléments pathologiq
encore sous l'influence d'hallucinations spontanées, car si on lui demande pourquoi il fixe continuellement la fenêtre : « c
its dans son ma- gasin, il les fait voir aux personnes présentes et demande qu'on aille chercher le commissaire de police p
nouveau-né entre la durée de cette période latente et le temps que demande à s'effectuer la contraction musculaire, quand
sente un mode de sensibilité différente et sans préciser l'au- teur demande que des expériences exactes viennent déterminer
ivantes : Dans le torticolis spasmodique, deux groupes de muscles demandent il être traités : d'un côté le sterno-matoïdien,
s n'est pas très rare dans l'en- fance. Il était permis aussi de se demander si les accidents survenus chez cet enfant n'éta
toujours le droit de douter de l'exactitude du diagnostic et de se demander si on n'a pas été en présence de cas d'hystérie o
as accru, et cependant je me disposais à parcourir une carrière qui demande . des ressources pour plusieurs années. N'im- po
spéciales annexées ou non aux écoles primaires, dont M. Bourneville demande depuis si longtemps l'or- bibliographie. 541 1
seront employés d'abord aux corvées ennuyeuses, et d'eux-mêmes ils demanderont bientôt à être employés dans un atelier. Il sera
60 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ile. Naguère elle voulait toujours demeurer au lit, maintenant elle demande à se lever; elle est tou- jours gaie, cherche à
janvier 1890. 30 MÉDECINE LÉGALE. ville. Le 23 décembre 1893, il demande au D''Dubuisson une permission sous prétexte d'
t n'a pu en conséquence nous donner les renseignements que nous lui demandions , mais maintenant il est bien, il est revenu à l
ames KERR Love. (British médical journal, 24 nov. 1874.) L'auteur demande que des médecins auristes soient attachés aux i
Il propose de prohiber le mariage entre sourds-muets congénitaux et demande que les sourds-muets des institutions spéciales
it raisonnable; elle parle de ses enfants qu'elle désire revoir, et demande sa sortie. Elle est complètement transformée.
st institué à une époque plus voisine du début de la maladie. On se demande si, dans ces conditions, il ne serait pas possi
us l'influence du traite- ment thyroïdien ; on est ainsi amené à se demander si ces symptômes ne seraient pas également modi
combien la tuberculose est fréquente dans les asiles : l'auteur se demande si l'on fait bien réellement tout ce qui est né
divers, en rapport avec la conception délirante. M. Charpentier se demande s'il ne faut pas, au contraire, voir dans ce fa
2" Depuis son arrestation X... est calme et lucide; M. Vallon se demande combien de temps on devra le garder à l'asile et
s on devra le garder à l'asile et il dési- rerait, quand la famille demandera la sortie, voir la magistrature intervenir et p
n et de divorce. Pour faire face aux dépenses militaires, les États demandent in- cessamment de nouvelles ressources à l'alco
groupes comprenant deux millions de jeunes adhé- rents. AI. Robyns demande aux instituteurs publics placés sous ses ordres
informé la gendarmerie qui s'est rendue au domicile d'Ozouf et ont demandé à voir la captive. A la vue de cette malheure
ons cérébrales telle- ment diffuses ou tellement profondes qu'on se demande comment elles auraient pu donner naissance à de
ll, 1889, p. 22. ' . 106 CLINIQUE MENTALE. mais il y a lieu de se demander par quel mécanisme elles se sont produites dans
nt. L'idée même de loi, en ce qui touche le crime et les criminels, demande à être soumise à un nouvel et sérieux examen. A
guérison et la prophylaxie des maladies morales; c'est il lui qu'on demandera de faire le diagnostic diffé- rentiel des crimi
les prisons et dans les maisons de correction. 11 ne faut pas se demander si cela vaut la peine de corriger les criminels,
ngage, la musique s'apprend par imitation, mais la lecture musicale demande plus d'efforts que la lecture des mots; le musi
aralysie générale. La rareté des cas de ce genre mixte conduit à se demander s'il ne peut y avoir chez le même sujet coïncid
que l'on n'observe pas communément : il est vrai que l'on peut se demander si cette dépression constituait véritablement un
pour abaisser le second testicule dans le scrotum l'auteur, sur la demande expresse du malade, fit faire un testicule en a
e partiellement irresponsable. C'est pour ces individus-là que nous demandons des asiles-prisons. M. Charpentier. La législat
ouleurs n'ont point, à plaisir, été assombries, il est permis de se demander ce que devient le traitement individuel que réc
est l'assistant qui est chargé de rédiger lui-même les réponses aux demandes de renseignements des parents. Sa lettre est ensu
dont il est parlé ci- dessus. Enfin, la commission de surveillance demande que le prix de journée soit provisoirement fixé
départements.) A la session d'avril 1893, le conseil général avait demandé au préfet de faire une enquête qui lui permit d
ion qu'il avait posée précédemment et au sujet de laquelle il avait demandé les renseignements qu'on vient de lire. Toutes
e à laquelle devront être parvenues au Ministère de l'intérieur les demandes des candidats qui solliciteront l'autorisa- tio
des candidats qui solliciteront l'autorisa- tion de concourir. Les demandes peuvent être adressées, dès main- tenant, au Mi
bien s'orienter dans les faits des jours derniers. Lorsqu'on lui demande quel est le quantième aujourd'hui, il ne répond
ère attention à son état dangereux et sa principale pensée était de demander à fumer; quelquefois il demandait à aller à la
et sa principale pensée était de demander à fumer; quelquefois il demandait à aller à la maison « pour quelque temps en visit
ue est moins négligée. A table ne s'accoude plus. Ne fait rien sans demander la permission. Fait preuve de persévérance dans
influence sur la production des épilepsies, car on peut encore se demander si la circulation des agents toxiques dans le san
venir rapidement : le massage et les autres procédés thérapeutiques demandent trop de temps pour amener un résultat. Par cont
il fusionner avec celui de l'internat des hôpitaux ? M. Bourneville demande 1 Voir Archives de Neurologie, n° 2. '2 On a
és considèrent avec raison ces conditions comme insuffisantes : ils demandent que les candidats aient pris douze inscriptions
une ou plusieurs années, peut être accordée « par le préfet, sur la demande du directeur et du médecin en « chef ». Cette d
t susceptibles d'être investis de nouveau. pour deux années, sur la demande des médecins dans le service desquels ils serai
renaître en France le goût des études de psychiatrie 3 ? ' On s'est demandé , à diverses reprises, s'il ne conviendrait pas de
ans les pavillons des malades tranquilles. 1l. le professeur Rieger demande (loc. cit.) que ces médecins aient leur logemen
onctions, les internes qui auront passé leur thèse pourront, sur la demande de leurs chefs de service (et en cas de' besoin
ionnera dans l'une ou l'autre de ces régions, devront adresser leur demande , sur papier timbré, au ministère de l'Intérieur
vril prochain, avant cinq heures, dernier délai de rigueur. Cette demande , qui devra indiquer la région dans laquelle le
ue le nom de tétanie fût réservé à ces cas bien définis. On peut se demander si la tétanie est une affection suffisamment dis-
t-trois ans, célibataire, et exerçant la profession de peintre, qui demandait à être soigné pour une plaie siégeant à la part
e- nant du chloroforme et de l'acide cyanhydrique. L'auteur s'est demandé , vu le genre d'occupation du malade dans l'Orégon
forant au pied droit : de plus, il est rachitique et les auteurs se demandent , sans trancher la question, si le rachitisme n'
nt procès qui s'est déroulé récem- ment dans l'Illinois : une femme demandait le divorce en alléguant que depuis son mariage,
is ses devoirs conjugaux. Les juges déboutèrent cette femme de sa demande : rien ne prouve, disait le jugement, que l'impui
incipes de la justice supérieure de la loi commune et de la science demandent que, dans chaque affaire criminelle, l'état sai
mes d'amnésie coexis- tent avec la fausse mémoire. M. Charpentier demande à M. Arnaud quelle serait l'altitude de son mal
ersécuteurs, on illusion de déjà vu. ' M. BRIAND.- Quand vous lui demandez quelle va être la suite de l'événement qu'il pr
uelles.qui doit êire aug- mentée ; 3° sur le régime alimentaire qui demande à être amé- lioré ; 4° sur la nécessité de four
u de nouveau la délégation cantonale de cette question et sur notre demande M. Foubert a invité les instituteurs : ;et les
- ART. 2. Le droit d'admission au congres est fixé à 20 francs. Les demandes d'admission devront être adressées, avec le monta
moires ou communications au programme im- primé devront en faire la demande écrite'avant le 15 mai 1896, au Comité d'organi
fs. Peu après il déclara que c'était un accident, puis il finit par demander si son crime était un de ceux pour lesquels on po
cins légistes et psychologues une sorte de questionnaire où il leur demande : 1° Si le sujet hypnotisé est un agent inconsc
exemples, l'auteur montre l'absurdité de celte jurisprudence, et se demande s'il ne vaudrait pas mieux la modilier que de f
n à ses souffrances en se tuant à l'aide d'une arme à feu. Comme on demandait à sa femme, qui lui était fort dévouée et qui é
ervention dans ce cas comme une lâcheté; elle ajouta même que, à la demande de son mari, elle lui avait enlevé ses fausses
re 1894.) On sait que, d'après la loi française, la procédure d'une demande en interdiction ne comporte pas nécessairement
l'auteur sont les suivantes; elles résument son travail : La loi demande à savoir à quel moment une personne cesse d'êtr
isance du personnel qui est en général mal préparé à son rôle, il demande une réforme radicale et pose deux principes fonda
peu- vent se trouver amenés, eu présence de certains délits, à se demander si, sous les apparences d'une perversité obstinée
r l'internement tous ceux qui d'après le code civil ont le droit de demander l'interdiction d'aliénés. L'inlernement ne pour
ortait au tombeau, passa : Maugis s'approcha du vieux soldat et lui demanda quel était ce chevalier, t C'est, lui dit-il, u
plus variable et moins évident que celle du bout périphérique. Elle demande pour être reconnue, du moins dans beaucoup de c
ées d'abord, mais non dans tous les cas. En second lieu, on peut se demander , la lésion étant faite sur un point du neurone,
: « un mendiant de lavoir ., para- lysé d'un côté du corps est venu demander l'aumône; elle l'a fixé, ce que voyant, une de
ées d'un côté que de l'autre. En novembre 1888, le père de B... a demandé et obtenu son transfert de la colonie de Vauclu
61 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Y¡ ? 2' série 19Ce, '. XXII 1 2 CLINIQUE MENTALE. sive, je vous demande la permission, avant d'aborder l'étude clinique
ubérants et plus entrepre- nants que de raison. « Je me suis même demandé quelquefois, et je ne vous livre cette témérair
ustice déposséder les physiciens d'une méthode qu'ils ont créée, il demande que : l°un enseignement soit institué pour la p
x opérateurs les plus soigneux et les plus ins- truits. M. Le Dentu demande qu'on respecte les situations ac- (luises. M.
'auteur apprend à ses malades l'ecritmo avec la main renversée, qui demande presque tout l'effort aux extenseurs. Lorsque
le- vant du service pénitentiaire. Dès que vous serez saisi d'une demande de cette nature, vous devrez faire visiter l'al
en communiquant au Con- grès-quelques expériences sur ce sujet. Il demande à M, Dide s'il a eu l'occasion de rechercher da
haute compétence de M. Anglade en matière de névroglie, mais il se demande pourtant si l'im- portance de la prolifération
pas. Si elle existe, il ne faut pas cesser de la proclamer, sauf à demander en même temps une modification correspondante d
cherche vainement le n° 17 ; pondant qu'il cherche, un passant lui demande du feu, il lui en donne, et le passant dit alor
ut ce qui vient de se passer, il souffrait violemment à la tète. Il demande des journaux illustrés, lit dans l'un d'eux une h
ainte-Anne où il reste interné du 22 janvier au 2G mai 1900. Sur sa demande il est évacué sur l'asile public du Gers, son dép
et ne trouvant pas d'emploi, il se retire chez lui à la cam- pagne, demande une place do. maître répétiteur, est nommé au c
anté relative après trois ans d'une maladie hien accusée. « Vous me demandez encore : « Êtes-vous toujours tracassé par vos
ses nerveuses de forme liystéro-épileptique. Seulement on peut se demander si c'est l'embarras qui a provoqué les CONGRU
s conditions d'hygiène générale que les épileptiques, on pouvait se demander si ces derniers ne présentaient pas une résista
on. Il ratta- che les vomissements incoercibles à l'éclampsie et se demande quel est, dans cette maladie, le rôle de l'insu
fs de cliniques ou internes des hôpitaux nommés au concours. Leur demande devra être adressée au ministre de l'intérieur,qu
le est agréée et s'ils sont admis à prendre part au concours. Celle demande sera accompagnée de l'acte de naissance du post
tion des sourds-muets de Chambéry. Ce prix pourra être réduit il la demande des familles intéressées et en tenant compte de
itude cette délicate question. La prédis- position qu'est-elle ? se demande l'éminent aliéniste de Villejuif, sinon une apt
édé à un jour d'intervalle.Il est difficile, nous croyons, de mieux demander et c'est toute justice de rendre à Rush ce qui
nt se manifester simultanément, semblables si on veut lui permettre, demande l\I.Sorel,cette comparaison gros- sière, sembla
, disait-il, à force de mauvais trai- tements. Hier Madec m'avait demandé de le remettre en liberté et j'avais décidé de
ger, un stage dans un asile ou mieux, un examen spécial. M. Meeus demande , en outre, avec M. Claus, que dorénavant les mé
. nous adresser deux exemplaires de leur dernier rapport. Si nous demandons deux exemplaires c'est afin d'abréger notre tâc
'est souvent t 320 bibliographie. qu'après l'internement que la demande en séparation ou en di- vorce est introduite, e
séparation ou en di- vorce est introduite, et il me semble que ces demandes tendent à devenir assez fréquentes, notamment d
ci le pas- sage du procès-verbal de la 4° séance : ' « M. Sollikr demande {'annexion de la neurologie et de la psychiatri
ustice sans l'assistance d'un curateur spécial..Mais il a rejeté sa demande au fond. Tou- tefois le tribunal estime que l'a
. Très saisi au moment de l'accident, D ? devint tout pâle; il se demandait s'il n'avait rien de cassé : « Il ne manquerait
force de la pousser. Inquiet, il va trouver le contremaître, et lui demande un billet d'assurance, pour aller le lendemain
D ? qui allait en vain réclamer sessoins en était tout chagrin, se demandait ce que cela allait devenir, son bras faiblissan
possible d'émettre le moindre son. Il fait signe qu'il peut écrire, demande qu'on lui donne de quoi le faire. Nous fiant à
, pour se souvenir de la date de la mort de sa femme, etc. Nous lui demandons de compter jus- que 14, il y parvient difficile
: Un ami nous fait cette très intéressante com- munication nous lui demandons de répéter cette phrase, il retrouve d'abord co
et l'instant d'après, se met à rouler une cigarette. Comme nous lui demandons s'il ne fume pas son cigare, il répond qu'on ne
voyant alors le cigare qu'il a placé tout à l'heure devant lui, il demande si ce n'est à personne. ' 18 mai. Les souvenirs
e lendemain, même difficulté : nous lui montrons l'aiguille, et lui demandons de nommer l'objet. Il cherche et ne peut. Nous
et lui demandons de nommer l'objet. Il cherche et ne peut. Nous lui demandons s'il sait ce que c'est : il répond affirmativem
faisons épeler le mot, il le fait assez facilement, puis sur notre demande il en compte les syllabes. R. Trois. D. Comme
e ce que c'est. Comme on siffle ensuite : : «Au clair de la Lune il demande si ce n'est pas le même air que celui qu'on vie
D ? avait dû apprendre à écrire de la main gauche). Comme nous lui demandons alors d'écrire le mot de la main droite, il ne
ri- mée : « Un ami nous fait celle intéressante communication « demande 1 minute i/2. Il met 65 " pour déchiffrer le mo
qui je travaillais, je ne l'ai pas reconnu, et je suis encore à me demander qui c'est, son nom ne m'a rien dit. » 20 avri
route, alors qu'il connaît particulièrement bien la ville, il a dû demander son chemin ! 18 mai. Il ne se représente pas en
il présente encore un peu de cécité psy- chique, et il doit parfois demander leur nom à des personnes qu'il connaît cependan
ît cependant très bien. Agraphie. 9 avril. C'est en vain que nous demandons au malade d'écrire son nom. Il y renonce. « Je
ier D ? a fait de nombreux efforts pour parvenir à écrire; nous lui demandons alors d'écrire quelque chose; très lentement, a
étant épelée, il a mis 8 minutes pour le faire; l'l de lundi lui a demandé beaucoup de recherches, on vient de voir que mê
syllabes, mais je ne puis le prononcer ni le voir écrit. Nous lui demandons de penser à quelque chose. Il pense à une civiè
ment où D ? recommença à parler, son unique préoccupation fut de se demander ce qu'il allait devenir. Ecoutons-le : « Je pen
, il faut que je sois avec quelqu'un, qu'on me parle, ou bien je me demande ce que je vais devenir, je me dis : que je suis
auche, elle s'accroît lorsqu'il est inactif, ou réfléchit, aussi il demande à s'occuper. 17 juillet.- La céphalée persiste
e. Petite corresp on dance. -Asile d'aliénésde DU1'y-les-Amiens j demande de surveillante : Mon cher maitre, j'ai à pourv
e connaître dans ce c.i·; l'énorme extension des lésions porte à se demander , en l'absence de toute donnée, si le mode d'inc
l'an dernier et c'est aux méthodes qui y sont pra- tiquées que nous demandons chaque jour les renseignements les plus importa
rêves. « Dans un songe, la déesse Papjshurri Davi lui apparutet lui demanda sa langue. Lorsqu'il s'éveilla, il alla dans le
on la plus rigoureuse des faits trouvés expérimentalement. Onpcut demander aux mathématiques leur aide afin de débrouil- l
ature baisse un peu. 8 juillet. Aggravation, soif intense, Cott.. demande à ii8 CLINIQUE MENTALE. boire 1/4 d'heure
ed, apparaît de quatre à sept minutes après l'anesthésie cutanée et demande une anesthésie générale très complète. Dans une
tes les garanties souhaitaibles. Je v ous rappelle que lorsqu'une demande de cessation de séques- tratlon a échoué devant
le délai qui s'est écoulé entre la décision de rejet et sa nouvelle demande . Enfin, et bien que l'article 29 dela loi du 30
à Messieurs les Préfets. La présente circulaire a pour but de vous demander certains rensei- gnements et de vous donner div
qui sont des érotiques. Dans l'examen des questions de droit, Forel demande : l'éga- lité des sexes, le divorce facile, la
devoir d'honnête homme à rem- plir, en dénonçant les tarés qui lui demandent son avis pour le mariage, et qui voudraient pas
veillance dans les ? par \larcel B ? p. 312. de Dury-les-Amiens : demande de surveillante, p. 36r. - - Voir Tuberculose
62 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ts de la langue qu'elle attribue à la présence des prêtres, qu'elle demande à chaque instant qu'on la regarde sous la langue
a possèdent est son ancien professeur. Aujourd'hui elle ne cesse de demander à être exorcisée, et en attendant, elle diminue
ue et vont DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 77 Je me demande s'il ne faut pas chercher l'explica- tion de ce
ablies les connexions entre le carrefour e la couche optique. Je me demande , à ce sujet, si les anciens n'avaient pas mieux
ans la propagation de l'accès épileptique 2. » ' L. Bianchi s'est demandé naguère si tous les processus psy- chiques ont
rt curieux d'épilepsie observé par S. Venturi', il est permis de se demander quelle est l'influence de la ligature des artèr
re une forme nosologique bien définie, nous faudra-t-il admettre, demande Silvestrini, une diversité de formes entre les ac
e peu ou point du tout aux convulsions épileptiques 1. ' Seppilli demande comment, dans l'hypothèse ancienne, une irritat
été présenté. Pria; Aubanel. Le prix n'est pas accordé, mais sur la demande du rapporteur, M. COLLINE\U, une récompense de
tion, les remarques suivantes ont été échangées : "- M. Victoroff demande si on peut affirmer que la suggestion hyp- noti
s- théniques, obtenir par la suggestion une guérison radicale. Il demande , en outre, si on peut, chez des sujets réfractair
ui considèrent les états hypnotiques comme anormaux. M. Jakovenko demande à M. TOKARSKI dans quels cas l'application de l
relatif à la revision de la loi de 1838 sur les aliénés. M. Monod a demandé à cette commission d'ajourner toute décision ju
du 11) autorise le département de Loir-et-Cher, conformément à la demande du' conseil général, à emprunter une somme de 7
française. -j1. Gircourt, dit le Républicain Orléanais du 9 avril, demande au Conseil général qu'une somme de 400 franc= s
ON. Un congé, du 1er avrilau 31 oc- tabre J891, est accordé, sur sa demande et pour raisons de-santé à M. le docteur Pierre
sans aucune justification de destination, surtout quand on leur en demande une certaine quantité. 158 FAITS DIVERS. « Il
posé à Albany pour sous- traire l'asile aux exigences de la loi qui demande à l'Etat de soi- gner les aliénés pauvres. Cett
yringo- myélie. Avant de procéder à cet examen, nous pouvons nous demander dès maintenant si les commémoratifs s'accommode
s les manières, à commettre une nouvelle tenta- tive de suicide. Il demande la plus grande surveillance sous tous les rappo
nt se confondre avec le bec du corps calleux ; et il y a lieu de se demander quelle est, de ces deux parties, celle où va se
éer par suite des difficultés très grandes de diagnostic. M. Magnan demande ensuite à M. Rousset la permission d'inter- pré
a des cellules (surtout les petites) et de leur noyau. M. Pierret demande la parole. Il explique que, pour lui aussi, c'e
Archives, t. XXII. IG () 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. le D'' Ballet demande la parole pour faire observer que la discussion
stration quell. Cou- tagne veut longue, alors que M. Charpentier la demande courte, c'est là une question qui intéresse plu
, conclure à une responsabilité mitigée ou autre; il y a lieu de se demander seule- ment, en présence de cas semblables, si
égénérescence démontrant une organisation anormale; dans ces cas on demandera les circonstances atténuantes. Quant à la séque
çaise. -- - M. LAD : 1ME, bien que n'ayant pas les pouvoirs voulus, demande s'il y a lieu d'étudier l'organisation de la pr
olter environ quatre cents tubes de vaccin, dont le prix de revient demandé par un institut vaccinal est de 1 fr. à 1 fr. 5
le venait à être introduite dans les voies respiratoires. M. Vallon demande à M. Briand quelques explications complé- menta
ui éprouvent de très grandes difficultés à comprendre ce qu'on leur demande . Les hallucinations psychiques de Baillarger pe
appendice sur l'épilepsie corticale, déjà très résumé par l'auteur, demande à être lu et per- drait à l'analyse. En résum
s la méthode employée ne fait que relever l'esprit de ce livre, qui demande a être lu et relu. Charpentier. VI. Des mouveme
du 11) autorise le département de Loir-et-Cher, conformé- ment à la demande du conseil général, à emprunter une somme de ï0
insi dans chaque cas. Mais quand, après avoir écouté leur récit, on demande à ces DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS
voulu me dire comment il avait fait cette découverte. On doit se demander par quel mécanisme l'idée ambitieuse vient s'aj
e, après avoir longtemps souffert sans se plaindre, et même sans se demander pourquoi, se poserait enfin' cette question : «
as grande importance; mais les choses en vinrent au point qu'il dut demander à changer de corps. Dans son nouveau régiment
manigauces étaient le fait du lieutenant X..., de son régiment : il demanda à son colonel l'autorisation de le provoquer en
usant tout le monde de ses insuccès, déclarant hautement « qu'il ne demanderait jamais rien à sa famille », et cependant n'ayan
s officiers, et on n'avait aucun droit de le conduire ici. Il avait demandé à être mené à la diligence de La Fère, et c'est
gens qui le viepent (c'est-à-dire qui agis- sent sur sa vie); il ne demande rien à personne, etc. Observation XIII. - L...,
l'habillèrent proprement et cher- chèrent à le faire travailler. Il demanda ses papiers pour se placer et on les lui donna.
n'était pas possible aupa- ravant. Il est tranquille partout et ne demande qu'à travailler. Il présente un affaiblissement
nds mouvements du tronc. Enfin repos prolongé dans lequel le malade demande à boire. Il est 11 heures quand l'attaque prend
, résiste, cherche à mordre. Repos. Cris prolongés et plaintifs. Il demande à boire et se couche sur le côté droit. Il est
ures et quart du soir. 28. - Nous voyons sa soeur n° 5 qui vient le demander pour qu'il assiste à son mariage le lendemain.
ne. Après la dix-septième attaque le malade se réveille un peu et demande à boire. Deux minutes après avoir bu, les yeux se
. On fait sentir au malade un morceau d'enveloppe de lettre. On lui demande s'il sent, et il ré- pond « oui ». On déchire a
ite. On le reconduisit à son lit, et alors il se mit à pleurer et à demander du papier et un crayon pour écrire à son père q
elève, répare le désordre de ses vêtements et répond à ce qu'on lui demande . Puis tout à coup, après avoir fait quelques pas
mes de la folie sont essentiellement distinctes. Celles-ci en effet demandent pour se développer un ter- rain spécial et, le
nterdictions qu'il a vu prononcer à Eichberâ autorisent l'orateur à demander de substituer la curatelle à cette mesure radi-
sur la Société de palro- nage de Berlin pour les aliénés guéris et demande le concours de ceux des membres qui n'ont pas e
s ? Beaucoup le pensent, puisque l'an dernier le Congrès de Rouen a demandé qu'il fût centralisé à Paris. Moi-même, j'ai expo
te son attention sur cette question du personnel, de le supplier de demander à ses col- lègues une organisation complète qui
êter, puisque sur ce point, me séparant de tous mes collègues, j'ai demandé la substitution de l'autorité judiciaire à l'au
cellentes, si vous offrez d'emblée les quatre mille francs que vous demandez aujourd'hui de mettre quatre ans à obtenir, san
e elle et la réunion, je serais plus acharné encore que vous-même à demander la réunion. Heureuse- ment, il n'en est rien. A
udicieuse de M. Lunier, les membres du groupe, à l'una- nimité, ont demandé que, dorénavant, le règlement portât en premièr
édical et les attributions qui lui sont confiées. Eh bien ! je le demande maintenant à mes honorables adver- saires, avec
. B... se conduisit convenablement à l'asile, mais ne tarda pas à demander sa mise en liberté à l'administration préfectoral
à demander sa mise en liberté à l'administration préfectorale qui demanda son avis au médecin, à ce sujet. La question ne
'autre les élé- ments qui ne seraient fournis au médecin que sur sa demande ou éléments facultatifs. Les : éléments obligat
, neveu de la victime. Louis Lévy, à bout de ressources, était venu demander un secours Il son oncle, qui refusa. C'est alor
nctionnera dans l'une ou l'autre des régions, devront adresser leur demande , sur papier timbré, au ministère de l'intérieur
novembre prochain, avant 5 heures, dernier délai de rigueur. Cette demande , accompagnée de pièces énumérées. ci-dessus, doit
63 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
peine débarquée d'un séjour il l'Asile de Ville-Evrard, venait lui demander le moyen de retomber dans ses funestes habitude
t l'application est destinée, à le troubler ; d'aucuns même se sont demandés , si la re- cherche de la plus grande somme de j
ensuite, quittant le livre je me rappelle l'état qui me pèse, je me demande qu'est-ce qu'il se passe avec moi ! Quelle absu
sée aune autre doctoresse Elle me faisait des caute- risationset me demanda en les faisant : étais-je fille ou femme je ne
x dire que je ne l'ai jamais pratiqué. Une étudiante en médecine me demanda une fois s'il ne m'arrive pas de me trouver dan
le bras.Apri's une courte conversation des choses ordinaires, il me demande tout d'un coup si je pouvais aimerun homme qui
dire des choses précises et de les expliquer. La formule dont nous demandons le changement est celle de médecin adjoint ; si
st celle de médecin adjoint ; si, en effet, nous examinons ce que demandent tous nos collègues, nous nous trouvons en prése
n'existe pas dans les hô- pitaux et l'on peut avec juste raison se demander ce qu'il vient faire dans les asiles. Aussi ne
alysie générale sous-jacente et ses rémissions. Il est permis de se demander si' un traitement abortif de la suppura- rtion
rter mon modeste contingent aux renseignements que vous voulez bien demander à vos collègues des asiles, et c'est avec la pl
ours, et c'est fort heureux, car le concours, avec le travail qu'il demande et les hasards qui l'accompagnent, ne pourrait
ée la nuit. Depuis le 8 juin,Jleley est enfermé et les gendarmes se demandent s'ils en arriveront à bout par la patience. La
Lesvellec. Les candidats sont invités à produire à l'appui de leur demande : Il Un extrait de naissance ; 2° Un certificat d
e ou d'empêche- ment, les titulaires avec tous leurs avantages. Les demandes doivent être adressées à M. le directeur de l'A
(Haute-Vienne). Une place d'interne est vacante dans cet asile. Les demandes de nomination doivent être adressées à M. le U
isent à expliquer les symptômes présentés par le malade, on peut se demander toutefois si l'alcoolisme n'a pas joué un certa
a été possible d'en expédier qu'un par asile. Quelques-uns nous ont demandé quel avait été le sort des propositions que nou
sou- mis à la Section la proposition suivante : « La IV" section demande au Conseil supérieur de déclarer qu'il y aura u
internes : En ce qui concerne les médecins-directeurs, nous avons demandé que : « A 1'(tviiiii-, les postes de directeur
ce d'aucune lésion locale. Il guérit de nouveau.' M. Vigouroux se demande si le siège de la lésion a eu une in- fluence s
thèse de scrupule : par exem- ple un virtuose, inquiet, douleur, se demande s'il sait son mor- ceau, s'il n'aura pas d'abse
ésultats très satisfaisants. Ils sont accordés par le Préfet sur la demande du directeur à des malades en voie d'amélioration
joint avec 2 internes, 1.2fj[) ma- lades environ et cela malgré les demandes réitérées du Minis- tère de l'Intérieur, des In
e soit-il, ne pourrait certainement donner d'exemple, j'a résolu do demander iL nouveau un médecin-adjoint pour me se- conde
le service médical sans médecin-adjoint alors qu'il n'a cessé d'en demander un pen- dant son séjour ici et qu'au surplus, l
, qui dorment fout le jour. Le Congrès, ces déductions opérées, a demandé que le méde- cin eut à sa disposition 1 infirmi
périeures il 5 qu'il utilisera selon les besoins du ser- vice. Il a demandé , en outre, ce qui est très juste, que le chiffre
nt de nature hystérique. Ces phénomènes inquiètent le malade qui se demande d'où cela peut venir. Elle rumine ; son imagina
e, au logement, au chauffage, à l'éclairage et au blanchissage. Les demandes devront être adres- sées à M. le Directeur-Méde
aliser et de les trans- mettre à M. le Préfet de la Mayenne. Chaque demande devra être accompagnée des pièces suivantes : 1
ctorat en médecine, certificat de bonne ,ie et moeurs. Adresser les demandes à M. le directeur de l'Asile de Clerl11'Jl1t, a
out le monile peut s'accorder. Pourtant M. André Léri (de Paris) se demande s'il ne peut pas exister, àcûté de ce syndrome
ce que nous avons signalées. - Nous croyons donc bien que ces faits demandent LI être vérifiés - qu'à la suite des amputation
la pratique allemande. \1' Il est des sujets dont la susceptibilité demandera une accli- matation graduelleaux applications f
lle des ecchymoses, et par les stupéfiants. Mais est-ce là, je le demande , une méthode vraiment médicale. On dit que l'agi-
ivement, lors du vote du budget de l'Assistance publique nous avons demandé au Conseil municipal le renouvellement de notre
à ce point de vue, une supé- riorité réelle. Malheureusement, elle demande un effort pécu- niaire extraordinaire. Quant
dans le sang des sujets atteints de démence précoce, permet de se demander si cette invasion microbienne n'est point facilit
ariable chez le même sujet. Cette constatation ad- mise, on peut se demander si dans le cours d'une folie cycli- que, il n'e
treprise hardie, presque surhumaine, car le travail de démo- lition demandait plus de courage et d'énergie que l'oeuvre d'édi
eur juge- ment sans les surexciter. ' Chaque catégorie de malades demande en outre des soins PERSONNEL MÉDICAL. 247 par
ée la nuit. Depuis le 8 juin, Meley est enfermé et les gendarmes se demandent s'ils en arriveront à bout par la patience. La
ta son retour au Petit-Mesnil. On eut peut-être tort, car le malade demandait encore quelques mé- nagements surtout par'les t
e et la sienne propre. A l'effet de ce placement, Aime Favrel avait demandé à son beau-frère, M. Macré, de vouloir bien se
passe autour d'elle, réclame la visite de ses parents, leur écrit, demande sa sortie, etc. Tou- tefois elle conserve toujo
des méprises de ce genre que les chefs de service ont en tous lieux demandé l'organisation, dans chaque grand hôpital de sa
les et frontales, entraîne la perte de conscience. Nous devons nous demander si l'existence de ces mêmes régions entraîne fo
ime le regret de voir arrivera la fin du Congrès cette question. 11 demande à ce qu'on la renvoie à un congrès prochain. Le
alisation. 11 y a aussi la question gouvernemen- tale. Paris pourra demander au ministère, en raison des avantages si spécia
ouvelle ma protestation. Ce projet a été fait par les mêmes qui ont demandé la suppression des médecins- adjoints de la Sei
llais dire : les amis. Eh bien ! je le dis, car c'est la vérité. Je demande qu'on émette un voeu. .l. FOVE.\U de Courmelles
nts ont à proposer des récusations, ils for- ment immédiatement une demande motivée, par écrit et cache- tée, qu'ils remett
(1) Pendant bien des années,d'ailleurs sans résultat, nous avions demandé la ci-éatioii de postes de médecin-adjoint (litre
U DES médecins-adjoints. 311 Ouant à l'intérêt de la science, je me demande ce qu'il peut bien venir faire ici après une pr
ernières années par rapport aux types purs qu'on est en droit de se demander si ceux-ci ne sont pas l'exception. En effet, d
ative et peut- être en même temps destructive. Est-ce donc là, se demandent les auteurs, un type exception- nel et irréduct
ans sa séance du 21 août, sur le rapport de M. Ogier, a repoussé-la demande de création d'un poste de mé- decin adjoint à l
ins de goût au travail. Il devient niais dans ses conversations. Il demande aux infirmières : « Voulez-vous être mon père,
son internement seulement, elle était déjà malade et alitée : elle demandait la mort et prétendait n'avoir besoin ni de boir
tal, la « Schvvaechozustande », si bien que l'on est en droit de se demander si le terme de dé- mence convient bien pour dés
atoire sur les ce ? veaux de parai) tiques généraux. lI. Raymond se demande Po,. 1 ? - Elélllellh de l'iulillrat méningé, p
x ) InpltÎ- mes terminaux présentés par le malade. Les auteurs se demandent iL quoi l'on doit rallarllUl' celle thrombose ;
à cet effet. Les Candidats absents de Paris ou empêchés pourront demander leur inscription par lettre chargée. Toute dema
chés pourront demander leur inscription par lettre chargée. Toute demande d'inscription faite après l'époque fixée pourla
ents onL à proposer des récusations, ils forment imniédialemenl une demande motivée, ])(11' Í'cl,i¡- 1'1 cachetée, qu'ils r
inistration. Si, cinq jours après le tirage au sort du Jury, aucune demande n'a été déposée, le Jury, est définitin)l11ent
édecine est actuellement xacant a l'asile d'aliénés de Xaugoal. Les demandes de nomination doivent être adro-sérs au médecin
esvellec. Les candidats sonl invi- tés à produire à l'appui de leur demande : 1° Un extrait de naissance ; 2° un ct'I'lilic
nce nu d'empêchement, les titulaires avec tous leurs avantages. Les demandes doivent êlre adressées il ;\1. le directeur de l'
tion plus régulière, plus diffuse des phénomènes d'oedème, et il se demande si l'inflammation qui se passe dans le voisinag
nerveux même. Si on admet cette hypothèse pour ces cas, on peut se demander si l'élément toxique ne joue pas également un c
ue Jl. (. li., ù;;n d'une trentaine d'années, épilep- lique, nous a demandé notre avis. Tout en déconseillant le, ma- riage
64 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
de juillet, M. Peyron, directeur de l'Assistance publique, nous a demandé de lui faire connaître les arguments sur lesque
é de lui faire connaître les arguments sur lesquels se fondaitnotre demande . Quelques jours après, nous lui avons adressé l
avez eu l'obligeance, dont je vous sais infiniment gré, de me faire demander un exposé des raisons qui plaident en faveur de
ice des aliénés. Reste la possibilité. A vous de voir si vous devez demander le tout ou une partie. Veuillez agréer, etc.
de faire passer une dépense. Une personne étrangère au Conseil vint demander à M. Navarre de rapporter d'urgence un rapport.
M. Navarre de rapporter d'urgence un rapport... M. STRAUSS. - Je demande la parole sur cet incident. Dites le nom , M. D
). M. Navarre, rap ? Vous savez fort bien, M. Després, que ce que demandait M. Bourneville n'a pas été réalisé. M. Strauss.
oyens, nous avons commis le crime d'aller à l'Hôte1-dc- Ville et de demander à nos amis d'insister auprès de M Navarre, secr
887, par lequel M. le Préfet de la Seine lui soumet, pour avis, une demande de M. le directeur do l'Assistance publique ten
ants était de 130, qu'il y avait à l'Administration de nombreuses demandes que devait connaître M. Brelet et que leCon- se
demandes que devait connaître M. Brelet et que leCon- seil avait demandé une section pour 200 enfants au moins, afin de
n de 1882 et en nous mettant d'accord avec M. le préfet Oustry pour demander au (1) Compte rendu du service des Epileptiques
. . Une des sollicitudes de chaque jour du gouvernement est de se demander si cette assistance, qui date de '17S\J, a été su
t développée. Pour cela, il faut un effort, et cet ef- fort nous le demanderons aux départements, aux conseils gé- néraux, aux
ux causes de la chorée, M. Bastion, à qui est due l'observation, se demande si elles tiennent aux accès plus fré- quents d'
mi-minute après environ il s'assied sur le rebord en pierre et à la demande de ce qu'il a eu, il répond qu'il n'en sait rie
à son ouvrage. - Parfois, pendant les mouvements de trépidation, il demande son couteau pour s'ouvrir le ventre et dit : «
journellement coupable. » Voici les renseignements fournis sur ma demande par le médecin traitant : " Elle est née de pèr
ont il va faire usage. Il a tout à fait l'air d'un dément. Quand il demande quelque chose, par exemple à manger, il est trè
exemple à manger, il est très tenace, et réitère plusieurs fois sa demande . Il ne refuse jamais de faire ce qu'on lui ordo
essive- ment jusqu'à 36,8. - Le 17 et jours suivants, le malade a demandé à aller à l'école, ou chez ses parents, le tout e
'une voix criarde et en gesticulant vivement sa maladie au médecin, demandait à ne plus suivre de traitement « pour se cherch
t écrire et qu'il ne répond que très diffici- lement à ce qu'on lui demande . 12 juillet. - Maisonh... peut se tenir sur ses
ue, il semble- rait Ék priori qu'il y ait lieu, ajuste titre, de se demander si les accès n'auraient pas quelque rapport dir
tes- ticulaires. Dans l'immense majorité des cas, on peut même se demander s'il y a anorchidie véritable, ou simplement cr
lt; On se représente facilement la somme de travail que cela a dû demander . - Un assez grand nombre de dessins que nous re
qu'il était, il devenait paresseux pour s'habiller. Il fallait lui demander vingt fois le plus petit service d'intérieur av
à coup il se leva de table et prit son paletot. « Où vas-tu ? lui demanda son père ? » « Moi je ne couche pas ici, répondit
Il s'é- tait vivement préoccupé de cette suspicion et sa mère se demande si elle n'aurait pas été cause de la maladie ac-
ir j'allai trouver mon cousin D..., faubourg Saint- Denis, pour lui demander un logement ; pour plus de sûreté mon cousin vo
eté mon cousin voulut m'accompagner chez mes parents pour leur en demander l'autorisation. Ils acceptèrent à la condition
dre mon retour à Paris. En le priant de vous infor- mer que je vous demanderais une audience et qu'avant vous feriez prendre à
eur, ci-joint, vous mettra les preuves en mains. Je viens donc vous demander une audience, de comparaître afin de me faire r
e chez eux. J'ose espérer, Monsieur, que vous daignerez agréer ma demande , et que vous réserverez bon accueil à ma plainte
ou toute confusion. Espérant que vous réserverez bon accueil à ma demande , veuillez agréer, Monsieur le Préfet, toute l'a
veille, il écrit : a Il paraît que j'ai de l'argent ici, mais je demande à l'avoir. On veut me le voler, à ce que l'on me
fr. », disant : « M. le Docteur me les a apportés. » Quand on lui demande qui est-ce qui a voulu voler son argent, il répon
son argent, il répond : « On dit ça dans la cour », et quand on lui demande quels sont les enfants qui le lui disent, il ré
ne va pas en promenade. Il paraît que j'ai de l'argent ici, mais je demande à l'avoir. On veut me le voler à ce qu'on répon
cultés qui se présentent je n'ai pu le faire. Si vous voulez que je demande uno permission écrivez-moi par retourdu courrie
e. Alors vous m'apporterez mes effets le matin et je sortirai. Ou demandez -la dimanche. Je voudrais bien aussi un carnet et
menter la nuit. Il travaille bien à l'école, mais de temps en temps demande à cesser son travail parce que ça le fatigue et
l n'est pas com- municatif, ne joue pas avec les autres, et le soir demande de monter à l'infirmerie sous prétexte que le g
rre et prie. Il cause sans suite avec les infirmiers.- Quand on lui demande s'il y a encore des incorporations, il rit et d
65 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
r apprendre; dès que j'entre dans la classe, ses yeux et ses mains me demandent instamment de le prendre près de moi. Il est en
trompeuse en ce sens que les per-sonnes qui ne les connaissent pas se demandent pour- (1) Note de M1»- Bonnet. (2) A différen
par notre maitre M. Delasiauvc. Il y a quelques années, nous avons demandé à M"" Bonnet de l'expérimenter à son tour. « Nous
l'espérer. Belth... écoute attentivement les leçons qui sont faites, demande des explications quand il ne croit pas avoir suff
rochainement on 1™ classe (cours moyen de l'école) quand sa famille a demandé et obtenu pour lui, vu son état, un congé d'essai
r, avait la haute direction des classes. Après son départ, nous avons demandé que cette direction fut confiée à M. Mesnard, qui
d'avantages semblables. Loin de nous aidera mieux faire, ils auraient demandé volontiers la réduction de nos moyens d'action. A
ablissements ordinaires de la ville, sont inexpé-rimentés, nous avons demandé à l'Administration de nous envoyer les doucheurs
és, c'est qu'ils ont des permissions de sorties et des congés, sur la demande des familles, à toutes les époques de l'année, qu
e, à leur enseignement et à l'entretien de leur section. Nous avons demandé maintes fois à l'Administration de nous donner de
lades sortis de la section, MOTS. SORTIES. Entrées Décès. sur demande . par transfert. par évasion. par passade au
tificat devant aider à leur exemption du service militaire; — 49 pour demandes d'emploi ou de placement clans les hospices : inf
mastique très bien. Elle est devenue tout à fait propre le jour, elle demande on ces termes : «maman j'ai envie et va sur les c
ns de lenteur et s'expri-mait avec facilité, répondait à ce qu'on lui demandait , commençait à sTiabiller et à se déshabiller seul
ste en disant: mes couliers. Il en était ainsi pour tout ce qu'elle demandait . Vu sa paralysie, la marche était nulle, elle ne
sait tenir une petite conversation; répond directement à ce qu'on lui demande . Elle marche bien, tout en traînant sa jambe mala
e et la Commission de surveillance ont reconnu la légitimité de notre demande , déjà renouvelée plusieurs fois, et l'ont signalé
bien à la discipline et travaillent avec moins (l'ardeur. Nous avons demandé maintes fois, sans résultats, à l'Administration
aissions les anomalies de la dentition chez les idiots que nous avons demandé la nomination d'un dentiste à Bicôtre et à la Sal
utorisées pressent l'Etat de remplir ses obligations(l). Ce qu'on lui demande , ce n'est pas de supprimer ou de sup-planter l'in
le de la Solidarité sociale (1904) que nous venons de citer, l'auteur demande qu'on s'occupe des enfants arriérés pour lesquels
née en année, puis de deux en deux ans, les progrès réalisés, on se demande ce qui l'em-porte ; l'admiration ou le respect.
d'Afrique, libéré après 3 ans, ancien pensionnaire du service, vient demander une place d'infirmier. — Le maître fait chercher
d'anciens pensionnaires, de parents ou d'amis de ces derniers, venant demander un avis, un con-seil, un encouragement dans une s
ommage à cette œuvre de patience et d'amour social, nous pouvons nous demander ce qui l'emporte, le respect du travailleur infat
supé-rieur de l'assistance publique, nous en avons profité pour leur demander quel était le chiffre des enfants idiots et épile
t s i n t e r n é s . Quand il y en a, et suivant les c a s , on a demandé le placement à l'hospice de Chambéry. Seine I
Il n'existe pas de q u a r t i e r d'enfants. — Quart i e r spécial demandé . Tarn (Albi) 6 2 2 1 11 Balnéation et trava
e leur donner des habiiudcs de propreté do politesse. J ' a v a i s demandé la construction d'un pavillon spécial pour enfa
on stage à Bicêtre, elle y est retournée plusieurs fois, à ses frais, demander des conseils a M. le Dr Bourneville. Pour compl
dico-pédagogique, à Vitry, nous recevons annuellement une centaine de demandes . Ils échappent à une statistique un peu sérieuse.
moins de goût au travail. Il devient niais dans ses conversations. Il demande aux infirmières : « Voulez-vous être mon père, di
e-mère dont l'ouverture est remise, s'il y a lieu à plus tard, sur la demande du Dr Brissaud, qui avait conseillé l'interventio
la mort quinze jours plus tard prouvent combien nous avions raison de demander qu'un examen minutieux soit fait avant l'envoi de
érence la viande, les œufs, le riz et les légumes. Elle gâte la nuit, demande à aller aux cabinets le jour. Commence à s'habill
rhée n'a pas diminué. L'enfant repose bien et ne se réveille que pour demander à boire. Elle rend le lait caillé. Le soir du 29,
66 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ollicitant vivement une reponse, que le trouble s'accuse. Si on lui demande brusquement le nom d'un objet, on le voit tout
-ci sont plus marqués à certains moments. 28. Le malade sort sur sa demande . Nous l'avons retrouvé à l'hôpital Necker en se
. Nous citerons à ce propos l'observation de Cab... « Si « on lui demande brusquement le nom d'un objet, « on le voit tou
nous arrêter. Quoiqu'il s'agisse d'un type bien différent, je vous demanderai la permission de rapprocher de cette femme une
an d'Hector Malot, Mère, traduit en une scène piquante, que je vous demande la permission de vous lire, les nécessités impé
fiant : « Les malades « (p. 871) sont irrésistiblement poussés à se demander la raison « de choses tout à fait vulgaires : p
- ment et sans cause, sans chercher à justifier ou à expliquer sa demande , elle a exigé sa sortie. Le seul intérêt de ce ca
matif's de la théorie de Ferrier) ont déjà été publiés, l'auteur se demande en terminant si des mensura- tions rigoureuses,
à laquelle devront être parvenues au mi- nistère de l'Intérieur les demandes des candidats qui solliciteront l'autorisation
Français et docteurs d'une des facultés de médecine de l'Etat. Leur demande devra être adressée au ministre de l'Intérieur,
nciens internes des hôpitaux, la limite d'âge maxima peut-être, sur demandes et par décisions individuelles, reculée jusqu'à
qui auraient plus de trente-deux ans à la date du concours. Toute demande sera en conséquence accompagnée des pièces fais
bjet d'un rapport qui pourra être communiqué aux candidats sur leur demande . Le maximum des points sera de 10. Les points p
ue et ne réalise en aucune façon un véritable isolement. Nous avons demandé souvent la démolition de la Sûreté. La révolte
ue Il. le D' Deny lui avait pro- mise récemment, à bref délai, vint demander au directeur, de la part de Jol..., après l'arr
sposition légale, le nombre des médecins a rapidement augmenté; les demandes des diplômes les plus excentriques se sont mult
'hypnotisme. Le ministre de la justice a accueilli favorablement la demande de l'Académie et a déposé dernièrement, sur le bu
çon de M. le Pr Bernheim (de Nancy), devant t A. Dumas, etc.). Il a demandé quelles mesures l'administration il prendra pou
plus ingé- nieuse et plus séduisante au premier abord. Mais elle demanderait à être vérifiée par l'anatomie patholo- gique,
tique. , SUR UNE COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. 185 On pourrait se demander pourquoi nous concluons chez cet homme à la nat
l'acte devient impossible. Il en est de même pour le pied; si l'on demande au malade étendu dans son lit, de diriger de la
sence d'une symptomatologie fixe et permanente, doit-on toujours se demander si c'est vrai- ment la névrose pure, isolée, qu
in nombre de faits observés chez des gens âgés, il est permis de se demander s'il n'y a pas eu entre l'apparition des accide
connu, mais d'une pa- ralysie par altération des nerfs. Même, il se demande si, pour expliquer cette distribution unilatéra
autres formes de paralysies reconnaissent la même cause. On peut se demander si la congestion cérébrale, symptôme si fréquen
r le Conseil général. M. Brunet (d'Evreux) lit un travail tendant à demander la créa- - tioaz d'asiles spéciaux pour les ali
re menés par la crainte. Pour ceux-là, les quartiers spéciaux qu'il demande mettraient précisément en jeu ce senti- ment de
tre impossible; en tous cas, ce n'est pas une raison pour ne pas la demander si on la croit bonne. On procède alors au vote
e M. Séglas sont adoptées. Prix Belhomme. - M. LEGRAIN, rapporteur, demande qu'une ré- compense de 600 francs soit accordée
des visites et je profite de la com- munication de M. Marandon pour demander à la Société d'affir- mer la solidarité médical
comprend rien à tout ce qui se passe, trouve que cela dure trop et demande qu'on la tue. - Sortie à ce moment, reprise par
e à laquelle devront être parvenues au ministère de i'intérieur les demandes des candidats qui solliciteront l'autorisa- tio
ançais et docteurs d'une des facultés de médecine de l'Etat. Leur demande devra être adressée au ministre de l'intérieur,
nciens internes des hôpitaux, la limite d'âge maxima peut être, sur demandes et par décisions individuelles, reculée jusqu'à
qui auraient plus de trente-deux ans à la date du con- cours. Toute demande sera en conséquence accompagnée des pièces fais
bjet d'un rapport qui pourra êrte communiqné aux candidats sur leur demande . Le maximum des points sera de 10. Les points p
énés de Bron (Rhône), en remplacement de M. LE Bègue, admis, sur sa demande , à faire valoir ses droits à la retraite et nom
igures de scotome que l'on a publiées jusqu'à présent. On doit se demander s'il peut se développer une véritable hémianops
lidarité fonctionnelle, je ne fais que l'entreprendre. Comme cela demandera un certain temps, je n'ai pas cru devoir différ
ant de 346 ANATOMIE. consacrer une exception aussi singulière, je demande aux anatomistes s'il n'est pas plus rationnel d
douleurs, avoir des jarretières qui lui serraient les jambes; elle demandait qu'on les descende, qu'on délie ses bottines. «
coup de ce qu'é- tait devenue sa mère, morte depuis longtemps. Elle demandait où elle était, si elle allait rentrer. Eu même
amenait, elle le recon- naissait bien pour être son fils, mais elle demandait l'autre petit Henri, car elle ne le croyait pas
it; on venait de le lui donner qu'elle ne s'en souvenait plus et le demandait de nou- veau. - « Malgré cela, dit le mari, ell
hôpital 390 CLINIQUE MENTALE. Tenon. Là, elle s'ennuyait beaucoup demandait toujours à rentrer chez elle, prétendait qu'ell
même dans son cercueil, sa mère vient la chercher et lui cause, lui demande si elle a bien souffert et lui dit : « Viens pr
dit-elle. » Dans la journée, quand elle se désole de son état, elle demande mentalement à sa mère pourquoi elle est ainsi a
e elle faisait un jour une erreur de date pour un fait que nous lui demandions , nous la faisons consulter son papier pour lui
es arrêter (masséters quand les mâchoires sont fermées). Quel temps demande cette interrup- tion directe vraie, d'une contr
'influence de la volonté ? En étudiant comparativement le temps que demande la contrac- tion volontaire du masséter et celu
ps que demande la contrac- tion volontaire du masséter et celui que demande l'interrup- tion volontaire de cette contractio
i a eu lieu au mois d'août dernier au Conseil général. M. du Reau demande que les idiots soient reçus à l'asile, mais dan
-directeur de l'asile de Saint-Yon une lettre dans laquelle il nous demande de lui procurer des institutrices ayant une ins
nctionnera dans l'une ou l'autre des régions, devront adresser leur demande , sur papier timbré, au Ministère de l'Intérieur
vembre prochain, avant cinq heures, dernier délai de rigueur. Cette demande , qui devra indiquer la région dans laquelle le
é G..., me prenant par le bras droit, m'interpella vivement pour me demander sa sortie; j'avais à peine pu prononcer un mot
e médecin reste placé sous les ordres d'un administrateur ( ! ), il demande que le médecin rerte un homme d'études, au lieu d
la distribution de l'eau dans l'intérieur des constructions seront demandés , et les administra- teurs auront la direction d
it de nos lecteurs. L'importance du sujet suffirait à justifier les demandes des commissaires des asiles, de- mandant aux di
même établissement, en rem placement du Dr Max-Simon, admis sur sa demande à faire valoir ses droits à la retraite, est com-
67 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
peu ou pas par les clairs soleils et durant le fort de l'été, elle demande , sans oser dire pourquoi, à être mise en pensio
avec une poudre blanche imperceptible, comme les femmes. Un autre demande à être délivré de son obsession par la sugges-
assez abondamment. Le lendemain, le malade se sent mieux, mais il demande déjà une saignée plus forte, et, peu de jours apr
A... est inquiet; il trouve que l'effet produit laisse à désirer et demande la ligature de l'autre côté. Il redevient obséd
cun changement dans ma mala- die. J'ouvre une parenthèse. Vous me demandez mon état d'esprit lors da ma première communion
l'année aussi bign l'hiver que l'été. Tous les médecins à qui j'ai demandé la cause de cette variation de la quantité d'ur
importe qui ou quoi. Je ne peux plus faire la moindre chose sans me demander immédiatement : « A quoi boit ? » - Il pourrait
l et le dragon », le premier tend à avoir le dessus et le malade se demande si grâce au puissant saint qui le hante, il ne
pression, ni la pensée ne viennent de moi. Quand c'est écrit, je me demande comment j'ai pu le faire, ce qui m'arrive souvent
, il attri- buait même son attaque à son dernier lavage. L'auteurse demande avec Jaccoud si l'on ne doit pas en outre des t
a société d'une Etude médico-psychologique sur E. Zola. M. GARmER demande si, dans le cas où M. Toulouse aurait ren- cont
é la curiosité scienti- fique à la tranquillité du malade. Sur la demande de M. CHRISTIAN la question posée par M. Garnier
u d'affections intercurrentes et surtout de pulmonaires. On doit se demander si le marasme constitue une complication ou une
1° lorsque le malade est guéri ; 2° lorsque son conseil judiciaire demande sa mise en liberté. Si le malade a été interné à
iaire demande sa mise en liberté. Si le malade a été interné à la demande des autorités de police, l'élargissement ne peut
u'avec l'assenti- ment de la police si le malade a été interné à la demande de celle- ci. Passé ce délai de quinze jours, l
1. Le direc- teur d'un asile privé ne peut accepter des malades qui demandent de leur plein gré à être internés qu'avec l'ass
e qui concerne le soin des malades; 5° il répond aux renseignements demandés par les diverses auto- rités ou par les -parent
s de l'établissement qui sont tenus de fournir les renseignements demandés . § 22. Le « physicus » ou son remplaçant doit r
surveillant en chef et le chef de quartier. Nous étions huit à nous demander si ce n'était pas compro- mettre à tout jamais
isser l'entière responsabilite. Les diverses modifications que nous demandons en matière de visites au règlement de 1857 qui,
cette liberté-là comme de toutes les autres que des avantages. Je demande donc que la lacune du règlement soit comblée et
le cas de toute autre prescription médicale. Comme on voit, nous demandons six choses. En premier lieu la latitude de lais
t proto- plasmiques, soit nerveux, des cellules nerveuses, Forel se demande pourquoi l'on continuait à parler de ganglions
CIÉTÉS savantes. ration, multiplicité, aspect terrifiant, etc.), se demandent si, pour expliquer leur pathogénie on ne doit p
ors chargés de cet examen ; ils déclarent l'accusé irresponsable et demandent qu'il soit placé dans un asile. Le même médecin
une prison » et non dans un asile; mais il le croit dangereux et ne demande pas sa sortie pour cette raison. L'individu res
e en liberté. Ce cas paraît intéressant en ce sens que l'on peut se demander : 1° si un médecin aliéniste doit, ou peut, se
dernier nous n'avons pas cru devoir nous montrer favorables à deux demandes de congé faites par deux internes de nos asiles
deux demandes de congé faites par deux internes de nos asiles. Ces demandes , que ne motivait aucune raison de famille, n'av
stance publique auxquels ils sont attachés. L'administration nous a demandé à ce sujet s'il n'y aurait pas lieu, à notre av
maison nationale de Cha- renton et la maison de Saint-Lazare. Nous demandons que cette incompatibilité soit bien spécifiée d
ize inscriptions. Or, dans la pratique, on a été amené à ne plus en demander que huit. Dès lors, les jeunes gens admis comme
en de ne jamais ter- miner leurs études. Sur ce second point, je ne demande pas qu'il soit ajouté quoi que ce soit à l'arrê
ande pas qu'il soit ajouté quoi que ce soit à l'arrêté de 1880 ; je demande seule- ment un retour à son application rigoure
ganique du 20 mars 1880 en ce qu'il exigeait seize inscriptions; et demande que ces modifications à l'état de choses actuel
evraient l'être dans tous sans exception. Asile DE Saint- Ylié. - Demande d'interne : une place d'interne (division des h
es) est vacante dans cet asile. Les candidats doivent adresser leur demande au directeur de l'établissement. Avantages, 800
cause de la difficulté insurmontable de lui faire comprendre les demandes qu'on lui dirigeait. Peut-être que s'il se traita
vec mes ongles et jeter la tête contre les arbres de la cour.» Elle demande des médicaments pour paralyser l'Invisible. A l
çait son pouce. Pas d'onanisme. Quoique colère, il avait bon coeur, demandait volontiers pardon, n'était pas vindicatif, part
, très confiant dans le résultat de l'éducation de- l'enfant opéré, demandait qu'on atten- dît un temps assez long avant de j
ils ne l'étaient réellement ; l'auteur partage cette opinion, et se demande si les premiers brillants résultats ne sont pas
érations ayant pour but de remédier à l'épilepsie réflexe, l'auteur demande seulement qu'on veuille bien ne pas perdre de v
exemple on lui suggère qu'il y a une souris sur la table, et on lui demande s'il la voit; il répond que oui et parle d'elle
er que les maladies mentales peuvent ètre plus ou moins accusées et demande si les aliénistes consi- dèrent comme irrespons
une maladie mentale, celle-ci fût-elle peu accentuée. M. Boehmert demande si par exemple un quérulant peut-être condamné
spécifiât ce point. M. BOEHMERT est également de cet avis, mais il demande que le placement du buveur dans un asile spécia
devant être plus rarement invoquée qu'il ne le faisait jadis. Il demande si les préparations de M. Jores ont été colorées
é envoyé, hier, au Dépôt. Ce vaurien, qui lassait par de fréquentes demandes d'argent ses parents qui demeurent rue Haxo, s'
heures, accompagné de cinq individus de sa trempe, Gaston Marchand demanda de nouveau de l'argent à son père qui refusa. I
eux oreilles. Avant d'abandonner ce svn- drome il reste encore à se demander l'explication de ces pico- tements observés dan
à son siège premier, dès le début.-Cette question revient donc à se demander où débutent les lésions du tabes. Sans insister
sont déjà entourés d'épaisses gaines de myéline ; à quoi servirait, demande Weigert, une autre couche isolante de névroglie ?
nds saints ; et, à propos des signes de dégénérescence, M. Maudsley demande ironiquement si les enthousiastes qui auraient
en balance et l'observation médicale de l'inculpé établie, comme le demandent les partisans de l'anthro- pologie criminelle i
dans l'avenir, le compte-rendu des travaux du Congrès. Toutes les demandes de renseignements doivent être adressées au secré
du système nerveux. Mais le montage d'une grande quantité de coupes demande beaucoup de temps et de lames de verre. L'auteu
lle les signes de dégénérescence sont signalés, il y a souvent à se demander si, dans un cas donné, les particularités signa
s irrégularités fonctionnelles, qui sont communes chez les aliénés, demandent , pour les motifs qui viennent d'être indi- qués
sa passion s'est réveillée plus forte que jamais ; en même temps il demande un peu ironiquement, semble-t-il, au DI' Talbot
agnostic; par M. SCH : 11·FENBUBG (Heidelberg). ' Pour répoudre aux demandes des familles de nos malades qui réclament de no
de nature pathologique et entraîner l'irresponsabilité. M. STARK demande si M. Siemerling a observé, à la Charilé, que l
l'économe, en payant aux infirmiers leurs appointements mensuels, demande à chacun d'eux, chaque mois, combien il a l'inten
es plans ont été soumis à M. le Dr Briand, qui les approuve, et n'y demande pas d'autres change- ments que la substitution
Ainsi que nous vous l'avons dit en commençant, l'architecte, sur la demande du Conseil général, qui a tenu à conserver l'unif
Peut-être le renseignement existe-t-il dans le programme qui a été demandé à M. Briand. Nous ne saurions nous prononcer, ce
comme primordial, et, selon moi, il est engagé dans la question. Je demande que l'on s'en tienne aux conditions fondamental
fesseur Raymond, et à propos de laquelle le savant professeur s'est demandé si l'infection congénitale n'avait pas joué un
aits sont vraiment très rares, si rares que l'on est en droit de se demander s'ils ne sont pas sous la dépendance de quelque
'ordre donné : il s'aperçoit alors qu'il n'a pas écrit ce qu'on lui demandait ; il recommence et écrit les mêmes mots, s'en aper
68 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pensons qu'il y a chose magique dans cette affaire. Enfin mon chéri demandes la permission de L'habiller... et qu'il ne le d
mon chéri demandes la permission de L'habiller... et qu'il ne le demande rien tu es l'homme... « Enfin dis au docteur qu
ble; c'est bien fait pour toi, tu as commis un crime en venant ici, demande un laisser passer à ce Monsieur qui vient te vo
pt de nos 108 sujets ont eu un délire génital intense. Certes si on demande à un paralytique général à forme* expansive, qu
a maladie. Un dernier rapport est à rechercher. Il convient de se demander si les causes qui ont déterminé la paralysie géné
d, existe-t-il quelque relation entre l'anatomie et la psychologie, demande Edinger ? On a souvent tenté de suivre, en une
s (crampe des écrivains associée à un torticolis, etc.). M. IEIGE demande qu'on ne confonde pas spasme fonctionnel avec s
isté d'ailleurs sur les raisons qui nous ont engagé à recourir à la demande des familles et aussi sur les motifs qui pousse
ors de cette chirurgie qui pour n'être pas d'une extrême urgence ne demande pas moins à être prati- quée dans le délai le p
et aux 92 clinique nerveuse. dominos,etc... » et plus loin : « Je demande ma sortie pour cher- cher du travail pour conte
1900.) 94 -il CLINIQUE NERVEUSE. réveillés; mais on peut aussi se demander si cet oubli appa- rent de certaines acquisitio
. Les animaux inférieurs connaissent-ils la douleur ? Edinger se le demande , après avoir rappelé les expériences de Norman
'auteur s'occupe de la méthode des recherches psychophysiques et se demande ce qu'elle obtient, ce qu'elle espère obtenir, et
constatée, mais chez les malades sachant écrire, et à qui . l'on a demandé leur signature, on a constaté dans l'écriture un
s. Cependant l'atrophie musculaire et les modifications électriques demandent un certain temps pour se développer, et dans la
compliqué, comme elle l'avoue ingénuement d'elle-même, quand on lui demande de l'expli- quer ; si, par exemple, on lui mont
e. IV. Les modifications en rapport' avec l'appareil visuel, nous demandent des considérations un peu plus étendues. a). «
eter de gauche : « celui-là est plus petit», dit-elle. Et si on lui demande ce qu'elle voit, elle répond alors sans hési- t
. entre dans le bureau, un certain appartement déter- miné, elle -e demande avec anxiété, s'il n'y a pas une «, soupape» »
e de son état, convient de l'état maladif, de ses hallucinations et demande à ce qu'on l'en .guérisse. Ces hallucinations
des réponses plus lentes, moins justes. A ce mo- ment, si nous lui demandons ce qu'elle ressent, elle nous décrit parfaiteme
ogique a été décrite en Allemagne et dans laquelle nous devons nous demander , si notre cas ne devrait pas être placé. C'es
es réponses les plus exactes, quand on met entre l'impression et la demande un intervalle de quinze à vingt secondes ; si l
ssez ancien.pour que nous soyons, dès maintenant, en droit, de nous demander s'il a répondu aux espérances qu'avaient con- ç
miter Sparte; et ce n'est pas aux pouvoirs publics que nous avons à demander les moyens directs, de prévenir l'influence néf
'administration de perchlorure de fer. M. DOUTRF,13ErÇTE (de Blois) demande à M. Bourneville si ses ma- lades n'étaient pas
syphilis, ni alcoolisme. Porteur d'un kyste dermoïde du sourcil, il demande à en être débarrassé. Il est chloroformisé le 1
nement, soit à la mise en liberté par non-lieu. Enfin, M. Oudard se demande si l'auto-accusateur, une fois reconnu aliéné,
l'asile de Saint-Pons. Sur le quai de la gare, le malheureux dément demanda à man- ger. On crut sa crise calmée, et on lui
lu de la théorie des neurones et de l'avenir qu'elle nous ouvre, se demande si la rupture des rapports anato- miques récipr
, et l'hystérie des symptômes, dans tous les organes. L'auteur se demande d'abord ce qu'il faut entendre par hystérie : cel
coolisme et syphilis. Nous ne vous lirons pas ces tableaux, nous ne demandons pas non plus leur reproduction dans les comptes
retenue pour aider à l'action du régime, sans oublier ce qu'on doit demander de services auxiliaires aux agents physiques et
it un peu sustenté, il détalait prestement, sans bien entendu avoir demandé l'addition. Il avait ainsi parcouru tout un arr
ropathique du phénomène et on serait alors peut-être en droit de se demander si les malades de Michelson et d'Axen- feld éta
n'avons plus aucun buveur à soigner, car, depuis z1897, nous avons demandé et obtenu la division de notre service qui étai
s violente que les autres a déterminé l'administration municipale à demander son admis- sion dans un asile d'aliénés. Depuis
s », par ceux d' « infirmiers el d'infirmières » ? M. Doutrebente demande qu'elle dénomination servira à dési- gner les a
a-t-il lieu de créer des infirmiers dits de visite ? M. Doutrebente demande ce que sera l'infirmier de visite. M. TAGUET lu
médecins et plus conscient de ses devoirs à l'égard des malades. Il demande , en conséquence, l'obligation du diplôme pour t
este, avoir lieu qu'avec l'assentiment du médecin. , M. Drouineau demande que l'on précise ce qu'il faut entendre par per
ien connue ne permetlrait pas la réalisation immédiate. M. GiRAuD demande qu'on se préoccupe de solutions pra- tiques. Il
tuellement. M. Drouineau qualifie ce voeu d'un peu platonique et se demande si la réalisation en sera possible ; dans ces c
subi devant un jury partout composé des mêmes éléments. M. TAGUET demande si ce voeu s'étend au personnel des services gé
dicaux ou généraux que s'ils sont pour- vus du diplôme. M. TAGUET demande la division de cette proposition. Elle est adop
t adoptée en ce qui concerne les services médicaux. M. Drouineau se demande si, en province, il ne sera pas impos- sible d'
ans son service où il fonctionne, complet, depuis 1883. M. TRÉNEL demande un service de veille permanent, qui doit être d
ise parfois et qui achèvent d'épuiser un personnel déjà surmené. 11 demande égale- ment que ce service soit fait par un per
nt ou une surveillante de ronde. (Ce voeu est adopté.) M. 1'neaeL demande qu'on précise que le personnel de nuit sera dif
e jour ét que ce service de veille sera per- manent. M. Drouineau demande quelle sera la proportion du personnel de veill
ondaire qui considèrent l'asile comme leur véritable famille et qui demandent à y rester jusqu'à la fin de leurs jours; à ceux
rans. M. BOURNEVILLE trouve excellente cette manière de faire. Il demande donc, soit des pensions de repos (à l'asile), soi
ts pour- raient se transmettre d'un asile à l'autre. M. Drouineau demande qu'on insère dans le voeu un mot réser- vant la
imum de 360 francs pour le personnel des deux sexes. - M. GIItALD demande qu'on tienne compte des charges de famille et q
leurs enfants. Adopté. SOCIÉTÉS SAVANTES. 427 7 M. Bourneville demande au Congrès d'approuver l'emploi de femmes dans
nés. de comparaison, qui, pour être compris du lecteur français, , demanderait la connaissance des législations diverses et comp
Ces prorogations seront autorisées par décisions préfectorales sur demandes motivées du chef de service. ART. 19. Un intern
Limoges, a bien voulu m'attribuer, d'après une communication orale, demande à être appuyée sur des faits. Des circonstances
il ne fait plus qu'agiter l'un ou l'autre de ses doigts. Si on lui demande ce qu'il fait, il répond en quelques termes inc
t tourner ses mains autour d'un axe idéal. A ce moment quand on lui demandait la raison de ce mouvement, il répon- dait : « J
t pas-les dents et poussait de longs gémissements. Lorsqu'on lui en demandait la raison, il disait : C'est pour conserver mon
. Ils veulent le compromettre et lui faire perdre sa place. Ils lui demandent des pièces pour les cacher, l'accuser et le fai
pas absolue. On ne peut l'arrêter quand on le désire. Quand on lui demande la raison de ce mouvement, il répond : « C'est
passe sa main sur sa nuque, caresse ses cheveux. Quand on lui en a demandé la raison, il avait dit « qu'il avait une petit
volontaires du bras droit. C'était une cuisinière et lorsque je lui demandai : «Que faites-vous ? », elle me répon- dit : «
lla frapper à celle de sa mai- tresse ; la servante, qui s'éveilla, demanda qui c'était ? Il répondit « C'est. Gilbert, Die
ne pouvait parler. Mais étant revenue de sa sur- ~ prise, elle lui demanda comment il avait recouvré l'usage de la parole.
ps qu'il avait l'usage de la parole, Algajer répondait à toutes les demandes et parlait sur tous les sujets avec netteté et pr
iénés, n'a jamais eu qu'à se louer de cette pratique. - M. Vallon demande qu'en l'absence de M. Marie, la discussion soit
et de paralysie . générale au début, est extrêmement délicat. Il se demande si l'exa- men du liquide céphalo-rachidien pour
élancolique d'une forme clinique un peu spéciale. M. ViGouRoux se demande si l'on doit comme la méningite à laquelle a su
69 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
es à plus de six cents. Assez fréquemment, des expérimentateurs ont demandé à soumettre leurs expériences à l'examen et au co
pas coutumière, et qui me paraissait tout à fait inexplicable, je lui demandai , pendant son sommeil, de me dire pourquoi elle av
é et m'a touché. Cela a suffi pour me faire tomber. » Et comme je lui demandais si elle tombait souvent ainsi, elle me répondit':
s furent vains pour le changer, et chaque fois qu'il était endormi il demandait à s'en aller eu menaçait de sortir malgré moi. Ce
it rentrer dans la journée. Au lieu de cela, il vint chez moi pour me demander de signer son billet do sortie. Comme je ne p
chologique de sa névrose. Lorsqu'il arrivait chez moi et que je lui demandais des nouvelles de sa santé, il partait aussitôt da
quand je faisais appel A son jugement sain, à sa raison, quand je lui demandais énergiquement : « Eles-vous réellement malade, vo
haut, le mécanisme intime des phobies, j'avais délibérément résolu de demander aux psychologues de profession le fil conducteurs
s du sang, en leur qualité de cousins germains de la veuve Guindraud, demandèrent la nullité de ces deux dispositions ; de la premi
adressant à Camille : « Camille a soif, Camille ira à la cuisine et y demandera ur. verre d'eau ; je suis immédiatement obéi. » L
e plus grand honneur à nos amis de Moscou qui l'ont conçue. Nous leur demanderons la permission de la signaler à nos lecteurs d'une
ilité de provoquer les règles à une "heure suggérée, nous nous sommes demandé si on ne pourrait pas suggérer de même l'accouche
x agissements de Lévy, sans s'en rendre compte, parce qu'il lui avait demandé de lui tourner le dos. La malheureuse Berthe B...
usieurs pas. Je l'arrête et, après lui avoir été le bandeau, je lui demande ce qu'il a éprouvé. Il déclare qu'il s'est senti
Aussitôt après avoir enlevé le bandeau des yeux de M. X..., je lui demande pourquoi il a fait ce mouvement. Ii avoue avec un
et de la manière de faire les suggestions mentales, je dirai qu'elles demandent , de la part du suggestionneur, un effort considér
même objet, n'est pas chose aussi facile qu'on pourrait le croire et demande une certaine éducation qui se perfectionne par l'
tait. Elle a même cherché une fois à se jeter par la fenêtre. Elle ne demandait pas son enfant. Quand l'agitation a commencé au m
on lui dicte : il le fait aussitôt avec une grande assurance ; on lui demande même, toujours pendant le sommeil hypnotique, alo
ément, d'où provient la somme d'attention surnuméraire que la théorie demande pour leur production? Braid hypnotisa, d'abord,
voir ce qu:il fait. Mais ni les uns, ni les autres, ne semblent avoir demandé au sujet lui-môme ce qu'il pensait de la chose.
ar une impulsion étrangère à moi-même, automatiquement. Parfois je me demandais ce que j'allais faire ; j'assistais, en spectateu
uvé par le fait du sommeil provoqué ; il sera accusateur. Le tribunal demandera à l'expert de l'éclairer sur l'authenticité des p
elui qui l'a plongé dans le sommeil hypnotique. Le juge d'instruction demandera au médecin de déterminer le degré de responsabili
uf de poule, par l'application d'un morceau de papier, on pourrait se demander si, dans un cas comme dans l'autre, la guérison n
un mouvement involontaire, témoigne qu'il ressent une douleur. Je lui demande alors ce qu'il éprouve et il me répond : « Vous m
faire à J..., des piqûres à la langue. « Alors, à J..., éveillée, on demanda d'avancer la langue, et on la lui « perça plusieu
pas qu'il fasse a des réflexions sur la nature de la chose qu'on lui demande ? Pourquoi a Th... ne se dirait-il pas, tout endor
tante et mystérieuse, a empêché et empêche encore bien des malades de demander secours à la suggestion thérapeutique. C'est qu'i
grès de psychologie de Londres. Personne, sauf lui et M. Bernheim, ne demande la révision de ce procès. Ce qu'il faut retenir d
ien vu, pour ne pas rester dans une réserve prudente, sage. Il a tout demandé à l'observation; il n'a rien avancé qu'il n'eût c
être l'homme de la nature, et c'était à elle seule qu'il voulait tout demander . Il laissait croître sa barbe et ses cheveux pour
rveuses et mentales, sur les mesures de restriction en question et de demander surtout à nos maîtres de l'hypnothé-rapie, tels q
tives ne prouvent rien ; cela est incontestable ! » Alors, peut-on se demander , à quoi bon bon le discours de 1894 ? Mais, nous
r la concesssion qu'il nous a faite, cinq ans plus tôt. Il a, dit-il, demandé à un grand nombre de personnes, à des amis, à des
oin de noter tous ses vois1. Ainsi ce carnet porte : « A la Dépêche — Demande — Mo...[*) 2 Ps. IPn. iPsb.» Interrogé sur le sen
e qu'il a pris soin de noter. « Je suis o allé au journal La Dépêche, demander un emploi. Les abréviations ¦ veulent dire : deux
e où j'ai volé. « Ces chaussures sont à la maison. » Le Magistrat lui demande alors dans quel but il a commis tous ces vols, et
de ce malheureux jeune homme, à qui je portais beaucoup d'intérêt, je demandai au Parquet l'autorisation de le visiter dans sa p
un comédien, Celui qui se laisse ainsi condamner à la prison ? Vous demandiez un crime ou un délit véritable ! Le voilà ! J
aître, M. le D' Aug Voisin. — Et, dès lors, n'y a-t-il pas lieu de se demander si, à côté de désastreux effets, la peur des coup
citerons seulement les déclarations suivantes : Un des experts lui demande s'il y a eu des moments où elle ne se rendait plu
ur. Mais, comme il s'était passé a quelque « chose de triste », je me demandais si je l'aimais et si je devais lui i procurer une
'Hypnotisme, Xll- année, 1693, p. 14. avait engagé la malade à me demander mon avis sur l'opportunité de l'intervention chir
s matins 5o à 70 malades allaient consulter ce sorcier diplômé qui ne demandait pas d'argent. Maïs ses confrères ne le regardai
u'unités distinctes et successives; mais, une phrase ainsi fragmentée demandera , pour être complètement énoncée, un temps assez l
r de la haine contre son mari, — qu'elle aime, — lui faire former une demande en divorce, que sais-je? L'on pourrait presque di
de fois. Il ne put y parvenir qu'après que, de guerre lasse, il m'eut demandé de lever la prohibition que j'avais formulée. Je
bles convulsifs du premier âge. C'est ta une question qui nous parait demander une démonstration plus précise que celles qui
, n'a t-il pas été repouss-i par ses confrères lorsqu'à Nancy môme il demanda a faire partie de la Société do médecine de cette
tement vaut ce que vaut le médecin et, avant de condamner ce procédé, demandons -nous si les échecs ne viennent pas de ceux qui l'
raient après l'emploi d'une potion très violente, M. Mirallîé lui fil demander une potion â I p. 100 d'hypophosphite de soude. L
ujet, ce fait détruirait entièrement l'hypnotisme. « Est-il possible, demande-t -il, que la suggestion ait la puissance de produir
lement justifié de supposer, qu'un sujet à l'état normal, qui à votre demande ferait de la musique ou peindrait un tableau, ser
xacte. Ce n'était point là, selon lui, le sens de ses paroles. On lui demanda alors une profession de foi. Elle fut catégorique
teurs devant le grand vicaire in pontifical!bus et le prédicateur. On demanda à Forton une déclaration nouvelle qui ne fut pas
70 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et que cello-ci cause au malade une douleur assez vive pour qu'il demande à ce que l'on cesse les pressions. (J CLINIQUE
lles. Dès les pre- mières manifestations du retour de son mal. elle demanda à être de nouveau isolée à l'asile. Pour ne pas
e semblerait tout d'abord plus rationnel ; mais ne peut-on pas se demander s'il n'est pas plus difficile au sens interne d
ité, 8 sur 13. Comment interpréter ce résultat ? Nous avons pu nous demander il y a un ins- tant, non sans quelque apparence
Misse, et que la connaissance reparaisse. A ce moment la ma- lade demande toujours à boire. Après l'attaque, elle urine sou
vements les plus vio- lents et les plus divers. En même temps, elle demandait avec fré- nésie de l'eau, qu'elle ne put boire
indiquer les têtes de cha- pitres. C'est à l'anatomie que M. Duret demande les premières bases d'une doctrine qui se fonde
n traitant, quand ils cesseraient d'être dangereux. M. de L.M.ëSTRE demande si cette mesure s'appliquera aux pen- sionnaire
que la commission extra-parlementaire donne satisfaction à ceux qui demandent la création d'un asile d'État, je consulte la S
ne pas leur emprunter. Les impulsions chez les enfants. M. Dally demande à M. Le- grand du Saulle de vouloir bien lui do
ême les noms propres, comme dans ce cas particulier. M. DCLASL1U\'E demande depuis combien de temps les impulsions homicide
lus grand. '" Son visage s'éclaira d'une étrange façon quand je lui demandai s'il serait heureux de voir quelqu'un l'aider d
ernière séance, un mémoire intitulé : Délire des négations. Je vous demande la permission d'en dire quelques mots. On disti
t un mémoire sur le Mensonge chez les enfants. M. Legrand du Saulle demande l'avis de la Société au sujet d'un individu Z..
er par un taillandier ; mais pris ensuite d'un peu d'hésitation, il demande à la boisson l'appoint nécessaire pour commettr
nt pas être plus impitoyables pour lui que ne le fut la victime qui demande sa grâce. Archives, t. V. 8 1 t le SOCIÉTÉS S
sonne atteinte d'aliénation mentale, s'il ne leur est remis : 1 une demande d'admission contenant les nom, profession, âge et
à défaut, de la nature des relations qui existent entre elles. La demande sera signée et écrite par celui qui la formera, e
responsabilité, de l'individualité de la personne qui aura formé la demande , lorsque cette demande n'aura pas été reçue par
dividualité de la personne qui aura formé la demande, lorsque cette demande n'aura pas été reçue par le maire ou le commiss
'aura pas été reçue par le maire ou le commissaire de police. Si la demande est 1M VARIA. formée par le tuteur de l'inter
on et la demeure de la personne parente ou non pa- rente qui l'aura demandé . Seront également transcrits sur ce re- gistre
ura demandé. Seront également transcrits sur ce re- gistre : 111 la demande d'admission; 2° les rapports médico-légaux pres
d'ascendants, les descen- dants ; 50 la personne qui aura signé la demande d'admission à moins qu'un parent n'ait déclaré
à raison de son état mental. Si la sortie d'un de ces internés est demandée à une époque quelconque, la demande sera déféré
ortie d'un de ces internés est demandée à une époque quelconque, la demande sera déférée de droit à la chambre du conseil,
e- ment aura été ordonné par le préfet, à moins que la famille ne demande son admission dans un établissement privé. Y se
onnes placées : à défaut, à la charge de ceux auxquels il peut être demandé des aliments aux termes des articles 20j et sui-
ortie immédiate. Il suffit à cet effet que le réclamant adresse une demande sur papier libre au procureur delà République q
ans retard saisir la chambre du conseil. Les personnes qui auront demandé le placement et le procureur de la République,
rront se pourvoir aux mêmes fins. Dans le cas d'interdiction, cette demande ne pourra être formée que par le tuteur ou le c
rçant, le président du tribunal, statuant en référé, pourra, sur la demande du conjoint et de l'as- socié et après avoir en
de l'avis du conseil de famille, mais seule- ment lorsqu'elle sera demandée par les parents, les conjoints et l'associé.
es aux administrateurs judi- ciaires nommés par le tribunal. Sur la demande des parties inté- ressées ou sur celle du procu
ence ici de plusieurs représentants de la Prer-se pour les prier de demandera à leurs lecteurs de se défaire des vieux jouets d
rès quoiJ... nous regarde d'un air effaré, puis sourit vaguement et demande à partir pour la promenade, elle veut aller à l
ats ne l'ayant pas pleinement satisfait cette fois encore, il s'est demandé s'il n'était pas en présence d'un « produitde s
parun état de rigidité générale de tous les muscles. Les auteurs se demandent alors si cette distinction n'est pas plus appar
par AI. Lancereaux dans sonTraité d'anatomie patho- logique ; il se demande si cette lésion ne pourrait pas être consi- dér
hes au ministère de l'intérieur qui déciderait chaque année sur les demandes des intéressés : le médecin traitant serait l'int
igatoire celte procédure actuellement facultative. M. Charpentier demande pourquoi l'arrêt de la chambre du conseil ne se
e par derrière cinq coups de revolver, va se constituer prisonnier, demande une plume pour écrire à sa protectrice une lett
isparu progressivement, et, il y a quelque temps, Martin a fait une demande de mise en liberté. Le médecin traitant, consul
cée en avant d'eux à la périphérie dans la moitié antérieure. On se demande si c'est une zone sensible, car on la trouve au
xemplaire et leur propagande en faveur de la tempérance. Toutes les demandes de récompenses, avec pièces à l'appui, doivent
-RonERT. Depuis Jongtemps le service médical de l'asile des aliénés demandait que les réformes intelligentes, ap- pliquées da
Après être restée dans le service jusqu'au mois d'août 1881, Souq ? demanda à sortir et pendant six mois on ne sait point c
, le > . -'H.* .. - > , ....... livre à -'»' 'I. zou monde, demande de l'éther, etc., se livre à des prestes plus ou
est en rapport,avec la multiplicité des fonctions. ... On peut se demander si le groupement systématique.que les variétés
x et Parrot), éliminant l'hémophilie chez son malade, M. Thorcns se demande si (lu'il a observé ne reconnaîtrait pas comme
mon ambition est plus modeste. Je ne veux que stimuler votre zèle, demander à chacun de vous de nous faire profiter tous de
ssu de parents aliénés ! M. L;1LLOD. Lorsqu'un' fils d'aliénés nous demande notre' avis sur les chances qu'il a de verser d
ient nous trouver avec les parents d'une de nos ma- lades pour nous demander s'il peut l'épouser ? M. 13]LLOD n'a pas abordé
aires. On doit toujours tranquilliser ^intéressé, qui d'ailleurs ne demande pas mieux que d'emporter une réponse rassurante
, et voici comment je m'ensuis tiré : avant toute explication, je demande à ce qu'on ne me donne aucun nom, ni celui de la
à ce qu'on ne me donne aucun nom, ni celui de la per- sonne qui me demande un avis, ni celui du malade, et je prie ensuite
fut frappé tout à coup d'aphasie le 20 avril 1880. C'esten voulant demander sa roule à des passants qu'il s'aperçût de cet
crois pas qu'elle soit applicable à mon malade. M. 1 0 ILLI : . Je demanderai à M. Ball quels sont, à son avis, les symptômes
ssures de télé et les psychoses. Le professeur Furstner a notamment demandé d'être entendu aujourd'hui même, le temps lui m
e maladies individuelles afférentes à chaque cas particulier, ou ne demander que des dénominations générales. Le président et
a bien présenter le résultat dans quelques années. AL Pl-.L)[,%,N demande , à ce propos, que dorénavant les résolutions et
. Les épithètes ne laissent du reste prise à aucune erreur; on ne demande pas davantage de spécifier si l'origine de la vés
ge part soit faite désormais à l'étude des maladies men- tales ; on demande que partout les aliénés soient occupés cons- ta
71 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
se soit intervenue directement pour cette modification '. La malade demande à sortir de l'hôpital le 28 juin, pour sur- vei
de ses services. Mais son mari vit toujours dans la débauche; elle demande et obtient la séparation de corps et de biens,
s plaintes au commissaire de police. Elle s'est cependant longtemps demandé quels peuvent être ses ennemis, et peu à peu ce
ont il est l'ha- bitué, et où quelquefois il passe la soirée ; elle demande à la cais- sière si cela est bien vrai, mais ce
putain ». Cette situation lui semble intolérable; elle dépose une demande en divorce en 1891. La procédure était commencée,
e. Enfin, le 22 juin, elle s'avance vers nous, à la visite, et nous demande la permission d'écrire... au Président de la Ré
sidence DE M. A. VOISIN. Les asiles d'alcooliques. M. CIIRISTIAN se demande si les remèdes proposés contre l'envahissement
nsuffisant pour corriger les SOCIÉTÉS SAVANTES. 49 ivrognes et on demande des asiles spéciaux. A-t-on réfléchi aux questi
jambes. Incapable, dit-il, d'exercer son métier (il est potier), il demande l'assistance comme invalide. Plusieurs examens
alide. Plusieurs examens médicaux le déclarent non fondé dans ses demandes . Il assiège continuellement les autorités de ses
'il n'avait pas ce dessein. Elle a importuné [les au- 'torités et a demandé protection contre ses persécuteurs. A l'asile,
é, avec beaucoup de soin, l'hystérie et l'épilepsie, Esqui- rol lui demanda de rédiger un mémoire sur les observations qu'il
Maladies ii2flam- matoires du cerveau. La Commission administrative demanda pour lui la croix d'officier de la Légion d'hon
ment, nourriture, blanchissage, chauffage et éclairage. Adresser sa demande au Directeur avec un relevé de sa feuille de scol
remière classe, chauffage, éclairage, blanchis- sage, etc. Adresser demande , titres et références à M. le Dr E.Cham- bard,
trouve avantage « à tirer ainsi des Il ne traverse pas sa rue sans demander l'aide d'un passant obli- geant. Il a peur de s
sont rares. Mais en mars 1891, ils se montrent à nouveau. Sur la demande du professeur Charcot, au mois de juin, l'un de
s accidents céré- braux. D'après les symptômes cliniques on peut se demander si les malades succombèrent à une rupture vascu
e. Cette large synthèse est assurément séduisante mais on doit se demander s'il convient de l'accepter dès aujourd'hui et da
mes tous du même avis; les sai- gnées sont inutiles. M. Vallon se demande si la toxicité du sang ne résulte pas du travai
es lésions des paralytiques portant partout, il. est superflu de se demander quelle est l'altération responsable de ce sympt
Au mois de septembre de cette même année le professeur Lassègue lui demanda de faire pendant les vacances son service à l'i
t d'ailleurs très variables et ne suivent jamais immédiatement la demande . Maumy semble réfléchir avant de parler. Ainsi, à
« Si j'ai avoué, dit-il, c'est que j'ai conté une colle. » Nous lui demandons si au Dépôt on le tourmente par la physique com
était jetée volontairement. Après notre déposition, le Président a demandé à Maumy ce qu'il avait à dire : Je ne suis pas
les signes de dégénérescence sont tellement nombreux qu'on peut se demander à bon droit c s'il existe des individus assez p
aux ictus opératoires, etc. ; si bien qu'on peut raisonnablement se demander aujourd'hui si toute manifestation grave d'amnési
rvations des différents types d'idées fixes. Dans la seconde, il se demande quelles sont les conditions cérébrales qui acco
aliénés et à un asile spécial d'alcooliques ? M. Rouby répond à ces demandes et avec une compétence toute spéciale, ayant lu
compris par les magistrats qui ont cependant cru nécessaire de leur demander un avis. M. Garnier appelé à constater l'état m
is reprises différentes, durant l'année 1894, le parquet dePontoise demanda des certificats de situation; et par trois fois
tif, il fit une tentative de suicide et le parquet se vit obligé de demander son internement à l'asile. Marcel Briand. XXV
a Seine, a exprimé le voeu qu'une subvention de 100,000 'francs fût demandée à l'Administration supérieure en raison du cara
de bienfaisance n'a pas cru devoir accueillir favorablement ladite demande de subvention en se basant sur la situation fin
provenant du pari mutuel en faveur des oeuvres de bienfaisance une demande à l'effet d'obtenir l'attribution au département
département pour répartir les fonds dont il s'agit a examiné cette demande et n'a pas cru devoir l'accueillir favorablement.
des ressources à sa disposition, eu égard au nombre considérable de demandes émanant d'oeuvres de bienfai- sance et ayant tr
tre contribu- tions directes dépasse 672,000 francs a dû écarter la demande que vous lui aviez adressée et elle m'a chargé,
894 des fonds provenant du pari mutuel, en motivant fortement notre demande sur les considérations qui viennent d'être expo
monument psychopathique. Et c'est, dans le désarroi général, ce que demandent les psychiatres actuels qui,n'ont guère pu s'en
quoi donc, jusqu'à plus ample informé, ne pas admettre, comme le demande M. Cramer, un groupe paranoïa, qui embrasse tou
ent la mémoire du langage verbal. Mais l'on ne s'é- tait pas encore demandé si les autres sens ne seraient pas aussi suscep
nouvelle tournure aux débats. Le défenseur de l'accusé, M Dasque, a demandé à la Cour l'autorisation de faire entendre deux
ssé par hasard près de lui, il lui eût brusquement saisi la main et demandé : <r Dis donc, quand est-ce que l'on m'enterre
ec la plupart des opinions exprimées jusqu'ici sur ce point et elle demande pour être justifiée une étude attentive de ce s
, hémianopsie droite. > A... ,or' , , rj bans .doute, on, pourra demander ; pourquoi toutes ,les hysté- rlqüës hemianesthe
pathogénie de ces états passagers, maistil nousjest permis de;nous demander dès maintenant, quelle peut être la cause, immé
façon de parler toute particulière. La moindre réponse semble leur demander un travail considérable qui n'aboutit d'ailleur
es touche; les réflexes tendineux sont aussi exagérés. Quand on lui demande d'exécuter un mouvement donné, elle le fait, mais
vation de la mémoire, car au moment de le mettre sur la civière, il demanda son veLoti qu'il avait laissé sur la machine. P
On fait asseoir le malade, si toutefois il y con- sent, puis on lui demande ses nom, prénoms, âge et qualités, le - SOCIÉTÉ
me cela que les choses se passent la plupart du temps. M. Legrain demande que la société suscite, de la part des alié- ni
question de l'inter- vention de la magistrature dans le placement. Demandons seule- ment] que tous les inculpés soupçonnés d
le soin d'en développer la démonstration. M. RITTI. M. Legrain nous demande deux choses : de faire appel aux membres de pro
endrez quel rôle doit, à mon avis, remplir le médecin, quand on lui demande une sortie. - M. RITTI. Dans le cas indiqué p
IÉTÉS SAVANTES. - n'est pas très exacte.' En, effet, lorsqu'on nous demande la sortie d'un de nos malades, nous ne sommes p
le parlement possède assez de mem- bres désireux de s'éclairer pour demander la communication des comptes rendus de la Socié
n mari s'imagina qu'elle était sorcière et se mit à l'exorciser. Il demanda certaines plantes à l'herboriste et avec le con
ça à les avaler ; puis, en pré- sence de tous ses complices, il lui demanda au nom de Dieu, de déclarer qu'elle n'était pas
cs. Pension de retraite après trente ans de service. Adresser les demandes avec titres à l'appui à M. Miret, directeur de
leur bien-être et à leur guérison. Aussi avons-nous été obligés de demander et avons-nous obtenu qu'on surélevât tout au mo
ervice y soit facile, 426 asiles d'aliénés. et n'y a rien autre à demander ; elles varient d'ailleurs avec les divers quart
toirs de trente lits ou quatre dortoirs de quinze; ce qui revient à demander s'il est préférable de placer les chambres des
petit crochet inoffensif à la tête du lit, sur le mur. Enfin je me demande pourquoi entre chaque deux lits oh ne mettrait
u grand'père au petit-fils sans avoir atteint le père. On peut se demander si les deux opinions ne sont pas con- ' P. Luca
araît plus grande à 0° qu'à la température ordinaire, mais ce point demande de nouvelles expé- riences ; 6° la résistance a
et plus approprié à donner exactement le renseignement qu'on lui demande . On se rendra compte de ces difficultés en lisa
réflexes sécrétoires et vaso-moteurs, mais elle a l'inconvénient de demander une installation et une éducation spéciales ce qu
e à la guérison est donc court, en regard des longues années qu'ont demandées des excès quotidiens avant de se traduire par de
rait à des voies de fait. La justice fut sai- sie de l'affaire à la demande de l'autorité militaire et Mmo Servelle devait
72 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
la Société de Neurologie de Paris dans la séance du 7 juin 1900, se demande si l'arrêt de développemenl des organes génitaux
ues troubles visuels, et qui présentait une certaine obésité. Je me demande , en m'appuyant sur ces faits, si on ne doit pas
Le processus ne rappelle pas non plus le rachitisme. Les auteurs se demandent si la suppuration chronique de la plaie opératoir
ir que trois cas, on ne trouve aucun symptôme (et encore on peut se demander si une ana- lyse plus approfondie n'avait pas d
roï- diennes. Quelle est la nature de ce rapport ? On pourrait se demander si les alté- rations thyroïdiennes sont la caus
ion d'un autre facteur, une in- fection par exemple. On pourrait se demander encore si les altérations thyroïdiennes ne sont
ême de côté ce fait qu'elle manque dans la plupart des cas, Huth se demande alors comment il pourrait se faire que la consang
de semaines on est arrivé » ; « le temps passe si vite ! » » Lui demande-t -on où va un infirmier portant une carafe sur un p
ur les chevaux 1 Je rêve souvent de chevaux qui tombent. » On lui demande de décrire le costume du docteur qu'elle vient, d
ussade et coléreuse. Egarée dans les cours du ser- vice Pinel, elle demande en maugréant qu'on la remettre dans son chemin.
s et ses vête- ments. Légèrement excitée et euphorique ; souriante, demande il sortir : « Ce sera pour aller coucher avec u
sans effet appréciable. Ayant entendu parler de la trépanation, J. demande a y être soumis ; l'opération eut lieu en mars
absur- des. Il ne parle pas, pousse de petits cris inarticulés. Les demandes concer- nant son nom, son âge, sa profession, s
ps. C'est encore à l'un d'eux que Mathurin Régnier (3) vint en 1013 demander sa guérison, et c'està Rouen qu'il mourut en l'
illeur, et c'est justement celte main qui est lésée. Or, on peut se demander la fatigue, le surmenage physique, localisés à
il aurait eu un abcès de l'oreille gauche ; enfin un jour il aurait demandé brusquement des cordons de souliers. C'était le
. Il a les yeux pres- que constamment tournés vers le plafond. Il a demandé hier à sa femme si elle avait fait remplacer la
qu'il commence à aller un peu mieux ; il donne de ses nouvelles et demande de celles de sa famille, mais avec des phrases
s gestes bizarres déjà men- tionnés d'une façon continuelle. On lui demande à plusieurs reprises quelle en est la significa
aisant un mouvement décomposé par trois saccades Le surveillant lui demande alors : « Vous ne voulez pas me donner la main,
s'anime évidemment un peu, manifeste de la tendresse pour sa femme, demande spon- tanément des nouvelles de la famille, tou
eur de ma vie, c'est pour cela qu'il faut que je jeûne. » 3 mai. Il demandé à sa femme si le 1er mai il n'y avait pas eu de b
este aucun étonnement d'être à Bicêtre ; il donne de ses nouvelles et demande de celles de sa famille d'une façon presque cor
st sans chaussettes dans ses souliers, On veut le faire écrire ; il demande « la craie et l'ardoise » ; enfin, après bien des
espondant au territoire d'innervation d'un nerf. Nous nous sommes demandé dans quelle catégorie pouvaient rentrer les tro
la dégénérescence des racines nerveuses correspondantes. On peut se demander s'il ne s'agit pas simplement dans certains cas d
lée comme le phénomène d'émigration passive car, pours'effectuer,il demande des modifications graduelles des parties cellul
e ces globules sanguins suggère deux hypothèses : 1° on pourrait se demander s'il ne s'agit pas d'un simple artifice de prép
doive faire grand cas, est, à mon avis incomplète. On doit toujours demander , au moyen de quel mécanisme agissent ces prétendu
ns de ceux-ci : 1° Le malade étant couché dans son lit, si nous lui demandons de sou- lever la jambe en l'air - le genou en e
dedans. 2° Le malade étant couché dans la même position, si on lui demande de toucher avec un talon le genou opposé, on re
més pendant les exécutions de ces mouvements volontaires. Si nous demandons au malade de marcher avec les yeux ouverts, il
Quoique n'observant aucune paralysie des muscles de l'oeil, quand on demande au malade de regarder en divers sens, nous dit
aintenir la jambe à une hauteur fixe. Ilétait logique alors de se demander , en faisant cette comparaison, qu'est- ce qui e
lé, le malade tabétique s'en ressent. Il est temps maintenant de se demander pourquoi se produisent ces contractions ? Quel
s et de ce trouble d'équilibre statique et cinétique ? Il faut nous demander si le mécanisme des associations muscu- laires
que tous les muscles se contractent au début de tout mouvement qui demande un certain effort. Avant d'aller plus loin, j'ouv
e de fléchir sim- plement l'avant-bras sur le bras mouvement qui ne demande qu'un effort très faible, le muscle triceps ne
tuelle » (Brissaud) à la soudure physique de ces malades ou bien se demander s'il << s'agit bien là, comme on l'a prét
trouve comme on sait chez les hypomaniaques. Mais ne peut-on pas se demander si la facilité avec laquelle on prête de l'espr
hiffres, devient impossible lorsqu'il est plus compliqué. Si on lui demande la raison de son internement, elle nous dit que c
plus ou moins ironiques et souvent paralogiques. Par exemple, à la demande pourquoi il est venu dans l'hospice, il répond «
. A son niveau, la pression du doigt produit une tache blanche, qui demande dix à douze secondes pour dis- paraître. Les di
ogénie; des examens nécropsiques et microscopiques lui faisaient se demander si la glande thyroïde était à la tête des troub
alement. et c'est même une des condi- tions essentielles qu'on peut demander à l'observation. Les hommes ont en général fait
qu'ils passent de toute évidence au second plan et que l'on peul se demander si leur présence n'est pas une des conditions trè
e la tuberculose doit être signalée (7 obs. sur 20), car on peut se demander si elle n'a pas été un des facteurs créant la scl
e l'une avec l'liypofonctionnemeut de l'autre ; elle dispense de se demander quelle est celle qui a été primitivement attein
atro- phiée contenait des follicules tuberculeux ; on peut donc se demander si la L INFANTILISME REGRESSIF OU TARDIF lési
o- 478 8 rr,w.rru6 : ET JEANNE graphie u'est pas faite, malgré la demanda des Médecins traitants, et l'on se contente de
'il fasse simplement uu mouvement de llexion avec son index. Je lui demandai alors pourquoi il ne touchait pas son bout du n
simple. Alors il me répondit qu'il voulait bien faire ce que je lui demandais , seulement il ne le pouvait pas, car quoiqu'il
ù se trouvait cette fuis-ci son index dans l'espace, nous lui avons demandé d'aller directement au bout 482 noica du nez
doigt ne quitte pas le contact. Voici d'autres expériences. Nous demandons au malade, de partir avec son doigt - toujours
e toucher. Une autre expérience est l'inverse de celle-ci. Nous lui demandons de partir de son ombilic, qu'il sent peut-être
oigt quitte la peau, et il serait en impossibilité d'exécuter notre demande , s'il ne survenait le fait suivant : le malade
le malade coupait son pain trop vite et trop brusquement, je lui ai demandé pour quoi, au lieu de couper doucement la tranc
lade dépassait toujours le but de 5 et même 10 divisions. Je lui ai demandé de serrer le dynamomètre jusqu'à la 501, divisi
u, au contraire tous les autres doigts se ferment. Mais si nous lui demandons , pendant qu'il fait le poing, de serrer un peu ce
ait le poing, de serrer un peu celui- ci, ou simplement si nous lui demandons de faire le poing avec les yeux fermés, il ferm
ouvoir faire tous ces mouvements. Voici quelques exemples : a) Je demande au malade de fléchir les deux dernières phalanges
malade étant ouverte et tous les doigts bien étendus et écartés, je demande au malade de rapprocher les doigts (adduction), t
doigts en même temps. C'était encore un mouvement double que je lui demandais , car, pour approcher les doigts, il fallait con
les et au cou des mouvements passifs qu'on lui faisait faire. Si je demandais au malade de fléchir le genou, tout en maintenant
a fois. Le malade se trouvait dans la même impossibilité, si on lui demandait d'étPn- dre le genou, en tenant le pied renvers
même pour les hommes normaux avec un peu d'em- bonpoint). Si je lui demande de redresser son tronc, immédiatement il perd s
son lit, derrière son corps. Assis toujours sur son séant, je lui demande de relever les bras en l'air : le malade les so
mem- bre sur l'abdomen. Le malade étant couché au lit, si on lui demande de soulever la jambe en l'air, il la soulève br
e quoi il s'agit. Le malade'étant assis sur une chaise, si nous lui demandons de se relever, sans fermer les yeux, il regarde
oir pris toutes ces précautions, il se lève. Si maintenant nous lui demandons de se relever ayant les yeux fermés, et après lui
avec tout le poids de son corps sur la pointe du pied. Mais notre demande de marcher, il se décide à porter la jambe de der
ci, sauf la légère oscillation, il exécute assez correctement notre demande . On prie maintenant le malade de faire le même
car ses mou- vements sont toujours rapides et démesurés. Si nous demandons au malade de faire quelques pas avec les yeux fer
73 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
rienne droite lorsqu'elle avait ses attaques. Revenue à Paris, elle demanda asile dans un couvent rue du Cherche-Midi. Les at
ar tout le corps, de battements de cœur, d'une sensation de froid, et demande à boire. 25 mai. — La malade, qui assure avoir
! » Elle porte la main à la région précordiale. « Ah! Gl..., s'il te demande quelque chose sur moi, dis-lui que tu ne sais rie
in, elle déclare qu'elle est toujours sous le coup de ses attaques et demande qu'on la calme. P. 76 ; T. Y. 38° à peine. Vulve
dent '. 5 septembre. — Nous trouvons W... avec le compresseur. Elle demande qu'on mette fin à ses attaques, afin qu'elle puis
aleté... Pourquoi me mettez-vous un machin?... Cette bête... » On lui demande : Quelle bête? — « Est-ce que vous croyez que je
lent. Ce n'est pas pour satisfaire une vaine curiosité que nous avons demandé ces renseignements ; c'est parce que nous tenions
e sort en permission. Arrivée chez sa mère, celle-ci étant souffrante demande à son gendre de la conduire au Conservatoire des
Ail heures et demie, D... reprend connaissance, s'assied sur son lit, demande son jupon. Questionnée aussitôt sur ce qu'elle vo
est plus prononcée à gauche. A droite, la jambe étant fléchie, si on demande à la malade de l'allonger on sent une légère rési
du soir. La nuit dernière, H... s'est réveillée, a pris le bassin, a demandé à sa voisine combien il y avait de temps qu'elle
mars. — Depuis une dizaine de jours, H... est acariâtre, désagréable, demande sans cesse des ventouses scarifiées. Elle ne sera
ns le jour, elle est quelquefois agitée, parle seule, chante, fait la demande et la réponse, rit. Il y a trois jours, on a dû l
in elle fe trouue en fon lit couchée. De quoy fon maiftre efbahi, luy demanda ce qu'elle auoit eu : Alors elle f'efcria en fon
des centaines de volumes où l'absurdité s'étale au grand jour; on se demande si on lit des œuvres d'aliénés ou si l'auteur ne
auprès de vous que les témoins nécessaires (un seul s'il se peut), et demandez -leur de ne s'occuper nullement des procédés que v
oux soient entre les vôtres et que vos pieds soient à côté des siens. Demandez -lui d'abord de s'abandonner, de ne penser à rien,
ant de reproduire la relation écrite par la malade elle-même, à notre demande et après des instances réitérées, des sensations
ns, et c'est à ce moment où je ressentais un grand bonheur que je lui demandais : « M'aimes-tu? » Il me semblait qu'il me réponda
e presser sur son cœur, comme il m'arrivait des fois l'entendre me le demander ; je lui répondais toujours « Oui ». (Mais ce n'ét
oserais pas. « P. S. J'ai fini de vous dire tout ce que vous m'avez demandé et même plus; je vous parlerais plus ouvertement
is sentiecomme électrisée des pieds àla tête ; il s'en estaperçu, m'a demandé ce qui me prenait; je ne lui en ai rien dit, mais
la fermeture d'une porte, l'a réveillée en sursaut. Elle est étonnée, demande où elle est. revient tout à fait à elle; se regar
uchoir avec plaisir. Le mouchoir est placé sous ses narines et on lui demande ce qu'elle sent. Elle est contente, et répond : «
s draps de votre couche, Et de sa lèvre blême effleurant votre bouche Demander un baiser pour un morceau de pain. Elle s'arrêt
emeure immobile. — Au bout de quelques instants, elle revient à elle, demande à boire, essaie, ne peut avaler et repousse le ve
, ne peut avaler et repousse le verre. Après un moment de repos, elle demande de nouveau à boire, se tortille, se frotte les ye
anta : car lors la femme s'eueilla en furfaut, sur ce que le mary luy demanda qu'elle auoit, elle refpon-dit qu'elle eftoit si
ler? George Gandillon s'excufoit de la mefme façon, lors que l'on luy demanda pour quoy il ne s'eftoit point efueillé, encore q
ourt entr'eux : Fay du pis que tu pourras, le Diable ne feaura que te demander . C'eft icy que Satan fe bande auec fes fuppofts
micin les clefs, les emporte au village : eftant defcendu au logis il demande à difner, la maitrefle ne se trouve point, non pl
74 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rf optique lesquelles sont très fréquentes chez les malades ; il se demande en ter- minant quel est le processus pathologiq
NTALE. de l'obsession et son évolution vers le délire, on peut se demander s'il n'existe pas, dans tel ou tel cas donné, des
ier groupe d'affections, le besoin ne se faisait même pas sentir de demander davantage à la kinésithérapie, puisque la neuro
pas douteux que la question est complexe. Tout d'abord, on peut se demander quelle est la part de l'influence psychique dan
s notions sont d'ailleurs bien établies et nous n'avons plus à nous demander quelle part revient au système nerveux et quell
utrition de muscles cachectisés, mais c'est tout ce qu'il leur faut demander : jamais ils n'aideront à rétablir le type nor-
rétablir l'équilibre. Nous ne redirons pas quelles qualités il faut demander au malade, mais le dernier élément, essentiel,
le Bulletin Médical du 2 août), n'hésitent pas à dire : « On s'est demandé si des lésions provoquées chez la mère peuvent
une centaine de mots. « Aujourd'hui, le chien peut, tous les jours, demander ce qui lui plait le mieux et tenir, avec son ma
s sont si graves que l'on croit que l'autorité religieuse elle-même demandera à ce que les coupables soient punies sévèrement
ait à ce sujet, en lui disant de n'y pas faire attention. Si on lui demande ce qu'elle est devenue, elle dit que le médecin
is de mai 1900 commence à avoir les mêmes préoccupations. Elle se demande d'abord si sa fille n'a pas raison, s'il n'y a pa
e son délire. Séjour à la colonie. Pendant les premiers jours, elle demande des nouvelles de sa fille qu'on martyrise, et q
a question des folies par con- tagion, il est un fait cependant qui demande à être appro- fondi. C'est la condition médico-
ondairement. Sans commenter longuement cette manière de voir, qui demanderait certainement des détails psychlogiques relatifs
'avons montré à l'occasion du mécanisme des syn- dromes en général, demande le premier rôle à l'élément 158 PATHOLOGIE MENT
omes et le substratum commun : la dégénérescence. Donc, nous nous demandons comment pourrait-on scinder ces modalités syn-
la main; malheureusement ses parents la lui tirent enlever. Elle se demande actuellement si cette perversion de l'instinct
tte fois, elle se croit prête à leur céder, ce qui la pousse à nous demander , si jamais, commettant quelque acte délictueux,
trahit un trouble quelconque des facultés mentales. Lorsqu'on lui demande le motif qui l'a poussée à l'acte pour lequel ell
ut qu'elle ne peut plus distinguer les couleurs; souvent alors elle demandait à son mari de la conduire chez un médecin afin
temps, Marie-Louise F... avait des idées vagues de tristesse et ne demandait qu'à mourir. A dix-sept ans, elle eut ses règle
urveiller ; elle entendait leurs pas. Elle se croyait criminelle et demandait qu'on la punisse de suite pour le crime dont on l
rande famille des dégénérés. Le second syndrome, la folie du doute, demande aussi quelques commentaires à cause des différe
ction lombaire pour faire des diagnostics difficiles. M. Toulouse demande si ces éléments ne se rencontrent pas dans l'al
dant, ce jeune homme ne présente aucun signe d'hystérie. On peut se demander s'il ne s'agit pas là d'un trouble convulsif de
s conditions on doit invoquer une coïncidence. On pourrait alors se demander à bon droit, avec M. Marandon, pourquoi cette c
e à lésions anatomiques bien caractérisées. Tout au plus peut-on se demander si l'opération, n'a pas fait éclater les symptô
ue, présenter à la suite d'une hystérectomie abdominale qui avait demandé de longs mois à guérir, une crise de mélan- col
ation à la Société de Chirurgie (Bull., 1 ? mars 1898), nous avions demandé qu'on éliminât de ce cadre les psy- choses d'or
a difficulté de classer ces variétés intermédiaires et l'on doit se demander si dans ce cas la forme même du délire ne pourr
con- duit jusqu'ici parce que j'étais inguérissable. Quand on lui demanda dans quel hôpital il était : « Je n'en sais rie
. je tremble je ne sais pas pourquoi», répond-il, quand on lui eu demande la raison, qu'on lui en fait l'observation. 31
pelait « névralgie épileptiforme ». Toutefois il est permis de se demander si cette forme grave représente bien une forme
e ont du reste été notés parbergonié. L'emploi de hautes intensités demande une surveillance constante du malade, ce qui ne
ns certains cas une guérison pleine et entière, il est permis de se demander si, dans des cas de ce genre, les auteurs n'ont
ot : « l'électrisation a usé la névralgie » (Bergonié). Lorsqu'on demande aux malades d'étabir une comparaison entre les
cordé tout le bénéfice de la loi. Or, maintenant, il convient de se demander si les incendies ne dépendent pas d'un trouble
la chute de l'enfant dans un accouchement précipité. On s'est même demandé si un traumatisme intra-utérin, agissant par lu
roix sur mon côté malade, la priant que, comme elle avoit autrefois demandé àDieu de faire toutes les observances seulement
est ainsi conduite à faire une neuvaine, au cours de laquelle elle demande le soulagement de ses maux pen- dant trois mois
l'atténuation des symptômes, l'égalité de durée entre la rémission demandée et la rémission effective, plaident en faveur d
publier ; et je puis assurer que je ne me sens jamais inspirée de demander quelque chose à Dieu que je ne l'obtienne par s
nte si terrible que Dieu ne m'abandonne, que je lui ai instamment demandé qu'il me fit la grâce de me tirer à lui, et me su
3 » En avril 1714 (soixante-quatre ans), elle fut transférée sur sa demande à la congrégation de Soissons. 1 Le 8 septemb
(névrectomie). Mais ce n'est qu'en désespoir de cause et devant la demande formelle du malade ou la menace péremp- toire d
rouva les dents saines, mais pratiqua néanmoins l'avul- sion sur la demande du malade. Les phénomènes douloureux cédèrent b
ant aucune issue à ses maux, il pense au suicide. En 1887, sur sa demande , M. Peyrot lui fait la résection du sous-orbita
une amélioration très manifeste. En juin, après 37 séances, elle demande à cesser son traitement et à retourner dans son
t d'une façon régulière. Finjuit- let au retour de la campagne elle demande à compléter son trai- tement parce que depuis l
de parasites de cet ordre comme cause de troubles vésaniques et se demande si un cas aussi net ne peut venir à l'appui de ce
ueil char- mant que lui a fait M. Motet, le jour où il est allé lui demander d'utiles conseils dont il apprécie chaque jour
heures de la journée, le temps, la température, etc... M. CxRISrI,N demande si les expériences de M. Philippe ont été faite
inture. Après une promenade d'une demi-heure au Grand-Palais, il se demande subitement : « C'est imprudent de rester à Paris
t un peu. n'ayant ouï personne dans ce grand silence de la nuit. Il demanda néanmoins qui étoit la, comme cela se fait; mai
rit, et dans lequel elle trouva « une discipline qu'elle leur avait demandée quelques jours auparavant »2. Elle signa enfin
urs, il résolut de quitter le monde et alla à Port-Royal des Champs demander conseil à sa soeur Marguerite, qui l'engagea à
n canonicat contre la cure de Magni, près Port-Royal-des-Champs, et demanda à dire sa première messe dans la chapelle de ce
s qu'ils nécessitent pendant la nuit : chacun de ces cas d'ailleurs demande à être observé et manié suivant les indications
monosymptomatique en l'absence de tout autre signe d'hystérie. Ils demandent à ce sujet l'opinion de la Société. MM. IlAi3
gaines de myéline mais toutes les fibres sont grêles. On peut se demander s'il ne s'agit pas de fibres de régénération ca
e de'cas de ce genre. Toutes les fois que la chose est possible, je demande au malade de venir systématiquement se soumettr
oliques, épileptiques, aliénés, infirmes et'autres, avait été, à la demande de son avocat, l'objet d'un examen médical. L
ubvenir complètement à leurs besoins. C'est pour eux que nous avons demandé la création àBicêtre, par exemple, d'une sectio
rie que dans les deux Universités de Berlin et de Greisswald. Wolff demanda au Parlement « la cons- truction d'un établisse
haque sexe, possède donc un quartier de classement de plus que n'en demande Flechsig pour une clinique psychiatrique. Le pr
ès l'origine de la maladie qui remonte à vingt-six ans. L'auteur se demande s'il faut voir la de simples coincidences ou de
le rôle de membrane nourricière vis-à-vis du cylindraxe. Ce dernier demande deux nutritions; une nutrition trophique qui lu
réveillant, elle s'est trouvée entièrement transformée. M. Babinski demande que l'on cherche à produire comme lui le vertige
ace trois doigts et le pouce fléchis et l'index étendu. M. Cuyer se demande si ce geste n'est pas né après l'invention des
préjudiciable au repos des malades et du personnel. Il ne faut pas demander cette surveillance de nuit a un infirmier qui a b
s'absentait pour « faire une critique urgente ». Au contrôle, il demanda à parler à la grande artiste, en insistant très
75 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
111"e "` était sujette à la migraine. Dès le principe, elle s'est demandé si, jouet de son imagination, elle ne prendrait
ait l'état mental actuel de G..., s'il croyait devoir en faire la demande . RECUEIL DE FAITS Notes et observations sur l
it tout à coup mal à l'aise, et craignant quelque accident, il alla demander dans un poste qu'on le reconduisit à l'hôpital.
ement question, dans cette revue, des renseignements que nous avons demandés à l'anatomie et à la pathologie. Bien que dans
partie intra-capsu- laire du faisceau sensitif. Nous nous sommes demandé s'il ne serait pas possible de s'expliquer cett
he sans réaction dans le membre inférieur, F. Terrier et II. Luc se demandent s'il n'y aurait pas une dif- férence d'innervat
de Belgique, année 1880, 2° fascicule, p. 8,e-93.) Le De Burmann demande comme Mundy, Lockowt, Robert- son, Griesinger,
pretis m'a mis au courant de ce projet, et m'a fait l'honneur de me demander mon avis sur certains points incomplets. 1 Vo
ntiments les plus res- pectables, ne craignant pas, par exemple, de demander à ses pa- rents des meubles pour une femme avec
laquelle il vivait, s'éton- SOCIÉTÉS SAVANTES. 119 nantque cette demande ne fût pas accueillie, et ne pouvant com- prend
ne laisse pas que de me surprendre un peu. Je me sens poussé à leur demander s'ils sont eux-mêmes, en principe, parti- sans
s la plupart de cas avant la fin des démarches que nécessiterait la demande de divorce introduite par l'autre conjoint. L
ie des individus que l'autorité survente et pour qui elle exige une demande spéciale d'élargissement de l'asile avant toute d
f nécessiterait toujours la pose de cette question ù l'autorité. La demande de grâce est un devoir pour ces malbeu- reux su
liénés, qu'ils soient en congé ou renvoyés définitive- ment. ' Il demande que la commission se compose de juristes expéri-
s (affirmation sur ce point de M. Schroeter), sont complétés sur la demande de M. Zinn par l'énoncé du temps qui s'est écou
e liaison amicale, le personnel ne parlant que peu français. - A la demande de AI. de Rinecl;er,rl'orateur répond que le co
ai^de s'arra- cher l'eeil. SOCIÉTÉS SAVANTES. 135 Le Dl Gutscii demande quels sont les cas récents de guérison des psyc
Alt-Scherbitz, comparés aux résultats des modes en usage jusqu'ici, demandent , plus ample démonstration. '60 Une colonie ne p
els la dis- position négative est portée au plus haut degré. Leur demande-t -on leur nom ? ils n'ont pas de nom; leur age ?
ils ne veulent pas se lever, ils sont opposés à tout ce qu'on leur demande de faire. C'est la folie d' opposition. A cet
M<M-S<oe)'M ? t ? e ? t, 1870. 176 C) PATHOLOGIE MENTALE. demander s'il n'y aurait pas à rechercher une autre méth
re arbitre, le jugement et la raison, en vain les esprits pratiques demandaient des faits, beaucoup de faits. Seuls, More) et M
s distinctes, prennent corps et le patient effrayé, s'interroge, se demande s'il n'est pas le jouet de son imagination en d
ue précis que traduit l'expression perdre connaissance, l'auteur se demande quel est le processus physiologique en rapport
'Eliolorlie de quelques formes de la Paralysie générale. M. LASÈGuE demande qu'il soit attribué 1,000 francs, au lieu de 63
au contraire exaltés. Il en résulte que ces aliénés criminels, qui demandent une grande surveillance, constituent un élément
qu'on ne peut considérer comme des malades ordinaires. M. LnsLCUE demande que la discussion soit mise à l'ordre du jour d
à la liberté quand je me suis présenté, parce qu'il était guéri. -J demande si descommémoratifs de cette importance ne devr
C'est pour éviter que de pareils faits ne se renouvellent que nous demandons que les aliénés criminels soient administrés pa
me rapporteur du service des aliénés au Conseil général, nous avons demandé que ces renseignements fussent toujours communiqu
asile spécial, mais je juge celte création inutile. En tout cas, je demande que la Commission qui aura à pourvoir d'aliénés
us les médecins n'ont pas la sévérité d'Au- banel et d'Esquirol qui demandaient la séquestration perpétuelle de tout aliéné cri
son voisinage ? L'enverrez-vous dans un asile spécial ? M. DALLY demande à la Société de décider s'il y a lieu de conti-
ner une extension plus grande à une semblable institution, et je me demande même si la mesure qu'ils proposent suffirait à
il était jeune médecin, il avait adressé au Sénat une pétition pour demander la création d'un asile spécial destiné aux alié
de cette communication sera d'ailleurs effectuée in extenso '. Des demandes de MAL WERMME et Bernhardt fournissent à l'o- r
la gaieté vraie, ressortis- sant en somme à la douleur morale ? Il demande en outre au Dl Hollaender si l'on est en droit
personnelle. Nous ne pensons pas que les exigences du lecteur, qui demande à un livre nou- vellement paru de n'ignorer auc
bre ; et on a nommé un sous-comité chargé d'étudier la question. On demandera au Britisli-Museum la permis- sion de placer la
ticules, il n'a plus rien, il n'est lui-même qu'une « charogne » et demande qu'on creuse un trou pour l'enterrer comme un c
A... dit qu'il n'a ni femme ni enfants; dans d'autres instants, il demande à les voir et à retourner auprès d'eux. M. A...
r un ocu- liste, qui, après avoir examiné le fond de l'oeil, aurait demandé à M. C... de se tenir en équilibre sur un pied,
fois ? » ou encore : « Je devrais me tirer un coup de pistolet. Je demanderais bien à Dieu de me faire mourir, mais Dieu DU DÉ
nd des voix qui la poussent malgré elle à des actes -violents; elle demande la mort, et cependant elle sait qu'elle ne pour
, en proie à une profonde tristesse, vient, au mois d'octobre 1881, demander con- seil à l'un de nous pour les phénomènes ét
ves sans même DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. : ;37 se demander si, au contraire, elles ne pouvaient pas être con
ue l'on découvrit le diabète. Si le cas était isolé, on pourrait se demander s'il ne s'agit pas d'une simple coïncidence, ma
ance chez l'homme, le chat, le chien, le mouton, il im- porte de se demander pourquoi le nouveau-né et souvent même l'adulte
moins douze inscriptions de doctorat. Les candidats déposeront leur demande à la Préfecture dix jours au moins avant l'ouve
76 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
ez intelligible; il a tendance iL faire précé- der la réponse de la demande , ainsi il dira : Félix manze la sou (soupe) ? o
fants ainsi que les programmes et les billets de tombola. A notre demande , M. Butter a organisé trois bals et une tombola
oncours de la voix de tête, celle-ci est purement arti- ficielle et demande de longues études pour pouvoir s'en servir conv
xxiii Loin de nous aider à mieux faire, ils auraient volon- tiers demandé la réduction de nos moyens d'action. A leurs ye
remerciements pou) )abonne grâce qu'il met chaque année, sur notre demande , il. autoriser nos enfants et les petites fille
issements ordinaires de la ville, sont inexpé- rimentés, nous avons demandé à l'Administration de nous envoyer les doucheur
nseignement professionnel. missions de sortie et des congés, sur la demande des familles, il toutes les époques du l'année,
ce, 29 ont été rendus à leur famille, guéris ou améliorés ou sur la demande de celle-ci. Le tableau cle la page LXIII à lxi
cat devant aider il leur exemption du service mili- taire ; 39 pour demandes d'emploi ou de placement dans les hospices : in
ttaché depuis 187G, épique où j'ai fait un rapport dans lequel j'ai demandé la création d'hô- pitaux cantonaux. Depuis, la
nt nuls, la gym- nastique de même. Elle gâtait du matin au soir, ne demandait par aucun signe à aller aux cabinets. Un gran
sait les placer exactement, s'intéresse à tout ce qui se passe et demande mille explications. Elle a quelques diflicultés
la Commission de surveillance ont reconnu la légitimité de notre demande , déjà renouvelée plusieurs fois, et l'ont signa
à la discipline et travaillent avec moins d'ardeur (1). Nous avons demandé maintes fois, sans résultats à l'Administration
du Jura 10, Ce 2 septembre 1902. Monsieur le Docteur Vous m'avez demandé , lors de ma visite 131cêtre, de vous renseigner
une véritable angoisse. Une per- sonne qui ne le connaîtrait pas se demanderait coup sûr, ce qu'on a pu lui faire pour qu'il se
is et notre malade à Montereau. Le département de Seine- et-Marne a demandé son transfert, le père s'y refusant, on signe l
fois essayé de toucher au gaz ; jette une clef dans les cabinets et demande elle-même qu'on l'attache pour qu'elle ne puiss
que « au point de vue thérapeutique, cette scoliose symp- tomatique demande un traitement mixte : traitement thyroïdien....
pour allumette), pain, vin, nez, cayon (pour crayon), bague. On lui demande : Aimes-tu les cigarettes ? Il répond : oui, mo
passa mère. Il repousse les autres enfants, même sa soeur. - Il ne demande pas à manger, mastique mal, est gâteux. Le déve
ement et de grincement ont beaucoup diminué. Les cris ont cessé. Il demande à aller aux cabinets en disant « envie ». 189
superficiellement les malades, n'ont quelque- fois ni vu ni lu, le demandent , les considérant comme insus- ceptibles de tout
frappait. Mais aussitôt, s'apercevant qu'elle avait fait mal, elle demandait pardon, disant : « Je ne l'ai pas fait exprès.
délégation chargée d'exposer les griefs communs et la menacer d'une demande d'expulsion par le commissaire de police. Elle se
s'impatiente facilement, tape sur les tables. Elle aime tout ce qui demande beaucoup d'exercice. Elle est heureuse qu'on s'
la consultation de la Salpêtrière. M. Gilles de la Tourette aurait demandé si Georgette prononçait des mots orduriers. Sur
ritable transfor- mation. 160 Maladie DES tics ; guérison. A la demande de sa tante, nous lui avons accordé un congé. E
e, une nuit, la vit porter la main à ses organes génitaux. Elle lui demanda si elle avait l'habitude de se loucher, sa fill
Elle s'accusait de se faire remar- quer. Elle voyait des flammes et demandait qu'on ferme les rideaux, avait peur des voleurs
elques minutes et il lui est arrivé une fois cet après-midi de nous demander la permission de les ouvrir et cela assez franc
répond après un bon moment d'hésita- tion je l'ai laissé.... On lui demande aussi : que voudrais-tu Suzanne ? Je voudrais..
Je voudrais... ? Elle mange seule de bon appétit, coupe sa viande, demande de l'eau dans son vin. Ses mouve- ments ainsi q
portes à deux battants pour laisser passer les en- fants, Suzanne a demandé pourquoi on ouvrait ces portes Au réfectoire, é
mais ces colères n'ont pas de durée, elles tombent subite- ment, il demande alors pardon, promet de ne plus recom- mencer.
on se produit la nuit. Il n'a pas de som- meil ; à peine couché, il demande de l'eau, du lait, du chloral. Lorsqu'on a sati
(1<'.) (Otoure 1902). 224 Excitation ET impulsions VIOLENTES. demander , il entre en fureur, se frappe la tète contre les
au 7 décem- bre ; ce jour-là, sa faiblesse augmente notablement, il demande sans cesse de l'eau, du lait, du sirop de chlor
? ? N'a jamais été tout à fait propre ; toutefois vers 18 mois demandait : caca, est redevenu malpropre après une roug
77 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
cipaux de l'année 1884 (page xvii), nous disions que nous avions demandé à l'Administration diverses amé- liorations et
u 1 Il janvier il est monté à 140 le 31 décembre. Nous avions aussi demandé que le maître de gymnastique vînt donner une le
Salpêtrière le concours espéré, et nous avons été forcément amené à demander le partage du crédit voté par le Conseil munici
r de photographie et de moulage. Cet emplacement existe. Toutefois, demander la réalisation de ce programme dès maintenant n
nt que nous avions été chargé du Rapport au Conseil municipal, nous demanda s'il ne valait pas mieux prélever la somme néce
)ne ! d'apprécier la conduite et le savoir de cel administrateur. DEMANDE DE NOUVEAUX ' TRAVAUX. XLIX Malheureusement il
n pavillon d'isolement pour les maladies conta- gieuses, nous avons demandé à M. le Directeur de l'As- sistance publique, l
nce publique, la continuation des travaux. C'est en réponse à cette demande que M. le Directeur a envoyé as la Ville, pour
use) pour les garçons ; c'est pour cela que, en 1883, nous n'avions demandé qu'une partie des pavillons-dortoirs. ' BOURNEV
es pavillons-dortoirs. ' BOURNEVILLE 4884. HH . INSUCCÈS DE NOTRE DEMANDE . conformité d'une délibération du Conseil munic
urneville, chargé de la section des Enfants idiots et épileptiques, demande que l'Administration détache des travaux restan
ait un disponible de plus de 100,000 fr. sur la réserve, nous avons demandé à M. le Directeur de bien vouloir donner des or
'admission de l'Asile cli- nique où les familles auront à signer la demande de placement. Des commissaires de police décl
dans nos asiles. Il y séjourne jusqu'à ce que surgisse une nouvelle demande de transfert. L'enfant fait la navette entre sa
préjudiciable aux malades et aux familles ? - Ne pourrait-on pas demander une modification de la loi auto- risant le Dépa
-et-Marne ; mais il a étendu aux aliénés adultes ce que vous aviez, demandé seulement pour les enfants. En effet, par une d
on en date du 19 août 1880, le Conseil général de Seine- et-Marne a demandé que les aliénés mineurs ou non, séquestrés dans
u mois de mai 1881, l'Administration a soumis au Conseil général la demande du Conseil général de Seine-et-Marne. Dans le m
rtable. L'Administration est d'avis qu'il y a lieu de rejeter cette demande . « Ensuite M. Herold combat très vivement le ma
mémoire, puisqu'il s'agit d'une modification que nous n'avons pas demandée . « En ce qui concerne les enfants qui ont fait
ndu aux sentiments généreux du Conseil général et ont maintenu leur demande de transfert, à laquelle on a dû faire droit sa
e plus déplorable : Il n'y a aucun parent. Tout récemment on nous a demandé un certificat afin de transférer dans le départ
puis il se jette brusquement dans les bras de celui-ci afin de lui demander protection. Tout le reste de la journée il a co
78 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
fréquente que les localisations brachiale et faciale. Et si vous me demandez la raison de cette prédilection de la tuberculose
ce point de vue et si quelquefois, nos expériences finies, nous avons demandé à l'une d'elles si elle ne voyait pas quelque cho
en rouge, par exemple, elle nous regardait en souriant, paraissant se demander si nous n'avions pas un peu la berlue: « Qu'est-c
s, moi, d'attaques (à pari) et puis je ne te le dirais pas, pour sûr. Demande à papa qui est derrière.,, et puis je ne m'en cac
hystérie.) Compresse chaude sur la joue. — « Quelles névralgies! Je demanderai de l'antipyrine... Charles, tu m'en donneras, de
u'il rencontre et la raille sur la bonne odeur qu'elle répand, lui en demande pour son mouchoir. Comme cette dame l'appelle ins
l'apprenti a rapporté, que ce n'est pas le vernis que le patron avait demandé . Éther. — Nous lui Voyons, sous l'influence de
r un cordial. La femme revient à elle, il l'assied chez une dame, lui demande son adresse, la plaint de demeurer si loin, etc.
sert et gourmande le garçon de lui avoir apporté un pareil sirop. Il demande de l'eau-de-vie de marc. Légers attouchements s
s'adresse à une femme, une ouvrière sans doute, lui dit bonjour, lui demande si elle va acheter une machine à coudre. Souffl
vant l'émoi des habitants, le maire du pays écrivit à M. Charcot pour demander son admission àla Salpêtrière. Nous reconnûmes ch
t-ce pas? Je n'y arriverai pas. » S'adressant à lui, M. Charcot lui demande alors : « Où sommes-nous ici ? » R. « A la Salpêt
e sens. Le malade nous a répondu en se moquant un peu : a Pourquoi me demandez -vous cela ? Vous savez bien que c'est impossible.
lade de la salle), c'était de l'urine à B... (autre malade)... Je lui demande du rhum...,c'était du jus de fumier... Froycinet
repousse, et on doit profiter des instants où, dans son délire, elle demande du poison, pour lui faire absorber quelque boisso
s, moi, d'attaques (à part) et puis je ne te le dirais pas, pour sûr. Demande à papa, qui est là derrière..., je ne m'en cacher
ur la joue lui donne l'idée de névralgies : « Quelle névralgie!... Je demanderai de l'anti-pyrine... Charles, tu m'en donneras de
avoir qu'elles étaient ces bêtes qu'il écrasait ainsi. Nous lui avons demandé dans son état normal s'il ne rêvait jamais d'anim
e pue pour se couvrir d'odeur comme ça!... Excusez madame!... je vous demande l'adresse de votre parfumeur... Voyons, ne vous f
, puis rejette avec une grimace de dégoût une cigarette imaginaire et demande qui lui a fait la farce de tremper le bout de sa
lles sur les lèvres, il se plaint vivement : « C'est pas cela qu'il a demandé à boire, mais de l'eau-de-vie de marc. » Lorsqu
de régurgitation, puis il ouvre les yeux il est revenu à lui. On lui demande s'il sait ce qui vient de se passer : « J'ai dorm
n'est pas votre belle-« mère!... » Entrant dans son délire, nous lui demandons alors, faisant allusion au secrétaire général de
...» Puis, répondant à quelque camarade: « De l'argent? j'allais t'en demander ... Veux-tu déjeuner avec moi? je m'étais promis u
t repentant rêveur ! Journaliste endurci, ma suprême prière Sera pour demander à l'apôtre saint Pierre Un dernier billet de fa
à une question de nosographie, qui vaut la peine qu'on s'y attache et demande à être nettement mise au point, surtout aujourd'h
ut récents surtout, n'ont guère éclairci la question. On peut même se demander s'ils ne l'ont pas, à certains égards, obscurcie
incidents de son existence jusqu'à 1885. Elle répond exactement à mes demandes sur son lieu de naissance, son éducation, la pert
tit enfant, qui n'a aucune cognoissance. » Sortie de cet endroit elle demanda qu'on lui apporte une statuette de sainte Marie-M
ée par la parole (l'articulation des mots est aphone) elle écrit pour demander le lieu où elle se trouve, quelles sont les perso
nes. Il ignore absolument sa paraplégie et, quand on lui en parle, il demande si « on se moque de lui. » De plus, dans cet état
son prénom. Mais si on veut pousser plus loin l'interrogatoire et lui demander des renseignements sur sa famille, on voit déjà a
onnalité. Elle connaît le nom de son père, mais il ne faut pas lui en demander plus long; c'est tout ce qu'elle sait. Le reste d
ération d'arithmétique, si simple qu'elle soit. Mais ces phénomènes demandent à être cherchés, ils ne sautent pas aux yeux tout
la moindre notion de ce qui s'est passé avant cet épisode. Si on lui demande où elle a été élevée, qui lui a appris à lire, si
stoire, ayant toujours été heureuse, est assez limité. Quand nous lui demandons où elle habitait il y a deux ans et qu'elle nous
Marguerite, qui l'aimait beaucoup, en était tout attristée. Nous lui demandons alors : « Qu'est-ce qu'être mort?» R. « C'est ne
se souvient bien d'avoir vu cette pièce, mais il ne faut pas trop lui demander de détails. Cléopâtre, « c'est une femme qui se f
dans l'état A, elle s'indigne, et s'adressant à moi, par exemple, me demande « comment ce monsieur a eu l'audace de commettre
nir toutes deux dans son cabinet. Aussitôt qu'elles arrivent, on leur demande ce qu'elles viennent de faire et Marguerite racon
portait tous les jours et qu'elle dit ne point lui appartenir. Sur ma demande , elle dit ne point connaître telle et telle de se
ée de 1884 à 1885. Elle ne sait point où elle est née ; « on lui en demande trop long. » Elle dit qu'elle a 38 ans, « c'est s
Nous sommes en hiver. » Mais peu à peu, elle se calme et si on lui demande comment elle se trouve, elle répond : « Je suis b
d du Saulle; j'ai été sept mois dans son service autrefois... Vous me demandez s'il est mort? Allons donc ! je l'ai rencontré ce
nne, hors de toute communication avec le premier, il est permis de se demander si on n'eût pas, en les recherchant, découvert de
ers six heures comme d'habitude, mais elle n'en sait absolument rien. Demandez -lui ce qui s'est passé depuis lors, elle vous rép
n ? R. — Je ne sais pas, je dois avoir déjeuné, car l'estomac ne me demande rien. D. — Qui vous a amenée ici tout à l'heure
je suis bien malheureuse. D. — Qu'est-ce que je viens donc de vous demander ? R. — Je l'ai déjà oublié, je ne sais plus...
cette comparaison et cette reconnaissance. Plus tard, lorsque je lui demandais si elle me reconnaissait, elle portait spontanéme
il y a dans cette reconnaissance quelque chose d'acquis. Quand je lui demande qui je suis, elle tourne directement les yeux ver
ruine, une impulsion au suicide et du délire hypoohoudria-que. Il se demande si ces diabétiques ne sont point des descendants
osographie, de l'hé-mianesthésie cérébrale saturnine, j'en viens à me demander si la plupart de ces observations, pour ne pas di
rrefour sensitif, et de l'hémianesthésie hystérique. Eh bien, je me demande aussi, Messieurs, si cette hémianesthésie prétend
79 (1934) Oeuvre scientifique
r. Voici par exemple, un individu qui a subi un traumatisme dont il demande à être indemnisé en vertu de la loi sur les acc
y avait de ce côté un état spasmodique des muscles. Mais on doit se demander si cette asymétrie faciale tient bien à du spas
que, qui a des troubles de la phonation, et qu'on soit conduit à se demander s'il s'agit d'une dysphonie hystérique. Si l'on
tibulaire, et c'est à cause de ce phénomène subjectif que le malade demande le secours d'un neurologiste. Une diminution un
t, et qu'aucune partie de son corps n'est épargnée ; mais si on lui demande d'indiquer les caractères de ses douleurs, il res
ur ; la nouvelle venue n'est pas du tout hystérique. » Pourquoi ? lui demandai -je. « Parce que, répliqua mon interlocutrice, e
ls ; plusieurs fois par jour il l'invite à remuer ses jambes et lui demande si elles ne s'affaiblissent pas, si sa sensibil
e contracture et coxalgie hystériques. M. Charcot veut bien, sur ma demande , recevoir la malade dans son service à la Salpê
des hystériques à manifestations diverses. Certains d'entre vous se demanderont peut-être si les sujets dits hysté- riques ou p
à déterminer, et, lorsqu'on le perçoit, il est encore permis de se demander s'il s'agit bien d'un mou- vement réflexe ou d'
al est profondément altéré. Il y a là un contraste qui conduit à se demander s'il n'y a que certaines parties du système pyr
n examine. Quand, par exemple, on recherche le réflexe rotulien, on demande à l'individu en observation de joindre les mains
x, lorsque les arcs réflexes n'ont pas été lésés. Mais on doit se demander si dans d'autres cas l'irréflectivité peut être
érations appréciables des voies tendino-réflexes, on peut encore se demander si certaines lésions spinales, d'une nature spéci
rréflectivité, au moins dans une de leurs phases. Il y a lieu de se demander si l'exagération des réflexes tendineux accompa
très exagéré, présente de l'intérêt. Voici comment on procède : on demande au malade d'entr'ouvrir la bouche sans raidir l
d'alcool. Je me suis exprimé en ces termes : « Je m'étais souvent demandé , en présence de malades atteints de para- plégi
ons visuelles manifestes ; elle voit des lampes tout près d'elle et demande qu'on les retire, car elles lui font mal aux ye
nsées ; elle s'inté- ressait aux personnes de sa connaissance et en demandait des nouvelles ; elle s'entre- tenait avec les s
voir le bras droit, elle exécutait immédiatement l'ordre donné. Lui demandait -on de mouvoir le bras gauche, elle restait immobi
que, cette fois, « sa science était impuissante ». Lorsqu'on lui demandait d'indiquer avec précision ce qui la gênait, elle
te aberration comme providentielle en quelque sorte et nous avaient demandé instamment d'éviter toute question pouvant détr
it. Il sonne à une auberge dont le patron, avant d'ouvrir la porte, demande à qui il a affaire. Le noble gentilhomme décline
concep- tion. Toutefois, sans en contester la justesse, on peut se demander si, dans la genèse des phénomènes en question,
art au moins, un phénomène d'ordre mécanique, il est légitime de se demander s'il ne serait pas possible de remédier dans un
re, est assez difficile à concevoir ; aussi serait- il permis de se demander s'il ne s'agit pas alors d'une association psyc
as l'affirmer.) Quelle est la nature de ces phénomènes ? On doit se demander s'il ne s'agit pas de réactions volontaires pro
es sont susceptibles de quelques objections. Il serait permis de se demander si l'on n'est pas victime de quelque illusion ; c
oli. ' L'étude des faits que je viens de rapporter m'a conduit à me demander u"«<.u. 1 : 178 1 . 1 SÉMIOLOGIE si l'ob
Vision, Octave Doin, 1898, p. 48 et suiv.), et dès lors on peut se demander s'il n'y a pas entre ces deux phénomènes de rel
ervation II la pupille gauche est très dilatée, et l'on pourrait se demander si cette mydriase est sous la dépendance d'une ex
tème nerveux eût fort bien pu être méconnue, ce qui me conduit à me demander s'il n'en a pas été ainsi dans d'autres cas d'ané
probabilité. J'en conclus que dans un cas où chez un aortique on se demande s'il existe une poche, contrairement à ce qu'on
elle des affections labyrinthiques. Bien souvent, on est amené à se demander s'il ne revient pas à l'appareil vestibulaire u
èle composé d'une série de zig- zags égaux et réguliers. Mais c'est demander alors l'exécution de mouve- ments composés, suc
Pour bien constater le caractère démesuré des mouvements il faut demander au cérébelleux d'exécuter ceux-ci rapidement, lui
dis- « metria dei movimenti ». » ' SÉMIOLOGIE CÉRÉBELLEUSE tg3 demandons , c'est si on peut remonter à l'origine de ce trou
l'en séparent. , En raison de cette imprécision, il y a lieu de se demander si le terme ataxie ne répond pas simplement à d
aines tumeurs et particulièrement les tubercules ; on peut alors se demander si ces néoplasies n'ont pas pu se développer jusq
intéressé. Mais il faut bien tenir compte de cette ano- malie et se demander si elle est en opposition avec un pareil diagnost
epte avec empressement ma proposition de la faire opérer, et sur ma demande , le Dl Gosset pratique le 14 janvier, la crânioto
E CÉRÉBRALE ? ) (DISCUSSION.) M. J. BABINSKI. - Il y a lieu de se demander si l'intervention chirur- gicale n'était pas in
modifications des réflexes que nous avons décrits. On pourrait se demander s'il existe une relation de cause à effet entre c
RAMIDALES Il a des exostoses ostéogéniques multiples, et on s'était demandé s'il existait une relation de cause à effet ent
suis pas en mesure de résou- dre pour le moment cette question qui demande de nouvelles recherches. Je me contente de fair
une façon tout à fait normale. En face de ce fait, on pourrait se demander si l'on n'est pas en pré- sence d'un trouble me
et en particulier par une exagération des réflexes tendineux. Je me demande alors si cette paraly- sie ne serait pas de nat
ux crises épileptiformes. En octobre, le Dr J. Chaillous, sur notre demande , pratique un examen du fond de l'oeil et consta
ctère de laisser les réflexes intacts, il y avait encore lieu de se demander si dans l'espèce, l'hystérie n'aurait pas été en
'on ne le pense généralement, mais que, comme le tabes conjugal, il demande à être cherché parce qu'il se manifeste dans bien
p. 34o. TABES ET PSEUDO-TABES 34f 7 ï vu sa fille, je n'avais pas demandé qu'il vint se soumettre à mon examen, je n'aura
tabes, je m'informe, s'il est marié, de l'état de son conjoint, je demande à l'examiner si cela est possible et je suis ar
ent plus profonde, parfois presque stertoreuse. Il est permis de se demander si les troubles constatés chez la malade dès so
de mettre le malade à l'abri de tout danger. Mais il y a lieu de se demander si parmi les causes susceptibles de pro- voquer
convulsions à l'âge de vingt-deux mois. Il est de plus permis de se demander si les lésions méningées aiguës, si la méningite
nomènes aigus qui ont disparu. Ce sont là diverses hypothèses qui demandent à être vérifiées à l'aide de nouvelles observatio
sure de reproduire par sug- gestion la même forme de monoplégie. Je demande qu'on procède de la même manière en présence d'
t, afin d'être certain que le sujet ne répond pas au hasard, je lui demande s'il le voit ; puis, après quelques instants, l
'à présent, je n'ai défini que les accidents hystériques et vous me demanderez de définir l'hystérie elle- même. Je pourrais
era faite alors. Mais je me hâte d'ajouter que cette preuve, que je demande depuis six ans à ceux de mes collègues qui cons
d'engendrer, quel- ques-uns d'entre vous sont peut-être amenés à se demander si l'hystérie est réellement un état pathologiq
ions hypnotiques des manifestations hystériques, c'est que les unes demandent pour se déve- lopper l'intervention d'autrui et
oyait avoir observé un cas intéressant de fièvre hystérique m'avait demandé d'intervenir auprès du directeur d'un journal n
i doivent être distinguées les unes des autres On peut d'abord se demander si réellement l'émotion a sur la genèse des tro
leur soit commun ; la logique s'y oppose. Cela établi, il faut se demander si l'on continuera à faire usage du mot hystéri
une corbeille de fleurs ima- ginaires, aux couleurs vives ; on lui demande d'en cueillir quelques-unes, de les réunir en b
THÉRAPEUTIQUE 507 Mais avant de poursuivre, il est nécessaire de se demander si l'hypno- tisme constitue bien une réalité. N
ces grands sujets, je les ai comparés à des individus qui, sur ma. demande , simulaient la catalepsie : les tracés ont été id
tes d'affections organiques, vivant dans les mômes salles, venaient demander au médecin de chercher à les hypnotiser pour les
mpatient de quitter l'hôpital ; il se déclare complètement guéri et demande à retourner au front. Il est intéressant de noter
embres en l'ab- sence de toute manifestation hystérique. On peut se demander si. là encore, il ne s'agit pas de troubles tro
onduite à suivre en présence de manifestations hystériques et qui a demandé la création de services spéciaux ; aux chefs des
lors, du signe le plus caractéristique. Enfin il y avait lieu de se demander si l'attitude vicieuse et la raideur musculaire
éduquer, il est tellement persuadé de la valeur de la méthode qu'il demande à être moniteur. Il se charge des hommes qu'on
r la pointe du pied tournée en dedans. Si on l'examine et qu'on lui demande de redresser complètement son pied, il le fait
ntraire le passage des phénomènes dans les membres du côté opposé a demandé deux ou trois mois, pour se produire, ce qui indi
du liquide céphalo-rachidien. Dès lors, il était tout naturel de se demander si la ponction lombaire ne serait pas capable d'a
de qu'il était impossible d'intervenir de nouveau, il est venu nous demander conseil. Nous l'avons soumis à l'action des cou
diatement la cessation des séances. En avril igo5, C... vint nous demander conseil. Ses crises, caractérisées par une viol
uter sont excessivement limités et inutilisables ; il est obligé de demander l'assistance des voisins pour les moindres actes
ur droit sont améliorés au point qu'il peut manger sans aide. Je me demande alors si les rayons X n'ont pas exercé une acti
du salicylate de soude, en particulier, sans aucun résultat. Sur ma demande , le Dr Delherm soumit le malade à la radiothérapi
plus marquée du côté droit. 616 THÉRAPEUTIQUE Il est permis de se demander si les troubles fonctionnels sont exclusi- veme
80 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ents dans laparalysie générale. Cette conclusion nous incite à nous demander d'où vient le désaccord des auteurs. C'est qu'e
ait six mois après des phénomènes de paralysie générale, M. Danlos' demandait dans une communication à la Société médicale de
n des filets nerveux contenus dans la cicatrice des moignons. On se demande cependant depuis quelque temps si cette manière
pas de celles dont la chirurgie peut être le plus fière, et l'on se demande pourquoi le chirurgien, au lieu de conseiller à
l'excitabilité nerveuse, aucun n'est spéci- fique, et l'on peut se demander , en présence d'un cas d'épilepsie guérie, si ce
t\V.-T. PATTERSON (Médecine Détroit, mars 1896). Existe-t-il, se demande l'auteur, un état mental dans lequel un individ
ns un cas donné et après examen, le mal dont souffre celui qui nous demande conseil ? Quels scron t, à son suj et, notre di
urs d'une cerébro-syphilose quelconque, et il est bien permis de se demander si des infections secon.- daires surajoutées n'
it où on l'a transportée, croit qu'on l'a changée deux fois de lit, demande à revenir dans la salle commune. Elle a un peu
élivrée de ses liens elle a essayé de se jeter par la fenêtre. Elle demande avec insistance qu'on la laisse partir. 101' ma
on est obligé de la faire manger comme une enfant. Elle ne sait ni demander le bassin, ni aller à la chaise; elle fait tout
ns que la malade ait réfléchi si elle s'appli- quait à ce qu'on lui demande . Aussi on lui dit : « Souffrez-vous n`' elle ré
Souffrez-vous n`' elle répond : « Non. » Tout de suite après on iui demande : a Où souffrez-vous n ? elle montre le côté ga
ou paralytique de l'intoxication alcoolique ou du saturnisme. Je me demande dès lors où est la nécessité d'isoler cette pha
En somme, le bénéfice obtenu a été à peu près nul ; on peut même se demander si le malade n'a pas plutôt souffert que profité
e)'7 ! 6S : MM. Bensussan et Pauzier. Saint-Y lie près Dôle (Jura). Demande d'interne : L4 inscriptions; traitement 800 fra
en : tota medicina pruderztia est, etc. M. Lacassagne pour conclure demande avec toute raison : 1° que les experts soient d
de Saint-Ylie, en remplacement de M. le Dr ROUSSET, maintenu sur sa demande médecin adjoint à l'asile de Bron; - M. le Dr D
ns suite, embarras de la parole. » Petite, maigre, turbulente; elle demande sa sortie, étant assez riche pour se faire soig
naissance plus Lard de l'infidélité de sa femme, mais ne voulut pas demander la séparation de corps avec elle, afin de jouir
d'après laquelle une paralysie du récurrent est toujours incurable, demande à être revisée. A côté 236 REVUE DE PATHOLOGIE
uve. Suivons donc votre raisonnement. M. Lentz pense qu'avant de se demander si un principe est bon, il convient souvent de
e la modération doit l'emporter sur l'abstinence. En pratique, se demande alors M. Lentz, étant donnée la situation socia
ont pas de passion. Mais combien les faibles ont besoin de lutter ! Demander l'abstinence dans ce siècle de vin, c'est pours
la Croix-Bleue qui vise spécialement au relèvement des buveurs, ne demandent à leurs membres que l'abstinence des spiritueux
ssons alcooliques suffirait amplement à lui fournir ce que M. Lentz demande avec raison. Mais M. Destrée, armé de l'ergogra
elle importance pour tous nos confrères. - . M. le Dr Bourneville demande à présenter, à l'occasion du procès-verbal, une
nsister, telles que les vacances des enfants, etc., les congés sont demandés par tout le monde pour les mêmes mois 5 asiles
D Bourneville a droit, selon moi, à toute notre sollicitude. Aussi demanderai -je à la Commission de l'inscrire à l'ordre du jou
e n'est pas seulement pour l'asile de Villejuif qu'il y a lieu de demander la création de médecins-adjoints, mais aussi pour
a, lui, son médecin-adjoint, poste dont nous avons, dans le temps, demandé et obtenu la création. Dans notre pensée, les m
l'Administration qui le place dans un asile d'aliénés. En ce cas je demande que le dossier administratif de ce malade et le r
en est de même pour tous les cas. Je ne fais que renouveler ici une demande que j'avais faite autre- fois au Conseil généra
faite autre- fois au Conseil général, qui s'y était associé, sur la demande des médecins des asiles, à une époque où je n'é
que celle qui est soulevée par leur collègue. M. BOURNEVILLE. Je ne demande pas la communication inté- grale du dossier aux
es ? Au moment où nous n'en avons plus besoin ; au moment où nous demandons la sortie du malade interné dans nos asiles. Je
rtie du malade interné dans nos asiles. Je suppose, en effet, queje demande demain l'arrêté de sortie d'un de ces malades.
et, queje demande demain l'arrêté de sortie d'un de ces malades. Ma demande va à la préfecture de police. Là on 254 asiles
iminelle et en me demandant si je persiste, dans cette situation, à demander sa sortie. Eh bien ! je demande simplement que
persiste, dans cette situation, à demander sa sortie. Eh bien ! je demande simplement que ce même dossier de la préfecture
rai commu- nicatiou à peu près toujours de ces rapports, mais je la demande pour tous et sans démarches. On oublie d'ailleu
on du règlement actuellement suivi puisse rester telle quelle et il demande à la Commission, conformément à la proposition
novembre nous avons donné de nouveaux arguments à l'appui de notre demande de communication des dossiers des aliénés dits
que j'ai dit à la dernière séance de la Commission à l'appui de la demande de communi- cation des dossiers des aliénés dit
ie pas eu son dossier au moment de l'inlernement, car alors j'eusse demandé qu'en raison de son passé, de son déve- loppeme
mis à essayer de faire réaliser le voeu de la Com- mission. Notre demande , nous le répétons, s'applique non seulement aux
de nos confrères, soit de France, soit de l'étranger, nous ont même demandé où l'on pouvait se procurer ces thèses, que l'o
illée de tous les faits contenus dans cette intéressante thèse, qui demande à être lue. Nous nous bornerons à en citer les
stème de défense et fut condamné à huit ans de prison. M. Garnier demande si, étant données les contradictions signalées
en tirer aucune confidence. Le père fut très ému, et, en venant me demander conseil sur les précautions à prendre, fut amen
entiment anor- mal. A vingt ans, cette jeune amie fut l'objet d'une demande en mariage, qui fut d'ailleurs rejetée. L'idée
un état d'agitation particulièremeut pénible. Elle rejeta plusieurs demandes en mariage qui se présentaient dans les conditi
futiles. Elle avait vingt-quatre ans, quand elle fut l'objet d'une demande qui se présentait dans de telles conditions de
'excuser lui-même, des théories surannées auxquelles les buveurs ne demandent qu'à croire. De même que son autorité à bouleve
tendre, et c'est dans ce sens que le corps social a le droit de lui demander de mar- cher, puisqu'il lui donne sa confiance
int bientôtjusqu'à la notion première de leur origine. Après s'être demandé si la damnation qu'ils sentent peser sur eux ne
prolongements dendritiques auraient fait complètement défaut, Golgi demandait ironiquement comment ces éléments, sans organes
ans l'espèce que d'une coïn- cidence, et l'on pourrait seulement se demander si les lésions vas- culaires et osseuses ne son
ralysie générale, se rencontre dans d'autres formes mentales. Je ne demande d'ailleurs qu'à être convaincu de l'exis- tence
. Pour ce qui est de l'objection soulevée par M. Brunet, sans lui demander sur quels documents il s'appuie pour dire que la
pe quand il nous parlait de lésions diffuses de syphilis, et je lui demandais de faire une démonstration qui aujour- d'hui es
e joue aussi un rôle très important. M. Charpentier. M. Ballet nous demande de lui prouver que la paralysie générale existe
n dans différents forts du Nouveau-Mexique, où il fut envoyé sur sa demande dans l'espoir d'améliorer sa santé, troublée pa
conviction ébranlée par ces expériences contradictoires, et s'est demandé , dans la suite, si dans les cas qu'il avait obser
par le diable, quand il parle tout seul, qu'il se dit damné, qu'il demande à être rebaptisé, et marmotte cons- ' Esqtjirol
héno- mènes sont dus non pas à elle mais au diable, l'a poussée à demander l'exorcisme à un prêtre, qui le lui a refusé et
uvent consultés sur la lucidité de leurs malades. Les notaires leur demandent , par exemple, s'ils sont capables de signer une
perdu complètement la possession de leur libre arbitre. M. Dumaz demande , pour éviter les condamnations sifréquentes des
qu'il était appelé à la préfecture de la Seine. Le commissaire lui demanda à voir son ordre d'appel. Tout à coup cet homme
81 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u le rete des vasa vasorum des gros vaisseaux adjacents. Ce- ci demande une courte explication et quelques exemples.
continuellement d'être électrisé, brillé, empoisonné, mécanisé; il demande « la liberté ou la mort», car ce n'est'pas une
eux, c'est que, tantôt il signe ses écrits de son véritable nom, et demande simplement à retourner auprès de sa femme et de
iplomatie ». Aussi bien ne discute-t-il jamais pour savoir ce qu'il demandera au gouvernement, mais uniquement pour dire ce q
t sans s'arrêter avec une rapidité singu- lière, jusqu'à ce qu'elle demande grâce et qu'on la recouche. La marche est absol
diathé- siques, l'Académie de médecine n'entendait assurément pas demander aux concurrents de décrire une à une des folies d
tenter le directeur de l'assistance publique en France. Ce que nous demandons existe en Angleterre. Tentative d'assassinat co
habituelle. L'une gagne ce que l'autre perd. C'est la loi. * On se demande où 1'he Lancet a découvert cette loi, et à quoi
aduc. - L'exposant s'est donc parce motif présenté devant nous pour demander et requérir la rupture des fiançailles et obten
séance de prestidigitation sur la place de la Mairie. Cet individu demanda une personne de bonne volonté pour servir à des
emblance, nous ne saurions prévoir dans quelle proportion. On s'est demandé à ce propos, quelles étaient les causes qui fon
e accès a débuté en octobre 1889. Se sentant malade, fatiguée, elle demanda à son atelier une permission de quinze jours et
le a passé pour savoir ce que c'est que la souffrance, Quand on lui demande si elle a eu des chagrins, elle répond : « Mour
ppelez-vous si vous entendiez des voix autrefois par l'oreille, lui demande-t -on. a « Je vous dirai oui que je menti- rais, »
r ici dans une analyse détaillée de ce long et curieux mémoire, qui demande à être là dans son -entier. J. SÉGL.2S. XXXIV
été adjoints les Médecins aliénistes de Blois, a l'honneur de vous demander votre adhésion. La date de la réunion est fixée
e celle-là. Si nous rappelons ces condam- nations ce n'est pas pour demander des poursuites contre qui que ce soit, mais pou
and nombre des ' praticiens. ' ' VARIA. 378 Il est permis de se demander en effet, si des connaissances plus approfondie
Au bout d'un an on ne m'avait pas rendu ma fille, malgré plusieurs demandes . Un jour, j'ai appris qu'un enlèvement avait eu
nfin M. Robin, un de ceux qui, en 1890, ont assisté la mère dans la demande d'in- ternement, déclare qu'il a entendu dire -
hallucina- tions et du délire de la persécution. En conséquence, la demande de mise en liberté formée par la mère de la mal
Le témoin déclare qu'il n'a pas connu, au mois de novembre 1890, la demande d'internement adressée par 'sa femme. Je n'ai
elle ne leur paraissait pas folle. ' M. le substitut Trouard-Riolle demande au tribunal de' faire un exemple. Les infirmièr
. Voilà un incident qui va renforcer les arguments des médecins qui demandent l'interdiction des séances publiques d'hypnotis
ur du Massachusetts a envoyé un message au parlement dans lequel il demande la cons- truction d'un hôpital de l'État pour l
VES, t. XXIII. 19 290 CLINIQUE mentale. graver chaque jour; et me demanda de la prendre dans mon service pour lui donner
nd soupir, ouvre les yeux, sourit à ses parents qui l'entourent, et demande avec un accent de surprise : pourquoi elle est
ernum en disant ressentir de ce côté des douleurs très aiguës; elle demande un couteau pour ouvrir son estomac; elle se pla
ué au somnambulisme spontané, faite dans un but thérapeutique. Il demanda donc à M. le Dl' Puel qui était à cette époque,
plus en plus inquiet, vint me voir, me parler de cet état, et me demander si je ne craignais pas qu'en insistant sur la n
at, conforme à mes espérances, je pris à part ses voisines, et leur demandai de m'aider dans la guérison de cette jeune fill
en elle me savait gré maintenant de l'insistance que j'avais mise à demander son entrée à l'hôpital ; que tout avait été, po
sée à frapper un inconnu, un ami, un parent, elle résiste, s'isole, demande à être enfermée dans une chambre, restant parfo
de philosophie en province, je suis venu sans titre et sans raisons demander quelques con- seils à M. Charcot pour les étude
t. 1, p. 119, et l'Auto- matisme psychologique, 1889, p. 271. Nous demandons la permission de renvoyer quelquefois le lecteu
isparu et déclarent éprouver à ce propos une impres- sion horrible. Demandez donc aux hystériques qui ont de l'anesthésie de
ibilité comme la sensibilité sont des faits psychologiques, il faut demander à la psychologie quelques notions sur les sen-
de, est examiné par le médecin. On lui pince le bras gauche, on lui demande s'il sent le pincement, et à sa grande surprise
s expliquer sa nature. Maintenant qu'elle est bien endormie, je lui demande ce qu'elle avait dans la main gauche tout à l'h
r une anesthésie analogue à l'anesthésie organique et alors je vous demanderai de m'expliquer, la répartition intelligente de
le le sujet la supporte, la conservation des réflexes, etc. Je vous demanderai de quel droit vous séparez ces malades des autr
res, de cet affaiblissement de la mémoire : une de ses parentes lui demandait le nom de son dernier enfant, cela deux jours a
de grands efforts pour forcer la porte, les femmes lui ayant, à sa demande , donné leurs noms, ce qui semble le satisfaire.
à chacune soixante. NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 375 Quand on lui demande la raison pour laquelle il a agi ainsi, il répo
qu'on veut l'empoisonner. 13. Même état à peu près que hier. Je lui demande le nom de sa femme, il ne peut d'abord le trouv
e malade ne peut fixer rapide- ment son attention sur ce que je lui demande , il lui faut d'abord faire un effort qui exige
Il n'y a pas chez elle de sensation auditives, car lorsqu'on lui demande dans quelle direction venaient ces voix, si elle
rquer seulement que l'état faible de l'hallucination psycho-motrice demande à être recherché sous peine de passer inaperçu.
é religieuse de tout temps; mais elle l'est devenue davantage. Elle demandait qu'on priât pour elle en disant qu'elle n'aurai
plus grand développe- ment chez les mélancoliques, et l'on doit se demander s'il n'y a pas lieu de distinguer des mélancoli
ion de Sainte-Anne. Un de nos confrères, que je ne nommerai pas, me demandait un jour, pourquoi dans certains certificats rel
raires qui reviennent périodique- ment dans la presse politique, je demande à la société de discuter la question de la sort
s les cas ; il reconnaît qu'elle est impossible à trouver ; mais il demande qu'on détermine les signes qui permet- tent d'a
s et fonctionnaires visitent à tout instant notre oeuvre, ou nous demandent des renseignements. L'impression qu'en remportent
UCHENNE (de BOULOGNE).-Le Conseil municipal de Paris a voté, sur la demande de M. le Dr Joffroy, une subven- tion de 400 fr
82 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ait duré quarante jours, le ménage Schtein revint à Paiis et Cam... demanda pour achever sa guérison à entrer au sanatorium
s. Une ou deux fois seulement au cours de nos causeries, elle avait demandé si nous ne savions rien de l'existence de « con
reprendre ses diverses « spécialités médianimiques ». M. Schtein ne demandait qu'à consulter sa mère, Cam... aimait entendre
la nuit. Cet inconvénient lui est particulièrement pénible et elle demande du bromure de cam- phre pour y remédier. Détail
'au Fig. 3 a. - Dessin médianimique exécuté les yeux fermés. Nous demandons ce qu'il représente : C... attend la réponse de
de l'activité actuelle de l'automatisme de Cam.... l'un de nous lui demanda de tracer, les yeux clos, une ligne longue et r
: « Vous êtes déiste, c'est-à-dire croyez à tous les dieux; or, « demandez qu'on vous démontre Dieu; or, l'Infini n'est pas
des phéno- mènes sensitifs ne soit qu'apparente ; aussi peut-on se demander s'il n'existerait pas une certaine constance da
nfin l'étude des dégénérescences et de la dégénération permet de se demander si le cylindre-axe a vraiment la valeur d'un co
uivants on n'en signale plus que des cas isolés. Pourtant, on s'est demandé si cette disparition n'était pas plus apparente
admet l'infection médullaire consécutive à la névrite il reste à se demander comment se propage cette infection. On peut pen
voix intervient un jour réconfortante comme d'habitude, sur notre demande expresse elle la repousse pour nous obéir, mais D
me n'a-t-il pas fait rendre en strophes bien cadencées les réponses demandées par Panurge à la Sibylle de Pauzoust et à Bacbu
pas toi-même, tu verras comme le vrai Henri 13... est beau». Il se demande com- ment il sortira de sa guenille et rentré c
n ! ». 11 veut s'assurer que ce n'est pas lui-même qui a dit non et demande à l'esprit z 111EDIU11111TÉ DÉLIRANTE. '147 «
voit une porte, l'esprit lui dit « entre ». 11 frappe, on ouvre, il demande à entrer, les jardiniers le prennent pour un em
dis- tiuctement une étincelle lumineuse frapper son Iront. Il se demande si c'est la mort qui va l'atteindre. Dans la uuit
on corps mais il la sent égarée. Il n'a plus la notion de rien et demande où il est. D... répond : « dans un cadavre de l
i ordonne d'aller au café prendre une absinthe pure pour se tuer. H demande quelle est cette voix, l'esprit de D... répond
is elle est elle-même excessivement dégénérée. On peut néanmoins se demander si certains cas d'atrophie diffuse ne ' Voy. Ar
ir que dans un avenir proche, les familles de traumatisés aliénés ' demanderont des indemnités au sujet des troubles mentaux co
surtout concernant les événements récents ; constamment le malade demande les noms des personnes avec lesquelles il parle,
out spiritueux pendant la durée du traitement. C'est peut-être leur demander un effort colossal, puisque, le plus souvent, l
nce précoce au sens que M. Krâpelin attache à ce terme, avant de se demander si elle est d'origine constitutionnelle ou acci
nce de l'après-midi, le Président Brissaud tente de ré- pondre à la demande d'un congressiste qui avait souhaité voir sanct
timent les poids avec le bras ma- lade, etc. Ces expériences, qui demandent à être continuées et approfon- dies,, montrent
rvention du pouvoir judiciaire; l'unanimité ne se retrouve que pour demander le désencombre- ment des asiles, l'augmentation
ice actuellement en fonctions. M. Keraval a eu l'excellente idée de demander au docteur Raoul Leroy, le médecin en chef de G
rticulièrement dangereux. Mais le petit asile à proximité du grand, demandé par H. Colin pour certaines catégories (aliénés
t point aller à l'encontre de l'interven- tion du tribunal civil si demandée pour les aliénés criminels depuis leur crime ou
rature. Le médecin traitant n'a, s'il le juge convenable, quand ils demandent leur sortie, qu'à appliquer l'article 29 de la
la sortie ou le maintien d'un aliéné criminel amélioré ou guéri qui demande son exeat. En pareil cas, il me parait nécessai
tellectuelles, au cours de leurs études, M. Tissié a été amené à se demander si l'application des mouvements physiques d'apr
, en remplacement de M. le Dr Coupon, mis en dispo- nibilité sur sa demande . - M. le Dr Truelle, médecin adjoint à Dun-sur-
er par sa maitresse, mais près d'elle, pris de honte, il n'osait le demander . Cette lutte angois- sante, durait depuis quelq
ne fille de couleur dont les pieds réunissaient toutes les qualités demandées par lui. Y... renonça de ce jour à l'onanisme, au
e les placer sous ses yeux et quand elle jugea le moment venu, elle demanda un soir à Y... de lui enlever ses bottines et s
lle est; incapable d'un effort conscient elle appelle à son aide et demande qu'on lui fasse ouvrir les yeux. « Dès que mes
ur ainsi dire instantanément, les yeux ouverts ils dispa- raissent. Demandez à la malade si réellement elle dort : «Je ne sa
le dites.... mais faites-moi ouvrir les yeux et alors je saurais ». Demandez lui si elle dort « je suis éveillée, mais je su
hez-là de voir ses jambes, elle s'ar- rête et ne peut tenir debout. Demandez -lui où elle est et fer- mez-lui les yeux elle n
cas le sujet est absolument rebelle, il se débat, crie, se plaint, demande instamment à ce qu'on lui ouvre les yeux. Dans
l est calme, obéit passivement aux suggestions qu'on lui fait et ne demande L'ANESTllESOE AVEC LES RÊVES ET LES CAUCHEMARS.
crises alcooliques, était interné à l'hospice de Villejuif, sur la demande de sa femme. Au mois de février dernier, Pierre
Lesvellec. Les candidats sont invités à produire à l'appui de leur demande : 1° un extrait de naissance; 2° un certificat
nce ou d'empêchement, les titu- laires avec tous les avantages. Les demandes doivent être adressées à M. le Directeur de l'A
clairage, blanchissage. Labora- toire et bibliothèque. Adresser les demandes à M. le Dr Charuel, directeur, médecin en chef.
Ces trois points semblent à l'auteur de grands obstacles pour une demande en divorce, en raison du scandale qu'ils susciten
jugement ou renvoie l'affaire. Voici, par exemple, une interdiction demandée pour un paralytique en rémission qui répond bri
autorisées pressent l'Etat de remplir ses obligations. Ce qu'on lui demande , ce n'est pas de supprimer ou de supplanter l'ini
it obligée de céder émurent M. le juge d'instruction de Bernay, qui demanda l'examen médico-légal de la prévenue. - Les r
t, qu'elle est la victime d'une force involontaire. Lorsqu'on lui demande d'exprimer les sensations qu'elle éprou- vait s
autres, qui croient voir des difficultés à ces mesures d'exception, demandent le maintien du stalu quo, ou tout au moins, ava
à l'asile, et bien plus, son intervention ne se produirait qu'à la demande même du médecin traitant. C'est lorsque celui-c
, il répond, bien qu'avec difficulté à cause des secousses ; on lui demande s'il souffre, il répond : « Oui, un peu, j'étou
ffé par suite de leur incurie ou de leur imprudence. ' Nous avons demandé des renseignements dans le but de con- naître l
e syncope rapidement suivie de mort était survenue et qu'il fallait demander au parquet l'au- topsie nécessaire pour précise
ous comprenez ! Est-ce ce Ferrer qui aide à faire les ordonnances ? demanda à un de ses voisins notre Renzo, qui se souvint
l les allongeait et les agitait lentement' hors de la portière pour demander un peu de place; tantôt il les baissait polimen
pour demander un peu de place; tantôt il les baissait poliment pour demander un peu de silence. Quand il en avait uu peu obt
fable ; il promenait lentement, le fouet à droite et à gauche, pour demander aux voisins incommodes de se ranger et de se reti
, les officieux les plus actifs s'employaient pour faire le passage demandé avec tant de grâce. VARIA. 519 Quelques-uns,
par charité. Pain ! Pain ! en prison ! en prison ! Qu'est-ce... ? » demandait -il ensuite à un homme qui avaitjeté la moitié d
oitié de son corps dans la portière pour lui hurler un conseil, une demande , un applaudisse- ment, n'importe quoi. Mais cel
to et autres exhibitionnistes. En consé- quence le ministère public demande une condamnation sévère au tribunal, duquel il
83 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
x projections, est devenu plus causant et répond mieux quand on lui demande quelque chose. Il n'est plus gâteux, se tient p
faire quelques exercices de copie. Il vient en classe avec joie et demande rarement il s'absenter pour des corvées. Appren
bles. Loin de nous aider à mieux faire, ils auraient volon- tiers demandé la réduction de nos moyens d'action. A leurs ye
a manière et clans les circonstances déter- minées par eux. Or, une demande a été adressée à l'Administration par quelques
issements ordinaires de la ville, sont inexpé- rimentés, nous avons demande il l'Administration de nous envoyer les doucheu
c'est qu'ils ont des permissions de sortie et des congés, sur la demande des familles, à toutes les époques de l'année,
t, et au détriment des finances de l'Admi- nistration. Nous avons demandé maintes fois à l'Administration de nous donner
, 3.*) on[ été rendus à leur famille, guéris ou améliorés ou sur la demande de celle-ci. Le tableau des pages LXXXIV à indi
t devant aider il leur exemption du service mili- taire ; - 28 pour demandes d'emploi ou de placement dans les hospices : in
enue est attrilnialilo la conférence laite par M. Ponlard, il notre demande , sur le Rôle de l'infirmière dans le traitement
uis attaché depuis 1870, époque où fait un rapport dans lequel j'ai demandé la création d'hôpitaux cantonaux. Depuis, la si
déshabiller. L'enfant est devenue tout à fait propre; le jour elle demande : «papa, pipi, ou popo, caca selon le besoin qu
s son élément parce qu'elle est vive et agile et aime tout ce qui demande du mouvement. En somme, cette enfant a fait bea
la Commission de surveillance ont reconnu la légitimité de notre demande , déjà renouvelée plusieurs fois, et l'ont signa
à la discipline et travaillent avec moins d'ardeur (1). Nous avons demandé maintes fois, sans résultats il l'Administratio
ns les anomalies de la dentition chez les idiots (1) que nous avons demandé la nomination d'un dentiste il Bicêtre et il la
us vous proposons, au nom de la 3° commission, d'accorder le crédit demandé pour la transformation en dortoirs des locaux p
les. la haute direction des classes. Après son départ, nous avons demandé que cette direction fut confiée à M. Mcs- nard,
ra (au revoir), caca (quand il veut aller au siège), coco (quand il demande un oeuf), et certainement la ne s'arrêteront pa
en faisions chercher, et dès qu'il nous en apportait un, nous lui demandions : « Qu'est-ce' que c'est ? Il répondait aus- si
et dans leur langage, ils font des inversions qui déroutent, ils ne demanderont pas : Est-ce que je sortirai samedi ? Mais : so
venait d'accord avec son directeur administratif, M. Lesvicr, nous demander de lui fournir les renseignements nécessaires,
édiger le programme qui nous était réclamé, 1 nous souvenant qu'une demande semblable adressée autre- fois directement il l
LXVI Traitement médico-pédagogique. Monsieur le Directeur, Sur la demande de M. le D1' Bourneville, je vous autorise à re
Directeur, Voici le complément des renseignements que vous m'avez demandés . Je vous conseille d'employer le plus possible un
francs; mais, si on considère que M. le médecin en chef des femmes demande depuis un certain temps l'augmentation d'une un
à U.500 francs. Pour assurer l'exécution du projet, il y a lieu de demander à la Commission départementale l'ouverture d'un
tôt possible a Clermont. Votre première Commission, Messieurs, vous demande d'ac- corder les moyens de réaliser, dans la me
ent suffisant de ces sciences dans les Écoles normales. Ce yuc nous demandons pour les enfants des écoles primaires n'est pas
des enfants alié- nés, par placement volontaire. "ART. 4. - Toute demande d'admisson doit être écrite et signée par la pe
ite et signée par la personne qui la présente ; si l'auteur de la demande ne sait pas écrire, celle-ci est reçue par le mai
la nature des relations qui existent entre elles. «Art. 5. -- La demande doit être accompagnée : 1° d'un certificat du m
nt réservés, ! ar voie de placement volontaire direct. Toutes les demandes doivent être centralisées à l'asile Clinique (Sai
sements et aucun enfant ne devant séjournera l'asile Clinique, les demandes de placements volontaires auxquelles il ne peut
rrhée, ni vomissements, ni desquamation. Elle est très-altérée et demande continuellement à boire. - Elle est très-affectue
firmerie, mais elle reste levée, et dès qu'il fait un peu de soleil demande à descendre au jardin, d'où elle remonte d'elle
nce, d'une sorte d'état semi-cachectique des Mongoliens, nous avons demandé à M. Oberthur de bien vouloir examiner la gland
, il répond, bien qu'avec difficulté à cause des secousses ; on lui demande s'il souffre, il répond : « Oui, un peu, j'étou
e des études sur la fonction de la glande thyroïde et je viens vous demander d'avoir l'amabilité de me répondre sur une ques
t la nourriture de viande, n'ont eu aucun signe de tétanie. Je vous demande mille pardons de vous incommoder, je vous dis m
trouverez dans le tableau ci-joint les renseigne- ments que vous me demandez au sujet de l'alimentation Alimentation DES myx
84 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
yé. » « Montrez votre lan- gue. » Il ne la montre pas, on répète la demande et on reçoit la réponse : « Est-ce que je suis
e ; il mange avec appétit. Un jour, à l'approche du médecin qui lui demanda quelque chose pendant qu'il dinait, il cessa de
i l'entoure et n'a aucune idée du temps. Il ne répond pas si ou lui demande son nom ou son nom ~de famille. A la question,
que », mais quel saint, il ne peut pas l'ex- pliquer. Lorsqu'on lui demande si quelqu'un vient le voir, il dit : « Il y a b
hallucinations, il ne le dit pas, mais il sourit quand on le lui demande . Lorsqu'on a voulu savoir, n'est-ce pas, sous l'i
otrice. Le malade ne fait jamais aucun mouvement correspondant à la demande qu'on lui adresse. De sou gré il ne peut faire
ans la sphère volontaire - manque complet de désirs; le malade ne demande jamais à manger, mais mange avec avidiié ce qu'on
bition corticale. L'une ou l'autre excitation, pour ainsi dire, une demande adressée à la volonté (sphère psycho-motrice),
parties de la formation réticu- laire. On est alors en droit de se demander si la formation réti- culaire n'est pas une rés
ncoordination fonctionnelle et le spasme fonctionnel, l'au- teur se demande , sans pouvoir conclure, à défaut de constatations
nier recours, on en vient à une intervention opératoire, on peut se demander jusqu'où elle doit aller, et dans quelle direct
t imminentes ou présentes; il semblerait donc que ces médicaments demandent à être employés avec réserve au moment de l'époqu
-, prorogations seront autorisées par décisions préfecto- rales sur demandes motivées du chef de service. Un interne ne pour
con- traire, une de leurs grandes causes. Peut-être pourrons-nous demander encore à cette pathogénie' quelques notions plus
effets aux causes de l'épi- lepsie et à ses manifestations. J'ai demandé un premier enseignement à la géographie du crét
crétin et en termes entourés tellement de restrictions que l'on se demande , comme eux-mêmes, s'il s'agit bien d'épilepsie
cord avec l'observation scientifique. Maintenant, si Grasset nous demande de préciser la nature intime de la perturbation
de ressemblance, des personnages que son moi connait plus ou moins. Demandez à un sujet hypnotisé d'imiter un personnage qu'
ysie générale. Ce malade était, en outre, syphilitique ; on doit se demander si la syphilis n'a pas eu quelque influence sur
lus instructives. La femme qui en fait l'objet aurait pu, en effet, demander à l'auteur de l'accident une indemnité pour le
par neurasthénie traumatique, et ses parents, formuler une nouvelle demande pour la dédommager de la psy- chose vraie qui s
ureusement récemment identique ? ` ? M. Ballet. Quand les tribunaux demandent à un expeit si la victime d'un accident, laquel
juges, Lair est inerte, comme hébété. lia avoué ; mais quand on lui demande pourquoi il a tué, il ne sait pas, il balbutie
aire. Grand rôle du corps thyroïde ressortant toujours. - Si nous demandons à la littérature médicale, à la physio- logie,
esseur l3evilliod. Il consiste dans l'expérience suivante : si l'on demande à une hémiplégique de fermer les deux yeux, à la
certificat d'un médecin du voisinage. Con- formément à la loi, elle demande à être examinée par un magistrat. Lé 2 novembre
ui vient d'être signalé; on ne compro- met pas son avenir en allant demander des soins à l'hôpital; en- suite, et ceci est t
présidence, fait ce. qu'il .appelle son examen de conscience et se demande s'il a toujours .,tenu la main à ce que les aut
'existence. M. Jules Voisin. L'al- coolique aigu est bien obligé de demander aide et secours ; l'alcoo- lique chronique, au
ieurs observations que vous trouverez dans mes cliniques. Je vous demanderai donc la permission de passer en revue avec vous
dullaire, soient encore loin d'être dissipées, on est autorisé à se demander , en se basant sur des travaux récents, si les l
Ober- thûr à la Société de Neurologie en juillet 1902 et je vous demande la permission de vous rappeler en quelques mots
réflexes ont une légère exagération. Il a de l'anosmie. L'auteur se demande si le cholestéatome serait chez l'homme, comme
Néanmoins pendant la période dé- pressive du quatrième accès, on se demande s'il ne conviendrait pas de pratiquer une lapar
les hallucinations de la vue sont rares dans la paralysie générale, demande si la localisation des lésions pauvait les expl
se modifie quand il écrit sous l'influence des esprits. M. Vallon demande si les hallucinations de la vue n'étaient pas e
ier ; mais rien, ni personne ne peut lui arracher une parole. Je me demande si nous sommes en présence d'un vésanique ou d'un
pos- séder au moins douze inscriptions de doctorat. Adresser les demandes au médecin en chef, directeur de l'asile. BULLE
s où l'on observe des polynévrites d'autre origine. On peut donc se demander , sans que la question soit encore tranchée, s'i
e REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 403 sur les mots. Enfin on peut se demander quel est, dans ces cas, le rôle delà masturbati
près l'auteur, exiger que dans tout certificat médical joint à la ' demande d'internement, il soit fait mention que le malade
ivision fibrillaire était tellement prononcée, qu'il y a lieu de se demander s'il s'agit bien d'une lésion et non pas d'un c
chefs de clinique ou internes des hôpitaux nommés au concours. Leur demande devra être adressée au ministre de l'Intérieur
, qui est exclusivement chargé de l'organisation du concours. Celte demande sera accompagnée de l'acte de naissance du pos-
ue de ses amis dans laquelle il dit : « Je meurs assassiné. ),Il II demande à être conduit chez un commissaire, et dans le bu
il lit cette histoire dans le Malin; intrigué, il va au journal et demande qui a signalé cet incident au directeur'; on lui
re dans laquelle il croit reconnaître récriture de son oncle; il se demande aujourd'hui encore quel intérêt a poussé son on
, lit le journal, quelques romans. va à la promenade. Jamais il n'a demandé spontanément sa sor- tie. Bien souvent je lui a
ais il n'a demandé spontanément sa sor- tie. Bien souvent je lui ai demandé s'il désirait reprendre sa liberté. Au début, c
tement, parut chercher à concentrer son attention sur ce que je lui demandais . évides- ment il n'y avait pas encore pensé spo
telligence. Je l'ai prié d'écrire vingt mots à la suite : je lui ai demandé quelles représentations il avait eues pendant qu'
venir net de conceptions qui ont été elles-mêmes imprécises. Je lui demande alors de m'écrire le récit de ses accès déliran
l'a laissé seul. Un autre jour, il lui arriva, une fous sorti, de « demander s il avait le -tué sa porte et d'y retourner voir
ar cet état de déficit. Ces diagnostics étant éliminés, nous nous demanderons si M. N... est un dégénéré. - Or, si l'on int
de cette dernière et à l'envoi de photographies de ses enfants. Il demande sa liberté à plusieurs reprises. ZD 1903. Jui
Juillet. - Devient agressif, menaçant surtout à l'égard du médecin. Demande d'un ton impératif les clefs de la maison dont
é, que l'Asile fait partie delà Serbie dont il est le souverain. Il demande en outre, d'être nourri au pensionnat, il a con
ions divines.) 1903. Avril. - Tantôt loquace, tantôt déprimée, elle demande souvent sa sortie et pourquoi on la retient dan
erait si on voulait insister. Elle s'excite lorsqu'on lui parle, et demande sa sortie en traitant le médecin et le personne
satisfaire aux exigences des parti- sans de cette théorie, on nous demande d'admettre qu'une des moitiés du prolongement e
ristiques de la démence alcoolique (paramnéie). On s'est souvent demandé s'il existait des symptômes psychiques constants
lt;ER, (The Journal of Mental Science, juillet 1902). L'auteur se demande si le sommeil provoqué par les narcotiques est
l'état de veille donne de si merveilleux résultats, pourquoi ne lui demande-t -on pas de modifier aussi l'entourage ; cela ren
sous ce rapport, une grande signification pratique. B.-V. VOROBIEFF demande si le patronage donne aux malades quelque chose
le négativisme, l'opposition aveugle et irraisonnée à tout ce qu'on demande d'exécuter au malade, la perte de certaines hab
si progressif qu'on se le ligure généralement. On peut très bien se demander si le dévelop- pement intellectuel de l'époque
défendu et développé (Journal loi Mental Science, octobre 1902). Il demande la création entre l'asile fermé et les soins pri-
(Somme), en remplacement du Dr Simon, mis en disponibilité sur sa demande . M. le De lt,vLl;ols, dixième du concours de 1902
85 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
est que ce traitement est à la portée de tous les praticiens. Il ne demande ni préparation, ni éducation, ni surtout d'init
été question plus haut) ; il pro- teste de son innocence. Nous lui demandons si on l'accuse réelle- ment, s'il entend qu'on
en plus vive et le malade se jette, un jour, à genoux devant nous, demande grâce parce qu'on veut, dit- il, le faire tuer
e malade ; il dit qu'on a creusé une tombe dans le jardin. Nous lui demandons s'il a vu creuser cette tombe, ou s'il a enlend
onner. » Il ne cesse de l'entendre parler, il s'imagine qu'elle lui demande à le voir, et il s'écrie : « Va-t'en, ne viens pa
ité des épaules. Les premier et troisième points sont simples et ne demandent pas d'explication préliminaire, le deuxième poi
t premiers éléments d'un tabes par exemple. En tout cas, il faut se demander si la névrose n'a pas un rapport purement accid
art, nous n'aurons pas à y revenir. -- On peut, avec l'auteur, se demander quel est l'avenir de ce groupe de médicaments q
sécutions. M. raLner, revenant sur les faits qu'il a déjà indiqués, demande qu'on mette, de nouveau, à l'ordre du jour, les
s, l'année passée, de la paralysie générale. Discussion : M. OEBFKE demande si l'on peut affirmer que le ma- lade en questi
vé endormi pendant ses heures de service. Discussion : M. Steiner demande quels sont les signes caracté- ristiques de la
la conduite à tenir en face d'un enfant anormal ; c'est à lui qu'on demandera quelles sont les institutions où se pratique l'
nt chaude et douloureuse, les yeux tendus, les pommettes rouges. Il demande à chaque instant des bains de pieds sinapisés.
lui faut plus le Dieu ancien, le Dieu terrible et vengeur, elle ne demande qu'un Dieu de bouté et de justice, c'est la scien
bien nourris que possible et avec l'autorisation formelle ou sur la demande des parents; 2° ne pas opérer les deux côtés da
isme. Diagnostic : idiotie par ossification prématuiée; les parents demandent une opération, celle-ci parait applicable au mo
ces médecins avaient des notions plus étendues en psychiatrie. On a demandé que l'examen de Kreis- physicus porte entre aut
étés de patronage, etc., etc. Les réformes véritablement utiles que demande l'assistance des aliénés sont tout autres que c
s, mais au sur et à mesure qu'il les fera plus régulièrement on lui demandera de ne pas regarder ses jambes pendant qu'il fai
fera une théorie du mouvement coordonné, qu'elle aura à apprendre. Demandez à un Véni- tien, quand est-ce qu'il a appris à
revêtir sponta- nément la main oedématiée. Ayant en effet un matin, demandé à la malade, au cours du sommeil provoqué, si l
re labeur plus fécond et mieux faire fructifier vos semailles, vous demandez instamment l'étroite communauté de la chaire et
; mais si quelqu'un la prie de parler à l'ange, 1111° X... fait ses demandes à haute voix et nous avons alors les conversati
oix et nous avons alors les conversations suivantes : Vou- lez-vous demander à l'ange s'il fera beau temps demain ? ! \IUe X..
ond : « L'ange répond qu'il fera beau. » Ainsi de suite, toutes les demandes et toutes les réponses se font de même. Comme il
ifs nouveaux, hôpital ouvert aux malades eux-mêmes qui pourraient y demander personnellement leur admission, ouvert aux fami
combrement des asiles. M. Giraud ne croit pas qu'il y ait intérêt à demander deux cer- tificats médicaux pour l'admission d'
icateur, et on peut exiger des études spéciales, comme on tend à le demander pour les expertises. M. Garnier a exposé la néc
conçu : Toute personne guérie d'un accès d'aliénation mentale qui demande à prolonger momentanément son séjour dans un asil
i ont été admis sans apporter avec eux ni certificat de médecin, ni demande d'un parent, ni pièce officielle quelconque ; i
rticle de loi. Sans attendre de vote de la nouvelle loi on pourrait demander aux pouvoirs publics de voter un article de loi
s pourront accorder la sortie à ces pauvres malheureux lorsqu'ils demanderont à sortir par la voie du tribunal ; que par conséq
r : « Les mesures de précaution relatives à l'isolement des aliénés demandent ordinairement une extrême célérité, une prudenc
es vénériens qu'ils gênent, dont ils troublent le repos, on peut se demander ce qui arrive. Et ce séjour se prolonge, nous a
csKt.A propos de l'excellent rapport de M. Garnier, je voudrais lui demander si, la méthode du traitement des aliénés par le
nçu : « Toute personne guérie d'un accès d'aliénation men- tale qui demande à prolonger momentanément son séjour dans un asil
nt mieux qu'une. De quelle façon peuplera-t-on les asiles spéciaux, demande SOCIÉTÉS SAVANTES. 247 M. Giraud ? Ce qui car
leterre et nous a cité des laits extrêmement curieux. M. Delmas a demandé l'annexion aux asiles d'aliénés d'une an- nexe
es contribuables qui payent une taxe spéciale pour ce service. 1 On demandera quelle nécessité a fait incorporer dans la Consti
l'encombrement. Par contre, la commis- sion conseille de ne jamais demander plus de 50 francs par semaine aux pensionnaires
leur somme totale, ainsi que les dépenses déjà faites. 3. Crédits demandés pour l'exercice 1895, avec la justification de
mesure, des médecins du dehors, spécialistes ou autres, ont-ils été demandés pour des consultations à l'hôpital ? Serait-il
énéralement assez médiocres. Les infirmeries sont insuffisantes. On demande même des chambres individuelles pour les cas tr
etits pour ceux qui réclament plus de surveillance. Un des rapports demande des chambres spéciales pour les cas curables. E
une abomination et nous n'avons jamais cessé depuis vingt ans d'en demander la démolition, sans succès d'ailleurs. -En seco
es. Les gommes syphilitiques de la moelle étant très rares, on se demande s'il s'agit bien ici de gommes syphilitiques plut
é la tréquence chez les imbéciles. Et comme conclusion, l'auteur se demande s'il ne serait pas bon d'exclure de l'armée ces
onne sur la voie publique après s'être promené toute la journée. Je demande qu'il soit envoyé dans une maison de correction e
it es, Et dont le Christ m'a dit : Voilà la liston ,1 Que tu m'as demandée en tes rêves folâtres. » Sans nul doute, j'ai v
l'air d'écouter ' et qu'ils répondent ensuite ; ils font ainsi les demandes et les réponses, mais les unes sont prononcées
sse. « Il arrive parfois que les choses vont plus loin et que les demandes et les réponses, comme cela a quelquefois lieu da
cial et que la municipalité de 1\lontrichard, le 22 ventôse an II1, demandait sa part « aux fonds destinés au soulagement des
voyons le gardien de la mai,on de réclusion des ci-devant capucins demander une augmentation de traitement, vu le renchéris
ssement des denrées. A partir de ce moment, on trouve de nombreuses demandes ou arrêtés de place- raient : ce sont des épile
, préalablement réglé par ledit in- génieur, qu'à cet effet il sera demandé au ministre de l'Intérieur d'ouvrir un crédit à
l s'adresse aux administrateurs du bureau de bienfai- sance et leur demande s'ils ne pourraient pas recevoir dans leur mais
uniquement destiné et 1'éservé aux indigents. On est en droit de se demander où et comment ceux qui n'étaient pas indigents
is des instructions détaillées concernant l'arrêté du 13 août : les demandes de placement seront inscrites sur un registre s
ndiquées en l'article G. Le certificat d'indigence à l'appui de ces demandes ne devait être délivré qu'en cas d'indigence ab
icité extrême, d'une infirmité pénible et répugnante. Le lecteur se demandera , sans doute, si ce succès thérapeutique n'est p
juif. Nous devons dire à ce propos que M. le Directeur de l'asile a demandé au budget additionnel de 189G, l'ouverture d'un c
s Gypsies. Miroir magique d'Allan Kardec ! SE REND A DOMICILE SUR DEMANDE I Consultations de 9 heures du matin ci 10 heur
qui est facturé en plus, emballage gratuit. Pour les collections demandées reliées, nous réclamerons un délai de huit jour
mples renseignements concernant les collections énoncées ci-dessus, demander le catalogue général, qui est expédié franco. -
86 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fantaisie, des machines de ce genre ou d'un genre plus utile, sans demander l'aide de personne; or, par suite d'une aberrat
omportait en conséquence. Le malade se démène, confus et irrité, il demande à être amené devant ses supérieurs, puisqu'il e
voir passé une bonne nuit, après un sommeil répa- rateur, le malade demande , d'un air embarrassé, à rentrer chez lui. Il vo
les jambes. Incapable, dit-il, d'exercer son métier de-potier, il demande l'assistance comme invalide. Plusieurs médecins l
ide. Plusieurs médecins l'ont examiné et déclaré non fondé dans ses demandes . Il assiège con- tinuellement les autorités de
elette (nanisme). A propos de l'étiologie de cette affection, il se demande REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 53 s'il faut in
tèle, lorsqu'ils viendront de temps en temps vous consulter et vous demander s'il ne serait pas bon de reprendre le traiteme
s souvent que vous ne pourriez le croire, de les trouver exagérés ; demandez alors s'il n'existe pas une sensation anormale
sentait, hier matin, à la visite de l'hospice de la Salpêtrière, et demandait à voir immédiatement le médecin consultant, afi
ns l'après-midi, chez M. R..., marchand de vin, rue Prin- cesse, et demandaient des absinthes. Ils n'avaient point de cha- peau
'une chemise, d'un pantalon et de sandales. Mais, comme ils avaient demandé leurs consommations poliment, le marchand de vi
l'Evangile. Il se rendait auprès des employés de la police et leur demandait : « Vous ne connaissez pas le Seigneur ? » Il n
sermons appris par coeur. D'autres fois, il nous poursuit, et nous demande de vouloir bien l'écouter, ou de lui indiquer les
is il l'appela bonne et gentille femme (elle le prétend, du moins), demanda plus tard de ses nouvelles, lui faisait dire le
ettre que j'envoyai à S. M. le roi des Belges, dans laquelle je lui demandais du service dans son armée. J'ai même pu écrire
ces mots écrits en anglais : F01'ked expressly for. « Étant allé en demander compte au chapelier, bien que j'en eusse déjà l
'il n'avait point ce dessein. Elle a importuné les autorités et a demandé protection contre ses persécuteurs. Elle persiste
èvre cérébrale, à ce qu'on lui a dit, le Dr S... qui le soi- gnait, demanda à M"10 B..., qui se désolait de le voir si malade
tion première et si vous ne me rendez jus- tice, sur ce que je vous demandais tout à l'heure, je vous ferai remarquer que ces
tiques. Mais il est et demeure convaincu de ce qu'il avance. Sur sa demande il est mis en liberté quelques semaine plus tard;
'Orléans, et plusieurs autres personnages, je pourrais leur dire et demander bien des choses. « Pour terminer, je tiens à
que ma pensée a changé de direction depuis moins de cinq ans, je me demande pourquoi, et dans quel but, moi qui avant l'ann
le en est fort émue; elle passe des heures de jour et de nuit il se demander comment elle doit agir, et ce qu'elle doit fair
eau de la folie et qui vont rapide- ment amener son internement. 11 demande une enquête au Procureur de la République, enqu
n thérapeutique de la trépanation dans les maladies nerveuses, nous demandons à nos collègues des asiles de bien vouloir nous
s les visites des asiles que nous faisons de temps en temps, nous demandons il voir les trépanés. C'est ainsi que, à l'asile
ntrée. Le tribunal de Saint-Malo, en déboutant S... de toutes ses demandes , fins et conclusions, donna complètement raison à
ent raison à toutes les déductions de la consultation qui avait été demandée à l'auteur. (Annales médico-psychologiques, déc
J. Voisin. Présentation d'un exhibitionniste. M. Magn4n. Je vous demande la permission de vous présenter un malade, un e
enture provoque de la part de la femme une d52 SOCIÉTÉS SAVANTES. demande en divorce. Désolé. de ne pouvoir se rendre maîtr
nt dans l'asile d'aliénés où il est actuellement intenté. M. ARNAUD demande quelle différence il y a au point de vue psychi
es variétés. Je n'ai fait d'ailleurs qu'émettre une hypothèse et je demande quel diagnostic il conviendrait d'appliquer.
ante à créer la surdité ver- bale pure. M. Gilles de L1 TOUftETTE demande si ces deux malades sont sujets à la suggestion
utané. 11. Gilles de lv Toureite a observé un cas analogue, et il demande à M. Brissaud combien de temps après le début de
sante à répondre. La pathologie nous fournira peut-être la solution demandée . (l'oy. plus loin') 111. Action bilatérale et s
tion s'accompagnerait toujours d'hémianopsie. Or quoique celle-ci demande à être recherchée, passe facilement ina- perçue
er la main pour obtenir ce mouvement. Il en était de même si on lui demandait de regarder à gauche ou iL : droite. Les mouvem
l à la tête avec vertige et s'est laissé choir. Il a pu se relever, demander secours, et l'on n'a constaté à ce moment qu'un
iture qui le portait le lendemain matin il l'hôpital, le malade put demander : « Où me conduisez-vous 1 » A la visite, on se
t consciente pendant déux heures, ouvrant sa bouche quand on le lui demandait , mouvant son bras et sa jambe gauches. A 9 heur
chives, 2' série, t. VIII. 1tj 242 BIBLIOGRAPHIE. ' d'idées je me demande s'il faut regarder comme une conquête scientifi
du début a fait suite une hypereslhésie. Dans ces conditions on se demande s'il n'en eût pas été de même dans l'hypothèse
qu'elle a mis à l'annulaire de la main un anneau de mariage ; elle demande avec anxiété ce qu'elle va faire de ce bras qu'
vée dans la trompe, et l'hémorragie par congestion. Mais on peut se demander pourquoi dans certains cas d'absence de règles,
qui concerne l'état psychique de notre malade, il est permis de se demander s'il existe une relation de cause à effet entre
'un profond sommeil. Il dort ainsi au besoin toute la journée, sans demander à manger, dès qu'on le laisse tranquille et se
croassante. Désordre complet et confusion des actes; à ce qu'on lui demande ou à ce que l'on lui dit de faire, il répond pa
evait dans une pharmacie voisine les soins nécessaires, puis sur sa demande était ramené à son domicile. (Petit Parisien, 1
de fort braves gens, sont dans la désolation et sont des premiers à demander son internement dans une maison de correction,
onditions sont mal connues. Ce n'est pas à ce procédé que l'on peut demander de nous faire pénétrer dans l'intimité des alté
tes les transitions possibles entre les types et « on en vient à se demander où sont dans la réalité des choses, ces lignes
on lui parle, dit-il, mais il ne comprend pas ». Plusieurs points demandent à être éclaircis dans les précé- dentes observa
nes après la section de leur prolongement axillaire, l'auteur s'est demandé quel pouvait être le sort des grandes cellules
ion de crime et il y a eu des choses bien différentes : M. Tarde se demande encore « s'il y a une formule générale, des tra
forme de lettre au ministre de l'intérieur, et comme réponse à une demande de ren- seignements émanée du Directeur de l'en
agne : Reil (1759-1813), professeur de clinique interne à Berlin, demande que les asiles d'aliénés possèdent un domaine agr
édecins aliénistes et neurologistes. un confrère russe, M. Serbski, demande aux membres de l'assemblée si le traitement par
blant, il est ruiné, perdu, déshonoré, il est' un grand assassin et demande la mort ; des voix l'insultent, lui reprochent
and état de confusion mentale, le malade est inconscient, obnubilé, demande où il se trouve et ne se rappelle pas sa dernière
s et agitation. X... manifeste alors des inten- tions de suicide et demande du poison pour en finir avec la vie. Le 22 janv
e s'est déshabillé complètement dans la cour et lorsque nous lui en demandons la cause, il nous répond « qu'il n'est pas libr
es vaisseaux ne participant pas à l'altéra- tion, il convient de se demander si les cocci et leurs produits n'avaient pas pr
es des cornes postérieures simulant la syringomyélie. L'auteur se demande si des substances toxiques ou microbiennes ne p
e tonicité musculaire, ce qu'on a appelé l'hypotonie. M. Londe se demande si cette même explication ne peut s'ap- pliquer
e que j'ai essayé sept ou huit fois d'hypnotiser : chaque séance me demandait au moins trois quarts d'heure et me causait bea
e ; je le prépare ; je gagne sa confiance, de manière qu'ensuite il demande de lui-même que je l'hypnotise. 518 bibliogra
arrivons à VARIA. S33 l'hôpital ; une religieuse nous ouvre, nous demande ce que nous désirions ; après lui avoir dit l'o
87 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
on du Jardin d'Acclimatation qui veut bien, chaque année, sur notre demande , autoriser nos enfants et les petites filles de
aux agents du personnel secon- daire (3). On a invoqué contre notre demande les règle- ments de l'Administration de l'Assis
e de personnes dont la présence n'est pas indispensable, nous avons demandé que les chefs d'atelier fussent logés au dehors
sionnel. claire (surveillants, infirmiers, etc.) Nous avions beau demander que cet avantage ne fut donné qu'au bout de dix
Moreau, l'aul Brousse, Champoudry, Louis Lueipia. M. E. Moreau a demandé le renvoi à la 3° Commis- Enseignement professi
. Navarre au nom de le 5" Commission. - Nous avons été saisis d'une demande d'assimilation des chefs d'atelier de Bicêtre a
que. La 5° Commission vous propose d'accueillir favorablement celte demande ; en conséquence, elle vous prie de vouloir bien
dépasser une somme maxima d'environ 5.000 francs. M. le Rapporteur demande au Couscil d'adopterles propo- sitions de l'Adm
nt avec les sous-surveillants et non avec les surveillants comme le demandait , et c'était juste, la délibération du Conseil m
; 45 ont été rendus à leur famille, guéris ou améliorés ou sur la demande de celles-ci. Le tableau des pages XXXIII et su
é de l'ouest ce bâtiment offre un sous-sol très élevé. Nous avons demandé l'utilisation de ce sous-sol et dressé un progr
otre situation comme rapporteur du programme et du projet nous vous demandons la permission de faire quelques remarques sur l
ts et du personnel, en particulier du personnel de nuit. Nous avons demandé à l'Administration de l'Assistance publique de
lque sorte ses limites extrêmes, nous avons, pour ici seulement, 22 demandes d'admission dont l'inscription de quelques-unes
on ne constitue pas une innovation. Les classes spéciales dont nous demandons la création exis- tent déjà dans un certain nom
e proposait d'adresser aux directeurs et aux directrices, il nous a demandé , par une lettre en date du 12 septembre, quelqu
juste raison, associer les médecins-inspecteurs des écoles, vous me demandez de vous donner « une défini- tion des mots arri
ué des médecins des hôpitaux au Conseil de surveillance, nous avons demandé (8 fé- vrier 1888) à M. Michel Moring, alors di
e à M. Bourneville il la date du 2G lévrier iSSU, en réponse il une demande d'interprétation de l'arrêté préfectoral, ne la
concours, tout comme les autres médecins des hôpitaux. Nous voue demanderons donc, Monsieur le Directeur, cle vouloir bien c
rt aux concours où se recrutent les élèves de nos services et notre demande n'outrepasse pas les limi- MÉDECINS aliénistes
ins du service des aliénés n'ont fait l'honneur de m'écrire pour me demander d'être appelés, en vertu cle l'art. 6 de l'arrê
opinion a décidé M. PEYRON, directeur de l'Assistance publique, à demander à son Conseil de surveillance : 1° De mettre la
: « un mendiant de lavoir », para- lysé d'un côté du corps est venu demander l'aumône; elle l'a tm', ce que voyant, une de s
ées d'un côté que de l'autre. En novembre 1888, le père de B... a demandé et obtenu son transfert de la colonie de Vauclu
de. 85 pouce. Pas d'onanisme. Quoique colère, il avait bon coeur, demandait volontiers pardon, n'était pas vindicatif, partag
facilement le coude, mais son extension offre plus de résistance et demande qu'on l'opère avec lenteur; et, Fig. 13. - Doue
semble avoir donné, en général, de bons résultats. M. llm;raN..1e demande à M. Bourneville de bien préciser Médication th
cidents que peut provoquer la médica- tion thyroïdienne, mais je me demande s'il n'accorde pas une importance exagérée aux
out aux pieds qui changent de peau. Lucie a gagné en activité; elle demande toujours qu'on la fasse marcher, cher- che à gr
main et il est probable que, sous peu, elle marchera seule. Elle demande à aller sur le vase ce qui fait présumer que bi
nts et au front. Dans l'après-midi, elle est de meil- leure humeur, demande à manger, s'amuse avec ses compa- gnes. - Soir
e ne veut même pas se tenir debout. Dans le jour, elle est propre demande le vase ; elle gâte encore la nuit. 31 octobre.
n résultent. Nous avons, en effet, collaboré à cette époque, sur la demande de notre maitre Delasiauve, avec son interne, n
st moins négligée. A table, il ne s'accoude plus, Se fait rien sans demander la permission. Fait preuve de persé- vérance da
88 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
é des symptômes cérébraux sur les symptômes spinaux l'entraîne à se demander dans un cas « si le malade était véritablement
voisines est malade, c'est elle qui est cause de sa maladie. 'Elle demande ce qui va en advenir puisque cette femme ne peu
l1\1u< A... qu'on VIL sll)'eoi)' Il tout. Eile eottoujout's à se demander : qu'est-ce qu'on va devenir ? Le boucher vient r
semble que les bateaux ne passent plus sur la Seine; elle est allée demander à sa voisine comment cela pouvait se faire. Sur
eaux du port, tout cela la fait cependant réfléchir un peu; elle se demande si ses idées ne sont pas des rêveries. A son
n vraie. La malade est encore acces- sible au raisonnement, elle se demande si tout ne va pas disparaître; elle n'affirme r
ien du tout. Il n'y a plus rien, il y a seulement le néant. (Je lui demande : a Qu'est-ce que cela veut dire, le néant ? a
artout qui disent : 'Amour, amour... Ils ne pensent qu'à l'amour. » Demande : « Comment sont ces voix ? C'est l'écho qui ac
de; la religion à laquelle elle a cru n'existe pas. Parfois elle se demande si elle n'est pas elle-même un démon. On a fait
urs, rappelant les cas déjà observés de tumeur du corps calleux, se demandent s'il y aquelques signes cliniques permettant de
graines d'aucune sorte. A raison de ces particularités, l'auteur se demande si le cas qu'il a observé est un accès de migra
ureux résultat obtenu par la douche froide prolongée per- met de se demander s'il ne serait pas utile d'y recourir dans les
diqué la place qu'ils doivent légitimement occû- per. M. TOULOUSE demande si M. Arnaud met la paralysie générale sans dél
pour chaque observation le facteur considéré comme étiologique, se demandent si son rôle étiologique est réel et quelle est
nstant de chercher une réponse à cette question. Nous pourrons nous demander , après, si ces modi- fications commencent et fi
appliquons une méthode de coloration spéciale. De la cellule, nous demandons au procédé de Golgi de nous mon- trer les prolo
lles de para- lytiques généraux2. C'est bien au Nissl qu'il fallait demander de nous faire voir les altérations des cellules
n'est pas près d'être résolue, puisque nous en sommes encore à nous demander quel peut être le but physiologique de la névro
outes ces lésions médullaires dans leur ensemble, nous avons à nous demander si elles portent-un cachet spé- U4 ANATOMIE P
'excursion de Saint-Florent-le-Vieil. ' IL Les indications pour les demandes de billets de demi-place doivent nous être envo
e réunit chaque fois qu'il est convoqué par son Président ou sur la demande du quart de ses membres. Il peut, après avis du
s qu'elle est con- voquée par le Conseil d'administration ou sur la demande du quart au moins de ses membres. Le Conseil d'
élinquant, c'est au médecin qu'ils s'adressent, c'est il lui qu'ils demandent de les éclairer. « Alors , Messieurs, commence
rapport présenté à la Société de médecine légale le 18 févrierl884, demandait que l'instruction des élèves fût perfec- tionné
des aliénés présentant des obsessions variables qui les poussent à demander à la chirurgie des opérations qu'ils croient ut
, que la question primordiale est celle du terrain. M. GARNIER se demande si le délire décrit par M. Régis n'est pas seul
A l'autopsie, lésions classiques de cette maladie. M. Joffroy se demande quelle est ici la cause de la paralysie général
embarras du médecin expert serait extrême. M. Charpentier, sur la demande de ses collègues, ajoute d'ailleurs qu'il ne pe
s les portes. c C'est pour cette raison si puissante que je vous ai demandé le docteur Motet. Je ne veux point ici vous énu
curieux. L'anatomie pathologique reste à déterminer et l'auteur se demande , avec M. Brissaud, si le substratum de ce syndrom
nous faire voir quelques-uns des malades, objet de son travail, je demande que la discussion soit ajournée à la prochaine sé
ans qui a présenté également de l'angine de poitrine. M. Terrien se demande si ce Cheyne- Stockes respiratoire doit être ra
ui, depuis très longtemps et avec une grande constance, ne cesse de demander qu'on donne plus d'importance à l'étude des mal
de suffocations; des idées hypochondriaques s'installent, le malade demande la mort, il faut le surveiller. Par la suggestion
j'y insiste ; personne ne les nie d'ailleurs. Pour les prévenir on demande l'augmentation des attributions des- médecins e
aration des fonc- tions de directeur et de médecin en chef, mais on demande en même temps l'augmentation du nombre des méde
0 guérisons Sa à 90 ont lieu la première année. Les anciens malades demandent beaucoup moins de travail; leurs observations n
réponses ne sont que des divagations sans rapport avec ce qu'on lui demande ; elle ne sait plus ni son nom, ni son âge, ni le
raison de l'opposition de la famille et du délire du malade; il se demande si l'intérêt du malade ne devrait pas primer le
par la descente des testicules, dont l'auteur fit l'ablation sur la demande du ma- lade désireux de c rester femme >. A.
ois, étaient également hyotéro-épileptiques, de sorte qu'on peut se demander si dans les cas où l'opération semble donner de
site du matin, être officier de la Légion d'honneur depuis 1882, me demande de lui faire confectionner un costume de comman
reporter de l'Aurore se plaint qu'on ait la sortie trop facile et demande que l'aliéné au crocodile soit interné à perpétui
Il s'étonne aussi qu'on laisse courir les fous par les rues. Cette demande d'hospitaliser en vue de leur traitement, cela va
urer la valeur de cet agent pathogène et même il est permis de se demander si le trouble hépatique et le trouble mental, au
rappelle pas d'un instant à l'autre ce qu'elle vient de faire ou de demander ; pose des interrogations saugrenues à propos de
e ses idées délirantes habituelles. Une heure avant de mourir, elle demandait qu'on lui donnât du pain et une pomme qui ne fu
croit pas possible d'arriver à une formule générale et nous nous demandons si les troubles de lasensibilité, lorsqu'ils appa
mesure des progrès et de la marche de la lésion du mouve- ment, se demande M. Dagonet dans la nouvelle et récente édition
sont tout à fait excep- tionnels dans la periencéphalite, et ils se demandent même si, dans les cas où ils ont été notés, ils
e encé- phalite de voisinage : l'opération chirurgicale devait être demandée aussitôt le diagnostic posé, et il l'avait été
it des bills proposés pour l'Etat deMichi- gan. La castration y est demandée pour les délinquants et aliénés condamnés ou in
; par T.-D. Crothers. (Medico-legal Journal, mars 1896.) L'auteur demande avec insistance une nouvelle jurisprudence appl
s l'opinion géné- rale n'a été unanime à les fixer : dans ce but il demandé l'assen- timent de ses collègues pour les trois
rt à cet effet. Les candidats absents de Paris ou empêchés pourront demander leur inscription par lettre chargée. Toute dema
pêchés pourront demander leur inscription par lettre chargée. Toute demande d'inscription faite après l'époque fixée pour l
nts ont à proposer des récusations, ils forment immédia- tement une demande motivée, par écrit et cachetée, qu'ils remet- t
dministration. Si, cinq jours après le délai ci-dessus fixé, aucune demande n'a été déposée, le jury est défini- FAITS DI
état d'attention commandé par le cerveau. » A notre tour, nous nous demanderons : quelle est l'origine de cette excitation venu
secondes. Le réflexe vascu- laire du cerveau par stimulus sensoriel demande un temps égal à celui du réflexe brachial pour
ns tapage, par simple jalousie. Mais l'autre put craindre qu'on lui demandât compte de l'événement. Il se tua aussi. Et enfi
le président, je suis un brave homme, j'ai femme et enfants. Je ne demande qu'à travailler et je travaille ; mais, malheur
e de la Charité (fièvre) en rem- placement de M. Roux, placé sur sa demande dans le cadre de dis- ponibilité (15 septembre)
89 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
ple infirmière, ayant 5 ans de services et pour laquelle nous avons demandé l'élévation au grade de 1 re infirmière ce qui
bles. Loin de nous aider à mieux faire, ils auraient volon- tiers demandé la réduction de nos moyens d'action. A leurs ye
remerciements pou la bonne grâce qu'il met chaque année, sur notre demande , à autoriser nos enfants et les petites filles
la Direction et l'Economat. Circulaires pour le bureau de la 5we ; demandes de tabac, Palmarès, relevés de points, présence
c'est qu'ils ont des per- missions de sortie et des congés, sur la demande des familles, à toutes les époques de l'année,
tance (12 août 1901). Si, au préalable, l'Administration nous avait demandé des explications, ce que fait toujours l'Admini
t réclamer un certi- ficat devant aider à leur exemption. 26 pour demandes d'emploi ou de placement dans les hospices : in
ttaché depuis 181l, époque où j'ai fait un rapport dans lequel j'ai demandé la création d'hô- pitaux cantonanx. Depuis, la
la Commission de surveillance ont reconnu la légitimité de notre demande , déjà renouvelée plusieurs fois, et l'ont signa
peut remédier à cet état de choses. L'arrêté se terminait par une demande de rapports des Inspecteurs des Ecoles, affecté
eloppement de l'enfant ou de l'adolescent ? `t Serait-ce aussi trop demander que les éducateurs se con- formassent aux lois
d'enfants affligés de cette terrible maladie peuvent hardi- ment demander il nouveau la discussion de leur cas devant l'a
ligence que l'enfant présente ; pour le moment, il ne faut pas nous demander plus. Mais pour ceux qui ne sont pas atteints d
aires du poids mort des arriérés. Les nouvelles exigences scolaires demandent une catégorisation plus rigoureuse des élèves,
t- on est devenu partisan des écoles spéciales. Autant, je pense, demander une installation durable et complète du premier
fonctionnaire d'un grade élevé de l'Assistance publique. On nous demandait quels étaient les voies et moyens de faire adme
s conditions suivantes : A la fête de la place d'Italie, l'enfant demandait un sou pour monter sur les chevaux de bois. Sa
sur les chevaux de bois. Sa mère refuse, l'enfant persiste dans sa demande et tout d'un coup tombe raide; elle resta quara
ent de la ranimer. Elle se réveilla spontanément, appela sa mère et demanda à manger. Elle fut menée à la Salpêtrière où Ch
00 dans les premiers mois de son séjour, nous lui accordons, sur la demande de sa mère, un congé de deux mois. Tableau B.
ire ne serait autre qu'un prétendu. 5 février. - Sa mère vient nous demander si R... peut se marier. Le prétendu, âgé de vin
Uans une pension où il est, il va trouver son professeur pour lui demander des leçons particulières, à l'insu de ses parents
nant du premier mensonge, nous nous tenons sur nos gardes; comme il demande même quel jour nous pourrons recevoir son cousi
voisines, qui remarquant qu'elle avait les yeux cernés lui auraient demandé si elle ne « s'amusait pas toute seule ». « On di
bstituer aux à peu près des documents vrai- ment précis, nous avons demandé à l'un de nos anciens internes, plus particuliè
os dans leur position naturelle, ceci n'existe plus. Or, nous nous demandons si, clans les obser- vations relatant la forme
nous semble un peu bizarre, il fournit les renseignements qu'on lui demande d'un air maussade, a a l'air de ne pouvoir teni
'elle disait ni de ce qu'elle faisait en ses moments de folie. Elle demande à. être renvoyée dans sa famille. Depuis son en
avec eux et a répondu à quelques questions. « Puis- je fumer ? lui demande son frère. - Ce n'est pas défendu. » A une de s
faute. On lui a donné un sucre d'orge. Quelque temps après on lui a demandé ce qu'elle en avait fait : « Je l'ai mangé par
arfois le besoin de changer de lit. Vers une heure du matin, elle demande à boire; elle sent que ses forces s'éteignent :
e ne l'a revu qu'une fois, lorsqu'elle alla en Afrique présenter sa demande en divorce. [Son père est mort il 63 ans, depui
subvention ne recevait pas sa complète affecta- tion et vous m'avez demandé de vous remettre une note explicative : c'est c
chacune d'elles. (Même rapport, p. 20. ) » De même que nous avions demandé au Conseil munici- pal d'encourager la création
voter des subventions aux bibliothèques médicales (1), de même nous demandions au Conseil général de créer des bibliothèques p
90 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
es fonctions digestives s'accomplissent bien. La malade urine bien, demande le bassin tous les jours ou tous les deux jours
mais c'est, dit-elle/parce qu'elle ne peut se faire comprendre et demander le bassin quand il le faudrait, car, affirme-t-el
leux existent aussi, mais en nombre beaucoup moins considérable ,et demandent à être recherchés avec beaucoup d'attention ; o
gations des nerfs sciatiques dont elle a été -l'occasion, nous nous demandons ce que ce mode de traitement doit produire dans
l trouvait que sa mère avait pâli, que son père était malade, et il demandait à son médecin de guérir ses parents. C'est à ce
érébrale sur l'élimination de cet acide et sur celle de l'azote, et demandons -nous d'abord à quoi tient la diminution de l'az
l'azote est le plus considérable. Par conséquent, nous pouvons nous demander si, lorsque l'activité des échan- ges qui se pa
orrespondant de la Société. Présentations de malades. M. Magnan. Je demande la parole, non point pour développer aujourd'hu
aient à manger. Cette existence lui devint si intolé- rable qu'elle demanda à être placée dans un établissement où on l'emp
a- nie ? Aujourd'hui l'accès touche à sa fin. M. LRGRIND du Saule demande si la malade n'est pas diabé- tique. M. Magna
e chapitre se trouvent les formules des certificats médi- caux, des demandes d'admission et du bulletin de renseigne- ment,
etin de renseigne- ment, ou questionnaire à remplir à propos de ces demandes de placement. En Ecosse l'extension donnée au
uvent choisir pour eux l'asile qui leur convient. Ils adressent une demande au directeur de l'asile envisagé, lequel, lorsqu'
u, cependant, le champ de ses recherches s'étend et il est poussé à demander le nom d'inconnus, de gens qu'il rencontre dans
M. le Dr Le Diberder, ancien interne des hôpitaux de Paris, nous a demandé notre avis. Voici en quelques mots l'observatio
l sur un point quelconque de sa hauteur, mais c'est là un l'ait qui demande a être continue au moyen de la recherche spécia
d'avoir travaillé à la culture. Il hausse les épaules quand on lui demande s'il a été paralysé, et semble croire qu'on se mo
, et parle avec gratitude des mé- decins qui l'y ont soigné. On lui demande où il a fait son appren- tissage de tailleur. I
ace. En même temps il gémit, présente des bâillements . répétés, et demande à boire. Inappétence absolue. Il ne prend que q
eures à crier, à appeler au secours. On le brûle, on l'enchaîne. Il demande un revolver pour faire justice de ses persécute
la tête, et a tranquillement sommeillé. Le matin il se réveille et demande ses habits à l'infirmier. Il veut aller travail
n a observé que deux autres analogues. Pas d'autopsie; Eulenburg se demande si dans certains cas l'atrophie musculaire n'es
ous les états provinciaux, sur les aliénés. C'est pourquoi l'auteur demande que le gouvernement élabore et mette en vigueur
HOLOGIE MENTALE. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.' 237 détaillée). On demandait l'interdiction, de concert avec le l3ezir7cspla
oncert avec le l3ezir7csplasz7cus ; l'auteur conclut au rejet de la demande , à raison de l'intégrité intellectuelle de la p
t qu'il n'eût pas entre les mains le rapport motivé, d'ailleurs non demandé par lui. M. Neumann critique les allures et les
29 juin 1885. Présidence DE M. DAGONET M. Ni. Legrand du Saulle me demandait à la dernière séanee si iâ malade présentant ce
) ? W v· t , . 11f,11 · t 1; ! %11r J.y r.m( y ll I, v.I M. Briand, demande à combien de temps, selon M. Riu, remon- terait
urabilité 1 aura lieu après que let 1 conjoint 'sain 'd'esprit aura demandé le divorce;, il produira, à l'appui de ; ( cett
sprit aura demandé le divorce;, il produira, à l'appui de ; ( cette demande un certificat motive du médecin du malade; on app
mains de physiologistes même des plus éminents, il ne reste qu'à demander à la clinique de l'homme secondée des recherches
Honneur au modeste employé, honneur à Pussin ! . « Philippe Pinel demanda un jour à la Commune de Paris la permission de
l réclama la suppression du traitement préalable de l'Hôtel-Dieu et demanda le transport immédiat des malades dans les hosp
à traiter. Le directeur peut déjà en admettre et cette admission ne demande pas plus de trois ou quatre jours, suivant un a
ds bâtiments. Mais on manque d'espace pour donner satisfaction à 80 demandes urgentes. ZD (A suivre.) FAITS DIVERS Asi
sensation, de l'émo- tivité ou de la représentation mentale, je me demande comment elle aura jamais pour but de satisfaire
ge était réputé faible d'esprit. Une enquête spéciale, faite sur ma demande , recueillit des renseignements très précis sur
s raisons qu'elles avaient de se détester et de se venger. Sur ma demande , Claude Saron fut placé pendant deux mois à l'a
ILES. 335 le représente comme un homme capable d'incendier. Je le demande , où trouver maintenant place pour l'im- pulsion
esse d'esprit, vu l'hérédité ma- ternelle qui pesait sur' lui, j'ai demandé et obtenu des' circonstances atténuantes. Claud
re : « C'est une idée qui me passait par la tête ». Je lui ai alors demandé d'entrer dans les détails, de me raconter ses s
nges, d'accord avec sa mère, avait écrit au docteur W... pour lui demander un certificat d'exemption de service militaire, e
ponses négatives ; elle ne comprenait pas ce que signifiaient ces demandes et en revenait toujours à ces deux mobiles. La
. 12. - Toute la matinée elle se plaint de son ventre (ovaire) et demande un instrument pour se tuer plutôt que de souffrir
25 386 RECUEIL DE FAITS. 8. Ecrit à ses parents un billet où elle demande leur visite et leur annonce qu'elle ne souffre
le jour, le mois, l'année; il m'a suffi de le lui dire et de le lui demander ensuite tous les matins. Quant à son âge, elle
veillent sous l'influence des suggestions à l'état de veille ; elle demande des nouvelles de ses parents, les attend et les
rai plus jamais. » 21. Epoque menstruelle : impulsions homicides; demande à rester seule parce qu'elle a peur de tuer que
est possible. Pen- dant toute cette période la malade n'a cessé de demander si on était bien sûr qu'elle n'était pas épilep
it passé, que le calme soit revenu, c'est tout ce que nous pouvions demander , tant le pronostic était sombre. Nous ne tirero
sque, souvent, l'embonpoint n'avait pas reparu. Il resterait à se demander si c'est en agissant sur le muscle ou sur le syst
40 grammes de sucre par litre. Tout en relatant ce fait, nous nous demandons s'il s'agit bien réellement d'un trouble essent
om irrévérencieux. Il fume du matin au soir et obsède chacun de ses demandes de tabac et d'argent. Du reste, il est intellig
lité de 11. Delasiauve. Le préfet de la Seine a cependant promis de demander aux pouvoirs publics la récompense depuis si long
91 (1852) Journal du magnétisme [Tome XI]
nt rien de politique jii de passager, et c’est pourquoi leur pratique demande l’ap-.plicalion de toutes les facultés, l’amour d
tre récompense que le témoignage d’une conscience satisfaite. Nous ne demandons rien encore : l’estime de nos concitoyens nous su
rfaitement lisible. Le 2 janvier, dans son sommeil magnétique, elle demande qu’on lui fasse en hâte des vêlements, annonçant
e sa vie si on le séparait de M11“ ***, qui se décida à rester sur la demande qu’on lui en fit. Dixième paragraphe. — Dans ce
n : il veut que toute l’action vienne de lame, c’est alors qu’il nous demande pourquoi, si, quand on magnétise, le fluide va sa
ques faits sur ce point de pratique. Maintenant, comment expliquer, demande M. Ordinaire, le somnambulisme naturel et lucide,
t sentir telle impression, il la sent. Tous ces phénomènes si curieux demandent une étude bien attentive, et ils convient de haut
rejette le flot de la mer en courroux. Tous les fléaux arrivent sans demander asile; l’homme qui vous demande l’hospitalité a p
rroux. Tous les fléaux arrivent sans demander asile; l’homme qui vous demande l’hospitalité a pratiqué le bien, sa vie fut util
n me laisse tranquille. » Au bout d’un quart d’heure, le somnambule demanda un cigare et de l’eau. Il but l’eau (préalablemen
e être magnétisé le 25 au matin et le 29 au soir. » Je fis ce qu’il demandait , puis je le réveillai. Du 29 novembre. — A sept
embre. — A sept heures et demie du soir, on magnétisa Félix, à qui je demandai : — T’a-t-011 magnétisé le 25 au matin ? — Ou
order la santé, ou le courage et la patience. — C’est ce que je lui demande . » Ici le somnambule inclina la tête , et sa fi
expression de piété et de résignation. Au bout de sept minutes, il demanda de l’eau, et poussa un profond soupir. Quand il e
s des actions de grâces au Très-Haut, pour t’avoir rendu la santé, et demande -lui en même temps la forlilude. Je te charge auss
92 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
efois, avant d'aller consulter un chirurgien, elle était venue me demander avis et surtout me faire part de sa triste situ
utant chez elle dont elle ne servait pas davantage. Aime de X... me demandait avec une insistance véritablement touchante, fa
en avait en quelque sorte exagéré la largeur. Cette pauvre femme me demanda , comme elle l'avait fait maintes fois, de répar
sans la conscience, une moins bonne machine intellectuelle ? avait demandé Mauds- ley. Herzen répond qu'en effet « le proc
e, de longtemps sans doute, on ne les pourra fournir. « Quel est, demande-t -il, le calorimètre assez sensible pour accuser
o-fisiologica) . Avant tout, pour m'assurer une base anatomique, je demanderai : Où sont et quels sont ces éléments du tissu c
La méthode de l'excitation ne peutelle-même résoudre le problème et demande comme complément une destruction strictement lo
'hémiopie mais laisse intacte la réaction pupillaire. Mais ce signe demande un grand soin dans son application, car il est
ents qui se produisent dans la nutrition de l'oeil. Cette hypothèse demanderait que dans tous les cas d'amblyopie par lésion cé
visuel; certaines expériences de Munk viennent à l'appui. Ce point demande cependant d'autres recherches. Chez les pigeo
urvécu à un double suicide auquel ils avaient collaboré, je me suis demandé si cette sur- vie, qui n'est en général que le
e ses fibres la difféiencient de cette dernière. On s'est souvent demandé ce que deviennent les fibres entre- croisées de
r-médecin de l'asile public d'Armentières (Nord), est admis, sur sa demande , à faire valoir ses droits à la retraite il par
les confier exclusivement aux médecins. » Le Bulletin médical se demande , non sans quelque ironie, si l'o- pinion de M.
, loc. cit. p. 537. Voy. Arch. de Neurologie, n° 60, p. 335. Sur la demande de l'au- teur, nous déclarons que ce mémoire a
. Vous voyez par là que dans chaque cas particulier, il y aura à se demander si l'affec- ' Considcrando el caso della mia os
et de perturbation. » A peu près à cette époque, on commença à se demander si l'a- nimal ne semblait pas être averti, par
gie gauche et lésion de l'hémis- sphère droit. Naturellement, on se demande : la malade était-elle gauchère ? C'est ce que
r l'état trophique des muscles paralysés parait très rationnelle et demanderait des nouvelles recherches pour être très nettement
quer comment il vou- lait qu'il fut nommé. 63. Et Zacharie, ayant demandé des tablettes, écrivit : Jean est son nom; et i
a pas le public de retourner chez les autres somnambules et de leur demander conseil en cas de maladie. - La morphinomanie
bre, se présentait hier au commissariat du faubourg Mont- martre et demandait à parler à M. Mouquin. Mise en présence de ce m
dans les 18 heures. 316 NÉCROLOGIE. Nous avons eu la curiosité de demander ce Traité d'hypnotisme « sommairement approfond
troisième paire. Or, 1 Ces jours derniers, M. le professeur Charcot demandait à M. le D' Landolt s'il connaissait quelque car
moi, d'attaques, (à part) et puis je ne te le dirais pas, pour sûr. Demande : 1 papa qui est derrière... et puis je ne m'en c
'hystérie.) Compresse chaude sur la joue. - Quelles névralgies ! Je demanderai de l'antipyrme... Charles, tu m'en donneras, de
il rencontre et la raille sur la bonne odeur qu'elle répand, lui en demande pour son mouchoir. Comme cette dame l'appelle i
apprenti a rapporté, que ce n'est pas le vernis que le patron avait demandé . Ether. -Nous lui voyons, sous l'influence de c
un cordial. La femme revient à elle, il l'assied chez une dame, lui demande son adresse, la plaint de demeurer si loin, etc
ert et gourmande le garçon de lui avoir apporté un pareil sirop. Il demande de l'eau-de-vie de marc. Légers attouchements s
'adresse à une femme, une ouvrière saus doute, lui dit bonjour, lui demande si elle va acheter une machine à coudre. Souf
ues habituelles du bégaiement. Mais il est un point sur lequel je demande à M. Pitres la permission de protester énergiquem
nce grise de la protubérance, mais c'est là un point qui, je pense, demande de nouvelles re- cherches. Pour jeter autant qu
étant séparées des fibres motrices dans la capsule interne, on se demande si ces fibres. jusque là distinctes, se fusionnen
à leur suite aucune dégénérescence du cordon pyramidal. La question demande encore de nouvelles re- cherches. CENTRE DU G
es autres parties en rapport avec les tractus olfactifs. On peut se demander si l'hippocampe chez l'homme est relativement p
s des sens spéciaux est en relation avec le côté opposé. On peut se demander si l'anesthésie générale coïncidente de la nari
t anatomique entre la narine et le côté opposé du cerveau. Ce sujet demande donc de nouvelles recher- ches. Il y a des cas
des domaines ruraux annexés souvent aux asiles, il serait utile de demander aux écoles nationales d'agriculture des jeunes
tera de ces deux hommes fondus en un seul chez le directeur-médecin demande I. Chambard ? Aucun, répond M. Sa- muel Garnier
s grands encore de leur séparation. En effet, il est permis de se demander si cet administrateur nommé au concours, ayant
ui correspond directement avec la préfecture. Il ne reste plus qu'à demander à des spécialistes autorisés un règlement du se
énés. A ce propos, M. Proal, conseiller à la Cour d'appel d'Aix, se demande si, en dehors de l'a- liénation mentale, il n'y
rt, la folie du doute. lI. le Dr Ladame (de Genève) va plus loin et demande , avec obser- vations à l'appui de sa' thèse, qu
4M u sa réforme au Sénat il crut devoir en parier Gambetta et lui demander son avis. Comme Gambetta l'approuvait dans son en
eur. A propos de cette communication, M. le professeur Sikorski a demandé si dans les cas où on a trouvé des lésions dans l
Cette communication a provoqué la discussion suivante : M. SrRDsKi demande si le signe indiqué par M. Sikorski est exclu-
antérieurs et qu'il est analogue aux signes indiquées par Feré. Il demande à l'auditoire de vérifier ce signe et non pas d
eds et de les remplacer par des codes républicains. C'est ce que je demande au nom de la justice et de l'humanité souffrant
de l'asile public d'aliénés de Prémontré (Aisne), est admis, sur sa demande , à faire valoir Ses droits à la retraite et nom
93 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ronnée extérieurement dessinée. Comme on le voit, la présente étude demande à être continuée par un vaste complément d'anat
us, les cas de ce genre doivent être révisés avec soin : on peut se demander s'il n'y a pas eu quelques erreurs, quelques ex
disparu sous l'influence d'un traitement antisyphilitique s'é- tait demandé si ces phénomènes ne devaient pas être mis en r
e difficilement. ' M. Magnan lit un rapport sur trois candidats qui demandent à faire partie de la Société. A l'unanimité, ''
e.n' ? (.u..j. r ..oiluniiit"" i,1 ? Jei=n -itvt n> 1 M. Foville demande si les individus dont il est question mani- fes
male, et paraissait atteint de faiblesse mentale. Le tribunal ayant demandé un supplément d'expertise psychologique, J'alié
au de Dieu (Fig. 6). Fig. 4. Ffg. 5. 122 VARIA. Septièmement, demandent au Doemoli eftre rayés du livre de vie & in
de l'internat des asiles. Le rédacteur en chef de ce journal, qui a demandé en vain que les internes;des asiles fussent fou
janvier 1881, les particularités sui- vantes : 1° La contracture demande pour se produire une malaxation assez énergique
où la malade a déjà repris connaissance, quand elle s'asseoit et demande à boire ; un jour, au moment où elle saisissait l
, elle s'asseoit, se gratte la tête à deux mains, regarde fixement, demande « à boire, à boire », tou- 166 CLINIQUE NERVEUS
a été occupé chez le général Morin, où il astiquait les harnais, et demande sans cesse la même occupation ici. A une époque
ion, par leur imagination féconde et désordonnée, de là aussi ces demandes , ces procès en séparation de corps, où les hysté-
tance à nier qu'à affirmer, à refuser aujourd'hui ce qu'elles ont demandé , réclamé, exigé hier ; elles éprouvent un secret
d'une heure, puis quand l'interrogatoire lui semble épuisé, il lui demande si elle n'a plus rien à dire : « Oui, monsieur,
conde, en de l'hébétude compli- quée d'accès maniaques. La guérison demanda trois mois pour le premier exemple, un mois pou
t de deux ans; il fut repris, ou plutôt se constitua prisonnier, et demanda à être renvoyé chez lui pour y être pendu, ne v
la liberté après un premier crime, en ont commis un second, et se demande s'il ne serait pas bon de conserver pour toujours
isants ; l'Etat pourrait, par exemple, les maintenir à l'asile sans demander l'avis du méde- cin, qui lui-même n'a en généra
t s'accompagner d'un nouveau crime, il n'a qu'à engager le malade à demander sa sortie au tribunal qui statuera alors par un
eurtre ; après quelque temps, il ne présentait plus aucun délire et demandait sa sortie avec insis- tance'. Je l'ai adressé a
oit tenir le plus grand compte de l'opinion du médecin. AI. DALLY demande qu'on nomme une commission chargée de recueilli
le domaine du corps resliforme gauche. Discussion : M. KnoNECKER demande comment se comportait la respiration. A quoi M.
de la période de début, le malade est dans la torpeur ; la guérison demandera deux ou trois mois à s'accomplir. En résumé, ce
rciers, etc. Rouen, 1606. 250 VARIA. & sur ce que le mary luy demanda qu'elle auoit, elle respon- dit qu'elle eftoit
George Gandillon s'excu- foit de la mefme façon, lors que l'on luy demanda pour quoy il ne s'eftoit point efueiglé, encore
urt entr'eux : Fay du pis que tit pourras le Diable nefcaura que te demander . Car entre les Démons & les Sorciers, il es
s clefs, & les emporte au village : eflant defcendu au logis il demande à difner, la maitrefle ne se trouve point, non pl
thologique à la Faculté de médecine de Paris, est transféré, sur sa demande , dans la chaire de clinique des maladies du sys
de 430,73p fr. les prévisions de l'Administration, M. le préfet a demandé au Conseil général, qui a consenti sur le rapport
e spontanément que ses points ovariens ont remonté, et quand on lui demande de montrer avec le doigt le siège de la douleur
salacité; pas de bave. Il ne suce pas, ne grince pas des dents. Il demande le bassin le jour, et gâte la nuit; il n'aide p
lapin (3e ou 4° de l'homme). Cependant on pourrait, dit-il, « se demander , avec M. A. Waller, si le phénomène du genou, t
et inoffensifs,et montre que la colonie répond aux indications que demandait pour eux M. Moreau (de Tours) dans son étude su
fait semblable aux autres asiles. Parchappe, du reste, n'a-t-il pas demandé depuis longtemps qu'on organisât un service spé
traitement semble vouloir donner de bons résultats. M. Charpentier demande comment se comportent les muscles pendant le so
imètres; la circonférence est de 70 centi- mètres. M. Charpentier demande si les ventricules communiquaient avec a cavité
'otite et en second lieu le malade ne serait pas aliéné. M. Blanche demande si M. Bail n'a pas dit à l'Académie que le mala
que des illusions. M. BouMM, qui tient aussi pour les illusions, se demande s'il n'y aurait pas, par hasard, une simple coï
n clinique avec localisation spéciale une fois établie, l'auteur se demande si l'épilepsie a été dans l'espèce la consé- qu
n mémoire de concours, le pli qui y est joint n'est ouvert du';1 la demande de l'auteur, faite dans le délai d'un an Après l'
94 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
as qui peuvent s'éclairer mutuellement. Un dessin fidèle auquel on ne demande que ce qu'il peut donner, c'est-à-dire, des forme
aux figures, cela tient peut-être à la difficulté de l'exécution, qui demande beaucoup de temps et de patience pour diriger le
, s'exerçaient en effet de la manière la plus régulière. Bientôt elle demande sa sortie. On la rapporte quatre à cinq jours apr
indre le principe de cet ulcère; encore le cancer, pour être curable, demanderait -il deux choses : i° la destruction de la cause ca
augmenté : la malade n'a pu supporter de l'eau lactée qu'elle m'avait demandée . Ne pouvant rallier l'accès d'asthme aux symptôme
uvant rallier l'accès d'asthme aux symptômes observés depuis, je fais demander aux parens des renseigne-mens plus précis, et j'a
roit, intégrité parfaite de tous les os de la main gauche. Je me suis demandé quelquefois pourquoi les mains, si analogues pour
viennent à quelque heure du jour; on me répond par la négative. Je me demande quelquefois si cette malade serait dans la catégo
e du matin : décomposition des traits, petitesse extrême du pouls. Je demande où est la douleur : J'étouffe, je meurs, voilà to
épitation à la base du poumon droit. La malade se trouve mieux ; elle demande à manger et prend même quelques alimens à mon ins
jusque - là, se dessèche. Vésicatoire sur le côté droit. La malade me demande un bain, que je lui accorde sans inconvénient.
rive ainsi en tremblant au terme heureux ou malheureux de la maladie. Demandez à ces médecins ce qui a guéri leur malade, ou ce
à ces médecins ce qui a guéri leur malade, ou ce qui a pu lui nuire, demandez -leur un plan de traitement pour des cas semblable
la nuit; angoisses; agitation. La malade a besoin d'un courant d'air, demande sans cesse qu'on lui frictionne les membres supér
rieur. Hoquet. Mort à neuf heures du soir. Avant l'ouverture, je me demandais à quelle maladie j'avais affaire. Il ne pouvait e
de vaisseaux et surtout de nerfs ganglionnaires que la rate? On me demandera peut-être maintenant quelle idée je me forme de l
timent, ni du mouvement, la veille de son entrée à l'hôpital. On se demande comment la vie a pu se concilier avec un pareil d
acide borique; et M. Dupuytren (à propos des renseignemens que je lui demandais sur la tumeur nacrée du cervelet, inscrite sous s
il se mette sur son séant. Il a la conscience d'une fin prochaine, et demande à chaque instant du vin pour se soutenir. Le poul
ui reviennent de temps en temps. Le malade se croit beaucoup mieux et demande des alimens. — Le 6, l'abdomen, qui jusqu'alors é
malade n'a nullement la conscience de son état et se croit guéri ; il demande à manger. Soif très-vive ; langue presque naturel
élire, interrompus par un affaissement qui simule le calme. La malade demande sa sortie et suspecte les soins qu'on lui prodigu
i supportait à la fois et des érosions et des végétations, je me suis demandé si je n'avais pas affaire à une maladie cancéreus
de la figure ï : la différence est tellement tranchée, que je me suis demandé s'il n'y avait pas eu dans ce même point un foyer
s persistent. L'intelligence est parfaite. Mais la petite malade ne demande rien et paraît insensible a ses besoins. Plus de
it par momens de toute sa connaissance , répond à ce qu'on lui dit et demande à satisfaire à ses besoins. Assoupissement contin
t. L'enfant est taciturne ; elle ne se plaint pas ; mais quand on lui demande ce qui lui fait mal, elle montre la partie supéri
ouls, voilà les seuls symptômes morbides. Il ne se plaint de rien, ne demande rien ; point d'assoupissement ; point de céphalal
nt fuligineuses : le malade ne désire rien, rien que le repos; ne lui demandez point de commémoratifs, et surtout ne lui adresse
ciété d'agriculture, sciences et arts, de la Haute-Vienne ; et sur la demande du préfet, je lis une Notice qui fut adressée par
la convalescence était-elle plus rapide. XL VIL Je me suis souvent demandé ce que nous ferions, si nous pouvions agir direct
k a figuré un très-beau cas d'entérite folliculeuse granuleuse, et se demande si le siège de cette altération ne serait pas dan
rsiste encore aujourd'hui. Bien qu'il se trouve parfaitement et qu'il demande des alimens, l'abdomen est très-volumineux, météo
née.) Le délire tombe, la fièvre persiste ; le malade se croit guéri, demande des alimens ; il est d'une gaîté , d'un contentem
sieur Saint-Éloy, qui, pour faire taire ces accusations calomnieuses, demanda à l'autorité l'exhumation du corps et l'autopsie.
sans assoupissement; urines involontaires; constipation. La malade ne demande rien, mais elle ne refuse ni soins, ni alimens, n
ès-bien ; mais à voix basse et en faisant attendre sa réponse. Je lui demande où est son mal, et elle porte la main sur la régi
utes mes questions ; mais toujours à voix basse et lentement : je lui demandais tous les jours ce qui lui faisait mal, et tous le
tômes par lesquels s'est manifestée cette maladie. Je me suis souvent demandé pourquoi, parmi les causes de compression du cerv
sans assoupissement; urines involontaires; constipation. La malade ne demande rien, mais elle ne refuse ni soins, ni alimens, n
e porter le membre dans l'extension, deviennent permanens. Si on me demande maintenant pourquoi il y avait ankylose dans les
mouvemens partiels et désordonnés, de positions bizarres. L'enfant ne demande rien; mais si on lui met des alimens dans la bouc
ans la même place; il se découvre, se lève, se promène dans la salle, demande à manger avec instance. La soif, ordinaire jusqu'
rlé, avec son talent accoutumé, du ramollissement de l'estomac. Il se demande pour ainsi dire à chaque instant si ce ramollisse
irable, faisait la causette avec les amis qui venaient le voir; il me demanda dans son langage arithmétique s'il y avait dans s
uatre heures ou à des intervalles plus considérables, si l'estomac ne demande pas. Quelquefois la diète lactée réussit comme pa
affectée de vomissemens noirsf ne pouvait plus rien supporter. Je lui demandai par hasard si elle aimait les huîtres ; c'était s
rêle; extrémités froides. Ce malheureux, qui a toute sa connaissance, demande à grands cris du soulagement. Interrogé sur la ca
épigastrique, sentiment d'embarras, de plénitude, tel que les malades demandent sans cesse des purgatifs ou des vomitifs; constip
isés m'ayant présenté une cavité remplie de bile concrète, je me suis demandé si ces prétendus tubercules n'étaient pas le résu
tant un phénomène extrêmement fréquent dans la péritonite, je me suis demandé s'il ne serait pas possible que la péritonite fût
qualité que le pus de la cavité pelvienne, en sorte qu'on pouvait se demander si la péritonite n'avait pas été le résultat de l
e pour la nuit. Bain de siège. Le 11, la malade se croit très bien, demande instamment à manger; loquacité ; je suis obligé d
la soif est moindre et dirigée vers les boissons chaudes ; la malade demande à manger. Le mieux continue si bien que, le 19,
goisse épigastrique est un des symptômes les plus constants. Quand on demande au malade ce qui lui fait mal, il porte la main s
ns, avait le dévoiement cholérique depuis trois jours, lorsqu'elle me demanda des conseils ; elle n'était point alitée et rempl
jette sur la glace qu'on lui présente avec une sorte de fureur, et en demande incessamment. Prescription : Essayer la potion
res violettes; peu de refroidissement; voix éteinte ; et quand je lui demande ce qui l'empêche d'articuler les sons , elle me r
; une angoisse inexprimable absorbe toutes ses facultés; quand on lui demande ce qui lui fait mal, il montre l'épigastre, la pa
suspirieuse ; air expiré très froid :1e malade dit qu'il étouffe, il demande de l'air et prie qu'on ouvre les fenêtres. Les cr
'excite fortement: intelligence parfaite; il ne se plaint de rien, ne demande rien, pas même à boire, et pourtant il est dévoré
est profondément altérée; assoupissement continuel ; froid algide. Je demande à la malade si elle a froid, elle me répond qu'el
nts désordonnés et brusques qui la font sauter hors de son lit ; elle demande à manger. Le 25, diminution. Le 26 , cessation
ulcorée très chaude. Le 13. Point de changement notable : la malade demande à boire froid. Le 14. Réaction depuis hier au s
lques minutes. Glace sur l'épigastre , qui soulage , et que le malade demande avec instance. Le 6, le 7. Même étouffement; mê
le point de départ, le phénomène culminant de la maladie, on peut se demander si c'est la spécialité ou bien la rapidité et l'é
éprouvée. M. Miquel, dans la lettre adressée à l'administration pour demander son admission, dit « que cette petite fille, âgée
tir la vérité alors même qu'il ne la découvre point tout entière , se demande si cet alongement de la moelle ne tiendrait pas à
t souvent de petites branches et même des rameaux déliés , je me suis demandé s'il n'existerait pas dans l'état normal entre le
écoulement de sang très abondant continua pendant huit jours. Je me demandais à quelle maladie j'avais affaire : j'avais reconn
l'expression¦ délire vague; aucune conscience de son état. La malade demande à manger. Vomissements; douleurs à l'épigastre. P
silence, ou articulait quelques paroles brusques et incohérentes. Ses demandes cependant étaient précises, impérieuses : le chir
placenta ; on reconnaissait 6 pouces du cordon ombilical. L'auteur se demande aux dépens de quelle (1) Litopedium portentosum
e sens vertical des narines postérieures, ne sera-t-on pas porté à se demander si le cordon ombilical, reçu dans la bouche à la
i n'avait d'autre but, en venant à l'hôpital, que de se faire opérer, demanda sa sortie. Il n'est pas sans importance de remarq
e l'estomac cicatrisé, et sur la perforation de l'estomac. Je me suis demandé si les laxatifs réitérés n'avaient pas eu quelque
95 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
trompeuse en ce sens que les per-sonnes qui ne les connaissent pas se demandent pour-quoi ils sont au milieu d'idiots. Or, ils so
sur une nou-velle méthode de lecture, due à Mlle Janicot. Nous avons demandé à Mme Bonnet de l'expérimenter. Au bout de quelqu
l'examen où l'enfant réussit. Depuis il a pris grand goût à l'étude, demande des livres nouveaux, cherche à résoudre seul dans
anciens camarades menui-siers, sortir et se suffire à eux-mêmes il a demandé à changer de métier et montre beaucoup de bonne v
r, avait la haute direction des classes. Après son départ, nous avons demandé que cette direction fut confiée à M. Mesnard, qui
eçons complètes. 4° — Caisse d'épargne scolaire postale, — Recette, demande de livrets à la poste, inscription de dépôt. 5°
'avantages semblables. Loin de nous aider à mieux faire, ils auraient demandé volontiers la réduction de nos moyens d'action. A
ablissements ordinaires do la ville, sont inexpé-rimentés, nous avons demandé à l'Administration de nous envoyer des doucheurs
és, c'est qu'ils ont des permissions de sorties et des congés, sur la demande des familles, à toutes les époques de l'année, qu
nt de leur section (classes, réfectoires, dortoirs,etc.) Nous avons demandé maintes fois à l'Administration de nous donner de
érés, 23 ont été rendus à leur famille, guéris ou améliorés ou sur la demande de celle-ci, 1 est passédansunedesdivisionsdel'ho
ficat devant aider à leur exemption du service militaire; — 60 pour demandes d'emploi ou de placement dans les hospices : infi
e et la Commission de surveillance ont reconnu la légitimité de notre demande , déjà renouvelée plusieurs fois, et l'ont signalé
s bien à la discipline et travaillent avec moins d'ardeur. Nous avons demandé maintes fois, sans résultats, à l'Administratio
aissions les anomalies de la dentition chez les idiots que nous avons demandé la nomination d'un dentiste à Bicêtre et à laSalp
grès de l'enseignement qui s'est tenu à Liège, en septembre 1905 à la demande du Comité de Paris. Cette reproduction est un peu
ux projections, est devenu plus causeur, il répond mieux quand on lui demande quelque chose. n'est plus gâteux, se tient propre
er lui-même ses vêtements. Il comprend bien aujour-d'hui ce qu'on lui demande et va de lui-même au devant des choses. A la clas
r apprendre; dès que j'entre dans la classe, ses yeux et ses mains me demandent instamment de le prendre près de moi. Il est en b
e désha-biller. L'enfant est devenue tout à fait propre; le jour elle demande : « papa, pipi, ou popo, caca, » selon le besoin q
attachées au service. Elle parle bien,- sans défaut de prononciation, demande tout ce qui lui es.t nécessaire. Comme presque to
dans son élément parce qu'elle est vive et agile et aime tout ce qui demande du mou-vement. En somme, cette enfant a fait beau
aient nuls, la gymnastique, de même. Elle gâtait du matin au soir, ne demandait par aucun signe à aller aux cabinets. Un grand
es, sait les placer exactement, s'intéresse à tout ce qui se passe et demande mille explications. Elle a quelques dif-ficultés
mastique très bien. Elle est devenue tout à fait propre le jour, elle demande ei ces termes: « maman j'ai envie », et va sur le
ns de lenteur et s'expri-mait avec facilité, répondait à ce qu'on lui demandait , com-mençait à s'habiller et à se déshabiller seu
este en disant: mes sou-liers. Il en était ainsi pour tout ce qu'elle demandait . Vu sa paralysie, la marche était nulle, elle ne
ait tenir une petite con-versation; répond directement à ce qu'on lui demande . Elle marche bien, tout en tramant sa jambe malad
nge, couture, tapisserie, broderie, elc, pour les filles. Ou nous a demandé ce que nous entendions par les mots améliorés, tr
96 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
THOLOGIQUE. phère gauche d'abord, dans l'hémisphèredroit ensuite. Demandons -leur quelles sont les manifestations qui survie
ale, à la fois des éléments actifs et passifs; mais on ne s'est pas demandé de quelle façon ils étaient distri- bués les un
de con- sistance. Cette dernière circonstance nous conduit à nous demander ce qu'il a pu advenir dans les cas où, au lieu
ion, le délire, l'état mental après guérison tar- dive ; et de leur demander , à chacun, quels éléments d'appréciation ils fo
commence. En effet, enfermé depuis huit ans et trois mois, Brug... demandait pour la pre- mière fois sa sortie à l'autorité
ours des idées a changé. En présence d'un cas d'éclampsie, on ne se demande pas si le sujet est un névropathe prédisposé au
les vices, qu'elle était un monstre, qu'elle était damnée; et elle demanda un prêtre pour l'exorciser. Elle se jetait à ge
plus de veines; louche, pince sa peau dont la rigidité l'effraye ; demande toujours des médicaments et refuse de les prend
s supplices, elle voudrait pouvoir mourir comme tout le monde. Elle demande souvent de connaître un poison assez violent po
ée qui en gémit sans cesse, se désole de souffrir toute l'éternité, demande instam- ment un poison qui la délivre, et récla
e religieuse se développant dans la mélancolie anxieuse comme se le demande il. Cotard ? Nous ne le pensons pas : le même a
alors à une forme particu- lière, grave de mélancolie anxieuse qui demande à être étudiée pour ne pas être confondue avec
une leçon clinique faite à l'hospice de la Salpêtrière, 11. Voisin demande : 1-que ce soit l'autorité judiciaire et non le m
pièces une accusation contre lui. L'aliéniste a par conséquent à se demander si l'auto-accusa- tion n'est pas un symptôme de
t, au reste, ptéjuger de rien d'après des vues théoriques, l'auteur demande qu'on eu essaie. P. K. V. Jua l'action de l'h
ra à un sommeil dont vous con- naissez la durée ? AI. Kéraval. Je demande la permission de ne pas répondre à cette questi
e dernier est tenue d'adresser à la direction supérieure les autres demandes d'admission : c'est celle-ci qui décide dans qu
transferts doivent avoir lieu dans un autre hô- pital. En 1880, les demandes de ce genre ont atteint le nombre de 115. Trois
aux-arts, Vu la lettre du 17 mai 1884. par laquelle AI. Pas- teur a demandé la nomination d'une commission spéciale chargée
un mémoire de concours, le pli qui y est joint n'est ouvert qu'à la demande de l'auteur. Cette demande doit être faite dans
pli qui y est joint n'est ouvert qu'à la demande de l'auteur. Cette demande doit être faite dans le délai d'un an. Après l'
- sante, ne fixait pas l'attention en 1874. Pour ces motifs, nous demandons si l'observation de M. Charcot ne doit pas être
le. En lisant les classifications établies par chaque époque, on se demande presque si l'on ne voyait pas autant de folies
ssez 'qu'elles ne sont en rapport avec aucun sens précis. Si on lui demande la signification de ces accouplements singu- li
ent. Plus tard, l'évolution du délire chronique continuant, V... se demandait si ce n'était pas do l'ouvrage donné par les Is
lle était rarement capable de répéter un mot lors- : ) qu'on le lui demandait . A ces faits correspondait un état anormal des
ts, dévoues et désintéressés ? Pour êtrb'lpgique' ii'faudraque'vons demandiez dbs inspections dans un"c'as'conimc dans l'autr
,ço'RL Pas P.u$,aé : 9' Ltég qr t riûo-lâ sÿ PI ? ,r,gs i°n ' Il se demande si les phénomènes pathologiques se seraient mon
responsabi- lité de cette femme. En conséquence, le médecin légiste demande et obtient de scruter l'état mental. Il découvr
n'est pas si rare que cela dans la paralysie générale. M. Ideler demande si les criminels en question présentaient ces a
rlin, à l'occasion de l'exposition d'hy- giène de cette ville 4. Il demande que la Société veuille bien se joindre à'ia Soc
illant la confiance, et en provoquant de la part du pensionnaire la demande d'une occupation. En second lieu, joindre à l'e
ans qu'il existé d'affection en foy er. , i. , 0 r ? r- M. IFNDrL demande si l'on a procédé à l'investigation microsco- c
e même que l'extirpation des ovaires dans l'hystérie. - llirschberg demande combien de malades se sont suicidés; il en conn
n prononce le mot de guérison, d'autant plus qu'on doit toujours se demander si l'on a affaire à une para- lysie générale cl
ure du concours. Les candidats absents de Paris ou empêchés devront demander leur inscription par lettre chargée. Toute dema
mpêchés devront demander leur inscription par lettre chargée. Toute demande d'inscription faite après l'époque fixée pour la
nts ont a proposer des récu- sations, ils forment immédiatement une demande motivée par écrit et cachetée qu'ils remettent
dministration. Si, cinq jours après le délai ci-dessus fixé, aucune demande n'a été déposée, le jury est définitivement con
et de cette stature, elle devrait être de plus de 50 kil. Lorsqu'on demande au malade de résister, autant qu'il le peut, au
slexie se montrer pendant le stade de convalescence de l'alexie. Il demande à M. Berlin si le symptôme observé par lui ne dép
fût ultérieurement compensé, pour re- paraître encore. Le critique demande ensuite si l'excitabilité élec- trique des deux
chez le malade, à un résultat positif. Discussion : M. Sénator demande s'il existe de l'ataxie, et si l'occlusion des
97 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent en petits amas. Evidemment ces recherches sont insuffisantes et demandent à être continuées ; c'est du reste notre intent
semble donner la préférence à cette dernière explication, mais se demande quelle en est la cause. M. Delore (de Lyon) 1 i
il avait conscience; il s'est présenté de lui-même au manicome pour demander son admission. S..., en dehors de ses accès est
isonnable, il travaille régulièrement à la ferme du manicome, et il demande avec instance sa sortie. Le Dr Sieraccini pense q
de la moelle ou des nerfs. L'auteur, devant celte considération, se demande si les deux , grandes variétés d'amyotrophies n
généralement plus ou moins épileptiques ou hystériques, viennent demander leur propre guérison, à moins que ce ne soit cell
x et refuse de manger. N'avait- elle pas eu un accès de délire ? se demande le savant aliéniste. 1 Tardieu. Étude médico-lé
di t connaissance. L'inculpée prétend que la guérison de sa plaie a demandé deux mois; que pendant une partie de ce temps,
is de la conception à l'acte il y a un abîme et il est permis de se demander si, en bonne santé, Marie C... l'eût délibéréme
va (au revoir), caca (quand il veut aller au siège), coco (quand il demande un oeuf), et certainement là ne s'arrêteront pas
i en faisions chercher, et dès qu'il nous en apportait un, nous lui demandions : « Qu'est-ce que c'est ? » Il répondait aussit
dans leur lan- gage, ils font des inversions qui déroutent. Ils ne demanderont pas : Est-ce que je sortirai samedi ? Mais : so
deux manières différentes : la torpeur ou l'excitation. Nous nous demandons si cette torpeur ou cette excitation ne sont pa
UE. Séance du 27 Mai 1895. Présidence DE M. P. Moreau. M. JOFFROY demande au nom de M. Régis, secrétaire général du Congr
ait faire un léger sacrifice d'argent. M. BRIAND serait d'avis de demander à lous les asiles de France de s'inscrire au Co
nts qui réclament la sortie d'un aliéné dan- gereux. M. CHRISTIAN demande la séquestration perpétuelle des aliénés crimin
itée par ces persécutions, elle ne veut plus voir son confesseur et demande à se confesser aux autres vicaires qui refusent;
n a pas de mieux que moi dans l'église. Je n'ai pas fait tout cela, demandez à Dieu. » Un jour lans ses préoccupations mysti
de sa maladie, quand elle sort une semaine après son entrée sur la demande de la famille. Au pointdevue psychique quoiquel
s délicates, et c'est pourquoi aux moyens indiqués par M. Monod, je demanderai la permission d'en ajouter encore un. Je suis
(tachycardie, irrita- bilité, etc.) un contraste saisissant. On se demanda si l'hypothyroï- dalion, c'est-à-dire la diminu
ow relèvent également de l'liyperthyroïdisa- tion, nous nous sommes demandé s'il n'y avait pas là l'indication d'un traitem
ssion pittoresque de M. Brissaud. Je profite de l'occasion pour lui demander quelques éclaircisse- ments, car il y a loin, à
curieuse, la malade ne parait pas souffrir de la dyspnée. Si on lui demande si sa respiration est gênée, elle répond négative
serne. Le Code militaire est draconien : il doit l'être. M. Challan demande qu'un triage sérieux soit fait aux conseils de
malade en avait perdu la notion de vie organique. M. Doutrebente demande pour terminer si l'hypnose de l'épileptique et de
impulsifs et principalement aux impulsifs épileptiques, je me suis demandé si ce fait n'était point en corré- lation étiol
affection, est incapable de surveiller ses intérêts. 1\1, Mendel a demandé depuis longtemps que les buveurs d'habitude pui
l'exécution de cet acte comme à l'exécution de tous ceux qu'on lui demandait . La débilité, l'imbé- cillité des mouvements ét
t survenus chez des sujets atteints de blennorrhagie aiguë. Il se demanda s'il n'y avait pas eu, dans ces deux cas, un rapp
serait atteint que dans la portion cérébelleuse. Il resterait à se demander pourquoi dans le même système orga- nique c'est
sente sont au nombre de deux seulement et l'influence qu'il signale demanderait à être confirmée par des faits plus nom- breux.
torze ans et que le ma- lade en a actuellement vingt-cinq nous nous demandons , si dans l'espace de onze ans une véritable par
le mot d'un autre Saintongeois qui, au moment où nous embarquions, demandait à un de ses compatriotes : - « Qu'étou qu'ol
ours, il était encore à Paris, et il est venu boule- vard du Palais demander un subside. Il était sans argent, mourant presq
lèbre médecin hollandais, adresse une requête à l'Empereur pour lui demander qu'on cesse de répandre le sang des ensorcelés
r guérison. Une fois celle-ci obtenue, le médecin délivre, sur la demande du sujet guéri ou des parents de ce dernier, un c
agréables, pourvus d'une gymnastique, d'un jeu de quilles, etc.; il demande un infir- mier pour six à dix aliénés. a On dev
transitoire ; dans les autres, un séjour prolongé3. » Griesinger demandait en conséquence la création pour les aliénés de
psychoses aiguës et de la colonisation des formes chroniques, pour demander la création de deux sortes d'établissements. Le
es habitudes de l'alcoolique, il faudrait mettre ce dernier, sur la demande d'un parent responsable, accompagné de témoins
tériques peuvent complètement disparaître. Discussion : 111. H1TZIG demande si les malades observés par l'auteur, souffraie
e cicatrice qu'il attribuait à un traumatisme. ' - M. SCHULTZE se demande si certains aliénistes n'auraient pas été d'avi
vailler, il fait l'effet d'un sujet normal. Mais qu'on vienne à lui demander son opinion sur des questions scientifiques ou po
si l'un des siens en était atteint - une femme ou un enfant - je me demande s'il serait satisfait que les expériences de Pi
ignalons i'usage ou plutôt l'abus fait ainsi de noms connus et nous demandons à nouveau si l'on ne trouve pas qu'en voilà ass
ce, tous les parquets seront en chêne ciré. Le carrelage des pièces demandé par certains, comme plus facile à tenir propre,
éminent confrère a traité la question avec toute l'ampleur qu'elle demandait et a rapporté de nombreux spécimens de pavillon
ait comme l'hospice de l'asile. Cependant tout compte fait, je me demande si les avantages de leur réunion en compensent
e de ce quartier d'observation sera constitué par les ma- lades qui demandent une surveillance spéciale parce que, sous des a
précaution; sans doute ils sont plus difficiles à tenir propres et demandent plus de soin, mais ils ont cet avantage de ne per
revient à chaque ins- tant, insiste, fait des questions de détail, demande si cela ne pour- rait pas lui arriver. Voit-ell
ues. Elle s'est un jour coupée le doigt en mangeant une pomme; elle demande aussitôt si le sang coulerait b en fort en se fai
l'inté- rêt qu'il porte à la lutte contre l'alcoolisme. On peut se demander ce qu'il y a de commun entre cette lutte et le
98 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aire on a l'air de ne pas attacher grande importance à ce qu'on lui demande , il s'empresse de vous être agréable. Chargé du
it être pratiquée avec une très grande rigueur scientifique, ce qui demande une surveillance continuelle du malade et de so
ligieux et des discussions qui se sont élevées à cette occasion, me demande mon opinion sur la faith-healing. La question n
de, de s'embarquer pour un long voyage. Il interroge son entourage, demande des renseignements circonstanciés sur les cures
ésidé à l'apparition de la gangrène. Mais la cicatrisation complète demande un temps normal, suffisant pour s'effectuer, et
ette régéné- ration, à laquelle président aussi des lois physiques, demande un temps suffisant pour s'accomplir. C'est enco
mieux coordonnés et les plus complexes, tels que jouer aux cartes, demander son billet de chemin de fer, monter et descendr
éométriques avec ou sans analyse, etc., etc. On mesure le temps que demande chez chaque sujet ce travail mental à l'aide d'un
mes secondes. L'examen d'une seule personne, dans ces conditions, demande près d'une heure; on prend donc des aides de faço
nation verbale psycho-molrice a été déjà suffisamment éta- blie, se demande quelle est sa valeur clinique et dans quelles f
lire mélancolique que la même malade a eu auparavant, et l'au- teur demande si leur apparition, à une certaine phase de son
ion est contraire à la possibilité de cette psy- chose. M. Arnaud demande si l'accès de mélancolie a été séparé du délire
e céphalalgies intenses. M. SCHUELE. C'est aux autopsies qu'il faut demander si réelle- ment la dure-mère joue, comme je le
remanié, le chapitre de la Mélancolie est peut-être un de ceux qui demandent encore à être complétés, sur- tout en ce qui co
e récente ou relativement récente que cette atrophie. Il vient nous demander un avis, un pronostic, un traitement s'il y a l
pes qui ne prouve rien ; il appuie sa démonstration sur un fait qui demande lui-même à être dé- montré. Donc la valeur de n
uve en présence de cellules à noyaux. Tout d'abord nous nous sommes demandés s'il ne s'agirait pas là de cellules plas- mati
iques, appartenant en propre à la cachexie strumiprive, et ils se demandent si des troubles de la glande thyroïde n'auraient
PRIMITIVE PROGRESSIVE. 205 A cet égard, il nous est permis de nous demander si les constatations anatomiques que nous avons
emmagasiner 1,500 milliampères-heures, c'est-à-dire qu'on peut leur demander trois cents heures de 5 milliampères-cent cinquan
rofond. L'alcoolique peut comprendre ce qu'on lui dit, ce qu'on-lui demande , il n'a pas un désordre des idées aussi intense
ujourd'hui, cinq semaines après l'opération, si on ne lui avait pas demandé d'écrire sur ce sujet. Il a pensé qu'il n'est pas
sité d'un certificat médical émanant d'un médecin fonctionnaire, de demandes de placements officieuses ou o fficielles adres
re 1891). La Cour des divorces vient de rendre son jugement sur une demande en séparation intentée par Lady Abdy contre son
reprises de le faire empoisonner ». Le juge Barnes a repoussé la demande en séparation et con- damné lady Abdy à tous le
la dernière session du conseil général du Rhône, M. le Dr Masson a demandé au préfet s'il était en mesure de fournir des e
la rue Gaudot-de-Mauroy, voyant l'air sin- gulier du visiteur, lui demanda où il allait, et n'en recevant pas de réponse,
. M. Follet, gardé à vue au poste de la rue de Larochefoucauld, a demandé , à plusieurs reprises, à se retirer, en s'informa
cela et pour bien d'autres méfaits que la police a cru utile de lui demander quelques renseignements sur son passé; après ce
échapper de la main droite, et celle-ci resta inerte, tombante. Il demanda au marchand de vin de l'alcool camphré pour se
la scoliose dans les névropathies, et bien qu'encore cette question demande de nouvelles recherches pour éclairer de nombre
it du côté du bassin. Son existence étant admise, il convient de se demander qu'elle a pu être sa pathogénie, il convient d'
acie est encore moins possible. Il reste donc deux explications qui demandent d'être exa- minés avec bien plus de soin. La sc
l'instant même son tremblement. On observe la môme chose quand on demande au malade de faire un effort de la volonté pour s
enferment une certaine proportion d'aliénés. Il va plus loin, et se demande si ce genre d'enquête ne. devrait pas être étendu
I1N. Buste de l3aillcwge·. - M. Blanche, au nom de la Commission, demande l'avis. de la société sur le choix de l'emplaceme
ou dans une commune de la Seine, depuis trois ans, au moment de la demande d'admission et qu'ils habitent avec eux. VARI
ais arrêta cet homme au passage. Celui-ci lui expliqua qu'il venait demander au chef de l'État la croix de la Légion d'honne
ue nous avons autrefois exprimées sur la nature de l'hystérie, nous demandons la permission de les reprendre en peu de mots,
en ces termes : « En présence de ces faits, on peut légitimement se demander si l'hystérie ne joue pas un rôle beaucoup plus
n de cette gêne, il s'écoule toujours un temps appréciable entre la demande la plus naturelle et la réponse la plus simple
u'elle a offertes plaident en ce sens. Par suite, on est amené à se demander si, dans ce complexus symptomatique, il y a sim
et cela dès les premières phases de la maladie. Il est permis de se demander si le processus morbide et les troubles fonctio
niement, soit par la voie stomacale, soit par la voie hypodermique, demande une prudence attentive, mais qui peut, dans cer
bjet de cette observation était atteinte de folie du doute; elle se demandait cent fois par jour si elle avait bien fait son
t par la pratique et la répétition des expériences. Mais on peut se demander , avec Tamburini, si ces phénomènes ne sont pas
ue n'eût pas tardé à s'écrouler en présence de la réalité. Sur la demande de M. Wernicke, M. Kahlbaum esquisse encore que
du concours sera envoyé gratuitement aux personnes qui en feront la demande au Président, 20 bis, rue Saint-Benoît, Paris.
99 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
.. On retrouve ces caractères dans une observation de Hughes. Il se demande enfin comment nous pouvons comprendre ces chang
ent, il n'est en état de le répéter plusieurs fois que si on le lui demande très peu de temps, quelques secondes après qu'o
s fléchisseurs sont libres, mais donnent 10 au dynamomètre. Si l'on demande au malade de Fif}. 13. 102 CLINIQUE MENTALE.
cela l'alcoolisme continue à faire des milliers de victimes. 11 se demande donc comment on peut pratiquement lutter. Faut-
nchymateuse primitive du cervelet existe-t-elle vrai- ment ? Ils se demandent , en effet, pourquoi l'atrophie, ou l'arrêt de d
réaction normale à la phase ultime. VII. -- Enfin nous nous sommes demandés si l'ûge n'aurai L pas une influence marquée su
lle Louis, qui me dit : Il me semble que dans le rêve, quelqu'un me demandait si c'était bloqué et je lui répondais que tout
pelle C... Ce soir, j'irai à votre maison-)- Crise, sou- bresaut-Je demande à Louis ce qu'il a. J'ai mal à la tête + Vous ê
des Pennes, banlieue de Marseille. Je ne sais pas quel canton, vous demanderez à mon père, en ce moment à la maison. J'ai eu l
d'intensité. Louis s'est amusé presque tout le temps aux billes, a demandé aux passants des sous pour aller s'acheter des
ors mon malade non anesthésié du front et du cuir che- velu. Je lui demande s'il voit et entend sa mère ; il me répond que
débloqué là (en avant des pariétaux). -- (Madame Vial sort) ; je demande à Louis le nombre des personnes présentes dans la
prurit de classification et de nomenclature des aliénistes », et se demande quel diagnostic aurait posé tel ou tel maître d
s après ces tableaux cliniques qui montrent la 'ressemblance, il se demande ce qu'ap- prennent plus spécialement sur elles
it réveillé. Le songe avait engendré le projet suivant : a il irait demander à son professeur de parler pour lui aux autres
ensuite sa gibecière, regagne son domicile et se met à dinersur sa demande , mais sans pouvoir manger : phase d'épuisement
d'hui beaucoup plus fréquentes qu'autrefois. Il y a donc lieu de se demander , avec M. le Par Ber- naud, si cette maladie n'a
son ensemble par Sergi, par Ribot, par G. Dumas, etc. « On peut se demander , dit M. Ribot, si (de la sensibilité et de l'in
qui s'y trompaient, tandis que ceux qui m'appro- chaient souvent me demandaient quelquefois si j'étais indisposé, tellement j'é
façon si suivie la marche de mon état particulier ; je le fais à la demande de ma soeur, qui conserve toujours pour moi le
eux. J'ai maintenant vingt; et un ans et depuis quatre ans déjà, je demande à Dieu avec ardeur de me faire mourir ; j'ai mê
ans vous apitoyer sur mon sort et que vous me le prouverez, je vous demande que cela soit entre nous. Je mets en vous toute
était absolument impossible de retourner au milieu des hommes. lime demanda instamment mon BIOGRAPHIE D'UNE IDÉE FIXE. 285
du mois de ? de N... vint chez moi, plus calme en apparence et me demanda de.lui restituer le cahier qui contenait sa confe
Dans une pension où il est, il va trouver son professeur pour lui demander des leçons particulières, à l'insu de ses parents
nant du premier mensonge, nous nous tenons sur nos gardes; comme il demande même quel jour nous pourrons recevoir son cousi
pose comment il comprend ce mode de traitement et quel secours il demande au sujet lui-même. Mais il y a encore beaucoup à
se préoccuper de la valeur des mots de remplissage. . · M. Joffroy demande à M. Vigouroux comment il a pu constater que se
re déjà inférieur à sa dose quotidienne. J'accorde toujours la dose demandée , en exigeant simplement la régularité des piqûr
ammes de morphine qu'il est le plus difficile de supprimer. Il se demande si les dangers de la suppression brusque n'ont pa
et son entourage dans l'ignorance des doses injectées. M. Bossue demande si la guérison obtenue par la méthode de SOCIET
Bicêtre; ils n'ont trouvé que cinq fois des corps granuleux et se demandent pourquoi ils n'ont pas rencontré plus souvent cet
a donné au point de vue de la lymphocytose un résultat négatif. Je demanderai à mes collègues s'ils ont observé des faits sem
ême de sa théorie de l'accès épileptique est maintenant appelé à se demander quelle est la substance qui se forme dans l'org
oursement, un achat de rente, ou « toute autre opération faite à la demande du déposant », les sommes figurant au livret so
nt que les termes de la loi : « ou toute autre opération faite à la demande du dépo- sant » étaient essentiellement générau
sans connaissance ; on la porta sur son lit où elle revint à elle, demanda d'un air étonné où elle se trouvait, puis ne ta
s jours, et se dispute à tout propos avec ses camarades de salle, demande à quitter l'hôpital. Elle se sent relativement bi
iers temps, en guerre continuelle avec ses camarades de salle. Elle demande depuis quelques jours à quitter l'hôpital, ce qui
lle. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 373 On est donc en droit de se demander si le père n'a pas transmis à sa fille et à sa
arésiée et la corde vocale droite nettement paralysée. 0 On peut se demander s'il s'agit là d'un nouvel accident analogue à
marié afin d'avoir « une ménagère à la maison ». Il ne lui a jamais demandé le coït ; il n'a point davantage essayé de coït
, au moment où on lui place une vessie de glace sur la tête, elle demande , toute étonnée, pourquoi cette vessie et ne compr
urieuse. Jusqu'au il mars 1899, soit pendant cinq à six mois, il ne demande rien et ne répond rien à ce qu'on lui dit, sauf
nnaissance s'obscurcit de nouveau; le 12 avril, il revient à lui et demande : « Ceci m'est-il arrivé en songe où à l'état d
versée de l'origine des myopathies n'est pas encore résolue : on se demande encore si les affections décrites comme primiti
et non déterminé par une excitation locale persistante. M. Ballet demande que l'on précise toujours la terminologie e pou
a connaissance, implique une lésion de l'hémisphère gauche, cela ne demande aucune explication, de la part de qui s'adresse
roisième circonvolution frontale gauche (chez un droitier), cela ne demande pas davantage de longues explications. De même
corde pas son consentement et qui l'assaillent malgré elle; elle se demande d'où peuvent venir ces idées. Par ses écrits et
gir à sa conscience malgré elle et contre son gré, elle arrive à se demander si quelque puissance extérieure n'est pas la ca
nes, dont elle pense mal, qui lui disent des sottises, elle fait la demande et eux font en elle la réponse. Quand elle le
que, faisant pour chacun un examen de conscience minutieux, elle se demande si elle s'est comportée comme elle le devait en
rit, au sujet d'un souvenir déterminé. L... se croit coupable, elle demande pardon des idées qui surgissent en dehors d'ell
e l'on doit retirer soigneusement du courant social. M. Champeaux demande avec raison, qu'au point de vue légis- varia. 5
ises les intérêts du corps médical ; il fut son porte-parole pour y demander notamment l'organisation du service de la vacci
100 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
son assiette, et fut prise de convulsions. Le lendemain, comme on lui demandait pourquoi elle avait rejeté son assiette, elle dit
! » Enfin, elle se plaint d'être fatiguée et courbaturée. Lorsqu'on demande à L..... de raconter ce qu'elle a vu, sa physio
douleurs des ofenses faites contre cette » adorable Majesté, et lui demander que tant de péchés » ne missent point d'obstacl
audit Grandier, qui., s'étant tourné vers le-» dit sieur Evêque, lui demanda s'il lui permettoit de » la prendre ; à quoi aian
le au cou, et alors le Père Recollet lui pré-» senta un Rituel, qu'il demanda permission de prendre » audit sieur Evêque, comme
sa chemise qu'elle séchait sur elle ; se nourris-santde pain qu'elle demandait dans les fermes : Elle ne se décidait à mendier q
apitulait avec son orgueil, se disant « que Notre-Seigneur avait bien demandé l'aumône et qu'elle pouvait faire comme lui. » So
e étant souffrante,ainsi qu'elle-même, elle vint au Bureau central et demanda à entrer à l'Hôtel-Dieu. Le médecin lui ayant dél
alle et placée par terre. Au bout d'un quart d'heure, elle se lève et demande à aller se coucher dans son lit. On l'y conduit e
» comme elle dit avec raison..... Cette lettre, fort intéressante, demande quelques explications. L'histoire de la prétendue
s, la personne du service médical qui se trouve devant elle, elle lui demande de l'embrasser... quand elle-même ne prend pas à
ttaques de 7 heures et demie du soir à 11 heures. Revenue à elle, G., demande à manger. A. notre arrivée, avec un de nos amis,
t le doigt ou... » — Puis, interpellant une de ses compagnes elle lui demande : «Et toi, M... cela te fait-il quelque chose? »
euse. G... donne des baisers et parait réclamer quelque chose. On lui demande : que voulez-vous? Elle répond : « Donne-moi____»
ériques, celle-là je la plains. » On m'a fait admi-ministrer. . Je ne demandais pas mieux, parce que j'ai de la religion... Hier,
des corbeaux. » 14 août. — Hier, à midi, G... se sentant malade, a demandé à être mise en cellule. Pendant plusieurs heures
tre la porte; le contre-coup la renverse par terre. Elle se redresse, demande son jupon, monte sur son lit, ferme violemment le
un degré effrayant. Elle parait avoir des douleurs dans la poitrine, demande qu'on la frotte pour la soulager. Les accidents,
la perception d'un brouillard épais. L'œil gauche était sain. M... a demandé qu'on lui mît un bandeau sur les yeux parce que l
orsque les malades sentent venir leurs attaques, elles se couchent et demandent la camisole. Celle-ci, on le sait, est faite en t
mie exprime l'égarement ; M... s'avance en titubant, automatiquement, demande de l'éther sur un ton impérieux : « On n'a pas di
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