est d'un diagnostic quelquefois difficile. Ne confondez pas ce léger degré de déformation avec une disposition or ganique,

mbaire de l'épine ou la région dorsale inférieure. Je distingue trois degrés dans ces abcès. 1" Degré. — La collection n'est

on dorsale inférieure. Je distingue trois degrés dans ces abcès. 1" Degré . — La collection n'est pas sensible à la vue; aus

re l'existence de ces abcès. Il y a dans ces collections du premier degré , comme dans les autres, une'circonstance que je v

r ici, et qui est bien propre à éveiller l'attention : c'est un léger degré de flexion de la cuisse du côté malade. Le muscle

reconnaître qu'il existe un abcès dans la fosse iliaque droite. 2e Degré . — L'abcès a augmenté de volume. Je ne reviens pa

usqu'à l'arcade crurale. Ne croyez pas qu'on ait toujours ce deuxième degré à la suite du premier : l'abcès peut se résorber;

la collection est moins volumineuse et appartient au début du second degré . 3e Degré. — La vue peut ici, jusqu'à un certai

on est moins volumineuse et appartient au début du second degré. 3e Degré . — La vue peut ici, jusqu'à un certain point, rem

se dans la région de l'ilium. On peut considérer comme un quatrième degré la période d'ouverture de ces abcès. Le malade n°

jeune garçon, le n° 29 de la salle St-Marcou, qui présente à un haut degré ces phénomènes du mouvement réflexe. On observe s

il mérite sous ce rapport de devenir l'objet d'études sérieuses. IL Degrés de la paralysie. — On peut distinguer trois degré

es sérieuses. IL Degrés de la paralysie. — On peut distinguer trois degrés dans la paralysie produite par le mal vertébral.

ue 1 saut, la course, sont à peu près impossibles. Dans le deuxième degré , la paralysie est encore incomplète; le enfants n

érieurs, lorsqu'ils sont assis ou couchés. Enfin, dans le troisième degré , tout mouvement volontaire est aboli; les membres

nt être inégalement affectés, de manière que la paralysie présente un degré plus avancé d'un côté que de l'autre. Je place so

Une de ces petites malades nous présente une paralysie du deuxième degré , qui a succédé au troisième, dont elle était d'ab

. Il existe, pour ainsi dire, dans ces cas, un deuxième et un premier degré de retour. (1) — Je vous ai fait connaître, dan

e vous ai fait connaître, dans notre dernière réunion, les différents degrés de paralysie déterminés par le mal vertébral. Vou

alysie déterminés par le mal vertébral. Vous avez vu que le troisième degré offre plusieurs nuances ; je vous ai présenté des

fibres nerveuses. En effet, la lésion qui correspond aux différents degrés de paralysie que j'ai montrés n'intéresse ordinai

portion du cordon médullaire. Les différentes nuances du troisième degré répondent à divers états de l'altération nerveuse

ration de la moelle et les troubles fonctionnels. Dans ce troisième degré , le sentiment, ordinairement conservé, peut être

ne dit rien de l'état réflexe. On observe encore, dans ce troisième degré , des différences produites par des contractures,

muscles du mollet. Une jeune fille de nos salles a conservé un léger degré de rétraction des muscles atteints. Les viscère

accouchement (Brachet). III. Causes de la paralysie.—Ces différents degrés de paralysie correspondent à des lésions plus ou

e ta moelle. — Il existe des lésions plus graves, correspondant à des degrés plus avancés de la maladie. Ces lésions sont cell

ans, on peut répéter cette phrase. Quels que soient les symptômes, le degré de la lésion, que le malade soit jeune ou vieux,

cessivement à marcher et à courir. Elle a conservé seulement un léger degré de rétraction des muscles du mollet. L'autre en

malade a succombé à l'affection du poumon ; elle a passé par tous les degrés du marasme; elle a été véritablement lente à mour

reste de l'épine, qu'aux apophyses articulaires, et à un bien moindre degré . Les affections osseuses, cartilagineuses et liga

essants de mal sous-occipital ; la rotation était portée au plus haut degré . Sur le côté du cou, cependant, existait une adén

droite. Cet autre buste nous offre la même disposition à un moindre degré ; il a été moulé d'après le buste du musée des ant

e. Nous pouvons déduire de la connaissance des faits anatomiques le degré de solidité et de mobilité des syndesmoses congén

transversal du bassin ; il faut encore qu'ils soient étendus au même degré ; une flexion légère d'un côté introduit des diffé

ent ou même se croisent. A cette obliquité vient s'ajouter un certain degré de rotation. Ici paraît la première erreur de Du-

e n'ont ici qu'une utilité secondaire : elles peuvent exister au même degré dans d'autres lésions. Je ne m'arrête pas à que

ulaire; on la retrouve dans les autres muscles du squelette. 5° Les degrés de la déviation sont très-différents. Elle est qu

a dit Horace. Dans le monde, on appelle faux trait de la vue ce léger degré . Dans un deuxième degré, l'iris est plus dévié ;

nde, on appelle faux trait de la vue ce léger degré. Dans un deuxième degré , l'iris est plus dévié ; il atteint le milieu de

la pupille d'un des angles de l'œil. Enfin l'iris, dans le troisième degré , se porte dans l'un des angles et s'y trouve cac

seulement. Il faut ajouter aux variétés du strabisme fondées sur le degré de la déviation, une espèce assez fréquente, dans

e degré de la déviation, une espèce assez fréquente, dans laquelle ce degré est variable, de sorte que la déviation peut être

son antagoniste. La rétraction du muscle est-elle portée à un haut degré , il y bouvier. «0 aura fixité du globe oculaire

lques-unes la font cesser; elle n'est pas non plus en rapport avec le degré de la déviation. On l'observe principalement quan

nou droit. Il offre un strabisme interne de l'œil gauche, du deuxième degré , uniforme dans tous les instants, dont le début r

issant en partie dans le grand angle ; c'est un strabisme du deuxième degré . IIIe cas. — Ici, strabisme interne droit, vari

le malade fixe un objet. Nous constatons facilement, en effet, que le degré de la déviation est tout différent suivant que

déviation devient plus forte par moments, et rentre dans le troisième degré quand la malade fixe attentivement un objet, qu'e

utre exemple; c'est un strabisme interne de l'œil droit, et du second degré . Le malade a six ans ; il a été brûlé à la joue g

us avons l'exemple d'une déviation interne de l'œil gauche, du second degré , chez cette jeune fille de onze ans, devenue stra

t du même âge, le strabisme, placé à droite, est divergent, du second degré , et se redresse spontanément lorsque la malade fi

lorsque l'enfant fixe quelque objet ; il rentre alors dans le second degré . Les cornées sont exemptes de taies. L'œil droit

res de l'angle interne de l'œil. Dans l'adduction portée au plus haut degré , une partie de l'iris disparaît dans le grand ang

duit ou devient plus marqué. On en constate surtout l'existence ou le degré par l'exercice de la vue appliqué à de petits obj

déviation des axes optiques est plus considérable. A un très-faible degré , le strabisme n'est pas sans agrément; c'est ce q

beauté : si pœta est, dit Ovide, Veneri similis. Ce n'est que dans un degré plus avancé que le strabisme a de fâcheux effets

s seulement de la longueur du muscle; il peut aussi être l'effet d'un degré de contraction spasmodique habituel, que l'opérat

de leur direction. Il peut arriver que le strabisme persiste au même degré . Si le patient peut tourner son œil en dedans tou

s ignoraient ces faits. On peut en quelque sorte régler à l'avance le degré de cette action restante du muscle, en agissant s

coup moins prononcé qu'avant l'opération ; il est à peine du deuxième degré . J'ai peu détaché le muscle abducteur, l'œil me p

ès. Il s'agissait d'un strabisme interne de l'œil gauche du troisième degré . L'autre œil participait à l'affection ; il y ava

Pitié; la déviation était interne, droite, congénitale et du deuxième degré . Une sœur jumelle éprouvait la même infirmité. L'

e autre malade; elle avait un strabisme interne, gauche, du troisième degré , passant souvent à droite et par conséquent doubl

es. Le strabisme, externe et situé à gauche, appartenait au troisième degré ; le bord de l'iris atteignait la commissure exter

trente-neuf ans, présentait un strabisme externe, gauche, du deuxième degré ; elle avait eu une variole à trois ans; une taie

— Nous avons ici l'exemple d'un strabisme interne gauche du troisième degré . La malade a dix ans. D'un à trois ans, elle fut

cas, si tous les muscles ne sont pas atteints ou s'ils le sont à des degrés différents, l'équilibre est rompu. Une maladie

est encore que faiblement rétracté. C'est en quelque sorte un premier degré de cette lésion musculaire. Chez le second, le tr

l finisse également par céder à l'effort des mains; c'est un deuxième degré de contracture. Vous remarquerez sur les deux mal

t l'astragale. C'est une abduction permanente, qui constitue un léger degré de valgus. Vous pouvez voir cette disposition sur

s et quatre garçons, offrant des exemples de pieds plats à différents degrés , qui la plupart paraissent être congénitaux. Ie

pour replacer la pointe du pied sur la même ligne que le talon. A ce degré , les mouvements normaux du pied sont peu modifiés

t dans les déviations congeniales. Elle n'atteint jamais un très-haut degré , sans passer à la seconde forme. Voici ses caract

ù le pied est replié sur le côté interne de la jambe, il y a bien des degrés ; nous en établirons trois principaux. Dans le

pied est si considérable que son dos repose sur le sol. 1° Premier degré , — Les caractères du premier degré sont ceux qu

os repose sur le sol. 1° Premier degré, — Les caractères du premier degré sont ceux que nous venons d'assigner au varus d

nce des ligaments et des muscles allongés. 2° Deuxième et troisième degrés . — Le deuxième degré, auquel je réunis le troisiè

es muscles allongés. 2° Deuxième et troisième degrés. — Le deuxième degré , auquel je réunis le troisième, est le pied bot v

xcellence ; aussi y insisterai-je plus longuement. Dans ce deuxième degré , la flexion de l'avant-pied en dedans et en bas,

ière. Si l'extension est très-considérable, comme dans le troisième degré , le pied se tourne sens dessus dessous ; sa plant

; elle est forte et intelligente. Elle avait un pied bot du deuxième degré il y a trois ans; la section du tendon d'Achille

, faite à celte époque, a transformé ce pied bot en varus du premier degré . Le pied forme un angle obtus avec la jambe ; le

faciles à apprécier. IIe cas. — Voici un garçon porteur d'un léger degré de varus commençant ; c'est à peine si le bord ex

e fille qui vous offre le pied bot clas- sique, presque le deuxième degré . Il est congcnial ; il y a abaissement de la part

alon. Ve cas. — Chez ce garçon, c'est un pied bot double du premier degré . Cet enfant a subi deux opérations ; dans une pre

pé deux tendons. Il reste encore, malgré cela, un pied bot du premier degré . VIe cas. — Cette jeune fille, qui est très-ner

voici un garçon affligé d'un pied bot héréditaire double, du deuxième degré au moins. La mère a aussi un double pied bot. L'e

d'un âge adulte, et qui ont la plupart des pieds bots varus à divers degrés . Chez presque toutes, les déviations résultent de

ralysie est complète ; il y a un varus légèrement équin et un certain degré de pied creux. Vous voyez que le bord externe est

a déformation de la tête et du col de l'astragale. Mais il y a divers degrés dans cette déformation. Dans le premier, on ne

ement de cette facette sur le côté interne du col. Dans un deuxième degré , la tète n'a déji plus la même forme; elle est un

l, la tête de l'astragale déborde le col. Enfin , dans un troisième degré , cette tête finit par ne plus former que le somme

e propre. Le raccourcissement des muscles rétractés offre plusieurs degrés . Il n'y a sous ce rapport qu'une nuance entre la

comme difformité primitive. Jamais cette difformité n'atteint un haut degré sans que le varus ou le talus devienne prédominan

ied sur la jambe, le valgus tend généralement à s'associer un certain degré de flexion ; et cela se comprend si l'on fait att

t bonne s'il n'y avait que des varus et des valgus. Je décris trois degrés principaux dans le valgus commun. Dans le premier

mpression qui a lieu dans le sens opposé. Les deuxième et troisième degrés ressemblent à un varus retourné. L'angle est enco

mblent à un varus retourné. L'angle est encore obtus dans le deuxième degré ; le bout du pied commence à se détacher du sol, e

celui-ci. La difficulté de la locomotion varie d'ailleurs suivant le degré de renversement du pied. Quand ce renversement es

ier, plus rarement à d'autres muscles. Cette extension offre divers degrés dépendant de l'étendue du raccourcissement muscul

musculaire. J'en distinguerai trois principaux : 1° Dans un premier degré , la flexion du pied sur la jambe est seulement bo

sion forcée est souvent même accompagnée de douleur. 2° Le deuxième degré du pied équin est caractérisé par le soulèvement

pied, qui forme avec la jambe un angle obtus. 3° Dans le troisième degré , cet angle est complètement effacé, l'axe du pied

sol. L'astragale s'abaisse en avant dans les deuxième et troisième degrés , comme nous avons vu qu'il s'abaisse dans le varu

vons vu qu'il s'abaisse dans le varus commun. Mais, dans le troisième degré , l'inclinaison de cet os est portée encore plus l

astragale s'articule avec la face antérieure du calcanéum. Dans les degrés extrêmes d'ex'ension, le calcanéum peut se trouve

utre plus ou moins déviées en dedans. Il résulte, dans son plus léger degré , de la rétraction isolée du triceps sural ; dans

plus léger degré, de la rétraction isolée du triceps sural ; dans un degré plus avancé, la rétraction de ce muscle est augme

caractères se composent de ceux du pied équin et du varus au premier degré . La base de sustentaiion est beaucoup plus défavo

iation s'efface en grande partie. Elle se reproduit ensuite à un haut degré par la contraction involontaire 14. des muscl

a omis d'indiquer la direction du talon (2). En général, un certain degré de valgus se joint donc au talus, comme dans le c

le talus commun. Ce talus commun nous offre à considérer plusieurs degrés . 1° Premier degré. — Dans un premier degré, la

e talus commun nous offre à considérer plusieurs degrés. 1° Premier degré . — Dans un premier degré, la pointe du pied ne pe

à considérer plusieurs degrés. 1° Premier degré. — Dans un premier degré , la pointe du pied ne peut pas s'abaisser au delà

don d'Achille est relâché et peu saillant. 2° Deuxième et troisième degrés . — Dans un deuxième degré, la flexion du pied sur

t peu saillant. 2° Deuxième et troisième degrés. — Dans un deuxième degré , la flexion du pied sur la jambe produit un angle

produit un angle moindre que l'angle droit. Enfin, dans le troisième degré , cet angle devient si aigu que l'axe du pied est

t bien près d'être parallèle à l'axe de la jambe. Ces deux derniers degrés résultent d'un affaiblissement du triceps sural e

ne forte rétraction des fléchisseurs du pied. Il s'y joint un certain degré d'abduction dû à plusieurs causes, à savoir ; Je

fin, la direction, la forme des bords du pied sont déterminées par le degré de valgus qui complique le talus. On comprend q

complique le talus. On comprend que, dans le talus commun à un haut degré , l'étroitesse de la base de sustentation gêne bea

ot, s'il présente un mélange de contraction et de rétraction , à quel degré la rétraction proprement dite est parvenue. On

u membre. Puis on appréciera la disposition des articulations, leur degré de mobilité, les rapports de leurs surfaces. Le

moyens à employer dans ce cas sont les mêmes que dans les plus légers degrés du pied bot confirmé; nous les retrouverons donc

vous décrire tous ces appareils; ce n'est pas leur nombre, mais leur degré d'utilité qui nous importe ici, et je dirais volo

quatre mois et demi, qui porte à droite un varus congénial du premier degré , et à gauche un valgus; vous avez ainsi sous les

l'emploi des machines, et il ne reste guère aujourd'hui qu'un premier degré de talus. Il y a eu en même temps, chez cet enfan

ulés, fait rare parmi les congénitaux. Du côté droit, il y a un léger degré rie varus; à gauche, l'équin est presque direct.

sme font même plus : comme ils inclinent les pièces du montant à égal degré des deux côtés, ils peuvent renverser sa courbure

n de la courroie qui lui est destinée. L'habitude fait connaître le degré de constriction qu'il faut donner aux courroies.

rêté par les accidents dont il vient d'être question, on augmente par degrés l'action de l'appareil, en inclinant de plus en p

remière année, et même dans la seconde, si le pied bot est au premier degré , la résistance est faible; il n'y a pour ainsi di

l'on procède avec la douceur convenable. Le deuxième et le troisième degrés ne se redressent pas sans douleur à cet âge, si l

lle réduit les pressions à celles qu'exigerait un pied bot du premier degré . Après trois ans, les difficultés croissent, si

cinquième leçon; il est atteint d'un pied équin creux, avec un léger degré de varus. Quand l'enfant est debout, le poids du

aître sa tolérance à l'égard des moyens mécaniques, pour s'assurer du degré de rétraction des muscles. Suivant le résultat de

le dans le pied bot? C'est moins de l'âge que de l'ancienneté et du degré de la difformité qu'il faut tenir compte dans le

pied droit d'un enfant atteint de varus con-génial double du deuxième degré . Ce moule représente la conformation du pied avan

parfaite. IIe cas. — Marie Pavard porte un varus double, du premier degré à droite, bien plus marqué à gauche. A cinq mois,

ien moins prononcée au pied gauche. L'un de ces moules vous montre le degré de flexion du pied droit au moment de la naissanc

érations de la substance osseuse dans cette maladie présentent divers degrés qui forment autant de périodes successives, lorsq

ion du rachitisme. Cette première période du rachitisme répond à ce degré de la maladie qui constitue les enfants noués, ai

ment, il y a un épaississement très-notable. Vous comprenez qu'à ce degré de la maladie, l'analyse chimique ne trouve presq

ractures chez les sujets rachitiques est subordonnée à la période, au degré du rachitisme. Tantôt elle se fait très-lentement

is par M. Houël à la Société anatomique, offre ce caractère à un haut degré . Dans celte ossification irrégulière, quelques

avancée de l'altération générale du système osseux, qu'il existe à un degré bien prononcé. Néanmoins nous avons pu, cette ann

omme l'a fort bien dit Glisson, qui toutefois n'a insisté que sur les degrés extrêmes (1). Cette déformation dérive de l'alt

celle des extrémités de la diaphyse des os longs. Dans son premier degré , le rachitisme thoracique ne consiste que dans un

chondroïde et ostéoïde un peu plus épaisse qu'à l'état normal. A un degré plus avancé, les articulations chondro-costales d

nt également de volume, et la respiration devient gênée. Le premier degré du rachitisme thoracique, le chapelet, existe dès

résulte un rétrécissement bi-antéro-latéral qui constitue, à un léger degré , le bassin cordiforme, et à un degré plus marqué,

atéral qui constitue, à un léger degré, le bassin cordiforme, et à un degré plus marqué, le bassin trilobé ou en feuilles de

e de la collection de Clamart, frappé de rachitisme général à un haut degré . Le côté gauche du bassin est tellement déformé,

avec la même fréquence, ni à la même époque de la maladie, ni au même degré . Glisson (1) avait déjà établi que les parties

'état normal. Cette altération s'étend plus ou moins loin, suivant le degré de dépression des côtes ; les poumons deviennent

rs, dans ce cas, juger de la gravité de l'affection pulmonaire par le degré de la dyspnée, parce que la déformation du thorax

e philosophique, 5e édit., 1813, t. III, p. 391. réduits au dernier degré de marasme, ne présenter encore que les lésions d

elle des os. C'est surtout lorsqu'il n'y a pas de proportion entre le degré du rachitisme et l'intensité des symptômes généra

t encore appelée voussure, dos voûté, lorsqu'elle est étendue et d'un degré moyen. Est-elle circonscrite et irès-pro-noncée,

, et en tout cas elle tend à s'accroître avec l'âge et à atteindre un degré peu compatible avec l'exercice régulier des fonct

me il retombe chez l'enfant débile; mais rien de plus variable que le degré de courbure qui se produit et l'âge auquel il app

cessent de porter des corsets. La cyphose sénile peut atteindre un degré considérable et réellement pathologique, si des c

même les muscles ne peuvent maintenir l'équilibre. La cyphose, à ce degré , déplace et déforme tout lé tronc ; la tête touch

rbure réellement pathologique. La lordose n'est évidente que dans son degré le plus prononcé. Cette conformation du rachis

t cette remarque est fondée; il est plus certain que la lordose, à un degré considérable, nuit à la démarche et rend le sujet

x lombes qu'au dos. On ne voit pas non plus la courbure parvenir à un degré aussi considérable que dans la cyphose, ni affect

ssin sont nombreuses. Ce sont toutes celles qui produisent un certain degré de flexion permanente des cuisses, attitude dans

. Vous reconnaissez la lordose lombaire, l'ensellure portée à un haut degré (1). Même aspect sur cette figure, qui représen

ourbures par simple flexion. C'est cette scoliose, portée à un haut degré , qui constitue le plus (1) Planche 2. (2) Qua

ls n'offrent quelques traces de rachitisme. Il faut distinguer deux degrés dans cette disposition anatomique : 1° la simple

xception doit être distingué du précédent. L'étendue des arcs, leur degré de courbure sont loin d'être toujours les mêmes;

sement latéral déjà mentionné par Sabatier, et constituant le premier degré de la courbure? C'est une altération de la symétr

iennent-elles apparentes que lorsqu'elles sont parvenues à un certain degré . L'équilibre n'est pas nécessairement détruit dan

r que, les deux courbures augmentant également jusqu'à leur plus haut degré , la déviation conserve la forme d'une S régulière

deux droites. Celte courbure dorsale, devenue prédominante à divers degrés , est ce qui donne lieu à la gibbosité commune pos

ibbosité est alors lombaire; la courbure n'atteint pas dans ce cas un degré aussi considérable que dans la déviation dorsale;

tical des corps vertébraux et de leurs ligaments présente de nombreux degrés , depuis une perte insignifiante de la hauteur des

Le rachitisme présente, de même que la scoliose spontanée, les deux degrés d'affaissement que j'ai indiqués. L'affaissement

quelles elles sont placées. Toute scoliose permanente présente à un degré quelconque les principales déformations des corps

tion, telles que les pleurétiques, m'ont toujours présenté un certain degré de torsion. ; Arrivons au mécanisme de la torsi

, et non une bosse postérieure. C'est surtout le siège, l'étendue, le degré de la torsion qui déterminent la situation, la ha

ieur à celui des nerfs. Ce n'est que dans les déviations du plus haut degré que ceux-ci finissent par diminuer de volume, du

emples parmi ces dessins, — la position de l'aorte diffère suivant le degré de la déviation. 1° Dans ce cas de courbure dorsa

ue, d'en déterminer positivement le caractère, et surtout de juger du degré de généralité qu'il convient de leur donner. L'

e de l'épine se présente, pendant la vie, sous trois états ou à trois degrés différents qui constituent, lorsque la déviation

as à vous présenter d'exemple bien caractérisé de scoliose au premier degré . Voici cependant une petite fille de trois ans et

ipale, la troisième période ne se distingue de la deuxième que par le degré de la difformité, et surtout par les proportions

forme des gibbosités. L'examen de nombreux sujets, gibbeux à divers degrés , va nous servir à compléter ces notions sur les c

as. — Jeune fdle de onze ans et demi. Scoliose rachitique au deuxième degré . Les tibias sont déformés, preuve de rachitisme.

ulèvent. IIe cas. — Fille de cinq ans et demi. Scoliose au deuxième degré , en S verticale. Courbure dorsale à gauche; petit

épaule gauche qui a précédé la déviation. La scoliose est au deuxième degré , et présente une S verticale ou plutôt un zêta.

me parfaitement égal. VIIIe cas. — Fille de dix-neuf ans. Troisième degré . Scoliose due à l'influence de plusieurs cause?.

ez la forme anguleuse des côtes; c'est un des caractères du troisième degré de la scoliose. IXe cas. — Fille de treize ans.

la scoliose. IXe cas. — Fille de treize ans. Scoliose au troisième degré . Mêmes caractères que la précédente. La courbur

dans l'enfance. Courbure persistante du fémur. Scoliose du troisième degré commençante. Courbure dorsale droite principale.

cas. — Fille de seize ans. Scoliose rachitique parvenue au troisième degré . La mère Insiste beaucoup sur des convulsions arr

rtains cas, la même déviation spinale passer en un instant du premier degré au deuxième, et revenir aussi promptement au prem

du premier degré au deuxième, et revenir aussi promptement au premier degré ; c'est-à-dire que les apophyses épineuses décrive

fois que peu de changements dans l'état des fonctions; ce n'est qu'au degré qui constitue la gibbosité proprement dite que ce

ité ou le peu de lésion de plusieurs fonctions, la scoliose d'un haut degré altère plus ou moins profondément les conditions

'a débuté qu'à l'âge de dix ans, et est encore aujourd'hui au premier degré . Sa marche a été lente; ce n'est presque qu'une c

du côté gauche. C'est un cas bien caractérisé de scoliose du premier degré . IIe cas. — Garçon de dix ans; c'est un rachiti

vantage la bosse, et fait passer la scoliose du deuxième au troisième degré . IIIe cas. — Garçon de onze ans. Il présente un

sa difformité. Ve cas. — Fille de quinze ans. Scoliose au troisième degré datant de trois ans. Cependant l'enfant, qui a ét

Ce malade, âgé de vingt-six ans, porteur d'une scoliose au troisième degré , nous offre quelque chose de singulier : c'est u

; c'est là un fait très-rare. La scoliose, qui est parvenue au second degré , est un type de ce genre de difformité. Le mal de

et elle est probablement d'origine rachiiique; elle est parvenue à un degré extrême. Le rachitisme n'a pas laissé d'autres tr

de sept mois. C'est là évidemment une courbure rachitique du deuxième degré . D. Diagnostic différentiel. — J'ai insisté, à

'y trompent. Ce n'est pas simplement, comme on pourrait le croire, le degré de la courbure qui fait la différence : telle inf

la même manière les cas où des attitudes analogues exagèrent un léger degré de scoliose. b. Il est de simples flexions laté

me des mouvements au tronc dans les scolioses des premier et deuxième degrés , les seules que l'on puisse confondre ayec les at

endent ou non de la scoliose. 2° Il n'y a d'autre différence que le degré entre la courbure latérale normale et. celle de l

croissante de la scoliose, depuis sa première apparition jusqu'à son degré le plus avancé. Je l'ai vue bien rarement dispara

'ailleurs, en ceci, aux habitudes, à la tolérance , et on procède par degrés lorsqu'on rencontre une susceptibilité nerveuse q

ale aussi étendue, et la diminution des courbures ne dépasse guère le degré de redressement qu'on obtient par la seule positi

apable de modifier sa forme. Ces faits nous serviront à apprécier son degré d'utilité. Nous allons vérifier, sur ces deux e

inue la courbure dominante, et on convertit une scoliose du troisième degré en une courbure sigmoïde du deuxième degré. On pe

une scoliose du troisième degré en une courbure sigmoïde du deuxième degré . On peut faire marcher les enfants dans cette pos

couchant la malade , on transforme également sa scoliose du troisième degré en courbure du deuxième. Vous voyez encore que lo

our effet de courber le rachis ou même de maintenir ses courbures. Le degré de raccourcissement ou d'allongement de ces muscl

modes de suspension , on les soutient d'abord et on ne confie que par degrés le poids du corps aux membres supérieurs. On leur

'on donne presque toujours de l'inclinaison au plan, pour produire un degré quelconque de suspension et pour exercer une trac

peu éclairées. On est donc obligé de réduire les forces extensives au degré compatible avec la tolé rance des organes, avec

t de la nutrition. La durée du coucher sera d'ailleurs subordonnée au degré de la déviation, ainsi qu'à la tolérance des suje

tolérance des sujets pour cette position. On habitue le malade par degrés à coucher sur le lit extenseur dans le jour et en

oduit dépend , de même que pour les autres moyens de redressement, du degré de la courbure, de la souplesse (1) Carré do Mo

s ou excavées, suivant l'âge des sujets, la forme de la partie et son degré de sensibilité. Les plus douces sont supportées p

es; mais on n'en place d'abord qu'une seule, afin d'agir toujours par degrés . La pression antérieure se fait au moyen de cet

ressorts, qui tendent ou soulèvent plus ou moins ces pièces selon le degré de constriction des courroies. Les pressions él

du traitement de la scoliose; ils n'opèrent, en particulier, qu'à un degré encore moindre la flexion inverse et la dépressio

donner, et de ne les faire agir que dans les limites imposées par le degré de fixité que l'on peut assurer à la ceinture.

assurer de visu de la manière d'agir de ces appareils, apprécier leur degré d'utilité, et reconnaître en même temps leurs inc

. Traitement palliatif. — La scoliose devenue incurable par l'âge, le degré , l'ancienneté de la courbure, ne doit pas être

mais cela se réduit à un traitement prophylactique, très-simple à ce degré du mal. J'ai supposé dans tout ceci que l'incli

dans l'état actuel de la science, qu'à réduire la courbure au moindre degré possible, et qu'à maintenir ce degré dans un état

à réduire la courbure au moindre degré possible, et qu'à maintenir ce degré dans un état stalionnaire le reste de la vie de l

secondé par la malade. Celte jeune fille, qui possédait au plus haut degré l'une des facultés de Gall, la philogéniture, dés

........ 26 I. Abcès ilio-fémoraux.................... 27 Premier degré .........«............ 28 Deuxième degré........

.............. 27 Premier degré.........«............ 28 Deuxième degré ...................... Troisième degré..........

..«............ 28 Deuxième degré...................... Troisième degré ...................... ~* II. Abcès ischio-fémor

e.......... ib. I. Mouvement réflexe. ¦................... ?* II. Degrés de la paralysie.................. ^7 III. Cause

.............. b. Varus équin..................... 184 1° Premier degré .................. 2° Deuxième et troisième degr

. 184 1° Premier degré.................. 2° Deuxième et troisième degrés ........... 185 Étude des éléments anatomiques d

... 212 a. Talus direct, talus commun............. ib. 1° Premier degré .................. l*« 2° Deuxième et troisième

. 1° Premier degré.................. l*« 2° Deuxième et troisième degrés ........... 213 b. Talus pied creux.............

ans le même but que nous cherchons à appré-cier l'état des forces, le degré de tension du système artériel, et les oscillatio

ts une médecine pratique, que rien n'empêche de parvenir à un certain degré de perfection. Mais l'œuvre reste inachevée, et l

que la vieillesse im-prime à l'organisme s'accusent parfois à un tel degré , que l'état physiologique et l'état pathologique

ur l'ensemble des organes et des tissus ? C'est d'abord, à un premier degré , un processus d'atrophie simple; les élé-ments ce

ui concerne le foie et la plupart des organes abdominaux. Mais à un degré plus avancé, l'atrophie s'accompagne d'un travail

res primitifs de la vie animale et cette altération peut atteindre un degré tel, dans les membres inférieurs, où elle se mont

de vous, messieurs, que ces altérations, lorsqu'elles ont atteint un degré aussi prononcé dépassent les limites de l'état ph

duire les accidents souvent redoutables de l'embolie capillaire. A un degré moins avancé, la tumeur athéromateuse se borne à

sénile le pouls augmente de fréquence (3). Nous connaissons peu le degré d'intensité que présente la nutrition chez les vi

anté excellente ; elle présente dans l'aisselle une température de 37 degrés 2/5 ; dans le rectum, nous trouvons 38 degrés, ce

e une température de 37 degrés 2/5 ; dans le rectum, nous trouvons 38 degrés , ce qui est le maximum de la température normale

pour type la pneumonie lobaire, cette affection fébrrle au plus haut degré , et commune à tous les âges de la vie. Son évo-lu

ra, surtout au moment de l'agonie; elle peut alors atteindre 42 ou 43 degrés . Il y a là, sans doute, un élément qui nous échap

plus, en effet, de constater que la température s'élève de plusieurs degrés dans la-fièvre, ni d'en apprécier l'intensité sui

n refroidissement considérable, la chaleur centrale se maintient à un degré très élevé ; la thermométrie axil-laire, il est v

action (1): mais dans le rectum, il existe une température de 40 à 41 degrés , ainsi que j'ai eu maintes fois l'occasion de le

ffections de ce dernier type, de voir la température s'élever au même degré que dans la pneumonie lobaire ; nous aurons bient

frissson initial : la température s'abaisse quelquefois de plus d'un degré , et le malade éprouve un bien être relatif. Mais

ain matin, la maladie reprend sa marche. La tem-pérature remonte à 40 degrés ; lorsqu'elle s'y maintient pen-dant plusieurs jou

re ; lorsqu'au contraire elle tend à s'abaissser progressivement à 39 degrés ou même un peu au-dessous, le pronostic est relat

ien plus fortement accusées ; elles se traduisent par des écarts d'un degré , d'un degré et demi, et quelquefois d'avantage. S

tement accusées ; elles se traduisent par des écarts d'un degré, d'un degré et demi, et quelquefois d'avantage. Si vous songe

e dans cette dernière affection la température s'élève lentement, par degrés successifs, et n'atteint presque jamais les chiff

. Nous avons placé sous vos yeux quelques exemples de ce tions de degré , quelquefois d'un degré, entre la température de

s vos yeux quelques exemples de ce tions de degré, quelquefois d'un degré , entre la température de l'aisselle et celle du r

la température qui signale le retour à l'état nor-mal s'accomplit par degrés successifs pendant un espace de trois ou quatre j

ou quarante-huit heures, on voit la température baisser de un à deux degrés et même plus. C'est ainsi, du moins, que vont hab

e d'un jour, ou seulement de quelques heures, d'un et parfois de deux degrés . C'est dans ces circonstances que survient habitu

'abaisse progressivement pendant un jour ou deux jusqu'à atteindre 38 degrés ou même 37° 1/2, au mo-ment de la terminaison fat

parties centrales s'élève, et la différence peut atteindre plusieurs degrés . On comprend qu'il serait très insuffisant, en pa

de constater que la température des parties centrales se maintient au degré normal pendant le cours de la maladie, et que la

dérables. Mais ces lésions extra-articulaires, qui correspondent à un degré plus avancé de saturation, sont toujours consécut

te d'abord une néphrite parenchymateuse(2) qui peut se montrer à deux degrés différents. Au premier degré, le rein conserve so

hymateuse(2) qui peut se montrer à deux degrés différents. Au premier degré , le rein conserve son volume ordinaire ; mais la

, et rem-plies de granulations graisseuses ou protéiques. Au second degré , on trouve une atrophie de la substance corticale

minurie goutteuse se font remarquer par leur bénignité, par le faible degré d'intensité qu'ils présen-tent. Nous ne voulons p

ononcé, une tendance à l'état cachectique se montrent toujours, à des degrés divers, quand la maladie est arrivée à ce point.

yons volontiers que les troubles fonctionnels ne sont que le pre-mier degré de ces modifications de texture, qui donnent nais

udd et Bittrich en ont publié deux exemples. Mais, à un plus faible degré la goutte remontée à l'estomac est une affection

ur l'affirmer. A l'origine, cette affection n'existe qu'à un faible degré et l'on ne constate que des troubles fonctionnels

sions que nous allons étudier s'étaient déjà développées. Au second degré , la dégénérescence graisseuse du cœur existe. Les

mènes peuvent alterner avec les affections articulaires. Mais, à un degré plus avancé, c'est une lésion permanen-te avec ca

, nous nous occu-perons de quelques affections qui offrent un certain degré de parenté avec la goutte. HUITIÈME LEÇON Aff

out en Angleterre et à Londres. — Se rencontre cependant à un moindre degré dans quelques autres pays. — Disparait presque co

goutte existe sur d'au-tres points du globe, quoiqu'à un bien moindre degré . On la rencontre dans quelques parties de la Fran

n général proportionnelle au nombre des articulations envahies, et au degré de l'inflam-mation locale. Tel est, messieurs,

t, par exemple, dans le morbus coxse se-nilis. On voit se produire au degré le plus élevé l'usure et l'éburnationdes cartilag

on des têtes osseuses. Enfin, c'est là que se manifeste, au plus haut degré , l'atrophie des os. On expliquait autrefois ces l

de jointures où les altérations ne sont portées qu'à un bien moindre degré , et dans le rhuma-tisme généralisé quelques-unes

es lésions très manifestes et probablement constantes. A un premier degré , les chondroplastes les plus superficiels sont de

es éléments histologïques peuvent revenir; à l'état normal; mais à un degré plus élevé, il y a une segmen-tation de la substa

hropathies chroniques. 1° Arthrite par repos prolongé. — Au premier degré , d'après ïeissier et Bonnet (1), l'arthrite par r

même il y aurait, dit-on, des ulcérations des cartilages. Mais à un degré plus avancé, j'ai pu constater qu'il existait 1

elquefois, d'après MM. Bouil-laud et Neumann (1), une différence d'un degré centigrade entre le point malade et les régions a

articulaire aigu. La chaleur des parties centrales peut dépasser 40 degrés centigrades; mais elle reste en général entre39 e

asser 40 degrés centigrades; mais elle reste en général entre39 et 40 degrés , d'après Wunderlich, Hardy et Sidney Ringer (1).

nute, offre des caractères spéciaux qui ne se rencontrent pas au même degré dans d'autres maladies fébriles. L'artère est vol

les phlegmasies, par suite de la destruction des globules, mais à un degré bien inférieur. Todd, O'Ferral, 1. Parkes. — On

nt subordonnée au nombre des jointures affectées, et n'ac-i quiert un degré vraiment élevé que dans la goutte généralisée.

ibrine, indépendamment de l'excès de ce principe, existe au plus haut degré dans le rhumatisme articulaire aigu : de là cette

cessif d'une idée autrefois émise par Laënnec. 11 existe un certain degré de vérité dans l'une et l'autre opinion. L'endoca

le inférieure. b. — Couche moyenne dont les vaisseaux présentent un degré marqué d'hy-perhémie. c. — Efflorescence de la

urée de la péricardite ; cet enfant présenta plus tard, àun très haut degré , les déformations caractéristiques du rhuma-tisme

héno-mène qui, dans la forme aiguë, est loin de se manifester au même degré : nous voulons parler de la rétraction spasmodi-q

considé-rable. Il existe, en effet, une sorte d'opposition entre le degré des déviations et le volume des bourrelets osseux

la longue, sous l'influence de l'immobilité des parties, un cer-tain degré d'atrophie et de dégénération graisseuse. La co

longues fourchettes dont les dimensions et la forme varient selon le degré d'infirmité des malades, mais qui ont toujours po

Les autres jointures de la main souvent affectées, mais à un moindre degré . — Cette affection se rattache à la diathèse rhum

e partiel se montrent très fréquemment avec tous ces caractères, à un degré bien inférieur, sans doute, mais par-faitement ap

jointures delà main sont en général affectées, mais à un bien moindre degré . Contrairement à ce qui a lieu dans le rhumatisme

ections ne sont pas identiques, mais il existe entre elles un certain degré (le parenté. Messieurs, L'étude des causes qu

balement. de Trousseau, mais qui peuvent cependant acquérir un haut degré de gravité et devenir purulentes, comme Ta fait o

t, au bout de huit à quatorze heures, Il est loin de posséder le môme degré d'influence sur les autres inflammations, et sur

rement 38, au rectum, et tantôt un peu moins, tantôt un peu plus de 1 degré au-dessous de ce chilFre, dans l'aisselle; telle,

où l'écart se montre tantôt consi-dérable, dépassant, par exemple, un degré , tantôt beaucoup moins accusé, suivant les circon

ire offre au contraire, comme celle du tégument externe, bien qu'à un degré moin-dre, une mobilité extrême. Mais c'est surt

matin, dans le temps même où la température de l'aisselle marquait 37 degrés seu-lement, celle du rectum s'élevait à 40°, 2, d

u-lement, celle du rectum s'élevait à 40°, 2, différence de plus de 3 degrés . Le soir, les deux courbes se sont rapprochées, e

es deux courbes se sont rapprochées, et l'écart n'était plus que de 1 degré . Le sixième jour, il est un moment où les deux co

die, s'élève à 41° 5, le danger est grand. Si elle atteint 41° 75, 42 degrés , la mort est certaine. Ces chiffres indiqués par

leur signification chez le vieil-lard, seulement on peut dire qu'à 41 degrés centigrades, chez lui, la situation est déjà des

t au-dessous du taux normal, lorsqu'il at-teint un certain niveau, 3o degrés par exemple, (je ne garan-tis ce chiffre que pour

comme chez l'adulte, une température qui s'élève peu au-dessus de 38 degrés , répond à une fièvre légère (tem-pérature sub-féb

-dessous de 39°, 5, elle est d'intensité modérée ; entre 39°, 5 et 40 degrés , elle estintense; au-dessus de 40 degrés, elle es

modérée ; entre 39°, 5 et 40 degrés, elle estintense; au-dessus de 40 degrés , elle est très intense (température hyperpyr étiq

ours de l'affection au-dessus des tem-pératures fébriles moyennes, 39 degrés , 39°, 5, bien que le cas soit des plus graves et

ncé, et profon-dément cachectique. Les maxima n'ont jamais atteint 40 degrés ; ils se sont tenus à 39°, 5, ou au-dessous. Cette

récemment, dans un bain d'air sec, une température de deux cent douze degrés Fahrenheit (envi-ron 100° centigrades), pendant p

l s'agit d'un bain d'eau liquide, porté de quarante à quarante-quatre degrés , ou bien d'une atmosphère humide, alors même que

de, alors même que la température ne s'élève pas au-dessus de 40 à 45 degrés , elles sont extrêmement périlleuses ; car, alors,

s ; car, alors, on a vu la température du corps s'élever à 39, 40, 41 degrés mémo, dans un cas observé par M. Bartels, el en

mpérature centrale, au moment de la mort, se serait élevée jusqu'à 44 degrés centigrades. Mais revenons à l'expérimentation

u, en pareil cas, lorsque la température centrale a dépassé de 4 ou 5 degrés le taux normal, chez l'animal mis en expérience,

ou 5 degrés le taux normal, chez l'animal mis en expérience, soit 45 degrés pour les mammifères, et elle survient d'une maniè

l'homme, dans l'état pathologique. Vous ne l'avez pas oublié, vers 42 degrés , chez l'adulte (c'est-à-dire lorsque le taux nor-

dulte (c'est-à-dire lorsque le taux nor-mal a été dépassé d'environ 5 degrés ), et un peu au-dessous de ce point, chez le vieil

excité dans son fonctionnement, il cesse de battre aux environs de 45 degrés . L'organe ne présente pas de lésions grossières;

ut invoquer dans le cas où la tempéra-ture s'élève aux environs de 42 degrés . Les faits qui précèdent se rapportent tous aux

omme d'après l'expé-rience le chaud et le froid, poussés à un certain degré , dans l'organisme, sont des éléments de premier o

thermique. Du jour au lendemain, la température s'élèvera jusqu'à 40 degrés par exemple. Ce ca-ractère suffit déjà pour disti

se font entre des limites assez rapprochées mais ne dépassent pas un degré . Dans son évolution, cette partie de la courbe mo

ns diurnes sont as-sez grandes, et s'étendent en général au-delà de 1 degré ; enfin on n'observe pas de phénomènes critiques

tion de la température centrale. Celle-ci atteint prompte-ment 41, 42 degrés , quelquefois plus; elle peut augmenter encore dan

t, 1869, n° 44.) Rare-ment le chiffre thermométrique atteint alors 39 degrés . 1. Tout récemment, dans un cas de tétanos avec

un quart d'heure ou une heure après ces attaques, s'é-lève jusqu'à 39 degrés environ qu'il y ait eu ou non des convulsions. El

tude elle est amenée à l'infirmerie. La température rectale est de 38 degrés le jour de son en-trée. Les accès deviennent subi

our. La température centrale a augmenté chaque jour pour arriver à 42 degrés 2/5, le jour de la mort. A l'autopsie, il existai

la Société anal., p. 152) (B.) heures plus tard elle s'élevait à 40 degrés . Le lendemain, malgré la cessation des convulsion

main, malgré la cessation des convulsions, la température était de 41 degrés et le surlendemain, jour de la mort, elle atteign

usque élévation de la température, pouvant atteindre jusqu'à 40 et 41 degrés . L'observation thermométrique contribue ici à éta

e s'élève brusquement et atteint, au bout de deux ou trois heures, un degré très élevé. En même temps, le pouls et la respira

usqu'à 40°. Et dans tous les autres cas elle a oscillé entre 37 et 38 degrés . Ainsi dans le choléra lui-même, jusqu'ici con-si

tat pathologiques en dehors du choléra dans lesquels on observe,à des degrés divers, ce désaccord entre la température des par

est un foyer où la température peut s'élever de quelques dixièmes de degré au-dessus de la température centrale. Les expérie

ut rester abaissée, pendant une période de temps souvent longue, à 36 degrés ou au-dessous, ce qui n'exclut pas, par moments,

et surtout vers le soir une élévation relative de la température de 1 degré ou plus, la-quelle se traduit parfois par un fris

ivement énormes, pour produire un abaissement de quelques dixièmes de degré . C'est, par exemple, ce qui a lieu pour l'alcool

café noir et fort, le thé (Lichtenfels et Frolich), mais à un moindre degré , le musc (Wunderlich), et enfin le curare qui, su

fébrile dans lequel la température centrale peut s'élever jusqu'à 40 degrés . Nous placerons ici l'étude des variations de t

ir la température centrale s'abaisser progressivement jus-qu'à 35, 36 degrés ; dans un cas même, nous l'avons vu descendre jusq

nd facilement qu'un allanguissement de la circulation porté à un haut degré soit une circonstance très défavorable à l'accomp

, le pouls presque insen-sible, et la température rectale était de 36 degrés . Vous n'ignorez pas que, dans les cas ftasystol

fois, pendant ces accès, la température centrale s'abaisser à 3o, 36 degrés , et l'accès passé se relever bientôt jusqu'au tau

gération de phénomènes qui s'observent pres-que toujours à un certain degré , lorsque certaines maladies fébriles se terminent

portée à l'extrême, la température du rectum oscillait entre 36 et 37 degrés . Je suis loin d'avoir épuisé le sujet que je me

e, superficielle, comparable à celle qu'excite une brûlure au premier degré , accompagnée de rougeur et de gonflement ; dans l

ennent que très tard, assez rarement, et presque toujours à un faible degré ; telles sont, par exemple, celles de l'épaule et

t, sur 40 cas. Articulations des phalanges entre elles (à un haut degré )......................... 40 fois. — métacarpo-

....................... 40 fois. — métacarpo-phalangiennes (à des degrés divers).................... 40 — du poignet....

............... 31 — de l'épaule (elle est rarement prise au môme degré que les précé-dentes)............................

giennes (du pouce urtout)............ 21 — tibio-tarsienne (à des degrés très divers)................... 25 — du genou

à des degrés très divers)................... 25 — du genou (à des degrés très divers)................... 27 — de la ha

paule. On a a vu qu'elle s'affecte assez rarement, du moins à un haut degré ; on n'y observe en gé-néral qu'un peu de rigidit

; on \ rencontre cependant quelquefois des craque-ments et un certain degré de rigidité. Articulations temporo-maxillaires.

passer en revue peuvent se trouver réunies chez une même malade à des degrés divers. Les difformités des mains, quoique très p

on, la rigidité articulaire persiste encore, bien qu'à un plus faible degré , malgré la section des muscles : la section des l

embres inférieurs ont été atteintes en certain nombre et à un certain degré , celles du membre supérieur ont présenté les même

degré, celles du membre supérieur ont présenté les mêmes lésions à un degré plus avancé ; si bien qu'il est commun, ainsi que

le début, les membres supérieurs se sont déformés, contractures, à un degré extrême. La malade note bien qu'au début, il n'y

r le côté externe de l'articulation ; les tibias ont éprouvé un léger degré de rota-tion en dehors, sur leur grand axe ; la p

ment à notre sujet. Ces lésions étaient toujours les mômes, sauf le degré , quelles que fussent les jointures qu'on ouvrit.

ourd'hui. Dans les cas où les jointures avaient conservé un certain degré de mobilité, la membrane synoviale était injectée

it été d'ailleurs le nombre des petites articulations atteintes et le degré des altérations qui y ont été rencontrées. Les

fois et qu'elles se ren-contraient plus constamment et à un plus haut degré dans les jointures des extrémités supérieures.

Articulation huméro-cubilalc. — L'avant-bras fait un angle de 35 à 40 degrés avec le bras ; l'avant-bras et le bras sont, en o

upinateur, grand pronateur ; d'ail-leurs, elles existent à un certain degré , alors même qu'on ne cherche pas à détruire la fl

lations; .2° état des viscères. ses articulations présentent tous les degrés imaginables de l'affection qu'on a appelée, dan

t état que se trouvent les articulations fémoro-tibiales. Au deuxième degré , le pourtour du cartilage est pour ainsi dire éro

lagineuse, du tissu fibreux qu'on enlève sous forme de lamelles. A ce degré , la synoviale est très épaissie ; elle a une colo

e celluleuse, et quelques articulations de notre malade présentent le degré le plus élevé de cette al-tération. En régie géné

tions méta- carpo-phalangiennes des pouces, par exemple, un certain degré do flexion ; mais elles y limitent l'extension et

ent maintenues en pronation, sont affectées symétriquement et au même degré . Il y a déviation en masse de tous les doigts, ve

me les métacarpo-phalangiennes, de matière crayeuse mais à un moindre degré , au voisinage des jointures ; le tissu cellulaire

les alrérations anatomiques de la néphrite parenchymateuse (deuxième degré de la néphrite albumineuse de M. Rayer),et il est

néphrite parenchyma-teuse avec les granulations de Bright (troisième degré de la néphrite albumineuse de M. Rayer) et des dé

e ; hyper-trophie du cœur. —Autopsie: néphrite albumineuse (troisième degré de M. Rayer) ; concrétions uratiques du rein ; in

es parois abdominales et les extrémités inférieures le sont à un haut degré . Le péricarde contient peu de liquide; le cœur

ait de la maladie de Bright avec dégénération granuleuse du troisième degré de M. Rayer. Les pyramides de Malpighi offrent un

petits points blancs adhérents.Les articulations malades au plus haut degré étaient les métatarso-phalangiennes des gros orte

de soude dans les cartilages), et de la maladie de Bright (troisième degré de M. Rayer) ; les reins présentent des traces de

roite; ces symptômes per-sistent encore aujourd'hui, mais à un faible degré ; les membres inférieur et supérieur du côté droit

ticulaire chronique. Les articulations présentent en effet à tous les degrés possibles, depuis la simple érosion du cartilage

Articulation huméro-cubitale. — L'avant-bras fait un angle de 35 à 40 degrés avec le bras ; l'avant-bras et la main sont, en o

l antérieur, grand pronateur. D'ailleurs, elles existent à un certain degré , alors même qu'on ne cherche pas à détruire la fl

ions. — 2° Etat des viscères. — Les articulations présentent tous tes degrés imaginables de l'af-fection qu'on a appelée, dans

état que se trouvent tes articulations fémoro-tibiales. Au deuxième degré , le pourtour du cartilage est pour ainsi dire éro

propre, du tissu fibreux qu'on enlève sous forme de lamelles. Dans ce degré la synoviale est très épaissie ; elle a une color

e celluleuse, et quelques articulations de notre malade présentent le degré le plus élevé de cette altération ; dans les arti

ns les articulations métacarpo-phalangiennes des pouces, un certain degré de flexion, mais limitent complètement l'extensio

vé, à peu de chose près, leur volume et leur coloration normale. Un degré de plus, et l'ankylose celluleuse intra-articulai

on dans le tissu même des muscles. Enfin, nous assistons à tous les degrés possibles d'une al-tération particulière des cart

isme articulaire était rare ou tout au moins ne sévissait pas au même degré que la goutte ; et déjà Sydenham avait émis une o

1853) (1) et qui ne se retrouve pas dans la goutte, au moins au même degré . Adams cite, comme tout à fait exceptionnel, un c

s autres articulations de la main droite ne sont pas altérées au même degré à droite et à gauche. A la main droite, les artic

, chez un môme indi-vidu. I. La simple déviation angulaire, ou à un degré plus avancé, la subluxation des os dont les extré

ment maintenues en pronation sont affectées symétriquement et au même degré . 11 y a déviation en masse de tous les doigts ver

r plus haut la reproduction de la thèse de M. Gharcot. à un moindre degré . Au voisinage des jointures, le tissu cellu-laire

ès notablement au-dessous du taux normal. L'oligurie fébrile, un haut degré d'acidité des urines, tel qu'on le rencontre, par

, se produisent secondairement et correspondent, par conséquent, à un degré plus avancé de saturation. On peut établir, de pl

ent être artificiellement provoquées et portées même à leur plus haut degré , par l'expérimentation. C'est ce qui résulte d'un

e à la goutte remontée du cœur, cet organe avait subi déjà, à un haut degré , la dégénérescence graisseuse. Cheyne, Kennedy, G

entre ces divers états pathologiques se reproduisant ainsi, à divers degrés , chez tous les membres d'une même famille. Voic

n 1863. — Les deux mains étaient affec-tées symétriquement et au même degré ; il n'existait au voisinage des jointures aucune

t en Angle-terre et à Londres. — Se rencontre cependant, à un moindre degré dans quelques autre pays. — Disparaît presque com

Les autres jointures de la main souvent affec-tées, mais à un moindre degré . — Cette affection se rattache à la dia-thèse rhu

ections ne sont pas identiques, mais il existe entre elles un certain degré de parenté............................. 257 DIX

motrice, ainsi que les douleurs fulgurantes, avaient existé à un haut degré dans les deux membres supé-rieurs, et cependant l

cun symptôme ; mais elle peut, dans certains cas, s'accuser à un haut degré , et remonter jusqu'au bulbe, principalement, je l

traient dans les cas où la sclérose consécutive occuperait, à un haut degré , les cor-dons latéraux dans toute la hauteur du r

rictives font seules excep-tion à la règle et persistent à un certain degré , dans l'inter-valle des crises ; VL Les faits

t : la notion du jaune et du bleu persistant, au contraire, à un haut degré et pendant longtemps. Ces signes peuvent se montr

fatale-ment progressive et la vision persister au moins à un certain degré . Les auteurs admettent deux formes principales

i-même peut être affecté dans toute son étendue, et offrir un certain degré de tuméfaction et de ramol-lissement, ou mêmes le

éreuse caractérise la seconde forme, ou, si l'on préfère, le deuxième degré de la névrite optique. Il s'agit ici, anatomiquem

e l'instrument spécial qu'il a construit et qui facilite à un si haut degré la démons-tration, les faits particuliers sur les

cas étudiés avec MM. Pierret et Gombault. J'ajoute-rai qu'un certain degré d'atrophie musculaire dans le mem-bre affecté s'o

la paraplégie peut disparaître alors que la courbure persiste au même degré . En second lieu, la paraplégie par mal de Pott s'

pression, l'irritation des nerfs sont fréquemment en jeu et à un haut degré dans le cancer vertébral. Elles existent aussi da

soit la cause. Ils ne changent guère, en défini-tive, que suivant le degré de la compression et suivant qu'elle s'exerce sur

bre. Ce n'est pas tout encore. La moelle paraît jusqu'à un cer-tain degré douée de sensibilité dans les cordons postérieurs

Les nerfs comprimés, en pareil cas, sont rouges, tumé-fiés à un haut degré , toutefois sans changement histologique bien séri

Arrêtons-nous un instant aux troubles de la motilité. A. Au premier degré , il s'agit d'une simple parésie, mais celle-ci se

it plus haut, que dans les cas où la compression est portée à un haut degré . En premier lieu, je signalerai le retard dans

, je le repète, elles s'observent plus communément, et à un plus haut degré , dans la paraplégie par compression que dans tout

nt souvent affectés à leur four, par la suite, mais généralement à un degré relativement moin-dre. 11 n'est pas très rare de

e la pachyméningite caséeuse. Cette com-pression, portée à un certain degré , aura nécessairement tôt ou tard, pour résultat,

survenaient dans ce membre, et aussi parfois, bien que toujours à un degré moins prononcé, dans le membre supérieur du même

der nier moment les mouvements volontaires persistèrent à ur certain degré dans les membres inférieurs2. 1 Ollivier (d'Ang

u'il montre la dilatation des deux pupilles, accompagnée d'un certain degré de protrusion des bulbes ocu-laires, précédant qu

que dans l'é-paule droite, de transpirations fréquentes, d'un certain degré d'amaigrissement et enfin de prostration des forc

'agit là d'un phéno-mène dont l'interprétation intéresse au plus haut degré la phy-siologie pathologique, mais encore parce q

es plutôt minces, mais il ne présentait d'ailleurs, à part un certain degré d'épaississement de l'endocarde dans plusieurs ca

sairement de siège et d'étendue, suivant le mode de répartition et le degré de la lésion des nerfs. Les sphincters de l'anus

scléreuses des cordons blancs antéro-latéraux parvenues à un certain degré de développement, — font défaut dans les myopathi

areille circonstance, semble être en quelque sorte proportionnelle au degré de l'atrophie subie par le muscle; Ce sont là d

phie qui affecte les os n'est nullement en rapport nécessaire avec le degré ou avec l'étendue de la paralysie et de l'atrophi

sidérable du mem-bre affecté chez des enfants qui, en raison du léger degré d'al-tération des muscles des pieds et du peu d'é

a fièvre, la paralysie, au lieu d'atteindre tout à coup son plus haut degré d'intensité, se développe au contraire d'une ma-n

nombre, lesquels ont perdu leur striation et laissent voir à di-vers degrés les caractères de la dégénération granulo-grais-s

moelle. Iules motrices étaient altérées profondément, bien qu'à des degrés divers, et sur les points les plus sérieusement a

ap-pliqués à l'étude anatomique de la moelle n'avaient pas atteint le degré de perfection qu'ils possèdent aujourd'hui, et d'

y accuserait plus encore et s'étendrait sans doute jusqu'à un certain degré aux membres inférieurs ; qu'il pouvait même se fa

ui, sans fatigue, se livrer à tous les exercices du corps. Un certain degré de maigreur relative, de flaccidité des muscles a

groupe cellulaire comme autour d'un centre. Ce n'est qu'au plus haut degré de l'altération et seulement çà et là, sur quelqu

pe, de toute une région, lorsque l'altération est portée au plus haut degré , peuvent même avoir disparu sans laisser de trace

ière, dans la paralysie des enfants, peuvent atteindre leur plus haut degré d'intensité et provo-quer, à la périphérie, les l

itable, dont M. L. Clarke a bien décrit toutes les phases; au premier degré de cette altération, la cellule dimi-nue de volum

artie transparente du corps se réduit de plus en plus ; à un deuxième degré , les prolongements s'atrophient à leur tour, en m

eprésentés que par des filaments courts et grêles. Enfin, au der-nier degré , ils disparaissent. Le noyau de la cellule subit

, ces phénomè-nes, dis-je, devront, au contraire, se rencontrer à des degrés divers, dans toutes les autres formes aiguës d'af

fournit un caractère important parce qu'il ne se retrouve pas au même degré dans les amyotrophies deutéropathiques. b) Les

us arrêter actuellement. À la dimi-nution de volume se lie un certain degré à'affaiblissement des mouvements exécutés par le

es par quelques auteurs, appar- cle, même quand il est parvenu à un degré avancé d'atro-phie, conserve sa conlractilité éle

s antérieures. Les cellules nerveuses motrices présentent là tous les degrés pos-sibles de la dégénération pigmentaire. Sur le

e que l'atrophie des racines anté-rieures ne pourra pas être, au même degré que dans la para-lysie infantile, une atrophie de

rveux vides de myéline, ou dans lesquels la myéline est frappée, à un degré variable, de dégénération granulo-graisseuse. Mai

es nerveux sont conservés, seulement presque tous ont subi un certain degré d'atrophie simple. C'est là un fait que nous devr

membres affectés offrent en général, à cette époque déjà, un certain degré d'é-maciation. Mais celle-ci, non plus que la par

masse. Elle n'atteint jamais, dans les commencements, un assez haut degré pour rendre compte à elle seule de l'impuissance

, ils conservent, tant que l'atrophie n'est pas parvenue au plus haut degré , la contractilité faradique à peu près intacte.

, cinq, six mois, un an au plus, l'é-macialion est déjà parvenue à un degré qui ne se voit, dans l'atrophie musculaire protop

supérieurs. En général, quand cette atrophie est poussée à un certain degré , la rigidité s'amoindrit sans jamais, toutefois,

arole. La langue paralysée pré-sente bientôt-, en général, un certain degré d'atrophie: elle est rapetissée, comme ridée, et

s membres paralysés ne s'a-trophient qu'à la longue et jamais au même degré que ceux des membres supérieurs. La vessie et l

rveux. La pie-mère est affeclée, elle aussi, mais à un bien moindre degré que la dure-mère. Celle-ci, examinée de plus près

ns les membres supérieurs, en même temps qu'il s'y produit un certain degré saire à l'existence des symptômes de la période

s du renflement cervical étaient, pour la plupart, affectés à un haut degré , et que les deltoïdes, entre autres, offraient de

volume remarquable, bien que l'impuissance motrice persis-tât au même degré . A l'autopsie, les muscles des membres présentè

autopsie, les muscles des membres présentèrent pour la plupart, à des degrés divers, les caractères de la substitution graisse

, en plusieurs points, dans l'intervalle de ces faisceaux, un certain degré d'hyperplasie consécutive. L'examen de la moelle

le vivant par l'incision, ceux-ci ont présenté constamment, à un haut degré , les caractères histologiques de la substitution

conjonctive prenne quelquefois le dessus et produise ainsi un certain degré d'hypertrophie apparente. Mais j'ai peine à compr

surtout dans le sens de l'extension et de l'adduction, à un plus haut degré . Us deviennent momenta-nément comme des barres ri

e à aucune époque dans l'ataxie, continue à se produire ici à un haut degré l. Elle s'exalte même parfois au point de 1 II

ans. Il n'est pas rare, d'ailleurs, qu'après avoir atteint un certain degré , elle reste, pendant plusieurs années, à l'état s

minaux peut avoir pour effet d'occa-sionner temporairement un certain degré de gêne de la res-piration. Cependant, malgré l

faites, même dans des cas où le mal n'avait pas atteint son plus haut degré artificielle de la trépidation : c'est quand la

re, mais il s'était produit dans le membre inférieur droit un certain degré de rigi-dité permanente. En redressant la pointe

l'application d'un caustique, les actes réflexes sont atténués, à un degré remarquable, dans les membres supérieurs, pendant

édominante. Ce sifflement existe à peu près con-stamment à un certain degré , mais s'exaspère par instants et acquiert alors p

ie de Ménière, alors même que celle-ci en est arrivée à son plus haut degré d'intensité. Voici comment les choses se passent

de. L'examen ne fit dé-couvrir autre chose, de ce côté, qu'un certain degré d'épaissis-sement de la membrane du tympan. Tous

moindres mouve-ments communiqués au lit exaspéraient aussi, à un haut degré , la sensation vertigineuse, et beaucoup d'entre v

e, il y aurait eu momen-tanément, si l'on croit son récit, un certain degré de contrac-ture dans les muscles de la.main droit

aisceaux latéraux de la moelle sont affectés de sclérose à un certain degré , pourvu, toutefois, que, la contracture étant peu

étant peu accentuée, les mouvements vo-lontaires soient à un certain degré , encore possibles. Ces mouvements choréiformes po

urée avec flaccidité des muscles d'abord, puis marquée par un certain degré de con-tracture ; enfin le début brusque et vérit

incomplète, il peut se faire, principalement lorsqu'il y a un certain degré de contracture, que les mouvements intentionnels

mbres du côté droit, une notable confusion dans les idées, un certain degré d'obnubilation dans les idées, tels ont été les s

d'être question ; il s'y est joint pendant quelques jours un certain degré d'embarras de la parole et d'amnésie verbale, un

ui se montraient rebelles à l'emploi des moyens vulgaires. Un certain degré d'amaigrissement, un état cachectique assez prono

Cette céphalalgie n'a jamais entièrement cessé d'exister à un certain degré depuis lors ; je ne vous en ai pas entretenu cepe

du repas, par l'exaspération d'un mal de tête dont il souffrait à un degré modéré, depuis plusieurs jours déjà. Au sortir de

oit dans les membres, je constatai aisément qu'il existait un certain degré de confusion dans les idées et peut-être aussi un

en permanence, dans la demi-flexion. Elle envahit même, bien qu'à un degré moindre, le membre infé-rieur correspondant. Il f

embres supérieur et inférieur du côté gauche, permanente à un certain degré , mais s'exaspérant considérablement pendant la st

es-cription que j'ai donnée, que l'usure très rapide, et poussée à un degré extrême, des extrémités articulaires des os, est

ents avaient complètement disparu. » On a pu remarquer jusqu'à quel degré les faits qui viennent d'être relatés s'accordent

e et sillonnés transversalement de fentes plus ou moins profondes. Au degré le plus avancé, par suite de l'agrandis-sement de

ion adipeuse notable. Du reste, ils ne sont pas tous atteints au même degré et on peut même en rencontrer qui, comme le trapè

sez facilement suivies sur les parois des capillaires. A un premier degré , on rencontre, de distance en distance, à la face

n que dans les racines antérieures ; elle est seulement parvenue à un degré de développement moins complet. Les coupes longit

ait, en passant parles faisceaux radiculaires, produit un cer- tain degré de méningite et une légère sclérose corticale. 11

retrouvent dans cette région parfaitement normales. Quant au léger degré de méningite qu'on observe, il est très naturel d

e (service de M. Charcot), au mois de juin 1865, présentant déjà à un degré très marqué les symptômes d'une atrophie musculai

stiques des membres supérieurs qu'elle présentait déjà à un très haut degré lors de son entrée à l'hospice. Quoi qu'il en s

t amaigris, ceux des avant-bras, par exemple, ont con-servé à un haut degré la contractilité électrique. Ceux des membres inf

sacro-lombaire, à sa partie inférieure, semble avoir subi un certain degré d'atrophie. La coloration est jaunâtre. Les muscl

nar et hypothénar, et les muscles interosseux étaient arrivés au même degré de dégénération et donnaient le même résultat à l

érescence vitreuse. D'autres présentaient enfin t'atrophie à tous ses degrés . Quelques-unes offraient la division en blocs de

efois, sur la moitié des tubes au moins, on pouvait observer tous les degrés de l'atrophie, depuis l'émaeiation simple jusqu'à

paru renfermer un certain nombre de tubes nerveux atrophiés à divers degrés . Des altérations ana-logues ont été observées sur

là devenus très rares ; la plupart des tubes sont atrophiés à divers degrés , et il en est un grand nombre qui ne sont plus re

ent aucune altération. Dans l'examen de la substance grise, le haut degré d'atrophie qu'ont subi, dans les cornes antérieur

ononcée qu'à la ré-gion cervicale : comme dans celle-ci, bien qu'à un degré moindre, les cellules des cornes antérieures étai

ation), les plus antérieures pré-sentaient la dégénération jaune à un degré très prononcé, ou bien elles avaient subi une pig

e dans celui du côté droit. Cette paralysie s'accompagne d'un certain degré de contracture ; les doigts sont fléchis dans la

otable épaisseur. Au thorax, les grands pectoraux sont pris au même degré que les deltoïdes, le moindre attouchement y ramè

nd pec-toral pâle et atrophié. — 11 en est de même, mais à un moindre degré , pour les muscles de l'abdomen. — Le diaphragme a

qui caractérise la dégénération atrophique des mus-cles, arrivée à un degré avancé de son évolution. — Dans les muscles de la

férieurs ont présenté la même al-tération; ces derniers surtout, à un degré beaucoup moins avancé. Nerfs. Les filets d'orig

s avoir subi une réduction bien prononcée dans leur volume un certain degré d'al-tération granuleuse avec ou sans disparition

é la striation en travers et qui ne sont affectés qu'à un très faible degré par la dégénération granuleuse que sur les faisce

ntrent sur toutes les au-tres régions de la langue, mais à un moindre degré qu'au niveau de la pointe. Bien qu'ils aient co

ple, présentaient l'altération gra-nulo-graisseuse à peu près au même degré que la langue. Les muscles du bras et de l'avan

graisseuse ainsi que la multiplication des no-yaux du sarcolemme à un degré plus ou moins prononcé. Les fibres musculaires

tat normal ne s'est pas accrue. Les cellules qui offrent le premier degré de l'altération se re-connaissent immédiatement à

rdre ses contours an-guleux, et acquiert une forme globuleuse. A un degré plus avancé du processus morbide, la cellule, amo

telle sorte que les cellules saines et les cellules, malades à divers degrés , sont partout entremêlées. Les petites cellules d

ervical. Les cellules de la colonne vésiculaire sont altérées au même degré que celles qui composent les groupes des cornes a

eure partie des cellules (les deux tiers environ) offrent, à tous les degrés , l'altération pigmentaire décrite plus haut, à pr

l'état sain. Un bon nombre d'entre elles, pourtant, ont subi à divers degrés l'altération pig-mentaire, principalement vers la

e l'hypoglosse et du spinal ; mais elle s'observe aussi, bien qu'à un degré moin-dre, sur les noyaux du pneumogastrique et du

ord, dans le psoas par exemple, où la lésion en est à son plus faible degré , c'est que les minces lamelles du tissu conjoncti

accidentel et, dans le psoas, où l'altération se montre à son premier degré , on n'en observe pas tra-ces. En somme, la subs

onjonctive prenne quelquefois le dessus et pro-duise ainsi un certain degré d'hypertrophie apparente ; mais j'ai peine à comp

ère région de la moelle étaient, pour la plupart, affectés, à un haut degré , et que les deltoïdes, entr'autres, offraient de

volume remarquable, bien que l'impuissance motrice persistât au même degré . A l'autopsie, les muscles des membres pré-sentèr

utopsie, les muscles des membres pré-sentèrent pour la plupart, à des degrés divers, les caractè-res de la substitution graiss

, en plusieurs points, dans l'intervalle de ces faisceaux, un certain degré d'hyperplasie conjonctive. L'examen de la moelle

mes miliaires intra-cérébraux. Nous l'avons toujours rencontrée à des degrés divers, en même temps que les anévrysmes, chez de

ralement, la couche contiguë du tissu cérébral présente, à un moindre degré , une coloration analogue. Quand les parois sont é

onnés. Les reins pèsent ensemble 240 grammes et présentent un certain degré de pyélo-néphrite ancienne. Obs. XL Hôtel-Dieu

te clans une plus grande étendue les lésions de l'athérome au premier degré . Les reins sont congestionnés, sans atrophie ni a

épaisseur. Les lésions valvulaires consistent seulement en un certain degré d'épaississement. — V aorte présente cle nombreus

athérome. — Les reins pèsent ensemble 230 grammes et offrent un léger degré d'atrophie de la substance corticale. Foyers an

édiocrement athéromateuses ; la sylvienne droite l'est cependant à un degré assez notable, beaucoup plus que la gauche. La br

umineux. Les reins granuleux, très atrophiés, présentent le troisième degré de la maladie de Bright. L'aorte est très peu ath

gr. Les valvules étaient un peu incrustées, et il y avait un certain degré d'insuffisance aortique. Le foie était atteint de

ires. La crosse de l'aorte et l'aorte abdominale présentent à un haut degré la dégénération athéromateuse. Raie, 130 gr. ; pa

, à peu près 22 fois pour 100, et que celles-ci présentent les divers degrés de l'athérome à peine dans les trois quarts des c

ur de la même manière, mais toujours plus tardivement et à un moindre degré . Je n'ai, du moins, rencontré jusqu'ici qu'un seu

III. — CAS DANS LESQUELS les deux fesses ont été affectées au même degré . Obs. XXI. — Foureau, 72 ans. — Ramollissement

s, les deux fesses ont été prises en même temps et à peu près au même degré ; enfin, dans sept cas seulement, l'eschare ou l'e

plus que le malade se refroidit en quelques instants de un à un demi degré , c'est-à-dire plus rapidement que ne ferait un ca

minute aprèsle début des convulsions, la température est montée à 39 degrés ; au bout d'une demi-heure, elle était à 39°,2 et

re. Pendant ce temps, la température est descendue graduellement à 38 degrés . Les convulsions apparaissent, toniques et cloniq

et la température remonte à 38°, 8. Deux minutes après, elle est à 39 degrés ; au bout d'une minute à 39°, 2 ; une demi-minute

e moment. V. Jeune chat. Température rectale avant l'expérie-nce 39 degrés , Injection de 1 centigramme de sulfate de strychn

ait de fève de Cala-bar. En onze minutes, la température descend à 38 degrés . A ce moment, les convulsions commencent, mais el

ir aucune organisation, ou du moins n'offrir qu'une organisation d'un degré très inférieur. La membrane que nous avons trouvé

oïdienne. En effet, si l'on ne peut pas admettre, et cela, à cause du degré d'organisation de ces produits, qu'ils sont des s

n les trouve rarement, du moins dans la clinique ordinaire, à un haut degré de développement, en dehors des conditions spécia

les néo-membranes comprimer le cerveau et lui faire subir un certain degré d'atrophie (3). M. Calmeil, de son côté, a vu la

bien évidemment que les phases, ou, pour parler plus exactement, les degrés divers d'un processus morbide, toujours le même a

sculaires. Quant au tissu propre de la néo-membrane, quel que soit le degré d'organisation auquel il est parvenu, et quelles

éparation). Plusieurs vaisseaux capillaires avaient subi, à un faible degré , la dégénération graisseuse. Ces altérations, d'a

mains et des bras sont libres et ne présentent encore qu'à un faible degré les caractères de l'incoordination motrice. Au pr

ontanée (i). Ce caractère se retrouve incontestablement, à un certain degré , dans l'alaxic locomotrice progressive. En effet,

eau qui les recouvre est rosée et luisante. 11 y a de plus un certain degré de gonflement uniforme de toute la main et même d

tre d'ailleurs à peu près continue, et elle existe même, bien qu'à un degré moindre, en dehors de tout mouvement spontané ou

s métacarpo-phalangiennes; elle est encore très marquée, bien qu'à un degré moindre, dans l'articulation du genou droit. Les

et du poignet provoquent aussi de la souffrance, bien qu'à un moindre degré . On constate qu'il existe une légère tuméfaction

dans l'articulation scapulo-humé-rale du même côté, mais à un moindre degré . — Le genou gauche présente des altérations analo

n même temps, il s'était produit aux membres du côté droit un certain degré de paralysie qui n'a pas persisté. Le lo août, no

s vaisseaux. Encéphale. Les artères de la base présentent à un haut degré les altérations de l'endartertie noueuse. La sylv

les jointures sont rouges, tuméfiées, chaudes, douloureuses à un haut degré et telles en un mot, qu'on les observe dans le rh

nt les quatre ou cinq premiers mois qui suivent l'attaque, un certain degré de tuméfaction, une coloration plus prononcée des

ction physiologique que les métaux. Détails relatifs à l'influence du degré d'intensité pour les courants très faibles. (Regn

ibles. (Regnard. Loc. cit. et 1er rapport.) C. Au-delà d'un certain degré (un Daniel), ]es courants de toute intensité prof

uvent perdre ainsi la notion d'une ou plusieurs couleurs, et, dans un degré avancé de la maladie, toutes les couleurs cessero

açon avec une longue et grosse aiguille, pour faire voir jusqu'à quel degré l'anesthèsie était prononcée chez elle, et jamais

tie depuis trois mois. Sans doute elle se produit encore à un certain degré à la suite des attaques. Mais, tandis qu'autrefoi

z elle, l'application de l'or développe très rapidement, et à un haut degré , les phénomènes de Yanesthésie métallique (1).

t survivent à l'anesthésie. La malade est donc encore à un assez haut degré sous le coup de la diathôse. Elle a eu l'autre jo

été aussi complets. Mais nous n'avons trouvé là qu'une différence de degré et il semblerait résulter d'expériences multiplié

e, les phénomènes musculaires de la première phase persistent au même degré (hyperexcitabilité musculaire, frémissement des p

jours le champ visuel le moins étendu. Chez une hystérique du premier degré , il se fait un rétrécissement concentrique de tou

rcle central du violet se rétrécit de plus en plus et disparaît. A un degré plus avancé, le vert disparaît aussi, et ainsi de

les. Les appareils sensoriels conservent cependant parfois un certain degré d'activité ; mais les diverses tentatives qu'on p

perexcifabilité neuro-musculaire est toujours présente, bien qu'à des degrés divers. Elle peut-être générale, c'est-à-dire s'é

pendant, le côté du corps où l'œil est demeuré fermé conserve au même degré qu'auparavant les caractères de l'hyperexcitabili

gie. Il n'est aucun d'eux en effet qui ne puisse se rencontrer, à des degrés variables, il est vrai, dans l'état de santé ou d

ort bien que cette diffusion des réflexes tendineux se présente à des degrés variables suivant les malades, et c'est ce qui a

r Pflûger? Nous ne le pensons point, parce qu'elle est subordonnée au degré d'activité réflexe de la moelle et que nos observ

un de l'autre. Witt..., hystéro-épileptique, qui présente à un haut degré , pendant la léthargie hypnotique, le phénomène de

oudes ils sont moins marqués; aux avant-bras ils existent à un faible degré . Il n'y a point d'extension du réflexe rotulien a

tarde pas à s'établir. On voit l'extension de la jambe s'accuser par degrés jusqu'à l'immobilisation dans l'extension complèt

en sections transversales, les membres inférieurs pouvant acquérir un degré d'excitabilité différent de celui des bras ou inv

portés sur le tendon. Lorsque l'excitabilité réflexe existe à un haut degré , un seul choc suffit. Alors, la pression sur le t

au même résultat, ainsi que nous le verrons dans un instant. c) Le degré de réflectivité médullaire varie non seulement av

e généralise. Au contraire, chez les malades qui présentent à un haut degré l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, il suffit d

le. Mais c'est principalement sur les sujets qui présentent à un haut degré l'hyperex-citabilité neuro-musculaire que la simp

po phalangienne est fléchie ; il existe aussi parfois un très léger degré de flexion dans les autres articulations des doig

peuvent dépendre, soit de variétés anatomiques individuelles, soit du degré d'intensité de l'excitation, soit de la diffusion

x dernières phalanges de l'index et du médius exister avec un certain degré de flexion des articulations métacarpo-phalangien

ôté de l'annulaire, l'index lui-même se fléchissait mais à un moindre degré . Cette anomalie pourrait s'expliquer par une dist

r le médian. Ce sont les deux palmaires. Flexion des doigts. — A un degré différent pour l'index et le médius d'une part, e

onne lieu qu'aune contraction et non plus à une contracture ; b) Du degré de localisation de l'excitant dans les différents

mesure que la flexion du poignet augmente, les doigts se ferment par degré , ce qu'il est facile d'expliquer par la compressi

tances, une fois connues et parfaitement définies, n'enlèvent rien au degré de certitude de nos recherches, pas plus que les

roduite ne tarde pas à s'épuiser. Tout en maintenant la pression à un degré égal sur le point qui a provoqué la contraction d

ades susceptibles d'être hypnotisées sont loin de présenter à un même degré l'hyperexcitabilité neuromusculaire de la face. C

e au moins sur vingt environ) qui ont présenté ce phénomène à un haut degré de développement, et avec des caractères absolume

présente l'hyperexcitabilité neuromusculaire de la face au plus haut degré de développement, et la plupart des expériences q

cle de la joie. Il est le seul qui puisse exprimer le rire à tous ses degrés ; mais, pour que l'expression soit complète, il es

et, le plus souvent, l'autre narine participe au mouvement mais à un degré moindre), bien que l'excitation ait été unilatéra

expression de méditation mêlée de tristesse ou de dégoût, suivant le degré de contraction du triangulaire. Au contraire, l

ture persiste pendant l'état de veille, avec la même forme et le même degré d'intensité ; 3° Cette dernière précaution n'es

. A la main contracturée, les doigts quittent peu à peu, et comme par degrés , l'attitude spéciale que leur avait imprimée la c

le, s'étend et s'élève peu à peu pendant que l'index droit quitte par degrés l'attitude que la contracture lui avait imprimée

tion du membre augmente peu à peu. Successivement aussi, et comme par degrés , on voit les deux derniers doigls de la main se f

ture. Charcot. Œuv. compl. t. ix, Hypnotisme. 25 DES DIFFÉRENTS DEGRÉS DE L'HYPEREXCITABILITÉ NEURO-MUSCULAIRE. — VARIAT

les hystériqeshypnotisées soient susceptibles de présenter à un égal degré de développement tous les phénomènes que nous ven

voir montré les principaux caractères du phénomène dans son plus haut degré de développement, il nous paraît utile d'insister

même malade, et d'en fournir quelques exemples. A. — Des différents degrés de Vhyperexcitabilité neuromusculaire chez une mê

es expériences sur son développement. Chez une même malade, le même degré d'hyperexcitabilité neuro-musculaire, pendant l

ceux qu'on peut appeler les cas types, le phénomène existe à un égal degré sur tous les muscles", aussi bien aux membres qu'

int et faire défaut en un autre, ou bien exister ici et là, mais à un degré différent. b) L'hyperexcitabilité varie égaleme

des expériences, ce phénomène est susceptible d'acquérir un plus haut degré de précision et d'intensité. Il s'agit là, ainsi

ombre, mettent un temps plus ou moins long à l'acquérir. À un premier degré , il consiste en une tendance des réflexes tendine

l'on puisse admettre clans l'hyperexcitabilité musculaire, les trois degrés suivants : 1er degré : simple exaltation des ré

ans l'hyperexcitabilité musculaire, les trois degrés suivants : 1er degré : simple exaltation des réflexes tendineux ; — 2e

vants : 1er degré : simple exaltation des réflexes tendineux ; — 2e degré : le réflexe tendineux donne lieu à la contractur

à la contracture — contracture réflexe par excitation tendineuse; —3e degré : contracture réflexe par excitation directe des

ut y être provoquée. Chez une de nos malades qui présente à un haut degré l'hyperexcitabilité neuro-musculaire, nous avons

de grandes différences au double point de vue de la précision et du degré de développement de ses caractères. Les différent

cision et du degré de développement de ses caractères. Les différents degrés que l'on observe successivement chez une même mal

x sont bien plus exagérés qu'avant l'expérience, tout en l'étant à un degré moindre que pendant le sommeil. Cette expérienc

at cataleptique. Enfin la résolution musculaire s'est montrée là à un degré peu ordinaire, et la fatigue qui a suivi l'expéri

deux exemples qui précèdent nous montrent le sommeil hypnotique à un degré fort incomplet, sorte d'état rudimen-taire. Les p

ais, entre ces deux extrêmes, l'on conçoit qu'il existe de nombreux degrés intermédiaires qui constituent comme autant de va

ttaques convul-sives dans lesquelles le spasme laryngé se montre à un degré peu ordinaire. Les réflexes tendineux sont manife

arqué que les yeux maintenus ouverts présentaient toujours un certain degré de convergence. Nous avons pu observer cetétat

t de la léthargie et de la catalepsie, caractérise pour ainsi dire un degré inférieur de l'hypnotisme. Il se montre chez les

nférieure ; lorsque néanmoins on arrive à la découvrir on constate un degré de strabisme plus ou moins accusé, ou bien si le

retombe inerte. 3° L'hyperexcitabilité neuro-musculaire existe à un degré quelconque. Les réflexes tendineux sont exaltés.

ble alors que cette sorte d'état cataleptique est bien due à un léger degré d'hyperexcitabilité neuro-musculaire développée p

— L'hyperexcitabilité neuro-musculaire, qui se montre à son plus haut degré de développement pendant le sommeil hypnotyque,pe

e développement pendant le sommeil hypnotyque,peut exister ci quelque degré pendant la veille. Enfin nous avons reconnu, da

hypnotique, pendant la veille. Ce n'est ordinairement qu'un premier degré de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire que l'on

es arrivés, qui fait de l'exagération du réflexe tendineux le premier degré de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire et réunit

s absolument conformes, sur 3 malades hystériques hypnotisantes à des degrés divers (1), mais présentant toutes le phénomène d

itabilité neuromusculaire, l'autre ne le présentait également qu'à un degré fort incomplet. Les résultats que je viens d'ex

observer très nettement sur quatre hystériques du service, mais à des degrés divers. 11 faut ajouter que ces actes automatiq

ion forte, accompagnée de gestes analogues, nous ressentons à quelque degré l'émotion correspondante à l'expression artificie

la généralité des cas, la diathèse de contracture ne présente pas ce degré d'intensité. Son existense, souvent méconnue, dem

thèse de contracture est générale ou partielle. Elle existe à un égal degré sur tous les muscles du corps ou bien sur les mus

n plantaire), se relever et se placer en flexion dorsale et cela à un degré d'autant plus accusé que l'excitation des muscles

c, d'après cela, une sorte de tonicité musculaire portée au plus haut degré possible et c'est, par conséquent, ainsi que nous

, celle fournie par la machine électrique, devait donner au plus haut degré les clîels cherchés. Il était du reste guidé par

ue a des effets physiologiques plus importants, bien qu'accusés à des degrés très divers selon les sujets. La pers-piration cu

ction continue, le membre contracture d'un sujet léthargique cède par degrés , comme le membre raidi par la volonté; à ce point

grand hypnotisme, restent ici plus ou moins elfacés, et on arrive par degrés à des variétés tellement frustes, qu'on peut se d

un sujet qui présente cet état de torpeur qui caractérise le premier degré de M. Liébault et qui consiste simplement dans un

réelle. On commencerait par éliminer tous les sujets présentant, à un degré quelconque à l'état de veille, de l'hyperexcitabi

eut constater, dans le muscle du côté opposé à l'excitation, un léger degré de contraction. Fig. 2. — Dans cette figure, à

— Excitation unilatérale du petit zygomatique. Il s'y joint un léger degré de contraction du muscle élévateur de l'aile du n

neuro-musculaire.......................... 377 S 3. Des différents degrés de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. — Vari

ntracture provoquée dans l'état d'—, p. 375, 407, 409; — différents degrés de 1' —, 386; — variations de 1' •— suivant les

ES EXPÉRIENCES É LECTRO-PIIYSIOLOGIQUES. Pour connaître et juger le degré d'influence exercée sur l'expression par les musc

s de la face humaine, c'est-à-dire que ceux-ci n'ont pas tous le môme degré d'importance dans le jeu de la physionomie. On

ir lubrique . Frontal et abaisscurs de la mâchoire inférieure, à un degré modéré de contraction. Même combinaison muscula

on musculaire et abaisscurs de la mâchoire inférieure, à un plus haut degré de contraction. Même combinaison musculaire, au

nt augmenter le nombre par la suite, en produisant les nuances ou les degrés de ces expressions principales. Quoi qu'il en s

r ajouter à leur signification, pour donner une idée approximative du degré de la passion, de l'âge du sujet, etc. Les maît

igeante. N'est-il pas, en effet, établi par mes expériences, que le degré d'accentuation et de développement des traits fon

e la physionomie en mouvement, non-seulement est en raison directe du degré de contraction musculaire (ce qui signifie : selo

irecte du degré de contraction musculaire (ce qui signifie : selon le degré de la passion qui la provoque), mais aussi suivan

ntales. Ajoutons que tous ces phénomènes sont encore subordonnés au degré d'embonpoint ou de maigreur du sujet, et que le s

les mouvements variables auxquels ils donnent naissance, suivant leur degré de contraction, selon l'âge du sujet et certaines

ologiques, il est cependant impossible de maintenir longtemps au même degré de contraction le muscle, dont l'irritabilité, ap

dation du courant doit être d'une grande précision et s'approprier au degré d'excitabilité différent de chacun des muscles de

rtrait photographié, fig. 3). A droite, excitation électrique, à un degré modéré, du muscle frontal; lignes fondamentales (

urbe du sourcil. La figure 8 montre la contraction électrique, à un degré modéré, des deux muscles frontaux. Les rides fron

ent impossible d'exprimer la réflexion, la méditation à un aussi haut degré , avec un sourcil très haut et dont l'orbiculaire

ntent le môme muscle en contraction chez le même individu, mais à des degrés différents. — L'une fig. 12), comme je viens de l

là, 17 et 18). A droite, contraction électrique du sourcilier à un degré moyen : souffrance. A gauche, physionomie au re

au moment de l'expérience). Fig. 20. — Contraction électrique, à un degré moyen, des sour- ciliers : souffrance profonde,

. — Destinée à démontrer, chez le même sujet, qu'au delà d'un certain degré de contraction, et dans certaines conditions, le

l'étude des lignes expressives propres à l'iiction du sourcilier à un degré modéré, chez un jeune sujet (représente dans les

résente dans les figures h, 15 et 16). Contraction volontaire, à un degré moyen, des sourci-liers et regard en haut : souve

e. Fig. 2Zi. — Destinée à l'étude de la contraction volontaire à un degré plus fort que dans la figure 23, chez le même suj

ement de l'œil. A gauche, contraction volontaire du sourcilier à un degré plus fort que dans la figure 23 ; regard en haut

dans les figures 26, 27, 28, 29. La figure 28 représente le premier degré de contraction du sourcilier droit chez une petit

, enfin dans la figure 29 que dans la figure 28, et cela en raison du degré de contraction plus ou moins énergique du sourcil

cle, le modelé du sourcil et du front n'a pas changé ; mais à un haut degré d'intensité du courant, la contraction du sourcil

lement affectée. Ces deux figures ne diffèrent entre elles que par le degré de douleur qu'elles expriment, par la direction d

essifs de la face, une question qui me paraît intéresser au plus haut degré l'étude de l'expression de la physionomie. « Il e

reusement, en apparence. Les figures 22 et 25 prouvent qu'il est un degré de contraction au delà duquel le sourcilier perd,

ue la combinaison du muscle de la joie et de la douleur, à un certain degré de contraction, est inexpressive ou ne produit qu

nombre, en longueur et en profondeur, en raison directe de l'âge, du degré de maigreur et d'autres conditions que j'ai signa

tique est le seul muscle qui exprime complètement la joie, à tous ses degrés et dans toutes ses nuances, depuis le simple sour

rience représentée sur le côté droit de la figure 36, qu'au plus haut degré de contraction, l'action expressive du triangulai

te) du triangulaire des lèvres peint cette expression à son plus haut degré et sous la forme la plus grossière ; elle nous mo

vre supérieure et de la ligne naso-labiale. 11 en est résulté qu'à ce degré de contraction, la portion du bord libre des lèvr

sehumeur, représente un fâcheux qui trouve tout mauvais. Le plus haut degré de cet état désagréable d'un esprit hargneux se p

re inférieure en bas et en dehors, en la renversant. Les différents degrés ou nuances du pleurer, exprimés par les figures /

certaines affections du cerveau : dans ce cas, les larmes et tous les degrés du pleurer sont excités indifféremment par la plu

e dans le côté gauche de la figure 53, après avoir passé par tous les degrés du pleurer, que j'ai représentés dans les figures

ise. Fig. 50. — Destinée à l'étude de la contraction combinée, à un degré modéré, du frontal el. des abaisseurs du maxillai

traits, et ces courbes labiales qui augmentent proportionnellement au degré d'abaissement de la mâchoire intérieure. On voit

peint, dans la figure 57, une émotion analogue, mais à son plus haut degré de manifestation. L'impression y est plus forte e

odelé du cou n'a pas éprouvé la moindre modification, quel que fût le degré d'abaissement de la mâchoire inférieure. justes

ces figures 56 el 57, il faut qu'il y ait un rapport parfait entre le degré d'ouverture de la bouche et d'élévation des sourc

moment où ses peauciers ont été électrisés; et quel que fût alors le degré d'abaissement de sa mâchoire inférieure, je n'ai

en lignes secondaires, qui indiquent l'âge du sujet et les différents degrés du mouvement expressif;—quoiqu'il fût peu intelli

l que j'ai à rendre; je dois, de plus, en faire sentir les différents degrés et en accentuer les nuances infiniment variées, s

ir l'objectil qu'au moment où le muscle électrisé est arrivé juste au degré de contraction nécessaire à la vérité parfaite de

s cette contraction ne se maintient pas toujours assez longtemps à ce degré , pendant tout le temps de la pose, parce que le c

'examiner comment je suis parvenu à leur faire rendre deux nuances ou degrés de la môme passion, de la douleur. La première

d'amour humain, photographiée clans la figure 77, il existe plusieurs degrés intermédiaires. V. J'ai voulu représenter dan

son audacieux amoureux. 11 m'eût été facile d'ailleurs de diminuer le degré d'excitation électrique du triangulaire. 3° Che

expression de la vraie joie mêlée d'un peu de surprise fut arrivée au degré qui convenait à l'émotion que j'avais à peindre,

e (le grand zygomatique). La joie mêlée de douleur se montre, à des degrés divers, sur la physionomie. — Dans les deux nuanc

on discordante se peindre, d'une manière touchante, à son plus faible degré , sur la physionomie de la mère qui vient de donne

résulte un ensemble harmo nieux, une expression discordante, à son degré le plus faible, du sourire môle de douleur physiq

t je n'ai jamais pu maintenir assez longtemps la contraction juste au degré convenable pour la reproduire par la photographie

siologiques que j'ai faites, au point de vue esthétique, à différents degrés , sur le muscle qui met en relief les signes car

une ressemblance entre Duncan et son père endormi.) Au delà cle ce degré d'excitation, le pyramidal du nez a, dans la figu

is en action par ces mauvaises passions n'exerce pas toujours le même degré de puissance sur le sourcil. Ce fait a été démo

ression de méchanceté et de férocité parfaitement caractérisée, à des degrés divers, par l'abaissement et le gonflement cle la

e faux, produit par l'action isolée du grand zygomatique, à un faible degré de contraction, est, de prime abord, plus trompeu

eth (tragédie de Shakspeare), avec une expression de cruauté, à trois degrés différents. ............ 169 IV. Considérations

nt que par des symptômes fugaces, qu'elle est toujours présente, à un degré quelconque, dans les formes frustes, anormales, l

te externe fait exception, en ce sens qu'il avait conservé un certain degré d'excitabilité faradique et galvanique). Ajoutons

en proche, jusqu'aux muscles voisins ; mais l'atrophie existe au même degré dans toute l'étendue du muscle, et d'ailleurs les

tées, chez un sujet connu pour avoir été affecté d'hystérie à un haut degré et pour avoir été déjà atteint de contracture, de

n de cette tendance à la contracture, qui existe souvent au plus haut degré chez certaines hystériques, il ne s'agit pas touj

de la commissure labiale gauche ; le peaucier participe à un certain degré à la convulsion. Yoilà le type vulgaire. Consid

x, les hanches, les coudes ; en dernier lieu, les doigts, à un faible degré et les articulations cervicales. Cet envahissemen

exe se retrouve chez le malade queje vous montre aujourd'hui, et à un degré beaucoup plus prononcé encore. Ainsi, aux deux me

nerveuse : à savoir, l'irrégularité de l'atrophie, qui atteint à des degrés différents non seulement les faisceaux d'un même

du type de flexion. Dessin de m. P. Richer. conséquence un certain degré de mobilité articulaire exagérée, dans certains m

sensibilité générale. L'hé-mianesthésie persiste encore à un certain degré , mais la contracture a disparu. Qu'est-il arrivé

e assez communément dans l'hystérie vulgaire, du moins à un certain degré . Permettez que j'insiste un instant sur ce troubl

dans l'amblyopie des hystériques, c'est la dyschromalopsie, et, à un degré plus prononcé, l'a-chromatopsie, c'est-à-dire la

question. Chez la nommée N..., l'œil droit est affecté d'un certain degré de rétrécissement du champ visuel pour les couleu

manifeste, les champs des diverses couleurs sont plus étroits et à un degré plus marqué que du côté opposé ; mais, de plus, e

rouge. J'insiste sur ces anomalies que nous retrouverons à un certain degré chez notre jeune garçon hystérique. Je ne discu

hies sur le métacarpe, les autres phalanges ne présentent qu'un léger degré de flexion. Les doigts, ainsi fléchis dans leur e

° sur Vintensitè même de la contracture qui se présente rarement à ce degré , quand elle est due à une lésion organique, à une

léreuse latérale de la moelle; 2° sur la permanence absolue au même degré , nuit et jour. Chez les hémiplégiques, la contrac

ins profondes ; mais je doute qu'aucun de ces faits présente, au même degré que le nôtre, les conditions de netteté et de sim

dent, il s'était manifesté dans le membre inférieur gauche un certain degré d'impuissance motrice, gênant considérablement la

sé à peu près complètement, l'impuissance motrice se montra à un haut degré ; car, pendant un autre mois, il a été impossible

s'atténuer, l'impuissance motrice était cependant portée au plus haut degré ; un sentiment de barre douloureuse occupant la r

st également produite , elle persiste encore aujourd'hui à un certain degré . J'ajouterai qu'à partir de cette époque, les ére

ême temps qu'elle nous permet de présumer jusqu'à un certain point le degré de la lésion spinale. Celle-ci occupe donc la rég

itées; 3° enfin, la moelle elle-même peut être atteinte, à un certain degré , d'inflammation chronique ; mais ce qui domine ha

se rendent au cubital, au médian, et ne sont-ils pas compris au même degré dans l'altération? Troisième période. Quelquefo

l'affection a été subit, et il s'est produit, à l'origine, un certain degré d'hémiplégie droite qui a bientôt disparu, ainsi

lade. Dans les premiers jours, il y a eu, le plus souvent, un certain degré d'aphasie motrice, qui s'est peu à peu dissipée p

défaut de mémoire visuelle des mots dont il est affecté à un certain degré , pour certaines langues. Cependant, les notions

fait, le frère, la sœur, le père de M. X. la possèdent tous à un haut degré . 1. Loc. cit., p. 96, 99. Il esl très remarqu

oit auditive, soit visuelle, représente en quelque sorte les premiers degrés d'affections qui, lorsqu'elles sont portées au pl

res supérieurs peuvent se prendre à leur tour ; mais quel que soit le degré de l'affection, les mains sont généralement respe

érise par des lésions du tissu interstitiel, ce qui n'existe pas à ce degré dans les amyotrophies spinales. En outre, particu

plus ou moins exactement correspondante, selon toute probabilité, au degré d'altération des faisceaux musculaires. A côté de

nstate, outre une certaine impotence fonctionnelle des bras, un léger degré d'atrophie de la main qui est aplatie du côté de

ivement faire passer sous vos yeux trois malades qui présentent à des degrés différents les symptômes de la chorée rhythmée.

ette classe de médicaments, qui agita peu près toujours, à un certain degré du moins, dans l'épilepsie, restait complètement

emps déjà les parents se sont alarmés, mais l'alarme est au plus haut degré lorsque les choses en sont venues à ce point ; el

lamentable : celui d'une grande fillette de 44 ans arrivée au dernier degré de l'étisie et du marasme, dans le décubitus dors

d. L'anesthésie sensorielle n'existe, en général, qu'à un très faible degré ; le goût, l'odorat sont normaux; l'ouïe cependant

e également la dépression physique et mentale qui existe à un si haut degré chez notre malade. J'ai eu soin de relever que ch

r, et chez lui, comme chez les autres, elle se montre douée à un haut degré de ses attributs caractéristiques, telle, en un m

ans trace aucune de rigidité, molle, flexible en un mot, au plus haut degré , laquelle, disait-il, datait de 10 mois et était

la région de l'omoplate, en arrière. L'insensibilité s'étend au même degré aux parties profondes ; on peut, en effet, faradi

ée, presque à coup sûr, plusieurs mois après le début, par un certain degré , tout au moins, de contracture et par l'exagérati

début du mal ; l'anesthésie cutanée et profonde, portée au plus haut degré sur ce membre et la perte totale des notions rela

'était pas complètement guérie, sans doute, car il restait un certain degré de parésie, mais elle s'était complètement amendé

nt amendée. Seuls les troubles de la sensibilité persistaient au même degré que par le passé. Cette guérison, Messieurs, ou

solue comme autrefois, elle persiste encore cependant à un assez haut degré . D'ailleurs, les troubles de la sensibilité sont

rthrite chronique d'origine rhumatismale, il s'est produit un certain degré d'atrophie du triceps crural (amyotrophie d'origi

ture quelconque, aucune déviation de la bouche ou de la langue, aucun degré de paralysie dans le membre inférieur droit ; il

spondant, n'est que de 32°4, c'est-à-dire inférieure de 4 dixièmes de degré environ. Tels sont les phénomènes que l'analyse

es caractères de la réaction de dégénérescence portée à son plus haut degré ; les réflexes tendineux sont abolis : la peau, e

alysie, leur volume et leur relief normaux, ils ne présentent à aucun degré les caractères de la réaction de dégénérescence,

ent, au bout de huit ou dix jours déjà, la réaction dégénérative à un degré très prononcé sur tous les muscles profondément a

xistence d'une monoplégie pure, c'est-à-dire sans participation, à un degré quelconque, du côté correspondant, soit des muscl

face, ni la langue, ni le membre inférieur n'ont présenté le moindre degré de paralysie ou même de parésie. Dès l'origine, j

cérébro-spinale, s'accusant cliniquement par l'existence d'un certain degré de contracture dans le membre paralysé, tandis qu

odes de la sensibilité cutanée et profonde sont affectés au plus haut degré et d'une façon permanente, depuis plus de quatre

érébrale reconnaissant une autre origine. Je signalerai enfin le haut degré de 1. R.-B. Todd, Clinical lectures on paralysi

avez que ces phénomènes existent, au contraire, toujours à un certain degré , » — c'est presque toujours qu'il faut lire — « d

l'est encore chez Porcz... ; la face n'ayant jamais été affectée à un degré quelconque. Le membre paralysé était pendant, fla

rofonde Fig. 60 et 61. — Observation de Pin .. est portée au même degré que chez Porcz..., elle est plus étendue cependan

est pas absolue comme autrefois, elle persiste encore à un assez haut degré . D'ailleurs, les troubles de la sensibilité sont

te par voie de suggestion, nous pourrons, à notre gré, en modifier le degré , les caractères mêmes jusqu'à un certain point, l

se pas d'ailleurs seulement la peau, elle occupe encore, au plus haut degré , les parties profondes, à savoir les muscles, les

paralysie se réalise en effet ; elle atteint rapidement son plus haut degré et se présente alors avec tout l'ensemble des car

membre soumis au choc, et qu'on peut supposer s'être produite an même degré et avec les mêmes caractères chez nos deux hommes

res qui y subsistent encore, chez les deux malades, à la vérité, à un degré très faible, et nous cherchons à en augmenter pro

6). les attaques hystéro-épileptiques persistent à peu près au même degré qu'à l'époque où nous l'avons vu pour la première

mée, il se produit une douleur vive, hors de toute proportion avec le degré d'intensité du pincement exercé. J'insiste sur ce

a période du réveil : — la raideur commença à reparaître à un certain degré dans les muscles malades, avant qu'aucune manifes

dra-t-il? La douleur reparaîtra dans la jambe, acquerra rapidement le degré d'intensité qu'elle avait auparavant et alors app

te de divers traitements : cependant, les mains conservent un certain degré de déformation qui ne cède pas à l'action du chlo

d, car, actuellement, il paraît exister, chez notre sujet, un certain degré d'amnésie portant principalement sur les choses q

entaire provoquée par le choc se réalise et se développe au plus haut degré , en raison d'une élaboration mentale, d'un proces

tière en cherchant à les redresser. Fig. 80. Il existe un certain degré d'amaigrissement, d'atrophie du membre ; mais les

xagérer la flexion et, de l'autre côté, de vaincre jusqu'à un certain degré l'action prédominante des fléchisseurs. Or, c'est

eux des faisceaux musculaires qui se sont trouvés soumis au plus haut degré de l'ischémie ; tandis que dans les faisceaux mus

par l'intervention de la chloroformi-sation même poussée au plus haut degré . Dr G. Melotti di Bologna. (Gaz. degli Ospitali

emiers, la rigidité du membre est habituellement poussée au plus haut degré possible et, quelquefois, en outre, persiste tell

'une lésion organique, peut, au contraire, être observée au plus haut degré , occupant non-seulement la peau, mais aussi les p

r l'existence que je vous fais reconnaître sur ce membre d'un certain degré d'atrophie musculaire et de refroidissement des t

s paraissent être régulièrement marquées par l'existence d'un certain degré d'atrophie musculaire; que celle-ci même, à la vé

es doigts, en effet, forment avec la paume de la main, un angle de 90 degrés environ ; il est impossible de modifier notableme

ment, chez ces individus, l'acte d'écrire, s'il persiste à un certain degré , est lent, difficile, très imparfait. Tout autr

, le cas du sujet hypnotisé où les accidents sont portés au plus haut degré et se présentent d'ailleurs dans des conditions p

re côté, la parésie qui ne manque pas d'exister toujours à un certain degré , feront naître, en quelque sorte tout naturelleme

timent d'impuissance motrice des membres inférieurs, et, au plus haut degré , sans sortir encore pourtant des conditions pour

normale. Néanmoins, Panesthésie cutanée et profonde persiste, à un degré très prononcé encore, dans les membres inférieurs

atigue. Cependant la torpeur cérébrale subsiste toujours à un certain degré , et les stigmates ainsi que l'aneslhésie des memb

onoplégie ne s'est en rien modifiée. Les stigmates persistent au même degré . L'état général est excellent, Fig. 88 et 89. —

agissent comme centres moteurs, sont le siège... de la conception du degré et de la qualité de l'innervation musculaire, c'e

la température locale, celle-ci est abaissée de plusieurs dixièmes de degré du côté paralysé, ainsi qu'on peut s'en assurer p

lus, il y a une anesthésie concordant absolument comme siège et comme degré avec la paralysie des membres. Ce n'est pas davan

ormale ; 4° la contractilité électrique est diminuée en proportion du degré de l'atrophie musculaire, mais il n'y a pas de ré

s appareils musculaires, tels que celui du larynx et alors, selon son degré , elle produit l'aphonie ou le mutisme. » Le pro

côté gauche. L'examen laryngoscopique, très facile par le fait d'un degré assez prononcé d'anesthésie du pharynx, permet de

rine et au bras pour la piqûre et pour le froid. Il existe un certain degré d'hyperesthésie dans la région dorso-lombaire ; m

schromatopsie. Les réflexes du voiie du palais sont peu prononcés ; degré assez prononcé d'anesthésie du pharynx. A l'exame

rarement sur les abducteurs. Suivant les muscles atteints, suivant le degré de paralysie, l'aphonie est plus ou moins complèt

défaut de tension des cordes vocales ; il existait de plus un certain degré d'aneslhésie de l'isthme du gosier et du vestibul

aut de tension plusieurs autres causes ; que cette lésion explique un degré d'aphonie plus ou moins complète, c'est encore vr

nt, à côté des aphasies correspondantes qui représentent le plus haut degré , les amnésies auditive, visuelle, motrice d'artic

isuelle, motrice d'articulation et motrice graphique qui répondent au degré le plus faible. C'est là un point sur lequel notr

voit la cécité verbale la mieux caractérisée ne s'accompagner d'aucun degré d'agraphie, à tel point même que, comme l'a montr

te de divers traitements ; cependant, les mains conservent un certain degré de déformation qui ne cède pas à l'action du chlo

MÉDECINE, 1877) PREMIÈRE LEÇON tudes qui intéressent au plus haut degré la médecine pratique et c'est là un point de vue

que chez l'animal frais, alors que les tissus ont conservé un certain degré de vitalité. Ce sont donc les procédés les plus s

s que mouvements amiboïdes, par exemple. Dans d'autres cas, ou à un degré plus avancé, se produisent les phénomènes ^irrita

aire endothéliale, se montrent à peu près toujours compliquées, à des degrés divers, de la présence dans les ca-nalicules resp

ct immédiat (Fig. 28). Quand le processus est parvenu à son plus haut degré , ainsi que cela se voit quel-quefois dans la cirr

ce de section et de plus, le mode de répartition des lésions à divers degrés en zones concentriques. Tandis que le centre de l

tion grise, et de les considérer comme représentant deux phases, deux degrés successifs d'une même altération. En effet, un de

forme précédente; ce sont des cellules épithéliales présentant divers degrés d'altération, des globules pyoïdes, purulents, et

élé-ments, qu'elle peut même étouffer complètement, au moins dans les degrés les plus avancés de l'affection. On peut alors dé

vaux sur le même sujet, intéressants surtout pour ce qui concerne les degrés les plus avancés de l'induration. Nous avons nous

ts que nous allons tracería description suivante. Dans les premiers degrés de l'induration grise, ardoisée, une matière amor

merait les noyaux particuliers dits corpuscules du tu-bercule. A un degré plus avancé de la lésion, les espaces inlervési-c

s, x. v, Poumons. 9 semble devoir appartenir seulement aux premiers degrés de la maladie, car dans la plupart des observatio

de l'affection remontait à une époque éloignée, on a noté un certain degré d'atrophie des parties indurées du poumon. Le pou

éments qui constituent le parenchyme pulmonaire avaient subi à divers degrés la dégénération graisseuse. Cette dégénération ét

quelquefois (obs. I) ; en général, le malade succombe dans le dernier degré du marasme (obs. II). Dans les quelques cas signa

ondance de l'expectoration. Le ma-lade succombe le 19 dans le dernier degré du marasme. Voici d'une manière sommaire le tra

s et corroborants pendant mai, juin et juillet. Autopsie. — Dernier degré du marasme ; un orifice fistuleux existe à droite

u poumon est superficielle, et le doigt qui percute perçoit à un haut degré le sentiment de résistance ; mais elle n'a d'aill

altéré parle fait de l'induration subit, comme on l'a vu, un certain degré d'atrophie. Consé-quemment, il est possible que,

tion parenchymateuse. On peut y distinguer deux formes ou plutôt deux degrés : 1° la pneumonie chronique non ulcéreuse; 2° la p

n si variés, dans lesquels le parenchymedu poumon présente un certain degré d'induration, joint à une coloration noire? Non s

lmonaire. 11 en résulte, lorsque l'altération est portée à un certain degré , une atrophie plus ou moins prononcée de ces élém

e; 2° la dégénération muqueuse. Ces transformations sont subies à des degrés divers par tous les éléments contenus dans les al

auche. Il est clair qu'une lésion permanente, probablement un certain degré d'induration, persistait dans l'intervalle des ac

résout lentement, laisse après elle une lésion permanente, un certain degré d'induration hyperplasique de la trame pul-monair

e, tandis qu'à son centre se trouvent des cellules atteintes à divers degrés de la dégénéralion qui vient d'être indiquée. M

après le début des accidents pulmonaires. La lésion était au premier degré dans le lobe supérieur, avec des nodules péribron

laire, l'épaississe-ment de la coque fibreuse pleurale, et un certain degré d'atro-phie du poumon. Malgré la date plus ancien

onstitue la période ultime de la pneumonie lobaire chro-nique. A ce degré terminadla lésion broncho-pneumonique s'accom-pag

canisme. Dans l'exercice de la vie civilisée, chacun de nous, à des degrés divers, respire du charbon provenant de la combus

e à la sidérose, et le poumon présentait les mêmes lésions, mais à un degré moins avancé. En résumé, il résulte de ces fait

on dans les voies aérien-nes de poussière d'oxyde de fer. A un faible degré , la lésion passe inaperçue ; à un degré plus pron

e d'oxyde de fer. A un faible degré, la lésion passe inaperçue ; à un degré plus prononcé, il se produit des altérations plus

-nelle à peu près complète de l'organe et ne diffère alors que par le degré de l'anthracose physiologique. Mais, dans quelque

ègle de rencontrer, en amont des foyers de tissu caséifié, un certain degré de dilatation des bronches. Cette dilatation sera

e particules calcaires, en font une sorte de mastic et au plus haut degré un petit calcul. Il n'est pas non plus impossi-bl

er et disparaître. Ce travail d'enkystement est marqué par un certain degré d'irri-tation inflammatoire subaiguë qui se commu

so-lument négatifs, alors que la température oscillait entre 39 et 41 degrés . A l'autopsie non plus, rien qui démontrât la pne

'installe avec exaspération vespérale qui d'ailleurs n'atteint pas 39 degrés (Williams); et il est cer-tain, comme Sidney Ring

a sans doute fièvre avec exacerbation nocturne, pouvant attein-dre 39 degrés au maximum; mais cette fièvre se comprend très bi

pneumonie dans les cas où la fièvre n'existe pas, ou à un très faible degré ? Quant à la production des cavernes plus ou moins

stance un peu moindre que celle du cartilage, représentant le premier degré de l'altération ; 2° à un degré plus avancé du dé

du cartilage, représentant le premier degré de l'altération ; 2° à un degré plus avancé du développement, matière jaune, opaq

Ces produits divers de l'inflammation vulgaire peuvent pré-senter les degrés les plus variés de l'altération granulo-grais-seu

cas, parfaitement constitués; la plupart avaient même subi, à un haut degré , la dégénération caséeuse dans leur région cen-tr

axis figurent souvent parmi les symptômes de la phlhisie aiguë ; à un degré plus marqué et sous l'influence de circonstances

e tissu carnifié, des amas tu-berculeux de divers volumes et à divers degrés de développement. Un autre groupe de tubercules,

t au niveau des plaques de Peyer, des tubercules nombreux et à divers degrés de développement. Il y a de larges ulcérations tu

s surtout à cause de l'affaiblissement muscu-laire ; d'ailleurs, à un degré plus avancé, cet affaiblissement est tel que les

ie pulmonaire. La rate, le foie et le cerveau présentaient, à un haut degré , l'altération pigmentaire. L'existence de la fièv

t inégale ; caries divers organes sont loin de présenter tous au même degré l'altération mélanémique. La rate présente les lé

Tigri). Les teintes les plus sombres correspondent naturel-lement aux degrés les plus avancés de l'altération. On a re-marqué

muqueuses, le poumon ; mais elle ne paraît pas y exister jamais à un degré très marqué. 1 Suivant Kôlliker, les plus petit

la destruction des globules rouges s'opère indistinctement et au même degré dans tous les points du système vasculaire. Il es

l'altération pigmentaire, tandis que le foie la présentait à un haut degré . Le fait démontre, suivant l'auteur, que la rate

les malades présentaient les accidents de la cachexie paludéenne à un degré plus ou moins marqué, et chez eux les accès avaie

ncontrer l'altération pigmentaire du sang et des vis-cères, même à un degré assez marqué,, sans qu'elle ait été révélée par d

s ou moins long, et l'intoxication ne se révèle plus guère que par un degré plus ou moins prononcé, et quelquefois môme à pei

est terminé ; le plus souvent, cependant, ils persistent à un certain degré pendant l'inter-mission ; mais alors même qu'il e

les corpuscules de pigment puisse avoir, lorsqu'elle existe à un haut degré , une certaine part dans la production de quelques

e.— Volume à peu près normal; légères bosselures à la surface ; léger degré de cirrhose. Reins. — Ils sont d'égal volume, m

836.) Obs. X. — Femme âgée de soixante ans. Pneumonie au troi-sième degré , pas de tubercules dans les poumons. Caillot dans

) Obs. IX. —Femme âgée de 66 ans. Phtisie pulmonaire au der- nier degré . Au bord droit du ventricule droit du cœur, on re

x, on voit qu'il ont succombé à la phtisie pulmonaire parvenue à un degré en général très avancé (excavalion). Le cas rappo

ntre dans di-verses maladies : la phlébite, la pneumonie au troisième degré , etc., etc. Dans d'autres cas, au contraire, ces

du pus phlegmoneux. Cette deuxième variété paraît correspondre à un degré plus avancé de la maladie : il est probable que l

poumon gauche, mais y restant pendant plu-sieurs jours à son premier degré ; abandonnant ensuite la par-tie primitivement aff

trine. — Le cœur est peu volumineux, flas-que. Il présente un certain degré de surcharge graisseuse. L'endo-carde ne présente

x, et s'il n'existe pas d'autres circonstances qui favorisent au même degré la migration des concrétions fibri-neuses formées

peu dévelop-pées, qu'il paraît douteux qu'elles possèdent un certain degré de contrac-tilité. Les artères carotides, sous-cl

cœur droit, dans les veines coronaires, et, en général, bien qu'à un degré plus ou moins prononcé, dans toutes les veines de

ente à la suite des inflammations soit ai-guës, soit chroniques. Un degré plus avancé, mais à coup sûr plus rare de la ma-l

tumeurs anévrys-males, qui entretiennent presque toujours un certain degré d'inflammation chronique dans leur voisinage. I

ints auxquels il adhère. 11 faut donc s'attendre à trouver un certain degré d'artérite localisée au niveau de ces concrétions

ppement modéré, et se compose des trois tuniques, qui ont subi, à des degrés divers, les modifications spéciales que nous veno

impossible, par l'exploration digitale,, de parvenir à un aussi grand degré de précision. D'autres foisr le tracé sphygmograp

smes aortiques ; l'un de ces deux malades of- frait même un certain degré d'embonpoint. Les anastomoses des vaisseaux chyli

anévrismes de l'aorte ; or ne peut guère les en distinguer que par un degré moins con-sidérable d'impulsion, et l'absence hab

guéris constituent une tumeur remplie de caillots solidifiés à divers degrés d'é^ volution ; et s'il n'en est pas toujours ain

peut établir à cet égard trois catégories, d'après Peacock: Premier degré . — Déchirure plus ou moins étendue de la tunique

e les lamelles de celle-ci (Morga-gni, Nicholls, Hodgson.) Deuxième degré . — Le sang s'est frayé un passage entre les lamel

s, rassemblés par Peacock, il y en a 30 qui appartiennent au deuxième degré . . Le troisième degré, ou forme complète de l'a

k, il y en a 30 qui appartiennent au deuxième degré. . Le troisième degré , ou forme complète de l'anévrisme dis-séquant, es

; et réciproquement, les dilatations de l'artère portées à un certain degré , peuvent occasionner une insuffisance valvu-laire

moins prononcé. Le resserrement de l'aorte peut exister à tous les degrés , depuis une diminution de calibre jusqu'à l'oblit

on dépen-dra du siège et de l'étendue du rétrécissement, ainsi que du degré de coarctalion qu'il présente. Ce n'est guère que

lectivement. L'épaississement de la membrane interne est le premiei degré de l'altération alhéromateuse ; celui de la membr

on le conçoit, dans certaines circonstances données, produire au même degré l'oblitération de ces mêmes troncs artériels, et

ité inférieure du lobe inférieur du poumon gauche présente un certain degré de splénisation non inflammatoire. Cette portion

un morceau de poumon hôpatisé au deuxième, mais surtout au troisième degré . La surface de section est généralement couleur

roduit plastique et purulent de l'inflammation du poumon au troisième degré . Reins. — Les deux reins ont, à la coupe, leur

des globules du sang, par-fois en grand nombre, et présentant divers degrés d'altération. Il est très vraisemblable que les e

les parois des artères pulmonaires présentent très fréquemment, à un degré plus ou moins prononcé, l'altération athéromateus

dans les points des poumons où les vaisseaux présentent le plus haut degré d'altération. Le professeur Heschl, dans un réc

ont les unes sont pour ainsi dire générales et portent, bien qu'à des degrés divers, sur toute ou presque toute l'étendue des

effectuée ou doit s'effectuer. Ces altérations représentent autant de degrés préparatoires de l'épanchement. Les premières con

présentent sous plusieurs aspects, qui correspondent toutefois à des degrés divers d'une même altéra-tion. Ce sont d'abord

ent pas fait mention et n'aient pas signalé cette coïncidence. A un degré plus avancé, les alvéoles sont, comme ci-dessus,

ymateuse. Quelques-uns des noyaux pneumoniques, arrivés au deuxième degré de l'altération, au lieu de se transformer direct

granulations pigmentai-res. Ces altérations correspondent au premier degré de la gan-grène. La nécrose des tissus qui n'ont

'investigation mi-croscopique ; mais elle peut atteindre un plus haut degré , et la fétidité qu'exhalent les parties désagrégé

c, d, — Tissu dur, fibroïde, des cas dits de pneumonie chro-nique au degré d'hépatisation le plus avancé et avec coloration

résentés fig. 1. a, b, c, Leucocytes encore peu granuleux. d, e, f, Degré plus avancé d'hypertrophie et de passage à l'état

me et chez les mammifères, qu'au hout d'un mois environ, par un léger degré d'émaciation. Deux mois après l'atrophie est mieu

s troubles trophiques ne se montrent pas dans la cornée ; un cer-tain degré d'hypérémie neuro-paralytique se manifestant à l'

tion, le rétrécissement de la pupille per-siste, quoique à un moindre degré et Fhyperesthésie s'exagère encore. Le processus

e jour, et diminue ensuite progressivement. On peut observer tous les degrés de l'ophtal-mie, depuis la conjonctivite la plus

nsibilité s'exalte toujours et l'hyperesthésie peut s'élever à un tel degré qu'au moindre attouchement de l'œil, l'animal est

Il est permis de supposer qu'il en est de même du moins à un certain degré , chez les animaux (3). 1. G. Meissner. — Ueber

uleurs lancinantes ; ces douleurs s'exagèrent rapidement et à un haut degré après l'attaque apoplectique. Dans le môme temps,

1870, p. 321. prolifération conjonctive anormale poussée à un haut degré . J'ai vu, pour mon compte, dans plusieurs cas d

etenfin la nécrose. Lorsque ces dernières lésions acquièrent un haut degré d'intensité, on peut, vous le savez, observer que

à la section du nerf, date de loin, les muscles présentent un certain degré d'amaigrissement. Il est vraisemblable qu'un cert

ibres nerveuses elles-mêmes présentent, en certain nombre, les divers degrés de la dégénération graisseuse. Beaucoup de fibres

un affaiblissement de la contractilité électrique porté à un certain degré , l'applica-tion directe serait capable de détermi

démontrer que la continuité des nerfs persiste, au moins à un certain degré , à la suite de lésions qui cependant, déter-minen

s, que la sensibilité musculaire et cutanée se maintient souvent à un degré voisin de l'état normal, dans les cas de lésions

actères de l'état normal ; d'autre fois ils présentaient à un certain degré les altérations propres à la dégénération granulo

agrégats, en mê-me temps que la substance contractile offre à divers degrés les modifications connues sous le nom de dégénéra

on granulo-graisseuse et privé de motricité,possède encore un certain degré de vita-lité ; qu'il soit capable,, sous l'influe

remplie, les lésions dont il s'agit peuvent atteindre leur plus haut degré de développement, envahir, parexemple, les fais-c

nflammatoire. En même temps, les cellules ner veusesprésentent divers degrés et divers modes de dégénération atrophique. Mais

l'atrophie rapide que ces mêmes muscles subissent, constamment, à un degré plus ou moins prononcé. Une évolution plus lente

emme, les douleurs pa-roxystiques spéciales avaient existé, à un haut degré , pendant près de quinze ans, à l'époque de la ter

de, le péritoine. La rate et les reins offrent des infarctus à divers degrés de développement. — Hémisphère cérébral du côté d

ur du côté où siège la lésion spinale; ce membre présente en outre un degré plus ou moins prononcé d'exaltation de la sensibi

iège de douleur et de gonflement, Le malade étant aphasique à un haut degré , il avait été impos- gorie. Dans cette seconde

glossy skin, la région occupée par la lésion trophique était de 1 à 2 degrés plus chaude que la région correspondante du membr

u-dessus de ce point, le thermomètre marquait sur le membre malade un degré de moins que sur le membre sain. — H. Fischer. Ue

sir de. pénétrer plus avant dans une étude qui intéresse à un si haut degré la pathologie du système nerveux tout entière.

cles fléchisseurs sont affectés les premiers et toujours au plus haut degré . La raideur musculaire, devenue permanente, impos

liez lirj, et limité à une des mains. Il avait cependant, à Uci-'haùï degré déjà, l'attitude du corps et des membres, la diff

ncliner sers le bord cubital. Toutes les jointures sont raides, à des degrés différents : la raideur prédomine à droite. Sensi

iée chez ces malades. Or l'expérience m'a prouvé que, quel que fut le degré de cette sensation subjective et aussi celui du t

gion centrale de la plaque, région où elles acquièrent leur plus haut degré de développement. En pro-cédant ainsi des parties

nn, Charcot. axiles aumilieu des parties qui ont subi, au plus haut degré , la métamorphose fibrillaire, est, — remarquez-le

se en pla-ques ; elle ne s'observe certainement pas, du moins au même degré , dans les autres variétés de l'induration grise,

ose en plaques cérébro-spinale des maladies qui s'en rapprochent àdes degrés variables. II. Vous n'ignorez pas, Messieurs,

ut pas oublier, Messieurs, que le tremblement peut avoir existé, à un degré plus ou moins prononcé,à une certaine époque de l

e. Vous pouvez reconnaître qu'il existe chez Mlle V... accuséàun haut degré . Il s'agit là, vous le voyez, de petites secousse

s fois, j'ai reconnu que la parole pouvait être embarrassée à un haut degré , sans que la langue présentât la moindre trace de

otre attention, parce qu'elle ne se retrouve certainement pas au même degré dans les autres maladies chroniques de la moelle

, les symptômes ataxiques s'étaient, pendant la vie, manifestés à des degrés divers. Jenedoule pasqu'une disposition semblable

inférieurs sont très générale-mont affectés simultanément et au même degré :leur rigidité est parfois si prononcée qu'en sou

Messieurs, d'un spasme qui occupe simultanément et à peu près au même degré les muscles antagonistes, car il est presque auss

-main malgré la cessation des convulsions, la température était de 41 degrés et le surlendemain, jour de la mort, elle attei-g

ne malade de service de M. Charcot, Nie... Julie, remarqua un certain degré de faiblesse dans les membres inférieurs après un

jeviens de nommer, les symp-tômes qui s'offrent aujourd'hui à un haut degré de développe-ment pourraient être demain complète

s, par M. Galezowski et sur lequel nous revien-drons. Parvenue à ce degré , l'hémianesthésie nous fournit, dans l'espèce, un

ésie com-plète, telle qu'elle se présente dans les cas intenses. A ce degré même, c'est encore un symptôme fréquent puisque,

constaté la même chose. Cette ischémie, qui d'ailleurs, poussée à ce degré est assez rare, peut expliquer certains faits rép

ès permanent. Les seules variations qu'il présente sont relati\res au degré , à l'intensité des phénomènes qui le composent et

te quatre cas dans lesquels l'anesthésie a persisté au contraire à un degré très accusé. Cas I. — Fr. Amerso,72 ans. En aoû

côté gauche (face, tronc également aneslbésiés, quoique à un moindre degré ). La motilité est revenue : toutefois les membres

siège du môme côté que le tremblement (1). Elle existait à un haut degré chez un homme dont M. Magnan a communiqué récemme

-vementinstinctif, du doigt investigateur. Joignez à cela un cer-tain degré de gonflement de l'abdomen, et vous aurez l'ensem

res, cette manœuvre modifie seulement les phénomènes de l'accès, à un degré va-riable, sans en amener toutefois la cessation.

les membres qui, en général, inaugure la scène, est poussée à un haut degré ; le tronc est fortement recourbé en arrière, l'ab

tat rudimentaire les diverses formes convulsives qui se montrent à un degré beaucoup plus accentué dans les épidémies, C'est

la capsule interne, et existent au contraire toujours à un certain degré dans l'hémi-plégie, par lésion en foyer du cervea

ujours accompagnée — il au-rait pu ajouter : « et précédée » — par un degré correspondant de perturbation dans les fonctions

ure avait cessé. Chat... a conservé pendant quelques jours un certain degré de faiblesse dans le membre inférieur droit, prin

orte d'un côté du corps que de l'autre; l'hémianesthésie un certain degré d'émaciation des masses musculaires, un peu d'amo

idité des membres ne s'effaçait que lentement ou persistait même à un degré prononcé. A mon avis, tant que ces symptômes ne

iens) considère l'hystérie épileptiforme comme de l'hystérie ayant un degré de plus dans l'intensité des symptômes (2). Sandr

eux formes convulsives se montreront toujours combinées,bien qu'à des degrés divers, sans être jamais à aucun moment complète-

comme dans l'épilepsie vraie. Cependant, la face peut être à un haut degré tuméfiée, violette ; il s'écoule de la bouche un

hez la nommée C... entre autres, la phase tonique l'emporte à un haut degré sur les autres et quelquefois se montre presque e

pileptique, n'est à proprement parler que l'exagération, le plus haut degré de développement de cette variété de l'hystérie o

e, pour peu qu'elle ait quelque intensité, élève la tempéra-ture d'un degré , voire même d'un degré et quelques dixièmes (38°—

quelque intensité, élève la tempéra-ture d'un degré, voire même d'un degré et quelques dixièmes (38°— 38°, 5), tout comme le

resté dans le lit). Les pupilles sont moyennement dilatées et au même degré . Nombreuses vergetures surle ventre, le dos, les

s, la pie-mère se détache facilement et le cerveau est humide au môme degré . Hémisphère droit. Il pèse 5 gr. de plus que le

deux mois, et, par moments, les accidents ont été portés au plus haut degré d'intensité. Ainsi le 22 janvier, entre autres, l

, à grandes séries, la température s'élève très rapi-dement à un haut degré , en même temps que la situation devient des plus

roite, très nettement prononcée, fixe, toujours présente à un certain degré ; la douleur iliaque,par laquelle elle se manifest

plus, les sens spéciaux sont, eux "aussi, tous affectés bien qu'à des degrés divers. Il y a « anosmie » dans lanarine droite

correspond, comme c'est l'habitude en pareille occurence, un certain degré d'hémiamyosthénie. Ainsi, tandis que pour la main

regard est fixe,les traits sans mobilité. Ils expriment, à un certain degré , la stupeur et la tristesse. M. R... ne peut qu'à

dans les membres pour ainsi dire d'une façon permanente à un certain degré , on ne constate chez M. R... aucun trouble de la

sur du gris moins foncé...Lorsque l'anesthésie est portée au dernier degré , elle donne lieu à l'amaurose (1). u On doit à

actères de l'état nor-mal se montrent en quelque sorte exagérés à des degrés variés. Là, en effet, les divers cercles qui corr

ns les cas d'hystérie où. ce genre d'amblyopie sera parvenu à un haut degré . Le cercle du violet, — couleur centrale par ex

tion du rouge et des autres couleurs, en général, disparaisse. A un degré plus élevé encore de l'amblyopie hystérique, il p

l pour les couleurs se montre en même temps rétréci, à la vérité à un degré beaucoup moindre dans l'œil du côté opposé. C'est

'opinion qui ne voit dans l'hysléro-épilepsie à crises mixtes, que le degré le plus intense de l'hystérie, et pour éviter tou

nimés d'oscillations brèves et rapides dont l'amplitude aug-mente par degrés et qui se terminent par de grandes secous-ses gén

n soutenue par M. Charcot qui ne voit dans l'hystéro-épilepsie que le degré le plus intense de l'hystérie. On y trouvera auss

aussi, paralysé du mouve-ment, comme le supérieur, niais à un moindre degré cependant, bien que l'anesthésie y soit toute aus

endant, la contracture musculaire persiste encore, néanmoins, au même degré que par le passé. Elle peut, toutefois, être à so

'habitude dans un oeil sain, porter un jugement approximatif sur le degré de sensibilité rétinienne. On recherche si la dim

contente de présenter il l'oeil observé des index colorés à divers degrés de saturation. Cette exploration peut encore se f

rayon de courbure, uniformément noir sur sa face concave, gradué en degrés sur sa lace convexe, le zéro occupant le somm

anc du curseur est bientôt perçu par le sujet. On note alors le degré de l'arc auquel correspond le curseur et on r

ment où il pénètre dans le champ visuel, il est perçu. Un note le degré sur l'arc et on re- porte sur le schéma comme p

circulaire ' toutes les marques du schéma, on obtient, mesurée en degrés , la li- mite périphérique du champ vi- suel.

festations variables suivant le nombre des muscles intéressés et le degré de leur insuffisance. Etudions les principales

il faut le mesurer. Il est très important, en effet, d'établir le degré d'in- suffisance d'une fonction mo- trice du

18 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.. suration angulaire, en degrés , de la déviation. Le relevé sur le péri- mètre

en degrés, de la déviation. Le relevé sur le péri- mètre donne, en degrés , la mesure de l'angle d que fait la ligne visuell

que des globes, on peut, par d'autres moyens, mesurer exactement le degré d'insuffisance de cette fonction, le degré de p

s, mesurer exactement le degré d'insuffisance de cette fonction, le degré de parésie du ou des muscles atteints. Cette dé

d'action du muscle droit externe. On peut, par ce moyen, mesurer le degré de para- lysie du muscle, en suivre les aggrava

qui sépare l'oeil de la surface de. projection, on peut déduire le degré du stra- bisme. , Un tableau représentant la

r le tableau, dans le point occupé par la fausse image, quel est le degré de déviation oculaire. ' , On peut suivre sur c

..- . Avec le même tableau, on peut, par un autre moyen, mesurer le degré d'insuffisance des muscles parésiés. Le malade

position varient, on le conçoit, avec- les muscles paralysés et le degré de paralysie. ' " . On peut également utiliser

satrice de la réfraction du globe oculairc, c'est-à-dire un certain degré d'accommodation. Le verre concave oblige t'accomm

ns, non seulement constater l'existence, mais encore mes/{- l'er le degré de la inutilité réflexe de l'iris il la lumière.

Pour chacun des cheveux de la série, on a' déterminé à l'avance le degré de pression qu'il exerce au moment de son incur

en ascension vient se cacher sous la paupière en ptosis. On note le degré de l'arc périmétrique au niveau duquel l'index

périmétrique au niveau duquel l'index cesse d'être perçu. C'est le degré du ptosis. Normalement, l'oeil peut suivre l'ob

urémique, etc.). ' L'amaurose ne diffère de l'amblyopie que par le degré de diminution de la vue. La perle de la vision

nes importants (fig. 55). Il peut, en étendue, pré- senter tous les degrés . Modéré dans. la plupart des cas, il peut se déve

ontre de l'hémia- chromatopsie dans des hémianopsies incomplètes en degré , dans des hémianopsies en voie de régression; u

hromatopsie pourrait bien n'être qu'une hémianopsie incom- plète en degré . Hémianopsie hétérolatérale bitemporale. Dans l

s aurez une déviation transversale, car tous les muscles ont, à des degrés divers, une action transversale. Deux cas peu

Cette exploration au mur quadrillé permet au besoin de mesurer le degré de la paralysie oculaire et d'en suivre la marche

sens d'action du muscle grand oblique. La pupille est dilatée à des degrés divers, en général d'une manière modérée. L'acc

re, il existe une diminution de la fente palpébrale et un certain degré d'énophtalnlie. Dans les trois cas observés par

mènent une déviation latérale des yeux dans le même sens et au même degré , pour les deux yeux, sans strabisme et par suit

be. Dans le glaucome, la pupille se di- I;lté incomplètement il des degrés variables; dans certains traumatismes graves du

uleuse, etc.), alourdis- sent la paupière et déterminent un certain degré de chute palpébrale. La fente palpébrale est ne

, n'est pas toujours aussi accentuée; elle peut se rencontrer à des degrés divers. Les mouvements palpébraux peu- vent êtr

ta11111e, colobomes); albi- nisme ; anomalies de réfraction à hauts degrés ; cécité pour les couleurs; hémorrhagies rétinie

t mécaniques, deviennent infectieux. Ils peuvent présenter tous les degrés de gravité et amener de nombreuses complica- ti

orte d'amblyopie chromatique portant sur toutes les couleurs, à des degrés variables, il est vrai, mais n'en laissant aucu

ppareil nerveux sensoriel. Les affections rétiniennes amènent à des degrés variables la dyschroma- tohsic : rétrécissement

u blanc. Dans ces conditions, l'hémiadrrolllatopsie ne serait qu'un degré dans l'hémianopsie. Enfin, Y hystérie peut do

nflammatoire du nerf optique, pou- vant d ailleurs présenter divers degrés d'intensité. Névrite oprinE. Le volume, le sièg

-ci très accentuées. Symptômes objectifs : Une papillite à divers degrés d'intensité. Cepcn dant, dans les tumeurs céréb

ui nous intéresse particulièrement ici, l'hypoacousie présente des. degrés très divers, et il n'y a qu'une lointaine ressemb

ractère d'intensité et de gravité qui se rencontre rarement au même degré dans les surdités de transmission. Il y a don

: il en est ainsi dans la scarlatine, la diphtérie et, a un moindre degré , dans la broncho-pneumonie, la rougeole, etc. La

ant tout l'organisme. Mais cette violence peut pré- senter bien des degrés : il y a loin en somme de l'ictus du cardiaque

deux côtés, c'est vrai ; mais du côté sain se note encore un certain degré de résistance, de tonicité, d'élasticité; du cô

'ictus se produit une chute impor- tante ; le thermomètre accuse 56 degrés , parfois 55 degrés seulement. Trois il quatre h

ne chute impor- tante ; le thermomètre accuse 56 degrés, parfois 55 degrés seulement. Trois il quatre heures au plus après

e, il y a réascen- [MOUTIER.] 1 gO APOPLEXIE ET COMA. sion à 58 degrés ou 58", 5, et cette reascension est normale. Mais

t cette reascension est normale. Mais, si l'on vient à constater 30 degrés ou davantage, le pronostic devient grave. Il es

est peu près fatal si la colonne mercurielfe atteint 42 et mùllw 45 degrés . D'autres symptômes, pris isolément mais surtou

remontait. Pendant plusieurs jours, il est habituel de constater 58 degrés environ; mais si l'on voit le mercure dépasser 5

ater 58 degrés environ; mais si l'on voit le mercure dépasser 5 ! ) degrés , il atteindre 40 degrés et plus, le pronostic e

mais si l'on voit le mercure dépasser 5 ! ) degrés, il atteindre 40 degrés et plus, le pronostic est fatal. Ici encore se pe

sont à vrai dire loin d'être constants. La.température retombe à 57 degrés ,, l'intelligence renaît peu à peu, quelques mouve

es yeux (ecchymose sous-conjonctivale) et des pupilles; de noter le degré de résolution ou de paralysie, les contractures,

énements antécédents. Les sommeils morbides présenteront donc à des degrés variables des carac- tères opposés. Le degré

enteront donc à des degrés variables des carac- tères opposés. Le degré le plus atténué des sommeils morbides est la somn

sthénie extrême, de la céphalée, du tremblement lingual, un certain degré de myotonie, mais les troubles [MOUTIER.] 1 \

amais en état de résolution complète; il existe même fréquemment un degré notable de contracture. On observe tou- jours u

. L'anesthésié du léguaient est complète; il existe même un certain degré d'anesthésie ou mieux d'inhibition sensorielle

lleurs de façon intelligible, limités seulement sur ce point par le degré de leur paralysie motrice. Il existe; un autre

aire. Cette variété d'anarthrie est celle qui, se combinant avec un degré plus ou moins accusé d'aphasie de Wernicke, réa

nt encore alnonnés, chevrotants. Le malade hésite enfin, un certain degré de bégaiement apparaît. Ce n'est pas il propremen

t, les idées peu lucides. A ce syndrome coopèrent en général, à des degrés variables, la dysarthrie linguale et l'affaibli

d'imbécillité ou d'idiotie modérée (on peut être minus habens à des degrés très divers). Dans la sclérose cérébrale infantil

paralytique général tremble eu effet et présente parfois un certain degré d'ataxie. Ce tremblement et cette ataxie devien

u non dans tous les détails. Quand on se sera ainsi rendu compte du degré de compréhension du malade on pratiquera un exa

l plutôt que graphisme réfléchi. Si l'écri- ture persiste à quelque degré , on y remarque les mêmes troubles que dans le l

en étant sensible, est loin d'être absolue. Il persiste un certain degré de dysarthrie; les mots sont émis avec etfort, fr

e s'accroît. L'on peut constater alors et tout à la fois un certain degré de celte dysar- thrie spéciale que nous avons é

e dysar- thrie spéciale que nous avons étudiée, à côté d'un certain degré de para- et de jargonaphasie. La prononciation

est toujours altérée ; - il existe toujours, au début du moins, un degré variable de surdilé verbale. L'alexie. Si l'exi

inution de l'intelligence, d'une altération motrice et d'un certain degré d'anesthésie. Il en est ainsi notamment chez le

. Certains autres ont ces mêmes craintes des maladies poussées Ù un degré excessif, angoissant, on ne peut les raisonner;

a que de celle dont le placement sera réclamé, et l'indi- cation du degré de parenté ou, a défaut, de la nature des relatio

ssement, ou si le médecin signataire est parent ou allié, au second degré inclusivement, des chefs ou propriétaires de l'

t de celle dont le placement est réclamé, ainsi que t indication du degré de parenté ou de la nature des relations qui exis

i médecin attaché à l'établissement, ni parent, ni allié, au second degré inclusivement, des chefs ou proprié- taires de

gardé la reconnaissance des lieux, des personnes, des objets. A un degré moins avancé, elle peut se manifester surtout pou

quand l'idiotie est coll- ptete;silona afïaireadesidiotsde moindre degré , cette sensibilité peut arrivera être plus évei

es facultés intellectuelles existent élans cette variété, mais à un degré très minime : il y a perversion des instincts.

tion tactile (anesthésie ou hyperesthésie), mais encore : ' 1° le degré de la perception tactile ; 2" la localisation d

erons une fois pour toutes il propos de la sensibilité tactile. l Degré de la perception tactile. On l'apprécie au moyen

se s'appelle l'épuisement des sensations. Toutes ces données sur le degré , ia localisation, l'interprétation, etc., des i

e chaud, de l'eau tiède. On ne doit pas dépasser, pour le chaud, 50 degrés ; à une température plus élevée, l'excitant perd s

le froid, ou choisira un corps dont la température est voisine de 0 degré . On ap- plique alors les tubes pendant quelques

se pour des températures s'approchant de celle de la peau, entre 25 degrés et 27 degrés C. Tandis que la peau des joues et

empératures s'approchant de celle de la peau, entre 25 degrés et 27 degrés C. Tandis que la peau des joues et des tempes d

s de 4/10-7/10 C., celle du dos n'apprécie que des dillérences de 1 degré C. Tableau des différences de degré de températ

précie que des dillérences de 1 degré C. Tableau des différences de degré de température perçues par la peau (d'après Not

une sensation spé- ciale « sui generis », qui nous renseigne sur le degré de la pression exercée en un point du corps et

périeurs. Les deux membres inférieurs peuvent être atteints au même degré , mais le plus souvent ils le sont à des degrés

être atteints au même degré, mais le plus souvent ils le sont à des degrés différents. Parfois les troubles scnsitifs, comme

, l'intensité des troubles sensitifs pourrait servir à apprécier le degré de compression médullaire (VanGehuchten)('). .

rieures peuvent être lésées séparément ou simultanément, mais à des degrés différents. Enfin, lorsque la moelle participe à

symptôme primordial de l'affection, ils ne sont que le résultat du degré de SlIggeslibi/it(> ou d'fn<<o-.s'Uf/<

ite. Il n'y a entre ces deux troubles morbides qu'une différence de degré . Des névralgies se constatent au début des fièv

tion de stovaïne il 1 pour 100. L'alcool employé est au titre de 80 degrés (préparé avec de l'eau distil- iee en partant d

que la fatigue arrivait, et enfin, si celle-ci était poussée il un degré très marqué, par exemple, s'il existait du trem

iplégique chez un tabétique que s'ils persistaient même à un faible degré . Tout ce que nous venons de dire du réflexe rot

d il se joint à cette aboli- lion des réflexes rotuliens un certain degré d'ataxie des mouvements, des troubles sensitifs

anatomique et fonctionnelle de l'arc nerveux réflexe; 2° Un certain degré de tonus nerveux est indispensable dans les cel-

la face est assez souvent, mais non toujours, atteint d'un certain degré de parésie; celle-ci porte surtout, mais non pas

un observateur attentif notera dans l'atti- tude du malade, dans le degré et les modalités de l'impotence fonction- nelle

our le projeter en avant [démarche pendu- /([11'e). Dans un dernier degré évolutif rarement atteint, des contractures int

quentes et prononcées. Elles ne se rencontrent pour ainsi dire à ce degré dans aucune autre affection, si ce n'est peut-ê

spasticité que paralysie. En réalité, celle-ci existe et même à un degré notable, mais la force musculaire est atteinte

n sont croisées par adduction forcée, le clonus existe au plus haut degré ; l'anesthésie s'étend aux membres inférieurs et

PLÉGIE. ' par exemple. L'instauration rapide des contractures, leur degré excessif l'absence d'atrophie seront plutôt en

tion lente, sans troubles des sphinc- ters en général. Il existe un degré variable mais nécessaire d'atrophie musculaire.

etière. Les réflexes ten- dineux sont abolis proportionnellement au degré d'atrophie, et l'on constate des secousses fibr

ables et bientôt la marche devient impossible. On peut constater un degré variable de contracture; la paralysie peut être a

érose des cordons postérieurs détermine une certaine titubation, un degré très variable d'incoordination. Les troubles sp

mais amènent une élévation moindre du bras qui forme un angle de 4J degrés avec l'horizon. Quant aux faisceaux moyens, ils

possibilité de rapprocher les doigts étendus caractérise le premier degré de la paralysie des interosseux. La paralysie

rminent l'abduction de la cuisse, sa rotation en dedans et un léger degré de flexion. Les faisceaux postérieurs du muscle

rminent l'abduction de la cuisse, sa rotation en dehors et un léger degré d'extension. Les fais- ceaux moyens sont presqu

ui seul qui presque toujours est atteint. On observe, pour un léger degré de contrac- ture, l'inclinaison de la tête du c

e du côté malade; si la contracture est plus forte, il y a un léger degré de rotation qui porte le menton vers l'épaule d

re, il est le muscle de la joie (Duchenne) dont il traduit tous les degrés et toutes les nuances depuis le plus simple [G.

laires, il est très fréquent de voir certains muscles présenter des degrés de para- lysie différents, certains muscles rec

façon presque constante. Le pronostic de ces paralysies dépend du degré des lésions radicu- laires causées par le traum

se traduit par des phénomènes très caractéristiques, mais avec des degrés d'intensité variable. Il peut consister seulement

ait qu'il ne faut pas perdre de vue quand on cherche à apprécier le degré d'une amyotrophie. SIGNES DE L'ATROPHIE MUSCULA

ne fonctionnelle qui est presque toujours le premier signe, mais le degré de ce trouble est essentiellement différent dan

ique de la colonne vertébrale est indispensable pour l'accentuer au degré où on le rencontre parfois. Dans toutes les for

e de Thomsen. On peut aussi observer chez les myopathiques tous les degrés entre l'hypertrophie ou la myotonie localisée j

'elle présente avec cette affection est l'absence ou le très faible degré de la pseudo-hypertrophie. Or, la pseudo-hypertro

ie Charcot-Marie ou Werdnig- Hoffmann au niveau des muscles dont le degré d'atrophie était favorable. s) Les modification

ue, les fonctions sont souvent remarqua- blement conservées pour le degré de l'atrophie; l'adaptation des membres aux dif

Marie. La marche de la maladie est extrêmement lente : arrivée à un degré très avancé la maladie n'a même plus l'air de p

ertrophie ne se trouve ni dans l'atrophie Charcot-Marie ni, au même degré , dans aucune maladie connue; , 2° Une cypho-s

es antérieures de la moelle, mais celle-ci se manifeste suivant son degré d'intensité par des lésions appréciables, soit da

o('), Parton Ct Popesco ('), l'amyo- trophie serait constante, à un degré variable, chez les hémiplégiques et due à la

ensité des douleurs; elle est diffuse et atteint a peu près au même degré l'en- semble des muscles d'un même serment de m

e que nous avons étudiée et ta maladie de Thomsen une différence de degré en intensité et en étendue plus qu'une différen

ire ou électrique myotonique) qui ne sont que la manifestation d'un degré plus ou moins avancé d'une même lésion. \ /¡;

ité des appareils sensitifs par lesquels le sujet se rend compte du degré de contraction de ses muscles et la situation r

ivent se contracter synergiquement un influx moteur proportionné au degré nécessaire de leur contraction ; 4° l'inté- gri

e devant ses yeux. On peut déceler nettement la perte il un moindre degré de l'équilibre statique des membres inférieurs

peu près normale, soit par une sorte d'adaptation de l'individu au degré atténué de ses sensations, par un perfectionne-

ataxie d'origine médullaire et radiculaire se joignent souvent à un degré variable, des symptômes d'ataxie cérébrale ou b

e spasmodique joue le rôle important, associée seulement à un léger degré d'incoordination (sclérose combinée à forme spa

s net- tement unilatérale (hémiataxie). L'héntia.taxie existe, à un degré plus ou moins accusé, dans des cas d'hémiplégie

ne se rencontre que dans les cas où la sensibilité est affectée à un degré quelconque du côté de l'hémiplégie, tout spécia

ième neurone sensitif*, ait il intervenir. Ce que nous avons dit du degré toujours incomplet de l'hémiancsthésie cérébrale

endantes. Il sent donc ses muscles se contracter, il a la nolion du degré de leur contraction et, par suite, de la positi

le strabisme, qui peuvent y con- tribuer pour leur part à un faible degré ; l'asthénie, plus ou moins accusée, mais sans p

s jambes droites, et tombe en arrière bien avant d'avoir atteint le degré de courbure qu'atteindrait l'individu sain. L

t conservé et parfois même exagéré. Le céré- belleux, qui sent le degré de contraction de ses mtiscles, peut, a 1 op- p

ses mtiscles, peut, a 1 op- posé de l'ataxique, les maintenir à un degré invariahle de contraction Fig. 10 et 11. L'équi

nie musculaire existe toujours chez ces malades (Sureau), mais à un degré bien moindre que dans le tabès. Des phénomènes pa

INATION ATAXIQUE Origine : trouble sensitif : perte de la notion du degré de contraction des muscles. Caractères : Il M

es mouvements, qu'il sache apprécier dans chaque cas le siège et le degré des troubles sensitifs, la nature des mouvement

plus appropriés à rendre à ces mouvements, simples ou complexes le degré de coordination suffisant au rôle ordinaire qui l

nner à ces deux séries d'exercices varie naturellement sui- vant le degré de l'ataxie à chaque période de la cure. Les exer

lexes; dans les séances ultérieures, quand on sera renseigné sur le degré et le siège de l'ataxie, on éliminera les mouve

our la rééducation de la marche, c'est un escalier de deux ou trois degrés bas et larges, muni d une rampe ou de deux ramp

he la nuit, etc.); on y recourra ou TECHNIQUE. 795 non suivant le degré de sensibilité et suivant le degré de rééducation

TECHNIQUE. 795 non suivant le degré de sensibilité et suivant le degré de rééducation que e l'on aura pu obtenir. Da

la hanche présente presque tou- jours chez les ataxiques un certain degré d'hypoesthésie qui rend difficile le maintien e

esser ensuite le tronc et à l'in- cliner du côté opposé. Un léger degré d'hypotonie peut parfois être plus avantageux que

mal les condyles articulaires du fémur sur les plateaux tibiaux. Un degré plus accentué d'hypotonie [A. LÉRI.] 796 TRAI

S INCOORDINATIONS. cices seront, bien entendu, variables suivant le degré de l'incoordination. D'une façon générale, la r

aux (thymus). Pour Brissaud, le syn- drome d'Erb-Goldflam serait le degré le plus faible des polio-cncéphalo- myélites. N

ettres et par l'irrégu- larité et la confusion quand il s'agit d'un degré plus avancé. Ce tremble- ment peut également se

gèrent. Enfin il ces mouvements s'ajoute le plus souvent un certain degré de contracture avec des raideurs musculaires qui

étal, mais non pendant La conscience intervient ou disparaît à des degrés ou ci des II/Olllents dil'e1'S» (Jleige). Le ti

e en tache d'huile, serpigineux, ambulant, erratique, migrateur. Le degré d'envahissement le plus accentué est représenté p

signifiante. On constate assez souvent chez les tiqueurs un certain degré d'inhabi- leté, de maladresse à exécuter des mo

ments cloniques exagèrent la dévia- tion. On peut observer tous les degrés dans la forme, dans l'intensité, dans la persis

e torticolis mental, dont le torticolis d'habi- tude est un premier degré ), soit essentiels (c'est-à-dire sans cause connue

ut. Certaines ne se limitent pas aux muscles qui interviennent à un degré quelconque dans l'acte d'écrire, si nombreux qu

ies spontanément ollimpo- sées par autrui, à la faveur d'un certain degré d'affaiblissement intel- lectuel. La catatonie

les troubles que nous venons de décrire, l'hypotonie, sui- vant le degré auquel elle existe, peut entraîner des attitudes

des attitudes exagérées : dans les mouvements provoqués, mais à un degré plus accentué, elle entraîne des attitudes perm

. La presque tola- . lité des troubles trophiques peut même, il des degrés divers de fréquence ou d'intensité, se rencontr

illeurs, il est fréquent, dans cette maladie, d'observer un certain degré de sclérodermie. des phalanges.' La sclérodacty

ilantes des membres sont en somme assez fré- quentes. Au plus bas degré de l'échelle se trouve la maladie de Raynaud.

t, d'autre part, observer des fièvres continues qui persistent à un degré minimum pendant assez longtemps. On peut enfin di

ès leur élévation de température : fièvres légères a 58 et quelques degrés ; lièvres modérées a 59"; lièvres fortes a `0°;

ntre les deux membres une diffé- rence d'un demi-degré ou de 2(5 de degrés . La température peut s'élever encore dans un ce

pérature comme dans l'hémorragie; celle-ci s'élève brusquement à 40 degrés pour revenir ensuite à son degré normal. Dans Y

celle-ci s'élève brusquement à 40 degrés pour revenir ensuite à son degré normal. Dans Y épilepsie, quand les accès se su

iable, et les signes généraux manquent ou sont peu proportionnés au degré de la fièvre. Il convient de faire à propos de ce

nes et d'assez courte durée, les névralgies vésicales atteignent un degré extrême et prennent des- caractères spéciaux dans

. La quantité qu'on doit évacuer à un premier sondage varie avec le degré de la distension; on ne peut fixer de chiffre, ma

rai. Cette contraction prématurée du sphincter détermine un certain degré de rétention d'urine incomplète, très peu marqu

laires ou d'ondulation, de reptation sur place, coexistant avec un degré variable d'atrophie de l'organe. Le, plus ordin

quente mais peu intense; enfin avec la dysarthrie peut coïncider un degré variable d'aphasie. Il convient d'insister sur

e cure est longue et lente, non exempte de rechutes; car souvent le degré de cachexie et de maigreur est stupéfiant, et le

ie du plexus coeliaque, l'asthénie, la pesanteur des digestions, un degré de ptôse ou de dilatation variables, une langue

des perversions telles que la géophagie. la coprophagie, etc. A un degré plus léger, ces perversions se retrouvent chez le

érophagie et non de fermentations (Mathieu). Il existe du reste des degrés dans l'aérophagie, il y a loin de l'aérophagie

t-Germain). Les différentes extrémités articulaires présentent à un degré plus ou moins accusé des hypertrophies ou nouures

détermination des attitudes vicieuses de la main s'associent il un degré variable suivant les cas des atrophies musculaire

La main est dans l'extension forcée sur l'avanl-bms avec un certain degré de supination. Cette altitude est due à 1 atrop

scles innervés par le radial, extenseurs et supinateurs. Suivant le degré variable d'atrophie, de paralysie ou de contrac

ed analogue à celle de la main. Les pieds participent, à un moindre degré que les mains, à l'allonge- ment et à l'amincis

ypertrophie de l'extrémité inférieure de la jambe et, il un moindre degré , de son extrémité supérieure. 10 a Sl.)11;10t

postérieurs de la jambe sont presque toujours touchés à un certain degré en même temps que les muscles aniéro-ealorncs, ra

autres), par la cambrure exagérée du pied, souvent par un certain degré d'équinisme. " Les pieds-créux acquis sont ,

e. " Les pieds-créux acquis sont , toujours combinés à un certain degré de pied-bot : les principaux sont le. talus p

nt de la voûte plantaire. Ils sont simples ou combinés à un certain degré de pied-bot. Ils sont congénitaux ou acquis.

s'ac- compagne pas de pied-creux, mais le plus souvent d'un certain degré de pied-bot équin. On observe sa forme paralyti

ension cherchée, on serrera la vis de pression. maintenant ainsi au degré voulu l'écartemeut des deux branches et l'on ap

tion est bien faite, on perçoit, surtout par les doigts, un certain degré de frottement des branches aux extré- mités du

L'ossification est incomplète; et ces pauvres êtres sont au dernier degré de l'échelle intellectuelle. Ils mènent une vie p

le sevrage; et ces idiots, propres et doux, éduquables à un certain degré , vivent parfois jusqu'à 40 ans. L'arrêt trophique

nt pas de surdité, com- prennent quelques phrases, ont un certain degré de mémoire, sont parfois suscepti- bles de mani

fisance respiratoire qui l'accompagnent. , Asymétries : un certain degré d'inégalité est habituel. Dans tous ces cas, il

ire également des arrêts de déve- loppement intellectuel à tous les degrés . Stigmates dystrophiques de l'hérédo-syphilis.

à quelque lésion sous-,jacente, ou être diffuse et témoi- gner d'un degré variable d'hypertension inlra-cranienne. Bechtere

phalo-rachidien, à l'état normal; le liquide céphalo-rachidien a un degré cryoscopique inférieur à celui du sang, c'est-à

n liquide est hyper ou hypotonique ; mais on ne peut pas mesurer le degré exact de l'isotonie; cependant en ajoutant au l

ante centimes au maximum. 5° On porte les deux lames à l'étuve à 37 degrés pour les faire sécher, ou on les laisse exposée

e la hauteur de ce triangle, On enfonce l'aiguille obliquement à 20 degrés sur l'horizontale jusqu'à ce qu'on ait perforé

s que dans certaines formes chroniques, d'origine méningococciques ( degré ) ou tuberculeuses (Delamare et Merle), qui, seu

tal présente une ascension brusque de sa température qui monte à 3H degrés ou 59°, 5; le pouls se ralentit (54) ou s'accélèr

matique que dans la forme précédente, : la fièvre ne dépasse pas 58 degrés ou 58",5; le pouls s'accélère, bat 130 fois à l

n brusque et possèdent une tolérance inversement proportionnelle au degré de perfection cérébrale du sujet en expérience.

corps étranger suivant deux inci- dences successives variant de 40 degrés il 90 degrés; 2° régler le' compas en reconstit

er suivant deux inci- dences successives variant de 40 degrés il 90 degrés ; 2° régler le' compas en reconstituant matériel

orptions supcrncieNes considérables : cette qualité est fonction du degré de raréfaction des ampoules : : )0 la notion des

ous avons vue déjà pour les courants galvaniques. Pour apprécier le degré d'excitabilité d'un nerf ou d'un muscle, on note

s dont l'excitabilité est altérée, on pourra juger par comparaison du degré de ces altérations, 11 la condition de tenir co

son du degré de ces altérations, 11 la condition de tenir compte du degré d'excitabilité propre que les divers nerfs et m

in de rechercher si l'anesthésie est complète ou pour déterminer le degré d'hypoesthésie qui existe. Ces courants forts p

lement sur l'excitabilité mais encore sur la résistance. Lorsque le degré de l'excitabilité faradique ne peut être déter-

paraison avec des sujets différents C) ou par compa- raison avec le degré d'excitabilité de nerfs ou muscles différents de

nce ; leur pronostic est plus grave et se trouve conditionné par le degré de la réaction de dégénérescence, ainsi que nou

'observe dans les diverses formes de myopathies, proportionnelle au degré des altérations muscu- laires. Quand celles-ci

ité n'est pas abolie, mais elle est le plus souvent diminuée, à des degrés divers suivant les cas. La diminution de l'excita

hroniques. Les muscles, en effet, ne sont souvent pas altérés au même degré dans leur totalité, ou dans leur plus grande pa

senté avec ses caractères d'acuité bien accusés. En rapport avec le degré des lésions, elle se montre complète dans la sp

allures assez semblables ; elle suit un processus aigu; suivant le degré des lésions radiculaires elle est complète ou s

e ; la réparation cependant peut être incomplète, soit en raison du degré des lésions des racines, soit par suite de lési

t que transitoire, l'absence ou la présence de la DR d'une part, le degré de la DR d'autre part, ont. une signification i

ns généralement curables, dont la durée peut être prévue d'après le degré de la DR partielle ; plusieurs mois au moins sont

ra d'une façon positive et on ne pourra juger de sa forme et de son degré qu'après deux il trois semaines. C'est à partir

couvant induit une sensation brève et rapide de picotement dont le degré est en rapport avec l'intensité et la tension d

nt dite (quelques heures) pratiquée à l'étuve il paraffine (40 à 54 degrés ). a) Premier bain dans un mélange de paraffine

54 degrés). a) Premier bain dans un mélange de paraffine molle (55 degrés il 40 degrés) dissoute dans l'huile de cèdre à

a) Premier bain dans un mélange de paraffine molle (55 degrés il 40 degrés ) dissoute dans l'huile de cèdre à saturation. b

saturation. b) Deuxième bain dans un mélange de paraffine dure (45 degrés à ,il degrés). Ce bain devra être renouvelé deu

b) Deuxième bain dans un mélange de paraffine dure (45 degrés à ,il degrés ). Ce bain devra être renouvelé deux ou trois fois

orer « les gaines de myéline en noir et de permettre d'apprécier le degré « d'atrophie des racines postérieures dans leur

de .Millier pendant quatre à six semaines. Le séjour à l'utuve à 57 degrés active le durcissement, mais le durcissement à fr

Besoins, sensations internes, cénes- thésie, 578. - tactile, 285. - Degré de la perception tactile, 285. Loca- lisation

gliger aucun détail, assignant à chacun une place en rapport avec son degré d'importance. Unouvrage de ce genre n'est point e

ar l'oreille droite une musique céleste qui l'exaltait au plus haut degré « Quelques sujets, dit Calmeil, affirment que l

Hystéro-épilepsie. 2° troubles des sécrétions Le ptyalisme, à un degré varié, se retrouve dans le début môme de l'attaqu

are, il est vrai. Et l'on conçoit parfaitement que l'anesthé-sie à un degré quelconque puisse intéresser l'un des sens, sans

uvement instinctif, du doigt investigateur. Joignez à cela un certain degré de gonflement de l'abdomen, et vous aurez l'ensem

peut à peine serrer. Du côté gauche la sensibilité existe à un faible degré ; la main gauche, tout en ayant plus de force que

ar les seuls progrès de la marée hystérique, dont le flot monte par degrés , la période épileptoïde est précédée de quelques

é du corps seulement; tantôt la respiration bruyante se précipite par degrés . Pendant les quelques secondes que durent ces p

mblée à son maxi-mum. Elle débute d'une façon brusque ou s'accuse par degrés , comme le montre la ligne de début de nos tracés.

s du corps dont tous les muscles sont déjà contractés à un assez haut degré ; de plus, ils sont étendus, ils produisent un dép

n phénomène important à signa-ler, car il ne se rencontre pas au même degré dans l'épilepsie vraie, ous avons pu, M. Régnard

vient en quelque sorte la fixer. Marc..., qui présente à un si haut degré les grandes convulsions toniques dont nous avons

ue la résolution s'opère le corps s'af-faisse peu à peu et quitte par degrés l'attitude tétanique qu'il avait. En môme temps l

tranger. La résolution musculaire peut être incomplète, et un certain degré de contrac-ture persister clans tout le corps ou

raissant d'abord à des intervalles éloignés, elles se précipitent par degrés , puis tout d'un coup : 1° Phase tonique. — a) G

re du dos (fig. 36); tantôt, au contraire, la tête portée, au dernier degré de l'extension, se rapproche des talons et la fac

ne relation avec la tétanisation. Ils ne sont pas compatibles avec un degré quelconque de contracture, et une des condition

a face augmente, la sueur perle sur le visage, et, arrivée au dernier degré de violence et de rapidité, la malade retombe épu

phase qui présente à un haut Fig. 82. Quatrième période. Zoopsie. degré les principaux caractères que nous assignons à la

e à grandes séries, la tem-pérature s'élève très rapidement à un haut degré , en même temps que la situation devient des plus

1879, avec M. le Dr Lepère, une jeune fille qui présentait à un haut degré la plupart des signes de la grande hystérie et do

ienne, et immédiatement, ou au bout de quel-ques secondes, suivant le degré de résistance des muscles abdominaux, mademoisell

e point de se terminer, le pouls de l'avant-bras se rétablis-soit par degré , les battements des carotides diminuoient en forc

RIÈME OBSERVATION 1. Sur une attaque d'hystérie portée au plus haut degré , recueillie par le citoyen Séverin Marestant, méd

a thèse inaugurale (Dissertation sur l'hystérie,! 833) distingue deux degrés dans l'expression symptomatique de l'hysté-rie :

ec perte deconnaisance. Dans la description des symptômes du deuxième degré , on retrouve facilement les grands traits de notr

t les caractères de la troisième et de la quatrième période. Second degré . — Il est caractérisé par la perte de connaissanc

des sanglots et des larmes abondantes. Alors la malade re-tombait par degrés dans le calme et l'assoupissement. Après quelques

rait vivement être guérie de ses attaques. Elle ne présentait à aucun degré ce besoin morbide de sympathie et cette exagérati

e lente, mais sûre, en allant du simple au composé, en remontant, par degrés insensibles, du fait connu et incontestable au fa

sé qu'il fait des crises de l'hystérie vulgaire. Il distingue trois degrés , suivant la violence des symptômes. 1er degré.

Il distingue trois degrés, suivant la violence des symptômes. 1er degré . —Peut se résumer ainsi : boule hystérique, suffo

ougit et pâlit alternativement; les extrémités se refroidissent. 2e degré . — «. ... L'invasion est presque toujours subite,

et tour à tour reconnaissent leurs parents ou leurs amis, etc. » 3e degré . — A la suite des accès convulsifs très violents,

ents, sorte de collapsus, mort apparente. « Dans d'autres cas le 3° degré est caractérisé par un autre ordre de phé-nomènes

venant par accès irréguliers, etc.1... » En résumé, dans le premier degré , nous retrouvons les divers phénomènes de l'aura

retrouvons les divers phénomènes de l'aura hysterica; dans le second degré , des signes épileptoïdes évidents, puis l'indicat

risent notre troisième et notre quatrième période ; dans le troisième degré , en dehors des cas de collapsus et de mort appa-r

bisme hystérique. « Ce clonisme ne se soutient pas toujours au même degré d'intensité. Il y a par moment une rémission qui

de connaissance ne signifie rien par elle-même ; elle n'indique qu'un degré d'intensité de plus. (.( Les accidents cérébrau

donc rationnel de ne voir dans ces deux formes de l'hysté-rie que des degrés différents d'une môme maladie dont les mani-festa

nt timide, craintive, effrayée, puis ses terreurs augmentent à un tel degré , qu'elle appelle partout du secours. Cette peur e

les femmes hystériques, lorsque l'excitation sera portée à un haut degré , il pourra se manifester des effets analogues à c

à sou-tenue par M. Charcot qui ne voit dans Thystéro-épilepsie que le degré le plus intense de l'hystérie *, et non l'hystéri

attaque épileptoïde isolée et Tétat de mal épileptoïde, il existe des degrés intermé-diaires. Ainsi l'on voit les attaques, au

deux mois, et, par moments, les accidents ont été portes au plus haut degré d'intensité. « Ainsi le 22 janvier, entre autres,

u et suit également ce mouvement de torsion qui ne se produit que par degrés et comme par saccades. Au fur et à mesure qu'il s

sidérable, de quarante par exemple en cinq minutes. » ..... Dans le degré le plus fort (de la commotion épileptique) tout e

é et en se complétant, jusqu'à ce qu'enfin, après avoir passé par les degrés intermédiaires de « commotions » variées, ils se

période, dont les symptômes se trouvent alors portés à leur plus haut degré de développement. Supposez une seconde période

ureuses. Mais l'attaque de contorsion n'existe pas toujours avec ce degré de violence qui lui a mérité le nom d'attaque dém

u'à ce jour, aucun accès va-poreux. Sa paralysie était à un si haut degré , qu'elle était insensible à une épingle enfoncéiî

d'agitation: ils en sont comme les signes avant-coureurs, et par leur degré d'intensité on peut, jusqu'à un certain point, pr

i adressaient ces voix atteignit dans cette période de la ma-ladie le degré le plus élevé, et les intervalles de lucidité, da

n a jamais eu. Nos malades, chez qui l'hystérie présente à un si haut degré la forme convulsive, nous ont fourni peu d'occasi

te de la volonté, et que nous étudierons plus loin dans son plus haut degré de développement, parmi les phénomènes psychi-que

té, du merveilleux, du surnaturel est porté chez les hystériques à un degré qui reste au-dessus de tout ce qu'on peut imagine

l'agitation maniaque. L'excitation cérébrale est portée au plus haut degré , et atteint toutes les facultés à la fois. Nous e

otisme les plus mar-qués. Et de même que l'hystérie se rencontre à un degré moindre chez un grand nombre de femmes et chez qu

ours complète ; chez B.par exemple, souvent la tête conserve un léger degré de roideur. La malade étant assise, le dos renver

e avec hyperexcitabilité muscu-laire, la catalepsie existe à un léger degré dans les membres supé-rieurs, quelquefois dans un

rfait, car le membre soulevé ne tarde pas à retomber peu à peu et par degrés , suivant la loi de la pesanteur. Il suffit d'ouvr

ement caractérisés. Dans le premier persiste, il est vrai, un certain degré de catalepsie, mais la catalepsie est impar-faite

anesthésic cutanée est complète, les sens sont conservés à un certain degré et demeurent comme une voie ouverte par la-quelle

. Naturellement chaque malade se crée son paradis en rapport avec son degré d'instruc-tion et la richesse de son imagination.

donnée à elle-même, l'hallucination provoquée finit par s'effacer par degrés et disparaît spontanément laissant toujours la ma

t hémiléthargique de ce côté) ; mais l'hallucination persiste au même degré , et les mouve-ments en rapport avec elle ne se pa

diatement l'attaque a lieu. troisieme observation. — des differents degrés de l'État cataleptique Les phénomènes d'autom

plus qu'une statue, et l'état cata-leptique persiste toujours au même degré . Wit... Dub... et Gl... rentrent dans cette catég

re augmentant peu à peu, l'état cataleptique des membres s'accuse par degrés et s'af-firme complètement lorsque la dose de lum

lumière est supprimée gra-duellement, la léthargie revient aussi par degrés . Lorsque an contraire la suppres-sion de la lumiè

sions et paraissent d'une légèreté extrême. Mais il peut exister un degré variable de rigidité musculaire, qui a fait compa

oquée. Cependant, le muscle conserve la propriété de proportionner le degré de sa contraction à l'effort qu'il doit vaincre.

ambulisme naturel. Dans les deux cas les sens persistent à un certain degré , mais exclusive-ment bornés au cercle restreint d

lle avait une affection 2" Les sens persistent parfois à un certain degré (le plus sou-vent ceux du côté hémianesthétique à

res partielles. La contracture cède à la friction. Parfois un certain degré de catalepsie incomplète et partielle (Obs. VII,

Nous atons dit que la léthargie s'accompagnait parfois d'un cer-tain degré de raideur généralisée. Il est facile de comprend

de clignotement des paupières. 4° Les sens persistent à un certain degré , y compris celui de la vue (même lorsque les yeux

e coma et de léthargie, parce qu'elles ne lui paraissent être que des degrés de la même modification pathologique. L'étude que

'intelligence qui indiquent que la connaissance persiste à un certain degré . « Entendez-vous? » — Elle fait un léger signe af

t générale et complète. La sensibilité spéciale persiste à un certain degré , à droite; de l'œil droit, le regard suit le doig

nt le siège d'un état cataleptique dont l'intensité varie. Au premier degré , les membres sont souples et conservent les attit

uples et conservent les attitudes variées qu'on leur communique. A un degré un peu plus intense, les membres, tout en étant s

. Enfin, dans certains cas qu'il est rationnel de considérer comme le degré le plus intense de l'état cataleptique, la raideu

absolue. Ce contraste pourrait bien, en somme, ne répondre qu'à des degrés divers de la même modilicatiou cérébrale, liés pa

degrés divers de la même modilicatiou cérébrale, liés par de nombreux degrés intermédiaires: cataleptique, nous nous content

s comme organes de sensations spéciales, peuvent conserver un certain degré d'activité, dans une direction spéciale; Poubli l

ment la physionomie de l'épouvante était poussée chez elle au suprême degré . Je m'approchai d'elle et la pris par les bras, e

ui a lieu pendant la quatrième, la persistance de la conscience, à un degré variable, en est un des principaux caractères. Le

bilité générale. L'anesthésie sensitive en effet peut exister à des degrés très dif-férents, depuis une diminution légère de

mplète. On désigne habituellement sous le nom d'a-nalgésie un premier degré de perte de la sensibilité, dans lequel la sensat

uivre en aucune façon la marche de la sensibilité. Quel que soit le degré de l'anesthésie, les malades en sont rare-ment gê

écir concentriquement d'une façon plus ou moins accentuée, suivant le degré de la maladie, mais conformément à la loi reconnu

e bleu, le jaune et enfin le rouge disparaîtront successivement. Au degré le plus élevé de l'achromatopsie hystérique toute

de là pratique. Dans le diagnostic de l'achromatopsie hystérique le degré de l'af-fection est en relation directe avec le n

érie, la perte du violet, qui est la couleur la plus centrale, est le degré le plus léger de ce trouble fonctionnel. Une hy

s inférieurs à celui d'un Daniell), on rencontre alternative-ment des degrés où sont produits les effets du métal, et d'autres

ets du métal, et d'autres où ils ne le sont pas. Au delà d'un certain degré (un Danièll) les cou-rants de toute intensité pro

ève à mesure que la sensibilité reparaît, et peut monter de plusieurs degrés . Ce n'est pas tout : M. Burq constate, au moyen d

icat et plus minutieux à observer. Il ne s'agit que de différences de degrés dans la sensibilité. ^Si la sensibilité augment

es couleurs dans cet œil, précisé-ment suivant l'ordre indiqué par le degré d'étendue du champ vi-suel pour chacune d'elle. A

(amyosthénie de Burq). Cet état peut être considéré comme le premier degré de la paralysie hystérique. La paralysie hystér

oquée. D'un autre côté, « le phénomène du genou » existe à un certain degré à l'état normal, c'est un fait d'ordre physiologi

contractilité musculaire nous a montré que les membres atteints, à un degré variable, de parésie présentent, en outre d'une f

soient symptoma- tiques d'un même état morbide, celle-ci révèle un degré assez avancé d'une affection dont les débuts sont

. Si les membres du côté hémianesthésique présen-tent à un assez haut degré les caractères des hémiparésies avec contracture

un retard ap-préciable, est animé d'une secousse correspondante. Par degrés insensibles, ce retentissement des symptômes du c

lus saillants de la contracture hystérique perma-nente réside dans le degré de son intensité. Le membre atteint est d'une rig

de cause cérébrale, etDuchenne de Boulogne trouve dans le plus léger degré de contracture des membres paralysés, une contre-

es spasmodiques sont également obtenus sur la jambe droite, mais à un degré beaucoup moindre. L'anesthésie cutanée est complè

omplètement la notion de sa position; il en est de même, bien qu'à un degré moindre pour le bras du môme côté. L'achromatop

ependant la contracture mus-culaire persiste encore néanmoins au même degré que par le passé. Elle peut, toutefois, être à so

contracture artificiellement a toujours eu pour effet d'augmenter le degré de la contracture; mais ap- pliquc du côté oppo

Je n'ajouterai qu'un mot, mais qui me paraît décisif. Si, par un rare degré d'énergie, la volonté peut réprimer le réflexe à

iiTérer de nature et qu'il n'y avait entre elles qu'une différence de degré , l'hystérie vulgaire ou petite hystérie n'étant q

ge, les manifestations hystéro-épilep-tiques diminuer d'intensité par degrés . Elle n'est pas encore com-plètement guérie actue

és et ont conduit à cette conclusion, qu'elle ré-sume, à un plus haut degré de puissance, tous les effets des pla-ques métall

cutanée et sensorielle. — La perte de la sensibilité, dans ces divers degrés est un des symptômes les plus communs et les plus

en plus minutieux fit constater que l'achromatopsie qui existait à un degré inégal des deux côtés, disparaissait à chaque séa

ui, si bien qu'on ne saurait reconnaître dans ces deux affections les degrés différents d'une même maladie, nous parait devoir

t. Chez quelques-uns cette passion inexplicable atteignait un si haut degré , qu'ils se précipitaient avec une aveugle furie d

biïité momen-tanée, elimprimaient à leurs contractions musculaires un degré d'énergie tel que les assistants ne parvenaient q

^ » D'ailleurs, l'exaltation du sens génital était portée à un haut degré chez un certain nombre des possédées. « Chez tr

r fut confronté avec les religieuses, pour se faire une juste idée du degré de violence qu'atteignaient parfois ces scènes de

s du temple ; il se fit un mouvement léger d'abord, mais qui prit par degrés , un caractère phis décidé. Des Jeunes filles se l

out en chantant, ils parcouraient le cercle qui les entourait, et par degrés les voix de cette multitude se marièrent à la leu

venaient que plus violents. A la fin, les choses en vin-rent à un tel degré de grossièreté, que nous dûmes quitter la partie.

r des spasmes et l'extase mentale men-tionnés. Il y avait plusieurs degrés dans l'intensité des paroxysmes qui présentaient

ent indiquée dans la description des paroxysmes les plus intenses. Le degré le plus élevé, dit Sonden, serait l'état oii se t

et la démence, dans lesquelles tombent parfois ces malades, comme des degrés plus élevés de la même maladie. Celle-ci alors a

les plus indifférentes : je l'interroge sur ses occupations, sur son degré d'instruction, sur sa santé. Elle répond à ces qu

a en effet un point du corps oiji la sensibilité persiste à un faible degré , c'est la conjonctive. Sur tous les autres poin

toujours trouvé, mais d'une exiguïté extrême. Il arrive surtout à ce degré d'im-perceptibilité pendant la scène de l'agonie.

....................... 394 Troisième observation. — Des différents degrés de l'état catafeptique.. 401 Quatrième observat

ent, on assure que c'est un acte automatique nécessité par un certain degré d'anoxémie, un besoin d'hématose des centres nerv

l'affection nerveuse dont notre homme souffre actuellement à un haut degré et que je veux entreprendre d'étudier avec vous.

occupant les deux yeux à peu près également, existe, porté à un haut degré (Fig. 12), à l'état de permanence. Cette constata

¹ 2 n°l,è.)ovalaire, hyperesthésique.Cette plaque est à un certain degré hystéro-gène, c'est-à-dire que quand on y produit

encore dans ce cas la sensibilité n'est à peu près jamais atteinte au degré que nous constatons chez notre homme. Nous relè

xpansif et abonde en traits d'esprit qu'on ne lui connaît pas au même degré dans les conditions ordinaires, tandis que celui-

même douloureuse, qui seraient très certainement efficaces à un haut degré dansle cas de sommeilnaturel. Ainsi sont les chos

ue, ce phénomène ne manque jamais de se montrer au moins à un certain degré . Il est clair que lorsque les membres seront natu

ur la région antérieure de la cuisse, était poussée déjà au plus haut degré . Toute trace de douleur était disparue dans le ge

és, y compris les troubles de sensibilité, se retrouvent au plus haut degré dans la paralysie alcoolique qui peut être consid

ée par l'absinthe de débit,il survint dans sa descendance au deuxième degré , chez un des produits un pied bot avec atrophie d

ù la chorée a débuté. Les mouvements étaient désordonnés au plus haut degré : On n'a pu découvrir cliniquement aucune complic

-sive ; on avait constaté un peu avant une température vaginale de 41 degrés : Malheureusement l'autopsie a été refusée. Il

n'a lieu d'ordinaire, par une exaltation mentale poussée au plus haut degré , ou encore de véritables troubles vésaniques. O

rice du médicament se fait toujours reconnaître au moins à un certain degré — Du reste l'enfant, examinée avec soin, ne prése

vous l'ai fait remarquer au moment de la leçon,était portée à un haut degré ; la langue était sèche : les mouvements choréiqu

seule altération qu'il ait été permis de constater, à part un certain degré de congestion de l'écorce des hémisphères. Rien à

sse envahi par des idées tristes ; il est devenu émotif, au plus haut degré . Lui, l'ancien soldat qui plusieurs fois a pris p

ant hystériques que neurasthéniques, persistent chez lui à un certain degré et la dernière expérience dynamométrique a donné

t d'être placés sous vos yeux, sont l'un et l'autre atteints à divers degrés de l'affection assez bien connue aujourd'hui que

muscles qui ont été frappés, l'ont été du premier coup, au plus haut degré , de telle sorte que l'on pourrait dire qu'il n'y

é. Le surlendemain matin, la fièvre continuant toujours, bien qu'à un degré modéré, le membre inférieur gauche a été pris à s

de la malade avec quelque attention, tient à l'existence d'un certain degré de parésie des mouvements associés de l'oeil, laq

égie de ce genre datant de trois ans, et, ayant persisté au plus haut degré pendant une période d'une année puisse guérir ain

a paraplégie peul disparaître, alors que la courbure persiste au même degré . En second lieu, le paraplégie par mal de Pott s'

ne pas penser qu'il en ait été réellement ainsi, dumoins à un certain degré . Onpouvait même craindre que les membres supérieu

ent seulement lorsque l'impuissance motrice est portée déjà à un haut degré et justement, vous le voyez, c'est dans notre F

l'état de la sensibilité profonde, celle-ci est modifiée au plus haut degré ; c'est à tel point que l'on peut tordre les join

nu tout d'une pièce, mais ne s'élevant guère au delà d'un angle de 45 degrés . Bien qu'il n'y ait pas trace d'une déformation

res inférieurs et qu'un examen antérieur avait révélé déjà un certain degré d'excitation des réflexes rotuliens. Mais on ne s

les doigts sur les apophyses épineuses, on sent facilement un certain degré de mobilité entre les vertèbres d'une région. De

douleur spontanée, une « hyperesthésie exquise » poussée au plus haut degré , qui, sans doute, occupe pour une part les partie

produire la douleur ; une pression un peu forte la porte au plus haut degré . La pression a encore un autre effet sur lequel

e la tête vers la bosse pariétale (voir le schéma n° M). Un certain degré d'hypéresthésie au froid et à la piqûre est répan

tes très pénibles. L'incoordination motrice est portée à un très haut degré et le signe de Romberg est très prononcé. Les réf

ésultats ont été à peu prés constamment favorables, à la vérité à des degrés très divers, ils ont été à peu près toujours nuls

quinze suspensions et ont été améliorés très nettement bien qu'à des degrés divers. 5 enfin ont présenté des accidents de d

analogues; c'est ce que nous allons dire dans un instant. Un certain degré de surdité de l'oreille gauche et des bourdonneme

emi-circulaires. Il ne serait pas impossible d'ailleurs qu'un certain degré d'oscillation des yeux fût dans l'espèce un phéno

manence pour ainsi dire, à poste fixe, toujours présente à un certain degré . Elle subit,de temps à autre, la nuit comme le jo

tout à l'heure, l'état vertigineux habituel persiste à un assez haut degré . Voyez comment le malade, lorsqu'on le prie de

sure qu'il aurait perdu 10 livres depuis trois mois. Il présente à un degré très marqué le phénomène dela«ihermophobie», il a

ments des globes oculaires, fait reconnaître l'existence d'un certain degré de paralysie de la convergence accompagné de dipl

ant y être tout à fait exceptionnels, car nous les retrouverons à des degrés divers dans trois des cas qui vont suivre. Notre

tous les symptômes de la maladie de Basedow persistaient à un certain degré ; mais l'état général ne laissait pas grand'chose

e dans celui qui précède, il existe aux membres inférieurs un certain degré de parésie, sans troubles concomitants de la sens

rs que nous avons rencontrée déjà chez nos deux premiers sujets à des degrés divers, et que nous retrouverons encore avecles m

fait allusion plusieurs fois déjà et qu'on voit ici atteindre un haut degré d'intensité. Grâce à elle, en effet, la malade a

let 1884. Elle a persisté, à peu de chose près, telle quelle, au même degré , jusqu'en septembre 1885, époque à laquelle la ma

oux. Ces particularités se retrouvent encore aujourd'hui à un certain degré bien que fort effacées. Tel est-l'enserable des

en juger du moins par cette circonstance qu'il figure, bien qu'à des degrés divers, dans les quatre observations que nous ven

blier que l'hystérie est dans ses allures parfois mobile au plus haut degré : «bien fol est qui s'y fie». Il pourrait bien arr

ngue, des mouvements qui, bien qu'entravés quelque peu par un certain degré de raideur, suffiraient cependant, et amplement,

outes les mémoires dumot soient touchées simultanément, bien qu'à des degrés très divers (1). L'aphasie motrice, en d'autres t

lorsàpeu prèstoujours compliquée en proportions diverses d'un certain degré d'agraphie,de cécité et de surdité verbales.Ces t

Au commencement de décembre, L.....commence à éprouver un certain degré de faiblesse dans le membre supérieur gauche ; la

t à tous les accidents, alors même qu'ils se montrent doués d'un haut degré d'intensité et quelle que soit d'ailleurs la phas

vite cependant pour que, dans la nuit, elle ait acquis son plus haut degré de développement et se soit montrée telle que, ap

ée que possible dans le genou ; l'extension y est portée au plus haut degré , et, pour ce qui est de la flexion, elle est impo

r en même temps qu'ils s'accroissent rapidement et atteignent le haut degré d'intensité où ils se montrent encore aujourd'hui

mes, ces « rêves d'animaux » qui rappellent, vous le voyez, à un haut degré , les rêves des alcooliques. Interrogé à l'impro

dans tous les symptômes, persistent encore actuellement à un certain degré , et si vous y joignez les résultats obtenus chez

troubles de la sensibilité sont tels qu'on ne les observe jamais à ce degré -là, vous le savez, que dans l'hémiplégie hystériq

cela de caractère. Il n'y a donc là en définitive qu'une question de degré . Voici l'indication de quelques autres exemples

arquablement atténués. Mais ensuite, persistant toujours à un certain degré , ils se sont établis pour ainsi dire en permanenc

te dans toutes les articulations du membre supérieur droit un certain degré de rigidité qui dépend d'un spasme musculaire. Le

t produit là; il y a eu intoxication oxy-carbonée poussée à un haut degré . Cependant,cette perte de conscience prolongée pe

e lorsqu'il veut tourner sur lui-même on voit reparaître à un certain degré cette trépidation qui autrefois s'étendait à tous

bsolument parfait puisque le trouble moteur se retrouve, à un certain degré , dans certains actes relatifs à la inarche ; mais

le, dans l'espèce, que le jambier antérieur n'est pas affecté au même degré , tant s'en faut, que le sont les péroniers. Quoiq

fréquent ; que, de plus, ellos ne se voient pas autre part au même degré , de telle sorte que, quand dans une paralysie pré

be sur la cuisse, et de la cuisse sur le bassin élevée à un très haut degré . Cette double flexion même était portée à son ext

ont dans notre cas, je le répète, on ne peut plus accentuées; et à ce degré , on peut l'affirmer, on ne les rencontre que dans

sur les muscles des épaules et des bras, et elle s'y montre à un haut degré : type scapulo-huméral. Il est à remarquer que le

uant à notre homme, il présente tous les phénomènes du morphinisme au degré le plus élevé ; et le voilà épileptique, hystéro-

il lui restera ses deux autres maladies, tenaces elles aussi, à quel degré , je n'ai pas besoin de vous le dire ; l'hystérie

du foudroyé d'une façon quelconque n'en soit pas atteint à un certain degré . Un de leurs caractères est que le début est so

voir le schéma fig. 9fi) ; elle porte à la fois et à peu prés au même degré sur le tact, la sensibilité à la douleur et à la

t s'en faut, un abîme. La différence, en effet, est seulement dans le degré d'intensité et de généralisation des troubles mot

s occuper à la fois la tête, le tronc, les membres à peu près au même degré ; leur nombre chez celle-ci, comme chez celle-là,

ux se sont produits et depuis, ils ont persisté toujours à un certain degré , si bien que tout travail lui est devenu complète

ofondément altérée ; elle l'est encore aujourd'hui à peu près au même degré . Il embrouille tous les événements de sa vie et n

de la marche, plus étudiés par conséquent et non automatiques au même degré , s'opèrent au contraire réguliè rement. Ainsi n

sensibilité ou du mouvement qui devraient, ne fût-ce qu'au plus léger degré , coexister avec elle, s'il s'agissait vraiment co

l'application sur elle d'un corps chauffé à soixante ou quatre-vingts degrés , ou inversement celle delà glace, sont au contrai

xactement toute une moitié du corps (forme hémianalgésique) ou, à des degrés divers, le corps tout entier. Lorsque l'analgésie

embres atrophiés, soit dans ceux qui ne le sont encore qu'à un faible degré — à part toutefois au membre inférieur droit qui

dans ces figures .et dans celles qui suivent est en raison directe du degré de coloration. corps, tête, tronc, membres,extr

nt à l'aide d'une lampe à alcool, peut être à volonté portée à divers degrés de température (fig. 112). Sur toute l'étendue de

leur fasse com 1. L'instrument à l'aide duquel nous avons mesure le degré de sensibilité thermique de la peau chez nos mala

d'une façon trop brusque. La graduation du thermomètre va jusqu'à 115 degrés ; mais il faut éviter à tout prix les élévations b

il laissa se produire sur l'une de ses jambes, une brûlure au premier degré . Plus tard, alors qu'il était placé dans le servi

nné, sans qu'il en ait ressenti la moindre douleur, une brûlure au 3e degré de la plante du pied droit, dont la guérison a mi

bres supérieurs, qui sont afiectés symétriquement, à peu près au même degré ; ils sont pendants le long du corps: les épaules

uvements volontaires qui se produisent dans ce membre sont un certain degré d'extension en masse de la main, les mouvements p

cale hypertrophique (1). — Du côté droit, il y a également un certain degré de rigidité dans l'articulation de l'épaule; le d

ar la même application, la sensation de froid est perçue à un certain degré sur lapoitrine en avant comme en arrière, tandis

tanément en jeu ; la contracture occupe, en effet, à peu près au même degré , les fléchisseurs et les extenseurs, par exemple

rillon d'intervenir. L'examen du genou fît voir en avant un certain degré d'immobilité de la rotule, et dans le creux popli

on des pieds en varus équin qui a atteint immédiatement son plus haut degré , et dont vous retrouverez aujourd'hui les vestige

dans, en dehors, en a\ant, en arrière, ce qui n'arrive jamais au même degré dans les contractures hystériques où les choses s

té. La paralysie motrice s'est également amendée, mais à un moindre degré . L'exploration dynamométrique donne les résultats

nu, à l'aide de certains signes extérieurs, que le sujet a atteint le degré de lucidité qu'ils cherchent a obtenir. Les u

rgique, la contractibilité neuro-musculaire existe à peu près au même degré que dans l'état normal. ÉTAT DE RAPPORT. Le s

, essayer à plusieurs reprises son instrument, afin d'en connaître le degré de sensibilité, avant de pouvoir en jouer avec pr

à distance. Mme X... peut être réveillée au commandement à tous les degrés de l'hypnose. Dire que le miracle est une œuv

été entouré dès son berceau. Les suggestions eussent été autres; le degré de conviction eût été égal. Voyez comme on pour

1° Femme 3gée de 43 ans. Est atteinte d'hypocondrie à un très haut degré . Elle sent pour ainsi dire tous les organes de so

ces perversions sentimentales portées, en certains cas, à un si haut degré ; cherchez, et vous trouverez, la plupart du temps

les hystériques ne soient pas suggestibles : elles le sont à un haut degré , et c'est même cette suggestibilité exagérée qui

s du magnétisme en demi-crise et en crise complète; il indiquait huit degrés pour U demi-crise et quatre pour la crise complèt

te, et en décrivait ainsi les traits principaux : demi-crise. i*r degré . La personne éprouve une sensation de chaleur ou

qui augmente conséquemment son aptitude a recevoir cette action. 2* degré . La personne magnétisée devient lourde, ses yeux

il lui semble que sa volonté n'a plus d'action sur ses membres. 3" degré . Le magnétisé est absorbé ; ses yeux fermés ne pe

. Cet état est souvent suivi immédiatement de la crise complète. 4' degré . Le magnétisé est légèrement assoupi et ne se rap

qu'il était dans cet état. Le bruit le réveille et l'incommode. $• degré . Le magnétisé entre dans un assoupissement profon

heure ou deux, parce qu'il pourrait se prolonger fon longtemps. 6* degré . L'action magnétique provoque un sommeil doux et

e bien-être qu'il ressent encore quelqu.- temps après le réveil, 7* degré . Le magnétisé est dans un état apparent de sommei

l ou la fixe, guidé par l'instinct qui commence à se développer. 8* degré . Etat de sommeil dans lequel le système viscéral

ts qui ont pour éléments des impressions confuses de l'instinct. A ce degré , le magnétisé est isolé pour certaines personnes,

u moins d'analogie qu'il a avec elles. crise complète. Les quatre degrés de la crise complète présentent des traits commun

de nerfs. Quant à leurs caractères particuliers, les voici : i" degré . Le molade roit parfaitement son mal présent et p

rait dangereux de se fier aveuglément aux remèdes qu'il ordonne. S* degré . Le magnétisé voit avec certitude le mal présent

maladie en indiquant les remèdes avec la plus grande précision. 4' degré . Le magnétisé roif. de plus, de* choses éloignées

s'accomplissent exactement. Nota. — Dans les troisième et quatrième degrés , le magnétisé lit dans la pensée du magnétiseur e

s brûlaient généralement les étapes constituées par les cinq derniers degrés de la demi-crise. La sensation de bien-être si

ue de notre état de rapport semble cependant signalée dans le sixième degré de la demi-crise; nous la retrouvons indiquée ave

et de vice. D'après l'orateur, l'assistance publique était a un haut degré responsable de la perpétuation de cette race, et,

oportion plus ou moins considérable. De là, les hommes qui sont, à un degré plus ou moins élevé, maîtres d'eux-mêmes et du mo

ne davantage que chez la femme, pliée en quelque sorte à un plus haut degré sous le joug de l'instinct et présentant, par con

ons de la volonté et de la liberté, et que l'homme nous apparaît u ce degré comme mù> uniquement par l'instinct, c'cst-à-d

est en quelque sorte l'acte réflexe cérébral atteignant son plus haut degré ; c'est le cer-veau mis en mouvement, agissant so

rlé tout à l'heure ? On peut admettre ou ne pas admettre un certain degré d'intelligence chez les animaux. Peu importe, d'a

sibles aux manœuvres de l'hypnotisme. Tout cela indique, en effet, un degré d'impressionna-bilité excapiionnelle des centres

sa spontanéité sont endormies, l'action réflexe veille toujours, à un degré plus ou moins élevé. L'activité cérébrale ne fait

ennement perçues par lui. a l'état de veille, il possède au plus haut degré l'hypermnésie qu'on observe si souvent chez les s

s cette différence, c'estque les somnambules sont plongés dans un des degrés de l'hypnotisme, tandis que cet homme es: u l'éta

gne. La raison, entin, appuyée sur l'expérience, réprouve à un égal degré le mysticisme avec ses énervantes mièvreries, et

st un peu éraiilé. le pourtour est-rouge et semble présenter un léger degré d'inflammation. A la palpation lo~-cale, douleur

ule. ? n'est pas entièrement fiasque, mais présente plutôt un certain degré Je contracture- portant sur toute la masse muscul

mples et les plus aisés à connaître, pour monter peu à peu, comme par degré , jusqu'à la connaissance des plus compliqués. »

quels puissance sensorielle lit été portée, chez le somnambule, s un degré tel qu'on s'en fait difficilement une idée. Cette

ule fois une hystérique en série d'attaques eut une température de 3p degrés : très inquiet, nous cherchâmes la raison de ce p

et en posant ses pieds sur le sol, descendre, puis remonter tous les degrés d'un étage, pour aller se promener dans la cour.

rées. En même temps, la corne grise postérieure se prend d'un premier degré d'altération dans toute sa hauteur. La corne anté

e de Rolando des deux Côtés. Plus bas, elle siège, mais à un faible degré , dans le cordon latéral gauche, et, d'une man

ifbt la bonne volonté, de la déférence, du travail, voila, a tous les degrés de l'enseignement : primaire, secondaire, supérie

s et faisant loi, par on ne sait quelle sen-(r) Dclasiauve. Sature et degré de l'enseignement qu'il convient de donner dans l

médecine, ou mieux de docteur ès sciences médicales. Il y a donc deux degrés d'examens de doctorat. Tout médecin, pour avoir l

e la paupière supérieure et les muscles du cou) et peut-être aussi un degré d'inhibition du eccur et de la respiration. Ces d

pnotique et la concentration de la malade sur l'expérimentateur. A un degré léger : — Elle voit, mais d'une manière confuse

est habituée à voir. — La physionomie qu'elle présente, à ce léger degré d'hypnose, la facilité extrême avec laquelle elle

t établies, ont la valeur d'un symptôme pathognomonique. Aux divers degrés du sommeil hypnotique répondent des modifications

s de désequilibration psycho-sensorielle, toujours proportionnelle au degré de l'hypnose et à l'isolement plus ou moins ^

me complément à cette étude psychologique, ù déterminer quel était le degré d'obtusion de ces mêmes facultés quand la malade,

e façon à peu près illimitée. Il en est de même, quoique à un moindre degré , chez i'homme à l'état de veille. Je considère le

itation périphérique. L'attente d'un phénomène réduit à un minimum le degré d'intensité de l'excitation que doit produire ce

fois, les accepte sans contrôle. » Car, n'avons-nous pas tous, à un degré variable, une certaine crédivité qui nous porte à

ans une large mesure, elle se rencontre chez tous les individus à des degrés divers, plus forte chez les enfants et les femmes

es à l'hypnotisme, de n'être influençables qu'au premier ou au second degré de Bernheim. Mon intime persuasion est que tous

suggestive, il faut tâcher d'obtenir, le plus rapidement possible, le degré le plus considérable qu'on peut d'obéissance sugg

pas. En fait, on peut tout observer chez les hypnotisés, suivant le degré de l'hypnose, la façon dont on la dirige, et surt

mier et je lui suggère l'ancsthésie. ce qui ne réussit qu'à un faible degré . Pendant qu'on arrache sa dent, il crie, se débat

te pas à la suggestion donnée. La clarté de l'effet dépendra aussi du degré de sommeil ou de veille. On sait que tous les éta

pnotisé à son insu, mais encore que le dormeur peut se tromper sur le degré de son sommeil et que l'appréciation subjective p

nacité et la patience. M. le docteur Aug. Voisin possède au plus haut degré ces deux qualités. Quelque critique que puissent

plète de la peau et des muqueuses ; avec cela, il conserve un certain degré d'activité sensorielle. On a cru quelque temps qu

états nerveux distincts, mais bien d'un même état nerveux offrant des degrés variables. La léthargie, la catalepsie. le somnam

meil, puis l'ordre de s'endormir. Le sommeil peut se produire à des degrés divers. C'est, au degré le moins accentué, un eng

ndormir. Le sommeil peut se produire à des degrés divers. C'est, au degré le moins accentué, un engourdissement avec somnol

s veux. Puis survient rhvpotaxie, le charme des anciens magnétiseurs, degré auquel on observe la catalepsie suggestive. Au tr

seurs, degré auquel on observe la catalepsie suggestive. Au troisième degré , la sensibilité s'émousse. la personnalité du suj

térieur que par l'intermédiaire de son magnétiseur. Les deux derniers degrés sont caractérisés par l'oubli complet au réveil d

é pendant l'hypnose. Suivant les dispositions du sujet, suivant son degré d'éducation, on arrive à un degré plus ou moins a

dispositions du sujet, suivant son degré d'éducation, on arrive à un degré plus ou moins avancé des phénomènes, on obtient u

que-ment différents; c'est, d'un mot, un état de suçgestibilité à des degrés divers. Les troubles de la sensibilité, de la mot

notisme. Celui-ci peut donner des résultats satisfaisants, même à son degré le plus atténué, même à l'état de veîlle et sans

reconnaît que les états décrits sous ce nom ne sont que les premiers degrés d'une série de phénomènes étudiés depuis longtemp

es. L'un des barreaux est laissé horizontal ; l'autre incliné de 3o degrés sur l'horizon. L'écartement étant de ? pieds, l'e

entre le bleu et le jaune ? Enfin, si Ton veut se rendre compte du degré de sensitivité du sujet, il suffira de faire agir

que mes affirmations soient au moins contrôlées. Je distingue trois degrés d'hypnotisme. Le premier comprend tous les états

uleurs en une seule séance, après avoir été plongée dans le troisième degré de l'hypnotisme. Après un certain nombre de séa

ement localisées dans 8 cas. Les résultats obtenus variaient selon le degré de l'hypnotisme. Dans le troisième degré, les dou

s obtenus variaient selon le degré de l'hypnotisme. Dans le troisième degré , les douleurs disparaissent constamment ; mais on

paraissent constamment ; mais on ce réussit pas toujours a obtenir ce degré -la. Sur mes 21 cas de céphalalgie, j'ai obtenu

Une sciatique type fut considérablement améliorée dans le deuxième degré de l'hypnotisme. J'obtins, dans plusieurs cas, la

tulien. Le membre supérieur droit est également paralysé, mais à un degré plus faible; l'impotence porte plus particulièr

Néanmoins les muscles ayant, nous l'avons dit, conservé un certain degré de tonicité, la jambe droite reste dans la rectit

vers la gauche, mais la langue est tournée vers la' droite à un tel degré que la pointe se met en contact direct avec les

nt, mais la langue est encore très épaisse; il présente en outre un degré notable d'amnésie et ne peut se rappeler le nom

, comme dans la première attaque; la langue déviée à droite au même degré est projetée hors de la bouche en même temps qu

arus équin, déformation qui a atteint immédia- tement son plus haut degré , et dont on retrouve aujourd'hui les vestiges. Il

dans, en dehors, en avant, en arrière, ce qui n'arrive jamais au même degré dans la contracture hystérique où les choses so

4 juin, la malade put se lever, les pieds étant redressés; un léger degré de flexion des orteils persiste encore, la marche

jambe sont aisés et non douloureux, il y a toujours un très faible degré de flexion des orteils qui peut-être nécessiter

bord interne. En même temps que le pied, la jambe a subi un ccrlain degré de torsion en dedans. Lorsque avec beaucoup de

cond dessin représente la malade quatre ans plus lard en 1878, à un degré plus avancé de la maladie, et l'on peut y voir

vec plus de fruit, notre investigation. Ils sont émaciés au suprême degré . De plus, les mains sont contrefaites. La gauche

par les membres supérieurs. L'impuissance motrice s'accroît avec le degré de l'atrophie qui, suivant sa localisation, laiss

uscles disparus, jusqu'à ce que la maladie par- venue à son dernier degré ait rendu tout déplacement du membre impossible

de flexion de l'avant-bras sur le bras persiste encore à un certain degré ; or nous savons aujourd'hui qu'un des muscles qui

de temps il. autre de petites oscillations. On trouve un très léger degré de nystagmus bilatéral. Membres supérieurs. -

ou deux, de même les facultés du langage furent troublées à un haut degré ; on dut, pour ainsi dire, lui apprendre de nouve

épaule droite est plus élevée que l'épaule gauche; il existe un léger degré descoliose lombaire à concavité gauche. Les r

'est jamais directement atteint, ce qui existe également, mais à un degré moindre, lorsque les yeux sont ouverts, L'inten

dans tous ses modes. Mais, t l'occasion des mouvements, se révèle un degré d'incoordination manifeste : si l'on dit à la m

. De même, au repos, on ne remarque rien de par- ticulier, sinon un degré assez prononcé d'équinisme surtout accusé à gauch

e par les fibres du musculo- cutané, se trouvent intéressés au même degré que les muscles innervés parle tibial antérieur

êlent le beau et le laid, l'harmonieux et le difforme avec tous les degrés intermédiaires. - . ^-"~" L'artiste de Santa Ma

vicieuse ne peut plus varier, parce que le muscle subit un certain degré de cir- rhose par épaississement du sous-tissu

ques, mais son enveloppe fibreuse et son tendon ont subi un certain degré d'induration qui a produit un rac- courcissemen

te contracture, probablement de nature hystérique, persiste au même degré qu'au début, qui remonte à plusieurs années. La r

ormale; - 5° Les couches optiques et'le noyau caitelé présentent un degré d'atrophie notable; les autres parties des hémi

xemples remarquables. La persistance chez notre malade d'un certain degré d'intelligence peut toutefois s'expliquer par le

rte et les globes ocu- laires convulsés en haut présentent un léger degré de strabisme. Si l'on ajoute, à ces différents

strabisme. Si l'on ajoute, à ces différents caractères, un certain degré de roideur de tout le corps, nous pouvons recon

l nous fallait désigner la maladie qui a réduit ce pauvre être à ce degré d'infirmité, nous ne craindrions pas de nous trom

ster, c'est que la déformation n'est pas souvent en rapport avec le degré de la lé- sion : il arrive en effet fréquemment

du péroné.. . Les os du tarse et du métatarse sont atteints il des degrés divers. Quelquefois (et nous en citons un cas,

les différentes parties du squelette du pied sont atteintes il des degrés divers. OUS. 1. -ltaxie loconaotrice.-Artlano

pied, lorsque celui-ci a été redressé, on voit persister un certain degré de flexion des orteils; ce phénomène est plus p

t qu'après de grands efforts que la malade peut relever de quelques degrés la face dorsale du pied. Le mouvement d'extensi

ciable à la vue et au toucher. Tous les orteils présentent un léger degré de flexion, surtout le gros orteil. En arrière,

lie sous-métatarsienne du gros orteil accentuée, mais pas à un fort degré ; saillie dorsale au niveau du cou-de-pied, modé

tte perpétuelle contradiction ne peuvent exister qu'avec un certain degré d'émoussement de la sensibilité. Dans tous les

e asymétrie de la face aux dépens du côté droit. Il existe un léger degré de strabisme convergent del'oeil droit. La den-

t le plus sincère, bien que le peintre ait cherché à en diminuer le degré par la direction générale donnée au regard. Dan

es que ceux d'une main normale, c'est plutôt par suite d'un certain degré d'aplatissement; à leur extrémité libre sur les

e est d'autant plus frappante qu'il existe en même temps un certain degré de gibbosité posté- rieure ; si cette dernière

peu vascularisée, la pupille petite (il existe réellement un certain degré de myosis); cils d'aspect ordinaire. Le nez e

le malade appréciait presque partout aux jambes des différences de un degré dans deux applications successives. Les différe

s. Mais je le répète, il fallait pouvoir apprécier deux dixièmes de degré pour savoir exactement à quoi s'en tenir à cet

les mouvements de l'oeil ne sont pas normaux. Je constate un certain degré de nystagmus. Si l'oeil est en repos absolu, il

la maladie de Friedreich qui peut être caractérisée par son faible degré et une distribution particulière. Aussi faut-il

ladie de Friedreich. Ces troubles se caractérisent parleur médiocre degré , parleur limitation aux membres inférieurs, par

a pression n'est pas douloureuse. Le pied droit présente un certain degré de varus quand le malade le laisse aller dans l

tendineux. III IV. Anatomie pathologique. - M. Bail décrit trois degrés dans les lésions anatomiques des arthropathies

- 1 i 3° Désorganisation permanente de l'articulation. Le premier degré est constitué par une hydarthrose plus ou moins

synoviale ne présente pas de vascularisation anor- male. Ce premier degré est donc caractérisé par une sorte de fluxion,

onc caractérisé par une sorte de fluxion, séreuse. Dans le second degré , il y a destruction rapide des surfaces articu-

ement, et la substance osseuse est rongée, détruite. Le troisième degré est caractérisé par' la désorganisation perma-

nt la faiblesse des jambes et l'ataxie avaient déjà atteint un haut degré ». On ne voit pas l'usage qu'un ataxique, à cette

jour; l'amaigrissement du membre aurait atteint en quinze jours le degré auquel on le trouve aujourd'hui ; la coloration

s facilement, et l'on peut se demander s'il n'existe pas un certain degré d'atrophie des interosseux. Les éminences théna

chairs flasques, nécessité de garder le lit par suite d'un certain degré de faiblesse générale (et aussi de la crainte v

t vient faire saillie au dehors ; elle présente la coloration et le degré de consistance ordinaires; ce n'est pas de l'oe

, un malade atteint de maladie de Thomsen, qui présentait à un haut degré le désordre myotonique des mouvements volontair

nt que possible. Les mouvements volontaires sont troublés à un haut degré par le spasme de Thomsen ; ces troubles myotoni

mouvements sont lents et pénibles, rendus difficiles par un certain degré de contracture dont le malade se rend compte et

lle subissent un allongement pendant la suspen- sion et quel est le degré de cet allongement. Pour résoudre cette question,

a névroglie, de ses vaisseaux et provoquer en même temps un certain degré d'irritation. Nous laissons ouverte la question à

a nu- trition s'améliore, il se produit un gonflement et un certain degré de dis- 26 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRI

nies sous un certain an- gle. L'avant-bras étant plié jusqu'au même degré sur le bras, on place le coude dans la gouttièr

2 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. on donne à la planche le degré d'inclinaison voulu. L'opérateur varie celle in

préalables, au contraire, nous nous sommes rendu compte d'avance du degré de résistance du malade et nous pouvons continuer

commence la suspension, je mets la planche sous un angle de 35 à 40 degrés ; la séance dure 8 minutes. On recommence les séan

jours en augmentant progressivement l'angle d'inclinaison de 5 à 10 degrés et au bout de 5 ou 10 séances on arrive à détermi

les du traitement, peuvent s'amélio- rer dès le début, quoique à un degré moindre de celui que donne un traite- ment plus

e qu'elle sera plus prolongée et plus énergiquement appliquée et le degré de la dis- tension de la névroglie et de l'hype

t plus haut, je commence par la suspension sous un angle de 35 à 40 degrés . Les séances peuvent êtres faites journellement e

Nous n'avons pas à insister longuement pour faire comprendre que le degré de l'hyperhémie n'est pas le môme au commenceme

ser le chien de la position inclinée dans la position verticale, le degré de disten- sion devenait le double de ce qu'il

de 50 à 00° on doit néanmoins commen- cer par une inclinaison de 40 degrés et l'augmenter graduellement. J'ai traité par l

après la quinzième séance, ayant constaté préalablement un certain degré d'amélioration. Dans un cas, les douleurs fulgu

le signe de Romherg étaient plus accusés (tout en n'arrivant pas au degré qu'ils avaient avant le traitement) déjà bien p

s la matinée du jour suivant que de 38° 7 et elle oscilla entre ces degrés et 39° 7 jusqu'au 18. Deux jours après son séjo

de Kurella (1) et Adsersen, que les mouvements peuvent atteindre un degré d'intensité extrême : contractions excessivemen

i nous offre ces troubles exceptionnels de la démarche au plus haut degré . « Le malade marchait fort peu volontiers, tomb

ans la plupart des cas et chez quel- ques-uns ils atteignent un tel degré que la marche devient définitivement et pour to

t pour toujours impossible. Une de nos malades présentait à un haut degré la démarche caractéris- tique de l'athétose dou

asmodique. « Les troubles de la parole, dit Audry, quel que soit le degré fort varia- ble de leur intensité, sont notés d

errain clinique nous constatons que les malades sont atteints à des degrés très divers ; chez les uns, les troubles de la pa

plus gênée jusqu'à ce que ce trouble reste stationnaire à un certain degré . En général il reste pendant longtemps le même.

t les facultés intellectuelles ne sont pas suffisantes, pour que le degré d'instruction nécessaire à cet acte ait pu être a

érieurs. . Il n'y a de déformation nulle part. On sent un certain degré de raideur des bras quand on veut les écarter ou

esquels peut disparaître l'athétose. Ces contractures offrent des degrés d'intensité variable : dans le cas de Joffroy e

était bien due au froid, peut-être aussi à une augmentation dans le degré de la maladie, quoique les troubles myo- toniqu

la plus fréquente est la scoliose, associée par- fois à un certain degré de cyphose. La cyphose pure est plus rare, la lor

ion. On s'est demandé s'il ne fallait pas invoquer alors un certain degré de méningite, parfois signalée comme accompagnant

elle est extrêmement marquée et atteint, comme chez l3altli..., le degré des dévia- tions rachitiques les plus prononcée

. Les figures ci-jointes mollirent, mieux qu'aucune description, le degré excessif de la difformité. La gibbosité gauche et

ntanée, dans une scoliose des adolescents, qui présenterait le même degré de courbure. Bien entendu, une pareille difform

métacarpiens. Membre supérieur gauche. Mêmes constatations, avec un degré beaucoup moindre des divers phénomènes, notamme

oite à droite qu'a gauche. La pupille droite présente un très léger degré de mydriase. Troubles vaso-moteurs et irophique

tence de la scoliose ne tient, dit Morvan, ni à l'ancienneté, ni au degré ou à l'étendue de la paréso-analgésie... Elle n

8° sont, elles aussi, douloureuses à la pression, mais a un moindre degré ; un intervalle exa- géré les sépare. Au rachis

cé suivant, figure 19, montre ces mouvements ondulatoires à un haut degré de développement. Les trois premières lignes repr

u froid, par exemple, ou bien aussi peut-être sous l'in- fluence du degré des altérations, la régularité des phénomènes que

me muscle. Certaines autres conditions, le froid par exemple, ou un degré plus prononcé dans l'altération des muscles, no

s sont absents; cependant dans quelques cas on a observé un certain degré d'hy- peresthésie, explicable d'après un certai

lus ou moins prononcée, ré- sultant de l'idiotie qui émousse, à des degrés divers, les facultés percepti- ves. Enfin, deux

microcéphales présentent les troubles intellectuels à un plus haut degré que les athétosiques sans déformations crânienn

vue, favoriser le dévelop- pement de leur intelligence au plus haut degré possible, calmer leur excitabilité qui est souv

e les mem- bres qui en sont le'siège présentent toujours un certain degré de raideur, qu'ils cessent ou diminuent pendant

ouve que sa parole est plus explo- sive, il y a de l'hésitation, un degré de bégaiement. Il y a des choréiques qui éprouv

ccompagnent d'attaques convulsives, laissant après elles un certain degré de paralysie des membres et de déviations de. la

autres signes de la névrose, de l'hyper- esthésie des téguments, du degré plus fort de la contracture, de son ex- tension

restaurés pour se tenir debout, qu'on rencontre cette attitude à un degré bien caractérisé. Deux cas peuvent s'observer.

des hémiplégiques n'engendrait pas des déviations permanentes d'un degré très accentué. Il était intéressant de chercher

omme, ce qui nous paraît digne surtout de remarque, c'est le faible degré des déviations latérales du rachis clans l'hémipl

servation il la Société clinique (2), présentait au contraire, à un degré très léger, il est vrai, ce genre de déviation.

cas parfaitement développé, présentant par conséquent au plus haut degré les caractères du type. De plus nous avons pu l

tions, les déviations dues à cette cause n'atteignent pas un pareil degré , même lorsque la para- lysie unilatérale des mu

de Friedreich, le tabes. Toutes ces affections attei- gnent, à des degrés divers, la substance grise de la moelle. La régio

sur l'épaule droite, un peu ren- versée en arrière avec,un certain degré de torsion du cou qui a pour résultat de porter

sur la cuisse : la jambe est fléchie ; le pied présente un certain degré d'équinisme et ne touche le sol que par sa pointe

avec un couteau. Quinze jours après, il remarquait déjà un certain degré de raideur, dans la main et l'avant- bras droit

est menacé de tomber ; la rétropulsion existe également, mais à un degré moindre (Pl. xxix, xxx, xxxi). Le membre supéri

triques, tend à se maintenir, et il nous parait être la marque d'un degré plus accentué dans le trouble myotonique. Il n'

utant plus facilement que les altérations des muscles atteignent un degré plus élevé. 3° Avec des courants à interruption

venant par crises et correspon- dant à une température de plusieurs degrés plus élevée que dans l'inter- valle des crises.

isissement de la névroglie sans localisation spé- ciale, très léger degré de sclérose diffuse avec une certaine prédominenc

me toute autre affection, il est incontestable qu'elle présente des degrés ; mais que le nombre des cas complets est aujourd

o- dique (en canard), jambes rapprochées, genoux raides, un certain degré de ti- 1 tubation. Au repos, on arrive assez fa

dérée dans l'hémiplégie spasmodique infantile et en rapport avec le degré d'altération dudit faisceau ; dans tous les cas,

re soumis au choc, et que l'on peut supposer s'être produit au même degré et avec les mêmes caractères chez nos deux homm

La faradisation de la région cervi- cale inférieure esta un certain degré efficace dans l'hyperémie des poumons ; j'en do

de l'angle de la mâchoire inférieure et l'on comprime à un certain degré les tissus sous-jacents pour faciliter le passage

volume. Dans quelques cas rares j'ai vu la pupille se dilater à un degré considérable. Mais j'ai observé plus sou- vent

s parlé plus haut. Notre manipu- lation peut remplacer à un certain degré les sangsues. On voit qu'ayant calméla congesti

L'amendement n'est pas fugace. Si l'on retient bien jusques à quel degré tel mouvement actif ou passif était possible av

ou : les restes du tympan et de la surface de l'oreille pâlirent à un degré plus considérable. Il était démontré ainsi qu

re ont plus de chances que ceux dont la paraplégie est grave, et le degré de la paraplégie a à mon avis, en général plus d'

la proli- fération du tissu conjonctif est inséparable d'un certain degré d'épanchement de liquide. LES HERMAPHRODITES DA

e. — Page 365. PLANCHE TROISIÈME. Fig. 1. — Scoliose au troisième degré ; courbure dorsale principale à convexité droite;

Le bassin est ample et régulier. Fig. 2. — Scoliose au troisième degré ; deux courbures presque égales, la dorsale à conv

ligne des apophyses épineuses. Fig. 5 et 6. — Scoliose au troisième degré ; courbure dorsale gauche principale; sujet adulte

t masquée par le sternum. La courbure principale n'a pas atteint un degré considérable; elle est allongée et ne représente

simplement déformée par l'affaissement cunéiforme porté au plus haut degré . La cinquième et la septième, en contact au delà

prolongements en ligne droite se rencontreraient sous un angle de 18 degrés , et qu'il n'existe qu'un intervalle de 27 millimè

ans cette dernière, les côtes droites et gauches offrent au plus haut degré les différences propres à la scoliose ; celles qu

otalité du rachis. Fig. 6. ,—Courbure dorsale droite principale, 3e degré ; femme adulte; membres bien conformés. —Collectio

PLANCHE CINQUIEME. Fig 1 — Courbure dorsale droite principale, 3e degré ; femme adulte. — Collection des hôpitaux. —Page 3

ig. 1. — Squelette de femme adulte; rachitisme; scoliose au troisième degré en S verticale. —Collection des hôpitaux. — Pages

2. — Squelette de femme très rachitique, parvenue a un âge avancé; 38 degré de scoliose; courbure lombaire gauche principale;

ig, 3 et 4 — Courrure lombo-dorsale gauche principale, anguleuse-, 3e degré ; homme âgé de soixante-deux ans.— Ma collection.

mée Iïourék, âgée do cinquante-neuf ans ; rachitisme ; scoliose au 3« degré ; courbure dorsale droite principale. — Ma collec

. Fig. 3. —Squelette de femme rachitique, très âgée; scoliose au 3e degré ; courbure dorsale droite principale. —Collection

EUNE FILLE ÂGÉE DE QUINZE ANS ENVIRON ET ATTEINTE DE SCOLIOSE AU 2e DEGRÉ . Ma collection. — Page 390. Le rachis décriva

s à droite cl à gauche. PLANCHE DIXIÈME. Fig. 1. — Scoliosk au 3e degré , a courbure lombaire gauche principale, chez une

is; on les retrouvera dans la planche XVI. Fig. 2. — Scoliose au 3e degré , a courbure dorsale droite principale, chez une f

que l'aorte. 22 PLANCHE ONZIÈME • Fig. 1 et 2. — Scoliose au 3e degré , a courbure dorsale droite principale; sujet du s

courbure dorsale. PLANCHE DOUZIÈME. Fig. 1 et 2. —Scoliose au 3° degré ; deux courbures a peu près égales, une dorsale à

FEMME DE SOIXANTE-NEUF ANS, RACHITIQUE ET "ATTEINTE DE SCOLIOSE AU 3e DEGRÉ , A COURBURE LOMBO-DORSALE GAUCHE PRINCIPALE ; PLA

rut quelques mois après. Les membres inférieurs sont distordus à un degré extrême. Leurs courbures affectent la forme la pl

IEME. Fig. I et 2. —Courbure lombo-dorsale droite principale, du 3e degré , chez une femme de quarante-neuf ans, morte de ca

. PLANCHE DIX-HUITIEME. COURBURE DORSALE GAUCHE PRINCIPALE, AU 3e DEGRÉ , CHEZ UNE FEMME ÂGÉE DE TRENTE-HUIT ANS; PLUSIE

1832. Il existait une courbure dorsale droite principale au troisième degré , comprenant toutes les vertèbres dorsales. Le mil

urbure lombaire, lorsque les circonstances d'âge, de constitution, de degré et d'ancienneté du mal, ne sont pas trop défavora

'était l'S verticale du début, la forme sigmoïde proprement dite à un degré peu prononcé. Au lieu de la gibbosité du côté d

période d'excitation, de- viennent sensibles quelquefois à un haut degré . Il semble même pour quelques-uns qu'ils aient

tiqzieden2édecine spéciale, Etmùl 1er ' divise l'épilepsie en trois degrés : le premier comprend l'absence et le vertige ;

uvième eûtes droites; l'incur- vation dépasse un angle-de cinquante degrés et fait une énorme 80 RECUEIL DE FAITS. DE LA P

mouvement est le moyen par lequel nous sommes à même d'estimer les degrés de « résistance », et cela grâce à une faculté

veau, en les mettant automatiquement en rapport avec les différents degrés de contraction de tous les muscles qui peuvent

existe en nous une capacité distincte pour apprécier les différents degrés de poids ou de résistance par les impressions q

des muscles elles croîtraient et décroîtraient constamment avec le degré de travail interne et externe accompli par le m

ésistance et de poids dérivent principalement d'une appréciation du degré d'énergie centrifuge partant du centre volition

e percevoir; et il perçoit, en même temps, à la fois le siège et le degré de con- traction. Le mouvement lui-même est don

ui agissent comme centres moteurs sont le siège de la conception du degré et de la qualité de l'innervation musculaire, c

t des doigts et le creux de l'aisselle présentent encore un certain degré de sensibi- lité, qu'il y apour ainsi diredes î

la pneumonie et cette affection s'accompagne parfois d'un certain degré de méningite; il estime cependant que la concorda

igné par un de ses proches parents sauf à discuter plus tard sur le degré de parenté auquel notre énumération devras'arrête

O SÉNAT. moins que l'un des parents je discuterai tout à l'heure le degré de parenté «n'ait son domicile dans la même mai

provisoirement laissée de côté et que je dois aborder. Jusqu'à quel degré de parenté irons-nousdans cette dispense des rè

eillance édictées par la commission ? 2 La commission s'arrête au degré de frère et de soeur; le projet primitif du Gou

ère et de soeur; le projet primitif du Gouvernement s'arrêtait à un degré plus éloigné, au quatrième degré, c'est-à-dire

if du Gouvernement s'arrêtait à un degré plus éloigné, au quatrième degré , c'est-à-dire au degré de cousin germain ; l'ho-

rêtait à un degré plus éloigné, au quatrième degré, c'est-à-dire au degré de cousin germain ; l'ho- norable lli.Iio;er-ll

dans son amendement, va encore plus loin : il va jusqu'au huitième degré . Dans ma proposition j'ai cru devoir reprendre

au huitième degré. Dans ma proposition j'ai cru devoir reprendre le degré de parenté admis par le projet primitif du Gouv

s par le projet primitif du Gouvernement, c'est-à-dire le quatrième degré . Dans les explications que j'ai données à la co

je pouvais abandonner certains parents du troisième et du quatrième degré . Je conviens qu'un cousin germain peut ne pas v

x, les petits-neveux, les cousins germains, les autres cousins à un degré intermédiaire. Pourquoi cela ? Parce que, ainsi

neveux ont pour leurs oncles, et les cousins pour leurs cousins, un degré d'affection susceptible d'équivaloir aux garantie

la parenté dans le cas de l'article ? aux collatéraux du quatrième degré , en accep- tant même une nouvelle restriction,

et grand'tantes parmi les collatéraux du troisième et du quatrième degré . J'arrive enfin, messieurs, à la dernière hypot

mprends en- core que vous en imposiez l'obligation à un parent d'un degré plus rapproché, que lorsqu'il s'agissait des si

n séquestré qui est traité dans son domicile par ses parents à un degré rapproché, et dans ce cas, l'Etat n'intervient pa

r l'article 7 qui est soumis à vos délibérations ? Des parents à un degré rapproché, 148 sénat. nous n'exigeons rien. A

e soit dans celui de son tuteur ou de ses parents jusqu'au huitième degré . » Nous allons procéder, messieurs, par voie de

s, l'un des descendants, ou l'un des collatéraux jusqu'au quatrième degré inclusivement, n'ait son domicile dans la même

à l'exception des mots « ou l'un des collatéraux jusqu'au quatrième degré inclusivement », car je reconnais que c'est là

er ce paragraphe et ne pas éten- dre la distance jusqu'au quatrième degré . M. DELSOL, de sa place. Je demande à rappeler,

ts, l'un des descendants ou l'un des collatéraux jusqu'au quatrième degré inclusivement. » La commission n'a pas accepté

l'exception des mots : «ou l'un des collatéraux jusqu'au quatrième degré inclusivement.'» On procé- derait alors à un se

famille ou bien dans le domicile de cer- tains de ses parents à un degré éloigné; d'autre part, l'hypothèse du traitemen

l'excep- tion des mots « ou l'un des collatéraux jusqu'au quatrième degré inclusivement ». (Bruit.) M. LE Président. L'

e, sous la réserve des mots : « ou l'un des collatéraux jusqu'au 4° degré inclusivement. » (L'amendement n'est pas adopté

ispositions de l'article 7, et que l'on ne peut exiger en ce cas un degré de parenté plus rapproché; aussi ai-je limité l

rallèle, et toutesses modalités sont simultanément touchées à des degrés variables, y compris la sensibilité articulaire.

quelques troubles de la santé générale qui avaient amené un notable degré d'anémie, cette fatigue musculaire locale s'acc

t très émoussé. La malade n'a évidemment pas la conscience nette du degré d'effort à faire pour produire un mouvement dét

ction de dégénérescence. Il semble cependant qu'il y ait un léger degré d'atrophie musculaire au niveau des muscles de

énérale est bonne. Cependant la malade est pâle et offre un certain degré d'anémie, elle est restée longtemps sans appéti

au dynamo- mètre avec sa main droite, mais n'atteint pas encore le degré de force de la main gauche. Un nouveau symptô

manifestation hystérique. En effet, elle présentait au plus haut degré tous les caractères que l'on retrouve toujours

atteinte. La force musculaire est très diminuée, il y a un certain degré d'impotence fonctionnelle tenant exclusivement

e devient paresseuse. Les muscles de la cuisse subissent un certain degré d'atrophie, et les réflexes tendineux s'exagère

confirmative de la nature de la maladie. Nous savons qu'un certain degré d'atrophie muscu- laire n'est pas incompatible

s, étaient en proie à une excitation génésique, portée au plus haut degré , ' A noter aussi la rareté de la maladie en Suè

z bien développée, sans difformité appréciable, présente un certain degré de mi- crocéphalie. Le front est bas, la voûte

tuelle. VI. Attentat. Idiotie. VII. Acte de violence publique. Haut degré de débilité mentale et d'émotivité. P. K. X.

fusion. Briquet en décrit trois espèces qu'il considère comme des degrés de la même modification patholo- gique : sommei

staté cette hyperexci- tabilité dans ses observations (à un moindre degré du reste que dans la léthargie provoquée). L'

u fond, ces deux types d'attaque peuvent être considérés comme deux degrés . En dehors de ces deux types d'attaques, qui so

premier au second type de l'attaque spontanée, du premier au second degré de son som- meil pathologique. On peut détermin

eut déterminer le passage in- verse et revenir du second au premier degré en com- primant une des zones hypnogènes, qui s

elle est passée du premier au second type, du premier au se- cond degré . Les différences avec l'état de somnambulisme p

x dans celles de Nancy ? En- core moins, s'il est possible. Comme degré de sommeil, c'est entre les cinquième et sixièm

ble. Comme degré de sommeil, c'est entre les cinquième et sixième degrés de Bernheim, qu'on pourrait classer l'attaque d

coles. En second lieu, la sug- gestibilité fait la base de tous les degrés de l'hypno- tisme de Bernheim. Or, ici il n'y a

our que l'observation soit parfaite) être étudiée : 1° A tous les degrés d'éclairage; ' 358 PSYCHOPHYSIQUE. 2° A toute

l'acuité visuelle dans l'état pathologique de l'oeil à différents degrés d'éclairage et de différence relative entre l'o

éro » se composait de trois caractères, et le ton de ce numéro (son degré de con- centration) était réglé de telle sorte,

isolés avec le fond dussent être simple- ment calculées d'après le degré de concentration de la teinte. Mais la techniqu

ans une chambre noire, en approchant une lumière, nous obtenions le degré de clarté nécessaire pour que la valeur du seui

es résultats de la mesure photométrique mise en parallèle avec le degré de concentration. 366 PSYCHOPHYSIQUE. D'une m

ites au moyen des tables ont été opérées à la lumière naturelle, au degré d'éclairage où le seuil ci-dessus mentionné, po

ions articulaires de l'épaule. Le sens du toucher était altéré à un degré très insigni- fiant. Enfin Freud décrivit en 18

tés, mais à la face; à la tête et à la nuque, il a souffert au même degré qu'à gauche. Le sens musculaire (la conscience de

r le cou, dans les endroits où se trouvait la thermoanesthésie; ses degrés étaient divers : tantôt sensation de chaleur, t

les phénomènes sont moins sensibles, mais ils existent à un certain degré ... » . - ' Nous relevons ensuite les notes ci-a

équilibre. Quant aux membres inférieurs, ils conser- vent leur même degré de flexion. Le pied droit n'appuie que sur son

embres et du tronc et les grimaces de la face s'exagèrent à un haut degré . Les sens; sont normaux. Lem... parait connaîtr

r et hypothénar. Cet état existait éga- lement, quoiqu'à un moindre degré , à la main gauche, qui n'était toutefois pas cr

les mêmes altérations évidentes aux deux avant-bras, ainsi qu'à un degré notable au niveau du del- toïde et du muscle gr

n particulier, sur les pyramides et les cordons de Goll, un moindre degré sur les cordons anté- rieurs, et sur les faisce

cunéiformes soit restée indemne. Une des préparations relatives au degré le plus accusé de micro- céphalée témoigne de l

d'individus microcéphales, il existe encore, malgré les plus hauts degrés de malfor- mation, un certain nombre de fibres.

votre instruction professionnelle, avan- tage que n'ont pas au même degré les personnes étrangères au service. Les progrè

r l'ont été un peu moins. La faiblesse de ces muscles correspond au degré de l'atro- phie ; la malade serre la main assez

ésie thermique occupa peu à peu une région plus grande, quoique son degré variât sur ces endroits nouvellement occupés :

inférieur de l'autre côté était atteint ; après les bains de mer le degré delà thermanesthésie diminua au membre inférieu

ue chez notre malade, la gliomatose s'était compliquée d'un certain degré de méningite chronique, dont dépendaient les tr

sse insensi- blement dans la sphère de la sensibilité normale. Le degré des troubles de la sen- sibilité thermique n'es

ômes subjectifs avaient en partie disparu, ou se manifestaient à un degré moindre. La neurasthénie avait considérablement

é. La sphère de l'anesthésie thermique ne. changeait point, mais le degré de l'anesthésie devenait moindre : le malade co

pos; cela se remarque parfois dans la main droite, mais à un faible degré . Il y a atrophie marquée du premier in- terosse

t semblable se retrouve aussi dans les deux membres supérieurs à un degré plus élevé dans leurs parties centrales et le m

la poitrine il y a une anesthésie plus nette du sons thermique. Son degré n'est pas élevé. Les mains et l'épaule droite ne

e des cornes postérieures et du renflement cer- vicale à un moindre degré et de la partie spinale. En outre, il faut supp

articulier, toutefois, que les vaisseaux de la base présentaient un degré assez prononcé d'athé- tonie (probablement d'or

ents involontaires des membres. Lors- qu'elle atteint son plus haut degré de gravité, elle s'accom- pagne des phénomènes

tte forme de folie ; mais on peut dire d'une façon générale que les degrés les plus élevés du développement cérébral , ceu

intellectuelles (dont on pourrait penser que plusieurs occupent un degré à peu près aussi élevé), ne soient pas sérieuseme

cet état de choses c'est que l'esprit du malade ne présente que ce degré inférieur d'évolution dans lequel les phénomène

on avait « le front fuyant, le vertex relevé, produisant un certain degré d'acrocéphalie ». Or, ce qui me paraissait visibl

sa position naturelle. On peut d'ailleurs essayer de déterminer le degré d'inclinaison de la tête. En effet, dans la photo

gle de J 5°,SS en moyenne. Tel serait donc, à peu de chose près, le degré d'inclinaison de la tête de ma malade ; il y a

ale, alors ce serait donc en hauteur; et nous aurions là le certain degré d'acrocéphalie que j'ai signalé, adoptant pour ma

e inférieure, sur une courte étendue, les bandelettes externes à un degré d'intensité modéré. Intégrité complète de la mo

médecin traitant, sous sa responsabilité, le soin de déterminer le degré de rigueur qui peut être apporté à la maintenue

te acharnée contre une loi que je prétends être mauvaise au suprême degré et impraticable. Mon Dieu, par moments je me la

nu une personne charmante, elle était douce au suprême SÉNAT. 109 degré , elle n'avait que ce point faible : dès qu'on pro

OGRAPHIE. des étals distincts, ne présentent que des différences de degré et se produisent presque par le même mécanisme.

maladie des plongeurs, qui se présente, suivant eux, sous quatre degrés différents. Le premier degré, qui, d'a- près ce

se présente, suivant eux, sous quatre degrés différents. Le premier degré , qui, d'a- près ce que supposent les auteurs, c

et supérieurs et des engourdisse- ments sans paralysie. Le deuxième degré comprend la paraplégie des plongeurs et « il co

ieure (dorsale et lom- baire) de la moelle épiuière ». Le troisième degré - * De Vile f/7 ? a (Grèce) au point de vue méd

s'aggrave et le plongeur meurt. Enfin, le qua- trième et plus grand degré « consiste en une hémor- rhagie. qui a lieu en

angage, ni enfin aucun autre symptôme céphalique, sauf un cer- tain degré de lourdeur de tête. Mais par contre, les membres

ues. Sens musculaire parfaitement normal, sauf peut-être un certain degré de signe de Romberg. Les parties anesthésiées s

, et il était complètement guéri. Il y avait, toutefois, un certain degré d'exaltation du réflexe rotulien droit, qui seu

autre chose qu'une sorte de vertige giratoire avorté ou le premier degré de ce vertige. Les étourdissements chez ce mala

des mouvements des membres supérieurs est légèrement supérieure au degré d'atrophie. Membres inférieurs : Faiblesse subj

corps, et occupant la moitié gauche de la tête et de la face (à un degré moindre). Du côté droit, l'analgésie s'étend à

on par devant et jusqu'à l'omo- plate par derrière et atteint à des degrés différents tout le mem- bre supérieur droit.

ut-être, la plus grande partie de la peau est atteinte d'un certain degré de thermanesthésie. Prenons le membre supérieur

ntôt non net- tement délimitées et ne différant peut-être que par degrés d'anesthésie, tantôt se séparant par des seg- m

, tantôt se séparant par des seg- ments à sensibilité normale, A un degré considérable d'anesthésie thermique dans toute

extrémités (OBS. VI), on observe de l'asymétrie dans les différents degrés de lésion de diverses régions isolées ; de sort

ité de la surface de la peau ne soit envahie par l'anesthésie. Le degré de la thermanesthésie varie beaucoup. Il est à

fférence de température à 20°-30°. 204 PATHOLOGIE NERVEUSE. Les degrés d'anesthésie à un certain moment sont ordinaire

me disposition en zones, en segments, s'observe pour des différents degrés d'anesthésie, comme il en est de la thermanesth

e celles où il en perçoit l'écart de 10° : 1l n'est pas rare que le degré de thermanesthésie dans le même endroit présent

ON II, nous avons vu sur un endroit limité de l'épaule gauche, à un degré moyen d'anesthésie, une diminution relativement

s souvent augmentées dans la sphère de l'anesthésie et parfois à un degré consi- dérable : elles sont surtout nettement a

t dans la sphère de l'analgésie mais la maladie existait à un léger degré sur la tota- lité du corps. Il est évident que

e symétrie (dans la localisation initiale, dans la sanction et le degré de lésion des muscles atteints), qui est observée

des membres inférieurs est exces- sivement rare et dans ces cas le degré d'atrophie peu considérable ne correspond pas a

s ces cas le degré d'atrophie peu considérable ne correspond pas au degré de la paraly- sie. Dans les muscles atrophiés,

ains muscles (de la main le plus souvent) elle atteint parfois un degré élevé. (4). Les troubles par étiques des mouvem

ition des symptômes du vertige marin. En général, le tout dépend du degré d'excitabilité du système nerveux et de l'état

ur M. Are- taios (d'Athènes), a eu le vertige marin à son plus haut degré . Nous devons dire aussi qu'il y a des personnes

'est pas due à une seule et unique cause. Elle dépend du navire, du degré de la tempête et de la prédisposition individue

i de méningo- encéphalite, surtout à son tiers supérieur, mais à un degré moins prononcé. Lobe pariétal. Le lobule pariét

parti- culier. La circonvolution du corps calleux est atteinte à un degré moins prononcé de méningo-encéphalite sur toute

te son étendue ; le lobule paracentral l'est également, mais à un degré un peu moins prononcé. La scissure calloso-ma2gii

eux par pla- ques dans la même région ne sont que les deux premiers degrés de l'altération. Sur d'autres points, entre les

ment progressif. 11. h'.1LL. La discussion se trouve arrivée à ce degré qu'eu ma- thématique on appelle les quantités i

. Sans doute aussi , d'après de Jaksch, la diacéturie représente un degré de plus que l'acétonurie et doit donner à réflé

s susceptible d'aucun jugement. Dès l'enfance, se révèle un certain degré de perversion morale qui s'accentue plus tard et

uses que l'on aura affaire à un malade plus faible d'esprit, car le degré de systématisation d'un délire croît en raison

t pour son développement ; nous remarquons seulement un cer- tain degré d'exaltation de réflexes, ébauche du syn- drome

cune de nos observations. Son intensité varie sans doute suivant le degré de l'ex- citabilité de la moelle. En effet, tan

on sent une résis- tance plus ou moins marquée, proportionnelle au degré de la rigidité musculaire qui existe sans que l

as d'épilepsie spinale, ayant laissé à titre de souvenir un certain degré d'exaltation du réflexe rotulien droit. Chez le

en avant. Il fait la même chose en sens inverse, mais à un moindre degré pour son membre infé- rieur gauche. Si on veut

prédilection la jambe. Pas de troubles trophiques. Sauf un certain degré d'hypéridrose à la plante du pied gauche, il n'

s inverse pour son membre inférieur gauche, mais, à un bien moindre degré , il peut marcher sans bâton, mais il se fatigue

tropliie. La contractilité faradique est normale, sauf un cer- tain degré de difficulté d'uriner qui rarement survient au m

, se plaignait d'une dyspnée considérable, accompagnée d'un certain degré de pesan- teur de l'estomac ; en outre, le mala

ayant lieu dans la circonférence du canal central, il existait des degrés de transition. Il est donc impos- sible de déli

tance blanche n'est pas atteinte dans tous les cas et toujours à un degré moindre. Ordinairement, ce sont les parties des

s de la substance blanche ne sont point du tout égales en lieu et degré de lésion dans différents cas et oc- cupent tou

différentes espèces de sensibilité). 406 PATHOLOGIE NERVEUSE. Le degré d'influence de ces deux facteurs servira à déte

er stationnaires. Généralement, durant plusieurs années, un certain degré d'atrophie et de faiblesse reste stationnaire ;

avec atrophie de muscles de la main avait été observé à un certain degré de la maladie chez une de nos malades, chez laq

pseudo-oedémateuses, ainsi que les pieds, mais ceux-ci à un moindre degré . Le ventre est large, volumineux. Il n'y a pas

et de la variabilité des points . d'application, et du volume, etdu degré d'excitabilité des régionsde l'animal. En ce qu

D'après les nouvelles recherches de l'auteur, il y en auraitquatre degrés caractérisés par de l'hébétude, des mouvements de

gement qui doit prononcer sur son interdiction, vous devez, au même degré et par les mêmes motifs, sinon par des motifs p