/ 162
1 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
de l'é- corce cérébrale; t 2° de dégénérer ' de haut en bas ( dégénérescence corlicifuge) à la suite de lésions cortical
CR), le faisceau occipilo-frontal (OF) et le corps calleux (Cc). La dégénérescence du faisceau compact de la couronne rayonnante p
is il reçoit en outre, ainsi que le montre l'étude systématique des dégénérescences secondaires, de nombreuses libres de projection
e (Al) au-dessus de laquelle il est situé. L'étude systématique des dégénérescences secondaires prouve que le faisceau géniculé dég
au niveau du sommet du noyau lenticulaire. L'étude systématique des dégénérescences secondaires consécutives aux lésions corticales m
- versales. 46 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fic. 31 et 32. - Dégénérescence partielle du segment sous-lenticulaire de la caps
ne relie donc pas le pôle temporal à la couche optique. L'étude des dégénérescences secon- daires nous a montré que ce faisceau tir
s lemniscus de Meynert et de Flechsig (PLp, Fig. 35). L'étude des dégénérescences récentes, traitées par la méthode de Marchi (Fi
aire et se comportent comme elle au niveau du collet du bulbe. Leur dégénérescence est descendante et elles ne participent pas à l
l'aclas I)edoiciili2,is transversus de Gudden. Lorsqu'on étudie les dégénérescences du pied du pédoncule cérébral, en particulier c
es lemniscus superficiel (PLs, Fig. 38). (Méthode de Marchi.) Cette dégénérescence est consécutive à un foyer capsulaire situé en av
OJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 55 FiG. 39 et 40. - Cas Bizaguet. Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule céréb
g. 40), elle s'étale à la surface du faisceau interne et simule une dégénérescence partielle de ce faisceau. - Méthode de Weigert. L
éplace qu'au voisinage immédiat de la protubérance. S'agit-il d'une dégénérescence des trois cinquièmes moyens du pied du pédoncul
foule dans la profondeur du pied du pédoncule, simu- lant ainsi une dégénérescence du faisceau interne, au moins dans ses couches
e une fois de plus la nécessité des coupes sériées dans l'étude des dégénérescences du névraxe. Même en l'absence d'un pes lemniscu
CTION DU MANTEAU CÉRÉBRAL (Résultats basés sur l'étude de 53 cas de dégénérescences secondaires.) Les connexions directes de la cor
chaque territoire cortical correspond, comme le montre l'élude des dégénérescences secondaires (voy. p. 90 et suiv.), une région dét
in, Heudebert, Schweigoffer, p. 128, Fig. 106 à 128) déterminent la dégénérescence du noyau externe du thalamus, et la zone dégéné
ique, en particulier au pulvinar (Pul). Elles naissent (méthode des dégénérescences pathologiques et expéri- mentale) du cuneus, de
s postérieures, auxquelles elles sont intimement unies. L'étude des dégénérescences secondaires montre (Voy. cas Bras, hémisphère g
pariétal (cas Heudebert, Fig. 121., Leudot, Fig. 103) et grâce à la dégénérescence du segment rétro-lenti- culaire et souvent du s
constitution des faisceaux pyramidaux de la moelle. La méthode des dégénérescences secondaires La voie pédoncu- laire. Le pied
. Lésions qui en- traînent sa dégéné- rescence. montre que la dégénérescence du faisceau interne du pied du pédoncule cérébr
u faisceau interne du pied du pédoncule cérébral s'accompagne d'une dégénérescence de la partie interne du locus niger et de la su
ulé (cas Racle, Fig. 165 à 173), et, partant, ne déterminent pas la dégénérescence dn faisceau interne du pied du pédoncule cérébr
, Op F3, partie inférieure de Cia), n'en- traînent pas toujours une dégénérescence totale, du faisceau interne du pied du pédoncul
une origine corticale, le cas Pradel (vaste lésion cor- ticale avec dégénérescence totale du pied du pédoncule cérébral et intégrité
nterne. Le cas Mauriceau paraît en contradiction avec le fait de la dégénérescence du faisceau interne du pied du pédoncule cérébr
que dans le segment postérieur de la capsule interne. L'étude des dégénérescences secondaires montre, en effet, que toute dégé- n
ance grise de la protubérance et la pyramide bulbaire, et que toute dégénérescence de la moitié interne du pied du pédoncule céréb
e et surtout quatrième cinquièmes du pied du pédoncule. L'élude des dégénérescences secondaires montre que les dégénérescences du cin
u pédoncule. L'élude des dégénérescences secondaires montre que les dégénérescences du cinquième interne du pied du pédoncule déter
la pyramide bulbaire (cas Schweigoffer, Fig. 116 à 122); et que les dégénérescences des trois quarts moyens (cas Scheule, Fig. 106
moyens (cas Scheule, Fig. 106 à 112) s'accompagnent toujours d'une dégénérescence très intense, voire même d'une atrophie complèt
pital (Fig. 51). Pour Charcot, ce faisceau n'était jamais frappé de dégénérescence secondaire et contenait des « fibres centripète
le moyenne (zone auditive de Munck) constata par la même méthode la dégénérescence de ce faisceau et sa terminaison dans la substa
egment postérieur de la capsule interne (Cip) se traduisent par une dégénérescence secondaire de la partie du pied du pédoncule co
cas Cogery, Fig. 4 ïG, p. 173; cas Dautriche, Fig. 192 à 19G.) La dégénérescence du faisceau de Tiirck ne peut être suivie, ainsi
e du faisceau de Tiirck dans son trajet pédonculaire et capsulaire, dégénérescence qui peut être suivie jusque dans le segment FIB
ion sous-optique, ainsi que nous avons pu le constater, une zone de dégénérescence à la partie postérieure du segment postérieur d
ns du locus niger tirent leur origine de la région rolan- dique. La dégénérescence du locus niger accompagne toujours les lésions
ue, et le secteur dégénéré correspond assez exactement à la zone de dégénérescence pédonculaire. La dégénérescence du locus niger
spond assez exactement à la zone de dégénérescence pédonculaire. La dégénérescence du locus niger est plus intense lorsque le deux
externe du pied du pédoncule cérébral est dégénéré, que lorsque la dégénérescence occupe les deux cinquièmes internes; elle est p
s internes; elle est presque insignifiante lors- qu'il n'y a qu'une dégénérescence du faisceau de Tiirck. Ces faits nous permetten
s'échelonnent aux différentes hauteurs des noyaux pontiques. Toute dégénérescence du pied du pédoncule cérébral est toujours acco
scence du pied du pédoncule cérébral est toujours accompagnée d'une dégénérescence de la substance grise de l'étage antérieur de l
e de fibres du faisceau interne du pied du pédoncule. En effet, les dégénérescences du faisceau de Tiirck n'enlrainent pas d'as- sy
yramide bulbaire (voy. cas Neumann, Fig. 134 à 136), tandis que les dégénérescences du faisceau interne du pied du pédoncule déterm
de volume de cette pyramide (voy. cas Schweigoffer, Fig. 122). Les dégénérescences des trois quarts moyens du pied du pédoncule cé
du pédoncule cérébral sont, par contre, toujours accompagnées d'une dégénérescence très intense, voire même d'une atrophie complèt
e de travaux parus en 1850, 481 et 1SP3, étudia avec grand soin les dégénérescences secondaires médullaires. Il pratiqua des coupes v
eure de la capsule interne entraîne une hémiplégie prononcée et une dégénérescence de la pyramide du bulbe du même côté, dégénéres
ononcée et une dégénérescence de la pyramide du bulbe du même côté, dégénérescence qui peut être suivie-dans la partie postérieure d
érieure, infé- rieure et externe de la capsule interne, entraîne la dégénérescence des fibres de la partie postéro-externe de la p
s de la partie postérieure de lacapsule interne, l'hémiplégie et la dégénérescence secondaire sont point ou peu prononcées et que ce
'ils dégénèrent à la suite d'une seule et même lésion. Bien que ces dégénérescences s'observent surtout dans les cas de lésions c
rville et Duret, Dejerine (1875), eurent l'occasion de constater la dégénérescence de la pyramide dans des cas de lésions patholog
le chien, et, en 18TG, Vulpian reproduisit expérimentalement cette dégénérescence chez l'animal adulte. Malgré son importance, ce
ais exceptionnellement à la suite de lésions cérébrales, et dont la dégénérescence ne peut être suivie au delà de la]protubérance;
ise que plusieurs mois après la naissance et ne présente jamais une dégénérescence descendante. Il ne constitue pas, comme le croy
laire. Les recherches de Dejerine (1893), basées sur la méthode des dégénérescences secon- daires étudiées à l'aide des coupes micr
avec tout ce que nous enseignent l'anatomie normale et l'étude des dégénérescences secondaires. L'anatomie normale, appuyée sur l'
érescences secondaires. L'anatomie normale, appuyée sur l'étude des dégénérescences secondaires, démontre que toute la corticalité
es résultats opposés à ceux de Flechsig en employant la mélhode des dégénérescences secondaires, et v. Monakow, en 1898, étu- diant
DE PROJECTION DU MANTEAU CÉRÉBRAL ÉTUDIÉES : 1° PAR LA MÉTHODE DES DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAIRES 2" DANS CERTAINE CAS D'AGÉNÉSIES DU
DAIRES 2" DANS CERTAINE CAS D'AGÉNÉSIES DU MANTEAU CÉRÉBRAL. I. - DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAIRES Le neurone forme un tout au point d
de cylindre-axe situé au- dessus de la section s'altère également - dégénérescence rétrograde ou cellulipète. Cette dernière est d
on seulement les faisceaux de la voie pédonculaire respectés par la dégénérescence (Fig. 60, cas Bizaguet), ou le système de proje
atrophie en masse est d'autant plus Considérations gé- nérales. Dégénérescence cellulifuge. Dégénérescence cellulipète.
lus Considérations gé- nérales. Dégénérescence cellulifuge. Dégénérescence cellulipète. Atrophies indi- i- rectes ou s
d'hémiplégie cérébrale remontant à l'enfance et s'accom- 9uc. 5. - Dégénérescence rétrograde de la voie pédonculaire, en particulie
droite de la pro- tubérance. (Voy. cas Brichard, IIIe partie.) La dégénérescence rétrograde de la voie pédonculaire diminue de bas
e moyenne. Le pied du pédoncule gauche, présente une petite zone de dégénérescence (VP (d) consécutive à un foyer de ramollissemen
faisceau longitudinal postérieur. - FT, faisceau de Turcs atteint de dégénérescence rétrograde. - Ln, locus niger. - l'es, pédoncul
de Iteil latéral. - R1 ? ruban de Iteil médian atteint à droite de dégénérescence ascendante consécutive à la lésion protubérantiel
ied du pédoncule gauche : Vu'(¡'), la zone d'intensité maxima de la dégénérescence rétrograde de la voie pédonculaire droite. - 111,
ur. FiG. 57. - Coupe trans- versale de la partie moyenne du bulbe. ^ Dégénérescence de la pyramide anté- rieure du bulbe (Py), atro
érébrales infantiles. Les lésions corti- cales déterminent la dégénérescence de toutes les libres qui prennent leur origin
ui se terminent dans la région lésée. région inférieure du bulbe. Dégénérescence de la pyramide antérieure droite (l'y), atrophi
é opposé à la lésion cérébrale. (Méthode de Weigert.) pagnant d'une dégénérescence ou d'une agénésie plus ou moins totale de la py
nt elles émanent. Or une lésion corticale entraîne non seulement la dégénérescence des fibres de projection corlicifuges, il ter-
édullaires), mais encore -ainsi que nous l'avons vu dans le tome la dégénérescence des fibres commissurales, des libres courtes et
t en outre sur les fibres terminales, corticipètes qui subissent la dégénérescence rétrograde, cellulipète. Le champ de dégénéresc
ui subissent la dégénérescence rétrograde, cellulipète. Le champ de dégénérescence , si l'on peut s'exprimer ainsi, sera donc très
e du pédoncule cérébral et de la voie pédon- culaire dans un cas de dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule céréb
protubérantielles, médul- laires, etc., entraîneront donc, outre la dégénérescence des fibres de pro- jection corticale, la dégéné
c, outre la dégénérescence des fibres de pro- jection corticale, la dégénérescence d'autres systèmes de fibres d'origine variée.
s d'origine variée. Dans ces lésions il se produit, en outre, des dégénérescences en aval et en amont du foyer primitif. Lorsque
amont du foyer primitif. Lorsque la lésion est récente, le champ de dégénérescence est constitué seulement par les fibres qui, sépar
r les fibres qui, séparées de leurs cellules d'origine, ont subi la dégénérescence wallérienne - dégé- nérescence cellulifuge. Les
'est-à-dire au- dessus de la lésion, sont, elles aussi, frappées de dégénérescence ce//«- lifzcge, car ce sont des fibres, qui née
ticipèles. Par contre, lorsque la lésion est moins récente, à cette dégénérescence cellulifugevients'adjoindreune dégénérescence c
oins récente, à cette dégénérescence cellulifugevients'adjoindreune dégénérescence cellulipète, rétrograde, qui, .elle aussi, s'ob
et en aval de la lésion. Au-dessus de la lésion, il se produit une dégénérescence rétrograde des fibres de projection TOME II. 7
rigine variées qui s'entre-croisent ou so mélangent avec elles. Dégénérescences collulifuges en aval et en amont do ces lés
énérescences collulifuges en aval et en amont do ces lésions. Dégénérescences cellulipètcs en aval et on amont do ces lés
es pyramidales de l'écorce cérébrale et au-dessous de la lésion une dégénérescence rétrograde des fibres corticipètes. En d'autres
182, lésion du segment rétro-lenticulaire de la capsule interne et dégénérescence des couches sagittales du segment postérieur de
nne rayonnante et le cas Brichard, Fig. 55 lésion protubérantielle, dégénérescence rétro- grade de la voie pédonculaire). D'une
de grandes dimensions; mais c'est une méthode positive, montrant la dégénérescence de la myéline et pouvant déceler, par conséquen
montre dans le segment postérieur de la capsule interne une zone de dégénérescence qui, certaine- ment, n'est pas seulement consti
, mais aussi par un grand nombre de fibres corticipètes frappées de dégénérescence cellulipète. Les lésions corticales récentes, é
ode de Marchi permet de déceler dans les lésions très récentes, une dégénérescence exclusivement des- cendante de la voie pédoncul
rescence exclusivement des- cendante de la voie pédonculaire et une dégénérescence exclusivement ascendante du ruban de Reil média
, dès que la lésion protubérantielle est un peu moins ré- cente, la dégénérescence rétrograde de ces deux faisceaux survient. On con
aisceaux survient. On constate alors ( méthode de Marchi) outre les dégénérescences que nous venons de mentionner, une dégénérescen
archi) outre les dégénérescences que nous venons de mentionner, une dégénérescence rétrograde ascendante de la voie pédonculaire, re
ule cérébral et le segment postérieur de la capsule interne, et une dégénérescence rétrograde descendante du ruban de Reil médian, d
descendante du ruban de Reil médian, dans son trajet bulbaire. Ces dégénérescences rétrogrades diminuent rapidement d'intensité à me
rones correspondant aux fibres dégénérées. En résumé, l'étude des dégénérescences secondaires démontre que de tous les points de
la même valeur physiologique. Les résultats fournis par l'étude des dégénérescences secondaires (méthodes deweigert et de Marchi) c
ïde, le noyau de Deilers, etc. Nous étudierons successivement les dégénérescences secondaires con- sécutives : 1° Aux lésions t
segments de lobe; 3° Aux lésions sous-corticales et centrales. I. Dégénérescences secondaires, consécutives aux lésions très étendu
el (FI) qui traversent la capsule interne sont seules conservées. - Dégénérescence complète des fibres radiées du pulvinar (Pul) e
iées du pulvinar (Pul) et du noyau interne (Ni) du thalamus (Th). - Dégénérescence incomplète de la commissure antérieure (coa). A
ie supérieure de la région sous-thalamique de la capsule interne. - Dégénérescence complète des segments postérieur (Cip) et antér
(Pul), de la partie interne du noyau interne (Ni) du thalamus (Th). Dégénérescence incomplète de la commissure antérieure (coa). A
JECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 103 1° Il existe dans ce cas : une dégénérescence totale de toutes les fibres longitudinale de la
, rétro (Cirl) et sous lenticulaires (Cisl) (Fig. 67, 68, 69) ; une dégénérescence totale de toutes les fibres longi- tudinales du
l (P), y compris le stratum intermedium (Stri; (Fig. ' ? 0-7t); une dégénérescence totale des fibres longitudinales de l'étage antér
ngitudinales de l'étage antérieur de la protubérance (Fig. 75); une dégénérescence totale de la pyramide bulbaire (Py) (Fig. 76) e
ition du feu- trage des fibres de ces régions. 2° Il existe : une dégénérescence complète des fibres radiées des noyaux externe et
de Turck dans son trajet capsulaire (fur) et sous-lenticulaire (FT). Dégénérescence du pulvinar (Pul), des corps genouillés externe
ux supérieur (Pcs) bien qu'atrophiés, ne participent nullement à la dégénérescence (Fig. G7 à 73); il en est de même du faisceau l
mique, en particulier au corps de Luys, étaient intacts. Grâce à la dégénérescence com- plète des fibres de projection corticale,
âce à l'étroitesse de la capsule interne, conséquence directe de sa dégénérescence (Fig. 78). FiG. 70. - Cas Pradel. Région sous-t
escence (Fig. 78). FiG. 70. - Cas Pradel. Région sous-thalamique. - Dégénérescence totale du pied du pédoncule cérébral (P). Les f
e [radiations strio-luysiennes (CM, fCl)] sont seules respectées. - Dégénérescences des corps genouillés externe et interne, du bra
et de la couche superficielle du tubercule quadrijumeau antérieur. Dégénérescence du noyau rouge. Atrophie légère de la bandelett
ng,; FiG. 71 et 72. - Cas Pradel. Région pédonculaire supérieure. - Dégénérescence totale du pied du pédoncule cérébral (P). Dégén
érieure. - Dégénérescence totale du pied du pédoncule cérébral (P). Dégénérescence des corps genouillés externe (Cge) et interne (
re. Fig. 75. - Cas Pradel. Coupe transversale de la protubérance. - Dégénérescence complète des fibres longitudinales de la protub
he. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIG. 76. - Cas Pradel. Dégénérescence totale de la pyramide gauche. Atrophie de la co
s cervicale, dorsale moyenne, dorsale inférieure et lom- baire. Dégénérescence du faisceau pyramidal direct gauche et croisé
al. - Ce der- nier problème ne peut être résolu que par l'étude des dégénérescences secondaires consécutives à des lésions restrein
des lésions restreintes, limitées, de la corticalité cérébrale. 2. Dégénérescences secondaires consécutives aux lésions corticales r
ITAL. - Dans les lésions du lobe occipital, on observe toujours une dégénérescence - d'autant plus accusée que la lésion est plus ét
, dans le système des fibres com- missurales et d'associations, une dégénérescence : t° Des courtes fibres d'association et des li
ual (ilgl), stra- tum calcarinum, faisceau propre du cunéus, et une dégénérescence du faisceau occipital vertical (Ov), lorsque la
et le tapetum de la région (Fig. 8G). Cette lésion a entraîné les dégénérescences suivantes : 1° Une dégénérescence très intense
8G). Cette lésion a entraîné les dégénérescences suivantes : 1° Une dégénérescence très intense du segment postérieur de la couron
la corne occipitale et du carrefour ventriculaire (Fig. 8B). Cette dégénérescence se poursuit d'une part dans la partie inférieur
cule cérébral (P) sont absolument normaux. (Fig. 82 à 85). 2° Une dégénérescence très intense des fibres calleuses qui entourent l
inférieur du forceps postérieur du corps calleux (Fm') (Fig. 86). La dégénérescence du tapetum se continue surtout à la partie infé
siège d'un ramollissement récent qui a entraîné la mort du malade. Dégénérescence du bourrelet du corps calleux. (Voy. Fig. 8G.)
upes sériées le long de l'angle externe du ventricule latéral. - La dégénérescence du faisceau inférieur du forceps du corps calle
en particulier le bec et le genou postérieurs (Fig. 8G). , 3° Une dégénérescence des courtes fibres d'association qui relient la f
et aux circonvolutions du bord inféro-externe de l'hémi- sphère. La dégénérescence des fibres d'association qui relient la face infé
a mort du malade. La coupe passe au-dessus du maximum de la zone de dégénérescence . - On constate néanmoins une dégénérescence très
u maximum de la zone de dégénérescence. - On constate néanmoins une dégénérescence très nette des couches sagittales (radiations t
l'écorce des lèvres des scissures calca- rine et collatérale. Dégénérescence des segments rétro et sous-lenticulaire de
l'écorce des lèvres des scissures calca- rine et collatérale. Dégénérescence des couches sagittales du segment postérieur
l'écorco des lèvres des scissures calca- rine et collatérale. Dégénérescence du segment postérieur delà couronne rayon-
, la lésion n'a sectionné que le faisceau longitudinal inférieur. Dégénérescence extrêmement accentuée du faisceau longitudinal in
du faisceau inférieur du forceps et du bourrelet du corps calleux. Dégénérescence de la masse blanche de la face inféro-interne d
te. Ces lésions si étendues du lobe occipital ont entraîné : 1° une dégénérescence très intense du tapetum (Tap) et du forceps maj
dans sa partie interne, inférieure et supérieure (Fig. 92). 2° Une dégénérescence très intense des couches sagittales des segments
u- les lingual et fusi- forme et de l'isthme de l'hippocampe. Dégénérescences do Tap, Fm, RTh, Fli, 1W . Tgp. quelques co
u'à la couche des radiations thalamiques ou sagittale interne. - La dégénérescence des couches sagittales (radia- tions thalamique
(RTh) et faisceau longitudinal inférieur (Fli)) s'accompagne d'une dégénérescence très intense des segments rétro et sous-lenticula
radiées et du stratum zonale du pulvinar (pur).11 existe en outre une dégénérescence très manifeste du bras du tubercule quadrijumea
orticale. - Hémisphère droit. Topographie de la plaque jaune et des dégénérescences secondaires sur une coupe vertico-transversale pa
foyer anfractueux qui occupe la base des circonvolutions du cunéus. Dégénérescence du tapetum et du forceps postérieur du corps call
lette optique est intacte, ainsi que la commissure antérieure. La dégénérescence des couches sagittales, en particulier du faiscea
e con- tiennent de nombreuses fibres dégénérées (Fig. 91). 3° Une dégénérescence des courts faisceaux d'association du lobe occipi
transverse du cuneus, faisceau transverse du lobule lingual. 4° Une dégénérescence du pilier postérieur du trigone cere6ra/(Tgp)qui
le de la région thalamique inférieure de la capsule interne droite. Dégénérescences secon- daires du tapetum (Tap), des radiations
rtie postérieure du pli cunéo-limbique. Cette lésion a entraîné des dégénérescences moins étendues que celles de l'hémisphère droit
hère droit mais néanmoins très manifestes : 1° Il existe une légère dégénérescence du tapetum qui double la paroi inférieure de la
u tapetum qui double la paroi inférieure de la corne occipitale. La dégénérescence si intense du forceps major que présente la cou
les fibres calleuses dégénérées de l'hémi- sphère droit; la zone de dégénérescence qui coiffe le faisceau compact de la couronne r
fibres calleuses dégénérées de l'hémisphère droit. 2° Il existe une dégénérescence très intense, bien que limitée, des couches sagit
e horizontale de la région sous-thalamique de la capsule interne. - Dégénérescences secondaires du tapetum (Tap), des couches sagit
Plaque jaune du lobule lingual (Lg) et du pli cuneo-limbique (7cl). Dégénérescences secondaires des radiations thalamiques (RTh) et
four ventriculaire (TgV). Dégénéres- cence légère du tapetum (Tap), dégénérescence de la substance blanche non diffé- renciée de l
ubstance blanche non diffé- renciée de la région temporo-pariétale. Dégénérescence du forceps major et de la substance blanche non
nterne sont parfaitement normaux. Il existe enfin dans ce cas une dégénérescence limitée bien que très intense du corps Fig. 93.
BRALE. 121 genouillé externe (Cge), de la zone de Wernicke et une dégénérescence plus limitée encore du pulvinar; le bras du tub
5), le pied du pédoncule cérébral et la bandelette optique gauches. Dégénérescence du corps genouillé externe (Cge), du pulvinar (
segment postérieur de la capsule interne en arrière du genou. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du pied du pé
courbe. Coupe horizontale passant par la région thalamique moyenne. Dégénérescence des couches sagittales externe (Sge) et interne
alisations cérébrales, p. 236.) La lésion capsulaire a entraîné une dégénérescence du deuxième cinquième an- térieur du segment po
e de la capsule externe un petit foyer lacunaire ayant entraîné une dégénérescence partielle de la commissure antérieure (coa) et
passant par la région thalamique moyenne de la capsule interne : 1° dégénérescence des couches sagittales externe et interne (Sge
nar (Pul) consécutive à la lésion porencéphalique du pli courbe; 2° dégénérescence du deuxième cinquième antérieur du segment post
de la capsule interne (Cip) consécutive à la lésion capsulaire ; 3° dégénérescence de la commissure antérieure (coa) consécutive a
segment postérieur de la capsule interne en arrière du genou. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du pied du pé
segment postérieur de la capsule interne en arrière du genou Dégénérescence du deuxième cinquième interne du pied du pé
tement par les lésions primitives; elles pré- sentent néanmoins une dégénérescence partielle très manifeste. Cette dégénérescence
sentent néanmoins une dégénérescence partielle très manifeste. Cette dégénérescence ne va pas en diminuant d'intensité de dehors en
de la face et hémiparésie très légère de la moitié gauche du corps. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du pied du pédonc
ieure et empiète sur la cir- convolution pariétale ascendante, à la dégénérescence du pulvinar, de la partie supé- Fig. 101. - Cas
ente du segment rétrolenticulaire de la capsule interne (Fig. 102). Dégénérescences des couches sagittales en amont de la lésion pouv
férieur et la substance blanche non différenciée du lobe occipital; dégénérescences du tapetum, du forceps postérieur et du bourrel
t du segment rétro-lenticulaire de la capsule interne, s'ajoute une dégénérescence de la partie postérieure du noyau externe du thal
et du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Cette dernière dégénérescence occupe dans la région thalamique la partie post
orrespond au deuxième cinquième externe du pied du pédoncule. Cette dégénérescence du pied du pédoncule tient à la lésion concomit
e (Cgi), des radiations de la calotte et du noyau rouge (NR). Dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pé
ne (Cgi, des radiations de la calotte et du noyau rouge (NR). Dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pé
s la lésion primitive, la limite entre la lésion pri- mitive et les dégénérescences difficile est à établir dans le segment rétrolent
établir dans le segment rétrolenticulaire de la capsule interne. Dégénérescence du segment rétrolenticulaire (Cirl) et de la part
nar (Pul) et de la partie adjacente du noyau externe du thalamus. Dégénérescence (de la partie supéro-antérieure de la zone de Wer
illé interne (RCgi) (Fig. 103) et du corps genouillé interne (Cgi). Dégénérescence de la partie supérieure des radiations de la ca
rouge (CNII) et de la partie supéro-antérieure de ce noyau (,Nll). Dégénérescence du deuxième cin- quième externe du pied du pédo
e (Cgi), des radiations de la calotte et du noyau rouge iNR). Dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pé
des systèmes d'association et commissural. On observe toujours une dégénérescence : 1° des courtes fibres d'asso- ciation de la r
dante. Coupe horizontale passant par le pied du pédoncule cérébral. Dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncul
corticales examinées à l'aide de coupes microscopiques sériées. La dégénérescence du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
postérieur de la capsule interne (Cip) s'accompagne toujours d'une dégénérescence du thalamus, intéressant la zone réticulée (Zr) e
étendue correspondent très exactement au siège et à l'étendue de la dégénérescence capsulaire. Si cette dernière occupe le genou de
sont intimement mélangées les unes aux autres, en sorte que toute - dégénérescence des quatre cinquièmes internes du pied du pédoncu
de la partie supé- rieure des circonvo- lutions rolandiques. Dégénérescence de la partie postérieure du segment poste-
lutions pariétale et frontale ascendantes et du lobule paracentral. - Dégénérescence de la partie postérieure du segment postérieur
s du noyau externe (Ne) du tha- lamus dans la partie adjacente à la dégénérescence capsulaire (Fig. 108). Coupes hori- zontales pa
ied du pédoncule cérébral et la partie moyenne du bulbe (Fig. 112). Dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncul
de la partie stipe- rieure (les circonvo- lutions rolandiques. Dégénérescence de la partie postérieure du segment posté-
s de la zone rolan- dique (cas Schweigoffer, Fig. 417 et 118) et la dégénérescence intéresse, non seulement le faisceau en crochet
de la sensibilité générale ou spéciale. Mort à l'âge de 68 ans. Dégénérescence du segment posté- rieur de la capsule interne (
adiées du noyau externe du thalamus dans la partie adjacente à la dégénérescence capsulaire. Dégénérescence du cin- quième moy
thalamus dans la partie adjacente à la dégénérescence capsulaire. Dégénérescence du cin- quième moyen du pied du pédoncule cér
nterne de la partie supérieure des circonvolutions rolandiques. Les dégénérescences secondaires occupent la partie postérieure du seg
iétale inférieure (Voy. cas Leudot) (Fig. 101 à 105). Le champ de dégénérescence du segment postérieur de la capsule interne, aban
jet pédonculaire des fibres au locus niger (Ln). (Fig. 110 el 411). Dégénérescence très intense de la pyramide bulbaire correspondan
dique et déterminé une monoplégie brachiale droite (Fig. 113). Ici la dégénérescence capsulaire occupe dans le segment postérieur de
partie du noyau externe du 'thalamus (Ne) (Fig. 1l4) adjacente à la dégénérescence capsulaire, et une dégénérescence du locus nige
us (Ne) (Fig. 1l4) adjacente à la dégénérescence capsulaire, et une dégénérescence du locus niger (Ln). (Fig. 115.) 3° Lésion du
nt le segment antérieur ou len- ticulo-caudé de la capsule interne. Dégénérescence du faisceau arqué ou longi- tudinal supérieur,
des fibres (OF) qui sillonnent la substance grise sous-épendymaire. Dégénérescence partielle du segment antérieur de la capsule in
apsule interne (en particulier, par la ligne B Il de la fig. 11 i). Dégénérescence de la substance blanche non différenciée des circ
n- volutions frontale ascendante et première et deuxième frontales. Dégénérescence de la'capsule externe du faisceau occipito-fron
gualegauche.Porcn- céphalic acquise de l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du faisceau arqué du faisceau occiputo- fro
ale gaucho. Poren- céphalie acquise do l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du faisceau arqué, du faisceau occil)tto- f
(Fig. 120) la région sous-thalami- que de la capsule in- terne. Dégénérescence du faisceau géniculé (Ci (g) et du bord lenti
cinquième interne du pied du pédoncule cérébral (P) (Fig.121). La dégénérescence , très ma- nifeste à la partie supérieure du pie
ues au lobe temporal occupent le plus souvent la FiG. 121 et 122. - Dégénérescence du faisceau interne du pied du pédoncule cérébr
le gauche. l'oren- céphalie acquise de l'opercule rolandi- que. Dégénérescence du faisceau arqué, du faisceau occipito- fr
deuxième quart inférieur de la zone rolan- dique ayant entraîné une dégénérescence du deuxième cinquième antérieur du segment post
al, des segments postérieur et inférieur de la couronne rayonnante. Dégénérescence des segments rétro et sous- lenticulaires de la
ed du pédoncule cérébral; 21 lésion du lobcoccipito-tempo- ral. Dégénérescence des segments rétro et sous-lenticulaire del
du pédoncule cérébral ; 2° lésion du lobe occipito-tempo- ral. Dégénérescence des segments rétro- et sous-lenticulaires d
du segment rétro-lenticulaire de la capsule interne a. entraîné une dégénérescence des segments rétro-lenticulaire (Cirl) (Fig. 125
de fibres superficielles du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa). Dégénérescence du faisceau temporo-thalamique d'Arnold (Cisl,
faisceau de Tiirck (FT) dans son trajet capsulaire et pédonculaire. Dégénérescence du faisceau uncinatus (Fu), de la substance blanc
thode de Weigert. 2° La lésion de la zone rolandique a entraîné une dégénérescence du deuxième cin- quième antérieur du segment po
ip) et des fibres radiées du thalamus dans la région adjacente à la dégénérescence capsulaire (Fig. 125 et 126) et une dégénéresce
n adjacente à la dégénérescence capsulaire (Fig. 125 et 126) et une dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncul
étruisent plus ou moins complètement les fibres de la région. Aux dégénérescences secondaires propres au lobe occipital, au lobe pa
ipital, au lobe pariétal et aux couches sagittales sous-jacentes - ( dégénérescences du segment rétrolenticulaire de la capsule inte
l), (lu corps genouillé ca;<enM(Cge)se joignent, dans ce cas des dégénérescences propres au lobe temporal. Ce sont : dans les lési
sont : dans les lésions des 3° et 2e circonvolutions temporales une dégénérescence du cinquième externe du pied du pédoncule céréb
(FT), et dans les lésions de la ire ci ? convolution temporale une dégénérescence du corps genouillé inlerne (Cgi). Le cas Heudeb
? 8.- Cas Heudebert. Coupe de la région pédonculaire inférieure. Dégénérescence du deuxième cin- quième interne du pied du pédo
bral. Il est impossible dans ce cas de déter- miner ce qui, dans la dégénérescence du pu/vinai', revient au lobe occipital et ce qui
occipital et ce qui revient au lobe temporal. Mais, vu l'absence de dégénérescence du pied du pédoncule cérébral dans les lésions
as, Fig. 87 à 9 : i, p. 109 à 121), il est permis d'affirmer que la dégénérescence du cinquième externe du pied du pédoncule cérébra
circonvolu- tions temporales. Dans ce cas, il existe en outre une dégénérescence du faisceau uncinatus (Fu) qui peut être suivie
(T,) et de la pointe temporale relèvent au moins en partie de la dégénérescence du faisceau uncinatus. Cas Le Seguillon (Fig. 1
n, mais n'atteint pas l'épendyme du carrefour ventriculaire. La dégénérescence occupe dans ce cas (Fig. 130 et 131) la région
péro-posté- rieure du noyau rouge (Fig. 133). Une seconde zone de dégénérescence occupe le segment postérieur de la capsule intern
JECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE 143 externe l",e, Il') au cuaiamus. Dégénérescence du pumnar ;W u) CL de la zone de w er- nicke (W
noyau rouge. Dégénéres- cence partielle du faisceau de Turck. Dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pé
e du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral Dégénérescence très intense de la pyra- mide antérieure du
terne et s'étend à la circonvolution posté- rieure de l'insula. Dégénérescence du segment rétro-lenti- culaire (Cirl) et de
noyau rouge. Dégénéres- cence partielle du faisceau de Turck. Dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pé
du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral. Dégénérescence très intense de la py ra- mide antérieure du
ne dégéné- rée du segment posté- rieur de la capsule in- terne. Dégénérescence partielle du segment rétro -lenticulaire de
terne (Cirl) dans la région adja- cente au faisceau de Tiirck : dégénérescence du corps genouillé in- terne (Cgi). Dégénéres
cule cérébral, du pes lemniscus profond (Stri) et du locus niger. Dégénérescence partielle du fais- ceau de Turck (FT). Dégénére
ocus niger. Dégénérescence partielle du fais- ceau de Turck (FT). Dégénérescence du corps genouillé interne (Cgi), du bras du
ostéro-supérieure du noyau rouge (NI3). Il existe dans ce cas une dégénérescence très intense de la pyramide antérieure du bulbe
OJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 145 Dans ce cas, il existe donc une dégénérescence des fibres cortico-thalamiques destinées au pul
pulvinar et à la partie postérieure du noyau externe du thalamus, une dégénérescence des fibres cortico-genozcillées internes, une d
s, une dégénérescence des fibres cortico-genozcillées internes, une dégénérescence incomplète du faisceau de Tûrck, et une dégénér
nternes, une dégénérescence incomplète du faisceau de Tûrck, et une dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncul
du pied du pédoncule cérébral (Fig. 133). Il existe en outre une dégénérescence des noyaux pontiques et une dégénérescence très
. Il existe en outre une dégénérescence des noyaux pontiques et une dégénérescence très intense de la pyramide antérieure du bulbe
très intense de la pyramide antérieure du bulbe. Il existe enfin une dégénérescence par- tielle du locusniger (Ln), du stratum inte
nir par la suite. (Voy. radiations striées, p. 31 et suivantes.) La dégénérescence du cinquième externe du pied du pédoncule cérébra
occipital ne retentissent pas sur le pied du pédoncule cérébral. La dégénérescence du cin- quième externe du pied du pédoncule cér
et troisième circonvolutions temporales. Dans ce cas il existe une dégénérescence du segment sous-lenticulaire de la capsule intern
es de la région. Dans deux autres cas, à topo- graphie analogue, la dégénérescence secondaire présentait la même disposition. Le l
ions temporales et de la partie moyenne de la première temporale. Dégénérescence du segment sous- lenticulaire de la capsule i
lenticulaire de la capsule interne e t du faisceau de TÜrck (FT). Dégénérescence des noyaux pontiques, sans dégénérescence app
isceau de TÜrck (FT). Dégénérescence des noyaux pontiques, sans dégénérescence appréciable de la pyramide antérieure du bulb
dégénérescence appréciable de la pyramide antérieure du bulbe. Dégénérescence du corps genouillé interne, du bras du tuberc
ncinatus (Fu), longitudinal supérieur (Arc) et du tapetum (Tap). La dégénérescence du tapetum peut être suivie, d'une part, dans le
e gauche sectionnant le faisceau compact de la couronne rayonnante. Dégénérescence du genou du corps cal- leux (Cc(r), du faisceau
rieure des première et deuxième circonvolutions frontales droites. Dégénérescence FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. U
é antérieure des noyaux externe et interne du thalamus (Th). Pas de dégénérescence du pied du pédoncule cérébral. La zone dégénérée
ales passent au-dessus et en avant des fibres du lobe occipital. La dégénérescence du faisceau longitudinal inférieur peut être suiv
eur trajet, la voie de la couche sagittale externe. Quant il la dégénérescence du faisceau uncinatus, elle peut être suivie
et 1<'2) (cas Moriceau IL d., Fig. 139 et 140) entraînent une dégénérescence au segment antérieur de ta couronne rayonnante,
ct de la couronne rayonnante du lobe frontal; elles déterminent une dégénérescence du segment antérieur de la capsule interne (Cia
140), et dans les lésions de Fa sur le faisceau uncinatus (Fu). La dégénérescence du faisceau occipito-frontal intéresse non seul
nt leur biège, les lésions du lobe frontal déterminent en outre une dégénérescence soit des fibres du genou (Ce[g]), du bec (Cc[r]
artie antérieure 'du tronc du corps calleux (Fig. 137 et 140). 3. Dégénérescences secondaires consécutives aux lésions sous-corti
nstate une concordance parfaite entre les résultats obtenus par les dégénérescences secondaires consécutives aux lésions corticales e
eure, le faisceau geniculé. Dans l'un et l'autre cas, il existe une dégénérescence du pied du pédoncule cérébral et du segment posté
sque le faisceau du genou est lésé (cas Cogery, Fig. 174 à 180), la dégénérescence occupe la partie interne du segment postérieur
nnante qui est con- jointement lésé (cas Racle, Fig. 165 à 173), la dégénérescence siège en arrière du genou et respecte le faisce
e (Cip) (cas Carré, Fig. 186; cas Lavigne, Fig. 189) entraînent une dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédonc
egment postérieur de la capsule interne et entraînent de ce fait la dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncul
té- rieur, moyen et pos- térieur do la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interne du
té- rieur, moyen et pos- térieur do la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interne du
té- rieur, moyen et pos- térieur de la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interne du
segment rétro-len- ticulaire de la cap- sule interne (Cil-1). Dégénérescence et petitesse extrêmes du thalamus ,en par-
s radiées du pulvinar et du noyau externe du thalamus (Ne). ' Dégénérescence ex- trême de la zone réticulée (Zr) et du s
u segment postérieur de la capsule in- terne (Cip).Minceur et dégénérescence des segments anté- rieurs(Cia)etrétro- lent
e rares fibres saines, en particulier dans sa partie antérieure; sa dégénérescence est en grande partie mas- quée par les fibres s
lialamiques, strio-luysiennes et du faisceau lenticulaire de Forel. Dégénérescence du pulvinar (Pul), de la zone de Wer- nicke (W)
(d) el. de la substance grise de l'aqueduc de Syl- vius (Sg Aq (d). Dégénérescence partielle du bras du tubercule quadrijumeau posté
e- rieur, M03 en et pos- térieur de la cou- ronne tayonnante. Dégénérescence du jllIlvlD31', des noyaux externe et interne
nté- rieur, moyen et pos- teneur do la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du 11 pulvinar, des noyaux externe et interne
té- rieur, moyen et pos- terieur de la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interne du
gment rélro-lenticulaire de la capsule interne (Fig. 147). 2° Une dégénérescence des corps genouillés externe et interne (Cee, Cat
té- rieur, moyen et pos- térieur de la cou- ronno rayonnante. Dégénérescence du pulvinar,des noyaux externe et interne (lu
té- rieur, moyen et pos- terieur de la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interno du
ntrale (Sgc) au voisinage de ce tubercule (Fig. 148 et 149); 3° Une dégénérescence presque complète des quatre cinquièmes internes d
diminuée de volume; mais on ne retrouve pas, comme dans les cas de dégénérescence secondaire de l'adulte, remplacement des faisce
s laisser pour ainsi dire de trace. Bien qu'il n'existe pas ici une dégénérescence totale du pied du pédoncule cérébral ce cas pré
té- rieur, moyen et pos- térieur de la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interne du
té- rieur, moyen et pos- térieur de la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulvinar, des noyaux externe et interne du
la pelitesse, la minceur, le tas- sement des fibres, et non par une dégénérescence de ces dernières; l'hémiall'ophic cérébelleuse
ION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 1G3 blement encore un autre facteur : la dégénérescence des collatéiales ou des fibres aber- rantes que
e segment postérieur de la capsule interne, qu'elles en masquent la dégénérescence . On n'y retrouve même plus les intervalles plus
té- rieur, moyen et pos- térieur de la cou- ronne rayonnante. Dégénérescence du pulcinar,desnoyaw externe et interne du
Intégrité partielle du faisceau géniculé. couronne rayonnante. Dégénérescence complète des deux tiers antérieurs du seg- ment
ers antérieurs du seg- ment postérieur (Cip) de la capsule interne. Dégénérescence de la lame médullaire externe (Lme), de la zone
té du noyau antérieur et de la partie postérieure du noyau externe. Dégénérescence partielle de la partie postérieure du segment p
nférieure de la région thalamique et par la région sous-optique. La dégénérescence du segment postérieur de la capsule interne est
le pulvinar et la région rétro-lenticulaire de la capsule interne. Dégénérescence partielle de l'anse lenticulaire (Al) et de la
Cette lésion a entraîné les dé- gênérescencessuivantes : l aUne dégénérescence , voire même une destruc- tion complète de la
dans le segment antérieur de la couronne rayonnante; l'étude des dégénérescences secondaires démontre en outre que toutes les
pilier antérieur du trigone et le sillon pédonculo- protubérantiel. Dégénérescence de la région moyenne du pied du pédoncule cérébra
oupe transver- sale de la partie inférieure de la protu- bérance. Dégénérescence des faisceaux antéro-internes de la voie pédonc
couche optique (Fig. 167); il existe néanmoins dans ces régions une dégénérescence très intense de la zone réticulée (Zr), de la l
noyau externe (Ne) du thalamus, dans toute la région adjacente à la dégénérescence des deux tiers antérieurs du segment postérieur
e antérieur de la protubérance (Fig. 173). Il existe en outre une dégénérescence très intense du locus niger (Ln), du stratum in
iger (Ln), du stratum intermedium (Stri), des noyaux pontiques, une dégénérescence très intense du faisceau pyramidal dans son tra
faisceau pyramidal dans son trajet bulbaire et médullaire. 2° Une dégénérescence partielle de la commissure anlérieure (Fig. 170 e
ique elles sont si denses et serrées qu'elles masquent en partie la dégénérescence capsulaire; celle-ci ne redevient appa- rente q
ir- convolution pariétale ascendante. Cette lésion a entraîné une dégénérescence de la partie antérieure du quart postérieur d
sarthrie et une paralysie linguale; foyers lacu- naires du putamen. Dégénérescence du segment antérieur de la capsule interne (Cia),
rémité antérieure du noyau externe et du noyau interne du thalamus. Dégénérescence du segment antérieur de la couronne rayon- nant
nante (pCR),du faisceawoccipito-frontal et de la capsule externe. 2° Dégénérescence de la partie antérieure du quart postérieur de
ieur de Cip consécutive à la lésion porencé- phalique corticale. 3" Dégénérescence des piliers antérieurs (Tga) et postérieur (Tgp;
partie inférieure du segment antérieur de la capsule interne. Dégénérescence du faisceau géniculé et de la partie interne
externe du pied du pédoncule, y compris le faisceau do Turck. Dégénérescence de BrQa, Qa, Tgp, et du ruban de Rei- média
de la capsule inlerne. Dans le pre- mier cas (Racle) il existe une dégénérescence des parties moyenne et interne du pied du pédon
eure de la calotte pédonculaire et le pilier postérieur du trigone. Dégénérescence du faisceau de Tiirck et du deuxième cin- quièm
xième cin- quième externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 177). Dégénérescence du bras (BrQa) et des couches superficielle et
hes superficielle et moyenne du tubercule quadrijumeau anté- rieur. Dégénérescence de la bandelette optique (II) avec intégrité de l
lette optique (II) avec intégrité de la commissure de Meynert (CM). Dégénérescence des couches sagittales (Sgi et Sge-d) du segment
eure du segment rétro-lcn- 1 iculaire (Cirl) de la capsule interne. Dégénérescence partielle du faisceau uncinatus (Fu). Intégrité
eau uncinatus (Fu). Intégrité de la commissure antérieure (coa). 2° Dégénérescence du faisceau in- lerne du pied du pédoncule cons
la lésion du segment antérieur de la cap- sule interne (Cia). 3° La dégénérescence du segment postérieur de la capsule interne (Ci
pe pas- sant par la partie inférieure du pé- doncule cérébral. 1° Dégénérescence du faisceau de Turck et de la partie externe
a partie externe adjacente du pied du pédon- cule cérébral. 2° La dégénérescence du faisceau interne du pied du pé- doncule (P
e fibres saines ap- partenant au pes lemniscus supei-il- ciel. 3° Dégénérescence du ruban de Iteil médian. Méthode de Weigert.
u ruban de Iteil médian. Méthode de Weigert. Cogery il existe une dégénérescence du faisceau interne, du faisceau de Turck et
e de la capsule interne. Ces trois lésions ont entraîné chacune des dégénérescences distinctes dans la cap- sule interne et le pied
la protu- bérance et les parties moyenne et inférieure du bulbe. 1° Dégénérescence très intense des fibres longitudinales de l'éta
partie inférieure du segmcnt antérieur de la capsule interne. Dégénérescence du faisceau géniculé et de la partie interne
externe du pied du pédoncule, y compris le faisceau de Turck. Dégénérescence de BrQa, Qa, 1'gp, et du ruban de Reil médi
partie inférieure du segment antérieur delà capsule interne. Dégénérescence du faisceau géniculé et do la partie interne
externe du pied du pédoncule,)- compris le faisceau de Tiirck. Dégénérescence de BrQa, Qa, Tgp, et du ruban de Reil mé- d
les du seg- ment postérieur de la couronne rayon- nante. - La dégénérescence consécutive à la lésion corticale occupe dans la
du , pédoncule cérébral elle est mal délimitée et fusionne avec la dégénérescence qui relève de la lésion du segment sous-lenticu
e et du noyau interne du thala- mus ; elle a entraîné enfin une dégénérescence du segment antérieur de la couronne rayonnant
e interne de la couche sagittale interne (Fig. t 7'1 et 170). Cette dégénérescence peut être suivie dans le lobe temporal et jusqu'à
lobe temporal et jusqu'à la pointe occipi- tale. Elle est due il la dégénérescence des fibres qui, prenant leur origine dans le corp
e tel minent dans l'écoice du lobe temporo-occipital, ainsi qu'à la dégénérescence ascendante, rétrograde, cellulipète des fibres de
le pied du pédoncule cérébral. Au-dessous de la lésion primitive, la dégénérescence occupe le tiers externe du pied du pédoncule cé
ésion du genou (Fig. 175). Dans le rhombencéphale on constate une dégénérescence très marquée des fibres velticales de l'étage a
e antérieur du pont. de telle sorte que dans le bulbe il existe une dégénérescence presque totale de la pyramide antérieure Celle-
nérescence du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa) et une dégénérescence presque complète de la bandelette optique (II)
de la lésion du pilier postérieur du trigone (Tgp) (F\g. 170), une dégénérescence considérable du corps et du pilier antérieur du t
- rieur de la capsule interne immédiatement en arrière du genou. La dégénérescence pédonculaire respecte le faisceau interne du pi
cas Ségalon; elle occupe en effet le deuxième cinquième interne. La dégénérescence consécutive à la section du quart postérieur de
truction do la partie antérieure de Cip en arrière du genou. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du pied du pé
postérieur de la capsule interne immédiatement en arrière du genou. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du pied du pédonc
égénéres- cence de la paitie moyenne du pied du pédoncule cérébral, dégénérescence presque complète de la pyramide antérieure du b
ieur du segment postérieur (Cip) de la capsule en arrière du genou. Dégénérescence des fibres radiées du noyau externe du thalamus d
radiées du noyau externe du thalamus dans la région adjacente à la dégénérescence capsulaire; dégénérescence du deuxième cinquième
u thalamus dans la région adjacente à la dégénérescence capsulaire; dégénérescence du deuxième cinquième interne du pied du pédonc
tie an- térieure de Cip im- médiatement en arrière du genou ; dégénérescence du deuxième segment interne du pied du pédo
du pédoncule cérébral. 2° Lésion du quart postérieur de Cip, dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pé
rtie an. tenoure de Cip im. médla temen on arrière du genou : dégénérescence du deuxième segment interne du pied du pédo
du pédonculo cérébral. 2° Lésion du quart postérieur de Cip, dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pé
des radiations strio-luysiennes; intégrité de l'anse lenticulaire. Dégénérescence du quart postérieur du segment postérieur de la
pe le deuxième cin- quième externe du pied du pédoncule cérébral. Dégénérescence du locus niger et du stratum intermedium (Stri)
. Dégénérescence du locus niger et du stratum intermedium (Stri). Dégénérescence rétrograde du ruban de Reil médian. Méthode de
capsule interne immédiatement en avant du faisceau de Turck, (FT) dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédonc
e la zone réti- culée (Zr) du noyau externe du thalamus (Fig. 190); dégénérescence de la couche de fibres superficielles du tuberc
de fibres superficielles du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa); dégénérescence par- tielle du bras du tubercule quadrijumeau p
ce par- tielle du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp); dégénérescence rétro- grade du ruban de Reil médian (Itiii). I
tiii). Intégrité du noyau rouge (P\R) et de sa cap- sule de fibres. Dégénérescence partielle des radiations strio-luysiennes et de l
allidus et du putamen (Fig.189 et 190). Cette lésion a entraîné une dégénérescence des fibres radiées, de la zone réticulée (Zr) e
e que dans le cas Carré (Fig- 188). 11 existe enfin dans ce cas une dégénérescence de la couche de fibres superficielles du tubercul
superficielles du tubercule quadrijumeau antérieur (Fig. 191), une dégénérescence partielle du bras du tubercule quadrijumeau pos
rtielle du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (Br Qp) et une dégénérescence rétrograde du ruban de Reil médian (Rm). d. Lés
opsie homonyme latérale croisée et anatomo-pathologiquement par une dégénérescence des voies optiques en amont et en aval du foyer
ne. 2° Lésion du seg- ment rétrolenticulaire de la capsule interne. Dégénérescence complète du pulvinar (Pul) ; dégénérescence des
de la capsule interne. Dégénérescence complète du pulvinar (Pul) ; dégénérescence des couches sagittales du segment postérieur de l
et Sgi) et du faisceau occipito-frontal en amont du foyer primitif. Dégénérescence partielle de la commissure antérieure et du trigo
grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 183 Dégénérescence complète des couches sagittales du segment postér
udinal postérieur et radiations thalamiques). Intégrité du tapetum. Dégénérescence partielle du faisceau occipito- frontal, de la
xterne et de la substance blanche des circonvolutions tem- porales. Dégénérescence du pulvinar (Pul), du corps genouillé externe (Cg
la couche superficielle du tubercule quadriju- meau antérieur (Qa). Dégénérescence partielle du corps genouillé interne, des piliers
a partie supérieure du pied du pédoncule cérébral et a entraîné une dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule et du
uvant être sui\i dans l'étage antérieur de la protubé- rance et une dégénérescence très intense du faisceau pyramidal dans son traje
e du faisceau pyramidal dans son trajet bulbaire et médullaire; une dégénérescence partielle des radiations strio-thalamiques, de l'
193, 191) pouvant être suivi jusque dans la pointe occipitale; une dégénérescence partielle de la substance blanche des circonvolut
rtielle de la substance blanche des circonvolutions temporales, une dégénérescence de la capsule externe (Ce) en particulier du cont
t de fibres fournies par le faisceau longitudinal inférieur; 2° Une dégénérescence du faisceau occipito-frontal (OF) qui peut être
riculaire et foi me une couche très bien délimitée en dehors par la dégénérescence des couches sagittales, en dedans par la dégéné
hors par la dégénérescence des couches sagittales, en dedans par la dégénérescence des fibres du faisceau occipito-frontal. En ava
occipito-frontal. En aval de la lésion primitive il existe : 1° une dégénérescence très intense du pul- vinar (Pul) qui ne contien
ient ni fibres radiées, ni stratum zonale, ni zone de Wernicke; une dégénérescence du corps genouillé externe (Cge), du bras et de l
ouche superfi- cielle du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa), une dégénérescence partielle de la bandelette optique (II, Fig. 19
cence partielle de la bandelette optique (II, Fig. 194 et 195), une dégénérescence partielle du corps genouillé Fig. 193 et 196. -
ns capsulaires dans le domaine de l'artère choroidienne antérieure. Dégénérescence du corps genouillé externe (Cge) de la bandelette
la bandelette optique (II) et du tubercule quadrijumeau antérieur. Dégénérescences des deux tiers externes du pied du pédoncule cé
deux tiers externes du pied du pédoncule cérébral et du locus niger Dégénérescence incom- plète du faisceau de Tiirck. Intégrité d
OJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 185 interne (Cgi, Fig. 194); 2° une dégénérescence partielle de la commissure antérieure (coa, Fig
lle de la commissure antérieure (coa, Fig. 192, 193 et 194); 3° une dégénérescence partielle du pilier postérieur du trigone (Tgp)
une dégénérescence partielle du pilier postérieur du trigone (Tgp), dégénérescence qui peut être suivie dans le pilier antérieur, ma
ÉNÉSIES DU MANTEAU CËRËBUAL L Les résultats obtenus par l'élude des dégénérescences secondaires sont encore corroborés par ceux que
le manteau faisan t défaut, tandis que chez Pradel il s'agit d'une dégénérescence de tout le système de projection corticale dans
capsule interne. Etant donnés les résultats fournis par l'étude des dégénérescences secon- daires, nous pouvons donc affirmer que l
sont là des résultats auxquels nous avait déjà conduits l'étude des dégénérescences secondaires. Cas Longery. - (Fig. 197 il 212).
myéline que dans le cas Longery (Fig. 212). Fibres de projections, Dégénérescences secondaires. - A. Arnold. llutzclbuclt de)' Ana-
re. Leip- zig, 1896. - P. FERNIQUE. Sur quelques particularités des dégénérescences , spinales descen- dantes consécutives ci une l
nts. Arch. de Phys. norm. el path., 2. S., t. VI, 1879 - Pures. Des dégénérescences secondaires dans la moelle provo- quées par des
ire [dont les lésions entraînent, comme nous venons de le voir, une dégénérescence secondaire du thalamus, du pied du pédoncule cé
le sont encore par les résultats formés par l'étude méthodique des dégénérescences secon- daires expérimentales. Gudden (1875), Ga
e la sphère visuelle chez le chien, le chat, le lapin, entraine une dégénérescence secondaire du corps genouillé externe, du pulvi-
sations terminales de la bandelette optique. D'après v. Monakow, la dégénérescence dans le corps genouillé externe occu- perait un
es dans le côté opposé du corps. Nous avons montré, par l'étude des dégénérescences secondaires à la suite de lésions corti- cales
eul altéré, sans participation du thalamus à la lésion. L'étude des dégénérescences secondaires patholo- giques ou expérimentales -
mique du tamia semicircularis particulièrement manifeste gràce à la dégénérescence complète des fibres longitudinales de la capsule
e distinguées. Mais elles deviennent très évidentes dans les vastes dégénérescences de la cap- sule interne, tel que le cas Rivaud
tus et de l'isthme de la circonvolution de l'hippocampe. Dans les dégénérescences du bourrelet du corps calleux consécutives aux
aire. Ces connexions sont néanmoins bien démontrées par l'étude des dégénérescences secondaires. Le tubercule mamillaire s'atrophie
la capsulo interne, du faisceau temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence do la partie hémisphé- rique de la commis-
sceau occipito- frontal. 288 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La dégénérescence do l'alveus et de la fimbria peul être suivie dan
cule, qui provient de la partie extra-ventriculaire de l'alveus. La dégénérescence du Irigone paraît plus marquée au niveau du cor
e bourrelet du corps calleux (ligne L, b) et le forceps postérieur. Dégénérescence du forceps postérieur (Cc,Fp) et de la pièce inte
nterne (Sgi, RTh), du segment postérieur de la couronne rayonnante. Dégénérescence du faisceau occipito- frontal (OF), en particul
du noyau interne et son feutrage ont en partie disparu. Oulre la dégénérescence des fibres cOl'lico-mamillaÍ1'cs du irigone, il e
passent par le bec postérieur du bourrelet du corps calleux ; 2° une dégénérescence par- tielle des fibres qui s'irradient dans le
formation du faisceau olfactif du trigone (Fig. 2GO et 270); 3e une dégénérescence partielle du tamia 'lotir : m. 19 Fig. 268. -
igone (Tgp) et la partie postérieure recourbée du noyau caudé (ni). Dégénérescence du bec postérieur du bourrelet du corps calleux (
entriculaire (Alv), des fibres de la circonvolution godronnée (Cg). Dégénérescences du tapetum (Tap), de la paroi inférieure du car
externe (Sge, Fli) du segment postérieur de la couronne rayonnante. Dégénérescence du faisceau occipito-frontal (OF) le long des a
la capsule interne, du faisceau temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence do la partie hémisphé- rique de la commis-
yr et le faisceau de la calotte de Gudden sont normaux. Outre celte dégénérescence dans le système du trigone cérébral, il existe (F
ans le système du trigone cérébral, il existe (Fig. 267 et 268) une dégénérescence partielle du faisceau inférieur ou minor du force
rne du thalamus et la partie olfactive de la commissure antérieure. Dégénérescence du pilier antérieur du trigone (Tga), du faisce
isceau olfactif du trigone et du pédoncule du septum lucidum (PSI). Dégénérescence partielle du taenia thalami dans la région adja
ia thalami dans la région adjacente au pilier antérieur du trigone. Dégénérescence de la partie hémisphé- rique de la commissure a
re antérieure (coa) avec intégrité delà partie olfactive [coa(ol)]. Dégénérescence du faisceau occipito-frontal (OF) le long de l'an
la capsule interne, du faisceau temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence de la partie himisplié- rique do la commis-
la capsule interne, du faisceau temporo- thalamique d'Arnold. Dégénérescence de la partie hémisphé- rique de la commis-
haut et en dehors, abandonnent le plancher, F)G.272. - Cas Chab. La dégénérescence du faisceau occipito-frontal le long de l'angle
transversale passant par la partie moyenne de la couche optique. La dégénérescence intéresse le faisceau compact formé de fibres d'a
e dans la capsule externe (OF). Méthode de Weigert-Pal. Fig. 273. - Dégénérescence du tapetum, sans dégénérescence concomitante du f
Méthode de Weigert-Pal. Fig. 273. - Dégénérescence du tapetum, sans dégénérescence concomitante du faisceau occipito-frontal consé
l'épendyme ventriculaire et sont particulièrement nettes grâce à la dégénérescence du tapetum (Tap(d). 1'l', quelques libres de proj
de la corne d'Ammon ou de section de la fimbria qui entraînent une dégénérescence du pilier antérieur du trigone (Cas Chab., Fig.
ra del Talamo optico. Madrid, 1895. - M. et Almo J. DEJERIXE. Sur les dégénérescences secondaires consécutives aux lésions de la circ
ps strié; Marinesco, à l'aide de la méthode de Marchi, a observé la dégénérescence de quelques fines fibres du corps strié après abl
s minimes dans tous les cas, et qui tiennent vraisemblablement à la dégénérescence des fibres de passage et des collatérales des n
moelle et l'hémisphère cerébel- leux croisé. Elle tient autant à la dégénérescence des collatérales, que le système des fibres de
s fibres peuvent être suivies encore avec plus de facilité dans les dégénérescences complètes du segment rétro-lon- ticulaire de la
aris, 1898, obs. IV, p. 203.) Cette lésion a entraîné : -. 1° Une dégénérescence du 3° quart postérieur du segment postérieur de l
segment postérieur de la capsule interne (Cip Fig. 283 et 284); une dégénérescence du tiers moyen en [particulier du 3° cinquième
3° cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 285); une dégénérescence de l'étage antérieur de la protubérance et de l
e la protubérance et de la pyramide bulbaire, et dans la moelle une dégénérescence des faisceaux pyramidaux direct et croisé, sans d
une dégénérescence des faisceaux pyramidaux direct et croisé, sans dégénérescence manifeste de libres pyramidales liomolatérales.
s dégénérescence manifeste de libres pyramidales liomolatérales. La dégénérescence du pied du pédon- cule s'accompagne d'une dégén
érales. La dégénérescence du pied du pédon- cule s'accompagne d'une dégénérescence du locus niger (Ln),du stratum intermedium, en
région protubérantielle inférieure et dans son trajet bulbaire. La dégénérescence de la voie pédonculaire s'accompagne d'une dégéné
ès fine de la substance grise antérieure de la protubérance. 2° Une dégénérescence du noyau externe du thalamus (Ne) dans la partie
amp dégénéré du segment postérieur de la capsule interne (Cip). Celte dégénérescence occupe les faisceaux radiés, la lame médullaire
s Call1ot. Hamol- lisscment sons-corti- cal Sous-l'olandlftllc. Dégénérescence de Cip, Ne, \m; dégé- nérescence du pied du
cus profond, des noyaux pontiques. du fais- ceau py ramdal. - Dégénérescence lé- gère du globus pal- lidus et du corps do
s profond (PLp) envoie au ruban de Reil médian; il existe enfin une dégénérescence de la partie externe du taenia thalami (Fig. 28
pecte complètement les corps opto-striés et la capsule interne. - Dégénérescence des troisième et quatrième cinquième postérieur
e Reil médian (Fig.28S) dans la région pé- donculaire supérieure. - Dégénérescence partielle et légère du globus pallidus (NL2,
res radiées et de ses lames médullaires interne el. supplémentaire. Dégénérescence légère des radiations strio-luysiennes (RsL), du
de Marchi.) GANGLIONS INFIIACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 31. 3° Une dégénérescence très fine, mais très manifeste du globus pallidus
celui-ci ne présente que quelques fascicules de passage dégénérés. La dégénérescence du globus pallidus occupe toute la substance gr
capsule interne, puis pénétrer dans le corps de Luys (CL), dont la dégénérescence est légère, mais manifeste (Fig. 281). Cas Hila
pied du pédoncule cérébral, examiné à la méthode de Marchi, aucune dégénérescence appréciable. Le faisceau de Turck en particulier
nticulaire de la capsule interne (Fig. 287 et 288). A droite, les dégénérescences sont très étendues et nombreuses. Il existe : l
égénérescences sont très étendues et nombreuses. Il existe : le Une dégénérescence du segmentrétro-lenticulaire (Cirl) et de ]a moit
s thalamique (Fig. 287) et sous-thalamique (Fig. 288), ainsi qu'une dégénérescence partielle du faisceau de Tiirck (FT) (Fig. 289)
dégénérescence partielle du faisceau de Tiirck (FT) (Fig. 289); une dégénérescence des trois cinquièmes externes du pied du pédoncul
édoncule cérébral peu prononcée au niveau du faisceau de Turcs; une dégénérescence du pes lem- ni,cusprofontl (l'Lp), du pes lemni
des fibres aberrantes postéro-externes de la voie pédonculaire; une dégénérescence des fibres verticales de l'étage antérieur de l
moelle des faisceaux pyramidaux direct, croisé et homo-latéral; ? Une dégénérescence du noyau externe du thalamus, du pulvinar, des co
o- externes. Dégéné- rescence partielle du faisceau de Turck. Dégénérescence lé- gère du globus pal- lidus et du corps do
o- externes. Dégéné- rescence partielle du faisceau de Turck. Dégénérescence lé- gère du globus pal- lidus et du corps de
e Luys. ;oupes qui passent par la région thalamique supérieure la dégénérescence intéresse les rois noyaux thalamiques, externe,
régions thalamiques moyenne.(Fig. 287) et inférieure (Fig. 288), la dégénérescence se cantonne dans le rois quarts postérieurs du
interne (Cip) des trois cinquième externe du pied du pédon- cule. Dégénérescence partielle du faisceau de Turck (FT), du pes lem
Salpêtrière GANGLIONS IN11ACORTICAUY : CORPS STRIÉ. 317 -1 A ces dégénérescences des systèmes de projection cortico-protubérantiel
alamique, cortico-genouillés qui confirment parfaitement toutes les dégénérescences étudiées à l'aide de la méthode de Weigert-Pal (V
ide de la méthode de Weigert-Pal (Voy. p. 142), il faut ajouter une dégénérescence légère, il est vrai, mais manifeste du globus pal
le long de la lame médullaire interne (lmi). Il existe en outre une dégénérescence diffuse de la substance grise de toute la moitié
itié posté- rieure du globus pallidus dans la région adjacente à la dégénérescence capsulaire. Dans la région thalamique (Fig. 287
dégénérescence capsulaire. Dans la région thalamique (Fig. 287), la dégénérescence n'occupe que la moitié postérieure du globus pa
ations strio-luysiennes et se rendent au corps de Luys (CL) dont la dégénérescence est légère, mais très manifeste. Les moitiés an
nt en l'absence de tout foyer lacunaire du noyau lenticu- laire une dégénérescence toujours légère il est vrai, du globus pallidus
tudiées chez de jeunes embryons de mammifères et par la méthode des dégénérescences secondaires chez un chien auquel Goltz avait enle
n concomitLante du corps strié. V. Monakow a employé la méthode des dégénérescences secondaires expérimentales et pathologiques. Nos
de projection striée : 1" dans un cas de vasle lésion corticale avec dégénérescence complète de toutes les fibres d'origine corlica
p. 100); 2° dans plusieurs cas de lésions corticales étendues avec dégénérescence d'un grand nombre de fibres de la capsule interne
amique moyenne, dans un cas d'hé- miplégie cérébrale infantile avec dégénérescence complète des fibres de projection corticale du
lamique intérieure dans un cas d'hémiplégie cérébral infantile avec dégénérescence complète des fibres de projection corticales du
la capsule du noyau rouge. 330 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Dégénérescence des radiations striées consécutive a toute
a toute lésion centrale éten- due ou limitée du corps strie. Dégénérescences régionales variant suivant le siège. Bechte
ibre dans le ruban de Reil, ni dans les radiations de la calotte. Dégénérescence des radiations striées consécutives aux lésions c
e ces lésions empiètent le plus souvent sur la capsule interne, une dégénérescence des fibres de projection corticale, en particul
la voie pédonculaire, se surajoute nécessairement dans ces cas à la dégénérescence des radia- tions striées et en complique l'étud
i des lésions partielles en général, et partant n'entraînent qu'une dégénérescence partielle du système des radiations striées. Il e
de con- stater une destruction totale du corps strié et partant une dégénérescence complète de son système de fibres radiées. Cett
préférence certains groupes de fibres, en épargner d'autres et les dégénérescences secondaires qui en résultent varient alors suiv
es lenticulo-striées et lenticule-optiques) déterminent surtout une dégénérescence des radiations strio-thalamiques, strio-luysienne
urtout sur les radiations strio-thalamiques et strio-luysiennes. La dégénérescence prédomine enfin dans l'anse lenticulaire, lorsque
ion ventrale et antérieure. Lorsqu'on examine au point de vue de la dégénérescence des radiations striées les cas de lésions centr
u globus pallidus, en particulier de son segment interne (NL,) ; la dégénérescence secondaire intéresse toutes les catégories de f
plus circonscrites, telles que les cas Segalon, Lavigne, Carré, les dégénérescences sont plus localisées encore et se confinent au
lésé. Dans le cas Segalon (Fig. 181 et 182, p. 178), il existe une dégénérescence partielle de la partie antérieure du corps de L
. 179) (section de la partie postérieure du noyau lenticulaire), la dégénérescence respecte l'anse len- ticulaire, retentit sur la
et les radia- tions strio-luysienncs correspondantes. L'étude des dégénérescences secondaires, faite à l'aide de la méthode de Ma
existe toujours en amont d'une lésion primitive du corps strié une dégénérescence très nette du putamen et du globus pallidus, ad
djacente à la lésion et intéressant à la fois les fibres radiées et Dégénérescence des fibres radiées et du feutrage interra-
amont des lésions primitives. 332 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Dégénérescence en aval. Trajet des radia- tions striées dé
en aval de la lésion primitive. le feutrage interradiaire. Cette dégénérescence des gros fascicules de fibres est localisée à u
uve en outre, disséminé dans le corps strié, un très fin granité de dégénérescence que l'on peut suivre souvent très loin. Ce mode
e dégénérescence que l'on peut suivre souvent très loin. Ce mode de dégénérescence concorde bien avec ce que nous savons de la str
e se réunir en faisceaux radiés. En aval de la lésion primitive, la dégénérescence intéresse les radia- tions strio-thalamiques et
s enseigne l'anatomie normale. Dans toute lésion du corps strié, la dégénérescence du corps de Luys est toujours très intense et c
très intense et comprend en général toute l'étendue de ce corps. La dégénérescence du faisceau lenticulaire de Fore] (FI) (Fig. 297
rties ventrales du thalamus et dans le champ de Forel. Quant t à la dégénérescence de l'anse lenticulaire, elle est surtout facile à
Long, Th. Paris, 1899, Cas XI, p. 257.) Cette lésion a entraîné les dégénérescences secondaires classiques : a) Une dégénérescence
sion a entraîné les dégénérescences secondaires classiques : a) Une dégénérescence très étendue du segment postérieur de la capsule
er le genou de la capsule (Ci (g) (Fig. 298) sont respectées par la dégénérescence et il en est de même des parties interne et. GA
l, de l'anse lenticu- laire et de la com- missure de Meynert. Dégénérescence du corps de Luys, de la partie antéro-infé-
el, de l'anse lenticu- laire et de la com- missure do Meynert Dégénérescence du corps de Luys, de la partie antéro-infé-
ntracture et hémianes- thésie. La teinte grise indique l'étendue de dégénérescence capsulaire consécutive à la lésion sous-cortica
de la capsule interne, en particulier du faisceau géniculé (Ci(g). Dégénérescence de la zone réticulée (Zr) de la lame médullaire
Reil médian. 2° Lésion du putamen et du globus pallidus (Fig. 29G). Dégénérescences des fibres radiées et des lames médullaires (lm
iations strio-luysiennes (RsL) et de la commissure de Meynert (CM). Dégénérescence du corps de Luys (CL). Dégénérescence de la par
a commissure de Meynert (CM). Dégénérescence du corps de Luys (CL). Dégénérescence de la partie antéro-inférieure du thalamus dans
du faisceau thalamique (Fth) et du champ de Forel (F) (fig. 298). Dégénérescence partielle du taenia thalami. Dégénérescence parti
e Forel (F) (fig. 298). Dégénérescence partielle du taenia thalami. Dégénérescence partielle de la com- missure antérieure. Méthod
andeur nature. GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 335 6) Une dégénérescence de la zone réticulée, de la lame médullaire exter
rne (Ne) de la couche optique dans toute la partie adja- cente a la dégénérescence capsulaire (Fig. 9G, 297, 298). Une dégénérescenc
adja- cente a la dégénérescence capsulaire (Fig. 9G, 297, 298). Une dégénérescence particu- lièrement accusée de la partie postéri
la bandelette e optique passant par la région sous-thalamique. Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule (P)
interne (Cisl), de la zone de Wernicke (W) et du pulvinar (Pul). Dégénérescence cle la région du ruban de Reil médian (RgRm) et d
ion sous-corticale à la partie supé- rieure de la couche optique. Dégénérescence du noyau rouge et de sa capsule de fibres consécu
capsule de fibres consécutives à la lésion mtralenticulaire et a la dégénérescence des fibres strio-tlialamiques et strio-sous-tli
t le noyau rouge ne contiennent que quelques rares grains isolés. Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule céréb
l, de l'anse lenticu- laire et de la com- missure de Meynert. Dégénérescence du corps de Luys, de la partie antéro - iuré-
uger d'après l'état de dégéné- rescence des fibres - a entraîné une dégénérescence de toutes les catégories de fibres striées. Dan
ule interne, en par- FiG. 301. - Cas Ronse. Hémisphère gauche sain. Dégénérescence de la commissure de Meynert pouvant être suivie
cas, un petit foyer lacunaire du globus pallidus ayant entraîné une dégénérescence partielle et régionale des radiations strio-luy-
(Fig. 299), il existe : 1° en avant du corps genouillé interne, une dégénérescence de la région du ruban de Reil médian (Rg Rm), qui
de Reil médian (Rg Rm), qui fait suite sur les coupes séri ées a la dégénérescence qui entoure le centre médian de Luys; 2° une dégé
ouge et de la partie externe de ce noyau (NR), qu. lfait suite à la dégénérescence du champ de Forel. Ces zones dégénérées diminuent
la région sous-optique (Fig. 299), il existe, en outre, une légère dégénérescence de la commissure postérieure (cop), consécutive
s-corticale à la partie supérieure du thalamus. Il existe enfin une dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule (P),
s niger (Ln) et du pes lemniscus profond (PLp), qui fait suite à la dégénérescence capsulaire. Il existe, en outre, dans ce cas, u
la dégénérescence capsulaire. Il existe, en outre, dans ce cas, une dégénérescence partielle du toenia thalami (tth, Fig. 2 ! je,
nce partielle du toenia thalami (tth, Fig. 2 ! je, 297, 298) et une dégénérescence partielle de la commissure antérieure (Fig. 297
s dans la voie TOME II. 22 338 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La dégénérescence des radiations striée", «ni particulier do e
ions de la calotte, ni au fais- ceau interne du }lll'll bral. Dégénérescence des radiations striées consécutives aux lé-
st là une conclusion à laquelle nous avait déjà conduit l'étude des dégénérescences secondaires de la voie pédonculaire (p. 73). Ce
ns du noyau lenticulaire entraînent en outre (Méthode de Marchi) la dégénérescence d'un petit faisceau de fibres, qui dans le plan
ou par celle de Marchi, que nous avons étudiés, nous n'avons vu les dégénérescences du système de fibres striées empié- ter sur le
ons de la calolle (RC) ; et inversement, nous n'avons jamais vu les dégénérescences du ruban de Reil se propager à l'anse lenticula
r à l'anse lenticulaire et aux autres catégories de fibres striées. Dégénérescence des radiations striées consécutives aux lésions t
'il nous a été donné d'ol)sei ? er(Cas Gardette,Fig. 302 à 309), la dégénérescence de l'anse lenticulaire et du faisceau lenticulair
e de la capsule du noyau rouge. Nous avons pu suivre cette dernière dégénérescence jusqu'à la partie moyenne de la calotte pédoncula
oyau rouge ou dans les travées grises de la formation réticulée. La dégénérescence des radialions striées en amont et en aval des
petit t prolongement vers le thalamus. Cette lésion a entraîné une dégénérescence de la partie moyenne du segment postérieur de l
(Fig. 303 à 30), et du pied du pédoncule cérébral (Fig. 30G à 309), dégénérescence qui peut être suivie dans l'étage intérieur de
yrami- daux croisé et direct de la moelle. Il existe, en outre, une dégénérescence du locus niger Ln, Fig. 307 et 308) et une dégé
utre, une dégénérescence du locus niger Ln, Fig. 307 et 308) et une dégénérescence des voies aberrantes du pied du pédoncule : pes
au voisinage du sillon bulbo-protubérantiel. Il existe enfin une dégénérescence des fibres radiées (fr) et de la lame médullaire
ndue que celle que nous sommes habitués à rencontrer à la suite des dégénérescences partielles du seg- ment postérieur de la capsul
elles du seg- ment postérieur de la capsule interne. Ce surcroît de dégénérescence qui occupe toute l'étendue du noyau externe du
Glugge) for- tement colorés par l'osmium et entourés d'une zone de dégénérescence qui s'étend à la partie moyenne et postérieure
ration vitreuse (Fig. 30G et 307). Cette lésion a entraîné : 1° une dégénérescence des radiations strio-thalamiques, du faisceau l
rolandiques et section du segment moyen de la couronne rayonnante. Dégénérescence de la partie moyenne du seg- ment postérieur de
2° ramollissement de la partie antéro-inféro- interne du thalamus. Dégénérescence des radiations strio-thalamiques (Rsth), du glo
globus pallidus (NLi, nul2) et de ses lames médullaires (lmi, lme) ; dégénérescence légère du putamen (\L3). Coupes horizontales ob
us pallidus (NL2,NLi) et ses lames médullaires (Ime, lmi, Imi'). La dégénérescence du faisceau lenticulaire de Forel (FI) est partic
n des lames médullaires du globus pallidus (Fig. 304). Malgré cette dégénérescence de l'anse lenticulaire il n'existe de dégénéres
. Malgré cette dégénérescence de l'anse lenticulaire il n'existe de dégénérescence ni de la partie antérieure du segment posté- ri
nt, passant par le foyer thalamique et la région sous-thala- mique. Dégénérescence de la partie moyenne du segment postérieur de la
foyer thalamique, la zone de dégé- nérescence qui l'entoure et les dégénérescences qui en sont les conséquences. Dégénérescence de
qui l'entoure et les dégénérescences qui en sont les conséquences. Dégénérescence des fibres radiées (fr) et de la zone réticulée (
age du sillon pédonculo-protubéran- tiel (Fig. 309), sont dues à la dégénérescence du pes lemniscus superficiel (PLs). La dégénére
ont dues à la dégénérescence du pes lemniscus superficiel (PLs). La dégénérescence du noyau lenticulaire intéresse, à la fois, le gl
lmi', lme) et le putamen (NL3); elle relève en grande partie de la dégénérescence des radiations strio-thalamiques (Rsth) et strio-
ulaire (Al) et pour une petite part de la lésion sous-corticale. La dégénérescence est en effet particulièrement manifeste dans la
psulaire dégénérée. 2° La lésion thalamique a entraîné en outre une dégénérescence du faisceau thala- mique de Forel (Fth) et du c
ugge. Dans la partie inférieure de la région sous-thalamique, cette dégénérescence s'étend au noyau rouge (\Il), et surtout il sa
noyau rouge. i'ic. 30G et 307. - Cas Gardette (Salpêtrière, 189G). Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule céréb
ques, ayant sectionné le segment moyen de la couronne rayonnante. Dégénérescence vitreuse des cellules du noyau interne du thalamu
du thalamus et s'étendant jus- qu'au champ de Forel (Fp, Fig. 306). Dégénérescence du faisceau thalamique (Fth) et du champ de For
Forel (F), du noyau rouge (1\Il) et de sa capsule de fibres (CN13). Dégénérescences du faisceau de Vicq d'Azyr (VA) et de la capsule
du globus pallidus, do ses lames médul- lalrcsct(lu putamen. Dégénérescence du faiscean thalamiquo et du champ de Fo- r
rne du pied du pédon- cule cérébral. Il existe d'autre part une dégénérescence du petit faisceau de fibres que le champ de For
Fig. 305) au-dessus des tubercules maxillaires. Il existe enfin une dégénérescence du faisceau de Vicq d'Azyr (VA) (directement lésé
Vicq d'Azyr (VA) (directement lésé parle foyer thalamique), et une dégénérescence partielle de la capsule du tubercule mamil- lai
l- laire avec intégrité du pilier antérieur du trigone. Malgré la dégénérescence vitreuse des cellules du noyau interne du thalamu
terne du corps genouillé interne (Cgi) (Fig. 306 et 307), malgré la dégénérescence du champ de Forel (F), des faisceaux thalamique
(F), des faisceaux thalamiques (Fth) et lenticulaire (FI), malgré la dégénérescence de l'anse lenticulaire (Al) (Fig. 30t, : 30.5,
erficiel (PLs), s'adossent au ruban de Reil médian qu'il existe une dégénérescence de ce faisceau, encore cette dégénérescence ne dé
médian qu'il existe une dégénérescence de ce faisceau, encore cette dégénérescence ne dépasse-t-elle pas le sillon bulho-protubéra
uche optique. Fie. 308 et 309. -- Cas Gardette (Salpêtrière, 189G). Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule céréb
iques ayant sectionné le segment moyen de la couronne rayonnante. Dégénérescence de la capsule du noyau rouge, en particulier de s
sion de la partie antéro-inféro-interne de la couche optique. Cette dégénérescence , très légère, ne dépasse pas le sillon pédonculo-
onculo-protubérantiel. Intégrité du ruban de Reil médian malgré une dégénérescence de l'anse lenticu- laire, des faisceaux lenticu
égrité du faisceau inlerne du pied du pédoncule cérébral, malgré la dégénérescence de l'anse lenticulaire. Les fibres dégénérées q
observe constamment dans les lésions centrales de l'hémisphère une dégénérescence du locus niger, dégénérescence qui est particul
ésions centrales de l'hémisphère une dégénérescence du locus niger, dégénérescence qui est particulièrement évidente sur les coupe
la région rolandique un grand nombre de fibres de projection. Si la dégénérescence du locus niger paraît plus intense à la suite de
4 et f31bliogr. anat., n° 2, 1893. - Dejerine et Long. Sur quelques dégénérescences secondaires du tronc encéphalique de l'homme ét
orticale du noyau antérieur. Nos recherches, basées sur l'étude des dégénérescences secondaires chez l'homme, ne confirment pas ces
portés plushaut (p.91 et suiv.), nous n'avons jamais con- staté une dégénérescence isolée du noyau antérieur, lequel est presque tou
ésions partielles des circonvolutions rolan- diques déterminent une dégénérescence partielle du noyau externe, dégé- nérescence qu
es cortico-thalamiques à la suite de lésions corticales , mais leur dégénérescence est rétrograde, cellulipète et peut aller jusqu'à
appartiennent, expliquent pourquoi dans les lésions corticales leur dégénérescence est presque toujours partielle. Dans les vastes e
si intime de la couche optique avec la corticalité cérébrale ('oy. Dégénérescences secondaires, p. 91 et suiv.) s'effectue non seule
ibres cortico-thalamiques est bien mise en évidence par l'étude des dégénérescences secondaires consécutives aux lésions cor- tical
et des neurones cortico- thalamiques est peu étendu, et partant, la dégénérescence rétrograde de ces neurones est assez vite const
s cas très récents, ne permet pas toujours d'éliminer complètement la dégénérescence rétrograde, elle donne cependant des résultats
cependant des résultats beaucoup plus probants quant au sens de la dégénérescence . Nous l'avons appliquée dans plusieurs cas et nou
vons pu con- stater qu'à la suite de lésions corticales récentes la dégénérescence occupe non seule- ment les fibres radiées du th
ulée (Zr) ; dans les régions thalamiques moyennes et inférieures la dégénérescence se cantonne dans le pulvinar (Pul), la partie v
ll et de Burdach. Mais cette diminution de volume tient encore à la dégénérescence descendante des fibres abérrantes (pes lemniscu
ate dans la région sous-optique et pédonculaire supé- rieure qu'une dégénérescence très légère quoique manifeste du ruban de Reil mé
de Reil médian, renforcée dans les régions protubérantielles par la dégénérescence du pes lemniscus. L'existence de fibres thalamo
fibres thalamo-corticales esl difficile à démontrer par l'élude des dégénérescences secondaires. Dans les lésions sous-corticales d
c corps strié. Connexions avec le rhombencéphale. anciens une dégénérescence au-dessous et au-dessus de la lésion, à savoir un
a partie correspondante de l'écorce. Mais ici encore, du fait de la dégénérescence rétro- grade, on ne peut considérer comme thala
ulée de la calotte, des fibres du ruban de Reil médian. L'étude des dégénérescences secondaires à l'aide des méthodes de Weigert et d
e postérieure; ses fibres paraissent être de court trajet, car leur dégénérescence ne peut guère être suivie (méthode de Marchi) a
nilatérale des tubercules qua- drijumeaux, Boyce dit avoir suivi la dégénérescence de la commissure pos- térieure dans le bras du
frontale, rolandique ou pariéto-temporo-occipitale. Dans les cas de dégénérescence du bras du tubercule quadrijumeau antérieur con
visuel intracérébral (méthode de Marchi), nous n'avons jamais vu la dégénérescence s'étendre II la commissure postérieure. Dans les
énérescence s'étendre II la commissure postérieure. Dans les cas de dégénérescence du taenia thalami consécutive à des lésions corti
par la région de la calolle. Nos recherches, basées sur l'étude des dégénérescences secondaires et sur l'étude de certaines anomali
CHE OPTIQUE. 379 Gudden avait déjà signalé, chez les mammifères, la dégénérescence secondaire des- cendante du faisceau rétroflexe
par les segments antérieur et postérieur de la capsule interne. Les dégénérescences traitées par la méthode de Marchi montrent qu'e
rdach, Arnold, Cuvier, etc. 0. Vogt, toutefois, n'a pu constater de dégénérescence du taenia thalami après section du trigone au-d
basal, sont du reste admises par Lotheisen et Kôlliker. Fil. 320. - Dégénérescence de la partie inféro-externe du Renia thalami (th)
l'aide de la méthode de Marchi, nous n'avons jamais pu constater de dégénérescence du ganglion de l'habenula soit du même côté, so
andonne quelques fibres au corps de Luys, ainsi que le montrent les dégénérescences secondaires consécutives aux lésions du noyau l
03, 20ut, cas Richard, Fig. 226 à 228), soit encore dans les cas de dégénérescences secondaires de ces fibres, consécutives aux lésio
qu'on applique la méthode de Mar- chi, on constate dans ces cas une dégénérescence très légère du corps de Luys. Les fibres dégéné
la destruction du ruban de Reil n'entraine pas une atrophie ou une dégénérescence du corps de Luys, et que le ruban de Reil médian
rieure du globus pallidus. Les résultats fournis par la méthode des dégénérescences secondaires ne sont pas non plus en faveur de l
n faveur de l'existence de fibres optiques d'origine luysienne. Les dégénérescences totales anciennes de la bandelette optique s'ac
et des fibres strio-luysiennes. D'autre part, on peut observer une dégénérescence secon- daire totale du corps de Luys avec une i
otre matériel anatomo-pathologique personnel. Nous avons observé la dégénérescence de la commissure de Meynert à l'aide de la méth
le corps de Luys n'est pas intéressé par la lésion destructive, la dégénérescence de la commissure de Meynert ne peut relever que d
a nature ter- minale ou collatérale des fibres du corps de Luys. La dégénérescence (méthode de Marchi) des fibres strio-luysiennes
u noyau lenticulaire (cas Ronse, Fig. 297, 298, 301), soit dans les dégénérescences complètes de la bandelette optique, où la commi
en arrière de ce corps dans la région du ruban de Reil médian. Les dégénérescences même très intenses du ruban de Reil médian n'en
nces même très intenses du ruban de Reil médian n'entraînent pas de dégénérescence de la commissure de Meynert. Celle-ci se recouv
ences secondaires. Dans un cas de lésion du noyau lenticulaire avec dégénérescences de la commissure de \Ieynert,nous avons pu suivre
pallidus; une petite lésion du noyau lenticulaire ayant entraîné la dégénérescence de quel- ques fibres strio-luysiennnes rendait
e immédiatement en avant des corps genouillés n'en- traînant pas sa dégénérescence . Faisceau du tuber cinereum (fTc). Dans la part
ereum au voisinage du chiasma (Darkschewitsch et Pribytkow) ; et la dégénérescence d'un faisceau permet de suivre avec grande nett
de netteté le trajet du faisceau sain. Nous n'avons pas constaté de dégénérescence de ce faisceau dans les lésions du noyau lenticul
eau dans les lésions du noyau lenticulaire qui s'accompagnent d'une dégénérescence de la commissure de Meynert. BIBLIOGRAPHIE. - R
. Neurol. Centralbl. 1891, p. 417. - Dejerine et Long. Sur quelques dégénérescences secon- claires du tronc encéphalique de l'homme
pyrami- dales géantes de la zone visuelle corticale. L'étude des dégénérescences secondaires montre que les lésions des- tructiv
173, Fig. 174 à 180 et cas Dautriche, p. 182, Fig. 192 à 196). Les dégénérescences consécutives aux lésions destructives du centre
gment antérieur, extra-cérébral de l'ap- pareil nerveux visuel. Les dégénérescences secondaires consécutives aux lésions du segment
seul oeil ou la lésion d'un seul nerf optique entraîne en outre la dégénérescence des deux bandelettes optiques et des deux centres
ruck (1890), Hens- chen (1890), Moeli (1898), basée sur l'étude des dégénérescences secon- daires chez l'homme, démontrent que, dan
eau nasal. Indépendance de ces faisceaux dé- montrés par leur dégénérescence . qui se continue dans la bandelette optique cro
fermés et nettement séparés les uns des autres. Par la méthode des dégénérescences secondaires, on constale toujours que les limit
décoloration de la moitié temporale de la papille. Dans certaines dégénérescences de l'appareil visuel antérieur, le fais- ceau t
qu'au chiasma et à la bandelette optique droite, avait entraîné une dégénérescence de toutes les fibres rétiniennes à l'excep- tio
après énucléation du globe oculaire, constataient l'existence d'une dégénérescence complète des fibres des nerfs optiques à l'exce
fibres directes n'a pu en effet être démontrée que par l'étude des dégénérescences secondaires expérimentale ou pathologique ; ell
ou croisé s'enchevêtre avec le faisceau temporal ou direct, et les dégénérescences de l'un et l'autre de ces faisceaux occupent en
u secteur temporal de la rétine - s'ac- centue encore davantage. La dégénérescence des corps genouillés externes consécutive à une
d du pédoncule cérébral. Mais les résultats fournis par l'étude des dégénérescences secondaires ne vien- nent guère à l'appui de ce
condaires ne vien- nent guère à l'appui de ces hypothèses. Dans les dégénérescences très étendues du corps de Luys et du corps geno
itive) une intégrité parfaite de la bandelette optique; de même une dégénérescence très intense des deux bandelettes peut s'accompag
térale du globe oculaire n'entraîne en effet jamais chez l'homme une dégénérescence soit du pied du pédoncule cérébral, soit du noy
onstaté que l'atrophie bilatérale des nerfs op- tiques entraine une dégénérescence totale des deux bandelettes optiques qui ne con-
téral du bulbe et du faisceau de Gowers, et représentent, comme les dégénérescences le montrent, une voie efférente, cérébellopète,
l prennent à la constitu- tion de la pyramide bulbaire. L'étude des dégénérescences secondaires montre que le contingent du faiscea
ntimement mélangées aux fibres cortico-protubérantielles, car toute dégénérescence , même limitée, de la partie moyenne du pied du
Pick et V. Gehuchten est particulièrement manifeste dans les cas de dégénérescence du faisceau pyramidal traités par la méthode de
traités par la méthode de Marchi; 3° Dans les cas d'agénésie ou de dégénérescence totale et ancienne d'une des pyramides antérieu
yramidal croisé et fibres pyramidales homolatérales, dans un cas de dégénérescence complète de la pyramide antérieure du bulbe consé
es posléro-exlernes (Fpe) (Fig. 377, 37C, 375, 374), dans un cas de dégénérescence de la partie moyenne de la voie pédoncu- laire
culaire. (Méthode de Marchi.) Il existe, en outre, dans ce cas, une dégénérescence du bras du tubercule quadri- CONFIGURATION INTÉ
sion du segment rétrolenticu- laire de la capsule interne; - et une dégénérescence partielle des fascicules obliques qui traversen
coupes normales au pédoncule du tubercule mamillaire (PTm). cas de dégénérescence de la voie pédonculaire trai- tés par la méth
géné- rescence de la voie pédon- culaire, il existe parfois une dégénérescence partielle des fascicules obliques (Fig.374, 3
externe et moyenne du ruban de Reil médian. La FIC, 381 et 382. -. Dégénérescence de la voie pédonculaire et de la substance gr
dans un cas . CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCEPHALE. 549 de dégénérescence de la voie pédonculaire consécutive à une lésion
édonculaire, deviennent particulièrement manifestes dans les cas de dégénérescence de la voie pédonculaire traitée par la méthode
de la protubérance. En 1883, v. Monakow avait, du reste, signalé la dégénérescence ascendante de la couche inter-olivaire et du ruba
) niav la voie pédonculaire, car elles persistent intactes dans les dégénérescences de ces faisceaux; elles représentent une forma-
ec les fibres longitudinales de la formation réticulée; l'étude des dégénérescences secondaires permet toutefois d'af- firmer qu'il
ion de Neurologie, 4 août 1900.-D> ? ieamc et Long. Sur quelques dégénérescences secondaires du tronc encéphalique de l'homme étud
u faisceau de Turck, et s'épuisent, ainsi que le montre l'étude des dégénérescences secondaires (mé- thode de Marchi), dans la subs
Fig. 440 et 441, et qui est due, - ainsi que le montre l'étude des dégénérescences secondaires du fais- ceau pyramidal traitées pa
i constitués paraissent homogènes, il n'en est rien, et l'étude des dégénérescences secondaires permet d'y reconnaître une texture
vermis. L'existence de ces fibres est bien mise en évidence par les dégénérescences secon- daires que l'on observe à la suite des d
2 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
ités qu'il sera fort utile d'élucider à l'avenir. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE INFLUENCE DE L'HÉRÉDITÉ NEURO-PATHOLO
ses (Hôpital Saint-Antoine). Paris, 1899, p. 454. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 51 D'abord, dans ce travail de délimi
de Lorain repose le plus souvent, sinon tou- jours, sur un fond de dégénérescence héréditaire ou acquise, de nature infectieuse o
tilisme de M. Brissaud, l'infantilisme vrai peut s'associer avec la dégénérescence psychique héréditaire de nature nerveuse, c'est
es parents. C'est sur cette association que je vais INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 53 insister dans ce travail en étudia
nterprétation des infantiles d'examiner soigneusement les cas où la dégénérescence psychique, prove- nant de l'hérédité neuro-path
i sont étroite- ment associés, formant, comme nous allons voir, une dégénérescence spé- ciale, une dégénérescence à type infantile
formant, comme nous allons voir, une dégénérescence spé- ciale, une dégénérescence à type infantile, qu'on ne saurait pas nier sans
ence d'un type mixte, formé par la fusion de l'infantilisme avec la dégénérescence psychique ; et de mettre en relief le rôle que
à voir, était caracté- risée par de nombreux stigmates physiques de dégénérescence . La parole était complètement absente, et, pour
nt, gaspillant sa fortune et s'endettant de plus de INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 55 120.000 francs. Ce n'est qu'à sa m
comme par enchantement et on le laissait seul. ' INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 57 C'était le dernier résidu de la ma
fer, commença à faire des achats insolites, devint INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 59 aggressif et attaqua un individu à
e que le malade est un intermittent, et de plus qu'il est frappé de dégénérescence psychique. A mon avis, l'existence de la dégénére
t frappé de dégénérescence psychique. A mon avis, l'existence de la dégénérescence s'impose. En effet, ses antécédents héréditaire
sont développés, montre que le malade est un dégénéré, ou alors la dégénérescence n'existe pas. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PS
égénéré, ou alors la dégénérescence n'existe pas. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 61 Mais nous allons examiner des malf
tence de l'infantilisme et du gigantisme. Ainsi que INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 63 l'arrêt delà croissance ne suffit
ère me semble irrécusable et encore on ne saurait pas le nier,de la dégénérescence psychique.En effet,notre ma- lade, comme nous l
ut le temps depuis le premier accès (1892), parlent hautement de la dégénérescence . Donc, l'infantilisme est associé ci la dégénér
tement de la dégénérescence. Donc, l'infantilisme est associé ci la dégénérescence mentale. Voilà un autre point du diagnostic qui
mineuses masses lipomateuscs de la région poplibée. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 65 vais pousser plus loin l'étude cli
cyanotique, froide, et sensiblement sèche et squa- INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 67 meuse, ce qui peut être dû, en par
inégale, lais- sant de grandes lacunes et plutôt dans le sens de la dégénérescence que dans le sens de l'infantilisme. En effet, l
sont les relations de ces trois dystrophies entre elles et avec la dégénérescence ? Puisque notre malade est si lourdement chargé
I1cs neniuuv Absence des caractères INFANTILISME (TYPE BRISSAUD) ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE (Mngnll}(1fs L<'));0.tJ INFANTIL
GÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE (Mngnll}(1fs L<'));0.tJ INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE - 69 faisons la même chose. Voyons au
r le pubis qui présente une poussée de poils rares. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 71 La substance thyroïdienne a été ég
tème nerveux imparfait, et parfois une organisation INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 73 physique défectueuse; et, engendra
ral faussé ». Il me semble, en conséquence, que l'association de la dégénérescence avec l'infantilisme n'est pas chez notre malade
res glandes vascu- laires sanguines. 1 Donc, chez notre malade la dégénérescence mentale et l'infantilisme ont entre eux de gran
que toujours comme cause prochaine une lésion du corps thyroïde. La dégénérescence héréditaire d'origine nerveuse est, si je ne me t
robablement ce qui s'est passé dans le cas présent. INFANTILISME ET DÉGÉNÉRESCENCE PSYCHIQUE 75 On ne saurait donc pas nier l'héré
e comme cause primitive d'infantilisme. A côté des cas vulgaires de dégénérescence qui encombrent les manicomes, elle peut aussi p
ussi produire, ainsi que l'hérédité syphilitique et alcoolique, une dégénérescence toute spéciale, une dégé- nérescence type infan
cence type infantile, constituée par la fusion des caractères de la dégénérescence mentale avec les caractères de l'infantilisme du
aractères de l'infantilisme du type Bris- saud. En d'autres mots, dégénérescence psychique et l'infantilisme « authen- tique »,
ratoire de Minkowsky. A côté de l'aug- mentation de volume ou de la dégénérescence de la glande pituitaire on a sou- vent en même
rvation II (PI. XVII). Idiotie avec nombreux stigmates physiques de dégénérescence , micro ce plia lie, atrophies osseuses et muscu
: elle est atteinte d'idiotie avec nombreux stigmates physiques de dégénérescence . 9 octobre 1899. - Son intelligence est très ru
s malades, pleure quand on la gronde. Examen physique. Stigmates de dégénérescence : asymétrie crânienne OEDÈME DES PIEDS 99 et
ral, mais souvent, à cause du grand nombre de fibres courtes, cette dégénérescence ne se poursuit pas sur une longue étendue. Ce f
lésions de la région calcarine et du lobe occipital on observe une dégénérescence des radiations thalamiques, et en plus, de l'atro
s multipolaires de la partie dorsale du corps genouillé externe, la dégénérescence s'épuise dans le pulvinar et dans les couches sup
ofonde située en dehors du corps genouillé externe, on constate une dégénérescence corticipète qui se poursuit jusque dans le lobe
ttale interne. Les lésions du corps genouillé externe entraînent la dégénérescence des ra- diations optiques, mais cette dégénéres
entraînent la dégénérescence des ra- diations optiques, mais cette dégénérescence occupe aussi le territoire du faisceau longitud
dinal contient donc des fibres appartenant à plusieurs systèmes; la dégénérescence secondaire nous démontre que la nature de. ses
d-3s coupes traitées par la méthode de Marchi, Probst a observé une dégénérescence du faisceau lon- gitudinal qu'il a pu suivre ju
uche optique. Dans son mémoire le plus récent Probst (1) étudie les dégénérescence consé- cutives à une lésion étendue qui atteint
isceau longitudinal inférieur est en grande partie dégénéré ; cette dégénérescence tient à la destruction du noyau latéral de la c
couche optique. Il cite un exemple : il a observé chez le singe une dégénérescence du faisceau longitudinal à la suite d'une lésio
agittales profondes jusqu'à l'épendyme ventriculaire. On suit cette dégénérescence à travers le lobe temporal, elle passe par la cap
elle nous indiquer de grandes probabili- tés. Ce n'est guère que la dégénérescence consécutive à une lésion limitée qui puisse nou
ne espèce d'altération structurale, telles que l'atrophie simple,la dégénérescence , la multiplication des noyaux, les débris de ti
t bien peu probable qu'il y ait des lésions d'atrophie simple ou de dégénérescences , pour les mêmes raisons que j'ai fait valoir pl
té aux cours des polynévrites ? Mais l'absence de toute réaction de dégénérescence à l'examen électrique des muscles ? et l'absence
E SUR QUELQUES CAS DE TRICHOTILLOMANIE CHEZ DES ALIÉNÉS 169 OBs. Il Dégénérescence mentale, délire polyrnorphe.- Trichotillomanie.
le 14 mars 1905 avec un certificat de M. Garnier ; « est atteint de dégénérescence mentale avec excitation, désordre dans les idée
que » ; et avec un autre certificat de M. Magnan : « Est atteint de dégénérescence mentale avec hallucinations ; idées ambitieuses
istingués et des plus compétents, qui a pu constater la réaction de dégénérescence partielle dans tout le territoire du radial et du
r du corps* calleux est dégénéré de façon diffuse et, grâce à cette dégénérescence , on voit distinctement un petit fascicule sain
e en être ainsi; la décoloration est en grande partie l'effet de la dégénérescence . On voit s'engager dans la profondeur du cuneus
du pli courbe et des lésions corticales du lobule fusiforme. Cette dégénérescence de la substance profonde porte sur les faisceau
de la face externe de l'hémisphère ; cette décoloration tient à la dégénérescence des fibres du faisceau perpendiculaire de Werni
a lésion de ce noyau. Bien que très limité, ce foyer a entraîné une dégénérescence diffuse, mais LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEU
lobe tem- poral. Malheureusement, à des niveaux postérieurs, cette dégénérescence se confond avec celle qui dépend des lésions oc
la partie attenante du corps genouillé et là aussi on constate une dégénérescence diffuse de la partie supérieure de la couche sa
coupe que nous décrivons, on voit en dehors du corps genouillé une dégénérescence considérable du segment sous- lenticulaire et d
e du segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. Cette grosse dégénérescence est d'ordre bien compliqué. En premier lieu, el
edevient normale qu'en avant du corps genouillé externe). La grosse dégénérescence siégeant dans le lobe pariétal est en rapport ave
commençant la description de ce cas; elle est indépen- dante de la dégénérescence temporale et nous ne nous en occuperons pas. 3*
randement dégénérée à peu près limi- tée à la couche externe. Cette dégénérescence occupe exactement le territoire que nous accord
ntradiction avec nos idées, on croirait plus vo- lontiers que cette dégénérescence dépend des lésions postérieures. Or, ce n'est c
t et que nous sommes en présence d'une sclérose très accusée. Cette dégénérescence pourrait-elle résulter de lésion ancienne du pôle
ussi intense que celui que nous venons de considé- rer entraîne une dégénérescence si peu considérable. Nous avons vu- ce faisceau
as avec lésions occipita- les profondes, l'on ne retrouve pas cette dégénérescence de la couche sagittale externe au niveau du car
ns que l'on constate sur la coupe qui suit ne donnent lieu à aucune dégénérescence appré- ciable de la couche externe des régions
à un niveau antérieur quelconque. Nous verrons, en effet, que cette dégénérescence correspond mathématiquement à une lésion du noy
extrêmement délicate ; il s'agit pure- ment d'une coïncidence ; la dégénérescence provenant de la lésion lenticulaire occupe le s
sous du ventricule que le long de sa paroi externe. On remarque une dégénérescence considérable de la couche * sagittale interne,
à petit vers le noyau lenticulaire. Enfin (Planche XXIX, 6) cette dégénérescence s'engage dans la partie infé- rieure de ce noya
ieures, et c'est en avant qu'il faut chercher la cause de la grosse dégénérescence qui. occupe ici la couche sagittale externe. La m
e partie normale. Par contre au-dessus du ramollissement une grosse dégénérescence occupe les deux couches,mais surtout la couche
me circonvolution temporale. Au niveau du gyrus supramarginalis, la dégénérescence occupe encore et la couche externe et la couche
iations de la sphère visuelle ont donc été -atteintes et c'est leur dégénérescence qui a déterminé la décolora- tion du corps quad
if. Il s'agit de lésions strictement localisées et,dans l'étude des dégénérescences nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. " T. X
ent horizontal de la couche sagittale externe ; il en a résulté une dégénérescence qui se poursuit à travers toute l'étendue du lobe
nt des fibres-géniculo-cal- cariniennes. Exception faite de cette dégénérescence occasionnée par la section directe des couches
usiforme et une partie de la troisième temporale sont atteintes. La dégénérescence de la couche sagittale externe occupe l'angle i
l'extrême pâleur de la substance profonde ; la lésion a entraîné la dégénérescence du faisceau de Wernicke avec décoloration con-
te couche, elle affecte une forme triangulaire. Sur cette coupe, la dégénérescence délimite avec une netteté remarquable le territ
à cet endroit qu'il présente son maximum d'intensité. Il existe une dégénérescence appréciable du segment horizontal de la couche
nterne de la circonvolution de l'hippocampe ont entraîné une grosse dégénérescence du cingulum inférieur de Beevor et l'on voit tr
e et du lobule fusiforme. Au microscope on se rend compte que cette dégénérescence intéresse aussi la troisième circonvolution tem
ion au niveau des couches sagittale voisines. Nous avons dit que la dégénérescence du cingulum nous permet d'apprécier la répartit
e bien que ce soit l'inverse qui correspond à la réalité Grâce à la dégénérescence du tapetum et de la partie inférieure du segment
stitution du segment rétro-lenticulaire de la capsule interne. La dégénérescence du cingulum inférieur est encore très accusée et
cularités qui portent sur l'ori- gine, le trajet, les relations, la dégénérescence ,etc. des fibres dont il est cons- titué. Il est
avec participation des cou- ches sagittales, on observe toujours la dégénérescence de la couche sagittale interne, des radiations
u pied du pédoncule cérébral ; par contre nous avons constaté cette dégénérescence dans les cas de lésion temporale ; mais, nous dev
le et du tiers postérieur (en- viron) de la deuxième temporale ; la dégénérescence est nette, mais non con- sidérable. Dans trois
emporales, et, pour la première fois, nous avons observé une grosse dégénérescence du fais- ceau de Türck. Nous croyons donc que
ostérieure des lobes tempo- ral et pariétal, on observe toujours la dégénérescence du tapetum et cette dé- 200 LASALLE-ARCHAMBAULT
llissement de la partie antérieure du lobe temporal, on constate la dégénérescence de la commissure antérieure et aussi de la part
e moyenne du corps calleux ; le tape- tum participe encore ici à la dégénérescence . Quel que soit le siège de la lésion qui ait re
um, mais nous n'avons jamais observé, à la suite de ces lésions, la dégénérescence de la couche saggittale interne du lobe fronlo-
sement qui atteint la première circonvolution temporale entraîne la dégénérescence partielle de la couche sa- gittale interne fron
lle de la couche sa- gittale interne fronto-pariétale. Mais cette dégénérescence est invariablement petite, porte uniquement sur
che optique,surtout dans sa partie supérieure. On constate alors la dégénérescence , peu considérable, puisqu'il s'agit (dans nos cas
, mais nettement appréciable de la couche sagittale interne ; cette dégénérescence s'épuise totalement au niveau de la première circ
re dans le sens sagittal) et sur les deux autres on constate que la dégénérescence se cantonne absolument à la couche sagittale in
erne, que le faisceau longitudinal inférieur n'accuse qu'une légère dégénérescence occupant la partie interne de son segment borizon
ent borizontal.(PI.XXXII, 15). Z) Nous n'avons jamais constaté de dégénérescence du faisceau longitudinal inférieur, soit à la s
sième circonvolution temporale, nous avons toujours constaté que la dégénérescence la plus intense occupe la profondeur du lobule
urs pour l'étude du trajet des fibres nerveuses; c'est à l'aide des dégénérescences secondaires que nous avons pu nous convaincre des
mpossible sur des coupes normales, mais grandement facilitée par la dégénérescence secondaire. Or, il en est absolument de même da
PTIQUE CENTRAL 211 lésion de la circonvolution de l'hippocampe avec dégénérescence du cingulum inférieur de Beevor, et alors nous
le en avant, même impossible sur des coupes nor- males, mais que la dégénérescence , secondaire nous permet de résoudre le pro- blè
artie supérieure de la paroi ventriculaire externe. On constate une dégénérescence considérable du cingulum aussi bien dans son se
rise au niveau du genou du corps calleux, on constate également une dégénérescence des deux parties du cingulum, c'est-à-dire au-d
ème circonvolution temporale et du lobule fusiforme entraî- ner une dégénérescence appréciable du cingulum de Beevor (PI. XXX). Il
courbe et de la deuxième circonvolution temporale, il a observé une dégénérescence de la couche sagittale externe dans le lobe occ
ssairement les fibres provenant du corps genouillé et entraînent la dégénérescence . Notre excellent collègue et ami, M. Roussy, a
u moins éloignés du corps genouillé et nous n'avons constaté aucune dégénérescence appréciable dans le territoire qu'occupe le fai
ellen » (littéralement : cellules farcies) cet aspect spécial de la dégénérescence des éléments névrogliques (Pl. XXXIX). Les vais
culées. ' C. - Paroi de l'abcès. ire zone; cellules névrogliques en dégénérescence . ' D. - A droite, altérations nécrotiques des c
ltinucléaires et des figures de karyokinèse. Dans la gitterzelle en dégénérescence , on observe un noyau beaucoup plus petit, entou
e tout le cerveau à une pression exagérée, d'où résulta surtout une dégénérescence des tissus situés sur le pourtour des ventricul
é des fibres nerveuses et n'expliquerait pas les varicosités et les dégénérescences très prononcées de ce faisceau. 3. Il est remar
laire. 3. L'épendyme épaissi est contigu il des fibres nerveuses eu dégénérescence . Pour l'observation VII, il ne peut guère s'agi
ractères mentionnés par certains auteurs : infiltra- tion adipeuse, dégénérescence vacuolaire, pigmentaire ou graisseuse, fragment
fondément altérés ne pré- sentent aucune lésion en rapport avec une dégénérescence et cependant la prolifération des noyaux, l'atr
thies, cette infiltration adipeuse ne saurait être rapprochée de la dégénérescence graisseuse avec laquelle elle n'a rien de commu
die la dé- générescence du protoneurone sensitif dans son ensemble, dégénérescence débutant par les extrémités du neurone pour se
des gaines vides. Nous nous sommes alors demandé, si les figures de dégénérescence que nous avions vues au 250e jour, n'appartenai
(1) Babinski, Gaz. hebdomad., août 1891. (2) DE Massary, Le tabès, dégénérescence du proto-neurone centripète. Thèse Paris, 1896,
'est-à-dire le temps utile pour laisser se pro- duire les premières dégénérescences . Les autres animaux ont été conservés un temps
es animaux ont été conservés un temps beaucoup plus long en vue des dégénérescences secondaires possi- 300 ROUX ET HEITZ bles. Po
. f. path. Anat., 1904. (5) J.-Ch. Roux ET Jean HRITZ, Note sur les dégénérescences observées dans les nerfs cutanés chez le chat,
soit une moyenne de 8 mois). Nous décrivions chez ces 3 animaux des dégénérescences à type wal- lérien, dans le territoire cutané c
ures 3 et 4 de la planche XLIX donnent une idée assez exacte de ces dégénérescences . La figure 3 représente une dissociation d'un fil
du côté sain, des fibres grosses et fines à myéline. Les fibres en dégénérescence appartien- nent ordinairement à la seconde caté
este relativement importante dans d'autres. Histologiquement, cette dégénérescence ne se distingue en rien de la dégéné- rescence
rs stades du processus. Du côté non opéré il n'y a pas de fibres en dégénérescence . Il en est de- même dans les filets musculaires
érieures et postérieures doivent être écartés, l'interprétation des dégénérescences étant chez eux très difficile : ce sont ceux ch
ER, loc, cil. , (2) J.-Cn. Roux et Jean HEITZ, Deuxième note sur la dégénérescence des nerfs cutanés observés chez le chai à la su
Soc. biologie, 8 juillet 1905. 304 ROUX ET HEITZ montraient des dégénérescences si nettes. On doit en conclure qu'aux lie et 13
escences si nettes. On doit en conclure qu'aux lie et 13e mois, ces dégénérescences étaient arrivées à leur terme, à la disparition
tre eux (chat VU), contenaient un petit nombre de fibres en état de dégénérescence avancée. C'étaient des fibres très fines. Che
iques examinés du côté sain ne nous ont jamais montré de semblables dégénérescences . Il semble donc que l'on puisse conclure dans c
ques filets seulement sur un certain nombre examinées, de fibres en dégénérescence wallérienne : ces fibres, en nombre restreint d'a
à myéline, fibres fines, quelques- unes même très fines, en voie de dégénérescence avancée. Les figures 4 et 5 de la planche XLIX
ait confirmation de ces faits. Cet auteur avait toujours trouvé des dégénérescences dans le cordon sympathique après section des ra
la troisième semaine : il est bien évident qu'au huitième mois, ces dégénérescences étaient presque toutes terminées. Il est, d'aut
ingue les fibres des racines postéiieures, partiellement en état de dégénérescence rétrograde {fixation par le sublimé osmique, colo
llement lésées. Il semble donc résulter de tous ces examens, que la dégénérescence des fibres fines du sympathique, évidente à la
es de l'un et de l'autre côté. Il pense même que certains signes de dégénérescence cellulaire, tels que l'excentricité du noyau, s
'importantes différences individuelles ; c'est ainsi qu'il a vu les dégénérescences cellulaires plus mar- quées chez un chien au bo
avec disparition partielle de la myéline (méthode de Mar- chi). Ces dégénérescences s'avancent peu à peu jusque dans l'intérieur du g
e son chef de laboratoire, notre ami André Thomas, qu'en dehors des dégénérescences des fibres radiculaires, il était impossible de
crivit dans la racine postérieure, au bout de mois, un processus de dégénérescence allant en diminuant d'intensité de la section au
ncore à aucun degré au début du 4° mois, rentrent dans le cadre des dégénérescences ré- trogrades. Elles s'éloignent cependant sur
e bout ganglionnaire toutes les fibres étaient saines sauf quelques dégénérescences s'expliquant par le traumatisme opératoire. Dan
Présence de nombreuses fibres à myéline de fin calibre, en voie de dégénérescence wallérienne (fixation acide os- mique au 1/100
). Fic. 2. - Dissociation du même cordon à plus fort grossissement. Dégénérescence de très fines fibres à myéline (obj. 8, ocul. 1
ques fibres grosses à myéline, ces dernières plus rares, en état de dégénérescence wallérienne avancée (fixation sublimé osmique, ob
térieures du même côté, intra-dura- le). Nombreuses fibres fines en dégénérescence wallérienne {même technique, même grossissement
s pos- térieures. Dans deux cas, il avait trouvé quelques fibres en dégénérescence périaxile type Gombault (un segment atrophié en
(un segment atrophié entre deux segments normaux). Il attribua ces dégénérescences aux pincements occasionnels produits pendant l'
dans le bout ganglionnaire au milieu des grosses gaînes en état de dégénérescence rétrograde. Il est seulement difficile de com-
re elle-même. D'autre part cependant, comment des fibres en voie de dégénérescence auraient-elles pu fournir cette poussée intense
, Ire sacrée postérieure gauche (même observation après 382 jours). Dégénérescence rétrograde des grosses gaines à myéline. Fibres
de la pathogénie du labes ? ' ! Du côté DES neurones sensitifs, les dégénérescences que nous avons consta- ' tées dès le 15" jouir
nce de restes de fibres centrifuges. Au voisinage du 2DO. jour, les dégénérescences importantes que nous avons constatées dans les
t difficile d'admettre. On comprendrait mal, en effet, pourquoi ces dégénérescences apparaissent plus nombreuses dans les nerfs cut
fait nor- males (chats VII et IX). Pendant que se développait cette dégénérescence de leurs deux prolongements, les corps cellulai
dans les nerfs cutanés (chats IV et V). A la place des figu- res de dégénérescence , nous ne trouvons plus que des gaînes vides. Rapp
de la racine sectionnée, les gros- ses gaînes nous apparaissent en dégénérescence rétrograde très accusée ; mais à côté de ces fi
ns seulement, du ire au 8e mois, manifestent leur souffrance par la dégénérescence de leurs deux prolongements. La dégénérescence du
ur souffrance par la dégénérescence de leurs deux prolongements. La dégénérescence du prolonge- ment périphérique prend le type wa
d que par l'atrophie simple de la gaîne de myéline. Au 12e mois, la dégénérescence du prolongement périphérique est à son terme. L
ostérieures, en même temps que les anciennes fibres continuent leur dégénérescence rétrograde, il apparaît de nouvelles fibres min
dans 14 cas de tabes, a trouvé l'hyperpig- mentation cellulaire, la dégénérescence graisseuse et une forte augmentation du tissu c
et Tho- mas) (3). Si nous comparons cette description à celle des dégénérescences expérimen- tales, nous voyons que les ressembla
très différents. La névrite expérimentale ne diffère en rien de la dégénérescence wallérienne, elle aboutit rapidement à la dispari
ines postérieures, mêmes différences importantes. Dans le tabes, la dégénérescence wallérienne est très rare ; on trouve à l'examen
ue prédominante, sans que nous y voyions apparaî- tre nulle part la dégénérescence à type wallérien ; la cellule ganglionnaire ; s
a section expérimentale, au contraire, est beau- coup plus aigu; la dégénérescence périphérique y prend le type wallérien et s'éte
hérique y prend le type wallérien et s'éteint en moins d'un an ; la dégénérescence centrale fait place vers la même date à la régé
urones SYMPATIQUES, après la section des racines postérieu- res, la dégénérescence porte exclusivement sur les fibres fines centrifu
ostérieures. Au bout de 7 mois, il ne subsiste comme trace de cette dégénérescence dans le sympathi- que', que des zones raréfiées
dans les nerfs cutanés correspondant à ces racines, des figures de dégénérescence wal- lérienne, figures plus nombreuses que cell
es vides. Le bout ganglionnaire de la racine sectionnée a accusé sa dégénérescence ; il contient cependant encore des fibres fines
auteurs et en dernier lieu par Thomas et Hauser. D'autre part, les dégénérescences fies nerfs périphériques (à type wallé- rien ch
egmentaire). Il n'y a pas non plus d'assimilation possible entre la dégénérescence rétrograde de la racine postérieure sectionnée
Survie 247 jours. - Intégrité des cellules des ganglions spinaux ; dégénérescence partielle du cordon sympathique gau- che descen
mpathique gau- che descendant ; fibres de gros et de fin calibre en dégénérescence wallé- rienne dans les nerfs cutanés du territo
ans les nerfs cutanés du territoire des racines sectionnées ; mêmes dégénérescences moins nombreuses dans les troncs mixtes corres-
és, ont été examinés sur dissociation. A droite (côté sain), pas de dégénérescence ni dans les troncs intercostaux ni dans les ter
cutanés présentent d'assez nombreuses fibres à des degrés divers de dégénérescence . Lesfigures 3 et 4(planche XLIX) représentent 2 f
, quelques- unes de gros calibre, la plupart fines. En général, les dégénérescences sont moins abondantes que sur les filets dessin
isolément, au milieu des fibres restées normales et le degré de la dégénérescence semble variable d'une fibre à l'autre. Les lésion
emble variable d'une fibre à l'autre. Les lésions sont celles de la dégénérescence wallérienne, caractérisées par la formation de bo
2 jours. - Intégrité des cellules des ganglions spinaux; figures de dégénérescence wallériennedans lesrameaux cutanés du territoir
gauche, intégrité des nerfs de la queue, des nerfs plantaires, mais dégénérescence des nerfs de la face postérieure de la jambe et
exclusivement dans le territoire cutané de la 2e racine sacrée. Ces dégénérescences avaient tout à fait les mêmes caractères que dans
de l'observation I. Il existait, sur d'autres filets, également des dégénérescences de fibres moyennes et même de grosses. Dégé- 32
82 jours. Intégrité des cellules ganglionnaires des deux côtés avec dégénérescence rétrograde des fibres venues des racines sectio
racines sectionnées ; racines postérieures droites normales. Pas de dégénérescences dans les nerfs cutanés correspondants, mais ass
acrés du côté gauche. Il a été impossible de trouver des figures de dégénérescence au niveau du pôle périphérique du ganglion, où
étaient aussi fragmentées par places. A côté de ces fibres dont la dégénérescence ne faisait que débuter, selon toute vraisemblan
ter, selon toute vraisemblance, se voyaient d'autres fibres dont la dégénérescence semblait au contraire plus avancée, et qui n'étai
taient comparables aux fibres fines, indemnes en apparence de toute dégénérescence , que nous venons de noter dans le bout ganglion
es nerfs cutanés, examinés avec soin, n'ont présenté des figures de dégénérescence ni du côté gauche ni du côté droit, en aucun des
. Intégrité des cellules des ganglions spinaux des deux côtés, avec dégénérescence rétrograde partielle des fibres à myéline sur l
nés, correspon- dant aux racines sectionnées, absence de figures de dégénérescence , mais nombreuses gaînes vides. Chat adulte de
cet animal comme chez l'animal IV, il existait des altérations ' de dégénérescence rétrograde tout au moins d'un certain nombre de f
ilets cutanés, du côté droit, ne nous ont mon- tré aucune figure de dégénérescence . Par contre, ils renfermaient d'assez nom- breu
té des fibres sont intactes, quelques-unes se présentent en état de dégénérescence wallérienne avancée. Chat de 4 kil. 800, opér
uelques fibres beaucoup plus rares,fines en majorité, et en état de dégénérescence très avancée. Du côté des nerfs périphériques
racines sacrées postérieures gauches. SU1'vie 14 jours. Figures de dégénérescence wallérienne avancée en nombre restreint, dans l
aire de ces mêmes racines où les fibres centrifuges apparaissent en dégénérescence au milieu des fibres saines beaucoup plus nombr
la face postérieure du genou un certain nombre de fibres en état de dégénérescence wallérienne, territoire de la 2° racine sacrée.
a peau de la fesse et de la cuisse gauche, nons n'avons pas noté de dégénérescences . SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉRIEURES
ines sectionnées renferme au milieu de nombreux débris de fibres en dégénérescence un cer- tain nombre de fibres saines et normale
phérique du gan- glion spinal, un certain nombre de fibres fines en dégénérescence . Un filet des racines antérieures a dû être sec
es a dû être sectionné par erreur, car on trouve de très nombreuses dégénérescences dans la portion extradurale des filets ra- dicu
ncore des cylindraxes (c'est dans ces cas surtout qu'on observe des dégénérescences secondaires); enfin leurs limites à la périphér
mateux ; au-dessus et au- dessous des foyers on aurait toujours des dégénérescences secondaires ascendantes et descendantes, les va
es nerveuses, lésions vas- culaires légères ou absentes, absence de dégénérescences secondaires. En conclusion, tandis que dans la
e. Dans les foyers scléreux les cylindraxes étaient conservés ; les dégénérescences secondaires faisaient défaut. Greiff mentionne
la moelle (du 2e au 6e segment). De ce dernier foyer partaient des dégénérescences secondaires ascendantes et descendantes. Au poi
ling, Lapinsky, Redlich, Ba- binski, Popoff, Oppenheim, Werding. La dégénérescence secondaire a été observée par Jolly, Babinski,
s parfois cependant les cylin- draxes peuvent être conservés et les dégénérescences secondaires faire plus ou moins complètement dé
moelle lombaire on rencontre des pla- ques de sclérose avec ou sans dégénérescence secondaire. Avec cela dans toute la moellecervi
pas destructives, dans ce sens qu'elles ne sont pas suivies par des dégénérescences secondaires . Cette démonstration indirecte d'a
u niveau des zones scléreuses. Plaques de sclérose disséminées sans dégénérescences secondaires et sans destruction des cellules ga
MARINESCO ET MINEA tion, il y a les phénomènes qui caractérisent la dégénérescence traumati- que. Les cellules endothéliales des v
Les cellules endothéliales des vaisseaux montrent, au niveau de la dégénérescence traumatique, des mitoses typiques. Après deux j
des petits capillaires, s'accentue de plus en plus dans la zone de dégénérescence des bouts sectionnés et donne ainsi naissance à
e la section, maison la trouve encore à une certaine distance de la dégénérescence traumatique. Stroebe insiste aussi sur les renf
nflements piriformes, ovales ou ronds du cylindraxe au niveau de la dégénérescence traumatique. Il pense que par des trans- format
plupart sont représentés par des ma- crophages bourrés de débris de dégénérescence . Entre ces cellules, on en trouve d'autres, fus
t analogues à celles que nous avons décrites dans les processus de. dégénérescence des nerfs périphériques. Nous remarquons en out
arquons en outre qu'un petit nombre de ces cellules sont en voie de dégénérescence . Des deux extrémités des deux bouts de la moell
es. En outre, on voit très clairement comment ces fibres eu voie de dégénérescence pénètrent dans la cicatrice en suivant le traje
bre. Il y a en effet des fibres fortement altérées qui subissent la dégénérescence variqueuse et d'autres qui offrent la dé- génér
ire décrivant des aréoles dans lesquelles se trouvent des débris de dégénérescence des fibres nerveuses et des cellules granuleuses.
t différents degrés de lésion dont le premier est représenté par la dégénérescence granuleuse. 428 MARINESCO ET MINEA Section
t des vaisseaux ou du tissu conjonctif; quelques- RECHERCHES SUR LA DÉGÉNÉRESCENCE DE LA MOELLE 435 unes de ces fibres finissent p
On voit en outre, sur le trajet de quelques cylindraxes, un état de dégénérescence granuleux et des renflements considérables qui
Un certain nombre de ces fibres de nouvelle formation présentent la dégénérescence des neuro-fibrilles ou bien un état de gonfleme
es espèces de globes granuleux pâles provenant probable- ment de la dégénérescence des cylindraxes en partie disparus. Fia. 12. Mê
ssible que les corpuscules amylacés qu'on trouve dans cette zone de dégénérescence proviennent de ces rendements des cylindraxes a
ait avec 9 ou 10 milliampères. On constate nettement la réaction de dégénérescence dans le groupe antéro-externe de la jambe droit
rose par la fuchsine acide et présentent tous les caractères de la dégénérescence vitreuse ou hyaline. Muscle jumeau externe ga
elques faisceaux mieux conservés comme volume, les caractères de la dégénérescence vitreuse décrits pour le muscle précédent. Musc
t fibrillaire normal, quelques-unes présentent les caractères de la dégénérescence vitreuse. Muscle demi-membraneux gauches On con
prendre nettement la coloration rouge cerise caractéristique de la dégénérescence hya- line, présentent cependant une coloration
ance ; on voit de place en place des manchons de myéline en voie de dégénérescence , il persiste une quantité notable de fibres d'a
res, qui présentent de nom- breuses gaines atrophiées ou en voie de dégénérescence . Intégrité des racines postérieures qui sont ab
du quadriceps, montra de l'atrophie simple avec un certain degré de dégénérescence graisseuse et de prolifé- ration des noyaux.
é faradique et galvanique des muscles des membres, avec réaction de dégénérescence . La sensibilité était intacte : enfin on observ
inférieurs, ceux-ci très atrophiés présentaient soitla réaction de dégénérescence , soit une complète inexcitabilité éiectri- xix
ie était très marquée avec contractions fibrillaires et réaction de dégénérescence ; il y avait au contraire intégrité de la sensi
veloppement intellectuel était normal. On constata la réaction de dégénérescence dans les muscles quadriceps et tibial antérieur
II : IiE ENFANCE £ -4Si 1 gned'atrophie'musculaire avec réaction de dégénérescence ou même inex- citabilité électrique complète. O
excitabilité électrique faradi- que et galvanique, sans réaction de dégénérescence bien nette, la mort se fit par affection pulmon
grains à myéline irrégulièrement dis- posés ; elles sont en voie de dégénérescence ; tout autour de la tumeur, les fibres à myélin
la conviction de son état de mariage princier imaginaire. En somme, dégénérescence acquise et débilité congé- nitale avec bouffée
distribués aux organes génitaux supprimés pourrait être le siège de dégénérescences centripètes comme chez certains amputés,et lephén
fibres paraissent augmentées de volume, hyper- trophiées ; enfin la dégénérescence hyaline a envahi quelques fibres, atrophiées ou
transversale, d'autres sont striées longi- tudinalement ; enfin la dégénérescence n'atteint pas en bloc toute la fibre mus- 4Sô'
en noir par l'acide osmique ; et ou cons- tate encore ici que cette dégénérescence graisseuse se fait par zones, des petits groupe
gés au milieu de fibres saines ; les fibres qui ont subi ce mode de dégénérescence ne sont d'ailleurs nullement ou rela- tivement
une façon générale, une multiplication intense des noyaux ; mais la dégénérescence wallérienne (segmentation en boules) fait défau
est exceptionnel de rencontrer des images semblables à celles de la dégénérescence wallérienne, cependant nous avons rencontré sur q
t peu proliféré, la paroi des vais- seaux est épaissie et a subi la dégénérescence hyaline. Après la comparaison des dissociations
s péri-cellulaires sont peu proliférées ; quelques-unes ont subi la dégénérescence hyaline ; la pigmentation n'est pas exagérée.
a pigmentation n'est pas exagérée. Quelques vaisseaux ont subi la dégénérescence hyaline, leur paroi est relati- vement peu épai
aru : la commis- sure postérieure est intacte. XII° dorsale. - La dégénérescence est plus marquée vers la ligne médiane ; il ne
eurs de la région cervicale ( VIlle, VIle et VIe cervi- cales), les dégénérescences se cantonnent de plus en plus dans la partie pos-
tion très marquée de la con- tractilité électrique sans réaction de dégénérescence (PI. LXXII E, F). Sensibilité. Membres inférieu
e spécifique ; elles sont en grande partie sous la dépendance de la dégénérescence des nerfs ; peut-être, en raison de leur répart
ielles. Parenclî ? J1 ? ! ateuses,eJles ne se distinguent guère^des dégénérescences des nerfs, lorsque celles-ci sont arrivées à le
core sur quelques éléments des nerfs ou des racines; en tout cas la dégénérescence wallérienne n'a été constatée nulle part et les
érose hypertro- phique est-elle primitive et a-t-elle occasionné la dégénérescence en étouf- fant les éléments nerveux ? Ces deux
même cause. Il est évident que si on n'envisage que l'ensemble des dégénérescences et si on en rapproche les symptômes, on ne peut
st exceptionnel même dans les tabes les plus anciens de trouver des dégénérescences des racines antérieures aussi marquées que dans l
omparables à celles du tabes : enfin dans la moelle il existait des dégénérescences com- parables à celles du tabes au-dessus de la
es méninges molles, des parois vasculaires et de la névroglie, avec dégénérescences ascendantes et descendantes plus ou moins intense
nt des méninges mol- les ; lésions banales des cellules nerveuses , dégénérescence des cordons pos- térieurs correspondant aux rac
ississement de la névroglie. Au-dessus du foyer tuberculeux, légère dégénérescence des cordons de Goll ; au-dessous, dégénérescenc
uberculeux, légère dégénérescence des cordons de Goll ; au-dessous, dégénérescence très légère du pyramidal croisé particulière- m
supérieurs (atrophie musculaire, dans l'observation IX, réaction de dégénérescence dans l'observation X). A l'autopsie, en effet,
es antérieures, paraissent saines. Comment expliquer la réaction de dégénérescence musculaire observée cliniquement ? Quant aux ra
s un tiers des cas. Il s'agit de néphrite aiguë ou chronique, ou de dégénérescence amyloïde. Onze de nos malades présentaient d'au
A SUBSTANCE BLANCHE DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBELLEUX DU MÊME COTÉ AVEC DÉGÉNÉRESCENCE HOMO-LATÉ- RALE PARTIELLE DE L'OLIVE CÉRÉBELLEU
de la mort. Le foyer cérébelleux, vieux de deux ans, a entraîné des dégénérescences secondaires que nous avons suivies dans le cerv
naire inférieur et le quart postérieur du lobe grêle. II. Etude des dégénérescences liées au foyer cérébelleux. Le temps écoulé ent
tes à l'hématoxyline-éosine et au Van Gieson. Nous étudierons les dégénérescences visibles sur ces différentes coupes,d'abord dan
bleu violet des régions voisines au Pal, permettent d'affirmer une dégénérescence secondaire. Au premier examen, on remarque immé
ntérieur et postérieur. Il existe de grosses granulations noires de dégénérescence au Marchi dessinant le territoire du pédoncule cé
pédoncu- les cérébelleux moyen et inférieur. Il existe 4 foyers de dégénérescence . L'un, en avant, en virgule à tête antérieure,
ie il est facile d'étudier la topographie exacte dans l'olive de la dégénérescence de ce feutrage intra-ciliaire. Les granulations
e et correspondant à la coupe S. 8 de Dejerine, on voit 3 foyers de dégénérescence lFig. 3). Les deux supérieurs, antérieur el pos
544 Ü'IGNEL-LAVASTINÊ circulaires externes (FSCE) et l'absence de dégénérescence dans la partie moyenne de leur trajet met en év
ondant à la coupe 9 de Dejerine, on ne voit plus que deux foyers de dégénérescence ; l'un antéro-supérieur, à grosses granulations,
tion. Au contraire les Fia. 3 Fin. 4 hémiasynergie DROITE 545 dégénérescences secondaires, limitées et systématisées, se suiven
autres à granulations moyennes et régulières, caractéris- tiques de dégénérescences secondaires. Ils occupent les territoires : 4
Dans l'olive les hémorrhagies sont seulement péri-vasculaires. Les dégénérescences occupent essentiellement 3 territoires : 1° Le
he postérieure. Sur une coupe (fig. 8) plus inférieure, le foyer de dégénérescence intra- ciliaire'a disparu. Plus bas, on disti
e et l'origine des pédoncules cérébraux, il est facile de suivre la dégénérescence ascendante d'une partie des fibres du pédoncule
ec les fascicules aberrants de la voie pédonculaire. Deux foyers de dégénérescence sont évidents au Marchi, l'un à droite, l'au- t
antes du pédoncule cérébelleux supérieur droit après décussation. Dégénérescence descendante du système cérébelleux inférieur. - S
bulbe, et de la moelle cervico-dorsale, il est facile de suivre la dégénérescence descendante des fibres atteintes parle foyer cé
tubérance, par la méthode de Marchi, on ne voit des granulations de dégénérescence que dans le pédoncule cérébelleux inférieur droit
contient des fibres dont l'origine est cérébelleuse. L'absencede dégénérescence du pédoncule cérébelleux moyen s'explique, puis
liaire du côté opposé. » Or, sur nos coupes on voit, d'une part, la dégénérescence d'une partie du feutrage intra-ciliaire dans sa
corps genouillé ex- terne, telles que le pulvinar, par exemple. La dégénérescence si intense de la couche sagittale externe que l
nous fait remarquer (Anat. des centres nerveux, t. II, p. 176) « la dégénérescence très nette des couches sagittales des segments
externe, et la partie interne de la couche sagittale interne. Cette dégénérescence peut être suivie dans le lobe temporal et jusqu'à
pointe occi- pitale ». Mais on ne nous dit pas où s'épuise cette dégénérescence . Se cantonne-t elle à la région calcarine (qui,
convexité, comme le veut maintenant Mme Dejerine ? Pour nous, cette dégénérescence traduit, en grande partie, la réaction corticip
fibres géniculo-calca- riniennes). On observe (pp. 182-184), « la dégénérescence complète des couches sagit- tales du segment po
ment sous-lenticulaire de la capsule interne se traduisent par « la dégénérescence très nette », même « complète des couches sagitta
., 1906, n° 6, p. 291). Cette fois, on nous présente le tableau des dégénérescences secondaires de la totalité du lobe pariéto-temp
FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 567 dégénérescence se poursuit dans la couche sagittale externe (fai
rande probabilité la manière de voir ci-contre. Nous croyons que la dégénérescence très intense des couches sagittales (en particu
on- testablement antérieur à celui que nous considérons. Quant à la dégénérescence de l'écorce temporale qui se poursuit jusqu'au
ut se demander s'il n'est pas en partie responsable de cette grosse dégénérescence des couclies s'agittales que l'on observe au ni-
ssement récent... la coupe passe au-dessus du maximum de la zone de dégénérescence . On constate néanmoins une dégénérescence très
du maximum de la zone de dégénérescence. On constate néanmoins une dégénérescence très nette des couches sagittales (radiations t
er oc- cipito-temporal, actuellement à l'étude, ait déterminé « une dégénérescence très intense des couches sagittales des segment
que dans le cas que rapportent nos distingués contradicteurs : « la dégénérescence du faisceau longitudinal infé- rieur (il s'agit
t troisième circonvolu- tions temporales se traduise par une grosse dégénérescence du faisceau longi- 570 LASALLE ARCHAMBAULT tu
n intense. Mais, nous avouons ne pas très bien comprendre que cette dégénérescence puisse également être suivie « jusqu'à la point
. Cependant l'on n'observe sur les plans postérieurs qu'une zone de dégénérescence très limitée, elle se porte en dedans et s'épui
n est ancienne, on constate également sur les plans postérieurs une dégénérescence rétrograde de la couche interne. Mais cette derni
dement, et en région franchement occipitale on ne retrouve guère de dégénérescence que dans le territoire de la couche sagittale ext
ré : - a) Que dans les lésions pariétales « on observe toujours une dégénérescence secondaire des couches sagittales se faisant da
et sous-lenticulaires entraînent « en amont du foyer primitif, une dégénérescence très intense des couches sagittales externe et
le externe ». Aussi, nous ne voyons pas très bien comment le cas de dégénérescence du « faisceau longitudinal inférieur » (se fais
nvoquent, en parlant des lésions rétro et sous- lenticulaires, « la dégénérescence ascendante rétrograde, cellulipète des fibres d
son importance a été de beaucoup exagérée. Il est indéniable que la dégénérescence cellulifuge ne traduit pas, à elle seuie, la ré
du fragment cylindraxile proximal que s'applique la dénomination « dégénérescence rétrograde » (proprement dite). Bien que d'une
s, disent les auteurs, «entraî- nent en amont du foyer primitif une dégénérescence très intense des couches sagittales externe et
nt être suivie presque dans la pointe occipitale. Elle est due à la dégénérescence des fibres, qui, prenant leur origine dans le cor
se terminent dans l'écorce du lobe temporo-occipital, ainsi qu'à la dégénérescence ascendante, rétrograde, cellulipète, des fibres d
- coup d'incertitude au sujet de cette question si compliquée de la dégénérescence rétrograde. Ce phénomène encore mal compris dan
u'il est difficile de concevoir, c'est que l'on doive incriminer la dégénérescence cellulipète des radiations corti- cales, pour q
postérieures trouve une expli- cation logique. .Peut-on parler de dégénérescence rétrograde des couches sagittales, alors que l'
rovenance essentiellement occipitale ? 2 Est-il juste d'affirmer la dégénérescence rétrograde de faisceaux, dont l'ori- gine réell
rales antérieures, la nature rétrograde de telle, ou de telle autre dégénérescence des régions postérieures. Les planches qui se r
ulvinar, des couches sagittales qui renferment, à côté d'une grosse dégénérescence , des fascicules encore assez solides. Il nous
efour ventriculaire,et passant par le splénium du corps calleux, la dégénérescence de la totalité ou de la presque totalité de ce se
étermi- nable mais non moins importante) est le juste partage de la dégénérescence rétrograde, cellulipète, des radiations thalami
es, nous tenons à le dire, n'infirment aucunement la doctrine de la dégénérescence rétrograde en tant que phénomène particulier. L
que sont bien connues, et ayant eu l'occasion d'étudier deux cas de dégénérescence indéniablement rétrograde, mais de courte étend
que l'on trouve les gros ra- meaux vasculaires. Si réellement la dégénérescence rétrograde peut atteindre une intensité considé
nos résultats qui nous oblige non pas à contester la réalité de la dégénérescence cellulipète mais à combattre la thèse qui lui f
ications sagittales. Un dernier mot sur le mode d'évolution de la dégénérescence rétrograde. Cette extrême lenteur à se constitu
des atrophies nucléaires, mais aussi d'une certaine fraction de la dégénérescence rétrograde ? L'on sait que la méthode de colora
lieu nous avons vu dans trois cas (dont deux, récemment) une petite dégénérescence dans la profondeur du lobule lingual alors qu'il
s lèvres calcariniennes ; il ne s'agissait certaine- ment pas d'une dégénérescence du stratum calcarinum. Quelle est la significat
aux ou de la partie antérieure du lobe temporal ne détermine que la dégénérescence de la couche externe, au niveau du lobe occipit
a substance blanche de l'hémisphère cérébelleux du même côté avec dégénérescence homolatérale partielle du côté opposé sans dégé
traction chez les vieillards (2 pl.), 255. LEMOS. Infantilisme et dégénérescence psy- chique (3 pl.), 50. Léri (A.) et Marie (
ie pyramidale (1 pL), par CLAUDE et Lejonne, 147. Infantilisme et dégénérescence psychique (3 pl.), par M. Lemos, 50. Lunette
3 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
rations sur le rôle des glandes endocrines dans la pathogénie de la dégénérescence . Congrès des aliénistes, Dijon, 1908; De la polyd
E LA CLINIQUE MÉDICALE DE GE : (Professeur I. L. BAIID) @ SUR LES DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES CONSÉCUTIVES A UNE LÉSION DE LA M
e ont été obtenues par la méthode de Marchi appliquée à l'élude des dégénérescences secondaires. Les tra- vaux qui traitent de ce s
pathologie humaine. A ces derniers, nous ajoutons ici l'examen des, dégénérescences secondaires consécutives à une lésion de la moe
cervicale. Nous nous occuperons spécialement, dans ce travail, des dégénérescences ascendantes en grou- pant à côté de notre descr
sent pas les limites de la moelle et ne poursuivent pas au-delà les dégénérescences des cordons autéro-laléraux. Pour l'étude des c
e et Horsley, Bumke, Blumenan, Choroschko, K. Golstein, suivent les dégénérescences jusqu'à la région sous-optique et au thalamus (1)
ka, K. Goldstein des dessins ou photographies donnant un relevé des dégénérescences secondaires étudiées par la méthode de Marchi.N
il de Patrick qui a suivi avec la méthode de Weigert et dèssiné les dégénérescences jusqu'aux tubercules quadrijumeaux. NOUVELLE
onographie DE la Salpêtrière. T. XXVI Pl. XV Cs Cfi r, C r, DÉGÉNÉRESCENCE ASCENDANTE CONSÉCUTIVE A UNE LÉSION DE LA MOELL
ANTE CONSÉCUTIVE A UNE LÉSION DE LA MOELLE CERVICALE (E. Long). DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA MOELLE CERVICALE 63 sa partie
une petite zone marginale nécrosée, qui est le pointde départ d'une dégénérescence secondaire dont le trajet sera dé- crit ultérie
- rieure et postérieure (PI. XV fig. C). Au total, et l'élude des dégénérescences secondaires le confirme, la lésion a atteint su
stance blanche qui a perdu sa forme ou sa coloration normale. Les dégénérescences secondaires ont été démontrées par la méthode de
on les contours des coupes et les principaux points de repère ; les dégénérescences secondaires sont indiquées par des points noirs p
1 1 Via. 3. - Segm. D3 Fie. 4. - Segm. D7 ric. 5. - Segm. L2 DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA MOELLE CERVICALE 65 le segmen
ation surajoutée. En faisant abstraction de ce facteur anormal, les dégénérescences secon- daires descendantes intéressent : '1)
ialement desliné à l'étude des dégénéres- cences ascendanles. Les dégénérescences ascendantes ont été suivies sans interruption ci
des coupes qui serait fort longue et nous permettra de résumer les dégénérescences des divers systèmes de fibres. On ne trouve, au
u'au contact du tubercule (fig. 6) et cesse avec lui. Au-dessus les dégénérescences secondaires apparaissent avec une répartition et
e trouve en un point limité de la zone marginale ; il représente la dégénérescence ascendante, consécutive au foyer de nécrose sig
corne postérieure, si bien que sur la figure 10 (segment Ci) cette dégénérescence ascendante semble appartenir au faisceau cérébell
ites impré- cises ne permettent aucune investigation à cet égard. DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA MOELLE CERVICALE 67 ED. LONG
postérieurs du faisceau cérébelleux direct n'est pas masquée par la dégénérescence de ces derniers. A droite, le même mouvement de
comme un passage direct des cordons postérieurs aux voies cé- 1 . DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA MOELLE CERVICALE 69 rébelleus
ormes internes, disposition décrite par Hoche, Goldstein, etc. b) Dégénérescence ascendante du faisceau pyramidal croisé. Parmi
ure du bulbe; on ne les retrouve plus dans la protubérance. Cette dégénérescence ascendante d'une partie de la voie pyramidale a.
e, très peu au-delà, dans la protubérance (Seul Chorosko a suivi la dégénérescence ascendante du faisceau pyramidal jusqu'à la sub
été obtenu par la mé- thode de Buscli). S'agit-il vraiment d'une dégénérescence rétrograde de la voie pyrami- claie, ou bien de
LONG . ED. LONG P1.. XVIII Fic. 11 Fio. 12 Fin. 13 Fm. 14 DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA MOELLE CERVICALE 71 la capsul
t que ce groupe fait défaut dans la moitié gauche du bulbe ; ici la dégénérescence des cor- dons postérieurs se termine sans conne
vant de la racine 72 LONG ' ED. LONG PL. XIX Fw, 15 FIO. 16 DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA MOELLE CERVICALE 7 : 3 descen
oyau de Deiters (Petren, l3umke, etc.); enfin Schaffer a décrit une dégénérescence des stries acoustiques. De ces données un peu c
ascendante des cor- dons antéro-Iatéraux à l'écorce cérébelleuse. DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA MOELLE CERVICALE 75 ED. LONG
us insistons sur quelques, particularités observées : , ? bt;i¥'. DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DU LÀÑmttttr"'UERVICALE 7 ED. LONG
eim Menschen. Arch. f. Psych. u. Nervenk., vol. 39 (1904), p. 74. DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA MOELLE CERVICALE 79 BLUMENAU.
polonais). Anal, in Neurol. Centr., 1908, p. 264. ' BOC'IIF.IOEK. Dégénérescence des fibres endogènes ascendantes de la moelle apr
ths humait subjecl. Brain, 1899 (Winter), p. 586. Long et RoussY. - Dégénérescences secondaires descendantes de la formation r-éli-
Gotuers'sclterz Bilndels. Neur. Centi ? 1898, p. 935. - 80 LONG. DÉGÉNÉRESCENCES ASCENDANTES DE LA. MOELLE CERVICALE ROTfIM.INN.
altérée de plusieurs façons. Fréquence des crampes. « Réaction de dégénérescence dans les muscles en voie d'atrophie. « Début de
myotrophie : soit abolition de toute excitabilité, soit réaction de dégénérescence , soit diminution pure et simple. Les degrés de
ives très nettes au niveau du noyau rouge. Il s'agissait, tantôt de dégénérescence limitée à la capsule du noyau rouge, tantôt de dé
aire de la capsule interne ». Il existe, en effet, dans ce cas, une dégénérescence très nette de la partie antéro-supérieure du no
d'en extraire le principe doctrinal, Dejerine a encore observé une dégénérescence appré- ciable du noyau rouge bien qu'il eût aff
YAU ROUGE lui Voilà donc trois cas dont les lésions ont entraîné la dégénérescence se- condaire du noyau rouge et dans lesquels le
s importantes du né- vraxe, la méthode expérimentale et l'étude des dégénérescences secondai- res chez l'homme. Les recherches ayan
constater, dans certaines de ses ob- servations, des phénomènes de dégénérescence au niveau du noyau rouge. Les quelques cas dans
noyau rouge. Les quelques cas dans lesquels Mingazinni a observé la dégénérescence secondaire du noyau rouge avaient trait des lés
réaction atrophique du noyau rouge doit être attribuée plutôt à la dégénérescence de la substance médullaire centrale qu'à la dispa
x tels que le chien, le chai et le singe, en partie sur l'élude des dégénérescences secondaires observées chez l'homme à la suite de
ement présentaient des altérations manifestes (réduction de volume, dégénérescence secondaire) au niveau du no5au rouge. Les lésio
a paroi ventriculaire, et, en outre, qu'elles avaient déterminé des dégénérescences secondaires très marquées au ni- veau de la cap
oisième circonvolutions frontales sans atteindre le noyau coudé, la dégénérescence secondaire observée par l'auteur portait sur la
et noyau médian b), la région sous-thalamique et le noyau rouge. La dégénérescence intéressait surtout le tiers antérieur ou front
tion centrale antérieure (cir- convolution frontale ascendante). La dégénérescence secondaire observée dans chacun de ces quatre c
une raréfaction de la substance moléculaire, bien que, çà et là, la dégénérescence et l'atrophie portaient même sur les cellules g
Etant donné toutefois, que dans tous les cas où il a cons- taté la dégénérescence du noyau rouge, la partie operculaire de la troi-
nettement de ce fait, que, dans les lésions centro-operculaires, la dégénérescence de ce noyau affecte une topographie sensiblemen
l, on observe toujours au niveau du noyau rouge une atrophie et une dégénérescence très accusées. La réaction secondaire atteint l
s de moindre volume. On constate assez fréquem- ment, toutefois, la dégénérescence et l'atrophie d'un certain nombre de cellules p
ellules principales. Les seules régions dont la lésion détermine la dégénérescence du noyau rouge sont : a) la région préfronlal
ntral. , Dans les cas de lésion isolée de la région préfrontale, la dégénérescence secondaire aborde le segment antérieur ou'ienti
la lésion est strictement limitée à la région operculo-centrale, la dégénérescence secondaire traverse le segment postérieur ou lent
région thalamique ventrale, et même au noyau ventral antérieur une dégénérescence très nette, laquelle s'épuisait au niveau de la
pital des fibres géniculo-cal- cariniennes, nous avons constaté une dégénérescence très nette du noyau rouge. A vrai dire, ce cas
t impossible de se rendre compte exactement du trajet qu'affecte la dégénérescence pour atteindre ce noyau. Nous devrons donc nous c
e pédoncule (Fig. 1) de ce cas. On voit très dis- tinctement que la dégénérescence aborde le noyau rouge près de son an- gle posté
iforme et de la troisième, circonvolution tempo- rale entrainent la dégénérescence secondaire du noyau rouge. Nous avons pu réunir
sultats absolu- ment concordants. Nous avons, en effet, constaté la dégénérescence du noyau rouge chaque fois que la lésion intére
imitées au lobe occipi- tal ou au lobe pariétal n'entraînent pas la dégénérescence secondaire du noyau rouge. Quant aux lésions de
ce noyau une raréfaction très nette de la capsule de fibres. Cette dégénérescence capsu- laire se présente sous la forme d'une zo
reconnaît comme étant le do- maine des radiations de la calotte. La dégénérescence se poursuit eu dedans et détermine une décolora
que la substance médullaire de ce noyau n'est pas indemne et que la dégénérescence secondaire atteint sur- FiG. 2. 1 202 LA SA
t un petit foyer lacunaire lequel semble avoir déterminé une légère dégénérescence du stratum zonale ou du faisceau thalamique dor-
du lobule fusiforme et de la circonvolution de l'hippocampe. Cette dégénérescence résiduaire affecte particulièrement le domaine du
ement mais la courbe sagittale interne et le tapétum présentent une dégénérescence assez appréciable. Il en est de même Fic. 3.
marginales dorsales et dorso-médiane, mais on note également que la dégénérescence de la zone dorsale s'étend légèrement en bas et
artie supérieure de la couche optique et semble avoir déterminé une dégénérescence partielle du stratum zonale ainsi que de la cou
Le ramollissement . ancien du lobe temporo-occipital a entraîné une dégénérescence secondaire très intense, laquelle porte à la fo
ier. Quant aux couches sagittales profondes, elles pré- sentent une dégénérescence diffuse de leur segment vertical, mais, ce que
che sagittale externe. Le tapetum par contre n'est guère touché- La dégénérescence des couches sagittales temporales se poursuit dir
l y ait lieu d'insister. Sur les coupes situées plus en arrière, la dégénérescence s'épuise en partie au niveau du corps quadrijumea
14 206 LA SALLE ARCHAMBAULT voit très nettement toutefois que la dégénérescence s'épuise au niveau de la zone dorso-médiane du
erne létrulenticulaire, on observe, déjà assez d ! S- tinctement la dégénérescence rii ! ru1\ du noyau latéral et du stratum zonale
volution limbique et des circonvolutions marginales supérieures. La dégénérescence a peu près complète du trigone résulte de l'attei
ppu en arrière de la partie moyenne du noyau rouge, on voit que la dégénérescence est beaucoup plus accusée et en même temps mieux
la capsule interne jusqu'à la partie latérale du noyau rouge. Cette dégénérescence linéaire est très visible au niveau du champ juxt
veau de son tiers supérieur, en d'au- tres termes, qu'il existe une dégénérescence très manifeste des zones mar- ginales dorsale e
st que légèrement touchée. Il est très probable qu'à cet endroit la dégénérescence du noyau relève non seulement du ramollissement
nant des circonvolutions frontale et parié- tale ascendantes. Cette dégénérescence de la partie supérieure du noyau rouge s'observ
e ventro latérale, par contre, persiste plus, longtemps. Quant à la dégénérescence occasionnée par la lésion centrale, on voit qu'
capsule interne on voit qu'elle présente dans toute son étendue une dégénérescence extrêmement marquée. En haut, cette dégénéresce
son étendue une dégénérescence extrêmement marquée. En haut, cette dégénérescence s'épuise dans la partie externe du noyau latéral
ptique, on remarque outre la dé- générescence du noyau latéral, une dégénérescence rétrograde et une atrophie très accentuée du tu
dégénéré, mais il renferme un minuscule foyer de ramollissement. La dégénérescence si intense du trigone s'accompagne, dans ce cas
au niveau du lobe pariétal, il s'en suit également que les zones de dégénérescence se trouvent Schéma 1\° III. Nouvelle Iconogra
ouillé externe, toutefois, on voit assez nettement qu'il existe une dégénérescence appréciable dans le domaine du faisceau temporo
où celle-ci s'unit au pied du pédoncule cérébral. On dirait que la dégénérescence s'épuise en partie au niveau, du locus niger, leq
e supéro-externe de celui-ci. C'est à cet endroit, en effet, que la dégénérescence aborde le noyau rouge, et on voit très nettement
ses zones dorsale, dorso-médiane et ventro-laté- rale. On note une dégénérescence assez légère et diffuse du noyau latéral de la
atéral, mais c'est surtout au niveau du noyau rouge lui-même que la dégénérescence s'impose. On voit très bien, en effet, qu'elle
dorso-médiane est encore visible mais elle est moins accusée. La dégénérescence du faisceau temporo-thalamique d'Arnold se laisse
utre part on ne relève aucune particularité nouvelle si ce n'est la dégénérescence partielle de la moitié externe du corps du trig
sente, en effet, celte homogénéité très spéciale qui caractérise la dégénérescence secondaire. Il existe également 210 - LA SALLE
central, et retentit sur plusieurs voies importantes, Il existe une dégénérescence très marquée de la partie laté- rale du corps c
rque une atrophie notable du bord snpé- rieur de ce ganglion et une dégénérescence du stratum zonale, de la lame mé- dullaire exte
n dehors le noyau rouge. Quant à ce noyan lui-même, il présente une dégénérescence très nette et fort bien délimitée de son tiers
bien délimitée de son tiers supéro-externe ou dorso-latéral, et une dégénérescence moins étendu» ? de sa zone sous-capsulaire vent
roit du trigone est sensi- blement dégénéré. Nous croyons que cette dégénérescence partielle du trigone résulte de la lésion de la
s et présente les mêmes particularités que la première, sauf que la dégénérescence du noyau rouge est déjà plus intense et plus éten
intense et plus éten- due. On voit très bien,- en effet, que cette dégénérescence occupe tout le seg- ment médian du champ dit de
upes précédentes. Par contre, an niveau du noyau rouge lui-même, la dégénérescence persiste et affecte une topographie parti- culi
une décoloration très considéra- ble du noyau latéral ainsi qu'une dégénérescence et une atrophie rétrogrades du tubercule antéri
ainsi que la raréfaction très notable de sa capsule de fibres , la dégénérescence de celle-ci toutefois est plus accentuée au nivea
de la couronne rayonnante, et contribue sans doute à intensifier la dégénérescence de la couche sagittale externe et de la capsule
escence de la couche sagittale externe et de la capsule externe. La dégénérescence rétrograde de la couche sagittale interne de la
i jusqu'au niveau de la limite antérieure de la lésion frontale. La dégénérescence de la capsule interne, moins intense qu'auparav
cule antérieur, lequel se trouve assez curieusement délimité par la dégénérescence . Il est vrai qu'à cet endroit le bord supérieur
talité de la capsule frontale ou anté- rieure du noyau rouge et une dégénérescence assez accentuée de la capsule dorsale ou supéri
rise au niveau de la partie moyenne du noyau rouge. On remarque une dégénérescence peu intense, mais nette toutefois, du quart sup
u intense, mais nette toutefois, du quart supérieur de ce noyau. La dégénérescence atteint en particulier la zone marginale grise
iers inférieur de son bras postérieur. On note également une légère dégénérescence du bord externe du noyau latéral de la couche o
it lobule nettementdécoloré et particu- lièrement bien délimité. La dégénérescence partielle de la zone dorso-médiane, . par contr
n° 1, p. 20). 214 LA SALLE ARCHAMBAULT son segment supérieur. La dégénérescence capsulaire ienticuio-tha'amique est encore très
on. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 21 S a déterminé une dégénérescence très marquée de la majeure partie du noyau u ro
terne et le tapétum, au contraire, sont notablement dégéné- rés. La dégénérescence temporale aborde on haut le domaine du faisceau t
et le tiers inférieur du bras postérieur de la capsule interne. La dégénérescence de ce dernier territoire est particulièrement i
oit très bien qu'il est atrophié et anguleux, et qu'il présente une dégénérescence notable de ses zones marginales grises dorso-mé
ibres qui recouvre le bord externe du noyau rouge, c'est-à-dire une dégénérescence très considérable de la partie médiane du terri
en arrière, c'est-à-dire par le pôle postérieur du noyau rouge, la dégénérescence secondaire de ce noyau se traduit par une dé- c
s notable de toute la région sous-corticale du lobe pariétal et une dégénérescence extrê- mement marquée des deux tiers supérieurs
bord supérieur, une décoloration accentuée du noyau interne et une dégénérescence très intense du stratum zonale, du tubercule au
que la configuration quadrangulaire persiste, et qu'il présente une dégénérescence très marquée, laquelle atteint surtout la capsule
nécessairement sommaire de six cas dont les lésions ont entraîné la dégénérescence secondaire du noyau rouge. Nous avons vu, en ef
n effet que les lésions de ce territoire se carac- térisent par une dégénérescence très accentuée du noyau rouge. Pour ce qui en e
ésions qui retentissent sur le noyau rouge déterminent également la dégénérescence secondaire d'un grand nombre de fibres de proje
les lé- sionsde laface inféro-internedu lobe temporo-occipital, la dégénérescence LES COiNNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 219
e et abordent ensuite la partie supérieure du champ de Wernicke. La dégénérescence du faisceau temporo thalamique d'Arnold ne fait
édianedu lobe temporo- occipilal On observe, dans ces cas, outre la dégénérescence du pulvinar, de la partie postéro-inférieure du
téro-inférieure du thalamus et du corps quadrijumeau antérieur, une dégénérescence également de la partie postéro-supérieure du no
scence également de la partie postéro-supérieure du noyau rouge. La dégénérescence aborde ce noyau à la partie postéro- supéro-ext
uivant le trajet des radiations de la calotte. De ce territoire, la dégénérescence secondaire s'étend à la capsule du noyau rouge,
dans les lésions de la face médiane du lobe tem- poro-occipital, la dégénérescence secondaire intéresse la moitié posté- rieure du
sale et dorso-médiane. Près de la partie moyenne du noyau rouge, la dégénérescence porte encore essen- tiellement sur les zones do
antérieur du noyau rouge demeure généralement -intact, sans zone de dégénérescence véritable, bien que l'on observe assez souvent
ontale, première circonvolution limbique.et lobule paracentral), la dégénérescence secondaire se porte en bas et en dedans vers le
0 LA SALLE ARCHAMBAULT segment postérieur de la capsule interne. La dégénérescence s'étend ensuite d'une part aux noyaux de la cou
rieurs el res- pecte à peu près totalement son tiers postérieur. La dégénérescence atteint t ce noyau en passant d'abord par la la
tte dont elle occupe surtout la partie médiane. De ce territoire la dégénérescence s'étend à la capsule latérale du noyau rouge et
rolandique et l'écorce motrice voisine, elles déterminent une forte dégénérescence secondaire, laquelle aborde le segment postérieur
érébral. Ces lésions entraînent, au niveau de la couche optique, la dégénérescence surlout de la lame médullaire externe, du strat
rieur de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur du noyau rouge, la dégénérescence secondaire intéresse surtout la capsule dorsale
ises dorso- latérale et dorso-médiane. Au niveau du tiers moyen, la dégénérescence porte encore sur la capsule dorsale mais elle a
ore plus succincte nos constata- tions personnelles à l'égard de la dégénérescence secondaire du noyau rouge, nous dirons que la r
eurs du noyau rouge. Au niveau du tiers anté- rieur de ce noyau, la dégénérescence intéresse la capsule frontale et ies zones marg
moyen de ce noyau. Au niveau du tiers postérieur du noyau rouge, la dégénérescence porte sur la capsule dorsale et sur les zones m
ale et ventro-latérale.. . Quant aux caractères histologiques de la dégénérescence secondaire ob- servée au niveau du noyau rouge,
s strié et des fibres corticales de la capsule interne, et aussi la dégénérescence du faisceau pyramidal dans les cas de parésie s
sur le chien. Il détruisait la zone motrice et provoquait ainsi une dégénérescence du faisceau pyramidal. Alors les excitations du
un aspect normal. Les cellules nerveuses du globus pallidus sonton dégénérescence pigmentaire très forte. Il y a beaucoup de pigm
nière bien appréciable. Les grandes cellules de segmenlation sonten dégénérescence pigmentaire plus ou moins forte, mais en généra
es cellules des noyaux de la VU' paire, on en rencontre qui sont en dégénérescence pigmentaire extrême : parfois ce n'est qu'un peti
ui peuvent être relevés. Moelle épinière. - Il y a absence de toute dégénérescence fasciculaire. Mais comme dans le tronc encéphal
tronc encéphalique, la prolifération diffuse de la névroglie et la dégénérescence pigmentaire des cellules nerveuses des cornes ant
en bon nombre dans les gyri præcentrales, on en trouve qui sont en dégénérescence pigmentaire plus avancée, elles ont pourtant ga
elques noyaux névrogliques, les cellules du globus pallidus sont en dégénérescence pigmentaire très prononcée. Dans les gaines périv
les à gauche, avec tendance à l'inversion. On trouve la réaction de dégénérescence complète sur les émi- nences thénar et hypothén
des autres parties de la moelle font ressortir, déjà ;'1 zip nu, la dégénérescence ascendante des cordons postérieurs dans les par
rnatosum duroe-ma/l'tS spinalis, - Pour contrôler au microscope les dégénérescences secondaires de la moelle épinière, on a enrobé
ibres myéliniques. On a constaté alors dans la moelle cervicale une dégénérescence ascendante des cordons de Goll, moins prononcée
sceaux cérébelleux et de Gowers. Dans les cordons posté- rieurs, la dégénérescence est presque complète du côté droit, tandis que du
ie de la moelle, il existe encore quelques fibres dissé- minées. La dégénérescence descendante est bien marquée dans les faisceaux
e diabète hydrurique serait fréquent chez les individus atteints de dégénérescence mentale, llayem a UN CAS DE DYSTROPHIE HYPOPHYS
lors la prédominance de l'usage de la main gauche comme un signe de dégénérescence qui se montre avec alternance. Il y a, sans dou
e dans l'épilepsie essentielle, où elle se produit t comme signe de dégénérescence . Steiner, lui-même, reconnaît aussi qu'il 1 -ne
duit, dans la forme chronique, qu'une très faible démence, mais des dégénérescences du caractère d'autant plus éclatantes). D'après
ans un cas de paralysie type Babinski), par CoyoN et Barré, 81. Dégénérescences ascendantes consécutives à une lésion de la moe
du péroné, par KLIPPEL et RABAUD, 333. Moelle cervicale (Sur les dégénérescences ascendanles consécutives il une lésion de la
odique, 415. Lévy et CLUZET. Acromégalie, 226. Long (E.). Sur les dégénérescences ascen- dantes consécutives à une lésion de la
-, trou- bles des mouvements actifs) (W. VAN Woerkom), XLVIII. Dégénérescences ascendantes consécutives à une lésion de la moe
4 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
est inculpé ne saurait être mis sur le compte COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 33 d'un trouble cérébral quelconque,
s de . V ? ' - " .'y ? ANATOMIE PATHOLOU ? COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES ; · · Par le D' M. KLIPPEL. Chef de
ecine. (Clinique du professeur Joffroy.) La question du début des dégénérescences dans la moelle comporte deux points de vue : le
s déjà eu l'occasion d'étudier cette lésion qui marque le début des dégénérescences les plus communes, dans une courte note'; nous
el Xe 11l'oloflisles. Clermoiit-Ferrand, 1894. COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 35 contournement flexueux du cylindra
line a conservé ses cercles concentriques et n'a pas encore subi de dégénérescence . COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES.
es et n'a pas encore subi de dégénérescence. COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 37 Fin. 15. Fig. 16. F(1. 17. 1
indraxe est flexueux et contourné, mais qu'il est encore en état de dégénérescence . Mais il y a plus : dans les points les plus al
s la périphérie. Enfin la résorption* complète COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 39 de ces gouttelettes et débris, mar
on, par tuberculose pulmonaire, en second lieu dans quelques cas de dégénérescences secondaires à des foyers encéphaliques et plus
ce genre d'étude. Presque tous les malades de cette espèce ont des dégénérescences spinales, souvent elles ne débutent qu'après le
et dans les cordons 40 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. . latéraux dans les dégénérescences secondaires à des foyers encéphaliques. , De
h. Zeilsclu'illliil' klin med., t. XXII. 1893. COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 41 nerveuse qui est commune aux lésio
s où elle se poursuit dans les cordons postérieurs; à l'origine des dégénérescences wallériennes secondaires à des foyers cérébraux
caractères semblables, plus loin, dans des faisceaux atteints de dégénérescences descendantes. La même tuméfaction est signalée
ac- 1 Congrès de médecine de Bordeaux, 1895. COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 43 tivité de fonction est la première
d'un processus plus ou moins spécial, mais du plus grand nombre des dégénérescences communément observées dans la moelle. Elle pr
et les phases successives est à l'origine d'un très grand nombre de dégénérescences spinales 44 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. en
xcitatrice des contractions par la faradisation, pas de réaction de dégénérescence , réflexe patellaires atténués, sensibilité cons
cence ascendante des faisceaux de Goll, de Gowers, et antérieurs; dégénérescence descendante des faisceaux pyramidaux. Peut-être
atrophie de ses faisceaux. Le fornix gauche présente des signes de dégénérescence . Interprétation des lésions. Par suite du ramol
s toute la hauteur de la moelle; intégrité de la substance blanche; dégénérescence très avancée des racines antérieures; faible dé
lanche; dégénérescence très avancée des racines antérieures; faible dégénérescence des troncs nerveux antérieurs. Les muscles subi
s nerveux antérieurs. Les muscles subissent : l'atrophie simple, la dégénérescence homogène, et fragmentaire; on y note de l'hyper
bles vésicaux, ni rectaux; jamais d'ataxie. L'autopsie révèle : une dégénérescence du faisceau latéral gauche et du faisceau anté-
gros comme un noyau de cerise, dans la capsule interne droite; une dégénérescence disséminée sans ordre dans les cordons postérie
disséminée irrégulièrement. Seule la moelle cervicale présente une dégénérescence des cordons de Goll et des cordons de Burdach à
uvent aboutissent au crime. R. M. C. XIII. Sur les variétés DE la dégénérescence et LEUR traitement; par le D1' IIALLERVORDEN. (
nt actuellement à considérer le crime comme une manifestation de la dégénérescence ; le vagabondage, la pros- titution, seraient ég
vagabondage, la pros- titution, seraient également des produits de dégénérescence . Des considérations théoriques et pratiques ava
a cause de l'obsession dans le cas particulier pouvait bien être la dégénérescence héréditaire; mais il lui parait exagéré de cons
considérer toujours l'obsession comme un syndrome épisodique de la dégénérescence . On peut observer l'obsession en dehors de la d
de la dégénérescence. On peut observer l'obsession en dehors de la dégénérescence , par exemple chez les individus à cer- veausurm
t pas complètement chargé de granulations, on peut le rencontrer en dégénérescence hyaline avec perte des granulations chromatique
r la méthode de Marchi. Partout aussi les vaisseaux sont en état de dégénérescence granulo-graisseuse. Dans les artérioles on voit
montre dans le degré le plus léger de la maladie ; la réaction de dégénérescence partielle et plus encore la réaction de dégénéres
are dans les névrites péri- phériques. Le passage de la réaction de dégénérescence complète à la partielle est l'indice d'un proce
xcitabilité. Dans cinq cas l'au- teur a pu constater la réaction de dégénérescence , mais dans un seul elle était complète (sciatiq
q cas de névrite avec amyotrophie marquée. En somme, la réaction de dégénérescence est exceptionnelle dans la sciatique vulgaire a
l-né. Le criminel-né présente généralement des signes évidents de dégénérescence ; s'il fallait s'en rapporter absolument à Lombro
gulière et honnête; seulement, on ne saurait nier que ces signes de dégénérescence , qui sont plus ordinaires chez le cri- minel qu
e. Ils peuvent ne présenter que peu ou point les anomalies dites de dégénérescence ; mais, après les plus grands crimes, ils n'ont
thologique très chargée ; mais n'auraient pas présenté de signes de dégénérescence . L'auteur ne croit pas qu'on puisse considérer
auteurs étudient tour à tour l'hérédité, les stigmates physiques de dégénérescence , l'état mental, la coexistence des psychoses liée
t directeur du même asile depuis 1885. Parmi ses monographies : les Dégénérescences psychiques, dans l'Encyclopédie de médecine lég
ieurs, surtout auprès de la périphérie de la moelle épi- nière, une dégénérescence des racines postérieures, une multi- plication
- giques, mais tout le long de la voie pyramidale, on a trouvé la dégénérescence disséminée des fibres nerveuses ». Dans le même
nérées ont été dis- séminées dans la moelle épinière. On observa la dégénérescence partielle aussi dans les racines, et elle a été
uestion a fait la conclu- sion suivante : « D'après mon opinion, la dégénérescence mul- tiple des nerfs périphériques doit s'accom
moelle épinière (etj'envisage cela comme règle), c'est-à-dire de la dégénérescence disséminée des fibres nerveuses de la moelle av
es fibres dégénérées, disséminées çà et là parmi les saines, que la dégénérescence envahit principalement les cordons postérieurs
iate dans le bulbe, c'est-à-dire le funi- culus graciés. Puisque la dégénérescence des racines posté- rieures est très marquée sur
les cordons de Goll et font partie de ces derniers. Le degré de la dégénérescence de la portion externe des cor- dons postérieurs
rencontrent souvent dans la subs- tance blanche. Tous les degrés de dégénérescence de la cellule nerveuse peuvent se rencontrer da
minées dans la substance blanche, des fibres nerveuses en état de dégénérescence , que l'acide osmique colore en noir. Ces fibres
de Marchai, on constate que quelques-unes des fibres subissent une dégénérescence paren- chymateuse aiguë; mais ce qui frappe le
t qui peuvent accompagner un accouchement laborieux, les lésions de dégénérescence ne seraient pas réparties aussi uniformément qu
ction cérébrale de contrôle sur les centres réflexes inférieurs. La dégénérescence primitive ou secondaire des cordons latéraux s'
ONS DES membres ; PERTE DE l'irritabilité faradique, ET réaction DE dégénérescence DES muscles DU côté paralysé; par J.-T. EsI : R
cquérir cette valeur. R. DE Musgrave-Clay. XV. SUR LES lésions DE dégénérescence DU SYSTÈME artériel CHEZ LES ALIÉNÉS, AVEC QUEL
eur se propose d'attirer l'attention sur les signes dissé- minés de dégénérescence artérielle que l'on rencontre à l'autopsie des
entaires sont autant d'indices de troubles de la nutrition dus à la dégénérescence des artères. Les altéra- tions viscérales indiq
artères de la base du crâne offrent presque toujours des signes de dégénérescence ; leurs parois sont épaissies, opaques et rendue
les affections mentales. Quelle est l'explication des phénomènes de dégénérescence arté- rielle qui viennent d'être indiqués ? Son
rition des troubles mentaux. Il pense donc que l'état vacuolé et la dégénérescence des cellules nerveuses peuvent souvent être le
ur l' les tissus des vaisseaux qui les charrient. En étudiant les dégénérescences artérielles chez les aliénés, l'au- teur a eu l
Us ont depuis longtemps été reconnus comme caractérisant un état de dégénérescence , et ont été l'objet des recherches de Lockhart-
ng. L'irritation constante de l'épithélium détermine par places une dégénérescence , et par places une prolifération ; celle-ci peut
toméniugite cérébro-spinale, hémorragies dans la subs- tance grise, dégénérescences dans la substance blanche, névrite de plusieurs
l'asile, on lui fait l'ablation des ovaires qui étaient atteints de dégénérescence kystique. La malade sort guérie quatorze mois a
rupture du coeur, dite spontanée et dont la cause efficiente est la dégénérescence du muscle, est le ventricule. Sur un total de 8
copique du coeur et de plusieurs muscles locomo- teurs a révélé une dégénérescence graisseuse parvenue à un degré extrême. Au coeu
rachidiens que ceux des quatre dernières paires. - Historiquement : dégénérescence très accusée du noyau de l'hypoglosse adroite,
ent : dégénérescence très accusée du noyau de l'hypoglosse adroite, dégénérescence légère des noyaux adjacents, ' dégénérescence c
l'hypoglosse adroite, dégénérescence légère des noyaux adjacents, ' dégénérescence complète du faisceau respiratoire. L'interpréta
l'esprit, comme ceux de la face et de la main. - Si les lésions de dégénérescence s'étendent aux cellules motrices, cette action
estime qu'elles relè- vent chez ces malades du processus général de dégénérescence qu'ils subissent, et ont pour origine une perve
dégénère-t-elle ? par le D''T.1LDOT. Prenant pour définition de la dégénérescence celle qu'a donnée- Morel, l'auteur montre que l
escence celle qu'a donnée- Morel, l'auteur montre que les signes de dégénérescence sont fré- quents, puisqu'on en constate dans ri
, dans 39 cas pour 100 adultes pris au hasard. De là à proclamer la dégénérescence de la race, ce serait peut-être tirer une concl
s l'étude de la dé" énérescence. par la découverte des stigmates de dégénérescence , car la race porte en elle les germes de sa pro
ce siècle, renforcer de leur autorité en proclamant la notion de la dégénérescence de la race. L'auteur réfute successivement les
- iJ60 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. par les auteurs l'idée d'une dégénérescence delà race : tendances littéraires actuelles; in
bien cette dernière notion est fausse en s'appliquant à une idée de dégénérescence , car elle représente bien plutôt une marche en
-il être libre, si la femme est uue esclave ? » Les partisans de la dégénérescence semblent ignorer la bienfaisante loi biologique
r la bienfaisante loi biologique par laquelle l'es- pèce, en cas de dégénérescence , tend à la restauration du type. En résumé, la
n des réflexes tendineux. D. Le phénomène podnlzqzte est-il dû à la dégénérescence secondaire des faisceaux pyramidaux ? Pas plus
reconnaissables par la colora- tion basique sont contrôlés par les dégénérescences correspondantes également différenciées de la s
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 379 XXXVII. Recherches SUR LES dégénérescences consécutives aux SECTIONS TRANSVERSES DOUBLES D
t-être opportun de réserver le nom de fibres myélogènes, Examen des dégénérescences secondaires (méthode de coloration de Marchi) c
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXXVIII. Contribution A la pathologie DES dégénérescences encépha- LIQUES DANS LES AFFECTIONS EN l'01 ? R
blir qu'unelesion unilatérale d'un hémis- phère peut déterminer une dégénérescence descendante bilatérale. De la pyramide du bulbe
cellule simplement modifiée dans son volume et sa structure, et les dégénérescences organiques caractérisées par une disparition co
les pièces de l'Institut de Senckenberg) ; il ne se produit pas de dégénérescence du ruban de Reil quand on a épargné les couches
lenticulaire. P. K. L. La SUCCESSION DES échelons SÉAIAIAES DE la dégénérescence SECONDAIRE DANS CHACUN DES CORDONS DE LA MOELLE
es cordons de Goll, puis des faisceaux pyra- midaux, finalement une dégénérescence descendante des cordons postérieurs et ascendan
e chat démontrent que, quatre jours après l'opération, commence une dégénérescence ascendante des cordons de Goll et descendante d
atéral (Loewenthall, qu'il se produit en outre le sixième jour, une dégénérescence du faisceau latéro-cérébelleux, que le quatorzièm
nce du faisceau latéro-cérébelleux, que le quatorzième jour, il y a dégénérescence très nette des pyramides (cordons laté- raux).
e du développement des manchons, de myéline et ceux de la série des dégénérescences secondaires des systèmes de la moelle. P. K.
re au niveau de la première racine dorsale. Au-dessus de la lésion, dégénérescence des cordons et dissociation de la substance gri
de la substance grise. A la partie moyenne de la moelle cervicale, dégénérescence ascendante typique. Immédiatement au- dessous d
s cordons postérieurs jusqu'au niveau de la dixième racine dorsale, dégénérescence typique des faisceaux pyramidaux croisés jusqu'
, leptoméningite chronique, dila- tation des ventricules cérébraux, dégénérescence du nerf optique et de l'oculomoteur gauches. L'
magistrat et du philosophe qu'à celle du médecin. Symptôme de la dégénérescence mentale, le fétichisme peut être défini : l'ano
minel-né. (Rapp. : Dur MORSGLLI prof. de psychiatrie à Gênes.) 2. Dégénérescence et criminalité. (Rapp. : Dr Dr.LEU.cNE, prof.,
ences sociales de l'alcoolisme des ascendants au point de vue de la dégénérescence , de la morale et de la crimina- lité. (Rapp. :
OMIE PATHOLOGIE LES NEURONES'. 1. LES LOIS FONDAMENTALES DE LEURS DÉGÉNÉRESCENCES I'ar le D' A1. KLIPPEL, Chef de laboratoire d
etrouverons plus loin les détails de sa struc- ture en étudiant ses dégénérescences . ' : Ce que nous savons actuellement de la phys
de Waller, le bout central va s'altérer suivant le processus de la dégénérescence dite rétrograde. Mais ce qu'il importe de sou
ombre considérable de documents. Cette donnée nouvelle de la double dégénérescence s'explique mieux avec la conception du neurone
les observations des auteurs et les nôtres, comme caractérisant la dégénérescence ou mieux l'atrophie rétrograde dans sa forme ty
es prolongements dendrites sem- blent donc suivre les mêmes lois de dégénérescence que les prolongements neuraux. Dans d'autres
tral au même degré de destruction que dans le bout périphérique. La dégénérescence qui est physiologi- quement rétrograde dans le
elle se confond dans sa forme, si non par sa pathogénie, avec la dégénérescence wallérienne. D'ailleurs la réciproque peut s'ob
ît en tout cas jouer un cer- tain rôle. ' Quoi qu'il en soit, les dégénérescences wallérienne ou rétro- grade des neurones reconn
rfs, dans le cerveau et la moelle. Il en résulte que cette double dégénérescence du neurone au-dessus et au-dessous de la lésion
rachement d'un nerf moteur comme le facial 2. La patho- génie de la dégénérescence wallérienne se résume dans la suppression du ce
du neurone qui,-s'altérant sous cette influence, com- manderait la dégénérescence des ramifications restées en connexions avec ce
dégéné- rescence Wallérienne ; à celle du bout central le nom de dégénérescence ou d'atrophie rétrograde , tout en acceptant d'
yer d'établir, c'est qu'au point de vue pathologique les lois de la dégénérescence des neu- rones sont dans les voies psychiques,
justement à la lésion isolée ou combinée des deux neurones. 1° La dégénérescence isolée de l'archineurone de la chaîne motrice,
uent le faisceau pyramidal et l'on sait combien est fréquente cette dégénérescence du fais- ceau pyramidal. 2° Les dégénérescenc
st fréquente cette dégénérescence du fais- ceau pyramidal. 2° Les dégénérescences isolées du téléneurone, celui qui va de la corn
dentes. 11 y aura l'atrophie musculaire, ce caractère principal des dégénérescences du télé- neurone et de plus il y aura des phéno
tère à son tour. On a alors une maladie de neurone à neurone, une dégénérescence de transmission qui est du plus haut intérêt en
tte lésion de transmission suivant que c'est l'archineurone dont la dégénérescence entraîne à plus ou moins longue échéance celle
confir- ment la manière de voir des auteurs qui ont établi que la dégénérescence se faisait, dans ce cas, de l'extrémité muscu-
on, le centre du neurone reste, ou mieux paraît rester intact. La dégénérescence de l'archineurone moteur détermine donc dans le
on de ce neurone est cellulipète. En second lieu, nous supposons la dégénérescence effectuée dans le neurone périphé- rique (télén
eurone supérieur (archineurone) ? Il n'est pas rare d'observer la dégénérescence du faisceau pyramidal à la suite des atrophies
ans le faisceau pyramidal. On s'explique facilement de la sorte les dégénérescences ascendantes de quelques fibres de ce faisceau p
dit de la pathologie de la chaîne motrice est applicable ici. Les dégénérescences de la voie sensitive des neurones cons- tituent
t d'établir d'une façon plus solide la multiplicité, la variété des dégénérescences des cordons postérieurs, la doctrine des tabès
urone que nous avons appelé un neurone géant est le principal. Sa dégénérescence primitive constitue le tabès vulgaire, par op-
scence primitive constitue le tabès vulgaire, par op- position à la dégénérescence des autres neurones de la chaîne dont les lésio
ues. Ces dernières maladies sont absolument distinctes du tabès par dégénérescence du téléneurone au point de vue du début de la l
s alors seulement dans des points limités, suivant la même loi de dégénérescence de neurone à neurone que nous avons éta- blie p
tant faite sur un point du neurone, dans laquelle de ses parties la dégénérescence va devenir le plus apparent. Mais en somme cela
rché à mettre en opposition le tabès du téléneurone avec les autres dégénérescences tabétiques', 1, mais on est encore loin d'avoir
branches limitées de ces nombreuses expansions. On peut voir une dégénérescence limitée à certaines zones des cordons postérieu
opographie vient d'être pré- cisée, par le mémoire de Hoche'. Cette dégénérescence dérive de l'altération de neurones intraspinaux
cette corne même à peu de distance de leur centre cellulaire. La dégénérescence de tous ces neurones peut être regardée comme p
primitive dans beaucoup de cas où le téléneurone est intéressé. La dégénérescence de tous ces neurones est cons- tituée par des m
ce grise est-elle souvent lésée dans des points multiples, d'où ces dégénérescences combinées des neurones qui com- mandent les dég
'où ces dégénérescences combinées des neurones qui com- mandent les dégénérescences ascendantes des faisceaux pyra- midaux, des fai
i peut être consi- dérée, elle aussi, comme un tabès endogène. La dégénérescence primitive peut encore porter sur d'autres neuro
l'écorce qui unissent à celle-ci la couche optique, etc. Mais si la dégénérescence primitive de tous ces neurones peut amener et a
lbe en suivant le cordon postérieur de la moelle. D'après la loi de dégénérescence de neurone à neu- rone, c'est ce dernier prolon
sans que l'altération se propage jusqu'à son extré- mité. De là une dégénérescence des cordons postérieurs d'une forme toute spéci
énérescence des cordons postérieurs d'une forme toute spéciale, une dégénérescence descendante de la partie interne des cordons po
ns cherché à établir, M. Durante et moi, dans notre mémoire sur les dégénérescences rétrogrades en l'opposant au tabès vulgaire 1.
collatérales du téléneu- rone peuvent déterminer secondairement la dégénérescence cellulipète de ces ramifications. De là l'app
raux de la chaîne sensitive on trouve à plus ou moins bref délai la dégénérescence de branches collatérales ou autres du téléneuro
'inspirer de nos travaux avec M. Durante. On peut donc dire que les dégénérescences des neurones centraux de la chaîne sensitive re
en cela les mêmes lois énoncées au sujet des neurones moteurs. C. Dégénérescences combinées des neurones des chaînes sensi- tive
es des chaînes sensi- tive et motrice. S'il est habituel de voir la dégénérescence de neurone à neurone se faire soit dans la chaî
ensitive, il est plus rare de voir un neu- rone moteur entraîner la dégénérescence de propagation à un neurone sensitif. Cependant
ransmettent les impressions d'une chaîne à l'autre et le fait de la dégénérescence combinée peut se rencontrer quelquefois. Seulem
plus étroits entre des neurones d'un même système. Il semble que la dégénérescence de propagation éprouve une sorte de résistance
à que le plus souvent, quand la pathologie nous montre à la fois la dégénérescence des cordons pyrami- daux et postérieurs, que la
ne portion limitée de l'écorce. Dans ce cas, on a non seulement des dégénérescences qui sont en rapport avec les neurones détruits
neurones détruits et leurs fibres de projection, mais encore les dégénérescences des neurones d'association, dont les branches c
le neurone de la sensibilité et de la motilité et en particulier la dégénérescence de propagation de neurone à neurone. Non seulem
fort vraisemblable à priori; mais encore il est démontré par les dégénérescences wallériennes du corps calleux, par les atrophie
ment probable qu'un neurone sectionné dégénère suivant la loi de la dégénérescence rétro- grade du côté de son extrémité centrale,
sensitive et dans les chaînes des neurones de la vie psychique, la dégénérescence wallé- rienne et la dégénérescence rétrograde p
neurones de la vie psychique, la dégénérescence wallé- rienne et la dégénérescence rétrograde pour chaque neurone, la loi de dégén
enne et la dégénérescence rétrograde pour chaque neurone, la loi de dégénérescence de neurone à neurone pour chaque système, peuve
galvanique N F C = N 0 C. C'est le premier degré de la réaction de dégénérescence d'Erb. En résumé, l'examen électrique démontre
BSOHN. (,Ne2l)'Ol. Cealralb., XIV, 1895.) L'étude comparative des dégénérescences secondaires du cor- don antérieur des pyramides
atteintes que celles, voisines, du cordon antérieur; par suite, la. dégénérescence descendante des premières était plus considérable
es muscles deltoïde, biceps, brachial anté- rieur, long supinateur, dégénérescence moindre des sus et sous- épineux et sous-scapul
475 Quand on a, chez l'oiseau, énucléé un oeil, il se produit une dégénérescence à peu près totale de la bandelette optique du côt
. Ces fibres courent tout le long de la moelle et forment l'aire de dégénérescence décrite dans le cordon antéro-latéral. La dégén
l'aire de dégénérescence décrite dans le cordon antéro-latéral. La dégénérescence des fibres radiculaires émer- gentes d'une séri
postérieurs, soit dans le cordon antéro-latéral. Ces deux dernières dégénérescences prouvent l'exis- tence d'un système tirant ses
Une importance spéciale doit être, sous ce rapport, attribuée à la dégénérescence des fibres entre-croisées qui vont du corps resti
l'avoir traversée, au cordon latéral de la moelle, car il n'y a de dégénérescence que du cordon latéral du côté vivisecté. Par
u du cordon latéral. Et la section du corps restiforme entraine une dégénérescence descen- dante du cordon latéral qui n'a aucun r
résultats acquièrent une précision, extrême quand on examine les dégénérescences secondaires d'origine expérimentale, et qu'on se
ez les animaux auxquels on a préalablement extirpé la zone motrice ( dégénérescence consécutive du faisceau pyramidal), les courant
ne motrice corticale. Cette méthode de vivisection avec étude des dégénérescences rend d'inimitables services, lorsqu'on l'associ
tion du délire paranoïaque peut être regardée comme un processus de dégénérescence mentale qui trouve dans plusieurs formes parano
renchymateuses seraient la conséquence de celles des vaisseaux. Les dégénérescences cellu- laires peuvent être cependant produites
s égale. On rencontre aussi chez eux des stigmates psychiques de la dégénérescence dans une proportion de 12,58 p. 100. Cela montr
p. 100. Cela montre la grande fréquence chez lesparalytiques de la dégénérescence héréditaire comme cause ^étiologique prédis- po
le cubital sont complètement paralysés et présentent la réaction de dégénérescence ; il y a de l'analgésie. Cinq mois après l'opér
u pronostic, de séparer l'hystérie de certains états relevant de la dégénérescence mentale (tics et surtout tics généralisés, etc.
ance et éducation des enfants -, par Bourneville, 313. Artériel Dégénérescence du sys- tème - chez les aliénés, par Beadles,
r Giuseppe, 484. Dégénères. Traitement des -, par mortel, 66. Dégénérescence . Sur les variétés de la - et leur traitement, p
a race, par Talbot, 359 ; par Banmster, 359 ; par Kiernan, 359. DÉGÉNÉRESCENCES spinales . Com- ment débutent les -, par Klip-
1L.aS'l'lIÉVIE. Etiologie de Il-, par Althaus, 58. Encéphaliques. Dégénérescences dans les affections du foyer de la zone motri
tajn, 379. Affections syphilitiques de la-, par Boetti- ger, 386. Dégénérescence secon- d'ure de chacun des cordons de la . pa
5 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
é par un épithé- lioma alvéolaire, à travées pleines, envahi par la dégénérescence colloïde, et ayant, suivant toute vraisemblance
la myéline affecte la disposition en boules caractéris- tique de la dégénérescence , enfin de nombreuses gaines vides constituent les
rnières paires. Dans la moelle nous étudierons la topographie de la dégénérescence secon- daire à chaque niveau en allant de bas e
urs est rempli par des fibres radiculaires dégénérées ou en voie de dégénérescence et par des fibres verticales fines, saines, uni
en effet notablement plus petits qu'à l'état normal. 2" Sacrée.- La dégénérescence prend la forme d'un triangle curviligne très mi
u septum commence à être plus volumineux qu'il n'est dans le cas de dégénérescence de la queue de cheval : il s'y ajoute des fibre
parce que la lésion, encore- récente, ne s'est pas ac- compagnée de dégénérescences tertiaires. La présence des boules de myé- line
ssement, mais ce léger inconvénient est compensé par ce fait que la dégénérescence est restée cantonnée au neurone périphéri- que,
ion I,d'un cancer primitif d'une capsule surrénale, il existait une dégénérescence des zones de Lissauer et des fibres fines de la c
r destruction est, suivant toute vrai- semblance, le résultat d'une dégénérescence tertiaire, favorisée par la durée de la maladie
aladie n'avait guère été plus longue. On pourrait se demander si la dégénérescence tertiaire fait bien réelle- ment défaut, d'une
systèmes de fibres endogè- nes tellement sensibles à l'action de la dégénérescence tertiaire que leur destruction suit presque imm
scence tertiaire que leur destruction suit presque immédiatement la dégénérescence secondaire; si dans l'observation I certains sy
servation I certains systèmes endogènes, habituellement atteints de dégénérescence tertiaire lorsque les racines sont détruites, ont
être intacts. Pourtant je suis porté à croire qu'il n'existe pas de dégénérescence tertiaire appréciable dans l'observation I et cet
ns et celles des autres auteurs, au point de vue de l'éten- due des dégénérescences , résultent de ce que les dégénérescences tertiair
de vue de l'éten- due des dégénérescences, résultent de ce que les dégénérescences tertiaires n'ont pas eu le temps de se produire
res par différents au- teurs et de plus ces fibres auraient subi la dégénérescence rétrograde depuis le point de compression jusqu
lésion des zones de Lissauer constitue en réalité dans le labes une dégénérescence tertiaire; elle appartient aux lésions des fibr
s individus et suivant certaines circonstances accessoires. Si la dégénérescence des zones de Lissauer n'est pas proportionnelle à
subir la dé- générescence tertiaire qui, dans ce cas, se relieà une dégénérescence éga- lement tertiaire du réseau des fibres fine
iangle sacré de Gombault et Philippe déter- miné par la méthode des dégénérescences , je suppose l'existence de fibres qui lui sont
partie terminale de la moelle ; en effet, ces auteurs décrivent une dégénérescence dans les cordons anléro-latéraux jusqu'à la 4°
ent être faite que dans les points où il est mis en évidence par la dégénérescence radiculaire. Dans l'observation I on peut const
à quel moment ce réseau fin se prend dans le tabes par suite d'une dégénérescence tertiaire, quelles sont alors les limi- tes de
s'agit de lésions du tabes classique systématisées, associées à des dégénérescences des faisceaux pyramidaux consécutives à des lés
et du cervelet a été fait par Kattwinkel ; il a pu poursui- vre la dégénérescence du cordon de Goll jusqu'au niveau des noyaux. La
r fig. 5). Kattwinkel qui a pu examiner le bulbe a pu poursuivre la dégénérescence du cordon de Goll jusqu'à la décussation des py
ied, et en particulier sur le pied plat considéré comme stigmate de dégénérescence (Journ. de l'Anat. et de la Phys., 1891, p. 433)
RE OU MUSCULAIRE 87 très diminuée; mais il n'y a pas de réaction de dégénérescence ; les muscles des parois abdominales réagissent
osse manquerait dans la moitié gauche du bulbe, traduisant ainsi la dégénérescence descendante des fibres d'ori- gine centrale, au
e confirmation naturelle des données expérimentales qui montrent la dégénérescence croisée du pé- doncule cérébelleux supérieur ap
nerveuses qui semblent encore intactes, la plupart sont en voie de dégénérescence , et leur nombre est considérablement diminué.
es vaisseaux. Nombreux vacuoles dans plusieurs cellules hépatiques. Dégénérescence graisseuse très accentuée par places. Reins. -
trophie des cornes postérieures. Nous avons constaté, en outre, une dégénérescence bien nette des racines postérieures ainsi que d
achait à son père par menaces et violence. Certificat immédiat. - Dégénérescence mentale avec dépression mélanco- lique, halluci
oyens. Pas d'idées fixes, phobie des araignées. Pas de stigmates de dégénérescence . La nutrition générale n'est pas défectueuse ac
et intraganglionnaire, quelquefois même l'aspect histologique de la dégénérescence en voie d'évolution (corps granuleux) ; en outre,
ie radiculaire est déjà ancienne, il n'y a pas de fibres en voie de dégénérescence . Les cellules ganglionnaires sont moins nombreu
rente ans. 3° ganglion lombaire. - Atrophie de quelques cellules. - Dégénérescence graisseuse des cellules. Proliférations capsula
LION RACHIDIEN 219 qu'un certain nombre de cellules sont en voie de dégénérescence graisseuse (fig. 3). L'état du noyau est propor
ibres possédant leur gaine de myéline, mais celle-ci est en voie de dégénérescence , et sur le trajet ou même dans l'intérieur de plu
le 2e ganglion lombaire droit, quelques cellules sont atteintes de dégénérescence graisseuse ou en voie d'atrophie ; quelques- un
ne savons s'il faut considérer leur présence comme un processus de dégénérescence ayant un véritable caractère pathologique ; nou
travées séparent les éléments cellulaires rares et disséminés : la dégénérescence hyaline est alors fréquente. - Quant aux vais
sseaux, ils se montrent très fréquemment atteints de sclérose et de dégénérescence hyaline de leurs tuniques. Toutefois les modifi
chaque cas d'un ganglion à l'autre- ce sont : la pigmentation et la dégénérescence grais- seuse,)apro) itération des capsules, leu
ions,entre autres une pigmentation exagérée, et dans cinq cas de la dégénérescence graisseuse qu'il considère comme pathologique ; i
cellules des gan- glions spinaux proportionnelles en intensité à la dégénérescence des cor- dons postérieurs. Il mentionne le rata
'autres auteurs ont trouvé quelques cellules attein- tes de la même dégénérescence dans des ganglions normaux où nous l'avons nous
ules était particulièrement bien respectée. A quoi correspond cette dégénérescence ? Il est difficile de le préciser; il est possi
plus attaqué la théorie cel- lulaire ont invoqué, pour expliquer la dégénérescence des racines, des lésions méningées ceux-ci à la
après la section du nerf périphérique ; enfin, fait intéressant, la dégénérescence rétrograde de la racine postérieure a pu être sui
nt dans la pathogénie de l'atrophie des racines postérieures et des dégénérescences médullaires. Mais elles sont trop fréquentes et t
cellules. Epaississement du tissu interstitiel. - Fibres en voie de dégénérescence sur le trajet et à l'intérieur desquelles on vo
VII, n* 2, p. 92. llGIIA'CO\IYCL1E TRAUMATIQUE 247 matisée avec dégénérescence des cordons latéraux, mais la survie avait été
s centimètres du foyer prin- cipal présentent tous les degrés de la dégénérescence et l'on voit apparaître des figures de neuronop
. Le corps restiforme se colore moins bien, mais ne présente pas de dégénérescence . Le cervelet ne présente pas de dégénération, m
r de la région lombaire. Dans les parties inférieures on trouve une dégénérescence dans la périphérie du faisceau de Burdach, dans
périphérie du faisceau de Burdach, dans les parties supérieures une dégénérescence du faisceau de Goll dans sa partie postérieure.
même dans les régions qui paraissent tout à fait respectées par la dégénérescence , les fibres sont d'un calibre très petit. Cette
érieurs. La zone de Lissauer présente dans la région lom- baire une dégénérescence bien marquée surtout dans sa partie interne et ce
n du côté du cordon de Burdach, tandis que celui de Goll montre une dégénérescence intense, de forme carac- téristique, et surtout
rieure et paraît sortir de cet angle. L'élargissement latéral de la dégénérescence est situé un peu plus en avant que dans les rég
dégénération l'angle antéro-médian de la moelle. A partir d'ici la dégénérescence longe la périphérie antérieure de la moelle tout
aisceau de Gowers montre seulement dans sa partie posté- rieure une dégénérescence bien nette, tandis que sa partie' antérieure se p
se et le trijumeau ascendant. Ayant gagné ainsi de l'étendue, cette dégénérescence est devenue moins intense. C'est seulement dans l
u neurone périphérique. Von Michel (3), en 1897, aurait constaté la dégénérescence précoce des (1) POPOFB, Journal neurologique de
mités deses prolongements,partie ia plus fragile du neurone, que la dégénérescence commence, la dégénérescence ne suit pas une mar-
rtie ia plus fragile du neurone, que la dégénérescence commence, la dégénérescence ne suit pas une mar- che progressive de la cell
t pas dans la rétine, et en par- ticulier qu'il ne s'agit pas d'une dégénérescence primitive, élective des cellules d'origine du n
) : ces phénomènes semblent peu en rapport avec l'idée d'une simple dégénérescence d'un neurone périphérique. D'autre part, nous a
talmoscopiques ne cadraient pas non plus avec l'idée d'une sim- ple dégénérescence primitive des cellules multipolaires de la rétine
mé sans indem- nité. Alors s'est produit un fait qui prouve bien la dégénérescence mentale de ce malade. Il a obstinément refusé d
de de Marchi on peut trouver en cer- tains points l'existence d'une dégénérescence granulo-graisseuse. Cette dégé- nérescence exis
cette lé- sion n'a rien à voir avec la surcharge graisseuse. Cette dégénérescence , même dans le deltoïde où elle est le plus acce
général intacts, toutefois certains présentent quelques lésions de dégénérescence granulo-graisseuse, ils sont en tout cas bien m
erstitielle très marquée. On y trouve aussi des fibres atteintes de dégénérescence granulo-graisseuse, mais celle-ci ne s'y locali
hes intra-musculaires. Par la méthode de Marchi on n'observe pas de dégénérescence de la myéline, pas de cylindres granuleux. Tout
ous avons signalées et qui peuvent être interprétées soit comme des dégénérescences du sarcoplasma, soit comme une phase de mortifi
s avons signalé chemin faisant l'existence en certains points de la dégénérescence granulo-graisseuse; nous pensons qu'il ne faut ac
'espèce à cette constatation qu'une valeur minime ; en effet, cette dégénérescence est très disséminée et très inconstante ; jamais
u poumon, et c'est là une raison suffisante pour ne voir dans cette dégénérescence granulo-grais- seuse qu'une lésion contingente.
llaires on a décrit dans des cas d'artério-sclérose cé- rébrale, la dégénérescence trouble, granuleuse, fibrillaire, hyaline avec ou
formes de dégéné- rescence. Du reste, en soutenant la théorie de la dégénérescence hya- line préalable à la formation de dépôts ca
des zones dégénérées et à l'impossibilité de donner une règle à la dégénérescence . Westphal (1) a constaté une fois une atrophie
ne fois l'atrophie d'un secteur du nerf. De Wecker (4) admet que la dégénérescence grise tabétique est « une altération sui generi
la persistance du tissu dégénéré est un trait caractéristique de la dégénérescence grise, ce tissu revient sur lui-même, et ce retra
e participation directe et active du tissu connec- tif du nerf à la dégénérescence doit être absolument exclue... Cette dégé- nére
donnée, envahir le chiasma; on peut encore rencontrer des cas où la dégénérescence grise en deçà du chiasma n'a pas atteint celui-ci
pas atteint celui-ci et concorde avec le début d'un foyer récent de dégénérescence dans les bandelettes optiques.... La dégénéresc
foyer récent de dégénérescence dans les bandelettes optiques.... La dégénérescence grise ne contourne jamais en entier la gaîne. »
anguine de l'organe : le résultat en est forcément l'atrophie ou la dégénérescence des éléments qu'il contient. La lésion vascul
vasculaire est certainement suffisante à elle seule pour amener la dégénérescence du nerf optique ; on le conçoit en jetant un simp
t un simple coup d'oeil sur les coupes de nerfs optiques en voie de dégénérescence , ils sont pour ainsi dire totalement privés de
lique l'atrophie des fibres optiques, faut-il absolument nier toute dégénérescence primitive ? faut-il éliminer l'idée d'un virus
et que les fibres avaient subi dans la portion crânienne une simple dégénérescence descendante. Il ne nous a pas semblé qu'il en s
se et l'oblitération des vaisseaux, préexistants et néoformés, avec dégénérescence sans doute con- sécutive, une par une, en comme
les défor- mations de la moelle à ces différents niveaux. Noter la dégénérescence des faisceaux pyramidaux croisés, sur toute la
cervicale, dorsale et même lombaire supérieure, nous avons noté la dégénérescence rétrograde de quelques racines postérieures que
fibres qui la composent, peut-être aussi pour certains points à une dégénérescence véritable. Dans le voisinage se rencontrent presq
, on n'en voit guère d'oblitérés, et l'on n'observe pas non plus de dégénérescence hyaline, ou d'épaississement de la tunique inte
lement envisagées. Nous ne revenons pas sur l'état des méninges, la dégénérescence des FPC, déjà signalée. Le canal de l'épendyme
iège d'uue hyperplasie névroglique avec démyélinisation subisse une dégénérescence et un émiettement progressif sous l'influence de
elles que le début de la liose, son aspect nodulaire, et diffus, sa dégénérescence spéciale, les altérations vasculaires, l'indépen-
cas même (Fag...) il n'y a pas de paroi névroglique. De même, ni la dégénérescence hyaline, ni la sclérose vasculaires ne sont spé
uction peut se faire par plusieurs procédés; désintégration simple, dégénérescence hyaline (homogenisirung process), morcellement
lésions s'ajou- tent des altérations (épaississement, néoformation, dégénérescence hyaline) des vais- seaux, et des placards de dé
mation, dégénérescence hyaline) des vais- seaux, et des placards de dégénérescence hyaline du tissu nerveux. Il n'y a pas de végét
a néoformation des vaisseaux, sur la sclé- rose, l'oblitération, la dégénérescence hyaline, la rupture des parois et aussi en part
ns où cette lésion paraît dominante, tandis qu'en d'autres c'est la dégénérescence hyaline qui retient l'attention. Il est aussi n
tre imputée avec certitude à des troubles circulatoires. Quant à la dégénérescence hyaline qui souvent forme de vastes placards, si
que préjuger son origine vasculaire. sans décider s'il s'agit d'une dégénérescence plutôt que d'une infiltration. C'est donc un
cavités du processus destructif marqué par la désintégration et la dégénérescence hyaline. Cette dernière est fréquente mais non
ément : hyperplasie vasculo-conjonctive, prolifération névroglique, dégénérescence hyaline, peut, on le conçoit, déterminer des as
névroglique inflammatoire et aboutir à la formation de cavités par dégénérescence de leurs éléments. La diffi- culté est de disti
ical et lombaire, et paraissant absolument semblables aux foyers de dégénérescence d'origine infectieuse de la paralysie infantile.
une teinte jaune plus claire que le reste des cornes, les foyers de dégénérescence que nous a révélés l'examen microscopique. Des
ne très légère dégénéres- cence diffuse, mais en tout cas, il n'y a dégénérescence complète d'aucun faisceau. 66 cervicale (Voir
resque comblé par des amas nucléaires. Dans la substance blanche, dégénérescence de la zone radiculaire antérieure depuis la sub
nt trop irrégulièrement colorables pour qu'on puisse conclure à une dégénérescence . 7e-ge cervicale (Planche LIX, D). Partie antér
Pl. LX J. Nerf cubital droit. Les faisceaux semblent intacts, sauf dégénérescence de quelques fibres isolées, mais dans l'interva
es faisceaux nerveux. L. Muscles nrrléro-externes de la jambe droite. Dégénérescence graisseuse très avancée ; mélange de fibres à t
graisseuse très avancée ; mélange de fibres à tous les degrés de la dégénérescence ; fibres nor- males, fibres atrophiées ou hyper
ain nombre de fibres dont on voit les gaines dis- séminées ; pas de dégénérescence des faisceaux. ' Pas de prolifération conjoncti
ervées assez nombreuses. Nerf sciatique droit (Planche LX, K). Même dégénérescence très limitée, sans prolifération nucléaire, mêm
46 LÈm ET N-ILSO.1 aspect que les muscles postérieurs de la cuisse, dégénérescence plus marquée encore; dispersion de fibres, les
cléée avec quelques fibres géantes. Muscle quadriceps crural droit. Dégénérescence graisseuse à tous les degrés, mais surtout au s
leurs noyaux prolifè- rés. Seules quelques portions présentent une dégénérescence au début. Triceps brachial gauche. Mélange de p
mais il y a par places des foyers de multiplication nucléaire et de dégénérescence accusée avec disloca- tion de l'aspect normal,
même, semblait-il, un vaisseau était au centre d'un petit foyer de dégénérescence tout à fait au début : ces lésions périvasculai
erfasciculaire, les muscles de myosite, d'atrophie musculaire et de dégénérescence adipeuse. Mais ces lésions ne dépassaient POLIO
se et à la jambe. Les muscles atrophiés présentaient la réaction de dégénérescence et Hoffmann s'est prononcé pour une névrite ass
e à peine perceptible. On trouve de nombreux stigmates physiques de dégénérescence : progna- thisme du maxillaire inférieur, oreil
nt pendant l'interroga- toire. On note des stigmates physiques de dégénérescence ; asymétrie de la face, nez dévié à gauche, apl
03). DES STIGMATES PHYSIQUES, PHYSIOLOGIQUES ET PSYCHIQUES "DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L'ANIMAL, EN PARTICULIER CHEZ LE CHEVAL (1
sagée, en médecine humaine, par Morel et par Magnan, sous le nom de dégénérescence (2). Des stigma- tes physiques et psychiques co
es du développement de l'in- dividu. Les causes principales de la dégénérescence chez l'homme sont, les unes pathologiques (mala
misère, débauche, etc.). Au nombre des stigmates physiques de la dégénérescence figurent, au . (1) Communication au Congrès des
. Cette étude clinique fait partie d'un travail d'ensemble sur la « Dégénérescence chez l'animal » qui comprend d'autres cha- pitr
térin., juill.- août-sept.-oct. 1904). (2) Voir MoREL, Traité des dégénérescences de l'espèce humaine, f 857 ; - Magnan, Leçons c
si que certains désordres fonctionnels (stigmates physiologiques de dégénérescence ) (1). Les recherches que nous avons entreprises
tiques ou stigmates physiologiques et les troubles psychiques de la dégénérescence . Nous avons emprunté à M. J. Séglas la méthode
es animaux (4). I Signes morphologiques OU stigmates physiques DE DÉGÉNÉRESCENCE . Les malformations physiques sont, chez l'homme
suiv. ; L. MAYET, Les stigmates analomiques et physiologiques de la dégénérescence et les pseudo-stigmales anal, el physiol. de la
1895, p, 683 et suiv, (4) Cadéac, Encyclop. Séméiol., t. IL DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L'ANIMAL -4" 3 sager avec M. J. Séglas, da
l'hippométrie, n'ont jamais été considérées comme des stigmates de dégénérescence . Aussi ces études sont-elles restées purement thé
récen- tes, la signification de véritables stigmates anatomiques de dégénérescence puisqu'elles peuvent être l'indice de troubles
n Bull. vét., 16 mai 1904. (4) Cornevin, loc. cil., p. 487. DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L'ANIMAL 475 visage » (1). Le prognathisme
De la fréquence des stigmates physiques el physiolo- giqlteS de la dégénérescence citez l'homme normal, et leur valeur lIIédieo.lé
onsidérées, dans certains cas, comme des stigma- tes anatomiques de dégénérescence . L'asymétrie des arcades dentaires est fréquent
ques, pour ne pas créer trop de divisions dans cette élude. DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L'ANIMAL 7117 du crâne ou de la face, des
l'animal aussi bien que chez l'homme, des stigmates anatomiques de dégénérescence . Les signes fournispar la tête doivent primer l
OULTON sur 7 générations de chats (in Cori : vemN, p. 363). DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L'ANIMAL 479 signalées par Cadéac (1) sont
eurs, pour ellepas plus que pour le mâle, jamais été rapportés à la dégénérescence . Peau et appendices cutanés. - Les caractères e
ères, etc. 11 Symptômes somatiques OU stigmates physiologiques DE dégénérescence . J. Séglas décrit sous le titre de Symptômes so
Cette dénomination correspond aux Stigmates phy- siologiques de la dégénérescence de Lucien Mayet(5). Le cheval présente égalemen
excessive qu'on exige de lui ; en cela elles ne relèvent pas de la dégénérescence . Mais ce mauvais emploi, cet abus des forces du
psychoses ou de névroses et, il ce titre, constituent des signes de dégénérescence . 2. Activité réflexe. - L'étude de l'activité r
Paris, 1892. (5) F. RCDLER et Ciiomel, Eludes sur les tics. DE la DÉGÉNÉRESCENCE chez l'animal 481 de troubles psychomoteurs lai
roubles psychomoteurs, et constituent, du fait même, un syndrome de dégénérescence (2). Le météorisme ou pneumatose intestinale es
deuxsyndromesnesauraientconstituer des stigmates physiologiques de dégénérescence . III Stigmates PSYCHIQUES. Nous avons défin
mp; et Feindel (op. cil., p. 51), sur les rapports des tics avec la dégénérescence mentale, et en indiquant que les tics aérophagi
être considérés « comme une des multiples mani- festations de cette dégénérescence n, nous entendons simplement que « le qualificati
er une expli- cation pathogénique du tic par cette unique notion de dégénérescence . (3) Cadéac, Séméiol., t. I, p. 54-55 et suiv.
générescence. (3) Cadéac, Séméiol., t. I, p. 54-55 et suiv. DE la dégénérescence cuez l'animal 483 purement réflexes d'origine b
alors avec une hérédité chargée et avec des stigmates physiques de dégénérescence . Les stigmates héréditaires feront seuls l'obje
3)- Cheval rampin, qui s'appuie en marchant sur ses pinces, ' DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L'ANIMAL 487 5. Phobies. Hallucinations. -
favorisent sa production. - En résumé, les stigmates psychiques de dégénérescence du cheval se rap- portent : aux troubles de la
ng la plupart des documents relatifs aux stigmates psy- chiques' de dégénérescence du cheval. Ceci n'infirme en rien le bien fondé
, en quelquesorte, indé- pendamment des signes morphologiques de la dégénérescence . « Tout fait psychique, dit M. J. Séglas, tend
atomiques, physiologi- 488 KUDLEK et cuomel ques et psychiques de dégénérescence , et à établir leur valeur, relative ou absolue,
double point de vue pathologique et zootechnique. Les stigmates de dégénérescence sont chez le cheval d'ordre anatomique, physiol
s dégénérés, déséquilibrés, héréditaires humains. Chaque signe de dégénérescence , pris individuellement, n'a de valeur que s'il
coexistante, tics ouépilepsie. Sans nous arrêter aux causes de [la dégénérescence étudiées ailleurs, nous ferons remarquer seulem
érescence étudiées ailleurs, nous ferons remarquer seulement que la dégénérescence est souvent, chez le cheval, la conséquence d'u
existe pas d'animaux idiots pour représenter le dernier degré de la dégénérescence chez l'animal ; on ne saurait même, suivant la re
ntes et moins accentuées que chez l'homme, les manifestations de la dégénérescence n'en existent pas moins au complet chez le chev
pas craint, dans ce premier essai synthétique qui est tenté sur la dégénérescence chez l'animal, de nous exposer au reproche de B
oser au reproche de Bail qui estime qu'on a fini par créer, avec la dégénérescence , a une sorte de remise qui sert il loger, sans
, par un grand nombre (1) J. Séglas, in G. B\LLEI'¡ p. 103. DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L'ANIMAL 489 d'observations, la fréquence
L'ANIMAL 489 d'observations, la fréquence de stigmates variés de la dégénérescence chez les équidés. L'oeuvre d'analyse et de crit
de nouvelles recherches, il sera possible de dresser l'échelle des dégénérescences animales, bien autrement instructive que l'éche
physiques ne sont pas une preuve, mais une simple présomption de dégénérescence ; on associera les signes psychiques aux signes p
ablement dans sa descendance, pour comprendre que cette étude de la dégénérescence constitue bien un facteur nouveau et dont il faud
résection or- thopédique ; guérison (3 pl ? par A. CANGE, 283. Dégénérescence chez l'animal, en particu- lier le cheval (Des
ER. Des stigmates physi- ques, physiologiques et psychiques de la dégénérescence chez l'animal, en parti- culier chez le cheval
EL. Des stigmates phy- siques, physiologiques et psychiques de la dégénérescence chez l'animal, en par- ticulier chez le cheval
6 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
pas trace d'hé- morrhagie. Au-dessous de cette région, on voit une dégénérescence descendante du cordon pyramidal gauche nettemen
faisceau pyramidal gauche présente les altérations classiques de la dégénérescence descendante, à savoir une lésion scléreuse cara
gile. Les coupes transverses de cette région montrent des foyers de dégénérescence décolorés, tantôt dans les cordons postérieurs
amen microscopique présentait donc essentiellement le tableau d'une dégénérescence disséminée des cordons blancs de la région dors
inée. Au-dessous du niveau du renflement lombaire se dessinait la dégénérescence typique des cordons pyramidaux ; en haut, vers la
dons pyramidaux ; en haut, vers la région cervicale, il y avait une dégénérescence descendante des cordons de Goll et des faisceau
l- DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 55 lissement et la dégénérescence granuleuse. L'anémie et le ramollissement spina
ques s'atrophient par abolition de la fonction prin- cipale. III. Dégénérescences secondaires dans leurs rapports avec les atrophie
ité d'un nerf moteur on obtient aussi, comme chez le nouveau-né, la dégénérescence de ce nerf des deux côtés, y compris ses cellul
substance blanche qui s'est trouvée être le terrain générateur; la dégénérescence du tissu néoformé en éléments ostéoïdes n'a rie
la pachyméningite externe adhésive. On constata au micros- cope la dégénérescence amyloïde du système musculaire; 1'encé- phale é
'autre femme, il existait, en outre de ces lésions médullaires, une dégénérescence des vaisseaux toute spéciale, très voisine de l
une dégénérescence des vaisseaux toute spéciale, très voisine de la dégénérescence hyaline; cette dégénérescence vas- culaire occu
ux toute spéciale, très voisine de la dégénérescence hyaline; cette dégénérescence vas- culaire occupait surtout les cordons posté
se, le biceps brachial, le grand pectoral et le gastro- cnémièn. La dégénérescence amyloïde des muscles s'observe d'ailleurs dans
nt très souvent porteurs d'atrophie brune du muscle car- diaque, de dégénérescence graisseuse du myocarde, d'athéromedes SOCIÉTÉS
a mollesse et la petitesse du jet sphygmique avec ralentissement ( dégénérescence graisseuse), l'irrégularité et la petitesse de l'
lequel observe M. Emminghaus doit être tenu pour le facteur de ces dégénérescences . M. Sciiuele demande combien de temps on peut p
nd on les examine, de l'imbécillité ou de la démence précoce; de la dégénérescence mentale consécutive à« 13G SÉNAT. un traumati
que ceux-ci leur ont transmis héréditairement une véritable tare de dégénérescence . Il s'agit chez ces derniers d'hérédité dissemb
LIOMATOSE, formation d'une cavité. C'est sur une moelle atteinte de dégénérescences secondaires, à la suite de compression par une
DES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE 165 Leyden1, Ii lechsi Z, ont observé la dégénérescence des cordons de Goll et des faisceaux cérébelleu
que la lésion qui a donné lieu à la formation d'une cavité et les dégénérescences secondaires, relèvent d'une seule et même cause
rvé des foyers circonscrits de dégénéra lion, en même temps que des dégénérescences secondaires. Par leur forme, leur dimension, le
eption d'un seul où l'on avait affaire à de la carie vertébrale, la dégénérescence secondaire avait été amenée par des lésions tra
isme et, d'ailleurs, la lésion ne présente pas les caractères d'une dégénérescence véritable : comme le prouve le déplacement des
iocé- phalie, est considérée comme un des signes les plus nets de dégénérescence par l'école italienne d'an- thropologie crimine
océphalie est considérée par Roscioli comme un signe manifeste de dégénérescence . Sommer a proposé de rapporter cette' malformat
re, d'un arrêt de développement du cerveau, bref, comme un signe de dégénérescence de cet organe et de ses fonctions. Silvio Ven
Intégrité du cer- veau ; légère myélite périphérique de la moelle; dégénérescence commençante des cordons de Goll et, à partir de
ritiques dans lesquelles nous cueillons le principal. La forme de dégénérescence nerveuse la plus simple et la plus habituelle q
vrite dépend du tabes ou de la complication. Quoi qu'il en soit, la dégénérescence des nerfs périphériques appartient bien aux lés
ervertébral avaient au sein même de ce ganglion continué à subir la dégénérescence . Là s'arrêtait du reste l'étendue du processus.
l est encore permis de dire qu'il n'existe pas de relation entre la dégénérescence des nerfs périphériques et les lésions des cord
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. la moelle et des racines antérieures. Dégénérescence très intense du nerf radial, légère du nerf méd
a présentées. Il ne voit pas sur quoi peut reposer le diagnostic de dégénérescence . M. LEGRAIN base son diagnostic de dégénérescen
le diagnostic de dégénérescence. M. LEGRAIN base son diagnostic de dégénérescence mentale sur l'évolution même du délire, sans pa
DON DE Montyel demande si le malade portait des signes physiques de dégénérescence . M. LEGRAIN répond par l'affirmative. Commiss
mme dégénérées ou des formes d'oreilles rangées parmi les signes de dégénérescences physiques l'entrent dans l'échelle de l'amplitu
eurs d'un amaigrissement considérable et d'une adynamie extrême. La dégénérescence amyloïde de ces organes dans le délire aigu et
e par la description anatomo-pathologique suivante. Il s'agit d'une dégénérescence des nerfs périphériques moteurs et sensitifs à
cendante; lésion semblable des racines antérieures et postérieures. Dégénérescence des cordons postérieurs dans la moelle lombaire
lue de lésions des vaisseaux de la base; quinze faits témoignent de dégénérescences aortiques. Ces dégéné- rescences aortiques étai
ancées (démence sénile et paralysie générale), une endartérite avec dégénérescence grais- seuse et hyaline (syphilis cérébrale), e
gment inférieur des libres de Gratiolet, de l'écorce du pli courbe. Dégénérescence secondaire du segment supérieur des fibres de Gra
pondants du cerveau intermé- diaire ; elles sont démontrées par les dégénérescences secondaires. Elles montrent plus particulièreme
nt forcément à la suite de destructions du lobe occipital ; à cette dégénérescence secondaire participe graduellement la bandelett
e graduellement la bandelette optique du côté lésé; seulement cette dégénérescence demande plusieurs années chez l'adulte. M. Schu
ble que le noyau moteur de ce nerf est atrophié et qu'il existe une dégénérescence périphérique des fibres correspondantes. - Vo
On trouva des altérations considérables, dues à des processus de dégénérescence , sur le crâne, le cerveau et les membranes : ce
able interne, particulièrement au niveau du frontal, présentait une dégénérescence du tissu osseux. L'os pétreux du côté gauche fa
ectriques des muscles paralysés qui sont le siège de la réaction de dégénérescence . Ajoutons à cela que dans tous les cas, dans l'
e D'' Vigouroux, le 7 décembre 1889. A droite, réaction complète de dégénérescence dans le jambier antérieur et l'extenseur commun
muscles de lajambe et de la cuisse. A gauche réaction partielle de dégénérescence du jambier antérieur. Pas de troubles cérébraux
avoir qu'à l'examen électrique des mus- cles on note la réaction de dégénérescence dans le jambier antérieur et l'extenseur commun
te, qui était et qui est encore la plus malade, une réac- tion de dégénérescence complète, et dans ceux de la jambe gauche, seul
examen pratique par M. Vigouroux le 15 mars 1890. La réaction de dégénérescence n'existe plus et on constate seulement une dimi
antérieure interne, provient de la pyramide antérieure et subit la dégénérescence des- cendante. Le faisceau pyramidal croisé (F
térieure, résultant de la décussation des pyramides et subissant la dégénérescence descendante. La zone marginale externe ou faisc
jusqu'à l'extrémité antérieure du faisceau de Tùrck; il subit la dégénérescence ascendante. La partie fonda- mentale du faiscea
- a.) . Transition de la région dorsale à la région cervicale. La dégénérescence persiste avec les mêmes caractères dans les cor
pas de lésio-ns dans les espaces portes. Les reins offrent de la dégénérescence granulo-graisseuse de l'épilhélium des tubes co
paissie, les cor- dons postérieurs de la moelle sont atteints d'une dégénérescence facile à constater à l'oeil nu et qui est plus
sont manifestement amincis et aplatis. Dans le bulbe rachidien, la dégénérescence s'élend très peu aux corps restiformes des deux
éraux altérés en grande partie. Racines postérieures atrophiées. La dégénérescence se propage un peu dans la moelle allongée. Au
Schültze. Néphrite interstitielle chronique. Du côté de la moelle : dégénérescence grise des cordons postérieurs et de la partie pos
ment de la pie-mère. Dans les pyramides du bulbe, pas de foyer de dégénérescence : il semble seulement que le tissu conjonctif s'y
e les lésions caractéristiques de la lièvre typhoïde, il existe une dégénérescence fibreuse des fibres cardiaques. Examen des ce
postérieurs de la moelle dorsale et lombaire. Entre les foyers de dégénérescence des curJOJ1S latéraux et les DE LA MALADIE DE F
rie médullaire pos- térieure. Les parties malades sont atteintes de dégénérescence fibrillaire telle que dans la sclérose de la mo
s pyramides jusqu'à la pointe du calamus scriplorius, on observe la dégénérescence des cordons postérieurs. Les cellules ganglionn
u'à sa partie inférieure où leur présence est excep- tionnelle. Une dégénérescence peu marquée se voit dans le fasciculus czcracu6
e bande limitant la corne postérieure et les racines a échappé à la dégénérescence ; cette bande est plus définie à la partie supér
t le long de la commissure antérieure. - Dans certaines coupes, a dégénérescence des colonnes de Clarke. Dégénérescence de quel-
. - Dans certaines coupes, a dégénérescence des colonnes de Clarke. Dégénérescence de quel- ques fibres des racines nerveuses post
etite que d'ha- bitude, ce qui pourrait expliquer la rapidité de sa dégénérescence . Le cerveau, le pont de Varole, le bulbe et les
issement des cordons postérieurs. Ce qui frappe surtout, c'est la dégénérescence du cordon de Goll, plus marquée dans la périphé
atiques est intacte. Dans les cordons latéraux on constate aussi la dégénérescence quoique à un degré moindre que dans les cordons
ns latéraux sont intacts. Dans la moelle cervicale antérieure, la dégénérescence des cor- dons postérieurs est surtout augmentée
parition des éléments anatomiques de Clarke atteint son maximum. La dégénérescence des cordons postérieurs diminue un peu. Les rac
urtout la zone marginale des cornes postérieures paraît normale. La dégénérescence des cordons postérieurs di- minue surtout dans
latéraux aussi bien que dans la substance grise on ne voit plus de dégénérescence . La surface de section de la région cervicale est
s à peu près identiques a ceux du cas précédent. Le maximum de la dégénérescence est toujours dans le cordon de Goll. Après ceux-c
de substance blanche conservé le long des cornes postérieures. La dégénérescence des cordons latéraux est plus prononcée dans la
paissie, et cet épaississement n'est pas plus grand au niveau où la dégénérescence est à son maxi- mum. Pas d'ectasie des vaisseau
t à son maxi- mum. Pas d'ectasie des vaisseaux de la pie-mère. La dégénérescence dans les deux cas de Hutimcyer était iden- tiqu
rendre compte sur la figure (jig. 38) qui représente une lésion de dégénérescence ascendante. Toutefois, dans la région cervicale
. La lésion évolue en effet conformément à des lois, celles de la dégénérescence , et c'est pourquoi les quatre observations les
exceptionnel de rencontrer dans les cas de scléroses combinées une dégénérescence aussi typique du faisceau pyramidal. Il exist
ion d'origine héréditaire, dont la tendance est de prédisposer à la dégénérescence des tubes ner- veux de la moelle épinière par l
aire. C'est pour cela que la sclérose évolue d'après les lois de la dégénérescence , ce qui lui donne son caractère de systématisat
permet de reconnaître que les cordons postérieurs sont atteints de dégénérescence grise, dans leur portion médiane. Les méninges
La moitié interne des cordons de Burdach est également atteinte de dégénérescence ; à la périphérie, on trouve un champ peu étendu
Au niveau de la partie supérieure du renflement lombaire (g. z1) la dégénérescence des cordons de Goll se présente sous la forme d
stater une raréfaction manifeste, des fibres nerveuses. Le foyer de dégénérescence dans les cordons laté- raux apparaît encore trè
oelle a présenté une dégénéres- cence des faisceaux de Goll, et une dégénérescence des parties internes des faisceaux de Burdach q
eaux de Burdach qui a été en diminuant de haut en bas. Quant à la dégénérescence des cordons latéraux, limitée dans la partie su
une zone intacte, située au voisi- nage des cornes postérieures. La dégénérescence était la moins prononcée dans la région lombair
ne bande mince de tissu normal. Dans le cas d'Erliky et Rybaliu' la dégénérescence des cordons latéraux était limitée aux faisceau
384 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. un peu plus étendue que dans le cas de dégénérescence secondaire descendante. ' Comme on le voit pa
ment dans les observations, c'est la forme et la distribution de la dégénérescence des cordons laté- raux telle que nous l'avons n
l'avons nous-même observée. A la partie supérieure de la moelle, la dégénérescence entreprend une zone étroite correspondant génér
plus en avant; à un niveau inférieur, vers la région dorsale, la dégénérescence gagne l'intérieur des cor- dons latéraux, affec
d'abord résoudre la question de savoir si nous avons affaire à une dégénérescence primitive ou à une dégé- nérescence secondaire.
gique que nous avons tracé ne correspond aucunement à celui de la dégénérescence secondaire. Nous sommes donc en présence d'une
t à fait indépendante. Ainsi, dans l'observation de Jàderholm b, la dégénérescence n'attei- 1 Arc/du sur Psychiatrie, t. IX, p. 11
direction de la bandelette que nous avons trouvée préservée de la dégénérescence . Peut-être serait-il permis de les identifier e
au de la région cervicale supérieure, il nous reste à signaler la dégénérescence des cordons latéraux : elle porte sur une parti
mêmes caractères sur une certaine étendue de la moelle. Or, si la dégénérescence des cordons de Goll se rencontre sur toute la h
le va en dimi- nuant progressivement de haut en bas. - Quant à la dégénérescence des faisceaux cérébel- leux, elle se présente s
au foyer que l'on rencontre dans les cor- ' dons latéraux au cas de dégénérescence secondaire descendante. Nous ne trouvons donc
folie systématique primitive (primoere verriickthcit) comprend les dégénérescences mentales ; elle s'an- nexe à la folie raisonnan
7 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
r dans la coexis- tence presque régulière- de stigmates profonds de dégénérescence et dans la propriété de se transmettre par l'hé
ogénie de l'achondroplasie s'identifierait avec la pathogénie de la dégénérescence et on sait à, combien de dissensions et d'hypot
es. Il n'y xxm 4 50 FLATAU avait ni foyers inflammatoires, ni dégénérescence secondaire dans aucnn seg- ment. Les coupes col
cordons antéro-latéraux. La fibre myélinique porte le caractère de dégénérescence (ir- régulière : amincissement et gonflement).
e. Les cordons an- téro-latéraux sont également lésés, on y voit la dégénérescence des fibres dif- fuses et des foyers de sclérose
re des cornes postérieures. Dans les cordons latéraux : on voit une dégénérescence notable sur la périphérie du cordon droit et bien
considérons dans les cordons posté- térieurs et latéraux comme une dégénérescence secondaire en partie au moins. Plus bas on cons
des enfoncements plus ou moins profonds de sa périphérie. En outre, dégénérescence descendante dans les deux faisceaux pyramidaux la
x faisceaux pyramidaux latéraux et antérieurs (fig. 3), mais pas de dégénérescence dans les cordons postérieurs. A côté de ces lés
dégénérescence dans les cordons postérieurs. A côté de ces lésions ( dégénérescence descendante) on voit sur les différentes coupes
des compressions exercées par les ostéomes à différents niveaux. La dégénérescence secondaire des voies pyramidales croisées se po
les cellules des cornes antérieures plus ou moins dégénérées. Cette dégénérescence consiste en ce qu'elles sont plus petites, rond
cas il y a des atrophies musculaires localisées sans réac- tion de dégénérescence (par exemple la région fessière d'un côté, les mu
es trophiques de la peau et le zona parlent en faveur du cancer. La dégénérescence des tumeurs de même que la formation des abcès
os et des XXIII (j 82 FLATAU vertèbres, on constata une récente dégénérescence nécrotique de toute la coupe transversale de la
raître des lésions considérables à l'endroit de com- pression et de dégénérescence secondaire. Ces lésions sont analogues à celles
suffitde la re- garder un instant pour saisir tous les stigmates de dégénérescence qui sont empreints sur son visage. Son front
térieur qui est altéré qualitative- ment avec réaction partielle de dégénérescence et très peu excitable avec le courant faradique
ue à ceux que j'ai relatés ici. Il s'agit d'un syndrome familial de dégénérescence qui s'im- pose par sa gravité et par sa' diffus
taire, comme la plupart des maladies familiales, a donc produit une dégénérescence nerveuse sys- tématique. On ne peut même invoqu
invoquer dans mes cas la cause de l'usure fonctionnelle, puisque la dégénérescence nerveuse a commencé chez elles à un âge de la v
familiale doit entrer avant tout dans le grand cadre primaire de la dégénérescence , et ensuite peut être rangée dans un sous-ordre
es par les nombreux anneaux qui conslilctenl la lourde chaîne de la dégénérescence . MAISON NATIONALE DE CITA RENON TRAUMATISME C
isation (fig. 5). Les limites du foyer ne sont pas très nettes. Une dégénérescence du tissu nerveux ressort au premier plan. Larges
archi on voit que la région correspondant à la tumeurprésente une dégénérescence diffuse des cordons pos- térieurs (plus notable
dons postérieurs et dans les voies pyramidales latérales. A gauche, dégénérescence notable de la zone radiculaire (depuis les IIe
i' segments lombaires). Dans le ne segment lombaire on constate une dégénérescence du champ ovale de rlecUsig,de la zone radiculaire
nce du champ ovale de rlecUsig,de la zone radiculaire gauche et une dégénérescence moins prononcée de la racine postérieure gauche.
moitié postérieure du cordon latéral droit, et caractérisé par une dégénérescence accentuée du tissu nerveux ; 2° le long de tout
tumeur. Enfin comme résultat de ces lésions on constata de faibles dégénérescences secondaires ascendantes et descendantes (color.
us de ces*segments cer- vicaux,il n'y a de foyers de lésion; pas de dégénérescences secondaires non plus. RÉSUMÉ, - Dans ce cas il
zone corticale, raies jaunâtres et rouges (dilata- tion vasculaire, dégénérescence graisseuse). La vessie urinaire est dilatée, sa
he du centre le nombre des fibres dégénérées diminue. Nulle part de dégénérescence secon- daire. Dans les cloisons élargies de la
RTÉBRALE 159 Au premier abord on pourrait penser qu'il s'agit d'une dégénérescence se- condaire des voies pyramidales croisées. De
aperçoit qu'on a affaire à un autre type de lésion, ce n'est pas la dégénérescence secondaire, mais des foyers qui sont localisés
de la méninge. Les racines en dehors de la dure-mère présentent une dégénérescence évidente (elles passent à travers la dure-mère).
ire jusqu'aux derniers sacrés on ne constate plus de foyers. Pas de dégénérescences secon- daires. D'autres méthodes de coloratio
gon- flés ; les autres doivent être considérées comme le produit de dégénérescence de toute la fibre nerveuse. Il est exceptionnel
lui qu'on rencontre au cours du processus aigu d'inflammation ou de dégénérescence . La coloration du Nissl montre les cellules ner
se, etc. Ces foyers dans certaines coupes faisaient l'impression de dégénérescences secondaires. Mais l'examen minutieux de ces foyer
on réactionnelle de la névroglie. Toute la lésion consistait en une dégénérescence du tissu ner- 164 FLATAU veux lui-même. En ou
elle ne fait pas disparaître les cylindraxes et ne provoque pas de dégénérescence secondaire. Observation XIII. La malade Paw
eur dégé- nérescence myélinique à laquelle faisait suite une légère dégénérescence secondaire du faisceau gauche de Burdach dans l
ésées rappelaient tout à fait celles qu'on rencontre au cours de la dégénérescence rétrograde. Cette lésion naît dans les cellules
e les cellules nerveuses de la corne gauche antérieure ont subi une dégénérescence . Si au contraire nous voulons admettre l'action
leur apparition, mais bien d'autres causes capables de produire la dégénérescence primitive du tissu sans phénomènes inflammatoir
et d'autres) ; des myélomes (Rus- titzky) ; des neurofibromes avec dégénérescence sarcomateuse (Banse), des fibromes (Boerner Zin
ntre des lésions en foyers et des lésions diffuses. Les foyers de dégénérescence apparaissent dans la moelle au niveau des masse
dans les cordons latéraux et' postérieurs et alors ils simulent la dégénérescence secondaire. Avec de forts grossisse- ments on c
lles dégénèrent et alors nous voyons des tableaux correspondant aux dégénérescences « radiculaires » secondaires dans les cordons p
ignes de lésions qui dépendent des lésions des racines antérieures ( dégénérescence traumatique ascendante). A côté de ces lésion
peuvent naître en partie sous la dépendance des lésions précitées ( dégénérescence secondaire), en partie spontanées (par intoxica
, en partie spontanées (par intoxication ou par compression). Les dégénérescences secondaires sont absentes dans la majorité de nos
on sont peu nocives. Pourtant dans quelques cas on notait de vraies dégénérescences secondaires ascendantes et descendantes. Nous vou
l'endroit comprimé, tandis que dans la moelle lombaire on voyaitdes dégénérescences secondaires considérables. Kollarils mentionne
RS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 181 A côté des dégénérescences secondaires on voit souvent des lésions vascula
voyons aussi' dans les segments éloignés des endroits comprimés des dégénérescences dans la zone radiculaire des cordons postérieurs
éoplasiques exercent une action nocive ; elles peuvent accentuer la dégénérescence du tissu là où les Iroubles circulatoires prépa
ions marquées des cellules ganglionnaires, du tissu interstitiel et dégénérescence des vaisseaux. IV. Démence sénile. Homme de 70
s ne de- viennent pas timides. . Peut-on attendre davantage de la dégénérescence héréditaire ? Evidem- ment, elle intervient, ma
bon d'ajouter : somatiquement. Ce n'est pas ici le cas de parler de dégénérescence psychique, car chez eux, le crétinisme, l'imbé-
rachidienne à angle droit. Femme de 72 ans. A. Moelle dorsale, sans dégénérescence ascendante ni sclérose. B. Moelle sacrée sans d
, sans dégénérescence ascendante ni sclérose. B. Moelle sacrée sans dégénérescence descendante. C. D. Corps vertébral effondré. Os
thode de Marchi démontrent dans les segments dorsaux supérieurs une dégénérescence secondaire peu accentuée des cordons postérieur
s cordons postérieurs des (faisceaux de Goll principalement) et une dégénérescence dif- fuse des zones périphériques des cordons a
-dessous de la tumeur,dans la moelle lombo-sacrée existe une légère dégénérescence secondaire des voies pyramidales croisées. Les
aire des voies pyramidales croisées. Les masses produites par cette dégénérescence sont fraîches. En outre sur les mêmes coupes on
les mailles vides, etc. Les coupes au Marchi démontrent une légére dégénérescence secondaire récente surtout dans les cordons pos
nérescence secondaire récente surtout dans les cordons postérieurs ( dégénérescence ascendante) et dans les faisceaux' pyramidaux l
énérescence ascendante) et dans les faisceaux' pyramidaux latéraux ( dégénérescence descendante). Ces lésions se sont formées proba
ression bien sûr). Dans les cordons antéro-latéraux on trouve de la dégénérescence et une déformation notable. La moitié de la moe
t de la moitié gauche de la moelle (fig. 17) où se trouve aussi une dégénérescence accentuée du cordon latéral et antérieur, un pe
on latéral gauche, surtout au sein du faisceau pyrami- dal latéral ( dégénérescence secondaire). En descendant le long de la moelle
ière sa forme habituelle. En descendant, on pouvait consta- ter une dégénérescence secondaire peu prononcée de la voie pyramidale
es nerveuses sont des deux côtés diminuées en nombre et à l'état de dégénérescence ). Les cordons anté- rieur et latéral sont très
la déviation de l'axe sagittal des cordons postérieurs.-Une légère dégénérescence des cordons postérieurs le long de la cloison l
oute la moelle dorsale, lombaire et sacrée. Dans cette dernière, la dégénérescence du faisceau pyramidal gauche est nota- blement
sembla- bles. La méthode de Marchi a démontré un faible degré de dégénérescence secon- daire ascendante et descendante. En asce
es régions plus éloi- gnées des voies longues ? ). En outre, légère dégénérescence a la périphérie du cordon latéral gauche. En de
nce a la périphérie du cordon latéral gauche. En descendant, légère dégénérescence secondaire Fig. 21 · 336 Ô FLATAU t des f
a que de faibles traces de ces lésions profondes. Il y a une légère dégénérescence secondaire ascendante et descendante presque ex
ornes antér;eures est relativement la mieux conservée. A côté de la dégénérescence on voit lans la substance blanche des raies cla
e, adhérente à la tumeur. D'autres racines présentent également une dégénérescence , mais à un moindre degré (à gauche, elles sont
au latéral gauche. Toute la périphérie de la moelle est ondulée. La dégénérescence vue sur la coupe est encore plus marquée. Dans
postérieurs sont les plus touches. [Le latéral gauche démontre une dégénérescence évi- dente, le droit à peine visible. La racine
-mère. 9. Racine postérieure (dégénérée). 10. Dure-mère. FIG. 26. - Dégénérescence des cordons postérieurs et une faible dégénéresce
re. FIG. 26. - Dégénérescence des cordons postérieurs et une faible dégénérescence de la voie cérébelleuse gauche. xx III 23 3
x entièrement remplis de sang. Dans la partie proximale on voit une dégénérescence secondaire dans les cordons postérieurs (surtou
périphériques du cordon latéral gauche. Dans la moelle cervicale la dégénérescence se limite à la partie postérieure du faisceau c
lig. 26). Dans la direction distale (depuis la tumeur), on voit une dégénérescence secondaire des voies pyramidales croisées. Ce
e dégénérescence secondaire des voies pyramidales croisées. Cette dégénérescence est moins prononcée que l'asceudante des cordons
euses, le tableau correspond à ceux que nous rencon- trons dans les dégénérescences secondaires chroniques. En descendant on voit u
gauche de même qu'un affaiblissement de la jambe gauche. FiG. 27. Dégénérescence des voies pyramidales latérales. (Cette figure
ans le latéral gauche. A côté de cela on a constaté dans ce cas une dégénérescence secondaire bien accentuée, l'ascendante plus ma
ccentuée, l'ascendante plus marquée encore que la des- cendante. La dégénérescence ascendante frappe les cordons postérieurs (surt
grand nombre d'alvéo- les vides, larges ; masses rondes, produit de dégénérescence des fibres ner- veuses ; vaisseaux dilatés remp
petites masses noires peu nombreuses. On remarque aussi une légère dégénérescence dans la zone radiculaire de deux cordons postérie
istinctes dans la région des cordons latéraux. Bien évidente est la dégénérescence des zones radiculaires dans les deux cordons po
2. Petit foyer nécrotique. 3. Continuation du foyer alvéolaire. 4. Dégénérescence de la zone radiculaire gauche. 3, 6. Foyer nécr
1. Foyer dans le cordon latéral droit. 352 , ' . 1. ' FLATAU la dégénérescence se déplace vers la ligne médiane, vers les faisce
lésion ni dans la moelle dor- sale, ni dans la lombo-sacrée. Pas de dégénérescences secondaires dans la moelle dorsale. Dans la moe
aible dégéné- rescence dans les deux faisceaux pyramidaux latéraux ( dégénérescence des segments plus éloignés de la voie pyramidal
écrobiotiques dans le cordon latéral droit. A part cela, une faible dégénérescence des zones radiculaires dans les cordons postérieu
es radiculaires dans les cordons postérieurs. En sens ascendant, la dégénérescence se déplaçait vers la cloison paramé- diane. La
En descendant dans la moelle dorsale, on ne constatait ni foyers ni dégénérescence secondaire. Dans la moelle lombo-sacrée pour- t
ndaire. Dans la moelle lombo-sacrée pour- tant se voyait une faible dégénérescence des faisceaux pyramidaux laté- raux. Méninges
e lésion n'était pas bien profonde puisqu'elle n'a pas engendré une dégénérescence secondaire ascendante (une légère dé- généresce
rait un fait paradoxal : dans la partie dorsale il n'y avait pas de dégénérescence secondaire, tandis que la lombo-sacrée en prése
mbo-sacrée en présentait dans les faisceaux pyramidaux latéraux (la dégénérescence des parties de la voie pyramidale les plus éloign
grise (le réseau des fibres myélinique moins dense). Nulle part de dégénérescences secondaires. Les cloisons sont épaissies, surto
e en coin dans la moelle (à la périphérie du cordon latéral droit). Dégénérescences peu profon- des à la périphérie des cordons ant
peu profon- des à la périphérie des cordons antéro-latéraux. Légère dégénérescence des parties antérieures des cordons postérieurs
de la coupe on trouve quelques foyers petits et irréguliers. Pas de dégénérescences secondaires. TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET D
profond enfoncement. Les racines sont en partie dégénérées. Pas de dégénérescences secondaires ni de coins pénétrant dans profonde
s spécifiques ; névro- glie périphérique hypertrophiée ; absence de dégénérescence secondaire et de foyers périphériques sous form
, Char- (1) KOJKWNIKOFF, Cas de sclérose latérale amyotrophique, la dégénérescence des faisceaux pyramidaux se propageant à traver
5. W. G. Spiller. Un cas de sclérose latérale amyotrophique avec la dégénérescence accusée depuis l'écorce cérébrale jusqu'aux mus
ge de grandes lésions allant jusqu'à l'achromatose complète et à la dégénérescence pigmentaire. 2° Eftichie A... Notes cliniques.
tes, quelques- unes, sont encore normales, d'autres sont en voie de dégénérescence pig- mentaire. Dans la partie postérieure du lo
Examen microscopique. Avec la méthode de Weigert-Pal on constate la dégénérescence du faisceau pyramidal correspondant. Dans la fron
nce, du bulbe et de la moelle, coloriés au Weigert-Pal, montrent la dégénérescence complète du faisceau pyramidal. Sur des coupes
voit encore une cellule de Betz, atrophiée, déformée, présentant la dégénérescence pigmentaire. 9° Gh. 1... Notes cliniques. -48 a
Examen microscopique. Par la méthode de Weigert-Pal on constate la dégénérescence complète du faisceau pyramidal et sur des coupes
l'avant-mur. -' Examen microsco- pique. Au Weigert-Pal on voit une dégénérescence très accusée du faisceau pyramidal. Au Nissl on
est intact. Examen microscopique. - Au Weigert-Pal on constate une dégénérescence accusée du faiseau pyramidal droit et une dégén
nstate une dégénérescence accusée du faiseau pyramidal droit et une dégénérescence moins prononcée de celui du côté gauche. Des co
Examen microscopique. Par la méthode Weigert Pal on voit une double dégénérescence des faisceaux pyramidaux croisés et directs. Avec
de cellules de Betz normales, des cellules atrophiées présentant la dégénérescence pigmentaire. On fait la même constatation dans le
upes du bulbe et de la moelle colo- rées au Weigert-Pal on voit une dégénérescence manifeste des deux faisceaux pyramidaux, celle
e. Avec la méthode de Weigert-Pal on voit dans la moelle une légère dégénérescence des faisceaux pyramidaux, plus manifeste à droi
x pyramidaux, plus manifeste à droite. On voit également une légère dégénérescence des cordons postérieurs. Avec Nissl on constate
moins à gauche. Examen microscopique. -Avec Weigert-Pal on voit la dégénérescence des faisceaux pyramidaux au-dessous de la compr
escence des faisceaux pyramidaux au-dessous de la compression et la dégénérescence ascen- dante des cordons postérieurs, du faisce
s, des atrophies muscu- laires (même accompagnées d'une réaction de dégénérescence du muscle releveur de l'anus, Oppenheim), des t
s atrophies musculaires peu prononcées, l'absence de la réaction de dégénérescence (Warrington). D'après l'opinion de Bruns, pour
flammation des mé- (1) Ce cas fut décrit'par le Dr IIandelsman, Des dégénérescences dans la moelle cau- sées par la compression de
u de la tumeur ; 2° les foyers en dehors de la compression; .3° les dégénérescences secondaires ascendantes et descendantes. Quant
etc. Nous n'avons pas constaté de cavernes pareilles. ' Enfin les dégénérescences secondaires frappent par leur développement min
ctéristique ; là, malgré une énorme déforma- tion de, la moelle, la dégénérescence descendante fut assez faible dans la voie pyram
u tout. : \Gowers également attire l'attention sur le fait que la dégénérescence secondaire est souvent plus faible qu'on ne pou
tumeur dans la région cervicale inférieure) on pouvait constater la dégénérescence ascendante au niveau du Ile segment cervical, t
ervicale inférieure et dorsale supérieure) on pouvait constater une dégénérescence descendante dans les cordons TUMEURS DE LA MOEL
éléments délicats comme sont les cellules nerveuses et l'absence de dégénérescences secondaires. En effet, même au niveau du maximu
eur, les cellules nerveuses ne disparaissent pas complètement et la dégénérescence secondaire n'existe pas du tout ou n'est que très
l'opération ? Nous croyons qu'en tout cas la constatation de cette dégénérescence par la méthode de Marchi n'est pas suffisante p
archi n'est pas suffisante pour répondre par la négative. Quant aux dégénérescences plus anciennes décelées par la méthode de Weige
staient à l'endroit comprimé où la mé- thode Weigert démontrait une dégénérescence . .D'un autre côté il faut se rappeler le fait s
nerveuses de la circonvolu- tion antérieure de la môme formation ; dégénérescence , et, en partie, des- truction de la portion dor
ale ici, et dont nous devons nous occuper séparément, à savoir : la dégénérescence des fibres médullaires du 1/3 dorsal antérieur
us temporalis ]J/'ojulldus. 500 M1NGAZZINI Il y avait d'abord une dégénérescence limitée des libres endo-corti- cales du tiers a
de sectionner le corps calleux en divers endroits, et d'observer la dégénérescence consécutive. Dans la première observation, la s
vée légèrement atteinte. A l'exa- men histologique, on constata une dégénérescence très nette du faisceau longitudinal sous-jacent
' AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 50M Après les lésions de l'écorce, la dégénérescence ne s'observe' que dans l'hémisphère du côté cor
suite de lésions corti- cales, le corps calleux ne présente qu'une dégénérescence partielle dont l'intensité est directement prop
ires sont très bien colorés par l'acide osmique, il n'existe pas de dégénérescence (PI. LXIV, D. F). Il en est d'ailleurs de même
nclusions. De l'intégrité des courts nerfs ciliaires, comparée à la dégénérescence si marquée de la IIIe paire, on est en droit de d
paire, sinon ils seraient dégénérés. De même, si on rapproche la dégénérescence très marquée de la racine motrice du trijumeau
n ophtalmique, mais la principale altéra- tion consisterait dans la dégénérescence chromatolytique de la plupart des cellules, les
ervi- cales (racines correspondant à la névrite ascendante) que les dégénérescences prennent une plus grande extension. L'examen de
gyll-Robertson peut exister au cours du tabes, sans qu'il existe de dégénérescence dans les courts nerfs ciliaires, dans le gangli
osseuses. Une des expressions cliniques, peut-on supposer, de la « dégénérescence atavique » est la dystrophie du cartilage }J1'i1J
atteints par l'inflam- mation, leur paroi est infiltrée, frappée de dégénérescence hyaline on de processus oblitérants. Nouvelle
. t. Anévrisme de l'aorte, homme de 45 al1. Artérite oblitér.\I1te, dégénérescence hyaline i. Paralyym généial de 4> ans ; gomm
u médian de la couche optique et a probablement déterminé la légère dégénérescence que l'on observe dans la partie correspondante
ci et le pied du pédoncule cérébral, qui expli- quent sans doute la dégénérescence partielle de la fimbria et de l'alvéus. Le cing
e l'épendyme voisin. Ces mêmes lésions expliquent pro- bablement la dégénérescence très intense du segment correspondant de la cou
one s'unissent pour former le corps de celui-ci, lequel, à part une dégénérescence diffuse, pré- sente près de sa partie moyenne u
e mériter. D'abord,' la section du corps calleux a été suivie d'une dégénérescence partielle du tapétum que l'auteur admet. En sec
corps calleux. En pareille circonstance,que peut- on constater ? La dégénérescence wallérienne tout simplement. Seul, le segment d
a nature calleuse du tapétum, on ne peut s'at- tendre à observer la dégénérescence totale de celui-ci à la suite d'une sec- 658
RCHAMBAULT tion expérimentale du corps calleux. Pour observer cette dégénérescence totale, il faudrait attendre qu'à la dégénéresc
observer cette dégénérescence totale, il faudrait attendre qu'à la dégénérescence wallérienne vînt s'ajou- ter la dégénérescence
ait attendre qu'à la dégénérescence wallérienne vînt s'ajou- ter la dégénérescence rétrograde, ce qui demanderait un bon nombre d'an
e sclé- reuse de la partie moyenne du corps calleux ; il existe une dégénérescence considérable du tapétum lemporo-occipital. Nous
st grandement dégénérée, et que la topographie et l'intensité de sa dégénérescence con- cordent absolument avec l'étendue et le de
e circonvolution limbique. Nous avions déjà démontré à l'aide de la dégénérescence secondaire que l'élément prépondérant de cette co
94 CHEVALLIER ANOMALIES DES ORTEILS y1 PROPOS DES STIGMATES DE LA DÉGÉNÉRESCENCE ), PAR It M. V. V. SELETSKI (de Kiew). Les
PAR It M. V. V. SELETSKI (de Kiew). Les signes physiques de la dégénérescence peuvent être considérés comme ayant élé étudiés
TTÉRATURE MÉDICALE 1. Vaschide et VURPAS. - Les signes physiques de dégénérescence . Annali di Nevro- , logia, 1903, p. 31. 2. C
8 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Lissauer où l'on ne distingue que de très rares fibres éparses; la dégénérescence gagne le cordon postérieur vers la zone cornu-r
êmes, quelques-unes sont atrophiées, quelques autres présentent une dégénérescence granuleuse marquée. Le canal de l'épendyme est
de majorité dont la plupart sont saines et quelques-unes en voie de dégénérescence . Méninges. Vaisseaux. La pie-mère est notableme
ésions apparaissent avec toute leur importance si on leur oppose la dégénérescence très marquée, presque totale d'un champ qui cor
uche; c'est simplement une question de degré. Tels sont les faits : dégénérescence diffuse des cordons pos- térieurs atteignant à
t laissé intactes les racines, aurait pro- voqué en premier lieu la dégénérescence des cordons de Goll et, de proche en proche, ce
ertains points des racines antérieures viennent concorder avec la dégénérescence de certaines des cellules de la corne grise. Es
axes sains. Quelques-unes enfin ontsans nul doute subi un mode de dégénérescence spécial sur lequel nous allons revenir. La disp
, les prolongements cylindreaxiles ou pro- toplasmiques ont subi la dégénérescence Wallérienne, et comme le processus morbide frap
té proposé et mis clairement en relief par Klippel 1. Il s'agit des dégénérescences combinées des neu- rones d'une même chaîne, c'e
scences combinées des neu- rones d'une même chaîne, c'est-à-dire la dégénérescence par contact ou par transmission de neurone à ne
centraux- qu'il s'agisse de l'encéphale ou de la moelle le mode de dégénérescence invoqué pour les fibres exogènes est le seul qu
ibuer un idle important l'hérédité, la base de la maladie étant une dégénérescence , qui à vrai dire peut aussi s'acquérir. Comme
sivement piràtli3,roïdieiiiie ; si cette lésion n'entraînait pas la dégénérescence totale de l'épilliélium paralhyroïdien, elle ne
u'elle délimite exactement sa topo- graphie. Dans les zones où la dégénérescence est peu marquée, on observe seulement un défaut
s l'intoxication expérimentale par le phosphore, Guerrieri note une dégénérescence des faisceaux pyramidaux, s'étendant jusqu'à la
s faisceaux pyramidaux, s'étendant jusqu'à la région cervicale, une dégénérescence des cordons de Goll et de Burdach, laquelle dim
u contraire, dégénèrent. Par ordre de fréquence et d'intensité , la dégénérescence frappe les fibres radiculaires moyennes, les fi
AITS. GUÉRISON D'UN DÉLIRE CHRONIQUE SYSTÉMATISÉ, NON LIÉ A DE LA DÉGÉNÉRESCENCE ; Par le D' Alexandre PARIS Médecin en chef de
tématisé de persécution et de grandeur. Pas de signes antérieurs de dégénérescence . Fièvre typhoïde suivie de guérison de la malad
en conclus que le délire systématisé chronique, non associé à de la dégénérescence mentale, n'est actuellement incurable que parce
s chargés. Le père et la mère présentent de nom- breux stigmates de dégénérescence et leurs sentiments affec- tifs sont tels qu'il
. Les diverses réactions décrites depuis trente ans (réactions de dégénérescence , myotonique, de compression, de diatbèse de con-
os ganglions, avec localisation principale autour du canal central. Dégénérescence des racines postérieures et des 116 REVUE DE
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. cordons postérieurs de la moelle : 1° La dégénérescence des racines postérieures sur toute la hauteur d
demi de durée, entraîna la mort par l'atteinte du pneumogastrique. Dégénérescence de tout le sys- tème moteur et surtout des syst
les lésions irrégulières que l'on peut observer çà et là, telle la dégénérescence du ruban de Reil, du faisceau de Gowers et même
s se présente comme suit : 1° déchéance du neurone cortical moteur; dégénérescence du faisceau pyramidal - jusqu'à sa terminaison.
nt qu'il peut expli- quer la lésion des voies motrices voisines, la dégénérescence des pyramides; celle-ci, contrairement à ce que
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 133 maladie d'Addison. On trouva une dégénérescence des racines antérieures de la moelle, des nerfs
transversales, hypergénèse du tissu conjonctif interstitiel) ; une dégénérescence de la capsule surrénale gauche. Dans l'hémiatro
sensibililé, mais l'observation montre qu'il a dû y en avoir, la dégénérescence les a fait disparaître. L'auteur établit le diagn
éminemment dégénératives, et la syphilis est un puissant facteur de dégénérescence ; c'est elle qui met en action cette dégénéresc
sant facteur de dégénérescence ; c'est elle qui met en action cette dégénérescence latente chez les prédisposés. Mais comment cett
que, on ne constate ni atrophie, ni REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 143 dégénérescence , ni névrite, et cependant ils résistent à tout tr
énomes muqueux, colloïdes, fibreux et cystiques ou caverneux, et en dégénérescences parenchymateuses ou intrafolliculaires, catarrh
les phénomènes basedowiens. La sympalhicotoiiiie s'accompagnant de dégénérescences au loin, il faut être très prudent dans les ext
brées; beaucoup de fibres conjonctives présentent des indices d'une dégénérescence hyaline; tout ce tissu est excessive- ment rich
ire inférieure, sauf que les fibres conjonctives y eussent subi une dégénérescence hyaline. Les deux cavités ne sont point revêtue
epuis bien longtemps, c'est la détermination de la prédominance des dégénérescences mentales chez un très grand nombre de criminels
s cette émotivité poussée à l'extrême n'est-elle pas le signe d'une dégénérescence manifeste ? Faut-il être étonné si le malade vien
t une fois de plus les rapports de la paralysie générale et de la dégénérescence mentale. Il s'agit d'un malade traité pendant plu
miné la syphilis, l'alcool, les excès véné- riens, il s'arrête à la dégénérescence mentale présentée par le sujet à un si haut deg
ssant qu'il existe d'autres cas de ce genre, croit cependant que la dégénérescence n'a qu'une influence secondaire dans l'étiologi
RISSAUD (de Paris). - On admet depuis les travaux de Charcot que la dégénérescence secondaire des faisceaux pyrami- daux, qu'elle
flaccide avec abolition des réflexes, dans lesquels il existait une dégénérescence secondaire des fais- ceaux pyramidaux. Ces aute
ot, d'après laquelle il y aurait une corrélation constante entre la dégénérescence des cordons latéraux de la moelle et la paralys
ose équivalait à unevéritable section de la moelle, au-des- sus, la dégénérescence des cordons de Goll, des faisceaux cérébel- leu
faisceaux de Gowers se prolongeait jusqu'au bulbe; au- dessous, la dégénérescence des faisceaux pyramidaux se poursuivait. Si nou
ions de la moelle épinière susceptibles de donner naissance à une dégénérescence secondaire, se sont empressés de contester le bie
peut constater de la débilité men- tale, des stigmates physiques de dégénérescence , des stigmates permanents d'hystérie, des cicat
Tous, sans exception, relevaient manifes- tement soit d'un état de dégénérescence mentale, soit surtout de l'in- toxication alcoo
passion peut produire un délire transi- toire même en dehors de la dégénérescence mentale ou héréditaire de l'épilepsie, des into
anifeste, il est tout au moins possible qu'elles puissent créer des dégénérescences cellulaires dans les tuniques artérielles. On peu
' Nous en dirons autant des affections qui ont pour substratum la dégénérescence primitive des téléneurones sensibles (tabes vul-
tabilité, n'offrant pas les caractères classiques de la réaction de dégénérescence (secous- ses tétaniques avec prédominence de l'
- lysie faciale double. L'examen électrique montra la réaction de dégénérescence complète à gauche, réactions normales à droite.
uteur rapporte à la sclérose artérielle des centres nerveux et à la dégénérescence du muscle cardiaque (cardio-bulbar sclerosis).
rachidienne et de les considérer comme des stigmates importants de dégénérescence . R. C. V. Note sur l'asymétrie cranio-faciale d
x qui l'entoure. Sur des coupes de la moelle, on n'ob- serve aucune dégénérescence secondaire des faisceaux blancs. L'examen de la
peu atteinte, tandis que celle de droite est très fortement prise. Dégénérescence systématique incertaine très faible, dans les d
ble lésion du genou du facial, de ses racines extra-médul- laires ; dégénérescence du faisceau descendant de la cinquième paire et
a- nuleuse, du radial, du cubital, du médian, du pneumogastrique. Dégénérescence totale des deux récurrents. Les fibres musculaire
striation transver- sale ; multiplication des noyaux; surcharge et dégénérescence graisseuses. En somme, lésions systématiques
; c'est cette paresse de la contraction qui permet de conclure à la dégénérescence des nerfs et des muscles (Remak). Les treize va
ative faradique). Mais on en est resté à la division empirique de : dégénérescence très grave caractérisée par une réaction dégéné
ce très grave caractérisée par une réaction dégénérative complète - dégénérescence très légère, à réaction dégénérative partielle
e - dégénérescence très légère, à réaction dégénérative partielle - dégénérescence moyenne, à réaction dégénérative faradique. On
riches en cellules et en vaisseaux à parois épaissies ayant subi la dégénérescence hyaline. Les parties centrales de la tumeur con
erritoires de fibres névrogliques. d'aspect homogène, ayant subi la dégénérescence hyaline. Au niveau du bout inférieur du premier
Klippel, et qui débute par la manie ambitieuse. Il s'agissait d'une dégénérescence granulo- atrophique du foie. Ce ne fut qu'en de
ité dans les cordons latéraux, elle ne suffit pas pour entraîner la dégénérescence de ces cordons ou la désintégration de la subst
s qu'elle se pro- longeât trop longtemps, sous peine d'entraîner la dégénérescence descendante et, partant, la contracture paraplé
les nerfs moteurs ou les muscles ne soient pas eux-mêmes frappés de dégénérescence . Il est évident que là où il n'y a plus de cell
désirer que des recherches plus approfondies soient t faites sur la dégénérescence et l'état mental des dégénérés. (Ame- j'ican jo
actéristique. Enfin on en observe qui ont subi un commence- ment de dégénérescence granuleuse ou scléreuse. On ne constate aucune
rtical normal, n'était les quelques cellules ner- veuses en état de dégénérescence . Nous faisons remarquer, à pro- pos des modific
la cellule nerveuse possédant deux noyaux se trouve déjà en état de dégénérescence avancée. Nous n'avons pas grand'chose à dire de
urent jamais; les cellules épithélioïdes disparaissent toujours par dégénérescence , mais très lente- ment, mettant quelquefois des
rs forme il ; 3° de foyers inflammatoires forme B; 4° d'une zone de dégénérescence autour des foyers inflam- matoires. ' Bolling
llaires) ne présente aucune des altéra- tions suivantes : atrophie, dégénérescence de l'une des tuniques, anévrismes miliaires.
ivasculaire, la présence d'hématies dans la paroi des vaisseaux, la dégénérescence rapide des cellules nerveuses, la dissolution d
le nom d'encéphalite subaiguë. OR y constate de l'hyperémie, de la dégénérescence précoce et incomplète des cellules nerveuses, c
e par une autre zone que les uns .(Ziegler, Cocn) appellent zone de dégénérescence , d'aulres (Friedmann) zone d'irritation. Chez n
lesse des quatre membres correspond aux altérations de la zone de dégénérescence . Enfin les crises épileptiformes à caractère su
ions progressives; c g, cellules nerveuses dégénérées ou en voie de dégénérescence granuleuse, scléreuse ou d'atrophie simple ; v,
ses sur l'anatomie et la systématisation des centres (méthode des dégénérescences , méthode embryologique de Flechsig). Un progrès
s et des mOIs JUSqU'il la mort. Ons. 1. - Encéphalite diffuse, avec dégénérescences secon- daires marquées. L'extension des dégénér
ffuse, avec dégénérescences secon- daires marquées. L'extension des dégénérescences secondaires et des altérations périvasculalres
omens. Epilepsie corticale partielle continue (de Kojew- nikow) par dégénérescence diffuse de l'écorce (Jluratow). Le syn- drome e
soient-elles, ne doivent point être complètement atrophiées; 2° la dégénérescence d'une quantité de fibres arcifolmes excitant co
n de l'encéphalite aux circonvo- lutions ascendantes au moyen de la dégénérescence étendue et très ténue des fibres arciformes. 5°
prolongées, en dehors de la paralysie générale, comme signes d'une dégénérescence diffuse du territoire moteur de l'écorce. 6° Le
ition caractéristique fasciculaire ; il y a, non pas agénésie, mais dégénérescence secondaire du faisceau py- ramdal. A droite, le
hémisphères dans leur accroissement. P. Keraval. XIX. LES signes DE dégénérescence (extérieurs) dans la paralysie PROGRESSIVE AVEC
a. trouvé plus de stigmates de REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 481 dégénérescence chez les paralytiques, qu'ils présentaient les de
us accusés d'un seul et même stigmate, qu'ils avaient les signes de dégénérescence les plus graves, et que les signes de dégénéres-
ce a été sou- lignée par Lissauer. Dans les trois cas, il y avait dégénérescence des faisceaux pyra- midaux depuis les ascendant
des caractères anormaux somatiques ET fonctionnels dans LES cas DE dégénérescence physique ET d'arrêt DE développe- MENT mental a
nerfs périphériques; le streptocoque, au contraire, n'amène aucune dégénérescence dans les nerfs périphériques, mais provoque des
olo- gique, avril 1898.) E. B. XXXVII. Contribution A l'étude DES dégénérescences propagées ET EN particulier DES altérations des
histologiques, cette lésion des cordons pos- térieurs s'éloigne des dégénérescences secondaires wallériennes et se rapproche au con
e de ce que l'on a décrit sous le terme assez impropre du reste, de dégénérescence rétrograde, car il s'agit Lien plutôt d'une « a
ne « atrophie * par désagrégation moléculaire assez différente delà dégénérescence wallérienne. Cette atrophie rétrograde propagée
une affection cérébrale, il reproduit ce que l'on a observé dans la dégénérescence ascendante des voies motrices et peut-être y pe
cence ascendante des voies motrices et peut-être y peut-on voir une dégénérescence rétrograde de ce faisceau consécutive une altér
rnes antérieures. Dans le domaine sensitif, on tient de voir qu'une dégénérescence systématisée des cordons postérieurs peut se mo
tive à une sclérose latérale amyotrophique, indi- que, entre autres dégénérescences , celle de la partie antérieure de la couche lim
uctions d'artères ont pro- duit des foyers de ramollissement. Les dégénérescences des systèmes de fibres contenus dans le* pyrami
partie cérébrale extirpée avec les ganglions sous-corticaux. Les dégénérescences constatées dans la couche optique et ses organe
couche optique (IiolUher). Quelques animaux présentent aussi une dégénérescence légère de la capsule externe (Schukowski). La p
wski). La pallie latérale de la sub- stance noire témoigne aussi de dégénérescences des trousseaux disséminés qui imperceptiblement
passent de l'aire du faisceau pyramidal dans la zone de celle-ci. Dégénérescence des fibres de la région du faisceau pyramidal,
liel de Schlesinger. Fibres centrifuges en pitre expliquées par les dégénérescences du ruban de Reil depuis longtemps connues, mais
t de celui des autres organes du ruban de Reil. On trouve aussi une dégénérescence descendante du trous- seau qui va du ruban de R
dante du trous- seau qui va du ruban de Red au pied du pédoncule. Dégénérescences des systèmes d'associations et des systèmes commi
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 501 calleux; plus en arrière, la dégénérescence forme un dessin ver- tical à angle droit dans l
anche de la circonvolution en question ; tout à fait en arrière, la dégénérescence se pel'd gra. duellement en diminuant progressi
; par A. Hoche. (Neu1'olog. Ccntmlúl., lVl, 1891.) Observation de dégénérescence descendante d'un faisceau pyra- midal à la suit
ent dans la corne anté- rieure voisine. 11 existe encore une faible dégénérescence du REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
droite dans la protubérance et le bulbe, et le canton- nement de la dégénérescence à l'aire de la pyramide gauche dans les régions
que les faisceaux antérieurs croisés n'ont pas d'autre origine. La dégénérescence du cordon latéral dépasse le territoire ordinai
dans le faisceau de Gowres, mi-partie dans la couche limitante; la dégénérescence dépasse encore les limites antérieures dans la
r atteindre les cordons antérieurs (Iield). Boyce en a observé la dégénérescence descendante. En réalité les fibres émanées des c3
à-dire immédiatement en arrière de la couche optique, on produit la dégénérescence des fibres du faisceau pyramidal, du faisceau l
stème de fibres de i'entre-croisement fontaniforme, et en outre, la dégénérescence des fibres qui forment l'entre-croi- sement ant
ée de la couche optique (de Bechtercw et Souko- witsch) entraîne la dégénérescence descendante du même système. P. 11ER.1 ? 1L.
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. L\Y11. Contribution A l'étude DES dégénérescences secondaires DE la MOELLE; par B. Woroiynsm. (Ne
ens étaient demeures en vie de un à cent vingt-sept jours. 1° Les dégénérescences secondaires de chacun des systèmes de la moelle
in ce sont les faisceaux latéraux des pyramides; 2° Le processus de dégénérescence une l'ois com- mencé se développe très promptem
due du faisceau ; 3° Dans les faisceaux de Goll et de Loewenthal la dégénérescence atteint son maximum pendant le cours de la deux
de la moelle ; 9° La section hémilatérdle de la moelle entraîne une dégénérescence bilatérale des faisceaux de Goll, de Burdach, de
ement le passage d'une partie de ces fibres à l'autre côté ; 12° La dégénérescence descendante des faisceaux de Gowers et de Flech
t aux libres des faisceaux de Loewenthal que doit être attribuée la dégénérescence dans le ter- ritoire de ces faisceaux; 13° L'ex
latéraux, chez l'homme, peut être considérée comme démontré, 14° La dégénérescence descendante des racines antérieures intraspinal
ons progressives; c ri, cellules nerveuses dégénérées ou en voie de dégénérescence granuleuse, scléreuse ou d'atrophie simple; v,
501. Voies conductrices ré- flexes de la -, par Mendelssohn, 503. Dégénérescences secondaires de la -, par Worotynsk, 508. )[OH
9 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uns sont intelligents, les autres sont débiles et présentent de la dégénérescence mentale. Les enfants intelligents ne seront pas
nomène spécial. E. B. VI. LES difformités OSSEUSES DE la tète ET la dégénérescence ; par le Dr CULLEIiRE. (Annales méllico-psychol
mations osseuses de la tête et de la face en tant que stigmates de dégénérescence . Dans la production des anomalies dites de dégé
ates de dégénérescence. Dans la production des anomalies dites de dégénérescence , cer- taines causes générales comme le climat,
de la population réputée saine, il ne s'ensuit pas cependant que la dégénérescence soit un vain mot, ni que ce soit une notion sup
y a chez eux une ensellure cra- nienne. Ils tiennent évidemment la dégénérescence psychique du côté paternel tandis que le côté m
rbfieh, f. Psychiat., Xll, 3.) C'est le plus souvent un symptôme de dégénérescence : lacune morale, trouble psychique spécial, con
dans la moitié droite du corps, symptômes révélateurs d'un état de dégénérescence , sur lequel viennent en outre se greffer des dé
ychiques. L'auteur termine en constatant chez l'inculpée un état de dégénérescence héréditaire, accompagné de chorée et de trouble
Mann, E. Reuiak, Gowers. On pourrait également songer aux foyers de dégénérescence traumatique diffus par trouble direct de L. Bru
avant-bras et aux mains, et dans les muscles du thorax. Réaction de dégénérescence dans un grand nombre de muscles. Paralysie des
ent quantitative, mais ne démontre rien qui rappelle la réaction de dégénérescence . Il y a surtout à retenir de cette observation
chroniques en restant très légères. D'où les signes de réaction de dégénérescence qui sont leurs manifestations cliniques et qui
tes les formes, on sait que de nombreux cylindre-axe échappent à la dégénérescence bien que plongés dans une zone sclérosée; l'ide
x d'un étal psychi- que anormal, également congénital (stigmates de dégénérescence ). Nombre de criminels seraient donc des crimine
de séparer ces cas, en dépit de leur parenté phylogénétique avec la dégénérescence , des affections mentales ? La réponse doit être
rence quantitative et non qualitative. La fré- quence ues signes de dégénérescence doit faire penser, chez les criminels, à une ca
a sphère d'action, de mener la bataille, contre ce pire agent de la dégénérescence humaine, car non seulement ils auraient à profi
s. Il pourra rencontrer l'hérédité psycho- pathique accumulée et la dégénérescence mentale, véritable origine de cette bouffée dél
ses généralisées en ont été -la conséquence; puis s'est produite la dégénérescence secondaire unilatérale et de la poliomyélite ce
erveau par artério-sclérose ayant détruit la substance blanche avec dégénérescence des faisceaux postérieurs, antérieurs et latéra
solitaire dans LE pédoncule cérébral DROIT ou DANS LA CALOTTE, AVEC DÉGÉNÉRESCENCE DU RUBAN DE REIL ; par J. E. GREIwE. (Neurolog.
4.) Tubercule siégeant dans la région de la calotte du pédoncule; dégénérescence des tubercules quadrijumeaux antérieur et posté-
ence des tubercules quadrijumeaux antérieur et posté- rieur droits, dégénérescence de la formation réticulaire, du pédon- cule cér
légère dégénérescence' du ruban de Reil médian du côté gauche. La dégénérescence décroit en descendant, si bien que, dans la pro
atteints. A l'extrémité la plus inférieure de la. protubérance, la dégénérescence du ruban de Reil médian n'est que très minime,
il y a une légère déchéance des fibres transverses, et, à côté, une dégénérescence circonscrite dans le corps restiforme, dans la
forme, dans la zone où émergent les racines de l'acoustique. Pas de dégénérescence dans les noyaux des cordons grêles et cunéiform
é très variable. Au point de vue histologique, on a surtout noté la dégénérescence des cellules nerveuses, l'augmentation des élém
Pour lui les troubles décrits relèvent de l'arthritis et non de la dégénérescence mentale. M. Voisin. Peut-être faut-il aussi fai
une ou de plusieurs tumeurs tuberculeuses d'assez fort volume, avec dégénérescence secondaire esquissée ou complète; 2° Myélites
isée. Leur symptomatologie est différente, mais il leur man- que la dégénérescence secondaire. 1 A. Margerite. Elude sur les troub
Sur les coupes colorées par la méthode de Pal, on remarque que la dégénérescence de la substance blanche est en rapport direct a
le cordon latéral. La commissure postérieure devient plus large. La dégénérescence des tubes nerveux commence à apparaître même da
on de leucocytes que l'on peut suivre dans beaucoup de coupes. La dégénérescence des faisceaux de Gol estplus étendue que nous n
le faisceau gauche qui est plus atteint que le faisceau droit. La dégénérescence des fibres nerveuses dans les cordons laté- rau
lus ou moins isolées ou plus ou moins diffuses, qui ont entraîné la dégénérescence de la substance nerveuse. Dans le canal central
rées et le canal central est oblitéré. Dans les cordons latéraux la dégénérescence corticale des tubes nerveux est insignifiante.
quefois dans les cas aigus, il y a aussi de petites hémorragies. La dégénérescence de la substance nerveuse reste localisée, en gé
en général, mais, dans le cas de Gunsser, on a vu se développer la dégénérescence secondaire. Le canal central est oblitéré par l
rétropéritonéales sont en partie caséeuses, en partie atteintes de dégénérescence amyloide. A l'examen microscopique de la moelle
'îlots; ou bien qui atteint seulement quelques fibres nerveuses. La dégénérescence en îlots est causée visiblement par l'ischémie
peut aboutir jusqu'à l'oblitéralion du vaisseau. Il y a encore des dégénérescences secondaires dans la continuité, et des sclérose
dans tous les faisceaux, on voit, à côté des processus anciens, des dégénérescences récentes. C'est justement dans cette partie que
uvé le plus grand nombre de nodules. Au-dessous de cette partie, la dégénérescence com- . mence à disparaitre, sauf dans les cordo
die a fait des progrès rapides, comme nous pouvons en juger par les dégénérescences récentes. C'est seulement l'examen microscopiqu
phisme, délire d'emblée, etc.) pour être valablement attribués à la dégénérescence mentale, peuvent être assez défigurés par l'aff
tant plus effacés que, si les symptômes développés sur un fond de dégénérescence n'éclatent qu'à un âge avancé, il est à sup- po
ire polymorphe qui rentre bien dans les formes se ratta- chant à la dégénérescence mentale. Nous ferons remarquer que ce sont les
rques par l'histoire d'une deuxième malade, âgée aussi, chez qui la dégénérescence mentale se traduit tardivement encore par un sy
sychique, intervienne, et cet élément nepeut être encore ici que la dégénérescence mentale. En l'absence de tout autre renseigneme
t qu'il faut faire intervenir dans un très grand nombre de cas la dégénérescence mentale. M. Voisin rapporte à l'appui de cette
ait une fugue, si en même temps il présentait quelque stigmate de dégénérescence , ce malade était immédiatement classé parmi les
s. Les faits de ce genre ont été rattachés à la neurasthénie, il la dégénérescence mentale, et constituent ce que M. Régis a appel
ilal avec atrophie de la corne ventriculaire correspondante); 2° la dégénérescence athéroma- leuse du cerveau qui frappe en généra
chez eux un athérome généralisé, de l'alhumi- nuiie, et parfois une dégénérescence des reins. Au point de vue clinique. on observe
léments de la névro- glie. Dans deux cas aigus, ils ont observé une dégénérescence des cellules ganglionnaires et une hypertrophie
x; elle pèse 270 grammes. Examen histologigue. - Il n'existe pas de dégénérescence systé- matisée ou diffuse de la moelle. Néanmoi
tissu embryonnaire qui, dans les courbes superficielles, a subi une dégénérescence particulière; les amas triangulaires résultent
-niveau DU rAISCEAU LATCRAL. Méningite, infiltration embryonnaire, dégénérescence des éléments; nodule formé, vpr- l'origine d'un v
ÉRIEURE, méninge au niveau du faisceau latéral. Lésion d'une veine, dégénérescence des éléments morbides. Deux artérioles n'ont su
ents morbides. Deux artérioles n'ont subi d'autre altération qu'une dégénérescence hyaline de leur paroi. - Ilémaloxyline et éosine.
- Ilémaloxyline et éosine. d'évolution fibreuse, par cette sorte de dégénérescence spéciale dont il a été question plus haut (rtg.
, et qui rentre dans la classe si vaste et encore si peu connue des dégénérescences ; ce n'est ni la dégénérescence amyloïde, ni la
vaste et encore si peu connue des dégénérescences ; ce n'est ni la dégénérescence amyloïde, ni la dégénérescence colloïde; on peu
des dégénérescences ; ce n'est ni la dégénérescence amyloïde, ni la dégénérescence colloïde; on peut lui donner le nom de dégénére
yloïde, ni la dégénérescence colloïde; on peut lui donner le nom de dégénérescence hyaline en raison de son aspect. Les petites ar
es vaisseaux nourriciers. En aucun point ses éléments n'ont subi de dégénérescence avancée. Les capillaires sont sains. Les vaisseau
s branches cutanées du crural ne présentent aucune fibre en voie de dégénérescence (acide osmique) ; sur les coupes il semble pour
cile de savoir si elle est plus ancienne que dans ces trois cas; la dégénérescence qui a suivi l'arrêt dans la marche du processus
fesseur Raymond. (Archives de Neurologie, n° 1, 189r. OBS. 1.) La dégénérescence toute particulière des éléments et des vaisseau
s de subir des évolutions dégénéra- tives variées ; la nature de la dégénérescence ne parait pas être toujours subordonnée à la na
nature du processus primitif. Il faudrait peut-être comparer cette dégénérescence , si régulière- ment répartie sur un espace cons
cence, si régulière- ment répartie sur un espace considérable, à la dégénérescence colloïde des vaisseaux de l'écorce cérébrale ,
té, surtout en avant. Examen histologique. - La moelle présente une dégénérescence avancée des cordons postérieurs ; cette dégénér
présente une dégénérescence avancée des cordons postérieurs ; cette dégénérescence , qui est parfaitement systématisée, respecte da
la zone de Lissauer. Dans le bulbe on observe une double zone de dégénérescence , l'une autour du noyau de Goll, comprenant tout
es vaisseaux médullaires, qui sont com- plètement indépendantes des dégénérescences décrites plus haut. La moelle présente dans sa
'un peu moins intenses. Les cordons postérieurs sont le siège d'une dégénérescence éten- due à toute leur hauteur. Au renflement l
et les zones de Westphal sont épargnées. Au renflement cervical, la dégénérescence est absolue dans la moitié postérieure 292 CLIN
e ce renflement. Au niveau du collet du bulbe, on observe la double dégénérescence tabétique habituelle. Comme dans le cas précé
Observation 1V. - COUI>E au niveau de la quatrième DOR- sale. Dégénérescence des cor- dons postérieurs ; plaque de myélite
pie- mère chez Wet..., pourrait induire en erreur, à cause de la dégénérescence des éléments morbides ; mais il suffit d'étudier
ion conjonctive spé- cifique, ou qui ne puisse être rapportée à une dégénérescence secondaire partant d'une lésion mésodermique; q
esseur Raymond, aux lésions scléreuses banales consécutives à toute dégénérescence ; de telle sorte que les lésions vasculaires de
ient leur variabilité considérable. Le processus histologique de la dégénérescence tabétique est ainsi modifié, ce qui peut expliq
'as- pect que l'on constate lorsqu'on le compare à celui d'autres dégénérescences secondaires. De plus, il est facile de concevoi
ée à un tabes chez un paralytique général et qui avait entraîné les dégénérescences ascendantes et descendantes habituelles. Enfi
igne de compte dans la définition du tabes; il faut, pour amener la dégénérescence systématique qui caractérise cette affection, u
teurs prédominent; plu- sieurs muscles présentent de la réaction de dégénérescence . Le pronostic des polynévrites doit être réserv
troubles de l'équilibration qui les caractérisent seraient dus à la dégénérescence d'un système cérébello-médullaire encore imparf
me portant sur une articulation dont les nerfs sont déjà en état de dégénérescence . L'observation de faits récents l'a conduit sim
ues à des troubles trophiques ; 3° elles constituent des lésions de dégénérescence et non des lésions inflammatoires; 4° la syphil
1894.) E. BLIN. XXXIX. Cas DE SCLÉROSE latérale AMYOTROPHIQOE AVEC dégénérescence DU faisceau pyramidal DE l'écorce A la PÉRIPHÉR
ion de son travail, le Dr Pailhas dit : 1° Il existe une variété de dégénérescence dont un syndrome constitué par la déviation mor
, cérébelleux directs, car elle est l'expression ana- tomique de la dégénérescence des fibres des cellules de cordon déjà décrites
de fibres commissures courtes et longues. Ce qui prouve bien que la dégénérescence est secondaire, qu'elle est intimement liée à l
yers myélitiques. P.I{¡;;RAVAL. XXX. Contribution A l'étude DE la dégénérescence descendante dans LE CERVEAU ET LA MOELLE, AVEC
drés de points et de raies rouges). Partie d'entre eux subissent la dégénérescence graisseuse, les lavages enlèvent la graisse, et
relevées pour l'olfactif dans le travail de Reinhard qui trouva une dégénérescence grise dans cinq cas. La dégénérescence et l'atr
l de Reinhard qui trouva une dégénérescence grise dans cinq cas. La dégénérescence et l'atrophie du nerf optique sont une lésion r
réquente, Kaes l'a trouvée dans 41 cas dont36hommes et 5 femmes. La dégénérescence et l'atrophie du moteur oculaire cranien ont ét
lienist and l1eUl'ologist, janvier 1895.) E. B. XXXIX. ETUDE SUR la dégénérescence DES CELLULES NERVEUSES dans UN cas d'atrophie c
coloration de Nissl, lui a permis d'étudier les divers stades de la dégénérescence des cellules nerveuses. Tout d'abord, les granu
alytiques généraux sont une combinaison du tabes classique et d'une dégénérescence précoce des fibres à court trajet. Quant au tab
' L'un, Hubert G..., âgé de soixante-deux ans, sans stigmates de dégénérescence , est un débile qui récite d'une façon pour ainsi
rbale, agrammatisme et paraphasie, se developpent sur un terrain de dégénérescence psychique. Il n'est pas encore possible de dire
moelle, ramollissement superficiel de l'écorce cérébrale, et enfin dégénérescence colloïde de la glande thyroïde. On peut admettr
ru être la caus- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 473 immédiate de la dégénérescence secondaire du système radicu- laire extérieur,
le de paralytique général quelques filets radiculaires ont subi une dégénérescence ascendante; puis, dans les nerfs radiculaires,
lésion spéciale, névrite radiculaire transverse, antérieure à toute dégénérescence paren- chymateuse et constituant la première ét
eloppement de la maladie mentale préparée déjà par l'hérédité ou la dégénérescence . Dans un troisième cas, l'infection blennorrhag
alleux, diminution notable des fibres du faisceau sagittal interne, dégénérescence complète du faisceau sagittal externe, disparit
al externe, disparition du faisceau transverse du cunéus. A droite, dégénérescence presque totale des fibres du corps calleux dans
ccipitaux. De ces faisceaux un grand nombre ont été détruits par la dégénérescence primitive du bourrelet. Consécutivement à l'alté-
prouve l'atrophie des circonvolutions des deux lobes occipitaux. La dégénérescence accusée du bourrelet du corps calleux paraît co
lement. L'examen avec le courant galvanique a fourni la réaction de dégénérescence pour un certain nombre de muscles. Pas de tremb
du réflexe pupillaire du côté gauche. A l'au- topsie on trouva une dégénérescence accusée du tronc du moteur oculaire commun droi
e montrèrent l'intégrité des fibres et du noyau du pathétique et la dégénérescence des noyaux, des nerfs de la troisième paire, pl
subir la funeste influence. Un cha- pitre expose les théories de la dégénérescence telle que la comprend BIBLIOGRAPHIE. 493 M. M
nature organique des psychoses, l'importance de la question de la dégénérescence qui ne peut être résolue sans le concours de la
Clarcot, 313. - artérioscléreuse du cerveau par Alzheimer , 260. Dégénérescence des cellules nerveuses dans l ? -.cérébrale l
377. DécÉW nés. Troubles mentaux chez les ? par Dombluth, 42. Dégénérescence . Difformités os- seuses de la tête et la -, par
10 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
blocs ocreux disséminés et de quelques amas cellulaires, en voie de dégénérescence . Enfin, il existe des artérioles présen- tant l
ns de légères altérations : fibres grêles et variqueuses, mais sans dégénérescence plus avancée. Au même niveau, vaisseaux du nerf
ent au niveau des faisceaux de Goll avec prédominance très nette de dégénérescence d'un côté. (Nous reviendrons sur ce point et su
des symptômes, nul trouble mental n'est survenu en l'absence de la dégénérescence mentale '. ANATOMIE PATHOLOGIQUE. LA THÉORI
er le manque de flexibi- lité des organes, conséquence de l'état de dégénérescence dont était également affligé D... au point de v
i en sont le prolongement. Une lésion de ce neurone a pour effet la dégénérescence des fibres nerveuses et des muscles, en détruis
des muscles, en détruisant leurs centres trophiques. C'est cette dégénérescence que permet de découvrir l'électricité. Le lésio
Mais bientôt un nouveau revire- ment se lit; on en vint à parler de dégénérescence protopathique primilive du faisceau pyramidal c
rice de l'écorce ou de la substance blanche sous-jacente; c'est une dégénérescence ascendante. La réponse à la première question e
pathologique, car le cas de Senator n'est qu'une exception et à la dégénérescence du neurone moteur inférieur, du neurone spino-
entreprise sur les rapports de la supériorité intellectuelle et la dégénérescence névropathique. Il reproche à ses contradicteurs
sur lesquelles l'observateur n'osera même pas les interroger. La dégénérescence , en déséquilibrant le cerveau. exalte certaines
out esprit de bonne foi. Sans doute cette parenté du génie et de la dégénérescence étonne et offusque. Mais un fait s'impose qu'il
on pourrait recher- cher quelles sont les conditions qui créent la dégénérescence géniale et la dégénérescence en moins. Cepend
lles sont les conditions qui créent la dégénérescence géniale et la dégénérescence en moins. Cependant, malgré les travaux si prob
les organes génitaux et leur fonctionnement que se caractérise la dégénérescence . Des recherches sur 800 dégénérés m'ont démon-
du palais mou manque; la langue présente une réaction partielle de dégénérescence ; la quantité d'urine atteint 300 à 400 centimè
sibles et que l'atrophie peut se manifester même, par les signes de dégénérescence . M. le professeur RoTH. - Un cas très rare de d
le épinière, ils présentent aussi des alté- rations spécifiques. La dégénérescence descendante et ascendante est peu marquée. Disc
dans le milieu des circonvolutions centrales du côté droit; 2° une dégénérescence considérable des racines postérieures dans la m
ystème nerveux central. M. `ŸEIDENH11)1GR trouve possible, que la dégénérescence des racines dépende de la présence d'une tumeur
ie donna les mêmes résultats que dans le premier cas : en outre des dégénérescences descendantes secondaires, dans la moelle épiniè
eps. Il n'y a pas de réaction de MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX. 103 dégénérescence . Cette association de l'amyotrophie et de l'exa
une marche lentement progres- sive et s'accompagnant de réaction de dégénérescence . Elle meurt de bronchopneumonie aiguë. A l'au
, sur les artères splénique et pancréatique ; cirrhose du pancréas; dégénérescence atro- phique chronique des cellules et des fibr
La face interne de la base de l'aorte est légèrement athéromateuse. Dégénérescence athéromateuse des artères de l'encéphale. Hém
que les maniaques, ils étaient probablement en état plus avancé de dégénérescence , et par conséquent plus accessibles aux influen
les, ni accroissement de la tendance à la folie, ni commencement de dégénérescence des races civilisées : on trouve- rait plutôt d
olument normaux qui d'ailleurs n'ont jamais présenté aucun signe de dégénérescence . Enfin si quelques-uns ont des tares héréditair
des tares héréditaires, chez beaucoup d'autres invertis un signe de dégénérescence ne suffit pas pour qu'on y voie un rapport avec
issures corticales au point de vue de leurs rapports avec l'état de dégénérescence héréditaire. Pour établir netlement leur valeur
ement à des hémorrhagies sur cer- tains points et sur d'autres à la dégénérescence myxomateuse. II. Homme 23 ans, pas d'antécédent
sant les deux colonnes postérieures et la corne postérieure gauche. Dégénérescence mar- quée du faisceau pyramidal croisé et du fa
ment oblitérant des vaisseaux capillaires de nouvelle formation à dégénérescence hyaline, dégénération lente des cellules gan- g
rétréci mais non pas abandonné. ' F. LtoISSIEft. V. Effets DE la DÉGÉNÉRESCENCE ascendante sur LES nerfs MIXTES, SUR LES CELLUL
e partie de son travail, l'auteur étudie les effets produits par la dégénérescence ascendante sur les nerfs eux- mêmes, il donne d
bord un historique détaillé des travaux con- sacrés à l'étude de la dégénérescence ascendante, recherches de Déjerine et Mayor (18
auteurs sont loin de concorder. Un fait bien ' établi, c'est que la dégénérescence ainsi produite est bien diffé- rente de la dégé
st que la dégénérescence ainsi produite est bien diffé- rente de la dégénérescence wallérienne. Mais les lésions produites et décr
. Les fibres fines sont remplacées par du tissu conjonctif; mais la dégénérescence ne les atteint pas dans toute leur longueur. Le
s la seconde partie de son travail, Fleming étudie les effets de la dégénérescence ascendante sur les cellules ganglionnaires, les
t aussi, ce qui est plus caractéristique encore, par des lésions de dégénérescence portant surtout sur les cellules endothéliales. -
autre forme particulière de palais constituraient un a stigmate de dégénérescence » reste tout entière à prouver R. de MUSGRAVE C
précurseur dans ces recherches sur les stig- mates physiques de la dégénérescence qui ont illustré Morel et ses élèves. « Quant
stérie, quelquefois même coexistant avec elle, il existe un état de dégénérescence mentale très favorable à l'éclosion, dès les pr
nostic; ses observations le prouvent. L'existence de la réaction de dégénérescence permet d'éloigner l'idée d'hystérie. Il réfute
accident. D'autre part, le suicide d'un parent ne constitue pas la dégénérescence . X... boit à seize ans et commet une première t
la suite d'un excès '21 SOCIÉTÉS SAVANTES. de boissons, prouve la dégénérescence . L'individu bien pondéré qui boit, éprouve un s
e. ' M. ARNAUD. - L'ivresse avec fureur est caractéristique de la dégénérescence mentale ou consécutive à l'ingestion de boissons
e.) G. Rossolimo, N. SCH.\TALOFF, A. Tokarsey. BIBLIOGRAPHIE. IV. Dégénérescence mentale et neurasthénie; par le Dl' A. Vcac. Ly
ans une revue critique de 3 pages, cherche à étendre le champ de la dégénérescence , dont le domaine, depuis les tra- vaux de M. Ma
de cette démonstration, dont voici les principales conclusions. La dégénérescence présente un triple critérium : prédisposition,
e n'est pas la seule il obéir, dans des condi- tions données, il la dégénérescence . La régression mentale n'est qu'un mode de la r
, enfant mâle bien constitué, ne présentant aucun signe physique de dégénérescence et paraissant avoir, pour son âge, une intellig
avec des stigmates très nets d'hystérie et signes non moins nets de dégénérescence mentale. Mère très irri- table et très impressi
semblent démontrer qu'il existe dans les ramifications cutanées une dégénérescence accu- sée (désagrégation de la substance blanch
teint de tabes avec hypoalgésie généralisée, il existe une évidente dégénérescence des éléments nerveux cutanés. Mais dans l'anest
foie, aux reins, les lésions dégénératives du début de la sénilité, dégénérescence grais- seuse ou scléro-graisseuse. L'hérédité
ance du 20 décembre 1896. M. Weidenhammer. Contribution l'élude des dégénérescences secon- daires dans les lésions circonscrites de
ap- porteur examine (principalement par la mélhode de Marchi) des dégénérescences ascendantes et descendantes dans un cas de tnme
une interruption de tous les systèmes de ses libres de ce côté. La dégénérescence du faisceau longitudi- nal postérieur ne va pas
tance réticulaire grise ne contient non plus des voies longues, les dégénérescences de ce système cessent rapidement en haut et en
ns six cas de tumeurs cérébrales. Dans tous ces cas on a pu voir la dégénérescence plus ou moins marquée dans les cor- dons postér
ns marquée dans les cor- dons postérieurs de la moelle épinière. La dégénérescence la plus sensible est observée surtout dans la r
ns les faisceaux de Goll elle est plus faible. En s'abaissant, la dégénérescence diminue graduellement, et s'affaiblit le plus d
ymateuse et dans leur partie intra- médullaire des phénomènes d'une dégénérescence secondaire. Dans des cas, où la lésion est plus
plus forte, dans les faisceaux posté- rieurs on peut voir aussi une dégénérescence disséminée dans les cordons autéro-latéraux, ex
ent des lésions cérébrales des adultes par l'étendue plus vaste des dégénérescences consécutives ce qui mène par l'atrophie et la d
et de la même espèce ; seulement, dans la première on trouve des dégénérescences plus fines, qui s'expriment cliniquement par un
ont non seulement paralysés, mais encore atrophiés avec réaction de dégénérescence . Quant aux autres muscles, ceux de l'avant-bras
u'une myélite annulaire insignifiante. On ne trouvera nulle part de dégénérescences secon- daires. Un épaisissement très visible et
filaments névrogli- ques sont fades et présentent des phénomènes de dégénérescence , plusieurs fibres nerveuses ont perdu leur myél
sont remplis de leucocytes et de corps granuleux. Il n'y a point de dégénérescences secondaires. Le second foyer de sclérose en for
(arteria foraminis coeci). Dans la moelle épinière on a trouvé une dégénérescence secon- daire des cordons pyramidaux latéraux et
terne. Archives, 2e série, t. III. 3 354 SOCIÉTÉS SAVANTES. Les dégénérescences secondaires peuvent se développer sans la destr
aques scléro- tiques. M. Weidenhammer confirme la possibilité des dégénérescences secondaires dans le cas du rapporteur. M. le
plus complète qu'elle ne l'est actuellement de l'hystérie et de la dégénérescence intellectuelle proprement dite. C'est une lac
s et les oncles ont tous un caractère bizarre marqué quelque peu de dégénérescence . 1893. Septembre, - Depuis quinze jours, la mèr
preuve nouvelle. Observation XVII. Enfant de sept ans. Hystérie et dégénérescence mentale. Vomissements hystériques incoercibles.
fuyant, crâne asymé- trique ; elle présente les signes physiques de dégénérescence . Sa mère qui me donne les renseignements, sembl
cellence ; mais dans les autres affections nerveuses, neurasthénie, dégénérescence mentale, etc., elle est presque tou- jours sans
use. Dans l'observation XVII de ce travail on voit l'hystérie et la dégénérescence mentale coexis- ter, le syndrome hystérique s'e
hystérique s'effacer par la suggestion, et les phénomènes dus à la dégénérescence mentale persister. Dans l'observation XVIII c'e
nnels. Syphilis et alcoolisme. Etat physique. Quelques stigmates de dégénérescence , traces de coups et blessures, ecchymoses. Symp
aussi, présente des suffusions bémorrhagiques interstitielles, des dégénérescences kyrtiques et surtout la fonte de la substance col
ssion n'est pas pure et où il s'y joint un autre facteur, tel que : dégénérescence marquée ? affaiblissement intellectuel, intoxic
ésentent sur un terrain plus dégénéré; d'autant moins graves que la dégénérescence et l'hérédité sont moins accu- sées. D'une faço
mé. - Les obsessions étant généralement des stigmates psychiques de dégénérescence sont observées quelquefois chez des SOCIÉTÉS SA
t périphérique. Mais ces lésions centrales sont con- sécutives à la dégénérescence des nerfs. Les modifications de réaction à dist
à savoir que les lésions de la substance achromatique entraînent la dégénérescence des prolongements périphériques parce que les f
cernant la syringomyélie à type Morvan. Contribution ci l'étude des dégénérescences propagées. Altération des cordons postérieurs s
ans le premier cas et l'écorce céré- brale dans le second cas. La dégénérescence rétrograde qui, à la suite de l'interruption d'
onnue aujour- d'hui et a été retrouvée aussi bien dans les centres ( dégénérescences ascendantes du faisceau pyramidal, certains fai
e l'on admet moins généralement, c'est que, de la même façon que la dégénérescence wallérienne, cette dégénérescence rétrograde pu
'est que, de la même façon que la dégénérescence wallérienne, cette dégénérescence rétrograde puisse se propager d'un neurone au n
tion des cordons postérieurs secondaire à une lésion cérébrale, par dégénérescence rétrograde propagée à tra- vers les relais bulb
iode plus avancée d'atrophie myopathique primaire, on rencontre des dégénérescences des uerfs périphériques, qu'on doit regarder et
L'inflammation du système nerveux périphérique peut provo- quer une dégénérescence rétrograde, qui s'étend aux faisceaux des racin
difications des cellules des ganglions inter-vertébraux, dans cette dégénérescence ascendante des faisceaux sensitifs, paraissent
ations des cellules des cornes antérieures, qu'on rencontre dans la dégénérescence rétrograde des faisceaux moteurs. L'atropie des
l'asile de Bailleul au mois d'août 1893. On cons- tate : signes de dégénérescence physique, stigmates hystériques, attaques hysté
à seize ans à l'occasion des premières règles. Signes physiques de dégénérescence . Obnubitation intellectuelle post- paroxytique.
puberté (quatorze ans), les attaques sont plus violentes. Signes de dégénérescence . Débilité mentale avec fond mélancolique. Les a
'agit là vraisemblablement que d'un simple épisode délirant dû à la dégénérescence héréditaire, et par conséquent d'un accident to
la contracture, plus tard, mais plus tard seulement, l'atonie et la dégénérescence . Spasme et contracture ne sont que la réaction
. Etude des rapports' de la myopathie primitive progressive avec la dégénérescence ; par le D1' Joseph Fabue. (Thèse de Montpellier,
de myopalhiques possédant des stigmates psychiques ou physiques de dégénérescence , il établit qu'un grand nombre de myopalhiques
ion. Ducamp. XIV. De la question de l'étiologie du crime et de la dégénérescence , - précédée d'un aperçu sur les principales thé
du crime; 3° nous pensons, avec- tous les auteurs modernes, que la dégénérescence est une maladie spécifique ayant, entre autres
les mêmes causes qui créent la dégénération peuvent créer aussi la dégénérescence ; 5° nous attribuons une importance considérable
. Dégénéré. Condamnation à mort d'un impulsif, par Guibert,270. Dégénérescence . Effets de la - as- cendante sur les nerfs mixt
oelle, par Flaming, 151. Etude des propagées, par Durante, 447. Dégénérescence mentale et Neuras- thénie, par Vial, 284. Dél
erfs. Pathologie des-de la peau par tlumpertz, 320. Neurasthénie. Dégénérescence men- tale et -, par Vial, 284. Neurones. Théo
. Contribution à l'é- tude de la -, par Beyer, 500. Protubérance. Dégénérescences se- conclaires dans les lésions circons- crit
11 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ne se reconnaît plus que diffici- lement. On peut poursuivre cette dégénérescence dans toutes les coupes du côté cérébral jusqu'à
che. ANÉVRYSME DE L'ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCAE 11 Conformément à la dégénérescence considérable du corps restiforme gauche, dont l
le cérébelleux supérieur du même côté dans un état très prononcé de dégénérescence . Il ne reste qu'une trace insignifiante de ce péd
es, ce qui est la preuve que cet infarctus n'est pas la cause de la dégénérescence se- condaire ancienne constatée dans le pied du
res que pour l'acoustique, et une voie indirecte, démontrée par les dégénérescences secondaires. Cette opinion demande toutefois à
e surtout dans la partie médiane; cette atrophie correspondait à la dégénérescence des cellules ganglionnaires de la substance gri
lan du lit. Abolitions des réflexes tendineux. Pas de réac- tion de dégénérescence . Pas de douleurs spontanées. Diminution prononcée
incters. Pas de troubles de la sensi- bilité objective. Réaction de dégénérescence (N. F. C. = P. F. C. dans les jumeaux et les ex
a possibilité d'altération dynamique de cette cellule commandant la dégénérescence périphérique de son cylindraxe, devons-nous cep
'ailleurs que l'adé- no-lympliocèlepeut subir en certains points la dégénérescence graisseuse ; il se présente alors sous forme de
la glande rénale noyée au milieu de ces tissus. Souvent même cette dégénérescence arrive au milieu du hile, pénètre dans le rein, e
affection au stade d'hypertrophie ganglionnaire simple, avant toute dégénérescence graisseuse. Désireux de parfaire les notions qu
ture des cellu- les nerveuses qui ont été décrites sous le nom de « dégénérescence de Nissl » et qui paraissent prendre une import
armin en masse, a donné des résultats négatifs : il n'existe pas de dégénérescence , ni dans les faisceaux, ni dans les racines; la
icale (PI. XLIX, L), on constate l'exis- tence d'une petite zone de dégénérescence il la limite du cordon antérieur et du 'cordon
ieur et du 'cordon latéral, et à la périphérie de la moelle ; celte dégénérescence est symé- trique, située en avant de la limite
nissant les bords anté- rieurs des deux cornes antérieures. Cette dégénérescence augmente au niveau de la deuxième et de la premiè
ent sont intensi- vement colorés, ils ne présentent aucune trace de dégénérescence ; mais, mal- gré leur intégrité apparente, ils
chez l'animal (Thomas) : mais il est impossible de poursuivre cette dégénérescence jusque dans le cer- velet ; dans leur trajet cé
toit, du bouchon et du noyau sphérique. En raison de leur degré de dégénérescence relativement moins accentué, et de* l'existence
une affection congénitale ; son début tardif et la constatation de dégénérescence , sont absolument opposés, à cette ma- nière de
bouchon ; 2° l'atrophie totale de la substance grise du pont et la dégénérescence totale du pédoncule cérébelleux moyen ; le pé-
férieures, des noyaux juxla-olivaires, des noyaux (l1'ci(of1nes, la dégénérescence des fibres ac2Tornaes externes et du corps rest
érébraux paraissent plus petits que normalement, mais sans trace de dégénérescence . Les lésions semblent avoir débuté à la fois da
équence l'atro- phie des cellules de la substance grise du pont, la dégénérescence du pédoncule cérébelleux moyen qui y prend sa p
cipale origine, l'atro- phie des cellules de l'olive inférieure, la dégénérescence partielle -du corps restiforme, l'atrophie des
ielle -du corps restiforme, l'atrophie des cellules de Purkinje, la dégénérescence des fibres de projection du cervelet, toutes ré
x qui entrent en rapport avec le cervelet ont subi l'atrophie ou la dégénérescence , les faisceaux pyramidaux sont plus pâles et le
ses que chez un sujet sain du même âge ; il n'y a pas de traces, de dégénérescence , ni de lésions cellulaires ; c'est plutôt un or
latie, mais nulle part il n'existe d'altérations des cellules ni de dégénérescence des cordons. Le nombre des fibres fines dans les
à des altérations régressives, à des atrophies cellulaires et à des dégénérescences secondaires; le cervelet de l'hérédo-ataxie céréb
s sont le plus souvent systématisées ; elles s'associent à d'autres dégénérescences systé- matiques ou restent pures : atrophie oli
oubles de l'é- quilibration qui les caractérisent seraient dus à la dégénérescence d'un système cérébro-médullaire encore imparfai
orce, des olives bulbaires et de la substance grise du pont, par la dégénérescence totale du pédoncule cérébelleux moyen et par la d
r la dégénérescence totale du pédoncule cérébelleux moyen et par la dégénérescence partielle du corps restiforme, par l'ntégrité r
s de la main et de l'avant-bras, qu'il n'y avait pas de réaction de dégénérescence . Nous n'insisterons pas sur la palpation du squ
'AV1YOTItOP111 L. PROGRESSIVE DITE ESSENTIELLE » AVEC RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE PAR J. ABADIE J. DENOYÉS Interne provisoire
13 C D AMYOTROPHIE PROGRESSIVE « ESSENTIELLE » AVEC RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE (J. 9hadie et /. T)t)0)'f'.t. Masson & C
ons observées très nettement, per- mettent d'établir la réaction de dégénérescence . Toutes les secousses que nous avons produites
double. Le sujet pourrait donc être considéré comme présen- tant la dégénérescence dont Fabre (1) 'a spécialement étudié les rapport
- Fille bien développée, robuste, ne montrant* point 'de signes de dégénérescence . On remarque immédiatement le ptosis de la paup
es morceaux on observa un tableau ressemblant. (ln n'observe pas de dégénérescence très marquée des fibres myéliniques de la su ta
l'examen on prit sept morceaux différents. Dans quatre morceaux la dégénérescence des fibres était très marquée, surtout des fibr
A). La désagrégation est si visible qu'on peut voir l'endroit de la dégénérescence à l'oeil nu. Sur beau- coup de préparations, on
néres- cence très accusée dans les fibres nerveuses de myéline ; la dégénérescence prédomine surtout dans les voies de projection
de tous ces morceaux on pouvait voir dans la substance blanche une dégénérescence assez marquée dans les fibres à myéline ; sur les
s. Ici, dans la substance blanche sous-corticale nous observons une dégénérescence très mar- quée de fibres myéliniques (avec désa
n de la myéline) et il est très fa- cile de s'assurer ici que cette dégénérescence ne dépend pas ni des hémorrha- gies plus ou moi
région motrice droite il y avait comparativement peu de fibres avec dégénérescence et désagrégation de la myéline. Dans les autres
te' des foyers menus de ramol- lissement; il est évident, qu'ici la dégénérescence des fibres myéliniques est d'une autre origine,
s à la paralysie gé- nérale (hémorrhagies menues, tromboses menues, dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses, épaississeme
pont de Varole a été prise la moitié gauche et on ob- serva ici une dégénérescence disséminée par places, plus accentuées .dans les
live inférieure (Voyez PI. LXXI, B). - Déjà à l'oeil nu on voit une dégénérescence très marquée dans la pyramide gauche ; en outre,
dégénérescence très marquée dans la pyramide gauche ; en outre, la dégénérescence est visible encore par toute la périphérie antéro
e.En ce qui concerne le tronc céré- bral, il faut dire, qu'outre la dégénérescence très prononcée de la pyramide gauche, on observ
cervicale. Déjà à l'examen de préparations à l'oeil nu on voit une dégénérescence très marquée dans la région du cordon pyramidal
gion du cordon pyramidal du faisceau latéral ; l'endroit t de cette dégénérescence ressort très nettement sur le fonds jaune-clair u
e-clair un peu grisâtre de la coloration commune. La place de cette dégénérescence n'atteint pas jusqu'à la périphérie de la moell
us le mi- croscope de l'endroit le plus dégénéré nous voyons que la dégénérescence approche la région externe de la corne postérie
a région externe de la corne postérieure où la limite interne de la dégénérescence est très accentuée et occupe aussi l'échancrure e
outtes noires. Dans les fibres radiculairees on ne rencontre qu'une dégénérescence disséminée. La région du canal central présente à
la corne postérieure. b) Inlumiscence cervicale. - La région, où la dégénérescence est la plus marquée, a approximativement la mêm
la région située plus haut, apparaît ici comme coupé. L'endroit de dégénérescence dans le faisceau de Türck est un peu plus rappr
scence cervicale. Il. Région dorsale. - L'endroit de la plus grande dégénérescence de la moitié droite de'la moelle épinière a app
ne postérieure et la base au niveau du canal central ; la région de dégénérescence , en se raréfiant un peu, atteint jusqu'à la pér
ventralement de la corne postérieure droite (Voyez PI. LXXI, D). La dégénérescence dans le fais- ceau pyramidal du cordon latéral
de la moelle épinière de- vient bien moins grande; au contraire, la dégénérescence dans les cordons postérieurs et dans les racine
a périphérie et dans les racines postérieures. Plus loin, il y aune dégénérescence disséminée assez marquée dans le cordon pyramidal
rsale de la. moelle épinière,- Nous nous assurons ici aussi dans la dégénérescence des fibres nerveuses et dans l'existence des ce
s dégénéré que celui du côté gauche. Déjà dans la région dorsale la dégénérescence des faisceaux de Tùrck devient bien plus raréfiée
générescence des faisceaux de Tùrck devient bien plus raréfiée ; la dégénérescence du faisceau pyramidal latéral dans la partie lomb
arquées que dans le premier, là elles étaient plus profondes, là la dégénérescence pigmentaire et graisseuse des cellules nerveuse
a substance blanche sous-corticale du côté gauche, on observait une dégénérescence très prononcée de fibres myéliniques, et ici la
une dégénérescence très prononcée de fibres myéliniques, et ici la dégénérescence dans l'endroit correspondant portait un caractère
miscence cervicale (Pl. LXXI, E).- Déjà à l'oeil nu on remarque une dégénérescence des deux faisceaux pyramidaux latéraux, des deu
érie des cordons de Goll. A l'exa- men microscopique la plus grande dégénérescence a été observée dans le fais- ceau pyramidal lat
ce a été observée dans le fais- ceau pyramidal latéral ; mais cette dégénérescence n'est pas compacte : les fibres dégénérées sont
en plus grand nombre entre les fibres saines : ensuite, on voit une dégénérescence assez marquée dans le faisceau pyramidal latéra
rdons de Burdach et dans les racines postérieures du côté gauche la dégénérescence est un peu plus mar- xiii 32 490 SOUKHANOFF E
IER quée que du côté opposé) ; dans le faisceau de Türclc gauche la dégénérescence est un peu plus grande que du côté opposé. Une
he la dégénérescence est un peu plus grande que du côté opposé. Une dégénérescence moins marquée et consistant en petits blocs noi
nt rem- plies. - b). Région dorscrle.'llacroscopiguement on voit la dégénérescence dans les mêmes systèmes comme aussi dans les ré
aussi dans les régions décrites plus haut, quoique la figure de la dégénérescence dans le faisceau pyramidal latéral a un peu chang
au pyramidal latéral a un peu changé ; on voit aussi à l'oeil nu la dégénérescence dans la région antérieure des cordons postérieu
ion antérieure des cordons postérieurs. A l'examen microscopique la dégénérescence dans les faisceaux pyramidaux latéraux, dans le
e même caractère que la dégé- nérescence de la région cervicale. La dégénérescence dans la région antérieure des cordons postérieu
rs. - c) Région lombaire supérieure. - On voit macroscopiquement la dégénérescence seulement anté- rieurement de la corne postérie
x côtés. A l'examen microscopique on peut noter la diminution de la dégénérescence dans les faisceaux pyramidaux latéraux. La dégé
ion de la dégénérescence dans les faisceaux pyramidaux latéraux. La dégénérescence dans les faisceaux de Túrck est peu marquée et
rck est peu marquée et porte un caractère disséminé. On observe une dégénérescence assez accusée dans la région postérieure des co
racines postérieures et dans les racines antérieures ; en outre, la dégénérescence , quoique à un de- gré bien plus faible, existe
us faible, existe dans d'autres régions de la substance blanche. La dégénérescence des cellules de la corne antérieure est bien plus
u pied du pédoncule peut être envisagée comme la continuation de la dégénérescence de la région motrice de l'écorce cérébrale. Dans
ux et des faisceaux de Türck ; il apparaît comme continuation de la dégénérescence des voies pyra- midales qui va de l'écorce céré
ux de Turck descendent jusqu'à la partie lombaire supérieure, où la dégénérescence des faisceaux pyramidaux latéraux peut être disti
nguée même à l'oeil nu. Ainsi que dans le cas premier, ici aussi la dégénérescence est observée sur la périphérie de la moelle épi
ocessus morbide des enveloppes spinales. Ainsi que là, ici aussi la dégénérescence de la partie intramédullaire des fibres ANATOMI
supérieures de la moelle épinière; et ce fait à son tour donne une dégénérescence plus mar- quée des cordons postérieurs des régi
ela se trouvent aussi les données histo-pathologiques à savoir : la dégénérescence secondaire très prononcée du faisceau pyra- mid
oitié gauche de la moelle épinière, les changements vasculaires, la dégénérescence pigmentaire et graisseuse des cellules cortical
des cellules nerveuses du tronc cérébral de la moelle épinière, la dégénérescence dans d'autres systèmes et dans les voies conductr
athologiques étaient moins grandes que dans le premier cas ; ici la dégénérescence du faisceau latéral droit dans la moelle épiniè
s deux cas on a observé à la périphérie de la moelle épi- nière une dégénérescence très marquée des fibres myéliniques et une lési
intra-médul- laire des fibres postérieures s'expose plus vite à la dégénérescence , que leur partie extra-médullaire, qui se trouv
ous venons de parler du mécanisme possible d'un développement de la dégénérescence dans les cordons postérieurs de la moelle épini
générescence dans les cordons postérieurs de la moelle épinière. La dégénérescence des faisceaux pyramidaux dépend de la modificat
tème nerveux central, où les cellules nerveuses sont sujettes à une dégénérescence pig- mentaire et graisseuse qu'on peut observer
sur toute l'étendue du tronc cérébral et de la moelle épinière. La dégénérescence décrite plus haut de la voie pyramidale, en comme
presque égale des deux côtés. Des faits sembla- blets concernant la dégénérescence secondaire des voies pyramidales, qui va de la
YSIE GÉNÉRALE 493 d'un cas de paralysie générale, où il y avait une dégénérescence de la voie pyramidale et qui a été constaté par
e paralysie géné- rale (par la méthode de Marchi) ; dans six cas la dégénérescence des voies pyramidales a été exprimée intensémen
d'un seul côté ou des deux côtés; dans 6 cas il n'y avait point de dégénérescence nette. En comparant le tableau clinique avec les
de l'hémiplégie se trouvaient en correspondance avec le degré de la dégénérescence des voies pyramidales ; dans le troi- sième gro
ale. Starlinger admet la possibilité de l'existence d'une semblable dégénérescence des voies pyramidales dans des psychoses sénile
de Busch) ; dans tous ces cas il trou- vait, ensemble avec d'autres dégénérescences , l'un ou l'autre degré de lé- sion des voies py
voies pyramidales dans la moelle épinière : « Sur l'intensité de la dégénérescence et sur la quantité de fibres dégénérées, dit-il,
ut, souligne la liaison des troubles moteurs avec l'intensité de la dégénérescence secondaire de la voie e pyramidale, ce avec quo
générale a duré et plus il y avait de trou- bles moteurs, plus les dégénérescences secondaires seront étendues et in- tenses. (1
1900, Januar, Bd VII, IIeft 1, s.s. 1-14. (2) N. A. Vyrouboff, Des dégénérescences des cellules nerveuses et des fibres dans la mo
s avons déjà signalé chez le jeune chat de l'expé- rience III. La dégénérescence s'effectue encore et surtout par la vacuolisation
bstance blanche ont été considé- rées par Lamy comme des lésions de dégénérescence simple. En combinant les recherches expérimenta
ure : elles varient de la réaction sim- ple et passagère jusqu'à la dégénérescence profonde et irréparable de la cellule nerveuse.
des variations morphologiques sous la dépendance de phé- nomènes de dégénérescence . C'est ainsi que la figure 28, qui représente l
ocs de Nissl, de leur répara- tion et enfin des divers processus de dégénérescence et d'atrophie des cel- lules nerveuses, en nous
notre avis, que nous sommesici'en présence d'un mode particulier de dégénérescence , bien que nombre d'auteurs profes- sent une opi
s, soit comme un phénomène cadavéri que, soit comme un phénomène de dégénérescence . Parmi les premiers nous rencontrons les auteur
aux auteurs qui voient dans la vacuolisation une forme spéciale de dégénérescence cellulaire, en nous basant sur les re- cherches
gr.), 41, 184, 243. Amyotrophie dite essentielle avec réaction de dégénérescence , par J. Abadie et J. Denoyés (avec 1 pl. en pho
Asrame. Un cas d'amyo- trophie dite essentielle avec réaction de dégénérescence (avec 1 pi. en photocol- logr.), 415. DevauxA
vi,xxxvii, XXXVdII. 1. Amyotrophie progressive avec réaction de dégénérescence (ABADIE et DENOYÉS), LX111. Anévrysme de l'ar
12 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e ces divers auteurs : au point de vue anatomique, on observe une dégénérescence des fibres radiculaires postérieures (zone corn
es (zone cornu-radiculaire; zone des bandelettes externes); cette dégénérescence peut se prolonger dans toute la hauteur de la m
le cours et l'issue, Kraepelin rapporte cette forme au groupe des dégénérescences psychiques et la regarde comme proche des forme
ce, nous aurions dû rap- porter ce cas aux formes hébéphréniques de dégénérescence , connues sous le nom de démence précoce. Nous n
ques. Quoique l'auteur de cette forme, Kahlbaum n'envisage pas la dégénérescence et l'laé'édité au nombre des causes de la malad
rent, d'une manière plus décidée déjà, la catatonie au groupe des dégénérescences psychiques. En effet, il est très probable que
térêt de ces cas réside dans la localisation des lésions et dans la dégénérescence du tissu cérébral au moment de l'opération. Le
la précédente, le traumatisme n'est pas douteux, et les lésions de dégénérescence sont vérifiées à l'autopsie. ` R. DE MUSGRAVE-C
e récente, on admettait que la lésion initiale qui aboutissait à la dégénérescence des fibres des colonnes postérieu- res de la mo
t que les ganglions sont généralement normaux et que les lésions de dégénérescence du système nerveux sont probablement sous la dé
a question des rapports entre les altérations de ces cellules et la dégénérescence des fibres des colonnes posté- rieures de la mo
es lésions, et les différences qui existent entre l'intensité de la dégénérescence des fibres de la moelle et le peu d'importance
racines posté- rieures, on est conduit à affirmer nettement que la dégénérescence des libres des colonnes postérieures de la moel
ibres des racines postérieures, sans y dé- terminer d'altération de dégénérescence . Ces deux altérations de dégénérescence doivent
terminer d'altération de dégénérescence. Ces deux altérations de dégénérescence doivent donc être rap- portées à une cause comm
t atteintes, et des cas de « tabes combiné » où d'autres lésions de dégénérescence se ren- contrent, par exemple dans les colonnes
lesquels ]'auteuritalien édifie; son hypothèse, à savoir : « Que la dégénérescence du tabes con- « sisie en une altération des fib
eur attacher assez d'importance pour trouver en elle la cause de la dégénérescence . Etant donné le fait que la dégénéres- cence de
ertson pense que les lésions va"culair es sont primitives et que la dégénérescence des parois capi laires est la cause première de
thologiques, il laudra, chaque fois qu'on tentera d'interpréter les dégénérescences , tenir compte à la fois de ce que. Sciuti appelle
ation de courants, démontrée par un cas de névrite consécutive aune dégénérescence parenchymateuse de la moelle par A. D. ROCHVELL
nchons de myéline s'affaiblit, proportionnelle- ment au degré de la dégénérescence : celle-ci est-elle avancée, le caractère de la
es des nerfs et des muscles présentent une atrophie sim- ple et une dégénérescence primitive. Celle-ci, dans la fibre ner- veuse,
raux, les cellules sont atteintes de chro- matolyse primitive et de dégénérescence stéato-pigmentaire, plus rarement du processus
hérique des fibres nerveuses subissent la déchéance myélinique. Ces dégénérescences peuvent être suivies dans les ra- cines postéri
eures et jusque dans la moelle. 4. Dans les cordons postérieurs, la dégénérescence des longs systèmes exogènes possède le caractèr
estement moins nombreuses, ont subi la chromatolyse primitive et la dégénérescence stéato-pigmentaire; il est plus rare d'y voir l
la dégénérescence stéato-pigmentaire; il est plus rare d'y voir la dégénérescence secondaire. Dégénéres- cence evidente des racin
es racines antérieures et aussi de celles des nerfs craniens. 6. La dégénérescence du faisceau pyramidal commence au segment sacré
on article externe dont les cellules ont subi la chromatolyse et la dégénérescence stéato-pigmentaire. Les dégénérescences du pédo
t subi la chromatolyse et la dégénérescence stéato-pigmentaire. Les dégénérescences du pédoncule cérébelleux moyen sont peu marquée
nérescences du pédoncule cérébelleux moyen sont peu marquées. 8. La dégénérescence du faisceau fondamental du cor- don antéro-laté
ellules nerveuses ont le plus diminué, qu'elles ont le plus subi sa dégénérescence stéato-piamentaire. 10. La confusion mentale, l
otalité du cuneus et à la partie la plus reculée du lobule lingual, dégénérescence du splenium, du tapetum et du faisceau optique
ite de la partie inférieure de la protubérance. Il n'y avait pas de dégénérescence des faisceaux blancs. Les auteurs pensent que
x renfermés dans le cinquième volume (1903). A VAN GEHUCHTEN : La dégénérescence dite rétrograde ou dégéné- rescence wallérienne
e et le trajet intercéribral des nerfs moteurs par la méthode de la dégénérescence wallérienne indirecte. , , III. Contribution
ombreux. Il parle, dans la rela- tion qu'il en fait', de toutes les dégénérescences qu'il a ren- contrées à Rosières-aux-Salines, d
ue ce sont les sujets qui présentent le plus de signes apparents de dégénérescence physique, parmi lesquels, par conséquent, on pe
ar d'autres in- fluences encore. On serait tenté de supposer que la dégénérescence et l'atrophie finale du tissu nerveux est simpl
Cette perversion sexuelle était donc la manifestation d'un état de dégénérescence que venaient encore affirmer un certain nombre
f ans par l'apparition de symptômes cérébraux graves, les signes de dégénérescence et l'arrêt de développement des membres témoign
; -5° Les Juifs sont fort disposés aux psychoses dans lesquelles la dégénérescence - · héréditaire est le facteur efficace presque
sse seulement à gauche. Enfin, l'enfant présente des stigmates de dégénérescence men- tale depuis le début de sa maladie. , La
ui pullulent dans les cordons postérieurs et y sont appelées par la dégénérescence brutale et rapide de ces cordons. Or la méthode
, dont les hul- bes et les .moelles offraient de grosses lésions de dégénérescence secondaire. ? Névrite optique. MM. 13J\tSSAUD
parents pour le médecin et même le malade, révélée seulement par la dégénérescence parenchymateuse constatée à l'examen histologiq
stologique, dans deux des cas, pas de modification ; dans un autre, dégénérescence des cellules du parenchyme avec hyperplasie du
l'on puisse conclure à la diminution du volume de la glande et à la dégénérescence et à la disparition de ses cellules. Cela veut-
istent, sont disséminés parmi des nappes hyalines résul- tant de la dégénérescence simultanée des fibres nerveuses, de la névrogli
ains cas, en dehors de toute compréssion osseuse, donner lieu à une dégénérescence hya- line des éléments nerveux, et au développe
nant du côté droit. La pa- ralysie s'est accompagnée de réaction de dégénérescence et a guéri complètement en deux mois. A ce prop
rès marqué de l'excitabilité électrique, par places une réaction de dégénérescence ; les organes pelviens étaient CORRESPONDANCE 2
l'alcool doit être considéré comme l'agent le plus important de la dégénérescence humaine. Il a aussi insisté sur l'accroisse- me
domaine de tous les nerfs émanés du plexus brachial, la réaction de dégénérescence existait à des degrés divers; peu accentuée dan
u radial, l'examen électrique nous a montré une forte réaction de dégénérescence . De même pour le tronc antéro-externe, vous ne
me pour le tronc antéro-externe, vous ne trouvez pas de réaction de dégénérescence et une parésie très peu prononcée dans les régi
le mus- culo-cutané alors que le médian montre de la réaction de dégénérescence et de la parésie. Enfin pour le tronc antéro- i
. Il est parfois possible d'ob- server sur une certaine longueur la dégénérescence rétro- grade souvent à type périaxile. Concur
d'après les symptômes présentés. Au-dessous de la compression la dégénérescence des nerfs est loin d'être totale. Vous voyez
rare et 1'.lIère surttlut de la COll1p"e"sitln, ahoulis- salll h la dégénérescence et à la sclérose du nerf ainsi englobé. C'est a
li3 peutropliie du c3 Iiiidi,a\e C, envahissement du cylindrwe; D, dégénérescence hyaline du cylindraxe. 306 CLINIQUE NERVEUSE.
sions des éléments nobles ; 2° lésions de l'appareil conjonctif. La dégénérescence tabétique consiste essentiellement dans la dest
ssus inflammatoire et qu'il n'existait à son niveau aucune trace de dégénérescence épi- théliomateuse. Les lésions histologiques o
l'individu possède plus ou moins de fibres pyramidales directes, à dégénérescence pyramidale égale. Défense de la théorie du neur
énomènes paralytiques les plus saillants bien qu'on ait constaté la dégénérescence complète du bout périphé- rique. L'amélioration
er. LXIII. Les anomalies du palais considérées comme stigmates de dégénérescence ; par E.-H. Haurisson. (The Journal of Mental Sc
térieure gauche. Ceci parait pouvoir s'expliquer par ce fait que la dégénérescence des fibres provenant de l'écorce cérébrale et de
n nerveuse cérébrale normale, ou bien un stigmate intra- crânien de dégénérescence , n'apparaissant que dans les cellules dont les
rtie comme une insuffisance de développement, en partie comme une dégénérescence ; mais comme la dégénérescence dépend d'une fai
e développement, en partie comme une dégénérescence ; mais comme la dégénérescence dépend d'une faiblesse constitutionnelle, la di
ation des couches corticales par la choline et d'autres produits de dégénérescence nerveuse représente, dans la littérature scien-
ambiant. Ces états ne sont pas nécessairement caractérisés par une dégénérescence : biologique- ment, ils représentent simplement
s les cas de delirium tremens constitue une lésion bien spéciale de dégénérescence jaune globulaire et de dégénérescence graisseus
e une lésion bien spéciale de dégénérescence jaune globulaire et de dégénérescence graisseuse des éléments nerveux. Pour interpr
ultime de son évolution peut subir la transforma- tion graisseuse ( dégénérescence granuleuse ou jaune globulaire (délires aigus),
use (dégénérescence granuleuse ou jaune globulaire (délires aigus), dégénérescence graisseuse (alcoolisme chronique). V. Tout déli
ues, caractérisées par l'atro- phie, la raréfaction chromatique, la dégénérescence pseudo-pig- mentaire et graisseuse, la vacuoli-
é génération trouble, la teinte bleue pdle uniforme (au Nissl) avec dégénérescence jaune globulaire constituent le type cellulaire
héréditaires, on ne e trouve aucune trace d'aliénation mentale, de dégénérescence dans sa famille. Jusqu'à son premier accès, 1\1
entale congénitale. Mais en élargissant à ce point le concept de la dégénérescence , on ne manquera pas, je le crains, d'en trouver
qui ne lui ressemble pas. Pour nous, nous n'acceptons la notion de dégénérescence qu'en pré- sence de grosses tares morbides qui
-créer de la confusion par l'exten- sion illégitime d'un mot) de la dégénérescence acquise. L'étude clinique de la psychose permet
ique de la psychose permet d'ailleurs d'éli- miner le diagnostic de dégénérescence . On ne peut grouper parmi les délires des dégén
nous montre que F... est bien constitué sans stigmates physiques de dégénérescence , il a le teint ,coloré et il est d'apparence ro
les processus kataboliques atteignent leur maximum. Ainsi, dans les dégénérescences primitives, de nombreux facteurs se réu- nissen
nombreux facteurs se réu- nissent pour produire les altérations de dégénérescence , qui débu- tent dans les lins rameaux collatéra
imulation peut être un facteur important dans la production , de la dégénérescence quand les neurones sont soumis à des influences
périences l'importance d'un excès d'effort dans la production de la dégénérescence . Il a montré que l'injection de poisons, tels q
maux qui l'avaient subie, un degré considérable d'anémie, mais sans dégénérescence ; tandis que des animaux. (rats) ayant subi les
ues des cellules des cornes antérieures. Edinger soutient que cette dégénérescence expérimentale a d'étroits rapports tant au poin
point de vue de sa cause qu'au point de vue de son siège avec la dégénérescence tabétique des colonnes postérieures chez l'homme.
robablement due à l'introduction dans la circulation de produits de dégénérescence neuronique. Les variations observées dans cet a
e synovites des poignets. Parmi les signes observés, la réaction de dégénérescence , l'hypoesthésie à disposition périphérique, l'e
examen anatomique fait en coupes sériées suffit à éclaircir. Tabès, dégénérescence descendante du système pyramidal par lésion cér
le accessoire dans la symptomatologie. Les muscles présentaient une dégénérescence très accusée, semblable àcelle qui succède aux
imitation de ces modifications de celles que nous observons dans la dégénérescence de `VALLER, le rapporteur donne, en se' basant
on et l'absorption de la myéline sont les phénomènes primaires ; la dégénérescence de la myéline s'associe plus tard et joue plutô
e et une croissance abondante de la substance fondamentale; 4° La dégénérescence de toute la fibre va assez également. Dans les
a fibre va assez également. Dans les névrites diphtèritiques. 1° La dégénérescence des parties isolées de la myéline est le phénom
ion des fibres ; l'absorption de la myéline a lieu à la suite de la dégénérescence ; 2° Le cylindre-axe se conserve très longtemps
rès longtemps ; sa désagrégation laisse après elle le tableau de la dégénérescence de Waller; 3° La multiplication des noyaux surv
, se fait aussi la croissance de la substance fondamentale. 4° La dégénérescence peut atteindre les segments isolés de l'en- vel
régularité du tableau compa- ratif de la « fragmentation » et de la dégénérescence du nerf; la fragmentation ne présente que l'un
ion ne présente que l'un des phénomènes et l'une des périodes de la dégénérescence du nerf. W.-K. ROTH compte possible que la frag
vait point de tare héréditaire lourde et de phénomènes accentués de dégénérescence ; dans la démence consécutive bien des malades r
reuciatÍon de Courants, démontrée par un cas de con- sécutive une dégénérescence pa- renclivmateiise de la moelle, par Rocktvr
13 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à regar- der précisément celte forme mentale comme une preuve de dégénérescence . » Pour L.-A. Hotu, c'est quand les idées prédo
coordonné, qu'elles indi- quent une lare psychopathique congéniate ( dégénérescence vraie) ou acquise (de par l'alcool, par exemple
on est empruntée à M. Selle 1 ; il la considère comme un exemple de dégénérescence acquise. Observation IL - Idée fixe chez un hom
néral, ces lésions, en augmentant le rythme du coeur, produisent la dégénérescence graisseuse et sclérose des artères qui au comme
de nombreuses tares physiques (infantilisme, stigmates physiques de dégénérescence ) et une déséquilibration mentale manifeste, a é
tte névrose, caractère commun à tous les phé- nomènes nerveux de la dégénérescence , le polymorphisme. Mais comme l'expression, cho
aire place à des états intellectuels bien définis, liés ou non à la dégénérescence . Nous croyons, toutefois, que la grande chirurg
tre un terme à l'invasion du pays par l'alcool et de s'opposer à la dégénérescence nationale, certaine et prochaine, si des mesure
P... présente l'attitude extérieure et les signes phy- siques de la dégénérescence mentale : oreilles très écartées de la tête et
ucune maladie grave; pas d'excès alcooliques. Mais les signes de la dégénérescence ont pu être constatés de bonne heure. Dès l'ado
uivante se rattache à celle des persécutés per- sécuteurs mais sans dégénérescence mentale, ou tout au moins elle peut être consid
pérature entre les deux côtés. Chen... porte peu de stigmates de dégénérescence . Les oreilles, le crâne, la bouche (dents, pala
énération, mais imprime à la descendance, des stigmates profonds de dégénérescence phy- sique, intellectuelle et morale, et cela a
u l'hématoporphyrinurie. (Revue neurologique, avril j1. E. U. XI. Dégénérescence et stigmates mentaux; malformation de l'ectoder
noevi pigmentaires qui caractérisent la maladie de Uecklinghausen. Dégénérescence , stigmates congénitaux, maladie de Uecktinghaus
physiques de la maladie de Recklinghausen sont des stigmates de la dégénérescence , cette maladie représentant une 144 SOCIÉTÉS SA
e, cette maladie représentant une 144 SOCIÉTÉS SAVANTES. forme de dégénérescence . En résumé, le malade en question appa- rait co
réputées comme stigmates SOCIÉTÉS SAVANTES. '145 5 (physiques) de dégénérescence , l'auteur attire l'attention surtout sur la con
e certaines anomalies auriculaires consi- dérées comme stigmates de dégénérescence , n'ont pas d'autre valeur que celle de simples
pense que la combi- naison des stigmates physiques et psychiques de dégénérescence n'est pas obligatoire chez le même individu. W.
IfAnN (de Wurtzbourg) rapporte l'observation d'un malade atteint de dégénérescence mentale et dont l'obsession était caractérisée
t le développement intellectuel est normal et dont les stigmates de dégénérescence sont peu accentués, la guérison de l'onanisme p
étinite pigmentaire; 3° l'idiotie, qui indiquent un degré marqué de dégénérescence . Après avoir signalé, comme principale conséque
olie frappant une même famille que le lien très général créé par la dégénérescence . En matière de maladie infectieuse, il' ne saur
ales doivent-elles être considérées comme des stigmates internes de dégénérescence au même titre que celles relevées sur la face,
'ailleurs par les figures qui accompagnent son travail. De même, la dégénérescence et la disparition des cellules du noyau dorsal
ésions pathologiques peuvent se résumer comme suit : endartérite et dégénérescence hyaline des vaisseaux spinaux et méningés ; inf
t ultérieur du cerveau alors que le tissu du corps calleux subit la dégénérescence conjonctive ou la prolifération conjonctive, ?
ration des cellules décroissent d'intensité. Nulle part il n'y a de dégénérescences secondaires. Chez les chiens qui ont'survécu le
les rechutes. La fréquence de la récidive dépend et du degré de la dégénérescence et d'autres facteurs parmi lesquels le milieu,
1° névrose (hystérie, neurasthénie, épilepsie) ; 2° alcoolisme ; 3° dégénérescence . Ces trois facteurs sont tantôt séparés, tantôt
est moins tenace et moins définitive que dans la neurasthénie et la dégénérescence des persécuteurs raisonnants. Enfin, au point d
nels, qu'on les envisage comme relevant de la neurasthénie ou de la dégénérescence . VIII. Thèses de la Faculté de Médecine de Pari
disme à tous ses degrés n'a que la valeur d'un stigmate physique de dégénérescence , au même titre que la profondeur de la voûte pa
lement chez M.... L'idiolie n'est que le degré le plus avancé de la dégénérescence psychique : d'où la relation que cette théorie
les hermaphrodites sont presque toujours des êtres inférieurs. A la dégénérescence physique correspond bien souvent la dégénéresce
inférieurs. A la dégénérescence physique correspond bien souvent la dégénérescence psychique. » 304 RECUEIL DE FAITS. Le Dr Pier
associés chez le même individu, et relèvent d'une cause unique, la dégénérescence héréditaire. VII. Bibliographie. - Consulter pr
troubles de la sensibilité, d'atrophie musculaire et de réaction de dégénérescence . Tous ces accidents rétrocédèrent peu à peu, sa
éments) ; 3° des altéra- tions parenchymateuses (tous les degrés de dégénérescence de la fibre nerveuse, depuis la tuméfaction lég
n domi- nante dans les paralysies diphtériques, consistant en une dégénérescence de la gaine de myéline des nerfs, dégénérescence
consistant en une dégénérescence de la gaine de myéline des nerfs, dégénérescence affectant également les fibres motrices et sens
iveux et malades et dont le physique porte souvent des stigmates de dégénérescence . Il termine son exposé par les conclusions suiv
, M. Truelle adopte la théorie de M. Magnan qui les explique par la dégénérescence men- tale dont sont frappés, avant l'apparition
cendants de P. G. les maladies men- tales les plus communes sont la dégénérescence à tous ses degrés depuis l'idiotie jusqu'à la s
sivement motrice sans troubles de la sensibilité, ni réaction de dégénérescence , et seulement avec lésions médullaires. C'est u
à l'hôpital Saint-Antoine), 1891. 3 Ritti. Stigmates psychiques de dégénérescence (Annales médico- psycho" 1892). i Séglas et L
'une année, nous n'avons pu relever que trois cas. Observation I. - Dégénérescence mentale et hérédité : grand'mère aliénée. - Déb
la mettre en garde contre les boissons alcooliques. Poussée par la dégénérescence qui lui enlève toute résis- tance sérieuse, ell
rle automatiquement. Observation II (Service de M. le D' Magnan). - Dégénérescence mentale; grand-père et père alcooliques. Habitu
un homme de taille moyenne, bien musclé; pas de signes apparents de dégénérescence si ce n'est l'adhérence des lobules des oreille
ment la coïncidence. Observation IV (Service de M. le Dr Magnan). - Dégénérescence mentale et hérédité : frère aliéné. - Alcoolism
de son étendue. On peut dire que plus le foyer est ancien, plus la dégénérescence et REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGI
if à la suite de la destruction de son prolongement axillaire. La dégénérescence progressive et invariable des neurones pyra- mi
pas lieu de la rattacher, ainsi que le soutient M. Brissaud, il une dégénérescence des nerfs intra- musculaires. Cela posé, l'aute
e et le noyau sont normaux ; même dans les cas de tabes absolu avec dégénérescence extrême des racines posté- rieures. Ce noyau fo
t, qui n'est chez l'oiseau qu'un vermis, au moyen de la méthode des dégénérescences . Soixante-dix opérations sur cet ani- mal éthér
s de sections transverses de la moelle destinées à décider s'il y a dégénérescence ascendante et de quelles fibres, LI)amlésions d
ccusé dans les cordons postérieurs ; ils envoient en bas de courtes dégénérescences radiculaires, tandis qu'on constate une dégénér
de courtes dégénérescences radiculaires, tandis qu'on constate une dégénérescence qui monte jusqu'au bulbe. Seulement la zone de
e une dégénérescence qui monte jusqu'au bulbe. Seulement la zone de dégénérescence est de plus en plus pauvre, ce qui permet de pe
es olives et du trijumeau. On constate aussi, mais non toujours, la dégénérescence du pédoncule cérébelleux supérieur, des libres
le supérieure que de la moelle cervicale inférieure, entraînent une dégénérescence intra- spinale descendante et ascendante. La dé
ent une dégénérescence intra- spinale descendante et ascendante. La dégénérescence descendante en rapport avec les lésions transve
par exemple la forme en virgule (Schultze) ou se traduire par la dégénérescence du champ ovale du cordon postérieur. Ces deux o
e du cordon postérieur. Ces deux observations mettent en lumière la dégénérescence de Schultze. Cette dégénérescence en virgule ti
bservations mettent en lumière la dégénérescence de Schultze. Cette dégénérescence en virgule tiendrait, d'après les uns, à une lé
i que son observation eût plutôt pu servir d'appui à la thèse de la dégénérescence descendante consé- cutive à une lésion de la su
t Sottas, Gom- bault et l'hilipp, Tooth et Marie). Tooth dit que la dégénérescence en virgule ne s'observe pas dans la section tra
ive. Discussion des faits. Voici comment il faut les comprendre. La dégénérescence des- cendante des cordons postérieurs survient
aires descendantes dans le cordon pos- térieur, et l'on constate la dégénérescence de Schultze dans les lésions purement radiculai
e Schultze dans les lésions purement radiculaires Par conséquent la dégénérescence descendante des cordons postérieurs est explica
PATHOLOGIQUES. 07 dans leur segment antérieur. Mais la forme de la dégénérescence est tout à fait différente dans la ligature de
rne postérieure (Lenhossek, Marie), mais cela n'est pas démontré. Dégénérescence ascendante. - Nos faits confirment les observa-
ison paramédiane. Conclusions. - 10 Les observations relatives à la dégénérescence de la deuxième et de la troisième racine dorsal
érieures : cette conclusion se tire de la constatation que, dans la dégénérescence des deuxième et troisième racines dorsales, la
générescence des deuxième et troisième racines dorsales, la zone de dégénérescence (abstraction faite d'un très petit coin postéri
jerine et Sottas, Gombault et Philipp, très certainement suivies de dégénérescence descendante dans le cordon postérieur ; c'est l
de dégénérescence descendante dans le cordon postérieur ; c'est la dégénérescence en virgule de Schultze qui occupe le milieu du
plus immédiate, et est, par conséquent d'un court trajet. La vraie dégénérescence de Schultze est exclusivement produite par la l
fibres endogènes n'y prennent (c'est prouvé) pas part. Du reste la dégénérescence de Schultze n'est qu'une fraction de l'ensemble
égénérescence de Schultze n'est qu'une fraction de l'ensemble de la dégénérescence descendante du cordon postérieur. P. KERAVAL.
sarcome de la dure-mère spinale. Contribution à la connaissance des dégénérescences secondaires, consécutives à la compression de l
es neuvième et dixième segments sur une étendue de 2 centimètres. Dégénérescence ascendante des faisceaux de Goll, indistincte des
es faisceaux de Goll, indistincte des faisceaux latéro-cérébelleux; dégénérescence descendante des fais- ceaux latéropyramidaux. A
gnées, de vaisseaux dilatés; l'interruption est presque totale. Les dégénérescences sont celles de Hoche (Archivf. Psychiatrie, aIV
ent les dégénéres- cences descendantes. ' L'intérêt principal des dégénérescences ascendantes réside dans le faisceau de Gowers a
que, notre faisceau était presque seul conservé alors qu'il y avait dégénérescence complète du ruban de Reil. P. KERAYAL. XXI. D
une seule et même espèce de cellules présente des degrés variés de dégénérescence . Ces dégénérescences se voient dans toutes les
spèce de cellules présente des degrés variés de dégénérescence. Ces dégénérescences se voient dans toutes les parties du cerveau, m
ses polymorphes de l'intoxication chez l'homme, explicables par les dégénérescences cellulaires des di- verses couches corticales,
e pathétique, les parties supérieures de l'isthme, on en obtient la dégénérescence . La méthode chromo- osmique de Marchi permet de
res nerveuses. En dedans de la papille, on ne constate que quelques dégénérescences éparses. Le faisceau optique médian vient donc
semble causer la ^ cirrhose hépatique et rénale, l'athéromasie, la dégénérescence graisseuse du coeur et d'autres viscères. Les p
, c'est un homme petit, amaigri offrant de no)Q' breux stigmates de dégénérescence : asymétrie faciale, malform a tions dentaires,
coupe, la substance corticale est réduite d'épaisseur et a subi la dégénérescence grais- seuse. - Rein gauche, 158 grammes, gros,
osselé, congestionné, capsule épaisse; à la coupe, mêmes lésions de dégénérescence graisseuse très accentuée. REVUE DE PATHOLOGI
leur pronostique par la constatation ou l'absence de la réaction de dégénérescence . (Revue neurologique, juillet 1899.) E. Uux.
variabilité dans le temps, enfin, par la présence des stigmates de dégénérescence chez les sujets atteints. Les trois observations
e atrophie des grandes cellules motrices, un kyste hémorragique, la dégénérescence des faisceaux de Goll. P. IERA ? 1L. LVII. Ob
a altéré le sang, en a aug- menté la coagulabilité. et provoqué la dégénérescence graisseuse des cellules endothéliales des veine
de libres qui traversent le milieu de la langue) et de la parfaite dégénérescence sans aucune tendance à la guérison au bout de d
s vascularisées. Il y a eu ramollissement de la portion moyenne par dégénérescence hyaline de ses vaisseaux ? Tout énorme que so
concernant un homme de quarante ans, présentant des stigmates de dégénérescence et de la surdité verbale mentale. Cette observa-
s, 139. Dégénérés. Education des supé- rieurs, par Thulié, 518. Dégénérescence et stigmates mpn- taux. Malformation ue l'ectod
tion de sarcome de la spinale; contribution à la connaissance des dégénérescence secondaire consécutives à la coin- a34 Ir TAB
14 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
se produire, a besoin d'une prédispositon héréditaire, à savoir une dégénérescence mentale. (Annales médico-psychologiques, oct. 1
nlarclii, plusieurs fais- ceaux musculaires parurent atteints d'une dégénérescence très fine, pointillée. En résumé la lésion do
ncienne de l'oreille gauche, double tympan est épaissi et a subi la dégénérescence nacrée remontant a plusieurs années. Léger stra
nt unique en France, cependant le plus souvent elle correspond à la dégénérescence mentale avec dépres- sion mélancolique accompag
'interprétation doctrinale varie. Krafft-Ebing les classe parmi les dégénérescences psychiques, tan- dis que Magnan restreint pour
co Après l'ablation d'un hémisphère tout entier, on observe : une dégénérescence complète des noyaux de la couche optique, y com-
et la zona incerta du corps de Luys et de la substantia nigra ; une dégénérescence incomplète et des processus atrophiques dans la
ntes amènent chez REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 121 l'homme une dégénérescence secondaire des diverses c dépendances du cervea
ment atteintes à la suite de ces lésions. Le signe -j- indique une dégénérescence complète; le trait ver- tical une dégénérescenc
ne -j- indique une dégénérescence complète; le trait ver- tical une dégénérescence incomplète, n'intéressant qu'une par- tie du no
l au lobe frontal. P. KEKAVAL. II. Contribution A la QUESTION DES dégénérescences secondaires dans la substance blanche DE la MOE
. DARKSCIIE1VITSCiI. (Neurolog. Ce2z- 12,albl., XV, 1896.) Cas de dégénérescence ascendante de la moelle; étude anatomo- patholo
dans la moelle d'autre affection en foyer qui ail pu déterminer de dégénérescence ascendante, ! la dégénéres- cence des cordons p
lésée dans toute son épaisseur; celle-ci a produit la première. La dégénérescence en question occupe toute la hauteur de la moell
rées, en dedans, du côté delacloison postérieure. C'est pourquoi la dégénérescence des fibres sensitives de la moelle, en se propa
'autres termes, des dégérescences ascen- dantes qui, de même que la dégénérescence ascendante des fibres sensitives, dépendaient d
obablement pro- viennent de la substance grise, et qui subissent la dégénérescence descendante dans les lésions transverses du seg
es du champ ovale des cordons postérieurs ont dans l'espèce subi la dégénérescence des- cendante jusque dans la région le plus inf
du cordon latéral typique, manifeste à toutes les hauteurs. Cette dégénérescence unilatérale des racines postérieures limitée au c
née. Cons- truite par L. Schulmeister, de Vienne. P. K. IX. DE la dégénérescence DES faisceaux pyramidaux A la SUITE ' de l'exti
l'ablation des centres moteurs des membres d'un côté détermine une dégénérescence très marquée des faisceaux du cordon latéral da
s pyramides du côté opposé à la lésion, et en même temps une faible dégénérescence du même système du même côté que la lésion. On
richt, Vierhufi, quant à la figure, à l'étendue, au mécanisme de la dégénérescence homo- latérale. M. Rothmann s'est proposé de
on de l'écorce du cervean d'un côté, il se produit réelle- ment une dégénérescence du cordon latéral dans les pyramides des deux c
combien fréquemment, et à quel degré d'in- tensité, on rencontre la dégénérescence du système en question du côté de la lésion; -
en question du côté de la lésion; - 3° par quoi est produite cette dégénérescence . Expériences chez des chiens et des singes. Des
1° L'extirpation unilatérale des centres des mem- bres entraîne une dégénérescence bilatérale des cordons latéraux dans les pyrami
, jusqu'à quatre semaines au moins après l'opération, bien que la dégénérescence du cordon latéral des pyramides du même côté ne
ral des pyramides du même côté ne soit souvent qu'indiquée. - 3° La dégénérescence du cordon latéral dans les pyramides du même cô
4° Entre le deuxième et le quatrième mois qui suit l'opération, la dégénérescence du cordon latéral dans les pyra- mides du même
rograde et ne se constate plus plus tard. - 5° Si. chez l'homme, la dégénérescence homolatérale persiste, dans les périodes plus t
dégé- nérés ; ses psychoses doivent être marquées du sceau de la dégénérescence . Mais il est déjà du domaine vulgaire combien s
si fréquemment com- binée aux psychoses mystiques, et aussi par la dégénérescence mentale ordinaire ; la dégénérescence est assez
es mystiques, et aussi par la dégénérescence mentale ordinaire ; la dégénérescence est assez nette ici pour qu'il ne soit pas beso
continue (l'auteur laisse de côté les cas où la folie relève d'une dégénérescence des éléments nerveux). L'observation tant clini
mois. (American Journal of in- sanity, juillet 1896.) E. B. XVI. DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ LES CRIMINELS, MISE EN ÉVIDENCE PAR LE SYS
u cerveau peut être la cause immédiate de l'affection men- tale, la dégénérescence n'en étant qu'une cause plus éloignée. Il ne fa
ssait. Dans cinq cas sur douze il existait des signes manifestes de dégénérescence vasculaire. La quantité de sucre variait depuis
'il a faite sur le rapport de la supé- riorité intellectuelle et la dégénérescence névropathique. It reproche à ses contradicteurs
. La conception qui fait des cavités de la moelle le résultat de la dégénérescence des tumeurs n'est point partagée par l'auteur;
5 osmique offrent, pour un petit nombre seulement un processus de dégénérescence caractérisée par la fragmentation de la myéline
t le nerf olfactif 1 Les Neurones. - Les lois fondamentales de leur dégénérescence (Au- chives de Neurologie, juin 1896). ' TROU
e toutes les fibres nerveuses dégénèrent comme dans le tabes et les dégénérescences secondaires, que toutes les cellules nerveuses
xamen. Enfin les théories récentes du criminel-né, des stigmates de dégénérescence chez les criminels, sont venus, par leur exagér
ent peut-être devenus de grands saints ; et, à propos des signes de dégénérescence , M. Maudsley demande ironiquement si les enthou
and apôtre des gentils. Morel, autrefois, avait donné à ce mot de dégénérescence un sens et une valeur scientifique ; on a outre
bord l'envahissement, par la cause primitive de la névrite aiguë de dégénérescence , des branches supérieures du plexus brachial de
Les troubles moteurs ont généralement été caractéristiques de la dégénérescence du tractus pyramidal (paralysie avec rigidité spa
s en rapport avec le diagnostic de paralysie saturnine. Réaction de dégénérescence très prononcée à gauche dans l'extenseur propre
s radiaux. Le long supinateur est indemne. A la main la réaction de dégénérescence est assez prononcée dans les muscles de l'émine
ence sur l'intelligence. G. DENY. XXVII. Contribution A l'étude DES dégénérescences secondaires DES CENTRES ET VOIES OPTIQUES PRIMI
a les rapports les plus intimes avec les maladies mentales, est la dégénérescence ; c'est ce qui explique le grand nombre de reche
i bien qu'en présence de la fré- quence avec laquelle les signes de dégénérescence sont signalés, il y a souvent à se demander si,
du côté du corps, soit du côté de l'esprit sont bien des signes de dégénérescence ou non, s'il existe bien là des signes d'inféri
C. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 365 XXXVIII. Dégénérescence descendante dans la partie lombo-sacrée DES cor
postérieur tout le long des régions cervicale et dorsale et dont la dégénérescence est descendante. Il est situé vers le milieu du
nt ou s'il se retrouvait dans la région lombo- sacrée sous forme de dégénérescence diffuse. Or Gombault et Phi- lippe seuls avaien
avaient signalé un cas dans lequel la région dorsale présentait la dégénérescence classique du faisceau en virgule et la région l
du faisceau en virgule et la région lombo-sacrée une bande mince de dégénérescence occupant de chaque côté les deux tiers du bord
D'autre part ces mêmes auteurs signalaient deux cas de tabès où la dégénérescence ascendante totale des cordons postérieurs dans
dé ce point. Pour les cas des auteurs cités plus haut, il s'agit de dégénérescence à la suite d'une lésion importante intéressant
la méthode de Marchi. On trouva au-dessous de la lésion d'abord une dégénérescence totale des cordons antéro-latéraux et dans les
ie jusqu'à la commissure postérieure. Ily avait en outre une légère dégénérescence diffuse au milieu de la zone radiculaire. Ce ca
uestion en montrant à la suite d'une lésion cervicale d'une part la dégénérescence continue du faisceau en virgule tout le long de
ce grise au niveau du champ ovale de Flechsic- et d'autre part la dégénérescence , dans la région lombo-sacrée, de la bandelette du
érations intéressantes. R. DE Musgrave CLAY. LUI. UN cas DE FOLIE dégénérescence DE DÉVELOPPEMENT, avec INVER- SION SEXUELLE, MÉ
il est difficile de voir chez ce malade autre chose qu'un cas de dégénérescence héréditaire mal défini, ayant donné lieu à des
t ans). Alzheimer insiste sur les lésions des ganglions de la hase ( dégénérescence ). 9° Fréquence de la paralysie juvénile. Alzhei
(9 cas sur 193) avant toute autre ma- nifestation convulsive. La dégénérescence chronique épileptique se rencontre dans 00 à 70
guérison, des habitudes mystiques, de l'irascibilité. Tandis que la dégénérescence épileptique se traduit, quand elle se développe
modifications extrêmes de l'humeur un trait caractéristique de la dégénérescence psychique épileptique. Ces épileptiques dégénér
si l'état mental habituel du sujet présente les caractères de la dégénérescence psychique épileptique ; - si le prévenu a déjà eu
apprécier la responsabilité du sujet, on évaluera l'intensité de la dégénérescence psychique épileptique, on tiendra compte de la
re. Présidence de M. KRAEPELIN M. VoRsTER (Stephansfeld). Un cas de dégénérescence hyaline isolée dans le lobe frontal. L'auteur a
ondrome, mais l'examen hislologique montra qu'il s'agis- sait d'une dégénérescence hyaline des vaisseaux et de la substance voisin
férences qui exis- tent entre les cas récents et les cas anciens de dégénérescence hyaline. Contrairement à ce qui a été constaté
s antérieures, il n'existait pas, dans le cerveau, d'autre foyer de dégénérescence hyaline. Aussi au point de vue étiologique, faut-
EIIER distingue, dans le cerveau, la dégé- nérescence hyaline et la dégénérescence colloïde. Répondant à une question de M. Kraepe
d'une tumeur cérébrale ou de la paralysie générale, tandis que .la dégénérescence hyaline évolue sous la forme de la démence séni
ncée de la réaction galvanique de certains muscles avec réaction de dégénérescence . SOCIÉTÉS SAVANTES. 411 1 Vers la fin de la v
on du système nerveux, ils présentent des troubles trophiques et de dégénérescence divers, tels que : amaigrisse- ment cachectique
filtration cellulaire très accentuée des gaines péri-vascu- laires, dégénérescence des cellules ganglionnaires et oblitération des
térieure, avec infiltration cellulaire des gaines péri-vasculaires, dégénérescence des cellules ganglionnaires, disparition des él
ganglionnaires, disparition des éléments de structure avec ou sans dégénérescence des racines antérieures. Les lésions que l'on r
s, on constate une augmentation des cellules de la névroglie et une dégénérescence des fibres nerveuses. Il est actuellement impos
, par suite de l'oubli des mots, état qui est probablement dû à une dégénérescence cellulaire généralisée. Il. DE MUSGRAVE-CLAY. L
ne répond pas à l'électricité, il est pro- bable que la réaction de dégénérescence est complèle. La paraly- sie dans la sclérose l
ans la paralysie musculaire progressive, la paralysie résulte de la dégénérescence des cylindraxes, due elle-même à l'atrophie de
tumeur sarcomateuse compacte de la grosseur d'une petite pomme. La dégénérescence sarcomateuse s'étend le long de la pie- mère et
ès l'avis du rapporteur, doit être regardée comme un syndrome de la dégénérescence et peut être rapportée à la catégorie des impul
ique. Ce syndrome ne se développe pas toujours sur un terrain de la dégénérescence et conserve toujours son autonomie. M. Semida
uence d'un processus atrophique compliqué de dégéné- rescences. Ces dégénérescences n'étant qu'un phénomène particu- lier de la vie
lire systématisé. La systématisation du délire existe aussi dans la dégénérescence mentale, mais n'offre plus les mêmes caractères
morales et intel- lectuelles. 11 montre le vaste champ qu'occupe la dégénérescence mentale s'étendant de l'idiot à l'imbécile, au
souvent dans l'alcoolisme éclatent des délires étrangers liés à la dégénérescence mentale ou symptômes d'une autre psychose. Le
ith, 209. CRI'.TIIIIS11; sporadique, par Noyés, 238. Criminels. Dégénérescence chez les - , par Mac Corn, 223. CUISIT1L. Sig
nés, par Hess, 408. Dégénérés. Mâchoire des -, par Boody, 359. Dégénérescences secondaires de la substance blanche de la moell
ock, 375. Fontanelle. Séméiologie de la , pm Abt, 368. Frontal. Dégénérescence hyaline isolée dans le lobe -, par Vors- tel'
et le Congrès de Nancy, par Marandon de Montyel, Í2L " Optiques. Dégénérescence secon - daire îles centres et voies - - primi
15 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
érieures intéressant cer- tains segments de la moelle et amenant la dégénérescence de leurs fibres ou territoires radiculaires ? C
sus, on s'explique sans plus l'absence du réflexe patellaire. Si la dégénérescence tabétique se localise plus bas, dans la moelle
elle des fibres radiculaires montant dans le cordon postérieur, une dégénérescence des libres se rendant à la substance grise de l
urs comme effet de cette dégénération, les lésions destructives, la dégénérescence des fibres ascendantes du cordon postérieur qui
primitivement affectées, s'expliquerait par la fin du travail de la dégénérescence , par la disparition com- plète des fibres radic
ménopause, etc.) ; entre ces deux extrêmes, figure c) le groupe de dégénérescence (paraphrénies, obsessives ou impulsives, vicieuse
toxique; 20 Folie exotoxi- que ; 3° Folie épileptoïde ; 4° Folie de dégénérescence ; 5° Folie hystéroïde ; 6° Folie congénitale ;
u- laire ; c) épilepsie larvée des auteurs français. IV. Folie de dégénérescence . A. Paralysie générale et ses variétés. B. Déme
es affections mentales) : a) altéra- tions séniles : 1° Athérome et dégénérescences atrophiques con- nexes ; 2° Pachy-méningite cér
.) Ces notes comprennent cinq cas de lésion mitrale, trois cas de dégénérescence cardiaque, et un cas de vice de conformation con-
- tive des fibres endogènes n'est pas exclue, ni même celle d'une dégénérescence par transmission. Dans 2 cas de lèpre, les alté
ériques. - Communications diverses. Paraplégie ataxique subaiguë. Dégénérescence combinée suraiguë; par M. DANA (de New-Yorl : )
sans s'accompagner de symptômes nerveux bien marqués; les foyers de dégénérescence médullaire peuvent être légers et peu étendus.
pernicieuse peut aussi produire les symptômes et les lésions de la dégénérescence com- binée à dé la paraplégie ataxique subaiguë
le faisceau pyramidal. La maladie se développe en foyers, d'où la dégénérescence s'étend dans chaque direction, en haut et en ba
e s'étend dans chaque direction, en haut et en bas. Ces foyers de dégénérescence ne sont pas des foyers secondaires, ou du moins
l est d'emblée généralisée, dépassant de beaucoup les limites de la dégénérescence secondaire des hémiplégiques. Elle ne se règle
i agraphie. Ramollissement cortical de la région calcarine gauche ; dégénérescence du tapetum gauche, du splenium et du tapetum du
scissure calcarine, de la presque totalité du lobule lingual ; une dégénérescence secondaire du tapetum gauche et de la radiation
tale ni de la substance sous-corti- cale de l'hémisphère gauche. La dégénérescence du tapetum se poursuit dans le splenium, passe
tion du côté des cellules nerveuses abou- tissent rapidement à leur dégénérescence . La lésion apparente qu'on voit souvent dans to
leucocytaire tardive dont le rôle est d'enlever les produits de 1 dégénérescence résultant du processus de myélite. Archives, 2°
trajet. Au-dessus, on suit jusqu'à la partie inférieure du bulbe la dégénérescence des faisceaux de Golle, de Burdach et du faisce
tique, aussi je me refuse à admettre qu'elles soient la cause de la dégénérescence des cordons postérieurs. D'autre part, elles ne
ion de 1 a branche centripète. Je ne veux pas nier par là, que la dégénérescence des racines postérieures ne puisse pas détermin
ieur de la génération déterminé par les facteurs ordi- naires de la dégénérescence , les infections et les intoxica- tions. Certa
oliques, hémoptysies. Garçon petit, grêle, chétif, à stig- mates de dégénérescence . Il a une soeur jumelle jusqu'ici indemne. Père
Elle n'a eu, de son second mari, que cette grossesse gémellaire. Dégénérescence et hérédité, telles sont les particularités éti
elles sont les particularités étiologiques de ces six observations. Dégénérescence surtout chez G... et B... fils de phtisiques; V
taille étant de 1 mètre 61, sans infirmité,'sans signes marqués de dégénérescence à part une plagiocéphalie avec proéminence marq
t de la combinaison de ces deux éléments pathogéniques est issue la dégénérescence mentale des deux soeurs jumelles dont nous veno
vent pas nécessairement de la prédisposition héréditaire ou de la dégénérescence pure et simple mais supposent une cause acciden
ns sur les maladies de la moelle, p. 380. Le labes dorsalis est une dégénérescence du protoneurone centripète. Si le tabes est cel
énérescence du protoneurone centripète. Si le tabes est cela, - une dégénérescence du proto- neurone centripète, les cellules de l
nosa, l'intégrité des fibres appartenant au second neurone. Mais la dégénérescence des faisceaux de fibres de gros calibre qui par
ns la substantiva spongiosa et surtout dans la corne antérieure, la dégénérescence des collatérales réflexes, affecte gravement la
ait mal : quelques cellules avaient même subi le dernier degré de dégénérescence 1. Stroebe estimait, contrairement à Wollenberg
ellules trophomo- trices des cornes antérieures, affection due à la dégénérescence des collatérales des prolongements des racines
uement, l'amyotrophie se développe très lentement et la réaction de dégénérescence fait défaut; histologiquement, l'affection se c
aro, montrant que la section de la branche périphérique entraîne la dégénérescence de la cellule des ganglions spinaux, tandis que
rovoque-t-elle pas la même lésion dans d'autres processus diffus de dégénérescence de l'écorce, par exemple, dans la démence sénil
la plupart de leurs fibres. Le caractère de lésions en foyer de la dégénérescence tabétique parait véritable. L'affection tabétiq
a déviation la plus ordinaire de ce type cellulaire normal est la - dégénérescence granuleuse de la substance chromophile : la cel-
es cellules à peu près saines et d'autres à : diverses périodes de la dégénérescence granuleuse ... . 140 REVU)' : D'ANATOMIE ET DE
rellement, il y avait des cellules où la substance était en état de dégénérescence ; mais la majorité appar- tenait au type normal.
enue sans traces d'éléments morphologiques, permet de conclure à la dégénérescence du, tissu nerveux nécrosé par coagulation, à un
moelle cervicale a montré une atrophie des cornes antérieures, une dégénérescence hyaline de tous les vaisseaux et une oblitérati
uble de la sensibilité du système pileux. P. Keraval. XXVI. De la dégénérescence des fibres du bulbe dans la démence paralytique
l'àge de un an, d'une paralysie du plexus brachial avec réaction de dégénérescence limitée au groupe radiculaire supérieur. La dis
s, alcoolisme 1 fois, nervosisme 3 fois, hystérie 1 fois, signes de dégénérescence 1 fois). La bacillose pour donner lieu à la tré
15 janvier 1901. Présidence DE M. LE D'' Jules Voisin. Stigmates de dégénérescence mentale et psychothérapie. ni. PAUL PAREZ expos
-persécutrice, présentait un cas de folie à deux, avec stigmates de dégénérescence mentale, tels que phobies, obsessions, impulsio
. légère exquisse de Romberg. Mais du reste aucun signe absolu de dégénérescence du cordon pyramidal. Pas de clonus du pied, pas
pour être limitée n'en a pas moins été profonde. Qu'il y ait eu une dégénérescence localisée des faisceaux médullaires, que quelqu
y a de probabilités pour qu'on voie les muscles des jambes subir la dégénérescence grais- seuse en même temps qu'ils s'atrophient,
ante et onze cas chez les malades atteints d'une forme psychique de dégénérescence mentale. Parmi les malades ayant une forme aigu
s profonds suivie d'atrophie musculaire avec réaction électrique de dégénérescence , le tout accompagné 248 REVUE DE PATHOLOGIE NER
s tous les cas d'atrophie on constatait la réac- tion électrique de dégénérescence . Les troubles vaso-moteurs et trophiques, sauf
nant que, dans un cas au moins, il y avait des lésions évidentes de dégénérescence dans les cellules motrices de la corne grise an
n vraie consistant, autant du moins qu'on a pu s'en assurer, en une dégénérescence des filets nerveux eux-mêmes ; et quant aux mus
ique parti- cipait à la lésion, ils présentaient les altérations de dégénérescence que déterminent communément le trouble de l'inn
; 2° Sarcome multiple du cerveau. Opération. Mort. Autopsie ; 3" Dégénérescence calcaire- du corps pituitaire. Mort. Autopsie;
ur qu'on lui attribue ici un rôle. Au microscope, on a constaté une dégénérescence avancée -des cellules et des gaines de myéline
moyenne et externe : l'aspect rappelait celui des altérations de dégénérescence survenant dans des vaisseaux préalablement mala
lésion valvulaire récente. Enfin il faut noter qu'il existait de la dégénérescence graisseuse aigué autour des vaisseaux sanguins
de leur respon- sabilité. Leur histoire biologique, leur état de dégénérescence mentale, BIBLIOGRAPHIE. 2G3 permettent de tro
res aux dégénérés, aux déséquilibrés. Aussi, je crois que l'état de dégénérescence , créant l'impulsion au suicide ou à l'homicide,
onte névro- giique autour de ceux-ci). Les vaisseaux subissent la dégénérescence fibreuse. Les méninges elles aussi semblent pre
de produits de formation particulière qu'il désigne sous le nom de dégénérescence colloïde. Ce sont des corps menus, arrondis en
nnent d'être décrits, mais, comme eux, caractéristique d'un état de dégénérescence . On peut les rencontrer dans différentes mala-
(Obersteiner). Elles sont très nombreuses dans toutes les formes de dégénérescence où la fibre nerveuse est atteinte, et la méthod
e qui ressemble à la graisse. On croit qu'elles pro- viennent de la dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses, des cellules
'exposition au froid et les agents to.\iques qui abou- tissent à la dégénérescence nerveuse. Quant au siège de la lésion (sauf en
s ; mais cette origine n'est probablement pas la seule : lorsque la dégénérescence hyaline atteint les arté- rioles, elle les obst
mois, mais la diplégie faciale persiste avec signes de réaction de dégénérescence . Chez le second malade, la polynévrite réalise
ue totale de la moelle au niveau de la région dorso-lombaire avec dégénérescence hyaline en masse. Au-dessus et au-dessous se sont
ssus inflammatoire qui a amené d'abord la prolifération, ensuite la dégénérescence du tissu névroglique. En outre, les coupes fine
OLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE Séance du 13 janvier 1901. Stirn.ates de dégénérescence mentale et psychothérapie. M. Paul Farez expose
persécutrice, présentait un' cas de folie- à deux avec stigmates de dégénérescence mentale, tels que phobies, obsessions, impulsio
décrivit ensuite le délire de persécution. Enfin Magnan, avec la dégénérescence mentale, Krupelin avec la démence précoce, ont
de More], ni la folie avec conscience de Pritli, ni un syndrome de dégénérescence (Magnan), encore moins de l'épilep- sie larvée
é-existante de la troisième paire. - 4° Elle indique toujours une dégénérescence nerveuse centrale, intéressant soit le noyau du
auteur on trouve le cas de Siemer- ling dans lequel on constata une dégénérescence du noyau sphinc- terien et des nerfs moteurs oc
érivasculaires et péricellulaires dilatés, et gorgés de leucocytes. Dégénérescence graisseuse des parois des vais- seaux. Masses'd
yse qui était, au contraire atrophiée dans les deux cas, en voie de dégénérescence calcaire dans le second. L'artério-sclérose ne
totale du bulbe et de la protubérance avec atrophie des cellules et dégénérescence des fibres surtout dans l'olive gauche. Ce cas
frontal, infarctus des poumons, rate hyper- trophiée et atteinte de dégénérescence graisseuse. En somme pyo- hémie. L. D. XLVII.
nglionnaires et destruction des éléments de structure, avec ou sans dégénérescence des racines antérieures. Le traitement est jusq
avait subi une notable diminution de volume, probablement due à la dégénérescence des fibres croisées de com- municatioif qui von
ervé seize cas, dont six ont guéri : cette ma- ladie est un état de dégénérescence du système nerveux qui enva- hit primitivement
git est une manifestation de la période tertiaire, et une lésion de dégénérescence , très distincte des produits de formation ; il
e des produits de formation ; il examine ici quelques points delà dégénérescence cellulaire et principalement ce qu'il appelle la
x. Deux autres points sont à considérer, l'arrêt du processus et la dégénérescence progressive. Dans la dé- générescence syphiliti
s, telles que les altérations vasculaires des gros vaisseaux et les dégénérescences des faisceaux de la moelle ou des tractus optiq
t la pathologie de la maladie, on y observe deux périodes, l'une de dégénérescence lente, l'autre Se modifica- tion active; c'est
leur absence de réaction sont des signes de lésions profondes de dégénérescence . Le diagnostic différentiel est à faire avec : 1°
faiblissement progressif, et est le plus souvent déterminée par une dégénérescence graisseuse du coeur qui est la conséquence ordi
réditaire ; peut être existe-t-il d'autres conditions favorisant la dégénérescence . Discussion. M. Minor fait remarquer que les co
on complète de l'excitabilité galvanique, voire même la réaction de dégénérescence . Ainsi chez le malade affecté de névrite trauma
st de taille moyenne, bien pris, assez robuste et sans stigmates de dégénérescence . Son visage, jeune et à peu près imberbe, lui d
sentaient, outre la défectuosité iutellectuel'e, d'autres signes de dégénérescence : paralysies infantiles hémilatérales, cérébral
lente qui ne verse pas dans la. ! vraie démence sénile. Etude delà dégénérescence mentale, notam- ment de l'imbécillité, de la fo
hi donne des résultats négatifs démontrant ainsi qu'il n'y a pas de dégénérescence en activité des fibres blanches. Il n'y a pas n
par Long et Wie), 113. DECUI31TUS aigu, par Doutrebente, 498. Dégénérescence mentale et psycho- thérapie, par Il. Farez, 189
16 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns de l'hystérie et un délire des persécutions. « Comme signes de dégénérescence , nous notons de la si MÉDECINE LÉGALE. microc
t d'une façon complète comme dans la moelle. L'étude anatomique des dégénérescences est impuis- sante à combler cette lacune et d'a
'un internement précoce ou d'une amélioration due au traitement. La dégénérescence invoquée par les psychiatres contemporains, qui
(deux lettres en rouge) au milieu de la poitrine. P. KERAVAL. IV. Dégénérescence et mariage; par le D'' T.1L13oT. Le danger qui
1° les phobies constitution- nelles qui se sont liées à un fond de dégénérescence héréditaire et sont le plus souvent rebelles au
surtout de l'ataxie locomotrice, type des maladies systématiques de dégénérescence . Les modifications de la neurone par les influe
dernier plan le processus scléreux et donné plus d'importance à la dégénérescence primitive des éléments paren- chymateux. Le tab
s, suivant 111übius, n'est pas une néoplasie syphilitique, mais une dégénérescence parenchymateuse atro- phique centripète des neu
nisme pendant la vie foetale ou après la naissance, mais bien d'une dégénérescence congénitale des centres nerveux. Il ne convient
singulière. Nous consi- dérons cette anomalie comme un stigmate de dégénérescence . Le cerveau de notre malade en présente du rest
raves anomalies que nous devons consi- dérer comme des stigmates de dégénérescence . L'asymétrie des faisceaux pyramidaux est très
éré- ditaire, on devra y reconnaître le stigmate anatomique de la dégénérescence des centres nerveux qui fournirait l'explica- t
n des centres du facial et 'de l'hypoglosse entraine tou- jours une dégénérescence descendante dans la pyramide du même côté. La l
cortical de n'importe quel nerf cranien, entraîne donc toujours une dégénérescence de fibres quelconques allant à la moelle. La dé
s une dégénérescence de fibres quelconques allant à la moelle. La dégénérescence de toutes les fibres des pyramides qui dégénèrent
ies scléreuses des cordons de la moelle, peut être le produit d'une dégénérescence ou d'une régénérescence des fibres nerveuses. -
'une dégénérescence ou d'une régénérescence des fibres nerveuses. - Dégénérescence , disent les uns, car les gaines de myéline sont
disent les uns, car les gaines de myéline sont dégénérées, d'où la dégénérescence des cylin- draxes, car, au début de sclérose, i
ou constatait cependant l'existence de gaines de myéline en voie de dégénérescence , de fibres com- primées et séparées les unes de
s ASZ galvanique. Il pensait qu'il s'agis- sait des prodromes d'une dégénérescence du nerf. Depuis, Bernhardt a attribué à la situ
nt bien des indications physiologiques. ' P. KERAVAL. XIII. De la dégénérescence des fibres du bulbe dans la démence paralytique
ngue durée. Dans le bulbe et au niveau de la protu- bérance, il y a dégénérescence totale : de tout le territoire de la partie rét
st exceptionnelle, dans les autres cas on constate toujours quelque dégénérescence des fibres du tronc du cerveau ; cette dégénére
jours quelque dégénérescence des fibres du tronc du cerveau ; cette dégénérescence n'est jamais totalement absente. Il s'agit évid
nérescence n'est jamais totalement absente. Il s'agit évidemment de dégénérescences secondaires par atrophie des cellules nerveuses
le interne d'un hémisphère cérébra ira, dans la moelle produire une dégénérescence du cordon latéral du côté opposé ainsi qu'une d
re une dégénérescence du cordon latéral du côté opposé ainsi qu'une dégénérescence du cordon latéral du même côté notablement plus
sement des faisceaux moteurs de la capsule interne. On constate une dégénérescence considérable du cordon latéral du côte opposé ;
le du chien a pu produire, dans le point où chez l'homme existe une dégénérescence du cordon antérieur des pyramides, une très int
dégénérescence du cordon antérieur des pyramides, une très intense dégénérescence descendante, tandis qu'au même endroit il y ava
égénérescence descendante, tandis qu'au même endroit il y avait une dégénérescence ascendante insignifiante. Il est donc possible
itonéal. A la hauteur des racines dorsales moyennes on constate une dégénérescence ascendante, tout à fait symétrique, des faiscea
154 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. rieures une dégénérescence ascendante du faisceau fondamental du cordon an
brillaire de la cellule nerveuse. Telle est la phase 3, la phase de dégénérescence . La résection des nerfs ou leur arrachement, en
nerf. P. Isnavnt. XXI. Contribution à la technique histologique des dégénérescences des cordons tout à fait au début ; par K. SCHAF
E PATHOLOGIQUES. 157 déceler les deux stades caractéristiques de la dégénérescence secondaire des cordons. C'est pour le premier s
ar elles sont friables. On déshy- drate, on éclaircit. Le début des dégénérescences en question apparaît alors uniformément jaune;
organique et dépende d'une prolifération de la névroglie, et d'une dégénérescence des cellules REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. ICI L co
ans doute par déterminer des altérations anatomiques permanentes ( dégénérescence cellulaire et prolifération consécutive de la név
, surtout dans le voisinage des vaisseaux qui restent calibrés, une dégénérescence spéciale, qui, en s'agrandissant constitue la f
bris de parenchyme médullaire. Au microscope, on retrouve aussi une dégénérescence spéciale de la névroglie, mais là, cette dégéné
e aussi une dégénérescence spéciale de la névroglie, mais là, cette dégénérescence , au lieu d'aboutir à des cavités avec parois, c
E. XVI. La polyurie simple est toujours l'expression d'un fait de dégénérescence ; par SCABIA. (Riv. di pat. neru. et ment., rase.
imple doit être toujours regardée comme l'expres- sion d'un fait de dégénérescence ; et lorsqu'il existe en même temps des symptôme
re névrose, ils ne sont que surajoutés tout simplement à ceux de la dégénérescence . Ou peut conserver les dénominations de polyuri
omelus de l'humérus dans l'épilepsie considéré comme un stigmate de dégénérescence , avec deux observations; par L. l'IEaas Clark.
uteurs français ; depuis vingt ans, bien avant que les stigmates de dégénérescence aient été admis par l'ensemble des médecins, Bo
nnino, qui publie un volume sur les rapports de l'épilepsie avec la dégénérescence , ne parle pas des os; Donaggio publie un articl
é et à la ménopause. Elle rentre dans la catégorie des maladies par dégénérescence , et les stigmates de cet état s'y ob- REVUE DE
probablement au poison qui agit sur le corps thyroïde et cause la dégénérescence myxoedémateuse ou crétinoïde. Il y a quelques-
4° un état spécial d'bydrémie anémique qu'il faut distinguer de la dégénérescence du crétinisme. 1° L'auteur a pu observer un cas
observait chez ce petit malade paraissaient une consé- quence de la dégénérescence graisseuse. 4° Le dernier ordre de faits renfer
des lèvres, simule pour un observateur inexpérimenté, un début de dégénérescence myxoedémateuse. Mais l'hydrémie s'étend rare- m
la tuberculose a été constatée, elle était récente. On a trouvé la dégénérescence du tissu pulmonaire aussi souvent dans les cas
lles chez les aliénés. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 29 Le type de dégénérescence pulmonaire que l'on observe chez les aliénés se
laissent point indifférents les déshérités de l'in- telligence : la dégénérescence morale, l'épilepsie et l'ivrognerie. . Dr E. MA
la voie atavique. Il conclut en demandant l'extension de l'idée de dégénérescence et sa plus grande généralisation. La paranoïa n
nous devons le considé- rer comme une atrophie particulière, comme dégénérescence suigeneris. Bien des auteurs pourl'indicationde
drites » est très commode, simple et compréhensible pour marquer la dégénérescence en ques- tion. L'état perlé des prolongements
de dire à quoi nous avons affaire, puisque l'état moniliforme comme dégénérescence variqueuse des 284 -il ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
les fines altérations histologiques de la moelle épinière dans les dégénérescences secondaires ascendantes et descendantes. (Archi
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 309 XXXIX. Les dégénérescences rétrogrades dans la moelle épinière en rapport
iques, avec processus secondaires d'atrophie, de ramollissement, de dégénérescence , d'hyperplasie conjonctive, de sclérose, alors
rE (8 juillet). Examen histologique (11 planches) montrant diverses dégénérescences cellulaires centrales particulièrement la chrom
commune. Celle-ci est bien une REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 333 dégénérescence cérébrale, stigmate organique qui ne disparait
filets nerveux étrangers au cubital ne présente pas de réaction de dégénérescence . M. Marie a vu des cas analogues chez des tanne
allie à la doctrine de Magnan relative aux syndromes épisodiques de dégénérescence en ce qui concerne les obsessions et impulsions
médico-religieuses. Revenons à nos malades. II. Observation I. Dégénérescence mentale. Père alcoolique ; frères buveur*. Habi
s bien plantées, ne présentant pas de signes physiques apparents de dégénérescence . Pas de tremblements du corps, des mains seulem
les yeux brillants. Tremblement généralisé. Comme signe physique de dégénérescence , on trouve que les boules frontales sont complè
'épilepsie pro- viennent du processus destructif de l'écorce, de la dégénérescence des fibres arciformes accompagnée de dégénéresc
l'écorce, de la dégénérescence des fibres arciformes accompagnée de dégénérescence secondaire ou tout au moins de trouble fonction
ceaux d'association qui les font communiquer entre eux. Aussi la dégénérescence des fibres arciformes sous-corticales entraine-
u si elles viennent du bulbe. P. Keraval. LXIV. Contribution à la dégénérescence descendante du cordon postérieur; par J. ZAPPER
nt la moelle cervi- cale et surtout à droite. Méthode de Marchi. La dégénérescence des racines postérieures, limitée à la moelle c
droit de passage des racines postérieures à travers la pie-mère. La dégénérescence , intraspinale, a produit ladégénéres- cence asc
Burdach, surtout à droite; dans le champ du faisceau de Burdach, la dégénérescence est le moins accusée au niveau de la zone posté
entre le faisceau de Burdach et le faisceau de Goll; cette zone de dégénérescence est REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
lesquels on a comprimé la moelle dans les régions élevées. C'est la dégénérescence de la virgule de Schultze, consécutive à une lé
pression de la partie supérieure de la moelle dorsale a provoqué la dégénérescence de la virgule de Schultze et une lésion réelle,
e paire lombaire, la zone de Schultze ayant disparu, il reste cette dégénérescence médiane, toujours située dans les parties antér
située dans les parties antérieures du cordon postérieur; de cette dégénérescence -là on ne constate plus qu'un faible résidu au n
elà ligne médiane , dont le trajet en bas est court ; qu'il y a une dégénérescence 424 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
rmi les causes de cette maladie, il faut citer en première ligne la dégénérescence psychique, dont tous les sujets sont atteints;
les sujets sont atteints; vient ensuite l'alcoolisme qui, uni à la dégénérescence , engendre presque tous les cas. Enfin on peut s
off, Alcoolisme et aliénation mentale ; 3" W. A. Mouratow, Types de dégénérescence dans le roman de Dostoïewski « Les frères Kara-
ité est chargée ; en cherchant bien, on trouverait des stigmates de dégénérescence physique ou psychique, en particulier, la viole
rillon. Il ne faut pas exagérer l'importance de l'hérédité et de la dégénérescence ; d'ailleurs, bien peu nombreux sont ceux dans l
- Chez l'auteur, 14, rue Duphot. ' 0 NINA-RoDRIGUES. - Métissage, dégénérescence et crime. Brochure in-8° de 40 pages, avec 2 ta
arrivée. L'examen physique dénote chez lui de nombreux signes de dégénérescence . Asymétrie faciale marquée. Front bas, voûte du
ent dans la moelle et notamment dans la colonne de Clarke. Pas de dégénérescence médullaire régulièrement distribuée; nerfs péri
iles de la Seine. Interne de l'infirmerie du Dépôt. Observation IV. Dégénérescence héréditaire : oncle paternel aliéné alcoolique.
E DANS L'ALCOOLISME AIGU. 483 cranio-faciale, caractéristique de la dégénérescence mentale. Il a été à l'école pendant cinq à six
diminue. Transféré à Ville-Evrard'le 30 avril. Observation VIII. - Dégénérescence mentale : très émotif, des doides. Alcoolisme a
découvert l'hyperes- thésie, l'alcool, demain, achevant l'oeuvre de dégénérescence , provoquera chez ces ivrognes aussi les phénomè
s, disons-nous, nous avons trouvé derrière l'alcool la marque de la dégénérescence héréditaire, le legs des parents alcooliques, o
tables dix ou douze jours après et même davantage. Chez les uns, la dégénérescence est peu profonde, chez les autres elle est si i
Cette ténacité des troubles hallucinatoires est proportionnée à la dégénérescence héréditaire, mais elle est individuelle. Et mai
ières altérations seraient incapables d'avoir donné naissance à une dégénérescence secondaire des faisceaux pyramidaux, qui ne pût
s , par Carrier, 357. Dressage des jeunes -, par'lhu- lié, 538. Dégénérescence et mariage, par Talbot, 56. De la des fibres du
ar Cu lierre, 289. - de la jalousie, par villers, 427. Démence. Dégénérescence des fibres du bulbe dans la - paralytique, pa
lie et psychose Mamaco dépressi- ve, par Gucci, 234. Mariage et dégénérescence , par Tal- bot,56. .Médecine. Les progrès de l
tives à l'occlusion de l'aorte abdominale, par Righetti, 306. Les dégénérescences rétro- grades dans la -, par Ceni, 309. Malfo
17 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e la prolifération conjonctive et contenant par places des îlots de dégénérescence sous forme de flaques homogènes à coloration plus
ins, pancréas, rien. - Foie volumi- neux, ayant un certain degré de dégénérescence graisseuse. Vésicule biliaire, rien. Rate gross
alpêtrière, n° G, 1899.) Le torticolis mental est-il un syndrome de dégénérescence tou- jours accompagné d'un cortège plus ou moin
es points du rôle de l'alcoolisme maternel considéré comme agent de dégénérescence de la race. Il se termine par les conclu- sions
'organisme maternel, effets qui provoquent un état transmissible de dégénérescence , et pour une autre part à l'action directe sur
e (Revue clemécl.) de la pseudo- paralysie générale arthritique par dégénérescences athéromateuses diffuses des capillaires et des
ndaire. Mais ! 'athéromasie des artérioles intracor- ticales et les dégénérescences diffuses des éléments nobles qui l'accompagnent
'encéphalite inflammatoire, ni adhérences ni opacités des méninges. Dégénérescence des artérioles et des éléments ner- veux sans t
crit il y a peu de temps deux cas de maladies cérébrales à forme de dégénérescence observés chez des enfants et ressemblant beau-
e démence oiganique, chez lesquels le tissu cérébral est en état de dégénérescence pro- gressive ; 3° idiots de l'espèce la plus i
ion chirurgicale se justifiait pleinement. Seuls quelques signes de dégénérescence (oreilles, voûte palatine) et l'alcoolisme du p
ar W. PAVLOw. (Jozema. de Neurologie, 1899, nU 21.) En étudiant les dégénérescences consécutives aux lésions des tubercules quadrij
e allongée. Dans aucune de ses expériences. l'auteur n'a trouvé une dégénérescence des libres ascendantes se rendant vers le dienc
se passe à la suite de la section du cylindre axe d'un neurone : la dégénérescence vallérienne de son bout périphérique et la réac
les ramifications protoplasmiques de divers corps cellu- laires, la dégénérescence d'un côté et l'atrophie de l'autre devraient en
sez complète de la moelle l'au- teur conclut ainsi : Endartérite et dégénérescence hyaline des artères de la moelle et des méninge
que dans la paralysie infantile céré- brale on ne rencontre pas de dégénérescence secondaire. Dans un cas publié par Wiglesworth
ionnement, sans que cette interruption physiologique entraîne ni la dégénérescence vallérienne du bout périphérique ni la chromoly
bulbaire; par M. 13c,oco. (lCUI-010g. Cezzt,rabl., XVIII, 1899.) Dégénérescence tabétique des cordons postérieurs ; rétrécisse-
nt, au-dessus des ganglions de la base, dans le centre ovale, une dégénérescence des manchons de myéline ; la capsule interne est
; la capsule interne est intacte dans le segment lenticulo-optique. Dégénérescence , au contraire, très franche des faisceaux de l'
tres. Leurs résultats peuvent être résumés en quelques mots : Les dégénérescences secondaires à l'extirpation du centre frontal o
ction dorso-médiane en passant de chaque côté du noyau rouge. Cette dégénérescence ne se laissait pas poursuivre plus loin sous fo
ollatérales, qui se perdent dans la substance grise centrale. Une dégénérescence nettement visible sur les coupes passant derriè
us du faisceau de Vicq d'Azyr, dans les noyaux de la IIIe paire (la dégénérescence du noyau correspondant était plus marquée que c
um intermedium et dans la substance noire de Soemmering, une légère dégénérescence dans le corps genouillé externe et dans la couc
fibres superficielles du tubercule quadrijumeau des deux côtés, une dégénérescence dans la région des noyaux dans la IV paire des
me dans le ruban de Reil latéral du côté correspondant et enfin une dégénérescence dans les racines de la IVe paire. Guerver décri
aisceau pyramidal et du ruban de Reil du côté opposé, et une légère dégénérescence dans la racine ascendante de la Ve paire, enfin
dégénérescence dans la racine ascendante de la Ve paire, enfin une dégénérescence des noyaux de la VIe paire (la dégénérescence d
Ve paire, enfin une dégénérescence des noyaux de la VIe paire (la dégénérescence du côté opposé était plus accentuée que celle-ci
pour chaque âge,' en con- trôlant chaque donnée par la méthode des dégénérescences secon- daires, cherchant à montrer que chez les
nombre. Ceci s'accorde absolument avec les résultats de l'étude des dégénérescences secondaires qui montrent que toutes les régions
âge anormal auquel survint la maladie; 2° taudis que la réaction de dégénérescence existait dans les muscles tibiaux antérieurs de
e avaient recouvré presque toute leur force normale, la réaction de dégénérescence existait encore dans le groupe tibial antérieur
ins muscles mais resta définitive au niveau des autres. Réaction de dégénérescence , abolition des réflexes tendineux, conservation
résentés la malade; c'est ainsi que l'alté- ration des noyaux et la dégénérescence des nerfs de la troisième paire, la dégénéresce
des noyaux et la dégénérescence des nerfs de la troisième paire, la dégénérescence des nerfs optiques, la destruction des noyaux r
e impulsion, une obsession, ces stigmates si caractéristiques de la dégénérescence . Il en est de la folie comme des autres affecti
difficile. La forme légère ou démence pré- coce simple (stigmate de dégénérescence mentale, More]) doit être , SECTION DE PSYCHIAT
trent soit seuls soit asso- ciés à des stigmates non hystériques de dégénérescence ou de ner- vosisme acquis. Dans tous les cas
fournit la matière. Cette émoti- vité relève le plus souvent de la dégénérescence héréditaire ou acquise. C'est ce que montrent l
atteints de la paralysie générale; 3° L'hérédité pathologique et la dégénérescence ne jouent aucun rôle dans l'étiologie de la par
ralysie générale; 4° Les personnes qui ont de visibles stigmates de dégénérescence , physiques et psychi- ques, ne sont atteintes q
fection, tout en pouvant reconnaître d'autres causes, telles que la dégénérescence , le surmenage, etc. ; aurait surtout une origin
rfs moteurs et des nerfs sensitifs et il nous initiait aux lois des dégénérescences secondaires. Messieurs, la répercussion de ces
lle. Dès 1853, à une époque où il avait déjà inauguré l'étude des dégénérescences secondaires, rattachées ensuite aux scléroses,
o-motrices des cornes antérieures. Dans l'intervalle, l'étude des dégénérescences secondaires, qu'on voit survenir dans la moelle
omme en pathologie ner- veuse, nous attribuons à l'hérédité et à la dégénérescence , congé- nitale ou acquise, un rôle étiologique
blime dans notre rôle : aussi bien, lutter contre les progrès de la dégénérescence et de l'hérédité mor- bide ; contre la dissémin
cas d'idiotie survenant très tôt dans la vie d'enfants atteints de dégénérescence cérébrale, comme l'ont décrite Sachs, Ko- plick
s dans tels cas, et la lésion essentielle du cerveau semble être la dégénérescence des cellules pyramidales du cortex (Kingdon et
roubles mentaux, des alté- SECTION DE PSYCHIATRIE. 309 rations de dégénérescence dans les cellules nerveuses du cortex, dans la
peuse. Dans quelques cas, on a trouvé les capillaires frappés de dégénérescence crétacée ou graisseuse. III. La syphilis, comme
Rolando, et elles résultent de très petites hémorragies suivies de dégénérescence sclérotique, et sou- vent les circonvolutions f
erre et Bernadini ont observé une augmentation de la névroglie, une dégénérescence graisseuse et pigmentaire des cellules nerveuse
cles du larynx et de la langue, mais surtout dans les premiers, une dégénérescence granulo-graisseuse de plusieurs fibres musculai
e un signe certain de l'envahissement du muscle par un processus de dégénérescence . Dans certains cas de paralysie atrophique dégé
aussi de la distinguer de la paralysie infantile où la reaction de dégénérescence existe le z plus souvent. Lucien Roques chez
s sans lésions de la moelle et que jusqu'à présent la réaction de dégénérescence ne peut être considérée comme un signe apparte-
s non myélinisées ; et ces parties sont justement celles dont les dégénérescences secondaires nous montrent le.rapport avec les r
, nous avons pu constater chez les carnivores, par la méthode de la dégénérescence secondaire, qu'il existe des fibres d'associati
s sûrs. L'anatomie comparée, surtout sous la forme de l'étude des dégénérescences secondaires expérimentales, a, pour l'étude du
odes qui donnent vraiment de bons résul- tats sont la méthode de la dégénérescence et la méthode tératolo- gique. Mais pour employ
ise était bien le but de la méthode ; elle suffit à reconnaître les dégénérescences secondaires. Mais s'il s'agit de suivre le traj
éditaire. On a droit de les considérer comme des stigmates de cette dégénérescence . La fréquence d'hy- peresthésie sexuelle, l'éta
uand même l'irrésistibilité ne serait pas prouvée, néanmoins, vu sa dégénérescence psychique, dont le pré- venu ne peut être consi
saisissantes dans l'ensemble des manifesta- tions si variées de la dégénérescence mentale, a subi une véritable transformation et
s, nos émotions, nos inquié- tudes, nos angoisses. Syndrome de la dégénérescence mentale, l'obsession est donc une variété d'aut
sion el impulsion sont essentielle- ment des stigmates moraux de la dégénérescence mentale, les perversions de l'instinct sexuel,
satisfaction du besoin. L'exhibitionnisme impulsif, syndrome de la dégénérescence mentale, est donc : Une perversion sexuelle obs
s la répétition d'un attentat qui révèle un système. Syndrome de la dégénérescence mentale, le sadisme pathologique est une perver
l'alcoolisme sur la production de l'idiotie, de l'épilepsie, de la dégénérescence . D'ailleurs dans d'autres observations de l'ouv
'étudier et de peser l'état obsédant proprement dit, et le degré de dégénérescence , et l'existence possible des divers éléments d'
morales, suivant les degrés de la perversion. Cette idiotie est une dégénérescence , comme l'admettent Magnan, Fèré, J. Voisin, et,
s n'auraient pas pu vivre en société. Les stigmates physiques de la dégénérescence morale diffèrent peu de ceux de la dégénérescen
s physiques de la dégénérescence morale diffèrent peu de ceux de la dégénérescence intellectuelle, que personne ne regarde, pas pl
un peu 502 congrès international DE médecine. ancienne - outre la dégénérescence de la voie pédonculaire et du faisceau pyramida
des der- nières fibres transversales profondes du pont. 2° Que la dégénérescence descendante du ruban de Reil constatée dans ces
ce descendante du ruban de Reil constatée dans ces cas est due à la dégénérescence des fibres aberrantes de la voie pédonculaire.
trice anciennes ou remontant à l'enfance, elle tient en partie à la dégénérescence des libres aberrantes de la voie pédonculaire,
tant pour qui veut interpréter à l'aide de la méthode de Marchi les dégénérescences secondaires consé- cutives aux lésions cortical
ment. I. La structure des cordons postérieurs est montrée par les dégénérescences qui suivent : 1° les lésions des racines posté-
endogènes de la zone cornu-commissurale sont courtes et entrent en dégénérescence ascendante ; celles du faisceau en virgule dégé
ons dans les cordons postérieurs, qui sont parfois attribuées aux dégénérescences rétrogrades à partir des noyaux des cordons. Ces
r des noyaux des cordons. Ces lésions sont dues probablement il des dégénérescences ascendantes d'une ou de plusieurs racines qui o
ent à l'extension immédiate de la substance grise, et non pas à une dégénérescence secondaire qui tire son origine de la substance
se. La destruction de ces régions est apte cependant à produire des dégénérescences secon- daires à son tour. cl) L'ataxie de Fri
ion comprend plusieurs groupes de maladies, qui tous démontrent une dégénérescence simultanée dans ces cordons suivie d'une scléro
é- gique de Déjerine, combinirte System Erkrankung des Allemands, dégénérescence combinée d'anémie grave, dégénérescence com- bi
m Erkrankung des Allemands, dégénérescence combinée d'anémie grave, dégénérescence com- binée subaiguë des auteurs anglais. Il e
Dans le paraplégie ataxique les lésions ressemblent à celles de la dégénérescence combinée subaiguë, mais en diffèrent par une pl
ais en diffèrent par une plus grande lenteur de leur évolution. Les dégénérescences dans l'anémie grave paraissent avoir les mêmes
caractères que la com- binirte System Erkrankung de Rothmann et la dégénérescence combinée subaiguë. La lésion est surtout marqué
région lombaire celle près du septum sont intactes. Le fait que la dégénérescence s'étend autour de la périphérie de la moelle sa
jours avant sa mort, pouvait encore marcher seule. Il existe une. dégénérescence des racines postérieures de la moelle, elle a d
usculaire affaiblie par une lésion céré- belleuse et surtout par la dégénérescence tabétique des cordons postérieurs dont les élém
énomène du genou : celui-ci devient égal à zéro, ci l'instant où la dégénérescence des cordons postérieurs est égale à une décrois
iminution de la tension tonique des muscles, c'est-à-dire malgré la dégénérescence tabétique (partielle) des cordons postérieurs.
ici). Seulement ce ne sont pas, en l'espèce, des hémorragies et des dégénérescences qui atteignent cet affaiblissement l'action et
s de la moelle, que dans des hémorragies apoplectiques. ou dans les dégénérescences tabétiques. Il s'agit cependant encore de phéno
18 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tral, la paroi des vaisseaux, très épaissie, a, par places, subi la dégénérescence hyaline, et la stase du liquide dans le canal c
lu. llielscho\\ sky qu'il s'agit non d'une régénération, mais d'une dégénérescence . Ce ne peut être, objecte 31. Straehubeu, une d
d'une dégénérescence. Ce ne peut être, objecte 31. Straehubeu, une dégénérescence car je n'ai pas observé cette bifurcation uniqu
en séries perpendiculaires et transversales continues. L'étude des dégénérescences indique le hajef des faisceaux qui mettent en c
ère u la circonvolution sigmoïde. L'extirpation en est suivie d'une dégénérescence secondaire des circonvolutions du voisinage, du
multanément du cenlre oculo-musculaire pariétal, se traduit par des dégénérescences secondaires dans les circonvolutions voisines d
egré permet de dire qu'elles ont débuté parla moelle. Il existe une dégénérescence des colonnes de Clarke et du faisceau latéral d
ousseaux- du cordon entrecroisé anté- rieur de Hoche, il existe une dégénérescence éparse qui se perd dans le territoire du renfle
e côté est atteint jus- que dans'la moelle lombaire supérieure ; la dégénérescence est «les plus accusées dans la moelle dorsale.
champ du cordon latéral du cervelet. Dans le renflement cervical la dégénérescence de l'aire du cor- don latéral des pyramides pou
dispersés, de sorte que la corne latérale est entourée de débris de dégénérescence ; ici le domaine du cordon latéral du cervelet
de sorte que la limiLe latérale n'en est pas du tout distincte. La dégénérescence dans l'aire du faisceau de Gowers diminue forte
édés de \Iuellcr, Marchi, et \1'olLcrs (ligures.) On constate une dégénérescence descendante des pyramides, surtout des cordons
empiète sur les groupes médians, latéraux, centraux des cellules. Dégénérescence excessive des pyramides du bulbe, de la for- ma
laire, de la commissure antérieure, 'du corps calleux. Magnifiques [ dégénérescences corticales principalement des as- cendantes, du
tions sont moins^prononcées dans les circonvolutions de cet organe. Dégénérescence nette de la bandelelleoptique et du chiasma. Ne
ion des tuniques artérielles, tantôt par des lésions centrales avec dégénérescences périphériques (idiots, (hilepliclùes). G, DENY.
17 et 24 ans, l'atrophie des nerfs optiques ne s'accompagne pas de dégénérescence symétrique de la macula. Les S autopsies avec
? d(' fihl'l' langl'nlil'I[I ? . des libres radiaires, de l'écorce. Dégénérescence descendante des l'aicl'au.\ pl'aillidal1x dans
et de la macula, uliu de résoudre définitivement la question de la dégénérescence symétrique de la lâche jaune. S'il était établi
n devrait considérer l'a- nlaUI'Ol', l'[ 1)('III-t'[I'1' all ? j It dégénérescence delà macula COlllille Il' 1'¡"Il\[al : ; du 1)(
ibilité, l'existence de contractions librillaires et de réaction de dégénérescence jus- Cilieiit le diagnostic de poliomyélite à m
divers muscles de la main et du pied et avec traces de réaction de dégénérescence , ou (roubles objectifs de la sensibiliLé. II
niques de la moelle, on rencontre très llWluemmenL de ces signes de dégénérescence , ou, comme chez noire malade, des signes d'atav
érieurs de l'avant-bras sont atteints de paralysie avec réaction de dégénérescence . Formes frustes de lésions-du système pyramidal
ore. L'enfant anormal présente souvent des stigmates physiques de dégénérescence ; déformation crânienne, profil d'oiseau, bec d
ans que DelasiaUl e signalé son échec complet. Parmi les causes de dégénérescence physique et intellectuelle, l'orateur cite :
111 i ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE PATHOLOGIQUE 1 ote sur la dégénérescence secondaire consécu- " tive à un foyer de ramoll
w est d'avis que, pour des raisons d'ordre ana- Fio, 4. Fiv. 5. DÉGÉNÉRESCENCE SECONDAIRE. 179 fornique, toute destruction de
vation vient continuer cette règle. Avant de passer à l'étude des dégénérescences secondaires de notre cas, nous l'avons revu exa
r rapport au sujet qui nous occupe spécialement. Localisation de la dégénérescence secondaire. Aussi longtemps que, sur les coupes
longtemps que, sur les coupes, le foyer est de quelque étendue, la dégénérescence est manifeste dans le territoire des Fio. 6.
is faire partie de Tap. (Fig. 7). A mesure que le foyer diminue, la dégénérescence secondaire se localise, tandis que la substance
se terminer latéralement et en haut en une pointe sise Fig. 7. Î. DÉGÉNÉRESCENCE SECONDAIRE. 181 entre Iith. et Fli. et à l'extr
couleur noire, le calibre et la direction de celles de Fli. Puis la dégénérescence se localise plutôt dans le jambage latéral de l
mm. en avant de fig. 9, nous notons une len- dance prononcée de la dégénérescence il se subdiviser en deux- zones. L'une, inférie
touche presque. Entre les deux- zones se trouve un court Fig. 9. DÉGÉNÉRESCENCE SECONDAIRE. 183 espace apparemment normal, peut
delette optique, prend au Weigerl une forte coloration noire. La dégénérescence se prolonge dans le pulvinar et dans l'angle si
es à direction transverse, de l'extérieur à l'intérieur. FIG, Il. DÉGÉNÉRESCENCE SECONDAIRE. 15 FiG. 12. Fin. 13. 186 ANATOM
s foyers observés dans le corps calleux nous renonçons à décrire la dégénérescence secondaire de celui-ci. FIG, 14. DÉGÉNÉRESCEN
çons à décrire la dégénérescence secondaire de celui-ci. FIG, 14. DÉGÉNÉRESCENCE SECONDAIRE. 187 Résumé. Après un ramollissement
ceaux sagittaux ont également été lésés di- rectement ; 2. Que la dégénérescence secondaire se localise d'ahord dans la partie i
d'ahord dans la partie inférieure de Hth, et de Fli; 3. Que cette dégénérescence se subdivise dans une ré- gion plus frontale en
zone supérieure allant il c. g. c. et au pul vinar ; 4. Que cette dégénérescence est certainement beau- coup plus forte dans Fli
lésions de cette région par M. de Mo- nakow. Il en résulte que les dégénérescences secondai- res que nous décrivons sont attribuab
. Pour Déjerine (Anatomic des centres nerveux I, page 780), « les dégénérescences secondaires et l'anatomie comparée montrent don
les résultats de l'examen d'un cas de tumeur du lobe occipital avec dégénérescence secondaire de H th. Le néoplasme avait en quelq
ssez cependant pour expliquer à clic seule le siège tout autre delà dégénérescence secondaire. Il est évident qu'une tumeur agit a
e nted. leg.d. alieii. ment. XXV, 1899.) (4) MoxDio. Hérédité et dégénérescence dans le développement de la démence consécutive
S DÉMENTS PRÉCOCES. 210 rectifier le diagnostic clans le sens de la dégénérescence mentale. Ainsi les pseuio-stéréotypies peuven
du palais et qu'il est préma- turé d'établir des rapports entre la dégénérescence et les anoma- lies de la voûte palatine, ainsi
tres sur la profon- deur. 11 existe dans le pied du pédoncule une dégénérescence des- cendante située en dedans du faisceau pyra
ns la moelle même. Si l'on se ré- fère au schéma d'Ollersteiner, la dégénérescence ne porte que sur l' les nerfs crâniens moteurs,
ypoglosse et le fa- , cial ; c'est donc que nous avons affaire à la dégénérescence des nerfs crâniens moteurs, et que ceux-ci sont
VUE d'.ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. LU. Observation de dégénérescence ascendante des fi- bres du faisceau pyramidal ;
ubitus. (1Vordishtmedic. Arkiv. 11, 1901, n° 14.) On constate une dégénérescence descendante des faisceaux py- ramidaux, tant da
les parties environnantes de la substance blanche respectées par la dégénérescence secondaire. On ne saurait attri- buer cet état
imine une lésion des nerfs. Tout porte à croire à l'existence de la dégénérescence des fibres musculaires striées qui, d'après Zan
ntraînerait ruptures, hémorrha- gies, suppurations des muscles. Une dégénérescence légère est, quand l'innervation et la nutrition
s millimètres et dont le voisinage est formé de substances amorphe ( dégénérescence graisseuse des cellules des cornes anté- rieure
la plus sensible des cordons postérieurs ; c'est pour cela que les dégénérescences hydropiques, pellagreuses, et autres, s'y produ
t être nuisible pour la mère ; mais il peut amener la maladie et la dégénérescence du pro- duit. A ce dernier point de vue la copu
11ERA\'.1L. LXI. - Observation de tumeur de la protubérance avec dégénérescence de quelques systèmes cérébelleux ; par L. W. BL
erchée dans la lésion d'une partie des faisceaux céré- belleux. Les dégénérescences sont nombreuses. L'auteur insiste sur la dégéné
lleux. Les dégénérescences sont nombreuses. L'auteur insiste sur la dégénérescence descendante, à gauche, de la périphérie du REVU
nt rendu possible l'explicalion du galvanoLuome, delà réaction de dégénérescence des muscles, des actions polaires, de la tonicité
la main annoncée par Edinger et Bruns sur cette étendue, mais la dégénérescence n'est évidente que pour le groupe de cellules a
là indiquent la sclé- rose des cordons postérieurs et tiennent à la dégénérescence des racines postérieures qui, pour bien des aut
rs. Il étudie également les urines des malades, et les stigmates de dégénérescence (l'asy- miLl'le CI·t11110-faclLll; SLI'all assc
nne, qui maintenant ne se contente plus du dogme intangible de la dégénérescence mentale, établi par son maître Magnan, et qui,
elle inhibition n'est d'ailleurs pas pour surprendre sur ce fond de dégénérescence mentale. Meurtre dans un asile d'aliénés. On ma
cente. Elle a élé inaugurée par Bénéclikt Morol, dont le Traité des dégénérescences de l'espèce hu- maine paru en 1857, et continué
parler des dégénérés mystiques, il me faut dire en quoi consiste la dégénérescence . Les protoplasmas vivants ou bioprotéons sont d
repro- duction des cristaux. Il en est de même du problème de la dégénérescence . La dégénérescence en effet n'est qu'une forme
cristaux. Il en est de même du problème de la dégénérescence. La dégénérescence en effet n'est qu'une forme de l'hé- rédité. C'
et par conséquent morphologiques des êtres, l'uni- que cause de la dégénérescence . - '. Si la machine humaine se transforme en un
' . Sous nos climats, l'alcoolisme est la principale cause de la dégénérescence . La tuberculose elle-même, considé- rée comme l
doivent 374 PSYCHOLOGIE. également leurs qualités spéciales à la dégénérescence . Il en est de même dans l'espèce humaine. L. ,.
es qu'ils rendent, les incartades des hommes de génie. , Ainsi la dégénérescence mentale peut consister dans le non développemen
Toutefois la jalousie morbide, sans cause, est toujours un signe de dégénérescence ; quand ces enfants sont très dégi'nÍ'- ils devi
on d'un jeune homme présentant des signes physiques très accusés de dégénérescence mentale, chez lequel les préoccupations génital
, âgée de quarante-deux ans, est placée il l'asile Sainte-Anne pour dégénérescence mentale av ce hallucinations, idées mélancoliqu
toires à tous les niveaux de la subs- tance blanche médullaire sans dégénérescence . Pour les auteurs, la chorée serait une affecti
M. Déjerine, une plaque de sclérose unique, n'ayant provoqué aucune dégénérescence ni au- dessus ni au-dessous. \I. Jlaurice Ben
nts au 1 cr jaIn iel' 1903, d'où mélange de toutes les formes de la dégénérescence , (,'est l'exiguïté du quartier qui ne permet pa
ecine mentale, de médecine légale et d'anthro- pologie criminelle : Dégénérescence mentale et simu-, lation de la folie (1889); La
s. La psychologie des Les - mystiques, par Bi- net-Sanglé, 366. Dégénérescence . Note sur la secondaire consécutive à un foye
la conservation de la colora- lion des , par Stransky, 231. Voir Dégénérescence . Fièvre typhoïde. Voir Myopa- thie hystérique
de, par Blum, 293. MAL de MER. Voir Suggestion. M.%11CIIE. Voir Dégénérescence . UASTOUYNIE. Guérison d'une bilatérale par la
19 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
, des pliobïes de toutes espèces. Je ' Tabaraud. Les rapports de la dégénérescence mentale et de l'hys- térie, 1888. II. Colin.
e là it dire que l'h ! ls- série fait en quelque sorte partie de la dégénérescence , qu'elle doit en cire considérée pour ainsi dir
pour ainsi dire comme un des syndromes, il n'y a qu'un pas'. » « La dégénérescence mentale et l'hys- térie, disait aussi cl. Roubi
térie parait être ainsi le résultat d'une évolu- tion logique de la dégénérescence . '1» L'assimilation de l'ly;- 1 'Automatisme ps
s de Morel nous pouvons dire que cette affection est une maladie de dégénérescence . Un très grand nombre de circonstances jouent l
aladie \mentale\ appartenant au groupe considérable des maladies de dégénérescence , elle Il'a que des symptômes physiques assez va
ubstance grise d'une des cornes antérieures du renflement lombaire, dégénérescence des grandes cellules dans les cornes antérieure
stion, lésion des manchons de myéline, persistance des cylindraxes. Dégénérescence très accentuée des nerfs périphériques.- Observ
III. Paralysie spinale aiguë, vacuolisation des cellules nerveuses. Dégénérescence segmentaire des racines; dégénérescence commenç
ion des cellules nerveuses. Dégénérescence segmentaire des racines; dégénérescence commençante des nerfs périphériques; hémorrhagi
? Paralysie d'un seul membre, vacuolisation des cellules nerveuses, dégénérescence très marquée des racines qui cesse brusquement
esse brusquement au moment où ces racines pénètrent dans la moelle; dégénérescence très accusée des nerfs sciatiques. - Observatio
spinales, de REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 49 dégénérescence des nerfs périphériques. Chez ces douze animaux
s cordons postérieurs. Le processus primitif est cons- titué par la dégénérescence de la substance nerveuse. Le nombre des observa
laires. - Augmentation des noyaux le long des petits vaisseaux. z Dégénérescence granulo-graisseuse des cellules pyramidales, etc.
vez se consécutive ayant détruit une partie des cornes antérieures. Dégénérescence descendante des faisceaux latéraux. Je ne me di
ue isolé est situé en arrière, à gauche de la scissure postérieure. Dégénérescence des faisceaux pyramidaux. DES TUMEURS NÉVROGLIQ
a gauche. La portion diffuse rayonne dans les cordons postérieurs. Dégénérescence des faisceaux pyramidaux. 110 PATHOLOGIE NERVEU
ement étoiléc. Aplatissement etètirement des cornes à son pourtour. Dégénérescence intense des faisceaux pyramidaux croisés et des
faisceaux pyramidaux croisés et des faisceaux cerebelleux directs; dégénérescence moins visible des faisceaux de Gowers. DES TU
peut admettre qu'un grand nombre d'éléments fi- gurés ont subi une dégénérescence qui les rend méconnaissables. Les cellules cont
onctif Au centre de cette ca\ité le tissu conjonctif est en voie de dégénérescence lyaliue; le \aisseau n'est plus perméable au sa
e 122 PATHOLOGIE NERVEUSE. lésion ne parait pas donner lieu à une dégénérescence secondaire. Les faisceaux postérieurs sont comp
détruits vers la limite supérieure de la tumeur. Il en résulte une dégénérescence ascendante très remarquable par sa disposition
ce bande en arrière du noyau grêle. Un peu plus haut toute trace de dégénérescence de ce faisceau disparait com- plètement. Au c
ui se rendent au ruban de Reil et qui ne présentent aucune trace de dégénérescence . Il faut ajouter qu'en arrière des cordons grêl
2. Coupe du bulbe au niveau de l'entre-croisement du ruban de Reil. Dégénérescence ascendante du faisceau grêle, du faisceau cunéi
(M. A. Gom- bault, Société anat., 1891.) Dans ces cas, en effet, la dégénérescence , au lieu d'être totale, se limite à un croissan
reuse entre l'olive et le corps restiforme ;je ne suivrai pas cette dégénérescence plus haut pour le moment, ayant l'intention de
chromate, présentent de petits îlots clairsemés de tubes en voie de dégénérescence , mais il n'existe aucune trace de névrite inter
la sylvienne gauche qui, ' en un point, est' totalement 'oblitérée. Dégénérescence kystique des deux reins. ' " J U,11" t Ici , \
espaces péricellu ? laires;. atrophie des grandes cellules de Betz. Dégénérescence des fibres nerveuses à myéline. Les paquets 1 d
ion interstitielle chronique très avancée - mais 'peu étendue; ? 4° dégénérescence secondai re" du ic6rpsr'g"e- nouillé interne.'
ulement une hérédité chargée mais même des symptômes antécédents de dégénérescence men- tale, ces paralytiques présentèrent à plus
et à travers aujourd'hui dans la neurasthénie, comme aussi dans la dégénérescence . Suivant la prédominance des symptômes dans tel
e qui importe surtout c'est de reconnaitre si elle est simple, sans dégénérescence ni névrose surajoutée, - ou si elle est accompa
pabilité imaginaire certains paroxysmes psychiques relevant de'la dégénérescence mentale acquise ou héréditaire. L'aveu spontané
\l. LEGR.11N et RÉGIS font observer que dans le cas particulier, la dégénérescence est indéniable et les tares héréditaires mani-
e, 1893. Typographie E. Martin. Voisin (J.). L'Idiotie (Hérédité et dégénérescence mentale, psyc/w- logie et éducation de l'idiot)
a{¡me ! WftiRn.j ! '1'¡]gul,ièl'c qui ressemble beaucoup plus à une dégénérescence qu'à un processus de division directe 'ou indi-
àng'uineni'de'pigmentati6n;'bn n'aperçoit pas non plus de trace der dégénérescence 'des élémeilts`ânatômiques.,L'excavationqui` oc
lobe frontal droit, quoique comprimé, ne pré- sente aucune trace de dégénérescence et se colore par la méthode de Pal d'une façon
e même pour l'hémisphère droit tout entier qui ne ren- ferme pas de dégénérescence appréciable. A gauche, au contraire, la substan
u contraire, la substance blanche présente des marques évidentes de dégénérescence dans toute la partie antérieure du lobe frontal
ent sur la netteté de la coloration des parties envi- ronnantes. La dégénérescence s'étend en haut et en dehors de la tumeur vers
re la tumeur et l'écorce de la face orbitaire du lobe fron- tal, la dégénérescence est moins accentuée. En arrière, la dégénéresce
fron- tal, la dégénérescence est moins accentuée. En arrière, la dégénérescence gagne la face antérieure du corps strié, en res
s l'écorce de l'insula, mais je n'ai pas pu suivre par en bas cette dégénérescence de la capsule externe, et je n'ai pas pu m'assu
plasiques disparaissent complètement, il reste au même endroit une dégénérescence qui est bien visible sur la figure 21. Ce sont le
rontal UN CAS DE GLIOME NEURO-FORMATIF. 289 gauche. On suit cette dégénérescence tout le long du corps calleux, mais* elle s'ami
nce blanche du lobe frontal gauche a subi, autour de la tumeur, une dégénérescence considé- rable, qui ne se propage pas à la bran
la branche antérieure de la capsule interne. Il n'y a, pas d'autre dégénérescence secondaire dans le reste de l'hémisphère que ce
circonvolution de l'hippocampe. Il nous faut maintenant étudier les dégénérescences de la subs- tance grise, qui sont très étendues
l'union du 1/3 postérieur avec les 2/3 antérieurs du corps calleux. Dégénérescence du cingulum. Inclusion au collodion; coloration
tard par la méthode de Pal. En dehors du cerveau il n'y a aucune dégénérescence du reste de l'axe nerveux. Le bulbe et la moell
e l'autre. De sorte qu'en réalité, si l'on fait abs- traction de la dégénérescence des fibres à myéline tangentielles, la lésion d
me semble donc absolument légitime de placer dans le cas actuel la dégénérescence si étendue de ces fibres, que j'ai décrite plus
n qui précède confirme absolument ces vues; c'est un. second cas de dégénérescence , corticale du cerveau sous l'influence de la co
ale. On trouve, princi- palement en Bocage, de véritables foyers de dégénérescences psycho-cérébrales que l'on doit attribuer à l'h
est d'ordre histologique. Les processus d'atrophie, de sclérose, de dégénérescence à forme de cellules granuleuses, etc., se confo
e chezles paralytiques généraux, quand on ignore s'il s'agit- d'une dégénérescence secondaire ou d'une lésion autonome. La scléros
bulbe : l'intégrité des noyaux du plancher du 4e ventricule et la dégénérescence complète des olives et des parolives. Les olive
des pédoncules cérébelleux moyens et des olives inférieures. Les dégénérescences bulbo-protubérantielles consécutives aux lésion
un des éléments qui caractérisent le cortège symptomatique de la dégénérescence . C'est le signe qui dénote chez le malade une h
ues il n'existe pas chez B... d'autres manifestations typiques de dégénérescence . Il n'a pas eu d'autres formes d'obsessions; il
anie suraiguë ; évolution foudroyante en quatre semaines. Autopsie. Dégénérescence marginale du faisceau pyramidal. Après une étud
ar W. S. GREIDENBERG. (Centralbl. f. Nervenheilk. NF. III, 1892.) Dégénérescence héréditaire ; long isolement; excès bachiques et
s. Conclusion : Nous tendrions à admettre que aussi bien dans les dégénérescences secon- daires que dans le tabes le processus an
laire est parfois plus fortement affecté dans le tabes que dans les dégénérescences secondaires. Mais, comme dans quelques cas de t
iccatif (vernis gras cuit). P. K. XXVII. QUELQUES remarques SUR LES dégénérescences EXPÉRIMEN- tales du corps calleux ET DE L'ÉCORC
altérations relevées. 1° Intégrité de la commissure antérieure. 2° Dégénérescence partielle des fibres du corps calleux. Si l'on
moïde les fibres du corps calleux sont normales, en arrière, il y a dégénérescence de la substance blanche (blocs et boules de myé
lk, N F. III, 1892.) Excellente pour déceler de très bonne heure la dégénérescence des fibres nerveuses et, par suite, pour l'élud
erling. (Arc)eiv f. Pscleicat., XXIII, 3.) Blépharoptose à gauche ; dégénérescence centrale du noyau de l'oculo-moteur commun corr
phaliques, traumatiques ou autres du lobe occipital, entraînant des dégénérescences secondaires de ces organes. La dégénérescence s
ital, entraînant des dégénérescences secondaires de ces organes. La dégénérescence secondaire part du point lésé du lobe occipital
différence de localisations des lésions dans le lobe occipital. La dégénérescence secondaire est en tout semblable à celle qui se
ltérations ? En 1887, j'ai présenté des préparations relatives à la dégénérescence des olives dans l'athéromasie des artères de la
ions, psychoses hypochondriaques; e) les psychoses épilep- tiques : dégénérescence psychique des épileptiques, psychoses épileptiq
tives aux intoxications chro- niques : alcoolisme chronique avec la dégénérescence psychique des ivrognes, delirium tremens, délir
ne sous le sein gauche. D'un autre côté, pas de signes physiques de dégénérescence , tête à conformation normale, quoique front un
s, même faiblement. L'agoraphobie, selon moi, peut être un signe de dégénérescence mentale, mais là l'hypnotisme n'y fait rien, el
nt, une diminution de la sensibilité à droite, etc. Pas de signe de dégénérescence ni de dé- bilité mentale. Ces troubles psychiqu
par quelques familles. Ces mariages consan- guins qui favorisent la dégénérescence mentale peuvent éga- lement produire l'hystérie
vécu à, là lésion; 2° le processus anatomique ressemble en soi à la dégénérescence Wallérienne - ceci est très remarquable, car le
dégénèrent- bien avant les bouts centraux ;t 3" l'origine de cette dégénérescence tient ma- nifestement à l'interruption entre la
glionnaires l'activité trophique 'suffi- sante/Ainsi se produit'la' dégénérescence lente'et continuellement pro- gressive des fibr
crire avec précision la succession des phénomènes qui traduisent la dégénérescence des diverses espèces de fibres sensitives et tt
rition (échanges nutritifs); 7° les mêmes causes qui président a la dégénérescence des bouts nerveux centraux président aussi à l'
ophie simple, non'inflamma- toire du noyau qui a alors déterminé la dégénérescence descen- date,du' bout central, entre le ganglio
adiculaire disséminée de lai moelle dorsale, cervicale'et lombaire; dégénérescence des cornes) antérieures dans la moelle cervical
veau. C'est l'électricité qui réussit le mieux. M. Stroebe. De la dégénérescence et de la régénération des nerfs périphériques à
; elles ressemblent alors tout à fait aux cellules granuleuses des dégénérescences du système nerveux cenlral. On les rencontre d'
ramènent dans le courant lymphatique de l'économie les produits de dégénérescence des nerfs. La proliféiatipn des cellules de la
ntes, ni réunion par première inten- tion des fibres nerveuses sans dégénérescence du bout périphé- rique. (Voyez Ziegler's s l3ei
u ? par Th. '(. Gal1l11, 139; ., quelques,, rèmar- m ques sur, la dégénérescence . expé- lt,rimpntale du , par 111ut,atow; 397
. " Dégénérés, héréditaires, par La- " grange, 258 ? .Vv' r r . Dégénérescence , lésions spéciales à "diverses formes de muscul
= etlfde.l,r moelle, consécutive aux'amputa- tions, par de la , dégénérescence et de lanrégéné- ration de = l7ériphériyues,,à;
20 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
stérieure des couches optiques. Cette sclérose ne présentait pas la dégénérescence secondaire proprement dite. On voit partout sur
le faisceau de Gratiolet, ni dans les fibres du corps calleux, une dégénérescence proprement dite, bien que la lésion dans le pre
ait dans ces cas d'une lésion surplace de ce faisceau et non pas de dégénérescence proprement dite (4.). (1) CHARCOT, Progrès médi
rophie musculaire, de contractions fibril- laires et de réaction de dégénérescence ne nous permet pas de penser à cette espèce mor
ue, la diffi- culté de la déglutition sans atrophie, ni réaction de dégénérescence , la participation des nerfs crâniens rapprochen
. Jendràssik (1), qui a observé trois cas de ce genre, une certaine dégénérescence héréditaire semble en être la vraie cause. On p
e sans atrophie, sans contractions fibrillaires et sans réaction de dégénérescence . Le développe- ment du bras droit fut arrêté. I
rie avec perte de substance. Le manque d'atrophie et de réaction de dégénérescence prouve, que les noyaux des nerfs crâniens n'éta
aissant la capsule rétractée avec un contenu graisseux. Il subit la dégénérescence granulo-graisseuse (Lancereaux, Grasset) manifest
e; les kystes ne sont pas visibles de l'extérieur ; ils ont subi la dégénérescence stéatomateuse 2° Dans le premier sillon frontal
lement cervical (4°r segment dorsal inclu- sivement), on trouve des dégénérescences ascendantes qui portent de chaque côté sur le c
riphérie. Dans les 2e et 3c segments dorsaux, on retrouve les mêmes dégénérescences secondaires ascendantes, et on voit en outre un
NG ET WIKI raux, où les vaisseaux se montrent par places en état de dégénérescence hya- line. Le cordon de Goll droit est presque
action des fibres. Les faisceaux pyramidaux croisés sont en état de dégénérescence secondaire descendante. Les lésions vasculaires s
a repris son aspect normal. Renflement lombaire (rit,. 14). - La dégénérescence descendante des fais- ceaux pyramidaux croisés
qu'à l'état normal. Mais au delà les fibres ne sont pas en état de dégénérescence secondaire, et il est d'ailleurs fa- cile de co
sculaires, tantôt la tunique externe seulement. C'est surtout de la dégénérescence fibreuse que l'on observe, rarement de la dégéné-
avec prédominance au niveau des 5e et 6° seg- ments dorsaux, où la dégénérescence fibro-hyaline des parois vasculaires s'ob- serv
lésions en foyers de la substance nerveuse. Il montre bien que les dégénérescences secondaires prennent naissance dans des segments
ans la partie supérieure du 5° seg- ment dorsal, d'où est partie la dégénérescence secondaire de ce faisceau, tandis que pour le c
alogues pour 1 origine des autres dégénéres- cences secondaires. La dégénérescence du faisceau pyramidal croisé gauche est au maxi
ces régions les faisceaux pyramidaux croisés sont éclaircis par une dégénérescence rétrograde qui s'arrête au niveau de la 2° racine
e qui s'arrête au niveau de la 2° racine dorsale ; an- dessous leur dégénérescence cellulifune se prolonge jusqu'au cône terminal.
léreuses en foyers multiples qui constituent le point de départ des dégénérescences secondaires systématisées ; 3o une diminution d
indépendantes les unes des autres et on voit en particulier que les dégénérescences secondaires des cordons de Goll et des faisceau
ce fait une diminu- tion de volume lotius snústal1tiae, soit par la dégénérescence de fibres ou d'éléments cellulaires trop isolés
que cette malade ne présente qu'un des symptômes de la réaction de dégénérescence . Il s'agit, comme on le voit, d'une paralysie f
a toujours dans les cas de paralysie, un léger degré de réaction de dégénérescence , bien qu'il soit difficile de le démontrer. L
lacide survient (destruction complète). L'on sait, du reste, que la dégénérescence du nerf moteur oc- casionne une paralysie flacc
t penser que ce fonctionnement prolongé, forcé, les prédispose à la dégénérescence , occasionnée par le poison syphilitique et qu'ain
prédisposantes variables. Un individu prédisposé, par exemple, à la dégénérescence des éléments nerveux arrivera probablement à la p
imiler aux globes épidermiques. Ces tumeurs méningées subissent des dégénérescences de divers ordres qui ne sont pas tant liées à l
essus : 1ngiolithique que Cornil a bien décrit, il existe une autre dégénérescence , la dégénérescence hyaline, dont notre observa-
ue que Cornil a bien décrit, il existe une autre dégénérescence, la dégénérescence hyaline, dont notre observa- tion offre un bel
nt. Ces masses 'de nouvelle formation peuvent être envahies par des dégénérescences d'ordre variable. A côté de la dégénérescence g
tre envahies par des dégénérescences d'ordre variable. A côté de la dégénérescence graisseuse, il est toute une série de cas où le
petits amas entourés de cellules plus légèrement atteintes. Cette dégénérescence hyaline peut envahir aussi les capillaires de nou
bertson, dans le même chapitre, les décrit et fait intervenir cette dégénérescence par laquelle il explique les réactions elles ca
que se dégage. Ce processus,classique depuis Virchow, diffère de la dégénérescence .hyaline, avec laquelle il peut coexister. On p
t au vaisseau, dans les se- condes, le rôle primordial revient à la dégénérescence des parois vasculaires TUMEUR CÉRÉBRALE 195 d
Le seul point sur lequel nous insistons, c'est l'intervention de la dégénérescence hyaline avoisinante. Quantaux « grains d'amidon
dans les tissus voisins. Ceux-ci sont envahis secondairement par la dégénérescence hya- line ; sur les coupes, on voit alors une c
tologique que nous avons donnée plus haut. Il est probable que la dégénérescence hyaline intervient dans la genèse des cavités a
on rencontre fréquemment dans notre région. Comme stigmates dits de dégénérescence , on note que la bosse frontale gauche est moins
: 0 m. 99. Poids : 75 kilogs. Le malade présente quelques signes de dégénérescence : front légèrement bob- sué, lobule de l'oeil a
sultent des lésions trau- matiques des nerfs sont consécutives à la dégénérescence des filets vaso- constricteurs. Or cette dégéné
utives à la dégénérescence des filets vaso- constricteurs. Or cette dégénérescence existe chez notre malade. Elle est due à des in
e température et délire). Il présente de ces signes physiques de ^ dégénérescence qui ne sont que des arrêts de développement, ca
d'épilepsie et de naevus, présente lui-même, entre autres signes de dégénérescence , une diminution du nombre et une altération (hype
ERTRICHOSE LOMBO-SACRLI : ENVISAGÉE COMME STIGMATE ANATOMIQUE DE LA DÉGÉNÉRESCENCE PAR R LUCIEN MAYET Interne des Hôpitaux de
NÉRESCENCE PAR R LUCIEN MAYET Interne des Hôpitaux de Lyon La dégénérescence -- qui peut être définie : un état de moindre per
porelle et intellectuelle du dégénéré : ce sont les stigmates de la dégénérescence (44). Les uns traduisent la tare corporelle, ou
rieur : ce sont les stigmates anatomiques et physiologi- ques de la dégénérescence . D'autres, qui sont un objet d'études surtout p
admises comme normales : ce sont les stigmates psychologiques de la dégénérescence . D'autres enfin, qui ont provoqué des discussio
res à la vie collective : ce sont les stigmates sociologiques de la dégénérescence . , La production des stigmates anatomiques est
ncertains et très discutés, l'action des fac- teurs habituels de la dégénérescence : l'alcoolisme, la syphilis, la tuber- culose,
re, etc.... La nature tératologique des stigmates anatomiques de la dégénérescence est aujourd'hui bien établie. CONTRIBUTION A
sont plus rares et c'est sur un de ces stigmates anatomiques de la dégénérescence qu'il n'est pas habituel de rencontrer sur l'hy
e lombo-sacrée garde toute sa valeur comme stigmate ana- tomique de dégénérescence , l'existence du spina bifida étant elle-même le
bifida occulta, on constatait l'existence de multiples stigmates de dégénérescence de divers ordres. Nous n'insisterons que sur le
crée; celle-ci peut être regardée comme un stig- mate anatomique de dégénérescence . Pareille interprétation peut s'appliquer d'ail
ence presque constante de multiples autres stigmates anatomiques de dégénérescence , de troubles mentaux spéciaux aux dégénérés, vi
trois centimètres en moyenne, spina bifida occulta. Stigmates de dégénérescence incontestables : prognathisme exagéré, scoliose,
bourg. Sujet frêle, délicat, présentant divers autres stigmates de dégénérescence : oreille de More), anomalies de l'appareil vis
s hôpitaux, 5 et 12 janvier 1901. Les stigmates anato- miques de la dégénérescence . UN POSSÉDÉ DE HUBENS LA « TRANSFIGURATION »
re syphilitique, l'autre d'une mère ayant présenté à l'autopsie une dégénérescence aiguë du foie et des lésions rénales de nature
servation. Ethylisme paternel. Stigmates physiques el psychiques de dégénérescence . Absence des stigmates hystériques vulgaires. T
e entendue à 20 centimètres au lieu de 60. Stigmates physiques de dégénérescence . - La physionomie paraît il la fois in- dolente
uisqu'il spécifie le groupe des sar- comes angiomateux avec ou sans dégénérescence angiolithiclue. Dans le cas particulier de notr
illaires nombreux et dilatés. Ce sarcome a subi un certain degré de dégénérescence . En effet, en certains points, les noyaux cellu
n ne distingue pas de gouttelettes graisseuses, la recherche' de la dégénérescence hyaline par le procédé de Kûhne est négative; la
l'éosine et abou- tissant à la rétraction de la cellule : c'est la dégénérescence hyaline. Elle- n'est pas particulière aux endot
ologique, qu'il s'agit d'un endothéliome des méninges ayant subi la dégénérescence hyaline telle que la décrit Robertson. Quant au
eaux céré- belleux directs, ceux de Gowers, présentent toujours une dégénérescence ainsi que tout le reste du cordon antéro-Iatéra
millimètres. Au microscope, on constate sur les coupes du bulbe une dégénérescence des fibres dans les noyaux des cordons de Goll.
coloré que les autres endroits de la coupe, mais on n'y voit pas de dégénérescence . Le reste du bulbe ne présente pas de lésions.
résumé, notre examen montre les lésions suivantes : Dans la moelle, dégénérescence des fibres dans les cordons de Goll, dans les f
rise de la moelle avec disparition des cellules. Dans le bulbe, une dégénérescence du faisceau cérébelleux direct et du faisceau d
e supérieure 10 - 77 millimètres. Au microscope on constatait une dégénérescence des fibres des cordons postérieurs des faisceau
atrophiées, celles des colonnes de Clarke se trouvaient en état de dégénérescence grais- seuse. Dans le bulbe existait une atroph
et se manifestera par une dégénéres- cence des fibres nerveuses. La dégénérescence se produira en premier lieu dans tout lesystème
s l'avons dit, se produit au commencement une atrophie, ensuite une dégénérescence dans les parties moins résistantes du système n
le développement semble à peu près normal. On note l'absence et la dégénérescence d'un certain nombre de fibres à la partie postéri
ne. Sur une certaine étendue des cordons de Goll et de Bur- dach la dégénérescence s'étend davantage au niveau du cordon de Goll.
normales et bien myélinisées, elles ne présentent au- cune trace de dégénérescence . Le processus inflammatoire médullaire et périm
de l'élément cellulaire, les racines nerveuses ne présentent pas de dégénérescence , ni de lésions manifestes. Ces résultats sont c
anique augmentée avec CcN = ou < CcP ; c'est-à-dire, réaction de dégénérescence dans tous les muscles innervés par le cubital.
ophie consécutive avec des contractions fibrillaires et réaction de dégénérescence , les douleurs le long de son trajet et les déso
la plus minutieuse at- tention les symptômes variés et nombreux de dégénérescence que présen- tent les sujets et les membres de l
373. Hypertrichose (L') envisagée comme stig- mate anatomique de dégénérescence , par Lucien Mayet (1 pl. en photograv.), 266.
iTAi.SKY),XLVIHet XLIX. Hypertrichose (L') stigmate anatomique de dégénérescence (L. Mayet), XXXI. Hypertrophie des membres (E.B
21 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u nerf moteur oculaire commun droit à son émergence, entraînant une dégénérescence descendante de toutes les fibres de ce nerf. Lé
r oculaire commun droit, au niveau de son émer- gence, qui amène la dégénérescence de toutes les fibres périphé- riques de ce nerf
nuleux des cordons postérieurs, résultant de la superposition d'une dégénérescence tabétique systé- matisée et d'une myélite embry
scléro-gommeuse ancienne, limitée aux deux points déprimés; 2° une dégénérescence récente de l'épithélium des tubes contournés da
de noyau visible; elle est identique à celle du foie. Cette double dégénérescence parenchymateuse, qui fermait la porte à tous les
Moelle. Les cordons postérieurs sont du haut en bas le siège d'une dégénérescence avancée; mais même dans les zones les plus mala
la périphérie, où elle diffuse un peu en dehors, et qui répond à la dégénérescence plus intense de la région dorsale. Enfin, plus
plus avancée à gauche qu'à droite. Enfin dans le bulbe, on voit la dégénérescence de cordon de Goll s'épuiser dans le noyau grêle
, car elle a son maximum dans le renflement cervical, tandis que la dégénérescence systématique est plus avancée dans la région do
n'en présentent pour ainsi dire pas ou n'ont que des stigmates de dégénérescence physique plus ou moins marqués, et ordinai- rem
uteur cite ces cas curieux de jalousie pla- tonique, relevant de la dégénérescence mentale comme tous les cas de ce genre et où le
XXVIII. Le style DES paranoïaques ÉROTIQUES au point DE vue DE la DÉGÉNÉRESCENCE ; parle Dr, Ferrari. (lv. 57. si fren., fasc. II-I
produit appartient vraisemblablement au groupe mal défini de ces dégénérescences vitreuses dont un exemple nous est fourni par l
r Langhans, Trzebinski et moi-même sur des nerfs exempts de toute dégénérescence . L'hypothèse à la fois la plus originale et la
à contours nets ou ( diffus et. provenant vraisemblablement d'une dégénérescence spéciale ^de la matière conjonctive; tantôt il
de myélite scléreuse ci la partie supérieure de la région dorsale; dégénérescences fasciculées habituelles et, en plus, sclérose a
ve une dé-éii , éricé ·decén- Au-dessous de ce point on observe une dégénérescence , descen- Fig.-il. , ; r. "v ? ' ' : 1 ? Obs
. 93.t-Coupe pratiquée, au niveati, de la, sixième racine, dorsale; dégénérescence , des, faisceaux pyramidaux, plus marquée à''gauch
place du fais- ceau pyramidal, mais en avant on voit, en outre, une dégénérescence beaucoup plus légère qui s'avance dans le faisc
us légère qui s'avance dans le faisceau antéro-latéral. A droite la dégénérescence est moins régulière, ce qui est bien en rapport
es faisceaux de Goll, de Gowers et cérébel- leux direct ;'outre'ces dégénérescences ordinaires, il existe encore une diminution con
rvicale ; elle n'est plus visible dans les pyramides. "'--»-. Des dégénérescences des faisceaux cérébelleux direct et latéral **
/y. 19. Coupe pratiquée au niveau de la quatrième racine cervicale; dégénérescence ascendante des cordons de Goll, des faisceaux cér
' uv- * I-' 'J ? v t- ce faisceau ; elle se limite, comme dans les dégénérescences con- sécutives à des lésions'de iacines situées
parait avant le bulbe ? On''pounait'croirequ'e ! Ie', résulte de la dégénérescence de libres' ascendantes situées ''dans.. h cette
irect ne, diffère en, rien de ce qu'on observe dans tous les cas de dégénérescence secondaire. 11 n'en est pas de même pour la scl
certitude à sa cause infectieuse.' <u ' ' ''t' ~ ' ? I« z Les dégénérescences fasciculées consécutives à cette myélite transv
tant, bien qu'elles n'aient pas trait au sujet qui nous occupe. Les dégénérescences ascendantes des faisceaux de Goll, de Gowers et
est descendante, c'est la lésion habituelle, la conséquence de la dégénérescence wallérienne, tandis que l'autre, située au- des
lulaires des cornes', qui remontent si haut, sont la cause de cette dégénérescence ; mais - cette supposition tombe devant ce fait
qu'il y ait là un processus encore ? assez mal-connu, consécutif aux dégénérescences de. cause ' médullaire, en particulier à celles
ion n'était pas aussi facile. > , , ... Il t - La question des dégénérescences ascendantes a occupé déjà .un certain nombre, d
iste pas de cellules de cordons pour les voies pyramidales. 2 Une dégénérescence analogue du faisceau pyramidal vient d'être 'dé
tion intéressante d'hémichorée posthémiplégique du côté gauche avec dégénérescence du faisceau pyramidal. - La malade éprouve, dan
après le début. On «trouve : tuberculose pulmonaire et intestinale, dégénérescence des nerfs périphériques, atrophie dégénératrice d
inéal avec asystolie. 154 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Autopsie. Dégénérescence partielle et atrophie des cellules des cornes a
signes, à la fois somatiques et psychiques, qui caracté- risent la dégénérescence mentale. - 11 est actuellement bien établi que
que les précédents, il fera ressortir dans toute son évi- dence, la dégénérescence mentale du sujet. Nous voulons par- ler des div
UN TYPE D'HÉRÉDITAIRE DÉGÉNÉRÉ. 'l î.3 que c'est là le fond de la dégénérescence mentale. Le dégénéré est un être essentiellemen
, Mais on -ne. pouvait invoquer aucune des causes ordinaires de la dégénérescence ,' ni l'hérédité névropa- thique, ni une tare ne
objection persistait, car il n'y avait pas de preuve irréfutable de dégénérescence à lui opposer. , , Eh bien, le malade a succo
titue la condition majeure, la condition' fondâméntale \,.7 ? il ? dégénérescence intellectuelle. -L'autopsie écartant' àinsh"la
trente-deux ans/très forte-, ment constitué, sans aucun stigmate de dégénérescence , sans la) moindre tare héréditaire,, toujours é
'des'apparences''diverses,' dans toutes les anomalies psychiques.de dégénérescence , est le plus souvent une infl'r'mite congeilita
éditaires d'eux-mêmes ? Mais . chez l'adulte, il est certain que la dégénérescence peut,.aussi,s'acquérir par le fait d'une affect
t des liémorrha-ies) dans le, cerveau. Au microscope, il existe une dégénérescence .portant sur.toute, la coupeitransverse des cor-
OLOGIE. NERVEUSE. trophie de la névroglie dans le canal central, la dégénérescence des cordons postérieurs, une myélite, une affec
commissure dans la"p'aiLie'mo3,eiine de la moelle dorsale";1 2° la dégénérescence des colonnes de Clarté ; 3° l'arrêt de développ
eur insiste sur les points suivants : , ,n ^vm : q ^ .Tr ? n ? La dégénérescence tabétique des racines postérieures et les cas d
des racines postérieures dans' leur, trajet intramédullaire. Cette dégénérescence indique.que le;trajet des fibres, radiculaire^
ntram édul 1 aires. La zone marginale'de Lissauer participe à cette dégénérescence . Dans la substance gélatineuse, les fibres fines
e portion du trijumeau, nerfs des muscles de il il se pro- duit une dégénérescence de leurs fibres radiculaires intracéré- brales.
fibres, mais 'plus l'animal 'survit à' l'opération/ plus s'étend la dégénérescence ; au bout du cinquième jour, la racine du 'facia
ches au centre, ou au centre même, mais, dans, cei dernier cas'. la dégénérescence est plus rapide. La ' ` nléthode de : Marchil e
mes ? Ces lésions sont : à pigmentation. anormale,- état trouble et dégénérescence graisseuse du protoplasma,vacuolisation` et des
protoplasma,vacuolisation` et destruction de la cellule. Quand - la dégénérescence peut être suivie (obs : ·4 et 2), on voit que les
s les racines ? 1 lésions vasculaires de moyenne intensité. Bulbe : dégénérescence de presque tous les noyaux (excepté de l'acoust
b rleml-I,corlvoovd einten "b - : HniJf;n, XVII. Note SUR UN CAS DE dégénérescence TUBERCULEUSE DES capsules SURRÉNALES SANS, COLO
par IIoesel. (Archiv. f. Psychiat., XXV. 1.) Seconde observation de dégénérescence secondaire du ruban REVUE D'ANATOMIE, ET - DE P
ogie pathologiques ? '209 XXIV CONTRIBUTIONIA la connaissance DE la DÉGÉNÉRESCENCE ) ASCEN- D.1NTE · DES nerfs;' crâniens moteurs C
ervations : Observation I. Carie du rocher ayant détruit le facial. Dégénérescence de ce nerf jusqu'à son noyau, sans qu'il y ait
ais limitée à son trajet extramédul- laire ; il n'y a pas eu ici de dégénérescence ascendante, parce qu'il y a eu compression lent
qui0suive'nt< la naissance, de vastes portions du', cerveau. Ces dégénérescences ',atteignent toute la capsule interne'moins le~
tamment le pulvinar, bien que le microscope ne décèle pas traces de dégénérescence . Intégrité des noyaux, et des racines des nerfs
foyers disséminés sans ordre; rie venant former,un(champ étendu/de dégénérescence que par confluence; C'est ainsi que,'dès le déb
s,aussiles cornes grises.-A l'inversé de equialieuidansi,le tabès,. dégénérescence exception- nelle'des fibres fines') : des'colon
ce s'enaccroit parallèlement* au> nombre croissant des signes de dégénérescence .1 =, 4° On est donc autorisé à le ranger parmii
trijumeau, les nerfs des muscles de l'oeil, on voit se produire la dégénérescence de leurs fibres radiculaires intra-cérébrales.
daires suivantes A Le foyer qui occupe les ascendants a produit les dégénérescences secondaires ? Les pyramides'ont les' terminaiso
perplasie et rétraction du tissu conjonctif; pigmentation anormale, dégénérescence , graisseuse, état trouble du protoplasma des ce
xpostérieursà l'ex- trémité de la protubérance), ayant entraîné des dégénérescences secondaires. Diminution partielle des fibres du
che profonde des tubercules quadrijumeaux antérieurs correspondant. Dégénérescence descen- dante de l'olive. , ,, ,. , ., "; , ,,
tes, isolés, de, la criminalité^homicide et des signes physiques de dégénérescence . Si maintenant on observe non plus des aliénés
liénés iiioffetisils, on voit qu'eux aussi présentent des signeside dégénérescence et deicri- minalité combinés ensemble; onirenco
cides ou inoffensifs, présentent des signes de criminalité ! et. de dégénérescence . La question est de savoir si . les premiers, l
J. S.. REVUE, DE ..PATHOLOGIE-.MENTALE. 595 LŸII. Neurasthénie ET dégénérescence ; par leD1' P.Kovalewsky.' (Bull, de la Soc. de
ranoïaque Ton'observe'comme " conséquence de la ''neurasthénie.' La dégénérescence serait,' à' son ' tour,' une dés terminaisons d
itables' délires' chroniques se développant chez'des dégénérés.'L'a dégénérescence mentale constitue'-non'pas-un vaccin'4 pour le
zt /)'on ! the Alienist and Neurologisl. ' ' ' 1 Norsnau (11.). - Dégénérescence . Tome I" : Fin de siècle. - Le Mysticisme. Volu
8° de 431 pages. Prix 7 t'r. 50. Librairie F. Alcan. NoRDAU (M.). Dégénérescence , t. Il. L'égolis;2ze. - Le réalisme. Le vingtiè
oit être, considérée comme une lésion de système, ^'comparable à la dégénérescence des,cordons latéraux^et, des : dons postérieurs d
fération de la névroglie, etc.), les autres sont des altérations de dégénérescence et d'atrophie. 31ri( ).u ? jt,i. j z En' résumé
' des plus néfastes danstla paralysie générale : ils'favorisent, la dégénérescence et l'atrophie démêle- ments nerveux dont les'*
- dans cette apparente contradiction qu'une''quësti6n'dë degré'de dégénérescence héréditaire, l'accumulation de l'hérédité parais-
diffère des contractions musculaires lentes et vermiculaires de la dégénérescence et serait un mode'particulier du mode de réacti
dégénérescence et serait un mode'particulier du mode de réaction de dégénérescence bien qu'on ne la rencontre pas dans tous les ca
de paralysies faciales invétérées il n'a pu obtenir la réaction de dégénérescence .' "' ' ' "' « r;jr .« ? ? t ? ) ? ? j d4 .ru;'
duit,* mais la papille étranglée subsiste,'la rétine présente de la dégénérescence graisseuse qui entraîne une cécité presque complè
Dégénéré, un type d'héréditniie , .. par", V. Bourdîn, 161 . * ' Dégénérescence , neurasthénie et-, par Kovalewslcy, 295. '' '
ique, par Darksche- witsch, 198. "" 7"AF'' uG Nerfs crâniens ? Là dégénérescence expérimentale -ascendante, des , par L3ermann
au perchlorure de fer et é. la dinitrorésorcine pour l'étude des dégénérescences des -, par Beer; 222 : ' ? '' Nerveuses, path
ar l'électricité de cer- taines formes de , par Robinson, 229; et dégénérescence , par Kovalewsky, 295. Neurasthénique, . angoi
22 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
dystroplllque qu'il se produit d'abord une atrophie, plus tard une dégénérescence dans les parties les moins résistantes de l'axe n
racines postérieures et les cordons antéru latéraux. A remarquer la dégénérescence très nette du l.usccau de Tiirck. FIG. 2. Xe ra
moelle des amputés et des divers trau- matismes des extrémités, les dégénérescences rétrogrades de Durante (2). Citons en particuli
médecin aura pu dégager son esprit de l'idée de tumeur, néoplasme, dégénérescence et le reporter sur l'élé- ment étiologique, pat
en enton- noir). Contribution à l'élude des stigmates physiques de dégénérescence .Nouvelle Icono graphie de la Salpêtrière, 1891,
plus d'un symptôme, à la maladie de Friedreich et expliquée par la dégénérescence primitive des nerfs péri- phériques et des raci
développés. En somme, on ne note dans son enfance aucun stigmate de dégénérescence physique ou morale, auaune trace d'hystérie ou
rable des fibres du pédon- cule cérébelleux. Dans le bulbe, il ya a dégénérescence du même faisceau et de celui de Goll. Dans la m
d'hui par un syndrome commun dont le substratum ana- tomique est la dégénérescence primitive du seul proto-neurone moteur ou de so
soit trouvé dans des condi- tions particulièrement favorables à la dégénérescence , dégénérescence activée sans doute par l'exagér
s des condi- tions particulièrement favorables à la dégénérescence, dégénérescence activée sans doute par l'exagération de la pres
s déjà la région des corps genouillés externes apparaît normale, la dégénérescence n'ayant sans doute pas eu le temps de progresse
produits seraient des résidus ou de la nutrition cérébrale ou de la dégénérescence des fibres nerveuses. Nous avons démontré l'exi
ence des fibres nerveuses. Nous avons démontré l'existence de cette dégénérescence * allant jusqu'à la destruction totale. CLINIQ
tre IIe observation, en plus de l'athétose constatée sans lésion et dégénérescence consécutive de la voie pyramidale et de l'incoord
normales, 11 hypertro- phiées, 3 hypertrophiées et dégénérées, 1 en dégénérescence colloïde, 1 en dégénéres- cence kystique, 1 ave
formé par une sclérose spé- ciale, limitée aux cordons postérieurs ( dégénérescence grise). « La sclérose combinée envahit surtout
e du cylindre-axe ; la sclérose névroglique est assez dense. « La dégénérescence grise se limite aux cordons postérieurs, qu'elle
nd, Nageotte, Furstner, Ilomen, Sibelius, etc., l'identité de cette dégénérescence grise et de la sclérose tabétique est ab- solue
rimitives de la maladie dans la moelle (méningo-myélite), et 2° les dégénérescences secondaires à l'encéphalite (1) ».Crouzon (2) « p
ionnées, elles contiennent du sang en nature. Les vaisseaux sont en dégénérescence hyaline. Ecorce. Une congestion intense dessine
ns le parenchyme médullaire. Au Weigert-Pal, il existe une double dégénérescence des faisceaux pyra- midaux croisés avec prédomi
1).- P.G. Démence ; contracture en flexion des membres inférieurs ; dégénérescence des faisceaux pyramidaux eroisés et myélite diffu
tée des faisceaux pyramidaux croisés 4. Obs. III. moelle cervicale. Dégénérescence des faisceaux pyramidaux croisés et myélite dif
ondes, qui est maxima dans les sillons. Les grosses artères sont en dégénérescence hyaline. Les capillaires sont infiltrés de pigm
une coloration floue. Protubérance. Les vaisseaux méninges sont en dégénérescence hyaline. Le tissu nerveux n'est pas infiltré, m
ules rondes. Les cellules nerveuses sont très pigmentées. , Foie. Dégénérescence graisseuse périlobulaire. Infiltration pigmentair
eur noyau et leurs grains chromatiques ; la plupart sont en voie de dégénérescence vacuolaire. Moelle dorsale. A l'hématoxyline-éo
ce dernier aspect. Mais le cas est déjà plus complexe. A la double dégénérescence des faisceaux pyramidaux d'origine encéphalique
myélite. La myélite est évi- dente; la pseudo-systématisation de la dégénérescence des fibres à myé- line démontre qu'elle en dépe
ite, à défaut de myélite ou de radiculite, suffirait à expliquer la dégénérescence des fibres à myéline à la limite moyenne des cord
s le parenchyme sont enflam- més, les artères très altérées sont en dégénérescence hyaline très avancée. Il existe surtout une for
s racines antérieures sont touchées, mais non détruites. On voit la dégénérescence en bandes de beaucoup de leurs fibres à myéline.
e infiltration des cornes antérieures. Weigert-Pal. Il existe une dégénérescence des cordons de Goll et de Bur- dach, prédominan
ke sont altérées , beaucoup sont déformées, privées de noyau, et en dégénérescence globuleuse. Dans un côté, elles sont très dimin
ose des mêmes bandelettes externes et des zones de Lissauer. Double dégénérescence mais prédominante à gauche (à droite sur la fig
foyers de petites cellules rondes. Dans le foie existe un peu de dégénérescence péri-portale. OBs. IX. P. G. consécutive à un t
alcarine. - Sclérose des cor- dons postérieurs du tabès incipiens ; dégénérescence descendante d'un sys- tème pyramidal (direct et
res. Mais la grosse lésion, visible à la méthode de Weigert, est la dégénérescence totale de la pyramide gauche qui apparaît atrop
ite surajouté. Au Weigert, dans la région cervicale, on constate la dégénérescence du faisceau pyramidal droit et la dégénérescenc
le, on constate la dégénérescence du faisceau pyramidal droit et la dégénérescence symétrique des bandelettes de Pierret et des zo
plus de la sclérose des bandelettes de Pierret, on voit une double dégénérescence des faisceaux pyramidaux, mais du côté gauche l
s conjonctives adultes. 1 Les vaisseaux méningés ne présentent ni dégénérescence de leur paroi, ni péri-artérite. Ils sont dilat
lules rondes. Vaisseaux. L'artère spinale antérieure ne présente ni dégénérescence de ses parois, ni inflammation, mais il existe
s ; celles qui subsistent sont altérées, en chromatolyse,en voie de dégénérescence ; les cellules des cornes laté- rales ont conser
artérite et de la périphlébite très accentuées. Les artères sont en dégénérescence hyaline. Dans l'écorce, très enflammée, congest
leines de corps réfringents et du pigment ocre. Les artères sont en dégénérescence hyaline. Les cellules nerveuses ont conservé le
. Hén,atoxyline-éosine. Il existe une méningite légère diffuse avec dégénérescence hyaline des artères et épaississement chronique d
et, depuis ce ramollissement jusqu'à la moelle lombaire, on suit la dégénérescence des fibres pyramidales dans le pédoncule, le bu
que leuco-myé- lite, d'évolution rapide, masque et confond dans ses dégénérescences propres ce qui dans les cordons laléraux et pos
n des rares auteurs à signaler cette lésion. Nous avons vu aussi la dégénérescence massive des faisceaux pyramidaux secondaires à un
tement fait une cirrhose élective, agissant brutalement produit une dégénérescence massive du foie. Il n'y a pas de raison pour qu'i
ammation manifeste . Quelques parois vasculaires pré- sentent de la dégénérescence hyaloïde. Pas de néoformation vasculaire. Les c
USE ET HÉMIATROPHIE CÉRÉBELLEUSE 239 tourner sur place. L'étude des dégénérescences provoquées par cette lé- sion du cervelet montr
lobule pneumogastrique gauche et des circonvolutions voisines, avec dégénérescence consécutive des fibres antérieures de la protub
ndation ventriculaire; les contractures tardives sont le fait de la dégénérescence descendante du fais- ceau pyramidal. L'appari
bligeance de M. Huet, sont absolument normales ; pas de réaction de dégénérescence , pas de réaction d'épuisement. MYASTHÉNIE HYP
s pas pu mettre en évidence de lésions cellulaires ou de lésions de dégénérescence fasciculaire récente ou an- cienne. Cette obs
e ; ganglions crâniens ; marche générale du processus méningitique. Dégénérescence pré-méningitique de la moelle. - II. Tissu cérébr
ectement la moelle et sont de nature à fausser l'interprétation des dégénérescences . C'est pourquoi, contrairement à ce que l'on trou
erveux caractéristiques. Ces éléments ne présentent aucune trace de dégénérescence granulo-pigmen- taire, leur noyau n'est pas exc
Nissl ; le noyau n'est pas excentrique ; il n'existe aucune zone de dégénérescence gra- nulo-pigmentaire ou autre. Tout autour de
res, avait subi un arrêt de développement très intense, suivi d'une dégénérescence totale (PL. XLV ter-N). Les phénomènes restent
le cas général, arrêt de déve- loppement auquel tend à succéder une dégénérescence totale. Ce point est tout particulièrement à re
débute par l'encéphale et se propage secondairement à la moelle. 50 Dégénérescence pré-méningitique de la moelle. Chez deux des fo
ici de méningite ; mais le tissu nerveux se trouve dans un état de dégénérescence extrêmement avancé qui ne concorde nullement av
e des contours assez précis, mais ces cellules sont dans un état de dégénérescence très avancé : elles ne prennent pas, ou prennen
flammatoires des méninges rachidiennes n'ont nullement déterminé la dégénérescence totale de la moelle. Les coupes des régions cer
ruction du tissu nerveux. Ces deux cas nous montrent, en somme, une dégénérescence extraordinaire- ment avancée ; c'est une dégéné
somme, une dégénérescence extraordinaire- ment avancée ; c'est une dégénérescence simple, non suivie d'un processus de réparation
, non suivie d'un processus de réparation cicatricielle ; c'est une dégénérescence sans sclérose. Il est difficile d'admettre que
dégénérescence sans sclérose. Il est difficile d'admettre que cette dégénérescence , poussée à son extrême degré, n'affecte avec l'
s- qu'une modification intervient, cette modification n'est pas une dégénérescence simple, mais un processus complexe, dans lequel
mmation vers la moelle. Dès lors, les fibres de celle-ci entrent en dégénérescence et cette dégénérescence, portant tout d'abord s
Dès lors, les fibres de celle-ci entrent en dégénérescence et cette dégénérescence , portant tout d'abord sur les éléments centrifu
ement envahis par le néoformation vasculaire ; celle-ci provoque la dégénérescence des fibres intéressées. Il s'agit encore, d'ail
égénéré et que toutes les apparences nous conduisent à placer cette dégénérescence sous la dépendance étroite de la destruction pr
ble du cerveau par l'envahissement vasculo-conjonclif. Valeur de la dégénérescence W allérienne.- Cette conclusion nous entraîne à
te conclusion nous entraîne à rechercher de près si le processus de dégénérescence ne joue pas d'une façon générale un certain rôl
ions im- médiates de la moelle interviennent nécessairement dans la dégénérescence , modifient les localisations, introduisant ains
accentuée, dans le cas général, pour permettre d'affirmer que cette dégénérescence consécutive à la disparition du cerveau est un pr
s'effectue la disparition du cerveau lui- même ; bien avant que la dégénérescence ait envahi et supprimé la substance blanche, le
nflammation tarde à se propager vers les enveloppes spinales que la dégénérescence prend le dessus et devient, à elle seule, le proc
cation est très sensiblement réduite. On voit néanmoins qu'entre la dégénérescence totale, dont les conséquences sont importantes,
égénérescence totale, dont les conséquences sont importantes, et la dégénérescence peu accusée, qui est négligeable, il n'y a qu'u
; les colorations au Nissl mon- trent des cellules dans un état de dégénérescence assez accusé ; de plus, nom- bre de ces cellule
mènes. Ce cas doit être rapproché des cas où la moelle, atteinte de dégénérescence préméhingitique, disparaît bien avant que n'int
es éléments cellulaires en mauvais état ; c'est, pour déterminer la dégénérescence , une destruction précoce du cerveau, ainsi que
ncher osseux formés par les corps vertébraux et les arcs étalés. La dégénérescence préalable de la moelle ayant supprimé une parti
transition entre ceux où la moelle, ne subissant aucun phénomène de dégénérescence important relativement au processus inflamma- t
ous permet aussi de nous expliquer pourquoi, sous l'influence d'une dégénérescence d'origine centrale, le seul segment de la moelle
hez les deux foetus un segment de moelle lombaire. Si, en effet, la dégénérescence est bien celle que nous avons admise, elle se p
rieurs les moins dégénérés ont disparu les premiers parce que, à la dégénérescence est venu s'ajouter un nouveau facteur de destru
u facteur de destruction. Les étages inférieurs soumis à la seule dégénérescence ont pu ainsi conser- ver plus longtemps leur as
de lavage (2). L'aspect des lésions nous a semblé peu modifié. Les dégénérescences médul- laires peuvent être très facilement suiv
on obtiendra toutes les colorations banales, on pourra étudier les dégénérescences par la méthode de Pal, les cellules nerveuses par
dmet aujour- d'hui, d'une façon générale, qu'il suffit d'un état de dégénérescence quel- conque pour favoriser chez les descendant
k et par Mayet qui placent cette affection au rang d'un stigmate de dégénérescence et considèrent ces malades comme le dernier ter
s et de la mère de l'un deux. Chez cette dernière il exis- tait une dégénérescence aiguë du foie et des lésions rénales de nature
s la substantia nigra de Soemmering; des zones de raréfactions sans dégénérescences secondaires, disséminées dans le cervelet, la p
urkinje et augmentation de la nevroglia au niveau de cette couche ; dégénérescence de différents fais- ceaux dans la moelle; lésio
c des courants continus faibles, nous n'avons pas eu de réaction de dégénérescence . Pas de troubles de la musculature externe de l
isseuse a été signalée pour certains groupes musculaires (1). Cette dégénérescence n'est, évidemment, qu'un processus terminal, cons
cas où la propagation spinale de la méningite a été précédée d'une dégénérescence du tissu nerveux : pour déterminer les contract
oexistence avec cette malformation oculaire de quel- ques signes de dégénérescence (en prenant ce mot dans le sens large qu'on lui
pharyngé plutôt faible. Pas de stigmates physiques ou psychiques de dégénérescence ; état t psychique paraissant normal. L'exame
, il n'existe pas de contrac- tions fibrillaires, ni de réaction de dégénérescence , ni d'altération des réflexes ; mais, en revanc
peux sous- cutané ni trop ni trop peu développé. Ce n'est point une dégénérescence grais- seuse, car l'examen histologique permet
est pas absolument certain que l'adhérence soit le facteur de cette dégénérescence secondaire ; c'est dans tous les cas, le maximu
qui remplace le cerveau. Chez d'autres, enfin, la moelle a subi une dégénérescence antérieure à la propagation intra-rachidienne d
as d'anencéphalie (Dérencéphales et anen- céphales), intervient une dégénérescence du système nerveux antérieure àl'en- vahissemen
air avec ces variations anatomi- ques. Nous savons cependant que la dégénérescence préalable de la moelle se produit parfois dans
couple, l'acéphale meurt ; son système nerveux tombe le premier en dégénérescence . 4. Spina-bifida et rachis déhiscent. - Il est
t d'une adhérence amniotique ; cette hémicéphalie coïncide avec une dégénérescence granulo-graisseuse du tissu cérébral. ij En d'a
tion est parfois, en effet, (1) E. DE INIASSARY, Le tabes dorsalis. Dégénérescence du protoneurone centl'ipète (Thèse de la Facult
s (hémorragies, envahissement conjonctif et vasculaire) s'ajoute la dégénérescence des cordons blancs consé- cutive à la dispariti
mgarten, bd 11, Ileft 3, 1893. E. DE MASSARY.- Le tabes dorsalis. Dégénérescence du protoneurone centripète. Thèse de la Faculté
23 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- traire, on observait une certaine amélioration. La réaction de dégénérescence ne s'observait que dans peu de muscles des memb
dans les nerfs des membres inférieurs, nous ne pouvons admettre une dégénérescence consécutive, comme résultat d'une polyomyélite
te (du côté droit C 1 C= 21. Par conséquent, il y a une réaction de dégénérescence plus ou moins nettement accusée dans les muscle
terrain particulier sur lequel - se développe la maladie, c'est la dégénérescence en général et l'hystérie. Ces deux faits là ne
majorité même, présentant différents traits caractéristiques de/ la dégénérescence mentale, et quelquefois même des stigmates/ phy
' men de leurs malades, assez peu préoccupés de la question de la dégénérescence en général. Quant à l'hystérie qui, surtout dan
t de délimiter, si possible, le terrain si étendu et si vague de la dégénérescence mentale'. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. SUR
nes spasmodiques, la parésie des extrémités inférieures. C'est à la dégénérescence des faisceaux latéraux des pyramides qu'il faut
a altération du champ postéro-cxterne des cordons postérieurs. Les dégénérescences secondaires qui suivent la lésion primitive des f
et Spitzka de New-York, ont observé au moins dans une famille la dégénérescence diffuse d'anévrysmes miliaires comme base anato
(New-York médical Journal, 2 avril 1887.) SoREL. XVI. SCLÉROSE OU dégénérescence spinale CONSÉCUTIVE A DES lésions cérébrales; p
e du lobule pariétal ; le corps strié du même côté était en état de dégénérescence partielle. Ons. VI. Adroite, lésions destructiv
anormal ou nul des pyramides dans la moelle allongée; un tractus de dégénérescence , de forme arrondie, dans REVUE DE pathologie me
ralysie générale plus accusées dans cet hémisphère que dans l'autre dégénérescence de la colonne laté- rale de la moelle du côté o
prolifération du tissu conjonctif faiblement marquée, pas trace de dégénérescence ni de surcharge graisseuse. Ainsi, à un stade s
infection de l'écono- mie. Ces poisons doivent alors conduire à la dégénérescence des divers systèmes de fibres. Tel n'est pas l'
lui ont montré que c'est une lésion du système vasculaire et non la dégénérescence primitive des tractus nerveux qui fait les frai
ocessus anatomopathologique. En ce qui concerne le tabes dorsal, la dégénérescence des faisceaux cunéiformes n'est pas primitive,
iennent pas en propre à ce tabes, et se montrent également dans les dégénérescences secondaires. Mais l'opinion de Struem- pell est
s la plupart des cas de démence paralytique, on ne rencontre pas de dégénérescence des cordons postérieurs. Les lésions cérébrales
ment de nombreuses fibres atrophiées à des stades très divers de la dégénérescence qui est la plus forte en une portion presque ,
eil pariétal des reptiles. M. Zaciier présente quelques pièces de dégénérescence secondaire à travers la substance blanche de l'
générescence secondaire à travers la substance blanche de l'écorce, dégénérescence ayant été produite par de petits foyers plus ou
riétale ascendante sur une courte étendue. De là on peut suivre une dégénérescence descendante très marquée allant de la substance
; pour des motifs accessoires, on n'a pu déterminer le trajet de la dégénérescence plus loin dans la pro- fondeur du centre ovale.
, occupant la partie limite entre l'écorce et la substance blanche; dégénérescence secondaire peu étendue. Troisième cas : dégénér
nce blanche; dégénérescence secondaire peu étendue. Troisième cas : dégénérescence diffuse de fibres nerveuses à myé- line dans la
e, un vieux foyer, en partie transformé en cicatrice, d'où part une dégénérescence secondaire de haut en bas; elle traverse la sub
s, t. XVI. 98 SOCIÉTÉS SAVANTES. cysticerque; malgré cela, pas de dégénérescence secondaire. Pas- sons enfin aux préparations du
rer publiée dans la 1\eurol. centrait, de 1887, p. 73 : remarquable dégénérescence à l'intérieur de la substance blanche. Prépar
ur de la substance blanche. Préparations de moelle témoignant d'une dégénérescence marquée dans les cordons postérieurs, dégénéres
moignant d'une dégénérescence marquée dans les cordons postérieurs, dégénérescence limitée, dans la moelle cervicale et dans la su
des racines dans certains cas, cette réparation suit les lois de la dégénérescence vallérienne. En somme, l'auteur conclut que les
persécutions, délire des grandeurs, paralysie générale, épilepsie, dégénérescence ; délires alcooliques et toxiques : .' o : 0)'/
sie. Dans les muscles atrophiés, on observe souvent la réaction de dégénérescence plus ou moins nettement accusée, ne constituant
ettes, de même les cordons anté- rieurs. Ilots de tissu scléreux de dégénérescence descendante, en dehors de la corne supérieure d
ites des résultats anato- miques obtenus par la méthode d'étude des dégénérescences secondaires. Chaque fois que la lésion première
ignés plus haut au trajet du faisceau de fibres qui nous occupe, la dégénérescence secon- daire des fibres de ce faisceau s'arrête
dieulo-frontal inférieur, du carrefour du langage parlé de Bitot et dégénérescences secondaires à ces lésions supérieures, dans la
;MMs de décussations variées du faisceau moteur, ré- vélées par les dégénérescences secondaires. In Arch. de phys., 15 fé- vrier 18
aisceau de Turk n'est révélé que par une bande étroite de fibres en dégénérescence et appliquée au sillon antérieur. Des régions s
apsule droite. (Sem. nzéd. 22 avril 1885.) 2 En raison des faits de dégénérescence descendante secondaire à des lésions du couronn
ons centre-ovalaire ou capsu- laire du faisceau pyramidal, faits de dégénérescence que l'on assimile généralement aux faits de dég
faits de dégénérescence que l'on assimile généralement aux faits de dégénérescence du bout périphérique d'un nerf sectionné, on es
a perte de l'excitabilité directe du faisceau moteur' . Quant aux dégénérescences secondaires, elles se montrent à la suite d'une
ns la partie moyenne du pied du pédoncule ; à la protubérance, la dégénérescence est mal localisée, un peu diffuse, bien qu'il s
t du bulbe une décussation plus ou moins complète, les faisceaux en dégénérescence se portent en arrière et en dehors vers la part
de la leçon XVIII. : Voir pour l'étude détaillée de la question des dégénérescences des- cendantes fasciculées, du pédoncule, du bu
re est bien isolé dans le département antérieur de la moelle par la dégénérescence secondaire descendante, provoquant la contractu
fournis par la lé- sion causale de l'hémianesthésie sur l'étude des dégénérescences ' Veyssière. Loc. cit. ' Virenque. De l'hémia
de deux centimètres de diamètre, riche en vaisseaux et en foyers de dégénérescence caséeuse siégeant à la partie supé- rieure de l
age de la tumeur. N. SIiWORTZOFF. III. Contribution A l'étude des dégénérescences du r(UI3 ? N' de REIL; par P. MEYER. (Arch. f.
ièrement intéressante à ce titre.On voit, entre autres lésions, une dégénérescence ascendante du ruban ' de Reil, consécutive ci u
errompus, détruits par une altération, subir, comme dans ce cas, la dégénérescence ascen- dante, ou, dans d'autres conditions, la
rencontrer chez des hé- réditaires ayant des stigmates physiques de dégénérescence . 5° Le délire des persécutions pourrait se term
ires, identiques à celles des lapins dont on a coupé le nerf vague; dégénérescence graisseuse peu accusée du myocarde au microscop
is- ceaux entiers peuvent se déplacer, se détacher, sans subir la dégénérescence . Dans d'autres cas, on observe la dégénérescenc
r, sans subir la dégénérescence. Dans d'autres cas, on observe la dégénérescence qui paraît se faire en bloc d'une certaine part
é de les reconnaître au milieu du tissu de nouvelle formation. A la dégénérescence de ce dernier s'ajoutait un gonflement, une dég
veux dans les cornes postérieures, consécutifs à l'hyperplasie avec dégénérescence du tissu intersti- tiel. Comment se fait-il cep
nce d'une altération d'im autre genre, par exemple, dans un cas, la dégénérescence hyaline de la neuroglie et de la myéline, altér
récent dans la pie- mère à la base du bulbe et de la protubérance. Dégénérescence grise et atrophie 111·LologiIue de toute la rég
artie du bout péri- phérique jusqu'au milieu de l'orbite seulement. Dégénérescence et sclérose grise des cordons postérieurs depui
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ï ! i l foyers scléreux (aussi pas de dégénérescence secondaire) ; conservation de la myéline; les a
ers constitués chacun par une soixantaine de cylindraxes tuméfiés ; dégénérescence secondaire des cordons de Go ! t et des faiscea
nomènes nerveux et psychiques accoutumés ; en février 188H, en sus, dégénérescence musculaire graduellement progressive. En somme,
tiféfation des noyaux). Faible atrophie des nerfs périphériques; dégénérescence insignifiante des racines antérieures. P. K. RE
e brusque, sans troubles delà sensibilité, évolution favorable. Les dégénérescences que les autopsies permettent souvent de rencont
iée au tabes; or, l'au- topsie montra qu'il existait, en effet, une dégénérescence des cordons postérieurs avec névrite optique, m
le nom de moelle sénile est une hypoplasie, qui se rapproche des dégénérescences spinales secondaires. La myélite scléreuse d'ori-
ance des alcooliques. Après avoir envisagé ce qu'ondoitentcndre par dégénérescences , après avoir montré qu'elles peuvent être géogr
iques, climatériclues ou sociales, M. Combemalle isole un groupe de dégénérescences toxiques; il montre que l'étude de ces dégénére
groupe de dégénérescences toxiques; il montre que l'étude de ces dégénérescences a de tout temps attiré l'attention des hygiéniste
propos la parole de Dickinson « l'alcool n'est-il pas le génie delà dégénérescence ? » Le reste du travail de M. Combomalle est con-
r liecklin- ghausen, 95; - (d'nu vol`eur), lar Amadei, 280.. v- Dégénérescence secondaire à travers la substance blanche céréb
87. Revue critique, par S ? la3 et Chas- fin, z. Ruban de Reis ( dégénérescence du), par Meyer, 280. Scaphandres (accidents c
24 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
davantage aux troubles moteurs et les manifestations de réaction de dégénérescence se montrent plus caractérisées. Ainsi il serait p
réactions électriques ; on n'y constate aucune trace de réaction de dégénérescence . A l'avant-bras le long supinateur est assez amai
ès paralysés, notablement atro- phiés et présentent une réaction de dégénérescence encore très accentuée. (Dans ce cas la partie i
qua- litatives plus ou moins semblables à celles de la réaction de dégénérescence . L'important est de suivre l'évolution de la ma
simple de l'excitabilité faradique et galva- nique sans réaction de dégénérescence . Intégrité de la sensibilité et des sphincters.
re pas d'altération ; ces malades ne présentent pas de stigmates de dégénérescence et la forme de leur crâne est normale. Nous sig
e leur crâne est normale. Nous signalerons l'absence de réaction de dégénérescence ; non seulement l'in- version polaire ou l'égali
e, sans cette lenteur spécifique en quelque sorte de la réaction de dégénérescence . « L'excitabilité électrique des nerfs et des mus
des muscles donne les résultats suivants : il existe la réaction de dégénérescence dans les muscles grand-fessiers, la réaction élec
ne s'agit pas d'une myopathie (douleurs, anes- thésies, réaction de dégénérescence , distribution spéciale de l'amyotro- phie) : il
Distribution très particulière de l'amyotrophie ; 2° Ré- action de dégénérescence ou plutôt modifications des réactions électri-
es cuisses. En effet dans ces derniers il n'y a plus de réaction de dégénérescence , mais bien absence à peu près complète de toute
dents cariées, sauf 7 qui sont saines. Aucun symptôme anatomique de dégénérescence . Les, organes internes sont normaux La densité
aiblissement qualificatif en forme de réaction camcté1'isti- que de dégénérescence . Il faut aussi noter l'affaiblissement de tous
h. Med. 1'ochenschr., 1900, no 1. DE LA MYOTONIE ATROPHIQUE 75. dégénérescence , et que l'état atrophique du faisceau est un degr
ériques : on a découvert la contraction fibrillaire, la réaction de dégénérescence , l'affai- blissement et l'abolition des réflexe
, ce qu'on voit de l'examen microscopique et d'après la réaction de dégénérescence ; on est forcé de penser que cette atrophie dan
ices sacrées et coccygiennes ; c'est, par la méthode de Marchi, une dégénérescence très prononcée et des cordons posté- rieurs et
diés par Larger (1) sous le titre de : Stigmates obstétricaux de la Dégénérescence . Puis, le retard général du développement de la
oedème.Auxélémenls hé- (1) LARGER. Les Stigmates obstétricaux de la Dégénérescence . Th. Paris, 1902. xv 9 130. DUPRÉ ET PAGNIEZ
ant sur les centres cérébraux spinaux, ou mieux encore, résulter de dégénérescences nécrobiotiques des cellules nerveuses chez le n
cléroses cérébrales qui sont signalées (Déjerine). Dans un cas de dégénérescence , secondaire il est vrai, du faisceau pyra- mida
que, des bras, du tronc et des jambes). Anatomiquement existait une dégénérescence symétrique des faisceaux pyramidaux dans tout leu
tance corticale, la tumeur parait donc bien être constituée par une dégénérescence gliomateuse ayant eu son origine en un point du
or l'examen histologique nous a montré qu'il y avait des lésions de dégénérescence gliomateuse dans la protubérance, ce qui explique
CÉCITÉ VERBALE PURE RAMOLLISSEMENT DE LA RÉGION CALCARINE GAUCHE. DÉGÉNÉRESCENCE DU SPLENlUM ET DU TAPETUM DU COTÉ DROIT, PAR
orps calleux associées à une dégé- nérescence du tapetum (1). Cette dégénérescence , dans certains cas, était même bilatérale, alor
e ; hémiopie - Ramollissement occipital gauche (région calcarine) ; dégénérescence du splenivm propagée au tapetum de l'hémisphère
de la substance cérébrale saine par le bichromate de potasse. La dégénérescence du tapetum est la conséquence nécessaire de la lé
é l'existence d'une tache d'un jaune clair, caracté- ristique d'une dégénérescence , à la partie la plus reculée du corps calleux.
re, à un centimètre du plan médian,démontre qu'il s'agit bien d'une dégénérescence (PI. XXXIV, fig. E). Outre que le ramollissemen
gittale, que le foyer de la région calcarine est séparé du foyer de dégénérescence du splenium par le cingulum et le fascia dentat
surI'hémisphèredroit(PI.XXXV, fig. F, G) permettent de suivre cette dégénérescence du tapetum jusqu'aux parties homologues de l'éc
e de la calcarine du côté opposé. On re- marque d'abord que la dite dégénérescence n'intéresse que la portion réfléchie du spleniu
-médullaire des racines postérieures, trajet établi par l'étude des dégénérescences secondaires consécutives aux lésions primitives
par les altéra- tions de la myéline. Si leurs lésions sont, dans la dégénérescence Wallé- rienne jusqu'à un certain point parallèl
vre, très épaissi, contient un grand nombre de vaisseaux, atteints de dégénérescence hyaline. A l'intérieur, un vaisseau présente ég
es conjonctives qui, en certains points, sont frappées également de dégénérescence hyaline. Processus d endonévrite très actif. B.
i hypertrophiée, quelques-uns sont oblitérés, plusieurs ont subi la dégénérescence calcaire. La racine anté- rieure est également
sont pour la plupart atteints d'altérations prononcées, sclérose et dégénérescence hyaline de leurs tuniques. A leur émergence du
sus du ganglion (portion iuit"o-arac¡'lIoidiC111U). Il n'y a pas de dégénérescence des libres, ni de lésions conjonctives interstiti
yer de compression, les fibres ne présentent pas au-dessus trace de dégénérescence . Région cervicale. - Représentée seulement par
aux y prennent ce même aspect amorphe, ou hyalin qui témoigne d'une dégénérescence spéciale. Dans la portion correspondante de leu
prononcées et revêtent encore le mode habituel : épaississement et dégénérescence hyaline des tuni- ques des petits vaisseaux.
ion myotonique,ou d'une forme un peu particulière de la réaction de dégénérescence ? La tétanisation faradique persistante a été o
s primitive et tient à une malformation congénitale, résultat de la dégénérescence . Selon que cette altération originelle sera plu
; et si cette recherche aboutit à la constatation de la réaction de dégénérescence , faites des réserves relativement à la curabilité
ong des vais- seaux, enfin par des lésions vasculaires (sclérose et dégénérescence hyaline des tuniques des petits vaisseaux) pouv
ération découches conjonctives néoformées etsubissantrapidement une dégénérescence spéciale qui leur donne un aspect amorphe, parfoi
ependant, et il s'agit de formations conjonctives modifiées par une dégénérescence spéciale, et contenant de nombreux capillaires
sent plongées dans une sorte de ciment qui provient peut-être de la dégénérescence vitreuse des fibrilles conjonc- tives hyperplas
culite en évolution, la sclérose à tendance oblitérante, et même la dégénérescence calcaire (Obs. VI). L'intensité des lésions vas
ession exercée sur les fibres, il ne s'ensuit pas, fait à noter, de dégénérescence (Obs. VI). 3° Lésions du parenchyme ganglionnai
is suite à un segment presque normal. Le processus d'atrophie ou de dégénérescence des racines (1) OPPENHEIM et SIB11)1&IVLING
axile, Gombault (1 ) rappelait que la disposition segmentaire de la dégénérescence a été rencontrée chez l'homme dans l'a- trophie
ophique et la destruction graduelle : la première en- traînerait la dégénérescence wallérienne, la seconde produirait la dégé- nér
a dégé- nérescence segmentaire. Sans nier, par conséquent, que la dégénérescence wallérienne puisse atteindre quelques fibres, i
egmentaire ; et que, envisagé à un point de vue général, ce mode de dégénérescence peut s'observer aussi bien au cours des maladies
ganglion rachidien, quelque lésion qui puisse être la cause de ces dégénérescences . Diverses altérations cellulaires ont été depui
aractères histologiques non moins spéciaux : on lui donne le nom de dégénérescence wallérienne. , Nous savons encore que la fibre
entre trophique est atteint. Est-il détruit brusque- ment, c'est la dégénérescence wallérienne que l'on observe ; s'atrophie-t-il
ophique ; comme nous l'avons déjà indiqué plus haut, cette forme de dégénérescence n'exclut pas la possibilité d'une altération ce
le ne nous semble pas plus intervenir comme lésion initiale dans la dégénérescence de la racine postérieure que la méningite spina
faisceau latéral du bulbe sont naturellement englo- bés. Toutes les dégénérescences secondaires que ce foyer aurait été capa- ble d
tir du point sectionné et est possible qu'au moins une partie de la dégénérescence du ruban de Reil droit lui soit imputable. Nous
t lui soit imputable. Nous n'avons pas constaté au-dessus de lui de dégénérescence répondant au trajet récemment décrit du faisceau
res olivaires droites après leur entre-croisement; delà résulte une dégénérescence bilatérale et symétrique de ces fibres, ou du m
lésions parenchymateuses systématisées, ou, en d'autres termes, des dégénérescences secondaires con- sécutives à ces foyers. Nous n
nous avons décrites plus haut n'ont altéré en rien la pureté de ces dégénérescences , 500 BABINSIiI ET NAGEOTTE qui proviennent ex
la ré- gion postérieure'dû segment postérieur ; s'agit-il là d'une dégénérescence rétrograde ? Nous ne pouvons l'affirmer, n'ayan
ian, sont les seuls aboutissants des fibres du- ruban 'de Reil ; la dégénérescence cesse à quelques millimètres au-dessus dû point
de la couche interolivaire, qui est notablement moins dense que la dégénérescence ascendante, mais qui permet de suivre les fibre
on élève Long, supposent que la dégéné- rescence inférieure est une dégénérescence rétrograde. Or nous savons, par les recherches
tain nombre d'entre elles succombent, donnant ainsi naissance à une dégénérescence de la portion proximale du cylindraxe qui n'est
rtion proximale du cylindraxe qui n'est pas à proprement parler une dégénérescence rétrograde et qui ne contrevient pas à la loi de
e du neurone. Nous croyons qu'il 1 faut attribuer à ce processus la dégénérescence de ces fibres qui suivent si exactement le traj
V, fig. I, J, K, L, M). Le ruban de Reil droit présente une zone de dégénérescence légère qui répond précisément à la région éparg
. On doit se demander ces fibres ne représenteraient pas plutôt une dégénérescence ascendante du faisceau descendant que nous veno
du faisceau descendant que nous venons de décrire, comparable à la dégénérescence centripète que nous avons admise pour le ruban
longitudinal postérieur gauche présente au-dessous du foyer F2 une dégénérescence intense; mais comme ses fibres se mélangent bie
le ruban de Reil, on peut supposer que ces fibres représentent une dégénérescence centripète qui s'étend jusqu'à l'extrémité supé
ne du noyau rouge (PI. LVI, fig. J, K, L). Enfin nous arrivons à la dégénérescence des fibres olivaires, que nous avons pu suivre
t surtout. Peut-être ne sont-elles d'ailleurs que les témoins d'une dégénérescence que la façon dont les pièces ont été recueillies
LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE L'ÉCORCE DU CERVELET 525 aucun doute d'une dégénérescence que nous ne pouvons mettre en vue sur des pièce
ne peut pas dire que ce soit une persistance anormale. Poumons : dégénérescence caséeuse des sommets ; nodules et cavernes com-
es tubes urinifères granuleux ; cylindres à l'intérieur des canaux; dégénérescence hyaline des glomérules augmentation du tissu co
nerveux ; mais il n'y a pas trace d'inflammation. Ni atrophie, ni dégénérescence graisseuse des nerfs optiques. Articulations.
Cécité verbale pure, ramollissement de la région calcarine gauche, dégénérescence du sptemuin du côté droit (5 pl. en pliotocol
25 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de Marie et Marinesco où le sympathique était en outre atteint) de dégénérescence ganglionnaire scléreuse; de Burg, où le chiasma e
e depuis l'enfance, por- teur de quelques stigmates assez légers de dégénérescence , mais ne présentant aucun symptôme d'une affect
e l'hyperthricose systématiquement limitée peut être un stigmate de dégénérescence , la conséquence d'un trouble d'évo- lution cong
ont impossibles;' par suite' d'impotence' muscu- laire. Réaction de dégénérescence sur certains muscles.' La sensi- bilité est con
ans les myopathies : le frémissement vermiculaire et la réaction de dégénérescence . Les exceptions sont données comme caractéristi
ttale interne et la moitié supérieure du forceps pour, entraîner la dégénérescence secondaire déjà couche optique. La substance bl
nne intelligence moyenne, sans stigmates physiques ou psychiques de dégénérescence , sans antécédents héré- ditaires névropathiques
s sortes. Chez cette malade, il n'existe non plus aucun stigmate de dégénérescence physique ou psychique. M. Roubinovitch compare
acrés à la des- cription des délires systématisés chroniques, de la dégénérescence et de la folie des dégénérés. D'autres, comme c
rend les folies périodiques. Une seconde classe est formée par la dégénérescence mentale et les folies dégénératives : débilité
ntale peuvent se développer dans beaucoup de cas en dehors de toute dégénérescence et de toute prédisposition héréditaire et que l
l'écorce d'un paralytique général, montrant les divers degrés de la dégénérescence cellulaire; abrasion des épines, des prolongement
que ces altérations consistent dans un processus d'atro- phie et de dégénérescence n'ayant en lui-même pas de carac- tère pathogno
cularités non reconnues jusqu'ici ; elle nous fait apparaître cette dégénérescence possible et même probable dans des observations
e cette mine si riche en phénomènes obsédants et impulsifs de la, dégénérescence , était à peine explorée, M. Baillarger avait eu
it aussi bien écouté quand il parlait des stigmates physiques des dégénérescences chez les Aztèques, dans la mierocéphalie, qu'en
et irritabilité; antécédents nerveux indiquant une ten- dance à la dégénérescence ; tare rhumatismale acquise. Enfin, fait capital
on indélébile du type physiologique à laquelle on a donné le nom de dégénérescence , état caractérisé par des malformations physiqu
c'est chose commune de voir l'hystérie se développer sur un fond de dégénérescence . D'ailleurs, cette association relativement fré
les troubles qui relèvent de l'hystérie et ceux qui dépendent de la dégénérescence mentale. Ce qui caractérise l'état mental des h
t directement de l'hystérie, il en est d'autres qui dépendent de la dégénérescence mentale. M. Falret a décrit chez les hystérique
er dans la pratique celles des impulsions qu'on doit attribuer à la dégénérescence et celles qu'il faut rattacher à l'hystérie.
'hérédité 228 sociétés savantes. névropathique et vésanique et la dégénérescence peuvent faire éclore. Aussi bien, lorsqu'on fai
e crise ou mélancolie) et des délires qui portent l'empreinte de la dégénérescence . Ces variétés de folie ne sauraient être plus l
difficiles à classer. Les rattacher sans autre forme de procès à la dégénérescence mentale, comme le propose M. Colin, c'est aller
ssi bien pu se poser ainsi : c Des rapports de l'hystérie .et de la dégénérescence mentale. » M. Ballet, d'ailleurs, semble s'être p
observer l'association de l'hystérie et des nombreuses formes de la dégénérescence mentale. On peut dire que l'hystérie se dévelop
loin et se demander si l'hystérie n'est pas une des modalités de la dégénérescence . 230 SOCIÉTÉS SAVANTES. Tout d'abord il est c
qui lui confinent sont précisément des manifestations variées de la dégénérescence . La coexistence de ces accidents de dégénéresce
ns variées de la dégénérescence. La coexistence de ces accidents de dégénérescence et de l'hystérie ne prouve pas que cette derniè
de l'hystérie ne prouve pas que cette dernière soit elle-même de la dégénérescence ; 'cest tout au plus une présomption en faveur d
'une plus grande valeur se trouve dans ce fait que les syndromes de dégénérescence et l'hystérie ont tous pour facteur étiologique
établit une distinction entre la prédis- position héréditaire et la dégénérescence , mais cette distinction me paraît bien subtile.
physiologique ». Ce serait là ladégénérescence Et plus loin : « la dégénérescence s'entend actuellement d'un état caractérisé par
ettement la limite qui sépare la prédisposition hé- réditaire et la dégénérescence et le sujet qui a * une tendance à certaines fo
Il y a cependant une certaine différence entre ces deux termes : dégénérescence et prédisposition ; c'est que la dégénérescence s
e ces deux termes : dégénérescence et prédisposition ; c'est que la dégénérescence s'est déjà traduite par des symptômes plus ou m
tant pas encore présentée. La prédispo- sition, en un mot, c'est la dégénérescence à l'état latent. Et dire que le facteur étiolog
e, cela revient à dire que l'hystérie est une des mo- dalités de la dégénérescence . En résumé on peut dire : 1° l'hystérie et les
ut dire : 1° l'hystérie et les manifestations indis- cutables de la dégénérescence mentale se rencontrent fréquem- ment chez le mê
rencontrent fréquem- ment chez le même malade ; 2° l'hystérie et la dégénérescence mentale ont le même facteur étiologique princip
: l'hérédité; 3° l'hystérie et les principales manifestations de la dégénérescence mentale sont régies par des altérations identiq
érie SOCIÉTÉS SAVANTES. 231 est une des nombreusesmodalités de la dégénérescence mentale. Cela n'empêche pas l'hystérie d'avoir
conclusions sui- vantes : 1° L'hystérie est une des formes de la dégénérescence mentale ; 2" Sur ses confins, l'hystérie se con
et de la distinguer autant que possible des autres modalités de la dégénérescence ; 4° Pour cela il convient de n'accorder la dén
e l'a dit, n'ap- partiennent pas à l'hystérie, elles relèvent de la dégénérescence qui coexiste souvent avec elle. 11 y a là, à mo
ette perversité appartient-elle à l'hystérie ou relève-t-elle de la dégénérescence ? C'est cette dernière opinion que soutient M.
t cette dernière opinion que soutient M. Ballet en admettant que la dégénérescence coexiste fréquemment avec l'hystérie. Il est po
térie elle-même ou du caractère spécial que l'hystérie imprime à la dégénérescence concomitante. 234 SOCIÉTÉS SAVANTES. Un autre
s'observe chez une hystérique, c'est que celle-ci est enta- chée de dégénérescence . Voilà un mot bien vague. Dire d'une SOCIÉTÉS S
bien vague. Dire d'une SOCIÉTÉS SAVANTES. 235 folie que c'est une dégénérescence c'est remplacer un mot par un autre, ce n'est p
Gilbert Ballet. M. Joffroy pense que l'hystérie, est une maladie de dégénérescence . Il ne voit pas la différence qui existe entre
ne voit pas la différence qui existe entre la prédisposition et la dégénérescence . Cette différence existe cependant. Appellera-t
enté une~instabilité mentale. Il ne faut pas ôter ce sens au mot de dégénérescence ; autrement il sera impossible de s'entendre. Qu
e; autrement il sera impossible de s'entendre. Que l'hystérie et la dégénérescence soient deux états voisins, d'ac- cord, mais aff
t ne veut pas admettre que l'hystérie ne soit qu'une modalité de la dégénérescence ; l'hystérie, selon lui, peut exister chez des s
là, je crois, une raison suffisante pour rejeter l'existence de la dégénérescence . Comme la prédisposition, celle-ci peut exis- t
des autres, en un mot que c'était une prédisposée chez laquelle la dégénérescence mentale existait à l'état latent. SOCIÉTÉS SAVA
ois, deux choses absolument différentes : la prédispo- sition et la dégénérescence . On peut admettre à la rigueur l'exis- tence d'
noté chez ces malades l'existence d'un ou de plusieurs stigmates de dégénérescence ; je suis donc autorisé à affirmer qu'il n'y a
en qu'en l'absence de toute tare névropathique, de tout stigmate de dégénérescence . La dégénérescence n'est pas une doctrine médic
toute tare névropathique, de tout stigmate de dégénérescence. La dégénérescence n'est pas une doctrine médicale, je me ferais u
el point que les sociétés modernes sont menacées aujourd'hui d'une- dégénérescence rapide si elles ne luttent pas avec énergie con
lésions de l'ataxie locomotrice : sclérose des cordons postérieurs, dégénérescence des racines postérieures, altérations de la subs-
rs prétendent que la sclérose des cordons postérieurs résulte d'une dégénérescence secondaire consécutive à l'altération des racin
soutenir que des altéra- tions ganglionnaires sont l'origine de la dégénérescence des fibres radiculaires, il faut invoquer l'exi
ncoliques, dans la folie intermittente, le délire chronique . et la dégénérescence mentale. Différences dans la genèse des délires
nie et mélancolie simples, délire chronique, folie inter- mittente, dégénérescence mentale sont des synthèses cliniques à caractèr
ques et les maniaques simples). Restent le délire chronique et la dégénérescence mentale, c'est-à-dire la psychose des sujets pr
re ambitieux affleure à la surface. En somme, délire chronique et dégénérescence s'opposent l'un à l'autre en totalité. Qui dit
re en totalité. Qui dit délire chronique exclut par ce fait même la dégénérescence . L'étude des maladies de l'esprit n'est pas réd
arer entre elles des choses qui ne sont pas comparables. P. K. V. DÉGÉNÉRESCENCES secondaires consécutives A la SECTION TRANS- VE
s cylindres-axes dispa- raissent et on a le tableau classique de la dégénérescence wallé- rienne. L'intensité de la névrite et s
d'un ou des deux hémisphères; 2° même asymétrie consécutive aune dégénérescence secondaire prématurée par foyers cérébraux ; 3°
étone. Classification DES dégénérés. M. Vallon. La doctrine de la dégénérescence inventée par Morel a été, à mon avis, exagérée
-unes des communications qui ont été faites à ce Congrès, le mot de dégénérescence tend à devenir synonyme d'aliénation mentale. E
à devenir synonyme d'aliénation mentale. Eh bien, la théorie de la dégénérescence , très vraie au point de vue de l'anthropologie
ystérie et dans le tabes. Contribution A l'étude HISTOLOGIQUE DES dégénérescences spinales Sous ce titre, M. le D1' Klippel a fai
e lève, lorsque les théories scientifiques, mais décourageantes des dégénérescences héréditaires fatales parais- sent perdre de leu
n type de dégénéré. L'anthropologie criminelle est donc celle de la dégénérescence . C'est celle-ci qui transforme des individus qu
ceci : que l'anthropologie criminelle est un simple chapitre de la dégénérescence . Discussion. M. Wilser. Cette question a un rap
postérité des instincts dangereux pour la sécurité générale ou une dégénérescence complète ; telle est par exemple la propension
ticle ce qui a trait à la police et à l'alcoo- lisme comme cause de dégénérescence et facteurs de sélection naturelle; la folie ab
Il a également raison, à mon sens, de faire remarquer que le mot dégénérescence (à l'exemple de maint autre cliché tel que sugges
ans les cas nets, quand il y a inflammation des nerfs, il y a aussi dégénérescence (toxique) des cellules en sorte que la maladie
Haycraft, 485. Dégénérés, classification des , par Vallon, 328. Dégénérescences secondaires consé- cutives à la section transve
26 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARALYSIE GÉNÉRALE. 23 Pour M. Régis', les troubles trophiques et de dégénérescence des paralytiques ne se manifestent qu'à la dern
ng 2 considère l'amblyopie, l'amaurose comme des conséquences de la dégénérescence de la rétine ; l'anosmie résulte de la dégénére
quences de la dégénérescence de la rétine ; l'anosmie résulte de la dégénérescence du lobe olfactif. Mais les nerfs rachidiens ne
de l'oedème. C'est peut-être le cas des para- lytiques qui ont des dégénérescences musculaires provoquées par la névrite périphéri
fections cérébrales et spinales en foyer, toutes les fois qu'il y a dégénérescence descendante des cordons latéraux. Mais il y a d
ntre- croisement des pyramides, ni dans le bulbe, aucune trace de dégénérescence , tandis que dans la région des membres on trou-
nérescence, tandis que dans la région des membres on trou- vait une dégénérescence partant du cerveau frontal et se dirigeant en a
e de la section des nerfs sensitifs et des nerfs sympathiques. La dégénérescence de la cellule ne conduit pas toujours à son atr
grand nombre de cas, une phase de réparation succède à la phase de dégénérescence . A cette période les cellules lésées se disting
teints les lésions corres- pondant aux trois phases de réaction, de dégénérescence et de réparations. M. Marinesco et d'autres aut
dmis jusqu'à maintenant. Les mêmes considérations s'appliquent à la dégénérescence rétro- grade. Tandis que le type des lésions se
ongs tractus sensitifs DE la substance grise DE la £ MOELLE ET LEUR DÉGÉNÉRESCENCE EXPÉRIMENTALE; par A. CIAGLINSII. (Neurolog. G'
ète des pattes postérieures), on trouve au bout de quatre jours une dégénérescence secondaire ascendante d'un cordon de fibres ner
n de vingt-huit pièces. Quinze seulement présentaient une apparente dégénérescence des gros vaisseaux de la base (artério- scléros
ar DEL GnECO (Il Manicomio, anno XI, fasc. 2-3). La théorie de la dégénérescence est une théorie biologique à contours trop vagu
plaide l'atrophie dégénérative de certains muscles avec réaction de dégénérescence ou même avec abolition complète d'excitabilité
ique des muscles de la langue était très abaissée et la réaction de dégénérescence était très marquée. Le palais, mou, restait tou
onitoire. Cette atrophie doit être considérée aujourd'hui comme une dégénérescence rétrograde des neurones visuels, par compressio
ÉRÉS COMME FACTEURS DANS LA PRODUCTION DES MALADIES NERVEUSES ET LA DÉGÉNÉRESCENCE DE LA RACE; par le D1' L I'. BATE61AN. Si les
atteints de cette affection ne portent aucune trace appréciable de dégénérescence physique ou mentale ; quelques-uns même sont, p
une diminution du taux de la vitalité, une tendance croissante à la dégénérescence rapide et prématurée de la race. 10° La maladie
l'hystérie des autres névroses sans faire appel à la théorie de la dégénérescence . Pour établir la dégénérescence, il ne faut pas
sans faire appel à la théorie de la dégénérescence. Pour établir la dégénérescence , il ne faut pas s'en tenir aux signes physiques
ns que l'affaiblissement de ces phénomènes est le premier pas de la dégénérescence . Quelles que soient les lois auxquelles obéisse
istence du trem- blement et de stigmates physiques et psychiques de dégénérescence , l'asfociation possible avec certaines maladies
ement le représentant d'une multiplication centésimale de signes de dégénérescence par rapport aux gens normaux. Mais le type crim
core aux dégénérés supérieurs il syndromes vrais très voisins de la dégénérescence originelle (Magnan, Flechsig). Peut-être, en su
l'appareil pulmonaire, et M. Gustave Durante pour son étude sur les Dégénérescences secondaires du système nerveux. Des men- lions
des paralytiques généraux ; l'examen histo- logique a démontré une dégénérescence atrophique de la tunique musculaire de la vessi
éminences thénar, hypothénar et des interosseux, avec réac- tion de dégénérescence : * mais elle n'est pas progressive et peut not
Dans le premier cas, les lésions médullaires consistaient en une dégénérescence complète des cordons postérieurs dans toute leur
ngueur et au niveau de la région lombaire et dorsale en un foyer de dégénérescence de la partie postérieure du cordon latéral gauc
ste frappant : l'un offrant une lésion de la substance blanche avec dégénérescence chronique, l'autre une lésion de la substance g
extérieur. G. D. XLV. Contribution A l'étude DE la marche ET DE la dégénérescence DES voies pyramidales chez DES cobayes; par le
d'une lésion du pédoncule cérébral on observait chez le cobaye une dégénérescence granuleuse des voies pyramidales qui se continu
ysannes. La 218 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. dégénérescence amoindrit la sensibilité à la douleur ; ce sont l
LI. Observation DE paralysie générale secondaire (tabétique) avec DÉGÉNÉRESCENCE ASCENDANTE DANS LE CORDON .4\Ti : ItOLTI`R : 1L (
1'(ititopsie l'inflammation chro- nique atrophique du cerveau, avec dégénérescence des cordons postérieurs, une altération du noya
ent sans cause apparente. 11 coïncide souvent avec des stigmates de dégénérescence et de légers (roubles mentaux. C'est à la face
est considérée par la plupart des médecins comme un stig- mate de dégénérescence . Kraflt-Ebing admet que cette ano- malie instin
et des auteurs qui admettent que l'in- version est un caractère de dégénérescence . L'inversion sexuelle est souvent liée, comme l
un dégénéré. La perversion de l'instinct sexuel est un caractère de dégénérescence au pre- 278 CLINIQUE MENTALE. mier chef, puis
olution de l'hérédité. M. Raffalovich, qui admet l'inversion sans dégénérescence , se sert d'un argument qui donne la mesure de s
steté ferait fausse route. Mais ce genre de preuves de l'absence de dégénérescence , M. Raffa- lovich, économe d'ailleurs de docume
donne pas. L'absence de stigmates morphologiques n'exclut pas la dégénérescence . Darwin a fait remarquer ajuste titre que la fo
'idée fausse qu'on se fait de la chose, étant aussi illogique. La dégénérescence de l'inverti capable de se reproduire peut s'ob
tourments dignes d'être signalés pour donner une explication de la dégénérescence delà génération actuelle. La pathogénie s'est
, Paris. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXX. DE L'IMPORTANCE DE LA DÉGÉNÉRESCENCE POUR LA pratique générale DE la médecine ; par
es de la dégénéres- cence que l'auteur se propose d'examiner et par dégénérescence il entend la décadence des qualités mentales et
s défectuosités physiques. L'étude des principes fondamentaux de la dégénérescence , de ses manifestations et de son traitement, in
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 309 sligmates physiques et psychiques de la dégénérescence afin de s'opposer aux causes qui peuvent favori
égénérescence afin de s'opposer aux causes qui peuvent favoriser la dégénérescence de la race afin d'instituer un traitement aussi
ques sont aussi augmentés de volume; quel- ques-uns sont en voie de dégénérescence caséeuse. Les glandes surrénales sont bosselées
protoplasmiques dont le chevelu était plus grêle ou présentait des dégénérescences moiiiiifortiies; altération analogue des cellul
sentait de la même façon ; 2° Une atrophie très nette avec signe de dégénérescence peut être observée dans les muscles atteints d'
spontané- ment. G. D. LVII. Des relations entre les psychoses, la dégénérescence mental* ET la neurasthénie ; par M. le D1' LENT
'acception et la signi- fication qu'il convient de donner au mot de dégénérescence . M. Leniz propose, dans ce travail, de ne l'app
eut, jusqu'à un certain point, reconnaître ce qui appar- tient à la dégénérescence mentale et ce que peut revendiquer l'hystérie.
sait pas devoir être mise en cause, et doivent être rattachées à la dégénérescence héré- ditaire. Sur ce terrain est née l'hysté
ter dans la plupart des formes de folie, particuliè- rement dans la dégénérescence mentale où il revêt les caractères habituels de
ement de la myéline; le cylindraxe se fragmente et tombe ensuite en dégénérescence gra- nuleuse. Dans les nerfs périphériques, on
une légère tuméfaction des fibres par gonflement de la myéline et dégénérescence granuleuse des cylindraxes. Dans la moelle épi-
ervicale, elle parait double dans chaque cordon postérieur. Cette dégénérescence des cordons postérieurs rappelle, dans son aspe
uer et la zone radiculaire postéro-interne : dans cette dernière la dégénérescence diminue à mesure que l'on monte; 3° Il n'y a de
e neurologique, avril 1897.) E. B. LXVI. Contribution A L'ÉTUDE des dégénérescences secondaires dans la MOELLE t.PINIÊRE; par le Dr
ont dégénérés en direction ascendante. Au- dessous de la lésion, la dégénérescence prédomine dans les cordons antéro-latéraux. L'e
ect et le faisceau atitéro-latéral ascendant de Gowers, qui sont en dégénérescence mais que cette dernière affecte aussi en partie
la zone limitante latérale, dont la partie antérieure montre une dégénérescence aussi avancée que celle des faisceaux fondamentau
le Dr Serge SOUKU ? .NOFF. L'auteur a obtenu chez deux cobayes la dégénérescence isolée de la racine inférieure ou bulbo-spinale
et demi après la lésion; 2° le sixième jour, on peut constater une dégénérescence assez visible du pédoncule cérébelleux supérieu
auche de la moelle. Nous ajouterons pour terminer que l'étude des dégénérescences au-dessus de la tumeur (au niveau de la deuxièm
erf vient d'entrer dans la substance cérébrale, on constate : a) La dégénérescence des fibres des racines motrices et sensitives j
cines motrices et sensitives jusqu'aux noyaux correspondants; b) La dégénérescence descen- dante des racines spinales (Obersteiner
en plein jusqu'à la hauteur de la deuxième paire cervicale; c) La dégénérescence des fibres qui du trijumeau vont au cervelet ou à
hauteur des olives entraîne : a) Au-des- sous de l'endroit lésé, la dégénérescence de toute la partie infé- REVUE D'ANATOMIE ET DE
ronc du trijumeau; b) Au- dessus de l'endroit lésé, il n'y a pas de dégénérescence , à part quelques fibres qui, disséminées plutôt
racine cérébrale de la cinquième paire (Obersteiner), entraîne une dégénérescence descendante de ces fibres radiculaires; la plup
ourt segment de celui-ci con- tigu à la zone marginale de Lissauer. Dégénérescence assez mar- quée du faisceau de Gowers. Faisceau
inge, toutes les espèces animales se trouveront amenées à l'état de dégénérescence dont seule l'espèce humaine nous offre, jusqu'à
Labbé, 151. Dégénéré. Odvssée d'un anar- chisle, par Bezy, 261. Dégénérescence de la race, par Baie- man, 136. Importance de l
nesco, 400. Trajet des fibres exogènes de la -, par Donetti, 401. Dégénérescence secondaire de la -. par Soukhanofï, 402. Fais
par Angiolella, 211. table DES matières. 537 ( - secondaire avec dégénérescence ascendante dans le cordon antéro- latéral, pa
se polynévritiquc, par Sou- khanoff, 239. Relation entre les , la dégénérescence et la neu- rasthénie, par Lcnlz, 323. Pyramid
dégénérescence et la neu- rasthénie, par Lcnlz, 323. Pyramidales. Dégénérescence des voies chez les cobaves, par Souklianoff,
27 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lie et la manie, un hallucinalo- rischer Wahnsinn. Il rattache à la dégénérescence mentale une or'Moere Paranoïa, une paranoïa acq
ve, etc. Quant aux questions de doctrine basées sur la notion de la dégénérescence mentale et des névroses cons- titutionnelles no
on peut être primitive ou secondaire. Dans la paralysie générale la dégénérescence des cellules nerveuses sur- vient fréquemment s
orma- tion du tabes. Ces modifications consistent tantôt dans une dégénérescence de la moelle épinière sous l'influence du virus
syphilitique, tantôt dans la formation d'un gliome déterminant une dégénérescence des cordons postérieurs. Toutes ces altérations
ures. Aussi exis- tait-il de l'atrophie musculaire avec réaction de dégénérescence et flaccidité des membres paralysés. Il y avait
n'est contagieuse que pour des individus prédisposés, soit par la dégénérescence psychique héréditaire, l'impressionnabilité du se
ue un rôle dans les psychoses ? S'il y a une folie caractérisant la dégénérescence mentale ? S'il y a une folie systématique progr
s délires multiples qui se produisent chez le même individu. » La dégénérescence , productrice de ces délires multiples, résulte
re constatée chez les délirants chroniques, n'est point synonyme de dégénérescence , mais la notion de la dégénérescence est trop c
iques, n'est point synonyme de dégénérescence, mais la notion de la dégénérescence est trop compréhensive, car les signes de dégén
tion de la dégénérescence est trop compréhensive, car les signes de dégénérescence sont tellement nombreux qu'on peut se demander
s assez privilégiés pour être absolument exempts de toute tare de dégénérescence ». C'est une atténuation des opinions de Magnan
es observe ne meure pas lui-même, tant pour établir la notion de la dégénérescence que pour formuler le diagnostic de délire chron
auto-intoxication), et qui doit être séparée de ce qu'on appelle la dégénérescence . C'est une forme intermédiaire entre les psycho
gnan en fait même un des symptômes psychiques les plus graves de la dégénérescence héréditaire ; il croit que chez presque tous le
ces éléments à quelque période de la vie passée, pour confirmer la dégénérescence supposée. D'accord ! ces phéno- mènes sont très
ènes sont très fréquents chez les dégénérés, mais il y a des cas de dégénérescences inaccessibles à cette démonstration. Enfin, con
ehérédité assez chargée et des stigmates physiques et psychiques de dégénérescence . L'auteur se refuse toutefois à considérer ces
ie pseudo-bulbaire due à des lésions dans cha- que capsule interne; dégénérescence des faisceaux pyramidaux directs et croisés; pa
el DE la partie ANTÉ- RIEUR DES ARCADES DENTAIRES COMME STIGMATE DE DÉGÉNÉRESCENCE J par le D'' C.4.MUSET. (Annales médico-psychol
oportion de 2 ou 3 p. 100. Il s'agit là évidemment d'un stigmate de dégénérescence : du reste, sur les 77 aliénés examinés à ce su
désagrège en même temps que sa paroi manque. Nulle part il n'y a de dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses, ni de désagr
l'autre relève de l'anatomie pathologique et repose sur l'étude des dégénérescences secondaires. L'emploi systématique de cette der
lieu d'être verticales, sont horizon- tales. Grâce à la méthode des dégénérescences secondaires on peut reconnaître que le segment
tion, elles trouveront place dans le second volume. La méthode de dégénérescence secondaire est là d'une utilité remarquable. Parm
re in-8° de 8 pages. Budapest, 1894. Chez l'auteur. LEGRAIN (M.). Dégénérescence sociale et alcoolisme, avec une préface de Barb
95. G. Masson. Régis (E.) et IVIOURE (J.). Végétations adénoïdes et dégénérescence . -Brochure in-81 de 12 pages. Bordeaux, 1894. -
mule de ila-nan,lidiq'uez par exemple : épi- sode syndromique de la/ dégénérescence mentale;ou, rentrant - ).dans le cadrer,de Chas
eaucoup de Magnan par sa classification, quant à l'importance de la dégénérescence , décritun délire hallucinatoire (halluciztatoni
des modalités rattachables à celles-ci, tandis qu'il place dans les dégénérescences mentales justement les formes chroniques, c'est-à
embrasser plusieurs années, et ne se construit pas sur un, fond de dégénérescence mentale, mais la marche en est très variable.
Magnan doit être extrême- ment rare et qu'on ne saurait faire de la dégénérescence un signe de diagnostic différentiel, dans les t
s idées délirantes d'un système mieux coordonné imputable soit à la dégénérescence mentale, soit à toute autre cause, il y a souve
ce de paranoïa, il faut encore faire la part de l'hérédité ou de la dégénérescence mentale, suivant les goûts. Cette part peut se
II, p. 151, 359, 364.) Séglas. La Paranoia, délires systématisés et dégénérescence arcen- tale. (Archives de Neurologie, t. XIII,
fort infiltrées, atrophie des racines postérieures et antérieures. Dégénérescence des nerfs périphériques ; légère dégénérescence
res et antérieures. Dégénérescence des nerfs périphériques ; légère dégénérescence des muscles. Recherche des bactéries nulle. D
; par L. Bruns (Archiv. f. Psychiat., XXV, 3.) Etude spéciale DE la dégénérescence descendante consécutive A CETTE description; pa
erfs et de muscles des extrémités inférieures. On constate : 1° une dégénérescence cicatricielle totale directe traumatique occupa
e qu'aux limites supérieure et infé- rieure du tissu cicatriciel la dégénérescence , quoique très active, n'était plus aussi étendu
es. Racines postérieures remarquablement bien conservées; -, 2° une dégénérescence traumatique directe partielle en rapport Archiv
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. avec des tractus de dégénérescence secondaire évidente au niveau des septièmes rac
dégénéiescence traumatique directe se termine graduellement en une dégénérescence secondaire évidente dans les zones margi- nales
s postérieurs. Ces derniers foyers émaillent tout ce territoire. La dégénérescence marginale traumatique directe cesse graduelleme
u niveau du bord supérieur ou du bord inférieur de ces segments. La dégénérescence descendante intéresse , les faisceaux pyramidau
les faisceaux de Goll et les faisceaux de Burdach. En cet endroit, dégénérescence très accusée des, racines antérieures et posté-
et des troisièmes racines dor- sales (de haut en bas). En haut, la dégénérescence se limite graduel- lement aux faisceaux de Goll
on la poursuit jusqu'à la troisième paire cervi- cale. En ce cas la dégénérescence porte sur les faisceaux pyrami- daux croisés et
tégrité complète de la substance blanche à l'exception des zones de dégénérescence descendante; 4° légère altération dégénérative
cervicale ou dorsale, la moelle lombaire restant intacte, malgré la dégénérescence descendante des faisceaux pyramidaux, tous les
port avec le Shock, il y a eu paralysie flasque, "sans troubles' de dégénérescence électique, paralysie permanente de la vessie'et
e la huitième paire cervicale et de la première dorsale; il y avait dégénérescence descendante et ascen- 'dante de tous les systèm
e iiévroÏli41e, conjonctive, vas- culaire, ne procédant point de la dégénérescence secondaire. Irritant en permanence les cornes a
er, 1894.) ' ' ' . . ' 1 : . 13. ' XXIII.' LA VALEUR DES, signes DE dégénérescence ' ' DANS. D'ÉTUDE D E,s' 1 maladies mentales; p
ales; par e')) j\ 1ECEE.y., 1 . . ' Les stigmates morphologiques de dégénérescence sont très nom- breux parmi les gens normaux, et
ppui au diagnostic : un homme qui présente des signes nom- breux de dégénérescence sera toujours suspect pour ce qui concerne son
plaie de la société moderne, [sur la diathèse névropathique, sur la dégénérescence héréditaire avec toutes ses productions dans lé
orcerait-elle pas d'enrayer ce fléau beaucoup plus ter- rible de la dégénérescence héréditaire ? Pour cela, la caslration se, prés
l'aliéniste. , " , i - i - 1 - 1,1 1. e , , " ' · sd 'Les signes de dégénérescence sont si fréquents qu'on a'voulu créer untype cr
des nerfs, amaigrissement des muscles paralysés avec réac- tion de dégénérescence partielle ou complète, fréquence du pouls; le d
la réalité de cette assertion car chez un malade où l'on trouve une dégénérescence des netfs de la troi- sième et de la quatrième
ne inflammation vasculaire vraie de la substance grise et non d'une dégénérescence aiguë des cel- lules des cornes antérieures. Le
ll montre une série de préparations microscopiques témoignant d'une dégénérescence primitive des deux pyramides et de leurs systèm
ier facteur et de la formation des cavités (syringomyélie) et de la dégénérescence des cordons de l'organe. M. Nissl. Sur une no
palper, on ne trouve pas d'atrophie musculaire, pas de réaction de dégénérescence à l'excitation électrique, mais dès qu'on touch
ces diplégies cérébrales, liées à l'arrêt de développement ou à la dégénérescence des faisceaux pyramidaux ne peuvent pas toujour
st le résultat d'un affaiblissement congénital de l'intelli- gence ( dégénérescence ) portant surtout sur un trouble de l'associa- t
e vue de la morale et de la médecine légale, ce sont des espèces de dégénérescences impulsives émanées soit de l'ivrognerie, soit d
le rhumatisme, la syphilis, l'alcoolisme, le saturnisme, etc. La dégénérescence héréditaire a une grande tendance à se localise
l'excès du mal devenant un remède, en mettant fin à la série de la dégénérescence . Bien entendu, ce ne sont que des vues schémati
et psychologique de l'hérédité morbide (1880). 'Morel. Traité des dégénérescences (1857). 3 Moreau. -Psychologie moi-bide (1859).
on- tinuelles chez les alcooliques chroniques soient une cause de dégénérescence nerveuse, et nous verrons que les accidents alc
prédisposantes, il convient de placer avant tout, l'hérédité et la dégénérescence qui donnent justement à l'indi- vidu un tempéra
iné par la mort : on trouva les cellules corticales dans un état de dégénérescence très accusé et très avancé, avec des cellules é
at de prolifération autour des vaisseaux et de la névroglie. Si une dégénérescence de celte nature est réellement curable, il ne f
u'une seule chose : à savoir que l'auteur range dans le cadre de la dégénérescence mentale caractérisée essentiellement par la « c
rippale, par Pailhas, 378. Arcades dentaires comme stigmates de dégénérescence , par Camuset, 210. Arriérés, éducation des en
t de la personnalité dans la folie systématisée, parSéglas,218. Dégénérescence , valeur des signes de - par 1\ceche, 310. Dél
28 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
; parésie légère, signes en rapport avec une ébauche de réaction de dégénérescence ; paralysie complète, réaction complète de dégéné
faradique. Dans aucun des muscles atrophiés il n'y a de réaction de dégénérescence même partielle. Cependant, un fait nous parait
une simple diminution de l'excitabilité électrique sans réaction de dégénérescence . En présence d'une affection à évolution lente
-à-vis des réactifs colorants comme des globules rouges atteints de dégénérescence polychrorarctophylique, c'est-à-dire qu'au lieu
A. Région lombaire. 1) Les colorants de la myéline, montrent une dégénérescence très nette des deux faisceaux pyramidaux croisé
gion dorsale inférieure. 1) Par les colorants myéliniques, outre la dégénérescence toujours très marquée, bilatérale, complète et
en limitée de deux faisceaux pyrami," daux latéraux, on observe une dégénérescence moins accentuée de deux faisceaux cérébelleux d
ée de deux faisceaux cérébelleux directs. A droite seulement, cette dégénérescence se prolonge .en avant et intéresse la portion p
dorsale moyenne. 1) Les colorations myéliniques font ressortir une dégénérescence très intense des deux faisceaux pyramidaux croi
ence très intense des deux faisceaux pyramidaux croisés. Ici, cette dégénérescence est plus tendue à droite oit elle- comprend tou
à gauche où elle n'intéresse que des tiers postérieurs (PL XVI, A). Dégénérescence , moins intense, des deux faisceaux cérébelleux di
es. Dans le cordon latéral droit le faisceau pyramidal présente une dégénérescence très marquée dans toute son éten- due. La porti
G. DURANTE Le faisceau cérébelleux voisin présente aussi une légère dégénérescence . Ace niveau les cordons postérieurs sont nettem
xterne du tiers postérieur de ce dernier. En aucun point la zone de dégénérescence ne touche a la substance grise dont elle demeur
t très réduite. Il s'agit d'une atrophie des tubes plutôt que d'une dégénérescence avec sclérose. La diminution de la myéline expl
ne. G. Région CERVICALE supérieure. Colorations myéliniques. - La dégénérescence du faisceau pyramidal droit est notablement moi
oit est notablement moins étendue et moins intense que plus bas. La dégénérescence du faisceau pyramidal gauche réduite à quelques
s que dans la région sous-jacente. Dans les cordons postérieurs, la dégénérescence affecte la même topogra- phie ; elle est toujou
urales et ne sauraient être regardées comme le point de dé- part de dégénérescences médullaires. Résumé. - Ces altérations histolog
ions histologiques peuvent se résumer de la fa- çon suivante : 1) Dégénérescence de faisceaux pyramidaux croisés sur toute la haut
intense et plus étendue à droite qu'à gauche. Le maximum de cette dégénérescence siège dans la région dorsale su- périeure, plus
ecroisement des pyramides. Les faisceaux de Turk sont normaux. 2) Dégénérescence des faisceaux cérébelleux directs des deux exilés
érébelleux directs des deux exilés et sur toute leur hauteur. Cette dégénérescence est beaucoup moins intense que celle des faisce
est beaucoup moins intense que celle des faisceaux pyramidaux. 3) Dégénérescence des faisceaux de Gowers en tant que prolongement
en tant que prolongement antérieur des faisceaux cérébelleux. Cette dégénérescence également peu marquée, est un peu plus étendue
ons lombaire et dorsale. ? ' Dans la région cervicale seulement : dégénérescence (ou plutôt atrophie des tubes nerveux) intéress
de Goll du faisceau de Burdach dans ses 2/3 antérieurs (virgule) ; dégénérescence du 1/3 postérieur du faisceau de Goll et de la
e Goll et de la portion adjacente du fais- ceau de Burdach. Cette dégénérescence , beaucoup plus marquée à gauche qu'à droite, est
s accen- tuées, elles sont incapables d'avoir donné naissance à une dégénérescence secondaire des faisceaux pyramidaux. Maintena
départ, comment peut-on concevoir leur évolution ? Tout d'abord les dégénérescences observées dans la moelle ne sauraient en aucune
s des névrites périphériques et qui ne donnent pas naissance il des dégénérescences secondaires. De date très vraisembla- blement r
on des eschares qui avait précédé la mort. Enfin l'absence de toute dégénérescence dans les faisceaux blancs du mésen- céphale est
ment sur toute la hau- teur de la moelle et ne cadrent pas avec une dégénérescence des cordons postérieurs limitée à la région cer
le seulement. L'un de nous a, il est vrai, montré l'existence d'une dégénérescence des cordons postérieurs consécutives à des lési
ostérieurs consécutives à des lésions encéphaliques (1), mais cette dégénérescence est toujours beaucoup moins marquée que celle q
ections portant précisément sur le point le plus (t) G. Dunwrr, Les dégénérescences secondaires du système nerveux. Bull. de la Soc.
aires du système nerveux. Bull. de la Soc. de Biologie, 1894. - Les dégénérescences des cordons postérieurs conséculives aux lésion
être retrouvé. Quoique nous n'ayons pu le constater directement les dégénérescences des faisceaux blancs sont assez caractéristique
à l'union des région cervicale et dorsale. Au-dessous s'étend une dégénérescence descendante bilatérale des fais- ceaux pyramida
aire, mais sans disparaître complètement. Au-dessus on retrouve une dégénérescence descendante classique des cordons posté- rieurs
dégénérescence descendante classique des cordons posté- rieurs. La dégénérescence des faisceaux cérébelleux s'observe sur toute la
ce faisceau contient des fibres qui subissent dans quelques cas la dégénérescence descendante. Mais nous croyons plutôt qu'elle r
re sur toute sa hauteur paraît plus récente que celle qui a régi la dégénérescence des faisceaux pyramidaux et concorde avec là dégé
t des tubes nerveux y est complète. On ne saurait la rattacher à la dégénérescence des faisceaux pyramidaux, car elle siège précisém
faisceau moteur le plus atteint. Il nous reste enfin à parler de la dégénérescence cervicale des pyrami- daux. Celle-ci ne nous ar
caractères de la dégénéres- cence rétrograde. La possibilité d'une dégénérescence ascendante sur une petite hauteur des faisceaux
le et cervicale, des altérations plus profondes avant déterminé une dégénérescence secondaire des faisceaux pyramidaux de laquelle d
llements, de certaines douleurs, mais elles ne sont pas la cause de dégénérescences systématisées beaucoup plus anciennes. Ce sont
M. le professeur Bergokié. Io Aucun muscle ne donne la réaction de dégénérescence . 2° Conservation de l'excitabilité faradique po
yers leéntalomyéliques points de départ ultérieurs de phénomènes de dégénérescence des cordons, des plaques de sclérose et même de
ari était mort il y a 7 ans d'une tumeur de la langue (leucoplasie, dégénérescence épithéliale chez un ancien syphilitique ? ), et
ie de la puberté, spontanée, préparée par une tare hérédi- taire de dégénérescence de la nutrition, soit latente; soit 'exprimée par
Elle ne combat les ménorrhagies, la fausse couche récidivante, la dégénérescence fibromateuse de l'utérus, l'ovarite chronique, qu
érieurement à la déprédation capil- laire, il se fait un travail de dégénérescence très accusé du côté des ? rats et des gencives.
omes interstitiels. L'influence heureuse de la médica- tion dans la dégénérescence fibromateuse confirme la nature dysthyroï- dien
ue l'utérus pend en besace, dégageant ainsi les troncs iliaques. La dégénérescence variqueuse s'aggrave parfois après la délivranc
'in- fantilisme Lorain. Il n'y a qu'une différence de degré dans la dégénérescence . Traitement. - Il commença le 8 mai 1898, avec
culaire. L'examen électrique ne donne en aucun point la réaction de dégénérescence . Tous les muscles se contractent bien ; au dyna
ce des contractions fibrillaires ; 3) L'existence de la réaction de dégénérescence ; 4) L'absence d'hérédité ; -, 5) Le début au
rophiés présentent à côté de fibres saines, des fibres atteintes de dégénérescence vitreuse, colloïde, et d'autres déjà atrophiées e
n peu de fatigue. Les nerfs et les muscles offrent la réaction de dégénérescence , partielle chez les uns, plus complète chez les
fatigue. En somme, les nerfs et les muscles offrent la réaction de dégénérescence , partielle chez les uns, plus complète chez les
maigrie n'est pas intéressée par l'atrophie musculaire. Réaction de dégénérescence dans tous les muscles. RÉACTION ÉLECTRIQUE. 1
rouve un certain nom- bre intactes. Je n'ai pas relevé la zone de dégénérescence partielle du faisceau fondamental antérieur, si
troubles de sensibilité, sans troubles trophiques, sans réaction de dégénérescence mais avec une exagération notable des réflexes
ù les contractions fibrillaires existent, où se voit la réaction de dégénérescence . Ce n'est pas une poliomyélite chronique, ce n'
. Atrophie simple, sans contractions fibrillaires, sans réaction de dégénérescence . Les réflexes rotuliens étaient exagérés des de
fuse. Il n'y a pas de contractions fibrillaires, pas de réaction de dégénérescence . Les réflexes rotuliens sont exagérés des deux
r de près les troubles psychiques, les névroses et les stigmates de dégénérescence assez fréquemment notés chez ces malades. Mais
t essentiellement cons- tituées par des formes dégénératives, et la dégénérescence mentale doit seule être incriminée dans leur pa
. Ces troubles, comme les psychoses confirmées, ressortiraient à la dégénérescence mentale. Ces conclusions de Brunet sont trop se
il ne s'agit vraisemblablement là que d'un épisode délirant dû à la dégénérescence mentale (cette malade, déjà citée, était nièce d'
entent eux-mêmes souvent des manifestations diver- ses de l'état de dégénérescence , allant depuis l'affaiblissement intellectuel j
veuses ou mentales variées, mais toujours en rapport avec l'état de dégénérescence » . AUTEURS CITÉS : (1) D'ABUNDO, Manicomio m
ental, on finit toujours par découvrir chez lui quelque stigmate de dégénérescence . « Quand on va au fond des choses, quand on int
ent sujets à un spasme es- sentiel, mental par le seul fait de leur dégénérescence , comme l'admet Bompaire, qui du reste ne signal
stes de la plume ou du pinceau. TABLE DES MATIÈRES Acromégalie et dégénérescence mentale, par F.115 ? IISIEIt (3 phot.), 398.
'origine myélopathique (12 phot.), 358. FAHXAHIEIL Acromégalie et dégénérescence mentale (3 phot.), 358. Féré (CII.\HLES). Le
.). Contribution à l'étude ana- TABLE DES PLANCHES Acromégalie et dégénérescence mentale (FARNARIrji), LXV. Amyotrophie Charco
29 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ers accidents névropathiques de la mère, et chez les collatéraux la dégénérescence , l'idiotie et les convulsions. Si nous cherch
comme normaux. Bien que certains cliniciens repoussent la notion de dégénérescence comme étrangère à la pathologie, il nous semble
ermine son travail par quelques considérations intéressantes sur la dégénérescence et la régénération des cellules ganglionnaires.
névrite avec toute sorte de signes physiques et intellectuels de la dégénérescence des alcoo- liques. A lami-1893, les troncs nerv
topsie : emphysème pulmo- naire, léger athérome des gros vaisseaux. Dégénérescence très accusée des vasa nervorum; il existe dans
ères, thrombose de quelques-unes. Les veines sont également lésées. Dégénérescence ascendante des nerfs jusqu'aux cellules des cor
nce ascendante des nerfs jusqu'aux cellules des cornes antérieures. Dégénérescence des racines posté- rieures et dégénérescence as
es cornes antérieures. Dégénérescence des racines posté- rieures et dégénérescence ascendante consécutive des cordons pos- térieur
le. Chez un malade dont le coeur était le siè ! 2 : e de lésions de dégénérescence , se produisit une paralysie aiguë du coeur qui
par J\11nnich dans l'anémie grave) ; enfin les stades terminaux des dégénérescences des cellules ganglionnaires sont difficiles à d
ent leurs antécédents héréditaires psychopathiques, leurs signes de dégénérescence psychiques et somatiques et l'absence de troubl
s psychologiques, les autres biologiques, sans parler des signes de dégénérescence somatique. Dans les prisons, c'est surtout par
st assez variable dans la manie hystérique, la manie puerpérale, la dégénérescence mentale, et devient à peu près nulle dans la fo
e de la queue de cheval, et décrit au contraire comme ayant subi la dégénérescence secondaire descendante dans des cas de compress
me cervicale dans l'autre, l'auteur représente sur 'ses figures une dégénérescence descendante dans les cordons pos- térieurs. C
dégénérescence descendante dans les cordons pos- térieurs. Cette dégénérescence est topographiquement absolument superposable a
de MM. Souques et Marinesco et dans le nôtre où avait eu lieu une dégénérescence radiculaire ascendante ayant épargné les région
La zone limitant le sillon médian postérieur est restée libre de dégénérescence jusqu'à la partie supérieure du cône médul- lai
sion siégeait assez haut pour qu'il ne puisse plus être question de dégénérescence traumatique, il est impossible d'admettre que l
ieure du sillon médian. La longue distance à laquelle se produit la dégénérescence doit de même faire écarter toute explication pa
- bre de fibres du cordon antéro-latéral... une zone de fibres en dégénérescence au sommet du cordon postérieur tout près de la
ons inférieures de la moelle, seul le faisceau postérieur a subi la dégénérescence , la zone antérieure cornu-commissu- rale est sa
e dégénérescesce en virgule semblable à celle décrite par Schultze, dégénérescence qui s'arrête assez tût. Aussi entre la dégéné
r Schultze, dégénérescence qui s'arrête assez tût. Aussi entre la dégénérescence en virgule à la région cervicale et la dégénére
ussi entre la dégénérescence en virgule à la région cervicale et la dégénérescence cornu-commissurale des régions infé- rieures, n
roduit sur nos coupes et sur celles de MM. Souques et Marinesco, la dégénérescence ascendante refoule latéralement les fibres endo
s que nous allons étudier est le postérieur et par l'étendue de ses dégénérescences mérite le nom de système à long trajet. Bien en
e l'existence de ces fibres ne peut être fournie que par les cas de dégénérescence descendante consécutive à une lésion médullaire
qu'à la suite d'une compression au niveau de la sixième dorsale la dégénérescence descend manifeste- ment presque dans le cône te
s tenu à insister, c'est que dans des cas bien observés, on a vu la dégénérescence aller de la région cervicale jusqu'à la partie
coce dans cette maladie; pas d'adhérences leptoméningées ; pas de dégénérescences caractéristiques, altérations que l'on aurait c
s donnent toutes ses mesures anthropométriques. Plusieurs signes de dégénérescence : bosses frontales très développées et très rap
u normal, mais on a vu plus haut qu'il présentait des caractères de dégénérescence en harmo- nie parfaite avec les stigmates physi
que, c'est un maltoïde porteur de signes physiques et psychiques de dégénérescence . Ainsi prédis- posé il est précisément éprouvé
ditaire présentant tous les stigmates somatiqueset psychiques de la dégénérescence . En plus, l'ensemble des symptômes REVUE DE MÉD
édico-psychologiques, avril 1896.) E. B. VII. REVUE DES SIGNES DE dégénérescence ET DES MÉTHODES DESTINÉES A les enregistrer; pa
La valeur pratique de nos connaissances actuelles sur les signes de dégénérescence a été peut-être exagérée par ceux qui croient a
-être exagérée par ceux qui croient avoir trouvé dans ces signes de dégénérescence une phrénologie REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. '1
de l'individu; - aussi voyons-nous l'étude des prétendus signes de dégénérescence n'être pas d'une importance pratique pour l'ali
oir la question du mariage pour ceux qui sont affligés de signes de dégénérescence . Certes tous les points de ce problème sont enc
e des conclusions prématurées. Pour faciliter l'étude des signes de dégénérescence et la compa- raison des résultats obtenus, l'au
es purement psychiques. Cette énumération complète des stigmates de dégénérescence et des méthodes destinées à les enregistrer est
sions d'un même groupe morbide, la myoclonie, produits de l'état de dégénérescence . Deux leçons sur les délires et fugues ambulato
mation de la tête. Le malade ne présente aucun stigmate physique de dégénérescence . Il n'y a pas de blépharoptose. Les pupilles so
niers travaux des écoles française et italienne sur l'hérédité, les dégénérescences et leurs causes, la raison de mesures préventiv
aça dans ses leçons cliniques et dans son admirable ouvrage sur les dégénérescences de l'espèce humaine,les principales lois de l'h
ils en avaient été les créateurs. - Pendant que la doctrine de la dégénérescence s'étendait ainsi de la pathologie mentale à la
mutuels services. Les premiers ont conçu et fixé la doctrine de la dégénérescence qui s'est bientôt étendue à toute la pathologie
de M. Marinesco, il n'y a pas de différence sensible, selon que la dégénérescence suit une section périphé- rique ou une anémie s
e la tumeur frontale, 246 milli- mètres. Pas de signes apparents de dégénérescence physique, intelligence rudimentaire constituant
res malades de la salle absolument inoffensifs. Névrose complexe de dégénérescence . » A. K... est un garçon de moyenne tailla, ass
ébrales étroites, il présente en outre quelques stigmates banals de dégénérescence tels que la voûte palatine ogivale, un léger de
nt et tic sont deux stigmates trop communs et trop importants de la dégénérescence mentale pour qu'il soit nécessaire d'insister s
eur histoire pour que la confusion ne soit pas possible. C'est à la dégénérescence mentale que nous rapportons les, 1 Bl'issaud, -
s... Ecartement des angles de la mâchoire inférieure... Signes de dégénérescence : Crâne... Yeux... Nez... Oreilles... Bouche...
s contre les autre. Les cordons médul- laires ont subi une certaine dégénérescence dans le voisinage des gommes, mais sans systéma
r lésion dominante est la sclérose embryonnaire, il s'agit là d'une dégénérescence provoquée par la réaction inflammatoire. La sub
amyotrophie, qui ne montre ni secousses fibrillaires ni réaction de dégénérescence . (Revue Neurologique, février 1896.) E. B. XI
n anatomique de l'organe révèle soit une lésion scléreuse, soit une dégénérescence amyloïde des cellules, et dans tous les cas, l'
aucune asymétrie au crâne, ni à la face; aucun stigmate physique de dégénérescence . Yeux. - Pas de blépharoptose, ni de strabisme.
.) E. fiLIN, 382 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XVIII. Stigmates DE dégénérescence ; par le D1' Iflvitl NEEF. L'auteur publie quelq
s cliniques destinés à montrer la pré- sence de signes physiques de dégénérescence dans les psychoses -dégénératives. Il termine
jeune homme présente de nombreux signes physiques et psychiques de dégénérescence : grande envergure, trop grande, oreilles en an
ligués contre lui. - R... aussi présentait de nombreux stigmates de dégénérescence physiques et mentaux, des tics de la face entre
i de l'asymétrie faciale et un grand nombre d'autres stig- mates de dégénérescence . En résumé, chez ces trois individus, on note d
de l'hérédité mor- bide, de forts signes physiques et psychiques de dégénérescence , des tics entre autres, dont Charcot a signalé
antisocial apathique et sauvage, suite d'arrêt de développement, de dégénérescence régressive ou de processus pathologique, et rep
sychique; 6° au point de vue social, la criminalité est un degré de dégénérescence plus profond et plus dangereux que la folie. De
vation concerne un jeune garçon de quatorze ans. Signes craniens de dégénérescence ; impossibilité d'apprendre à lire, à écrire, à
l'on ajoute les vices de conforma- tion, les stigmates physiques de dégénérescence , la débilité physique dont sont atteints les de
érations profondes du tissu rénal lui-même, comme l'hypérémie et la dégénérescence granu- leuse et hyaline des divers éléments ana
V. DE LA DEFORMATION ET DE la paralysie DE la LUETTE COMME SIGNE DE DÉGÉNÉRESCENCE ; par le Dr DAN.\. Les anomalies de développemen
déformations de la luette augmente avec la proportion des signes de dégénérescence . Examinés au point de vue de l'innervation, les
le défaut d'innervation, un stigmate analomique et physiologique de dégénérescence . (American journal of 121siiiiity, avril 189G.)
e nettement contre l'abus que l'on tend à faire de la théorie de la dégénérescence . La thé"rie de More], pour lui, avait une vraie
stion de savoir quels sont les rapports entre la folie et l'état de dégénérescence de la voûte palatine. (American journal of i ?
Marron y Alonzo, 126. Dégénéré persécuté par Lefilliâtre. 390. Dégénérescence . Signes de -, par A. vleyer, 130. Délire des
omme. par Ellis, 3S2. Luette. Déformation de la- comme signe de dégénérescence , par Dana, t70. Mariage. Loi interdisant le -
30 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e ou intellectuel. Il. de MusGHAVE.CLAY. VIII. La Topographie de la dégénérescence corticale des paraly- tiques généraux, et ses r
de démence paralytique avec tabès, est r' caractérisée par : I. une dégénérescence relativement faible : a) de la frontale ascenda
d) du système des fibres de la corne d'Ammon. II. '"* une excessive dégénérescence ; a) des frontales ; b) de la pariétale Hi z as
observation, tout en se confondant, quant à la topographie " de la dégénérescence avec les cas de paralysie générale typique, '*
est l'intégrité relative des compartiments sensoriels centraux : la dégénérescence porte ' principalement sur les territoires des
ques congestives, trouve une intégrité relative du lobe frontal; la dégénérescence corticale se limite ici au territoire des hémis
. Dans la seconde, prédomine la faiblesse des associations : il y a dégénérescence du territoire d'association de Flechsig; les ce
ent la zone visuelle et la zone auditive. Tout ceci' indique que la dégénérescence corticale de la paralysie géné- rale est une af
se fait chez les idiots proprement dits et les simples stigmates de dégénérescence que l'on observe si fréquemment chez les arriér
arriérés... Les idiots ne présentent-ils donc pas des stigmates de dégénérescence ? Ces déformations céphaliques, ces anomalies s
cée a détruit la troisième paire gauche qui présente des lésions de dégénérescence (méthode de.Marchi et de Weigert-Pal) très accu
'insistons pas : elles sont semblables aux lésions classiques de la dégénérescence wallérienne observée après la destruction complèt
la mort quatre mois après le début, et n'ayant pu ainsi créer une dégénérescence immédiate et massive de faisceau comme le font
omènes tels que trépidation spinale et contracture, signature de la dégénérescence du faisceau pyramidal. En elfet, les méthodes d
car, avec la méthode de Marchi, nous n'avons pas. trouvé une grosse dégénérescence dans le pédoncule cérébelleux droit, au-dessous
nt l'autre au bout de quinze jours. Parmi les autres stig- mates de dégénérescence on note un palais étroit et à voûte surélevée,
médecin et subit dans toute son intensité l'influence du virus. La dégénérescence ^ .^$4Wr»ï'ÀJ^BATH0L0GIE MENTALE. 153 paralyt
es juifs. C'est un fait incontestable que les différentes formes de dégénérescence nerveuse (paralysie générale, ataxie, etc.), ai
core chez les juifs orthodoxes), et il constate que les névroses de dégénérescence et la paralysie générale sont communes dans les
es qui sont habituellement mis sur le compte de l'hérédité ou de la dégénérescence , facteurs étiolo- giques beaucoup plus lointain
es notions devenues classiques sur les stig- mates psychiques de la dégénérescence qui rendirent son nom illustre dans le monde en
ette auto-intoxication hépatique frappe des cerveaux prédis- posés ( dégénérescence , alcoolisme), il n'est pas pourtant sans inté-
ifestations symptomatiques de la folie héréditaire (More)) et de la dégénérescence mentale (Magnan). Ce sont deux choses différent
u'une seule catégorie de tiqueurs, dont la maladie, provenant de la dégénérescence , serait une sorte d'infantilisme et consisterai
e faits que ceux dont a parlé M. Noguès II est nulle- ment lié à la dégénérescence originelle. La volonté n'y a point paru altérée
s, les tics ne seraient qu'une des mul- tiples manifestations de la dégénérescence mentale. C'est en vérité se payer de mots. Je m
e tout à fait exagéré, selon moi, qu'on a prétendu faire jouer à la dégénérescence dans le développement des psychopa- thies et à
cellules rondes qui semblent avoir péné- tré dans leur protoplasma ( dégénérescence graisseuse). » Et M. Vigoureux, bien .qu'ignora
noncé et de liberté rela- tive de la parole, délire hallucinatoire, dégénérescence graisseuse de cellules de l'écorce. Il y aurait
lcoolique (14 hommes, 5 femmes), et 2 cas de crélinisme ou mieux de dégénérescence phy- sique, rappelant d'assez loin le véritable
leur, origine éliologique, dans les états mélancoliques, dans la dégénérescence mentale, dans les psychoses toxiques, dans les ét
e ensuite les associations des autres facteurs étiologiques avec la dégénérescence mentale, dans la pathogénie de l'idée d'auto-ac
de la paralysie générale. Syphilis, alcoolisme, surmenage physique, dégénérescence . Ce sont des vaincus de la vie dans toute la fo
plètement cette gaine, et il n'y a plus vestige du cylindraxe. La dégénérescence waltérienne est de règle au-dessous du point en
e est de règle au-dessous du point envahi. Au-dessus, on note de la dégénérescence rétrograde, et la réaction à distance des cellu
ales ou médullaires. Leurs processus dégénératifs sont très variés ( dégénérescence muqueuse, myxomateuse, kystique; né- crose plus
ons angiomateuses). Insistons sur. - SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 365 une dégénérescence spéciale, développée aux dépens de tous les élé
lective en présence des couleurs acides, l'éosine en par- ticulier ( dégénérescence acidophile). Cette dégénérescence aboutit fréqu
cides, l'éosine en par- ticulier (dégénérescence acidophile). Cette dégénérescence aboutit fréquemment, dans ses portions centrale
eut-être même à la curabilité spontanée par suite des progrès de la dégénérescence acidophile avec transformation calcaire. Pour l
ner si toutes les fibres sont sectionnées, pas même lors- qu'il y a dégénérescence secondaire des faisceaux pyramidaux, - qui peuv
des cas de tabès qui semblent n'être que l'expression locale d'une dégénérescence générale sénile (polysclérose) et où l'action d
ui seule permit le diagnostic exact et qui révéla un pro- cessus de dégénérescence sans systématisation aucune, ayant débuté par l
rante. L'auteur élimine les atrophies dégénératives, , qui sont des dégénérescences toxiques analogues à celles des autres organes,
t leur donne un aspect trouble, finement grenu, qui n'est pas de la dégénérescence , mais ce que l'auteur distingue sous le nom de
ctères propres pour prendre l'aspect conjonctif ou adipeux. - Les dégénérescences diverses que l'on rencontre dans quelques fibre
coeur, établissent comme facteurs principaux de cette affection la dégénérescence graisseuse du myocarde et les' altéra- tions de
naires, mais sans s'arrêter sur les causes détermi- nantes de cette dégénérescence au point de vue mental. Aussi lui a-t-il paru i
s cérébrales, une surcharge graisseuse'très accentuée du coeur avec dégénérescence du myocarde et d'autres organes importants, tel
s émotifs sans avoir joué ici un rôle immédiat dans la genèse de la dégénérescence et de la rupture du coeur, lui semblent cependa
t la démence, reconnue générale- ment comme favorisant les diverses dégénérescences des organes. M. Pichenot conclut que c'est à l'
iel plus ou moins précoce de ses malades que doit être rattachée la dégénérescence graisseuse des myocardes et le mauvais état des
toute démence, suffit ainsi que l'admet Gélineau, pour favoriser la dégénérescence des organes, mais que les crises épileptiques p
la mélancolie dite à délire de persécution comme une variété de la dégénérescence . Asiles d'aliénés. Nominations et promotions. M
ticulaire. Les muscles atrophiés fournissaient la réaction de la dégénérescence . Après quelques mois de traitement, l'atrophie
énomène de symétrie qui l'accompagne. it. C. \yin. Acromégalie et dégénérescence mentale; par F. Farnarier. (Nous. lconogr. de l
alades eux-mêmes présentent souvent des manifestations de l'état de dégénérescence allant de l'affaiblisse- ment intellectuel jusq
he n'a été interrompue, pas une seule ne montre le moindre signe de dégénérescence secondaire. Pour ex- pliquer la genèse de l'hém
ATHOLOGIE MENTALE. 467 7 sont de véritables stigmates psychiques de dégénérescence . On les observe chez les individus souvent doué
hysionomie inintelli- gente et quelque peu bestiale, sans signes de dégénérescence net- tement accusés. Archives, 20 série, t. X
. De volume normal, l'aspect et la couleur jaune étaient ceux d'une dégénérescence infectieuse et cachectique. Le lobe gauche port
tion. D'après ce qui précède, le diagnostic de notre malade est : Dégénérescence et débilité mentales originaires, avec idées déli
rée des racines postérieures et des cordons postérieurs : c'est une dégénérescence du premier neurone centripète. La lésion des ra
ciation des troubles delà sensibilité à l'ataxie, déterminée par la dégénérescence de toutes les fibres longues ascendantes des co
ion du système cérébelleux au processus tabétique s'explique par la dégénérescence continuelle des fibres des colonnes de Clarke,
de la moelle, des corps optostriés, et du cervelet. On y trouve la dégénérescence du faisceau cérébelleux des cordons postérieurs
parfois dans le tabès des accidents cérébelleux accusés ; alors la dégénérescence des fibres radiculaires gagne, par les colonnes d
ons latéraux cérébelleux; en outre, il existe assez fréquemment une dégénérescence disséminée dans la région du reliquat des cordo
aut aussi'se défier de deux termes généraux très usités, à savoir : dégénérescence et hérédité. Le mot dégéné- rescence est fort s
sposition héréditaire, il ne croit pas devoir faire inter- venir la dégénérescence pour expliquer le développement de ces désordre
mène une complication quelconque. E. Blin. XXIII. Prostitution et dégénérescence ; par le Dr E. LAURENT. (Annales médico-psychol
u chloral. 11. Ireland soup- çonne que son insomnie était due à une dégénérescence artérielle des vaisseaux cérébraux. Il se plaig
édacteur-gérant : Bouhneville. TABLE DES MATIERES Acroniégalie et dégénérescence men- tale, par Farnarier, 429. Affections car
CIIIILMENT. De l'attitude du , 399. Dagonet.. Voir Nécrologie . Dégénérescence corticale. La topo- graphie de la- des paralyti
ue et hatlmlo- gique, par 5clmts-Chrrbacl : . 495. ll.rcutc. Voir Dégénérescence con- il Cale. Folie chez les jumeaux : deux j
lcuire. Pglynévrue wcc psychose, par Crocq.521. Prostitution et dégénérescence , par Laurent, 519. - l'ti0tU13ERA\CE. Un cas
31 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
présente il sa surface desmarbruroç jaunâtres qui témoignent de la dégénérescence graisseuse. - Capsules surrénales normales. Rei
ent des lésions tuber- culeuses des poumons. CLINIQUE MENTALE Dégénérescence mentale et maladie de Basedow ; Par les J)" (
de la dys- thyroïdationllans la genèse du syndrome basedowien. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE ET MALADIE DE 13ASI ! DO'% ? 27 Or ce p
llaienl ou exagéraient les palpilalions. Le soir, elle ne pouvait DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE ET MALADIE DE BASEDOW. 29 s'endormir, i
, ni avec la théorie de simple coïncidence. Le grand principe de la dégénérescence nous semble prési- der à l'éclosion des phénomè
ous l'in- fluence des mômes causes, ictus émotionnels, troubles DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE ET MALADIE DE BASEDOW. 31 de la ménopau
Par contre, un examen attentif révèle des stigmates physiques de dégénérescence , e) Les antécédents personnels nous révè- lent
morbides trouve son explication légitime dans le terrain commun de dégénérescence . ASILE D'ALIENES Le projet de concours spéc
s la moelle épinière. Il en Va de même que pour le traitement des dégénérescences communes de la moelle. L'absence de dou- leur a
soderme réagit soit exclusivement, par de la prolifération et de la dégénérescence fibro-plastique (psy- choses séniles, cérébro-s
s, mais son usage habi- tuel amène des modifications chroniques* de dégénérescence par conséquent, dans les maladies chroniques du
orisé à la considérer comme une des nombreuses manifestations de la dégénérescence mentale héré- dataire. Par ce fait, le pronosti
logie générale, à la confusion mentale, à la dé- mence précoce, aux dégénérescences et aux psychoses des dé- générés, aux psychoses
s organiques. Enfin, M. Régis expose la question des stigmates de dégénérescence ou infirmités psychiques d'évolution et donne u
irmités comprennent : A. les infirmi- tés psychiques d'évolution ou dégénérescences psychiques, avec les délires greffés sur ces ét
ire ou acquise ; un grand nombre de ces malades étaient atteints de dégénérescence physique ou mentale ; mais ces accidents psychi
que n'est pas épaissie. Au-dessus de la compression on trouve une dégénérescence ascendante des cordons de Goll jusque dans le b
ée des libres normales montre des granulations noires au llarchi.La dégénérescence des cordons postérieurs n'est pas systématisée.
les masses musculaires sont moins distinctes, leur tissu a subi la dégénérescence graisseuse ; elles se présentent sous une forme
re à l'existence d'un kyste hydafique pluriloculaire, avant subi la dégénérescence spécialctléjà décrite pour ces kystes de l'encé
llement subi la transformation osseuse : la tumeur évoluant vers la dégénérescence . Les transformations osseuses de ce genre se pr
impossible de prévoir quand ce développe- ment cessant il a subi la dégénérescence avec transfor- mation caséeuse. Cette dégénéres
t il a subi la dégénérescence avec transfor- mation caséeuse. Cette dégénérescence était certainement très ancienne au moment de l
e année, bien constitué, taille moyenne ; pas de signes notables de dégénérescence . N'a jamais fait de maladie sérieuse ; célibata
sque toute la moelle et la base du cerveau (ligures). A. Examen des dégénérescences ascendantes. Il est admis que la plupart des fi
e région inférieure a la moelle dorsale supérieure. B. Examen des dégénérescences descendantes. Celle des cordons postérieurs s'e
nt deux espèces de libres descendantes, des libres courtes (zone de dégénérescence en virgule) et des fibres longues (zone de dégé-
ameaux descendants des raci- nes postérieures sont atteints dans la dégénérescence en virgule de Schultze. Les longues fibres desc
nt dans la zone en virgule, mais ce n'a pas encore été démontré. La dégénérescence descendante des cordons antérieurs et latéraux
sale ; celle des seconds allai l jusqu'au cône médullaire. C. Les dégénérescences descendantes et ascendantes trahissent enfin l'
s comme les courants galvaniques ou constants. Ils agissent dans la dégénérescence partielle ou com- plète chaque fois que l'excit
une contraction paresseuse, lente ; peu importe que, comme dans la dégénérescence moyenne, le nerf et le muscle réagissent au cou
; ça et là tractus de tissu conjonc- lit ancien. On peut suivre la dégénérescence rétrograde de la racine postérieure jusque dans
edémcdu cerveau, de conges- tion cérébrale ou d'hémiplégie due à la dégénérescence primaire des voies pyramidales, etc. Le sujet e
té de la plante. P. KERAVAL. XXIX, Contribution à la biologie de la dégénérescence des nerfs ; résultats d'expériences de transpla
les animaux il. sang froid, le froid -les tissus ambiants arrête la dégénérescence , de sorte que, plusieurs jours après leur trans
peuvent en quelque sorte survivre il l'isolement en ce sens que la dégénérescence , le processus de régression qu'on y trouve est
u tissu vivant, pré- servant le morceau de nerf, le rende apte a la dégénérescence , tandis que dans le second le contact d'un tiss
es que les auteurs étudièrent présentaient de l'atro- phie et de la dégénérescence a ec disparition de la striation trans- versabl
epsie, chez une femme présentant quel- ques stigmates physiques- de dégénérescence , et un affai- blissement intellectuel en partie
animaux, et les cérébraux, bien supérieurs aux précédents dans leur dégénérescence , parce que, ayant acquis une organisation menta
tiondueà des produits résiduels de la nutrition cérébrale ou de la dégénérescence des fibres que la circulation lymphatique n'arriv
les nerveuses. ueurolibrilles, cylin- draxes, gaines du, 11l)'line, dégénérescences récentes granulo- graisseusus des cellules et d
lt;.'(r)p)anch('s.'7<[cssins1. M. 1. r : \IO'; , Infantilisme cl dégénérescence psychique (3 planches). Pei,. Acroinégalie part
ne gauche avec hémiplégie correspondante et fo- lie épileptique par dégénérescence secondaire cortico-spinale. C'est une véritable
ment démentiel fùt plutôt fonction d'épilepsie traumati- que ou de dégénérescence héréditaire que de traumatis- me, on peut répon
ysique ni psychique, et ces cas se rencontrent, comment admettre la dégénérescence quand même, sans hésitation ? Mais en dehors
innerve le grand pectoral. c) A la partie supérieure du 7c segment, dégénérescence du' groupe posléro-latéral qui innerve le trice
tteintes de chromatolyse. (l) Dans le 8e segment, l'étendue de la dégénérescence atteint son plus grand volume. Toute laparlie e
iL une perturba- tion fonctionnelle, indépendante de tout effet de dégénérescence . M. Bard publie l'observation d'un malade qui p
; ces deux caractères sont ali- solument analogues à la réaction de dégénérescence par le courant galvanique. Quand la lésion du
muscle franchement atrophié avant que l'on constate la réaction de dégénérescence électrique. 332 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
sceaux pyramidaux consé- cutive aux lésions d'encéphalite diffuse ; dégénérescence mas- sive de ces faisceaux secondaire à une lés
lobule pneumogastrique gauche et des circonvolutions voisines, avec dégénérescence consécutive des fibres antérieures de la protub
ant des troubles mentaux analogues à ceux des dé- générés, sorte de dégénérescence acquise individuelle- ment en dehors de tares a
1901 : Est atteint d'obtusion intellectuelle stigmates physiques de dégénérescence ; il se plaint toujours d'impotence et de doule
hant l'existence des stigmates physiques généraux et variés de la dégénérescence héréditaire. L'examen psychologi- que comporter
naissance toutes deux sur le terrain psychopa- thique général de la dégénérescence , mais que leur rap- port est tel que l'une de c
n abortive de la migraine. Le Dr Gorchholl' (3) signale un cas de dégénérescence épileptique. Il s'agit d'un soldat malade, fils
latérale et myopathie primitives ne sont-elles pas deux modes de la dégénérescence voi- sins, qui rentrent dans le groupe des mala
Chez les deux derniers, nous avons surtout relevé des stigmates de dégénérescence et des indices nous ayant conduit à les considé
on d'un système nerveux anormalement développé, frappé en un mot de dégénérescence , comme le veulent de bons observateurs. Si co
lus interne est lisse et re- couverte par une couche de cellules en dégénérescence grais- seuse qui lui donnent un aspect opaque,
uche propre des faisceaux de la capsule. A l'extérieur, une zone en dégénérescence graisseuse se montre qui forme la li- mite entr
ve une couche irrégulière, granuleuse, formée de cellules rondes en dégénérescence . Plus en dedans, les lésions sont caractérisées
ue de la substance cérébrale non encore envahie par le processus de dégénérescence . Tout en admettant avec tous les auteurs que c'
travail, l'une appar- tenait à une famille présentant des signes de dégénérescence avancée (stérilité, mort précoce). Chez deux,
ée (stérilité, mort précoce). Chez deux, on relève divers signes de dégénérescence , chez une la, surémotivité et la propension à l
es aigus, la lé- sion n'a rien de spécifique et il y a généralement dégénérescence concomitante des cellules hépatiques, ce qui in
de thora- cique précoce consécutive v une pleurésie aiguë, 200. Dégénérescence mentale et mala- die de Basedow, -par Dromard
périphérie, par Grasset, 131. - Contribution à la biologie de la dégénérescence des -, résultats d'expériences de transplanta
32 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e sans présenter d'inflexion brusque. Foie, 4 00 grammes ; légère dégénérescence graisseuse. Rate : adhérences péritonéales. Les
la zone non colorée est bien plus large que lorsqu'il s'agit d'une dégénérescence secondaire par lésion cérébrale. Une bande noir
A part la sclérose des faisceaux pyramidaux on ne distingue pas de dégénérescence . Au-dessus de la lésion, la moelle demeure long
atricielle de nerf équivaut à une section de nerf. D'ailleurs les dégénérescences ascendantes et descendantes de cette lésion éta
thologique : celui de M. William G. Spiller, où il fut constaté des dégénérescences rétrogrades d'une grande étendue en surface et
ssive- ment au thorax et aux membres supérieurs, avec réaction de dégénérescence et stigmates de dégénérescence, mais il ne pré-
membres supérieurs, avec réaction de dégénérescence et stigmates de dégénérescence , mais il ne pré- sente ni caractère familial, n
volutions frontales, pariétales et temporales, microscopiquement la dégénérescence graisseuse des petites cellules de l'écorce, en
nce de troubles sensitifs à côté des troubles moteurs, l'absence de dégénérescence amyotrophique, l'immobilité de tous les symptôm
et porteur de noevus. Ce malade est atteint entre autres signes de dégénérescence « d'une diminution du nombre et d'une altératio
es causes psychologiques du crime. Un crime peut être le fait de la dégénérescence du criminel, mais aussi de quelque soudaine exp
ariage des sujets atteints d'états morbides capables d'engendrer la dégénérescence de leurs descendants. La proposition paraît uto
cut dix jours et demi, ce qui permit de procéder à la recherche des dégénérescences secon- daires par le procédé de Marchi. On prat
baire supérieure. La substance blanche est certainement atteinte de dégénérescence secondaire dans la - portion la plus postérieur
en rapport avec les lésions de l'embolie médullaire, produisent une dégénérescence secondaire du faisceau latéro-cérébelleux sacro
le chien ; 3° une partie considérable de ce faisceau, qui subit la dégénérescence ascendante, se termine dans la moelle dorsale s
e dans le bulbe, dans l'aire du faisceau latéro-cérébelleux ; 4° la dégénérescence ascen- dante atteint en outre le faisceau sulco
la méthode de Marchi, montrent : A. Au-dessous du foyer : 1° une dégénérescence descendante, en virgule, du cordon postérieur ;
scence descendante, en virgule, du cordon postérieur ; 2° une forte dégénérescence du cordon latéral des pyramides, qui diminue d'
tendue et d'intensité en descendant. B. Au-dessus du foyer : 1° uné dégénérescence évidente du cordon latéral du cer- velet; 2° un
uné dégénérescence évidente du cordon latéral du cer- velet; 2° une dégénérescence du cordon postérieur; celle-ci, diffu- sée à tr
igert et Pal ne trahit, au-dessus comme au-dessous du foyer, aucune dégénérescence suivant un axe très considérable de l'organe. A
- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 137 baire, la dégénérescence descendante du cordon latéral des pyra- mides e
. (Figures). Or cette physionomie laisse supposer l'ascension de la dégénérescence du cordon latéral des pyramides, et la descente
égénérescence du cordon latéral des pyramides, et la descente de la dégénérescence du cordon postérieur, attri- buées par Struempe
à dire primitive; elles peuvent donc réellement appartenir -à une dégénérescence secondaire. - Pourquoi, en pareil cas, celui d'
, en pareil cas, celui d'une myélite ayant à peine duré un mois, la dégénérescence du cordon latéral des pyramides est-elle plus n
ion transverse de la moelle, les fibres qui ont d'abord à subir une dégénérescence grave sont celles qui au delà de la lésion, sép
rt espace de temps en rapport avec la myélite aiguë, précisément la dégénérescence exclusive des fibres très longues, tant daus le
s fibres longues sont entremêlées de libres à trajet plus court, la dégénérescence des fibres longues n'apparaît nette que la où i
léreuses en foyers multiples qui constituent le point de départ des dégénérescences secondaires systématisées; 3° diminution de vol
ertrichose lombo-sacrée envi- sagée comme stigmate anatomique de la dégénérescence ; par Lucien MA\ET. (Nouv. Iconogr. de la Salpé
tal ; - 2° Les endothéliomes des méninges peuvent subir, outre la dégénérescence calcaire, un autre processus dégénératif consista
base de la corne postérieure. La méthode de Nissl ne trahit aucune dégénérescence du groupe de cellules antéro-médian au- dessous
ripète et la somma- tion des excitations de la peau. La méthode des dégénérescences , elle, ne paraît guère tendre qu'à poser cette
es des vaisseaux, telles que épaississement des parois vascnlaires, dégénérescence hyaline, oblitération des capillaires, infiltra
plus souvent de la neurasthénie, quelquefois de l'hystérie ou de la dégénérescence , causée par l'hérédité, la masturbation, l'hype
qui le sollicitent. SIMON. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 219 XI. Dégénérescence ; pal' ÛRPHEUS Everts. (The anteriecan journal o
ations inspirées de la métaphysique de Spencer, avec la cause de la dégénérescence et la difficulté d'y remédier. SDION. XII. Tr
de nombreux stigmates d'ordre physique. SI%ION. XIV. Stigmates de dégénérescence . Cas d'Amos D. Palmer; par Walter Cnausslvc. (T
es diverses étapes de la maladie correspondent aux divers degrés de dégénérescence cel- lulaire. L'application pratique est ainsi
désordres mentaux : fonctionnels, à guérison fréquente; et types de dégénérescence organique, sans espoir d'ailleurs à limites flo
spéciale de la cellule nerveuse, avec l'étude de tous les modes de dégénérescence cellulaire : atrophie simple, etc. ; 3° la patho-
consomption : alcoolisme, syphilis, seront plus souvent victimes de dégénérescence progres- sive ; en d'autres termes, les enfants
e, avec considérations sur quelques mesures préventives de folie et dégénérescence ; par Richard Dewey. (American Jour- nal of lnsa
importante la soustraction à la contagion. Pour ce qui est de la dégénérescence , sans doute un dégénéré reste sans grande action
urrait-on pas dire que c'est l'oeuf humain le microbe de toutes les dégénérescences et un de ceux que nous avons le plus à combattr
rtient à la famille des dégénérés, parmi les stigmates physiques de dégénérescence . Au point de vue pathogénique, on admet général
que ce que l'on peut con- sidérer comme des stigmates physiques de dégénérescence ). Front fuyant et étroit; ne : long, pointu; lè
OLOGIE PATHOLOGIQUES. XXXI. Doit-on d'emblée considérer comme une dégénérescence pro- gressant de haut en bas une dégénérescence
onsidérer comme une dégénérescence pro- gressant de haut en bas une dégénérescence du cordon posté- rieur qui décroît en descendan
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ne permet pas d'attribuer leur dégénérescence à une lésion de nutrition du neurone progressan
dorsale supérieure et dans la moelle cervicale. n'y a pas trace de dégénérescence depuis la moelle lombaire supérieure jus- qu'à
à la partie la plus élevée de la moelle cervicale. La théorie de la dégénérescence de la partie du neurone éloignée du centre aura
le carmin. Aussi n'y a-t-il pas lieu de croire qu'il s'agisse d'une dégénérescence wallérienne : c'est un stade plus étendu d'atro
al. Pierson et Sperling disent qu'il'y a inégalité des processus de dégénérescence et de régéné- rescence des éléments anatomiques
il écrivait correcte^ ment de la main gauche. Il n'a aucun signe de dégénérescence ; sa taille est de 1 m60 1. Réflexions. Notre
muscles, avec inversion de la formule; c'est-à-dire la réaction de dégénérescence complète. Bien que j'aie commencé le traitement
en conséquence dans un endroit qui, étant inextensible, produit la dégénérescence du nerf, lorsque celui-ci augmente de volume pa
lisée de nature centrale. Les réac- tions électriques indiquent une dégénérescence des nerfs. Les autopsies font encore défaut. Il
atellaires et podaliques allant jusqu'au clo- nisme, sans signes de dégénérescence des voies conductrices. Paralysies des muscles
érylhrophobie classique. Presque tous ces malades sont entachés de dégénérescence , d'ano- malies nerveuses et mentales datant de
as essentiellement syphilitiques, mais qui sont des affec- tions de dégénérescence , ne se développant guère que sur un ter- rain s
ici d'un processus qui n'est ni inflammatoire, ni progressif, ni de dégénérescence . Pour des raisons qu'il déve- loppe, l'auteur p
d'autres personnes intrigantes, ou folle ? SillON. XV. Stigmates de dégénérescence et aliénés criminels; par Chas.- A. ])I\EW. (Th
e propose Ottolenghi : « L'épilepsie est un syndrome fonctionnel de dégénérescence , qui revêt avec plus ou moins d'intensité l'une
dents neuro-pathologiques chez les collatéraux. Signes physiques de dégénérescence . Rien autre à noter à l'examen somatique. Not
u début dans la portion rétro-oculaire du nerf (canal optique) : la dégénérescence des fibres nerveuses, qui se manifeste à l'état d
na ont trouvé la moitié médiane des cordons de Goll occupée par une dégénérescence diffuse avec épaississement de la névroglie et
ts, non de fait de la consanguinité, mais du fait de l'hérédité, de dégénérescence mentale ou physique, d'épi- lepsie, d'hystérie,
re l'influence néfaste de l'olcoolisme sur le développement de la dégénérescence . - - A l'autopsie d'un enfant atteint d'idiotie
eurs qui se retrouvent ici que ceux invoqués pour la genèse de la dégénérescence mentale et physique. L'anatomie pathologique n'
qui serait mieux à sa place parmi les syn- drômes épisodiques de la dégénérescence mentale, est décrit sous le nom de névrose d'an
philis. Les prostituées aliénées présentent toutes des stigmates de dégénérescence psychiques et physiques. Bien que toutes les
rticuliers a\ec la loi de Maryland, par \\'. Buc- ,fer, 404. Voir Dégénérescence . criminels en Hongrie, parme laveslk, 405. Su
l' loinbo-saciée envi- sagée comme stigmate anato - inique de la dégénérescence , par Mayen, 144. Hypéuestiiésie. Voir Névrose
33 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
dans le Lancet, 1881. 36 PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE. constata une dégénérescence très accusée des cordons postérieurs de la moel
ns toute l'étendue de la région dorsale jusqu'à la région lombaire. Dégénérescence grise des cordons postérieurs. Sclérose des par
nta à la région lombaire un léger épaississement des méninges ; une dégénérescence des cordons postérieurs, principalement près de
Développement du tissu conjonctif dans les cordons la- téraux. La dégénérescence des cordons postérieurs et la- téraux était sym
substance grise des cornes postérieures et antérieures est normale. Dégénérescence diffuse des cordons pos- térieurs ; sclérose de
retrouvait presqu'en totalité au niveau du deuxième nerf dorsal. La dégénérescence occupait principalement le segment postérieur d
, au niveau du cinquième nerf cervical et plus haut, présentait une dégénérescence bien accusée du faisceau de Goll dans toute son
ions nerveuses chez des lapins et des cochons d'Inde et constata la dégénérescence du bout périphé- rique, tandis que le bout cent
nt des nerfs et les dernières observations de M. Westphal, sur la dégénérescence grise chez un tabétique, qui ont con- tribué su
n distingue 5 PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE. quelques tubes en voie de dégénérescence granulo- graisseuse et des gaines de Schwann vi
s qui restent présentent de la vacuolisation, preuve certaine de la dégénérescence . Tous ces signes d'altération morbide que nous
ue), M. West- phal constate une myélite diffuse qui produisit une dégénérescence grise de toute la région dorsale; et, en outre,
lusions suivantes : L'altération constante de la sub- stance grise ( dégénérescence des cellules nerveuses des cornes antérieures e
exion avec les racines postérieures sectionnées. La constance de la dégénérescence atrophique et de la disparition des cellules ne
s des résultats obtenus forcerait les auteurs à déclarer que leur dégénérescence est à peu près absolument une lésion consécu- t
P. K. III. MÉNINGITE SPINALE CHRONIQUE DE LA QUEUE DE CHEVAL AVEC DÉGÉNÉRESCENCE SECONDAIRE DE LA MOELLE , PROBABLEMENT D'ORIGIN
racines nerveuses de la queue de cheval par un foyer méningitique. Dégénérescence secondaire de certains segments des cordons pos
ertains segments des cordons postérieurs tout le long de la moelle, dégénérescence secondaire ascendantes des racines pos- térieur
daire ascendantes des racines pos- térieures directement atteintes, dégénérescence descendante de plexus et troncs nerveux co-affe
Pourquoi la sclérose multiloculaire ne s'accompagne-t-elle pas de dégénérescence secondaire ? Les nouvelles méthodes de colorati
yéline, sur une étendue circonscrite en hauteur, ne provoque pas de dégénérescence secondaire, même dans le système myélinique ; l
de dégénérescence secondaire, même dans le système myélinique ; la dégénérescence secondaire émanerait au contraire, d'une altéra
rimitive, ia névrite mul- tiple serait secondaire (à rapprocher des dégénérescences des- cendantes). Mais, objecte M. Struempell, s
névrite chronique atrophique par dégénération simple (analogue à la dégénérescence secondaire) et névrite multiple vraie, c'est-à-
ésente, à l'autopsie, une thrombose de quelques artères de la base ( dégénérescence athéromateuse); obstruction de la basilaire et
aux micrographes qu'il appartient de chercher le corps du délit, la dégénérescence tabétogène primitive dans les branches des IlIe
térie avec troubles psychiques intenses. Castration : atrophie et dégénérescence folliculaire des deux ovaires. Complète guériso
e par M. Falret ; mais simplement pour examiner avec vous un cas de dégénérescence mentale, de folie héréditaire dans lequel nous
euses de Purkinje, celles des ganglions spinaux et sympathiques; la dégénérescence y est simplement moins étendue; c'est dans les
entation du diamètre des fibres dans la proportion de 1-1,3; pas de dégénérescence graisseuse, pas d'infiltration inter- musculair
ent habituellement chez des sujets très élevés dans l'échelle des dégénérescences mentales (les simples déséquili- brés), et cons
angoissante du nom ou du mot. Observation I. Hérédité morbide ; - dégénérescence men- tale, déséquilibration dès l'enfance; à di
qu'on lui faisaitfaire. Ce faitn'est-il pas un exemple frappant des dégénérescences dans certaines familles ? Comme antécédents : d
s les observations suivantes que nous avons recueillies, le fait de dégénérescence , sa marche sont encore plus évidents, l'état d'
. t., , " '/f ? . d., . 1\\ .II; ! ? 'i' JI' t J rait pu suivre la dégénérescence partie du.lobe , occipital pour, ra,l, P, 'SIV.
jaunâtre ne se colorant que peu ou point par le' carmin ; 1 2°' une dégénérescence stéato-pigmehtaire *du~proloplasmà''cellu- lair
la sclérose dans la partie posté- rieure des cordons latéraux où la dégénérescence vers l'intérieur atteint la substance grise. Ve
(à la méthode d'aujourd'hui d'examen); Dans deux cas on trouva la dégénérescence secon- daire des cordons pyramidaux latéraux;
des lobes paracentraux. Peut-être Jubineau avait-il à faire il une dégénérescence descendante secondaire ? . DES FAUSSES SCLÉRO
é du père et du côté de la mère. L'influence de l'alcoolisme sur la dégénérescence des produits, et que nous avons pu déjà constat
aggravées par la transmission, sur la tête des enfants. De là, les dégénérescences si frappantes chez la plupart d'entre eux et qu
uellement, 376 RECUEIL DE FAITS. nous voyons que, par suite de la dégénérescence progressive, cette famille est vouée à l'extinc
nous rapportons aujourd'hui ne sont que des exemples de plus de ces dégénérescences de l'espèce humaine que Morel a si consciencieu
, respiratoire, circulatoire, génito-urinaire. - Pas de signes de dégénérescence ; adhérence du lobule de l'oreille. Attaques de
u côté droit et englobant une partie du faisceau pyramidal d'où les dégénérescences secondaires classiques. Il existe, en outre, un
e fibro-cellulaire. R. M. C. XLIII. SUR UN cas DE tabès dorsal avec dégénérescence DES NERFS périphériques ; par SAKAKY. (Arch. f.
V, 2.) Observation avec autopsie. Particularités nécroscopiques : dégénérescence presque complète des cordons postérieurs, atrop
duit à l'état de ruban (ramollissement). Aplatissement, mais faible dégénérescence des racines nerveuses droites, inté- grité des
e des racines nerveuses droites, inté- grité des racines de gauche. Dégénérescence descendante des faisceaux pyramidaux, dans les
paralysie générale offre, comme altération la plus cons- tante, une dégénérescence hyaline (colloïde) des cellules ner- veuses ; p
aisseaux, rarement en état d'hypergenèse nucléaire, pré- sentent la dégénérescence hyaline des parois; on trouve des masses hyalin
tre les attaques congestives émanent-elles de thromboses hyalines ? Dégénérescence hyaline de la névroglie, du protoplasma de ses
érale est une encéphalite diffuse de l'écorce ayant pour origine la dégénérescence hyaline. La dégénérescence hyaline existe encor
iffuse de l'écorce ayant pour origine la dégénérescence hyaline. La dégénérescence hyaline existe encore quelquefois de concert av
hez un jeune homme de dix-huit ans. Sclérose de la corne d'Ammon ', dégénérescence grais- seuse étendue des vaisseaux, thromboses
a- cules) la substance blanche. Observation de mélancolie grave : dégénérescence graisseuse accompagnée de dégénérescence hyalin
tion de mélancolie grave : dégénérescence graisseuse accompagnée de dégénérescence hyaline. P. K'. XXIII. Deux cas DE méconnaissan
e faits nombreux et il établit que les alcooliques aboutissent à la dégénérescence et à la stérilité. Délire de persécution. Cette
ceci que l'intelligence n'est pas uniformé- ment atteinte dans ces dégénérescences ; au milieu d'un sol' stérile nous trouvons des
. Un fait qu'on ne peut pas passer sous silence, c'est que si les dégénérescences mentales sont héréditaires ; dans quelques circon
ébilité mentale et aux dégénérés les plus élevés dans l'échelle des dégénérescences , aux hérédi- taires. Chez les idiots profonds,
mot, il y a désharmonie, défaut d'équilibre, c'est-à-dire signe de dégénérescence . M. Jules Voisin communique une observation for
comporte vis-à-vis de la paralysie générale, comme vis-à-vis de la dégénérescence des cordons pos- térieurs et du tabes; il peut
lésion primitive de certains systèmes de fibres intracorticales; la dégénérescence des libres de la substance blanche pourrait bie
34 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e est primitive, tandis que, d'autre part elle est consécutive à la dégénérescence des cellules nerveuses; mais est-ce que dans l'
édérastie passive (voir les détails dans le mémoire). Conclu- sion. Dégénérescence mentale; psychopathie; décadence morale; invers
e de vingt observations, l'auteur met en relief un nouveau signe de dégénérescence des plus importants pour la connaissance des pa
groupe compact de raits semblables relevant bien positivement de la dégénérescence héréditaire et appartenant certainement à la ne
trousseaux sont altérés, et tout autour d'eux, existe une aréole de dégénérescence . On retrouve la dégénérescence dans le chiasma;
t autour d'eux, existe une aréole de dégénérescence. On retrouve la dégénérescence dans le chiasma; elle montre que, dans tout ner
e lorsque le corps de la cel- lule est affecté. 3 Il s'agit d'une dégénérescence partielle des cellules nerveuses entraînant la
, dans l'intervalle, lésion, par poussées, du lobe occipital droit. Dégénérescence secondaire de la moitié latérale du segment le
stance blanche superficielle du tubercule quadrijumeau anté- rieur, dégénérescence de la bandelette optique et du nerf optique. M.
étal inférieur (et de la circonvolution temporale supé- rieure). La dégénérescence du faisceau latéral du pied du pédon- cule céré
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. en foyer, de constater une dégénérescence secondaire bilatérale des cordons latéraux; la
r une dégénérescence secondaire bilatérale des cordons latéraux; la dégénérescence unilatérale apparente du cor- don du côté oppos
qui prouve qu'il n'y a pas chez cet animal de cordon antérieur. La dégénérescence a lieu par l'évolution suc- cessive des lésions
n, ni néoplasie de la substance de soutènement. Et, somme toute, la dégénérescence secondaire demeure des mois limitée à la substa
provoque la myélomala- cie transverse de la substance grise et une dégénérescence secon- daire bilatérale. Ici, il y à division d
uand on les sou- met à l'acide picrique. P. KERAVAL.. XVII. DE la dégénérescence secondaire dans la paralysie infantile cérébral
ar ils diffèrent des corpuscules amyloïdes de la prostrate et de la dégénérescence amyloïde commune. Ils résultent de la transform
nt même presque à faire du délire chronique une classe à part de la dégénérescence mentale. SOCIÉTÉS SAVANTES. 119 Certains pers
- SOCIÉTÉS SAVANTES. 123 nent maintenant la caractéristique de la dégénérescence , nous n'au- rons plus alors en médecine mentale
ie des facultés intellectuelles est bien la caractéris- tique de la dégénérescence mentale. Il y a en conséquence lieu, selon lui,
nal si une restitution ad integnl1n est impossible-est suivie d'une dégénérescence des fibres du bout central et des cellules dont
et pense que dans les expériences du rapporteur il n'y avait pas de dégénérescence walérienne proprement dite. M. le Dr DORNSCfII
tabilité électrique est augmentée du côté malade; il n'y a pas de dégénérescence ; secousses fibrillaires dans la moitié droite de
iques ont été faites d'après Marchi. Conclusions principales : la dégénérescence du côté lésé a lieu : 1° dans les fibres arquée
ennent, de l'avis du rappor- teur, aux fibres d'association et leur dégénérescence est unilatérale; 3° dans une partie des fibres
sociation reliant le c gyrus cru- ciatus » aux lobes occipitaux. La dégénérescence des fibres du corps calleux a été constatée bil
otivité diffuse d'ailleurs, sur un fond de débilité se reliant à la dégénérescence , à la neurasthénie, à des maladies gé- nérales
e système, Considérer tous les états émotifs comme des stigmates de dégénérescence , par suite inaccessibles au traitement, constit
'atrophie musculaire hystérique peut donner lieu à des réactions de dégénérescence ; cela étant dit, si vous envisagez ce côté du
la destruction se fait par une véritable transforma- tion chimique ( dégénérescence hyaline). Ainsi qu'on le voit, l'hypothèse que
stérieure de la protubérance; méningite spinale postérieure; faible dégénérescence des faisceaux de Goll avec dégénérescence margi
inale postérieure; faible dégénérescence des faisceaux de Goll avec dégénérescence marginale, dégénérescence très marquée des raci
dégénérescence des faisceaux de Goll avec dégénérescence marginale, dégénérescence très marquée des racines postérieures, dégénére
ce marginale, dégénérescence très marquée des racines postérieures, dégénérescence faible des racines antérieures; dégénérescence
acines postérieures, dégénérescence faible des racines antérieures; dégénérescence hyaline de la paroi des petits vaisseaux, récente
uire des troubles neurasthéni- ques, mais jamais il ne détermine la dégénérescence morale qui est un caractère effrayant des intox
ence de l'atrophie dégénérative des muscles (état graisseux), de la dégénérescence des racines antérieures de la moelle, et des ce
ganes et leurs éléments constitutifs. - Que montre maintenant la dégénérescence des cordons postérieurs dans le tabès ? En quel
ses relevant du troisième stade du développement. L'extension de la dégénérescence corres- sociétés savantes. ? 91 pond donc exa
de développement; intégrité de celles relevant du premier stade; dégénérescence moyenne du segment postérieur du cordon, dans l
réparé par les géniteurs. Ce qui le prouve c'est la fréquence de la dégénérescence mentale congéni- tale chez les criminelles. San
. Oui, parmi les criminels, prédomine la folie systé- matique et la dégénérescence mentale. Mais on constate aussi souvent la méla
notre cas les réflexes tendineux ne'sont pas abolis, la réaction de dégénérescence manque totalement et l'atrophie musculaire est
nesthésie complète de tout le membre, l'existence de la réaction de dégénérescence dans certains muscles atro- phiés (sous-épineux
l'intelligence et de toute la personnalité. Dans le processus de dégénérescence mentale qui constitue la paranoia chronique, on
ce sont des para- noia. En général la paranoia est un processus de dégénérescence mentale. Selon le fonds du caractère, elle pren
s de Heitzig et Fritsch (les crises internes cérébrales), Morel (la dégénérescence ), Fechner (la psychophy- sique). Mais il est bo
s une espèce morbide, mais constitue simplement un symptôme de la dégénérescence . Les invertis sont des malades et non des vicieux
'absence de la fièvre, des troubles trophiques et de la réaction de dégénérescence , la conservation des réflexes tendineux, la rép
te surtout sur ce fait que cette femme ne présentait aucun signe de dégénérescence , aucun antécédent héréditaire. Il croit pouvoir
t. C'est ainsi que la fréquence du « délire, les nombreux signes de dégénérescence , la fréquence de « l'épilepsie, de la précocité
nt laquelle le génie serait une maladie men- « taie, une maladie de dégénérescence . » « Si l'on admet cette conclusion, il n'y a p
citation; le coeur était hypertrophié, gras, le myocarde en état de dégénérescence . La rupture occupait la paroi antérieure du ven
u cerveau et sont de nature hystérique. II. M. W. l\IOURATOF. Les dégénérescences consécutives à la sec- tion du corps calleux. L
, sont les suivantes : 1° Quand on détruit l'écorce, on observe une dégénérescence des fibres du corpus callosum jusqu'à l'écorce
misphère opposé ; 2° la section du corpus callosum donne lieu à des dégénérescences complètement identiques deux des côtés; 3° la l
'écorce et la section du corpus callosum simultanées produisent une dégénérescence sem- blable, mais plus intense. Dans tous les c
générescence sem- blable, mais plus intense. Dans tous les cas, les dégénérescences occupent un champ strictement limité, correspon
l'écorce d'un seul hémisphère, combinées ensemble, produisent une dégénérescence plus intense; ici, en effet, grâce à l'ablation,
bres provenant de l'hémis- phère opposé, ce qui entraîne une double dégénérescence dans l'hémisphère où l'ablation a été pratiquée
éterminer la position du centre visuel en suivant les phénomènes de dégénérescence occasionnés par des lésions- périphériques, ain
érescence occasionnés par des lésions- périphériques, ainsi que les dégénérescences cen- trifuges; il trouve- dans ces altérations
le trai- tement de la folie, par Worcester, 452. Corps calleux, dégénérescences consécutives il la section du -, par Motirato
2. Cnumn.s, maladie de la volonté chez les -, par Laurent, 379. Dégénérescences secondaires de l'encéphale après l'ablation des
35 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le facteur étiologique signalé, la syphilis étant notée dix fois la dégénérescence vingt-quatre fois. Les lésions du fond de l'oei
nt tous alcooliques, cinq d'entre eux présentaient des stigmates de dégénérescence , un était syphilitique; il présentait de l'atro
iculaire à l'âge de vingt-cinq ans. Nombreux stigmates physiques de dégénérescence . Athérome artériel. Il présente tous les signes
lésions des glandes hépatique ou rénale (congestion, hémorragies, dégénérescence , quelques cylindres, etc.) : l'organe malade étai
ériphériques, après avoir envahi les ganglions spinaux, entraine la dégénérescence ascendante de quelques fibres nerveuses dans le
se, avec considération sur quelques mesures préventives de folie et dégénérescence (American Journ. of 171saîzily, oct. 1S99). ' R
tion '. Folie communiquée par la fille à sa mère. 1. - Agent actif. Dégénérescence mentale avec prédominance d'idées de persécutio
ctif d'une folie à deux. Signé : Dr LEGUAS. Certificat d'entrée : Dégénérescence mentale avec illusions, hal- lucinations, inter
chez les dégénérés). Par le Dr SOUTZO (fils), (1(,- Bucarest. La dégénérescence , décrite par nlorel, mais surtout bien définie
degré est sous la dépen- dance d'un état défectueux du cerveau : la dégénérescence . Plus l'obsession est tenace et plus fertile es
elation qui existe entre les syndromes et le substratum commun : la dégénérescence . Donc, nous nous demandons comment pourrait-on
nent d'une hérédité assez chargée, qui montre nettement le degré de dégénérescence , dont elle est imprégnée. Une grand'mère patern
équilibre psychique de l'autre, tous deux d'ailleurs fonction de la dégénérescence . Deux mois après sa première apparition, la men
'examen somatique de la malade ne révèle aucun stigmate physique de dégénérescence , mais il fait découvrir en revanche des signes
t au magistrat comme un fait marqué d'irresponsabilité. OBs. III. Dégénérescence mentale; obsessions et iii2l) ? ilsioiis mor- b
s dont elles sont susceptibles au point de vue clinique. OBs. IV. Dégénérescence mentale; impulsions (tit vol et au sui- citie,
de la vie de la malade. Tous sont greffés sur un même terrain : la dégénérescence , créée d'une part par une hérédité chargée, et
maladive, au fond appartiennent tous à une même' base commune : la dégénérescence . Relativement au terrain, jamais on ne pourrait
es, quelque variés qu'ils soient, appar- tiennent au même fond : la dégénérescence mentale; d'autre part, elle nous permet de nous
s- sait d'une sclérose générale fort accentuée, accompagnée de la dégénérescence habituelle. du faisceau pyramidal correspondant e
sorte des actes criminels qu'elles subissent puisque la plupart des dégénérescences physiques ou mentales sont créées par l'alcooli
ent aucune lésion. Il s'agit d'une atrophie ponto-céréhelleuse avec dégénérescence pres- que totale du pédoncule cérébral, sauf le
e cas dont la lésion siégeait au niveau du genou du nerf facial. La dégénérescence du faisceau pyramidal était légère au-dessous,
scence du faisceau pyramidal était légère au-dessous, par contre la dégénérescence de la substance réticulaire était intense au ni
et accompagné d'amai- grissement musculaire, mais sans réaction de dégénérescence ni troubles des réflexes du membre inférieur, s
le renflement lombaire et pour la moelle sacrée, en entraînant une dégénérescence secondaire des racines anté- rieures, fascicule
et demie, La psychologie de l'enfant arriéré et la lutte contre la dégénérescence mentale, par M. le De Jules Voisin, médecin de la
er malade de M. Dubousquet (obs. VI), présentait très nettement une dégénérescence mentale avec hystérie. La deuxième du même aute
vouloir la supprimer ? Qu'on la fasse rentrer dans les psychose de dégénérescence , la chose va de soi, et le chirurgien ne pourra
igmates psychiques, suivant le mot si heureux de M. Ma- gnan, de la dégénérescence mentale qui permet de penser que tel prédisposé
attacher, conformément à la donnée pathogénique, aux psychoses de dégénérescence , dont elle constitue une variété qu'il importe
s. Il s'agit certainement dans ce cas d'une jeune fille atteinte de dégénérescence mentale et chez laquelle un délire maniaque s'e
nflammation du neurone est celle du lubes dorsal, constituée par la dégénérescence primitive des cordons postérieurs, d'origine, l
dégénéré. Tares héréditaires, convulsions dans l'enfance, signes de dégénérescence physiques, faible résistance à l'égard de l'alc
ue, du pharynx et surtout les mus- -cles du larynx présentent de la dégénérescence graisseuse de la fibre musculaire. Quel que s
in, avec abolition des réflexes tendineux et cutanés, réac- tion de dégénérescence , atrophie musculaire, etc. Il n'existait pas de
érentiel de l'hémiplégie hystérique et de l'hémiplégie organique. Dégénérescences descendantes consécutives au ramollissement du
au ramollissement du pédoncule cérébral. M. Cestan insiste sur la dégénérescence du faisceau longitudinal postérieur et sur la d
sur la dégénérescence du faisceau longitudinal postérieur et sur la dégénérescence des fibres de la calotte. Il lui a semblé que c
n pédonculaire entraine dans le cordon antérieur de la moelle d'une dégénérescence d'un faisceau qui est distinct de la voie pyram
me le tabès reste une affection spéciale de l'ectoderme frappant de dégénérescence le protoneurone centri- pète. M. Dejerine. Ce
M. BERtLLOx. -Sans doute, si l'enfant dépasse un certain degré de dégénérescence , il n'est ni curable, ni hypnotisable et même,
mpagnent fréquemment; ne sont que des manifestations diverses de la dégénérescence et forment un groupe naturel que M. Joffroy dés
ciétés savantes. 383 sclérose combinée, D..., au point de vue de la dégénérescence des diverses formes de la sensibilité, et des m
ôté gauche. Le muscle abducteur court du pouce donne la réaction de dégénérescence : dans les muscles triceps crural et vaste inte
lle. La malade ne présente pas d'ailleurs de stigmates physiques de dégénérescence . En juin 1901, pendant un séjour à l'étranger,
lité qui pesait sur sa famille et fut emportée dans le mouvement de dégénérescence qui la précipitait au néant. Elle naquit en 1
moyenne générale. REVUE CRITIQUE Les stigmates obstétricaux de la dégénérescence ; 1 D'après René et Henri L.IItGGIt'. '. A
es mentaux, il y a lieu de décrire des stigmates obstétricaux de la dégénérescence , ayant même valeur et même signification. 'l'
le grand nombre et la nouveauté des faits exposés. La théorie de la dégénérescence joue un très grand rôle, non seulement en patho
iarisés, semblent s'être efforcés d'englober toute la théorie de la dégénérescence obstétricale sous les reproches que seules méri-
alement mis en lumière. Jusqu'aux travaux de 11. et H. Larger, la dégénérescence paraissait s'arrêter, sans qu'on sût pourquoi e
fort bien les auteurs : « S'il est une partie de la biologie où la dégénérescence doive s'exercer, n'est-ce pas tout d'abord sur
hiques, soit psychiques, soit tératologiques - à des antécédents de dégénérescence en un mot de l'un des générateurs ou des deux à
certains individus et même parfois dans une génération entière, la dégénérescence peut se manifester uni- q2ténzent par des anoma
« qu'ils élargissent singulièrement le domaine des stigmates de la dégénérescence en général ». 1 Bourneville, Comptes rendus du
ci, d'ailleurs, le tableau général des stigmates obstétricaux de la dégénérescence donné par H. Larger dans sa thèse : Anomalies d
reproche d'avoir voulu « proposer une classification des signes de dégénérescence , dans laquelle ils ont rangé des phénomènes don
plus grands risques de mettre au monde un enfant mort-né. Et, si la dégénérescence , en général, tend à la stérilité et à l'extinct
ent cette tendance plus sûrement encore que les autres-stigmates de dégénérescence . » Au point de vue purement obstétrical, M. Por
malies obstétricales ne pourraient pas rentrer dans le cadre de la dégénérescence . Le rapporteur fait encore dire à MM. Larger :
uteurs, et bien que dans toutes, sans exception, des antécédents de dégénérescence aient été relevés, il en est une cen- taine au
en effet, combien il est difficile de rechercher les antécédents de dégénérescence en général et cette recherche, dans le cas prés
. La conception de ces derniers établissant la transmission de la dégénérescence des générateurs dès le passage du foetus in utero
une sélection de 36 obser- vations, dans laquelle l'influence de la dégénérescence sur la pro- duction des présentations anormales
objections qui, de tous côtés, ont été adressées à la théorie de la dégénérescence obstétricale par les accoucheurs. Parmi toutes
particulière décrite par les rapporteurs, c'est seulement comme une dégénérescence psychasthénique. D1' G. HOSSOLIblO insiste sur
similaire. Les obsessions sont des syn- dromes constitutionnels de dégénérescence , mais dans l'immense majorité des cas, elles ne
nent les impulsions dans les princi- paux états psyctiopatliiques : dégénérescence , épilepsie, hystérie- alcoolisme, paralysie gén
ant un père atteint de la même affection : amyotrophie, réaction de dégénérescence , troubles des sensibilités, localisation nette
uccéda une atrophie musculaire du type de Duchenne sans réaction de dégénérescence au niveau de tous les muscles atrophiés. L'aute
la couche optique et le faisceau d'Arnold. L'étude approfondie des dégénérescences secondaires montrent que Déjerine se trompe en
conde. Avec cet instrument on réveille partout la sensibilité où la dégénérescence nerveuse a créé de l'anesthésie. Les anesthésies
érés. De la valeur sociale des-, par ltemond et Lagrill'e, 309. Dégénérescences descendantes con- sécutives au ramollissement d
36 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
plus volumineuses, sont des cellules ganglionnaires ayant subit la dégénérescence vitreuse. On ne trouve dans les cornes antérieu
ires sont transformées en blocs vitreux, ou bien, elles ont subi la dégénérescence pigmentaire, ou bien encore, elles sont simplem
es cornes antérieures, au niveau de la qua- trième paire cervicale; dégénérescence pigmentaire; les parties laissées en blanc corr
eur considérable. Les cellules des cornes antérieures ont subi la dégénérescence vitreuse. Dans le second cas, au contraire, les
té des cellules des cornes antérieures, on constate également de la dégénérescence vitreuse : seulement, elle n'atteint qu'un peti
n'atteint qu'un petit nombre d'élé- ments : la plupart sont pris de dégénérescence pig- mentaire. Ces dissemblances tiennent peu
n soit moins rapide, on observe de l'ictère, des hémorrhagies et la dégénérescence graisseuse des organes, coeur et surtout foie.
ESSIVE; par Struempell. (Neurol. Central6., 1886.) Observation de dégénérescence primitive de certaines zones du système de cond
rmine, par l'atteinle exclusive de la couche corticale motrice, une dégénérescence d'un système de fibres sous la dépendance de ce
me fait indique une alté- ration de la nutrition, P. K. IX. DE la dégénérescence secondaire CONSÉCUTIVE A l'extirpa- TION DES RÉ
a que le tiers la- téral de son pied qui soit tout à fait exempt de dégénérescence . P. K. X. De l'allure DES fibres NERVEUSES A
de l'altération se rattacherait aux cas d'athéromes accompagnés de dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses et des vaisse
e ici plutôt un arc ver- tical. P. KERAVAL. XII. Remarques sur la DÉGÉNÉRESCENCE ascendante ANTÉRO-LATÉRALE ET LE cordon aNl'GIt
ndant de la MOELLE; par W.-R. GowERS. (Neurol. Centralbl., 1886.) Dégénérescence secondaire ascendante dans les cordons laté- ra
ement. Au niveau de la partie supérieure du renflement lombaire, la dégénérescence est des plus nettes, le cordon lésé est des plu
aires sensitives dont il est le pro- longement, car, dans un cas de dégénérescence des cordons de Goll par lésion de la queue de c
Goll par lésion de la queue de cheval, l'auteur ne put trouver la dégénérescence du faisceau antéro-latéral ascendant. P. KERAVAL.
e et la physiologie de la moelle à son sujpt. En ce qui concerne la dégénérescence des cornes postérieures dans le labes, M. Kraus
cervicale (faisceaux d'irradiation et fin reliculum), ainsi que la dégénérescence des trousseaux longitudinaux de grosses fibres
és et qu'il mérite une lecture attentive. R. M. C. XXI. UN cas DE dégénérescence totale DU pied D'UN pédoncule ; cérébral par G.
emporal et d'un petit segment du lobe occipital, ayant entraîné une dégénérescence secondaire de la base du pédoncule cérébral dan
droit. L'intérêt principal de l'observation consiste en. ce que la dégénérescence descendante comprenait toute la base du pédoncu
e lésion des lobes pariétal et temporal d'un hémisphère, il y eut dégénérescence secondaire du tiers moyen et externe du pied du
du malade. R. M. C. XXIX. Lésion d'un hémisphère du cervelet avec dégénérescence du corps OLIVAIRE du coté opposé ; par Wlllla11
état semblable, à bien des égards, à celui qu'on oh- serve dans la dégénérescence fibroïde des reins et dans les altec- tions qui
oma; mort seize mois après le début de la maladie. A l'autopsie : dégénérescence et atrophie des cellules nerveuses de l'ecorce
nie engendre des névroses de différentes formes et des psychoses de dégénérescence . - 2° Que dans un grand nombre de cas la maladi
ter à l'état pur, ou être associée à d'autres formes de psychose de dégénérescence , à des délusions hypocondriaques, etc. R. M. C.
s deux espèces d'ano- malies émanent de la même cause fondamentale ( dégénérescence ). Elles se montreront isolées ou associées. P.-
recherche avec le plus grand soin. Mal- heureusement, les signes de dégénérescence qu'on rencontre n'ont rien de spécial aux épile
ces d'aliénés, d'épilepliqurs, d'idiots, qui, au point de vue de la dégénérescence , sont à rapprocher des criminels comme on tend
imple, non traumatique, dans lequel il a ren- contré la réaction de dégénérescence limitée exclusive- ment aux muscles du mollet,
ureux .classi- ques étaient présents. Il existait une réaction de dégénérescence dans les gastrocnémiens, c'est-à-dire dans le d
eur et extenseur commun des orteils sont le siège d'une réaction de dégénérescence complète. Les péroniers latéraux au contraire r
chez cette malade. Nous nous attendions à trouver là la réaction de dégénérescence comme dans le cas pré- cédent. Bien qu'elle n'e
que droite. - Paralysie avec 170 PATHOLOGIE NERVEUSE. réaction de dégénérescence des muscles de la région antéro-externe de la j
teils, a apparu il y a trois mois. ' Il existe une réaction type de dégénérescence avec diminution de l'excitabilité galvanique, d
a région antéro-externe de la jambe, avec atrophie et réaction de dégénérescence . Puis d'autres désordres beaucoup moins accentu
a- chiale, ont obtenu les mêmes résultats. Quant à la réaction de dégénérescence , elle n'avait pas été recherchée. Nous avons eu
ui a injecté à des chiens du sang saturé d'oxyde de carbone, il y a dégénérescence graisseuse de la tunique interne des vaisseaux
t servir de terrain générateur aux mani- festations multiples de la dégénérescence . 2° Obsessions et patho- phobie sont proches pa
développé aux dépens des deux frontales supérieures gauches, et la dégénérescence grise des cordons postérieurs. Névrite optique
omparer le côté de la moelle cor- respondant au membre amputé et la dégénérescence secondaire des cordons postérieurs en relalion
ux et lombaires ; examen de une à sept semaines après l'opération : dégénérescence secondaire. Cette dégénéres- cence forme, au po
res de la moelle, au lieu de passage de la moelle et du bulbe, la dégénérescence qui succède à la résection des racines postérieur
résection unilatérale des racines en question, entraîne l'exclusive dégénérescence du cordon postérieur du côté de la racine secti
ale. Il divise l'atrophie des fibres blanches en quatre formes : 1° dégénérescence systématique fusiforme; 2° ci égéné- rescence l
r agit comme organe d'excitabilité réflexe. P. K. XLIX. Un cas DE DÉGÉNÉRESCENCE secondaire descendante DU faisceau EXTERNE DU P
EXTERNE DU PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL ; par C. WINELER. - UN CAS DE DÉGÉNÉRESCENCE SECONDAIRE BILATERALE DU FAISCEAU EXTERNE DU PI
iel des deux circonvolutions postérieures de l'insula. La zone de dégénérescence porte surtout sur la partie latérale du pied du
s circonvolutions correspondantes. Intégrité du ventricule latéral. Dégénérescence du tiers médian et latéral du pied des deux péd
DES SYSTÈMES DE fibres QUI OCCUPENT LE PIED DU PÉDONCULE ET DE leur DÉGÉNÉRESCENCE par SIOLI. (Centralbl. f. Nervenheilk, 1888.)
RIBUTION A la connaissance DU DÉLIRE aigu. Deux observa- TIONS avec dégénérescence amyloïde DES muscles MOTEURS DU SQUE- lette, pa
mêmes effets que chez les individus sains d'es- prit. P. K. LXX. DÉGÉNÉRESCENCE psychique ET somatique DES criminels; par KIRN.
e malformations physiques marquées, de dé- fectuosités mentales, de dégénérescence psychique vraie dont il faut étudier avec soin
s , par Schoefer, 258; neuras- thénique, par Krafft Ebing, 442, dégénérescence psychique et to- matique des -, par Kirn, 444.
Manasse, 242. CYTISINE contre la migraine, par Kroepelin, 264, Dégénérescences descendantes, ex- périmentales, par Bianchi et
Patiiopiiohie et neurasthénie, par KowalewsllY, 257. Pédoncule, dégénérescence totale du pied d'un par liossolymo, 94. Pc«
anatomie des médul- 1 laires, par Siemerling, Si. Réactions ni : dégénérescence , par Rosenback, SeLtscUerbal : , 90. Réflexe
37 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
logique de l'hérédité naturelle, etc., 1850. 2 \iorel. Traité des dégénérescences , 1857. 3 J. Moreau (de Tours). - La psychologie
- La maladie cérébro-gastrique, 1SS2, etc. e 1 ? J.-13. Roque. Des dégénérescences héréditaires produites par l'in- toxication sat
mais de la coïncidence des premières de ces altérations avec une dégénérescence du seul cordon latéral, sans partici- pation de
ie-mère. Les faisceaux de Goll, au contraire, sont dégénérés. Cette dégénérescence s'arrête au niveau de l'extrémité inférieure du
coupe de moelle atteinte de sclérose latérale amyotrophique ou de dégénérescence secondaire de cause cérébrale. D'ailleurs, nous
ce qui est pour les autres parties de la moelle, d'une véritable dégénérescence ascendante secondaire. Nous revien- drons dans
es- cences combinées et primitives de la moelle), Kahler et Pick ( dégénérescence combinée systématique de la moelle), Babesiu (d
Pick (dégénérescence combinée systématique de la moelle), Babesiu ( dégénérescence combinée primitive des cordons latéraux et post
ne se dispose pas avec la parfaite symétrie et la régularité d'une dégénérescence du cor- don cérébelleux, il s'agit bien d'une l
une vulgaire myélite transverse. Au-dessus de ce foyer, on aura une dégénérescence des cordons de Goll, associée ou non à celle de
la troisième dorsales : ce fait est démontré par l'existence d'une dégénérescence ascendante, manifeste portant, à la région cerv
qui intéresse également les cordons latéraux, lésion que prouve une dégénérescence latérale double complète et symétrique, déjà ma
, dans toutes, de la combinaison des lésions classiques de avec une dégénérescence d'une partie plus ou moins étendue des cordons
nce d'une partie plus ou moins étendue des cordons antéro-latéraux, dégénérescence caractérisée, clans l'espèce, par la présence d
tématiques et, dans cette hypothèse, on aurait affaire à une double dégénérescence du système cen- trifuge (faisceau pyramidal) et
térations des parties supérieures et infé- rieures représentant des dégénérescences secondaires consécutives à cette myélite. Westp
de myélite transverse et déter- miné, au-dessus et au-dessous, les dégénérescences systématiques qu'on observe d'habitude dans les
tion, observe, à cet égard, que jamais on n'a relevé l'existence de dégénérescences secondaires au-dessus et au-dessous d'une plaqu
de à ce type, c'est celle de MM. Kahler et Pick'. Dans ce cas, la dégénérescence occupait, d'une part, les cor- dons de Burdach
une moelle atteinte de sclérose systématique type, par exemple de dégénérescence secondaire. On jugera aisément de cette différe
es voit affecter de tels caractères; il n'en est pas ainsi dans les dégénérescences systématiques. Nouvel argument en faveur de l'o
de Pick et Kahler, bien 84 PATHOLOGIE NERVEUSE. qu'il existàt une dégénérescence scléreuse du cordon latéral dans toute l'étendu
Tulie variqueux. Frr. 1G. - A, coupe d'un cordon latéral atteint de dégénérescence secondaire. Il, Coupe du cordon latéral dans
bérance. La mutilation de ces deux segments de l'écorce entraîne la dégénérescence des» troisième et cinquième de la capsule inter
e des racines nerveuses. A l'examen microscopique , on trouve de la dégénérescence graisseuse dans les fibres musculaires de la la
e plaque de sclérose fut observée dans chaque capsule, ainsi qu'une dégénérescence descendante à travers le pont, la moelle allong
laire gauche, entre le genou gauche de la capsule interne. Pas de dégénérescence appréciable à l'oeil nu dans les pédon- cules.
strabisme, etc., coïncident fréquemment avec certaines formes de dégénérescence du système nerveux, notamment avec l'idiotie, s
te dernière interprétation que j'accepte : c'est à titre d'états de dégénérescence que 1 Dyce DuclwcortL. - A plea for the iieu2-o
t un peu touché. Des deux cô- tés, les muscles de la main sont en dégénérescence . Les muscles des éminences thénar et des espa
de la moelle, ni de la substance grise. Par contre, il y avait une dégénérescence scléreuse très étendue des cordons postérieurs,
inées par une lésion cérébrale et peuvent comme elles entraîner une dégénérescence descendante. Les contractures et les convulsion
e fait reconnaître l'inté- grité des noyaux de l'hypoglosse. Pas de dégénérescence secon- daire de la moelle. Observation III. E
e les noyaux de l'hypoglosse ne sont pas altérés. Dans la moelle, dégénérescence secondaire du faisceau py- ramidal croisé, à dr
tard, la plus grande portion du segment postérieur participe à la dégénérescence ; celle-ci épargne toutefois généralement une peti
on d'étiologie, de procéder à de plus amples études. P. K. XXIII. Dégénérescence SECOND \IRE DU pédoncule cérébelleux supé- rieu
pression qu'il exeiçait sur la capsule interne. De là également la dégénérescence secondaire en question, l'hémianesthésie et l'h
oit unilatérale, les deux faisceaux pyrami- daux sont dégénérés. La dégénérescence du pédoncule cérébelleux supérieur -gauche qui
rescence du pédoncule cérébelleux supérieur -gauche qui émane de la dégénérescence secondaire semblerait prouver qu'un trousseau d
es grises et des tubes nerveux en dehors des foyers. Suprà : faible dégénérescence des cordons de Goll ; infrà : foyer myélitiqne
éninges infiltrées de pus, sous la forme de myélite disséminée. Les dégénérescences secondaires des cordons postérieurs expliquent
mois) élimine le diagnostic de la sclérose multiloculaire et de la dégénérescence gliomateuse disséminée Les foyers multiples que
ssues, pour les auteurs, des fibres nerveuses. Ils con- cluent à la dégénérescence sarcomateuse des parois artérielles (angio-sarc
érieures (parésie) ; l'autopsie de ce dernier pa- tient révélait la dégénérescence des cordons postérieurs et laté- raux, l'atroph
izzard) et celle des noyaux de ces nerfs; la lésion spinale est une dégénérescence des cordons postérieurs et latéraux de lamoelle
erf moteurs de l'oeil et de leurs muscles (hyperplasie conjonctive, dégénérescence graisseuse), dégénérescence grise des cordons p
leurs muscles (hyperplasie conjonctive, dégénérescence graisseuse), dégénérescence grise des cordons postérieurs, dégénérescence vi-
rescence graisseuse), dégénérescence grise des cordons postérieurs, dégénérescence vi- treuse cérébro-spinale et mésocéphalique.]
t alors nettement séparée de la subs- tance blanche par une zone de dégénérescence qui coiffe cette dernière, zone transparente ne
es témoignent de lésions parenchymateuses vé- ritables, exclusives ( dégénérescence atrophique des cellules et des fibres nerveuses
e l'importance physiolo- gique du ruban de Reil; seuls les faits de dégénérescence secon- daire (ascendante et descendante) montre
des fibres sensitives. Discussion : - - M. HrrziG disserte sur la dégénérescence parfaite de l'olive et de la couche intermédiai
248. Paralysie saturnine, 247. Pédoncule cérébelleux supérieur ( dégénérescence secondaire du), par mindel, 331. Physiologie
e. Tube variqueux. Fig. 16. A, coupe d'un cordon latéral atteint de dégénérescence secondaire. B, Coupe du cordon latéral dans n
38 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
té gauche où l'on constatait l'existence de la réaction complète de dégénérescence . , - A. FrriAYROU. IV. L'hypotonie musculaire d
roses réflexes (cl. IV) : a) il joint des formes en rapport avec la dégénérescence mentale ; ce serait l'hyperhidrose dégénérative
ose d'apparence idiopathique qui n'est pour lui qu'un symptôme de dégénérescence ; observations à l'appui de Berger, Ollivier, R
urs unilatérales jusqu'ici autonomes sont bien en rap- port avec la dégénérescence mentale. P. IEIlA1'AL. XVIII. La neurasthénie e
à l'os, probablement de nature tuberculeuse. Quelques stigmates de dégénérescence : les lobules des oreilles adhérents, les pavil
éveloppé, consti- tution plutôt faible, présente comme stigmates de dégénérescence : LES MELANCOLIQUES. )07 la suture sagittal
ne constitution et bien développé; présente quelques stigmates de dégénérescence : de l'asymétrie faciale, le côté gauche plus dév
me osseux et musculaire peu développés. Présente comme stigmates de dégénérescence : la bosse frontale droite déprimée, le dos du
oyenne, constitution et développe- ment faibles. Comme stigmates de dégénérescence : la bosse parié- tale droite déprimée; asymétr
as à la surface du corps des traces de violence. Comme stigmates de dégénérescence : il n'y a aucune asymétrie crânienne ou facial
rsaient le corps. Pas de signe de syphilis. Quel- ques stigmates de dégénérescence à noter : le crâne volumineux, le front petit,
résente pas des traces de violence sur le corps. Comme stigmates de dégénérescence : le crâne petit, le front de même; elle ne sem
ssu cellulaire sous-cutané amplement développés. Comme stigmates de dégénérescence : une légère asymétrie crâ- nienne, le côté gau
oriations sur le thorax et l'avant-bras droit. Comme stigmates de dégénérescence : le crâne est brachycé- phale, présentant la r
séton qu'on lui a appliqué à la région cervi- cale. Comme signes de dégénérescence à noter : une asymétrie fa- ciale. Les oreilles
qu'il nous a sem- blé utile de le publier. Morel a supposé que la dégénérescence de l'espèce était une déviation maladive d'un t
1 î ASILES D'ALIÉNÉS DE FRANCE, D'ANGLETERRE, ETC. 133 degré de dégénérescence , aurait dû être frappée de stérilité, ou tout a
UE DE THÉRAPEUTIQUE. contraire, fréquentes. Tout dépend du degré de dégénérescence du malade ; 7° les rechutes s'observent plus so
héréditaires connus. Elle pré- sentait cependant quelques signes de dégénérescence et notam- ment de l'asymétrie faciale, de l'adh
e deux sortes : tantôt consciente, repré- sentant l'impulsion de la dégénérescence simple, tantôt incons- ciente, en raison de l'é
. Mais ces désordres évoluent sur un terrain préparé, un terrain de dégénérescence . (Annales médico-psychologiques, août 1898.) E.
térisé toujours par congestion capillaire, hémor- ragies miliaires, dégénérescences pigmentaires, etc. A signaler au traitement la
ucinatoire aigu, de la mélancolie, de la folie intermittente, de la dégénérescence mentale, de l'épilepsie, de l'hystérie, de la cho
arallèle des excitabilités galvanique et faradique ; la réaction de dégénérescence faisait défaut, ce qui indiquait que la lésion
l'excitabilité électrique des nerfs et des muscles ; la réaction de dégénérescence , même partielle, est un signe défa- vorable ; l
scence, même partielle, est un signe défa- vorable ; le syndrome de dégénérescence totale indique l'incurabi- lité de la lésion. E
nts et la consanguinité des ascen- dants accumulent trop souvent la dégénérescence , multi- pliant les tares similaires neuro-psych
ortent constamment sur les affections délirantes vraies comme si la dégénérescence héréditaire y parcourait plus rapidement l'éche
t peu d'intérêt à notre point de vue, en revanche la débilité et la dégénérescence héréditaire offrent un terrain propice à l'éclo
ci peuvent coexister avec cette né- vrose qui n'est qu'une forme de dégénérescence . Ainsi que le dit Brodie, « l'hystérie doit êtr
n héréditaire commune se manifestant par l'hystérie et aussi par la dégénérescence mentale ordinaire, est assez nette ici pour qu'
issent, après la phase de réaction, une phase de destruction ou de, dégénérescence abou- tissant à la disparition des cellules pro
es; elles étaient en même temps tuberculeuses et présentaient de la dégénérescence du foie avec lésions de cirrhose ; chez toutes
moelle épinière. Les nerfs des membres inférieurs présentaient une dégénérescence à type wallérien, surtout accusée à la péri- ph
de névrite périphérique avec résultats expérimentaux comparatifs de dégénérescence et d'altérations cellulaires; par Il. FLE1%11,N
e du diaphragme pour l'une et dysphagie pour l'autre. A l'autopsie, dégénérescence des cellules nerveuses médullaires dans les gro
ssu conjonctif soutenant les fibres fines précipitent de ce chef la dégénérescence artérielle. F. Boissier. REVUE DE PATHOLOGIE
ques des individus. M. CII.4.111'ENTIER. Les signes physiques de la dégénérescence mentale ne sont pas plus fixes que ceux de la c
ceux de la criminalité. M. MAGNAN croit que les signes physiques de dégénérescence ont une importance en pathologie mentale ; mais
Vol. VII. Mars 1899. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT 1VÉYROPA1'IIIQUE. APPOINT ALCOOLI
de cra- pauds, de poissons, de serpents qui rôdent sur son lit. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 339 Dans les jours
sur sa santé au milieu de ses hallucinations, elle répond assez DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 34'1 correctement
ostic : « La confusion mentale primitive, idiopathique, est une DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT N1 : VROPATÜIQUE. 343 affection h
HMCtonsc/ie<' Wahnsinn. oeil, sur Psych. Bd. XLII, 1, 1885.) DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 348 Schûle 1, s'il
mobile et versatile, à émotivité exagérée, jouissant, en un mot, DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 347 de cet état me
ome, mais bien comme un syndrome d'une affection plus générale : la dégénérescence mentale, et à en faire une variété de ces délir
ue l'on observe secon- dairement chez les dégénérés alcoolisés. DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉTAT NÉVROPATHIQUE. 349 Du même coup,
membranes hydatides et présentent à la coloration les signes de la dégénérescence polychromatophw- lique des globules sanguins ;
sychonévrose mélancolique est le résultat et la manifestation d'une dégénérescence acquise. Celle-ci exerce sur l'individu une inf
paranoïenne. L'association et la combinaison de ces deux ordres de dégénérescence rendent compte de tous les faits de délires sys
. L'examen des nerfs décela les lésions banales de la polynévrite : dégénérescence wallérienne, segmentation du cylindraxe, etc...
L'exploration électrique nous dévoila l'existence de la réaction de dégénérescence , mais elle ne nous servit pas pour faire notre
ession surles troncs nerveux et la masse musculaire, la réaction de dégénérescence , la paralysie, l'amyotrophie, la position du pi
minution de l'excitabilité faradique et galvanique sans réaction de dégénérescence . Le tremblement du membre supérieur droit, qui
e à toutes les exigences de la situa- Lion ..... (Voir p. 38 ? ). Dégénérescence et neurasthénie. M. HmoN. - Le dégénéré est un
que la neurasthénie est, comme on l'a dit, une porte d'entrée de la dégénérescence . Toutes les deux du reste paraissent êlre la con-
ération graisseuse. Le foie et les reins sont également atteints de dégénérescence graisseuse. La moelle épinière présente les p
phénomènes de syringomyélie. L'auteur ne croit pas devoir mettre la dégénérescence graisseuse de tous les organes internes sur le
oxémie. M. Mourawieff ne croit pas non plus à une relation entre la dégénérescence graisseuse des organes internes et l'affec- tio
complètes; l'état des épileptiques dans l'intervalle des crises; la dégénérescence mentale de l'épilepsie; des soins à donner aux
ce ou à l'abréviation de la voûte palatine qui est un des signes de dégénérescence . Le nasonnement d'origine subcor- ticale est dû
l est commun, par contre, de la voir se développer sur un fond de dégénérescence mentale du genre de celui qui existait chez not
grande majorité d'entre eux présentaient des signes très accusés de dégénérescence qui les rendaient com- parables avec beaucoup d
usieurs heures. Excitabilité électrique normale, pas de réaction de dégénérescence . Les mouvements du membre inférieur gauche sont
érieure de la queue de cheval, présentent par places, des points de dégénérescence gratiulo-graiseuse avec aspect vermiliforme. Le
énérés. Sur trois cas d'impulsion chez des -, par Iscovesco, 216. Dégénérescence mentale. Etat nevro- pathique, appoint alcooliq
olepsie. Note sur la épilep- tique, par Féré, 228.. Neurasthénie. Dégénérescence et-, par Bidon, 399. La - et le com- merce du
ote sur deux cas de avec résultats expérimentaux com- paratifs de dégénérescence et d'al- térations cellulaires, par Flem- min
39 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
rer quedans les hémiplégies avec contracture tardive, il existe une dégénérescence des faisceaux pyramidaux et qu'à la place de ces
les cellules motrices des cornes anté- rieures soient excilées. La dégénérescence du faisceau pyramidal a une grande importance d
s maladies qui s'accompagnent de contracture, on voit une lésion de dégénérescence des faisceaux pyramidaux. On a cru un moment qu
hwartz, Tooth, Ormerod, Bowlby, Sano, Se7ator, etc., etc. Donc la dégénérescence du faisceau pyramidal n'est pas la cause de la
arcot (2) a bien vu que la contracture, quoique coïncidant avec une dégénérescence du faisceau pyramidal,n'est pas la conséquence de
idal,n'est pas la conséquence de celle-ci, il a vu également que la dégénérescence peut exister sans qu'il y ait de la contracture
est un symptôme contingent et non pas un symptôme nécessaire de la dégénérescence du faisceau pyramidal. Dans la règle il est toujo
orité des cas de contracture tardive on constate à l'autop- sie une dégénérescence des faisceaux PY1 anidaicx. Passons maintenant
tait la conséquence de l'irritation du tissu conjonctif qui suit la dégénérescence du faisceau pyramidal, ou simplement de celle-c
derniers c'était le tissu conjonctif de cicatrice qui remplaçait la dégénérescence du faisceau pyramidal et qui irritait les cellu
BUTION A L'ÉTUDE DES FONCTIONS DE LA ZONE MOTRICE DU CERVEAU ET DES DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAIRES DE SES FIBRES DE PROJECTION) (1).
ion exacte des régions détruites et des anomalies intéressantes des dégénérescences consécutives à ces lésions secondaires cérébrales
e paracentral et de la partie postérieure de la circonvolution Fui, Dégénérescence secondaire descendante de la voie pyramidale corr
e lésions primitives et la méthode de Weigert-Pal n'y montre pas de dégénérescences secondaires. Le reste de l'hémisphère est déb
s sériées en étudiant séparément la localisation des lésions et les dégénérescences secondaires. , A. Localisation des lésions. E
coupant une partie des radiations thalamiques postérieures, dont la dégénérescence secondaire peut être suivie jusqu'à la couche o
érieur de la capsule interne. B. Dégénérescences secondaires. Les dégénérescences secondaires consécutives à la lésion de la région
cléreux entre les fibres myélinisées. De cette absence apparente de dégénérescences secondaires, observée sur un si long parcours,
ans la région cervicale de la moelle épinière (fig. 5) apparaît une dégénérescence typique du FPyC, marquée par la présence d'une ta
nt lombo-sacré (Ci ? 6). Par contre il n'y a pas, dans ce cas, de dégénérescence descendante du FPyC. Quant à la raréfaction des
es histologiques on ne pouvait retrou- ver sur tout leur trajet les dégénérescences secondaires consécutives à la lésion de la régi
e normal que la sclérose névroglique fasse défaut sur le trajet des dégénérescences secondaires, probablement par le fait d'une rés
la moelle épinière ; il a fallu re- chercher dans cette dernière la dégénérescence de la voie pyramidale qui paraissait faire défa
ement, de l'étendue de la zone scléreuse qui marque le trajet de la dégénérescence secondaire du FPyC, on ne peut tirer aucune déd
sur les coupes de ce segment : la localisa- tion des lésions et les dégénérescences et atrophies secondaires. A. Localisation des l
compression, dans les autres régions de la moelle,il n'y a que les dégénérescences ascendantes et descen- dantes habituelles (PI.
a pas encore été l'objet de beaucoup d'examens histologiques et les dégénérescences qu'elle entraîne séparent les fibres radiculair
rondes autour des travées sclérosées. Des altérations vasculaires, dégénérescence hyaline et endartérite d'artères interfascicula
lé- rosés, serrés dans le syphilome, raréfiés, atrophiés, mais sans dégénérescence en boules (PI. XXII). Au-dessus et au-dessous
boules (PI. XXII). Au-dessus et au-dessous du syphilome on suit les dégénérescences . Au-dessus, on voit deux groupes de nerfs, les
gauche et dans le faisceau antéro- latéral gauche (PI. XXIII). La dégénérescence massive du cordon postérieur droit, marquée par d
eux, numérotées à la suite. Sur ces coupes on voit admirablement la dégénérescence radiculaire ascen- dante. Dans Lv elle occupe,
fibres sont dégé- nérées surtout à leur entrée dans la corne. La dégénérescence existe aussi à gauche dans le faisceau pyramidal
de la corne postérieure par une bande assez étroite. Dans Si, la dégénérescence n'occupe que les cordons postérieurs droits. Elle
mbault et Philippe. Dans le reste des cordons postérieurs droits la dégénérescence est massive (PI. XXIII). Dans S'il cette dégé
droits la dégénérescence est massive (PI. XXIII). Dans S'il cette dégénérescence massive de toutes les fibres radiculaires pos-
bault et Philippe, apparaissent bien, par leur intégrité dans cette dégénérescence radiculaire ascendante, comme formées de fibres e
ésumé, il s'agit du syndrome clinique de l'hémi-queue de cheval par dégénérescence ascendante massive, suivie dans la moelle, des ra
explique facilement. L'aire d'un faisceau est éta- blie soit par sa dégénérescence au milieu d'autres faisceaux sains, soit par so
très fines que nous ne pourrions guère considérer comme un fait de dégénérescence pathologique du moment qu'on en trouve de parei
ant deux cas du même genre,observa unique- ment un certain degré de dégénérescence des cordons postérieurs et, plus exactement, l'
égénérations de nature toxique, ou primaires, de l'histologie de la dégénérescence wallérienne. La modification notable des propri
r les tubes myéliniques sont tout à fait comparables à celles de la dégénérescence secondaire. Cette constatation contraste avec l
stic histologique dif-, férentiel entre les névrites dégénératives ( dégénérescence primaire) aux- quelles notre cas appartient, et
(dégénérescence primaire) aux- quelles notre cas appartient, et les dégénérescences secondaires dues, comme on le sait, à des cause
ntielles qu'on a établi entre ces deux processus On dit que dans la dégénérescence wal- lérienne la myéline se fragmente en gros b
wal- lérienne la myéline se fragmente en gros blocs et que dans la dégénérescence toxique,ou primaire, elle s'effrite ; que, dans
t les nerfs périphériques comme des lobules (théorie caténaire), la dégénérescence wallérienne serait une régression cellulaire ai
ns capables de s'adapter à de nouvelles conditions d'existence ; la dégénérescence pri- maire,au contraire,serait une maladie qui
le cas actuel elles ne différent nulle- ment des altérations de la dégénérescence wallérienne. On y retrouve, en effet, la désagr
surtout par Vassale (1891-96) entre la névrite dégé- nérative et la dégénérescence secondaire. Cet auteur concluait dans un travai
aire. Cet auteur concluait dans un travail fort intéressant sur les dégénérescences primaires et secondaires de la moelle épinière,
énérescences primaires et secondaires de la moelle épinière, que la dégénérescence primaire est caractérisée par une atrophie plus
tivement peu marquées, non superposables en tout cas à eelles de la dégénérescence wallérienne. Le fait plus important est en elle
imique de la myélineet bien loin des lésions caractéristiques de la dégénérescence secon- daire. Il nous faut donc conclure que la
ériphérique des altérations analogues à celles qui caractérisent la dégénérescence d'origine anatomique et, dans l'axe médullaire,
ullaire, des altérations comparables à celles qui sont propres à la dégénérescence d'origine toxique. Mais ce qu'il y a encore de
thyroïdienne, des modifications de la circulation cérébrale, de la dégénérescence et d'une disposition psychique. Taubmann, sous
ue des infantiles. Leçons sur les maladies nerveuses, 1899. Brunet. Dégénérescence mentale et goitre exophtalmique. Th. 1893. Cane
ch. f. Psych., XXXIII, f. 3, 1900, p. 30. DRo311tt) et Levassort. Dégénérescence mentale et maladie de Basedow. Arch. de Neurol.
ans. Bull, méd.,31 mai 1902. - et Sérieux. Goitre exophtalmique et dégénérescence mentale. Rev. de méd. ,1892. Régis et GAIDE, -
es qui constitue en effet un des éléments importants du symptôme de dégénérescence n'a de signification que lorsqu'elle est accomp
maladie, aucun muscle se présentait de réaction, même partielle, de dégénérescence , ce qui permettait de porter déjà un pronostic tr
ue le réflexe plantaire controlatéral d'ex- tension (rare) ; que la dégénérescence profonde d'un faisceau pyramidal s'oppose à la
de Marie Strumpell. Bechterew (2) a rencontré dans une autopsie une dégénérescence du cordon postérieur, des lésions disséminées d
délimitée du tissu cérébral par des cellules sarcomateuses. 3° De dégénérescence colloïde ( ? ) de la tumeur. Fig. 2. V. Vaissea
ulaire. C. colloïde. 3G6 Il, WEBER II est très probable que cette dégénérescence colloïde se traduisit par une diminution de vol
x, ni les cause- ries. L'aspect général est celui d'un timide. 2° Dégénérescence . -Pierre est très manifestement un dégénéré, avec
TYLIE ECTRODACTYLIE CLINODACTYLIE 405 Au point de vue psychique, la dégénérescence de Pierre est très évidente, et elle s'est mani
a coexistence, avec ces malformations, d'un état constitutionnel de dégénérescence men- tale ; 3° l'existence actuelle d'une démen
hiv. de Dermat. et de Syphiligraphie, 1883. LEMos.- Infantilisme et dégénérescence ysyclaique.Nouv. Icon.de la Salp., 1906, p.50.
40 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hallucinations, peurs imaginaires, appels désespérés, Dl Legras. « Dégénérescence mentale avec alcoolisme, préoccupa- tions hypoc
nie périodique et l'autre un imbécile avec de nombreux stigmates de dégénérescence , photographié pendant une période d'excitation
, de la substance grise sous-épen- dymaire, des vaisseaux, et de la dégénérescence du corps calleux, fort détaillés dans ce mémoir
u tissu même du cerveau et, par-dessus tout, du corps calleux. La dégénérescence du corps calleux est-elle capable d'expliquer l
t la diminution de l'intelli- gence. Rapprochons donc ce fait de la dégénérescence du corps calleux dans l'hydrocéphalie interne,
s dans divers cas d'embolies récentes des membres. La réaction de dégénérescence présente dans ces cas un type particulier que les
tares physiques (asymé- trie, etc.), et des stigmates psychiques de dégénérescence (manies, 78 SOCIÉTÉS SAVANTES. peurs, etc.).
théâtre. Relation de la profession religieuse avec les signes de dégénérescence . Hui. Binet-Sanglé continue ses études sur les
ves, 2e série, t. XVI. G 82 SOCIÉTÉS SAVANTES. certains signes de dégénérescence , en particulier la stérilité et la mort précoce
oduit très exactement les stigmates physiques de l'idiotie et de la dégénérescence . BIBLIOGRAPHIE. 8 ! ) Un bouffon de Charles-Q
aler surtout dans les milieux militaires. 90 BIBLIOGRAPHIE. Il. Dégénérescence et mysticisme ; par Gabriel Cloître. Rien n'est
remblement des mains. Réllexe rotulien exagéré. Signes physiques de dégénérescence . Athérome artériel. Complètement aveugle, très
méningées ont leurs parois épaissies ; et celles-ci sont en voie de dégénérescence hyaline. La substance cérébrale est le siège d'
excentrique, d'autres enfin n'ont plus de noyau et sont en voie de dégénérescence . Les reins sont très altérés. La lésion qui fra
, la plupart sont sclé- reux, quelques-uns ont subi complètement la dégénérescence fibreuse et sont transformés eu petits blocs d'
inférieur gauche. L'ex 'me" électrique ne décèle aucune réaction de dégénérescence dans les membres frappés d'asthénie. Quel diagn
t observer que quand le faisceau central de la calotte est lésé, la dégénérescence se localise à la partie supé- rieure seulement
point de vue de la nosographie générale, il existe une maladie de dégénérescence qui e,t T'atrophie musculaire progressive, celle-
ie pathologique n'est pas rare comme l'une des manifestations de la dégénérescence hysté- rique. Concernant les psychoses propreme
dans une toute autre forme; cette malade n'a point de symptômes de dégénérescence hystéri- que. Elle possède un caractère scrupul
était établi, au contraire, que la démence précoce ressortit à la dégénérescence mentale, qu'elle n'est qu'une des modalités déjà
des présentaient des antécédents héréditaires ou des stig- mates de dégénérescence et ceux où ces facteurs étiologiques fai- saien
s géantes et bacilles de Loch dans l'exsudat, ou bien seulement des dégénérescences des éléments nerveux sont ici les lésions préal
Jendrassick a démontré qu'on rencontrait souvent dans le tabes des dégénérescences des tubes nerveux de l'écorce cérébrale. Ces lé
bsolue. Déjà, dans le deu- xième groupe, nous voyons prédominer les dégénérescences diffu- ses qui ont précédé les lésions inflamma
imitives. Mais, dans ces dernières formes, j'ai toujours trouvé des dégénérescences des vaisseaux analogues à celles des éléments n
t aux fibrilles striées et au sarcoplasme dans les atrophies et les dégénérescences de la fibre musculaire. Il ne semble pas que l'
de degré divers des .cellules nerveuses. Ici on ne trouve jamais de dégénérescence des parois artérielles, ni de pigment ocré, ni
tions dégénératives des artères. Les deux lésions capitales sont la dégénérescence hyaline des artères et l'infiltration pigmentaire
a plupart d'entre eux ne présentaient pas de multiples stigmates de dégénérescence . Enfin, l'idiotie de nos sujets rachitiques s'é
ire de séparer la cons- titution idéo-obsessive du vaste groupe des dégénérescences psy- chiques » et d'en faire une entité morbide
- AKOnvES, 2' série, t. XVI. ' 19 290 MÉDECINE LÉGALE. mates de dégénérescence physique : faux trait de la vue, asymétrie faci
hérédi- 304 MÉDECINE LÉGALE. taires et personnels, les signes de dégénérescence anatomiques et fonctionnels que l'on découvre s
rajet intra-cérébral des nerfs moteurs établis par la méthode de la dégénérescence wallèrienne indirecte. M. A. Van Gehuciiten. Po
jours, de la disparition com- plète des cellules d'origine et de la dégénérescence wallérienne consécutive de toutes les fibres ra
rescence wallérienne des fibres du bout central d'un nerf arraché, dégénérescence contraire à la proposition négative contenue dans
tive contenue dans la loi de Waller, que nous avons donné le nom de dégénérescence zeallériemze indirecte. Pour se servir de cette
nte du tronc céré- bral par la méthode de Marchi ; on y trouvera en dégénérescence complète toutes les fibres du bout central depu
de pair avec des modifications de leur exci- tabilité (réaction de dégénérescence ). Or, de mes recherches se dé- 343 SOCIÉTÉS SAV
son fonctionnement. Ce qui caractérise avant tout la réaction de dégénérescence d'Erb, c'est la perte de cor 1 raclilité faradiqu
rone au neurone adjacent est un phénomène fréquent (propagation des dégénérescences directe et rétrograde). La neurone n'était qu
te constitution, haute taille, mais quelques stigmates physiques de dégénérescence . De- puis la mort, par tuberculose pulmonaire,
accompagnées de celles de la rétinite séreuse, on observe alors la dégénérescence cystoïde si bien décrite par Iwanoff. La papi
substance grise ' ? Voici un fait de tabès dorsal dans lequel les dégénérescences tabetiques, extrêmement accusées, portaient sur
du cordon postérieur dans la corne postérieure. Par contre, il y a dégénérescence absolue. générale, des zones d'entrée radiculai
e, qui entraîne la démence juvénile. Mais ces formes précoces de la dégénérescence nerveuse si caractérisées par l'hénédoatoxte cé
eau du noyau du facial et de l'oculomoteur externe s'accompagner de dégénérescence du faisceau central de la calotte, de la grosse
stérieure de la capsule interne et la couche optique, a constaté la dégénérescence d'un tractus de fibres qui, dans la région prot
issu nerveux en arrière de celle-ci (ligures). L'analyse montre une dégénérescence descen- dénte du faisceau d'ileiweg : on la peu
ontale, mosaïque de foyers superficiels et un peu plus profonds. La dégénérescence du faisceau pyramidal, nette, mais peu intense,
antes était épargné com- plètement. Le bulbe présente uniquement la dégénérescence du faisceau pyramidal correspondant : intégrité
'agit de quelques fibres motrices mélangées à cet organe (iloclie). Dégénérescence étendue mais non profonde du faisceau pyramidal
base, indemnes de tout foyer de ramol- lissement. On y retrouve la dégénérescence habituelle des hémi- plégies, bien que les fibr
ar les détails anatomopa- thologiques sus-résumés, par l'absence de dégénérescence des fibres propres du ruban de lieil malgré le
iques et les racines antérieures ou posté- rieures témoignent de la dégénérescence de leur myéline. Les cylindraxes y sont tantôt
nt tantôt épaissis en fuseaux, tantôt entortillés en tire-bouchons. Dégénérescence myélinique irrégulièrement distri- buée de la s
seul où le diagnostic ait été vérifié à l'autopsie, il existait une dégénérescence manifeste des couches optiques et des tubercule
s calcaires entre la tumeur et le corps cal- leux. Autres organes : dégénérescence graisseuse du foie; reins granuleux. II. Homm
2o-Yor/c .lleclical Journal, 26 juil- let 1902). Les processus de dégénérescence consécutifs aux anémies ou associés à elles, so
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. iI fois un état de dégénérescence de la moelle, sur lequel dans deux cas seulemen
; on en observe par exemple dans le cancer. Les symptômes de cette dégénérescence sont ordinairement obscurs, et souvent masqués
irection longitudinale; partout vils apparaissent très denses, sans dégénérescence d'aucune sorte. Les masses pigmenlaires et les
re ascendante du cordon de Goll : dans le cordon antéro-latéral, la dégénérescence également secondaire du faisceau cérébelleux di
ute la symptomatologie. Les lésions systématiques de la moelle, les dégénérescences fasciculées, ont, au point de vue histologique.
femme âgée de soixante-douze ans. Stigmates 7syclùques tardifs de dégénérescence mentale. Le Secrétaire général communique, au n
onsacrés à cette question, sauf ceux de M. Ireland, qui constate la dégénérescence de la famille royale d'Espagiie en résultat des
te dans l'étiologie des névroses et des psychoses, dans celle de la dégénérescence familiale. Si c'est juste, alors les mariages e
re : « Le râle de la sélection ? iégaliie dans le pro- cessus de la dégénérescence familiale ou les principes du darwi- nisme dans
-, par de Viies, 371. Couche optique. Voir Voies centre- fuges Dégénérescence des-, par Blachfori, 4'8. Crampe. Voir Aeroey
rer les -, par Faielszt.yn, 4aG Coloration des . par Kdplan, 433. Dégénérescence . Itelation de la pro- feasl0u lelll ense a\ec l
un des mus- cles masticateurs, par 1'. Mane,180. Mysticisme. Voir Dégénérescence . Myxoedemvteux. Fin de l'histoire d'un idiot,
41 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a majorité des cas, l'or- ganisation foetale et non la marche de la dégénérescence secon- daire des cordons postérieurs. Voici d
alement les zones radiculaires antérieurs. Au sur et à mesure de la dégénérescence de zones des cordons postérieurs marche la lésion
eur. Mort subite avec sen- sation d'oppression. L'autopsie décèle : dégénérescence des cordons postérieurs et de la zone d'entrée
interstitielle de Juergens, myélites de la substance blanche) ; les dégénérescences descendantes et ascendantes compliquent le tabl
été considéré par M. Magnan comme un des syndromes psychiques de la dégénérescence men- tale. Ce point de vue parait trop exclus
ne prennent la forme aiguë de la paranoïa pour une manifestation de dégénérescence mentale et qu'enfin le délire d'emblée de M. Ma
Doit-on la classer parmi les psycho-névroses ou parmi les formes de dégénérescence psychique ? La plupart des auteurs qui ont écri
comprend difficilement, ce qu'il dit. Avec ces signes physiques de dégénérescence , développement très incomplet des facultés inte
chologique (et aussi physique, en raison des stigmates physiques de dégénérescence ) des sujets permet de déterminer l'état mental
mme bien établie cette notion, que les sujets qui sont entachés, de dégénérescence intël- lectuelle ne réagissent pas, sous l'infl
nt ils' sont atteints.* ' ' Il - r ' Il est inutile de rappeler que dégénérescence intel- lectuelle n'est pas le synonyme de 'débi
de déséquilibration des facultés mentales qui est le' critère de la dégénérescence intellectuelle, et non l'imperfection en bloc d
n en bloc de leur, développement. En France^ on rattache surtout la dégénérescence à l'hérédité neuropathique,- ce qui est' exact,
on' est porté à faire de l'hérédité morbide la causé unique de la dégénérescence , ce qui est exagéré. C'est contre cette exagéra
cette exagération que Cotard s'est élevé '. Il a démon- tré que la dégénérescence était souvent acquise, et qu'elle pouvait s'éta
ne parenté intime. Ils constituent un des termes supérieurs de la dégénérescence intellectuelle, et on en trouve presque toujour
t, je crois que, même dans ces cas où l'hérédité est la règle, la dégénérescence peut aussi parfois être acquise. Je ne pense pa
es aliénés véritables ont une origine commune. Cette origine est la dégénérescence qui aboutit,' soit à la folie, soit à la crimin
et). Le certificat 206 RECUEIL DE FAITS. portait le diagnostic de dégénérescence mentale, dépression mélan- colique. Elle est dé
troubles psychiques soient toujours et fatalement des stigmates de dégénérescence mentale. Cela est exact pour bien des cas ; mai
e en avalant de l'acide chlorhydrique. On constate à l'autopsie une dégénérescence très avancée des nerfs, elle est des plus marqu
omènes ont terminé leur parfaite évolution avant que se produise la dégénérescence descendante du bulbe et de la moelle, bien qu'é
atrices et de pigment sanguin à profusion, la paroi est atteinte de dégénérescence hyaline. M. Friedmann croit que la commotion cé
es vaso-moteurs ; de là les poussées hypérémiques paroxystiques; la dégénérescence des parois vasculaires se serait produite consé
ns étaient fortement altérés. L'un des cas était caractérisé par la dégénérescence du ganglion entier ; de nombreux vaisseaux y ét
e, des hémorrhagies et des phé- nomènes inflammatoires suivis de la dégénérescence des fibres nerveuses. M. Kalilden n'a, dans l'e
mble de ses observations, 250 SOCIÉTÉS savantes. constaté que des dégénérescences insignifiantes de la moelle; il - n'a pu en fai
ne; on les a durcis. Chez six d'entre eux, on a trouvé en effet des dégénérescences de la moelle; elles étaient surtout marquées da
mais l'interpré- tation en est délicate. On est aussi frappé de la dégénérescence des fibres myéliniques et des altérations des g
peu prononcée des nerfs périphériques. Atrophie à un haut degré et dégénérescence granuleuse des faisceaux musculaires avec proli
les rapports, méritent de fixer l'attention. D'autre part, si ces dégénérescences mentales sont héréditaires, dans quelques circo
e vue physique, le malade ne présente pas de stigmates physiques de dégénérescence , on remarque seulement comme chez les onanistes
du grand-père, l'épilepsie du père ont préparé chez L... le fond de dégénérescence sur lequel nous voyons, dès l'âge de six ans, s
lait cette sorte de malade. En d'autres termes, il était atteint de dégénérescence intellectuelle non héréditaire, mais acquise da
une force exceptionnelle. Il ne présente pas le plus léger signe de dégénérescence physique. D'après les renseignements les plus s
On peut comprendre maintenant ce qui s'est passé : A... atteint de dégénérescence intellectuelle, suite d'une maladie des parties
logique du cerveau infirme dont je viens de parler, du cerveau en dégénérescence .' La clinique apprend, en effet, que les impuls
les impulsions de ce genre ne naissent que dans les conditions de dégénérescence cérébrale, dégénéres- cence héréditaire le plus
cence cérébrale, dégénéres- cence héréditaire le plus souvent, mais dégénérescence acquise aussi parfois, comme dans le cas actuel
con- naissons point encore les modes de communication. P. K. III. DÉGÉNÉRESCENCE DES VAISSEAUX CAPILLAIRES DANS LA PARALYSIE pro
, sectionné et coloré, M. Kronthal a trouvé que toujours, où il y a dégénérescence des capillaires, il y a dispa- rition des fibre
ébriles; c'est la mé- ningo-encéphalite dont les lésions sont : une dégénérescence vas- culaire par prolifération des noyaux et ce
tituent-elles des trousseaux indépendants ? Leur intégrité dans la dégénérescence descendante des pyramides, non seulement dans l
à évolution rapide a pour lésion (autopsie du pre- mier enfant) une dégénérescence systématique des cornes anté- rieures avec atte
ZACHER. (A1'ch, /. Psychiat. , XXII, 3.) . Quatre observations de dégénérescence descendante. Si l'on divise la coupe transverse
es antéro-postérieures qui correspondent à ces organes, entraine la dégénérescence du corps genouillé externe, du pulvi- nar, du t
Il s'agit d'un sarcome secondaire dont l'origine est le rein droit. Dégénérescence descendante des faisceaux moteurs de la moitié
(externe) très résistante, par places tout à fait indemne. Cette dégénérescence par couches occupe le coin, le lobe occi- pital
nt disséminées et irrégulières. C'est l'exagération du processus de dégénérescence systématique propre à la paralysie générale qui
le, sans symptômes de lésions en foyer proprement dits. - La même dégénérescence corticale engendre la dégénérescence en plaques
yer proprement dits. - La même dégénérescence corticale engendre la dégénérescence en plaques et en cordons de la couche blanche d
mental se résume ainsi : depuis l'âge de dix-huit ans seule- ment, dégénérescence intellectuelle et morale, paresse, excès d'al-
, déclaré épileptique, et atteint de débilité mentale compliquée de dégénérescence morale. Une se produisit plus d'ac- cidents psy
e considérées comme des épisodes d'une névrose sympathique, d'une dégénérescence héréditaire ; mais, ni à l'époque de l'acte incri
ur- ner, 223; histologie pathologi- que de la -, par Pick, 394; dégénérescence des capillaires dans la -, par Kronthal, 395;
42 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
stait en un ramol- lissement très limité de la capsule interne avec dégénérescence pyramidale. (Revue neurologique, janvier 1903).
trois doigts externes et coïncide avec un ensemble de stigmates de dégénérescence (asymétrie faciale, voûte palatine ogivale, str
nait d'atrophie des muscles du bras et de l'épaule avec réaction de dégénérescence , de troubles trophiques de la peau de la main.
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. l. Névrite radiculaire subaiguë. Dégénérescences consécutives dans la moëlle (racines postérieur
s au-dessous du foyer de myélite transverse, qui constitue, avec la dégénérescence du faisceau pyramidal consécutive à la myélite,
XIII. Note sur un cas de ramollissement du cervelet avec étude des dégénérescences secondaires; par V. 1\écEL et A. THéoHant. Et
évélé que quelques fibres dégénérées dans le corps restiforme et la dégénérescence d'un certain nombre de fibres arciformes intern
bras. Ces paralysies s'accompagnent d'amyotrophie et la réaction de dégénérescence est constatée. Quelques observations de paralys
r la conception du lobule nerveux polycellulaire. La limitation des dégénérescences secon- daires n'est pas exacte. Il y a presque
oez, Klippel, Marinesco, Schaf- fer, Br¡¡unig). Il est vrai que les dégénérescences groupées affec- tent généralement la forme atro
unité fonctionnelle que personne ne refuse au lobule nerveux. La dégénérescence Wallérienne ne prouve pas plus que le neu- ione
es périphériques expliquent seuls ce phénomène. Enfin l'étude des dégénérescences et de la dégénération permet de se demander si
es, une multiplication des cellules de la névroglie, son oedème, la dégénérescence des cellules nerveuses, etc.). Le processus mor
bital, surtout au niveau du coude, et de la réaction partielle de dégénérescence dans les muscles des éminences thénar et hypoth
e nerveuse qui devient plus grêle dans ses éléments, soit une vraie dégénérescence wallérienne d'un nombre plus ou moins grand de
s même delà cellule qui s'épuise, subit l'altération régressive, la dégénérescence progressive. La paralysie générale procède-t-el
ente de l'appareil vasculaire, tels que la sclérose en plaques, les dégénérescences primitives des cordons de la moelle, les altérati
it admettre l'existence de l'atrophie simple ; on ne connaît pas de dégénérescence graisseuse de la cel- lule nerveuse. Les états
e centres d'association. L'observation pré- sente est un exemple de dégénérescence circonscrite localisée des fibres blanches '.
iétant sur le noyau lenticulaire. Dans le cerveau droit un foyer de dégénérescence secondaire dans la cap- sule interne (lésion an
céphale, du myélencéphale, déterminent dans le cordon antérieur une dégénérescence plus volumineuse et plus étendue pouvant prendr
rgée héréditairement et qu'elle présente des stigmates plus nets de dégénérescence , son délire est remarqua- blement empreint de d
tendineux, du triceps et du biceps du côté gauche. Une réaction de dégénérescence complète dans les muscles biceps, deltoïdes sca
etites cellules et de fibres, se trouvant dans différents stades de dégénérescence . La tumeur commençait de la pie-mére. , L.-S. M
'occasion des causes les plus diverses, les psychas- thénies et les dégénérescences latentes se révèlent, témoins de très nombreuse
lolo,gique de l'hérédité et de lu ^prédisposition morbides et de la dégénérescence , 2' éd" 1898, p. 306- DISTRIBUTION DES NÆVI CHE
t préjugé au sujet de la doctrine assurément trop am- plifiée de la dégénérescence mentale. Je suis donc tout prêt à lui enlever e
; c'est un nouveau dogme qui a déjà tous les défauts de celui de la dégénérescence mentale, qu'il attaque. MM. Colin, Pactet (de V
le cheval (étude clinique.) , MM. Fernand RUDLER et C. CHOMEL. La dégénérescence est caractérisée chez l'animal comme chez l'hom
ération clinique suffit à établir l'identité entre les stigmates de dégénérescence du cheval -et ceux que Morel et Magnan ont décr
des cellules nerveuses frontales : disparition du protaplasme avec dégénérescence en anneaux épineux, à la périphérie du corps ce
e, un coeur gras, une embolie du lobe inférieur du poumon droit, la dégénérescence graisseuse des reins et du foie. Au microscope,
de Willis sous le même niveau que les autres signes physiques de dégénérescence que l'on rencontre chez les aliénés. 5. Ces ano-
omoteur externe ainsi que la portion supérieure du noyau du facial. Dégénérescence : des branches du facial ; lésions des deux bra
branches de l'auditif. Voici le résumé des résultats (figures). I. Dégénérescences intl'acél-éb1'Ules. 1. Celle des racines du fac
ns le noyau du côté correspondant à la lésion; il existe une faible dégénérescence des fibres qui, originaires du côté opposé, s'e
on contient plus de fibres dégénérées que celle du même côté. 4. La dégénérescence descendante des fibres de l'auditif s'étend à l
éral ou inférieur, et sont eu dehors du ruban de Reil principal. La dégénérescence est un peu plus accentuée du côté correspondant
hauteur, le ruban de Reil principal semble tout à fait' indemne de dégénérescence : les fibres dégénérées se limitent au territoi
ans, les diverses parties des couches optiques ne présentent pas de dégénérescence du tout. -7. Nulle dégénérescence des fibres ac
s optiques ne présentent pas de dégénérescence du tout. -7. Nulle dégénérescence des fibres acoustiques de Monakow, ce qui signifi
lexes patellaires en un cas de myélite dorsale par compression avec dégénérescence des racines posté- rieures dans la moelle lomba
l'autopsie n'y révèle qu'une tuberculose peu avancee. Par contre la dégénérescence radiculaire est plus pro- noncée que dans les c
on plus du tic généralisé, la face étant intacte. Il existait une dégénérescence kystique du rein gaucho. Etaient-ce des convuls
cutives en deux directions : atrophie marquée de la couche optique, dégénérescence descen- dante des pyramides jusque dans la prot
té- rées par une infection ou une intoxication, etc. G. D. LXXXI. Dégénérescence et régénération des terminaisons motrices des n
t indépendant îles troubles sensitifs. G. D. LX.TXVII. Hémimélie et dégénérescence mentale; par 1.. LAnUELLE. (ltlcll. de la Soc.
ique est adoptée par l'auteur, qui n'hé- site pas à rattacher à une dégénérescence acquise ab utero les troubles mentaux et les an
s supérieurs. en donnant le nom à ces états émotifs de stigmates de dégénérescence . Mais c'est peut-être trop d'exclusivisme de ra
s ganglionnaires de l'écorce, des hémor- ragies punctiformes, de la dégénérescence des laisceaux. KRAEt'EUN (Munich). Psychiatrie
ar un affaiblissement plus ou moins marqué des mêmes facultés. La dégénérescence d'origine héréditaire ne mettant pas à l'abri d
rait observer des cas mixtes résultant de la combinaison des deux dégénérescences et caractérisés par un mélange d'affaiblissement
n'a pas eu de convulsions dans son enfance. Aucun signe physique de dégénérescence , état général très bon. Début de l'affection à
intelligent, pondéré, bonne conduite, sans stigmates phy- siques de dégénérescence . Côté maternel Grand-père maternel mort à cinqu
douce et sympathique. Elle présente quelques stigmates physiques de dégénérescence peu accusés (grand lobule de l'oreille, léger p
ne G... présente du fait de sa lourde hérédité mor- bide un état de dégénérescence mentale caractérisé par des stig- mates physiqu
ont trouvé dans trois cas des lésions médullaires coustantes : une dégénérescence myélinique disséminée dans les différents cordo
dor et de San Paulo. Sinon. XXXIV. Contribution à la chimie de la dégénérescence nerveusé dans la paralysie générale et autres m
it actuellement de la 804 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. chimie des dégénérescences nerveuses, à la fois d'après l'étude du métabol
Voir Tumeurs. Noie sur un cas de ramollissement du avec étude des dégénérescences secon- daires, par Négel, 65. Lésions du dans
oir Tics. CHEIIt01fI : G : ILIE. Voir Syringomyélie. Cheval. Voir Dégénérescence . Cheveux. Voir Aliénés. CHEYNE-STOKES. Von Ca
ytodiagnostic - Voir Tabès. Di'.cUBirus. Voir Paralysie générale. Dégénérescences secondaires. Voir Cervelet. Voir Noyau rouge.
arqua- ble d ? par Flatau, 347. IIÉwnÉme. Voir Phocomélie. - et dégénérescence mentale, par La- melle, 405. Sur une forme lare
r de - facial, par Bien- fait. 427 Contribution à la chimie de la dégénérescence nerveuse dans la - génél ale et autres ma- la
43 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
s de contrôler dans un très grand nombre de cas, par la méthode des dégénérescences secondaires, les résultats fournis par l'anatom
peu de schèmes. Pour tout ce qui concerne l'anatomie normale et les dégénérescences secondaires, les dessins qu'il contient sont la
fs rachidiens, établit les lois suivant lesquelles se faisait cette dégénérescence . En pratiquant la section des deux racines d'un
sdc Vulpiati Système de ncu- ; rbnes. i il La méthode des dégénérescences permet de suivro la partie fondamentale d'u
a suite appliquée aux centres nerveux, dans le but d'y produire des dégénérescences secondaires, et partant d'étu- dier le trajet d
om de « Système de neurones ». Les résultats acquis par l'étude des dégénérescences secondaires chez l'homme sont des plus importan
ation de la méthode de Stilling - coupes sériées - à l'étude de ces dégénérescences , a permis d'étudier des faisceaux à trajet plus o
qui vont se terminer dans une région plus ou moins éloignée. Or, la dégénérescence de ces dernières fibres ne peut être nettement
de lésion congénitale ou survenue dans le bas âge, le processus de dégénérescence est accompagné d'un arrêt de développement d'au
les animaux, a été appliquée avec succès, pour étudier au moyen des dégénérescences , le trajet des faisceaux dans le système nerveux
e nerveux est en pleine voie de développement. On obtient ainsi des dégénérescences beaucoup plus prononcées, et à marche beaucoup pl
elui entre autres de rendre très difficile l'étude histologique des dégénérescences du centre ovale, à la suite de lésions de la cort
ie d'une lésion corticale ou centrale, ainsi que la disposition des dégénérescences secondaires de certains gros faisceaux. Mais cett
sur les localisations corticales ou cen- trales, ainsi que sur les dégénérescences secondaires, qu'au moyen de pièces durcies et c
soin sur la surface de section de la protubérance, s'il existe une dégénérescence du faisceau pyramidal ou du ruban de Reil, puis
émisphère sain, afin de pouvoir mieux l'étudier au point de vue des dégénérescences , de même, qu'au niveau de la base, la coupe ne
oin la surface de section de la protubérance, de quel côté siège la dégénérescence . Les deux hémisphères une fois séparés l'un de
peut étudier dans tout l leur trajet les faisceaux at- teints de dégénérescence , ce qu'il est impossible de faire avec les au
est que, dans le cas de lésion centrale de l'hémisphère, les seules dégénérescences vraiment importantes à étudier, sont celles des
l'encéphale aussitôt après l'autopsie. Dans ce cas, pour étudier la dégénérescence des faisceaux en coupes sériées, on aura recour
lorer et monter en moyenne une coupe sur deux. Lorsqu'on étudie les dégénérescences secondaires, il faut également pro- portionner
er pour tout ce qui concerne les lésions de la sub- stance blanche, dégénérescences secondaires, scléroses systématisées ou dif- fu
cause expérimentale. Cette méthode donne de bons résultats dans les dégénérescences secondaires de date récente (trois semaines dan
antité de myé- line, réduite en boules et en gouttelettes. Dans les dégénérescences de date un peu ancienne, l'emploi de cette méth
les cylindres- axes appartenant à ces cellules dégénèrent, et cette dégénérescence se fait toujours dans le sens du développement
le et qu'elle envoie sa fibre vers le bulbe ou vers le cervelet, la dégénérescence est dite ascendante ; si la cellule d'origine siè
laires de certains faisceaux de fibres nerveuses. (Voy. méthode des dégénérescences secondaires, p. 9.) Pendant longtemps, on croya
à l'aide de la méthode - de Gudden d'avec ceux obtenus à l'aide des dégénérescences secondaires. Forel, par ses expériences sur l'a
ndante (Duménil, Frie- dreich, Dejerine et Sottas), ainsi que de la dégénérescence rétrograde de certains faisceaux médullaires, d
i que le fait remarquer Fore ! , d'avec ceux de la méthode dite des dégénérescences . Lorsqu'on opère, non plus sur des nerfs moteur
de l'économie, il se fait une rénovation, mais cette question de la dégénérescence et de la régé- nération des nerfs à l'état phys
te comme chez les animaux, on trouve des tubes nerveux en voie de dégénérescence (S. Mayer), bien que diaprés nos recherches ces
t Vulpian, Gudden, Flechsig, etc., travaux basés sur la méthode des dégénérescences , sur la méthode des atrophies expérimentales et
ments courts. Nids péri-cellulai- rcs. contestée. L'étude de la dégénérescence des racines postérieures, après leur section en
la méthode des coupes microscopiques sériées, associée il celle des dégénérescences secondaires. 2 : ; 38R ANATOMIE DES CENTRES N
ontré il l'aide de l'expérimentation, et v. Monakow par l'étude des dégénérescences . Le noyau interne de la couche optique (Ni) est t
oindre l'examen à l'aide de coupes microscopiques sériées de cas de dégénérescences secondaires. L'emploi simultané de ces deux mét
oelle épinière, la repro- duction d'un assez grand nombre de cas de dégénérescences secondaires étudiés à l'aide de coupes microsco
du cerveau, où elles constituent, ainsi que le démontre l'élude des dégénérescences par lésions corticales, les cinq sixièmes inter
halamique et entrent dans la constitution du pied du pédoncule. Les dégénérescences secondaires ont montré il l'un de nous (1893),
l'opercule frontal l'un de nous a constaté (1893) l'existence d'une dégénérescence du faisceau du genou, dégénérescence qu'il a pu
staté (1893) l'existence d'une dégénérescence du faisceau du genou, dégénérescence qu'il a pu suivre, il l'aide de coupes sériées tr
pédoncule cérébral dont elles occupent le bord externe. L'étude des dégénérescences de ce faisceau, il la suite de lésions cortical
es dans cinq cas de lésions corticales, limitées à cette région; la dégénérescence occupe alors le cinquième externe environ de Vêla
ent à la suite des lésions de la corticalité rolandique. La zone de dégénérescence se rapproche d'autant plus du genou que la lésion
les méthodes de Weigert ou de Pal. Si on les étudie dans les cas de dégénérescence secondaire de la capsule interne à la suite de
e parallèles; leur origine ne peut être établie que par l'étude des dégénérescences secondaires. Or, ainsi que l'un de nous a pu le
transversales COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. G3 sériées et les dégénérescences secondaires et passe au-dessous de la face infé
ront du reste étudiés en détail dans le tome II, par la méthode des dégénérescences secondaires consécutives à des lésions corticales
interne de la calotte. Ces fibres persistent intactes dans les cas de dégénérescence totale du pédoncule par lésion corticale ou cen
s centrales de l'hémisphère, trajet que met en évidence l'étude des dégénérescences secondaires. Pour v. Monakow, ces fibres vienne
is après l'opération, et à l'examen du cerveau, Beevor constata une dégénérescence portant sur les fibres de la partie postérieure
ui ne pourra être résolue que par l'anatomie de développement elles dégénérescences secondaires; quoi qu'il en soit, les cas d'agénés
pporterons des exemples dans les cha- pitres suivants, à propos des dégénérescences d'origine corticale (Voy. t. II). Ces faits, qu
n résultat que nous fournit l'expérimentation et que la méthode des dégénérescences secondaires ne pouvait nous donner, car, à la s
comprend un système très complexe de fibres d'inégale longueur. Les dégénérescences secondaires, consécutives à des lésions corticale
e ce faisceau con- tient un grand nombre de fibres longues, dont la dégénérescence peut être suivie dans la substance blanche du l
rop multiples; le problème ne peut donc être résolu qu'a l'aide des dégénérescences secondaires, de l'anatomie com- parée ou d'autr
t à l'aide des coupes microscopiques sériées, la -topographie de la dégénérescence secondaire dans cinq cas de lésions anciennes de
diatement en avant de son segment rétro-lenticulaire. L'étude des dégénérescences secondaires consécutives aux lésions de la cort
ux de la vision, est arrivé aux mêmes résultats. La description des dégénérescences , dans les cinq cas d'hémianopsie étudiés dans c
empiètent sur les lohes pariétal et temporal, la topographie de la dégénérescence capsulaire change, le segment rétro- lenticulai
nsi que Monakow, Mahaim, etc., l'ont démontré. Dans certains cas de dégénérescences secondaires par lésions de la corticalité tempo
lier les fibres d'associations intra-hémisphériques. En résumé, les dégénérescences secondaires et l'anatomie comparée montrent don
ceau que dans une partie de leur trajet; il en résulte donc que les dégénérescences n'intéressent pour ainsi dire jamais toute l'ép
viennent s'adjoindre aux fibres dégénérées. Lorsque l'on étudie la dégénérescence secondaire du faisceau longitu- dinal inférieur
orale, iraient s'arboriser dans l'écorce occipitale. La méthode des dégénérescences secon- daires est impuissante pour trancher cet
ques ou médullaires s'al- tèrent dans les deux sens. La méthode des dégénérescences secondaires, qui présente une sécurité absolue
es étudié par la méthode des dégé- nérescences secon- daires. Dégénérescence du corps calleux dans les lésions occi- pit
de celles du forceps, ne peut être fait à l'aide de la méthode des dégénérescences secondaires consécutives aux lésions de l'écorc
lusivement formé de fibres d'association. Or, il n'en est rien, les dégénérescences secondaires démontrent, nettement, qu'une lésion
X D'ASSOCIATION' ET COMMISSURAUX. 79o cunéo-limbique (fig. 395), la dégénérescence des fibres calleuses se can- tonne dans le forc
calcarine (K) (fig. 392), retentissent sur le forceps major, et la dégénérescence occupe alors la partie profonde du bourrelet. D
es jaunes sur les deuxième et troisième circonvolutions temporales. Dégénérescence du bourrelet du corps calleux. Ce cas a trait à
93, Obs I.) - 796 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. calcarine (K), la dégénérescence intéresse de préférence le forceps minor (Fm'),
er-pariétal (ip) et le fond du deuxième sillon temporal (ta). Les dégénérescences intéressent le stratum calcarinum (strK), la mass
u lésés et se voient avec beaucoup de netteté sur cette coupe. La dégénérescence du stratum calcarinum, de la masse blanche du cun
du stratum calcarinum, de la masse blanche du cunéus et la zone de dégénérescence qui occupe la partie supéro-interne des radiation
leux, relèvent évidemment delà lésion du cunéus. Quant à la zone de dégénérescence qui occupe la paroi inférieure de la corne occi
éré complet. Sur les coupes qui passent en avant de cette coupe, la dégénérescence des fibres du tapetum se cantonne (grâce à l'ap
lise nettement dans la profondeur du bourrelet du corps calleux. La dégénérescence des fibres des radiations thalamiques se continue
ccipital, et en particulier celles du cunéus, en- traînent donc une dégénérescence des fibres du système calleux, mais eues retent
, Vialet, mon- trent que ces lésions entraînent à leur suite, une dégénérescence se- condaire des radiations thalami- ques, du
fait important, ces lésions du lobe occipital ne déterminent pas de dégénérescence dans le pied du pédoncule. Ainsi que nous l'avo
ncienne de la face antérieure du cunéus et du pli cunéo-limbique. Dégénérescence des ra- diations thalamiques et du bourrelet du
iculier des deuxième et troisième circonvolutions temporales. Les dégénérescences des fibres calleuses s'observent non seulement il
siège d'un ramollissement récent qui a entraîné la mort du malade. Dégénérescence du bourrelet du corps calleux (Voy. fig. 398).
émisphère du côté opposé la lésion; elle est destinée à montrer les dégénérescences des fibres cal- leuses il la suite de cette vas
s bec et genou postérieurs. Dans ce cas la distribution du champ de dégénérescence parait donc être en contradiction flagrante, d'un
tale et, d'autre part, avec ce que nous avons dit plus haut sur les dégénérescences du bourrelet consécutives à des lésions du lobe
les radiations thalamiques et le forceps du corps calleux, et cette dégénérescence si pro- noncée du bourrelet trouve ainsi une ex
on toute naturelle. Lorsqu'il s'agit de déterminer chez l'homme les dégénérescences consé- cutives à des lésions corticales, on ne
e fau- drait pas, dans ces cas, rapporter à la lésion corticale, la dégénérescence due à la section des faisceaux sous-jacents. -
ionné que le faisceau longitudinal inférieur et a entraîné : 1° une dégénérescence extrêmement accentuée de ce faisceau qui peut êtr
peut être suivie en avant jusqu'au delà du noyau amygdalien; 2° une dégénérescence extrêmement marquée, des radiations thalamiques
face externe de l'hémisphère gauche, ayant déterminé, entre autres dégénérescences secondaires, la dégénérescence du tronc et du b
uche, ayant déterminé, entre autres dégénérescences secondaires, la dégénérescence du tronc et du bourrelet du corps calleux, représ
. Voyons maintenant ce que nous enseigne chez l'homme l'étude des dégénérescences secondaires. Les premiers cas de dégénérescence s
'homme l'étude des dégénérescences secondaires. Les premiers cas de dégénérescence secon- daire de la commissure antérieure à la s
issure des lobules linguaux. Dans le cas de Popoff, il s'agit d'une dégénérescence presque totale de la commis- sure antérieure av
a partie postérieure de la circonvolution de l'hippo- campe (H); la dégénérescence de la commissure antérieure était dans ce cas b
ortante de Hcns- chen, et d'autre part examiné, au point de vue des dégénérescences de la commissure antérieure, le matériel recuei
ns deux cas, elle est normale; dans le quatrième cas, il existe une dégénérescence partielle de la commissure antérieure, mais l'a
ainsi que nous avons été à même de le constater plus d'une fois, la dégénérescence de ces différentes fibres, sauf toutefois celle d
e Biologie, 1893. DEJERINE (J. et A.). Contribution à l'étude de la dégénérescence des fibres du corps calleux. Soc. de Biologie,
44 (1911) La pratique neurologique
ent se développer des lésions ophtal- moscopiques, témoignant d'une dégénérescence atrophique des fibres optiques. C'est encore da
uctrices de l'hémia- nopsie bitemporale explique les atrophies, les dégénérescences qui peu- vent se produire dans le nerf optique.
NS LE CHAMP VISUEL. i : , l'étendue des champs visuels restants, la dégénérescence atrophique des nerfs optiques, la diminution de
sous des aspects diffé- rents. Dans certains cas, c'est, une simple dégénérescence des fibres optiques, une atropine simple. Le pl
de l'hypophyse, etc.). Il se produit, au niveau de la papille, une dégénérescence simple sans phénomènes inflammatoires. Symptô
ement être mono-auriculaire. Bourdonnements. Les irritations ou les dégénérescences du ILANNOIS ] me MALADIES DE L'OREILLE. ner
t vraisemblable que dans les bruits persistants il s'agit plutôt de dégénérescence que d'irritation nerveuse. Nous n'entrerons pas
i trouvé dans un cas de ce genre de la névrite, interstitielle avec dégénérescence des libres ner- veuses qui présentaient un aspe
n'a qu'une médiocre importance et, avant d'en faire un stigmate de dégénérescence , il est bon de s'assurer avec le miroir qu'il n'y
résentent de l'atrophie, des secousses librillaires, la réaction de dégénérescence . Ces caractères se retrouvent dans les dysarthr
aire vrai par l'absence de secousses fibrillaires et de réaction de dégénérescence . ' L'hémorragie et le ramollissement cérébraux
n, qui remonte environ à se caractérise par les symptômes suivants ( dégénérescence ou démence, nature et caractère des idées délir
rdiale des éléments essentiels de la racine ou les réactions et les dégénérescences qui en résultent. Dans les cas typiques de radi
s secondaires, résultant des précédentes, sont caractérisées par la dégénérescence des éléments nerveux. - Formes cliniques. De mê
s, peut-être y a-t-il alors, comme dans les tumeurs de l'encéphale, dégénérescence des racines postérieures de la moelle, peut-êtr
variables suivant l'intensité du trauma- tisme, mais la réaction de dégénérescence existe d'une façon presque constante. Le pron
l'examen électrique. Dans la forme grave, on observe la réaction de dégénérescence ; dans la forme bénigne il ny a a pas de modific
odifiée, tant au point devuefaradiqueque galvanique, la réaction de dégénérescence est incom- plète. La paralysie faciale peut,
le pensaient Duchenne et Virchow, un simple trouble trophique, une dégénérescence parenchymateuse : des travaux plus récents, sur
n en faveur de la théorie des amyotrophies héréditaires maladies de dégénérescence , d'origine conceptiollnelle ou héréditaire (Jou
) ('); il n'y a pas de modification qualitative, pas de réaction de dégénérescence . Ces règles souffrent cependant des exceptions. C
é une réaction électrique normale. Quant à l'absence de réaction de dégénérescence , elle avait été longtemps consi- dérée comme si
emble bien que l'on doive admettre pour expliquer cette réaction de dégénérescence une participation, au moins accessoire, du syst
res après la mort, paraissent en effet démontrer que la réaction de dégénérescence ne dépend pas de modifications histo- chimiques
luence héréditaire ou familiale, et d'autres symptômes (réaction de dégénérescence dans le premier cas, contractions fibrillaires
rents types. Symptômes non musculaires. (Signes accessoires de dégénérescence .) ' Les os paraissent présenter fréquemment des
r Joffroy, « qu'elles ne sont'que des manifestations diverses de la dégénérescence ». Depuis la revue d'ensemble de Joffroy de nou-
opathies avec troubles psychiques, débilité mentale, stig- mates de dégénérescence ont été rapportés par Mondio (5 cas) (2), Sachs
étoires divers, etc., rentrent parmi les stigmates ordinaires de la dégénérescence . Tous ces troubles sont plus ou moins accusés, d'
ute contraction, dans les muscles moyennement atrophiés réaction de dégénérescence : c'est seulement dans cette dernière condition
ns cette dernière condition que l'on trouve toujours la réaction de dégénérescence . La réaction de dégénérescence, totale ou parti
l'on trouve toujours la réaction de dégénérescence. La réaction de dégénérescence , totale ou partielle, a été trouvée dans les ca
té galvanique diminue et disparait définitive- ment. La réaction de dégénérescence n'apparaît donc dans chaque muscle qu'à un mome
en géné- ral de contractions fibrillaires et jamais de réaction de dégénérescence . La paralysie et la contracture se joi- gnent
ge des racines antérieures n'est peut-être pas pour rien dans cette dégénérescence cellulaire, peut-être aussi dans les névrites : i
ais jamais on n'observe de modification qualitative, de réaction de dégénérescence complète ou partielle. Les rétractions (ibro-nn
es rétractions fibro-musculaires, exceptionnellement la réaction de dégénérescence , assez souvent une atrophie du squelette en épa
Les contractions fibrillaires s'observent rarement; la réaction de dégénérescence s'observe au contraire plus souvent et est plus
n- semble des muscles d'un même serment de membre. La réaction de dégénérescence s'observe très fréquemment. Il n'y a généralement
uvent très rapidement, elle s'accompagne fréquemment de réaction de dégénérescence , des troubles trophiques cutanés se produi- sen
paralysie flasque avec troubles sensitifs objectifs et réaction de dégénérescence , mais l'atrophie musculaire est rare. La guérison
trophie rapide de ces muscles est presque constante, la réaction de dégénérescence est fréquente, les troubles sensitifs ne sont p
x ou des masses musculaires, très exceptionnellement de réaction de dégénérescence ; de plus, le pro- nostic en est essentiellemen
neurone est primitivement lésé au niveau ou près de la cellule, la dégénérescence ne progresse pas de proche en proche, mais atte
rarement très intense ; elle ne s'accompagne jamais de réaction de dégénérescence . Elle est généralement stationnaire pendant assez
éditaires ou fami- liales, maladies du développement ou maladies de dégénérescence , qui existent « en puissance » dès. les premier
cardiaques; système nerveux et musculaire : troubles psychiques, dégénérescence mentale; maladies congénitales diverses : myoto
ypertrophie ; pas de rétractions fibro-rauscu- laires ; réaction de dégénérescence ; modification des réflexes tendineux; peu ou pa
-hypertro- phie ; pas de rétractions fibro-musculaires; réaction de dégénérescence ; modification des réflexes tendineux; début par
hvper- trophie ; rétractions fibro-musculaires parfois; réaction de dégénérescence fréquente; abolition des réflexes tendineux; dé
la fréquence des pseudo-hypertrophies dues à l'infiltration et à la dégénérescence graisseuse du tissu musculaire, et, en comparan
seulement de façon intrinsèque ou par hémorragie, ramollissement ou dégénérescence nucléaire systématisée, mais encore par accidents
i de troubles électriques : l'atrophie musculaire et la réaction de dégénérescence font toujours défaut ('hez les pseudo-bulbai- l
es convut- sives dans l'enfance : il présentera les stigmates de la dégénérescence , dans certains cas; presque toujours des cicatr
ré que toutes les myoclonies se développent sur une souche commune ( dégénérescence héréditaire ou acquise). La plupart de ces suje
quise). La plupart de ces sujets présentent des stigmates avérés de dégénérescence physique ou mentale. Quelquefois, on observe chez
est celui des dégénérés, pris dans le sens où l'entend Magnan : la dégénérescence , folie des héréditaires, consiste dans « la dés
et du caractère ». L'arrêt du développement mental qui constitue la dégénérescence peut être global, porter sur l'ensemble des fac
'un de l'autre, nés seu- lement l'un et l'autre sur le même fond de dégénérescence mentale ; ils peuvent aussi naître l'un de l'au
peut considérer les divers stigmates psychiques ou syndromes de la dégénérescence , les tics, les impulsions et les obses- sions,
qui les accompagnent ne sont que des manifestations diverses de la dégénérescence , groupe que l'on peut dénommer maladies nlusculo-
aire ou plus simplement myopsychies. Pour si capitale que soit la dégénérescence mentale dans la définition du tic, elle n'est p
a chorée, tantôt de la maladie des tics, évoluant sur un terrain de dégénérescence mentale. Dans les périodes où les tics prédomin
aussi des troubles de la contractilite électrique et la réaction de dégénérescence (l : ulenhnr, Benedikt, etc.). Bencdikt n a mêm
urraient, à la rigueur, s'expli- quer soit comme conséquences d'une dégénérescence physique dont la crampe serait un stigmate ment
ige, l'acrocyanose et la crampe des écrivains coïncidaient avec une dégénérescence évidente), soit comme conséquences des contractur
e montrent l'atrophie, les secousses fibril- laires, la réaction de dégénérescence . Ces troubles ont pu survenir rapi- dement acco
iale une hémiatroplue de la Lingue qui se présente sans réaction de dégénérescence , semblable en ce) : ) aux troubles d'origine co
on dans le cas contraire. Il convient cependant de tenir compte des dégénérescences tardives des nerfs; celles-ci peuvent secondair
iales ; elles ont été considérées comme des signes. physiques de;la dégénérescence . - Des hypertrophies des membres peuvent ;être
membres inférieurs désigné sous le nom de phocomélie. STIGMATES DE DÉGÉNÉRESCENCE - par le Dr MOUTIER Nous entendrons par « sti
NÉRESCENCE - par le Dr MOUTIER Nous entendrons par « stigmates de dégénérescence » les signes phy- siques ou mentaux, le plus so
'au mot « stigmate » ne s'attache aucun sens infamant, et que si la dégénérescence traduit l'amoindrissement individuel, elle est
nique.) La micro- et Y hydrocéphalie .sont encore des types nets de dégénérescence . OEil. Nous nous c'ontenterons d'une simple énu
tel, ces organes déplissés où la région de l'hélix est STIGMATES DE DÉGÉNÉRESCENCE . 1 om¡ amincie, effilée. L'oreille de Wildermul
ognathisme. Peut être supérieur ou inférieur; c'est un bon signe de dégénérescence . Il est remarquablement héréditaire. On peut ég
augmentation liée à l'accroisse- [r.MûtrrjM] ] 1100 STIGMATES DE DÉGÉNÉRESCENCE . ' ~ ment des espaces intercostaux », par Tétro
ue la tératologie tout entière rentre dans les manifestations de la dégénérescence . Signalons cependant les anomalies des doigts,
Des canities partielles sont parfois hérédi- taires. STIGMATES DE DÉGÉNÉRESCENCE . 1101 Aspect lanugineux, atrichose, hypertricli
ité d'une fragilité spéciale d'un système, c'est-à-dire un signe de dégénérescence . ? Stigmates obstétricaux. On pourrait les défini
e, des peaussiers, des orteils, · [F. MOUTIER.] z102 STIGMATES DE DÉGÉNÉRESCENCE . puis des phénomènes d'un ordre plus élevé comm
dées, la mémoire, etc. Il faut ici se garder de parler trop vite de dégénérescence : toutes les épreuves de psychologie expériment
s congénitales, évolutives, familiales. Ce sont là des stigmates de dégénérescence au premier chef. Nous ne savons rien d'ailleurs
1'l'I : S Ill; 1)I : G1 : \I : IiI,SCI : \CI : . 110° c est que la dégénérescence constitue avant, tout une base, un terrain sur
et ce qui est mal chez les conjoints. En résumé, les stigmates de dégénérescence sont d'une multiplicité telle qu'il est à peu p
hrites aiguës survenant en dehors de toute scarlatine, en dehors de dégénérescence amvloïde, en dehors de suppuration tubercu- leu
e sont pas spéciales il la syphilis, ce sont des malforma- tions de dégénérescence qui peuvent mettre quelquefois sur une piste ut
e le'tissu osseux prend une certaine part dans ces affections il la dégénérescence diffuse qui atteint essentiellement le tissu mu
pas encore assez accen- tuées pour donner lieu à de la réaction de dégénérescence ; parfois, aussi, dans le cours de ces maladies,
tôt place aux altérations plus complexes constituant la réaction de dégénérescence . Dans des paralysies toxiques, notamment dans d
simple de l'excitabilité, soit pages manifestations de réaction de dégénérescence . Dans la tétanie, l'augmentation de l'excitabil
a réaction de dégénéres- cence ; parfois, cependant, la réaction de dégénérescence , est peu appa- rente, et on constate surtout la
s électriques lorsque, par suite de l'évolution de la réac- tion de dégénérescence , les modifications qualitatives de l'excitabilité
ADlLITIt 1245 lisamment prononcées pour entraîner de la réaction de dégénérescence ; le pronostic est alors plus sérieux, la répar
cas les mêmes genres de paralysies s'ac- compagnent de réaction de dégénérescence ; leur pronostic est plus grave et se trouve co
plus grave et se trouve conditionné par le degré de la réaction de dégénérescence , ainsi que nous le verrons plus loin; parfois l
électrique sur certains ter- ritoires nerveux et de la réaction de dégénérescence sur d'autres nerfs et muscles; il en découle la
ution, alors qu'elles ont présenté antérieurement de la réaction de dégénérescence , Cette lyho-ecit,hilitls peut persister assez l
NS COMPLEXES DES RÉACTIONS ÉLECTRIQUES CONSTITUANT LES SYNDROMES DE DÉGÉNÉRESCENCE Des modifications pathologiques de l'excitabili
iagnostic et le pronostic, il celles qui constituent la réaction de dégénérescence ou, pour mieux dire, les syndromes de dégé- nér
nous aurons à distinguer la manière dont se comporte la réaction de dégénérescence dans les processus aigus et dans les processus
antôt DU; nous adopterons cette dernière abréviation. Réaction de dégénérescence dans les PROCESSUS AIGrs. t Lorsqu'elle se déve
verses modifications qu'il est important de connaître. RÉACTIONS DE DÉGÉNÉRESCENCE . 1247 La DR ne reste donc pas immuable pendant
us les dénominations de déplacement des points moteurs, réaction de dégénérescence à distance, ou modifications de l'excitabilité
jumeaux, etc. 2. On voit parfois, dans ces formes de réaction de dégénérescence , la contraction rester assez vive et prédominer
lentes et que PFC devient égale ou supérieure à NFC. RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE . 12f de la cathode reste habituellement plus fo
emple : en excitant la branche inférieure du nerf facial en étal de dégénérescence , on observe fréquemment l'excitation avec contrac
raissent les altérations qualitatives de l'excitabilité RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE . 1251 galvanique des muscles ; parfois cependan
devient de plus en plus faible et elle finit par dispa- RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE . 1255 raitre à son tour. Il est des cas, cepend
s ou méningo- myélites, la syringomyélie, etc. y Des syndromes de dégénérescence dans les processus chroniques Dans les maladies
té électrique est souvent altérée dans le sens de la réaction de la dégénérescence . Mais, par suite de la longue durée du processu
constater l'existence de celle-ci sur un certain nombre RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC. il de muscles, q
se montre souvent plus manifeste. SIGNIFICATION DE LA RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC La DR a une gra
s tumeurs, les fractures et les luxations de la colonne RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE .AU POT ^W'Du'DIAGN0^C. 12o7 % ? <y vertéb
liques, tuberculeuses, grippales, ou encore des polyné- RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU DIAGNOSTIC. 1259 vrites d'ét
ituelle, étaient reconnaissables. SIGNIFICATION DE LA RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU PRONOSTIC . La DR fournit
que lentement après de nombreux mois, souvent plusieurs RÉACTION DE DÉGÉNÉRESCENCE AU POINT DE VUE DU PRONOSTIC. 1201 1 années; la
s de la réaction myotonique sont fournis, comme dans la réaction de dégénérescence , par les altérations de l'excitabilité des musc
de la cathode, rappelant ainsi ce qu'on observe dans la réaction de dégénérescence . Cette action prédominante de. l'anode n'existe
la surdité hystérique, soit au contraire de lésions graves et d'une dégénérescence complète du nerf. Dans le second cas, lorsqu'il
tous les organes labyrinthiques sont détruits, ou lorsqu'il y a une dégénérescence complète du nerf acoustique, le vertige voltaïq
suivies habituel- lement de lésions secondaires parmi lesquelles la dégénérescence descen- dante du faisceau pyramidal prend un rô
rop long- temps, si l'on veut avoir quelques chances d'agir sur les dégénérescences secondaires. Au bout de deux à trois semaines e
oscopiques symétriques des deux pédon- cules, comparer les zones de dégénérescence ou mesurer, par la méthode que j'indique plus l
centre ovale, niais, par contre. rendent très difficile l'étude des dégénérescences du faisceau pyramidal. Les coupes horizontales
sée, 804. Diagnostic des affections bulbaires, 806. Réac- tion de dégénérescence , 1250. ' Bulbo-protubérntielles. Lésions,ataxie
ptitude sociale. Inaptitude ).la vie, 1105. Voy. Stig- mates. - Dégénérescence (Altérations complexes des réactions électrique
iques constituant les syndromes de -) 1 ? r·G. Voy. Réac- tion de dégénérescence , Réactions élec- triques. Déglutition, troubl
radiothérapie, 1188. (Lésions de 1' -). Absence de la réaction de dégénérescence , '12fi6. Enfant. Valeur séméiologique des cowor
s, 665, 680. Familiales (Maladies ), ), incoordination, 777. et dégénérescence , 1102. Faux urinaÏ1'es, 967. Féminisme, 1090.
Liquide de -). Vo. Fixation. Muscles (Lésions des -), réaction de dégénérescence , 1259. - physiologie. Séméiologie des paralysie
- Pseudo-hypertro- phie, rétractions, 670. - Pas de réac- tion de dégénérescence , 672. - État des réflexes, 672. - Muscles de la
algies, 595. - crâniens, paralysies, 625. -, lésions, réaction de dégénérescence , z)56. - de la sensibilité générale, explorat
e la sensibilité, 547. - Causes. Caractères, 548. ? réac- tion de dégénérescence , 1257. - - (Maladies des - -). Traitement par
aiguë, 805. Poliomyélite, 505. - antérieure aiguë, réaction de dégénérescence , 1257. - Pronostic, 1261. - Traitement par .
r . l'électricité, 129G. - antérieure cIl1'o- nique , réaction de dégénérescence , 1257 '. - Polydactylie, 1015, 1042. Polynévr
Atrophies secon- daires, 721. - Pseudo-tabes, 7G2. - Réaction de dégénérescence , 1258. z Pronostic, 1261. - Traitement par l'
meurs de la z, 125. - Lésions, hémianeslhésie, 514. - Réaction de dégénérescence , 1256. Pseudo-appendicite hystérique, 1000. P
sions. Formes cliniques. Valeur séméiologique, 545. - Réaction de dégénérescence au point de vue du pronostic, 12151. Radiodia
culaires, 75, 472. Raynaud. Voy. Gangrène symétrique. Réaction de dégénérescence , J ' : 14G. - Dans les processus aigus, 1240. A
, ¡j58. mastoïdien. Innervation, physiologie, 556. Stigmates de dégénérescence . - analo- miques, 1097. Tète, oeit, oreille,
45 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent hypertrophié. Au microscope on constate la pigmentation et la dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses ; la proliféra-
ne période plus avancée, de l'épanouissement marqué des parois avec dégénérescence graisseuse de leur con- 62 CLINIQUE NERVEUSE.
use de leur con- 62 CLINIQUE NERVEUSE. tenu. En somme sclérose ot dégénérescence graisseuse des ganglions. Nous avons rapporté
tre ans et demi. Nécropsie ab- solument négative, à part une légère dégénérescence des nerfs périphériques. ' Après avoir étudié,
UE; par ZACHER. (Neurol. Centralbl., 4886.) Paralysie générale avec dégénérescence des faisceaux pyrami- daux dans les cordons lat
ise des cornes antérieures si ce n'est dans le renflement cervical. Dégénérescence des nerfs périphériques et des muscles. Altérat
il s'agit, doivent être rangées parmi les stigmates physiques de la dégénérescence . Elles présentent, en effet, les deux caractère
la dureté du bois, mais d'une façon tout uniforme. Nulle part de dégénérescence graisseuse, de pseudo-hypertrophie. Même aspect
ues. D'autres, au contraire, sont exclusivement caractérisés par la dégénérescence des faisceaux pyramidaux (dégénérescence primit
vement caractérisés par la dégénérescence des faisceaux pyramidaux ( dégénérescence primitive, d'après Westphal, Zacher, Schultze).
.. L'immense majorité des observations dans lesquelles il y avait dégénérescence limitée aux faisceaux pyramidaux se signala par
s (Zacher, Westphal). Cette proposition est également vraie pour la dégénérescence secondaire, si l'on s'en rapporte à un fait de
foyers symétriques dans le segment antérieur de la capsule interne; dégénérescence descendante bi-latérale; dégénérescence grise b
ieur de la capsule interne; dégénérescence descendante bi-latérale; dégénérescence grise bi-latérale des cordons postérieurs et en
nt la syphilis, les cordons poslé- lieurs sont-ils prédisposés à la dégénérescence grise ? En ce qui concerne cette dernière quest
s'explique comment la résection des cordons postérieurs entraine la dégénérescence de ce noyau (llunalcow, Vejas) 1, puisque la sec-
détermine aussi une nécrose centrale ; puis, se montre une zone de dégénérescence avec amas granuleux assez abondants ; enfin, une
qu'il exerçait sur l'autre moitié de la moelle avait déterminé une dégénérescence ascendante secon- daire des cordons postérieurs
t 1878. DES PIIIDROSES DE LA FACE. 223 pigmentaire, tantôt en une dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses et en altérat
r ressort. Observation LUI. Mère morte maniaque. Signes légers de dégénérescence . Début à vingt-deux ans. Ver- tiges. Accès proc
en passant que l'auteur nous parait en géné- ral peu partisan de la dégénérescence avec laquelle pour lui l'hébéphrénie n'aurait n
oncluante : il s'agit d'un malade âgé de quarante-deux ans, dont la dégénérescence intel- lectuelle se trouve nettement confirmée,
sions et impulsions conscientes). Le délire greffé sur ce fonds de dégénérescence n'est pas moins caractéristique ; polymorphe et
itaire, tandis que le délire chronique serait distinct des états de dégénérescence , à ce que prétendent M. Magnan, dans des leçons
n ont toutes les apparences de l'état normal. On ne remarque pas de dégénérescence grise des nerfs crâniens. La moelle épinière es
l'excitabilité galvanique avec prédominance de l'anode (réaction de dégénérescence com- plète). Observation VIII. B... (Eugénie)
nervés par le facial droit participent à 1 hémiplégie ; réaction de dégénérescence com- plète. Observation IX. L... (Eugénie), â
que L... s'en est aperçue. La paralysie est totale avec réaction de dégénérescence complète. Observation X. P... (Marrien), trente
le sur tous les mus- cles innervés par le facial droit. Réaction de dégénérescence partielle. Observation XI. H... (Julien), se
de. L'examen électrique nous révèle l'existence de la réac- tion de dégénérescence complète. Observation XVIII. M... (Louise), vin
les muscles les modifica- tions caractéristiques de la réaction de dégénérescence (secousse lente avec prépondérance de la secous
ien- nent se ranger les paralysies à forme grave avec réaction de dégénérescence complète; diminution, puis abolition de l'excit
rences d'une forme grave avec tous les caractères de la réaction de dégénérescence totale et qui guérit cependant complètement dan
sité et la durée de la paralysie; au lieu de trouver la réaction de dégénérescence complète, on constatait au contraire un état pr
de passer mais cette compression était impuis- sante pour amener la dégénérescence du nerf, et partant des troubles marqués dans l
un autre cas semblable, Fritsch 13 insiste sur l'in- fluence de la dégénérescence et de l'hystérie. L'influence de la dégénéresce
fluence de la dégénérescence et de l'hystérie. L'influence de la dégénérescence est aussi admise par ' Baillarger. Ann. nzed. p
ricule gauche, l'atrophie du ven- tricule droit, la surcharge et la dégénérescence graisseuse du myocarde, sont les lésions qu'on
riodique (dipsomanie), tantôt continue. Cette dernière aboutit à la dégénérescence somatique et psychique, et mène au delirium tre
réunis "Ill' une seule et même tête suffiraient à caractériser une dégénérescence des plus complètes. Toutefois, il n'en sera plu
s considérations qu'il émet à propos du rôle de l'hérédité dans les dégénérescences diffèrent assez, ce me semble, de ce qu'il disa
ue nous avons affaire ici à des gens déjà élevés dans l'échelle des dégénérescences . Mais, si iaibles qu'ils soient, cela n'est déj
à faire des stigmates psychiques, les seuls caractéristiques de la dégénérescence . Il y a une différence entre un syndrome et un
ue dans le délire des persécutions il y a quelquefois des signes de dégénérescence . M. B. 462 SOCIÉTÉS SAVANTES. Séance du 26 ma
ts sans multiplication des noyaux dans les oculo- moteurs externes. Dégénérescence musculaire correspondante. Séance du 10 janvier
l'oeil (opthalmoplégie externe). Le même malade était atteint de dégénérescence grise des cordons postérieurs. M. KOENIG. Deux
troubles moteurs ? 2° Y a-t-il trouble de la sensibilité ? - 3° La dégénérescence secondaire est-elle la règle ? L'orateur conclu
; la sensibilité à la douleur peut être diminuée; il survient une dégénérescence secondaire. On peut, il est vrai, ne pas trouver
générescence secondaire. On peut, il est vrai, ne pas trouver cette dégénérescence , quoiqu'il se soit écoulé le temps voulu ; c'est
ont aussi leur centre trophique dans la moelle. Ainsi s'explique la dégénérescence partielle dans le ganglion et le nerf périphéri
appris que ces foyers, qu'il considérait jadis comme des foyers de dégénérescence circonscrits, appartiennent à un état normal. On
ires, ici presque totale, qui est le point de départ de la maladie. Dégénérescence modérée des ra- cines antérieures, faible des n
s présentent les degrés les plus complexes et les plus variés de la dégénérescence physique et mentale. Malgré cela, les résultats
50. Paris, 1888. Librairie J.-B. Baillière et fils. Féré (Cu.). - Dégénérescence et criminalité. Essai physiologique. Vo- lume i
46 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
même, n'y est pas rare et qu'elle peut s'accompagner de réaction de dégénérescence . La fièvre hystérique elle-même n'est plus à dé
- ment, quel que soit le genre du courant employé; la réaction de dégénérescence fait défaut. Les réflexes sont absents aux membre
sent plus au passage du courant, d'autres présentent la réaction de dégénérescence . Les réflexes patellaires sont absents et les r
, fait intéressant à noter, elle ne s'accompagne pas de réaction de dégénérescence ; les muscles atrophiés présentent simplement une
e les muscles abdominaux au tronc, ne présentent pas la réaction de dégénérescence . Les sterno-cléido-mastoïdiens réagissent normale
omplètement dis- paru. Il s'agit d'atrophie simple sans réaction de dégénérescence (examen de M. Vigoureux). Malgré cette parési
ui l'étude de la criminalité dans ses rapports avec la folie et les dégénérescences . Aussi je crois qu'il est bon de vous exposer i
reporterai le plus souvent dans cet exposé en (1) More), Traité des dégénérescences et Eludes cliniques. (2) Morselli, Semejolica d
musculaire d'origine myélo- pathique l'existence de la réaction de dégénérescence . Des différents cas précités, celui de Sachs es
remarqué que l'anomalie de réaction se rapproche de la réaction de dégénérescence par un point, il savoir la non-excitabilité du
nent la réaction de 2M ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. dégénérescence , tandis que les autres ne l'entraînent pas. Il re
lissement parallèle des deux modes d'exci- tation, sans réaction de dégénérescence . Les membres inférieurs très légèrement oedémat
riques des muscles et en particulier de l'absence de la réaction de dégénérescence , ainsi que de la présence des rétractions tendi
art dans les atrophies d'origine myélopathique, si la réac- tion de dégénérescence se rencontre le plus souvent, on sait cependant
uns réagissent normalement, les autres présen- tent la réaction de dégénérescence . On comprend d'après cela que les anomalies de
oduisant un léger strabisme convergent. En l'absence de réaction de dégénérescence dûment constatée, il est presque impossible de
es de la sensibilité. Réflexe rotuliou conservé. Pas de réaction de dégénérescence . l'as de contractions fibrillaires. Les symptômes
s du facial, de l'hypoglosse, du spinal, ne peut être le fait de la dégénérescence , car, s'il en était ainsi, il y aurait une dest
il en était ainsi, il y aurait une destruction de la myéline et une dégénérescence graisseuse. Les fraîches hémorrhagies capillair
ychose avec ophthalmoplégie et symptômes spinaux, Westphal nota une dégénérescence grise en plaques, vitreuse, d'une grande partie d
galement amincis. Les muscles de l'oeil présentent les traces d'une dégénérescence graisseuse avec atrophie. Sur la moelle on déco
postérieurs qui commençait au segment dorsal. Ilistologiquement, dégénérescence considérable des nerfs oculomoteurs. Atrophie t
iphérie exis- taient les traces d'une prolifération interstitielle. Dégénérescence grise des cordons postérieurs allant du segment
nt du segment, cervical à la partie inférieure de la moelle ; cette dégénérescence occupait deux faisceaux distincts séparés par une
de volume, les nerfs qui en sortent présentent des tubes en voie de dégénérescence . Plus loin, au niveau du territoire oculomoteur,
lement au niveau de la région lombaire. Le malade qui a présenté la dégénérescence nucléaire est celui dont la survie a été la plu
contractilité faradique, constitue un type très net de réaction de dégénérescence . Il ne semble pas que la secousse soit plus bru
courant faradique : ils ne présentent aucune trace de réaction' de dégénérescence . Quant aux interos- séux dorsaux, ils répondent
permettent d'af- J ! firmer le diagnostic. L'absence de réaction de dégénérescence , plu- sieurs fois constatée et sur laquelle nou
pour savoir lesquelles doivent être rattachées à l'atavisme ou à la dégénérescence ; il n'est même pas, comme vous l'avez vu, jusqu
s particulièrement rangées sous le nom de stigmates physiques de la dégénérescence . Ces caractères dégénératifs peuvent être disting
peuvent être distingués en trois groupes : ,in Les caractères de dégénérescence proprement dite amenant les déviations du type
es pathologiques, si par eux-mêmes ils ne sont pas des stigmates de dégénérescence anthropologique, cepen- dant en s'installant d'
atations premières et absolument nécessaires avant de conclure à la dégénérescence , mot vague, d'une élasticité singulière ne fais
rax EN entonnoir) contribution A l'étude DES stigmates physiques DE dégénérescence La malformation de la poitrine que nous nous pr
s rachitiques, mais qu'elle doit plutôt être rattachée aux états de dégénérescence dont elle constituerait un des nombreux stigmat
développée, était en outre porteur d'autres stigmates physiques de dégénérescence (malformation crânienne, bec-de-lièvre). uns. X
l'onanisme. Langage rudi- mentaire. Nombreux stigmates physiques de dégénérescence : crâne informe, aplati dans le sens vertical,
résume, au point de vue de l'état mental et des signes physiques de dégénérescence , les traits caractéristiques de nos observation
poitrine en entonnoir qu'un des nombreux stigmates physiques de la dégénérescence , qu'une anomalie de dévelop- pement enrapport a
ulaire hystérique, caractérisée électriquement par la réac- tion de dégénérescence . Ce nouveau type, en poussant jusqu'à la der- n
Vigouroux a démontré très nette- ment l'existence de la réaction de dégénérescence . z Cc sont la trois ordres de faits qui venaien
DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 413 pour la réaction de dégénérescence et désormais la rechercher : on pour- rait la t
ielle absolue. Point n'est besoin, pour expliquer cette réaction de dégénérescence , d'admettre l'existence d'une névrite périphéri
890. . 4H NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. de réaction de dégénérescence , de telle sorte que cette intégrité des nerfs v
née que les faits n'en existeraient pas moins et que la réaction de dégénérescence dans l'amyotrophie hystérique n'en serait aucunem
s myopa- thiques ou arlliropatliiqties; 2° l'autre avec réaction de dégénérescence et avec ou sans secousses fibrillaires, analogu
ophie était accompagnée de secousses fibril- laires, de réaction de dégénérescence , tous caractères qui, vu la loca- lisation et l
elle s'est accompagnée de secousses fibrillaires et de réaction de dégénérescence . Puis, lentement, l'atrophie a rétrocédé, les m
es deux précédentes des secousses fibrillaires et de la réaction de dégénérescence . Par une coïncidence assez étrange, dans ces tr
d'atrophie musculaire sans secousses fibrillaires, sans réaction de dégénérescence . Mais l'amyotropllie hystérique peut guérir, le
long péronier latéral qui s'accompagna d'atrophie avec réaction de dégénérescence . Au bout de dix-huit mois l'atrophie et la para
l'amyotrophie infantile mais ne s'accompa- gnant pas de réaction de dégénérescence . En effet, électriquement par- lant, cette obse
e égalité de réaction à l'anode et à la cathode. Pas de réaction de dégénérescence . 3° Membre sitpé- rieur droit. Le bras et l'ava
t dix éléments et NrC > PFC. b. Côte droit. Pas de réaction de dégénérescence . 4° Sensibilité. Les réflexes patellaires et cu
). 43R NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. 1° La réaction de dégénérescence dans les masses musculaires en voie d'atrophie
ns la syringomyélie. Les se- cousses fibrillaires, les réactions de dégénérescence peuvent exister dans l'hystérie; ce ne sont don
47 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Wundt, Leibnitz. P. K. XV. Contribution L'ÉTUDE DES SIGNES DE la dégénérescence ; par J. METZGER. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLV
eitsch. f. Psych., XLV, 5.) Il s'agit dans ce mémoire des signes de dégénérescence phy- sique. Examen du palais, des dents, de l'o
s aliénés indemnes de tares héréditaires présentaient des signes de dégénérescence physique quelconque, tandis que, parmi les enfa
signes démontre que l'associa- tion et l'accumulation des signes de dégénérescence physique sont bien plus fréquentes et bien plus
e Neurologie. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 119 vrais stigmates de dégénérescence que les concours de plusieurs de ces anomalies
noire et descendent dans le pied pédonculaire. En recherchant les dégénérescences du pied du pédoncule céré- bral, M. Zacher a ob
écité était-elle due à la lésion des plis courbes seulement ou à la dégénérescence des nerfs optiques ? Mais l'attaque soudaine de
détruire le labyrinthe chez les lapins et à suivre le trajet de la dégénérescence . Il a trouvé une disparition marquée des fibres
e la moelle à n'importe quelle partie. Des trajets qui subissent la dégénérescence ascen- dante, les principaux sont les colonnes
sont les colonnes postérieures ou colonnes de Goll qui subissent la dégénérescence ascendante dans une certaine mesure au moins, a
olonnes externes pos- térieures ou colonnes de Burdach subissent la dégénérescence ascen- dante au plus sur la hauteur de quelques
ct de lui, il y a un autre cordon dans lequel on remarque souventla dégénérescence ascendante, comme l'a le premier montré Gowers,
abes avec paralysie bilaté- rale de la partie postérieure du tronc; dégénérescence des muscles sans lésion des noyaux, des racines
la moelle mises en relief par Struempell, Krauss, Lissauer, et une dégénérescence paren- chymateuse chronique des fibres des nerf
ire au début (comme dans les cas de Oppenheim et Siemerling). Cette dégénérescence des nerfs moteurs périphériques et des racines
E myélite transverse avec syringomyélie, SCLÉROSE multiloculaire ET dégénérescence secondaire; par M. KIEWLICZ. (Arch. f. Psych.,
OGIE PATHOLOGIQUES. s'est installée une myélite transverse avec ses dégénérescences secondaires; ces lésions se sont compliquées da
tingue quatre types de pavillons normaux et vingt-deux espèces de dégénérescences morphologiques. Sur 354 aliénés, 128 présentaient
l faut faire son deuil de l'idée de la rétrogradation atavique ; la dégénérescence est une déviation pathologique du type normal.
hronique ascendante (altération musculaire correspondante) due à la dégénérescence primitive des cellules nerveuses des cornes ant
érieures. La dégéné- rescence des cellules de la moelle entraîne la dégénérescence des nerfs périphériques qui marche ensuite de l
ow conclut que la section des divers systèmes de fibres produit une dégénérescence dans les deux sens, qu'en un mot tout système o
sains à l'inspection; sur les coupes, on ne trouve aucune trace de dégénérescence descendante du faisceau pyramidal. Les racines
un état nerveux héréditaire ou acquis, l'existence des stigmates de dégénérescence , l'apparition enfin des phénomènes spéciaux dit
production et la marche des hallucinations (1842), les syndromes de dégénérescence (Influence de la puberté sur la production de l
nterne ; et en faveur de cette hypothèse est le fait suivant que la dégénérescence des- cendante, que l'on rencontre souvent dans
ve et que par suite sa destruction ne devrait pas donner lieu à une dégénérescence centrifuge dans la moelle, France' a trouvé, en
vé, en rapport évident avec la destruction du gyrus fornicatus, une dégénérescence secondaire des cordons pyramidaux dans le pédon
leurs fibres sont plus ou moins lésés et on peut soupçonner que la dégénérescence descendante est due à cette cause-France, cepen
e descendante est due à cette cause-France, cependant, croit que la dégénérescence occupe une région différente du cordon pyramida
lle résultant de la région de la circonvolution marginale seule, la dégénérescence dans ce dernier cas occupe la partie postérieur
des centres moteurs et de leurs fibres conductrices, pour assurer 1 Dégénérescence descendante après les lésions de la circonvolutio
ONS CÉRÉBRALES. 385 leur intégrité n'entraînent à leur suite aucune dégénérescence du cordon pyramidal. La question demande encore
estruction est complète la paralysie est permanente et entraîne une dégénérescence descendante des cordons pyramidaux de la moelle
ux. Des recherches microscopiques ont aussi démontré l'existence de dégénérescence secondaire dans les cordons pyramidaux du côté
huit mois; on tua alors l'animal. Dans ce cas aussi, on trouve une dégénérescence secondaire de la couronne rayonnante et des cor
hez le singe comme chez l'homme, il n'est pas rare de trouver de la dégénérescence descendante dans les deux colonnes latérales, c
ononcée si les lésions atteignent la cir- convolution marginale. La dégénérescence est confinée aux cordons pyramidaux du même côt
e chien, comme l'a montré Sherrington, on rencontre plus souvent la dégénérescence bilatérale après une lésion corticale unilatéra
frontales, comme je l'ai démontré expérimentalement, produisent une dégénérescence descendante de ces cordons ', qu'on ne peut sui
à de la partie supé- rieure du pont de V,trolle. La direction de la dégénérescence peut être prise comme une preuve de la signific
ne preuve de la signification motrice de ces régions. De semblables dégénérescences ont été décrites par Brissaud2 comme résultat d
at de lésions du lobe frontal chez l'homme. Il n'a pas pu suivre la dégénérescence dans les pyramides, et conclut que les cordons
. les régions frontales avec les noyaux moteurs de la moelle. Les dégénérescences dans ces parties du pédoncule, d'après ses obser-
effet : tous ces symptômes dépendent d'une seule et même cause, la dégénérescence . Au point de vue de la fréquence, les asymétrie
t chez les aliénés une échelle ascendante, des formes élevées de la dégénérescence mentale (folie circulaire, manie périodique, pa
Leur fréquence étant plus grande dans les formes inférieures de la dégénérescence et dans la démence con- sécutive, elles peuvent
retrouve tout à la fois les stigmates physiques et psychiques de la dégénérescence et les stigmates physiques et psy- chiques de l
seconde, de nature dégénérative, se caractérise par la réaction de dégénérescence dans les muscles atrophiés et des modi- ficatio
s maladies nerveuses et mentales comme une des manifestations de la dégénérescence . M. Sikorski a répondu que l'irrégularité dans
ne exclusif de l'épilepsie; il peut servir de signe général dans la dégénérescence , mais dans la dégénéres- cence, l'asymétrie de
48 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ment normal ; dans aucun muscle, on n'a pu constater la réaction de dégénérescence . Il y a 'du côté paralysé augmentation de la ré
nts faradiques et galvaniques montre qu'il n'y a pas de réaction de dégénérescence . La résistance électrique est augmentée. - La s
es zones radiculaires des cordons postérieurs sont atteintes par la dégénérescence . Zacher a. exprimé le même principe sous une fo
ale de la région cervicale de la moelle. llIéningo-périencéphalit0. Dégénérescence secon- daire des faisceaux pyramidaux dans les
utres, la sclérose latérale est consécutive à une atrophie ou à une dégénérescence des aires motrices corticales. Plusieurs des
vif au bras droit, et le biceps du même côté donnait la réaction de dégénérescence . S'appuyant sur ces faits, et par des motifs qu
plexes en ce sens que des symptômes spéciaux (tels, les signes de dégénérescence ) viennent se surajouter aux autres éléments et
cervi- cale, les cornes grises antérieures se montrent intactes. Dégénérescence remarquable des cellules nerveuses qui occupent
is des processus réticulaires), du côté op- posé à la lésion. Cette dégénérescence est sur le chemin des al- térations descendante
le (Westphal, Thomsen, Oppenheim). M. Richter (de Dalledorf). De la dégénérescence secondaire des trousseaux optiques, à la suite
s résultent d'une excitation. Comme on constate dans l'es- pèce une dégénérescence du nerf vague, on est contraint de for- muler l
ervations qu'on possède jusqu'ici prouvent que l'inflammation ou la dégénérescence des nerfs périphériques représente le substratu
e; intégrité de la moelle, des racines antérieures et postérieures. Dégénérescence des nerfs crural, sciatique. surtout dans leurs
ur. A l'examen histologique d'une circonvolution on ne découvrit ni dégénérescence totale ni inflammation. Les vaisseaux étaient t
muscles se contractent normalement ; il n'y a pas de réac- tion de dégénérescence . Il y a augmentation de la résistance électriqu
ortion de l'atrophie musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dégénérescence ; nous avons recherché soigneusement, avec l'aid
lus haut qu'à l'examen élect trique il n'y·avait pas de réaction de dégénérescence .. Il s'agit donc d'une 'atrophie simple, c'est-
ation de ces auteurs sont les suivants, à l'examen microscopique. Dégénérescence des faisceaux pyramidaux croisés dans toute la
à signaler la con- servation complète de la sensibilité et avec une dégénérescence presque complète des cordons et faisceaux posté
deux cordons 21 si REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. postérieurs, la dégénérescence de chacun des districts des cordons postérieurs
eux faits. L'un d'eux concerne un cas de tabès typique sans ataxie; dégénérescence évidente des colonnes de Clarke ; altération mo
matique avec conservation des réflexes patellaires des deux côtés; dégénérescence classique de la moelle lombaire et dorsale infé-
llon médian postérieur et le bord interne de la corne postérieure); dégénérescence de la marge externe des colonnes de Clarke; dan
es de Clarke; dans la moelle dorsale supé- rieure, on rencontre une dégénérescence qui suit le sillon longi- tudiual postérieur, u
issement psychique pourrait d'après, l'auteur, être rapproché de la dégénérescence des cellules nerveuses observées chez les chien
interne; le faisceau pyramidal du cordon latéral droit présente la dégénérescence secondaire classique. Au milieu de la moelle ce
ire s'il y a eu arrêt de développement par cessation de fonction ou dégénérescence véritable (Rumpf). Figures à l'ap- pui. Il !
7ti lVien; t. XC), prétend constituer un lype de tabès dû il une dégénérescence parenchymateuse atteignant primitivement la fib
os- chewnikoff. (Ccnt1'aLlil. f. Nervenheilk., 188.) Sous-litre : Dégénérescence des faisceaux pyramidaux dans tout le il ll ? I
n avec elles (lacunes anatomopathologiques artificielles ? ) si les dégénérescences cellulaires, trouvées dans des moëlles autremen
oyer ; ra- mollissement hrun-gris, gros comme un noyau de cerise; dégénérescence (cellules granuleuses) dans la partie postérieure
ent foyer hémorrhagique, du volume d'un pois, dans la protubérance; dégénérescence très étendue (en bandes) ou totale des muscles
très étendue (en bandes) ou totale des muscles de l'avant-bras ; dégénérescence grise évidente des deux nerfs radiaux à l'avant-
u aromatiques (14 épilepsies sur 30). P. K. LV. Sur les signes DE dégénérescence dans la folie; par FROEN- KEL (Allg. Zeitschr.
aleur de toutes les anomalies de formation ou signes phy- siques de dégénérescence (adhérence du lobule de l'oreille, obli- quilé
la grossesse, car c'est là que l'on trouve la cause principale des dégénérescences , du moins de celles qui, en existant au moment
roïde chez les crétins complets, ainsi que chez les crétineux où la dégénérescence de la glande peut avoir eu une marche et une di
idiots crétinoïdes ou dans les cas très chroniques de myxoedème, la dégénérescence IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 371 muco
tissus des animaux inférieurs ne sont pas si souvent le siège de la dégénérescence graisseuse et des autres formes de dégénérescen
nt le siège de la dégénérescence graisseuse et des autres formes de dégénérescences , c'est la plus grande er- reur possible de croi
sociation convient- pour la recherche des ano- malies pigmentaires, dégénérescences graisseuses, etc., mieux que la méthode des cou
t montrées diminuées de nombre et de volume, en partie atteintes de dégénérescence grais- seuse ; leur forme, au lieu d'être polyg
déterminent chez lui un nombre presque invariable des maladies de dégénérescence ( ? ). (Wrutch, na 5, 1886, Saint-Pétersbourg.)
é de l'épilepsie, de la folie mo- raleavecla), par Lombroso,90. Dégénérescence dans la folie, 244. Délire systématique hallu
49 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
possibles de cette compression nerveuse, qui aurait pu aboutir à une dégénérescence du nerf avec toutes ses conséquences fâcheuses, C
ue simple, non traumatique, dans lequel il a rencontré la réaction de dégénérescence limitée exclusivement aux muscles du mollet, sans
s douloureux classiques étaient présents. Il existait une réaction de dégénérescence dans les gastrocnémiens, c'est-à-dire dans le dom
rieur et extenseur commun des orteils sont le siège d'une réaction de dégénérescence complète. Les péroniers latéraux au contraire réa
x chez cette malade. Nous nous attendions à trouver là la réaction de dégénérescence comme dans le cas précédent. Bien qu'elle n'exist
on IX (personnelle). — Sciatique droite. — Paralysie avec réaction de dégénérescence des muscles de la région antèro-externe de la jam
orteils, a apparu il y a trois mois. Il existe une réaction type de dégénérescence avec diminution de l'excitabilité galvanique, dan
ien qu'on n'ait pas constaté dans les muscles atteints la réaction de dégénérescence . Enfin dans I'Observation IX, les troubles de l
de la région antéro-externe de la jambe, avec atrophie et réaction de dégénérescence . Puis d'autres désordres beaucoup moins accentués
d'hui. L'examen électrique nous a montré qu'il existe une réaction de dégénérescence dans les muscles tibial antérieur, extenseur comm
muscles péroniers latéraux et triceps sural. A droite, la réaction de dégénérescence n'est que partielle clans les mêmes muscles ; les
e de la rétention d'urine, une paralysie atrophique, avec réaction de dégénérescence des muscles innervés par le sciatique (pied tomba
encéphalomyélite). Description de deux cas. Absence de la réaction de dégénérescence dans les muscles atrophiés. Cas aigus et subaigus
oplégie externe. Les muscles parésiés sont atrophiés sans réaction de dégénérescence . Comme signes fonctionnels il existe un peu de di
parallèle des deux modes de l'excitation électrique sans réaction de dégénérescence , tandis que dans le type Duchenne-Aran la réactio
dégénérescence, tandis que dans le type Duchenne-Aran la réaction de dégénérescence existe dans les muscles les plus affectés. Mais o
affectés. Mais on sait que dans la maladie de Duchenne la réaction de dégénérescence est difficile à trouver ; d'autre part, dans une
ant des circonstances non encore analysées, entraînent la réaction de dégénérescence , tandis que les autres ne l'entraînent pas. Il re
xploration électrique, c'est-à-dire qu'il n'existe pas de réaction de dégénérescence , bien qu'il y ait un affaiblissement très prononc
paralysie dans les extenseurs, aucune trace enfin de la réaction de dégénérescence qui ne manquerait pas de se manifester à un haut
triquement, quel que soit le genre de courant employé; la réaction de dégénérescence fait défaut. Les réflexes sont absents aux membre
ctriques des muscles et en particulier de l'absence de la réaction de dégénérescence , ainsi que de la présence des rétractions tendine
e part dans les atrophies d'origine myélopa-thique, si la réaction de dégénérescence se rencontre le plus souvent, on sait cependant q
les uns réagissent normalement, les autres présentent la réaction de dégénérescence . On comprend d'après cela que les anomalies de ré
oduisant un léger strabisme convergent. En l'absence de réaction de dégénérescence dûment constatée, il est presque impossible de se
de l'éminence thénar de la main affectée les signes de la réaction de dégénérescence . Quelle est, Messieurs, la conclusion à tirer d
électriques des muscles paralysés qui sont le siège de la réaction de dégénérescence . Ajoutons à cela que dans tous les cas, dans l'
le D'' Vigouroux, le 7 décembre 1889. A droite, réaction complète de dégénérescence dans le jambier antérieur et l'extenseur commun d
s muscles de la jambe et de la cuisse. A gauche réaction partielle de dégénérescence du jambier antérieur. Pas de troubles cérébraux
à savoir qu'à l'examen électrique des muscles on note la réaction de dégénérescence dans le jambier antérieur et l'extenseur commun d
e droite, qui était et qui est encore la plus malade, une réaction de dégénérescence complète, et dans ceux de la jambe gauche, seulem
complète, et dans ceux de la jambe gauche, seulement une réaction de dégénérescence partielle. Il n'en est plus de même aujourd'hui,
er examen pratiqué par M. Vigouroux le 15 mars 1890. La réaction de dégénérescence n'existe plus et on constate seulement une diminu
r, quand nous trouvions, au bout d'une année à peine, une réaction de dégénérescence si profonde, et aussi quand nous cherchions en va
ar une hémorrhagie capsulaire, et, comme il arrive en pareil cas, une dégénérescence secondaire s'en est suivie. Le côté gauche est, e
Circonstance favorable, elle ne présente jusqu'ici aucune réaction de dégénérescence . Mais son existence seule est un fait exceptionne
Dr Vigouroux, le 8 mars 1890. Il montre qu'il existe une réaction de dégénérescence complète pour les muscles faciaux paralysés et po
encéphalomyélite). Description de deux cas. Absence de la réaction de dégénérescence dans les muscles atrophiés. Cas aigus et subaigus
50 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
s cordons postérieurs étaient comprimés et, déplus, envahis par une dégénérescence descendante. Enfin vous vous rappelez que dans
génital. L'état général est bon. , Examen électrique. Réaction de dégénérescence légère du jambier antérieur gauche. Pas d'inver
é colorante et où les cellules dégénérées correspondent au stade de dégénérescence caséeuse. En ces points, le champ microscopique
ns dense suivant les points, mêmes cellules géantes, mômes zones de dégénérescence caséeuse, même refoulement des faisceaux blancs
(Pl. X, D, E, F). VI. Faisceaux blancs. En général, les lésions de dégénérescence sont peu marquées dans les divers faisceaux bla
e début apparent des accidents) dans lesquels ils n'ont pas noté de dégénérescence secondaire. Dans notre cas, la dégénérescence d
ils n'ont pas noté de dégénérescence secondaire. Dans notre cas, la dégénérescence des faisceaux blancs est limitée au voisinage i
portion postérieure, sont sains. Au-dessus des tumeurs, en fait de dégénérescence ascendante, on n'ob- serve que quelques ilots c
ubes nerveux gonflés, fortement colorés par le chlorure d'or; cette dégénérescence ne se poursuit pas loin; dans nos coupes supéri
oyer principal de lepto-méningo- myélite : la systématisation de la dégénérescence ne se dessine pas encore. Cependant, on observe
antérieures, et cela, non seulement au point de vue du processus de dégénérescence auquel elles sont ici seules soumises, mais aus
lésions varient suivant le point considéré : En ce qui concerne la dégénérescence vallérienne, on en trouve les premières traces
rand nombre de tubes nerveux. Il est à présumer que le processus de dégénérescence ne les avait point encore atteints. 9 Les racin
atteints. 9 Les racines postérieures ne présentent pas de signes de dégénérescence ; quelques-unes seulement renferment quelques tu
tre les faisceaux de tubes nerveux et peuvent expliquer un début de dégénérescence ascendante que l'on remarque dans leur voisinage.
cellules, cellules géantes (2), dilatation du réseau vas- culaire, dégénérescence caséeuse des zones centrales, etc. Par contre,
lules ganglionnaires des cornes grises antérieures présentent de la dégénérescence vitreuse. Latéralement au canal central, dans le
croscope les caractères de la substance cartilagineuse. En résumé « Dégénérescence des cordons postérieurs, hydromyélie, 88 NOUVEL
térieurs, hydromyélie, 88 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE dégénérescence des cellules ganglionnaires, dédoublement partiel
t constant,dans ses trois cas,entre les altérations vasculaires, la dégénérescence des cordons postérieurs et celle des cellules d
t très saillantes. Du côté de la face on note de nombreux signes de dégénérescence , strabisme interne de l'oeil gauche, oreilles t
nt, comme représentant un syndrome anatomo-clinlque congénital, par dégénérescence . Ce n'est pas un dégénéré quelconque ; c'est un
étio- 1, logique important mais non exclusif. ' " . '1 i Ici, la dégénérescence a épargné le système nerveux : ici comme ailleurs
nérescence a épargné le système nerveux : ici comme ailleurs, *- la dégénérescence est une résultante, niais dans le cas présent les
Traite\ des maladies de la moelle. (3) De Massary, Tabès dorsalis, Dégénérescence du protoneurone centripète. Thèse Paris, 1806.
mêmes extrêmement variables, elles comprennent toules les formes,de dégénérescence cellu- laire, l'atrophie, la sclérose qui a ain
ules ganglionnaires des cornes grises antérieures présentent de 'la dégénérescence vitreuse. Latéralement au canal central, dans le
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE Le 20, a de plus avec les mêmes caractères la dégénérescence des cordons postérieurs; le 3e le dédoublement
ils présentent un aspect un peu homogène et tuméfié, comme dans la dégénérescence fihrinoïde mais habituellement on y reconnaît f
taient en gonflement cellulaire avec formation de vacuoles isolées, dégénérescence granuleuse ou encore disparition complète des noy
d'un grand nombre de cellules normales, des cellules ayant subi la dégénérescence décrite plus haut. C'est surtout le groupe antéri
encore développés, d'où un aspect qui pourrait en imposer pour une dégénérescence descendante. De même dans toutes les moelles le
t mal les couleurs, infiltration gommeuse au stade de régression ou dégénérescence primitive. Car il faut remarquer que dans ce cas
lles étaient très congestionnées. En résumé, à part de rares cas de dégénérescence nécrobiotique, nous avons toujours trouvé la mé
es les cellules se colorent fortement, nulle part il n'y a trace de dégénérescence , il s'agit d'un processus très actif. , Les vai
marche envahissante, mais encore en pleine activité, sans trace de dégénérescence . Quant à ce qui reste de la pie-mère, quelques
ent on constate d'une façon très nette les signes de la réaction de dégénérescence partielle, dans l'extenseur commun des orteils
égal à P.F.C., c'est-à-dire qu'il existe des traces de réaction de dégénérescence . A la cuisse, l'excitabilité électrique est sensi
ne abolition des réflexes tendineux, des signes de la réac- tion de dégénérescence , d'une atrophie diffuse qui va aller en s'accentu
musculaire, de la perte des réflexes, des signes de la réaction de dégénérescence . (1) Bailtox, paripheral Neuritis from Arsenic.
ux ont perdu leur affinité pour la matière colorante, elles sont en dégénérescence , tandis qu'en d'autres points des cellules rond
ù la coupe n'a pris aucune espèce de coloration, mais ces taches de dégénérescence sont disséminées sans ordre et un peu partout a
cel- lules de ses cornes grises ont été notées souvent altérées, la dégénérescence des faisceaux blancs, rarement étendue, paraît
51 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s nul rapport avec l'état cénesthésique du sujet. Observation VIII. Dégénérescence mentale. Alternatives d'excita- tion et de dépr
ères ou même sans cause déterminante appréciable. Observation IX. Dégénérescence mentale. Hallucinations à sept ans; plus tard,
, viennent s'ajouter des dis- cours involontaires. Observation X. Dégénérescence mentale. Déséquilibration de tout l'axe cérébro
e qui se montre plus rarement avec ces syndromes. Observation XI. Dégénérescence mentale, scrupules maladifs dès l'âge de quinze
forcée de les projeter à haute voix au dehors. Observation XII. - Dégénérescence mentale. Hallucinations. Troubles de la sensibi
uelle surgit avec la représentation olfactive. Observation XIII.- Dégénérescence mentale. Délire polymorphe très actif à la suit
n d'un fusil je ne pourrai pas retenir le mot. » Observation XIV. Dégénérescence mentale. Hallucinations bilaté- rales. Idées am
à base d'obsession et d'impulsion, la coprolalie. Observation XV. Dégénérescence mentale. Perversions morales. Accès mélancoliqu
riaque, la folie du doute et l'onomatomanie. 1 Observation XVI. Dégénérescence mentale. Scrupules. Préoccupa- tions hypochondr
mence secondaire l'hébéphrénie (qui n'est le plus souvent que de la dégénérescence mentale). P. K. XIV. LES psychoses DE l'influen
cope, je trouvai dans le troisième article du noyau lenticulaire la dégénérescence hyaline de Flechsig; le long des vaisseaux exis
toire de médecins spécialistes. Discussion : M. BAER. Appuie sur la dégénérescence physique et mentale que provoque les excès habi
membres inférieurs à évolution progressive. Réaction partielle de dégénérescence . Aucun phénomène de rigidité. Réflexes tendineux
malade sont défor- més : genua valga, pied équin, varus très creux, dégénérescence complète des muscles à partir des genoux, diver
es, compression qui entralne les douleurs observées dans ce cas. La dégénérescence des muscles joue de son côté un certain rôle da
la Marseillaise ou des chansons de Béranger. - Observation XIX. - Dégénérescence mentale : dès l'âge de quinze ans, délire du to
monter un escalier dès qu'un mot mauvais l'obsède. Observation Y\I. Dégénérescence mentale. Soif dominicale des tantes. Crainte du
nt à boire aux repas que le dimanche seulement. Observation XXII. Dégénérescence mentale; folie du doute; im- pulsions ; hurleme
s, 1891, p. 171. 176 6 PATHOLOGIE MENTALE. Observation XXIII. - Dégénérescence mentale. Onontatonzanie : recherches angoissant
ssible de lutter contre beaucoup d'altérations fonctionnelles et de dégénérescences structurales, ce sera pourtant un sérieux progr
ui prouve un consensus parfait avec les altérations des noyaux ; 3° dégénérescence du faisceau fondamental du cordon antérieur ; 4
3° dégénérescence du faisceau fondamental du cordon antérieur ; 4° dégénérescence des fibres du raphé, mais exclusi- vement dans
M. Friedmann. (Neurol. Centmlbl" 1891.) D'après ces recherches, la dégénérescence commence par une partie limitée de la cellule,
tine ou disparaît. P. IC. VII. Observation SUR la subordination DES dégénérescences des nerfs PÉRIPHÉRIQUES A la destruction DES no
elle une atrophie complète des cellules des cornes antérieures avec dégénérescence très prononcée du système pyramidal, légère des
moteur oculaire externe, du pathétique, de l'ocu- lo-moteur commun, dégénérescence des faisceaux pyramidaux REVUE d'anatomie ET DE
ériques, ce n'est pas une conséquence forcée, et que, par suite, la dégénérescence des nerfs périphériques de la moelle consécutiv
a lésion des cornes antérieures, tient à d'autres conditions que la dégénérescence des nerfs crâniens périphériques, consécutive à
altération des vaisseaux sur le plancher du qua- trième ventricule, dégénérescence des cellules nerveuses dans les noyaux des cord
e de la troisième frontale. Foyer récent dans le corps strié droit. Dégénérescence descendante du pédon- cule cérébral, occupant l
se- ment aortique. Nécropsie. Hypertrophie cardiaque excentrique, dégénérescence graisseuse du myocarde ; endaortite chronique d
tiques, ramollissement du corps strié gauche qui a presque disparu, dégénérescence descendante clas- sique jusqu'au bulbe, voilà l
iturnes, quelquefois ils présentent des syndromes épisodiques de la dégénérescence intel- lectuelle. Cette proposition ajoutée aux
ubles délirants du goitre exophtalmique dans leurs rapports avec la dégénérescence , et se résume de la façon suivante : les troubl
urs accès délirants. L'association de la maladie de Basedow avec la dégénérescence mentale n'est pas une coïncidence; elle s'expli
uto-intoxication) et qui doit être séparée de ce que l'on appelle « dégénérescence ». C'est une forme intermédiaire entre les psyc
teux, désolé, mais angoissé, est forcé d'obéir. Observation XXIV. Dégénérescence mentale. Accès mélancolique. Onomatomanie, form
adif de ces obsessions et de ces impul- sions. ' Observation XXV. Dégénérescence mentale. Folie du doute. Ono- matomanie : mots
anniquement comme. agent préservateur : , , . t Observation XXVI. Dégénérescence mentale. Onomatomanie ; ., formules préservatri
ur pour conjurer l'influence funeste du premier. Observation XXVII. Dégénérescence mentale. Onomatomanie : .' mots compromettants
es plus pénibles. - 376 pathologie mentale. Observation XXVIII. Dégénérescence mentale. Crainte de la foudre. Folie du doute.
pour lesquelles il a beaucoup de dispositions. Observation XXIX. Dégénérescence mentale. Accès mélancolique; Ono11 ! atomanie :
le se sent soulagée et se calme immédiatement. - Observation XXX. Dégénérescence mentale. Accès mélancolique. Onomatomanie : mot
et aux différents bruits perçus et déglutis. Observation XXXI. - Dégénérescence mentale. Mélancolie suicide du grand-père mater
manifestations délirantes que présentent les individus atteints de dégénérescence psychique, se trouve la folie du doute, affection
ccès maniaque; dans tous les cas, on cons- tate une empreinte de la dégénérescence psychique qui a préexisté. La brusquerie des ac
e particulière rappelant par quelques-uns de ses traits l'espèce de dégénérescence psychique do nt l'individu a été atteint. L'a
par obsession. M. Roubinovitch. Il s'agit d'une femme entachée de dégénérescence héréditaire grave : frère liqueur et épileptique,
yndromes épisodiques chez une dégénérée dont il n'a pas démontré la dégénérescence et ensuite il a conclu à la dégénérescence parc
t il n'a pas démontré la dégénérescence et ensuite il a conclu à la dégénérescence parce que sa malade pré- sentait ces symptômes.
hérédité de ma malade était très* chargée. C'est ce qui explique sa dégénérescence mentale. M. G. Ballet insiste sur ce fait à une
M. SANDER, puis de M. Jolly. M. Krontiial. De la subordination des dégénérescences des nerfs périphériques cL l'altération dégénér
t celles de la paralysie géné- rale. Au microscope, on rencontra la dégénérescence du faisceau de Krause, celle des fibres qui en
astrique et de l'hypo- glosse ; le grand sympathique présentait une dégénérescence mani- feste. - M. KOEPPEN dans un cas de mala
ue et des lésions systématiques de la moelle. Entre la sclérose, la dégénérescence grise et le tissu granulo-graisseux secondaire,
a genèse de corps amylacés et de cellules granulo-graisseuses, la dégénérescence des vaisseaux sont constants et d'importance su
, par Camuset, 280; Régis, 284; Séglas, 286; Falret,290. NERFS, dégénérescence des nerfs périphériques, par Kronthal, 498. N
52 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ement de la force morale n'est pas toujours corrélatif d'un élut de dégénérescence mentale : nos quatre malades curent bien, parfo
; la taille correspond à l'âge. , Point de signes visibles d'une dégénérescence quelconque. Ilien de pathologique de la part de
l représente ainsi un étal qui se développait surle ter- rain de la dégénérescence . , Parmi les causes déterminantes il faut en no
cellules est surtout marquée au niveau des renflements. Atrophie et dégénérescence des cordons latéraux. C'est, pour M. Bechterevv
! ils sont l'expression anatomique d'une usure physiologique, de la dégénérescence et régénérescence normales de la myéline. Ou bi
s par des points d'appui de den- tiers. Tremblement congénital et dégénérescence ; pathologie comparée. MM. RAYMOND et 'l'HAON p
ce, supérieure à la normale, de fibres grêles, sans aucune forme de dégénérescence de la fibre nerveuse. Même en ne tenant pas com
exempte de toute influence héréditaire, ou du moins entachée d'une dégénérescence minime, latente. . Joffroy et les docteurs Toul
Chez ces malades, l'on trouve donc, d'une part, les symptômes d'une dégénérescence men- tale et, d'autre part, les signes clinique
part, les signes cliniques d'une affection biliaire familiale. La dégénérescence ne s'est donc pas cantonnée à l'or- gane psychi
limite uniquement au cerveau. L'organisme entier est lésé par la dégénérescence . Dès lors, il n'est pas extraordinaire qu'à un
dispositions tellement impulsives, ce qui lui donne un caractère de dégénérescence héréditaire, que, pour arriver à ses fins, il se
dans une mauvaise initiation à la vie sexuelle que dans un état de dégénérescence . \ Perversion sexuelle guérie par l'hypnotisme.
premier lieu, dans certains cas. nous avons trouvé de ces boules de dégénérescence , encore inconnues dans leur nature, que l'on ob
-n anormale, en apparence paradoxale, de certaines de ces boules de dégénérescence que nous avons signalées. - Nous croyons donc b
mus- culaire très marquée. Réflexes tendineux abolis. Réaction de dégénérescence complète de tous les groupes musculaires atroph
othérapie quand elle s'adresse aux folies lucides, aux syndromes de dégénérescence ou états plus ou moins liés à l'épilepsie, à l'
e l'élément cellulaire les racines ner- veuses ne présentent pas de dégénérescences , ni de lé- sions manifestes. Ces résultats sont
thique, et les relier par le même syndrome d'une lésion commune, la dégénérescence primitive du protoneurone moteur ou de son anne
s épaisses, ra- cines grêles. Caractères histologiqucs semblables : dégénérescence des faisceaux cérébelleux direct et de Gov ers,
lésions affectent seulement la couche superficielle du cortex sans dégénérescence descendante. Enfin il est difficile de préciser
ns suivantes démontreront la part que fournissent la cholémie et la dégénérescence , dans l'éclosion de la mélancolie. - ORSER \'
l'acide azotique décèle le Gmelin. z A un degré plus accusé de la dégénérescence hérédi- taire, on peut rencontrer une mélancoli
eux lièvres typhoïdes qui ont certaine- ment achevé 1' (ouvre de la dégénérescence . Ses misères, de ménage ont encore débilité ce
xe- maxillaire inférieur, ocu ! aire,x;0] ! ! ati(jue,. indique les dégénérescences delà voie centrale des muscles corres- pondant*
nérescences delà voie centrale des muscles corres- pondant* : celle dégénérescence , en l'espèce secondaire, esl due à une lésion d
11('(ail'lll ni clairsemés, ni épais, il n'y avait aucun indice de dégénérescence sur le corps cl les glandes étaient de grosseur
10e' dorsale eL de la le lombaire, ai Cordons antérieurs : Zone de dégénérescence occupant les dl'tI\ bords du sillon antérieur c
(le ? cornes antérieures. 2o Dans la région cervicale supérieure : dégénérescence surtout marquée il la la péri- phérie des cordo
hogéniquc doit être analunucaccluidcb névrites a,ren- dantes et des dégénérescences rétrogrades. Chez une femme il hérédité nerveus
,et au-dessous de la ltéri-ltach méniniLc, rien de visible que les dégénérescences secondaires. - Rien d'anormal au cerveau. Tub
es qui présentent de l'atrophie proprement dite sont assez rares. Dégénérescences secondaires : Dans une coupe immédiatement au-d
e n'existe presque plus : on en retrouve les Lraces dans une légère dégénérescence périphérique sous-méningée qui part du sillon a
ssus de la pachyméningite, au niveau du segment D '2, il existe une dégénérescence nette dans le faisceau de Goll, dans le f. céré
Goll, dans le f. cérébelleux direct el dans le f. de GO\\ ers. La dégénérescence dans le faisceau de Goll s'étend de la périphérie
ch adjacente au septum paramfdian. Il existe. 'en outre, une légère dégénérescence dif- l'- fuse dans le cordon anlérolatéral qui,
u'au niveau des seg- ments C 7, C t ? il n'en existe plus trace. La dégénérescence dans les cordons postérieurs tend aussi il se r
11, sons la forme d'un triangle acheva) sur le sopLumpostérieur,la, dégénérescence dans les faisceaux cérébelleux directe et de Go
tte péri-pachyméningite est la plus forte. ' Au point de ,vue des dégénérescences secondaires, le cas offre quelque intérêt aussi
énérescences secondaires, le cas offre quelque intérêt aussi par la dégénérescence de la virgule de Schultze qu'on a pu suivre pre
Schultze qu'on a pu suivre presque jusqu'au 10" segment dorsal, la dégénérescence du F Py C, qu'on suit jusqu'à la région sacrée
i descend jusqu'au niveau du 1"' seg- ment lombaire. Au-dessus, les dégénérescences typiques ascendantes dans le faisceau de Goll,
e région, la zone radiculaire moyenne. Dans la moelle dorsale, la dégénérescence se laisse suivre très difficilement : il existe u
'autre noter dans les cordons antéro-laléraux que les ves- tiges de dégénérescence dans le FP (; ; dans les cordons posté- rieurs
dé("néré le faisceau de Goll : au niveau du segment C8,la ZOlll' de dégénérescence dans le fais- ceau de Goll, bien que s'élendanl
mplète- ment : ne disparaissent pas, au contraire, les lésions de dégénérescence secondaire dans le FPy C et dans le fais- ceau
s- ceau de Goll. Il faut cependant remarquer la persistance de la dégénérescence diffuse dans les cordons postérieurs, au-dessou
aisément comme lésion de voisinage : on n'en peut dire autant de la dégénérescence dilfuse des cordons postérieurs qui continue en
stincte, n'est pas tl'i'" accusée ; dans le segment Ll,en effet, la dégénérescence se limite, dans chaque cordon postérieur, à une
te de noter que lecretinisme ne s'a- joute augoitrc qu'après que la dégénérescence de la thyroïde eut atteint un tel degré que la
sée par le struma-cystiqne : les qua- tre autres étaient en voie de dégénérescence ; aucune trace de colloïde. Quelques restes de
ve, la mélancolie affective, les intoxications, l'arriération et la dégénérescence men- tale, etc., etc. ' , Les troubles graphi
rix des thèses de la Faculté.) -20.Les stigmates obstétricaux de la dégénérescence d'après MM. tiené et Henri L.IRGEn. Revue criti
53 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
par L. VVITEONSIiI. (Arch. f. Psych., XIV, 2.) 1°Sous le titre de Dégénérescence descendante à la suite de po- rencéphtilie, l'a
développement parfait du cerveau, c'est-à-dire après la puberté. La dégénérescence porto sur le faisceau pyramidal, sur les fibres
des corpuscules lymphatiques dans l'espace périvasculaire et de la - dégénérescence hyaline des parois vasculaires et des tissus envi
e lésion corticale, d'un épanche- ment dans les membranes, ou d'une dégénérescence affectant peut- être la couche optique droite,
anie, l'infection syphilitique, le tabès, la paralysie générale. La dégénérescence phy- sique fait défaut, malgré l'existence de l
x sont en conformité parfaite avec la valeur des fonc- Lions.Pas de dégénérescence morale. Etcependant, l'imprégnation héréditaire
chez laquelle sont sur- venues des modalités graves quelconques de dégénérescence ner- veuse, ne doit pas se marier. Quoique le c
opération un phlegmon qui tue l'opéré en quatre semaines. Autopsie. Dégénérescence grise des cordons postérieurs, phlegmon fémoral
n. L'autopsie ultérieure montre J'existence d'une dila- tation avec dégénérescence graisseuse du coeur; endaortite chro- nique déf
pyramide, terminée par ramollissement à l'intérieur des ca- vités, dégénérescence hyaline des vaisseaux). Une dégénérescence desc
intérieur des ca- vités, dégénérescence hyaline des vaisseaux). Une dégénérescence descendante modérée, unelésion partielle des co
scendante modérée, unelésion partielle des cordons postérieurs, une dégénérescence grise des nerf optiques complétaient le tableau
de découpe; 2° de la méthode embryogénique ; 3" de la recherche des dégénérescences secondaires; 4° des examens d'anatom : e compar
on a pu faire l'autopsie, la lésion anatomique rencontrée a été la dégénérescence graisseuse des ganglions car- diaques et l'atro
nérescence graisseuse des ganglions car- diaques et l'atrophie avec dégénérescence pigmentairedes noyaux bulbaires du vague et des
éfaut d'ac- tion des muscles respiratoires. L'autopsie révéla une dégénérescence très étendue de la moelle épi- nière. Dans un
oduisit une émaciation considérable. A l'examen ,^011 rencontra une dégénérescence de la moelle et, à la' fin de' la région cervic
cromblé où l'on voit se développer, à la suite de traumatismes, des dégénérescences encéphaioïdes ou fongueuses vraisemblablement a
état général, ce sont les caractères à' infantilisme que révèle la dégénérescence dont nous ne trouvons point la cause dans l'hér
ie révèle une tuberculose pul- monaire. On trouve au microscope une dégénérescence atro- phique, ou une tuméfaction vitreuse des f
- phique, ou une tuméfaction vitreuse des fibres musculaires, une dégénérescence granulo-graisseuse des branches nerveuses intra-
cence granulo-graisseuse des branches nerveuses intra- musculaires, dégénérescence qui occupe également les troncs, mais y est moi
phrénique et du nerf vague; le microscope révèle qu'il s'agit d'une dégénérescence semblable à la dégenération secondaire consécut
interne et de la couronne rayonnante dont l'expérience démontre la dégénérescence à la suite des résections de la zone A. Au bout
de la même région. La zone corticale dont l'atrophie provoque la dégénérescence du système des fibres optiques correspond assez
3.) Aux cas déjà signalés ' témoignant du tableau clinique de la dégénérescence grise cérébro-spinale multiloculaire sans altéra-
réserve dans le diagnostic. Un signe différentiel certain entre la dégénérescence réelle et les pseudo-dégénérescences (névroses)
hie du nerf optique; l'existence de cette dernière prouve qu'il y a dégénérescence , mais son absence ne prouve rien. Quant à la co
ion associée de certains cordons, en réservant la possibilité d'une dégénérescence isolée des cordons latéraux ou des faisceaux py
ns latéraux ou des faisceaux pyramidaux ; plus tard : passage de la dégénérescence multiloculaire à l'encéphale. Autopsie. Exostos
l'hémisphère cérébral gauche. Au microscope, la moelle présente une dégénérescence des cordons latéraux pyramidaux et cérébelleux;
Il n'existe pas, d'ailleurs, dans la science, de fait relatif à une dégénérescence isolée primitive des cordons latéraux; pareille
ysie générale des aliénés, localisation n'ayant rien à voir avec la dégénérescence secondaire descendante. Cette lésion, de même q
. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 267 XX. Sur l'extension de la dégénérescence physique chez les CRI- 11 : VELS ET LES «APPORT
normale des circonvolutions, de con- cert avec les autres signes de dégénérescence extérieurs. Les autres anomaliesinternes ne sau
ion, et que chez l'homme sain. Sur 75 femmes révélant des signes de dégénérescence , 59 souffraient de troubles dans le domaine du
conclusions que voici. 1° Ce qu'on désigne sous le nom de signes de dégénérescence constitue l'expression la plus fréquente de la
équente de la prédisposition névropathique ; 2° Les porteurs de ces dégénérescences possèdent une tendance trois à quatre fois plus
e crois aussi qu'il faut étendre la discussion à tous les signes de dégénérescences héréditaires, car les aberrations sexuelles don
modérée de l'aorte thoracique; surcharge graisseuse du foie; légère dégénérescence graisseuse des reins; épaississement et congest
dorsal, mais l'autopsie révéla qu'il ne s'agissait nullement d'une dégénérescence grise pure des cordons postérieurs. Un exemple
il est difficile de tracer les limites de ce que traduit le mot de dégénérescence ; les psychoses dégénératives ne peuvent avoir d
(Un cas de ce genre a été omis dans la table du t. VII, 1). 218.) Dégénérescence , crime et névropa- thie, par Knecht, 267. Dég
218.) Dégénérescence, crime et névropa- thie, par Knecht, 267. Dégénérescence grise cérébro-spi- nale (affection analogue à l
54 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ertaines analogies patbogéniques. (1) E. FEINDEL et P. Froussard, Dégénérescence et stigmates mentaux, malformation de Vecloderm
fait l'autopsie, a trouvé de l'épendymite de l'épaississement et la dégénérescence fibreuse des plexus choroïdes du quatrième vent
avoir un volume inférieur à la moyenne sans présenter toutefois de dégénérescence vraie. On trouve une infiltration embryonnaire
énomène du genou persiste dans le tabès,c'est quand il n'y a pas de dégénérescence grise des faisceaux postérieurs dans la partie
e mode de dégénéra- tion n'est pas du tout comparable à celui de la dégénérescence Wallerienne; des fibres longues peuvent bien êt
'intermédiaire des lésions tronculaires du sympa- thique, liées aux dégénérescences des racines postérieures, comme J. Ch. Roux (2)
décrite par J. Ch. Roux, dans le sympathique, lésion secondaire aux dégénérescences radiculaires, ces névrites seraient primitives
présenté au moment de sa puberté paraît avoirévolué sur un fond de dégénérescence , qui lui interdisait toute réflexion sérieuse sur
u moment où il y a des altérations vitales profondes, telles que la dégénérescence wallérien ne, etc. Les changements -du milieu i
ésions parenchymateuses ; la substance blanche est indemne de tonte dégénérescence , les cordons postérieurs en particulier sont inta
iculier dans le renflement lombo-sacré. Elles n'ont provoqué aucune dégénérescence des racines rachidiennes antérieures à leur sor
- En considérant l'ensemble des fragments examinés, on voit que la dégénérescence des nerfs n'est jamais globale. Les nerfs mixtes
segments médullaires se sont constamment révélées indemnes de toute dégénérescence atrophiqueou sclérose interstitielle. Il en est
périphériques ; ainsi la figure i montre la ire racine dorsale, la dégénérescence des fibres nerveuses n'apparait qu'au niveau du
atteint le plus de gravité. De même dans la racine L 3 (fig. h), la dégénérescence des fibres ner- veuses et la sclérose interstit
minante à gauche. Contractions fibrillaires fréquentes. Réaction de dégénérescence partielle. Abolition des réflexes tendineux des
intactes à la sortie de la moelle ; dans les nerfs périphériques : dégénérescence des fibres à myéline, augmentation du tissu int
n considérable des fibres et épaississement de quelques vaisseaux ; dégénérescence musculaire très avancée. Observation de SAINTON
42, 1900, Parte 1, p. 540. xxv 20 298 LONG che intacte, légère dégénérescence des cellules des cornes antérieures. Dans les n
d'Argyll-Bobertson incomplet. Mort à 80 ans. Examen histologique : Dégénérescence scléreuse des cordons postérieurs plus marquée
gé- nérescence des fibres des racines postérieures. Dans les nerfs, dégénérescence dans le sens centripète ; diminution des fibres
é variable ; pas d'épaississement du périnèvre. Dans les mus- cles, dégénérescence très avancée, transformation graisseuse fréquente
élec- triques ; mort à 7 ans. Examen histologique : Dans la moelle, dégénérescence partielle des cordons postérieurs ; éclaircisse
rose conjonctive annu- laire, engainant les fibres. Dans la moelle, dégénérescence des cordons pos- térieurs ; diminution des fibr
is de la moelle, mais aussi la substance blanche participaient à la dégénérescence . De même la systématisation des lésions a laiss
s une augmentation numérique des tissus interstitiels accompagne la dégénérescence de la fibre musculaire. Les rapports entre l'
ite antérieure chronique, la sclérose latérale amyotrophique, où la dégénérescence secondaire, dans les nerfs moteurs, ne laisse q
nte est une sclérose des cordons postérieurs, non consécutive à une dégénérescence des racines postérieures ; Gierlich a fait rema
n voit dans la maladie de Friedreich. Mais là ne se bornent pas les dégénérescences primitives médullaires. On a vu aussi des sclér
uses sous la forme d'un éclaircissement des fibres myélinisées. Ces dégénérescences médullaires, dans des observations où aucun éta
on se pose : leur atrophie est-elle pri- mitive, ou secondaire à la dégénérescence des nerfs moteurs ? Devant les résultats des ex
XL Fio. la. - Racine rachidienne L3, au-dessus du ganglion spinal. Dégénérescence de la racine antérieure (Grossissement : 20 dia
aisceaux des cordons antéro-latéraux ne présentent aucurfe trace de dégénérescence , les cordons postérieurs par contre sont très r
ug. 3). Par contre, on suit dans la moelle dorsale et cervicale les dégénérescences des faisceaux ascendants intéressés par la lési
essés par la lésion, mais il est à noter le peu d'importance de ces dégénérescences comparativement il l'intensité dos lésions décrit
postérieur est notablement éclaircie : mais il ne s'agit pas d'une dégénérescence en masse ; les fibres sont plus grêles, plus ra
oitié gauche est alrophiée par rapport à la droite, on constate des dégénérescences ascendantes des cordons antéro-latéraux c. a. l
ite), affectant la corne antérieure, ou un processus chroni- que de dégénérescence affectant les nerfs moteurs du bulbe et de la moe
culaire progressive se présente comme une affection primitive et de dégénérescence du segment inférieur de la racine motrice (pyra
nes anté- rieures de la moelle aux muscles du squelette. Parfois la dégénérescence commence par les muscles de la périphérie et pe
es trophomotrices des cornes antérieures, et alors elle amènera une dégénérescence secondaire des racines anté- rieures des nerfs
atéraux, où la ligne de démarcation entre le gliome et les zones de dégénérescence est assez mal établie ; dans ces régions les fi
s muscles de la paume gauche du type Aran-Duchenne avec réaction de dégénérescence (muscles de l'éminence thénar, hypothénar et in
latéraux. Dans les racines antérieures on constate des symptômes de dégénérescence des fibres myéliniques moins prononcée du côté dr
érieures et postérieures est considérablement appauvri Pas trace de dégénérescence secondaire à ca- ractère défini. Les pièces pré
cteurs a été prépondérant.Toutefois l'absence presque com- plète de dégénérescences secondaires bien qualifiées dans la direction asc
à expliquer tous les symp- tômes de la maladie. Les altérations de dégénérescence et d'atrophie dans les cellules de la corne ant
tits muscles de la main gauche avec réaction partielle ou totale de dégénérescence , ainsi que l'affaiblissement des fonctions de c
inter- osseux. A l'examen électrique, on constate une réaction de dégénérescence complète pour les muscles de l'éminence thénar
pposant et de l'adducteur du pouce. Très affaiblie sans réaction de dégénérescence au niveau du court fléchisseur et un peu affaib
onstantes. Elles vont de l'hypoexcitabilité simple avec réaction de dégénérescence jusqu'à l'abo- lition complète des réactions fa
n de l'exci- tabilité des muscles et des nerfs ; pas de réaction de dégénérescence . A la face, pas de troubles musculaires ni de p
55 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
atrophiés est très affaiblie mais on ne constate pas de réaction de dégénérescence . La sensibilité objective est très peu troublée
coupes sériées de la moelle cervi- cale nous a permis de suivre les dégénérescences des racines postérieures dans leur trajet intra
cordons de Burdach. Ceci est surtout net au niveau de CI-CI. Cette dégénérescence s'atténue du reste rapidement et déjà au niveau
'à la compression; elles se traduisent 1° par une zone marginale de dégénérescence et d'oedème qui se poursuit sur toute la hauteur
OWSKI - myélinisation locale des fibres parce qu'il n'existe aucune dégénérescence sous- jacente. » Les résultais de cet examen
mené de lésions profondes de la moelle. Il n'existe pas en effet de dégénérescences de ses faisceaux longs et cliniquement la sensi
s il n'y avait ni abolition com- plète des réflexes, ni réaction de dégénérescence . 4° Enfin nous avons constaté des mouvements ré
moelle On voit sur cette coupe qui est également colorée au Pal une dégénérescence notable des zones radiculaires externes dans les
été remis, nous l'avons étudié à l'aide de coupes sériées pour les dégénérescences secondaires et nous pouvons dire positivement q
ures. Il y a 3 mois, après ablation de la matrice (myome en état de dégénérescence myxomateuse), augmentation de la' parésie des e
ospermie ; [absence de mitose au niveau de l'épithélium séminipare; dégénérescence des cellules interstitielles; ré- gression des
hez ces malades, des anomalies de développement et des stigmates de dégénérescence . Les auteurs classifient en cinq types différen
ons trouvé des signes d'une légère artério-sclérose et çà et là une dégénérescence hyaline des capillaires. Les hypophyses n'ont
ue l'acteur important dans l'étiologie de la paralysie agitante. La dégénérescence hyaline des capil- laires a été également décri
insi que M. Galippe, dans son livre sur l'hérédité des stigmates de dégénérescence , décèle le prognatihsme infé- rieur, au xive si
n /Esculape, juillet 1912. (5) GAL[piE, L'hérédité des stigmates de dégénérescence el les familles cttuo'o'MM. l'aris, loua-, in-8
traînantes. Il existe par conséquent des phénomènes de réaction de dégénérescence complète dans les muscles jambier antérieur, exte
iciel. Quoi qu'il en soit, en raison de l'absence de la réaction de dégénérescence , l'examen électrique seul ne permet pas de conc
ue des muscles ne se traduisent généralement pas par la réaction de dégénérescence . Les réactions électriques restent en général nor
men électrique aurait sans doute alors re- levé une DR. Une fois la dégénérescence complète la paralysie serait ap- parue d'une ma
es et dorsales de la préparation sont assez faiblement colorées. La dégénérescence ne présente pas de caractère systématisé, et les
e la moelle n'a présenté, dans aucun des cas, examinés par nous, de dégénérescence systématisée de type descendant ou ascendant. V
t même noter des régions absolument privées de fibres. L'absence de dégénérescence systématisée dans la plupart des cas et le degr
g (3) a le premier trouvé dans un cas de gliosarcome cérébelleux la dégénérescence (1) BATTEZ and Collier, Spinal cord changes in
A1MISTE ET NEIDING des racines postérieures et des faisceaux. Cette dégénérescence avait le caractère tabétique et frappait la moe
tabétique et frappait la moelle épinière dans toute son étendue; la dégénérescence des racines postérieures fut notée sur les coupes
ans la moelle dorsale, mais dans le quatrième cas ils ont trouvé la dégénérescence des faisceaux antérieurs et latéraux, et dans l
aussi la dégé- rescence des racines antérieures et postérieures. La dégénérescence très marquée des racines postérieures fut notée
ept autres cas les racines postérieures ne furent pas examinées. La dégénérescence des faisceaux postérieurs fut trois fois assez
r présentant, après avoir été traités par la méthode de Marchi, une dégénérescence très marquée, on n'a trouvé rien d'anormal en leu
rvelet, Hoche (1) a noté, en se servant de la méthode de Marchi,une dégénérescence nette des racines postérieures, plus marquée da
articulière l'attention sur le fait intéressant que le maxi- mum de dégénérescence se trouve au point de la perforation de la pie-mè
dans les cas de Jacobsohn et Jamane, faibles dans les cas de Hoche ( dégénérescence des racines posté- rieures) et absentes dans le
des racines posté- rieures) et absentes dans le cas de Wollenberg ( dégénérescence des racines postérieures et des faisceaux posté
signifiante des faisceaux postérieurs ; dans deux autres cas, où la dégénérescence des faisceaux postérieurs était plus prononcée, l
a observé l'atrophie, la sclérose et la disparition d'un goitre, la dégénérescence hyaline et l'ar- tério-sclérose des vaisseaux.
tait à peine visible et la glande était.fibreuse etpré- sentait une dégénérescence colloïdale. Turrettini (2) publie le cas d'une
ration de la formule qualitative; il n'y a pas trace de réaction de dégénérescence ; les réactions de l'électro-diagnostic sont da
nombreuses analogies en patho- logie médicale ; telles seraient les dégénérescences calcaires des tumeurs bénignes ou malignes de l
tive, 'mais plutôt d'une atrophie secondaire. C'est sans doute à la dégénérescence des fibres de projection qu'il faut attri- buer
u'un cer- tain degré de déformation due très vraisemblablement à la dégénérescence et à l'atrophie de la capsule interne. Le noyau
sule interne. Le noyau de Luys parait plus petit que normalement. Dégénérescences . A. Fibres de projection. - La section de la cour
on. - La section de la couronne rayonnante a eu pour conséquence la dégénérescence totale du segment posté- rieur de la capsule in
olon- gent dans la substance blanche du lobe frontal. Plus bas la dégénérescence du pédoncule cérébral se poursuit dans l'étage
mollissement, qui a respecté le pôle de l'insula. On ne suit pas sa dégénérescence dans la substance blanche du lobe orbitaire. Co
artielle- ment coupés par deux petits foyers, qui ont déterminé une dégénérescence dans ces deux parties et dans la partie postéro
inatus a été coupé au niveau du pôle antérieur du lobe temporal, la dégénérescence de ses fibres peut être suivie dans les coupes
rne dépasse de beaucoup la zone du faisceau de Türcl. En réalité la dégénérescence est beaucoup plus marquée qu'elle ne le paraît
avons déjà eu l'occasion de le démontrer avec Madame Dejerine. La dégénérescence de l'extrémité supérieure du pulvinar s'explique
-externe de la jambe : il n'existe à leur niveau aucune réaction de dégénérescence . Assez différente par ses caractères cliniques
statations cliniques : il montre à droite des traces de réaction de dégénérescence au niveau de l'extenseur commun des orteils, à ga
d'intensité des amyotrophies, enfin par l'absence de la réaction de dégénérescence . (1) PIERRE Marie et Foix, L'atrophie isolée no
56 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
t -sa^:». manger. La plupart des médecins qui se sont occupes de la dégénérescence héréditaire envisagée dans ses causes aussi bien
ongeaient les ongles. Leur père, alcoolique, leur avait transmis la dégénérescence . Il leur donnait en plus l'exemple de cette mauva
. Lorsque nous avons établi une relation entre l'onvehophagic et la dégénérescence , nous avons prévu l'objection suivante: « L'habit
•.«' ronger les ongles cousiitue-t-elle par elle-même un stigmate de dégénérescence , ou la dégénérescence que vous constatez chez les
s cousiitue-t-elle par elle-même un stigmate de dégénérescence, ou la dégénérescence que vous constatez chez les sujets n'est-elle pas
que l'onvchophagie ¦est toujours liée a d'autres manifestations de la dégénérescence , telle que l'incontinence nocturne d'urine, les t
recherche des antécédents continue le plus souvent la présomption de dégénérescence héréditaire. Il est extrêmement fréquent de retro
me, mais aussi les tares psychiques et physiques les plus variées. La dégénérescence dans certaines familles fertiles en onychophages
es. M. le professeur Charcot insiste sur la présence des stigmates de dégénérescence phvsiquc et des-troubles nerveux chez les individ
dispensable pour la mise en Iruiu de loule impulsion aulomalitpie, la dégénérescence héréditaire n'en est, pas moins le facteur le plu
it en outre la mise en œuvre de tous les moyens capables d'enrayer la dégénérescence et de fortifier l'enfant. Divers traitement ont
les. C'est une enfant grande et forte, dont l'aspect n'indique pas la dégénérescence . Il faut cependant la considérer comme une hérédi
— SIX ENFANTS DANS LA MEME FAMILLE PRÉSENTANT DES MANIFESTATIONS DE DÉGÉNÉRESCENCE . Les six enfants M... sonl inégalement partagés
Les six enfants M... sonl inégalement partagés au point de vue de la dégénérescence . L'ainé. nn garçon âgé de l'i ans. est atteint d'
ire pendant sou enfance. Elle a eu trois s.rurs mortes en bas âge. La dégénérescence est plus accentuée au point de vue mental qu'au p
pourrait encore une fois faire éclater la maladie sur son terrain de dégénérescence , héréditaire. Troubles mentaux traites avec suc
eur de l'hystérie. REVUE BIBLIOGRAPHIQUE L'Idiotie, hérédité et dégénérescence mentale, psychologie et éducation de l'idiot. par
l et de l'hérédité morbide en particulier, ainsi que les causes de la dégénérescence mentale dont l'Idiotie est le dernier degré. Ch
s intestins. Le troisième présente des signes physique tres précis de dégénérescence et surtout une voûte palatine unique dans son gen
l a eu la scarlatine. Voûte palatine profonde, c'est le seul signe de dégénérescence le plus manifeste que présente le sujet. Tremblem
guérison. ni amélioration présentaient les stigmates accentués de la dégénérescence . Récemment j ai observé une malade qui préente un
ontre dans le cours de certains paroxvsmes psychiques relevant île la dégénérescence mentale acquise ou héréditaire. Certains congesti
tablissement public d'un autre département. REVUE BIBLIOGRAPHIQUE Dégénérescence . Par M. Man Nordau. Le tome second terminant
scence. Par M. Man Nordau. Le tome second terminant l'ouvrage de. Dégénérescence , par Max Nordau, vient de paraître chez l'éditeur
rend d'abord Théophile Gautier, de Banville. Baudelaire, et montre la dégénérescence caractérisée par le souci exclusif de la forme jo
oprolalie el leur prédilection pour l'argot, autant de sv m plûmes de dégénérescence ! Un chapitre est consacré aux imitateurs de Zo
e de plus ou moins longue main. Elle sera préparée par l'hérédité, la dégénérescence ; elle sera préparée par des névroses latentes ou
champ de bataille ! Guérissons d'abord, nous discuterons ensuite! Dégénérescence . — Etude critique par M. Henri Valentino Le l
érature ont incontestablement, d'après M. Xordau, leur source dans la dégénérescence des auteurs, et ceux qui admirent ces tendances «
pèce de dégénéré appartient l'auteur. Partant de cette idée qu'il y a dégénérescence , il examine l'œuvre avec attention et rattache le
tion, l'un des signes somatiques qui, d'après Lombroso, trahissent la dégénérescence , ce qui naturellement confirmerait son diagnostic
t comme il faut bien que M. Nordau découvre les fameux stigmates delà dégénérescence il déclare que la manie qu'a M. Zola de placer au
ème, si nous reprenons quelques-uns des stigmates intellectuels de la dégénérescence : la graphomanic, l'aptitudo à grossir les faits,
tératologiquc de l'hérédité et de la prédisposition morbides et de la dégénérescence , pur Ch Fêrê, médecin de Bicetre. (1 vol. in-12 a
réalisent une destruction progressive des caractères de la race ; la dégénérescence , quelle que soit la cause, peut élro définie une
n rapport nécessaire entre une déformation et telle ou telle cause de dégénérescence ; on reproduit dans des couvées artificielles les
toutes les autres el elle se présente chez des personnes atteintes de dégénérescence héréditaire, et chez lesquelles on trouve des sti
érable et plus opiniâtre quand le terrain cérébral est prépnrc par la dégénérescence comme celui des nnsophobes. Suus l'empire de cett
u côté paternel est mort de délire alcoolique. Stigmates physiques de dégénérescence suivants : Macrocéphalie, bec de lièvre simple et
288, 319. Dégénéres (fréquence de l'onycho- phagie chez les), 1. Dégénérescence , élude critique, par Henri Valentino, 336. Dégé
les), 1. Dégénérescence, élude critique, par Henri Valentino, 336. Dégénérescence , par Max Nordau, 286. Délire caféinique, 93.
57 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
orphologique très spécial. (1) Magaliiabs LE ! Os,lnfanlilis11le et dégénérescence psychiq ? le. 1\1 ouvelle Iconographie de la Sa
ntelligence et du caractère, etc.) qu'il enfautpour caractériser la dégénérescence . Et dès lors, la cause qui l'a atteint, quelle
les organes, tous les tissus, sans rien épargner. On sait comme la dégénérescence estcoulumière de cette multiplicité de lésions.
oolique, ai-je-dit, elle peut produire, à côté des cas vulgaires de dégénérescence qui encombrent les manicomes, « une dégénéresce
cas vulgaires de dégénérescence qui encombrent les manicomes, « une dégénérescence toute spéciale, une dégénérescence à type infan
encombrent les manicomes, « une dégénérescence toute spéciale, une dégénérescence à type infantile, constituée par la fusion des ca
nce à type infantile, constituée par la fusion des caractères de la dégénérescence mentale avec caractères de l'infantilisme du type
ns tous les cas d'infantilisme général ou partiel- des syndromes de dégénérescence (2). > Eh bien, il doit en être de même pour
ET MINERA est restée, on remarque une sclérose très prononcée avec dégénérescence du tissu conjonctif qui reste incolore sur les
nulations thyroïdes. - La paroi des vaisseaux a subi également la dégénérescence graisseuse. L'hypophyse est constituée surtout
opératoire n'a pas donné l'impulsion au processus particulier de la dégénérescence osseuse, en rappelant que les suppurations chro
Rozzier (75) qui trouvè- rent dans les ovaires d'ostéomalaciques la dégénérescence hyaline des vaisseaux, phénomène banal qui ne s
des lésions des ostéoplastes qui s'arrondissent et sont atteints de dégénérescence granulo-graisseuse. « La moelle osseuse subit e
la fréquence avec laquelle elle se trouve unie à d'autres signes de dégénérescence . Comme on le sait d'ailleurs, bien des auteurs
es auteurs mettent souvent en relief l'existence d'autres signes de dégénérescence (alcoolisme, épilepsie, etc.) chez les ascendants
ossible de relever chez les ascendants quelque signe que ce soit de dégénérescence (2). Notre cas même, et c'est là qu'en réside,
ns de ce groupe, on a noté des lésions diverses (absence, atrophie, dégénérescence ) de la glande thyroïde. Bien avant que Charcot,
e s'accompagne pas de tremble- ments fibrillaires ni de réaction de dégénérescence . Les douleurs n'apparais- sent qu'à l'occasion
emblements fibrillaires et de réaction 130 ELDAROFF électrique de dégénérescence . Les parties ankylosées sont douloureuses. Le s
ière on a constaté : LA Sl'ONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE 139 une complète dégénérescence des faisceaux postérieurs (un état semblable a
ais observé de tremblement fibrillaire et de réaction électrique de dégénérescence . Tous les troubles atrophiques des muscles doiv
rmée de cellules cylindriques. Beaucoup de ces cellules ont subi la dégénérescence granuleuse et muqueuse. Nous avons donc affaire
sa longue durée semblait devoir être utilisable au point de vue des dégénérescences secondaires, ne l'est guère en réalité, aussi bie
mes dans d'autres. 8° Destruction de tissu dans la tumeur même, par dégénérescence col- loïde, ce qui permet fout au moins un maxi
térales de Déjerine dont le nombre varie pour chaque individu. Leur dégénérescence explique les troubles patho- logiques du côté n
et le procès qui s'en est suivi paraissent avoir, sur un terrain de dégénérescence , favorisé l'éclosion du délire. Le malade pré
cide osmique appliquée à des pièces semblables, a montré une faible dégénérescence de la substance blanche et des racines anté- ri
anté- rieures et postérieures des nerfs rachidiens. Cette dernière dégénérescence est partout également faible : dans la région s
galement faible : dans la région sacrée, lombaire et dorsale, cette dégénérescence est uniforme sur toute la préparation microscopiq
us intense dans les faisceaux de Goll de la région cervi- cale. Une dégénérescence aussi faible et uniforme dans toutes les parties
ence du traumatisme et c'est elle qui provoque la compression et la dégénérescence des racines des nerfs rachidiens. Les pièces an
ns. Les pièces anatomiques de ces cas montrent des foyers isolés de dégénérescence de la substance blanche de la moelle épi- nière
générescence de la substance blanche de la moelle épi- nière et une dégénérescence des cellules des ganglions spinaux; en outre, i
dus à la parésie des muscles cervicaux et dorsaux, consécutive à la dégénérescence des racines nerveuses correspondantes. On peut
ires, il existe des processus atrophiques qui se manifestent par la dégénérescence vacuolaire et des processus hypertrophiques qui
ans la dé- composition du tissu fondamental du cartilage et dans la dégénérescence graisseuse de ses cellules, d'où résulte l'usur
ensons plutôt qu'elles ont aussi une relation avec les processus de dégénérescence ; comme nous l'avons mentionné, on ne peut certif
ans. Déjà chez les jeunes gens on trouve des signes de processus de dégénérescence ; par contre même chez les sé- niles on trouve
qu'on pourrait penser que ce processus est aussi l'expression d'une dégénérescence de la glande. Mais ce qui plaide contre cette o
s sont les suivantes : a)hypertrophie nucléaire ;6)disparition ; c) dégénérescence acidedu noyau. L'hypertrophie nucléaire est man
plus ou moins large qui la sépare du cytoplasma environnant. Cette dégénérescence nucléaire diffère de celle décrite par Nissl, S
sur des coupes de ganglions de polyomyélite, les noyaux en état de dégénérescence acide prennent le colorant acide, et par le Mallo
; pour cet auteur la cellule vacuolaire est une cellule en état de dégénérescence kystique. Athias (190G) (3) décrit les cellu- l
es cellules de la zone périphérique. A part ces cellules en état de dégénérescence pigmentaire on remarque par ci parla quelques cel
ité au niveau du sterno-mastoYdien grosse diminution et réaction de dégénérescence au niveau du trapèze. (1) Dans le champ d'excur
nique est normale à droite, très diminuée à gauche avec réaction de dégénérescence . Au niveau de la langue les secousses sont norm
ciées à de nombreux signes somatiques et parfois même psychiques de dégénérescence . Mon cas prouve que cette doctrine ne peut pas
le mais qui, comme on le voit, ne se superpose pas à l'hypothèse de dégénérescence que nous étions amenés à formuler tout à l'heur
au moins entre deux hypothè- ses : troubles de sécrétion interne ou dégénérescence . Il y aurait bien un moyen de tout concilier qu
l y aurait bien un moyen de tout concilier qui serait de montrer la dégénérescence comme la conséquence d'un trouble des sécrétion
dérations sur le rôle des glandes endocrines de la falhogénie de la dégénérescence . Congrès des aliénistes. Dijon, 1908. DE LA POL
l'infantilisme que de celui du myxcedéme : dans ce dernier mode, la dégénérescence morale et intellec- tuelle conduit plutôt à l'a
nipires sont identiques : même sclérose de la paroi fubulaire, même dégénérescence et transformation sclérohyaline de la lignée sé
- laire, fibrillaire et cellulaire ; il n'y a pas de stéatose ni de dégénérescence évi- dente des cellules hépatiques. La congesti
58 (1934) Oeuvre scientifique
e, un gros intérêt. Vous savez tous, sans doute, que la réaction de dégénérescence est pathognomo- nique d'une lésion musculaire c
ion de son excitabilité électrique, moins connue que la réaction de dégénérescence , mais tout aussi remarquable et également impossi
n l'observe non seulement dans les névrites graves avec réaction de dégénérescence , mais aussi dans les névrites dilespéri- axiles
lle du système nerveux ; l'absence des caractères de la réaction de dégénérescence et l'abolition de l'excita- bilité idio-muscula
une atrophie musculaire. Bien plus, l'amyotrophie sans réaction de dégénérescence , sans secousses fibrillaires et sans paralysie, l
nches ; il est à remarquer qu'il n'y avait pas trace de réaction de dégénérescence dans les muscles de la jambe. M. Walshe récuse
réflexe plantaire en flexion bien qu'il n'existe pas de réaction de dégénérescence dans les muscles de la jambe. Avant de terminer
ériode donnée, offrent une très grande analogie avec la réaction de dégénérescence . Chez le lapin, j'ai observé après la mort des
de ce phénomène ? Et d'abord quelle est la cause de la réaction de dégénérescence qui apparaît à la suite de certaines lésions de
générés. Mais si l'on consi- dère que les caractères de réaction de dégénérescence peuvent apparaître dans certains muscles, ceux
s à peine appréciables, il y a lieu de penser que cette réaction de dégénérescence tient, au moins pour une part, à ce que le musc
s fibres musculaires, ce qui revient à dire que la réaction dite de dégénérescence ne serait, en partie au moins, que la réaction pr
acti- lité électrique ayant aussi de l'analogie avec la réaction de dégénérescence . (2) J. Babinski, Société de Neurologie de Pari
d'ordre réflexe que dans bien des cas de paralysie avec réaction de dégénérescence . La surexcitabilité musculaire et la lenteur de l
thermie locale fait courir le risque de considérer comme en voie de dégénérescence des nerfs qui ne sont pas altérés, ce fait que
depuis plusieurs mois d'une névrite des deux jambes. La réaction de dégénérescence paraît complète par l'explo- ration classique.
e évolution hyperplasique s'effectuant par division indirecte, avec dégénérescence myxomateuse du stroma conjonctif. Les ovaires e
qué avec la méthode de Marchi et avec celle de Pal ne décèle aucune dégénérescence . En résumé, cette observation vient à l'appui d
e faisceau latéral du bulbe sont naturellement englobés. Toutes les dégénérescences secondaires que ce foyer aurait été capable d'a
du point sectionné et il est possible qu'au moins une partie de la dégénérescence du ruban de Reil droit lui soit imputable. Nous
t lui soit imputable. Nous n'avons pas constaté au-dessus de lui de dégénérescence répondant au trajet récemment décrit du faiscea
es olivâtres droites après leur entre-croisement; de là résulte une dégénérescence bilatérale et symétrique de ces fibres, ou du moi
récédent, et l'autre sur le faisceau pyramidal. Nous étudierons les dégénérescences secondaires en envisageant successivement chaqu
du segment postérieur (sur les coupes obliques) ; s'agit-il là d'une dégénérescence rétrograde ? Nous ne pouvons l'affirmer, n'ayan
rition. Le ruban de Reil gauche, au-dessus des foyers, présente une dégénérescence intense de sa moitié postérieure : la moitié an
ivement intacte, sauf tout à fait en avant où il existe une zone de dégénérescence légère consécutive au petit foyer de myélite si
médian, dans lequel elles pénètrent en grand nombre. On suit cette dégénérescence jusqu'à quelques milli- mètres au-dessus du poi
mètres au-dessus du point où disparaît le noyau médian, puis toute dégénérescence cesse, et nous nous sommes assurés qu'aucune de
l ne se dirige vers l'écorce. Au-dessous des foyers, on observe une dégénérescence centripète moins intense que la dégénérescence
yers, on observe une dégénérescence centripète moins intense que la dégénérescence centrifuge, mais parfaitement nette, qui permet
Burdach, trijumeau). Le ruban de Reil droit présente une zone de dégénérescence légère qui répond précisément à la région éparg
eau, sur la face interne du noyau rouge. Enfin nous arrivons à la dégénérescence des fibres olivaires, que nous avons pu suivre
ombre par un foyer unique, comme nous l'avons dit, forment par leur dégénérescence des boules beaucoup plus petites que les fibres
nergie est presque exclusi- vement limitée à un côté, tandis que la dégénérescence de ces fibres est bilatérale. Il y a tout lieu
ance, cervelet ; l'examen histologique a montré qu'il n'existe aucune dégénérescence dans les différents faisceaux, môme dans les po
sclérose s'arrête très vite et, par le carmin, l'on ne voit pas de dégénérescence secondaire appréciable des faisceaux à long tra
dique perma- nente, sans que les faisceaux pyramidaux aient subi de dégénérescence secondaire ; il prouve de plus qu'en pareil cas
puisque, dans le compte rendu de l'examen anatomique, l'absence de dégénérescence des faisceaux latéraux au-dessous de la g" dorsal
atrophiés est très affaiblie mais on ne constate pas de réaction de dégénérescence . La sensibilité objective est très peu troublée
rocessus de compression elles sont relativement peu atteintes, leur dégénérescence n'est que partielle, il s'agit plutôt de démyél
s coupes sériées de la moelle cervicale nous a permis de suivre les dégénérescences des racines postérieures dans leur trajet intra-
cordons de Burdach. Ceci est surtout net au niveau de C4-Cs. Cette dégénérescence s'atténue du reste rapidement et déjà au niveau
moelle. On voit sur cette coupe qui est également colorée au Pal une dégénérescence notable des zones radiculaires externes dans le
la compression ; elles se traduisent : 1° par une zone marginale de dégénérescence et d'oedème qui se poursuit sur toute la hauteu
l'on retrouve même dans les coupes les plus inférieures; 2° par une dégénérescence des voies pyramidales légères portant sur une t
d'une démyélinisation locale des fibres parce qu'il n'existe aucune dégénérescence sous-jacente. Les résultats de cet examen anato
mené de lésions profondes de la moelle. Il n'existe pas en effet de dégénérescences de ses faisceaux longs et cliniquement la sensi
iés il n'y avait ni abolition complète des réflexes, ni réaction de dégénérescence . 4° Enfin nous avons constaté des mouvements ré
dou- blé sur ses faces par la dure-mère D. et la pie-mère P. ; les dégénérescences des cordons postérieurs s'atténuent ainsi que c
ractère de malignité. Une partie de la tumeur a subi une importante dégénérescence fibreuse. Dès notre premier examen, l'hypothèse
nt plus ou moins hypoexcitables électriquement, mais la réaction de dégénérescence fait complète- ment défaut. Les réflexes tend
des muscles (sur- excitabilité ou subexcitabilité sans réaction de dégénérescence , fusion anticipée des secousses faradiques); de
usculaires de la main, de l'avant-bras et du bras, sans réaction de dégénérescence . Les réflexes tendineux du membre malade étaient
lenteur; elle est aussi lente que dans bien des cas de réaction de dégénérescence caractérisée. Afin d'éta- blir un parallèle plu
d'ordre réflexe que dans bien des cas de paralysie avec réaction de dégénérescence . La surexcitabilité muscu- laire et la lenteur
qui disparait par le réchauffement. Il n'y a jamais de réaction de dégénérescence . Il y a parfois fusion anticipée des secousses.
ne part, dans le domaine du cubital, une paralysie avec réaction de dégénérescence des muscles hypothénar, adducteur du pouce et i
uctive et que le faisceau pyramidal a subi une altération suivie de dégénérescence secondaire, tandis qu'à droite, l'apparition de l
sage d'engrais artificiels. D'une particula- rité de la réaction de dégénérescence (Société de Neurologie, 12 janvier igo5). 114.
ical, 17 janvier 1910). 166. Hypotonicité musculaire et réaction de dégénérescence (Société de Neurologie, 10 février 19 10). 16
, 22 mars r g r 2). igo. Contribution à l'étude de la réaction de dégénérescence . Excitabilité faradique latente. Possibilité de
59 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
, que la névroglie est bien de la matière nerveuse. Il s'agit d'une dégénérescence consécutive à une hémorrhagie, qui avait détrui
Un fait, dans lequel l'animal survécut assez longtemps pour que les dégénérescences examinées six mois plus tard fournissent le déb
que montra qu'il s'agissait d'un sarcome à cellules arrondies, avec dégénérescence de la portion centrale. Dc ! u;tti'm<;(;<
altération fonctionnelle des cellules nerveuses ganglionnaires, la dégénérescence périphérique qui, dans les cas de longue durée
y a matière à rattacher l'atrophie des cellules pyramidales à une dégénérescence ascendante des fibres nerveuses sensitives sectio
au moment delà formation de larnévroglie ou'à propos de certaines dégénérescences ''secondaires. ''Somme toute;c`depuis"lors : s'de
Jastrowitz. De noml)retixbindividus; sans pré- senter de signes de dégénérescence , sont atteints 'de .'psychoses graves à caractè
quand il a pu exercer un con- trôle. Sous la rubrique : « Signes de dégénérescence », il a compris les mêmes éléments que Richtcr
ons, qui, dans quelques cas, est véritablement surprenant quant aux dégénérescences proprement dites des circonvolutions chez les a
ns l'écorce une étendue plus large que dans la subs- tance blanche; dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses dans leur voi
ans leur voisinage. Les cordons postérieurs de la moelle offrent la dégénérescence grise. Discussion : ? ,R'. M. Westpiul croit
ent cortical dont la destruction est nécessaire pour en- traîner la dégénérescence complète de la pyramide de la moelle allongée.
érose diffuse ET disséminée du système nerveux cen- TRAL, ET SUR la dégénérescence vitreuse en macules DE l'écorce DU cerveau; par
ent granuleux, et de cellules nerveuses ayant subi, elles aussi, la dégénérescence vi- treuse. Sclérose évidente de la protubéranc
rieures. Les nerfs radial, médian, crural, sciatique, présentent la dégénérescence atro- phique de leurs fibres. Les muscles sont
de névrite dégénérative ? P. K. XXIX. Contribution a l'étude de la dégénérescence secondaire dans la MOELLE épinière DE L'HOMME (
rne des faisceaux de Goll; que l'étendue et le volume de la zone de dégénérescence secondaire ne paraissent pas être absolument pa
rnit la notion exacte de la perfection plus ou moins complète de la dégénérescence . La dernière observation ' Voy. Congrès de Bade
, de tracer l'aire topographique définitive des cordons de Coll. La dégénérescence descendante atteint, bien que fai- hlement, les
rnes antérieures, ainsi que toute la couche latérale limitrophe. La dégénérescence ascendante des cordons latéraux dans le cervele
l y aurait donc identité d'allures anatomiques entre le tabes et la dégénérescence secondaire qui succède à la lésion de la queue
radiculaires des cordons postérieurs. Il. K. X\X. CovrwDUTtor1 a la dégénérescence combinée des cornis anté- RIEURES ET DES COUDON
, disparition absolue d'un certain nombre de cellules nerveuses). Dégénérescence fort prononcée (nombreuses cellules granuleuses,
rdons latéraux depuis la portion lombaire jusqu'à la décussa- tion. Dégénérescence des nerfs moteurs et des muscles. L'auteur fait
ce des nerfs moteurs et des muscles. L'auteur fait remarquer que la dégénérescence du faisceau pyramidal ne s'observe ni dans la m
e développement. P. K. XXXVIII. Contribution .1 LA question de la dégénérescence SLECON- daire; par 0. Binswanger et C. Moeu. (N
pertes de substance étaient très superficielles, très limitées, une dégénérescence secon- daire qui occupait le pied du pédoncule
Les animaux qui survécurent plusieurs semaines présentèrent de la dégénérescence secondaire ; pas de paralysie complète ; quelques
spinale et de la moelle allongée ou à une lésion cérébelleuse avec dégénérescence secondaire des cordons postérieurs. Les modific
groupes musculaires, les altérations les plus multiples : atrophie, dégénérescence graisseuse, dégénéres- cence du tissu conjoncti
umettre quelques préparations d'encéphale de chien et de cobaye. La dégénérescence secondaire, qui succède constamment à l'extirpa
e dans les Revues analytiques. sociétés savantes. 383 produit une dégénérescence visible au microscope. Le nerf hypo- glosse n'a
la portion lombaire, le domaine des cordons postérieurs, a subi la dégénérescence dans son entier, elles gagnent la région dorsal
lités de cette marche sont identiques à celles de l'évolution de la dégénérescence nerveuse périphérique. Quand les trois stades p
e, 330; par 398 TABLE DES MATIERES. Biuswanger et Ioeli, 33G. Dégénérescence combinée des cor- nes antérieures et des cordon
phénomène du chez les enfants), par Poelitzmus, 247. Gliomateuse ( dégénérescence de la protubérance et de la moelle allongée,
60 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es sont caractérisés par la com- pression des éléments nerveux sans dégénérescence , que les cas frustes proviennent de la rapide d
x sans dégénérescence, que les cas frustes proviennent de la rapide dégénérescence de ces éléments. Toute autre interprétation des
OSCe : mE fait une communication sur l'évolutionnisme moderne et la dégénérescence . ' Secrétaires des séances : A. Bernstein ; V.
lle trop négligés : on étudie beaucoup à la vérité les stigmates de dégénérescence ; mais ces stigmates sont les indices d'un vice
'hémorragie cérébrale survenue un an plus tard, en nous révélant la dégénérescence des vaisseaux, vient encore plaider en faveur d
rfs périphériques des membres inférieurs sont dégénérés, mais cette dégénérescence peu accentuée dans la région des nerf= sciatiqu
qui a déterminé la paraplégie avec step- page dans ce cas, c'est la dégénérescence primitive des nerfs péri- phériques ; tandis qu
que les lésions des cellules radiculaires sont secondaires il cette dégénérescence . MM. CL. PIIILIPPE et B. ElDE ont pu étudier pa
. Observations sur un cas de torticolis mental. - Pailhas. 1° De la dégénérescence dans les vieilles localités ; 2° Modifications
rsé à flots par certains écrits. C'est à vous de montrer la tare de dégénérescence de ces oeuvres malsaines et le déséquilibre d'e
s entendre nos protestations et nos plaintes. Certes, les causes de dégénérescence et d'abatardissement qui guettent notre pauvre
ueux, granuleux et segmentés. La cellule peut présenter aussi de la dégénérescence granuleuse et jaune globulaire (Colucci) ainsi
ainsi que les prolongements qui paraissent alors segmentés. Cette dégénérescence granuleuse ou jaune globulaire est tantôt partiel
altérations cellulaires, on rencontre autant la chromatolyse que la dégénérescence jaune globulaire dans toutes leurs formes et à
tom lé et non plus brillant. Ces altérations ont les caractères des dégénérescences systématiques. Le délire aigu, dit Cristiani, a
méthodes de Nissl et de Golgi met- tent en évidence un processus de dégénérescence cellulaire primitive. Les fibres nerveuses sont
ence cellulaire primitive. Les fibres nerveuses sont le siège d'une dégénérescence primitive, systématique dans la moelle (m. à la
ltérations des voies digestives supérieures. Le fuie présente de la dégénérescence graisseuse, et une atrophie pigmentaire dla cel
? Les à.celJesque-l'ou rencontre dans les mala- dies infectieuse.. ( Dégénérescence cireuse [vitreuse]). Bactéiuologie. - Les premi
anat61-ni-ùêïÎïênt, il offre ièS1 ? n-s-"de méningo-encéphalite, de dégénérescence des cellules nerveuses communes à la plupart de
e; J magistrale description. Je le considère comme un stigmate de dégénérescence mentale. En effet, si .l'on se donne la peine de
Torticolis mental et tics divers ne sont donc que l'apanage de la dégénérescence mentale. Ils sont de nature essentiellement réc
es considérer comme un stigmate plutôt psychique que physique de la dégénérescence . L'état mental de ceux qui en sont porteurs est
pavillon de l'oreille : valeur de ses anomalies comme stigmates de dégénérescence ; par le De Lucns, médecin militaire des colo-
délire d'auto-accusation s'observe surtout dans la mélancolie, les dégénérescence , l'alcoolisme, l'hystérie. L'auteur abordant le
ttre un terme à l'invasion du pays de l'alcool et de s'opposer à la dégénérescence nationale et prochaine si des mesures efficaces
es symptômes cérébraux ? le délai est variable : les altérations et dégénérescences des vaisseaux se montrent ordinairement après c
04 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. fréquentes sont les altérations de dégénérescence d'origine toxé- mique. Dans le cerveau le type
atoires par un moindre degré d'organisation et une tendance vers la dégénérescence . il faut toutefois que la gomme ait un certain
t inflammatoire, et le second seulement qui est hyperplasique. La dégénérescence de la gomme peut prendre la forme caséeuse ou l
vue de sa nature, c'était un angiome mixte, peut-être avec début de dégénérescence sarcomateuse. L'écoulement du liquide cérébro-s
réellement démontrée, une paralysie générale infantile. , , De la dégénérescence dans les vieilles localités. 1 11. B. PAILIIAS
xer plus profondément l'influence des diverses causes locales de la dégénérescence . Dès lors, seront le plus tarées celles des anc
as attacher grande importance aux signes analomo-patho- logiques de dégénérescence observés dans les nerfs atteints de névrite pos
bsessions, ratta- chant les unes à la neurasthénie, les autres à la dégénérescence , peut être y a-t-il même sur certains points ex
rveux. C'est de cette manière seulement que l'on peut expliquer les dégénérescences qui se rencontrent dans les nerfs craniens et d
zioni mentale. 1899, vol. XXV. Fasc. I et IL) 2 Mondio. Hérédité et dégénérescence dans le développement de la démence consécutive
lète de ce malade. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉOTYPIES. 483 « Dégénérescence mentale avec excitation. Désordre complet dans
l elles se montrent. (Mon- dio). Binder a déjà signalé avant lui la dégénérescence dans 70 p. 100 des cas. Mais dire que le cervea
utir à un simple exsudât hémorrha- gique avec formation kystique ou dégénérescence complète de la masse du tissu ; 4° il parait pr
s corpuscules amyloïdes qui se rencontrent dans quel- ques-unes des dégénérescences chroniques du cerveau. R. DE MUSGRAVE-GLAY. L
e la circonvolution fron- tale ascendante gauche étaient en état de dégénérescence granulo- graisseuse. Les parois des vaisseaux é
orce, des olives bulbaires et de la substance grise du pont, par la dégénérescence totale du pédoncule cérébelleux moyen et par la
r la dégénérescence totale du pédoncule cérébelleux moyen et par la dégénérescence partielle du corps restiformé, par l'intégrité
érés hystériques au point de vue médico-légal, par Pareau, 276. Dégénérescence . De la - dans les vieilles localités, par Pailh
61 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uel du prévenu et de constater chez lui des signes phy- siques de dégénérescence , s'il en présente, mais il n'apprendra rien, ab
médecin a mission de préciser. L'affai- blissement intellectuel, la dégénérescence physique, révélatrice delà dégénérescence psych
issement intellectuel, la dégénérescence physique, révélatrice delà dégénérescence psychique, découverts par l'observation du suje
e accident dans la vie d'un hommes mais bien une manifestation de dégénérescence psychique. Ces caractères se divi- sent naturel
s des dé- générés à intelligence faible, et c'est le propre de la dégénérescence psychique, on le sait, de donner nais- sance à
ts auxquels ils servent d'éti- quette. D'un autre côté, l'étude des dégénérescences mentales étant partout à l'ordre du jour, et se
lle de Sander, la seule dans la- quelle Westphal admette un fond de dégénérescence . Tandis que certains auteurs, comme nous l'avon
e description de la Paranoïa. Il place la forme primitive parmi les dégénérescences mentales : pour lui, c'est une forme morbide qu
a Paranoia primitive, tout en étant classées à côté d'elle dans les dégénérescences mentales. Quant à la Paranoia secondaire, l'aut
ette transformation des formes de la folie serait due pour lui à la dégénérescence somatique et psychique de l'humanité, gagnant d
terne, de la couche optique, du tubercule quadri- jumeau antérieur ( dégénérescence secondaire, comme en témoi- gnent la perméabili
ient par l'expérimentation chez les animaux. On constate encore une dégénérescence de la racine ascen- dante droite de la voûte à
optiques. Si la malade en question eût vécu, il est probable que la dégénérescence se serait étendue aux tubercules quadrijumeaux
t d'affirmer que la destruction d'un lobe occipital s'accompagne de dégénérescence des centres optiques infra-corticaux (macrosco
y trouve attaché depuis les travaux de Morel en fait un synonyme de dégénérescence . Pour qu'on n'en ignore, M. Magnan, asso- cie e
. Magnan, asso- cie et combine les deux termes, et il appelle des « dégénérescences héréditaires i, les individus marqués d'une tar
t Bouchereau, sont disposés à accorder, dans le développement de la dégénérescence mentale une part prépondérante au côté individu
ennent, souvent à reproduire la plupart des traits essentiels de la dégénérescence héréditaire, je crois que c'est encore à cette
de résistance qu'offre le support. En résumé, bien que, en fait de dégénérescence mentale, on doive accorder une place importante
s analogues. REVUE CRITIQUE LA PARANOÏA DÉLIRES SYSTÉMATISÉS ET DÉGÉNÉRESCENCES MENTALES Historique et critique; Par J. SÉGLA
classe, celle des psychoses à base de développement incomplet ou de dégénérescence héréditaire, qu'il place la Verrùcktkeit. Elle
hie fibreuse'des muscles de la face d'extension des avant-bras; une dégénérescence graisseuse des muscles des mollets, du triceps
des deux jambes. Le microscope confirme ces altérations, révèle des dégénérescences des troncs nerveux (radial, tibial postérieur,
Féré. L'arthritisme et l'herpétisme n'étant en somme qu'un mode de dégénérescence physique, il n'y a pas lieu de s'étonner que M.
ré des types constitutionnels asso- ciés à l'aliénation qui est une dégénérescence mentale. M. B. Séance du 27 décembre 1886. Prés
de toute excitabilité électrique, exceptionnel lementla réaction de dégénérescence ; - 30 les , lésions trophiques des muqueuses de
tionnelle. Or, ne sont-ce pas là des signes suffisants d'un état de dégénérescence mentale ? Morselli3 (1886) rapporte un exemple
ée fisse). (La psychiatria, 1885.) LA paranoïa. 399 festations de dégénérescence . D'autres, avec Berger', Kroepe- lin 2, Tamburi
générative fait partie du sous-groupe des Paraphrénies formé parles dégénérescences psychiques (Pa- raphrénies dépendant d'une cons
d'ailleurs parmi les observa- tions qu'il rapporte des exemples de dégénérescence mentale. Un autre élève de M. Magnan, M. Legrai
urs admettent une forme de Paranoia primitive entée sur un fonds de dégénérescence et dont l'existence est d'ailleurs indiscutable
plus ou moins le domaine et ne considèrent pas que le terrain de la dégénérescence mentale soit indispensable à la production de l
analyse histologique. Cécité psychique corticale=, surdité verbale, dégénérescence modérée des nerfs optiques, intégrité des yeux,
les fibres gustatives des nerfs trijumeau et glnsso-pharyngien). La dégénérescence des fibres blanches en rapportant la sphère vis
ns optiques de Gratiolet sont partiellement remplies de produits de dégénérescence ; atrophie extrême- ment faible à son début, de
e systématique que dans la sclérose en plaques. P. KÉR4VaL. XVII. DÉGÉNÉRESCENCE DES CORDONS DE GOLL CHEZ UN BUVEUR J par OSW. V
t atteint le bulbe, la moelle cervicaleet la moelle dorsale. Faible dégénérescence dans les parties latérales des cordons postérie
intégrité des noyaux des muscles et des fibres. L'auteur admet une dégénérescence primitive des cordons de Goll avec exten- sion
urs atteinte (douze fois sur treize), forme quelquefois un champ de dégénérescence au- tonome (trois cas) ; elle est généralement
62 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
me de 26 ans, d'une taille moyenne (1 m. 62), quelques stigmates de dégénérescence : la face et le crâne sont un peu asymétriques,
muscles sont un peu diminués de volume seulement, sans réaction de dégénérescence . La su- dation est, en général, très augmentée
inte et la plupart reproduisent le type de lésions, rapportées à la dégénérescence hyaline : épaississement et homogénisa- lion de
de fixation. Dans toute l'étendue de la moelle, il n'existe aucune dégénérescence systéma- tisée, mais une altération de la zone
isseaux de calibre moyen, entière- ment thromboses et ayant subi la dégénérescence hyaline, ou tout au moins très déformés, avec l
e dans la subs- tance grise, ainsi que de pelites hémorrhagies, des dégénérescences va- riées des fibres nerveuses, des altérations
istes (Hitzig, Munk, Schafer, Sanger, Brown, Ilorsley), l'étude des dégénérescences secondaires (Gudden, Von Monakow), les constata
rvées- [Scherb (1), Félix Allard (2)]. Mieux encore, la réaction de dégénérescence a été trouvée dans de nombreux cas (Ileubner, E
rs éléments, à diffé- rents stades de leur développement ou de leur dégénérescence , donne à chaque coupe un aspect particulier, et
entrale où la zone foncée contigue à deux vaisseaux est une zone de dégénérescence . Les parties claires corres- pondent aux faisce
res. Dans la coupe 2 par exemple, on trouve au milieu de la zone de dégénérescence centrale de nombreuses sections de deux petits
rtain toutefois, c'est que c'est à cette thrombose que ressortit la dégénérescence du tissu voisin. Dans toute la zone en rapport
e Goll. Cette sclérose névroglique accompagne une diminu- tion, une dégénérescence des tubes nerveux. Le canal épendymaire est ici
générale de la tu- meur, outre la thrombose centrale et la zone de dégénérescence environnante, offre à considérer diverses autre
texture néoplasique, les mêmes par- ticularités vasculaires, et une dégénérescence analogue. L'envahissement de la moelle est moin
érieure du cordon de Goll, et qui est le prolongement de la zone de dégénérescence signalée aux étages supérieurs de la moelle ; l
umineux et clairs, sont en voie de chromatolyse. Il y a de plus une dégénérescence graisseuse modérée, répartie irrégulièrement, e
ntertubulaires. Les cellules des tubes séminifères présentent de la dégénérescence granulo-pigmentaire ; elles ont une forme en ra
mal coloré. Ces cellules, nombreuses, représentent des éléments en dégénérescence colloïde. c. Cellules à noyau en caryolyse (ass
u prolongement ven- triculaire, les cellules sont presque toutes en dégénérescence colloïde, avec disparition ou mise en liberté d
ocytes polynu- cléaires et lymphocites, dont quelques-uns en pleine dégénérescence hyaline. Les plasmazellen, dont la significat
s, Magnan a établi qu'elles consistent surtout dans un processus de dégénérescence graisseuse avec tendance aux irritations chroni
phique dégénère et disparaît; le bout central demeure normal : 1 la dégénérescence secondaire n'intéresse que le neurone lésé. "114
intense, à une destruction des cellules des cornes antérieures avec dégénérescence plus ou moins marquée des racines antérieures, ne
ypothèse. xvi 23 338 DURANTE Quant au bout central, il subit la dégénérescence ou mieux l'atrophie rétrograde dont nous avons
ippel, hohnstamm, Elzholz, Itaimann, Wesphal, etc., etc. Enfin, les dégénérescences , tant wallérienne que rétrograde, ne se li- mit
il. aus, d. Zoolog. Station. Neapel., X, 1891). Durante (G.). De la dégénérescence rétrograde dans les nerfs périphériques et dans
nerveux (Soc. anat. et Soc. de Biol., 1894 ; Bull. méd ? 1895). Des dégénérescences secondaires du système nerveux. Dégénérescence Wa
l. méd ? 1895). Des dégénérescences secondaires du système nerveux. Dégénérescence Wallérienne et dégén. rétrograde (Thèse Paris,
5) et Congr. pour l'Avancement des sciences, Bordeaux, 1895). Des dégénérescences propagées. Altérations des cordons postérieurs co
edy. - On The Regen. of nerves. (Lancet, 1899). Klippel et Durante. Dégénérescence rétrograde dans les nerfs et les entres. (Rev.
les entres. (Rev. de méd., 1895). Klippel. Les Neurones et leurs dégénérescences (Arch. de Neurol., 1896). Kohnstamm. Ueb. retro
1250 gr. L'examen histologique permit d'y constater l'existence de dégénérescence graisseuse nodulaire, sans tubercules hépa- tiq
l. Les capsules surrénales présentaient à l'examen histologique une dégénérescence graisseuse assez accentuée de la région cortica
res et des dents de nos chevaux, et les stigmates physiques dits de dégénérescence réunis, en médecine humaine par MM. Morel et Ma
il importe donc de multiplier les observations, et les stigmates de dégénérescence reconnaîtront sans doute, chez le cheval, la même
x bien caractérisé et des stigmates physiques dystrophiqueS dits de dégénérescence plus ou moins accusés, on admet- tra volontiers
s physi- ques, analogues aux tares psychiques ou physiques dites de dégénérescence constatées chez les humains. L'habitude morbi
63 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rence, paraissant avoir dix-huit ans. Pas de stigmates physiques de dégénérescence . Poly- sarcie très accusée ayant produit des ve
ière, c'est-à-dire dans la région postérieure de l'hémisection, une dégénérescence secon- daire est très peu marquée : elle se con
mière était obstruée par des grains de pigment accumulés. En outre, dégénérescence du faisceau pyramidal droit, que l'on suivait d
moins altérés, quelle qu'ait été la forme de la lésion ini- tiale ( dégénérescences descendantes, paralysie générale), on voit, au
ment limitée à la substance grise de la moelle. P. K. XVII. DE L1 dégénérescence kystique DE l'encéphale; par A. PICK. (Arch. f.
as d'anatomie pathologique avec histologie. On y trouve deux cas de dégénérescence des faisceaux latéropyrami- daux, six observati
égénérescence des faisceaux latéropyrami- daux, six observations de dégénérescence des cordons postérieurs, quatre faits de dégéné
I. 9 130 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 1° une dégénérescence totale du nerf optique gauche; 2° une dé- génér
. Intégrité de la moelle, du bulbe, des racines des nerfs crâniens, dégénérescence des nerfs périphé- riques ; légère dégénérescen
s nerfs crâniens, dégénérescence des nerfs périphé- riques ; légère dégénérescence des muscles. Observation IL Allures cliniques d
e, 1)lépharuptose, nystagmus, tachycardie. Intégrité de la moelle ; dégénérescence atrophique des nerfs périphériques, lésions inf
embryonnaire (Kronthal). c. Chez un paralytique général affecté de dégénérescence mar- quée des cordons latéraux, moindre des cor
ion des pupilles à la lumière. Après la mort du sujet, à côté d'une dégénérescence ta- bélique, d'une méningite de la région lomba
ennes; on l'observe sur 61 p. 100 des délinquantes. Les signes de dégénérescence physiques n'ont aucune valeur sé- méiologique a
bilité mentale et la tendance au délire systématique. Les signes de dégénérescence physique y compris le tatouage se re- trouvent
s cas où les troubles fonction- nels sont greffés sur un terrain de dégénérescence , l'hypnotisme n'est pas applicable. Quant à l'u
alade de la maladie de Lasè gue (délire des persé- cutions et de la dégénérescence mentale héréditaire). A propos de l'épilepsie i
aire). A propos de l'épilepsie il étudie les délires soit liés à la dégénérescence , soit liés à l'alcoolisme, soit liés à la malad
quand nous trouvions, au bout d'une année à peine, une réaction de dégénérescence si profonde, et aussi quand nous cherchions en
eins, le coeur et la fibre musculaire elle-même sont envahis par la dégénérescence granulo-graisseuse, et le cerveau même dans les
en outre des lésions viscérales caracté- ristiques de l'alcoolisme ( dégénérescences cirrhotiques du foie,etc.), 31 ne présentaient
interstitielle. 11 semble démontré aussi que l'alcool détermine la dégénérescence grais- seuse des organes, et les essences, au c
ue l'altération parenchymateuse, elle, était constante; c'était une dégénérescence granulo-pigmentaire du protoplasma des cellules
mentaux intérieurs, soit de signes physiques ou psychiques dits de dégénérescence ; et la responsabilité partielle quand, en l'abs
coups, etc ), il peut enfin n'avoir que des stigmates physiques de dégénérescence démontrant une organisation anormale; dans ces
hypochondriaque. Hérédité névropathique. Stigmates psychiques de la dégénérescence (émotivité, superstitions, topopbol>ie).A1'âge
stérie et l'hypochondrie sont unies par des liens très étroits à la dégénérescence héréditaire dont elles ne sont, en réalité, qu'
avec un état men- tal qu'on peut faire rentrer dans le cadre de la dégénérescence . Il SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 s'agit d'une femme
adie mentale. Ce sont des vic- times fatales de leur hérédité et la dégénérescence qui pèse sur leur vie et leur évolution intelle
ence qui pèse sur leur vie et leur évolution intellectuelle est une dégénérescence due à l'alcoolisme de leurs géniteurs. L'auteur
ète de la vaccine descendante de la cinquième paire des deux côtés; dégénérescence des groupes de cellules décrits par Westphal au
Elle montre encore que la lésion de l'hémisphère droit entraîne une dégénérescence secondaire de la couche optique et du faisceau
xamen microscopique des nerfs craniens a révélé des phénomènes de dégénérescence très marqués dans toutes branches de la Ve paire
de dégénéres- cence ni de ramollissement; 3° qu'il n'y avait pas de dégénérescence secondaire, ce qui semble indiquer que chez le
i détruit la substance blanche du même lobe (Obs. 111) détermine la dégénérescence du corps genouillé la- téral et de la bandelett
res myéliniques de l'écorce et de la substance blanche ont subi une dégénérescence parallèle, mais partout on constate la conserva
ôt rendre à ses affaires. Cependant quelques stigmates physiques de dégénérescence très accusés, en même temps que quelques rétice
70. ELECTROTIIÉnAPEUTIQUE, par Rep- rnann, 137, 140. Encéphale, dégénérescence kvstique de l ? par Piclç, 129. Encéphalite a
64 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
es confirmées et aussi dans un certain nombre de pyschoses liées à la dégénérescence héréditaire. Dans ces cas là, l'absence de consen
ans toutes les classes de la société, parce qu'il y a, partout, de la dégénérescence , laquelle est le terrain favori de l'inversion se
souvent, desstigmates physiques, toujours des stigmates psychiques de dégénérescence . Coffignon et tous les autres auteurs nous cite
que l'inversion sexuelle pure est congénitale, innée et basée sur une dégénérescence , sans que tout homosexuel doive nécessairement pr
t homosexuel doive nécessairement présenter des stigmates visibles de dégénérescence . Je ne crois pas à une homosexualité acquise ; ce
PÉDAGOGIE DES ENFANTS ANORMAUX L'onychophagie est-elle un signe de dégénérescence ? Un rédacteur de la Province médicale qui s'ér
gner les rongeurs d'ongles ei aussi l'opinion qui en fait un signe de dégénérescence . Il considère qu'il y a là une exagération mani
n doit une étude des plus remarquables sur \Hérédité des stigmates de dégénérescence dans les familles souveraines, a provoqué naguère
gnatisme de la mâchoire inférieure constituait un signe indéniable de dégénérescence : un certain nombre de prognates inférieurs se so
ervation psychologique ne peut laisser de doute, non seulement sur la dégénérescence de ces prognates impériaux ou royaux, mais aussi
ophagie est non seulement un stigmate des plus caractéristiques de la dégénérescence , mais qu'elle constitue une habitude particulière
ée impuissante. D'ailleurs, si l'onychophagie n'était pas un signe de dégénérescence , elle n'en serait que plus déplorable, car elle t
ifficile d'étayer notre opinion que l'onychophagie est un stigmate de dégénérescence par la publication d'observations des plus proban
es manifestations anatomiques, physiologiques et psychologiques de la dégénérescence humaine. Conférence par M. le Dr Bérillon (avec p
ait. Discussion Dr Bèrillon. — C'est une loi biologique que toute dégénérescence se. complique de parasitisme. Le chantage est
rente : on est autorisé à la considérer comme une manifestation de la dégénérescence héréditaire. L'inversion sexuelle aurait donc u
PÉDAGOGIE DES ENFANTS ANORMAUX L'onychophagie est-elle un signe de dégénérescence ? (1) Depuis plusieurs années, nous avons eu à
PÉDAGOGIE DES ENFANTS ANORMAUX L'onychophagie est-elle un signe de dégénérescence ? (1) (Suite) Mon cher Directeur, Je viens de
Onychophagie s'est montrée comme un des symptômes les plus nets de la dégénérescence . Leur intérêt s'efface devant l'énormité du cas q
; il s'agit de prévenir le mal, d'empêcher l'épanouissement de cette dégénérescence qui tous les jours éclôt sous les yeux même des p
es, dressées à la prostitution, ensemencées pour la propagation de la dégénérescence . Or il n'y a rien, en tant que traitement social
s doute, mais trop souvent négligé, et dont l'oubli est un facteur de dégénérescence . M. Julien Bay traite alors le grand problème d
re). ¦ PÉDAGOGIE DES ANORMAUX L'onychophagie est-elle un signe de dégénérescence ? (1) I. L'OXTCHOPHALGIE DASS ShAKSPEABE Mon
Ce n'est pas le fait de ronger ses ongles qui constitue un signe de dégénérescence . L'animal qui se trouve géné par la longueur de s
dents. Un homme privé de canifs ou de ciseaux peut, sans être taxé de dégénérescence , recourir à ses dents pour rogner ses ongles, qua
l'idée du suicide. Cette prédisposition névropathique, cet état de dégénérescence mentale est bien mis en lumière par l'analyse psy
que l'on est persuadé qu'il ne s'agit pas d'un vice, comme tel. ni de dégénérescence ou de maladie, mais bien d'une variation du sens
lus d'une anomalie, — encore légère, — qui n'entraîne pas toujours la dégénérescence . Alors même, l'acte réellement sodomiqne, quoique
résultent d'interprétations fausses qui sont des manifestations de la dégénérescence héréditaire ; ces malades ne peuvent chasser
ons permanentes des centres nerveux, causées par l'intoxication ou la dégénérescence . On peut, sem-ble-t-il, le surprendre en germe ch
culière pour son groupement normal, par suite. le plus souvent, d'une dégénérescence héréditaire, semble porter en elle le germe des f
timentalisme pathologique, représentent les formes prodromiques de la dégénérescence mentale. « N'écoutez pas les sophistes, écrivait
ux qui ne sont pas profondément touchés par l'action destructive delà dégénérescence le sens olfactif présidait à la sélection naturel
cas de débilité mentale ; 15 cas de débilité mentale ; 17 cas de dégénérescence mentale avec, dans la plupart des cas. débilité e
nfantile, il ne faut donc pas seulement lutter contre ces facteurs de dégénérescence mentale, la tuberculose. • la syphilis, et surtou
z des enfants, par Régis, p. 366. Onychophagie est-elle un signe de dégénérescence (L'), p. 27, 57, 88, 115. Opium (Un couple de f
65 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ÉTERMINATION DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES ET A LA PATHOGÉNIE DES DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAIRES DE LA MOELLE; Par le D Mabtial HUBL
faisceau pyramidal, a été remarquablement éclairée par l'étude des dégénérescences secondaires : c'est ainsi que MM. Charcot et Bo
utres artères de l'encéphale, et a subi dans une certaine mesure la dégénérescence athéromateuse. Adhérences nom- breuses des méni
in, Erb. se rallie à la doctrine française, laquelle rattache aux dégénérescences secondaires descendantes ces contractures, et e
llis jusqu'aux dernières terminaisons des deux côtés. Nulle part la dégénérescence n'est aussi complète que dans les tuniques des
ntractures tardives et permanentes : ces signes appar- tiennent aux dégénérescences scléreuses secondaires descerz- daiites (que no
rayonnante, a entraîné, tout tri respectant la capsule interne, une dégénérescence bien constatée du faisceau pyramidal, ce qui es
la maladie, il est souvent donné d'observer des signes physiques de dégénérescence . Tels sont, par exemple : une implantation vici
es génitaux, l'hermaphrodisme, etc. Voilà des signes indéniables de dégénérescence phy- sique. Pourquoi ne pas admettre que simult
scence phy- sique. Pourquoi ne pas admettre que simultanément une dégénérescence intellectuelle puisse se développer ? Le cervea
athogéniques, aux phénomènes morbides complexes aboutissant à une dégénérescence ? Dès lors, n'est-il pas logique d'admettre à c
t désormais impossible de séparer l'un de l'autre ces deux termes : dégénérescence mentale et folie héréditaire si l'ouveut bien a
rmalement constitués. Notons encore d'autres stigmates physiques de dégénérescence : le corps est petit; la tète peu développée; l
et à un état syncopal rapidement mortel. Frerichs admet aussi une dégénérescence et une destruction granulo-graisseuse des fibre
orsale qu'existe un épanchement sanguin de 3 cen- timètres de long; dégénérescence grise des cordons postérieurs. REVUE DE patholo
lésion est, dans l'espèce, le vaisseau. Autre preuve : les zones de dégénérescence descendante secondaire ne décèlent aucune trace
électrique n'est modifiée que quantitativement, sans réaction de dégénérescence . Les réflexes tendineux ne disparaissent en gén
ains autres, l'absence de contractions fibrillaires, de réaction de dégénérescence , la conservation des réflexes tendineux, la len
racine ascendante droite de ce nerf atteinte par propagation de la dégénérescence du cordon postérieur du même côté. Pas d'autops
an doivent entrer dans le groupe de la folie héréditaire, comme ces dégénérescences reconnaissent à l'origine des états morbides ch
ncéphale ; coeur extrêmement gras, athérome aortique très prononcé, dégénérescence grais- seuse modérée des deux reins, métrite ch
nérescence des ovaires n'autorise pas ce diagnostic après coup. La dégénérescence du coeur est remarquable, sans qu'on puisse en
allemand.)- Il existe deux sortes de tabès. L'une se rattache à une dégénérescence interstitielle du tissu conjonctif qui accompag
ncontre, dans les cas où la guérison est produite cliniquement, des dégénérescences extrêmement diffuses dans les cordons postérieu
mie). Emploi de l'analyse spectrale du sang pour le diagnostic des dégénérescences hématiques. N. Hallager. Les troubles psychique
lement les noyaux. Dans les quatre cas, atro- phie du nerf optique, dégénérescence grise des cordons pos- térieurs' à divers degré
ale, auxquels se joignent alors l'atrophie des nerfs optiques etjla dégénérescence grise des cordons postérieurs. Il faut principa
en particulier les hypo- gtosses et les récurrents, présentent une dégénérescence remar- quable. On n'a pas encore terminé l'exam
même de la constatation d'un exsudat albumineux interstitiel, d'une dégénérescence graisseuse et du ramollisse- ment cérébral, de
uche est normal. Le rein droit présente quelques points atteints de dégénérescence graisseuse. Le foie et la vésicule pèsent ensem
oie et la vésicule pèsent ensemble 1,730 gr. Le foie est en voie de dégénérescence graisseuse et amyloïde. Rate normale. Les int
tion qui soit constante et qu'on ne puisse rapporter à une cause de dégénérescence autre que l'hérédité de la folie. Comme signes
106. Raisonnement (psychologie du), par Binet, 447. Réaction de dégénérescence et phé- nomènes tendineux-, par Bernai;, 423.
66 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
lisme ou la débauche des générateurs les a dotés de funestes tares de dégénérescence telles que idiotie, imbécilité, gâtisme, j'estime
d presque toujours, que nous y trouverons des traces ou des causes de dégénérescence . De plus, toujours, nous verrons que ces sujets s
fonctionnelles, on donne précisément le nom de stigmates physiques de dégénérescence . Il faut des conditions exceptionnelles pour qu
ébiles. A côté de la sphère physique, souvent touchée (stigmates de dégénérescence , parésies, atrophie, etc.), la sphère morale est
trouve dans les derniers de sa classe, et, pour peu qu'un stigmate de dégénérescence quelconque (oreilles mal implantées, prognatisme,
iles, enfin, ceux qui représentent les degrés les plus profonds de la dégénérescence et dont la place est dans un hospice spécial ou d
ez les enfants atteints d'hystérie, d'épilepsie, de chorée et même de dégénérescence mentale, l'indocilité n'est pas fatalement causée
vez sur les traits de leurs visages tous les stigmats physiques de la dégénérescence . Ces individus sont atteints d'idiotie congénit
traits sont réguliers. Elle ne présente pas de stigmates apparents de dégénérescence physique. Jusqu'à l'âge de onze mois, elle a prés
sieurs autres enfants du même âge, porteurs de stigmates physiques de dégénérescence physique très accentués, ne cessent de faire des
et nerveuses, mais une partie importante est consacrée à l'étude des dégénérescences mentales et des psychoses chez les enfants. Les l
rrespondent à la responsabilité atténuée ». Il y a des degrés dans la dégénérescence ; ils occupent tous cette zone mitoyenne. Le ma
abilité sur le même chef. Enfin, qu'est-ce que c'est qu'un degré de dégénérescence ? « Ce sont précisément les degrés de I'anormalit
ient déterminé à considérer l'onychophagie comme une manifestation de dégénérescence . Pour donner satisfaction à notre aimable corre
it môme des anomalies des organes génitaux, il verra là des signes de dégénérescence qui lui permettront d'asseoir son jugement, en at
e Ireland, Jacoby, Brachet, Galippre, ont démontré l'influence que la dégénérescence héréditaire a exercé sur le sort de familles roya
les troubles psychopathiques se rattachent plutôt à ces formes de la dégénérescence mentale héréditaire dans lesquelles dominent tant
rvé dans l'histoire le surnom de l'Ivrogne, fut en réalité atteint de dégénérescence héréditaire se traduisant par de la dipsomanie.
ur, Myriam, qui présentaient, tous les deux, des signes manifestes de dégénérescence mentale ; Myriam était une musicienne exaltée et
tc. Jeudi 25 juin. — Les anomalies physiques. — Les stigmates de la dégénérescence . Jeudi 2 juillet. — Les paranormaux. — Les faux
ux. — Les enfants mal élevés. Jeudi 9 juillet. — La lutte contre la dégénérescence . — Les établissements médico-pédagogiques. Les
présenté, à un degré plus ou moins accentué, les manifestations de la dégénérescence mentale héréditaire. Plusieurs, bien que possesse
observateur impartial sera frappé de ce fait, qu'avant d'aboutir à la dégénérescence , les dynasties musulmanes, avaient traversé de lo
un trop grand nombre de cas, des potentats déséquilibrés, atteints de dégénérescence mentale, se sont livrés aux pires excentricités.
ès bien développée, très instruite, ne présentant pas de stigmates de dégénérescence ; elle a été, auparavant, en vacances pendant six
sin ont observé chez leurs onychophages d'autres manifestations de la dégénérescence , telles que l'incontinence nocturne d'urine, les
es confirme le plus souvent, dit M. le Dr Bérillon, la présomption de dégénérescence héréditaire. « I* est extrêmement fréquent de ret
ie, mais aussi les tares physiques et psychiques les plus variées. La dégénérescence dans certaines familles fertiles en onychophages
elle soit susceptible, comme bon nombre d'autres manifestations de la dégénérescence , de présenter des degrés de gravité très atténués
la pensée que l'onychophagie puisse être considérée comme un signe de dégénérescence . Il ne s'agit là que de la protestation intéressé
67 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ar lui, ne méritent aucune confiance, divers stigmates physiques de dégénérescence : tête, assez symétrique, mais, cylindrique, ha
erminaison probable). P. Keraval II. Contribution A la question DES dégénérescences secondaires dans LE pédoncule cérébral; par V.
CCIfTEREI1'.(A7·CIt. f. Psych., XIX, 1 .) Il existe une espèce de dégénérescence descendante qui se dirige du genou de la capsul
euf ans. Sorte de lésion systématique combinée, caractérisée par la dégénérescence de diverses parties des cordons postérieurs et
res cas, on avait affaire à des affections mon- tales chroniques de dégénérescence plutôt qu'à des étals aigus. L'auteur rappelle
t malades chez les aliénés ; mais si l'on tient compte de l'âge, la dégénérescence athéroma- teuse des tuniques artérielles ne par
é les côtes, dont le tissu osseux était d'ailleurs dans un état de' dégénérescence très accusé. L'auteur a pensé qu'il y avait int
des membres, enfin des différents signes de troubles nerveux ou de dégénérescence . Ces recherches élimine- raient de l'école un c
interne dans son segment postérieur. - Dans la première, absence de dégénérescence secondaire du faisceau pyramidal. Dans la secon
e dégénérescence secondaire du faisceau pyramidal. Dans la seconde, dégénérescence secon- daire partant de l'endroit détruit pour
es de la salivation et de l'urine, recherche de l'ovarie, signes de dégénérescence physiques; pour ne mentionner que les principau
stituer à la guillotine l'élec- tricité. Marcel l3atlooot;v. 111. Dégénérescence et criminalité. Essai physiologique, ' par Ch.
tent entre la maladie et le crime : la criminalité est une forme de dégénérescence et c'est comme telle qu'on la doit considérer p
e explication suffisante de ce lien dans l'origine commune de ces dégénérescences , ce qui lui est prétexte à un intéressant chapitr
dans ses dernières divisions; les parois des vaisseaux ont subi la dégénérescence REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 273 graisseuse.
ieu que le noyau change déforme. Les fibres nerveuses subissent une dégénérescence graisseuse analo- gue etdiminuent de nombre. Ce
e dégénérescence graisseuse analo- gue etdiminuent de nombre. Cette dégénérescence est plus avan- cée dans la circonvolution de la
quadriju- meaux et la protubérance sont aussi'le siège de la même dégénérescence . En général, les lésions atrophiques de la moel
érieur, pour-, se terminer dans le noyau de la troisième paire. ; Dégénérescence de la commissure blanche antérieure. Le', D'' P
a commissure blanche antérieure. Le', D'' Popoft a publié un cas de dégénérescence de la commissure i antérieure. On admet que que
ue les animaux eussent survécu assez long- temps. Il a constaté les dégénérescences classiques du faisceau pyramidal des cordons de
ns de Goll et du faisceau cérébelleux direct. Il n'a pas observé la dégénérescence de la région dé- crite par Gowers et Bechterew.
arc réflexe.. Enfin l'appareil intellectuel ressort net- tement des dégénérescences typiques de l'idiotie, et forme un cercle fermé
L'anatomie pathologique consisterait, d'après huit autopsies, en : dégénérescence funiforme de la moelle soit exclusivement dans
éduit à la statistique pour distinguer la répétition atavique de la dégénérescence acquise. Mais par ce procédé, n'avait-on pas ja
de. Lui porte d'une manière évidente des stigmates physiques, de la dégénérescence héréditaire, asymétrie faciale, oreilles très g
l'endothélium des capillaires est tuméfié. On trouve par places la dégénérescence graisseuse et pigmentaire. On rencontre souvent
ïde et peu colorable par le carmin. Plus souvent encore il subit la dégénérescence granuleuse, qui se propage du centre à la périp
su conjonctif. M. Popoff a observé la vacuolisation, mais jamais la dégénérescence graisseuse des éléments nerveux. Dans les autre
des préparations provenant d'un cas de maladie de 't'eat. Outre la dégénérescence des cordons postérieurs et d'une zone périphéri
cation arsenicale aiguë. Rct'tte de Médecine, n° 2'r, 1887. De la dégénérescence secondaire de la commissure blanche antérieure
écaniques, mais aussi chroniques et insidieuses, à des processus de dégénérescence , à des affections fonction- nelles (psychoses,
alysie dans le mal de Polt, par Althaus, 290. Pédoncule cérébral ( dégénérescences secondaires dans le), par Bech- terew, 109.
68 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
de la moitié droite du corps, la face exceptée. Pas de réaction de dégénérescence des muscles atrophiés. Réactions normales. Se
ue. - Bulletin médical, 1888, p. 1126, 11 Il. 3. Des rapports de la dégénérescence mentale et de l'hystérie. Th. Paris, 1883. h. C
mental qui lui est propre, présenter les stigmates psychiques de la dégénérescence mentale si bien mis en lumière par M. Magnan et
intes de la « folie des antiviv'isectionnistes », autre stigmate de dégénérescence mentale, hystériques ces femmes à perversion se
entant en outre les stigmates psychiques les plus indéniables de la dégénérescence mentale; puis nous avons également soumis à l'ob-
es non dégénérés. Dans tous les cas, après avoir fait la part de la dégénérescence , cette notion de la suggestibilité nous a paru
s- 1. Leçons du mardi (loc. cit.), 1888-1889, p. 392. « Hystérie et dégénérescence chez l'homme. » 2. Essai surla nutrition dans
érie, nous l'avons dit, peut se trouver associée à des stigmates de dégénérescence mentale. Après ce que nous avons exposé, la que
tion se résume tout entière dans le diagnostic, et ces stigmates de dégénérescence qu'on a encore de la tendance à englober dans le
deux éléments : suggestibilité hystérique d'une part, stigmates de dégénérescence mentale de l'autre. De plus, il avait bien soin d
ant l'hystérie peut éclore concur- remment avec les stigmates de la dégénérescence mentale. Chez eux l'hystérie peut guérir, mais
s attaques de nerfs, mais ce qui domine, le fond immuable, c'est la dégénérescence mentale. Et pour- tant combien de ces cas ne so
888-1889, p. 191. 68 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S \LP);1'RIEItE. dégénérescence mentale ne se met pas de la partie, beaucoup plus
n'est plus vague, on le voit; rien ne se rapporte mieux aussi à la dégénérescence mentale dont les stigmates n'épargnent pas plus
faut pas oublier de distraire de cet état men- tal les stigmates de dégénérescence qui pourraient dénaturer l'état psychique des h
place de petites taches rouges. Hislologiquement. -Il s'agit d'une dégénérescence aiguë des cellules ganglionnaires des cornes an
is. M. Erb peut constater à ce moment la présence de la réaction de dégénérescence dans le jambier antérieur gauche. Sept mois a
périeur droit est complètement indemne. Il existe de la réaction de dégénérescence (examen de Erb) dans les muscles des jambes, et
xploration électrique fit reconnaître l'existence de la réaction de dégénérescence (complète et partielle) dans certains groupes. Au
dres hyalins d'une sub- stance foncée qui paraissent provenir de la dégénérescence hyaline de globules sanguins. On trouve enfin q
nerf médian présentait, il est vrai, quelques fibres ayant subi la dégénérescence parenchymateuse; mais cette faible altérationne
ralysie progressive de tous les nerfs crâniens les mêmes lésions de dégénérescence inflammatoire dans les noyaux mo- teurs des yeu
urs de la moelle; les cordons latéraux présentent un léger degré de dégénérescence . C'est à un autre cas de syringomyélie que se r
69 (1913) Exposé des travaux scientifiques
de ce phénomène ? Et d'abord, quelle est la cause de la réaction de dégénérescence qui apparaît à la suite de certaines lésions de
énérés. Mais si l'on considère que les caractères de la réaction de dégénérescence peuvent apparaître dans certains muscles, ceux
s à peine appréciables, il y a lieu de penser que cette réaction de dégénérescence tient, au moins pour une part, à ce que le musc
apportent un cas d' « inversion du réflexe du radius et réaction de dégénérescence dans les muscles biceps et long supinateur ». L
r systéma- tiquement, en particulier dans les cas où la réaction de dégénérescence obtenue par les procédés habituels semble compl
ment guérir dans un délai de quelques semaines quand la réaction de dégénérescence fait défaut; ils four- nissent ainsi une donnée
de lésions profondes de la moelle; il n'existait pas, en effet, de dégénérescence de ses faisceaux longs, et l'examen clinique avai
és, il n'y avait ni abolition complète des réflexes, ni réaction de dégénérescence . 110 Enfin, nous avons constaté au membre supér
rragie dans la substance blanche de l'hémisphère du même côté, avec dégénérescence homolatérale partielle de l'olive cérébelleuse,
supérieur et inférieur et de l'olive bulbaire du côté opposé, sans dégénérescence médullaire». L'hémiasynergie de la jambe droite
IONS DE L'ENCÉPHALE faisceau cérébelleux descendant qui ont subi la dégénérescence ré- trograde. Nous avons vu les lésions du ru
, sectionnées en grand nombre par un foyer unique, forment par leur dégénérescence des boules beaucoup plus petites que les fibres
ES GLANDES A SÉCRÉTION INTERNE pleine évolution hyperplasique, avec dégénérescence myxomateuse du stroma conjonctif. « Les ovair
té des centres réflexes de la moelle, telle que peut la produire la dégénérescence du faisceau pyramidal «M. Babinski n'admet pas
'usage d'engrais artificiels. D'une particularité de la réaction de dégénérescence (Société de Neurologie, 12 janvier I 10). i i
ical, 17 janvier igio). 166. Hypotonicité musculaire et réaction de dégénérescence (Société de Neuro- logie, 10 février igio). 1
aux, 22 mars 1(12). 190. Contribution à l'étude de la réaction de dégénérescence . Excitabilité fara- dique latente. Possibilité
70 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
électrique, récemment pratiqué, montre que la réaction partielle de dégénérescence tend, à l'heure actuelle, à s'amender. Veuillez r
les paralysés nous a révélé l'existence d'une réaction partielle de dégénérescence . Cette réaction dénote, comme vous le savez, qu
muscu- laire est fort peu accusée, et les signes de la réaction de dégénérescence tendent, si je puis m'exprimer aussi, vers la r
n raison de l'âge du sujet), n'a révélé aucune trace de réaction de dégénérescence . Sans préjuger la nature intime, la lésion céré
emarque la congestion de la substance grise, mais on ne note pas de dégénérescence grise des cordons latéraux ou postérieurs, si c
l'aspect du foie muscade.-4'"1' Les reins paraissent atteints de dégénérescence graisseuse. EXAMEN IIISTOLOGIQUE DE LA MOELLE É
de la lumière que leur étude a jeté et pourra jeter encore sur les dégénérescences secondaires des cordons postérieurs, et sur la co
un exemple.' Soit dit en passant, la constatation de la réaction de dégénérescence , coexistant avec de l'atrophie musculaire, a un
aralysie de la vessie et du rectum. L'autopsie a révélé un foyer de dégénérescence , limité au cône terminal, plus étendu à droite
trouvé une méningite spinale chronique de la queue de cheval, avec dégénérescence secondaire des cordons postérieurs. Il est à pr
ie musculaire ou seulement des traces, les signes de la réaction de dégénérescence faisant défaut. Mais je me garderai bien d'attrib
ctrique des nerfs et des muscles donne les signes de la réaction de dégénérescence . La sensibilité est abolie dans toute l'étendue
en électrique des muscles paraly- sés fait constater la réaction de dégénérescence . Les muscles delà face an- térieure de la cuiss
s ce qui précède, j'ai laissé volontairement de côté l'histoire des dégénérescences du cordon postérieur, consécutives aux af- fect
uver aucun chan- gement de volume ou de consistance, aucun signe de dégénérescence , aucun des caractères propres aux tumeurs squir
énéral colorée on brun pâle. L'aorte présente de nombreux foyers de dégénérescence graisseuse, consta- tées il l'examen microscopi
e nous venons de décrire représentaient d'une manière très nette la dégénérescence descendante clas- sique. Bulbe rachidien. Com
langue. Notons la contrac- ture précoce des membres paralysés el la dégénérescence descendante du faisceau pyramidal, symptômes et
nts, tantôt bien colorés, tantôt diffus dans une cellule en voie de dégénérescence . En un mot ce sont des leucocytes essen- tielle
par l'agent morbide de la syphilis, ces leucocytes sont en voie de dégénérescence en bien des points et le terme d'infiltration p
s, mais la vitalité de ces éléments persiste. Il en résulte que les dégénérescences secondaires sont relativement minimes. A l'oeil
n d'une lésion arrêtée dans sa marche et en voie de guérison. Les dégénérescences secondaires de la moelle sont très peu marquées
rièveté de la maladie. Néanmoins on voit sur la figure 5 une légère dégénérescence irrégulière dans l'aire du faisceau pyramidal ;
égénérescence irrégulière dans l'aire du faisceau pyramidal ; celte dégénérescence , dont la signification n'est pas absolument clair
gures 1 et 2 montrent dans les faisceaux de Burdach une très légère dégénérescence symétrique ; cette dégénérescence, qui existe d
sceaux de Burdach une très légère dégénérescence symétrique ; cette dégénérescence , qui existe dans des points où la basé de la corn
pour qu'il ne soit pas nécessaire de chercher ailleurs que dans sa dégénérescence mentale des éléments d'appréciation pour le dia
ue ceux-ci réagissent normalement et qu'il n'y a pas de réaction de dégénérescence , bien que la contractibitité fara- dique (appar
71 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nts pathogénétiques : fièvre, hyperthermie, troubles circulatoires, dégénérescences parenchymateuses, consomption du tissu nerveux,
la propension 138 SOCIÉTÉS SAVANTES. aux fluxions et stages, les dégénérescences séniles imposent une ltru-. dence spéciale dans
e par toute une série de générations et elle est l'expression d'une dégénérescence de l'espèce (Morel). La maladie, au lieu d'avoi
d'atrophie des circonvolutions ascen- dantes explique l'absence de dégénérescence descendante et de contractures permanentes. Qua
droite du renflement cervical de la moelle, plus tard compliquée de dégénérescence secondaire dans les deux cordons postérieurs. A
hésique des symptômes observés. Les muscles offrent quelquefois une dégénérescence fibreuse plus ou moins avancée ou des induratio
l regarde comme un symptôme lié à un degré plus ou moins élevé de dégénérescence . Ayant, du reste, fait un relevé des faits obse
s hypochondriaques, les hallucina- tions et les signes physiques de dégénérescence . Observation IV. Famille d'excentriques : père
vé ctles facultés mal équilibrées, présente des signes physiques de dégénérescence ; son crâne est mal conformé; la bosse frontale
morbide saillant, s'asso- mélancoliques sur'un sujet enta- ché de dégénérescence . ,, i m .nOi i iln I ')' ' Ces i quatre cas "
ffèrepjl eurl$ICies autres que par le degré plus ou moins accusé de dégénérescence intellectuelle. Si, quittant le domaine de la
Sperimenlale, <878,p. t)6t). La prolifération nu- cléaire et la dégénérescence pigmontaire qu'accepte d'ailleurs Eulenburg dan
ions avec lesquelles elles sont incompatibles ; telles la série des dégénérescences anatomiques dont les gra- nulations de Pacchion
adique et galvanique est la même des deux côtés. Pas de réaction de dégénérescence dans les muscles émaciés de la jambe'droite. Ev
) de la moelle dorsale inférieure avec dépôt pigmentaire abondant : dégénérescence ascendante et descendante. Cette pigmentation
ire. Le processus devrait être considéré comme une combinaison de dégénérescences pseudo-secondaires et de dégénérescences asysté
é comme une combinaison de dégénérescences pseudo-secondaires et de dégénérescences asystématiques, mais sous la forme purement spi
asystématiques, mais sous la forme purement spinale. P. K. XXXIII. Dégénérescence I'UNIb'OR : 11E DES CORDONS postérieurs DE LA M
olff. (Archiv. f. Psch. u. 1)'ei,veizk, XII, 1.) Le processus de la dégénérescence grise des cordons posté- rieurs (tabès dorsal)
aississement de la pie-mère au niveau des cordons posté- rieurs, la dégénérescence grise des cordons postérieurs et celle des cord
région supérieure de la moelle, au-dessous de la protubérance, sans dégénérescence ; des mêmes manifestations du côté de la pie-mèr
êmes manifestations du côté de la pie-mère lombaire accompagnées de dégénérescences marginées, malgré la bénig- nité et la faible é
ne à constater la confirma- tion de l'allégation de Pierret, que la dégénérescence des cor- dons de Goll, dans la région cervicale
pinion de Westphal que l'ataxie des membres inférieurs dépend de la dégénérescence des rubans externes des cordons postérieurs, co
ns des cas cliniquement analogues, il y . a lieu de noter qu'aucune dégénérescence morale n'accompa- gnait ici l'extrême abaisseme
369. Moelle (affections de la), localisa- tion, 395. Moelle ( dégénérescence funiforme des cordons postérieurs de la) acco
72 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t déjà-un fond'primitif de débilité, dû le plus souvent à quelque dégénérescence héréditaire. Au cours de l'évolution vésanique,
° Alors, que les procèdes de durcissement de la moelle accusent une dégénérescence symétrique des cordons postérieurs a la limite
ruction avec une portion' des' fibres profondes de la protubérance. Dégénérescence des feuillets médian et latéral du ruban de Rei
ventricule, où le ruban de Reil a en tota- lité disparu ; plus bas, dégénérescence du ruban. Les fibres motrices 'moyennes- et lat
ous'de'la'toisièine'paire ' cervicale.' Il est à' remarquer que les dégénérescences 'secondaires 'sontcaractérisées : au-dessoûsduf
r génératrice (embolie). Dans ce dernier cas, elles sont suivies de dégénérescence descendante; 8° les défauts de substance congén
us-jacente de deux millimètres environ d'épaisseur. Pas de trace de dégénérescence secondaire. L'examen histologique, à l'état fra
, mais qui sont distinctes aussi par les réactions chimiques, de la dégénérescence dite amyloïde. Cette lésion se caractérise prin
fait une communication, accompagnée de pièces ? il l'appui, sur la dégénérescence grise du pédoncule cérébelleux supé- rieur, pub
phalite) interstitielle généralisée de l'artérite de Heubner, de la dégénérescence sléalopigmentaire du noyau de l'oculo-moteur co
rescence sléalopigmentaire du noyau de l'oculo-moteur commun, de la dégénérescence des pyramides dans les cordons latéraux (prépar
ssIOn. ' , Aitciuvrs, l. VI. HJ 290 BIBLIOGRAPHIE. . Quant à la dégénérescence graisseuse du coeur qu'il a vue quel- quefois t
riques^et en forme de sac; les glandes bronchiques présentaient une dégénérescence caséeuse. Le coeur n'avait rien d'anormal. Su
te première investigation nons prouva que nous avions à faire à une dégénérescence symétrique des colonnes latérales de la moelle
partie postérieure des colonnes latérales ; l'espace occupé par la dégénérescence diminuait graduellement de haut en bas. Ainsi,
érieure, et la dépassait même un peu. Dans la partie thoracique, la dégénérescence occupait la même place 36 RECUEIL DE faits. e
e que la partie posté- rieure. Enfin, dans la partie lombaire, la dégénérescence occupait encore moins de place ; elle représent
quantité de corps granuleux, disposés symétriquement, et en Cette dégénérescence étendue sur toute la surface des coupes des pyr
s n'avons pu déterminer avec plus do précision les limites de cette dégénérescence , car il était im- possible de faire des coupes
ée devenue friable s'émiettant sous le rasoir. Dans notre cas, la dégénérescence des faisceaux pyramidaux allait donc de l'extré
it : dans quel état se trouvaient les hémisphères du cer- veau ? la dégénérescence s'y propageait-elle ? et, dans ce cas, quelle d
plus ou moins grande quantité des corps granuleux, indices de la dégénérescence des éléments nerveux, tandis que, dans tous 366
rbide que celui de la moelle épinière et du bulbe, c'est-à-dire une dégénérescence des fibres nerveu- ses. Que cette altération n'
ue dans le cerveau et sur- tout pur la disposition symétrique de la dégénérescence dans 368 RECUEIL DE FAITS. les deux hémisphèr
vons en présence d'une sclérose symé- trique primitive. Comme cette dégénérescence montait sans in- terruption aucune du pédoncule
térêt que présentait notre cas consiste, à notre avis, en ce que la dégénérescence des faisceaux pyrami- daux se propageait à trav
Picl= émettent l'opi- nion que, dans un des cas étudiés par eux, la dégénérescence des faisceaux pyramidaux passait à travers tout
tre cas, on pouvait démontrer avec la plus grande exactitude que la dégénérescence passait sans interruption à travers toute la mo
Donc, si les fibres des hémisphères, dont nous avons constaté la dégénérescence , constituent en effet la continuation des faisc
r- convolutions. Mais il est évident que nous avions affaire à la dégénérescence d'une partie seulement des faisceaux pyrami- da
ues des psychoses du jeune âge. Bubnoff. XXXVII. DÉLIRE AIGU AVEC DÉGÉNÉRESCENCE DIFFUSE DES ARTÈRES DU CERVEAU ET PLUSIEURS FOY
s parois des petites artères sont épaissies etontsubi par places la dégénérescence graisseuse. L'auteur explique la dépression pro
376. llicrocéphalie, par Bourueville et \Vnillarmé, 72. Moelle ( dégénérescence secondaire de la). t). 81 ; - (structure de la)
73 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
ctrique, ces faits joints à l'existence de la réaction partielle de dégénérescence sont très importants à fixer. Signalons enfin l
périphérique aurait démontré à l'examen élec- trique un syndrome de dégénérescence accentué. Or à l'époque de notre examen, le déb
dant, soit par des troubles trophiques et la réaction électrique de dégénérescence dans les muscles animés par ces nerfs. ÉrUDE SU
ins. Le beau livre du Dr V. Galippe sur L'hérédité des stigmates de dégénérescence et les familles souveraines (1) en contient de
l'aspect mûriforme du noyau, parfois, également, une tendance à la dégénérescence graisseuse des cellules épithéliales, des capsu
cylindraxes sont gonflés. Enfin l'auteur signale une tendance à la dégénérescence graisseuse de l'endothélium des capillaires san
t, les rétractions tendineuses. Les phénomènes de paralysie et de dégénérescence nerveuse sont par- ticulièrement prédominants p
270 ROUDNEW que plastique de Langhaus). Le trouble vasculaire, la dégénérescence des petits vaisseaux paraissent être la cause d
veines sus-hépatiques sont con- gestionnées ; il existe une légère dégénérescence graisseuse. La rate est hypertrophiée, faibleme
coloration est légèrement jaunâtre ; ils sont atteints d'une faible dégénérescence grais- seuse. · Centres nerveux. - L'encéphal
êtrière T. XXII. Pl. XL (A. Dustin). I. Différents stades de la dégénérescence vacuolaire des cellules motrices des cornes ant
rsale (2) ; elle s'observe souvent aussi dans le gros cylindraxe en dégénérescence d'nu nerf périphé- rique séparé de son centre t
dis fait la même constatation. Bref, il s'agit là d'un phénomène de dégénérescence que des causes diverses peuvent provoquer et qu
à être sectionné, le bout périphérique dégénère ; au cours de cette dégénérescence on voit les cellules de Schwann présenter de no
es des membres inférieurs. L'examen microscopique nous a montré une dégénérescence profonde de ces muscles, dégénérescence surtout
oscopique nous a montré une dégénérescence profonde de ces muscles, dégénérescence surtout accentuée au niveau des muscles de la j
réguliers de matière argentophile, provenant de l'atrophie et de la dégénérescence de l'ancienne arhorisation terminale. ' Les l
s- versale fut accompagnée des réactions habituelles en pareil cas, dégénérescence des segments nerveux périphériques et des muscl
mble est frappée, et dégénère ; dans ce cas, la fragmentation et la dégénérescence des gaines de myéline est accompagnée de l'atro
seulement les tra- jets, mais aussi la réaction, la croissance, la dégénérescence des axones les plus fins. C'est à la lumière
orte à croire que les cylindraxes ne restent pas indifférents à, la dégénérescence des cellules à myéline, leurs véritables cellules
troncs nerveux, tandis que les racines anté- rieures échappent à la dégénérescence . Enfin il est difficile de s'imaginer une cellu
central du nerf lésé, parcourent toute la cicatrice laissée par la dégénérescence du bout périphérique et viennent à nouveau pren
e l'excitabilité par le courant galvanique, mais pas de réaction de dégénérescence . Vers la fin du mois de novembre, les réflexes
janvier l'examen électrique nous fait constater que la réaction de dégénérescence aux membres inférieurs manque toujours. Vers la
r, sur des coupes traitées par l'acide osmique ou le Soudan III, de dégénérescence graisseuse des fibres. Muscles du pharynx. - Su
s nerveuses de l'écorce cérébrale montrent des différents signes de dégénérescence et d'atrophie (tigrolyse, atrophie pigmentaire, k
lules nerveuses ganglionnaires. La plupart présentent des signes de dégénérescence (tigrolyse, pyknose, dégénérescence hyaline ou
lupart présentent des signes de dégénérescence (tigrolyse, pyknose, dégénérescence hyaline ou vacuolaire). Les espaces péri-cellul
par différents processus de dégénéres- cence (tigrolyse, karyolise, dégénérescence vacuolaire, atrophie pigmentaire). Les espaces
, sont probablement liées aussi à la paralysie générale. Quant à la dégénérescence des racines et à la pachyméningite, elles ne conc
'évolution est complètement terminée. On ne trouve pas de signes de dégénérescence récente ni au niveau de la dure-mère, ni dans l
dorsales supérieures sont grisâtres ; au microscope, on voyait une dégénérescence des racines posté- rieures, des cellules des ga
es et surtout par la pie-mère dont les altéra- tions provoquent une dégénérescence des racines postérieures et en partie des racin
environ 1 m. 80. On ne constate chez lui aucun stigmate physique de dégénérescence , au- cune lésion organique de l'un des différen
LIVO-RUBRO-CI : RBELLUSE 617 classes d'atrophies cérébelleuses, les dégénérescences parenchymateuses primitives et les atrophies pr
existence de lésions tuberculeuses ou syphilitiques. L'absence de dégénérescence musculaire intense rendait improbable le dia- g
x 640 MARINESCO ET GOLDSTEIN espèces : d'une part il s'agit d'une dégénérescence colloïdale de la plupart des follicules. Le pre
tement la lumière de ces follicules. Dans la zone envahie par cette dégénérescence fibreuse, on ne voit pas de follicules glandulair
énérées, vacuolaires. Il nous semble hors de doute que cette double dégénérescence , parenchymateuse et interstitielle, du corps th
n phénomène d'arrêt du développement. D'ailleurs il n'existe pas de dégénérescence du faisceau pyramidal. Dans les cas d'hydrocéph
mi plus petite que de l'autre côté et qu'il y avait une réaction de dégénérescence aux muscles péroniers, mais que le réflexe pate
une diminution de l'excitabilité, mais jamais de réaction nette de dégénérescence . Au bout de quelques semaines, la restauration
'une certaine diminution de l'excitabilité, mais pas de réaction de dégénérescence . La sensibilité tactile est un peu diminuée aux
si pour les autres parties des membres. Il n'y a aucune réaction de dégénérescence . L'état du malade s'est aggravé pendant les pre
e des quatre membres et des nerfs crâ- niens, jamais de réaction de dégénérescence à l'examen électrique, res- tauration considéra
74 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en outre d'une destruction partielle de la muqueuse intestinale, la dégénérescence graissseuse du foieet du rein, la clroniatolyse
hémorrhagie en. foyer, mais une 42 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. dégénérescence systématique du faisceau pyramidal gauche. Il e
ut attribuer l'ischémie productrice d'hémiplégie cérébrale et de la dégénérescence secondaire ; plus avant encore on doit voir dan
es autopsies qu'il a pratiquées, a noté dune part la constance delà dégénérescence graisseuse du foie dans les formes catatoniques
tonique, secondaire pour la forme pa- ranoide. Dans tous les cas la dégénérescence , dans le sens large que lui a dévolu le profess
érale de la folie est la prédisposition le plus sou- vent liée à la dégénérescence , qui peut. elle-même. être congéni- tale ou acq
mélancolie affective. Les premiers se rencontrent surtout dans : la dégénérescence mentale, la démence précoce, la folie périodiqu
de l'autre et représenter les phases succes- sives d'un produit de dégénérescence . Aucune de ces al- térations cellulaires ne dif
nt on constate l'endarté- rite, la périartérite, la mésartérite. La dégénérescence colloïde, la dégénérescence fibro-hyaline, la d
te, la périartérite, la mésartérite. La dégénérescence colloïde, la dégénérescence fibro-hyaline, la dégénéres- cence calcaire son
sont plus rares. Les lésions des capillaires sont peu connues ; la dégénérescence graisseuse ne semble ni très fréquente ni propo
s, de toutes les intoxications de l'existence ; la sénilité et la dégénérescence atrophique des cellules nerveuses seraient ains
gues et isolées, paraissent devoir s'expliquer par l'atrophie et la dégénérescence des cellu- les cérébrales et des fibres nerveus
ques. Parmi ces facteurs, le plus habituel est incontestablement la dégénérescence . Nous ne pouvons encore ici fournir aucune règl
st fréquent de rencon- trer simultanément un état de débilité ou de dégénérescence mentale plus ou moins accusé. Dans cette triple
UN CAS DE COMPRESSION DE LA .MOELLE. 171 présente des lésions de dégénérescence des faisceaux pyramidaux, en clinique encore, q
tômes, on n'hésite pas à admettre qu'il doit y avoir des lésions de dégénérescence et par conséquent d'émettre un pronostic grave.
produite, c'est parce que la compression n'a pas été suivie d'une dégénérescence des faisceaux pyramidaux, autre- ment dit il re
cité, mais qui anatomiquement ne s'associent pas à des lésions de dégénérescence . Déjà Charcot et plus tard son successeur, le p
'est pas exclusivement et nécessairement sous la dépendance de la dégénérescence du faisceau pyramidal. Pour Westphal et Strümpe
nes cliniques de spasmodicité ne coïncident pas toujours avec une dégénérescence des faisceaux pyramidaux, et par con- séquent,d
er un plan scientifiquement ac- ceptable. Ce chapitre est celui des dégénérescences . DÉLIRE DE PERSÉCUTION ET DÉLIRE ALCOOLIQUE.
is, une seule notion très nette et incontestée s'élève, celle de la dégénérescence héréditaire ou acquise. , C'est pourquoi, à t
physique, il est grand, bien pro- portionné, sans signe notable de dégénérescence ; il y a du stra- bisme unilatéral, l'oeil est
est insuffisant de dire que, dans les délires systématisés de la dégénérescence , il peut y avoir ou ne pas y avoir des hallucin
aladie toujours identique, de même, en matière de psy- chiatrie, la dégénérescence héréditaire ou acquise, qui est la formule par
ntant était normalement conformée. On ne trouvait aucun stigmate de dégénérescence ou de syphilis héréditaire. Voici la descriptio
chez les différents membres de laquelle on trouve des stigmates de dégénérescence physique et d'infériorité Archives, 2, série, 1
i est une lésion anatomique irré- médiable. » Viennent ensuite la dégénérescence mentale, les vices de déve- loppement, les foli
75 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le pied de la couronne rayonnante n'entraînent pas régulièrement de dégénérescence secondaire, même quand ils appartiennent exclus
ité de l'insula, de la capsule interne et de la moelle : absence de dégénérescence secondaire. Observation II. Généralisation d'un
lement par du tissu médullaire sain des ganglions de la base. Nulle dégénérescence dans les organes déjà cités. L'auteur appelle
en est lésée. Non moins concluante serait, à ses yeux, l'absence de dégénérescence médullaire, surtout si l'on remar- que qu'il s'
la constatation microscopique presque immédiate. On rencontre une dégénérescence diffuse de moyenne intensité des cordons postér
elle destruction et que le tableau perçu représenterait celui de la dégénérescence première demeurée stàtionnaire. Le professeur
ofesseur Schultze rapproche l'absence de réflexe patel- laire de la dégénérescence des cordons postérieurs dans la ré- gion lombai
te du faisceau cunéiforme cervical du même côté, - sur l'absence de dégénérescence secondaire ascendante malgré la notable diminut
parties nettement différenciées de la substance grise. Il relie la dégénérescence des colonnes de Clarke et de la substance grise
don lit un mémoire sur les Variations du tracémijogra- p/HMedttMsft dégénérescence des nerfs. Après avoir décrit l'ap- pareil dont
s musculaires au début de la compression antérieure. Il attribue la dégénérescence atrophique des muscles dans les membres inférie
les ondes sonores, mais le malade est tout à fait rétabli. De la dégénérescence secondaire, par M. SCIIUL'r7C (d'IIeidelberb).
e la moelle lombaire limitée aux fibres du sciatique, on trouve une dégénérescence secondaire descordons postérieurs de la moelle.
égénérescence secondaire descordons postérieurs de la moelle. Cette dégénérescence remontait, dans le second cas, jusqu'à la moell
'atrophie complète de la moelle cervicale inférieure, il existe une dégénérescence ascendante des cordons postérieurs qui atteint
également accompagnées de courts tractus. Il faut remarquer que la dégénérescence stricte des faisceaux de Goll n'entraîne en app
d'altérations d'un autre ordre dans le bras correspondant. De la dégénérescence endothéliale du nerf optique, par M. (de Fribou
sanglant. La dacryorrhéc sanglante n'a jamais été signalée dans les dégénérescences de la glande lacrymale. Avec ce symptôme essent
s sous le nom générique de mal de Bright plus ou moins aigu; 2° les dégénérescences rénales chro- niques ou défectuosités de la sub
se 'de vésanie ? Le second groupe d'altérations rénales comprend la dégénérescence kys- tique avec atrophie des deux organes,' l'h
xagération "des"réflexésl0p'atèllairès, d'établir, le diagnostic de dégénérescence "dès1' cordons' 'latéraux. L'examen. microscopi
'acception somatique du mot, quoiqu'il ne pré- senteiaucun signe de dégénérescence : exaltation- maniaque Quel- ques jours après,
bre de paralytiques démontre, au reste, que très fréquemment il y a dégénérescence , des cordons postérieurs, même de leurs segmen
ens; la transfor- mation des manifestations de la folie. C'est à la dégénérescence 'soinâtidlié'étps3clriclüé de l'humanité]' dégé
'est à la dégénérescence 'soinâtidlié'étps3clriclüé de l'humanité]' dégénérescence qui 'gagne dej6urenjour,"qu'il faut. attribuer
ce ? les tendances pathologiques et'les autres manifestations de la dégénérescence mentale ; 4° Le résultat de cet examen décidera
ns (traitement de la), par Nussbaum, 417. Grailioinét'rie, 396. Dégénérescence secondaire, 260. Délire aigu (altérations du sa
, il t ? . 5. Nerfs (variations du tracé myogra- phique dans la dégénérescence des), 116. Nerfs (athétose améliorée par l'él
f (physiologie et pathologie du nerf), par Altllaus, 91. Optique ( dégénérescence endothe- liale du nerf), 202. Othematome chez
76 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
oma. — Abaissement considérable de la température centrale. — Mort. — Dégénérescence kystique des reins. (Obs. recueillie avec mon ami
U MUSCLE FRONTAL DROIT C A N C R 0 ï D K PATHOLOGIE INTERNE DES DÉGÉNÉRESCENCES AMYLOIDE ET PIG!¥I £NTA!RI DE LA RATE par g. pe
TA!RI DE LA RATE par g. peltier, interne des hopitaux de paris La dégénérescence dite amyloïde est une dégénérescence spéciale, ié
terne des hopitaux de paris La dégénérescence dite amyloïde est une dégénérescence spéciale, iée dans son développement à un trouble
tionnaire encyclopédique, 1866. Chevillion. — Étude générale sur la dégénérescence dite amyloïde. (Thèse de Paris, 1868.) Niemeyer
dans le Dictionnaire de médecine et de chirurgie pratiques (Article : Dégénérescence amyloïde), soit dans le Dictionnaire encyclopéd
ncore dans la Thèse de M. Ghevillion. II. Historique. L'étude de la dégénérescence amyloïde est de date récente ; entrevue par Porta
. Je citerai particulièrement les articles dogmatiques consacrés à la dégénérescence amyloïde, par M. Jaccoud, dans le Dictionnaire de
uvons évidemment pas insister sur tous les caractères' généraux de la dégénérescence amyloïde ; ce serait étendre sans raison le sujet
ires sont ordinairement atteints ; enfin dans les degrés extrêmes, la dégénérescence attaque les trabécules spléniques, la capsule d'e
es, la capsule d'enveloppe et les grosses branches vascu-laires. La dégénérescence amyloïde ne se rencontre presque jamais isolé-men
48 cas), Frerichs (relevé de 68 cas), et Fehr (relevé de 144 cas), la dégénérescence amyloïde peut se mon-trer à tout âge ; mais elle
Symptomatologie. — Faire une étude symptomatologique com-plète de la dégénérescence amyloïde de la rate nous semble impossi-ble, dans
es. Disons-en cependant quelques mots. Chez les malades atteints de dégénérescence amyloïde, on observe toujours deux ordres de symp
e symptômes : les uns tiennent à la maladie antérieure qui a amené la dégénérescence ; les autres sont le fait de l'altération elle-mêm
on pourra quelque-fois arriver au diagnostic. D'après Niemeyer, la dégénérescence du parenchyme splénique semble plus particulièrem
tat cachectique domine néces-sairement le tableau symptomatique de la dégénérescence ? VI. Pronostic — Il est constamment grave, sur
ut en raison des conditions spéciales dans lesquelles se développe la dégénérescence . Cependant dans certains cas liés à la cachexie s
ales : l'état pathologique, qui a servi de cause déter-minante, et la dégénérescence elle-même. Parmi les nombreux moyens thérapeutiqu
fié, ou par des infarctus préexistants, ou par des kystes, ou par une dégénérescence quelconque. Dans les pays marécageux, où un grand
77 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
oins doué et qu'il sera facile de retrouver chez lui des stigmates de dégénérescence mentale ou physique. Si j'interroge les parents,
ue leur ténacité a faitjustement considérer comme des stigmates de la dégénérescence mentale ; 4° Les troubles mentaux envisagés com
tat actuel. Bonne conformation physique. Pas de signes physiques de dégénérescence . Pas de stigmates péri-mammaires, iliaques, conjo
, si un malade faisait des fugues et présentait quelques stigmates de dégénérescence , il était classé parmi les épileptiques. La quest
genre étaient rattachés à une certaine époque à la neurasthénie, à la dégénérescence mentale (la dromomanie de Régis). b) Après eux
diminution de l'acuité visuelle, attribuée par le Dr Despaguet à une dégénérescence congénitale de la pupille, sous l'influence de la
tiré du grec, onychophagie. Les médecins qui se sont occupés de la dégénérescence héréditaire envisagée dans ses causes aussi bien
de se ronger les ongles ne constitue pas par elle-même un stigmate de dégénérescence , au moins elle est toujours liée à d'autres manif
ence, au moins elle est toujours liée à d'autres manifestations de la dégénérescence et surtout à l'onanisme ; qu'enfin « si dans beau
ndispensable pour la mise en train de toute impulsion automatique, la dégénérescence héréditaire n'en est pas moins le facteur le plus
nez, la nuit surtout. Cette enfant est donc une dégénérée, mais sa dégénérescence est plus marquée au point de vue mental qu'au poi
rutissement, si on peut dire, une espèce de sommeil pathologique, une dégénérescence psychique qui peut devenir absolue ; dans ces aff
es cellules de la moelle épinière peuvent présenter des caractères de dégénérescence , devenir troubles et granulées, ce qui indique l'
ts centraux des nerfs coupés ne dégénèrent pas (réserve faite pour la dégénérescence traumatique, qui ne va que jusqu'au premier annea
goûts d'un enfant. Sa tendance au vol, qui mieux que tout accuse sa dégénérescence , remonte à son plus bas âge, et il se rappelle l'
ouvenir de rien. tendance au vol, chez notre malade, relève de la dégénérescence ou dc l'hystérie. Cette question ne laisse pas
sa thèse ('), consiste à regarder l'hystérie comme une modalité de la dégénérescence . Si on l'admet, la question que nous nous posons
ises à l'actif de l'hystérie, doivent être en réalité attribuées à la dégénérescence . C'est là, en particulier, la thèse brillamment s
ie et la neurasthénie, est très souvent mais non fatalement liée à la dégénérescence , avec laquelle elle peut s'associer en proportion
énératif étant à peine marqué ; d'autres fois, au contraire, c'est la dégénérescence qui apparaît comme l'état primordial, l'hystérie,
expertise médicale ou tout au moins n'eût jamais admis l'excuse de la dégénérescence et de l'impulsion consciente irrésistible, ne voy
songer : d'une part, dans les cas de ce genre, à la possibilité de la dégénérescence et de l'hystérie ; d'autre part, à l'influence so
78 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
complète à droite.- Autopsie : Moelle lombaire supérieure : légère dégénérescence de la zone radiculairedaWestphallàdroite ; légè
re dégénérescence de la zone radiculairedaWestphallàdroite ; légère dégénérescence bilaté- rale des faisceaux pyramidaux croisés,
de Neurologie, 1906, n° 129, p. 204. F. T. XII. Recherche sur la dégénérescence de la moelle ; par 1lIARrNSSCO et MINA. (Nouv.
tabes n'a rien de commun avec la névrite expérimentale qui est une dégénérescence wallé- rienne (les fibres dégénérées à type wal
. L'enchâssement de thrombus dans les capillaires expliquerait la dégénérescence en plaque des cellules nerveuses ; leur enchâsse-
des éléments cellulaires et des cylindraxes, lé- sions vasculaires, dégénérescences secondaires) ne sont pas rares dans la sclérose
ire simple, de l'atrophie des cellules radiculaires motrices, de la dégénérescence des racines an- térieures et des nerfs moteurs.
l'hypothèse que dans les cas de Basedow avec troubles psychiques et dégénérescence , l'ensemble des troubles peut reconnaître pour
les enfants atteints d'hystérie, d'épilepsie, de chorée et même de dégénérescence mentale, l'indocilité peut toujours être rattac
rave ; les en- fants qui ont le visage régulier et peu de signes de dégénérescence sont réfractaires à l'éducation ; il semble qu'
ue les enfants qui naissent avec des tares, même très accentuées de dégénérescence , sont capables de quelque dé- veloppement intel
oolisme et la débau- che des géniteurs a dotés de diverses tares de dégénérescence . Ce qui leur convient, c'est l'assistance dans
n des petits vaisseaux et des capillaires par des thrombus hyalins. Dégénérescence hyaline des parois des artères de petit calibre
rplasie névroglique dissé- minée. Atrophie des fibrilles nerveuses. Dégénérescence , neu- ronophagie et destruction des cellules ga
part il existe dans l'iiitérieui du ganglion des fibres en état de dégénérescence et plus lard régénérées telles qu'on n'en voit
s auteurs disent que « l'aspect de l'écorce rapprochée de l'état de dégénérescence grais- seuse massive du foie, permet de rattach
l'écorce, a noté des modifications qu'il a désignées sous le nom de dégénérescence granuleuse Il a décrit des altérations, névrogl
nglobait quelques filets nerveux appartenant à la 11 paire dorsale. Dégénérescence ascendante au- dessus de la tumeur dans les fai
a malade n'a pas fait reconnaître des si- gnes morphologiques de la dégénérescence ; les organes intérieurs sont sains. Du côté du
certain nombre d'autres cas, nous trouvons le stigmate psychique de dégénérescence très net (perversion sexuelle originaire) et en
s nous n'avons pas d'indications formelles,pour ainsi dire, de la dégénérescence : les renseignements sur les anté- 278 ' LÉGISL
sie flasque avec amyotrophie des membres supérieurs et du thorax et dégénérescence vallérienne ; ils écartent le diagnostic de pol
ante, existence de lésions diffuses à côté des plaques de sclérose, dégénérescence myélinique et cylindraxile très prononcée coinci-
liey, imprimeur layon. Lucien LA&mFFE ? ig'tafe anatomiques de dégénérescence dans un groupe d'aliénés. Lorts (.1.). La dyn
ire une affection éclose sur des fonds de pl édisposi Lion innée de dégénérescence et où les mani- festations psychiques sont de b
mi ; 2° Même tableau pour les hommes ; 3° Alcoolisme compli- qué de dégénérescence ou de débilité mentale ou d'hérédité al- cooliq
générés. Les dans les ba- taillons d'Afrique, par Jude, p. 310. Dégénérescence . Voir Moelle. Délire des préjudices prcscniles
79 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
s un nou- vel aspect certaines manifestations ou certains signes de dégénérescence dont la pathogénie était restée obscure. Nous a
ant de l'asile Ste-Anne, avec le certificat d'admission suivant : « Dégénérescence mentale avec hallucinations, troubles de la sen
ostérieurs avec tourbillons névrogliques ; dans les troncs nerveux, dégénérescence des fibres à myéline, augmentation du tissu con
d'ensemble. Les lésions essentielles se présentent sous la forme de dégénérescences le plus souvent systématisées et caractérisées
ples : disparition partielle des cel- lules des cornes antérieures, dégénérescence des cordons postérieurs avec sclérose névrogliq
que le droit, mais il est bien coloré, ne présente aucune trace de dégénérescence . Les racines antérieures correspondantes aux di
es, ni dans les cordons postérieurs à part la légère atrophie, sans dégénérescence , ni sclérose, décrite dans la moelle lombo-sacr
en à gauche qu'à droite. Dans aucun de ses faisceaux il n'existe de dégénérescence ni de sclérose. De même pour les pyramides bulbai
u même côté est plus court que le gauche et présente la réaction de dégénérescence dans les muscles péroniers. Parkes Weber (4) (1
terne et des muscles tenseur du fascia lita et jumeaux, réaction de dégénérescence dans le muscle jambier antérieur, sensibilité i
s troubles oculo-pupillaires observés parfois dans le tabes dorsal, dégénérescence du protoneurone cen- tripète ; et la systématis
me ; le champ de Wernicke est fortement atrophié. A noter enfin, la dégénérescence presque complète de la bandelette optique gauche
ttement diminuée de largeur, atrophiée ; bien qu'il n'existe pas de dégénérescence nette à proprement parler, on voit que les fibr
ctérisant la myélite parenchymateuse, des foyers nécrotiques et des dégénérescences , mais pas de ruptures des vaisseaux et des hémo
ents al- térés, de la réaction inflammatoire autour des foyers, des dégénérescences ascendantes et descendantes, des ramollissement
est seulement respectée. Les lésions présentent les caractères des dégénérescences et des nécroses aiguës et irréparables. Le tiss
altérations profondes de la sensibilité objective, avec réaction de dégénérescence et évolution lente. Pour plus de clarté, j'expo
faradiques, directes et indirectes, sans aucun signe de réaction de dégénérescence . '. Le petit malade fut soumis au traitement su
élèrent de la diminution aux quatre ex- trémités, et la réaction de dégénérescence aux muscles innervés par le nerf médian droit.
t; enfin,dans les formes graves, il existe une complète réaction de dégénérescence ou une abolition de réaction, bien plus étendue
égalomanies prophétiques) ; c'est le cas, semble-t-il, des sujets à dégénérescence héréditaire préalable ; d'autre part, la dèmence
at général. Pas de rachitisme. Bonne dentition. Pas de stigmates de dégénérescence . En de- hors de l'hémimélie thoracique droite,
ette cavité, on remarque des vaisseaux dont la paroi épaisse est en dégénérescence hyaline, et de fins rubans conjonctifs dont, pa
eux (probablement multipliés) ; leurs parois sont très épaisses, en dégénérescence fibro-hyaline. Sur la bordure de la cavité les
nférieur ne nous ont montré que de légères lésions de sclérose sans dégénérescence , les nerfs du membre supérieur droit présentaient
thode de Marchi nous a permis de constater l'existence de fibres en dégénérescence , de corps granu- leux en abondance. Les vaissea
sorte qu'il y a peut- être lieu de rattacher ce double mouvement de dégénérescence au même processus foetal, encore que ce process
du genou font défaut. En résumé, on trouve chez ce sujet un état de dégénérescence totale, atteignant les sphères psychique et phy
80 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
ie bonne à connaître et c'est tout. La présence de la réaction de dégénérescence , ou plutôt de l'inversion de la formule d'élect
fet MM. Bédard et Ré- mond ont montré l'existence de la réaction de dégénérescence dans la pa- ralysie pseudo-hypertrophique (1) m
Note sur un cas de paralysie pseudo-hypertrophique avec réaction de dégénérescence (drch. 7éu. de méd., juillet 1891). MYOPATHIE P
1889, MM. Le Noir et Bezançon ont noté l'absence de la réaction de dégénérescence . Les réflexes rotuliens ont disparu. Pas de t
un caractère bizarre, se croit persécutée et présente des signes de dégénérescence : gloutonnerie véritable, colères violentes san
processus classique de toute lésion cérébrale qui s'accom- pagne de dégénérescence du faisceau pyramidal et qui aboutit à une incu-
tôt étendues que limitées de l'écorce cérébrale, et il s'ensuit une dégénérescence totale du faisceau pyramidal. MALADIES ORGANIQU
forme peu à peu en une matière analogue à de la glu, d'où le nom de dégénérescence gliomateuse. C'est là la lésion primitive. Mais
l est aplati et de teinte opaque et nacrée, preuve macroscopique de dégénérescence . Une bride de tissu cicatriciel rattache la par
ette au niveau du bout central. Ce fait, à lui seul, établissait la dégénérescence du nerf au- dessous du traumatisme. L'examen
llules nerveuses des cornes antérieures sont toutes dans un état de dégénérescence très avancé : atrophie, absence des prolongements
m, Joffroy etc.), La forme et la distribution de ces territoires de dégénérescence mérite d'être signalée. Les uns sont situés sous
e uniquement à l'éminence thénar : en ce point, réaction ambiguë de dégénérescence N F C = P F C. A noter dans cet examen la résis
nvient de placer ici une remarque importante : les petits champs de dégénérescence que nous venons de décrire se rencon- trent sur
inué de consistance. Le foie est augmenté de volume, présente de la dégénérescence graisseuse, mais pas de lésion syphi- litique.
ec certitude s'il s'agit d'une artère ou d'une veine. Il existe une dégénérescence pyramidale double, plus accentuée du côté gau-
générale progressive, les muscles ne subis- sent pas de réaction de dégénérescence , comme on pourrait le croire à la lecture des o
s de Svietline et publiées par lui. Les muscles ne subissent aucune dégénérescence ; toutefois des troubles tro- phiques dans les
on fibreuse com- plète. La moelle épinière elle-même présente une dégénérescence correspondant à la symphyse méningée, c'est-à-d
a sortie du chiasma. Épaississe- ment et infiltration du périnèvre; dégénérescence des fibres nerveuses de la zone péri- phérique
donné le peu de gravité de l'atrophie, et l'absence de réaction de dégénérescence ; dételle sorte que les effets du traitement peu
81 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d seulement qu'elle s'est étendue au cerveau où elle a déterminé la dégénérescence des neurones supérieurs caractéristi- ques de l
S. une mauvaise initiation à la vie sexuelle, que dans un état de dégénérescence . 11 y a à ce sujet un exemple classique, c'est
contre les effets menaçants du surmenage cérébral et des causes de dégénérescence inhérentes à notre civilisation ; etc'est évide
'abasourdissement) ; 4° l'état de démence atrophique ; 5° l'état de dégénérescence psychique ; tic l'état d'automatisme. Au second
s généralement comme dus à la « déséquilibration, l'originalité, la dégénérescence ». Ces malades pour lesquels l'internement ne s
, mais sans aucune pensée. 11 présente de nombreux « stigmates de dégénérescence ». Il est entré à 18 ans à l'Ecole Polytechniqu
l'explication de la contracture et du mécanisme physiologique de la dégénérescence . Un a affaire suivant les cas soit il la contra
t continue et silencieuse. Aux signes déjà connus de la réaction de dégénérescence on peut ajoll- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 13
ste de l'instabilité mentale, des lies variés et d'autres signes de dégénérescence physique ou intellectuelle (imbécillité, hyslél
lon constate que la malade présente quelques stigmates physiques de dégénérescence . M. B. 150 SOCIÉTÉS SAVANTES. Séance du 26 ma
ou l'autre de çes caractères, savoir : que le cas soit compliqué de dégénérescence ou de débilité mentale, ou qu'il y ait de l'alc
comme suit : 2G6 HYGIÈNE PUBLIQUE. B. - Alcoolisme compliqué de dégénérescence ou débilité mentale ou d'hérédité alcoolique.
imulatiou s'observe surtout dans la mélancolie, la pa- ranoïa et la dégénérescence mentale. Son importance médico-lé- gale est bea
git bien d'une anomalie congénitale, véritable stigmate physique de dégénérescence . F. TiSSOT. Lll - Les séquelles psychiques des
r- bides divers révélateurs de lares constitutionnelles (névroses dégénérescence mentale) et qui coexistent fréquemment avec le
athologie mentale. ment et un déplacement du noyau,c'est-à-dire une dégénérescence . Les cas rapportés par l'auteur ne révèlent auc
d'intensité sous la pie- mère comme dans la paralysie générale. La dégénérescence myxoe- démateuse consécutive peut s'expliquer p
sont tout simplement des cas de dé- mence sénile, avec atrophie et dégénérescence artérielles très ac- cusées. L'auteur rapporte
intre, atteint, la suite d'une chute,de paraplégie avec atrophie et dégénérescence accentuée surtout au membre inférieur droit; il
ant supposer une lésion profonde des noyauwditifs accom- pagnant la dégénérescence de la partie postéro-latéralc du bulbe. Polynév
qu'aux stéréotypies démentielles. F. Tisser. XXIX. Infantilisme et dégénérescence psychique ; influence de l'hérédité neuro-patho
détaillée d'un cas d'infantilisme vrai, type Brissaud,associé à la dégénérescence mentale, compliqué de my- xoedème et d'obésité,
opsie et dans lesquels les tumeurs cu- Lanées coïncidaient avec des dégénérescences kystiques ou sar- comateuses des glandes intern
imal (4 édition), traduction anglai- se, Londres et New-York, 1888; Dégénérescence el criminalilé (3- édition), 1 vol., 1900 ; La
r ; Anormaux d'asiles, représentant les plus profonds de- grés delà dégénérescence .Nous ne nous permettrons pas de dis- cuter la d
par Brissaud et Moutier, P. 499. Dégénérés. Voir Phraséologie. Dégénérescence psychique. Voir Infantilisme. Délire. Etude n
ogra- phique et clinique des ; par Sante de Sanctis, p. 249. el dégénérescence psychique ; in- fluence de l'hérédité neuro-
82 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
thérapeutiques fondamentales restent toujours les mômes. Dans la dégénérescence primitive et l'inflammation parenchymateuse, la
r une action favorable et dans les états inflammatoires et dans les dégénérescences primitives. En effet, dans les états inflammato
ats inflammatoires, l'anémie diminuera l'état conges- tif, dans les dégénérescences primitives, l'afflux moindre du sang dimi- nuer
t dans certaines névroses et ils le sont beau- coup moins, dans les dégénérescences secondaires et dans les maladies à lésions diss
nt ici la disten- sion du tissu conjonctif joue un rôle notable. La dégénérescence secondaire des libres nerveuses se produit par
sans effet. Ici il y a cepen- dant une correction à faire; dans des dégénérescences secondaires, il y a également atrophie des fibr
sion peut devenir utile même dans les cas des lésions en foyer avec dégénérescence secondaire d'autant qu'elle remédie à ce dépla-
myélites tiennent le milieu entre les maladies systématiques el les dégénérescences secondaires. Suivant l'intensité du processus mor
intensité du processus morbide, elles seront accompagnées ou non de dégénérescences ascendantes ou descen- dantes. La suspension da
st certain que la suspension donne les meilleurs résultats dans les dégénérescences primitives, il n'en est pas moins vrai que les ré
es spasmodiques, par l'état d'irritation des fibres consécutif à la dégénérescence . Comme dans cette maladie on ne trouve pas des sy
étaient t en parfaite santé, il n'y avait pas trace de réaction de dégénérescence , seu- lement le nerf facial droit entrait un pe
us dans ces dernières circonstances des stig- mates physiques de la dégénérescence : malformation des dents, microcé- phalie et di
ction myotonique rappelle, dans une certaine mesure, la réaction de dégénérescence , d'autant plus que ces secousses de clôture se
ères bien tranchés qui la différencient nettement de la réaction de dégénérescence et des autres modifications actuellement connues
, myopathies secondaires, né- vrites périphériques avec réaction de dégénérescence , ataxie locomotrice, ataxie de Friedreich, elc.
bligent à considérer comme sa condition pa- thogénique une certaine dégénérescence nerveuse. Sa durée est indéfinie, on pourrait d
) et d'un anomal, porteur de stigmates psychiques et physi- ques de dégénérescence lesquels pourraient bien relever tous d'une même
r le premier de la main droite qui présente la réaction complète de dégénérescence . Aux jambes, le nerf scia- tique poplité extern
es de la Tourette (2), « ce qui domine, le fonds immuable, c'est la dégénérescence mentale ». « Combien de ces cas, ajoute-il, ne
83 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dent d'ordinaire en partie devant l'envahissement des phénomènes de dégénérescence psychique. Si la mort survient quand les halluc
ique que la section même de la racine postérieure n'entraîne pas la dégénérescence de tout le bout central, tandis qu'elle n'en- t
escence de tout le bout central, tandis qu'elle n'en- traîne que la dégénérescence partielle du bout périphérique. P. K.. SOCIÉTÉS
tat mental défectueux antérieurement. Ces deux manifestations de la dégénérescence coïncident ou alternent, sans jamais se mélange
(la capralalie et l'incoordination motrice) témoins à leur tour de dégénérescence mentale de la malade. Il manquerai t le syndrom
elle et qui n'est lui-même qu'une des nombreuses obses- sions de la dégénérescence menlale. ) M. SKGLAs se demande si la capralali
syndrome capralalie. L'un et l'autre relèvent d'une même cause : la dégénérescence mentale. J M. A. Voisin qui fait des recherches
mitée au cône médullaire; le renflement lombaire témoi- gnait d'une dégénérescence ascendante des cordons de Goll. M. REMAK rappel
u'on l'observe sur les queues de larves de gre- nouilles en état de dégénérescence . M. Westphal n'a pu voir de noyaux. M. 13Fnn.
mes de fibres qui occupent le pied du pédoncule cérébral et de leur dégénérescence . - Après avoir résumé les ma- nières de voir de
nt le lobe frontal et le lobe pariétal au tronc, ont subi une telle dégénérescence que la couche optique droite est atrophiée de p
les questions proposées, nous relevons les suivantes : stigmates de dégénérescence et anomalies biologiques chez les femmes aliéné
s racines émergentes de ces nerfs; on constate en outre une forte dégénérescence des rameaux périphériques, et, en particulier,
Ces lésions sont générales et dif- fuses. Il n'y a nulle part cette dégénérescence pigmentaire que l'on observe à la période de tu
e premier de ces deux cas. on constatait un état d'atro- phie et de dégénérescence plus accentué dans le lobe frontal gau- che qu'
t au niveau des cir- convolutions orbitaires et marginales, et à la dégénérescence de l'insula du côté gauche, était accompagnée d
M. Baillarger. Cette classification de laquelle sont exclues les dégénérescences mentales, n'est pas acceptee par la Société. Or
e, Charcot et Marie. Il croit à l'exis- tence, dans l'espèce, d'une dégénérescence nerveuse multiloculaire et propose le nom d'atr
Elle a, au-dessous du plancher du quatrième ventricule, subi la- dégénérescence kystique; dans ses parois à ce niveau on trouve d
is d'hydrate de chloral ; il n'a jusqu'à ce jour ob- tenu que de la dégénérescence graisseuse du coeur. M. Brie. Des cas de mort s
brales insigni- fiantes. Mais les muscles du coeur avaient subi une dégénérescence graisseuse telle ou une myocardite si intense q
84 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
nt raréfiés et en par- tie dégénérés. L'optique gauche présente une dégénérescence beaucoup plus marquée ; dans presque toute son
nt du nerf. I' a-t- il encore là une prédisposition du blessé ? une dégénérescence du muscle ? : ' Ou s'agit-il d'un équilibre spé
nt intéresser tous les tissus. La peau peut présenter des signes de dégénérescence divers. cc) Elle est tantôt fine, luisante, ten
que rappelant le trophoedème chronique. - Les muscles subissent une dégénérescence fibrosciéreuse, ils deviennent ligneux et leurs
dique des muscles tbénariens. , Galvanisation. Pas de réaction de dégénérescence . 10. Vaso-motricilé et température. Pas de trou
thésie électrique très marquée. Galvanisation. - Pas de réaction de dégénérescence . 10. Vaso motricité et température. - Léger ref
qui sont innervés par le cubital. Galvanisation. Pas de réaction de dégénérescence . La différence entre la contraction de fermetur
est minime; mais la première est plus forte. « Pas de réaction de dégénérescence au radial gauche, simplement une lé- gère dimin
ns appréciables. , 2. Galvanisation.- Normale. Pas de réaction de dégénérescence . 10. Vaso-motricité et température. - A part un
ypo- thénar et interosseux : NF<NO<PF), III (0.) (réaction de dégénérescence dans médian et cubital). 5° Tendance à l'égal
, qui ne dis- pose que de cinq doigts par membre, serait en état de dégénérescence . Seuls les polydactyles seraient vraiment dans
nfiltration oedémateuse. La majorité des artères ont souffert de la dégénérescence hyaline. Il y a dans une petite partie du néopl
érescence hyaline. Il y a dans une petite partie du néoplasme de la dégénérescence sarco- mateuse (PL 3). 198 MONIS On ne trou
rtex céré- belleux. Conclusion : fibrolymphangiome oedématié avec dégénérescence sarco- mateuse (1). (1) La partie histologiqu
striques des deux côtés). Par l'examen anato- mique est établie une dégénérescence des pneumogastriques et des autres nerfs périph
rès l'entrée à la cli nique. Par l'examen anatomique (osmium), la dégénérescence des nerfs périphéri- ques était établie et auss
rès mois 2 1/2 de maladie. L'examen anatomique a fait constater une dégénérescence des nerfs périphériques, mais pas d'altération co
des plus nets, surtout à droite, ce qui démontre l'existence d'une dégénérescence wallérienne dans les cordons pyramidaux. Ce mêm
en général aucune modification des réactions. Il n'y a ni signe de dégénérescence , ni modification apparente de l'excitabilité galv
ici est l'inverse de celle que l'on trouve habituellement dans les dégénérescences proprement dites, c'est-à-dire dans celles que
au syndrome de dégénéres- cence. Mais il s'agit naturellement d'une dégénérescence très légère. , Ajoutons enfin que dans la mesur
85 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
net-Sanglé. — Relation de la profession religieuse avec les signes de dégénérescence . — Discussion : M. Félix Regnault. La séance es
cose subliminale, elle convient à cette légion d'individus frappés de dégénérescence mentale, douteurs, scrupuleux, inquiets, angoissé
e habituel ou accidentel) ou héréditaire comme un des symptômes de la dégénérescence psychique innée du malade. La pseudo-dipsomanie
ssent le plus difficilement sont ceux qui présentent des symptômes de dégénérescence psychique; ceux qui ont simplement une prédisposi
clientèle. Relation de la profession religieuse avec les signes de dégénérescence - Par M. le Dr Charles Binet-SanGLÉ. Professe
, dans une même famille, entre cette profession et certains signes de dégénérescence , en particulier la stérilité et la mort précoce,
rt à 54 ans, appartient à ce groupe des derniers Carolingiens dont la dégénérescence se révèle à la fois par la mort précoce et par le
astère de Fleury-sur-Loire, qu'il avait fait restaurer. forme de la dégénérescence qui convient à la profession religieuse, il prése
t médecin en chef de l'asile de Ville-Evrard, dont les travaux sur la dégénérescence et sur les folies toxiques font autorité, suffît
ue l'alcool doit être considéré comme l'agent le plus important de la dégénérescence humaine. Il a aussi insiste sur l'accroissement d
ar des liens de parenté avec d'autres sujets présentant des signes de dégénérescence . De là à conclure que les dévots sont des dégén
ttaque pas seulement l'homme qui en fait usage, il entraine encore la dégénérescence de sa race, et les idiots et les épileptiques que
enfants d'alcooliques. Je viens, messieurs, de prononcer le mot de dégénérescence . Sous ce nom, je comprends non seulement la dégra
rends non seulement la dégradation physique du sujet, mais surtout sa dégénérescence mentale. Or, la dégénérescence mentale comprend a
ion physique du sujet, mais surtout sa dégénérescence mentale. Or, la dégénérescence mentale comprend aussi bien la folie que la crimi
lient est donc bien un hystérique, j'ajouterai, sur les confins de la dégénérescence . Ce qui confirme bien mon diagnostic. Messieu
Dans les muscles atrophiés l'examen électrique montre la réaction de dégénérescence ; à signaler encore une scoliose marquée des vertè
(Traitement de la neurasthénie par la), par Félix Regnault, p. 332. Dégénérescence (Relation de la profession religieuse avec les si
86 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
subitement séparé de son support a reçu un tel choc qu'il subit la dégénérescence . Si la corde du tympan est arrachée au point où
l'adynamic profonde, les affections congestionnelles intenses et la dégénérescence graisseuse du coeur, lorsqu'elle est caractéris
5 1,50 : 700 Aq.), il a constaté des paraplégies avec réaction de dégénérescence . Tel est le point de départ des présentes re- c
microscope ne montrait pas trace d'altération et spéciale- ment de dégénérescence atrophique de la fibre musculaire. Des solution
mb, dans les expé- riences précédentes, aucune trace de réaction de dégénérescence , aucun changement quantitatif. Ce résultat étai
paralysie ou de faiblesse ; mais ils pré- sentaient la réaction de dégénérescence la plus prononcée. R. Y. XVI. Note sur un app
rite sèche : il y a là une véritable lésion trophi- que des os, une dégénérescence graisseuse avec disparition de la matière minér
ait gras et de nombreuses fibres cardiaques étaient atteintes de la dégénérescence cireuse. Examinées sous l'eau, les artères de l
e de la base du crâne, la table vitrée est amincie mais non usée. Dégénérescence athéromateuse étendue des artères de la base et
ce que l'on a appelé la « réaction de dégénération », qui prouve la dégénérescence des nerfs et des muscles. Sur la demande du doc
en. - M. le docteur Mackensie, qui croyait au premier abord à une dégénérescence graisseuse, dit avoir été étonné de constater a
première est consacrée aux Phénomènes électriques qui confirment la dégénérescence névro-musculaire consécutive à l'interruption d
es centres trophiques en ce qui concerne le bout périphé- rique. La dégénérescence du bout central serait attribuable à une action
ent le 16° jour dans le bout périphérique avant que le processus de dégénérescence soit terminé. L'auteur se rat- tache sur ce poi
paraître la striation transversale ; l'auteur n'a point 'observé la dégénérescence cireuse. Dès que reparaît la motilité volontair
culaires qu'il rattache l'excitabilité du 1 ? stade, autant'qu'à la dégénérescence du tissu, nerveux ; la proliféra- tion cellulai
i- niques, de déterminer leurs interruptions ou l'étendue de leur dégénérescence , de décider de l'existence ou de l'absence du m
on qu'on use d'un faible grossissement de 8 à 27 fois. En dépit des dégénérescences circonvoisines, des exsudats divers, des débris
lleurs le processus a également touché les cordons antéro-latéraux ( dégénérescence secondaire ? ) et Ips cornes postérieures, du m
UE D ANATOMIE PATHOLOGIQUE. réactionnels électriques témoignant des dégénérescences névro- musculaires'. Notons l'atrophie simple d
affections périphériques c'est à la destruction delà myéline, à la dégénérescence graisseuse de la gaine que l'on aurait affaire.
ur la réparation médullaire ni sur la marche de l'atrophie et de la dégénérescence névro-musculaire. P. K. XV. DES rapports DE la
très atrophiés. » C.'T. ",~r* XIX. Cas d'une FORME intermédiaire DE dégénérescence INFLAMMATOIRE ou GLIOMATEUSE dans LES masses ce
crétoires et vaso-motrices. L'anatomie pathologique se résume en la dégénérescence grise ou atrophique des cordons blancs postérie
ures atrophie des cellules dans les pyramides de Clarke). , IL De dégénérescence des faisceaux pyramidaux, surtout dans la moell
nesthésie presque complète des jambes et du tronc. Cécité, surdité, dégénérescence presque absolue des cordons et des racines post
87 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
des criminels. Pour Lombroso, tout criminel est marqué du sceau de la dégénérescence physique et une foule d'anomalies, le dénoncent,
d'étonnant à ce qu'on rencontre fréquemment chez eux des stigmates de dégénérescence physique. Ont-ils une physionomie spéciale? se de
admis d'une façon générale que la caractéristique fondamentale de la dégénérescence héréditaire, c'est l'impulsion plus ou moins cons
e le phénomène est analogue. Il a son point de départ dans un état de dégénérescence mentale et il consiste essentiellement en une déf
un seul volume, un grand nombre de faits, une étude approfondie de la dégénérescence psychologique et l'analyse détaillée des phénomèn
anchissant des plus grossières superstitions, diminuent les causes de dégénérescence physique, intellectuelle et morale. Nous reconnai
d'incompris, de déséquilibrés et de brouillons vaniteux. Quant à la dégénérescence mentale engendrée par l'hérédité, les réformateur
sharmonie et de l'instabilité morale qui forment la base des états de dégénérescence héréditaire. Le délire ambitieux, l'état hypochon
nt-André des Ars, 55. niaque à la faveur d'un terrain special; la dégénérescence mentale est la cause première de l'impulsion vrai
résultats dans ses précédentes études (sensation et mouvementé 1887), dégénérescence et criminalité (1888). Grâce à ces procédés,
es. On y voit facilement que l'épilepsie, en général, est une tare de dégénérescence résultant de quelque déchéance plus ou moins grav
à ces malades les considérations développées dans son ouvrage sur la dégénérescence et la criminalité et de conclure à nouveau à la r
et nerveuses les plus variées, tantôt un épisode psychopathique de la dégénérescence héréditaire, tantôt une l'orme spéciale de psycho
sentent les aspects variés de l'état mental des héréditaires et de la dégénérescence . Les vues de Magnan ont été vivement discutées
J- idées ". Mlle X. de taille moyenne, sans aucun signe physique de dégénérescence , n'a jamais '.'.il de maladies, a été réglée à 13
contient un cranj nombre de faits relatifs a l'anthropométrie et à la dégénérescence physique ou mentale. Son livre est la preuve évid
stituées présentent, à un très haut degré, les signes physiques de la dégénérescence tels que déformations crâniennes, anormalités de
aux, comptent parmi les plus importants des stigmates physiques de la dégénérescence ; de même, les anomalies, les aberrations, les pe
oubles neurasthéniques. OBSERVATIONS Résume : Tares héréditaires. Dégénérescence mentale. Emotivité excessive. Fièvre typhoïde ave
ficat du Dr Gilles de la Tourette constate qu'elle est atteinte de la dégénérescence mentale avec dépression mélancolique, perversions
88 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
de la section d'un nerf il se fait dans le bout périphé- rique une dégénérescence Wallérienne, avec atrophie musculaire. Il en se
très en relief, le malade observé avait des signes très marqués de dégénérescence et de sclérose en plaques. Le travail de Fagge
ui a été décrit ci-dessus, on a trouvé chez le malade les signes de dégénérescence suivants : l'ossification prématurée de la suture
isposé aux maladies du système nerveux, ayant des signes marqués de dégénérescence , se borne distinctement au côté gauche du corps
au tissu conjonctif in- termusculaire. ' Pour lui l'atrophie, la dégénérescence fibreuse et lipomateuse des mus- cles surviendr
; le périoste n'existe pas en réalité. Les lésions musculaires, la dégénérescence graisseuse, l'atrophie et la dégénérescence fib
lésions musculaires, la dégénérescence graisseuse, l'atrophie et la dégénérescence fibreuse, sont secondaires comme nous l'avons vu
nt successivement les phases suivantes : infiltration embryonnaire, dégénérescence fibreuse, car- tilagineuse et osseuse : « Sur u
fibrillaires que détermine un courant induit. Dans ce cas donc, la dégénérescence simple constitue la terminaison du processus. C
cessus. Certains muscles ont même le pri- vilège de ne subir que la dégénérescence fibreuse, les sterno-mastoïdiens, par exemple,
bile ; enfin, exceptionnellement, les tendons seuls subissent cette dégénérescence et la portion contractile reste in- demne. Cett
cles oculaires ; enfin il en est qui le plus souvent su- bissent la dégénérescence fibreuse comme le sterno-cleïda-mastoïdien. Lor
picrâniens, des peauciers du cou (une seule fois on a constaté leur dégénérescence fibreuse, sous forme de tractus), du rele- veur
e du faisceau pyramidal croisé. (PI. XXII, D.) Région dorsale. - La dégénérescence occupe la topographie précédente, bien que plus
les. Les racines postérieures présentent de très grosses lésions de dégénérescence ; les fibres à myéline sont très nombreuses ; d
et musculo-cutanés ont été examinés. Tous présentent des lésions de dégénérescence très manifeste. Les fibres à myéline sont en tr
vous signaler la signification de ces lies en tant que stigmates de dégénérescence . X... avait 15 ans lorsqu'elle perdit son père
3) ont montré, dans des cas de paralysie faciale non spécifique, la dégénérescence du bout central avec atrophie du noyau, seconda
eurs endroits. Atrophie considérable des muscles antérieurs du cou. Dégénérescence fibreuse de la portion sternale du sterno-masto
its du cou. Sterno-mastoïdiens fibreux; atrophie des omo-hyoïdiens. Dégénérescence fibreuse moindre du sterno-mastoïdien gauche ;
ands amas de cellules épithéliales disposées concentrique- ment, en dégénérescence hyaline, gonflant les glandes sébacées. Ces amas
btenues sont lentes avec N F C P F C. Donc il y a de la réaction de dégénérescence dans ce muscle. Dans les portions moyenne et in
89 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ole pour faire à la Société une in- téressante communication sur la dégénérescence des races humaines. La dégénérescence est const
ressante communication sur la dégénérescence des races humaines. La dégénérescence est constituée par une série d'états de dégrada-
l n'y a pas de rapport entre cet état et ce qu'on désigne du nom de dégénérescence dans les tissus, comme par exemple la dégénéres
igne du nom de dégénérescence dans les tissus, comme par exemple la dégénérescence graisseuse. Les tissus ne dégé- nèrent point, i
être de beaucoup dépassés en Europe. Pour lui, le critérium de la dégénérescence , c'est la tendance à la stérilité, sinon la sté
épondent plus à la faradisation. Ici encore, on note la réaction de dégénérescence . .l'Eu résumé, le malade ne faisait que diffici
'de Parâlsaésf'spasmodiques : L'âutëur, en effet, convaincu que la' dégénérescence symétrique primitive des cor- dons'' latéraux n
e<tOH.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 247 ' : aboutissant à la dégénérescence stéato-pigmentaire, à, l'atro ? phie, et finale
mposent la'corné, rapprochée de cette extension peu éten- due de la dégénérescence , 'suffit pour faire comprendre^sans qu'il soit
u à- des infarctus locaux'et à1 des plaques ischémiquedues'à ? la dégénérescence athéromateuse et'à l'obstruction des artères/ L
eur s'est .efforcé de montrer que,) dans la majorité des cas, une ! dégénérescence ou , un- trauma- tisme du cerveau,, dans le sen
tard, sur le muscle droit interne de' la cuisse, 'démontre la, même dégénérescence , mais plus étendue. A raison 'i îu' "" 1 "i ' r
Crises gastriques,' 232 : »'" (Il 14 am5)cy tn s.·r, ol rr 'hf'f* Dégénérescence , des races humai- nes, 136. W<t i. - -A /"il
90 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
de la rate, portée à un pareil degré, ne peut être le fait que d'une dégénérescence amyloïde où d'une véritable hyperplasie; or, rien
é, mais à un fibrome qui avait subi et subissait encore un travail de dégénérescences sar-comateuses; que la tumeur est un fibro-sarcom
tôt sa structure; pâle d'a-bord, diminué de volume, il subit enfin la dégénérescence granulo-graisseuse. Je ne vous énumérerai pas les
oon gastro-splénique, etc.). On avait sous les yeux un spécimen de la dégénérescence diffuse et plate du péritoine. A part quelques pe
usieurs points ce tissu nous paraît ramolli, et semble avoir subi une dégénérescence graisseuse ; il prend alors un aspect gris sale q
ltéré ; il a complètement disparu du côté du fémur, et a subi la même dégénérescence sarco-mateuse que l'os lui-même. Les ligaments so
continus, là où la faradisation est impuissante, font rétrograder la dégénérescence graisseuse des muscles. Il se passe ici des phéno
étude : «.....Quelle que soit la forme sous laquelle se présente la dégénérescence , l'altération débute toujours par le tissu cellul
son mémoire. Nous allons seulement les rappeler : Kystes de la rate; Dégénérescence amyloïde et pigmentaire de la rate ; Hypérémie et
phie, soit avec l'atrophie de l'organe; 5° Gangrène de la rate. IV. Dégénérescences de la rate : Io dégénérescence amyloide; 2° dégén
organe; 5° Gangrène de la rate. IV. Dégénérescences de la rate : Io dégénérescence amyloide; 2° dégénérescence pigmentaire (voir la
te. IV. Dégénérescences de la rate : Io dégénérescence amyloide; 2° dégénérescence pigmentaire (voir la Revue); 3° dégénérescence ca
érescence amyloide; 2° dégénérescence pigmentaire (voir la Revue); 3° dégénérescence cartilagineuse et osseuse; il n'y a pas, à propre
ertro-phie irritative de la couche moyenne à laquelle succéderait une dégénérescence graisseuse, trouve une confirmation dans notre fa
e hydatique du volume d'une tête de fœtus à terme, — certain degré de dégénérescence graisseuse. Aucune lésion importante du coeur, —
gnétique du muscle cadiaque, et enfin, à doses lentement toxiques, la dégénérescence granulo-grais-seuse très-probable du cœur. 5° L
91 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
me beaucoup d'alcool, sous quelque forme que ce soit, en raison de la dégénérescence mentale qui est la conséquence de l'alcoolisme.
ès l'abord une de ces sympathies qu'explique la communauté des tares. Dégénérescence cérébrale, accès de délire aigu, accès de mélanco
mpulsivité, telle est sa formule mentale. Tout chez lui procède de la dégénérescence du système nerveux, de l'arrêt du développement d
signer tous ceux quo l'on peut considérer comme suspects, atteints de dégénérescence , infiniment plus nombreux qu'on ne le peut croire
s tenons à mettre en garde contre une interprétation abusive du terme dégénérescence : il a remplacé le vieux mot dégénération, sans i
érencions en de nombreuses variétés, en sont la preuve évidente. La dégénérescence héréditaire pourra donc comporter ou bien un abai
on sans avoir eu le temps de procréer des enfants voués, hélas î à la dégénérescence névropathique. Quand, personnellement, l'indivi
'ordinaire, fatalement irréparables. Il est de certaines formes de ta dégénérescence anecs-trale contre lesquelles nous pouvons lutter
ous ne sommes pas sans pouvoir nous attaquer à plus d'une forme de la dégénérescence héréditaire. De là à prononcer le mot de foli
qu'est-ce? sinon la prophylaxie et le remède que nous opposons à la dégénérescence ancestrale ? L'absolutisme est de principe dang
rs que la faute en est à la matière recrutable elle-même, entachée de dégénérescence et, disons le mot, de qualité plutôt médiocre. A
essieurs, chez des individus en état de prédisposition originelle, de dégénérescence préalable du système nerveux, tous ou à peu près
ment trop exclusive, de Max Nordau, lorsqu'il affirme que l'état de « dégénérescence » est le lot nécessaire de l'humanité actuelle.
bies et dont nous pouvons assez simplement exposer le mécanisme. La dégénérescence neurasthénique, qui est le fait de causes multipl
rs pathologiques sont, répétons-le encore, ou bien l'expression d'une dégénérescence héréditaire ou bien la synthèse d'un ensemble de
le favorise la croissance chez les enfants et enraye les effets de la dégénérescence physique. L'action reconstituante des phosphate
alcoolique, nous aurons en vue les sujets présentant des symptômes de dégénérescence mentale se traduisant par une irritabilité exagér
92 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
de petites hé- morrhagies diffuses dans les gaines qui subissent la dégénérescence hya- line, tandis que l'endothélium prolifère.
e en un fin ré- seau d'aspect particulier; plus rarement la zone de dégénérescence péri- phérique est granuleuse et même quelquefo
, t. IV, p. 486). (3) Cii. Féré. les stigmates lér'alologique de la dégénérescence chez les sourds-muets (Journ. de l'anat. et de
n peut distinguer facilement les bandes du pro- cessus de gliose de dégénérescence secondaire. En effet les travées d'orien- tatio
s, mais les tics, les chorées d'adultes sont aussi des symptômes de dégénérescence . Les rapports avec la disposition névropa- thiq
rd du na- nisme, elle est, avec l'alcoolisme, responsable des pires dégénérescences héréditaires. Les cas d'infantilisme qui lui so
que la mul- tiplicité des anomalies spontanées est un témoignage de dégénérescence . L'hérédité syphilitique et alcoolique collabor
l de la partie antérieure des ar- cades dentaires comme stigmate de dégénérescence (Ann. méd psych., 1894, le série t. XX, p. 361)
ratologique de l'hérédité et de la prédisposition morbides et de la dégénérescence , 1894, p. 261. (3) Demoor, Massart et Vandervel
RAYMOND travail de régénération. En réalité, il ne s'agit que d'une dégénérescence irritative, qui se résout à la longue. On conço
aulre est présenté par les.cordons postérieurs; ici on observe une dégénérescence assez considérable, quoique non compacte, des fib
des cor- dons de Goll. Dans les racines postérieures on observe une dégénérescence très marquée, surtout dans leur trajet intraméd
t dans leur trajet intramédullaire. Dans les racines antérieures la dégénérescence n'est pas aussi accentuée que dans les raci- ne
oncée que celle des cordons de Burdach. A l'examen microscopique la dégénérescence des cordons de Goll saute aux yeux, mais ici en
e nerveuse peut se reconstituer, et quel est le degré qui mène à la dégénérescence du prolongement cylindre-axile et au dé- périss
térale ; il est signalé en effet dans tous les cas des stigmates de dégénérescence mais il est regrettable que les auteurs ne parl
u contraire que no- tre malade est porteur de quelques stigmates de dégénérescence , qu'il des- cend d'une famille de nerveux, qu'i
93 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
ne rigidité ; crâne brachycé-phale, sans asymétrie ; pas de signes de dégénérescence . Les yeux sont fermés ; clignotements des paupièr
tres marques de déséquilibration psychique, est un stigmate majeur de dégénérescence . Elle aboutit à la création des faux enfants mart
lligence, doivent être placés en deux sous-groupes : ceux atteints de dégénérescence mentale, ceux atteints de névrose. a) Dégénéres
ux atteints de dégénérescence mentale, ceux atteints de névrose. a) Dégénérescence mentale. — La perversion est la forme la plus fré
escence mentale. — La perversion est la forme la plus fréquente de la dégénérescence mentale chez l'enfant. Elle peut se trouver aussi
de applicable qu'aux enfants riches. En dehors de la perversion, la dégénérescence mentale se traduit encore, chez l'enfant, par les
n effet, àun défaut d'éducation, mais souvent aussi elle relève de la dégénérescence mentale. Nous avons remarqué que, pour les enfant
ié de l'atelier, soit surtout par l'alcool, les grands facteurs de la dégénérescence mentale. Il faudrait donc essayer de prévenir l
on aurait apposé sur cette malade l'étiquette délire polymorphe de la dégénérescence mentale. Ce n'est point cela. Dans le délire de
a dégénérescence mentale. Ce n'est point cela. Dans le délire de la dégénérescence mentale, il y a un élément d'angoisse qui fait dé
nt avec les premières. Il y a bien plus de suite dans le délire de la dégénérescence mentale. Dans le cas présent, il y a confusion to
de de ces faits de fétichisme les ont placés sous la dépendance de la dégénérescence mentale héréditaire ; ils n'ont pas vu qu'il étai
s dans une mauvaise initiation à la vie sexuelle, que dans un état de dégénérescence . A cette notion il conviendrait d'en ajouter un
uisement nerveux, aboulie, etc.). •io les timides par l'effet de la dégénérescence liéréditaire (indécision excessive du caractère,
es, que la nature a prudemment fixées. A la suite d'accidents, ou par dégénérescence native, ou par exaltation nerveuse, des capacités
94 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
les de l'éminence hypothénar qui présentent la réaction complète de dégénérescence . Rien à noter du côté des autres appareils. O
inution de la contractilité faradique, et souvent de la réaction de dégénérescence soit dans tous les muscles, soit seulement dans
du court fléchisseur du petit Iloi1 el rien de plus. La réaction de dégénérescence est bien complète. l'as de réaction faradique e
e par le cubital. L'examen électrique fait constater la réaction de dégénérescence type pour le premier interosseux seulement. L
t probable. Tout ce qu'on peut affirmer, c'est que la réaction de dégénérescence n'existe pas pour les muscles diminués de volum
mogène, dur. très cohérent, et n'ayant aucune ten- dance à subir la dégénérescence graisseuse, caséeuse ou tuberculeuse. La plupar
s du ventricule gauche sont peu épaisses; le muscle n'a pas subi de dégénérescence . Les parois du crâne ne sont ni épaissies ni dé
it déjà, devenu raide par suite de la contracture fonction de cette dégénérescence . C'est à cette raideur même que les malades, do
du degré de l'atrophie musculaire, mais il n'y a pas de réaction de dégénérescence ; 5° cette atrophie peut se développer avec une
d'une atrophie simple qu'il s'agit ; il n'existe pas de réaction de dégénérescence . Les faits étudiés par M. Babinski ne restaient
e. Thénar, excitabilité faradique conservée. En résumé, réaction de dégénérescence très nette. Réflexes rotuliens un peu exagéré
eau des interosseux, les caractères les plus nets de la réaction de dégénérescence ; chez les deux autres malades, c'est d'atro- ph
. Vigoureux a démontré très nettement l'existence de la réaction de dégénérescence . III On a pu remarquer, en lisant l'observati
95 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
r. - Corps thyroïde non hyper- trophié, symétrique, a déjà subi une dégénérescence colloïde. Tête. Rien au cuir chevelu. Crâne trè
aucoup plus nombreux qu'à l'état normal ; ils .ne présentent pas de dégénérescence amyloïde. De plus, on voit, espacés dans les pa
is se colorant très mal par les réactifs. Nulle part il n'y a de la dégénérescence pigmentaire. Sur une coupe prise au milieu de l
substance blanche, il existe une émulsion totale de la myéline, une dégénérescence graisseuse des éléments facile à voir sur les p
llules persistent, mais les élé- ments y sont peu abondants. Pas de dégénérescence pigmen- taire. D'autre part, on observe des zon
le a trouvé chez Sch.... un terrain préparé Réflexions. 81 par la dégénérescence due à l'alcoolisme du père, aggravée par l'asph
oit (100 gr.) même aspect qu'à gauche. Les reins n'offrent pas de dégénérescence amyloïde (teinture d'iode). Uretère droit dilaté.
lllechel qui peuvent être rangées parmi les lésions probables des dégénérescences héréditaires. V II. Porencéphalie vraie unila
amètre variant entre celui d'un pois et celui d'une tête d'épingle. Dégénérescence gra- nulo-graisseuse et infiltration calcaire d
96 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
e sauraient être légitimement confondus avec les manifestations de la dégénérescence héréditaire. Tel dégénéré héréditaire, après les
mune, en particulier, de voir l'hystérie se développer sur un fond de dégénérescence , d'où juxtaposition fréquente des manifestations
erversions instinctives, des syndromes épisodiques, des délires de la dégénérescence . Du reste, peut-être ces deux ordres de phénomène
ces malades qui sont affectés d'hystérie pure, en dehors des tares de dégénérescence (P. Janet, Gilles de la Tourette). Parmi les dé
Quant à la tendance au mensonge, elle parait être un des traits de la dégénérescence bien plutôt que de l'hystérie. Au contraire, au
ions instinctives, qu'on est, croyons-nous, autorisé à rapporter à la dégénérescence mentale. Signalons en particulier les impulsions
pas. On étiquette aujourd'hui trop aisément, sous le nom de délire de dégénérescence , tous ceux qui ne répondent pas à un type régulie
sciente. Des psycho-névroses, des délires portant l'empreinte de la dégénérescence peuvent se juxtaposer à l'hystérie. 11 n'est pas
s ; 2° Relations cliniques et psychologiques entre l'hystérie et la dégénérescence mentale; 3° Le caractère et les perversions ins
cho-phagie et les habitudes du même ordre sont généralement liés à la dégénérescence . La fréquence de l'onychophagie est très variable
amen minutieux révèle presque toujours l'existence de stigmates de la dégénérescence . Ces enfants sont habituellement plus chétifs que
enu dans certains cas à modifier le caractère des enfants affectés de dégénérescence héréditaire. J'ai même essayé de combattre un amo
one avec un amibe et ses pseudopodes a déjà été faite, à propos de la dégénérescence des nerfs sectionnés, et on a très heureusement r
signalé, avec autant d'esprit que de courage, un des stigmates de la dégénérescence de notre faculté de médecine. REVUE D'HYPNOLOGI
97 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
nq centimètres de longueur, vestige d'un mal de Pott. Pas de signe de dégénérescence ; lobule de l'oreille non adhérent, voûte palatin
se faire une opinion bien claire de leurs rapports respectifs avec la dégénérescence mentale et l'épuisement nerveux. Pour lui, en eff
ent étrangères à la neurasthénie : « elles seraient alors fonction de dégénérescence héréditaire. » Mais • on n'est pas en droit, dit-
, les phobies peuvent être un signe de neurasthénie ou un stigmate de dégénérescence . » Morrel attache déjà plus d'importance aux tr
omplique souvent d'anxiété ? » Ainsi donc, neurasthénie d'une part, dégénérescence mentale de l'autre, tels sont les deux pôles auto
e préférence les psycho-névropathes, qu'ils soient ou non entachés de dégénérescence mentale. Loin de faire nécessairement partie des
nels qui dépendent de l'hystérie infantile de ceux qui relèvent de la dégénérescence héréditaire. De l'application de l'hypnotisme a
de l'affaiblissement de l'activité du cerveau de l'origine organique ( dégénérescence mentale, démence consécutive) l'application de l'
à la môme question. L'éducation de la volonté et la lutte contre la dégénérescence . (1), M. le Dr BéaiLLON. — Les dispositions du
t des auteurs ne voient dans ces tendances que la manifestation de la dégénérescence héréditaire. En réalité, pas plus chez l'homme qu
hez l'homme que chez les animaux, la méchanceté n'est l'apanage de la dégénérescence . Des individus très robustes, de race très pure,
d'arrêt chez les individus devient donc un facteur important dans la dégénérescence de l'espèce. La méthode pour l'éducation systém
68.) 20* Bérillox. — L'éducation du caractère et la lutte contre la dégénérescence (Comptes rendus de l'Association française pour r
aliénes, par le Dr Lemesle, 114. Dédoublement (illusion de), 148. Dégénérescence (la lutte contre la), par le Dr Bériilon, 156.
98 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
DES FAMILLES D'IDIOTS. Ce fait n'est-il pas un exemple frappant des dégénérescences dans certaines familles ? Comme antécédents : d
s les observations suivantes que nous avons recueillies, le fait de dégénérescence , sa marche sont encore plus évidents, l'état d'
é du père et du côté de la mère. L'influence de l'alcoolisme sur la dégénérescence des produits, et que nous avons pu déjà constat
aggravées par la transmission, sur la tête des enfants. De là, les dégénérescences si frappantes chez la plupart d'entre eux et qu
ement, DES FAMILLES D'IDIOTS. 47 nous voyons que, par suite de la dégénérescence progressive, cette famille est vouée à l'extinc
nous rapportons aujourd'hui ne sont que des exemples de plus de ces dégénérescences de l'espèce humaine que Morel a si consciencieu
99 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
faradique, contractilité galvani- que normale ; pas de réaction de dégénérescence . Le malade est guéri au bout de deux mois. ,
ode; en un mot, les muscles présentent les signes de la réaction de dégénérescence partielle. 0 10 pathologie NERVEUSE. Observat
nique, réaction de dégé- nérescence. Les signes de la réaction de dégénérescence ont disparu depuis le mois d'août ; la contract
s forte à la fermeture avec l'anode qu'avec le cathode (réaction de dégénérescence par- tielle). Au bout de trois mois, améliorati
nome, tumeurs parasitaires), enfin leur hypertrophie simple et leur dégénérescence kystique. Plusieurs de ces descriptions manquen
ivers de l'Allemagne pour nous faire pénétrer la patho- génie de la dégénérescence kystique des plexus. La plus simple et la plus
ctaux. Les muscles s'atrophient peu à peu et ont des réactions de dégénérescence partielle ou totale. 11 y a souvent une sensibili
alysées, et l'on n'a jamais constaté jusqu'à présent la réaction de dégénérescence , quelle que fût l'ancienneté de la paralysie.
passe comme à l'état normal et l'on n'observe pas la réaction de dégénérescence . Il semble cependant qu'il y ait un léger degré
des mêmes diamètres chez les paysannes, que les signes physiques de dégénérescence , tels que l'irrégularité du crâne, l'asymétrie
mes de la folie telles que la mélancolie avec stupeur; la manie, la dégénérescence psychique, etc. XXXI. M. VICTOROFF lit ensuite
t la protection des enfants arriérés ». La cause prin- cipale de la dégénérescence sociale c'est l'hérédité pathologique. Pour rem
déjà ancienne que l'alcool est un des agents les plus actifs de la dégénérescence des races. L'influence morbide des parents sera
nerveuses. Il semble qu'il y ait dans l'espèce plutôt agénésie que dégénérescence . Les parties de la moelle les plus atteintes so
100 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
des deux hémisphères infiltrées de sang. Coeur rempli de caillots. Dégénérescence graisseuse du foie. - Pneumonie aiguë. Bronch
bien développée, aucune anomalie cra- nienne ; pas de stigmates de dégénérescence . Tête un peu dolichocéphale; bosses frontales s
ns. - Foie hypertrophié surtout dans son lobe droit, mou, a subi la dégénérescence graisseuse. - Rate et reins, rien de particulie
lle une enfant sérieuse. Au point de vue phy- sique, aucun signe de dégénérescence . III. Dans sa douzième année, l'enfant est mise
veloppemei2t congéni- tal des circonvolutions. III. Les signes de dégénérescence physique sont peu accusés. En revanche, sous le
u'il est amené à l'Institut médico-pédagogique III. Les signes do dégénérescence physique sont insi- gnifiants chez ce malade :
long des corps striés. Conges- tion pulnioizaü·e. -Ilperla·ophie et dégénérescence grais- seuse du foie. - Congestion et ramolliss
oblitéré. Abdomen, - Foie volumineux offrant un certain degré de dégénérescence graisseuse (1.025 gr.). RaIe lobulée, consistan
/ 162