elles présentent quelques traces de raréfaction atrophique. On a
décrit
comme caractéristique de l'acromégalie une altéra
les issus d'un père ou d'une mère elle aussi acromégale. Fraënzel a
décrit
une femme acromégalique, qui eut un enfant acro
vrais que les individus présentant les caractères du type clinique
décrit
par M. Brissaud (infan- tilisme dysthyroïdien),
re comme des infantiles vrais, que les individus présentant le type
décrit
par cet auteur. Dans les conclusions de son mém
antiles vrais, c'est-à-dire, aux infantiles d'origine disthyroïdienne
décrits
par M. Brissaud. De même que chez les infanti
tions suivantes : W réserver le nom d'infantilisme au type clinique
décrit
par Brissaud ; 2° remplacer par le nouveau mot
aractères de la conformation de l'enfant. Lorsque Brissaud et Meige
décrivirent
l'infantilisme vrai dysthyroïdien : .' et l'inf
loin, se rapprochent du type vrai de l'infantilisme dysthy- roïdien
décrit
par Brissaud, c'est évidemment tendre à simplifie
Pierre Marie. Les mains ont la forme typique pour l'achondroplasie,
décrite
par le même auteur, la main en trident. Les doi
ême genre que celle des deux achondro- \ plases, Sicard et Fouroff,
décrits
ici-même par le Dr Apert, il est un , prestidig
ute la' colonne vertébrale et principalement dans le sacrum. Elle
décrit
sa sensation : « comme si l'on coupait avec des c
acines postérieures sont très modifiées. Les enfoncements ci-dessus
décrits
sont des empreintes d'ostéomes ronds et ovales
erveuses, tandis que de la corne postérieure, il ne reste plus rien à
décrire
. . Dans les cordons antéro-latéraux on voit des
ngement ; la chromatine en quantité normale. Dans les cas ci-dessus
décrits
,il s'est agi de 7 tumeurs malignes (carci- nome
e d'une métastase du cancer du sein dans les vertèbres. Dans le cas
décrit
par Friedeberg la douleur sciatique-fut le premie
rver dans le cas de sarcome vertébral comme par exemple dans le cas
décrit
par Deje- rineet Spiller (sarcome de l'os sacré
moteurs (oedème) surviennent rarement. 78 FLATTA U ' Le tableau
décrit
ci-dessus est nécessairement un peu schématique.
ant la vie ne décelaient aucun symptôme clinique. Dans le tableau
décrit
ci-dessus nous avons donné la description d'une
médullaires. Quelquefois la maladie débute brusquement. Dans le cas
décrit
par Bliss le malade res- sentait auparavant des
égie complète s'établit (sarcome des vertèbres). Nonneégale- ment a
décrit
des cas de sarcomatose et carcinomatose vertébral
ient sous l'aspect de myélite aiguë transverse. Ballet et Barbé ont
décrit
un cas où la malade s'est réveillée avec une para
complète (aclinomycose des VIIc et Xle vertèbres dorsales). Frich a
décrit
un cas TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA C
ttention spéciale. Dans notre cas (obs. VIII) de même que dans ceux
décrits
par Bielschovsky, Schlesinger, le tableau cliniqu
rie vertébrale. La ressemblance est telle qu'il y a des auteurs qui
décrivent
une forme spéciale de sarcome vertébral sous le
ztes. (pendant la vie existence de symptômes médullaires). Il est
décrit
un cas de sarcome vertébral, qui donna tout d'un
on notable de l'isthme de l'encé- phale et de l'écorce. Dans un cas
décrit
par Nonne (une paraplégie flas- que) où il y av
r dans le canal rachidien . A cette catégorie appartiennent des cas
décrits
ci-dessus. Dans l'un d'eux (obs. I) on constata
comprimant tout de même la rnoelle. Il y a toute une série de cas
décrits
où les masses néoformées dans les vertèbres aug
ébrale avec ses phénomènes médullaires. Ainsi par exemple de Buck a
décrit
un cas du cancer du sein et du foie, où il y avai
moelle. Cette dernière présentait le tableau d'une myélite toxique (
décrit
par Meyer, Crocq et d'autres) ou celui de la moel
es espaces lymphatiques périvas- culaires et péricellulaires. Bruns
décrit
un cas où l'infiltration cancé- reuse occupe un
ux on obtint une amélio- ration passagère suivie de mort. Saenger
décrit
3 cas. Dans le premier le sarcome avait pour poin
ème cas on a opéré un sarcome de la IIIe vertèbre dorsale. Stertz
décrit
un cas, où il y avait une amélioration après l'op
rcome) dans les os (mais non dans la colonne vertébrale). Sick seul
décrit
un cas de guérison après traitement. Schlesinge
s les cas de paraplégie spasmodique, le phé- nomène que je viens de
décrire
se produit des deux côtés. Je ne sais si l'expl
as même pour les bonbons, tandis que Marguerite, comme nous l'avons
décrit
, est très gourmande. L'atrophie musculaire chez
t absolument indolore. Extrémités inférieures. - Comme nous l'avons
décrit
aux membres supé- rieurs, l'atrophie musculaire
uvé aucun cas de maladie familiale semblable à celle que nous avons
décrite
. Deux ou trois observations pourtant méritent c
lement, dans les cas d'IIigier, cette atrophie musculaire n'est pas
décrite
avec les caractères de l'amyotrophie à type Charc
dans la forme familiale Charcot-Marie a été Vizioli qui, en 1889, a
décrit
trois cas (1) d'atrophie musculaire familiale s
es très rares : Sainton (1) en a publié un cas, deux autres ont été
décrits
ensuite par Ballet et Rose (2), il faut ajou- t
remarquer comment dans la maladie étrange familiale,que nous avons
décrite
, tous les symptômes morbides ont acquis une impor
légies cérébrales infantiles du type familial. Ensuite nous avons
décrit
leurs symptômes spino-névritiques parfaite- men
il faut observer seulement que la maladie familiale que nous avons
décrite
ici présente un tableau morbide tellement étendu
ngements dans la structure vasculaire, comme nous ve- nons de les
décrire
(épaississement des parois avec légère prolifér
Les changements vasculo-scléreux étaient un peu analogues à ceux
décrits
par Minnich et Nonne dans les cas d'anémie et de
rrondis au sein des cor- dons latéraux. Tous les foyers ci-dessns
décrits
n'ont pas de limites nettes ; ils ne ressem- bl
gment cervical contiennent des foyers de lésion iden- tiques à ceux
décrits
ci-dessus, en ce qui concerne la structure histo-
toile d'araignée. La structure de ces foyers est semblable à celle
décrite
plus haut. Un peu plus bas (entre le ler et le
le. La substance grise est clairsemée mais moins que sur les coupes
décrites
ci-dessus. A côté de l'aspect clairsemé général
Dans le 1°r segment dorsal on ne voit que des traces des changements
décrits
plus haut. Un peu plus bas encore on ne voit
ommeil se réveilla avec les membres inférieurs paralysés. Le malade
décrit
parBehier se coucha tout à fait bien portant et
plexus brachial. Le tableau clinique dans ces cas ressemble à celui
décrit
plus haut avec la différence, que suivant la lo
phénomènes mé- dullaires avaient été observés. En lS9y Oppenheim a
décrit
un cas simu- lant la polioencéphalite subaiguë
ullaires nées à distance sont souvent plus considérables que celles
décrites
par Oppenheim. 11 y a toute une série de travaux
s décrites par Oppenheim. 11 y a toute une série de travaux où sont
décrits
des cas de tumeurs extravertébrales éloignées de
II 12 178 FLATAU . Il y a donc une analogie complète avec les cas
décrits
dans la première partie de ce travail. Là aussi
névro,,11(lue (ot)s. IX). Ces change- mentsrappellent ceux qui sont
décrits
dans les moelles anémiques (Minriicli, Nonne),
eu graves et dis- paraissent tout à fait. t. En effet dans le cas
décrit
par Boerner (fibrome du cou avec pas- sage à tr
'opération les parties malades et la guérison eut lieu. Dans le cas
décrit
par Székres la tumeur (échinocoque) était localis
rtébraux malades s'éliminèrent et la guérison s'installa. La malade
décrite
par Tyller-Williamson a eu un kyste hydatique de
vail tou- tes les altérations anatomiques des différentes psychoses
décrites
par les auteurs et dont j'ai déjà fait un résum
ions seront manifestes et facilement démontrables. On a abondamment
décrit
les lésions de tous les systèmes histologiques,
savons pas reconnaître ! Les lésions anatomiques fines observées et
décrites
ne sont-elles pas en quelque sorte le stade ult
té) et les psychoses proprement dites. 4° Ces altérations ont été
décrites
pële-mêle,sans aucun ordrejuslluïci ; aucun sys
as typiques quoi qu'on en ait dit. Aucune des lésions histologiques
décrites
jusqu'ici n'a pu nous donner l'explication d'un
phénomène est de date toute récente ; le dermo- graphismerougea été
décrit
par Dujal'din-Beaumelz en 1879, qui a observé u
rmographisme chez plus de 76, soit à peu près 38 0/0. Les auteurs
décrivent
deux sortes de dermographisme les raies rouges
te des traumatismes. Le cadre de cet ouvrage ne me permet ni de les
décrire
ni même d'exposer leur diagnostic différentiel
it simuler une exagératian dllré- flexe, C'est là ce que Babinski a
décrit
sous le nom de réflexe tendineux illégitime. No
précisément les douleurs rendent l'examen très difficile. Ces cas,
décrits
le plus souvent, sous le nom d'ar- thralgies, s
thralgies, sont connus depuis longtemps ; Brodie en 1837 avait déjà
décrit
la coxalgie hystérique. Il est impossible de fo
mène simulé. Par des expériences multiples, qu'il est impossible de
décrire
, qu'il faut imaginer séance tenante, suivant les
l'état mental normal des lépreux européens on[ été admirable- ment
décrites
en 1812 par Xavier de Maistre dans son livre célè
e malformation a été remarquée par un cer- tain nombre d'auteurs et
décrite
sous des noms divers : brachydactylie, micromél
à l'examen clinique et radiographique,sauf l'ano- malie des doigts
décrite
plus loin. Le crâne, au contraire, est volumineux
inution de la sensibilité du même côté. L'état somatique longuement
décrit
permet d'affirmer que l'anomalie des orteils ne
st particulièrement ignorée. Or, comme avec les cas que nous allons
décrire
se présente un fait, à ce qu'il nous semble, en
par les doigts. Ils montrent aussi clairement le type en tri- dent
décrit
par M. P. Marie. A la main droite, le doigt moyen
sières et elles présen- tent même spontanément la forme eu trident,
décrite
par M. P. Marie. Aucune anomalie dans la longue
les caractères principaux de cette forme morbide, qui a été si bien
décrite
pour la première fois par L'ACHONDROPLASIE EST-
trouvons une corres- pondance parfaite. En effet dans les trois cas
décrits
, il y a la petitesse de la taille, qui dans l'u
met de compter ce cas parmi les plus petits aclio ndrop 1 asi (tues
décrits
. La macro- céphalie, de type brachycéphalique,
ent est dû surtout aux doigts. Elles présentent la forme en trident
décrite
par M. P. Marie, et chez le premier sujet les tro
ent dans le premier, où ils présentent une anomalie que nous allons
décrire
. Au pied droiteneffet le quatrième orteil est p
hyperplastique et hypoplastique (outre la forme malacique), qu'il a
décrites
à propos de l'achondroplasie. . En revenant à l
rachitique la tête est grosse, mais pas de la forme que nous avons
décrite
; le tronc est très déformé et il y a souvent cyp
xiste certainement des formes incomplètes, bâtardes, et l'on a déjà
décrit
des formes mixtes intermédiaires au rachitisme,
encore défaut. » Nous voyons donc que parmi les cas que nous avons
décrits
se trouve un fait que l'on n'avait jusqu'à prés
en former une famille, une tribu ; il pourrait arriver que le fait
décrit
plus haut se présentât de nouveau. Certainement i
s 1876, époque à laquelle, ainsi qu'on le sait, cette affection fut
décrite
pour la première fois par James Paget, à l'heure
nce consécutive des voies pyramidales. Gros et Lancereaux (Obs. 86)
décrivent
,entre autres, le cas d'un homme qui contracta l
a parole. Après une cure spécifique, son état s'améliora. Ménétrier
décrit
le cas d'un nomme de 26 ans qui, deux mois après
es premiers symptômes de l'in- fection syphilitique. Le même auteur
décrit
un autre cas concernant un homme de 60 ans, che
de la partie antérieure de 5 corps vertébraux : le canal rachidien
décrit
une courbe à concavité antéro-postérieure, figura
sses dégé- nérées dans le cordon postérieur gauche qui ont été déjà
décrites
à propos de la coloration de Weigert. Un nombre
andes et irrégulières. Le caractère histologique correspond à celui
décrit
plus haut (V. obs. IX, X, XII). La même structu
s en plus croissante. Il est connu aujourd'hui que cette affection,
décrite
par Charcot, la plupart du temps se présente ap
s points avec les recherches de Brodmann. Smith (8), de son côté, a
décrit
égale- ment plusieurs zones dans le domaine des
t possède à peu près la même structure que cette dernière. Brodmann
décrit
encore d'autres différences entre ces deux région
t directement. La dernière contient les pyramidales géantes si bien
décrites
pour la première fois par Betz. Enfin il n'y a
es. Dotto et Pusateri comparent ces lésions cellulaires avec celles
décrites
par Nissl, Marinesco et Lugaro consécutivement
de la zone motrice pour voir si les lésions cellulaires qu'ils ont
décrites
dans la psychose polynévritique sont primitives o
-métamérique. D'a- près MM. Klippel et Weill, les auteurs n'ont pas
décrit
ces derniers qui seraient les plus fréquents; l
intéressant la région cutanée lésée, naevus-myélite que uous avons
décrit
, avec Selhorst, presqu'en même temps (1) ; 3° enf
et de la live, c'est-à-dire qu'ils avaient le même siège que le cas
décrit
par Abadie : et dans toutes, on a pu observer q
ctions, puisque, comme nous l'avons vu, la presque totalité des cas
décrits
par les auteurs est à la charge des vertèbres l
la colonne qui s'était inclinée en avant, se redresse en arrière et
décrit
une cyphose très prononcée en angle arrondi dont
t l'aspect clinique en tous point comparable à celui que nous avons
décrit
. La malformation n'en- travait nullement le tra
uite) PAR Edouard FLATAU Observation X X J. Ce^cas a déjà été
décrit
en détail dans une étude faite par nous en collab
jaune-brunâtre ; en arrière, le reste de la masse spongieuse molle
décrite
plus haut. En arrière des cordons postérieurs,
l'année 1908 qu'un cas analogue de chromatophorome intramédullaire,
décrit
par Hirschberg. Celui décrit par Esser appartie
ue de chromatophorome intramédullaire, décrit par Hirschberg. Celui
décrit
par Esser appartient plutôt aux tumeurs extra-
t la douleur primitive est apparue dans le pied gauche. Dans un cas
décrit
par Ilamson Thompson (un sarcome extra-dural au
LE 467 quelques années avant les symptômes médullaires. Dans le cas
décrit
par Chavigny, les doreurs étaient apparues troi
ze, Auèrbacir-Brodnitz, Heilbronner et dans le XXIe cas ci-des- sus
décrit
); dans nos XVIe et XXIO cas nous avons observé un
ou subaiguë quoique là aussi peuvent exis- ter des exceptions. On a
décrit
des cas de tumeurs méningées où la durée était
affaiblissement des jambes et des troubles uri- naires. Dans le cas
décrit
il n'y a pas longtemps par Schultze (1908) la m
ique et encore plus rarement des atrophies musculaires (Oppen- heim
décrit
, il est vrai, des atrophies musculaires dans un c
suite et ne pas revenir même pendant quelques années. Dans un cas
décrit
par Klieneberger la douleur a débuté par la plant
(Bruns) ou s'accompagnait d'accès de très fortes douleurs. Nonne a
décrit
un cas de sclérose en plaques où les accès doul
e Brown-Séquard avec les douleurs radiculaires (Bruns). Boettiger a
décrit
un cas où le diagnostic de tumeur (les symptô-
ection, la méningite spinale séreuse. Il y a toute une série de cas
décrits
par Oppenheim, Krause, Saenger, Bruns, K. Mende
im veut y voir une certaine analogie avec les kystes de la pie-mère
décrits
par Spi 11er-Musse ! ' et Martin. Schwartz, Sch
i 11er-Musse ! ' et Martin. Schwartz, Schmidt et Schlesinger en ont
décrit
des cas égale- ment. En général cette question
ONNE VERTÉBRALE 481 ninges (1). Dernièrement Raymond et Alquier ont
décrit
des cas analo- gues d'inflammations des (2) mén
mme exemple frappant sous ce rapport, nous pouvons mentionner celui
décrit
par Saenger où des médecins certainement expéri
l'opération ou d'une hématomyélie consécutive. Un cas analogue est
décrit
par Bruns, qui croit également que les hémorrag
^ visible dans la moelle dorsale ! Ces faits sont analogues à ceux-
décrits
dans le chapitre II. - Quant à la pathogénèse
, nous l'avons déjà exposée dans le chapitre II. Nous l'avons aussi
décrite
dans un travail commun avec le Dr Sterling. Nou
dessous du bord supérieur de l'hémisphère les altérations ci-dessus
décrites
du côté des cir- convolutions de l'insula appar
rement mécanique au développement du corps calleux. Dans le cas que
décrit
Onufrowicz, la circonvolution limbique supé- ri
owicz poursuit ensuite l'étude des coupes microscopiques sériées et
décrit
un faisceau volumineux dont le trajet se fait dan
tal était demeurée abso- lument intacte. Le faisceau sous-calleux
décrit
chez le chien par Muratoff comprend trois parti
e avis, n'est autre que la zone réticulée de la couronne rayonnante
décrite
par Sachs, ou encore, la couche sagittale interne
le interne du lobe fronto-pariétal et correspond à ce que Meynert a
décrit
sous le nom de « couronne rayon- nante du noyau
». Voici, du reste, en quels termes l'Anatomie des centres nerveux
décrit
ce faisceau : « C'est un long faisceau d'associ
ar le pied de la couronne rayonnante. Le faisceau occipito- frontal
décrit
une courbe ouverte en avant et en bas. Recouvert
re fortement à la partie supérieure du bourrelet cortical ci-dessus
décrit
et se continue plus loin sous la forme d'une mi
t, ce faisceau se rapproche beaucoup du fais. ceau fronto-occipital
décrit
par Onufrowicz, Kaufmann et Hochhaus. Toute- fo
trop rapide d'une erreur anatomique aussi funeste qu'inutile. 1 Il
décrit
le faisceau du noyau caudé de Sachs et la zone ré
LLEUX 521 a été rapporté par Kozowsly(1). Dans ce cas, que l'auteur
décrit
du reste très sommairement, il s'agit d'une agé
ion impossible. Cependant nous pouvons établir que le nain Taillon,
décrit
par Ma- nouvrier, représente un cas de microsom
parfaitement proportionné de tout son corps; Daniel et Philippe le
décrivent
de la façon suivante : Dobos est un véritable ho-
ffet quelques stigmates physiques identiques à ceux que nous allons
décrire
comme caractéristiques chez nos nains : Do- bos
tout la définition et la conception du nanisme émise par M. Meige,
décrit
à nouveau les types de nains les plus connus, c
traire un peu plus explicite sur ce point si important; après avoir
décrit
les formes bien connues de nanisme, il ajoute :
vidus de la troupe actuellement à Paris. C'est la variété qui a été
décrite
sous le nom de pygméisme par Poncet et Lenoir q
uel résulta subjectivement et objectivement normal. Nous avons déjà
décrit
l'aspect caractéristique du nez dans sa portion o
conformation du nez est exactement la même que celle que nous avons
décrite
chez notre premier nain ; le nez a le bout relevé
ans une déformation du nez qui est identique à celle que nous avons
décrite
chez son père; sa mère est, comme nous l'avons
ellé aussi, malgré son incomplète formation, le type que nous avons
décrit
chez tous nos autres sujets et qui est caractéris
ec les nerfs ciliaires. Dans la plupart des ouvrages classiques, on
décrit
au chapitre des ori- gines réelles de l'oculo-m
achnoïde est épaissie. L'aspect est très comparable à celui qui est
décrit
par Vincent (dans sa thèse, 4910) dans un cas s
e en est l'ACIIONDROPLASIE. Mais ici une dislinction s'impose. On a
décrit
parfois sous le nom d'achondroplasiques des sujet
d'un raccourcissement considérable, analogues à ceux que nous avons
décrits
, L'anomalie s'accompagne d'un certain nombre d'
ation là où au premier coup d'oeil tout semblait perdu. Dans un cas
décrit
par'Schede, l'opération, 594- liez FLATAU exé
ment la même structure que les plaques à distance que nous venons de
décrire
. Nous voulons insister surtout sur l'autre typo
tout le monde. Il parait bien certain cependant que les altérations
décrites
relèvent de la syphilis. Des études approfondie
ut rencontrer tous les stades de ce processus pathologique, je veux
décrire
ici les deux stades principaux, celui dans lequ
atrice terminale. Sans attacher d'autre importance à ces'termes, je
décrirai
donc : 1° L'aortite moyenne gommeuse floride en
ique est occupé par la masse de fibres complexe que nous avons déjà
décrite
et que, pour faciliter la suite de nos explicatio
illé interne. Ce sont les radiations cortico-genouillées inter- nes
décrites
par von Monakow, 111ahaim et Dejerine. Le segment
beaucoup la disposition du corps calleux normal telle qu'elle a été
décrite
par Anton. A ce niveau, le cin- gulum semble oc
s toutes les particularités qui s'observent à chaque niveau, que de
décrire
chaque lobe isolément. Sur les coupes qui pas
e se soustraire à l'importance des multiples lésions que nous avons
décrites
: épaississement pie-mérien généralisé, plaque
e ces os dépassent souvent le plateau tibial. J'ai été le premier à
décrire
d'autre part une autre anomalie analogue à cell
bour très nette des dernières phalanges des doigts. - Ayant ainsi
décrit
tous les caractères cliniques néga ti fs et posi
ue absolument tout symptôme de déficit relatif à ces organes ; on a
décrit
une forme d'infantilisme d'origine surrénale, m
mun avec le type de dystrophie certainement dysthyroïdienne si bien
décrit
par M.bIeige : d'ailleurs, selon nous, il n'est
ieu à la détermination de la forme de microsomie pure que nos avons
décrite
. Nous n'avons aucun argument certain qui nous f
multiple, mais qui se manifeste toujours cliniquement sous le type
décrit
par Lorain LA MICROSOMIE ESSENTIELLE HÉRÉDO-FAM
ut qu'ils appartiennent à la forme de microsomie que nous venons de
décrire
. Quelle que soit en outre la réduction de la ta
sente un spécimen de l'infantilisme dysthyroïdien qui a été si bien
décrit
par Brissaud ? Nous ne le croyons pas : du type
pha- langes des doigts qui sont identiques à celles que nous avons
décrites
chez son père dont il est d'ailleurs, pal touts
ailleurs, malgré son incom- plète formation, le type que nous avons
décrit
chez tous nos autres su- jets. L'examen radio
ites ; les doigts sont fluets et rectiligues, sauf le cinquième qui
décrit
une légère courbe à concavité radiale. La main
peuvent en subir beaucoup d'autres. Ainsi Ronades et Sérieux ont
décrit
un cas où l'index des deux mains était plus atr
l'auriculaire des deux mains était recourbé en crochet. Cestan (3)
décrit
un cas où le médius était développé outre (1) R
ber, où l'index était hypertrophié et incliné de côté. Boix (4) a
décrit
une déviation des doigts des deux mains du côté c
MALIES DES ORTEILS 697 la main droite était normale. Pauly (11) a
décrit
une déviation des doigts du côté cubital. Stern
second, c'était l'auriculaire. L'auteur dit que l'on n'avait encore
décrit
jusqu'à lui que 9 cas pareils. M. Afagnanini (1
ffisamment en détail. Les déformations les plus différentes ont été
décrites
(Lejars, Boi\, Cestan, Kraepelin, etc.), sans c
rarement d'indications d'autres anomalies. Ainsi Magnanini (13) a
décrit
(obs. 11) la syndactylie du gros et du second o
, accompagnée de céphalée et des troubles oculaires, que nous avons
décrits
, n'est autre chose que l'acromégalie. Et il ne s'
(Surmont,Lynn,Thomas, Uhthoff) ; et d'après Sternberg les cas qu'on a
décrits
chez les enfants sont contestables. Moncorvo
tions squelettiques, observées chez le ? idiots et les arriérés, et
décrites
par Virchow sous le nom d'acromé- galie partiel
lable que le point de départ de l'état morphologique que nous avons
décrit
chez José Lopes réside dans l'hypertrophie de l'h
énales dans la nutrition du tissu osseux. L'infantilisme surrénal
décrit
par 1<lorlat pourrait être invoqué également
e et non exactement classée. En effet, si avant cet auteur on avait
décrit
une forme particulière de subluxalion radiocarp
ubluxalion radiocarpienne qui rappelait de près celle que plus tard
décrivait
magistralement Madelung, il est certain que les
(1) de Siegrist (1908) on peul évaluer à 50 le nombre total des cas
décrits
. A ce chiffre on doit aujourd'hui joindre les c
s cas publiés en 1908 c'est-ir- dire les observations rapportées el
décrites
par Frauke (1908), Gangèle (1908), Lévy (1908),
il conserve ses rapports avec le carpe (la plus grande partie des cas
décrits
) ; parfois le radius perd ses rapports avec les
pinion se range Jean, se basant sur un cas de difformité bilatérale
décrit
en 1875 avec les résultats de l'examen analomo-
ociée à d'autres malformations. D'ordre congénital est aussi le cas
décrit
par Arduin en 1902 sous le titre de « luxation co
ngénitale incomplète du poignet ». Jagot estime aussi que son cas
décrit
en 1897 est d'ordre congénital et héréditaire.
ongénital fllt enfin mon cas qui certainement appartient à la forme
décrite
par Madelung et que je m'efforcerai de décrire le
ppartient à la forme décrite par Madelung et que je m'efforcerai de
décrire
le plus brièvement possible en me réservant de
, sons l'impulsion d'inlluences mé- caniques. 13arlhés au contraire
décrit
deux cas de maladie de Madelung ë' chez des suj
rt à la pathogénie, mon cas se détache aussi de tous les autres cas
décrits
. En effet, suivant la majorité des auteurs, don
f à cette disposition du radius. Conclusions 1° Le cas que j'ai
décrit
, par la difformité caractéristique du poignet,
raumatisme pendant l'accouchement ou aussitôt après : la difformité
décrite
est certainement congénitale, pas héréditaire e
dius et du cubitus. On voit que tout en étant comprise parmi celles
décrites
par Madelung et par les autres auteurs, elle s'
. Quant aux membres supérieurs, on y re- marque l'anomalie qui sera
décrite
ci-après. Taille 1 m. 62. Système pileux passab
n droite. La radiographie démontre clairement ce que nous venons de
décrire
: le doigt surnuméraire, des deux côtés, est un
treize doigts à chaque main et douze à chaque pied ; Hagenbach (G)
décrit
, entre autres, un cas de quatorze doigts à chaq
vient de préciser, d'après les lertes originaux, le tableau morbide
décrit
, sous nom de Presbyophrénie, par les différents
a marche des psychoses, est peu connue. Pourtant la presbyophrénie,
décrite
antérieurement, psycliosejus- qu'à un certain p
nie, isole donc, pour ainsi dire, l'un des deux ordres de symptômes
décrits
par (1) KREPELIN, Psychiatrie, 1910, p. 184.
ogisies, sur la foi d'une doctrine et d'un néologisme, ont tenté de
décrire
à l'affection nouvelle des lésions spécifiques.
rénie d'une anatomie pa- thologique. Dans plusieurs travaux (1), il
décrivit
comme spécifique une lésion consistant en petit
e réaction inflammatoire. A côté de ces formes délimitées, l'auteur
décrit
une lésion diffuse caracté- risée par une infil
it pu ob- server chez eux de troubles psychiques (1). Les lésions
décrites
par Fischer avaient déjà été observées par d'autr
s eux-mêmes, Fischer excepté, ne prétendent plus, semble-t-il, qu'à
décrire
les lésions d'une forme clinique et non d'une ent
dance aux récits imaginaires, symptôme très anciennement signalé et
décrit
par les auteurs français. (1) Derny et Camus, S
aux 1 Je rêve souvent de chevaux qui tombent. » On lui demande de
décrire
le costume du docteur qu'elle vient, dit-elle, de
ur, que son fils est fautassin, chasseur à pied, artilleur, et elle
décrit
son costume, chaque fois, d'une façon différent
). Dans d'autres cas, on observe le tableau clinique du Puérilisme,
décrit
par Dupré (1) et qui se rencontre surtout, lui
adies et les affections des articula- tions de toute nature ont été
décrites
sous la dénomination générale de « rhumatisme »
nouvelle unité pathologique. - Eu 1892, le Professeur HekhteretI a
décrit
cinq cas « d'une affection spéciale qui se mani
yphose hérédo-traumatique » (Pierre Marie). En 1897, Slriimpell a
décrit
un cas d'ankylose complète de la colonne vertéb
ons trouvé, clans la litté- rature, 15 cas d'autopsie (quelques cas
décrits
par MM. Bekhtereff, Marie et Léri, Pie et Bombe
ue dans ses traits spéciaux, telle du moins que M. Pierre Marie l'a
décrite
et que les autopsies ultérieures l'ont constaté
d'un t)¡Je qui s'approche de très près de la spondylose rhizomélique
décrite
pour la première fois par M. P. Marie. Dans qua
es muscles dorsaux. Sur les seize observations que nous venons de
décrire
, il s'agit 14 fois de la forme d'immobilité de
e dégénérescence des faisceaux postérieurs (un état semblable a été
décrit
par le Dr Babinski). Dans toutes les autres obs
l'affection des articulations (Des convulsions myocloniques ont été
décrites
dans la spondylose rhizomélique par Levi et Folle
lle des côtes était pareille), on n'y trouvera point les caractères
décrits
et mis en évidence par les observations de Ilahn,
ile de St-Maurice. d'aliénés d'Evreux, L'étiologie de l'affection
décrite
par Dercum sons le nom d'adipose dou- loureuse,
tion des localisations cérébrales » (p. 582, fig. 105 et 10(3) (2),
décrit
une tumeur ayant détruit presque totalement les
re cependant qu'ils arrivent il l'intensité de ceux que je viens de
décrire
. Presque toujours, il me fut possible de démontre
D'ailleurs chaque personnage est souligné d'un couplet (1) où il se
décrit
lui-même sans circonlocution. Est-ce une fantai
de quelques teintes plates, Pourpoinctz rouges, tannez et noirs,
décrits
dans le Pourpoint.(Ces teintes onl été sans clout
donne les vers suivants dans son Eulogium Sebastiani Brandi, où il
décrit
sans nul doute le chancre induré : Scorram, Gal
gne » comme chante le quatrième rang, n'est-elle pas beaucoup mieux
décrite
que nous ne saurions le faire, et surtout de fa
ffaiblis, mais de plus, il est d'hier ce symptôme nouveau, le bubon
décrit
par Nicolas Massa (1532) et dont Antoine Lecoq
n autre trouble trophique cutané, en dehors de celui que nous avons
décrit
plus haut. Comme trouble vaso-moteur, il y a li
ent mobile. La couleur est normale. Le phénomène que nous venons de
décrire
, est bien évident sur toute la face dorsale de
s passons maintenant en revue les altérations trophiques cuta- nées
décrites
jusqu'à présent dans la syringomyélie, nous ne tr
ail pas se faire. Et même en dehors de la syringomyélie, on n'a pas
décrit
, autant que je sache, de troubles trophiques se
t. Se tient le plus souvent dans un coin dans l'attitude figée déjà
décrite
et avec des gestes menus et variés des mains. D
tale ; tout en admettant une folie intermitente, telle que l'a bien
décrite
M. Magnan, englobée depuis dans la folie maniaque
sous-groupe défini de la dé- menceprécoce. William Rush Dunton (2)
décrit
aussi comme distincte une forme intermittente,
on nerveuse pour interpréter les troubles variés que nous venons de
décrire
. En résumé, les lésions précédentes peuvent êtr
nique aralyloscaaale du rachis et des articulations des hanches que
décrit
Striimpell est évidemment une forme de la spon.
e traumatique héréditaire de M. 13c%Irtere/f. Dans tous les cas que
décrit
Bekhtereff, l'affection se porle exclusivement su
spinale hypertrophique ( ? ) lio Brissaud el Grenet ont, en 1 ! IO,
décrit
un cas (l'ankylose du rachis LA SPONDYLOSE nI11
sseur Senator et Cassirer, de la clinique d'Oppenheim de Berlin ont
décrit
des cas d'immobilité du rachis d'origine myopat
on sous le chloroforme. Dans toutes les observations que nous avons
décrites
, on ne pouvait songer qu'à la spondylose rhizomél
songer qu'à la spondylose rhizomélique. 8° Le professeur Raymond a
décrit
en 1901, sous la dénomination de : Afaladieanky
nique, une forme d'ankylose des articulations. En 1905, M. Berger a
décrit
un cas analogue. Les signes communs des deux ca
ar l'ossification des ligaments. d) Dans la première observation,
décrite
par M. P. Marie, une résec- tion des têtes des
donne le résumé des 36 cas de tumeurs de la glande pinéale qui sont
décrits
et il en ajoute encore d'autres. Après le trava
n grand travail sur « les organes pariétaux » de Stud- nicka ; il a
décrit
d'une manière très détaillée la glande pinéale ch
landes où les septa sont très fortement vascularisés. Si nous avons
décrit
ces types c'est seulement pour aider à s'orienter
é. Cr.i.i.m.rs de déblai. En avril 1910, Galalescu et Urechia ont
décrit
quelques cellules qu'ils ont trouvées autour de
alogues aux cellules de déblai à granules métachromaliques qui sont
décrites
d'une manière détaillée par Atzheimer ; d'un au
gment, graisse, FIBRES musculaires, kystes. Des concrétions ont été
décrites
très souvent par les auteurs, nous pouvons seul
plus petites et d'une forme oblongue, Le pigment est aussi souvent
décrit
; on l'a trouvé dans le tissu con- jonctif et d
Nicola et Dimitrova les ont trouvées chez le boeuf. l'appenheimer a
décrit
une tumeur de la glande pinéale contenant des f
souvent, mais non constamment. les plaques névro- gliques qui sont
décrites
spécialement par Marburg. Prohablement elles jo
e la tête d'une épingle. Ils ont toujours été du type que Marburg a
décrit
comme la conséquence d'un ramollissement central
lte des signes certains d'involution. Les auteurs antérieurs en ont
décrit
trois : les con- crétions, la prolifération du
rée sont les seuls altérés. Dans ce travail, nous nous proposons de
décrire
les lésions microsco- piques trouvées dans ces
sa et par la thionine ; ils sont donc amphophiles. Mari- nesco z) a
décrit
dans les cellules du locus nigel' et du locus coe
nucléolaires; ces corpuscules diffèrent des formations précédemment
décrites
pour les raisons suivantes : Il leur nombre n'est
peut voir des cellules dont la membrane modifiée présente l'aspect
décrit
plus haut et au sommet du cône on trouve un ori
ster sur les trois points suivants : 1° Les phénomènes précédemment
décrits
n'ont pu être constatés que dans deux cas de pa
rants, il résulte que : les sphérules du nucléole, les granulations
décrites
par Marinesco sous le nom de granulations oxyne
plasma environnant. Cette dégénérescence nucléaire diffère de celle
décrite
par Nissl, Sarbo, Marinesco, Lugaro, etc... sous
uleurs acides tandis que dans l'homogénéisation telle qu'elle a élé
décrite
par Nissl le contenu nucléaire se colore tout aus
fférents états pathologiques. Van Gehnchten et Nelis (1898) (1) ont
décrit
des cellules vacuo- laires dans les ganglions r
t une cellule en état de dégénérescence kystique. Athias (190G) (3)
décrit
les cellu- laires vacuolaires dans les ganglion
uefois et qui donne à la cellule l'aspect fenê- tré tel qu'il a été
décrit
par Cajal, Naeotte, Marinesco, ne permet pas d'
n'importe quelle fixation) permet démettre en évidence la formation
décrite
et en même temps de se rendre compte de l'état
s'accroît, s'amplifie, et ces aspects différents que nous venons de
décrire
pourront être considé- rés comme des états succ
ulier ne peut être rapproché d'aucune autre formation cytoplasmique
décrite
dans les cellules ganglionnaires : granulations
alogies on trouve aussi certaines différences, ainsi Legen- dre (2)
décrit
et figure des cellules nerveuses contenant trois
cellules. LÉSIONS PÉRI-CELLULAIRES A côté des lésions cellulaires
décrites
prennent place les lésions péri- cellulaires qu
aux nodules rabiques ne nous autorise pas à rapprocher les lésions
décrites
de celles qu'on observe dans la rage. De plus m
mènes d'émigration active du nucléole ou la formation cytoplasmique
décrite
. (i) G. Marinesco, De la constance des lésions
Sous le nom de polynévrite des nerfs crâniens, Minor de Moscou (1)
décrit
une affection caractérisée par la lenteur de son
s rapports osseux sont beaucoup plus importants. Enfin nous avons
décrit
avec M. Sicard (3) un syndrome constitué par de
l existait chez lui tout un groupe de signes qu'il est classique de
décrire
dans l'acromégalie, et cependant nous ne saurions
Ant. MIKULSKI. L'acromégalie comme entité morbide spéciale a été
décrite
pour la pre- mière fois par M. le professeur Ma
n 1897. La plupart des cas publiés sont conformes au type classique
décrit
par Marie ; on rencontre cependant des cas atyp
avons affaire ici à la démence précoce. Le cas que nous venons de
décrire
se distingue par certains symptômes atypiques e
mégalique atteinte d'une psychose maniaque dépressive. Barros enfin
décrit
un cas d'acromégalie ayant des équivalents épilep
t un type de paraplégie avec contracture en flexion tel qu'il a été
décrit
par Babinski en 1899 à la Société médicale des
elconque du corps provoque les mouvements de flexion et d'extension
décrits
plus haut. Réflectivité tendineuse abolie. Abol
plus purs de paraplégie spasti- que en flexion telle qu'elle a été
décrite
par Babinski et dont les ob- servations ont été
il faut, limiter le terrain des recherches aux troubles que l'on a
décrits
en clinique sous ce nom ; car, si nous avons l'
s trouvons tous les symp- tômes précédents d'ataxie, que nous avons
décrits
d'après ce même malade. Il est inutile par cons
à ont pour nous un tout autre mécanisme, nous trouvons les troubles
décrits
plus haut. Mais, même plus tard, quand les symp
bles de sensibilité, sont des malades de transition entre le malade
décrit
dans notre observation el ceux par exemple que
ous fûmes surpris de voir que celte hypotonie, tel le qu'elle a été
décrite
par Frenkel n'existait pas. Ce n'est pas que nous
bes. Quant l'hypotonie des articula lions coxo-fémorales, comme l'a
décrite
Frenkel, on la constate surtout dans les cas d'
musculaires désordonnées. En résumé, tous les phénomènes ataxiques
décrits
jusqu'ici sont des troubles de l'équilibre stat
ogne, le mécanisme des associations musculaires est tel qu'il a été
décrit
par lui, c'est-à-dire que tous les muscles se c
parenthèse,je répète que le mécanisme des associations musculaires
décrit
par Duchenne répond à la réalité des faits, et on
conséquent - c'est -Ù, dire les phénomènes alaxiques que nous avons
décrits
dans cette première partie de notre travail est l
du système nerveux central (moelle épinière). Long et Wiki, qui ont
décrit
un fait analogue, ont mis l'atrophie en rapport
et suffisante de l'atrophie de la substance nerveuse que nous avons
décrite
. C'est à cette conclusion que nous désirions ab
s de la tubérosité bicipitale du radius un peu forte, la dia- physe
décrit
une courbure à concavité interne (PI. LVIII). A
même parlé de la débi- lité d'esprit achondroplasique. Boulenger a
décrit
un cas d'idiotie chez une achondroplasique, et
beaucoup de bon sens et un bon caractère. Il semble qu'on ne puisse
décrire
un psychisme spécial des achondroplasiques, dont
ner. Il existe d'ailleurs des cas de gigantisme atténué, que l'on a
décrits
aussi sous le nom d'infantilisme prolongé; ce s
ans (PI. LXV). En dehors du complexus symptomatique que nous alluns
décrire
, on ne relève dans ses antécédents qu'une coque
présent que nous -avons indiqué la marche des lésions, nous pouvons
décrire
leurs différents aspects. En plein été, le nez
vères de la fonction et des organes sexuels que ceux que nous avons
décrits
: en tout cas il agit bien plus sur la fonction
rome L'INFANTILISME RÉGRESSIF OU TARDIF 427 « féminisme» » estmal
décrit
. II estdifrieile d'expliquer pourquoi dans cer-
pluri-glandulaires l'in- fantilisme tardif ou régressif, nettement
décrit
pour la première fois par dandy, dont le nom do
n'a donc pu s'agir d'une alopécie post-typhique comme nous en avons
décrit
.C'est cette même période que le malade s'aperço
, testicules, surré- nales, hypophyse, etc.... Jusqu'ici on n'avait
décrit
que des syndromes d'insuffisance d'une glande à
l s'agit d'une dysplasie des extrémités supérieures. Elle peut être
décrite
en un mot : elle consiste en un raccourcissemen
ne d'une tribu alliée à celles du Nyasaland. Nous nous proposons de
décrire
ici, avec quelque détail, six cas de micromélie
la micromélie présente quelque différence avec ce qui vieut d'être
décrit
dans les autres cas. Le sujet montre bien le fait
i que les pieds, sont affectées d'une façon qui sera tout à l'heure
décrite
en détail. A l'exceptio des deux tibias qui se pr
CONGENITALE 469 Si nous envisageons dans leur ensemble les six cas
décrits
en détail ci- dessus, nous notons qu'ils présen
s noté dans nos cas. Il est vrai que Bryantet Birkitt, en 1862, ont
décrit
indépendamment l'un de l'autre deux cas de racc
issement humerai unilatéral, et qu'en 1895 Jonathan Hutchinson en a
décrit
un troisième. Mais nul de ces trois cas n'est c
propre, on .peut avancer le fait que dans trois cas sur les six ici
décrits
, elle se présente sous une forme absolument pur
e nous ayons à rappe- ler que certains cas de celle maladie ont été
décrits
qui ne présentaient pas la malformation en ques
exemples d'achondroplasie et dans lesquels les symp- tômes ont été
décrits
comme partiels, atypiques, incomplets. Ainsi Jule
me partiels, atypiques, incomplets. Ainsi Jules et Roger Voisin ont
décrit
un cas dans lequel les membres étaient plus LA
au sujet par une intéressante observation de Regnault. Cet auteur a
décrit
un sque- lette présentant un raccourcissement h
QUE (Suite et fin) , PAR D. NOICA, de Bucarest. Nous allons
décrire
dans ce chapitre le second groupe de phénomènes
à peine le membre inférieur et ceci avec beaucoup de difficulté. Je
décrirai
seulement un phénomène, analogue aux précédents q
oubles ataxiques du tronc étaient très démonstratifs, je désire les
décrire
un peu. Déjà en s'approchant du malade, on étai
bre inférieur, jusqu'à sa racine. (1) Ce phénomène, nous l'avons vu
décrit
aussi par Frenkel. 496 noica Puis cette sensa
nomènes ont, en même temps que ceux-ci, des troubles que nous avons
décrits
dans la première partie de notre travail. Mais
aucoup plus exagérés que nous ne les avons trouvés chez nos malades
décrits
dans la première partie, car la maladie évoluau
ns la première partie de notre travail, et dans le second ordre, il
décrit
des phénomènes qu'il considère comme étant conséc
rées par le séjour même de l'hôpital. MM. Rilliet et Barthez(l) ont
décrit
avec beaucoup de soin un état cachectique de l'en
r la nature constamment tuberculeuse de cette affection. On a aussi
décrit
une altération des ligaments intervertébraux qui
eurs. D'après ce que je viens de dire, le rachis perd sa forme ; il
décrit
ordinairement des angles. Nous voyons sur cette p
ait des progrès, l'inclinaison augmente et la colonne vertébrale peut
décrire
un angle droit ou même un angle aigu. Un exemple
connaissaient que la courbure postérieure de la colonne , et avaient
décrit
la maladie sous le nom de gibbosité, bosse, gibbu
ar une enfant amenée à notre consultation, et chez laquelle le rachis
décrit
un angle droit ouvert à gauche. Je ne connais p
e tronc; il y a raccourcissement, diminution de la taille. (1) J'ai
décrit
deux périodes du mal vertébral : l'une de lésion,
e arête saillante dans le canal et correspondant au sommet de l'angle
décrit
par le rachis. Cette pièce représente une arête a
'aorte accompagne constamment la colonne dans les flexuosilés qu'elle
décrit
. Sur cette figure, l'artère principale du corps o
hyse épineuse, dans un arc presque insensible, d'un très-grand rayon,
décrit
par la colonne vertébrale, dans le redressement d
deuxième forme de gibbosité, l'angle est plus effacé; des concavités
décrites
par le rachis au-dessus et au-dessous du point ma
t le bassin, vous effacez l'arc qui existe, et vous pouvez même faire
décrire
à la colonne une courbure inverse. b. La courbu
e, au premier coup d'œil, se rattacher au mal vertébral. La colonne
décrit
un angle droit ; le bassin et les côtes sont bien
ostéite, l'arthrite, la carie, en produisent également. On a pourtant
décrit
un mal vertébral sec. Tant que le tubercule est à
niser en membrane ; il se forme une poche, l'abcès s'enkyste. Je ne
décrirai
pas le trajet très-varié que suit cet abcès depui
, ne l'avait pas lu lorsqu'il écrivait que : « Pott n'a pas seulement
décrit
le premier avec exactitude cette maladie, il a en
diverticules, qui se forment dans l'abcès, le trajet plus long qu'il
décrit
, par conséquent l'étendue plus grande de la membr
alement bonnes pour recourir au trocart. Dans tous les cas, le trajet
décrit
par l'instrument dans la paroi de l'abcès doit êt
enfant eût pu rendre compte de ses sensations, elle aurait sans doute
décrit
une douleur sous forme de ceinture, ressentie à l
M. Tessier (de Lyon) est le premier travail où ces altérations soient
décrites
; c'est encore dans cet auteur qu'on rencontre un
e est la plus fréquente ; les faits de Duverney, celui de Dau-benton,
décrit
dans l'Histoire naturelle de l'homme, par Buffon,
ponts osseux, entre des parties maintenues à distance. Dans une pièce
décrite
par M. Tessier, un ostéide s'étendait de l'apophy
e fille de sept à huit ans. En faisant l'histoire de cette enfant, je
décrirai
celte forme d'ankylose. La déformation résulte ic
e, c'est la contracture des muscles du cou. Deux cas de ce genre sont
décrits
dans l'ouvrage de MM. Rilliet et Barthez. Il exis
génital est assez curieux à étudier, parce qu'il est peu connu et peu
décrit
. Il peut être la suite des mêmes causes qui le pr
Malgaigne? Sur un seul fait que voici : Dupuytren, dans ses leçons, a
décrit
un cas de pseudarthrose coxo-fémorale double qu'i
rochanter, et a reçu le nom de ligament de Berlin, bien qu'il ait été
décrit
avant cet anatomiste. Ce ligament reste très-fort
nne insertion; il présente un étranglement au niveau de l'arête, et
décrit
ainsi un 8 de chiffre, dont les deux cavités figu
s d'un mêmr sujet un bel exemple d'une disposition semblable, qu'il a
décrite
minutieusement, sans toutefois indiquer que son o
ndiquer les distances en ligne droite, au lieu des lignes courbes que
décrit
le ruban en s'adaptant à la forme des parties mol
reçue dans une cavité, peut se promener librement sur l'os iliaque et
décrire
un arc de cercle plus ou moins étendu. Dans le
La région lombaire, et même dans certains cas presque tout le rachis,
décrit
une courbe dont la convexité répond au membre lux
déplacement qu'elles éprouvent dans les différents mouvements ; elles
décrivent
un arc de cercle étendu sur les iliums. Nous avon
es, du Dupuytren de Montpellier, de Delpech (1). Ce savant professeur
décrit
chez un jeune sujet tous les signes d'une luxatio
une grande liberté des mouvements du membre, de grands arcs de cercle
décrits
sur l'ilium par la tête fémorale. A ces signes
nt dans la production du strabisme par rétraction : c'est la membrane
décrite
par Tenon sous le nom de nouvelle tunique de l'œi
oculaire sa direction normale. C'est à cet exercice, depuis longtemps
décrit
par Andry, qu'avait eu recours l'éminent chirurgi
Plusieurs procédés ont été proposés pour l'opération du strabisme; je
décrirai
le plus suivi, celui dans lequel on incise vertic
On a reproché à l'opération du strabisme, telle que nous venons de la
décrire
, de produire une plaie extérieure, de détruire le
utour de la tête de cet os par un mécanisme assez compliqué, que j'ai
décrit
il y a déjà bien des années. Le siège des mouveme
plupart des anatomistes, très-sommairement indiquée par Sœmmering, et
décrite
d'une manière plus précise par M. le docteur Duch
qui sont restées à leur première période. C'est à ce titre que je les
décris
ici. Je veux parler des pieds plats et des pieds
s effacée ; le talon se dévie aussi en dehors, et le tendon d'Achille
décrit
une légère courbe à concavité externe ; la malléo
nfin le long extenseur des orteils, quand le pied se porte en dedans,
décrit
, par ^n tendon, une courbe de plus en plus forte,
motrice est éteinte dans la fibre musculaire. Ces deux étals ont été
décrits
par M. Duchenne (1), le premier sous le nom de pa
dehors, le bord externe est convexe, le bord interne concave. Le pied
décrit
dans son ensemble la forme d'un S. C'est ce que v
ne seule description, sous le nom de valgus commun; la troisième sera
décrite
dans les pieds équins. Valgus commun. — De même
ion qui serait bonne s'il n'y avait que des varus et des valgus. Je
décris
trois degrés principaux dans le valgus commun. Da
éolaire près de ce bord, etc. D. Talus (1). — Jusqu'ici, je vous ai
décrit
trois groupes de déviations du pied, les déviatio
e cas publié par M. Scoutetten en 1838 (3), comme dans celui que j'ai
décrit
la même année (4), comme dans les exemples qui so
-dire qu'en arrière existe la disposition du talon que nous venons de
décrire
; en avant, au contraire, l'avant-pied, au lieu de
pied droit, et de droite à gauche pour le pied gauche. Briickner a
décrit
et représenté un bandage de ce genre : il commenc
ui ont figuré à notre exposition universelle. Je ne veux point vous
décrire
tous ces appareils; ce n'est pas leur nombre, mai
ompris le moyen d'atteindre ce double but. Malheureusement il n'a pas
décrit
lui-même son appareil, aussi en a-t-on eu longtem
longtemps une fausse idée. Voici un appareil dit de Venel, longtemps
décrit
comme tel, et que ses successeurs renient. C'est
MM. d'Ivernois et Mellet ont rétabli les faits à cet égard; ils ont
décrit
le véritable appareil ou sabot de Venel, comme on
eur milieu par une articulation à mouvements latéraux, mécanisme déjà
décrit
par Boyer. Dans cet appareil de M. Cotlin, le m
section du tendon d'Achille, en appliquant le procédé que je vous ai
décrit
. Avec l'aiguille en fer de lance, je fais, à quel
aux fonctions du membre. C. Accidents de la ténotomie. — Je vous ai
décrit
ce qui se passe après la section des tendons dans
désigner cette affection, que les nouveaux observateurs ne trouvaient
décrite
nulle part. « L'un de nous, raconte Glisson (1),
pour croire à la nouveauté de cette maladie, c'est qu'on n'avait pas
décrit
le rachitis avant l'époque où il l'a observé. Mai
ue la maladie pouvait exister, bien que les médecins ne l'eussent pas
décrite
. On trouve d'ailleurs quelques traités antérieu
tler, et portant pour titre The rickets; un article de Bootius, qui a
décrit
le rachitis en 1649, sous le nom de tabès pectore
ides (2). Les auteurs allemands des quinzième et seizième siècles ont
décrit
une affection cardiaque de l'enfance, dans laquel
avec le rachitisme, pour ne m'occuper que de la maladie que Glisson a
décrite
de main de maître. § 1er. — anatomie pathologiq
s la Chimie pathologique de MM. Becquerel et Rodier. (1) Je vous ai
décrit
les changements que le tissu osseux éprouve dans
propriété dans le rachitisme. Tout récemment, M. Vir-chow (4), qui a
décrit
, après MM. Kœlliker, Mayer, Broca, l'état microsc
ller encore plus loin. M. Elsesser et d'autres médecins allemands ont
décrit
un rachitisme crânien qui porte surtout sur l'occ
y verrez les corps vertébraux taillés en forme de coins, de manière à
décrire
par leur réunion des arcs diversement dirigés.
le que je vous ai annoncé, de cet arrêt de développement intra-utérin
décrit
par M. Depaul. La tête, chez cet enfant, n'est
le présente sur ces os d'enfants, ainsi que sur la plupart des pièces
décrites
par Daubenton (1) et par M. Lacroix (2), comme su
angle aigu ; le grand trochanter est dirigé en arrière ; la diaphyse
décrit
une grande courbure à convexité antérieure ou ant
n avant et en dehors. Les tendons de la partie inférieure de la jambe
décrivent
, dans un cas pareil, des spires, avant de parveni
ou moins exactement la courbure des os. Les artères, en particulier,
décrivent
, en outre, des flexuosités comparables à celles d
e, des restes de lait formés presque uniquement de sérum. Behrs (1) a
décrit
, en 1847, une maladie de ce genre, compliquée de
eures pathologiques. Courbures physiologiques. — Le rachis du fœtus
décrit
dans l'utérus une courbe à concavité antérieure,
es vertèbres sur le sacrum en formant un angle avec la courbe inverse
décrite
par les vertèbres sacrées. Cet angle et la cour
nc se trouve changé par la cyphose juvénile ; en arrière, tout le dos
décrit
de haut en bas une convexité assez régulière, plu
ière permanente. La gymnastique rend ici de grands services ; je ne
décrirai
pis les nombreux exercices qui conviennent en par
le jour. Le lit sera assez résistant et assez droit pour ne pas faire
décrire
une courbe au rachis, et on veillera à ce que, da
cette question. Dans la lordose lombo-sacrée , la colonne lombaire
décrit
un arc plus prononcé que dans l'état normal ; sa
ses Maladies des os, Wenzel (Maladies de la colonne vertébrale), ont
décrit
chacun un fait de cette espèce. A. Roy, élève de
l'action du décubitus, on place le corps sur un lit mou, où il tend à
décrire
une courbe inverse de celle de la région lombaire
est ce que l'on voit sur ce squelette, où la partie inférieure du cou
décrit
une forte courbu/e permanente, qui change brusque
la rétraction de la poche elle-même après son évacuation? Une pièce
décrite
par M. Houel (2) et déposée au Musée Dupuy-tren s
es dans mes leçons de 1855 (1), et j'espère y revenir plus tard. Je
décrirai
séparément la scoliose par flexion et la scoliose
he, toutes les vertèbres étant inclinées dans le même sens. Le rachis
décrit
un arc très-oblique, à courbure un peu inégale, c
s. B. Il peut arriver, même sans que le bassin s'incline, que l'arc
décrit
par les vertèbres soit droit, que sa corde soit p
on penche la tête du côté de la hanche qui s'abaisse, on pourra faire
décrire
au rachis deux courbures opposées mais inégales,
gie, le haut du tronc penche ordinairement un peu de côté ; le rachis
décrit
une courbure longue et peu profonde, dont la conc
sieurs formes qui rentrent dans les attitudes physiologiques que j'ai
décrites
. On la voit dans le torticolis aigu, le lombago,
se de l'aorte, à la hauteur de la cinquième vertèbre dorsale, l'épine
décrivait
souvent une courbure à concavité gauche, a courbu
au de ces courbures, offre des particularités que l'on n'a pas encore
décrites
, que je sache, et qui sont d'un grand intérêt po
neuses sont déjetées alternativement à droite et à gauche, au lieu de
décrire
une courbe régulière répondant à celle des corps
es sont alternativement déjetées à droite et à gauche ; mais elles ne
décrivent
pas de courbe sensible. IIe cas. — Garçon de on
qui ne participe que fort peu à ces changements de direction. L'épine
décrit
ainsi une sorte de Z dont les angles seraient arr
, ne se voient pas en arrière, où la série des apophyses épineuses ne
décrit
qu'un seul arc prolongé par des droites. On a b
tie une direction horizontale. Ce n'est plus un arc de cercle qu'elle
décrit
, c'est une moitié d'ellipse ou un arc prolongé pa
nt rare de voir le cou prendre une plus grande part à la scoliose, ou
décrire
seul, jusque dans ses vertèbres supérieures, un a
t le corps et l'apophyse épineuse. Dans ce genre de torsion, que j'ai
décrit
plus haut, la partie antérieure de chaque vertèbr
is sur laquelle ils agissent. Cet effort physiologique ne fait jamais
décrire
aux vertèbres qu'une seule spire, bien légère d'a
re d'ailleurs. Au contraire, dans la torsion pathologique, la spirale
décrite
par les vertèbres change de direction au milieu d
, que les apophyses épineuses sont en ligne droite, quoique les corps
décrivent
une courbe manifeste ayant quatre, cinq millimètr
e se voient pas aux apophyses épineuses. 4° Les flèches des courbes
décrites
par les corps et par les apophyses ne sont égales
e l'excès de courbure des côtes dans le sens de la convexité de l'arc
décrit
par le rachis. Elle est d'autant plus proéminente
u'il subit en arrière et sur le côté. La circonférence du thorax ne
décrit
donc plus cette belle courbe elliptique, presque
mme la cinquième lombaire, dévié môme latéralement avec le coccyx, il
décrit
une courbe opposée à celle des premières vertèbre
ls changements, que ce serait toute une anatomie à refaire que de les
décrire
avec les détails qu'ils comportent. Je ne m'arrêt
orme, en effet, avec son étui osseux; elle en suit les ondulations et
décrit
les mêmes courbures. Ces courbures sont moins for
ez sur cette pièce formée des corps vertébraux seulement. Cette paroi
décrit
, par cela seul, des courbures un peu moins pronon
côté, la paroi postérieure du .canal rachidien, formée par les arcs,
décrit
des courbes moins marquées que les précédentes, e
t de ces figures (8). La veine azygos, représentée sur quelques-unes,
décrit
une courbure semblable (9) : c'est là ce que j'ap
ourner en sens contraire, comme la colonne lombaire, lorsque celle-ci
décrit
une courbe très-marquée (2) ; mais le parallélism
te abdominale et thoracique qui constitue V ex cep lion. Cette artère
décrit
, dans ce cas, de petites courbures qui ne représe
gos ont leur situation ordinaire par rapport à la colonne dorsale, et
décrivent
comme elle un arc peu prononcé à convexité gauche
oite, plus le lobe droit est gêné dans son développement. Quand elles
décrivent
une forte courbure à gauche, la plus grande parti
flanc gauche, saillant, est sur la même ligne que la hanche; le droit
décrit
, au contraire, une ligne concave fortement rentré
romptement au premier degré; c'est-à-dire que les apophyses épineuses
décrivent
une courbe sensible dans la station, et n'en offr
va se voûter, ses muscles vont changer tout à coup de dimensions; ils
décriront
, comme les os, une courbe, et, en les mesurant, v
à gauche; sa partie supérieure seule suit la direction des lombes et
décrit
comme elles une courbe à concavité droite. Si la
ffection vient à manquer, en même temps que l'attitude du malade fait
décrire
au rachis une courbure latérale permanente. c.
ait être nuisible pendant la nuit. Il suffit que le matelas ne puisse
décrire
une courbe prononcée en s'affaissant sous le poid
'étendue de ce mouvement, que les apophyses épineuses déviées peuvent
décrire
une courbe inverse sans que cela ait lieu aux cor
es ou inclinées,'à une ou deux cordes nues, et l'exercice des bobines
décrit
par Delpech ; cet exercice consiste à monter et à
s lésions du rachis s'appliquait celte manœuvre. Mais Hippocrate en
décrit
d'autres qui contiennent le germe de ce qu'on a f
ariabilité. Obligé de me limiter, je ne m'arrêterai donc pas à vous
décrire
les appareils à pression fixe, les gouttières de
issants qui soutiennent le dessous des épaules comme dans un appareil
décrit
par Portai en 1772 (2). C'est la béquille, vérita
e médullaire. Dans le tome II de ses « Leçons du mardi », Charcot a
décrit
la propagation de la tubercu- lose osseuse du t
baires supérieures. Ce sont les faits de cet ordre qui sont surtout
décrits
dans les ouvrages classiques, ce qui indique le
PIERRE MARIE et ANDRÉ LÉRI. I ' La Spondylose Rhizomélique a été
décrite
par Pierre. Marie en 1898 (1) comme une « affec
t pas reconnaître parce qu'il n'avait pas été suffisamment isolé et
décrit
». Les événements nous ont donné raison, car c'
xix ' 3 34 MARIE ET Llhn distinguer cliniquement de la maladie
décrite
par P. Marie que par le défaut de l'ankylose de
ure du rachis était en- traînée par le poids de la tête. Nous avons
décrit
nous-même deux types de spondylose que nous avo
- sin et les fémurs. a) Colonne vertébrale. La colonne vertébrale
décrit
une courbe douce, à grand rayon, concave en ava
des aspects très variés, assez mal dé- finis et le plus souvent mal
décrits
». Nous n'apercevons pas encore nette- ment les
e et pathogénique. L'éminent professeur, dans une magistrale étude,
décrit
et oppose ces cas spéciaux, jusqu'alors méconnu
, qui font pendant avec les symptômes psychiques que nous venons de
décrire
, et qui parlent dans le même sens. Etal actue
, vous rappellent im- médiatement la maladie que Pierre Marie (1) a
décrite
avec une précision et un talent, dignes de son
ies nerveuses. C'est le clinicien anglais sir William Gull, qui a
décrit
le myxoedème comme morbus sui generis, ainsi qu
istiques pour l'acromé- galie manquent complètement. Pierre Marie a
décrit
la maladie sous le titre de : Hypertrophie sing
poser la question, si nous n'avons pas affaire à une autre maladie,
décrite
par Pierre Marie (1), dans laquelle le crâne et
observations postérieures ont bientôt démontré que les symp- tômes
décrits
par Pierre Marie ne se trouvent pas toujours chez
de maladies de coeur, et de bronchiectasie. Il y a 30 ans déjà il a
décrit
les « Rhumatoïd-Erkrankungen der Bronchichlau-
après les altérations des extrémi- tés, et Pierre Marie lui-même a
décrit
des cas d'acromégalie, dans lesquels un symptôm
e. Déjà Charcot, Karg, Petersen, Chantemesse et Schlesinger (1) ont
décrit
un agran- dissement acromégalique d'une extrémi
où on a trouvé la syringomyélie à l'autopsie. Petersons (3) a aussi
décrit
une pareille comhi- naison d'acromégalie et de
me dans la Nouvelle Icono- graphie (1903, n° 1), d'un cas analogue,
décrit
par Péhu sous le titre d'acrocyanose chronique
a pathogénie est ici assez nette, est à rapprocher des oedèmes déjà
décrits
chez les catatoniques, oedèmes s'accompagnant des
sig représentent les radia- tions optiques de Gratiolet (telles que
décrites
actuellement), la couche sagittale interne. '
orrespon- dent aux fibres thalamo-corticales et cortico-thalamiques
décrites
par Probst. . Slosel (1), la la suite de recher
gnature non discutable de cette affection. M. Félix Regnault a déjà
décrit
quelques-unes de ces formes anorma- les, M. Dur
t 1905. 138 KLIPPEL S'il est certain que l'arrêt de développement
décrit
dans l'observation suivante est d'origine congé
oint une nerveuse. Outre les crises hystériques que nous avons déjà
décrites
, la malade présente encore actuelle- ment des p
tête. Parmi les insuffisances asymétriques se rapprochant de celles
décrites
dans l'observation précédente, j'ai noté : le d
lle est peu développée, voilà tout. C'estbien le type d'hypotrophie
décrit
par Brissaud sous le nom d'infan- tilisme anang
pprocher ainsi le cas de notre malade des dystrophies tuberculeuses
décrites
par M. Landouzy. On sait que des travaux récent
gée, nous l'avons trouvé exempt d'éléments cellulaires. Après avoir
décrit
les troubles de sensibilité chez les deux frère
lésions pathologiques des nerfs ajoutés à d'autres signes cliniques
décrits
(1) Le morceau du nerf enlevé, a été mis direct
loir établir une comparaison qui serait prématurée entre la maladie
décrite
chez l'homme par Recklinghausen et des cas plus o
us les autres publiés jusqu'à ce jour, si bien que tous les auteurs
décrivent
la Paralysie des béquilles au chapitre de la Para
te un foyer profond du niveau du pli courbe : Nous commencerons par
décrire
les coupes postérieures. La coupe occipitale (P
paroi ventricu- laire inférieure. La zone dégénérée que nous avons
décrite
plus haut a remonté le long de la paroi ventric
sition logique des faits qui se sont déga- gés de notre travail, de
décrire
brièvement ce que la photographie est incapa- b
qu'à l'occasion d'un cas d'absence de la commissure calleuse, on a
décrit
un long faisceau d'associa- tion à direction an
ariétal, il est représenté par le petit faisceau que nous venons de
décrire
brièvement, et qui est situé au-dessus du noyau
rajet et dans ses relations, au faisceau longitudinal tel qu'il est
décrit
dans les traités d'anatomie. C'est pourquoi nou
dé sphénoïdal, il concourt à former la presque totalité de ce qu'on a
décrit
sous le nom de « faisceau temporo-thalamique d'
ires que nous avons pu nous convaincre des faits que nous venons de
décrire
.... mais comme toujours, une fois la chose bien
e recourbent' vers le corps ge- nouilllé externe. Nous avons déjà
décrit
le trajet du faisceau optique central après son é
à recevoir les faisceaux d'association ; la preuve, c'est que l'on a
décrit
un bon nombre de faisceaux d'association propre
eur ; s'il en était autrement on ne se serait pas donné la peine de
décrire
un faisceau de Sachs, un faisceau de Wernicke e
à notre sens, extrêmement important et que personne n'a réellement
décrit
jusqu'à ce jour. Si nous avons fait usage du
stent entre les lésions déjà connues et celles que je me propose de
décrire
. Les matériaux mis en oeuvre, sans compter les
es présentent les lésions de sclérose conjonctive ancienne que j'ai
décrites
précédemment. Les coupes de ces nerfs, faites sui
mot l'état de cette région est très compa- rable à celui qui a été
décrit
et figuré dans l'observation précédente. Toutefoi
ipiens. Aussi me servirai-je surtout de l'ob- servation III pour la
décrire
. Elle consiste dans un état moniliforme des cyl
l'on s'en tenait aux méthodes anciennes. La lésion que je viens de
décrire
est-elle le premier indice de la souf- france d
ffet, elles existent à l'état physiologique, où Ramon y Cajal les a
décrites
comme des organes auxquels il paraissait diffi-
er- minales une capsule nucléée très remarquable, que nous aurons à
décrire
plus loin. Terminaison des fibres régénérées
ainsi que les cellules entourées d'un riche réseau sous-capsulaire
décrites
par le même auteur ; relativement à cette dernièr
ture pathologique. D'autre part, dans les cornes de la moelle, j'ai
décrit
des massues qui ont même forme, même aspect que
uellement classique et qui en font une catégorie à part, non encore
décrite
. En effet, la seule forme de régénération que nou
génération que nous connais- sions actuellement est celle qui a été
décrite
par Ranvier : un cylindraxe partiellement détru
l'identité de ces forma- tions normales avec celles que je viens de
décrire
à l'état pathologique est absolue, seul leur no
irectes ou rétrogrades munies de capsules nucléées. Quelques fibres
décrivent
des trajets compliqués. A gauche une petite boule
. La masse qui constitue le fond de la cellule est très difficile à
décrire
; quel- quefois bleu intense, elle est fréquemm
égulière, à bords déchiquetés, bien différente de celle que Nissl a
décrite
à l'état normal ; enfin, sur certains petits él
le, qui intéressent tous les éléments, et que nous avons longuement
décrites
, se retrouvent sur l'écorce, et indiquent, par
'écorce, et indiquent, par la série des caractères que Nissl a bien
décrits
, la mort de la cellule. La nécrose de la cellul
emment par des pin- ceaux de fibres très fines, rappelant ceux qu'a
décrits
Chaslin chez des épilep- tiques (Archives de mé
éoplasme émerge même complètement au pôle frontal. Les deux zones
décrites
plus haut se retrouvent à travers tout le lobe fr
ifications dans les fonctions organiques ». Si le syndrome clinique
décrit
par Empis devait rester, les conclusions de cet a
indéterminée. Il en est demême de l'atrophie fébrile des vieillards
décrite
par B.Bail (2), du morbus climatericus de Lobst
hronique avec déformation des muscles et principalement de la forme
décrite
par Jaccoud (1) en 1867. Dans ces faits on retr
ple dans le travail de Démange.. Cet auteur qui avait si bien vu et
décrit
la paraplégie spastique par sclérose polyfascic
le en deux ans de recueillir 8 cas de l'affection que nous désirons
décrire
ici. Étiologie. L'étiologie de cette affectio
vons dit à l'introduction, le diagnostic avec le rhumatisme fibreux
décrit
pour la première fois par Jaccoud n'est pas à fai
s présentent ne ressem- semblent que de fort loin à celles qui sont
décrites
ici. Dans certains cas le rhumatisme se localis
ez ces dernières de la myosite avec rétraction. La dermato- myosite
décrite
par Unverricht (1) s'accompagne d'un état général
nt les muscles qui présentent le maximum d'altérations. Après avoir
décrit
la topographie des lésions, nous envisagerons s
ui sont à peine visibles jusqu'à l'énorme tache que nous avons déjà
décrite
sur l'épaule et le bras droit. Mais au cours
uer ce phénomène il faut admet- tre que tout l'ensemble ligamenteux
décrit
par M. Sébileau sous le nom d'appareil suspense
tale du tissu fibro-élastique, étudiée par l'un de nous (1) et bien
décrite
par Buis- son (2), qui s'observe chez certains
Le cas diffère cependant de la maladie des tics telle qu'elle a été
décrite
par Gilles de la Tourette, en ce que le malade
nglionnaires restaient indemnes, il faudrait admettre que la lésion
décrite
par Nageotte au niveau du nerf radiculaire ne j
auteurs qui nous ont précédés dans cette voie de recherches avaient
décrit
chez certains de leurs animaux des empâtements so
étant chez eux très difficile : ce sont ceux chez lesquels Koster a
décrit
des altéra- tions névritiques cutanées très mar
sparues appartenaient principale- ment à cette catégorie que Kleist
décrit
comme cellules de grandes tailles, mu- nies d'u
n'avons pas recherché par la méthode de Nissl les altérations fiues
décrites
par Kleist, ces altérations n'existant qu'au pr
résentées que par des gaines vides difficiles à reconnaître. Kleist
décrivit
dans la racine postérieure, au bout de mois, un p
de myéline. Rappelons à ce propos que des fibres régénérées ont été
décrites
par Bonne dans le bout ganglionnaire, puis dans
naires, nous n'avons retrouvé chez aucun de nos animaux les lésions
décrites
chez les tabétiques par de nombreux auteurs au
actes ; ce fait, il est vrai, est en contradiction avec des lésions
décrites
par d'autres auteurs après la même section des
ns très fréquentes, constantes même pour Nonne, et qui ont été bien
décrites
par Dejerine, Pierret, Pitres et Vaillard, Joff
grade. Les cellules des ganglions spinaux, que certains auteurs ont
décrites
, à cette époque, comme partiellement atro- phié
us, il n'existait pas de lésions ganglionnaires semblables à celles
décrites
dans le tabes par différents auteurs et en dernie
derniers temps, Nolda, Massalongo et Silvestri,Rendu, Maixner l'ont
décrite
à la suite de la grippe ; Lannois et Paviot en on
ie n'ont pas la netteté, l'aspect en em- porte-pièce que nous avons
décrit
plus haut dans la sclérose en plaques ; elles s
déjà démontrés par Charcot, Gombault, Bechterew, etc.. Gowers aussi
décrit
dans la syphilis du système nerveux des formation
, Borst, Finkelnburg, Flatau et Koelichen, Bielschowsky. Dejerine
décrit
un cas à forme de sclérose latérale amyotrophique
enfance. Une sclérose disséminée dans la syphilis héréditaire a été
décrite
aussi par Jacobsohn chez un enfant avec kératit
rose en plaques avec tous les caractères histo- logiques classiques
décrits
depuis Charcot, il y a des foyers avec une dest
é les mêmes lésions dans les cas chroniques rose en plaques. On y a
décrit
de l'épaississement de la paroi (Rindfleisch, S
lules (Huber, Probst, Thomas). Schüle, Goldscheider et Balint y ont
décrit
des métamorphoses régressives. Dans les espaces
if aux foyers de la sclérose en plaques vraie ; on l'a maintes fois
décrite
aussi dans les foyers scléreux d'une autre origin
ique de Ladame au travail de Long. En effet si la lésion que Long a
décrite
présente réellement les caractères histologiques
divers segments des membres inférieurs sont fixés dans 'l'attitude
décrite
; on arrive avec peine à écarter un peu les deux
antes y sont assez rares. Les tourbillons de fibrilles maintes fois
décrits
dans la sclérose en plaque n'y sont pas évident
vec les lacunes de désintégration cérébrale telles qu'elles ont été
décrites
chez les vieillards hémiplégiques, est d'autant p
ticulier. Les lésions vasculaires et périvasculaires que nous avons
décrites
dans cet organe,de même que celles que nous avo
IUlVIO CATOLA grande partie des caractères histologiques essentiels
décrits
dans la scié rose multiple légitime. Sans vou
ible. Car dans la myélite disséminée syphilitique on a maintes fois
décrit
des troubles, tels que la diplopie, la parésie sp
cas était confirmée par les lésions périvasculaires que nous avons
décrit
, soit dans la moelle épinière son dans le cerve
rement accompagnée de la perte du langage musical ; et, aussi, on a
décrit
quelques cas, fort rares, dans lesquels la perte
part pour l'étude des aphasies musicales ou amusies. Hospital) (6)
décrivit
un cas de paraphasie musicale, qu'il appelle a at
même travail il fait remarquer que Brazier et Lichteim avaient déjà
décrit
des cas de surdité musicale (1). Knoblauch (2)
es, fondées sur les analogies présumables avec les types d'aphasies
décrits
par Lichteim dont il suivait les critériums et do
phie musicale (il ne peut ' ^ pas écrire de musique). Ces auteurs
décrivent
les divers types d'amusie comme formes spéciales
o- giques de « surdité tonale », semblables aux formes congénitales
décrites
avec le même nom par Dauriac (2). Mirallié (3
pa- gnerait généralement la cécité verbale ; Franckl-Hochwart (3) a
décrit
cinq cas d'aphasies sensorielles, toutes accomp
t pathologique du langage parlé et du langage musi- cal. On a aussi
décrit
des cas où les malades peuvent articuler, en les
ale. L'agraphie musicale pure est rare ; nous ignorons qu'on en ait
décrit
aucun cas. On sait que l'agraphie verbale pur
réquente dans la forme complexe. Le cas de Charcot est un des mieux
décrits
et ob- servés. ' ' : ' , I ? Amusies pures et
us croyons utile de signaler que ces deux cas d'amusie totale pure,
décrits
par Brazier, pourraient être interprétés comme ét
iens). Cette dissociation motrice du langage musical n'a jamais été
décrite
. Les inductions que ce cas autorise sont de deu
e étudie les équivalents musicaux des attaques épileptiques (3). Il
décrit
deux cas d'attaque de chant. Dans le premier le
alent musical de l'attaque convulsive. Des faits semblables ont été
décrits
par deux clini- ciens distingués, Christiani et
tuitaire qui constituent la modification anatomique le plus souvent
décrite
dans les cas d'acromégalie ; nous devons la des
t les mains de notre malade. De même aux extrémités inférieures, on
décrit
un pied élargi et épaissi, sans augmentation no
e la face et de la boîte crânienne pour rechercher les trois signes
décrits
par Béclére (épaissis- sement très irrégulier d
ts de cet examen, je crois bon de les comparer avec ceux qui furent
décrits
dans mon premier tra- vail. ' Tête et main (e
t à fait semblable à celui que M. Ramon y Cajal et nous-mêmes avons
décrit
dans les nerfs périphériques ; c'est-à-dire que
er- 420 marinesco ET MINEA dans deux cas de gliome du cerveau. Il
décrit
, au voisinage de ces tumeurs l'apparition de fa
le cône de croissance de Cajal et avec le pied terminal de Hetd. Il
décrit
également des plexus de fibres nouvellement for
solées ou réunies en faisceaux et analogues à celles que nous avons
décrites
dans les processus de. dégénérescence des nerfs
. recherches SUR la régénérescence DE la moelle 423 pillent ou bien
décrivent
des espèces de tourbillons. Ces colonies existent
ieur, ces fibres, peu nombreuses, au lieu de traverser la cicatrice
décrivent
un tracé curviligne et se perdent dans les inters
centrale mieux colorée que le reste où aboutit le cylindraxe, lequel
décrit
une spirale ou bien un peloton avant d'arriver
es qui pénètrent dans la par- tie nécrosée située dans l'excavation
décrite
plus haut. Dans les interstices de ces vaisseau
ns cellulaires et des fibres de nouvelle forma- tion que nous avons
décrits
dans la cicatrice et particulièrement dans sa par
section,et les nombreux plexus nerveux fibrillaires que nous avons
décrits
autour des vaisseaux de nouvelle formation sont d
e vertébrale, un complexus symptomatique analogue à celui qui a été
décrit
par Minor sous le nom de syndrome de l'épicône,
i présentent les caractères généraux de celles que nous ve- nons de
décrire
dans les racines postérieures ; on distingue auss
tion, il est à supposer que le cordon pie-mérien que nous venons de
décrire
est de provenance radiculaire. Aussi bien dans
direc- tion variable, ils sont tantôt rectilignes, ondulés ou bien
décrivent
des courbes.Cer- tains d'entr'eux se bifurquent
(Fig. 12). A ce propos il est fort probable que les auteurs qui ont
décrit
des névromes dans la moelle n'ont eu surtout en
ophages. Les faisceaux nerveux de nouvelle formation que nous avons
décrits
au ni- veau de la compression existent égalemen
produit une néoformalion de libres nerveuses suivant les deux types
décrits
par Cajal et nous-mêmes dans les nerfs périphér
onservés comme volume, les caractères de la dégénérescence vitreuse
décrits
pour le muscle précédent. Muscle jambier antéri
rétiques analogues. C'est en se basant sur ce fait t que Hoffmann a
décrit
l'affection comme familiale. La loi de la série
oir parfois entre cette affection et celle qu'Oppenheim a récemment
décrite
sous le nom de myatonie et dont M. Comby a réce
taire. Sens musculaire normal. Etat de la motilité. La démarche été
décrite
plus haut. Le malade étant couché dans le décub
ux fermés, le malade n'arrive à exécuter le mouvement qu'en faisant
décrire
à son pied une série de mouve- ments transversa
résentent pour plupart l'aspect enchevêtré,en nattes que nous avons
décrit
précédemment ; les noyaux volumineux et irrégulie
492 DEJERINE ET ANDn¿-TllOMAS 1 Les petits cylindres que nous avons
décrits
sont isolés les uns des autres par un tissu con
le domaine du facial inférieur, les particulari- tés symptomatiques
décrites
dans le faciès myopathique par Landouzy et l'un
de l'observation I sont tout à fait semblables à celles qui ont été
décrites
à propos de l'autop- sie de sa soeur (obs. II)
elle. C'est qu'en effet la prolifération conjonctive que nous avons
décrite
est exceptionnelle dans les autres névrites et
ne famille de sept enfants, tous atteints de la même maladie, qu'il
décrit
comme une « orme spéciale de névrite interstitiel
brièvement possible, les principales lésions de la moelle épinière
décrites
au cours du mal de Pott, en dehors bien entendu d
elet. - Laissant de côté les lésions primitives que nous avons déjà
décrites
, nous n'envisagerons que les altérations qui, par
la partie moyenne de leur trajet met en évidence la courbe qu'elles
décrivent
dans le plan horizontal en plus de leur courbe
us la voyons évidemment dans ce cas, comme dans les autres cas déjà
décrits
, sous le nom de maladies de Dupuytren d'origine
es lésions des voies pyramidales, ne me semble pas avoir été jamais
décrite
. Demange qui a fait beaucoup d'études sur l'art
et qu'elles'font partie du faisceau optique central que nous avons
décrit
. Leur localisation dans la couche sagittale int
s corticaux de la vision. Voici, du reste, la topographie telle que
décrite
par l'auteur : « On constate deux plaques jaune
ius. Ces fibres mésen- céphaliques rappellent les fibres que l'on a
décrites
comme venant des cornes antérieures de la moell
ltat d'une intoxication alimentaire, et ses symptômes ont permis de
décrire
une pseudo-paralysie générale pellagreuse, dont
tement contractiles : Chez les Eponges cal- caires, v. Loewcnfckl a
décrit
, dans la paroi des pores, un rudiment de sys- t
en outre, au sein de cellules glandulaires, des cellules spéciales
décrites
par Hertwig : ce sont les cellules oazc.sczclo-e'
vrage sur l'Anatomie des centres nerveux, il est indispen- sable de
décrire
, avec détails, les différentes méthodes d'étude u
région sous-optique de Fore/ et de la calotte du pédoncule, et sera
décrit
avec cette partie du système nerveux central.
anser, Mayser, Bumm, v. Monakow, etc., et dont les résultats seront
décrits
plus loin en détail (voy. Histogenèse), est ext
nation, comme dans le procédé rapide ordi- naire que nous venons de
décrire
, les pièces sont lavées rapidement dans l'eau d
en dehors au pédoncule du flocculus; leur bord antérieur, que l'on
décrit
généralement comme un bord libre, se recourbe pou
s de Tarin, de telle sorte qu'il en résulte une fente artificielle,
décrite
par les auteurs sous le nom de fissure transver
u sillon choroïdien. Les plexus choroïdes des ventricules latéraux,
décrivent
une courbe autour de la partie supérieure et po
nro, le sillon ammonique s'unit au sillon arqué antérieur de /7; il
décrit
une courbe en forme d'S qui entoure le genou et l
de deuxième circonvolution limbique. Cette dernière circonvolution
décrit
, autour de l'extrémité antérieure du sillon de
, occipital et temporal. La région externe comme la région interne,
décrivent
autour du limbe de l'hémisphère, c'est-à-dire a
arallèle à la branche pos- térieure de la scissure de Sylvius. et
décrit
une courbe à concavité supérieure et antérieure
la membrane limitante interne, un petit bâtonnet unique qui a été
décrit
, à tort, comme constitué par des cils vibratile
la section transversale de la moelle, et affecte la forme d'un cône,,
décrit
par Cajal chez le poulet et les mammifères, et
les; elles ressemblent alors à un pinceau et correspondent à celles
décrites
par Roll, sous le nom de Pinselzellen (fig. 91).
vec la méthode de Golgi on ne retrouve pas en effet les anastomoses
décrites
par Ranvier, Renaut et Vignal. Les cellules n
d'un fin et abondant duvet qui donne à la cellule un aspect givré,
décrit
par Boll, Ranvier et Vignal (fig. 90 et 93). y.
ayonnement (fig. 90). Les prolongements primordiaux de ces cellules
décrivent
tous des courbes à peu près parallèles à la lig
ouche moléculaire, on trouve des cel- lules névrogliques spéciales,
décrites
par Cajal sous le nom de cellules em- panachées
s dites terminales des mollusques, des insectes et des crustacés,
décrites
par Leydig, Langerhans, '. Flemming, etc., repr
e, comme par exemple les fibres mous- sucs et les fibres grimpantes
décrites
par Cajal (fig. 10). Les fibres moussues que l'
ranches d'égal ou d'inégal volume. Dès 1875, Ranvier avait du reste
décrit
la division en T du cylindre-axe des cellules uni
lions rachidiens est entourée d'une capsule endothéliale. Ehrlich a
décrit
chez la grenouille, et Ramony Cajal, chez les mam
rties (Vignal). Segments courts intercalaires. - Renaut (de Lyon) a
décrit
chez le che- val et l'âne adultes, entre des se
érie du corps. A côté de ces trois systèmes de fibres de projection
décrits
par Meynert, il en existe un autre dont nous de
systèmes de fibres de projection qui sont les homologues de celles
décrites
par Meynert dans le cerveau. Mais les systèmes
unie d'un noyau, comparable aux cellules plates du tissu conjonctif
décrites
par Ranvier, et qui présentent comme ces dernière
on obtient facilement, sur les tubes des centres nerveux, le réseau
décrit
par Ewald et Kuline sur les Fia. 123. - l, B, C
ux des autres tissus que par l'existence d'une gaine périvasculaire
décrite
par Robin et par Yirchow, et constituée - par l
a moelle épinière. Il contient, au contraire, ainsi que Ranvier l'a
décrit
et figuré, une série de granulations, disposées
orrespond à la gaine de Schwann, est entourée d'une seconde capsule
décrite
par Ranvier, sous le nom de gaine secondaire. C
s provenant probablement du grand sympathique. Ces arbo- risations,
décrites
pour la première fois' par Ehrlich chez la grenou
nt que le tra- verser. L'existence de ces dernières fibres, vues et
décrites
par Freud en 1879 'sur les poissons cyclostônae
de toutefois en faveur de leur existence. v. Lenhossek et Cajal ont
décrit
, en outre, dans la moelle du poulet au quatrième
se granuleuse, comparable au premier abord à la substance ponctuée,
décrite
par Leydig dans les ganglions ner- veux des Inv
sez làches; ils donnent naissance à un réseau veineux spécial, bien
décrit
par Ranvier, et qui rappelle, dans sa disposition
, le dépôt de l'argent se fait sous forme de stries transver- sales
décrites
par Frommann en 1864, (lig. 128, C). Si au lieu
segment inter- annulaire A'incisures de la myéline. Ces incisures,
décrites
par Schmidt et étudiées plus tard par Lanlerman
rsale de la gaine de myéline est uniformément noire. Ranvier, qui a
décrit
ces différents aspects', en a en même temps don
de potasse et nitrate d'argent) à l'étude des nerfs périphériques,
décrivent
au niveau des incisures un système de filaments
r.) HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 213 tine,
décrit
par Ewald et Kühne (fig. 131), mais il s'en disti
intra- fasciculaire, on rencontre par place une formation spéciale
décrite
par Renaut et connue sous les noms de : système
conjonctif)' (Schultze), système tubulaire (Blocq et Mari- nesco).
Décrits
par Renaut chez les solipèdes, rencontrés par Rak
une cellule épithéliale spéciale, telle que les cellules terminales
décrites
par Langerhans, et communément désignées sous l
la cornée. Eimcr ('187'1), Mocsisowicz (1876), Ranvier (1880), les
décrivirent
ensuite dans le museau de certains animaux (tau
dans la peau de la plante des pieds et de la paume des mains On les
décrivit
bientôt dans certaines muqueuses, telles que le
e (fig. 143). f) Dans les ten- dons, Sachs et Tschi- riew ont
décrit
des ar- borisations termina- les libres, disp
ns les muscles striés se fait dans l'épaisseur de la olaaue motrice
décrite
par Rouget chez le lézard et bien étudiée par Kra
lymphatiques des reptiles écailleux et des batraciens. Retzius a
décrit
dans les muscles de l'oeil du lapin un mode de
rpuscules de Paciui. d'autres encore dans des corpuscules spéciaux,
décrits
par Pilliet sous le nom de corpuscules "elliO -
i gaines paciniennes. Ces deux derniers modes de terminaison seront
décrits
avec les corpuscules de Pacini. Nous ne nous oc
e désigner avec Cattaneo, Pisani, Ranvier, etc., les petits organes
décrits
par Golgi, sous le nom de corpuscules de Golgi.
teint, en général,- à son extrémité profonde et un peu sur le coté,
décrit
à sa surface un trajet plus ou moins sinueux, p
ble à celle des corpuscules de Pacini. Cette dernière variété a été
décrite
par Pilliet en 1890, sous le nom de corpuscule
Les circonvolutions se plissent en outre suivant leur longueur, et
décrivent
autour des incisures soit continues, soit isolées
comini (1884). La scissure de Rolando n'est pas rectiligne ; elle
décrit
, , ainsi que Broca l'a fait remar- quer, des
ns dans les autres et d'inégale longueur. La première frontale (F,)
décrit
la plus grande courbe, occupe le bord, supérieu
, puis se renflent à mesure qu'elles s'élèvent sur la face externe,
décrivent
de nombreuses flexuosités et s'insèrent sur la ci
ontournent le sillon fronto-marginal [ïm), puis se juxtaposent pour
décrire
un trajet curviligne parallèle à celui de la pr
circonvolution de Broca, occupe la situation la plus inférieure et
décrit
des flexuosités nombreuses et très accentuées,
fléchit sur la convexité de l'hémisphère et s'insère, après avoir
décrit
de nom- breuses flexuosités qui affectent la
RÉBRALE. 259 Elle se réfléchit sur la face convexe de l'hémisphère,
décrit
une courbe à concavité antérieure, qui limite e
nt une ou plusieurs fossettes, lobule qui peut même se dédoubler et
décrire
un méandre allongé autour d'une incisure vertical
en bas, parallèlement à la circonvolution frontale ascendante (Fa),
décrit
une courbe à conca- vité supérieure, qui embras
PHOLOGIE CÉRÉBRALE. 20.'i dont il longe le bord postérieur; puis il
décrit
une grande courbure il . concavité inférieure,
266 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. donne souvent naissance, avant de
décrire
sa courbure, à un rameau ascen- dant, qui conti
ale ascendante, par un pied en général étroit, quelquefois profond,
décrit
des llexuosités plus ou moins nombreuses, et je
la première circonvolution occipitale se dirige en bas et en arrière,
décrit
plusieurs sinuosités en longeant la scissure in
a scissure calcarine dans le prolongement occipital. Cette saillie,
décrite
sous le nom d'éminence collatérale de Me- ckel(
llatérale, le sillon du lobule lingual se porte en bas et en avant,
décrit
des sinuosités parallèles à celles de la scissure
s auteurs réunissent a la circonvolution de l'hippocampe, et qu'ils
décrivent
sous le nom de deuxième circonvolution occipito
and lobe limbique de Broca. Rhinencephalon de Turner. z - - Broca a
décrit
en 1878, sous le nom de grand lobe limbique, la g
onnue sous le nom de corps godronné (Cg), et que l'on trouve à tort
décrite
dans tous les traités d'anatomie, soit comme pa
tite bande- lette lisse, d'aspect gélatineux et de couleur cendrée,
décrite
par Giacomini en 1883, et désignée généralement
ont été mieux connues et mieux étu- diées, et que l'on a cherché il
décrire
ou il reporter sur une figure la topographie, e
MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 317 . missure de Meynert, un petit faisceau
décrit
par Gudden sous le nom de fais- ceau du tuber c
du cerveau, c'est le tubercule mamillaire latéral (Tml, fig. 193),
décrit
chez les animaux par Gudden. Ce tubercule, que no
occupe, chez les rongeurs, par un petit ganglion impair et médian,
décrit
par Gudden et par Forel, la gang lion inter-pédon
d'entrelacement transversal du gros faisceau fibreux, il a été bien
décrit
en 1870 par Gudden. Très net chez les différent
ubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) et une surface triangulaire
décrite
par Reil, le faisceau triangulaire de l'isthme,
, strié. Les trois gros noyaux de la base du cerveau, sont encore
décrits
sous . le nom de corps opto-strie's ou de noyau
us superficielles du genou ou du bourrelet. Les fibres du bourrelet
décrivent
de chaque côté de la scissure interhémisphériqu
troisième ventricule et des couches optiques, autour desquelles il
décrit
une courbe inscrite dans celle du corps calleux.
e antérieur de lacouche optique et le tuber- cule mamillaire, était
décrite
sous le nom de racine descendante du trigone [r
ouverte en bas et en avant, et tout à fait analogue à la courbe que
décrivent
, autour de ce même axe, toutes les parties cons
n avant (m'en arrière, appartient aux lobes frontal et pariétal; il
décrit
une légère courbe à concavité externe, s'étend
llon opto-strié (si), assez large en avant, plus étroit en arrière,
décrit
autour de la couche optique une courbe à concavit
rds : l'un interne ou concave, l'autre externe ou convexe; celui-ci
décrit
un trajet sensiblement parallèle à la scissure de
xterne est formée par le tapetum (Tap), c'est-à-dire par des fibres
décrites
pendant longtemps comme appartenant au corps ca
bourrelet du corps calleux (Cc[Spl]), au noyau amygdalien (NA), et
décrit
une courbe à concavité antérieure et interne. S
la déprime longitudinalement, se porte horizontalement en arrière,
décrit
une courbe à concavité interne, se rétrécit peu à
face ventriculaire des piliers antérieurs du trigone. Obersteiner
décrit
dans le troisième ventricule deux parties : l'une
aient aux hanches (anchoe), les corps opto striés n'ont été nettement
décrits
qu'au xvn" siècle par Willis, Riolan, Vieussens
es, a donné à toutes ces éminences le nom de corpom sl1'iata. Il en a
décrit
six : 1 Les corporv striata superna anteriora o
5o Les corpora striata 'Íl1femlI et interiora mal délimités et mal
décrits
, placés au- dessous de la commissure antérieure
cules cérébraux, et d'après Burdach à la capsule interne. Vieussens
décrivit
enfin, sous le nom de double centre demi-circulai
s et la couche optique. Cette bandelette demi-circulaire, très bien
décrite
et dessinée par Vicq d'Azyr qui la compare à un
de la voûte du prolongement sphénoïdal du ventri- cule latéral. Il
décrit
, par conséquent, comme toutes les parties consti-
former le segment postérieur de la capsule interne (Cip). Elle a été
décrite
par Gratiolet sous le nom d'anse pédonculaire ;
face inférieure de la couche optique par une couche de fibres bien
décrites
par Forel et qui se confond en arrière avec la
ue à son bord inféro-interne. Cette lame n'est pas rectiligne, mais
décrit
deux courbes en sens inverse, de telle sorte qu'e
n de l'habénula (Gh) (lig. 226, 253, z187, 307, 317, 318). Luys a
décrit
en outre dans la couche optique un quatrième noya
iire/e, les parties constituantes du pied du pédoncule cérébral. 11
décrit
sur les coupes horizontales une courbe à concavit
circonvolutions, ce sont les circonvolutions sous-calleuses (Csc),
décrites
par Zuckerkandl, et qui prennent chez un certai
ce fait que la face inférieure du cunéus n'est pas rectiligne, mais
décrit
une courbe à concavité inférieure dans laquelle
i revêt déjà tous les caractères du pied du pédon- cule (P), et qui
décrit
une courbe il concavité interne et postérieure, d
e, n'appartiennent pas au système visuel, mais bien à la commissure
décrite
par Guddeu, commissure qui ac- compagne la band
ral. Cette mince lamelle située en avant des plexus choroïdes a été
décrite
par Aeby sous le nom de voile ter- minal (vélum
resse que l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale (Vsph) qui
décrit
un arc autour du sillon de l'hippocampe (h), arc
noncé la corne frontale (Vf), dont la section vertico-transversale
décrit
une sorte de croissant autour de la tète du noy
e supérieure , cette lame s'effile dans sa partie infé- rieure,
décrit
uuc courbe à concavité externe, autour du f
s qui appartiennent toutes au manteau cérébral, et qui comme telles
décrivent
un arc autour de l'insula et des ganglions de la
d'association des circonvolutions voisines. 11 est impossible de
décrire
des faisceaux distincts, dans l'ensemble des fi
. Sauf pour les fibres en U du fond des sillons on ne peut en effet
décrire
, comme faisceau distinct, un faisceau d'associati
dans le noyau antérieur de la couche optique (Na). Ce faisceau fut
décrit
à tort sous le nom de pilier ascendant du trigo
oupe n° 75 (fig. 248), la couche de substance grise inter- médiaire
décrit
quelques festons qui correspondent aux digilation
ACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 463 par une zone de fibres nerveuses bien
décrite
par Forel et que nous désignerons sous le nom d
ent en s'éntre-croisant un champ irrégulièrement triangulaire, bien
décrit
par Wel'l11cke,. le champ ou la zone de l1'cl'lli
godronnée (Cg) et l'écorce grise de la cOl'ne d'A m1/WII, et qui est
décrite
sous le nom d'alvéu.s (Alv, fig. 260). La coupe
(fig. 258), enfin, inté- resse la partie la plus saillante de l'arc
décrit
par la queue du noyau caudé (\1G'). Substance b
part. Dans sa partie inférieure, sa limite est extrêmement netle. Il
décrit
deux angles qui correspondent, l'externe il la
croscopiques, coiffe le sommet des couches sagittales. Ce faisceau,
décrit
par Sachs sous le nom de faisceau transvase du cu
issure calcarine (K). Sa face inférieure n'est pas rectiligne, mais
décrit
une courbe, à concavité inférieure extrêmement pr
uette (Uv). Cette coupe donne une idée assez fidèle de ce qui a été
décrit
sous le nom d'arbre de vie du cervelet. Comme e
L : 1, ,), dont le troisième segment (NL3) est encore très petit et
décrit
avec le noyau une courbe à concavité postérieure
n° 17, iig. 272), l'anneau presque complet, que le manteau cérébral
décrit
autour de la couche optique (Th) et du pédoncul
(NL,) par des languettes de substance grise. Dans la concavité que
décrivent
ces deux parties du corps strié, se logent le s
uel le corps calleux apparaît distinct correspond à la courbe qu'il
décrit
autour de l'angle externe du ven- tricule. Au-d
coupes sagittales fait comprendre éga- lement, comment Meynert a pu
décrire
au noyau lenticulaire un pôle central et un pôl
tapissée par l'altétts (Alv); sa paroi supé- rieure est coudée, et
décrit
un angle obtus ouvert en bas et en arrière, dont
ur est oblique en haut et en arrière, et dont la partie postérieure
décrit
une courbe assez accentuée. Ces fibres appar- t
l'insula ou son seuil. 11 se présente alors, grâce à la courbe qu'il
décrit
(Voy. coupe n° 27, fig. 274), sous la forme d'u
face beaucoup moins considérable que sur les coupes précédentes, et
décrivent
autour de l'insula une courbe extrêmement prono
la branche postérieure (S [p]) de la scissure de Sylvius, l'écorce
décrit
une courbe. il convexité inférieure, qui recouvre
se porte en dedans et aboutit au champ de Forel (F). Ces fibres bien
décrites
par Forel constituent le faisceau (H2) de cet a
les fibres radiées de la couche optique. Les fibres du stratum zonale
décrivent
une grande courbe à concavité supérieure, puis
de la façon la plus nette, le crochet que les fibres calleuses (Ce)
décrivent
autour de l'angle externe du ventricule latéral (
pend/zrrairv> (Sâe), ainsi que la courbe il conveitétipjyuty , 1
décrite
par les fibres de la couronne i·ayorzrrarrte (GR)
sverse du lobule lingual, de Vialet (IIbV). Entrevu par Sachs, bien
décrit
par Vialet, ce faisceau est formé de fibres par
ec les fibres de pro- section. Comme la voûte du ventricule latéral
décrit
une courbe, on comprend pourquoi sur cette coup
rne (Ce). L'aspect de cet entre-croisement, ainsi que la courbe que
décrivent
les fibres de projection pour pénétrer dans l'o
e, et forment avec ces dernières une zone de fibres très com- pacte
décrite
par Wernicke, qui augmente d'épaisseur à mesure q
inué de volume, par contre, le noyau externe (Ne) s'est allongé, et
décrit
une courbe à concavité interne autour du noyau in
sa plus grande étendue, et présente l'aspect particulier qu'on lui
décrit
sur la « coupe, dite de Flechsig ». Le genou (C
(Ne) est limité en' dehors comme sur les coupes que nous venons de
décrire
, par la lame médullaire externe du thalamus (Lme)
rieur (BrQa), qui se porte d'abord transversalement en dehors, puis
décrit
une courbe à concavité anté- rieure et se dirig
fibres dont la direction est assez analogue il celui que nous avons
décrit
dans le genou de la capsule (CiCes fibres horiz
us- thalamique. Le segment postérieur de la capsule interne (Cip)
décrit
une légère courbe à concavité interne el postér
bres horizontales appartenant aux trois variétés que nous venons de
décrire
, fibres radiaires antérieures, moyennes et postér
dehors, ses fibres cessant alors d'être nettement parallèles, pour
décrire
un léger mouvement spiroïde, de telle sorte que
(Voy. Ecorce du )'/«HeHcj/<a/0)), p. 703). La corne d'Ammon (CA)
décrit
un crochet autour du sillon de l'hippocampe (h)
rieures, et n'est pas indiqué par ses lettres sur la coupe. Il sera
décrit
à propos des coupes plus inférieures dit céré-
en s'entre-croisant en avant des noyaux rouges (NR) une commissure
décrite
par Forel (e.h) et qui occupe la voûte (le l'espa
i se perd dans la substance grise, du tuber cinereum (Te); il a été
décrit
par Gudden sous le nom de faisceau du tuber ciner
ieur de la capsule interne (Cip). Le pied du pédoncule cérébral (P)
décrit
une courbe à concavité posté- rieure et entoure
très probablement aux radiations de la calotte (Haubenstralilungen)
décrites
par Edinger ; elles sont destinées au noyau rou
interne du putamen, et qui appartiennent au faisceau de Vth'cA (FT)
décrit
sur la coupe précédente (n° 9 x, fig. 324). En
issure de Meynert (CM). Ces dernières constituent ce que Wernicke a
décrit
sous le nom de fibres pédonculaires de la bande
couche moyenne. La couche des libres profondes se porte en avant, et
décrit
, une courbe à concavité interne autour de la su
ux noyaux rouges (NR), un entre-croisement de fibres transversales,
décrit
par Forel sous le nom A' entre-croisement ventral
t qui entourent de grosses cellules, dont l'aspect vésiculeux a été
décrit
par Forel. Ce petit faisceau représente la raci
t étudiant l'écorce au point de vue de l'agencement des cellules, y
décrivit
cinq couches régulièrement stratifiées dans lesqu
- sique des cinq couches de Meynert. Stieda, llenle, Boll, Schwalbe
décrivent
quatre couches, Krause sept, et Golgi, ne trouv
Baillarger (1840). La deuxième colonne représente les trois couches
décrites
par Iütlliker en 18 : p ? . La troisième colonn
de fibres tan- gentielles, découverte par K6111l.er en 1852 et bien
décrite
depuis par Exner, Tuczek, Ranvier, Emminghaus,
s ce u es triangulaires répondent au type cellulaire que nous avons
décrit
plus haut (voy. p. 165) sous le nom de cellules
de Golgi, cellules à cylindre-axe court, et des cellules spéciales
décrites
par Martinotti, les cellules à cylindre-axe asc
ppent le corps des cellules voisines (fig. 340). Quant aux cellules
décrites
par Martinotti et dont le cylindre-axe pré- sen
les cylindres-axes ascendants des cellules pro- fondes de l'écorce
décrites
par Martinotti (voy. p. 668) ; y, les collatérale
l'sche Associationsschicht, Kaes], fig. 342 et fig. 347, fAc). Bien
décrites
par Kaes, ces fibres occupent la partie pro- fo
t dans son trajet intracortical de nombreuses collatérales. Mondino
décrit
en outre dans la couche des petites et des gran
robablement ici de la variété de cellules il cylindre-axe ascendant
décrite
par Martinotti. La couche des cellules polymorp
ormes (fig. 31G, s) analogues aux cellules à cylindre-axe ascendant
décrites
par Marlinotti, cellules dont le cylindre-axe a
ns les nerfs de Lancisi et les tænia tecta des cellules ner- veuses
décrites
par Golgi, Giacomini, Blumenau, Cajal. Chez les p
CENTRES NERVEUX. les autres régions de l'écorce, les quatre couches
décrites
par Cajal et [qui sont, en allant de la surface
Les différentes couches constituantes de la corne d'Ammon ont été
décrites
il y a déjà longtemps par Kupffer, Meynert, Kraus
moléculaire, une zone pauvre en cellule, le stratum radiatum. On a
décrit
à la corne d'Ammon sept et même huit couches dist
typique. , - ' Les cellules pyramidales de la' corne d'\nimdn; bien
décrites
par Golgi, dont les recherches ont été confirmé
-axe se comporte, soit comme le cylindre-axe ascendant des cellules
décrites
par Martinotti (fig. 354, a; fig. 360, A), soit
on. i Les cellules à cylindre-axe Tzori.zozztal (tig. 3â, a, b, d),
décrites
par Sala et par Schâffer, représentent des cell
ant se comporte différemment. Tantôt, analogue à celui des cellules
décrites
par Martinotli dans l'écorce cérébrale typique,
xe arqué de Cajal. (fig. 3G0, A), tantôt et cette disposition, bien
décrite
par Cajal, est la plus fréquente, le cylindre-a
0, B,C,E). Les collatérales de ces cellules à cylindre-axe arqué,
décrites
par Cajal, FiG. 360. - Coupe de la corne d'Ammo
ens (fig. 354, a, et fig. 360, A). A ces deux ordres de fibres bien
décrites
par Schtiffer il faut ajouter d'après Cajal : .
um (voy. plus loin, p. 726). Les cellules du type II de Golgi, bien
décrites
par Sala, sont superficielles ou profondes. Les s
cellules fIlS/- formes. Les cellules araignées ou étoilées, bien
décrites
par Sala, sont pourvues d'un riche et abondant
x confins de la couche moléculaire. Les cellules fusiformes, bien
décrites
par Cajal, occupent le stratum gra- nulosumetla
e bulbe ol- factif. En allant de la surface vers la cavité, Cajal
décrit
dans le bulbe olfactif cinq cou- ches concentri
ées déjà par Walter, par Lockharl- Clarke, par Broca, etc., et bien
décrites
par Golgi. Ces cellules émettent une dendrite é
es donnent il cette écorce une physionomie caractéristique. Calleja
décrit
au tubercule olfactif trois couches, ce sont :
es à cylindre- axe ascendant de la couche des cellules polymorphes,
décrites
par Martinotti et par Schalfer. Les fibres de g
des cellules fusiformes ri cylindre-axe ascendant, analogues à celles
décrites
par Martinotti et Cajal dans l'écorce typique e
qui a vu et figuré dans le cervelet ces Ë libres terminales, ne les
décrit
pas à part dans l'écorce cérébrale. L'étude * ..
, qui les a spéciale- ment étudiées chez les petits mammifères, les
décrit
comme étant les plus grosses de celles qui sill
éral de tous les sillons à direction sagittale. Lorsque les sillons
décrivent
des courbes, comme par exemple la scissure call
ertico-lransversales macroscopiques, Ilg. 247 à 250), v ce faisceau
décrit
, comme le cingulum et le faisceau uncinatus, une
ite postérieure de la scissure de Sylvius (S[p]), le faisceau arqué
décrit
une courbe il concavité antérieure, qui embrass
isceau occipito-frontal (OF), correspond au fai- sceau, tour à tour
décrit
par Meynert sous le nom de couronne rayonnante
ouvoir identifier ce faisceau avec le faisceau occi- pito-frontal
décrit
par Forel et Onufrowicz, dans les cas d'agénési
association que nous venons d'étudier, le faisceau occipito-frontal
décrit
une courbe ouverte on avant et en bas. Recouvert
udé, en dedans de la couronne rayonnante, au-dessous du crochet que
décrivent
les fibres calleuses autour de l'angle externe du
faisceau nettement défi- mité, et c'est à tort que quelques auteurs
décrivent
sous ce nom l'ensemble tics fibres commissurale
ns un très grand nombre de fibres. La crête du lobule lingual a été
décrite
par Burdach sous le nom de fais- ceau basai int
milent ce faisceau aux fibres de projection du lobe occipital et le
décrivent
avec ces dernières sous les noms de radiations
uve intéressé, dans la variété de cécité verbale que l'un de nous a
décrite
sous le nom de cécité verbale pure. Mais, de même
ermes, la couche des fibres en U de la scissure calcarine. Brissaud
décrit
le stratum calcarinum sous le nom de lame festonn
trigone cérébral renferme un système fort complexe de fibres : on y
décrit
, outre le fornix proprement dit, un fornix transv
irconvolution frontale, et que les fibres de la couronne rayonnante
décrivent
une courbe en sens inverse autour des fibres ca
capsule externe; elles se portent obliquement en haut et en dedans,
décrivent
une courbe à concavité inféro-interne et traver
ing), en dehors avec les fibres de la couronne rayonnante (Ce), qui
décrivent
autour du ventricule une courbe en sens inverse
ment en avant vers l'extrémité antérieure du lobe frontal; elles ne
décrivent
pas de chaque côté de la scissure inter-hémisphér
orte de pince (forceps anterior ou minor d'Arnold), telle que l'ont
décrite
les anciens auteurs. Ces apparences, que l'on p
poral du côté opposé. Nous avons vu en outre (p. 760), que Wernicke
décrit
un faisceau d'un centimètre et demi d'épaisseur
oïdal (fig. 381, p. 760). Schwalbe émet l'hypothèse que le faisceau
décrit
par Wernicke serait un faisceau commissural relia
l'insula (lig. 401) et de la face externe du noyau amygdalien. Elle
décrit
une courbe analogue à celle de la bandelette opti
raLiolet (substance innommée de Reichert) (Sti). Mais la courbe que
décrit
la commissure antérieure n'est pas parallèle à
re olfactive. La partie olfactive de la commissure antérieure, bien
décrite
par Meynert, est très petite chez l'homme, mais
oisée par les fibres du faisceau arqué ou lon- gitudinal supérieur,
décrit
une courbe régulière, qui correspond au bord su
ons de l'appareil nerveux ? Il est d'ailleurs d'usage constant t de
décrire
dans les « Traités de maladies nerveuses » des af
elle lésion, créer des syndromes vagues au lieu d'espèces morbides,
décrire
autant de maladies qu'il y a de malades. Dans
de la sensibilité peuvent rapprocher de la névrite interstitielle,
décrite
en 1893 par Dejerineet Sottas, ce n'est pas le
ladie de Friedreich une combinaison de la sclérose en plaques, bien
décrite
déjà par Charcot et Vulpian et du tabes dorsali
ymptomalo- logie de la maladie de Friedreich, Butimeyer constata et
décrivit
un en-1 semble très complexe d'altérations médu
x croisés. Friedreich ne l'avai pas signalée ; mais Ru- timeyer l'a
décrite
,et depuis lui on la constata dans un grand nombre
able, le cordon antéro-latéral et ses divers faisceaux. En 1896, je
décrivais
déjà des formes frustes et des formes hybrides de
ns son pronostic. Si, en effet, la myélite transverse, telle que la
décrivent
les auteurs,est une des maladies de la moelle «
forme fruste, d'une de ces formes, qu'après Char- cot, M. Jaccoud a
décrite
et étudiée, il y a quelque vingt ans (2). Ce ma-
a plus ses balanciers. M. Babinski, sous le nom de diadococynésie a
décrit
chez les cérébelleux un trouble particulier du
'aphasie qui l'ac- compagnent. Poursuivant cette étude, M. Pitres
décrit
à l'aphasie amnésique plusieurs variétés. Dan
nt. Mais en tout cas Gerdy a le mérite d'avoir aperçu le premier et
décrit
le phénomène qui fait l'objet de cette note, savo
2j t. 51 série. 52 LAMY P. Richer, à ce sujet, dit, après avoir
décrit
les contractions musculai- res des membres infé
orso-lombaire devient suhitement l'inverse de celui que je viens de
décrire
(fig. 5 et 6). Ainsi, durant tout le temps de l'o
n passant que Gerdy se contredit d'une façon flagrante, puis- qu'il
décrit
ailleurs un « effort d'élévation » du bassin, du
leur valeur réciproque et l'ordre dans lequel il con- vient de les
décrire
. Le thorax est tourmenté, le sternum, convexe e
ax ne présente pas toujours la forme typique que nous venons de lui
décrire
. Parfois les articulations chondro-costales font
nous semble toutà fait com- parable à celle du thorax en lorgnette
décrit
par DI.Dieulafoy et de ce tassement général du
s cartilages costaux, formant enfin le bord inférieur de la cuvette
décrite
sur la face antérieure du thorax (PI. IX, B et
contractures musculaires, d'hyperos- toses. Nous avons jusqu'ici
décrit
le type le plus complet et le plus parfait du «
Certains malades présentent toutes les déformations que nous avons
décrites
, mais moins accentuées ; elles correspondent sa
é comme un des symptômes les plus . saillants de l'ensemble morbide
décrit
l'écartement des condyles internes du 72 ") MOC
qui tient essentiellement à l'anatomie pathologique du syn- drome.
décrit
. D'ailleurs il nous a semblé observer sur le viva
r les rapports de la maladie de Paget et du syndrome que nous avons
décrit
, et dire pourquoi parmi les vieillards présen-
die de Paget, insistant sur ceux qui rapprochent d'elle le syndrome
décrit
, expliquant la confusion possi- ble et justifia
et justifiant par la même le titre de cette étude. Dans la maladie
décrite
par sir James Paget, ainsi qu'il résulte d'ailleu
l'ostéopathie hypertrophiante pneumique du syndrôme que nous avons
décrit
. Nous venons de montrer comment l'ensemble des
horax se déforme. Le type de cette cyphose est celle que nous avons
décrite
dans le syndrôme « pseudo-Paget », cyphose appa
au malade un aspect qui se rapproche un peu de celui que nous avons
décrit
; mais le rachitisme est une maladie d'évolution
ostéomalacie sénile est tout à lait diflérente de ce que nous avons
décrit
chez nos malades (1). Nous avons dit plus haut
Paget, mais de déformations fort analogues à celles que nous avons
décrites
chez nos malades. Avant de terminer, signalons
es et notamment des cartilages costaux (1). En résumé, nous avons
décrit
non une maladie nouvelle, mais un syndrome comp
seudo- Paget ? Non, et voici pourquoi : c'est que ce que nous avons
décrit
n'a de va- leur que comme syndrôme. Le nom choi
, les parents don- neraient tous la chasse aux dits médecins et les
décriraient
comme vieille monnaie. » Mais si Paré combat
que de cette affection. A mesure qu'au type d'ataxie hérédo-spinale,
décrit
par Friedreich,sont venus s'ajouter des cas nou
tre cette manifestation, distincte au premier abord et le type déjà
décrit
, il n'existe pas de formes de transition. Ces d
r et Nonne, la consécration définitive était apportée à l'affection
décrite
par P. Marie. Il n'en a rien été; ces examens ana
présentent quelques différences avec celles qu'il est classique de
décrire
comme substratum de la maladie de Friedreich ;
sions histologiques, il vient se placer à côté des cas intéressants
décrits
par Menzel, par Meyer, parSwi- talski et par Th
é d'attribuer à 1'liéi-édo-ataxie. cérébelleuse telle qu'elle a été
décrite
un substratum anatomique constant, différentiel
nflammatoires se traduisant par la sclérose, Dejerine et Thomas ont
décrit
sous le nom d'atrophie olivorponto-cérébelleuse,
érébel- leux aux manifestations héréditaires. Il y aurait alors à
décrire
: Un type spinal où l'abolition des réflexes, l
ou complètes du syndrome cérébelleux héréditaire, il y aura lieu de
décrire
un jour un syndrome cérébello-pyramidal, cérébe
nous a donné l'idée première de ce travail. Nous nous proposons d'y
décrire
ce que nous avons constaté à l'examen de 5 cerv
sposons que d'un seul représentant du 1er groupe ; l'un de nous l'a
décrit
à un autre point de vue (Revue méd. de la Suisse
aient dû subir une diminution de fibres par suite de la destruction
décrite
plus haut. Le faisceau longitudinal inférieur (
de sclérose sénile, de sorte qu'évidemment tout ce que nous allons
décrire
n'est pas exclusivement attri- buable à la prés
dans des préparations normales. Les altérations que nous venons de
décrire
se rencontrent partout, mais elles sont peut-êt
est criblée de petites vacuoles analogues à celles que nous avons'
décrites
dans notre premier cas, mais plus petites, non vi
vons pas d'é- paississement des parois vasculaires. Les altérations
décrites
sont plus pro- noncées dans les circonvolutions
alique, coupé en série, nous avons constaté partout les altérations
décrites
précédem- ment. Dans la substance grise des vac
une quinzaine, reste couché, ne mange presque pas. Les phénomènes
décrits
plus haut se sont notablement aggravés. Somnolenc
ar les faits relatés par MM. Raymond et Cestan (l).Dans les trois cas
décrits
par ces auteurs,il s'agissait d'un syndrome par
'observer un syndrome qui par bien des pointes se superpose à celui
décrit
par Raymond et Cestan, tout en restant bien ind
i placée la tumeur donna lieu à ce syndrome spécial que nous allons
décrire
et qui soulève quelques-uns des problèmes les plu
74 , GRUNER ET BERTOLOTTI , toutefois, rapprocher ces faits de ceux
décrits
par Sorgo (1) (après Nothna- gel, Luce, Clerk,
du sque- lette. Crâne.-Le crâne a des lésions classiques souvent
décrites
(fig.6).Elles diffè- rent à la voûte et à la ba
t nécessaire du syndrome osseux que Marie a le premier complètement
décrit
les observations précédentes ne concernent pas
11 ; nous les passerons rapidement en revue. Liebreicli le premier
décrit
et figure dans l'édition de 1863 de son Atlas u
ui accompagne la pigmentation congénitale de la sclé- rotique, état
décrit
depuis sous les noms de mélanose, mélanochromie,
Mais, dans ces dernières années, une nouvelle forme d'oedème a été
décrite
chez les sujets qui, comme ceux affectés par la m
aladie de Quinke, se présente sous sa forme aiguë, et dans la forme
décrite
par Debove se présente avec une allure chro- ni
tiennent à une foule de professions diver- ses. C'est ainsi qu'on a
décrit
la crampe des écrivains, la crampe des violo- n
pianistes, la crampe des tailleurs, des cordonniers etc. Basedow a
décrit
en 1851 la crampe professionnelle chez les servan
vantes des fermes, occupées à la traite des vaches. Locher-Bolber a
décrit
en 1856 l'existence de la crampe chez les coutu
t en 1856 l'existence de la crampe chez les couturières ; Schultz a
décrit
la crampe des danseuses ; Onimus et Domanski, c
la crampe professionnelle dépendrait d'un trouble céré- bral. Il a
décrit
deux formes de crampes des écrivains : la forme s
existe un troisième type clinique, moins connu que les précédents,
décrit
sous le nom de scoliose alternante. C'est un ca
sparition des douleurs. i Il n'est pas douteux que les déformations
décrites
à propos de la scia- tique et du lumbago, en de
ttes externes, leur régularité, des lésions des cordons postérieurs
décrites
par Joffroy et Rabaud. Si l'aspect des cordons
actuels la nient, à cause de sa rareté sans doute. Soukha- noff l'a
décrite
. Nous avons vu des scléroses latérales répondan
spécificité. Ce ne sont que des stades d'une même évolution qu'on a
décrits
à part, à cause de leur longueur et indépendamm
iguilles d'une montre, de gauche à droite. La cir- conférence qu'il
décrit
est d'un rayon très court et son corps est arqué,
e a provoqué chez notre animal un état démentiel comparable à celui
décrit
par Goltz (1) chez son chien décéré- hré. Au po
s minutes à quelques heures. Mais des nombreuses exceptions ont été
décrites
, lesquelles variations ap- partiennent toutefoi
mportante pour les conclusions de pathogénie : Nombre d'auteurs ont
décrit
dans l'oedème de Quinke des taches rouges de va
s mêmes résultats dans l'examen des urines.Gunn (34), Osier (4) ont
décrit
pour leur compte des cas d'oedèmes de Quinke à
uvons affirmer qu'il n'y a pas une forme morbide dans laquelle on a
décrit
des poussées d'urticaire et dans laquelle l'oedèm
ssées d'urticaire et dans laquelle l'oedème de Quinke n'ait pas été
décrit
; et dans le plus grand nombre d'observa- tions
d'eedémes, et que dans le paludisme si Verneuil et Merklen (51) ont
décrit
l'urticaire symptoma- tique, Negel t1),1(ielal
l'urticaire symptoma- tique, Negel t1),1(ielal (16), Fuchs (17) ont
décrit
l'oedème de Quinke. Nous verrons bientôt les ra
mena la découverte des substances lymphagogues. Nous ne voulons pas
décrire
toutes ces expériences qui sont classiques, fai
s manifestations : les oedèmes dans les hémiplégies, même récentes,
décrits
par Oypenlaeiala (134.), par Loepel' et Croupon (
ille de quatre malades qui sont atteints de l'affec- tion qui a été
décrite
et isolée pour la première fois par MM. Pierre Ma
s ; quelques-uns même paraissent découvrir l'affec- tion et'vouloir
décrire
à nouveau l'ensemble du syndrome. Signalons les
différents cas. De même Rappeler croit à cette absence. Scheuthauer
décrit
par contre dans son autopsie un muscle sous-cla
faut en effet avoir l'attention attirée sur les caractères si nets
décrits
par MM. Pierre Marie et Sainton pour s'apercevo
et chez la plupart des malades à côté des stigmates principaux déjà
décrits
, un cortège plus ou moins atténué de stigmates
les disjonctions épi- physaires et l'état marastique chez l'enfant
décrit
par Hamilton, l'atrophie (1) Sur un cas d'achon
u exagérer ses lésions locales comme au niveau du crâne de l'enfant
décrit
par Gi- bert, de même aussi elle peut régresser
nets que nous retrouvons au complet dans la famille que nous avons
décrite
. 2° Le signe qui, à côté de l'aplasie clavicula
établi de différences et, sous le nom d'anencéphalie, ont aussi bien
décrit
des individus se rapportant aux anencéphales pr
e humaine. Les animaux, cependant, n'en sont pas exempts. Dareste a
décrit
un chat dérencéphale (1), Winslow (` ? ) deux pig
observé une fois (Pl. XLIV-A). L'habitus extérieur que je viens de
décrire
est aussi bien celui des individus se rapportan
qu'une exception, la seule à ma connaissance parmi les nombreux cas
décrits
, chez l'un des foetus communiqués par M. le pro
ment en série comme représen- tant divers degrés d'anencéphalie, en
décrit
et représente deux au moins sur lesquels il ne
Nous trouvons un exemple de la première disposition chez l'individu
décrit
en 1818 par Lallemand et dont Etienne Geotfroy-
alle. Quant à l'occipital, il affecte la disposition que nous avons
décrite
chez les . individus où le trou occipital n'est
uerons tout d'abord que les divers os membraneux que nous venons de
décrire
ont totalement perdu leur forme habituelle. Il es
int-Hilaire (1) en a figuré deux. Plus récemment G. Gérard (2) en a
décrit
un autre. Il est possible et même probable que ce
ct diffère très sensible- ment de celui que nous avons précédemment
décrit
, sont unis entre eux et prolongent en arrière l
ttention sur le squelette des Pseudencéphaliens l'ont rele-. vée et
décrite
avec plus ou moins de précision. Cette courbure n
rsement peut aller beaucoup plus loin; c'est ainsi que chez le veau
décrit
par Joly et Lavocat (1), la colonne cervicale d
xterne des pseudencéphaliens, j'ai été très natu- rellement conduit
décrire
le contenu du crâne et les divers aspects qu'il p
chercher les nerfs crâniens aboutissant à cette masse ; ils les ont
décrit
avec un soin minutieux. Nous savons ainsi que l
ide et Vurpas d'une part, Zingerle d'autre part, ont très nettement
décrit
et représenté ces foyers, ainsi que leur extensio
nt certains auteurs ont méconnu le sens des dispositions qu'ils ont
décrites
et représentées. C'est ainsi que Murait (1) met
peu plus loin. Ce phénomène de recrudescence segmentaire a été déjà
décrit
par d'autres auteurs, mais sous une forme tout
erme plus, sauf excep- tion, les différentes couches habituellement
décrites
: une assise génératrice et (1) Op. cit. PATH
nd nettement à la gaîne péri-médullaire que nous avons précédemment
décrite
; elle représente la pie-mère enflammée, envahie p
r comprendre quelques-unes des dispositions que nous avons encore à
décrire
. Nous avons dû, pour saisir nettement l'essence
même nature, au premier abord, que les processus que nous venons de
décrire
. Sans doute, il s'agit bien encore ici de méningi
le des faits de recrudescence segmentaire que nous avons relevés et
décrits
dans la moelle elle-même. Mais, à côté de ces f
brales que nous examinons ici et celles que nous avons précédemment
décrites
sont deux for- mations de même nature, reconnai
ne tumeur vasculaire comparable à celle que nous avons précédemment
décrite
. Si l'inflammation est évidente, elle est cepen
-Hilaire donne comme caractéristique des anencéphaliens. Nous avons
décrit
ces sacs dans la partie morphologique de ce tra
rouvons des dispositions en tout semblables à celles que nous avons
décrites
à propos des cas les plus fréquents ; c'est une a
ne se couvre exactement avec aucun de ceux des maladies familiales
décrites
jusqu'à présent. Mais nous. tenons à dire, dès
gnostic. Reste la paraplégie spastique familiale, telle qu'elle est
décrite
dans la thèse de Lorrain. Nous ferons remarquer
aire. S'il peut donc être bon,au point de vue purement pratique, de
décrire
des types cliniques définis,il faut se rappeler
n ai noté d'autres, comme on a pu le voir, qui n'ont pas encore été
décrits
. Ce sont d'abord les déformations produites par
'aux membres inférieurs. Le symptôme des douleurs a été constaté et
décrit
par Leyden dans le type qui porte son nom : Ley
a moitié latérale du crâne; c'est un fait analogue à la déformation
décrite
par Marie et Onanoff (1), avec cette différence q
une grande ressemblance objec- tive avec l'état que nous venons de
décrire
: nous n'en avons jamais ren- contré chez l'enf
mates, mais les troubles sensitifs, l'état psychique que nous avons
décrits
dans notre observation sont plus caractéristiqu
s de M. Constans, de M. Kuhn, de M. Chiara, de M. Tissot ; ils nous
décrivent
tous ces crises convulsives, les malades grimaçan
tingue du rachitisme et tend à les rapporter à la syphilis. Virchow
décrit
en 1856 comme rachitique congénital un foetus à
iste dans le musée de cet hôpital, mais qui n'avait p;IS encore été
décrit
. t. L'achondroplasie n'est pas une affection no
xtrémité, réalisant ainsi la main en trident que P. Marie a si bien
décrite
chez l'achondroplase adulte. La face est petite
parfois excessif, sans qu'il y ait hydrocéphalie. 'l'ourolT, sujet
décrit
par Apert, ne pouvant trouver chez les chapelie
it supérieur, plus grands à cause de la bascule du sacrum. Enfin on
décrit
habituellement un peu d'asymétrie du bassin. Cela
ET DURANTE Dans cette zone d'ossification scléreuse, l'un de nous a
décrit
, chez un achon- droplase jeune, des nodules car
tures récentes ou consolidées avec cal s'élevait à 113 ». Duménil
décrit
aussi un foetus à membres courts dont les os très
aplati dans son diamètre antéro-postérieur. Geoffroy St- Hilaire a
décrit
des bassets incomplets aux membres antérieurs seu
n'a été constatée, jusqu'ici, avec les carac- tères que nous avons
décrits
plus haut, que dans l'achondroplasie vraie et par
autre enfant. -< Ollier en 1899, Malin dans sa thèse de 1901 ont
décrit
en s'appuyant SUI' 1'é) J tude radiographique l
ations dans la croissance des os du foetus. Mais ces modifications,
décrites
par Diatchenko sous le nom de chondrodyslrophie
rses. Il y a donc lieu, à côté des lésions syphilitiques des os, de
décrire
les lésions osseuses du syphilitique, au même tit
seux développée pendant la vie embryonnaire et qui est généralement
décrite
à tort sous lejnom de Rachitisme (Ac. de méd.,
ondyle = 16 centimètres. Les mains présen- tent l'aspect en trident
décrit
par Pierre Marie. Sur la photographie que nous
des circonférences de 67 et - 59 centimètres. Le malade imbécile
décrit
par Dide et Leborgne présente une circonfé- ren
e antéro-supérieure droite, distance représentant la corde de l'arc
décrit
par le membre inférieur = 61 centimètres. De l'ép
au contraire des altérations morphologiques symétriques aux lésions
décrites
dans la main droite : anomalie de forme du trap
e du côté tibial. Syndactylie. Les auteurs qui ont eu l'occasion de
décrire
des monstres, ont toujours fait suivre à la des
spondants. T'iedemann (8), Gurlt (3), Serres (4), Troisier (5), ont
décrit
des exemples très frappants. Particulièrement int
mérite de donner le premier la démonstration de cette hypothèse. Il
décrivit
un cas de polydactylie dans lequel on voyait en
es cas de polydactylie acquise. Coroisai,t (57), Blwnenbak (58) ont
décrit
des observations semblables. Le fait que la pol
polydactylie et la (1) L'ainhmn est le nom d'une maladie qui a été
décrite
pour la première fois par Silva Lima (60), en 1
liaire et de la zone périciliaire, ainsi que nous l'avons ci-dessus
décrite
, persiste sur toutes les coupes intéressant le co
ependant encore remarquer que les zones décolorées que nous y avons
décrites
plus haut ne s'étendent pas en général aux fibr
re très intéressant au sujet de l'étiologie. D'abord, parce qu'on a
décrit
rarement le choléra (1) parmi les facteurs caus
time entre l'infection et l'affection nerveuse (2). (1) Elle a été
décrite
par P. hlmue et Jormov. (2) Je dois les matéria
avant-bras, puis les bras : mais mal- gré les atrophies très nettes
décrites
plus loin il avait gardé assez de force pour fa
- tographie, ainsi que des autres particularités que nous venons de
décrire
. Côté GAUCHE. - Il faudrait répéter tout ce qui
mée n'ait jamais at- tiré l'attention dont certains des auteurs ont
décrit
et représenté les lésions inflammatoires dont e
elette membraneux. Tel est le cas du crâne que nous avons figuré et
décrit
dans le chapitre premier (fig. 6). Mais l'éclat
onfirmer la fréquence relativement grande des végétations osseuses,
décrites
dans les classiques sous le nom d'exostoses ostéo
l'affection en question fut, selon Poncet ( ), ), A. Cooper, qui la
décrivit
sous le nom d'exostoses et périostoses ca2,tilagi
d-père eut 7 fils, qui présentèrent tous une forme morbide que l'on
décrit
ainsi : Jus- qu'à l'âge d'un an à peu près, c'e
ésenté dès sa naissance, des tuméfa- tions avec les caractères déjà
décrits
: 1° En correspondance au niveau du tiers inter
tendance bien nette à l'accroissement. 642 SIMONINI Parmi les cas
décrits
, les plus importants sont évidemment le Ier et le
e d'une mince couche d'os compact, précisément comme dans s les cas
décrits
par Dalla Vedova. Durant la période qui précéda l
ossissement plus fort on constate que les foyers que nous venons de
décrire
sont reliés par une zone infiltrée (PI. LXXV a).
lles sont sans doute de nature névroglique et analogues à ce qu'ont
décrit
Chaslin, Perusini, etc. · Entre ces filaments i
les vaisseaux entou- rés d'une zone d'infiltration analogue à celle
décrite
plus haut. Les plexus cho- roïdes sont à ce niv
général proportionnelle à celle de l'in- filtration périvasculaire
décrite
plus haut. Fig. 5. Infiltration de la méninge p
'ano- xvm 44 670 RUDLER ET RONDOT malie fonctionnelle ci-dessus
décrite
, tous les mouvements de l'épaule se font avec u
encontrés en cli- nique qui soient exactement comparables aux types
décrits
. La nosogra- phie des dystrophies musculaires s
cte et ne peuvent qu'induire en erreur. N'est-il pas plus simple de
décrire
une méningite foetale, avec des variétés ? Ces
ns intenses, et qui sont les plus communes. Andrieu (2) a récemment
décrit
un cas très curieux, (1) A. LÉni et CL. Vurpas,
lie avec l'exencéphalie. Nous remarquerons, en effet, que la tumeur
décrite
par Andrieu est nette- ment exclue du crâne. Il
ant. 1° Les lésions méningées observées rentrent dans ce que l'on a
décrit
sous le nom de pachyméningite cervicale bypertr
et même incurvée vers la commissure labiale gauche. Le raphé médian
décrit
une courbe à concavité regardant en arrière et à
itié. La paralysie, correspondant à l'atrophie, répond bien au type
décrit
par Babinski (Soc. 7aaéd. hôl)., 1896) : en dehor
multipliés, ces derniers temps, les syndromes bulbaires unilatéraux,
décrits
par divers auteurs,et dont les lésions siègent
corticale. Malgré la multiplicité des syndromes bulbaires récemment
décrits
, notre cas ne peut donc s'expliquer par une seu
'inten- sité 8.9,10.91) et ne disparaissent pas après le traitement
décrit
ci-dessus. Au contraire elles augmentent sur le
uleurs, rendant en même temps la santé au malade. Dans les deux cas
décrits
plus haut l'influence nettement néfaste de l'ap
suivant les cas. xxvi 5 70 SOUQUES ET STICPHEN CHAUVET Vouloir
décrire
un infantilisme non thyroïdien, vouloir assigner
s de la progression le membre inférieur paralysé, les courbes qu'il
décrit
, l'écartement latéral des pieds, les mouvements
Grasset (1) a cependant démontré qu'on ne peut pas admettre le type
décrit
par Schüller comme le seul rencontré dans l'hémip
ans l'hémiplégie et, quoi- qu'il l'avoue comme bien plus rare, il a
décrit
un type renversé. C'est-à- dire : progression n
e l'hé- miplégie) qu'on doit, d'après Grasset, attribuer le trouble
décrit
par Schüller pendant la marche de flanc dans l'
té malade. Entre le type Schüller et le type Grasset, Cassiapuoti a
décrit
un type intermédiaire. Cet auteur a publié un
ns musculaires ne sont également que des symptômes. Ainsi Valobra a
décrit
deux cas de myoclonus infectieux. Il ne s'agit pa
bablement atteint d'une infection méningée. Tinel et André Cain ont
décrit
une myoclonie du membre inférieur, chez un mala
ocalisés au membre supérieur droit du côté paralysé. Unverricht a
décrit
un type myoclonique- épileptique héréditaire spé-
e tous les autres cas sont tout à fait identiques à celles qui sont
décrites
dans les myoclonies qui ne sont pas liées à d'aut
nte discordance est né le besoin de rapprocher les diffé- rents cas
décrits
avec une symptomatologie similaire, au moins dans
t fibrillaires et non fasciculaires. Les unes et les autres ont été
décrites
dans les cas de paramyoclonus et il 'n'existe a
été de myo- clonie (2). La chorée fibrillaire de Morvan est ainsi
décrite
par l'auteur lui-même : «La maladie est caracté
dans les descriptions des chorées. «Bien que l'on n'ait pas encore
décrit
, dit l'auteur, en la détachant de la danse de S
avec le paramyoclonus. Avant tous ces travaux, en 1865, Trousseau a
décrit
une espèce de chorée qu'il a nommée clcorecc sa
qui se rapproche beaucoup de la myoclonie à déplacements qui a été
décrite
sous le nom de chorée élec- trique. Dans la phr
réalisés dans trois passages. C'est-à-dire que tous les mouvements
décrits
sont faits dans une période de moins d'un cinqu
u et de la tête, subissent aussi des secousses égales à celles déjà
décrites
dans les autres positions. La marche de la mala
sans qu'ils aient jamais perdu les caractéristiques que nous avons
décrites
. Quant à la quantité je n'ai pas fait un jugeme
cas de myoclonies que nous avons examinés, depuis les cas qui sont
décrits
sous le nom myokimies ou chorée fibrillaire de Mo
) montre bien la brusquerie des mouvements. Ce caractère a été déjà
décrit
par Friedreich chez le malade qui a servi à déf
atteints, d'où résulte la multiplicité de mouvements que nous avons
décrits
surtout chez la seconde malade. Ce n'est que ra
é chez notre seconde malade. Dernièrement Lenoble et Aubineau ont
décrit
une nouvelle variété myoclonique dans laquelle
Les myoclonies hystériques à qui appartiennent quelques-uns des cas
décrits
comme myoclonies essentielles ; 5) les myocloni
rées comme auras motrices ou équivalents épileptiques. Dans les cas
décrits
on ne peut pas prendre ces secousses comme la m
duisent des mouvements similaires à ceux que nous avons 106 MONIZ
décrits
chez nos deux observées : mouvements larges, avec
en carac- térisée et définie. Le nystagmus-myoclonie dernièrement
décrit
par Lenoble et Aubineau qui l'ont observé en Br
savons de l'étiologie, pathogénie et ana- tomie pathologique étant
décrit
, nous allons aborder la question du dia- gnosti
ry Meige et Feindel ont divulguée. En passant en revue tous les cas
décrits
sous cette désignation, nous trouvons que la pl
tics généralisés et de la maladie de Gilles de la Tourelle ont été
décrits
, dernièrement, entre les myoclonies, les pseudo-
Nous le trouvons chez nos deux malades et dans la majorité des cas
décrits
. Il est bien différent de ce que nous trouvons
chapitre général nous avons séparé les formes diverses qui onl été
décrites
avec différentes désignations en montrant leurs
e connais bien le Dr Biaute. Je connais son habitation aussi (il la
décrit
en dé- tails)... » Tout ce qu'il dit est exact.
ent des fibres du même calibre que celles du réseau intramédullaire
décrit
plus haut (fig. 9). ' . FiG. 4 et 5. Racine pos
ériques le sont par les réseaux intramédullaires que nous venons de
décrire
plus haut. Ces deux sortes de réseaux sont en rap
u névroblique. Ces libres « rigides » du cerveau que nous venons de
décrire
, nous les trouvons également le long des cylind
sont dues qu'à « l'épaississement n des fibres rigides. Nous avons
décrit
ces formations dans les nerfs périphéri- ques s
, un rôle important dans la pathogénie de la paralysie agitante. Il
décrit
une forme particulière des cellules névroglique
ouleur du colloïde dans les follicules des formations adénomateuses
décrites
plus bas. On rencontre çà et là, surtout au voi
itante. La dégénérescence hyaline des capil- laires a été également
décrite
-dans quelques cas. En ce qui concerne les glan
t, car demain vous allez régner (-1). » L'ambassadeur Soranzo ,nous
décrit
ainsi les préoccupations de Phi- lippe : « Il f
r, primesautier, orgueilleux, in- quiet, susceptible, etc., on peut
décrire
un caractère tlaanaloplailiqlce, dont les préoc
du bassin. La main est courte, grosse, du type carré. M. P. Marie a
décrit
un aspect particulier de cette main à laquelle
la littérature vraiment copieuse sur ce sujet. Désormais les cas
décrits
, avec plus ou moins de précision, arrivent à la
r nanosomie. A côté de ces formes typiques, il y en a d'autres déjà
décrites
dont le tableau clinique est beaucoup moins com
une lorgnette. Ces types correspondraient à celui que Virchowa déjà
décrit
et que V. llansemann a appelé ensuite « nanosomia
diale ou essentielle, après une cri tique profonde sur tous les cas
décrits
dans la littérature, met de côté ceux qui pour le
réquentes admises par M. Leblanc entre myxoedème et achondroplasie,
décrit
un cas certain de crétinisme sporadique associé
vec quelques tendances hypocondria- ques. Il est bon observateur et
décrit
bien ses troubles. Il s'intéresse aux re- cherc
s de relever que la partie supérieure delà diaphyse du radius droit
décrit
une brève courbe à convexité externe, tandis que
e lésions préexistantes auxquelles on pourrait attribuer l'anomalie
décrite
; et du reste l'histoire-clinique ne nous dit ri
u- lement dans les métacarpiens. On peut en dire autant pour le cas
décrit
par MM. Robin et Weil où, et le fait est digne
e semble pas jouir d'une telle autonomie qu'elle nous permette d'en
décrire
déjà des variétés. Ces formes d'achondroplasie
re pour la faire peut-être accepter parmi les types que je viens de
décrire
, de sorte qu'elle représenterait un anneau de l
de la glande. L'altération du lobe antérieur donne lieu au syndrome
décrit
par Ilas- tings Gilfort sous le nom d'atéliose.
, dans les formes dénommées larvées. Ces symptômes furent, de fait,
décrits
dans cette forme : dysarthrie, anarthrie, voix na
en rotation interne et le fixât sur la région lombaire. Les auteurs
décrivent
la position des omoplates comme il suit : « l'o
sur l'humérus. OBSERVATION (PI. XXXVI). L'histoire du cas que je
décris
est la suivante : Au mois de juin 1904 se prése
PHYSIOLOGIQUES 227 viduels, qui pourraient être communs avec le cas
décrit
, ou chez lesquels on pourrait le trouver. Qua
'exécuter des mouvements extra- ordinaires, à acquérir la souplesse
décrite
plus haut. Il convient d'admettre que la muscul
question qui se pose serait de savoir si la cause de la difformité
décrite
doit être attribuée à un état pathologique et s
les muscles du voisinage. On connaît beaucoup de travaux où il est
décrit
que les muscles sains suppléent à la fonction d
ur l'omoplate, qui est attiré en avant, et crée ainsi la difformité
décrite
ci- dessus, à la condition toutefois que l'avan
ude d'un cas très rare dans la neuropatholoie, car en dehors du cas
décrit
par MM. Rudler et Ronot, il n'existe pas là-des
s couleurs. En analysant les modifications microscopiques ci-dessus
décrites
, nous pouvons les diviser en deux groupes : 1°
coupes appar- tenant à la région lombaire. Les lésions ci-dessus
décrites
présentent un intérêt tout à fait particu- lier
te du cervelet. C'est,d'après ce qui nous est connu, le premier cas
décrit
, où on se trouve en pré- sence des lésions dans
moelle dorsale au cours d'une tumeur non solide. Dans tous les cas
décrits
jusqu'ici ainsi que dans nos deux autres cas il
AilLa Angela, Revue Neurologique, 1912, n. 10, p. 185. Cet auteur a
décrit
les lésions qu'il a constatées dans la moelle d
pression augmentée produit dans la moelle dorsale les modifications
décrites
, nous parait être le suivant : subissant LES MO
1904, et tout récemment par Clerc (2). Sous ce nom, ces auteurs ont
décrit
des cas d'infantilisme ; leurs malades, d'aille
e peut réaliser présente un aspect caractéristique, soigneuse- ment
décrit
par II. Meige. Nous n'en trouvons aucun des carac
iologique. GutteUing (2), dans une thèse soutenue à Leyden en 1884,
décrit
un cas de sclérodermie présentant en même temps
ome de Basedow a succédé à celui de la sclérodermie. Grünfeld (5)
décrit
l'observation d'une femme âgée de 33 ans, qui s
qui consistait en une sorte d'obstruction des pores de la peau ; il
décrit
encore comme symptômes de celle affection la dure
E d'un CAS DE SCLÉRODERMIE 29 ? ) Toutes les lésions que nous avons
décrites
sont parfaitement symétriques ; elles semblent
gles sont atteints par les mêmes troubles trophiques que nous avons
décrits
aux doigts des mains ; la peau est lisse, de coul
avec les gaines tendineuses. La coloration brunâtre que nous avons
décrite
est encore altérée par une cyanose intense qui
à la bande scléreuse de la région dorsale du poignet que nous avons
décrite
plus haut. A relever encore une légère opacité
peau, un véritable syndrome sclérémateux généralisé tel qu'il a été
décrit
d'une façon classique par Brissaud et Grasset.
ture comme ceux de Lafond, de Pie, de Fox,- etc., où l'on peut voir
décrit
ce processus de formation des nodules cutanés c
trice périphérique dans notre cas. L'excroissance médiane plus haut
décrite
, semble indiquer el jp aussi que l'a topographi
ie de Milroy, quoique Nonne ait parlé le premier de ce cas et l'ait
décrit
. , Je crois que les exemples de cette maladie s
utherland (5) et Griffith et Newcome (6) ; je ne compte pas les cas
décrits
par Meige (7) et par Lannois (8), qui d'après C
p plus tard ; il n'était donc pas congénital. Je ne sais si les cas
décrits
par Griffith et Newcome appartiennent à ce groupe
énitaux familiaux, à ce dernier appartiennent les cas de la maladie
décrite
ci-dessus. On peut .admettre que dans nos cas,
défie toute description. Nous retrouvons la la plupart des aspects
décrits
par Cajal, Marinesco, Dustin et d'autres, lors de
viter une porte de sortie aux axones de néoformation. Bardenheuer a
décrit
sous le nom de Neurinkampsis une opération plas-
ées dans leur orien- tation, de telle sorte que ces circonvolutions
décrivent
un angle aigu ouvert en bas. L'examen du fond
s. 362 BENON Examen somatique. En dehors de l'aspect général déjà
décrit
, on ne note ni prognathisme, ni modification de
ure des muscles primitivement para- lysés. Duchenne (de Boulogne) a
décrit
avec une remarquable préci- sion les caractères
siques, notamment dans ceux de )Jrb (3) et de Bernhardt (4), qui en
décrivent
deux variétés : l'une comprend des contractions
faciales succédant à la paralysie de la VIIe paire ont pu même être
décrites
sous le nom de tic paralytique. Une deuxième va
aité de pathologie générale, t. V, p. 759. 3G8 PITRES ET ABAD1E
décrit
par Babinski '(1) et étudié par Lamy (2) dans la
iale périphérique. Bien que, de ces phénomènes, les uns se trouvent
décrits
avec assez de précision dans les traités classi-
qui ont observé « des phénomènes analogues à ceux que Al. Meige ct
décrits
sous le nom de contractions parcellaires, de pe
hez leurs malades aux mouvements associés involontaires qui ont été
décrits
dans les paralysies faciales périphériques. Dan
ur ainsi dire, des mouvements associés de la face, depuis longtemps
décrits
dans la phase de contracture de la paralysie fa
t la sécrétion internedu testicule.Dans l'infantilisme testiculaire
décrit
par cet auteur, on trouve comme chez notre malade
oppement, et une atrophie génitale, on voit que l'on est autorisé à
décrire
avec M. Burnier un nanisme hypophysaire, ou ave
e prodromique des états d'oxycéphalie; or l'amin- cissement des os,
décrit
par Elsasser dans le craniotabès rachitique, n'es
eux un certain rôle dans son élargissement pathologique. Nous avons
décrit
quelque chose de bu PROCESSUS DE RÉPARATION' DA
mouvements dits respiratoires du cerveau. Il est sur que l'appareil
décrit
doit être bien parfait pour ne pas nuire à l'ac
ppellent enfin quelques caractères de malformations crâniennes déjà
décrites
, tout en s'écartant de celles-ci par d'autres c
essivement. l°Nous écarterons rapidement le syndrome y.secclo-Payet
décrit
par Marie, dû à l'osléoporose sénile. 2° Nous
une forme anormale et fruste de maladie de Paget, analogue à celle
décrite
par Léri (Soc. méd. des Hôpitaux, 17 janvier 19
ie de Paget. Ainsi, les lésions de la base du crâne que nous allons
décrire
peu- vent exister, et être extrêmement prononcé
emDlentFélix Regnault(1) ; elles avaient été déjà remarquable- ment
décrites
en 1862, 14 ans avant la première description de
cette cyphose basilaire est très différente de celle que Virchow a
décrite
, que l'on constate notamment dans l'achondroplasi
s (Pl. LXXIII). La deuxième malade présente le pied-bot varus équin
décrit
par Jolfroy. Nous ne ferons que rappeler ici br
ons dans ces cas- ci sont exactement pareilles à celles qui ont été
décrites
dans mon article précédent concernant cette mal
pas pu déterminer la spécificité de la lésion. Sicard et Descomps
décrivent
aussi une pachi et lepto-rnénincile cons- titua
s le liquide céphalo-rachidien xantochromique, suivant le phénomène
décrit
par rloin, Guillain et Troisier sous le nom de
ns le liquide céphalo-rach id ien de l'hémorragie cérébrale, Bard a
décrit
« la coloration biliaire du liquide céphalo-rachi
ns considérées l'llyperalbuminorachie n'atteint t le degré de celle
décrite
dans le syndrome de Froin. Eu effet dans- ce co
o-cytologique une première étape pour la constitution du syn- drome
décrit
parFroin. Entre les caractères des liquides cépha
e hystérique provoquée. La cata-lepsie hystérique provoquée fut aussi
décrite
avec tous ses caractères, ainsi que le mode de su
t de complet développement. Les diverses périodes de l'attaque y sont
décrites
, en autant de cha-pitres, suivant l'ordre de succ
les variétés de la grande attaque hystérique, dérivant toutes du type
décrit
: a.) variétés résultant de modifications survenu
écédait les attaques, elle durait jusqu'à l'ap-parition des symptômes
décrits
plus haut, pâleur et cyanose des mains et du bout
région fait reconnaître aisé-ment la portion du détroit supérieur qui
décrit
une courbe à con-cavité interne : c'est là un poi
fondément, et dans leur trouble, les malades n'ont plus la faculté de
décrire
ce qu'elles éprouvent. L'attaque convulsive éclat
assée en boule et fait un tour complet sur elle-même. Si nous avons
décrit
aussi longuement ce commencement de la phase toni
es petits mouvements cloniques généralisés semblables â ceux qui sont
décrits
dans les observations précédentes. 3° Phase de
des variétés qu'il est facile de rattacher au type que nous venons de
décrire
. Elle se modifie surtout de deux façons ou par
attaques. La période épileptoïde se com-pose des diverses phases déjà
décrites
plusieurs fois. D'abord se montrent les grands mo
n entier développement et avec ses diverses phases, telle qu'elle est
décrite
page 62. Les grands mouvements toniques ont lieu,
ouvements, en effet, n'ont pas toujours la régularité que je viens de
décrire
. Ils consistent parfois en une sorte de lutte.
recommence le même manège. Les cris et les mouvements que je viens de
décrire
s'entremêlent et se répètent, prolongeant ainsi i
arquer la troisième période. Le plus souvent les convulsions toniques
décrites
plus haut, survenant tout d'un coup, indiquaient
st marquée par l'arc de cercle et l'imitation du chemin de fer déjà
décrite
. Au milieu de l'agitation des bras, on remarque u
avec ses diverses phases et suit l'évolution régulière que nous avons
décrite
plus haut. La troisième période, ou période des a
17 juillet 1879. Dans une série d'attaques présentant les caractères
décrits
précédemment, l'imitation du chemin de fer est en
i composent la troisième période de l'attaque de Gl... Nous les avons
décrites
tout au long. La fin de la troisième période est
. 85) qui, malgré leur ressemblance avec les attitudes que nous avons
décrites
dans le tétanisme de la période épileptoïde et da
re arrivée : 20e attaque. — l10 période. Grands mouvements toniques
décrits
p. 51, et représentés fig. 17, avec grincements d
e convulsive de la grande hystérie avec les caractères que nous avons
décrits
soit spéciale aux malades de la Salpêtrière, sur
quables par leur régularité et leur conformité au type que nous avons
décrit
. Elles en diffèrent par un point de détail, fort
ouvelle attaque recommence. Il est midi. L'attaque que nous venons de
décrire
a duré 10 minutes. Il est difficile de trouver
défaut. Les grands mouvements se terminent par l'attitude bizarre,
décrite
dans l'attaque précédente. Puis commencent les at
tes les couleurs ». Les attaques se rapportent parfaitement au type
décrit
, mais chaque pé-riode conserve l'empreinte d'une
arrière, et les membres exécutent les grands mouvements toniques déjà
décrits
. Les convulsions cloniques qui suivent sont plus
plète et très prolongée du « chemin de fer » telle qu'elle a déjà été
décrite
. lOh. 43m. 30s. Période des attitudes passionne
oup de la tête et a l'humeur noire. Ses attaques s'écartent du type
décrit
et seront étudiées avec plus de fruit au chapitre
nouvelle attaque. 11 est facile de rattacher au type que nous avons
décrit
les diverses phases de l'attaque que nous venons
éro-épileptiques qui présentent des attaques qui s'écartent du type
décrit
et ne s'y rattachent qu'à titre de variétés. Lesp
La conception de la grande attaque hystérique, telle que nous l'avons
décrite
, est assez vaste pour que l'influence de l'imitat
teria major). Parmi les accidents convulsifs qui composent les crises
décrites
par M. Pascal, il est facile de dis-tinguer les p
mmençaient la grande attaque; suivaient les phénomènes que nous avons
décrits
dans la deuxième période : la contorsion (arc de
u froide, les crises se transformèrent. Les mouvements que nous avons
décrits
furent supprimés pour faire place à une exaspérat
les attaques con-vulsives ont présenté les caractères que nous avons
décrits
: phé-nomènes épileptoïdes au début, — puis grand
orbite et se dirigent du même côté et en haut. En même temps le tronc
décrit
un léger arc de cercle dont laconcavité répond à
oment donné, tous les caractères des diverses périodes que nous avons
décrites
. Il n'est pas sans intérêt de faire observer que
es à ceux que nous avons observés chez nos malades, qu'en l'entendant
décrire
ses diverses sensations, il nous semblait entendr
mbre inférieur droit qui en fait presque exclusivement les frais ; il
décrit
des oscillations très marquées et très brusques.
t ils sont contournés en arrière, le droit surtout; tantôt ce dernier
décrit
en avant des tours de spire, et, la main dans la
s de bas en haut. Mademoiselle R... ne quitte cette attitude que pour
décrire
une courbe dans laquelle le corps ne repose que s
donc acquis que la grande attaque hystérique, telle que nous l'avons
décrite
, n'a rien de spécial à la Salpêtrière, et que la
nt été l'objet. PREMIÈRE OBSERVATION l. L'observation que je vais
décrire
a été faite, il y a sept ans, sur une jeune perso
ranger en trois catégories correspondant aux pé-riodes que nous avons
décrites
: Au débuL/sentiment d'une boule qui remontait
ette dernière circonstance s'est également manifestée dans la maladie
décrite
au n° 16. Mais la liaison de la menstruation,'ave
ssi forts; quel-quefois cependant il se joint aux symptômes ci-dessus
décrits
une tension partielle de quelques muscles de la f
ent cette observation un peu longue, parce que plusieurs accès y sont
décrits
avec dé-tails et présentent des phénomènes qu'il
s qu'il est facile de rapprocher des diverses périodes que nous avons
décrites
. La période épileptoïde est suffisamment indiqu
cume à la bouche. Les grands mouvements de la deuxième période sont
décrits
avec leur violence et la fureur qui souvent les a
embrasser; puis calme et froide devant l'appareil de la mort qu'elle
décrivait
à la manière de Victor Hugo, elle donnait les ord
vient sans cesse à son esprit. La période épileptoïde est fort bien
décrite
, les mouvements très étendus et l'agitation de la
es caractères de la grande attaque hystérique, telle que nous l'avons
décrite
avec ses di-verses périodes. Cette analogie est
et comme les symptômes avaient la plus grande analogie avec ceux déjà
décrits
, il suffira d'indiquer leurs traits distinctifs.
t sur l'hystérie depuis le commencement du siècle. Louyer-Villermay
décrit
une variété d'hystérie qu'il appelle hys-térie ép
Les prodromes, qui peuvent exister plusieurs jours à l'avance, sont
décrits
avec une précision qui ne laisse rien à désirer.
e,parce que les phénomènes qui composent notre seconde période y sont
décrits
fort longuement. Les contorsions et les grands mo
ations que peuvent éprouver les différents phéno-mènes qu'il vient de
décrire
dans l'attaque d'hystérie ordinaire, sans qu'au f
tantôt de l'intelligence, tantôt des sens. » Axenfeld1 après avoir
décrit
comme symptômes de l'attaque hystérique les convu
sgrande partie de l'attaque d'hystérie vulgaire. Aussi les auteurs la
décrivent
-ils longuement. Voici la description qu'en donne
la médecine, elles-mêmes, les recon-naissent, sont très difficiles à
décrire
, à cause du désordre qu'elles pré-sentent. Les me
N DE LA PREMIÈRE PÉRIODE. ATTAQUES ÉPILEPTOÏDES Les auteurs qui ont
décrit
l'attaque d'hystéro-épilepsie se sont contentés d
a phase tonique recommence bientôt avec les caractères que nous avons
décrits
. En outre de la prédominance du tétanisme et de
r prédominance du tétanisme. « Quelquefois, dit Hammond après avoir
décrit
l'attaque épileptoïde régu-lière, le spasme tétan
. La convulsion pourtant n'est pas semblable à celles que je viens de
décrire
et se développe lentement. Le corps étendu dans t
giques de la seconde, on constatera sans peine qu'ici l'arc de cercle
décrit
pai- Hammond relève de la période épileptoïde et
-sées à certains groupes de muscles. C'est ce que Ilerpin a fort bien
décrit
parmi les accès incomplets d'épilepsie, sous le n
ronc peut s'infléchir en arrière. )) La secousse que nous venons de
décrire
comme générale peut être par-tielle, se borner au
etits accès incomplets d'épi-lepsie, semblables à ceux que nous avons
décrits
plus haut, à la suite d'IIerpin, sous le nom de c
es généralisées ou partielles, semblables à celles que nous venons de
décrire
sous le nom d'accès incomplets. Mais l'on peut
z-y la fureur, les cris, la rage, les mouvements désordonnés que j'ai
décrits
éga-lement parmi les signes de cette même seconde
étaient marquées par des symptômes extrêmement variés et que je vais
décrire
. La malade était prise de convulsion de tous les
consütuent de véritables altaques démoniaques. Celles que nous allons
décrire
, et qui sont très rares, ont un caractère tout à
antispasmodiques. A la fin de juillet commencèrent les extases. Je
décrirai
bientôt un de ces accès, dans lequel je l'observa
grande attaque dont nous allons nous occuper maintenant. Griesinger
décrit
sous le nom de folie hystérique aiguë les accès d
ttitude qu'on leur imprime. C'est bien là ce que tous les auteurs ont
décrit
sous le nom de catalepsie. Et la malade peut gard
ières, survient l'état léthargique et tout le cortège des phéno-mènes
décrits
dans la première observation. Un nouveau coup sur
eil qui n'est autre que la létiiargie que nous avons déjà lon-guement
décrite
. Le soulèvement des paupières amène l'état cata-l
de léthargie et de somnambulisme, différente de celle que nous avons
décrite
(Obs. I), sous les rapports suivants : F hyperexc
WM 173 RIC 4" L'hyperexcitabilité musculaire telle que nous l'avons
décrite
et observée dans la léthargie hystérique propreme
, les muscles ne répondent pas à l'excitation mécanique, le phénomène
décrit
sous le nom d'hyperexcitabilité neuro-musculaire
jeux, les prend tour à tour dans ses bras et les embrasse ; elle les
décrit
avec des cheveux blonds ou noirs et des yeux bleu
es prières. En la questionnant sur ce qu'elle voit, on peut lui faire
décrire
sa vision en détail, les vête-ments des personnag
C'est ainsi qu'en la faisant assister au coriège d'une reine, elle le
décrit
avec dé-tails, y met de la musique, des soldats,
e haut d'une tour. Elle en paraît fort contente, elle regarde en bas,
décrit
le panorama de la ville qui se déroule à ses pied
phénomènes d'automatisme et d'hallucination provoquée que je viens de
décrire
n'accompagnent pas toujours l'état cata-leptique.
lesquelles nous avons étudié la longue série des phénomènes que j'ai
décrits
dans les observations précédentes. Il est possibl
Enfin nouveau rapprochement avec l'état cataleptique que nous avons
décrit
: « J'ai reconnu maintes fois, ajoute le même aut
hez les femmes en pleine évolution hystérique. Caractères.— Lasègue
décrit
ainsi l'invasion du sommeil hystérique provoqué p
somnialion (Franck), nous semblent répondre à ce que nous venons de
décrire
sous le nom vague, faute de mieux, de léthargie h
e des faits qui se ratta-chent évidemment au phénomène que nous avons
décrit
sous le nom d'hyperexci-tabilité musculaire : «
iser davantage, d'un côté, les carac-tères de la véritable catalepsie
décrite
plus haut, et de f autre, ceux de f état catalept
en demande la raison, elle répond qu'elle voit la sainte Vierge; elle
décrit
son costume et les anges qui l'en-vironnent. Mais
IMMIXTION DE PHÉNOMÈNES LÉTHARGIQUES. ATTAQUE DE LÉTHARGIE. Briquet
décrit
dans un môme paragraphe, les attaques de som-meil
a. De contractures partielles ou générahsées. — L'attaque de coma,
décrite
par Briquet, nous paraît rentrer dans ce cadre. h
osition spontanément, L'hyperexcitabilité musculaire que nous avons
décrite
plus haut (p. 365). n'existe pas. Les paupières s
l'état léthargique avec hyperexcitabilité musculaire^ tel qu'il a été
décrit
, se sura-joutent des contractures générales ou pa
^ et des phénomènes épileptoïdes plus accusés. Les attaques de coma
décrites
par Briquet rentreraient dans cette catégorie. «
tractures et la tète est immobilisée dans la situation que nous avons
décrite
. Les membres supérieurs sont étendus, un peu écar
e n'est pas complètementimmobile dans la situation que nous venons de
décrire
, elle tend toujours à se déplacer vers la droite,
tie antérieure forme la courbure. Les phénomènes que nous venons de
décrire
se combinent de différentes manières, et composen
présentant toujours cependant les singuliers phéno-mènes qui ont été
décrits
. Le moral s'est singulièrement amélioré. Les so
t d'hyperexcitabihté musculaire. Les analogies avec ce que nous avons
décrit
sous le nom d'hyperexcitabilité neuro-musculaire
e cercle. Grands mouvements. Imitation du chemin de fer et cris (déjà
décrits
p. 90). Réveillée pendant cette deuxième période,
lit ou couchée. Elle est dans un état cataleptique semblable à celui
décrit
au début. On la réveille brusque-ment. Elle paraî
voquée chez cette malade, qui s'éloigne par là du type que nous avons
décrit
. En résumé, nous voyons ici l'attitude passionn
as qui précèdent nous conduit tout naturellement à l'examen des faits
décrits
par les auteurs sous le nom d'extases cataleptiqu
puisse se substituer à une ou à plusieurs des périodes que nous avons
décrites
et plus particulièrement aux deux dernières, auxq
. Presque assise dans son lit, les yeux fixes et grands ouverts, elle
décrit
une flamme rouge qui la brûle, qui l'entoure, ([u
x, il a du moins le mérite d'avoir bien observé et consciencieusement
décrit
. Je n'entreprendrai pas de donner ici un exposé
ant : Le système musculaire s'est toujours montré tel que l'avaient
décrit
Ie premiers observateurs, c'est-à-dire dans une s
ction spéciale; Poubli le plus complet accompagne le réveil. L'état
décrit
par Frank, sous le nom de sommation spontanée, pa
remplacer la troisième période des attitudes passionnelles. L'extase
décrite
ici répond évidem-ment à ce que nous avons désign
eurs et des sanglots. » A la date du 27 mai une de ces attaques est
décrite
tout au long. Véritable scène de somnambulisme.
e ce que nous avons observé chez nos hystériques de la Salpêtrière et
décrit
plus haut sous le nom d'état de suggestion. Les
ique dont nous essaierons de donner une idée ^ Elle voit sa mère et
décrit
son ajustement : elle saisit un couteau pour s'en
suite son père qui se jette sur sa mère pour l'empêcher de se tuer et
décrit
également son costume. La scène alors se compliqu
ments plus ou moins étendus. la chambre où se joue le drame qu'elle
décrit
, les meubles, les objets qu'elle renferme qui lui
d'une femme âgée de 45 ans. Les troubles hallucinatoires parfaitement
décrits
in-téressaient tous les sens. variées de la gra
le hachisch avec la variété spéciale de la grande attaque hystérique
décrite
sous le nom d'attaque de délire. Il semble que
isant : — J'allais parler, mais il faut que je me taise. — Je ne puis
décrire
les mille idées fantastiques qui traversèrent mon
de l'autre côté. C'est bien au fond le même phénomène que celui qu'a
décrit
M. Charcot. Il n'en diffère que par une question
es de la déformation permanente du membre ; Duchenne de Boulogne en a
décrit
une variété sous le nom de contracture réflexe as
t, pour déterminer le commence-cément de l'évolution qui vient d'être
décrite
, il faut employer le vent élec-trique ou même l'a
sthésie régulière que celle-ci évolue et disparaît sui-vant la marche
décrite
plus haut. C'est un des aspects de l'action œsthé
ais susceptibles de se prêter à des nuances infinies et impossibles à
décrire
. Le premier point est d'avoir de bons appareils;
vée i On voit en somme que « la contorsion » telle que nous l'avons
décrite
à la deuxième période de la grande attaque hystér
xorciste devait succomber ^. La catalepsie nous paraît parfaitement
décrite
dans les extraits qui sui-vent. Nous avons vu com
oins en toutes ces dépravations et actions déréglées*. » Nous avons
décrit
sous le nom d'attaque démoniaque une variété de l
ires 1. Voy. la fi g'. 4G, dont l'attitude de la possédée ci-dessus
décrite
, n'est en somme que l'exagération. 2. IJosrogor
elles de Louviers, Varc de cercle et les grands mouvements sont ainsi
décrits
: « Elles (les possédées) ont de grandes agitat
éthargie, de catalepsie et d'extase. L'attaque de léthargie est ainsi
décrite
par Le Breton : « ... Il y en a parmi elles qui
autre exorcisme rapporté par le même auteur, on retrouve le même état
décrit
avec les mêmes expressions. «... Elle (la relig
» (Constans, 'oc. cit., p. 55.) A côté de la crise qui vient d'être
décrite
et qui est la plus commune, il 3xiste quelques va
re pendant tout le temps de leur durée. « La mère de la malade nous
décrit
plusieurs de ses attaques. 11 y avait déjà plus d
dans les mêmes circon-stances (sur le tombeau) le 17 juillet.Elle est
décrite
â peu près dans les mêmes termes. « .... Elle f
e que je n'avais jamais éprouvées et que j'au-rais bien de la peine à
décrire
, quoique je l'aie ressentie très souvent depuis à
uxième période de la grande attaque hystérique telle que nous l'avons
décrite
. 1. Carré de Montgeron, t. III, p. 57 (cité par
n modèle ^ Les convulsionnaires avaient également des extases ainsi
décrites
: « Dans ces exlases, colles du moins nui sont
nconnue ; en même temps elle est placée dans une attitude que je vais
décrire
: le corps est plié en deux, en forme d'arc, â la
es enfants de six à sept ans, retraçaient le spectacle qu'on vient de
décrire
, et tombaient évanouis. L'auteur de la lettre pen
incinnati que je fus deux fois témoin des hideuses scènes que je vais
décrire
Chaque jour les ramène avec une parfaite uniformi
une éloquence rare, mais le sujet qu'd avait choisi était affreux, n
décrivit
avec une excessive minutie les derniers et triste
'il aurait ressentie s'il eût réellement été témoin de la scène qu'il
décrivait
. Le jeu de l'acteur fut parfait. Enfin il jeta su
je craignais à chaque instant quelque accident sérieux, mais comment
décrire
les sons qui sortaient de cet amas confus de créa
ous fut impossible de fermer l'œil. » Les scènes que nous venons de
décrire
se reproduisent de nos jours et n'ont rien perdu
ôme, je ne fais que les mentionner en passant. L'extase que je vais
décrire
est celle du vendredi. Elle débute, le plus souve
la genèse du phénomène dans ces conditions différentes et je puis le
décrire
dans ses détails. Lorsque, le vendredi matin, L
ent : Louise était en extase. L'extase est donc établie. Tâchons de
décrire
exactement cet état. Pendant la plus grande parti
eure et demie, à l'approche de la scène du prosternement, que je vais
décrire
, assez souvent l'extatique tombe à genoux, les ma
nt, mais avec une netteté singulière. Elle voit le Sauveur, dont elle
décrit
la personne, les vêtements, les plaies, la couron
it aucune attention à ede, ne la re-garde pas, ne lui parle pas. Elle
décrit
avec la même précision et la même netteté les per
hystériques de l'ex-tase de Louise Lateau, telle qu'elle vient d'être
décrite
. Il suffit, pour s'e;i convaincre, de se reporter
cerveau au point de vue des loca-lisations cérébrales; j'ai donc déjà
décrit
la surface externe et donné, avec les plus grands
de 25 ¡x à 40 p en raison de la profondeur de leur situation. Meynert
décrit
cette couche sous le nom de formation corticale d
es ventricules latéraux; elle présente en avant une saillie oblongue,
décrite
par Vieussens sous le nom de corpus album subrotu
a description sous le nom de nucleus internus. M. Luys a signalé et
décrit
le premier un quatrième tubercule, situé au milie
de fibres nerveuses (Pl. X, 4 et XVIII, 6) aplati d'avant en arrière,
décrit
par Vieussens sous le nom de geminum centrum semi
ibres arciformes, indiqué seulement par quelques auteurs, n'a pas été
décrit
, tout au moins sur le cerveau de l'homme ; on ne
ure, un autre faisceau, le faisceau arciforme occipital (Pl. XII, 5),
décrit
une anse du lobulus extremus de l'occipital vers
des cellules nerveuses de la subs-tance grise ; leur portion médiane
décrit
une anse curviligne libre au milieu de la substan
cées au-dessus de cette scissure. Les fibres des régions anté-rieures
décrivent
une courbe à concavité antérieure ; celles des ré
é opposé. Ce groupe de fibres, nommé commissure blanche antérieure,
décrit
par conséquent un arc de cercle en forme de fer
rps strié, présentant quelque analogie avec le faisceau que Gratiolet
décrit
sur les animaux. : § 3. Les fibres convergentes
de tous les points de l'écorce vers le centre de l'hémi-sphère a été
décrit
par groupes isolés, sous des dénominations différ
gions moyennes ; le groupe des fibres issues des régions postérieures
décrit
par Kôlliker est quelquefois désigné sous le nom
à ce faisceau le nom de racine inférieure de la couche optique et le
décrit
comme la troisième et la quatrième couche de l'an
érébral (Pl. XXVI, 5). C'est sans doute le groupe de libres qui a été
décrit
par Meynert sous le nom de faisceau direct sensit
du bord interne de la corne d'Ammon, et constitue un fascicule grêle
décrit
sous le nom de taenia de ïhippocampe, de corps fr
les cellules nerveuses qu'elle renferme (Pl. III). - Vicq-d'Azyr a
décrit
un faisceau spiroïde de fibres blanches, vertical
panouit dans sa substance grise (Pl. II, 4; XXII, 20). Le conarium,
décrit
sous ce nom par Galien, est situé entre les deux
sa face inférieure est connue sous le nom de vermis inferior. On a
décrit
, sous des noms particuliers, sur le vermis superi
que lobe cérébelleux, comme dans chaque hémisphère cérébral, un noyau
décrit
par Vieussens sous le nom de corps rhomboïdal, et
s'épanouir dans les cellules d'une agglomération de sub-stance grise
décrite
par Stilling sous le nom de noyaux rouges. Une
ortion intra-crânienne constitue le troisième segment de l'encéphale,
décrit
dans les auteurs classiques sous le nom à'Isthme
un plan plus antérieur et externe, constitue le noyau antéro-latéral
décrit
par Stilling et Kôlliker, qui contient le noyau m
C, fig. IV). Le noyau antéro-externe ou accessoire de l'hypoglosse,
décrit
pour la première fois par M. Math. Duval (1), est
ré ses connexions avec les fibres du taenia semi-circularis, il a été
décrit
pour la première fois par M. Luys sous le nom de
rveuses qu'ils renferment (Pl. IV, 14; XXVI, 13; XL, 18). M. Luys a
décrit
le premier, sous le nom de bandelette accessoire
la couche médullaire appelée anse pédonculaire par Gratiolet. Il est
décrit
sous le nom d'anse du noyau lenticulaire par Meyn
terne, pathétique et moteur oculaire commun. Meynert et Huguenin le
décrivent
, comme la deuxième couche de l'anse pédon-culaire
du sang veineux. Ces aréoles sont traversées par de petits conduits,
décrits
par Dupuytren, dans sa thèse inaugurale, sous le
es de substance grisâtre juxtaposées verticalement dans la boucle que
décrit
le genou du corps calleux. Le bord supérieur de l
parfaitement les diverses régions de la face interne de l'hémisphère
décrites
dans la planche précédente. 2. — Section du cer
leux supérieurs. En avant du noyau rouge existe un petit noyau ovoïde
décrit
par M. Luys sous le nom de bandelette accessoire,
e des deux hémisphères, placés dans leur position normale respective,
décrit
autour de la substance médullaire une courbe elli
gions antérieures formant la partie réfléchie du corps calleux. Elles
décrivent
une anse à concavité antérieure. 2. — Fibrescom
s supérieures vers la base du cerveau. La substance grise corticale
décrit
de nombreux replis autour de la substance médulla
supérieures vers la base du cerveau. La multiplicité de replis que
décrit
la substance grise corticale montre que la super-
conscrivant chacun des hémisphères ; les circonvo-lutions de l'insula
décrivent
dans la substance médullaire une traînée grise à
est renversée sur sa face supérieure. La substance grise corticale
décrit
, dans la substance médullaire des lobes frontaux,
ricules latéraux. Les fibres commissurantes des régions supérieures
décrivent
un trajet curviligne à concavité tournée vers les
e. Les fibres commissu-rantes des régions supérieures et postérieures
décrivent
un trajet curviligne et consti-tuent, parleur pas
ieurs. A ce niveau, on aperçoit un petit faisceau blanc, arrondi, qui
décrit
une courbe descendante très courte : c'est le fre
ne avec leurs homologues issues du lobe du côté opposé; ces faisceaux
décrivent
donc une courbe en forme de fer à cheval. Par con
iculaire paraît composé de quatre segments, au lieu de trois qui sont
décrits
par les auteurs. Cette même disposition est bien
pposé les régions homologues à celles dont elles dérivent. Ces fibres
décrivent
par conséquent un trajet curviligne, à concavité
les altérations « pagétiques » sont marquées (PI. IV). La cuisse
décrit
une courbe à grand rayon à convexité antérieure,
à toutes les affections possibles du fond de l'oeil. Enfin, on a
décrit
, chez des animaux, des ostéites déformantes compa
le sait, pas plus d'ailleurs que celle du cheval, chez lequel on a
décrit
, sous le nom de Maladie du son (Big Head), une af
ala- die de Pagel chez une tabétique, Curcio (3) a même été jusqu'à
décrire
un centre trophique des os dans la moelle épini
s de ouaté avait été déjà signalé par Levi et Londe et surtout bien
décrit
par Hudelo et Heitz (2) ; mais nous insiste- ro
la malade se soit heurtée et fout penser aux ecchymoses spontanées
décrites
chez les tabétiques. 10 décembre 99U. - La mala
oici les faits qui parlent pour celle manière de voir. CuIPAULT a
décrit
une scoliose myxoedémateuse. Cette forme s'observ
symptômes bulbaires. L'on sait à ce propos que certains auteurs ont
décrit
une forme bulbaire de la polyomyélite antérieure
ose latérale. On comprend tout de suite l'importance cliniquedu cas
décrit
par nous, où l'on peut tabler sur des faits sym
aits de ce genre. On peut citer le cas de Vulpian (1) qui en 1869 a
décrit
une forme de polyomyélite chronique à début sca
autopsie. Ensuite Etienne, en 1899 (3), dans un travail d'ensemble,
décrivit
deux cas depolyomyélite chronique à début scapu
très importante don- née par Walter Schlodtmann (2) qui, en 1894, a
décrit
un cas où la frac- ture de la base du crâne ava
tiré l'attention des médecins ; un auteur allemand, Brüclc (25), la
décrit
en 1831 ; Gierl (63) en 1832, Albers (1) en 183
seils. ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 67 sionllelles sont
décrites
tour à tour : c'est la crampe des trayeurs de v
sont décrites tour à tour : c'est la crampe des trayeurs de vaches
décrite
par Basedow (167) en 1851 ; la crampe des cordonn
licable à certaines formes de crampes professionnelles comme celles
décrites
par Belmondo (7), où lesymptô- ÉTUDE SUR LES CR
es écrivains avec les caractères si particuliers qu'il venait de nous
décrire
. L'examen cardio-vasculaire montra plusieurs si
eurs, étudiée depuis longtemps par les vétérinaires chez le cheval,
décrite
ensuite chez l'homme en 1858 par Charcot, est s
ssionnels d'une névrose d'occupation. A côté de ces cas, encore peu
décrits
, l'observation de Brissaud, Hallion et Meige, n
eur du pouce gauche (3 cas) ou du long extenseur du pouce (19 cas).
décrite
par Zander (209) chez des joueurs de tambour, ave
douter, une origine mentale ; le professeur Brissaud qui les a bien
décrites
les a assimilées aux tics, et les a groupées so
ct fait tenir la tête immobile ; c'est bien là le geste antagoniste
décrit
par Brissaud ; dans cette position, l'écriture
lle jeune fille était une forme de la chorée variable des dégénérés
décrite
parBrissaud (Revue médicale, 15 février 1899). Or
ces deux cas sont de petites hémor- ragies de même genre que celles
décrites
el figurées par Obersteiner, mais infiniment pl
ons pas tant sur la nature de la lésion qui a provoqué les troubles
décrits
chez notre malade, parce que la chose est très di
n marchant, il traîne la jambe, qui est légèrement contracturée, et
décrit
un arc de cercle assez prononcé. La sensibilité
st encore très grande, mais aussi parce que le nain que nous allons
décrire
nous semble présenter quelques particularités s
piquement carrés en font un exemple classique de la maladie si bien
décrite
par M. P. Marie. Les mensurations suivantes en so
isses, courtes et charnues et elles affectent le type carré si bien
décrit
par M. P. Marie. Le petit doigt et l'annulaire d'
mble, à affirmer le diagnostic d'achondroplasie telle qu'elle a été
décrite
dans les formes complètes de l'adulte. La taill
er entre les plus petits achon- droplases adultes mâles qui ont été
décrits
jusqu'à aujourd'hui ; le plus petit homme achon
xxii 10 ') 42 ETTORE LEVI légères déformations qui ont déjà été
décrites
chez les acliondroplases classiques; l'angle de
PI. XX). Chez notre nain, la main n'a pas la déformation en trident
décrite
par M. P. Marie, mais cette déformation qui n'e
ds de notre patient présentent aussi une autre ano- malie qui a été
décrite
déjà par M. P. Marie (pour les mains seulement)
r une anomalie métacarpienne et métatarsienne qui jusqu'ici n'a été
décrite
, à ma connaissance, par aucun observateur. No
ments radio- graphiques relatifs à tous les nains achondroplasiques
décrits
par les dif- férents auteurs. Ce nouveau caract
au pied des achondroplasiques s'ajoute ainsi aux précédents si bien
décrits
déjà par M. P. Marie et qui font de la main des
rmation est du reste en parfait accord avec d'autres anomalies déjà
décrites
par M. P. Marie et qui prouvent que les différent
évidentes et a, comme nous l'avons vu, tous les caractères typiques
décrits
dans les cas analogues. Chez notre nain, la con
épyphysaires, quoique selon Variot, même dans la forme hypoplasique
décrite
par Kauffmann, la mé- dication thyroïdienne ne
ques. Le cas d'achondroplasie non congénitale de l'adulte récemment
décrit
par Schrumpf, tout en étant très intéressant, n
s semblent parler en fa- veur de l'hypothèse d'une forme non encore
décrite
d'origine rachi tique ; cette hypothèse est d'a
associés. Les mouvements associés, chez les sujets normaux ont été
décrits
par Muïïer ; dans les muscles paralysés par Ben
sse pour le bégaiement. Enfin, si « la discipline psycho-motrice »,
décrite
par Brissaud, est applicable aussi bien au béga
u'il n'y a pas deux crampes qui se ressemblent. On peut cependant
décrire
un certain nombre de types cliniques : Duchenne
e. Leur intensité est quelquefois telle que certains auteurs ont pu
décrire
une forme névralgique de la crampe des écrivains
ts. 202 MACÉ DE LÉPINAY B. Forme paralytique. Cette forme a été
décrite
pour la première fois par Duchenne de Bou- logn
rire est rare ; aussi certains auteurs comme Duchenne, Zuber, ne le
décrivent
point. D'autres, au contraire, comme Oppenheim,
s névroses d'occu- pation après la crampe des écrivains. Elle fut
décrite
pour la première fois par Onimus (193) en 1875, q
atrices d'occupa- tion. ' - Crampe des photographes. Elle a été
décrite
par Napias (191) en 1879. Il s'agissait d'un phot
issait que dans l'exercice de la profession. Crampe des barbiers.
Décrite
par Weiss (153), puis par Oppenheim sous le nom d
Gilb. Ballet et Rose (166) ont observé chez un ciseleur, et qu'ils
décrivaient
ainsi : le sujet tenait de la main gauche son cis
r les actes du métier. 220 MACÉ DE LÉPINAY Crampe de la traite.
Décrite
pour la première fois par Basedow (167), cette cr
ent et fortement sur le bras, sitôt qu'il se mettait en garde. On a
décrit
encore la crampe professionnelle des mégissiers
inférieurs. Le type de ces dyskinésies est la crampe des danseuses,
décrite
pour la première fois par Schultz (202), et ens
atrices d'occupation. De même en est-il pour la crampe des liseurs,
décrite
par Naëcke (190), crampe de la nuque observée p
r lire sa musique tiop éloi- gnée de lui et mal éclairée. Tranjen a
décrit
la même affection chez des habitants des montag
jouait seul chez lui, le spasme n'apparaissait pas. Frânkel (58) a
décrit
sous le nom de mogiphozzie des crampes de la la
E ET RAULOT logues à celles de l'extrémité inférieure du fémur déjà
décrites
: contours arrondis et comme émoussés, disparit
formation d'un faisceau dans le tissu cellulaire sous-cutané. Cénas
décrit
, en 1884, un cas où chez un sujet, à la suite d
, l'influence des centres corticaux sur la nutrition des tissus; on
décrit
les atrophies et les différentes maladies de la
uence de la suggestion sur l'apparition de troubles trophiques sont
décrits
en grand nombre. Podjapolsky parle de l'appari-
nationale de Charenton. Sous le nom de trophoedème, H. Meige (1) a
décrit
un « oedème chro- nique, blanc, dur, indolore,
fficile de le classer dans les variétés de trophoedème actuellement
décrites
. Observation. M..., âgée de 56 ans, entre à l
ur à la maison de santé où elle fut internée la première fois. M...
décrit
avec un luxe de détails toutes les persécutions q
ème des membres inférieurs, qui au début rappelait le pseudo-oedème
décrit
par Dide (1) chez les catatoni- ques et qui act
'a rien constaté de pathologique. Me basant sur les faits ci-dessus
décrits
, cette seconde fois comme la pre- mière fois, j
récautions. Les côtes cervicales, connues depuis longtemps, ont été
décrites
exac- tement pour la première fois et étudiées
ymp- tômes locaux (Borhardt, MARHURG) (14). C'est ainsi que MARBURG
décrit
un cas d'hystérie, dont les symptômes simulaien
irection de la côte cervicale et le plus souvent sont ab- sents. On
décrit
assez souvent la scoliose cervicale concomitante
r les auteurs allemands. Il faut toutefois avoir soin de ne point
décrire
sous ce nom, comme le font certains écrivains,
s fréquente et la plus connue des névroses d'occupation. On peut en
décrire
trois variétés : La forme spasmodique ; ÉTUDE
e névrite rallacherons-nous les lésions que nous avons observées et
décrites
dans les pages qui précèdent ? On divise depuis
en en respectant d'autres. Cette forme de névrite a été étudiée et
décrite
par GOÜBAULT (1) sous le nom de névrite segmentai
ui concerne le type de névrite parenchymateuse périaxilesegmentaire
décrit
par Gom- BAULT. Dans ce type les cellules à myé
névrite devons-nous ranger les lésions que nous avons observées et
décrites
dans le cas actuel ? La survie assez lon- gue d
que ce signe existait réellement, étant donnés les symptômes qu'il
décrit
). Cependant le rapport qu'ont ces symptômes du
ais qui est publié maintenant par Leegaard, comment cet observateur a
décrit
une petite épidémie de poliomyélite aiguë très
éveloppée, c'est-à-dire les troubles moteurs, nous ne les avons pas
décrits
complètement; bien au contraire, nous avons lai
si soigneusement qu'un grand nombre d'observations nouvelles, même
décrites
avec beaucoup de dé- tails, n'auraient pas un i
x de la phase initiale ont été les symplômes bien connus.et partout
décrits
: sensation générale de malaise et d'abatte- me
n au type ordinaire de l'hémato- myélie spontanée telle qu'elle est
décrite
par exemple par Jean Lépine. Il est vrai qu'on
minuant; par conséquent, toute la série des symptômes, telle que la
décrit
Dejerine, s'explique en supposant que la lésion t
ue nous avons employée pour la ponction lombaire, nous l'avons déjà
décrite
. Le résultat de nos recherches sur la poliomyélit
oliomyélite aiguë, il est bien remarquable que ces symp- tômes sont
décrits
beaucoup plus fréquemment dans les dernières gran
elèverons ici les cas indiqués par des auteurs antérieurs où l'on a
décrit
des troubles moteurs provenant d'une paralysie de
paralysie unilatérale, mais complète, des muscles abdominaux a été
décrite
par Neurath (70) (un cas ancien) et par Medin (n"
ie unilatérale de la moitié supérieure des muscles abdominaux a été
décrite
par Starcke (huit mois après le début; il y avait
ype tout à fait différent de paralysie des muscles abdominaux a été
décrit
par Strassburger ; il y avait une paralysie des d
après le début de la maladie. C'est encore un autre type qui a été
décrit
par Loewegren ; il y avait une paralysie des mu
omme également des mus- cles du dos, que j'ai employée pour ce cas (
décrite
dans l'état du 6 mai). Cette méthode consiste e
artielles des mus- cles abdominaux. L'un de ces cas n'ayant pas été
décrit
plus haut, nous donnons ci-dessous l'histoire d
ment dans la direction du thorax aussi manifeste que celui que j'ai
décrit
auparavant, quand les muscles intacts de l'abdome
sie des muscles abdominaux que l'on observe dans ce cas n'a pas été
décrite
jusqu'ici. Quant à l'extension de la paralysie,
périodes de crises où survenaient les accidents que nous venons de
décrire
, la malade paraissait à son entourage à peu prè
striation reparaît.Ces lésions sont identiques celles que Durante a
décrites
sous le nom de métamorphose fibreuse de la fibr
En revanclie, aux points où existent les lésions que nous venons de
décrire
, certaines présentent une accentuation très net
rand intérêt. Les altérations de la fibre musculaire avaient déjà été
décrites
dans la myasthénie, sauf, cependant, les lésion
des arrêts de développement, des malformations qui n'ont jamais été
décrites
dans le gigantisme, quoique dans cette forme on
yons au contraire que tout le syndrome nerveux que nous ve- nons de
décrire
(symptôme d'Argyll-Robertson ; abolition des réfl
isième variété de topographie métamérique que les auteurs n'ont pas
décrite
et qui est pourtant la plus fréquente, selnble-t-
olonne vertébrale était déjà connue de nos anciens. Ainsi, Wenzel a
décrit
un cas d'ankylose vertébrale en 1827. L'ankylose
d'ankylose coxo-fémorale. Becllterew considère la maladie qu'il a
décrite
comme tout à fait spé- ciale. Elle est caractér
u- laires, ainsi que quelques autres symptômes, séparent la maladie
décrite
par lui de la spondylose rhizomélique. II rappe
traumatisme, ni causes héréditaires. Schaikeviteh pense que le cas
décrit
par lui appartient au type inter- médiaire entr
ie de la région sacrée et trois vertèbres cervicales. Nous allons
décrire
à part les lésions trouvées dans chaque région.
n. Ainsi, notre observation est celle d'un cas d'un type non encore
décrit
ANKYLOSE DE LA COLONNE VERTÉBRALE ET DES CÔTES
mais Bechterew et Marie insistent sur l'individualité des maladies
décrites
par eux. Ils auront toujours eu le grand mérite
lard dans la Revue de Médecine (1886) ; le second cas est également
décrit
t par ces derniers auteurs et publié dans le tr
ou néoforma- tions de la colonne vertébrale elle-même. Pansini a
décrit
minutieusement les lésions tabétiques des articul
re : dans cette dernière région, elles atteignent dans tous les cas
décrits
, leur maximum d'intensité. Des vertèbres lom- b
e moment d'autres altérations à ajouter à celles que nous venons de
décrire
. Le genou droit est déformé par une ostéo-arthr
de ceux qui ont été constatés antérieurement et déjà minutieusement
décrits
. Des deux maux perforants qui existaient à l'ép
caractéristique du tibia droit. Il existe un autre cas récemment
décrit
parMeier comme maladie de Paget ; le début se f
utier (Nouvelle Iconographie de la Salpë- ttrière, 1905, p. 61) ont
décrit
chez les vieillards de Bicêtredes déforma- lion
ormes osseuses qui tiennent une place intermédiaire entre les types
décrits
et qui ne peuvent être assez individualisées pa
te des particularités propres qui ['éloignent du lype de la maladie
décrite
d'abord par le grand chi- rurgien anglais, -pou
ine(Noacuelle Iconogra- phie de la Salpêtrière, 1.894 : , p. 1) ont
décrit
un épaississement des os de la base du crâne et
ularités : l'une qui tend à le faire rentrer dans le type classique
décrit
par Paget, l'autre qui, à mon avis, tendrait à do
rencontrent avec une assez grande fréquence chez les catatoniques.
Décrits
tout d'abord par Kraepelin, ils ont été étudiés
outre chez lui des troubles accusés du caractère que son père nous
décrit
ainsi : « Il avait une résistance à des prières o
cation pour ac- complir une période militaire. Il part, dans l'état
décrit
ci-dessus, complètement hébété, égaré. Dès son
les respiratoires qui garde un intérêt théorique et qui n'a pas été
décrite
auparavant, au- tant que je sache. La possibi
spiralion se rapportant à une affection du bulbe autre que la forme
décrite
ci-dessus, et qui consiste en une para- lysie d
aiguë dont il faut admettre l'existence ? C'est surtout Medin qui a
décrit
un certain nombre de formes différentes de la p
amens urinaires d'ailleurs incomplets. Ainsi, chez le géant Charles
décrit
par ces auteurs, la quan- tité d'urine en 24 he
de chlorures, de phospha- tes et d'urée. Chez le géant Simon Botis
décrit
par Buday et Jancso, l'urine, d'abord normale,
t contint du sucre. Dans l'examen des urines du'géant acromégalique
décrit
par Achard et Laper, on a trouvé 386 grammes de
es symptômes d'arrêt de développement, mais ceux que nous venons de
décrire
dans notre cas n'avaient jamais été remarqués j
ux acromégaliques existait certainement aussi chez le géant Magrath
décrit
par Cunningham (V. Launois et Roy). La persista
d'un ou de plusieurs systèmes, l'atrophie oliro-ponlo-cérébelleuse
décrite
par MM. Dejerine et Thomas est l'exemple le plu
vers le cervelet. La systématisation de l'atrophie que nous allons
décrire
nous a semblé suffisamment précise pour lui mér
de vue anatomique des différentes atrophies du système cérébelleux
décrites
jusqu'ici, atrophie olivo-ponto-cérébel- leuse
upposer qu'un certain nombre des scléroses combinées des vieillards
décrites
par Crouzon (2) répondent anatomiquement à des
peut rentrer l'atrophie olivo-rubro-cérébelleuse que nous venons de
décrire
, nous constatons qn'on pourrait à la rigueur la r
èmes anatomiques lésés : un certain nombre de ces atrophies ont été
décrites
par divers auteurs ; il est pro- bable que la l
ces glandes sont dus les différents trou- bles, que nous venons de
décrire
, nous rappellerons quelques cas de dys- trophie
ilement. Membres inférieurs. - On y remarque le pied en griffe déjà
décrit
. Il est en outre en position de varus bilatéral
ment l'époque précise de l'attaque de poliomyélite. On a cependant
décrit
des atrophies musculaires qui ont suivi la paraly
henne. Il y a encore des cas à marche rapide récidivante comme ceux
décrits
par Landouzy et Dejerine, par Rossi et par Crou
peut nier qu'il y a des formes de passage comme par exemple le cas
décrit
par Langer. En tout cas la parenté entre les form
dus frappés par une paralysie cérébrale infantile comme dans le cas
décrit
par Bisping ; cela ne surprend guère si on se rap
(Vizioli, Strümpell, etc.). , Dans les atrophies que nous venons de
décrire
, on voulut d'abord voir une simple coïncidence,
ne besondene Destruction) de la substance du cerveau. En outre, ils
décrivent
deux cas de poliencéphalite apparus pendant l'épi
ertaine relation au point de vue anatomique ou fonctionnel. Medin a
décrit
une forme de la paralysie infantile qu'il nomme a
santes d'en faire des formes spé- ciales de la maladie. Wickman a
décrit
comme formes spéciales les cas où la paralysie a
evant l'oeil horizontalement, puis verticalement, puis obliquement,
décrivez
une circonférence entière si vous voulez.' , -
ourir à l'expérience de l'ophtalmologiste. , Il est donc'inutile de
décrire
les multiples lésions du -nerf optique et de la
omotricc réflexe (I¡g. 30). Signe d'Argyl Robertson : Tel que l'a
décrit
Argyl Robertson, c'est la perte du réflexe pupi
ont la voie centrifuge à double origine (bulbaire et spinale) a été
décrite
ailleurs (p. 85 et fig. 58). Il peut être utili
otale, des ophtalmoplégies nucléaires progressives que : nous avons
décrites
ailleurs (p. 75). ? L'existence de centres d'as
iologiqne. L'exophtalmie avec les caractères que nous venons de lui
décrire
, a une valeur séméiologique considérable pour le
: Il n'existe guère dans le tabès, si ce n'est dans cette affection
décrite
par Friedreich, sous le nom de tabès héréditair
é nerveuse ont été signalés dans la sclérose en plaques : on a même
décrit
des plaques Imlbo-protuhéran- tielles intéressa
troubles ne paraissent pas univoques. Pierrot, Marie et Walton ont
décrit
des lésions de l'acoustique, soit du nerf lui-
fenêtre de l'étrier. L'hyperacousie n'a pas besoin d'être longtemps
décrite
: les bruits ordinaires paraissent exagérés, le
intoxiqués. Enfin, plus récemment, Willmack et IJJ'('Y ! 'IIS 0111
décrit
des lésions de. chronialolyse dans les ganglion
prolongée que le mouvement est plus rapide et que la circonférence
décrite
est moins étendue. Elle est aussi d'autant plus
es vertiges provo- qués. Le vertige voltaïque ou galvanique a été
décrit
et étudié parPurkinn, puis par l3renner, Hitxig
odalité la plus rare, il est vrai, mais qui a été très exac- tement
décrite
par cet auteur en '1801, et qui correspondrait ex
n d'un ictus apoplectiforme violent, comme celui que nous venons de
décrire
, un nouvel accès, généralement moins violent, se
C'est dans ces cas surtout, qu'on observe la « névrose de Ménière »
décrite
par Franid-Hochwart, les formes psychi- ques de
rception de certains bruits violents par exemple. Frankl-Hochwart a
décrit
des formes frustes où manquerait l'un des trois
ue changement de position : le type en est le vertige du saut du/il
décrit
par Régis. Il est le plus souvent simple, il pe
glomerulcs » véritables, analogues il ceux du rein, que Schwalbc a
décrits
dans le labyrinthe et les espaces sous-aracimdd
irculatoires de l'arlério-sclérose la plu- part des cas du syndrome
décrit
par Bonifier sous le nom de syndrome du noyau d
ues devraient entrer dans l'une ou l'autre des catégories ci-dessus
décrites
, TRAITEMENT 11 n'y a pas de traitement applic
ts déter- minent les syndromes typiques que nous avons précédemment
décrits
. Il est malheureusement pratiquement impossible
l'existence dune fièvre rémittente il grandes oscillations. On a pu
décrire
également dans une autre méningite, dans la ménin
mutisme vésanique se place le mutisme hystérique, magis- tralement
décrit
par Charcot. Dans ce mutisme, fréquemment intermi
e. 11 existe fré- quemment chez les ascendants ou collatéraux. On a
décrit
un bégaie- ment hystérique, à début et terminai
nous n'entre- rons pas dans le détail d'un certain nombre de types
décrits
parles diffé- rents ailleurs. Dans la plupart d
eul le reconnaître; en tant que crayon. De môme, l'agnosique visuel
décrira
les caractères objectils visuels d'une sonnette,
la sensibilité générale. Les idées d'énormité. - Ces idées ont été
décrites
par Cotard. On les observe dans la paralysie gé
ectibles. Les tics sont très fréquents chez les idiots; ils ont été
décrits
dans la thèse de Noir (1895), inspirée par Bour
anger les ongles, etc. z L'ensemble des troubles que nous venons de
décrire
constitue les troubles psychiques : il est un e
tions des membres, de la syndactylic. La main des idiots, qui a été
décrite
par Bourneville, est courte, trapue, épaisse, les
bitude d'uriner au lit... ' . L'intensité de l'idiotie permettra de
décrire
plusieurs variétés ; Bour- IH'yiJ1e distingue :
clé- rose hypertrophique ou sclérose tubéreuse hypertrophique a été
décrite
par Bourneville et Brissaud : il s'agit le plus
s sont des sensations que le sujet perçoit spontanément, qu'il peut
décrire
et analyser tui-mcme, mais qui échappent il tou
de la sensibilité tactile ordinaire par son extrême finesse, a été
décrite
et désignée par Vaschide et Rous- ' TROUBLES DE
que dans les névroses. L'aphalgésie (âoer- contact; alyo^ douleur),
décrite
par Pitres, est caractérisée par la production
cessairement pour nous la compréhension de l'objet, et nous pouvons
décrire
exactement un objet que nous voyons, que nous p
ations dynamiques fonctionnelles de ce système. Nous aurons donc il
décrire
: 5° les troubles de la sensibilité dans les né
ystérie, où il se présente dans sa plus grande netteté. Nous allons
décrire
ici l'hémianesthésie organique de cause encépha
inégale. On peut trouver ici toutes les altérations que nous avons
décrites
à propos des généralités sur les troublés sensi
e.plus souvent les diverses variétés de paresthésies que nous avons
décrites
: aphalgésie, retard des- sensations, fusion de
on radiculaire corres- pondant aux racines lésées, lois qu'ils sont
décrits
au chapitre traitant des « Troubles de la inuti
des sections ou ruptures des racines ou des plexus, il y a lieu de
décrire
aujourd'hui, à la suite des travaux de Dejerine
UBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 345 oreillons, l'érysipèle. On a
décrit
dès formes « radiculo-méningées » dans le cance
hystériques. Elles sont habituellement localisées et on a longtemps
décrit
les « zones hysté1'ogènes » ou « zones spasmogè
iculiers aux troubles sensitifs hystériques, signes (lue nous avons
décrits
plus haut et que nous résumons brièvement ici :
ctes des zones hyperesthésiques. Sur le tronc et les membres, Ilead
décrit
les zones suivantes : Zone dorso-cuhitale (D,),
ons faire ici la description détaillée des zones hyperes- thétiques
décrites
par Ilead dans les différentes affections viscéra
ons ou sur les descriptions que font les malades eux-mêmes, on peut
décrire
: des douleurs fulgU1ymtes qui, comme leur nom
n, en se basant sur les carac- tères des algies centrales ci-dessus
décrits
, et surtout sur le fait qu'elles surviennent ch
o- logie générale; nous n'y insistons pas. Celles que nous allons
décrire
relèvent de la neuropathologie et doivent nous
tres cas, les sujets maigrissent, s'anémient, et l'on pourrait même
décrire
une véritable cachexie névralgique. La marche e
lèvent de la pathologie mentale. Vakinesia n/</c ? Y/, affection
décrite
par Mobius, se caractérise par des douleurs se
u a attiré l'attention sur les névralgies épileptiforines dont il a
décrit
deux variétés, 1-une convulsive, l'autre non co
émotion; elle guérit par la thérapeutique psychique. Dernhardt a
décrit
sous le nom de névralgie professionnelle de l'épi
, la toux, l'effort au moment des accès ; le malade 9. M. Jousset a
décrit
un point médio-slernal situé n l'interseclion de
courante. Réflexe contralatéral des adducteurs. Ce réflexe a été
décrit
par Pierre Marie, le 15 avril 1894. La recherche
s ou du fascia lata du même côté. Ce fait observé par Ganault a été
décrit
également par Féré et l'a amené il donner au ph
d'une maladie organique. C'est là, semble-t-il, ce due Goers (2) a
décrit
chez les hystériques sous le nom de « spurious
émie perni- cieuse, soit à une période avancée, comme dans la forme
décrite
parles auteurs anglais; dans ce dernier cas, el
onner, à propos du réflexe plantaire, le réflexe abducteur du pied,
décrit
par Hirschberg, réflexe qui se produit après ex
me nerveux. Réflexe du fascia lata. Le réflexe du fascia lata a été
décrit
par Brissaud. Il se rapproche beaucoup du réfle
ermédiaire des nerfs. Ces organes de réception périphérique ont été
décrits
dans ces vingt dernières années : la présence d
est fourni par la présence du réflexe contra-latéral des adducteurs
décrit
par Pierre Marie; ce réflexe, provoqué dans le
ire chez l'enfant hémiplégique. Les contractions 1/1YOSlS1/1lqlles,
décrites
par Pierre Marie dans les hémiplégies récentes,
s ces dernières années, Dejerine, avec ses élèves Thomas. Roussy, a
décrit
comme réalisant le syndrome thalamique des cas da
caractères tout différents de ceux (me nous HÉMIPLÉGIE..470 avons
décrits
dans les hémiplégies organiques, et notamment ell
s associés. Flexion combinée de la cuisse et du tronc. Babinski a
décrit
ce mouvement associé dans le Bulletin de la Socié
ier. Babinski, dans les mêmes publications mentionnées'ci-dessus, a
décrit
ce phénomène auquel il attache la même valeur q
on associée des orteils. Nous avons vu plus haut due l3ahinsl : i a
décrit
l'abduction des orteils ou signe de l'éventail co
uvement se produit dans le côte sain. SIGNE DE KERNIG. Kernig a
décrit
, en 1885 et 1884 à la Société médicale de Saint-P
rale de Sainton et Voisin (Gazelle des hôpitaux, 27 août 1904) pour
décrire
ce signe et rechercher sa valeur séméloiogique.
de Kernig ne s'observe pas seulcment aux membres inférieurs, Il le
décrit
lui-même au niveau des fléchisseurs de l'articula
ds s'emmêlent et la chute devient inévitable. Il est réduit à faire
décrire
à chaque membre un demi-cercle souvent trop étr
a raison s'explique mal en dehors d'altérations périphériques. On a
décrit
encore des paraplégies spasmodiques avec sectio
cèle point de lymphocytose au cours des accidents pottiques. On a
décrit
un mal de Pott syphilitique; sa rareté nous dispe
rophique de Duchenne et du type Leyden-Môbius. Ces affections étant
décrites
en d'autres parties de cet ouvrage, nous n'y insi
Plus intéressantes sont les pcral ysies /xriocliqrres familiales, (
décrites
par Chaknovitch puis par Westphal. Brusquement, l
ncements d'une sciatique. Elle peut être involontaire et Dejerinc a
décrit
un syndrome paraplégique flasque, consécutif chez
agnostic se fera d'après la triade symptomatique que nous venons de
décrire
: paralysie périodique, abolition transitoire d
LAIN Avant de faire l'étude séniéiologique des paralysies, avant de
décrire
la topographie des troubles de la inutilité dan
Brissaud. : J'ai mentionné de préférence les insertions musculaires
décrites
par M. Testut. [G GUILLAIN.] 1 522 PHYSIOLOGI
- appré- ciable z. Scalènes. - - Insertions. Les auteurs français
décrivent
deux scalènes : le scalène antérieur et le scal
après Theile ces muscles n'existent qu'a la région dorsale, il n'en
décrit
que onze. Hughes a signalé l'existence de ces f
ermine sur la peau de l'angle externe. Muscle de Horner. Borner a
décrit
connue muscle distinct un petit faisceau quadri
genou, du cou-de-pied, de l'épaule, du coude, du poignet; on a même
décrit
des centres spéciaux pour la flexion de l'index
ysie dans les 5e et 6° nerfs cervicaux. Le professeur d'I-Ieidelher
décrit
dans la région sus-claviculaire un point précis
itude de la pronation avec flexion des doigls. Cet aspect qu'a bien
décrit
Duchenne est presque constant. Dans certains ca
incipaux de paralysies radiculaires que je viens d'étudier, on peut
décrire
quelques autres variétés. Dans les para- lysies
schématise les différents types cliniques des paralysies faciales et
décrire
ainsi des paralysies périphériques, nucléaires
respiratoires, la malade avait 4 à 5 respirations par minute. J'ai
décrit
, avec Guy Laroche, une forme apnéique de la crise
ence de la paralysie du cubital, détermine une grillé spéciale bien
décrite
par Duchenne. L'emi- nence thénar est aplatie,
plégies bilatérales sont assez rares. Des cas sans autopsie ont été
décrits
par Cartaz et IL Krause dans la paralysie pseud
é quelques autres et tout récemment j'ai pu suivre un cas qui a été
décrit
par Mollard. Les causes les plus habituelles en s
l'on trouve plus fréquemment un des trois stades que nous venons de
décrire
, la toux spasmodique, le spasme suffocant et le
ne affection qui est loin d'être limitée du larynx et qui doit être
décrite
avec les convul- sions. C'est la convulsion int
réussit pas toujours. 5" Vertige laryngé. Le vertige laryngé a été
décrit
par Charcot comme une névrose, mais on peut le
a série des cas symptouialiques, ce qui n'empêche pas d'ailleurs de
décrire
à part la forme idiopathique. Dans les cas dési
es tabétiques présentant le spasme laryngé suffocant que nous avons
décrit
, à des porteurs de lésions récurrentielles. Tou
attacher l'affection NÉVROSES DU LARYNX. 655 que Schriitter avait
décrite
sous le nom de chorée du larynx, toux spé- cial
symptomatique de lésions cérébrales ou bulbaires. Presser .lames a
décrit
le « bégaiement des cordes vocales » chez les a
et de l'arrière-gorge, le goitre, etc. Nous aurions pu aussi bien
décrire
ici certains des troubles que nous venons de si
, Werdnig-Iloffmann, et la névrite interstitielle hypertro- phique,
décrite
par Gombault, Dejerine et Sottas, Pierre Marie.
té des contractions très nettes, trois au- tres malades nous en ont
décrit
très clairement l'existence passagère, bien que
ité aux moyens ordinaires d'investigation. Plus récemment, Gowers a
décrit
une « forme distale » de la myopathie (3), Quoi
la distribution et de l'évolution de l'atrophie qui ont permis d'en
décrire
des variétés topographiques différentes, enfin de
hiques, lésions plus ou moins semblables à celles queMarinesco(3) a
décrites
dans les atrophies musculaires plus ou moins loca
érie de mouvements tout à l'ait typiques qui ont été minutieusement
décrits
par certains auteurs; ils se retournent d'abord s
hie comme différant par aucun caractère important du type ci-dessus
décrit
; tel est aussi l'avis de Damaschino, Dut.il, Deje
ection pourrait rester limitée aux membres supérieurs, mais les cas
décrits
par cet auteur, cas dans lesquels l'atrophie av
henne-Aran bien qu'elle ne soit nul- lement celle queDuchenne avait
décrite
et représentée comme caractéris- tique de l'atr
des scapulæ alafoe est exactement le même que celui que nous avons
décrit
dans la forme scapulo-humérale de la myopathie; l
rophie sont ceux des atrophies myélopathi- ques que nous avons déjà
décrits
. Les contractions fibrillaires ou fasciculaires
rique des nerfs est normale ou diminuée, rarement abolie. Remak a
décrit
dans l'atrophie Aran-Duchenne une « contraction
e la 1"e et la 5", surtout dans la. fossette carotidienne. Walter a
décrit
le « palmo-spasme », autre phénomène rare, sorte
as de pachyméningite primitive vraie, fibreuse, telle qu'elle a été
décrite
par Charcot et Joffroy. Elle se carac- térise,
peut prendre une importance assez considérable pour que Charcot ait
décrit
une « forme amyotrophique ». Pour Lejonne ('),.qu
iques et provo- quent l'apparition du pied-bot flaccide et atonique
décrit
par .Jo ! 1l'OY, Ces dernières atrophies relève
à une luxation de l'épaule, aune hémorragie (névrite apoptectiforme
décrite
har lhlhois de Berne), à un exsudai tuberculeux
ement, n'est pas toujours aussi étendu que celui que nous venons de
décrire
; la régression peut s'observer au bout de 4 à 1
de l'ataxie la IiluGa.tiot. cérébelleuse : plus récemment Babinski
décrivit
une variété toute différente d incoordina- tion
ache du sol ou du plan du lit, s'élance en l'air, la jambe étendue,
décrit
des zigzags dans le sens horizontal aussi bien qu
e avec leur tronc de grands mouvements de salutation irréguliers et
décrire
avec leurs bras de larges battements d'ailes ou
est souvent beaucoup moins pronon- cée que celle que nous venons de
décrire
; comme c'est celle qui est de beaucoup la plus
squement jetée à quelques centimètres au-dessus, largement ouverte,
décrit
quelques mouvements de va-et-vient, « plane » c
ie du tabes. - L'ataxie du tabès, telle que nous l'avons longuement
décrite
, n'est pas toujours aussi simple. Sa cause ne rés
és étiologiques d'ataxie, il faut rapprocher la paraplégie ataxique
décrite
par Gowers en 1886 et dont l'étiologie n'est pa
ressif très lente et très longue. '. La sclérose combinée sénile,
décrite
par Pierre Marie et Crouzon, consiste en une pa
ement dans cette affection d'origine surtout cérébelleuse. Dana a
décrit
récemment une ataxie spinale aiguê dont la cause
serait générale- ment favorable. La paraplégie ataxique subaiguë,
décrite
aussi par Dana, affection qui se termine par la
est sans doute tout particulièrement atteint. Quelques auteurs ont
décrit
, à la suite d'intoxications soit par l'alcool (
ise ou congénitale (incoordination de la plupart des sourds- muets,
décrite
par Kreidl). L'ataxie dite labyrinthique tient en
es très différents : A) La titubation céré- helleuse, admirablement
décrite
par Duchenne de Boulogne, où le trouble prédomi
ubation elle-même, si ses caractères cliniques ont été parfaitement
décrits
par Duchenne de Boulogne, sa pathogénie est loin
CÉRÉBELLEUSE L'asynergie cérébelleuse a été entièrement analysée et
décrite
par Babinski ; son caractère essentiel est la d
belleuse : tous les éléments de ce syndrome ont été remarquablement
décrits
par Babinski; il mérite le nom de syndrome céré
TAIRES OU FAMILIALES (FORMES MIXTES) Nous avons réservé, pour les
décrire
ensemble, un certain nombre de maladies qui tou
on des objets, la main « plane » comme dans le tabès au début, elle
décrit
une sorte de cône au-dessus de l'objet avant de
aisceaux cérébelleux directs. b) Dans l'hérédo-ataxie cérébelleuse,
décrite
par Pierre Marie, le début de l'incoordination,
s quitter le sol comme s'ils liraient un boulet (démarche traînante
décrite
par P. Marie et Crouzon). La station debout e
iées et très étendues. c) La névrite interstitielle hypertrophique,
décrite
par Gombaull et Jlallct, Dejerine et Sottas, Pi
incoordina- tion hystérique est l' astasie-abasie; Charcot, qui l'a
décrite
avec ses élèves P. Riche et 111ocd, en distingu
voir avec l'astasie-abasie : les variétés de cette affection sont à
décrire
avec les troubles de la marche. [A. LÉRI.] 78
res inférieurs des mouvements semblables à ceux que nous venons -de
décrire
, et cela dans des conditions différentes : 1° les
pas, bien entendu, être exécutés dans l'ordre où nous venons de les
décrire
; on fera d'abord exécuter les plus simples, aus
pour la rééducation des jambes. Voici un certain nombre d'appareils
décrits
par Frenkel, mais que l'on peut soi-même modifi
uro-paralytique (Pierre Marie et Crouzon). Babinski et Nageotte ont
décrit
un syndrome particulier, lié à des lésions de la
- vulsions est relativement aisé. Il nous reste à parler, avant, de
décrire
les deux grandes névroses convulsives, l'épilep
intervalle, variable, tous les jours, plusieurs fois par jour. On a
décrit
un état de mal ? s/en'<7Me. Ce qu'il importe
suffit pour les distinguer du tremblement. L'asynergie cérébelleuse
décrite
par Babinski est caractérisée par un trouble da
sueur qui termine l'accès. Reginald Nùller (llrait7,1 ! )()l).) a
décrit
un tremblement aigu survenant chez les enfants,
atique dans l'atrophie olivo- ponto-cerebelleuse. Gordon Holilles a
décrit
un tremblement analogue. Tremblement dans la pa
lmie, tachycardie), M. Pierre Marie a ajouté le tremblement qu'il a
décrit
dans sa thèse (Paris, 1885). Ce tremble- ment e
tiellement polymorphe et on ne peut, suivant l'expression de Dutil,
décrire
le trem- blement hystérique, mais des trembleme
rappelle le tremblement de la sclé- rose en plaques que nous avons
décrit
tout d'abord, cependant celle res- semblance es
sez caractéristique. La séméiologie du .tremblement mercuriel a été
décrite
par Letnlle, Charcot, Dutil, sa pathogénie a fa
r les mouvements volontaires et se rapprocherait des trem- blements
décrits
par Dutil sous le nom de rémittents intentionnels
horée épidémique ou chorée hysté- rique, si plus tard il a servi il
décrire
la petite chorée de Sydenham, il ne s'applique
encier chacun des types morbides. Nous allons donc nous attacher il
décrire
, tout d'abord les caractères communs à toutes l
rmes différentes, et les deux tableaux cliniques que nous venons de
décrire
, nous voulons parler tout d'abord de la chorée
autre forme de chorée distincte de la forme moyenne que nous avons
décrite
, ce sont les cas des chorées graves qui se termin
a- tion de la température. Évolution. - Il nous est impossible de
décrire
l'évolution de la chorée en général. Cette évol
ce semble répondre à des époques d'évolution dentaire (Legay). On a
décrit
une chorée congénitale, les cas qui ont été obs
iode d'état, les troubles moteurs ont les caractères que nous avons
décrits
aux mouvements choréiques en. général : contracti
nt dès le début de la maladie. ' Formes. Le type qne nous venons de
décrire
est la chorée vul- gaire. La forme grave de la
e peut quelquefois succéder à la chorée vulgaire que nous venons de
décrire
, comme dans le cas de Daddi Sylvestrini (La Set
bout de ce temps le petit malade sort de l'état que nous venons de
décrire
; la guérison est la règle mais cependant on a déc
ous venons de décrire; la guérison est la règle mais cependant on a
décrit
des amyotrophies consécutives, elles occupent s
istique personnelle présente un pourcentage considérable, puisqu'il
décrit
les lésions cardiaques dans 2/3 des cas de chorée
uis la description de Raymond et d'un certain nombre d'auteurs, de,
décrire
sous le nom collectif de myoclonies un certain
N. 867 ï PARAMYOCLONUS MULTIPLEX Le paramyoclonus multiplex a été
décrit
par Friedreicll (F ! 'rc/<0 ! f/s s Archiv,
l'enfance. - .. Nystagmus-mnyoclonie. - Lenoble et Aubineau out.
décrit
(Société, de Biologie, 1905 et 1er juillet 1909
s les précéder de plusieurs années. MYOKYMIES Key et Schultze ont
décrit
, sous ce nom, des secousses fibrillaires qui se
déjà les carac- tères de ces mouvements ; nous nous contenterons de
décrire
les principaux aspects cliniques qui se rencont
Oulmont, qui ont séparé cette affection de celle que nous venons de
décrire
et les travaux d'Audry, Michaïlovsky, Kahler, P
ique s'acconipagnant de mouvements athétosiques analogues aux laits
décrits
par Mlle Motehane et d'autres faits observés pa
ue » (Dupré), c'est une maladie de l'habitude. C'est à tort qu'on a
décrit
sépa- rément des « tics d'habitude » : tous les
présenter quelques exceptions pour Cruchet (') : ce dernier a même
décrit
une variété spéciale de tic de. balancement de
sa cause, mais encore dans tous les troubles moteurs que nous avons
décrits
comme conséquences de l'étal mental des tiqueur
tudes vicieuses de mordillage et de mâchon- nement. Trismus mental,
décrit
par Raymond et P. Jane) : impossi- bilité de de
par une détente progressive. Ces caractères ont été fort exactement
décrits
par Meige (3). 1. Lannois et Pohot. Les hémispa
comme variétés de la première, de beaucoup la plus fréquente, on a
décrit
une forme tréinulente et une forme choréique. M
montre une prédisposition mentale analogue, à celle que nous avons
décrite
chez les tiqueurs, et la crampe apparaît connue l
e compte de l'hypotonie. Dans tous' les troubles que nous venons de
décrire
, l'hypotonie, sui- vant le degré auquel elle ex
Féré l'a rencon- trée également dans la paralysie générale où il a
décrit
un aplatisse- ment du pied par hypotonie. Ell
s Y hémiplégie organique ; on trouve là le phénomène que Babinski a
décrit
comme un signe d'affection organique : il y a f
il des degrés divers de fréquence ou d'intensité, se rencontrer, se
décrire
chez les syringomyéliques. Ces malades peuvent,
extrémités ou maladie de Haynaud et l'érythromélalgie, se trouvant
décrites
en d'autres parties de cet ouvrage. Altératio
uses est liée à l'existence de ces crises thermiques que nous avons
décrites
. On voit également des sueurs abondantes dans l
y associent presque toujours, souvent même ouvrent la scène et sont
décrits
sous le nom à' irritabilité vésicale. Celle-ci
leurs symptômes propres qu'on les éliminera : nous ne pou- vons les
décrire
ni les énumérer ici. Les cystites présentent tr
une erreur de clinique; les corpuscules, le nuage floconneux ainsi
décrits
n'ont aucun des caractères du sperme et sont de
ession est surtout bien marquée chez les tabétiques dont nous avons
décrit
les désirs exagérés au début de l'affection. -
de l'oesophage ressortissent une partie des accidents précédemment
décrits
. La boule hystérique n'est ainsi qu'une suite d
ement La plupart des crises gastriques que nous nous efforcerons de
décrire
et de distin- guer ici les unes des autres, s'a
tantôt les douleurs, tantôt les vomissements peuvent manquer. On a
décrit
des formes cr,t»llm ? lcs, des crises sèches, d
spasme pylorique dans les névroses et chez les tabétiques. Triolo a
décrit
un spasme pylorique cl'o°i.t/ine GttlGtine : un
e chez d'autres que les tuberculeux. Troubles de la motricité. -.On
décrit
sous le nom de gastroplégie une affection rare,
rement dits, signalons chez les névropathes des crises intestinales
décrites
par Nollmagel. Il s'agil de contractions des an
ne prend pas une allure clinique aussi aiguë que celle précédemment
décrite
, et le ventre se [F. MOUTIER.] 1000 TROUBLES
ibles, mais sur- tout par cette anorexie primitive si admirablement
décrite
par Lasegue. La malade est généralement une jeu
é, les troubles génitaux, les cauchemars, les obsessions, etc. On a
décrit
enfin les hallucinations calmes et tristes des di
roprement dite. ' Avec les difformités tératologiques nous devrions
décrire
les mains- botes congénitales par malformation
ellect infantile ou puéril, etc. v . ' Dolichosténtimélie. Marfan a
décrit
sous ce nom une déformation congénitale-- excep
e. Dans l'ostéa-arthropathie hypertrophiante pneumique, affection
décrite
par Pierre Marie, les mains sont grosses, en patt
es hypertro- phies osseuses systéma- tisées dont nous venons de
décrire
les aspects. La chiromégalie sy- ringomyéliqu
écrire les aspects. La chiromégalie sy- ringomyélique (fig. 5),
décrite
par Charcot et Brissaud, ressemble à l'acroméga
e les .'phalangines, etc. De plus, Vidal, Besnier, JuhcI-llénoy ont
décrit
un type rectiligne ou linéaire caractérisé par
ues et plus ou moins simultanées aux deux mains; Charcot a pourtant
décrit
une forme pendant un temps très prolongé ou mêm
ier, Barjon et Destot, etc.). Laforme de rhumatisme sénile (fig. 7)
décrite
parP. Marie etA.Leri('), intéresse tout spécial
ogie avec celle de certains syringomyéliques.. La camptodactylie,
décrite
par Lanùouzycomme une autre manifesta- tion de
ES affections dystrophiques DES parties molles. La main succulente,
décrite
dans la syringomyélie par Pierre Marie et llari
les extrémités et surtout par les doigts ; c'est la sclérodactylie
décrite
par Bail. Les extrémités des doigts sont d'abor
. Il existe en général d'autres malfor- mations, et nous aurions dû
décrire
cette main-bote au chapitre des troubles du dév
botes acquises sont paralytiques ou spasmodiques e) ; 1. Madelung a
décrit
sous le nom de « subluxalion spontanée des poigne
les trois phalanges ; dans la forme spasmodique de la syringomyélie
décrite
par Pierre Marie et Guillain, les deux ou le plus
inique. Les gangrènes massives et symétriques d'origine névritique,
décrites
par Pitres et Vaillard, ont d'emblée une étendu
pieds-bots ont un aspect particulier : tels le pied-bot tabétique,
décrit
par Joffroy, et le pied de Friedreich. , Le p
: il importe de le distinguer du « pied tabétique » que nous avons
décrit
, qui est dû à une ostéo-arlhro- pathie spéciale
ns brièvement le mode de repérage de certains points insuffisamment
décrits
dans les pages précédentes. , Le vertex est l
t camards, les orteils et les ongles conformes au type précédemment
décrit
au membre supérieur. P. Marie a signalé deux va
e type Brissaud. Bris- saud a montré que les idiots myxoedémateux
décrits
par Bourneville présentaient un syn- drome infa
se de Bourneville. Brissaud a repris l'étude de ces faits, et les a
décrits
sous le nom d'infantilisme myxoe,zélllalenx. Ce s
lasie périostale. Cette anomalie de l'ossification périostale a été
décrite
par Durante; elle s'accompagne par- fois de dim
quatre grandes causes du nanisme ? Poucet et Leriche le pensent et
décrivent
des nains bien proportionnés, sans tare patholo
donne il l'oreille un aspect tronqué bien spécial. Enfin, Slithl a
décrit
plusieurs groupes d'anomalie dont les principal
continence d'urine. Tremblement héréditaire. Stigmates mentaux. Les
décrire
tous dépasserait, et de beau- coup, les limites
ous arrêterons pas sur les troubles des réflexes pupil- laires déjà
décrits
dans la syphilis acquise ni sur les troubles des
Stigmates dystrophiques de l'hérédo-syphilis. Ces stigmates ont été
décrits
par Ed, Fournier dans sa thèse (Paris, 1898) :
l'hydrocéphalie, quelquefois indépendant d'elle, un autre stigmate
décrit
par A. Fournier ; c'est la circulation crânienn
bactériologique complète le diagnostic. Enfin, Vincent et Bellolonl
décrit
une réaction pl'écipitante déterminée par le sé
ru-malaciclue. " A côté des signes fondamentaux qui viennent d'être
décrits
, prennent place, à titre accessoire et bien plu
epithetc de comateuse il la variété fruste, presque apyréliquc bien
décrite
par Loepcr, dans laquelle font complètement défau
erculeux qu'elle a été aperçue par Andral, Gintrac, Fournél et bien
décrite
par Laper. Il est à peine besoin d'ajouter qu'il
troubles pedoncutaircs, protubérantiels et bulbaires que nous avons
décrits
comme éléments constituants du syn- drome infla
t encore susceptibles d'accentuer les écarts il craindre. Perches a
décrit
un autre mode de recherche sous le nom de ponctio
yphilis sur le rachis paraissent très excep- 1 ionllelles; Leyden a
décrit
une forme ulcéreuse analogue au mat de l'oit tu
ordonnées. Ils ont ensuite attiré l'attention sur un autre mode non
décrit
de pro- ductions osseuses. Celles-ci se constit
sacrum dans l'aire du détroit supérieur. Raymond et Claude (') ont
décrit
, une forme de dyschondropldsie avec 1. et Claud
hie et peut-être des lésions du type caractéristique que nous avons
décrit
. Les exostoses ost8ogéniques multiples apparais
constatée par Talma, avec tous ses caractères, dans des cas qu il a
décrits
sous le nom de myotonie acquise, présentant les m
ssi par leur curabilité. Dans des troubles de l'appareil musculaire
décrits
par Schllltzc sous le RÉACTION MYASTHÉNIQUE. 12
bas et en arrière. M. et Mme Dcjerine conseillent des coupes qu'ils
décrivent
ainsi : « A (( 131cètre, nous avons l'habitude
ogiques les cas les plus intéressants et les plus typiques pour les
décrire
et les fixer par l'image, doublant ainsi l'utilit
omes, tous SUR UN CAS D'ACRODACTYLOPATIIIE HYPERTROPHIANTE 7 deux
décrits
par M. Pierre Marie, l'acromégalie et l'ostéoartr
d'ossification com- '- plémentaire (4). Analoguement M. Regnault a,
décrit
un chat polydictyle qui montrait des malformati
nfundibulaire et les stigmates d'ordre tératologique que nous avons
décrits
. (1) Il. Cushing, The pituitary Body and ils Di
et atrophie des os de l'avant-bras. Un auteur italien, Fumarola, a
décrit
un cas typique de ce genre, où il y avait au me
V- rayon métapodial du pied ; de tels exemples, bien que peu ou pas
décrits
jusqu'à présent, sont loin d'être rares ; ce qui
vient d'arriver Apert qui, sous le nom d'acrocéphalo-syndactylie, a
décrit
(1) un type tératologique compa- tible avec une
ravail remarquable d'un grand anatomiste italien, Calori (4), qui a
décrit
trois cas de polydactylie chez lesquels à l'autop
, phéno- - mène qui, d'après ce que nous savons, n'a pas encore été
décrit
et qui doit être distingué complètement delà pt
n deux groupes. Comme représentants de l'une rappelons les malades,
décrits
par Ormerod, par Homen et par Wilson. Tantôt-c'
e intacte, ou' , presqu'intacte. En dernier lieu ce sont les cas,
décrits
par Fleischer (1) et par Vôlsch (2), qui nous o
es tissus. La symptomatologie avait une grande ressemblance aux cas
décrits
par Westphal et Strümpell sous le nom de pseudo-s
phie et les foyers de désintégration des corps striés ; 2° les cas,
décrits
sous le nom de pseudo-sclérose, qui dans leur a
uelques-uns se rapprochent des spécimens les plus petits des noyaux
décrits
. En suivant la méthode d'Alzheimer pour la colo
omatiques est beaucoup plus régulière que dans le type pathologique
décrit
. Protubérance et moelle allongée. Nulle part un
caux ; enfin un processus de désintégration, dont les caractères sont
décrits
plus haut et qui est localisé dans les ganglion
que. Le premier malade a beaucoup de traits communs à certains cas,
décrits
sous l'étiquette de la « pseudosclérose » ; il
repos forcé au lit, les signes d'asphyxie locale que nous venons de
décrire
ont subi une régression assez rapide. Au bout de
x ; ces perturbations, au moment des épisodes asphyxiques ci-dessus
décrits
, auraient avant tout porté sur les éléments tro
voies cérébelleuses par des fibres arciformes internes, disposition
décrite
par Hoche, Goldstein, etc. b) Dégénérescence as
u dans le noyau de Deiters (Petren, l3umke, etc.); enfin Schaffer a
décrit
une dégénérescence des stries acoustiques. De c
avec l'olive bulbaire sont différentes du faisceau spino-olivaire,
décrit
par Dydinski, Bechterew, Goldstein, faisceau qui
e la protubérance et, près de l'origine du ru- ban de Reil latéral,
décrit
une anse à concavité inférieure pour gagner la
phie de la pièce (Voy. PI. XXII). La petite tumeur que nous avons
décrite
plus haut était unique, ce qui per- met de lui
segment sont tout à fait compa- rables à celles que nous venons de
décrire
. La racine postérieure gauche est presque compl
cine dorsale à mesure qu'on approche de la tu- meur dont nous avons
décrit
plus haut les caractères macroscopiques et dont
ierai que ces parasites ont" une ressemblance avec ceux qui ont élé
décrits
dans la pellagre par Tizzoni. Leur présence dans
en quelques semaines on voit naître l'attitude accroupie, ci-dessus
décrite
, qui rappelle celle du foetus dans le ventre de
a pas lieu d'insister; au surplus, je ne crois pas qu'il suffise de
décrire
un tel mécanisme pour arriver à détruire les effe
gérations et même des tromperies qui apparaissent lorsque le malade
décrit
les symptômes qu'il éprouve. Il croit à ses pro
ée. Chacun de ces détails morphologiques, minutieusement analysé et
décrit
t par l'auteur dans ses ouvrages d'Anatomie art
tion topographique très différents qu'il est, je crois, superflu de
décrire
. Cette anesthésie de la figure est généralement
sition constitue la règle générale dans le type anesthésique que je
décris
, il n'est pas rare de trouver, en certains poin
à aucun individu sain. Les tabétiques qui ont le symptôme que je
décris
et qui conservent la sensibilité cutanée ils so
le temps, améliorer leur état. t. Celle attitude, que je viens de
décrire
, est adoptée parles malades chez qui l'insuffis
flexion n'est pas main tenue par ces ai fera fions que je viens de
décrire
, la di- rection des doigts change parce que les
it dans cette variété de la lèpre. Je ne dois point m'arrêler à les
décrire
car je ne ferais alors que répéter tout ce qui a
s décrire car je ne ferais alors que répéter tout ce qui a été déjà
décrit
avec tous les détails nécessaires dans les traité
e des os ont lieu non seulement pour les proces- sus inflammatoires
décrits
en parlant de la maladie de Morvan, mais elles
tirait l'attention sur une maladie nouvelle, ou du moins non encore
décrite
, qu'il désigna d'abord sous le nom d'atro- phie
gressive. Il empruntait celle dernière épithète à Aran qui, en 180,
décrivit
celle affection, en grande partie d'ailleurs d'
Ce cas s'écarte donc notablement du type de névrite hypertrophique
décrit
par Dejerine et Sottas, il s'écarte encore plus d
ique décrit par Dejerine et Sottas, il s'écarte encore plus du type
décrit
par Pierre Marie, mais c'est incontestablement
e phénomènes dégénératifs au niveau des cellu- les nerveuses, et ne
décrit
aucune altération portant sur la charpente grise
sentait aucune réaction dégénérative manifeste. Lorsqu'il s'agit de
décrire
le trajet que suivent les radiations du noyau r
s avons retrouvé asez nettement les phénomènes dégénératifs si bien
décrits
déjà par von Monakow. On constate, en effet, au n
est-à-dire exactement le lieu d'origine de la voie fronlo- rubrique
décrite
par vnn : Monakow. Il est vrai aussi (pie l'on
. Du reste, ce trouble d'innervation du facial inférieur que l'on a
décrit
dans les lésions de la couche optique est ordin
colonne vertébrale. Les symptômes acromégaliques que nous venons de
décrire
sont complétés par un syndrome radiologique des
dans tous les cas. ' Le cas depoly-svndactylie que nous venons de
décrire
diffère dans une e large mesure de ceux qui ont
ièrement confirmée par un curieux et intéressant phénomène que j'ai
décrit
au dernier Congrès de Neurologie à Florence (5).
ut à fait subcons- cientes. Cela expliquerait le phénomène, si bien
décrit
par Janet (3) sous le nom de a rétrécissement d
de la peau et des muscles ne saignaient pas. Dans un cas d'hystérie
décrit
par Dejerine (1), l'idée seule du froid était s
sécrétoires dans cette affection. La théorie cénesthésique que j'ai
décrite
éclaircit également l'éliologie très complexe d
rtes avec les caractères propres aux phénomènes hys- tériques. On a
décrit
des crises hystériques qui avaient leur origine d
e est parfois la cause d'aphonies hystériques rebelles. Dans un cas
décrit
par Janet (2), les zones hystérogènes, dont la
i semblent très étroitement liés avec des faits vaso-moteurs ; on a
décrit
des cas d'hé- (il Bernheim, loc. cit. (2) JAN
ne sauraient nullement expliquer. La théorie cénesthésique que j'ai
décrite
nous donne enfin l'explication du pouvoir impul
ié ». Ce syndrome, dont l'aspect est fort différent suivant les cas
décrits
, se rapproche tantôt de la maladie de Parkinson
ce proprement dite n'est pas au-dessous de la moyenne. Les crises
décrites
par le malade n'ont pas été constatées pendant le
ENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 281 Les troubles que j'ai
décrits
, quoique en principe toujours les mêmes, sont f
BLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 287 motion
décrite
; partout le réseau de fibres à myéline a une dens
t capable de faire un effort. L'intensité du trouble que nous avons
décrit
(la difficulté de mobi- liser la fonction dynam
du « slatotonus » à un tel degré. La symptomatologie que nous avons
décrite
chez notre premier ma- lade n'est pas un fait i
muscles la rapproche de la -maladie de Parkinson et de certains cas
décrits
sous l'étiquette de « symptôme du corps strié »
tanée que nous avions espérée définitive, phénomènes que nous avons
décrits
et discutés dans le mémoire de 1905 sous le tit
'- voqués. » LeDrSchnyder assiste à ces crises abdominales et les
décrit
comme nous l'avons fait; il constate que la for
ature douteuse, comme lors de la première myélopathie que vous avez
décrite
. Je ferai d'au- tant moins d'hypothèses sur la
par des troubles sensitifs et moteurs des membres inférieurs, déjà
décrite
et discutée dans l' « Iconographie » de 1905. D
e un détail peu connu dans l'histoire des compressions de la moelle
décrite
d'une manière si magistrale par Charcot et son
eurs de l'hypophyse. Frèhlich est cependant l'auteur qui a le mieux
décrit
et établi ce syn- drome qui porte aussi son nom
de 2 centimètres cubes à 5 0/0 d'extrait de lobe postérieur. On a
décrit
, à côté des formes pour ainsi dire classiques, de
yurique du bulbe de Claude Bernard est trop bien connu. Marinesco a
décrit
une polyurie chez un malade avec un glio-sarcom
polyurie chez un malade avec un glio-sarcome du bulbe. Switalsky a
décrit
la même chose dans un angiome du plancher. Enfi
prété par Brens et Kolisko comme chondro-dystropllie. Aschner eut
décrit
des cas mis en doule par Falta. Sprinzels a déc
e. Aschner eut décrit des cas mis en doule par Falta. Sprinzels a
décrit
un cas chez un individu de 17 ans, avec diabète i
c diabète insi- pide et avec une taille de 106 centimètres. Falta
décrit
un cas chez un enfant de 15 ans, avec hydrocéphal
dystro- phie adiposo-génitale (cité d'après Schûller). lllaase a
décrit
un cas de dystrophie adiposo-génitale avec diffor
hie adiposo-génitale avec difformités squelettiques. IIayenlacl a
décrit
aussi des difformités assez accentuées du squelet
TIONS CONGENITALES DES MEMBRES 339 Les fails'd'eclrodactylie totale
décrits
antérieurement à nousnesontpas nombreux. Derode
ls. Et Salmon (2), dans son étude remarquable sur les eclroméliens,
décrit
un cas dans lequel il ne restait rien des méta-
es. A cet égard, le carpe de la Planche LUT est comparable au carpe
décrit
par Salmon (1) et que cet au- teur considère à
en que l'union des doigts soit limitée à leurs extrémités. Le sujet
décrit
par (1) DEGUISE, op. cit. (2) KIRMISSON, op.
que dans les mains normales. Plus récemment, Gentès et Auharet (3)
décrivent
des anomalies artérielles importantes ; ils not
ui que nous avons précédemment étudié ou avec celui que Moucholte a
décrit
, nous constatons une diffé- rence qui pourrait
une enveloppe inextensible. C'est ce que l'un de nous a observé et
décrit
dans les cas où l'amnios, visiblement étroit, ens
ceaux de fibres névrogliques proliférées, et après lui, Alzheimer a
décrit
ces mêmes phénomènes sous le nom de u randgliose
iodes inlerparoxysinales et n'ont, comme les autres phénomènes déjà
décrits
, que peu de valeur pour le diagnostic différent
ous le nom de faisceau compact de la couronne rayonnante (CR)et qui
décrit
une courbe à concavité interne autour de l'angl
re segments sont en continuité directe les uns avec les autres. Ils
décrivent
tous une courbe autour de l'angle externe du vent
paisse, est formée de Sa division en quatre segments. La courbe
décrite
par ces segments autour do l'angle externe
e la partie moyenne de la première circonvolution limbique (L,). Il
décrit
autour de l'angle externe du ventricule un croc
et interne du lobe occipital, affectent une direction sagittale et
décrivent
, autour de l'extrémité antérieure de la corne s
ndelette optique (Fig. 12, 31, 32, et T. 1 ? Fig. 325), on les voit
décrire
une anse à convexité antérieure : la partie ext
ieure du pulvinar (Pul) en se réunissant en un faisceau compact
décrit
par Ar- nold sous le nom de fais- ceau tempor
tiellement dégénéré (Fig. 31), la courbe à convexité antérieure que
décrit
le segment sous-lenticulaire de la capsule intern
r la bandelette optique. La surface de section du pied du pédoncule
décrit
sur ces coupes une courbe à concavité interne et
portent, en d'autres termes, comme le pes lemniscus et ont même été
décrites
sous ce nom par quelques auteurs. Pour éviter t
titution du pied du pédoncule cérébral, telle que nous venons de la
décrire
et l'origine purement corticale de ses fibres, on
eu dans la profondeur, mais le crochet que les fibres de projection
décrivent
autour des fibres calleuses est très manifeste
par analogie se demander si le faisceau sagittal occipito- frontal
décrit
par Forel et Onufrowicz, Hochhans, etc., dans les
ue, le tableau clinique sera celui de la paralysie pseudo-bulbaire,
décrite
par Lépine en 181l. La localisation anatomique
ope, la paralysie pseudo-bulbaire paraît relever de la localisation
décrite
par Lépine et retrouvée depuis par plu- sieurs
convolution du crochet, et s'arborisent autour des nids cellulaires
décrits
par Ganser, Cajal et Calleja. Les radiations ol
ations à l'aire olfactive et au septum lucidum. Ce faisceau a été
décrit
chez les reptiles et les oiseaux par IIonegger,
s du trigone, l'homologue du faisceau des mammifères macrosmatiques
décrit
par Forci sous le nom de fornix fongus. Ces f
ivant les sujets. Dans le Tome premier de cet ouvrage, nous avons
décrit
ce petit amas ganglionnaire sous le nom cle tuber
ssus du trou de Monro, passer en avant de la commissure antérieure,
décrire
une courbe à convexité- antérieure plus accentu
x longus croise', fait nié par Kolliker. Les libres extraammoniques
décrites
par Forel, puis par Ganser, Honegger, Mayer Edi
ce grise avoisinante (Kôlliker, Vogt). Le plus grand nombre se coude,
décrit
une sorte de genou et ne fait que traverser le
radiant et dans lequel 1 il se termine par des arborisations libres
décrites
par Kôlliker en lS9 : p. On sait que pour les a
aisceau de Vicq d'Azyr consti- tuaient un seul el même faisceau qui
décrivait
un 8 de chiffre dans le tubercule mamillaire. G
alotte. Elles se terminent finalement dans deux amas ganglionnaires
décrits
par Gudden, les ganglions profond et dorsal de
idus et dans le noyau caudé. Dans le pulamen de l'homme, Külliher a
décrit
en outre des cellules de petite ou de moyenne d
cette lame avec la zone de Wernicke et la courbure que le pulvinar
décrit
autour du cops genouillé externe. Méthode de Weig
rnicke, l'existence d'un fais- ceau d'association cortico-slrié, et
décrivent
comme tel le faisceau occipito- frontal ou fais
dullaire externe (lme) sépare le puta- men du globus pallidus; elle
décrit
une courbe à concavité interne, s'étend dans le
oyaux : les noyaux antérieur, exlerne, interne et le pulvinar. Luys
décrivit
un cinquième noyau profondément enclavé entre l
ous le nom de couche ventrale du thalamus ; v. Tschisch et Flechsig
décrivirent
dans cette même région ventrale un noyau aplati
des différents groupes cellulaires avec la cortica- lité cérébrale,
décrivit
, dans chacun des quatre noyaux lhalamiques prin-
rents noyaux du thalamus appartien- nent aux deux types de cellules
décrits
par Golgi (Voy. T. 1"1', Histogenèse, p. 170).
é de ces cellules étoilées à longs prolongements ramifiés, Kôlliker
décrit
une autre forme cellulaire, les cel- lules péni
ervalles. Chez le chat, le lapin, le chien, Nissl et v. Monakow ont
décrit
, il côté de ce noyau antérieur principal (ant.
plante comme une sortedegouttière sur la lame médul- laire interne,
décrit
dans son ensemble une courbe à concavité inférieu
couche optique montrent qu'elle n'atteint pas le pulvinar et qu'elle
décrit
deux courbes en sens inverse présentant ainsi l
uteur du thalamus, repose sur la région sous-thalamique de Forel et
décrit
une courbe autour des parties anté- rieure et e
pes horizontales microscopiques sériées, la lame médullaire externe
décrit
une courbe à convexité externe, très peu pro- n
one réticulée est beaucoup plus épais que son segment antérieur. Il
décrit
une courbe à convexité externe beaucoup plus ac
ques en avant et en bas. Les premières montrent nettement la courbe
décrite
par le pulvinar (Fig. 311, 282); les autres, le
ons ré- tiniennes. quées, alternativement grises et blanches, qui
décrivent
une courbe à concavité postéro-interne, d'autan
reil olfactif; signalé par Serres (182 1 -1826) et par Luys (1865),
décrit
plus spé- cialement par Slieda (18G9), il doit
confinés au voisinage du corps cellulaire. Le cylindre-axe est fin,
décrit
plusieurs méandres, émet quelques collatérales
). - Soupçonné par Stiéda et par Luys, le faisceau rétrollexe a été
décrit
par Meynert. qui le désigna d'abord sous le nom
vertébrés inférieurs et chez la plupart des mammifères, ce faisceau
décrit
un trajet rectiligne et qui semble tiré au cordea
développement considérable du noyau rouge, le faisceau rélro- Ilexe
décrit
de chaque côté du troisième ventricule une courbe
la substance perforée postérieure ou que, se comportant de la façon
décrite
par Meynert, elles se continuent avec des fibre
ec la substance perforée postérieure. Découvert par v. Gudden, bien
décrit
par Forel, puis par Mayser et par Ganser, le ga
, et dont l'aspect est caracté- ristique de cet amas ganglionnaire.
Décrite
par v. Gudden, Ganser, Edinger, cette dispo- si
constate qu'elle ne se termine pas dans le côté opposé, mais qu'elle
décrit
plusieurs méandres horizontaux qui occupent tou
nalé ces dispositions en disant que les fibres du faisceau de Meynert
décrivent
des 8 de chiffre dans l'épaisseur du ganglion i
amique (Fig. 21" 28, 33, 7, 15, 253, 310, 311, 323, 324, 325), bien
décrite
par Forel en 1877, est une petite région aplati
ient au corps strié (noyau caudé, putamen et globus pallidus). Bien
décrit
par Forel en 1877, il a été décou- vert par Luy
oit pas être confondue avec l'olive supérieure ou protubérantielle,
décrite
en 1859 par Schroeder Van der Kolk, et située d
du pédoncule céré- bral et la capsule interne (Fig. 311). On peut
décrire
au corps de Luys deux faces convexes, deux bords
ticulaire n'est pas signalé. J. Stilling déjà en 1878 et 1882 avait
décrit
à la bandelette optique et au chiasma une racin
embouchure de l'aqueduc de Sylvius, où elles forment un petit noyau
décrit
par Darkschewitsch. La méthode de Weigert-Pal rév
ique posté- rieure a été signalée et figurée par Forel (1877), bien
décrite
parSchnopf- hagen (1877), par Ganser chez la ta
de Meynert (CM). La commissure désignée sous ce nom par Gudden, et
décrite
par Meynert sous celui de commissure de la sub-
(Fig. 321, T. 1'), on trouve un petit entre- croisement commissural
décrit
par Gudden (1879) sous le nom de fais- ceau du
fait pas mention du faisceau du tuber cinereum; la commissure qu'il
décrit
dans la substance grise centrale occupe la part
résentent les branches terminales du nerf olfactif des auteurs, qui
décrivaient
comme tel le bulbe, le pédoncule et les stries
externe et pulvinar) par l'intermédiaire des fibres que nous avons
décrites
(Voy. cas Rivaud, Fig. 160, p. 162). Il contien
u quadrant inféro-externe. Ces deux faisceaux se portent en dedans,
décrivent
, ainsi que Kôlliker et Michel l'ont montré, au-
t l'angle antérieur controla- téral du chiasma. Ces dernières, bien
décrites
par Michel, et dont, l'existence a été confirmé
vec les libres les plus externes du faisceau nasal ou croisé et qui
décrivent
même des courbes dont la convexité se rapproche
eaux ne forment pas des faisceaux fermés, leurs fibres divergent et
décrivent
des sortes d'anse. Nil, nerfs optiques. - xll,
l'appareil visuel antérieur con- tient encore une voie centrifuge.
Décrites
par Ramon, v. Gehuchten et v. Kôlliker dans le
l visuel possède-t-il d'autres connexions que celles que nous avons
décrites
avec les centres ganglion- naires de la vision
ales connu sous le nom de commissure de Gudden. Chez le lapin, on
décrit
sous le nom de commissure de Gudden, de commissur
bilatérale des nerfs optiques, avec faisceau aberrant direct sain,
décrit
sous le nom de commissure de Gudden un faisceau q
les pédoncules cérébelleux supérieurs et la valvule de Vieussens et
décrite
par Ilis sous le nom d'isthme postérieur (Fig.
par Malacarne qui ne croyait pas à son existence constante, et bien
décrite
en ] 861 par Stilling. Les hémisphères cérébell
NERVEUX. Les [bords très épais, obliques en arrière et en dedans,
décrivent
une courbe à convexité postérieure et corresponde
des auteurs sur le nombre des lobes et lobules du cervelet. Un tel
décrit
trois lobes au vermis; un autre lui en assure h
trois lobes au vermis; un autre lui en assure huit à neuf. Les uns
décrivent
cinq lobes aux hémisphères, les autres neuf à d
bles, ces quatre lobes secondaires sont tous disposés en croissanl,
décrivent
une courbe concave en avant et concentrique à l'é
le lobe quadrilatère, sépare le lobe du culmen du lobe du déclive,
décrit
une courbe à convexité postérieure très accusée,
re. Le bord supérieur est tapissé de lamelles sur ses deux faces et
décrit
une courbe en N ou en L, d'autant plus accusée
de lames et de lobules obliques en avant et en dehors; les internes
décrivent
une courbe à concavité anlé- rieure et inférieu
pé- rieur au lobe postérieur du cervelet. Les externes, plus longs,
décrivent
une courbe en S italique et sont la continuatio
particulier le tubercule valvulaire (Tv) de la pyramide du vermis,
décrit
une courbe à concavité antérieure et interne, c
la lèvre supérieure du grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr,
décrivent
des courbes plus ou moins régulières, et sont s
nal antérieur. Les lames et lamelles de ces segments hémisphériques
décrivent
toutes en général une courbe concave, en avant
al dans la région du vermis, où il sépare la pyramide de la luette,
décrit
de chaque côté une courbe à concavité interne q
ne supé- rieur. Sillon médian. Conformation extérieure. On peut
décrire
au cerveau rhom- boïdal, après ablation du cerv
le médiane du cerveau rhomboïdal, elle a conduit quelques auteurs à
décrire
à la protubérance une face supé- rieure et une
re de la troisième paire (Accessorii dei molori communi); Ilenle le
décrivit
sous le nom de taenia pontis , et Arnold sous cel
velop- pement. L'olive inférieure ou bulbaire (Oi , Fig. 349)
décrite
par Eustachi et Vieussens est un corps ovoïde
estiforme avec lequel il pénètre dans le cervelet. Ce faisceau bien
décrit
et figuré par Foville a été désigné par Flechsi
ant et lisse (Fig. 354), et tapissé par l'épithélium épendymaire.
Décrit
, par Magendie, tour à tour, contesté, nié ou admi
rifice presque constant signalé par Bochdalek (1849), Luschka, bien
décrit
par Axel Key et Retzius (1870), puis par Hess (
de nouveau et se termine par une excavation angulaire très accusée,
décrite
par Ilérophile sous le nom de calamus se,il)to2
u'au sommet de l'aile blanche interne où il se perd, et que Retzius
décrit
sous le nom de funiculus separans. L'aile bla
La partie supérieure, S2lS-vetl)'tC2llatt'e de celle ligne d'arrêt,
décrit
dans son ensemble une courbe à convexité supéri
lleux supérieur et du pédoncule cérébelleux moyen (Fig. 337) ; elle
décrit
ensuite une courbe à pente douce, oblique en ba
horoïdienne sur la substance blanche du nodule; de chaque côté elle
décrit
une courbe à CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBE
de ... lobes latéraux d1 constituent dans leur ensemble la figure
décrite
par les anciens analo- cervelet. lattlrati-< d
noyaux irréguliers, homologues des corps juxta-olivaires du bulbe,
décrits
par Meynert sous le nom de corps dentelés acces
sinage du hile par des fibres arquées, sectionnées obliquement, qui
décrivent
des anses, des courbes à concavité inférieure (fi
URE DU RHOMBENCÉPHALE. 5 atteignent le raphé, s'y entre-croisent et
décrivent
sur les coupes transver- sales une vaste courbe
guré déjà par Santorini, Vicq d'Azyr et Reil, a été dénommé et bien
décrit
macroscopiquement par Burdach et par Stilling, et
les, séparés les uns des autres par de la sub- stance grise et bien
décrits
par Forel; ils se portent en haut et en dehors,
fibres radiculaires du nerf vestibulaire ; ils ont été tour à tour
décrits
sous le nom de racine de Roller, racine ascenda
te formation se détachent de nombreuses fibres arciformes (fad) qui
décrivent
, autour de la substance grise cen- trale, des c
transversales de l'étage antérieur de la protubérance. Nous avons
décrit
plus haut (voy. p. 73) le trajet de la voie pédor
n avant et en dehors où elles se concentrent en un faisceau compact
décrit
par Bechterew sous le nom de faisceau central d
o). Les fibres entre-croisées se portent t en dehors et en arrière,
décrivent
des arcs en avant de la substance grise central
ftllet des auteurs anglais. Synonymie eL Historique : En 1809, Reil
décrivit
sous le nom de ruban (Schleife) un faisceau sit
ment colorés par la laque hématoxylinique, qui se portent en avant,
décrivent
des arcs autour de la substance grise centrale
ur la coupe S 1 (Fig. 408), avec la valvule de Vieussens, mais elle
décrit
, sur cette coupe S 3 et sur les coupes immédiatem
), ainsi que la coupe S5 (Fig. 413) le faisait du reste prévoir; il
décrit
une courbe à concavité supé- rieure et antérieu
euse (Oc). Celle-ci ne présente pas encore sa forme annulaire, mais
décrit
une courbe à concavité inférieure, ouverte en bas
t se trouvent ici sectionnées parallèlement à leur axe. - La courbe
décrite
par l'olive cérébelleuse sépare nettement sur cet
ernes (fsme), situées en arrière et au-dessus de l'olive. Celles-ci
décrivent
sur les deux coupes une courbe à concavité inféri
tre part, les fibres transversales supérieures de la protu- bérance
décrivent
une courbe à convexité supérieure et atteignent s
ieure et le ruban de Reil latéral du côté opposé. Dans ce trajet il
décrit
une courbe à convexité supérieure très accentuée,
obliquement à leur axe. La section intéresse en effet le coude que
décrit
le pédoncule cérébelleux inférieur au niveau du
noyau du nerf moteur oculaire externe, dont les fibres radiculaires
décrivent
de légères courbes, se détachent de la partie i
e du noyau de la VIe paire (Nvi). Les fibres radiculaires du facial
décrivent
dans la région inférieure de la protubérance un
ossette laté- rale du bulbe, non loin du noyau d'origine. Le facial
décrit
ainsi dans son trajet intra-protubérantiel une
Celles-ci se disposent en deux groupes de fibres presque parallèles,
décrivent
des courbes régulières autour du pédoncule céré
fsme) font suite al' entre-croisement com- missural (Eca); elles ne
décrivent
plus dans leur ensemble un grand arc régulier a
rsales du pont, et se réduisent en arrière à un mince fascicule qui
décrit
un courbe très prononcée autour de l'extrémité
égion elles ne contiennent presque que des fibres d'association, et
décrivent
dans leur ensemble un arc à concavité antérieur
me abandonne ainsi à la calotte de nombreuses fibres arciformes qui
décrivent
des courbes à concavité interne, postérieure et
es de l'hypoglosse (XII) disposées en trois fasci- cules, dont l'un
décrit
dans la région du hile de l'olive un trajet sinue
euses fibres arciformes interréliculées (fir) fortement colorées, qui
décrivent
des arcs autour de la substance grise centrale,
orisent dans ces couches. Si nous dérogeons aux habitudes prises de
décrire
les couches céré- belleuses de dehors en dedans
figuré par v. hùllil : er, Deiters, Koschewni- koOE, a été bien
décrit
l par Golgi. Il naîtpar un cône d'origine du
deux ou trois collatérales récurrentes découvertes par Golgi, bien
décrites
par Cajal, Retzius, v. K6lliker, etc. Elles se
axile ; les cellules auxquelles appartiennent ces dendrites ont été
décrites
par Azoulay, sous le nom de cellules éloilées e
miques eu saule pleureur. Falcone en 1893, et Cajal en 1895, ont
décrit
, chez la souris et le chai nouveau-né, dans la
es, autochtones, multipolaires et étoi- lées, de grandeur variable,
décrites
par Golgi et par Cajal. Les unes, petites C'D
laire. Le cylindre-axe se comporte d'une façon toute spéciale, bien
décrite
par Cajal. Mince et grêle à son origine au nive
mant les fibres dites cle Bergmann. La signification de ces fibres,
décrites
par Retzius et Key en 1875 et par E. Schultze, n'
d'un corps cellulaire situé en dedans de la couche moléculaire, et
décrivit
la forme étoilée des cellules névrogliques de l
nsèrent à la pie-mère par un petit renflement conique ou piriforme,
décrit
il y a déjà longtemps par Deiters et E. Schultze.
unes avec les autres en formant un feutrage extrêmement dense, bien
décrit
par v. Kôlliker, qui s'étend jusqu'à la substan
ciation intracorli- cales ou fibres en U de Meynert, que nous avons
décrites
dans les couches profondes de l'écorce des sill
ères. C'est dans celle région que Stilling, il tort à notre avis, a
décrit
deux zones d'entre-croisement, l'une interne, l
des fibres semi-circulaires du cervelet. - Les libres de ce système
décrivent
toutes autour du corps dentelé et de la paroi e
ciliaires. Les fibres du groupe externe (fsme, Coupe C4, Fig. 463),
décrites
par Stilling sous le nom de fibres semi-cÍ1'cul
icule, sont situées en dedans de l'olive cérébel- leuse, et ont été
décrites
tour à tour sous les noms de : segment interne
ec le pédoncule cérébelleux inférieur (Pci) (coupes S6 6 et S7). Il
décrit
une courbe à concavité inférieure, il est situé a
upes S8 et S9, p. 612 et 613), les fibres semi-circulaires externes
décrivent
toujours leur courbe à concavité inférieure au-de
qui l'enveloppe, sous l'aspect de faisceaux presque parallèles qui
décrivent
des courbes régulières autour du pédoncule cérébe
noyau dentelé, à la courbe à concavité inférieure qu'elles doivent
décrire
(voy. Coupe vertico-transversale, Fig. 316), avan
tôt avec les fibres semi-circulaires externes Le crochet qu'elles
décrivent
en arrière de 1 olive cl'rélJcl- leuse. Leu
e : elles sont en effet intéressées au niveau du cro- chet qu'elles
décrivent
autour du bord postérieur de l'olive cérébelleuse
bord des circonvolutions temporales. Les bandelettes optiques (BO)
décrivent
en arrière du chiasma (CH) une courbe en fer à ch
orme la limite externe de la base du cerveau; c'est elle dont le bord
décrit
la concavité dont nous avons parlé et qui se Cont
iennent difficiles à suivre. Le tractus transversus pedunculi a été
décrit
par Féré sous le nom de faisceau en e'charpe ou d
régulièrement plane. Toutes les parties que nous avons sommairement
décrites
comme appar-enant soit à la face supérieure, soit
rrière le pilier descendant de la voûte (DF). Dans son ensemble, elle
décrit
une courbe à convexité supérieure, qui continue l
Vicq d'Azyr, qui avait reconnu l'existence du pied du septum, l'avait
décrit
sous le nom de pédoncule antérieur du corps calle
quelle elle semble adhérer, fait suite immédiatement à la voûte; elle
décrit
ainsi une grande courbe à concavité antérieure, d
la même façon que le pilier antérieur (DF), faisant suite au trigone,
décrit
une grande courbe à concavité postérieure. Sur la
rière le splenium que le tœnia tecta augmente de volume et commence à
décrire
des sinuosités. Un de ses replis, sous-jacent au
al semblaient inextricables à ce point qu'on renonçait d'avance à les
décrire
, Gall et Spurzheim eurent la témérité bien inspir
deux incisures semblent être sur le prolongement l'une de l'autre et
décrire
une courbe à concavité inférieure, parallèle à la
elié au lobe ocipital (0) par deux plis : un pli supérieur (n 0), qui
décrit
une courbe à concavité interne autour de la sciss
s constituantes du lobe frontal ont la disposition générale qui a été
décrite
; toutefois, le premier sillon frontal (/i) se con
l on peut reconnaître encore les trois circonvolutions que nous avons
décrites
(G1-, 0-, O3). Mais leurs limites ne sont pas rep
fait le tour de la branche verticale de Sylvius, forme le cap (CAP),
décrit
une nouvelle courbe autour de la branche horizont
e est indiquée sur le schéma 53. Nous n'avons ici rien de nouveau à
décrire
. Pour les plis que nous n'avons pas encore signal
xtrémité supérieure, de telle façon 1. Le cerveau représenté ci est
décrit
complètement dans le texte de cet ouvrage (voy. p
mplication de cette circonvolution est telle qu'il faut renoncer à la
décrire
et qu'on doit se borner à la considérer telle qu'
de démarcation entre la tète et la queue; l'ensemble de ce noyau gris
décrit
une courbe dont la concavité inférieure contourne
ans du l'ascia dentata. 2. C'est à tort que beaucoup d'auteurs ont,
décrit
l'ergot de Morand comme appartenant à la face inf
ous appellerons provisoirement triangle sous-calleux, a été fort bien
décrite
par M. Testut. Elle se compose des fibres médiane
R. La seissure de Rolando, obliquement dirigée en bas et en avant,
décrit
des sinuosités plus ou moins anguleuses : elle sé
que de Sylvius (OR). Nous venons de dire que la scissure de Rolando
décrit
des sinuosités anguleuses. Parmi ces sinuosités i
jette dans le post-rolandique inférieur (p2) p. Le sillon pariétal
décrit
d'avant en arrière une grande courbe à concavité
E DROIT Les analogies de cet hémisphère avec celui qui vient d'être
décrit
sont telles qu'il est inutile de reprendre par le
is elle présente ici une disposition un peu différente de celle qu'on
décrit
ordinairement dans, le cerveau schématique. Cette
que, à ce niveau, est représentée par deux plis (PSO, PEN) qui seront
décrits
plus loin; le lobe pariétal est représenté par le
la circonvolution limbique (C), au-dessous du genou du corps calleux,
décrit
une double courbure : convexe en bas, à l'origine
our du sillon (si), branché sur le quatrième sillon occipital {oQ. Il
décrit
donc une courbe à concavité antérieure autour de
p plus rapprochée du corps calleux que sur la figure précédente. Elle
décrit
une courbe à convexité antérieure, qui n'est inte
e passage pariéto-limbique (xL). sF. Le premier sillon sous-frontal
décrit
, lui aussi, une courbure régulière au-devant du g
du grand pli de passage fronto-limbique (tcF). Déjà à ce niveau elle
décrit
un méandre dont la forme rappelle celle de l'ourl
'aspect d'une pellicule triangulaire, que M. Testut nous semble avoir
décrite
mieux que personne avant lui., Cette portion de l
réunis en sont un autre. Ces deux derniers noyaux sont quelquefois
décrits
ensemble sous le terme générique de glohus pallid
on bord est sinueux. C'est la section transversale d'un faisceau bien
décrit
par Meynert sous le nom de fasciculus relroflex.
major (FOi) dont la direction reste la môme. LFE. La lame festonnée
décrit
verticalement sa courbe en fer à cheval autour de
est celle au-dessous de laquelle le faisceau compact du fornix (FCF)
décrit
son anse en fer à cheval. Elle rétrécit le passag
e lobe carré. FCF, le faisceau compact du fornix et (cin) le cingulum
décrivent
une concavité anléro-interne au devant de laquell
et situé en dehors de lui. Ces deux faisceaux dirigés de bas en haut,
décrivent
une courbe à concavité antérieure où se loge le f
ande partie de la profondeur du grand sillon occipito-temporal. On la
décrit
sous le nom de cuissart de Malacarne ; et la plup
e faisceau supérieur du forceps, bien séparé du faisceau moyen (FOm),
décrit
une grande courbe à concavité dirigée en bas et e
e la couche inférieure (FL3) de ce faisceau (voy. fig-17 et 18). Il
décrit
donc, d'une façon générale, une grande courbe à c
sur les coupes déjà étudiées. FOs. Le faisceau supérieur du forceps
décrit
son arc à concavité inférieure et interne tout au
Cm. Le cingulum. Au voisinage du sinus du corps calleux, le cingulum
décrit
une courbe à concavité antérieure, embrassant le
I). Cin. Le cingulum est visible sur deux points. Nous savons qu'il
décrit
un arc à concavité antérieure. Ce sont les deux e
térieure. Ce sont les deux extrémités de Arc à concavité antérieure
décrit
par le cingulum. Sur une coupe vertico-transversa
ours recourir lorsqu'on étudiera la corne d'Ammon, M. Mathias Duval a
décrit
ces replis du fasciola cinerea avec un soin tout
pas moins permanents. Cette circonvolution est bien telle que l'avait
décrite
Broca, un seul et môme pli fondamental, modifié s
é-rieurs qui représentent le cingulum. i". coupes précédentes. Il
décrit
, dans le sens de ses fibres, un are à concavité a
où il est le plus vertical. 11 n'en est rien, attendu que le splenium
décrit
, lui aussi, une courbe à concavité postérieure, d
calleux (ce). Les fibres de ce faisceau rayonnent en éven tail, mais
décrivent
clans leur ensemble une courbe à concavité antéri
la partie postérieure et inférieure du corps calleux. Les sinuosités
décrites
par le fasciola cinerea rendent compte des différ
s calleux (LMA). Ces deux parties fondamentales doivent toujours être
décrites
l'une après l'autre. Sur la figure 51, la subst
lle les recouvre l'une et l'autre. Mais comme ces deux couches grises
décrivent
des ondulations, et comme ces ondulations sont to
té ces couches elles-mêmes. Toutes les fois, en effet, qu'un faisceau
décrit
une courbe, et que cette courbe est intéressée pa
essus du corps calleux, puis au-dessous de la corne d'Ammon. Comme il
décrit
un trajet arqué à concavité antérieure établissan
ond, repousse toujours en dedans le faisceau sensitif (FSe, FSi), qui
décrit
une concavité externe, en général située vers le
ion invaginéc s'appelle straluni lacunosum (LST). Mais, après avoir
décrit
son trajet circulaire autour de la convexité infé
on de l'hippocampe, avant de se terminer dans le fascia dentata (Fd),
décrit
une double courbe dont le sens est invariable. C'
tractus blanc une couche spéciale, surajoutée à la constitution déjà
décrite
de la corne d'Ammon. Sur la coupe 54 on remarquer
(Laq1); par conséquent il se porte en avant et en dehors obliquement,
décrit
une courbe à concavité interne, passe, comme une
nant ainsi à la couche de Reil. Puis il s'infléchit en dehors (Laqs),
décrit
le môme arc à concavité interne, en avant et au-d
oyau rouge de la calotte (NR). Or, en fait, le fasciculus retroflexus
décrit
bien une courbe à concavité postérieure; mais son
rayonnante du thalamus (fig. 68), issue en grande partie du pulvinar,
décrit
une courbe au-dessus de la bandelette sous-optiqu
t distinctes des deux noyaux interne et externe, pour qu'on renonce à
décrire
le pulvinar comme une portion commune à ces deux
quelquefois tronqué (fig. 73), est dirigé en dehors, et dont la base
décrit
une concavité qui regarde en dedans, à la hauteur
fascia dentata recourbé en avant et en dedans. L'arc de cercle qu'il
décrit
a sa concavité dirigée en arrière ; cet arc est l
5, 88), accompagnant toujours le corps godronné dans ses ondulations,
décrit
, elle aussi, un arc de cercle à concavité postéri
voy. plus loin) ; à leur partie externe se trouvent les fibres, déjà
décrites
, de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, f
nsversal, entre l'étage inférieur (FM) et l'étage supérieur (LTE). Il
décrit
une courbe à concavité supérieure; son extrémité
ieur (FLP). Sur la coupe 90, on distingue, en dehors du trajet déjà
décrit
du faisceau longitudinal, une traînée grise (FLP)
e le contour de la couche optique (Th) à travers laquelle les parties
décrites
sont censées visibles ; LML, lame externe du thal
ranchement arrêtée sur tout son bord supérieur. La ligne sinueuse que
décrit
la face supérieure du faisceau longitudinal infér
gment inférieur de la capsule interne (GIF, fig. 94). Sa lame grise
décrit
des méandres moins élevés ; sur la coupe 94 elle
fibres. 11 épouse la courbure convexe de celui-ci, et par conséquent
décrit
une concavité regardant en dehors. Parvenu un peu
e, ganglion de la capsule interne, corps de Forel, a surtout été bien
décrit
par M. Luys, du moins au point de vue de sa forme
sule interne (radia-tio fasciculi posterioris). la planche XXVll il
décrit
une courbe à convexité supérieure. La concavité i
e perforé postérieur EPA. Dans la première portion de son trajet elle
décrit
donc une courbe à concavité supérieure ; cette pr
-Meynert, le faisceau sensitif interne que nous avons déjà longuement
décrit
. Il se confond bientôt (fig. 102) avec la racine
'anse du noyau lenticulaire (ANL). De cette façon, il est légitime de
décrire
le fascicuîus rctroflex comme un faisceau croisé.
passer à la partie postérieure de l'espace perforé, le faisceau (Thl)
décrit
encore une courbe à convexité antérieure. Les deu
la voûte, au sommet même de la parabole que parcourt ce pilier. Elle
décrit
une courbe en fer à cheval à convexité antérieure
isceau géniculé (FG, fig. 113), venu de la capsule interne (FG, 111),
décrit
une courbe en spirale avant de gagner le pied du
. Le noyau de l'anse, comme toutes les couches de la base du cerveau,
décrit
une courbe à convexité supérieure. Les coupes en
exagération voulue (la commissure, en effet, vue ici par derrière, ne
décrit
pas une spire complète autour de son axe). On rem
mpact ou au faisceau diffus du fornix (schéma 187). Nous avons déjà
décrit
le faisceau diffus du fornix comme un grand faisc
es sont presque transversales; elles sont au sommet de l'arc qu'elles
décrivent
. Plus loin encore elles sont représentées simplem
ig. 124) sous le globus pallidus et sur la ligne médiane, puisqu'elle
décrit
un arc à concavité antérieure. Ici deux mots d'ex
ux mots d'explication sont indispensables. La commissure antérieure
décrit
souvent un arc à convexité antérieure régulière;
la ligne médiane, au-dessus de l'espace perforé antérieur, de façon à
décrire
deux convexités latérales. Si la convexité antéri
au que nous étudions actuellement. Mais la commissure antérieure ne
décrit
pas seulement cette double courbe. En môme temps
l'hémisphère (fig. 127) ne diffère pas d'abord de ce qui a été vu et
décrit
jusqu'à présent. Mais à partir de la coupe 129, o
u contraire, sur la figure 9 elles sont horizontales. Nous avons déjà
décrit
le trajet recourbé des fibres en question, qui co
caudé (RNC) envoie à la capsule externe (CE) des fibres dont la masse
décrit
une courbe à concavité postérieure. Nous savons l
le de reconnaître toutes les parties que nous avons déjà énumérées et
décrites
. Mais certaines particularités méritent d'être ob
Dr A. Gianelli sont par- venus à la suite de la comparaison des cas
décrits
de maladie des lobi frontales ou cerveau fronta
, mais non l'expli- quer. Le fait lui-même n'était pas complètement
décrit
: si au bras nous avons une contraction des flé
ction, avec un sérieux plein de fierté et de menace. Kahlbaum (1)
décrit
un maniaque fort gai qui devint tout il coup ex-
il n'avait même aucune idée à ce sujet. Un malade comme celui qu'a
décrit
d'Or- mea (2) lequel s'habillait comme un saint
st plutôt portée à l'exaltation, il n'en est pas moins vrai qu'on a
décrit
de ces apparats symboliques, en rapport avec des
entiellement dépressifs de déments. Vous souvenez-vous de ce malade
décrit
par Kraepelin (3) qui portait son bras lié par un
Ambrosius Barth- Leipzig. 80 GALVANO BOSCHI cet autre malade
décrit
par Merklin (1) qui portait une armure de 12 kil.
urs que lui envoyaient ses ennemis ? et de ce paranoïde fantastique
décrits
également par Weigandt (3), qui portait une ban
ur- tout pour le dernier cas). - Enfin, les trois crânes brièvement
décrits
par Bonsdorff (5), Manouvrier (6) et Romiti (7)
eraient pourtant pas constants, à en juger d'après les quelques cas
décrits
par d'autres auteurs. La forme de la région occ
es (2). Ces observations ne sont pas uniques. Le crâne dysostosique
décrit
par Terry avait les pariétaux divisés en deux p
ivants la plupart des anomalies de la base du crâne que je viens de
décrire
. Seuls, le renfoncement de la région auriculair
uvent confondu l'une des formes avec l'autre et que beaucoup de cas
décrits
au chapitre de la poliomyélite aiguë des adulte
igoureuse. Je peux rappeler, au contraire, que quelques auteurs ont
décrit
une para- lysie infantile cantonnée exactement
acille de Koch, mais à ses toxines : dans la majeure partie des cas
décrits
, en effet, le foyer bacillaire primitif était l
lose ; il s'agissait donc d'un cas pur, analogue à ceux qui ont été
décrits
par Vierordt, Rosenheim, Se- nator, Charcot et
re. En présence des modifications structurielles que nous venons de
décrire
, nous pouvons seulement nous demander si elles
vient évidemment à y retrouver les principaux caractères qui ont été
décrits
par Nissl sous le nom de maladie chronique des
uleux avec la méthode de Marchi est sans doute Simon (1868-70), qui
décrivit
l'existence de corps granuleux dans les cordons
x dans les cordons postérieurs de ces malades. Après lui, on trouve
décrites
des altérations du même genre, tantôt légè- res
ésions médullaires dans la polynévrite tuberculeuse et ce qu'on y a
décrit
particuiiëremenr-à t'ajde de la méthode de Marchi
sentielles des cellules ni d'altérations à foyer pareilles à celles
décrites
par Minnich, Nonne, Lichteim, Eisenlohr etc. da
termes la coloration violacée des tubes myéliniques que nous avons
décrite
plus haut ne tiendrait qu'à un changement de la
re, une seule fibre colorée en noir de la même façon que nous avons
décrite
dans la moelle épinière. Le nerf sciatique re
peu fléchi, il se produisait du côté malade les mouvements associés
décrits
plus haut. Mêmes phénomènes se produisaient, si
de l'hémisphère droit. Ce malade présentait les mouvements associés
décrits
par Pitres et Camus, mais il ne présentait aucu
l eut des « attaques » que nous n'avons pas vues, mais qui nous été
décrites
par une personne qui vit l'une d'elles. A 7 heu
» dans ses jambes ; elles furent semblables à celles que nous avons
décrites
chez sa fille Alice. Le 10 novembre 1904, vers
ervation est le point de départ de tout ce travail ; son état a été
décrit
en détail ci-dessus. Mary qui vient après est n
RENCH proche beaucoup s'il n'est pas identique avec celui qui a été
décrit
par Milroy en Amérique en 1892 sous le nom de «
rit par Milroy en Amérique en 1892 sous le nom de « une variété non
décrite
d'oedèmes héréditaires », et en France en 1898
et peut-être les « attaques aiguës » auxquelles nombre des malades
décrits
ci- dessus ont été sujets. Il semble vraisembla
aît comparable, bien qu'il y ait quelques différences, aux familles
décrites
par Milroy, Meige, Rolleston, et d'autres obser
es autres observateursélaient qu'ils présentaient ce que nous avons
décrit
comme des « attaques aiguës » dont nous avons d
e rapporter. En effet si la cheiromégatieou hypertrophie de la main
décrite
pour la première fois par Charcot et Brissaud (
thyroïdienne, ont, au contraire, été moins étudiés et doivent êlre
décrits
et interprétés à part. Je passerai donc rapidem
L'hypothyroïdie bénigne chronique ou syndrome d' Hertoghe. Hertoghe
décrit
des phénomènes d'insuffisance thyroïdienne chez d
ez celles-là. Interprétation. Parmi les multiples auteurs qui ont
décrit
des psychoses dans le goitre exophtalmique, Bas
is dans ce groupe. On peut ainsi, avec L. Lévi et H. de Rothschild,
décrire
le syndrome de Basedoiv fruste, l'hy- perthyroï
n de circumduction, elle porte en avant la jambe paralysée, faisant
décrire
au pied un arc de cercle. Notre malade, au contra
légique hystérique ne marche pas tou- jours de la manière classique
décrite
par Todd : quelques-uns de ces ma- lades, il es
coxalgie hystérique diffère-t-elle ou non de celle que je viens de
décrire
dans la coxite organique ? Je n'ai trouvé dans
ie, qui a observé le premier les arthralgies hystériques, qui les a
décrites
avec tant de soin, ne dit rien sur la démarche sp
elevé presque les mêmes signes de marche paradoxale que je viens de
décrire
. Ici encore l'enfant inclinait son tronc sur la
pect que présente là main en pince que Pierre Marie et Guillain onl
décrite
dans la syringomyélie. Cette main est en effet
rmet de rapprocher le dessin d'Holbein du type de rhumatisme sénile
décrit
t par P. Marie et .Léri (1) dans lequel on retr
le réflexe rotulien. Il n'y a"guère que 30 ans que Erb et Westphal
décrivaient
le réflexe patellaire (1875), et c'est à cette
de appui. .Rappelons d'abord les caractères des lésions vertébrales
décrites
par Marie et Leri. Dans une première autopsie (
- lette tout entier. En ce qui concerne la colonne vertébrale, elle
décrit
une double courbe à grand rayon concave en avan
aque variété de ligament, et le trouver identique à celui qui a été
décrit
. Cette ossification se fait fibre par fibre, pu
un processus de compensation suivant le mécanisme si ingénieusement
décrit
par Léri (1) dans son rapport sur la pathogénie
on doi s'efforcer de donner l'attitude la plus utile. Le mécanisme
décrit
par Léri explique très clairement les caractères
musculaire d'autre part. Bechterew (1), dans le syndrome qu'il a
décrit
et qui est connu sous le nom de cyphose hérédo-
d'ankylose vertébrale. J. Tessier et ses élèves Jouve et Mayet ont
décrit
les névralgies inter- costales, crurales, sciat
moteurs. Toutefois, dans l'une comme dans l'autre affection on n'a
décrit
jusqu'ici que des lésions limitées des racines
elle présente. Dans la notice qui lui est consacrée, Winckelmann la
décrit
sous le nom de « musico infibulato ». On sait q
plus différents est par- faitement conservé et,sur demande, elle en
décrit
les caractères avec une grande exactitude et ri
e (à cause de l'âge) les mêmes caractéristiques qui viennent d'être
décrites
à propos de la main de Marguerite. Tous les os
ompa- raison de l'état d'ossification de la main que nous venons de
décrire
(d'Adrienne 15 ans 1/2) avec celle de la soeur
ce particulière, à cause de caractères dif- félqnts de ceux qu'on a
décrits
jusqu'à présent. J'ai cru utile de les faire co
s trouvons peu de cas d'acromégalie hérédi- taire ; Fraentzel (1) a
décrit
une femme acromégalique,qui eut un enfant acrom
égalie qu'en passant ; car si môme l'on s'en tient aux cas que j'ai
décrits
, on peut voir combien il est difficile d'en tir
flam, ou bien dans certains cas de cette forme de Basedow qui a été
décrite
sous le nom d'asthénique. J'ai recherché la réa
fesseur Grocco en a rappelé quelques cas; un d'un typique se trouve
décrit
dans ses leçons (1) à la page 154., il concerne
lade présente un aspect myxoedémateux. On a en effet plusieurs fois
décrit
une forte diminution du tissu cellulaire sous-c
re (presque tons les cas d'acromégalie accompagnés de syringomyélie
décrits
jusqu'à présent ont désormais été reconnus comm
ormemorlide), j'oppose ceci que dans la syringomyélie on n'a jamais
décrit
une hypertro- phie totale de la langue ; or cet
issements, exostoses, ostéophytes. Aux mains particulièrement, on a
décrit
comme caractéristique de l'a- cromégalie une al
typique d'os- téoarthropatllie chez un sujet atteint d'acromégalie,
décrit
par Beduschi (1). Mais les altérations les plus
ives. Si nous passons maintenant aux radiographies des cas que j'ai
décrits
plus haut, je dirai que dans le premier, où il
aladies ni de fractures de ces parties de corps. Ce que je viens de
décrire
et que je crois devoir attribuer à une atrophie
laires très agrandis. Dans les autres .cas d'acromégalie que j'ai
décrits
autrefois, j'ai trouvé des altérations légères,
es examens faits à des périodes diverses. Dans le premier des cas
décrits
ci-dessus, à l'examen histologique du sang, on
l'on songe que dans mes cas anciens et aussi dans les trois cas ici
décrits
, les recherches sur les échanges matériels ont to
x méthodes, je me suis servi des plus exactes, lesquelles j'ai déjà
décrites
plusieurs fois. Les^divers éléments des aliments
quoique moins denses et moins éten- dues, à gauche. Comme je l'ai
décrit
précédemment, l'écorce et les masses grises de la
tions du lobe frontal droit ne sont pas toutes les mêmes que celles
décrites
dans les observations précédentes. Il n'est pas
insula et des lésions générales de l'hémisphère gauche, qui ont été
décrites
plus haut. Pour des cas de ce genre il semble jus
les expliquer on ne saurait invoquer des lésions du genre de celles
décrites
plus haut : ces dernières sont le résultat d'une
ire; offre un volume superbement relié. La scène que nous venons de
décrire
est entourée d'un riche encadrement formé d'une
et la Tuberculose. En 1871 Lorain et son disciple Faneauclela Cour
décrivirent
parfai- tement une forme d'infantilisme « carac
s, etc. et elle est le plus souvent dénommée, d'après celui qui l'a
décrite
le premier : Infantilisme du type Lorain. M. Bris
nnent surtout les cas de sténose de l'orifice pulmonaire et mitral,
décrits
par Durety-Comte, Monnier, Potain, Gérard, Mous
de la cyanose et de la fréquente hyperglobulie. La chlorose mitrale
décrite
par Potain, G : Sée, Huchard, Bonet, ne doit pas
type Lorain. Nous avons vu que les premiers infantiles qui ont été
décrits
, étaient des hérédo-tuberculeux : de tels cas o
, Hirtz, Lorain, Faneau de la Cour, Ferranini, etc. Ce dernier en a
décrit
un joli exemple familial à propos de deux soeur
entaire, l'appétit sexuel minime. Lrancreau,Fec°raccirci, etc., ont
décrit
des cas d'infantilisme par malaria chronique ;
s cas d'infantilisme par intoxication pellagreuse chronique ont élé
décrits
par Lombroso,Ceni, Agostini ; ce dernier a obse
yxoedème infantile (Thibierge) et du myxinfantilisme magistralement
décrit
par Brissaud. Nous ferons enfin brièvement mentio
actères si nets ont pris place des formes de transition qui ont été
décrites
par Brissaud, Vivier, /He<eM.x,y7;< ? va
e nous sera beaucoup plus aisée pour les formes de myxoedème fruste
décrites
par Thibierye : celles-ci présentent plus évide
fantilisme de Lorain chez un addisonien. ' l;tl>·017b Bramivel a
décrit
un infantilisme pancréatique, et 11'ezasser croit
logique nous monlrechez les myxoedémateux frustes, tels qu'ils sont
décrits
par Hertoghe, une lésion constante et exclusive
es formes de sénilisme ou géroderme génito-dystrophique qui ont été
décrites
par Rummo et Ferranini. 1 Schuller pense aussi
les dif- férentes glandes à sécrétion interne, tels qu'il nous les
décrit
, peuvent être propres à appuyer sa thèse, mais
rectement notre étude, le tableau psychique n'est pas très facile à
décrire
et nous verrons qu'au- cune des définitions pro
cas très rares à un syndrome d'infantilisme total. C1ll'schin,q;¡ a
décrit
deux cas de cette nature ; le premier sujet, Max
ne cellule inter- stitielle. L'adiastématie précoce telle que l'ont
décrite
Ancel et Boin était donc dans ce cas la premièr
la poussée initiale : un syndrome en somme en tout analogue à celui
décrit
par Quincke. Contre le diagnostic d'hydrocéphal
re. La forte hypertension aurait causé enfin, par le mécanisme déjà
décrit
, une déformation de la selle turcique avec comp
e disposi- tion de ganglion rachidien pour y rechercher les lésions
décrites
par M. Nageotte à l'aide des imprégnations à l'
ces,on constate les aspects classiques de désintégration cellulaire
décrits
par Nissl. Les vaisseaux de l'écorce sont multi
rsale et de la première lombaire, nous avons retrouvé la forme en M
décrite
par M. Nageotte à la bandelette externe à ce ni
tériques guérissent-elles avec une cicatrice chéloï- dienne qui est
décrite
par [tous avec les caractères suivants : « Elle e
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. les membres inférieurs que nous avons
décrites
ont vu leur réflexes s'exa- gérer considérablem
e de la forme commune de la myélite syphilitique que nous venons de
décrire
que du tabes vrai; souvent l'affection reste st
point de vue clinique. Or aucun cas de ce genre n'avait encore été
décrit
jusqu'au jour où M. Brissaud en 1890 en observa
ment les plus atteintsdans la paralysie pseudo- hypertrophique pure
décrite
par Duchenne de Boulogne (3), à savoir : tout d
t point, qu'il existât ou non, constaté chez ses malades, lorsqu'il
décrivit
la forme infantile héré- ditaire de l'atrophie
3 ansi/2. Les crises persistent; M. Valmont qui en a le témoin les
décrit
ainsi : dé- but par rougeur subite et cris ; pu
scarlatine bénigne. Les progrès de l'hémiplégie que nous venons de
décrire
se sont continués, à peu près parallèlement pou
ant 7 ans. L'hystérie a donc copié dans ce cas les types organiques
décrits
par M. Charcot. Nous pouvons fournir, croyons-
sait pas atteint d'affection grave. M. IIu- chard (3) en 1882 avait
décrit
« quelques convulsions partielles hystéri- ques
nt en effet le type de ces « affections nerveuses locales » si bien
décrites
par l'auteur anglais et il est extrêmement rare
ondre si bien dés l'origine qu'il devient presque impossible de les
décrire
l'un sans l'autre ou l'un après l'autre. Cela r
atteindra un centre unique ou deux centres voisins, il y a lieu de
décrire
, après MM. Charcot et Pitres, des monoplégies p
hystérique qui simulait chez un enfant le type de l'aphasie motrice
décrit
par Broca ; il n'y avait pas de mutisme (1).
de la région pédonczsloprot2cbéz°azatielle donnent lieu au syndrome
décrit
en cli- nique sous le nom de syndrome de Weber
érance. On entend par syndrome de Weber, du nom de l'auteur qui l'a
décrit
pour la première fois en 1865, une paralysie al
émon quand je le menaçais du St-Sacrement, aucune plume ne peut les
décrire
: ses gémissements et ses soupirs déchiraient l
s et ses soupirs déchiraient le coeur. Toujours les phénomènes déjà
décrits
survenaient, lors de la bénédiction avec la sai
de longues objurgations et au milieu des phénomènes effrayants déjà
décrits
. Je continuai à lui répéter d'abandonner l'enfa
ne espèce de panaris qui a grande analogie avec la lésion récemment
décrite
sous le nom de panaris analgé- sique. Ces ulc
et des ulcérations de la syringomyé- lie. Le panaris analgésique,
décrit
en 1883 par un médecin breton, nommé Morvan, es
sés dus à des névrites traumatiques comme celles que nous venons de
décrire
, des troubles trophiques, identiques comme aspe
duits partout. Les études à venir nous apprendront s'il y a lieu de
décrire
il part l'artérite et la méningite syphilitique
s organes et appareils où il a été bien étudié. Virclow en 1858 l'a
décrit
admirablement (1) ; et il faut relire son travail
Pl. citée, lig. 6). On reconnaît la les altérations des tubes nerveux
décrites
dans un grand nombre de myélites aiguës, expéri
ion paraît avoir été beaucoup plus brutale que dans les territoires
décrits
précédemment : débris de myéline mal colorés par
.coupes transversales de larges lâches comme celles que nous avons
décrites
plus haut dans les cor- nes antérieures et dans
-axe, en voie de dégénération, semblables à ceux que nous venons de
décrire
dans la région dorsale supérieure. Mais la lésion
rvation précise de paralysie isolée des muscles oculo-moteurs. On a
décrit
par contre un ophtalmoplégie hystérique ; mais c'
t la méningite. Il n'est peut-être pas d'affection plus difficile à
décrire
en pathologie, parce qu'il n'en est pas dont les
ningites vraies (West). Parmi les pseudo-méningites, nous n'avons à
décrire
ici que lespseudo- méningites hystériques. Cett
M. le professeur Debove (3) et par M. Barié (4). Les auteurs qui la
décrivent
prétendent qu'elle n'offre rien de constant, qu
t MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 11l des cas
décrits
par M. Jules Simon sous le nom de sclérose cérébr
et qu'il croit déjà lui appartenir. . La scène que nous venons de
décrire
n'occupe que la partie supérieure du tableau, d
it. Leslroubles sensitifs sont identiques à ceux que nous venons de
décrire
. La main gauche est absolument insensible au fr
ental des cornes antérieures parait raréfié, dissocié par l'exsudat
décrit
plus haut, lorsqu'on l'examine avec un fort gross
ation active. Dans la substance blanche, les lésions que nous avons
décrites
présen- tent un intérêt tout particulier eu éga
importante : les petits champs de dégénérescence que nous venons de
décrire
se rencon- trent sur toutes les coupes en plus
ue présentée par le malade et la méningo-myélite que nous venons de
décrire
? S'agit-il d'une coïncidence, d'une complicati
s vaisseaux qui cheminent à la surface de la moelle. Le premier, il
décrit
les altérations des veines dans les lésions syphi
syphilitiques. A propos d'une observation personnelle, ces auteurs
décrivent
avec détail cette forme de lésion anatomique. Ici
pte des lésions méningées, parfois très légères dans cette forme, à
décrire
à part la phlébite et l'artérite médullaires syph
ions que nous étudions et les lepto-myélites tuberculeuses, si bien
décrites
par M. Raymond (2), mon- trant une fois de plus
ne accumulation de cellules rondes semblable à celle que nous avons
décrite
et figurée précédemment (voir fig. 3, pl.1111,11V
e fait plus aussi faci- lement. Les transformations que je viens de
décrire
sont bien visibles sur les photographies ci-joi
huent encore aux transformations physionomiques que nous venons de
décrire
, savoir : des variations dans la circulation et a
ettant, par conséquent, le caractère cortical des parésies que j'ai
décrites
, on appréciera toute la justesse des remarques fa
ique musculaire paraît normale; l'élastique est comme tendue, et ne
décrit
pas de sinuosités comme on en voit sur les coup
à rattacher à la syphilis les lésions spinales qui viennent d'être
décrites
. L'absence de caractères spécifiques n'est pas
cale. SYMPTOMES Il ne saurait être question, en l'étal actuel, de
décrire
chacune des for- mes cliniques de la syphilis m
d de toutes ces variétés. Quoiqu'il en soit nous nous attacherons à
décrire
les formes les mieux caractérisées cli- niqueme
oujours des douleurs nocturnes lombaires, telles qu'et- les ont été
décrites
plus haut; mais elles sont moins intenses. Dans l
mme il les appelle, viendront plus tard, - il crée des types et les
décrit
comme il les conçoit avec pièces anatomi- ques
nière. C'est l'époque où Duchenne, de Boulogne, son rival en génie,
décrit
l'a- taxie locomotrice, l'atrophie musculaire s
maître l'appoint de leurs connaissances spé- ciales. Je ne veux pas
décrire
cet « Institut » pour employer le terme con- sa
clinique de la myélite tralmerse dorsale telle que nous la trouvons
décrite
dans les ouvrages classiques (Leyden, Charcol, Vu
hilis dans les cas de ce genre. Les formes de paraplégies ci-dessus
décrites
sont de beaucoup les plus importantes et les pl
qu'on serait presque autorisé, faisant abstraction des premières, à
décrire
à part l'arté- rite syphilitique de la moelle,
aît les avoir observées, analysées et mé- ditées longuement. Il les
décrit
avec une loquacité et une mimique singulière- m
onne à laquelle il recommence son récit lamentable. - Parfois, il
décrit
ses souffrances sur un ton enthousiaste, se compl
nts, attitudes passionnelles, etc. C'est ainsi du moins qu'on les a
décrites
. Pendant cette période l'appétit reste normal.
crâne se faisait avec les tarières ou les trépans. On leur faisait
décrire
ou bien des demi-cercles dans un sens puis dans l
vait mis de côté la plupart des instruments que nous venons de voir
décrire
par A. Cruce. On employait encore les tenailles,
découverte remontait à Guillemeau (-1591.) et que Sabatier, en 1796
décrit
comme suit. cc L'arbre du trépan doit être cons
citations senso- rielles quelconques. Si nous envisageons les faits
décrits
par M. Ilogyes, nous voyons deux types dans l'é
alade est assise ? la contracture survient de la façon précédemment
décrite
; mais si elle est couchée, la contracture s'ef-
les mêmes mouvements de flexion et d'extension, que nous venons de
décrire
pour l'apparition de la contracture, el se pro-
V et XLV). Si nous récapitulons ces différents stades, nous pouvons
décrire
les pha- ses suivantes. : . 1. Après une duré
ontracture gauche dont les modalités sont analogues aux autres déjà
décrites
; l'excitation gustative du côté droit de la langu
la suite de l'excita- tion de lui). Tandis que les expériences déjà
décrites
démontrèrent, qu'ci l'excitation unilatérale de
La température est normale. Les phénomènes de tension mus- culaire
décrits
plus haut disparaissent progressivement; l'extrém
stipé et irrégulier dans ses garde-robes. Les symptômes hystériques
décrits
dans la première partie de l'observation persis
hant il apitoyer sur ses malheurs, heureuse quand elle s'attarde il
décrire
par le menu ses sensations. D'elle-même, elle n
de la nuque (plaque cervicale). Puis la rachialgie que les malades
décrivent
en se plaignant de douleurs dans le dos, entre
érations se manifestent par des sensations bizarres que les malades
décrivent
avec un grand luxe de détails parfois incompréh
ic. - En première ligne, il faut citer l'affection que M. Charcot a
décrite
sous le nom d'« Automatisme comitial ambulatoire
igure montre très nette- ment la déformation « en taille de guêpe »
décrite
chez les myopathiques (2). Cette déformation es
ans une même famille. Pour la myopathie atrophique progressive on a
décrit
t dès le début, à côté du type facio-scapulo-hn
icles sur les maladies transmises par hérédité, « on serait amené à
décrire
autant de formes de maladies qu'il y a de famille
rb, Scbultze, Déjerine, Raymond, Marie, Gowers, etc.. ont fort bien
décrit
ces altérations. Mais, malgré ces déformations,
i, malgré l'atrophie des grands pectoraux la déformation thoracique
décrite
par M. Marie fait- elle défaut dans le cas actu
auteurs français quelques cas comparables à ceux que nous venons de
décrire
. A. Uns. dans mémoire de Déjerine et Landouzy,
cation peut contribuer à compléter l'histoire du type d'amyotrophie
décrit
en 1886 par MM. Charcot et Pierre Marie. Observ
moins très singulière. Il ne s'agit pas non plus, de cette maladie
décrite
par MM. Déjerine et Sottas, sous le nom de névr
ormes ? Il faut voir si notre cas s'accorde exactement avec le type
décrit
par 58 SOCA MM. Charcot-Marie. Trois grands s
t que très lentement. En même temps qu'apparaissaient les troubles'
décrits
du côté des membres inférieurs, les membres supér
ne telle locali- sation de l'atrophie, caractéristique pour les cas
décrits
par les auteurs précédents, se distingue beauco
aiblissement de tous les réflexes tendineux. Si tout ce matériel,
décrit
en détail et dans le résumé, était découvert pa
et 2 soeurs de Hoffmann et 1 frère et 2 soeurs de Pelizns). Si on a
décrit
des cas de l'apparition de la maladie après l'une
ous ces éléments nerveux, des capillaires en nombre incommensurable
décrivent
des mailles serrées assurant une circu- lation
foyers. » Nous n'avons jamais observé d'images semblables à celles
décrites
par les auteurs et reproduites dans le compte r
inégalité des parois lacunaires. Mais il y a plus : ces auteurs ont
décrit
une membrane qui limiterait la cavité du côté d
r axe. Ils présentent à un moindre degré les lésions que nous avons
décrites
l'artériole centrale de la lacune, c'est-à-dire
éments globulaires. C'est d'abord une variété de noyaux qui ont été
décrits
par MM. Dupré et De- vaux (1) : « Il existe un
deuxième degré des foyers lacunaires de désinté- gration nous avons
décrit
une cavité contenant à son centre un vaisseau alt
re de vaisseaux qui présen- tent tous les caractères que nous avons
décrits
précédemment à l'artère centrale. Elles sont to
'on observe d'une lacune à l'autre. La plupart des lésions que l'on
décrit
en anatomie pathologique sont faites sur un typ
cas congénital spastis rigidity oflimbs et Heine déjà en 1840 avait
décrit
paraplegia spastica cerebralis, tandis que les
cervelet. Par le pédoncule supérieur, le noyau rouge et le faisceau
décrit
par Meynert, cette région s'unit aux zones pariét
e véritable scène d'uromancie analogue à celles que nous avons déjà
décrites
, mais avec son caractère lugubre tout particuli
ement aux urologues. Nous avons vu, par quelques scènes médicales
décrites
plus haut, que xv 13 194 PAUL RICHES l'art
ans la profondeur on sent nettement (outre l'auriculaire ci- dessus
décrit
) 3 phalanges inclinées sur la paume de la main pa
'ensemble s'effile, se terminant dans la petite massue précédemment
décrite
. Dans la masse molle, du côté radial de la main
onsultation de la Salpêtrière est vraiment bien remarquable ; on ne
décrit
pas dans quelque endroit un symptôme nerveux biza
'il a un travail devant lui. C'est bien là l'ensemble des symptômes
décrits
par M. IIaskowec : des secousses, de l'agitatio
symptôme est-il identique à ceux que l'on observe chez les malades
décrits
par M. IIaslconec, en particulier chez le second
ants et a conclu un en- gagement avec le père. Le Dr Chapot-Prévost
décrit
en outre avec certains détails le pont membrane
icatrices anciennes, d'aspect astéroïde, que différents auteurs ont
décrites
sur les faces externes de ces membres atro- phi
ibrement articulées entre elles. La malformation que nous venons de
décrire
rentre évidemment dans l'ordre des ectromélies,
par des caractères précis, de l'absence du péroné telle qu'elle est
décrite
généralement. Il resterait à déterminer, dans l
aration complète de l'écorce et de la substance blanche (altération
décrite
par Baillarger, Rey, Tuczek). Dans le lobe temp
la démence paralytique (1). Nous croyons même qu'on est autorisé à
décrire
à part une variété sensorielle de la paralysie gé
s chacune de ses portions, se modifier, ainsi que nous venons de le
décrire
, la disposition des enveloppes communes, 294 TH
athologiques du processus inflammatoire interstitiel que Nageotte a
décrit
en cette région, lui a paru être l'aug- mentati
usivement recours pour l'observation des lésions localisées qu'il a
décrites
. Elles sont d'autre part'indispensables pour l'
aux conjonctifs épais, homogènes, très analogues à ceux qui ont été
décrits
précédemment. Voyons maintenant les rapports gé
il existe des lésions de périnévritc analogues à celles qui ont été
décrites
pour la racine postérieure, mais elles sont moins
rme ovalaire dont l'aspect est le même que celui que nous venons de
décrire
. Au centre une masse de tissu conjonctif en voi
méninges molles a le même aspect flou, amorphe, clair, précédemment
décrit
. Elle semble se former par l'agglomération de mas
AR J. SÉGLAS Médecin de l'hospice de Bicêtre. En 1874, Kahlbaum
décrivait
sous le nom de Catatonie (1) un com- plexus sym
des alternatives d'excitation ou de stupidité avec leurs symptômes
décrits
ci-dessus. La maladie peut guérir, ce qui est l
gent à l'opinion de Kroepelin et, à côté de la forme hébéphrénique,
décrivent
la forme catatonique de la démence précoce. S
s cas que Kahlbaum semble surtout avoir eu en vue lorsqu'il a voulu
décrire
la catatonie comme entité morbide. Il est à rem
tient pas au pied de son lit ou le long d'un mur dans l'atti- tude
décrite
au début, il reste assis sur une chaise, la tête
gèrement incliné à droite, de telle sorte que la colonne vertébrale
décrit
une double courbure latérale, concave à droite,
andis qu'elle emprunte les autres à divers tics ou spasmes, souvent
décrits
sous des noms divers, mais encore imparfaitement
sommeil. » L'émotion exagère toujours ces mouvements. On ne saurait
décrire
avec plus de précision les caractères propres au
utenues. Démarche. La démarche est des plus bizarres et difficile à
décrire
, c'est un déclanchement de contractions variées
ticipe à ces contractions fasciculaires généralisées que nous avons
décrites
plus haut, et que, la secousse minima une fois ob
, brusques et instantanés. z Nous retrouvons ces mêmes contractions
décrites
par M. Marie dans 1,'Iiéi-édo ataxie : « Je doi
nce parfaite de cerlaius autres, offerts par nos malades, avec ceux
décrits
dans l'hérédo-ataxie et la maladie de Friedreich.
cines. - A côté des altérations parenchymateuses que nous venons de
décrire
, il existe des lésions des méninges, du tissu c
u tissu conjonctif inlra-fasciculaire (endonévrile). Nageotte qui a
décrit
ces localisations in(lammaloires, a montré qu'ell
racines postérieures diffère par bien des points de celui qui a été
décrit
en général soit dans l'intoxication expérimentale
enheim (1), W ollenberg (2), Stroebe (3), Redlich (IL). Les lésions
décrites
par ces auteurs portent sur la configuration géné
ère. Nous avons rappelé plus haut le siège et la nature des lésions
décrites
par Nageotte(2) ; quelques auteurs les ont égal
onévrite existent, elles revêtent généra- lement l'aspect qui a été
décrit
par Nageotte, et dans l'obs. V, cas de tabes ré
pulmonaire, etc.). Nageotte a répondu, il est vrai, que dans un cas
décrit
et figuré par de Massary, la lésion différait c
ésion différait complètement par son aspect des lésions qu'il avait
décrites
et figurées chez les tabétiques, mais il n'expliq
its prouvent tout simplement d'après Nageotte que la région qu'il a
décrite
présente des aptitudes pathologiques spécia- le
tions. Nous ne pensons pas toutefois qu'on doive reléguer la lésion
décrite
par Nageotte au rang des banalités, et il serai
, lorsque celle- ci est extrêmement intense (obs. I). Les lésions
décrites
par Nageotte se rattachent selon nous aux altérat
té au-dessus de lui de dégénérescence répondant au trajet récemment
décrit
du faisceau de Gowers vers le cervelet. Le se
se des coupes sériées, que les lésions mésodermiques que nous avons
décrites
plus haut n'ont altéré en rien la pureté de ces d
re de la formation réticulée blanche, comme ceux que nous venons de
décrire
au-dessous du foyer F2. Un certain nom- bre de
les mêmes que celles que Probst a vues chez des animaux et qu'il a
décrites
comme des fibres ascendantes venant de la moell
dégénérescence ascendante du faisceau descendant que nous venons de
décrire
, comparable à la dégénérescence centripète que
e du vertige, qui est un phénomène complexe et encore obscur, ni de
décrire
à nouveau le symptôme asynergie, pour l'étude c
elle était la nature de cette couche nouvelle, ou plutôt non encore
décrite
, de cellules cérébelleuses ? Il nous parut tout d
cru pouvoir les identifier avec les grandes cellules étoilées bien
décrites
par Ramon y Cajal, Golgi, Bechterew, et que Déj
lui dit de s'asseoir seulement, il présente au maximum le phénomène
décrit
par Bahinski : les membres inférieurs en ex- te
haise et au moindre mouve- ment présente les oscillations latérales
décrites
plus haut en même temps que s'exagèrent des sec
la mince couche de cellules à caractères si tranchés que nous avons
décrite
. C'est à l'extrémité d'une dentelure ou un peu
dans le cervelet des lésions identiques à celles que nous venons de
décrire
; leur description parait calquée sur les pré- c
1901. A deux reprises elle a eu des accidents délirants comme ceux
décrits
ci-dessus. Ces jours-ci elle en a eu une nouvel
s coupes colo- rées au Weigert-Pal, mais les détails que nous avons
décrits
ci-dessus ne peuvent être distingués avec cette
T - voir que l'atrophie ressemblait beaucoup à celle que nous avons
décrite
. « Le cervelet, écrit-il, est atrophié considér
t et leur condensation sous la forme du mince feston que nous avons
décrit
? Nous penchons pour la deuxième solution. Qu
insister encore une fois sur ce fait : la lésion que nous venons de
décrire
se produit d'une manière uniforme dans des cas
avons eu recours à ces dernières aussi dans les cas que nous allons
décrire
plus bas, croyant que ce procédé nous donnera la
t aux cellules motrices. Ces dendrites sont en général assez fines,
décrivent
ordinairement des sinuosités, ont des contours
le géant Mû lier du Muséum du Collège des médecins de Philadelphie,
décrit
soigneusement par Hins- dale (1) : « Sur le suj
crit soigneusement par Hins- dale (1) : « Sur le sujet dont je vais
décrire
le squelette, dit cet auteur, on ne sait rien,
, Détroit, U. S. A., 1898, p. 69. (2) On retrouve ce même squelette
décrit
sous le nom de Géant du Kentucky dans l'article
né de retrouver, une mention toute particulière appartient au géant
décrit
par Buday et Janeso (2) ; il est, à bien des ég
ible de coïncider parfois avec l'hypertrophie du pénis. Après avoir
décrit
les hypertrophies localisées caractéristiques d
es membres inférieurs. > E. Godard (6) dans ses Notes de voyage,
décrit
d'une façon remarquable l'habitus extérieur des
ctionnelle des glandes génitales. Il présentait, comme les eunuques
décrits
par Godard, et comme celui de Lortet, un allong
e souffle inspiré de Théophile Gautier que la poésie moderne nous a
décrit
en beaux vers certaines formes de la nature hum
erotiques. Il n'a jamais eu de barbe, ni de poils dans les régions
décrites
plus loin. Ses cheveux, roussâ- tres dans l'enf
re telle qu'elle aboutit à une perforation spontanée; Strebel (6) a
décrit
récemment un cas de ce genre. La base présente au
ve pas exactement sa forme ; c'est pourquoi il nous paraît utile de
décrire
brièvement le moulage de la cavité fait par le D'
tour ventriculaire. Ce dernier indice d'une pression exagérée a été
décrit
par le professeur Weber dans certains cas de tu
plocormie donné par 111. Souques à ces attitudes est plus exact; il
décrit
fidèlement (zc;cp.7 ? 6), je fléchis ; zopmoç, le
amiliale (2) ; il a beaucoup de caractères communs avec les malades
décrits
par Wilson. La raideur est tellement forte que la
la malade ne peut pas se lever spontanément. Un autre cas fut déjà
décrit
dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêlrière
i examiné la fonction de ces mêmes muscles (1) Ce cas fut amplement
décrit
dans un des derniers numéros de la Nouvelle Ico
persiste pendant toute la dùrée'de l'effort/ i ' ? .l Le trouble
décrit
n'est pas signalé dans les cas seuls où les mouve
es cas elle est intacte. / Nous concluons que la lésion des parties
décrites
seules est en état de perturber la fonction mus
olontaires caractérise les cérébelleux comme le type que nous avons
décrit
. Pourtant je crois que le plus souvent on sera en
'a nullement conscience de l'accès. Outre les accès que je viens de
décrire
, depuis environ trois ans elle présente pen- da
soeur épileptiques. Depuis deux ans et demi, il présente les accès
décrits
ci-dessous à des laps de temps variant de 45 jo
Avant de distinguer les différents types cliniques, il est utile de
décrire
l'attitude de la main normale au repos, les mus
on totale du nerf. L'aspect de la main est celui que nous venons de
décrire
à propos des paralysies complètes. Le bord ex
bras. Lorsque la lésion du nerf médian revêt la forme particulière
décrite
sous le nom de forme douloureuse, la main prend
et son impotence rappellent à peu près les cas de section complète
décrits
plus haut. Deuxième type. Lorsque la paralysie
doigt présen- tant dans ce cas un exemple typique de la déformation
décrite
par Jeanne (de Rouen). Cette griffe est très so
ue, décoloration bleuâtre ou rouge violacé rappelant le glossy-skin
décrit
par Paget. Elle recouvre alors des doigts à l'a
toujours une délimitation bien nette entre les formes précédemment
décrites
et les contractures pures, le plus souvent un c
itaux, médecin-adjoint des asiles. MM. Pierre Marie et Foix (1) ont
décrit
comme une forme spéciale de paralysie paratoniq
giques aussi bien à Tours qu'à Bourges, Marseille, Rennes ou Paris,
décrits
par Meige (1) sous le nom de mains figées, interp
pelet. 4. Motilité volontaire. Le membre garde l'attitude ci-dessus
décrite
sans que le sujet puisse la modifier sensibleme
e faible mesure, mais les doigts restent tous figés dans l'attitude
décrite
. . 5. Motilité provoquée. Les efforts de réduct
les, mais limités à cause de la fixation de la main dans l'attitude
décrite
. 6. Sensibilité. Pas de troubles de la sensibil
nt un pied nettement effilé. L'effilement du piedque nous venons de
décrire
peut être remarqué aussi en regardant le dos du
sont incurvés en S comme ceux des « mains séniles » que nous avons
décrits
avec le professeur Pierre Marie ; mais les arti
ac- tylie, mais non point des ankyloses vraies, osseuses. Brocq (1)
décrit
les raideurs articulaires de la sclérodacty 1 i
ne sont pas la cause de ce trouble trophique, rare et jusqu'ici non
décrit
des extrémités digi- tales. (1) Aucun cas ana
que la lésion de l'hypophyse détermine le syndrome adiposo-génital
décrit
par Launois, Frôliche, etc. Toutes les objectio
ophyse, chez l'homme (cas de Franck (2) et celui que nous venons de
décrire
). 7° Action de l'extrait hypophysaire sur la po
llement publiés (10), nous pouvons ajouter celui que nous venons de
décrire
, de même que deux autres récemment observés, qu
générescence sarco- mateuse (1). (1) La partie histologique a été
décrite
plus minutieusement au Portugal Mendia ne 5, 19
., 1900, p. 600). Comme on le voit, ainsi je n'ai trouvé que 17 cas
décrits
de polynévrite chez des individus qui avaient c
as de Stocker, il faut encore dire que le cas n'estpas suffisamment
décrit
et que le traitement mercuriel n'a pas eu un ef
le ne me semble pas improbable. Il y a quelques années, Spitzer a
décrit
un malade avec une syphilide ma- culo-papuleuse
ette espèce. Nous avons trouvé que des douleurs très fortes ont été
décrites
pour les cas de polynévrite probablement due à
oir pas recherché la syphilis, mais les lésions vasculaires qu'il a
décrites
la rendent assez vraisemblable. Dans notre cas,
' proches ou éloignés, n'a présenté d'amyotrophie ; or, l'affection
décrite
par Charcot et Pierre-Marie,est essentiellement
sont spontanées ou provoquées. ' Le syndrome de cette maladie a été
décrit
pour la première fois par Dercum en 1888. Aux
II (PI. LIII). Un cas d'espèce analogue à celui que nous venons de
décrire
s'est offert à' notre observation, il y a un an
nheim (7) a publié, en 1895, deux observations de dysarthrie, qu'il
décrit
sous le nom de paralysie pseudo-bulbaire infantil
sme est limitée par des éléments cellulaires identiques à ceux déjà
décrits
, mais plus serrés les uns contre les autres. Da
decina conlemporanea, n" 6, l916, 312 MONIZ Ce symptôme qui a été
décrit
, la première fois en 1863, par Prévostet Vulpia
la première moitié du xixe siècle nous trouvons des cas étudiés et
décrits
par Serres, Rostan, Andras, Ribes et Ollivier.
our le diagnostic différentiel, qui ont été sérieusement étudiés et
décrits
et qui seront mentionnés plus tard. ' Si l'on r
à l'état urémique avec pression surélevée du sang, que l'on trouve
décrits
dans la littérature. L'autopsie démentit l'hypo
conformité avec la plupart des cas d'hémorragie sous-arachnoïdienne
décrits
dans la litté- rature ; mais la région du cratè
a région du cratère dans l'espace perforé droit, que nous venons de
décrire
, doit être regardée comme la source originale de
la limitante élastique interne, cicatrice que nous avons ci-dessus
décrite
. - Sans aucun doute, l'explication complète du
haut degré. Ce type s'accorde complètement avec celui que Baur a
décrit
et qu'il a caractérisé en deux mots : « stupéfié,
ment des os du crâne pendant l'accouche- ment. Les cas, qui ont été
décrits
, de rupture de vaisseaux chez les jeunes enfant
trouve en plus d-'un endroit que l'étiologie de ces hémorragies est
décrite
,tout à fait comme un mystère. Les hémorragie
e Kernig, l'hyperestésie, etc., parce qu'on les trouve 336 INGVAR
décrits
dans beaucoup d'ouvrages détaillés dans ce domain
ces phénomènes s'effacent. Des symptômes locaux différents ont été
décrits
: mono et hémiparésies, aphasie,amaurose, etc.
COURBON ' par l'atropine avant la phase de. paralysie et qu'a bien
décrite
récemment Petzetakis (1). C'est sans doute La
s des nerfs a d'ailleurs déjà été entrevue par James Paget quand il
décrivit
le glossyskin des névrites (1869). Elle a été p
e sont pas effacés. Rappelons que M. et Mme Déjerine ont observé et
décrit
des troubles et déformations analogues dans le co
ES FRUSTES D'IRRITATION. DU PLEXUS BRACHIAL 355 type de ceux qu'ont
décrit
MM. Babinski et Froment. On y est d'autant plus
peut encore être mise en lumière par un autre signe que nous avons
décrit
(1) sous le nom de a signe de l'élongation doul
pports pouvaient avoir les faits qui nous occupent avec ceux qu'ont
décrit
MM. G. Guillain et J. A. Barré (1) sous le nom
ux aspects cliniques différents. Il est par conséquent légi time de
décrire
à côté de la névrite irradiante à graves symptô
é observé par nous à une époque où cette méthode n'était pas encore
décrite
. Le rapport des seuils cherché pour le médian à
te, cette observation étant antérieure l'époque où le procédé a été
décrit
. Mais l'étude du rapport des seuils faradiques
nes, affectant la pression artérielle et la respiration, phénomènes
décrits
sous le nom de réflexes oculo-respiratoire et ocu
oeil rapide nous envisageons les symptômes cardinaux de l'affection
décrite
, nous devons retenir le syndrome caractérisé par
évrite hypertrophique .par des troubles de la marche. L'affection
décrite
à la Salpêtrière est héréditaire ou familiale, co
ité, qui méritera peut-être de prendre place à côté des formes déjà
décrites
de la syphilis articulaire. (1) Milian, 10C. ci
loin les travaux. C'est ainsi que dans ce groupe se rangent des cas
décrits
sous le nom d'hermaphrodisme et pseudo-hermaphrod
La multiplicité de formes et de dénominations sous lesquelles on a
décrit
les types divers de dystrophie génito-glandulaire
re, nous avons encore l'opinion d'autres auteu) s mo- dernes. Weill
décrit
l'infantilisme lié à l'arrêt de développement du
font entrer le cas dans l'adias- témacie précoce, telle qu'elle fut
décrite
par Ancel et Bouin en 1906. Nous rapporterons e
ion, préférable selon nous, de sénilisme (5). Griffith (1894) avait
décrit
avant Rummo un cas d'insuffisance génitale auqu
se distingue de la forme commune : c'est l'eunuelioïdisrne tardif,
décrit
par Falta (1), en 191 I, forme bien représentée d
se rattache au tableau ébauché par Falta qui y classe aussi les cas
décrits
sous e nom d'infantilisme régressif du type Gan
, paralysie de nerfs crâniens. Outre les signes indiqués, on en a
décrit
d'autres d'importance moindre dans le syndrome
les hallucinés, les cénesthopathes. Et c'est pourquoi E. Dupré a pu
décrire
, fort judicieu- sement, un délire dezoopathieii
appréciable, et semblable à un fil de cristal. M. Dujardin a si bien
décrit
cet état des substances animales primitives, que
use complète forme un arc, une des plus compliquée que celle que je
décris
ici. Il n'est pas certain que le cylinder-axis de
n, Wagner, Ch. Robin, Kœlliker et cent autres habiles anatomistes ont
décrites
avec un très-grand soin, sont de véritables centr
ginaires, et ne se rapportent à rien dans la nature. nous venons de
décrire
, on voit qu'elles sont immédiatement enveloppées
Foville. La protubérance est peut-être plus facile à dessiner qu'à
décrire
. Sa forme générale est celle d'un trapézoïde à ba
nt fasciculées dans le pédoncule moyen du cervelet a été parfaitement
décrite
par Rolando. Si nous divisons avec lui ces fibres
ont aujourd'hui connus de tous les anatomistes. Outre les faisceaux
décrits
par Rolando, M. Arnold (2), et après lui M. Fovil
de ce tubercule est divisée en deux lobes, que les frères Wenzel ont
décrits
avec une attention scrupuleuse; l'épilepsie, suiv
onnaître dans leurs rapports véritables ; aussi nous bornerons-nous à
décrire
les faits sommaires tels qu'ils sautent aux yeux,
es que recouvre la paroi antérieure du ventricule médian doivent être
décrites
ici. J'ai déjà dit que cette paroi répondait à la
e) les distingue du pédoncule cérébral proprement dit. Reil les avait
décrits
sous le nom de Rubans, M. Tiedemann, envisageant
sont unis de tant de manières aux parties que nous allons maintenant
décrire
, qu'il serait impossible de n'en pas dire ici que
néanmoins, comme l'expression d'un état pathologique. Cet auteur les
décrit
fort bien : elles sont composées, suivant lui, de
en avant, il est oblong et en général bien distinct ; Vicq d'Azyr l'a
décrit
sous le nom de Corps genouillé antérieur. L'autre
rte en avant, se relève et s'enroule autour de celle-ci, de manière à
décrire
autour d'elle un anneau complet. J'ai déjà signal
e et de la moelle épinière (l'Institut; t. XX, 1852, p. 373). je le
décris
encore une fois ; l'importance extrême de ce fait
phères. Aussi, le signalons-nous ici pour mémoire. Les anatomistes le
décrivent
sous le nom de commissure antérieure. Au-dessus
partir de leurs cornes frontales. Ces choses sont connues et si bien
décrites
ailleurs qu'il suffira de les signaler ici; il fa
supérieure des ventricules latéraux et les parties que nous venons de
décrire
. Disons d'abord que, bien que décrivant leurs c
ous nommerons méat de Sylvius. M „6 Si j'ai eu le bonheur de bien
décrire
ces choses, il sera clairement démontré que le mé
obule, un groupe de lobules est un lobe. 11 y a plusieurs manières de
décrire
ces lobes, nous préférerons la suivante qui diffè
on distingue plusieurs feuilles diversement inclinées. On a essayé de
décrire
ces détails, de les compter, mais on y a perdu so
rvelet latéral, ce lobe exceptionnel. Reil et Malacarne ont si bien
décrit
les moindres détails de la surface du cervelet, q
Scandinave. § S. Mes tubercules quad ri jumeaux. Nous avons déjà
décrit
ces tubercules. Plusieurs auteurs les désignent s
e résultat d'un arrangement fortuit. Aussi se dispensaient-ils de les
décrire
et même de les regarder quand ils prétendaient le
. Cette forme étant bien définie, il sera plus facile d'étudier et de
décrire
la disposition de leurs plis. Ce n'est point d'
t la ceinture du cratère sont d'abord peu saillants, et leur ensemble
décrit
une courbe assez régulière autour du lobe central
ère laisse à découvert le cervelet en tout ou en partie. Nous avons
décrit
les rapports qu'ont les bords de l'ouverture inte
perficielles si irrégulières, si variables, qu'on doit renoncer à les
décrire
; une seule est constante dans l'homme, elle s'éte
crête, de là le nom de circonvolution crêtée sous lequel il avait été
décrit
par Rolando. Ce pli forme l'étage inférieur du lo
eures; en sorte que ces prolongements du lobe pariétal que nous avons
décrits
sous le nom de plis de passage, anticipent, à leu
a malheureusement pas fait connaître, et M. Foville, à son tour, en a
décrit
quelques-uns. N'est-ce pas là une chose remarquab
l'autre externe. Celui-ci a été figuré par MM. Stilling et Wallach et
décrit
par eux sous le nom cYOliven-Nebenkern; le prem
eux sous le nom cYOliven-Nebenkern; le premier, qu'ils n'ont point
décrit
, acquiert dans quelques animaux un assez grand vo
restiformes. C'est ainsi que se forment ces arcs remarquables si bien
décrits
par Rolando, en sorte que, par eux encore, le cer
fibres antéro-postérieures du raphé : ces fibres ont été parfaitement
décrites
par M. Gerdy, par M. Foville et par d'autres anat
a continuation du ventricule chemine sous la voûte que nous venons de
décrire
, et cette voûte est à son tour circonscrite par c
roisement des pyramides du bulbe (1). Quant à celles-ci, nous avons
décrit
leur trajet au travers de la protubérance. Nous a
, et forme avec elle un gros faisceau fibreux que les anatomistes ont
décrit
sous le nom de base ou d'étage inférieur du pédon
s vers le cerveau; par deux bandelettes superficielles que nous avons
décrites
, ils communiquent sur les côtés de l'isthme avec
s grises plus ou moins lisses, plus ou moins plissées, que nous avons
décrites
. L'intérieur de ces bourses est rempli par un ama
pénètrent et s'y ramifient en réseaux d'une richesse excessive. Je ne
décrirai
point ici ces vaisseaux qui ont été admirablement
ales ont été déterminés et définis. Il sera maintenant plus facile de
décrire
les irradiations fibreuses qui remplissent la con
t dans la composition du centre ovale; nous ne pouvons espérer de les
décrire
avec une certitude suffisante, qu'en suivant l'or
11 serait superflu de revenir sur ce point d'anatomie que nous avons
décrit
ailleurs. Voici maintenant comment nous disséqu
iforme. Cet anneau que Reil, Rolando, Arnold, ont bien connu, a été
décrit
avec un soin tout particulier par M. Foville, qui
peut-être sous sa dépendance les deux moitiés du corps à la fois. Je
décrirai
dans un instant les plans les plus distincts parm
x que composent des fibres directes. 5° Je reviens à la préparation
décrite
en (S). L'ensemble des ventricules y était à déco
55, et l'Institut, n° du mercredi 4 juillet 1855, page 225. Afin de
décrire
avec plus de clarté cette disposition curieuse, n
té opposé de l'axe, de même par le système fibreux que nous venons de
décrire
, il en reçoit du pédoncule qui lui correspond ; p
nvoie des fibres aux lobes olfactifs, du moins les fibres qui ont été
décrites
comme s'y distribuant, n'appartiennent point à la
r du quatrième ventricule; à ce sujet M. Longet, qui a parfaitement
décrit
le rapport qu'ont les insertions du nerf facial a
reproduit l'opinion de Malacarp.e sur les origines du facial, et les
décrivent
ainsi (2) : « Les radicules du nerf facial plon
t Vulpian n'ont pas été plus heureux que moi. Ces habiles anatomistes
décrivent
en outre un plan de fibres radiculaires superfici
, et fait partie de la paire ethmoïdale. — Mon objet n'est point de
décrire
ici ces branches et leur distribution. Je les ai
l y a bien longtemps que nous avions vu ces fibres et nous les avions
décrites
dans nos cours au Muséum. Elles forment une assez
cervelet, de même il paraît y avoir, par la racine que nous venons de
décrire
un rapport de cette paire avec la base des lobes
division en deux faisceaux d'une même racine ganglionnaire. M. Longet
décrit
ainsi leur origine : « En plaçant de profil le
que filet d'origine du Glossopharyngien et du Pneumogastrique, et les
décrivent
à leur tour très-clairement, mais outre ces deux
omprend le nerf spécial de la vue, à savoir : le nerf optique. J'ai
décrit
plus haut les origines du nerf optique. Les unes
lusieurs points fort incomplète ; immédiatement après celui-ci, il en
décrit
un autre âgé d'environ quatorze à quinze semaines
mais extrêmement grêles. Dans les deux cerveaux que nous venons de
décrire
, les parois des hémisphères étaient fort minces,
bes latéraux. Tout cela est bien loin, comme on le voit, de ce qu'a
décrit
Tiédemann. La marche du développement n'a point,
DES ENVELOPPES DES CENTRES NERVEUX CÉPHALO-RACHIDIENS. Après avoir
décrit
le cerveau à ses différents âges, après avoir exp
la substance de la moelle ou du cerveau. Sa structure a été fort bien
décrite
. Les vaisseaux sont soutenus par une lame de ce t
u que Bordeu appelait tissu muqueux, et que les anatomistes allemands
décrivent
, avec raison, sous le nom de tissu conjonctif. Ce
cérébrale d'avec la région cérébelleuse. M. Cruveilher l'a fort bien
décrit
: « 11 représente, » dit cet habile auteur, oc de
ignés sous le nom de sinus occipitaux. Les sinus que nous venons de
décrire
composent un premier système de canaux veineux. I
pathique. Les sinus caverneux communiquent avec ceux que nous avons
décrits
plus haut par les sinus suivants : 1° Le sinus pé
onget (1). Cette opinion avait été négligée jusqu'à Arnold (2), qui a
décrit
un filet nerveux qui se porte de la branche ophth
dans la tente du cervelet. Quelque temps après Arnold, M. Cruveilher
décrivait
de son côté les nerfs de la dure-mère. « Je recon
t les artères méningées et sont composés de fibres grises. M. Luschka
décrit
des filets nerveux dans l'arachnoïde. M. Kôlliker
internes. Ces artères sont remarquables par les flexuosités qu'elles
décrivent
avant de pénétrer dans le crâne. Dans un grand no
ssentiellement à l'anatomie descriptive. Vicq-d'Azyr a parfaitement
décrit
et figuré dans son bel ouvrage, Pl. XIX, les artè
AVEC LE CERVEAU. § *. Importance de l'étude du crâne. Après avoir
décrit
sommairement les enveloppes membraneuses du cerve
e en forme de sablier, et produit cette déformation annulaire si bien
décrite
'par M. le docteur Foville. Dans d'autres cas, le
es philosophes sur l'âme. L'encéphale et la moelle épinière ont été
décrits
, leur structure a été, autant que possible, débro
l mettra en usage est fort simple; il tournera autour de la table. Il
décrira
, soit avec la main, soit avec le corps tout entie
un disque de carton blanc, de vingt-cinq centimètres de diamètre, on
décrit
du centre du disque trois circonférences concentr
ion au moment où elle s'éteint est fréquente. Le libraire Nicolaï l'a
décrite
d'après sa propre expérience, ce n'est pas là le
révolutions futures des esprits et des mondes un meilleur avenir, et
décrit
complaisamment ces glorieuses destinées. Il par
raction; là est le secret de sa puissance. Mon but n'a point été de
décrire
en détail l'intelligence de l'homme, mais de la d
t partagée par M. Besnier, qui rap- pelle que cette affection a été
décrite
sous le nom de glossodynie, qu'elle est général
ot, après avoir montré que l'affection DE L'OBSESSION dentaire. §
décrite
par Verneuil avait déjà été étudiée par un cer-
es quatre observations de l'auteur, trois concernent des femmes. Il
décrit
ainsi les sensa- tions éprouvées par les malade
ves, il a, dit-il, constamment souffert des douleurs que nous avons
décrites
plus haut; de plus, et, c'est cela qui constitu
ropose d'attirer l'attention sur un syndrome nouveau tout récemment
décrit
« l'astasie-abasie » dont il m'a été donné de r
iale d'impotence motrice des membres inférieurs 1. » Weir Mittchell
décrit
égale- ment les mêmes troubles sous le nom d'At
t celles qui lui sont personnelles, et à l'aide de ces documents il
décrit
un véritable type mor- bide, qu'il propose de d
tudié un cas d'astasie-abasie, survenant après l'influenza2. Ladame
décrit
un cas de cette affection sous forme d'accès3 e
par l'excitation du pli courbe, quoique moins marqués. Et Schmfer 2
décrit
des mouvements semblables se produisant après l
uit une cécité totale et durable. Tout en admettant que les lésions
décrites
par eux soient la cause de l'héuliopie et de la
e. C'est une preuve de plus de l'imperfection de la vision que j'ai
décrite
, : manque de précision dans la préhen- sion et
jets visés au lieu de les saisir de suite.. ,. Seliteferl a aussi
décrit
les symptômes présentés par un singe chez leque
ésultant de la destruction bilatérale du pli courbe, que nous avons
décrits
moi, Munk et Schiefer sont mieux expliqués par la
des circon- volutions angulaires et supra-marginale seulement, Ici
décrits
comme lésions du lobe occipital seul. De ces 15
dans un de ces cas, celui de Doyne, le siège de la lésion n'est pas
décrit
avec grand soin. Dans les autres cas, les lésio
struction do la région occipitale chez les chiens, et en 1881 Goltz
décrivit
un trouble de la vision à la suite de lésions des
chez le singe au pli courbe et au lobe occipital. Le centre visuel
décrit
par Munk est représenté dans la /«</ ! <)
tude que l'animal peut éviter les troubles qui en résultent. Munk
décrit
comme les effets de l'extirpation d'une zone circ
état de la vue ou de la perception visuelle semblable à celui déjà
décrit
par Goltz, L'animal n'est pas aveugle, puisqu'i
s : « Une portion considérable de l'écorce du lobe occipital, est
décrite
comme centre visuel par Munk. Mais de beaucoup la
de vue pharmaceutique. Voici le mode opératoire que j'ai adopté et
décrit
antérieure- ment : Préparation. Dans un ballo
; par Ta. Zacher. (A1'ch, f. P.,ych., alX,3.) De trois observations
décrites
avec le plus grand soin, M. Zacher met en évide
Ncurol. Cenlralbl., 1889.) Type de paralysie semblable à celui qu'a
décrit
DrescIlfeld ; atrophie des cellules des cornes
d'individus qui ont pu s'y livrer impunément. Il ajoute que l'on a
décrit
autrefois les symptômes d'une folie dite folie
l'esprit de personne sur la paralysie géné- rale des aliénés qu'il
décrit
; il n'a pas fait intervenir l'histologie dans l
qui sont imputables aux troubles de la sensibilité. Duchenne les a
décrits
; ce n'est pas de l'ataxie. Ils n'ont d'ailleurs
rieure du cerveau moyen et descendent à la base dans le chiasma Les
décrire
plus à fond serait répéter les travaux de Bellonc
EPPN a constaté exactement les mêmes rapports que ceux que vient de
décrire
M. Edinger, chez les lézards. M. Jolly (de Stra
M. Baillarger, dans la Gazette des Hôpitaux, non seulement avait
décrit
le phénomène, mais encore lui avait trouvé sa vra
st juste de dire que, s'il ne l'a pas découverte, c'est lui qui l'a
décrite
. Les travaux de M. Baillarger sur cette dernièr
uestion du goitre des mulets et des chevaux, qu'il fut le premier à
décrire
dans les contrées atteintes par l'endémie. Mais a
l'urémie, au rhu- matisme chronique et surtout au diabète. L'auteur
décrit
trois types de diabète : le diabète par lésions
on, le corps godronné et la circonvolution de l'hip- pocampe, je ne
décrirai
la partie godronnée de cette région qu'au point
es histologistes. J'ai pensé cependant qu'il n'était pas inutile de
décrire
la région telle qu'on la voit à l'oeil nu ou ai
n- naître. S'il m'a été donné de la voir telle que je viens de la
décrire
, je dois dire que souvent je n'ài ren- contré q
calleux... u Sous le nom de carrefour interne de l'hémisphère, il
décrit
: « Une région plane qui communique en avant av
tubérosité temporale, c'est-à-dire avec cet ensemble que nous avons
décrit
comme la terminaison du cercle fibreux de l'ori
r du corps yodronné FOVILLE, sous le nom de ruban de l'ourlet, la
décrit
ainsi : « Si l'on prend comme lieu d'origine du
leur analogie avec celle du ruban fibreux ' Ce que quelques auteuis
décrivent
aujourd'hui sous le nom de cingulum me paraît ê
rales supérieures, mais de tout le lobe lui-même des deux côtés. Il
décrit
ainsi les résultats de leurs expériences ' : «
tive doit être attribuée aux portions non détruites par les lésions
décrites
, du centre cortical auditif ou aux centres subc
sive des deux circonvolutions temporales supérieures. Broad- bent 5
décrit
le cerveau d'une femme sourde-muette chez laquell
ues qu'il a pratiqués sur ce nerf lui-même et sur ses ganglions. 11
décrit
tout d'abord les lésions his- tologiques généra
tique provoqué une soi te de cécilé psychique. Le malade dont il
décrit
l'observation (sans autopsie) est, dit-il, un ave
du même muscle en même temps, quoique, dans l'une des observations
décrites
, il existe une contraction tonique des mollets,
. IIOFFMANN. (Arch. f. Psychint., XX, 3.) Monographie de la maladie
décrite
par Charcot et Marie, sous le REVUE D'ANATOMIE
es à celles qui ont été observées dans les cellules de la moelle et
décrites
par Charcot, Leyden, Erb (myélite parenchy- mat
mander conseil en cas de maladie. - La morphinomanie A deux. On a
décrit
jadis la Folie à deux. Aujourd'hui c'est la Mor
et de rappeler en même temps les noms des deux auteurs qui l'ont
décrite
pour la première fois. ^Incontestablement, la c
longueur situé à peu près sur la même ligue transversale au lieu de
décrire
l'arc normal que décrit le sourcil droit. Au-dess
sur la même ligue transversale au lieu de décrire l'arc normal que
décrit
le sourcil droit. Au-dessus de ce sourcil gauch
complètement perdu. L'anesthésie cutanée est telle que nous l'avons
décrite
plus haut. Relation des expériences instituées
ovoque instantanément une attaque du genre de celles que nous avons
décrites
plus haut. Sens de l'ouïe. - Diapason ci l'orei
denotre précédente malade, nous nous contenterons pour celui-ci de
décrire
en quelques mots le- scènes auxquelles il assis
que lorsqu'on l'a en- tendu une fois, autant il est difficile de le
décrire
exactement et d'en bien faire ressortir les nua
et il n'hésite pas à rapprocher son cas de la variété de bégaiement
décrite
par M. Ballet sous le nom de bégaiement hystéri
in-Roze n'ont mis en doute la nature hystérique du trouble que j'ai
décrit
. Quant M. Féréol, si ses objections ont 1 Comme
J'ai eu tort, d'après lui, d'appeler bégayement le trouble que j'ai
décrit
. Je ne puis pas, dans une simple note, réfuter po
actériser plus exactement que le mot bégayement le trouble que j'ai
décrit
. Or, Littré et Robin, dans leur dictionnaire, d
microscriques du cerveau ont montré qu'à l'exception des blessures
décrites
ci- dessus dans la région temporale inférieure
rme et la partie sensitive de la capsule interne n'a pas encore été
décrit
par les anatomistes, mais, à cause des preuves
es animaux chez lesquels le sens de l'odorat est très développé, on
décrit
habituel- lement quatre racines, soit une exter
ont visibles chez l'homme à la face supérieure du corps calleux. Il
décrit
aussi comme particulier aux animaux osmatiques,
à l'opinion de sir W. Turner. Il m'écrit ce qui suit : « Je vous
décrirai
une dissection que j'ai faite de la corne des-
e aux amers (digita- line) du côté opposé de la langue. (Ceci a été
décrit
incorrectement dans « Brain ». Si l'on se repor
'homme et de son homologie chez les ani- maux inférieurs. J'ai déjà
décrit
avec assez de détails les mouvements produits p
e des doigts dans l'écorce motrice. Comme preuve à l'appui, je vous
décrirai
avec détails le cas sui- vant. La malade est un
e absence totale de tout sens de mouvement. Das le cas bien connu
décrit
par Schùppel ', le malade anesthésique par maladi
sensitifs dans la capsule interne et dans les troubles fonctionnels
décrits
sous le nom d'hémianesthésie hystérique. - Quoi
ation motrice de ces régions. De semblables dégénérescences ont été
décrites
par Brissaud2 comme résultat de lésions du lobe
reprendre son action en dehors de l'idée fixe. Les idées obsédantes
décrites
par Westphall chez quelques aliénés se rapprochen
r. Sous le titre : « Les Persécutés en liberté», le professeur Bail
décrit
toute une catégorie de persécutés qu'il a appel
idérant ensuite le délire du persécuté persécu- teur (forme mentale
décrite
en France par Falrel), remarque avec de Krafft-
psychique de l'hérédité, au même titre que les stigmates physiques
décrits
par ! \lare ! . M. Falret, tout en partageant a
XVI, fasc. 1-11, 1890.) Les phénomènes somatiques de l'hypnotisme
décrits
comme pro- pres aux états dits léthargique, cat
si- 464 SOCIÉTÉS SAVANTES. gnifie confusion, démence. Après avoir
décrit
brièvement le tableau clinique de la folie aigu
Pour lui, il im- porte bien plus d'analyser l'individualité que de
décrire
les symp- tômes et les formes nosologiques. M
es les lésions que l'œil nu peut reconnaître seraient définiti-vement
décrites
, classées, cataloguées. L'œuvre, alors, pen-sait-
. Enfin l'ankylose peut résulter des altérations que nous venons de
décrire
: elle se réduit quelquefois à une simple rigidit
u se montrer des dépôts cutanés, identiques à ceux que nous venons de
décrire
. 11 nous reste maintenant à parler de l'anatomi
à votre attention. Les altérations des reins dans la goutte, qu'on
décrit
ordi-nairement sous le nom de néphrite goutteuse,
uteurs anglais. Signalée par M. de Castelnau en 1843, elle a été bien
décrite
par Todd et Garrod. Elle se caractérise anatomiqu
dans le sang. Au reste l'ensemble symptomatique que nous venons de
décrire
se rencontre surtout pendant l'intervalle des acc
symptômes qui résultent de la diathèse urique, et qui viennent d'être
décrits
; tantôt, au contraire, ce sera un bien-être anor
ipales déviations que peut offrir le type régulier que nous venons de
décrire
. Considérons d'abord les déviations que peut su
xistent dans la moitié des cas. Leur évolution, qui a été fort bien
décrite
par Moore, en 1811, comprend trois périodes. À la
e dernier jusqu'à Lorry, un grand nombre d'auteurs se sont attachés à
décrire
les transformations des maladies (mutationes morb
ractérisée par l'en-semble des phénomènes que nous avons précédemment
décrits
, peut venir donner à ces manifestations viscérale
a preuve. C. Aux deux formes de goutte stomacale que nous venons de
décrire
, correspondent deux formes de dyspepsie intestina
ngtemps connues, et qui dans ces derniers temps ont été soigneusement
décrites
par Lynch(1), Garrod et Trousseau. Le délire ai
de l'asthme, en rapporte aussi un cas. 2° Quelques auteurs anciens
décrivent
une pleurésie gout-teuse. Il est probable qu'il s
-farctus d'urate de soude dans le parenchyme du rein. Nous avons déjà
décrit
ces altérations, en traitant de l'anatomie pathol
les mêmes accidents. Enfin, M. Garrod, dans un article récent (1), a
décrit
une affection goutteuse de l'œil qui n'avait pas
cceptées. Ajoutons enfin que les médecins grecs et romains, qui ont
décrit
si nettement les caractères de la goutte, ont à p
licats, mais qui participe aux caractères généraux que nous venons de
décrire
. On réunit sous le nom à'aie toutes les autres
ici, mais encore des malades atteints des lésions que je vais avoir à
décrire
. I. La dénomination que j'ai choisie pour dés
e soutenir une opinion diamétralement opposée. Nous nous proposons de
décrire
, d'une manière toute spéciale, les arthrites qui
quel on doit un travail approfondi sur cette matière, s'est attaché à
décrire
avec soin les lésions arti-culaires de la syphili
Lancereaux. — Traité de la Syphilis, 1866, p. 182. plus d'une fois
décrit
les rhumatismes, soit aigu, soit chro-nique, chez
uvent se présenter à votre esprit. Les altérations que nous venons de
décrire
ont-elles un caractère spécifique ? 1. Gharcot
ces conditions on peut rencontrer toutes les lésions que je viens de
décrire
. Mais en pareil cas, elles se limitent presque to
ophical Transactions (abridged), t. III, p. 265. que nous venons de
décrire
. Cette opinion a été soutenue par Prout, Williams
ons analogues: M. Rayer, sans en connaître l'origine, les a fort bien
décrites
1. De la thrombose et de l'embolie cérébrales.
capillaires du rein donnent lieu à des lésions qui ont été fort bien
décrites
dans la thèse de M. le Dr Herr-raann(l). Elles co
signalé l'existence d'une laryngite liée au rhumatisme aigu. Garrod a
décrit
aussi une forme particulière de laryngite chroniq
smale et les accidents cérébraux de la goutte. La folie rhumatismale,
décrite
parBurows, Mesnet, Griesinger, se trouve assez so
ois retrouvé chez les rhumatisants chroniques les affections cutanées
décrites
par M. Bazin : Y eczéma, le psoriasis nummulaire,
qui donnent naissance à des infirmités déplo-rables. Nous aurons à
décrire
en premier lieu les arthropathies résultent de ce
variétés. Dans la première, la plu-part des caractères que nous avons
décrits
sont conservés ; Fig. 18. — Premier type. Dan
un état de flaccidité complète. Les déformations que nous venons de
décrire
ne sont pas, — nous l'avons vu, — exclusivement p
cette affection vers l'époque de la méno- pause. Cette forme a été
décrite
par Geist(l), sous le nom de goutte sénile C'est
spéciale du rhumatisme chronique, qui n'a pas encore été suffisamment
décrite
, et qu'on trouve à peine indiquée dans les auteur
anatomiques de cette arthropathie en minia-ture n'ont pas encore été
décrites
. D'après les nombreuses recherches que j'ai eu l'
staterons ainsi que les types, en apparence si divers, que nous avons
décrits
jusqu'ici, reconnaissent, au fond, une commune or
dant établir ici une distinction entre les trois types que nous avons
décrits
. Pour le rhumatisme noueux, il ne saurait exist
. TROISIÈME PARTIE Études pour servir à l'histoire de l'affection
décrite
sous les noms de goutte asthénique primitive, nod
e primitive), etc. ÉTUDES POUR SERVIR A L'HISTOIRE de l'affection
décrite
sous les noms de GOUTTE ASTHÉNIQUE PRIMITIVE
. médical Gazette, octobre 1838). Je n'en finirais pas, si je voulais
décrire
tous les stratagèmes qu'emploient ces femmes pour
des déviations qui présentent constamment un des types que nous avons
décrits
? 4° Lorsqu'on fait l'autopsie des malades mort
; les reins n'ont offert aucun des caractères de l'altération si bien
décrite
par M. Rayer, sous le nom de néphrite goutteuse.
es sur Y arthrite sèche (1). Résumé Les infirmités que nous avons
décrites
, d'après les observa-lions relevées à l'hospice d
Les articulations qui présentaient les altérations que nous venons de
décrire
étaient les plus nombreuses; c'étaient la plu-par
W. Budd [Researches on Gout, in Medico-chirurg. Transactions, 1855) a
décrit
et fait représenter les altérations que subisssen
1859), Garrod, entre autres, les ont particulièrement mentionnées ou
décrites
. Ce dernier auteur surtout en a fait une étude at
le. Graves (A System of Clinical Médicine, Dublin, 1843, p. 581), qui
décrit
une congestion du lobule de l'oreille survenant p
avec soin. Des dépôts tophacés analogues à ceux que nous venons de
décrire
se rencontrent quelquefois, au dire de M. Todd (l
rre, une espèce spéciale, comme nous le verrons bientôt. M. Rayer a
décrit
, sous le nom de néphrite goutteuse (2), une altér
lnau signale la différence des dépôts qu'il a observés avec ceux qu'a
décrits
M. Rayer. Dans les cas de M. Rayer, en effet, ce
les reins atrophiés, condensés et granuleux à leur surface, comme les
décrit
Todd, sous le nom de gouty Kydney. Dans ces cas,
u spongieux des têtes osseuses. Ces alté-rations ont été parfaitement
décrites
et représentées par M. le professeur Cruveilhier,
amorphe, tantôt parfaitement cristallisée. Le type principal qu'il a
décrit
et fait dessiner est celui que nous avons représe
èdent quelquefois à la colique de Poitou, et qui ont été observées et
décrites
par le docteur Musgrave, et depuis par le docteur
ssistance de mon collègue et ami M. Vulpian, et en suivant le procédé
décrit
par M. Garrod, si le sang con-tenait un excès d'a
es articulations, qui présentaient les altérations que nous venons de
décrire
, étaient les plus nombreuses. C'étaient la plu-pa
tte, au contraire, s'y trouve, ainsi que le fait remarquer M. Garrod,
décrite
presque minu- tieusement parfois et présentée l
ération sensible jus-qu'au temps de Baillou. Le premier, cet auteur a
décrit
, comme distincte de Yarthritis, une affection à l
fois, une acception nosographique déterminée. Or, cette maladie qu'a
décrite
Baillou (Opera omnia). Genev., 1762, t. IV, p. 31
. — Il n'est peut-être pas sans inté-rêt de remarquer que l'affection
décrite
par Landré-Beauvais, dans sa dissertation inaugur
nous-même fait ressortir (Etudes pour servir à l'hist. de l'affection
décrite
sous les noms de goutte asthénique, primitive,
espèces bien distinctes : I. En premier lieu, on trouve l'affection
décrite
par M. Rayer sous le nom de Néphrite goutteuse (R
rite suppurative. — Pendant la vie, les lésions qui viennent d'être
décrites
peuvent rester laten-tes. Dans les cas où des gra
èdent quelquefois à la colique de Poitou, et qui ont été observées et
décrites
par le docteur Musgrave, et depuis, par le docteu
l'assistance de mon ami le docteur Vulpian, et en suivant le pro-cédé
décrit
par M. Garrod, si le sang contenait un excès d'ac
e manifestent quelquefois dès les premiers temps de la goutte ont été
décrits
d'une manière remarquable par M. Stokes, dans un
morbus coxœ senilis, etc. 3° Nodosité d'Hc-berden. C'est l'affection
décrite
par Heberden sous le nom de digitorom nodi. Très-
lement Day, Durand-Fardel, Malcomson, Geist et Bibra : ces auteurs ne
décrivent
même pas le tremblement sénile, à titre d'état pa
16. III. De la chorée vulgaire chez les vieillards. Après avoir
décrit
la chorée rhythmigue hystérique, dans une leçon q
e, re-couverte encore par les parties molles. Les saillies pisiformes
décrites
par Heberden sont bien accusées.—La figure 4 mont
0 TROISIÈME PARTIE Études pour servir à l'histoire de l'affection
décrite
sous les noms - de goutte asthénique primitive, n
sseux, c'est la moelle, dont le siège n'est pas là seulement où on la
décrivait
, il y a encore quelques années, c'est-à-dire dans
e dernière; mais tels ne sont pas les cas de périostites généralement
décrites
, et nous parlons ici des faits communs. Si le p
plus sou-vent des symptômes colliquatifs dont nous avons parlé. » Il
décrit
aussi la terminaison des gommes par suppuration e
s profond comme pouvant résulter d'une periostite. — Graves, en 1835,
décrit
une forme de periostite circonscrite. ¦— Rognella
rnière, dont il emprunte des observations à Crampton.— Lobstein avait
décrit
déjà trois degrés de l'inflammation périostique.
e, à Strasbourg, Schutzenberger signale une forme de periostite qu'il
décrit
sous le nom de periostite rhumatismale, llecht, s
rtent quelques fails. — Schulzenberger, en 1856, modifiant ses idées,
décrit
la periostite phlegmoneuse.— Boeckel, en 1858, ét
ue des lésions propres à l'infec-tion purulente. Un peu plus tard, il
décrit
l'ostéomyélite, dont il fait une maladie indépend
, mémoire dans lequel cet auteur, se fondant sur treize observations,
décrit
le décollement des épi-physes, M. Gosselin publia
x cas semblables. M. Gamet, élève d'Ollier, reste sur ce terrain et
décrit
la maladie sous le nom d'ostéo périoslite juxtaép
tômes, la marche, les indications thérapeutiques, tout s'y trouve, et
décrit
avec une précision, une netteté telles, qu'il ne
entelle mette un terme à l'existence. Il ne nous reste donc plus qu'à
décrire
les lésions anatomo-pathologiques. Deux autopsies
en plusieurs points. — En avant du foyer de suppuration précédemment
décrit
, on trouve le projectile : c'est une balle bavaro
ent au repos, se trouve moins exposé aux accidents que nous venons de
décrire
. Il n'en est pas ainsi pour les genoux, qui fonct
le type ordinaire des syphilides, que notre maître le docteur Hardy a
décrites
sous la dé-nomination de syphilides populeuses pl
— J'ai vu, dit M. Moritz Rosenthal, une affec-tion semblable à celle
décrite
chez les ataxiques par M. Chareot,— chez une femm
tat mental, l'état des membres et du tronc, etc., sont successivement
décrits
. Il insiste d'une façon spéciale sur la parole, e
pro-fondément altérés. « De ces propositions qui résument les faits
décrits
dans nos ob-servations, nous sommes en droit de c
ulières. De 12 à 22 ans les accès épileptiformes que nous venons de
décrire
sont revenus fréquemment, quelquefois au nombre d
tend du bord interne de l'humérus et de l'épitrochlée à la tubérosité
décrite
sur la face ex-terne du radius; cette insertion s
LIE) PAR LEROY DES BARRES, INTERNE DES HÔPITAUX DE PARIS Avant de
décrire
la malformation dont il s'agit, observée chez un
a pupille. Le bord décollé, détaché en bas sous un angle très-aigu,
décrit
en haut une petite courbure pour aller gagner ses
ous donnons encore aujourd'hui un nouveau spécimen de la malformation
décrite
sous le nom d'hémimélie, car les séries de ce gen
melon, on fait saillir de la dé-pression centrale, que nous venons de
décrire
, un tubercule d'une très-curieuse conformation :
émique. Il y a là une condition qui ressemble à la fièvre et est même
décrite
comme telle, mais qui en diffère essentiellement,
. — Jusqu'en 1859, le squirrhe paraît être la seule variété de cancer
décrite
et observée chez l'homme; depuis on a noté un cer
ente dans sa conformation les dispositions suivantes, que nous allons
décrire
et qui se trouvent représentées dans la Planche X
sensibilité était intacte dans toutes les parties cpie nous venons de
décrire
. En résumé, dans cette observation, il existe u
scles, grand dentelé, trapèze, sacro-spinal. Nous allons maintenant
décrire
rapidement le côté droit; l'affec-tion, plus réce
catarrhe compliquée de la diathèse phosphatique, que j'ai le premier
décrite
, est l'occasion de tant de processus pa-thologiqu
espèce, j'ai presque toujours vu ces phénomènes que j'ai démontrés et
décrits
. Il était nouveau pour moi de les ren-contrer dan
e, dans laquelle se trouvaient les concrétions particulières-que j'ai
décrites
plus haut, immédiatement après le moment où la pi
rvations sur le catarrhe spécial avec diathèse phosphatique, que j'ai
décrit
le premier, sur l'état de la vessie pendant cette
ites concrétions pbosphatiques ayant toute la composition des calculs
décrits
plus haut, donnant la sensation du sable quand on
à l'état naissant, peuvent jeter de la lumière sur cet état que j'ai
décrit
dans la maladie catarrhale particulière de la ves
tion ne soit pas plus dé-taillée, que les lésions ne soient pas mieux
décrites
et que l'état de la contractilité musculaire n'
ahaye, éditeur. Tous les auteurs, qui ont parlé des syphilides, ont
décrit
la plaque muqueuse de la langue, mais le plus sou
mmes. » Cette citation indique le but que s'est proposé M. Saison. Il
décrit
successivement la syphilide érythémateuse, les pl
pityriasis, le lichen et le psoriasis ; — enfin, peut-être ce qu'on a
décrit
sous le nom de plaques de fumeurs n'est-il autre
ens, réunis aux soins locaux, minutieux et constants, qui se trouvent
décrits
dans cette observation que nous devons de n'avoir
fections on constata l'existence d'accidents semblables à ceux qu'ont
décrits
les anciens. Cependant, pour être justes, il fa
, Stoll, Bailly, Billard, Haspel, Stewardson se bornèrent seulement à
décrire
la pigmentation de la rate, du cerveau ou du foie
e ici l'his-toire complète delamélanhémie. Nous nous bornerons donc à
décrire
ce que la pigmentation offre de particulier dans
u. Au bout d'une semaine la cicatrisation était effectuée. Avant de
décrire
l'opération principale, disons quelques mots sur
ndait auparavant se suspend. Croyant qu'on avait affaire au phénomène
décrit
par les auteurs sous le nom d'introduction de l'a
ganglionnaires, beaucoup plus volumi-neux que ceux que nous venons de
décrire
. Ils sont en outre plus mous. A la coupe, l'un d'
la Charité et dans les cliniques libres de Paris. Nous n'avons pas à
décrire
l'aspect des tumeurs qu'il portait n l'angle inte
e Kœmpfer a pris de cet électuaire avec des amis, et voici comment il
décrit
les phénomènes qu'ils présentèrent. « Après en av
et quelques autres substances. Linné (Amœnitates academicce, 1762),
décrit
des compositions très-usitées dans l'Inde et en P
ion plus facile que pes préparations dont nous venons de parler. Sans
décrire
les di-vers procédés employés pour arriver à ce r
ns plus tard. Les jours suivants, les phénomènes que nous venons de
décrire
ont graduellement diminué1 : la tuméfaction du me
riques indiquées par M. Cbarcot, et les accidents laryngo-bronchiques
décrits
par mon ami M. Second-Féréol. Cbez notre malade,
et l'examen histologique nous reporte exactement à la variété qu'il a
décrite
sous le titre à'adénome avec prédominance du stro
it qu'il y a aussi quelque chose d'analogue à ce que nous avons avons
décrit
à gauche. Matité de la région hypo-gastrique (asc
nee étant pareil- lement mentionnée. « Certains phénomènes que je
décris
», disait Babinski dans l'Avertissement de cet
mportance sociale. Dans les leçons suivantes je chercherai à vous
décrire
d'une manière minutieuse les symptômes objectif
'est cette sous-variété qui constitue le signe ou mieux le syndrome
décrit
par Argyll-Robertson ; parfois elle est associé
fférents de ceux qui appartiennent aux douleurs qui viennent d'être
décrites
. Elles font défaut au repos ; elles apparaissent
provoqué, mais encore par divers autres caractères que nous allons
décrire
. Comparons par exemple les réflexes de flexion
de la région explorée. Lorsque l'absence des réflexes précédemment
décrits
oui seulement celle de l'un d'eux est nettement
duisant alors que celle-ci fait défaut. C'est ce phénomène que j'ai
décrit
sous la dénomination d'inver- sion du réflexe d
UX ET RÉFLEXES OSSEUX 55 La névrite radiale, dans la forme que j'ai
décrite
('), est caractérisée par des douleurs violentes
ette affection présente des variétés nom- breuses que je n'ai pas à
décrire
ici en détail. Il va sans dire qu'elle atteint
thie, est due à une altération particulière au muscle. L'affection
décrite
par Erb en 1878, communément appelée aujourd'hui
Les diverses variétés de trépidation épileptoïde que nous venons de
décrire
sont déterminées par une excitation tendineuse pe
MIOLOGIE ' ' Toutes ces manifestations cliniques que nous venons de
décrire
per- mettent nous y insistons d'affirmer que le
ieur, l'inégalité dans le « réflexe contra-latéral des adducteurs »
décrit
par Pierre Marie réflexe qui, à l'état normal,
us discuterons. Il importe avant tout d'éviter les confusions. On a
décrit
sous le nom d'hémiplégie cérébelleuse des troub
complète de la force musculaire. Examinons d'abord le type morbide
décrit
par Erb sous le nom de paralysie spinale spasti
ntion (2) et qui, étant donné le but que nous visons, mérite d'être
décrite
. On l'observe surtout aux membres inférieurs et
rché à apprécier exactement l'impor- tance de ceux qui étaient déjà
décrits
; dans le cours de mes examens j'ai été conduit
a période de contracture serait l'inverse de celle qui vient d'être
décrite
; du côté de la paralysie le sillon naso-labial, a
le du côté normal se porte en avant. Le mouvement que je viens de
décrire
se reproduit et peut être plus ou moins accentu
qui appartient aux diverses variétés de mouvements associés qu'on a
décrits
dans l'hémiplégie, pourrait être de préférence
ne lieu ordi- nairement à un mode de déambulation spécial qui a été
décrit
magistra- lement par Todd : le malade porte le
alade porte le tronc sur le côté opposé à la para- lysie et il fait
décrire
au membre paralysé un mouvement de circumduction
et je la considère comme un signe tout à fait caractéristique. J'ai
décrit
ce signe pour la première fois dans mon travail
si à écarter l'hypothèse d'hystérie dans cette variété d'hémiplégie
décrite
par Weber, qui se caractérise par les symptômes
our les constituer. RÉFLEXES DE DÉFENSE Il-, En effet, nous avons
décrit
le réflexe de défense en flexion qui est de bea
ues présentant le phénomène des orteils. En pratiquant la manoeuvre
décrite
par Schaefer, j'ai obtenu, comme lui, la flexion
eu particulièrement en vue ceux du membre supé- rieur. Cet auteur a
décrit
en 1 ploc) comme manifestations d' « hyperki- n
n-Séquard, les réflexes dont nous nous occupons ont été fréquemment
décrits
, et par Brown- Séquard tout le premier. Cet aut
bservation et écartant les inter- prétations pathogéniques, je vais
décrire
les phénomènes que j'ai en vue. Il s'agit de ré
eurement, d'une contraction du fascia lata que Brissaud a très bien
décrite
et d'une flexion du pied, de la jambe et de la
s à cela que ces mouvements n'ont pas toujours la lenteur ci-dessus
décrite
. Un autre caractère plus important et conduisan
n'ai pas cherché à expliquer le phénomène des orteils quand je l'ai
décrit
, je n'ai jamais dit qu'il fût inexplicable, et
efer, dans le n" 22 de l'année 1899 du Neurologisches Centralisait,
décrit
un phénomène réflexe dont voici les caractères :
de Neuro- logie en janvier 1900, il est aisé de vérifier les faits
décrits
par Schaefer qui sont absolument exacts, mais s
on dans laquelle la voie pyramidale est intéressée. Les réactions
décrites
ultérieurement par Oppenheim sous la dénomi- na
upérieur. En janvier 1911 (Revue Neurologique, t. ;XXI, p. 132), te
décris
« la para- plégie spasmodique avec contracture
ieur, m'étant borné d'abord, afin de ne pas compliquer mon sujet, à
décrire
celles qui se produisent dans le membre excité.
ation dans le seg- ment inférieur du corps. J'ai eu l'occasion de
décrire
moi-même les troubles vésicaux en ques- tion da
nes d'hyperkinésie ŸAIt1\AI. I O r{¡6 SÉMIOLOGIE réflexe(') » a
décrit
dans l'hémiplégie cérébrale des réactions motrice
attention et qui, étant donné le but que nous visons, mérite d'être
décrite
. On l'observe surtout aux membres inférieurs et
un réflexe partiel d'allongement croisé. C'est bien la dissociation
décrite
par M. Babinski. « Comment peut-on interpréter
en flexion reproduisant la forme de paraplégie spasmodique que j'ai
décrite
récemment, en l'opposant à la paraplégie spastiqu
our distinguer d'une façon spéciale les réflexes que nous venons de
décrire
d'avec les réflexes dits de défense ou d'automati
ns hystériques. Quoi qu'il en soit, le phénomène que nous venons de
décrire
a, selon nous, une signification clinique de qu
mouvements volitionnels provoqués par les manoeuvres que nous avons
décrites
sont plus étendus. SEMIOLOGIE OCULAIRE XIV ,
fs aux troubles de motilité qui, à ma connais- sance, n'ont pas été
décrits
. L'attitude du malade, quand il cherche à march
passer sous vos yeux un trouble de motilité qui n'a pas encore été
décrit
. Je tiens à bien faire ressortir, pour éviter u
ue nous allons maintenant étudier il en est plusieurs, anciennement
décrits
, dont nous avons déjà fait men- tion ; d'autres
nt pas avec la précision 19ï SÉMIOLOGIE coutumière au sujet sain,
décrit
quelques oscillations en sens divers. Nous revi
Nous insistons sur ce fait que les mouvements que nous venons de
décrire
sont, au pied de la lettre, des mouvements démesu
pour la première fois, dit Luciani, qu'apparaît et est minutieusement
décrit
un symptôme..., il consiste en ce que l'auteur
leux présentant de façon typique les mouvements démesurés ci-dessus
décrits
; et commandons-leur de porter avec rapi- dité l
ment de flexion combinée de la cuisse et du tronc tyli SEMIOLOGIE
décrit
par nous dans l'hémiplégie organique. Il faut don
vons observé que les troubles asynergiques tels que nous les avions
décrits
aux membres inférieurs peuvent être localisés d
alement rien de comparable à la démarche asynergique que nous avons
décrite
. Il nous a donc paru indispensable, pour désign
ous l'avons repris. Il nous sert à grouper les faits que nous avons
décrits
; il s'accorde avec la conception que nous nous f
mouvements qui constituent un acte, le phénomène que nous venons de
décrire
peut être considéré comme l'effet d'une absence d
istingue les phénomènes initiaux d'avec les phénomènes tardifs ; il
décrit
d'une part les mouvements forcés, troubles de l
rme ataxie a été pris dans des acceptions variées. Certains auteurs
décrivent
, sous ce titre, dans les traités, tout ce qui c
terme ataxie ne répond pas simplement à des troubles que nous avons
décrits
précédemment sous un autre nom ; ou bien s'il s
déambulation ne peuvent être confondus avec la démarche asynergique
décrite
par nous. Il parait donc rationnel de se servir
truit les deux labyrinthes présente une attitude qui rappelle celle
décrite
par Lewandowsky chez certains animaux à qui on
(En collaboration avec G. A . Weill.) . Les mouvements réactionnels
décrits
par Barany s'observent au cours des différentes
, mai 19 13). (3) Heyninx (Société Belge d'O. R. L. juillet Tqi3) a
décrit
cette épreuve peu de temps après nous. 216 SÉMI
e, mais ne disparaissant jamais complètement; la colonne vertébrale
décrit
une courbe en lorme d'un S vu en miroir. L'omop
colis a notablement diminué. Il s'est maintenu tel que nous l'avons
décrit
pendant sept mois environ (de février à septemb
s troubles moteurs et les modifications des réflexes que nous avons
décrits
. On pourrait se demander s'il existe une relati
ou- lève les membres pour prendre l'attitude spéciale que j'ai déjà
décrite
(fig. Il). Pendant l'exécution du mouvement, le
tielle), où il a observé pour la première fois les troubles qu'il a
décrits
sous les noms d'asynergie, adiadococinésie, cata-
té au-dessus de lui de dégénérescence répondant au trajet récemment
décrit
du faisceau de Gowers vers le cervelet. Le seco
ait vieille et que sa moelle présente, indépen- damment des lésions
décrites
, des marques incontestables de sénilité. En eff
sortir les qualités, je la mettrai en parallèle avec le type clinique
décrit
par Erb sous la dénomination de paraplégie spas
ait de contracture. Dans la paraplégie spasmodique dont je viens de
décrire
les signes les plus saillants, l'anesthésie peu
ée. En résumé, la forme de paraplégie spasmodique que je viens de
décrire
, sans représenter, tant s'en faut, une espèce nos
ères de celte forme spéciale de névrite optique que Parinaud a bien
décrite
le premier, qu'il a fait connaître dans plusieurs
Elle se tenait à peine debout et les efforts qu'elle faisait pour me
décrire
son mal l'augmentaient encore. L'examen objecti
t, c'est l'extrême variété avec laquelle les différents auteurs ont
décrit
jusqu'à présent ce symptôme. Il est donc tout n
intéressantes, comme par exemple l'inversion du réflexe du radius,
décrite
par l'un de nous('). Mais dans les cas les plus
ant. i° Les lésions méningées observées rentrent dans ce que l'on a
décrit
sous le nom de pachyméningite cervicale hypertr
les sensitifs, en tous points comparables à ceux que nous venons de
décrire
. Remarquons, en passant, qu'il s'agissait là d'un
drome neurologique qui, à notre connaissance, n'a pas JL encore été
décrit
. Le malade ayant succombé, la nécropsie a été f
la paraplégie spasmodique en flexion permanente que l'un de nous a
décrite
et dont voici les éléments : contracture perman
relaté cinq observations ; le caractère essentiel de la déformation
décrite
consiste en une inclinaison du tronc du côté op
de la l'adiothé- rapie. DES NÉVRITES 437 NÉVRITE RADIALE J'ai
décrit
à la Société de Neurologie en 1903 une forme spéc
n ai noté d'autres, comme on a pu le voir, qui n'ont pas encore été
décrits
. Ce sont d'abord les déformations produites par
sie radiale, de la paralysie de la 3e paire ou de la 6e paire. On a
décrit
aussi des névralgies hystériques, en particulie
graves et constitueraient ce qu'on a appelé la « folie hystérique »
décrite
en détail dans le Traité, si justement appré- c
articulier d'oedème bleu. Du côté de l'appareil respiratoire on a
décrit
l'aphonie, le mutisme, le spasme glottique, l'o
anifestations de cette névrose. Enfin, la fièvre hystérique a été
décrite
depuis longtemps et récem- ment encore on en a
me de la nature de cette atrophie que nous avons été les premiers à
décrire
, mon maître Charcot et moi. Quoi qu'il en soit,
s'il en existe un, de l'hypnotisme simulé. Il crut en trouver ; il
décrivit
ce qu'il appela les phénomènes somatiques du gran
s leur dépendance. Je connais aussi les faits de kinésie paradoxale
décrits
par Souques, ces formes de polypnée, de mutisme
r résumer mon impression actuelle sur la nature des troubles visuels,
décrits
comme stigmates de l'hystérie, je dirai qu'un m
ontré chaque jour les plus beaux types de l'hystérie telle qu'on la
décrivait
à la Salpêtrière. Prenons l'exemple de l'hystér
iques et de ces contractures dites réflexes qui avaient été si bien
décrites
par Charcot et par Vulpian. Toute paralysie ou
rologie de guerre, il n'en est pas moins vrai que l'on a continué à
décrire
sous ce nom, outre des phénomènes pithiatiques,
tes permanents de l'hystérie ? ' Les troubles nerveux qui ont été
décrits
sous le nom de stigmates apparaissent donc avec
Nous retiendrons seulement parmi ceux-ci le mémoire où Gosselin (')
décrivit
l'atrophie musculaire consécutive aux fractures
re part, à l'extraordinaire fortune du concept hystérie. On avait
décrit
, autrefois, sous le nom de paralysies sympathique
lexe ne correspondent à aucune conception nosographique précise. On
décrit
aujourd'hui sous ce nom un certain nombre d'atr
série de publications. H. Meige, Mme Ath. Bénisty et Mule Lévy(')
décrivent
sous le nom de « main figée » certaines impoten
qui serait venu se greffer sur une épine organique initiale. Claude
décrit
, à côté des accidents hystériques, « certaines
ogie, 4 novembre ig 15. 558 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES encore non
décrit
donna alors à nos recherches une orientation nouv
coucheur). L'existence de la surexcitabilité mécanique des muscles,
décrite
par nous dans ce groupe de faits, a été confirm
e et dont nous avons cherché à déterminer la valeur. Nous les avons
décrites
sous la dénomination de contractures et de para
de la Sociéte de Neurologie, j'ai fait observer que les phénomènes
décrits
sous le nom de paralysies et contractures réfle
es ont persisté sans aucune mo- dificatiol tels que nous allons les
décrire
. Il y a un an V... remarqua il plusieurs repris
connaître. Elle fait t partie de la pléiade symptomatique complexe
décrite
par le M. Profes- seur Fournier dans la période
ptique décolorée de chaque côté est bien celle que les spécialistes
décrivent
comme constituant la lésion oculaire fondamenta
les petites articulations des doigts du rhumatisme blennorrhagique,
décrite
par notre maître M. le professeur Fournier sous
de son héros favori, et l'on va voir qu'il n'a pas redouté de nous
décrire
par le menu la blessure d'Enée et les soins qu'
canisme extrêmement ingénieux. Celui qui est figuré en M, est ainsi
décrit
par M. Monaco, d'après les publications de Vulp
dorsale, ou par le centre de l'adhérence méningomédullaire gauche (
décrite
plus haut), on remarque la disposition suivante
res et veines, et ne diffèrent pas des lésions que nous ' venons de
décrire
pour les vaisseaux de gros calibre. Les vaissea
vons pas remarqué les dessins sinueux ou tourbillonnés si élégants,
décrits
dans les observations de Sottas. Ces dernières
ébordant du reste l'emplacement de celles-ci. Aussi ne pouvons-nous
décrire
les lésions histologiques de la substance grise a
ésion aussi étendue; aussi destructive que celle que nous venons de
décrire
, ne se soit manifestée dans tout son éclat que
es, .auquel M. Brissaud rattache les syringomyélies à début brusque
décrites
par Minor. Cette interprétation, rendue vaine
ce fait, important dans l'espèce, on trouva les altérations du foie
décrites
par Gubler dans la syphilis congé- nitale. l '
idérablement rétréci. Kahler et Pick comparent ces lésions à celles
décrites
par Charcot et Gombault (1) dans un cas de syph
tissu conjonctif disposé en replis anormaux analogue à .celui déjà
décrit
dans la partie inférieure de la moelle. Sur l
ns que nous venons d'étudier. Ce type serait d'ailleurs difficile à
décrire
vu la multiplicité des phénomènes observés. (
ÈRE 111 iiiiale iiiais ne différant guère de la paralysie spastique
décrite
par Charcot et par Erb au cours de la syphilis
dentaire présente des lésions qui méritent d'être minutieuse- ment
décrites
. Mâchoire M)' ! M<)'e.Asymétrique, Il manque
réditaire de la moelle. Dans les faits que.nous allons maintenant
décrire
, le cerveau continue à participer très souvent
raie après avoir éliminé la pseudo-paralysie d'origine syphilitique
décrite
par Parrot et Dreyfous (1). Dans le cas de Mo
nous l'avons dit, se rapprochent du type de paraplégie spasmodique
décrit
par Erb dans la syphilis acquise des adultes. L
, nous dirions volontiers qu'entre le type de paralysie spasmodique
décrit
par Erb et les faits de rigidité spasmodique gé
t mercuriel et ioduré contre les accidents ner- veux que nous avons
décrits
. Nous prescrivons alors(juillet 1805)l'iodnrede
le Congrès de chirurgie puis dans la thèse de son élève Ortliolan,
décrivait
les déformations per- manentes des doigts et de
ît un faciès assez spécial. Le type du scrofuleux qu'on a cherché à
décrire
autrefois, n'est pas pu- rement imaginaire. L'e
agnostic de Mal de Pott. La statuette égyptienne que nous venons de
décrire
montre que les mal- formations corporelles caus
es, que chacun connaît et reconnaît, mais qu'il est plus malaisé de
décrire
. Face carrée, aux pommettes saillantes, à mâcho
ne opinion différente ; ce sont Zacher qui en accepte quatre et qui
décrit
cinq parties égales. La plupart des auteurs (l3
es propos incohérents, parler à des êtres ab- sents ou chimériques,
décrire
des choses que, sauf elle, nul ne voyait. » Ce
immobilisé 'dans la même position depuis 16 ans (1) (PI. XXXVII).
Décrit
déjà par Platon (2), dans le service de Villeneuv
ongénital qui correspond au tabes dorsal spasmodique ; de même on a
décrit
des cas tératologiques congénitaux correspondant
des troubles de la coordination analogues à ceux que nous venons de
décrire
. » On ne trouve pas rapporté davantage ce sympt
aits personnels. En somme, il est de toute nécessité aujourd'hui de
décrire
, à côté des cas où le liquide est sénelii lé pl
pante de celles colo- rées par cette substance. Il est inutile de
décrire
la gomme, ou le tissu de sclérose. - Certains a
- trême. . « Toutes les deux présentèrent les altérations du foie
décrites
par Gubler dans la syphilis congénitale. « Le
rablement rétréci. » Kahler et 'iclc comparent ces lésions à celles
décrites
par Charcot et Gombault dans un cas de syphilis
cheval a disparu. On y trouve les mêmes altérations que celles déjà
décrites
pour les fibres nerveuses de la moelle dorsale, l
édo-syphili tique et dont les lé- sions médullaires méritent d'être
décrites
en détail : « La dure-mère est peu atteinte par
moyen degré les épaississements conjonctifs et les amas nucléaires
décrits
par Heubner dans le cas de syphilis cérébro-spi
nique adventice, la tunique interne ne présente pas les altérations
décrites
par Heubuer. Le canal central est partielleme
bre de cellules normales, des cellules ayant subi la dégénérescence
décrite
plus haut. C'est surtout le groupe antérieur mé
s cellules rondes qui forment le fond des lé- sions que nous allons
décrire
. Cette coloration est essentielle. Les coupes o
médiaires. ' 296 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Avant de
décrire
les lésions que nous avons trouvées il est bon de
e-ci s'infléchit sur elles et c'est son prolongement que nous avons
décrit
, plus haut, engainant les racines dans l'espace
cas. Elle conserve la même disposition en croissant que nous avons
décrite
pour le processus général, très épaisse à la pa
avec le processus de pure infiltration embryonnaire que nous avons
décrit
plus haut permettent de rattacher ces cas, en a
la moelle par un néoplasme mé- ningé volumineux que nous avons déjà
décrit
plus haut. En effet, la subs- tance blanche qui
dant les signaler puisque pour les autres organes la congestion est
décrite
comme le premier stade du processus syphilitiqu
lle est absolu- ment comparable à l'hépatite interstitielle diffuse
décrite
par IIudelo (1), aux lésions testiculaires décr
titielle diffuse décrite par IIudelo (1), aux lésions testiculaires
décrites
par Hutinel, aux lésions de la rate, des poumon
te, des poumons, des os, de la peau, des muqueuses et des ganglions
décrites
pré- cédemment, absolument comparable aux lésio
énales qui viennent d'être étudiées, aux lésions du placenta foetal
décrites
par Sclvvab (2) tout récem- ment, et elle contr
es ganglions correspondent exactement au type normal que nous avons
décrit
. La seule lésion qu'on puisse relever est une d
u'il en soit, il subsiste des altérations assez évidentes pour être
décrites
avec soin. Région CERVICALE.- La moelle est pet
.. Le principal intérêt des deux oeuvres d'art que nous venons de
décrire
est de nous montrer que les barbiers-chirurgien
j'ai longuement discuté la ques- tion de savoir si, dans ce qu'on a
décrit
sous le nom de paralysies arseni- cales, il y a
vous citer, MM. Er- licki et Rybalkin (1) ont particulièrement bien
décrit
les déformations qui se produisent en pareils c
ur les autres, par leur fré- quence ; ce sont celles que je vous ai
décrites
sous les noms de polynévrite à forme paralytiqu
e de nature, ce n'est plus le tissu conjonctif serré que nous avons
décrit
, il y a maintenant de larges vaisseaux béants, et
, ce tissu se continue direc- tement avec la tumeur que nous allons
décrire
ci-dessous et en fait évidemment partie intégra
rien à noter. La bande néoplasique demi-circulaire que nous avons
décrite
macroscopi- quement plus haut est tout entière
rence au point de vue histologique avec l'aspect que nous venons de
décrire
. La moelle a sa forme normale, ses vaisseaux pr
rré de cellules embryonnaires qui rappelle la tumeur que nous avons
décrite
plus haut. - , Observation XVIII, 29 avril 1896
uniformément dans toute sa hauteur, les lésions que nous venons de
décrire
sont remarquables par leur caractère de dissémi
en se fondant sur les zones de colorations différentes précédemment
décrites
, il semble possible d'admettre que ce dédoublemen
voir, un trait de commun avec celles que nous avons précé- demment
décrites
. Ce n'est pas tout : les conditions dans lesque
ique, lorsqu'on l'a entendu une fois, autant il est difficile de le
décrire
exactement et d'en bien faire ressortir les nua
bégaiement hysté- rique. Si ce trouble n'a pas été jusqu'à ce jour,
décrit
par le détail, au moins à notre connaissance, n
rs', à propos de l'astasie-abasie, de ce syndrome bizarre récemment
décrit
, et vous l'ai carac- térisé par ce passage de H
sur la page de son livre. L'obsession est un phénomène aujourd'hui
décrit
et analysé; MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT. 41
données connues sur cette variété de manies, pour faire inventer et
décrire
par le médecin aliéniste Souby- ranne le délire
stations, il ne faut jamais se borner au cadre des idées fixes déjà
décrites
, car on est tous les jours exposé à en rencontr
nnent un grand nombre de cellules analogues à celles que nous avons
décrites
tout à l'heure : il y a en certains points des
olifération nucléaire abondante, et des cellules analogues à celles
décrites
dans la subs- tance blanche. On y trouve un c
t àfait nor- males. Réflexions. Des lésions qui viennent d'être
décrites
, la plus frappante est celle qui affecte les va
lésions qui vien- nent d'être exposées avec celles que nous avons
décrites
dans le premier cas, on constate de notables di
rent rien de notable, elles furent la répétition de celle qui a été
décrite
. L..., qui est toujours à l'asile, n'a conservé a
e prête pas à la confusion comme en français (\Vi1'ùelweh) l'auteur
décrit
ce qu'il appelle encore une névralgie des plexu
relative aux réactions électriques et aux altérations anato- miques
décrites
. Une observation. Fibres musculaires épaissies,
edreich) ; par SCHULTZE (Neurol. Centralbl., 1886.) Ce type a été
décrit
par Seeligmuller dans la Deutsche meuic. Wochen
ans la Deutsche meuic. Wochenschr., 1886. M. Sclmllze se propose de
décrire
ici l'évo- lution ultérieure qu'a revêtue la ma
90 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. comment Gowers
décrit
le trajet de son faisceau cantéro-latéral ascen
pauvre en myéline, est le corps restiforme secondaire. Le mémoire
décrit
avec de menus détails l'évolution générale des di
ué au-dessous DE la DUIOE-MÈllI'; du cerveau (y compris LES LÉSIONS
DÉCRITES
SOUS LE NOM DE 1',\CdnnNINGITE) chez les aliéné
re se résume dans les conclusions suivantes : 1° Les étals morbides
décrits
sous le nom de pachyméningite interne hémorrhag
ise- ment physiologique sont loin d'être nombreux. Mevnert a bien
décrit
les fibres qui président à cet entre-croisement e
e à une revue des théories et des observations publiées, M. Euphrat
décrit
un exemple de deux jumelles ayant toujours vécu
Rey, ainsi que les altérations de la lisière de substance blanche
décrites
par Tuczek. Discussion. - M. SCHULTZE. N'y aura
t surtout en relief les desiderata de l'an- thropométrie future, et
décrit
les appareils les plus compliqués et les plus p
'aliénation men- tale (sans jeux de mots) a évolué. M. Kirchhoff la
décrit
non seule- ment en Allemagne, mais en France, e
ur du personnel organisé; il y aura son habi- tation. Après avoir
décrit
ce qui a été fait à Alt-Scherbitz 1, M. Poetz i
s du membre inférieur, puis beaucoup plus tard par Valleix qui en
décrivit
les points douloureux, nous avons apprisà conna
ôtres, moins fré- quentes que la localisation déjà depuis longtemps
décrite
dans les sciatiques traumatiques. C'est de la n
es dans son enseignement clinique. Nous ne nous attarderons pas à
décrire
la distribu- 1 Nonne. 7 ? n/)'M ? ! )'MC/ ! OK
onnaît depuis longtemps dans la sciatique, ceux que M. Landouzy a
décrits
en 1875 dans le mémoire que nous avons déjà cit
ble dépen- dant de la sciatique, analogue à ceux qui ont déjà été
décrits
dans cette maladie. La raison est bien simple.
sciatique simple, dans laquelle on ne l'avait, il est vrai, jamais
décrite
jusqu'aujourd'hui, que dans la sciatique par lé
, vous le savez, un médecin américain qui, en 1872, s'est attaché à
décrire
et à différencier des autres genres la chorée d
ypes de tremblement auxquels je faisais allusion tout à l'heure, en
décrire
une troisième espèce répondant à la variété pré
ilité du fait. « Certains cas de tremblement chronique qu'on aurait
décrits
jadis, sans hésitation, comme des exemples de p
ar de l'oedème dur n'a- boutissant pas à la suppuration, a été bien
décrite
pour la première fois par Remak qui a montré sa
tablir entre le choc local et la stupeur locale telle qu'elle a été
décrite
plus récemment par le professeur Verneuil. Dans
s. Le 26 mai, plus de deux'mois après la production des accidents
décrits
plus haut, nous examinons la malade de nouveau au
uvé de l'insuffisance de convergence exactement comme celle qu'il a
décrite
; cet accident parait donc en rapport avec les p
te des apophyses articulaires (synovite) des vertèbres n'aurait été
décrite
que par Hueter comme étant bien plus fré- quent
tation debout qu'elle présente réalisent le syndrome astasie-abasie
décrit
parM. Charcot, M. Blocq, etc., et par cela même
es). Elle n'a guère modifié les psychoses préexistantes. M. LEHMANN
décrit
trois cas de psychopathies consécutives à l'in-
Cramer (d'Eberswalde) a retrouvé dans le bulbe le faisceau anormal
décrit
par A. Ylctt. Il présente des pièces à l'appui. C
ment, des réflexes, du langage, les troubles trophiques, etc., sont
décrites
avec grand soin en s'appuyant sur les données p
és. -L'ordre adopté ne paraît pas toujours très logique. - Pourquoi
décrire
d'abord et d'une façon séparée les troubles de
e, et comme on le voit, il présente les troubles que nous venons de
décrire
, depuis plus d'un mois. C'est un homme de petit
du début, et en même temps la malade a une^vision lumineuse qu'elle
décrit
de la façon suivante : elle aperçoit à gauche u
Pendant trois mois, des accès semblables à celui que nous venons de
décrire
se reproduisaient tous les quinze jours, sans p
conformer à la façon dont j'ai envisagé le circuit nerveux, je vais
décrira
pour le demi-circuit sensitif de l'appareil ner
le de concevoir de nombreuses variétés, qu'il n'est pas besoin de
décrire
. Substance grise de l'espace perforé. - Cette s
oint pour devenir verticale et se continuer avec ce que les auteurs
décrivent
sous le nom de pédoncule du corps calleux, pédo
bande diagonale; mais il est facile de s'assurer qu'a- près avoir
décrit
une anse elle y revient souvent.Nous verrons qu
e somme de fibres proportionnelle à ce volume. Les racines seules
décrites
jusqu'à ce jour ne sont donc en réalité que la
ait donné le nom «d'arc olfactif ». Bande diagonale. - FOVILLE la
décrit
ainsi : « De la moitié postérieure de son côté
ne à l'autre ? C'est ce qu'il s'agit maintenant d'examiner. » Et il
décrit
la bande diagonale des osmatiques. Chose curieu
ige, qui est quelquefois très apparent chez l'homme, et qui a été
décrit
par Vicq-d'Azyr sous le nom de pédoncule du corps
a perceptibilité différentielle fut déterminée d'a- près la méthode
décrite
plus haut; quant aux autres fonctions de l'appa
s en usage dans le laboratoire ophtalmologique de la Salpêtrière et
décrites
à plusieurs reprises dans les travaux, sortis d
pathologiques, en tant qu'il s'agit bien entendu du type ci-dessus
décrit
pour l'oeil normal. La courbe reste toujours co
Pari- y7aM</. Cet instrument ainsi que son maniement ayant été
décrits
à plusieurs reprises dans les notes et mé- DE L
nt du moment où elle a été placée par son mari. C'est ainsi qu'elle
décrit
parfaitement la salle de l'hôpital dans laquell
e M. A. Voisin, et, quoiqu'elle n'y soit allée qu'une fois, elle le
décrit
nettement et donne des détails très précis. De
alpêtrière, une fois pour consulter et l'autre pour entrer, et elle
décrit
parfaitement la porte d'entrée, le parloir, les
bien que nous voyant tous les jours elle ne peut en aucune façon
décrire
notre portrait même vaguement, mais qu'elle nous
ctions aux exci- tants périphériques, montraient les symptômes déjà
décrits
. La lumière la plus brillante cependant ne prod
ne assez grande distance avant de rester en repos. Les phénomènes
décrits
par Munk indiquent une cécité complète des pige
ur, car l'ablation alors n'a pas été complète. Cependant Sehroeder'
décrit
les phénomènes observés chez deux pigeons dont
t été loin d'être complète dans aucun cas, cependant les phénomènes
décrits
par lui comportent leur enseignement pour la ph
C'est la démonstration expérimentale des « discharging lésions p,
décrites
par Hughlings Jackson. Il a été aussi établi par
Ces convulsions tendent à s'étendre et se généralisent dans l'ordre
décrit
originairement par Hughlings Jackson. Elles ne
n'était pas abolie chez lui; il ne présentait aucun des phénomènes
décrits
par Charcot : ni hyperexcitabilité neuro-muscul
sente rien d'anormal, ni extérieurement, ni à la coupe. Nous allons
décrire
longuement l'hémisphère gauche. La région front
fois un petit bacille court à bouts arrondis ' analogue à celui que
décrit
M. Emile Blanc et presque toujours s des- edccu
is nous ne les décrirons pas; mais nous nous appliquerons surtout à
décrire
ceux que nous avons employés et à fournir les r
ces symptômes précurseurs. Pour nous les symptômes précurseurs que
décrivent
tous les auteurs sont toujours accompagnés d'ét
le, les font rentrer dans ce der- nier groupe. Le médecin doit donc
décrire
au juge la personnalité du malade, et tracer le
les n'aient pas été reconnues plus tôt, car c'est Charcot qui les a
décrites
le premier. Toutes les articulations peuvent êt
is d'une syringomyélie à forme mixte, la syringomyélie type Morvan,
décrite
par Charcot. La lésion doit être localisée plut
euses, les tropho-suppurécs, les tropho-névrotiques. Il y a lieu de
décrire
à part l'ensemble des lésions articulaires qui
e traite de l'hystérie paroxys- tique et du traitement. Après avoir
décrit
la grande attaque d'hysté- rie avec la régulari
de l'attaque de l'hystérie ou de l'accès d'épilepsie. Après avoir
décrit
les formes si nombreuses qui, par prédomi- nanc
ambulisme dit naturel dans le cadre de l'hystérie. Tous les états
décrits
dans ce chapitre ne sont en somme que les maill
c la profusion de détails qu'ils méritent; M. Gilles de la Tourette
décrit
d'abord les troubles trophiques cutanés puis le
t la paupière et le sourcil pour gagner le milieu du front, où elle
décrit
un demi-cercle pour revenir en dehors et. en haut
l'os et très douloureuse au toucher; au centre de la boucle qu'elle
décrit
sur le front se trouve encore une cicatrice iso
ns. Les caractères cliniques de la maladie ont été tels qu'on les a
décrits
à cette période de la vie : le trait le plus ca
moins d'une année. L'hébéphrénie se confond en partie avec les cas
décrits
sous le nom de démence prirnitive.(Anaerican jo
re dégénérative qu'il attri- bue à sa malade. Pour lui les troubles
décrits
relèvent de l'arthritis et non de la dégénéresc
. Et puis l'on s'est engagé dans une mauvaise voie quand on a voulu
décrire
des folies spéciales à chaque maladie, à la puer-
NIQUE NERVEUSE. fuleuse du rachis. » Olivier dit que Lapeyre a déjà
décrit
dans le Journal de médecine, LXV, un tubercule
a trouvés principale- ment dans la partie lombaire et cervicale. Il
décrit
des tuber- cules de grandeur différente, dans l
lle existe justement cette prédisposition. Hasse se borne de même à
décrire
les tubercules solitaires de la moelle et fait
euses. (Revue de méd., 1886.) 182 CLINIQUE NERVEUSE. Hellich' a
décrit
chez un homme de quarante-deux ans un cas de tu
n nouveau cas de tubercule solitaire dans la région cervicale a été
décrit
par Sachs 2. Obolonskv3 relate un cas de tuberc
ne diffèrent que par l'intensité du processus morbide, nous allons
décrire
cependant les lésions trouvées dans chaque port
glie. Dans la pie-mère, qui nous offre la même image que nous avons
décrite
plus haut, on voit un tuber- cule sur le côté e
nissent en une seule agglomération plus grande. Cornil et Ranvier
décrivent
la structure du nodule tuber- culeux, dans leur
tuberculose de la moelle doit être encore augmenté du cas chronique
décrit
par Gunsser. Ainsi, la tuberculose nodulaire de
de Froisier, Hutinel, Voisenet, Rendu, et par celui que nous avons
décrit
. Vu l'intérêt pratique de cette étude, il faut
plus précis certains événements auxquels elle a assisté : elle nous
décrit
minutieusement les prison- niers qu'elle a vus
t pas nécessairement entachées de cette déchéance intellec- tuelle,
décrite
sous le nom de démence sénile. Une manifestatio
ana- SOCIÉTÉS SAVANTES. 1237 -j logue à celui que nous venons de
décrire
, mais avec plus d'in- tensité. L'âge de l'anima
à cette hypertrophie, sont superposables à celles que vient de nous
décrire
M. Renaut. Elles sont même plus accusées puisqu
e (Bris- saud) mérite confirmation. Quant aux lésions histologiques
décrites
par M. Renaut, elles sont secondaires. Pour nou
ctuellement la question est beaucoup plus complexe. Dans ce qu'on a
décrit
sous le nom de fugue, il y a trois séries de fa
e; 24 centigrammes pour 1 kilogramme d'animal tuent. ' M. Jolfroy
décrit
ensuite la physionomie clinique de l'action de
égénération qui se fait en foyers microscopiques. Il y a lieu de la
décrire
isolément. Discussion : M. Binswanger. - On peu
ation vasculaire qui caractérise la forme clinique qui vient d'être
décrite
. z M. Siotr. - Ces malades sont assez rares dan
développements dont la méthode de M. Séguin est susceptible, si je
décrivais
tous les pro- cédés dont il est obligé de faire
ca- lisées des centres nerveux. Nous n'avons pas la prétention de
décrire
des lésions nouvelles, car les détails sur lesque
endartérite énorme, en plus de l'état spécial des tuniques externes
décrit
plus haut. Sur quelques-unes on voit que la cou
ble du système nerveux central. Il est bien évident que les lésions
décrites
dans la moelle et localisées à ce niveau presqu
nstitue la mé- ningo-myélite syphilitique diffuse telle qu'elle est
décrite
par les auteurs. A l'intensité près, cette méni
té près, cette méningite est exactement comparable à celle qui sera
décrite
dans les observations sui- vantes ; il est diff
à la dégénérescence colloïde des vaisseaux de l'écorce cérébrale ,
décrite
par M. Magnan dans quelques cas de paralysie gé
ullaires, qui sont com- plètement indépendantes des dégénérescences
décrites
plus haut. La moelle présente dans sa hauteur u
e la protubérance présente les mêmes lésions que celles qui ont été
décrites
dans le cas précédent, mais moins marquées. L
s'agit d'une lésion qui ne diffère en rien de celle que nous avons
décrite
plus haut. Le point le plus remarquable est la
'absence de dégénération secon- daire. Cette plaque, que nous avons
décrite
à la Société anatomique, avec la collaboration
proprement parler que l'exagération du processus que nous venons de
décrire
(F. Raymond, Sur quelques cas d'atro- phie musc
il est évident que la lésion de névrite transverse, que nous avons
décrite
comme étant la cause de la dégénération tabétiq
tomiques et cliniques considérables. La preuve en est dans le cas
décrit
par Westphal d'une myélite transverse diffuse qui
as certains d'abcès de la moelle, en dehors du cas très intéressant
décrit
par l'auteur. - * ' ' Après deux jours de viv
ec la dégénération des cordons de Goll et des faisceaux cérébelleux
décrits
: c'est l'ancien tabes dorsal spasmo- REVUE DE
cools par les injections intm-veineuses, M. Paul SOLLIER (de Paris)
décrit
une forme d'anorexie mentale, primitive, spécia
harpentier croit voir dans ces cas l'anorexie des hypocon- driaques
décrite
par les anciensauteurs.( M. Tissié (de Bordeaux
sagerons les cavités de la pachyméningite cervicale hypertrophique
décrite
par Charcot et Joffroy. Dans ce cas, les cavités
Merck. Les effets obtenus ont été satisfaisants et conformes à ceux
décrits
par la plupart des auteurs et rappelés avant-hi
bservations publiées atteint à peine deux cents. Peut-être, voit-on
décrire
moins souvent l'athé- .tose parce qu'on la conf
hoses de plus près. Quant aux phénomènes moteurs que nous venons de
décrire
chez R..., leur ensemble est tellement caractér
ve- ments, non seulement lents, mais circonscrits. Les mouvements
décrits
chez R... ne pourront pas non plus être confond
s). Sur le signe du cubital (analgésie) dans la paralysie générale.
Décrit
par Biernacki, dans le tabes, ce signe n'a qu'u
n des dystrophies mus- culaires. Duchenne (1847), puis Aran (1850),
décrivent
l'affection qui porte leur nom; Cruveilhier, Lu
otrophique; Hamond (1894) se range à son opinion; M. P. Marie ne la
décrit
pas dans le Traité de médecine. M. J.-B. Char
tomique de la dégénérescence des fibres des cellules de cordon déjà
décrites
en 1866, par Charcot et son élève Bouchard, sous
enrichir la sclérose latérale amyotrophique qu'il avait le premier
décrite
. Son voeu se trouve' exaucé et s'il pouvait lir
aissé d'importants tra- vaux de pathologie mentale, qui a défini et
décrit
l'idiotie, le crétinisme, les délires toxiques,
ELES. (Iah1'bÜchel' fier Psychiatrie und Neurologie, XIII, 2, 3.)
Décrite
pour la première fois par Duchenne, 18GO, la para
étudiée analomiquement par Leyden, Charcot et Joffroy. Erb en 1879,
décrivit
une forme qui tout en res- semblant beaucoup à
iculière des membres. Le cachet particulier, des paralysies si bien
décrit
par Goldflam se retrouvait surtout dans le seco
cortical a bien le trajet direct et ininterrompu que nous lui avons
décrit
(Hoesel). - 4. Il existe avec les fibres déjà déc
nous lui avons décrit (Hoesel). - 4. Il existe avec les fibres déjà
décrites
une quatrième partie constitutive des fibres du
GLIN) comme terminaison de la paranoia. - Le professeur Kraipelin a
décrit
une forme particulière d'affaiblissement intel-
as à rétrocéder ; alors se manifeste la forme spéciale précédemment
décrite
carac- térisée par un certain degré d'affaiblis
L'auteur en a observé qui paraissent devoir rentrer dans la forme
décrite
par Krajpelin. Chez quelques-uns cependant on a
t donne deux observations qui présentent l'ensemble symptomatique
décrit
plus haut. Dans le premier cas il s'agit d'un m
e, au volapuk, etc., etc. On le voit, ce malade présente les signes
décrits
plus haut : absence d'idées délirantes, faculté
binets, n'offrent rien de spécial et seront tels que nous les avons
décrits
dans notre précédent travail. Pour les dortoirs
observations anatomo-cliniques et les lésions de l'écorce cérébrale
décrites
dans certains cas d'intoxi- cation grave chroni
sychopathiques qui simulent le délire aigu et qui ont été jusqu'ici
décrites
comme délire aigu, il en est une à laquelle on
t les critiques de certains auteurs qui n'ont pu trouver le bacille
décrit
par Hianchi, mais d'autres variétés de microorg
r le Dr P. SOLLIER. - Intéressante observation du syndrome clinique
décrit
par Kor- sakoff sous le nom de psychose polynév
cence passagère de rapidité. Après que les physiologistes eurent
décrit
les troubles fonction- nels produits par l'alco
forme à ces contours indéterminés comme ceux d'un nuage? Qui pourrait
décrire
ces méandres irréguliers, pareils, dans leur comp
our apercevoir quelques progrès appréciables. Quelques plis sont bien
décrits
par Yicq-d'Azyr. La figure que Sœmmering a donnée
issure de Sylvius, qui sépare le lobe antérieur du lobe postérieur. H
décrit
avec une grande exactitude les cinq processus ray
bord supérieur) de l'hémisphère. Rolando signale aussi, mais sans les
décrire
, les circonvolutions qui sont situées en dehors d
ande confiance. Depuis Rolando, plusieurs anatomistes ont essayé de
décrire
les circonvolutions cérébrales. M. le professeur
ition générale présentant quelques points constants, il essaye de les
décrire
et d'imposer des noms à quelques-unes d'entre ell
tre à sa face inférieure. b. Sur la face inférieure, M. Cruveilhier
décrit
des circonvolutions dont les unes appartiennent a
sphère « cérébral. » Bien que M. Fréd. Arnold n'ait point essayé de
décrire
les circonvolutions cérébrales, il serait injuste
nt loin le valoir un objet naturel : or M. Arnold n'a point essayé de
décrire
les choses qu'il a si bien copiées, en sorte qu'i
au de l'Homme et du Papión des figures fort remarquables. M. Leuret
décrit
ainsi les circonvolutions des Primates (pl. 11, f
ure. Rolando et M. Cruveilhier. L'anfractuosité de l'ergot, si bien
décrite
par ce dernier savant, et qui est plus évidente e
sont les gyri brèves, les circonvolutions de l'insula. M. Foville les
décrit
avec une grande exactitude. d. Circonvolutions
erminations. Aussi, quand j'aurai, dans le cours de mes recherches, à
décrire
le cerveau humain, me bornerai-je à signaler plus
stes ont appelé l'étage inférieur du corps strié. Cette saillie, bien
décrite
par Rolando et par la plupart des anatomistes mod
deux hémisphères d'un même cerveau, qu'à peine peut-on essayer de les
décrire
. Nous les nommerons plis orbitaires. Les plis du
ement appelé le crochet de Vhippocampe. Les plis que nous venons de
décrire
sont propres à la face interne de l'hémisphère. L
les. § XIL Tels sont les plis cérébraux du Callitriche. Je les ai
décrits
avec un soin et un dé- tail peut-être fastidieu
iser les conséquences d'une observation particulière, et, après avoir
décrit
le cerveau de VEntelle, de juger par analogie de
rrière, n'est plus aigu comme dans les Guenons; il est moins élevé et
décrit
une courbe arrondie; enfin sa branche descendante
a face externe du cerveau de VEntelle. J'ai le regret de n'avoir pu
décrire
la face interne de l'hémisphère, les intérêts de
bandonner toutes mes opinions antérieures sur ce point, d'étudier, de
décrire
scrupuleusement les faits, et de me laisser ensui
ment un peu plus allongé; en outre, le bord supérieur de l'hémisphère
décrit
une courbe plus régulière, qui tient à une sorte
impanzé, il naît au devant de ce sommet par une extrémité élargie, et
décrit
autour de lui une courbe fort étendue. (Voy. 6. 6
qui montent au pli supérieur de passage; ils ont été déjà vus et bien
décrits
, mais n'offrent rien de constant dans leur nombre
s ici quelques mots de ceux du lobe central, s'ils n'avaient déjà été
décrits
, par les auteurs modernes, avec une grande exacti
s, plus régulières encore. Enfin, dans l'hémisphère atrophié que j'ai
décrit
plus haut, la même apparence de l'étage frontal s
titis. PLIS CÉRÉBRAUX DES CÈBES DU PREMIER GROUPE OU SAPAJOUS. Je
décrirai
le cerveau des Sapajous 1 d'après celui de VAtèle
is est la même, dans cette espèce, que dans celle dont nous venons de
décrire
sommairement le cerveau, § XXX. PLIS CÉRÉBRAU
qui dominent. Ils dominaient aussi dans ce fœtus de Gibbon que j'ai
décrit
plus haut. Il y a donc, entre ces cerveaux et cel
e un type supérieur. F. Des plis de la face interne. Nous les avons
décrits
, plus haut, avec assez de détails pour qu'il soit
sinon de tous, au moins des prin- cipaux caractères que nous allons
décrire
, et qui devront se rencontrer toujours en plus
turer en dehors du cercle de mes connaissances histologiques, je ne
décrirai
que ce qui m'a paru d'une évidence incontestabl
ons- tatées me semblent avoir une grande analogie avec celles que
décrivent
ces auteurs dans leur travail. Les épileptiques p
-adjoint de l'hospice de Blcètre. Depuis plusieurs années, on voit
décrites
à chaque pas dans les livres étrangers, surtout
de délire systématisé, qui englobe toutes les formes de Para- nota
décrites
par les auteurs ; qu'il y ait avec le délire coïn
e et peu précise. Cependant sous le nom d'Ectasa's paranoi.ra, il a
décrit
certains états secondaires d'exaltation mentale
é de la personnalité. Nous retrouvons ces idées dans Esquirol 2 qui
décrit
les monomanies intellectuelles et rapporte plus
surtout sur les idées de grandeurs. En Allemagne Griesingerl (1845)
décrit
la folie systématisée (p. 382) (Die Ve7@ûckthei
e forme de folie systématisée (Verrückhait) primitive, mais sans la
décrire
. 1 En somme, jusqu'ici, nous n'avons rien de bi
s héréditaires comprennent à peu près tout le cadre de ce qui a été
décrit
plus tard sous le nom de délires systématisés p
décrit plus tard sous le nom de délires systématisés primitifs. Il
décrit
les idées tixes, les excentricités, les bizar-
iblissement, ou plutôt de déséquih- bration mentale. Le même auteur
décrit
aussi la fusion des deux formes, expansive et d
n somme, on le voit avec ces deux maîtres, la psychiatrie française
décrit
la première la folie systématisée primitive. Nous
lité d'une forme primitive. C'est Snell 2, qui le premier, en 1865,
décrit
nettement une forme fondamentale, distincte de
ive des états mixtes (délires de persécution et de grandeur) et les
décrit
sous le nom de Primâre Verrizclclheit. 11 signale
rme originaire de la folie systématisée (p. 1269). En 1873, Snell
décrit
sous le nom de, folie systématisée ( Wahnsinn)
opre, adoptée depuis par Hertz ', Ripping, Nasse. ' Saint en 1874
décrit
la variété hallucinatoire de la forme originair
ieux et le vrai délire des grandeurs. Westphal le premier, eu 1878,
décrit
la forme aiguë et tente une classification de l
'il divise en quatre groupes ' : 1° La forme hypochondriaque déjà
décrite
par Morel, à marche chronique, avec des rémission
ner aux autres le vieux nom de Ve2,rùckthez't. Scbuele8, en 1878,
décrit
la Verrùcktheit parmi les formes dégénératives,
s. f. Psych. 13. XXXVII, p. 55.) 70 REVUE CRITIQUE. Westphal et
décrivent
en plus une forme hystérique analogue dans sa m
e Paranoïa, primitive : l'une avec délire des persé- cutions, qu'il
décrit
complètement avec ses trois périodes hypo- chon
me, l'auteur étudiant la fusion de la paranoia avec l'hypochondrie,
décrit
, comme sous-variété de la Paranoia hypochondria
es folies alcooliques, le délire de persécution des buveurs aliénés
décrit
par Calmeil et Thomeuf 'l, et par Nasse 1. - Le
e des hallucinations, apparaît alors le délire. 1-(eynert' (1881)
décrit
également la forme aiguë (halluci- natoire) des
s idées de Koch, de Krafft-Ebing, etc., à ce sujet. Gnauclcs (1S83)
décrit
une forme de Paranoia épileptique qu'il sépare
en méconnaissant son caractère pa- thogénique. ' Aloeli7 (188 : )
décrit
des cas de folie systématisée, déve- loppés à l
que hypcchon- driaque n'aboutit pas à la démence. Sakaki 1 (1883)
décrit
l'examen microscopique du cerveau d'un fou syst
marche aiguë, guérissant en quelques semaines ou quelques mois. Il
décrit
complètement le délire des processifs et le reg
résence d'une substance floconneuse jaunâtre, analogue à celle déjà
décrite
par Mendel chez les paralytiques généraux : le si
morale, p la paranoia partielle (rudimentaire ou idées fixes qu'il
décrit
le premier et délire des persécutions), y la Pa
le peut aboutir à la démence. Comme variétés de cette forme, Mendel
décrit
la Paranoia originaire toujours 1 Arndt. Leh2,b
ettement tranché, de fibres à myéline qu'on ne connaît ou qu'on n'a
décrit
que par bribes sans en faire connaître l'importan
son insu. Je me demande enfin si les chan- gements de personnalité
décrits
par MM. Bourru et Burol ne re- présentent pas p
sur l'étude des troubles locaux qui en résultent et que l'au- teur
décrit
avec beaucoup de soin. Chez les enfants qui s'ado
alade à conserver cette position, il ne peut y arriver et le membre
décrit
de grands mouvements que le malade ne peut empê
instant maintenu dans une position fixe, il ne la conserve pas, et
décrit
des oscillations de plus en plus étendues. La f
donnée. Ainsi lui fait-on tourner la tête à gauche, il l'incline et
décrit
un léger mouvement de va-et-vient. De plus, lor
re que l'auteur allemand s'égare pour différencier la maladie qu'il
décrit
du tabes vrai. Nous avons également observé la
nn primare peut être : 1° chronique; 2° aiguë; 3° stupide. L'auteur
décrit
la forme chronique type en disant que tous les
e est la Wahnsinn aiguë sen- sorielle (hallucinatoire). On y trouve
décrits
: a, la Wahnsinn hallucinatoire suraiguë et aig
fond d'hystérie constitutionnel, sans préjudice de ce que l'auteur
décrit
au chapitre de l'hystérie. Là, en effet, Schuel
ue l'auteur décrit au chapitre de l'hystérie. Là, en effet, Schuele
décrit
une folie systématique ( Wahn- sinn ou indiffér
ons sans grande systématisation et dont la teneur varie; e, un type
décrit
sous le nom d'état de folie systématique ( Wahn
En Angleterre, Bukuill et Tuke' (1879) rejettent la mono- manie et
décrivent
la delusio)îal <M4'QM'<y, le mot delusion
les lésions originaires de l'idéation. Maudsley 2 (1883), lorsqu'il
décrit
le tempérament de fou, surtout dans sa variété
ique, Spitzka (1880-1883) adopte la conception de la Paranoia qu'il
décrit
, bien qu'il se serve du mot de mono- manie 1. I
s affirmations de M. Garnier. Le délire des persé- cutions, si bien
décrit
par Lasègue, est un type nosographique devenu r
- jours identique à elle-même, qui ne passe jamais par les phases
décrites
dans le délire chronique. Plusieurs persécutés gu
308 bibliographie. deurs. L'histoire de ces vésanies sociales a été
décrite
pendant ces dernières années devant le nombreux
ices de la faculté de Marbourg ; ce compte-rendu a pour but, non de
décrire
les asiles visités, mais de résumer les formalité
xem- ples assez nombreux, surtout dans les auteurs anciens, a été
décrite
sous des noms très divers et parfois cou- fondu
: le plus souvent, après avoir présenté les phénomènes de l'aura
décrits
plus haut, sans cri initial, il se met à courir t
st au lit, quelquefois on observe les phénomènes que nous venons de
décrire
, mais parfois l'accès se trouve modifié ; le ma
, il en est une parfaitement distincte, mais que je n'ai jamais vue
décrite
. Ayant eu l'occasion d'observer plusieurs cas d
e aigu de l'affection observé dans certains cas et par- faitement
décrit
par Broadbent. Mais ces cas, com- parativement
ntaire impulsive. Nous avons vu que c'est Arndt, qui, le premier, a
décrit
cette forme de Paranoïa. Cette Paranoïa rudimen
). L'une, la Paranoïa, dite aiguë ou hallucinatoire ou curable, est
décrite
sous le nom de folie sensorielle aiguë et placé
èse de M. P, Garnier sur le même sujet (1877). En 1876, M. Taguet 4
décrit
les aliénés persécuteurs qu'il détache du- grou
se d'un de ses élèves, le De Pottier' (1886). En 1882, M. Cotarct
décrit
sous le nom de délire des néga- tions une forme
-à un autre point de vue, M. Magnan n'en a pas moins par- faitement
décrit
les mêmes formes que nous venons d'examiner. Re
'autres auteurs (Sander, Maudstey/Krafft- Ebing, Tanzi et Riva) ont
décrit
sous le nom de constitution psychique de la Par
représentent ainsi cette forme de Paranoia rudimentaire qu'Arndt a
décrite
le premier. A ce propos, disons que M. Ma- gnan
tat mental des dégénérés, les syndromes épiso- diques, mais n'avait
décrit
que les délires d'emblée. - Gérente. Le délire
etc... D'autres en nient complètement l'existence ou au moins ne la
décrivent
pas comme modalité de la Paranoia : tels sont K
t encore grandes au sujet de la forme de Paranoia dite rudimentaire
décrite
par Arndt et dont le type est représenté par le
ordons postérieurs. Douze cas de tabes dont six ob- servations sont
décrites
dans le mémoire. On en a examiné parti- culière
Briand ne croit pas que le délire des persécutions, tel qu'il a été
décrit
par Lasègue, puisse être plus longtemps considé
es car ils appartiennent au groupé des héréditaires dégénérés. M.
décrit
dans ses cours cliniques le délire des persécu-
st la tâche que se sont imposée MAI. Binet et Féré, en se bornant à
décrire
ce qu'ils ont vu sans prétendre àia généralisatio
ut le monde un catéchisme spécial précieux. On y rencontre en effet
décrits
: les procédés de l'hypnotisation, les symptôme
ompagne en outre de pigmentation. C'est-l'atrophie pigmentaire qu'a
décrite
M. Charcot avec dégéné- rescence granulo-graiss
périeurs; la main, en particulier, prend déjà l'attitude habituelle
décrite
par Charcot : flexion de l'ensemble des quatre de
es assez loin du tremblement menu et assez rapide, que vous trouvez
décrit
dans vos livres. Vous voyez qu'il n'est pas mod
n dernier malade, qui vous montrera ce qu'est le type d'ex- tension
décrit
par Charcot, et dont plusieurs auteurs, Beschet e
ns musculaires. En 1881, Pierret et Vesselle (Th. de Lyon), avaient
décrit
une véritable cirrhose musculaire avec transfor
r l'un de mes auditeurs habituels, le DrFraenkel (de Heiden), qui a
décrit
des épaississements de la peau, fréquents, d'aprè
de préciser sur certains points les notions que nous possédons, de
décrire
des faits nouveaux et de réfuter plusieurs donnée
matoxyline. La lésion des nerfs radiculaires dans ce cas a déjà été
décrite
dans mon tra- vail sur la pathogénie du tabes (
nt conservées dans cette même observation et que je vais maintenant
décrire
. . A. FIBRES ENDOGÈNES DANS LES CORDONS POSTÉ
RIEURS 31 moins, pour m'en tenir aux faits directement observés, je
décrirai
à part ces trois aspects de fibres endogènes fi
bien elle a peu de chances d'être vérifiée. En 1886, Lissauer (1)
décrivit
très minutieusement la structure fine de la cor
extra-médullaire et la portion intra-médullaire du même fascicule,
décrit
(1) Lissauer, Beilrag zi4111 Faseruerlauf in Hi
due plus facile par une disposition, qui a d'ailleurs été fort bien
décrite
par Lissauer. Il existe entre les deux zones de
VI pour être convaincu de ce fait que le centre ovale de Flechsig,
décrit
et figuré par son auteur au niveau de la 1° lom
irectement la partie terminale de la moelle ; en effet, ces auteurs
décrivent
une dégénérescence dans les cordons anléro-laté
seau myélinique de la substance grise de la corne postérieure a été
décrit
avec beaucoup de soin par Lissauer, dans son mémo
rne s'échappent vers la substance blanche les fibres fines que j'ai
décrites
plus haut sous le nom de fibres endogènes fines
s racines posté- rieures. En un mot, elle est telle que Pierret l'a
décrite
, et il n'y a pas lieu de faire « subir une légè
94). Actuellement on considère la bandelette externe, telle que l'a
décrite
Pierret, comme une des étapes des fibres radicu
moins arrondi. La ligne de descente est brusque ou prolongée; elle
décrit
une courbe arrondie plus ou moins ouverte, mais
dépasse la ligne horizontale de départ au-dessous de laquelle elle
décrit
une courbe de sens inverse pour revenir insensi
l'on voit une figure qui pré- sente la déformation caractéristique,
décrite
par M. Fournier sous le nom de nez en lorgnette
L'abdomen est rétracté, plissé transversalement, et, vu de profil,
décrit
avec la partie inférieure du sternum, une courb
approche des cas de rhumatisme vertébral à forme pseudo-névralgique
décrits
récemment par M. Forestier (1), mais s'en sépar
ue. Ce sont là les signes prin- cipaux de la sciatique spasmodique,
décrite
par MM. le professeur Brissaud et Lamy, médecin
péciale présentée par notre malade se rapproche d'une particularité
décrite
par Burns (1),Jastrowitz ; sous le nom de moria
s constater l'incertitude de cette physiologie puisque M. Raymond a
décrit
un syndrome cérébelleux dans les tumeurs du lob
secondaires dans l'évolution clinique des tumeurs de l'encéphale et
décrivent
non seulement des foyers de ramollissement facile
de ses organes génitaux. La face est arrondie, lunaire, son contour
décrit
un cercle presque parfait. Ce n'est pourtant pa
sales du carpe). - Et il faut aussi ranger dans celte série le type
décrit
par Gilbert et Gar- nier sous le nom de main su
PAR L. TREPSAT, Interne à l'asile d'Evreux. Le pseudo-oedème
décrit
par M. Dide (1) dans la démence précoce à forme
un cer- veau aboulique. 11 juin. J'avais prié Eugénie Gr...de me
décrire
exactement ses tortures morales. Elle l'a fait
'occupent à l'état normal'; c'est cet état que quelques auteurs ont
décrit
sous le nom d'homogénisation. Mais ces lé- sion
s ou atrophiées. V. Interprétation. Parmi les lésions qui ont été
décrites
précédemment il en est qui sont in- constantes
s recherches par plusieurs auteurs et quelques-uns, parmi. eux, ont
décrit
des lésions du ganglion rachidien très analogue
Marinesco, le seul qui en ait trouvé et qui les a le plus finement
décrites
, ne leur accorde aucune importance. Nous nous s
amène à parler des proliférations capsulaires que certains auteurs
décrivent
encore comme neuronophagie (Marburg) (2). Avec
fois, elles affectent les deux formes que nous avons pré- cédemment
décrites
. Peut-être dans certaines affections les leucocyt
été signalée par Luys, par Wollenberg dans le tabes, mais Golgi l'a
décrite
dans la rage, et d'autres auteurs ont trouvé quel
souvent encore à une lésion cadavéri- que ; en tout cas, elle a été
décrite
dans tant d'affections diverses qu'elle ne saur
cellules ganglionnaires ne sont pas constantes; celles qui ont été
décrites
ne sont pas suffisantes pour expliquer la dégé-
sens qu'elles vont en décroissant du VIe segment, où nous les avons
décrites
/au 11111 segment, où elles sont réduites à une lé
onfondant toutes les classes et toutes les directions. Je renonce à
décrire
ce retour, avec l'attente, deux heures durant,
essivement, que se sont installées les déformations que nous allons
décrire
. Depuis, Mouloud a toujours joui d'une excellen
ant-bras. - Avant-bras gauche : L'avant-bras gauche est infléchi et
décrit
dans son ensemble une courbure allongée à convexi
sens et la cause des déforma- tions. Elle montre que : 1° le radius
décrit
une courbe à grand rayon qui inté- resse toute
re. Enfin l'on pourrait songer encore à cette affection singulière,
décrite
par Ollier sous le nom de dyschondroplasie et à
l'insu des parents, le début de l'ataxie héréditaire. Batteu (4) a
décrit
une famille composée de plusieurs membres, dans l
qui fait que par moments on la nourrit au moyen d'une sonde. L'état
décrit
cède la place à des périodes de calme pendant les
ant rapport à des productions analogues à celles que nous venons de
décrire
. Grâce à cette absence de précédents littéraire
aits qui se produisirent au xve siècle dans la Pouille, et qui sont
décrits
sous le nom de Tarentisme. Matthiole nous app
unilatéraux, en particulier au torticolis spasmodique et à la forme
décrite
par M. Bris- saud sous le nom de torlicolis men
a première fois le 7 mai 1904. En dehors des crises que nous allons
décrire
, il ne présente rien du côté d'aucun appareil.
niveau des membres inférieurs, on peut se demander si le processus
décrit
par Krôsing n'intervient pas pour une part dans
, Delacour (4), Gùntz (5) et 1\0- kitansky (6) ont depuis longtemps
décrit
des processus de calcification dans le système
s aussi sont plus ou moins profondément at- teints par l'altération
décrite
ci-dessus. Le plus souvent les éléments calcaires
et de dépôts calcaires. En outre, si au niveau des capillaires on a
décrit
dans des cas d'artério-sclérose cé- rébrale, la
leur lumière, on n'a pas trouvé une calcification semblable à celle
décrite
par Hubrich (1) et dans le cas qui nous occupe
sez facilement comment apparaît le second aspect que nous venons de
décrire
, parce que la coupe est restée trabécu- laire,
assez pour donner naissance à l'aspect « nodulaire » que nous avons
décrit
tout d'abord, à ce champ uniforme parsemé de no-
llement périvasculaire ; dans certains cas seulement (nous en avons
décrit
ci-dessus des exemples) les- lames conjonctives
avasculaires, et l'on s'explique l'aspect si spécial que nous avons
décrit
tout d'abord et qui est celui de la plupart des
ivo-vasculaires. Bien entendu entre les deux aspects que nous avons
décrits
, la sclérose « nodulaire, insulaire », et la sc
sur la loca- lisation des lésions. Les lésions que nous venons de
décrire
dans le nerf des tabétiques amaurotiques sont e
it des paquets de vaisseaux atteints des altérations que nous avons
décrites
et avec lesquels il est en connexion directe. A
et la genèse des cavités semblent s'écarter beaucoup de ce qu'on a
décrit
sous ce nom. L'hyperplasie des vaisseaux avec pro
de rencontrer, établissent d'abord que les caractères histologiques
décrits
dans l'observation de Poch..., se retrouvent, p
sépare le tissu ectodermique du tissu mésodermique. Cette membrane
décrit
des si- nuosités qu'on ne saurait mieux compare
la ressemblance qui existait entre la formation conjonc- tive qu'il
décrit
et la membrane limitante de la cavité de beaucoup
pseudostimates anatomiques de la criminalité » (Th. de Lyon, Mayet)
décrits
par Lom- broso et l'école italienne, les études
s par les cornes, par les sinus frontaux et pariétaux... » (1) Oh a
décrit
néanmoins des anomalies de volume : la microcépha
eille révèle chez l'homme une infinité de malformations qui ont été
décrites
avec un grand luxe de détails par Morel, Séglas
taux du mâle (1) L'affaissement de l'angle interne de l'ilium a été
décrit
pour la première fois, par Joly, Rev. gén. méd.
somatiques OU stigmates physiologiques DE dégénérescence. J. Séglas
décrit
sous le titre de Symptômes somatiques « les désor
Séglas (2) : « ils s'ob- servent d'ordinaire sous toutes les formes
décrites
en neuropathoiogie : paralysies, spasmes, contr
: paralysies, spasmes, contractures, convulsions, tremblements... «
Décrits
très complètement chez l'animal par Cadéac (3),
mal, ils ne peuvent être mis en parallèle avec les grands syndromes
décrits
chez l'homme Nousavons signalé quelques modificat
ouvant déter- miner à la longue un état général des plus défectueux
décrit
, en méde- cine vétérinaire, sous le nom de tic
nts, le tic rédhibitoire. Les tics aérophagiques de l'homme ont été
décrits
par Pitres et par Séglas ; l'étude du syndrome
et auditives, de l'apathie et du dégoût pour l'exercice. Au cheval
décrit
par Job, Toussenel, Buffon, qui cherche à compren
inus du caractère, de l'émotivité et de la vo- lonté que nous avons
décrits
chez les chevaux offrant des perturbations de l
t desquels j'ai plus ou moins participé. Certains phénomènes que je
décris
pourraient être rattachés à plu- sieurs de mes
des rétractions fibro-tendineuses analogues à celles que Charcot a
décrites
chez l'homme, rétractions qui ne disparaissent
duisant alors que celle-ci fait défaut. C'est ce phénomène que j'ai
décrit
sous la dénomination d'inversion du réflexe du
ne de l'inver- sion du réflexe du radius, tout récemment signalé et
décrit
par M. Babinski ».... « Ce cas rentre dans la c
la réapparition du mouvement réflexe de flexion des orteils. On a
décrit
sous des dénominations nouvelles des phénomènes
ues présentant le phénomène des orteils. En pratiquant la manoeuvre
décrite
par Schaefer, j'ai obtenu comme lui la flexion
l est permis de faire une critique analogue du signe qu'Oppenheim a
décrit
sous la dénomination d' « Unterschenkelsreflex ».
pouvoir mieux faire que de citer des extraits du travail où je l'ai
décrit
(122). « En raison del'imporlance fondamentale
relaté cinq observations ; le caractère essentiel de la déformation
décrite
consiste en une incli- naison du tronc du côté
ou diminution nette du réflexe achilléen. » NÉVRITE RADIALE .l'ai
décrit
(98) une forme spéciale de névrite radiale caract
mispasme facial dans lequel il a constaté tous les signes que j'ai
décrits
. Meige, dans un travail intitulé : « Les convul
odique en flexion de la para- plégie en extension avec contracture,
décrite
par Erb sous la dénomi- mation de paraplégie sp
sait autrefois Erb ; il l'appelle un « Quar- tett » depuis que j'ai
décrit
le phénomène des orteils qui s'associe à cette
it anatomo-clinique qu'il a observé, rentrant dans le type que j'ai
décrit
. L'auteur attire l'attention sur ce point que les
t un type de paraplégie avec contracture en flexion tel qu'il a été
décrit
par Babinski». C. Lian et J. Rolland relatent u
cellules. Ce sont ces cellules remplies de myéline que Hibbert a
décrites
, mais cet auteur n'a pas mon- tré le lien vérit
es tendineux, par exemple l'inversion du réflexe du radius que j'ai
décrite
(p. 34), donne parfois à cet égard des indica-
). 10 Les lésions méningées observées rentrent dans ce que l'on a
décrit
sous le nom de pachyméningite cervicale hypertrop
le du côté normal se porte en avant. Le mouvement que je viens de
décrire
se reproduit et peut être plus ou moins accentu
ui qui appartient aux diverses variétés de mouvements associés déjà
décrits
dans l'hémiplégie ((v8), peut être désigné de p
riffe de la main. Anciennement déjà, la griffe de la main avait été
décrite
dans l'hémi- plégie organique avec contracture.
pour que la marche reste possible. C'est pour ce motif que je l'ai
décrit
au cha- pitre « Monoplégie brachiale » auquel j
ux à ceux du côté gauche. D. - Les symptômes cérébelleux que j'ai
décrits
(voir pp. 136-157) facilitent le diagnostic des
ligne droite vers le but, et ce n'est qu'après l'avoir dépassé qu'il
décrit
quelques oscillations en sens divers, cherchant
rébelleuse, a fait une analyse soignée des mouvements démesurés -et a
décrit
leurs caractères au cours de certaines épreuves
la fesse et à le ramener ensuite à son point de départ. Lorsque je
décrivis
, en 18gg, l'asynergie cérébelleuse chez le mala
ujourd'hui. L'hémiasynergie se retrouve dans le syndrome que j'ai
décrit
avec J. Nageotte Fie. y. - Attitude d'un sujet
ÉRÉBELLEUX il9 Je l'ai repris. Il sert à grouper les faits que j'ai
décrits
et il s'accorde avec ma manière de concevoir le
mouvements qui constituent un acte, le phénomène que nous venons de
décrire
peut être considéré comme l'effet d'une absence d
ie duquel fut trouvée une lésion de l'hémisphère cérébelleux droit,
décrivent
avec précision les troubles asynergiques qui occu
uvements du tronc et des jambes qui rentre dans la grande asynergie
décrite
par M. Babinski... » Voici une intéressante obs
plégie croisées. (EN COLLABORATION AVEC ! V 1Gfi01'TE) Nous avons
décrit
un syndrome lié à une lésion bulbaire unilatérale
té enrichie par l'acquisi- sition des divers signes que je viens de
décrire
puisque, comme on l'a vu, ils permettent de déc
racrânien. » Les perturbations du vertige voltaïque sont d'ailleurs
décrites
dans la plupart des ouvrages modernes d'électro
ossible d'attribuer à Frôhlich la paternité de ce syndrome que j'ai
décrit
avant lui, sans, à la vérité, donner à l'ensemb
ce des hémorragies, des lésions cutanées hystériques et qu'il avait
décrit
sous la dénomination d'oedème bleu un trouble cir
montré chaque jour les plus beaux types de l'hystérie telle qu'on la
décrivait
à la Satpptrierp. 2JR i)YSTËM ! ) ? P ! Tf)iA
on d'observer un cas de cette singez lière affection que Paget, xi)
décrivit
, le premier et dénomma en 1876 « os- téite défo
pécial. La déformation des membres inférieurs est très marquée; ils
décrivent
un arc à concavité interne, laissant un écartem
latérale par celle delà macula lutea. Les phénomènes précédemment
décrits
se produisaient de la même ma- 24 NOUVELLE ICON
centimètres. III Je suis arrivé à la fin de mes expériences. J'ai
décrit
seulement dans cette étude une partie des phéno
hénomène est dans une particularité de l'état hypnotique, qui a été
décrite
par M. Fendrassik et plus tard par M. Wiindt. D'a
enthousiaste, les danses des Mena- des ou les orgies bachiques sont
décrites
par les écrivains de l'époque avec des détails
ux qui se produisirent au XV. siè- cle dans la Pouille, et qui sont
décrits
sous le nom de Tarenlisme. · Matthiole nous app
des passionnelles de l'attaque hystérique; on le re- trouve souvent
décrit
clans les récits des exorcistes : c'est tantôt un
la main. De l'autre côté, se trouve le groupe des deux personnages
décrits
plus loin. En haut, des bandelettes et des feui
alades, elles revêtent l'allure des danses que les anciens nous ont
décrites
et figurées, témoin ce passage de l'obser- vati
son et les lois de ces changements, en un mot, il fallait tenter de
décrire
une )MO)/tO/0t< ? Si'0/0.f ? «;. Un pareil
oins inclinés les uns sur les autres, de telle sorte que leurs axes
décrivent
une ligne brisée intéressante il bien connaître (
S-OPTIQUE » DANS LA. RACINE . POSTÉRIEURE DU THALAMUS. Nous avons
décrit
sous le nom de « bandelette sous-optique » (1) un
r- mer la racine postérieure du thalamus. Arnold semble avoir voulu
décrire
le même corps de fibres sous la désignation de
opos de la contusion « qui est la seconde espèce de fracture » Paré
décrit
fort bien le cephaloematome, el les dépressions
un de ses patients jusqu'à vingt-sept palettes en quatre jours. Il
décrit
les pansements à appliquer, variables suivant les
au quatrième livre de sa méthode ». Enfin terminant son livre, Paré
décrit
le manuel opératoire de la trépana- lion telle
'amyotrophie ils n'ont pas non plus les formes herculéennes si bien
décrites
par Du- chenne de Boulogne dans la paralysie ps
LLE ICONOGRAPHIE Il LA SALPÊTRIÈRE E II. - De la marche. Avant de
décrire
les traits principaux de la démarche des myopathi
myopathies pri- mitives, dont Duchenne de Boulogne avait d'ailleurs
décrit
plusieurs for- mes (atrophie musculaire progres
développé que la face. La région occipitale présente l'aplatissement
décrit
chez les myopathiques par MM. P. Marie et Onano
espond à la « forme infantile de paralysie musculaire progressive »
décrite
par Duchenne de Boulogne (2). Mais une des part
son volume. A. Dans le premier groupe rentrent différentes maladies
décrites
sous les noms suivants : 1° Paralysie spinale
et la syringomyélie. 5° Atrophies musculaires d'origine articulaire
décrites
par Charcot, (2). On y observe le plus souvent
blié jus- qu'à ce jour et qu'il ne réponde pas exactement aux types
décrits
dans la classification précédente. Il . i
on assise. 5° Je n'ai jamais pu observer le tremblement fibrillaire
décrit
par Du- chenne dans quelques cas d'amyotrophies
retrouver dans l'art des figurations de cette altération de la face
décrite
sous le nom de Faciès myopathiques C'est Duchen
e Faciès myopathiques C'est Duchenne (de Boulogne) qui a le premier
décrit
ce faciès dans la maladie qu'il appelait atroph
ALPÊTRIÈRE Nous n'insistons pas sur les troubles de la mimique bien
décrits
égale-~ ment : le rire triste, en travers et en
rra y trouver la vérification figurée des caractères précé- demment
décrits
.- On les reconnaîtra également bien indiqués sur
s, supposèrent que si /'arthropathie tahé- tique n'avait jamais été
décrite
, c'est qu'elle était peut-être une affection nou-
nou- velle. Ainsi avant Cliarcot, elle n'aurait pas existé ! on ne
décrit
que ce qui peut se voir..... Sans doute, dans
articulaires et de l'oedème con- comitant avec ceux que je vous ai
décrits
. Mais, je ne doute pas un instant que la maladi
ons qu'il s'agit ici d'une forme mixte : syringomyélie type Morvan,
décrite
par Charcot. Quant à la localisation de la lési
E DE LA SALPÊTRIÈRE c'est la forme monoplégique de la syringomyélie
décrite
déjà par les au- teurs CI). Les lésions artic
s il des fractures parcellaires sem- blables à celles que Charcot a
décrites
dans les arthropathies tabétiques. Les luxation
ci les névrites périphériques ? Rien ne le fait supposer. Si l'on a
décrit
des névrites périphériques dans l'arthropathie ta
dans l'arthropathie tabétique (Pitres et 'aillard, Déjerine), on a
décrit
aussi des cas sans névrite pé- riphérique (tebo
ue, les documents précis manquent; disons toutefois que dans un cas
décrit
par Mossé : arthropathie tabétique du coude sup
oins que leur forme tropho-suppurée aiguë, forme que nous venons de
décrire
, attiré l'attention des neurologistes. Elle p
des arthropa- thies tropho-suppurées nécrotiques que nous venons de
décrire
. Elles siè- gent répétons-le, les unes il dista
ire, assez analogue à celui des arthropathies su- baiguèstahétiques
décrites
par Fort; plus souvent avec début lent, indolore
classique de la maladie de Charcot. Il était donc nécessaire de les
décrire
plus particulièrement. En étudiant la thérape
yola fut aussi thaumaturge. Et son fidèle historien se com- plait à
décrire
les miracles qu'il a opérés. Les deux dessins q
tes pour nous autoriser à composer un schéma que nous ne ferons que
décrire
. Qu'il nous soit permis d'ajouter à ces résulta
anes de la ligne latérale. Si l'on se reporte à ce que cet auteur a
décrit
de la fente branchiale cristallo-hypopliisaire qu
ère des olives inférieures, sur le passage du faisceau vestibulaire
décrit
par Bruce. Sa proximité d'un des noyaux du nerf
n compensatrice du rythme respiratoire et circulatoire. Mislawsky a
décrit
un noyau respiratoire, qu'Obeisteiner appelle le
e (1). Il est juste de faire remarquer qu'avant Weber, Gubler avait
décrit
des faits de ce genre sous le nom de paralysies
racine spinale posté- rieure se comportent de leur côté : Houssay a
décrit
un rameau postbran- chial du ganglion auriculai
cellules bipolaires ; ce sont même, remarque Cannieu, les premières
décrites
chez l'homme; on en doit la première mention à
rolon- gement du ganglion de Scarpa (Cannieu). Cet auteur a aussi
décrit
une bande cellulaire, remarquable chez la soit-
manées d'éléments en îlots disséminés dans le tronc vestibulaire et
décrits
par Erlilzky. On trouve dans le tronc vestibula
o-externe. Nous étudierons leurs faisceaux constituants après avoir
décrit
les noyaux primaires du nerf labyrinthique. I
remarquables connexions. Signalons seulement maintenant le faisceau
décrit
par Edinger, unissant cette olive supérieure du
eurs qui traverse le noyau de Deiters (Edinger, Bechterew). Bruce a
décrit
un faisceau unissant le noyau de Deiters à l'oliv
avec l'écorce temporale. Du tubercule acoustique partent des fibres
décrites
par Hans Ileld, Bechterew et Koelliker, qui par
tout à fait comparables. Du même tubercule acoustique, des fibres,
décrites
par .Monakow, s'en- gagent à travers les noyaux
ier cas, ils affec- taient le'type de paralysie médullaire que j'ai
décrit
sous le nom de type jambier, dans le second le
décrit sous le nom de type jambier, dans le second le type que j'ai
décrit
sous le nom de typé brachial supérieur. ... J
alade de la Salpêtrière. On y retrouve tous les caractères dû Jades
décrit
par Duchenne (de Boulogne). « La paralysie de l
qu'à l'âge adulte et forme, sur le bord postérieur du rocher, un trou
décrit
d'abord par Kerckringe, puis par Duverney. « De
t de base à l'étude anatomique du temporal. D'ordinaire, en effet, on
décrit
séparément la portion squameuse, la portion pétre
mpanique (margo tympanicus, rebord du mur de la logette). Virchow a
décrit
un prolongement du bord antéro-supérieur du squam
(2). Sur les limites des portions mastoïdienne et pétreuse, Verga a
décrit
un lin canal qui perfore l'extrémité postérieure
ue cette épine appartient au squamosal et non au tympanal. Chipault
décrit
, derrière l'épine de Henle, une zone triangulaire
rigue, par ses ramifications terminales, la région occipitale. Dunn
décrit
sous le nom de lame occipitale de l'apophyse mast
ns de la rainure digastrique, pour y former la saillie que nous avons
décrite
sous le nom de bulle digastrique. Ce groupe confi
ées tout d'abord par Mignon, Lombart, Laurens et ïaplas, elles furent
décrites
spécialement par Moure et Lafarelle, puis par Sta
e trois, ils naissent dans le vestibule et s'y terminent, après avoir
décrit
une courbe en fer achevai. Par rapport à l'axe de
hlé-aire, dont l'enroulement spiroïde autour du mediolus ou columelle
décrit
deux tours et demi ou deux tours trois quarts. Le
en dedans et aplatie d'avant en arrière. Chez l'adulte, on trouve à
décrire
trois faces : supérieure, antérieure et postérieu
Le conduit auditif externe répond en avant à la cavité préauriculaire
décrite
par Gangolphe, Siraud et St. Martin (de Lyon). En
le premier a signalé son existence chez l'homme. Si elle n'a pas été
décrite
jusqu'ici, c'est parce que, en faisant la dissoci
emblent avoir pressenti l'existence de cette portion du temporal. Ils
décrivent
en ces termes son développement : « Vers la fin d
àne, à travers ces déhiscences que Hyrtl et Toynbee avaient déjà bien
décrites
. Le trait d'union presque obligé entre l'otite et
t l'un est supérieur et l'autre inférieur. Le segment supérieur a été
décrit
pour la première fois par Shrapnell. Il lui donna
ait l'inflammation primitive de la capsule labyrin Inique, —affection
décrite
jusqu'aujourd'hui sous le nom de sclérose de la c
s deux bourses de Troltsch. Le célèbre otologiste de Wurtzbourg les a
décrits
ainsi : « Il existe à la surface interne de la me
e plexus ptérygoïdien par les veines de la trompe. Les lymphatiques
décrits
par Kessel forment un réseau externe qui, s'abouc
ots de tissu adénoïde qui forment l'amygdale tubaire de Gerlach. On
décrit
, sous le nom de boagirage, une méthode qui consis
oire, au cours de l'attico-antrotomie. A cette époque, Faure et Furet
décrivirent
une opération que Ballance avait déjà pratiquée,
eure. » (Hédon.) d) La veine anastomotique de Labbé. — Cet auteur a
décrit
une grande veine anastomotique postérieure qui re
es, sus-tympaniques, infra-tympaniques et mastoïdiennes. Elsworth a
décrit
une veinule, qu'il nomme antro-sigmoïdale, dont l
et forme ainsi, selon l'expression de Gruveilhier, la corde de 1 arc
décrit
par le sinus. Son calibre oscille entre quelques
de hauteur et près de 10 millimètres de largeur. Il était utile de
décrire
, quoique sommairement, toutes ces anastomoses des
e, d'abcès multiples encéphaliques d'origine septico-pyohémique. On
décrit
deux formes de pyobémie otitique, l'une avec thro
re sans lésions apparentes du canal sinuso-jugulaire. Cette dernière,
décrite
par Hessler, Kôrner et Brieger relèverait d'une o
processus lepto-méningitique revêt quelquefois une autre forme, qu'on
décrit
, depuis Quincke, sous le nom de méningite séreuse
du langage, ne produit pas seulement l'aphasie optique, telle que l'a
décrite
Freund ; elle porte aussi préjudice «à la compréh
e la protubérance annulaire, au-dessus et en arrière du bulbe. On lui
décrit
deux faces : l'une supérieure, séparée du cerveau
éphalique. Ces différents systèmes cérébelleux, dont nous venons de
décrire
succintement les éléments constitutifs, sont reli
élioration. En résumant et en analysant les troubles que nous avons
décrits
, nous trou- vons que la jeune fille était attei
seignements insuffisants, l'on ne saurait confon- dre les symptômes
décrits
avec une paralysie postdiphtérique. Ces cas s'a
n minorité. Lorsqu'on re- cherche dans les premiers auteurs qui ont
décrit
ces productions parasi- taires, il est difficil
en rencontre assez souvent chez les vieillards. En 1G54, Panoroli
décrit
des vésicules remplies de liquide siégeant dans
causés par l'absorption du liquide de la poche et analogues à ceux
décrits
lors de la rupture des kystes des autres organe
e invaginée dans le recessus scolecis, en un mot l'aspect classique
décrit
par Moniez dans sa monographie sur les cysticer
ntra qu'elle pouvait apparaître pendant la vie extra-utérine, et la
décrivit
comme complication de la paralysie infantile. Mal
ine-t-on de face, on constate que l'axe de la cuisse et de la jambe
décrit
une légère concavité tournée en dedans ; le genu
genu recurvatum vrai, nom sous lequel Faussié (4) range les faits,
décrits
par Sonnenbourg (5), de flexion dans l'épiphyse s
sement à la théorie de la gérocomique, telle que J. IL Cohausen l'a
décrite
dans son Hermippus redivivus. Notre grand phi
du maître. Nous sommes dans une salle de collège, dans l'orphelinat
décrit
par J. H. Co- hausen. Tel est le livre bizarr
le genre des hémimèles, Il nous a paru intéressant et digne d'être
décrit
ici non seulement en raison des par- ticularité
ous l'espérons, à l'approfondir. Jusqu'à présent, on n'a pas encore
décrit
de grosses lésions, ce qui ne saurait être surp
s cloisons. Mais c'est surtout auprès des vaisseaux, comme l'a bien
décrit
Cornil, qu'ils sont plus nombreux. Sur une coupe
de cellules plates et de globes. Nous avons dit comment cet auteur
décrit
la cellule constitutive à propos de l'observation
du col de l'utérus. Ro- bin insiste sur la fréquence de ces tumeurs,
décrites
par nombre d'auteurs sous le nom de sarcome, ta
Brault (7) enfin distingue le sarcome angiolithique, tel que l'ont
décrit
Cornil et Ranvier, et, dans un autre chapitre,
arotide, testicule, ma- melles). Récemment même Auché et Vitrac ont
décrit
sous ce nom une tumeur totalement différente, t
organique. A côté de ce processus : 1ngiolithique que Cornil a bien
décrit
, il existe une autre dégénérescence, la dégénér
nent les corps concentriques. Robertson, dans le même chapitre, les
décrit
et fait intervenir cette dégénérescence par laq
la dégénérescence hyaline avoisinante. Quantaux « grains d'amidon »
décrits
par Robertson, ce sont des produits excrétés pa
use de tout le cor- tex. , L'ensemble des lésions que nous allons
décrire
peut s'apprécier à l'inspection des figures de
semées d'un nombre considérable des trois variétés petits de corps,
décrits
dans l'écorce, avec prédominance des for- mes v
oin de la cellule, de l'autre l'aspect chromatolylique précédemment
décrit
. A côté de cette chromatolyse partielle, on peu
côté a complètement disparu. La lésion rappelle alors celles qu'ont
décrites
Nageotte et Eltlinger (2). L'absence du noyau n
ire accompagne presque toujours la chromatolyse et tous les auteurs
décrivent
ces deux processus associés. (t) NISSL, Ueber e
uvé les altérations cellulaires dues à compression telles que les a
décrites
Neumayer; dans toute l'étendue de l'écorce cérébr
ttouchement déterminait chez elle les phénomènes que nous venons de
décrire
. La malade nous apprend en même temps que depui
ébut de l'existence. Mais à 11 ans, elle prit une crise que la mère
décrit
comme épileptique. A 12 ans, il en survint une
ou soeur ne présente d'accidents semblables à ceux que nous allons
décrire
. Tous ont eu dernièrement la dothiénentérie. II
st pas une apparition très ordinaire, il est vrai ; nous-même avons
décrit
un cas, où pendant l'accumulation trop grande d
Depuis, on n'a rien modifié aux travaux de Winkler qui a nettement
décrit
les diffé- rences qui séparent le rachitisme vr
ent remarquablement volumineuses. Les caractères que nous venons de
décrire
sont remarquablement cons- tants dans les diffé
uestion bien discutée et déjà nous savons qu'un bon nombre de faits
décrits
à tort sous ce nom appartiennent à l'achon- dro
très impressionné par une autre sorte de spasme qu'il ne consent à
décrire
qu'avec des réticences. De loin en loin il est
méthodique du système nerveux n'ajoute rien il ce qui vient d'être
décrit
. W... n'éprouve aucune gêne dans son bras droit q
hydropisie ventriculaire de Leindot et Odick, les oedèmes cérébraux
décrits
par Franck en rapport avec l'hypertension du ve
en- tes, ces espaces angiomateux, et ces capillaires que nous avons
décrits
, et qui témoignent de l'activité circulatoire d
iome des méninges ayant subi la dégénérescence hyaline telle que la
décrit
Robertson. Quant aux lésions des cellules corti
axie de Friedreich (maladie de Friedreich) avec laquelle la maladie
décrite
par M. P. Marie présente beaucoup de traits com
x questions qui lui sont posées. Facies. - Il est le même que celui
décrit
dans l'observation de Klippel et Durante, c'est
u près analogue. Donner une description de l'un d'eux sera donc les
décrire
tous. Les méthodes employées pour la coloration o
vie biologique et de la structure de ce névraxe que nous venons de
décrire
nous conduit à émettre les quelques considérali
es de mention et représen- tant un phénomène qui n'a pas encore été
décrit
. Dans les deux il s'est produit une attitude se
stic. Quelle â pu être la cause de cette paralysie ? ' ? Duchenne
décrit
cinq cas par contusion ou blessures du nerf ; Erb
un. dans Nothnagel, par chloroformisation, comme dans le cas que je
décris
. On a décrit des paralysies d'autres nerfs et m
nagel, par chloroformisation, comme dans le cas que je décris. On a
décrit
des paralysies d'autres nerfs et même des paral
, la compression du nerf se révéla par l'ecchymose intense que j'ai
décrite
; mais en outre, et en dehors de la chloroformisat
par la flexion complète du doigt. Main- tenant, dans le cas que je
décris
, pour peu que la puissance nerveuse anormale, p
les cas de contracture de la main, de nature hystérique, qui ontété
décrits
, ne sont pas identiques au mien : tantôt l'altitu
ges. Dans un autre cas de Charcot, le plus semblable à celui que je
décris
, il y avait flexion exagérée des trois derniers d
tibia seul, à son tiers supérieur a 15 centimètres de tour. Le tout
décrit
une forte courbe à concavité postéro-externe.
étroites et qui se rattachent aux grandes bandes que nous venons de
décrire
. Certaines de ces vésicules, il peu près normales
ré peu avancé, ce que Joffroy et Achard (1), Dutil et Lamy (2), ont
décrit
comme névrite d'origine vasculaire. Quant aux m
), l'aorte est chaque fois signalée athéromateuse. L. Lévi (8) nous
décrit
: « la valvule mitrale épaissie et rugueuse; même
ticle intitulé la lésion médullaire de la maladie de Paget, avaient
décrit
comme telle les altérations des cordons postérieu
rables à cette manière de voir. L. Lévi (4), après avoir longuement
décrit
les altérations médul- ]aires de son sujet, déc
les cordons postérieurs, ils seront abolis. Récemment, Curcio (1) a
décrit
dans la moelle un centre trophique des os, qu'i
présentait des altérations très semblables à celles que nous avons
décrites
un peu plus haut. Il déclare n'avoir pas encore
es mêmes dans ces diffé- rents cas, et semblables d'ailleurs à ceux
décrits
dans les cas isolés (2). On peut admettre égale
nt des observations étiquetées éléphantiasis congénital. Nonne en a
décrit
plusieurs cas. Dans l'un d'eux (1) R. Cassireii
sireii, Dievasomotoriseh-lrophischen Neurosen, 1901. (2) On a aussi
décrit
des héréditaires d'oedème aigu circonscrit (Ricoc
l'on rapproche les uns des autres ces faits jusqu'alors disséminés,
décrits
sous des dénominations différentes, mais présenta
S'il en était ainsi cependant, on pourrait, comme le fait M. Rapin,
décrire
une dystrophie oedémateuse d'origine télopctlti
pose sous-cutanée, d'orme segmentaire, de trophoedème, etc., l'on a
décrit
un cet tain nombre d'états concernant une infirmi
nao-myélites, en un mot dans toutes les atrophies musculaires qu'on
décrit
sous le nom d'amyolrophies deutéropathiques, se
uvent tou- chés. L'idée que l'hypertrophie des membres, dont on a
décrit
des types divers, pouvait relever dans un certa
ouble vaso-moteur qui rapprocherait cette forme des hypertro- phies
décrites
par Trélat et Monod (1), Klippel et Trenaunay (2)
nts de la malade. Dans un travail paru ici même (2), M. Henry Meige
décrit
une affec- tion des plus rares, dont le caractè
matisant-chronique ». Et l'on se souvient que Desnos et Mathieu ont
décrit
des cas de ce genre sous le nom d'oedème rhumat
bassin et immobili- sées absolument dans la position que nous avons
décrite
. Les hanches semblent donc complètement soudées
de cartilage; tout le reste de la volumineuse masse que nous avons
décrite
est au contraire cartila- vineuse, en sorte que
remontent à une date assez re- culée. Charcot et Paul Richer ont
décrit
et reproduit une des plus anciennes figurations
es représen- tent un certain nombre de types* tranchés ; la maladie
décrite
par M. Ray- naud, l'ostéoarthropathie hypertrop
: as- phyxie. Mais contrairement à ce qui se passe dans l'affection
décrite
par Raynaud, cette asphyxie est constante : ell
e faits. C'est une variété d'acrotrophoné- vrose à ajouter à celles
décrites
par Hutchinson (1), Lancereaux (2), mais qu'il
mplaisance sur le diagnostic différentiel de l'affection queje veux
décrire
ici, parce que c'esl une question préliminaire
fférences assez peu considérables de la température. Les phénomènes
décrits
par eux consistent en engourdissements, sensati
a plus simple et la plus légitime, au lit du malade. On doit donc
décrire
des oedèmes aigus et des oedèmes chroniques. I.
aigu du phlegmon, du charbon ou de l'érysi- pèle) relèvent du type
décrit
par Quincke. II. Le groupement des oedèmes chro
ue, tel qu'on doit le comprendre aujourd'hui et tel que Chariot l'a
décrit
, présente un ensemble de caractères trop particul
post traumatique semble parfaitement s'appliquer. Le syndrome, ici
décrit
, différerait peut-être (1) de celui de Neige par
edème à la suite de poussées subaiguës, par (1) M. Meige a en effet]
décrit
l'histoire d'une famille de trophoedèmes dans laq
au tissu nerveux, comme dans les lésions de l'encéphale précédemment
décrites
. Autour de la moelle se dispose le large anneau
s n'étaient pas lésés. Les modifications de la substance blanche,
décrites
par les observateurs, sont assez uniformes. L'é
ou avec l'infiltration, ils sont d'ailleurs peu étendus. Nous avons
décrit
précédemment une région périphérique de la moel
psychi- ques ou même des déformations crâniennes analogues à celle
décrite
par Marie et Onanolf (G). La topographie de l
emne de toute lésion nerveuse. Inver- sement, la variété d'atrophie
décrite
par Werdnig et Hoffmann, pour être de nature my
obtient une contraction très nette des jumeaux sous forme de boule
décrite
plus haut avec extension du pied et flexion du
);élo-ostéo-périostile déformante, d'origine hérédo- syplîilitiquê,
décrite
par M. Lannelongue (1) sous le nom de périostite
complètement celle opinion, et nous croyons même que les deux types
décrits
par les auteurs sont réunis par tous les interm
trame conjonctive, parfois intracellulaire, que l'un de nous (1) a
décrite
dans l'hypophyse de.la femme enceinte et que l'on
s, identiques à celles qui constituent la tumeur et que nous allons
décrire
; c'est ainsi qu'on voit un gros vaisseau, tout
es dans quelques vaisseaux affectent le type général que nous avons
décrit
au début comme le plus habituel. Au voisinage d
de constater l'augmentation de vol ume de la glande thyroïde et de
décrire
les modifications histologiques dont elle est le
xandre qui surpassa même renommée du père. [Ce tableau a déjà été
décrit
dans une étude de M. Henry Meige, intitulée Icono
; dans le mouvement d'élévation des bras sur la tête, le bras droit
décrit
un arc de cercle il rayon plus étendn que le ga
blés et dé- formés par le double mouvement convulsif que nous avons
décrit
: élévation de l'épaule et rotation du bras en
-5 millimètres au-dessus du premier gros sillon transverse (x) déjà
décrit
. Presque parallèlement aux deux branches centrale
et possédant les mêmes caractères que le sillon moyen et les autres
décrits
. Les bords de la langue présentent encore,en pr
r aucun sillon ou enfoncement. Au dehors des sillons que nous avons
décrits
, nous trouvons encore sur'le dos de la langue,
ologi- que. - . Les particularités morphologiques, que nous avons
décrites
frappent essentiellement les fibres longitudina
ions est encore des plus discutées. I. De tous les signes cliniques
décrits
dans cette observation on peut conclure que cet
ans sa remarquable Iconographie des arracheurs de dents (2), a déjà
décrit
le tableau de Longhi. Il ne s'arrête pas à l'opin
érale ? Jendrassik en 1888, Strümpell en 1890, Ebstein en 1898, ont
décrit
dans l'écorce des tabétiques une atrophie des f
ordons postérieurs se présentent presque complètement sains. Le cas
décrit
se prête à des considérations que je vais énoncer
on segmentaire de cette dystrophie permet de songer à l'af- fection
décrite
par Henry Meige sous le nom de trophoedème. On
s (ventre, cuisses, bras), appartiennent au contraire à l'affection
décrite
par Dercum sous le nom d'adipose dou- loureuse.
ière, (1902) à la suite de ma communication,MM. Raymond etJanet ont
décrit
un cas semblable analogue aux miens dans l'arti
903. 288 TIASKOVEC . quer ni à l'un ni à l'autre des cas que j'ai
décrits
et pas même à celui qui présente une certaine a
mme une variété de ces mouvements différents et bizarres que l'on a
décrits
sous le nom de chorée rythmique, quoique j'avoue
énomènes n'ont pas affaire non plus avec l'akathisie que nous avons
décrite
. Le pronostic et la thérapeutique du syndrome c
'il a un travail devant lui. C'est bien là l'ensemble des symptômes
décrits
par M. Haskowec : des secousses, de l'agitation
symptôme est-il identique à ceux que l'on observe chez les malades
décrits
par M. Haskowec, en particulier chez le second
tre ma manière de voir et celle de ces auteurs quant à l'akathisie,
décrite
jusqu'à présent, différence évoquée par un male
certaine mesure. C'est pourquoi le portrait de l'akathisie comme le
décrivent
Raymond et Janet (voir p. 243 de leur communica
stérisque, causée par la paralysie, comme MM. Ray- mond et Janet la
décrivent
, avec celle que j'ai pu observer dans mes cas.
us avons pu obtenir l'autorisa- tion de photographier la tapisserie
décrite
et relever aux registres du Musée sa provenance
précisément à Bourges en 1898. A son occasion furent étudiées et
décrites
des tapisseries de facture assez analogue à la
aire diocésain et données aussi au Musée. Ces tapis- series ont été
décrites
par M. Mater et M. l'abbé Guitard. 304 MARIE
omme une statue de pierre ; si encore, dans une phase extatique, il
décrivait
des visions incohérentes ; ou enfin s'il était
trine s'appuyait : En embryologie, sur les travaux de His qui avait
décrit
des cylindraxes nus bourgeonnant au dehors des ce
un mot, une régression cellulaire identique à celle que nous avons
décrite
dans les muscles placés dans des conditions ana
es nerveuses 34U DURANTE. périphériques vraies telles que les ont
décrites
Apathy et Bethe. Ces anastomoses, de même que c
astomoses péri- phériques vraies telles que Apathy et Bethe les ont
décrites
. - EXPLICATION DES PLANCHES. Sauf la figure A
se définitive ; j'ai pu me rendre compte de l'exactitude de ce fait
décrit
par Sellerin. La localisation est importante à
riété des tics auxquels cet organe peut prendre part. M. Cadéac (1)
décrit
, chez les équidés, des tics actifs de la langue
ière fois, à notre connaissance , que des troubles de ce genre sont
décrits
chez l'animal, il importait donc de rechercher si
inus du caractère, de l'émo- tivité et de la volonté que nous avons
décrits
chez les chevaux offrant des perturbations de l
nce réunis, en médecine humaine par MM. Morel et Magnan, et si bien
décrits
par M. Séglas (1). Bassi (2) a déjà démontré, d
solument, dans ses manifestations objectives, au tic de l'ours déjà
décrit
chez le cheval ? Malgré toutes les analogies, u
entre le délire alcoolique continu et la psychose alcoolique aiguë
décrite
par différents auteurs sous différentes dénomin
sépare pas le délire alcoolique continu de la paranoïa alcoolique et
décrit
ces deux maladies sous la dénomination de « dél
nt auditives, comme seul reliquat de la maladie. Le trouble mental,
décrit
il y a peu de temps par le professeur W.-M. Bec
adoptée par les auteurs allemands qui ont suivi et l'affection a été
décrite
sous différentes nominations. Ainsi Kraft-Ebing
alcooliques de Krafft-Ebing, on doit signaler aussi les mala- dies
décrites
par ITruepelin (4), comme « Hallucinatorischer Wa
s dans la littérature française. Marcé, Lasèyue et Legrand du Saule
décrivent
sous le nom « d'alcoolisme subaigu » le délire 'd
s interprétations. S'il s'agit des Pestiférés, il montre les images
décrites
en 1889 par Charcot et par 1Vl..Paul Richer. Pour
que deux cha- pitres : la tuberculose et le cancer. Les classiques
décrivaient
minutieuse- ment les caractères anatomiques et
tence de dispositions anatomiques analogues à celles que nous avons
décrites
autour de l'aorte. Les muscles des gouttières ver
e synostose, mais à l'existence du tissu spécial que nous venons de
décrire
. Notons enfin l'intégrité des masses musculaire
la face et les sphincters. C'est la myosite ossifiante progressive,
décrite
, en 1869, par Munchmayer, étudiée depuis par MM.
it pas, dans notre cas, de maladie de Müncbmeyer. , Bechterew (4)
décrit
, il y a quelques années, un type spécial d'anky-
as une rhumati- sante ; elle ne présente aucun des signes cliniques
décrits
par M. Fores- tier ; elle accuse par contre, de
e par contre, des symptômes que l'on n'observe pas dans l'affection
décrite
par cet auteur. Nous conclurons donc qu'il ne sau
(3). Sous le nom de spondylose rhizomélique, M. Pierre Marie (4) a
décrit
t une affection qui se caractérise essentiellem
Entre les symptômes de la spondylose rhizomélique, tels que les ont
décrits
MM. Pierre Marie et Léri, et ceux qu'a présentés
rences entre les lésions que nous avons observées, et celles qu'ont
décrites
MM. P. Marie et Léri. Sans doute, n'avons-nous
si caractéristique et qui rap- pelle aussitôt les faits semblables
décrits
par Gombault et Mallet, Dejerine et Sottas, est
rieurs, douleurs intermittentes, variables de siège et d'intensité,
décrites
tantôt comme des crampes localisées, tantôt comme
caractéristique (fig. 3 et 4) est bien semblable à celui qui a été
décrit
par Dejerine et Sottas dans la névrite intersti
plus démonstrative. La même analogie est évidente avec les lésions
décrites
par Gombault et Mallet dans leur observation in
e : « Un cas de tabes ayant débuté dans l'enfance» (1). Ces auteurs
décrivent
dans le texte des fibres de moyen calibre entou
s cité ces divers travaux que pour les lésions histologiques qu'ils
décrivent
et qui peuvent être mises en comparaison ou en op
roglique en tourbillons, comme dans le cas de maladie de Friedreich
décrit
parDejerine etLetulle et comme dans diverses obse
etLetulle et comme dans diverses observa- tions où cette lésion est
décrite
comme un phénomène accessoire ; dans les nerfs
gaines lamelleuses que sur le tissu inter et intrafasciculaire. Ils
décrivent
également une augmentation de volume de la paro
t amené à en dégager plusieurs types cliniques. C'est ainsi qu'il
décrit
un type parélo-spasmodique caractérisé par une
, comme nous avons dit, les mêmes lésions atrophi- naires ci-dessus
décrites
, mais avec une intensité variable de lamelle en l
d'appeler la maladie de Paget, et plus spéciale- ment à cette forme
décrite
par Paget et les auteurs anglais,et sur laquelle
e chaque grande région. Dans la myologie, chaque muscle se trouvait
décrit
avec ses insertions précises, sa forme, son vol
ouvements. Assurément, il n'avait pas été possible de figurer ni de
décrire
l'infinie variété des attitudes et des gestes q
e certains muscles, que j'appelle les « muscles de la forme », sont
décrits
avec détail, qu'ils soient superficiels ou pro-
phie de la jambe gauche est de beaucoup plus marquée que celle déjà
décrite
dans la jambe droite. Le membre inférieur gauch
ce des troubles moteurs, trophiques et de la réflectivité ci-dessus
décrits
. Mort le 4 août 1906, à la suite d'appendicite.
sions atrophiques analogues, mais beaucoup moins accusées, à celles
décrites
dans la racine gauche. Dans la région dorso-c
rieurs à part la légère atrophie, sans dégénérescence, ni sclérose,
décrite
dans la moelle lombo-sacrée gauche. Méninges
t réunies sur le même individu ; et des cas d'épidémie, comme celle
décrite
par Medin, où elles se retrouvent à côté l'une
x qui ont été publiés jusqu'à présent. Le trophoedème tel qu'il fut
décrit
par Henry Meige se caractérise par un « oedème
ÉTIENNE tant la vie entière sans préjudice notable pour là santé «/
décrits
par H. Meige. Mais, ainsi que l'ont déjà fait r
s ainsi et à côté de cette forme la plus communément observée on en
décrit
une autre mixte où l'adipose,diffuse au tronc,
xysmes et d'accalmie se succédant à intervalles variables. Dercum a
décrit
l'atrophie des fibres des nerfs périphériques,
rédilectiou à la face dorsale des' pieds et des mains. On a de plus
décrit
dans l'adipose douloureuse comme dans le myxoedèm
elles sont coupées par le prolonge- ment interne du foyer ci-dessus
décrit
. Plus bas au niveau de l'entrecroisement des pé
ur). Ici, comme nous l'avons vu sur les coupes horizontales ci-dessus
décrites
, il s'agit d'atrophie plutôt que de dégénératio
les sensitifs dans notre cas, où il existe les conditions ci-dessus
décrites
pour la production des troubles sensitifs, est do
appor- tons ici est un exemple d'une forme particulière, non encore
décrite
de la paralysie pseudo-hypertrophique de Duchen
Mais nous ne croyons pas, sans vouloir .1'affirmer, qu'on ait déjà
décrit
un cas de myopathie présentant une pseudo-hyper
NAY et INFROIT. Les cas de dysostose cléido-crcznienne, l'affection
décrite
pour la pre- mière fois par MM. Pierre Marie et
aître. Il permet le rapprochement anormal des moignons de l'épaule,
décrit
dans les obser- vations antérieures. 4° Quant
observations d'Abbot qui a pu dans 4 générations d'une même famille
décrire
7 cas de luxation de la tête du radius. Comme d
nsuffisance interstitielle, l'adiastématie précoce, telle que l'ont
décrite
Ancel et Boin (Presse médicale, 3 janvier 1906).
Encore est-il certain que je suis loin de les avoir toutes vues et
décrites
. Ces lésions prédominent évidemment du côté du né
ses cel- lules araignées, les hémorragies et les fibres variqueuses
décrites
ailleurs. Le noyau denté droit est très forteme
es, portant en particulier sur le système musculaire. Après avoir
décrit
notre dissection en tous ses détails, nous revien
névrotiques résultant de l'épanouissement de tendons que nous avons
décrits
. Fig. 10. a. Radius; b, Cubitus ; ç, Olécrane
les Act. natur. cur., t. V, obs. XXII, 1740. L'auteur a figuré et
décrit
avec soin un enfant mâle de 15 mois, dont les q
l innerve ses muscles normaux, et aussi les deux faisceaux anormaux
décrits
sous les noms de fléchisseur superficiel et flé
telle façon que la face antérieure c'est-à-dire la face supérieure,
décrit
une convexité qui regarde en dedans et en bas. Le
pression les avait arrê- tés dans leur développement. Le cubitus
décrit
une courbe prononcée à concavité dirigée en dedan
adius. HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 329 Le radius
décrit
également une forte courbe à concavité interne ;
ortant lui aussi qu'une phalange et un phalangette. Ce second pouce
décrit
dans son ensemble une courbe il conca- vité ext
suivant la méthode d'exploration de l'oesophage que l'un de nous a
décrite
(1), on fait avaler à la malade quelques gorgées
omique, par sténose spasmodique du cardia, selon le type sacciforme
décrit
par Leichtemtern (1). Pour l'expli- cation du p
II : nous n'insisterons pas sur ce processus que l'un de nous (1) a
décrit
longuement dans le cerveau. Les choses ne se pa
té, et dans son intérieur, nous avons constaté plusieurs formations
décrites
par les classiques sous le terme de névromes de
opinion en présence d'organes aussi nettement différenciés que ceux
décrits
dans notre cas ? La question nous paraît tout au
le système nerveux. CHAPITRE III CONCLUSIONS A. - Après avoir
décrit
les altérations que'nous avons rencontrées chez
peu de troubles, les anomalies sont de celles qui sont reconnues et
décrites
avec une certaine fréquence. Ce qui est ici rem
il s'agissait, en ce cas, de l'atrophie numérique telle qu'elle fut
décrite
par l'un de nous. ' MOELLE. - et) Examen de l
a date du 24 novembre à cette opération que la Gazette hebdomadaire
décrit
déjà dans son numéro du 19 no- vembre. 422 HA
oir aucun rapport avec la masse spongieuse avoisinante et ci-dessus
décrite
. La protubérance annulaire, le bulbe et la moel
volutions en avant de cette cavité, lé foyer hémorragique ci-dessus
décrit
dans l'hémi- sphère gauche, et les granulations
irection mathématique du rayon. Construit comme nous venons de le
décrire
, le « topographe cérébral » permet de résoudre
s dystrophies ostéo- 446 BEDUSCIII articulaires qui n'ont pas été
décrites
dans les cas connus d'acromégalie, si toutefois
été suffisantes. Ces lésions médullaires dans l'acromégalie furent
décrites
par Marie et Marinesco, par Bonardi, par Sainto
nous, les troubles ci-dessus mention- nés. La conception ci-dessus
décrite
est susceptible de nous donner la clef de certa
d'autres fois le diaphragme entre manifestement en jeu. 4 Le malade
décrit
avec beaucoup de justesse les variations de l'aff
vous ai fait connaître au cours de nos conversations, sans vous le
décrire
, en lui donnant le nom de « crampe des écrivain
er le mouvement caractéristique des bulbes oculaires que nous avons
décrit
précédemment. L'observation est encore plus facil
idéré comme patholo- gique, si bien, que certains observateurs l'on
décrit
comme un symptôme pathognomonique d'une forme s
intacte. Aussi bien M. Spilsha (18) trouva que le groupe cellulaire
décrit
par Mendel est celui qui reste indemne quand l'
aupières (poissons) le présentent manifestement, comme nous l'avons
décrit
ci-dessus. En culte, on peut noter manifeste- m
, S. 1203. 7. Campos (M.). Interprétation d'un' phénomène récemment
décrit
dans la para- lysie faciale périphérique. Progr
phénomènes exer- cent l'un sur l'autre. , , , . , , 1 · I. Pour
décrire
les amnésies hystériques il faut, à mon avis, m
épendent de troubles de la mémoire. L'astasie abasie, telle que l'a
décrite
M. Blocq, est « une perte des synergies muscula
Automatisme psychologique, 1889, p. 93, l'observation do la malade
décrite
sous le nom de Rosé. , l'amnésie HYSTÉRIQUE. 35
dépendent de tous ces troubles de leur mémoire. Je ne puis vous en
décrire
les innombrables variétés, je dois me contenter
résumer rapidement l'état d'une de ces malades que je viens de vous
décrire
, nous disons qu'elle a perdu la mémoire de tel
- primée ou lésée gravement dans les cas d'amnésie que nous avons
décrits
. Nous arriverons ainsi par une sorte d'élimina-
es. - Il y a d'abord dans la mémoire telle que les philosophes la
décrivent
des opérations intellectuelles assez compliquées
aque instant des amnésies localisées analogues à celles qui ont été
décrites
par Despine. Elle avait depuis de longues année
ntre dans une sorte de somnambulisme assez compliqué que je ne vous
décrirai
point. Je vous rappelle seulement que c'est un
des souvenirs dans l'amnésie hysté- rique. Les psychologues nous
décrivent
alors un autre phénomène essentiel dans le souv
Je ne cherche pas à expliquer ces faits délicats, je cherche à les
décrire
, à les résumer. Et dans. l'amnésie HYSTÉRIQUE.
cet état à plusieurs reprises chez des hystériques et nous l'avons
décrit
avec soin, car nous y attachons une assez grand
té, il s'agit là d'une anesthésie, analogue à celles que nous avons
décrites
dernièrement et qui n'affecte que la perception
dormir au dehors et nous la ramène dans cet état que je veux vous
décrire
'. Il est facile de voir par sa conversation qu
nées par le traumatisme. Enfin la' cicatrice osseuse que nous avons
décrite
doit comprimer les deux premières circonvolu- t
ations ne présentant rien de particulier. P. K. XIII. DES psychoses
décrites
sous LE NOM E : 1T : 1TONIE; par W. . SERBSKY.
ur iV.-11. POPOFF. (iJledi- zinsk. Obozr., n° 18, 1891.) L'auteur
décrit
un cas d'hémiplégie survenue à la suite d'un sé
ar les divers schémas en question. Prenant le fait qu'il a lui-même
décrit
dans le Zeitschrift für Psychologie und Physiol
s centres de la parole ne suffisent plus à expliquer tous les faits
décrits
jusqu'ici de troubles de la parole; -2° A mesur
ons sur les troubles de la parole, il faut s'attacher surtout à les
décrire
, non pas à les expliquer; - 4° Les déductions p
lement négatifs. Discussion : M. GRASHEY. Le cas d'aphasie que j'ai
décrit
il y a six ans, j'ai tenté de le rattacher à un
je sais ce que c'est, j'en ai l'idée, la notion précise, je puis le
décrire
exactement, et cependant son nom m'échappe. On
le com- prendre, prête aux développements les plus longs, M. Séglas
décrit
successivement les dyslogies par modifications
maladies mentales à l'Université de Vienne. Il est impossible de
décrire
le succès que remporta son enseignement sans en a
es secousses; à 105, convulsions toniques, très intenses (type déjà
décrit
). Quelques secousses cloniques dans les muscles
le premier dans lequel le scotôme scintillant se trouve exactement
décrit
, et où le trouble visuel est considéré comme un
opie transitoire, accompagnées parfois du syn- drôme migraineux. Il
décrivait
si bien le scotôme, avançant de la périphérie d
Déjà Béard, dans la dernière édition de son ouvrage clas- 1 Pour
décrire
ces rapports, nous nous en tenons surtout aux mon
à subir de longues vicissi- tudes. Longtemps avant Ilippocrate, qui
décrivit
avec de grands détails les méthodes et les indi
x; par PERLIA. (Nezcool. Centralbl., 1801.) M. Perlia prétend avoir
décrit
le premier un trousseau de fibres qui, se détac
l croit devoir isoler décidément cette espèce de lypéma- nie, qu'il
décrit
comparativement au délire des persécutions. Le
rents ne se- raient-ils pas seulement de simples variations du type
décrit
par lui. Le délire des négations représente auj
distinguer des variétés parm les délires de persécution qu'il avait
décrits
en bloc; et la distinc- tion de ces variétés a
à trouvées à côté d'idées de persécution. En Allemagne, Witkowski a
décrit
une modalité in- termédiaire à la mélancolie vr
rtains négateurs, sceptiques, damnés, pourris, immortels. Kroepelin
décrit
une forme qu'il ap- pelle Wahnsinn depressiver,
coliques avec délire de négation systématisé, correspondant au type
décrit
par Cotard" et qui dès lors doit être conservé.
e des négations au délire des persé- cutions. Pour moi, les faits
décrits
par Cotard relèvent de l'hypochon- drie, de la
- sible des ;idées de négation chez les anxieux. Si le type qu'il
décrit
est nié, ce n'est guère que par ceux qui n'en ont
s n'est pas en cause dans les lésions ana- tomiques que je viens de
décrire
. Que les malades aient ou non des antécédents s
ie générale est celle qui répond au type anatomique que je viens de
décrire
. M. PIERRIET (de Lyon). Rapports de la paralysi
ses expressions motrices. Les deux formes cliniques que je viens de
décrire
ont été jusqu'à présent confondues dans le cadr
des lésions diffuses d'emblée, mais il me parait nécessaire de les
décrire
à part désormais. M. le Dr Ch. Vallon présent
re du malade on se trouverait en face'd'un de ces faits qui ont été
décrits
sous le nom de pseudo-paralysie générale saturn
générale pu- bliés jusqu'ici n'est assez complet pour permettre da
décrire
à part une pseudo-paralysie générale saturnine.
ion anticipée des sutures » chez les « microcéphales. » Les lésions
décrites
, hydrocé- phalie, sclérose, etc., « coïncident,
tre de Werwirrtheit ou d'Amentia; et d'ailleurs elle avait déjà été
décrite
en France, surtout par M. Delasiauve, sous le n
t bien mériter le nom de confusion mentale sous laquelle elle a été
décrite
par M. Dela- siauve, en ajoutant primitive, afi
n à part, car ils rentrent dans le groupe de faits que Delasiauve a
décrits
sous le nom de stupidité. M. Charpentier (de Pa
in pourrait peut-être rentrer dans le cadre de ce que M. Fournier a
décrit
sous le nom de syphilis pseudo-démente ou torpi
la confusion mentale n'ont fait que retrouver ce qui avait déjà été
décrit
en France, surtout par M. Delasiauve, sous le n
rappelle ce qui a été fait dans un grand nombre d'asiles étrangers,
décrit
l'application faite à Ville-Evrard, à Villers-Cau
multiples n'autorisent pas des affirmations aussi nettes et, pour
décrire
avec exactitude les sutures, il est indispensable
ndre de douche, dit-elle, après avoir mangé. Dans une note, où elle
décrit
les divers phénomènes qu'elle éprouve, elle s'e
fut obligée d'entrer à la Salpêtrière. Ici les attaques qui ont été
décrites
se continuèrent. Après quelques jours s'y ajout
en présente d'autres à type hystéro- épileptique avec les modalités
décrites
ci-dessus. Jamais il ne lui est arrivé que les
ésirer. Elle répond avec rapidité aux demandes qu'on lui fait, elle
décrit
ses sensations avec beaucoup de précision, elle a
ent à cette manifestation spéciale de la névrose, que le Maitre a
décrit
sous le nom de « diathèse d'amiosthénie D. Or, l'
e a été observée d'autres fois dans l'hystérie ; Souza- Leithe en a
décrit
un cas classique chez une jeune fille de onze a
avec la méningite chronique de l'adulte à type hystéro-épileptique,
décrite
par le docteur J. Lombroso 3 ? - Il manque de c
e et du bras : c'est bien là le tableau classique qui a été si bien
décrit
par M. Fournier dans son livre sur la syphilis
il envisagea le phénomène comme étant analogue à l'asphyxie locale
décrite
par M. Raynaud, analogie qui nous permettrait d
e, accompagnée de sensations visuelles, que Purkinje et Brunton ont
décrite
dans l'intoxica- tion par la digitale. Même l
este paralysée avec une anesthésie en manchette Une autre, que j'ai
décrite
autrefois, lève le , G. Légué et Gilles de la T
prurit véritable; nous croyons voir au microscope ce que l'on nous
décrit
, etc. Tout cela est juste, quoique exprimé d'une
énorme quantité d'images tactiles, visuelles, olfactives, etc. Elle
décrit
les roses, leur couleur, leur nombre, etc. En u
'association des idées, l'habitude, sont des faits de ce genre bien
décrits
, depuis longtemps. Mais, quand deux faits prése
maladie mentale. Beaucoup d'entre vous voudraient me dire : « Vous
décrivez
là les symptômes de l'aboulie, une des formes d
s cas le conduit à repousser l'existence de la folie spéciale jadis
décrite
sous le nom de pyro- manie ; les aliénés incend
que présen- tent les dégénérés névrosés, on peut ranger les malades
décrits
par Trélat, qui délirent dans leurs actes mais
articipation d'un facteur psychique. Jusqu'à ce jour on n'avait pas
décrit
l'état psychique particulier qui motivait ces m
'altère très rapidement parle même procédé que celui que nous avons
décrit
; mais sa'totalité se transforme en une matière
d'une névrite périphérique en rapport avec le tabès. M. POEDEKER
décrit
un cas de pamlysie p1'ogl'essive des muscles des
Enfin l'auteur rappelle les cas de névrite multiloculaire qu'il a a
décrits
dans la Zeitsch. f. KliazJleclic. (t. XVII, Suppl
ur les questionnaires individuels. Il propose un plan d'études pour
décrire
complètement un individu, analogue aux question
che à déterminer les rapports entre la suggestion et la volonté, il
décrit
la suggestion comme un fait primitif dont la vo
é des recherches psychiques et l'un des organisateurs du congrès, a
décrit
un phénomène assez curieux, que je considère co
ement à cette cause que la déformation doit être attribuée. » L'arc
décrit
par le rachis égale environ un tiers de circonfér
quatrième vertèbre dorsale à la neuvième. Les cinq premières dorsales
décrivent
une courbe inverse à peine marquée, rudiment de l
tèbres sont soudées dans ce même sens. Les trois premières dorsales
décrivent
une courbe légère, à convexité gauche, qui ramène
surtout considérable et réellement dominante. Les premières dorsales
décrivent
une troisième petite courbure, à convexité gauche
ane. Les quatre premières lombaires, les quatre premières dorsales,
décrivent
des courbures accessoires ou en retour, qui ne so
La partie moyenne, régulièrement arquée, de cette grande déviation,
décrit
une demi-circonférence constituée par la douzième
llection. — Pages 389, 399, 401. La déviation est bi-dorsale ; elle
décrit
deux courbes alternatives de la première à la dix
imètres en arrière. Les dernières cervicales et la première dorsale
décrivent
une petite courbe en retour, qui laisse le cou un
un peu incliné à gauche. A partir de la neuvième dorsale, le rachis
décrit
une troisième courbure, longue et peu marquée, ma
es. Le corps de ces deux vertèbres est coupé obliquement de manière à
décrire
, avec la première lombaire, une courbe régulière
peu augmentée par une quatrième petite courbure, à convexité gauche,
décrite
parles sept vertèbres dorsales les plus élevées.
NTE DE SCOLIOSE AU 2e DEGRÉ. Ma collection. — Page 390. Le rachis
décrivait
trois courbures inégales. La première, à convexit
ires dépend de ce que le rachis revient à la ligne droite après avoir
décrit
la troisième courbure, à convexité droite. Dans
ée; la côte Un peu tordue dans le même sens que la droite, elle offre
décrit
une portion de spirale ; l'élévation de l'extrémi
ptième. Moins courbée que la septième à sa partie postérieure, elle
décrit
en avant une courbe inverse, de sorte que la form
L'aorte, la veine cave inférieure, sont inclinées comme le rachis et
décrivent
une courbure analogue. L'aorte thoracique se mo
a courbure principale. Azygos recourbée comme l'aorte, de manière à
décrire
un arc à concavité droite le long de la courbure
ongée, remontant jusqu'au bas du cou, surmontait, à droite, la courbe
décrite
par les apophyses épineuses. Les deux côtés du th
6 millimètres de la ligne médiane. Les vertèbres dorsales supérieures
décrivaient
une courbure en retour très légère, à convexité g
s mettre sur la voie du vrai diagnostic. L'état, que nous venons de
décrire
se perpétua sans changement notable, avec une l
ées au microscope il grand champ de vision de Nachet, tel qu'il est
décrit
dans l'Anatomie des centres nerveux de Déjerine
i est une lésion importante à signaler, car elle n'a pas encore été
décrite
, à notre connaissance, sous cette forme ascenda
ions anatomiques sont tout à fait analogues à celles que nous avons
décrites
dans les noyaux internes des couches optiques.
agnostic. Si nous résumons d'abord l'observation que nous venons de
décrire
, nous voyons que 'd'un homme de 68 ans, infecté
Kriege a trouvé des nerfs dans sa tumeur linguale, si Branca a vu,
décrit
et figuré des fibromes nettement développés sur
1898 nous avons attiré l'attention (1) sur une affection non encore
décrite
en France, caractérisée par la présence de tuméfa
similaires, épars dans la littérature médicale. Ils s'y trouvaient
décrits
sous les noms les plus divers tels que : anliit
mblance avec l'adéno-lympliocéle : cette opinion nous a amenés à la
décrire
sous le nom d'acléno-Liponccctose symétrique.
fection. D'autre part, l'état mental de S... est bien celui qui est
décrit
chez les hystéroneurasthéniques : préoccupation
vrai, plus de la neurasthénie que de l'hystérie, Cherchewsky (15) a
décrit
des troubles intestinaux aujourd'hui très connu
mais je crois que c'est là un phénomène posi- tivementrare. Quant à
décrire
le symptôme je ne l'oserai pas avec des documen
cas de Pitres etvaillard, les trois observations de Kroenig et les
décrit
sous le nom de « arthropathies et fractures de la
que la précédente. Pour cette raison et par suite de la dépression
décrite
plus haut dans la troisième lombaire, la colonne
os plats avoisi- nants. Enfin, il est un dernier mode non encore
décrit
du processus anatomi- que. Il est relatif à not
une constatation se dégage aussitôt, la diversité telle du tableau
décrit
par les auteurs qu'il paraît difficile d'écrire l
de rattacher cette analgésie à une altération névritique. Kahler a
décrit
son cas que nous avons rapporté plus haut comme
rs de la colonne vertébrale, etc. Enfin, sans nier que les troubles
décrits
ne soient peut-être la résultante d'altérations
e cette hémiplégie est devenu très facile. Voici comment Todd (1) a
décrit
cette marche : Je désire, dit-il dans ses Leç
n de circumduction, elle porte en avant la jambe paralysée, faisant
décrire
au pied un arc de cercle. Notre malade, au cont
u à des déformations monstrueuses analogues à celles que nous avons
décrites
. Les lipomes vrais peuvent parfois être multipl
mais les proportions énormes des masses que nous avons précédemment
décrites
. Leur multiplicité est parfois telle qu'on en a
roduit jamais l'aspect si caractéristique du collier que nous avons
décrit
précédemment. Il est beaucoup plus diffus et ne s
udo-lipomes sus-claiicvlaires que Verneuil et Plain ont observés et
décrits
chez les arthritiques. On les rencontre surtout c
i, dans un cas, M. Delbet a constaté la présence du microbe qu'il a
décrit
dans le lymphadénome, nous croyons que, pour ad
région scapulaire, colonne ver- tébrale, épigastre, pubis) où on ne
décrit
pas habituellement de ganglions lymphatiques ;
897), montrent combien sont nombreux les groupes ganglionnaires non
décrits
dans les classiques. Nous savons aussi que l'a-
a- dénopathie syphilitique peut s'observer en des points où l'on ne
décrit
pas habituellement des ganglions normaux : au c
fréquente des lipomes au voisinage des ganglions non ordinairement
décrits
dans les classiques. Mais cette prédilection po
flexion et d'extension des doigts, lents. Nous les trouverons bien
décrits
dans une observation de Mathieu en 1888 que nou
enfants. Il y a encore des mouvements associés, comme celui qui est
décrit
dans l'observation III. La clinique offre natur
sommes à présent dans la condition, à un degré légèrement modifié,
décrite
par Hugh. Jakson, sous le nom « d'im- perceptio
vecçà et là une teinte rosée.Dans la moitié droite de la courbe que
décrit
le sillon signalé plus haut, à peu près au niveau
station assise et vu de dos (fig. 8 et 9). Dans son ensemble, elle
décrit
une longue courbe dorso- lombaire à concavité t
concernant. M. Mari- nesco indique cependant que, le premier, j'ai
décrit
trois degrés à la dé- marche spasmodique. Mais
« polican », des « déchaussoirs » et des « poussoirs » tels que les
décrit
et figure A. Paré. On voit même sur cette tab
odifications dans la structure des cellu- les nerveuses qui ont été
décrites
sous le nom de « dégénérescence de Nissl » et q
ent après la mort, ont été traités par les procédés techniques déjà
décrits
dans la première par- tie de ce mémoire. Nous
t fréquemment dé- formée et froissée. Le stade que nous venons de
décrire
est le plus largement represemLe dans le gangli
a malade prend le porte-plume entre ses doigts, le membre supérieur
décrit
des oscillations et les muscles de l'émi- nence
sont pas décolorés ; mais la dégéné- rescence bilatérale qui a été
décrite
en'avant de la place occupée par le faisceau de
as bien en équilibre : ce n'est pas la démarche de l'homme ivre qui
décrit
en marchant une ligne sinueuse, et dont les ondul
ni en arrière, mais avant de rester complètement immobile, le tronc
décrit
deux ou trois gran- des oscillations antéro pos
t et se repose de même, les enjambées sont courtes, irrégulières et
décrivent
une ligne festonnée. Le corps se porte trop en
e tableau clinique qui rentre dans le cadre du syndrome cérébelleux
décrit
par l'un de nous. Chez ces deux malades, les
s d'étudier présente plus d'une analogie avec celle que Marie (2) a
décrite
sous le nom d'hérédo-ataxie cérébelleuse et qui
la paume de la main entre le squelette et la dure-mère. E. Michel
décrit
ainsi l'épanchement qu'il trouva pendant une auto
vement ses bras en avant tout en conservant aux mains l'aspect déjà
décrit
. C'est la « démarche de canard », la pointe des
de transition un peu différente de celles qui ont été précédemment
décrites
et auprès desquelles nous plaçons notre cas en
s de Kroenig, les deux observations de Pitres et Vaillard et il les
décrit
sous le nom d'arlltropathie et fracture de la col
ourbure de la colonne vertébrale entière ou la gib- 'bosité en anse
décrite
par Lannelongue dans le mal de Pott. A côté des
prépondérante, la scoliose complique toujours alors cette dernière.
Décrire
par conséquent un seul type clinique de compensat
aison de l'insuffisance des détails cliniques, nous ne saurions les
décrire
avec quelque exactitude. Nous nous bornerons donc
ac à priser et tabacorexis, le désir de cette poudre, et il nous en
décrit
les ra- vages. La soif, la faim ont leurs momen
de celle plante qui apporte. plus d'incommodité- que de plaisir et
décrit
ainsi les symptômes : 1° Abolition de l'odorat
raison de se moquer de leur nez, et s'ils sont dans l'état qu'il a
décrit
. La foule se soumet à cette épreuve, mais l'iss
t à propos intercale leurs vers dans sa prose. C'est ainsi que pour
décrire
le bruit que font à la porte de l'Olympe les pr
des maux de tète. La parésie du nerf facial gauche que nous allons
décrire
tout à l'heure, n'a pas encore été re- marquée
dire positivement, si nous avions affaire ici à l'état spirémateux,
décrit
par Nelis (2) ou avec de simples vacuoles. L'exis
dégénérescence dans les mêmes systèmes comme aussi dans les régions
décrites
plus haut, quoique la figure de la dégénérescen
ce qui est encore plus marqué dans le cas premier. Les deux cas,
décrits
plus haut, présentent une grande ressemblance e
endue du tronc cérébral et de la moelle épinière. La dégénérescence
décrite
plus haut de la voie pyramidale, en commen- çan
es d'autres maladies mentales. N. Vyrouboff (2) dans sa monographie
décrit
,entre autres, les résultats de l'examen de la m
nt, elle avait été traitée à Lourcine pour une affection qu'elle ne
décrit
pas clairement; mais qui parut avoir été un éco
sé dit-elle ses paralysies du côté gauche. Le fait est que la fille
décrit
tous les anciens troubles nocturnes et matinaux
tions mécaniques des organes splanchniques. Nous avons suffisamment
décrit
au chapitre précédent les différentes formes de g
u de dépôts caséeux à la sur,face. . Nous nous bornerons donc à
décrire
les altérations des vertèbres elles- mêmes. Et
phique : elles réalisent ainsi les deux types anatomo-pathologiques
décrits
par Charcot dans toute arthro- pathie tabétique
s essentiellement variables. Ce sont ces deux types que nous allons
décrire
. Le processus atrophique se localise sur une, mêm
méthode de Nissl, soit au bleu de toluidine d'après la modification
décrite
plus haut. Examen microscopique, discussion et
précédente, le type foncé de Lugaro que Van (Tehuchten (1) et Nelis
décrivent
et figurent dans leur mémoire sur la structure de
dans son li- vre classique sur les maladies de la moelle épinière,
décrit
admirablement l'anatomo-pathologie et la sympto
nce blanche de la moelle une lésion assez caractéristique qui a été
décrite
par Leyden sous le nom de blasiger Zu- stand et
ns la dysenterie. Au cours de la ])Iénnoi-i-liigie,la myélite a été
décrite
par Gull, Du four, Leyden, üllmann, Barié, Go«e
re lésion qui mente une attention paru- culière est celle qui a été
décrite
récemment par Van Gehuchten et Nélis. Il s'agit
par là, une irritation des cellules fixes péricapsulairé. La lésion
décrite
pour la première fois par MM. Van Gehuchten et Né
des ganglions cérébro-spinaux sont identiques à celles qui ont été
décrites
par Golgi, par Nepveu dans les ganglions de Gas
s et les altérations des ganglions spinaux, telles qu'elles ont été
décrites
dernièrement par Van Gehuchten et Nélis, sont d
s, nous n'avons pas trouvé la myélite aiguë, telle que nous l'avons
décrite
. Je dois cependant faire une réserve à ce point d
qu'on rencontre dans la myé- lite aiguë de l'homme et que Leyden a
décrits
sous le nom de blassiger Zustand. Ces lésions i
lites, dans le sens que j'attribue à ce mot. Les lésions qu'ils ont
décrites
sont purement des lésions dégénératives, soit c
veux. Cependant, je tiens à souligner ce fait qu'aucune des lésions
décrites
n'a de valeur spécifique par elle-même, mais qu
ces ; 2° staphylocoques : 3° pneumocoques ; 4° le méningo- coque,
décrit
par Weichselbaum ; 5° le microbe de l'influenza
scrètes et discon- tinues. Dans le renflement cervical, les lésions
décrites
sont très réduites et localisées du côté de l'o
ns au cas de notre petite fille ; rappelons-nous qu'elle a appris à
décrire
de la main gauche toute seule en regardant écrire
d par la déformation considérable du thorax : la colonne vertébrale
décrit
dans son ensemble un arc de cercle à grande cour-
oils ; toutes les élevures sont d'ailleurs semblables à la première
décrite
. Sur le dos, 4 à 6 papules recouvertes de poils
des muscles des membres in- férieurs : mais nous savons que l'on a
décrit
des syringomyélies à forme UN CAS DE DERM0-NEUR
on en inventait encore, à profusion. Fabrice d'Aquapendente les a
décrits
sommairement (1). Il en compte neuf, parmi lesq
en de Padoue conseille plusieurs modifications au bec de la canule et
décrit
les expériences probantes qu'il a faites « sur
nom d'Angina Ludovici, du nom de l'auteur qui, le premier, les a bien
décrits
. D'autres fois, ces produits s'ouvrent une voie p
eil cas, appartient plus spécialement à l'une ou à l'autre des formes
décrites
par M. Broca. Tout ce que je puis affirmer c'est
la région où se produisent tous les accidents que nous allons avoir à
décrire
. En procédant de dehors en dedans, nous rencont
bre de muscles. Je ferai remarquer enfin qu'une déformation faisant
décrire
à la colonne vertébrale une courbure à grand rayo
gie douloureuse se montreront avec les caractères qui viennent d'être
décrits
, il y aura lieu de rechercher s'il n'existe pas,
-vulsions générales, de cause spinale, avec l'ensemble sympto-matique
décrit
par M. Brown-Séquard sous le nom d'épi/epsie spin
paralysie infantile spinale, la paralysie générale spinale, récemment
décrite
par M. Duchenne (de Boulogne), et qui n'a pas enc
ge graisseuses, se surajoutent habituellement aux lésions qui ont été
décrites
plus haut. Des amas de granulations et de goutte-
ire exactement ce qu'on observe dans la période ultime de l'affection
décrite
par Duchenne (de Boulo-gne), sous le nom de paral
et des noyaux des gaines vasculaires, telle, en un mot, qu'elle a été
décrite
par From-mann et par Mannkopf. L'existence des fo
ui être comparé. Il peut être rapproché de ces paralysies temporaires
décrites
par Kennedy, et dont l'histoire ne saurait être s
'ai le premier reconnue, je crois, du moins 2° Quelques auteurs ont
décrit
, dans les cellules nerveuses de l'encéphale, une
ues proprement dits, une atrophie véritable, dont M. L. Clarke a bien
décrit
toutes les phases; au premier degré de cette alté
qui répond à peu près cliniquement au type vulgaire tel qu'il a été
décrit
par Cruveilhier, Duchenne (de Boulogne), Aran, et
dromyélite mérite d'être mentionnée spécialement \ Quelques auteurs
décrivent
cette altération spinale comme résultant d'une di
retrouvons ici dans le mode chronique, les altérations que nous avons
décrites
à propos de la paralysie infantile, et il y a lie
Aran, sans l'accompagne-ment des lésions spinales qui viennent d'être
décrites
, sont, je crois m'en être assuré, des observation
ronostic. — Physiologie pathologique. I. Messieurs, Après avoir
décrit
les altérations nécroscopiques propres à la sclér
sur toute l'étendue du membre, mode qui rappelle celui que nous avons
décrit
lors-que nous vous avons entretenus de l'amyotrop
autre forme de myopathie, que M. Duchenne (de Bou-logne) a le premier
décrite
, il y a longtemps de cela, sous le nom de paralys
bles gasiriques, survenant par crises, analogues à ceux qui ont été
décrits
, sous le nom de crises gastriques, à propos de l'
rveuses des cornes antérieures. Sans doute, les lésions musculaires
décrites
dans le cas de M. 0. Barth, rappellent, h quelque
l'analogie qui existe entre l'altération des muscles qui vient d'être
décrite
et celle qui, lorsqu'il s'agit des viscères, est
tération spinale en question ne soit autre que la lésion systématique
décrite
pour la première fois parL. Tûrck et que j'ai fai
um anatomique de l'affection bien distincte de celle que M. Charcot a
décrite
sous le nom de sclérose latérale amyotrophique. (
ns le cours de cette leçon, a été, pour la première fois, remarqué et
décrit
. Dans l'observation d'une femme atteinte de scl
aladie des voies uri-naires. Je ne m'arrêterai pas, bien entendu, à
décrire
les symp-tômes de la maladie des voies urinaires
te une agitation choréiforme tout à fait compara-ble à celle que j'ai
décrite
dans le temps à propos de la sclé-rose en plaques
s habituel de l'épilepsie par-tielle syphilitique. On les trouve déjà
décrites
avec une cer-taine précision, dans une observatio
le Dr Meunier, chirurgien de la Salpètrière, a bien voulu étudier et
décrire
avec grand soin les lésions que présentent chez G
alade elle-même. On peut les produire aussi complète-ment qu'ils sont
décrits
ci-dessus. Dans les mouvements provoqués •on ente
r le plan du lit. Des plis moins nombreux mais plus obliques que ceux
décrits
pour le membre opposé existent à la partie intern
ur se diriger en descendant de l'avant-bras du côté du radius. Ce cal
décrit
une courbe à convexité en avant et à concavité en
à une fracture oblique à l'avant-bras. La cal, tel qu'il vient d'être
décrit
, gêne notablement les mouvements de flexion et d'
avant-bras présente des lésions analogues, sinon identiques, à celles
décrites
ci-dessus pour l'avant-bras gauche. Il existe là
t soudée avec le frag-ment inférieur. —Des lésions que nous venons de
décrire
, il résulte encore que, tandis que le fémur droit
touillement, la toux spasmodique et les atta-ques qui viennent d'être
décrits
. » M. Charcot a été amené à penser que, dans le
et à la sensibilité, dans l'intervalle des accès qui viennent d'être
décrits
. » Plusieurs fois le sentiment de brûlure et de
ion. Je suis porté à croire que la tuméfaction des cylindres d'axe,
décrite
dans ces observations, et aussi celle des cellule
ermine la présente note, je le trouve mentionné, une fois de plus, et
décrit
même de la manière la plus explicite, dans une ob
é dans nos deuxième et troisième observations : il a été parfaitement
décrit
dans les cas de MM. Frommann et de W. Müller. Lor
aisseaux pourvus de plusieurs tuniques, les phénomènes que nous avons
décrits
tout à l'heure se sont également produits. Ici, e
xamen aporté plus spécialement sur le nerf phrénique dont nous allons
décrire
les lésions. — Une portion de ce nerf prise le lo
ntaient la même faiblesse, le même amaigrissement que nous avons déjà
décrit
. On n'y remarquait ni déformations atrophiques de
retrouverons toutes les altérations les plus avancées que nous ayons
décrites
. Les sterno-cleido-mastoïdiens ont été l'objet
ée dans les deux moitiés de la moelle, la lésion cellulaire qui a été
décrite
à propos du noyau de l'hypoglosse. Frappant indis
x tiers environ) offrent, à tous les degrés, l'altération pigmentaire
décrite
plus haut, à propos des diverses régions de la mo
ellules du trijumeau, pré-sentent tous les caractères de l'altération
décrite
plus haut. Un des points les plus intéressants
e l'examen. Elles provenaient d'un jeune sujet atteint de l'affection
décrite
sous le nom de paralysie pseado-hypertro-phique o
nerveuses des cornes antérieures1 Sans doute, les lésions musculaires
décrites
dans le cas de M. 0. Barlh rappellent à beaucoup
né in extenso l'observa-tion de la première. Nul doute que ces faits,
décrits
comme appartenant à l'hémichorée, ne rentrent dan
eu l'occasion de faire l'autopsie d'un sujet atteint de l'affection
décrite
par M. le professeur Charcot sous le nom de scl
ré; on observe alors les aspects que nous allons successive- ment
décrire
. Tout d'abord (figure 3) la gaine de myéline gr
t dénommer « la phase dégénérative du processus », il convient d'en
décrire
une autre intime- ment liée à la première, comm
e, elle présente un aspect particulier et qui rappelle l'altération
décrite
par M. Ranvier au voi- sinage des étranglements
large. En résumé, on voit combien les lésions que nous venons de
décrire
diffèrent de celles que l'on observe dans la pa
, combien au contraire elle se rapproche des faits que nous avons
décrits
plus haut; le calibre de la fibre est presque r
êmement étroite, limitée qu'elle est par les lames de la dure-mère,
décrites
plus haut. C'est une fosse ellipsoïde à grand d
s les yeux, mais une forme particulière, l'épilepsie hémiplégique ,
décrite
en 1827, par Bravais', et appartenant au groupe
7, par Bravais', et appartenant au groupe des épilepsies partielles
décrites
par MM. Hughlings Jackson, Charcot et par nous
tenseurs d'un orteil. M. Amidon entend dire qu'à l'avenir il faudra
décrire
avec plus de soin l'état de chaque muscle d'un
Après une étude histologique des couches qui les constituent, il
décrit
des faisceaux blancs qui s'étendent jusqu'à la mo
elques-unes des affections du système nerveux central et non pas de
décrire
des lésions syphilitiques du système nerveux. C
lytique. C'était du reste répondre au titre même de la thèse que de
décrire
toutes les paralysies motrices survenant à titr
e, M. Arnozan celle des articulations et de la peau, et M. Landouzy
décrire
l'attaque de choléra ou celle de fièvre pernici
e sont pas moins tranchées puisque les modifications que nous avons
décrites
font défaut dans le bout infé- rieur des nerfs
cas de myé- lite aiguë ou subaiguë. Or, les observateurs qui ont
décrit
cet état du cylindre dans la moelle épinière (F
ongueur. Ces altérations étant identiques à celles que M. Ranvier a
décrites
en pareil cas, iden- tiques aussi à celles que
egré inter- médiaire. Il y aura donc, pensons-nous, tout profit à
décrire
chacune des parties malades, comme s'il s'agis-
naître, dans la région frontale par exemple, le type à cinq couches
décrit
par M. Meynert. Avec un plus fort grossissement
nt si profondément altérées. L'état trouble des cellules nerveuses,
décrit
par M. Mier- zejewsky dans la paralysie général
gorie d'éléments intermédiaires que Stricker et Urger ont récemment
décrits
, comme des cellules de la né- vroglie pouvant a
ifications qui rappellent tout à fait celles que M. jMierzejewsky a
décrites
dans la paralysie générale des aliénés. La conn
° l'<l' i- - " t, 't J n1 II n Il ? il1 ." f,1 fil, zejewsky a
décrit
le développement dans la paralysie J .J/. <
ble. Elle consiste essentiellement dans l'opération que' nous avons
décrite
. Mais on n'a pas toujours'affaire à'des cas 'au
ez 264 REVUE CRITIQUE. Ir . ce malade quelques-uns des phénomènes
décrits
, on peut, en répétant méthodiquement cette appl
ssins, au- globe de soufre frotté entre les mains que l'abbé Nollet
décrit
avec tant de complaisance dans son- traité de p
x survenantliez des femmesadultes. In 'Clî*ni*cal Society, 1873) et
décrite
plus récemment par le dr Ord, dans lésllede'cô=
remier ou un des premiers symptômes restés. Cet engourdissement est
décrit
de différentes façons par les malades, mais sem
sion immédiate de la part de la section, et que parmi les symptômes
décrits
par l'auteur un grand nombre peuvent être aussi
ues intermédiaires au type mortel et au type de guérison qu'avaient
décrit
les auteurs précités. De même pour les températ
ne commence à se former qu'à une époque fort tardive : l'anomalie,
décrite
dans cette observation, ne peut donc s'explique
la masse sclérosée limite le foyer hémorrhagique que nous venons de
décrire
); c) la portion moyenne de la frontale ascendan
à cette question se trouve dans les deux phé- nomènes qui vont être
décrits
: le transfert et les oscillations. Transfert.
, fit à diverses reprises l'exploration bilatérale qui vient d'être
décrite
; il avait soin d'écrire, chaque fois, la dis- t
el commun, coloquinte, etc. Ces expériences, qu'il serait oiseux de
décrire
en détail, sont peut-être plus sai- sissantes q
ions dans la peau du creux de l'aisselle. II. Anomalie non encore
décrite
dans le trajet du nerf fémoro-culané. Observée
bre inférieur gauche. Ces deux faits sont presque semblables au cas
décrit
par W. Türner, dans lequel deux branches du ner
deuxième orteil. Tous ces faits rappellent une anomalie observée et
décrite
par l'auteur, ayant trait à une division analog
verney, contestés par Bichat, les nerfs de la moelle des os ont été
décrits
pour la première fois par Gros REVUE d'anatomie
ion musculaire paradoxale est juste l'opposé du phénomène qu'il a
décrit
antérieurement avec Erb, et dans lequel la contra
itudes de flexion et d'extension forcée que M. Bou- chard a si bien
décrites
tiennent à la prédominance d'action des fléchis
M. Lion a rapportées dans son mémoire ce fait n'est pas signalé ou
décrit
avec assez de détails, et il est impossible que
ER; par le Dr P.-J. 112ÔIIUS, (de Leipzig) 0. Berger, a récemment
décrit
(Bl'eslauel' arztl. Zeitschr., 1879 et Centralb
amollis, myxomateux; on y trouve les physalides caractéris- tiques,
décrites
par Virchow. Sur toute l'étendue du plan inclin
cules cérébraux normaux. La protubérance au niveau de l'ecchondrose
décrite
plus haut est déprimée transversalement, son ti
terne (hémianesthésie concomitante). L'observation qui vient d'être
décrite
a pour première étape la lésion du système osse
veilhier. Dans un mémoire lu à la Société des hôpitaux, M. Féréol a
décrit
en détail les accidents REVUE DE PATHOLOGIE NER
usieurs cas (AM. Times and Gaz. , 1862-1863) ; enfin définitivement
décrite
dans la monographie devenue classique du profes
un his- torique détaillé des diverses formes de chorée saltatoire
décrites
, suivant les lieux et les époques où elles furen
laissât, disait-il, courir pour sauver le monde. Les circuits : qu'il
décrivait
ainsi n'avaient généralement pas plus de 6 pieds
rveau), expliquent parfaite- ment la genèse des symptômes objectifs
décrits
. Les désordres des conceptions appartiennent à
iques anxieux dont il parle. En tous cas, le délire particulier que
décrit
M. Cotard se reconnaîtrait aux caractères suivant
CONDRIAQUE ; par 0. Boisson. (Broch. Libourne, 1880.) M. Boisson
décrit
l'état de quelques mélancoliques chez lesquels
même la nature délirante. Cette forme paraît se rapprocher de celle
décrite
par M. Legrand du Saulle sous le nom de folie d
rmés » ; elle constitue en quelque sorte le pendant' de l'affection
décrite
par Westphal et par M. Legrand du Saulle sous l
Italiana per le malade ner- vose, mai et juillet 1880.) L'auteur
décrit
un certain nombre d'attitudes et de mouve- ment
incurables de Todd, de M. Bouchard, deDu- chenne (de Boulogne) ; il
décrit
à leur place l'hémiplégie avec contracture late
la flacidité dans les cas où survient l'atrophie musculaire qu'il a
décrite
dans la première partie de son travail ; cette
ne. réppnypasarfaitengntJ.ie ? ,vrai, à. cettetfo`rme,qu,e Heschi a
décrite
sous le nom deporencéphàlie, mais elle s en, ra
t21d'une)vfaçono satisfaisantelpar;lle - 9mécanisme;quénouszavous s
décrit
l,d,i4nj(trouhte,, de formation. L'absence du s
éristiques7cét"que le malade, très intelligent et s'observant bien,
décrit
avec une 'grande énergie" et' une grande vérité
r dans le cours de l'ataxie. Dans les crises gastralgiques, si bien
décrites
par M. Charcot, il n'est pas rare de voir surve
se montre l'action inhibitoire ou perturbatrice qui vient'd'étre
décrite
. On peut la constater également lorsque les appli
fürPsclaa'atz·iezcndlVervezlcrazzllzez'len,fasc.3,1880.)c L'auteur
décrit
avec détails une moelle d'ataxique avec alté- r
cédent, le professeur Westphal , reconnaît l'exactitude des lésions
décrites
, mais se'refuse aux conclusions qu'en tire l'a
tionne pas le' fait' caractéristique : la, perte du sentiment. Il
décrit
sous le nom d'épilepsie optique une forme spécial
, avec perte de conscience. Voici, pour fixer les idées, comment il
décrit
une de ces attaques dans sa première observatio
'hallucination sera prise pour une réalité. ' , ; Dans le cas que
décrit
Hammond, les hallucinations existent sans déran
105.) Le myosis avec immobilité réflexe de la pupille, signalé et
décrit
par Argyll Robinson en 1869 (Edanb. Med. Joum.),
J. Putnam. (New-York Arch. of Oled., oct. 1880, p. 147.) L'auteur
décrit
sous ce nom un trouble de la sensibilité subjec
lus avec une névralgie ou une névrite. Ils se rapprochent des faits
décrits
par Berger, de Breslau (l3reslauer, Aertzl. Zei
01 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. En somme, ce que Putnam et Berger
décrivent
sous le nom de paresthésie n'est autre chose qu
(Arch. f. Psychiatrie u. Nervenk., 1880.) Le professeur Schultze
décrit
à ce propos une observation concernant un homme
l. mentales, 185 Il, p. 1 t 5) semblables, pour lui, à ce que Morel
décrivait
en 1860 (Gaz. hebdom., nos 48, 51, 52), sous le
amélioration remarquable au bout de deux mois. -La mysophobie a été
décrite
pour la première fois par W. Hammond, dans le p
malade a été acquitté. Sur l'interpellation de M. Dagonet, M. Motet
décrit
le moyen employé pour provoquer le sommeil chez
ionnelles, l'ironie, le dédain, la surprise, l'angoisse, etc., sont
décrites
avec soin et figurées avec succès. L'extase fait
end l'histoire de l'épilepsie partielle. L'épilepsie partielle déjà
décrite
par Bravais, sous le nom d'épilepsie hémiplégiq
'appelle souvent épilepsie jacksonienne. M. Charcot, qui en 1876, a
décrit
avec le plus grand soin l'épi- lepsie partielle
3 , ,.Ivails une troisième partie, MM. Bourneville et Regnard,ont
décrit
minutieusement les procédés', opératoires employé
ement cérébral général que l'on a admis. Cet épuisement nous semble
décrit
avec plus ^de précision quand nous disons : c'e
ent l'expression psycholo- gique un peu plus précise de ce que l'on
décrivait
d'une manière vague sous le nom de faiblesse ir
mptômes de cette maladie ? Sans doute un grand nombre de phénomènes
décrits
autrefois comme physiques, sont aujourd'hui reg
. Despine (d'Aix), dans le même passage que nous venons de citer,
décrivait
également, peut-être avec un peu de naïveté, «
er la discussion de. ce diagnostic ', malheu- reusement l'auteur ne
décrit
que des hystériques et n'aborde guère(le problè
notre travail sur les stigmates mentaux de l'hystérie, nous ayons
décrit
les troubles de la volonté et de l'attention, les
présentant diverses disposi- tions, se rapprochent d'un type qu'il
décrit
de la façon suivante : 1° La canalisation veine
me de dérivation est un peu plus complexe. De la convexité des arcs
décrits
ci-dessus, partent d'autres arcs dont la concav
D'EXAMEN DU CERVEAU A L'ÉTAT FRAIS; par le Dr 111NDRED. L'auteur
décrit
le procédé des coupes de tissu cérébral par con-
l'enseignement médical, lettre à M. J. Duval, 1868; D'une forme mal
décrite
de délire consécutif à l'épilepsie, 1832 ; Diag
dans les régions supérieures de la moelle, il est plus facile de la
décrire
en allant de bas en haut; de cette façon on se
sépare le tissu ectodermique du tissu mésodermique. Cette membrane
décrit
des sinuosités que l'on ne saurait mieux compar
pansions en forme d'épines, il en résulte que la membrane limitante
décrit
des sinuosités de premier ordre sur lesquelles
p de syringomyélies; c'est la dis- position papillaire qui est bien
décrite
et figurée dans la thèse récente de Critzman. L
la voit qui commence en arrière de la petite cavité que je viens de
décrire
; elle n'en est même séparée que par une très mi
us conjonctivo-vasculaires et ses cavités; il me reste maintenant à
décrire
une formation très curieuse qui, je crois, n'a
t"fJt't JJn'I'11J 1" \ ? 1 Il Ii, , : * Presque toutes les paralysies
décrites
sous le nom de paralysies du plexus brachial ti
n dans,lettabes, même à la période tertiaire, et l'articulation est
décrite
comme fixée, coiitracturée. ouvres, limitée dan
'ystrie. ¡Il a constaté d'autre part les modifica- tions de l'urine
décrites
par MM. Gilles de la Tournette et Catheli-i néi
er- - rogne, on trouve les ! hallucinations¡ correspondantes qu'ils
décrivent
n volontiers. sans vouloir, : les- consigner pa
uve : l'argu- \ . Eludes pour servir à l'leisloire de l'affection
décrite
sous les noms de goutte asthénique primitive, n
lle-ci, souvent citée, M. Charcot utilise des faits per- sonnels et
décrit
une forme nouvelle qu'il nomme pneumonie chro-
. Il reprit l'année suivante (1868) son cours à la Salpê- trière,
décrivit
, entre autres, la paralysie agitante, la scléro
re des planches murales représentant les lésions des maladies qu'il
décrivait
, procédés qu'il appliquait à ses cours de la Sa
rmine par l'observation d'un hépatique répondant assez bien aux cas
décrits
par les auteurs du rapport sous le nom de psych
ffèrent qu'en intensité. La maladie revêt toujours le type clinique
décrit
sous Je nom de con- fusion mentale primitive, s
lassitude géné- rale et affaissement physique. Ce sont les malades
décrits
par Bou- chard sous le nom d'oxaluriques. L'ind
a marche et le caractère progressivement envahissant des obsessions
décrites
par lui. On voit en effet que, dans les deux cas,
s. On y trouve : 1° des noyaux isolés semblables à ceux qui ont été
décrits
plus haut ; - 2° des noyaux analogues, entourés
" , : " t ? 1 ? f., ' ? En résumé, les éléments, que nous venons de
décrire
sont faits sur des types qui reproduisent assez
ge de fibres nerveuses, ainsi qu'on le verra plus loin. J'ai déjà
décrit
l'aspect des points où le type névroglique prédo-
as apparaissent les formes cellulaires différenciées que nous avons
décrites
plus haut et qui proviennent évidemment des cel-
es démences, les fibres tangentielles de l'écorce, qui ont été bien
décrites
pour la première fois par Exner CI 881) : il me
e cas actuel la dégénérescence si étendue de ces fibres, que j'ai
décrite
plus haut, au premier rang parmi les lésions qui
t trait à des cas où la tératologie joue un grand rôle. Virchow a
décrit
, sous le nom de névromes centraux, de Fi. 26. T
obes cérébraux, sans connexions avec l'écorce. Tùngcl, Meschede ont
décrit
des productions analogues. Ce sont des formes m
C'est probablement là l'ôrigine des deux tumeurs que Lance- reaux a
décrites
dans.le cerveau d'une femme « dont l'esprit pas
avaient pour /origine des névromes centraux, tels que Yirchow les a
décrits
. 1 Dans le cas de Hayem (Note sur un cas de név
ion remontant à la, période embryonnaire. ' 1 Lesage et Legrand ont
décrit
avec beaucoup de soin une tu- meur qui, au poin
elle ne me parait pas être l'ori- gine de la tumeur que je viens de
décrire
; ses connexions avec , ^l'écorce cérébrale, qu'
corps. des mouvements généraux, lents et spontanés, que l'auteur a
décrits
sous le nom de microkinèse. Tout d'abord ces mo
des états convulsifs; 4° une période finale de démence. ' L'auteur
décrit
avec soin ces quatre périodes, en s'attachant sur
uement. ,. 1 Charcot et Leyden n'ont-ils pas, dans cette affection,
décrit
des lésions des cornes antérieures ? Le système
ue l'on constate dans l'innervation des deux facials. M.OPPENHEIM a
décrit
des cas de parésie faciale faisant corps avec u
elle les doigts en « baguette de tambour , l'ensemble des symptômes
décrits
par Bamberger, l'ostéo-arthropathie pneumique (
es mains et des pieds date de huit ans. M. le Dr W.-A. Doubrovine
décrit
d'une manière succincte les résultats de l'auto
D'abord, il convient de rapprocher ces malades de ceux qui ont été
décrits
par M. Tissié sous le nom de « Captivés » ou de
en plaques et, de plus, un tremblement des cordes vocales, symptôme
décrit
depuis quelques années comme à peu près spécial
. 37). On peut bien y constater les dispositions que nous venons de
décrire
, et voir l'hypo- Fig. 38. Coupe au niveau de la
troubles de la parole. Le même contraste se retrouvait dans un cas
décrit
par par Meynert. Sur une coupe au niveau de l
ous jetons un coup d'oeil d'ensemble sur les lésions que nous avons
décrites
sur nos coupes successives du bulbe et de la pr
sont bien connues et aujourd'hui indiscutables : leur lésion a été
décrite
en détail dans l'observation de M. Pierret ; no
ordons postérieurs. Edinger n'ad- met comme prouvées que les fibres
décrites
entre les olives et les corps restiformes, rest
MIE PATHOLOGIQUE Mais ce tremblement des cordes vocales n'a pas été
décrit
uniquement dans la sclérose en plaques. Hermann
idait avec une parésie des adducteurs. Enfin Herbert R. Spencer 2 a
décrit
sous le nom de nystag- mus pharyngo-laryngien,
e puis m'en empêcher. » Se rassurant peu à peu sur notre compte, il
décrit
les angoisses, les « transes » qu'il a éprouvée
lles, faute de place, il nous est impossible de le suivre, l'auteur
décrit
392 REVUE DE pathologie mentale. quatre forme
es primaires qui sont en rapport avec les fibres que nous venons de
décrire
. P. KERAVAL. XXXVI. Des altérations dans les
r le délire des négations . -Pour pronver l'exis- tence de la forme
décrite
par Cotard dans ses articles consacrés « au dél
résume en quelques mots au début de sa communication, le rapporteur
décrit
un cas de cette maladie, observé chez une insti
Après avoir remarqué qu'ici, de même que dans la plupart des cas
décrits
, le délire des négations s'est développé chez une
défavorable. M. Tokarski pense que le principal intérêt de la forme
décrite
consiste moins dans le caractère du délire qui,
Kojevnikov ne pense pas que, dans les cas du genre qui vient d'être
décrit
, on puisse attribuer le développement des phéno
Le D'' Tchirwinsky fait remarquer que quelques-uns des phéno- mènes
décrits
par le rapporteur, notamment les désordres gastri
génital, folie impulsive, autres syndromes non encore suffisamment
décrits
; c) la neurasthénie et les psychoses neuras- th
air, substantiel, sans redites stériles et fatigantes. Ce qui a été
décrit
surtout avec un soin particulier, c'est la conf
dès le début des accidents, je cons- tatai, en outre des phénomènes
décrits
plus haut, de l'anesthésie du pharynx et un rét
et claustrophobie. A quoi rattacher ces phénomènes que je viens de
décrire
? Existait-il chez cette femme de la dégéné- re
faitement conservé. Ce ne pouvait donc être que l'atrophie juvénile
décrite
par Erb où la ceinture scapulaire est surtout p
ance que les' plaques terminales motrices; 6° il"est impossible de'
décrire
avec précision la succession des phénomènes qui
aires,.Ierfd'autr6 ? affections" On- sait"1 que' Lang- hans et Kopp
décrivent
sous le nom de bourgeonnmusculaire un e'semble'
ystème\hist6)ogique. Eh bien ! ce Système*présente les' altérations
décrites
par Langhâns et Kopp toutes- les fois'qu'il-y a
s de M. John Anderson (l).Dans l'astérie rougeâtre, M. Tiedemann(2) a
décrit
et figuré un anneau nerveux entourant l'orifice d
filets nerveux divergens, au nombre de quinze $ Spix et R. Grant (3)
décrivent
les mêmes filets et disent les avoir vus ; mais C
ais Cuvîer révoque en doute leur existence : il pense que ces filets,
décrits
comme étant des filets nerveux, sont de nature te
M. Garner ont seuls traité ce sujet dans sa généralité. Le premier a
décrit
et figuré le système nerveux de plus de quarante
u système nerveux d'un certain nombre d'acéphales testacés, mais il a
décrit
les nerfs comme étant des vaisseaux cbylifères, e
qu'on ne retrouve pas dans les autres mollusques. Le nautile que je
décrirai
d'après l'excellente gravure qiven a publiée M. O
2° Que les cétacés ne sont pas privés de nerf olfactif. Treviranus a
décrit
le nerf olfactif du marsouin (2) ; M. Mayer de Bo
om. 1, p, 44I. être oubliés, n'en sont pas tous dépourvus, Cuvier a
décrit
le crâne du poulpe, et M. Garner fait observer qu
ne idée préconçue. La forme du ganglion céphalique, tel qu'il a été
décrit
par les auteurs qui en ont admis l'existence, var
qu'à ceux des insectes. MM. Audouin et Milne Edwards ont parfaitement
décrit
ces dispositions, et ils ont fait connaître les t
sectes , en général , la description du système nerveux des chenilles
décrites
par Lyonet et par Hérold ; mais sont venus ensuit
ieux qu'aucun autre observateur qui se soit occupé d'un pareil sujet,
décrit
ainsi les manoeuvres de plusieurs fourmis noir-ce
chasser. Quelquefois elle chantait, en reprenant l'attitude que j'ai
décrite
tout-à-l'heure, et dès ce moment, les abeilles de
e même jour deux reines étaient sorties avec leur essaim » (1), Huber
décrit
avec le même soin la conduite des abeilles restée
à Huber, et si, pour éprouver notre sagacité, cet observateur ne nous
décrivait
pas la forme des abeilles et nous taisait égaleme
itable monstre de l'encéphale des poissons (1). » Les objets que j'ai
décrits
et qui existent réellement se voient pourtant san
ne saillie; mais où elle donne comme chez les poissons une commissure
décrite
par Haller, M.Carus, et qui, suivant E. M. Bailly
ons, M. Swan ne l'indique ni pour la raie, ni pour la morue dont il a
décrit
l'encéphale, (i) Op. cit. pl. vi, fig. 142. M
animaux, elle n'offre de différences aussi tranchées. Je vais d'abord
décrire
ses dispositions générales, je parlerai ensuite d
ant, mais elle concourt à former un organe. La partie que je viens de
décrire
n'a, il est vrai, que des fibres longitudinales;
gine. Les ganglions inférieurs ont une autre commissure que j'ai déjà
décrite
et qui existe en arrière de l'endroit où se cro
attribue au procédé employé par M. Ehrenberg, les dilatations qu'il a
décrites
comme servant à caractériser un ordre particulier
'élément dans lequel il est né ; s'il s'élève dans l'atmosphère, s'il
décrit
dans l'air une courbe plus ou moins prolongée, il
eptiles appartenant à la famille des batraciens de Cuvier. Fr. Funk a
décrit
le sys- (1) dmtome testudinis europea, Wilna 18
les formes extérieures frappent nosveux. Les objets que nous avons
décrits
dans le système nerveux des poissons, sous quelle
en bas : c'est une disposition lout-à-fait analogue à celle que j'ai
décrite
chez les poissons. Incisés, les lobes optiques pr
le cérébral dont j'ai parlé plus haut. 11° Couche optique. M. Carus
décrit
comme telle une petite portion de substance médul
amille des batraciens. Cuvier a omis de les mentionner; Bojanus les a
décrits
et figurés chez la tortue ; « Ils naissent, dit c
n des reptiles, les mêmes procédés que pour celle des poissons, je ne
décrirai
donc pas de nouveau les détails de ces procédés ;
il a signalé l'absence de corps calleux, de voûte et de corps strié,
décrit
la commissure antérieure et la commissure pos-
la scissure de Sylvius. Il constate l'existence de la glande pinéale,
décrit
une large commissure qui réunit les lobes optique
x, les éminences qui donnent naissance aux nerfs optiques. Fr. Franke
décrit
la forme du cerveau: ce Les oies, dit-il, ont le
'infini ; un faisceau de fibres dont les premiers anatomisles qui ont
décrit
le cerveau des oiseaux ont déjà parlé, s'étale en
urnissent au nerf optique une double racine analogue à celle que j'ai
décrite
chez les poissons; ils sont unis l'un à l'autre p
dans les mammifères et dans l'homme. Je ne m'arrêterai donc pas à la
décrire
; je noterai seulement ceci, 1° pour les nerfs olf
'orage. longue que la supérieure est disposée en cuillère. L'animal
décrit
une courbe, rase la surface de l'eau et enlève ce
s'attacher à connaître exactement cet organe et ne pas se borner à en
décrire
l'enveloppe. Les expressions dont Gall s'est serv
'étude des crânes qu'il fonde cette opinion; ce sont des crânes qu'il
décrit
, et encore n'en donne-t-il que la forme extérieur
je veux parler du cerveau. Certaines parties du cerveau ont élé bien
décrites
, ce sont celles qui se retrouvent les mêmes, ou à
onvolutions que d'une manière générale, sans même entreprendre de les
décrire
ni de les rapporter à quelque type particulier. W
De tisupartium, lib. S, rhap. l'i. (i) Cercbtlaftàtiîmej «tp. sans
décrire
ni les unes ni les autres. Vicq d'Azyr (1) entre
e phrénologie humaine et comparée, pl; i.xxxm de l'Atlas. les a pas
décrites
, c'est ensuite l'éloge qu'il fait des planches de
irconvolution qui entoure le corps calleux, dont une partie avait été
décrite
par Malacarne, et admise par les frères Wenzel, a
ue, du lion, du chat, du coati, de l'unau; mais l'auteur ne les a pas
décrites
, et le choix qu'il a fait de cerveaux (1) De pe
1829 que les circonvolutions cérébrales de l'homme ont été connues et
décrites
. L'auteur de cette découverte est Rolando (2), do
n analogue a lieu dans tous les autres groupes dont j'ai précédemment
décrit
les circonvolutions ; chez le mouton, cette dispo
jà parlé de la circonvolution latérale externe du cochon , et je l'ai
décrite
chez le cochon tonquin, où on la voit dans un gra
i s'applique surtout à la baleine, parce que le temps m'a manqué pour
décrire
le cerveau du narval. Les lobes cérébraux de la
. Comparez à ce cerveau tous ceux qui ont été précédemment figurés ou
décrits
, aucun d'eux ne présente la même disposition. L
à ce sillon le nom de sillon de Rolando, parce que cet anaiomiste l'a
décrit
chez l'homme, où il est encore plus développé que
rveaux? Y a-1 il des formes de cerveau différentes de celles que j'ai
décrites
? Une observation plus étendue pourra seule résoud
lte ce que Keil appelait couronne rayonnée. C'est à tort que l'on a
décrit
la couche optique comme faisant partie du ventric
ai parlé des commissures antérieure, moyenne et postérieure ; je vais
décrire
la voûte à trois piliers et le corps calleux. C
ouvent, dans l'épaisseur même de l'organe, des faisceaux fibreux bien
décrits
par Gall, mais qui avaient déjà été indiqués par
le de l'homme que je me borne à les indiquer ici, me réservant de les
décrire
avec soin dans le second volume de cet ouvrage :
allongée, me réservant, ainsi que je l'ai dit tout-à-1'heure, de les
décrire
quand je parlerai de celles de l'homme. En procéd
par des linéamens que Gall a indiqués, et que Bailly de Blois a bien
décrits
: le pont de varole , la bande transversale qui l
degrés de courbure, en conformité parfaite avec celles que Rolando a
décrites
dans l'espèce humaine : contrairement à ce qui a
plusieurs omissions bien inexplicables; il a négligé, par exemple, de
décrire
le cerveau des animaux; il n'a pas déterminé la v
eaux qu'ils étudient, mais seulement des crânes, et quand ils veulent
décrire
une circonvolution cérébrale, au lieu de la montr
ux et les facultés de l'intelligence. RÉSUMÉ. 1. Gall n'ayant pas
décrit
le cerveau des animaux n'a indiqué que sur les cr
OLON- TA ! HHS (Elude d'un trouble fonctionnel jusqu'à t-e jour non
décrit
en France) ; -> Par Gilbert BALLET, chef d
Cette singulière affection n'a pas'encore été, que nous sachions,
décrite
en France et nous ne connais- sions aucun trava
echerches sur la physio- logie et la pathologie du système nerveux,
décrit
des phénomènes analogues. Benedikt en 1864 et e
on [d'autant plus inté- ressante, qu'il a éprouvé lui-même ce qu'il
décrit
, sur les différentes circonstances qui exagèren
genre qu'éprouvait Thomsen quand, dans sa lettre a Seeligmùller, il
décrit
le remarquable développement musculaire de ses
exus symptomatique spé- cial. Aussi avons-nous cru plus opportun de
décrire
le cas que nous avons observé sous le nom de :
c la conservation de la réflexion ? Les états transitoires que j'ai
décrits
se comprennent à l'éclosion de la maladie, quan
ai pu constater, dit-il, quel'hystéro-épilepsie telle qu'elle a été
décrite
par M. Charcot est assez fréquente à Saint-Péters
ées médecin dans ce pays, y a observé une forme de l'hystérie qu'il
décrit
fort bien, et qui n'est autre que l'hystéro-épi
qu'il décrit fort bien, et qui n'est autre que l'hystéro-épilepsie
décrite
à la Salpêtrière. Voici ce qu'il dit : (p. 96-1
d'Oustissyssolsk ne res- semble plus du tout à celle qui se trouve
décrite
dans les livres. Elle s'accompagne de perte de
modifiés. Le Dr Ayres songea alors à user du procédé qu'il avait vu
décrit
dans les leçons de M. Charcot, de la compressio
e attaque hystérique, qu'au point de vue de la régu- larité du type
décrit
. L'observation If", la plus intéressante, se ra
thèse que nous défendons ici, de l'uni- versalité du type récemment
décrit
par M. Charcot, de l'at- taque hystéro-épilepti
bien certainement là d'un cas d'llystéro-épilepsie, telle que l'ont
décrite
les auteurs français. D'ailleurs cette observat
elle demeura rigide, immobilisée dans l'attitude du crucifiement 1
décrite
par les auteurs français. Bientôt les convulsio
ait les convulsions n'était pas toujours semblable à celle que j'ai
décrite
. Quelquefois, après s'être mise sur son séant,
les artères radiculaires posté- rieures. Veines, a) - Nous avons
décrit
dans la moelle épinière, au ni- veau de sa face
es artères et les veines visibles à l'oeil nu et que nous venons de
décrire
, il existe un réseau capillaire, plus ténu qu'on
e passagère ou définitive. La névrite est très rare : M. Althaus en
décrit
un cas aigu chez un tabétique; ce malade se pla
de vue topographique, ces observations répondent aux cas que l'on a
décrits
sous le nom de syringo- myélie. Les différentes
l'existence ; c'est tout simplement une phase chronique non encore
décrite
de la mélancolie anxieuse. Le signe caractérist
stique de cet état est dans le titre même sous lequel M. Cotard l'a
décrit
: les aliénés répondent négativement à toutes l
du tracémijogra- p/HMedttMsft dégénérescence des nerfs. Après avoir
décrit
l'ap- pareil dont il s'est servi (c'est l'appar
appendice à son mémoire de l'année dernière sur le même sujet ; il
décrit
les acci- dents observés à la suite de l'admini
le), par M. GinEY.Après avoir fait l'historique du malade, l'auteur
décrit
les lésions trouvées i l'autopsie. Des coupes f
ation clinique. En 1858, la paralysie conjuguée latérale a été bien
décrite
par M. Foville fils qui, remarquant ses rapport
s satisfait d'une interprétation qui explique celle que je viens de
décrire
par une paralysie des mouvements parallèles, le
dre, et l'on a vu cet accident se produire dans l'otite traumatique
décrite
plus haut. Observation XV. H..., trente-quatre
toute la série des effets que les pressions centripètes, plus haut
décrites
, ont la faculté de faire naître, c'est-à-dire t
lle moyenne. Cette lésion est rendue évidente par les deux épreuves
décrites
. La plus habituelle de ces lésions estl'enfonçu
même quelques goutte- lettes myéliniques. Ces gaînes vides, ainsi
décrites
à l'état isolé, se dis- socient mal d'ordinaire
ct conjozacti f des cM. Les diverses altérations que nous venons de
décrire
se présentent rarement à l'état d'isolement abs
le a ce- pendant été notée par M. Charcot dans le travail où il a
décrit
pour la première fois les eschares rapides des
ement disparu et les tubes atrophiés présentent l'aspect conjonctif
décrit
dans le type 5. Onzième nerf intercostal. Ce
ntes dou- leurs d'estomac. C'est le commencement de l'aura. Je vais
décrire
avec quelques détails cette troisième attaque d
aura, d'une durée d'environ une heure, présente les phénomènes déjà
décrits
. Période épileptoide avec phase tonique et phase
urs monologué. Elle est à Lyon, monte à Notre-Dame de Fourvières,
décrit
tout ce qu'elle voit, prie la Vierge, visite le s
ttaques absolument analogues à l'attaque du 16 août, précédemment
décrite
, avec des différences, toutefois, dans la phase d
la nuit dans 230 REVUE CRITIQUE. - cet état que j'ai précédemment
décrit
; elle a des hallucinations et les hommes noirs
ux observés dans cette affection, notamment les phénomènes d'ataxie
décrits
par Hammond : ataxie des mem- bres supérieurs e
reconnaît des hommes venus pour la persécuter, etc.... On a même
décrit
des hallucinations du sens de l'odorat (voir la
ées dui,s ra pprochent;de,ce qu'on obser ? e,dans, le phéno- mène
décrit
par.nous sous) leiiioiii d'hyperexcitabilité li
ï Sous le nom 'oM/csa6'o-M ! o<eMrx (chapitre 6),, nous/voyons
décrit
, : la fièvre. des hystériques caractérisée par un
algiques, s'accompagnant souvent de vomissements, il faut désormais
décrire
chez les tabétiques une forme beaucoup plus rar
arrive touchant la nature de cette altération. Pour lui, ce qu'on a
décrit
comme étant une vacuole, c'est-à-dire une cavit
llules (pyramidales de la zone corticale motrice. 2° Voici le cas
décrit
sous la rubrique : Une forme mixte, cotis/t- tu
minutieuse; , on dressera, l'arbre généalogique de l'individu; on
décrira
, ses propriétés psychiques et morales; on' recher
aralysie générale. « Il est certain, ajoute-t-il, que bien des cas,
décrits
sous le titre de délire aigu, ressortissént com
raient des accidents épileptiques incomplets de ceux qu'il vient de
décrire
? P 388 .SOCIÉTÉS savantes. M. Ball. Noire co
tner apporte son con- tingent de travail au complexas symptomatique
décrit
par Kceppe sous le nom de psychose tî,(iiii211t
ce que s'est proposé de contrôler M. Furstner. Les trois cas qu'il
décrit
à la Société confirment les assertions de Koepp
dniomélrie et de sa valeur en psychiatrie. Sous ce titre, M. Riegor
décrit
une nouvelle méthode de mensuration de la tête
. Sur un néoplasme de la base du cemeaee. La pièce est présentée et
décrite
à la Société. Le diagnostic de la tumeur avait
Présidence de M. L.run. M. Edel, sous le titre de : Cas 31e),Iozv,
décrit
une observation de démence sénile sur laquelle,
pond à la lésion du lobule pariétal supérieur; Bisch- Ilirschfeld a
décrit
un cas de ramollissement en foyer de cette cir-
e cir- convolution avec hypochondrie. M. FALK se rappelle un fait
décrit
par lui jadis dans lequel, chez un homme n'ayan
blancs ; une disposition particulière de cette hypérémie non encore
décrite
dans le délire aigu, consistant en ce qu'elle déb
irait également en décroissant dans cette affection. L'auteur nous
décrit
les procédés qu'il a employés ; ses recherches
opposés aux symptômes. Le candidat ne s'est pas borné là; il nous
décrit
ses procédés de culture de ces organismes, confor
nerveux (lmca·icaz nervousness) : si Beard n'a pas été le premier à
décrire
cet état qui avait déjà fait l'objet de plusieu
n.cfi.w car cjest elle qui, depuis quel a médecine existe, s'occupe à
décrire
les états morbides, à déterminer leur caractérist
ndant longtemps dans les esprits, jusqu'au jour où la lésion spinale,
décrite
depuis longtemps par Cruveilhier, put être rappor
n fébrile fait défaut. 3° Nodosités d'Heberden. — C'est l'affection
décrite
par He-berden, sous le nom de digitorum nodi. Trè
témoignent les faits rapportés par Duchenne (de Boulogne) d'abord, et
décrits
par lui, sous le nom de contracture réflexe dorig
de la main (Fig. 4). 1. Charcot. — Etudes pour servir à l'affection
décrite
sous les noms dégoutte asthênique primitive, nodo
uperflu de confronter ce cas avec ceux plus classiques que je vous ai
décrits
, tout d'abord, et de montrer les analogies qui ét
mation, mais conservant encore les stigmates permanents de l'hystérie
décrits
plus haut.. Ch. f. ee qui revient à dire que
ez, au-dessus des ressources de l'art. Je ne m'arrêterai pas à vous
décrire
la cicatrice difforme et indurée et les nodules c
s, considérée comme constituant une espèce particulière d'aphasie, et
décrite
sous les noms de cécité verbale, cécité des motsr
s haut. C'est, je crois, M. le professeur Kussmaul qui l'a le premier
décrite
, à titre d'espèce distincte, en 1877 *. A M. Wern
cile de faire ressortir la différence avec l'état primitif de M. X. .
décrit
plus haut. Chaque fois que M. X... retourne à A
u les enfants. C'est celle que M. le professeur Erb (d'Heidelberg), a
décrite
dans ces derniers temps sous le nom de forme juvé
vec raison comme parfaitement distincte des formes spinales jusque-là
décrites
1. Prof. W. Erb. — Ueber die juvenile Form der
ique, l'absence complète de toute lésion spinale. La forme juvénile
décrite
par M. le professeur Erb est donc bien distincte
teints de la même maladie, «e cas me semble 1 se rapporter à la forme
décrite
par M. le professeur Leyden, sous le nom de forme
. Passons maintenant à une autre forme que Duchenne (de Boulogne) a
décrite
comme représentant simplement une variété de l'at
iées, chez le même individu, les diverses variétés que nous venons de
décrire
. Eh bien ! ces faits se sont rencontrés. Il exist
formes diverses et même de les confondre. Peut-être même dans les cas
décrits
par M. Erb, un examen tout à fait spécial des mus
r et qui sont encore des représentants typiques de la forme infantile
décrite
par Duchenne (de Boulogne). Le père d'un côté, le
mouvements ne sont nullement coordonnés. Je ne m'arrêterai pas à vous
décrire
les contorsions des doigts, leur flexion et leur
caractère d'irrégularité des mouvements choréiformes. que je vous ai
décrits
tout à l'heure. On peut aussi les dire systématiq
e-ci se compose d'une série d'accès analogues à celui que je viens de
décrire
, dure toujours assez longtemps : trois quarts d'h
galement des stigmates permanents, en dehors des attaques que je vais
décrire
. C'est ainsi que le lendemain de son entrée, on c
appartiennent pas toujours en propre, et qui ont été si admirablement
décrits
par Lasègue, en France, et par \V. Cuil., en Angl
rie, ils penseront qu'il s'agit là d'une maladie spéciale, non encore
décrite
, et qui mérite une place à part. Une erreur de
ue chose de particulier, je ne sais quel état pathologique non encore
décrit
, qui demande à prendre une place non encore occup
tituants imaginables. Et cependant, les phénomènes que nous venons de
décrire
, stigmates permanents et attaques persistent tels
chique se retrouve en outre du traumatisme, dans quelques-uns des cas
décrits
par MM. Putnam, Walton, Page, Oppenheim et Thomse
me période de l'attaque. De temps en temps, les contorsions ci-dessus
décrites
s'arrêtent un instant pour faire place à l'attitu
toïde, débutant par la langue et la face, tels qu'ils viennent d'être
décrits
, en un mot, puis les scènes variées de la phase d
sie —je parle ici seulement de la catalepsie vraie, telle que je l'ai
décrite
— certains phénomènes de suggestion s'obtiennent
atons sont, vous le voyez, absolument conformes à ceux que nous avons
décrits
, à propos du cas de Greuz... ; je n'insisterai do
ais essayer de faire prévaloir — de l'affection pour la première fois
décrite
par Brodie, en 1837, sous le nom d affection hyst
nettement reconnaître chez elles, sous une forme bénigne, l'affection
décrite
par Brodie. Chez une de ces femmes, c'est en pr
s ce syndrome sur lequel j'appelle en ce moment votre attention a été
décrit
par quelques auteurs sous le nom de choc local (l
fondre ce choc local", relativement bénin, avec la stupeur locale que
décrivait
récemment le professeur Verneuil, dans une de ses
ps, M. le professeur Volkmann d'abord, puis, après lui, M. Léser1 ont
décrit
un genre particulier de contracture qui s'observe
est rendu bien clair, d'après cela, qu'entre les faits de contracture
décrits
par M. Yolkmann et celui que nous avons sous les
ire et nullement, je vous l'ai démontré, de cette altération fibreuse
décrite
par M. Volkmann comme survenant à la suite de l'a
u obtenir la résolution de la déformation des doigts qui vient d'être
décrite
. Evidemment, il ne s'agit plus là de contraction
les caractères classiques du mutisme hystérique tel que nous l'avons
décrit
. Je lui ordonne de crier, de parler, de chuchoter
le intense, suivie de cette forme d'amnésie que MM. Ribot et Azam ont
décrite
sous le nom d'amnésie traumatique rétrograde. Q
ons observés chez lui, en dehors des c?nses qui seront tout à l'heure
décrites
. Le malade est couché dans le décubitus dorsal,
er effectivement sous la forme spéciale de paralysie qui vient d'être
décrite
, on ne peut guère, dans l'état actuel de la scien
e remettre en mémoire, tout d'abord, les phénomènes du s/iock local*1
décrit
par quelques auteurs, et qui consistent surtout e
e commotion cérébrale physique. Ces accidents-là ont été parfaitement
décrits
par MM. Skae, Page, AVestphal, Moeli, Krafft-Ebin
econnut tous les caractères de l'affection monoplégique qui vont être
décrits
dans un instant et le diagnostic de M. Merklen fu
asse ses journées à lire, a écrire de vrais mémoires dans lesquels il
décrit
ses diverses impressions. Le 15 février, il écrit
ix basse, chuchotée. Les cordes vocales étaient restées dans l'état
décrit
jusqu'à son retour d'Angleterre. A ce moment, ell
ment signalé, en 1856, à la Société de Biologie, par Marcé, qui avait
décrit
le symptôme agraphie et cherché à établir son ind
dant quatre mois il resta ainsi couché, souffrant des douleurs déjà
décrites
, sondé à plusieurs reprises pour de la rétention
on de circumduction, elle porte en avant lajambe paralysée, faisant
décrire
au pied un arc de cercle. Notre malade, au contra
le dit, de l'hémiplégie organique dans laquelle le membre inférieur
décrirait
toujours un mouvement de circumduction. Nous av
l précité. Ce que l'on peut affirmer, c'est que le type de marche
décrit
par Todd est caractéristique de l'hémi- plégie
-être le seul ouvrage, où les formes extérieures soient étudiées et
décrites
méthodiquement. Le texte est accompagné de deux
lonne vertébrale examinées dans le sens antéro-postérieur ont élé
décrites
avec beaucoup de soin parles ana- lomistes. E
qui concerne la région lombaire. Au cou et au dos, les courbures
décrites
par les apophyses épineuses doublent, en quel
ences de rayon différent. Ainsi, à la région cervicale, la courbe
décrite
par les apophyses épineuses est plus fermée q
ai rencontré un cas dans lequel les sommets des apophyses épineuses
décrivaient
des espèces de zigzags. » Nous ajou- terons qu'
une autre affection d'origine exclu- sivement nerveuse celle-là, et
décrite
par un éminent clinicien de notre époque, Duche
tions. Celle altitude est absolument caractéristique. Duchenne l'a
décrite
avec soin, et s démontré qu'elle est la conséquen
ues d'une altération muscu- laire qu'un savant devait régulièrement
décrire
plus de trois siècles plus tard ? J. M. CIIAR
e but, mais ses mouve- ments sont saccadés, incertains, et son pied
décrit
une série de festons de droite à gauche ou de g
edreich, sont assez souvent le siège de déformations spéciales bien
décrites
et déjà figu- rées par M. Bury i. Files se cara
· 1° Arrachement par contraction musculaire. - Ce mécanisme est 1
décrit
dans l'observation d'IIergott, la première en dat
se trouvent la paralysie des extenseurs et la bande d'hypoesthésie
décrite
chez notre malade. Enfin, tout récemment, M. Bl
ravale au niveau de la brute, trop abjecte pour être représentée ou
décrite
, et qu'on ne saurait contempler au delà de quel
s le no 777 au Catalogue de MM. Pottier .et Reinach, elle est ainsi
décrite
: « tête longue, étroite, le sourcil gauche rel
y aurait donc une véritable myopathie atrophique et interstitielle,
décrite
aussi sous le nom de cirrhose parenchymateuse atr
die de Friedreich sont assez spéciales pour être particu- lièrement
décrites
et méritent d'entrer en grande ligne de compte da
qui se rapproche assez particulièrement de celle que nous venons de
décrire
dans la maladie de Friedreich. Mais ici l'affec
alysie infantile », maladie ancienne bien que ré- cemment nommée et
décrite
, a fait tout le mal. Enfin, on peut distinguer
t connues et admises depuis longtemps, mais personne n'avait encore
décrit
des cas d'arthropathie labliqllc, lorsque, en 1
signalé jusqu'en 1883, époque à laquelle M. le professeur Charcot
décrivit
le pied tabétique. « Presque toutes les observati
e présente avec des caractères identiques à ceux que nous venons de
décrire
dans la moelle dorsale; toutefois la sclé- rose
appui. Les jambes se détachent du sol avec une certaine brusquerie,
décrivent
un arc de cercle et retombent sur le sol qu'ell
marche. Ils sont nettement ataxiques, et je ne crois pas devoir les
décrire
ici tout au long. Cette ataxie est autant motrice
s d'épilepsie; on a vu en effet, à propos de l'accès que nous avons
décrit
de visu, que ce symptôme n'existait ni avant, n
Revue de médecine), j'avais cherché à isoler nosographiquement et à
décrire
une affection singulière carac- térisée par l'h
on contraire de Musso. Parmi les troubles des mouvements actifs, je
décris
ici le premier ce que j'appelle le nystagmus de
relever. Le pied bot diffère chez notre malade du type qu'a si bien
décrit
M.le professeur Charcot. Il manque un détail :
ser- vice de M. le professeur Damaschino ; nous croyons inutile de
décrire
tous les signes d'ataxie locomotrice qu'il prés
des réflexes tendineux. III IV. Anatomie pathologique. - M. Bail
décrit
trois degrés dans les lésions anatomiques des a
ement impossible, que se développe l'attitude si cî ? 1.ctéristique
décrite
plus haut et si bien rendue par les artistes.
près ces accidents ont été bien étudiés; on les trouvera très bien
décrits
, en particulier, dans le Traité des maladies de
ette époque; son récit représente le tableau complet des phénomènes
décrits
1. Ilandbuch dur Lettre von den Ifaochenbruchen
niveau, la crête, un peu plus saillante en arrière que normalement,
décrit
une légère courbe à, concavité droite. Pas de c
membre inférieur droit présente les phénomènes suivants. Nous avons
décrit
, d'après l'interrogatoire du malade, les douleurs
premières vertèbres lombaires. Sensibilité. -Outre la douleur déjà
décrite
, diminution très notable de la sensibilité dans
lus grave consiste dans les attaques épileptiformes que nous allons
décrire
. Ces attaques, nous l'avons vu, se présentèrent p
s, mais siégèrent vraisemblablement sur tous les points. Elles sont
décrites
par le malade comme des tensions, des tiraillem
ions relatives aux lésions situées sur la région que nous venons de
décrire
: l' Les faisceaux capsulaires; 2° La substan
latente du centre ovale dans ces trois dis- tricts que je viens de
décrire
est nourrie par les artères terminales auxquell
lucinations et leurs idées maladives, tom- bent dans l'état si bien
décrit
en quelques lignes par le savant aliéniste; et
me fois, des symptômes de démence apparurent. A ceux précédemment
décrits
s'en ajouta même un autre plus grave : Çla... ram
térieur {Archives de Neurologie, septembre 1882), le même médecin
décrit
, sous le nom de délire des négations, une forme d
symptômes spéciaux que nous avons CAS DE MÉLANCOLIE ANXIEUSE. 67
décrits
, d'autres fois aussi ces symptômes se présentent
té nerveuse, qui, selon moi, est la base des phénomènes que je vais
décrire
. « Classe A. Dans cette classe, je placerai ceu
e Dr Hammond, il existe encore une maladie de même nature qui a été
décrite
en Allemagne sous le nom de schla//2rrznlcenhei
mémoire constitue une réminiscence de la méthode d'élec- lrisatiou,
décrite
en 1871, par lieard et Rockwell (Pruktische l6laa
d'une façon certaine. Un des symptômes précoces du tabes observé et
décrit
d'une fa- çon très fine est un trouble spécial
ts, et il n'hésite pas à les rapprocher des phénomènes de transfert
décrits
par M. Charcot; il pense, avec M. Vulpian, que
n très in- téressante de maladie bleue avec autopsie minutieusement
décrite
à laquelle fait suite un relevé des cas analogu
aractérisent la méuingo-eucépbalite tuberculeuse. Après avoir ainsi
décrit
, avec le soin qu'elles méritent, les lé- sions
otographique de la Salliatiière f ! 876-1880), ces vertiges ont été
décrits
et comparés à ceux de l'épilepsie (Bourneville)
e nouvelle attaque se produit, identique à celle que nous venons de
décrire
. Les tracés graphiques que nous avons recueilli
yanose un peu et se couvre de sueurs. Le bras gauche se soulève, et
décrit
un arc de cercle, en se portant t de dedans en
sajG ? : comme : chezrFoismr ? 5letableau symptoma- tique estscelui
décrit
naguère par Bravais, et dont les traits, dans c
ole; elle est située en dehors et au-dessous de l'ar- cade qu'elles
décrivent
, elles ne les atteint donc qu'in- directement,
troisième frontale droite, dans les conditions où s'est faite celle
décrite
dans l'observation de Dieu- ' '' , 1 t" "JU ' 3
i ces derniers, les uns s'attachant uniquement aux symptômes qu'ils
décrivaient
comme formes déterminées, ont continué à multip
cilicr de Gratiolet, part à angle'droit de la frontale parallèle et
décrit
une courbe très accentuée qui va' rejoindre en
bord postérieur de la pariétale ascendante et monte un peu avant de
décrire
la courbe qui, comme on le verra plus loin, coi
adoptent, de même que pour le lobe pariétal, un schéma modèle, sans
décrire
les plis de passage. Une école intermé- diaire
e). ">»-. ri- . ' ; ,'g. J2 uru 196 , REVUE CRITIQUE. Schwalbe
décrit
encore à la pointe du lobe occipital un troisiè
nt par l'expression « obtusion nerveuse», est un état t plus aisé à
décrire
qu'à resumeren une définition précise. Ce n'est
point concerne des petits corps, que l'auteur croit n'avoir pas été
décrits
jusqu'ici; ces petits corps, ronds, d'un dia- m
ne psychose parfaite résultant' du* chloral, elle n'a jamais 'été"1
décrite
avânt'111 : 'ICiiw : ' Voici' l'observation. - Un
cas observé pendant la vie, et dont l'anatomie patho- logique a été
décrite
par Félix Marchand sous le nom de névrite'01 pa
ation inlerstiliellei.qu'unef affection vasculaire. Les altérations
décrites
! pai-rjTuczokr,1. ne peuvent,, en .tout cas ? ét
nomètre àiinilé absolue construit par 1,delmaiiii de3luiiicli, déjà
décrit
, part Ziemssen. (Arch. f. lilin. 111édic.. t. XXX
de. Séance du ' avril 1883. Présidence de M. V'naTnuw.. M. Kohtum
décrit
à la Société l'étal unulomique de l'encéphale d
sentant à l'assemblée le galvanomètre de poche Zieiiisseii l'a déjà
décrit
dans le ton]eXX\ des Deutsch, tî-ch. ? liliii.
s vaisseaux réti- niens. Cette fois, les phénomènes subjectifs déjà
décrits
sont doublés de tics prenant leur origine dans
penser largement l'air et la lumière, qui a imposé la configuration
décrite
; c'est pour la même raison que le quar- tier de
uteur : Elle est connue depuis le siècle dernier et a été déjà bien
décrite
avant Galezowki; on n'a rien ajouté à ce qu'ont
Galezowki; on n'a rien ajouté à ce qu'ont dit les auteurs qui l'ont
décrite
antérieurement. Ce n'est pas une espèce morbide
utre. Chacune conserve ses caractères au point que nous avons pu la
décrire
séparément, comme s'il s'a- gissait de deux mal
« J'ai mal à la tête ». Dans l'attaque, telle que nous venons de la
décrire
, on ne constate aucun phénomène rappelant la pé
syncopes soit isolées, soit consécutives aux attaques précédemment
décrites
. Mais, en dehors des phénomènes précédents la m
, dans quelques cas, elles sont suivies des attaques que nous avons
décrites
plus haut, avec délire et hallucinations. Auc
onne fortune d'être témoins des accès de spasmes, et obligés de les
décrire
de seconde main, nous n'eus- sions ajouté que p
n camarade; le malade sursaute, le bras se raidit, et les symptômes
décrits
ci-dessus se produisent. L'action de fixer long
nternes (Pozzi) ; Plis de passage cunéolirnbiques (Broca); Pozzi en
décrit
trois : 1° un pli de passage pariéto-temponal s
scissure de Sylvius, à cause de la forme qu'elle affecte. Schwalbe
décrit
séparément et figure comme étant DES CIRCONVOLU
ngle ouvert en arrière. Elle correspond à l'ergot de Morand. On lui
décrit
deux bran- ches : une branche horizontale, qui
nne; par Mendel (NCU ? '01. Centrctl6l., 1883). La pièce anatomique
décrite
et figurée provient d'une fillette de huit ans,
ineîzttil Scieizee, janvier 1883, p. 3.) L'auteur rappelle que l'on
décrit
ordinairement deux formes d'atrophie cérébrale
où il est possible de les observer; III. État subjectif éprouvé et
décrit
par le sujet lui-même, dans les cas où il a con
onséquent jusqu'à l'amaurose, et que bien des observateurs ont déjà
décrite
; 2° L'hémianopsie dont étende ! seul a touché q
son livre d'après la structure des organes centraux de la vue, il a
décrit
une racine optique cérébelleuse; mais il n'en a
lligence. Or, le contrôle d'Hitzig montre que les accidents moteurs
décrits
sont loin d'être aussi faciles à engendrer, aus
cet épithélium serait doublée de la membrane limitante olfactive
décrite
par von Brunn; elle constitue une raie sous-jacen
n rend responsables de l'hémianopsie, aux symptômes périmétriques
décrits
? La clinique a parlé. L'anatomie et la physiolog
anmoins par certains côtés, des divers types cliniques de myopathie
décrits
jusqu'à ce jour. Il ne ressemble en rien à la p
e de voir ? ? Si pour les besoins de l'enseignement on a cru devoir
décrire
des types nettement déterminés, la clinique nou
LLE PAR G. ROSSOLIMO Privat-docent il l'Université de Moscou.
Décrit
pour la première fois en 1880 (Fraser) et qualifi
c'est le premier cas d'ataxie cérébelleuse hé- réditaire étudié et
décrit
en Russie (Pl. IV et V). Pour plus de facilité
difformités congénitales du système nerveux central que nous avons
décrites
est l'hydrocéphalie et l'hydromyélie. Pour comp
es noyaux rouges. La cause de toutes les difformités que nous avons
décrites
est l'hydro- pisie des ventricules cérébraux et
térite chronique existe plus ou moins chez toutes les monstruosités
décrites
par nous auparavant. Cela peut favoriser, penda
nous avons trouvé que le foie chez tous les monstres que nous avons
décrits
jusque-là était infiltré d'éléments embryonnair
ose des faisceaux pyramidaux aussi marquée que celle que nous avons
décrite
de- manderait si elle relevait d'une lésion enc
supérieur avec les 3/4 inférieurs, l'humérus change de direction; il
décrit
t une courbe à concavité antérieure et à convex
eurs avec le 1/3 inférieur; là l'humérus semble soufflé en arrière,
décrit
un ventre postérieur et atteint ainsi, à ce nivea
en dehors, est appliqué sur le tendon, l'embrasse dans l'anse qu'il
décrit
pour se porter sur la face profonde du deltoïde.
cs, élongation en vertu de laquelle sont redressées les courbes que
décrivent
les racines du plexus brachial à leur sortie des
- gaison. A ce propos, rappelons que les 1° et 6e paires cervicales
décrivent
une courbe à concavité inférieure ; les 8e cerv
lu- les, les premières cellules bipolaires qui aient été d'ailleurs
décrites
, ont un prolongement afférent qui atteint le ne
nt, j'en suis convaincu, une place de plus en plus importante. On
décrit
donc au ganglion auriculaire deux grands rameaux
yau du releveur palpébral droit (ptosis) et le rameau anastomotique
décrit
par Duval et Laborde entre l'adducteur droit et
c'est le nom que porte sur sa robe le principal opérateur, - a été
décrite
dans ses moindres dé- tails (1). Nous n'y revie
difficile à percevoir. (1) Cette gravure est celle que nous avons
décrite
dans une de nos précédentes étu- des, comme nou
, A. Both, Fr. Hais le Jeune, et surtout Jean Steen, que nous avons
décrits
, ainsi que par les gravures de N. Weydmans, D.
ncien interne des hôpitaux. Depuis qu'en 1886, Charcot et Marie ont
décrit
la « forme particulière d'atrophie musculaire p
rès incomplètement faite ; seuls, Hoffmann, Marinesco ont essayé de
décrire
les lésions correspondant aux symptômes, et d'esq
é par M. Marie qui porta le diagnostic du type d'atro- phie qu'il a
décrit
avec Charcot. Si cette observation n'est pas plus
oisième lombaire les lésions sont les mêmes : il est inutile de les
décrire
en détail : ce serait répéter ce qui a été dit
les lésions sont absolument les mêmes que celles que nous venons de
décrire
pour les muscles jumeaux, mais elles sont plus ac
un peu masquées et altérées par la limite accidentelle, les lésions
décrites
sous le nom très défectueux de psoriasis syphil
cré une étude détaillée à la chlorose ; l'une des cinq formes qu'il
décrit
porte le nom de chlorose par amour. Elle ne dif
es troubles de l'appareil génital la plupart des symptômes que l'on
décrit
en- core dans la chlorose. La rétention du sang
ces du mal 1 d'amour. Dans l'histoire clinique de la chlorose, on
décrit
longuement Jes trou- bles cardio-vasculaires.
torpeur des idées, et les obsédantes rêvasseries. \V. Burger, qui a
décrit
le tableau avec éloges (-1), émet des doutes sur
'il y a des formes frustes : « Bris- saud, dit-il, pense que l'état
décrit
sous le nom d'infantilisme peut être une forme
traite deux cousins germains dont l'un représente le type infantile
décrit
par Lorain, le plus net qu'on puisse trouver, e
adulte. Il nous serait impossible d'en donner une idée exacte sans
décrire
son 282 E. HERTOGHE enfance et son adolescenc
froid persistant, dénotent le myxoedème franc, et ce n'est pas pour
décrire
ces formes que j'ai fait ce mémoire. A première
s en hiver. Les mains sont moites et sem- blables à celles que j'ai
décrites
chez l'adulte. Les parties sexuelles, nous l'av
ux, pileux. Je n'y reviendrai pas. Les symptômes que nous venons de
décrire
ne valent que par leur en- semble. Isolément, i
ni- grement, vérifier, le complexus symptomatoloique que nous avons
décrit
, très imparfaitement, mais suffisamment pour se
sions présentent la plus grande analogie avec celles que nous avons
décrites
. Nous considérons ce cas comme douteux parce que
égion, les altérations rappellent com- plètement celles qui ont été
décrites
dans le labes incipiens. Lésions des ganglions
ions que nous venons de faire nous montre que le type d'amyotrophie
décrit
par Charcot et Marie reconnaît pour subs- tra t
et Marie l'avaient soupçonné dans le mémoire dans le- quel ils ont
décrit
la maladie, il s'agit bien là d'une affection d'o
existe des déformations absolument comparables à celles qui ont été
décrites
dans l'atrophie dite du type Âran-Duchenne. A u
n sérieux de la sensibilité n'avait pas échappé déjà à Topinard qui
décrit
minutieusement les précautions qu'il faut prend
nt jusqu'à l'aisselle gauche, où elle rejoint l'anesthésie cubitale
décrite
. Il. DOULEUR. - A. Face antérieure. Hypoalgésie
s scènes médicales sont en nombre restreint. Celles que nous allons
décrire
montrent cependant que Metzu n'a pas négligé ce g
ts carrés. Voilà, n'est-il pas vrai, un fameux spécimen de l'espèce
décrite
par Mme de Sévigné. Il eut été capable de faire
vraisemblance que l'on est en présence du mal d'amour médicalement
décrit
par Varandal et Sauvages. C'est la « fièvre blanc
études sur l'autorisation psychologique et qui depuis a été souvent
décrit
, dérive en somme toujours du traitement des paral
péri-scapulaires : c'est la caractéristique du typescapuio- huméral
décrit
par Vulpian. Observation III. Atrophie muscul
en reste pas moins l'ensemble des faits dans les- quels le syndrome
décrit
par Duchenne et par Aran se trouve uni à sa lésio
ement d'une étude pour un tableau analo- gue à ceux 'que nous avons
décrits
. Mais, comme la femme est déjà âgée, envahie pa
dant par plus d'un détail des scènes mé- dicales que nous venons de
décrire
.' Et qui sait si le mal d'amour n'est pas la ca
leçons, M. Pitres (1) a repris l'élude de l'aphasie amnésique et il
décrit
comme tels les cas « déjà cliniquement rangés p
e ne peut dénommer la plupart des objets qu'on lui montre, elle les
décrit
sommairement, les définit ou indique leur nature
'ont jamais vécu que dans leur province ou à Paris. Sans doute on a
décrit
des cas d'éléphantiasis noslras, présentant clini
ue; les noires n'ont jamais commis d'excès de ce genre. Tchirkolf a
décrit
en 1895 (3), des oedèmes observés par lui chez 7
ais la face y participe presque toujours (faux oedème des paupières
décrit
par Vigouroux). On a signalé en particulier la
n'a pas donné de résultats appréciables. En 1897, Vidal (de Lyon) a
décrit
une maladie hypertrophiante singu- lière, carac
vé, si le cas se fut présenté isolément. On y retrouvait la variété
décrite
par Sydenham, l'oedème blanc, qui peut attaquer
t ne présentant pas les caractères objectifs de ceux que nous avons
décrits
chez nos malades. (2) Dans un cas d'oedèmeéléph
ile par Desnos en 1891, à la Société médi- cale des Hôpitaux, où il
décrivit
une variété d'oedème à laquelle il donnait le n
ir à désigner d'un seul mot une catégorie d'affections oedémateuses
décrites
jusqu'ici sous des vocables différents, mais pa
t, (1) Voy. no 3, 1899. (2) On peut encore rapprocher l'affection
décrite
par DEUCUM sous le nom d'Adipose douloureuse.
ipose douloureuse. L'adéao-Li ? omatosP, cette curieuse affection
décrite
par L.\Un015 et BENSAUDE (Presse méd ? 1er juin
tomatiques qui sont en contradiction appa- rente avec les cas types
décrits
par M. Brissaud. Ces symptômes anormaux sur les
présente un signe qui ne se retrouve que dans le torticolis spécial
décrit
par M. Brissaud : Notre malade peut à volonté arr
olis spasmodique (un grand nombre de torticolis mentaux ont dû être
décrits
sous le nom de torticolis spasmodiques), auxque
ve de la langue, du voile du palais et des lèvres, maladie non encore
décrite
. Mémoire adressé à l'Académie de médecine et à l'
de faire contracter partiellement, et dont je ne puis en conséquence
décrire
exactement l'action propre : c'est le muscle cani
atomiques sur chacun des muscles qui concourent à l'expression; 2° de
décrire
leur action partielle, les reliefs, les creux,
lement alors qu'il voulait travailler de son élat do cordonnier fj'ai
décrit
celte maladie sons le nom de spasme musculaire jo
e muscle élève considérablement le sourcil, mais qu'il lui fait aussi
décrire
une ligne courbe plus prononcée que du côté où le
voit, s'étendent sur toute la largeur du front. De chaque côté elles
décrivent
des courbes à concavité inférieure, qui, en se
senté au maximum de contraction, le sourcil et les rides frontales ne
décrivent
plus des courbes aussi régulières que dans les fi
i davantage à l'action de ce dernier. Il en résulte que le sourcil ne
décrit
plus alors sa courbe naturelle ; que sa moitié in
on de chaque côté. Ici les sillons médians du front se rejoignent, et
décrivent
au centre une petite courbe à concavité supérieur
e part, que l'élévation en masse de ce dernier, avec la courbe en arc
décrite
par lui, ne peut produire des rides limitées à la
voir soin d'en masquer le côté gauche. — Les sourcils de cette enfant
décrivent
habituellement une belle courbe, pendant le repos
l'action exercée sur la partie inférieure du sillon naso-labial fait
décrire
à ce dernier une légère courbe à convexité inféri
ntrent, en outre, qu'au maximum de contraction, le sillon interlabial
décrit
une courbe à concavité inférieure; que la lèvre i
es et le sillon naso-labiale. qui correspondent au muscle excité, ont
décrit
une légère courbe à concavité inférieure ; que le
où le petit zygomatique est un peu moins fortement excité, la courbe
décrite
par le bord libre des lèvres et par la ligne naso
ie moyenne de la moitié droite de la lèvre supérieure, en lui faisant
décrire
une courbe à concavité inférieure, mais en même t
face sont attirés directement en bas et s'allongent ; que les lèvres
décrivent
deux arcs de courbes en sens inverse, à peu près
er la forme et la direction de son sourcil ; il faut que ce dernier
décrive
une courbe concentrique à ces lignes frontales, c
e figure, sans en modifier profondément l'expression. Ainsi fait-on
décrire
au sourcilier une courbe concentrique aux rides f
es gravées de la collection actuelle du roi de Prusse, il en est une,
décrite
par Winckelmanu, qui représente le supplice de Ma
l'horrible douleur que doit causer la morsure du monstre. La courbe
décrite
par les lignes naso-labiales et le renversement d
ntre la plus vive affliction. Chez toutes deux, cependant, le sourcil
décrit
la même sinuosité, et la tête est également gonfl
es douloureuses. Voici une traduction du passage de XIliade où Homère
décrit
les adieux d'Hector et d'Andromaque : « Ayant ain
eur physique n'existe pas du côté gauche. En effet, le sourcil gauche
décrit
une ligne courbe; sa tète n'offre pas le relief q
ctrisation localisée de ce muscle : la ligne naso-labiale, ai—je dit,
décrit
une courbe à concavité inférieure. Eh bien! lor
de la lèvre supérieure se sont modifiés à droite, ainsi que je l'ai
décrit
plus haut en rappelant l'action propre de ce musc
— Ce n'est pas non plus ce même sourire qu'Homère a si admirablement
décrit
dans les adieux d'Àndromaque et d'Hector. Les lar
ôté opposé), le sourire faux de lady Macbeth, dans la scène ci-dessus
décrite
, se peignit sur sa physionomie. L'électrisation
ds. Sitôt qu'on lui faisait fermer les yeux, son corps se mettait à
décrire
de légères oscil- lations. Sa démarche était
tait empreinte d'incertitude; il n'avançait pas en ligne droite; il
décrivait
une ligne légèrement festonnée. Il avait de la pe
e de la Faculté, nous avons essayé de réunir tous les cas'd'llaélie
décrits
jusqu'ici par les auteurs ; il est permis de cr
yser 22 dans leurs, mémoires originaux. Les différents cas d'amèles
décrits
par les auteurs ne se rapportent pas tous à un ty
de la tête, est de 36 centimètres. Des extrémités nous ne pouvons
décrire
... que l'absence. Les épaules existent, soutenu
ofesseur Mathias- Duval admet cette hypothèse. Pour lui (1), l'état
décrit
sur le nom d'hémi- mélie ne correspond à aucune
t pour obtenir le maximum d'effet. L'interrupteur que nous allons
décrire
nous a servi déjà à faire de très nombreuses ex
, nous a permis de faire, à l'aide du dispositif que nous venons de
décrire
, une intéressante applica- tion de la Radiograp
ellent beaucoup les tableaux des musées de Cas- sel et de Buda-Pest
décrits
précédemment; il y manque cependant l'ar- rière
ophiques cutanés, qui pouvaient être comparables à ceux que je vais
décrire
. C'est un cas d'oedème et avec cyanose des main
a l'REV11Î'R1 : OBJERVAI'10\. Les mains représentent les caractères
décrits
D1t11l- nution du diamètre transversal de l.l m
le de la main présente à un haut degré, les particularités que j'ai
décrites
chez les autres malades. Les détails qui existent
n et d'adduction des doigts. La face dorsale de la main gauche sera
décrite
en même temps que celle de la main droite. Les
lors si la main suc- culente présente l'attitude que nous lui avons
décrite
, celle-ci suffira à la distinguer de la main hy
De telle sorte que le tronc se trouve fixé dans l'attitude vicieuse
décrite
par la contracture simultanée des muscles anta-
de modifications. Il est fortement incurvé dans ses 2/3 inférieurs,
décrit
une courbure à convexité antérieure surtout acc
lu- sieurs d'entre elles, de la variété de douleur gibbosilaire non
décrite
sur laquelle nous avons jugé nécessaire d'attir
maximum. Nos recherches, à l'aide de l'appareil que nous venons de
décrire
, ont porté sur deux groupes de sujets. Nous a
par trépanation, a été l'objet des investigations de Golgi (1). Il
décrit
trois phases dans le processus des altérations
un bon nombre des cellules de cordon ont exactement les caractères
décrits
. Dans la moelle existent d'autres types cellula
raction de l'aponévrose plantaire : « La maladie qui vient d'être
décrite
ne s'observe pas seulement à la main, elle se m
n- timètres d'étincelle- L'interrupteur à mercure employé est celui
décrit
par l'un de nous dans un des numéros précédents
is types- principaux, du moins au début : le premier que nous avons
décrit
, carac- térisé par l'envahissement des muscles
tronc. C'est Charcot, comme on le sait, qui pour la première fois a
décrit
celte * attitude spéciale : la main de prédicat
remarquable, s'est occupé de la pachyméningile hypertrophique et il
décrit
de nouveau cette main. A propos de ce type de mai
e professionnel ou plutôt post-professionnel encore peu, sinon, pas
décrit
: le tic du colporteur. Analysons d'abord le su
tégorie : c'est un torticolis spasmodique. C'est ce que Jaccoud (3)
décrit
sous le nom de tic convulsif ou rotatoire du co
. 755. , 220 GRASSET n'en ai pas trouvé de description à part. On
décrit
la convulsion du sterno- mastoïdien et du trapè
côtés, d'un seul sternomastoïdien ou d'un seul trapèze; mais on ne
décrit
pas en général cette convulsion croisée ou altern
de Homen (2) qui résume bien la caractéristi- que de cette maladie
décrite
par Friedreich (3) en 1881 : « secousses sin- g
rre que Gilles de la Tourelle (1) en 1885 et Guinon (2) en 1886 ont
décrite
dans le service de Charcot sous le nom do malad
c bulbomédullaire, car il présente tous les caractères que Brissaud
décrit
au tic mental, c'est-à-dire qu'il a des carac-
ment en action (Duchenne). Après la crampe des écrivains, on en a
décrit
une série d'autres types : dans le chapitre que
des aspects très variés, assez mal dé- finis et le plus souvent mal
décrits
. Le problème est actuellement beaucoup moins si
jours. Tel est le cas de l'idiotie myxoedéma- teuse si parfaitement
décrite
par Bourneville. Or il s'agit ici d'une chose t
it d'avoir fait son chemin dans le m onde . Les sujets infantiles
décrits
par Lorain, par Brouardel et par les élèves de
ontraire. Il me semble qu'en ajoutant aux types d'infantilisme déjà
décrits
celui de l'infantilisme myxoedémateux, j'ai not
us disais que l'infantilisme idéal c'était l'idiotie myxoedémateuse
décrite
par Bourneville. C'est qu'en effet un idiot myxoe
mé, l'infantilisme vrai n'est à mon sens autre chose que la maladie
décrite
par Bourneville sous le nom d'idiotie myxoedéma
tilisme. 1 .Quel est-il donc cet autre infantilisme que je n'ai pas
décrit
et dont tout le monde parle d'après les travaux
a saillie et la fossette ressemblent en tout point à ce qu'Albrecht a
décrit
sous les noms d'apophyse et d'échancrure lémuri
l'interprétation hislo-pathologique des lésions que nous venons de
décrire
, par l'examen des données microscopiques obtenu
ce à des tumeurs grouillantes que des observateurs convain- cus ont
décrit
avec le plus grand soin. 1 Ce temps là était l'
ervé l'arthropathie névritique en 1838 ; Scott Alison en 1846 avait
décrit
l'arthropathie des hémiplégi- ques. Le syndrome
ivement de nature nerveuse par ses caractères cliniques (Charcot la
décrivit
d'abord sans l'aide de l'anatomie pathologi- qu
précisément celle dont on ne connaît pas la localisation. On a bien
décrit
des névrites (2) ; mais nous verrons que les névr
légiques, et de placer dans un autre celles du tabes. En général on
décrit
des arthropathies dans l'ordre anatomique : il
tait pas connue encore). Patruban et Remak (cités par Charcot), ont
décrit
des nodosités osseuses aux mains et aux doigts de
du corps, le cas rentrerait alors dans l'hypertrophie unilatérale
décrite
par Trélat et Monod dans les Archives générales
déprimante : telles sont les caractéristiques du torticolis mental
décrit
par M. Brissaud (1). (1) Le présent travail éta
et remarque d'abord qu'il présente tous les caractères que Brissaud
décrit
au torticolis mental, c'est-à-dire qu'il a des
ignes reproduits par les artistes anciens en sera facilitée. On a
décrit
de la Lèpre deux formes principales : 1° la Lèp
t ambiguë, et il n'est pas besoin (1) G. Lafenêtre et Richtenberger
décrivent
cette peinture de Masaccio de la façon suivante
la Lèpre. C'est là que Charcot et Paul Richer ont eu l'occasion de
décrire
quatre images de Lépreux dont le réalisme patholo
'une autre affection, d'origine exclusivement nerveuse celle-là, et
décrite
par un éminent clinicien de notre époque, Duchenn
ions. « Cette attitude est absolument caractéristique. Duchenne l'a
décrite
avec soin, et a démontré qu'elle est la conséqu
ues d'une altération musculaire qu'un savantne devait régulièrement
décrire
que trois siècles plus tard ? ... ? )) » Maître
ent intégralement parmi les manifestations cutanées de la Lèpre. Ne
décrit
-on pas des pustules et des ulcérations lépreus
tre misérable à l'état de momie vivante. De tels exemples ont été
décrits
et nous en avons vu récemment un spé- cimen cél
sisterons pas sur les symptômes, qui d'ailleurs sont bien connus et
décrits
. Nous rappelons seulement que dans le vertige M
art d'atrophie. Souvent le malade éprouve une sensation difficile à
décrire
à l'épigastre; point de douleur à la pression,
ul5), troisième variété d'aphasie, amnésie verbale visuelle', a été
décrite
tout d'abord par Kussmaul, dont les recherches
l'examen de ses malades et ses observations l'ont en somme amené à
décrire
une forme de catatonie hystérique (sixième type
toutes les formes mentales : mais ceux-ci s'en tiennent là, ceux-là
décrivent
une forme spéciale de stupeur. Parmi ces dernie
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 67 douzième paire. L'observation qu'il
décrit
concerne un jeune homme de seize ans, présentan
dent numéro de ce recueil (1885, n° 28), M. Gilles de la Tourette a
décrit
une maladie qu'il nomme « affection nerveuse ca
formations et lorsqu'on les a trou- vées, même dans les cas si bien
décrits
de Hebold, on ne leur a pas assigné une grande
s d'atrophie musculaire progressive (formes musculaires), l'orateur
décrit
en détail un cas de dystro- phie juvénile (type
ue, parce que les altérations vasculaires du tabès, que l'orateur a
décrites
le premier, n'ap- partiennent pas en propre à c
ING présente les préparations anatomiques relatives au nerf optique
décrit
dans les Archiv. de Waldeyer et Schwalbe, t. 20
nulatious d'Altmann. 11 adopte l'opinion de Vignal qui a évidemment
décrit
ces organites auxquels il attribue de l'importa
es à la thérapeu- tique, presque les mêmes que celles qui ont été
décrites
par ses devanciers. Il conseille seulement, con
escription détaillée et précise de l'appareil immersif, ces auteurs
décrivent
la maladie des plongeurs, qui se présente, suiv
thologique, expliquer . les différentes formes cliniques qui seront
décrites
par nous, en d'autres termes faire la physiolog
ses compagnons de le laisser tranquille. Les symptômes ci-dessus
décrits
ont duré trois heures , et ont été suivis d'une p
emblement involontaire dont est bientôt saisi le corps tout entier,
décrit
un tour en frottant le sol. On peut remarquer q
ne demi-minute, qu'il a été atteint de l'acci- dent que nous allons
décrire
. Cependant le malade affirme qu'il a fait plusi
ir détacher du sol la jambe droite et la faire mouvoir, après avoir
décrit
un arc de cercle. Quant à la jambe gauche, le m
he, le malade peut très bien faire mouvoir sans employer le procédé
décrit
. De ses souliers, c'est seu- lement le droit qu
urant quatre mois, l'état du malade resta tel que nous venons de le
décrire
, sans aucune tendance à la guérison. Le 2 mai 187
. Ce n'est que le 15 mai 1876 qu'il a eu l'accident que nous allons
décrire
. Ce jour-là, après avoir fait 4 immersions succ
e la même année, il a eu l'accident suivant. Le malade ne peut nous
décrire
exactement les conditions dans les- quelles l'i
balancement tout particulier. Chaque membre en se portant en avant
décrit
un tour, frottant en même temps le sol de la po
ie énorme sur la partie supé- rieure du ventre. Outre les symptômes
décrits
, la respiration était très gênée : il sent auss
à 9 heures du soir, les fourmillements et tous les autres symptômes
décrits
DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 171
a pu marcher sans appui. L'état du malade tel que nous venons de le
décrire
est resté sans aucune autre amélioration jusqu'
u sol le membre inférieur droit, qui se porte en avant, après avoir
décrit
un tour et frotter le sol. Le même procédé doit
on membre inférieur gauche, qui alors se porte en avant après avoir
décrit
un demi-tour et frotté dans son chemin le sol a
d'un seul appui, l'état du malade est resté tel que nous allons le
décrire
. Etat actuel (20 juillet 1886). Allures de la d
le toucher tout simplement, la même sen- sation que nous venons de
décrire
recommençait et le malade poussait des cris, en
en vue de ce que les troubles primitifs et constants de l'affection
décrite
se nichent dans la substance grise de la moelle
onstaté des troubles d'autres espèces de sensibilité. Dans sept cas
décrits
par les auteurs allemands et dans deux observat
lète- ment le tableau caractéristique de la maladie. Schup- pel a
décrit
un cas d'anesthésie générale, dans lequel on tr
ordi- naire les malades ne sentent pas ces fractures; le ma- lade
décrit
par Schultze n'avait deviné que par le bruit de
d'une manière dépressive sur son état général. Tous les symptômes
décrits
peuvent se rencontrer à une certaine période de
ne grande quantité d'eau, mais restant presque à la superficie , ne
décrit
pas des lignes sinueuses trop élevées, non plus
communique en arrière avec le sillon de Rolando par le sillon déjà
décrit
; au tiers antérieur on y rencontre un pli de pa
sions rencontrées sur les circonvolutions cérébrales; elles ont été
décrites
plus haut; nous rappellerons seulement qu'outre
capsule interne, dans le pédoncule) sur lesquels on s'est basé pour
décrire
le trajet du faisceau de l'aphasie sont assez n
' Raymond et Artaud. Arch. de i\'eur., VII, p. 300 et suiv. ' On
décrit
aussi un noyau accessoire de l'hypoglosse, a la p
es; les faisceaux moteurs et sensitifs sont à peu près complètement
décrits
, surtout le premier, dans leur trajet de l'écor
iques ressemblant à celles que la plupart des auteurs contemporains
décrivent
comme appartenant en propre à la myélite aiguë.
a attiré l'attention par sa singularité qui mérite vraiment d'être
décrite
et dessinée. Ce qui rend ce crâne intéressant,
les difficultés de la solution. A l'avenir de parler. Hui. Siemens
décrit
le nouvel asile d'aliénés provincial construit
NIQUE NERVEUSE. fois arrivée aux points que nous avons longuement
décrits
, la marche ultérieure de ce syndrome dans l'imm
ce côté pour soulever et porter en avant la jambe droite qui alors
décrit
un petit tour et parfois frotte le sol. Il n'en e
e membre droit qui, de cette manière, se porte en avant après avoir
décrit
un demi-tour et frotté le sol. La rigidité musc
ostéro-latérale. Ici encore, comme pour la forme que nous venons de
décrire
, l'explo- sion de cette forme d'accidents spéci
t d'eux- mêmes en quatre groupes, dont nous avons déjà longuement
décrit
les symptômes constitutifs. , - A. Syndrome des
pathologique. Le substratum auato- mique du tableau, que nous avons
décrit
, est constitué par des processus morbides, tant
es aux alté- rations anatomiques. Parmi les processus anatomiques
décrits
sous le nom synthétique de la syringomyélie, il
ns anatomiques n'ont rien de commun avec le complexus symptomatique
décrit
par nous. 2). Les cellules épithéliales du cana
imitées de forme et de structure, comme nous l'avons vu dans le cas
décrit
auparavant ? voilà pourquoi nous employons la d
e très marquée qui existe entre le tableau symp- tomatique que j'ai
décrit
avec les phénomènes neuropathiques, observés da
ie plus ou moins étendue de tousses modes de sensibilité (notre cas
décrit
en 1878) n'exclue pas ce processus. II peut éga
côté opposé à la lésion. « Dans ce mouve- ment de manège, l'animal
décrit
un cercle de rayon variable, et le cercle parco
a voulu s'occuper que du côté anatomique du sujet. Déjà Duret avait
décrit
la circulation autonome de cette circonvo- luti
taltothérapie a passé avant de former un corps de doctrine et avoir
décrit
les différents instruments du Dr Burq, l'auteur
ée pendant plus de 2;) ans,de 1841 à 1867, que Jean-Pierre-Falrel a
décrit
pour la première fois la Folie circulaire. C'es
n ait signalé en particulier l'incurabilité,il ne l'a véritablement
décrite
comme maladie distincte qu'après la lecture fai
me, par conséquent, on peut dire que Bail- larger et P. Faire ! ont
décrit
presque simultanément la même maladie, sous deu
mme forme clinique indépendante, et que tous les états d'excitation
décrits
sous ce nom relevaient de la folie maniaque-dép
, parmi les étals dé. pl'essifs dits mélancoliques, il convenait de
décrire
à part ceux qui, survenant à la période' d'invo
maniaques-dépressifs nzix. tes entrevus autrefois par Guislain,mais
décrits
pour la première fois par Kraepelin, états dans
appartiennent à la mélancolie d'involution), états qui sont encore
décrits
séparément sous les rubriques de manie et de mé
pas la signification. C'est ce qui est arrivé lors que Dé- jerine a
décrit
les névrites périphériques qui, comme les lésions
n très grand nombre de lésions cellu- laires de physionomie variée,
décrites
avec ces techniques etsur- toutavec la méthode
]> Crocq (Jourox. de neurologie, n° 7.) On sait que (ïahlhaum a
décrit
sous le nom d'héboï<lophré- nie une forme at
ette forme bénigne de démence précoce simple ou fruste, l'auteur en
décrit
deux autres : dans l'une, on observerait, eu pl
ent le syndrome paralysie gé- nérale, ont été isolement observés et
décrits
comme étant le ré- sultat du diabète. Une auto-
pocondriaques, de transformation,aboutissant aux idées de négation,
décrites
par Cotard à tort comme un délire spécial ; les
e mentale est encore une terre fort peu connue. Un dernier chapitre
décrit
les traitements. Tel est le nouveau travail de
n remarque en outre sur celte figure l'anfraoluosité sulciforme (A)
décrite
sur la face interne de l'hémisphère droit et l'as
ormations et des irrégularités. 1,'airopitie particulière de l'iris
décrite
par Dupuy- Dutemps(2) se rattache à la fois à l
tation de la pupille sous l'influence d'une vive lumière (ce signe,
décrit
par lloukhine, n'a de valeur que s'il s'accompa
t présentaient les mêmes caractères que des microbes précé- demment
décrits
comme pathognomoniques. La deuxième série porte
résultats et les résultats contenus dans le rapport.dont t l'auteur
décrit
une vingtaine d'espèces microbiennes banales tr
les différentes parties d'un même organe. Aussi il est justifié de
décrire
une sénilité tardive et une sénilité précoce, u
s diffé- rentes variétés de granulations pigmentaires qui ont été
décrites
sous le nom de « pigment jaune » paraissent dér
TES ET NEUROLOGISTES. ques au dernier plan, ne les a pas moins bien
décrits
: il nous a montré le vieillard toujours quelqu
ien dues aux lacunes de désintégration, mais à côlé de l'hémiplégie
décrite
par 1111. Pierre Marie, Ferrand, etc., hémiplég
cas de démence rapide survenant après une seule attaque convulsive
décrits
par Schule ; 3° les ictus qui apparaissent à un
Au précédent Congrès de Neurologie (Rennes, août 1905), nous avons
décrit
et expliqué les troubles respiratoires des tabé
résultat de l'intoxication par le brome; le bromisme, ainsi que le
décrivent
les classiques, et que des expériences récentes
ourront faire croire à l'existence d'une forme nouvelle, inédite, à
décrire
; ou bien, ils feront entrer le complexus dans
mais ces mouvements sont peu intenses. Le caractère des mouvements
décrits
, c'est d'être assez vifs, mais aussi de s'effec
hme ne révèlent aucune lésion, et montrcntque les lésions ci-dessus
décrites
ne s'étendent guère qu'à cinq ou six millimètre
e hystéro-épileptique après un embarras gastrique, je me propose de
décrire
un cas assez exceptionnel que j'ai eu l'occasio
on intellectuelle, les troubles démentiels que certains auteurs ont
décrits
, dans les tumeurs du corps calleux, sont des sy
dans les deux cas ; il n'est donc pas sûr que le syndrome psychique
décrit
plus haut soit uniquement d'origine calleuse. C
la démence pré- coce. 1. -;\I, Kraepelin commença par englober et
décrire
sous le nom de « démence précoce » toutes les f
en raison de sa singula- rité même et de sa rareté et qu'elle a été
décrite
à part comme un fait bizarre et curieux, plutôt
arquer que la question n'est pas de sa- voir si la folie gémellaire
décrite
par Bail comme la seule méritant ce nom est ou
mis en doute la folie induite ou folie transformée que venaient de
décrire
des aliénistes américains, et après eux des ali
savoir : la folie. Tous les jumeaux se trouvent dans la situation
décrite
par lui : ils sont nés à la même date, ils ont ét
gieuse qui ne fut, en somme, que l'exagération morbide du caractère
décrit
plus haut, avec les mêmes hallucinations et les
et entendaient la Vierge et le diable. Celui-ci était tel qu'il est
décrit
dans les livres pieux et représenté dans les vi
e un ensemble d'instructions claires, détaillées, par lesquelles on
décrive
et explique nettement l'essence et le but de l'
ypnotisme n'est pas une névrose et que toutes les phases classiques
décrites
par Char- cotne sont que l'effet d'une suggesti
es couches de l'écorce étaient à peu près également atteintes. S.
décrit
des lésions analogues dans les grandes cellules
(Xeurol. Ctrbl. XX\', f.l, p. 15à 18). Le « nystagmus associé » été
décrit
par S. en 1900 (1\ïener mes. Presse, 1900 et Ne
e rendu anato- mique à cause de l'analogie des lésions et de celles
décrites
par Seharrer. (Neurol, Ctrbl., XXIV, fas, ',) e
avec celle du bout central, les auteurs, après avoir soigneusement
décrit
les parlicularitéscliniques et anatomiques de c
rien ait fait soupçonner sa présence. Pourtant, en 190 : 2, Bruns a
décrit
un syndrome qui porte actuellement son nom et q
Ultérieurement, céphalée plus intense entraînant la position du cou
décrite
dans lelremiercas : démarche chancelante ; nyst
écrit. Un ne peut REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 401 1 prétendre
décrire
un mode d'altération du langage particulier à la
de la parole et des écrits dans la dé- mence primitive ne sont pas
décrits
par les auteurs ; ils peuvent cependant présent
darmes se rendaient à Lavaré et entendaient les témoins de la scène
décrite
plus haut. Lelendemain, ils prévenaient le Par-
Cette étude promet d'être d'autant plus intéressante que Patrizi a
décrit
un ergographe crural, destiné au membre inférie
ement pour les ex- plorations de neuro-pathologie. Le même auteur a
décrit
aussi un ergographe pour les muscles respiratoi
a pie-mère cérébrale qui tapisse le fond de la dépression ci-dessus
décrite
. A ce ni- veau la substance cérébrale présente
s sa partie inférieure la paroi d'une de ces formations kystiques
décrites
plus haut. Cette paroi est formée par de fines fi
ce nerf combinée avec celle de l'obturateur n'aurait pas encore été
décrite
. Une femme de 1"2 ans, Vipare, atteinte do prol
l'auteur tire les conclusions suivantes : 10 Le mutisme hystérique
décrit
par Charcot n'est autre chose qu'une aphasie de
ns le cadre plus vaste de l'aphasie hysté- rique ; 2" Il va lieu de
décrire
chez les hystériques un mutisme auquel devrait
osolo¡6qne : a) d'appeler « aphémie hystérique » de Charcot le type
décrit
par Charcot sous le nom de mutisme hystérique,
sur place àun ordre donné, il tomberait même s'il n'avait soin de
décrire
un demi-cercle, avec une certaine hésitation ou
se montrer isolément. Aussi, Charcot a 10 0 PATHOLOGIE NERVEUSE.
décrit
un tabès sensitif réduit aux douleurs fulgurantes
r MM. J.-M. Charcot, Gilles de la Tourette et G. Guinon, qui en ont
décrit
avec soin les caractères nosographiques. Il ser
t pas en cause. La maladie des tics convulsifs, telle qu'elle a été
décrite
par MM. J.-M. Charcot, Gilles de la Tourette et
ins accusées. Aussi, à ce point de vue, la malade s'éloigne du type
décrit
ont amené les paralysies, tant du côté paternel
ent origine. Il est évident que l'on a affaire ici avec le syndrome
décrit
par Debove et Achard, sous le nom d'apoplexie h
lait seulement pendant la démarche qui avait le type de la démarche
décrite
par Tood; au contraire le membre, en examinant
qui a suivi le traitement de la suspension et celui que nous allons
décrire
, pour nous décider à écrire deux ou trois mots
siles spéciaux. M. Charpentier, sous le nom de folies du caractère,
décrit
les fous raisonnants, les fous moraux, les fous
ette observation représente un cas typique de ce que Krafft Ebing a
décrit
sous le nom de paranoïa dans sa forme primitive
es fibres optiques, y parviennent en faisceau distinct que Gudden a
décrit
sous le nom de « tractus peduncularis trans- ve
ciées aux maladies locales des viscères, eût peut-être gagné à être
décrit
à un point de vue plus général. Des chapitres s
gie fine des maladies du système nerveux. Cette histologie est bien
décrite
dans les travaux d'un certain nombre d'auteurs :
du groupe qui, par la suite, s'est fort étendu. . En 1884, M. Erb
décrit
une forme juvénile d'atro- phie musculaire prog
de régulière de ces amyotrophies est de date récente. Elles ont été
décrites
par W.-C. Kahlkof, dans une thèse faite sous l'
ons ; mais dans la littérature étrangère, vous le trouverez souvent
décrit
sous le nom de symptôme de Brach (Rosenthal 2),
e tabes, et en être même un symptôme précoce. Fournier 4 les à bien
décrits
et bien étu- diés. Ils méritent d'être rapproch
e. On sait, en effet, que cette variété d'atrophie musculaire fut
décrite
, en premier lieu, par Duchenne (de Boulogne) qui
e, elle aussi, un bord muqueux large, elle est renversée en haut et
décrit
une concavité tournée vers le haut. Elle manque
de tubes, et sont au nombre de deux ou trois : on peut, par suite,
décrire
à ces dernières figures, une paroi et un conten
nèvre, et où se trouvent un ou deux des éléments que nous venons de
décrire
. Sur des coupes longitudinales, où les aires en
Nous avons recherché si des formations analogues n'auraient pas été
décrites
par d'autres observateurs, et quelle interpré-
1; dans son étude sur la structure des nerfs chez les'solipèdes, a
décrit
un tissu qu'il appelle système hyalin intm-vagi
ystèmes, travaux de Langhans2 et de Kopp 3, son élève. Langhans qui
décrit
ces formations avec beaucoup de soin, dit qu'el
on diffère de celle de cet observateur. Il remarque que M. Renaut a
décrit
ces svstèmes sur des nerfs normaux et s'étonne
e l'élé- ment névropathique. L'an passé, nous avons à cette place
décrit
l'évolution des crises neurasthéniques consécut
ents de latéralité de la mandibule. J. Séglas. XX. UN PHÉNOMÈNE NON
DÉCRIT
DANS LES HALLUCINATIONS VISUELLES; par le Dr P1
ertige paralysant, par le Dr Ladame. Sous ce nom, le D' Gerlier a
décrit
une nouvelle maladie qui serait caractérisée pa
orrhagie. ' L'auteur pense au contraire que les apparences morbides
décrites
sous le terme de pachyméningite ne sont pas le
profonde, il n'existe pas chez lui cette volubilité que nous avons
décrite
, cette volubilité manque aussi dans le délire r
bords duquel la névroglie a proliféré à un degré extrême. On a déjà
décrit
cet état anatomique sous le nom de gliose. M. J
facial et le lingual sont partiellement reconstitués. M. Gilbert
décrit
deux cas de polynévrite. L'un est de nature inf
Dicussion : M. SCIIULTZE. - C'est là Yacroparesthésie que j'ai déjà
décrite
et que l'on trouvera dans la thèse de Mohr. M.
ectés de la lordose paralytique avec cyphose dorsale que Duchenne a
décrite
comme consé- quence de ces insuffisances muscul
n'avançant ses pieds qu'au prix d'un effort considérable; son tronc
décrit
en même temps des oscillations latérales, et rest
plus accentuée depuis le mois d'avril 1892. La colonne ver- tébrale
décrit
une courbure très grande, appartenant à vrai dire
occyx soulèvent modérément la peau en arrière En outre, le sacrum a
décrit
un petit mouvement de rotation, de manière que
vec une exactitude remar- quable tout l'ensemble symptomatique déjà
décrit
. En considérant le caractère singulier du table
vations d'Ozeretzkowsky, c'est seulement dans nOS 8S et 56 que sont
décrites
les attaques du tremblement, lesquelles du rest
effet dans une série de travaux publiés de 1880 à 1888 que Cotard à
décrit
un type de mélancolie anxieuse dans lequel, aux s
s font encore saisir sur le vif cette altération de la personnalité
décrite
par M. Séglas. De la comparaison des observatio
ar le Dr T.wcowLV. Les troubles vaso-moteurs des mélancolique* sont
décrits
par 384 4 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tous l
ne forme aiguë de cette maladie. Bien que cette forme aiguë ait été
décrite
par Westphal et admise par Meynert, elle est si
érale se multiplient à l'infini; la langue usuelle ne suffit plus à
décrire
de pareilles sensations, et c'est alors que l'ali
leur genèse la plus commune et aussi la plus logique a été souvent
décrite
et se résume ainsi : des persécutions aussi varié
ur tire les conclusions suivantes : I. La forme du délire chronique
décrit
par M. Magnan existe bien cliniquement. - II. O
.) On sait avec quel luxe d'expressions les malades s'attachent à
décrire
les sensations pénibles qu'ils éprouvent du côté
pesanteur ayant pour siège les yeux ou les paupières. Après avoir
décrit
les diverses variétés et les localisations parti-
s familles, dont il annexe à son mémoire l'arbre généalo- gique. 11
décrit
avec soin et dans des relations détaillées, impos
e une dégénérée. Son délire n'est qu'un des syndromes épisodiques
décrits
par Magnan. On trouve encore assez souvent dans l
e sujet aurait pu le mener. La troisième partie, la plus étendue,
décrit
et développe les diverses formes de l'inversion
s, de barils de frêne, etc., sont autant de dangers qui couvent; il
décrit
et illustre une grande variété d'appareils d'ex
de même qu'il suffit d'appeler quelques-uns des sujets qui ont été
décrits
du nom que je leur ai donné pendant le somnambu
stater chez eux les traits principaux des trois formes de katatonie
décrites
par Schüle, à savoir : la forme religieuse expa
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. somatiques de l'hypnotisme; tels que les
décrit
M. Charcot, sont le résultat de suggestions et
la surface dorsale du poignet. CI Des phénomènes semblables ont été
décrits
par d'autres auteurs dans les premiers stades d
. J.-B. Boillier. Sous ce nom, l'auteur a réuni des affections déjà
décrites
sous le nom de rigidité généralisée de rigidité
e des idées dans les aiguës, par Schoenthal, 124- phénomène non
décrit
dans les - visuelles, par Piéraccini, 252. Hé
ffecte surtout les muscles du cou et des épaules, et que Kahlbaum a
décrite
il y a près d'un quart de siècle comme particuliè
es en ce qui touche à l'ataxie aiguë due aux lésions bulbeuses et
décrit
une classe distincte de cas dus aux lésions aiguë
- rieure dues aux états cachectiques, anémiques et infectieux. Il
décrit
les conditions qu'il appelle « ataxie spinale sub
ale. L'étiologie, le cours et la pathologie de cette affection sont
décrits
d'après l'expérience personnelle de l'auteur basé
dents. Ces altérations sont en traits géné- raux analogues à celles
décrites
par J. ! t6(tt'sc/t, quoique moins pro- noncées
parition. Dans le sixième cas, il s'agissait d'une myélite que j'ai
décrite
pour la première fois dans la maladie du SOCIÉT
es modifications sont d'une autre nature que celles que je viens de
décrire
et je les attribuerais plutôt à la vulnérabilité
M. Soukhanoff et les deux nouvelles obser- vations que nous allons
décrire
, cela fait, sauf erreur ou omission, trente-tro
bres et toutes les par- ties du corps. , Le médecin certificateur
décrit
ainsi son état mental : « Diffi- cile, hargneus
anifestant le délire d'hypocon- drie et de persécution précédemment
décrit
: tantôt avec crises de désespoir accompagnées
est une dégénération consécutive en correspondance avec les lésions
décrites
». Les fonctions psychiques demeurent d'ordinair
crâniens, analogues aux -ganglions des nerfs rachidiens. Klippel a
décrit
et reproduit les lésions des cellules nerveuses
ue la substance chromophile existe bien réellement 'sous la forme
décrite
par Nissl, et qu'elle n'est pas artificiellement'
r avec la diminution de la résistance élec- trique. Les symptômes
décrits
par J. de L. sont si nets que l'auteur pro- ' p
pendant la marche elle est traînée comme une masse inerte, et ne
décrit
pas une courbe de circumduction, comme dans la pa
et dans l'hémiplégie organique. Les deux symptômes que je viens de
décrire
me paraissent pou- voir contribuer pour une lar
ES. L'auto-l1¡ÏCI'osthésie,. par 111.oecer BLocu (de Paris). On a
décrit
sous le nom de microsthésie une affection du tou-
ctifiait aussi ses hallucina- SOCIÉTÉS . SAVANTES. i 177 tions et
décrivait
avec beaucoup d'intelligence par suite de quel
n nouvel exemple de ces paralysies asso- ciées'des globes oculaires
décrites
par l'armaud. Il s'agit dans de tels cas de rel
ucoup de soin et le nouveau procédé spectroscopique de Florence est
décrit
en détail. La preuve du sang étant faite, il re
recherche du glyco- gène et du glucose dans le foie. est amplement
décrite
. Enfin, ne perdant pas de vue le but essentiell
aux conjectures : il en est ainsi en particulier pour la variété
décrite
sous le nom de paralysie périodique ou transitoir
de repos, était la conséquence de l'attaque de paralysie qu'il nous
décrit
. A l'âge de dix-neuf ans, le sujet étant cultiv
des phalanges et des phalangettes : il en conserve la malformation
décrite
plus loin. Enfin, il y a environ' dix ans, il r
t à cette variété de sclérose en plaques à début paraplégique aigu,
décrite
par M. le profes- seur Pitres '. La bizarrerie
rticulière qui nous occupe. Le professeur Charcot et M. Marie ont
décrit
, en 18863,une variété d'atrophie musculaire pro
source. Kirsch 2, Willy Taylor3, Mitehell ? Krewer 5, Putnam 1 ont
décrit
des paralysies fami- liales périodiques ou tran
tre for- mulées ainsi : Ni les lésions vasculaires et cellulaires
décrites
par les auteurs antérieurs à van Gehuchten, ni
ysie est celle à la- quelle Brown Séquard qui, le premier, l'a bien
décrite
a attaché son nom et qu'il considérait comme ne
tion épileploïde des jambes, quand on les allongeait, est nettement
décrite
par le père. Il fait remarquer que si elles éta
considérables. Ils ressemblent peu aux éléments qui viennent d'être
décrits
, avec lesquels il serait difficile de les confo
uleux sont des éléments très différents de ceux qui viennent d'être
décrits
, mais, comme eux, caractéristique d'un état de
t pas ordinairement très gênante, et. bien qu'elle soit quelquefois
décrite
comme une douleur de froid (psyclvro-algie), el
ité simple. -il Un cas de mélan- colie chronique (omis). L'auteur
décrit
ensuite le procédé employé, et constate les résul
picrique et d'une solution aqueuse de formol à 6 p. 100). L'auteur
décrit
ensuite minutieuse- ment la technique employée,
elques points imparfaitement définis de la structure cellulaire. Il
décrit
ensuite les altérations de la cellule dans la dég
; puis, abordant l'étude des altérations vraiment pathologiques, il
décrit
l'altération hyaline fibreuse des vaisseaux.' E
vln-0 (Tlte Journal of Mental Science, octobre 1898.) Les auteurs
décrivent
d'abord la structure normale de la cellule nerv
eurs décrivent d'abord la structure normale de la cellule nerveuse,
décrivent
ensuite les phénomènes que Marinesco désigne RE
l'étude de ces altérations anatomiques dans les cas de folie aiguë,
décrivent
les méthodes histologiques employées, indiquent l
image telle que vous l'avez vue cette après-midi, et je vais vous
décrire
son aspect, son visage, sa posture dans le lit, e
e qui l'environne. lise remit à rire et me dit qu'il était prit. Je
décrivis
tout ce que j'avais annoncé, et, sauf un léger
s mouvements qui l'ont suivie correspondent exactement à ceur que
décrit
Richer à propos de la grande hystérie. · 2° Hom
attendaient; l'auteurexprime la satisfaction qu'ils éprouvèrent et
décrit
en détail les différents travaux auxquels on le
mouvements élémentaires dans les actes complexes, perturbation déjà
décrite
par l'auteur sous le nom d'asynergie. Cette hém
paralysie générale ou à une phase de la folie circulaire. Lasègue
décrivit
ensuite le délire de persécution. Enfin Magnan, a
uite à une communication antérieure sur cette affection, non encore
décrite
en France, les auteurs ont réuni d'une part 5 o
par H. Jullian. (Revue de médecine, juillet 1900). Syndrome déjà
décrit
dans une observation de M. Klippel. Dans le cas
alcooliques pour combattre de prétendues crises cardiaques, qu'elle
décrit
comme étant de véritables arrêts du coeur, et qui
sements excessifs, dysurie, ténesme vésical, enfin tout ce que l'on
décrit
sous le nom de crises gas- triques, intestinale
ns étendue, les surfaces sensibles sont plus vastes. Enfin l'auteur
décrit
les formes décroissantes, dans l'ordre de l'éte
cause de l'apparition du béribéri n'a pu être découverte; l'auteur
décrit
ensuite d'après les auteurs qui les ont observées
ces malades, est celui - SOCIÉTÉS SAVANTES. 433 Klein a isolé,et
décrit
en 1895 sous le nom de Bacillus eiitei-ilictis
l extrêmement dilaté. On pourrait appeler les altérations ci-dessus
décrites
« hydromyélie chronique progressive » ou épendy
plan- taire jusqu'aux dystrophies unguéales et dentaires, qu'on a
décrits
dans le tabes. Pour ma part, j'ai déjà observé et
it, assis à côté de sa mère. Son aspect était le même que j'ai déjà
décrit
: regard si vague où il fait douter s'il n'est
uveau d'alcoo- lisme propre à l'alcoolisme, et jusqu'ici peu connu,
décrit
par un médecin des environs de Rouen 1L. Marido
parlé, et sans laisser aucune publication à ce sujet. Il est ainsi
décrit
: « Ordonner à l'individu d'écarter les doigts,
de Maréville en employant le manuel opératoire que nous venons de
décrire
, voici les résultats qae nous avons obtenus. No
u médecin. Il nous semble cependant que le signe que nous venons de
décrire
pourrait beaucoup aider au choix d'un personnel
mander si elle doit être mise en cause. Des cas de ce genre ont été
décrits
dans lesquels les malades n'avaient pas pris de
e mauvaise humeur. 486 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. Divers auteurs ont
décrit
un rash scarlatiuiforme avec desqua- mation apr
atrième apophyse épineuse). L'ap- pareil instrumental, que l'auteur
décrit
avec soin, est connu. Quand tout est préparé et
ience, janvier 1900.) 11 s'agit d'un de ces cas qui ont été souvent
décrits
sous le nom de « grossesses de la ménopause » e
eux cas se rattachent évidemment à cette forme de folie que Régis a
décrite
sous le nom de « folie simultanée o; ils montrent
à une certaine époque de la maladie. Il lui semble que les lésions
décrites
dans l'observation de la malade de M. Briand so
un verre transparent. Guy de Maupassant, ajoute M. Sollier, a déjà
décrit
ce phénomène dans le llorlct. Peut-être l'avait-i
t le trajet des fibres pupillaires. Dans le chapitre suivant, Minot
décrit
les divers troubles pupillaires (inégalité, tro
es qu'il innerve. C'est cette modalité d'hé- miplégie alterne qu'on
décrit
sous le nom de Syndrome de Weber, depuis que Ch
es. Les seuls exemples qui aient été convenablement et complètement
décrits
sont ceux dont on a pu faire une dissection post
y a là un aspect comparable à celui que Brissaud, puis Feindel, ont
décrit
pour la main sous le nom de « déviation des doi
e disposition qui rappelle, en apparence tout au moins, celle qu'on
décrit
sous le nom de « pince de homard ». Mais ce n'e
taires. Les ongles existent cependant. Il est presque impossible de
décrire
la charpente osseuse des doigts de la main droi
ans. S'agit-il dans ces cas d'une de ces névrites post-varioliques
décrites
par Joffroy, ou au contraire d'une poliomyélite
d'entreprendre cette étude, je devrais régulièrement commencer par
décrire
le type ordinaire de la marche et de la course. J
ET DE LA COURSE 15 H. DESCENTE D'UN escalier. Je pense inutile de
décrire
en détails les mouvements des membres in- férie
- rey, de manière à étudier les modifications de la trajectoire que
décrivent
, dans la marche pathologique, les différents po
fait pour expliquer son éliologie. Le lichen ruber a d'abord été
décrit
par F. Hebra en 1860 ; en 1866 E. Wilson a décr
ber a d'abord été décrit par F. Hebra en 1860 ; en 1866 E. Wilson a
décrit
une maladie de la peau sous le nom de lichen plan
osés à reconnaître l'étiologie microbienne de cette maladie; Lassar
décrit
des bacilles très menus dans les petits espaces
un homme, médecin, chez lequel le lichen ruber unilatéral, comme le
décrit
Kobner, s'est développé dans la direction des n
58 ans, très nerveuse, qui avait souffert du diabète. Ni- contowsky
décrit
deux cas de lichen ruber où la localisation des é
raitement hydrothéra- pique d'après la méthode de Jacquet. Remesolf
décrit
en détails un cas de lichen ruber de la cliniqu
le long des nerfs sur les membres inférieurs; un cas semblable est
décrit
par Galloway. Les observations de Dreywel sont tr
r Galloway. Les observations de Dreywel sont très intéressantes; il
décrit
le lichen ruber des paumes des mains et des pla
tes : DE L'ÉTIOLOGIE DU LICHEN HUilER 101 Outre tout ce qui a été
décrit
ci-dessus, on a trouvé chez le malade les signe
thologiques, consacre un long chapitre à ces ossifications ; il les
décrit
comme des os- téomes multiples, ou comme des mu
, si typique de la myosite ossifiante progressive que nous aurons à
décrire
plus tard : Il Lieutaud en disséquant le corps d'
mes localisées de la myosite ossi- fiante (1). En 1878,Nicoladoni
décrit
un nouveau cas de myosite ossifiante et, dans l
, jouerait un rôle prépondérant dans l'éclosion de la maladie. On
décrit
depuis Munchmeyer trois périodes dans l'évolution
njonctives où elles siègent dans des fentes allongées, peuvent être
décrites
comme des fibroblastes ; tandis qu'ailleurs, su
ent tous les segments du corps. Les trois stades que nous venons de
décrire
, sont surtout distincts au point de vue cliniqu
NTE PROGRESSIVE 425 Indépendamment des exostoses que nous venons de
décrire
, les os offrent d'autres lésions. Ils sont en g
aire, la forme de la tumeur n'a rien de particulier. Nous venons de
décrire
comment débute la myosite au milieu de symp- tô
n'est plus exacte aujourd'hui. Munchmeyer lui-même, dans son cas, a
décrit
l'ossification du triangulaire du menton, Bokaï c
de l'abdomen étaient exempts d'ossification, mais celle-ci y a été
décrite
par IIuth, Helferich, Koths, Kuemmel ; elle reste
ations. Alibert le premier (Nosologie naturelle, t. I. Paris, 1817)
décrivit
la sclérémie partielle avec l'histoire d'un mal
le malade n'éprouvait aucune sensation ». En 1354, Addison et Bazin
décrivirent
la chéloïde vraie et la chéloïde blanche. En 18
l'articulation temporo- maxillaire ? (Menkewitsch). Gerber avait
décrit
dans l'observation de Florschuetz une ankylose de
mante progressive des adultes, le rhumatisme noueux infantile, bien
décrit
par le J)r DiamanLberger, se dis- lingue à prem
sse temporale, il chacune de leur contraction. 11 est impossible de
décrire
l'état des ptérygoïdes par suite de l'ankylose de
e interne. En outre, il y a plusieurs cas avec examen microscopique
décrits
par différents auteurs. Parmi les ouvrages conc
hez un anencéphale qui avait vécu deux jours et demi. Vllle Léonoff
décrit
dans un cas d'anencéphalie un* arrêt de dévelop
moins ronde et parfois leur aspect est si bizarre qu'on ne peut les
décrire
. Mais la principale particularité propre à tout
jà été passées en revue dans ce recueil (3). (i) Ce tableau a été
décrit
et reproduit dans notre précédente étude. Il en e
it la main droite, on allonge l'index de celte main, et on lui fait
décrire
les lettres des mots dont on se propose de lui
ne natiforme (Pl. XXX, A). Cette déformation « natiforme », si bien
décrite
par le professeur Par- rot, a une importance ca
lors un signe presquepathognomonique de l'hérédité spécifique. Pour
décrire
rapidement cette malformation, j'userai de la com
r macération de ses produits mous ; il rappelle absolument l'aspect
décrit
par le professeur Wirchow sous le nom de « cari
ons dites supplémentaires. Le symptôme en question a été signalé ci
décrit
par mon père dans les termes suivants : « Il
ses étaient telles, dit Copping, qu'il serait très difficile de les
décrire
. Ons. IV. Henry, Philosoph. t1'aI1Sact., vol. L
sseux,qui se réunit avec la portion bra- chiale de la masse osseuse
décrite
plus haut et avec l'ossification du brachial an
encore une apophyse poin- tue qui repose sur le biceps ; du centre
décrit
part encore une bandelette qui suit le bord inf
atère et la bande qui va en haut et en dehors et que nous venons de
décrire
, part également une crête verticale. Enfin une au
HIZOMÉLIQUE PAR R E. FEINDEL et P. FROUSSARD. M. P. Marie (1) a
décrit
sous le nom de Spondylose Rhizomélique une affe
er sans canne ; son pas ordinaire est de 25 cen- timètres. Avant de
décrire
sa marche, remarquons encore une fois, que lorsqu
t du bassin; parcontre le thorax est visiblement aplati, le sternum
décrit
une courbe anormale, les atrophies musculaires so
pièce du musée Dupuytren. ' La pièce sèche du musée Dupuytren est
décrite
en détail par M. Marie. Elle est constituée par
mples d'une semblable hydrocéphalie nous rappellerons les trois cas
décrits
par nous antérieurement. Nous voyons la base du c
relèvent de l'hystérie, cette étrange affection'si ma- gistralement
décrite
, dans toutes ses manifestations, par Charcot. S
t plus large et plus bombée que la moitié gauche. La ligne latérale
décrit
une courbe identique il celle que l'on voit de
fortement en dehors. Le creux de l'aisselle présente la déformation
décrite
. Au cou, mêmes re- liefs musculaires que précéd
dépasse l'horizontale, la condition nécessaire est que le scapulum
décrive
autour de son angle interne un mouvement de rotat
bord spinal doit se détacher et s'écarter de la paroi thoracique et
décrire
une obliquité en sens inverse, c'est-à-dire de
principale des modifications du creux de l'aisselle, que nous avons
décrites
plus haut. La disparition de cette paroi postérie
ique proprement dite est caractérisée par les traits que nous avons
décrits
ailleurs et qui sont, en résumé : -. PARALYSIE
é depuis longtemps les observateurs : Marc-Aurèle Séve- rin (2) les
décrivait
sous le nom d'atrum cruentum labii tuberculum. De
ation. Ce spasme localisé répond assez bien à ce queWeir Mitchell a
décrit
en 1881 sous le nom cl' Habit chorea (3), chorée
niques des muscles du mar- teau du côté gauche, et Urbantschitsch a
décrit
une chorée des muscles tu- baires. Dans la de
ui en ont été témoins. Elle se rappelle pourtant très exactement et
décrit
avec vivacité les prodromes éloignés qui pendan
idèle reproduction, paraît-il, de la se- conde crise que nous avons
décrite
(convulsions épileptoïdes, grands mouve- ments,
ar l'étude approfondie de la dyspnée en elle-même. - Comment a-t-on
décrit
la dyspnée hystérique ? - Il existe une descrip
ne dyspnée hystérique très spéciale, très caractéristique qui a été
décrite
par Weir Mitchell et Charcot. Moi-même j'eus l'
(1*11 il malade sans le présenter it son auditoire, m -- 1 il ne
décrivait
jamais un symptôme sans le faire, en même temps,
ient illustrer la démonstration de Charcot. Il ne lui suffit pas de
décrire
la structure du foie, des poumons, des reins, i
les anomalies du corps humain, il entreprit, tâche considérable. de
décrire
et, de repré- senter l'aiialomie des formes ext
des pédoncules sous le nom de capsule interne; son rayonnement a été
décrit
par Reil, sous le nom de couronne rayonnante, le
cien qui doit déterminer avec précision les parties lésées. Je vous
décrirai
l'aspect de ces coupes frontales, à me-sure que l
utes, peut-être, possèdent, en outre des prolongements que nous avons
décrits
, un prolon-gement, un seul, pour chaque cellule,
éléments nerveux y sont très rares ; cependant, Kolliker et Arndt (1)
décrivent
vers la surface, sous la pie-mère, une couche de
délimite en arrière une région parfaitement distincte que nous allons
décrire
tout à l'heuro sous le nom de lobe carré. a) Ma
loppements. Nous aurons là, d'ailleurs, l'occasion toute naturelle de
décrire
la configura-tion de la face médiane des hémisphè
ent. — La vertébrale droite naît de la sous-clavière, après qu'elle a
décrit
sa courbe, quand elle est horizontale ; la vertéb
tement, limiterait la région d'origine des artères ganglionnaires. On
décrirait
ainsi un cercle ganglionnaire, dans lequel serait
ution de chacune des quatre branches de cette artère importante et de
décrire
exactement leurs territoires vasculaires. Telle
ra-cérébral. J'appelle votre attention sur la disposition que je vais
décrire
, parce qu'elle est indispensable à l'intelligence
arement. Il en existe cependant quelques exemples ; un, entre autres,
décrit
avec soin par M. Ivnapp (1). 11 s'agissait, dans
voit : en pv, les faisceaux des fibres propres, fibi'œ propriœ, bien
décrites
par Gratiolet, qui mettent en rapport les circonv
Stratum zonale. Déjà indique par Arnold et Gratiolet, ce faisceau est
décrit
et représenté par Meynert, p. 436. blent établi
fasciculées primitives et symétriques des faisceaux laté-raux que je
décrivais
l'an passé à propos des amyotrophies spinales.
ns ont régné dans l'esprit des praticiens, jusqu'au jour où la lésion
décrite
autrefois par Cru-veilhier fut, par les recherche
entrecroisement des pyramides, et dont toutes les particularités sont
décrites
longuement dans les traités classiques. Mais ce
formation de l'expansion pédonculaire. Si je me suis arrêté à vous en
décrire
l'ensemble, c'était afin de mieux détermi-ner la
x grandes circonvolutions moyennes, pour la première fois figurées et
décrites
par Vicq d'Azyr, dans son grand Traité cV anatomi
ans les autres régions du cerveau. » Ces deux circonvolutions ont été
décrites
avec plus de détails par Rolando, en 1829, dans l
tance grise. Enfin, il existe des cellules pyramidales dites géantes,
décrites
avec soin par Betz et Mierzejewsky, et dont le di
prolongement spécial, indivis, identique au prolongement cylindrique
décrit
par Deiters sur les cellules ganglionnaires spina
ièvement quelques modifications que présente le type qui vient d'être
décrit
, lorsque la lésion, au lieu d'être transverse tot
ans toute la hauteur de la moelle épinière, les faisceaux postérieurs
décrits
en ana-tomie descriptive ne constituent pas un se
ment descriptive. Presque tou-jours, en effet, nous avons constaté et
décrit
;mais, en géné-ral, nous n'avons rien expliqué. S
tres réflexes tendineux, en tout comparables à celui qui vient d'être
décrit
, sur les diverses parties du mem-bre supérieur. S
rons ce même phénomène avec toutes les particularités que nous allons
décrire
, dans un grand nombre d'affections spinales aut
rapportent d'ailleurs, ainsi que je l'annonçais précédemment, au type
décrit
à pro-pos de l'hémiplégie de l'adulte. Ainsi, pou
'anatomie normale. Bon nombre d'auteurs, Kolliker, Gerlach, Krause,
décrivent
dans la commissure antérieure un entrecroisement
chaque instant menacé de tomber la face contre terre. Cette variété,
décrite
par Erb, serait plus commune que le type d'Ollivi
liomyélites antérieures subaiguës. Celles-ci répon-dent à l'affection
décrite
par Duclienne sous le nom de para-lysie générale
Les travaux modernes ont démontré que cette altération, mentionnée et
décrite
par Cruveilhier, se rat-tachait à une lésion syst
d'une paralysie labio-glosso-laryngée un peu différente de celle qu'a
décrite
Duchenne, et le masque tout spécial qui en résult
n analyse avec plus de soin les cas si communs d'affections spinales,
décrits
jadis sous la désignation collective de myélites
e groupe, la sclérose latérale amyotrophique et l'atrophie musculaire
décrite
parDu-chenne et Aran, peuvent être résumés sous l
Il n'existerait qu'une seule forme de paralysie bulbaire : celle qu'a
décrite
Duchenne (de Boulogne) ; 4° Enfin les lésions d
observations, car chacune d'elles est la reproduction fidèle du type
décrit
par M. Charcot. (1) Gombault. —Etude sur la scl
sumée de la façon suivante : dans la sclérose latérale amyotrophique,
décrite
par M. Charcot, il ne s'agit que d'une atrophie m
travail cité, précédemment, MM. Debove et Gom-bault l'ont signalée et
décrite
, mais sans lui attribuer, plus d'importance qu'el
ormes anormales, les formes frustes diffèrent singulière-ment du type
décrit
par Duchenne. Bien plus, on pourrait dire que ce
oser encore que plusieurs systèmes semblablesà celui qui vient d'être
décrit
sont juxtaposés, et que les ballons des deux séri
a coupe optique. Ils seraient analogues aux éléments que Heidenhain a
décrits
dans les cel-lules de l'épithélium des canalicule
ut dire que la destruction cellu-laire par le procédé que je viens de
décrire
peux revêtir deux formes principales : la forme a
e externe contenant parfois desglanclules spéciales que nous aurons à
décrire
et qui sont revêtus à l'intérieur d'un bel épithé
s (ou cellules), construits sur le modèle de celui que nous venons de
décrire
, et creusés aussi de demi-canaux de même calibre
-laires, me paraît assez difficile à comprendre et si la disposi-tion
décrite
par Legros était bien établie, il serait beaucoup
ui ont partout des relations si étroites avec le tissu conjonctif. On
décrit
d'ordinaire les parois des capil-laires dans le l
une des lésions caractéristiques de l'affection syphilitique du foie,
décrite
, pour la première fois, chez le nouveau-né par M.
res dans le foie. Quoi qu'il en soit, les rameaux qui viennent d'être
décrits
donnent naissance aux capillaires que nous avons
bide et en quoi il y participe. Je ne sache pas qu'on ait, jusqu'ici,
décrit
des altérations anatomiques du foie particulières
lement la présence dans son épaisseur de quelques glandes en grappes,
décrites
par M. Luschka et d'un riche réseau veineux décri
ndes en grappes, décrites par M. Luschka et d'un riche réseau veineux
décrit
par M. Beale. Les nerfs de la vie organique y son
l'objet d'une étude approfondie de la part de M. Duparcque qui les a
décrites
dans un mé-moire spécial (1). Ce sont des convuls
Il est indubitable qu'un bon nombre de ces rétrécis-sements fibreux,
décrits
par les auteurs, sont d'origine calcu-leuse et ré
fois, Frerichs a observé toutes les altérations qui vien-nent d'être
décrites
, dans un cas de fistule duodéno-cholédoque. M. Ba
anal cholédoque. Une altération particu-lière du foie, que nous avons
décrite
en détail, est, vous le savez, une conséquence en
s voies biliaires. Il est possible également que les abcès biliaires,
décrits
dans la dernière séance, fassent tout à fait défa
e fétide, ammoniacale. comme un des éléments de l'affection qu'il a
décrite
sous la dénomination de pyélo-néphrite (1). Un
s analogie, vous le voyez, avec les abcès miliaires hépatiques que je
décrivais
naguère. L'examen histologique vient à son tour l
lcéreuse. En outre des ulcérations laryn-gées, trachéales, vésicales,
décrites
par Louis, on en trouve d'autres dans la vésicule
la plus intéressante peut-être au point de vue clinique et qui a été
décrite
par M. Virchow (2). Elle constitue le sub-stratum
us exposant succinctement le tableau de l'une de ces formes récemment
décrites
de l'hé-patite interstitielle diffuse. L'affect
ans la prochaine leçon, l'in-terprétation des lésions que je viens de
décrire
: puis je vous ferai connaître l'ensemble des s
s capillaires par une sorte de refoulement? Ou serait-ce l'épithélium
décrit
par Legros, ayant subi un certain degré de gonfle
cancer, par exemple, soit par une duodéno-cholédocite dont je vous ai
décrit
en détail la ge-nèse. A mon avis, il y a là exagé
t incontestablement Laennec qui, le premier, a bien distingué et bien
décrit
la cirrhose ; voilà un point d'historique qui nou
rrhose de Laennec, du foie granuleux, que nous allons nous attacher à
décrire
maintenant, c'est au contraire une maladie des pl
ltération syphilitique du foie des nouveau-nés, pour la première fois
décrite
par M. le profes-seur Gubler et dont M. Baerenspr
x, relativement volumineux et méritant bien par les sinuosités qu'ils
décrivent
, leur nom de tubuli con- torti, sont tous situé
ces évidentes d'une disposition qui rappellerai celle que M. Debove a
décrite
dans la mem-brane dite fondamentale de certaines
capillaires et des lobules des cellules étoilées, analogues à celles
décrites
par Schweigger-Seidel dans les espaces qui sépare
(cité dans Henle), occuperaient les anses de Henle. 5° M. Parrot a
décrit
récemment, sous le nom de Tabulhé-matie rénale, d
ute de la branche montante de l'anse de Henle. Klebs et Dickinson ont
décrit
des cylindres présentant une portion assez volumi
istinguer de ces cylindres granuleux les cylindres granulo-graisseux,
décrits
par Ranvier dans la stéaose phosphorée. Constatée
s vues soient correc-tes », et il ajoute que les trois formes qu'il a
décrites
ne sont peut-être que des modifications ou des ét
que la lumière en est très rétrécie. M. G. Johnson, qui le premier a
décrit
cette altéra-tion, avait cru qu'elle résultait su
dans sa 3e planche (1), par Rayer dans sa 8e (2). C'est la 4e forme
décrite
par ce dernier auteur. Johnson appelle les reins
ght, qui se traduit anatomiquement par les lésions que nous venons de
décrire
, se fait en règle générale d'une façon lente. Cet
ue l'on peut ren-contrer à l'autopsie le petit rein graisseux granulé
décrit
par G. M. Johnson ; ces cas sont d'ailleurs excep
n'a rien dit de la prolifération conjonctive. De son côté, M. Klebs a
décrit
, dans cetains cas de scarlatine, une altération r
es blancs du sang et étaient distendues. L'apparence qui vient d'être
décrite
est évidente et facile à constater sur une mince
ties atteintes de dégénération amyloïde offrent un aspect particulier
décrit
en 1842 par Rokitansky, sous le nom d'apparence
sténose artérielle d'aussi courte durée, les altéra-tions vasculaires
décrites
par Cohnheim, et qui, au moment de la rentrée du
ait être rattachée, à titre de symptôme, à la lésion qui vient d'être
décrite
. Elle la précède dans nombre de cas, et dans nomb
la cause de cette anomalie apparente, et que l'on n'a pas hésité à
décrire
pour le facial supérieur un centre cortical et
resse médicale, 27 août 1898.) MM. Hordier et Frenkel (de Lyon) ont
décrit
un signe clinique nouveau des paralysies facial
ir généralement à l'aliénation mentale, cette chorée a été rarement
décrite
avec autopsie : t°J. T..., peintre, cinquante-q
migraine. S'appuyant sur un fait clinique, M. Gilles de la Tourelle
décrit
les symptômes du tic douloureux de la face, aff
e nom de -paraplégie spinale spas- modique syphilitique d'Erb, déjà
décrite
par Charcot, et qu'il con- viendrait mieux d'ap
ilitique commune. A côté de cette forme on doit en placer une autre
décrite
par M. Gilles de la Tourette, et qui consiste c
sence ou de l'absence de la réaction douloureuse. Tel est le signe
décrit
par Biernaclci sous le nom d'anal- gésie du cub
combe le 12 octobre 1897. Ce cas entre dans la forme de mélancolies
décrites
sous le nom de mélancolie religieuse (Dagonet).
coloration employées, jusqu'aux plus récentes. C'est ainsi que sont
décrites
les méthodes de simple coloration par l'hématoxy-
ne structure des plus complexes. Les recherches les plus récentes
décrivent
quatre couches à cette écorce des hémisphères c
ons de froid constituent une forme rare de pares- thésie et ont été
décrites
sous le nom de psychro-cesthésie. Ces sensation
s ordinairement très pénibles, et, bien qu'elles soient quelquefois
décrites
comme des douleurs de froid, elles ne sont en r
la maturité de l'embryon. Ce sont tous les centres sensoriels déjà
décrits
, pourvus de myéline bien avant que les territoire
t normal, et sont, exclusivement, des centres d'as- sociations déjà
décrits
. La myélinisation y commence quatre mois à quat
rajet des fibres myéliniques ; il peut donc arriver que des régions
décrites
jusqu'ici comme dénuées de fibres de projection
de Kummel, Jacks, Boydoneck, Lépine, Jeaboulay et Jonesco, l'auteur
décrit
les sept temps de l'opération comme il la compr
racé de main de maitre, du myxoedème spontané de l'adulte, l'auteur
décrit
les aspects cliniques du myxoedème opératoire,
ider chez le même individu. Les divers signes du début sont ensuite
décrits
et analysés : inégalité pupillaire, troubles de
cliniquement il y a quarante ans. Au chapitre diagnostic, l'auteur
décrit
le syndrome paralytique 218 REVUE DE PATHOLOG
ardée comme pathognomo- nique de la syringomyélie puisqu'elle a été
décrite
dans l'hystérie, la névrite et la myélite, est
ellement 53 ans présente des symptômes à peu près identiques à ceux
décrits
par M. Marie : ankylose progressive des articul
aient dans des formes intermédiaires aux diverses formes classiques
décrites
. M. Hamel. XXVII. Note sur la narcolepsie épile
nt chez les enfants les symp- tômes de l'hystérie tels qu'ils son !
décrits
chez l'adulte. C'est ainsi que sont successivem
et l'électricité interviendra le traitement psychique dont l'auteur
décrit
les deux variétés : 1° méthode psychique de sur
ie en parti- culier. Il rappelle que cette dernière a été très bien
décrite
par Hippocrate. Les phobies les plus variées dé
été très bien décrite par Hippocrate. Les phobies les plus variées
décrites
sous des noms multiples doivent trouver place d
r d'avoir à son tour oublié que c'est lui, Pick, qui le premier a
décrit
, il y a longtemps déjà, des troubles syringomyéli
s. Diseussio2î : M. Kojewnikow fait remarquer que les altérations
décrites
par l'auteur ont pu se produire sous l'influence
nter une réhabilitation de l'entité morbide que les anciens auteurs
décrivaient
sous le nom de folie religieuse. Elle a vécu co
. 1873, p. 361, 363, 687), au sujet de la théorie de la possession,
décrivait
des « Scon- dare Verrucktheit » à teinte 'mysti
ématisés et d'autres secondaires, surtout aux états mélan- coliques
décrit
les délires religieux du premier groupe'. Witko
gieuses aboutissant à la mégalomanie. En Amérique, Spitska (1883)
décrit
deux sortes de délires systématisés : a) expans
ivalent de l'accès mélancolique primitif des psychoses secondaires,
décrivent
tous les délires systématisés comme secondaires
ions n'ont pas peu contribué à la confusion précitée ; on a parfois
décrit
comme consécutives aux délires de persécution d
daire à la mélan- colie avec idées de persécution : Des psychoses
décrites
comme secondaires à un état mani- que n'étaient
nt avec autant d'évidence que dans la manie. Tous les auteurs ont
décrit
cette excitation pathologique que porte à la fois
ssives, hé- réditaires, et d'autres non dégénératives. M. Magnan.
décrit
de même le délire chronique comme pouvant se dé
oup d'autres ont fait de même. Et déjà Delasiauve, quand en 1831 il
décrivait
la confusion mentale stupide, sans se douter qu
sur cette analogie de l'état de rêve et de l'état morbide que j'ai
décrit
, c'est surtout la manière dont les malades rent
, dans les cellules des altérations semblables à celles qui ont été
décrites
.. D'autre part, le processus opératoire de ces
similaires à l'oedème : on peut donc en déduire que les altérations
décrites
sont dues à de l'oedème des cellules. Le fait q
éparations faites d'après des procédés de coloration spéciaux, sont
décrites
sans aucun lien de comparaison avec les résulta
histoire de la malade rapportée par l'auteur se rapproche des faits
décrits
sous des dénominations diverses, mais compris sou
héréditaire; par les · Dl*s P. Marie et Sainton. La malformation
décrite
pour la première fois par les auteurs, sous le
st, en somme, qu'un cas de tachypnée hystérique, vue par Lasègue et
décrite
par Charcot et Weir-Mitchell; mais cette tachyp
lisation et ankylose consécutives. L'auteur pense que tous les cas,
décrits
dans la littérature, 'de déformation de la colo
n réalité, qu'une fuite des per- ceptions fausses, s'il n'avait été
décrit
, à l'étranger, une forme spéciale de cette mala
ions marquées de l'état émo- tionnel'. » Reste alors ce qui a été
décrit
sous le nom de Confusion mentale hallucinatoire
Meynert3 admettent comme entité morbide la Confusion hallucinatoire
décrite
pour la pre- 1 Chaslin. La confusion mentale pr
orres- pondant en grande partie à celles que d'autres auteurs ont
décrites
sous le nom de démence primaire aiguë (Westphal),
dégé- nérés : ce n'est pas un état maniaque franc, ni ce qu'on a
décrit
sous le nom de folie hystérique ; ce n'est pas no
et d'en faire une analyse clinique minutieuse. Le tableau classique
décrit
par Marie se retrouve intégralement dans tous les
dont beaucoup n'étaient que d'anciens maniaques. Il a signalé et
décrit
sommairement dans son Traité des maladies mentale
'état actuel de la question : M. Ballet. Lorsqu'en 1889 Ko'rsakofl'
décrivit
les troubles mentaux accompagnant les polynévri
ons existent-elles ? On les a recherchées et jusqu'en 1896 on avait
décrit
l'oedème de la pie-mère, les congestions des mé
ques questions à M. Ballet à propos des lésions cellulaires qu'il a
décrites
. Quel est le degré de spécificité que M. Ballet
x divers 390 .SOCIÉTÉS SAVANTES. ordres de lésions qu'il nous a
décrites
comme formant un subs- tratum anatomique aux ps
s varités. Ainsi, l'école analomo-localiste de Vernicke-Lich- theim
décrivait
l'aphasie corticale, extra-corticale et subcor-
isme en question diffère donc de tous les autres micio-orga- nismes
décrits
antérieurement, et en particulier de celui de la
se porte spécialement sur les cellules nerveuses, dont les auteurs
décrivent
les lésions dans le cerveau, le cervelet et la
cins d'asiles pourraient en signaler des exemples. Ce sont eux qu'a
décrits
M. Charpentier sous le nom de pseudo- irrespons
la désintégration moléculaire de la, substance achromatique, etc.,
décrites
par OEttinger, Mari- nesco, Ballet, Hemlinger,
re éli- minée. Ce fait peut être rangé dans la formecéé6ro-spizznle
décrite
par Little, en 1862. Elle dépend de lésions sur
l et il est placé légèrement en équerre. Le membre inférieur gauche
décrit
un mouvement spiroïde, s'appuie à peine sur le
et plus récemment par M. Laborde, ni avec les anévrysmes disséquants
décrits
par MM. Kôlliker, Pestallpzzi, Virchow. Les anévr
qui n'est pas sans quelques analogies avec ce que M. Rokitansky avait
décrit
sous le nom de périarté-rite chronique, est carac
e, est caractérisée par des altérations de cette gaîne périvasculaire
décrite
par M. Robin et que depuis les travaux de M. His
ontraire placée sous la dépendance de l'altération plus superficielle
décrite
précédemment. (Pl. I, fig. 1, A; et Pl. IJ, fig 1
fois, dans les artérioles de la pie-mère, de cette ectasie ampullaire
décrite
par M. Virchow, ectasie qui a de si grandes analo
s nous a fait penser que la périartérite scléreuse que nous venons de
décrire
, n'est pas exclusivement dévolue aux vaisseaux in
libre de la circonvolution. Les mêmes apparences que nous venons de
décrire
se remarquent à la surface de section pour les an
tions anévrysmatiques qui nous occupent. Les anévrysmes que M. Heschl
décrivait
après M. Meynert ont 1. Cases of Aneurism of th
e interne par une membrane en tout sembfable à celle qui vient d'être
décrite
, mais pius mince et plus transparente. Cette faus
écanisme que se forment les diverses variétés de kystes séro-sanguins
décrits
par les auteurs. La théorie pathogénique, qui p
e beaucoup et no peut point cracher. Les attaques qu i nous venons de
décrire
ne cessent point, et il meurt dans cet état le mê
lésion de la dure-mère et une lésion des os du crâne. Nous allons les
décrire
l'une après l'autre. A. la face interne du pari
désigne sous le nom de sensibles à l'or (pour rappeler les phénomènes
décrits
plus haut), peuvent guérir par l'or pris à l'inté
ttitude qu'on leur imprime. C'est bien là ce que tous les auteurs ont
décrit
sous le nom de catalepsie ; et la malade peut gar
ées dans la léthargie. — Ici la léthargie possède tous les caractères
décrits
précédemment. Au milieu de l'état léthargique, de
court, en général, apparaissent les phénomènes de l'état cataleptique
décrits
plus haut. Il suffit d'éteindre brusquement le fo
jmysiiHioniie. 1). - Localisatio }de divers phénomènes précédemment
décrit
sa~ itTT eufcôté du corps ; hémiléthargie, hénùca
nous a permis de pénétrer quelqLiepeu la nature du curieux phénomène
décrit
par l'un de nous sous le nom 1. Dans ces recher
attitude ne saurait être autre que la griffe cubitale que nous avons
décrite
et qui trouve ainsi son explication dans les lois
nte, qui se rapproche beaucoup de la griffe cubitale que nous avons
décrite
: (N'oublions pas que nous opérons ici, non plus
le bord cubital de l'avant-bras. Cette attitude que nous venons de
décrire
est parfaitement d'accord avec les connaissances
es des lèvres sont tirées en bas et en dehors, le sillon inter-labial
décrit
une courbe à concavité inférieure, la lèvre infér
bital droit, en arrière de l'épitrochlée, et, comme dans l'expérience
décrite
plus haut, la main, sous l'influence de cette exc
re la catalepsie. Tout ceci est bien connu, et ces phénomènes ont été
décrits
ailleurs. Nous les rappelons ici à cause des pr
un égal degré de développement tous les phénomènes que nous venons de
décrire
comme se rattachant à cet état nerveux spécial dé
ndividuelles que pour la plupart il est possible de rattacher au type
décrit
dont elles ne sont que des atténuations plus ou m
es du sommeil nerveux, bien distinct de cet autre mode que nous avons
décrit
sous le nom de léthargie hystérique provoquée don
, bien eertainewHmt il s'agissait de la catalepsie que nous venons de
décrire
. notique n'est plus susceptible d'être divisé e
ésente, à peu de chose près, la plupart des caractères que nous avons
décrits
précédemment; mais nous constatons en outre une a
t cataleptique déjà Charcot. Œuvr. com.pl. t. ix, Hypnotisme. 2 ?
décrit
par l'un de nous, et qui ne saurait être considér
sculaire dans son état complet de développement, tel que nous l'avons
décrit
, ni l'état cataleptique parfait, dont nous avons
re existe à la face et aux membres avec les caractères que nous avons
décrits
. La malade étant dans cet état, nous lui faison
s localisées qui se rapprochent de ce qu'on observe dans le phénomène
décrit
par nous sous le nom d'hyperexcitabilité neuro-mu
r phériphôrique (nerfs et muscles). Ce phénomène a été suffisamment
décrit
, je pense, sous le nom hyperexcitabilité neuro-mu
tes à des degrés divers (1), mais présentant toutes le phénomène déjà
décrit
de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. Sur chac
logue à la contraction musculaire paradoxale (1). M. Westphal (2) a
décrit
le premier, en 1878, un phénomène musculaire inté
lors plus rien de paradoxal ; il s'agit dans le phénomène musculaire,
décrit
par Westphal, d'une contracture réflexe d'un musc
laire spécial qui se rencontre chez les hystériques et que nous avons
décrit
sous le nom de diathèse de contracture. 11 s'agit
que nous désignons sous le nom de variété léthargique — le phénomène
décrit
par M. Westphal se produit avec la plus grande fa
électrisé négativement, du moins dans la disposition que je viens de
décrire
. Mais rien n'est plus facile que de l'électriser
fet que l'on veut obtenir. Je ne m'arrête pas pour aujourd'hui à vous
décrire
les excitateurs de forme spéciale construits en v
des cas 1. C'est là le phénomène dit des oscillations consécutives,
décrit
par M. Charcot. Charcot. Œuv. compl. t. ix, Hypno
paralysies, des troubles divers de l'intelligence. Cet état nerveux,
décrit
avec soin par un médecin anglais, Braicl, fut étu
ie. L'hypnotisme caractérisé par les trois états que nous venons de
décrire
, constitue ce que M. Charcot appelle le Grand hyp
atalepsie conserve les caractères qui lui sont propres. — M. Pitres a
décrit
une déviation dans laquelle il a observé l'état c
férentes phases présentant des caractères déterminés, tel qu'il a été
décrit
magistralement par M. Charcot. « Le type parfai
t magistralement par M. Charcot. « Le type parfait de l'hypnotisme,
décrit
par M. Charcot, et observé par des cliniciens emi
à résou-dre, une lésion délicate ou grossière, passagère ou durable à
décrire
ou à trouver. Or, comment pourra-t-il apprécier l
n intérêt incontestable. La transformation embryonnaire de la couche,
décrite
tout d'abord, et la des-truction concomitante des
çà et là, de cellules cylindriques privées de cils, qui ont été bien
décrites
par E. Schultze !. Ce sont des cellules calicifor
ation, Legendre (Maladies de l'en-fance, 1846, p. 223) a parfaitement
décrit
une altération du poumon qui, ainsi que j'aurai l
es, d'après MM. Cornil et Ranvier; le cas delà carnisation du poumon,
décrite
par Legendre et Railly, et qui représente, suivan
nduits collecteurs. Cette modification du revêtement épilhélial a été
décrite
par tous les auteurs qui se sont occupés de l'his
doit être substitué à la pneumonie lobulaire partielle ou généralisée
décrite
avant eux par Rilliet et Barlhez. Il serait oiseu
ble témoigner déjà des difficultés du su-jet. Il s'agit, en effet, de
décrire
une maladie rare, et dont Laennec avait pu même c
eux variétés anatomiques de la pneumonie chronique que nous venons de
décrire
et qui rap-pellent, à quelques nuances près, le t
dans l'état aigu. Dans l'induration grise que nous devons maintenant
décrire
, et qui doit caractériser ana- 1 Schutzenberger
rties in-durées. 6. Avenbrugger et Gorvisart1 nous paraissent avoir
décrit
sous le nom de squirrhe du poumon, ce qu'on appel
t travail sur la pneumonie et ses suites, le docteur Thomas Àddison 4
décrit
avec soin l'indu-ration grise de la pneumonie chr
t, avec les diverses formes de l'induration pulmonaire que nous avons
décrites
. Les uns l'ex-pliquent par un simple affaissement
eux-ci comme chez ceux- B. Carnisation. — Sous ce nom, Legendre 1 a
décrit
un état particulier du poumon qu'il a rencontré d
n soit, et bien que l'existence de celte forme de pneumonie chronique
décrite
par Corrigan, sous le nom de cirrhose du poumon,
ement. La plupart des formes d'altération pulmonaire que nous avons
décrites
, à propos de la pneumonie chronique lobaire, peuv
finement granuleuse propre à l'induration phlegmasique. « Ou a aussi
décrit
Y infiltration gélatineuse comme une forme sous l
à l'état normal. — Les premières phases de cette lésion ont été bien
décrites
par Yirchow, sous le nom de pigment-induration 1.
i à établir la transition entre la deuxième va-riété et la troisième,
décrite
dans la thèse d'agrégation de M. Charcot2. i Tr
cavernes et renfer-mant un pus caséeux. On retrouve donc ici l'aspect
décrit
par Corrigan, avec le cloisonnement interlobulair
e. L'examen microsco-pique montra des lésions semblables à celles que
décrit
M. Charcot : infil-tration de leucocytes dans les
'est ce qui s'est produit dans les pneumonies interstitielles aiguës,
décrites
par M. Moxon, et consécutives à la pleurésie puru
tenant compte du corps étranger qui est enjeu. Il y aura donc lieu de
décrire
séparément les formes sui-vantes : 1° Pneumonok
à celle du poumon, comme l'a démontré M. Pitres \ Ces petits organes,
décrits
par Luschka, chez l'homme, existent également che
glanglions bronchiques. Les poumons présentaient à l'œil nu l'aspect
décrit
par Zenker ' Voir aussi Slaviansky : Virchow's
omiques, les rapports des diverses parties entre el-les. M. Charcot
décrit
donc une section du lobule pulmonaire comme une c
e qui se retrouve à la périphérie de toute production tuberculeuse et
décrite
pour la première fois par M. Grancher. Tel sera
Quant aux cavernes de guérison, le méca-nisme de leur formation a été
décrit
plus haut. Dans les ganglions lymphatiques, dan
se rappelle la disposition du système lymphatique telle qu'elle a été
décrite
par M. Grancher, rend aisément compte de la propa
emple, la formation des cavernes. En somme, dans le tubercule ainsi
décrit
, on ne relève au-cun élément vraiment spécifique;
e sont pas encore très épaissies. Là, on reconnaît les bourgeons bien
décrits
par Cornil et Ranvier (Manuel, p. 723) et par Rin
, Laënnec ne le connaissait que sous la forme de granulations grises,
décrites
par Bayle et que ce dernier auteur considérait co
sein du » tissu embryonnaire qui la compose, des cellules géantes, »
décrites
à propos du tubercule élémentaire. Elles se mon-»
renchyme du poumon, dans l'intervalle des nodules qui viennent d'être
décrits
, on reconnaît que tantôt il est sain, ou à peu pr
étamorphose cubique de l'épithé-lium du poumon, pour la première fois
décrite
par M. Thaon, est un des éléments très habituels
mmation simple. Cette zone embryonnaire a été pour la première fois
décrite
et mise en lumière par M. Gran-cher. « Quoi qu'
and il marche, l'existence d'une tumeur volumineuse que nous aurons à
décrire
. Il y a trois mois, environ, les deux membres in-
sous forme de deux ou quatre noyaux plus petits que ceux qui ont été
décrits
ci-dessus (n°2), ces petits noyaux présen-taient,
ce la plus frappante qui existe entre les globules que nous venons de
décrire
et ceux qu'on rencontre dans le sang à l'état nor
s lesquels, à une altération toute spéciale et jusqu'alors non encore
décrite
du sang et des viscères, viendrait se joindre un
ensions qui se rapprochent de celles des vraies cellules précédemment
décrites
. Ils contiennent aussi de nombreuses granulations
-giques soient les mêmes que les cristaux octaédriques que nous avons
décrits
. Nous avons, en effet, cru aussi que ces der-nier
ontenant du pus dans le cœur des phtisiques; Affection singulière non
décrite
.) Obs. V et VI. — 1° Phtisie pulmonaire. Dans l
eux dire d'un caillot prolongé 1, analogue à celui que nous venons de
décrire
, ne se trouve indiquée d'une manière explicite qu
symptômes ne ressemblaient guère à ce qui avait été précé- demment
décrit
. Concluons donc que, sous ce rapport, tout est à
ne, dépourvue de vaisseaux, est le siège d'un travail différent. On a
décrit
, même dans ces der-niers temps (Lancereaux), des
de l'aorte, les diverses variétés d'anévrismes spontanés qui ont été
décrites
sur d'autres points de l'arbre vasculaire. Ainsi
avaient échappé à Laënnec, qui les croyait toujours simples. Stokes a
décrit
le battement double en 1833. On a, depuis celle é
ent la cavité de l'anévrisme qu'on découvre ces vers?:: ils ont été
décrits
par plusieurs observateurs, sous le nom de Crinon
hypertrophie de la tunique moyenne ; mais ces altérations, fort bien
décrites
par MM. Trousseau et Leblanc, n'autorisent point
époque que se sont montrés les phénomè-nes que nous allons essayer de
décrire
, et sur lesquels nous appe-lons plus particulière
r conclure que la claudi-cation intermittente, telle que nous l'avons
décrite
, doit être comptée au nombre des accidents qui su
drome de claudication intermittente par oblitération artérielle a été
décrit
, et c'est là où j'ai été en chercher la descripti
eclion singulière; elle date de 1831. Plus tard, Gurlt et Herwig Pont
décrite
, à leur tour, en 1838 et 1843. Enfin, un excellen
uelle est la raison physiologique des phénomènes qui vien-nent d'être
décrits
et dont nous connaissons le point de départ Cha
douleur. 2 Je rappellerai que M. Volkmann et après lui M. Léser ont
décrit
un genre particulier de contracture, surtout aux
e, la plus grande analogie avec ceu que notre collègue M. Marrotte, a
décrits
, il y a quelques années, sous le nom de fièvre sy
-tabétique (douleurs fulgu- rantes ; ataxie, etc.), tel qu'il a été
décrit
dans quelques observations, d'ailleurs assez ra
catatonie comme une entité morbide, d'autres regardent le tableau
décrit
par cet investigateur comme un symptomo- comple
certains troubles moteurs peu- vent manquer. Le symptomo-complexe
décrit
par Kahlbaum a excité parmi les cliniciens des
ctuellement (1900), le malade se trouve dans l'état que nous allons
décrire
à l'instant et qui, d'après les paroles du Dr Pro
nous retournerons à l'histoire de la mala- ! die, que nous venons de
décrire
. Il est indubitable qu'au commence- ment de l'a
les centres moteurs s'alté- raient en premier lieu dans la maladie
décrite
par lui ; quant aux investigateurs qui ont écri
ui encore en 1874, concernant l'unité génétique du tableau clinique
décrit
par lui. Pourtant nous devons dire d'avance que
admettre seulement dans certaines limites. Le cours de la maladie
décrit
par Kahlbaum est trop schématique et trop indéter
araissent pas toujours dans le même ordre, d'un autre côté Kahlbaum
décrit
lui-même l'intégrité du tableau clinique, en ad
il maritime, 1889. 8 Serbsscy. Sur les formes du trouble psychique,
décrit
sous le nom de catatonie. Moscou, 1890. - 9. Be
iège les cellules des ganglions des ra- cines postérieures, et l'on
décrivait
la destruction du corps de Nissl, le déplacemen
édicale, parait un article sur les altérations de ces cellules : on
décrit
d'abord les types de cellules que l'on rencontr
fixation im- parfaite plutôt qu'à un état pathologique. Les lésions
décrites
par Marinesco ressemblent beaucoup à celles que
KT de PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. jours ainsi. Sciuli a, lui aussi,
décrit
ces altérations vasculaires, mais san leur atta
ont leur direction parallèle au grand axe de la lame ; leur fait-on
décrire
un angle de 90° de façon que leur longueur devi
nverse de la fibre myélinique apparaît dans les conditions d'examen
décrites
formée de quatre quarts de cercle. Ceux par les
s déchéances de la myéline ? L'auteur n'hésite pas à l'affirmer. Il
décrit
vingt expériences de dégénéres- cences nerveuse
gr. de la Salpêtrière, rit 3, 1902). Récemment Haskowec (de Prague)
décrivait
sous le non) d'aka- thisie, un syndrome nouveau
nt chapitre de physiologie qu'un traité de gymnastique. Après avoir
décrit
et ex- pliqué le mécanisme des mouvements, l'au
céphalie, etc...). Du reste Baillarger et Krishaber qui, lorsqu'ils
décrivaient
la symptomatologie, distinguaient des crétins t
ychologie de l'hypnose était en réalité telle que nous venons de la
décrire
avec M. Grasset, nous convenons que le sché- ma
: ce n'est pas une sécheresse rude, mais une sécheresse lisse, elle
décrit
leur surfàce en la comparant à du verre ou à de
e manifestant en même temps' que d'autres hallucinations, ont été
décrites
, l'auteur les croit rares, bien que Dagonet ait p
pas toujours sous les traits accusés et les caractères décisifs que
décrivent
les aliénistes. Le monde est plein de circulaires
mental changes thaï accompany viscéral diseases. Brain XCV. Head
décrit
un état de soupçon vague, inhérent à des malades
ack, a sa place dans l'étude des névroses réflexes d'origine nasale
décrites
par Voltolinie puis par B. Fraenkel qui démontr
M. Duruir. De l'aveu même de Nissl, les lésions cellulaires qu'il a
décrites
et qui sont invoquées dans l'interprétation du ca
avons employé le petit appareil tout à fait semblable il celui que
décrivent
MM. Mivallié et Desclaux. Nous avons aussi examin
ement étaient affectées des lésions que nous avons anté- rieurement
décrites
avec MM. Raviart et Caudron. Ces ma- lades se p
les caractères assi- gnés par Dide (de Rennes) au syndrome qu'il a
décrit
, ainsi qu'on pourra en juger en comparant ses r
roplasie ethnique. Il existerait donc, à côté de l'achondro- plasie
décrite
jusqu'à ce jour, dont la pathogénie est encore ma
ANCER SUR LE SYSTÈME NKRVEUX. 285 dans la pratique, et je vais vous
décrire
les divers syndromes nerveux ainsi constitués e
e de désigner ce syndrome par le nom de l'auteur que l'a le premier
décrit
: Polynévrite cancéreuse généralisée, type Ober
altérations du parenchyme nerveux se rapprochent beaucoup de celles
décrites
par Klippel, et sont avant tout constituées par
n, les trouve presque constamment dans les cancers de l'utérus et a
décrit
un processus très intéressant de l'en- vahissem
paralysies d'autres régions. Villaret2 cite de même Gowers qui a
décrit
la paralysie des petits muscles de la main con-
ocessus d'inflammation méningée syphilitique, lésion que l'auteur a
décrit
en 1894 sous le nom de névrite radiculaire inte
au Caire, est bien placé pour étu- dier les effets du haschich : il
décrit
les diverses formes de folie auxquelles le hasc
e se maintient aux environs de 20.000 par millimètre cube. L'auteur
décrit
ensuite ce qu'il entend par manie d'adoles- cen
l Science, octobre 1903.) Il y a une quinzaine d'années, Korsakow a
décrit
un ensemble de symptômes qui se rencontrent trè
beaucoup plus fréquemment que 'ne le pense M. Vallon, M. Klippel a
décrit
cette concomitance, dans ce qu'il appelle les p
s de la mobilité de l'iris et de l'accommodation que nous venons de
décrire
: Il est de règle, chez les paralytiques généra
urs été examiné chez nos paraly- tiques. Depuis longtemps déjà on a
décrit
des hyperémies, des lésions artérielles du fond
vous allez le voir, un chiffre tout à fait différent. Gowers, ne
décrit
pas chez ses malades de lésions du fond de l'oe
celle des tabétiques. Pour terminer, je rappellerai que Reznikow a
décrit
en 1900, chez les paralytiques généraux, des mo
donnant l'intuition de son contenu, sans qu'il soit possible de le
décrire
exactement et de le détailler, assez cependant
le Nissl, des hémorrhagies et une chromato- lyse cellulaire,lésions
décrites
parMarinesco comme spécifiques du tétanos et co
qu'une forme spé- ciale de trouble mental que l'on avait auparavant
décrite
comme étant caractéristique de l'alcoolisme, et
, rien à noter de spécial. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 393 On a
décrit
une griffe cubitale chez les verriers; M. Laurenç
res fois il peut y avoir de l'éthylisme ou du saturnisme. Ziemsen a
décrit
, chez les diabéti- ques, la griffe cubitale. 1
évidence la forme psycho-paralytique de l'évolution clinique, bien
décrite
par Brault et Loeper, mais font remarquer que l
na 10, p. 349). Sous le nom d'aérophagie hystérique, M. Bouveret a
décrit
en 1891 une névrose du pharynx caractérisée par
ettent pas. La maladie dont il s'agit peut. d'après I(raepelin,être
décrite
de la façon suivante : elle apparaît toujours c
die de Pa1'lânon. M. JDELSOHN (de Riga) a pu vérifier les lésions
décrites
par Schiefferdecker et Schuetze (Bonn) en 1903
tra des altérations musculaires des faisceaux neuro-musculaires; il
décrit
une lésion 1° vocabulaire, 2° grannuleuse et 3° u
des phénomènes histolo; ! iques qu'il voulait observer. Après avoir
décrit
sa technique et sa méthode d'examen, l'au- teur
pense habi- .tuellement, pour constater objectivement ce qu'il nous
décrit
lui- même est très difficile, car la caractéris
rêt du train. ' Port-Tarczscon. - Il a pensé que Daudet avait voulu
décrire
Tarascon, port de mer (il n'a pas lu le livre).
regarder attentivement une gravure pendant deux minutes puis de la
décrire
; tous ces exercices sont relativement bien acc
tes ces idées délirantes persistent sur le thème que nous venons de
décrire
, pendant tout le reste de l'année 1903 avec des
insensibilité absolue. De là on la dirigea sur Bel-Air. Nous avons
décrit
son status d'entrée. 22 janvier. A parlé pend
i ni dans le cerveau de l'homme ni dans celui des animaux. L'auteur
décrit
ensuite la méthode de coloration employée, et t
lt et Loeper insistent sur la valeur séméiologique de la démence et
décrivent
une forme psycho-paralytique de tumeur cérébral
ncentration de l'esprit, lenteur des réponses. Brissaud a très bien
décrit
cette forme de stupeur, au milieu de laquelle la
'un mécanisme de contrôle défec- tueux comme celui qui vient d'être
décrit
serait analogue à celle de l'écorce Rolandique
ilepsie. B.-A. GUlLIrIROVSIiT. Au commencement de l'année 1902,Dm
décrivit
un micrococcus particulier qu'il a observé sur le
es parésies. Se basant sur ces faits, BRA considère le micrococcus,
décrit
par lui, comme provocateur de l'épilepsie et l'
médiatement une lampe allumée qu'elle désignait du doigt et qu'elle
décrivait
, comme étant une « lampe à pétrole ». Cette hal
sez rigoureuse. A ce point de vue, ce cas rappelait celui qui a été
décrit
par UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 9
traverser la protubérance. » Il ajoutait' qu'on n'avait pas encore
décrit
les troubles vaso-moteurs de la face dans les c
branle, Censeur des études. Les procédés en question sont également
décrits
dans un intéressant ouvrage publié en 1890 par
nos collaborateurs. Nous rap- pellerons aussi que nous l'avons déjà
décrite
nous-même dans les Archives de Neurologie (t. X
y a aucune différence entre les accidents du myxoedème opé- ratoire
décrits
par Kocher et ceux du myxoedème idiopathique, a
échies ; pour avancer les genoux restent en contact, les jambes
décrivent
à chaque pas un mouvement de cir- cumductio
tive ou un arrêt de développement du faisceau pyramidal. Ce qu'on a
décrit
sous les noms de maladie de Little, de paraplég
e à la clinique des mala- dies nerveuses, outre les phénomènes déjà
décrits
, on constata les faits suivants : l'oeil gauche
loin (ce qui surtout est marqué par l'auteur comme un phénomène non
décrit
encore), outre une certaine faiblesse continuel
rticularités, qui le distinguent des cas de paralysies asthéniques,
décrites
déjà auparavant. 1° on y trouve des changements
de la langue et du palais mou est une seconde particularité du cas
décrit
. Cette atrophie qui restait sta- tionnaire pend
roit de les unir aux cas peu nombreux de cette maladie, qui ont été
décrits
jusqu'à ce temps. 76 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. H.
contractures dans de tels muscles dont la lésion n'a pas encore été
décrite
. Ont pris part aux discussions : MM. Fokarsky,
certains rap- ports, d'une forme d'encéphalite hémorragique aiguë,
décrite
par Strumpell. D'ici surgit la question, a-t-
que la poliencéphalite supérieure de Wernicke ne soit qu'une forme,
décrite
par St1'umpell, mais se modifiant dans les pédo
lsifs corticaux de longue durée dans laparalysie générale. L'auteur
décrit
deux cas. de convul- sions cloniques continuell
s au groupe des mouvements choréïformes, et athétoïdes, qui ont été
décrits
par d'autres auteurs chez les paralytiques, mais
e corticale, les rapprochent des cas d'épilepsie partielle continue
décrite
par l' M. le professeur Kojewnikoff. L'auteur s
F remarque que la principale particularité de la forme nosologique,
décrite
par lui, consiste en une connexion intime des c
cès épileptiques, ce qui n'existe dans le syndrome qui vient d'être
décrit
. M. KORNILOFP exprime un doute concernant les r
qui ne donnent pas le droit pourtant de considérer les phénomènes,
décrits
par l'auteur, comme des symptômes peu favorable
le scrotum et les lombes. Il existe-encore des vertiges (nous avons
décrit
autrefois le vertige des artério- scléreux 1) :
« traditions ayant cours en nosographie à l'heure actuelle », qu'il
décrit
le tabes « parmi les maladies de la moelle et c
. « Sous ce nom nouveau (sclérose multiple disséminée) M. Grasset
décrit
des choses absolument distinctes : la diathèse
multiple disséminée connaissent bien cette maladie cliniquement, la
décrivent
très bien symptomatiquement : l'accord est comp
quoi tendent en effet les très beaux travaux de Huchard ? D'abord à
décrire
la sclérose multiple disséminée, ensuite à étab
de six jours. L'aphasie dont il était atteint et qui a été si bien
décrite
par Trousseau n'a subi aucune modification pend
une modification pendant trente-quatre ans, du moment où elle a été
décrite
par ce professeur jusqu'à celui de sa mort, et
tomatique depuis l'âge de vingt-cinq ans, auquel elle a été si bien
décrite
par Trousseau jusqu'au moment de sa mort surven
rendre une allure périodique, le faux raisonnement qui vient d'être
décrit
, en est notablement aggravé, et il s'établit un
isme physiologique et pathologique, en ce cas, découle du mécanisme
décrit
pour l'arrêt. La base de cette hyper- trophie d
professeur Kræpelin dans son laboratoire de Heidelberg. On ne peut
décrire
ici en détail les procédés forcément minutieux au
a substance grise de l'encéphale par rapport aux centres différents
décrits
par Flechsig dans son ouvrage Gehirn und Seele,
ynthèse de ce qu'on appelle le tonus psychique individuel. L'auteur
décrit
4 cas de lésions de ce lobe. 1° Femme, vingt-
nte de la dégénérescence wallérienne. Mais les lésions produites et
décrites
par les expérimentateurs résultent souvent d'un p
ions des ganglions postérieurs qu'il consacre le plus d'intérêt. Il
décrit
d'abord les caractères de la cellule ganglionna
re, ainsi que sur les portions de la moelle correspondante. Fleming
décrit
ses résultats avec détails et les résume dans c
nt que la struc- ture vraie de la névroglie est telle que Golgi l'a
décrite
. R. DE Musgrave CLAY. VIII. UN cas DE tumeur
et progressive, avec les caractères particuliers que j'ai essayé de
décrire
, est le symptôme cardinal de la paralysie génér
une maladie intéressante, à formeinconnue et qui n'a pas eucore été
décrite
. Cette longue mais fort intéressante séance a é
chez l'homme et chez le petit garçon. Ils en parlent, mais sans la
décrire
. La seconde période est remplie par les travaux
éclaircissements. Non seulement elle est reconnue, mais elle est
décrite
; non seulement elle est reconnues dans ses forme
ent à nier l'existence des stigmates de l'hystérie tels que les a .
décrits
l'École de laSalpêtrière, parce que, malgréleurs
appuie ses assertions sur des observations démonstratives. Enfin il
décrit
les divers degrés de l'obsession, et au lieu d'en
ant moi un enfant qui, à part l'attitude singulière que je viens de
décrire
, ne semble nullement affligé; il a encore à la
d'origine cérébrale. Ce sont ces affections spasmodiques que Erb a
décrites
sous le nom de paralysie spinale spastique. Il
a lésion dans ces deux cas est donc très analogue à celle qui a été
décrite
par Greppin. Les auteurs lui attribuent une gra
raduellemenl vers le niveau de l'entrecroise- ment supérieur, n'est
décrite
par personne encore. En direction descendante s
st pos- sible qu'il présente la continuation du système des fibres,
décrit
par M. Ilüsel, et sert de voie centrale du noya
gts. Pour confirmer la ressemblance clinique de l'entité morbide,
décrite
par Sachs et Féré, le rapporteur présente encore
e maladie de Thomsen (avec présentation d'un malade). Le rapporteur
décrit
un cas typique de maladie de Thomsen chez un so
'auteur note le manque de données concernant cette question (un cas
décrit
par Potain et deux autres par Lapinsky). Léwaclio
ique elle est caractéristique pour la sclérose disséminée. Le foyer
décrit
du cerveau est considéré par l'auteur comme une
ervations de Schultze, de Bernhart (1894-1897) et de Remak, qui ont
décrit
la paralysie congénitale unilatérale, envahissa
nt ma consultation, nouvel accès en tout semblable à celui que j'ai
décrit
plus haut. Puis tous les mois environ, et cela
pétant tous les mois, pendant un an et demi, dans la forme que j'ai
décrite
plus haut, leur disparition depuis trois ans, l
ystérique, avec hoquet permanent et douleur hystérique de la hanche
décrit
dans le même mémoire. C'est surtout dans ces
ne fait mention de fibres où l'on puisse reconnaître celles qu'a
décrites
Meynert. « Les fibres que j'ai pu observer au fon
SAVANTES. anxieuse ». « Je ne puis mieux définir, dit-il, ce que je
décris
sous le nom de « névrose d'angoisse », que par
ciente, et c'est pour ce motif qu'elle a été tout d'abord rangée et
décrite
dans les folies dites avec conscience. Les id
parfaitement de l'état d'anxiété dans lequel il se trouvait ; il en
décrit
volontiers les symptômes ; il se rit de ses cra
ral, leur posi- tion centrale. Les altérations que nous venons de
décrire
sont les plus légères; mais nous avons pu provo
des nerfs. Les modifications de réaction à distance que je viens de
décrire
peuvent, dans une deuxième phase, rétrocéder,.
ne stomatite, la seconde reproduit l'ensemble symptomatique si bien
décrit
dans les leçons cliniques de M. Raymond. Ce q
viations faciales dans l'hémiplégie hystérique, a été régulièrement
décrit
en 1888 par MM. Brissaud et Marier Ils en ont p
e un << absinthique ». Les accidents ner- veux que nous avons
décrits
plus haut à savoir : attaques convulsives épile
e des paralysies hystéro-trau- matiques. Le professeur Charcot en a
décrit
l'histoire en son entier, et l'on se trouve auj
notre malade peu- vent, croyons-nous, être rattachées à ce qu'un a
décrit
sous le nom de chorée électrique. Rappelons bri
e en réalité à une chorée électrique ? On sait que sous ce nom on a
décrit
deux maladies bien différentes : l'une, maladie
je dois remarquer que je n'ai pu jamais apercevoir la dégénération
décrite
dernièrement par Gozoers ' dans les cas de dégé
t détaillé et dans l'article de Schiefferdecker (voir plus bas) qui
décrit
trois expérimentations dans lesquelles il fit c
t l'analyse de ce cas que fait H. Eickhorst, dans son ouvrage; il y
décrit
en détail les changements trouvés dans la moell
emière supposition est peu probable, parce que Eickhorst . lui-même
décrit
dans son article deux cas qui avaient été ob- s
s de la « struc- ture de la partie fondamentale du noyau cérébral »
décrit
en dedans du pédoncule cérébral deux faisceaux,
e le faisceau médullaire, ou du moins une partie de ce faisceau. Il
décrit
un faisceau qui partant des cordons antérieurs
es qui viennent du faisceau médullaire juxta-pédonculaire qui est
décrit
plus haut. Le crochet hippocampique lui fournit
édiaire, ne me serais-je pas trompé ? Ces faisceaux blancs que je
décris
comme une production à part ne sont-ils que « l
ocampe. L'arc supérieur de l'anse est la bandelette que je viens de
décrire
; Tare inférieur est le corps bordant (voir la f
r dans le sillon opto-strié. Il va constituer ce que les classiques
décrivent
sous le nom de tænia ou de bandelette demi- cir
ptique. VICQ D'AzYR s'est beaucoup occupé de la partie de ce ruban,
décrite
sous le nom de toenia, bandelette demi-circulai
a représente, elle dépasse notablement le sillon opto-strié : il la
décrit
comme n'étant recouverte par la lame cornée que
fibreux convergent. Luys la mène à son centre olfactif. SAPPEY la
décrit
ainsi : « Ses extrémités sont encore un ob- jet
liers postérieurs, existe une disposition particu- lière non encore
décrite
, ou du moins décrite incom- plètement. Sous l
iste une disposition particu- lière non encore décrite, ou du moins
décrite
incom- plètement. Sous le nom de lyre, de psa
m- plètement. Sous le nom de lyre, de psaltériuiii, les auteurs
décrivent
une région triangulaire limitée en dehors et de
our- nés, tout en se dirigeant d'un côté à l'autre; quelques- uns
décrivent
des arceaux complets à concavité pos- térieure
e commissure tranversale, qui à pro- prement parler, aurait dû être
décrite
ci-dessus avec les autres commissures transvers
qui font saillie à la lace inférieure du corps calleux et que l'on
décrit
communé- ment sous le nom de lyre. » Cloison
rencontre seu- lement dans l'hystérie; plus tard, Weir-Mitchel) la
décrit
sous le nom d' « ataxie motrice hystérique » ;
répondent en effet, l'une et l'autre, au complexus symptoma- tique
décrit
par Blocq. - Nous retrouvons, chez nos deux mal
genou ; par M. 13ENEDIET. (Neurol. Centralbl., 1889.) L'auteur en
décrit
quatre formes : 1° Une forme chronique (l'épith
de Médecine de Lyon. (1890, J.-B. Ddillière.) Sous ce nom, l'auteur
décrit
l'épuisement nerveux; autrement dit l'irrilalio
mes principales de l'ivresse des hérédi- taires ; les autres formes
décrites
: l'ivresse comateuse, l'ivresse apoplectique,
pé, chez les dégénérés les formes délirantes étant celles plus haut
décrites
. Le délire alcoolique, une fois établi, revêt de
ans AncumES, t. X\II. 13 3 Fi]. 22. 194 anatomie. la position
décrite
plus haut, et tout à fait inerte. Le cobaye mar-
L'appareil nerveux central de l'ol- faction, tel que je viens de le
décrire
, est complexe. Il n'est pas toutefois compliqué
- rosité temporale, c'est-à-dire avec cet ensemble que nous avons
décrit
comme la terminaison du cercle fibreux de l'ori
qu'on trouve trace de la première. Les criminels que nous venons de
décrire
sont les seuls qui soient réellement des crimin
éliale trouvée à la surface des circonvolutions cérébelleuses a été
décrite
par M. Renaut pour la première fois. SOCIÉTÉS S
cultés peuvent être levées en se procurant du vaccin par un procédé
décrit
par M. Charles, pharmacien à Moulins, dans une
quième paire des deux côtés; dégénérescence des groupes de cellules
décrits
par Westphal au niveau du noyau de l'oculo-mote
es deux nouveaux groupes de cellules de l'oculo- moteur commun déjà
décrits
par l'auteur. Ce groupe annulaire comprend cinq
ephsig et Jakoweiiko ont, sous le nom de corpuscules de la .chorée,
décrit
des organites qu'ils ont rencontrés sur les capil
Iladden, dans une monographie basée sur l'observation de douze cas,
décrit
une affection caractérisée par des mouvements d
91.) Dans le New-York medical Journal du 30 août 1890, l'auteur a
décrit
un cas de démence avec paranoia dans lequel les h
lation de cause à effet entre le tabes et la pré- sence du sucre et
décrit
celle-ci sous le nom de glyco-- surie d'origine
u'en 1878, un autre de mes contradicteurs, 31. Marandon de montre),
décrivait
le Délire de Persécution sous le nom de Lypémanie
cute le diagnostic des délires de persécution systématisés, dont il
décrit
plusieurs variétés 3. ' Leçons cliniques sur
rs, la soi-disant hémiatrophie faciale progressive a été si souvent
décrite
qu'en 1884, Lewin 4, dans son étude très détail
es troubles trophiques, mais aussi de sensibilité. Ainsi, Romberg a
décrit
une malade chez laquelle, après une contusion d
ittérature quelques cas si soigneusement étudiés et si exac- tement
décrits
que nous sommes à môme de déterminer leur carac
ue est, en beaucoup de points, semblable à celui que nous venons de
décrire
. Chez le malade de Gutt- mann, on remarqua d'ab
mises à l'influence du système nerveux vaso-moteur. Romberg nous
décrit
deux cas analogues dont l'un avec pâleur s'éten
la Société des aliénistes à Saint- Pétersbourg, 1886. (Ce cas a été
décrit
auparavant par RFPMAN,4. Voy. les Bulletins de
mieux à ce cas, c'est qu'à la suite du traumatisme dont nous avons
décrit
les circonstances il s'est produit chez notre m
teint en aucune façon. D'autre part, la disposition de l'anesthésie
décrite
plus haut est devenue un symptôme pathognomoniq
au lit il eut quatre attaques consécutives semblables aux premières
décrites
plus haut. 9.-Il ne se rappelle rien de ce qui
, et mord même au mollet un de ses camarades qui le mainlient : Pas
décris
, pas de paroles, mais des gémissements, des sor
ique sans lésion vasculaire primigène. Seuls Wernicke et Naunyn ont
décrit
des faits de ce genre chez les individus d'un c
rs, et, en effet, bientôt elle se représenta la pierre qu'elle nous
décrivit
d'ailleurs. Cette idée, elle l'a gardée à l'état
rence mentale une notable influence sur la forme des psychopathies,
décrit
parmi les psy- chonévroses, avec la mélancolie
re des persé- cutés persécuteurs chicaniers (Quoerulantenvahnsinn),
décrit
au chapitre de la Folie héréditaire. D'après
son côté, n'emploie pas le mot paranoïa dans sa classification. Il
décrit
, comme autant de modalités distinctes et séparé
que contrastant avec les variétés de la folie vraiment systématique
décrite
sous le nom de Verrücktheü. M. Salgô pense que,
ir de poule est un phénomène dont on s'est peu préoc- cupé et qu'on
décrit
en bloc en l'attribuant à la contraction du mus
PRÉSIDENCE DE M. WERNICKE. M. SACIIS présente le cerveau du malade
décrit
par M. Foerster sous le nom de cécité corticale
entricule latéral. Le cerveau sera examiné après durcisse- ment. On
décrira
la lésion en détail dans un mémoire qui sera pu
itivement déraisonnables. Les témoins, les médecins eux-mêmes l'ont
décrit
comme un homme calme et sensé qui vit avec écon
xus syndromique, il est difficile de le dis- tinguer de ce que j'ai
décrit
sous le nom de manie hallucina- toi,e. Dans l'i
e psychose complexe, le syndrome relativement simple que nous avons
décrit
se com- plique des éléments de celle-ci. M. W
un rôle accessoire concomi- tant, et c'est pourquoi les auteurs ont
décrit
des accès de ! 00 CLINIQUE MENTALE. confusion
ic de la maladie de Raynaud n'est pas douteux d'après les symptômes
décrits
. Bien que les crises fussent su- bintrantes, il
'oligurie. L'anurie hystérique signalée au commencement' du siècle,
décrite
par Laycock, Paget, a été admise sans conteste
ation inaugurale (d872) à l'étude d'un cas de maladie de Raynaud.Il
décrit
sous le nom d'attaques épi- leptiformes un tabl
il faut savoir ce que c'est, quels sont ceux des tableaux morbides
décrits
qui appar- tiennent à la paranoïa et ceux qui n
congestion de l'iris, sont d'ordre vaso-moteur, où cet auteur a pu
décrire
un foie dit vaso-paralytique, Iscovesco 2 a pub
n est ressorti pleinement que - les délires plus ou moins cohérents
décrits
alternativement, suivant les préférences phonét
paranoïa chronique est née en France avec Lasègue, qui en 1852 a
décrit
le délire des persécutions, et que les formes chr
Morel compren- nent presque toutes les formes qui plus tard ont été
décrites
sous le nom de délires systématisés primitifs.
paraît mériter le nom de confusion mentale sous laquelle elle a été
décrite
en France, en ajoutant primitive afin de la dis
en Amérique, a conservé le nom de monomanie, mais dans le cas qu'il
décrit
, il signale l'affaiblissement des facultés et u
i étendues que dans les autres exemples de gangrène névritique déjà
décrits
. Cela tient vraisemblablement à ce que le malad
ns une communication marquée au coin du plus haut intérêt, l'auteur
décrit
certains cas où-le délire des persécutions, s'acc
orme de confusion mentale halluci- natoire aiguë de celle qui a été
décrite
jusqu'ici ? M. Beyer n'ose encore le faire parc
ont en nombre tel qu'on peut facilement suivre les moindres détails
décrits
dans le texte, et comme elles sont toutes des r
connaître sur un cerveau frais. Certaines par- ties du cerveau sont
décrites
avec plus amples détails, en raison de leur imp
ques rend beaucoup plus aisés à comprendre, il en est un nouveau,
décrit
par les auteurs, le faisceau occipito-frontal, re
e aux nombreuses recher- ches personnelles de l'auteur qui n'a rien
décrit
sans l'avoir vu et -contrôlé. On ne saurait l
es négations dans la mélancolie où, rendant hommage à celui qui l'a
décrit
pour la première fois, il lui donne le nom de s
ude nous n'aurons en vue que l'épilepsie généj rale, telle qu'on la
décrit
aujourd'hui au point de vue clinique'. Connue d
nnue de toute antiquité, elle a été considérée comme une névrose et
décrite
sous diverses dénominations : morbus her- culeu
ous étudierons seulement quelques symptômes spéciaux peu ou point
décrits
jusqu'à ce jour, nous efforçant de leur attribuer
r attribuer l'importance qui revient à chacun d'eux, ne voulant pas
décrire
la symptomatologie de l'épilepsie en général. P
avoir une extrême importance. C'est ainsi que Roberto Massa- Ion-ol
décrit
l'épilepsie gastrique, rapprochant les cas qu'il
t l'épilepsie gastrique, rapprochant les cas qu'il rapporte de ceux
décrits
par Pommay2 sous la même dénomi- nation. Tandis
re qu'il fait précisément l'inverse de ce que fait Magnan. Scliuele
décrit
, il est vrai, un délire systématique chronique
n partie traduit dans les Archiv f. Psych., t. X1X') dans lequel il
décrit
ce faisceau sous le nom de faisceau' ovale de l
on mentale. * En somme, sous le nom de confusion mentale,' l'auteur
décrit
un' groupe de symptômes qui peuvent reconnaître
es os'sans trace aucune de phénomènes inllammatowes.-11. Struempell
décrit
enfin un exemple de paralysie bulbaire sans s&l
lésion combinée des cor- 'dons de la moelle semblable à celle qu'a'
décrite
Strumpell. Il existe une abondance de pigment,
ions; il était, en effet, considéré comme assez commun. Briquet' le
décrit
comme fréquent, ce qui ne laisse pas de nous ét
névrose traumatique . Les auteurs n'admettent dans les cas qu'ils
décrivent
aucune altération fonctionnelle des centres nerve
nt, sans interruptions, tous les incidents de sa maladie. J'ai déjà
décrit
cette malade sous le nom de « Justine » et j'ai
xes de forme hystérique ». Les idées fixes de la malade que je vous
décris
se présen- taient de cette' manière sous forme
es'oçulairês que nous. con staton s'enore aujourd'hui. D'abord'elle
décrit
*, un-petit détaiijintéressantmais que nous ne p
e n'en voyait que le côté gauche. -, 1 Aujourd'hui encore Justine
décrit
complètement les symp- tômes d'une hémianopsie
i que.ceux, qui se, rapportent^ notre sujet. Voici comment Justine.
décrivait
il y.a quelques mois ses impressions : Quand,je
et dans la fixation des limites du champ visuel. On n'a pas encore
décrit
beaucoup de cas dans lesquels la forme'du champ
s symptômes tabétiques ? Or, pendant ces dernières années, il a été
décrit
quelques cas analogues d'hyperkinese dans la né
des cas; enfin, dans beaucoup cas de cas de mouvements athé- toïdes
décrits
dans le tabes, décrits par les auteurs, on n'a pa
aucoup cas de cas de mouvements athé- toïdes décrits dans le tabes,
décrits
par les auteurs, on n'a pas fait attention à l'
rfs périphériques, quoique, à en juger .par l'histoire des maladies
décrites
, on puisse dans ces cas soup- çoniier-la névrit
xie pour dési- gner par une expression courte le syndrome qui a été
décrit
, sous le nom de<'mouvements athétoïdes et ch
quement. Les auteurs libérèrent les doigts par une-opération qu'ils
décrivent
et donnent un tableau généalogique intéressant
e complication des manifes- tations délirantes les plus diverses et
décrite
alors, dans les ouvrages 1 Sera analysé dans le
l'aspect de la stupeur à tous ses degrés et - à ce que Ralilbaum a
décrit
sous le nom de katatonie, soit à ce qu'on appel
ire. Lombroso et Levi (Lo Spe2,inientale, avril 1894) viennent de
décrire
la méthode très simple qui leur a servi dans leur
teurs ont expé- rimenté sur 7a malades la méthode d'auto-conduction
décrite
par M. d'Arsonval. Voici leurs conclusions clin
érison d'un myxoedème par le traitement thy- roïdien. M. Clouston
décrit
ensuite les lésions corticales observées dans u
dans des excès de toutes sortes, le pronostic est grave. L'auteur
décrit
avec soin la dipsomanie périodique ou trimestriel
ponction se rattachant au nom de J.-L. Petit, c'est ici le lieu d'en
décrire
le procédé mais tel qu'on le pratique perfectionn
L'incision avec ponction du canal nasal, telle que nous venons de la
décrire
, est le premier temps des procédés par incision.
éthode ancienne.—Excision de la conjonctive. Indiquée par Hippocrate,
décrite
dans Aétius, rien de plus simple que cette opérat
étant intacte, qui nous paraît ressembler le plus à celui des anciens
décrit
dans Aétius et revendiqué en faveur d'Antylns.
e entre ses deux commissures. Cette première incision étant faite, en
décrire
,aux dépens des tégumens delà paupière,une seconde
emploi. Excision de la peau. C'est la même opération que nous avons
décrite
plus haut, à propos de la blépharoptose; nous n'y
membrane derrière la pupille. A un demi-siècle de distance, Antyllus
décrit
l'abaissement. Bientôt Rufus d'Éphèse distingue l
lus tard, après la réhabilita-tion de l'extraction, que Didier (1722)
décrit
positivement la cataracte secondaire. En 17 10 Po
e consiste le procédé ordinaire et régulier tel que nous venons de le
décrire
. Toutefois les accidens, prévus ou imprévus, qui
p les manœuvres pour la division. Au lieu de la section par diamètres
décrite
plus haut, d'autres conseillent la division par l
a cataracte avec succès. Si, au commencement du premier siècle, Celse
décrit
méthodiquement l'abaissement sans parler de l'ext
éthode n'existât pas encore, puisqu'à la fin du même siècle An-tyllus
décrit
,avec les plus grands détails, l'extraction comme
ce le premier la distinction des polypes mous et des polypes durs; il
décrit
la ligature et la cautérisation pour les premiers
réserve la cautérisation pour les polypes de mauvais caractère, et il
décrit
, du reste, la ligature comme elle est dans les li
on circulaire d'un fil soit végétal soit métallique. La li-gature est
décrite
dès la plus haute antiquité; mais elle ne figure
dante, commence son excision de gauche à droite. i° Dans le procédé
décrit
par M. Velpeau le chirurgien est debout devant le
se, qui donne toute sécurité contre une réunion anormale. Nous allons
décrire
ce procédé qui pourrait être appliqué avec avanta
étranger abandonné au dedans. 11 serait fastidieux de recommencer à
décrire
, dans leurs dif-férentes circonstances, de petits
e. En parcourant les faits rapportés par les auteurs, on voit qu'on a
décrit
sous le nom de ranule, des affections de nature t
t au devant desquels doit s'arrêter la section. Cette opération est
décrite
par Celse, qui connaît déjà le danger de l'hémorr
cation à la langue du procédé général de ligature que nous avons déjà
décrit
. La langue amenée au-dehors à l'aide d'une airign
r qu'ils ne tom-bent pas dans le pharynx. Le Procédé de M. Velpeau,
décrit
par son auteur, ne diffère sensiblement de celui
t par son auteur, ne diffère sensiblement de celui que nous venons de
décrire
que par le ren-versement des deux premiers temps
ette opération est l'une des plus anciennement connues. Hippocrate la
décrit
, Celse, Galien et tous les chirur-giens romains e
nais-sance, mais sans avoir beaucoup fixé l'attention. Rogier, qui le
décrit
comme une méthode d'application usuelle, indique
'elle s'est soutenue chez les Romains, car Antylus et Paul d'Égine la
décrivent
. Leur procédé est simple et consiste à diviser en
est dans ses détails, le procédé général de l'opération de l'empyème,
décrit
dans les traités de chirurgie et de médecine opér
t à propos de l'étranglement interne cpie se présentera l'occasion de
décrire
la section de l'in-testin. PLAIES DE L'ABDOMEN.
o-cédés. Les uns ont pour but d'établir un anus artificiel, et seront
décrits
à propos de cet accident; les autres ont pour obj
e. plaies transversales de l'intestin. Si la plupart des procédés
décrits
dans le chapitre précédent s'adressent sinon excl
en travers, et il nous semble même que les autres chirurgiens qui ont
décrit
ce procédé, n'en font pas toute l'estime qu'il mé
rouve des détails un peu clairs sur la maladie qui nous occupe. Celse
décrit
deux sortes de hernies, celle de l'ombilic et cel
n de cette membrane. Aétius connut l'étran-glement et ses effets ; il
décrivit
même le taxis à employer alors, et le moyen de l'
rmation ; les adhérences , l'étrangle-ment et ses suites furent mieux
décrits
. Les rapports des vais-seaux avec le collet du sa
(Anatomia, tract. II, cap. vu). J. L. Petit, Garengeot, Arnaud, Hoin
décrivirent
ensuite des hernies de la ligne blanche , du pé-r
ction sur la partie herniée, ou bien il amè-nera cet état particulier
décrit
sous le nom d'étranglement. Au reste, le collet e
nsable pour comprendre les méthodes et les procédés que nous aurons à
décrire
. anatomie opératoire de la hernie inguino-scrot
. La forme du canal est assez régulièrement cylindroïde, mais pour le
décrire
, on le divise en quatre parois ou faces. Afin d
mposer pour une portion de l'épiploon. Ces pacpiets graisseux ont été
décrits
sous le nom de hernies graisseuses. Les rapport
se continue avec la partie interne et supérieure de ce que nous avons
décrit
sous le nom d'entonnoir. L'angle externe de l'a
qui ait fait mention du bandage herniaire. Cet auteur est Celse, cpii
décrit
un appareil composé d'une bande enroulée autour d
r d'autres chirurgiens de son temps, il conserve l'honneur de l'avoir
décrite
le premier et de l'avoir conseillée, dans son liv
é-thodes bizarres ou nuisibles pour obtenir la cure radicale. Dio-nis
décrivit
avec précision tous les détails de l'opération du
ense d'in-diquer ici les travaux ultérieurs. Nous allons maintenant
décrire
l'opération de la hernie telle qu'on la pratique
ui résultent de l'étranglement de ces sortes de tumeurs. Nous avons
décrit
la manœuvre nécessaire pour en obtenir la réducti
euses, on peut faire usage de la chemise de linge bourrée de charpie,
décrite
avec la fistule à l'anus, de la vessie employée d
ntion au moyen de la suture. La manœuvre est des plus simples et sera
décrite
plus loin à pro pos des excisions de tumeurs hémo
verses positions du malade étant déjà connues , il ne nous reste qu'à
décrire
les manœuvres opératoires. Ligature. Rien de pl
que l'on noue séparément suivant les procédés généraux que nous avons
décrits
précédemment. Néanmoins, tout en indiquant cette
daient l'hydrocèle comme une mala-die éminemment propre à l'homme, et
décrivaient
sous le nom de kyste des grandes lèvres l'hydrocè
ue nous avons cités plus haut, est ce-pendant peu usitée. Excision.
Décrite
par Celse, Albucasis elFallope, l'excision, compl
e. C'est en passant ainsi en revue toutes les méthodes que nous avons
décrites
, cpie nous croirons avoir atteint le but que l'o
utant moins à nous en occuper que ces différentes mé-thodes ayanl été
décrites
au long à propos des varices et de la castration,
eint de dégénérescence encéphaloïde. ELEPHANTIASIS DU SCROTUM. On
décrit
sous ce nom une affection caractérisée par un dé-
que la perte est le résultat de la circoncision : tous les deux sont
décrits
par Celse de la manière suivante. Procédé pour
e. Au lieu d'une prétendue fosse naviculaire que tous les auteurs ont
décrite
, derrière le méat urinaire, voilà ce qui existe e
e conserver à demeure une sonde métallique telle que nous venons delà
décrire
: elle pouvait même causer de graves accidens par
elève graduellement le pavillon, et le ramène, en lui faisant d'abord
décrire
un quart de cercle, à être perpendi-culaire aux p
ulbe. En ce moment, par une ac-tion simultanée des deux mains il fait
décrire
à la sonde et à la verge de droite à gauche un de
ues, la pierre infernale ou le nitrate d'argent. François Ron-calli a
décrit
, dans un ouvrage imprimé en 1720, la manière dont
n° 5 marqué sur la canule cor-respond au méat urinaire. Faisant alors
décrire
un quart de cer-cle à la tige intérieure, et la p
ls présentent réellement moins d'avantage que ceux que nous venons de
décrire
, soit que leurs auteurs aient eu moins d'occasion
donner une description succincte et indiquer leur manuel opé-ratoire,
décrit
par l'auteur, d'autant qu'il formule et généralis
orsque l'instrument est fermé, il présente, comme ceux que nous avons
décrits
pré-cédemment une extrémité mousse. Chaque canule
ps. Les procédés opératoires, à l'aide desquels on y parvient, seront
décrits
à l'article calculs urètraux. Les callosités di
RINEE. La ponction périnéale, recommandée par Riolan et Thévenin et
décrite
par Dionis,a été pratiquée par Tolleten 1701. Dio
t? Eh bien! Sanctorius, ainsi qu'on peut le voir par le passage où il
décrit
son instrument (3), n'a point du tout songé à s'e
le main-tenir solidement, tandis que, pour le premier que nous avons
décrit
, il en faut trois. M. Leroy a fait construire un
e inférieure de la symphyse des pubis, pour borner les arcs de cercle
décrits
par l'extrémité de cet instrument qui obéit à l'i
sque le calcul est brisé, pour ouvrir l'instrument il suffit de faire
décrire
à gauche un quart de cercle à l'anneau ; dès-lors
it appareil, désignée sous le nom de Methodus Celsiana. M. Velpeau la
décrit
sous le nom de procédé d'Antylus ou de Paul d'Egi
s le nom de cystotomie proprement dite. Telle que nous venons de la
décrire
, cette méthode mérite de graves reproches, ainsi
rprise aux Collot, puisque A. Paré, Fabrice de Hilden et autres l'ont
décrite
dans leurs ouvrages comme une mé-thode usuelle, a
ierre, ils ne pussent pincer les parois de la vessie. — 6„ Le bouton,
décrit
sous le nom de curette (Pl. 68, fig. 36) était un
du cathéter, il pre-nait cet instrument par sa plaque, et lui faisait
décrire
lentement un mouvement de bascule par lequel il f
ans une maison qu'il avait fait bâtir. En 1702, Frère Jacques avait
décrit
sa manière d'opérer avec tous les perfectionnemen
pratiquait pas toujours l'opération dont il s'agit suivant le procédé
décrit
par Morand : celui auquel il se fixa en définitiv
eux éminences destinées à recevoir une vis autour de laquelle la lame
décrit
un arc de cercle lorsqu'on la fait sortir de la g
diri-ger les tenettes. Le gorgeret de Hawldns, tel que nous l'avons
décrit
, est encore préférable à toutes les modifications
TAILLE BILATÉRALE OU TRANSVERSALE. Cette espèce de taille se trouve
décrite
dans Celse dont le pro-cédé est indiqué par ce pe
e de pratiquer la taille, long-temps confondue avec le petit appareil
décrit
par les auteurs grecs, constitue de nos jours une
les moyens d'exécution. Procédé de ('haussier. Ce procédé se trouve
décrit
dans la thèse de M. Morland : on y lit que Chauss
rudent d'aller ; « ainsi, en s'ouvrant, les lames du lithotome double
décrivent
« de 4o à 45 millimètres de longueur, et de i3 à
les commencent, les lames du lithotome, en s'écartant de chaque côté,
décrivent
une courbe dans l'aire de laquelle ces organes so
les procédés de Frère Côme et de Hawkins. Il ne nous reste plus qu'à
décrire
le procédé mis actuellement en usage pour cette d
se, il faut ramener sa concavité en haut « pour que la courbe qu'elle
décrit
en sortant soit en rapport « avec celle que prése
ieurs brins. Nous ne suivrons pas plus loin ce procédé que nous avons
décrit
avec le tamponnement du rectum. Procédé de Dupu
le voir dans les Archives générales de Médecine, tom. 11. Avant de
décrire
le manuel opératoire de cette espèce de taille, n
publia, en i58i, un ouvrage intitulé de Partu cœsarœ, dans lequel il
décrivit
soigneusement la taille sus-pubienne et la propos
redites et des longueurs inutiles, il nous a donc paru convena-ble de
décrire
d'une seule fois la méthode générale , dérivée du
les modi-fications qui constituent les divers sous-procédés , sauf à
décrire
à part le procédé de M. Baudens, le seul qui se d
Taille vestibulaire. Procédé de Celse. C'est le même que cet auteur a
décrit
pour les hommes. Il prescrit, chez la femme, d'in
apresavoir pratiqué la suture enchevillèe telle quenous venons de la
décrire
, le chirurgien de Berlin, s'apercevant que les pa
avons indiquées pour le vagin. Par-venu sur la matrice, l'indicateur
décrit
à mesure qu'il pénètre plus profondément des lign
leurs ouvrages la figure d'un instrument semblable, et Garengeot en a
décrit
un à trois branches. Mais soit qu'on pensât que c
cement le spéculum suivant l'axe du détroit inférieur, en lui faisant
décrire
de petits mouve-T. vu. mens d'arc de cercle à d
pour empêcher l'utérus de descendre. « Le nouveau « moyen que je vais
décrire
, dit-il , consiste dans un instrument « que j'ai
ur pédicule est plus ou moins gros. 5 Polypes fibrineux. M. Velpeau a
décrit
sous ce litre une tumeur formée par une concrétio
pendantque la pince, fixée parla main gauche, reste immobile, on fait
décrire
à la première une circonvolution qui lui permet d
une variété des tumeurs osseuses et fibreuses; avec ou sans pédicule,
décrites
par Levret, Herbiniaux , Bayle, Dupuytren, MM. Ri
cers. A. ulcères du col uterin. Les ulcérations du col, fort bien
décrites
dans la plupart des livres modernes de pathologie
rner une virole. Procédé de M. Sauter. Voici, en résumé, comment le
décrit
l'auteur lui-même dans un mémoire inséré parmi le
la pratiquât dès le principe, elle le fut également par Théden, qui a
décrit
un procédé particulier pour l'exécuter, mais ne l
grand nombre de fois, et par des procédés dif-férens, que nous allons
décrire
rapidement. Procède de Théden. Pratiquer sur la
ntitulée del Taglio délia sinfisi delpube, et dans laquelle se trouve
décrit
son procédé qui, dit-il, est indispensable toutes
Tous les procédés dans lesquels on employait l'incision latérale sont
décrits
sous le nom de procédés anciens. i° Procédés an
vec le droit interne, 3° Aponévrose oculaire. M. Bonnet, de Lyon, a
décrit
récem-ment (1) une capsule fibro-celluleuse qui e
e à reprendre ses fonctions ; cpiant à l'opération qui vient « d'être
décrite
, elle ne saurait être plus dangereuse que la plu-
glissent si facilement dans des sujets si nouveaux, quand ils auront
décrit
leurs procédés, nous laisserons parler les au-teu
bistouri sur le muscle. Procédé de M. Ferrall. Voici comment il est
décrit
par M. Gairal (Du Strabisme, page 46). « La paupi
édiable, mais depuis quelques mois on a essayé d'y obvier. Nous avons
décrit
le procédé par lequel M. Guérin cherche à rendre
que se rapporte le procédé de section du petit oblique que nous avons
décrit
plus haut. 3° mouvemens spasmodiques de l'c-EIL
nous en auront fourni le moyen, nous laisserons les auteurs eux-mêmes
décrire
leurs procédés. MÉTHODE ALLEMANDE. C'est dans
se sur cet instrument toute la musculature de la langue , et, faisant
décrire
à ce crochet un demi-cercle étendu, il coupe en u
nsi dans les déviations anciennes de la colonne vertébrale, la moelle
décrit
des courbures d'un plus grand rayon que le canal
gne d'action des machines, à la corde des courbures que la difformité
décrit
; concentrer l'ac-tion des forces sur le plus peti
igatures d'artères, où les condi-tions locales sont si exigeantes, de
décrire
dans chaque lieu des procédés qui ne seraient qu'
t exprimés (pl. M). Procédé de M. Bouvier. Le voici tel qu'il est
décrit
par l'auteur dans line observation de section du
orso-lombaires n'étaient pas très fortes. Nous serions donc à même de
décrire
ses procédés, mais comme il ne diffèrent pas de l
les applications de détail dont elle est susceptible, nous aurions à
décrire
, comme autant de procédés, un nombre considérable
x, grands chefs, l'incision et la ponction sous-cutanée. Nous avons
décrit
plus haut le procédé d'incision dans ses détails
n œil de profil. L'objet de cette figure est de montrer le trajet que
décrit
le cristallin pour son expulsion au dehors sous l
de, servent de repère au chirurgien pour s'assurer de l'arc de cercle
décrit
profondément, par le bec de la sonde, pour son in
, qu'il ne s'agit plus que de dégager. Toute cette manœuvre, longue à
décrire
, est opérée en un instant. Figures 21 et 22. In
, fig. 2). Dans celui-ci, l'inclinaison des lames est telle qu'elles
décrivent
par leur écartement un angle curviligne. En sorte
n tout, quatre centimètres en ligne droite et par les courbes qu'elle
décrit
, quarante-cinq millimètres (20 lignes). On voit q
n a laissé la membrane fibro-celluleuse, enveloppe de la sclérotique,
décrite
par M. Bonnet, de Lyon. figures 3 et 4. Envelop
core dans l'analoniie chirurgicale (tome 6) où nous l'avons suivie et
décrite
pour les divers groupes musculaires dans toute l'
e. C'est, sans doute, le même phéno- mène qui a été déjà observé et
décrit
pour la première fois par Bernhardt, et suivant
e se comporter d'une façon entièrement conforme à ce que nous avons
décrit
précédemment. Etudions, maintenant, sur des tra
eur, et les résultats étaient alors conformes à ceux que nous avons
décrits
plus haut. On peut voir en se reportant à cette
eil, on adapte des rou- lettes aux pièces ab, a'b'. ' Après avoir
décrit
l'appareil, voyons dans quelles conditions doit s
l'oreille droite soit la cause de la contraction que nous venons de
décrire
, d'autant moins que celle-ci affecte aussi le c
diquer une liév re réelle ou un état pseudo-fébrile comme celui que
décrit
Rosenthal (3). On pourra voir par l'histoire du
use, il apparut dans une au- tre attaque semblable à celle que j'ai
décrite
des taches érythémateuses. Je regrette de ne po
fièvre hystérique : 1° Forme lente, primitive ou secondaire (celle
décrite
par Briquet) ; 2° Forme intermittente, générale
ltération devait être fonctionnelle. Dans la môme année Bordoni (3)
décrit
un cas d'hyperthermie hysté- rique périodique.
e) et enfin, deux, à type continu : celui de Debove et celui que je
décris
. Avec l'antécédent de la forme fébrile que l'hy
sont le siège de ces mouvements invo- lontaires que nous avons déjà
décrits
. Le tronc également rigide est forte- ment camb
A SALPÊTRIÈRE. ceux de la démarche spasmodique classique et si bien
décrite
par Ollivier d'Angel', Charcot et Erb. En ce
ée comme typique, certains auteurs et en particulier Ctay-Schaw ont
décrit
la démar- che tabétique, Bourneville et Pilliet
e l'étal de contracture des muscles de l'articulation. - Clay Schaw
décrit
très justement l'allongement des paroles, qu'il a
ées je pourrais le répétera à propos des crises gastriques que j'ai
décrites
autrefois, des crises vésicales ou rectales. Il
l'abolition ou bien la perver- sion du goût. J'ai, depuis, souvent
décrit
ce syndrome peu connu et fort intéressant; vous
cen- timètres il droite, de 32 centimètres il gauche. Les courbes
décrites
par le rachis sont parfaitement régulières. En au
2) fut le premier, sinon il signaler, du moins il différencier et à
décrire
nettement la paralysie spinale infantile. Il y fu
s sont frappés de paralysie. Nous parlons ailleurs de cette variété
décrite
par Duchenne de Boulogne, et dont Heine figure
es. Au-dessous de la 5e vertèbre du dos, jusqu'au sacrum, le rachis
décrit
une courbe à convexité gauche : en même temps,
ubles trophiques osseux el articulaires que M. Charcot a le premier
décrits
. D'ordinaire localisés aux os longs et aux articu
vertébraux comme aux os du tarse. Voici comment Pitres et Vaillard
décrivent
ces lésions dans l'observa- tion de Bad... «
rs de contractures hystériques. Du- chenne (1), qui en a observé et
décrit
plusieurs cas, ne dit pas que chez ses sujets l
mentionnée peut-être, « autre chose est voir, autre chose regarder,
décrire
complètement et rapporter les faits à leur véri
ique croisée. Cette forme est la plus commune. C'esl elle qui a été
décrite
par Ba- binski. Pour bien l'observer, il faut e
anique des muscles se retrouvent à peu près telles qu'elles ont été
décrites
par Erb. Il n'existe que de faibles divergences s
; ces douleurs sont-passagères.- Cette éruption rappelle la maladie
décrite
par M. Brocq sous le nom de « folliculites symé
s constantes, peuvent s'adjoindre à la dé- formation que nous avons
décrite
; c'est parfois une légère inclinaison du tronc
uscles fléchisseurs latéraux lombaires, qui engendrerait l'attitude
décrite
, et cela par le même mécanisme qui détermine une
cture des muscles du côté op- posé, la déviation que nous venons de
décrire
. Si le malade se sert de son bras sain pour por
résulte une des deux variétés de lordose paralytique que nous avons
décrites
d'après Duchenne de Bou- logne. A cette lordose
is deux années, et offrant avec quelques légères variantes la forme
décrite
par Erb. L'atrophie musculaire était à peu près
ectés de la lordose paralytique avec cyphose dorsale que Duchenne a
décrite
comme consé- quence de ces insuffisances muscul
. et Mme Ot., nous ont paru mériter de prendre place à côté des cas
décrits
par M. le pro- fesseur Charcot sous le nom de t
ar les courants galvani- ques stabiles, les mouvements ondulatoires
décrits
par Erb, et l'on recon- naissait sans peine qu'
ctérisent sont en effet tout à fait analogues à ceux que nous avons
décrits
dans un précédent cha- pitre. Car dans l'alhéto
troubles trophiques et des déformations qui ont été minutieusement
décrites
par UN nouveau cas DE syringomyélie TYPE MORVAN
le. Ce malade a été considéré comme un type de maladie de Morvan et
décrit
comme tel, à une époque où il était véritableme
de la moelle n'a pas révélé d'altération. En résumé, l'affection
décrite
pour la première fois par Clay-Schaw est une vé
de nier certaines formes délirantes d'hys- térie infantile, si bien
décrites
par M. le professeur Charcot (1), dans les- que
TÉRIQUES SIMULATEURS DE L'HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE INFANTILE. ftf
Décrire
, comme l'a si bien fait M. Marie (1), l'hémiplégi
arie (1), l'hémiplégie spasmodique infantile, ce n'est pas, dit-il,
décrire
d'une façon générale, l'hémiplégie chez les enf
e clinique de l'hémiplégie spas- modique.infantile, tel qu'il a été
décrit
par M. le Dr Marie dans son remar- quable artic
hémichorée affectait une forme spéciale, il n'était pas possible de
décrire
comme athétose vraie les mouvements d'ex- tensi
satisfaisants après une série de séances. ,' L'atrophie musculaire
décrite
par Duchenne est une affection dans le genre de
suivent l'extirpation des organes coordinateurs, troubles qui sont
décrits
par les physiologistes. Dans l'expérience physi
7 ans après à la suite d'une intoxication. L'autopsie fut faite et
décrite
par Schuitze (1) qui constata que les cordons pos
de caractères féminins nettement accusés. Des cas analogues ont été
décrits
sous le nom d'infantilisme ou mieux de féminism
sonde dans l'urè-tlire. L'opération ainsi faite diffère de celle que
décrivaient
Dupuytren et Delpech. 2° Avec le cautère électriq
jours. Les instruments unissants^ dont les premiers essais ont été
décrits
page 307 du t. II de la Médecine opératoire, ont
tures, les rendre solidaires et immobiliser la région opérée. Sans le
décrire
avec autant de détails que le précédent, nous sig
RECIATION DES PROCÉDÉS. Bien qu'on ait exhumé un projet d'opération
décrit
par Roonhuysen, en i633, il est bien certain qu'a
s ou de fils, etc. 6*^ Oblitération du col de f utérus. Jobert en a
décrit
deux espèces : directe, indirecte. La première es
ices que dans des circonstances très-exceptionnelles.^Ce chirurgien a
décrit
trois procédés ; ils ont ceci de commun qu'ils em
ision de l'orifice vaginal, puis sa dilatation. Voici comment M. Sims
décrit
cette opération : « Plaçant la patiente éthéris
suture en faufil ou à points passée, dis-posée de telle sorte qu'elle
décrive
un U renversé dont la con-cavité embrassera la pa
, soit en appliquant à sa paroi postérieure le procédé de M. Huguier,
décrit
à propos de la cystocèle pour la paroi an-térieur
muqueuse des grandes lèvres et de la peau du périnée, opération déjà
décrite
à la page 3i5 du second volume de la Médecine opé
az. des hop., i855), H, La suture par le procédé de Roux a été bien
décrite
à la page 3oi ; nous ajouterons seulement ici les
férente par Jobert de Lamballe, qui, sous le nom de périnéoplastie, a
décrit
le procédé suivant : Premier temps. — Vavivemen
rentrer dans le point correspondant de la plaie de l'autre côté, et y
décrire
un tra-jet semblable. On obtient ainsi un affront
queuse, pour sortir au niveau de l'angle de la déchirure. Ayant ainsi
décrit
la moitié de son trajet, elle traverse de même, m
es injections intra-utérines avec les pré-cautions que nous venons de
décrire
, il est bien rare de voir se produire des acciden
l et s'y meut avec facilité. On peut le faire tourner sur son axe, et
décrire
avec son extrémité courbe un cercle, sans résista
ctobre 1862) et les bougies ont été confectionnées comme nous l'avons
décrit
, par le docteur Greenhalgh. L'éponge est très-s
ménopause, les accidents sont bien différents de ceux que nous avons
décrits
plus haut. Ce n'est plus du sang qui s'ac-cumule
hématométrie qui diffère par quelques traits de celle que nous avons
décrite
dans l'atrésie congénitale. C'est ainsi que dans
l en arrière, en avant, ou sur un des côtés. Cette forme du col a été
décrite
par Ricord sous le nom de col tapiroïde; elle coe
et bien tranchantes. Procédés de M. Marion Sims. Ce chirurgien en a
décrit
deux; un pour les cas de col conique ou simplemen
tumeur ; voici deux procédés qu'on peut ajoutera ceux que nous avons
décrits
plus haut. La pédiculisation au moyen de la dis
fait pénétrer d'abord jusqu'au centre de cette base, puis lui faisant
décrire
une courbe assez courte, on en fait sortir la poi
doucement l'aiguille jusqu'au centre de la tumeur, puis, lui faisant
décrire
une nouvelle courbe, on fait sortir la pointe à t
peut être placé d'une manière différente de celle que nous venons de
décrire
; en couchant le corps de l'instrument sur la part
ur voir si quelque point malade n'a pas échappé. Tel est le procédé
décrit
par M. Maisonneuve; un peu d'obscurité dans son t
ir la réunion immédiate. Les procédés d'excision ont été suffisamment
décrits
aux pages et 335 du second volume de la Médecine
l'allongement et de la chute du col. L'opération que nous venons de
décrire
est certainement la plus rationnelle, puisqu'elle
'UTÉRUS. voir la planche x. La plupart d'entre elles ont été bien
décrites
page 3^5 et suivantes du second volume de cet ouv
olypes utérins admises de nos jours, et qui diffèrent de celles qu'on
décrivait
il y a vingt ans. Cautérisation en flèches et c
on a détruit le pédicule à l'aide d'un des instruments que nous avons
décrits
, et cautérisé en même temps la surface d'implanta
tionnons à cause de leur intérêt historique. Excision. Aux procédés
décrits
à la page 829, on peut ajou-ter les suivants : M.
observations avec succès complets. Ligature. Le procédé de Niessen
décrit
à la page 828 a été modifié par Gooch de la maniè
cile et qui dispense de tout instrument spécial ; voici comment il le
décrit
: Prenez deux sondes en gomme élastique d'un cali
e l'incision du col, sont des opérations préliminaires que nous avons
décrites
avec soin ; il nous suffira de rappeler ici les p
s et courbes, des pinces à griffes de différentes espèces (nous avons
décrit
les plus conve-nables à l'article Polype), un lit
œberlé. Ces instruments ayant été imaginés pour l'ova-riotomie seront
décrits
lorsque nous traiterons de cette opéra-tion ; ce
prier Finstrument au sujet vivant, ce fut de lui donner la courbe que
décrivent
le vagin et l'utérus. Ainsi complété, cet instrum
en outre des injections tièdes dans le kyste. Au lieu de l'instrument
décrit
par Scan-zoni, on peut employer une espèce de lit
e ou de rompre les adhé-rences nouvelles. Le pansement que nous avons
décrit
, et la surveillance des gardes permettent assez b
Figure m. Exemple d'une hernie interne ; c'est une hernie mésocolique
décrite
par Peacock. Le sujet était mort en 41 heures ave
aux os formés de tissus compactes plutôt qu'aux os spongieux. J'ai
décrit
le premier, je crois, l'ostéite syphilitique des
nt. Enfin la malade n'est pas morte avec cette asphyxie progressive
décrite
par M. Bergeron, car, une heure avant la mort, el
voit là que les formes variables d'une seule et même maladie. Puis il
décrit
les lésions anatomiques de l'arthrite rhumatismal
e des particularités les plus remarquables du cas que nous ve¬nons de
décrire
est la facilité avec laquelle se fait la miction
et afin de mettre plus.de clarté dans notre description, après avoir
décrit
l'aspect extérieur, nous exposerons les résultats
peu plus de 0m,03. Elle est bornée en avant par le repli cutané déjà
décrit
, latéralement par une petite crête avoisinant les
s se montrent avec les caractères très-nets des ané-vrysmes miliaires
décrits
par MM. Charcot et Bouchard, dans leurs travaux s
t donnée une région, l'auteur, selon l'importance du lieu anatomique,
décrit
ou rappelle les principaux accidents de terrain,
me cartilagineuse, détermi¬nant l'apparence extérieure que nous avons
décrite
ci-dessus. Le doigt, glissant entre la surface
té buccale. Voici quel est l'état de la tumeur à l'instant où je la
décris
: la joue gauche présente un gonflement de la gro
ce, il a été jeté. Toutefois, en raison de la disposition du fragment
décrit
plus haut, nous sommes à peu près certain que nou
Son auteur a choisi les difficultés de l'anatomie humaine et les a
décrites
par régions. Chaque région est contenue dans un c
rs lequel tend l'eczéma invétéré. Nous n'avons point l'intention de
décrire
ici, d'une façon com¬plète, l'histoire de l'eczém
— " Ainsi donc, dit en terminant M. Davaine, aucun taenia de l'homme,
décrit
jusqu'aujourd'hui, n'ap¬partient à la même espèce
s des capsules ovariennes assez analogues à celles que nous venons de
décrire
; toutefois elles n'ont point cette structure sing
altération cérébrale d'origine syphilitique. Ces observations sont
décrites
avec beaucoup de soin, et dans toutes les dérange
e la configuration de ce monstre pour qu'il ne soit pas nécessaire de
décrire
plus longuement son aspect extérieur. M. Anger pr
vue de leur marche, on voit qu'ils se rapportent parfaitement à ceux
décrits
par les auteurs dans les inflammations chroniques
ure osseuse ; 6°la ligature osseuse; et, dans autant de chapitres, il
décrit
avec soin ces différentes opéra¬tions qu'on peut
u-dessus du détroit supérieur du bassi î, en arrière de la vessie, et
décrit
une courbe à concavité postérieure dont les extrô
Période , cœur | Diastole. ] de / t gonflement \ 1° Choc enrc-\Déjà
décrit
, agit sur le cœur gauche à travers la cloison. Le
aux traits de plusieurs maladies de l'estomac. C'est ainsi qu'il nous
décrit
Y inflammation cirrhotique ou linitis plastique d
s. Afin d'éviter des répé¬titions fastidieuses, nous nous bornerons à
décrire
sa situation actuelle. 20 juin 1870. Taille exi
de justifier l'existence de cette unité morbide. Il s'attache à bien
décrire
les caractères de la scrofule, de l'arthritis, de
étudié par Pelletan, Cloquet, Velpeau, est pour la première fois bien
décrit
en 1853 par Morel-Lavallée ; " 2° Le siège de l
tteindre les dimensions d'un petit œuf de poule. Celui que nous avons
décrit
dans notre obser¬vation et qui se trouve représen
pensables à connaître parfaitement, cela se conçoit; aussi sont-elles
décrites
avec soin,' surtout d'après les beaux travaux de
lant les règles au début des pyrexies et des phlegmasies, » épistaxis
décrites
avec soin, par M. Guider, doivent donc, selon M.
onde partie de la cicatrice. De la portion horizontale que nous avons
décrite
, naît une grande bride qui vient aboutir au tiers
longue de 3 centimètres et demi, est sinueuse ; sa direction générale
décrit
une courbe à convexité supé¬rieure. Entre elle et
ncoordinalion des mouvements dans le récit de cette malade; mais elle
décrit
très-nettement les douleurs fulgurantes dont l'ap
titude du membre gauche est un peu différente de celle que nous avons
décrite
pour le membre droit. La jambe est portée en deho
Soir. A la sortie du bain, véritables convulsions cloniques; le corps
décrit
un arc de cercle. — Le malade prend un second b
le trajet des nerfs est rectiligne, il est des nerfs cependant qui
décrivent
des zig-zags, à la manière des artères. Il me
est un grand nombre de nerfs qui se dévient dans leur trajet, pour
décrire
un arc de cercle et même pour se réllvcLir sur eu
e Jolie établissent la question dans des termes précis : cet auteur
décrit
en effet diverses lésions médullaires dans la par
médicale de Londres, le 30 novembre 1891, le Dr Thomas D. Savill a
décrit
« une maladie de peau épidémique, res- semblant
ans plusieurs de ces cellules on observe les altérations nucléaires
décrites
par le Dr Echeverria et que celui-ci regarde comm
Faculté de Paris, médecin des hôpitaux. L'affection que nous allons
décrire
, doit être, à notre avis, qui est aussi celui d
comme l'arthralgie, est un type de ces hystéries lo- cales si bien
décrites
par Brodie. Dans l'étiologie, souvent on trouve n
s toutefois de remarquer que souvent les phénomènes que nous allons
décrire
, existent chez des femmes dont les règles sont
e même du sein hys- térique. Après avoir, au chapitre Mastodynie,
décrit
les tumeurs douloureuses d'A. Cooper, l'auteur
effet la tuméfaction et les autres phénomènes que nous ve- nons de
décrire
, ne se bornent pas toujours à la durée du paroxys
n s'accompagnant des phénomènes douloureux et autres que nous avons
décrits
. Dans six cas sur sept, -la tumeur était mobile s
é par Briquet, outre- les phénomènes d'hyperesthé- sie précédemment
décrits
, il existait de la gnl((clo1'1'hée. Il est vrai d
rra-l-il ne plus en être de même lorsqu'aux phénomènes précédemment
décrits
se surajoutera 118 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
qu'elle peut subir dans le sens latéral. On sait d'ailleurs qu'on a
décrit
une courbure latérale dorsale à convexité droite,
siologique des auteurs est toute autre que celle que nous venons de
décrire
. Elle siège à la région dorsale, ]a con- vexité
se demander si la scoliose dorso-lombaire gauche que nous venons de
décrire
ne sérail pas une courbure de compensation ame-
e il la douleur du tronc et des extrémités. (Fig. foi-5) XII. Cas
décrits
en 1887 par le 1)" Nikolski (1). Un soldat, âgé
douloureuse. (Fig. 47) En comparant ensemble les 12 cas ci-dessus
décrits
d'eczéma chronique, on'voit que la durée de, l'
écédent, nous croyons possible de considérer l'eczéma, dans les cas
décrits
par le Il Nikolski, comme un symptôme de l'hyst
évolution de cette éruption dont la mo- dalité objective me reste à
décrire
: l'éruption est d'abord remarquable par un car
les coupes avec du carmin boracique. Les lésions que nous venons de
décrire
représentaient d'une manière très nette la dégé
e révèle au savant docteur le traitement efficace. W. Burger, qui a
décrit
le tableau avec éloges (1), émet des doutes sur
éné- ral etnon spécial, ou mieux spécifique, applicable l'affection
décrite
par M. P. Maire. Le malade mourut d'asystolie
Sollier (4), Paul Bicher (5), Capitan (G), Ch. Feré (7), etc., ont
décrit
un certain nombre d'exemples de cette con- form
affections dystrophiques congénitales. L'infantilisme a été surtout
décrit
chez l'homme où il est plus facile- ment reconn
L'infantile mâle revêt alors une morphologie hybride qui doit être
décrite
à part sous le nom de Féminisme. Ici, en effet, l
aître des indices certains de trépanation, on sait qu'llippocrate a
décrit
deux trépans : le trépan ;1 tarière et le trépan
ue simultanément Andréa a Cruce, dans son Livre de chirurgie (1573)
décrivent
et font reproduire l'arsenal et le manuel opérato
fermant plus d'un détail intéressant pour le médecin, mérite d'être
décrite
et analysée méthodiquement. Jérôme van Aeken (v
partir du mémoire de Dance (2) que la tétanie jusqu'alors fort mal
décrite
prit véritablement rang dans la noso- logphie m
de certains syndromes que nos confrères d'Allemagne et d'Autri- che
décrivent
comme fréquents, alors que nous, Français, nous l
de l'hystérie pour l'interprétation des phénomènes que nous allons,
décrire
.' Nous'y joignons des documents figurés que M.
rend successivement des aspects très comparables à ceux qui ont été
décrits
pour la partie supérieure de la lésion. Néanmoins
ne lésion syphilitique. En dehors des vaisseaux qui viennent d'être
décrits
et qui sont le siège d'un processus actif, on e
il existe, dans le reste de l'axe nerveux, deux ordres de lésions à
décrire
: 1° Des lésions diffuses des méninges qui reco
a myéline est boursouflée et le cylindre-axe plus ou moins déformé,
décrit
des anses dans sa gaîne trop large, Les nerfs e
eaux intra-médullaires, à part quelques lésions diffuses qui seront
décrites
plus loin, ne deviennent malades qu'à une très fa
et porte un assez ' grand nombre des granulations péri-vasculaires
décrites
plus haut; elles se groupent habituellement par
us morbide qui est absolument comparable à celui que nous venons de
décrire
dans la moelle. Au niveau des points déprimés l
régression des cellules embryon- naires laisse le tissu de sclérose
décrit
plus haut ; mais il reste par places des amas a
ressemble extérieurement d'une manière frappante à celle qui a été
décrite
dans l'observation précédente. On croirait ces de
chel (1), professeur agrégé au Val-de-Grâce, a observé lui aussi et
décrit
chez des militaires déserteurs comme M. X...et dé
nte qui se sont présentés à la Salpêtrière depuis plusieurs années,
décrivait
comme il suit, dans ce journal, l'aspect mor- p
'est pas moins important. « Il est inutile, diBérenger de Carpi, de
décrire
tous les instruments qu'il peut être néces- sai
qu'à nous, tandis que'd'autres sont de temps en temps retrouvés, et
décrits
comme nouveaux par des chirurgiens in- suffisam
rès les fractures capillai- res et pénétrantes, dont nous venons de
décrire
le traitement, se placent les fractures plus ra
tion de l'estomac. - Quant à la déformation spéciale que nous avons
décrite
elle reconnaîtrait, suivant nous,- une toute au
rme. Quelle est la nature des troubles nerveux que nous venons de
décrire
au cours des oreillons. Le mot de métastase, qu
PARINAUD et P. MARIE. L'affection dont il s'agit n'a pas encore été
décrite
en France, et nous ne croyons pas qu'il .en ait
igraine mais sans citer aucune observation; Horner, d'autre part, a
décrit
une forme de ptosis qu'il attribue à la paralys
égulière qui les caractérisent dans l'hémorrhagie; or l'observation
décrit
, pour la première attaque, un ictus apo- plecti
tellec- tuelles ! Il est donc utile de relever soigneusement, et de
décrire
avec tous leurs détails anatomiques, les cas de
à tous les cas. Restent les altérations du sang lui-même ; on en a
décrit
trois principales : des changements dans la for
te de demi coma. 11 n'est pas douteux qu'un certain nombre de cas
décrits
par les auteurs, depuis Prout, et rangés indiff
ez un de ses diabétiques mort avec les symptômes que nous venons de
décrire
, la vessie était remplie d'urine, et cette urin
nt réguliers, un peu accélérés seulement. Kussmaul et Kien ont bien
décrit
l'aspect particulier de cette dyspnée. « La res
ns complet. Il semble à priori qu'on pourrait, comme pour l'urémie,
décrire
trois variétés principales, suivant la prédomin
ent sous une forme atténuée quelques-uns des symptômes fonctionnels
décrits
plus haut; tantôt, et le plus souvent, ce sont
ycosurie. Causes occasionnelles. Les symptômes que nous venons de
décrire
s'observent aussi bien chez la femme que chez l
vrier et avril 1885.) Cette affection, que Duchenne (de Boulogne) a
décrite
sous le nom d'atrophie musculaire progressive d
etteté que lui attribue son auteur ; en effet, les phénomènes qu'il
décrit
et surtout l'amnésie ne sont pas caractéristiqu
ui caractérisent les différents « groupes de dégénérés si nettement
décrits
par notre savant « collègue. Si donc il existe
n clinique affirme leur existence; il y a longtemps que Storck' a
décrit
des apoplexies de même origine, et si ces mé- n
l'état actuel s'est graduel- lement développé, comme nous allons le
décrire
. Aux membres inférieurs l'anesthésie paraplégiq
nu des médecins depuis plus d'un siècle. En 1723, Vater et Heinecke
décrivaient
trois cas de ce genre sous le nom de visus dhni
s'occuper de l'état de la rétine, c'est-à-dire de l'hémiopie et de
décrire
l'hémianopsie, c'est-à- dire l'état du champ vi
s d'art, que les atti- tudes sont conformes à celles que l'auteur a
décrites
comme appartenant aux états d'esprit qui doiven
mplètement automatique et s'accomplit inconsciemment. » Après avoir
décrit
quelques expériences personnelles, l'auteur re-
de la respiration est presque nulle. Les grenouilles, comme je l'ai
décrit
dans mon article sur l'hypnotisme, peuvent être e
à nous dans une situation en tout semblable à celle que nous avons
décrite
il y a huit jours. Il essaie d'écrire son nom ;
responsabilités. M. Magnan a très logiquement agi en commençant par
décrire
les idiots les plus défectueux pour arriver à c
e remar- quable de ce fait avec les trois observations de L. Meyer,
décrites
sous le nom d'hystérie aiguë mortelle ; tout di
u et provoquer ainsi tout le complexus symptomatique de la psychose
décrite
. Il n'y a à cela rien d'étonnant, puisqu'aux ma
i suivent, présentent tous un élément qui rappelle les phénomènes
décrits
par Witkowski sous le titre de phénomènes de l'in
irium tremensspontané de Witkowski; Magnan (1874) et de Speyr(1882)
décrivent
des cas de ce genre elles modalités de passage
ons histologiques reproduisent exacte- ment celles que M. Ranvier a
décrites
sur le bout in- férieur d'un nerf sectionné. A
r de la fibre nerveuse. A côté de cette forme, il en est une autre,
décrite
pour la première fois par M. Gombault' sous le
des altérations très semblables, mais non identiques à celles que
décrit
M. Gombault. Si, dans le fait dont il s'agit, l
sont accumulées quelques sphères semblables à celles qui ont été
décrites
, une petite quantité de protoplasma et des noyaux
re de torsion. Présente des lésions identiques à celles qui ont été
décrites
dans les branches terminales, avec cette différ
al. Les formes de la lésion sont d'ailleurs celles qui ont été déjà
décrites
. Le tronc du sciatique est bien moins atteint q
jet, nous nous bornerons à rappeler que M. Dé- jerine', après avoir
décrit
dans plusieurs faits de para- lysie diphthériti
ation de la myéline s'effectue d'après un mode analogue à celui que
décrit
M. Gombault. Elle débute par la périphérie du t
il nous a été impossible de constater autre chose que les lésions
décrites
par M. Ranvier comme propres à la dégénération
se une élévation d'irritabilité et ainsi l'explication du phénomène
décrit
serait donnée en guise de celle qu'a donnée un
és. A mon avis, il faut faire une diffé- rence entre les phénomènes
décrits
comme réflexes tendineux et entre les vrais réf
ATHOLOGIE NERVEUSE. C'est tout à fait le même procédé que j'ai déjà
décrit
chez les chiens narcotisés de MM. Heidenhain et
savoir quel était son état pendant « ses crises ». Sa mère nous les
décrit
fort exactement. Aussitôt que An- nette G... av
que, terminée par la mort, est une affection très obscure, bien que
décrite
dans les livres clas- siques : d'autre part on
l'un ou l'autre courant, ou mieux encore par la méthode que « ,j'ai
décrite
sous le nom de galvano-faradisation. La valeur de
un papier blanc en lui disant : Voici votre portrait. Elle voit et
décrit
complètement ce portrait, y ajou- tant les déta
exemple, et un raisonne- ment. Les expériences sur des somnambules
décrites
très 'minutieusement dans l'ouvrage exagérant l
fois, attitudes dont M. Richer, en véritable connaisseur, excelle à
décrire
les ressemblances avec les attitudes de la gran
l'auteur et comprendre avec quelle sage raison il a eu pour but de
décrire
les aliénés héréditaires qui existent incontest
les caractères des principales formes de folie à deux, qui ont été
décrites
: Io la folie imposée (J. Falret et Lasègue), d
passif est un prédisposé à l'aliénation, tandis que, dans la forme
décrite
par Faire et Lasègue, c'est simplement un débil
tions personnelles de M. Babinski. Dans les chapitres suivants sont
décrites
certaines variétés et certaines formes de la sc
roprement parler, car déjà, en 1883, MM. Charcot et P. Richer l'ont
décrite
sous le nom « d'impuissance motrice des membres
à exposés dans le travail que nous avons cité '. M. Weir-Mitchell
décrit
sous le nom d'ataxie mo- trice hystérique des t
nt privés du contrôle de la vue. Le second est une forme non encore
décrite
. Quelquefois elle est combinée à des phénomènes
onnelle. Erlenmeyer rapproche les convulsions statiques de la forme
décrite
par Bamberger sous le nom de spasme saltatoire2
érant à tous égards des di- vers troubles de coordination jusqu'ici
décrits
et caté- gorisés. Observation 1. (Rédigée d
que désor- donnés tout en présentant les caractères que nous avons
décrits
. Les autres appareils organiques n'offrent rien
nous avons étudié d'une façon sommaire l'état mental de M. Mistral,
décrit
son installation, apprécié les soins RAPPORT SU
r les auteurs modernes pour désigner les attaques que nous allons
décrire
. Les auteurs qui, jusqu'au xix° siècle, suivire
tefois, nous devons accorder une mention spéciale il Sydenham qui
décrivit
parfaitement en quelques ligues J'apoplexie hysté
s par Landouzy qui, dans son Traité complet de l'hystérie (18/f6)
décrit
les attaques de sommeil sous la rubrique de « Per
Et pourtant, Briquet emploieunesynonimie assez large puis- qu'il
décrit
dans son même chapitre vu les «attaques de som-
variables constitutifs de la grande attaque étaient le plus souvent
décrits
sans ordre, bien que l'analyse de chacun d'eux
ogique des attaques de sommeil, mais, avant d'entreprendre de les
décrire
il est nécessaire d'exposer certaines considérati
ique modifiée. » Aussi M. P. Richer a-t-il par- faitement raison de
décrire
comme nous l'avons noté ces accidents sous la r
il y a une induration calleuse de 1 épidémie. Outre les cicatrices
décrites
, il y a une petite cicatrice, située un peu au-
supérieur droit. Souvent se produisent les mouvements fibrillaires
décrits
plus haut dans les extenseurs des pouces, du cô
s de la main droite alterna- tivement des contractures spasmodiques
décrites
plus haut, mais à un degré peu marqué. Point
'anesthésie partielle les altéra- tions trophiques caractéristiques
décrites
par d'autres auteurs, des tumeurs pâteuses dans
'affection qui 196 pathologie nerveuse. nous occupe de celle qu'a
décrite
Erlenmeyer sous le nom de convulsion statique,
les ouvriers employés à la machine à coudre, spasme des rémouleurs
décrit
par Duchenne, spasme des chorégraphes, danseuse
e se réalisant sous l'une des formes que nous nous sommes attaché à
décrire
. Ne pourrait-on pas invoquer un mécanisme du mê
celles résultant du trajet de la scissure interpariétale ci-dessus
décrite
. Le pli courbe est volumineux et relié à la deu
t subitement ; la tète s'incline en avant, puis alors il commence à
décrire
, avec assez de lenteur, de petits cercles de dr
s d'accès alter- nent irrégulièrement avec les crises vertigineuses
décrites
plus haut. Etal psychique. - Dans les premier
s ne sont pas encore d'accord : nous voulons parler de ce qui a été
décrit
en Allemagne sous le nom de Catatonie ou Spannu
nt parallèlement à celle de l'état général. Enfin l'oedème cérébral
décrit
par Etoc-Demazy3 serait une troisième forme.
de plus, en passant, que J\1eynert, deux ans avant Kahlbaum, avait
décrit
la Catatonie comme une forme particulière de mé
ui est le point de départ de toute l'évolution morbide. Hammond '
décrit
la Catatonie comme une vésanie spéciale caracté
estion et parmi les formes que peut affecter la folie hystérique il
décrit
le Wahnsinn catatonique. Cette forme très fréqu
e qui ne l'opposent qu'aux - bouffées délirantes des dégénérés déjà
décrites
par Morel. D'un autre côté, au point de vue du
res fondamentaux mais incomplets de la maladie que je me propose de
décrire
. Ses symptômes et sa marche en font une espèce
ton ». Enfin il éprouva une sensation encore plus désagréable qu'il
décrit
sous le nom de sensation de dénivellement, et d
ertiges auraient débuté dès l'âge de cinq ans. Les parents nous les
décrivent
de la ma- nière suivante : « Ça venait comme un
tto- nita avec phénomènes cataleptiques. Il se demande si les cas
décrits
comme typiques méritent de constituer vraiment uu
que l'affection avait été pour la plupart du temps diagnostiquée et
décrite
surtout en France (Bail- r larger'.) Aujourd hu
tte étiquette ne sont «- que des variations de types déjà connus et
décrits
. Examinons donc la première opinion qui fait de
ulement en passant que c'est sous ce nom que beaucoup d'auteurs ont
décrit
et décrivent encore la catatonie de Kahlbaum.
passant que c'est sous ce nom que beaucoup d'auteurs ont décrit et
décrivent
encore la catatonie de Kahlbaum. Guislain 2 s
ain 2 signale aussi la fréquence de ces symptômes dans l'état qu'il
décrit
sous le nom d'extase, différent de l'extase de
ar l'idée de l'élément spasmodique capital dans la forme qu'il veut
décrire
, Kalhbaum fait de la verbigération une crampe d
une cuiller ou un verre et les porter à la bouche), la main droite
décrit
des oscillations assez grandes, avec conservati
e, le type le plus parfait du délire chronique tel qu'il nous a été
décrit
ici. » Les trois périodes, en effet (inquiétude
mates physiques mis en lumière par Morel et cités par M. Faire[, et
décrivait
même des anomalies du fond de l'ail. Aujourd'hu
il déclare ne pas admettre du tout le délire chronique tel que l'a
décrit
11. Ué- rente. Il y a donc plusieurs théories d
nos maîtres éminenls Lasègue, Morel et notre regretté Foville ont
décrit
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 463 Lasègue dans sa monog
es consécutifs à l'hypochondrie né- SOCIÉTÉS SAVANTES. 465 vrose,
décrit
le délire hypochondriaque et, dans un chapitre sp
les deux observations de traumatisme avec hématomyélie hémilatérale
décrite
par lui il y a plusieurs années. M. RiciiTER.De
qu'il res- sort des travaux publiés depuis une dizaine d'années, et
décrit
: 1° la topographie corticale motrice et non mo
erches analogues, a été placé à la fin de ces leçons. On y trouvera
décrite
la technique des principales expériences de M.
la pathologie. Des faits de ce genre avaient, il est vrai, été déjà
décrits
par Brodie et par Reynolds, mais c'est à M. Cha
ue le docteur en médecine n'aura vu qu'une fois son malade. Comment
décrira-t
-il alors des phases qui n'auront pas existé ?
Une maladie, à son début, a des phases qu'il n'est pas possible de
décrire
. Je disais tout à l'heure à M. Paris : Alors même
ecin ne pourrait pas tomber sous le coup de la loi pour n'avoir pas
décrit
des phases qui n'ont pas existé. Plusieurs séna
iques. Le premier d'entre eux est un exemple typique de l'affection
décrite
pour la première fois par M. Morvan (de Lannilis)
e dans le plan transversal, déviation telle que la crête vertébrale
décrit
une S italique, dont la concavité supérieure (p
différents types d'attitudes vicieuses, le premier principalement,
décrits
par M. le professeur Charcot. Les poignets, les
e cours de ces dernières années, celles où le tremblement se trouve
décrit
d'une façon suffisamment explicite et rapporté à
ystériques, un tremblement du membre supérieur droit que l'auteur a
décrit
dans les termes suivants : « Tout le membre est
tères. Dans une de ses leçons sur l'hystérie de l'homme, M. Charcot
décrit
en ces termes le tremblement qui existait chez
t mouvements choréiformes (t. III, p. 212), M. Charcot, après avoir
décrit
les tremblements à oscillations lentes, dit encor
e entre certaines de ces formes et la plupart des tremblements déjà
décrits
et classés en pathologie nerveuse. Ce sontlà, e
des tremblements de nature hystérique que nous nous pro- posons de
décrire
dans le présent travail. II Les tremblements
de là la nécessité qui s'impose à nous de les classer avant de les
décrire
. - III Envisagés au point de vue de la fréque
asedow où il peut se montrer associé au tremblement vibratoire qu'a
décrit
M. P. Marie. C'est précisément parce que ce tro
raphique. - Ce procédé est plus précis que celui que nous venons de
décrire
, pourvu qu'on ait soin de se placer dans des cond
ssemblance réelle avec le tremblement hystérique que nous venons de
décrire
: ce sont le tremblement alcoolique, celui de l
ordre, auquel il est donné d'observer la malade, non seulement nous
décrit
d'une façon extrêmement remarquable ces hémorrhag
encore il M. Charcot - et il n'est pas un des types que nous ayions
décrit
qui- ne repose sur des observations prises par
nt en grande partie cause du trouble de la démarche que nous allons
décrire
plus bas et la tour- mentent également quand ,e
T L A N (; 0 L r E . (; A TA LEP TT Ii' 0 fLvI E Kahlbaum, en 187,
décrivit
le premier une forme nouvelle d'affec- tion men
itent alors beaucoup plus rapidement que dans la forme précédemment
décrite
, empiétant les uns sur les autres pendant un CO
l'on compare les phénomènes présentés par notre malade à ceux qu'on
décrit
habituellement dans la catatonie, on constate qu'
ui sont consacrés a la symptoma- tologie des polynévrites, l'auteur
décrit
un type de polynévrite à forme de paralysie gén
assez rares jusqu'ici, surtout en France où ils ont cepen- dant été
décrits
pour la première fois, et, d'autre part, notre ca
rev... et font tout de suite songer à l'affection si magistralement
décrite
par M. P. Marie, à l'acromégalie. Toutefois, de
de la cornée est désignée sous le nom du signe de de Graefe qui l'a
décrite
le premier. ( Les signes de Stellwag et de de G
prolongée dans le bulbe et la protubérance. Rappelant que Kussmaul
décrit
sous le nom de poliomyélite antérieure l'affect
des noyaux sous-jacents au plancher du quatrième ventricule. Il en
décrit
trois formes : aiguë, subaiguë et chronique, et
, la physionomie du malade présente un cachet tout particulier bien
décrit
par Hutchinson dans un mémoire' publié dans les
etits ramuscules qui sont lésés. Les faisceaux neuro-musculaires (
décrits
par MM. Babinski et Roth) sont plus rarement at
entale à la Salpêtrière. de Bucarest. (A suivre.) 1. Nous avons
décrit
spécialement ces faisceaux neuro-musculaires dans
xique, enfin des lésions du pied droit qui rappellent ce que l'on a
décrit
sous le nom de pied tabétique. Le tabes paraît do
e. Pour déterminer l'état particulier des yeux que nous venons de
décrire
, il faut solliciter plus ou moins fortement la co
ée peut-être même. Mais autre chose est voir, autre chose regarder,
décrire
complète- ment et rapporter les faits à leur vé
auteurs, en particulier par Korsakoff, à propos de la maladie qu'il
décrit
sous le nom de psychose polynévritique '. Quant a
toxhémique » ou « psychose polynévritique ». Cette affection a été
décrite
mais n'a pas été différenciée, jusqu'au premier
des dont l'expression clinique corres- pond exactement à la maladie
décrite
par Duchenne sous le nom de paralysie spinale a
re la pro- fession de forgeron. Au premier aspect, à cette attitude
décrite
si soigneuse- ment par Giraud-Teulon, je reconn
constater chez J. B... les mêmes symptômes de paralysie ocu- laire
décrits
huit mois auparavant; l'affection oculaire n'a do
ation nous a été obligeamment confiée par notre ami Achard, qui l'a
décrite
dans les Archives de Médecine expé- rimentale.
rs. Je veux parler de cette maladie que le médecin qui l'a le premier
décrite
, Ma le Dr Morvan (de Lanni-lis), appelle « la par
ail, qui en a fait une importante étude, est une forme de la maladie,
décrite
autrefois par Alibert, puis en 1845 par Thirial.
if. Cet aspect spécial de la face chez les sclérodermiques a été bien
décrit
par Ohier, dans la thèse que je vous citais tout
Arrivons maintenant à l'aspect général de la maladie, telle qu'il l'a
décrite
. Les trois phénomènes prédominants sont : 1° To
e l'arthrite sèche. Tels sont les éléments constituants du syndrome
décrit
par Morvan. Mais nous devons encore passer en rev
ésentait bien le type de la maladie de Morvan, telle que je vous l'ai
décrite
en commençant. Mais, me direz-vous, que vient f
ques de nerfs, mais il est sujet à de fréquents étourdissements qu'il
décrit
de la façon suivante. Il est pris de sifflements
s, C'est ce qui décida M. Chaput à faire l'opération que je vous ai
décrite
. Mais ce n'est pas cela seulement qui l'a guidé d
emière fois que les tremblements liés à la névrose hystérique ont été
décrits
et classés de façon à permettre désormais de les
contraire notre cas des faits de tremblement mercuriel que nous avons
décrit
, il y a 2 ans, dans les Leçons du Mardi (1). Et l
emple du type intentionnel du tremblement hystérique, tel qu'il a été
décrit
pour la première fois par M. Rendu. Le second cas
les sont souvent provoquées par une contrariété. Voici comment il les
décrit
: « Ça le prend dans le ventre, puis ça monte en
ervice , M. Parinaud et M. Marie, alors mon chef de clinique, avaient
décrit
la névralgie oculaire a retour périodique —notre
ien marquer la participation des fonctions gastriques, il y a lieu de
décrire
séparément le Blind headache, dans lequel il y a
douloureuse, qui a été marquée par tous les incidents que nous avons
décrits
à propos du premier accès : hé-micranie droite, v
œdème considéré comme trouble trophique hystérique. L'œdème blanc est
décrit
par Sydenham. L'œdème bleu est encore à peu près
t, tant l'œdème hystérique était chose peu connue, l'avoir le premier
décrit
. Mais, dans tous ces auteurs, je ne vois guère
iques du membre inférieur, puis beaucoup plus tard par Valleix qui en
décrivit
les points douloureux, nous avons appris à connaî
les nôtres, moins fréquente que la localisation déjà depuis longtemps
décrite
dans les sciatiques traumatiques. C'est de la név
es dans son ensei -gnement clinique. Nous ne nous attarderons pas à
décrire
la distribution normale des branches motrices du
on connaît depuis longtemps dans la sciatique, ceux que M. Landouzy a
décrits
en 1875 dans le mémoire que nous avons déjà cité.
n trouble dépendant de la sciatique, analogue à ceux qui ont déjà été
décrits
dans cette maladie. La raison est bien simple. On
la sciatique simple, dans laquelle on ne l'avait, il est vrai, jamais
décrite
jusqu'aujourd'hui, que dans la sciatique par lési
-mentier, interne, médaille d'or des hôpitaux. parlais à l'instant.
Décrite
, il y a plus de cent ans, par Cotugno, étudiée av
à exécuter qu'à l'aide d'artifices de mouvements que nous ne saurions
décrire
ici en détails, mais qu'il est bien instructif d'
ossy skin, les escarres, et le panaris analgésique (semblable à celui
décrit
par Morvan). Les fractures spontanées, les arth
lui, théoriquement, pour substratum anatomique de la maladie par lui
décrite
, une lésion spinale centrale occupant surtout la
r des foyers de ramollissement multiples du genre de ceux qui ont été
décrits
par M. Dickinson, sont dues à des altérations vas
ppants. Vous reconnaissez encore cette démarche de stepper que j'ai
décrite
autrefois chez les paralytiques alcooliques, chez
déviations faciales dans l'hémiplégie hystérique, a été régulièrement
décrit
en 1888 par MM. Brissaud et Marie \ Ils en ont pa
ésenté comme un « absinthique ». Les accidents nerveux que nous avons
décrits
plus haut à savoir : attaques convulsives épilept
brève et de rappeler en même temps les noms des deux auteurs qui Pont
décrite
pour la première fois. Incontestablement, la comm
ongueur situé à peu près sur une ligne droite transversale au lieu de
décrire
l'arc normal que décrit le sourcil droit. Au-dess
sur une ligne droite transversale au lieu de décrire l'arc normal que
décrit
le sourcil droit. Au-dessus de ce sourcil gauche,
pect général rappelle, à s'y méprendre, le type acromégalique si bien
décrit
par M. Marie. Toutefois, certaines particularit
jambe saine ; puis elle jette en avant la jambe paralysée et lui fait
décrire
un mouvement de circumduction, d'arc de cercle. »
lle traîne le membre paralysé après elle comme un corps inanimé, sans
décrire
aucun mouvement de circumduction, sans faire aucu
ble. Pour déterminer l'état particulier des yeux que nous venons de
décrire
, il faut solliciter plus ou moins fortement la co
ipitent alors beaucoup plus rapidement que dans la forme précédemment
décrite
, empiétant les uns sur les autres pendant un temp
œdème considéré comme trouble trophique hystérique. L'œdème blanc est
décrit
par Sydenham. L'œdème bleu est encore à peu prè
nce grise. C'est là justement le cas des affections que nous allons
décrire
. Toutes sont déterminées par une lésion qui siège
paralysie infantile spinale, la para-lysie générale spinale récemment
décrite
par M. Duchenne (de Bou-logne) et qui n'a pas reç
u corps et reconnaître les mo-difications importantes que nous allons
décrire
, c'est-à-dire les conséquences d'une paralysie do
une aiguë. La première de ces affections a quelque rapport avec celle
décrite
par MM. van Lair et Masius, et mérite de nous arr
marquée à la guérison. Telle est, en résumé, la nouvelle affection
décrite
par MM. van Lair et Masius ; son individualité se
M. Woillez est parvenu à faire avec son simple ruban. D'abord il a pu
décrire
ma-gistralement une maladie naguère obscurément i
alades, salle Sainte-Pauline, n° 21, le 14 dé-cembre 1871. Avant de
décrire
l'affection qui a motivé son admission, l'opé-rat
e fille, avons-nous dit, est rentrée à l'hôpital en 1871* Nous allons
décrire
son état actuel (janvier 1872). Ce qui frappe t
t des cicatrices. (Voy. Planche IV.) De ces cicatrices, la principale
décrit
une ligne sinueuse en S, laquelle part de la comm
rge graisseuse, se surajoutent habituellement aux lésions qui ont é!é
décrites
plus haut. Des amas de granulations et de gouttel
ire exactement ce qu'on observe dans la période ultime de l'affection
décrite
par 1 Volkmann, loc. cit., p. 5. 2 Voir à ce
et des noyaux des gaines vasculaires, telle, en un mot, qu'elle a été
décrite
par Frommann et par Mann-kopf. L'existence de foy
, p. 440). II. Note sur la. tricoptilose, affection des cheveux non
décrite
, par M. A. Devergie. — Madame X... présente un be
ait de nouvelles. Il est grand, gros, fort, de ce tempérament qu'on a
décrit
sous le nom d'arthritique. Il a eu pendant longte
» L'auteur termine son intéressante communication en disant « qu'on
décrit
sous le nom de molluscum des tumeurs dont l'appa-
ît être une tumeur à cytoblastions d'après Verneuil ;— cas de Guibout
décrit
sous le nom de fibromes généralisés ; — cancer mo
du cerveau distendu par une hy-dropisie ventriculaire. Après avoir
décrit
la méningocèle, Spring pense que la méningo-encép
me soumettant de la façon la plus absolue au mode opératoire que j'ai
décrit
dans mon livre. — J'évite le bulbe en découvrant
axe par la voie colloïde des anneaux constric-teurs des tubes nerveux
décrits
précédemment par l'auteur (Acad. des sciences, 15
rand soin de faire de la compression sur le trajet que nous venons de
décrire
. 11 mars. — L'état du malade est resté le même,
rien de remarquable, si ce n'est les veines volumineuses précédemment
décrites
. Il n'en est pas de même de la troisième couche c
ions nom-breuses de la diathôse, on est peut-être encore trop porté à
décrire
une marche spéciale, et toujours la même, à l'inf
uite les coulisses tendi-neuses du cou-de-pied. Lespéroniers latéraux
décrivent
la même courbe que les muscles postérieurs mais l
ue Morgagni connaissait l'élongation du col de l'utérus. En effet, il
décrit
nettement, chez une femme de vingt-cinq ans, un c
ntes formes que peut affecter le col de l'utérus hypertrophié ont été
décrites
d'une façon remarquable par Scanzoni. — Avec lui
e l'auteur n'avait pas d'abord trouvée dans ses observations et qu'il
décrit
, d'après Frerisch, mais qu'il décrit ensuite à la
e dans ses observations et qu'il décrit, d'après Frerisch, mais qu'il
décrit
ensuite à la fin de son travail d'après Rokitansk
a photographie ne pouvait pas rendre et ce que nous allons essayer de
décrire
. Si on examine attentivement la surface ulcérée,
nagent dans le liquide. Telles sont les formes spéciales qu'on peut
décrire
. Il va sans dire que 1 II est impossible de con
connaître sur une partie de ces cellules les irrégularités de contour
décrites
par Max-Schultze et qui les ont fait désigner sou
des prodromes constitués par l'aura hystérique telle que nous l'avons
décrite
. Cette aura, en général de longue du-rée, occupe
sibilité cutanée est abolie en certains points sur les bandes de peau
décrites
plus haut. A la circonférence ou plutôt à la base
ître l'ennemi auquel on a affaire, le rapport de M. Bergeron, où sont
décrits
, avec autant de précision que de sobriété, les ef
de la tâche que nous nous sommes imposée; il nous reste maintenant à
décrire
les résultats que l'on a obtenus par l'em-ploi de
tre fait. De plus, l'existence des lacs vasculaires, tels que les a
décrits
M. le professeur Broca, est assez improbable si n
u'il y avait en ces endroits de véritables lacunes telles qu'on les a
décrites
, et que ces bosselures étaient plutôt constituées
eur dans cette région. Les formations intermusculaires doivent être
décrites
sous la dé-nomination de lymphadénome caverneuse,
ntérieure du rectum sur une longueur de 8 centimètres; nous venons de
décrire
la perforation existant dans cette paroi. Latér
une dé-générescence kystique. — Ovaire gauche. L'abcès que nous avons
décrit
plus haut arrivait latéralement jusqu'à l'ovaire,
de la face et les paralysies du membre supérieur sont successivement
décrites
. Chacune de ces paralysies est divisée en trois v
médication topique de l'u-rèthre, M. Mallez fait un peu d'historique,
décrit
les bougies médi-camenteuses, les instillations,
un col hypertrophié dans tous ces éléments, tel que nous venons de le
décrire
, présen-tant les particularités suivantes : plusi
evand reprend à nouveau l'action physiologique de la di-gitale, qu'il
décrit
d'après les leçons du professeur Sée ; il range c
iencieux et répétés, il demeure dans cette conviction que le pro-cédé
décrit
dans le rapport ne permet d'obtenir que fort diff
re du Péloponèse, c'est-à-dire 425 ans avant notre ère. Mais la peste
décrite
si magistralement par Thucy-dide n'est-elle vraim
t. — L'étiologie, la symptomatologie de celte terrible affection sont
décrites
avec tous les développements nécessaires ; l'aute
ieure, et s'insinuant entre celle-ci et la zone scléreuse ci-dessus
décrite
. La substance grise ne parait pas altérée dans
intégrité complète. De plus, tout au haut de la moelle, nous avons
décrit
une lésion dont l'as- pect et la siluation étai
e à croire qu'ils sont la conséquence de la névrite post-variolique
décrite
par Joffroy. R. Charon. X. CONTRIBUTION A L'ÉTU
de médecine, septembre 1897.) Les troubles vasomoteurs ont déjà été
décrits
dans la neurasthé- nie, mais l'attention avait
uivants, de l'accès de migraine ophtalmoplégique, et, tel que l'ont
décrit
les auteur-, notamment en France, Chariot ; persi
as tenu compte de l'ensemble des symptômes nécessaires que l'on a
décrit
à tort des paralysies générales sans aliénation,
créé la confusion actuelle. Le seul moyen d'y mettre fin est de ne
décrire
sous ce nom que des' càs semblables, en rapport
de toute l'extrémité supérieure droite. Des cas semblables ont été
décrits
par Marie et Alaixuer sous le nom de chéiroméga
stantes, nous l'avons vu. Leurs caractères, tels que nous les avons
décrits
, rappellent ceux de l'artérite et de la phlébit
liées à une altération des organes explorés. Les diverses réactions
décrites
depuis trente ans (réactions de dégénérescence,
toire ; par F. PETER501. (Jledical-News. 'janvier 1898.) L'auteur
décrit
avec figures les appareils de Leidbeck et dit en
ente. Hypérémie très accentuée; outre les altérations vascu- laires
décrites
plus haut, nous voyons à cette hauteur des artère
e. Pas de dépendance entre le canal central et la cavité ci- dessus
décrite
. La configuration du tissu médullaire reste la
côtés convexes ; la structure de la paroi est celle que nous avons
décrite
plus haut, sauf que la raréfaction du tissu env
la littéra- ture médicale jusqu'à nos jours, qu'une dizaine de cas
décrits
plus ou moins sommairement. Impossible de tra
concerne les vaisseaux notre observation reste isolée : les auteurs
décrivent
les parois vasculaires tout à fait normales, ta
mordiale est celle du terrain. M. GARNIER se demande si le délire
décrit
par M. Régis n'est pas seulement le délire toxi
pri- mitive des cordons latéraux sans atrophie musculaire. Je l'ai
décrite
dès 1885 sous le nom de tabès moteur. Les troub
olie transitoire causée par une névrose ou une maladie céré- brale,
décrit
une manie ou un délire transitoire c qui survient
e localiser primitive- ment sur l'endartère, de sorte que l'on peut
décrire
à l'artérite vraie un processus toujours le mêm
donné une hémiplégie progressive semblable à celle que nous avons
décrite
, mais dont la pureté clinique se perdra dans les
- PRÉSIDENCE DE M. BRUNET. Délire de revendication. M. CULLERRE a
décrit
, en 1897, sous le nom de délire de l'evendi- ca
uses formes plus ou moins dégénérées ou frustes de la lèpre grecque
décrite
et comprise par lui dans un seul groupe dénommé
à la façon égyptienne. SYRINGOMYÉLIE. 281 Brissaud' a récemment
décrit
quelques cas de pachyménin- gite cervicale hype
titre : « Propriété de rougir comme affection particulière », il a
décrit
dans laRevzce de psychiút1'ie, etr ? de 1896, n
r ? de 1896, n 12, une atfection absolument analogue à celle qu'ont
décrite
MM. Pitres et Régis. D'accord avec ces derniers
(Edinburglt Médical Journal, juin 189î.) Dans cette étude, l'auteur
décrit
avec détails la structure histolo- gique de la
ar les nouveaux procédés de technique de Golgi et Ramon y Cajal. On
décrivait
jusqu'ici cette couche corticale comme formée u
2° Un plan de fibres nerveuses tangentielles. Tous les auteurs ont
décrit
ces faisceaux de fibres à myéline dirigés parallè
isse de côté le type ordinaire de la marche et de la course qu'il a
décrit
antérieurement; il en donne seulement des schém
siolo- giques incomplètement élucidées que de la nature des faits
décrits
sous le nom de folie- hépatique. Ces observations
ations successives, il devient évident que Duchenne, de Boulogne, a
décrit
purement et simplement un symptôme ; l'amyotrop
ence, l'étiologie, le développement de cette affection, l'auteur en
décrit
les symptômes primordiaux (la dépression, l'emp
là les principaux éléments du foyer que nous nous sommes proposé de
décrire
. Quant aux cellules nerveuses elles ont subi de
rt grossissement des carac- tères différents de ceux que nous avons
décrits
pour les mêmes cellules du foyer précédent. Ell
t de noyaux. On trouve ces petits foyers rarement en dehors de ceux
décrits
sous le titre A et B. Nous les envisageons po
nce grise. En effet, toutes les trois formes de foyers précédemment
décrits
siègent dans la corticalité cérébrale. Mais la
le de nous prononcer. Les fibres nerveuses correspondant aux foyers
décrits
ont subi une atrophie très prononcée qui n'est
ation t hyperplastique » donnée par Ilayem à l'inflamma- tion qu'il
décrit
, provient de la propriété qu'ont les cellules s
iicepliali Lis) ou par plaie aseptique. Voici en résumé comment ils
décrivent
ce processus inflammatoire. Autour de la piqûre
r une forme d'encéphalite tout à fait distincte de ce qu'on avait
décrit
jusqu'à ce jour. Nous dirons même que Friedmann
Quant aux foyers d'encéphalites mêmes, voici comment Friedmann les
décrit
. Le principal élément de leur constitu- tion es
ticalité, mais il présente des caractères un peu différents de ceux
décrits
plus haut. Comme évolution, Friedmann dit que c
ence l'étude régulière de l'encéphalite aiguë spontanée. Le premier
décrit
ce qu'il nomme la polioencéphalite hémorragique
queduc de Sylvius et quelquefois le troisième ventricule. Strümpell
décrit
l'encéphalite aiguë hémorragique qu'il pré- sen
que des auteurs (Jaksch, Pmge1' med. lYochen., 1895, n° 7) aient
décrit
de simples ramollissements hémorragiques pour d
aiguë en foyer. Cette confusion est surtout possible pour la forme
décrite
par Wernicke chez les alcoo- liques. Ces dernie
1° de petits foyers de ramollissement; 2° de foyers inflammatoires
décrits
sous le titre de foyers forme il ; 3° de foyers
sement que l'on observe au sein ou à côté des foyers inflammatoires
décrits
peuvent être la conséquence de trois processus
'aspect caractéristique des foyers d'encéphalite aiguë non suppurée
décrits
par Coën. En effet, nous trouvons ici principal
es foyers inflammatoires forme A ne sont autre chose que ce qu'on a
décrit
sous le nom d'encéphalite subaiguë. OR y consta
les névrogliques dans les cas d'encépha- lite aigué non suppurative
décrits
ces derniers temps par différents auteurs. D'
des détails minutieux sans importance. Ainsi, la folie morale a été
décrite
avec ses subdivisions : pyromanie, klepto- mani
ondaires wallériennes et se rapproche au contraire de ce que l'on a
décrit
sous le terme assez impropre du reste, de dégén
encontre pas toujours dans le sang le bacille spécifique qu'ils ont
décrit
. Dans quelques cas, en revanche, l'examen bactéri
n segment postérieur existe le - trousseau médian du cordon latéral
décrit
par moi en 189 et en 1896. Ainsi s'exprime M. d
es des cornes postérieures. Cette partie posté- rieure que M. Bruce
décrit
comme étant un trousseau spécial est précisémen
oubli dont elles étaient dignes. La neurasthénie M'aie que l'auteur
décrit
avec une précision parfaite est un état acquis,
rouvons plus la structure de la paroi artérielle que nous venons de
décrire
. Au niveau des points où se fait l'union de l'a
sait même de dilata- tions miliaires absolument semblables à celles
décrites
par Charcot et Bouchard sur les artérioles intr
25 tions, elles existent et dès lors méritent d'être signalées et
décrites
. Il semblerait d'après nos constatations qu'elles
- naît pas la statistique anglaise à cet égard.) M. Wigtesworth a
décrit
il y a peu de temps deux cas de maladies cérébral
rick l'ETEUsoN de New-York. (Médical zezvs,,janvier 1900.) L'auteur
décrit
sous ce titre l'Asile de Giessen près de Frank-
cas rentre parfaitement dans l'un des trois types cliniques qu'il a
décrits
, la lésion centrale ici n'est point nucléaire à
ses. Ici, je me permets de recommander mes appareils, lesquels sont
décrits
en détail dans mon travail intitulé « Exercices
tant quelques cas que j'ai traités avec la gymnastique passive sont
décrits
dans la Revue centrale de médecine générale, 18
uliens, point qui est au contraire la caractéristique de la forme
décrite
par M. Sottas sous le nom de myélite pseudo-tabét
tre part des lésions tabétiformes. Cette association a été en effet
décrite
par plusieurs auteurs : Kuh, Dinckler et Marine
égie spasmodique forme Erb, avec signe d'Argyll. Le plus souvent on
décrit
soit des myélites créant la sympto- matologie d
ées de la façon suivante : Les mouvements associés tels qu'on les a
décrits
jus- qu'ici dans la période post hémiplégique,
cas d'osLroporoes, d'hyperos- tose, et de ramollissement des os. Il
décrit
les modifications dans la structure de ces os,
e septum, ce qui expliquerait les diver- gences des auteurs qui ont
décrit
« ce champ ovale », relativement au niveau où o
de de Golgi. P. Keraval. XXIII. Du poids du cerveau le plus lourd
décrit
jusqu'ici ; par G ? C. VAN WALSEN. (Neurolog. C
ouve trop absolue l'opinion qui consiste à nier l'existence du type
décrit
par M. Trenel. M. Briand ne voit pas pourquoi,
Ce deuxième phénomène a déjà été vu parWUnDT, Galas- si, GFFOan et
décrit
en détails récemment et presque à la même époqu
enfin une dégénérescence dans les racines de la IVe paire. Guerver
décrit
encore une dégéné- rescence du faisceau pyramid
ir son individualité. Au point de vue clinique, aucun des symptômes
décrits
par Landry n'est fondamental. 1° La paralysie
rande mesure, être regardée comme une circonstance fortuite. On a
décrit
des cas dans lesquels les membres supérieurs ont
couleur, son con- tenu, mais surtout d'après son évolution. Elle ne
décrit
plus comme espèces distinctes les diverses phas
beaucoup d'éléments impulsifs; 7° La démence précoce (hébéphrénie)
décrite
par Kahlbaum et Hecker, se présente sous deux f
6 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. rapprochant de celle qui a été
décrite
par Kalbaum. Quant à la pathogénie, il faut la
les symptômes cliniques se rencontrent, en pratique, tels que les a
décrits
Freud, avec une exactitude frappante, chez des
s on les rencontre aussi associés à la neurasthénie, et ils ont été
décrits
plus ou moins fidèlement sous le nom d'états an
tants officiels de l'enseignement de l'anatomie en étaient encore à
décrire
les nerfs comme des vaisseaux sanguins de la me
ent des maladies ner- veuses proprement dites - et comme telles, on
décrivait
surtout des névroses on se mit à étudier, dans
égénérescences secondaires, rattachées ensuite aux scléroses, Tùrck
décrivait
une sclérose primitive des cordons latéraux; on a
Cependant, comme rapporteur de la Russie, je crois de mon devoir de
décrire
en quelques mots l'évolu- tion de la question p
rminale de l'organe qui peut aboutir, comme dans le cas récemment
décrit
par notre camarade Remlinger 3, précisément à la
scientifique que nous puissions trouver de l'affection aujourd'hui
décrite
sous le nom de microcéphalie. Pinel, dans son
de microcéphalie. Pinel, dans son Traité de l'Aliénation mentale
décrit
aussi, avec des figures, deux cas de microcépha
ieure que les particu- larités morphologiques de l'encéphale furent
décrites
, tandis que la structure intime du cerveau a ét
que la région temporo-sphénoïdale et occipitale. Dans les deux cas
décrits
par Cunningham et Tell'ord Smith (Transac- tion
s intéressant de l'association des deux formes que nous venons de
décrire
a été publié par le D1' Alexander llill dans le X
la vie d'enfants atteints de dégénérescence cérébrale, comme l'ont
décrite
Sachs, Ko- plick, Kingdon et Hussell, sont grou
own (Transactions médicales et chirurgiccclas, 1861 et 1866), ayant
décrit
deux cas d'idiotie dans lesquels le corps calle
mmune de paralysie générale infantile. Depuis que le D1' Clouslon
décrivit
, en 1877, un cas de l'affection chez un garçon
uvent être sans microgyrie (cas de Meine. Matell). Le premier cas
décrit
dans la science est celui que j'ai commu- niqué
n vessies à parois minces ; l'épaisseur des hémisphères dans lé cas
décrit
par Monakow atteignait de l;i à 3 millimètres, et
Monakow atteignait de l;i à 3 millimètres, et dans le cas que j'ai
décrit
de 16 à 4 millimètres. Dans ce dernier cas, la
330 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. groupe, qui a souvent été
décrite
comme aphasie motrice sous-cor- ticale, et qui
pide des muscles. Cet ensemble symptomatique correspond au syndrome
décrit
par Erb et connu encore sous le nom de paralysi
irantes ont un contenu tout à fait absurde. C'est la forme clinique
décrite
sous le nom de Wahnsinn dépressif. Tout l'entou
, des troubles circula- toires. - La mélancolie telle qu'elle est
décrite
par Kraepelinest une ma- ladie du début de la s
. En résumé, nous croyons le traitement masso-mécanothé- rapique,
décrit
plus haut, susceptible de rendre de réels ser-
momètres. La disposition très ingénieuse des fenêtres mérite d'être
décrite
avec quelques détails. Le modèle en est dû à M.
ttirer l'attention du public. Les deux pavillons que nous venons de
décrire
(Bamcken) ser- vent de quartiers d'admission, d
s fenêtres présentent les mêmes dispositions que dans les pavillons
décrits
plus haut; mais elles peuvent, ainsi que les po
on, qui se sont manifestées jusqu'à ce jour à propos des phénomènes
décrits
par Baillarger sous le nom d'hallucinations psy
lution, mais qui se recourbent plus ou moins brusquement, comme l'a
décrit
en détail 1-0 Vogt. Avec cette réserve que seul
étudier très facilement en clinique courante avec le petit appareil
décrit
dans cette note. Discussion. - à. le professeur
de Halle). Je ne sais pas si M. Grasset connaît l'appareil que j'ai
décrit
sous le nom très phonétique de « Kinesiaesthesi
taire, conservation du mouvement imitatif. Ce syndrome ne se trouve
décrit
dans aucun traité. Pick l'a trouvé seulement décr
me ne se trouve décrit dans aucun traité. Pick l'a trouvé seulement
décrit
dans une communication d'Arton sur les troubles
i le font croire à la genèse pathologique de l'autre série des cas,
décrits
comme état criblé. M. le professeur OBERSTEINER
i- culière du réflexe plantaire rappelant le signe de Babinski et
décrite
plus haut (voir A, 2°). a). Sur sept malades, p
signer, quand elle est congénitale et, sous lequel Krafft- Ebing la
décrit
, avec une grande précision, lui convient beaucoup
rganes terminaux des nerfs afférents. Ce sont les organes terminaux
décrits
par Golgi, lluffini et d'autres. Ces organes pe
e Buck et van der Linden, 221. Cerveau. Poids du -le plus lourd
décrit
jusqu'ici, par van Walseu, 136. Centres de proj
DONALD (The Journal of Mental Science, Avril 1901). , Les auteurs
décrivent
avec soin leurs méthodes respectives, auxquelle
Kyste dermoïde du cerveau; par le professeur J. ÏÏALVA. L'auteur
décrit
un cas de kyste dermoïde, qui siégeait dans le
férente de l'hémorragie, du ramollissement et des encéphatites déjà
décrites
. Elle doit être différenciée de l'état criblé d
que n'est pas impuis- sante en face de ces manifestations, l'auteur
décrit
un certain nombre de types un peu arbitraires,
ire tout à fait analogue à la structure des papilles que nous avons
décrites
au centre des tubes ; cette pie- mère est recou
alade présentait aussi cette asynergie des mouve- ments de la jambe
décrite
par M. Babinski. Dans les faits signalés par ce
l'hystérie : pour raconter les événements de cette période, il faut
décrire
les symptômes de son mal ; ce sont les paroles
aliéniste aurait pu saisir, bien qu'elle néglige souvent de nous-en
décrire
quelques-uns pour laisser la place aux faits d'
ans le prologue du Château inté- rieur, une de ses oeuvres, Thérèse
décrit
ainsi son état phy- sique et moral tel qu'il ét
de la confusion mentale. Quand une image est assez nette pour être
décrite
, on distingue deux principaux genres d'éléments
éments logiques. q M. J. Philippe. J'ai demandé à un étudiant de me
décrire
une page du dictionnaire de physiologie de Ilie
représentations mentales. Même dans l'expé- rience qui vient d'être
décrite
, je ne vois que des représentations mentales. E
teur arrive à l'anatomie cli- nique spéciale des centres nerveux et
décrit
successivement l'ap- pareil nerveux central : I
e l'accommodation. 3° De l'ouïe. Comme à l'appareil visuel, il faut
décrire
à l'appa- reil auditif des voies sensorielles,
atiques induits, qu'il fut le premier à employer eu Gynécologie. Il
décrit
minutieusement la nature de ces courants et surto
e le point de départ de ces altérations. Ici comme dans l'ophtalmie
décrite
sous la désignation de neuro-paralytique, le tr
cin adjoinl à l'asile dc 13ron. Sous le nom de sein hystérique on a
décrit
les affections les plus disparates n'ayant de c
es, les couches optiques. Ce sont ces hallucinations que Baillarger
décrit
sous le nom à' hallucinations psychiques et le
ibilité générale, que je crois très rare ; comme elle est très bien
décrite
par Thérèse, et très importante pour nos études
e, qui fut regardée, dans son temps, comme un miracle : très bien
décrite
dans ses mémoires, elle est fort intéressante pou
une phase de mélancolie primitive; 20 une période de doute (Vallon)
décrite
par Lasègue sous le nom de mélancolie perplexe
UES (de Toulouse), rapporteur. I. Historique. Les anciens n'ont pas
décrit
le symptôme mus- culaire que nous désignons auj
mental me parait mauvais, parce que je ne crois pas que la maladie
décrite
par M. Brissaud soit un tic, et parce que je ne
pes établis, tandis que les autres s'écartent plus ou moins du type
décrit
, par un certain nombre de variantes qui en font
elle comme choses pieuses et divines ; états hystériques si bien
décrits
que les médecins de l'époque, ignorants de cette
ie, et qu'aujourd'hui même, pour L'HYSTÉRIE DE SAINTE THEKÈSE 317
décrire
d'une façon parfaite certaines crises, un aliénis
u'il faut placer les halluci- nations racontées plus haut : Thérèse
décrit
admirablement, pour les avoir éprouvées,- les s
elles, avec hallucinations de toutes sortes, sainte Thérèse nous la
décrit
comme le sum- mum de la dévotion. Si nous étu
tes réflexes. 1 M. P. HARTENBERG (de Paris). La névrose d'angoisse,
décrite
par Freud (de Vienne), est caractérisée par les
it être confondu avec le Bacillus fluorescens putridus découvert et
décrit
par Fiugge dans les eaux corrompues, et dans le
494. Après avoir exalté les avantages du campimètre, l'auteur russe
décrit
les altérations qu'il pense devoir exister et i
nt des altérations de ces plexus. Ces syn- dromes ne sont nettement
décrits
que pour le plexus brachial. Ils se rencontrent
ubliées, ne permettent aucun doute à cet égard, que les auteurs ont
décrits
comme neurogliomes gan- glionnaires (Klebs), co
les avons vus au voisinage de tubercules. Riche et de Gothard en on
décrit
de fort riches formations au pourtour d'un kyst
r, Schroder, Bruns, P. Lereboullet, Nonne Schlagenhauser) permet de
décrire
en clinique et en anato- mie pathologique, une
étiologie que par ses symptômes et son évolution, nécessite d'être
décrit
avec soin ». E6 ? e : Pas d'hérédité, choc émot
bation du délire clinique à évolution sys- tématique, tel que l'ont
décrite
Magnan et Legrain. Sclérose en plaques infantil
e et anxieuse, ou bien à l'hypochondrie systématique, telle que l'a
décrite
NI. Sé-las. Dans le chapitre des symptômes l'au
syringomyélie ou d'autres lésions médullaires, renferme l'ensemble
décrit
par Duchenne et Aran et rattaché à la lésion bi
bre 1899.) L'auteur, dans un mémoire du plus haut intérêt clinique,
décrit
pour la première fois une forme de troubles de
domaine de la motilité, entre les symp- tômes depuis longtemps bien
décrits
, d'autres phénomènes clini- ques qui peuvent co
capillaires de la substance cérébrale, mais aucune des altérations
décrites
comme caractéristiques du ramollissement, et su
trière. Nous avons eu l'occasion, l'an der- 462 ' VARIA. nier, de
décrire
la matinée dramatique suivie de bal, organisée
, une affection mentale s'est désormais constituée. » Historique.
Décrite
sous différents noms comme : délire émotif, par
de manie sans délire, de monomanie par Esquirol, Marc et Georget,
décrite
après Morel et comprise par divers auteurs sous
de trouble, à la fois émotif et intellectuel ainsi M. Régis nous
décrit
l'éreutophobe : un jeune prédisposé à rougir dans
initivement.. 5 3. -Le 6 avril (un an après la guérison du phlegmon
décrit
précédemment), -T ? présente le soir une tempér
le thorax les cicatrices des phlegmons successifs que nous avons
décrits
. Il était intéressant de rechercher ce qu'étaient
tique : par 1. HERMANN (Obozrénié psichiatrii, V. 1900). L'auteur
décrit
un désordre psychique passager survenant chez l
, l'auteur va au-devant d'une objection : on lui reprochera d'avoir
décrit
des types bien définis avec altération exclusiv
des cas observés ne présente le type de la manie déli- rante aiguë
décrite
comme apparaissant en même temps que l'influenz
qui se tra- duit par une auto-épilation obstinée et que Hallopeau a
décrite
sous le nom de trichotillomanie. R. C. XVII.
eur estime que la plupart des cas de paralysies générales juvéniles
décrits
au cours de ces dernières années se rapportent
trouver les écrits de Nietzche, il y a quelque exagéra- tion à les
décrire
comme les écarts d'un esprit égaré, et que même
ont rendus meilleurs par la maladie... « Son état était celui qu'on
décrit
sous le nom de folie du doute. » Le pouvoir de ra
lés, l'auteur établit des conclu- sions sur la nature de la maladie
décrite
par Freud : Doit-on, comme le veut ce dernier,
'attention de la Société sur un trouble de motilité qui n'a pas été
décrit
jusqu'à présent et qui consiste en ce que le su
Les auteurs pensent qu'il y a lieu de distinguer dans l'affection
décrite
par Brissaud et Meige, deux variétés : congénital
ent unilatéral. Ce sont ces cas seulement, dit l'auteur, qu'il faut
décrire
comme forme anor- male, car parfois le tremblem
Les auteurs, ayant étudié le noyau de l'hypoglosse chez ce malade,
décrivent
, dans le présent article, les altérations qu'ils
rès petits, les sinus sphénoïdaux effacés. 2° Dans le deuxième type
décrit
par Hermann Proesch les sutures du crâne sont o
taire. Avec tous les excitants employés j'ai observé les phénomènes
décrits
à propos de l'action esthésiogène des métaux, à
leurs conclusions sur 200 cas à peu près de la maladie en question,
décrits
par différents auteurs, les rapporteurs ont tro
e ans. Certains auteurs (SCHULTZE, Monkemoller, R911ANN, LuCrERATH)
décrivent
des cas de psychose de KOHSAKOFF sans phénomène
la glande thyroïde. , , 90 BIBLIOGRAPHIE. Chantemesse et Marie en
décrivent
deux groupes en' rapport avec les deux artères
1° qu'à cette époque les formes fami- liales n'étaient point encore
décrites
; 2° que les caractères cliniques de l'hystérie
ières années et combien variés sont aujourd'hui les types cliniques
décrits
par les auteurs. Il en est un que je veux d'abo
et ratta- cher la maladie de Morvan à la syringomyélie, on a même
décrit
un type de syringomyélie à forme de maladie de Mo
s les cellules sensitives. De plus, Looft, MM. Jeanselme, Marie ont
décrit
chez des lépreux une sclérose des cordons posté
identifier les deux affections. En outre, les lésions de sclé- rose
décrites
au niveau des cordons postérieurs sont trop ana
sublime paria Il exhale son àme en un alleluia ! On ne peut mieux
décrire
en vers une hallucination psychomo- trice et l'
corps et vont souvent jusqu'à l'orgasme vénérien complet. Elle les
décrit
: « Deus s'annonce par un état de bien-être parti
dant la seconde bouffée déli- rante. Cam... a pu, à ce moment, nous
décrire
sa vision et tout ce qui l'avait suivie. A son
tiraillements « fibrillaires », mais présentent le tableau clinique
décrit
par SCHULTT,E sous le nom de myokymie. Le rappo
classe des phobies sociales ; et comme telle, elle mérite d'être
décrite
à part. SOCIÉTÉS SAVANTES. VIVE CONGRES DES
TÉS SAVANTES. il semblerait, d'après cette définition, qu'on dût en
décrire
autant de types qu'il y a de psychoses pouvant
mence paranoïde (démence paranoïde simple), qui comprend les formes
décrites
en France sous le nom de délire polymorphe des
ectitité est absente. Ces états de stupeur, comme ceux d'excitation
décrits
plus haut, peuvent s'observer en dehors de la d
de conserver les démences consécutives aux états dits dégénératifs
décrits
sous le nom de délires d'emblée ou polymorphes,
nsacré presque exclusivement à une forme psychopathique nouvelle,
décrite
récemment nous le nom de démence précoce, par la
forme cellulaire, avec chromatolyse légère) et les lésions que j'ai
décrites
dans la confusion mentale (tuméfaction, gonflemen
noyaux cellulaires sont infiniment plus nombreux que ceux que l'on
décrivait
autrefois, c'est-à-dire les quatre groupes anté
les quatre groupes antéro et postéio-interne et postéro-externes
décrits
par Waldeyer, et que chaque noyau, loin d'être co
é de la démence précoce, ne manque pas de venir rappeler ces faits,
décrits
par If,ohlbmanu dès 1874, comme des symptômes d
tion est à rapprocher de celle publiée par Gayet en 1875 et des cas
décrits
depuis le tra- vail de Wernicke sou,s le nom de
du système psychique inférieur. A côté de la douleur d'habitude,
décrite
par Brissaud, des tics d'habitude de Meige et F
gmates de dégénérescence du cheval -et ceux que Morel et Magnan ont
décrit
chez l'homme. Ces signes n'acquièrent, chez le
âne. 268 SOCIÉTÉS SAVANTES. De nos jours encore, nombre d'obsédés
décrivent
avec un grand luxe de détails des sensations de
vir. Le lendemain, il recourut au procédé de la serviette mouillée,
décrit
par sa maîtresse, car l'obsession de la fustiga
les phénomènes qui caractérisent son sommeil ordinaire, et que j'ai
décrits
, se reproduisent. Il est impossible, dans cet é
arde aucun souvenir de ce qui s'est passé. Les rêves que nous avons
décrits
ne sont donc le fait ni du sommeil normal ni du
sie qui. par ses variations détermine et règle les rêves que j'ai
décrits
1. De sorte que, en résumé, nous croyons avoir
'altération secondaire occupe en outre un noyau autonome non encore
décrit
. Ce noyau existe au niveau du noyau réticulaire
el- leuse, des orties tout à fait semblables à celles qu'Apàthy a
décrites
chez les invertébrés. 3t2 REVUE d'anatomie ET D
procheraient plutôt du feutrage des cellules nerveuses de la rétine
décrit
par Uogiel. Les raies parais- sent formées des
très souvent de disparition de ces réflexes. Silvestrini a du reste
décrit
un cas de myoclonie pure où les réflexes palell
e qui souffrait de ce que je croyais être jusqu'ici une maladie non
décrite
, que j'ai dénommée infalll- lisme pancréatique.
e, la taille, le poids, etc., dans le cas d'infantilisme pancréatique
décrit
dans le texte, (i différentes dates, avant et a
oxications, etc. Quant à la symptomatologie, elle est soigneusement
décrite
, appareil par appareil (troubles sensoriels, se
omme un malade ordinaire. ' Caractère qu'il faut, par conséquent,
décrire
avec soin dans les ouvra- ges classiques. ' /
ervatiens est due à Oppenheim Les symp- tômes présentés dans le cas
décrit
par cet auteur montraient l'existence d'altérat
. Ces faits semblent en contradiction avec les cas précé- demment
décrits
de Nothnagel et de Gowers qui ont observé la pa
s d'irritation. « La tumeur de la couche optique (dit Yimoucopoulo)
décrite
par Nothnagel a, par son grand volume occasionn
t et au tapetum, se dirige, à la partie supérieure de l'arc qu'il
décrit
, de dedans en dehors, à la partie externe du même
nts. Six expériences et une expérience-étalon sont minutieusement
décrites
. L'auteur conclut que les rayons du radium augm
me psycho-patholo- gique autonome; par le Dr SOUHI1ANOF. L'auteur
décrit
l'état mental des sujets obsédés. Il étudie les
Il en serait ainsi si l'évolution symptomatologique que je viens de
décrire
, ne répondait qu'aux cas dans lesquels la cataton
ination de délires atypiques il faut entendre les formes séparément
décrites
de l'ivresse pathologique et du délire subaigu
ont la forme, la coloration et les dimensions se rapportent au type
décrit
par MM. Lannois et Paviot dans leur étude sur l
on ne trouve aucun élément microbien. » Il n'y.a donc pas lieu de
décrire
, comme l'a fait M. Bra, un streptocoque de l'épil
e ou telle démence, M. Bridier a cherché, dans ce nouveau travail à
décrire
des types anatomiques différents de lésions cér
le de médecine de Lyon. 14 décembre 1903) D'après M. Destot on peut
décrire
deux formes de troubles tro- phiques tabétiques
énés. PSYCHOLOGIE DES émeutes. - A. Manzoni,' dans Ses Fiancés, a
décrit
avec un grand soin l'état mental des foules dur
III (p. 48), Pt.. IY (p..1,9) ont été intercalées dans le texte et
décrites
dans la relation de l'au- topsie. Planche Y.
papillaire. La même année, Siemerling en trouvait 6 p. 100. Klein
décrit
en 1887 une rétinite paralytique 18 fois sur 42
lcooliques, 2 étaient syphilitiques. Les lésions que nous venons de
décrire
brièvement ne sont pas absolument nouvelles ain
LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 7 part des auteurs qui y sont cités ont
décrit
comme nous, l'atrophie grise et l'atrophie blan
que l'autre S... présentait simplement l'état flou que nous avons
décrit
; comme chez l'un et l'autre l'oeil gauche était d
long des travées conjonc- tives, sont, comme celles que nous avons
décrites
plus haut, pourvues d'un noyau de 8 environ, d'
de laquelle elles sont en certains points plus accusées que celles
décrites
pour l'oeil droit. Raréfiées en certains points
t très riches en cellules de névroglie, ces cellules que nous avons
décrites
plus haut, sont, pour la plupart très développé
ivement une existence tout imaginaire de véritable prostituée. Elle
décrit
toutes les scènes érotiques qu'elle aurait accomp
s délires revêtent la forme que nous avons 42 CLINIQUE MENTALE. -
décrite
sous le nom de variété psycho-motrice des délires
t susceptibles des différentes transformations que nous venons de
décrire
. D'après Pitres et Régis, les formes qui abouti
ns dites intellectuelles et, en particulier, les différents types
décrits
sous le nom général de maladie du doute. Je ser
s a été observé depuis longtemps : Duchenne de Bou- logne l'a vu et
décrit
, depuis il a été étudié sous le nom d'hypotonie
usage, sur le névraxe d'un sujet dont l'existence biologique a été
décrite
dans des articles antérieurs, ont conduit les aut
même point de départ aux différentes variétés cliniques qui ont été
décrites
. Elle a un deuxième avantage, celui d'être géné
s diverses dans la vie psychique normale. I. Le délire à deux fut
décrit
pour la première fois par 13aill,argerl en 1857
en '1877, reprenant les idées éparses sur la contagion de la folie,
décrivent
la folie à deux ou folie communiquée. Ils mette
tes ou des espérances conçues pour l'avenir. M. Régis6, en '1880,
décrit
un genre de folie à deux, qu'il dénomme folie s
à deux. C'est à M Marandon de Montyel que revient l'honneur d'avoir
décrit
les différentes variétés cliniques de folie à d
me, créé par Ballarger, avait été repris par Lasègue et Falret pour
décrire
une forme de folie à deux que M. Marandon appel
u délire. Comme ce dernier, il reconnaît les trois formes cliniques
décrites
; mais pour lui la folie imposée se distingue d
ns à des phénomènes suggestifs d'ordre divers parles trois facteurs
décrits
: imitation, persuasion, action inter- mentale.
de cette forme de folie par contagion. Elle a été d'abord la forme
décrite
par Lasègue Falret, sous le nom de folie commun
Il lui semble voir au clair de lune un fantôme qui la regarde, elle
décrit
ses vêtements (il avait un gilet noir et une ch
indication qui a sa raison d'être dans toutes les formes que l'on a
décrites
. Nous avons vu, en effet, qu'elles relèvent des
rés). Par le Dr SOUTZO (fils), (1(,- Bucarest. La dégénérescence,
décrite
par nlorel, mais surtout bien définie de nos jo
pouvoir sortir. » Elle raconte toute sa vie telle que nous l'avons
décrite
Elle présente un carac- tère mobile et émotif.
a- tions qu'il a reçu de la part des aliénistes. Falret père, qui
décrivit
la folie du doute pour la pre- mière fois, d'un
1901.) Deux observations de déformation de la main, selon le type
décrit
par Duchenne, de Boulogne, dans la rétraction de
es les observations qui précèdent, l'oedeme présente les caractères
décrits
plus haut par Meige. Vit. Sur une forme d'hyper
.) ` M. Josserand présente un cas typique de l'affection qu'Erb a
décrite
sous le nom de paralysie bulbaire asthénique. Ell
e interne des joues des taches ardoisées, comme celles que Gublec a
décrites
chez les ouvriers qui manient le plomb. Le diag
. Rappelons que l'hypersécrétion lacrymale et sous-maxillaire est
décrite
parmi les symptômes courants de l'affection. Ma
la méthode recommandée en. matière de psychologie par M. Lazoursky.
Décrire
le plus complètement possible dans le cours d'u
loppée dans la cavité crânienne sous la dure-mère. Ces tumeurs sont
décrites
sous le nom de tumeurs du nerf acoustique et il
Feré. {Revue de médecine, août 1901.) L'adipose douloureuse, déjà
décrite
par Dercum, peut se pré- senter sous deux forme
senté une même affection nerveuse et dont les troubles ont été déjà
décrits
par MM. Klippel et Durante. M. H. L1V. Une form
symptôme d'une lésion en foyer, identique au trouble d'orientation,
décrit
par d'autres auteurs. L'alexie dans le cas II e
iminution de la durée de l'impression. Une alexie de ce genre a été
décrite
par GRASHBY (le maladie pouvait lire le mot s'i
récautions préliminaires que comporte cette gymnasti- que, l'auteur
décrit
d'abord les attitudes à prendre, ce que l'on po
ces mouvements sont nombreux, variés, et l'auteur, après les avoir
décrits
, indique pour 1 Ce mot, ainsi que ceux de Trait
é passable, il se forme chez elle des abcès du foie, dont elle nous
décrit
la marche inégale, les alternatives de reprise
s d'embarras de la parole. Nous revenons sur l'examen physique pour
décrire
une parti- cularité tératologique importante qu
MM. Marie et Crouzon ont pu, par l'ensemble symptoma- tique qu'ils
décrivent
, dépister quatre fois la sclérose combinée chez
uivi de la bibliographie de la question. A côté de Vidiotie qu'il a
décrite
avec tant de soin, M. Rour- neville étudie Vidi
langage, l'écholalie, la coprolalie sont tour à tour minutieusement
décrits
. Nous ne saurions non plus insister sur l'évolu
is bien que certains auteurs, tels que IIeclter, Kaan, Bouveret ont
décrit
l'an- goisse comme un des symptômes de la. neur
Gilbert Ballet ont reconnu l'existence du syndrome tel qu'il a été
décrit
par Freud et observé par moi-même. Enfin, dans
té des stigmates physiques et des stigmates mentaux, il y a lieu de
décrire
des stigmates obstétricaux de la dégénérescence,
ff envisage comme « neurasthénie psychique » ce que les rapporteurs
décrivent
comme constitution des obsessions morbides, et
es troubles. Si on peut même admettre une constitution particulière
décrite
par les rapporteurs, c'est seulement comme une
à Charcot que revient l'honneur d'avoir démontré et magistralement
décrit
l'hys- téro-traumatisme, que l'on a appelé à to
mis en communication avec les pavil- lons n° III que nous venons de
décrire
par un couloir bien éclairé, assez court. Il es
et à la disposition de ses fibres à lacirconvolution sous-angidaire
décrite
en 1895 : toutes deux -acquièrent leurs manchon
veux central, M. Piltz en vient au phénomène pupillaire en question
décrit
par lui, Stras- burger, Saenger et Nonne, auque
tude de ces quatre cas personnels et les compa- rant avec huit cas,
décrits
par d'autres auteurs, dont deux ont été suivis
arfaite imprégnation suffisante de leurs dendrites. Les rapporteurs
décrivent
les résultats des investi- gations (par la méth
nce et en revenant à elle, elle se trouva complètement guérie. Elle
décrivit
son vertige, dit avoir perdu connaissance un mome
t ce pays, on soit embarrassé de mettre un nom. Mais Zola, quand il
décrit
ses Rou- gon-Maquart, sait bien qu'il s'agit d'
e. Cet état purement transi- toire, devient définitif. 111. Dromard
décrit
cette phase, et il le fait avec une clarté et u
ose qu'une description magistrale et prophétique de l'ctdéiioïdisme
décrit
par Meyer il y a seulement 40 ans. Ce fait est
tes minces et ondulées que plusieurs auteurs déjà ont retrouvées et
décrites
dans l'oxycéphalie et qui, selon moi, répondent à
ondants, surtout dans le quatrième ventricule, et offrent l'aspect,
décrit
par tous les auteurs comme indice d'une hypersé
s. Recklinghau- sen (1) dans l'un des cas d'hydrocéphalie chronique
décrites
par Rehn, considère comme cause principale de l
ses. Loeper, dans son travail sur les plexus choroïdes, après avoir
décrit
leur structure et en étudiant séparément l'axe
mploma- tologie tenait il la fois des diverses entités initialement
décrites
. Il en est résulté, dans ce territoire de la Pa
e J... se rap- porte hien au syndrome d'héréclo-ataxie cérébelleuse
décrit
par P. Marie, el, chose digne d'être soulignée,
nullement fibreuse. La section portant sur la saillie précédemment
décrite
montre l'intégrité absolue de la muqueuse et de
pris au début, a bien pu favori- ser les phénomènes de régénération
décrits
dans les racines postérieures par Marinesco. C'
avis, écrivent-ils, nous sommes convaincus que la plupart des faits
décrits
sous le nom de crises gastriques essentielles o
erfs périphériques des membres ; à l'inverse de la lésion analogue,
décrite
par J. Ch. Roux, dans le sympathique, lésion se
ée et debout en arrière et placée entre les deux person- nages déjà
décrits
; presque de face mais tournant la tête à gauche
e de troubles cérébraux intéressants, il nous a paru mériter d'être
décrit
. Le 17 août 1911 aux exercices de tir effectués
ent à l'exa- men de la région anale une sorte de vestibule spacieux
décrit
autrefois par Tardieu sous le nom d'infundibulu
ne saurions revenir sur cet état menta que nous avons suffisamment
décrit
plus haut. Nous nous contenterons d'ajouter qu'
ement t'anaphrodisie du sujet qu'ils ob- servent, tels sont les cas
décrits
pal' Alibert(1), Tanzi (2), E. Villiers (3), Kl
as une raison pour écarter le diagnostic d'achondroplasie, car on a
décrit
l'achondroplasie partielle ; tel le cas de Char
en. Notre malade rappelle très étroitement ces cas de lèpre blanche
décrite
dans les races noires et dont Wurtz et Thiroux
s glandes endocrines (1) lui consacre un chapi- tre et s'efforce de
décrire
les symptômes de l'hyperpinéalisme, Mais si ell
aisonnable, et qu'il la joignit à ce corps en certaine façon que je
décrivais
. » Le Traité de l'Homme, auquel Descartes avait
ment l'on peut fort bien comparer les nerfs de la machine que je vous
décris
. aux tuyaux des machines de ces fontaines ; ses
aque particule éprouve une suite de déplacements assez difficiles à
décrire
, parce qu'ils sont es- sentiellement irrégulier
constaté les mêmes structures granulaire, fibrillaire ou réticulée
décrites
par différents obser- vateurs dans les cellules
e substances colorées. Les granulations colloïdales dont nous avons
décrit
plus haut les pro- ESSAI DE BIOCYTONEUROLOGIE A
Nissl dans les cellules des ganglions spinaux correspondant à ceux
décrits
par Lugaro et moi-même dans les types cellulair
ion correspondent assez exactement à celles que Lugaro et moi avons
décrites
a l'état normal dans les pièces fixées par le sub
n électrique. Comme exemple de sels de métaux bivalents,nous allons
décrire
les modi- fications produites par le chlorure d
moins résistantes analogues aux cellules hydrophobes que nous avons
décrites
plus haut (fig. 18, Pl. XXVIII). On peut ralent
vons rapprocher l'aspect de leur cyloplasma de celui que nous avons
décrit
dans celles traitées tout simple- ment par le c
15) (caractères du crâne visi- bles sur les photographies, mais non
décrits
par l'auteur), Schermann (16), Cross (17), J. H
âgé de 40 ans présentant les princi- paux symptômes de l'affection
décrite
par Marie et Sainton sous le nom de dysostose c
rent également notées chez un enfant appartenant l'une des familles
décrites
par Pierre Marie et Sainton, qu'un malade de Sche
Marie) (33). En outre dans ces cas les auteurs se sont contenté de
décrire
l'état des clavicules, des insertions musculair
e qui s'était passé durant son court séjour à l'école, elle pouvait
décrire
l'extérieur du maître d'école et nom- mer par l
ouzaine de camarades qu'elle n'avait plus jamais revus; elle savait
décrire
minutieusement la route à suivre pour aller à l
t voir que ces questions ne lui plaisaient pas. Elle ne pouvait pas
décrire
ses senliments au réveil, mais raconta qu'elle av
n entourage était d'avis qu'il était « comme autrefois »). Gadélius
décrivit
ce malade comme un cas de stupeur en donnant une
ériphériques ? Doit-on y faire rentrer les observations qui ont été
décrites
sous le nom de névrite in- terstilielle hypertr
e conceplion a été celle de Hoffmann et de ceux qui, après lui, ont
décrit
et délimité l'atrophie musculaire neuro- tique.
(1), ou familiales ou encore maladies d'évolution, les divers types
décrits
les premiers gardent la valeur que leur donnent l
e de ces dégénérescences comparativement il l'intensité dos lésions
décrites
. Les faisceaux antéro-latéraux présentent sur t
utant fortement la tête et les pieds sur le lit, de manière à faire
décrire
à son corps un arc de cercle très marqué. Les m
e mûr. Or, dans le cas d'hémi-dystrophie musculaire que je viens de
décrire
, il suffit d'ad- mettre que, par suite d'un fai
rnée en dehors : la cuisse et la jambe paraissent ne faire qu'un et
décrivent
ensemble un arc de cercle, de sorte que le malade
- senter aussi quelques dissemblances avec l'aspect que nous avions
décrit
dans les os pagétiques typiques. Dans la mala
IE et CHARLES FOIX PREMIÈRE PARTIE Lorsque Duchenne (de Boulogne)
décrivit
l'atrophie musculaire qui porte son nom, il la
ssus et nous nous proposons d'y reve- nir plus loin. Il nous faut
décrire
maintenant les lésions que l'on observait clans
ives qui se terminent en culs-de-sac, à, l'extrémité delà fente, et
décrivent
des anses très profondes (VC). Enfin là où les
s de fureur, des accès convulsifs revêtant le même type que l'accès
décrit
ci-dessus. Chaque attaque convulsive est suivie p
roit a) En plaçant les segments du membre dans la première position
décrite
et en percutant sur les points indiqués pour la r
coup plus accusée à droite, l'impuissance sexuelle. Nous avons déjà
décrit
en détail tous ces symptômes et nous n'y reveno
à sentir une impression désagréable à la tête, qu'elle ne sait pas
décrire
, et une sensation de froid au front. Les moindr
suivie dans les interventions de ce genre sera celle que cet auteur
décrit
, confirmant la technique réglée déjà par Proust
ue notre malade représente un exemple du trouble que l'un de nous a
décrit
sous le nom de paranoïsme métaparalytique, termes
ités tégumentaires segmen- taires ou localisées il y aurait lieu de
décrire
des hypoadiposités tégumen- taires de même ordr
a thèse, à savoir que les tumeurs du genre de celles que nous avons
décrites
reconnaissent une origine musculaire. Cette hyp
, nous allons trouver les mêmes stratifications que nous venons de
décrire
, mais avec interposition d'une nouvelle couche
ut faire abstraction dans cette étude. » De même lorsque l'auteur
décrit
la manière dont se comporte la substance grise.
cébien, il reproduit très exactement les dispositions précédemment
décrites
, et ne présente de remarquable que le grand dév
e les diverses parties de la formation ammonique. Cette formation
décrit
donc un fer à cheval complet à conca- vité anté
singe, représenterait le trigone, et en effet tous les anatomistes
décrivent
la bandelette du trigone comme faisant suite au
les, c'est-à-dire qui portent sur la partie moyenne du fer à cheval
décrit
par la corne d'Ammon ; quant aux coupes vertica
uant à la disposition des parties chez l'animal adulte, Kupffer les
décrit
d'une manière singulièrement compliquée; car, s
ère de haut en bas les différentes couches; il en compte sept qu'il
décrit
laborieusement, sans même tenir bien compte de
n compte de ce qu'une même couche, par le fait de la courbe qu'elle
décrit
( par exemple, le stratum granulosum) se présen
ue combien cette couche se teint énergiquement par le carminé et il
décrit
com- ment elle coiffe, sur une coupe, le stratu
z le lapin; pour désigner les deux circonvolutions que nous avons
décrites
, il emploie les expressions de lamina superior
copiques localisés dans le tronc du nerf auditif que nous venons de
décrire
.. , Rien de nouveau, que les cellules ganglionn
t à désirer toujours voir (rien de plus) des hommes nus.» Tels sont
décrits
par le patient qui en a pleine conscience les c
donne des malades un tableau fidèle et sai- sissant, où l'on trouve
décrit
dans toute sa netteté cet oedème spécial, solid
uvant subvenir chez les femmes à l'état adulte. L'auteur se borne à
décrire
très nette- ment ce qu'il a observé, laissant à
cas de myxoedème. Quoiqu'il en soit, à côté des symp- tômes déjà
décrits
, tels que la sécheresse et la rudesse particuli
rt avec des lésions médullaires analogues à celles qu'il avait,déjà
décrites
dans certaines affections cutanées. Il a eu l'o
gal degré de développement tous les phénomènes que nous venons de
décrire
comme se rattachant à cet état nerveux spécial
ividuelles que pour la plupart il est possible de rattacher au type
décrit
dont elles ne sont que des atténuations plus ou
ordinaire, mais de cet oedème spécial, solide, dont nous avons déjà
décrit
les carac- tères. Cet oedème peut être d'ailleu
aussi des séries de mouvements analogues à ceux que nous venons de
décrire
et se succédant avec une régularité d'au- tomat
Henri HUCHARD, médecin de l'hôpital Tenon. Tous les auteurs qui ont
décrit
l'hystérie, s'étendent avec un soin jaloux sur
re dans ses accusations de viol portées contre M. La R...'. '. Elle
décrit
avec les moindres détails les sensations, tac-
la ménopause, et souvent accompagnés de tendances érotiques si bien
décrites
' par M. Noël Guesneau de Mussy . Enfin, nous
ation avec une minutie extrême du squelette crânien ? L'observation
décrite
en détail par le Dr Jensen démontre qu'il exisl
, tient lieu de corps strié; en arrière un autre renflement arrondi
décrit
une courbe inféro-antérieure, donnant la sensat
tiques, il ne se passait rien d'anormal. M. REMAK, rappelant le cas
décrit
par lui dans la séance de novembre (hémianesthé
). Séance du 14 mars 4 88 Présidence DE M. Westphal. M. BENNRARDT
décrit
un cas d'hémiathétose chez une jeune fille de v
rd une courte esquisse d'une obser- SOCIÉTÉS SAVANTES. 239 vation
décrite
par lui il y a neuf ans, dans laquelle à la suite
a désigner sous le nom de rétrotoncs. Le Dr vorr HOFFMANN (de Bade)
décrit
au Congrès deux cas d'élongation de nerfs cépha
trique; par A. GUERTIN. Thèse de Paris, 1881. En 1846, Dubini avait
décrit
sous le nom de chorée électrique, une maladie c
u sommeil nerveux, bien distinct de cet autre mode que nous avons
décrit
sous le nom de léthargie hystérique provo- qité
bien certainement il s'agissait de la catalepsie que nous venons de
décrire
. ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 31
ente, à peu de chose près, la plupart des caractères que nous avons
décrits
précédemment; mais nous constatons en outre une
cataleptique véritable ; mais d'une sorte d'état' cataleptique déjà
décrit
par l'un de nous, et qui ne saurait être considér
aire dans son état complet de développement, tel que nous l'avons
décrit
, ni l'état cataleptique parfait, dont nous avons
ès accusée, qui est en rapport avec la torsion que nous venons de
décrire
; cette région présente, à la palpation, un empâte
s, durent 20 ou 30 minutes et sont identiques à ceux que nous avons
décrits
. Depuis la crise de juin 1880, modification con
e d'établir l'autonomie trop souvent mé- connue de cette affection,
décrite
d'ailleurs depuis longtemps sous des noms diver
est l'accident qui se surajoute le plus fréquemment aux phénomènes
décrits
plus REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 353 haut,
ls consécutifs aux traumatismes du crâne. Vennaue : D'une forme non
décrite
d'hallucinations panoramiques. - DEBACHER : Des
yons pas pouvoir déterminer la nature de l'affection que nous avons
décrite
, et il nous suffira d'avoir mis en relief une for
ètre de large. Un peu plus tard que les eschares que nous venons de
décrire
, il en survint une autre qui se produisit dans
par la balle et les eschares telles que nous les avons précédemment
décrites
. , Lorsqu'on examine l'enfant au lit dans le dé
'autre, et la jambe gauche, qui est plus spasmodique que la droite,
décrit
un mouvement de circumduction, en même temps qu
réunis, des conclusions analogues. Voici, en substance, comment il
décrit
l'évolu- tion des accidents nerveux consécutifs
zone qui 58 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. vient d'ûtrc
décrite
; elle dépasse à droite le bord droit du sternum.
les traits principaux assignés à cette affection par ceux qui l'ont
décrite
. D'après Kahlbaum2, dont le travail sur ce suje
MÉLANCOLIE CATALEPTIQUE. 71 nomènes particuliers que nous venons de
décrire
. Les idées religieuses et érotiques sont très f
spasme des autres muscles de la face, du même côté. M. P. Richer
décrit
encore une troisième forme de blépharospasme hy
elles des doigts pliés en marteaux. La poitrine dont la forme a été
décrite
plus haut présentait de chaque côté, au niveau
gèrement incliné à droite, de telle sorte que la colonne vertébrale
décrit
une double courbure latérale, concave à droite,
côté gauche raidis et comme soudés dans l'attitude que nous venons do
décrire
ne se meuvent que lentement, péniblement cl par
irectement appelée du côté du spasme glosso-labié si magistralement
décrit
par 11111. Charcot, Brissaud et Marie et dont l
omène de même nature) dans les diverses contractures que nous avons
décrites
. Rappelons-nous que les muscles de la face et d
orbides particulières qu'il y a de spasmes. Le blé- pharospasme est
décrit
à part dans les Traités, de même le torticolis;
nsibilisent la région contracturéc. - Dans les cas que nous avons
décrits
, les troubles de sensibilité sont in- dépendant
nur dire qu'il n'est pas facile d'en déterminer la quantité. Burk a
décrit
un cas de macroglossile dans lequel il a réussi
tout opposé. Weber est le seul auteur qui dans la macroglossite ait
décrit
des couches de fibres muscu- laires de récente
les différents os du squelette qui méritent d'être particulièrement
décrits
, en commençant par la tête, on trouve ceux du crâ
à indiquer les phases du processus morbide telles qu'elles ont été
décrites
plus haut. Au point de vue de la cause de ces a
urs analogues dans les états expérimentaux hypnotiques longue- ment
décrits
par M. Charcot et par moi sous le nom de contract
des variées imprimées aux membres diffèrent d'or- dinaire de celles
décrites
généralement dans la forme spinale. Elles sont
ne forme pasun angle secontinuant avec la portion horizontale, mais
décrit
une courbe qui se rehausse vers la pointe du me
t été impossible à fournir avant 1887, époque à laquelle M. Charcot
décrivit
pour lapremière fois le spasme glosso-labié des
gence. Une demi-heure plus tard survenait l'accident que nous avons
décrit
. Une fois entré Li l'hôpital, l'état persista t
ement l'attention, c'est que nos trois malades, à l'inverse de ceux
décrits
par M. Babinski, offrent tous les trois des con
ant fait pour la névrose l'avait parfaitement remar- qué, car il le
décrit
en ces termes 1 : « L'affection hystérique, dit
es mémoires particuliers, et il faut t arriver en 1880 pour le voir
décrit
à nouveau dans une remarquable observation de M
exemples de ce phénomène pathologique qu'il croit être le premier à
décrire
. Le 28 juin 1889, M. le professeur Charcot, dan
ès des mouvements de circumduction des bras, à grande amplitude, il
décrit
un arc de cercle, couché sur le flanc droit, le v
mier a traité la question avec quelques détails. Plus tard Zunker a
décrit
minutieu- sement le phénomène qui nous occupe à
ette atrophie musculaire et les autres symptômes que nous venons de
décrire
, le malade se porte très bien. Les organes thorac
NOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE.. phases à la grande attaque hystérique
décrite
par M. Charcot chez ses pensionnaires-femmes de
us nettement la forme de la grande attaque typique si admirablement
décrite
par Charcot et P. Richer. Le caractère de ces
t de la précédente, le malade exécute des mouve- ments difficiles à
décrire
et lance ses membres avec une force extrême, le
rainure et qui se continue en avant avec la surface olfactive déjà
décrite
. Ces trous op- tiques sont en somme fort rétréc
tit en se rétrécissant (5 mill. de large) à la petite apophyse déjà
décrite
en dehors de la facette costale. Son extrémité
nflés et poreux, la branche ischio-pubienne, elle aussi spongieuse,
décrit
une courbe à concavité postéro-interne. Hauteur
itale aucune modification ni de l'impuissance ni du délire expansif
décrit
ci-dessus, tandis que le malade se lamente de n
En outre, la lésion de l'articulation thoraco-claviculaire n'a été
décrite
que par Luun (Clinical Sociely of Lotzdoit, Lan
ment atteintes dans la syringo- myélie. Comment expliquer qu'on ait
décrit
si rarement les altéra- tions de l'articulation
. A.-W. TI3fOPEIEV (Oboz/'énié psichiatrii, III, 1898.) Après avoir
décrit
tous les essais faits à la maison de santé de 5
e genre. 11 observait déjà à cette époque les phénomènes somatiques
décrits
par Charcot ; la cata- lepsie et le somnambulis
t paraissant d'origine pure- ment nerveuse. ' Le cas que l'auteur
décrit
dans le présent travail est tout diffé- rent :
uand ces réflexes cessent d'être normaux. Quant au réflexe inguinal
décrit
chez la femme par von Gehuchten il ne serait pa
1. (Rlllielino délie Science )MC6c/tC, 1900, juillet.) . L'auteur
décrit
et figure quelques cas d'anastomose entre cel-
e granuleuse du cervelet et la seconde couche du bulbe olfactif. Il
décrit
en outre les diverses formes des cellules mitra
x, vient encore plaider en faveur de l'étiologie syphilitique. On a
décrit
plusieurs formes de folie syphilitique ; celle-ci
schémiques puisque les oblitérations vasculaires font défaut. Ils
décrivent
deux types histologiques principaux. Dans l'encé-
à corps granuleux. L'autre type, encéphalite aiguë hype1'plastique,
décrite
il y a déjà près de trente-cinq ans par le prof
eur som- meil normal, je les ai suggestionnés, suivant la technique
décrite
par M. Paul Farez. La guérison, obtenue en une
par la sugges- tion une petite tumeur de la région axillo-mammaire
décrite
jadis par Potain sous le nom de pseudo-lipome d
me nerf, s'étendre un peu plus bas sur celui du onzième nerf : elle
décrit
une bande en arc de cercle à concavité supérieu
de Babinski ni de signe de Schoeffer. Dans la marche, le membre ne
décrit
pas d'arc de cercle, il traîne sur le sol au nive
lagement. III Ces hallucinations terrifiantes, que nous venons de
décrire
, semblent ne s'être développées que depuis le m
ce mo- ment, si nous lui demandons ce qu'elle ressent, elle nous
décrit
parfaitement son hallucination, nous dit ce qu'el
on motrice que précédemment, et les phénomènes que nous venons de
décrire
, recommencent jusqu'à ce qu'une nouvelle périod
ssignerait dans ce cadre nosologique. Une variété nosologique a été
décrite
en Allemagne et dans laquelle nous devons nous
t pas être placé. C'est la pamnoia aigue. Sous ce nom les auteurs
décrivent
des cas, dans lesquels on observe des hallucina
les qu'on voit dans le cas de paralysie agitante. Les modifications
décrites
par Dana rie sont nullement différentes de cell
rement dans la cachexie. De telles altérations ont été maintes fois
décrites
par des auteurs allemands qui n'y ont atta- ché
core le nom de l'auteur de cet article, maladie de Dercum, fut déjà
décrite
cliniquement un certain nombre de fois; dans de
t dans le lobe droit » L'observa- tion clinique de cette malade fut
décrite
, il y a deux ans, dans le même journal américai
nes dilatées, mais d'un calibre bien moins fort que celle qui a été
décrite
. L'examen microscopique de la moelle n'a rien r
otre ardeur à chercher la vérité était sans bornes, et, après avoir
décrit
les principales découvertes qui vous étaient du
ntoxications. Ces troubles sont constitués par la confusion mentale
décrite
d'abord par Delasiauve, puis par Chaslin, Ségla
basant sur cette manière de voir, Schiile 250 SOCIÉTÉS SAVANTES.
décrit
trois formes du délire aigu suivant qu'il y a oed
mie du cerveau. Tous les observateurs après Calmeil ont retrouvé et
décrit
la teinte hortensia de certains points de la su
dansl'intoxication alcoo- v hyperhémie. Ces lésions sont les seules
décrites
avec précision jus- qu'aux-reeherches de Cristi
des globules rouges et la présence de bactéries. Rezzonico en 1884,
décrivit
dans un cas de délire aigu des embolië"s*"de ?
e trouve pas dans tous les cas de délire aigu le bacille qu'ils ont
décrit
. Dans sept observations qu'ils rapportent, ils tr
le sari,, et les centres nerveux le bacille particulier qu'ils ont
décrit
. Rasori en 1893, dans un cas de délire ailu tro
bouffées délirantes d'emblée, à apparence systématique, qui ont été
décrites
chez des déséquilibrés, en France par Magnan et s
, sont également différentes suivant les cas. En outre, les délires
décrits
dans les maladies toxi-infectieuses, dans la pn
énistes M. Régis, en se basant sur des obser- vations personnelles,
décrit
un type clinique qui est le suivant : un fond d
t pu être repoussés lentement par elle sans donner lieu au syndrome
décrit
dernièrement, par M. Babinski. 270 SOCIÉTÉS SAV
e ; Par MM. A. TITRES et J. ABADIE (de Bordeaux). On a signalé et
décrit
, après les injections de cocaïne dans le cul-de
e d'apparition, durée, localisation, intensité, etc.) à la céphalée
décrite
par tous les auteurs à la suite de rachicocaïni
plus rarement encore dans le cervelet. L'auteur s'attache ensuite à
décrire
les lésions non spécifiques qui résultent des l
il est rare de rencon- trer des cas présentant les quatre périodes
décrites
par les auteurs français et fréquent au contrai
angoisse : par HAMEMBERG. (Revue de Médecine, juin 1901.) Frend a
décrit
déjà sous ce nom un syndrome qu'il sépare fran-
t ensuite la physiologie des réflexes tendineux et cutanés; puis il
décrit
les réflexes pathologiques (réflexe fémoral, de
ité de plusieurs systèmes médullaires, et il semble que l'on puisse
décrire
trois étages de neurones intervenant dans la ma
emps que l'absence d'inflammation des grandes cellules pyramidales,
décrites
pour la première fois par Al. Ballet et consist
mimique faciale. Paris, Baillière, 1900. SOCIÉTÉS SAVANTES. 353 a
décrit
, comme on sait, en 1874, un état pathologique con
rt, je lui suggère l'analgésie, en suivant à la lettre la technique
décrite
par M. Farez. Au réveil, l'amnésie est' complèt
eur. Au cours de ma séance de suggestion, j'ai observe le phénomène
décrit
par lI. Farez : pendant que mon sujet dormait,
culier, étudié avec détails pour la première fois par Gull en 1859,
décrit
minutieusement en z1875 par Zunker, qui consist
ur impor- tance psychologique. C'est Guislain 1, qui le premier a
décrit
des cas semblables dans sa leçon sur la « folie
Séglas nous offre un exemple typique de la marche qui vient d'être
décrite
. B..., est entré en 1891, comme délirant, persé
alade du service, qui réalise bien le type du gémisseur tel que l'a
décrit
Morel. 1 De Sanctis. Idées de négation. (Il Man
sl ne vient-il pas d'affirmer qu'aucune des altérations cellulaires
décrites
en grand nombre n'est spécifique, qu'il n'exist
ement à une variété de sarcome à petites cellules rondes. Virchow a
décrit
sous ce nom une tumeur composée de tissu analogue
tre avis, un de ces individus ressemblant, à s'y méprendre, au type
décrit
sous le nom de persécutés persécuteurs. Cette t
provisoirement, le nom de stéréographie cutanée. I. L'érythrasma,
décrite
comme une dermatose parasitaire distincte, par
e selles intermit- tente. B. Symptômes 7égati/s.- Après avoirdéjà
décrit
les divers groupes de symptômes positifs, dont
ormaux. Nous sommes naturellement amené, après avoir spécialement
décrit
chaque symptôme de ce syndrome, à l'étude du dé
sol et porter en avant son membre inférieur droit qui à ce moment
décrit
un léger demi-tour en frottant le sol : son souli
n complète ; 2° qu'une fois arrivée aux stations que nous venons de
décrire
, alors l'évolution ultérieure, dans la majorité
ître que le siège de la lésion initiale du cas que nous venons de
décrire
longuement est extra-spinal, extra-myéli- tique
ômes sont absolument analogues à ceux que nous avons minutieusement
décrits
. Chez aucun des malades vivants dont nous avons
nous semble donc indiscutable que la forme d'idiotie que nous avons
décrite
sous le nom d'idiotie c2,éli- noïde avec cachex
aralysies, des troubles divers de l'intelligence. Cet état nerveux,
décrit
avec soin par un médecin anglais, Braid, fut ét
térisé par les trois états que nous 100 REVUE CRITIQUE. venons de
décrire
, constitue ce que M. Charcot appelle le ' Grand
atalepsie conserve les caractères qui lui sont propres. M. Pitres a
décrit
une dé- viation dans laquelle il a observé l'ét
erve de parler ailleurs de ce cas. Quant à la collec- tion que j'ai
décrite
, il est vrai qu'elle n'est pas con- sidérable ;
ui se rapporte à l'exactitude du diag- nostic du tabes dans les cas
décrits
plus haut, c'est à peine s'il peut naître le mo
e dans une quantité d'autres tableaux pathologiques. Dans les cas
décrits
, le diagnostic a toujours été basé sur l'en- se
eux des cas de tabes observés chez des hommes et des femmes et déjà
décrits
dans la lit- térature, peut à peine être de que
s chez le mari et la femme tous deux syphilitiques - que vient de
décrire
Strïiempell), l'âge (par exemple, le cas de Ber-
lle. Dans les dernières an- nées, diverses formes d'aphasie ont été
décrites
par Wernicke', et auxquelles Kussmaul ensuite d
quoiqu'il ne leur eut pas donné un nom spécial, il a entièrement
décrit
ces singuliers troubles psychiques, ainsi que l
t le sujet est encore entouré d'une telle obscu- rité que, avant de
décrire
les symptômes cliniques de la surdité verbale,
a été complètement effacée et n'existe plus dans son cer- 1 J'ai
décrit
dans lotis leurs détails les symptômes observés c
NSITOIRE. Les paralysies qui appartiennent aux différentes formes
décrites
jusqu'à présent sont plus du moins durables. Le
les étudier systématiquement, il nous faut tout d'abord examiner et
décrire
les cas pathologi- ques qui sont d'une simplici
ntes phases présentant des carac- tères déterminés, tel qu'il a été
décrit
magistralement par M. Charcot. c Le type parf
magistralement par M. Charcot. c Le type parfait de l'hypnotisme,
décrit
par .M. Charcot, et observé par des cliniciens
ien que sa structure histolo- gique. MM. AdamkiewitzetBabès avaient
décrit
dans la moelle un corps appelé par eux substanc
orga- nes, appelés tubercules nerveux, découvert par Schultze et
décrits
par Leydig, sont, suivant lllitrofanoff en connex
chir la cuisse sur le bassin, on voit survenir le mouvement associé
décrit
ci-dessus ; mais. quand le pied vient à s'appuy
és hydrothérapiques et à comparer avec le coup de soleil électrique
décrit
par M. Defontaino. ()oc. cle cleineer,yie, 188a
u de l'épilepsie (épiphé- nomènes ou équivalents), on n'a jusqu'ici
décrit
dans la folie pé- riodique que la manie et la m
r ces trou- bles de l'ouïe, observés chez les animaux, que Munk a
décrits
sous le nom de surdité psychique, et qui per- m
able ; ainsi, outre les 2 cas de Juives atteintes de tabes qui sont
décrites
dans ma statistique, j'ai eu encore 3 cas de ta
s arrêter qu'à un cas d'ataxie aiguë après la fièvre intermittente,
décrit
par Kaher et Pich 9. Cependant, ce cas lui-même
ature n'a plus remonté. Et maintenant, voici comment Kahler et Pick
décrivent
leur cas : « Le 1ex août, le malade, étant alor
le tome VII des Archives de Neurologie. Nous n'avons justement pas
décrit
une « fausse sclérose», mais une 'fausse scléro
nt précisément les intéressants cas de tabes causés par l'ergotisme
décrits
par M. Fuczek\ ils n'ont pas été. relevés par M
itions de travail; il est par conséquent tout à fait inutile de les
décrire
. Etat actuel (15 août 1884). Rien. Il entend pa
tincelles} étaient parfaitement semblables à celui qui vient d'être
décrit
, à savoir : exaspération brusque des bourdonnem
fait. G.- FORME C&RBBRO-SPINALE. , Nous avons jusqu'à présent
décrit
les différentes formes des accidents spinaux et
du sol 'et porter en avant son membre inférieur gauche qui alors
décrit
un demi-cercle en frottant de temps à autre le so
mposée par des symptômes qui appar- tiennent aux différentes formes
décrites
. C'est ainsi que la surdité, par exemple, que n
se des formes simples et typiques que nous avons déjà si longuement
décrites
. C'est d'ailleurs la manière de procéder pour t
ement; il en résulte une asphyxie céré- brale qui amène les lésions
décrites
. Influence de la nicotine sur les centres nerve
re ; leur nature est purement atrophique. Les mêmes lésions ont été
décrites
à la suite de différentes causes débilitantes a
son mémoire sur les troubles intellectuels du cocaïnisme, ont déjà
décrit
des symptômes du cocaïnisme. Les manifestations
corticales. Une dysestésie spéciale précède souvent les spasmes. Il
décrit
des cas de tumeurs sous- corticales opérées, ay
n 1617, Wircungavaittraité del'ivro- gnerie, maladie terrible qu'il
décrivait
immédiatement après la perte. L'auteur, avec
ême, les idées de persécution avec des sous-idées de grandeurs sont
décrites
de main de maître. Dans ce chapitre, l'auteur r
coordination des mouvements volontaires, ressemblant à l'hémiataxie
décrite
par Grasset. Le Dr lnapp pro- pose de donner à
l'a signalé depuis Bichat. » Plus récemment, M. Ranvier avait bien
décrit
, dans le sciatique du cobaye, le mode de ramesc
les vasa nervorum. . D'autre part, l'un de nous avait découvert et
décrit
1 Probablement dans ses cours, car nous n'avons
jamais sans une artériole satellite, et l'on peut tout aussi bien
décrire
l'artère du musculo-cutané ou du saphène intern
ogastrique et au sympathique : chacune de ces artérioles afférentes
décrit
donc une anse à con- vexité interne, et le sang
récurrents, qu'après s'être détachés des thyroïdiennes, ils doivent
décrire
un assez long trajet et se recourber en dehors
rement, mais toujours suivant une incidence oblique, ou après avoir
décrit
un trajet récurrent ; " b. Une artère ne plon
S NERFS. 15 5 d'y pénétrer, suivant l'un des modes que nous avons
décrits
; c. Les branchioles, nées de cette bifurcation
antérieure. par cette longue branche, à peu près constante, qu'on
décrit
sous le nom de canal collatéral. C'est à ce canal
plaintes formulées dans les mêmes termes, les mêmes hallucinations
décrites
dans le même style imagé, et enfin et par-dessu
i le syndrome présenté par Lamb. est analogue à ce que M. Charcot a
décrit
sous le nom d'astasie choréique et ne présente
ne trouve de zones hystérogènes. Les symptômes que nous venons de
décrire
ne se sont pas toujours montrés avec ce dévelop
e de Moscou, 1890, na 22.) M. le professeur N. Popoff (de Varsovie)
décrit
un cas d'hémia- trophie faciale progressive che
itution robuste en apparence, ne peut en réalité se tenir debout et
décrit
des zigzags comme un homme ivre. Deux autres id
t des mois. On voit par ce court résumé des symptômes que les cas
décrits
appartiennent bien au groupe qui a été désigné
tes et conscientes doivent prendre place à côté des autres variétés
décrites
d'onomatomanie. M. FaLnET. Dans mon rapport au
ue, mais aussi clinique ; les méthodes d'investigation s'y trouvent
décrites
avec assez de détails. A signaler particulièr
troubles oculaires dans l'hystérie. On y trouvera minutieusement
décrites
l'amblyopsie hystérique, les modifications du cha
ine hystérique, mais qu'a-t-elle de commun avec l'athétose double
décrite
par Clay Shaw, et à quel titre peut-on bien la cl
de médecine n'entendait assurément pas demander aux concurrents de
décrire
une à une des folies diathé- siques à une époqu
n jour, une attaque à laquelle sa tante a assisté et qu'elle nous a
décrite
ainsi : Tout à coup il est devenu très rouge, i
es accidents divers, comme les accès de folie qui viennent d'être
décrits
, comme des crises de delirium tremens fébrile,
ceux que nous avons pu étudier réunissaient les symptômes cardinaux
décrits
par Friedreich : caractère familial de l'affectio
n verbale psychomotrice y est signalée, mais la malade elle- même
décrit
très nettement ce qu'elle ressent. 111 ? P...,
que des extrémités a présenté très exactement le tableau clinique
décrit
jadis par Maurice Raynaud ; il est à remarquer to
ctobre 1888.) Il s'agit d'une affection que Griesinger a le premier
décrite
dans les Archives de Psychiatrie de 1868 et don
ans la constitution chimique du sang chez les mêmes malades; il les
décrira
. Quelles que soient les espèces morbides qui pa
ires de diverses sortes. Discussion : M. FLEINER. - Les altérations
décrites
par l'orateur dans les ganglions semi-lunaires,
se guérir de son redoutable penchant pour l'opium : la jeune malade
décrit
, d'une façon très imagée, les états douloureux
tz. On peut écrire un livre sur cet établissement sans arriver à le
décrire
. Tous les organes d'hygiène médicale rela- tifs
rgique, et ne différa en rien de celles que nous avons précédemment
décrites
, à cela près qu'elle se ter- mina à 4 heures au
la spéculation abs- l' 326 ' CLINIQUE NERVEUSE. traite. Je vous
décrirai
des faits et je vous en montrerai; ce n'est que
Soyez certains, messieurs, que je n'ai pas la prétention de vous
décrire
tous les caractères cliniques de cette anesthésie
e absolument anesthésique pour tous les autres. L'automate, si bien
décrit
par 'M. Mesnet, ne voyait que son allumette et
ent présentées par d'autres per- sonnes 2. Une somnambule, que j'ai
décrite
, voyait fort bien 1 Sur les anesthésies systéma
calisées, nous insisterons surtout sur celles qui ont été autrefois
décrites
par M. Charcot, sous le nom d'anesthésies en se
tôme particulier du tabes, que M. Charcot a été l'un des premiers à
décrire
, et qu'il a appelé le masque tabétique. Les mal
mais chez, elle une jeune femme de vingt- deux ans que j'ai souvent
décrite
sous le nom de Lucie. Elle avait à peu près tou
que qui se prolongeait plus de cinq heures. Per- mettez-moi de vous
décrire
en deux mots cette attaque inté- ressante à plu
r toutes ces expériences et bien d'autres encore. J'en ai étudié et
décrit
autrefois, en 1887 et 1889, cinq de ce genre qu
nir des indications quant à l'étude de son état mental. Ensuite, je
décrirai
les symptômes présentés par A... depuis qu'il e
leurs on signale pour des hallucinations des phénomènes qui sont
décrits
dans les observations comme des illusions ou des
fait rentrer dans la mélancolie, les cas de stupeur hallucinatoire,
décrits
jadis par Baillarger et que l'on tend aujourd'h
s'il s'agissait de groupes mus- culaires ; il les distingue et les
décrit
avec une minutieuse précision. On ne peut que d
'ANATOMIE ET DE~ PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. projection précédemment
décrites
forment un éventail dont les tiges, constituées
ce en plaques et en cordons de la couche blanche des hémisphères,
décrite
par Friedmann, et les altérations de la couche op
ment remanié l'étude qu'on est tenté de croire que vous les avez
décrites
le premier. Aussi l'Ecole de la Salpêtrière, où
ropre à la femme. Il affirmait qu'elle existait chez l'homme; il la
décrivait
avec soin; il montrait les phé- nomènes communs
on de boule qui montait à la gorge et l'étranglait, était très bien
décrit
par lui. L'accès dura de vingt à vingt- cinq mi
é en avant, se met à balancer la tête par un mouvement impossible à
décrire
. Il semble que les vertèbres du cou n'existent
ns les auteurs de notre siècle et des siècles pré- cédents. D'abord
décrite
sous le nom d'epilepsiaprocllr- siva, puis sous
, il le laissait bientôt échapper involontairement. En marchant, il
décrivait
toujours un arc avec le pied gauche, tournant l
tres. » De plus, il montre que « l'état qui peut, avec vérité, être
décrit
sous le nom de perte du sens musculaire ou de c
formes de paralysies par suite de névrites multiples n'ont pas été
décrites
systématiquement dans les livres classiques, qu
ue du Sud sous le nom de beri-beri ou kakké. Dans l'Inde elle a été
décrite
sous le nom d'ignipédités et en France sous celui
chymateuse qu'on trouve dans la névrite multiple que nous venons de
décrire
. On a remarqué que la névrite parenchymateuse n
le, celle de grouper d'une façon rationnelle les différentes formes
décrites
de la folie.More ! avait déjà fait'cet essai. S
ons d'aliénés des zemshwa. Le rapporteur SOCIÉTÉS SAVANTES. 125 a
décrit
la situation anormale des maisons d'aliénés et de
légie. Reste la moelle. S'agit-il d'un des faits d'hémiparaplégie
décrits
par Brown-Séquard ? L'auteur discute gravement ce
adie, dont le substratum ana- tomique est encore à découvrir, il en
décrit
avec précision les symptômes, la marche, les te
ticle Paralysie générale que mon col- lègue Ritti et moi nous avons
décrit
pour le Diction- naire encyclopédique des scien
ui se pose est celle-ci : la pa- ralysie générale n'étant connue et
décrite
que depuis 1822, en faut-il conclure qu'elle n'
inférieurs, le voile du pa- lais, etc. Ces paralysies généralisées,
décrites
pour la 222 2 PATHOLOGIE MENTALE. première fo
e ses accès procursifs, Car... avait des accès rotatifs : tantôt il
décrivait
des cercles à court rayon, qui se terminaient s
se terminaient souvent par un accès convulsif ordinaire; tantôt il
décrivait
des cercles irréguliers à grand rayon, évitant
plus fréquents, Alép... a eu souvent des accès; voici comment on
décrit
le premier : Etant debout, on s'aperçut que sa fi
tique, ayant en somme le même mécanisme que le rêve. Ce mémoire les
décrit
avec une grande richesse d'expressions et de co
e délire des persécutions de Lasègue en souvenir de l'homme qui a
décrit
le premier lapériodeprédominante du délire, la pé
peux me dispenser de répondre à la qnestion de responsabilité, je
décris
l'ensemble de l'état mental, en insistant plus pa
ette déviation n'est pas due à l'hémi-spasme glosso-labié récemment
décrit
par M. le profes- seur Charcot. En somme, cette
on histoire. L'école de la Salpêtrière a magistralement étudié et
décrit
les caractères somatiques fixes de ce que l'on
ères somatiques fixes, indépendants de la suggestion; qui sont ceux
décrits
par M. Charcot pour la léthargie, la catalepsie
et leur description présente encore quelque confusion. Briquet en
décrit
trois espèces qu'il considère comme des degrés
reste, un caractère capital montre que les attaques de contractures
décrites
par Richer ne cor- respondent pas exactement au
oduit absolument le premier type de sommeil spontané que nous avons
décrit
. Elle dort l'oeil fermé, avec une anesthésie de
grand hypnotisme, 346 CLINIQUE NERVEUSE. magistralement étudié et
décrit
à la Salpêtrière. Un premier caractère capital,
Il y a chez F... deux éléments qui n'existent dans aucun des états
décrits
à la Salpêtrière et qui par con- séquent la dif
e professeur Kahler fut plus heureux : chez le ma- lade qu'il avait
décrit
dans la Prager lVledicinische Wochensclarift (1
trophie de l'olive gauche. L'année suivante, rürstner et Zacher 8
décrivirent
un cas plus compliqué, suivi d'autopsie ; mais
déve- loppé dans l'espace de deux ans et demi. Remalc (1884.) 19
décrit
un fait clinique de gliomatose centrale, carac-
du toucher était altéré à un degré très insigni- fiant. Enfin Freud
décrivit
en 1885 un cas « d'atrophie musculaire avec des
une population de 50,000 habi- tants, 15 cas de la maladie qu'il a
décrit
sous le nom de parésie analgésique, et caractér
s se rapportant aux formes cliniques d'apparences les plus variées,
décrites
à cause delacombinaisonextraordinaire dessymptô
dans la littérature deux cas que leurs auteurs identifient à ceux
décrits
par Morvan; le premier, celui de Guel- liot 19
t être pas à notre maladie ; le deuxième, celui de Broca '' a été
décrit
sous le nom de panaris analgésique. Chez ces au
plus précoces l'analgésie et l'anesthésie thermique, avaient été
décrites
jusqu'à ce dernier moment, comme une complicati
trois ans, il serait sujet à de petits accidents cérébraux que l'on
décrit
ainsi : yeux fixes, perte de connaissance, parf
en avant et la tête s'incline, l'avant-bras est relevé également et
décrit
des oscillations. Quand Dern... veut prendre sa
e en oscillant. Quand D... veut prendre une cuiller, la main droite
décrit
des oscillations assez grandes, avec conservati
Derno... Quand Lem... veut prendre un verre, les membres supérieurs
décrivent
404 RECUEIL DE FAITS. - DEUX CAS D'ATHETOSE DOU
) L'auteur fait remarquer ce qui suit sur les deux observa- tions
décrites
. Dans ces deux cas, on constate de la micro- my
sch. f. Psych., XLIII, 3.) , L'auteur a inventé un piézomètre qu'il
décrit
, et à l'aide duquel (nous passons la partie tec
de mieux mettre en relief les phénomènes multiples que nous aurons à
décrire
chez les autres malades. Sommaire. — Antécédent
es sont précédées d'une aura, offrant tous les caractères qui ont été
décrits
par M. Charcot : a) douleur siégeant à la région
bornerons-nous, ici, à rappeler les causes présumées de sa maladie, à
décrire
ses attaques et, enfin, à mentionner les modifica
offrent des formes assez nombreuses et qu'il serait bien difficile de
décrire
clairement et d'une manière trèsexacte, si nous n
gures2et 5 donnent une idée suffisante pour qu'il soit inutile de les
décrire
. On observe ensuite de grands mouvements avec p
onstituent de véritables attaques démoniaques. Celles que nous allons
décrire
et qui sont très-rares ont un caractère tout à fa
Alors, Louise Lateau offre l'attitude du crucifiement que nous avons
décrite
chez Rosalie, chez Madeleine. Nous avons mis hors
uerelle avec tout le monde. Mai. — Les accidents que nous venons de
décrire
ont disparu dans les premiers jours d'avril; puis
stons à une attaque précédée des modifications de la physionomie déjà
décrites
(Pl. XV) et qui se compose, suivant la règle : 1°
e, entre autres, est plus prononcée que dans celle que nous venons de
décrire
; les yeux se dirigent à droite au lieu de se p
M. X... et se livre en conséquence à des actes qu'il est difficile de
décrire
... On la comprime, elle se calme. Une heure plus
corps, l'ovaire correspondant fut pris à son tour. — Enfin nous avons
décrit
trop minutieusement les effets de la compression
ève ; nous avons fait le tableau d'un certain nombre de ses attaques,
décrit
leurs périodes et leurs variétés qui permettent d
ns, les hystériques prennent des attitudes très-variables. Nous avons
décrit
les extases de Geneviève (Pl. XXIV), l'attitude d
ore peu éloignés de nous, les derniers phénomènes, que nous venons de
décrire
chez Geneviève, auraient eu pour elle des conséqu
ecousses dont nous avons parlé à diverses reorises. M. Briquet ne les
décrit
pas dans ses articles consacrés aux convulsions,
sant retomber la tète et le tronc [grands mouvements clo-niques, déjà
décrits
). Dans les intervalles de repos qui séparent le
che (forme hémiplégique). L'attitude du bras est celle que nous avons
décrite
plus haut (Pl. XXVIII). L'attitude du membre infé
grimaces, une nouvelle attitude, des tortillements, enfin la position
décrite
plus haut et figurée dans la Pl. XXXVI. A ceci
inaire du corps qui, ne reposant plus que sur les talons et la nuque,
décrit
un arc de cercle, presque un demi-cercle chez Gen
ut au moins, chez les femmes atteintes d'hystérie grave. Avons-nous
décrit
toutes les formes que peuvent revêtir les attaque
recherches aux grandes cellules motrices de la corne antérieure et
décrit
les altérations de ces éléments dans les intoxica
es grandes cellules motrices présentaientla modi- fication spéciale
décrite
, sous le nom -de pyenomorphen Zustand (Nissl. N
lepsie et comment se comportent les pupilles. M. SCHULTZG. Gelineau
décrit
sous le nom de narcolepsie une névrose spéciale
s renseignements plus précis sur l'hérédité des délinquants. On a
décrit
un grand nombre de signes spécifiques de la crimi
es et intellectuelles. Ensuite, après un résumé historique, ont été
décrites
les méthodes proposées : pour les sourds-muets,
e cette question. II. Kôlliker1, Ramon y Cajal 2, van Gehuchten 3
décrivent
aux racines postérieures deux branches, une asc
adie, son évolution', la nature histologique 8 de la tumeur ont été
décrites
par nous ailleurs ; nous ne ferons que rapporte
Eisenlohr 2,dans une méningite chronique de la queue de cheval, et
décrit
au contraire comme ayant subi la dégénérescence
ieure une région médiane et garnie de tubes il myéline ; cette zone
décrite
habituellement par les auteurs comme cornu-commis
, que voyons-nous ? une dégénérescesce en virgule semblable à celle
décrite
par Schultze, dégénérescence qui s'arrête assez
des- pendante. Fibres à long trajet. Jusqu'ici les auteurs n'ont
décrit
que des voies commissurales courtes ; le deuxiè
e, redevient angulaire pour se terminer en forme de triangle médian
décrit
par 11OI. Gombault et Philippe. Donc faisceau
unanimité, pro- clamaient les anciens auteurs qui l'avaient si bien
décrite
au commencement du siècle (Pinel, Nosographie P
s connaissances sur la nature et la signi- fication de ce signe, et
décrit
les procédés qui doivent être em- ployés pour l
revanche, il faut admettre aujourd'hui les quatre périodes si bien
décrites
par M. Magnan. Mais ce délire de persécution cl
e juger au milieu même de son époque. C'est cette époque que nous
décrit
magistralement M. le profes- seur Raymond, en u
otation du pied dans l'articulation tibio-tarsienne. Le malade doit
décrire
un cercle avec le bout du pied; 3° Flexion du g
890 dans le service de Charcot, qui observe sur elle l'oedème bleu,
décrit
par lui chez d'autres malades quelque temps aup
a distinction des hallu- cinations proprement dites, des phénomènes
décrits
sous les noms de fausses hallucinations (Michea
empêcher de penser que la plupart des phénomènes que notre collègue
décrivait
comme autant de caractères d'une hallucination
terait à confusion avec des phénomènes analogues, mais dis- tincts,
décrits
par Kandwisky. Ce sont pour Kandwisky des repré-
les diffèrent également ; c'est ce qui est arrivé à Baillarger, qui
décrit
ensemble ces deux ordres de phéno- mènes sous l
s de phéno- mènes sous le nom d'hallucinations psychiques. Celles
décrites
par Séglas correspondraient plutôt aux hallucina-
sur l'acrocyanose que nous reproduisons in extenso : .- Avant de
décrire
le syndrome que nous désignons sous le nom d'ac
Charcot. Raynaud, dans sa thèse inaugurale, en 1862, a le premier
décrit
une série de troubles circulatoires aboutissant à
bles menstruels ont paru en être souvent la cause. L'oedème bleu,
décrit
pour la première fois par Charcot, en 1884, déb
r Lucien LAMACQ. - On dit qu'une partie du corps tremble quand elle
décrit
une série d'oscillations rythmiques de part et
u'il y a de nombreuses formes de transition entre les divers -types
décrits
, parce que certaines formes sont encore mal défin
y recevoir de traitement sérieux est démontré par l'asylum dementia
décrit
par les auteurs anglais et le réveil des malades
on d'en parler longuement avec les troubles moteurs que nous allons
décrire
. Les phénomènes spasmodiques qui constituent l'
u en dedans; toutefois la série des mouve- ments à grande amplitude
décrits
par l'àvant-bras droit, n'existe pas à gauche.
type le plus fré- quent et qui est celui que nous avons longuement
décrit
, d'autres modalités peuvent être observées. C
s susceptibles d'agir sur les phénomènes moteurs que nous venons de
décrire
, figurent en première ligne les in- fluences mo
onge naturellement à la maladie des tics convulsifs telle que l'ont
décrite
MM. Gilles de la Tou- rette et G. Guinon. De no
langage articulé dans la pro- duction des troubles moteurs. On a
décrit
des tics hystériques et leurs apparences sont des
s ils présentent des rapports avec les mani- festations convulsives
décrites
par Gilles de la Tourette et comme dans cette d
in sur lequel se sont développés les troubles divers que nous avons
décrits
n'est pas d'ailleurs un terrain hysté- rique. O
e qui préside à la production des troubles complexes que nous avons
décrits
, on ne peut en risquer qu'une explication tout
jacksonienne soit par définition symptomatique, c'est le mécanisme
décrit
pour cette affection que nous allons avoir en v
mbre de carac- tères qui les éloignent beaucoup des types connus et
décrits
; c'est pour cela que nous avons pensé qu'il y a
pos, selon vous, d'avoir un corps de médecins con- sultants ? 27.
Décrire
la marche suivie habituellement à l'admission d'u
tuel est-il la première attaque ou d'autres ont-elles précédé ? 1
Décrire
les crises précédentes ? Le développement a-t-i
citations que le sein hystérique a été depuis longtemps observé et
décrit
. C'est Wilis le premier qui, en 1678, en a trac
nc un souffle nerveux, pour lui le coeur est sain. Il a précisément
décrit
le souffle nerveux dès 1878. L'oedème également
igine à l'altération des centres nerveux. Ensuite Korsakoff avait
décrit
trois formes, d'ailleurs ordinaire- ment coexis
ème nerveux l'on doit attribuer la pro- duction du nouveau syndrome
décrit
par Korsakoff. En fin de compte, conclut Ferrar
uidique, sa forme biométrique, Carré éd.) Dans l'iconographie qu'il
décrit
, il a trouve avec la plaque une nouvelle méthod
rmes corticales sont les plus fréquentes. L'aphasie sensorielle fut
décrite
, pour la première fois, par Wer- nicke en 1874.
u comparatif de l'évolution parallèle des deux variétés de psychose
décrites
par les auteurs précédents. 1° Période commune
urer dans leur extase la manne céleste. Les auteurs reli- gieux ont
décrit
ces goûts et odeurs mystiques qui accom- pagnen
déclare qu'une telle prétention serait ridicule, la céphalée qu'il
décrit
n'a de spécifique que la nature de sa cause; el
es interpariétales, toujours d'après l'auteur, n'ont pas encore été
décrites
chez l'homme, cette disposition a seulement été n
rniers au système ner- veux périphérique, il semble très commode de
décrire
la marche de chaque faisceau en le suivant à tr
sive de l'imagination y jouait le rôle prédominant. Plus tard, il a
décrit
une folie à double forme, étudiée déjà et dénom
tase, il ya des intermédiaires nombreux. Ces états mixtes, que j'ai
décrits
sous le nom d'extato- cataleptiques, marquent b
er les centres de perception. Les noyaux qu'on y a minu- tieusement
décrits
existent peut-être, moins individualisés toutef
vers la pointe du lobe occipital, et celle d'un autre tractus, déjà
décrit
par Gratiolet, sous le nom d'expansions cérébra
s, à fonctions précises, que Ferrier, Munk et quelques autres ont
décrits
chez les chiens et chez le singe. Entrons dans
u sensitif, au niveau de la capsule interne, nous avons constaté et
décrit
, après Gratiolet et Meynert, un double tractus,
veau déjà enflammé est loin d'être la iènle, témoin doux autres cas
décrits
par lui dans lesquels des paralysés généraux in
çue non seulement du malade, mais encore du médecin : M. Fournier
décrit
cinq procédés pour découvrir l'ataxie naissante :
nos connaissances sont bien loin de cette perfection relative. On a
décrit
avec soin la mé- lancolie simple, la mélancolie
t sous le nom d'hyl)ochoj2(irie morale par AI. J. Falret, qui l'a
décrite
avec une exactitude minutieuse. Les mélancoliqu
sédée jour et nuit par une voix qui lui lisait son arrêt de mort et
décrivait
les supplices, t I l * « qui lui étaient rése
chez la femme, en se rangeant à l'opinion déjà émise par Azam', qui
décrit
quarante cas d'autopsie de femmes aliénées avec
réunies depuis 1876. Les pièces provenant d'une nommée C... ont été
décrites
par M. Charcot'. ( ? '7 7 et 8.) Une autre pi
pathie du coude, qui a été donnée au musée par M. Alph. Robert, est
décrite
en détail dans les bulletins de la Société anat
t résulter d'une usure. 5° Hanche droite. A. Os iliaque. Avant de
décrire
l'état de la surface articulaire de cet os, nou
forme anatomique de cette fracture se rapproche de celle qui a été
décrite
par Duverney sous le nom de fracture en tra- ve
xe transversal 30. Cette saillie était en contact avec la concavité
décrite
au niveau de la surface poplitée du fémur. A l'
e supérieur. ( ? 14.) Cette fracture rappelle celles que nous avons
décrites
sous le nom de fractures par torsion de la part
t à de longs intervalles et pouvant revêtir la forme des paroxsymes
décrits
plus loin. Dans les cas les plus graves, la pos
lète. L'autopsie n'a révélé aucune lésion constante. M. Pierret a
décrit
parmi les symptômes céphaliques de l'ataxie locom
remier lieu l'identité des conceptions irrésistibles et de l'entité
décrite
sous le nom de : 6' ? 'K&e/sM<;At (manie
krnicke rappelle que de vieux auteurs, Roustan, Durand- Fardel, ont
décrit
déjà des ramollissements du cerveau sans altéra-
tion qu'on les lave auparavant à grande eau. A ce propos, M. MENDHL
décrit
son procédé. Les cerveaux qu'il enlève subissen
M. Westphal, M. Mendel conuent que cette méthode a été employée et
décrite
par les Français. M. vol DEN Sieinen fait sa co
s témoignent d'une irrita- tion cérébrale avec laquelle les lésions
décrites
n'ont rien avoir. M. 13r.van rappelle que des p
en avoir. M. 13r.van rappelle que des phénomènes semblables ont été
décrits
par Fiirstner à la suite de la pachyméningite h
ié droite de telle manière que la scissure longitudinale antérieure
décrivait
un arc. de cercle'autour d'elle. La)tumeur s'ét
> ! L'iiT'ij ? , .1, 1, ...... i ? 1 - éléments 1. ÿrlayère céja
décrit
plus haut. ? ,1 m : ! 1 1 i ( 111 111 I rit il
ont on peut sûrement tirer des conclusions absolues. Ainsi le cas
décrit
plus haut nous donne quelques aperçus intéressa
a réaction par le viole,t de gentiane, que J'ai très minutieusement
décrite
plus haut, prouveque cette dernière substance a
uvent suppléées par les parties similaires. Dickinson' a d'ailleurs
décrit
dans le système nerveux des diabétiques des lés
t3) ou bien relève-t-elle d'une lésion de l'oreille ? M. Raynaud6 a
décrit
l'otite moyenne survenant à la période ultime d
et leur importance. A Desmares revient l'honneur d'avoir le premier
décrit
et figuré les lésions de la rétine observées da
eux sont iné- galement atteints. Le professeur Panas ' a le mieux
décrit
cette forme d'amblyo- pie et démontré sa nature
d'une hémorrbagie cérébrale. Des troubles oculaires pareils ont été
décrits
dans la plios- pbaturie, l'hippuric, l'oxalurie
e Coma diabétique observé par von Stosh et Prout a surtout été bien
décrit
par Kussmaul ; il n'a guère été étudié en Franc
Il emploie seulement une nomenclature différente. C'est ainsi qu'il
décrit
: 1° sous le nom d'artère de la fissure (arieîia
é'cizlaiî,e. Ce nom est à conserver : mais, nous aussi, nous avions
décrit
ce vaisseau : « A la partie postérieure, il con
(Cenlrabl. f. 7te7'v., etc., 1880, n° 17, 1er sept.) Le phénomène
décrit
sous ce nom par Westphal, consiste essentiellem
si qu'on peut rencontrer les altéra- tions spinales que nous allons
décrire
chez des sujets n'ayant présenté aucun signe cl
re les cas où nous avons vu nous-même cette lésion, on la rencontre
décrite
par d'autres auteurs, dans des maladies à vrai
encore que ces lésions ne sont pas sans analogie avec ce qui a été
décrit
dans le début des myélites aiguës, si elles ne
cette maladie, des figures semblables à celles que nous venons de
décrire
comme caractérisant la première phase des scléros
rencontrées au début des processus chroniques de celles qui ont été
décrites
par d'autres auteurs dans un grand nombre d'emp
, 28 juin 1895.) L'auteur, groupant un grand nombre d'observations,
décrit
suc- cessivement, avec photographies à l'appui,
1895, XIII, 2, 3.) Il s'agit d'une variété d'aphasie que Wernicke a
décrite
sous le nom d'alexie et Déjerine sous celui de
ance de Jackson. Ce malade présentait aussi le trouble que Freund a
décrit
sous le nom d'aphasie optique et qui consiste dan
les cellules endothéliales. Toutes les lésions qui viennent d'être
décrites
sont généra- lisées. Elles ont été retrouvées u
iences de laboratoire et pour l'électro-diagnostic ; l'appareil est
décrit
dans les Archives d'électricité médicale du pro
n satisfaisante des lésions neuro- musculaires qu'il a observées et
décrites
. 'La prédominance des lésions dans les portions
z sin- gulier, et correspond assez exactement à 1' « état de rêve »
décrit
parHuphlings Jackson ; il est seulement plus pr
initial des typhiques au poison spécifique de la fièvre typhoïde et
décrit
ce délire parmi les psychoses toxiques. Lieberm
se et la substance blanche. C'était Vierordt', qui le premier avait
décrit
un cas pareil. Il avait constaté dans son obser
et antérieurs (observ. IV). En comparant les cas de la polynévrite
décrits
dans la mo- nographie de Pal2, se jette aux yeu
ans divers cas. Le cas de la polynévrite alcoolique que nous allons
décrire
nous sert d'exemple très visible des lésions ai
La région dorsale présente les mêmes altérations que nous venons de
décrire
, avec la seule différence que la lésion des cordo
s mêmes anomalies, qui sont analogues à celles que nous venons de
décrire
. Renflement cervical '. Sur les préparations mi
estes de la résolution d'hémorragies périvasculaires. L'état criblé
décrit
par Durand-Fardel est commun chez les athéromat
z commun chez les aliénés, et qui, à sa connaissance, n'a pas été
décrit
. Cette pigmentation ne parait spécialement liée à
r section. Chaque section comprend, outre le dortoir précédemment
décrit
pour 14 enfants, une salle de réunion et une sall
vec écoulement sanguin peu abondant qui se traduit par les troubles
décrits
plus haut (syncope, vomissement, refroidissemen
ans ces dernières années, le domaine de la tétanie, telle que l'ont
décrite
Trousseau, Dance, Corvisart, Steinheim et d'aut
travail : 1° tout ce que nous savons sur la pathogénie de l'état
décrit
sous le nom de compression cérébrale - aussi bien
agit là d'une différence sans importance, puisque les deux variétés
décrites
se rattachent à une lésion unique, la différenc
lepsie sensorielle, pL l'épilepsie larvée, aussi bien que les états
décrits
sous le nom d'équivalents psychiques de l'épile
epsie psychique. L'épilepsie psychique pure, l'épilepsie procursive
décrite
par Mairet, Bourneville, Ladame et d'autres auteu
remplacé par un trouble d'ordre absolument différent, que l'auteur
décrit
, mais ne se charge pas de définir : dans le tro
l très distinctement. Sur certains cerveaux comme chez un Américain
décrit
par Benedikt cette partie est au contraire très
ale). 1 La troisième scissure de Leuret est complète chez le narval
décrit
par Turner, pour la partie temporo-pariétale et
un nombre restreint des cerveaux, comme par exemple chez un Feilah,
décrit
par Benedikt. C'est alors un arc horizontal sus-s
suite d'un traumatisme. Signalés pour la première fois par Brodie,
décrits
ensuite par Duchesne et par Robert, ces trouble
remonte pas au delà de 1889, quand Charcot a pour la première fois
décrit
ce complexus symptomatique et lui a donné son n
is Archives, 2e série, t. I. 21 322 ) ANATOMIE PATHOLOGIQUE. de
décrire
un cas que j'ai eu l'occasion d'observer, d'autan
ocale; le cas de Rosenbach (Cent1'GltJl, f. Nerven., 1888, ne8) qui
décrit
un oedème d'une moitié du corps et la cyanose d
présence des stigmates carac- téristiques de l'hystérie, je devrais
décrire
mon cas aussi sous le nom d'oedème bleu d'origi
écuteurs raisonnants, ou persécutés persécu- teurs, a été très bien
décrit
par Lasègue ; ces aliénés commettent souvent de
ent; quand elle existe, elle est mo- dérée et irrégulière. L'auteur
décrit
ici avec soin les altérations anatomiques obser
! /ttWt ? te<<6) ! , t. XXVII, 1. 2.) Depuis Friedreich on a
décrit
un grand nombre de maladies dont le symptôme fo
be pariétal que .partout ailleurs. Parmi les nombreuses anomalies
décrites
, une des plus fréquentes est l'isolement superf
s médullaires. La comparaison des racines de cinq malades permet de
décrire
, outre la disposition d'ensemble correspondant
et cependant elles sont identiques avec celles que le Dr Nageotte a
décrites
comme étant la cause immédiate du tabès. (Revue
Weigert et Pal. Puis décoloration et différenciation, ainsi que l'a
décrit
Pal. Les gaines de myéline sont bleues; tout ce
t examinés, appareil par appareil; l'astasie- abasie hystérique est
décrite
après les paralysies. L'auteur envisage ensuite
des neurones polyneuriques où celui-ci est multiple ; c'est le type
décrit
par Cajal. i Si le prolongement nerveux est trè
ulièrement à chacune de ces éventualités. Chacun de ces types a été
décrit
en clinique comme évoluant isolément bien avant
- mêmes partie. Dans ces cas, on a toutes les lésions qui ont été
décrites
dans le neurone de la sensibilité et de la motili
par rapport à la moitié supérieure du tronc. La colonne vertébrale
décrit
une légère courbure à convexité dirigée à droit
jambe est iléchie à angle droit, c'est à peine si on peut lui faire
décrire
un angle de quelques degrés dans le sens de la fl
atteint notre malade et qui paraît répondre à la paréso-analgésie,
décrite
par M. Morvan et à laquelle on donne généraleme
'abord, les troubles de la sensibilité sont ana- logues à ceux qu'a
décrits
cet auteur. Notre malade a une anes- thésie, un
urent tout le long de la moelle et forment l'aire de dégénérescence
décrite
dans le cordon antéro-latéral. La dégénérescenc
lication du microscope à l'étude des tumeurs, les épithéliômes furent
décrits
et séparés du carcinome par Muller, Hannover, Leb
is le mal avait bientôt récidivé et menaçait la vie de l'enfant. Sans
décrire
le manuel opératoire, la tumeur fut circonscrite
ve de l'enfance. — L'atrophie musculaire progressive, lorsqu'elle fut
décrite
pour la première fois, était considérée comme une
essivement et prit, en quelques mois, l'expression que nous venons de
décrire
. A cinq ans, amaigrissement du tronc et des membr
seudo-hyper-trophique; janvier 68 et suivants. trophique, récemment
décrite
par M. Duchenne de Boulogne (i), a été confondue
des détails suffisants pour bien faire connaître l'affection curieuse
décrite
sous le nom d'atrophie musculaire progressive de
i en i852 que se montra la tuméfaction sous-mentale que nous aurons à
décrire
. i° Groupe occipital. — Au niveau des insertion
froid extérieur. Malgré l'arrêt de développement que nous venons de
décrire
la jeune fille qui en est l'objet a su, sous l'in
de la circonférence de l'organe. Dans le sillon médian que nous avons
décrit
, et à trois centimètres environ de la base du gla
tate après un examen attentif, est affectée des vices de conformation
décrits
ci-dessous : i° L'adhérence des paupières, que,
édical de Madrid, en 1865, il fut fait mention du cas que nous allons
décrire
par un professeur portugais, Augusto de Macédo.
mineux. Les cas de tératologie du genre de celui que nous venons de
décrire
sont assez rares, et c'est surtout à ce titre que
c la petite vésicule contenue dans la grande, remplie du liquide déjà
décrit
. Un mois après l'opération, Auguste Jugan était
s faits analogues ont été signalés chez l'homme, mais on ne les a pas
décrits
scientifiquement, surtout au point de vue de la d
e la démarche de l'enfant. Le cas de tératologie que nous venons de
décrire
rapidement nous a été communiqué par le docteur P
ion caractérisque des pieds et présentant tous les symptômes que j'ai
décrits
. « Je ne suis pas encore assez complètement édi
ithélium des papilles linguales et par un parasite végétal non encore
décrit
. Ce dernier consiste en spores rappelant celles d
onde partie ne le cède en rien au mérite de la première et l'auteur y
décrit
, par régions, les modifications que peuvent offri
, elle perdrait cette qualité essentielle. Le toit qui vient d'être
décrit
présente, dans son milieu et dans toute sa longue
ion principale appartiennent à l'ordre des dégénérations secondaires,
décrites
avec soin dans cesderniers temps par M.Ch. Boucha
une figure plus ou moins semblable à celle que le professeur Nœgelé a
décrite
sous le nom de bassin oblique ovalaire. » La pl
ibution. Tous suivaient invariablement la routine des devanciers et
décrivaient
dans une même série de chapitres les mêmes élémen
e sagacité. Pourquoi, dans nos traités d'anatomie, s'obstine-t-on à
décrire
les articulations avant les muscles, alors qu'on
ition des lésions irré- médiables. Cette forme a été magistralement
décrite
par Fournier dans son traité de la syphilis cér
la forme suivante. Cette aphasie transitoire, intermittente, a été
décrite
pour la première fois par Mauriac ', et après l
te de la base. Les anévrismes des artères cérébrales ont été bien
décrits
par Spillmanu=. Pour compléter cette symptomato
dilatation anévrismale anté- rieure. Il ne peut être question de
décrire
ici tous les ramollisse- ments d'origine syphil
ejeter l'hypothèse de gomme ou méningite. Il n'y a donc pas lieu de
décrire
avec Charrier et Klippel. la forme paralytique
' Loc. cil., p. 607. 12 '2 CLINIQUE NERVEUSE. Charier et Klippel'
décrivent
de plus une forme intellec- tuelle c présentant
s lésions artérielles, mais plutôt des lésions interstitielles bien
décrites
par Raymond2. Les troubles intellectuels que no
en décrites par Raymond2. Les troubles intellectuels que nous avons
décrits
plus haut, dès la première période, évoluent so
es dans la paralysie générale. M. Auguste Voisin', dans son traité,
décrit
les moindres signes et signale les troubles tro
du renvoi de plusieurs infirmiers violents ». L'otliématome a été
décrit
pour la première fois par Bird (1833). On l'a c
nesthésie. 7° En arrière du territoire radiculaire qui vient d'être
décrit
dans le noyau de Burdach et aux envrions on ren
n'est pas rare qu'elle voie dans sa chambre son propre frère ; elle
décrit
sa figure, son attitude, décrit son habillement
sa chambre son propre frère ; elle décrit sa figure, son attitude,
décrit
son habillement, montre la place où il s'est as
s par les amputés. Dans la première partie de son travail, l'auteur
décrit
les sensa- tions illusoires dont se plaignent l
petits tuyaux. Il n'y a d'après l'auteur que Loewenfeld qui les ait
décrites
(Studien über Gehirnblutung, Wiesbaden, 1885).
uentes dans la paralysie générale. Les dents n'ont pas le caractère
décrit
par Hutchison. Ne serait-ce pas tout simplement
riode, l'évolution peut aussi être rapide, aiguë; et il y a lieu de
décrire
successivement deux formes, aiguë et chro- niqu
s générales donne la soi-disant paralysie générale proprement dite,
décrite
comme type. Et nous sommes amené, par suite, à
du problème a été donnée par M. le professeur Fournier, quand il a
décrit
, sous le nom de a pseudo- paralysie générale sy
s un hôpital à la suite d'une rixe. L'expert, chargé de l'autopsie,
décrit
une lésion de la fosse iliaque résultant- d'une
continuait à droite et à gauche par l'organe cylindrique plus haut
décrit
, occu- pant la situation du ligament large. Le
les rapports et la disposition anato- miquedes différentes parties
décrites
. Il n'y avait en outre nivési- cule séminale ni
ne datait de un mois et l'autre de deux ans. D'autres auteurs ont
décrit
diverses lésions de la moelle dans l'anémie per
de Deiters peuvent jouer un rôle analogue. Les phénomènes qu'il va
décrire
sont tellement évidents et aussi tellement comm
ire qui a été suivie de toutes les complications syphilitiques sus-
décrites
. P. KERAVAL. REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
tion thyroïdienne dans la jeunesse ; trois variétés peuvent en être
décrites
: 1° le cré- tinisme congénital correspondant à
ire. Cliniquement, cette affection s'est écartée du type du genre
décrit
par Raymond en 1875, par les points suivants : l'
es conditions anatomiques et de don- ner une autre appellation pour
décrire
les conditions cliniques. (The alienist and Neu
ents chromatophiles : on retrouvé les trois espèces de chromalolyse
décrites
par M. Marinesco, chro- matolyse périnucléaire,
érés, laquelle n'est qu'un syndrome de dégénéretice analogue à ceux
décrits
par Magnan, avec lesquels il peut coexister. Ce
e de transition entre l'béréduataxie cérébelleuse et les affections
décrites
sous le nom de sclérose en plaques ou diplégie
ge. Il n'y a ni aphasie ni agraphie. Des cas analogues ont déjà été
décrits
par quelques auteurs, entre autres par Kussmaul
t traités dans un asile spécial, l'Asile Saint-Claude, que l'auteur
décrit
. 7. Essai sur les hypermnésies. Etude de psycho
s plus géné- rales, qui sont les suivantes : Jusqu'ici il avait été
décrit
, sous le nom d'hypermnésies, trois ordres de ph
éfistiquesdes diverses formes de syphilis cérébrale dont l'au- teur
décrit
les trois types suivants : la méningite syphiliti
xamen des matières fécales se fera suivant le procédé de Simon, que
décrit
l'auteur. Des observations de Simon il résulte
sont pour la plupart subjectifs et que d'autre part, on a souvent
décrit
sous le nom de neurasthénie des symptômes nerveux
GNIER. Ce travail, consacré à l'étude de la très curieuse obsession
décrite
par MM. Pitres et Régis au congrès de Nancy, dé
s rappellerons la possibilité de troubles trophiques graves. On a
décrit
, en effet, des gangrènes, des éruptions, du pemph
ne peut se convaincre de l'existence des fibrilles que Flemming y a
décrites
. La substance fondamentale aurait une structure
tement échoué contre l'affection. Il n'y a pas lieu de s'attarder à
décrire
les légères anomalies de conformation crânienne
ssi pouvoir relier cette amaurose à la même cause que les accidents
décrits
au début de cette observation, à la même cause
température, ni des différences de durcissement des coupes. Sfameni
décrit
minutieusement la méthode et les procédés qu'il a
épinière, nerfs périphériques, terminaisons nerveuses). Après avoir
décrit
toutes ses expériences et classé leurs résultats
es femmes qu'il a eu à observer. M. A. Voisin expose qu'il a déjà
décrit
, il y a environ vingt-cinq ans, les lésions don
sur les planches de M. Ballet sont comparables à celles qu'il avait
décrites
, en employant uniquement l'hématoxyline comme p
ante des faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux,
décrite
par M. Werziloff dans son cas, s'observe égale-
oint de vue du trajet des voies sensitives intramé- dullaires et de
décrire
une forme particulière de dissociation de la se
brilles granuleuses, dont la nature nous échappe. Que ces fibrilles
décrivent
un tourbillon ou affectent une disposi- tion ra
res, soit des parties centrales nécrosées. On a vu que nous avons
décrit
macroscopiquement et his- tologiquement ces pet
aboratoires. Aussi peut-on affir- mer que les névromes de la moelle
décrits
par Raymond (Archives de Neurologie, XXVI) et p
noyau moteur. Ce sont peut-être les fibres des pédoncules cérébraux
décrites
par Meynert qui relient le noyau du trijumeau à
plus loin, après s'être détaché en dehors, aux fibres précédemment
décrites
qui viennent du ruban de Reil latéral. P. Kerav
partie la plus curieuse de l'étude de M. Walsh est celle où il nous
décrit
les progrès les plus récents de l'alcoolisme chez
e-t-il, un lieu d'élection pour la méningite tuberculeuse en plaques,
décrite
par M. Ballet, et ensuite et surtout par M. Chant
ent aux lois de la pesanteur, vers le sinus longitudinal supérieur et
décrivent
, avant de s'y jeter, un coude très accusé. Discut
complètement perdu. — L'anesthésie cutanée est telle que nous l'avons
décrite
plus haut. Relation des expériences instituées
provoque instantanément une attaque du genre de celles que nous avons
décrites
plus haut. Sens de Vouïe. — Diapason à l'oreill
e de notre précédente malade, nous nous contenterons pour celui-ci de
décrire
en quelques mots les scènes auxquelles il assiste
igne ainsi l'une des trois périodes du grand hypnotisme tel qu'il l'a
décrit
chez les hystéro-épileptiques. On l'obtient, cons
térique admet un nombre extrêmement varié de formes — dont nous avons
décrit
quelques types — mais qui toutes représentent une
te, toujours en rapport avec l'idée dominante. Il est impossible de
décrire
mieux les caractères qui distinguent le somnambul
rsaire de son accident, il était pris de crises de nerfs qu'il nous a
décrites
, et qui sont, à n'en pas douter, des attaques hys
terrifiantes reparurent, avec le même caractère que celles qui seront
décrites
plus loin. Etat actuel (janvier 1890). C'est en
r. On profite de ce moment pour lui faire prendre du lait et la scène
décrite
plus haut se renouvelle). « ..... Oh ! les voil
3). M. Mesnet, dans son mémoire si éminemment suggestif déjà cité,
décrit
un fait absolument identique (l). Après avoir enl
ui avaient cours à cette époque, considérait le somnambulisme par lui
décrit
comme une névrose à part et ne l'avait pas réduit
rer, sans trop s'aventurer, à l'aura céphalique de l'attaque normale,
décrite
par M. Charcot ? Joignons à cela les caractères d
onsidérations, nettement formulées. On nous dira que le somnambulisme
décrit
par cet auteur ne se rapporte pas toujours exacte
que pendant cet^acte. Au repos il n'est pas appréciable. Le malade
décrit
ainsi une de ses crises nerveuses, d'après le réc
feuillets de papier, composant une sorte de prologue à son roman. Il
décrit
la consultation externe de l'hospice un mardi mat
otre jeune journaliste. Dans la plupart des autres cas que nous avons
décrits
, la succession des hallucinations spontanées ou p
rogènes, les caractères du délire, tels que nous les avons longuement
décrits
, l'influence des impressions sensitives et sensor
'une perversion complète du sens génital. Les attaques que M. Vizioli
décrit
comme accès d'hypnotisme spontané (accessi di ipn
n fiancé s'aperçut par hasard qu'il pouvait l'hypnotiser. M. Ladame
décrit
, ainsi qu'il suit, les caractères qui distinguaie
uelle se présente toujours sous la forme typique de la grande attaque
décrite
par M. Charcot, ou bien succéder à une attaque de
ncore un cas de M. Bianchi (1). La brièveté avec laquelle l'auteur le
décrit
ne permet malheureusement pas d'en tirer grandes
normal, condition seconde, état de vigilambulisme). Je commence par
décrire
cet état parce que c'est celui dans lequel la mal
'Esmark. De lààl'hyper-excitabilité neuro-musculaire que M. Oharcot a
décrite
dans la léthargie, il n'y a qu'un pas. Ce n'est p
l successifs dont a souffert Marie H... à cette époque et qui ont été
décrits
plusieurs fois par M. Charcot dans ses leçons cli
t-hypnotiques. A cet égard, l'expérience de la photographie, que j'ai
décrite
en détails à propos de Marguerite D..., réussit p
éristique d'hystérie, mêlée de phénomènes hypnotiques, que nous avons
décrite
avec détails au cours de l'observation. Chez la j
passage d'un état dans l'autre, et au début de l'état second il nous
décrit
bien nettement l'aura céphalique hystérique, tand
e relation de cause à effet entre le tabès et la présence du sucre et
décrit
celle-ci sous le nom de glycosurie d'origine tabé
s ceux que nous avons pu étudier réunissaient les symptômes cardinaux
décrits
par Friedreich : caractère familial de l'affectio
iprésentent. Elles n'ont pas de membrane d'enveloppe, et on peut leur
décrire
une partie centrale et une zonefpériphéi*ique.';L
u point de vue clinique. Or, aucun cas de ce genre n'avait encore été
décrit
jusqu'au jour où M. Brissaud, en 1890, en observa
ement les plus atteints dans la paralysie pseudo-hyper-trophique pure
décrite
par Duchenne, de Boulogne (2), à savoir : tout d'
1872, p. 595 et suivantes. non, constaté chez ses malades lorsqu'il
décrivit
la forme infantile héréditaire de l'atrophie musc
tatistique. Il comprend non seulement les observations que nous avons
décrites
ci-dessus, mais encore celles où l'aura manque co
'y a rien ajouté de bien important depuis, ce me semble. Cet auteur
décrit
trois formes d'encéphalopathie saturnine; ce sont
as ceux de l'épilepsie saturnine. Jamais les malades, dans ce cas, ne
décrivent
d'arc de cercle dans leurs mouvements, comme cela
le jusqu'à un certain point, mais c'est une anomalie prévue, classée,
décrite
par MM. Ballet et Crespin, dans leur travail sur
r le compte du saturnisme ; car, outre les troubles de la sensibilité
décrits
par Beau et Manouvrier, et consistant en plaques
el sur lequel l'aboulie a pris naissance. Voici comment les auteurs
décrivent
ce mode do b5 REVUE DE THERAPEUTIQUE. traitem
sme ne paraît jouer qu'un rôle étiologique assez effacé. L'auteur
décrit
ensuite longuement les symptômes de la mala- di
t brusque ou si elle a été précédée d'une lente agonie. Nos auteurs
décrivent
le manuel opé- ratoire à suivre pour faire cett
pplicable du fait de son énormité. Un auteur russe, Pomialowski a
décrit
la vie qu'il a menée lui- même dans un séminair
03 amaigri. Il ne pèse que 48 kg. 500. Je n'ai pas l'intention de
décrire
avec détails les mouvements desordonnés et incess
cinquième ou au début du sixième mois de la vie embryonnaire. On le
décrit
habituellement comme une incissure légère, entr
noyaux des cordons de Goll partent encore des fibres dégénérées qui
décrivent
des arcs de cercle plus brusques pour se rendre
e l'étage supérieur des pédoncules cérébraux, le faisceau de Gowers
décrit
une courbe brusque pour pénétrer en plein dans
M. TRÉ1VEL. L'étude de l'hérédité familiale permettra peut-être de
décrire
en pathologie mentale comme en pathologie nerveus
ente, Brunet et Vigouroux, Pain, etc. MM. Bourneville et Séglas ont
décrit
une idiotie familiale. Les faits rapportés ici
n certain intérêt, même au point de vue pratique, à rechercher et à
décrire
ces psychoses qui, selon le mot de More), « sem
s présentant le phénomène des orteils. En pratiquant la manoeuvre
décrite
par Schaefer, j'ai obtenu comme lui la flexion
e de petits tronçons qui s'émieltent progressivement. Ce type a été
décrit
sous les noms les plus divers, notamment par M. J
bilatérale et homonyme. Dans le chapitre de l'audition, M. J. Soury
décrit
avec les plus grands détails les voies centrale
modifications de la fonction et les troubles ainsi produits ont été
décrits
par M. J. Janet sous le nom de troubles psychop
faits de ce genre ne sont pas nouveaux. Depuis que les Anglais ont
décrit
et étudié l'irritable bladder, on a rapporté bo
es, mortelles, très rares, il existerait un bacille spécifique déjà
décrit
par les auteurs. * J. SÉGLAS. XV. Singulière
ies différentes, indépendantes, telles qu'on les a con- sidérées et
décrites
depuis longtemps. J. Séglas. XVIII. L'alcalinit
dans les descriptions des maladies communes, et que l'unique forme
décrite
jusqu'à ce jour, présentant des caractères clin
- tent les mêmes caractères cliniques fondamentaux que la maladie
décrite
par Hecker. J. SÉGLAs. XXI. Deux cas d'idiotie
énital doit actuellement com- prendre les cas congénitaux autrefois
décrits
sous le nom de ra- chitisme congénital. Il peut
inisme vrai, sont très difficiles à classer. L'auteur va essayer de
décrire
quel- ques-unes de ces formes spéciales et de m
bles bacilles. Le tableau clinique rappelait absolument ce que l'on
décrivait
naguère sous le nom de phthisie catarrhale aigu
suffisamment de la simple lecture de la classification d'Arnaud qui
décrit
une forme démente (sans délire); une forme ambi
s, en effet, dont l'état mentol est fort bien et fort soigneusement
décrit
par l'auteur relèvent de l'Asile-Ecole et peuve
rtains auteurs pensent que la déformation des den- drites ci-dessus
décrite
peut être quelquefois comme le résultat des mod
le a subitement mis dans sa bouche et avalé. Les parents ne peuvent
décrire
exactement cet objet dont les dimensions seraie
langue, perte de connaissance. La crise été précédée d'une aura que
décrit
assez bien le malade ; il lui semblait avoir quel
s qu'avant l'accident, toujours précédées de l'aura auditive déjà
décrite
. · Malgré les nombreuses lacunes que présente n
restreintes. Le caractère des crises, telles qu'elles nous ont été
décrites
, est suffisamment net pour qu'on puisse porter
ion. Etant donné la variété d'aura sensorielle (auditive) si bien
décrite
par le malade, et l'affaiblissement notable de l'
t l'inverse. P. KERAVAL. LV. Sur un phénomène pupillaire non encore
décrit
; par A. WESTPHAL. Nouveaux phénomènes pupillair
scussions. Trois questions se posent à ce sujet : Il, Les symptômes
décrits
sont-ils uniformément associés ? 2° Manquent-il
tion l'auteur rapporte six obser- vations présentant les caractères
décrits
par Kahlbaum. Quant à la seconde question, sa c
and nombre de cas qui ne présentent pas les symptômes mus- culaires
décrits
par Kahlbaum et, néanmoins, sont réellement de
-ci restant adhérente à la méninge (altération très caractéristique
décrite
par Baillarger en 18 ? et attribuée par lui à l
mande si des cerveaux de paralytiques généraux peuvent permettre de
décrire
des cas d'une telle netteté. M. DËJEtUNE reco
signalées Sans accorder, et j'en suis bien loin aux hyperesthésies
décrites
par Héad la précision topographique qu'il leur
eflet de cette sollicitude dans les quelques lignes où, après avoir
décrit
avec une émouvante simplicité les souffrances d
u pouls et de la respiration, la froideur des extrémités. marche3
décrit
avec beaucoup de détails les divers symp- tômes
psie ; elle ne manque presque jamais, et de quelque façon qu'ils la
décrivent
, les malades la rapportent toujours à la môme p
pie-mère et le tissu cortical sous-jacent, atteint de la sclérose,
décrite
plus haut dans sa variété diffuse ; cet état an
ent psychique de la folie délirante. M. STADEL3fANN (de Wurtzbourg)
décrit
, sous le nom de folie SOCIÉTÉS SAVANTES. 451
appliquées le long des parois vasculaires. Ce que nous venons de
décrire
pour la circonvolution frontale ascendante droi
petites avec lesquelles elles affectent les mêmes rapports que ceux
décrits
plus haut à propos de l'écorce cérébrale. Noton
e la bave, le gâtisme, le balancement du tronc, les tics, les accès
décris
, etc. IV. Sous l'influence de la tuberculose, l
onlal; cas de paralysie bulbaire progressive infantile et familiale
décrite
par Hoffmann. Remak, Bernhardt, Fazio, Londe, e
iétés ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 519 de méningite qui furent
décrites
: La pachyméningite externe et interne; la lépt
a méningite, et durant une dizaine de jours. 3° Méningite séreuse
décrite
par Quincke, quelquefois très aiguë, mais quelq
uve sur les coupes de M. Lesage des altérations médullaires qu'il a
décrites
dans la lèpre avec M. Jeanselme, altérations qu
uvre scientifique du médecin, je leur dirais que je me suis borné à
décrire
l'homme, tel que je l'ai connu, tel que je l'ai
tenu. Nous trouvons repro- duite ici la méthode d'enseignement déjà
décrite
à propos des dégénérés inférieurs, avec quelque
, par 1111nrazzini, 313. I'UPILLIIIi. Phénomène -, non en- core
décrit
, par Westphal, 313 ; par l'eltz, 313, Pwmues.
nent toutes deux de jeunes gens intelligents, instruits, et qui ont
décrit
eux-mêmes, d'une façon très exacte et vraiment
ssionnable, sujet aux palpitations, est atteint d'éreuthophobie. Il
décrit
ainsi lui-même sa maladie : Je me souviens d'av
depuis son apparition, je passe sur ma vie de lycée, et je vais la
décrire
dans ses généralités en prenant des exemples de s
e connaissance, de me reposer, de mourir. L'accès que je viens de
décrire
est un accès aigu. Généralement il est moins fo
eption de Morel, ce clair génie de la psychiatrie fran- çaise qui a
décrit
en 1866 les obsessions sous le nom de délire ém
se, p. 481-482, DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 33 Ailleurs, la sainte
décrit
un état qui est à rapprocher de l'automatisme g
distingue nettement quatre degrés d'oraison, comme les bouddhistes
décrivent
quatre degrés de contemplation dans le Nir- vàn
e se gonflant d'air et répétant tous les mouvements que je viens de
décrire
. Elle est convaincue qu'elle passe ainsi une part
s des aliénistes et neurologistes de Bordeaux, le docteur Pailhas a
décrit
sous le nom de « états monomaniaques liés à une
st presque le seul remarqué. A côté de ce tremblement l'auteur en
décrit
un autre qui, s'il n'est pas absolument spécial a
es spasmodiques, pouvant aller jusqu'à la contracture et qui sont
décrits
depuis longtemps dans la paralysie générale. Les
er les diverses variétés cliniques de la folie telles qu'elles sont
décrites
en France d'une part, en Allemagne de l'autre.
enté les cellules à deux ou plu- sieurs prolongements cylindraxiles
décrits
par Ramon y Cajal. Il est indubitable que ces p
tant dans la vision de fantômes qui gesticulent entre eux aient été
décrites
, leurs attitudes et mouvements manquent de vale
it, par un procédé analogue à celui employé en 1894 par M. Ferrant,
décrire
les six - 2 formes fondamentales et.les nombreu
oiie du doute ou du toucher et toutes les phobies variées qu'on a
décrites
sous le nom de syndromes épisodiques ; ainsi que
nous rappellerons'que Schule, parmi les para- noïas dégénératives,
décrit
une forme onanistique du délire religieux et qu
l'idiotie et l'imbécillité et pense que si l'imbécile anti-social,
décrit
par M. Sollier correspond bien en réalité à un
dinairement le pre- mier symptôme qui attire l'attention ; l'auteur
décrit
avec soin la forme de la tête et les autres sym
leur appli- cation à la pathologie mentale; et dans lequel aussi il
décrit
quel- ques-unes des méthodes appliquées par le
iguë hém01'- ragique. - L'auteur rappelle que cette affection a été
décrite
pour la première fois par Strùmpel (1889) et ét
ise n'est sans doute pas sans présenter des analogies avec ce qu'on
décrit
sous le nom de coryza spasmodique, de coryza de
fibrillaire a été observé par Schultze, Ranvier, Flemming, Dogiel,
décrit
par Cajal, s'étend vers le cylindraxe et les pr
andrait la lymphe. `3° Cellules de névroglie péri-vasculaires. Bien
décrites
par Golgi, elles se trouvent seulement à proxim
taux, qui ne vont pas jusqu'à la folie, qui sont assez difficiles à
décrire
, mais qui pré- sentent néanmoins une physionomi
L'auteur n'ignore pas que la plupart des phénomènes qu'il vient de
décrire
se rencontrent dans la neurasthénie et dans l'hys
xiste entre les phénomènes d'agitation nerveuse qui viennent d'être
décrits
et l'état d'apathie mentale des myxoedémateux : u
de la paraly- sie spastique familiale ; le cas 2 rappelle les faits
décrits
par Hoffmann comme un complexus symptomatique s
e spastique des membres inférieurs) ; il se rapproche aussi des cas
décrits
par SeeligmÜlIer sous le nom de sclérose latéra
ique que de voir les stades de ramollissement rouge, jaune et blanc
décrits
comme caractérisant la myélite aiguë, être cousid
les cérébraux graves. Damsch a observé la catalepsie, et Dischkin a
décrit
une psychose polynévri- tique dans l'ictère. M.
pileptiques morts en état de mal des hémorragies analogues à celles
décrites
précédemment et siégeant dans la subs- tance gr
ns le sens contraire, il sont aussi formés de la même manière, déjà
décrite
. La cellule pyramidale projette un prolongement
du pouce. M. Marina revendique la parenté de cette réaction qu'il a
décrite
dans l'hystérie. (Rivisladi freniatria, 1887, X
ns, Gombault et Philippe, grâce auxquels Tootk et Schultze ont pu
décrire
et localiser le faisceau GO en virgule » qui s'ét
alysie progres- sive, et prenant le mot dans ce sens il s'attache à
décrire
quelques- nnes do formes les plus communes qui
lié par un journaliste expérimenté : les aberrations mentales qu'il
décrit
ont précédé un accès de manie aiguë dont il est
iguës de la paranoia. Il en est de même de la conscience alternante
décrite
par Siemerling, qui est observée aussi dans les
l'état de mal, inefficacité du bromure, évolution identique à celle
décrite
plus haut. Il faut signaler, parmi les autres sym
rôle prépondérant : l'isolement est souvent nécessaire. Fiirstner
décrit
ensuite des cas dans lesquels on voit survenir un
eaux et de la substance voisine. Vorster présente des préparations,
décrit
en détail les modifications histologiques, et i
roit et les tubercules quadrijumeaux du même côté. On a cherché à
décrire
les troubles psychiques caractéristiques des tu
ntérêt, à la fois théorique et pratique. Mon intention n'est pas de
décrire
dans son ensemble la période terminale de la pa
teurs sagaces se soient trompés d'une manière absolue. Ils ont bien
décrit
ce qu'ils ont vu, mais ce qu'ils ont vu tenait,
onnus dans la para- lysie générale, et les premiers auteurs les ont
décrits
très nettement. Mais je ne sache pas qu'on les
s notable, c'est son inclinaison en forme de toit, déformation déjà
décrite
par Foville et appelée plus tard par Topi- nard
Médical Journal, 4 juillet 1896.) Les auteurs se proposent : 1° de
décrire
un cas de paralysie ascendante aiguë, principal
peuvent être soumis aux mouvements volontaires. C'est ainsi qu'on a
décrit
des cas, où certaines personnes pou- vaient à l
ose au lieu d'une couleur rouge, cette espèce mycotique n'a pas été
décrite
par personne jusqu'à présent. Concernant la com
« les deux jalons directeurs de l'étude des psychoses », M. Magnan
décrit
le délire chronique à évolution systématique. Le
c., leur sont consacrés, presque exclusivement. Je n'ai pas ici à
décrire
tous ces troubles inflamma- toires. Ceux-là seu
sans doute « amaurose cérébrale >, car les deux sortes de cécité
décrites
par Munk, en tant qu'elles résultent d'une lési
ié avec prédilection, on sait avec quel succès ', c'est l'affection
décrite
d'abord parAVernicke (1874), puis par Kussmaul
ées pour expliquer la formation de tumeurs musculaires douloureuses
décrites
par MM. Rameaux et Bucquoy. « Ces tumeurs ne
vent être attribués les accidents que nous avons déjà si longuement
décrits
? La clinique déjà seule suffit simplement à y
il primitivement employé. Procédé opératoire. Voici tel qu'il a été
décrit
par M. le ..professeur Charcot dans sa leçon du
sillon précentral, les mouvements latéraux de la tête et des yeux,
décrits
par Fcrrier, commencent nettement. L'ablation d
on bord supé- rieur. Les effets produits par l'excitation sont ceux
décrits
par Fer- rier : ouverture des yeux, dilatation
lade. Il manquerai t le syndrome ectrololie pour constituer le type
décrit
par M. Gilles de la Tourelle et qui n'est lui-m
communiqué dans la dernière séance par M. Bernhardt, M. OPPENIIEIM
décrit
une observation accompagnée de pièces microscop
ysies générales qui tiennent aux campagnes militaires. L'orateur en
décrit
trois observations caractérisées par plusieurs
logie générale » et Wundt dans sa « Psychologie physiologique ». Il
décrit
les différentes modifica- lions que peut subir
veaux d'idiots; ils paraissent un début microscopique, de ce qu'ont
décrit
MM. Bizzozero et Golgi sous le nom de porose cé
ersions successives agirait au même titre que les trois autres déjà
décrites
, c'est-à-dire en favorisant le développement de
gaz devenus libres lors de la décompression, nous n'avons plus qu'à
décrire
celle qui agit, suivant toute probabilité, dans
cinq cas de cette maladie observés par lui; maladie qu'il ne trouva
décrite
nulle part et qui s'exprimait surtout dans deux
et chimiques aux mu- queuses. L'auteur observa, outre les symptômes
décrits
par Gull, encore les symptômes suivants : chute
de rapporter en ordre chronologique autant que possible. Savage 2
décrivit
un cas de myxoedème chez un homme, accompagné d
d'un cas de myxoedème chez un homme. 1 la même époque le Dr Thaon
décrivit
un cas de myxoedème chez une dame qui lui fut r
mais en revanche le myx- oedème empêche la conception. Dans les cas
décrits
il observa les symptômes suivants : gonflement
de froid, de langue lourde, gênant la parole; voix voilée. Lunn 3
décrit
deux cas de myxoedème, dans l'un desquels le ma
e de la glande thyroïde. Un cas bien intéressant de myxoedème fut
décrit
par IIamil- ton. Le malade avait une hérédité p
des leucocytes, sur- tout dans le voisinage des vaisseaux. Warfwing
décrivit
un cas de myxadème où le malade se remit entièr
ions : 1° Avez-vous eu des hallucinations ? 2° Si oui, veuillez les
décrire
. De cette façon on pourrait se rendre compte de l
er sur ce qu'on a appelé le rail2ua-spine ou )'o ! Mn/-6)'a : H. Il
décrit
brièvement les symptômes que l'on observe cbez
oup trop compréhensif. Il y a des troubles semblables aux symptômes
décrits
chez les traumatisés et que l'on rencontre fréq
ur de cet organe. On en fera des coupes après durcissement et on la
décrira
en détail. M. S1GMERLING. Etude clinique et sta
Mental Science, janvier 1886). La colonie de Gheel a été souvent
décrite
et nous ne suivrons pas M. Rack Tuke dans la de
330 pathologie NERVEUSE. débilité intellectuelle, elle a pu nous
décrire
avec la plus grande précision, et qui s'est con
rêtant à différentes interpellations. On sait que f3atty Tuke ayant
décrit
une sclérose miliaire de l'écorce chez les épil
ccipital, au niveau d'un foyer plus étendu que celui que nous avons
décrit
sur le frontal, montrent des lésions absolument
es deux lésions. CONCLUSIONS. On voit que les lésions qui ont été
décrites
dans les observations qui précèdent portent sur
points, puis de taches qui peuvent devenir confluentes. Nous avons
décrit
, en regard de ces alté- rations névrogliques, l
anée et musculaire. Il avait pu vérifier l'existence des phénomènes
décrits
par Munk; seulement, ces paralysies de la motil
lle opposée, quelquefois aussi du même côté, etc. Quand Ferrier a
décrit
ces mouvements, il les attribuait, on le sait,
e myxoedème jusqu'à présent. Prenant pour base les cas de myxoedème
décrits
et ceux que nous avons eu l'occasion de voir pe
cas me parait être assez intéressant pour que je me permette de le
décrire
en détail. Relativement aux quatre premiers cas
de ces cycles qui constitue à son tour le phénomène que l'auteur a
décrit
sous le nom de « rythme respiratoire ascenso-de
lque confusion de cette svnonvmie inexacte. Le phénomène clinique
décrit
par l'auteur est le suivant : la respiration d'
re 1. Séance du 10 juin. - Présidence de M. JOLLY. M. Euumcaaus`,
décrit
, pièces et plans en mains, la nouvelle Cli- niq
de cellules. Les dipnes, - chez lesquels Fulliquet a tout récemment
décrit
quelque chose de - semblable à une écorce, form
qu'en pense M. Jolly', rien n'est plus simple que d'apprécier et de
décrire
la modalité de ce mécanisme. Prenons un inculpé
médicale, nous devons prévenir le lecteur que notre intention est de
décrire
une installation en quelque sorte modèle, dans la
vitré; 2° le laboratoire noir ; 3° le laboratoire clair. Nous allons
décrire
l'organisation de ces diverses pièces; nous étu
vent se faire dans des locaux spécialement appropriés, nous allons en
décrire
l'inslallation et l'agencement. L'impressionnem
obtient le même résultat qu'avec la chambre double que nous venons de
décrire
. Chambre d'atelier. — On entend par chambre d'a
la quantité d'acide pyrogallique et l'on fait le bain comme il a été
décrit
plus haut, mais sans bromure. Au lieu d'ajouter l
PHOTOGRAPHIE PENDANT LA VIE. PHOTOGRAPHIE POSÉE. Nous venons de
décrire
l'installation d'un laboratoire de Photographie m
que travail sur Y Anatomie artistique ({). Dans cet Ouvrage, l'auteur
décrit
, avec le talent qu'on lui connaît, les formes ext
ns reliefs. Dans un atelier vitré organisé comme celui que nous avons
décrit
, on obtiendra de bons résultats; il suffira, si l
itude caractéristique dans la station debout, altitude que nous avons
décrite
précédemment; puis, le voici en pleine marche, le
ectifs. Au moyen d'un dispositif électrique qu'il serait trop long de
décrire
ici, le disque qui tend toujours à tourner sous l
ra grand avantage à employer la chambre à double corps que nous avons
décrite
, mais cet appareil, si perfectionné qu'il soit, n
nt en même temps que l'on vise le sujet à reproduire. Aussitôt ment
décrits
qui prennent un certain temps, car la condition d
PHOTOGRAPHIE A LA LUMIÈRE ARTIFICIELLE. Jusqu'à présent, nous avons
décrit
les résultats que l'on peut obtenir, soit dans l'
lentille divergente dont nous venons de parler. Nous croyons devoir
décrire
également le modèle que viennent de créer MM. Bez
hèse une application de la méthode de la surexposition que nous avons
décrite
dans le Chapitre TI. Méthode d'Ehrlich. — On co
s centres on emploie plusieurs méthodes de coloration que nous allons
décrire
. A. Méthode au picro-carmin. — On laisse séjour
ion du papier sensible derrière le négatif, opération que nous allons
décrire
dans un instant, il est indispensable que le néga
trer des présentations, des observations ou des thèses. Nous allons
décrire
le matériel qui est nécessaire dans l'espèce et q
ra employer avec succès un photomètre analogue à celui que nous avons
décrit
pour le procédé au charbon. Une fois la planche
en en train, le tirage s'effectue rapidement. Nous avons cru devoir
décrire
tout au long le procédé de Photocollographie, car
r en taille-douce. Similigravure. — Les procédés que nous venons de
décrire
donnent d'excellents résultats, et, suivant les c
des cas pathologiques remarquables. Le premier, en effet, qui voulut
décrire
une altération d'organe sentit la nécessité du se
neal, et sic obliteranlur non solum minora verum eliam majora vasa.
décrire
, prouvent .manifestement que tout le temps que le
s en place, permet encore de douter si les tumeurs que nous venons de
décrire
sont réellement formées aux dépens des ganglions
le le rectum présente un trajet semblable à celui du canal accidentel
décrit
plus haut, ouvert immédiatement au-dessous du gla
s que par une trentaine de pages sur les villosités intestinales, l'a
décrite
avec beaucoup de soin. Suivant lui, chaque villos
à la peau, ainsi qu'aux membranes muqueuses, les ouvertures qu'avait
décrites
Leuwenhoek. Enfin Fohmann dit avoir vu les chylif
ils ? la première fois qu'on rencontre l'altération que je viens de
décrire
. Mon collègue et ami M. Andrai, à qui j'ai fait p
n enfant nouveau-né, venu au monde dans la même position que le fœtus
décrit
planche 11, figure 1. On voit l'astragale A, défo
aphoïdes appartenant aux mêmes sujets que les astragales précédemment
décrits
. On peut juger par cette image fidèle quel est ce
ble déviation, son axe antéro-postérieur, dirigé de dehors en dedans,
décrit
une courbe à convexité antérieure ; son axe trans
r la question de savoir si ce ligament de nouvelle formation que j'ai
décrit
est constant 5 je puis répondre qu'au moins il n'
quels naissaient évidemment la troisième paire 3e P, dont les racines
décrivaient
une courbe manifeste pour arriver jusqu'à eux. La
gné dans les Bulletins de la Société anatomique; M. Bérard aîné avait
décrit
, dans sa Dissertation inaugurale, un autre cas pa
t l'œdème lobulaire, bien distinct de l'œdème interlobulaire, si bien
décrit
par Laennec. Y a-t-il quelque rapport entre l'œdè
elle a une bien grande affinité avec celle forme d'apoplexie si bien
décrite
par IYTIVI. Lallemand et fiostan sous le nom de r
donc rapprocher de la description qu'on vient de lire un cas analogue
décrit
avec une rare exactitude par M. Fauconneau-Dufres
s de médecine et de chirurgie, i8»4« « être la matière précédemment
décrite
divisée en molécules extrêmement petites, il en r
et a donné les mêmes résultats. Par les expériences que je viens de
décrire
, il est bien constaté que la pellicule des surfa
ien différente des incurvations ordinairess dans lesquelles le rachis
décrit
des courbes régulières à diamètres plus ou moins
n corps et dans son col, double vagin. — Ce cas (demi-grandeur) a été
décrit
et figuré par le docteur Cassan (*). L'utérus éta
né, double vagin. — L'exemple le plus remarquable est celui qui a été
décrit
et représenté par Eisenmann (**) et qu'a reprodui
purulens que M. Dance a rencontrés dans presque tous les cas qu'il a
décrits
et qui ressemblent exactement et pour l'aspect, e
sseur des organes; 3° la phlébite capillaire. La première seule a été
décrite
. Le système capillaire veineux est le siège imméd
encore subi qu'un commencement d'atrophie. La forme que je viens de
décrire
est peut-être la plus fréquente de toutes celles
e cas représenté figure i comme devant être placé à côté d'une lésion
décrite
par Bayle sous le titre d'angine laryngée œdémate
rose du cartilage cricoïde trait pour trait, telle que je viens de la
décrire
, mais moins avancée : le pus s'était fait jour en
ces d'aliénations mentales. C'est dans cet ordre que je me propose de
décrire
et de figurer successivement les lésions du cerve
u cellulaire sous-arachnoïdien de la moelle épinière. J'ai coutume de
décrire
cette masse de tissu cellulaire comme le centre d
s graves. Je suis donc porté à penser que la plupart des observations
décrites
sous le titre d'hydropisie aiguë des ventricules
nature, et ce dernier communiquait par une large ouverture , si bien
décrite
par M. Magendie, avec le tissu cellulaire sous-ar
dans son siège et dans ses caractères anatomiques, mais parfaitement
décrite
dans ses symptômes parles anciens sous les titres
age qui fut accueilli avec défaveur dans le temps où il parut (1804),
décrivit
assez exactement les caractères anatomiques de l'
itive aiguë est le caractère anatomique le plus constant des maladies
décrites
sous les noms de fièvres muqueuse, lente nerveuse
est la forme anatomique la plus simple; c'est celle qui a été si bien
décrite
et même figurée par Rœderer et Wagler, qui en ont
, simulant une éruption, en sorte que quelques observateurs les ont
décrites
comme un exanthème, une éruption intestinale vari
est consécutive; elle est primitive dans les formes qui me restent à
décrire
. VIL La forme ulcéreuse, terminaison commune de
ues, laissaient presque toujours après elles la lésion que nous avons
décrite
, il dut se présenter cette question : Cette lésio
ous la forme typhoïde, les autres sous la forme ataxique. (**) J'ai
décrit
les traits principaux de cette épidémie, en 1817,
ufrée. Peyer a en outre le mérite d'avoir regardé les glandes qu'il a
décrites
comme spécialement affectées dans plusieurs malad
é sur un fait qu'il eut occasion d'observer, prétendit que la maladie
décrite
par Louis, sous le titre de fongus de la dure-mèr
ance, que certains même l'ont niée tout-à-fait. Indépendamment du cas
décrit
par moi, « elle avait lieu dans ceux de Baillie e
C'était à priori et l'articulation du poignet sous les yeux que je
décrivais
ainsi les mouvemens de cette articulation, et que
poro-maxillaire, présentent de semblables usures. J'ai eu occasion de
décrire
ailleurs un «rand nombre de variétés d'usure des
Hun ter, absorbé par ses recherches sur la digestion, se contenta de
décrire
l'altération matérielle qu'il compare à celle des
i prouvé que les perforations spontanées aiguës de l'estomac, si bien
décrites
par Chaussier et Percy, ne sont que le dernier ef
tantes de l'anatomie pathologique. XIII. Eh bien, le ramollissement
décrit
par M. Carswell ne me parait pas être le ramollis
a face interne. C'est cette altération que M. Louis a très-exactement
décrite
sous le titre de ramollissement avec amincissemen
ux que j'ai eu occasion de rencontrer appartenaient à l'espèce que je
décris
. VII. Il arrive souvent qu'en même temps que l'
es denses, d'un rouge foncé, tout-à-fait semblables à celles que j'ai
décrites
sous le titre d'Apoplexie de la rate. C'est le pr
issent avoir désignée sous le nom de tubercules du joie que Laënnec a
décrite
sous le nom de cyrrhose, et qu'il considère comme
déformation du foie, est à peu près constant dans l'altération que je
décris
. Le tissu du foie est également beaucoup plus den
e grasse, cristallisable, découverte par Poulletier de la Salle, bien
décrite
par Fourcroy sous le nom d'adipocire, et que M. C
fiel, il est presque impossible qu il traverse la courbe spiroïde que
décrit
le col de la vésicule, ou qu'il franchisse les va
is observé d'ictère. XIX. L'étendue de l'altération que je viens de
décrire
, m'a porté à donner une grande attention aux cana
Les poumons m'ont offert une altération singulière, que je n'ai vu
décrite
nulle part et qui figurera dans une prochaine liv
uveau continent, i° avec le choléra signalé par Hippocrate et si bien
décrit
par Arétée , i° avec le choléra épidémique qui ra
ines qui emportent la malade dans un état de marasme aigu difficile à
décrire
. Il est extrêmement probable que la malade aurait
ur est le thermomètre le plus sûr de ces forces épigastriques si bien
décrites
par Lacaze et Bordeu, forces qui attestent elles-
aurait méconnaître dans l'altération du gros intestin que je viens de
décrire
, les caractères inflammatoires de la dysenterie.
œuf (Dict. deMédec. en 11 vol.), a rapporté à l'hypertrophie les cas
décrits
par Morgagni, Iluisch et autres observateurs, cas
e réduit à sa trame fibreuse. C'est cet état du placenta qu'on trouve
décrit
dans les auteurs, sous le titre de placenta squir
ttes de sang. Réflexions. — La forme de péricardite que je viens de
décrire
est assez fréquente et donne lieu à plusieurs réf
ouvraient tout l'abdomen. N'est-ce pas une disposition semblable qu'a
décrite
M. A. Séverin, lorsqu'il parle (de Absc. recoud.,
La fait observer judicieusement M. Ménière, une disposition veineuse
décrite
par Jacobson dans les ophidiens, les sauriens et
. Il ne m'a pas été difficile de reconnaître l'aspect du tissu cutané
décrit
fîg. 4, pl. III. En outre celle des tumeurs TC, q
e et le tissu osseux tout à-la-fois; tandis que dans les cas que j'ai
décrits
et figurés, la lésion serait limitée à la membran
ng. 2i° Sous le point de vue de la consistance, l'altération que je
décris
offre également des nuances ou degrés très pronon
ts jaunes : les circonvolutions postérieures à celles que je viens de
décrire
présentent un ramollissement amaranthe très super
rfois assez fins pour s'immortaliser par la vérité des types qu'ils
décrivent
, mais ne procédant pas de la mé- thode scientif
mot du trouble intel- lectuel en question. Mais nous n'en avons pas
décrit
par le menu les ressorts. Normalement le méca
e, 1 ? mars 1899.) L'auteur rapporte une observation de l'affection
décrite
en 1895 par Bernhardt sous le nom de paresthési
omme M. Régis, je crois que les caractères men- taux de l'affection
décrite
par ICorsakoff sous le nom de psychose polynévr
97. Dans le premier chapitre de ce livre de 184 pages, l'auteur a
décrit
l'idiotie et l'imbécillité en général avec les re
plus tard que dans la 14° année. Dans le second chapitre l'auteur a
décrit
les arriérés, qu'il a examinés dans les écoles
es causes de la maladie. Dans un autre chapitre (p. 92), l'auteur a
décrit
l'idiotie myxoe- démateuse (l'idiotie crétinoïd
malgré une forte inclinaison du tronc vers le côté opposé, le cône
décrit
par le bras reste orienté en avant, en dehors et
pas d'oligodactylie cubitale, mais l'axe des deux der- niers doigts
décrit
une légère concavité qui s'oppose à une conca-
mité toute pareille à celle de Chen... On en peut voir des exemples
décrits
et figurés dans un travail récent de P.-S. de M
te, l'observation actuelle n'est pas absolument iso- lée. M. Féré 2
décrit
chez les hémiplégiques infantiles des arrêts de
ces malades et de conserver la calotte crânienne pour bien voir et
décrire
les lésions. Bourneville. REVUE CRITIQUE. 1.
e l'oeil d'un Cajal a contemplé à son tour ces ré- gions qu'avaient
décrites
à leur point de vue, avec les secours de la tec
deux (couches des grandes et des petites cellules étoilées),et d'y
décrire
: 1° des cellules étoilées géantes ; 2° des cel
ires définis, à fonction également distincte et déterminée. CAJAL
décrit
encore deux types cellulaires nouveaux qu'il a
asser et à classer judicieusement des faits exacte- ment relevés et
décrits
. Du nombre et du caractère de ces faits se déga
ée. On sait que Bail, dans son étude de la folie tuberculeuse, en
décrit
trois formes qui répondent aux conditions suivant
des yeux associée il l'hémianopsie latérale. Cette forme n'est pas
décrite
iso- lément dans les traités classiques : cepen
parfaitement -vu .tout l'intérêt du tableau clinique que nous avons
décrit
. Il assimile absolument ces troubles aux paraly
om d'apoplexie progressive « ingravescent apoplexy ». Fletcher 1 la
décrit
en 1846 et William Gull 2- en relate plusieurs
mais il croit que l'étroitesse du capuchon céphalique, observée et
décrite
par Uarestc dans les cas de cyclopie, défend de
nèse s'explique naturellement par le méca- nisme que nous venons de
décrire
; 2° l'irradiation des tractus conjonctifs, pro
face rectangulaire, recouverte d'une mince membrane, que nous avons
décrite
en avant de l'urèthre ; le méat n'existe pas, e
males, sont représentées par les deux replis cutanés que nous avons
décrits
, et qui ne rappellent vraiment que de très loin
ouvons point chez M... quel- qu'une de ces grosses lésions comme en
décrit
M. Bourne- ville : porencéphalie vraie ou fauss
naire. M. Lermoyez en a observé un troisième type, qu'il n'a trouvé
décrit
nulle part, dans lequel les fosses nasales étai
crate, Erasistrate, Rufus Soranus, Galien, Arétée, etc.), ont vu et
décrit
les divers accidents que l'abus du vin peut pro
entaient des altérations rappelant tout il fait le type des lésions
décrites
par M. Marinesco sous le nom de lésions seconda
eil) mais d'une somnolence permanente; d'une léthargie d'Afrique,
décrite
par Gowers d'après Gore, Gulrin, Mac Corthy. Il n
n'y a qu'a confirmer les détails de Lenhossek ; les nuances qu'il a
décrites
quant à leur constitution intime, tiennent aux va
s cette monographie intéressante, à plus d'un titre, le Dr 'l'rénel
décrit
une forme de délire assez rare et dont la plupart
... s'arrête au diagnos- tic d'encéphalite, et notamment à la forme
décrite
par Leyden et Goldscheider sous le nom d'encéph
uteur croit qu'il s'agit ici d'une polyencéphalite analogue à celle
décrite
par Oppenheim, par suite d'empoisonnement pto-
c Nult, Sachs, Freud, Raymond, Massalongo), considèrent l'affection
décrite
par Little comme un simple syndrome laisant par
'affinité des cellules pour le bleu de méthylène et l'on pourrait y
décrire
tous les degrés de piknomorphisme et de chromat
apparences sur lesquelles la technique a une si grande influence.
Décrites
d'abord par OEltinger et Marinesco puis par un
nsent de chercher, parmi les lésions cellulaires que nous venons de
décrire
, les critériums qu'on a donnés de la réparabili
lus de netteté que la méthode de Nissl, les modifications qu'on a
décrites
comme appartenant à des processus réparables ou
ur n'ayant pas donné de subs- tratum anatomique à l'affection qu'il
décrivait
, puisqu'il croyait à l'intégrité du système ner
es et les progrès de la méthode anatomo- pathologique ont permis de
décrire
sous le nom de maladie de Landry ou de paralysi
ant remarquer l'invrai- semblable diversité des lésions médullaires
décrites
dans celte affection en concluaient au peu de v
iques assez différents et des lésions anatomiques multiples ont été
décrits
sous ce nom qu'il est peut-être un peu tard de
s. - Elles jouent le plus grand rôle chez T... Voici comment il les
décrit
lui-même : « J'entends comme un souffle, un flu
, traitement moral. ' Février. Le 10, trois attaques. - Le 13, une (
décrite
ci-dessus). - Le 14, trois Le i 5, deux. Le 17,
le faisceau 412 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
décrit
par de Soelder provient en partie d'une région pl
chiasma de l'autre côté, tandis qu'une petite partie de ses fibres
décrit
, sur le côté, un arc de conversion accentué pou
des relations intimes avec la femme de ce dernier, relations qu'il
décrit
avec force détails. Le malade vit constamment d
un paralytique géné- ral l'hallucination motrice verbale aussi bien
décrite
que chez le délirant chronique qui a conservé t
ations de chorée; par Couvelaihe et Croupon. En 1890, M. Brissaud
décrivait
à côté de la chorée mineure et à côté de la cho
ment, seule- ment l'omoplate exécute une forte rotation lui faisant
décrire
un angle de 45°. Or il est classique, que, dans
bulbe. Les auteurs insistent, avant tout, sur une lésion non encore
décrite
; une méningite corticale intense, surtout fibro
explosion d'énergie accumulée sous pression dans le cerveau. Il en
décrit
plusieurs formes variant suivant les tempéramen
r, com- parer les faits et formuler des lois. Il est classique de
décrire
la sclérose en plaques sous quatre formes : les
ues, que la méprise a été maintes fois commise et que nombre de cas
décrits
sous le nom de « pseudo-sclé- rose » ne sont au
sont là des nuances délicates, plus faciles à saisir peut-être qu'à
décrire
. Quoique bien souvent elles ne puissent pas à ell
laléraux, comme dans le type premier, classique, de l'unité morbide
décrite
sous ce nom; les cordons postérieurs doivent êt
- motrice. De là une de ces formes mixtes qu'il est toujours bon de
décrire
quand' on les rencontre, car le mélange des sym
présentent la question sous un autre point de vue. On a observé et
décrit
des altérations non plus de la forme, mais de l
Les diverses scléroses, celles que Iiourneville a étudiées et bien
décrites
sous le nom de sclérose cérébrale tubéreuse hyp
s étroites avec certaines variétés de tremblements vibratoires déjà
décrites
(tremble- ments alcoolique, de la paralysie gén
es groupant d'après leurs analogies avec d'autres tremblements déjà
décrits
et classés en pathologie nerveuse, les ramener
dique. Parmi ces types de tremblements hystériques que nous allons
décrire
, il en est un qui reproduit trait pour trait le t
tremble- ment hystérique rémittent-intentionnel, que nous venons de
décrire
, et l'on est bien fondé à dire que ce trembleme
répondant au type ré- mittent-intentionnel généralisé précédemment
décrit
. Cette trépidation hystérique se reconnaîtra to
é opposé. Elle respecte ainsi les organes génitaux et le sacrum, et
décrit
un double V sommet pubien en avant, à sommet co
s oscilla- lalions sont au nombre de 6 1/2 à 7 par seconde. La main
décrit
dans son ensemble des mouvements de flexion et
e la ligne de descente, indiquant ainsi le mouvement elliptique que
décrit
le poignet. ' L'avant-bras placé en demi-pronat
s trembleurs répondant au type rémittent- intentionnel précédemment
décrit
. IV. 13 186 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
périeur droit. Le tremblement dont il est animé, et que nous allons
décrire
, entre aussi pour une bonne part dans l'inhabil
très fort. Qu'elle « avait fait le pont », c'est-à-dire que son corps
décrivait
un arc de cercle en avant, tandis que sa tête e
Le tremblement du membre supérieur droit que nous allons maintenant
décrire
est resté exaclement tel qu'il était lors de notr
enfin les mouvements de la main sont composés et le poignet semble
décrire
un mouvement de rotation en ellipse. C'est autour
ropagea symétriquement aux bras comme dans le type scapulo- hmnéral
décrit
par Vulpian. Début par l'amyotrophie. Parfois l
exécuter qu'à l'aide d'artifices de mouvements que nous ne saurions
décrire
ici en détails, mais qu'il est bien instruc- ti
ieure du noyau oculomoteur deux amas de cellules ganglionnaires non
décrits
jus- qu'alors. L'an dernier' Westphal revint à
qu'alors. L'an dernier' Westphal revint à nouveau sur ce sujet et
décrivit
les altérations suivantes comme appartenant à la
près complète des cellules compo- sant les amas ganglionnaires non
décrits
par les auteurs et qui se trouvaient dans l'ent
ha- giques de la polioencéphalite ai-ïie et subaigÜe. Elles ont été
décrites
avec soin par GJ\.¥.e.l,-=-Wernicke, Thomscn, K
lé des altérations identiques de nature et de siège à celles qu'ont
décrites
Wernicke et Thomsen : cette fois les hémorrhagi
ntrent parfois chez les Européens et l'état congénital particulier,
décrit
sous le nom d'épicanthus, n'est autre que la brid
'ailleurs rangées régulièrement sur l'arcade des deux mâchoires qui
décrivent
une courbe égale et dans le même plan, la bouch
t à quel degré. S'il y a de l'her- maphroditisme, il sera bon de le
décrire
et d'en indiquer la nature. Enfin on devra note
tée et d'autant plus grande que les détails en seront soigneusement
décrits
sous leur aspect actuel et analysés sous le rap
moins pro- fondément incurvé dans sa partie moyenne ou inférieure,
décrit
ainsi un arc de cercle à concavité antérieure;
n Luschka serait le même que celui cité plus haut. En '1870, Eggel,
décrivit
le premier en Allemagne avec quelques détails l
des mensurations complètes. Poitrine en entonnoir analogue aux cas
décrits
ci-dessus, sauf au point de vue de la profondeu
l. XXXV). Le petit doigt est, en outre, le siège d'une malformation
décrite
par Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière T.
THÈSE DE CONTRACTURE. 345 contracture. C'est elle que M. Brissaud a
décrite
chez les hémiplégiques d'origine organique sous
s. Dans l'hystérie, il est souvent remplacé par cet autre phénomène
décrit
par Wetsphal sous le nom de contraction paradox
nations que nous avons proposées, M. Charcot et 1. M. P. Descubes
décrit
ces procédés sous la dénomi- nation d'excitatio
créé la dénomina- tion univoque de « pseudo-tabes ». Ainsi on a pu
décrire
les pseudo- tabes diabétique, cérébelleux, éthy
sset a a consacré une longue série de leçons. M. Weir-MitcheIJ 10 a
décrit
aussi sous le nom d'ataxie motrice hystérique u
n de com- bler. Nous croyons simplement que l'on peut sans témérité
décrire
aujourd'hui, il côté de la forme primitive, une
lus grave que l'amyotrophie pure et simple du « type myopathiques »
décrit
par M. Babinski. Et cependant celle-ci peut dur
ie est identique. (Bien plus, Jacoby2, Berger cité par Ziclll3, ont
décrit
l'existence de la disso- ciation syringomyéliqu
a névrose; elle s'y présente d'habitude sous deux types : 1° L'un
décrit
par M. le professeur Titres sous le nom de </t
le pince ou si on le pique'. » 2° L'autre étudié par M. Charcot et
décrit
par lui sous le nom de type syringomyélique : s
sif d'oedème bleu du dos de la main. Or, Schültze et Kahler avaient
décrit
déjà dans la syringomyélie un oedème violacé du
de nuit. Assez souvent, à la suite du début partiel que nous avons
décrit
, le malade, au lieu de tomber en convulsions gé
au 5 avril, puis s'efface graduel- lement ; il répond à ce que j'ai
décrit
sous le nom d'apathie épileptique i. La maladie
tails de l'expérience ne différaient en rien de ceux que nous avons
décrits
plus haut. L'examen du cerveau de ce chien mont
arcot, concernant Y épilepsie hémiplégique (2). En 1876, M. Charcot a
décrit
avec le plus grand soin Y épilepsie partielle d'o
lières. De 12 à 22 ans, les accès épileptiformes que nous venons de
décrire
sont revenus fréquemment, quelquefois au nombre d
aise général assez vague, difficile à bien définir et que les parents
décrivent
plus ou moins incomplètement, quelquefois sans pr
convulsif; 2° Y Hémiplégie consécutive et Y Athétose, il nous reste à
décrire
les caractères particuliers des accès d'épile
de 10 centimètres ; S... marche tout à fait sur la pointe du pied qui
décrit
un léger arc de cercle. La déambulation s'accompa
rd cubital. Les mouvements du poignet sont très-limités. — Les doigts
décrivent
un demi-cercle à concavité regardant vers le bord
-lombaire (Fig. 3). Au bout d'une, deux ou trois minutes, la malade
décrit
un mouvement de rotation en sens inverse du précé
t. 5 février. — La malade se trouvait encore dans la situation déjà
décrite
quand, à 10 heures 55, elle a poussé un cri prolo
a rigidité n'intéresse que les membres du côté gauche; les phénomènes
décrits
durent environ 30 secondes et la malade revient à
bres du côté gauche sont souples ; tantôt, ils offrent la contracture
décrite
à maintes reprises. On note des craquements très-
s caractères qui autorisent à considérer les accidents que nous avons
décrits
comme appartenant à une forme spéciale de l'épi -
ngé ; la période clonique est beaucoup plus accusée que dans la série
décrite
plus haut : mouvements du ventre qui se soulève b
res habituels. Le plus souvent, elles se composent des trois périodes
décrites
à maintes reprises : 1° période épileptûïde ; 2°
qui semblerait indiquer qu'elle n'a pas eu de prodromes. Nous allons
décrire
aussi complètement que possible ses attaques. S
les repos. La reprise des attaques est annoncée par les phénomènes
décrits
plus haut : fixité du regard, plissement du front
y a une sorte de folie de la jambe, semblable à celle que nous avons
décrite
pour la langue. 9 juillet.— L... a été tranquil
— Nous retrouvons la jeune malade avec les mouvements que nous avons
décrits
. Le nitrite d'ample (l) Charcot. Leçon sur la c
s (Pl. XVI), position qu'ils prennent soit d'emblée, soit après avoir
décrit
un mouvement de circumduc-tion. A la phase téta
sur coup, également durant un long temps. — Le délire que nous avons
décrit
était lui-même constitué par des attaques se suiv
t et non pas d'uue attaque de délire semblable à celle que nous avons
décrite
plus haut (p. 186), car le désordre le plus compl
faire remarquer qu'on y retrouve tous les caractères que M. Charcot a
décrits
dans les leçons (1) qu'il vient de faire à la Sal
on (1).» Les hallucinations génésiques, que nous avons signalées et
décrites
avec discrétion chez Geneviève, se sont repro
ons d'amour que je recevois de » ce Bien-Aimé de mon âme et que je ne
décris
pas » ici, il me dit que j'avais grand sujet de m
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