/ 195
1 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
elles présentent quelques traces de raréfaction atrophique. On a décrit comme caractéristique de l'acromégalie une altéra
les issus d'un père ou d'une mère elle aussi acromégale. Fraënzel a décrit une femme acromégalique, qui eut un enfant acro
vrais que les individus présentant les caractères du type clinique décrit par M. Brissaud (infan- tilisme dysthyroïdien),
re comme des infantiles vrais, que les individus présentant le type décrit par cet auteur. Dans les conclusions de son mém
antiles vrais, c'est-à-dire, aux infantiles d'origine disthyroïdienne décrits par M. Brissaud. De même que chez les infanti
tions suivantes : W réserver le nom d'infantilisme au type clinique décrit par Brissaud ; 2° remplacer par le nouveau mot
aractères de la conformation de l'enfant. Lorsque Brissaud et Meige décrivirent l'infantilisme vrai dysthyroïdien : .' et l'inf
loin, se rapprochent du type vrai de l'infantilisme dysthy- roïdien décrit par Brissaud, c'est évidemment tendre à simplifie
Pierre Marie. Les mains ont la forme typique pour l'achondroplasie, décrite par le même auteur, la main en trident. Les doi
ême genre que celle des deux achondro- \ plases, Sicard et Fouroff, décrits ici-même par le Dr Apert, il est un , prestidig
ute la' colonne vertébrale et principalement dans le sacrum. Elle décrit sa sensation : « comme si l'on coupait avec des c
acines postérieures sont très modifiées. Les enfoncements ci-dessus décrits sont des empreintes d'ostéomes ronds et ovales
erveuses, tandis que de la corne postérieure, il ne reste plus rien à décrire . . Dans les cordons antéro-latéraux on voit des
ngement ; la chromatine en quantité normale. Dans les cas ci-dessus décrits ,il s'est agi de 7 tumeurs malignes (carci- nome
e d'une métastase du cancer du sein dans les vertèbres. Dans le cas décrit par Friedeberg la douleur sciatique-fut le premie
rver dans le cas de sarcome vertébral comme par exemple dans le cas décrit par Deje- rineet Spiller (sarcome de l'os sacré
moteurs (oedème) surviennent rarement. 78 FLATTA U ' Le tableau décrit ci-dessus est nécessairement un peu schématique.
ant la vie ne décelaient aucun symptôme clinique. Dans le tableau décrit ci-dessus nous avons donné la description d'une
médullaires. Quelquefois la maladie débute brusquement. Dans le cas décrit par Bliss le malade res- sentait auparavant des
égie complète s'établit (sarcome des vertèbres). Nonneégale- ment a décrit des cas de sarcomatose et carcinomatose vertébral
ient sous l'aspect de myélite aiguë transverse. Ballet et Barbé ont décrit un cas où la malade s'est réveillée avec une para
complète (aclinomycose des VIIc et Xle vertèbres dorsales). Frich a décrit un cas TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA C
ttention spéciale. Dans notre cas (obs. VIII) de même que dans ceux décrits par Bielschovsky, Schlesinger, le tableau cliniqu
rie vertébrale. La ressemblance est telle qu'il y a des auteurs qui décrivent une forme spéciale de sarcome vertébral sous le
ztes. (pendant la vie existence de symptômes médullaires). Il est décrit un cas de sarcome vertébral, qui donna tout d'un
on notable de l'isthme de l'encé- phale et de l'écorce. Dans un cas décrit par Nonne (une paraplégie flas- que) où il y av
r dans le canal rachidien . A cette catégorie appartiennent des cas décrits ci-dessus. Dans l'un d'eux (obs. I) on constata
comprimant tout de même la rnoelle. Il y a toute une série de cas décrits où les masses néoformées dans les vertèbres aug
ébrale avec ses phénomènes médullaires. Ainsi par exemple de Buck a décrit un cas du cancer du sein et du foie, où il y avai
moelle. Cette dernière présentait le tableau d'une myélite toxique ( décrit par Meyer, Crocq et d'autres) ou celui de la moel
es espaces lymphatiques périvas- culaires et péricellulaires. Bruns décrit un cas où l'infiltration cancé- reuse occupe un
ux on obtint une amélio- ration passagère suivie de mort. Saenger décrit 3 cas. Dans le premier le sarcome avait pour poin
ème cas on a opéré un sarcome de la IIIe vertèbre dorsale. Stertz décrit un cas, où il y avait une amélioration après l'op
rcome) dans les os (mais non dans la colonne vertébrale). Sick seul décrit un cas de guérison après traitement. Schlesinge
s les cas de paraplégie spasmodique, le phé- nomène que je viens de décrire se produit des deux côtés. Je ne sais si l'expl
as même pour les bonbons, tandis que Marguerite, comme nous l'avons décrit , est très gourmande. L'atrophie musculaire chez
t absolument indolore. Extrémités inférieures. - Comme nous l'avons décrit aux membres supé- rieurs, l'atrophie musculaire
uvé aucun cas de maladie familiale semblable à celle que nous avons décrite . Deux ou trois observations pourtant méritent c
lement, dans les cas d'IIigier, cette atrophie musculaire n'est pas décrite avec les caractères de l'amyotrophie à type Charc
dans la forme familiale Charcot-Marie a été Vizioli qui, en 1889, a décrit trois cas (1) d'atrophie musculaire familiale s
es très rares : Sainton (1) en a publié un cas, deux autres ont été décrits ensuite par Ballet et Rose (2), il faut ajou- t
remarquer comment dans la maladie étrange familiale,que nous avons décrite , tous les symptômes morbides ont acquis une impor
légies cérébrales infantiles du type familial. Ensuite nous avons décrit leurs symptômes spino-névritiques parfaite- men
il faut observer seulement que la maladie familiale que nous avons décrite ici présente un tableau morbide tellement étendu
ngements dans la structure vasculaire, comme nous ve- nons de les décrire (épaississement des parois avec légère prolifér
Les changements vasculo-scléreux étaient un peu analogues à ceux décrits par Minnich et Nonne dans les cas d'anémie et de
rrondis au sein des cor- dons latéraux. Tous les foyers ci-dessns décrits n'ont pas de limites nettes ; ils ne ressem- bl
gment cervical contiennent des foyers de lésion iden- tiques à ceux décrits ci-dessus, en ce qui concerne la structure histo-
toile d'araignée. La structure de ces foyers est semblable à celle décrite plus haut. Un peu plus bas (entre le ler et le
le. La substance grise est clairsemée mais moins que sur les coupes décrites ci-dessus. A côté de l'aspect clairsemé général
Dans le 1°r segment dorsal on ne voit que des traces des changements décrits plus haut. Un peu plus bas encore on ne voit
ommeil se réveilla avec les membres inférieurs paralysés. Le malade décrit parBehier se coucha tout à fait bien portant et
plexus brachial. Le tableau clinique dans ces cas ressemble à celui décrit plus haut avec la différence, que suivant la lo
phénomènes mé- dullaires avaient été observés. En lS9y Oppenheim a décrit un cas simu- lant la polioencéphalite subaiguë
ullaires nées à distance sont souvent plus considérables que celles décrites par Oppenheim. 11 y a toute une série de travaux
s décrites par Oppenheim. 11 y a toute une série de travaux où sont décrits des cas de tumeurs extravertébrales éloignées de
II 12 178 FLATAU . Il y a donc une analogie complète avec les cas décrits dans la première partie de ce travail. Là aussi
névro,,11(lue (ot)s. IX). Ces change- mentsrappellent ceux qui sont décrits dans les moelles anémiques (Minriicli, Nonne),
eu graves et dis- paraissent tout à fait. t. En effet dans le cas décrit par Boerner (fibrome du cou avec pas- sage à tr
'opération les parties malades et la guérison eut lieu. Dans le cas décrit par Székres la tumeur (échinocoque) était localis
rtébraux malades s'éliminèrent et la guérison s'installa. La malade décrite par Tyller-Williamson a eu un kyste hydatique de
vail tou- tes les altérations anatomiques des différentes psychoses décrites par les auteurs et dont j'ai déjà fait un résum
ions seront manifestes et facilement démontrables. On a abondamment décrit les lésions de tous les systèmes histologiques,
savons pas reconnaître ! Les lésions anatomiques fines observées et décrites ne sont-elles pas en quelque sorte le stade ult
té) et les psychoses proprement dites. 4° Ces altérations ont été décrites pële-mêle,sans aucun ordrejuslluïci ; aucun sys
as typiques quoi qu'on en ait dit. Aucune des lésions histologiques décrites jusqu'ici n'a pu nous donner l'explication d'un
phénomène est de date toute récente ; le dermo- graphismerougea été décrit par Dujal'din-Beaumelz en 1879, qui a observé u
rmographisme chez plus de 76, soit à peu près 38 0/0. Les auteurs décrivent deux sortes de dermographisme les raies rouges
te des traumatismes. Le cadre de cet ouvrage ne me permet ni de les décrire ni même d'exposer leur diagnostic différentiel
it simuler une exagératian dllré- flexe, C'est là ce que Babinski a décrit sous le nom de réflexe tendineux illégitime. No
précisément les douleurs rendent l'examen très difficile. Ces cas, décrits le plus souvent, sous le nom d'ar- thralgies, s
thralgies, sont connus depuis longtemps ; Brodie en 1837 avait déjà décrit la coxalgie hystérique. Il est impossible de fo
mène simulé. Par des expériences multiples, qu'il est impossible de décrire , qu'il faut imaginer séance tenante, suivant les
l'état mental normal des lépreux européens on[ été admirable- ment décrites en 1812 par Xavier de Maistre dans son livre célè
e malformation a été remarquée par un cer- tain nombre d'auteurs et décrite sous des noms divers : brachydactylie, micromél
à l'examen clinique et radiographique,sauf l'ano- malie des doigts décrite plus loin. Le crâne, au contraire, est volumineux
inution de la sensibilité du même côté. L'état somatique longuement décrit permet d'affirmer que l'anomalie des orteils ne
st particulièrement ignorée. Or, comme avec les cas que nous allons décrire se présente un fait, à ce qu'il nous semble, en
par les doigts. Ils montrent aussi clairement le type en tri- dent décrit par M. P. Marie. A la main droite, le doigt moyen
sières et elles présen- tent même spontanément la forme eu trident, décrite par M. P. Marie. Aucune anomalie dans la longue
les caractères principaux de cette forme morbide, qui a été si bien décrite pour la première fois par L'ACHONDROPLASIE EST-
trouvons une corres- pondance parfaite. En effet dans les trois cas décrits , il y a la petitesse de la taille, qui dans l'u
met de compter ce cas parmi les plus petits aclio ndrop 1 asi (tues décrits . La macro- céphalie, de type brachycéphalique,
ent est dû surtout aux doigts. Elles présentent la forme en trident décrite par M. P. Marie, et chez le premier sujet les tro
ent dans le premier, où ils présentent une anomalie que nous allons décrire . Au pied droiteneffet le quatrième orteil est p
hyperplastique et hypoplastique (outre la forme malacique), qu'il a décrites à propos de l'achondroplasie. . En revenant à l
rachitique la tête est grosse, mais pas de la forme que nous avons décrite ; le tronc est très déformé et il y a souvent cyp
xiste certainement des formes incomplètes, bâtardes, et l'on a déjà décrit des formes mixtes intermédiaires au rachitisme,
encore défaut. » Nous voyons donc que parmi les cas que nous avons décrits se trouve un fait que l'on n'avait jusqu'à prés
en former une famille, une tribu ; il pourrait arriver que le fait décrit plus haut se présentât de nouveau. Certainement i
s 1876, époque à laquelle, ainsi qu'on le sait, cette affection fut décrite pour la première fois par James Paget, à l'heure
nce consécutive des voies pyramidales. Gros et Lancereaux (Obs. 86) décrivent ,entre autres, le cas d'un homme qui contracta l
a parole. Après une cure spécifique, son état s'améliora. Ménétrier décrit le cas d'un nomme de 26 ans qui, deux mois après
es premiers symptômes de l'in- fection syphilitique. Le même auteur décrit un autre cas concernant un homme de 60 ans, che
de la partie antérieure de 5 corps vertébraux : le canal rachidien décrit une courbe à concavité antéro-postérieure, figura
sses dégé- nérées dans le cordon postérieur gauche qui ont été déjà décrites à propos de la coloration de Weigert. Un nombre
andes et irrégulières. Le caractère histologique correspond à celui décrit plus haut (V. obs. IX, X, XII). La même structu
s en plus croissante. Il est connu aujourd'hui que cette affection, décrite par Charcot, la plupart du temps se présente ap
s points avec les recherches de Brodmann. Smith (8), de son côté, a décrit égale- ment plusieurs zones dans le domaine des
t possède à peu près la même structure que cette dernière. Brodmann décrit encore d'autres différences entre ces deux région
t directement. La dernière contient les pyramidales géantes si bien décrites pour la première fois par Betz. Enfin il n'y a
es. Dotto et Pusateri comparent ces lésions cellulaires avec celles décrites par Nissl, Marinesco et Lugaro consécutivement
de la zone motrice pour voir si les lésions cellulaires qu'ils ont décrites dans la psychose polynévritique sont primitives o
-métamérique. D'a- près MM. Klippel et Weill, les auteurs n'ont pas décrit ces derniers qui seraient les plus fréquents; l
intéressant la région cutanée lésée, naevus-myélite que uous avons décrit , avec Selhorst, presqu'en même temps (1) ; 3° enf
et de la live, c'est-à-dire qu'ils avaient le même siège que le cas décrit par Abadie : et dans toutes, on a pu observer q
ctions, puisque, comme nous l'avons vu, la presque totalité des cas décrits par les auteurs est à la charge des vertèbres l
la colonne qui s'était inclinée en avant, se redresse en arrière et décrit une cyphose très prononcée en angle arrondi dont
t l'aspect clinique en tous point comparable à celui que nous avons décrit . La malformation n'en- travait nullement le tra
uite) PAR Edouard FLATAU Observation X X J. Ce^cas a déjà été décrit en détail dans une étude faite par nous en collab
jaune-brunâtre ; en arrière, le reste de la masse spongieuse molle décrite plus haut. En arrière des cordons postérieurs,
l'année 1908 qu'un cas analogue de chromatophorome intramédullaire, décrit par Hirschberg. Celui décrit par Esser appartie
ue de chromatophorome intramédullaire, décrit par Hirschberg. Celui décrit par Esser appartient plutôt aux tumeurs extra-
t la douleur primitive est apparue dans le pied gauche. Dans un cas décrit par Ilamson Thompson (un sarcome extra-dural au
LE 467 quelques années avant les symptômes médullaires. Dans le cas décrit par Chavigny, les doreurs étaient apparues troi
ze, Auèrbacir-Brodnitz, Heilbronner et dans le XXIe cas ci-des- sus décrit ); dans nos XVIe et XXIO cas nous avons observé un
ou subaiguë quoique là aussi peuvent exis- ter des exceptions. On a décrit des cas de tumeurs méningées où la durée était
affaiblissement des jambes et des troubles uri- naires. Dans le cas décrit il n'y a pas longtemps par Schultze (1908) la m
ique et encore plus rarement des atrophies musculaires (Oppen- heim décrit , il est vrai, des atrophies musculaires dans un c
suite et ne pas revenir même pendant quelques années. Dans un cas décrit par Klieneberger la douleur a débuté par la plant
(Bruns) ou s'accompagnait d'accès de très fortes douleurs. Nonne a décrit un cas de sclérose en plaques où les accès doul
e Brown-Séquard avec les douleurs radiculaires (Bruns). Boettiger a décrit un cas où le diagnostic de tumeur (les symptô-
ection, la méningite spinale séreuse. Il y a toute une série de cas décrits par Oppenheim, Krause, Saenger, Bruns, K. Mende
im veut y voir une certaine analogie avec les kystes de la pie-mère décrits par Spi 11er-Musse ! ' et Martin. Schwartz, Sch
i 11er-Musse ! ' et Martin. Schwartz, Schmidt et Schlesinger en ont décrit des cas égale- ment. En général cette question
ONNE VERTÉBRALE 481 ninges (1). Dernièrement Raymond et Alquier ont décrit des cas analo- gues d'inflammations des (2) mén
mme exemple frappant sous ce rapport, nous pouvons mentionner celui décrit par Saenger où des médecins certainement expéri
l'opération ou d'une hématomyélie consécutive. Un cas analogue est décrit par Bruns, qui croit également que les hémorrag
^ visible dans la moelle dorsale ! Ces faits sont analogues à ceux- décrits dans le chapitre II. - Quant à la pathogénèse
, nous l'avons déjà exposée dans le chapitre II. Nous l'avons aussi décrite dans un travail commun avec le Dr Sterling. Nou
dessous du bord supérieur de l'hémisphère les altérations ci-dessus décrites du côté des cir- convolutions de l'insula appar
rement mécanique au développement du corps calleux. Dans le cas que décrit Onufrowicz, la circonvolution limbique supé- ri
owicz poursuit ensuite l'étude des coupes microscopiques sériées et décrit un faisceau volumineux dont le trajet se fait dan
tal était demeurée abso- lument intacte. Le faisceau sous-calleux décrit chez le chien par Muratoff comprend trois parti
e avis, n'est autre que la zone réticulée de la couronne rayonnante décrite par Sachs, ou encore, la couche sagittale interne
le interne du lobe fronto-pariétal et correspond à ce que Meynert a décrit sous le nom de « couronne rayon- nante du noyau
». Voici, du reste, en quels termes l'Anatomie des centres nerveux décrit ce faisceau : « C'est un long faisceau d'associ
ar le pied de la couronne rayonnante. Le faisceau occipito- frontal décrit une courbe ouverte en avant et en bas. Recouvert
re fortement à la partie supérieure du bourrelet cortical ci-dessus décrit et se continue plus loin sous la forme d'une mi
t, ce faisceau se rapproche beaucoup du fais. ceau fronto-occipital décrit par Onufrowicz, Kaufmann et Hochhaus. Toute- fo
trop rapide d'une erreur anatomique aussi funeste qu'inutile. 1 Il décrit le faisceau du noyau caudé de Sachs et la zone ré
LLEUX 521 a été rapporté par Kozowsly(1). Dans ce cas, que l'auteur décrit du reste très sommairement, il s'agit d'une agé
ion impossible. Cependant nous pouvons établir que le nain Taillon, décrit par Ma- nouvrier, représente un cas de microsom
parfaitement proportionné de tout son corps; Daniel et Philippe le décrivent de la façon suivante : Dobos est un véritable ho-
ffet quelques stigmates physiques identiques à ceux que nous allons décrire comme caractéristiques chez nos nains : Do- bos
tout la définition et la conception du nanisme émise par M. Meige, décrit à nouveau les types de nains les plus connus, c
traire un peu plus explicite sur ce point si important; après avoir décrit les formes bien connues de nanisme, il ajoute :
vidus de la troupe actuellement à Paris. C'est la variété qui a été décrite sous le nom de pygméisme par Poncet et Lenoir q
uel résulta subjectivement et objectivement normal. Nous avons déjà décrit l'aspect caractéristique du nez dans sa portion o
conformation du nez est exactement la même que celle que nous avons décrite chez notre premier nain ; le nez a le bout relevé
ans une déformation du nez qui est identique à celle que nous avons décrite chez son père; sa mère est, comme nous l'avons
ellé aussi, malgré son incomplète formation, le type que nous avons décrit chez tous nos autres sujets et qui est caractéris
ec les nerfs ciliaires. Dans la plupart des ouvrages classiques, on décrit au chapitre des ori- gines réelles de l'oculo-m
achnoïde est épaissie. L'aspect est très comparable à celui qui est décrit par Vincent (dans sa thèse, 4910) dans un cas s
e en est l'ACIIONDROPLASIE. Mais ici une dislinction s'impose. On a décrit parfois sous le nom d'achondroplasiques des sujet
d'un raccourcissement considérable, analogues à ceux que nous avons décrits , L'anomalie s'accompagne d'un certain nombre d'
ation là où au premier coup d'oeil tout semblait perdu. Dans un cas décrit par'Schede, l'opération, 594- liez FLATAU exé
ment la même structure que les plaques à distance que nous venons de décrire . Nous voulons insister surtout sur l'autre typo
tout le monde. Il parait bien certain cependant que les altérations décrites relèvent de la syphilis. Des études approfondie
ut rencontrer tous les stades de ce processus pathologique, je veux décrire ici les deux stades principaux, celui dans lequ
atrice terminale. Sans attacher d'autre importance à ces'termes, je décrirai donc : 1° L'aortite moyenne gommeuse floride en
ique est occupé par la masse de fibres complexe que nous avons déjà décrite et que, pour faciliter la suite de nos explicatio
illé interne. Ce sont les radiations cortico-genouillées inter- nes décrites par von Monakow, 111ahaim et Dejerine. Le segment
beaucoup la disposition du corps calleux normal telle qu'elle a été décrite par Anton. A ce niveau, le cin- gulum semble oc
s toutes les particularités qui s'observent à chaque niveau, que de décrire chaque lobe isolément. Sur les coupes qui pas
e se soustraire à l'importance des multiples lésions que nous avons décrites : épaississement pie-mérien généralisé, plaque
e ces os dépassent souvent le plateau tibial. J'ai été le premier à décrire d'autre part une autre anomalie analogue à cell
bour très nette des dernières phalanges des doigts. - Ayant ainsi décrit tous les caractères cliniques néga ti fs et posi
ue absolument tout symptôme de déficit relatif à ces organes ; on a décrit une forme d'infantilisme d'origine surrénale, m
mun avec le type de dystrophie certainement dysthyroïdienne si bien décrit par M.bIeige : d'ailleurs, selon nous, il n'est
ieu à la détermination de la forme de microsomie pure que nos avons décrite . Nous n'avons aucun argument certain qui nous f
multiple, mais qui se manifeste toujours cliniquement sous le type décrit par Lorain LA MICROSOMIE ESSENTIELLE HÉRÉDO-FAM
ut qu'ils appartiennent à la forme de microsomie que nous venons de décrire . Quelle que soit en outre la réduction de la ta
sente un spécimen de l'infantilisme dysthyroïdien qui a été si bien décrit par Brissaud ? Nous ne le croyons pas : du type
pha- langes des doigts qui sont identiques à celles que nous avons décrites chez son père dont il est d'ailleurs, pal touts
ailleurs, malgré son incom- plète formation, le type que nous avons décrit chez tous nos autres su- jets. L'examen radio
ites ; les doigts sont fluets et rectiligues, sauf le cinquième qui décrit une légère courbe à concavité radiale. La main
peuvent en subir beaucoup d'autres. Ainsi Ronades et Sérieux ont décrit un cas où l'index des deux mains était plus atr
l'auriculaire des deux mains était recourbé en crochet. Cestan (3) décrit un cas où le médius était développé outre (1) R
ber, où l'index était hypertrophié et incliné de côté. Boix (4) a décrit une déviation des doigts des deux mains du côté c
MALIES DES ORTEILS 697 la main droite était normale. Pauly (11) a décrit une déviation des doigts du côté cubital. Stern
second, c'était l'auriculaire. L'auteur dit que l'on n'avait encore décrit jusqu'à lui que 9 cas pareils. M. Afagnanini (1
ffisamment en détail. Les déformations les plus différentes ont été décrites (Lejars, Boi\, Cestan, Kraepelin, etc.), sans c
rarement d'indications d'autres anomalies. Ainsi Magnanini (13) a décrit (obs. 11) la syndactylie du gros et du second o
2 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
, accompagnée de céphalée et des troubles oculaires, que nous avons décrits , n'est autre chose que l'acromégalie. Et il ne s'
(Surmont,Lynn,Thomas, Uhthoff) ; et d'après Sternberg les cas qu'on a décrits chez les enfants sont contestables. Moncorvo
tions squelettiques, observées chez le ? idiots et les arriérés, et décrites par Virchow sous le nom d'acromé- galie partiel
lable que le point de départ de l'état morphologique que nous avons décrit chez José Lopes réside dans l'hypertrophie de l'h
énales dans la nutrition du tissu osseux. L'infantilisme surrénal décrit par 1<lorlat pourrait être invoqué également
e et non exactement classée. En effet, si avant cet auteur on avait décrit une forme particulière de subluxalion radiocarp
ubluxalion radiocarpienne qui rappelait de près celle que plus tard décrivait magistralement Madelung, il est certain que les
(1) de Siegrist (1908) on peul évaluer à 50 le nombre total des cas décrits . A ce chiffre on doit aujourd'hui joindre les c
s cas publiés en 1908 c'est-ir- dire les observations rapportées el décrites par Frauke (1908), Gangèle (1908), Lévy (1908),
il conserve ses rapports avec le carpe (la plus grande partie des cas décrits ) ; parfois le radius perd ses rapports avec les
pinion se range Jean, se basant sur un cas de difformité bilatérale décrit en 1875 avec les résultats de l'examen analomo-
ociée à d'autres malformations. D'ordre congénital est aussi le cas décrit par Arduin en 1902 sous le titre de « luxation co
ngénitale incomplète du poignet ». Jagot estime aussi que son cas décrit en 1897 est d'ordre congénital et héréditaire.
ongénital fllt enfin mon cas qui certainement appartient à la forme décrite par Madelung et que je m'efforcerai de décrire le
ppartient à la forme décrite par Madelung et que je m'efforcerai de décrire le plus brièvement possible en me réservant de
, sons l'impulsion d'inlluences mé- caniques. 13arlhés au contraire décrit deux cas de maladie de Madelung ë' chez des suj
rt à la pathogénie, mon cas se détache aussi de tous les autres cas décrits . En effet, suivant la majorité des auteurs, don
f à cette disposition du radius. Conclusions 1° Le cas que j'ai décrit , par la difformité caractéristique du poignet,
raumatisme pendant l'accouchement ou aussitôt après : la difformité décrite est certainement congénitale, pas héréditaire e
dius et du cubitus. On voit que tout en étant comprise parmi celles décrites par Madelung et par les autres auteurs, elle s'
. Quant aux membres supérieurs, on y re- marque l'anomalie qui sera décrite ci-après. Taille 1 m. 62. Système pileux passab
n droite. La radiographie démontre clairement ce que nous venons de décrire : le doigt surnuméraire, des deux côtés, est un
treize doigts à chaque main et douze à chaque pied ; Hagenbach (G) décrit , entre autres, un cas de quatorze doigts à chaq
vient de préciser, d'après les lertes originaux, le tableau morbide décrit , sous nom de Presbyophrénie, par les différents
a marche des psychoses, est peu connue. Pourtant la presbyophrénie, décrite antérieurement, psycliosejus- qu'à un certain p
nie, isole donc, pour ainsi dire, l'un des deux ordres de symptômes décrits par (1) KREPELIN, Psychiatrie, 1910, p. 184.
ogisies, sur la foi d'une doctrine et d'un néologisme, ont tenté de décrire à l'affection nouvelle des lésions spécifiques.
rénie d'une anatomie pa- thologique. Dans plusieurs travaux (1), il décrivit comme spécifique une lésion consistant en petit
e réaction inflammatoire. A côté de ces formes délimitées, l'auteur décrit une lésion diffuse caracté- risée par une infil
it pu ob- server chez eux de troubles psychiques (1). Les lésions décrites par Fischer avaient déjà été observées par d'autr
s eux-mêmes, Fischer excepté, ne prétendent plus, semble-t-il, qu'à décrire les lésions d'une forme clinique et non d'une ent
dance aux récits imaginaires, symptôme très anciennement signalé et décrit par les auteurs français. (1) Derny et Camus, S
aux 1 Je rêve souvent de chevaux qui tombent. » On lui demande de décrire le costume du docteur qu'elle vient, dit-elle, de
ur, que son fils est fautassin, chasseur à pied, artilleur, et elle décrit son costume, chaque fois, d'une façon différent
). Dans d'autres cas, on observe le tableau clinique du Puérilisme, décrit par Dupré (1) et qui se rencontre surtout, lui
adies et les affections des articula- tions de toute nature ont été décrites sous la dénomination générale de « rhumatisme »
nouvelle unité pathologique. - Eu 1892, le Professeur HekhteretI a décrit cinq cas « d'une affection spéciale qui se mani
yphose hérédo-traumatique » (Pierre Marie). En 1897, Slriimpell a décrit un cas d'ankylose complète de la colonne vertéb
ons trouvé, clans la litté- rature, 15 cas d'autopsie (quelques cas décrits par MM. Bekhtereff, Marie et Léri, Pie et Bombe
ue dans ses traits spéciaux, telle du moins que M. Pierre Marie l'a décrite et que les autopsies ultérieures l'ont constaté
d'un t)¡Je qui s'approche de très près de la spondylose rhizomélique décrite pour la première fois par M. P. Marie. Dans qua
es muscles dorsaux. Sur les seize observations que nous venons de décrire , il s'agit 14 fois de la forme d'immobilité de
e dégénérescence des faisceaux postérieurs (un état semblable a été décrit par le Dr Babinski). Dans toutes les autres obs
l'affection des articulations (Des convulsions myocloniques ont été décrites dans la spondylose rhizomélique par Levi et Folle
lle des côtes était pareille), on n'y trouvera point les caractères décrits et mis en évidence par les observations de Ilahn,
ile de St-Maurice. d'aliénés d'Evreux, L'étiologie de l'affection décrite par Dercum sons le nom d'adipose dou- loureuse,
tion des localisations cérébrales » (p. 582, fig. 105 et 10(3) (2), décrit une tumeur ayant détruit presque totalement les
re cependant qu'ils arrivent il l'intensité de ceux que je viens de décrire . Presque toujours, il me fut possible de démontre
D'ailleurs chaque personnage est souligné d'un couplet (1) où il se décrit lui-même sans circonlocution. Est-ce une fantai
de quelques teintes plates, Pourpoinctz rouges, tannez et noirs, décrits dans le Pourpoint.(Ces teintes onl été sans clout
donne les vers suivants dans son Eulogium Sebastiani Brandi, où il décrit sans nul doute le chancre induré : Scorram, Gal
gne » comme chante le quatrième rang, n'est-elle pas beaucoup mieux décrite que nous ne saurions le faire, et surtout de fa
ffaiblis, mais de plus, il est d'hier ce symptôme nouveau, le bubon décrit par Nicolas Massa (1532) et dont Antoine Lecoq
n autre trouble trophique cutané, en dehors de celui que nous avons décrit plus haut. Comme trouble vaso-moteur, il y a li
ent mobile. La couleur est normale. Le phénomène que nous venons de décrire , est bien évident sur toute la face dorsale de
s passons maintenant en revue les altérations trophiques cuta- nées décrites jusqu'à présent dans la syringomyélie, nous ne tr
ail pas se faire. Et même en dehors de la syringomyélie, on n'a pas décrit , autant que je sache, de troubles trophiques se
t. Se tient le plus souvent dans un coin dans l'attitude figée déjà décrite et avec des gestes menus et variés des mains. D
tale ; tout en admettant une folie intermitente, telle que l'a bien décrite M. Magnan, englobée depuis dans la folie maniaque
sous-groupe défini de la dé- menceprécoce. William Rush Dunton (2) décrit aussi comme distincte une forme intermittente,
on nerveuse pour interpréter les troubles variés que nous venons de décrire . En résumé, les lésions précédentes peuvent êtr
nique aralyloscaaale du rachis et des articulations des hanches que décrit Striimpell est évidemment une forme de la spon.
e traumatique héréditaire de M. 13c%Irtere/f. Dans tous les cas que décrit Bekhtereff, l'affection se porle exclusivement su
spinale hypertrophique ( ? ) lio Brissaud el Grenet ont, en 1 ! IO, décrit un cas (l'ankylose du rachis LA SPONDYLOSE nI11
sseur Senator et Cassirer, de la clinique d'Oppenheim de Berlin ont décrit des cas d'immobilité du rachis d'origine myopat
on sous le chloroforme. Dans toutes les observations que nous avons décrites , on ne pouvait songer qu'à la spondylose rhizomél
songer qu'à la spondylose rhizomélique. 8° Le professeur Raymond a décrit en 1901, sous la dénomination de : Afaladieanky
nique, une forme d'ankylose des articulations. En 1905, M. Berger a décrit un cas analogue. Les signes communs des deux ca
ar l'ossification des ligaments. d) Dans la première observation, décrite par M. P. Marie, une résec- tion des têtes des
donne le résumé des 36 cas de tumeurs de la glande pinéale qui sont décrits et il en ajoute encore d'autres. Après le trava
n grand travail sur « les organes pariétaux » de Stud- nicka ; il a décrit d'une manière très détaillée la glande pinéale ch
landes où les septa sont très fortement vascularisés. Si nous avons décrit ces types c'est seulement pour aider à s'orienter
é. Cr.i.i.m.rs de déblai. En avril 1910, Galalescu et Urechia ont décrit quelques cellules qu'ils ont trouvées autour de
alogues aux cellules de déblai à granules métachromaliques qui sont décrites d'une manière détaillée par Atzheimer ; d'un au
gment, graisse, FIBRES musculaires, kystes. Des concrétions ont été décrites très souvent par les auteurs, nous pouvons seul
plus petites et d'une forme oblongue, Le pigment est aussi souvent décrit ; on l'a trouvé dans le tissu con- jonctif et d
Nicola et Dimitrova les ont trouvées chez le boeuf. l'appenheimer a décrit une tumeur de la glande pinéale contenant des f
souvent, mais non constamment. les plaques névro- gliques qui sont décrites spécialement par Marburg. Prohablement elles jo
e la tête d'une épingle. Ils ont toujours été du type que Marburg a décrit comme la conséquence d'un ramollissement central
lte des signes certains d'involution. Les auteurs antérieurs en ont décrit trois : les con- crétions, la prolifération du
rée sont les seuls altérés. Dans ce travail, nous nous proposons de décrire les lésions microsco- piques trouvées dans ces
sa et par la thionine ; ils sont donc amphophiles. Mari- nesco z) a décrit dans les cellules du locus nigel' et du locus coe
nucléolaires; ces corpuscules diffèrent des formations précédemment décrites pour les raisons suivantes : Il leur nombre n'est
peut voir des cellules dont la membrane modifiée présente l'aspect décrit plus haut et au sommet du cône on trouve un ori
ster sur les trois points suivants : 1° Les phénomènes précédemment décrits n'ont pu être constatés que dans deux cas de pa
rants, il résulte que : les sphérules du nucléole, les granulations décrites par Marinesco sous le nom de granulations oxyne
plasma environnant. Cette dégénérescence nucléaire diffère de celle décrite par Nissl, Sarbo, Marinesco, Lugaro, etc... sous
uleurs acides tandis que dans l'homogénéisation telle qu'elle a élé décrite par Nissl le contenu nucléaire se colore tout aus
fférents états pathologiques. Van Gehnchten et Nelis (1898) (1) ont décrit des cellules vacuo- laires dans les ganglions r
t une cellule en état de dégénérescence kystique. Athias (190G) (3) décrit les cellu- laires vacuolaires dans les ganglion
uefois et qui donne à la cellule l'aspect fenê- tré tel qu'il a été décrit par Cajal, Naeotte, Marinesco, ne permet pas d'
n'importe quelle fixation) permet démettre en évidence la formation décrite et en même temps de se rendre compte de l'état
s'accroît, s'amplifie, et ces aspects différents que nous venons de décrire pourront être considé- rés comme des états succ
ulier ne peut être rapproché d'aucune autre formation cytoplasmique décrite dans les cellules ganglionnaires : granulations
alogies on trouve aussi certaines différences, ainsi Legen- dre (2) décrit et figure des cellules nerveuses contenant trois
cellules. LÉSIONS PÉRI-CELLULAIRES A côté des lésions cellulaires décrites prennent place les lésions péri- cellulaires qu
aux nodules rabiques ne nous autorise pas à rapprocher les lésions décrites de celles qu'on observe dans la rage. De plus m
mènes d'émigration active du nucléole ou la formation cytoplasmique décrite . (i) G. Marinesco, De la constance des lésions
Sous le nom de polynévrite des nerfs crâniens, Minor de Moscou (1) décrit une affection caractérisée par la lenteur de son
s rapports osseux sont beaucoup plus importants. Enfin nous avons décrit avec M. Sicard (3) un syndrome constitué par de
l existait chez lui tout un groupe de signes qu'il est classique de décrire dans l'acromégalie, et cependant nous ne saurions
Ant. MIKULSKI. L'acromégalie comme entité morbide spéciale a été décrite pour la pre- mière fois par M. le professeur Ma
n 1897. La plupart des cas publiés sont conformes au type classique décrit par Marie ; on rencontre cependant des cas atyp
avons affaire ici à la démence précoce. Le cas que nous venons de décrire se distingue par certains symptômes atypiques e
mégalique atteinte d'une psychose maniaque dépressive. Barros enfin décrit un cas d'acromégalie ayant des équivalents épilep
t un type de paraplégie avec contracture en flexion tel qu'il a été décrit par Babinski en 1899 à la Société médicale des
elconque du corps provoque les mouvements de flexion et d'extension décrits plus haut. Réflectivité tendineuse abolie. Abol
plus purs de paraplégie spasti- que en flexion telle qu'elle a été décrite par Babinski et dont les ob- servations ont été
il faut, limiter le terrain des recherches aux troubles que l'on a décrits en clinique sous ce nom ; car, si nous avons l'
s trouvons tous les symp- tômes précédents d'ataxie, que nous avons décrits d'après ce même malade. Il est inutile par cons
à ont pour nous un tout autre mécanisme, nous trouvons les troubles décrits plus haut. Mais, même plus tard, quand les symp
bles de sensibilité, sont des malades de transition entre le malade décrit dans notre observation el ceux par exemple que
ous fûmes surpris de voir que celte hypotonie, tel le qu'elle a été décrite par Frenkel n'existait pas. Ce n'est pas que nous
bes. Quant l'hypotonie des articula lions coxo-fémorales, comme l'a décrite Frenkel, on la constate surtout dans les cas d'
musculaires désordonnées. En résumé, tous les phénomènes ataxiques décrits jusqu'ici sont des troubles de l'équilibre stat
ogne, le mécanisme des associations musculaires est tel qu'il a été décrit par lui, c'est-à-dire que tous les muscles se c
parenthèse,je répète que le mécanisme des associations musculaires décrit par Duchenne répond à la réalité des faits, et on
conséquent - c'est -Ù, dire les phénomènes alaxiques que nous avons décrits dans cette première partie de notre travail est l
du système nerveux central (moelle épinière). Long et Wiki, qui ont décrit un fait analogue, ont mis l'atrophie en rapport
et suffisante de l'atrophie de la substance nerveuse que nous avons décrite . C'est à cette conclusion que nous désirions ab
s de la tubérosité bicipitale du radius un peu forte, la dia- physe décrit une courbure à concavité interne (PI. LVIII). A
même parlé de la débi- lité d'esprit achondroplasique. Boulenger a décrit un cas d'idiotie chez une achondroplasique, et
beaucoup de bon sens et un bon caractère. Il semble qu'on ne puisse décrire un psychisme spécial des achondroplasiques, dont
ner. Il existe d'ailleurs des cas de gigantisme atténué, que l'on a décrits aussi sous le nom d'infantilisme prolongé; ce s
ans (PI. LXV). En dehors du complexus symptomatique que nous alluns décrire , on ne relève dans ses antécédents qu'une coque
présent que nous -avons indiqué la marche des lésions, nous pouvons décrire leurs différents aspects. En plein été, le nez
vères de la fonction et des organes sexuels que ceux que nous avons décrits : en tout cas il agit bien plus sur la fonction
rome L'INFANTILISME RÉGRESSIF OU TARDIF 427 « féminisme» » estmal décrit . II estdifrieile d'expliquer pourquoi dans cer-
pluri-glandulaires l'in- fantilisme tardif ou régressif, nettement décrit pour la première fois par dandy, dont le nom do
n'a donc pu s'agir d'une alopécie post-typhique comme nous en avons décrit .C'est cette même période que le malade s'aperço
, testicules, surré- nales, hypophyse, etc.... Jusqu'ici on n'avait décrit que des syndromes d'insuffisance d'une glande à
l s'agit d'une dysplasie des extrémités supérieures. Elle peut être décrite en un mot : elle consiste en un raccourcissemen
ne d'une tribu alliée à celles du Nyasaland. Nous nous proposons de décrire ici, avec quelque détail, six cas de micromélie
la micromélie présente quelque différence avec ce qui vieut d'être décrit dans les autres cas. Le sujet montre bien le fait
i que les pieds, sont affectées d'une façon qui sera tout à l'heure décrite en détail. A l'exceptio des deux tibias qui se pr
CONGENITALE 469 Si nous envisageons dans leur ensemble les six cas décrits en détail ci- dessus, nous notons qu'ils présen
s noté dans nos cas. Il est vrai que Bryantet Birkitt, en 1862, ont décrit indépendamment l'un de l'autre deux cas de racc
issement humerai unilatéral, et qu'en 1895 Jonathan Hutchinson en a décrit un troisième. Mais nul de ces trois cas n'est c
propre, on .peut avancer le fait que dans trois cas sur les six ici décrits , elle se présente sous une forme absolument pur
e nous ayons à rappe- ler que certains cas de celle maladie ont été décrits qui ne présentaient pas la malformation en ques
exemples d'achondroplasie et dans lesquels les symp- tômes ont été décrits comme partiels, atypiques, incomplets. Ainsi Jule
me partiels, atypiques, incomplets. Ainsi Jules et Roger Voisin ont décrit un cas dans lequel les membres étaient plus LA
au sujet par une intéressante observation de Regnault. Cet auteur a décrit un sque- lette présentant un raccourcissement h
QUE (Suite et fin) , PAR D. NOICA, de Bucarest. Nous allons décrire dans ce chapitre le second groupe de phénomènes
à peine le membre inférieur et ceci avec beaucoup de difficulté. Je décrirai seulement un phénomène, analogue aux précédents q
oubles ataxiques du tronc étaient très démonstratifs, je désire les décrire un peu. Déjà en s'approchant du malade, on étai
bre inférieur, jusqu'à sa racine. (1) Ce phénomène, nous l'avons vu décrit aussi par Frenkel. 496 noica Puis cette sensa
nomènes ont, en même temps que ceux-ci, des troubles que nous avons décrits dans la première partie de notre travail. Mais
aucoup plus exagérés que nous ne les avons trouvés chez nos malades décrits dans la première partie, car la maladie évoluau
ns la première partie de notre travail, et dans le second ordre, il décrit des phénomènes qu'il considère comme étant conséc
3 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
rées par le séjour même de l'hôpital. MM. Rilliet et Barthez(l) ont décrit avec beaucoup de soin un état cachectique de l'en
r la nature constamment tuberculeuse de cette affection. On a aussi décrit une altération des ligaments intervertébraux qui
eurs. D'après ce que je viens de dire, le rachis perd sa forme ; il décrit ordinairement des angles. Nous voyons sur cette p
ait des progrès, l'inclinaison augmente et la colonne vertébrale peut décrire un angle droit ou même un angle aigu. Un exemple
connaissaient que la courbure postérieure de la colonne , et avaient décrit la maladie sous le nom de gibbosité, bosse, gibbu
ar une enfant amenée à notre consultation, et chez laquelle le rachis décrit un angle droit ouvert à gauche. Je ne connais p
e tronc; il y a raccourcissement, diminution de la taille. (1) J'ai décrit deux périodes du mal vertébral : l'une de lésion,
e arête saillante dans le canal et correspondant au sommet de l'angle décrit par le rachis. Cette pièce représente une arête a
'aorte accompagne constamment la colonne dans les flexuosilés qu'elle décrit . Sur cette figure, l'artère principale du corps o
hyse épineuse, dans un arc presque insensible, d'un très-grand rayon, décrit par la colonne vertébrale, dans le redressement d
deuxième forme de gibbosité, l'angle est plus effacé; des concavités décrites par le rachis au-dessus et au-dessous du point ma
t le bassin, vous effacez l'arc qui existe, et vous pouvez même faire décrire à la colonne une courbure inverse. b. La courbu
e, au premier coup d'œil, se rattacher au mal vertébral. La colonne décrit un angle droit ; le bassin et les côtes sont bien
ostéite, l'arthrite, la carie, en produisent également. On a pourtant décrit un mal vertébral sec. Tant que le tubercule est à
niser en membrane ; il se forme une poche, l'abcès s'enkyste. Je ne décrirai pas le trajet très-varié que suit cet abcès depui
, ne l'avait pas lu lorsqu'il écrivait que : « Pott n'a pas seulement décrit le premier avec exactitude cette maladie, il a en
diverticules, qui se forment dans l'abcès, le trajet plus long qu'il décrit , par conséquent l'étendue plus grande de la membr
alement bonnes pour recourir au trocart. Dans tous les cas, le trajet décrit par l'instrument dans la paroi de l'abcès doit êt
enfant eût pu rendre compte de ses sensations, elle aurait sans doute décrit une douleur sous forme de ceinture, ressentie à l
M. Tessier (de Lyon) est le premier travail où ces altérations soient décrites ; c'est encore dans cet auteur qu'on rencontre un
e est la plus fréquente ; les faits de Duverney, celui de Dau-benton, décrit dans l'Histoire naturelle de l'homme, par Buffon,
ponts osseux, entre des parties maintenues à distance. Dans une pièce décrite par M. Tessier, un ostéide s'étendait de l'apophy
e fille de sept à huit ans. En faisant l'histoire de cette enfant, je décrirai celte forme d'ankylose. La déformation résulte ic
e, c'est la contracture des muscles du cou. Deux cas de ce genre sont décrits dans l'ouvrage de MM. Rilliet et Barthez. Il exis
génital est assez curieux à étudier, parce qu'il est peu connu et peu décrit . Il peut être la suite des mêmes causes qui le pr
Malgaigne? Sur un seul fait que voici : Dupuytren, dans ses leçons, a décrit un cas de pseudarthrose coxo-fémorale double qu'i
rochanter, et a reçu le nom de ligament de Berlin, bien qu'il ait été décrit avant cet anatomiste. Ce ligament reste très-fort
nne insertion; il présente un étranglement au niveau de l'arête, et décrit ainsi un 8 de chiffre, dont les deux cavités figu
s d'un mêmr sujet un bel exemple d'une disposition semblable, qu'il a décrite minutieusement, sans toutefois indiquer que son o
ndiquer les distances en ligne droite, au lieu des lignes courbes que décrit le ruban en s'adaptant à la forme des parties mol
reçue dans une cavité, peut se promener librement sur l'os iliaque et décrire un arc de cercle plus ou moins étendu. Dans le
La région lombaire, et même dans certains cas presque tout le rachis, décrit une courbe dont la convexité répond au membre lux
déplacement qu'elles éprouvent dans les différents mouvements ; elles décrivent un arc de cercle étendu sur les iliums. Nous avon
es, du Dupuytren de Montpellier, de Delpech (1). Ce savant professeur décrit chez un jeune sujet tous les signes d'une luxatio
une grande liberté des mouvements du membre, de grands arcs de cercle décrits sur l'ilium par la tête fémorale. A ces signes
nt dans la production du strabisme par rétraction : c'est la membrane décrite par Tenon sous le nom de nouvelle tunique de l'œi
oculaire sa direction normale. C'est à cet exercice, depuis longtemps décrit par Andry, qu'avait eu recours l'éminent chirurgi
Plusieurs procédés ont été proposés pour l'opération du strabisme; je décrirai le plus suivi, celui dans lequel on incise vertic
On a reproché à l'opération du strabisme, telle que nous venons de la décrire , de produire une plaie extérieure, de détruire le
utour de la tête de cet os par un mécanisme assez compliqué, que j'ai décrit il y a déjà bien des années. Le siège des mouveme
plupart des anatomistes, très-sommairement indiquée par Sœmmering, et décrite d'une manière plus précise par M. le docteur Duch
qui sont restées à leur première période. C'est à ce titre que je les décris ici. Je veux parler des pieds plats et des pieds
s effacée ; le talon se dévie aussi en dehors, et le tendon d'Achille décrit une légère courbe à concavité externe ; la malléo
nfin le long extenseur des orteils, quand le pied se porte en dedans, décrit , par ^n tendon, une courbe de plus en plus forte,
motrice est éteinte dans la fibre musculaire. Ces deux étals ont été décrits par M. Duchenne (1), le premier sous le nom de pa
dehors, le bord externe est convexe, le bord interne concave. Le pied décrit dans son ensemble la forme d'un S. C'est ce que v
ne seule description, sous le nom de valgus commun; la troisième sera décrite dans les pieds équins. Valgus commun. — De même
ion qui serait bonne s'il n'y avait que des varus et des valgus. Je décris trois degrés principaux dans le valgus commun. Da
éolaire près de ce bord, etc. D. Talus (1). — Jusqu'ici, je vous ai décrit trois groupes de déviations du pied, les déviatio
e cas publié par M. Scoutetten en 1838 (3), comme dans celui que j'ai décrit la même année (4), comme dans les exemples qui so
-dire qu'en arrière existe la disposition du talon que nous venons de décrire ; en avant, au contraire, l'avant-pied, au lieu de
pied droit, et de droite à gauche pour le pied gauche. Briickner a décrit et représenté un bandage de ce genre : il commenc
ui ont figuré à notre exposition universelle. Je ne veux point vous décrire tous ces appareils; ce n'est pas leur nombre, mai
ompris le moyen d'atteindre ce double but. Malheureusement il n'a pas décrit lui-même son appareil, aussi en a-t-on eu longtem
longtemps une fausse idée. Voici un appareil dit de Venel, longtemps décrit comme tel, et que ses successeurs renient. C'est
MM. d'Ivernois et Mellet ont rétabli les faits à cet égard; ils ont décrit le véritable appareil ou sabot de Venel, comme on
eur milieu par une articulation à mouvements latéraux, mécanisme déjà décrit par Boyer. Dans cet appareil de M. Cotlin, le m
section du tendon d'Achille, en appliquant le procédé que je vous ai décrit . Avec l'aiguille en fer de lance, je fais, à quel
aux fonctions du membre. C. Accidents de la ténotomie. — Je vous ai décrit ce qui se passe après la section des tendons dans
désigner cette affection, que les nouveaux observateurs ne trouvaient décrite nulle part. « L'un de nous, raconte Glisson (1),
pour croire à la nouveauté de cette maladie, c'est qu'on n'avait pas décrit le rachitis avant l'époque où il l'a observé. Mai
ue la maladie pouvait exister, bien que les médecins ne l'eussent pas décrite . On trouve d'ailleurs quelques traités antérieu
tler, et portant pour titre The rickets; un article de Bootius, qui a décrit le rachitis en 1649, sous le nom de tabès pectore
ides (2). Les auteurs allemands des quinzième et seizième siècles ont décrit une affection cardiaque de l'enfance, dans laquel
avec le rachitisme, pour ne m'occuper que de la maladie que Glisson a décrite de main de maître. § 1er. — anatomie pathologiq
s la Chimie pathologique de MM. Becquerel et Rodier. (1) Je vous ai décrit les changements que le tissu osseux éprouve dans
propriété dans le rachitisme. Tout récemment, M. Vir-chow (4), qui a décrit , après MM. Kœlliker, Mayer, Broca, l'état microsc
ller encore plus loin. M. Elsesser et d'autres médecins allemands ont décrit un rachitisme crânien qui porte surtout sur l'occ
y verrez les corps vertébraux taillés en forme de coins, de manière à décrire par leur réunion des arcs diversement dirigés.
le que je vous ai annoncé, de cet arrêt de développement intra-utérin décrit par M. Depaul. La tête, chez cet enfant, n'est
le présente sur ces os d'enfants, ainsi que sur la plupart des pièces décrites par Daubenton (1) et par M. Lacroix (2), comme su
angle aigu ; le grand trochanter est dirigé en arrière ; la diaphyse décrit une grande courbure à convexité antérieure ou ant
n avant et en dehors. Les tendons de la partie inférieure de la jambe décrivent , dans un cas pareil, des spires, avant de parveni
ou moins exactement la courbure des os. Les artères, en particulier, décrivent , en outre, des flexuosités comparables à celles d
e, des restes de lait formés presque uniquement de sérum. Behrs (1) a décrit , en 1847, une maladie de ce genre, compliquée de
eures pathologiques. Courbures physiologiques. — Le rachis du fœtus décrit dans l'utérus une courbe à concavité antérieure,
es vertèbres sur le sacrum en formant un angle avec la courbe inverse décrite par les vertèbres sacrées. Cet angle et la cour
nc se trouve changé par la cyphose juvénile ; en arrière, tout le dos décrit de haut en bas une convexité assez régulière, plu
ière permanente. La gymnastique rend ici de grands services ; je ne décrirai pis les nombreux exercices qui conviennent en par
le jour. Le lit sera assez résistant et assez droit pour ne pas faire décrire une courbe au rachis, et on veillera à ce que, da
cette question. Dans la lordose lombo-sacrée , la colonne lombaire décrit un arc plus prononcé que dans l'état normal ; sa
ses Maladies des os, Wenzel (Maladies de la colonne vertébrale), ont décrit chacun un fait de cette espèce. A. Roy, élève de
l'action du décubitus, on place le corps sur un lit mou, où il tend à décrire une courbe inverse de celle de la région lombaire
est ce que l'on voit sur ce squelette, où la partie inférieure du cou décrit une forte courbu/e permanente, qui change brusque
la rétraction de la poche elle-même après son évacuation? Une pièce décrite par M. Houel (2) et déposée au Musée Dupuy-tren s
es dans mes leçons de 1855 (1), et j'espère y revenir plus tard. Je décrirai séparément la scoliose par flexion et la scoliose
he, toutes les vertèbres étant inclinées dans le même sens. Le rachis décrit un arc très-oblique, à courbure un peu inégale, c
s. B. Il peut arriver, même sans que le bassin s'incline, que l'arc décrit par les vertèbres soit droit, que sa corde soit p
on penche la tête du côté de la hanche qui s'abaisse, on pourra faire décrire au rachis deux courbures opposées mais inégales,
gie, le haut du tronc penche ordinairement un peu de côté ; le rachis décrit une courbure longue et peu profonde, dont la conc
sieurs formes qui rentrent dans les attitudes physiologiques que j'ai décrites . On la voit dans le torticolis aigu, le lombago,
se de l'aorte, à la hauteur de la cinquième vertèbre dorsale, l'épine décrivait souvent une courbure à concavité gauche, a courbu
au de ces courbures, offre des particularités que l'on n'a pas encore décrites , que je sache, et qui sont d'un grand intérêt po
neuses sont déjetées alternativement à droite et à gauche, au lieu de décrire une courbe régulière répondant à celle des corps
es sont alternativement déjetées à droite et à gauche ; mais elles ne décrivent pas de courbe sensible. IIe cas. — Garçon de on
qui ne participe que fort peu à ces changements de direction. L'épine décrit ainsi une sorte de Z dont les angles seraient arr
, ne se voient pas en arrière, où la série des apophyses épineuses ne décrit qu'un seul arc prolongé par des droites. On a b
tie une direction horizontale. Ce n'est plus un arc de cercle qu'elle décrit , c'est une moitié d'ellipse ou un arc prolongé pa
nt rare de voir le cou prendre une plus grande part à la scoliose, ou décrire seul, jusque dans ses vertèbres supérieures, un a
t le corps et l'apophyse épineuse. Dans ce genre de torsion, que j'ai décrit plus haut, la partie antérieure de chaque vertèbr
is sur laquelle ils agissent. Cet effort physiologique ne fait jamais décrire aux vertèbres qu'une seule spire, bien légère d'a
re d'ailleurs. Au contraire, dans la torsion pathologique, la spirale décrite par les vertèbres change de direction au milieu d
, que les apophyses épineuses sont en ligne droite, quoique les corps décrivent une courbe manifeste ayant quatre, cinq millimètr
e se voient pas aux apophyses épineuses. 4° Les flèches des courbes décrites par les corps et par les apophyses ne sont égales
e l'excès de courbure des côtes dans le sens de la convexité de l'arc décrit par le rachis. Elle est d'autant plus proéminente
u'il subit en arrière et sur le côté. La circonférence du thorax ne décrit donc plus cette belle courbe elliptique, presque
mme la cinquième lombaire, dévié môme latéralement avec le coccyx, il décrit une courbe opposée à celle des premières vertèbre
ls changements, que ce serait toute une anatomie à refaire que de les décrire avec les détails qu'ils comportent. Je ne m'arrêt
orme, en effet, avec son étui osseux; elle en suit les ondulations et décrit les mêmes courbures. Ces courbures sont moins for
ez sur cette pièce formée des corps vertébraux seulement. Cette paroi décrit , par cela seul, des courbures un peu moins pronon
côté, la paroi postérieure du .canal rachidien, formée par les arcs, décrit des courbes moins marquées que les précédentes, e
t de ces figures (8). La veine azygos, représentée sur quelques-unes, décrit une courbure semblable (9) : c'est là ce que j'ap
ourner en sens contraire, comme la colonne lombaire, lorsque celle-ci décrit une courbe très-marquée (2) ; mais le parallélism
te abdominale et thoracique qui constitue V ex cep lion. Cette artère décrit , dans ce cas, de petites courbures qui ne représe
gos ont leur situation ordinaire par rapport à la colonne dorsale, et décrivent comme elle un arc peu prononcé à convexité gauche
oite, plus le lobe droit est gêné dans son développement. Quand elles décrivent une forte courbure à gauche, la plus grande parti
flanc gauche, saillant, est sur la même ligne que la hanche; le droit décrit , au contraire, une ligne concave fortement rentré
romptement au premier degré; c'est-à-dire que les apophyses épineuses décrivent une courbe sensible dans la station, et n'en offr
va se voûter, ses muscles vont changer tout à coup de dimensions; ils décriront , comme les os, une courbe, et, en les mesurant, v
à gauche; sa partie supérieure seule suit la direction des lombes et décrit comme elles une courbe à concavité droite. Si la
ffection vient à manquer, en même temps que l'attitude du malade fait décrire au rachis une courbure latérale permanente. c.
ait être nuisible pendant la nuit. Il suffit que le matelas ne puisse décrire une courbe prononcée en s'affaissant sous le poid
'étendue de ce mouvement, que les apophyses épineuses déviées peuvent décrire une courbe inverse sans que cela ait lieu aux cor
es ou inclinées,'à une ou deux cordes nues, et l'exercice des bobines décrit par Delpech ; cet exercice consiste à monter et à
s lésions du rachis s'appliquait celte manœuvre. Mais Hippocrate en décrit d'autres qui contiennent le germe de ce qu'on a f
ariabilité. Obligé de me limiter, je ne m'arrêterai donc pas à vous décrire les appareils à pression fixe, les gouttières de
issants qui soutiennent le dessous des épaules comme dans un appareil décrit par Portai en 1772 (2). C'est la béquille, vérita
4 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
e médullaire. Dans le tome II de ses « Leçons du mardi », Charcot a décrit la propagation de la tubercu- lose osseuse du t
baires supérieures. Ce sont les faits de cet ordre qui sont surtout décrits dans les ouvrages classiques, ce qui indique le
PIERRE MARIE et ANDRÉ LÉRI. I ' La Spondylose Rhizomélique a été décrite par Pierre. Marie en 1898 (1) comme une « affec
t pas reconnaître parce qu'il n'avait pas été suffisamment isolé et décrit ». Les événements nous ont donné raison, car c'
xix ' 3 34 MARIE ET Llhn distinguer cliniquement de la maladie décrite par P. Marie que par le défaut de l'ankylose de
ure du rachis était en- traînée par le poids de la tête. Nous avons décrit nous-même deux types de spondylose que nous avo
- sin et les fémurs. a) Colonne vertébrale. La colonne vertébrale décrit une courbe douce, à grand rayon, concave en ava
des aspects très variés, assez mal dé- finis et le plus souvent mal décrits ». Nous n'apercevons pas encore nette- ment les
e et pathogénique. L'éminent professeur, dans une magistrale étude, décrit et oppose ces cas spéciaux, jusqu'alors méconnu
, qui font pendant avec les symptômes psychiques que nous venons de décrire , et qui parlent dans le même sens. Etal actue
, vous rappellent im- médiatement la maladie que Pierre Marie (1) a décrite avec une précision et un talent, dignes de son
ies nerveuses. C'est le clinicien anglais sir William Gull, qui a décrit le myxoedème comme morbus sui generis, ainsi qu
istiques pour l'acromé- galie manquent complètement. Pierre Marie a décrit la maladie sous le titre de : Hypertrophie sing
poser la question, si nous n'avons pas affaire à une autre maladie, décrite par Pierre Marie (1), dans laquelle le crâne et
observations postérieures ont bientôt démontré que les symp- tômes décrits par Pierre Marie ne se trouvent pas toujours chez
de maladies de coeur, et de bronchiectasie. Il y a 30 ans déjà il a décrit les « Rhumatoïd-Erkrankungen der Bronchichlau-
après les altérations des extrémi- tés, et Pierre Marie lui-même a décrit des cas d'acromégalie, dans lesquels un symptôm
e. Déjà Charcot, Karg, Petersen, Chantemesse et Schlesinger (1) ont décrit un agran- dissement acromégalique d'une extrémi
où on a trouvé la syringomyélie à l'autopsie. Petersons (3) a aussi décrit une pareille comhi- naison d'acromégalie et de
me dans la Nouvelle Icono- graphie (1903, n° 1), d'un cas analogue, décrit par Péhu sous le titre d'acrocyanose chronique
a pathogénie est ici assez nette, est à rapprocher des oedèmes déjà décrits chez les catatoniques, oedèmes s'accompagnant des
sig représentent les radia- tions optiques de Gratiolet (telles que décrites actuellement), la couche sagittale interne. '
orrespon- dent aux fibres thalamo-corticales et cortico-thalamiques décrites par Probst. . Slosel (1), la la suite de recher
gnature non discutable de cette affection. M. Félix Regnault a déjà décrit quelques-unes de ces formes anorma- les, M. Dur
t 1905. 138 KLIPPEL S'il est certain que l'arrêt de développement décrit dans l'observation suivante est d'origine congé
oint une nerveuse. Outre les crises hystériques que nous avons déjà décrites , la malade présente encore actuelle- ment des p
tête. Parmi les insuffisances asymétriques se rapprochant de celles décrites dans l'observation précédente, j'ai noté : le d
lle est peu développée, voilà tout. C'estbien le type d'hypotrophie décrit par Brissaud sous le nom d'infan- tilisme anang
pprocher ainsi le cas de notre malade des dystrophies tuberculeuses décrites par M. Landouzy. On sait que des travaux récent
gée, nous l'avons trouvé exempt d'éléments cellulaires. Après avoir décrit les troubles de sensibilité chez les deux frère
lésions pathologiques des nerfs ajoutés à d'autres signes cliniques décrits (1) Le morceau du nerf enlevé, a été mis direct
loir établir une comparaison qui serait prématurée entre la maladie décrite chez l'homme par Recklinghausen et des cas plus o
us les autres publiés jusqu'à ce jour, si bien que tous les auteurs décrivent la Paralysie des béquilles au chapitre de la Para
te un foyer profond du niveau du pli courbe : Nous commencerons par décrire les coupes postérieures. La coupe occipitale (P
paroi ventricu- laire inférieure. La zone dégénérée que nous avons décrite plus haut a remonté le long de la paroi ventric
sition logique des faits qui se sont déga- gés de notre travail, de décrire brièvement ce que la photographie est incapa- b
qu'à l'occasion d'un cas d'absence de la commissure calleuse, on a décrit un long faisceau d'associa- tion à direction an
ariétal, il est représenté par le petit faisceau que nous venons de décrire brièvement, et qui est situé au-dessus du noyau
rajet et dans ses relations, au faisceau longitudinal tel qu'il est décrit dans les traités d'anatomie. C'est pourquoi nou
dé sphénoïdal, il concourt à former la presque totalité de ce qu'on a décrit sous le nom de « faisceau temporo-thalamique d'
ires que nous avons pu nous convaincre des faits que nous venons de décrire .... mais comme toujours, une fois la chose bien
e recourbent' vers le corps ge- nouilllé externe. Nous avons déjà décrit le trajet du faisceau optique central après son é
à recevoir les faisceaux d'association ; la preuve, c'est que l'on a décrit un bon nombre de faisceaux d'association propre
eur ; s'il en était autrement on ne se serait pas donné la peine de décrire un faisceau de Sachs, un faisceau de Wernicke e
à notre sens, extrêmement important et que personne n'a réellement décrit jusqu'à ce jour. Si nous avons fait usage du
stent entre les lésions déjà connues et celles que je me propose de décrire . Les matériaux mis en oeuvre, sans compter les
es présentent les lésions de sclérose conjonctive ancienne que j'ai décrites précédemment. Les coupes de ces nerfs, faites sui
mot l'état de cette région est très compa- rable à celui qui a été décrit et figuré dans l'observation précédente. Toutefoi
ipiens. Aussi me servirai-je surtout de l'ob- servation III pour la décrire . Elle consiste dans un état moniliforme des cyl
l'on s'en tenait aux méthodes anciennes. La lésion que je viens de décrire est-elle le premier indice de la souf- france d
ffet, elles existent à l'état physiologique, où Ramon y Cajal les a décrites comme des organes auxquels il paraissait diffi-
er- minales une capsule nucléée très remarquable, que nous aurons à décrire plus loin. Terminaison des fibres régénérées
ainsi que les cellules entourées d'un riche réseau sous-capsulaire décrites par le même auteur ; relativement à cette dernièr
ture pathologique. D'autre part, dans les cornes de la moelle, j'ai décrit des massues qui ont même forme, même aspect que
uellement classique et qui en font une catégorie à part, non encore décrite . En effet, la seule forme de régénération que nou
génération que nous connais- sions actuellement est celle qui a été décrite par Ranvier : un cylindraxe partiellement détru
l'identité de ces forma- tions normales avec celles que je viens de décrire à l'état pathologique est absolue, seul leur no
irectes ou rétrogrades munies de capsules nucléées. Quelques fibres décrivent des trajets compliqués. A gauche une petite boule
. La masse qui constitue le fond de la cellule est très difficile à décrire ; quel- quefois bleu intense, elle est fréquemm
égulière, à bords déchiquetés, bien différente de celle que Nissl a décrite à l'état normal ; enfin, sur certains petits él
le, qui intéressent tous les éléments, et que nous avons longuement décrites , se retrouvent sur l'écorce, et indiquent, par
'écorce, et indiquent, par la série des caractères que Nissl a bien décrits , la mort de la cellule. La nécrose de la cellul
emment par des pin- ceaux de fibres très fines, rappelant ceux qu'a décrits Chaslin chez des épilep- tiques (Archives de mé
éoplasme émerge même complètement au pôle frontal. Les deux zones décrites plus haut se retrouvent à travers tout le lobe fr
ifications dans les fonctions organiques ». Si le syndrome clinique décrit par Empis devait rester, les conclusions de cet a
indéterminée. Il en est demême de l'atrophie fébrile des vieillards décrite par B.Bail (2), du morbus climatericus de Lobst
hronique avec déformation des muscles et principalement de la forme décrite par Jaccoud (1) en 1867. Dans ces faits on retr
ple dans le travail de Démange.. Cet auteur qui avait si bien vu et décrit la paraplégie spastique par sclérose polyfascic
le en deux ans de recueillir 8 cas de l'affection que nous désirons décrire ici. Étiologie. L'étiologie de cette affectio
vons dit à l'introduction, le diagnostic avec le rhumatisme fibreux décrit pour la première fois par Jaccoud n'est pas à fai
s présentent ne ressem- semblent que de fort loin à celles qui sont décrites ici. Dans certains cas le rhumatisme se localis
ez ces dernières de la myosite avec rétraction. La dermato- myosite décrite par Unverricht (1) s'accompagne d'un état général
nt les muscles qui présentent le maximum d'altérations. Après avoir décrit la topographie des lésions, nous envisagerons s
ui sont à peine visibles jusqu'à l'énorme tache que nous avons déjà décrite sur l'épaule et le bras droit. Mais au cours
uer ce phénomène il faut admet- tre que tout l'ensemble ligamenteux décrit par M. Sébileau sous le nom d'appareil suspense
tale du tissu fibro-élastique, étudiée par l'un de nous (1) et bien décrite par Buis- son (2), qui s'observe chez certains
Le cas diffère cependant de la maladie des tics telle qu'elle a été décrite par Gilles de la Tourette, en ce que le malade
nglionnaires restaient indemnes, il faudrait admettre que la lésion décrite par Nageotte au niveau du nerf radiculaire ne j
auteurs qui nous ont précédés dans cette voie de recherches avaient décrit chez certains de leurs animaux des empâtements so
étant chez eux très difficile : ce sont ceux chez lesquels Koster a décrit des altéra- tions névritiques cutanées très mar
sparues appartenaient principale- ment à cette catégorie que Kleist décrit comme cellules de grandes tailles, mu- nies d'u
n'avons pas recherché par la méthode de Nissl les altérations fiues décrites par Kleist, ces altérations n'existant qu'au pr
résentées que par des gaines vides difficiles à reconnaître. Kleist décrivit dans la racine postérieure, au bout de mois, un p
de myéline. Rappelons à ce propos que des fibres régénérées ont été décrites par Bonne dans le bout ganglionnaire, puis dans
naires, nous n'avons retrouvé chez aucun de nos animaux les lésions décrites chez les tabétiques par de nombreux auteurs au
actes ; ce fait, il est vrai, est en contradiction avec des lésions décrites par d'autres auteurs après la même section des
ns très fréquentes, constantes même pour Nonne, et qui ont été bien décrites par Dejerine, Pierret, Pitres et Vaillard, Joff
grade. Les cellules des ganglions spinaux, que certains auteurs ont décrites , à cette époque, comme partiellement atro- phié
us, il n'existait pas de lésions ganglionnaires semblables à celles décrites dans le tabes par différents auteurs et en dernie
derniers temps, Nolda, Massalongo et Silvestri,Rendu, Maixner l'ont décrite à la suite de la grippe ; Lannois et Paviot en on
ie n'ont pas la netteté, l'aspect en em- porte-pièce que nous avons décrit plus haut dans la sclérose en plaques ; elles s
déjà démontrés par Charcot, Gombault, Bechterew, etc.. Gowers aussi décrit dans la syphilis du système nerveux des formation
, Borst, Finkelnburg, Flatau et Koelichen, Bielschowsky. Dejerine décrit un cas à forme de sclérose latérale amyotrophique
enfance. Une sclérose disséminée dans la syphilis héréditaire a été décrite aussi par Jacobsohn chez un enfant avec kératit
rose en plaques avec tous les caractères histo- logiques classiques décrits depuis Charcot, il y a des foyers avec une dest
é les mêmes lésions dans les cas chroniques rose en plaques. On y a décrit de l'épaississement de la paroi (Rindfleisch, S
lules (Huber, Probst, Thomas). Schüle, Goldscheider et Balint y ont décrit des métamorphoses régressives. Dans les espaces
if aux foyers de la sclérose en plaques vraie ; on l'a maintes fois décrite aussi dans les foyers scléreux d'une autre origin
ique de Ladame au travail de Long. En effet si la lésion que Long a décrite présente réellement les caractères histologiques
divers segments des membres inférieurs sont fixés dans 'l'attitude décrite ; on arrive avec peine à écarter un peu les deux
antes y sont assez rares. Les tourbillons de fibrilles maintes fois décrits dans la sclérose en plaque n'y sont pas évident
vec les lacunes de désintégration cérébrale telles qu'elles ont été décrites chez les vieillards hémiplégiques, est d'autant p
ticulier. Les lésions vasculaires et périvasculaires que nous avons décrites dans cet organe,de même que celles que nous avo
IUlVIO CATOLA grande partie des caractères histologiques essentiels décrits dans la scié rose multiple légitime. Sans vou
ible. Car dans la myélite disséminée syphilitique on a maintes fois décrit des troubles, tels que la diplopie, la parésie sp
cas était confirmée par les lésions périvasculaires que nous avons décrit , soit dans la moelle épinière son dans le cerve
rement accompagnée de la perte du langage musical ; et, aussi, on a décrit quelques cas, fort rares, dans lesquels la perte
part pour l'étude des aphasies musicales ou amusies. Hospital) (6) décrivit un cas de paraphasie musicale, qu'il appelle a at
même travail il fait remarquer que Brazier et Lichteim avaient déjà décrit des cas de surdité musicale (1). Knoblauch (2)
es, fondées sur les analogies présumables avec les types d'aphasies décrits par Lichteim dont il suivait les critériums et do
phie musicale (il ne peut ' ^ pas écrire de musique). Ces auteurs décrivent les divers types d'amusie comme formes spéciales
o- giques de « surdité tonale », semblables aux formes congénitales décrites avec le même nom par Dauriac (2). Mirallié (3
pa- gnerait généralement la cécité verbale ; Franckl-Hochwart (3) a décrit cinq cas d'aphasies sensorielles, toutes accomp
t pathologique du langage parlé et du langage musi- cal. On a aussi décrit des cas où les malades peuvent articuler, en les
ale. L'agraphie musicale pure est rare ; nous ignorons qu'on en ait décrit aucun cas. On sait que l'agraphie verbale pur
réquente dans la forme complexe. Le cas de Charcot est un des mieux décrits et ob- servés. ' ' : ' , I ? Amusies pures et
us croyons utile de signaler que ces deux cas d'amusie totale pure, décrits par Brazier, pourraient être interprétés comme ét
iens). Cette dissociation motrice du langage musical n'a jamais été décrite . Les inductions que ce cas autorise sont de deu
e étudie les équivalents musicaux des attaques épileptiques (3). Il décrit deux cas d'attaque de chant. Dans le premier le
alent musical de l'attaque convulsive. Des faits semblables ont été décrits par deux clini- ciens distingués, Christiani et
tuitaire qui constituent la modification anatomique le plus souvent décrite dans les cas d'acromégalie ; nous devons la des
t les mains de notre malade. De même aux extrémités inférieures, on décrit un pied élargi et épaissi, sans augmentation no
e la face et de la boîte crânienne pour rechercher les trois signes décrits par Béclére (épaissis- sement très irrégulier d
ts de cet examen, je crois bon de les comparer avec ceux qui furent décrits dans mon premier tra- vail. ' Tête et main (e
t à fait semblable à celui que M. Ramon y Cajal et nous-mêmes avons décrit dans les nerfs périphériques ; c'est-à-dire que
er- 420 marinesco ET MINEA dans deux cas de gliome du cerveau. Il décrit , au voisinage de ces tumeurs l'apparition de fa
le cône de croissance de Cajal et avec le pied terminal de Hetd. Il décrit également des plexus de fibres nouvellement for
solées ou réunies en faisceaux et analogues à celles que nous avons décrites dans les processus de. dégénérescence des nerfs
. recherches SUR la régénérescence DE la moelle 423 pillent ou bien décrivent des espèces de tourbillons. Ces colonies existent
ieur, ces fibres, peu nombreuses, au lieu de traverser la cicatrice décrivent un tracé curviligne et se perdent dans les inters
centrale mieux colorée que le reste où aboutit le cylindraxe, lequel décrit une spirale ou bien un peloton avant d'arriver
es qui pénètrent dans la par- tie nécrosée située dans l'excavation décrite plus haut. Dans les interstices de ces vaisseau
ns cellulaires et des fibres de nouvelle forma- tion que nous avons décrits dans la cicatrice et particulièrement dans sa par
section,et les nombreux plexus nerveux fibrillaires que nous avons décrits autour des vaisseaux de nouvelle formation sont d
e vertébrale, un complexus symptomatique analogue à celui qui a été décrit par Minor sous le nom de syndrome de l'épicône,
i présentent les caractères généraux de celles que nous ve- nons de décrire dans les racines postérieures ; on distingue auss
tion, il est à supposer que le cordon pie-mérien que nous venons de décrire est de provenance radiculaire. Aussi bien dans
direc- tion variable, ils sont tantôt rectilignes, ondulés ou bien décrivent des courbes.Cer- tains d'entr'eux se bifurquent
(Fig. 12). A ce propos il est fort probable que les auteurs qui ont décrit des névromes dans la moelle n'ont eu surtout en
ophages. Les faisceaux nerveux de nouvelle formation que nous avons décrits au ni- veau de la compression existent égalemen
produit une néoformalion de libres nerveuses suivant les deux types décrits par Cajal et nous-mêmes dans les nerfs périphér
onservés comme volume, les caractères de la dégénérescence vitreuse décrits pour le muscle précédent. Muscle jambier antéri
rétiques analogues. C'est en se basant sur ce fait t que Hoffmann a décrit l'affection comme familiale. La loi de la série
oir parfois entre cette affection et celle qu'Oppenheim a récemment décrite sous le nom de myatonie et dont M. Comby a réce
taire. Sens musculaire normal. Etat de la motilité. La démarche été décrite plus haut. Le malade étant couché dans le décub
ux fermés, le malade n'arrive à exécuter le mouvement qu'en faisant décrire à son pied une série de mouve- ments transversa
résentent pour plupart l'aspect enchevêtré,en nattes que nous avons décrit précédemment ; les noyaux volumineux et irrégulie
492 DEJERINE ET ANDn¿-TllOMAS 1 Les petits cylindres que nous avons décrits sont isolés les uns des autres par un tissu con
le domaine du facial inférieur, les particulari- tés symptomatiques décrites dans le faciès myopathique par Landouzy et l'un
de l'observation I sont tout à fait semblables à celles qui ont été décrites à propos de l'autop- sie de sa soeur (obs. II)
elle. C'est qu'en effet la prolifération conjonctive que nous avons décrite est exceptionnelle dans les autres névrites et
ne famille de sept enfants, tous atteints de la même maladie, qu'il décrit comme une « orme spéciale de névrite interstitiel
brièvement possible, les principales lésions de la moelle épinière décrites au cours du mal de Pott, en dehors bien entendu d
elet. - Laissant de côté les lésions primitives que nous avons déjà décrites , nous n'envisagerons que les altérations qui, par
la partie moyenne de leur trajet met en évidence la courbe qu'elles décrivent dans le plan horizontal en plus de leur courbe
us la voyons évidemment dans ce cas, comme dans les autres cas déjà décrits , sous le nom de maladies de Dupuytren d'origine
es lésions des voies pyramidales, ne me semble pas avoir été jamais décrite . Demange qui a fait beaucoup d'études sur l'art
et qu'elles'font partie du faisceau optique central que nous avons décrit . Leur localisation dans la couche sagittale int
s corticaux de la vision. Voici, du reste, la topographie telle que décrite par l'auteur : « On constate deux plaques jaune
ius. Ces fibres mésen- céphaliques rappellent les fibres que l'on a décrites comme venant des cornes antérieures de la moell
ltat d'une intoxication alimentaire, et ses symptômes ont permis de décrire une pseudo-paralysie générale pellagreuse, dont
5 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
tement contractiles : Chez les Eponges cal- caires, v. Loewcnfckl a décrit , dans la paroi des pores, un rudiment de sys- t
en outre, au sein de cellules glandulaires, des cellules spéciales décrites par Hertwig : ce sont les cellules oazc.sczclo-e'
vrage sur l'Anatomie des centres nerveux, il est indispen- sable de décrire , avec détails, les différentes méthodes d'étude u
région sous-optique de Fore/ et de la calotte du pédoncule, et sera décrit avec cette partie du système nerveux central.
anser, Mayser, Bumm, v. Monakow, etc., et dont les résultats seront décrits plus loin en détail (voy. Histogenèse), est ext
nation, comme dans le procédé rapide ordi- naire que nous venons de décrire , les pièces sont lavées rapidement dans l'eau d
en dehors au pédoncule du flocculus; leur bord antérieur, que l'on décrit généralement comme un bord libre, se recourbe pou
s de Tarin, de telle sorte qu'il en résulte une fente artificielle, décrite par les auteurs sous le nom de fissure transver
u sillon choroïdien. Les plexus choroïdes des ventricules latéraux, décrivent une courbe autour de la partie supérieure et po
nro, le sillon ammonique s'unit au sillon arqué antérieur de /7; il décrit une courbe en forme d'S qui entoure le genou et l
de deuxième circonvolution limbique. Cette dernière circonvolution décrit , autour de l'extrémité antérieure du sillon de
, occipital et temporal. La région externe comme la région interne, décrivent autour du limbe de l'hémisphère, c'est-à-dire a
arallèle à la branche pos- térieure de la scissure de Sylvius. et décrit une courbe à concavité supérieure et antérieure
la membrane limitante interne, un petit bâtonnet unique qui a été décrit , à tort, comme constitué par des cils vibratile
la section transversale de la moelle, et affecte la forme d'un cône,, décrit par Cajal chez le poulet et les mammifères, et
les; elles ressemblent alors à un pinceau et correspondent à celles décrites par Roll, sous le nom de Pinselzellen (fig. 91).
vec la méthode de Golgi on ne retrouve pas en effet les anastomoses décrites par Ranvier, Renaut et Vignal. Les cellules n
d'un fin et abondant duvet qui donne à la cellule un aspect givré, décrit par Boll, Ranvier et Vignal (fig. 90 et 93). y.
ayonnement (fig. 90). Les prolongements primordiaux de ces cellules décrivent tous des courbes à peu près parallèles à la lig
ouche moléculaire, on trouve des cel- lules névrogliques spéciales, décrites par Cajal sous le nom de cellules em- panachées
s dites terminales des mollusques, des insectes et des crustacés, décrites par Leydig, Langerhans, '. Flemming, etc., repr
e, comme par exemple les fibres mous- sucs et les fibres grimpantes décrites par Cajal (fig. 10). Les fibres moussues que l'
ranches d'égal ou d'inégal volume. Dès 1875, Ranvier avait du reste décrit la division en T du cylindre-axe des cellules uni
lions rachidiens est entourée d'une capsule endothéliale. Ehrlich a décrit chez la grenouille, et Ramony Cajal, chez les mam
rties (Vignal). Segments courts intercalaires. - Renaut (de Lyon) a décrit chez le che- val et l'âne adultes, entre des se
érie du corps. A côté de ces trois systèmes de fibres de projection décrits par Meynert, il en existe un autre dont nous de
systèmes de fibres de projection qui sont les homologues de celles décrites par Meynert dans le cerveau. Mais les systèmes
unie d'un noyau, comparable aux cellules plates du tissu conjonctif décrites par Ranvier, et qui présentent comme ces dernière
on obtient facilement, sur les tubes des centres nerveux, le réseau décrit par Ewald et Kuline sur les Fia. 123. - l, B, C
ux des autres tissus que par l'existence d'une gaine périvasculaire décrite par Robin et par Yirchow, et constituée - par l
a moelle épinière. Il contient, au contraire, ainsi que Ranvier l'a décrit et figuré, une série de granulations, disposées
orrespond à la gaine de Schwann, est entourée d'une seconde capsule décrite par Ranvier, sous le nom de gaine secondaire. C
s provenant probablement du grand sympathique. Ces arbo- risations, décrites pour la première fois' par Ehrlich chez la grenou
nt que le tra- verser. L'existence de ces dernières fibres, vues et décrites par Freud en 1879 'sur les poissons cyclostônae
de toutefois en faveur de leur existence. v. Lenhossek et Cajal ont décrit , en outre, dans la moelle du poulet au quatrième
se granuleuse, comparable au premier abord à la substance ponctuée, décrite par Leydig dans les ganglions ner- veux des Inv
sez làches; ils donnent naissance à un réseau veineux spécial, bien décrit par Ranvier, et qui rappelle, dans sa disposition
, le dépôt de l'argent se fait sous forme de stries transver- sales décrites par Frommann en 1864, (lig. 128, C). Si au lieu
segment inter- annulaire A'incisures de la myéline. Ces incisures, décrites par Schmidt et étudiées plus tard par Lanlerman
rsale de la gaine de myéline est uniformément noire. Ranvier, qui a décrit ces différents aspects', en a en même temps don
de potasse et nitrate d'argent) à l'étude des nerfs périphériques, décrivent au niveau des incisures un système de filaments
r.) HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 213 tine, décrit par Ewald et Kühne (fig. 131), mais il s'en disti
intra- fasciculaire, on rencontre par place une formation spéciale décrite par Renaut et connue sous les noms de : système
conjonctif)' (Schultze), système tubulaire (Blocq et Mari- nesco). Décrits par Renaut chez les solipèdes, rencontrés par Rak
une cellule épithéliale spéciale, telle que les cellules terminales décrites par Langerhans, et communément désignées sous l
la cornée. Eimcr ('187'1), Mocsisowicz (1876), Ranvier (1880), les décrivirent ensuite dans le museau de certains animaux (tau
dans la peau de la plante des pieds et de la paume des mains On les décrivit bientôt dans certaines muqueuses, telles que le
e (fig. 143). f) Dans les ten- dons, Sachs et Tschi- riew ont décrit des ar- borisations termina- les libres, disp
ns les muscles striés se fait dans l'épaisseur de la olaaue motrice décrite par Rouget chez le lézard et bien étudiée par Kra
lymphatiques des reptiles écailleux et des batraciens. Retzius a décrit dans les muscles de l'oeil du lapin un mode de
rpuscules de Paciui. d'autres encore dans des corpuscules spéciaux, décrits par Pilliet sous le nom de corpuscules "elliO -
i gaines paciniennes. Ces deux derniers modes de terminaison seront décrits avec les corpuscules de Pacini. Nous ne nous oc
e désigner avec Cattaneo, Pisani, Ranvier, etc., les petits organes décrits par Golgi, sous le nom de corpuscules de Golgi.
teint, en général,- à son extrémité profonde et un peu sur le coté, décrit à sa surface un trajet plus ou moins sinueux, p
ble à celle des corpuscules de Pacini. Cette dernière variété a été décrite par Pilliet en 1890, sous le nom de corpuscule
Les circonvolutions se plissent en outre suivant leur longueur, et décrivent autour des incisures soit continues, soit isolées
comini (1884). La scissure de Rolando n'est pas rectiligne ; elle décrit , , ainsi que Broca l'a fait remar- quer, des
ns dans les autres et d'inégale longueur. La première frontale (F,) décrit la plus grande courbe, occupe le bord, supérieu
, puis se renflent à mesure qu'elles s'élèvent sur la face externe, décrivent de nombreuses flexuosités et s'insèrent sur la ci
ontournent le sillon fronto-marginal [ïm), puis se juxtaposent pour décrire un trajet curviligne parallèle à celui de la pr
circonvolution de Broca, occupe la situation la plus inférieure et décrit des flexuosités nombreuses et très accentuées,
fléchit sur la convexité de l'hémisphère et s'insère, après avoir décrit de nom- breuses flexuosités qui affectent la
RÉBRALE. 259 Elle se réfléchit sur la face convexe de l'hémisphère, décrit une courbe à concavité antérieure, qui limite e
nt une ou plusieurs fossettes, lobule qui peut même se dédoubler et décrire un méandre allongé autour d'une incisure vertical
en bas, parallèlement à la circonvolution frontale ascendante (Fa), décrit une courbe à conca- vité supérieure, qui embras
PHOLOGIE CÉRÉBRALE. 20.'i dont il longe le bord postérieur; puis il décrit une grande courbure il . concavité inférieure,
266 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. donne souvent naissance, avant de décrire sa courbure, à un rameau ascen- dant, qui conti
ale ascendante, par un pied en général étroit, quelquefois profond, décrit des llexuosités plus ou moins nombreuses, et je
la première circonvolution occipitale se dirige en bas et en arrière, décrit plusieurs sinuosités en longeant la scissure in
a scissure calcarine dans le prolongement occipital. Cette saillie, décrite sous le nom d'éminence collatérale de Me- ckel(
llatérale, le sillon du lobule lingual se porte en bas et en avant, décrit des sinuosités parallèles à celles de la scissure
s auteurs réunissent a la circonvolution de l'hippocampe, et qu'ils décrivent sous le nom de deuxième circonvolution occipito
and lobe limbique de Broca. Rhinencephalon de Turner. z - - Broca a décrit en 1878, sous le nom de grand lobe limbique, la g
onnue sous le nom de corps godronné (Cg), et que l'on trouve à tort décrite dans tous les traités d'anatomie, soit comme pa
tite bande- lette lisse, d'aspect gélatineux et de couleur cendrée, décrite par Giacomini en 1883, et désignée généralement
ont été mieux connues et mieux étu- diées, et que l'on a cherché il décrire ou il reporter sur une figure la topographie, e
MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 317 . missure de Meynert, un petit faisceau décrit par Gudden sous le nom de fais- ceau du tuber c
du cerveau, c'est le tubercule mamillaire latéral (Tml, fig. 193), décrit chez les animaux par Gudden. Ce tubercule, que no
occupe, chez les rongeurs, par un petit ganglion impair et médian, décrit par Gudden et par Forel, la gang lion inter-pédon
d'entrelacement transversal du gros faisceau fibreux, il a été bien décrit en 1870 par Gudden. Très net chez les différent
ubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) et une surface triangulaire décrite par Reil, le faisceau triangulaire de l'isthme,
, strié. Les trois gros noyaux de la base du cerveau, sont encore décrits sous . le nom de corps opto-strie's ou de noyau
us superficielles du genou ou du bourrelet. Les fibres du bourrelet décrivent de chaque côté de la scissure interhémisphériqu
troisième ventricule et des couches optiques, autour desquelles il décrit une courbe inscrite dans celle du corps calleux.
e antérieur de lacouche optique et le tuber- cule mamillaire, était décrite sous le nom de racine descendante du trigone [r
ouverte en bas et en avant, et tout à fait analogue à la courbe que décrivent , autour de ce même axe, toutes les parties cons
n avant (m'en arrière, appartient aux lobes frontal et pariétal; il décrit une légère courbe à concavité externe, s'étend
llon opto-strié (si), assez large en avant, plus étroit en arrière, décrit autour de la couche optique une courbe à concavit
rds : l'un interne ou concave, l'autre externe ou convexe; celui-ci décrit un trajet sensiblement parallèle à la scissure de
xterne est formée par le tapetum (Tap), c'est-à-dire par des fibres décrites pendant longtemps comme appartenant au corps ca
bourrelet du corps calleux (Cc[Spl]), au noyau amygdalien (NA), et décrit une courbe à concavité antérieure et interne. S
la déprime longitudinalement, se porte horizontalement en arrière, décrit une courbe à concavité interne, se rétrécit peu à
face ventriculaire des piliers antérieurs du trigone. Obersteiner décrit dans le troisième ventricule deux parties : l'une
aient aux hanches (anchoe), les corps opto striés n'ont été nettement décrits qu'au xvn" siècle par Willis, Riolan, Vieussens
es, a donné à toutes ces éminences le nom de corpom sl1'iata. Il en a décrit six : 1 Les corporv striata superna anteriora o
5o Les corpora striata 'Íl1femlI et interiora mal délimités et mal décrits , placés au- dessous de la commissure antérieure
cules cérébraux, et d'après Burdach à la capsule interne. Vieussens décrivit enfin, sous le nom de double centre demi-circulai
s et la couche optique. Cette bandelette demi-circulaire, très bien décrite et dessinée par Vicq d'Azyr qui la compare à un
de la voûte du prolongement sphénoïdal du ventri- cule latéral. Il décrit , par conséquent, comme toutes les parties consti-
former le segment postérieur de la capsule interne (Cip). Elle a été décrite par Gratiolet sous le nom d'anse pédonculaire ;
face inférieure de la couche optique par une couche de fibres bien décrites par Forel et qui se confond en arrière avec la
ue à son bord inféro-interne. Cette lame n'est pas rectiligne, mais décrit deux courbes en sens inverse, de telle sorte qu'e
n de l'habénula (Gh) (lig. 226, 253, z187, 307, 317, 318). Luys a décrit en outre dans la couche optique un quatrième noya
iire/e, les parties constituantes du pied du pédoncule cérébral. 11 décrit sur les coupes horizontales une courbe à concavit
circonvolutions, ce sont les circonvolutions sous-calleuses (Csc), décrites par Zuckerkandl, et qui prennent chez un certai
ce fait que la face inférieure du cunéus n'est pas rectiligne, mais décrit une courbe à concavité inférieure dans laquelle
i revêt déjà tous les caractères du pied du pédon- cule (P), et qui décrit une courbe il concavité interne et postérieure, d
e, n'appartiennent pas au système visuel, mais bien à la commissure décrite par Guddeu, commissure qui ac- compagne la band
ral. Cette mince lamelle située en avant des plexus choroïdes a été décrite par Aeby sous le nom de voile ter- minal (vélum
resse que l'extrémité antérieure de la corne sphénoïdale (Vsph) qui décrit un arc autour du sillon de l'hippocampe (h), arc
noncé la corne frontale (Vf), dont la section vertico-transversale décrit une sorte de croissant autour de la tète du noy
e supérieure , cette lame s'effile dans sa partie infé- rieure, décrit uuc courbe à concavité externe, autour du f
s qui appartiennent toutes au manteau cérébral, et qui comme telles décrivent un arc autour de l'insula et des ganglions de la
d'association des circonvolutions voisines. 11 est impossible de décrire des faisceaux distincts, dans l'ensemble des fi
. Sauf pour les fibres en U du fond des sillons on ne peut en effet décrire , comme faisceau distinct, un faisceau d'associati
dans le noyau antérieur de la couche optique (Na). Ce faisceau fut décrit à tort sous le nom de pilier ascendant du trigo
oupe n° 75 (fig. 248), la couche de substance grise inter- médiaire décrit quelques festons qui correspondent aux digilation
ACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 463 par une zone de fibres nerveuses bien décrite par Forel et que nous désignerons sous le nom d
ent en s'éntre-croisant un champ irrégulièrement triangulaire, bien décrit par Wel'l11cke,. le champ ou la zone de l1'cl'lli
godronnée (Cg) et l'écorce grise de la cOl'ne d'A m1/WII, et qui est décrite sous le nom d'alvéu.s (Alv, fig. 260). La coupe
(fig. 258), enfin, inté- resse la partie la plus saillante de l'arc décrit par la queue du noyau caudé (\1G'). Substance b
part. Dans sa partie inférieure, sa limite est extrêmement netle. Il décrit deux angles qui correspondent, l'externe il la
croscopiques, coiffe le sommet des couches sagittales. Ce faisceau, décrit par Sachs sous le nom de faisceau transvase du cu
issure calcarine (K). Sa face inférieure n'est pas rectiligne, mais décrit une courbe, à concavité inférieure extrêmement pr
uette (Uv). Cette coupe donne une idée assez fidèle de ce qui a été décrit sous le nom d'arbre de vie du cervelet. Comme e
L : 1, ,), dont le troisième segment (NL3) est encore très petit et décrit avec le noyau une courbe à concavité postérieure
n° 17, iig. 272), l'anneau presque complet, que le manteau cérébral décrit autour de la couche optique (Th) et du pédoncul
(NL,) par des languettes de substance grise. Dans la concavité que décrivent ces deux parties du corps strié, se logent le s
uel le corps calleux apparaît distinct correspond à la courbe qu'il décrit autour de l'angle externe du ven- tricule. Au-d
coupes sagittales fait comprendre éga- lement, comment Meynert a pu décrire au noyau lenticulaire un pôle central et un pôl
tapissée par l'altétts (Alv); sa paroi supé- rieure est coudée, et décrit un angle obtus ouvert en bas et en arrière, dont
ur est oblique en haut et en arrière, et dont la partie postérieure décrit une courbe assez accentuée. Ces fibres appar- t
l'insula ou son seuil. 11 se présente alors, grâce à la courbe qu'il décrit (Voy. coupe n° 27, fig. 274), sous la forme d'u
face beaucoup moins considérable que sur les coupes précédentes, et décrivent autour de l'insula une courbe extrêmement prono
la branche postérieure (S [p]) de la scissure de Sylvius, l'écorce décrit une courbe. il convexité inférieure, qui recouvre
se porte en dedans et aboutit au champ de Forel (F). Ces fibres bien décrites par Forel constituent le faisceau (H2) de cet a
les fibres radiées de la couche optique. Les fibres du stratum zonale décrivent une grande courbe à concavité supérieure, puis
de la façon la plus nette, le crochet que les fibres calleuses (Ce) décrivent autour de l'angle externe du ventricule latéral (
pend/zrrairv> (Sâe), ainsi que la courbe il conveitétipjyuty , 1 décrite par les fibres de la couronne i·ayorzrrarrte (GR)
sverse du lobule lingual, de Vialet (IIbV). Entrevu par Sachs, bien décrit par Vialet, ce faisceau est formé de fibres par
ec les fibres de pro- section. Comme la voûte du ventricule latéral décrit une courbe, on comprend pourquoi sur cette coup
rne (Ce). L'aspect de cet entre-croisement, ainsi que la courbe que décrivent les fibres de projection pour pénétrer dans l'o
e, et forment avec ces dernières une zone de fibres très com- pacte décrite par Wernicke, qui augmente d'épaisseur à mesure q
inué de volume, par contre, le noyau externe (Ne) s'est allongé, et décrit une courbe à concavité interne autour du noyau in
sa plus grande étendue, et présente l'aspect particulier qu'on lui décrit sur la « coupe, dite de Flechsig ». Le genou (C
(Ne) est limité en' dehors comme sur les coupes que nous venons de décrire , par la lame médullaire externe du thalamus (Lme)
rieur (BrQa), qui se porte d'abord transversalement en dehors, puis décrit une courbe à concavité anté- rieure et se dirig
fibres dont la direction est assez analogue il celui que nous avons décrit dans le genou de la capsule (CiCes fibres horiz
us- thalamique. Le segment postérieur de la capsule interne (Cip) décrit une légère courbe à concavité interne el postér
bres horizontales appartenant aux trois variétés que nous venons de décrire , fibres radiaires antérieures, moyennes et postér
dehors, ses fibres cessant alors d'être nettement parallèles, pour décrire un léger mouvement spiroïde, de telle sorte que
(Voy. Ecorce du )'/«HeHcj/<a/0)), p. 703). La corne d'Ammon (CA) décrit un crochet autour du sillon de l'hippocampe (h)
rieures, et n'est pas indiqué par ses lettres sur la coupe. Il sera décrit à propos des coupes plus inférieures dit céré-
en s'entre-croisant en avant des noyaux rouges (NR) une commissure décrite par Forel (e.h) et qui occupe la voûte (le l'espa
i se perd dans la substance grise, du tuber cinereum (Te); il a été décrit par Gudden sous le nom de faisceau du tuber ciner
ieur de la capsule interne (Cip). Le pied du pédoncule cérébral (P) décrit une courbe à concavité posté- rieure et entoure
très probablement aux radiations de la calotte (Haubenstralilungen) décrites par Edinger ; elles sont destinées au noyau rou
interne du putamen, et qui appartiennent au faisceau de Vth'cA (FT) décrit sur la coupe précédente (n° 9 x, fig. 324). En
issure de Meynert (CM). Ces dernières constituent ce que Wernicke a décrit sous le nom de fibres pédonculaires de la bande
couche moyenne. La couche des libres profondes se porte en avant, et décrit , une courbe à concavité interne autour de la su
ux noyaux rouges (NR), un entre-croisement de fibres transversales, décrit par Forel sous le nom A' entre-croisement ventral
t qui entourent de grosses cellules, dont l'aspect vésiculeux a été décrit par Forel. Ce petit faisceau représente la raci
t étudiant l'écorce au point de vue de l'agencement des cellules, y décrivit cinq couches régulièrement stratifiées dans lesqu
- sique des cinq couches de Meynert. Stieda, llenle, Boll, Schwalbe décrivent quatre couches, Krause sept, et Golgi, ne trouv
Baillarger (1840). La deuxième colonne représente les trois couches décrites par Iütlliker en 18 : p ? . La troisième colonn
de fibres tan- gentielles, découverte par K6111l.er en 1852 et bien décrite depuis par Exner, Tuczek, Ranvier, Emminghaus,
s ce u es triangulaires répondent au type cellulaire que nous avons décrit plus haut (voy. p. 165) sous le nom de cellules
de Golgi, cellules à cylindre-axe court, et des cellules spéciales décrites par Martinotti, les cellules à cylindre-axe asc
ppent le corps des cellules voisines (fig. 340). Quant aux cellules décrites par Martinotti et dont le cylindre-axe pré- sen
les cylindres-axes ascendants des cellules pro- fondes de l'écorce décrites par Martinotti (voy. p. 668) ; y, les collatérale
l'sche Associationsschicht, Kaes], fig. 342 et fig. 347, fAc). Bien décrites par Kaes, ces fibres occupent la partie pro- fo
t dans son trajet intracortical de nombreuses collatérales. Mondino décrit en outre dans la couche des petites et des gran
robablement ici de la variété de cellules il cylindre-axe ascendant décrite par Martinotti. La couche des cellules polymorp
ormes (fig. 31G, s) analogues aux cellules à cylindre-axe ascendant décrites par Marlinotti, cellules dont le cylindre-axe a
ns les nerfs de Lancisi et les tænia tecta des cellules ner- veuses décrites par Golgi, Giacomini, Blumenau, Cajal. Chez les p
CENTRES NERVEUX. les autres régions de l'écorce, les quatre couches décrites par Cajal et [qui sont, en allant de la surface
Les différentes couches constituantes de la corne d'Ammon ont été décrites il y a déjà longtemps par Kupffer, Meynert, Kraus
moléculaire, une zone pauvre en cellule, le stratum radiatum. On a décrit à la corne d'Ammon sept et même huit couches dist
typique. , - ' Les cellules pyramidales de la' corne d'\nimdn; bien décrites par Golgi, dont les recherches ont été confirmé
-axe se comporte, soit comme le cylindre-axe ascendant des cellules décrites par Martinotti (fig. 354, a; fig. 360, A), soit
on. i Les cellules à cylindre-axe Tzori.zozztal (tig. 3â, a, b, d), décrites par Sala et par Schâffer, représentent des cell
ant se comporte différemment. Tantôt, analogue à celui des cellules décrites par Martinotli dans l'écorce cérébrale typique,
xe arqué de Cajal. (fig. 3G0, A), tantôt et cette disposition, bien décrite par Cajal, est la plus fréquente, le cylindre-a
0, B,C,E). Les collatérales de ces cellules à cylindre-axe arqué, décrites par Cajal, FiG. 360. - Coupe de la corne d'Ammo
ens (fig. 354, a, et fig. 360, A). A ces deux ordres de fibres bien décrites par Schtiffer il faut ajouter d'après Cajal : .
um (voy. plus loin, p. 726). Les cellules du type II de Golgi, bien décrites par Sala, sont superficielles ou profondes. Les s
cellules fIlS/- formes. Les cellules araignées ou étoilées, bien décrites par Sala, sont pourvues d'un riche et abondant
x confins de la couche moléculaire. Les cellules fusiformes, bien décrites par Cajal, occupent le stratum gra- nulosumetla
e bulbe ol- factif. En allant de la surface vers la cavité, Cajal décrit dans le bulbe olfactif cinq cou- ches concentri
ées déjà par Walter, par Lockharl- Clarke, par Broca, etc., et bien décrites par Golgi. Ces cellules émettent une dendrite é
es donnent il cette écorce une physionomie caractéristique. Calleja décrit au tubercule olfactif trois couches, ce sont :
es à cylindre- axe ascendant de la couche des cellules polymorphes, décrites par Martinotti et par Schalfer. Les fibres de g
des cellules fusiformes ri cylindre-axe ascendant, analogues à celles décrites par Martinotti et Cajal dans l'écorce typique e
qui a vu et figuré dans le cervelet ces Ë libres terminales, ne les décrit pas à part dans l'écorce cérébrale. L'étude * ..
, qui les a spéciale- ment étudiées chez les petits mammifères, les décrit comme étant les plus grosses de celles qui sill
éral de tous les sillons à direction sagittale. Lorsque les sillons décrivent des courbes, comme par exemple la scissure call
ertico-lransversales macroscopiques, Ilg. 247 à 250), v ce faisceau décrit , comme le cingulum et le faisceau uncinatus, une
ite postérieure de la scissure de Sylvius (S[p]), le faisceau arqué décrit une courbe il concavité antérieure, qui embrass
isceau occipito-frontal (OF), correspond au fai- sceau, tour à tour décrit par Meynert sous le nom de couronne rayonnante
ouvoir identifier ce faisceau avec le faisceau occi- pito-frontal décrit par Forel et Onufrowicz, dans les cas d'agénési
association que nous venons d'étudier, le faisceau occipito-frontal décrit une courbe ouverte on avant et en bas. Recouvert
udé, en dedans de la couronne rayonnante, au-dessous du crochet que décrivent les fibres calleuses autour de l'angle externe du
faisceau nettement défi- mité, et c'est à tort que quelques auteurs décrivent sous ce nom l'ensemble tics fibres commissurale
ns un très grand nombre de fibres. La crête du lobule lingual a été décrite par Burdach sous le nom de fais- ceau basai int
milent ce faisceau aux fibres de projection du lobe occipital et le décrivent avec ces dernières sous les noms de radiations
uve intéressé, dans la variété de cécité verbale que l'un de nous a décrite sous le nom de cécité verbale pure. Mais, de même
ermes, la couche des fibres en U de la scissure calcarine. Brissaud décrit le stratum calcarinum sous le nom de lame festonn
trigone cérébral renferme un système fort complexe de fibres : on y décrit , outre le fornix proprement dit, un fornix transv
irconvolution frontale, et que les fibres de la couronne rayonnante décrivent une courbe en sens inverse autour des fibres ca
capsule externe; elles se portent obliquement en haut et en dedans, décrivent une courbe à concavité inféro-interne et traver
ing), en dehors avec les fibres de la couronne rayonnante (Ce), qui décrivent autour du ventricule une courbe en sens inverse
ment en avant vers l'extrémité antérieure du lobe frontal; elles ne décrivent pas de chaque côté de la scissure inter-hémisphér
orte de pince (forceps anterior ou minor d'Arnold), telle que l'ont décrite les anciens auteurs. Ces apparences, que l'on p
poral du côté opposé. Nous avons vu en outre (p. 760), que Wernicke décrit un faisceau d'un centimètre et demi d'épaisseur
oïdal (fig. 381, p. 760). Schwalbe émet l'hypothèse que le faisceau décrit par Wernicke serait un faisceau commissural relia
l'insula (lig. 401) et de la face externe du noyau amygdalien. Elle décrit une courbe analogue à celle de la bandelette opti
raLiolet (substance innommée de Reichert) (Sti). Mais la courbe que décrit la commissure antérieure n'est pas parallèle à
re olfactive. La partie olfactive de la commissure antérieure, bien décrite par Meynert, est très petite chez l'homme, mais
oisée par les fibres du faisceau arqué ou lon- gitudinal supérieur, décrit une courbe régulière, qui correspond au bord su
6 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ons de l'appareil nerveux ? Il est d'ailleurs d'usage constant t de décrire dans les « Traités de maladies nerveuses » des af
elle lésion, créer des syndromes vagues au lieu d'espèces morbides, décrire autant de maladies qu'il y a de malades. Dans
de la sensibilité peuvent rapprocher de la névrite interstitielle, décrite en 1893 par Dejerineet Sottas, ce n'est pas le
ladie de Friedreich une combinaison de la sclérose en plaques, bien décrite déjà par Charcot et Vulpian et du tabes dorsali
ymptomalo- logie de la maladie de Friedreich, Butimeyer constata et décrivit un en-1 semble très complexe d'altérations médu
x croisés. Friedreich ne l'avai pas signalée ; mais Ru- timeyer l'a décrite ,et depuis lui on la constata dans un grand nombre
able, le cordon antéro-latéral et ses divers faisceaux. En 1896, je décrivais déjà des formes frustes et des formes hybrides de
ns son pronostic. Si, en effet, la myélite transverse, telle que la décrivent les auteurs,est une des maladies de la moelle «
forme fruste, d'une de ces formes, qu'après Char- cot, M. Jaccoud a décrite et étudiée, il y a quelque vingt ans (2). Ce ma-
a plus ses balanciers. M. Babinski, sous le nom de diadococynésie a décrit chez les cérébelleux un trouble particulier du
'aphasie qui l'ac- compagnent. Poursuivant cette étude, M. Pitres décrit à l'aphasie amnésique plusieurs variétés. Dan
nt. Mais en tout cas Gerdy a le mérite d'avoir aperçu le premier et décrit le phénomène qui fait l'objet de cette note, savo
2j t. 51 série. 52 LAMY P. Richer, à ce sujet, dit, après avoir décrit les contractions musculai- res des membres infé
orso-lombaire devient suhitement l'inverse de celui que je viens de décrire (fig. 5 et 6). Ainsi, durant tout le temps de l'o
n passant que Gerdy se contredit d'une façon flagrante, puis- qu'il décrit ailleurs un « effort d'élévation » du bassin, du
leur valeur réciproque et l'ordre dans lequel il con- vient de les décrire . Le thorax est tourmenté, le sternum, convexe e
ax ne présente pas toujours la forme typique que nous venons de lui décrire . Parfois les articulations chondro-costales font
nous semble toutà fait com- parable à celle du thorax en lorgnette décrit par DI.Dieulafoy et de ce tassement général du
s cartilages costaux, formant enfin le bord inférieur de la cuvette décrite sur la face antérieure du thorax (PI. IX, B et
contractures musculaires, d'hyperos- toses. Nous avons jusqu'ici décrit le type le plus complet et le plus parfait du «
Certains malades présentent toutes les déformations que nous avons décrites , mais moins accentuées ; elles correspondent sa
é comme un des symptômes les plus . saillants de l'ensemble morbide décrit l'écartement des condyles internes du 72 ") MOC
qui tient essentiellement à l'anatomie pathologique du syn- drome. décrit . D'ailleurs il nous a semblé observer sur le viva
r les rapports de la maladie de Paget et du syndrome que nous avons décrit , et dire pourquoi parmi les vieillards présen-
die de Paget, insistant sur ceux qui rapprochent d'elle le syndrome décrit , expliquant la confusion possi- ble et justifia
et justifiant par la même le titre de cette étude. Dans la maladie décrite par sir James Paget, ainsi qu'il résulte d'ailleu
l'ostéopathie hypertrophiante pneumique du syndrôme que nous avons décrit . Nous venons de montrer comment l'ensemble des
horax se déforme. Le type de cette cyphose est celle que nous avons décrite dans le syndrôme « pseudo-Paget », cyphose appa
au malade un aspect qui se rapproche un peu de celui que nous avons décrit ; mais le rachitisme est une maladie d'évolution
ostéomalacie sénile est tout à lait diflérente de ce que nous avons décrit chez nos malades (1). Nous avons dit plus haut
Paget, mais de déformations fort analogues à celles que nous avons décrites chez nos malades. Avant de terminer, signalons
es et notamment des cartilages costaux (1). En résumé, nous avons décrit non une maladie nouvelle, mais un syndrome comp
seudo- Paget ? Non, et voici pourquoi : c'est que ce que nous avons décrit n'a de va- leur que comme syndrôme. Le nom choi
, les parents don- neraient tous la chasse aux dits médecins et les décriraient comme vieille monnaie. » Mais si Paré combat
que de cette affection. A mesure qu'au type d'ataxie hérédo-spinale, décrit par Friedreich,sont venus s'ajouter des cas nou
tre cette manifestation, distincte au premier abord et le type déjà décrit , il n'existe pas de formes de transition. Ces d
r et Nonne, la consécration définitive était apportée à l'affection décrite par P. Marie. Il n'en a rien été; ces examens ana
présentent quelques différences avec celles qu'il est classique de décrire comme substratum de la maladie de Friedreich ;
sions histologiques, il vient se placer à côté des cas intéressants décrits par Menzel, par Meyer, parSwi- talski et par Th
é d'attribuer à 1'liéi-édo-ataxie. cérébelleuse telle qu'elle a été décrite un substratum anatomique constant, différentiel
nflammatoires se traduisant par la sclérose, Dejerine et Thomas ont décrit sous le nom d'atrophie olivorponto-cérébelleuse,
érébel- leux aux manifestations héréditaires. Il y aurait alors à décrire : Un type spinal où l'abolition des réflexes, l
ou complètes du syndrome cérébelleux héréditaire, il y aura lieu de décrire un jour un syndrome cérébello-pyramidal, cérébe
nous a donné l'idée première de ce travail. Nous nous proposons d'y décrire ce que nous avons constaté à l'examen de 5 cerv
sposons que d'un seul représentant du 1er groupe ; l'un de nous l'a décrit à un autre point de vue (Revue méd. de la Suisse
aient dû subir une diminution de fibres par suite de la destruction décrite plus haut. Le faisceau longitudinal inférieur (
de sclérose sénile, de sorte qu'évidemment tout ce que nous allons décrire n'est pas exclusivement attri- buable à la prés
dans des préparations normales. Les altérations que nous venons de décrire se rencontrent partout, mais elles sont peut-êt
est criblée de petites vacuoles analogues à celles que nous avons' décrites dans notre premier cas, mais plus petites, non vi
vons pas d'é- paississement des parois vasculaires. Les altérations décrites sont plus pro- noncées dans les circonvolutions
alique, coupé en série, nous avons constaté partout les altérations décrites précédem- ment. Dans la substance grise des vac
une quinzaine, reste couché, ne mange presque pas. Les phénomènes décrits plus haut se sont notablement aggravés. Somnolenc
ar les faits relatés par MM. Raymond et Cestan (l).Dans les trois cas décrits par ces auteurs,il s'agissait d'un syndrome par
'observer un syndrome qui par bien des pointes se superpose à celui décrit par Raymond et Cestan, tout en restant bien ind
i placée la tumeur donna lieu à ce syndrome spécial que nous allons décrire et qui soulève quelques-uns des problèmes les plu
74 , GRUNER ET BERTOLOTTI , toutefois, rapprocher ces faits de ceux décrits par Sorgo (1) (après Nothna- gel, Luce, Clerk,
du sque- lette. Crâne.-Le crâne a des lésions classiques souvent décrites (fig.6).Elles diffè- rent à la voûte et à la ba
t nécessaire du syndrome osseux que Marie a le premier complètement décrit les observations précédentes ne concernent pas
11 ; nous les passerons rapidement en revue. Liebreicli le premier décrit et figure dans l'édition de 1863 de son Atlas u
ui accompagne la pigmentation congénitale de la sclé- rotique, état décrit depuis sous les noms de mélanose, mélanochromie,
Mais, dans ces dernières années, une nouvelle forme d'oedème a été décrite chez les sujets qui, comme ceux affectés par la m
aladie de Quinke, se présente sous sa forme aiguë, et dans la forme décrite par Debove se présente avec une allure chro- ni
tiennent à une foule de professions diver- ses. C'est ainsi qu'on a décrit la crampe des écrivains, la crampe des violo- n
pianistes, la crampe des tailleurs, des cordonniers etc. Basedow a décrit en 1851 la crampe professionnelle chez les servan
vantes des fermes, occupées à la traite des vaches. Locher-Bolber a décrit en 1856 l'existence de la crampe chez les coutu
t en 1856 l'existence de la crampe chez les couturières ; Schultz a décrit la crampe des danseuses ; Onimus et Domanski, c
la crampe professionnelle dépendrait d'un trouble céré- bral. Il a décrit deux formes de crampes des écrivains : la forme s
existe un troisième type clinique, moins connu que les précédents, décrit sous le nom de scoliose alternante. C'est un ca
sparition des douleurs. i Il n'est pas douteux que les déformations décrites à propos de la scia- tique et du lumbago, en de
ttes externes, leur régularité, des lésions des cordons postérieurs décrites par Joffroy et Rabaud. Si l'aspect des cordons
actuels la nient, à cause de sa rareté sans doute. Soukha- noff l'a décrite . Nous avons vu des scléroses latérales répondan
spécificité. Ce ne sont que des stades d'une même évolution qu'on a décrits à part, à cause de leur longueur et indépendamm
iguilles d'une montre, de gauche à droite. La cir- conférence qu'il décrit est d'un rayon très court et son corps est arqué,
e a provoqué chez notre animal un état démentiel comparable à celui décrit par Goltz (1) chez son chien décéré- hré. Au po
s minutes à quelques heures. Mais des nombreuses exceptions ont été décrites , lesquelles variations ap- partiennent toutefoi
mportante pour les conclusions de pathogénie : Nombre d'auteurs ont décrit dans l'oedème de Quinke des taches rouges de va
s mêmes résultats dans l'examen des urines.Gunn (34), Osier (4) ont décrit pour leur compte des cas d'oedèmes de Quinke à
uvons affirmer qu'il n'y a pas une forme morbide dans laquelle on a décrit des poussées d'urticaire et dans laquelle l'oedèm
ssées d'urticaire et dans laquelle l'oedème de Quinke n'ait pas été décrit ; et dans le plus grand nombre d'observa- tions
d'eedémes, et que dans le paludisme si Verneuil et Merklen (51) ont décrit l'urticaire symptoma- tique, Negel t1),1(ielal
l'urticaire symptoma- tique, Negel t1),1(ielal (16), Fuchs (17) ont décrit l'oedème de Quinke. Nous verrons bientôt les ra
mena la découverte des substances lymphagogues. Nous ne voulons pas décrire toutes ces expériences qui sont classiques, fai
s manifestations : les oedèmes dans les hémiplégies, même récentes, décrits par Oypenlaeiala (134.), par Loepel' et Croupon (
ille de quatre malades qui sont atteints de l'affec- tion qui a été décrite et isolée pour la première fois par MM. Pierre Ma
s ; quelques-uns même paraissent découvrir l'affec- tion et'vouloir décrire à nouveau l'ensemble du syndrome. Signalons les
différents cas. De même Rappeler croit à cette absence. Scheuthauer décrit par contre dans son autopsie un muscle sous-cla
faut en effet avoir l'attention attirée sur les caractères si nets décrits par MM. Pierre Marie et Sainton pour s'apercevo
et chez la plupart des malades à côté des stigmates principaux déjà décrits , un cortège plus ou moins atténué de stigmates
les disjonctions épi- physaires et l'état marastique chez l'enfant décrit par Hamilton, l'atrophie (1) Sur un cas d'achon
u exagérer ses lésions locales comme au niveau du crâne de l'enfant décrit par Gi- bert, de même aussi elle peut régresser
nets que nous retrouvons au complet dans la famille que nous avons décrite . 2° Le signe qui, à côté de l'aplasie clavicula
établi de différences et, sous le nom d'anencéphalie, ont aussi bien décrit des individus se rapportant aux anencéphales pr
e humaine. Les animaux, cependant, n'en sont pas exempts. Dareste a décrit un chat dérencéphale (1), Winslow (` ? ) deux pig
observé une fois (Pl. XLIV-A). L'habitus extérieur que je viens de décrire est aussi bien celui des individus se rapportan
qu'une exception, la seule à ma connaissance parmi les nombreux cas décrits , chez l'un des foetus communiqués par M. le pro
ment en série comme représen- tant divers degrés d'anencéphalie, en décrit et représente deux au moins sur lesquels il ne
Nous trouvons un exemple de la première disposition chez l'individu décrit en 1818 par Lallemand et dont Etienne Geotfroy-
alle. Quant à l'occipital, il affecte la disposition que nous avons décrite chez les . individus où le trou occipital n'est
uerons tout d'abord que les divers os membraneux que nous venons de décrire ont totalement perdu leur forme habituelle. Il es
int-Hilaire (1) en a figuré deux. Plus récemment G. Gérard (2) en a décrit un autre. Il est possible et même probable que ce
ct diffère très sensible- ment de celui que nous avons précédemment décrit , sont unis entre eux et prolongent en arrière l
ttention sur le squelette des Pseudencéphaliens l'ont rele-. vée et décrite avec plus ou moins de précision. Cette courbure n
rsement peut aller beaucoup plus loin; c'est ainsi que chez le veau décrit par Joly et Lavocat (1), la colonne cervicale d
xterne des pseudencéphaliens, j'ai été très natu- rellement conduit décrire le contenu du crâne et les divers aspects qu'il p
chercher les nerfs crâniens aboutissant à cette masse ; ils les ont décrit avec un soin minutieux. Nous savons ainsi que l
ide et Vurpas d'une part, Zingerle d'autre part, ont très nettement décrit et représenté ces foyers, ainsi que leur extensio
nt certains auteurs ont méconnu le sens des dispositions qu'ils ont décrites et représentées. C'est ainsi que Murait (1) met
peu plus loin. Ce phénomène de recrudescence segmentaire a été déjà décrit par d'autres auteurs, mais sous une forme tout
erme plus, sauf excep- tion, les différentes couches habituellement décrites : une assise génératrice et (1) Op. cit. PATH
nd nettement à la gaîne péri-médullaire que nous avons précédemment décrite ; elle représente la pie-mère enflammée, envahie p
r comprendre quelques-unes des dispositions que nous avons encore à décrire . Nous avons dû, pour saisir nettement l'essence
même nature, au premier abord, que les processus que nous venons de décrire . Sans doute, il s'agit bien encore ici de méningi
le des faits de recrudescence segmentaire que nous avons relevés et décrits dans la moelle elle-même. Mais, à côté de ces f
brales que nous examinons ici et celles que nous avons précédemment décrites sont deux for- mations de même nature, reconnai
ne tumeur vasculaire comparable à celle que nous avons précédemment décrite . Si l'inflammation est évidente, elle est cepen
-Hilaire donne comme caractéristique des anencéphaliens. Nous avons décrit ces sacs dans la partie morphologique de ce tra
rouvons des dispositions en tout semblables à celles que nous avons décrites à propos des cas les plus fréquents ; c'est une a
ne se couvre exactement avec aucun de ceux des maladies familiales décrites jusqu'à présent. Mais nous. tenons à dire, dès
gnostic. Reste la paraplégie spastique familiale, telle qu'elle est décrite dans la thèse de Lorrain. Nous ferons remarquer
aire. S'il peut donc être bon,au point de vue purement pratique, de décrire des types cliniques définis,il faut se rappeler
n ai noté d'autres, comme on a pu le voir, qui n'ont pas encore été décrits . Ce sont d'abord les déformations produites par
'aux membres inférieurs. Le symptôme des douleurs a été constaté et décrit par Leyden dans le type qui porte son nom : Ley
a moitié latérale du crâne; c'est un fait analogue à la déformation décrite par Marie et Onanoff (1), avec cette différence q
une grande ressemblance objec- tive avec l'état que nous venons de décrire : nous n'en avons jamais ren- contré chez l'enf
mates, mais les troubles sensitifs, l'état psychique que nous avons décrits dans notre observation sont plus caractéristiqu
s de M. Constans, de M. Kuhn, de M. Chiara, de M. Tissot ; ils nous décrivent tous ces crises convulsives, les malades grimaçan
tingue du rachitisme et tend à les rapporter à la syphilis. Virchow décrit en 1856 comme rachitique congénital un foetus à
iste dans le musée de cet hôpital, mais qui n'avait p;IS encore été décrit . t. L'achondroplasie n'est pas une affection no
xtrémité, réalisant ainsi la main en trident que P. Marie a si bien décrite chez l'achondroplase adulte. La face est petite
parfois excessif, sans qu'il y ait hydrocéphalie. 'l'ourolT, sujet décrit par Apert, ne pouvant trouver chez les chapelie
it supérieur, plus grands à cause de la bascule du sacrum. Enfin on décrit habituellement un peu d'asymétrie du bassin. Cela
ET DURANTE Dans cette zone d'ossification scléreuse, l'un de nous a décrit , chez un achon- droplase jeune, des nodules car
tures récentes ou consolidées avec cal s'élevait à 113 ». Duménil décrit aussi un foetus à membres courts dont les os très
aplati dans son diamètre antéro-postérieur. Geoffroy St- Hilaire a décrit des bassets incomplets aux membres antérieurs seu
n'a été constatée, jusqu'ici, avec les carac- tères que nous avons décrits plus haut, que dans l'achondroplasie vraie et par
autre enfant. -< Ollier en 1899, Malin dans sa thèse de 1901 ont décrit en s'appuyant SUI' 1'é) J tude radiographique l
ations dans la croissance des os du foetus. Mais ces modifications, décrites par Diatchenko sous le nom de chondrodyslrophie
rses. Il y a donc lieu, à côté des lésions syphilitiques des os, de décrire les lésions osseuses du syphilitique, au même tit
seux développée pendant la vie embryonnaire et qui est généralement décrite à tort sous lejnom de Rachitisme (Ac. de méd.,
ondyle = 16 centimètres. Les mains présen- tent l'aspect en trident décrit par Pierre Marie. Sur la photographie que nous
des circonférences de 67 et - 59 centimètres. Le malade imbécile décrit par Dide et Leborgne présente une circonfé- ren
e antéro-supérieure droite, distance représentant la corde de l'arc décrit par le membre inférieur = 61 centimètres. De l'ép
au contraire des altérations morphologiques symétriques aux lésions décrites dans la main droite : anomalie de forme du trap
e du côté tibial. Syndactylie. Les auteurs qui ont eu l'occasion de décrire des monstres, ont toujours fait suivre à la des
spondants. T'iedemann (8), Gurlt (3), Serres (4), Troisier (5), ont décrit des exemples très frappants. Particulièrement int
mérite de donner le premier la démonstration de cette hypothèse. Il décrivit un cas de polydactylie dans lequel on voyait en
es cas de polydactylie acquise. Coroisai,t (57), Blwnenbak (58) ont décrit des observations semblables. Le fait que la pol
polydactylie et la (1) L'ainhmn est le nom d'une maladie qui a été décrite pour la première fois par Silva Lima (60), en 1
liaire et de la zone périciliaire, ainsi que nous l'avons ci-dessus décrite , persiste sur toutes les coupes intéressant le co
ependant encore remarquer que les zones décolorées que nous y avons décrites plus haut ne s'étendent pas en général aux fibr
re très intéressant au sujet de l'étiologie. D'abord, parce qu'on a décrit rarement le choléra (1) parmi les facteurs caus
time entre l'infection et l'affection nerveuse (2). (1) Elle a été décrite par P. hlmue et Jormov. (2) Je dois les matéria
avant-bras, puis les bras : mais mal- gré les atrophies très nettes décrites plus loin il avait gardé assez de force pour fa
- tographie, ainsi que des autres particularités que nous venons de décrire . Côté GAUCHE. - Il faudrait répéter tout ce qui
mée n'ait jamais at- tiré l'attention dont certains des auteurs ont décrit et représenté les lésions inflammatoires dont e
elette membraneux. Tel est le cas du crâne que nous avons figuré et décrit dans le chapitre premier (fig. 6). Mais l'éclat
onfirmer la fréquence relativement grande des végétations osseuses, décrites dans les classiques sous le nom d'exostoses ostéo
l'affection en question fut, selon Poncet ( ), ), A. Cooper, qui la décrivit sous le nom d'exostoses et périostoses ca2,tilagi
d-père eut 7 fils, qui présentèrent tous une forme morbide que l'on décrit ainsi : Jus- qu'à l'âge d'un an à peu près, c'e
ésenté dès sa naissance, des tuméfa- tions avec les caractères déjà décrits : 1° En correspondance au niveau du tiers inter
tendance bien nette à l'accroissement. 642 SIMONINI Parmi les cas décrits , les plus importants sont évidemment le Ier et le
e d'une mince couche d'os compact, précisément comme dans s les cas décrits par Dalla Vedova. Durant la période qui précéda l
ossissement plus fort on constate que les foyers que nous venons de décrire sont reliés par une zone infiltrée (PI. LXXV a).
lles sont sans doute de nature névroglique et analogues à ce qu'ont décrit Chaslin, Perusini, etc. · Entre ces filaments i
les vaisseaux entou- rés d'une zone d'infiltration analogue à celle décrite plus haut. Les plexus cho- roïdes sont à ce niv
général proportionnelle à celle de l'in- filtration périvasculaire décrite plus haut. Fig. 5. Infiltration de la méninge p
'ano- xvm 44 670 RUDLER ET RONDOT malie fonctionnelle ci-dessus décrite , tous les mouvements de l'épaule se font avec u
encontrés en cli- nique qui soient exactement comparables aux types décrits . La nosogra- phie des dystrophies musculaires s
cte et ne peuvent qu'induire en erreur. N'est-il pas plus simple de décrire une méningite foetale, avec des variétés ? Ces
ns intenses, et qui sont les plus communes. Andrieu (2) a récemment décrit un cas très curieux, (1) A. LÉni et CL. Vurpas,
lie avec l'exencéphalie. Nous remarquerons, en effet, que la tumeur décrite par Andrieu est nette- ment exclue du crâne. Il
7 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ant. 1° Les lésions méningées observées rentrent dans ce que l'on a décrit sous le nom de pachyméningite cervicale bypertr
et même incurvée vers la commissure labiale gauche. Le raphé médian décrit une courbe à concavité regardant en arrière et à
itié. La paralysie, correspondant à l'atrophie, répond bien au type décrit par Babinski (Soc. 7aaéd. hôl)., 1896) : en dehor
multipliés, ces derniers temps, les syndromes bulbaires unilatéraux, décrits par divers auteurs,et dont les lésions siègent
corticale. Malgré la multiplicité des syndromes bulbaires récemment décrits , notre cas ne peut donc s'expliquer par une seu
'inten- sité 8.9,10.91) et ne disparaissent pas après le traitement décrit ci-dessus. Au contraire elles augmentent sur le
uleurs, rendant en même temps la santé au malade. Dans les deux cas décrits plus haut l'influence nettement néfaste de l'ap
suivant les cas. xxvi 5 70 SOUQUES ET STICPHEN CHAUVET Vouloir décrire un infantilisme non thyroïdien, vouloir assigner
s de la progression le membre inférieur paralysé, les courbes qu'il décrit , l'écartement latéral des pieds, les mouvements
Grasset (1) a cependant démontré qu'on ne peut pas admettre le type décrit par Schüller comme le seul rencontré dans l'hémip
ans l'hémiplégie et, quoi- qu'il l'avoue comme bien plus rare, il a décrit un type renversé. C'est-à- dire : progression n
e l'hé- miplégie) qu'on doit, d'après Grasset, attribuer le trouble décrit par Schüller pendant la marche de flanc dans l'
té malade. Entre le type Schüller et le type Grasset, Cassiapuoti a décrit un type intermédiaire. Cet auteur a publié un
ns musculaires ne sont également que des symptômes. Ainsi Valobra a décrit deux cas de myoclonus infectieux. Il ne s'agit pa
bablement atteint d'une infection méningée. Tinel et André Cain ont décrit une myoclonie du membre inférieur, chez un mala
ocalisés au membre supérieur droit du côté paralysé. Unverricht a décrit un type myoclonique- épileptique héréditaire spé-
e tous les autres cas sont tout à fait identiques à celles qui sont décrites dans les myoclonies qui ne sont pas liées à d'aut
nte discordance est né le besoin de rapprocher les diffé- rents cas décrits avec une symptomatologie similaire, au moins dans
t fibrillaires et non fasciculaires. Les unes et les autres ont été décrites dans les cas de paramyoclonus et il 'n'existe a
été de myo- clonie (2). La chorée fibrillaire de Morvan est ainsi décrite par l'auteur lui-même : «La maladie est caracté
dans les descriptions des chorées. «Bien que l'on n'ait pas encore décrit , dit l'auteur, en la détachant de la danse de S
avec le paramyoclonus. Avant tous ces travaux, en 1865, Trousseau a décrit une espèce de chorée qu'il a nommée clcorecc sa
qui se rapproche beaucoup de la myoclonie à déplacements qui a été décrite sous le nom de chorée élec- trique. Dans la phr
réalisés dans trois passages. C'est-à-dire que tous les mouvements décrits sont faits dans une période de moins d'un cinqu
u et de la tête, subissent aussi des secousses égales à celles déjà décrites dans les autres positions. La marche de la mala
sans qu'ils aient jamais perdu les caractéristiques que nous avons décrites . Quant à la quantité je n'ai pas fait un jugeme
cas de myoclonies que nous avons examinés, depuis les cas qui sont décrits sous le nom myokimies ou chorée fibrillaire de Mo
) montre bien la brusquerie des mouvements. Ce caractère a été déjà décrit par Friedreich chez le malade qui a servi à déf
atteints, d'où résulte la multiplicité de mouvements que nous avons décrits surtout chez la seconde malade. Ce n'est que ra
é chez notre seconde malade. Dernièrement Lenoble et Aubineau ont décrit une nouvelle variété myoclonique dans laquelle
Les myoclonies hystériques à qui appartiennent quelques-uns des cas décrits comme myoclonies essentielles ; 5) les myocloni
rées comme auras motrices ou équivalents épileptiques. Dans les cas décrits on ne peut pas prendre ces secousses comme la m
duisent des mouvements similaires à ceux que nous avons 106 MONIZ décrits chez nos deux observées : mouvements larges, avec
en carac- térisée et définie. Le nystagmus-myoclonie dernièrement décrit par Lenoble et Aubineau qui l'ont observé en Br
savons de l'étiologie, pathogénie et ana- tomie pathologique étant décrit , nous allons aborder la question du dia- gnosti
ry Meige et Feindel ont divulguée. En passant en revue tous les cas décrits sous cette désignation, nous trouvons que la pl
tics généralisés et de la maladie de Gilles de la Tourelle ont été décrits , dernièrement, entre les myoclonies, les pseudo-
Nous le trouvons chez nos deux malades et dans la majorité des cas décrits . Il est bien différent de ce que nous trouvons
chapitre général nous avons séparé les formes diverses qui onl été décrites avec différentes désignations en montrant leurs
e connais bien le Dr Biaute. Je connais son habitation aussi (il la décrit en dé- tails)... » Tout ce qu'il dit est exact.
ent des fibres du même calibre que celles du réseau intramédullaire décrit plus haut (fig. 9). ' . FiG. 4 et 5. Racine pos
ériques le sont par les réseaux intramédullaires que nous venons de décrire plus haut. Ces deux sortes de réseaux sont en rap
u névroblique. Ces libres « rigides » du cerveau que nous venons de décrire , nous les trouvons également le long des cylind
sont dues qu'à « l'épaississement n des fibres rigides. Nous avons décrit ces formations dans les nerfs périphéri- ques s
, un rôle important dans la pathogénie de la paralysie agitante. Il décrit une forme particulière des cellules névroglique
ouleur du colloïde dans les follicules des formations adénomateuses décrites plus bas. On rencontre çà et là, surtout au voi
itante. La dégénérescence hyaline des capil- laires a été également décrite -dans quelques cas. En ce qui concerne les glan
t, car demain vous allez régner (-1). » L'ambassadeur Soranzo ,nous décrit ainsi les préoccupations de Phi- lippe : « Il f
r, primesautier, orgueilleux, in- quiet, susceptible, etc., on peut décrire un caractère tlaanaloplailiqlce, dont les préoc
du bassin. La main est courte, grosse, du type carré. M. P. Marie a décrit un aspect particulier de cette main à laquelle
la littérature vraiment copieuse sur ce sujet. Désormais les cas décrits , avec plus ou moins de précision, arrivent à la
r nanosomie. A côté de ces formes typiques, il y en a d'autres déjà décrites dont le tableau clinique est beaucoup moins com
une lorgnette. Ces types correspondraient à celui que Virchowa déjà décrit et que V. llansemann a appelé ensuite « nanosomia
diale ou essentielle, après une cri tique profonde sur tous les cas décrits dans la littérature, met de côté ceux qui pour le
réquentes admises par M. Leblanc entre myxoedème et achondroplasie, décrit un cas certain de crétinisme sporadique associé
vec quelques tendances hypocondria- ques. Il est bon observateur et décrit bien ses troubles. Il s'intéresse aux re- cherc
s de relever que la partie supérieure delà diaphyse du radius droit décrit une brève courbe à convexité externe, tandis que
e lésions préexistantes auxquelles on pourrait attribuer l'anomalie décrite ; et du reste l'histoire-clinique ne nous dit ri
u- lement dans les métacarpiens. On peut en dire autant pour le cas décrit par MM. Robin et Weil où, et le fait est digne
e semble pas jouir d'une telle autonomie qu'elle nous permette d'en décrire déjà des variétés. Ces formes d'achondroplasie
re pour la faire peut-être accepter parmi les types que je viens de décrire , de sorte qu'elle représenterait un anneau de l
de la glande. L'altération du lobe antérieur donne lieu au syndrome décrit par Ilas- tings Gilfort sous le nom d'atéliose.
, dans les formes dénommées larvées. Ces symptômes furent, de fait, décrits dans cette forme : dysarthrie, anarthrie, voix na
en rotation interne et le fixât sur la région lombaire. Les auteurs décrivent la position des omoplates comme il suit : « l'o
sur l'humérus. OBSERVATION (PI. XXXVI). L'histoire du cas que je décris est la suivante : Au mois de juin 1904 se prése
PHYSIOLOGIQUES 227 viduels, qui pourraient être communs avec le cas décrit , ou chez lesquels on pourrait le trouver. Qua
'exécuter des mouvements extra- ordinaires, à acquérir la souplesse décrite plus haut. Il convient d'admettre que la muscul
question qui se pose serait de savoir si la cause de la difformité décrite doit être attribuée à un état pathologique et s
les muscles du voisinage. On connaît beaucoup de travaux où il est décrit que les muscles sains suppléent à la fonction d
ur l'omoplate, qui est attiré en avant, et crée ainsi la difformité décrite ci- dessus, à la condition toutefois que l'avan
ude d'un cas très rare dans la neuropatholoie, car en dehors du cas décrit par MM. Rudler et Ronot, il n'existe pas là-des
s couleurs. En analysant les modifications microscopiques ci-dessus décrites , nous pouvons les diviser en deux groupes : 1°
coupes appar- tenant à la région lombaire. Les lésions ci-dessus décrites présentent un intérêt tout à fait particu- lier
te du cervelet. C'est,d'après ce qui nous est connu, le premier cas décrit , où on se trouve en pré- sence des lésions dans
moelle dorsale au cours d'une tumeur non solide. Dans tous les cas décrits jusqu'ici ainsi que dans nos deux autres cas il
AilLa Angela, Revue Neurologique, 1912, n. 10, p. 185. Cet auteur a décrit les lésions qu'il a constatées dans la moelle d
pression augmentée produit dans la moelle dorsale les modifications décrites , nous parait être le suivant : subissant LES MO
1904, et tout récemment par Clerc (2). Sous ce nom, ces auteurs ont décrit des cas d'infantilisme ; leurs malades, d'aille
e peut réaliser présente un aspect caractéristique, soigneuse- ment décrit par II. Meige. Nous n'en trouvons aucun des carac
iologique. GutteUing (2), dans une thèse soutenue à Leyden en 1884, décrit un cas de sclérodermie présentant en même temps
ome de Basedow a succédé à celui de la sclérodermie. Grünfeld (5) décrit l'observation d'une femme âgée de 33 ans, qui s
qui consistait en une sorte d'obstruction des pores de la peau ; il décrit encore comme symptômes de celle affection la dure
E d'un CAS DE SCLÉRODERMIE 29 ? ) Toutes les lésions que nous avons décrites sont parfaitement symétriques ; elles semblent
gles sont atteints par les mêmes troubles trophiques que nous avons décrits aux doigts des mains ; la peau est lisse, de coul
avec les gaines tendineuses. La coloration brunâtre que nous avons décrite est encore altérée par une cyanose intense qui
à la bande scléreuse de la région dorsale du poignet que nous avons décrite plus haut. A relever encore une légère opacité
peau, un véritable syndrome sclérémateux généralisé tel qu'il a été décrit d'une façon classique par Brissaud et Grasset.
ture comme ceux de Lafond, de Pie, de Fox,- etc., où l'on peut voir décrit ce processus de formation des nodules cutanés c
trice périphérique dans notre cas. L'excroissance médiane plus haut décrite , semble indiquer el jp aussi que l'a topographi
ie de Milroy, quoique Nonne ait parlé le premier de ce cas et l'ait décrit . , Je crois que les exemples de cette maladie s
utherland (5) et Griffith et Newcome (6) ; je ne compte pas les cas décrits par Meige (7) et par Lannois (8), qui d'après C
p plus tard ; il n'était donc pas congénital. Je ne sais si les cas décrits par Griffith et Newcome appartiennent à ce groupe
énitaux familiaux, à ce dernier appartiennent les cas de la maladie décrite ci-dessus. On peut .admettre que dans nos cas,
défie toute description. Nous retrouvons la la plupart des aspects décrits par Cajal, Marinesco, Dustin et d'autres, lors de
viter une porte de sortie aux axones de néoformation. Bardenheuer a décrit sous le nom de Neurinkampsis une opération plas-
ées dans leur orien- tation, de telle sorte que ces circonvolutions décrivent un angle aigu ouvert en bas. L'examen du fond
s. 362 BENON Examen somatique. En dehors de l'aspect général déjà décrit , on ne note ni prognathisme, ni modification de
ure des muscles primitivement para- lysés. Duchenne (de Boulogne) a décrit avec une remarquable préci- sion les caractères
siques, notamment dans ceux de )Jrb (3) et de Bernhardt (4), qui en décrivent deux variétés : l'une comprend des contractions
faciales succédant à la paralysie de la VIIe paire ont pu même être décrites sous le nom de tic paralytique. Une deuxième va
aité de pathologie générale, t. V, p. 759. 3G8 PITRES ET ABAD1E décrit par Babinski '(1) et étudié par Lamy (2) dans la
iale périphérique. Bien que, de ces phénomènes, les uns se trouvent décrits avec assez de précision dans les traités classi-
qui ont observé « des phénomènes analogues à ceux que Al. Meige ct décrits sous le nom de contractions parcellaires, de pe
hez leurs malades aux mouvements associés involontaires qui ont été décrits dans les paralysies faciales périphériques. Dan
ur ainsi dire, des mouvements associés de la face, depuis longtemps décrits dans la phase de contracture de la paralysie fa
t la sécrétion internedu testicule.Dans l'infantilisme testiculaire décrit par cet auteur, on trouve comme chez notre malade
oppement, et une atrophie génitale, on voit que l'on est autorisé à décrire avec M. Burnier un nanisme hypophysaire, ou ave
e prodromique des états d'oxycéphalie; or l'amin- cissement des os, décrit par Elsasser dans le craniotabès rachitique, n'es
eux un certain rôle dans son élargissement pathologique. Nous avons décrit quelque chose de bu PROCESSUS DE RÉPARATION' DA
mouvements dits respiratoires du cerveau. Il est sur que l'appareil décrit doit être bien parfait pour ne pas nuire à l'ac
ppellent enfin quelques caractères de malformations crâniennes déjà décrites , tout en s'écartant de celles-ci par d'autres c
essivement. l°Nous écarterons rapidement le syndrome y.secclo-Payet décrit par Marie, dû à l'osléoporose sénile. 2° Nous
une forme anormale et fruste de maladie de Paget, analogue à celle décrite par Léri (Soc. méd. des Hôpitaux, 17 janvier 19
ie de Paget. Ainsi, les lésions de la base du crâne que nous allons décrire peu- vent exister, et être extrêmement prononcé
emDlentFélix Regnault(1) ; elles avaient été déjà remarquable- ment décrites en 1862, 14 ans avant la première description de
cette cyphose basilaire est très différente de celle que Virchow a décrite , que l'on constate notamment dans l'achondroplasi
s (Pl. LXXIII). La deuxième malade présente le pied-bot varus équin décrit par Jolfroy. Nous ne ferons que rappeler ici br
ons dans ces cas- ci sont exactement pareilles à celles qui ont été décrites dans mon article précédent concernant cette mal
pas pu déterminer la spécificité de la lésion. Sicard et Descomps décrivent aussi une pachi et lepto-rnénincile cons- titua
s le liquide céphalo-rachidien xantochromique, suivant le phénomène décrit par rloin, Guillain et Troisier sous le nom de
ns le liquide céphalo-rach id ien de l'hémorragie cérébrale, Bard a décrit « la coloration biliaire du liquide céphalo-rachi
ns considérées l'llyperalbuminorachie n'atteint t le degré de celle décrite dans le syndrome de Froin. Eu effet dans- ce co
o-cytologique une première étape pour la constitution du syn- drome décrit parFroin. Entre les caractères des liquides cépha
8 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
e hystérique provoquée. La cata-lepsie hystérique provoquée fut aussi décrite avec tous ses caractères, ainsi que le mode de su
t de complet développement. Les diverses périodes de l'attaque y sont décrites , en autant de cha-pitres, suivant l'ordre de succ
les variétés de la grande attaque hystérique, dérivant toutes du type décrit : a.) variétés résultant de modifications survenu
écédait les attaques, elle durait jusqu'à l'ap-parition des symptômes décrits plus haut, pâleur et cyanose des mains et du bout
région fait reconnaître aisé-ment la portion du détroit supérieur qui décrit une courbe à con-cavité interne : c'est là un poi
fondément, et dans leur trouble, les malades n'ont plus la faculté de décrire ce qu'elles éprouvent. L'attaque convulsive éclat
assée en boule et fait un tour complet sur elle-même. Si nous avons décrit aussi longuement ce commencement de la phase toni
es petits mouvements cloniques généralisés semblables â ceux qui sont décrits dans les observations précédentes. 3° Phase de
des variétés qu'il est facile de rattacher au type que nous venons de décrire . Elle se modifie surtout de deux façons ou par
attaques. La période épileptoïde se com-pose des diverses phases déjà décrites plusieurs fois. D'abord se montrent les grands mo
n entier développement et avec ses diverses phases, telle qu'elle est décrite page 62. Les grands mouvements toniques ont lieu,
ouvements, en effet, n'ont pas toujours la régularité que je viens de décrire . Ils consistent parfois en une sorte de lutte.
recommence le même manège. Les cris et les mouvements que je viens de décrire s'entremêlent et se répètent, prolongeant ainsi i
arquer la troisième période. Le plus souvent les convulsions toniques décrites plus haut, survenant tout d'un coup, indiquaient
st marquée par l'arc de cercle et l'imitation du chemin de fer déjà décrite . Au milieu de l'agitation des bras, on remarque u
avec ses diverses phases et suit l'évolution régulière que nous avons décrite plus haut. La troisième période, ou période des a
17 juillet 1879. Dans une série d'attaques présentant les caractères décrits précédemment, l'imitation du chemin de fer est en
i composent la troisième période de l'attaque de Gl... Nous les avons décrites tout au long. La fin de la troisième période est
. 85) qui, malgré leur ressemblance avec les attitudes que nous avons décrites dans le tétanisme de la période épileptoïde et da
re arrivée : 20e attaque. — l10 période. Grands mouvements toniques décrits p. 51, et représentés fig. 17, avec grincements d
e convulsive de la grande hystérie avec les caractères que nous avons décrits soit spéciale aux malades de la Salpêtrière, sur
quables par leur régularité et leur conformité au type que nous avons décrit . Elles en diffèrent par un point de détail, fort
ouvelle attaque recommence. Il est midi. L'attaque que nous venons de décrire a duré 10 minutes. Il est difficile de trouver
défaut. Les grands mouvements se terminent par l'attitude bizarre, décrite dans l'attaque précédente. Puis commencent les at
tes les couleurs ». Les attaques se rapportent parfaitement au type décrit , mais chaque pé-riode conserve l'empreinte d'une
arrière, et les membres exécutent les grands mouvements toniques déjà décrits . Les convulsions cloniques qui suivent sont plus
plète et très prolongée du « chemin de fer » telle qu'elle a déjà été décrite . lOh. 43m. 30s. Période des attitudes passionne
oup de la tête et a l'humeur noire. Ses attaques s'écartent du type décrit et seront étudiées avec plus de fruit au chapitre
nouvelle attaque. 11 est facile de rattacher au type que nous avons décrit les diverses phases de l'attaque que nous venons
éro-épileptiques qui présentent des attaques qui s'écartent du type décrit et ne s'y rattachent qu'à titre de variétés. Lesp
La conception de la grande attaque hystérique, telle que nous l'avons décrite , est assez vaste pour que l'influence de l'imitat
teria major). Parmi les accidents convulsifs qui composent les crises décrites par M. Pascal, il est facile de dis-tinguer les p
mmençaient la grande attaque; suivaient les phénomènes que nous avons décrits dans la deuxième période : la contorsion (arc de
u froide, les crises se transformèrent. Les mouvements que nous avons décrits furent supprimés pour faire place à une exaspérat
les attaques con-vulsives ont présenté les caractères que nous avons décrits : phé-nomènes épileptoïdes au début, — puis grand
orbite et se dirigent du même côté et en haut. En même temps le tronc décrit un léger arc de cercle dont laconcavité répond à
oment donné, tous les caractères des diverses périodes que nous avons décrites . Il n'est pas sans intérêt de faire observer que
es à ceux que nous avons observés chez nos malades, qu'en l'entendant décrire ses diverses sensations, il nous semblait entendr
mbre inférieur droit qui en fait presque exclusivement les frais ; il décrit des oscillations très marquées et très brusques.
t ils sont contournés en arrière, le droit surtout; tantôt ce dernier décrit en avant des tours de spire, et, la main dans la
s de bas en haut. Mademoiselle R... ne quitte cette attitude que pour décrire une courbe dans laquelle le corps ne repose que s
donc acquis que la grande attaque hystérique, telle que nous l'avons décrite , n'a rien de spécial à la Salpêtrière, et que la
nt été l'objet. PREMIÈRE OBSERVATION l. L'observation que je vais décrire a été faite, il y a sept ans, sur une jeune perso
ranger en trois catégories correspondant aux pé-riodes que nous avons décrites : Au débuL/sentiment d'une boule qui remontait
ette dernière circonstance s'est également manifestée dans la maladie décrite au n° 16. Mais la liaison de la menstruation,'ave
ssi forts; quel-quefois cependant il se joint aux symptômes ci-dessus décrits une tension partielle de quelques muscles de la f
ent cette observation un peu longue, parce que plusieurs accès y sont décrits avec dé-tails et présentent des phénomènes qu'il
s qu'il est facile de rapprocher des diverses périodes que nous avons décrites . La période épileptoïde est suffisamment indiqu
cume à la bouche. Les grands mouvements de la deuxième période sont décrits avec leur violence et la fureur qui souvent les a
embrasser; puis calme et froide devant l'appareil de la mort qu'elle décrivait à la manière de Victor Hugo, elle donnait les ord
vient sans cesse à son esprit. La période épileptoïde est fort bien décrite , les mouvements très étendus et l'agitation de la
es caractères de la grande attaque hystérique, telle que nous l'avons décrite avec ses di-verses périodes. Cette analogie est
et comme les symptômes avaient la plus grande analogie avec ceux déjà décrits , il suffira d'indiquer leurs traits distinctifs.
t sur l'hystérie depuis le commencement du siècle. Louyer-Villermay décrit une variété d'hystérie qu'il appelle hys-térie ép
Les prodromes, qui peuvent exister plusieurs jours à l'avance, sont décrits avec une précision qui ne laisse rien à désirer.
e,parce que les phénomènes qui composent notre seconde période y sont décrits fort longuement. Les contorsions et les grands mo
ations que peuvent éprouver les différents phéno-mènes qu'il vient de décrire dans l'attaque d'hystérie ordinaire, sans qu'au f
tantôt de l'intelligence, tantôt des sens. » Axenfeld1 après avoir décrit comme symptômes de l'attaque hystérique les convu
sgrande partie de l'attaque d'hystérie vulgaire. Aussi les auteurs la décrivent -ils longuement. Voici la description qu'en donne
la médecine, elles-mêmes, les recon-naissent, sont très difficiles à décrire , à cause du désordre qu'elles pré-sentent. Les me
N DE LA PREMIÈRE PÉRIODE. ATTAQUES ÉPILEPTOÏDES Les auteurs qui ont décrit l'attaque d'hystéro-épilepsie se sont contentés d
a phase tonique recommence bientôt avec les caractères que nous avons décrits . En outre de la prédominance du tétanisme et de
r prédominance du tétanisme. « Quelquefois, dit Hammond après avoir décrit l'attaque épileptoïde régu-lière, le spasme tétan
. La convulsion pourtant n'est pas semblable à celles que je viens de décrire et se développe lentement. Le corps étendu dans t
giques de la seconde, on constatera sans peine qu'ici l'arc de cercle décrit pai- Hammond relève de la période épileptoïde et
-sées à certains groupes de muscles. C'est ce que Ilerpin a fort bien décrit parmi les accès incomplets d'épilepsie, sous le n
ronc peut s'infléchir en arrière. )) La secousse que nous venons de décrire comme générale peut être par-tielle, se borner au
etits accès incomplets d'épi-lepsie, semblables à ceux que nous avons décrits plus haut, à la suite d'IIerpin, sous le nom de c
es généralisées ou partielles, semblables à celles que nous venons de décrire sous le nom d'accès incomplets. Mais l'on peut
z-y la fureur, les cris, la rage, les mouvements désordonnés que j'ai décrits éga-lement parmi les signes de cette même seconde
étaient marquées par des symptômes extrêmement variés et que je vais décrire . La malade était prise de convulsion de tous les
consütuent de véritables altaques démoniaques. Celles que nous allons décrire , et qui sont très rares, ont un caractère tout à
antispasmodiques. A la fin de juillet commencèrent les extases. Je décrirai bientôt un de ces accès, dans lequel je l'observa
grande attaque dont nous allons nous occuper maintenant. Griesinger décrit sous le nom de folie hystérique aiguë les accès d
ttitude qu'on leur imprime. C'est bien là ce que tous les auteurs ont décrit sous le nom de catalepsie. Et la malade peut gard
ières, survient l'état léthargique et tout le cortège des phéno-mènes décrits dans la première observation. Un nouveau coup sur
eil qui n'est autre que la létiiargie que nous avons déjà lon-guement décrite . Le soulèvement des paupières amène l'état cata-l
de léthargie et de somnambulisme, différente de celle que nous avons décrite (Obs. I), sous les rapports suivants : F hyperexc
WM 173 RIC 4" L'hyperexcitabilité musculaire telle que nous l'avons décrite et observée dans la léthargie hystérique propreme
, les muscles ne répondent pas à l'excitation mécanique, le phénomène décrit sous le nom d'hyperexcitabilité neuro-musculaire
jeux, les prend tour à tour dans ses bras et les embrasse ; elle les décrit avec des cheveux blonds ou noirs et des yeux bleu
es prières. En la questionnant sur ce qu'elle voit, on peut lui faire décrire sa vision en détail, les vête-ments des personnag
C'est ainsi qu'en la faisant assister au coriège d'une reine, elle le décrit avec dé-tails, y met de la musique, des soldats,
e haut d'une tour. Elle en paraît fort contente, elle regarde en bas, décrit le panorama de la ville qui se déroule à ses pied
phénomènes d'automatisme et d'hallucination provoquée que je viens de décrire n'accompagnent pas toujours l'état cata-leptique.
lesquelles nous avons étudié la longue série des phénomènes que j'ai décrits dans les observations précédentes. Il est possibl
Enfin nouveau rapprochement avec l'état cataleptique que nous avons décrit : « J'ai reconnu maintes fois, ajoute le même aut
hez les femmes en pleine évolution hystérique. Caractères.— Lasègue décrit ainsi l'invasion du sommeil hystérique provoqué p
somnialion (Franck), nous semblent répondre à ce que nous venons de décrire sous le nom vague, faute de mieux, de léthargie h
e des faits qui se ratta-chent évidemment au phénomène que nous avons décrit sous le nom d'hyperexci-tabilité musculaire : «
iser davantage, d'un côté, les carac-tères de la véritable catalepsie décrite plus haut, et de f autre, ceux de f état catalept
en demande la raison, elle répond qu'elle voit la sainte Vierge; elle décrit son costume et les anges qui l'en-vironnent. Mais
IMMIXTION DE PHÉNOMÈNES LÉTHARGIQUES. ATTAQUE DE LÉTHARGIE. Briquet décrit dans un môme paragraphe, les attaques de som-meil
a. De contractures partielles ou générahsées. — L'attaque de coma, décrite par Briquet, nous paraît rentrer dans ce cadre. h
osition spontanément, L'hyperexcitabilité musculaire que nous avons décrite plus haut (p. 365). n'existe pas. Les paupières s
l'état léthargique avec hyperexcitabilité musculaire^ tel qu'il a été décrit , se sura-joutent des contractures générales ou pa
^ et des phénomènes épileptoïdes plus accusés. Les attaques de coma décrites par Briquet rentreraient dans cette catégorie. «
tractures et la tète est immobilisée dans la situation que nous avons décrite . Les membres supérieurs sont étendus, un peu écar
e n'est pas complètementimmobile dans la situation que nous venons de décrire , elle tend toujours à se déplacer vers la droite,
tie antérieure forme la courbure. Les phénomènes que nous venons de décrire se combinent de différentes manières, et composen
présentant toujours cependant les singuliers phéno-mènes qui ont été décrits . Le moral s'est singulièrement amélioré. Les so
t d'hyperexcitabihté musculaire. Les analogies avec ce que nous avons décrit sous le nom d'hyperexcitabilité neuro-musculaire
e cercle. Grands mouvements. Imitation du chemin de fer et cris (déjà décrits p. 90). Réveillée pendant cette deuxième période,
lit ou couchée. Elle est dans un état cataleptique semblable à celui décrit au début. On la réveille brusque-ment. Elle paraî
voquée chez cette malade, qui s'éloigne par là du type que nous avons décrit . En résumé, nous voyons ici l'attitude passionn
as qui précèdent nous conduit tout naturellement à l'examen des faits décrits par les auteurs sous le nom d'extases cataleptiqu
puisse se substituer à une ou à plusieurs des périodes que nous avons décrites et plus particulièrement aux deux dernières, auxq
. Presque assise dans son lit, les yeux fixes et grands ouverts, elle décrit une flamme rouge qui la brûle, qui l'entoure, ([u
x, il a du moins le mérite d'avoir bien observé et consciencieusement décrit . Je n'entreprendrai pas de donner ici un exposé
ant : Le système musculaire s'est toujours montré tel que l'avaient décrit Ie premiers observateurs, c'est-à-dire dans une s
ction spéciale; Poubli le plus complet accompagne le réveil. L'état décrit par Frank, sous le nom de sommation spontanée, pa
remplacer la troisième période des attitudes passionnelles. L'extase décrite ici répond évidem-ment à ce que nous avons désign
eurs et des sanglots. » A la date du 27 mai une de ces attaques est décrite tout au long. Véritable scène de somnambulisme.
e ce que nous avons observé chez nos hystériques de la Salpêtrière et décrit plus haut sous le nom d'état de suggestion. Les
ique dont nous essaierons de donner une idée ^ Elle voit sa mère et décrit son ajustement : elle saisit un couteau pour s'en
suite son père qui se jette sur sa mère pour l'empêcher de se tuer et décrit également son costume. La scène alors se compliqu
ments plus ou moins étendus. la chambre où se joue le drame qu'elle décrit , les meubles, les objets qu'elle renferme qui lui
d'une femme âgée de 45 ans. Les troubles hallucinatoires parfaitement décrits in-téressaient tous les sens. variées de la gra
le hachisch avec la variété spéciale de la grande attaque hystérique décrite sous le nom d'attaque de délire. Il semble que
isant : — J'allais parler, mais il faut que je me taise. — Je ne puis décrire les mille idées fantastiques qui traversèrent mon
de l'autre côté. C'est bien au fond le même phénomène que celui qu'a décrit M. Charcot. Il n'en diffère que par une question
es de la déformation permanente du membre ; Duchenne de Boulogne en a décrit une variété sous le nom de contracture réflexe as
t, pour déterminer le commence-cément de l'évolution qui vient d'être décrite , il faut employer le vent élec-trique ou même l'a
sthésie régulière que celle-ci évolue et disparaît sui-vant la marche décrite plus haut. C'est un des aspects de l'action œsthé
ais susceptibles de se prêter à des nuances infinies et impossibles à décrire . Le premier point est d'avoir de bons appareils;
vée i On voit en somme que « la contorsion » telle que nous l'avons décrite à la deuxième période de la grande attaque hystér
xorciste devait succomber ^. La catalepsie nous paraît parfaitement décrite dans les extraits qui sui-vent. Nous avons vu com
oins en toutes ces dépravations et actions déréglées*. » Nous avons décrit sous le nom d'attaque démoniaque une variété de l
ires 1. Voy. la fi g'. 4G, dont l'attitude de la possédée ci-dessus décrite , n'est en somme que l'exagération. 2. IJosrogor
elles de Louviers, Varc de cercle et les grands mouvements sont ainsi décrits : « Elles (les possédées) ont de grandes agitat
éthargie, de catalepsie et d'extase. L'attaque de léthargie est ainsi décrite par Le Breton : « ... Il y en a parmi elles qui
autre exorcisme rapporté par le même auteur, on retrouve le même état décrit avec les mêmes expressions. «... Elle (la relig
» (Constans, 'oc. cit., p. 55.) A côté de la crise qui vient d'être décrite et qui est la plus commune, il 3xiste quelques va
re pendant tout le temps de leur durée. « La mère de la malade nous décrit plusieurs de ses attaques. 11 y avait déjà plus d
dans les mêmes circon-stances (sur le tombeau) le 17 juillet.Elle est décrite â peu près dans les mêmes termes. « .... Elle f
e que je n'avais jamais éprouvées et que j'au-rais bien de la peine à décrire , quoique je l'aie ressentie très souvent depuis à
uxième période de la grande attaque hystérique telle que nous l'avons décrite . 1. Carré de Montgeron, t. III, p. 57 (cité par
n modèle ^ Les convulsionnaires avaient également des extases ainsi décrites : « Dans ces exlases, colles du moins nui sont
nconnue ; en même temps elle est placée dans une attitude que je vais décrire : le corps est plié en deux, en forme d'arc, â la
es enfants de six à sept ans, retraçaient le spectacle qu'on vient de décrire , et tombaient évanouis. L'auteur de la lettre pen
incinnati que je fus deux fois témoin des hideuses scènes que je vais décrire Chaque jour les ramène avec une parfaite uniformi
une éloquence rare, mais le sujet qu'd avait choisi était affreux, n décrivit avec une excessive minutie les derniers et triste
'il aurait ressentie s'il eût réellement été témoin de la scène qu'il décrivait . Le jeu de l'acteur fut parfait. Enfin il jeta su
je craignais à chaque instant quelque accident sérieux, mais comment décrire les sons qui sortaient de cet amas confus de créa
ous fut impossible de fermer l'œil. » Les scènes que nous venons de décrire se reproduisent de nos jours et n'ont rien perdu
ôme, je ne fais que les mentionner en passant. L'extase que je vais décrire est celle du vendredi. Elle débute, le plus souve
la genèse du phénomène dans ces conditions différentes et je puis le décrire dans ses détails. Lorsque, le vendredi matin, L
ent : Louise était en extase. L'extase est donc établie. Tâchons de décrire exactement cet état. Pendant la plus grande parti
eure et demie, à l'approche de la scène du prosternement, que je vais décrire , assez souvent l'extatique tombe à genoux, les ma
nt, mais avec une netteté singulière. Elle voit le Sauveur, dont elle décrit la personne, les vêtements, les plaies, la couron
it aucune attention à ede, ne la re-garde pas, ne lui parle pas. Elle décrit avec la même précision et la même netteté les per
hystériques de l'ex-tase de Louise Lateau, telle qu'elle vient d'être décrite . Il suffit, pour s'e;i convaincre, de se reporter
9 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
cerveau au point de vue des loca-lisations cérébrales; j'ai donc déjà décrit la surface externe et donné, avec les plus grands
de 25 ¡x à 40 p en raison de la profondeur de leur situation. Meynert décrit cette couche sous le nom de formation corticale d
es ventricules latéraux; elle présente en avant une saillie oblongue, décrite par Vieussens sous le nom de corpus album subrotu
a description sous le nom de nucleus internus. M. Luys a signalé et décrit le premier un quatrième tubercule, situé au milie
de fibres nerveuses (Pl. X, 4 et XVIII, 6) aplati d'avant en arrière, décrit par Vieussens sous le nom de geminum centrum semi
ibres arciformes, indiqué seulement par quelques auteurs, n'a pas été décrit , tout au moins sur le cerveau de l'homme ; on ne
ure, un autre faisceau, le faisceau arciforme occipital (Pl. XII, 5), décrit une anse du lobulus extremus de l'occipital vers
des cellules nerveuses de la subs-tance grise ; leur portion médiane décrit une anse curviligne libre au milieu de la substan
cées au-dessus de cette scissure. Les fibres des régions anté-rieures décrivent une courbe à concavité antérieure ; celles des ré
é opposé. Ce groupe de fibres, nommé commissure blanche antérieure, décrit par conséquent un arc de cercle en forme de fer
rps strié, présentant quelque analogie avec le faisceau que Gratiolet décrit sur les animaux. : § 3. Les fibres convergentes
de tous les points de l'écorce vers le centre de l'hémi-sphère a été décrit par groupes isolés, sous des dénominations différ
gions moyennes ; le groupe des fibres issues des régions postérieures décrit par Kôlliker est quelquefois désigné sous le nom
à ce faisceau le nom de racine inférieure de la couche optique et le décrit comme la troisième et la quatrième couche de l'an
érébral (Pl. XXVI, 5). C'est sans doute le groupe de libres qui a été décrit par Meynert sous le nom de faisceau direct sensit
du bord interne de la corne d'Ammon, et constitue un fascicule grêle décrit sous le nom de taenia de ïhippocampe, de corps fr
les cellules nerveuses qu'elle renferme (Pl. III). - Vicq-d'Azyr a décrit un faisceau spiroïde de fibres blanches, vertical
panouit dans sa substance grise (Pl. II, 4; XXII, 20). Le conarium, décrit sous ce nom par Galien, est situé entre les deux
sa face inférieure est connue sous le nom de vermis inferior. On a décrit , sous des noms particuliers, sur le vermis superi
que lobe cérébelleux, comme dans chaque hémisphère cérébral, un noyau décrit par Vieussens sous le nom de corps rhomboïdal, et
s'épanouir dans les cellules d'une agglomération de sub-stance grise décrite par Stilling sous le nom de noyaux rouges. Une
ortion intra-crânienne constitue le troisième segment de l'encéphale, décrit dans les auteurs classiques sous le nom à'Isthme
un plan plus antérieur et externe, constitue le noyau antéro-latéral décrit par Stilling et Kôlliker, qui contient le noyau m
C, fig. IV). Le noyau antéro-externe ou accessoire de l'hypoglosse, décrit pour la première fois par M. Math. Duval (1), est
ré ses connexions avec les fibres du taenia semi-circularis, il a été décrit pour la première fois par M. Luys sous le nom de
rveuses qu'ils renferment (Pl. IV, 14; XXVI, 13; XL, 18). M. Luys a décrit le premier, sous le nom de bandelette accessoire
la couche médullaire appelée anse pédonculaire par Gratiolet. Il est décrit sous le nom d'anse du noyau lenticulaire par Meyn
terne, pathétique et moteur oculaire commun. Meynert et Huguenin le décrivent , comme la deuxième couche de l'anse pédon-culaire
du sang veineux. Ces aréoles sont traversées par de petits conduits, décrits par Dupuytren, dans sa thèse inaugurale, sous le
es de substance grisâtre juxtaposées verticalement dans la boucle que décrit le genou du corps calleux. Le bord supérieur de l
parfaitement les diverses régions de la face interne de l'hémisphère décrites dans la planche précédente. 2. — Section du cer
leux supérieurs. En avant du noyau rouge existe un petit noyau ovoïde décrit par M. Luys sous le nom de bandelette accessoire,
e des deux hémisphères, placés dans leur position normale respective, décrit autour de la substance médullaire une courbe elli
gions antérieures formant la partie réfléchie du corps calleux. Elles décrivent une anse à concavité antérieure. 2. — Fibrescom
s supérieures vers la base du cerveau. La substance grise corticale décrit de nombreux replis autour de la substance médulla
supérieures vers la base du cerveau. La multiplicité de replis que décrit la substance grise corticale montre que la super-
conscrivant chacun des hémisphères ; les circonvo-lutions de l'insula décrivent dans la substance médullaire une traînée grise à
est renversée sur sa face supérieure. La substance grise corticale décrit , dans la substance médullaire des lobes frontaux,
ricules latéraux. Les fibres commissurantes des régions supérieures décrivent un trajet curviligne à concavité tournée vers les
e. Les fibres commissu-rantes des régions supérieures et postérieures décrivent un trajet curviligne et consti-tuent, parleur pas
ieurs. A ce niveau, on aperçoit un petit faisceau blanc, arrondi, qui décrit une courbe descendante très courte : c'est le fre
ne avec leurs homologues issues du lobe du côté opposé; ces faisceaux décrivent donc une courbe en forme de fer à cheval. Par con
iculaire paraît composé de quatre segments, au lieu de trois qui sont décrits par les auteurs. Cette même disposition est bien
pposé les régions homologues à celles dont elles dérivent. Ces fibres décrivent par conséquent un trajet curviligne, à concavité
10 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
les altérations « pagétiques » sont marquées (PI. IV). La cuisse décrit une courbe à grand rayon à convexité antérieure,
à toutes les affections possibles du fond de l'oeil. Enfin, on a décrit , chez des animaux, des ostéites déformantes compa
le sait, pas plus d'ailleurs que celle du cheval, chez lequel on a décrit , sous le nom de Maladie du son (Big Head), une af
ala- die de Pagel chez une tabétique, Curcio (3) a même été jusqu'à décrire un centre trophique des os dans la moelle épini
s de ouaté avait été déjà signalé par Levi et Londe et surtout bien décrit par Hudelo et Heitz (2) ; mais nous insiste- ro
la malade se soit heurtée et fout penser aux ecchymoses spontanées décrites chez les tabétiques. 10 décembre 99U. - La mala
oici les faits qui parlent pour celle manière de voir. CuIPAULT a décrit une scoliose myxoedémateuse. Cette forme s'observ
symptômes bulbaires. L'on sait à ce propos que certains auteurs ont décrit une forme bulbaire de la polyomyélite antérieure
ose latérale. On comprend tout de suite l'importance cliniquedu cas décrit par nous, où l'on peut tabler sur des faits sym
aits de ce genre. On peut citer le cas de Vulpian (1) qui en 1869 a décrit une forme de polyomyélite chronique à début sca
autopsie. Ensuite Etienne, en 1899 (3), dans un travail d'ensemble, décrivit deux cas depolyomyélite chronique à début scapu
très importante don- née par Walter Schlodtmann (2) qui, en 1894, a décrit un cas où la frac- ture de la base du crâne ava
tiré l'attention des médecins ; un auteur allemand, Brüclc (25), la décrit en 1831 ; Gierl (63) en 1832, Albers (1) en 183
seils. ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 67 sionllelles sont décrites tour à tour : c'est la crampe des trayeurs de v
sont décrites tour à tour : c'est la crampe des trayeurs de vaches décrite par Basedow (167) en 1851 ; la crampe des cordonn
licable à certaines formes de crampes professionnelles comme celles décrites par Belmondo (7), où lesymptô- ÉTUDE SUR LES CR
es écrivains avec les caractères si particuliers qu'il venait de nous décrire . L'examen cardio-vasculaire montra plusieurs si
eurs, étudiée depuis longtemps par les vétérinaires chez le cheval, décrite ensuite chez l'homme en 1858 par Charcot, est s
ssionnels d'une névrose d'occupation. A côté de ces cas, encore peu décrits , l'observation de Brissaud, Hallion et Meige, n
eur du pouce gauche (3 cas) ou du long extenseur du pouce (19 cas). décrite par Zander (209) chez des joueurs de tambour, ave
douter, une origine mentale ; le professeur Brissaud qui les a bien décrites les a assimilées aux tics, et les a groupées so
ct fait tenir la tête immobile ; c'est bien là le geste antagoniste décrit par Brissaud ; dans cette position, l'écriture
lle jeune fille était une forme de la chorée variable des dégénérés décrite parBrissaud (Revue médicale, 15 février 1899). Or
ces deux cas sont de petites hémor- ragies de même genre que celles décrites el figurées par Obersteiner, mais infiniment pl
ons pas tant sur la nature de la lésion qui a provoqué les troubles décrits chez notre malade, parce que la chose est très di
n marchant, il traîne la jambe, qui est légèrement contracturée, et décrit un arc de cercle assez prononcé. La sensibilité
st encore très grande, mais aussi parce que le nain que nous allons décrire nous semble présenter quelques particularités s
piquement carrés en font un exemple classique de la maladie si bien décrite par M. P. Marie. Les mensurations suivantes en so
isses, courtes et charnues et elles affectent le type carré si bien décrit par M. P. Marie. Le petit doigt et l'annulaire d'
mble, à affirmer le diagnostic d'achondroplasie telle qu'elle a été décrite dans les formes complètes de l'adulte. La taill
er entre les plus petits achon- droplases adultes mâles qui ont été décrits jusqu'à aujourd'hui ; le plus petit homme achon
xxii 10 ') 42 ETTORE LEVI légères déformations qui ont déjà été décrites chez les acliondroplases classiques; l'angle de
PI. XX). Chez notre nain, la main n'a pas la déformation en trident décrite par M. P. Marie, mais cette déformation qui n'e
ds de notre patient présentent aussi une autre ano- malie qui a été décrite déjà par M. P. Marie (pour les mains seulement)
r une anomalie métacarpienne et métatarsienne qui jusqu'ici n'a été décrite , à ma connaissance, par aucun observateur. No
ments radio- graphiques relatifs à tous les nains achondroplasiques décrits par les dif- férents auteurs. Ce nouveau caract
au pied des achondroplasiques s'ajoute ainsi aux précédents si bien décrits déjà par M. P. Marie et qui font de la main des
rmation est du reste en parfait accord avec d'autres anomalies déjà décrites par M. P. Marie et qui prouvent que les différent
évidentes et a, comme nous l'avons vu, tous les caractères typiques décrits dans les cas analogues. Chez notre nain, la con
épyphysaires, quoique selon Variot, même dans la forme hypoplasique décrite par Kauffmann, la mé- dication thyroïdienne ne
ques. Le cas d'achondroplasie non congénitale de l'adulte récemment décrit par Schrumpf, tout en étant très intéressant, n
s semblent parler en fa- veur de l'hypothèse d'une forme non encore décrite d'origine rachi tique ; cette hypothèse est d'a
associés. Les mouvements associés, chez les sujets normaux ont été décrits par Muïïer ; dans les muscles paralysés par Ben
sse pour le bégaiement. Enfin, si « la discipline psycho-motrice », décrite par Brissaud, est applicable aussi bien au béga
u'il n'y a pas deux crampes qui se ressemblent. On peut cependant décrire un certain nombre de types cliniques : Duchenne
e. Leur intensité est quelquefois telle que certains auteurs ont pu décrire une forme névralgique de la crampe des écrivains
ts. 202 MACÉ DE LÉPINAY B. Forme paralytique. Cette forme a été décrite pour la première fois par Duchenne de Bou- logn
rire est rare ; aussi certains auteurs comme Duchenne, Zuber, ne le décrivent point. D'autres, au contraire, comme Oppenheim,
s névroses d'occu- pation après la crampe des écrivains. Elle fut décrite pour la première fois par Onimus (193) en 1875, q
atrices d'occupa- tion. ' - Crampe des photographes. Elle a été décrite par Napias (191) en 1879. Il s'agissait d'un phot
issait que dans l'exercice de la profession. Crampe des barbiers. Décrite par Weiss (153), puis par Oppenheim sous le nom d
Gilb. Ballet et Rose (166) ont observé chez un ciseleur, et qu'ils décrivaient ainsi : le sujet tenait de la main gauche son cis
r les actes du métier. 220 MACÉ DE LÉPINAY Crampe de la traite. Décrite pour la première fois par Basedow (167), cette cr
ent et fortement sur le bras, sitôt qu'il se mettait en garde. On a décrit encore la crampe professionnelle des mégissiers
inférieurs. Le type de ces dyskinésies est la crampe des danseuses, décrite pour la première fois par Schultz (202), et ens
atrices d'occupation. De même en est-il pour la crampe des liseurs, décrite par Naëcke (190), crampe de la nuque observée p
r lire sa musique tiop éloi- gnée de lui et mal éclairée. Tranjen a décrit la même affection chez des habitants des montag
jouait seul chez lui, le spasme n'apparaissait pas. Frânkel (58) a décrit sous le nom de mogiphozzie des crampes de la la
E ET RAULOT logues à celles de l'extrémité inférieure du fémur déjà décrites : contours arrondis et comme émoussés, disparit
formation d'un faisceau dans le tissu cellulaire sous-cutané. Cénas décrit , en 1884, un cas où chez un sujet, à la suite d
, l'influence des centres corticaux sur la nutrition des tissus; on décrit les atrophies et les différentes maladies de la
uence de la suggestion sur l'apparition de troubles trophiques sont décrits en grand nombre. Podjapolsky parle de l'appari-
nationale de Charenton. Sous le nom de trophoedème, H. Meige (1) a décrit un « oedème chro- nique, blanc, dur, indolore,
fficile de le classer dans les variétés de trophoedème actuellement décrites . Observation. M..., âgée de 56 ans, entre à l
ur à la maison de santé où elle fut internée la première fois. M... décrit avec un luxe de détails toutes les persécutions q
ème des membres inférieurs, qui au début rappelait le pseudo-oedème décrit par Dide (1) chez les catatoni- ques et qui act
'a rien constaté de pathologique. Me basant sur les faits ci-dessus décrits , cette seconde fois comme la pre- mière fois, j
récautions. Les côtes cervicales, connues depuis longtemps, ont été décrites exac- tement pour la première fois et étudiées
ymp- tômes locaux (Borhardt, MARHURG) (14). C'est ainsi que MARBURG décrit un cas d'hystérie, dont les symptômes simulaien
irection de la côte cervicale et le plus souvent sont ab- sents. On décrit assez souvent la scoliose cervicale concomitante
r les auteurs allemands. Il faut toutefois avoir soin de ne point décrire sous ce nom, comme le font certains écrivains,
s fréquente et la plus connue des névroses d'occupation. On peut en décrire trois variétés : La forme spasmodique ; ÉTUDE
e névrite rallacherons-nous les lésions que nous avons observées et décrites dans les pages qui précèdent ? On divise depuis
en en respectant d'autres. Cette forme de névrite a été étudiée et décrite par GOÜBAULT (1) sous le nom de névrite segmentai
ui concerne le type de névrite parenchymateuse périaxilesegmentaire décrit par Gom- BAULT. Dans ce type les cellules à myé
névrite devons-nous ranger les lésions que nous avons observées et décrites dans le cas actuel ? La survie assez lon- gue d
que ce signe existait réellement, étant donnés les symptômes qu'il décrit ). Cependant le rapport qu'ont ces symptômes du
ais qui est publié maintenant par Leegaard, comment cet observateur a décrit une petite épidémie de poliomyélite aiguë très
éveloppée, c'est-à-dire les troubles moteurs, nous ne les avons pas décrits complètement; bien au contraire, nous avons lai
si soigneusement qu'un grand nombre d'observations nouvelles, même décrites avec beaucoup de dé- tails, n'auraient pas un i
x de la phase initiale ont été les symplômes bien connus.et partout décrits : sensation générale de malaise et d'abatte- me
n au type ordinaire de l'hémato- myélie spontanée telle qu'elle est décrite par exemple par Jean Lépine. Il est vrai qu'on
minuant; par conséquent, toute la série des symptômes, telle que la décrit Dejerine, s'explique en supposant que la lésion t
ue nous avons employée pour la ponction lombaire, nous l'avons déjà décrite . Le résultat de nos recherches sur la poliomyélit
oliomyélite aiguë, il est bien remarquable que ces symp- tômes sont décrits beaucoup plus fréquemment dans les dernières gran
elèverons ici les cas indiqués par des auteurs antérieurs où l'on a décrit des troubles moteurs provenant d'une paralysie de
paralysie unilatérale, mais complète, des muscles abdominaux a été décrite par Neurath (70) (un cas ancien) et par Medin (n"
ie unilatérale de la moitié supérieure des muscles abdominaux a été décrite par Starcke (huit mois après le début; il y avait
ype tout à fait différent de paralysie des muscles abdominaux a été décrit par Strassburger ; il y avait une paralysie des d
après le début de la maladie. C'est encore un autre type qui a été décrit par Loewegren ; il y avait une paralysie des mu
omme également des mus- cles du dos, que j'ai employée pour ce cas ( décrite dans l'état du 6 mai). Cette méthode consiste e
artielles des mus- cles abdominaux. L'un de ces cas n'ayant pas été décrit plus haut, nous donnons ci-dessous l'histoire d
ment dans la direction du thorax aussi manifeste que celui que j'ai décrit auparavant, quand les muscles intacts de l'abdome
sie des muscles abdominaux que l'on observe dans ce cas n'a pas été décrite jusqu'ici. Quant à l'extension de la paralysie,
périodes de crises où survenaient les accidents que nous venons de décrire , la malade paraissait à son entourage à peu prè
striation reparaît.Ces lésions sont identiques celles que Durante a décrites sous le nom de métamorphose fibreuse de la fibr
En revanclie, aux points où existent les lésions que nous venons de décrire , certaines présentent une accentuation très net
rand intérêt. Les altérations de la fibre musculaire avaient déjà été décrites dans la myasthénie, sauf, cependant, les lésion
des arrêts de développement, des malformations qui n'ont jamais été décrites dans le gigantisme, quoique dans cette forme on
yons au contraire que tout le syndrome nerveux que nous ve- nons de décrire (symptôme d'Argyll-Robertson ; abolition des réfl
isième variété de topographie métamérique que les auteurs n'ont pas décrite et qui est pourtant la plus fréquente, selnble-t-
olonne vertébrale était déjà connue de nos anciens. Ainsi, Wenzel a décrit un cas d'ankylose vertébrale en 1827. L'ankylose
d'ankylose coxo-fémorale. Becllterew considère la maladie qu'il a décrite comme tout à fait spé- ciale. Elle est caractér
u- laires, ainsi que quelques autres symptômes, séparent la maladie décrite par lui de la spondylose rhizomélique. II rappe
traumatisme, ni causes héréditaires. Schaikeviteh pense que le cas décrit par lui appartient au type inter- médiaire entr
ie de la région sacrée et trois vertèbres cervicales. Nous allons décrire à part les lésions trouvées dans chaque région.
n. Ainsi, notre observation est celle d'un cas d'un type non encore décrit ANKYLOSE DE LA COLONNE VERTÉBRALE ET DES CÔTES
mais Bechterew et Marie insistent sur l'individualité des maladies décrites par eux. Ils auront toujours eu le grand mérite
lard dans la Revue de Médecine (1886) ; le second cas est également décrit t par ces derniers auteurs et publié dans le tr
ou néoforma- tions de la colonne vertébrale elle-même. Pansini a décrit minutieusement les lésions tabétiques des articul
re : dans cette dernière région, elles atteignent dans tous les cas décrits , leur maximum d'intensité. Des vertèbres lom- b
e moment d'autres altérations à ajouter à celles que nous venons de décrire . Le genou droit est déformé par une ostéo-arthr
de ceux qui ont été constatés antérieurement et déjà minutieusement décrits . Des deux maux perforants qui existaient à l'ép
caractéristique du tibia droit. Il existe un autre cas récemment décrit parMeier comme maladie de Paget ; le début se f
utier (Nouvelle Iconographie de la Salpë- ttrière, 1905, p. 61) ont décrit chez les vieillards de Bicêtredes déforma- lion
ormes osseuses qui tiennent une place intermédiaire entre les types décrits et qui ne peuvent être assez individualisées pa
te des particularités propres qui ['éloignent du lype de la maladie décrite d'abord par le grand chi- rurgien anglais, -pou
ine(Noacuelle Iconogra- phie de la Salpêtrière, 1.894 : , p. 1) ont décrit un épaississement des os de la base du crâne et
ularités : l'une qui tend à le faire rentrer dans le type classique décrit par Paget, l'autre qui, à mon avis, tendrait à do
rencontrent avec une assez grande fréquence chez les catatoniques. Décrits tout d'abord par Kraepelin, ils ont été étudiés
outre chez lui des troubles accusés du caractère que son père nous décrit ainsi : « Il avait une résistance à des prières o
cation pour ac- complir une période militaire. Il part, dans l'état décrit ci-dessus, complètement hébété, égaré. Dès son
les respiratoires qui garde un intérêt théorique et qui n'a pas été décrite auparavant, au- tant que je sache. La possibi
spiralion se rapportant à une affection du bulbe autre que la forme décrite ci-dessus, et qui consiste en une para- lysie d
aiguë dont il faut admettre l'existence ? C'est surtout Medin qui a décrit un certain nombre de formes différentes de la p
amens urinaires d'ailleurs incomplets. Ainsi, chez le géant Charles décrit par ces auteurs, la quan- tité d'urine en 24 he
de chlorures, de phospha- tes et d'urée. Chez le géant Simon Botis décrit par Buday et Jancso, l'urine, d'abord normale,
t contint du sucre. Dans l'examen des urines du'géant acromégalique décrit par Achard et Laper, on a trouvé 386 grammes de
es symptômes d'arrêt de développement, mais ceux que nous venons de décrire dans notre cas n'avaient jamais été remarqués j
ux acromégaliques existait certainement aussi chez le géant Magrath décrit par Cunningham (V. Launois et Roy). La persista
d'un ou de plusieurs systèmes, l'atrophie oliro-ponlo-cérébelleuse décrite par MM. Dejerine et Thomas est l'exemple le plu
vers le cervelet. La systématisation de l'atrophie que nous allons décrire nous a semblé suffisamment précise pour lui mér
de vue anatomique des différentes atrophies du système cérébelleux décrites jusqu'ici, atrophie olivo-ponto-cérébel- leuse
upposer qu'un certain nombre des scléroses combinées des vieillards décrites par Crouzon (2) répondent anatomiquement à des
peut rentrer l'atrophie olivo-rubro-cérébelleuse que nous venons de décrire , nous constatons qn'on pourrait à la rigueur la r
èmes anatomiques lésés : un certain nombre de ces atrophies ont été décrites par divers auteurs ; il est pro- bable que la l
ces glandes sont dus les différents trou- bles, que nous venons de décrire , nous rappellerons quelques cas de dys- trophie
ilement. Membres inférieurs. - On y remarque le pied en griffe déjà décrit . Il est en outre en position de varus bilatéral
ment l'époque précise de l'attaque de poliomyélite. On a cependant décrit des atrophies musculaires qui ont suivi la paraly
henne. Il y a encore des cas à marche rapide récidivante comme ceux décrits par Landouzy et Dejerine, par Rossi et par Crou
peut nier qu'il y a des formes de passage comme par exemple le cas décrit par Langer. En tout cas la parenté entre les form
dus frappés par une paralysie cérébrale infantile comme dans le cas décrit par Bisping ; cela ne surprend guère si on se rap
(Vizioli, Strümpell, etc.). , Dans les atrophies que nous venons de décrire , on voulut d'abord voir une simple coïncidence,
ne besondene Destruction) de la substance du cerveau. En outre, ils décrivent deux cas de poliencéphalite apparus pendant l'épi
ertaine relation au point de vue anatomique ou fonctionnel. Medin a décrit une forme de la paralysie infantile qu'il nomme a
santes d'en faire des formes spé- ciales de la maladie. Wickman a décrit comme formes spéciales les cas où la paralysie a
11 (1911) La pratique neurologique
evant l'oeil horizontalement, puis verticalement, puis obliquement, décrivez une circonférence entière si vous voulez.' , -
ourir à l'expérience de l'ophtalmologiste. , Il est donc'inutile de décrire les multiples lésions du -nerf optique et de la
omotricc réflexe (I¡g. 30). Signe d'Argyl Robertson : Tel que l'a décrit Argyl Robertson, c'est la perte du réflexe pupi
ont la voie centrifuge à double origine (bulbaire et spinale) a été décrite ailleurs (p. 85 et fig. 58). Il peut être utili
otale, des ophtalmoplégies nucléaires progressives que : nous avons décrites ailleurs (p. 75). ? L'existence de centres d'as
iologiqne. L'exophtalmie avec les caractères que nous venons de lui décrire , a une valeur séméiologique considérable pour le
: Il n'existe guère dans le tabès, si ce n'est dans cette affection décrite par Friedreich, sous le nom de tabès héréditair
é nerveuse ont été signalés dans la sclérose en plaques : on a même décrit des plaques Imlbo-protuhéran- tielles intéressa
troubles ne paraissent pas univoques. Pierrot, Marie et Walton ont décrit des lésions de l'acoustique, soit du nerf lui-
fenêtre de l'étrier. L'hyperacousie n'a pas besoin d'être longtemps décrite : les bruits ordinaires paraissent exagérés, le
intoxiqués. Enfin, plus récemment, Willmack et IJJ'('Y ! 'IIS 0111 décrit des lésions de. chronialolyse dans les ganglion
prolongée que le mouvement est plus rapide et que la circonférence décrite est moins étendue. Elle est aussi d'autant plus
es vertiges provo- qués. Le vertige voltaïque ou galvanique a été décrit et étudié parPurkinn, puis par l3renner, Hitxig
odalité la plus rare, il est vrai, mais qui a été très exac- tement décrite par cet auteur en '1801, et qui correspondrait ex
n d'un ictus apoplectiforme violent, comme celui que nous venons de décrire , un nouvel accès, généralement moins violent, se
C'est dans ces cas surtout, qu'on observe la « névrose de Ménière » décrite par Franid-Hochwart, les formes psychi- ques de
rception de certains bruits violents par exemple. Frankl-Hochwart a décrit des formes frustes où manquerait l'un des trois
ue changement de position : le type en est le vertige du saut du/il décrit par Régis. Il est le plus souvent simple, il pe
glomerulcs » véritables, analogues il ceux du rein, que Schwalbc a décrits dans le labyrinthe et les espaces sous-aracimdd
irculatoires de l'arlério-sclérose la plu- part des cas du syndrome décrit par Bonifier sous le nom de syndrome du noyau d
ues devraient entrer dans l'une ou l'autre des catégories ci-dessus décrites , TRAITEMENT 11 n'y a pas de traitement applic
ts déter- minent les syndromes typiques que nous avons précédemment décrits . Il est malheureusement pratiquement impossible
l'existence dune fièvre rémittente il grandes oscillations. On a pu décrire également dans une autre méningite, dans la ménin
mutisme vésanique se place le mutisme hystérique, magis- tralement décrit par Charcot. Dans ce mutisme, fréquemment intermi
e. 11 existe fré- quemment chez les ascendants ou collatéraux. On a décrit un bégaie- ment hystérique, à début et terminai
nous n'entre- rons pas dans le détail d'un certain nombre de types décrits parles diffé- rents ailleurs. Dans la plupart d
eul le reconnaître; en tant que crayon. De môme, l'agnosique visuel décrira les caractères objectils visuels d'une sonnette,
la sensibilité générale. Les idées d'énormité. - Ces idées ont été décrites par Cotard. On les observe dans la paralysie gé
ectibles. Les tics sont très fréquents chez les idiots; ils ont été décrits dans la thèse de Noir (1895), inspirée par Bour
anger les ongles, etc. z L'ensemble des troubles que nous venons de décrire constitue les troubles psychiques : il est un e
tions des membres, de la syndactylic. La main des idiots, qui a été décrite par Bourneville, est courte, trapue, épaisse, les
bitude d'uriner au lit... ' . L'intensité de l'idiotie permettra de décrire plusieurs variétés ; Bour- IH'yiJ1e distingue :
clé- rose hypertrophique ou sclérose tubéreuse hypertrophique a été décrite par Bourneville et Brissaud : il s'agit le plus
s sont des sensations que le sujet perçoit spontanément, qu'il peut décrire et analyser tui-mcme, mais qui échappent il tou
de la sensibilité tactile ordinaire par son extrême finesse, a été décrite et désignée par Vaschide et Rous- ' TROUBLES DE
que dans les névroses. L'aphalgésie (âoer- contact; alyo^ douleur), décrite par Pitres, est caractérisée par la production
cessairement pour nous la compréhension de l'objet, et nous pouvons décrire exactement un objet que nous voyons, que nous p
ations dynamiques fonctionnelles de ce système. Nous aurons donc il décrire : 5° les troubles de la sensibilité dans les né
ystérie, où il se présente dans sa plus grande netteté. Nous allons décrire ici l'hémianesthésie organique de cause encépha
inégale. On peut trouver ici toutes les altérations que nous avons décrites à propos des généralités sur les troublés sensi
e.plus souvent les diverses variétés de paresthésies que nous avons décrites : aphalgésie, retard des- sensations, fusion de
on radiculaire corres- pondant aux racines lésées, lois qu'ils sont décrits au chapitre traitant des « Troubles de la inuti
des sections ou ruptures des racines ou des plexus, il y a lieu de décrire aujourd'hui, à la suite des travaux de Dejerine
UBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 345 oreillons, l'érysipèle. On a décrit dès formes « radiculo-méningées » dans le cance
hystériques. Elles sont habituellement localisées et on a longtemps décrit les « zones hysté1'ogènes » ou « zones spasmogè
iculiers aux troubles sensitifs hystériques, signes (lue nous avons décrits plus haut et que nous résumons brièvement ici :
ctes des zones hyperesthésiques. Sur le tronc et les membres, Ilead décrit les zones suivantes : Zone dorso-cuhitale (D,),
ons faire ici la description détaillée des zones hyperes- thétiques décrites par Ilead dans les différentes affections viscéra
ons ou sur les descriptions que font les malades eux-mêmes, on peut décrire : des douleurs fulgU1ymtes qui, comme leur nom
n, en se basant sur les carac- tères des algies centrales ci-dessus décrits , et surtout sur le fait qu'elles surviennent ch
o- logie générale; nous n'y insistons pas. Celles que nous allons décrire relèvent de la neuropathologie et doivent nous
tres cas, les sujets maigrissent, s'anémient, et l'on pourrait même décrire une véritable cachexie névralgique. La marche e
lèvent de la pathologie mentale. Vakinesia n/</c ? Y/, affection décrite par Mobius, se caractérise par des douleurs se
u a attiré l'attention sur les névralgies épileptiforines dont il a décrit deux variétés, 1-une convulsive, l'autre non co
émotion; elle guérit par la thérapeutique psychique. Dernhardt a décrit sous le nom de névralgie professionnelle de l'épi
, la toux, l'effort au moment des accès ; le malade 9. M. Jousset a décrit un point médio-slernal situé n l'interseclion de
courante. Réflexe contralatéral des adducteurs. Ce réflexe a été décrit par Pierre Marie, le 15 avril 1894. La recherche
s ou du fascia lata du même côté. Ce fait observé par Ganault a été décrit également par Féré et l'a amené il donner au ph
d'une maladie organique. C'est là, semble-t-il, ce due Goers (2) a décrit chez les hystériques sous le nom de « spurious
émie perni- cieuse, soit à une période avancée, comme dans la forme décrite parles auteurs anglais; dans ce dernier cas, el
onner, à propos du réflexe plantaire, le réflexe abducteur du pied, décrit par Hirschberg, réflexe qui se produit après ex
me nerveux. Réflexe du fascia lata. Le réflexe du fascia lata a été décrit par Brissaud. Il se rapproche beaucoup du réfle
ermédiaire des nerfs. Ces organes de réception périphérique ont été décrits dans ces vingt dernières années : la présence d
est fourni par la présence du réflexe contra-latéral des adducteurs décrit par Pierre Marie; ce réflexe, provoqué dans le
ire chez l'enfant hémiplégique. Les contractions 1/1YOSlS1/1lqlles, décrites par Pierre Marie dans les hémiplégies récentes,
s ces dernières années, Dejerine, avec ses élèves Thomas. Roussy, a décrit comme réalisant le syndrome thalamique des cas da
caractères tout différents de ceux (me nous HÉMIPLÉGIE..470 avons décrits dans les hémiplégies organiques, et notamment ell
s associés. Flexion combinée de la cuisse et du tronc. Babinski a décrit ce mouvement associé dans le Bulletin de la Socié
ier. Babinski, dans les mêmes publications mentionnées'ci-dessus, a décrit ce phénomène auquel il attache la même valeur q
on associée des orteils. Nous avons vu plus haut due l3ahinsl : i a décrit l'abduction des orteils ou signe de l'éventail co
uvement se produit dans le côte sain. SIGNE DE KERNIG. Kernig a décrit , en 1885 et 1884 à la Société médicale de Saint-P
rale de Sainton et Voisin (Gazelle des hôpitaux, 27 août 1904) pour décrire ce signe et rechercher sa valeur séméloiogique.
de Kernig ne s'observe pas seulcment aux membres inférieurs, Il le décrit lui-même au niveau des fléchisseurs de l'articula
ds s'emmêlent et la chute devient inévitable. Il est réduit à faire décrire à chaque membre un demi-cercle souvent trop étr
a raison s'explique mal en dehors d'altérations périphériques. On a décrit encore des paraplégies spasmodiques avec sectio
cèle point de lymphocytose au cours des accidents pottiques. On a décrit un mal de Pott syphilitique; sa rareté nous dispe
rophique de Duchenne et du type Leyden-Môbius. Ces affections étant décrites en d'autres parties de cet ouvrage, nous n'y insi
Plus intéressantes sont les pcral ysies /xriocliqrres familiales, ( décrites par Chaknovitch puis par Westphal. Brusquement, l
ncements d'une sciatique. Elle peut être involontaire et Dejerinc a décrit un syndrome paraplégique flasque, consécutif chez
agnostic se fera d'après la triade symptomatique que nous venons de décrire : paralysie périodique, abolition transitoire d
LAIN Avant de faire l'étude séniéiologique des paralysies, avant de décrire la topographie des troubles de la inutilité dan
Brissaud. : J'ai mentionné de préférence les insertions musculaires décrites par M. Testut. [G GUILLAIN.] 1 522 PHYSIOLOGI
- appré- ciable z. Scalènes. - - Insertions. Les auteurs français décrivent deux scalènes : le scalène antérieur et le scal
après Theile ces muscles n'existent qu'a la région dorsale, il n'en décrit que onze. Hughes a signalé l'existence de ces f
ermine sur la peau de l'angle externe. Muscle de Horner. Borner a décrit connue muscle distinct un petit faisceau quadri
genou, du cou-de-pied, de l'épaule, du coude, du poignet; on a même décrit des centres spéciaux pour la flexion de l'index
ysie dans les 5e et 6° nerfs cervicaux. Le professeur d'I-Ieidelher décrit dans la région sus-claviculaire un point précis
itude de la pronation avec flexion des doigls. Cet aspect qu'a bien décrit Duchenne est presque constant. Dans certains ca
incipaux de paralysies radiculaires que je viens d'étudier, on peut décrire quelques autres variétés. Dans les para- lysies
schématise les différents types cliniques des paralysies faciales et décrire ainsi des paralysies périphériques, nucléaires
respiratoires, la malade avait 4 à 5 respirations par minute. J'ai décrit , avec Guy Laroche, une forme apnéique de la crise
ence de la paralysie du cubital, détermine une grillé spéciale bien décrite par Duchenne. L'emi- nence thénar est aplatie,
plégies bilatérales sont assez rares. Des cas sans autopsie ont été décrits par Cartaz et IL Krause dans la paralysie pseud
é quelques autres et tout récemment j'ai pu suivre un cas qui a été décrit par Mollard. Les causes les plus habituelles en s
l'on trouve plus fréquemment un des trois stades que nous venons de décrire , la toux spasmodique, le spasme suffocant et le
ne affection qui est loin d'être limitée du larynx et qui doit être décrite avec les convul- sions. C'est la convulsion int
réussit pas toujours. 5" Vertige laryngé. Le vertige laryngé a été décrit par Charcot comme une névrose, mais on peut le
a série des cas symptouialiques, ce qui n'empêche pas d'ailleurs de décrire à part la forme idiopathique. Dans les cas dési
es tabétiques présentant le spasme laryngé suffocant que nous avons décrit , à des porteurs de lésions récurrentielles. Tou
attacher l'affection NÉVROSES DU LARYNX. 655 que Schriitter avait décrite sous le nom de chorée du larynx, toux spé- cial
symptomatique de lésions cérébrales ou bulbaires. Presser .lames a décrit le « bégaiement des cordes vocales » chez les a
et de l'arrière-gorge, le goitre, etc. Nous aurions pu aussi bien décrire ici certains des troubles que nous venons de si
, Werdnig-Iloffmann, et la névrite interstitielle hypertro- phique, décrite par Gombault, Dejerine et Sottas, Pierre Marie.
té des contractions très nettes, trois au- tres malades nous en ont décrit très clairement l'existence passagère, bien que
ité aux moyens ordinaires d'investigation. Plus récemment, Gowers a décrit une « forme distale » de la myopathie (3), Quoi
la distribution et de l'évolution de l'atrophie qui ont permis d'en décrire des variétés topographiques différentes, enfin de
hiques, lésions plus ou moins semblables à celles queMarinesco(3) a décrites dans les atrophies musculaires plus ou moins loca
érie de mouvements tout à l'ait typiques qui ont été minutieusement décrits par certains auteurs; ils se retournent d'abord s
hie comme différant par aucun caractère important du type ci-dessus décrit ; tel est aussi l'avis de Damaschino, Dut.il, Deje
ection pourrait rester limitée aux membres supérieurs, mais les cas décrits par cet auteur, cas dans lesquels l'atrophie av
henne-Aran bien qu'elle ne soit nul- lement celle queDuchenne avait décrite et représentée comme caractéris- tique de l'atr
des scapulæ alafoe est exactement le même que celui que nous avons décrit dans la forme scapulo-humérale de la myopathie; l
rophie sont ceux des atrophies myélopathi- ques que nous avons déjà décrits . Les contractions fibrillaires ou fasciculaires
rique des nerfs est normale ou diminuée, rarement abolie. Remak a décrit dans l'atrophie Aran-Duchenne une « contraction
e la 1"e et la 5", surtout dans la. fossette carotidienne. Walter a décrit le « palmo-spasme », autre phénomène rare, sorte
as de pachyméningite primitive vraie, fibreuse, telle qu'elle a été décrite par Charcot et Joffroy. Elle se carac- térise,
peut prendre une importance assez considérable pour que Charcot ait décrit une « forme amyotrophique ». Pour Lejonne ('),.qu
iques et provo- quent l'apparition du pied-bot flaccide et atonique décrit par .Jo ! 1l'OY, Ces dernières atrophies relève
à une luxation de l'épaule, aune hémorragie (névrite apoptectiforme décrite har lhlhois de Berne), à un exsudai tuberculeux
ement, n'est pas toujours aussi étendu que celui que nous venons de décrire ; la régression peut s'observer au bout de 4 à 1
de l'ataxie la IiluGa.tiot. cérébelleuse : plus récemment Babinski décrivit une variété toute différente d incoordina- tion
ache du sol ou du plan du lit, s'élance en l'air, la jambe étendue, décrit des zigzags dans le sens horizontal aussi bien qu
e avec leur tronc de grands mouvements de salutation irréguliers et décrire avec leurs bras de larges battements d'ailes ou
est souvent beaucoup moins pronon- cée que celle que nous venons de décrire ; comme c'est celle qui est de beaucoup la plus
squement jetée à quelques centimètres au-dessus, largement ouverte, décrit quelques mouvements de va-et-vient, « plane » c
ie du tabes. - L'ataxie du tabès, telle que nous l'avons longuement décrite , n'est pas toujours aussi simple. Sa cause ne rés
és étiologiques d'ataxie, il faut rapprocher la paraplégie ataxique décrite par Gowers en 1886 et dont l'étiologie n'est pa
ressif très lente et très longue. '. La sclérose combinée sénile, décrite par Pierre Marie et Crouzon, consiste en une pa
ement dans cette affection d'origine surtout cérébelleuse. Dana a décrit récemment une ataxie spinale aiguê dont la cause
serait générale- ment favorable. La paraplégie ataxique subaiguë, décrite aussi par Dana, affection qui se termine par la
est sans doute tout particulièrement atteint. Quelques auteurs ont décrit , à la suite d'intoxications soit par l'alcool (
ise ou congénitale (incoordination de la plupart des sourds- muets, décrite par Kreidl). L'ataxie dite labyrinthique tient en
es très différents : A) La titubation céré- helleuse, admirablement décrite par Duchenne de Boulogne, où le trouble prédomi
ubation elle-même, si ses caractères cliniques ont été parfaitement décrits par Duchenne de Boulogne, sa pathogénie est loin
CÉRÉBELLEUSE L'asynergie cérébelleuse a été entièrement analysée et décrite par Babinski ; son caractère essentiel est la d
belleuse : tous les éléments de ce syndrome ont été remarquablement décrits par Babinski; il mérite le nom de syndrome céré
TAIRES OU FAMILIALES (FORMES MIXTES) Nous avons réservé, pour les décrire ensemble, un certain nombre de maladies qui tou
on des objets, la main « plane » comme dans le tabès au début, elle décrit une sorte de cône au-dessus de l'objet avant de
aisceaux cérébelleux directs. b) Dans l'hérédo-ataxie cérébelleuse, décrite par Pierre Marie, le début de l'incoordination,
s quitter le sol comme s'ils liraient un boulet (démarche traînante décrite par P. Marie et Crouzon). La station debout e
iées et très étendues. c) La névrite interstitielle hypertrophique, décrite par Gombaull et Jlallct, Dejerine et Sottas, Pi
incoordina- tion hystérique est l' astasie-abasie; Charcot, qui l'a décrite avec ses élèves P. Riche et 111ocd, en distingu
voir avec l'astasie-abasie : les variétés de cette affection sont à décrire avec les troubles de la marche. [A. LÉRI.] 78
res inférieurs des mouvements semblables à ceux que nous venons -de décrire , et cela dans des conditions différentes : 1° les
pas, bien entendu, être exécutés dans l'ordre où nous venons de les décrire ; on fera d'abord exécuter les plus simples, aus
pour la rééducation des jambes. Voici un certain nombre d'appareils décrits par Frenkel, mais que l'on peut soi-même modifi
uro-paralytique (Pierre Marie et Crouzon). Babinski et Nageotte ont décrit un syndrome particulier, lié à des lésions de la
- vulsions est relativement aisé. Il nous reste à parler, avant, de décrire les deux grandes névroses convulsives, l'épilep
intervalle, variable, tous les jours, plusieurs fois par jour. On a décrit un état de mal ? s/en'<7Me. Ce qu'il importe
suffit pour les distinguer du tremblement. L'asynergie cérébelleuse décrite par Babinski est caractérisée par un trouble da
sueur qui termine l'accès. Reginald Nùller (llrait7,1 ! )()l).) a décrit un tremblement aigu survenant chez les enfants,
atique dans l'atrophie olivo- ponto-cerebelleuse. Gordon Holilles a décrit un tremblement analogue. Tremblement dans la pa
lmie, tachycardie), M. Pierre Marie a ajouté le tremblement qu'il a décrit dans sa thèse (Paris, 1885). Ce tremble- ment e
tiellement polymorphe et on ne peut, suivant l'expression de Dutil, décrire le trem- blement hystérique, mais des trembleme
rappelle le tremblement de la sclé- rose en plaques que nous avons décrit tout d'abord, cependant celle res- semblance es
sez caractéristique. La séméiologie du .tremblement mercuriel a été décrite par Letnlle, Charcot, Dutil, sa pathogénie a fa
r les mouvements volontaires et se rapprocherait des trem- blements décrits par Dutil sous le nom de rémittents intentionnels
horée épidémique ou chorée hysté- rique, si plus tard il a servi il décrire la petite chorée de Sydenham, il ne s'applique
encier chacun des types morbides. Nous allons donc nous attacher il décrire , tout d'abord les caractères communs à toutes l
rmes différentes, et les deux tableaux cliniques que nous venons de décrire , nous voulons parler tout d'abord de la chorée
autre forme de chorée distincte de la forme moyenne que nous avons décrite , ce sont les cas des chorées graves qui se termin
a- tion de la température. Évolution. - Il nous est impossible de décrire l'évolution de la chorée en général. Cette évol
ce semble répondre à des époques d'évolution dentaire (Legay). On a décrit une chorée congénitale, les cas qui ont été obs
iode d'état, les troubles moteurs ont les caractères que nous avons décrits aux mouvements choréiques en. général : contracti
nt dès le début de la maladie. ' Formes. Le type qne nous venons de décrire est la chorée vul- gaire. La forme grave de la
e peut quelquefois succéder à la chorée vulgaire que nous venons de décrire , comme dans le cas de Daddi Sylvestrini (La Set
bout de ce temps le petit malade sort de l'état que nous venons de décrire ; la guérison est la règle mais cependant on a déc
ous venons de décrire; la guérison est la règle mais cependant on a décrit des amyotrophies consécutives, elles occupent s
istique personnelle présente un pourcentage considérable, puisqu'il décrit les lésions cardiaques dans 2/3 des cas de chorée
uis la description de Raymond et d'un certain nombre d'auteurs, de, décrire sous le nom collectif de myoclonies un certain
N. 867 ï PARAMYOCLONUS MULTIPLEX Le paramyoclonus multiplex a été décrit par Friedreicll (F ! 'rc/<0 ! f/s s Archiv,
l'enfance. - .. Nystagmus-mnyoclonie. - Lenoble et Aubineau out. décrit (Société, de Biologie, 1905 et 1er juillet 1909
s les précéder de plusieurs années. MYOKYMIES Key et Schultze ont décrit , sous ce nom, des secousses fibrillaires qui se
déjà les carac- tères de ces mouvements ; nous nous contenterons de décrire les principaux aspects cliniques qui se rencont
Oulmont, qui ont séparé cette affection de celle que nous venons de décrire et les travaux d'Audry, Michaïlovsky, Kahler, P
ique s'acconipagnant de mouvements athétosiques analogues aux laits décrits par Mlle Motehane et d'autres faits observés pa
ue » (Dupré), c'est une maladie de l'habitude. C'est à tort qu'on a décrit sépa- rément des « tics d'habitude » : tous les
présenter quelques exceptions pour Cruchet (') : ce dernier a même décrit une variété spéciale de tic de. balancement de
sa cause, mais encore dans tous les troubles moteurs que nous avons décrits comme conséquences de l'étal mental des tiqueur
tudes vicieuses de mordillage et de mâchon- nement. Trismus mental, décrit par Raymond et P. Jane) : impossi- bilité de de
par une détente progressive. Ces caractères ont été fort exactement décrits par Meige (3). 1. Lannois et Pohot. Les hémispa
comme variétés de la première, de beaucoup la plus fréquente, on a décrit une forme tréinulente et une forme choréique. M
montre une prédisposition mentale analogue, à celle que nous avons décrite chez les tiqueurs, et la crampe apparaît connue l
e compte de l'hypotonie. Dans tous' les troubles que nous venons de décrire , l'hypotonie, sui- vant le degré auquel elle ex
Féré l'a rencon- trée également dans la paralysie générale où il a décrit un aplatisse- ment du pied par hypotonie. Ell
s Y hémiplégie organique ; on trouve là le phénomène que Babinski a décrit comme un signe d'affection organique : il y a f
il des degrés divers de fréquence ou d'intensité, se rencontrer, se décrire chez les syringomyéliques. Ces malades peuvent,
extrémités ou maladie de Haynaud et l'érythromélalgie, se trouvant décrites en d'autres parties de cet ouvrage. Altératio
uses est liée à l'existence de ces crises thermiques que nous avons décrites . On voit également des sueurs abondantes dans l
y associent presque toujours, souvent même ouvrent la scène et sont décrits sous le nom à' irritabilité vésicale. Celle-ci
leurs symptômes propres qu'on les éliminera : nous ne pou- vons les décrire ni les énumérer ici. Les cystites présentent tr
une erreur de clinique; les corpuscules, le nuage floconneux ainsi décrits n'ont aucun des caractères du sperme et sont de
ession est surtout bien marquée chez les tabétiques dont nous avons décrit les désirs exagérés au début de l'affection. -
de l'oesophage ressortissent une partie des accidents précédemment décrits . La boule hystérique n'est ainsi qu'une suite d
ement La plupart des crises gastriques que nous nous efforcerons de décrire et de distin- guer ici les unes des autres, s'a
tantôt les douleurs, tantôt les vomissements peuvent manquer. On a décrit des formes cr,t»llm ? lcs, des crises sèches, d
spasme pylorique dans les névroses et chez les tabétiques. Triolo a décrit un spasme pylorique cl'o°i.t/ine GttlGtine : un
e chez d'autres que les tuberculeux. Troubles de la motricité. -.On décrit sous le nom de gastroplégie une affection rare,
rement dits, signalons chez les névropathes des crises intestinales décrites par Nollmagel. Il s'agil de contractions des an
ne prend pas une allure clinique aussi aiguë que celle précédemment décrite , et le ventre se [F. MOUTIER.] 1000 TROUBLES
ibles, mais sur- tout par cette anorexie primitive si admirablement décrite par Lasegue. La malade est généralement une jeu
é, les troubles génitaux, les cauchemars, les obsessions, etc. On a décrit enfin les hallucinations calmes et tristes des di
roprement dite. ' Avec les difformités tératologiques nous devrions décrire les mains- botes congénitales par malformation
ellect infantile ou puéril, etc. v . ' Dolichosténtimélie. Marfan a décrit sous ce nom une déformation congénitale-- excep
e. Dans l'ostéa-arthropathie hypertrophiante pneumique, affection décrite par Pierre Marie, les mains sont grosses, en patt
es hypertro- phies osseuses systéma- tisées dont nous venons de décrire les aspects. La chiromégalie sy- ringomyéliqu
écrire les aspects. La chiromégalie sy- ringomyélique (fig. 5), décrite par Charcot et Brissaud, ressemble à l'acroméga
e les .'phalangines, etc. De plus, Vidal, Besnier, JuhcI-llénoy ont décrit un type rectiligne ou linéaire caractérisé par
ues et plus ou moins simultanées aux deux mains; Charcot a pourtant décrit une forme pendant un temps très prolongé ou mêm
ier, Barjon et Destot, etc.). Laforme de rhumatisme sénile (fig. 7) décrite parP. Marie etA.Leri('), intéresse tout spécial
ogie avec celle de certains syringomyéliques.. La camptodactylie, décrite par Lanùouzycomme une autre manifesta- tion de
ES affections dystrophiques DES parties molles. La main succulente, décrite dans la syringomyélie par Pierre Marie et llari
les extrémités et surtout par les doigts ; c'est la sclérodactylie décrite par Bail. Les extrémités des doigts sont d'abor
. Il existe en général d'autres malfor- mations, et nous aurions dû décrire cette main-bote au chapitre des troubles du dév
botes acquises sont paralytiques ou spasmodiques e) ; 1. Madelung a décrit sous le nom de « subluxalion spontanée des poigne
les trois phalanges ; dans la forme spasmodique de la syringomyélie décrite par Pierre Marie et Guillain, les deux ou le plus
inique. Les gangrènes massives et symétriques d'origine névritique, décrites par Pitres et Vaillard, ont d'emblée une étendu
pieds-bots ont un aspect particulier : tels le pied-bot tabétique, décrit par Joffroy, et le pied de Friedreich. , Le p
: il importe de le distinguer du « pied tabétique » que nous avons décrit , qui est dû à une ostéo-arlhro- pathie spéciale
ns brièvement le mode de repérage de certains points insuffisamment décrits dans les pages précédentes. , Le vertex est l
t camards, les orteils et les ongles conformes au type précédemment décrit au membre supérieur. P. Marie a signalé deux va
e type Brissaud. Bris- saud a montré que les idiots myxoedémateux décrits par Bourneville présentaient un syn- drome infa
se de Bourneville. Brissaud a repris l'étude de ces faits, et les a décrits sous le nom d'infantilisme myxoe,zélllalenx. Ce s
lasie périostale. Cette anomalie de l'ossification périostale a été décrite par Durante; elle s'accompagne par- fois de dim
quatre grandes causes du nanisme ? Poucet et Leriche le pensent et décrivent des nains bien proportionnés, sans tare patholo
donne il l'oreille un aspect tronqué bien spécial. Enfin, Slithl a décrit plusieurs groupes d'anomalie dont les principal
continence d'urine. Tremblement héréditaire. Stigmates mentaux. Les décrire tous dépasserait, et de beau- coup, les limites
ous arrêterons pas sur les troubles des réflexes pupil- laires déjà décrits dans la syphilis acquise ni sur les troubles des
Stigmates dystrophiques de l'hérédo-syphilis. Ces stigmates ont été décrits par Ed, Fournier dans sa thèse (Paris, 1898) :
l'hydrocéphalie, quelquefois indépendant d'elle, un autre stigmate décrit par A. Fournier ; c'est la circulation crânienn
bactériologique complète le diagnostic. Enfin, Vincent et Bellolonl décrit une réaction pl'écipitante déterminée par le sé
ru-malaciclue. " A côté des signes fondamentaux qui viennent d'être décrits , prennent place, à titre accessoire et bien plu
epithetc de comateuse il la variété fruste, presque apyréliquc bien décrite par Loepcr, dans laquelle font complètement défau
erculeux qu'elle a été aperçue par Andral, Gintrac, Fournél et bien décrite par Laper. Il est à peine besoin d'ajouter qu'il
troubles pedoncutaircs, protubérantiels et bulbaires que nous avons décrits comme éléments constituants du syn- drome infla
t encore susceptibles d'accentuer les écarts il craindre. Perches a décrit un autre mode de recherche sous le nom de ponctio
yphilis sur le rachis paraissent très excep- 1 ionllelles; Leyden a décrit une forme ulcéreuse analogue au mat de l'oit tu
ordonnées. Ils ont ensuite attiré l'attention sur un autre mode non décrit de pro- ductions osseuses. Celles-ci se constit
sacrum dans l'aire du détroit supérieur. Raymond et Claude (') ont décrit , une forme de dyschondropldsie avec 1. et Claud
hie et peut-être des lésions du type caractéristique que nous avons décrit . Les exostoses ost8ogéniques multiples apparais
constatée par Talma, avec tous ses caractères, dans des cas qu il a décrits sous le nom de myotonie acquise, présentant les m
ssi par leur curabilité. Dans des troubles de l'appareil musculaire décrits par Schllltzc sous le RÉACTION MYASTHÉNIQUE. 12
bas et en arrière. M. et Mme Dcjerine conseillent des coupes qu'ils décrivent ainsi : « A (( 131cètre, nous avons l'habitude
ogiques les cas les plus intéressants et les plus typiques pour les décrire et les fixer par l'image, doublant ainsi l'utilit
12 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
omes, tous SUR UN CAS D'ACRODACTYLOPATIIIE HYPERTROPHIANTE 7 deux décrits par M. Pierre Marie, l'acromégalie et l'ostéoartr
d'ossification com- '- plémentaire (4). Analoguement M. Regnault a, décrit un chat polydictyle qui montrait des malformati
nfundibulaire et les stigmates d'ordre tératologique que nous avons décrits . (1) Il. Cushing, The pituitary Body and ils Di
et atrophie des os de l'avant-bras. Un auteur italien, Fumarola, a décrit un cas typique de ce genre, où il y avait au me
V- rayon métapodial du pied ; de tels exemples, bien que peu ou pas décrits jusqu'à présent, sont loin d'être rares ; ce qui
vient d'arriver Apert qui, sous le nom d'acrocéphalo-syndactylie, a décrit (1) un type tératologique compa- tible avec une
ravail remarquable d'un grand anatomiste italien, Calori (4), qui a décrit trois cas de polydactylie chez lesquels à l'autop
, phéno- - mène qui, d'après ce que nous savons, n'a pas encore été décrit et qui doit être distingué complètement delà pt
n deux groupes. Comme représentants de l'une rappelons les malades, décrits par Ormerod, par Homen et par Wilson. Tantôt-c'
e intacte, ou' , presqu'intacte. En dernier lieu ce sont les cas, décrits par Fleischer (1) et par Vôlsch (2), qui nous o
es tissus. La symptomatologie avait une grande ressemblance aux cas décrits par Westphal et Strümpell sous le nom de pseudo-s
phie et les foyers de désintégration des corps striés ; 2° les cas, décrits sous le nom de pseudo-sclérose, qui dans leur a
uelques-uns se rapprochent des spécimens les plus petits des noyaux décrits . En suivant la méthode d'Alzheimer pour la colo
omatiques est beaucoup plus régulière que dans le type pathologique décrit . Protubérance et moelle allongée. Nulle part un
caux ; enfin un processus de désintégration, dont les caractères sont décrits plus haut et qui est localisé dans les ganglion
que. Le premier malade a beaucoup de traits communs à certains cas, décrits sous l'étiquette de la « pseudosclérose » ; il
repos forcé au lit, les signes d'asphyxie locale que nous venons de décrire ont subi une régression assez rapide. Au bout de
x ; ces perturbations, au moment des épisodes asphyxiques ci-dessus décrits , auraient avant tout porté sur les éléments tro
voies cérébelleuses par des fibres arciformes internes, disposition décrite par Hoche, Goldstein, etc. b) Dégénérescence as
u dans le noyau de Deiters (Petren, l3umke, etc.); enfin Schaffer a décrit une dégénérescence des stries acoustiques. De c
avec l'olive bulbaire sont différentes du faisceau spino-olivaire, décrit par Dydinski, Bechterew, Goldstein, faisceau qui
e la protubérance et, près de l'origine du ru- ban de Reil latéral, décrit une anse à concavité inférieure pour gagner la
phie de la pièce (Voy. PI. XXII). La petite tumeur que nous avons décrite plus haut était unique, ce qui per- met de lui
segment sont tout à fait compa- rables à celles que nous venons de décrire . La racine postérieure gauche est presque compl
cine dorsale à mesure qu'on approche de la tu- meur dont nous avons décrit plus haut les caractères macroscopiques et dont
ierai que ces parasites ont" une ressemblance avec ceux qui ont élé décrits dans la pellagre par Tizzoni. Leur présence dans
en quelques semaines on voit naître l'attitude accroupie, ci-dessus décrite , qui rappelle celle du foetus dans le ventre de
a pas lieu d'insister; au surplus, je ne crois pas qu'il suffise de décrire un tel mécanisme pour arriver à détruire les effe
gérations et même des tromperies qui apparaissent lorsque le malade décrit les symptômes qu'il éprouve. Il croit à ses pro
ée. Chacun de ces détails morphologiques, minutieusement analysé et décrit t par l'auteur dans ses ouvrages d'Anatomie art
tion topographique très différents qu'il est, je crois, superflu de décrire . Cette anesthésie de la figure est généralement
sition constitue la règle générale dans le type anesthésique que je décris , il n'est pas rare de trouver, en certains poin
à aucun individu sain. Les tabétiques qui ont le symptôme que je décris et qui conservent la sensibilité cutanée ils so
le temps, améliorer leur état. t. Celle attitude, que je viens de décrire , est adoptée parles malades chez qui l'insuffis
flexion n'est pas main tenue par ces ai fera fions que je viens de décrire , la di- rection des doigts change parce que les
it dans cette variété de la lèpre. Je ne dois point m'arrêler à les décrire car je ne ferais alors que répéter tout ce qui a
s décrire car je ne ferais alors que répéter tout ce qui a été déjà décrit avec tous les détails nécessaires dans les traité
e des os ont lieu non seulement pour les proces- sus inflammatoires décrits en parlant de la maladie de Morvan, mais elles
tirait l'attention sur une maladie nouvelle, ou du moins non encore décrite , qu'il désigna d'abord sous le nom d'atro- phie
gressive. Il empruntait celle dernière épithète à Aran qui, en 180, décrivit celle affection, en grande partie d'ailleurs d'
Ce cas s'écarte donc notablement du type de névrite hypertrophique décrit par Dejerine et Sottas, il s'écarte encore plus d
ique décrit par Dejerine et Sottas, il s'écarte encore plus du type décrit par Pierre Marie, mais c'est incontestablement
e phénomènes dégénératifs au niveau des cellu- les nerveuses, et ne décrit aucune altération portant sur la charpente grise
sentait aucune réaction dégénérative manifeste. Lorsqu'il s'agit de décrire le trajet que suivent les radiations du noyau r
s avons retrouvé asez nettement les phénomènes dégénératifs si bien décrits déjà par von Monakow. On constate, en effet, au n
est-à-dire exactement le lieu d'origine de la voie fronlo- rubrique décrite par vnn : Monakow. Il est vrai aussi (pie l'on
. Du reste, ce trouble d'innervation du facial inférieur que l'on a décrit dans les lésions de la couche optique est ordin
colonne vertébrale. Les symptômes acromégaliques que nous venons de décrire sont complétés par un syndrome radiologique des
dans tous les cas. ' Le cas depoly-svndactylie que nous venons de décrire diffère dans une e large mesure de ceux qui ont
ièrement confirmée par un curieux et intéressant phénomène que j'ai décrit au dernier Congrès de Neurologie à Florence (5).
ut à fait subcons- cientes. Cela expliquerait le phénomène, si bien décrit par Janet (3) sous le nom de a rétrécissement d
de la peau et des muscles ne saignaient pas. Dans un cas d'hystérie décrit par Dejerine (1), l'idée seule du froid était s
sécrétoires dans cette affection. La théorie cénesthésique que j'ai décrite éclaircit également l'éliologie très complexe d
rtes avec les caractères propres aux phénomènes hys- tériques. On a décrit des crises hystériques qui avaient leur origine d
e est parfois la cause d'aphonies hystériques rebelles. Dans un cas décrit par Janet (2), les zones hystérogènes, dont la
i semblent très étroitement liés avec des faits vaso-moteurs ; on a décrit des cas d'hé- (il Bernheim, loc. cit. (2) JAN
ne sauraient nullement expliquer. La théorie cénesthésique que j'ai décrite nous donne enfin l'explication du pouvoir impul
ié ». Ce syndrome, dont l'aspect est fort différent suivant les cas décrits , se rapproche tantôt de la maladie de Parkinson
ce proprement dite n'est pas au-dessous de la moyenne. Les crises décrites par le malade n'ont pas été constatées pendant le
ENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 281 Les troubles que j'ai décrits , quoique en principe toujours les mêmes, sont f
BLES DES MOUVEMENTS ACTIFS DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 287 motion décrite ; partout le réseau de fibres à myéline a une dens
t capable de faire un effort. L'intensité du trouble que nous avons décrit (la difficulté de mobi- liser la fonction dynam
du « slatotonus » à un tel degré. La symptomatologie que nous avons décrite chez notre premier ma- lade n'est pas un fait i
muscles la rapproche de la -maladie de Parkinson et de certains cas décrits sous l'étiquette de « symptôme du corps strié »
tanée que nous avions espérée définitive, phénomènes que nous avons décrits et discutés dans le mémoire de 1905 sous le tit
'- voqués. » LeDrSchnyder assiste à ces crises abdominales et les décrit comme nous l'avons fait; il constate que la for
ature douteuse, comme lors de la première myélopathie que vous avez décrite . Je ferai d'au- tant moins d'hypothèses sur la
par des troubles sensitifs et moteurs des membres inférieurs, déjà décrite et discutée dans l' « Iconographie » de 1905. D
e un détail peu connu dans l'histoire des compressions de la moelle décrite d'une manière si magistrale par Charcot et son
eurs de l'hypophyse. Frèhlich est cependant l'auteur qui a le mieux décrit et établi ce syn- drome qui porte aussi son nom
de 2 centimètres cubes à 5 0/0 d'extrait de lobe postérieur. On a décrit , à côté des formes pour ainsi dire classiques, de
yurique du bulbe de Claude Bernard est trop bien connu. Marinesco a décrit une polyurie chez un malade avec un glio-sarcom
polyurie chez un malade avec un glio-sarcome du bulbe. Switalsky a décrit la même chose dans un angiome du plancher. Enfi
prété par Brens et Kolisko comme chondro-dystropllie. Aschner eut décrit des cas mis en doule par Falta. Sprinzels a déc
e. Aschner eut décrit des cas mis en doule par Falta. Sprinzels a décrit un cas chez un individu de 17 ans, avec diabète i
c diabète insi- pide et avec une taille de 106 centimètres. Falta décrit un cas chez un enfant de 15 ans, avec hydrocéphal
dystro- phie adiposo-génitale (cité d'après Schûller). lllaase a décrit un cas de dystrophie adiposo-génitale avec diffor
hie adiposo-génitale avec difformités squelettiques. IIayenlacl a décrit aussi des difformités assez accentuées du squelet
TIONS CONGENITALES DES MEMBRES 339 Les fails'd'eclrodactylie totale décrits antérieurement à nousnesontpas nombreux. Derode
ls. Et Salmon (2), dans son étude remarquable sur les eclroméliens, décrit un cas dans lequel il ne restait rien des méta-
es. A cet égard, le carpe de la Planche LUT est comparable au carpe décrit par Salmon (1) et que cet au- teur considère à
en que l'union des doigts soit limitée à leurs extrémités. Le sujet décrit par (1) DEGUISE, op. cit. (2) KIRMISSON, op.
que dans les mains normales. Plus récemment, Gentès et Auharet (3) décrivent des anomalies artérielles importantes ; ils not
ui que nous avons précédemment étudié ou avec celui que Moucholte a décrit , nous constatons une diffé- rence qui pourrait
une enveloppe inextensible. C'est ce que l'un de nous a observé et décrit dans les cas où l'amnios, visiblement étroit, ens
ceaux de fibres névrogliques proliférées, et après lui, Alzheimer a décrit ces mêmes phénomènes sous le nom de u randgliose
iodes inlerparoxysinales et n'ont, comme les autres phénomènes déjà décrits , que peu de valeur pour le diagnostic différent
13 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
ous le nom de faisceau compact de la couronne rayonnante (CR)et qui décrit une courbe à concavité interne autour de l'angl
re segments sont en continuité directe les uns avec les autres. Ils décrivent tous une courbe autour de l'angle externe du vent
paisse, est formée de Sa division en quatre segments. La courbe décrite par ces segments autour do l'angle externe
e la partie moyenne de la première circonvolution limbique (L,). Il décrit autour de l'angle externe du ventricule un croc
et interne du lobe occipital, affectent une direction sagittale et décrivent , autour de l'extrémité antérieure de la corne s
ndelette optique (Fig. 12, 31, 32, et T. 1 ? Fig. 325), on les voit décrire une anse à convexité antérieure : la partie ext
ieure du pulvinar (Pul) en se réunissant en un faisceau compact décrit par Ar- nold sous le nom de fais- ceau tempor
tiellement dégénéré (Fig. 31), la courbe à convexité antérieure que décrit le segment sous-lenticulaire de la capsule intern
r la bandelette optique. La surface de section du pied du pédoncule décrit sur ces coupes une courbe à concavité interne et
portent, en d'autres termes, comme le pes lemniscus et ont même été décrites sous ce nom par quelques auteurs. Pour éviter t
titution du pied du pédoncule cérébral, telle que nous venons de la décrire et l'origine purement corticale de ses fibres, on
eu dans la profondeur, mais le crochet que les fibres de projection décrivent autour des fibres calleuses est très manifeste
par analogie se demander si le faisceau sagittal occipito- frontal décrit par Forel et Onufrowicz, Hochhans, etc., dans les
ue, le tableau clinique sera celui de la paralysie pseudo-bulbaire, décrite par Lépine en 181l. La localisation anatomique
ope, la paralysie pseudo-bulbaire paraît relever de la localisation décrite par Lépine et retrouvée depuis par plu- sieurs
convolution du crochet, et s'arborisent autour des nids cellulaires décrits par Ganser, Cajal et Calleja. Les radiations ol
ations à l'aire olfactive et au septum lucidum. Ce faisceau a été décrit chez les reptiles et les oiseaux par IIonegger,
s du trigone, l'homologue du faisceau des mammifères macrosmatiques décrit par Forci sous le nom de fornix fongus. Ces f
ivant les sujets. Dans le Tome premier de cet ouvrage, nous avons décrit ce petit amas ganglionnaire sous le nom cle tuber
ssus du trou de Monro, passer en avant de la commissure antérieure, décrire une courbe à convexité- antérieure plus accentu
x longus croise', fait nié par Kolliker. Les libres extraammoniques décrites par Forel, puis par Ganser, Honegger, Mayer Edi
ce grise avoisinante (Kôlliker, Vogt). Le plus grand nombre se coude, décrit une sorte de genou et ne fait que traverser le
radiant et dans lequel 1 il se termine par des arborisations libres décrites par Kôlliker en lS9 : p. On sait que pour les a
aisceau de Vicq d'Azyr consti- tuaient un seul el même faisceau qui décrivait un 8 de chiffre dans le tubercule mamillaire. G
alotte. Elles se terminent finalement dans deux amas ganglionnaires décrits par Gudden, les ganglions profond et dorsal de
idus et dans le noyau caudé. Dans le pulamen de l'homme, Külliher a décrit en outre des cellules de petite ou de moyenne d
cette lame avec la zone de Wernicke et la courbure que le pulvinar décrit autour du cops genouillé externe. Méthode de Weig
rnicke, l'existence d'un fais- ceau d'association cortico-slrié, et décrivent comme tel le faisceau occipito- frontal ou fais
dullaire externe (lme) sépare le puta- men du globus pallidus; elle décrit une courbe à concavité interne, s'étend dans le
oyaux : les noyaux antérieur, exlerne, interne et le pulvinar. Luys décrivit un cinquième noyau profondément enclavé entre l
ous le nom de couche ventrale du thalamus ; v. Tschisch et Flechsig décrivirent dans cette même région ventrale un noyau aplati
des différents groupes cellulaires avec la cortica- lité cérébrale, décrivit , dans chacun des quatre noyaux lhalamiques prin-
rents noyaux du thalamus appartien- nent aux deux types de cellules décrits par Golgi (Voy. T. 1"1', Histogenèse, p. 170).
é de ces cellules étoilées à longs prolongements ramifiés, Kôlliker décrit une autre forme cellulaire, les cel- lules péni
ervalles. Chez le chat, le lapin, le chien, Nissl et v. Monakow ont décrit , il côté de ce noyau antérieur principal (ant.
plante comme une sortedegouttière sur la lame médul- laire interne, décrit dans son ensemble une courbe à concavité inférieu
couche optique montrent qu'elle n'atteint pas le pulvinar et qu'elle décrit deux courbes en sens inverse présentant ainsi l
uteur du thalamus, repose sur la région sous-thalamique de Forel et décrit une courbe autour des parties anté- rieure et e
pes horizontales microscopiques sériées, la lame médullaire externe décrit une courbe à convexité externe, très peu pro- n
one réticulée est beaucoup plus épais que son segment antérieur. Il décrit une courbe à convexité externe beaucoup plus ac
ques en avant et en bas. Les premières montrent nettement la courbe décrite par le pulvinar (Fig. 311, 282); les autres, le
ons ré- tiniennes. quées, alternativement grises et blanches, qui décrivent une courbe à concavité postéro-interne, d'autan
reil olfactif; signalé par Serres (182 1 -1826) et par Luys (1865), décrit plus spé- cialement par Slieda (18G9), il doit
confinés au voisinage du corps cellulaire. Le cylindre-axe est fin, décrit plusieurs méandres, émet quelques collatérales
). - Soupçonné par Stiéda et par Luys, le faisceau rétrollexe a été décrit par Meynert. qui le désigna d'abord sous le nom
vertébrés inférieurs et chez la plupart des mammifères, ce faisceau décrit un trajet rectiligne et qui semble tiré au cordea
développement considérable du noyau rouge, le faisceau rélro- Ilexe décrit de chaque côté du troisième ventricule une courbe
la substance perforée postérieure ou que, se comportant de la façon décrite par Meynert, elles se continuent avec des fibre
ec la substance perforée postérieure. Découvert par v. Gudden, bien décrit par Forel, puis par Mayser et par Ganser, le ga
, et dont l'aspect est caracté- ristique de cet amas ganglionnaire. Décrite par v. Gudden, Ganser, Edinger, cette dispo- si
constate qu'elle ne se termine pas dans le côté opposé, mais qu'elle décrit plusieurs méandres horizontaux qui occupent tou
nalé ces dispositions en disant que les fibres du faisceau de Meynert décrivent des 8 de chiffre dans l'épaisseur du ganglion i
amique (Fig. 21" 28, 33, 7, 15, 253, 310, 311, 323, 324, 325), bien décrite par Forel en 1877, est une petite région aplati
ient au corps strié (noyau caudé, putamen et globus pallidus). Bien décrit par Forel en 1877, il a été décou- vert par Luy
oit pas être confondue avec l'olive supérieure ou protubérantielle, décrite en 1859 par Schroeder Van der Kolk, et située d
du pédoncule céré- bral et la capsule interne (Fig. 311). On peut décrire au corps de Luys deux faces convexes, deux bords
ticulaire n'est pas signalé. J. Stilling déjà en 1878 et 1882 avait décrit à la bandelette optique et au chiasma une racin
embouchure de l'aqueduc de Sylvius, où elles forment un petit noyau décrit par Darkschewitsch. La méthode de Weigert-Pal rév
ique posté- rieure a été signalée et figurée par Forel (1877), bien décrite parSchnopf- hagen (1877), par Ganser chez la ta
de Meynert (CM). La commissure désignée sous ce nom par Gudden, et décrite par Meynert sous celui de commissure de la sub-
(Fig. 321, T. 1'), on trouve un petit entre- croisement commissural décrit par Gudden (1879) sous le nom de fais- ceau du
fait pas mention du faisceau du tuber cinereum; la commissure qu'il décrit dans la substance grise centrale occupe la part
résentent les branches terminales du nerf olfactif des auteurs, qui décrivaient comme tel le bulbe, le pédoncule et les stries
externe et pulvinar) par l'intermédiaire des fibres que nous avons décrites (Voy. cas Rivaud, Fig. 160, p. 162). Il contien
u quadrant inféro-externe. Ces deux faisceaux se portent en dedans, décrivent , ainsi que Kôlliker et Michel l'ont montré, au-
t l'angle antérieur controla- téral du chiasma. Ces dernières, bien décrites par Michel, et dont, l'existence a été confirmé
vec les libres les plus externes du faisceau nasal ou croisé et qui décrivent même des courbes dont la convexité se rapproche
eaux ne forment pas des faisceaux fermés, leurs fibres divergent et décrivent des sortes d'anse. Nil, nerfs optiques. - xll,
l'appareil visuel antérieur con- tient encore une voie centrifuge. Décrites par Ramon, v. Gehuchten et v. Kôlliker dans le
l visuel possède-t-il d'autres connexions que celles que nous avons décrites avec les centres ganglion- naires de la vision
ales connu sous le nom de commissure de Gudden. Chez le lapin, on décrit sous le nom de commissure de Gudden, de commissur
bilatérale des nerfs optiques, avec faisceau aberrant direct sain, décrit sous le nom de commissure de Gudden un faisceau q
les pédoncules cérébelleux supérieurs et la valvule de Vieussens et décrite par Ilis sous le nom d'isthme postérieur (Fig.
par Malacarne qui ne croyait pas à son existence constante, et bien décrite en ] 861 par Stilling. Les hémisphères cérébell
NERVEUX. Les [bords très épais, obliques en arrière et en dedans, décrivent une courbe à convexité postérieure et corresponde
des auteurs sur le nombre des lobes et lobules du cervelet. Un tel décrit trois lobes au vermis; un autre lui en assure h
trois lobes au vermis; un autre lui en assure huit à neuf. Les uns décrivent cinq lobes aux hémisphères, les autres neuf à d
bles, ces quatre lobes secondaires sont tous disposés en croissanl, décrivent une courbe concave en avant et concentrique à l'é
le lobe quadrilatère, sépare le lobe du culmen du lobe du déclive, décrit une courbe à convexité postérieure très accusée,
re. Le bord supérieur est tapissé de lamelles sur ses deux faces et décrit une courbe en N ou en L, d'autant plus accusée
de lames et de lobules obliques en avant et en dehors; les internes décrivent une courbe à concavité anlé- rieure et inférieu
pé- rieur au lobe postérieur du cervelet. Les externes, plus longs, décrivent une courbe en S italique et sont la continuatio
particulier le tubercule valvulaire (Tv) de la pyramide du vermis, décrit une courbe à concavité antérieure et interne, c
la lèvre supérieure du grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr, décrivent des courbes plus ou moins régulières, et sont s
nal antérieur. Les lames et lamelles de ces segments hémisphériques décrivent toutes en général une courbe concave, en avant
al dans la région du vermis, où il sépare la pyramide de la luette, décrit de chaque côté une courbe à concavité interne q
ne supé- rieur. Sillon médian. Conformation extérieure. On peut décrire au cerveau rhom- boïdal, après ablation du cerv
le médiane du cerveau rhomboïdal, elle a conduit quelques auteurs à décrire à la protubérance une face supé- rieure et une
re de la troisième paire (Accessorii dei molori communi); Ilenle le décrivit sous le nom de taenia pontis , et Arnold sous cel
velop- pement. L'olive inférieure ou bulbaire (Oi , Fig. 349) décrite par Eustachi et Vieussens est un corps ovoïde
estiforme avec lequel il pénètre dans le cervelet. Ce faisceau bien décrit et figuré par Foville a été désigné par Flechsi
ant et lisse (Fig. 354), et tapissé par l'épithélium épendymaire. Décrit , par Magendie, tour à tour, contesté, nié ou admi
rifice presque constant signalé par Bochdalek (1849), Luschka, bien décrit par Axel Key et Retzius (1870), puis par Hess (
de nouveau et se termine par une excavation angulaire très accusée, décrite par Ilérophile sous le nom de calamus se,il)to2
u'au sommet de l'aile blanche interne où il se perd, et que Retzius décrit sous le nom de funiculus separans. L'aile bla
La partie supérieure, S2lS-vetl)'tC2llatt'e de celle ligne d'arrêt, décrit dans son ensemble une courbe à convexité supéri
lleux supérieur et du pédoncule cérébelleux moyen (Fig. 337) ; elle décrit ensuite une courbe à pente douce, oblique en ba
horoïdienne sur la substance blanche du nodule; de chaque côté elle décrit une courbe à CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBE
de ... lobes latéraux d1 constituent dans leur ensemble la figure décrite par les anciens analo- cervelet. lattlrati-< d
noyaux irréguliers, homologues des corps juxta-olivaires du bulbe, décrits par Meynert sous le nom de corps dentelés acces
sinage du hile par des fibres arquées, sectionnées obliquement, qui décrivent des anses, des courbes à concavité inférieure (fi
URE DU RHOMBENCÉPHALE. 5 atteignent le raphé, s'y entre-croisent et décrivent sur les coupes transver- sales une vaste courbe
guré déjà par Santorini, Vicq d'Azyr et Reil, a été dénommé et bien décrit macroscopiquement par Burdach et par Stilling, et
les, séparés les uns des autres par de la sub- stance grise et bien décrits par Forel; ils se portent en haut et en dehors,
fibres radiculaires du nerf vestibulaire ; ils ont été tour à tour décrits sous le nom de racine de Roller, racine ascenda
te formation se détachent de nombreuses fibres arciformes (fad) qui décrivent , autour de la substance grise cen- trale, des c
transversales de l'étage antérieur de la protubérance. Nous avons décrit plus haut (voy. p. 73) le trajet de la voie pédor
n avant et en dehors où elles se concentrent en un faisceau compact décrit par Bechterew sous le nom de faisceau central d
o). Les fibres entre-croisées se portent t en dehors et en arrière, décrivent des arcs en avant de la substance grise central
ftllet des auteurs anglais. Synonymie eL Historique : En 1809, Reil décrivit sous le nom de ruban (Schleife) un faisceau sit
ment colorés par la laque hématoxylinique, qui se portent en avant, décrivent des arcs autour de la substance grise centrale
ur la coupe S 1 (Fig. 408), avec la valvule de Vieussens, mais elle décrit , sur cette coupe S 3 et sur les coupes immédiatem
), ainsi que la coupe S5 (Fig. 413) le faisait du reste prévoir; il décrit une courbe à concavité supé- rieure et antérieu
euse (Oc). Celle-ci ne présente pas encore sa forme annulaire, mais décrit une courbe à concavité inférieure, ouverte en bas
t se trouvent ici sectionnées parallèlement à leur axe. - La courbe décrite par l'olive cérébelleuse sépare nettement sur cet
ernes (fsme), situées en arrière et au-dessus de l'olive. Celles-ci décrivent sur les deux coupes une courbe à concavité inféri
tre part, les fibres transversales supérieures de la protu- bérance décrivent une courbe à convexité supérieure et atteignent s
ieure et le ruban de Reil latéral du côté opposé. Dans ce trajet il décrit une courbe à convexité supérieure très accentuée,
obliquement à leur axe. La section intéresse en effet le coude que décrit le pédoncule cérébelleux inférieur au niveau du
noyau du nerf moteur oculaire externe, dont les fibres radiculaires décrivent de légères courbes, se détachent de la partie i
e du noyau de la VIe paire (Nvi). Les fibres radiculaires du facial décrivent dans la région inférieure de la protubérance un
ossette laté- rale du bulbe, non loin du noyau d'origine. Le facial décrit ainsi dans son trajet intra-protubérantiel une
Celles-ci se disposent en deux groupes de fibres presque parallèles, décrivent des courbes régulières autour du pédoncule céré
fsme) font suite al' entre-croisement com- missural (Eca); elles ne décrivent plus dans leur ensemble un grand arc régulier a
rsales du pont, et se réduisent en arrière à un mince fascicule qui décrit un courbe très prononcée autour de l'extrémité
égion elles ne contiennent presque que des fibres d'association, et décrivent dans leur ensemble un arc à concavité antérieur
me abandonne ainsi à la calotte de nombreuses fibres arciformes qui décrivent des courbes à concavité interne, postérieure et
es de l'hypoglosse (XII) disposées en trois fasci- cules, dont l'un décrit dans la région du hile de l'olive un trajet sinue
euses fibres arciformes interréliculées (fir) fortement colorées, qui décrivent des arcs autour de la substance grise centrale,
orisent dans ces couches. Si nous dérogeons aux habitudes prises de décrire les couches céré- belleuses de dehors en dedans
figuré par v. hùllil : er, Deiters, Koschewni- koOE, a été bien décrit l par Golgi. Il naîtpar un cône d'origine du
deux ou trois collatérales récurrentes découvertes par Golgi, bien décrites par Cajal, Retzius, v. K6lliker, etc. Elles se
axile ; les cellules auxquelles appartiennent ces dendrites ont été décrites par Azoulay, sous le nom de cellules éloilées e
miques eu saule pleureur. Falcone en 1893, et Cajal en 1895, ont décrit , chez la souris et le chai nouveau-né, dans la
es, autochtones, multipolaires et étoi- lées, de grandeur variable, décrites par Golgi et par Cajal. Les unes, petites C'D
laire. Le cylindre-axe se comporte d'une façon toute spéciale, bien décrite par Cajal. Mince et grêle à son origine au nive
mant les fibres dites cle Bergmann. La signification de ces fibres, décrites par Retzius et Key en 1875 et par E. Schultze, n'
d'un corps cellulaire situé en dedans de la couche moléculaire, et décrivit la forme étoilée des cellules névrogliques de l
nsèrent à la pie-mère par un petit renflement conique ou piriforme, décrit il y a déjà longtemps par Deiters et E. Schultze.
unes avec les autres en formant un feutrage extrêmement dense, bien décrit par v. Kôlliker, qui s'étend jusqu'à la substan
ciation intracorli- cales ou fibres en U de Meynert, que nous avons décrites dans les couches profondes de l'écorce des sill
ères. C'est dans celle région que Stilling, il tort à notre avis, a décrit deux zones d'entre-croisement, l'une interne, l
des fibres semi-circulaires du cervelet. - Les libres de ce système décrivent toutes autour du corps dentelé et de la paroi e
ciliaires. Les fibres du groupe externe (fsme, Coupe C4, Fig. 463), décrites par Stilling sous le nom de fibres semi-cÍ1'cul
icule, sont situées en dedans de l'olive cérébel- leuse, et ont été décrites tour à tour sous les noms de : segment interne
ec le pédoncule cérébelleux inférieur (Pci) (coupes S6 6 et S7). Il décrit une courbe à concavité inférieure, il est situé a
upes S8 et S9, p. 612 et 613), les fibres semi-circulaires externes décrivent toujours leur courbe à concavité inférieure au-de
qui l'enveloppe, sous l'aspect de faisceaux presque parallèles qui décrivent des courbes régulières autour du pédoncule cérébe
noyau dentelé, à la courbe à concavité inférieure qu'elles doivent décrire (voy. Coupe vertico-transversale, Fig. 316), avan
tôt avec les fibres semi-circulaires externes Le crochet qu'elles décrivent en arrière de 1 olive cl'rélJcl- leuse. Leu
e : elles sont en effet intéressées au niveau du cro- chet qu'elles décrivent autour du bord postérieur de l'olive cérébelleuse
14 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
bord des circonvolutions temporales. Les bandelettes optiques (BO) décrivent en arrière du chiasma (CH) une courbe en fer à ch
orme la limite externe de la base du cerveau; c'est elle dont le bord décrit la concavité dont nous avons parlé et qui se Cont
iennent difficiles à suivre. Le tractus transversus pedunculi a été décrit par Féré sous le nom de faisceau en e'charpe ou d
régulièrement plane. Toutes les parties que nous avons sommairement décrites comme appar-enant soit à la face supérieure, soit
rrière le pilier descendant de la voûte (DF). Dans son ensemble, elle décrit une courbe à convexité supérieure, qui continue l
Vicq d'Azyr, qui avait reconnu l'existence du pied du septum, l'avait décrit sous le nom de pédoncule antérieur du corps calle
quelle elle semble adhérer, fait suite immédiatement à la voûte; elle décrit ainsi une grande courbe à concavité antérieure, d
la même façon que le pilier antérieur (DF), faisant suite au trigone, décrit une grande courbe à concavité postérieure. Sur la
rière le splenium que le tœnia tecta augmente de volume et commence à décrire des sinuosités. Un de ses replis, sous-jacent au
al semblaient inextricables à ce point qu'on renonçait d'avance à les décrire , Gall et Spurzheim eurent la témérité bien inspir
deux incisures semblent être sur le prolongement l'une de l'autre et décrire une courbe à concavité inférieure, parallèle à la
elié au lobe ocipital (0) par deux plis : un pli supérieur (n 0), qui décrit une courbe à concavité interne autour de la sciss
s constituantes du lobe frontal ont la disposition générale qui a été décrite ; toutefois, le premier sillon frontal (/i) se con
l on peut reconnaître encore les trois circonvolutions que nous avons décrites (G1-, 0-, O3). Mais leurs limites ne sont pas rep
fait le tour de la branche verticale de Sylvius, forme le cap (CAP), décrit une nouvelle courbe autour de la branche horizont
e est indiquée sur le schéma 53. Nous n'avons ici rien de nouveau à décrire . Pour les plis que nous n'avons pas encore signal
xtrémité supérieure, de telle façon 1. Le cerveau représenté ci est décrit complètement dans le texte de cet ouvrage (voy. p
mplication de cette circonvolution est telle qu'il faut renoncer à la décrire et qu'on doit se borner à la considérer telle qu'
de démarcation entre la tète et la queue; l'ensemble de ce noyau gris décrit une courbe dont la concavité inférieure contourne
ans du l'ascia dentata. 2. C'est à tort que beaucoup d'auteurs ont, décrit l'ergot de Morand comme appartenant à la face inf
ous appellerons provisoirement triangle sous-calleux, a été fort bien décrite par M. Testut. Elle se compose des fibres médiane
R. La seissure de Rolando, obliquement dirigée en bas et en avant, décrit des sinuosités plus ou moins anguleuses : elle sé
que de Sylvius (OR). Nous venons de dire que la scissure de Rolando décrit des sinuosités anguleuses. Parmi ces sinuosités i
jette dans le post-rolandique inférieur (p2) p. Le sillon pariétal décrit d'avant en arrière une grande courbe à concavité
E DROIT Les analogies de cet hémisphère avec celui qui vient d'être décrit sont telles qu'il est inutile de reprendre par le
is elle présente ici une disposition un peu différente de celle qu'on décrit ordinairement dans, le cerveau schématique. Cette
que, à ce niveau, est représentée par deux plis (PSO, PEN) qui seront décrits plus loin; le lobe pariétal est représenté par le
la circonvolution limbique (C), au-dessous du genou du corps calleux, décrit une double courbure : convexe en bas, à l'origine
our du sillon (si), branché sur le quatrième sillon occipital {oQ. Il décrit donc une courbe à concavité antérieure autour de
p plus rapprochée du corps calleux que sur la figure précédente. Elle décrit une courbe à convexité antérieure, qui n'est inte
e passage pariéto-limbique (xL). sF. Le premier sillon sous-frontal décrit , lui aussi, une courbure régulière au-devant du g
du grand pli de passage fronto-limbique (tcF). Déjà à ce niveau elle décrit un méandre dont la forme rappelle celle de l'ourl
'aspect d'une pellicule triangulaire, que M. Testut nous semble avoir décrite mieux que personne avant lui., Cette portion de l
réunis en sont un autre. Ces deux derniers noyaux sont quelquefois décrits ensemble sous le terme générique de glohus pallid
on bord est sinueux. C'est la section transversale d'un faisceau bien décrit par Meynert sous le nom de fasciculus relroflex.
major (FOi) dont la direction reste la môme. LFE. La lame festonnée décrit verticalement sa courbe en fer à cheval autour de
est celle au-dessous de laquelle le faisceau compact du fornix (FCF) décrit son anse en fer à cheval. Elle rétrécit le passag
e lobe carré. FCF, le faisceau compact du fornix et (cin) le cingulum décrivent une concavité anléro-interne au devant de laquell
et situé en dehors de lui. Ces deux faisceaux dirigés de bas en haut, décrivent une courbe à concavité antérieure où se loge le f
ande partie de la profondeur du grand sillon occipito-temporal. On la décrit sous le nom de cuissart de Malacarne ; et la plup
e faisceau supérieur du forceps, bien séparé du faisceau moyen (FOm), décrit une grande courbe à concavité dirigée en bas et e
e la couche inférieure (FL3) de ce faisceau (voy. fig-17 et 18). Il décrit donc, d'une façon générale, une grande courbe à c
sur les coupes déjà étudiées. FOs. Le faisceau supérieur du forceps décrit son arc à concavité inférieure et interne tout au
Cm. Le cingulum. Au voisinage du sinus du corps calleux, le cingulum décrit une courbe à concavité antérieure, embrassant le
I). Cin. Le cingulum est visible sur deux points. Nous savons qu'il décrit un arc à concavité antérieure. Ce sont les deux e
térieure. Ce sont les deux extrémités de Arc à concavité antérieure décrit par le cingulum. Sur une coupe vertico-transversa
ours recourir lorsqu'on étudiera la corne d'Ammon, M. Mathias Duval a décrit ces replis du fasciola cinerea avec un soin tout
pas moins permanents. Cette circonvolution est bien telle que l'avait décrite Broca, un seul et môme pli fondamental, modifié s
é-rieurs qui représentent le cingulum. i". coupes précédentes. Il décrit , dans le sens de ses fibres, un are à concavité a
où il est le plus vertical. 11 n'en est rien, attendu que le splenium décrit , lui aussi, une courbe à concavité postérieure, d
calleux (ce). Les fibres de ce faisceau rayonnent en éven tail, mais décrivent clans leur ensemble une courbe à concavité antéri
la partie postérieure et inférieure du corps calleux. Les sinuosités décrites par le fasciola cinerea rendent compte des différ
s calleux (LMA). Ces deux parties fondamentales doivent toujours être décrites l'une après l'autre. Sur la figure 51, la subst
lle les recouvre l'une et l'autre. Mais comme ces deux couches grises décrivent des ondulations, et comme ces ondulations sont to
té ces couches elles-mêmes. Toutes les fois, en effet, qu'un faisceau décrit une courbe, et que cette courbe est intéressée pa
essus du corps calleux, puis au-dessous de la corne d'Ammon. Comme il décrit un trajet arqué à concavité antérieure établissan
ond, repousse toujours en dedans le faisceau sensitif (FSe, FSi), qui décrit une concavité externe, en général située vers le
ion invaginéc s'appelle straluni lacunosum (LST). Mais, après avoir décrit son trajet circulaire autour de la convexité infé
on de l'hippocampe, avant de se terminer dans le fascia dentata (Fd), décrit une double courbe dont le sens est invariable. C'
tractus blanc une couche spéciale, surajoutée à la constitution déjà décrite de la corne d'Ammon. Sur la coupe 54 on remarquer
(Laq1); par conséquent il se porte en avant et en dehors obliquement, décrit une courbe à concavité interne, passe, comme une
nant ainsi à la couche de Reil. Puis il s'infléchit en dehors (Laqs), décrit le môme arc à concavité interne, en avant et au-d
oyau rouge de la calotte (NR). Or, en fait, le fasciculus retroflexus décrit bien une courbe à concavité postérieure; mais son
rayonnante du thalamus (fig. 68), issue en grande partie du pulvinar, décrit une courbe au-dessus de la bandelette sous-optiqu
t distinctes des deux noyaux interne et externe, pour qu'on renonce à décrire le pulvinar comme une portion commune à ces deux
quelquefois tronqué (fig. 73), est dirigé en dehors, et dont la base décrit une concavité qui regarde en dedans, à la hauteur
fascia dentata recourbé en avant et en dedans. L'arc de cercle qu'il décrit a sa concavité dirigée en arrière ; cet arc est l
5, 88), accompagnant toujours le corps godronné dans ses ondulations, décrit , elle aussi, un arc de cercle à concavité postéri
voy. plus loin) ; à leur partie externe se trouvent les fibres, déjà décrites , de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, f
nsversal, entre l'étage inférieur (FM) et l'étage supérieur (LTE). Il décrit une courbe à concavité supérieure; son extrémité
ieur (FLP). Sur la coupe 90, on distingue, en dehors du trajet déjà décrit du faisceau longitudinal, une traînée grise (FLP)
e le contour de la couche optique (Th) à travers laquelle les parties décrites sont censées visibles ; LML, lame externe du thal
ranchement arrêtée sur tout son bord supérieur. La ligne sinueuse que décrit la face supérieure du faisceau longitudinal infér
gment inférieur de la capsule interne (GIF, fig. 94). Sa lame grise décrit des méandres moins élevés ; sur la coupe 94 elle
fibres. 11 épouse la courbure convexe de celui-ci, et par conséquent décrit une concavité regardant en dehors. Parvenu un peu
e, ganglion de la capsule interne, corps de Forel, a surtout été bien décrit par M. Luys, du moins au point de vue de sa forme
sule interne (radia-tio fasciculi posterioris). la planche XXVll il décrit une courbe à convexité supérieure. La concavité i
e perforé postérieur EPA. Dans la première portion de son trajet elle décrit donc une courbe à concavité supérieure ; cette pr
-Meynert, le faisceau sensitif interne que nous avons déjà longuement décrit . Il se confond bientôt (fig. 102) avec la racine
'anse du noyau lenticulaire (ANL). De cette façon, il est légitime de décrire le fascicuîus rctroflex comme un faisceau croisé.
passer à la partie postérieure de l'espace perforé, le faisceau (Thl) décrit encore une courbe à convexité antérieure. Les deu
la voûte, au sommet même de la parabole que parcourt ce pilier. Elle décrit une courbe en fer à cheval à convexité antérieure
isceau géniculé (FG, fig. 113), venu de la capsule interne (FG, 111), décrit une courbe en spirale avant de gagner le pied du
. Le noyau de l'anse, comme toutes les couches de la base du cerveau, décrit une courbe à convexité supérieure. Les coupes en
exagération voulue (la commissure, en effet, vue ici par derrière, ne décrit pas une spire complète autour de son axe). On rem
mpact ou au faisceau diffus du fornix (schéma 187). Nous avons déjà décrit le faisceau diffus du fornix comme un grand faisc
es sont presque transversales; elles sont au sommet de l'arc qu'elles décrivent . Plus loin encore elles sont représentées simplem
ig. 124) sous le globus pallidus et sur la ligne médiane, puisqu'elle décrit un arc à concavité antérieure. Ici deux mots d'ex
ux mots d'explication sont indispensables. La commissure antérieure décrit souvent un arc à convexité antérieure régulière;
la ligne médiane, au-dessus de l'espace perforé antérieur, de façon à décrire deux convexités latérales. Si la convexité antéri
au que nous étudions actuellement. Mais la commissure antérieure ne décrit pas seulement cette double courbe. En môme temps
l'hémisphère (fig. 127) ne diffère pas d'abord de ce qui a été vu et décrit jusqu'à présent. Mais à partir de la coupe 129, o
u contraire, sur la figure 9 elles sont horizontales. Nous avons déjà décrit le trajet recourbé des fibres en question, qui co
caudé (RNC) envoie à la capsule externe (CE) des fibres dont la masse décrit une courbe à concavité postérieure. Nous savons l
le de reconnaître toutes les parties que nous avons déjà énumérées et décrites . Mais certaines particularités méritent d'être ob
15 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
Dr A. Gianelli sont par- venus à la suite de la comparaison des cas décrits de maladie des lobi frontales ou cerveau fronta
, mais non l'expli- quer. Le fait lui-même n'était pas complètement décrit : si au bras nous avons une contraction des flé
ction, avec un sérieux plein de fierté et de menace. Kahlbaum (1) décrit un maniaque fort gai qui devint tout il coup ex-
il n'avait même aucune idée à ce sujet. Un malade comme celui qu'a décrit d'Or- mea (2) lequel s'habillait comme un saint
st plutôt portée à l'exaltation, il n'en est pas moins vrai qu'on a décrit de ces apparats symboliques, en rapport avec des
entiellement dépressifs de déments. Vous souvenez-vous de ce malade décrit par Kraepelin (3) qui portait son bras lié par un
Ambrosius Barth- Leipzig. 80 GALVANO BOSCHI cet autre malade décrit par Merklin (1) qui portait une armure de 12 kil.
urs que lui envoyaient ses ennemis ? et de ce paranoïde fantastique décrits également par Weigandt (3), qui portait une ban
ur- tout pour le dernier cas). - Enfin, les trois crânes brièvement décrits par Bonsdorff (5), Manouvrier (6) et Romiti (7)
eraient pourtant pas constants, à en juger d'après les quelques cas décrits par d'autres auteurs. La forme de la région occ
es (2). Ces observations ne sont pas uniques. Le crâne dysostosique décrit par Terry avait les pariétaux divisés en deux p
ivants la plupart des anomalies de la base du crâne que je viens de décrire . Seuls, le renfoncement de la région auriculair
uvent confondu l'une des formes avec l'autre et que beaucoup de cas décrits au chapitre de la poliomyélite aiguë des adulte
igoureuse. Je peux rappeler, au contraire, que quelques auteurs ont décrit une para- lysie infantile cantonnée exactement
acille de Koch, mais à ses toxines : dans la majeure partie des cas décrits , en effet, le foyer bacillaire primitif était l
lose ; il s'agissait donc d'un cas pur, analogue à ceux qui ont été décrits par Vierordt, Rosenheim, Se- nator, Charcot et
re. En présence des modifications structurielles que nous venons de décrire , nous pouvons seulement nous demander si elles
vient évidemment à y retrouver les principaux caractères qui ont été décrits par Nissl sous le nom de maladie chronique des
uleux avec la méthode de Marchi est sans doute Simon (1868-70), qui décrivit l'existence de corps granuleux dans les cordons
x dans les cordons postérieurs de ces malades. Après lui, on trouve décrites des altérations du même genre, tantôt légè- res
ésions médullaires dans la polynévrite tuberculeuse et ce qu'on y a décrit particuiiëremenr-à t'ajde de la méthode de Marchi
sentielles des cellules ni d'altérations à foyer pareilles à celles décrites par Minnich, Nonne, Lichteim, Eisenlohr etc. da
termes la coloration violacée des tubes myéliniques que nous avons décrite plus haut ne tiendrait qu'à un changement de la
re, une seule fibre colorée en noir de la même façon que nous avons décrite dans la moelle épinière. Le nerf sciatique re
peu fléchi, il se produisait du côté malade les mouvements associés décrits plus haut. Mêmes phénomènes se produisaient, si
de l'hémisphère droit. Ce malade présentait les mouvements associés décrits par Pitres et Camus, mais il ne présentait aucu
l eut des « attaques » que nous n'avons pas vues, mais qui nous été décrites par une personne qui vit l'une d'elles. A 7 heu
» dans ses jambes ; elles furent semblables à celles que nous avons décrites chez sa fille Alice. Le 10 novembre 1904, vers
ervation est le point de départ de tout ce travail ; son état a été décrit en détail ci-dessus. Mary qui vient après est n
RENCH proche beaucoup s'il n'est pas identique avec celui qui a été décrit par Milroy en Amérique en 1892 sous le nom de «
rit par Milroy en Amérique en 1892 sous le nom de « une variété non décrite d'oedèmes héréditaires », et en France en 1898
et peut-être les « attaques aiguës » auxquelles nombre des malades décrits ci- dessus ont été sujets. Il semble vraisembla
aît comparable, bien qu'il y ait quelques différences, aux familles décrites par Milroy, Meige, Rolleston, et d'autres obser
es autres observateursélaient qu'ils présentaient ce que nous avons décrit comme des « attaques aiguës » dont nous avons d
e rapporter. En effet si la cheiromégatieou hypertrophie de la main décrite pour la première fois par Charcot et Brissaud (
thyroïdienne, ont, au contraire, été moins étudiés et doivent êlre décrits et interprétés à part. Je passerai donc rapidem
L'hypothyroïdie bénigne chronique ou syndrome d' Hertoghe. Hertoghe décrit des phénomènes d'insuffisance thyroïdienne chez d
ez celles-là. Interprétation. Parmi les multiples auteurs qui ont décrit des psychoses dans le goitre exophtalmique, Bas
is dans ce groupe. On peut ainsi, avec L. Lévi et H. de Rothschild, décrire le syndrome de Basedoiv fruste, l'hy- perthyroï
n de circumduction, elle porte en avant la jambe paralysée, faisant décrire au pied un arc de cercle. Notre malade, au contra
légique hystérique ne marche pas tou- jours de la manière classique décrite par Todd : quelques-uns de ces ma- lades, il es
coxalgie hystérique diffère-t-elle ou non de celle que je viens de décrire dans la coxite organique ? Je n'ai trouvé dans
ie, qui a observé le premier les arthralgies hystériques, qui les a décrites avec tant de soin, ne dit rien sur la démarche sp
elevé presque les mêmes signes de marche paradoxale que je viens de décrire . Ici encore l'enfant inclinait son tronc sur la
pect que présente là main en pince que Pierre Marie et Guillain onl décrite dans la syringomyélie. Cette main est en effet
rmet de rapprocher le dessin d'Holbein du type de rhumatisme sénile décrit t par P. Marie et .Léri (1) dans lequel on retr
le réflexe rotulien. Il n'y a"guère que 30 ans que Erb et Westphal décrivaient le réflexe patellaire (1875), et c'est à cette
de appui. .Rappelons d'abord les caractères des lésions vertébrales décrites par Marie et Leri. Dans une première autopsie (
- lette tout entier. En ce qui concerne la colonne vertébrale, elle décrit une double courbe à grand rayon concave en avan
aque variété de ligament, et le trouver identique à celui qui a été décrit . Cette ossification se fait fibre par fibre, pu
un processus de compensation suivant le mécanisme si ingénieusement décrit par Léri (1) dans son rapport sur la pathogénie
on doi s'efforcer de donner l'attitude la plus utile. Le mécanisme décrit par Léri explique très clairement les caractères
musculaire d'autre part. Bechterew (1), dans le syndrome qu'il a décrit et qui est connu sous le nom de cyphose hérédo-
d'ankylose vertébrale. J. Tessier et ses élèves Jouve et Mayet ont décrit les névralgies inter- costales, crurales, sciat
moteurs. Toutefois, dans l'une comme dans l'autre affection on n'a décrit jusqu'ici que des lésions limitées des racines
elle présente. Dans la notice qui lui est consacrée, Winckelmann la décrit sous le nom de « musico infibulato ». On sait q
plus différents est par- faitement conservé et,sur demande, elle en décrit les caractères avec une grande exactitude et ri
e (à cause de l'âge) les mêmes caractéristiques qui viennent d'être décrites à propos de la main de Marguerite. Tous les os
ompa- raison de l'état d'ossification de la main que nous venons de décrire (d'Adrienne 15 ans 1/2) avec celle de la soeur
ce particulière, à cause de caractères dif- félqnts de ceux qu'on a décrits jusqu'à présent. J'ai cru utile de les faire co
s trouvons peu de cas d'acromégalie hérédi- taire ; Fraentzel (1) a décrit une femme acromégalique,qui eut un enfant acrom
égalie qu'en passant ; car si môme l'on s'en tient aux cas que j'ai décrits , on peut voir combien il est difficile d'en tir
flam, ou bien dans certains cas de cette forme de Basedow qui a été décrite sous le nom d'asthénique. J'ai recherché la réa
fesseur Grocco en a rappelé quelques cas; un d'un typique se trouve décrit dans ses leçons (1) à la page 154., il concerne
lade présente un aspect myxoedémateux. On a en effet plusieurs fois décrit une forte diminution du tissu cellulaire sous-c
re (presque tons les cas d'acromégalie accompagnés de syringomyélie décrits jusqu'à présent ont désormais été reconnus comm
ormemorlide), j'oppose ceci que dans la syringomyélie on n'a jamais décrit une hypertro- phie totale de la langue ; or cet
issements, exostoses, ostéophytes. Aux mains particulièrement, on a décrit comme caractéristique de l'a- cromégalie une al
typique d'os- téoarthropatllie chez un sujet atteint d'acromégalie, décrit par Beduschi (1). Mais les altérations les plus
ives. Si nous passons maintenant aux radiographies des cas que j'ai décrits plus haut, je dirai que dans le premier, où il
aladies ni de fractures de ces parties de corps. Ce que je viens de décrire et que je crois devoir attribuer à une atrophie
laires très agrandis. Dans les autres .cas d'acromégalie que j'ai décrits autrefois, j'ai trouvé des altérations légères,
es examens faits à des périodes diverses. Dans le premier des cas décrits ci-dessus, à l'examen histologique du sang, on
l'on songe que dans mes cas anciens et aussi dans les trois cas ici décrits , les recherches sur les échanges matériels ont to
x méthodes, je me suis servi des plus exactes, lesquelles j'ai déjà décrites plusieurs fois. Les^divers éléments des aliments
quoique moins denses et moins éten- dues, à gauche. Comme je l'ai décrit précédemment, l'écorce et les masses grises de la
tions du lobe frontal droit ne sont pas toutes les mêmes que celles décrites dans les observations précédentes. Il n'est pas
insula et des lésions générales de l'hémisphère gauche, qui ont été décrites plus haut. Pour des cas de ce genre il semble jus
les expliquer on ne saurait invoquer des lésions du genre de celles décrites plus haut : ces dernières sont le résultat d'une
ire; offre un volume superbement relié. La scène que nous venons de décrire est entourée d'un riche encadrement formé d'une
et la Tuberculose. En 1871 Lorain et son disciple Faneauclela Cour décrivirent parfai- tement une forme d'infantilisme « carac
s, etc. et elle est le plus souvent dénommée, d'après celui qui l'a décrite le premier : Infantilisme du type Lorain. M. Bris
nnent surtout les cas de sténose de l'orifice pulmonaire et mitral, décrits par Durety-Comte, Monnier, Potain, Gérard, Mous
de la cyanose et de la fréquente hyperglobulie. La chlorose mitrale décrite par Potain, G : Sée, Huchard, Bonet, ne doit pas
type Lorain. Nous avons vu que les premiers infantiles qui ont été décrits , étaient des hérédo-tuberculeux : de tels cas o
, Hirtz, Lorain, Faneau de la Cour, Ferranini, etc. Ce dernier en a décrit un joli exemple familial à propos de deux soeur
entaire, l'appétit sexuel minime. Lrancreau,Fec°raccirci, etc., ont décrit des cas d'infantilisme par malaria chronique ;
s cas d'infantilisme par intoxication pellagreuse chronique ont élé décrits par Lombroso,Ceni, Agostini ; ce dernier a obse
yxoedème infantile (Thibierge) et du myxinfantilisme magistralement décrit par Brissaud. Nous ferons enfin brièvement mentio
actères si nets ont pris place des formes de transition qui ont été décrites par Brissaud, Vivier, /He<eM.x,y7;< ? va
e nous sera beaucoup plus aisée pour les formes de myxoedème fruste décrites par Thibierye : celles-ci présentent plus évide
fantilisme de Lorain chez un addisonien. ' l;tl>·017b Bramivel a décrit un infantilisme pancréatique, et 11'ezasser croit
logique nous monlrechez les myxoedémateux frustes, tels qu'ils sont décrits par Hertoghe, une lésion constante et exclusive
es formes de sénilisme ou géroderme génito-dystrophique qui ont été décrites par Rummo et Ferranini. 1 Schuller pense aussi
les dif- férentes glandes à sécrétion interne, tels qu'il nous les décrit , peuvent être propres à appuyer sa thèse, mais
rectement notre étude, le tableau psychique n'est pas très facile à décrire et nous verrons qu'au- cune des définitions pro
cas très rares à un syndrome d'infantilisme total. C1ll'schin,q;¡ a décrit deux cas de cette nature ; le premier sujet, Max
ne cellule inter- stitielle. L'adiastématie précoce telle que l'ont décrite Ancel et Boin était donc dans ce cas la premièr
la poussée initiale : un syndrome en somme en tout analogue à celui décrit par Quincke. Contre le diagnostic d'hydrocéphal
re. La forte hypertension aurait causé enfin, par le mécanisme déjà décrit , une déformation de la selle turcique avec comp
e disposi- tion de ganglion rachidien pour y rechercher les lésions décrites par M. Nageotte à l'aide des imprégnations à l'
ces,on constate les aspects classiques de désintégration cellulaire décrits par Nissl. Les vaisseaux de l'écorce sont multi
rsale et de la première lombaire, nous avons retrouvé la forme en M décrite par M. Nageotte à la bandelette externe à ce ni
tériques guérissent-elles avec une cicatrice chéloï- dienne qui est décrite par [tous avec les caractères suivants : « Elle e
16 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. les membres inférieurs que nous avons décrites ont vu leur réflexes s'exa- gérer considérablem
e de la forme commune de la myélite syphilitique que nous venons de décrire que du tabes vrai; souvent l'affection reste st
point de vue clinique. Or aucun cas de ce genre n'avait encore été décrit jusqu'au jour où M. Brissaud en 1890 en observa
ment les plus atteintsdans la paralysie pseudo- hypertrophique pure décrite par Duchenne de Boulogne (3), à savoir : tout d
t point, qu'il existât ou non, constaté chez ses malades, lorsqu'il décrivit la forme infantile héré- ditaire de l'atrophie
3 ansi/2. Les crises persistent; M. Valmont qui en a le témoin les décrit ainsi : dé- but par rougeur subite et cris ; pu
scarlatine bénigne. Les progrès de l'hémiplégie que nous venons de décrire se sont continués, à peu près parallèlement pou
ant 7 ans. L'hystérie a donc copié dans ce cas les types organiques décrits par M. Charcot. Nous pouvons fournir, croyons-
sait pas atteint d'affection grave. M. IIu- chard (3) en 1882 avait décrit « quelques convulsions partielles hystéri- ques
nt en effet le type de ces « affections nerveuses locales » si bien décrites par l'auteur anglais et il est extrêmement rare
ondre si bien dés l'origine qu'il devient presque impossible de les décrire l'un sans l'autre ou l'un après l'autre. Cela r
atteindra un centre unique ou deux centres voisins, il y a lieu de décrire , après MM. Charcot et Pitres, des monoplégies p
hystérique qui simulait chez un enfant le type de l'aphasie motrice décrit par Broca ; il n'y avait pas de mutisme (1).
de la région pédonczsloprot2cbéz°azatielle donnent lieu au syndrome décrit en cli- nique sous le nom de syndrome de Weber
érance. On entend par syndrome de Weber, du nom de l'auteur qui l'a décrit pour la première fois en 1865, une paralysie al
émon quand je le menaçais du St-Sacrement, aucune plume ne peut les décrire : ses gémissements et ses soupirs déchiraient l
s et ses soupirs déchiraient le coeur. Toujours les phénomènes déjà décrits survenaient, lors de la bénédiction avec la sai
de longues objurgations et au milieu des phénomènes effrayants déjà décrits . Je continuai à lui répéter d'abandonner l'enfa
ne espèce de panaris qui a grande analogie avec la lésion récemment décrite sous le nom de panaris analgé- sique. Ces ulc
et des ulcérations de la syringomyé- lie. Le panaris analgésique, décrit en 1883 par un médecin breton, nommé Morvan, es
sés dus à des névrites traumatiques comme celles que nous venons de décrire , des troubles trophiques, identiques comme aspe
duits partout. Les études à venir nous apprendront s'il y a lieu de décrire il part l'artérite et la méningite syphilitique
s organes et appareils où il a été bien étudié. Virclow en 1858 l'a décrit admirablement (1) ; et il faut relire son travail
Pl. citée, lig. 6). On reconnaît la les altérations des tubes nerveux décrites dans un grand nombre de myélites aiguës, expéri
ion paraît avoir été beaucoup plus brutale que dans les territoires décrits précédemment : débris de myéline mal colorés par
.coupes transversales de larges lâches comme celles que nous avons décrites plus haut dans les cor- nes antérieures et dans
-axe, en voie de dégénération, semblables à ceux que nous venons de décrire dans la région dorsale supérieure. Mais la lésion
rvation précise de paralysie isolée des muscles oculo-moteurs. On a décrit par contre un ophtalmoplégie hystérique ; mais c'
t la méningite. Il n'est peut-être pas d'affection plus difficile à décrire en pathologie, parce qu'il n'en est pas dont les
ningites vraies (West). Parmi les pseudo-méningites, nous n'avons à décrire ici que lespseudo- méningites hystériques. Cett
M. le professeur Debove (3) et par M. Barié (4). Les auteurs qui la décrivent prétendent qu'elle n'offre rien de constant, qu
t MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 11l des cas décrits par M. Jules Simon sous le nom de sclérose cérébr
et qu'il croit déjà lui appartenir. . La scène que nous venons de décrire n'occupe que la partie supérieure du tableau, d
it. Leslroubles sensitifs sont identiques à ceux que nous venons de décrire . La main gauche est absolument insensible au fr
ental des cornes antérieures parait raréfié, dissocié par l'exsudat décrit plus haut, lorsqu'on l'examine avec un fort gross
ation active. Dans la substance blanche, les lésions que nous avons décrites présen- tent un intérêt tout particulier eu éga
importante : les petits champs de dégénérescence que nous venons de décrire se rencon- trent sur toutes les coupes en plus
ue présentée par le malade et la méningo-myélite que nous venons de décrire ? S'agit-il d'une coïncidence, d'une complicati
s vaisseaux qui cheminent à la surface de la moelle. Le premier, il décrit les altérations des veines dans les lésions syphi
syphilitiques. A propos d'une observation personnelle, ces auteurs décrivent avec détail cette forme de lésion anatomique. Ici
pte des lésions méningées, parfois très légères dans cette forme, à décrire à part la phlébite et l'artérite médullaires syph
ions que nous étudions et les lepto-myélites tuberculeuses, si bien décrites par M. Raymond (2), mon- trant une fois de plus
ne accumulation de cellules rondes semblable à celle que nous avons décrite et figurée précédemment (voir fig. 3, pl.1111,11V
e fait plus aussi faci- lement. Les transformations que je viens de décrire sont bien visibles sur les photographies ci-joi
huent encore aux transformations physionomiques que nous venons de décrire , savoir : des variations dans la circulation et a
ettant, par conséquent, le caractère cortical des parésies que j'ai décrites , on appréciera toute la justesse des remarques fa
ique musculaire paraît normale; l'élastique est comme tendue, et ne décrit pas de sinuosités comme on en voit sur les coup
à rattacher à la syphilis les lésions spinales qui viennent d'être décrites . L'absence de caractères spécifiques n'est pas
cale. SYMPTOMES Il ne saurait être question, en l'étal actuel, de décrire chacune des for- mes cliniques de la syphilis m
d de toutes ces variétés. Quoiqu'il en soit nous nous attacherons à décrire les formes les mieux caractérisées cli- niqueme
oujours des douleurs nocturnes lombaires, telles qu'et- les ont été décrites plus haut; mais elles sont moins intenses. Dans l
mme il les appelle, viendront plus tard, - il crée des types et les décrit comme il les conçoit avec pièces anatomi- ques
nière. C'est l'époque où Duchenne, de Boulogne, son rival en génie, décrit l'a- taxie locomotrice, l'atrophie musculaire s
maître l'appoint de leurs connaissances spé- ciales. Je ne veux pas décrire cet « Institut » pour employer le terme con- sa
clinique de la myélite tralmerse dorsale telle que nous la trouvons décrite dans les ouvrages classiques (Leyden, Charcol, Vu
hilis dans les cas de ce genre. Les formes de paraplégies ci-dessus décrites sont de beaucoup les plus importantes et les pl
qu'on serait presque autorisé, faisant abstraction des premières, à décrire à part l'arté- rite syphilitique de la moelle,
aît les avoir observées, analysées et mé- ditées longuement. Il les décrit avec une loquacité et une mimique singulière- m
onne à laquelle il recommence son récit lamentable. - Parfois, il décrit ses souffrances sur un ton enthousiaste, se compl
nts, attitudes passionnelles, etc. C'est ainsi du moins qu'on les a décrites . Pendant cette période l'appétit reste normal.
crâne se faisait avec les tarières ou les trépans. On leur faisait décrire ou bien des demi-cercles dans un sens puis dans l
vait mis de côté la plupart des instruments que nous venons de voir décrire par A. Cruce. On employait encore les tenailles,
découverte remontait à Guillemeau (-1591.) et que Sabatier, en 1796 décrit comme suit. cc L'arbre du trépan doit être cons
citations senso- rielles quelconques. Si nous envisageons les faits décrits par M. Ilogyes, nous voyons deux types dans l'é
alade est assise ? la contracture survient de la façon précédemment décrite ; mais si elle est couchée, la contracture s'ef-
les mêmes mouvements de flexion et d'extension, que nous venons de décrire pour l'apparition de la contracture, el se pro-
V et XLV). Si nous récapitulons ces différents stades, nous pouvons décrire les pha- ses suivantes. : . 1. Après une duré
ontracture gauche dont les modalités sont analogues aux autres déjà décrites ; l'excitation gustative du côté droit de la langu
la suite de l'excita- tion de lui). Tandis que les expériences déjà décrites démontrèrent, qu'ci l'excitation unilatérale de
La température est normale. Les phénomènes de tension mus- culaire décrits plus haut disparaissent progressivement; l'extrém
stipé et irrégulier dans ses garde-robes. Les symptômes hystériques décrits dans la première partie de l'observation persis
hant il apitoyer sur ses malheurs, heureuse quand elle s'attarde il décrire par le menu ses sensations. D'elle-même, elle n
de la nuque (plaque cervicale). Puis la rachialgie que les malades décrivent en se plaignant de douleurs dans le dos, entre
érations se manifestent par des sensations bizarres que les malades décrivent avec un grand luxe de détails parfois incompréh
ic. - En première ligne, il faut citer l'affection que M. Charcot a décrite sous le nom d'« Automatisme comitial ambulatoire
17 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
igure montre très nette- ment la déformation « en taille de guêpe » décrite chez les myopathiques (2). Cette déformation es
ans une même famille. Pour la myopathie atrophique progressive on a décrit t dès le début, à côté du type facio-scapulo-hn
icles sur les maladies transmises par hérédité, « on serait amené à décrire autant de formes de maladies qu'il y a de famille
rb, Scbultze, Déjerine, Raymond, Marie, Gowers, etc.. ont fort bien décrit ces altérations. Mais, malgré ces déformations,
i, malgré l'atrophie des grands pectoraux la déformation thoracique décrite par M. Marie fait- elle défaut dans le cas actu
auteurs français quelques cas comparables à ceux que nous venons de décrire . A. Uns. dans mémoire de Déjerine et Landouzy,
cation peut contribuer à compléter l'histoire du type d'amyotrophie décrit en 1886 par MM. Charcot et Pierre Marie. Observ
moins très singulière. Il ne s'agit pas non plus, de cette maladie décrite par MM. Déjerine et Sottas, sous le nom de névr
ormes ? Il faut voir si notre cas s'accorde exactement avec le type décrit par 58 SOCA MM. Charcot-Marie. Trois grands s
t que très lentement. En même temps qu'apparaissaient les troubles' décrits du côté des membres inférieurs, les membres supér
ne telle locali- sation de l'atrophie, caractéristique pour les cas décrits par les auteurs précédents, se distingue beauco
aiblissement de tous les réflexes tendineux. Si tout ce matériel, décrit en détail et dans le résumé, était découvert pa
et 2 soeurs de Hoffmann et 1 frère et 2 soeurs de Pelizns). Si on a décrit des cas de l'apparition de la maladie après l'une
ous ces éléments nerveux, des capillaires en nombre incommensurable décrivent des mailles serrées assurant une circu- lation
foyers. » Nous n'avons jamais observé d'images semblables à celles décrites par les auteurs et reproduites dans le compte r
inégalité des parois lacunaires. Mais il y a plus : ces auteurs ont décrit une membrane qui limiterait la cavité du côté d
r axe. Ils présentent à un moindre degré les lésions que nous avons décrites l'artériole centrale de la lacune, c'est-à-dire
éments globulaires. C'est d'abord une variété de noyaux qui ont été décrits par MM. Dupré et De- vaux (1) : « Il existe un
deuxième degré des foyers lacunaires de désinté- gration nous avons décrit une cavité contenant à son centre un vaisseau alt
re de vaisseaux qui présen- tent tous les caractères que nous avons décrits précédemment à l'artère centrale. Elles sont to
'on observe d'une lacune à l'autre. La plupart des lésions que l'on décrit en anatomie pathologique sont faites sur un typ
cas congénital spastis rigidity oflimbs et Heine déjà en 1840 avait décrit paraplegia spastica cerebralis, tandis que les
cervelet. Par le pédoncule supérieur, le noyau rouge et le faisceau décrit par Meynert, cette région s'unit aux zones pariét
e véritable scène d'uromancie analogue à celles que nous avons déjà décrites , mais avec son caractère lugubre tout particuli
ement aux urologues. Nous avons vu, par quelques scènes médicales décrites plus haut, que xv 13 194 PAUL RICHES l'art
ans la profondeur on sent nettement (outre l'auriculaire ci- dessus décrit ) 3 phalanges inclinées sur la paume de la main pa
'ensemble s'effile, se terminant dans la petite massue précédemment décrite . Dans la masse molle, du côté radial de la main
onsultation de la Salpêtrière est vraiment bien remarquable ; on ne décrit pas dans quelque endroit un symptôme nerveux biza
'il a un travail devant lui. C'est bien là l'ensemble des symptômes décrits par M. IIaskowec : des secousses, de l'agitatio
symptôme est-il identique à ceux que l'on observe chez les malades décrits par M. IIaslconec, en particulier chez le second
ants et a conclu un en- gagement avec le père. Le Dr Chapot-Prévost décrit en outre avec certains détails le pont membrane
icatrices anciennes, d'aspect astéroïde, que différents auteurs ont décrites sur les faces externes de ces membres atro- phi
ibrement articulées entre elles. La malformation que nous venons de décrire rentre évidemment dans l'ordre des ectromélies,
par des caractères précis, de l'absence du péroné telle qu'elle est décrite généralement. Il resterait à déterminer, dans l
aration complète de l'écorce et de la substance blanche (altération décrite par Baillarger, Rey, Tuczek). Dans le lobe temp
la démence paralytique (1). Nous croyons même qu'on est autorisé à décrire à part une variété sensorielle de la paralysie gé
s chacune de ses portions, se modifier, ainsi que nous venons de le décrire , la disposition des enveloppes communes, 294 TH
athologiques du processus inflammatoire interstitiel que Nageotte a décrit en cette région, lui a paru être l'aug- mentati
usivement recours pour l'observation des lésions localisées qu'il a décrites . Elles sont d'autre part'indispensables pour l'
aux conjonctifs épais, homogènes, très analogues à ceux qui ont été décrits précédemment. Voyons maintenant les rapports gé
il existe des lésions de périnévritc analogues à celles qui ont été décrites pour la racine postérieure, mais elles sont moins
rme ovalaire dont l'aspect est le même que celui que nous venons de décrire . Au centre une masse de tissu conjonctif en voi
méninges molles a le même aspect flou, amorphe, clair, précédemment décrit . Elle semble se former par l'agglomération de mas
AR J. SÉGLAS Médecin de l'hospice de Bicêtre. En 1874, Kahlbaum décrivait sous le nom de Catatonie (1) un com- plexus sym
des alternatives d'excitation ou de stupidité avec leurs symptômes décrits ci-dessus. La maladie peut guérir, ce qui est l
gent à l'opinion de Kroepelin et, à côté de la forme hébéphrénique, décrivent la forme catatonique de la démence précoce. S
s cas que Kahlbaum semble surtout avoir eu en vue lorsqu'il a voulu décrire la catatonie comme entité morbide. Il est à rem
tient pas au pied de son lit ou le long d'un mur dans l'atti- tude décrite au début, il reste assis sur une chaise, la tête
gèrement incliné à droite, de telle sorte que la colonne vertébrale décrit une double courbure latérale, concave à droite,
andis qu'elle emprunte les autres à divers tics ou spasmes, souvent décrits sous des noms divers, mais encore imparfaitement
sommeil. » L'émotion exagère toujours ces mouvements. On ne saurait décrire avec plus de précision les caractères propres au
utenues. Démarche. La démarche est des plus bizarres et difficile à décrire , c'est un déclanchement de contractions variées
ticipe à ces contractions fasciculaires généralisées que nous avons décrites plus haut, et que, la secousse minima une fois ob
, brusques et instantanés. z Nous retrouvons ces mêmes contractions décrites par M. Marie dans 1,'Iiéi-édo ataxie : « Je doi
nce parfaite de cerlaius autres, offerts par nos malades, avec ceux décrits dans l'hérédo-ataxie et la maladie de Friedreich.
cines. - A côté des altérations parenchymateuses que nous venons de décrire , il existe des lésions des méninges, du tissu c
u tissu conjonctif inlra-fasciculaire (endonévrile). Nageotte qui a décrit ces localisations in(lammaloires, a montré qu'ell
racines postérieures diffère par bien des points de celui qui a été décrit en général soit dans l'intoxication expérimentale
enheim (1), W ollenberg (2), Stroebe (3), Redlich (IL). Les lésions décrites par ces auteurs portent sur la configuration géné
ère. Nous avons rappelé plus haut le siège et la nature des lésions décrites par Nageotte(2) ; quelques auteurs les ont égal
onévrite existent, elles revêtent généra- lement l'aspect qui a été décrit par Nageotte, et dans l'obs. V, cas de tabes ré
pulmonaire, etc.). Nageotte a répondu, il est vrai, que dans un cas décrit et figuré par de Massary, la lésion différait c
ésion différait complètement par son aspect des lésions qu'il avait décrites et figurées chez les tabétiques, mais il n'expliq
its prouvent tout simplement d'après Nageotte que la région qu'il a décrite présente des aptitudes pathologiques spécia- le
tions. Nous ne pensons pas toutefois qu'on doive reléguer la lésion décrite par Nageotte au rang des banalités, et il serai
, lorsque celle- ci est extrêmement intense (obs. I). Les lésions décrites par Nageotte se rattachent selon nous aux altérat
té au-dessus de lui de dégénérescence répondant au trajet récemment décrit du faisceau de Gowers vers le cervelet. Le se
se des coupes sériées, que les lésions mésodermiques que nous avons décrites plus haut n'ont altéré en rien la pureté de ces d
re de la formation réticulée blanche, comme ceux que nous venons de décrire au-dessous du foyer F2. Un certain nom- bre de
les mêmes que celles que Probst a vues chez des animaux et qu'il a décrites comme des fibres ascendantes venant de la moell
dégénérescence ascendante du faisceau descendant que nous venons de décrire , comparable à la dégénérescence centripète que
e du vertige, qui est un phénomène complexe et encore obscur, ni de décrire à nouveau le symptôme asynergie, pour l'étude c
elle était la nature de cette couche nouvelle, ou plutôt non encore décrite , de cellules cérébelleuses ? Il nous parut tout d
cru pouvoir les identifier avec les grandes cellules étoilées bien décrites par Ramon y Cajal, Golgi, Bechterew, et que Déj
lui dit de s'asseoir seulement, il présente au maximum le phénomène décrit par Bahinski : les membres inférieurs en ex- te
haise et au moindre mouve- ment présente les oscillations latérales décrites plus haut en même temps que s'exagèrent des sec
la mince couche de cellules à caractères si tranchés que nous avons décrite . C'est à l'extrémité d'une dentelure ou un peu
dans le cervelet des lésions identiques à celles que nous venons de décrire ; leur description parait calquée sur les pré- c
1901. A deux reprises elle a eu des accidents délirants comme ceux décrits ci-dessus. Ces jours-ci elle en a eu une nouvel
s coupes colo- rées au Weigert-Pal, mais les détails que nous avons décrits ci-dessus ne peuvent être distingués avec cette
T - voir que l'atrophie ressemblait beaucoup à celle que nous avons décrite . « Le cervelet, écrit-il, est atrophié considér
t et leur condensation sous la forme du mince feston que nous avons décrit ? Nous penchons pour la deuxième solution. Qu
insister encore une fois sur ce fait : la lésion que nous venons de décrire se produit d'une manière uniforme dans des cas
avons eu recours à ces dernières aussi dans les cas que nous allons décrire plus bas, croyant que ce procédé nous donnera la
t aux cellules motrices. Ces dendrites sont en général assez fines, décrivent ordinairement des sinuosités, ont des contours
le géant Mû lier du Muséum du Collège des médecins de Philadelphie, décrit soigneusement par Hins- dale (1) : « Sur le suj
crit soigneusement par Hins- dale (1) : « Sur le sujet dont je vais décrire le squelette, dit cet auteur, on ne sait rien,
, Détroit, U. S. A., 1898, p. 69. (2) On retrouve ce même squelette décrit sous le nom de Géant du Kentucky dans l'article
né de retrouver, une mention toute particulière appartient au géant décrit par Buday et Janeso (2) ; il est, à bien des ég
ible de coïncider parfois avec l'hypertrophie du pénis. Après avoir décrit les hypertrophies localisées caractéristiques d
es membres inférieurs. > E. Godard (6) dans ses Notes de voyage, décrit d'une façon remarquable l'habitus extérieur des
ctionnelle des glandes génitales. Il présentait, comme les eunuques décrits par Godard, et comme celui de Lortet, un allong
18 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
e souffle inspiré de Théophile Gautier que la poésie moderne nous a décrit en beaux vers certaines formes de la nature hum
erotiques. Il n'a jamais eu de barbe, ni de poils dans les régions décrites plus loin. Ses cheveux, roussâ- tres dans l'enf
re telle qu'elle aboutit à une perforation spontanée; Strebel (6) a décrit récemment un cas de ce genre. La base présente au
ve pas exactement sa forme ; c'est pourquoi il nous paraît utile de décrire brièvement le moulage de la cavité fait par le D'
tour ventriculaire. Ce dernier indice d'une pression exagérée a été décrit par le professeur Weber dans certains cas de tu
plocormie donné par 111. Souques à ces attitudes est plus exact; il décrit fidèlement (zc;cp.7 ? 6), je fléchis ; zopmoç, le
amiliale (2) ; il a beaucoup de caractères communs avec les malades décrits par Wilson. La raideur est tellement forte que la
la malade ne peut pas se lever spontanément. Un autre cas fut déjà décrit dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêlrière
i examiné la fonction de ces mêmes muscles (1) Ce cas fut amplement décrit dans un des derniers numéros de la Nouvelle Ico
persiste pendant toute la dùrée'de l'effort/ i ' ? .l Le trouble décrit n'est pas signalé dans les cas seuls où les mouve
es cas elle est intacte. / Nous concluons que la lésion des parties décrites seules est en état de perturber la fonction mus
olontaires caractérise les cérébelleux comme le type que nous avons décrit . Pourtant je crois que le plus souvent on sera en
'a nullement conscience de l'accès. Outre les accès que je viens de décrire , depuis environ trois ans elle présente pen- da
soeur épileptiques. Depuis deux ans et demi, il présente les accès décrits ci-dessous à des laps de temps variant de 45 jo
Avant de distinguer les différents types cliniques, il est utile de décrire l'attitude de la main normale au repos, les mus
on totale du nerf. L'aspect de la main est celui que nous venons de décrire à propos des paralysies complètes. Le bord ex
bras. Lorsque la lésion du nerf médian revêt la forme particulière décrite sous le nom de forme douloureuse, la main prend
et son impotence rappellent à peu près les cas de section complète décrits plus haut. Deuxième type. Lorsque la paralysie
doigt présen- tant dans ce cas un exemple typique de la déformation décrite par Jeanne (de Rouen). Cette griffe est très so
ue, décoloration bleuâtre ou rouge violacé rappelant le glossy-skin décrit par Paget. Elle recouvre alors des doigts à l'a
toujours une délimitation bien nette entre les formes précédemment décrites et les contractures pures, le plus souvent un c
itaux, médecin-adjoint des asiles. MM. Pierre Marie et Foix (1) ont décrit comme une forme spéciale de paralysie paratoniq
giques aussi bien à Tours qu'à Bourges, Marseille, Rennes ou Paris, décrits par Meige (1) sous le nom de mains figées, interp
pelet. 4. Motilité volontaire. Le membre garde l'attitude ci-dessus décrite sans que le sujet puisse la modifier sensibleme
e faible mesure, mais les doigts restent tous figés dans l'attitude décrite . . 5. Motilité provoquée. Les efforts de réduct
les, mais limités à cause de la fixation de la main dans l'attitude décrite . 6. Sensibilité. Pas de troubles de la sensibil
nt un pied nettement effilé. L'effilement du piedque nous venons de décrire peut être remarqué aussi en regardant le dos du
sont incurvés en S comme ceux des « mains séniles » que nous avons décrits avec le professeur Pierre Marie ; mais les arti
ac- tylie, mais non point des ankyloses vraies, osseuses. Brocq (1) décrit les raideurs articulaires de la sclérodacty 1 i
ne sont pas la cause de ce trouble trophique, rare et jusqu'ici non décrit des extrémités digi- tales. (1) Aucun cas ana
que la lésion de l'hypophyse détermine le syndrome adiposo-génital décrit par Launois, Frôliche, etc. Toutes les objectio
ophyse, chez l'homme (cas de Franck (2) et celui que nous venons de décrire ). 7° Action de l'extrait hypophysaire sur la po
llement publiés (10), nous pouvons ajouter celui que nous venons de décrire , de même que deux autres récemment observés, qu
générescence sarco- mateuse (1). (1) La partie histologique a été décrite plus minutieusement au Portugal Mendia ne 5, 19
., 1900, p. 600). Comme on le voit, ainsi je n'ai trouvé que 17 cas décrits de polynévrite chez des individus qui avaient c
as de Stocker, il faut encore dire que le cas n'estpas suffisamment décrit et que le traitement mercuriel n'a pas eu un ef
le ne me semble pas improbable. Il y a quelques années, Spitzer a décrit un malade avec une syphilide ma- culo-papuleuse
ette espèce. Nous avons trouvé que des douleurs très fortes ont été décrites pour les cas de polynévrite probablement due à
oir pas recherché la syphilis, mais les lésions vasculaires qu'il a décrites la rendent assez vraisemblable. Dans notre cas,
' proches ou éloignés, n'a présenté d'amyotrophie ; or, l'affection décrite par Charcot et Pierre-Marie,est essentiellement
sont spontanées ou provoquées. ' Le syndrome de cette maladie a été décrit pour la première fois par Dercum en 1888. Aux
II (PI. LIII). Un cas d'espèce analogue à celui que nous venons de décrire s'est offert à' notre observation, il y a un an
nheim (7) a publié, en 1895, deux observations de dysarthrie, qu'il décrit sous le nom de paralysie pseudo-bulbaire infantil
sme est limitée par des éléments cellulaires identiques à ceux déjà décrits , mais plus serrés les uns contre les autres. Da
decina conlemporanea, n" 6, l916, 312 MONIZ Ce symptôme qui a été décrit , la première fois en 1863, par Prévostet Vulpia
la première moitié du xixe siècle nous trouvons des cas étudiés et décrits par Serres, Rostan, Andras, Ribes et Ollivier.
our le diagnostic différentiel, qui ont été sérieusement étudiés et décrits et qui seront mentionnés plus tard. ' Si l'on r
à l'état urémique avec pression surélevée du sang, que l'on trouve décrits dans la littérature. L'autopsie démentit l'hypo
conformité avec la plupart des cas d'hémorragie sous-arachnoïdienne décrits dans la litté- rature ; mais la région du cratè
a région du cratère dans l'espace perforé droit, que nous venons de décrire , doit être regardée comme la source originale de
la limitante élastique interne, cicatrice que nous avons ci-dessus décrite . - Sans aucun doute, l'explication complète du
haut degré. Ce type s'accorde complètement avec celui que Baur a décrit et qu'il a caractérisé en deux mots : « stupéfié,
ment des os du crâne pendant l'accouche- ment. Les cas, qui ont été décrits , de rupture de vaisseaux chez les jeunes enfant
trouve en plus d-'un endroit que l'étiologie de ces hémorragies est décrite ,tout à fait comme un mystère. Les hémorragie
e Kernig, l'hyperestésie, etc., parce qu'on les trouve 336 INGVAR décrits dans beaucoup d'ouvrages détaillés dans ce domain
ces phénomènes s'effacent. Des symptômes locaux différents ont été décrits : mono et hémiparésies, aphasie,amaurose, etc.
COURBON ' par l'atropine avant la phase de. paralysie et qu'a bien décrite récemment Petzetakis (1). C'est sans doute La
s des nerfs a d'ailleurs déjà été entrevue par James Paget quand il décrivit le glossyskin des névrites (1869). Elle a été p
e sont pas effacés. Rappelons que M. et Mme Déjerine ont observé et décrit des troubles et déformations analogues dans le co
ES FRUSTES D'IRRITATION. DU PLEXUS BRACHIAL 355 type de ceux qu'ont décrit MM. Babinski et Froment. On y est d'autant plus
peut encore être mise en lumière par un autre signe que nous avons décrit (1) sous le nom de a signe de l'élongation doul
pports pouvaient avoir les faits qui nous occupent avec ceux qu'ont décrit MM. G. Guillain et J. A. Barré (1) sous le nom
ux aspects cliniques différents. Il est par conséquent légi time de décrire à côté de la névrite irradiante à graves symptô
é observé par nous à une époque où cette méthode n'était pas encore décrite . Le rapport des seuils cherché pour le médian à
te, cette observation étant antérieure l'époque où le procédé a été décrit . Mais l'étude du rapport des seuils faradiques
nes, affectant la pression artérielle et la respiration, phénomènes décrits sous le nom de réflexes oculo-respiratoire et ocu
oeil rapide nous envisageons les symptômes cardinaux de l'affection décrite , nous devons retenir le syndrome caractérisé par
évrite hypertrophique .par des troubles de la marche. L'affection décrite à la Salpêtrière est héréditaire ou familiale, co
ité, qui méritera peut-être de prendre place à côté des formes déjà décrites de la syphilis articulaire. (1) Milian, 10C. ci
loin les travaux. C'est ainsi que dans ce groupe se rangent des cas décrits sous le nom d'hermaphrodisme et pseudo-hermaphrod
La multiplicité de formes et de dénominations sous lesquelles on a décrit les types divers de dystrophie génito-glandulaire
re, nous avons encore l'opinion d'autres auteu) s mo- dernes. Weill décrit l'infantilisme lié à l'arrêt de développement du
font entrer le cas dans l'adias- témacie précoce, telle qu'elle fut décrite par Ancel et Bouin en 1906. Nous rapporterons e
ion, préférable selon nous, de sénilisme (5). Griffith (1894) avait décrit avant Rummo un cas d'insuffisance génitale auqu
se distingue de la forme commune : c'est l'eunuelioïdisrne tardif, décrit par Falta (1), en 191 I, forme bien représentée d
se rattache au tableau ébauché par Falta qui y classe aussi les cas décrits sous e nom d'infantilisme régressif du type Gan
, paralysie de nerfs crâniens. Outre les signes indiqués, on en a décrit d'autres d'importance moindre dans le syndrome
les hallucinés, les cénesthopathes. Et c'est pourquoi E. Dupré a pu décrire , fort judicieu- sement, un délire dezoopathieii
19 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
appréciable, et semblable à un fil de cristal. M. Dujardin a si bien décrit cet état des substances animales primitives, que
use complète forme un arc, une des plus compliquée que celle que je décris ici. Il n'est pas certain que le cylinder-axis de
n, Wagner, Ch. Robin, Kœlliker et cent autres habiles anatomistes ont décrites avec un très-grand soin, sont de véritables centr
ginaires, et ne se rapportent à rien dans la nature. nous venons de décrire , on voit qu'elles sont immédiatement enveloppées
Foville. La protubérance est peut-être plus facile à dessiner qu'à décrire . Sa forme générale est celle d'un trapézoïde à ba
nt fasciculées dans le pédoncule moyen du cervelet a été parfaitement décrite par Rolando. Si nous divisons avec lui ces fibres
ont aujourd'hui connus de tous les anatomistes. Outre les faisceaux décrits par Rolando, M. Arnold (2), et après lui M. Fovil
de ce tubercule est divisée en deux lobes, que les frères Wenzel ont décrits avec une attention scrupuleuse; l'épilepsie, suiv
onnaître dans leurs rapports véritables ; aussi nous bornerons-nous à décrire les faits sommaires tels qu'ils sautent aux yeux,
es que recouvre la paroi antérieure du ventricule médian doivent être décrites ici. J'ai déjà dit que cette paroi répondait à la
e) les distingue du pédoncule cérébral proprement dit. Reil les avait décrits sous le nom de Rubans, M. Tiedemann, envisageant
sont unis de tant de manières aux parties que nous allons maintenant décrire , qu'il serait impossible de n'en pas dire ici que
néanmoins, comme l'expression d'un état pathologique. Cet auteur les décrit fort bien : elles sont composées, suivant lui, de
en avant, il est oblong et en général bien distinct ; Vicq d'Azyr l'a décrit sous le nom de Corps genouillé antérieur. L'autre
rte en avant, se relève et s'enroule autour de celle-ci, de manière à décrire autour d'elle un anneau complet. J'ai déjà signal
e et de la moelle épinière (l'Institut; t. XX, 1852, p. 373). je le décris encore une fois ; l'importance extrême de ce fait
phères. Aussi, le signalons-nous ici pour mémoire. Les anatomistes le décrivent sous le nom de commissure antérieure. Au-dessus
partir de leurs cornes frontales. Ces choses sont connues et si bien décrites ailleurs qu'il suffira de les signaler ici; il fa
supérieure des ventricules latéraux et les parties que nous venons de décrire . Disons d'abord que, bien que décrivant leurs c
ous nommerons méat de Sylvius. M „6 Si j'ai eu le bonheur de bien décrire ces choses, il sera clairement démontré que le mé
obule, un groupe de lobules est un lobe. 11 y a plusieurs manières de décrire ces lobes, nous préférerons la suivante qui diffè
on distingue plusieurs feuilles diversement inclinées. On a essayé de décrire ces détails, de les compter, mais on y a perdu so
rvelet latéral, ce lobe exceptionnel. Reil et Malacarne ont si bien décrit les moindres détails de la surface du cervelet, q
Scandinave. § S. Mes tubercules quad ri jumeaux. Nous avons déjà décrit ces tubercules. Plusieurs auteurs les désignent s
e résultat d'un arrangement fortuit. Aussi se dispensaient-ils de les décrire et même de les regarder quand ils prétendaient le
. Cette forme étant bien définie, il sera plus facile d'étudier et de décrire la disposition de leurs plis. Ce n'est point d'
t la ceinture du cratère sont d'abord peu saillants, et leur ensemble décrit une courbe assez régulière autour du lobe central
ère laisse à découvert le cervelet en tout ou en partie. Nous avons décrit les rapports qu'ont les bords de l'ouverture inte
perficielles si irrégulières, si variables, qu'on doit renoncer à les décrire ; une seule est constante dans l'homme, elle s'éte
crête, de là le nom de circonvolution crêtée sous lequel il avait été décrit par Rolando. Ce pli forme l'étage inférieur du lo
eures; en sorte que ces prolongements du lobe pariétal que nous avons décrits sous le nom de plis de passage, anticipent, à leu
a malheureusement pas fait connaître, et M. Foville, à son tour, en a décrit quelques-uns. N'est-ce pas là une chose remarquab
l'autre externe. Celui-ci a été figuré par MM. Stilling et Wallach et décrit par eux sous le nom cYOliven-Nebenkern; le prem
eux sous le nom cYOliven-Nebenkern; le premier, qu'ils n'ont point décrit , acquiert dans quelques animaux un assez grand vo
restiformes. C'est ainsi que se forment ces arcs remarquables si bien décrits par Rolando, en sorte que, par eux encore, le cer
fibres antéro-postérieures du raphé : ces fibres ont été parfaitement décrites par M. Gerdy, par M. Foville et par d'autres anat
a continuation du ventricule chemine sous la voûte que nous venons de décrire , et cette voûte est à son tour circonscrite par c
roisement des pyramides du bulbe (1). Quant à celles-ci, nous avons décrit leur trajet au travers de la protubérance. Nous a
, et forme avec elle un gros faisceau fibreux que les anatomistes ont décrit sous le nom de base ou d'étage inférieur du pédon
s vers le cerveau; par deux bandelettes superficielles que nous avons décrites , ils communiquent sur les côtés de l'isthme avec
s grises plus ou moins lisses, plus ou moins plissées, que nous avons décrites . L'intérieur de ces bourses est rempli par un ama
pénètrent et s'y ramifient en réseaux d'une richesse excessive. Je ne décrirai point ici ces vaisseaux qui ont été admirablement
ales ont été déterminés et définis. Il sera maintenant plus facile de décrire les irradiations fibreuses qui remplissent la con
t dans la composition du centre ovale; nous ne pouvons espérer de les décrire avec une certitude suffisante, qu'en suivant l'or
11 serait superflu de revenir sur ce point d'anatomie que nous avons décrit ailleurs. Voici maintenant comment nous disséqu
iforme. Cet anneau que Reil, Rolando, Arnold, ont bien connu, a été décrit avec un soin tout particulier par M. Foville, qui
peut-être sous sa dépendance les deux moitiés du corps à la fois. Je décrirai dans un instant les plans les plus distincts parm
x que composent des fibres directes. 5° Je reviens à la préparation décrite en (S). L'ensemble des ventricules y était à déco
55, et l'Institut, n° du mercredi 4 juillet 1855, page 225. Afin de décrire avec plus de clarté cette disposition curieuse, n
té opposé de l'axe, de même par le système fibreux que nous venons de décrire , il en reçoit du pédoncule qui lui correspond ; p
nvoie des fibres aux lobes olfactifs, du moins les fibres qui ont été décrites comme s'y distribuant, n'appartiennent point à la
r du quatrième ventricule; à ce sujet M. Longet, qui a parfaitement décrit le rapport qu'ont les insertions du nerf facial a
reproduit l'opinion de Malacarp.e sur les origines du facial, et les décrivent ainsi (2) : « Les radicules du nerf facial plon
t Vulpian n'ont pas été plus heureux que moi. Ces habiles anatomistes décrivent en outre un plan de fibres radiculaires superfici
, et fait partie de la paire ethmoïdale. — Mon objet n'est point de décrire ici ces branches et leur distribution. Je les ai
l y a bien longtemps que nous avions vu ces fibres et nous les avions décrites dans nos cours au Muséum. Elles forment une assez
cervelet, de même il paraît y avoir, par la racine que nous venons de décrire un rapport de cette paire avec la base des lobes
division en deux faisceaux d'une même racine ganglionnaire. M. Longet décrit ainsi leur origine : « En plaçant de profil le
que filet d'origine du Glossopharyngien et du Pneumogastrique, et les décrivent à leur tour très-clairement, mais outre ces deux
omprend le nerf spécial de la vue, à savoir : le nerf optique. J'ai décrit plus haut les origines du nerf optique. Les unes
lusieurs points fort incomplète ; immédiatement après celui-ci, il en décrit un autre âgé d'environ quatorze à quinze semaines
mais extrêmement grêles. Dans les deux cerveaux que nous venons de décrire , les parois des hémisphères étaient fort minces,
bes latéraux. Tout cela est bien loin, comme on le voit, de ce qu'a décrit Tiédemann. La marche du développement n'a point,
DES ENVELOPPES DES CENTRES NERVEUX CÉPHALO-RACHIDIENS. Après avoir décrit le cerveau à ses différents âges, après avoir exp
la substance de la moelle ou du cerveau. Sa structure a été fort bien décrite . Les vaisseaux sont soutenus par une lame de ce t
u que Bordeu appelait tissu muqueux, et que les anatomistes allemands décrivent , avec raison, sous le nom de tissu conjonctif. Ce
cérébrale d'avec la région cérébelleuse. M. Cruveilher l'a fort bien décrit : « 11 représente, » dit cet habile auteur, oc de
ignés sous le nom de sinus occipitaux. Les sinus que nous venons de décrire composent un premier système de canaux veineux. I
pathique. Les sinus caverneux communiquent avec ceux que nous avons décrits plus haut par les sinus suivants : 1° Le sinus pé
onget (1). Cette opinion avait été négligée jusqu'à Arnold (2), qui a décrit un filet nerveux qui se porte de la branche ophth
dans la tente du cervelet. Quelque temps après Arnold, M. Cruveilher décrivait de son côté les nerfs de la dure-mère. « Je recon
t les artères méningées et sont composés de fibres grises. M. Luschka décrit des filets nerveux dans l'arachnoïde. M. Kôlliker
internes. Ces artères sont remarquables par les flexuosités qu'elles décrivent avant de pénétrer dans le crâne. Dans un grand no
ssentiellement à l'anatomie descriptive. Vicq-d'Azyr a parfaitement décrit et figuré dans son bel ouvrage, Pl. XIX, les artè
AVEC LE CERVEAU. § *. Importance de l'étude du crâne. Après avoir décrit sommairement les enveloppes membraneuses du cerve
e en forme de sablier, et produit cette déformation annulaire si bien décrite 'par M. le docteur Foville. Dans d'autres cas, le
es philosophes sur l'âme. L'encéphale et la moelle épinière ont été décrits , leur structure a été, autant que possible, débro
l mettra en usage est fort simple; il tournera autour de la table. Il décrira , soit avec la main, soit avec le corps tout entie
un disque de carton blanc, de vingt-cinq centimètres de diamètre, on décrit du centre du disque trois circonférences concentr
ion au moment où elle s'éteint est fréquente. Le libraire Nicolaï l'a décrite d'après sa propre expérience, ce n'est pas là le
révolutions futures des esprits et des mondes un meilleur avenir, et décrit complaisamment ces glorieuses destinées. Il par
raction; là est le secret de sa puissance. Mon but n'a point été de décrire en détail l'intelligence de l'homme, mais de la d
20 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t partagée par M. Besnier, qui rap- pelle que cette affection a été décrite sous le nom de glossodynie, qu'elle est général
ot, après avoir montré que l'affection DE L'OBSESSION dentaire. § décrite par Verneuil avait déjà été étudiée par un cer-
es quatre observations de l'auteur, trois concernent des femmes. Il décrit ainsi les sensa- tions éprouvées par les malade
ves, il a, dit-il, constamment souffert des douleurs que nous avons décrites plus haut; de plus, et, c'est cela qui constitu
ropose d'attirer l'attention sur un syndrome nouveau tout récemment décrit « l'astasie-abasie » dont il m'a été donné de r
iale d'impotence motrice des membres inférieurs 1. » Weir Mittchell décrit égale- ment les mêmes troubles sous le nom d'At
t celles qui lui sont personnelles, et à l'aide de ces documents il décrit un véritable type mor- bide, qu'il propose de d
tudié un cas d'astasie-abasie, survenant après l'influenza2. Ladame décrit un cas de cette affection sous forme d'accès3 e
par l'excitation du pli courbe, quoique moins marqués. Et Schmfer 2 décrit des mouvements semblables se produisant après l
uit une cécité totale et durable. Tout en admettant que les lésions décrites par eux soient la cause de l'héuliopie et de la
e. C'est une preuve de plus de l'imperfection de la vision que j'ai décrite , : manque de précision dans la préhen- sion et
jets visés au lieu de les saisir de suite.. ,. Seliteferl a aussi décrit les symptômes présentés par un singe chez leque
ésultant de la destruction bilatérale du pli courbe, que nous avons décrits moi, Munk et Schiefer sont mieux expliqués par la
des circon- volutions angulaires et supra-marginale seulement, Ici décrits comme lésions du lobe occipital seul. De ces 15
dans un de ces cas, celui de Doyne, le siège de la lésion n'est pas décrit avec grand soin. Dans les autres cas, les lésio
struction do la région occipitale chez les chiens, et en 1881 Goltz décrivit un trouble de la vision à la suite de lésions des
chez le singe au pli courbe et au lobe occipital. Le centre visuel décrit par Munk est représenté dans la /«</ ! <)
tude que l'animal peut éviter les troubles qui en résultent. Munk décrit comme les effets de l'extirpation d'une zone circ
état de la vue ou de la perception visuelle semblable à celui déjà décrit par Goltz, L'animal n'est pas aveugle, puisqu'i
s : « Une portion considérable de l'écorce du lobe occipital, est décrite comme centre visuel par Munk. Mais de beaucoup la
de vue pharmaceutique. Voici le mode opératoire que j'ai adopté et décrit antérieure- ment : Préparation. Dans un ballo
; par Ta. Zacher. (A1'ch, f. P.,ych., alX,3.) De trois observations décrites avec le plus grand soin, M. Zacher met en évide
Ncurol. Cenlralbl., 1889.) Type de paralysie semblable à celui qu'a décrit DrescIlfeld ; atrophie des cellules des cornes
d'individus qui ont pu s'y livrer impunément. Il ajoute que l'on a décrit autrefois les symptômes d'une folie dite folie
l'esprit de personne sur la paralysie géné- rale des aliénés qu'il décrit ; il n'a pas fait intervenir l'histologie dans l
qui sont imputables aux troubles de la sensibilité. Duchenne les a décrits ; ce n'est pas de l'ataxie. Ils n'ont d'ailleurs
rieure du cerveau moyen et descendent à la base dans le chiasma Les décrire plus à fond serait répéter les travaux de Bellonc
EPPN a constaté exactement les mêmes rapports que ceux que vient de décrire M. Edinger, chez les lézards. M. Jolly (de Stra
M. Baillarger, dans la Gazette des Hôpitaux, non seulement avait décrit le phénomène, mais encore lui avait trouvé sa vra
st juste de dire que, s'il ne l'a pas découverte, c'est lui qui l'a décrite . Les travaux de M. Baillarger sur cette dernièr
uestion du goitre des mulets et des chevaux, qu'il fut le premier à décrire dans les contrées atteintes par l'endémie. Mais a
l'urémie, au rhu- matisme chronique et surtout au diabète. L'auteur décrit trois types de diabète : le diabète par lésions
on, le corps godronné et la circonvolution de l'hip- pocampe, je ne décrirai la partie godronnée de cette région qu'au point
es histologistes. J'ai pensé cependant qu'il n'était pas inutile de décrire la région telle qu'on la voit à l'oeil nu ou ai
n- naître. S'il m'a été donné de la voir telle que je viens de la décrire , je dois dire que souvent je n'ài ren- contré q
calleux... u Sous le nom de carrefour interne de l'hémisphère, il décrit : « Une région plane qui communique en avant av
tubérosité temporale, c'est-à-dire avec cet ensemble que nous avons décrit comme la terminaison du cercle fibreux de l'ori
r du corps yodronné FOVILLE, sous le nom de ruban de l'ourlet, la décrit ainsi : « Si l'on prend comme lieu d'origine du
leur analogie avec celle du ruban fibreux ' Ce que quelques auteuis décrivent aujourd'hui sous le nom de cingulum me paraît ê
rales supérieures, mais de tout le lobe lui-même des deux côtés. Il décrit ainsi les résultats de leurs expériences ' : «
tive doit être attribuée aux portions non détruites par les lésions décrites , du centre cortical auditif ou aux centres subc
sive des deux circonvolutions temporales supérieures. Broad- bent 5 décrit le cerveau d'une femme sourde-muette chez laquell
ues qu'il a pratiqués sur ce nerf lui-même et sur ses ganglions. 11 décrit tout d'abord les lésions his- tologiques généra
tique provoqué une soi te de cécilé psychique. Le malade dont il décrit l'observation (sans autopsie) est, dit-il, un ave
du même muscle en même temps, quoique, dans l'une des observations décrites , il existe une contraction tonique des mollets,
. IIOFFMANN. (Arch. f. Psychint., XX, 3.) Monographie de la maladie décrite par Charcot et Marie, sous le REVUE D'ANATOMIE
es à celles qui ont été observées dans les cellules de la moelle et décrites par Charcot, Leyden, Erb (myélite parenchy- mat
mander conseil en cas de maladie. - La morphinomanie A deux. On a décrit jadis la Folie à deux. Aujourd'hui c'est la Mor
et de rappeler en même temps les noms des deux auteurs qui l'ont décrite pour la première fois. ^Incontestablement, la c
longueur situé à peu près sur la même ligue transversale au lieu de décrire l'arc normal que décrit le sourcil droit. Au-dess
sur la même ligue transversale au lieu de décrire l'arc normal que décrit le sourcil droit. Au-dessus de ce sourcil gauch
complètement perdu. L'anesthésie cutanée est telle que nous l'avons décrite plus haut. Relation des expériences instituées
ovoque instantanément une attaque du genre de celles que nous avons décrites plus haut. Sens de l'ouïe. - Diapason ci l'orei
denotre précédente malade, nous nous contenterons pour celui-ci de décrire en quelques mots le- scènes auxquelles il assis
que lorsqu'on l'a en- tendu une fois, autant il est difficile de le décrire exactement et d'en bien faire ressortir les nua
et il n'hésite pas à rapprocher son cas de la variété de bégaiement décrite par M. Ballet sous le nom de bégaiement hystéri
in-Roze n'ont mis en doute la nature hystérique du trouble que j'ai décrit . Quant M. Féréol, si ses objections ont 1 Comme
J'ai eu tort, d'après lui, d'appeler bégayement le trouble que j'ai décrit . Je ne puis pas, dans une simple note, réfuter po
actériser plus exactement que le mot bégayement le trouble que j'ai décrit . Or, Littré et Robin, dans leur dictionnaire, d
microscriques du cerveau ont montré qu'à l'exception des blessures décrites ci- dessus dans la région temporale inférieure
rme et la partie sensitive de la capsule interne n'a pas encore été décrit par les anatomistes, mais, à cause des preuves
es animaux chez lesquels le sens de l'odorat est très développé, on décrit habituel- lement quatre racines, soit une exter
ont visibles chez l'homme à la face supérieure du corps calleux. Il décrit aussi comme particulier aux animaux osmatiques,
à l'opinion de sir W. Turner. Il m'écrit ce qui suit : « Je vous décrirai une dissection que j'ai faite de la corne des-
e aux amers (digita- line) du côté opposé de la langue. (Ceci a été décrit incorrectement dans « Brain ». Si l'on se repor
'homme et de son homologie chez les ani- maux inférieurs. J'ai déjà décrit avec assez de détails les mouvements produits p
e des doigts dans l'écorce motrice. Comme preuve à l'appui, je vous décrirai avec détails le cas sui- vant. La malade est un
e absence totale de tout sens de mouvement. Das le cas bien connu décrit par Schùppel ', le malade anesthésique par maladi
sensitifs dans la capsule interne et dans les troubles fonctionnels décrits sous le nom d'hémianesthésie hystérique. - Quoi
ation motrice de ces régions. De semblables dégénérescences ont été décrites par Brissaud2 comme résultat de lésions du lobe
reprendre son action en dehors de l'idée fixe. Les idées obsédantes décrites par Westphall chez quelques aliénés se rapprochen
r. Sous le titre : « Les Persécutés en liberté», le professeur Bail décrit toute une catégorie de persécutés qu'il a appel
idérant ensuite le délire du persécuté persécu- teur (forme mentale décrite en France par Falrel), remarque avec de Krafft-
psychique de l'hérédité, au même titre que les stigmates physiques décrits par ! \lare ! . M. Falret, tout en partageant a
XVI, fasc. 1-11, 1890.) Les phénomènes somatiques de l'hypnotisme décrits comme pro- pres aux états dits léthargique, cat
si- 464 SOCIÉTÉS SAVANTES. gnifie confusion, démence. Après avoir décrit brièvement le tableau clinique de la folie aigu
Pour lui, il im- porte bien plus d'analyser l'individualité que de décrire les symp- tômes et les formes nosologiques. M
21 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
es les lésions que l'œil nu peut reconnaître seraient définiti-vement décrites , classées, cataloguées. L'œuvre, alors, pen-sait-
. Enfin l'ankylose peut résulter des altérations que nous venons de décrire : elle se réduit quelquefois à une simple rigidit
u se montrer des dépôts cutanés, identiques à ceux que nous venons de décrire . 11 nous reste maintenant à parler de l'anatomi
à votre attention. Les altérations des reins dans la goutte, qu'on décrit ordi-nairement sous le nom de néphrite goutteuse,
uteurs anglais. Signalée par M. de Castelnau en 1843, elle a été bien décrite par Todd et Garrod. Elle se caractérise anatomiqu
dans le sang. Au reste l'ensemble symptomatique que nous venons de décrire se rencontre surtout pendant l'intervalle des acc
symptômes qui résultent de la diathèse urique, et qui viennent d'être décrits ; tantôt, au contraire, ce sera un bien-être anor
ipales déviations que peut offrir le type régulier que nous venons de décrire . Considérons d'abord les déviations que peut su
xistent dans la moitié des cas. Leur évolution, qui a été fort bien décrite par Moore, en 1811, comprend trois périodes. À la
e dernier jusqu'à Lorry, un grand nombre d'auteurs se sont attachés à décrire les transformations des maladies (mutationes morb
ractérisée par l'en-semble des phénomènes que nous avons précédemment décrits , peut venir donner à ces manifestations viscérale
a preuve. C. Aux deux formes de goutte stomacale que nous venons de décrire , correspondent deux formes de dyspepsie intestina
ngtemps connues, et qui dans ces derniers temps ont été soigneusement décrites par Lynch(1), Garrod et Trousseau. Le délire ai
de l'asthme, en rapporte aussi un cas. 2° Quelques auteurs anciens décrivent une pleurésie gout-teuse. Il est probable qu'il s
-farctus d'urate de soude dans le parenchyme du rein. Nous avons déjà décrit ces altérations, en traitant de l'anatomie pathol
les mêmes accidents. Enfin, M. Garrod, dans un article récent (1), a décrit une affection goutteuse de l'œil qui n'avait pas
cceptées. Ajoutons enfin que les médecins grecs et romains, qui ont décrit si nettement les caractères de la goutte, ont à p
licats, mais qui participe aux caractères généraux que nous venons de décrire . On réunit sous le nom à'aie toutes les autres
ici, mais encore des malades atteints des lésions que je vais avoir à décrire . I. La dénomination que j'ai choisie pour dés
e soutenir une opinion diamétralement opposée. Nous nous proposons de décrire , d'une manière toute spéciale, les arthrites qui
quel on doit un travail approfondi sur cette matière, s'est attaché à décrire avec soin les lésions arti-culaires de la syphili
Lancereaux. — Traité de la Syphilis, 1866, p. 182. plus d'une fois décrit les rhumatismes, soit aigu, soit chro-nique, chez
uvent se présenter à votre esprit. Les altérations que nous venons de décrire ont-elles un caractère spécifique ? 1. Gharcot
ces conditions on peut rencontrer toutes les lésions que je viens de décrire . Mais en pareil cas, elles se limitent presque to
ophical Transactions (abridged), t. III, p. 265. que nous venons de décrire . Cette opinion a été soutenue par Prout, Williams
ons analogues: M. Rayer, sans en connaître l'origine, les a fort bien décrites 1. De la thrombose et de l'embolie cérébrales.
capillaires du rein donnent lieu à des lésions qui ont été fort bien décrites dans la thèse de M. le Dr Herr-raann(l). Elles co
signalé l'existence d'une laryngite liée au rhumatisme aigu. Garrod a décrit aussi une forme particulière de laryngite chroniq
smale et les accidents cérébraux de la goutte. La folie rhumatismale, décrite parBurows, Mesnet, Griesinger, se trouve assez so
ois retrouvé chez les rhumatisants chroniques les affections cutanées décrites par M. Bazin : Y eczéma, le psoriasis nummulaire,
qui donnent naissance à des infirmités déplo-rables. Nous aurons à décrire en premier lieu les arthropathies résultent de ce
variétés. Dans la première, la plu-part des caractères que nous avons décrits sont conservés ; Fig. 18. — Premier type. Dan
un état de flaccidité complète. Les déformations que nous venons de décrire ne sont pas, — nous l'avons vu, — exclusivement p
cette affection vers l'époque de la méno- pause. Cette forme a été décrite par Geist(l), sous le nom de goutte sénile C'est
spéciale du rhumatisme chronique, qui n'a pas encore été suffisamment décrite , et qu'on trouve à peine indiquée dans les auteur
anatomiques de cette arthropathie en minia-ture n'ont pas encore été décrites . D'après les nombreuses recherches que j'ai eu l'
staterons ainsi que les types, en apparence si divers, que nous avons décrits jusqu'ici, reconnaissent, au fond, une commune or
dant établir ici une distinction entre les trois types que nous avons décrits . Pour le rhumatisme noueux, il ne saurait exist
. TROISIÈME PARTIE Études pour servir à l'histoire de l'affection décrite sous les noms de goutte asthénique primitive, nod
e primitive), etc. ÉTUDES POUR SERVIR A L'HISTOIRE de l'affection décrite sous les noms de GOUTTE ASTHÉNIQUE PRIMITIVE
. médical Gazette, octobre 1838). Je n'en finirais pas, si je voulais décrire tous les stratagèmes qu'emploient ces femmes pour
des déviations qui présentent constamment un des types que nous avons décrits ? 4° Lorsqu'on fait l'autopsie des malades mort
; les reins n'ont offert aucun des caractères de l'altération si bien décrite par M. Rayer, sous le nom de néphrite goutteuse.
es sur Y arthrite sèche (1). Résumé Les infirmités que nous avons décrites , d'après les observa-lions relevées à l'hospice d
Les articulations qui présentaient les altérations que nous venons de décrire étaient les plus nombreuses; c'étaient la plu-par
W. Budd [Researches on Gout, in Medico-chirurg. Transactions, 1855) a décrit et fait représenter les altérations que subisssen
1859), Garrod, entre autres, les ont particulièrement mentionnées ou décrites . Ce dernier auteur surtout en a fait une étude at
le. Graves (A System of Clinical Médicine, Dublin, 1843, p. 581), qui décrit une congestion du lobule de l'oreille survenant p
avec soin. Des dépôts tophacés analogues à ceux que nous venons de décrire se rencontrent quelquefois, au dire de M. Todd (l
rre, une espèce spéciale, comme nous le verrons bientôt. M. Rayer a décrit , sous le nom de néphrite goutteuse (2), une altér
lnau signale la différence des dépôts qu'il a observés avec ceux qu'a décrits M. Rayer. Dans les cas de M. Rayer, en effet, ce
les reins atrophiés, condensés et granuleux à leur surface, comme les décrit Todd, sous le nom de gouty Kydney. Dans ces cas,
u spongieux des têtes osseuses. Ces alté-rations ont été parfaitement décrites et représentées par M. le professeur Cruveilhier,
amorphe, tantôt parfaitement cristallisée. Le type principal qu'il a décrit et fait dessiner est celui que nous avons représe
èdent quelquefois à la colique de Poitou, et qui ont été observées et décrites par le docteur Musgrave, et depuis par le docteur
ssistance de mon collègue et ami M. Vulpian, et en suivant le procédé décrit par M. Garrod, si le sang con-tenait un excès d'a
es articulations, qui présentaient les altérations que nous venons de décrire , étaient les plus nombreuses. C'étaient la plu-pa
tte, au contraire, s'y trouve, ainsi que le fait remarquer M. Garrod, décrite presque minu- tieusement parfois et présentée l
ération sensible jus-qu'au temps de Baillou. Le premier, cet auteur a décrit , comme distincte de Yarthritis, une affection à l
fois, une acception nosographique déterminée. Or, cette maladie qu'a décrite Baillou (Opera omnia). Genev., 1762, t. IV, p. 31
. — Il n'est peut-être pas sans inté-rêt de remarquer que l'affection décrite par Landré-Beauvais, dans sa dissertation inaugur
nous-même fait ressortir (Etudes pour servir à l'hist. de l'affection décrite sous les noms de goutte asthénique, primitive,
espèces bien distinctes : I. En premier lieu, on trouve l'affection décrite par M. Rayer sous le nom de Néphrite goutteuse (R
rite suppurative. — Pendant la vie, les lésions qui viennent d'être décrites peuvent rester laten-tes. Dans les cas où des gra
èdent quelquefois à la colique de Poitou, et qui ont été observées et décrites par le docteur Musgrave, et depuis, par le docteu
l'assistance de mon ami le docteur Vulpian, et en suivant le pro-cédé décrit par M. Garrod, si le sang contenait un excès d'ac
e manifestent quelquefois dès les premiers temps de la goutte ont été décrits d'une manière remarquable par M. Stokes, dans un
morbus coxœ senilis, etc. 3° Nodosité d'Hc-berden. C'est l'affection décrite par Heberden sous le nom de digitorom nodi. Très-
lement Day, Durand-Fardel, Malcomson, Geist et Bibra : ces auteurs ne décrivent même pas le tremblement sénile, à titre d'état pa
16. III. De la chorée vulgaire chez les vieillards. Après avoir décrit la chorée rhythmigue hystérique, dans une leçon q
e, re-couverte encore par les parties molles. Les saillies pisiformes décrites par Heberden sont bien accusées.—La figure 4 mont
0 TROISIÈME PARTIE Études pour servir à l'histoire de l'affection décrite sous les noms - de goutte asthénique primitive, n
22 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
sseux, c'est la moelle, dont le siège n'est pas là seulement où on la décrivait , il y a encore quelques années, c'est-à-dire dans
e dernière; mais tels ne sont pas les cas de périostites généralement décrites , et nous parlons ici des faits communs. Si le p
plus sou-vent des symptômes colliquatifs dont nous avons parlé. » Il décrit aussi la terminaison des gommes par suppuration e
s profond comme pouvant résulter d'une periostite. — Graves, en 1835, décrit une forme de periostite circonscrite. ¦— Rognella
rnière, dont il emprunte des observations à Crampton.— Lobstein avait décrit déjà trois degrés de l'inflammation périostique.
e, à Strasbourg, Schutzenberger signale une forme de periostite qu'il décrit sous le nom de periostite rhumatismale, llecht, s
rtent quelques fails. — Schulzenberger, en 1856, modifiant ses idées, décrit la periostite phlegmoneuse.— Boeckel, en 1858, ét
ue des lésions propres à l'infec-tion purulente. Un peu plus tard, il décrit l'ostéomyélite, dont il fait une maladie indépend
, mémoire dans lequel cet auteur, se fondant sur treize observations, décrit le décollement des épi-physes, M. Gosselin publia
x cas semblables. M. Gamet, élève d'Ollier, reste sur ce terrain et décrit la maladie sous le nom d'ostéo périoslite juxtaép
tômes, la marche, les indications thérapeutiques, tout s'y trouve, et décrit avec une précision, une netteté telles, qu'il ne
entelle mette un terme à l'existence. Il ne nous reste donc plus qu'à décrire les lésions anatomo-pathologiques. Deux autopsies
en plusieurs points. — En avant du foyer de suppuration précédemment décrit , on trouve le projectile : c'est une balle bavaro
ent au repos, se trouve moins exposé aux accidents que nous venons de décrire . Il n'en est pas ainsi pour les genoux, qui fonct
le type ordinaire des syphilides, que notre maître le docteur Hardy a décrites sous la dé-nomination de syphilides populeuses pl
— J'ai vu, dit M. Moritz Rosenthal, une affec-tion semblable à celle décrite chez les ataxiques par M. Chareot,— chez une femm
tat mental, l'état des membres et du tronc, etc., sont successivement décrits . Il insiste d'une façon spéciale sur la parole, e
pro-fondément altérés. « De ces propositions qui résument les faits décrits dans nos ob-servations, nous sommes en droit de c
ulières. De 12 à 22 ans les accès épileptiformes que nous venons de décrire sont revenus fréquemment, quelquefois au nombre d
tend du bord interne de l'humérus et de l'épitrochlée à la tubérosité décrite sur la face ex-terne du radius; cette insertion s
LIE) PAR LEROY DES BARRES, INTERNE DES HÔPITAUX DE PARIS Avant de décrire la malformation dont il s'agit, observée chez un
a pupille. Le bord décollé, détaché en bas sous un angle très-aigu, décrit en haut une petite courbure pour aller gagner ses
ous donnons encore aujourd'hui un nouveau spécimen de la malformation décrite sous le nom d'hémimélie, car les séries de ce gen
melon, on fait saillir de la dé-pression centrale, que nous venons de décrire , un tubercule d'une très-curieuse conformation :
émique. Il y a là une condition qui ressemble à la fièvre et est même décrite comme telle, mais qui en diffère essentiellement,
. — Jusqu'en 1859, le squirrhe paraît être la seule variété de cancer décrite et observée chez l'homme; depuis on a noté un cer
ente dans sa conformation les dispositions suivantes, que nous allons décrire et qui se trouvent représentées dans la Planche X
sensibilité était intacte dans toutes les parties cpie nous venons de décrire . En résumé, dans cette observation, il existe u
scles, grand dentelé, trapèze, sacro-spinal. Nous allons maintenant décrire rapidement le côté droit; l'affec-tion, plus réce
catarrhe compliquée de la diathèse phosphatique, que j'ai le premier décrite , est l'occasion de tant de processus pa-thologiqu
espèce, j'ai presque toujours vu ces phénomènes que j'ai démontrés et décrits . Il était nouveau pour moi de les ren-contrer dan
e, dans laquelle se trouvaient les concrétions particulières-que j'ai décrites plus haut, immédiatement après le moment où la pi
rvations sur le catarrhe spécial avec diathèse phosphatique, que j'ai décrit le premier, sur l'état de la vessie pendant cette
ites concrétions pbosphatiques ayant toute la composition des calculs décrits plus haut, donnant la sensation du sable quand on
à l'état naissant, peuvent jeter de la lumière sur cet état que j'ai décrit dans la maladie catarrhale particulière de la ves
tion ne soit pas plus dé-taillée, que les lésions ne soient pas mieux décrites et que l'état de la contractilité musculaire n'
ahaye, éditeur. Tous les auteurs, qui ont parlé des syphilides, ont décrit la plaque muqueuse de la langue, mais le plus sou
mmes. » Cette citation indique le but que s'est proposé M. Saison. Il décrit successivement la syphilide érythémateuse, les pl
pityriasis, le lichen et le psoriasis ; — enfin, peut-être ce qu'on a décrit sous le nom de plaques de fumeurs n'est-il autre
ens, réunis aux soins locaux, minutieux et constants, qui se trouvent décrits dans cette observation que nous devons de n'avoir
fections on constata l'existence d'accidents semblables à ceux qu'ont décrits les anciens. Cependant, pour être justes, il fa
, Stoll, Bailly, Billard, Haspel, Stewardson se bornèrent seulement à décrire la pigmentation de la rate, du cerveau ou du foie
e ici l'his-toire complète delamélanhémie. Nous nous bornerons donc à décrire ce que la pigmentation offre de particulier dans
u. Au bout d'une semaine la cicatrisation était effectuée. Avant de décrire l'opération principale, disons quelques mots sur
ndait auparavant se suspend. Croyant qu'on avait affaire au phénomène décrit par les auteurs sous le nom d'introduction de l'a
ganglionnaires, beaucoup plus volumi-neux que ceux que nous venons de décrire . Ils sont en outre plus mous. A la coupe, l'un d'
la Charité et dans les cliniques libres de Paris. Nous n'avons pas à décrire l'aspect des tumeurs qu'il portait n l'angle inte
e Kœmpfer a pris de cet électuaire avec des amis, et voici comment il décrit les phénomènes qu'ils présentèrent. « Après en av
et quelques autres substances. Linné (Amœnitates academicce, 1762), décrit des compositions très-usitées dans l'Inde et en P
ion plus facile que pes préparations dont nous venons de parler. Sans décrire les di-vers procédés employés pour arriver à ce r
ns plus tard. Les jours suivants, les phénomènes que nous venons de décrire ont graduellement diminué1 : la tuméfaction du me
riques indiquées par M. Cbarcot, et les accidents laryngo-bronchiques décrits par mon ami M. Second-Féréol. Cbez notre malade,
et l'examen histologique nous reporte exactement à la variété qu'il a décrite sous le titre à'adénome avec prédominance du stro
it qu'il y a aussi quelque chose d'analogue à ce que nous avons avons décrit à gauche. Matité de la région hypo-gastrique (asc
23 (1934) Oeuvre scientifique
nee étant pareil- lement mentionnée. « Certains phénomènes que je décris », disait Babinski dans l'Avertissement de cet
mportance sociale. Dans les leçons suivantes je chercherai à vous décrire d'une manière minutieuse les symptômes objectif
'est cette sous-variété qui constitue le signe ou mieux le syndrome décrit par Argyll-Robertson ; parfois elle est associé
fférents de ceux qui appartiennent aux douleurs qui viennent d'être décrites . Elles font défaut au repos ; elles apparaissent
provoqué, mais encore par divers autres caractères que nous allons décrire . Comparons par exemple les réflexes de flexion
de la région explorée. Lorsque l'absence des réflexes précédemment décrits oui seulement celle de l'un d'eux est nettement
duisant alors que celle-ci fait défaut. C'est ce phénomène que j'ai décrit sous la dénomination d'inver- sion du réflexe d
UX ET RÉFLEXES OSSEUX 55 La névrite radiale, dans la forme que j'ai décrite ('), est caractérisée par des douleurs violentes
ette affection présente des variétés nom- breuses que je n'ai pas à décrire ici en détail. Il va sans dire qu'elle atteint
thie, est due à une altération particulière au muscle. L'affection décrite par Erb en 1878, communément appelée aujourd'hui
Les diverses variétés de trépidation épileptoïde que nous venons de décrire sont déterminées par une excitation tendineuse pe
MIOLOGIE ' ' Toutes ces manifestations cliniques que nous venons de décrire per- mettent nous y insistons d'affirmer que le
ieur, l'inégalité dans le « réflexe contra-latéral des adducteurs » décrit par Pierre Marie réflexe qui, à l'état normal,
us discuterons. Il importe avant tout d'éviter les confusions. On a décrit sous le nom d'hémiplégie cérébelleuse des troub
complète de la force musculaire. Examinons d'abord le type morbide décrit par Erb sous le nom de paralysie spinale spasti
ntion (2) et qui, étant donné le but que nous visons, mérite d'être décrite . On l'observe surtout aux membres inférieurs et
rché à apprécier exactement l'impor- tance de ceux qui étaient déjà décrits ; dans le cours de mes examens j'ai été conduit
a période de contracture serait l'inverse de celle qui vient d'être décrite ; du côté de la paralysie le sillon naso-labial, a
le du côté normal se porte en avant. Le mouvement que je viens de décrire se reproduit et peut être plus ou moins accentu
qui appartient aux diverses variétés de mouvements associés qu'on a décrits dans l'hémiplégie, pourrait être de préférence
ne lieu ordi- nairement à un mode de déambulation spécial qui a été décrit magistra- lement par Todd : le malade porte le
alade porte le tronc sur le côté opposé à la para- lysie et il fait décrire au membre paralysé un mouvement de circumduction
et je la considère comme un signe tout à fait caractéristique. J'ai décrit ce signe pour la première fois dans mon travail
si à écarter l'hypothèse d'hystérie dans cette variété d'hémiplégie décrite par Weber, qui se caractérise par les symptômes
our les constituer. RÉFLEXES DE DÉFENSE Il-, En effet, nous avons décrit le réflexe de défense en flexion qui est de bea
ues présentant le phénomène des orteils. En pratiquant la manoeuvre décrite par Schaefer, j'ai obtenu, comme lui, la flexion
eu particulièrement en vue ceux du membre supé- rieur. Cet auteur a décrit en 1 ploc) comme manifestations d' « hyperki- n
n-Séquard, les réflexes dont nous nous occupons ont été fréquemment décrits , et par Brown- Séquard tout le premier. Cet aut
bservation et écartant les inter- prétations pathogéniques, je vais décrire les phénomènes que j'ai en vue. Il s'agit de ré
eurement, d'une contraction du fascia lata que Brissaud a très bien décrite et d'une flexion du pied, de la jambe et de la
s à cela que ces mouvements n'ont pas toujours la lenteur ci-dessus décrite . Un autre caractère plus important et conduisan
n'ai pas cherché à expliquer le phénomène des orteils quand je l'ai décrit , je n'ai jamais dit qu'il fût inexplicable, et
efer, dans le n" 22 de l'année 1899 du Neurologisches Centralisait, décrit un phénomène réflexe dont voici les caractères :
de Neuro- logie en janvier 1900, il est aisé de vérifier les faits décrits par Schaefer qui sont absolument exacts, mais s
on dans laquelle la voie pyramidale est intéressée. Les réactions décrites ultérieurement par Oppenheim sous la dénomi- na
upérieur. En janvier 1911 (Revue Neurologique, t. ;XXI, p. 132), te décris « la para- plégie spasmodique avec contracture
ieur, m'étant borné d'abord, afin de ne pas compliquer mon sujet, à décrire celles qui se produisent dans le membre excité.
ation dans le seg- ment inférieur du corps. J'ai eu l'occasion de décrire moi-même les troubles vésicaux en ques- tion da
nes d'hyperkinésie ŸAIt1\AI. I O r{¡6 SÉMIOLOGIE réflexe(') » a décrit dans l'hémiplégie cérébrale des réactions motrice
attention et qui, étant donné le but que nous visons, mérite d'être décrite . On l'observe surtout aux membres inférieurs et
un réflexe partiel d'allongement croisé. C'est bien la dissociation décrite par M. Babinski. « Comment peut-on interpréter
en flexion reproduisant la forme de paraplégie spasmodique que j'ai décrite récemment, en l'opposant à la paraplégie spastiqu
our distinguer d'une façon spéciale les réflexes que nous venons de décrire d'avec les réflexes dits de défense ou d'automati
ns hystériques. Quoi qu'il en soit, le phénomène que nous venons de décrire a, selon nous, une signification clinique de qu
mouvements volitionnels provoqués par les manoeuvres que nous avons décrites sont plus étendus. SEMIOLOGIE OCULAIRE XIV ,
fs aux troubles de motilité qui, à ma connais- sance, n'ont pas été décrits . L'attitude du malade, quand il cherche à march
passer sous vos yeux un trouble de motilité qui n'a pas encore été décrit . Je tiens à bien faire ressortir, pour éviter u
ue nous allons maintenant étudier il en est plusieurs, anciennement décrits , dont nous avons déjà fait men- tion ; d'autres
nt pas avec la précision 19ï SÉMIOLOGIE coutumière au sujet sain, décrit quelques oscillations en sens divers. Nous revi
Nous insistons sur ce fait que les mouvements que nous venons de décrire sont, au pied de la lettre, des mouvements démesu
pour la première fois, dit Luciani, qu'apparaît et est minutieusement décrit un symptôme..., il consiste en ce que l'auteur
leux présentant de façon typique les mouvements démesurés ci-dessus décrits ; et commandons-leur de porter avec rapi- dité l
ment de flexion combinée de la cuisse et du tronc tyli SEMIOLOGIE décrit par nous dans l'hémiplégie organique. Il faut don
vons observé que les troubles asynergiques tels que nous les avions décrits aux membres inférieurs peuvent être localisés d
alement rien de comparable à la démarche asynergique que nous avons décrite . Il nous a donc paru indispensable, pour désign
ous l'avons repris. Il nous sert à grouper les faits que nous avons décrits ; il s'accorde avec la conception que nous nous f
mouvements qui constituent un acte, le phénomène que nous venons de décrire peut être considéré comme l'effet d'une absence d
istingue les phénomènes initiaux d'avec les phénomènes tardifs ; il décrit d'une part les mouvements forcés, troubles de l
rme ataxie a été pris dans des acceptions variées. Certains auteurs décrivent , sous ce titre, dans les traités, tout ce qui c
terme ataxie ne répond pas simplement à des troubles que nous avons décrits précédemment sous un autre nom ; ou bien s'il s
déambulation ne peuvent être confondus avec la démarche asynergique décrite par nous. Il parait donc rationnel de se servir
truit les deux labyrinthes présente une attitude qui rappelle celle décrite par Lewandowsky chez certains animaux à qui on
(En collaboration avec G. A . Weill.) . Les mouvements réactionnels décrits par Barany s'observent au cours des différentes
, mai 19 13). (3) Heyninx (Société Belge d'O. R. L. juillet Tqi3) a décrit cette épreuve peu de temps après nous. 216 SÉMI
e, mais ne disparaissant jamais complètement; la colonne vertébrale décrit une courbe en lorme d'un S vu en miroir. L'omop
colis a notablement diminué. Il s'est maintenu tel que nous l'avons décrit pendant sept mois environ (de février à septemb
s troubles moteurs et les modifications des réflexes que nous avons décrits . On pourrait se demander s'il existe une relati
ou- lève les membres pour prendre l'attitude spéciale que j'ai déjà décrite (fig. Il). Pendant l'exécution du mouvement, le
tielle), où il a observé pour la première fois les troubles qu'il a décrits sous les noms d'asynergie, adiadococinésie, cata-
té au-dessus de lui de dégénérescence répondant au trajet récemment décrit du faisceau de Gowers vers le cervelet. Le seco
ait vieille et que sa moelle présente, indépen- damment des lésions décrites , des marques incontestables de sénilité. En eff
sortir les qualités, je la mettrai en parallèle avec le type clinique décrit par Erb sous la dénomination de paraplégie spas
ait de contracture. Dans la paraplégie spasmodique dont je viens de décrire les signes les plus saillants, l'anesthésie peu
ée. En résumé, la forme de paraplégie spasmodique que je viens de décrire , sans représenter, tant s'en faut, une espèce nos
ères de celte forme spéciale de névrite optique que Parinaud a bien décrite le premier, qu'il a fait connaître dans plusieurs
Elle se tenait à peine debout et les efforts qu'elle faisait pour me décrire son mal l'augmentaient encore. L'examen objecti
t, c'est l'extrême variété avec laquelle les différents auteurs ont décrit jusqu'à présent ce symptôme. Il est donc tout n
intéressantes, comme par exemple l'inversion du réflexe du radius, décrite par l'un de nous('). Mais dans les cas les plus
ant. i° Les lésions méningées observées rentrent dans ce que l'on a décrit sous le nom de pachyméningite cervicale hypertr
les sensitifs, en tous points comparables à ceux que nous venons de décrire . Remarquons, en passant, qu'il s'agissait là d'un
drome neurologique qui, à notre connaissance, n'a pas JL encore été décrit . Le malade ayant succombé, la nécropsie a été f
la paraplégie spasmodique en flexion permanente que l'un de nous a décrite et dont voici les éléments : contracture perman
relaté cinq observations ; le caractère essentiel de la déformation décrite consiste en une inclinaison du tronc du côté op
de la l'adiothé- rapie. DES NÉVRITES 437 NÉVRITE RADIALE J'ai décrit à la Société de Neurologie en 1903 une forme spéc
n ai noté d'autres, comme on a pu le voir, qui n'ont pas encore été décrits . Ce sont d'abord les déformations produites par
sie radiale, de la paralysie de la 3e paire ou de la 6e paire. On a décrit aussi des névralgies hystériques, en particulie
graves et constitueraient ce qu'on a appelé la « folie hystérique » décrite en détail dans le Traité, si justement appré- c
articulier d'oedème bleu. Du côté de l'appareil respiratoire on a décrit l'aphonie, le mutisme, le spasme glottique, l'o
anifestations de cette névrose. Enfin, la fièvre hystérique a été décrite depuis longtemps et récem- ment encore on en a
me de la nature de cette atrophie que nous avons été les premiers à décrire , mon maître Charcot et moi. Quoi qu'il en soit,
s'il en existe un, de l'hypnotisme simulé. Il crut en trouver ; il décrivit ce qu'il appela les phénomènes somatiques du gran
s leur dépendance. Je connais aussi les faits de kinésie paradoxale décrits par Souques, ces formes de polypnée, de mutisme
r résumer mon impression actuelle sur la nature des troubles visuels, décrits comme stigmates de l'hystérie, je dirai qu'un m
ontré chaque jour les plus beaux types de l'hystérie telle qu'on la décrivait à la Salpêtrière. Prenons l'exemple de l'hystér
iques et de ces contractures dites réflexes qui avaient été si bien décrites par Charcot et par Vulpian. Toute paralysie ou
rologie de guerre, il n'en est pas moins vrai que l'on a continué à décrire sous ce nom, outre des phénomènes pithiatiques,
tes permanents de l'hystérie ? ' Les troubles nerveux qui ont été décrits sous le nom de stigmates apparaissent donc avec
Nous retiendrons seulement parmi ceux-ci le mémoire où Gosselin (') décrivit l'atrophie musculaire consécutive aux fractures
re part, à l'extraordinaire fortune du concept hystérie. On avait décrit , autrefois, sous le nom de paralysies sympathique
lexe ne correspondent à aucune conception nosographique précise. On décrit aujourd'hui sous ce nom un certain nombre d'atr
série de publications. H. Meige, Mme Ath. Bénisty et Mule Lévy(') décrivent sous le nom de « main figée » certaines impoten
qui serait venu se greffer sur une épine organique initiale. Claude décrit , à côté des accidents hystériques, « certaines
ogie, 4 novembre ig 15. 558 TROUBLES PHYSIOPATHIQUES encore non décrit donna alors à nos recherches une orientation nouv
coucheur). L'existence de la surexcitabilité mécanique des muscles, décrite par nous dans ce groupe de faits, a été confirm
e et dont nous avons cherché à déterminer la valeur. Nous les avons décrites sous la dénomination de contractures et de para
de la Sociéte de Neurologie, j'ai fait observer que les phénomènes décrits sous le nom de paralysies et contractures réfle
24 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
es ont persisté sans aucune mo- dificatiol tels que nous allons les décrire . Il y a un an V... remarqua il plusieurs repris
connaître. Elle fait t partie de la pléiade symptomatique complexe décrite par le M. Profes- seur Fournier dans la période
ptique décolorée de chaque côté est bien celle que les spécialistes décrivent comme constituant la lésion oculaire fondamenta
les petites articulations des doigts du rhumatisme blennorrhagique, décrite par notre maître M. le professeur Fournier sous
de son héros favori, et l'on va voir qu'il n'a pas redouté de nous décrire par le menu la blessure d'Enée et les soins qu'
canisme extrêmement ingénieux. Celui qui est figuré en M, est ainsi décrit par M. Monaco, d'après les publications de Vulp
dorsale, ou par le centre de l'adhérence méningomédullaire gauche ( décrite plus haut), on remarque la disposition suivante
res et veines, et ne diffèrent pas des lésions que nous ' venons de décrire pour les vaisseaux de gros calibre. Les vaissea
vons pas remarqué les dessins sinueux ou tourbillonnés si élégants, décrits dans les observations de Sottas. Ces dernières
ébordant du reste l'emplacement de celles-ci. Aussi ne pouvons-nous décrire les lésions histologiques de la substance grise a
ésion aussi étendue; aussi destructive que celle que nous venons de décrire , ne se soit manifestée dans tout son éclat que
es, .auquel M. Brissaud rattache les syringomyélies à début brusque décrites par Minor. Cette interprétation, rendue vaine
ce fait, important dans l'espèce, on trouva les altérations du foie décrites par Gubler dans la syphilis congé- nitale. l '
idérablement rétréci. Kahler et Pick comparent ces lésions à celles décrites par Charcot et Gombault (1) dans un cas de syph
tissu conjonctif disposé en replis anormaux analogue à .celui déjà décrit dans la partie inférieure de la moelle. Sur l
ns que nous venons d'étudier. Ce type serait d'ailleurs difficile à décrire vu la multiplicité des phénomènes observés. (
ÈRE 111 iiiiale iiiais ne différant guère de la paralysie spastique décrite par Charcot et par Erb au cours de la syphilis
dentaire présente des lésions qui méritent d'être minutieuse- ment décrites . Mâchoire M)' ! M<)'e.Asymétrique, Il manque
réditaire de la moelle. Dans les faits que.nous allons maintenant décrire , le cerveau continue à participer très souvent
raie après avoir éliminé la pseudo-paralysie d'origine syphilitique décrite par Parrot et Dreyfous (1). Dans le cas de Mo
nous l'avons dit, se rapprochent du type de paraplégie spasmodique décrit par Erb dans la syphilis acquise des adultes. L
, nous dirions volontiers qu'entre le type de paralysie spasmodique décrit par Erb et les faits de rigidité spasmodique gé
t mercuriel et ioduré contre les accidents ner- veux que nous avons décrits . Nous prescrivons alors(juillet 1805)l'iodnrede
le Congrès de chirurgie puis dans la thèse de son élève Ortliolan, décrivait les déformations per- manentes des doigts et de
ît un faciès assez spécial. Le type du scrofuleux qu'on a cherché à décrire autrefois, n'est pas pu- rement imaginaire. L'e
agnostic de Mal de Pott. La statuette égyptienne que nous venons de décrire montre que les mal- formations corporelles caus
es, que chacun connaît et reconnaît, mais qu'il est plus malaisé de décrire . Face carrée, aux pommettes saillantes, à mâcho
ne opinion différente ; ce sont Zacher qui en accepte quatre et qui décrit cinq parties égales. La plupart des auteurs (l3
es propos incohérents, parler à des êtres ab- sents ou chimériques, décrire des choses que, sauf elle, nul ne voyait. » Ce
immobilisé 'dans la même position depuis 16 ans (1) (PI. XXXVII). Décrit déjà par Platon (2), dans le service de Villeneuv
ongénital qui correspond au tabes dorsal spasmodique ; de même on a décrit des cas tératologiques congénitaux correspondant
des troubles de la coordination analogues à ceux que nous venons de décrire . » On ne trouve pas rapporté davantage ce sympt
aits personnels. En somme, il est de toute nécessité aujourd'hui de décrire , à côté des cas où le liquide est sénelii lé pl
pante de celles colo- rées par cette substance. Il est inutile de décrire la gomme, ou le tissu de sclérose. - Certains a
- trême. . « Toutes les deux présentèrent les altérations du foie décrites par Gubler dans la syphilis congénitale. « Le
rablement rétréci. » Kahler et 'iclc comparent ces lésions à celles décrites par Charcot et Gombault dans un cas de syphilis
cheval a disparu. On y trouve les mêmes altérations que celles déjà décrites pour les fibres nerveuses de la moelle dorsale, l
édo-syphili tique et dont les lé- sions médullaires méritent d'être décrites en détail : « La dure-mère est peu atteinte par
moyen degré les épaississements conjonctifs et les amas nucléaires décrits par Heubner dans le cas de syphilis cérébro-spi
nique adventice, la tunique interne ne présente pas les altérations décrites par Heubuer. Le canal central est partielleme
bre de cellules normales, des cellules ayant subi la dégénérescence décrite plus haut. C'est surtout le groupe antérieur mé
s cellules rondes qui forment le fond des lé- sions que nous allons décrire . Cette coloration est essentielle. Les coupes o
médiaires. ' 296 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Avant de décrire les lésions que nous avons trouvées il est bon de
e-ci s'infléchit sur elles et c'est son prolongement que nous avons décrit , plus haut, engainant les racines dans l'espace
cas. Elle conserve la même disposition en croissant que nous avons décrite pour le processus général, très épaisse à la pa
avec le processus de pure infiltration embryonnaire que nous avons décrit plus haut permettent de rattacher ces cas, en a
la moelle par un néoplasme mé- ningé volumineux que nous avons déjà décrit plus haut. En effet, la subs- tance blanche qui
dant les signaler puisque pour les autres organes la congestion est décrite comme le premier stade du processus syphilitiqu
lle est absolu- ment comparable à l'hépatite interstitielle diffuse décrite par IIudelo (1), aux lésions testiculaires décr
titielle diffuse décrite par IIudelo (1), aux lésions testiculaires décrites par Hutinel, aux lésions de la rate, des poumon
te, des poumons, des os, de la peau, des muqueuses et des ganglions décrites pré- cédemment, absolument comparable aux lésio
énales qui viennent d'être étudiées, aux lésions du placenta foetal décrites par Sclvvab (2) tout récem- ment, et elle contr
es ganglions correspondent exactement au type normal que nous avons décrit . La seule lésion qu'on puisse relever est une d
u'il en soit, il subsiste des altérations assez évidentes pour être décrites avec soin. Région CERVICALE.- La moelle est pet
.. Le principal intérêt des deux oeuvres d'art que nous venons de décrire est de nous montrer que les barbiers-chirurgien
j'ai longuement discuté la ques- tion de savoir si, dans ce qu'on a décrit sous le nom de paralysies arseni- cales, il y a
vous citer, MM. Er- licki et Rybalkin (1) ont particulièrement bien décrit les déformations qui se produisent en pareils c
ur les autres, par leur fré- quence ; ce sont celles que je vous ai décrites sous les noms de polynévrite à forme paralytiqu
e de nature, ce n'est plus le tissu conjonctif serré que nous avons décrit , il y a maintenant de larges vaisseaux béants, et
, ce tissu se continue direc- tement avec la tumeur que nous allons décrire ci-dessous et en fait évidemment partie intégra
rien à noter. La bande néoplasique demi-circulaire que nous avons décrite macroscopi- quement plus haut est tout entière
rence au point de vue histologique avec l'aspect que nous venons de décrire . La moelle a sa forme normale, ses vaisseaux pr
rré de cellules embryonnaires qui rappelle la tumeur que nous avons décrite plus haut. - , Observation XVIII, 29 avril 1896
uniformément dans toute sa hauteur, les lésions que nous venons de décrire sont remarquables par leur caractère de dissémi
en se fondant sur les zones de colorations différentes précédemment décrites , il semble possible d'admettre que ce dédoublemen
voir, un trait de commun avec celles que nous avons précé- demment décrites . Ce n'est pas tout : les conditions dans lesque
25 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ique, lorsqu'on l'a entendu une fois, autant il est difficile de le décrire exactement et d'en bien faire ressortir les nua
bégaiement hysté- rique. Si ce trouble n'a pas été jusqu'à ce jour, décrit par le détail, au moins à notre connaissance, n
rs', à propos de l'astasie-abasie, de ce syndrome bizarre récemment décrit , et vous l'ai carac- térisé par ce passage de H
sur la page de son livre. L'obsession est un phénomène aujourd'hui décrit et analysé; MALADIE DES TICS ET TREMBLEMENT. 41
données connues sur cette variété de manies, pour faire inventer et décrire par le médecin aliéniste Souby- ranne le délire
stations, il ne faut jamais se borner au cadre des idées fixes déjà décrites , car on est tous les jours exposé à en rencontr
nnent un grand nombre de cellules analogues à celles que nous avons décrites tout à l'heure : il y a en certains points des
olifération nucléaire abondante, et des cellules analogues à celles décrites dans la subs- tance blanche. On y trouve un c
t àfait nor- males. Réflexions. Des lésions qui viennent d'être décrites , la plus frappante est celle qui affecte les va
lésions qui vien- nent d'être exposées avec celles que nous avons décrites dans le premier cas, on constate de notables di
rent rien de notable, elles furent la répétition de celle qui a été décrite . L..., qui est toujours à l'asile, n'a conservé a
e prête pas à la confusion comme en français (\Vi1'ùelweh) l'auteur décrit ce qu'il appelle encore une névralgie des plexu
relative aux réactions électriques et aux altérations anato- miques décrites . Une observation. Fibres musculaires épaissies,
edreich) ; par SCHULTZE (Neurol. Centralbl., 1886.) Ce type a été décrit par Seeligmuller dans la Deutsche meuic. Wochen
ans la Deutsche meuic. Wochenschr., 1886. M. Sclmllze se propose de décrire ici l'évo- lution ultérieure qu'a revêtue la ma
90 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. comment Gowers décrit le trajet de son faisceau cantéro-latéral ascen
pauvre en myéline, est le corps restiforme secondaire. Le mémoire décrit avec de menus détails l'évolution générale des di
ué au-dessous DE la DUIOE-MÈllI'; du cerveau (y compris LES LÉSIONS DÉCRITES SOUS LE NOM DE 1',\CdnnNINGITE) chez les aliéné
re se résume dans les conclusions suivantes : 1° Les étals morbides décrits sous le nom de pachyméningite interne hémorrhag
ise- ment physiologique sont loin d'être nombreux. Mevnert a bien décrit les fibres qui président à cet entre-croisement e
e à une revue des théories et des observations publiées, M. Euphrat décrit un exemple de deux jumelles ayant toujours vécu
Rey, ainsi que les altérations de la lisière de substance blanche décrites par Tuczek. Discussion. - M. SCHULTZE. N'y aura
t surtout en relief les desiderata de l'an- thropométrie future, et décrit les appareils les plus compliqués et les plus p
'aliénation men- tale (sans jeux de mots) a évolué. M. Kirchhoff la décrit non seule- ment en Allemagne, mais en France, e
ur du personnel organisé; il y aura son habi- tation. Après avoir décrit ce qui a été fait à Alt-Scherbitz 1, M. Poetz i
s du membre inférieur, puis beaucoup plus tard par Valleix qui en décrivit les points douloureux, nous avons apprisà conna
ôtres, moins fré- quentes que la localisation déjà depuis longtemps décrite dans les sciatiques traumatiques. C'est de la n
es dans son enseignement clinique. Nous ne nous attarderons pas à décrire la distribu- 1 Nonne. 7 ? n/)'M ? ! )'MC/ ! OK
onnaît depuis longtemps dans la sciatique, ceux que M. Landouzy a décrits en 1875 dans le mémoire que nous avons déjà cit
ble dépen- dant de la sciatique, analogue à ceux qui ont déjà été décrits dans cette maladie. La raison est bien simple.
sciatique simple, dans laquelle on ne l'avait, il est vrai, jamais décrite jusqu'aujourd'hui, que dans la sciatique par lé
, vous le savez, un médecin américain qui, en 1872, s'est attaché à décrire et à différencier des autres genres la chorée d
ypes de tremblement auxquels je faisais allusion tout à l'heure, en décrire une troisième espèce répondant à la variété pré
ilité du fait. « Certains cas de tremblement chronique qu'on aurait décrits jadis, sans hésitation, comme des exemples de p
ar de l'oedème dur n'a- boutissant pas à la suppuration, a été bien décrite pour la première fois par Remak qui a montré sa
tablir entre le choc local et la stupeur locale telle qu'elle a été décrite plus récemment par le professeur Verneuil. Dans
s. Le 26 mai, plus de deux'mois après la production des accidents décrits plus haut, nous examinons la malade de nouveau au
uvé de l'insuffisance de convergence exactement comme celle qu'il a décrite ; cet accident parait donc en rapport avec les p
te des apophyses articulaires (synovite) des vertèbres n'aurait été décrite que par Hueter comme étant bien plus fré- quent
tation debout qu'elle présente réalisent le syndrome astasie-abasie décrit parM. Charcot, M. Blocq, etc., et par cela même
es). Elle n'a guère modifié les psychoses préexistantes. M. LEHMANN décrit trois cas de psychopathies consécutives à l'in-
Cramer (d'Eberswalde) a retrouvé dans le bulbe le faisceau anormal décrit par A. Ylctt. Il présente des pièces à l'appui. C
ment, des réflexes, du langage, les troubles trophiques, etc., sont décrites avec grand soin en s'appuyant sur les données p
és. -L'ordre adopté ne paraît pas toujours très logique. - Pourquoi décrire d'abord et d'une façon séparée les troubles de
e, et comme on le voit, il présente les troubles que nous venons de décrire , depuis plus d'un mois. C'est un homme de petit
du début, et en même temps la malade a une^vision lumineuse qu'elle décrit de la façon suivante : elle aperçoit à gauche u
Pendant trois mois, des accès semblables à celui que nous venons de décrire se reproduisaient tous les quinze jours, sans p
conformer à la façon dont j'ai envisagé le circuit nerveux, je vais décrira pour le demi-circuit sensitif de l'appareil ner
le de concevoir de nombreuses variétés, qu'il n'est pas besoin de décrire . Substance grise de l'espace perforé. - Cette s
oint pour devenir verticale et se continuer avec ce que les auteurs décrivent sous le nom de pédoncule du corps calleux, pédo
bande diagonale; mais il est facile de s'assurer qu'a- près avoir décrit une anse elle y revient souvent.Nous verrons qu
e somme de fibres proportionnelle à ce volume. Les racines seules décrites jusqu'à ce jour ne sont donc en réalité que la
ait donné le nom «d'arc olfactif ». Bande diagonale. - FOVILLE la décrit ainsi : « De la moitié postérieure de son côté
ne à l'autre ? C'est ce qu'il s'agit maintenant d'examiner. » Et il décrit la bande diagonale des osmatiques. Chose curieu
ige, qui est quelquefois très apparent chez l'homme, et qui a été décrit par Vicq-d'Azyr sous le nom de pédoncule du corps
a perceptibilité différentielle fut déterminée d'a- près la méthode décrite plus haut; quant aux autres fonctions de l'appa
s en usage dans le laboratoire ophtalmologique de la Salpêtrière et décrites à plusieurs reprises dans les travaux, sortis d
pathologiques, en tant qu'il s'agit bien entendu du type ci-dessus décrit pour l'oeil normal. La courbe reste toujours co
Pari- y7aM</. Cet instrument ainsi que son maniement ayant été décrits à plusieurs reprises dans les notes et mé- DE L
nt du moment où elle a été placée par son mari. C'est ainsi qu'elle décrit parfaitement la salle de l'hôpital dans laquell
e M. A. Voisin, et, quoiqu'elle n'y soit allée qu'une fois, elle le décrit nettement et donne des détails très précis. De
alpêtrière, une fois pour consulter et l'autre pour entrer, et elle décrit parfaitement la porte d'entrée, le parloir, les
bien que nous voyant tous les jours elle ne peut en aucune façon décrire notre portrait même vaguement, mais qu'elle nous
ctions aux exci- tants périphériques, montraient les symptômes déjà décrits . La lumière la plus brillante cependant ne prod
ne assez grande distance avant de rester en repos. Les phénomènes décrits par Munk indiquent une cécité complète des pige
ur, car l'ablation alors n'a pas été complète. Cependant Sehroeder' décrit les phénomènes observés chez deux pigeons dont
t été loin d'être complète dans aucun cas, cependant les phénomènes décrits par lui comportent leur enseignement pour la ph
C'est la démonstration expérimentale des « discharging lésions p, décrites par Hughlings Jackson. Il a été aussi établi par
Ces convulsions tendent à s'étendre et se généralisent dans l'ordre décrit originairement par Hughlings Jackson. Elles ne
n'était pas abolie chez lui; il ne présentait aucun des phénomènes décrits par Charcot : ni hyperexcitabilité neuro-muscul
26 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sente rien d'anormal, ni extérieurement, ni à la coupe. Nous allons décrire longuement l'hémisphère gauche. La région front
fois un petit bacille court à bouts arrondis ' analogue à celui que décrit M. Emile Blanc et presque toujours s des- edccu
is nous ne les décrirons pas; mais nous nous appliquerons surtout à décrire ceux que nous avons employés et à fournir les r
ces symptômes précurseurs. Pour nous les symptômes précurseurs que décrivent tous les auteurs sont toujours accompagnés d'ét
le, les font rentrer dans ce der- nier groupe. Le médecin doit donc décrire au juge la personnalité du malade, et tracer le
les n'aient pas été reconnues plus tôt, car c'est Charcot qui les a décrites le premier. Toutes les articulations peuvent êt
is d'une syringomyélie à forme mixte, la syringomyélie type Morvan, décrite par Charcot. La lésion doit être localisée plut
euses, les tropho-suppurécs, les tropho-névrotiques. Il y a lieu de décrire à part l'ensemble des lésions articulaires qui
e traite de l'hystérie paroxys- tique et du traitement. Après avoir décrit la grande attaque d'hysté- rie avec la régulari
de l'attaque de l'hystérie ou de l'accès d'épilepsie. Après avoir décrit les formes si nombreuses qui, par prédomi- nanc
ambulisme dit naturel dans le cadre de l'hystérie. Tous les états décrits dans ce chapitre ne sont en somme que les maill
c la profusion de détails qu'ils méritent; M. Gilles de la Tourette décrit d'abord les troubles trophiques cutanés puis le
t la paupière et le sourcil pour gagner le milieu du front, où elle décrit un demi-cercle pour revenir en dehors et. en haut
l'os et très douloureuse au toucher; au centre de la boucle qu'elle décrit sur le front se trouve encore une cicatrice iso
ns. Les caractères cliniques de la maladie ont été tels qu'on les a décrits à cette période de la vie : le trait le plus ca
moins d'une année. L'hébéphrénie se confond en partie avec les cas décrits sous le nom de démence prirnitive.(Anaerican jo
re dégénérative qu'il attri- bue à sa malade. Pour lui les troubles décrits relèvent de l'arthritis et non de la dégénéresc
. Et puis l'on s'est engagé dans une mauvaise voie quand on a voulu décrire des folies spéciales à chaque maladie, à la puer-
NIQUE NERVEUSE. fuleuse du rachis. » Olivier dit que Lapeyre a déjà décrit dans le Journal de médecine, LXV, un tubercule
a trouvés principale- ment dans la partie lombaire et cervicale. Il décrit des tuber- cules de grandeur différente, dans l
lle existe justement cette prédisposition. Hasse se borne de même à décrire les tubercules solitaires de la moelle et fait
euses. (Revue de méd., 1886.) 182 CLINIQUE NERVEUSE. Hellich' a décrit chez un homme de quarante-deux ans un cas de tu
n nouveau cas de tubercule solitaire dans la région cervicale a été décrit par Sachs 2. Obolonskv3 relate un cas de tuberc
ne diffèrent que par l'intensité du processus morbide, nous allons décrire cependant les lésions trouvées dans chaque port
glie. Dans la pie-mère, qui nous offre la même image que nous avons décrite plus haut, on voit un tuber- cule sur le côté e
nissent en une seule agglomération plus grande. Cornil et Ranvier décrivent la structure du nodule tuber- culeux, dans leur
tuberculose de la moelle doit être encore augmenté du cas chronique décrit par Gunsser. Ainsi, la tuberculose nodulaire de
de Froisier, Hutinel, Voisenet, Rendu, et par celui que nous avons décrit . Vu l'intérêt pratique de cette étude, il faut
plus précis certains événements auxquels elle a assisté : elle nous décrit minutieusement les prison- niers qu'elle a vus
t pas nécessairement entachées de cette déchéance intellec- tuelle, décrite sous le nom de démence sénile. Une manifestatio
ana- SOCIÉTÉS SAVANTES. 1237 -j logue à celui que nous venons de décrire , mais avec plus d'in- tensité. L'âge de l'anima
à cette hypertrophie, sont superposables à celles que vient de nous décrire M. Renaut. Elles sont même plus accusées puisqu
e (Bris- saud) mérite confirmation. Quant aux lésions histologiques décrites par M. Renaut, elles sont secondaires. Pour nou
ctuellement la question est beaucoup plus complexe. Dans ce qu'on a décrit sous le nom de fugue, il y a trois séries de fa
e; 24 centigrammes pour 1 kilogramme d'animal tuent. ' M. Jolfroy décrit ensuite la physionomie clinique de l'action de
égénération qui se fait en foyers microscopiques. Il y a lieu de la décrire isolément. Discussion : M. Binswanger. - On peu
ation vasculaire qui caractérise la forme clinique qui vient d'être décrite . z M. Siotr. - Ces malades sont assez rares dan
développements dont la méthode de M. Séguin est susceptible, si je décrivais tous les pro- cédés dont il est obligé de faire
ca- lisées des centres nerveux. Nous n'avons pas la prétention de décrire des lésions nouvelles, car les détails sur lesque
endartérite énorme, en plus de l'état spécial des tuniques externes décrit plus haut. Sur quelques-unes on voit que la cou
ble du système nerveux central. Il est bien évident que les lésions décrites dans la moelle et localisées à ce niveau presqu
nstitue la mé- ningo-myélite syphilitique diffuse telle qu'elle est décrite par les auteurs. A l'intensité près, cette méni
té près, cette méningite est exactement comparable à celle qui sera décrite dans les observations sui- vantes ; il est diff
à la dégénérescence colloïde des vaisseaux de l'écorce cérébrale , décrite par M. Magnan dans quelques cas de paralysie gé
ullaires, qui sont com- plètement indépendantes des dégénérescences décrites plus haut. La moelle présente dans sa hauteur u
e la protubérance présente les mêmes lésions que celles qui ont été décrites dans le cas précédent, mais moins marquées. L
s'agit d'une lésion qui ne diffère en rien de celle que nous avons décrite plus haut. Le point le plus remarquable est la
'absence de dégénération secon- daire. Cette plaque, que nous avons décrite à la Société anatomique, avec la collaboration
proprement parler que l'exagération du processus que nous venons de décrire (F. Raymond, Sur quelques cas d'atro- phie musc
il est évident que la lésion de névrite transverse, que nous avons décrite comme étant la cause de la dégénération tabétiq
tomiques et cliniques considérables. La preuve en est dans le cas décrit par Westphal d'une myélite transverse diffuse qui
as certains d'abcès de la moelle, en dehors du cas très intéressant décrit par l'auteur. - * ' ' Après deux jours de viv
ec la dégénération des cordons de Goll et des faisceaux cérébelleux décrits : c'est l'ancien tabes dorsal spasmo- REVUE DE
cools par les injections intm-veineuses, M. Paul SOLLIER (de Paris) décrit une forme d'anorexie mentale, primitive, spécia
harpentier croit voir dans ces cas l'anorexie des hypocon- driaques décrite par les anciensauteurs.( M. Tissié (de Bordeaux
sagerons les cavités de la pachyméningite cervicale hypertrophique décrite par Charcot et Joffroy. Dans ce cas, les cavités
Merck. Les effets obtenus ont été satisfaisants et conformes à ceux décrits par la plupart des auteurs et rappelés avant-hi
bservations publiées atteint à peine deux cents. Peut-être, voit-on décrire moins souvent l'athé- .tose parce qu'on la conf
hoses de plus près. Quant aux phénomènes moteurs que nous venons de décrire chez R..., leur ensemble est tellement caractér
ve- ments, non seulement lents, mais circonscrits. Les mouvements décrits chez R... ne pourront pas non plus être confond
s). Sur le signe du cubital (analgésie) dans la paralysie générale. Décrit par Biernacki, dans le tabes, ce signe n'a qu'u
n des dystrophies mus- culaires. Duchenne (1847), puis Aran (1850), décrivent l'affection qui porte leur nom; Cruveilhier, Lu
otrophique; Hamond (1894) se range à son opinion; M. P. Marie ne la décrit pas dans le Traité de médecine. M. J.-B. Char
tomique de la dégénérescence des fibres des cellules de cordon déjà décrites en 1866, par Charcot et son élève Bouchard, sous
enrichir la sclérose latérale amyotrophique qu'il avait le premier décrite . Son voeu se trouve' exaucé et s'il pouvait lir
aissé d'importants tra- vaux de pathologie mentale, qui a défini et décrit l'idiotie, le crétinisme, les délires toxiques,
ELES. (Iah1'bÜchel' fier Psychiatrie und Neurologie, XIII, 2, 3.) Décrite pour la première fois par Duchenne, 18GO, la para
étudiée analomiquement par Leyden, Charcot et Joffroy. Erb en 1879, décrivit une forme qui tout en res- semblant beaucoup à
iculière des membres. Le cachet particulier, des paralysies si bien décrit par Goldflam se retrouvait surtout dans le seco
cortical a bien le trajet direct et ininterrompu que nous lui avons décrit (Hoesel). - 4. Il existe avec les fibres déjà déc
nous lui avons décrit (Hoesel). - 4. Il existe avec les fibres déjà décrites une quatrième partie constitutive des fibres du
GLIN) comme terminaison de la paranoia. - Le professeur Kraipelin a décrit une forme particulière d'affaiblissement intel-
as à rétrocéder ; alors se manifeste la forme spéciale précédemment décrite carac- térisée par un certain degré d'affaiblis
L'auteur en a observé qui paraissent devoir rentrer dans la forme décrite par Krajpelin. Chez quelques-uns cependant on a
t donne deux observations qui présentent l'ensemble symptomatique décrit plus haut. Dans le premier cas il s'agit d'un m
e, au volapuk, etc., etc. On le voit, ce malade présente les signes décrits plus haut : absence d'idées délirantes, faculté
binets, n'offrent rien de spécial et seront tels que nous les avons décrits dans notre précédent travail. Pour les dortoirs
observations anatomo-cliniques et les lésions de l'écorce cérébrale décrites dans certains cas d'intoxi- cation grave chroni
sychopathiques qui simulent le délire aigu et qui ont été jusqu'ici décrites comme délire aigu, il en est une à laquelle on
t les critiques de certains auteurs qui n'ont pu trouver le bacille décrit par Hianchi, mais d'autres variétés de microorg
r le Dr P. SOLLIER. - Intéressante observation du syndrome clinique décrit par Kor- sakoff sous le nom de psychose polynév
cence passagère de rapidité. Après que les physiologistes eurent décrit les troubles fonction- nels produits par l'alco
27 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
forme à ces contours indéterminés comme ceux d'un nuage? Qui pourrait décrire ces méandres irréguliers, pareils, dans leur comp
our apercevoir quelques progrès appréciables. Quelques plis sont bien décrits par Yicq-d'Azyr. La figure que Sœmmering a donnée
issure de Sylvius, qui sépare le lobe antérieur du lobe postérieur. H décrit avec une grande exactitude les cinq processus ray
bord supérieur) de l'hémisphère. Rolando signale aussi, mais sans les décrire , les circonvolutions qui sont situées en dehors d
ande confiance. Depuis Rolando, plusieurs anatomistes ont essayé de décrire les circonvolutions cérébrales. M. le professeur
ition générale présentant quelques points constants, il essaye de les décrire et d'imposer des noms à quelques-unes d'entre ell
tre à sa face inférieure. b. Sur la face inférieure, M. Cruveilhier décrit des circonvolutions dont les unes appartiennent a
sphère « cérébral. » Bien que M. Fréd. Arnold n'ait point essayé de décrire les circonvolutions cérébrales, il serait injuste
nt loin le valoir un objet naturel : or M. Arnold n'a point essayé de décrire les choses qu'il a si bien copiées, en sorte qu'i
au de l'Homme et du Papión des figures fort remarquables. M. Leuret décrit ainsi les circonvolutions des Primates (pl. 11, f
ure. Rolando et M. Cruveilhier. L'anfractuosité de l'ergot, si bien décrite par ce dernier savant, et qui est plus évidente e
sont les gyri brèves, les circonvolutions de l'insula. M. Foville les décrit avec une grande exactitude. d. Circonvolutions
erminations. Aussi, quand j'aurai, dans le cours de mes recherches, à décrire le cerveau humain, me bornerai-je à signaler plus
stes ont appelé l'étage inférieur du corps strié. Cette saillie, bien décrite par Rolando et par la plupart des anatomistes mod
deux hémisphères d'un même cerveau, qu'à peine peut-on essayer de les décrire . Nous les nommerons plis orbitaires. Les plis du
ement appelé le crochet de Vhippocampe. Les plis que nous venons de décrire sont propres à la face interne de l'hémisphère. L
les. § XIL Tels sont les plis cérébraux du Callitriche. Je les ai décrits avec un soin et un dé- tail peut-être fastidieu
iser les conséquences d'une observation particulière, et, après avoir décrit le cerveau de VEntelle, de juger par analogie de
rrière, n'est plus aigu comme dans les Guenons; il est moins élevé et décrit une courbe arrondie; enfin sa branche descendante
a face externe du cerveau de VEntelle. J'ai le regret de n'avoir pu décrire la face interne de l'hémisphère, les intérêts de
bandonner toutes mes opinions antérieures sur ce point, d'étudier, de décrire scrupuleusement les faits, et de me laisser ensui
ment un peu plus allongé; en outre, le bord supérieur de l'hémisphère décrit une courbe plus régulière, qui tient à une sorte
impanzé, il naît au devant de ce sommet par une extrémité élargie, et décrit autour de lui une courbe fort étendue. (Voy. 6. 6
qui montent au pli supérieur de passage; ils ont été déjà vus et bien décrits , mais n'offrent rien de constant dans leur nombre
s ici quelques mots de ceux du lobe central, s'ils n'avaient déjà été décrits , par les auteurs modernes, avec une grande exacti
s, plus régulières encore. Enfin, dans l'hémisphère atrophié que j'ai décrit plus haut, la même apparence de l'étage frontal s
titis. PLIS CÉRÉBRAUX DES CÈBES DU PREMIER GROUPE OU SAPAJOUS. Je décrirai le cerveau des Sapajous 1 d'après celui de VAtèle
is est la même, dans cette espèce, que dans celle dont nous venons de décrire sommairement le cerveau, § XXX. PLIS CÉRÉBRAU
qui dominent. Ils dominaient aussi dans ce fœtus de Gibbon que j'ai décrit plus haut. Il y a donc, entre ces cerveaux et cel
e un type supérieur. F. Des plis de la face interne. Nous les avons décrits , plus haut, avec assez de détails pour qu'il soit
28 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sinon de tous, au moins des prin- cipaux caractères que nous allons décrire , et qui devront se rencontrer toujours en plus
turer en dehors du cercle de mes connaissances histologiques, je ne décrirai que ce qui m'a paru d'une évidence incontestabl
ons- tatées me semblent avoir une grande analogie avec celles que décrivent ces auteurs dans leur travail. Les épileptiques p
-adjoint de l'hospice de Blcètre. Depuis plusieurs années, on voit décrites à chaque pas dans les livres étrangers, surtout
de délire systématisé, qui englobe toutes les formes de Para- nota décrites par les auteurs ; qu'il y ait avec le délire coïn
e et peu précise. Cependant sous le nom d'Ectasa's paranoi.ra, il a décrit certains états secondaires d'exaltation mentale
é de la personnalité. Nous retrouvons ces idées dans Esquirol 2 qui décrit les monomanies intellectuelles et rapporte plus
surtout sur les idées de grandeurs. En Allemagne Griesingerl (1845) décrit la folie systématisée (p. 382) (Die Ve7@ûckthei
e forme de folie systématisée (Verrückhait) primitive, mais sans la décrire . 1 En somme, jusqu'ici, nous n'avons rien de bi
s héréditaires comprennent à peu près tout le cadre de ce qui a été décrit plus tard sous le nom de délires systématisés p
décrit plus tard sous le nom de délires systématisés primitifs. Il décrit les idées tixes, les excentricités, les bizar-
iblissement, ou plutôt de déséquih- bration mentale. Le même auteur décrit aussi la fusion des deux formes, expansive et d
n somme, on le voit avec ces deux maîtres, la psychiatrie française décrit la première la folie systématisée primitive. Nous
lité d'une forme primitive. C'est Snell 2, qui le premier, en 1865, décrit nettement une forme fondamentale, distincte de
ive des états mixtes (délires de persécution et de grandeur) et les décrit sous le nom de Primâre Verrizclclheit. 11 signale
rme originaire de la folie systématisée (p. 1269). En 1873, Snell décrit sous le nom de, folie systématisée ( Wahnsinn)
opre, adoptée depuis par Hertz ', Ripping, Nasse. ' Saint en 1874 décrit la variété hallucinatoire de la forme originair
ieux et le vrai délire des grandeurs. Westphal le premier, eu 1878, décrit la forme aiguë et tente une classification de l
'il divise en quatre groupes ' : 1° La forme hypochondriaque déjà décrite par Morel, à marche chronique, avec des rémission
ner aux autres le vieux nom de Ve2,rùckthez't. Scbuele8, en 1878, décrit la Verrùcktheit parmi les formes dégénératives,
s. f. Psych. 13. XXXVII, p. 55.) 70 REVUE CRITIQUE. Westphal et décrivent en plus une forme hystérique analogue dans sa m
e Paranoïa, primitive : l'une avec délire des persé- cutions, qu'il décrit complètement avec ses trois périodes hypo- chon
me, l'auteur étudiant la fusion de la paranoia avec l'hypochondrie, décrit , comme sous-variété de la Paranoia hypochondria
es folies alcooliques, le délire de persécution des buveurs aliénés décrit par Calmeil et Thomeuf 'l, et par Nasse 1. - Le
e des hallucinations, apparaît alors le délire. 1-(eynert' (1881) décrit également la forme aiguë (halluci- natoire) des
s idées de Koch, de Krafft-Ebing, etc., à ce sujet. Gnauclcs (1S83) décrit une forme de Paranoia épileptique qu'il sépare
en méconnaissant son caractère pa- thogénique. ' Aloeli7 (188 : ) décrit des cas de folie systématisée, déve- loppés à l
que hypcchon- driaque n'aboutit pas à la démence. Sakaki 1 (1883) décrit l'examen microscopique du cerveau d'un fou syst
marche aiguë, guérissant en quelques semaines ou quelques mois. Il décrit complètement le délire des processifs et le reg
résence d'une substance floconneuse jaunâtre, analogue à celle déjà décrite par Mendel chez les paralytiques généraux : le si
morale, p la paranoia partielle (rudimentaire ou idées fixes qu'il décrit le premier et délire des persécutions), y la Pa
le peut aboutir à la démence. Comme variétés de cette forme, Mendel décrit la Paranoia originaire toujours 1 Arndt. Leh2,b
ettement tranché, de fibres à myéline qu'on ne connaît ou qu'on n'a décrit que par bribes sans en faire connaître l'importan
son insu. Je me demande enfin si les chan- gements de personnalité décrits par MM. Bourru et Burol ne re- présentent pas p
sur l'étude des troubles locaux qui en résultent et que l'au- teur décrit avec beaucoup de soin. Chez les enfants qui s'ado
alade à conserver cette position, il ne peut y arriver et le membre décrit de grands mouvements que le malade ne peut empê
instant maintenu dans une position fixe, il ne la conserve pas, et décrit des oscillations de plus en plus étendues. La f
donnée. Ainsi lui fait-on tourner la tête à gauche, il l'incline et décrit un léger mouvement de va-et-vient. De plus, lor
re que l'auteur allemand s'égare pour différencier la maladie qu'il décrit du tabes vrai. Nous avons également observé la
nn primare peut être : 1° chronique; 2° aiguë; 3° stupide. L'auteur décrit la forme chronique type en disant que tous les
e est la Wahnsinn aiguë sen- sorielle (hallucinatoire). On y trouve décrits : a, la Wahnsinn hallucinatoire suraiguë et aig
fond d'hystérie constitutionnel, sans préjudice de ce que l'auteur décrit au chapitre de l'hystérie. Là, en effet, Schuel
ue l'auteur décrit au chapitre de l'hystérie. Là, en effet, Schuele décrit une folie systématique ( Wahn- sinn ou indiffér
ons sans grande systématisation et dont la teneur varie; e, un type décrit sous le nom d'état de folie systématique ( Wahn
En Angleterre, Bukuill et Tuke' (1879) rejettent la mono- manie et décrivent la delusio)îal <M4'QM'<y, le mot delusion
les lésions originaires de l'idéation. Maudsley 2 (1883), lorsqu'il décrit le tempérament de fou, surtout dans sa variété
ique, Spitzka (1880-1883) adopte la conception de la Paranoia qu'il décrit , bien qu'il se serve du mot de mono- manie 1. I
s affirmations de M. Garnier. Le délire des persé- cutions, si bien décrit par Lasègue, est un type nosographique devenu r
- jours identique à elle-même, qui ne passe jamais par les phases décrites dans le délire chronique. Plusieurs persécutés gu
308 bibliographie. deurs. L'histoire de ces vésanies sociales a été décrite pendant ces dernières années devant le nombreux
ices de la faculté de Marbourg ; ce compte-rendu a pour but, non de décrire les asiles visités, mais de résumer les formalité
xem- ples assez nombreux, surtout dans les auteurs anciens, a été décrite sous des noms très divers et parfois cou- fondu
: le plus souvent, après avoir présenté les phénomènes de l'aura décrits plus haut, sans cri initial, il se met à courir t
st au lit, quelquefois on observe les phénomènes que nous venons de décrire , mais parfois l'accès se trouve modifié ; le ma
, il en est une parfaitement distincte, mais que je n'ai jamais vue décrite . Ayant eu l'occasion d'observer plusieurs cas d
e aigu de l'affection observé dans certains cas et par- faitement décrit par Broadbent. Mais ces cas, com- parativement
ntaire impulsive. Nous avons vu que c'est Arndt, qui, le premier, a décrit cette forme de Paranoïa. Cette Paranoïa rudimen
). L'une, la Paranoïa, dite aiguë ou hallucinatoire ou curable, est décrite sous le nom de folie sensorielle aiguë et placé
èse de M. P, Garnier sur le même sujet (1877). En 1876, M. Taguet 4 décrit les aliénés persécuteurs qu'il détache du- grou
se d'un de ses élèves, le De Pottier' (1886). En 1882, M. Cotarct décrit sous le nom de délire des néga- tions une forme
-à un autre point de vue, M. Magnan n'en a pas moins par- faitement décrit les mêmes formes que nous venons d'examiner. Re
'autres auteurs (Sander, Maudstey/Krafft- Ebing, Tanzi et Riva) ont décrit sous le nom de constitution psychique de la Par
représentent ainsi cette forme de Paranoia rudimentaire qu'Arndt a décrite le premier. A ce propos, disons que M. Ma- gnan
tat mental des dégénérés, les syndromes épiso- diques, mais n'avait décrit que les délires d'emblée. - Gérente. Le délire
etc... D'autres en nient complètement l'existence ou au moins ne la décrivent pas comme modalité de la Paranoia : tels sont K
t encore grandes au sujet de la forme de Paranoia dite rudimentaire décrite par Arndt et dont le type est représenté par le
ordons postérieurs. Douze cas de tabes dont six ob- servations sont décrites dans le mémoire. On en a examiné parti- culière
Briand ne croit pas que le délire des persécutions, tel qu'il a été décrit par Lasègue, puisse être plus longtemps considé
es car ils appartiennent au groupé des héréditaires dégénérés. M. décrit dans ses cours cliniques le délire des persécu-
st la tâche que se sont imposée MAI. Binet et Féré, en se bornant à décrire ce qu'ils ont vu sans prétendre àia généralisatio
ut le monde un catéchisme spécial précieux. On y rencontre en effet décrits : les procédés de l'hypnotisation, les symptôme
ompagne en outre de pigmentation. C'est-l'atrophie pigmentaire qu'a décrite M. Charcot avec dégéné- rescence granulo-graiss
29 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
périeurs; la main, en particulier, prend déjà l'attitude habituelle décrite par Charcot : flexion de l'ensemble des quatre de
es assez loin du tremblement menu et assez rapide, que vous trouvez décrit dans vos livres. Vous voyez qu'il n'est pas mod
n dernier malade, qui vous montrera ce qu'est le type d'ex- tension décrit par Charcot, et dont plusieurs auteurs, Beschet e
ns musculaires. En 1881, Pierret et Vesselle (Th. de Lyon), avaient décrit une véritable cirrhose musculaire avec transfor
r l'un de mes auditeurs habituels, le DrFraenkel (de Heiden), qui a décrit des épaississements de la peau, fréquents, d'aprè
de préciser sur certains points les notions que nous possédons, de décrire des faits nouveaux et de réfuter plusieurs donnée
matoxyline. La lésion des nerfs radiculaires dans ce cas a déjà été décrite dans mon tra- vail sur la pathogénie du tabes (
nt conservées dans cette même observation et que je vais maintenant décrire . . A. FIBRES ENDOGÈNES DANS LES CORDONS POSTÉ
RIEURS 31 moins, pour m'en tenir aux faits directement observés, je décrirai à part ces trois aspects de fibres endogènes fi
bien elle a peu de chances d'être vérifiée. En 1886, Lissauer (1) décrivit très minutieusement la structure fine de la cor
extra-médullaire et la portion intra-médullaire du même fascicule, décrit (1) Lissauer, Beilrag zi4111 Faseruerlauf in Hi
due plus facile par une disposition, qui a d'ailleurs été fort bien décrite par Lissauer. Il existe entre les deux zones de
VI pour être convaincu de ce fait que le centre ovale de Flechsig, décrit et figuré par son auteur au niveau de la 1° lom
irectement la partie terminale de la moelle ; en effet, ces auteurs décrivent une dégénérescence dans les cordons anléro-laté
seau myélinique de la substance grise de la corne postérieure a été décrit avec beaucoup de soin par Lissauer, dans son mémo
rne s'échappent vers la substance blanche les fibres fines que j'ai décrites plus haut sous le nom de fibres endogènes fines
s racines posté- rieures. En un mot, elle est telle que Pierret l'a décrite , et il n'y a pas lieu de faire « subir une légè
94). Actuellement on considère la bandelette externe, telle que l'a décrite Pierret, comme une des étapes des fibres radicu
moins arrondi. La ligne de descente est brusque ou prolongée; elle décrit une courbe arrondie plus ou moins ouverte, mais
dépasse la ligne horizontale de départ au-dessous de laquelle elle décrit une courbe de sens inverse pour revenir insensi
l'on voit une figure qui pré- sente la déformation caractéristique, décrite par M. Fournier sous le nom de nez en lorgnette
L'abdomen est rétracté, plissé transversalement, et, vu de profil, décrit avec la partie inférieure du sternum, une courb
approche des cas de rhumatisme vertébral à forme pseudo-névralgique décrits récemment par M. Forestier (1), mais s'en sépar
ue. Ce sont là les signes prin- cipaux de la sciatique spasmodique, décrite par MM. le professeur Brissaud et Lamy, médecin
péciale présentée par notre malade se rapproche d'une particularité décrite par Burns (1),Jastrowitz ; sous le nom de moria
s constater l'incertitude de cette physiologie puisque M. Raymond a décrit un syndrome cérébelleux dans les tumeurs du lob
secondaires dans l'évolution clinique des tumeurs de l'encéphale et décrivent non seulement des foyers de ramollissement facile
de ses organes génitaux. La face est arrondie, lunaire, son contour décrit un cercle presque parfait. Ce n'est pourtant pa
sales du carpe). - Et il faut aussi ranger dans celte série le type décrit par Gilbert et Gar- nier sous le nom de main su
PAR L. TREPSAT, Interne à l'asile d'Evreux. Le pseudo-oedème décrit par M. Dide (1) dans la démence précoce à forme
un cer- veau aboulique. 11 juin. J'avais prié Eugénie Gr...de me décrire exactement ses tortures morales. Elle l'a fait
'occupent à l'état normal'; c'est cet état que quelques auteurs ont décrit sous le nom d'homogénisation. Mais ces lé- sion
s ou atrophiées. V. Interprétation. Parmi les lésions qui ont été décrites précédemment il en est qui sont in- constantes
s recherches par plusieurs auteurs et quelques-uns, parmi. eux, ont décrit des lésions du ganglion rachidien très analogue
Marinesco, le seul qui en ait trouvé et qui les a le plus finement décrites , ne leur accorde aucune importance. Nous nous s
amène à parler des proliférations capsulaires que certains auteurs décrivent encore comme neuronophagie (Marburg) (2). Avec
fois, elles affectent les deux formes que nous avons pré- cédemment décrites . Peut-être dans certaines affections les leucocyt
été signalée par Luys, par Wollenberg dans le tabes, mais Golgi l'a décrite dans la rage, et d'autres auteurs ont trouvé quel
souvent encore à une lésion cadavéri- que ; en tout cas, elle a été décrite dans tant d'affections diverses qu'elle ne saur
cellules ganglionnaires ne sont pas constantes; celles qui ont été décrites ne sont pas suffisantes pour expliquer la dégé-
sens qu'elles vont en décroissant du VIe segment, où nous les avons décrites /au 11111 segment, où elles sont réduites à une lé
onfondant toutes les classes et toutes les directions. Je renonce à décrire ce retour, avec l'attente, deux heures durant,
essivement, que se sont installées les déformations que nous allons décrire . Depuis, Mouloud a toujours joui d'une excellen
ant-bras. - Avant-bras gauche : L'avant-bras gauche est infléchi et décrit dans son ensemble une courbure allongée à convexi
sens et la cause des déforma- tions. Elle montre que : 1° le radius décrit une courbe à grand rayon qui inté- resse toute
re. Enfin l'on pourrait songer encore à cette affection singulière, décrite par Ollier sous le nom de dyschondroplasie et à
l'insu des parents, le début de l'ataxie héréditaire. Batteu (4) a décrit une famille composée de plusieurs membres, dans l
qui fait que par moments on la nourrit au moyen d'une sonde. L'état décrit cède la place à des périodes de calme pendant les
ant rapport à des productions analogues à celles que nous venons de décrire . Grâce à cette absence de précédents littéraire
aits qui se produisirent au xve siècle dans la Pouille, et qui sont décrits sous le nom de Tarentisme. Matthiole nous app
unilatéraux, en particulier au torticolis spasmodique et à la forme décrite par M. Bris- saud sous le nom de torlicolis men
a première fois le 7 mai 1904. En dehors des crises que nous allons décrire , il ne présente rien du côté d'aucun appareil.
niveau des membres inférieurs, on peut se demander si le processus décrit par Krôsing n'intervient pas pour une part dans
, Delacour (4), Gùntz (5) et 1\0- kitansky (6) ont depuis longtemps décrit des processus de calcification dans le système
s aussi sont plus ou moins profondément at- teints par l'altération décrite ci-dessus. Le plus souvent les éléments calcaires
et de dépôts calcaires. En outre, si au niveau des capillaires on a décrit dans des cas d'artério-sclérose cé- rébrale, la
leur lumière, on n'a pas trouvé une calcification semblable à celle décrite par Hubrich (1) et dans le cas qui nous occupe
sez facilement comment apparaît le second aspect que nous venons de décrire , parce que la coupe est restée trabécu- laire,
assez pour donner naissance à l'aspect « nodulaire » que nous avons décrit tout d'abord, à ce champ uniforme parsemé de no-
llement périvasculaire ; dans certains cas seulement (nous en avons décrit ci-dessus des exemples) les- lames conjonctives
avasculaires, et l'on s'explique l'aspect si spécial que nous avons décrit tout d'abord et qui est celui de la plupart des
ivo-vasculaires. Bien entendu entre les deux aspects que nous avons décrits , la sclérose « nodulaire, insulaire », et la sc
sur la loca- lisation des lésions. Les lésions que nous venons de décrire dans le nerf des tabétiques amaurotiques sont e
it des paquets de vaisseaux atteints des altérations que nous avons décrites et avec lesquels il est en connexion directe. A
et la genèse des cavités semblent s'écarter beaucoup de ce qu'on a décrit sous ce nom. L'hyperplasie des vaisseaux avec pro
de rencontrer, établissent d'abord que les caractères histologiques décrits dans l'observation de Poch..., se retrouvent, p
sépare le tissu ectodermique du tissu mésodermique. Cette membrane décrit des si- nuosités qu'on ne saurait mieux compare
la ressemblance qui existait entre la formation conjonc- tive qu'il décrit et la membrane limitante de la cavité de beaucoup
pseudostimates anatomiques de la criminalité » (Th. de Lyon, Mayet) décrits par Lom- broso et l'école italienne, les études
s par les cornes, par les sinus frontaux et pariétaux... » (1) Oh a décrit néanmoins des anomalies de volume : la microcépha
eille révèle chez l'homme une infinité de malformations qui ont été décrites avec un grand luxe de détails par Morel, Séglas
taux du mâle (1) L'affaissement de l'angle interne de l'ilium a été décrit pour la première fois, par Joly, Rev. gén. méd.
somatiques OU stigmates physiologiques DE dégénérescence. J. Séglas décrit sous le titre de Symptômes somatiques « les désor
Séglas (2) : « ils s'ob- servent d'ordinaire sous toutes les formes décrites en neuropathoiogie : paralysies, spasmes, contr
: paralysies, spasmes, contractures, convulsions, tremblements... « Décrits très complètement chez l'animal par Cadéac (3),
mal, ils ne peuvent être mis en parallèle avec les grands syndromes décrits chez l'homme Nousavons signalé quelques modificat
ouvant déter- miner à la longue un état général des plus défectueux décrit , en méde- cine vétérinaire, sous le nom de tic
nts, le tic rédhibitoire. Les tics aérophagiques de l'homme ont été décrits par Pitres et par Séglas ; l'étude du syndrome
et auditives, de l'apathie et du dégoût pour l'exercice. Au cheval décrit par Job, Toussenel, Buffon, qui cherche à compren
inus du caractère, de l'émotivité et de la vo- lonté que nous avons décrits chez les chevaux offrant des perturbations de l
30 (1913) Exposé des travaux scientifiques
t desquels j'ai plus ou moins participé. Certains phénomènes que je décris pourraient être rattachés à plu- sieurs de mes
des rétractions fibro-tendineuses analogues à celles que Charcot a décrites chez l'homme, rétractions qui ne disparaissent
duisant alors que celle-ci fait défaut. C'est ce phénomène que j'ai décrit sous la dénomination d'inversion du réflexe du
ne de l'inver- sion du réflexe du radius, tout récemment signalé et décrit par M. Babinski ».... « Ce cas rentre dans la c
la réapparition du mouvement réflexe de flexion des orteils. On a décrit sous des dénominations nouvelles des phénomènes
ues présentant le phénomène des orteils. En pratiquant la manoeuvre décrite par Schaefer, j'ai obtenu comme lui la flexion
l est permis de faire une critique analogue du signe qu'Oppenheim a décrit sous la dénomination d' « Unterschenkelsreflex ».
pouvoir mieux faire que de citer des extraits du travail où je l'ai décrit (122). « En raison del'imporlance fondamentale
relaté cinq observations ; le caractère essentiel de la déformation décrite consiste en une incli- naison du tronc du côté
ou diminution nette du réflexe achilléen. » NÉVRITE RADIALE .l'ai décrit (98) une forme spéciale de névrite radiale caract
mispasme facial dans lequel il a constaté tous les signes que j'ai décrits . Meige, dans un travail intitulé : « Les convul
odique en flexion de la para- plégie en extension avec contracture, décrite par Erb sous la dénomi- mation de paraplégie sp
sait autrefois Erb ; il l'appelle un « Quar- tett » depuis que j'ai décrit le phénomène des orteils qui s'associe à cette
it anatomo-clinique qu'il a observé, rentrant dans le type que j'ai décrit . L'auteur attire l'attention sur ce point que les
t un type de paraplégie avec contracture en flexion tel qu'il a été décrit par Babinski». C. Lian et J. Rolland relatent u
cellules. Ce sont ces cellules remplies de myéline que Hibbert a décrites , mais cet auteur n'a pas mon- tré le lien vérit
es tendineux, par exemple l'inversion du réflexe du radius que j'ai décrite (p. 34), donne parfois à cet égard des indica-
). 10 Les lésions méningées observées rentrent dans ce que l'on a décrit sous le nom de pachyméningite cervicale hypertrop
le du côté normal se porte en avant. Le mouvement que je viens de décrire se reproduit et peut être plus ou moins accentu
ui qui appartient aux diverses variétés de mouvements associés déjà décrits dans l'hémiplégie ((v8), peut être désigné de p
riffe de la main. Anciennement déjà, la griffe de la main avait été décrite dans l'hémi- plégie organique avec contracture.
pour que la marche reste possible. C'est pour ce motif que je l'ai décrit au cha- pitre « Monoplégie brachiale » auquel j
ux à ceux du côté gauche. D. - Les symptômes cérébelleux que j'ai décrits (voir pp. 136-157) facilitent le diagnostic des
ligne droite vers le but, et ce n'est qu'après l'avoir dépassé qu'il décrit quelques oscillations en sens divers, cherchant
rébelleuse, a fait une analyse soignée des mouvements démesurés -et a décrit leurs caractères au cours de certaines épreuves
la fesse et à le ramener ensuite à son point de départ. Lorsque je décrivis , en 18gg, l'asynergie cérébelleuse chez le mala
ujourd'hui. L'hémiasynergie se retrouve dans le syndrome que j'ai décrit avec J. Nageotte Fie. y. - Attitude d'un sujet
ÉRÉBELLEUX il9 Je l'ai repris. Il sert à grouper les faits que j'ai décrits et il s'accorde avec ma manière de concevoir le
mouvements qui constituent un acte, le phénomène que nous venons de décrire peut être considéré comme l'effet d'une absence d
ie duquel fut trouvée une lésion de l'hémisphère cérébelleux droit, décrivent avec précision les troubles asynergiques qui occu
uvements du tronc et des jambes qui rentre dans la grande asynergie décrite par M. Babinski... » Voici une intéressante obs
plégie croisées. (EN COLLABORATION AVEC ! V 1Gfi01'TE) Nous avons décrit un syndrome lié à une lésion bulbaire unilatérale
té enrichie par l'acquisi- sition des divers signes que je viens de décrire puisque, comme on l'a vu, ils permettent de déc
racrânien. » Les perturbations du vertige voltaïque sont d'ailleurs décrites dans la plupart des ouvrages modernes d'électro
ossible d'attribuer à Frôhlich la paternité de ce syndrome que j'ai décrit avant lui, sans, à la vérité, donner à l'ensemb
ce des hémorragies, des lésions cutanées hystériques et qu'il avait décrit sous la dénomination d'oedème bleu un trouble cir
montré chaque jour les plus beaux types de l'hystérie telle qu'on la décrivait à la Satpptrierp. 2JR i)YSTËM ! ) ? P ! Tf)iA
31 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
on d'observer un cas de cette singez lière affection que Paget, xi) décrivit , le premier et dénomma en 1876 « os- téite défo
pécial. La déformation des membres inférieurs est très marquée; ils décrivent un arc à concavité interne, laissant un écartem
latérale par celle delà macula lutea. Les phénomènes précédemment décrits se produisaient de la même ma- 24 NOUVELLE ICON
centimètres. III Je suis arrivé à la fin de mes expériences. J'ai décrit seulement dans cette étude une partie des phéno
hénomène est dans une particularité de l'état hypnotique, qui a été décrite par M. Fendrassik et plus tard par M. Wiindt. D'a
enthousiaste, les danses des Mena- des ou les orgies bachiques sont décrites par les écrivains de l'époque avec des détails
ux qui se produisirent au XV. siè- cle dans la Pouille, et qui sont décrits sous le nom de Tarenlisme. · Matthiole nous app
des passionnelles de l'attaque hystérique; on le re- trouve souvent décrit clans les récits des exorcistes : c'est tantôt un
la main. De l'autre côté, se trouve le groupe des deux personnages décrits plus loin. En haut, des bandelettes et des feui
alades, elles revêtent l'allure des danses que les anciens nous ont décrites et figurées, témoin ce passage de l'obser- vati
son et les lois de ces changements, en un mot, il fallait tenter de décrire une )MO)/tO/0t< ? Si'0/0.f ? «;. Un pareil
oins inclinés les uns sur les autres, de telle sorte que leurs axes décrivent une ligne brisée intéressante il bien connaître (
S-OPTIQUE » DANS LA. RACINE . POSTÉRIEURE DU THALAMUS. Nous avons décrit sous le nom de « bandelette sous-optique » (1) un
r- mer la racine postérieure du thalamus. Arnold semble avoir voulu décrire le même corps de fibres sous la désignation de
opos de la contusion « qui est la seconde espèce de fracture » Paré décrit fort bien le cephaloematome, el les dépressions
un de ses patients jusqu'à vingt-sept palettes en quatre jours. Il décrit les pansements à appliquer, variables suivant les
au quatrième livre de sa méthode ». Enfin terminant son livre, Paré décrit le manuel opératoire de la trépana- lion telle
'amyotrophie ils n'ont pas non plus les formes herculéennes si bien décrites par Du- chenne de Boulogne dans la paralysie ps
LLE ICONOGRAPHIE Il LA SALPÊTRIÈRE E II. - De la marche. Avant de décrire les traits principaux de la démarche des myopathi
myopathies pri- mitives, dont Duchenne de Boulogne avait d'ailleurs décrit plusieurs for- mes (atrophie musculaire progres
développé que la face. La région occipitale présente l'aplatissement décrit chez les myopathiques par MM. P. Marie et Onano
espond à la « forme infantile de paralysie musculaire progressive » décrite par Duchenne de Boulogne (2). Mais une des part
son volume. A. Dans le premier groupe rentrent différentes maladies décrites sous les noms suivants : 1° Paralysie spinale
et la syringomyélie. 5° Atrophies musculaires d'origine articulaire décrites par Charcot, (2). On y observe le plus souvent
blié jus- qu'à ce jour et qu'il ne réponde pas exactement aux types décrits dans la classification précédente. Il . i
on assise. 5° Je n'ai jamais pu observer le tremblement fibrillaire décrit par Du- chenne dans quelques cas d'amyotrophies
retrouver dans l'art des figurations de cette altération de la face décrite sous le nom de Faciès myopathiques C'est Duchen
e Faciès myopathiques C'est Duchenne (de Boulogne) qui a le premier décrit ce faciès dans la maladie qu'il appelait atroph
ALPÊTRIÈRE Nous n'insistons pas sur les troubles de la mimique bien décrits égale-~ ment : le rire triste, en travers et en
rra y trouver la vérification figurée des caractères précé- demment décrits .- On les reconnaîtra également bien indiqués sur
s, supposèrent que si /'arthropathie tahé- tique n'avait jamais été décrite , c'est qu'elle était peut-être une affection nou-
nou- velle. Ainsi avant Cliarcot, elle n'aurait pas existé ! on ne décrit que ce qui peut se voir..... Sans doute, dans
articulaires et de l'oedème con- comitant avec ceux que je vous ai décrits . Mais, je ne doute pas un instant que la maladi
ons qu'il s'agit ici d'une forme mixte : syringomyélie type Morvan, décrite par Charcot. Quant à la localisation de la lési
E DE LA SALPÊTRIÈRE c'est la forme monoplégique de la syringomyélie décrite déjà par les au- teurs CI). Les lésions artic
s il des fractures parcellaires sem- blables à celles que Charcot a décrites dans les arthropathies tabétiques. Les luxation
ci les névrites périphériques ? Rien ne le fait supposer. Si l'on a décrit des névrites périphériques dans l'arthropathie ta
dans l'arthropathie tabétique (Pitres et 'aillard, Déjerine), on a décrit aussi des cas sans névrite pé- riphérique (tebo
ue, les documents précis manquent; disons toutefois que dans un cas décrit par Mossé : arthropathie tabétique du coude sup
oins que leur forme tropho-suppurée aiguë, forme que nous venons de décrire , attiré l'attention des neurologistes. Elle p
des arthropa- thies tropho-suppurées nécrotiques que nous venons de décrire . Elles siè- gent répétons-le, les unes il dista
ire, assez analogue à celui des arthropathies su- baiguèstahétiques décrites par Fort; plus souvent avec début lent, indolore
classique de la maladie de Charcot. Il était donc nécessaire de les décrire plus particulièrement. En étudiant la thérape
yola fut aussi thaumaturge. Et son fidèle historien se com- plait à décrire les miracles qu'il a opérés. Les deux dessins q
tes pour nous autoriser à composer un schéma que nous ne ferons que décrire . Qu'il nous soit permis d'ajouter à ces résulta
anes de la ligne latérale. Si l'on se reporte à ce que cet auteur a décrit de la fente branchiale cristallo-hypopliisaire qu
ère des olives inférieures, sur le passage du faisceau vestibulaire décrit par Bruce. Sa proximité d'un des noyaux du nerf
n compensatrice du rythme respiratoire et circulatoire. Mislawsky a décrit un noyau respiratoire, qu'Obeisteiner appelle le
e (1). Il est juste de faire remarquer qu'avant Weber, Gubler avait décrit des faits de ce genre sous le nom de paralysies
racine spinale posté- rieure se comportent de leur côté : Houssay a décrit un rameau postbran- chial du ganglion auriculai
cellules bipolaires ; ce sont même, remarque Cannieu, les premières décrites chez l'homme; on en doit la première mention à
rolon- gement du ganglion de Scarpa (Cannieu). Cet auteur a aussi décrit une bande cellulaire, remarquable chez la soit-
manées d'éléments en îlots disséminés dans le tronc vestibulaire et décrits par Erlilzky. On trouve dans le tronc vestibula
o-externe. Nous étudierons leurs faisceaux constituants après avoir décrit les noyaux primaires du nerf labyrinthique. I
remarquables connexions. Signalons seulement maintenant le faisceau décrit par Edinger, unissant cette olive supérieure du
eurs qui traverse le noyau de Deiters (Edinger, Bechterew). Bruce a décrit un faisceau unissant le noyau de Deiters à l'oliv
avec l'écorce temporale. Du tubercule acoustique partent des fibres décrites par Hans Ileld, Bechterew et Koelliker, qui par
tout à fait comparables. Du même tubercule acoustique, des fibres, décrites par .Monakow, s'en- gagent à travers les noyaux
ier cas, ils affec- taient le'type de paralysie médullaire que j'ai décrit sous le nom de type jambier, dans le second le
décrit sous le nom de type jambier, dans le second le type que j'ai décrit sous le nom de typé brachial supérieur. ... J
alade de la Salpêtrière. On y retrouve tous les caractères dû Jades décrit par Duchenne (de Boulogne). « La paralysie de l
32 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
qu'à l'âge adulte et forme, sur le bord postérieur du rocher, un trou décrit d'abord par Kerckringe, puis par Duverney. « De
t de base à l'étude anatomique du temporal. D'ordinaire, en effet, on décrit séparément la portion squameuse, la portion pétre
mpanique (margo tympanicus, rebord du mur de la logette). Virchow a décrit un prolongement du bord antéro-supérieur du squam
(2). Sur les limites des portions mastoïdienne et pétreuse, Verga a décrit un lin canal qui perfore l'extrémité postérieure
ue cette épine appartient au squamosal et non au tympanal. Chipault décrit , derrière l'épine de Henle, une zone triangulaire
rigue, par ses ramifications terminales, la région occipitale. Dunn décrit sous le nom de lame occipitale de l'apophyse mast
ns de la rainure digastrique, pour y former la saillie que nous avons décrite sous le nom de bulle digastrique. Ce groupe confi
ées tout d'abord par Mignon, Lombart, Laurens et ïaplas, elles furent décrites spécialement par Moure et Lafarelle, puis par Sta
e trois, ils naissent dans le vestibule et s'y terminent, après avoir décrit une courbe en fer achevai. Par rapport à l'axe de
hlé-aire, dont l'enroulement spiroïde autour du mediolus ou columelle décrit deux tours et demi ou deux tours trois quarts. Le
en dedans et aplatie d'avant en arrière. Chez l'adulte, on trouve à décrire trois faces : supérieure, antérieure et postérieu
Le conduit auditif externe répond en avant à la cavité préauriculaire décrite par Gangolphe, Siraud et St. Martin (de Lyon). En
le premier a signalé son existence chez l'homme. Si elle n'a pas été décrite jusqu'ici, c'est parce que, en faisant la dissoci
emblent avoir pressenti l'existence de cette portion du temporal. Ils décrivent en ces termes son développement : « Vers la fin d
àne, à travers ces déhiscences que Hyrtl et Toynbee avaient déjà bien décrites . Le trait d'union presque obligé entre l'otite et
t l'un est supérieur et l'autre inférieur. Le segment supérieur a été décrit pour la première fois par Shrapnell. Il lui donna
ait l'inflammation primitive de la capsule labyrin Inique, —affection décrite jusqu'aujourd'hui sous le nom de sclérose de la c
s deux bourses de Troltsch. Le célèbre otologiste de Wurtzbourg les a décrits ainsi : « Il existe à la surface interne de la me
e plexus ptérygoïdien par les veines de la trompe. Les lymphatiques décrits par Kessel forment un réseau externe qui, s'abouc
ots de tissu adénoïde qui forment l'amygdale tubaire de Gerlach. On décrit , sous le nom de boagirage, une méthode qui consis
oire, au cours de l'attico-antrotomie. A cette époque, Faure et Furet décrivirent une opération que Ballance avait déjà pratiquée,
eure. » (Hédon.) d) La veine anastomotique de Labbé. — Cet auteur a décrit une grande veine anastomotique postérieure qui re
es, sus-tympaniques, infra-tympaniques et mastoïdiennes. Elsworth a décrit une veinule, qu'il nomme antro-sigmoïdale, dont l
et forme ainsi, selon l'expression de Gruveilhier, la corde de 1 arc décrit par le sinus. Son calibre oscille entre quelques
de hauteur et près de 10 millimètres de largeur. Il était utile de décrire , quoique sommairement, toutes ces anastomoses des
e, d'abcès multiples encéphaliques d'origine septico-pyohémique. On décrit deux formes de pyobémie otitique, l'une avec thro
re sans lésions apparentes du canal sinuso-jugulaire. Cette dernière, décrite par Hessler, Kôrner et Brieger relèverait d'une o
processus lepto-méningitique revêt quelquefois une autre forme, qu'on décrit , depuis Quincke, sous le nom de méningite séreuse
du langage, ne produit pas seulement l'aphasie optique, telle que l'a décrite Freund ; elle porte aussi préjudice «à la compréh
e la protubérance annulaire, au-dessus et en arrière du bulbe. On lui décrit deux faces : l'une supérieure, séparée du cerveau
éphalique. Ces différents systèmes cérébelleux, dont nous venons de décrire succintement les éléments constitutifs, sont reli
33 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
élioration. En résumant et en analysant les troubles que nous avons décrits , nous trou- vons que la jeune fille était attei
seignements insuffisants, l'on ne saurait confon- dre les symptômes décrits avec une paralysie postdiphtérique. Ces cas s'a
n minorité. Lorsqu'on re- cherche dans les premiers auteurs qui ont décrit ces productions parasi- taires, il est difficil
en rencontre assez souvent chez les vieillards. En 1G54, Panoroli décrit des vésicules remplies de liquide siégeant dans
causés par l'absorption du liquide de la poche et analogues à ceux décrits lors de la rupture des kystes des autres organe
e invaginée dans le recessus scolecis, en un mot l'aspect classique décrit par Moniez dans sa monographie sur les cysticer
ntra qu'elle pouvait apparaître pendant la vie extra-utérine, et la décrivit comme complication de la paralysie infantile. Mal
ine-t-on de face, on constate que l'axe de la cuisse et de la jambe décrit une légère concavité tournée en dedans ; le genu
genu recurvatum vrai, nom sous lequel Faussié (4) range les faits, décrits par Sonnenbourg (5), de flexion dans l'épiphyse s
sement à la théorie de la gérocomique, telle que J. IL Cohausen l'a décrite dans son Hermippus redivivus. Notre grand phi
du maître. Nous sommes dans une salle de collège, dans l'orphelinat décrit par J. H. Co- hausen. Tel est le livre bizarr
le genre des hémimèles, Il nous a paru intéressant et digne d'être décrit ici non seulement en raison des par- ticularité
ous l'espérons, à l'approfondir. Jusqu'à présent, on n'a pas encore décrit de grosses lésions, ce qui ne saurait être surp
s cloisons. Mais c'est surtout auprès des vaisseaux, comme l'a bien décrit Cornil, qu'ils sont plus nombreux. Sur une coupe
de cellules plates et de globes. Nous avons dit comment cet auteur décrit la cellule constitutive à propos de l'observation
du col de l'utérus. Ro- bin insiste sur la fréquence de ces tumeurs, décrites par nombre d'auteurs sous le nom de sarcome, ta
Brault (7) enfin distingue le sarcome angiolithique, tel que l'ont décrit Cornil et Ranvier, et, dans un autre chapitre,
arotide, testicule, ma- melles). Récemment même Auché et Vitrac ont décrit sous ce nom une tumeur totalement différente, t
organique. A côté de ce processus : 1ngiolithique que Cornil a bien décrit , il existe une autre dégénérescence, la dégénér
nent les corps concentriques. Robertson, dans le même chapitre, les décrit et fait intervenir cette dégénérescence par laq
la dégénérescence hyaline avoisinante. Quantaux « grains d'amidon » décrits par Robertson, ce sont des produits excrétés pa
use de tout le cor- tex. , L'ensemble des lésions que nous allons décrire peut s'apprécier à l'inspection des figures de
semées d'un nombre considérable des trois variétés petits de corps, décrits dans l'écorce, avec prédominance des for- mes v
oin de la cellule, de l'autre l'aspect chromatolylique précédemment décrit . A côté de cette chromatolyse partielle, on peu
côté a complètement disparu. La lésion rappelle alors celles qu'ont décrites Nageotte et Eltlinger (2). L'absence du noyau n
ire accompagne presque toujours la chromatolyse et tous les auteurs décrivent ces deux processus associés. (t) NISSL, Ueber e
uvé les altérations cellulaires dues à compression telles que les a décrites Neumayer; dans toute l'étendue de l'écorce cérébr
ttouchement déterminait chez elle les phénomènes que nous venons de décrire . La malade nous apprend en même temps que depui
ébut de l'existence. Mais à 11 ans, elle prit une crise que la mère décrit comme épileptique. A 12 ans, il en survint une
ou soeur ne présente d'accidents semblables à ceux que nous allons décrire . Tous ont eu dernièrement la dothiénentérie. II
st pas une apparition très ordinaire, il est vrai ; nous-même avons décrit un cas, où pendant l'accumulation trop grande d
Depuis, on n'a rien modifié aux travaux de Winkler qui a nettement décrit les diffé- rences qui séparent le rachitisme vr
ent remarquablement volumineuses. Les caractères que nous venons de décrire sont remarquablement cons- tants dans les diffé
uestion bien discutée et déjà nous savons qu'un bon nombre de faits décrits à tort sous ce nom appartiennent à l'achon- dro
très impressionné par une autre sorte de spasme qu'il ne consent à décrire qu'avec des réticences. De loin en loin il est
méthodique du système nerveux n'ajoute rien il ce qui vient d'être décrit . W... n'éprouve aucune gêne dans son bras droit q
hydropisie ventriculaire de Leindot et Odick, les oedèmes cérébraux décrits par Franck en rapport avec l'hypertension du ve
en- tes, ces espaces angiomateux, et ces capillaires que nous avons décrits , et qui témoignent de l'activité circulatoire d
iome des méninges ayant subi la dégénérescence hyaline telle que la décrit Robertson. Quant aux lésions des cellules corti
axie de Friedreich (maladie de Friedreich) avec laquelle la maladie décrite par M. P. Marie présente beaucoup de traits com
x questions qui lui sont posées. Facies. - Il est le même que celui décrit dans l'observation de Klippel et Durante, c'est
u près analogue. Donner une description de l'un d'eux sera donc les décrire tous. Les méthodes employées pour la coloration o
vie biologique et de la structure de ce névraxe que nous venons de décrire nous conduit à émettre les quelques considérali
es de mention et représen- tant un phénomène qui n'a pas encore été décrit . Dans les deux il s'est produit une attitude se
stic. Quelle â pu être la cause de cette paralysie ? ' ? Duchenne décrit cinq cas par contusion ou blessures du nerf ; Erb
un. dans Nothnagel, par chloroformisation, comme dans le cas que je décris . On a décrit des paralysies d'autres nerfs et m
nagel, par chloroformisation, comme dans le cas que je décris. On a décrit des paralysies d'autres nerfs et même des paral
, la compression du nerf se révéla par l'ecchymose intense que j'ai décrite ; mais en outre, et en dehors de la chloroformisat
par la flexion complète du doigt. Main- tenant, dans le cas que je décris , pour peu que la puissance nerveuse anormale, p
les cas de contracture de la main, de nature hystérique, qui ontété décrits , ne sont pas identiques au mien : tantôt l'altitu
ges. Dans un autre cas de Charcot, le plus semblable à celui que je décris , il y avait flexion exagérée des trois derniers d
tibia seul, à son tiers supérieur a 15 centimètres de tour. Le tout décrit une forte courbe à concavité postéro-externe.
étroites et qui se rattachent aux grandes bandes que nous venons de décrire . Certaines de ces vésicules, il peu près normales
ré peu avancé, ce que Joffroy et Achard (1), Dutil et Lamy (2), ont décrit comme névrite d'origine vasculaire. Quant aux m
), l'aorte est chaque fois signalée athéromateuse. L. Lévi (8) nous décrit : « la valvule mitrale épaissie et rugueuse; même
ticle intitulé la lésion médullaire de la maladie de Paget, avaient décrit comme telle les altérations des cordons postérieu
rables à cette manière de voir. L. Lévi (4), après avoir longuement décrit les altérations médul- ]aires de son sujet, déc
les cordons postérieurs, ils seront abolis. Récemment, Curcio (1) a décrit dans la moelle un centre trophique des os, qu'i
présentait des altérations très semblables à celles que nous avons décrites un peu plus haut. Il déclare n'avoir pas encore
es mêmes dans ces diffé- rents cas, et semblables d'ailleurs à ceux décrits dans les cas isolés (2). On peut admettre égale
nt des observations étiquetées éléphantiasis congénital. Nonne en a décrit plusieurs cas. Dans l'un d'eux (1) R. Cassireii
sireii, Dievasomotoriseh-lrophischen Neurosen, 1901. (2) On a aussi décrit des héréditaires d'oedème aigu circonscrit (Ricoc
l'on rapproche les uns des autres ces faits jusqu'alors disséminés, décrits sous des dénominations différentes, mais présenta
S'il en était ainsi cependant, on pourrait, comme le fait M. Rapin, décrire une dystrophie oedémateuse d'origine télopctlti
pose sous-cutanée, d'orme segmentaire, de trophoedème, etc., l'on a décrit un cet tain nombre d'états concernant une infirmi
nao-myélites, en un mot dans toutes les atrophies musculaires qu'on décrit sous le nom d'amyolrophies deutéropathiques, se
uvent tou- chés. L'idée que l'hypertrophie des membres, dont on a décrit des types divers, pouvait relever dans un certa
ouble vaso-moteur qui rapprocherait cette forme des hypertro- phies décrites par Trélat et Monod (1), Klippel et Trenaunay (2)
nts de la malade. Dans un travail paru ici même (2), M. Henry Meige décrit une affec- tion des plus rares, dont le caractè
matisant-chronique ». Et l'on se souvient que Desnos et Mathieu ont décrit des cas de ce genre sous le nom d'oedème rhumat
bassin et immobili- sées absolument dans la position que nous avons décrite . Les hanches semblent donc complètement soudées
de cartilage; tout le reste de la volumineuse masse que nous avons décrite est au contraire cartila- vineuse, en sorte que
remontent à une date assez re- culée. Charcot et Paul Richer ont décrit et reproduit une des plus anciennes figurations
34 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
es représen- tent un certain nombre de types* tranchés ; la maladie décrite par M. Ray- naud, l'ostéoarthropathie hypertrop
: as- phyxie. Mais contrairement à ce qui se passe dans l'affection décrite par Raynaud, cette asphyxie est constante : ell
e faits. C'est une variété d'acrotrophoné- vrose à ajouter à celles décrites par Hutchinson (1), Lancereaux (2), mais qu'il
mplaisance sur le diagnostic différentiel de l'affection queje veux décrire ici, parce que c'esl une question préliminaire
fférences assez peu considérables de la température. Les phénomènes décrits par eux consistent en engourdissements, sensati
a plus simple et la plus légitime, au lit du malade. On doit donc décrire des oedèmes aigus et des oedèmes chroniques. I.
aigu du phlegmon, du charbon ou de l'érysi- pèle) relèvent du type décrit par Quincke. II. Le groupement des oedèmes chro
ue, tel qu'on doit le comprendre aujourd'hui et tel que Chariot l'a décrit , présente un ensemble de caractères trop particul
post traumatique semble parfaitement s'appliquer. Le syndrome, ici décrit , différerait peut-être (1) de celui de Neige par
edème à la suite de poussées subaiguës, par (1) M. Meige a en effet] décrit l'histoire d'une famille de trophoedèmes dans laq
au tissu nerveux, comme dans les lésions de l'encéphale précédemment décrites . Autour de la moelle se dispose le large anneau
s n'étaient pas lésés. Les modifications de la substance blanche, décrites par les observateurs, sont assez uniformes. L'é
ou avec l'infiltration, ils sont d'ailleurs peu étendus. Nous avons décrit précédemment une région périphérique de la moel
psychi- ques ou même des déformations crâniennes analogues à celle décrite par Marie et Onanolf (G). La topographie de l
emne de toute lésion nerveuse. Inver- sement, la variété d'atrophie décrite par Werdnig et Hoffmann, pour être de nature my
obtient une contraction très nette des jumeaux sous forme de boule décrite plus haut avec extension du pied et flexion du
);élo-ostéo-périostile déformante, d'origine hérédo- syplîilitiquê, décrite par M. Lannelongue (1) sous le nom de périostite
complètement celle opinion, et nous croyons même que les deux types décrits par les auteurs sont réunis par tous les interm
trame conjonctive, parfois intracellulaire, que l'un de nous (1) a décrite dans l'hypophyse de.la femme enceinte et que l'on
s, identiques à celles qui constituent la tumeur et que nous allons décrire ; c'est ainsi qu'on voit un gros vaisseau, tout
es dans quelques vaisseaux affectent le type général que nous avons décrit au début comme le plus habituel. Au voisinage d
de constater l'augmentation de vol ume de la glande thyroïde et de décrire les modifications histologiques dont elle est le
xandre qui surpassa même renommée du père. [Ce tableau a déjà été décrit dans une étude de M. Henry Meige, intitulée Icono
; dans le mouvement d'élévation des bras sur la tête, le bras droit décrit un arc de cercle il rayon plus étendn que le ga
blés et dé- formés par le double mouvement convulsif que nous avons décrit : élévation de l'épaule et rotation du bras en
-5 millimètres au-dessus du premier gros sillon transverse (x) déjà décrit . Presque parallèlement aux deux branches centrale
et possédant les mêmes caractères que le sillon moyen et les autres décrits . Les bords de la langue présentent encore,en pr
r aucun sillon ou enfoncement. Au dehors des sillons que nous avons décrits , nous trouvons encore sur'le dos de la langue,
ologi- que. - . Les particularités morphologiques, que nous avons décrites frappent essentiellement les fibres longitudina
ions est encore des plus discutées. I. De tous les signes cliniques décrits dans cette observation on peut conclure que cet
ans sa remarquable Iconographie des arracheurs de dents (2), a déjà décrit le tableau de Longhi. Il ne s'arrête pas à l'opin
érale ? Jendrassik en 1888, Strümpell en 1890, Ebstein en 1898, ont décrit dans l'écorce des tabétiques une atrophie des f
ordons postérieurs se présentent presque complètement sains. Le cas décrit se prête à des considérations que je vais énoncer
on segmentaire de cette dystrophie permet de songer à l'af- fection décrite par Henry Meige sous le nom de trophoedème. On
s (ventre, cuisses, bras), appartiennent au contraire à l'affection décrite par Dercum sous le nom d'adipose dou- loureuse.
ière, (1902) à la suite de ma communication,MM. Raymond etJanet ont décrit un cas semblable analogue aux miens dans l'arti
903. 288 TIASKOVEC . quer ni à l'un ni à l'autre des cas que j'ai décrits et pas même à celui qui présente une certaine a
mme une variété de ces mouvements différents et bizarres que l'on a décrits sous le nom de chorée rythmique, quoique j'avoue
énomènes n'ont pas affaire non plus avec l'akathisie que nous avons décrite . Le pronostic et la thérapeutique du syndrome c
'il a un travail devant lui. C'est bien là l'ensemble des symptômes décrits par M. Haskowec : des secousses, de l'agitation
symptôme est-il identique à ceux que l'on observe chez les malades décrits par M. Haskowec, en particulier chez le second
tre ma manière de voir et celle de ces auteurs quant à l'akathisie, décrite jusqu'à présent, différence évoquée par un male
certaine mesure. C'est pourquoi le portrait de l'akathisie comme le décrivent Raymond et Janet (voir p. 243 de leur communica
stérisque, causée par la paralysie, comme MM. Ray- mond et Janet la décrivent , avec celle que j'ai pu observer dans mes cas.
us avons pu obtenir l'autorisa- tion de photographier la tapisserie décrite et relever aux registres du Musée sa provenance
précisément à Bourges en 1898. A son occasion furent étudiées et décrites des tapisseries de facture assez analogue à la
aire diocésain et données aussi au Musée. Ces tapis- series ont été décrites par M. Mater et M. l'abbé Guitard. 304 MARIE
omme une statue de pierre ; si encore, dans une phase extatique, il décrivait des visions incohérentes ; ou enfin s'il était
trine s'appuyait : En embryologie, sur les travaux de His qui avait décrit des cylindraxes nus bourgeonnant au dehors des ce
un mot, une régression cellulaire identique à celle que nous avons décrite dans les muscles placés dans des conditions ana
es nerveuses 34U DURANTE. périphériques vraies telles que les ont décrites Apathy et Bethe. Ces anastomoses, de même que c
astomoses péri- phériques vraies telles que Apathy et Bethe les ont décrites . - EXPLICATION DES PLANCHES. Sauf la figure A
se définitive ; j'ai pu me rendre compte de l'exactitude de ce fait décrit par Sellerin. La localisation est importante à
riété des tics auxquels cet organe peut prendre part. M. Cadéac (1) décrit , chez les équidés, des tics actifs de la langue
ière fois, à notre connaissance , que des troubles de ce genre sont décrits chez l'animal, il importait donc de rechercher si
inus du caractère, de l'émo- tivité et de la volonté que nous avons décrits chez les chevaux offrant des perturbations de l
nce réunis, en médecine humaine par MM. Morel et Magnan, et si bien décrits par M. Séglas (1). Bassi (2) a déjà démontré, d
solument, dans ses manifestations objectives, au tic de l'ours déjà décrit chez le cheval ? Malgré toutes les analogies, u
entre le délire alcoolique continu et la psychose alcoolique aiguë décrite par différents auteurs sous différentes dénomin
sépare pas le délire alcoolique continu de la paranoïa alcoolique et décrit ces deux maladies sous la dénomination de « dél
nt auditives, comme seul reliquat de la maladie. Le trouble mental, décrit il y a peu de temps par le professeur W.-M. Bec
adoptée par les auteurs allemands qui ont suivi et l'affection a été décrite sous différentes nominations. Ainsi Kraft-Ebing
alcooliques de Krafft-Ebing, on doit signaler aussi les mala- dies décrites par ITruepelin (4), comme « Hallucinatorischer Wa
s dans la littérature française. Marcé, Lasèyue et Legrand du Saule décrivent sous le nom « d'alcoolisme subaigu » le délire 'd
s interprétations. S'il s'agit des Pestiférés, il montre les images décrites en 1889 par Charcot et par 1Vl..Paul Richer. Pour
35 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
que deux cha- pitres : la tuberculose et le cancer. Les classiques décrivaient minutieuse- ment les caractères anatomiques et
tence de dispositions anatomiques analogues à celles que nous avons décrites autour de l'aorte. Les muscles des gouttières ver
e synostose, mais à l'existence du tissu spécial que nous venons de décrire . Notons enfin l'intégrité des masses musculaire
la face et les sphincters. C'est la myosite ossifiante progressive, décrite , en 1869, par Munchmayer, étudiée depuis par MM.
it pas, dans notre cas, de maladie de Müncbmeyer. , Bechterew (4) décrit , il y a quelques années, un type spécial d'anky-
as une rhumati- sante ; elle ne présente aucun des signes cliniques décrits par M. Fores- tier ; elle accuse par contre, de
e par contre, des symptômes que l'on n'observe pas dans l'affection décrite par cet auteur. Nous conclurons donc qu'il ne sau
(3). Sous le nom de spondylose rhizomélique, M. Pierre Marie (4) a décrit t une affection qui se caractérise essentiellem
Entre les symptômes de la spondylose rhizomélique, tels que les ont décrits MM. Pierre Marie et Léri, et ceux qu'a présentés
rences entre les lésions que nous avons observées, et celles qu'ont décrites MM. P. Marie et Léri. Sans doute, n'avons-nous
si caractéristique et qui rap- pelle aussitôt les faits semblables décrits par Gombault et Mallet, Dejerine et Sottas, est
rieurs, douleurs intermittentes, variables de siège et d'intensité, décrites tantôt comme des crampes localisées, tantôt comme
caractéristique (fig. 3 et 4) est bien semblable à celui qui a été décrit par Dejerine et Sottas dans la névrite intersti
plus démonstrative. La même analogie est évidente avec les lésions décrites par Gombault et Mallet dans leur observation in
e : « Un cas de tabes ayant débuté dans l'enfance» (1). Ces auteurs décrivent dans le texte des fibres de moyen calibre entou
s cité ces divers travaux que pour les lésions histologiques qu'ils décrivent et qui peuvent être mises en comparaison ou en op
roglique en tourbillons, comme dans le cas de maladie de Friedreich décrit parDejerine etLetulle et comme dans diverses obse
etLetulle et comme dans diverses observa- tions où cette lésion est décrite comme un phénomène accessoire ; dans les nerfs
gaines lamelleuses que sur le tissu inter et intrafasciculaire. Ils décrivent également une augmentation de volume de la paro
t amené à en dégager plusieurs types cliniques. C'est ainsi qu'il décrit un type parélo-spasmodique caractérisé par une
, comme nous avons dit, les mêmes lésions atrophi- naires ci-dessus décrites , mais avec une intensité variable de lamelle en l
d'appeler la maladie de Paget, et plus spéciale- ment à cette forme décrite par Paget et les auteurs anglais,et sur laquelle
e chaque grande région. Dans la myologie, chaque muscle se trouvait décrit avec ses insertions précises, sa forme, son vol
ouvements. Assurément, il n'avait pas été possible de figurer ni de décrire l'infinie variété des attitudes et des gestes q
e certains muscles, que j'appelle les « muscles de la forme », sont décrits avec détail, qu'ils soient superficiels ou pro-
phie de la jambe gauche est de beaucoup plus marquée que celle déjà décrite dans la jambe droite. Le membre inférieur gauch
ce des troubles moteurs, trophiques et de la réflectivité ci-dessus décrits . Mort le 4 août 1906, à la suite d'appendicite.
sions atrophiques analogues, mais beaucoup moins accusées, à celles décrites dans la racine gauche. Dans la région dorso-c
rieurs à part la légère atrophie, sans dégénérescence, ni sclérose, décrite dans la moelle lombo-sacrée gauche. Méninges
t réunies sur le même individu ; et des cas d'épidémie, comme celle décrite par Medin, où elles se retrouvent à côté l'une
x qui ont été publiés jusqu'à présent. Le trophoedème tel qu'il fut décrit par Henry Meige se caractérise par un « oedème
ÉTIENNE tant la vie entière sans préjudice notable pour là santé «/ décrits par H. Meige. Mais, ainsi que l'ont déjà fait r
s ainsi et à côté de cette forme la plus communément observée on en décrit une autre mixte où l'adipose,diffuse au tronc,
xysmes et d'accalmie se succédant à intervalles variables. Dercum a décrit l'atrophie des fibres des nerfs périphériques,
rédilectiou à la face dorsale des' pieds et des mains. On a de plus décrit dans l'adipose douloureuse comme dans le myxoedèm
elles sont coupées par le prolonge- ment interne du foyer ci-dessus décrit . Plus bas au niveau de l'entrecroisement des pé
ur). Ici, comme nous l'avons vu sur les coupes horizontales ci-dessus décrites , il s'agit d'atrophie plutôt que de dégénératio
les sensitifs dans notre cas, où il existe les conditions ci-dessus décrites pour la production des troubles sensitifs, est do
appor- tons ici est un exemple d'une forme particulière, non encore décrite de la paralysie pseudo-hypertrophique de Duchen
Mais nous ne croyons pas, sans vouloir .1'affirmer, qu'on ait déjà décrit un cas de myopathie présentant une pseudo-hyper
NAY et INFROIT. Les cas de dysostose cléido-crcznienne, l'affection décrite pour la pre- mière fois par MM. Pierre Marie et
aître. Il permet le rapprochement anormal des moignons de l'épaule, décrit dans les obser- vations antérieures. 4° Quant
observations d'Abbot qui a pu dans 4 générations d'une même famille décrire 7 cas de luxation de la tête du radius. Comme d
nsuffisance interstitielle, l'adiastématie précoce, telle que l'ont décrite Ancel et Boin (Presse médicale, 3 janvier 1906).
Encore est-il certain que je suis loin de les avoir toutes vues et décrites . Ces lésions prédominent évidemment du côté du né
ses cel- lules araignées, les hémorragies et les fibres variqueuses décrites ailleurs. Le noyau denté droit est très forteme
es, portant en particulier sur le système musculaire. Après avoir décrit notre dissection en tous ses détails, nous revien
névrotiques résultant de l'épanouissement de tendons que nous avons décrits . Fig. 10. a. Radius; b, Cubitus ; ç, Olécrane
les Act. natur. cur., t. V, obs. XXII, 1740. L'auteur a figuré et décrit avec soin un enfant mâle de 15 mois, dont les q
l innerve ses muscles normaux, et aussi les deux faisceaux anormaux décrits sous les noms de fléchisseur superficiel et flé
telle façon que la face antérieure c'est-à-dire la face supérieure, décrit une convexité qui regarde en dedans et en bas. Le
pression les avait arrê- tés dans leur développement. Le cubitus décrit une courbe prononcée à concavité dirigée en dedan
adius. HÉMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS 329 Le radius décrit également une forte courbe à concavité interne ;
ortant lui aussi qu'une phalange et un phalangette. Ce second pouce décrit dans son ensemble une courbe il conca- vité ext
suivant la méthode d'exploration de l'oesophage que l'un de nous a décrite (1), on fait avaler à la malade quelques gorgées
omique, par sténose spasmodique du cardia, selon le type sacciforme décrit par Leichtemtern (1). Pour l'expli- cation du p
II : nous n'insisterons pas sur ce processus que l'un de nous (1) a décrit longuement dans le cerveau. Les choses ne se pa
té, et dans son intérieur, nous avons constaté plusieurs formations décrites par les classiques sous le terme de névromes de
opinion en présence d'organes aussi nettement différenciés que ceux décrits dans notre cas ? La question nous paraît tout au
le système nerveux. CHAPITRE III CONCLUSIONS A. - Après avoir décrit les altérations que'nous avons rencontrées chez
peu de troubles, les anomalies sont de celles qui sont reconnues et décrites avec une certaine fréquence. Ce qui est ici rem
il s'agissait, en ce cas, de l'atrophie numérique telle qu'elle fut décrite par l'un de nous. ' MOELLE. - et) Examen de l
a date du 24 novembre à cette opération que la Gazette hebdomadaire décrit déjà dans son numéro du 19 no- vembre. 422 HA
oir aucun rapport avec la masse spongieuse avoisinante et ci-dessus décrite . La protubérance annulaire, le bulbe et la moel
volutions en avant de cette cavité, lé foyer hémorragique ci-dessus décrit dans l'hémi- sphère gauche, et les granulations
irection mathématique du rayon. Construit comme nous venons de le décrire , le « topographe cérébral » permet de résoudre
s dystrophies ostéo- 446 BEDUSCIII articulaires qui n'ont pas été décrites dans les cas connus d'acromégalie, si toutefois
été suffisantes. Ces lésions médullaires dans l'acromégalie furent décrites par Marie et Marinesco, par Bonardi, par Sainto
nous, les troubles ci-dessus mention- nés. La conception ci-dessus décrite est susceptible de nous donner la clef de certa
d'autres fois le diaphragme entre manifestement en jeu. 4 Le malade décrit avec beaucoup de justesse les variations de l'aff
vous ai fait connaître au cours de nos conversations, sans vous le décrire , en lui donnant le nom de « crampe des écrivain
er le mouvement caractéristique des bulbes oculaires que nous avons décrit précédemment. L'observation est encore plus facil
idéré comme patholo- gique, si bien, que certains observateurs l'on décrit comme un symptôme pathognomonique d'une forme s
intacte. Aussi bien M. Spilsha (18) trouva que le groupe cellulaire décrit par Mendel est celui qui reste indemne quand l'
aupières (poissons) le présentent manifestement, comme nous l'avons décrit ci-dessus. En culte, on peut noter manifeste- m
, S. 1203. 7. Campos (M.). Interprétation d'un' phénomène récemment décrit dans la para- lysie faciale périphérique. Progr
36 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
phénomènes exer- cent l'un sur l'autre. , , , . , , 1 · I. Pour décrire les amnésies hystériques il faut, à mon avis, m
épendent de troubles de la mémoire. L'astasie abasie, telle que l'a décrite M. Blocq, est « une perte des synergies muscula
Automatisme psychologique, 1889, p. 93, l'observation do la malade décrite sous le nom de Rosé. , l'amnésie HYSTÉRIQUE. 35
dépendent de tous ces troubles de leur mémoire. Je ne puis vous en décrire les innombrables variétés, je dois me contenter
résumer rapidement l'état d'une de ces malades que je viens de vous décrire , nous disons qu'elle a perdu la mémoire de tel
- primée ou lésée gravement dans les cas d'amnésie que nous avons décrits . Nous arriverons ainsi par une sorte d'élimina-
es. - Il y a d'abord dans la mémoire telle que les philosophes la décrivent des opérations intellectuelles assez compliquées
aque instant des amnésies localisées analogues à celles qui ont été décrites par Despine. Elle avait depuis de longues année
ntre dans une sorte de somnambulisme assez compliqué que je ne vous décrirai point. Je vous rappelle seulement que c'est un
des souvenirs dans l'amnésie hysté- rique. Les psychologues nous décrivent alors un autre phénomène essentiel dans le souv
Je ne cherche pas à expliquer ces faits délicats, je cherche à les décrire , à les résumer. Et dans. l'amnésie HYSTÉRIQUE.
cet état à plusieurs reprises chez des hystériques et nous l'avons décrit avec soin, car nous y attachons une assez grand
té, il s'agit là d'une anesthésie, analogue à celles que nous avons décrites dernièrement et qui n'affecte que la perception
dormir au dehors et nous la ramène dans cet état que je veux vous décrire '. Il est facile de voir par sa conversation qu
nées par le traumatisme. Enfin la' cicatrice osseuse que nous avons décrite doit comprimer les deux premières circonvolu- t
ations ne présentant rien de particulier. P. K. XIII. DES psychoses décrites sous LE NOM E : 1T : 1TONIE; par W. . SERBSKY.
ur iV.-11. POPOFF. (iJledi- zinsk. Obozr., n° 18, 1891.) L'auteur décrit un cas d'hémiplégie survenue à la suite d'un sé
ar les divers schémas en question. Prenant le fait qu'il a lui-même décrit dans le Zeitschrift für Psychologie und Physiol
s centres de la parole ne suffisent plus à expliquer tous les faits décrits jusqu'ici de troubles de la parole; -2° A mesur
ons sur les troubles de la parole, il faut s'attacher surtout à les décrire , non pas à les expliquer; - 4° Les déductions p
lement négatifs. Discussion : M. GRASHEY. Le cas d'aphasie que j'ai décrit il y a six ans, j'ai tenté de le rattacher à un
je sais ce que c'est, j'en ai l'idée, la notion précise, je puis le décrire exactement, et cependant son nom m'échappe. On
le com- prendre, prête aux développements les plus longs, M. Séglas décrit successivement les dyslogies par modifications
maladies mentales à l'Université de Vienne. Il est impossible de décrire le succès que remporta son enseignement sans en a
es secousses; à 105, convulsions toniques, très intenses (type déjà décrit ). Quelques secousses cloniques dans les muscles
le premier dans lequel le scotôme scintillant se trouve exactement décrit , et où le trouble visuel est considéré comme un
opie transitoire, accompagnées parfois du syn- drôme migraineux. Il décrivait si bien le scotôme, avançant de la périphérie d
Déjà Béard, dans la dernière édition de son ouvrage clas- 1 Pour décrire ces rapports, nous nous en tenons surtout aux mon
à subir de longues vicissi- tudes. Longtemps avant Ilippocrate, qui décrivit avec de grands détails les méthodes et les indi
x; par PERLIA. (Nezcool. Centralbl., 1801.) M. Perlia prétend avoir décrit le premier un trousseau de fibres qui, se détac
l croit devoir isoler décidément cette espèce de lypéma- nie, qu'il décrit comparativement au délire des persécutions. Le
rents ne se- raient-ils pas seulement de simples variations du type décrit par lui. Le délire des négations représente auj
distinguer des variétés parm les délires de persécution qu'il avait décrits en bloc; et la distinc- tion de ces variétés a
à trouvées à côté d'idées de persécution. En Allemagne, Witkowski a décrit une modalité in- termédiaire à la mélancolie vr
rtains négateurs, sceptiques, damnés, pourris, immortels. Kroepelin décrit une forme qu'il ap- pelle Wahnsinn depressiver,
coliques avec délire de négation systématisé, correspondant au type décrit par Cotard" et qui dès lors doit être conservé.
e des négations au délire des persé- cutions. Pour moi, les faits décrits par Cotard relèvent de l'hypochon- drie, de la
- sible des ;idées de négation chez les anxieux. Si le type qu'il décrit est nié, ce n'est guère que par ceux qui n'en ont
s n'est pas en cause dans les lésions ana- tomiques que je viens de décrire . Que les malades aient ou non des antécédents s
ie générale est celle qui répond au type anatomique que je viens de décrire . M. PIERRIET (de Lyon). Rapports de la paralysi
ses expressions motrices. Les deux formes cliniques que je viens de décrire ont été jusqu'à présent confondues dans le cadr
des lésions diffuses d'emblée, mais il me parait nécessaire de les décrire à part désormais. M. le Dr Ch. Vallon présent
re du malade on se trouverait en face'd'un de ces faits qui ont été décrits sous le nom de pseudo-paralysie générale saturn
générale pu- bliés jusqu'ici n'est assez complet pour permettre da décrire à part une pseudo-paralysie générale saturnine.
ion anticipée des sutures » chez les « microcéphales. » Les lésions décrites , hydrocé- phalie, sclérose, etc., « coïncident,
tre de Werwirrtheit ou d'Amentia; et d'ailleurs elle avait déjà été décrite en France, surtout par M. Delasiauve, sous le n
t bien mériter le nom de confusion mentale sous laquelle elle a été décrite par M. Dela- siauve, en ajoutant primitive, afi
n à part, car ils rentrent dans le groupe de faits que Delasiauve a décrits sous le nom de stupidité. M. Charpentier (de Pa
in pourrait peut-être rentrer dans le cadre de ce que M. Fournier a décrit sous le nom de syphilis pseudo-démente ou torpi
la confusion mentale n'ont fait que retrouver ce qui avait déjà été décrit en France, surtout par M. Delasiauve, sous le n
rappelle ce qui a été fait dans un grand nombre d'asiles étrangers, décrit l'application faite à Ville-Evrard, à Villers-Cau
multiples n'autorisent pas des affirmations aussi nettes et, pour décrire avec exactitude les sutures, il est indispensable
ndre de douche, dit-elle, après avoir mangé. Dans une note, où elle décrit les divers phénomènes qu'elle éprouve, elle s'e
fut obligée d'entrer à la Salpêtrière. Ici les attaques qui ont été décrites se continuèrent. Après quelques jours s'y ajout
en présente d'autres à type hystéro- épileptique avec les modalités décrites ci-dessus. Jamais il ne lui est arrivé que les
ésirer. Elle répond avec rapidité aux demandes qu'on lui fait, elle décrit ses sensations avec beaucoup de précision, elle a
ent à cette manifestation spéciale de la névrose, que le Maitre a décrit sous le nom de « diathèse d'amiosthénie D. Or, l'
e a été observée d'autres fois dans l'hystérie ; Souza- Leithe en a décrit un cas classique chez une jeune fille de onze a
avec la méningite chronique de l'adulte à type hystéro-épileptique, décrite par le docteur J. Lombroso 3 ? - Il manque de c
e et du bras : c'est bien là le tableau classique qui a été si bien décrit par M. Fournier dans son livre sur la syphilis
il envisagea le phénomène comme étant analogue à l'asphyxie locale décrite par M. Raynaud, analogie qui nous permettrait d
e, accompagnée de sensations visuelles, que Purkinje et Brunton ont décrite dans l'intoxica- tion par la digitale. Même l
este paralysée avec une anesthésie en manchette Une autre, que j'ai décrite autrefois, lève le , G. Légué et Gilles de la T
prurit véritable; nous croyons voir au microscope ce que l'on nous décrit , etc. Tout cela est juste, quoique exprimé d'une
énorme quantité d'images tactiles, visuelles, olfactives, etc. Elle décrit les roses, leur couleur, leur nombre, etc. En u
'association des idées, l'habitude, sont des faits de ce genre bien décrits , depuis longtemps. Mais, quand deux faits prése
maladie mentale. Beaucoup d'entre vous voudraient me dire : « Vous décrivez là les symptômes de l'aboulie, une des formes d
s cas le conduit à repousser l'existence de la folie spéciale jadis décrite sous le nom de pyro- manie ; les aliénés incend
que présen- tent les dégénérés névrosés, on peut ranger les malades décrits par Trélat, qui délirent dans leurs actes mais
articipation d'un facteur psychique. Jusqu'à ce jour on n'avait pas décrit l'état psychique particulier qui motivait ces m
'altère très rapidement parle même procédé que celui que nous avons décrit ; mais sa'totalité se transforme en une matière
d'une névrite périphérique en rapport avec le tabès. M. POEDEKER décrit un cas de pamlysie p1'ogl'essive des muscles des
Enfin l'auteur rappelle les cas de névrite multiloculaire qu'il a a décrits dans la Zeitsch. f. KliazJleclic. (t. XVII, Suppl
ur les questionnaires individuels. Il propose un plan d'études pour décrire complètement un individu, analogue aux question
che à déterminer les rapports entre la suggestion et la volonté, il décrit la suggestion comme un fait primitif dont la vo
é des recherches psychiques et l'un des organisateurs du congrès, a décrit un phénomène assez curieux, que je considère co
37 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857. Déviations de la colonne vertébrale. Atlas de XX planches
ement à cette cause que la déformation doit être attribuée. » L'arc décrit par le rachis égale environ un tiers de circonfér
quatrième vertèbre dorsale à la neuvième. Les cinq premières dorsales décrivent une courbe inverse à peine marquée, rudiment de l
tèbres sont soudées dans ce même sens. Les trois premières dorsales décrivent une courbe légère, à convexité gauche, qui ramène
surtout considérable et réellement dominante. Les premières dorsales décrivent une troisième petite courbure, à convexité gauche
ane. Les quatre premières lombaires, les quatre premières dorsales, décrivent des courbures accessoires ou en retour, qui ne so
La partie moyenne, régulièrement arquée, de cette grande déviation, décrit une demi-circonférence constituée par la douzième
llection. — Pages 389, 399, 401. La déviation est bi-dorsale ; elle décrit deux courbes alternatives de la première à la dix
imètres en arrière. Les dernières cervicales et la première dorsale décrivent une petite courbe en retour, qui laisse le cou un
un peu incliné à gauche. A partir de la neuvième dorsale, le rachis décrit une troisième courbure, longue et peu marquée, ma
es. Le corps de ces deux vertèbres est coupé obliquement de manière à décrire , avec la première lombaire, une courbe régulière
peu augmentée par une quatrième petite courbure, à convexité gauche, décrite parles sept vertèbres dorsales les plus élevées.
NTE DE SCOLIOSE AU 2e DEGRÉ. Ma collection. — Page 390. Le rachis décrivait trois courbures inégales. La première, à convexit
ires dépend de ce que le rachis revient à la ligne droite après avoir décrit la troisième courbure, à convexité droite. Dans
ée; la côte Un peu tordue dans le même sens que la droite, elle offre décrit une portion de spirale ; l'élévation de l'extrémi
ptième. Moins courbée que la septième à sa partie postérieure, elle décrit en avant une courbe inverse, de sorte que la form
L'aorte, la veine cave inférieure, sont inclinées comme le rachis et décrivent une courbure analogue. L'aorte thoracique se mo
a courbure principale. Azygos recourbée comme l'aorte, de manière à décrire un arc à concavité droite le long de la courbure
ongée, remontant jusqu'au bas du cou, surmontait, à droite, la courbe décrite par les apophyses épineuses. Les deux côtés du th
6 millimètres de la ligne médiane. Les vertèbres dorsales supérieures décrivaient une courbure en retour très légère, à convexité g
38 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
s mettre sur la voie du vrai diagnostic. L'état, que nous venons de décrire se perpétua sans changement notable, avec une l
ées au microscope il grand champ de vision de Nachet, tel qu'il est décrit dans l'Anatomie des centres nerveux de Déjerine
i est une lésion importante à signaler, car elle n'a pas encore été décrite , à notre connaissance, sous cette forme ascenda
ions anatomiques sont tout à fait analogues à celles que nous avons décrites dans les noyaux internes des couches optiques.
agnostic. Si nous résumons d'abord l'observation que nous venons de décrire , nous voyons que 'd'un homme de 68 ans, infecté
Kriege a trouvé des nerfs dans sa tumeur linguale, si Branca a vu, décrit et figuré des fibromes nettement développés sur
1898 nous avons attiré l'attention (1) sur une affection non encore décrite en France, caractérisée par la présence de tuméfa
similaires, épars dans la littérature médicale. Ils s'y trouvaient décrits sous les noms les plus divers tels que : anliit
mblance avec l'adéno-lympliocéle : cette opinion nous a amenés à la décrire sous le nom d'acléno-Liponccctose symétrique.
fection. D'autre part, l'état mental de S... est bien celui qui est décrit chez les hystéroneurasthéniques : préoccupation
vrai, plus de la neurasthénie que de l'hystérie, Cherchewsky (15) a décrit des troubles intestinaux aujourd'hui très connu
mais je crois que c'est là un phénomène posi- tivementrare. Quant à décrire le symptôme je ne l'oserai pas avec des documen
cas de Pitres etvaillard, les trois observations de Kroenig et les décrit sous le nom de « arthropathies et fractures de la
que la précédente. Pour cette raison et par suite de la dépression décrite plus haut dans la troisième lombaire, la colonne
os plats avoisi- nants. Enfin, il est un dernier mode non encore décrit du processus anatomi- que. Il est relatif à not
une constatation se dégage aussitôt, la diversité telle du tableau décrit par les auteurs qu'il paraît difficile d'écrire l
de rattacher cette analgésie à une altération névritique. Kahler a décrit son cas que nous avons rapporté plus haut comme
rs de la colonne vertébrale, etc. Enfin, sans nier que les troubles décrits ne soient peut-être la résultante d'altérations
e cette hémiplégie est devenu très facile. Voici comment Todd (1) a décrit cette marche : Je désire, dit-il dans ses Leç
n de circumduction, elle porte en avant la jambe paralysée, faisant décrire au pied un arc de cercle. Notre malade, au cont
u à des déformations monstrueuses analogues à celles que nous avons décrites . Les lipomes vrais peuvent parfois être multipl
mais les proportions énormes des masses que nous avons précédemment décrites . Leur multiplicité est parfois telle qu'on en a
roduit jamais l'aspect si caractéristique du collier que nous avons décrit précédemment. Il est beaucoup plus diffus et ne s
udo-lipomes sus-claiicvlaires que Verneuil et Plain ont observés et décrits chez les arthritiques. On les rencontre surtout c
i, dans un cas, M. Delbet a constaté la présence du microbe qu'il a décrit dans le lymphadénome, nous croyons que, pour ad
région scapulaire, colonne ver- tébrale, épigastre, pubis) où on ne décrit pas habituellement de ganglions lymphatiques ;
897), montrent combien sont nombreux les groupes ganglionnaires non décrits dans les classiques. Nous savons aussi que l'a-
a- dénopathie syphilitique peut s'observer en des points où l'on ne décrit pas habituellement des ganglions normaux : au c
fréquente des lipomes au voisinage des ganglions non ordinairement décrits dans les classiques. Mais cette prédilection po
flexion et d'extension des doigts, lents. Nous les trouverons bien décrits dans une observation de Mathieu en 1888 que nou
enfants. Il y a encore des mouvements associés, comme celui qui est décrit dans l'observation III. La clinique offre natur
sommes à présent dans la condition, à un degré légèrement modifié, décrite par Hugh. Jakson, sous le nom « d'im- perceptio
vecçà et là une teinte rosée.Dans la moitié droite de la courbe que décrit le sillon signalé plus haut, à peu près au niveau
station assise et vu de dos (fig. 8 et 9). Dans son ensemble, elle décrit une longue courbe dorso- lombaire à concavité t
concernant. M. Mari- nesco indique cependant que, le premier, j'ai décrit trois degrés à la dé- marche spasmodique. Mais
« polican », des « déchaussoirs » et des « poussoirs » tels que les décrit et figure A. Paré. On voit même sur cette tab
odifications dans la structure des cellu- les nerveuses qui ont été décrites sous le nom de « dégénérescence de Nissl » et q
ent après la mort, ont été traités par les procédés techniques déjà décrits dans la première par- tie de ce mémoire. Nous
t fréquemment dé- formée et froissée. Le stade que nous venons de décrire est le plus largement represemLe dans le gangli
a malade prend le porte-plume entre ses doigts, le membre supérieur décrit des oscillations et les muscles de l'émi- nence
sont pas décolorés ; mais la dégéné- rescence bilatérale qui a été décrite en'avant de la place occupée par le faisceau de
as bien en équilibre : ce n'est pas la démarche de l'homme ivre qui décrit en marchant une ligne sinueuse, et dont les ondul
ni en arrière, mais avant de rester complètement immobile, le tronc décrit deux ou trois gran- des oscillations antéro pos
t et se repose de même, les enjambées sont courtes, irrégulières et décrivent une ligne festonnée. Le corps se porte trop en
e tableau clinique qui rentre dans le cadre du syndrome cérébelleux décrit par l'un de nous. Chez ces deux malades, les
s d'étudier présente plus d'une analogie avec celle que Marie (2) a décrite sous le nom d'hérédo-ataxie cérébelleuse et qui
la paume de la main entre le squelette et la dure-mère. E. Michel décrit ainsi l'épanchement qu'il trouva pendant une auto
vement ses bras en avant tout en conservant aux mains l'aspect déjà décrit . C'est la « démarche de canard », la pointe des
de transition un peu différente de celles qui ont été précédemment décrites et auprès desquelles nous plaçons notre cas en
s de Kroenig, les deux observations de Pitres et Vaillard et il les décrit sous le nom d'arlltropathie et fracture de la col
ourbure de la colonne vertébrale entière ou la gib- 'bosité en anse décrite par Lannelongue dans le mal de Pott. A côté des
prépondérante, la scoliose complique toujours alors cette dernière. Décrire par conséquent un seul type clinique de compensat
aison de l'insuffisance des détails cliniques, nous ne saurions les décrire avec quelque exactitude. Nous nous bornerons donc
ac à priser et tabacorexis, le désir de cette poudre, et il nous en décrit les ra- vages. La soif, la faim ont leurs momen
de celle plante qui apporte. plus d'incommodité- que de plaisir et décrit ainsi les symptômes : 1° Abolition de l'odorat
raison de se moquer de leur nez, et s'ils sont dans l'état qu'il a décrit . La foule se soumet à cette épreuve, mais l'iss
t à propos intercale leurs vers dans sa prose. C'est ainsi que pour décrire le bruit que font à la porte de l'Olympe les pr
des maux de tète. La parésie du nerf facial gauche que nous allons décrire tout à l'heure, n'a pas encore été re- marquée
dire positivement, si nous avions affaire ici à l'état spirémateux, décrit par Nelis (2) ou avec de simples vacuoles. L'exis
dégénérescence dans les mêmes systèmes comme aussi dans les régions décrites plus haut, quoique la figure de la dégénérescen
ce qui est encore plus marqué dans le cas premier. Les deux cas, décrits plus haut, présentent une grande ressemblance e
endue du tronc cérébral et de la moelle épinière. La dégénérescence décrite plus haut de la voie pyramidale, en commen- çan
es d'autres maladies mentales. N. Vyrouboff (2) dans sa monographie décrit ,entre autres, les résultats de l'examen de la m
nt, elle avait été traitée à Lourcine pour une affection qu'elle ne décrit pas clairement; mais qui parut avoir été un éco
sé dit-elle ses paralysies du côté gauche. Le fait est que la fille décrit tous les anciens troubles nocturnes et matinaux
tions mécaniques des organes splanchniques. Nous avons suffisamment décrit au chapitre précédent les différentes formes de g
u de dépôts caséeux à la sur,face. . Nous nous bornerons donc à décrire les altérations des vertèbres elles- mêmes. Et
phique : elles réalisent ainsi les deux types anatomo-pathologiques décrits par Charcot dans toute arthro- pathie tabétique
s essentiellement variables. Ce sont ces deux types que nous allons décrire . Le processus atrophique se localise sur une, mêm
méthode de Nissl, soit au bleu de toluidine d'après la modification décrite plus haut. Examen microscopique, discussion et
précédente, le type foncé de Lugaro que Van (Tehuchten (1) et Nelis décrivent et figurent dans leur mémoire sur la structure de
dans son li- vre classique sur les maladies de la moelle épinière, décrit admirablement l'anatomo-pathologie et la sympto
nce blanche de la moelle une lésion assez caractéristique qui a été décrite par Leyden sous le nom de blasiger Zu- stand et
ns la dysenterie. Au cours de la ])Iénnoi-i-liigie,la myélite a été décrite par Gull, Du four, Leyden, üllmann, Barié, Go«e
re lésion qui mente une attention paru- culière est celle qui a été décrite récemment par Van Gehuchten et Nélis. Il s'agit
par là, une irritation des cellules fixes péricapsulairé. La lésion décrite pour la première fois par MM. Van Gehuchten et Né
des ganglions cérébro-spinaux sont identiques à celles qui ont été décrites par Golgi, par Nepveu dans les ganglions de Gas
s et les altérations des ganglions spinaux, telles qu'elles ont été décrites dernièrement par Van Gehuchten et Nélis, sont d
s, nous n'avons pas trouvé la myélite aiguë, telle que nous l'avons décrite . Je dois cependant faire une réserve à ce point d
qu'on rencontre dans la myé- lite aiguë de l'homme et que Leyden a décrits sous le nom de blassiger Zustand. Ces lésions i
lites, dans le sens que j'attribue à ce mot. Les lésions qu'ils ont décrites sont purement des lésions dégénératives, soit c
veux. Cependant, je tiens à souligner ce fait qu'aucune des lésions décrites n'a de valeur spécifique par elle-même, mais qu
ces ; 2° staphylocoques : 3° pneumocoques ; 4° le méningo- coque, décrit par Weichselbaum ; 5° le microbe de l'influenza
scrètes et discon- tinues. Dans le renflement cervical, les lésions décrites sont très réduites et localisées du côté de l'o
ns au cas de notre petite fille ; rappelons-nous qu'elle a appris à décrire de la main gauche toute seule en regardant écrire
d par la déformation considérable du thorax : la colonne vertébrale décrit dans son ensemble un arc de cercle à grande cour-
oils ; toutes les élevures sont d'ailleurs semblables à la première décrite . Sur le dos, 4 à 6 papules recouvertes de poils
des muscles des membres in- férieurs : mais nous savons que l'on a décrit des syringomyélies à forme UN CAS DE DERM0-NEUR
on en inventait encore, à profusion. Fabrice d'Aquapendente les a décrits sommairement (1). Il en compte neuf, parmi lesq
en de Padoue conseille plusieurs modifications au bec de la canule et décrit les expériences probantes qu'il a faites « sur
39 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
nom d'Angina Ludovici, du nom de l'auteur qui, le premier, les a bien décrits . D'autres fois, ces produits s'ouvrent une voie p
eil cas, appartient plus spécialement à l'une ou à l'autre des formes décrites par M. Broca. Tout ce que je puis affirmer c'est
la région où se produisent tous les accidents que nous allons avoir à décrire . En procédant de dehors en dedans, nous rencont
bre de muscles. Je ferai remarquer enfin qu'une déformation faisant décrire à la colonne vertébrale une courbure à grand rayo
gie douloureuse se montreront avec les caractères qui viennent d'être décrits , il y aura lieu de rechercher s'il n'existe pas,
-vulsions générales, de cause spinale, avec l'ensemble sympto-matique décrit par M. Brown-Séquard sous le nom d'épi/epsie spin
paralysie infantile spinale, la paralysie générale spinale, récemment décrite par M. Duchenne (de Boulogne), et qui n'a pas enc
ge graisseuses, se surajoutent habituellement aux lésions qui ont été décrites plus haut. Des amas de granulations et de goutte-
ire exactement ce qu'on observe dans la période ultime de l'affection décrite par Duchenne (de Boulo-gne), sous le nom de paral
et des noyaux des gaines vasculaires, telle, en un mot, qu'elle a été décrite par From-mann et par Mannkopf. L'existence des fo
ui être comparé. Il peut être rapproché de ces paralysies temporaires décrites par Kennedy, et dont l'histoire ne saurait être s
'ai le premier reconnue, je crois, du moins 2° Quelques auteurs ont décrit , dans les cellules nerveuses de l'encéphale, une
ues proprement dits, une atrophie véritable, dont M. L. Clarke a bien décrit toutes les phases; au premier degré de cette alté
qui répond à peu près cliniquement au type vulgaire tel qu'il a été décrit par Cruveilhier, Duchenne (de Boulogne), Aran, et
dromyélite mérite d'être mentionnée spécialement \ Quelques auteurs décrivent cette altération spinale comme résultant d'une di
retrouvons ici dans le mode chronique, les altérations que nous avons décrites à propos de la paralysie infantile, et il y a lie
Aran, sans l'accompagne-ment des lésions spinales qui viennent d'être décrites , sont, je crois m'en être assuré, des observation
ronostic. — Physiologie pathologique. I. Messieurs, Après avoir décrit les altérations nécroscopiques propres à la sclér
sur toute l'étendue du membre, mode qui rappelle celui que nous avons décrit lors-que nous vous avons entretenus de l'amyotrop
autre forme de myopathie, que M. Duchenne (de Bou-logne) a le premier décrite , il y a longtemps de cela, sous le nom de paralys
bles gasiriques, survenant par crises, analogues à ceux qui ont été décrits , sous le nom de crises gastriques, à propos de l'
rveuses des cornes antérieures. Sans doute, les lésions musculaires décrites dans le cas de M. 0. Barth, rappellent, h quelque
l'analogie qui existe entre l'altération des muscles qui vient d'être décrite et celle qui, lorsqu'il s'agit des viscères, est
tération spinale en question ne soit autre que la lésion systématique décrite pour la première fois parL. Tûrck et que j'ai fai
um anatomique de l'affection bien distincte de celle que M. Charcot a décrite sous le nom de sclérose latérale amyotrophique. (
ns le cours de cette leçon, a été, pour la première fois, remarqué et décrit . Dans l'observation d'une femme atteinte de scl
aladie des voies uri-naires. Je ne m'arrêterai pas, bien entendu, à décrire les symp-tômes de la maladie des voies urinaires
te une agitation choréiforme tout à fait compara-ble à celle que j'ai décrite dans le temps à propos de la sclé-rose en plaques
s habituel de l'épilepsie par-tielle syphilitique. On les trouve déjà décrites avec une cer-taine précision, dans une observatio
le Dr Meunier, chirurgien de la Salpètrière, a bien voulu étudier et décrire avec grand soin les lésions que présentent chez G
alade elle-même. On peut les produire aussi complète-ment qu'ils sont décrits ci-dessus. Dans les mouvements provoqués •on ente
r le plan du lit. Des plis moins nombreux mais plus obliques que ceux décrits pour le membre opposé existent à la partie intern
ur se diriger en descendant de l'avant-bras du côté du radius. Ce cal décrit une courbe à convexité en avant et à concavité en
à une fracture oblique à l'avant-bras. La cal, tel qu'il vient d'être décrit , gêne notablement les mouvements de flexion et d'
avant-bras présente des lésions analogues, sinon identiques, à celles décrites ci-dessus pour l'avant-bras gauche. Il existe là
t soudée avec le frag-ment inférieur. —Des lésions que nous venons de décrire , il résulte encore que, tandis que le fémur droit
touillement, la toux spasmodique et les atta-ques qui viennent d'être décrits . » M. Charcot a été amené à penser que, dans le
et à la sensibilité, dans l'intervalle des accès qui viennent d'être décrits . » Plusieurs fois le sentiment de brûlure et de
ion. Je suis porté à croire que la tuméfaction des cylindres d'axe, décrite dans ces observations, et aussi celle des cellule
ermine la présente note, je le trouve mentionné, une fois de plus, et décrit même de la manière la plus explicite, dans une ob
é dans nos deuxième et troisième observations : il a été parfaitement décrit dans les cas de MM. Frommann et de W. Müller. Lor
aisseaux pourvus de plusieurs tuniques, les phénomènes que nous avons décrits tout à l'heure se sont également produits. Ici, e
xamen aporté plus spécialement sur le nerf phrénique dont nous allons décrire les lésions. — Une portion de ce nerf prise le lo
ntaient la même faiblesse, le même amaigrissement que nous avons déjà décrit . On n'y remarquait ni déformations atrophiques de
retrouverons toutes les altérations les plus avancées que nous ayons décrites . Les sterno-cleido-mastoïdiens ont été l'objet
ée dans les deux moitiés de la moelle, la lésion cellulaire qui a été décrite à propos du noyau de l'hypoglosse. Frappant indis
x tiers environ) offrent, à tous les degrés, l'altération pigmentaire décrite plus haut, à propos des diverses régions de la mo
ellules du trijumeau, pré-sentent tous les caractères de l'altération décrite plus haut. Un des points les plus intéressants
e l'examen. Elles provenaient d'un jeune sujet atteint de l'affection décrite sous le nom de paralysie pseado-hypertro-phique o
nerveuses des cornes antérieures1 Sans doute, les lésions musculaires décrites dans le cas de M. 0. Barlh rappellent à beaucoup
né in extenso l'observa-tion de la première. Nul doute que ces faits, décrits comme appartenant à l'hémichorée, ne rentrent dan
40 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
eu l'occasion de faire l'autopsie d'un sujet atteint de l'affection décrite par M. le professeur Charcot sous le nom de scl
ré; on observe alors les aspects que nous allons successive- ment décrire . Tout d'abord (figure 3) la gaine de myéline gr
t dénommer « la phase dégénérative du processus », il convient d'en décrire une autre intime- ment liée à la première, comm
e, elle présente un aspect particulier et qui rappelle l'altération décrite par M. Ranvier au voi- sinage des étranglements
large. En résumé, on voit combien les lésions que nous venons de décrire diffèrent de celles que l'on observe dans la pa
, combien au contraire elle se rapproche des faits que nous avons décrits plus haut; le calibre de la fibre est presque r
êmement étroite, limitée qu'elle est par les lames de la dure-mère, décrites plus haut. C'est une fosse ellipsoïde à grand d
s les yeux, mais une forme particulière, l'épilepsie hémiplégique , décrite en 1827, par Bravais', et appartenant au groupe
7, par Bravais', et appartenant au groupe des épilepsies partielles décrites par MM. Hughlings Jackson, Charcot et par nous
tenseurs d'un orteil. M. Amidon entend dire qu'à l'avenir il faudra décrire avec plus de soin l'état de chaque muscle d'un
Après une étude histologique des couches qui les constituent, il décrit des faisceaux blancs qui s'étendent jusqu'à la mo
elques-unes des affections du système nerveux central et non pas de décrire des lésions syphilitiques du système nerveux. C
lytique. C'était du reste répondre au titre même de la thèse que de décrire toutes les paralysies motrices survenant à titr
e, M. Arnozan celle des articulations et de la peau, et M. Landouzy décrire l'attaque de choléra ou celle de fièvre pernici
e sont pas moins tranchées puisque les modifications que nous avons décrites font défaut dans le bout infé- rieur des nerfs
cas de myé- lite aiguë ou subaiguë. Or, les observateurs qui ont décrit cet état du cylindre dans la moelle épinière (F
ongueur. Ces altérations étant identiques à celles que M. Ranvier a décrites en pareil cas, iden- tiques aussi à celles que
egré inter- médiaire. Il y aura donc, pensons-nous, tout profit à décrire chacune des parties malades, comme s'il s'agis-
naître, dans la région frontale par exemple, le type à cinq couches décrit par M. Meynert. Avec un plus fort grossissement
nt si profondément altérées. L'état trouble des cellules nerveuses, décrit par M. Mier- zejewsky dans la paralysie général
gorie d'éléments intermédiaires que Stricker et Urger ont récemment décrits , comme des cellules de la né- vroglie pouvant a
ifications qui rappellent tout à fait celles que M. jMierzejewsky a décrites dans la paralysie générale des aliénés. La conn
° l'<l' i- - " t, 't J n1 II n Il ? il1 ." f,1 fil, zejewsky a décrit le développement dans la paralysie J .J/. <
ble. Elle consiste essentiellement dans l'opération que' nous avons décrite . Mais on n'a pas toujours'affaire à'des cas 'au
ez 264 REVUE CRITIQUE. Ir . ce malade quelques-uns des phénomènes décrits , on peut, en répétant méthodiquement cette appl
ssins, au- globe de soufre frotté entre les mains que l'abbé Nollet décrit avec tant de complaisance dans son- traité de p
x survenantliez des femmesadultes. In 'Clî*ni*cal Society, 1873) et décrite plus récemment par le dr Ord, dans lésllede'cô=
remier ou un des premiers symptômes restés. Cet engourdissement est décrit de différentes façons par les malades, mais sem
sion immédiate de la part de la section, et que parmi les symptômes décrits par l'auteur un grand nombre peuvent être aussi
ues intermédiaires au type mortel et au type de guérison qu'avaient décrit les auteurs précités. De même pour les températ
ne commence à se former qu'à une époque fort tardive : l'anomalie, décrite dans cette observation, ne peut donc s'explique
la masse sclérosée limite le foyer hémorrhagique que nous venons de décrire ); c) la portion moyenne de la frontale ascendan
à cette question se trouve dans les deux phé- nomènes qui vont être décrits : le transfert et les oscillations. Transfert.
, fit à diverses reprises l'exploration bilatérale qui vient d'être décrite ; il avait soin d'écrire, chaque fois, la dis- t
el commun, coloquinte, etc. Ces expériences, qu'il serait oiseux de décrire en détail, sont peut-être plus sai- sissantes q
ions dans la peau du creux de l'aisselle. II. Anomalie non encore décrite dans le trajet du nerf fémoro-culané. Observée
bre inférieur gauche. Ces deux faits sont presque semblables au cas décrit par W. Türner, dans lequel deux branches du ner
deuxième orteil. Tous ces faits rappellent une anomalie observée et décrite par l'auteur, ayant trait à une division analog
verney, contestés par Bichat, les nerfs de la moelle des os ont été décrits pour la première fois par Gros REVUE d'anatomie
ion musculaire paradoxale est juste l'opposé du phénomène qu'il a décrit antérieurement avec Erb, et dans lequel la contra
itudes de flexion et d'extension forcée que M. Bou- chard a si bien décrites tiennent à la prédominance d'action des fléchis
M. Lion a rapportées dans son mémoire ce fait n'est pas signalé ou décrit avec assez de détails, et il est impossible que
ER; par le Dr P.-J. 112ÔIIUS, (de Leipzig) 0. Berger, a récemment décrit (Bl'eslauel' arztl. Zeitschr., 1879 et Centralb
amollis, myxomateux; on y trouve les physalides caractéris- tiques, décrites par Virchow. Sur toute l'étendue du plan inclin
cules cérébraux normaux. La protubérance au niveau de l'ecchondrose décrite plus haut est déprimée transversalement, son ti
terne (hémianesthésie concomitante). L'observation qui vient d'être décrite a pour première étape la lésion du système osse
veilhier. Dans un mémoire lu à la Société des hôpitaux, M. Féréol a décrit en détail les accidents REVUE DE PATHOLOGIE NER
usieurs cas (AM. Times and Gaz. , 1862-1863) ; enfin définitivement décrite dans la monographie devenue classique du profes
un his- torique détaillé des diverses formes de chorée saltatoire décrites , suivant les lieux et les époques où elles furen
laissât, disait-il, courir pour sauver le monde. Les circuits : qu'il décrivait ainsi n'avaient généralement pas plus de 6 pieds
rveau), expliquent parfaite- ment la genèse des symptômes objectifs décrits . Les désordres des conceptions appartiennent à
iques anxieux dont il parle. En tous cas, le délire particulier que décrit M. Cotard se reconnaîtrait aux caractères suivant
CONDRIAQUE ; par 0. Boisson. (Broch. Libourne, 1880.) M. Boisson décrit l'état de quelques mélancoliques chez lesquels
même la nature délirante. Cette forme paraît se rapprocher de celle décrite par M. Legrand du Saulle sous le nom de folie d
rmés » ; elle constitue en quelque sorte le pendant' de l'affection décrite par Westphal et par M. Legrand du Saulle sous l
Italiana per le malade ner- vose, mai et juillet 1880.) L'auteur décrit un certain nombre d'attitudes et de mouve- ment
incurables de Todd, de M. Bouchard, deDu- chenne (de Boulogne) ; il décrit à leur place l'hémiplégie avec contracture late
la flacidité dans les cas où survient l'atrophie musculaire qu'il a décrite dans la première partie de son travail ; cette
ne. réppnypasarfaitengntJ.ie ? ,vrai, à. cettetfo`rme,qu,e Heschi a décrite sous le nom deporencéphàlie, mais elle s en, ra
t21d'une)vfaçono satisfaisantelpar;lle - 9mécanisme;quénouszavous s décrit l,d,i4nj(trouhte,, de formation. L'absence du s
éristiques7cét"que le malade, très intelligent et s'observant bien, décrit avec une 'grande énergie" et' une grande vérité
r dans le cours de l'ataxie. Dans les crises gastralgiques, si bien décrites par M. Charcot, il n'est pas rare de voir surve
se montre l'action inhibitoire ou perturbatrice qui vient'd'étre décrite . On peut la constater également lorsque les appli
fürPsclaa'atz·iezcndlVervezlcrazzllzez'len,fasc.3,1880.)c L'auteur décrit avec détails une moelle d'ataxique avec alté- r
cédent, le professeur Westphal , reconnaît l'exactitude des lésions décrites , mais se'refuse aux conclusions qu'en tire l'a
tionne pas le' fait' caractéristique : la, perte du sentiment. Il décrit sous le nom d'épilepsie optique une forme spécial
, avec perte de conscience. Voici, pour fixer les idées, comment il décrit une de ces attaques dans sa première observatio
'hallucination sera prise pour une réalité. ' , ; Dans le cas que décrit Hammond, les hallucinations existent sans déran
105.) Le myosis avec immobilité réflexe de la pupille, signalé et décrit par Argyll Robinson en 1869 (Edanb. Med. Joum.),
J. Putnam. (New-York Arch. of Oled., oct. 1880, p. 147.) L'auteur décrit sous ce nom un trouble de la sensibilité subjec
lus avec une névralgie ou une névrite. Ils se rapprochent des faits décrits par Berger, de Breslau (l3reslauer, Aertzl. Zei
01 1 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. En somme, ce que Putnam et Berger décrivent sous le nom de paresthésie n'est autre chose qu
(Arch. f. Psychiatrie u. Nervenk., 1880.) Le professeur Schultze décrit à ce propos une observation concernant un homme
l. mentales, 185 Il, p. 1 t 5) semblables, pour lui, à ce que Morel décrivait en 1860 (Gaz. hebdom., nos 48, 51, 52), sous le
amélioration remarquable au bout de deux mois. -La mysophobie a été décrite pour la première fois par W. Hammond, dans le p
malade a été acquitté. Sur l'interpellation de M. Dagonet, M. Motet décrit le moyen employé pour provoquer le sommeil chez
ionnelles, l'ironie, le dédain, la surprise, l'angoisse, etc., sont décrites avec soin et figurées avec succès. L'extase fait
end l'histoire de l'épilepsie partielle. L'épilepsie partielle déjà décrite par Bravais, sous le nom d'épilepsie hémiplégiq
'appelle souvent épilepsie jacksonienne. M. Charcot, qui en 1876, a décrit avec le plus grand soin l'épi- lepsie partielle
3 , ,.Ivails une troisième partie, MM. Bourneville et Regnard,ont décrit minutieusement les procédés', opératoires employé
41 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
ement cérébral général que l'on a admis. Cet épuisement nous semble décrit avec plus ^de précision quand nous disons : c'e
ent l'expression psycholo- gique un peu plus précise de ce que l'on décrivait d'une manière vague sous le nom de faiblesse ir
mptômes de cette maladie ? Sans doute un grand nombre de phénomènes décrits autrefois comme physiques, sont aujourd'hui reg
. Despine (d'Aix), dans le même passage que nous venons de citer, décrivait également, peut-être avec un peu de naïveté, «
er la discussion de. ce diagnostic ', malheu- reusement l'auteur ne décrit que des hystériques et n'aborde guère(le problè
notre travail sur les stigmates mentaux de l'hystérie, nous ayons décrit les troubles de la volonté et de l'attention, les
présentant diverses disposi- tions, se rapprochent d'un type qu'il décrit de la façon suivante : 1° La canalisation veine
me de dérivation est un peu plus complexe. De la convexité des arcs décrits ci-dessus, partent d'autres arcs dont la concav
D'EXAMEN DU CERVEAU A L'ÉTAT FRAIS; par le Dr 111NDRED. L'auteur décrit le procédé des coupes de tissu cérébral par con-
l'enseignement médical, lettre à M. J. Duval, 1868; D'une forme mal décrite de délire consécutif à l'épilepsie, 1832 ; Diag
dans les régions supérieures de la moelle, il est plus facile de la décrire en allant de bas en haut; de cette façon on se
sépare le tissu ectodermique du tissu mésodermique. Cette membrane décrit des sinuosités que l'on ne saurait mieux compar
pansions en forme d'épines, il en résulte que la membrane limitante décrit des sinuosités de premier ordre sur lesquelles
p de syringomyélies; c'est la dis- position papillaire qui est bien décrite et figurée dans la thèse récente de Critzman. L
la voit qui commence en arrière de la petite cavité que je viens de décrire ; elle n'en est même séparée que par une très mi
us conjonctivo-vasculaires et ses cavités; il me reste maintenant à décrire une formation très curieuse qui, je crois, n'a
t"fJt't JJn'I'11J 1" \ ? 1 Il Ii, , : * Presque toutes les paralysies décrites sous le nom de paralysies du plexus brachial ti
n dans,lettabes, même à la période tertiaire, et l'articulation est décrite comme fixée, coiitracturée. ouvres, limitée dan
'ystrie. ¡Il a constaté d'autre part les modifica- tions de l'urine décrites par MM. Gilles de la Tournette et Catheli-i néi
er- - rogne, on trouve les ! hallucinations¡ correspondantes qu'ils décrivent n volontiers. sans vouloir, : les- consigner pa
uve : l'argu- \ . Eludes pour servir à l'leisloire de l'affection décrite sous les noms de goutte asthénique primitive, n
lle-ci, souvent citée, M. Charcot utilise des faits per- sonnels et décrit une forme nouvelle qu'il nomme pneumonie chro-
. Il reprit l'année suivante (1868) son cours à la Salpê- trière, décrivit , entre autres, la paralysie agitante, la scléro
re des planches murales représentant les lésions des maladies qu'il décrivait , procédés qu'il appliquait à ses cours de la Sa
rmine par l'observation d'un hépatique répondant assez bien aux cas décrits par les auteurs du rapport sous le nom de psych
ffèrent qu'en intensité. La maladie revêt toujours le type clinique décrit sous Je nom de con- fusion mentale primitive, s
lassitude géné- rale et affaissement physique. Ce sont les malades décrits par Bou- chard sous le nom d'oxaluriques. L'ind
a marche et le caractère progressivement envahissant des obsessions décrites par lui. On voit en effet que, dans les deux cas,
s. On y trouve : 1° des noyaux isolés semblables à ceux qui ont été décrits plus haut ; - 2° des noyaux analogues, entourés
" , : " t ? 1 ? f., ' ? En résumé, les éléments, que nous venons de décrire sont faits sur des types qui reproduisent assez
ge de fibres nerveuses, ainsi qu'on le verra plus loin. J'ai déjà décrit l'aspect des points où le type névroglique prédo-
as apparaissent les formes cellulaires différenciées que nous avons décrites plus haut et qui proviennent évidemment des cel-
es démences, les fibres tangentielles de l'écorce, qui ont été bien décrites pour la première fois par Exner CI 881) : il me
e cas actuel la dégénérescence si étendue de ces fibres, que j'ai décrite plus haut, au premier rang parmi les lésions qui
t trait à des cas où la tératologie joue un grand rôle. Virchow a décrit , sous le nom de névromes centraux, de Fi. 26. T
obes cérébraux, sans connexions avec l'écorce. Tùngcl, Meschede ont décrit des productions analogues. Ce sont des formes m
C'est probablement là l'ôrigine des deux tumeurs que Lance- reaux a décrites dans.le cerveau d'une femme « dont l'esprit pas
avaient pour /origine des névromes centraux, tels que Yirchow les a décrits . 1 Dans le cas de Hayem (Note sur un cas de név
ion remontant à la, période embryonnaire. ' 1 Lesage et Legrand ont décrit avec beaucoup de soin une tu- meur qui, au poin
elle ne me parait pas être l'ori- gine de la tumeur que je viens de décrire ; ses connexions avec , ^l'écorce cérébrale, qu'
corps. des mouvements généraux, lents et spontanés, que l'auteur a décrits sous le nom de microkinèse. Tout d'abord ces mo
des états convulsifs; 4° une période finale de démence. ' L'auteur décrit avec soin ces quatre périodes, en s'attachant sur
uement. ,. 1 Charcot et Leyden n'ont-ils pas, dans cette affection, décrit des lésions des cornes antérieures ? Le système
ue l'on constate dans l'innervation des deux facials. M.OPPENHEIM a décrit des cas de parésie faciale faisant corps avec u
elle les doigts en « baguette de tambour , l'ensemble des symptômes décrits par Bamberger, l'ostéo-arthropathie pneumique (
es mains et des pieds date de huit ans. M. le Dr W.-A. Doubrovine décrit d'une manière succincte les résultats de l'auto
D'abord, il convient de rapprocher ces malades de ceux qui ont été décrits par M. Tissié sous le nom de « Captivés » ou de
en plaques et, de plus, un tremblement des cordes vocales, symptôme décrit depuis quelques années comme à peu près spécial
. 37). On peut bien y constater les dispositions que nous venons de décrire , et voir l'hypo- Fig. 38. Coupe au niveau de la
troubles de la parole. Le même contraste se retrouvait dans un cas décrit par par Meynert. Sur une coupe au niveau de l
ous jetons un coup d'oeil d'ensemble sur les lésions que nous avons décrites sur nos coupes successives du bulbe et de la pr
sont bien connues et aujourd'hui indiscutables : leur lésion a été décrite en détail dans l'observation de M. Pierret ; no
ordons postérieurs. Edinger n'ad- met comme prouvées que les fibres décrites entre les olives et les corps restiformes, rest
MIE PATHOLOGIQUE Mais ce tremblement des cordes vocales n'a pas été décrit uniquement dans la sclérose en plaques. Hermann
idait avec une parésie des adducteurs. Enfin Herbert R. Spencer 2 a décrit sous le nom de nystag- mus pharyngo-laryngien,
e puis m'en empêcher. » Se rassurant peu à peu sur notre compte, il décrit les angoisses, les « transes » qu'il a éprouvée
lles, faute de place, il nous est impossible de le suivre, l'auteur décrit 392 REVUE DE pathologie mentale. quatre forme
es primaires qui sont en rapport avec les fibres que nous venons de décrire . P. KERAVAL. XXXVI. Des altérations dans les
r le délire des négations . -Pour pronver l'exis- tence de la forme décrite par Cotard dans ses articles consacrés « au dél
résume en quelques mots au début de sa communication, le rapporteur décrit un cas de cette maladie, observé chez une insti
Après avoir remarqué qu'ici, de même que dans la plupart des cas décrits , le délire des négations s'est développé chez une
défavorable. M. Tokarski pense que le principal intérêt de la forme décrite consiste moins dans le caractère du délire qui,
Kojevnikov ne pense pas que, dans les cas du genre qui vient d'être décrit , on puisse attribuer le développement des phéno
Le D'' Tchirwinsky fait remarquer que quelques-uns des phéno- mènes décrits par le rapporteur, notamment les désordres gastri
génital, folie impulsive, autres syndromes non encore suffisamment décrits ; c) la neurasthénie et les psychoses neuras- th
air, substantiel, sans redites stériles et fatigantes. Ce qui a été décrit surtout avec un soin particulier, c'est la conf
dès le début des accidents, je cons- tatai, en outre des phénomènes décrits plus haut, de l'anesthésie du pharynx et un rét
et claustrophobie. A quoi rattacher ces phénomènes que je viens de décrire ? Existait-il chez cette femme de la dégéné- re
faitement conservé. Ce ne pouvait donc être que l'atrophie juvénile décrite par Erb où la ceinture scapulaire est surtout p
ance que les' plaques terminales motrices; 6° il"est impossible de' décrire avec précision la succession des phénomènes qui
aires,.Ierfd'autr6 ? affections" On- sait"1 que' Lang- hans et Kopp décrivent sous le nom de bourgeonnmusculaire un e'semble'
ystème\hist6)ogique. Eh bien ! ce Système*présente les' altérations décrites par Langhâns et Kopp toutes- les fois'qu'il-y a
42 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
s de M. John Anderson (l).Dans l'astérie rougeâtre, M. Tiedemann(2) a décrit et figuré un anneau nerveux entourant l'orifice d
filets nerveux divergens, au nombre de quinze $ Spix et R. Grant (3) décrivent les mêmes filets et disent les avoir vus ; mais C
ais Cuvîer révoque en doute leur existence : il pense que ces filets, décrits comme étant des filets nerveux, sont de nature te
M. Garner ont seuls traité ce sujet dans sa généralité. Le premier a décrit et figuré le système nerveux de plus de quarante
u système nerveux d'un certain nombre d'acéphales testacés, mais il a décrit les nerfs comme étant des vaisseaux cbylifères, e
qu'on ne retrouve pas dans les autres mollusques. Le nautile que je décrirai d'après l'excellente gravure qiven a publiée M. O
2° Que les cétacés ne sont pas privés de nerf olfactif. Treviranus a décrit le nerf olfactif du marsouin (2) ; M. Mayer de Bo
om. 1, p, 44I. être oubliés, n'en sont pas tous dépourvus, Cuvier a décrit le crâne du poulpe, et M. Garner fait observer qu
ne idée préconçue. La forme du ganglion céphalique, tel qu'il a été décrit par les auteurs qui en ont admis l'existence, var
qu'à ceux des insectes. MM. Audouin et Milne Edwards ont parfaitement décrit ces dispositions, et ils ont fait connaître les t
sectes , en général , la description du système nerveux des chenilles décrites par Lyonet et par Hérold ; mais sont venus ensuit
ieux qu'aucun autre observateur qui se soit occupé d'un pareil sujet, décrit ainsi les manoeuvres de plusieurs fourmis noir-ce
chasser. Quelquefois elle chantait, en reprenant l'attitude que j'ai décrite tout-à-l'heure, et dès ce moment, les abeilles de
e même jour deux reines étaient sorties avec leur essaim » (1), Huber décrit avec le même soin la conduite des abeilles restée
à Huber, et si, pour éprouver notre sagacité, cet observateur ne nous décrivait pas la forme des abeilles et nous taisait égaleme
itable monstre de l'encéphale des poissons (1). » Les objets que j'ai décrits et qui existent réellement se voient pourtant san
ne saillie; mais où elle donne comme chez les poissons une commissure décrite par Haller, M.Carus, et qui, suivant E. M. Bailly
ons, M. Swan ne l'indique ni pour la raie, ni pour la morue dont il a décrit l'encéphale, (i) Op. cit. pl. vi, fig. 142. M
animaux, elle n'offre de différences aussi tranchées. Je vais d'abord décrire ses dispositions générales, je parlerai ensuite d
ant, mais elle concourt à former un organe. La partie que je viens de décrire n'a, il est vrai, que des fibres longitudinales;
gine. Les ganglions inférieurs ont une autre commissure que j'ai déjà décrite et qui existe en arrière de l'endroit où se cro
attribue au procédé employé par M. Ehrenberg, les dilatations qu'il a décrites comme servant à caractériser un ordre particulier
'élément dans lequel il est né ; s'il s'élève dans l'atmosphère, s'il décrit dans l'air une courbe plus ou moins prolongée, il
eptiles appartenant à la famille des batraciens de Cuvier. Fr. Funk a décrit le sys- (1) dmtome testudinis europea, Wilna 18
les formes extérieures frappent nosveux. Les objets que nous avons décrits dans le système nerveux des poissons, sous quelle
en bas : c'est une disposition lout-à-fait analogue à celle que j'ai décrite chez les poissons. Incisés, les lobes optiques pr
le cérébral dont j'ai parlé plus haut. 11° Couche optique. M. Carus décrit comme telle une petite portion de substance médul
amille des batraciens. Cuvier a omis de les mentionner; Bojanus les a décrits et figurés chez la tortue ; « Ils naissent, dit c
n des reptiles, les mêmes procédés que pour celle des poissons, je ne décrirai donc pas de nouveau les détails de ces procédés ;
il a signalé l'absence de corps calleux, de voûte et de corps strié, décrit la commissure antérieure et la commissure pos-
la scissure de Sylvius. Il constate l'existence de la glande pinéale, décrit une large commissure qui réunit les lobes optique
x, les éminences qui donnent naissance aux nerfs optiques. Fr. Franke décrit la forme du cerveau: ce Les oies, dit-il, ont le
'infini ; un faisceau de fibres dont les premiers anatomisles qui ont décrit le cerveau des oiseaux ont déjà parlé, s'étale en
urnissent au nerf optique une double racine analogue à celle que j'ai décrite chez les poissons; ils sont unis l'un à l'autre p
dans les mammifères et dans l'homme. Je ne m'arrêterai donc pas à la décrire ; je noterai seulement ceci, 1° pour les nerfs olf
'orage. longue que la supérieure est disposée en cuillère. L'animal décrit une courbe, rase la surface de l'eau et enlève ce
s'attacher à connaître exactement cet organe et ne pas se borner à en décrire l'enveloppe. Les expressions dont Gall s'est serv
'étude des crânes qu'il fonde cette opinion; ce sont des crânes qu'il décrit , et encore n'en donne-t-il que la forme extérieur
je veux parler du cerveau. Certaines parties du cerveau ont élé bien décrites , ce sont celles qui se retrouvent les mêmes, ou à
onvolutions que d'une manière générale, sans même entreprendre de les décrire ni de les rapporter à quelque type particulier. W
De tisupartium, lib. S, rhap. l'i. (i) Cercbtlaftàtiîmej «tp. sans décrire ni les unes ni les autres. Vicq d'Azyr (1) entre
e phrénologie humaine et comparée, pl; i.xxxm de l'Atlas. les a pas décrites , c'est ensuite l'éloge qu'il fait des planches de
irconvolution qui entoure le corps calleux, dont une partie avait été décrite par Malacarne, et admise par les frères Wenzel, a
ue, du lion, du chat, du coati, de l'unau; mais l'auteur ne les a pas décrites , et le choix qu'il a fait de cerveaux (1) De pe
1829 que les circonvolutions cérébrales de l'homme ont été connues et décrites . L'auteur de cette découverte est Rolando (2), do
n analogue a lieu dans tous les autres groupes dont j'ai précédemment décrit les circonvolutions ; chez le mouton, cette dispo
jà parlé de la circonvolution latérale externe du cochon , et je l'ai décrite chez le cochon tonquin, où on la voit dans un gra
i s'applique surtout à la baleine, parce que le temps m'a manqué pour décrire le cerveau du narval. Les lobes cérébraux de la
. Comparez à ce cerveau tous ceux qui ont été précédemment figurés ou décrits , aucun d'eux ne présente la même disposition. L
à ce sillon le nom de sillon de Rolando, parce que cet anaiomiste l'a décrit chez l'homme, où il est encore plus développé que
rveaux? Y a-1 il des formes de cerveau différentes de celles que j'ai décrites ? Une observation plus étendue pourra seule résoud
lte ce que Keil appelait couronne rayonnée. C'est à tort que l'on a décrit la couche optique comme faisant partie du ventric
ai parlé des commissures antérieure, moyenne et postérieure ; je vais décrire la voûte à trois piliers et le corps calleux. C
ouvent, dans l'épaisseur même de l'organe, des faisceaux fibreux bien décrits par Gall, mais qui avaient déjà été indiqués par
le de l'homme que je me borne à les indiquer ici, me réservant de les décrire avec soin dans le second volume de cet ouvrage :
allongée, me réservant, ainsi que je l'ai dit tout-à-1'heure, de les décrire quand je parlerai de celles de l'homme. En procéd
par des linéamens que Gall a indiqués, et que Bailly de Blois a bien décrits : le pont de varole , la bande transversale qui l
degrés de courbure, en conformité parfaite avec celles que Rolando a décrites dans l'espèce humaine : contrairement à ce qui a
plusieurs omissions bien inexplicables; il a négligé, par exemple, de décrire le cerveau des animaux; il n'a pas déterminé la v
eaux qu'ils étudient, mais seulement des crânes, et quand ils veulent décrire une circonvolution cérébrale, au lieu de la montr
ux et les facultés de l'intelligence. RÉSUMÉ. 1. Gall n'ayant pas décrit le cerveau des animaux n'a indiqué que sur les cr
43 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
OLON- TA ! HHS (Elude d'un trouble fonctionnel jusqu'à t-e jour non décrit en France) ; -> Par Gilbert BALLET, chef d
Cette singulière affection n'a pas'encore été, que nous sachions, décrite en France et nous ne connais- sions aucun trava
echerches sur la physio- logie et la pathologie du système nerveux, décrit des phénomènes analogues. Benedikt en 1864 et e
on [d'autant plus inté- ressante, qu'il a éprouvé lui-même ce qu'il décrit , sur les différentes circonstances qui exagèren
genre qu'éprouvait Thomsen quand, dans sa lettre a Seeligmùller, il décrit le remarquable développement musculaire de ses
exus symptomatique spé- cial. Aussi avons-nous cru plus opportun de décrire le cas que nous avons observé sous le nom de :
c la conservation de la réflexion ? Les états transitoires que j'ai décrits se comprennent à l'éclosion de la maladie, quan
ai pu constater, dit-il, quel'hystéro-épilepsie telle qu'elle a été décrite par M. Charcot est assez fréquente à Saint-Péters
ées médecin dans ce pays, y a observé une forme de l'hystérie qu'il décrit fort bien, et qui n'est autre que l'hystéro-épi
qu'il décrit fort bien, et qui n'est autre que l'hystéro-épilepsie décrite à la Salpêtrière. Voici ce qu'il dit : (p. 96-1
d'Oustissyssolsk ne res- semble plus du tout à celle qui se trouve décrite dans les livres. Elle s'accompagne de perte de
modifiés. Le Dr Ayres songea alors à user du procédé qu'il avait vu décrit dans les leçons de M. Charcot, de la compressio
e attaque hystérique, qu'au point de vue de la régu- larité du type décrit . L'observation If", la plus intéressante, se ra
thèse que nous défendons ici, de l'uni- versalité du type récemment décrit par M. Charcot, de l'at- taque hystéro-épilepti
bien certainement là d'un cas d'llystéro-épilepsie, telle que l'ont décrite les auteurs français. D'ailleurs cette observat
elle demeura rigide, immobilisée dans l'attitude du crucifiement 1 décrite par les auteurs français. Bientôt les convulsio
ait les convulsions n'était pas toujours semblable à celle que j'ai décrite . Quelquefois, après s'être mise sur son séant,
les artères radiculaires posté- rieures. Veines, a) - Nous avons décrit dans la moelle épinière, au ni- veau de sa face
es artères et les veines visibles à l'oeil nu et que nous venons de décrire , il existe un réseau capillaire, plus ténu qu'on
e passagère ou définitive. La névrite est très rare : M. Althaus en décrit un cas aigu chez un tabétique; ce malade se pla
de vue topographique, ces observations répondent aux cas que l'on a décrits sous le nom de syringo- myélie. Les différentes
l'existence ; c'est tout simplement une phase chronique non encore décrite de la mélancolie anxieuse. Le signe caractérist
stique de cet état est dans le titre même sous lequel M. Cotard l'a décrit : les aliénés répondent négativement à toutes l
du tracémijogra- p/HMedttMsft dégénérescence des nerfs. Après avoir décrit l'ap- pareil dont il s'est servi (c'est l'appar
appendice à son mémoire de l'année dernière sur le même sujet ; il décrit les acci- dents observés à la suite de l'admini
le), par M. GinEY.Après avoir fait l'historique du malade, l'auteur décrit les lésions trouvées i l'autopsie. Des coupes f
ation clinique. En 1858, la paralysie conjuguée latérale a été bien décrite par M. Foville fils qui, remarquant ses rapport
s satisfait d'une interprétation qui explique celle que je viens de décrire par une paralysie des mouvements parallèles, le
dre, et l'on a vu cet accident se produire dans l'otite traumatique décrite plus haut. Observation XV. H..., trente-quatre
toute la série des effets que les pressions centripètes, plus haut décrites , ont la faculté de faire naître, c'est-à-dire t
lle moyenne. Cette lésion est rendue évidente par les deux épreuves décrites . La plus habituelle de ces lésions estl'enfonçu
même quelques goutte- lettes myéliniques. Ces gaînes vides, ainsi décrites à l'état isolé, se dis- socient mal d'ordinaire
ct conjozacti f des cM. Les diverses altérations que nous venons de décrire se présentent rarement à l'état d'isolement abs
le a ce- pendant été notée par M. Charcot dans le travail où il a décrit pour la première fois les eschares rapides des
ement disparu et les tubes atrophiés présentent l'aspect conjonctif décrit dans le type 5. Onzième nerf intercostal. Ce
ntes dou- leurs d'estomac. C'est le commencement de l'aura. Je vais décrire avec quelques détails cette troisième attaque d
aura, d'une durée d'environ une heure, présente les phénomènes déjà décrits . Période épileptoide avec phase tonique et phase
urs monologué. Elle est à Lyon, monte à Notre-Dame de Fourvières, décrit tout ce qu'elle voit, prie la Vierge, visite le s
ttaques absolument analogues à l'attaque du 16 août, précédemment décrite , avec des différences, toutefois, dans la phase d
la nuit dans 230 REVUE CRITIQUE. - cet état que j'ai précédemment décrit ; elle a des hallucinations et les hommes noirs
ux observés dans cette affection, notamment les phénomènes d'ataxie décrits par Hammond : ataxie des mem- bres supérieurs e
reconnaît des hommes venus pour la persécuter, etc.... On a même décrit des hallucinations du sens de l'odorat (voir la
ées dui,s ra pprochent;de,ce qu'on obser ? e,dans, le phéno- mène décrit par.nous sous) leiiioiii d'hyperexcitabilité li
ï Sous le nom 'oM/csa6'o-M ! o<eMrx (chapitre 6),, nous/voyons décrit , : la fièvre. des hystériques caractérisée par un
algiques, s'accompagnant souvent de vomissements, il faut désormais décrire chez les tabétiques une forme beaucoup plus rar
arrive touchant la nature de cette altération. Pour lui, ce qu'on a décrit comme étant une vacuole, c'est-à-dire une cavit
llules (pyramidales de la zone corticale motrice. 2° Voici le cas décrit sous la rubrique : Une forme mixte, cotis/t- tu
minutieuse; , on dressera, l'arbre généalogique de l'individu; on décrira , ses propriétés psychiques et morales; on' recher
aralysie générale. « Il est certain, ajoute-t-il, que bien des cas, décrits sous le titre de délire aigu, ressortissént com
raient des accidents épileptiques incomplets de ceux qu'il vient de décrire ? P 388 .SOCIÉTÉS savantes. M. Ball. Noire co
tner apporte son con- tingent de travail au complexas symptomatique décrit par Kceppe sous le nom de psychose tî,(iiii211t
ce que s'est proposé de contrôler M. Furstner. Les trois cas qu'il décrit à la Société confirment les assertions de Koepp
dniomélrie et de sa valeur en psychiatrie. Sous ce titre, M. Riegor décrit une nouvelle méthode de mensuration de la tête
. Sur un néoplasme de la base du cemeaee. La pièce est présentée et décrite à la Société. Le diagnostic de la tumeur avait
Présidence de M. L.run. M. Edel, sous le titre de : Cas 31e),Iozv, décrit une observation de démence sénile sur laquelle,
pond à la lésion du lobule pariétal supérieur; Bisch- Ilirschfeld a décrit un cas de ramollissement en foyer de cette cir-
e cir- convolution avec hypochondrie. M. FALK se rappelle un fait décrit par lui jadis dans lequel, chez un homme n'ayan
blancs ; une disposition particulière de cette hypérémie non encore décrite dans le délire aigu, consistant en ce qu'elle déb
irait également en décroissant dans cette affection. L'auteur nous décrit les procédés qu'il a employés ; ses recherches
opposés aux symptômes. Le candidat ne s'est pas borné là; il nous décrit ses procédés de culture de ces organismes, confor
nerveux (lmca·icaz nervousness) : si Beard n'a pas été le premier à décrire cet état qui avait déjà fait l'objet de plusieu
44 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
n.cfi.w car cjest elle qui, depuis quel a médecine existe, s'occupe à décrire les états morbides, à déterminer leur caractérist
ndant longtemps dans les esprits, jusqu'au jour où la lésion spinale, décrite depuis longtemps par Cruveilhier, put être rappor
n fébrile fait défaut. 3° Nodosités d'Heberden. — C'est l'affection décrite par He-berden, sous le nom de digitorum nodi. Trè
témoignent les faits rapportés par Duchenne (de Boulogne) d'abord, et décrits par lui, sous le nom de contracture réflexe dorig
de la main (Fig. 4). 1. Charcot. — Etudes pour servir à l'affection décrite sous les noms dégoutte asthênique primitive, nodo
uperflu de confronter ce cas avec ceux plus classiques que je vous ai décrits , tout d'abord, et de montrer les analogies qui ét
mation, mais conservant encore les stigmates permanents de l'hystérie décrits plus haut.. Ch. f. ee qui revient à dire que
ez, au-dessus des ressources de l'art. Je ne m'arrêterai pas à vous décrire la cicatrice difforme et indurée et les nodules c
s, considérée comme constituant une espèce particulière d'aphasie, et décrite sous les noms de cécité verbale, cécité des motsr
s haut. C'est, je crois, M. le professeur Kussmaul qui l'a le premier décrite , à titre d'espèce distincte, en 1877 *. A M. Wern
cile de faire ressortir la différence avec l'état primitif de M. X. . décrit plus haut. Chaque fois que M. X... retourne à A
u les enfants. C'est celle que M. le professeur Erb (d'Heidelberg), a décrite dans ces derniers temps sous le nom de forme juvé
vec raison comme parfaitement distincte des formes spinales jusque-là décrites 1. Prof. W. Erb. — Ueber die juvenile Form der
ique, l'absence complète de toute lésion spinale. La forme juvénile décrite par M. le professeur Erb est donc bien distincte
teints de la même maladie, «e cas me semble 1 se rapporter à la forme décrite par M. le professeur Leyden, sous le nom de forme
. Passons maintenant à une autre forme que Duchenne (de Boulogne) a décrite comme représentant simplement une variété de l'at
iées, chez le même individu, les diverses variétés que nous venons de décrire . Eh bien ! ces faits se sont rencontrés. Il exist
formes diverses et même de les confondre. Peut-être même dans les cas décrits par M. Erb, un examen tout à fait spécial des mus
r et qui sont encore des représentants typiques de la forme infantile décrite par Duchenne (de Boulogne). Le père d'un côté, le
mouvements ne sont nullement coordonnés. Je ne m'arrêterai pas à vous décrire les contorsions des doigts, leur flexion et leur
caractère d'irrégularité des mouvements choréiformes. que je vous ai décrits tout à l'heure. On peut aussi les dire systématiq
e-ci se compose d'une série d'accès analogues à celui que je viens de décrire , dure toujours assez longtemps : trois quarts d'h
galement des stigmates permanents, en dehors des attaques que je vais décrire . C'est ainsi que le lendemain de son entrée, on c
appartiennent pas toujours en propre, et qui ont été si admirablement décrits par Lasègue, en France, et par \V. Cuil., en Angl
rie, ils penseront qu'il s'agit là d'une maladie spéciale, non encore décrite , et qui mérite une place à part. Une erreur de
ue chose de particulier, je ne sais quel état pathologique non encore décrit , qui demande à prendre une place non encore occup
tituants imaginables. Et cependant, les phénomènes que nous venons de décrire , stigmates permanents et attaques persistent tels
chique se retrouve en outre du traumatisme, dans quelques-uns des cas décrits par MM. Putnam, Walton, Page, Oppenheim et Thomse
me période de l'attaque. De temps en temps, les contorsions ci-dessus décrites s'arrêtent un instant pour faire place à l'attitu
toïde, débutant par la langue et la face, tels qu'ils viennent d'être décrits , en un mot, puis les scènes variées de la phase d
sie —je parle ici seulement de la catalepsie vraie, telle que je l'ai décrite — certains phénomènes de suggestion s'obtiennent
atons sont, vous le voyez, absolument conformes à ceux que nous avons décrits , à propos du cas de Greuz... ; je n'insisterai do
ais essayer de faire prévaloir — de l'affection pour la première fois décrite par Brodie, en 1837, sous le nom d affection hyst
nettement reconnaître chez elles, sous une forme bénigne, l'affection décrite par Brodie. Chez une de ces femmes, c'est en pr
s ce syndrome sur lequel j'appelle en ce moment votre attention a été décrit par quelques auteurs sous le nom de choc local (l
fondre ce choc local", relativement bénin, avec la stupeur locale que décrivait récemment le professeur Verneuil, dans une de ses
ps, M. le professeur Volkmann d'abord, puis, après lui, M. Léser1 ont décrit un genre particulier de contracture qui s'observe
est rendu bien clair, d'après cela, qu'entre les faits de contracture décrits par M. Yolkmann et celui que nous avons sous les
ire et nullement, je vous l'ai démontré, de cette altération fibreuse décrite par M. Volkmann comme survenant à la suite de l'a
u obtenir la résolution de la déformation des doigts qui vient d'être décrite . Evidemment, il ne s'agit plus là de contraction
les caractères classiques du mutisme hystérique tel que nous l'avons décrit . Je lui ordonne de crier, de parler, de chuchoter
le intense, suivie de cette forme d'amnésie que MM. Ribot et Azam ont décrite sous le nom d'amnésie traumatique rétrograde. Q
ons observés chez lui, en dehors des c?nses qui seront tout à l'heure décrites . Le malade est couché dans le décubitus dorsal,
er effectivement sous la forme spéciale de paralysie qui vient d'être décrite , on ne peut guère, dans l'état actuel de la scien
e remettre en mémoire, tout d'abord, les phénomènes du s/iock local*1 décrit par quelques auteurs, et qui consistent surtout e
e commotion cérébrale physique. Ces accidents-là ont été parfaitement décrits par MM. Skae, Page, AVestphal, Moeli, Krafft-Ebin
econnut tous les caractères de l'affection monoplégique qui vont être décrits dans un instant et le diagnostic de M. Merklen fu
asse ses journées à lire, a écrire de vrais mémoires dans lesquels il décrit ses diverses impressions. Le 15 février, il écrit
ix basse, chuchotée. Les cordes vocales étaient restées dans l'état décrit jusqu'à son retour d'Angleterre. A ce moment, ell
ment signalé, en 1856, à la Société de Biologie, par Marcé, qui avait décrit le symptôme agraphie et cherché à établir son ind
45 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
dant quatre mois il resta ainsi couché, souffrant des douleurs déjà décrites , sondé à plusieurs reprises pour de la rétention
on de circumduction, elle porte en avant lajambe paralysée, faisant décrire au pied un arc de cercle. Notre malade, au contra
le dit, de l'hémiplégie organique dans laquelle le membre inférieur décrirait toujours un mouvement de circumduction. Nous av
l précité. Ce que l'on peut affirmer, c'est que le type de marche décrit par Todd est caractéristique de l'hémi- plégie
-être le seul ouvrage, où les formes extérieures soient étudiées et décrites méthodiquement. Le texte est accompagné de deux
lonne vertébrale examinées dans le sens antéro-postérieur ont élé décrites avec beaucoup de soin parles ana- lomistes. E
qui concerne la région lombaire. Au cou et au dos, les courbures décrites par les apophyses épineuses doublent, en quel
ences de rayon différent. Ainsi, à la région cervicale, la courbe décrite par les apophyses épineuses est plus fermée q
ai rencontré un cas dans lequel les sommets des apophyses épineuses décrivaient des espèces de zigzags. » Nous ajou- terons qu'
une autre affection d'origine exclu- sivement nerveuse celle-là, et décrite par un éminent clinicien de notre époque, Duche
tions. Celle altitude est absolument caractéristique. Duchenne l'a décrite avec soin, et s démontré qu'elle est la conséquen
ues d'une altération muscu- laire qu'un savant devait régulièrement décrire plus de trois siècles plus tard ? J. M. CIIAR
e but, mais ses mouve- ments sont saccadés, incertains, et son pied décrit une série de festons de droite à gauche ou de g
edreich, sont assez souvent le siège de déformations spéciales bien décrites et déjà figu- rées par M. Bury i. Files se cara
· 1° Arrachement par contraction musculaire. - Ce mécanisme est 1 décrit dans l'observation d'IIergott, la première en dat
se trouvent la paralysie des extenseurs et la bande d'hypoesthésie décrite chez notre malade. Enfin, tout récemment, M. Bl
ravale au niveau de la brute, trop abjecte pour être représentée ou décrite , et qu'on ne saurait contempler au delà de quel
s le no 777 au Catalogue de MM. Pottier .et Reinach, elle est ainsi décrite : « tête longue, étroite, le sourcil gauche rel
y aurait donc une véritable myopathie atrophique et interstitielle, décrite aussi sous le nom de cirrhose parenchymateuse atr
die de Friedreich sont assez spéciales pour être particu- lièrement décrites et méritent d'entrer en grande ligne de compte da
qui se rapproche assez particulièrement de celle que nous venons de décrire dans la maladie de Friedreich. Mais ici l'affec
alysie infantile », maladie ancienne bien que ré- cemment nommée et décrite , a fait tout le mal. Enfin, on peut distinguer
t connues et admises depuis longtemps, mais personne n'avait encore décrit des cas d'arthropathie labliqllc, lorsque, en 1
signalé jusqu'en 1883, époque à laquelle M. le professeur Charcot décrivit le pied tabétique. « Presque toutes les observati
e présente avec des caractères identiques à ceux que nous venons de décrire dans la moelle dorsale; toutefois la sclé- rose
appui. Les jambes se détachent du sol avec une certaine brusquerie, décrivent un arc de cercle et retombent sur le sol qu'ell
marche. Ils sont nettement ataxiques, et je ne crois pas devoir les décrire ici tout au long. Cette ataxie est autant motrice
s d'épilepsie; on a vu en effet, à propos de l'accès que nous avons décrit de visu, que ce symptôme n'existait ni avant, n
Revue de médecine), j'avais cherché à isoler nosographiquement et à décrire une affection singulière carac- térisée par l'h
on contraire de Musso. Parmi les troubles des mouvements actifs, je décris ici le premier ce que j'appelle le nystagmus de
relever. Le pied bot diffère chez notre malade du type qu'a si bien décrit M.le professeur Charcot. Il manque un détail :
ser- vice de M. le professeur Damaschino ; nous croyons inutile de décrire tous les signes d'ataxie locomotrice qu'il prés
des réflexes tendineux. III IV. Anatomie pathologique. - M. Bail décrit trois degrés dans les lésions anatomiques des a
ement impossible, que se développe l'attitude si cî ? 1.ctéristique décrite plus haut et si bien rendue par les artistes.
près ces accidents ont été bien étudiés; on les trouvera très bien décrits , en particulier, dans le Traité des maladies de
ette époque; son récit représente le tableau complet des phénomènes décrits 1. Ilandbuch dur Lettre von den Ifaochenbruchen
niveau, la crête, un peu plus saillante en arrière que normalement, décrit une légère courbe à, concavité droite. Pas de c
membre inférieur droit présente les phénomènes suivants. Nous avons décrit , d'après l'interrogatoire du malade, les douleurs
premières vertèbres lombaires. Sensibilité. -Outre la douleur déjà décrite , diminution très notable de la sensibilité dans
lus grave consiste dans les attaques épileptiformes que nous allons décrire . Ces attaques, nous l'avons vu, se présentèrent p
s, mais siégèrent vraisemblablement sur tous les points. Elles sont décrites par le malade comme des tensions, des tiraillem
46 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
ions relatives aux lésions situées sur la région que nous venons de décrire : l' Les faisceaux capsulaires; 2° La substan
latente du centre ovale dans ces trois dis- tricts que je viens de décrire est nourrie par les artères terminales auxquell
lucinations et leurs idées maladives, tom- bent dans l'état si bien décrit en quelques lignes par le savant aliéniste; et
me fois, des symptômes de démence apparurent. A ceux précédemment décrits s'en ajouta même un autre plus grave : Çla... ram
térieur {Archives de Neurologie, septembre 1882), le même médecin décrit , sous le nom de délire des négations, une forme d
symptômes spéciaux que nous avons CAS DE MÉLANCOLIE ANXIEUSE. 67 décrits , d'autres fois aussi ces symptômes se présentent
té nerveuse, qui, selon moi, est la base des phénomènes que je vais décrire . « Classe A. Dans cette classe, je placerai ceu
e Dr Hammond, il existe encore une maladie de même nature qui a été décrite en Allemagne sous le nom de schla//2rrznlcenhei
mémoire constitue une réminiscence de la méthode d'élec- lrisatiou, décrite en 1871, par lieard et Rockwell (Pruktische l6laa
d'une façon certaine. Un des symptômes précoces du tabes observé et décrit d'une fa- çon très fine est un trouble spécial
ts, et il n'hésite pas à les rapprocher des phénomènes de transfert décrits par M. Charcot; il pense, avec M. Vulpian, que
n très in- téressante de maladie bleue avec autopsie minutieusement décrite à laquelle fait suite un relevé des cas analogu
aractérisent la méuingo-eucépbalite tuberculeuse. Après avoir ainsi décrit , avec le soin qu'elles méritent, les lé- sions
otographique de la Salliatiière f ! 876-1880), ces vertiges ont été décrits et comparés à ceux de l'épilepsie (Bourneville)
e nouvelle attaque se produit, identique à celle que nous venons de décrire . Les tracés graphiques que nous avons recueilli
yanose un peu et se couvre de sueurs. Le bras gauche se soulève, et décrit un arc de cercle, en se portant t de dedans en
sajG ? : comme : chezrFoismr ? 5letableau symptoma- tique estscelui décrit naguère par Bravais, et dont les traits, dans c
ole; elle est située en dehors et au-dessous de l'ar- cade qu'elles décrivent , elles ne les atteint donc qu'in- directement,
troisième frontale droite, dans les conditions où s'est faite celle décrite dans l'observation de Dieu- ' '' , 1 t" "JU ' 3
i ces derniers, les uns s'attachant uniquement aux symptômes qu'ils décrivaient comme formes déterminées, ont continué à multip
cilicr de Gratiolet, part à angle'droit de la frontale parallèle et décrit une courbe très accentuée qui va' rejoindre en
bord postérieur de la pariétale ascendante et monte un peu avant de décrire la courbe qui, comme on le verra plus loin, coi
adoptent, de même que pour le lobe pariétal, un schéma modèle, sans décrire les plis de passage. Une école intermé- diaire
e). ">»-. ri- . ' ; ,'g. J2 uru 196 , REVUE CRITIQUE. Schwalbe décrit encore à la pointe du lobe occipital un troisiè
nt par l'expression « obtusion nerveuse», est un état t plus aisé à décrire qu'à resumeren une définition précise. Ce n'est
point concerne des petits corps, que l'auteur croit n'avoir pas été décrits jusqu'ici; ces petits corps, ronds, d'un dia- m
ne psychose parfaite résultant' du* chloral, elle n'a jamais 'été"1 décrite avânt'111 : 'ICiiw : ' Voici' l'observation. - Un
cas observé pendant la vie, et dont l'anatomie patho- logique a été décrite par Félix Marchand sous le nom de névrite'01 pa
ation inlerstiliellei.qu'unef affection vasculaire. Les altérations décrites ! pai-rjTuczokr,1. ne peuvent,, en .tout cas ? ét
nomètre àiinilé absolue construit par 1,delmaiiii de3luiiicli, déjà décrit , part Ziemssen. (Arch. f. lilin. 111édic.. t. XXX
de. Séance du ' avril 1883. Présidence de M. V'naTnuw.. M. Kohtum décrit à la Société l'étal unulomique de l'encéphale d
sentant à l'assemblée le galvanomètre de poche Zieiiisseii l'a déjà décrit dans le ton]eXX\ des Deutsch, tî-ch. ? liliii.
s vaisseaux réti- niens. Cette fois, les phénomènes subjectifs déjà décrits sont doublés de tics prenant leur origine dans
penser largement l'air et la lumière, qui a imposé la configuration décrite ; c'est pour la même raison que le quar- tier de
uteur : Elle est connue depuis le siècle dernier et a été déjà bien décrite avant Galezowki; on n'a rien ajouté à ce qu'ont
Galezowki; on n'a rien ajouté à ce qu'ont dit les auteurs qui l'ont décrite antérieurement. Ce n'est pas une espèce morbide
utre. Chacune conserve ses caractères au point que nous avons pu la décrire séparément, comme s'il s'a- gissait de deux mal
« J'ai mal à la tête ». Dans l'attaque, telle que nous venons de la décrire , on ne constate aucun phénomène rappelant la pé
syncopes soit isolées, soit consécutives aux attaques précédemment décrites . Mais, en dehors des phénomènes précédents la m
, dans quelques cas, elles sont suivies des attaques que nous avons décrites plus haut, avec délire et hallucinations. Auc
onne fortune d'être témoins des accès de spasmes, et obligés de les décrire de seconde main, nous n'eus- sions ajouté que p
n camarade; le malade sursaute, le bras se raidit, et les symptômes décrits ci-dessus se produisent. L'action de fixer long
nternes (Pozzi) ; Plis de passage cunéolirnbiques (Broca); Pozzi en décrit trois : 1° un pli de passage pariéto-temponal s
scissure de Sylvius, à cause de la forme qu'elle affecte. Schwalbe décrit séparément et figure comme étant DES CIRCONVOLU
ngle ouvert en arrière. Elle correspond à l'ergot de Morand. On lui décrit deux bran- ches : une branche horizontale, qui
nne; par Mendel (NCU ? '01. Centrctl6l., 1883). La pièce anatomique décrite et figurée provient d'une fillette de huit ans,
ineîzttil Scieizee, janvier 1883, p. 3.) L'auteur rappelle que l'on décrit ordinairement deux formes d'atrophie cérébrale
où il est possible de les observer; III. État subjectif éprouvé et décrit par le sujet lui-même, dans les cas où il a con
onséquent jusqu'à l'amaurose, et que bien des observateurs ont déjà décrite ; 2° L'hémianopsie dont étende ! seul a touché q
son livre d'après la structure des organes centraux de la vue, il a décrit une racine optique cérébelleuse; mais il n'en a
lligence. Or, le contrôle d'Hitzig montre que les accidents moteurs décrits sont loin d'être aussi faciles à engendrer, aus
cet épithélium serait doublée de la membrane limitante olfactive décrite par von Brunn; elle constitue une raie sous-jacen
n rend responsables de l'hémianopsie, aux symptômes périmétriques décrits ? La clinique a parlé. L'anatomie et la physiolog
47 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
anmoins par certains côtés, des divers types cliniques de myopathie décrits jusqu'à ce jour. Il ne ressemble en rien à la p
e de voir ? ? Si pour les besoins de l'enseignement on a cru devoir décrire des types nettement déterminés, la clinique nou
LLE PAR G. ROSSOLIMO Privat-docent il l'Université de Moscou. Décrit pour la première fois en 1880 (Fraser) et qualifi
c'est le premier cas d'ataxie cérébelleuse hé- réditaire étudié et décrit en Russie (Pl. IV et V). Pour plus de facilité
difformités congénitales du système nerveux central que nous avons décrites est l'hydrocéphalie et l'hydromyélie. Pour comp
es noyaux rouges. La cause de toutes les difformités que nous avons décrites est l'hydro- pisie des ventricules cérébraux et
térite chronique existe plus ou moins chez toutes les monstruosités décrites par nous auparavant. Cela peut favoriser, penda
nous avons trouvé que le foie chez tous les monstres que nous avons décrits jusque-là était infiltré d'éléments embryonnair
ose des faisceaux pyramidaux aussi marquée que celle que nous avons décrite de- manderait si elle relevait d'une lésion enc
supérieur avec les 3/4 inférieurs, l'humérus change de direction; il décrit t une courbe à concavité antérieure et à convex
eurs avec le 1/3 inférieur; là l'humérus semble soufflé en arrière, décrit un ventre postérieur et atteint ainsi, à ce nivea
en dehors, est appliqué sur le tendon, l'embrasse dans l'anse qu'il décrit pour se porter sur la face profonde du deltoïde.
cs, élongation en vertu de laquelle sont redressées les courbes que décrivent les racines du plexus brachial à leur sortie des
- gaison. A ce propos, rappelons que les 1° et 6e paires cervicales décrivent une courbe à concavité inférieure ; les 8e cerv
lu- les, les premières cellules bipolaires qui aient été d'ailleurs décrites , ont un prolongement afférent qui atteint le ne
nt, j'en suis convaincu, une place de plus en plus importante. On décrit donc au ganglion auriculaire deux grands rameaux
yau du releveur palpébral droit (ptosis) et le rameau anastomotique décrit par Duval et Laborde entre l'adducteur droit et
c'est le nom que porte sur sa robe le principal opérateur, - a été décrite dans ses moindres dé- tails (1). Nous n'y revie
difficile à percevoir. (1) Cette gravure est celle que nous avons décrite dans une de nos précédentes étu- des, comme nou
, A. Both, Fr. Hais le Jeune, et surtout Jean Steen, que nous avons décrits , ainsi que par les gravures de N. Weydmans, D.
ncien interne des hôpitaux. Depuis qu'en 1886, Charcot et Marie ont décrit la « forme particulière d'atrophie musculaire p
rès incomplètement faite ; seuls, Hoffmann, Marinesco ont essayé de décrire les lésions correspondant aux symptômes, et d'esq
é par M. Marie qui porta le diagnostic du type d'atro- phie qu'il a décrit avec Charcot. Si cette observation n'est pas plus
oisième lombaire les lésions sont les mêmes : il est inutile de les décrire en détail : ce serait répéter ce qui a été dit
les lésions sont absolument les mêmes que celles que nous venons de décrire pour les muscles jumeaux, mais elles sont plus ac
un peu masquées et altérées par la limite accidentelle, les lésions décrites sous le nom très défectueux de psoriasis syphil
cré une étude détaillée à la chlorose ; l'une des cinq formes qu'il décrit porte le nom de chlorose par amour. Elle ne dif
es troubles de l'appareil génital la plupart des symptômes que l'on décrit en- core dans la chlorose. La rétention du sang
ces du mal 1 d'amour. Dans l'histoire clinique de la chlorose, on décrit longuement Jes trou- bles cardio-vasculaires.
torpeur des idées, et les obsédantes rêvasseries. \V. Burger, qui a décrit le tableau avec éloges (-1), émet des doutes sur
'il y a des formes frustes : « Bris- saud, dit-il, pense que l'état décrit sous le nom d'infantilisme peut être une forme
traite deux cousins germains dont l'un représente le type infantile décrit par Lorain, le plus net qu'on puisse trouver, e
adulte. Il nous serait impossible d'en donner une idée exacte sans décrire son 282 E. HERTOGHE enfance et son adolescenc
froid persistant, dénotent le myxoedème franc, et ce n'est pas pour décrire ces formes que j'ai fait ce mémoire. A première
s en hiver. Les mains sont moites et sem- blables à celles que j'ai décrites chez l'adulte. Les parties sexuelles, nous l'av
ux, pileux. Je n'y reviendrai pas. Les symptômes que nous venons de décrire ne valent que par leur en- semble. Isolément, i
ni- grement, vérifier, le complexus symptomatoloique que nous avons décrit , très imparfaitement, mais suffisamment pour se
sions présentent la plus grande analogie avec celles que nous avons décrites . Nous considérons ce cas comme douteux parce que
égion, les altérations rappellent com- plètement celles qui ont été décrites dans le labes incipiens. Lésions des ganglions
ions que nous venons de faire nous montre que le type d'amyotrophie décrit par Charcot et Marie reconnaît pour subs- tra t
et Marie l'avaient soupçonné dans le mémoire dans le- quel ils ont décrit la maladie, il s'agit bien là d'une affection d'o
existe des déformations absolument comparables à celles qui ont été décrites dans l'atrophie dite du type Âran-Duchenne. A u
n sérieux de la sensibilité n'avait pas échappé déjà à Topinard qui décrit minutieusement les précautions qu'il faut prend
nt jusqu'à l'aisselle gauche, où elle rejoint l'anesthésie cubitale décrite . Il. DOULEUR. - A. Face antérieure. Hypoalgésie
s scènes médicales sont en nombre restreint. Celles que nous allons décrire montrent cependant que Metzu n'a pas négligé ce g
ts carrés. Voilà, n'est-il pas vrai, un fameux spécimen de l'espèce décrite par Mme de Sévigné. Il eut été capable de faire
vraisemblance que l'on est en présence du mal d'amour médicalement décrit par Varandal et Sauvages. C'est la « fièvre blanc
études sur l'autorisation psychologique et qui depuis a été souvent décrit , dérive en somme toujours du traitement des paral
péri-scapulaires : c'est la caractéristique du typescapuio- huméral décrit par Vulpian. Observation III. Atrophie muscul
en reste pas moins l'ensemble des faits dans les- quels le syndrome décrit par Duchenne et par Aran se trouve uni à sa lésio
ement d'une étude pour un tableau analo- gue à ceux 'que nous avons décrits . Mais, comme la femme est déjà âgée, envahie pa
dant par plus d'un détail des scènes mé- dicales que nous venons de décrire .' Et qui sait si le mal d'amour n'est pas la ca
leçons, M. Pitres (1) a repris l'élude de l'aphasie amnésique et il décrit comme tels les cas « déjà cliniquement rangés p
e ne peut dénommer la plupart des objets qu'on lui montre, elle les décrit sommairement, les définit ou indique leur nature
'ont jamais vécu que dans leur province ou à Paris. Sans doute on a décrit des cas d'éléphantiasis noslras, présentant clini
ue; les noires n'ont jamais commis d'excès de ce genre. Tchirkolf a décrit en 1895 (3), des oedèmes observés par lui chez 7
ais la face y participe presque toujours (faux oedème des paupières décrit par Vigouroux). On a signalé en particulier la
n'a pas donné de résultats appréciables. En 1897, Vidal (de Lyon) a décrit une maladie hypertrophiante singu- lière, carac
vé, si le cas se fut présenté isolément. On y retrouvait la variété décrite par Sydenham, l'oedème blanc, qui peut attaquer
t ne présentant pas les caractères objectifs de ceux que nous avons décrits chez nos malades. (2) Dans un cas d'oedèmeéléph
ile par Desnos en 1891, à la Société médi- cale des Hôpitaux, où il décrivit une variété d'oedème à laquelle il donnait le n
ir à désigner d'un seul mot une catégorie d'affections oedémateuses décrites jusqu'ici sous des vocables différents, mais pa
t, (1) Voy. no 3, 1899. (2) On peut encore rapprocher l'affection décrite par DEUCUM sous le nom d'Adipose douloureuse.
ipose douloureuse. L'adéao-Li ? omatosP, cette curieuse affection décrite par L.\Un015 et BENSAUDE (Presse méd ? 1er juin
tomatiques qui sont en contradiction appa- rente avec les cas types décrits par M. Brissaud. Ces symptômes anormaux sur les
présente un signe qui ne se retrouve que dans le torticolis spécial décrit par M. Brissaud : Notre malade peut à volonté arr
olis spasmodique (un grand nombre de torticolis mentaux ont dû être décrits sous le nom de torticolis spasmodiques), auxque
48 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
ve de la langue, du voile du palais et des lèvres, maladie non encore décrite . Mémoire adressé à l'Académie de médecine et à l'
de faire contracter partiellement, et dont je ne puis en conséquence décrire exactement l'action propre : c'est le muscle cani
atomiques sur chacun des muscles qui concourent à l'expression; 2° de décrire leur action partielle, les reliefs, les creux,
lement alors qu'il voulait travailler de son élat do cordonnier fj'ai décrit celte maladie sons le nom de spasme musculaire jo
e muscle élève considérablement le sourcil, mais qu'il lui fait aussi décrire une ligne courbe plus prononcée que du côté où le
voit, s'étendent sur toute la largeur du front. De chaque côté elles décrivent des courbes à concavité inférieure, qui, en se
senté au maximum de contraction, le sourcil et les rides frontales ne décrivent plus des courbes aussi régulières que dans les fi
i davantage à l'action de ce dernier. Il en résulte que le sourcil ne décrit plus alors sa courbe naturelle ; que sa moitié in
on de chaque côté. Ici les sillons médians du front se rejoignent, et décrivent au centre une petite courbe à concavité supérieur
e part, que l'élévation en masse de ce dernier, avec la courbe en arc décrite par lui, ne peut produire des rides limitées à la
voir soin d'en masquer le côté gauche. — Les sourcils de cette enfant décrivent habituellement une belle courbe, pendant le repos
l'action exercée sur la partie inférieure du sillon naso-labial fait décrire à ce dernier une légère courbe à convexité inféri
ntrent, en outre, qu'au maximum de contraction, le sillon interlabial décrit une courbe à concavité inférieure; que la lèvre i
es et le sillon naso-labiale. qui correspondent au muscle excité, ont décrit une légère courbe à concavité inférieure ; que le
où le petit zygomatique est un peu moins fortement excité, la courbe décrite par le bord libre des lèvres et par la ligne naso
ie moyenne de la moitié droite de la lèvre supérieure, en lui faisant décrire une courbe à concavité inférieure, mais en même t
face sont attirés directement en bas et s'allongent ; que les lèvres décrivent deux arcs de courbes en sens inverse, à peu près
er la forme et la direction de son sourcil ; il faut que ce dernier décrive une courbe concentrique à ces lignes frontales, c
e figure, sans en modifier profondément l'expression. Ainsi fait-on décrire au sourcilier une courbe concentrique aux rides f
es gravées de la collection actuelle du roi de Prusse, il en est une, décrite par Winckelmanu, qui représente le supplice de Ma
l'horrible douleur que doit causer la morsure du monstre. La courbe décrite par les lignes naso-labiales et le renversement d
ntre la plus vive affliction. Chez toutes deux, cependant, le sourcil décrit la même sinuosité, et la tête est également gonfl
es douloureuses. Voici une traduction du passage de XIliade où Homère décrit les adieux d'Hector et d'Andromaque : « Ayant ain
eur physique n'existe pas du côté gauche. En effet, le sourcil gauche décrit une ligne courbe; sa tète n'offre pas le relief q
ctrisation localisée de ce muscle : la ligne naso-labiale, ai—je dit, décrit une courbe à concavité inférieure. Eh bien! lor
de la lèvre supérieure se sont modifiés à droite, ainsi que je l'ai décrit plus haut en rappelant l'action propre de ce musc
— Ce n'est pas non plus ce même sourire qu'Homère a si admirablement décrit dans les adieux d'Àndromaque et d'Hector. Les lar
ôté opposé), le sourire faux de lady Macbeth, dans la scène ci-dessus décrite , se peignit sur sa physionomie. L'électrisation
49 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
ds. Sitôt qu'on lui faisait fermer les yeux, son corps se mettait à décrire de légères oscil- lations. Sa démarche était
tait empreinte d'incertitude; il n'avançait pas en ligne droite; il décrivait une ligne légèrement festonnée. Il avait de la pe
e de la Faculté, nous avons essayé de réunir tous les cas'd'llaélie décrits jusqu'ici par les auteurs ; il est permis de cr
yser 22 dans leurs, mémoires originaux. Les différents cas d'amèles décrits par les auteurs ne se rapportent pas tous à un ty
de la tête, est de 36 centimètres. Des extrémités nous ne pouvons décrire ... que l'absence. Les épaules existent, soutenu
ofesseur Mathias- Duval admet cette hypothèse. Pour lui (1), l'état décrit sur le nom d'hémi- mélie ne correspond à aucune
t pour obtenir le maximum d'effet. L'interrupteur que nous allons décrire nous a servi déjà à faire de très nombreuses ex
, nous a permis de faire, à l'aide du dispositif que nous venons de décrire , une intéressante applica- tion de la Radiograp
ellent beaucoup les tableaux des musées de Cas- sel et de Buda-Pest décrits précédemment; il y manque cependant l'ar- rière
ophiques cutanés, qui pouvaient être comparables à ceux que je vais décrire . C'est un cas d'oedème et avec cyanose des main
a l'REV11Î'R1 : OBJERVAI'10\. Les mains représentent les caractères décrits D1t11l- nution du diamètre transversal de l.l m
le de la main présente à un haut degré, les particularités que j'ai décrites chez les autres malades. Les détails qui existent
n et d'adduction des doigts. La face dorsale de la main gauche sera décrite en même temps que celle de la main droite. Les
lors si la main suc- culente présente l'attitude que nous lui avons décrite , celle-ci suffira à la distinguer de la main hy
De telle sorte que le tronc se trouve fixé dans l'attitude vicieuse décrite par la contracture simultanée des muscles anta-
de modifications. Il est fortement incurvé dans ses 2/3 inférieurs, décrit une courbure à convexité antérieure surtout acc
lu- sieurs d'entre elles, de la variété de douleur gibbosilaire non décrite sur laquelle nous avons jugé nécessaire d'attir
maximum. Nos recherches, à l'aide de l'appareil que nous venons de décrire , ont porté sur deux groupes de sujets. Nous a
par trépanation, a été l'objet des investigations de Golgi (1). Il décrit trois phases dans le processus des altérations
un bon nombre des cellules de cordon ont exactement les caractères décrits . Dans la moelle existent d'autres types cellula
raction de l'aponévrose plantaire : « La maladie qui vient d'être décrite ne s'observe pas seulement à la main, elle se m
n- timètres d'étincelle- L'interrupteur à mercure employé est celui décrit par l'un de nous dans un des numéros précédents
is types- principaux, du moins au début : le premier que nous avons décrit , carac- térisé par l'envahissement des muscles
tronc. C'est Charcot, comme on le sait, qui pour la première fois a décrit celte * attitude spéciale : la main de prédicat
remarquable, s'est occupé de la pachyméningile hypertrophique et il décrit de nouveau cette main. A propos de ce type de mai
e professionnel ou plutôt post-professionnel encore peu, sinon, pas décrit : le tic du colporteur. Analysons d'abord le su
tégorie : c'est un torticolis spasmodique. C'est ce que Jaccoud (3) décrit sous le nom de tic convulsif ou rotatoire du co
. 755. , 220 GRASSET n'en ai pas trouvé de description à part. On décrit la convulsion du sterno- mastoïdien et du trapè
côtés, d'un seul sternomastoïdien ou d'un seul trapèze; mais on ne décrit pas en général cette convulsion croisée ou altern
de Homen (2) qui résume bien la caractéristi- que de cette maladie décrite par Friedreich (3) en 1881 : « secousses sin- g
rre que Gilles de la Tourelle (1) en 1885 et Guinon (2) en 1886 ont décrite dans le service de Charcot sous le nom do malad
c bulbomédullaire, car il présente tous les caractères que Brissaud décrit au tic mental, c'est-à-dire qu'il a des carac-
ment en action (Duchenne). Après la crampe des écrivains, on en a décrit une série d'autres types : dans le chapitre que
des aspects très variés, assez mal dé- finis et le plus souvent mal décrits . Le problème est actuellement beaucoup moins si
jours. Tel est le cas de l'idiotie myxoedéma- teuse si parfaitement décrite par Bourneville. Or il s'agit ici d'une chose t
it d'avoir fait son chemin dans le m onde . Les sujets infantiles décrits par Lorain, par Brouardel et par les élèves de
ontraire. Il me semble qu'en ajoutant aux types d'infantilisme déjà décrits celui de l'infantilisme myxoedémateux, j'ai not
us disais que l'infantilisme idéal c'était l'idiotie myxoedémateuse décrite par Bourneville. C'est qu'en effet un idiot myxoe
mé, l'infantilisme vrai n'est à mon sens autre chose que la maladie décrite par Bourneville sous le nom d'idiotie myxoedéma
tilisme. 1 .Quel est-il donc cet autre infantilisme que je n'ai pas décrit et dont tout le monde parle d'après les travaux
a saillie et la fossette ressemblent en tout point à ce qu'Albrecht a décrit sous les noms d'apophyse et d'échancrure lémuri
l'interprétation hislo-pathologique des lésions que nous venons de décrire , par l'examen des données microscopiques obtenu
ce à des tumeurs grouillantes que des observateurs convain- cus ont décrit avec le plus grand soin. 1 Ce temps là était l'
ervé l'arthropathie névritique en 1838 ; Scott Alison en 1846 avait décrit l'arthropathie des hémiplégi- ques. Le syndrome
ivement de nature nerveuse par ses caractères cliniques (Charcot la décrivit d'abord sans l'aide de l'anatomie pathologi- qu
précisément celle dont on ne connaît pas la localisation. On a bien décrit des névrites (2) ; mais nous verrons que les névr
légiques, et de placer dans un autre celles du tabes. En général on décrit des arthropathies dans l'ordre anatomique : il
tait pas connue encore). Patruban et Remak (cités par Charcot), ont décrit des nodosités osseuses aux mains et aux doigts de
du corps, le cas rentrerait alors dans l'hypertrophie unilatérale décrite par Trélat et Monod dans les Archives générales
déprimante : telles sont les caractéristiques du torticolis mental décrit par M. Brissaud (1). (1) Le présent travail éta
et remarque d'abord qu'il présente tous les caractères que Brissaud décrit au torticolis mental, c'est-à-dire qu'il a des
ignes reproduits par les artistes anciens en sera facilitée. On a décrit de la Lèpre deux formes principales : 1° la Lèp
t ambiguë, et il n'est pas besoin (1) G. Lafenêtre et Richtenberger décrivent cette peinture de Masaccio de la façon suivante
la Lèpre. C'est là que Charcot et Paul Richer ont eu l'occasion de décrire quatre images de Lépreux dont le réalisme patholo
'une autre affection, d'origine exclusivement nerveuse celle-là, et décrite par un éminent clinicien de notre époque, Duchenn
ions. « Cette attitude est absolument caractéristique. Duchenne l'a décrite avec soin, et a démontré qu'elle est la conséqu
ues d'une altération musculaire qu'un savantne devait régulièrement décrire que trois siècles plus tard ? ... ? )) » Maître
ent intégralement parmi les manifestations cutanées de la Lèpre. Ne décrit -on pas des pustules et des ulcérations lépreus
tre misérable à l'état de momie vivante. De tels exemples ont été décrits et nous en avons vu récemment un spé- cimen cél
50 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sisterons pas sur les symptômes, qui d'ailleurs sont bien connus et décrits . Nous rappelons seulement que dans le vertige M
art d'atrophie. Souvent le malade éprouve une sensation difficile à décrire à l'épigastre; point de douleur à la pression,
ul5), troisième variété d'aphasie, amnésie verbale visuelle', a été décrite tout d'abord par Kussmaul, dont les recherches
l'examen de ses malades et ses observations l'ont en somme amené à décrire une forme de catatonie hystérique (sixième type
toutes les formes mentales : mais ceux-ci s'en tiennent là, ceux-là décrivent une forme spéciale de stupeur. Parmi ces dernie
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 67 douzième paire. L'observation qu'il décrit concerne un jeune homme de seize ans, présentan
dent numéro de ce recueil (1885, n° 28), M. Gilles de la Tourette a décrit une maladie qu'il nomme « affection nerveuse ca
formations et lorsqu'on les a trou- vées, même dans les cas si bien décrits de Hebold, on ne leur a pas assigné une grande
s d'atrophie musculaire progressive (formes musculaires), l'orateur décrit en détail un cas de dystro- phie juvénile (type
ue, parce que les altérations vasculaires du tabès, que l'orateur a décrites le premier, n'ap- partiennent pas en propre à c
ING présente les préparations anatomiques relatives au nerf optique décrit dans les Archiv. de Waldeyer et Schwalbe, t. 20
nulatious d'Altmann. 11 adopte l'opinion de Vignal qui a évidemment décrit ces organites auxquels il attribue de l'importa
es à la thérapeu- tique, presque les mêmes que celles qui ont été décrites par ses devanciers. Il conseille seulement, con
escription détaillée et précise de l'appareil immersif, ces auteurs décrivent la maladie des plongeurs, qui se présente, suiv
thologique, expliquer . les différentes formes cliniques qui seront décrites par nous, en d'autres termes faire la physiolog
ses compagnons de le laisser tranquille. Les symptômes ci-dessus décrits ont duré trois heures , et ont été suivis d'une p
emblement involontaire dont est bientôt saisi le corps tout entier, décrit un tour en frottant le sol. On peut remarquer q
ne demi-minute, qu'il a été atteint de l'acci- dent que nous allons décrire . Cependant le malade affirme qu'il a fait plusi
ir détacher du sol la jambe droite et la faire mouvoir, après avoir décrit un arc de cercle. Quant à la jambe gauche, le m
he, le malade peut très bien faire mouvoir sans employer le procédé décrit . De ses souliers, c'est seu- lement le droit qu
urant quatre mois, l'état du malade resta tel que nous venons de le décrire , sans aucune tendance à la guérison. Le 2 mai 187
. Ce n'est que le 15 mai 1876 qu'il a eu l'accident que nous allons décrire . Ce jour-là, après avoir fait 4 immersions succ
e la même année, il a eu l'accident suivant. Le malade ne peut nous décrire exactement les conditions dans les- quelles l'i
balancement tout particulier. Chaque membre en se portant en avant décrit un tour, frottant en même temps le sol de la po
ie énorme sur la partie supé- rieure du ventre. Outre les symptômes décrits , la respiration était très gênée : il sent auss
à 9 heures du soir, les fourmillements et tous les autres symptômes décrits DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 171
a pu marcher sans appui. L'état du malade tel que nous venons de le décrire est resté sans aucune autre amélioration jusqu'
u sol le membre inférieur droit, qui se porte en avant, après avoir décrit un tour et frotter le sol. Le même procédé doit
on membre inférieur gauche, qui alors se porte en avant après avoir décrit un demi-tour et frotté dans son chemin le sol a
d'un seul appui, l'état du malade est resté tel que nous allons le décrire . Etat actuel (20 juillet 1886). Allures de la d
le toucher tout simplement, la même sen- sation que nous venons de décrire recommençait et le malade poussait des cris, en
en vue de ce que les troubles primitifs et constants de l'affection décrite se nichent dans la substance grise de la moelle
onstaté des troubles d'autres espèces de sensibilité. Dans sept cas décrits par les auteurs allemands et dans deux observat
lète- ment le tableau caractéristique de la maladie. Schup- pel a décrit un cas d'anesthésie générale, dans lequel on tr
ordi- naire les malades ne sentent pas ces fractures; le ma- lade décrit par Schultze n'avait deviné que par le bruit de
d'une manière dépressive sur son état général. Tous les symptômes décrits peuvent se rencontrer à une certaine période de
ne grande quantité d'eau, mais restant presque à la superficie , ne décrit pas des lignes sinueuses trop élevées, non plus
communique en arrière avec le sillon de Rolando par le sillon déjà décrit ; au tiers antérieur on y rencontre un pli de pa
sions rencontrées sur les circonvolutions cérébrales; elles ont été décrites plus haut; nous rappellerons seulement qu'outre
capsule interne, dans le pédoncule) sur lesquels on s'est basé pour décrire le trajet du faisceau de l'aphasie sont assez n
' Raymond et Artaud. Arch. de i\'eur., VII, p. 300 et suiv. ' On décrit aussi un noyau accessoire de l'hypoglosse, a la p
es; les faisceaux moteurs et sensitifs sont à peu près complètement décrits , surtout le premier, dans leur trajet de l'écor
iques ressemblant à celles que la plupart des auteurs contemporains décrivent comme appartenant en propre à la myélite aiguë.
a attiré l'attention par sa singularité qui mérite vraiment d'être décrite et dessinée. Ce qui rend ce crâne intéressant,
les difficultés de la solution. A l'avenir de parler. Hui. Siemens décrit le nouvel asile d'aliénés provincial construit
NIQUE NERVEUSE. fois arrivée aux points que nous avons longuement décrits , la marche ultérieure de ce syndrome dans l'imm
ce côté pour soulever et porter en avant la jambe droite qui alors décrit un petit tour et parfois frotte le sol. Il n'en e
e membre droit qui, de cette manière, se porte en avant après avoir décrit un demi-tour et frotté le sol. La rigidité musc
ostéro-latérale. Ici encore, comme pour la forme que nous venons de décrire , l'explo- sion de cette forme d'accidents spéci
t d'eux- mêmes en quatre groupes, dont nous avons déjà longuement décrit les symptômes constitutifs. , - A. Syndrome des
pathologique. Le substratum auato- mique du tableau, que nous avons décrit , est constitué par des processus morbides, tant
es aux alté- rations anatomiques. Parmi les processus anatomiques décrits sous le nom synthétique de la syringomyélie, il
ns anatomiques n'ont rien de commun avec le complexus symptomatique décrit par nous. 2). Les cellules épithéliales du cana
imitées de forme et de structure, comme nous l'avons vu dans le cas décrit auparavant ? voilà pourquoi nous employons la d
e très marquée qui existe entre le tableau symp- tomatique que j'ai décrit avec les phénomènes neuropathiques, observés da
ie plus ou moins étendue de tousses modes de sensibilité (notre cas décrit en 1878) n'exclue pas ce processus. II peut éga
côté opposé à la lésion. « Dans ce mouve- ment de manège, l'animal décrit un cercle de rayon variable, et le cercle parco
a voulu s'occuper que du côté anatomique du sujet. Déjà Duret avait décrit la circulation autonome de cette circonvo- luti
taltothérapie a passé avant de former un corps de doctrine et avoir décrit les différents instruments du Dr Burq, l'auteur
51 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ée pendant plus de 2;) ans,de 1841 à 1867, que Jean-Pierre-Falrel a décrit pour la première fois la Folie circulaire. C'es
n ait signalé en particulier l'incurabilité,il ne l'a véritablement décrite comme maladie distincte qu'après la lecture fai
me, par conséquent, on peut dire que Bail- larger et P. Faire ! ont décrit presque simultanément la même maladie, sous deu
mme forme clinique indépendante, et que tous les états d'excitation décrits sous ce nom relevaient de la folie maniaque-dép
, parmi les étals dé. pl'essifs dits mélancoliques, il convenait de décrire à part ceux qui, survenant à la période' d'invo
maniaques-dépressifs nzix. tes entrevus autrefois par Guislain,mais décrits pour la première fois par Kraepelin, états dans
appartiennent à la mélancolie d'involution), états qui sont encore décrits séparément sous les rubriques de manie et de mé
pas la signification. C'est ce qui est arrivé lors que Dé- jerine a décrit les névrites périphériques qui, comme les lésions
n très grand nombre de lésions cellu- laires de physionomie variée, décrites avec ces techniques etsur- toutavec la méthode
]> Crocq (Jourox. de neurologie, n° 7.) On sait que (ïahlhaum a décrit sous le nom d'héboï<lophré- nie une forme at
ette forme bénigne de démence précoce simple ou fruste, l'auteur en décrit deux autres : dans l'une, on observerait, eu pl
ent le syndrome paralysie gé- nérale, ont été isolement observés et décrits comme étant le ré- sultat du diabète. Une auto-
pocondriaques, de transformation,aboutissant aux idées de négation, décrites par Cotard à tort comme un délire spécial ; les
e mentale est encore une terre fort peu connue. Un dernier chapitre décrit les traitements. Tel est le nouveau travail de
n remarque en outre sur celte figure l'anfraoluosité sulciforme (A) décrite sur la face interne de l'hémisphère droit et l'as
ormations et des irrégularités. 1,'airopitie particulière de l'iris décrite par Dupuy- Dutemps(2) se rattache à la fois à l
tation de la pupille sous l'influence d'une vive lumière (ce signe, décrit par lloukhine, n'a de valeur que s'il s'accompa
t présentaient les mêmes caractères que des microbes précé- demment décrits comme pathognomoniques. La deuxième série porte
résultats et les résultats contenus dans le rapport.dont t l'auteur décrit une vingtaine d'espèces microbiennes banales tr
les différentes parties d'un même organe. Aussi il est justifié de décrire une sénilité tardive et une sénilité précoce, u
s diffé- rentes variétés de granulations pigmentaires qui ont été décrites sous le nom de « pigment jaune » paraissent dér
TES ET NEUROLOGISTES. ques au dernier plan, ne les a pas moins bien décrits : il nous a montré le vieillard toujours quelqu
ien dues aux lacunes de désintégration, mais à côlé de l'hémiplégie décrite par 1111. Pierre Marie, Ferrand, etc., hémiplég
cas de démence rapide survenant après une seule attaque convulsive décrits par Schule ; 3° les ictus qui apparaissent à un
Au précédent Congrès de Neurologie (Rennes, août 1905), nous avons décrit et expliqué les troubles respiratoires des tabé
résultat de l'intoxication par le brome; le bromisme, ainsi que le décrivent les classiques, et que des expériences récentes
ourront faire croire à l'existence d'une forme nouvelle, inédite, à décrire ; ou bien, ils feront entrer le complexus dans
mais ces mouvements sont peu intenses. Le caractère des mouvements décrits , c'est d'être assez vifs, mais aussi de s'effec
hme ne révèlent aucune lésion, et montrcntque les lésions ci-dessus décrites ne s'étendent guère qu'à cinq ou six millimètre
e hystéro-épileptique après un embarras gastrique, je me propose de décrire un cas assez exceptionnel que j'ai eu l'occasio
on intellectuelle, les troubles démentiels que certains auteurs ont décrits , dans les tumeurs du corps calleux, sont des sy
dans les deux cas ; il n'est donc pas sûr que le syndrome psychique décrit plus haut soit uniquement d'origine calleuse. C
la démence pré- coce. 1. -;\I, Kraepelin commença par englober et décrire sous le nom de « démence précoce » toutes les f
en raison de sa singula- rité même et de sa rareté et qu'elle a été décrite à part comme un fait bizarre et curieux, plutôt
arquer que la question n'est pas de sa- voir si la folie gémellaire décrite par Bail comme la seule méritant ce nom est ou
mis en doute la folie induite ou folie transformée que venaient de décrire des aliénistes américains, et après eux des ali
savoir : la folie. Tous les jumeaux se trouvent dans la situation décrite par lui : ils sont nés à la même date, ils ont ét
gieuse qui ne fut, en somme, que l'exagération morbide du caractère décrit plus haut, avec les mêmes hallucinations et les
et entendaient la Vierge et le diable. Celui-ci était tel qu'il est décrit dans les livres pieux et représenté dans les vi
e un ensemble d'instructions claires, détaillées, par lesquelles on décrive et explique nettement l'essence et le but de l'
ypnotisme n'est pas une névrose et que toutes les phases classiques décrites par Char- cotne sont que l'effet d'une suggesti
es couches de l'écorce étaient à peu près également atteintes. S. décrit des lésions analogues dans les grandes cellules
(Xeurol. Ctrbl. XX\', f.l, p. 15à 18). Le « nystagmus associé » été décrit par S. en 1900 (1\ïener mes. Presse, 1900 et Ne
e rendu anato- mique à cause de l'analogie des lésions et de celles décrites par Seharrer. (Neurol, Ctrbl., XXIV, fas, ',) e
avec celle du bout central, les auteurs, après avoir soigneusement décrit les parlicularitéscliniques et anatomiques de c
rien ait fait soupçonner sa présence. Pourtant, en 190 : 2, Bruns a décrit un syndrome qui porte actuellement son nom et q
Ultérieurement, céphalée plus intense entraînant la position du cou décrite dans lelremiercas : démarche chancelante ; nyst
écrit. Un ne peut REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 401 1 prétendre décrire un mode d'altération du langage particulier à la
de la parole et des écrits dans la dé- mence primitive ne sont pas décrits par les auteurs ; ils peuvent cependant présent
darmes se rendaient à Lavaré et entendaient les témoins de la scène décrite plus haut. Lelendemain, ils prévenaient le Par-
Cette étude promet d'être d'autant plus intéressante que Patrizi a décrit un ergographe crural, destiné au membre inférie
ement pour les ex- plorations de neuro-pathologie. Le même auteur a décrit aussi un ergographe pour les muscles respiratoi
a pie-mère cérébrale qui tapisse le fond de la dépression ci-dessus décrite . A ce ni- veau la substance cérébrale présente
s sa partie inférieure la paroi d'une de ces formations kystiques décrites plus haut. Cette paroi est formée par de fines fi
ce nerf combinée avec celle de l'obturateur n'aurait pas encore été décrite . Une femme de 1"2 ans, Vipare, atteinte do prol
l'auteur tire les conclusions suivantes : 10 Le mutisme hystérique décrit par Charcot n'est autre chose qu'une aphasie de
ns le cadre plus vaste de l'aphasie hysté- rique ; 2" Il va lieu de décrire chez les hystériques un mutisme auquel devrait
osolo¡6qne : a) d'appeler « aphémie hystérique » de Charcot le type décrit par Charcot sous le nom de mutisme hystérique,
52 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sur place àun ordre donné, il tomberait même s'il n'avait soin de décrire un demi-cercle, avec une certaine hésitation ou
se montrer isolément. Aussi, Charcot a 10 0 PATHOLOGIE NERVEUSE. décrit un tabès sensitif réduit aux douleurs fulgurantes
r MM. J.-M. Charcot, Gilles de la Tourette et G. Guinon, qui en ont décrit avec soin les caractères nosographiques. Il ser
t pas en cause. La maladie des tics convulsifs, telle qu'elle a été décrite par MM. J.-M. Charcot, Gilles de la Tourette et
ins accusées. Aussi, à ce point de vue, la malade s'éloigne du type décrit ont amené les paralysies, tant du côté paternel
ent origine. Il est évident que l'on a affaire ici avec le syndrome décrit par Debove et Achard, sous le nom d'apoplexie h
lait seulement pendant la démarche qui avait le type de la démarche décrite par Tood; au contraire le membre, en examinant
qui a suivi le traitement de la suspension et celui que nous allons décrire , pour nous décider à écrire deux ou trois mots
siles spéciaux. M. Charpentier, sous le nom de folies du caractère, décrit les fous raisonnants, les fous moraux, les fous
ette observation représente un cas typique de ce que Krafft Ebing a décrit sous le nom de paranoïa dans sa forme primitive
es fibres optiques, y parviennent en faisceau distinct que Gudden a décrit sous le nom de « tractus peduncularis trans- ve
ciées aux maladies locales des viscères, eût peut-être gagné à être décrit à un point de vue plus général. Des chapitres s
gie fine des maladies du système nerveux. Cette histologie est bien décrite dans les travaux d'un certain nombre d'auteurs :
du groupe qui, par la suite, s'est fort étendu. . En 1884, M. Erb décrit une forme juvénile d'atro- phie musculaire prog
de régulière de ces amyotrophies est de date récente. Elles ont été décrites par W.-C. Kahlkof, dans une thèse faite sous l'
ons ; mais dans la littérature étrangère, vous le trouverez souvent décrit sous le nom de symptôme de Brach (Rosenthal 2),
e tabes, et en être même un symptôme précoce. Fournier 4 les à bien décrits et bien étu- diés. Ils méritent d'être rapproch
e. On sait, en effet, que cette variété d'atrophie musculaire fut décrite , en premier lieu, par Duchenne (de Boulogne) qui
e, elle aussi, un bord muqueux large, elle est renversée en haut et décrit une concavité tournée vers le haut. Elle manque
de tubes, et sont au nombre de deux ou trois : on peut, par suite, décrire à ces dernières figures, une paroi et un conten
nèvre, et où se trouvent un ou deux des éléments que nous venons de décrire . Sur des coupes longitudinales, où les aires en
Nous avons recherché si des formations analogues n'auraient pas été décrites par d'autres observateurs, et quelle interpré-
1; dans son étude sur la structure des nerfs chez les'solipèdes, a décrit un tissu qu'il appelle système hyalin intm-vagi
ystèmes, travaux de Langhans2 et de Kopp 3, son élève. Langhans qui décrit ces formations avec beaucoup de soin, dit qu'el
on diffère de celle de cet observateur. Il remarque que M. Renaut a décrit ces svstèmes sur des nerfs normaux et s'étonne
e l'élé- ment névropathique. L'an passé, nous avons à cette place décrit l'évolution des crises neurasthéniques consécut
ents de latéralité de la mandibule. J. Séglas. XX. UN PHÉNOMÈNE NON DÉCRIT DANS LES HALLUCINATIONS VISUELLES; par le Dr P1
ertige paralysant, par le Dr Ladame. Sous ce nom, le D' Gerlier a décrit une nouvelle maladie qui serait caractérisée pa
orrhagie. ' L'auteur pense au contraire que les apparences morbides décrites sous le terme de pachyméningite ne sont pas le
profonde, il n'existe pas chez lui cette volubilité que nous avons décrite , cette volubilité manque aussi dans le délire r
bords duquel la névroglie a proliféré à un degré extrême. On a déjà décrit cet état anatomique sous le nom de gliose. M. J
facial et le lingual sont partiellement reconstitués. M. Gilbert décrit deux cas de polynévrite. L'un est de nature inf
Dicussion : M. SCIIULTZE. - C'est là Yacroparesthésie que j'ai déjà décrite et que l'on trouvera dans la thèse de Mohr. M.
ectés de la lordose paralytique avec cyphose dorsale que Duchenne a décrite comme consé- quence de ces insuffisances muscul
n'avançant ses pieds qu'au prix d'un effort considérable; son tronc décrit en même temps des oscillations latérales, et rest
plus accentuée depuis le mois d'avril 1892. La colonne ver- tébrale décrit une courbure très grande, appartenant à vrai dire
occyx soulèvent modérément la peau en arrière En outre, le sacrum a décrit un petit mouvement de rotation, de manière que
vec une exactitude remar- quable tout l'ensemble symptomatique déjà décrit . En considérant le caractère singulier du table
vations d'Ozeretzkowsky, c'est seulement dans nOS 8S et 56 que sont décrites les attaques du tremblement, lesquelles du rest
effet dans une série de travaux publiés de 1880 à 1888 que Cotard à décrit un type de mélancolie anxieuse dans lequel, aux s
s font encore saisir sur le vif cette altération de la personnalité décrite par M. Séglas. De la comparaison des observatio
ar le Dr T.wcowLV. Les troubles vaso-moteurs des mélancolique* sont décrits par 384 4 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tous l
ne forme aiguë de cette maladie. Bien que cette forme aiguë ait été décrite par Westphal et admise par Meynert, elle est si
érale se multiplient à l'infini; la langue usuelle ne suffit plus à décrire de pareilles sensations, et c'est alors que l'ali
leur genèse la plus commune et aussi la plus logique a été souvent décrite et se résume ainsi : des persécutions aussi varié
ur tire les conclusions suivantes : I. La forme du délire chronique décrit par M. Magnan existe bien cliniquement. - II. O
.) On sait avec quel luxe d'expressions les malades s'attachent à décrire les sensations pénibles qu'ils éprouvent du côté
pesanteur ayant pour siège les yeux ou les paupières. Après avoir décrit les diverses variétés et les localisations parti-
s familles, dont il annexe à son mémoire l'arbre généalo- gique. 11 décrit avec soin et dans des relations détaillées, impos
e une dégénérée. Son délire n'est qu'un des syndromes épisodiques décrits par Magnan. On trouve encore assez souvent dans l
e sujet aurait pu le mener. La troisième partie, la plus étendue, décrit et développe les diverses formes de l'inversion
s, de barils de frêne, etc., sont autant de dangers qui couvent; il décrit et illustre une grande variété d'appareils d'ex
de même qu'il suffit d'appeler quelques-uns des sujets qui ont été décrits du nom que je leur ai donné pendant le somnambu
stater chez eux les traits principaux des trois formes de katatonie décrites par Schüle, à savoir : la forme religieuse expa
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. somatiques de l'hypnotisme; tels que les décrit M. Charcot, sont le résultat de suggestions et
la surface dorsale du poignet. CI Des phénomènes semblables ont été décrits par d'autres auteurs dans les premiers stades d
. J.-B. Boillier. Sous ce nom, l'auteur a réuni des affections déjà décrites sous le nom de rigidité généralisée de rigidité
e des idées dans les aiguës, par Schoenthal, 124- phénomène non décrit dans les - visuelles, par Piéraccini, 252. Hé
53 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ffecte surtout les muscles du cou et des épaules, et que Kahlbaum a décrite il y a près d'un quart de siècle comme particuliè
es en ce qui touche à l'ataxie aiguë due aux lésions bulbeuses et décrit une classe distincte de cas dus aux lésions aiguë
- rieure dues aux états cachectiques, anémiques et infectieux. Il décrit les conditions qu'il appelle « ataxie spinale sub
ale. L'étiologie, le cours et la pathologie de cette affection sont décrits d'après l'expérience personnelle de l'auteur basé
dents. Ces altérations sont en traits géné- raux analogues à celles décrites par J. ! t6(tt'sc/t, quoique moins pro- noncées
parition. Dans le sixième cas, il s'agissait d'une myélite que j'ai décrite pour la première fois dans la maladie du SOCIÉT
es modifications sont d'une autre nature que celles que je viens de décrire et je les attribuerais plutôt à la vulnérabilité
M. Soukhanoff et les deux nouvelles obser- vations que nous allons décrire , cela fait, sauf erreur ou omission, trente-tro
bres et toutes les par- ties du corps. , Le médecin certificateur décrit ainsi son état mental : « Diffi- cile, hargneus
anifestant le délire d'hypocon- drie et de persécution précédemment décrit : tantôt avec crises de désespoir accompagnées
est une dégénération consécutive en correspondance avec les lésions décrites ». Les fonctions psychiques demeurent d'ordinair
crâniens, analogues aux -ganglions des nerfs rachidiens. Klippel a décrit et reproduit les lésions des cellules nerveuses
ue la substance chromophile existe bien réellement 'sous la forme décrite par Nissl, et qu'elle n'est pas artificiellement'
r avec la diminution de la résistance élec- trique. Les symptômes décrits par J. de L. sont si nets que l'auteur pro- ' p
pendant la marche elle est traînée comme une masse inerte, et ne décrit pas une courbe de circumduction, comme dans la pa
et dans l'hémiplégie organique. Les deux symptômes que je viens de décrire me paraissent pou- voir contribuer pour une lar
ES. L'auto-l1¡ÏCI'osthésie,. par 111.oecer BLocu (de Paris). On a décrit sous le nom de microsthésie une affection du tou-
ctifiait aussi ses hallucina- SOCIÉTÉS . SAVANTES. i 177 tions et décrivait avec beaucoup d'intelligence par suite de quel
n nouvel exemple de ces paralysies asso- ciées'des globes oculaires décrites par l'armaud. Il s'agit dans de tels cas de rel
ucoup de soin et le nouveau procédé spectroscopique de Florence est décrit en détail. La preuve du sang étant faite, il re
recherche du glyco- gène et du glucose dans le foie. est amplement décrite . Enfin, ne perdant pas de vue le but essentiell
aux conjectures : il en est ainsi en particulier pour la variété décrite sous le nom de paralysie périodique ou transitoir
de repos, était la conséquence de l'attaque de paralysie qu'il nous décrit . A l'âge de dix-neuf ans, le sujet étant cultiv
des phalanges et des phalangettes : il en conserve la malformation décrite plus loin. Enfin, il y a environ' dix ans, il r
t à cette variété de sclérose en plaques à début paraplégique aigu, décrite par M. le profes- seur Pitres '. La bizarrerie
rticulière qui nous occupe. Le professeur Charcot et M. Marie ont décrit , en 18863,une variété d'atrophie musculaire pro
source. Kirsch 2, Willy Taylor3, Mitehell ? Krewer 5, Putnam 1 ont décrit des paralysies fami- liales périodiques ou tran
tre for- mulées ainsi : Ni les lésions vasculaires et cellulaires décrites par les auteurs antérieurs à van Gehuchten, ni
ysie est celle à la- quelle Brown Séquard qui, le premier, l'a bien décrite a attaché son nom et qu'il considérait comme ne
tion épileploïde des jambes, quand on les allongeait, est nettement décrite par le père. Il fait remarquer que si elles éta
considérables. Ils ressemblent peu aux éléments qui viennent d'être décrits , avec lesquels il serait difficile de les confo
uleux sont des éléments très différents de ceux qui viennent d'être décrits , mais, comme eux, caractéristique d'un état de
t pas ordinairement très gênante, et. bien qu'elle soit quelquefois décrite comme une douleur de froid (psyclvro-algie), el
ité simple. -il Un cas de mélan- colie chronique (omis). L'auteur décrit ensuite le procédé employé, et constate les résul
picrique et d'une solution aqueuse de formol à 6 p. 100). L'auteur décrit ensuite minutieuse- ment la technique employée,
elques points imparfaitement définis de la structure cellulaire. Il décrit ensuite les altérations de la cellule dans la dég
; puis, abordant l'étude des altérations vraiment pathologiques, il décrit l'altération hyaline fibreuse des vaisseaux.' E
vln-0 (Tlte Journal of Mental Science, octobre 1898.) Les auteurs décrivent d'abord la structure normale de la cellule nerv
eurs décrivent d'abord la structure normale de la cellule nerveuse, décrivent ensuite les phénomènes que Marinesco désigne RE
l'étude de ces altérations anatomiques dans les cas de folie aiguë, décrivent les méthodes histologiques employées, indiquent l
image telle que vous l'avez vue cette après-midi, et je vais vous décrire son aspect, son visage, sa posture dans le lit, e
e qui l'environne. lise remit à rire et me dit qu'il était prit. Je décrivis tout ce que j'avais annoncé, et, sauf un léger
s mouvements qui l'ont suivie correspondent exactement à ceur que décrit Richer à propos de la grande hystérie. · 2° Hom
attendaient; l'auteurexprime la satisfaction qu'ils éprouvèrent et décrit en détail les différents travaux auxquels on le
mouvements élémentaires dans les actes complexes, perturbation déjà décrite par l'auteur sous le nom d'asynergie. Cette hém
paralysie générale ou à une phase de la folie circulaire. Lasègue décrivit ensuite le délire de persécution. Enfin Magnan, a
uite à une communication antérieure sur cette affection, non encore décrite en France, les auteurs ont réuni d'une part 5 o
par H. Jullian. (Revue de médecine, juillet 1900). Syndrome déjà décrit dans une observation de M. Klippel. Dans le cas
alcooliques pour combattre de prétendues crises cardiaques, qu'elle décrit comme étant de véritables arrêts du coeur, et qui
sements excessifs, dysurie, ténesme vésical, enfin tout ce que l'on décrit sous le nom de crises gas- triques, intestinale
ns étendue, les surfaces sensibles sont plus vastes. Enfin l'auteur décrit les formes décroissantes, dans l'ordre de l'éte
cause de l'apparition du béribéri n'a pu être découverte; l'auteur décrit ensuite d'après les auteurs qui les ont observées
ces malades, est celui - SOCIÉTÉS SAVANTES. 433 Klein a isolé,et décrit en 1895 sous le nom de Bacillus eiitei-ilictis
l extrêmement dilaté. On pourrait appeler les altérations ci-dessus décrites « hydromyélie chronique progressive » ou épendy
plan- taire jusqu'aux dystrophies unguéales et dentaires, qu'on a décrits dans le tabes. Pour ma part, j'ai déjà observé et
it, assis à côté de sa mère. Son aspect était le même que j'ai déjà décrit : regard si vague où il fait douter s'il n'est
uveau d'alcoo- lisme propre à l'alcoolisme, et jusqu'ici peu connu, décrit par un médecin des environs de Rouen 1L. Marido
parlé, et sans laisser aucune publication à ce sujet. Il est ainsi décrit : « Ordonner à l'individu d'écarter les doigts,
de Maréville en employant le manuel opératoire que nous venons de décrire , voici les résultats qae nous avons obtenus. No
u médecin. Il nous semble cependant que le signe que nous venons de décrire pourrait beaucoup aider au choix d'un personnel
mander si elle doit être mise en cause. Des cas de ce genre ont été décrits dans lesquels les malades n'avaient pas pris de
e mauvaise humeur. 486 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. Divers auteurs ont décrit un rash scarlatiuiforme avec desqua- mation apr
atrième apophyse épineuse). L'ap- pareil instrumental, que l'auteur décrit avec soin, est connu. Quand tout est préparé et
ience, janvier 1900.) 11 s'agit d'un de ces cas qui ont été souvent décrits sous le nom de « grossesses de la ménopause » e
eux cas se rattachent évidemment à cette forme de folie que Régis a décrite sous le nom de « folie simultanée o; ils montrent
à une certaine époque de la maladie. Il lui semble que les lésions décrites dans l'observation de la malade de M. Briand so
un verre transparent. Guy de Maupassant, ajoute M. Sollier, a déjà décrit ce phénomène dans le llorlct. Peut-être l'avait-i
t le trajet des fibres pupillaires. Dans le chapitre suivant, Minot décrit les divers troubles pupillaires (inégalité, tro
54 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
es qu'il innerve. C'est cette modalité d'hé- miplégie alterne qu'on décrit sous le nom de Syndrome de Weber, depuis que Ch
es. Les seuls exemples qui aient été convenablement et complètement décrits sont ceux dont on a pu faire une dissection post
y a là un aspect comparable à celui que Brissaud, puis Feindel, ont décrit pour la main sous le nom de « déviation des doi
e disposition qui rappelle, en apparence tout au moins, celle qu'on décrit sous le nom de « pince de homard ». Mais ce n'e
taires. Les ongles existent cependant. Il est presque impossible de décrire la charpente osseuse des doigts de la main droi
ans. S'agit-il dans ces cas d'une de ces névrites post-varioliques décrites par Joffroy, ou au contraire d'une poliomyélite
d'entreprendre cette étude, je devrais régulièrement commencer par décrire le type ordinaire de la marche et de la course. J
ET DE LA COURSE 15 H. DESCENTE D'UN escalier. Je pense inutile de décrire en détails les mouvements des membres in- férie
- rey, de manière à étudier les modifications de la trajectoire que décrivent , dans la marche pathologique, les différents po
fait pour expliquer son éliologie. Le lichen ruber a d'abord été décrit par F. Hebra en 1860 ; en 1866 E. Wilson a décr
ber a d'abord été décrit par F. Hebra en 1860 ; en 1866 E. Wilson a décrit une maladie de la peau sous le nom de lichen plan
osés à reconnaître l'étiologie microbienne de cette maladie; Lassar décrit des bacilles très menus dans les petits espaces
un homme, médecin, chez lequel le lichen ruber unilatéral, comme le décrit Kobner, s'est développé dans la direction des n
58 ans, très nerveuse, qui avait souffert du diabète. Ni- contowsky décrit deux cas de lichen ruber où la localisation des é
raitement hydrothéra- pique d'après la méthode de Jacquet. Remesolf décrit en détails un cas de lichen ruber de la cliniqu
le long des nerfs sur les membres inférieurs; un cas semblable est décrit par Galloway. Les observations de Dreywel sont tr
r Galloway. Les observations de Dreywel sont très intéressantes; il décrit le lichen ruber des paumes des mains et des pla
tes : DE L'ÉTIOLOGIE DU LICHEN HUilER 101 Outre tout ce qui a été décrit ci-dessus, on a trouvé chez le malade les signe
thologiques, consacre un long chapitre à ces ossifications ; il les décrit comme des os- téomes multiples, ou comme des mu
, si typique de la myosite ossifiante progressive que nous aurons à décrire plus tard : Il Lieutaud en disséquant le corps d'
mes localisées de la myosite ossi- fiante (1). En 1878,Nicoladoni décrit un nouveau cas de myosite ossifiante et, dans l
, jouerait un rôle prépondérant dans l'éclosion de la maladie. On décrit depuis Munchmeyer trois périodes dans l'évolution
njonctives où elles siègent dans des fentes allongées, peuvent être décrites comme des fibroblastes ; tandis qu'ailleurs, su
ent tous les segments du corps. Les trois stades que nous venons de décrire , sont surtout distincts au point de vue cliniqu
NTE PROGRESSIVE 425 Indépendamment des exostoses que nous venons de décrire , les os offrent d'autres lésions. Ils sont en g
aire, la forme de la tumeur n'a rien de particulier. Nous venons de décrire comment débute la myosite au milieu de symp- tô
n'est plus exacte aujourd'hui. Munchmeyer lui-même, dans son cas, a décrit l'ossification du triangulaire du menton, Bokaï c
de l'abdomen étaient exempts d'ossification, mais celle-ci y a été décrite par IIuth, Helferich, Koths, Kuemmel ; elle reste
ations. Alibert le premier (Nosologie naturelle, t. I. Paris, 1817) décrivit la sclérémie partielle avec l'histoire d'un mal
le malade n'éprouvait aucune sensation ». En 1354, Addison et Bazin décrivirent la chéloïde vraie et la chéloïde blanche. En 18
l'articulation temporo- maxillaire ? (Menkewitsch). Gerber avait décrit dans l'observation de Florschuetz une ankylose de
mante progressive des adultes, le rhumatisme noueux infantile, bien décrit par le J)r DiamanLberger, se dis- lingue à prem
sse temporale, il chacune de leur contraction. 11 est impossible de décrire l'état des ptérygoïdes par suite de l'ankylose de
e interne. En outre, il y a plusieurs cas avec examen microscopique décrits par différents auteurs. Parmi les ouvrages conc
hez un anencéphale qui avait vécu deux jours et demi. Vllle Léonoff décrit dans un cas d'anencéphalie un* arrêt de dévelop
moins ronde et parfois leur aspect est si bizarre qu'on ne peut les décrire . Mais la principale particularité propre à tout
jà été passées en revue dans ce recueil (3). (i) Ce tableau a été décrit et reproduit dans notre précédente étude. Il en e
it la main droite, on allonge l'index de celte main, et on lui fait décrire les lettres des mots dont on se propose de lui
ne natiforme (Pl. XXX, A). Cette déformation « natiforme », si bien décrite par le professeur Par- rot, a une importance ca
lors un signe presquepathognomonique de l'hérédité spécifique. Pour décrire rapidement cette malformation, j'userai de la com
r macération de ses produits mous ; il rappelle absolument l'aspect décrit par le professeur Wirchow sous le nom de « cari
ons dites supplémentaires. Le symptôme en question a été signalé ci décrit par mon père dans les termes suivants : « Il
ses étaient telles, dit Copping, qu'il serait très difficile de les décrire . Ons. IV. Henry, Philosoph. t1'aI1Sact., vol. L
sseux,qui se réunit avec la portion bra- chiale de la masse osseuse décrite plus haut et avec l'ossification du brachial an
encore une apophyse poin- tue qui repose sur le biceps ; du centre décrit part encore une bandelette qui suit le bord inf
atère et la bande qui va en haut et en dehors et que nous venons de décrire , part également une crête verticale. Enfin une au
HIZOMÉLIQUE PAR R E. FEINDEL et P. FROUSSARD. M. P. Marie (1) a décrit sous le nom de Spondylose Rhizomélique une affe
er sans canne ; son pas ordinaire est de 25 cen- timètres. Avant de décrire sa marche, remarquons encore une fois, que lorsqu
t du bassin; parcontre le thorax est visiblement aplati, le sternum décrit une courbe anormale, les atrophies musculaires so
pièce du musée Dupuytren. ' La pièce sèche du musée Dupuytren est décrite en détail par M. Marie. Elle est constituée par
mples d'une semblable hydrocéphalie nous rappellerons les trois cas décrits par nous antérieurement. Nous voyons la base du c
relèvent de l'hystérie, cette étrange affection'si ma- gistralement décrite , dans toutes ses manifestations, par Charcot. S
t plus large et plus bombée que la moitié gauche. La ligne latérale décrit une courbe identique il celle que l'on voit de
fortement en dehors. Le creux de l'aisselle présente la déformation décrite . Au cou, mêmes re- liefs musculaires que précéd
dépasse l'horizontale, la condition nécessaire est que le scapulum décrive autour de son angle interne un mouvement de rotat
bord spinal doit se détacher et s'écarter de la paroi thoracique et décrire une obliquité en sens inverse, c'est-à-dire de
principale des modifications du creux de l'aisselle, que nous avons décrites plus haut. La disparition de cette paroi postérie
ique proprement dite est caractérisée par les traits que nous avons décrits ailleurs et qui sont, en résumé : -. PARALYSIE
é depuis longtemps les observateurs : Marc-Aurèle Séve- rin (2) les décrivait sous le nom d'atrum cruentum labii tuberculum. De
ation. Ce spasme localisé répond assez bien à ce queWeir Mitchell a décrit en 1881 sous le nom cl' Habit chorea (3), chorée
niques des muscles du mar- teau du côté gauche, et Urbantschitsch a décrit une chorée des muscles tu- baires. Dans la de
ui en ont été témoins. Elle se rappelle pourtant très exactement et décrit avec vivacité les prodromes éloignés qui pendan
idèle reproduction, paraît-il, de la se- conde crise que nous avons décrite (convulsions épileptoïdes, grands mouve- ments,
ar l'étude approfondie de la dyspnée en elle-même. - Comment a-t-on décrit la dyspnée hystérique ? - Il existe une descrip
ne dyspnée hystérique très spéciale, très caractéristique qui a été décrite par Weir Mitchell et Charcot. Moi-même j'eus l'
(1*11 il malade sans le présenter it son auditoire, m -- 1 il ne décrivait jamais un symptôme sans le faire, en même temps,
ient illustrer la démonstration de Charcot. Il ne lui suffit pas de décrire la structure du foie, des poumons, des reins, i
les anomalies du corps humain, il entreprit, tâche considérable. de décrire et, de repré- senter l'aiialomie des formes ext
55 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
des pédoncules sous le nom de capsule interne; son rayonnement a été décrit par Reil, sous le nom de couronne rayonnante, le
cien qui doit déterminer avec précision les parties lésées. Je vous décrirai l'aspect de ces coupes frontales, à me-sure que l
utes, peut-être, possèdent, en outre des prolongements que nous avons décrits , un prolon-gement, un seul, pour chaque cellule,
éléments nerveux y sont très rares ; cependant, Kolliker et Arndt (1) décrivent vers la surface, sous la pie-mère, une couche de
délimite en arrière une région parfaitement distincte que nous allons décrire tout à l'heuro sous le nom de lobe carré. a) Ma
loppements. Nous aurons là, d'ailleurs, l'occasion toute naturelle de décrire la configura-tion de la face médiane des hémisphè
ent. — La vertébrale droite naît de la sous-clavière, après qu'elle a décrit sa courbe, quand elle est horizontale ; la vertéb
tement, limiterait la région d'origine des artères ganglionnaires. On décrirait ainsi un cercle ganglionnaire, dans lequel serait
ution de chacune des quatre branches de cette artère importante et de décrire exactement leurs territoires vasculaires. Telle
ra-cérébral. J'appelle votre attention sur la disposition que je vais décrire , parce qu'elle est indispensable à l'intelligence
arement. Il en existe cependant quelques exemples ; un, entre autres, décrit avec soin par M. Ivnapp (1). 11 s'agissait, dans
voit : en pv, les faisceaux des fibres propres, fibi'œ propriœ, bien décrites par Gratiolet, qui mettent en rapport les circonv
Stratum zonale. Déjà indique par Arnold et Gratiolet, ce faisceau est décrit et représenté par Meynert, p. 436. blent établi
fasciculées primitives et symétriques des faisceaux laté-raux que je décrivais l'an passé à propos des amyotrophies spinales.
ns ont régné dans l'esprit des praticiens, jusqu'au jour où la lésion décrite autrefois par Cru-veilhier fut, par les recherche
entrecroisement des pyramides, et dont toutes les particularités sont décrites longuement dans les traités classiques. Mais ce
formation de l'expansion pédonculaire. Si je me suis arrêté à vous en décrire l'ensemble, c'était afin de mieux détermi-ner la
x grandes circonvolutions moyennes, pour la première fois figurées et décrites par Vicq d'Azyr, dans son grand Traité cV anatomi
ans les autres régions du cerveau. » Ces deux circonvolutions ont été décrites avec plus de détails par Rolando, en 1829, dans l
tance grise. Enfin, il existe des cellules pyramidales dites géantes, décrites avec soin par Betz et Mierzejewsky, et dont le di
prolongement spécial, indivis, identique au prolongement cylindrique décrit par Deiters sur les cellules ganglionnaires spina
ièvement quelques modifications que présente le type qui vient d'être décrit , lorsque la lésion, au lieu d'être transverse tot
ans toute la hauteur de la moelle épinière, les faisceaux postérieurs décrits en ana-tomie descriptive ne constituent pas un se
ment descriptive. Presque tou-jours, en effet, nous avons constaté et décrit ;mais, en géné-ral, nous n'avons rien expliqué. S
tres réflexes tendineux, en tout comparables à celui qui vient d'être décrit , sur les diverses parties du mem-bre supérieur. S
rons ce même phénomène avec toutes les particularités que nous allons décrire , dans un grand nombre d'affections spinales aut
rapportent d'ailleurs, ainsi que je l'annonçais précédemment, au type décrit à pro-pos de l'hémiplégie de l'adulte. Ainsi, pou
'anatomie normale. Bon nombre d'auteurs, Kolliker, Gerlach, Krause, décrivent dans la commissure antérieure un entrecroisement
chaque instant menacé de tomber la face contre terre. Cette variété, décrite par Erb, serait plus commune que le type d'Ollivi
liomyélites antérieures subaiguës. Celles-ci répon-dent à l'affection décrite par Duclienne sous le nom de para-lysie générale
Les travaux modernes ont démontré que cette altération, mentionnée et décrite par Cruveilhier, se rat-tachait à une lésion syst
d'une paralysie labio-glosso-laryngée un peu différente de celle qu'a décrite Duchenne, et le masque tout spécial qui en résult
n analyse avec plus de soin les cas si communs d'affections spinales, décrits jadis sous la désignation collective de myélites
e groupe, la sclérose latérale amyotrophique et l'atrophie musculaire décrite parDu-chenne et Aran, peuvent être résumés sous l
Il n'existerait qu'une seule forme de paralysie bulbaire : celle qu'a décrite Duchenne (de Boulogne) ; 4° Enfin les lésions d
observations, car chacune d'elles est la reproduction fidèle du type décrit par M. Charcot. (1) Gombault. —Etude sur la scl
sumée de la façon suivante : dans la sclérose latérale amyotrophique, décrite par M. Charcot, il ne s'agit que d'une atrophie m
travail cité, précédemment, MM. Debove et Gom-bault l'ont signalée et décrite , mais sans lui attribuer, plus d'importance qu'el
ormes anormales, les formes frustes diffèrent singulière-ment du type décrit par Duchenne. Bien plus, on pourrait dire que ce
56 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
oser encore que plusieurs systèmes semblablesà celui qui vient d'être décrit sont juxtaposés, et que les ballons des deux séri
a coupe optique. Ils seraient analogues aux éléments que Heidenhain a décrits dans les cel-lules de l'épithélium des canalicule
ut dire que la destruction cellu-laire par le procédé que je viens de décrire peux revêtir deux formes principales : la forme a
e externe contenant parfois desglanclules spéciales que nous aurons à décrire et qui sont revêtus à l'intérieur d'un bel épithé
s (ou cellules), construits sur le modèle de celui que nous venons de décrire , et creusés aussi de demi-canaux de même calibre
-laires, me paraît assez difficile à comprendre et si la disposi-tion décrite par Legros était bien établie, il serait beaucoup
ui ont partout des relations si étroites avec le tissu conjonctif. On décrit d'ordinaire les parois des capil-laires dans le l
une des lésions caractéristiques de l'affection syphilitique du foie, décrite , pour la première fois, chez le nouveau-né par M.
res dans le foie. Quoi qu'il en soit, les rameaux qui viennent d'être décrits donnent naissance aux capillaires que nous avons
bide et en quoi il y participe. Je ne sache pas qu'on ait, jusqu'ici, décrit des altérations anatomiques du foie particulières
lement la présence dans son épaisseur de quelques glandes en grappes, décrites par M. Luschka et d'un riche réseau veineux décri
ndes en grappes, décrites par M. Luschka et d'un riche réseau veineux décrit par M. Beale. Les nerfs de la vie organique y son
l'objet d'une étude approfondie de la part de M. Duparcque qui les a décrites dans un mé-moire spécial (1). Ce sont des convuls
Il est indubitable qu'un bon nombre de ces rétrécis-sements fibreux, décrits par les auteurs, sont d'origine calcu-leuse et ré
fois, Frerichs a observé toutes les altérations qui vien-nent d'être décrites , dans un cas de fistule duodéno-cholédoque. M. Ba
anal cholédoque. Une altération particu-lière du foie, que nous avons décrite en détail, est, vous le savez, une conséquence en
s voies biliaires. Il est possible également que les abcès biliaires, décrits dans la dernière séance, fassent tout à fait défa
e fétide, ammoniacale. comme un des éléments de l'affection qu'il a décrite sous la dénomination de pyélo-néphrite (1). Un
s analogie, vous le voyez, avec les abcès miliaires hépatiques que je décrivais naguère. L'examen histologique vient à son tour l
lcéreuse. En outre des ulcérations laryn-gées, trachéales, vésicales, décrites par Louis, on en trouve d'autres dans la vésicule
la plus intéressante peut-être au point de vue clinique et qui a été décrite par M. Virchow (2). Elle constitue le sub-stratum
us exposant succinctement le tableau de l'une de ces formes récemment décrites de l'hé-patite interstitielle diffuse. L'affect
ans la prochaine leçon, l'in-terprétation des lésions que je viens de décrire : puis je vous ferai connaître l'ensemble des s
s capillaires par une sorte de refoulement? Ou serait-ce l'épithélium décrit par Legros, ayant subi un certain degré de gonfle
cancer, par exemple, soit par une duodéno-cholédocite dont je vous ai décrit en détail la ge-nèse. A mon avis, il y a là exagé
t incontestablement Laennec qui, le premier, a bien distingué et bien décrit la cirrhose ; voilà un point d'historique qui nou
rrhose de Laennec, du foie granuleux, que nous allons nous attacher à décrire maintenant, c'est au contraire une maladie des pl
ltération syphilitique du foie des nouveau-nés, pour la première fois décrite par M. le profes-seur Gubler et dont M. Baerenspr
x, relativement volumineux et méritant bien par les sinuosités qu'ils décrivent , leur nom de tubuli con- torti, sont tous situé
ces évidentes d'une disposition qui rappellerai celle que M. Debove a décrite dans la mem-brane dite fondamentale de certaines
capillaires et des lobules des cellules étoilées, analogues à celles décrites par Schweigger-Seidel dans les espaces qui sépare
(cité dans Henle), occuperaient les anses de Henle. 5° M. Parrot a décrit récemment, sous le nom de Tabulhé-matie rénale, d
ute de la branche montante de l'anse de Henle. Klebs et Dickinson ont décrit des cylindres présentant une portion assez volumi
istinguer de ces cylindres granuleux les cylindres granulo-graisseux, décrits par Ranvier dans la stéaose phosphorée. Constatée
s vues soient correc-tes », et il ajoute que les trois formes qu'il a décrites ne sont peut-être que des modifications ou des ét
que la lumière en est très rétrécie. M. G. Johnson, qui le premier a décrit cette altéra-tion, avait cru qu'elle résultait su
dans sa 3e planche (1), par Rayer dans sa 8e (2). C'est la 4e forme décrite par ce dernier auteur. Johnson appelle les reins
ght, qui se traduit anatomiquement par les lésions que nous venons de décrire , se fait en règle générale d'une façon lente. Cet
ue l'on peut ren-contrer à l'autopsie le petit rein graisseux granulé décrit par G. M. Johnson ; ces cas sont d'ailleurs excep
n'a rien dit de la prolifération conjonctive. De son côté, M. Klebs a décrit , dans cetains cas de scarlatine, une altération r
es blancs du sang et étaient distendues. L'apparence qui vient d'être décrite est évidente et facile à constater sur une mince
ties atteintes de dégénération amyloïde offrent un aspect particulier décrit en 1842 par Rokitansky, sous le nom d'apparence
sténose artérielle d'aussi courte durée, les altéra-tions vasculaires décrites par Cohnheim, et qui, au moment de la rentrée du
ait être rattachée, à titre de symptôme, à la lésion qui vient d'être décrite . Elle la précède dans nombre de cas, et dans nomb
57 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la cause de cette anomalie apparente, et que l'on n'a pas hésité à décrire pour le facial supérieur un centre cortical et
resse médicale, 27 août 1898.) MM. Hordier et Frenkel (de Lyon) ont décrit un signe clinique nouveau des paralysies facial
ir généralement à l'aliénation mentale, cette chorée a été rarement décrite avec autopsie : t°J. T..., peintre, cinquante-q
migraine. S'appuyant sur un fait clinique, M. Gilles de la Tourelle décrit les symptômes du tic douloureux de la face, aff
e nom de -paraplégie spinale spas- modique syphilitique d'Erb, déjà décrite par Charcot, et qu'il con- viendrait mieux d'ap
ilitique commune. A côté de cette forme on doit en placer une autre décrite par M. Gilles de la Tourette, et qui consiste c
sence ou de l'absence de la réaction douloureuse. Tel est le signe décrit par Biernaclci sous le nom d'anal- gésie du cub
combe le 12 octobre 1897. Ce cas entre dans la forme de mélancolies décrites sous le nom de mélancolie religieuse (Dagonet).
coloration employées, jusqu'aux plus récentes. C'est ainsi que sont décrites les méthodes de simple coloration par l'hématoxy-
ne structure des plus complexes. Les recherches les plus récentes décrivent quatre couches à cette écorce des hémisphères c
ons de froid constituent une forme rare de pares- thésie et ont été décrites sous le nom de psychro-cesthésie. Ces sensation
s ordinairement très pénibles, et, bien qu'elles soient quelquefois décrites comme des douleurs de froid, elles ne sont en r
la maturité de l'embryon. Ce sont tous les centres sensoriels déjà décrits , pourvus de myéline bien avant que les territoire
t normal, et sont, exclusivement, des centres d'as- sociations déjà décrits . La myélinisation y commence quatre mois à quat
rajet des fibres myéliniques ; il peut donc arriver que des régions décrites jusqu'ici comme dénuées de fibres de projection
de Kummel, Jacks, Boydoneck, Lépine, Jeaboulay et Jonesco, l'auteur décrit les sept temps de l'opération comme il la compr
racé de main de maitre, du myxoedème spontané de l'adulte, l'auteur décrit les aspects cliniques du myxoedème opératoire,
ider chez le même individu. Les divers signes du début sont ensuite décrits et analysés : inégalité pupillaire, troubles de
cliniquement il y a quarante ans. Au chapitre diagnostic, l'auteur décrit le syndrome paralytique 218 REVUE DE PATHOLOG
ardée comme pathognomo- nique de la syringomyélie puisqu'elle a été décrite dans l'hystérie, la névrite et la myélite, est
ellement 53 ans présente des symptômes à peu près identiques à ceux décrits par M. Marie : ankylose progressive des articul
aient dans des formes intermédiaires aux diverses formes classiques décrites . M. Hamel. XXVII. Note sur la narcolepsie épile
nt chez les enfants les symp- tômes de l'hystérie tels qu'ils son ! décrits chez l'adulte. C'est ainsi que sont successivem
et l'électricité interviendra le traitement psychique dont l'auteur décrit les deux variétés : 1° méthode psychique de sur
ie en parti- culier. Il rappelle que cette dernière a été très bien décrite par Hippocrate. Les phobies les plus variées dé
été très bien décrite par Hippocrate. Les phobies les plus variées décrites sous des noms multiples doivent trouver place d
r d'avoir à son tour oublié que c'est lui, Pick, qui le premier a décrit , il y a longtemps déjà, des troubles syringomyéli
s. Diseussio2î : M. Kojewnikow fait remarquer que les altérations décrites par l'auteur ont pu se produire sous l'influence
nter une réhabilitation de l'entité morbide que les anciens auteurs décrivaient sous le nom de folie religieuse. Elle a vécu co
. 1873, p. 361, 363, 687), au sujet de la théorie de la possession, décrivait des « Scon- dare Verrucktheit » à teinte 'mysti
ématisés et d'autres secondaires, surtout aux états mélan- coliques décrit les délires religieux du premier groupe'. Witko
gieuses aboutissant à la mégalomanie. En Amérique, Spitska (1883) décrit deux sortes de délires systématisés : a) expans
ivalent de l'accès mélancolique primitif des psychoses secondaires, décrivent tous les délires systématisés comme secondaires
ions n'ont pas peu contribué à la confusion précitée ; on a parfois décrit comme consécutives aux délires de persécution d
daire à la mélan- colie avec idées de persécution : Des psychoses décrites comme secondaires à un état mani- que n'étaient
nt avec autant d'évidence que dans la manie. Tous les auteurs ont décrit cette excitation pathologique que porte à la fois
ssives, hé- réditaires, et d'autres non dégénératives. M. Magnan. décrit de même le délire chronique comme pouvant se dé
oup d'autres ont fait de même. Et déjà Delasiauve, quand en 1831 il décrivait la confusion mentale stupide, sans se douter qu
sur cette analogie de l'état de rêve et de l'état morbide que j'ai décrit , c'est surtout la manière dont les malades rent
, dans les cellules des altérations semblables à celles qui ont été décrites .. D'autre part, le processus opératoire de ces
similaires à l'oedème : on peut donc en déduire que les altérations décrites sont dues à de l'oedème des cellules. Le fait q
éparations faites d'après des procédés de coloration spéciaux, sont décrites sans aucun lien de comparaison avec les résulta
histoire de la malade rapportée par l'auteur se rapproche des faits décrits sous des dénominations diverses, mais compris sou
héréditaire; par les · Dl*s P. Marie et Sainton. La malformation décrite pour la première fois par les auteurs, sous le
st, en somme, qu'un cas de tachypnée hystérique, vue par Lasègue et décrite par Charcot et Weir-Mitchell; mais cette tachyp
lisation et ankylose consécutives. L'auteur pense que tous les cas, décrits dans la littérature, 'de déformation de la colo
n réalité, qu'une fuite des per- ceptions fausses, s'il n'avait été décrit , à l'étranger, une forme spéciale de cette mala
ions marquées de l'état émo- tionnel'. » Reste alors ce qui a été décrit sous le nom de Confusion mentale hallucinatoire
Meynert3 admettent comme entité morbide la Confusion hallucinatoire décrite pour la pre- 1 Chaslin. La confusion mentale pr
orres- pondant en grande partie à celles que d'autres auteurs ont décrites sous le nom de démence primaire aiguë (Westphal),
dégé- nérés : ce n'est pas un état maniaque franc, ni ce qu'on a décrit sous le nom de folie hystérique ; ce n'est pas no
et d'en faire une analyse clinique minutieuse. Le tableau classique décrit par Marie se retrouve intégralement dans tous les
dont beaucoup n'étaient que d'anciens maniaques. Il a signalé et décrit sommairement dans son Traité des maladies mentale
'état actuel de la question : M. Ballet. Lorsqu'en 1889 Ko'rsakofl' décrivit les troubles mentaux accompagnant les polynévri
ons existent-elles ? On les a recherchées et jusqu'en 1896 on avait décrit l'oedème de la pie-mère, les congestions des mé
ques questions à M. Ballet à propos des lésions cellulaires qu'il a décrites . Quel est le degré de spécificité que M. Ballet
x divers 390 .SOCIÉTÉS SAVANTES. ordres de lésions qu'il nous a décrites comme formant un subs- tratum anatomique aux ps
s varités. Ainsi, l'école analomo-localiste de Vernicke-Lich- theim décrivait l'aphasie corticale, extra-corticale et subcor-
isme en question diffère donc de tous les autres micio-orga- nismes décrits antérieurement, et en particulier de celui de la
se porte spécialement sur les cellules nerveuses, dont les auteurs décrivent les lésions dans le cerveau, le cervelet et la
cins d'asiles pourraient en signaler des exemples. Ce sont eux qu'a décrits M. Charpentier sous le nom de pseudo- irrespons
la désintégration moléculaire de la, substance achromatique, etc., décrites par OEttinger, Mari- nesco, Ballet, Hemlinger,
re éli- minée. Ce fait peut être rangé dans la formecéé6ro-spizznle décrite par Little, en 1862. Elle dépend de lésions sur
l et il est placé légèrement en équerre. Le membre inférieur gauche décrit un mouvement spiroïde, s'appuie à peine sur le
58 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
et plus récemment par M. Laborde, ni avec les anévrysmes disséquants décrits par MM. Kôlliker, Pestallpzzi, Virchow. Les anévr
qui n'est pas sans quelques analogies avec ce que M. Rokitansky avait décrit sous le nom de périarté-rite chronique, est carac
e, est caractérisée par des altérations de cette gaîne périvasculaire décrite par M. Robin et que depuis les travaux de M. His
ontraire placée sous la dépendance de l'altération plus superficielle décrite précédemment. (Pl. I, fig. 1, A; et Pl. IJ, fig 1
fois, dans les artérioles de la pie-mère, de cette ectasie ampullaire décrite par M. Virchow, ectasie qui a de si grandes analo
s nous a fait penser que la périartérite scléreuse que nous venons de décrire , n'est pas exclusivement dévolue aux vaisseaux in
libre de la circonvolution. Les mêmes apparences que nous venons de décrire se remarquent à la surface de section pour les an
tions anévrysmatiques qui nous occupent. Les anévrysmes que M. Heschl décrivait après M. Meynert ont 1. Cases of Aneurism of th
e interne par une membrane en tout sembfable à celle qui vient d'être décrite , mais pius mince et plus transparente. Cette faus
écanisme que se forment les diverses variétés de kystes séro-sanguins décrits par les auteurs. La théorie pathogénique, qui p
e beaucoup et no peut point cracher. Les attaques qu i nous venons de décrire ne cessent point, et il meurt dans cet état le mê
lésion de la dure-mère et une lésion des os du crâne. Nous allons les décrire l'une après l'autre. A. la face interne du pari
désigne sous le nom de sensibles à l'or (pour rappeler les phénomènes décrits plus haut), peuvent guérir par l'or pris à l'inté
ttitude qu'on leur imprime. C'est bien là ce que tous les auteurs ont décrit sous le nom de catalepsie ; et la malade peut gar
ées dans la léthargie. — Ici la léthargie possède tous les caractères décrits précédemment. Au milieu de l'état léthargique, de
court, en général, apparaissent les phénomènes de l'état cataleptique décrits plus haut. Il suffit d'éteindre brusquement le fo
jmysiiHioniie. 1). - Localisatio }de divers phénomènes précédemment décrit sa~ itTT eufcôté du corps ; hémiléthargie, hénùca
nous a permis de pénétrer quelqLiepeu la nature du curieux phénomène décrit par l'un de nous sous le nom 1. Dans ces recher
attitude ne saurait être autre que la griffe cubitale que nous avons décrite et qui trouve ainsi son explication dans les lois
nte, qui se rapproche beaucoup de la griffe cubitale que nous avons décrite : (N'oublions pas que nous opérons ici, non plus
le bord cubital de l'avant-bras. Cette attitude que nous venons de décrire est parfaitement d'accord avec les connaissances
es des lèvres sont tirées en bas et en dehors, le sillon inter-labial décrit une courbe à concavité inférieure, la lèvre infér
bital droit, en arrière de l'épitrochlée, et, comme dans l'expérience décrite plus haut, la main, sous l'influence de cette exc
re la catalepsie. Tout ceci est bien connu, et ces phénomènes ont été décrits ailleurs. Nous les rappelons ici à cause des pr
un égal degré de développement tous les phénomènes que nous venons de décrire comme se rattachant à cet état nerveux spécial dé
ndividuelles que pour la plupart il est possible de rattacher au type décrit dont elles ne sont que des atténuations plus ou m
es du sommeil nerveux, bien distinct de cet autre mode que nous avons décrit sous le nom de léthargie hystérique provoquée don
, bien eertainewHmt il s'agissait de la catalepsie que nous venons de décrire . notique n'est plus susceptible d'être divisé e
ésente, à peu de chose près, la plupart des caractères que nous avons décrits précédemment; mais nous constatons en outre une a
t cataleptique déjà Charcot. Œuvr. com.pl. t. ix, Hypnotisme. 2 ? décrit par l'un de nous, et qui ne saurait être considér
sculaire dans son état complet de développement, tel que nous l'avons décrit , ni l'état cataleptique parfait, dont nous avons
re existe à la face et aux membres avec les caractères que nous avons décrits . La malade étant dans cet état, nous lui faison
s localisées qui se rapprochent de ce qu'on observe dans le phénomène décrit par nous sous le nom d'hyperexcitabilité neuro-mu
r phériphôrique (nerfs et muscles). Ce phénomène a été suffisamment décrit , je pense, sous le nom hyperexcitabilité neuro-mu
tes à des degrés divers (1), mais présentant toutes le phénomène déjà décrit de l'hyperexcitabilité neuro-musculaire. Sur chac
logue à la contraction musculaire paradoxale (1). M. Westphal (2) a décrit le premier, en 1878, un phénomène musculaire inté
lors plus rien de paradoxal ; il s'agit dans le phénomène musculaire, décrit par Westphal, d'une contracture réflexe d'un musc
laire spécial qui se rencontre chez les hystériques et que nous avons décrit sous le nom de diathèse de contracture. 11 s'agit
que nous désignons sous le nom de variété léthargique — le phénomène décrit par M. Westphal se produit avec la plus grande fa
électrisé négativement, du moins dans la disposition que je viens de décrire . Mais rien n'est plus facile que de l'électriser
fet que l'on veut obtenir. Je ne m'arrête pas pour aujourd'hui à vous décrire les excitateurs de forme spéciale construits en v
des cas 1. C'est là le phénomène dit des oscillations consécutives, décrit par M. Charcot. Charcot. Œuv. compl. t. ix, Hypno
paralysies, des troubles divers de l'intelligence. Cet état nerveux, décrit avec soin par un médecin anglais, Braicl, fut étu
ie. L'hypnotisme caractérisé par les trois états que nous venons de décrire , constitue ce que M. Charcot appelle le Grand hyp
atalepsie conserve les caractères qui lui sont propres. — M. Pitres a décrit une déviation dans laquelle il a observé l'état c
férentes phases présentant des caractères déterminés, tel qu'il a été décrit magistralement par M. Charcot. « Le type parfai
t magistralement par M. Charcot. « Le type parfait de l'hypnotisme, décrit par M. Charcot, et observé par des cliniciens emi
59 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
à résou-dre, une lésion délicate ou grossière, passagère ou durable à décrire ou à trouver. Or, comment pourra-t-il apprécier l
n intérêt incontestable. La transformation embryonnaire de la couche, décrite tout d'abord, et la des-truction concomitante des
çà et là, de cellules cylindriques privées de cils, qui ont été bien décrites par E. Schultze !. Ce sont des cellules calicifor
ation, Legendre (Maladies de l'en-fance, 1846, p. 223) a parfaitement décrit une altération du poumon qui, ainsi que j'aurai l
es, d'après MM. Cornil et Ranvier; le cas delà carnisation du poumon, décrite par Legendre et Railly, et qui représente, suivan
nduits collecteurs. Cette modification du revêtement épilhélial a été décrite par tous les auteurs qui se sont occupés de l'his
doit être substitué à la pneumonie lobulaire partielle ou généralisée décrite avant eux par Rilliet et Barlhez. Il serait oiseu
ble témoigner déjà des difficultés du su-jet. Il s'agit, en effet, de décrire une maladie rare, et dont Laennec avait pu même c
eux variétés anatomiques de la pneumonie chronique que nous venons de décrire et qui rap-pellent, à quelques nuances près, le t
dans l'état aigu. Dans l'induration grise que nous devons maintenant décrire , et qui doit caractériser ana- 1 Schutzenberger
rties in-durées. 6. Avenbrugger et Gorvisart1 nous paraissent avoir décrit sous le nom de squirrhe du poumon, ce qu'on appel
t travail sur la pneumonie et ses suites, le docteur Thomas Àddison 4 décrit avec soin l'indu-ration grise de la pneumonie chr
t, avec les diverses formes de l'induration pulmonaire que nous avons décrites . Les uns l'ex-pliquent par un simple affaissement
eux-ci comme chez ceux- B. Carnisation. — Sous ce nom, Legendre 1 a décrit un état particulier du poumon qu'il a rencontré d
n soit, et bien que l'existence de celte forme de pneumonie chronique décrite par Corrigan, sous le nom de cirrhose du poumon,
ement. La plupart des formes d'altération pulmonaire que nous avons décrites , à propos de la pneumonie chronique lobaire, peuv
finement granuleuse propre à l'induration phlegmasique. « Ou a aussi décrit Y infiltration gélatineuse comme une forme sous l
à l'état normal. — Les premières phases de cette lésion ont été bien décrites par Yirchow, sous le nom de pigment-induration 1.
i à établir la transition entre la deuxième va-riété et la troisième, décrite dans la thèse d'agrégation de M. Charcot2. i Tr
cavernes et renfer-mant un pus caséeux. On retrouve donc ici l'aspect décrit par Corrigan, avec le cloisonnement interlobulair
e. L'examen microsco-pique montra des lésions semblables à celles que décrit M. Charcot : infil-tration de leucocytes dans les
'est ce qui s'est produit dans les pneumonies interstitielles aiguës, décrites par M. Moxon, et consécutives à la pleurésie puru
tenant compte du corps étranger qui est enjeu. Il y aura donc lieu de décrire séparément les formes sui-vantes : 1° Pneumonok
à celle du poumon, comme l'a démontré M. Pitres \ Ces petits organes, décrits par Luschka, chez l'homme, existent également che
glanglions bronchiques. Les poumons présentaient à l'œil nu l'aspect décrit par Zenker ' Voir aussi Slaviansky : Virchow's
omiques, les rapports des diverses parties entre el-les. M. Charcot décrit donc une section du lobule pulmonaire comme une c
e qui se retrouve à la périphérie de toute production tuberculeuse et décrite pour la première fois par M. Grancher. Tel sera
Quant aux cavernes de guérison, le méca-nisme de leur formation a été décrit plus haut. Dans les ganglions lymphatiques, dan
se rappelle la disposition du système lymphatique telle qu'elle a été décrite par M. Grancher, rend aisément compte de la propa
emple, la formation des cavernes. En somme, dans le tubercule ainsi décrit , on ne relève au-cun élément vraiment spécifique;
e sont pas encore très épaissies. Là, on reconnaît les bourgeons bien décrits par Cornil et Ranvier (Manuel, p. 723) et par Rin
, Laënnec ne le connaissait que sous la forme de granulations grises, décrites par Bayle et que ce dernier auteur considérait co
sein du » tissu embryonnaire qui la compose, des cellules géantes, » décrites à propos du tubercule élémentaire. Elles se mon-»
renchyme du poumon, dans l'intervalle des nodules qui viennent d'être décrits , on reconnaît que tantôt il est sain, ou à peu pr
étamorphose cubique de l'épithé-lium du poumon, pour la première fois décrite par M. Thaon, est un des éléments très habituels
mmation simple. Cette zone embryonnaire a été pour la première fois décrite et mise en lumière par M. Gran-cher. « Quoi qu'
and il marche, l'existence d'une tumeur volumineuse que nous aurons à décrire . Il y a trois mois, environ, les deux membres in-
sous forme de deux ou quatre noyaux plus petits que ceux qui ont été décrits ci-dessus (n°2), ces petits noyaux présen-taient,
ce la plus frappante qui existe entre les globules que nous venons de décrire et ceux qu'on rencontre dans le sang à l'état nor
s lesquels, à une altération toute spéciale et jusqu'alors non encore décrite du sang et des viscères, viendrait se joindre un
ensions qui se rapprochent de celles des vraies cellules précédemment décrites . Ils contiennent aussi de nombreuses granulations
-giques soient les mêmes que les cristaux octaédriques que nous avons décrits . Nous avons, en effet, cru aussi que ces der-nier
ontenant du pus dans le cœur des phtisiques; Affection singulière non décrite .) Obs. V et VI. — 1° Phtisie pulmonaire. Dans l
eux dire d'un caillot prolongé 1, analogue à celui que nous venons de décrire , ne se trouve indiquée d'une manière explicite qu
symptômes ne ressemblaient guère à ce qui avait été précé- demment décrit . Concluons donc que, sous ce rapport, tout est à
ne, dépourvue de vaisseaux, est le siège d'un travail différent. On a décrit , même dans ces der-niers temps (Lancereaux), des
de l'aorte, les diverses variétés d'anévrismes spontanés qui ont été décrites sur d'autres points de l'arbre vasculaire. Ainsi
avaient échappé à Laënnec, qui les croyait toujours simples. Stokes a décrit le battement double en 1833. On a, depuis celle é
ent la cavité de l'anévrisme qu'on découvre ces vers?:: ils ont été décrits par plusieurs observateurs, sous le nom de Crinon
hypertrophie de la tunique moyenne ; mais ces altérations, fort bien décrites par MM. Trousseau et Leblanc, n'autorisent point
époque que se sont montrés les phénomè-nes que nous allons essayer de décrire , et sur lesquels nous appe-lons plus particulière
r conclure que la claudi-cation intermittente, telle que nous l'avons décrite , doit être comptée au nombre des accidents qui su
drome de claudication intermittente par oblitération artérielle a été décrit , et c'est là où j'ai été en chercher la descripti
eclion singulière; elle date de 1831. Plus tard, Gurlt et Herwig Pont décrite , à leur tour, en 1838 et 1843. Enfin, un excellen
uelle est la raison physiologique des phénomènes qui vien-nent d'être décrits et dont nous connaissons le point de départ Cha
douleur. 2 Je rappellerai que M. Volkmann et après lui M. Léser ont décrit un genre particulier de contracture, surtout aux
e, la plus grande analogie avec ceu que notre collègue M. Marrotte, a décrits , il y a quelques années, sous le nom de fièvre sy
60 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
-tabétique (douleurs fulgu- rantes ; ataxie, etc.), tel qu'il a été décrit dans quelques observations, d'ailleurs assez ra
catatonie comme une entité morbide, d'autres regardent le tableau décrit par cet investigateur comme un symptomo- comple
certains troubles moteurs peu- vent manquer. Le symptomo-complexe décrit par Kahlbaum a excité parmi les cliniciens des
ctuellement (1900), le malade se trouve dans l'état que nous allons décrire à l'instant et qui, d'après les paroles du Dr Pro
nous retournerons à l'histoire de la mala- ! die, que nous venons de décrire . Il est indubitable qu'au commence- ment de l'a
les centres moteurs s'alté- raient en premier lieu dans la maladie décrite par lui ; quant aux investigateurs qui ont écri
ui encore en 1874, concernant l'unité génétique du tableau clinique décrit par lui. Pourtant nous devons dire d'avance que
admettre seulement dans certaines limites. Le cours de la maladie décrit par Kahlbaum est trop schématique et trop indéter
araissent pas toujours dans le même ordre, d'un autre côté Kahlbaum décrit lui-même l'intégrité du tableau clinique, en ad
il maritime, 1889. 8 Serbsscy. Sur les formes du trouble psychique, décrit sous le nom de catatonie. Moscou, 1890. - 9. Be
iège les cellules des ganglions des ra- cines postérieures, et l'on décrivait la destruction du corps de Nissl, le déplacemen
édicale, parait un article sur les altérations de ces cellules : on décrit d'abord les types de cellules que l'on rencontr
fixation im- parfaite plutôt qu'à un état pathologique. Les lésions décrites par Marinesco ressemblent beaucoup à celles que
KT de PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. jours ainsi. Sciuli a, lui aussi, décrit ces altérations vasculaires, mais san leur atta
ont leur direction parallèle au grand axe de la lame ; leur fait-on décrire un angle de 90° de façon que leur longueur devi
nverse de la fibre myélinique apparaît dans les conditions d'examen décrites formée de quatre quarts de cercle. Ceux par les
s déchéances de la myéline ? L'auteur n'hésite pas à l'affirmer. Il décrit vingt expériences de dégénéres- cences nerveuse
gr. de la Salpêtrière, rit 3, 1902). Récemment Haskowec (de Prague) décrivait sous le non) d'aka- thisie, un syndrome nouveau
nt chapitre de physiologie qu'un traité de gymnastique. Après avoir décrit et ex- pliqué le mécanisme des mouvements, l'au
céphalie, etc...). Du reste Baillarger et Krishaber qui, lorsqu'ils décrivaient la symptomatologie, distinguaient des crétins t
ychologie de l'hypnose était en réalité telle que nous venons de la décrire avec M. Grasset, nous convenons que le sché- ma
: ce n'est pas une sécheresse rude, mais une sécheresse lisse, elle décrit leur surfàce en la comparant à du verre ou à de
e manifestant en même temps' que d'autres hallucinations, ont été décrites , l'auteur les croit rares, bien que Dagonet ait p
pas toujours sous les traits accusés et les caractères décisifs que décrivent les aliénistes. Le monde est plein de circulaires
mental changes thaï accompany viscéral diseases. Brain XCV. Head décrit un état de soupçon vague, inhérent à des malades
ack, a sa place dans l'étude des névroses réflexes d'origine nasale décrites par Voltolinie puis par B. Fraenkel qui démontr
M. Duruir. De l'aveu même de Nissl, les lésions cellulaires qu'il a décrites et qui sont invoquées dans l'interprétation du ca
avons employé le petit appareil tout à fait semblable il celui que décrivent MM. Mivallié et Desclaux. Nous avons aussi examin
ement étaient affectées des lésions que nous avons anté- rieurement décrites avec MM. Raviart et Caudron. Ces ma- lades se p
les caractères assi- gnés par Dide (de Rennes) au syndrome qu'il a décrit , ainsi qu'on pourra en juger en comparant ses r
roplasie ethnique. Il existerait donc, à côté de l'achondro- plasie décrite jusqu'à ce jour, dont la pathogénie est encore ma
ANCER SUR LE SYSTÈME NKRVEUX. 285 dans la pratique, et je vais vous décrire les divers syndromes nerveux ainsi constitués e
e de désigner ce syndrome par le nom de l'auteur que l'a le premier décrit : Polynévrite cancéreuse généralisée, type Ober
altérations du parenchyme nerveux se rapprochent beaucoup de celles décrites par Klippel, et sont avant tout constituées par
n, les trouve presque constamment dans les cancers de l'utérus et a décrit un processus très intéressant de l'en- vahissem
paralysies d'autres régions. Villaret2 cite de même Gowers qui a décrit la paralysie des petits muscles de la main con-
ocessus d'inflammation méningée syphilitique, lésion que l'auteur a décrit en 1894 sous le nom de névrite radiculaire inte
au Caire, est bien placé pour étu- dier les effets du haschich : il décrit les diverses formes de folie auxquelles le hasc
e se maintient aux environs de 20.000 par millimètre cube. L'auteur décrit ensuite ce qu'il entend par manie d'adoles- cen
l Science, octobre 1903.) Il y a une quinzaine d'années, Korsakow a décrit un ensemble de symptômes qui se rencontrent trè
beaucoup plus fréquemment que 'ne le pense M. Vallon, M. Klippel a décrit cette concomitance, dans ce qu'il appelle les p
s de la mobilité de l'iris et de l'accommodation que nous venons de décrire : Il est de règle, chez les paralytiques généra
urs été examiné chez nos paraly- tiques. Depuis longtemps déjà on a décrit des hyperémies, des lésions artérielles du fond
vous allez le voir, un chiffre tout à fait différent. Gowers, ne décrit pas chez ses malades de lésions du fond de l'oe
celle des tabétiques. Pour terminer, je rappellerai que Reznikow a décrit en 1900, chez les paralytiques généraux, des mo
donnant l'intuition de son contenu, sans qu'il soit possible de le décrire exactement et de le détailler, assez cependant
le Nissl, des hémorrhagies et une chromato- lyse cellulaire,lésions décrites parMarinesco comme spécifiques du tétanos et co
qu'une forme spé- ciale de trouble mental que l'on avait auparavant décrite comme étant caractéristique de l'alcoolisme, et
, rien à noter de spécial. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 393 On a décrit une griffe cubitale chez les verriers; M. Laurenç
res fois il peut y avoir de l'éthylisme ou du saturnisme. Ziemsen a décrit , chez les diabéti- ques, la griffe cubitale. 1
évidence la forme psycho-paralytique de l'évolution clinique, bien décrite par Brault et Loeper, mais font remarquer que l
na 10, p. 349). Sous le nom d'aérophagie hystérique, M. Bouveret a décrit en 1891 une névrose du pharynx caractérisée par
ettent pas. La maladie dont il s'agit peut. d'après I(raepelin,être décrite de la façon suivante : elle apparaît toujours c
die de Pa1'lânon. M. JDELSOHN (de Riga) a pu vérifier les lésions décrites par Schiefferdecker et Schuetze (Bonn) en 1903
tra des altérations musculaires des faisceaux neuro-musculaires; il décrit une lésion 1° vocabulaire, 2° grannuleuse et 3° u
des phénomènes histolo; ! iques qu'il voulait observer. Après avoir décrit sa technique et sa méthode d'examen, l'au- teur
pense habi- .tuellement, pour constater objectivement ce qu'il nous décrit lui- même est très difficile, car la caractéris
rêt du train. ' Port-Tarczscon. - Il a pensé que Daudet avait voulu décrire Tarascon, port de mer (il n'a pas lu le livre).
regarder attentivement une gravure pendant deux minutes puis de la décrire ; tous ces exercices sont relativement bien acc
tes ces idées délirantes persistent sur le thème que nous venons de décrire , pendant tout le reste de l'année 1903 avec des
insensibilité absolue. De là on la dirigea sur Bel-Air. Nous avons décrit son status d'entrée. 22 janvier. A parlé pend
i ni dans le cerveau de l'homme ni dans celui des animaux. L'auteur décrit ensuite la méthode de coloration employée, et t
lt et Loeper insistent sur la valeur séméiologique de la démence et décrivent une forme psycho-paralytique de tumeur cérébral
ncentration de l'esprit, lenteur des réponses. Brissaud a très bien décrit cette forme de stupeur, au milieu de laquelle la
'un mécanisme de contrôle défec- tueux comme celui qui vient d'être décrit serait analogue à celle de l'écorce Rolandique
ilepsie. B.-A. GUlLIrIROVSIiT. Au commencement de l'année 1902,Dm décrivit un micrococcus particulier qu'il a observé sur le
es parésies. Se basant sur ces faits, BRA considère le micrococcus, décrit par lui, comme provocateur de l'épilepsie et l'
61 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
médiatement une lampe allumée qu'elle désignait du doigt et qu'elle décrivait , comme étant une « lampe à pétrole ». Cette hal
sez rigoureuse. A ce point de vue, ce cas rappelait celui qui a été décrit par UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 9
traverser la protubérance. » Il ajoutait' qu'on n'avait pas encore décrit les troubles vaso-moteurs de la face dans les c
branle, Censeur des études. Les procédés en question sont également décrits dans un intéressant ouvrage publié en 1890 par
nos collaborateurs. Nous rap- pellerons aussi que nous l'avons déjà décrite nous-même dans les Archives de Neurologie (t. X
y a aucune différence entre les accidents du myxoedème opé- ratoire décrits par Kocher et ceux du myxoedème idiopathique, a
échies ; pour avancer les genoux restent en contact, les jambes décrivent à chaque pas un mouvement de cir- cumductio
tive ou un arrêt de développement du faisceau pyramidal. Ce qu'on a décrit sous les noms de maladie de Little, de paraplég
e à la clinique des mala- dies nerveuses, outre les phénomènes déjà décrits , on constata les faits suivants : l'oeil gauche
loin (ce qui surtout est marqué par l'auteur comme un phénomène non décrit encore), outre une certaine faiblesse continuel
rticularités, qui le distinguent des cas de paralysies asthéniques, décrites déjà auparavant. 1° on y trouve des changements
de la langue et du palais mou est une seconde particularité du cas décrit . Cette atrophie qui restait sta- tionnaire pend
roit de les unir aux cas peu nombreux de cette maladie, qui ont été décrits jusqu'à ce temps. 76 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. H.
contractures dans de tels muscles dont la lésion n'a pas encore été décrite . Ont pris part aux discussions : MM. Fokarsky,
certains rap- ports, d'une forme d'encéphalite hémorragique aiguë, décrite par Strumpell. D'ici surgit la question, a-t-
que la poliencéphalite supérieure de Wernicke ne soit qu'une forme, décrite par St1'umpell, mais se modifiant dans les pédo
lsifs corticaux de longue durée dans laparalysie générale. L'auteur décrit deux cas. de convul- sions cloniques continuell
s au groupe des mouvements choréïformes, et athétoïdes, qui ont été décrits par d'autres auteurs chez les paralytiques, mais
e corticale, les rapprochent des cas d'épilepsie partielle continue décrite par l' M. le professeur Kojewnikoff. L'auteur s
F remarque que la principale particularité de la forme nosologique, décrite par lui, consiste en une connexion intime des c
cès épileptiques, ce qui n'existe dans le syndrome qui vient d'être décrit . M. KORNILOFP exprime un doute concernant les r
qui ne donnent pas le droit pourtant de considérer les phénomènes, décrits par l'auteur, comme des symptômes peu favorable
le scrotum et les lombes. Il existe-encore des vertiges (nous avons décrit autrefois le vertige des artério- scléreux 1) :
« traditions ayant cours en nosographie à l'heure actuelle », qu'il décrit le tabes « parmi les maladies de la moelle et c
. « Sous ce nom nouveau (sclérose multiple disséminée) M. Grasset décrit des choses absolument distinctes : la diathèse
multiple disséminée connaissent bien cette maladie cliniquement, la décrivent très bien symptomatiquement : l'accord est comp
quoi tendent en effet les très beaux travaux de Huchard ? D'abord à décrire la sclérose multiple disséminée, ensuite à étab
de six jours. L'aphasie dont il était atteint et qui a été si bien décrite par Trousseau n'a subi aucune modification pend
une modification pendant trente-quatre ans, du moment où elle a été décrite par ce professeur jusqu'à celui de sa mort, et
tomatique depuis l'âge de vingt-cinq ans, auquel elle a été si bien décrite par Trousseau jusqu'au moment de sa mort surven
rendre une allure périodique, le faux raisonnement qui vient d'être décrit , en est notablement aggravé, et il s'établit un
isme physiologique et pathologique, en ce cas, découle du mécanisme décrit pour l'arrêt. La base de cette hyper- trophie d
professeur Kræpelin dans son laboratoire de Heidelberg. On ne peut décrire ici en détail les procédés forcément minutieux au
a substance grise de l'encéphale par rapport aux centres différents décrits par Flechsig dans son ouvrage Gehirn und Seele,
ynthèse de ce qu'on appelle le tonus psychique individuel. L'auteur décrit 4 cas de lésions de ce lobe. 1° Femme, vingt-
nte de la dégénérescence wallérienne. Mais les lésions produites et décrites par les expérimentateurs résultent souvent d'un p
ions des ganglions postérieurs qu'il consacre le plus d'intérêt. Il décrit d'abord les caractères de la cellule ganglionna
re, ainsi que sur les portions de la moelle correspondante. Fleming décrit ses résultats avec détails et les résume dans c
nt que la struc- ture vraie de la névroglie est telle que Golgi l'a décrite . R. DE Musgrave CLAY. VIII. UN cas DE tumeur
et progressive, avec les caractères particuliers que j'ai essayé de décrire , est le symptôme cardinal de la paralysie génér
une maladie intéressante, à formeinconnue et qui n'a pas eucore été décrite . Cette longue mais fort intéressante séance a é
chez l'homme et chez le petit garçon. Ils en parlent, mais sans la décrire . La seconde période est remplie par les travaux
éclaircissements. Non seulement elle est reconnue, mais elle est décrite ; non seulement elle est reconnues dans ses forme
ent à nier l'existence des stigmates de l'hystérie tels que les a . décrits l'École de laSalpêtrière, parce que, malgréleurs
appuie ses assertions sur des observations démonstratives. Enfin il décrit les divers degrés de l'obsession, et au lieu d'en
ant moi un enfant qui, à part l'attitude singulière que je viens de décrire , ne semble nullement affligé; il a encore à la
d'origine cérébrale. Ce sont ces affections spasmodiques que Erb a décrites sous le nom de paralysie spinale spastique. Il
a lésion dans ces deux cas est donc très analogue à celle qui a été décrite par Greppin. Les auteurs lui attribuent une gra
raduellemenl vers le niveau de l'entrecroise- ment supérieur, n'est décrite par personne encore. En direction descendante s
st pos- sible qu'il présente la continuation du système des fibres, décrit par M. Ilüsel, et sert de voie centrale du noya
gts. Pour confirmer la ressemblance clinique de l'entité morbide, décrite par Sachs et Féré, le rapporteur présente encore
e maladie de Thomsen (avec présentation d'un malade). Le rapporteur décrit un cas typique de maladie de Thomsen chez un so
'auteur note le manque de données concernant cette question (un cas décrit par Potain et deux autres par Lapinsky). Léwaclio
ique elle est caractéristique pour la sclérose disséminée. Le foyer décrit du cerveau est considéré par l'auteur comme une
ervations de Schultze, de Bernhart (1894-1897) et de Remak, qui ont décrit la paralysie congénitale unilatérale, envahissa
nt ma consultation, nouvel accès en tout semblable à celui que j'ai décrit plus haut. Puis tous les mois environ, et cela
pétant tous les mois, pendant un an et demi, dans la forme que j'ai décrite plus haut, leur disparition depuis trois ans, l
ystérique, avec hoquet permanent et douleur hystérique de la hanche décrit dans le même mémoire. C'est surtout dans ces
ne fait mention de fibres où l'on puisse reconnaître celles qu'a décrites Meynert. « Les fibres que j'ai pu observer au fon
SAVANTES. anxieuse ». « Je ne puis mieux définir, dit-il, ce que je décris sous le nom de « névrose d'angoisse », que par
ciente, et c'est pour ce motif qu'elle a été tout d'abord rangée et décrite dans les folies dites avec conscience. Les id
parfaitement de l'état d'anxiété dans lequel il se trouvait ; il en décrit volontiers les symptômes ; il se rit de ses cra
ral, leur posi- tion centrale. Les altérations que nous venons de décrire sont les plus légères; mais nous avons pu provo
des nerfs. Les modifications de réaction à distance que je viens de décrire peuvent, dans une deuxième phase, rétrocéder,.
ne stomatite, la seconde reproduit l'ensemble symptomatique si bien décrit dans les leçons cliniques de M. Raymond. Ce q
62 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
viations faciales dans l'hémiplégie hystérique, a été régulièrement décrit en 1888 par MM. Brissaud et Marier Ils en ont p
e un << absinthique ». Les accidents ner- veux que nous avons décrits plus haut à savoir : attaques convulsives épile
e des paralysies hystéro-trau- matiques. Le professeur Charcot en a décrit l'histoire en son entier, et l'on se trouve auj
notre malade peu- vent, croyons-nous, être rattachées à ce qu'un a décrit sous le nom de chorée électrique. Rappelons bri
e en réalité à une chorée électrique ? On sait que sous ce nom on a décrit deux maladies bien différentes : l'une, maladie
je dois remarquer que je n'ai pu jamais apercevoir la dégénération décrite dernièrement par Gozoers ' dans les cas de dégé
t détaillé et dans l'article de Schiefferdecker (voir plus bas) qui décrit trois expérimentations dans lesquelles il fit c
t l'analyse de ce cas que fait H. Eickhorst, dans son ouvrage; il y décrit en détail les changements trouvés dans la moell
emière supposition est peu probable, parce que Eickhorst . lui-même décrit dans son article deux cas qui avaient été ob- s
s de la « struc- ture de la partie fondamentale du noyau cérébral » décrit en dedans du pédoncule cérébral deux faisceaux,
e le faisceau médullaire, ou du moins une partie de ce faisceau. Il décrit un faisceau qui partant des cordons antérieurs
es qui viennent du faisceau médullaire juxta-pédonculaire qui est décrit plus haut. Le crochet hippocampique lui fournit
édiaire, ne me serais-je pas trompé ? Ces faisceaux blancs que je décris comme une production à part ne sont-ils que « l
ocampe. L'arc supérieur de l'anse est la bandelette que je viens de décrire ; Tare inférieur est le corps bordant (voir la f
r dans le sillon opto-strié. Il va constituer ce que les classiques décrivent sous le nom de tænia ou de bandelette demi- cir
ptique. VICQ D'AzYR s'est beaucoup occupé de la partie de ce ruban, décrite sous le nom de toenia, bandelette demi-circulai
a représente, elle dépasse notablement le sillon opto-strié : il la décrit comme n'étant recouverte par la lame cornée que
fibreux convergent. Luys la mène à son centre olfactif. SAPPEY la décrit ainsi : « Ses extrémités sont encore un ob- jet
liers postérieurs, existe une disposition particu- lière non encore décrite , ou du moins décrite incom- plètement. Sous l
iste une disposition particu- lière non encore décrite, ou du moins décrite incom- plètement. Sous le nom de lyre, de psa
m- plètement. Sous le nom de lyre, de psaltériuiii, les auteurs décrivent une région triangulaire limitée en dehors et de
our- nés, tout en se dirigeant d'un côté à l'autre; quelques- uns décrivent des arceaux complets à concavité pos- térieure
e commissure tranversale, qui à pro- prement parler, aurait dû être décrite ci-dessus avec les autres commissures transvers
qui font saillie à la lace inférieure du corps calleux et que l'on décrit communé- ment sous le nom de lyre. » Cloison
rencontre seu- lement dans l'hystérie; plus tard, Weir-Mitchel) la décrit sous le nom d' « ataxie motrice hystérique » ;
répondent en effet, l'une et l'autre, au complexus symptoma- tique décrit par Blocq. - Nous retrouvons, chez nos deux mal
genou ; par M. 13ENEDIET. (Neurol. Centralbl., 1889.) L'auteur en décrit quatre formes : 1° Une forme chronique (l'épith
de Médecine de Lyon. (1890, J.-B. Ddillière.) Sous ce nom, l'auteur décrit l'épuisement nerveux; autrement dit l'irrilalio
mes principales de l'ivresse des hérédi- taires ; les autres formes décrites : l'ivresse comateuse, l'ivresse apoplectique,
pé, chez les dégénérés les formes délirantes étant celles plus haut décrites . Le délire alcoolique, une fois établi, revêt de
ans AncumES, t. X\II. 13 3 Fi]. 22. 194 anatomie. la position décrite plus haut, et tout à fait inerte. Le cobaye mar-
L'appareil nerveux central de l'ol- faction, tel que je viens de le décrire , est complexe. Il n'est pas toutefois compliqué
- rosité temporale, c'est-à-dire avec cet ensemble que nous avons décrit comme la terminaison du cercle fibreux de l'ori
qu'on trouve trace de la première. Les criminels que nous venons de décrire sont les seuls qui soient réellement des crimin
éliale trouvée à la surface des circonvolutions cérébelleuses a été décrite par M. Renaut pour la première fois. SOCIÉTÉS S
cultés peuvent être levées en se procurant du vaccin par un procédé décrit par M. Charles, pharmacien à Moulins, dans une
quième paire des deux côtés; dégénérescence des groupes de cellules décrits par Westphal au niveau du noyau de l'oculo-mote
es deux nouveaux groupes de cellules de l'oculo- moteur commun déjà décrits par l'auteur. Ce groupe annulaire comprend cinq
ephsig et Jakoweiiko ont, sous le nom de corpuscules de la .chorée, décrit des organites qu'ils ont rencontrés sur les capil
Iladden, dans une monographie basée sur l'observation de douze cas, décrit une affection caractérisée par des mouvements d
91.) Dans le New-York medical Journal du 30 août 1890, l'auteur a décrit un cas de démence avec paranoia dans lequel les h
lation de cause à effet entre le tabes et la pré- sence du sucre et décrit celle-ci sous le nom de glyco-- surie d'origine
u'en 1878, un autre de mes contradicteurs, 31. Marandon de montre), décrivait le Délire de Persécution sous le nom de Lypémanie
cute le diagnostic des délires de persécution systématisés, dont il décrit plusieurs variétés 3. ' Leçons cliniques sur
rs, la soi-disant hémiatrophie faciale progressive a été si souvent décrite qu'en 1884, Lewin 4, dans son étude très détail
es troubles trophiques, mais aussi de sensibilité. Ainsi, Romberg a décrit une malade chez laquelle, après une contusion d
ittérature quelques cas si soigneusement étudiés et si exac- tement décrits que nous sommes à môme de déterminer leur carac
ue est, en beaucoup de points, semblable à celui que nous venons de décrire . Chez le malade de Gutt- mann, on remarqua d'ab
mises à l'influence du système nerveux vaso-moteur. Romberg nous décrit deux cas analogues dont l'un avec pâleur s'éten
la Société des aliénistes à Saint- Pétersbourg, 1886. (Ce cas a été décrit auparavant par RFPMAN,4. Voy. les Bulletins de
mieux à ce cas, c'est qu'à la suite du traumatisme dont nous avons décrit les circonstances il s'est produit chez notre m
teint en aucune façon. D'autre part, la disposition de l'anesthésie décrite plus haut est devenue un symptôme pathognomoniq
au lit il eut quatre attaques consécutives semblables aux premières décrites plus haut. 9.-Il ne se rappelle rien de ce qui
, et mord même au mollet un de ses camarades qui le mainlient : Pas décris , pas de paroles, mais des gémissements, des sor
ique sans lésion vasculaire primigène. Seuls Wernicke et Naunyn ont décrit des faits de ce genre chez les individus d'un c
63 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rs, et, en effet, bientôt elle se représenta la pierre qu'elle nous décrivit d'ailleurs. Cette idée, elle l'a gardée à l'état
rence mentale une notable influence sur la forme des psychopathies, décrit parmi les psy- chonévroses, avec la mélancolie
re des persé- cutés persécuteurs chicaniers (Quoerulantenvahnsinn), décrit au chapitre de la Folie héréditaire. D'après
son côté, n'emploie pas le mot paranoïa dans sa classification. Il décrit , comme autant de modalités distinctes et séparé
que contrastant avec les variétés de la folie vraiment systématique décrite sous le nom de Verrücktheü. M. Salgô pense que,
ir de poule est un phénomène dont on s'est peu préoc- cupé et qu'on décrit en bloc en l'attribuant à la contraction du mus
PRÉSIDENCE DE M. WERNICKE. M. SACIIS présente le cerveau du malade décrit par M. Foerster sous le nom de cécité corticale
entricule latéral. Le cerveau sera examiné après durcisse- ment. On décrira la lésion en détail dans un mémoire qui sera pu
itivement déraisonnables. Les témoins, les médecins eux-mêmes l'ont décrit comme un homme calme et sensé qui vit avec écon
xus syndromique, il est difficile de le dis- tinguer de ce que j'ai décrit sous le nom de manie hallucina- toi,e. Dans l'i
e psychose complexe, le syndrome relativement simple que nous avons décrit se com- plique des éléments de celle-ci. M. W
un rôle accessoire concomi- tant, et c'est pourquoi les auteurs ont décrit des accès de ! 00 CLINIQUE MENTALE. confusion
ic de la maladie de Raynaud n'est pas douteux d'après les symptômes décrits . Bien que les crises fussent su- bintrantes, il
'oligurie. L'anurie hystérique signalée au commencement' du siècle, décrite par Laycock, Paget, a été admise sans conteste
ation inaugurale (d872) à l'étude d'un cas de maladie de Raynaud.Il décrit sous le nom d'attaques épi- leptiformes un tabl
il faut savoir ce que c'est, quels sont ceux des tableaux morbides décrits qui appar- tiennent à la paranoïa et ceux qui n
congestion de l'iris, sont d'ordre vaso-moteur, où cet auteur a pu décrire un foie dit vaso-paralytique, Iscovesco 2 a pub
n est ressorti pleinement que - les délires plus ou moins cohérents décrits alternativement, suivant les préférences phonét
paranoïa chronique est née en France avec Lasègue, qui en 1852 a décrit le délire des persécutions, et que les formes chr
Morel compren- nent presque toutes les formes qui plus tard ont été décrites sous le nom de délires systématisés primitifs.
paraît mériter le nom de confusion mentale sous laquelle elle a été décrite en France, en ajoutant primitive afin de la dis
en Amérique, a conservé le nom de monomanie, mais dans le cas qu'il décrit , il signale l'affaiblissement des facultés et u
i étendues que dans les autres exemples de gangrène névritique déjà décrits . Cela tient vraisemblablement à ce que le malad
ns une communication marquée au coin du plus haut intérêt, l'auteur décrit certains cas où-le délire des persécutions, s'acc
orme de confusion mentale halluci- natoire aiguë de celle qui a été décrite jusqu'ici ? M. Beyer n'ose encore le faire parc
ont en nombre tel qu'on peut facilement suivre les moindres détails décrits dans le texte, et comme elles sont toutes des r
connaître sur un cerveau frais. Certaines par- ties du cerveau sont décrites avec plus amples détails, en raison de leur imp
ques rend beaucoup plus aisés à comprendre, il en est un nouveau, décrit par les auteurs, le faisceau occipito-frontal, re
e aux nombreuses recher- ches personnelles de l'auteur qui n'a rien décrit sans l'avoir vu et -contrôlé. On ne saurait l
es négations dans la mélancolie où, rendant hommage à celui qui l'a décrit pour la première fois, il lui donne le nom de s
ude nous n'aurons en vue que l'épilepsie généj rale, telle qu'on la décrit aujourd'hui au point de vue clinique'. Connue d
nnue de toute antiquité, elle a été considérée comme une névrose et décrite sous diverses dénominations : morbus her- culeu
ous étudierons seulement quelques symptômes spéciaux peu ou point décrits jusqu'à ce jour, nous efforçant de leur attribuer
r attribuer l'importance qui revient à chacun d'eux, ne voulant pas décrire la symptomatologie de l'épilepsie en général. P
avoir une extrême importance. C'est ainsi que Roberto Massa- Ion-ol décrit l'épilepsie gastrique, rapprochant les cas qu'il
t l'épilepsie gastrique, rapprochant les cas qu'il rapporte de ceux décrits par Pommay2 sous la même dénomi- nation. Tandis
re qu'il fait précisément l'inverse de ce que fait Magnan. Scliuele décrit , il est vrai, un délire systématique chronique
n partie traduit dans les Archiv f. Psych., t. X1X') dans lequel il décrit ce faisceau sous le nom de faisceau' ovale de l
on mentale. * En somme, sous le nom de confusion mentale,' l'auteur décrit un' groupe de symptômes qui peuvent reconnaître
es os'sans trace aucune de phénomènes inllammatowes.-11. Struempell décrit enfin un exemple de paralysie bulbaire sans s&l
lésion combinée des cor- 'dons de la moelle semblable à celle qu'a' décrite Strumpell. Il existe une abondance de pigment,
ions; il était, en effet, considéré comme assez commun. Briquet' le décrit comme fréquent, ce qui ne laisse pas de nous ét
névrose traumatique . Les auteurs n'admettent dans les cas qu'ils décrivent aucune altération fonctionnelle des centres nerve
nt, sans interruptions, tous les incidents de sa maladie. J'ai déjà décrit cette malade sous le nom de « Justine » et j'ai
xes de forme hystérique ». Les idées fixes de la malade que je vous décris se présen- taient de cette' manière sous forme
es'oçulairês que nous. con staton s'enore aujourd'hui. D'abord'elle décrit *, un-petit détaiijintéressantmais que nous ne p
e n'en voyait que le côté gauche. -, 1 Aujourd'hui encore Justine décrit complètement les symp- tômes d'une hémianopsie
i que.ceux, qui se, rapportent^ notre sujet. Voici comment Justine. décrivait il y.a quelques mois ses impressions : Quand,je
et dans la fixation des limites du champ visuel. On n'a pas encore décrit beaucoup de cas dans lesquels la forme'du champ
s symptômes tabétiques ? Or, pendant ces dernières années, il a été décrit quelques cas analogues d'hyperkinese dans la né
des cas; enfin, dans beaucoup cas de cas de mouvements athé- toïdes décrits dans le tabes, décrits par les auteurs, on n'a pa
aucoup cas de cas de mouvements athé- toïdes décrits dans le tabes, décrits par les auteurs, on n'a pas fait attention à l'
rfs périphériques, quoique, à en juger .par l'histoire des maladies décrites , on puisse dans ces cas soup- çoniier-la névrit
xie pour dési- gner par une expression courte le syndrome qui a été décrit , sous le nom de<'mouvements athétoïdes et ch
quement. Les auteurs libérèrent les doigts par une-opération qu'ils décrivent et donnent un tableau généalogique intéressant
e complication des manifes- tations délirantes les plus diverses et décrite alors, dans les ouvrages 1 Sera analysé dans le
l'aspect de la stupeur à tous ses degrés et - à ce que Ralilbaum a décrit sous le nom de katatonie, soit à ce qu'on appel
ire. Lombroso et Levi (Lo Spe2,inientale, avril 1894) viennent de décrire la méthode très simple qui leur a servi dans leur
teurs ont expé- rimenté sur 7a malades la méthode d'auto-conduction décrite par M. d'Arsonval. Voici leurs conclusions clin
érison d'un myxoedème par le traitement thy- roïdien. M. Clouston décrit ensuite les lésions corticales observées dans u
dans des excès de toutes sortes, le pronostic est grave. L'auteur décrit avec soin la dipsomanie périodique ou trimestriel
64 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
ponction se rattachant au nom de J.-L. Petit, c'est ici le lieu d'en décrire le procédé mais tel qu'on le pratique perfectionn
L'incision avec ponction du canal nasal, telle que nous venons de la décrire , est le premier temps des procédés par incision.
éthode ancienne.—Excision de la conjonctive. Indiquée par Hippocrate, décrite dans Aétius, rien de plus simple que cette opérat
étant intacte, qui nous paraît ressembler le plus à celui des anciens décrit dans Aétius et revendiqué en faveur d'Antylns.
e entre ses deux commissures. Cette première incision étant faite, en décrire ,aux dépens des tégumens delà paupière,une seconde
emploi. Excision de la peau. C'est la même opération que nous avons décrite plus haut, à propos de la blépharoptose; nous n'y
membrane derrière la pupille. A un demi-siècle de distance, Antyllus décrit l'abaissement. Bientôt Rufus d'Éphèse distingue l
lus tard, après la réhabilita-tion de l'extraction, que Didier (1722) décrit positivement la cataracte secondaire. En 17 10 Po
e consiste le procédé ordinaire et régulier tel que nous venons de le décrire . Toutefois les accidens, prévus ou imprévus, qui
p les manœuvres pour la division. Au lieu de la section par diamètres décrite plus haut, d'autres conseillent la division par l
a cataracte avec succès. Si, au commencement du premier siècle, Celse décrit méthodiquement l'abaissement sans parler de l'ext
éthode n'existât pas encore, puisqu'à la fin du même siècle An-tyllus décrit ,avec les plus grands détails, l'extraction comme
ce le premier la distinction des polypes mous et des polypes durs; il décrit la ligature et la cautérisation pour les premiers
réserve la cautérisation pour les polypes de mauvais caractère, et il décrit , du reste, la ligature comme elle est dans les li
on circulaire d'un fil soit végétal soit métallique. La li-gature est décrite dès la plus haute antiquité; mais elle ne figure
dante, commence son excision de gauche à droite. i° Dans le procédé décrit par M. Velpeau le chirurgien est debout devant le
se, qui donne toute sécurité contre une réunion anormale. Nous allons décrire ce procédé qui pourrait être appliqué avec avanta
étranger abandonné au dedans. 11 serait fastidieux de recommencer à décrire , dans leurs dif-férentes circonstances, de petits
e. En parcourant les faits rapportés par les auteurs, on voit qu'on a décrit sous le nom de ranule, des affections de nature t
t au devant desquels doit s'arrêter la section. Cette opération est décrite par Celse, qui connaît déjà le danger de l'hémorr
cation à la langue du procédé général de ligature que nous avons déjà décrit . La langue amenée au-dehors à l'aide d'une airign
r qu'ils ne tom-bent pas dans le pharynx. Le Procédé de M. Velpeau, décrit par son auteur, ne diffère sensiblement de celui
t par son auteur, ne diffère sensiblement de celui que nous venons de décrire que par le ren-versement des deux premiers temps
ette opération est l'une des plus anciennement connues. Hippocrate la décrit , Celse, Galien et tous les chirur-giens romains e
nais-sance, mais sans avoir beaucoup fixé l'attention. Rogier, qui le décrit comme une méthode d'application usuelle, indique
'elle s'est soutenue chez les Romains, car Antylus et Paul d'Égine la décrivent . Leur procédé est simple et consiste à diviser en
est dans ses détails, le procédé général de l'opération de l'empyème, décrit dans les traités de chirurgie et de médecine opér
t à propos de l'étranglement interne cpie se présentera l'occasion de décrire la section de l'in-testin. PLAIES DE L'ABDOMEN.
o-cédés. Les uns ont pour but d'établir un anus artificiel, et seront décrits à propos de cet accident; les autres ont pour obj
e. plaies transversales de l'intestin. Si la plupart des procédés décrits dans le chapitre précédent s'adressent sinon excl
en travers, et il nous semble même que les autres chirurgiens qui ont décrit ce procédé, n'en font pas toute l'estime qu'il mé
rouve des détails un peu clairs sur la maladie qui nous occupe. Celse décrit deux sortes de hernies, celle de l'ombilic et cel
n de cette membrane. Aétius connut l'étran-glement et ses effets ; il décrivit même le taxis à employer alors, et le moyen de l'
rmation ; les adhérences , l'étrangle-ment et ses suites furent mieux décrits . Les rapports des vais-seaux avec le collet du sa
(Anatomia, tract. II, cap. vu). J. L. Petit, Garengeot, Arnaud, Hoin décrivirent ensuite des hernies de la ligne blanche , du pé-r
ction sur la partie herniée, ou bien il amè-nera cet état particulier décrit sous le nom d'étranglement. Au reste, le collet e
nsable pour comprendre les méthodes et les procédés que nous aurons à décrire . anatomie opératoire de la hernie inguino-scrot
. La forme du canal est assez régulièrement cylindroïde, mais pour le décrire , on le divise en quatre parois ou faces. Afin d
mposer pour une portion de l'épiploon. Ces pacpiets graisseux ont été décrits sous le nom de hernies graisseuses. Les rapport
se continue avec la partie interne et supérieure de ce que nous avons décrit sous le nom d'entonnoir. L'angle externe de l'a
qui ait fait mention du bandage herniaire. Cet auteur est Celse, cpii décrit un appareil composé d'une bande enroulée autour d
r d'autres chirurgiens de son temps, il conserve l'honneur de l'avoir décrite le premier et de l'avoir conseillée, dans son liv
é-thodes bizarres ou nuisibles pour obtenir la cure radicale. Dio-nis décrivit avec précision tous les détails de l'opération du
ense d'in-diquer ici les travaux ultérieurs. Nous allons maintenant décrire l'opération de la hernie telle qu'on la pratique
ui résultent de l'étranglement de ces sortes de tumeurs. Nous avons décrit la manœuvre nécessaire pour en obtenir la réducti
euses, on peut faire usage de la chemise de linge bourrée de charpie, décrite avec la fistule à l'anus, de la vessie employée d
ntion au moyen de la suture. La manœuvre est des plus simples et sera décrite plus loin à pro pos des excisions de tumeurs hémo
verses positions du malade étant déjà connues , il ne nous reste qu'à décrire les manœuvres opératoires. Ligature. Rien de pl
que l'on noue séparément suivant les procédés généraux que nous avons décrits précédemment. Néanmoins, tout en indiquant cette
daient l'hydrocèle comme une mala-die éminemment propre à l'homme, et décrivaient sous le nom de kyste des grandes lèvres l'hydrocè
ue nous avons cités plus haut, est ce-pendant peu usitée. Excision. Décrite par Celse, Albucasis elFallope, l'excision, compl
e. C'est en passant ainsi en revue toutes les méthodes que nous avons décrites , cpie nous croirons avoir atteint le but que l'o
utant moins à nous en occuper que ces différentes mé-thodes ayanl été décrites au long à propos des varices et de la castration,
eint de dégénérescence encéphaloïde. ELEPHANTIASIS DU SCROTUM. On décrit sous ce nom une affection caractérisée par un dé-
que la perte est le résultat de la circoncision : tous les deux sont décrits par Celse de la manière suivante. Procédé pour
e. Au lieu d'une prétendue fosse naviculaire que tous les auteurs ont décrite , derrière le méat urinaire, voilà ce qui existe e
e conserver à demeure une sonde métallique telle que nous venons delà décrire : elle pouvait même causer de graves accidens par
elève graduellement le pavillon, et le ramène, en lui faisant d'abord décrire un quart de cercle, à être perpendi-culaire aux p
ulbe. En ce moment, par une ac-tion simultanée des deux mains il fait décrire à la sonde et à la verge de droite à gauche un de
ues, la pierre infernale ou le nitrate d'argent. François Ron-calli a décrit , dans un ouvrage imprimé en 1720, la manière dont
n° 5 marqué sur la canule cor-respond au méat urinaire. Faisant alors décrire un quart de cer-cle à la tige intérieure, et la p
ls présentent réellement moins d'avantage que ceux que nous venons de décrire , soit que leurs auteurs aient eu moins d'occasion
donner une description succincte et indiquer leur manuel opé-ratoire, décrit par l'auteur, d'autant qu'il formule et généralis
orsque l'instrument est fermé, il présente, comme ceux que nous avons décrits pré-cédemment une extrémité mousse. Chaque canule
ps. Les procédés opératoires, à l'aide desquels on y parvient, seront décrits à l'article calculs urètraux. Les callosités di
RINEE. La ponction périnéale, recommandée par Riolan et Thévenin et décrite par Dionis,a été pratiquée par Tolleten 1701. Dio
t? Eh bien! Sanctorius, ainsi qu'on peut le voir par le passage où il décrit son instrument (3), n'a point du tout songé à s'e
le main-tenir solidement, tandis que, pour le premier que nous avons décrit , il en faut trois. M. Leroy a fait construire un
e inférieure de la symphyse des pubis, pour borner les arcs de cercle décrits par l'extrémité de cet instrument qui obéit à l'i
sque le calcul est brisé, pour ouvrir l'instrument il suffit de faire décrire à gauche un quart de cercle à l'anneau ; dès-lors
it appareil, désignée sous le nom de Methodus Celsiana. M. Velpeau la décrit sous le nom de procédé d'Antylus ou de Paul d'Egi
s le nom de cystotomie proprement dite. Telle que nous venons de la décrire , cette méthode mérite de graves reproches, ainsi
rprise aux Collot, puisque A. Paré, Fabrice de Hilden et autres l'ont décrite dans leurs ouvrages comme une mé-thode usuelle, a
ierre, ils ne pussent pincer les parois de la vessie. — 6„ Le bouton, décrit sous le nom de curette (Pl. 68, fig. 36) était un
du cathéter, il pre-nait cet instrument par sa plaque, et lui faisait décrire lentement un mouvement de bascule par lequel il f
ans une maison qu'il avait fait bâtir. En 1702, Frère Jacques avait décrit sa manière d'opérer avec tous les perfectionnemen
pratiquait pas toujours l'opération dont il s'agit suivant le procédé décrit par Morand : celui auquel il se fixa en définitiv
eux éminences destinées à recevoir une vis autour de laquelle la lame décrit un arc de cercle lorsqu'on la fait sortir de la g
diri-ger les tenettes. Le gorgeret de Hawldns, tel que nous l'avons décrit , est encore préférable à toutes les modifications
TAILLE BILATÉRALE OU TRANSVERSALE. Cette espèce de taille se trouve décrite dans Celse dont le pro-cédé est indiqué par ce pe
e de pratiquer la taille, long-temps confondue avec le petit appareil décrit par les auteurs grecs, constitue de nos jours une
les moyens d'exécution. Procédé de ('haussier. Ce procédé se trouve décrit dans la thèse de M. Morland : on y lit que Chauss
rudent d'aller ; « ainsi, en s'ouvrant, les lames du lithotome double décrivent « de 4o à 45 millimètres de longueur, et de i3 à
les commencent, les lames du lithotome, en s'écartant de chaque côté, décrivent une courbe dans l'aire de laquelle ces organes so
les procédés de Frère Côme et de Hawkins. Il ne nous reste plus qu'à décrire le procédé mis actuellement en usage pour cette d
se, il faut ramener sa concavité en haut « pour que la courbe qu'elle décrit en sortant soit en rapport « avec celle que prése
ieurs brins. Nous ne suivrons pas plus loin ce procédé que nous avons décrit avec le tamponnement du rectum. Procédé de Dupu
le voir dans les Archives générales de Médecine, tom. 11. Avant de décrire le manuel opératoire de cette espèce de taille, n
publia, en i58i, un ouvrage intitulé de Partu cœsarœ, dans lequel il décrivit soigneusement la taille sus-pubienne et la propos
redites et des longueurs inutiles, il nous a donc paru convena-ble de décrire d'une seule fois la méthode générale , dérivée du
les modi-fications qui constituent les divers sous-procédés , sauf à décrire à part le procédé de M. Baudens, le seul qui se d
Taille vestibulaire. Procédé de Celse. C'est le même que cet auteur a décrit pour les hommes. Il prescrit, chez la femme, d'in
apresavoir pratiqué la suture enchevillèe telle quenous venons de la décrire , le chirurgien de Berlin, s'apercevant que les pa
avons indiquées pour le vagin. Par-venu sur la matrice, l'indicateur décrit à mesure qu'il pénètre plus profondément des lign
leurs ouvrages la figure d'un instrument semblable, et Garengeot en a décrit un à trois branches. Mais soit qu'on pensât que c
cement le spéculum suivant l'axe du détroit inférieur, en lui faisant décrire de petits mouve-T. vu. mens d'arc de cercle à d
pour empêcher l'utérus de descendre. « Le nouveau « moyen que je vais décrire , dit-il , consiste dans un instrument « que j'ai
ur pédicule est plus ou moins gros. 5 Polypes fibrineux. M. Velpeau a décrit sous ce litre une tumeur formée par une concrétio
pendantque la pince, fixée parla main gauche, reste immobile, on fait décrire à la première une circonvolution qui lui permet d
une variété des tumeurs osseuses et fibreuses; avec ou sans pédicule, décrites par Levret, Herbiniaux , Bayle, Dupuytren, MM. Ri
cers. A. ulcères du col uterin. Les ulcérations du col, fort bien décrites dans la plupart des livres modernes de pathologie
rner une virole. Procédé de M. Sauter. Voici, en résumé, comment le décrit l'auteur lui-même dans un mémoire inséré parmi le
la pratiquât dès le principe, elle le fut également par Théden, qui a décrit un procédé particulier pour l'exécuter, mais ne l
grand nombre de fois, et par des procédés dif-férens, que nous allons décrire rapidement. Procède de Théden. Pratiquer sur la
ntitulée del Taglio délia sinfisi delpube, et dans laquelle se trouve décrit son procédé qui, dit-il, est indispensable toutes
Tous les procédés dans lesquels on employait l'incision latérale sont décrits sous le nom de procédés anciens. i° Procédés an
vec le droit interne, 3° Aponévrose oculaire. M. Bonnet, de Lyon, a décrit récem-ment (1) une capsule fibro-celluleuse qui e
e à reprendre ses fonctions ; cpiant à l'opération qui vient « d'être décrite , elle ne saurait être plus dangereuse que la plu-
glissent si facilement dans des sujets si nouveaux, quand ils auront décrit leurs procédés, nous laisserons parler les au-teu
bistouri sur le muscle. Procédé de M. Ferrall. Voici comment il est décrit par M. Gairal (Du Strabisme, page 46). « La paupi
édiable, mais depuis quelques mois on a essayé d'y obvier. Nous avons décrit le procédé par lequel M. Guérin cherche à rendre
que se rapporte le procédé de section du petit oblique que nous avons décrit plus haut. 3° mouvemens spasmodiques de l'c-EIL
nous en auront fourni le moyen, nous laisserons les auteurs eux-mêmes décrire leurs procédés. MÉTHODE ALLEMANDE. C'est dans
se sur cet instrument toute la musculature de la langue , et, faisant décrire à ce crochet un demi-cercle étendu, il coupe en u
nsi dans les déviations anciennes de la colonne vertébrale, la moelle décrit des courbures d'un plus grand rayon que le canal
gne d'action des machines, à la corde des courbures que la difformité décrit ; concentrer l'ac-tion des forces sur le plus peti
igatures d'artères, où les condi-tions locales sont si exigeantes, de décrire dans chaque lieu des procédés qui ne seraient qu'
t exprimés (pl. M). Procédé de M. Bouvier. Le voici tel qu'il est décrit par l'auteur dans line observation de section du
orso-lombaires n'étaient pas très fortes. Nous serions donc à même de décrire ses procédés, mais comme il ne diffèrent pas de l
les applications de détail dont elle est susceptible, nous aurions à décrire , comme autant de procédés, un nombre considérable
x, grands chefs, l'incision et la ponction sous-cutanée. Nous avons décrit plus haut le procédé d'incision dans ses détails
n œil de profil. L'objet de cette figure est de montrer le trajet que décrit le cristallin pour son expulsion au dehors sous l
de, servent de repère au chirurgien pour s'assurer de l'arc de cercle décrit profondément, par le bec de la sonde, pour son in
, qu'il ne s'agit plus que de dégager. Toute cette manœuvre, longue à décrire , est opérée en un instant. Figures 21 et 22. In
, fig. 2). Dans celui-ci, l'inclinaison des lames est telle qu'elles décrivent par leur écartement un angle curviligne. En sorte
n tout, quatre centimètres en ligne droite et par les courbes qu'elle décrit , quarante-cinq millimètres (20 lignes). On voit q
n a laissé la membrane fibro-celluleuse, enveloppe de la sclérotique, décrite par M. Bonnet, de Lyon. figures 3 et 4. Envelop
core dans l'analoniie chirurgicale (tome 6) où nous l'avons suivie et décrite pour les divers groupes musculaires dans toute l'
65 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
e. C'est, sans doute, le même phéno- mène qui a été déjà observé et décrit pour la première fois par Bernhardt, et suivant
e se comporter d'une façon entièrement conforme à ce que nous avons décrit précédemment. Etudions, maintenant, sur des tra
eur, et les résultats étaient alors conformes à ceux que nous avons décrits plus haut. On peut voir en se reportant à cette
eil, on adapte des rou- lettes aux pièces ab, a'b'. ' Après avoir décrit l'appareil, voyons dans quelles conditions doit s
l'oreille droite soit la cause de la contraction que nous venons de décrire , d'autant moins que celle-ci affecte aussi le c
diquer une liév re réelle ou un état pseudo-fébrile comme celui que décrit Rosenthal (3). On pourra voir par l'histoire du
use, il apparut dans une au- tre attaque semblable à celle que j'ai décrite des taches érythémateuses. Je regrette de ne po
fièvre hystérique : 1° Forme lente, primitive ou secondaire (celle décrite par Briquet) ; 2° Forme intermittente, générale
ltération devait être fonctionnelle. Dans la môme année Bordoni (3) décrit un cas d'hyperthermie hysté- rique périodique.
e) et enfin, deux, à type continu : celui de Debove et celui que je décris . Avec l'antécédent de la forme fébrile que l'hy
sont le siège de ces mouvements invo- lontaires que nous avons déjà décrits . Le tronc également rigide est forte- ment camb
A SALPÊTRIÈRE. ceux de la démarche spasmodique classique et si bien décrite par Ollivier d'Angel', Charcot et Erb. En ce
ée comme typique, certains auteurs et en particulier Ctay-Schaw ont décrit la démar- che tabétique, Bourneville et Pilliet
e l'étal de contracture des muscles de l'articulation. - Clay Schaw décrit très justement l'allongement des paroles, qu'il a
ées je pourrais le répétera à propos des crises gastriques que j'ai décrites autrefois, des crises vésicales ou rectales. Il
l'abolition ou bien la perver- sion du goût. J'ai, depuis, souvent décrit ce syndrome peu connu et fort intéressant; vous
cen- timètres il droite, de 32 centimètres il gauche. Les courbes décrites par le rachis sont parfaitement régulières. En au
2) fut le premier, sinon il signaler, du moins il différencier et à décrire nettement la paralysie spinale infantile. Il y fu
s sont frappés de paralysie. Nous parlons ailleurs de cette variété décrite par Duchenne de Boulogne, et dont Heine figure
es. Au-dessous de la 5e vertèbre du dos, jusqu'au sacrum, le rachis décrit une courbe à convexité gauche : en même temps,
ubles trophiques osseux el articulaires que M. Charcot a le premier décrits . D'ordinaire localisés aux os longs et aux articu
vertébraux comme aux os du tarse. Voici comment Pitres et Vaillard décrivent ces lésions dans l'observa- tion de Bad... «
rs de contractures hystériques. Du- chenne (1), qui en a observé et décrit plusieurs cas, ne dit pas que chez ses sujets l
mentionnée peut-être, « autre chose est voir, autre chose regarder, décrire complètement et rapporter les faits à leur véri
ique croisée. Cette forme est la plus commune. C'esl elle qui a été décrite par Ba- binski. Pour bien l'observer, il faut e
anique des muscles se retrouvent à peu près telles qu'elles ont été décrites par Erb. Il n'existe que de faibles divergences s
; ces douleurs sont-passagères.- Cette éruption rappelle la maladie décrite par M. Brocq sous le nom de « folliculites symé
s constantes, peuvent s'adjoindre à la dé- formation que nous avons décrite ; c'est parfois une légère inclinaison du tronc
uscles fléchisseurs latéraux lombaires, qui engendrerait l'attitude décrite , et cela par le même mécanisme qui détermine une
cture des muscles du côté op- posé, la déviation que nous venons de décrire . Si le malade se sert de son bras sain pour por
résulte une des deux variétés de lordose paralytique que nous avons décrites d'après Duchenne de Bou- logne. A cette lordose
is deux années, et offrant avec quelques légères variantes la forme décrite par Erb. L'atrophie musculaire était à peu près
ectés de la lordose paralytique avec cyphose dorsale que Duchenne a décrite comme consé- quence de ces insuffisances muscul
. et Mme Ot., nous ont paru mériter de prendre place à côté des cas décrits par M. le pro- fesseur Charcot sous le nom de t
ar les courants galvani- ques stabiles, les mouvements ondulatoires décrits par Erb, et l'on recon- naissait sans peine qu'
ctérisent sont en effet tout à fait analogues à ceux que nous avons décrits dans un précédent cha- pitre. Car dans l'alhéto
troubles trophiques et des déformations qui ont été minutieusement décrites par UN nouveau cas DE syringomyélie TYPE MORVAN
le. Ce malade a été considéré comme un type de maladie de Morvan et décrit comme tel, à une époque où il était véritableme
de la moelle n'a pas révélé d'altération. En résumé, l'affection décrite pour la première fois par Clay-Schaw est une vé
de nier certaines formes délirantes d'hys- térie infantile, si bien décrites par M. le professeur Charcot (1), dans les- que
TÉRIQUES SIMULATEURS DE L'HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE INFANTILE. ftf Décrire , comme l'a si bien fait M. Marie (1), l'hémiplégi
arie (1), l'hémiplégie spasmodique infantile, ce n'est pas, dit-il, décrire d'une façon générale, l'hémiplégie chez les enf
e clinique de l'hémiplégie spas- modique.infantile, tel qu'il a été décrit par M. le Dr Marie dans son remar- quable artic
hémichorée affectait une forme spéciale, il n'était pas possible de décrire comme athétose vraie les mouvements d'ex- tensi
satisfaisants après une série de séances. ,' L'atrophie musculaire décrite par Duchenne est une affection dans le genre de
suivent l'extirpation des organes coordinateurs, troubles qui sont décrits par les physiologistes. Dans l'expérience physi
7 ans après à la suite d'une intoxication. L'autopsie fut faite et décrite par Schuitze (1) qui constata que les cordons pos
de caractères féminins nettement accusés. Des cas analogues ont été décrits sous le nom d'infantilisme ou mieux de féminism
66 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
sonde dans l'urè-tlire. L'opération ainsi faite diffère de celle que décrivaient Dupuytren et Delpech. 2° Avec le cautère électriq
jours. Les instruments unissants^ dont les premiers essais ont été décrits page 307 du t. II de la Médecine opératoire, ont
tures, les rendre solidaires et immobiliser la région opérée. Sans le décrire avec autant de détails que le précédent, nous sig
RECIATION DES PROCÉDÉS. Bien qu'on ait exhumé un projet d'opération décrit par Roonhuysen, en i633, il est bien certain qu'a
s ou de fils, etc. 6*^ Oblitération du col de f utérus. Jobert en a décrit deux espèces : directe, indirecte. La première es
ices que dans des circonstances très-exceptionnelles.^Ce chirurgien a décrit trois procédés ; ils ont ceci de commun qu'ils em
ision de l'orifice vaginal, puis sa dilatation. Voici comment M. Sims décrit cette opération : « Plaçant la patiente éthéris
suture en faufil ou à points passée, dis-posée de telle sorte qu'elle décrive un U renversé dont la con-cavité embrassera la pa
, soit en appliquant à sa paroi postérieure le procédé de M. Huguier, décrit à propos de la cystocèle pour la paroi an-térieur
muqueuse des grandes lèvres et de la peau du périnée, opération déjà décrite à la page 3i5 du second volume de la Médecine opé
az. des hop., i855), H, La suture par le procédé de Roux a été bien décrite à la page 3oi ; nous ajouterons seulement ici les
férente par Jobert de Lamballe, qui, sous le nom de périnéoplastie, a décrit le procédé suivant : Premier temps. — Vavivemen
rentrer dans le point correspondant de la plaie de l'autre côté, et y décrire un tra-jet semblable. On obtient ainsi un affront
queuse, pour sortir au niveau de l'angle de la déchirure. Ayant ainsi décrit la moitié de son trajet, elle traverse de même, m
es injections intra-utérines avec les pré-cautions que nous venons de décrire , il est bien rare de voir se produire des acciden
l et s'y meut avec facilité. On peut le faire tourner sur son axe, et décrire avec son extrémité courbe un cercle, sans résista
ctobre 1862) et les bougies ont été confectionnées comme nous l'avons décrit , par le docteur Greenhalgh. L'éponge est très-s
ménopause, les accidents sont bien différents de ceux que nous avons décrits plus haut. Ce n'est plus du sang qui s'ac-cumule
hématométrie qui diffère par quelques traits de celle que nous avons décrite dans l'atrésie congénitale. C'est ainsi que dans
l en arrière, en avant, ou sur un des côtés. Cette forme du col a été décrite par Ricord sous le nom de col tapiroïde; elle coe
et bien tranchantes. Procédés de M. Marion Sims. Ce chirurgien en a décrit deux; un pour les cas de col conique ou simplemen
tumeur ; voici deux procédés qu'on peut ajoutera ceux que nous avons décrits plus haut. La pédiculisation au moyen de la dis
fait pénétrer d'abord jusqu'au centre de cette base, puis lui faisant décrire une courbe assez courte, on en fait sortir la poi
doucement l'aiguille jusqu'au centre de la tumeur, puis, lui faisant décrire une nouvelle courbe, on fait sortir la pointe à t
peut être placé d'une manière différente de celle que nous venons de décrire ; en couchant le corps de l'instrument sur la part
ur voir si quelque point malade n'a pas échappé. Tel est le procédé décrit par M. Maisonneuve; un peu d'obscurité dans son t
ir la réunion immédiate. Les procédés d'excision ont été suffisamment décrits aux pages et 335 du second volume de la Médecine
l'allongement et de la chute du col. L'opération que nous venons de décrire est certainement la plus rationnelle, puisqu'elle
'UTÉRUS. voir la planche x. La plupart d'entre elles ont été bien décrites page 3^5 et suivantes du second volume de cet ouv
olypes utérins admises de nos jours, et qui diffèrent de celles qu'on décrivait il y a vingt ans. Cautérisation en flèches et c
on a détruit le pédicule à l'aide d'un des instruments que nous avons décrits , et cautérisé en même temps la surface d'implanta
tionnons à cause de leur intérêt historique. Excision. Aux procédés décrits à la page 829, on peut ajou-ter les suivants : M.
observations avec succès complets. Ligature. Le procédé de Niessen décrit à la page 828 a été modifié par Gooch de la maniè
cile et qui dispense de tout instrument spécial ; voici comment il le décrit : Prenez deux sondes en gomme élastique d'un cali
e l'incision du col, sont des opérations préliminaires que nous avons décrites avec soin ; il nous suffira de rappeler ici les p
s et courbes, des pinces à griffes de différentes espèces (nous avons décrit les plus conve-nables à l'article Polype), un lit
œberlé. Ces instruments ayant été imaginés pour l'ova-riotomie seront décrits lorsque nous traiterons de cette opéra-tion ; ce
prier Finstrument au sujet vivant, ce fut de lui donner la courbe que décrivent le vagin et l'utérus. Ainsi complété, cet instrum
en outre des injections tièdes dans le kyste. Au lieu de l'instrument décrit par Scan-zoni, on peut employer une espèce de lit
e ou de rompre les adhé-rences nouvelles. Le pansement que nous avons décrit , et la surveillance des gardes permettent assez b
Figure m. Exemple d'une hernie interne ; c'est une hernie mésocolique décrite par Peacock. Le sujet était mort en 41 heures ave
67 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
aux os formés de tissus compactes plutôt qu'aux os spongieux. J'ai décrit le premier, je crois, l'ostéite syphilitique des
nt. Enfin la malade n'est pas morte avec cette asphyxie progressive décrite par M. Bergeron, car, une heure avant la mort, el
voit là que les formes variables d'une seule et même maladie. Puis il décrit les lésions anatomiques de l'arthrite rhumatismal
e des particularités les plus remarquables du cas que nous ve¬nons de décrire est la facilité avec laquelle se fait la miction
et afin de mettre plus.de clarté dans notre description, après avoir décrit l'aspect extérieur, nous exposerons les résultats
peu plus de 0m,03. Elle est bornée en avant par le repli cutané déjà décrit , latéralement par une petite crête avoisinant les
s se montrent avec les caractères très-nets des ané-vrysmes miliaires décrits par MM. Charcot et Bouchard, dans leurs travaux s
t donnée une région, l'auteur, selon l'importance du lieu anatomique, décrit ou rappelle les principaux accidents de terrain,
me cartilagineuse, détermi¬nant l'apparence extérieure que nous avons décrite ci-dessus. Le doigt, glissant entre la surface
té buccale. Voici quel est l'état de la tumeur à l'instant où je la décris : la joue gauche présente un gonflement de la gro
ce, il a été jeté. Toutefois, en raison de la disposition du fragment décrit plus haut, nous sommes à peu près certain que nou
Son auteur a choisi les difficultés de l'anatomie humaine et les a décrites par régions. Chaque région est contenue dans un c
rs lequel tend l'eczéma invétéré. Nous n'avons point l'intention de décrire ici, d'une façon com¬plète, l'histoire de l'eczém
— " Ainsi donc, dit en terminant M. Davaine, aucun taenia de l'homme, décrit jusqu'aujourd'hui, n'ap¬partient à la même espèce
s des capsules ovariennes assez analogues à celles que nous venons de décrire ; toutefois elles n'ont point cette structure sing
altération cérébrale d'origine syphilitique. Ces observations sont décrites avec beaucoup de soin, et dans toutes les dérange
e la configuration de ce monstre pour qu'il ne soit pas nécessaire de décrire plus longuement son aspect extérieur. M. Anger pr
vue de leur marche, on voit qu'ils se rapportent parfaitement à ceux décrits par les auteurs dans les inflammations chroniques
ure osseuse ; 6°la ligature osseuse; et, dans autant de chapitres, il décrit avec soin ces différentes opéra¬tions qu'on peut
u-dessus du détroit supérieur du bassi î, en arrière de la vessie, et décrit une courbe à concavité postérieure dont les extrô
Période , cœur | Diastole. ] de / t gonflement \ 1° Choc enrc-\Déjà décrit , agit sur le cœur gauche à travers la cloison. Le
aux traits de plusieurs maladies de l'estomac. C'est ainsi qu'il nous décrit Y inflammation cirrhotique ou linitis plastique d
s. Afin d'éviter des répé¬titions fastidieuses, nous nous bornerons à décrire sa situation actuelle. 20 juin 1870. Taille exi
de justifier l'existence de cette unité morbide. Il s'attache à bien décrire les caractères de la scrofule, de l'arthritis, de
étudié par Pelletan, Cloquet, Velpeau, est pour la première fois bien décrit en 1853 par Morel-Lavallée ; " 2° Le siège de l
tteindre les dimensions d'un petit œuf de poule. Celui que nous avons décrit dans notre obser¬vation et qui se trouve représen
pensables à connaître parfaitement, cela se conçoit; aussi sont-elles décrites avec soin,' surtout d'après les beaux travaux de
lant les règles au début des pyrexies et des phlegmasies, » épistaxis décrites avec soin, par M. Guider, doivent donc, selon M.
onde partie de la cicatrice. De la portion horizontale que nous avons décrite , naît une grande bride qui vient aboutir au tiers
longue de 3 centimètres et demi, est sinueuse ; sa direction générale décrit une courbe à convexité supé¬rieure. Entre elle et
ncoordinalion des mouvements dans le récit de cette malade; mais elle décrit très-nettement les douleurs fulgurantes dont l'ap
titude du membre gauche est un peu différente de celle que nous avons décrite pour le membre droit. La jambe est portée en deho
Soir. A la sortie du bain, véritables convulsions cloniques; le corps décrit un arc de cercle. — Le malade prend un second b
68 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
le trajet des nerfs est rectiligne, il est des nerfs cependant qui décrivent des zig-zags, à la manière des artères. Il me
est un grand nombre de nerfs qui se dévient dans leur trajet, pour décrire un arc de cercle et même pour se réllvcLir sur eu
e Jolie établissent la question dans des termes précis : cet auteur décrit en effet diverses lésions médullaires dans la par
médicale de Londres, le 30 novembre 1891, le Dr Thomas D. Savill a décrit « une maladie de peau épidémique, res- semblant
ans plusieurs de ces cellules on observe les altérations nucléaires décrites par le Dr Echeverria et que celui-ci regarde comm
Faculté de Paris, médecin des hôpitaux. L'affection que nous allons décrire , doit être, à notre avis, qui est aussi celui d
comme l'arthralgie, est un type de ces hystéries lo- cales si bien décrites par Brodie. Dans l'étiologie, souvent on trouve n
s toutefois de remarquer que souvent les phénomènes que nous allons décrire , existent chez des femmes dont les règles sont
e même du sein hys- térique. Après avoir, au chapitre Mastodynie, décrit les tumeurs douloureuses d'A. Cooper, l'auteur
effet la tuméfaction et les autres phénomènes que nous ve- nons de décrire , ne se bornent pas toujours à la durée du paroxys
n s'accompagnant des phénomènes douloureux et autres que nous avons décrits . Dans six cas sur sept, -la tumeur était mobile s
é par Briquet, outre- les phénomènes d'hyperesthé- sie précédemment décrits , il existait de la gnl((clo1'1'hée. Il est vrai d
rra-l-il ne plus en être de même lorsqu'aux phénomènes précédemment décrits se surajoutera 118 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
qu'elle peut subir dans le sens latéral. On sait d'ailleurs qu'on a décrit une courbure latérale dorsale à convexité droite,
siologique des auteurs est toute autre que celle que nous venons de décrire . Elle siège à la région dorsale, ]a con- vexité
se demander si la scoliose dorso-lombaire gauche que nous venons de décrire ne sérail pas une courbure de compensation ame-
e il la douleur du tronc et des extrémités. (Fig. foi-5) XII. Cas décrits en 1887 par le 1)" Nikolski (1). Un soldat, âgé
douloureuse. (Fig. 47) En comparant ensemble les 12 cas ci-dessus décrits d'eczéma chronique, on'voit que la durée de, l'
écédent, nous croyons possible de considérer l'eczéma, dans les cas décrits par le Il Nikolski, comme un symptôme de l'hyst
évolution de cette éruption dont la mo- dalité objective me reste à décrire : l'éruption est d'abord remarquable par un car
les coupes avec du carmin boracique. Les lésions que nous venons de décrire représentaient d'une manière très nette la dégé
e révèle au savant docteur le traitement efficace. W. Burger, qui a décrit le tableau avec éloges (1), émet des doutes sur
éné- ral etnon spécial, ou mieux spécifique, applicable l'affection décrite par M. P. Maire. Le malade mourut d'asystolie
Sollier (4), Paul Bicher (5), Capitan (G), Ch. Feré (7), etc., ont décrit un certain nombre d'exemples de cette con- form
affections dystrophiques congénitales. L'infantilisme a été surtout décrit chez l'homme où il est plus facile- ment reconn
L'infantile mâle revêt alors une morphologie hybride qui doit être décrite à part sous le nom de Féminisme. Ici, en effet, l
aître des indices certains de trépanation, on sait qu'llippocrate a décrit deux trépans : le trépan ;1 tarière et le trépan
ue simultanément Andréa a Cruce, dans son Livre de chirurgie (1573) décrivent et font reproduire l'arsenal et le manuel opérato
fermant plus d'un détail intéressant pour le médecin, mérite d'être décrite et analysée méthodiquement. Jérôme van Aeken (v
partir du mémoire de Dance (2) que la tétanie jusqu'alors fort mal décrite prit véritablement rang dans la noso- logphie m
de certains syndromes que nos confrères d'Allemagne et d'Autri- che décrivent comme fréquents, alors que nous, Français, nous l
de l'hystérie pour l'interprétation des phénomènes que nous allons, décrire .' Nous'y joignons des documents figurés que M.
rend successivement des aspects très comparables à ceux qui ont été décrits pour la partie supérieure de la lésion. Néanmoins
ne lésion syphilitique. En dehors des vaisseaux qui viennent d'être décrits et qui sont le siège d'un processus actif, on e
il existe, dans le reste de l'axe nerveux, deux ordres de lésions à décrire : 1° Des lésions diffuses des méninges qui reco
a myéline est boursouflée et le cylindre-axe plus ou moins déformé, décrit des anses dans sa gaîne trop large, Les nerfs e
eaux intra-médullaires, à part quelques lésions diffuses qui seront décrites plus loin, ne deviennent malades qu'à une très fa
et porte un assez ' grand nombre des granulations péri-vasculaires décrites plus haut; elles se groupent habituellement par
us morbide qui est absolument comparable à celui que nous venons de décrire dans la moelle. Au niveau des points déprimés l
régression des cellules embryon- naires laisse le tissu de sclérose décrit plus haut ; mais il reste par places des amas a
ressemble extérieurement d'une manière frappante à celle qui a été décrite dans l'observation précédente. On croirait ces de
chel (1), professeur agrégé au Val-de-Grâce, a observé lui aussi et décrit chez des militaires déserteurs comme M. X...et dé
nte qui se sont présentés à la Salpêtrière depuis plusieurs années, décrivait comme il suit, dans ce journal, l'aspect mor- p
'est pas moins important. « Il est inutile, diBérenger de Carpi, de décrire tous les instruments qu'il peut être néces- sai
qu'à nous, tandis que'd'autres sont de temps en temps retrouvés, et décrits comme nouveaux par des chirurgiens in- suffisam
rès les fractures capillai- res et pénétrantes, dont nous venons de décrire le traitement, se placent les fractures plus ra
tion de l'estomac. - Quant à la déformation spéciale que nous avons décrite elle reconnaîtrait, suivant nous,- une toute au
69 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rme. Quelle est la nature des troubles nerveux que nous venons de décrire au cours des oreillons. Le mot de métastase, qu
PARINAUD et P. MARIE. L'affection dont il s'agit n'a pas encore été décrite en France, et nous ne croyons pas qu'il .en ait
igraine mais sans citer aucune observation; Horner, d'autre part, a décrit une forme de ptosis qu'il attribue à la paralys
égulière qui les caractérisent dans l'hémorrhagie; or l'observation décrit , pour la première attaque, un ictus apo- plecti
tellec- tuelles ! Il est donc utile de relever soigneusement, et de décrire avec tous leurs détails anatomiques, les cas de
à tous les cas. Restent les altérations du sang lui-même ; on en a décrit trois principales : des changements dans la for
te de demi coma. 11 n'est pas douteux qu'un certain nombre de cas décrits par les auteurs, depuis Prout, et rangés indiff
ez un de ses diabétiques mort avec les symptômes que nous venons de décrire , la vessie était remplie d'urine, et cette urin
nt réguliers, un peu accélérés seulement. Kussmaul et Kien ont bien décrit l'aspect particulier de cette dyspnée. « La res
ns complet. Il semble à priori qu'on pourrait, comme pour l'urémie, décrire trois variétés principales, suivant la prédomin
ent sous une forme atténuée quelques-uns des symptômes fonctionnels décrits plus haut; tantôt, et le plus souvent, ce sont
ycosurie. Causes occasionnelles. Les symptômes que nous venons de décrire s'observent aussi bien chez la femme que chez l
vrier et avril 1885.) Cette affection, que Duchenne (de Boulogne) a décrite sous le nom d'atrophie musculaire progressive d
etteté que lui attribue son auteur ; en effet, les phénomènes qu'il décrit et surtout l'amnésie ne sont pas caractéristiqu
ui caractérisent les différents « groupes de dégénérés si nettement décrits par notre savant « collègue. Si donc il existe
n clinique affirme leur existence; il y a longtemps que Storck' a décrit des apoplexies de même origine, et si ces mé- n
l'état actuel s'est graduel- lement développé, comme nous allons le décrire . Aux membres inférieurs l'anesthésie paraplégiq
nu des médecins depuis plus d'un siècle. En 1723, Vater et Heinecke décrivaient trois cas de ce genre sous le nom de visus dhni
s'occuper de l'état de la rétine, c'est-à-dire de l'hémiopie et de décrire l'hémianopsie, c'est-à- dire l'état du champ vi
s d'art, que les atti- tudes sont conformes à celles que l'auteur a décrites comme appartenant aux états d'esprit qui doiven
mplètement automatique et s'accomplit inconsciemment. » Après avoir décrit quelques expériences personnelles, l'auteur re-
de la respiration est presque nulle. Les grenouilles, comme je l'ai décrit dans mon article sur l'hypnotisme, peuvent être e
à nous dans une situation en tout semblable à celle que nous avons décrite il y a huit jours. Il essaie d'écrire son nom ;
responsabilités. M. Magnan a très logiquement agi en commençant par décrire les idiots les plus défectueux pour arriver à c
e remar- quable de ce fait avec les trois observations de L. Meyer, décrites sous le nom d'hystérie aiguë mortelle ; tout di
u et provoquer ainsi tout le complexus symptomatique de la psychose décrite . Il n'y a à cela rien d'étonnant, puisqu'aux ma
i suivent, présentent tous un élément qui rappelle les phénomènes décrits par Witkowski sous le titre de phénomènes de l'in
irium tremensspontané de Witkowski; Magnan (1874) et de Speyr(1882) décrivent des cas de ce genre elles modalités de passage
ons histologiques reproduisent exacte- ment celles que M. Ranvier a décrites sur le bout in- férieur d'un nerf sectionné. A
r de la fibre nerveuse. A côté de cette forme, il en est une autre, décrite pour la première fois par M. Gombault' sous le
des altérations très semblables, mais non identiques à celles que décrit M. Gombault. Si, dans le fait dont il s'agit, l
sont accumulées quelques sphères semblables à celles qui ont été décrites , une petite quantité de protoplasma et des noyaux
re de torsion. Présente des lésions identiques à celles qui ont été décrites dans les branches terminales, avec cette différ
al. Les formes de la lésion sont d'ailleurs celles qui ont été déjà décrites . Le tronc du sciatique est bien moins atteint q
jet, nous nous bornerons à rappeler que M. Dé- jerine', après avoir décrit dans plusieurs faits de para- lysie diphthériti
ation de la myéline s'effectue d'après un mode analogue à celui que décrit M. Gombault. Elle débute par la périphérie du t
il nous a été impossible de constater autre chose que les lésions décrites par M. Ranvier comme propres à la dégénération
se une élévation d'irritabilité et ainsi l'explication du phénomène décrit serait donnée en guise de celle qu'a donnée un
és. A mon avis, il faut faire une diffé- rence entre les phénomènes décrits comme réflexes tendineux et entre les vrais réf
ATHOLOGIE NERVEUSE. C'est tout à fait le même procédé que j'ai déjà décrit chez les chiens narcotisés de MM. Heidenhain et
savoir quel était son état pendant « ses crises ». Sa mère nous les décrit fort exactement. Aussitôt que An- nette G... av
que, terminée par la mort, est une affection très obscure, bien que décrite dans les livres clas- siques : d'autre part on
l'un ou l'autre courant, ou mieux encore par la méthode que « ,j'ai décrite sous le nom de galvano-faradisation. La valeur de
un papier blanc en lui disant : Voici votre portrait. Elle voit et décrit complètement ce portrait, y ajou- tant les déta
exemple, et un raisonne- ment. Les expériences sur des somnambules décrites très 'minutieusement dans l'ouvrage exagérant l
fois, attitudes dont M. Richer, en véritable connaisseur, excelle à décrire les ressemblances avec les attitudes de la gran
l'auteur et comprendre avec quelle sage raison il a eu pour but de décrire les aliénés héréditaires qui existent incontest
les caractères des principales formes de folie à deux, qui ont été décrites : Io la folie imposée (J. Falret et Lasègue), d
passif est un prédisposé à l'aliénation, tandis que, dans la forme décrite par Faire et Lasègue, c'est simplement un débil
tions personnelles de M. Babinski. Dans les chapitres suivants sont décrites certaines variétés et certaines formes de la sc
70 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
roprement parler, car déjà, en 1883, MM. Charcot et P. Richer l'ont décrite sous le nom « d'impuissance motrice des membres
à exposés dans le travail que nous avons cité '. M. Weir-Mitchell décrit sous le nom d'ataxie mo- trice hystérique des t
nt privés du contrôle de la vue. Le second est une forme non encore décrite . Quelquefois elle est combinée à des phénomènes
onnelle. Erlenmeyer rapproche les convulsions statiques de la forme décrite par Bamberger sous le nom de spasme saltatoire2
érant à tous égards des di- vers troubles de coordination jusqu'ici décrits et caté- gorisés. Observation 1. (Rédigée d
que désor- donnés tout en présentant les caractères que nous avons décrits . Les autres appareils organiques n'offrent rien
nous avons étudié d'une façon sommaire l'état mental de M. Mistral, décrit son installation, apprécié les soins RAPPORT SU
r les auteurs modernes pour désigner les attaques que nous allons décrire . Les auteurs qui, jusqu'au xix° siècle, suivire
tefois, nous devons accorder une mention spéciale il Sydenham qui décrivit parfaitement en quelques ligues J'apoplexie hysté
s par Landouzy qui, dans son Traité complet de l'hystérie (18/f6) décrit les attaques de sommeil sous la rubrique de « Per
Et pourtant, Briquet emploieunesynonimie assez large puis- qu'il décrit dans son même chapitre vu les «attaques de som-
variables constitutifs de la grande attaque étaient le plus souvent décrits sans ordre, bien que l'analyse de chacun d'eux
ogique des attaques de sommeil, mais, avant d'entreprendre de les décrire il est nécessaire d'exposer certaines considérati
ique modifiée. » Aussi M. P. Richer a-t-il par- faitement raison de décrire comme nous l'avons noté ces accidents sous la r
il y a une induration calleuse de 1 épidémie. Outre les cicatrices décrites , il y a une petite cicatrice, située un peu au-
supérieur droit. Souvent se produisent les mouvements fibrillaires décrits plus haut dans les extenseurs des pouces, du cô
s de la main droite alterna- tivement des contractures spasmodiques décrites plus haut, mais à un degré peu marqué. Point
'anesthésie partielle les altéra- tions trophiques caractéristiques décrites par d'autres auteurs, des tumeurs pâteuses dans
'affection qui 196 pathologie nerveuse. nous occupe de celle qu'a décrite Erlenmeyer sous le nom de convulsion statique,
les ouvriers employés à la machine à coudre, spasme des rémouleurs décrit par Duchenne, spasme des chorégraphes, danseuse
e se réalisant sous l'une des formes que nous nous sommes attaché à décrire . Ne pourrait-on pas invoquer un mécanisme du mê
celles résultant du trajet de la scissure interpariétale ci-dessus décrite . Le pli courbe est volumineux et relié à la deu
t subitement ; la tète s'incline en avant, puis alors il commence à décrire , avec assez de lenteur, de petits cercles de dr
s d'accès alter- nent irrégulièrement avec les crises vertigineuses décrites plus haut. Etal psychique. - Dans les premier
s ne sont pas encore d'accord : nous voulons parler de ce qui a été décrit en Allemagne sous le nom de Catatonie ou Spannu
nt parallèlement à celle de l'état général. Enfin l'oedème cérébral décrit par Etoc-Demazy3 serait une troisième forme.
de plus, en passant, que J\1eynert, deux ans avant Kahlbaum, avait décrit la Catatonie comme une forme particulière de mé
ui est le point de départ de toute l'évolution morbide. Hammond ' décrit la Catatonie comme une vésanie spéciale caracté
estion et parmi les formes que peut affecter la folie hystérique il décrit le Wahnsinn catatonique. Cette forme très fréqu
e qui ne l'opposent qu'aux - bouffées délirantes des dégénérés déjà décrites par Morel. D'un autre côté, au point de vue du
res fondamentaux mais incomplets de la maladie que je me propose de décrire . Ses symptômes et sa marche en font une espèce
ton ». Enfin il éprouva une sensation encore plus désagréable qu'il décrit sous le nom de sensation de dénivellement, et d
ertiges auraient débuté dès l'âge de cinq ans. Les parents nous les décrivent de la ma- nière suivante : « Ça venait comme un
tto- nita avec phénomènes cataleptiques. Il se demande si les cas décrits comme typiques méritent de constituer vraiment uu
que l'affection avait été pour la plupart du temps diagnostiquée et décrite surtout en France (Bail- r larger'.) Aujourd hu
tte étiquette ne sont «- que des variations de types déjà connus et décrits . Examinons donc la première opinion qui fait de
ulement en passant que c'est sous ce nom que beaucoup d'auteurs ont décrit et décrivent encore la catatonie de Kahlbaum.
passant que c'est sous ce nom que beaucoup d'auteurs ont décrit et décrivent encore la catatonie de Kahlbaum. Guislain 2 s
ain 2 signale aussi la fréquence de ces symptômes dans l'état qu'il décrit sous le nom d'extase, différent de l'extase de
ar l'idée de l'élément spasmodique capital dans la forme qu'il veut décrire , Kalhbaum fait de la verbigération une crampe d
une cuiller ou un verre et les porter à la bouche), la main droite décrit des oscillations assez grandes, avec conservati
e, le type le plus parfait du délire chronique tel qu'il nous a été décrit ici. » Les trois périodes, en effet (inquiétude
mates physiques mis en lumière par Morel et cités par M. Faire[, et décrivait même des anomalies du fond de l'ail. Aujourd'hu
il déclare ne pas admettre du tout le délire chronique tel que l'a décrit 11. Ué- rente. Il y a donc plusieurs théories d
nos maîtres éminenls Lasègue, Morel et notre regretté Foville ont décrit . SOCIÉTÉS SAVANTES. 463 Lasègue dans sa monog
es consécutifs à l'hypochondrie né- SOCIÉTÉS SAVANTES. 465 vrose, décrit le délire hypochondriaque et, dans un chapitre sp
les deux observations de traumatisme avec hématomyélie hémilatérale décrite par lui il y a plusieurs années. M. RiciiTER.De
qu'il res- sort des travaux publiés depuis une dizaine d'années, et décrit : 1° la topographie corticale motrice et non mo
erches analogues, a été placé à la fin de ces leçons. On y trouvera décrite la technique des principales expériences de M.
la pathologie. Des faits de ce genre avaient, il est vrai, été déjà décrits par Brodie et par Reynolds, mais c'est à M. Cha
ue le docteur en médecine n'aura vu qu'une fois son malade. Comment décrira-t -il alors des phases qui n'auront pas existé ?
Une maladie, à son début, a des phases qu'il n'est pas possible de décrire . Je disais tout à l'heure à M. Paris : Alors même
ecin ne pourrait pas tomber sous le coup de la loi pour n'avoir pas décrit des phases qui n'ont pas existé. Plusieurs séna
71 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
iques. Le premier d'entre eux est un exemple typique de l'affection décrite pour la première fois par M. Morvan (de Lannilis)
e dans le plan transversal, déviation telle que la crête vertébrale décrit une S italique, dont la concavité supérieure (p
différents types d'attitudes vicieuses, le premier principalement, décrits par M. le professeur Charcot. Les poignets, les
e cours de ces dernières années, celles où le tremblement se trouve décrit d'une façon suffisamment explicite et rapporté à
ystériques, un tremblement du membre supérieur droit que l'auteur a décrit dans les termes suivants : « Tout le membre est
tères. Dans une de ses leçons sur l'hystérie de l'homme, M. Charcot décrit en ces termes le tremblement qui existait chez
t mouvements choréiformes (t. III, p. 212), M. Charcot, après avoir décrit les tremblements à oscillations lentes, dit encor
e entre certaines de ces formes et la plupart des tremblements déjà décrits et classés en pathologie nerveuse. Ce sontlà, e
des tremblements de nature hystérique que nous nous pro- posons de décrire dans le présent travail. II Les tremblements
de là la nécessité qui s'impose à nous de les classer avant de les décrire . - III Envisagés au point de vue de la fréque
asedow où il peut se montrer associé au tremblement vibratoire qu'a décrit M. P. Marie. C'est précisément parce que ce tro
raphique. - Ce procédé est plus précis que celui que nous venons de décrire , pourvu qu'on ait soin de se placer dans des cond
ssemblance réelle avec le tremblement hystérique que nous venons de décrire : ce sont le tremblement alcoolique, celui de l
ordre, auquel il est donné d'observer la malade, non seulement nous décrit d'une façon extrêmement remarquable ces hémorrhag
encore il M. Charcot - et il n'est pas un des types que nous ayions décrit qui- ne repose sur des observations prises par
nt en grande partie cause du trouble de la démarche que nous allons décrire plus bas et la tour- mentent également quand ,e
T L A N (; 0 L r E . (; A TA LEP TT Ii' 0 fLvI E Kahlbaum, en 187, décrivit le premier une forme nouvelle d'affec- tion men
itent alors beaucoup plus rapidement que dans la forme précédemment décrite , empiétant les uns sur les autres pendant un CO
l'on compare les phénomènes présentés par notre malade à ceux qu'on décrit habituellement dans la catatonie, on constate qu'
ui sont consacrés a la symptoma- tologie des polynévrites, l'auteur décrit un type de polynévrite à forme de paralysie gén
assez rares jusqu'ici, surtout en France où ils ont cepen- dant été décrits pour la première fois, et, d'autre part, notre ca
rev... et font tout de suite songer à l'affection si magistralement décrite par M. P. Marie, à l'acromégalie. Toutefois, de
de la cornée est désignée sous le nom du signe de de Graefe qui l'a décrite le premier. ( Les signes de Stellwag et de de G
prolongée dans le bulbe et la protubérance. Rappelant que Kussmaul décrit sous le nom de poliomyélite antérieure l'affect
des noyaux sous-jacents au plancher du quatrième ventricule. Il en décrit trois formes : aiguë, subaiguë et chronique, et
, la physionomie du malade présente un cachet tout particulier bien décrit par Hutchinson dans un mémoire' publié dans les
etits ramuscules qui sont lésés. Les faisceaux neuro-musculaires ( décrits par MM. Babinski et Roth) sont plus rarement at
entale à la Salpêtrière. de Bucarest. (A suivre.) 1. Nous avons décrit spécialement ces faisceaux neuro-musculaires dans
xique, enfin des lésions du pied droit qui rappellent ce que l'on a décrit sous le nom de pied tabétique. Le tabes paraît do
e. Pour déterminer l'état particulier des yeux que nous venons de décrire , il faut solliciter plus ou moins fortement la co
ée peut-être même. Mais autre chose est voir, autre chose regarder, décrire complète- ment et rapporter les faits à leur vé
auteurs, en particulier par Korsakoff, à propos de la maladie qu'il décrit sous le nom de psychose polynévritique '. Quant a
toxhémique » ou « psychose polynévritique ». Cette affection a été décrite mais n'a pas été différenciée, jusqu'au premier
des dont l'expression clinique corres- pond exactement à la maladie décrite par Duchenne sous le nom de paralysie spinale a
re la pro- fession de forgeron. Au premier aspect, à cette attitude décrite si soigneuse- ment par Giraud-Teulon, je reconn
constater chez J. B... les mêmes symptômes de paralysie ocu- laire décrits huit mois auparavant; l'affection oculaire n'a do
ation nous a été obligeamment confiée par notre ami Achard, qui l'a décrite dans les Archives de Médecine expé- rimentale.
72 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
rs. Je veux parler de cette maladie que le médecin qui l'a le premier décrite , Ma le Dr Morvan (de Lanni-lis), appelle « la par
ail, qui en a fait une importante étude, est une forme de la maladie, décrite autrefois par Alibert, puis en 1845 par Thirial.
if. Cet aspect spécial de la face chez les sclérodermiques a été bien décrit par Ohier, dans la thèse que je vous citais tout
Arrivons maintenant à l'aspect général de la maladie, telle qu'il l'a décrite . Les trois phénomènes prédominants sont : 1° To
e l'arthrite sèche. Tels sont les éléments constituants du syndrome décrit par Morvan. Mais nous devons encore passer en rev
ésentait bien le type de la maladie de Morvan, telle que je vous l'ai décrite en commençant. Mais, me direz-vous, que vient f
ques de nerfs, mais il est sujet à de fréquents étourdissements qu'il décrit de la façon suivante. Il est pris de sifflements
s, C'est ce qui décida M. Chaput à faire l'opération que je vous ai décrite . Mais ce n'est pas cela seulement qui l'a guidé d
emière fois que les tremblements liés à la névrose hystérique ont été décrits et classés de façon à permettre désormais de les
contraire notre cas des faits de tremblement mercuriel que nous avons décrit , il y a 2 ans, dans les Leçons du Mardi (1). Et l
emple du type intentionnel du tremblement hystérique, tel qu'il a été décrit pour la première fois par M. Rendu. Le second cas
les sont souvent provoquées par une contrariété. Voici comment il les décrit : « Ça le prend dans le ventre, puis ça monte en
ervice , M. Parinaud et M. Marie, alors mon chef de clinique, avaient décrit la névralgie oculaire a retour périodique —notre
ien marquer la participation des fonctions gastriques, il y a lieu de décrire séparément le Blind headache, dans lequel il y a
douloureuse, qui a été marquée par tous les incidents que nous avons décrits à propos du premier accès : hé-micranie droite, v
œdème considéré comme trouble trophique hystérique. L'œdème blanc est décrit par Sydenham. L'œdème bleu est encore à peu près
t, tant l'œdème hystérique était chose peu connue, l'avoir le premier décrit . Mais, dans tous ces auteurs, je ne vois guère
iques du membre inférieur, puis beaucoup plus tard par Valleix qui en décrivit les points douloureux, nous avons appris à connaî
les nôtres, moins fréquente que la localisation déjà depuis longtemps décrite dans les sciatiques traumatiques. C'est de la név
es dans son ensei -gnement clinique. Nous ne nous attarderons pas à décrire la distribution normale des branches motrices du
on connaît depuis longtemps dans la sciatique, ceux que M. Landouzy a décrits en 1875 dans le mémoire que nous avons déjà cité.
n trouble dépendant de la sciatique, analogue à ceux qui ont déjà été décrits dans cette maladie. La raison est bien simple. On
la sciatique simple, dans laquelle on ne l'avait, il est vrai, jamais décrite jusqu'aujourd'hui, que dans la sciatique par lési
-mentier, interne, médaille d'or des hôpitaux. parlais à l'instant. Décrite , il y a plus de cent ans, par Cotugno, étudiée av
à exécuter qu'à l'aide d'artifices de mouvements que nous ne saurions décrire ici en détails, mais qu'il est bien instructif d'
ossy skin, les escarres, et le panaris analgésique (semblable à celui décrit par Morvan). Les fractures spontanées, les arth
lui, théoriquement, pour substratum anatomique de la maladie par lui décrite , une lésion spinale centrale occupant surtout la
r des foyers de ramollissement multiples du genre de ceux qui ont été décrits par M. Dickinson, sont dues à des altérations vas
ppants. Vous reconnaissez encore cette démarche de stepper que j'ai décrite autrefois chez les paralytiques alcooliques, chez
déviations faciales dans l'hémiplégie hystérique, a été régulièrement décrit en 1888 par MM. Brissaud et Marie \ Ils en ont pa
ésenté comme un « absinthique ». Les accidents nerveux que nous avons décrits plus haut à savoir : attaques convulsives épilept
brève et de rappeler en même temps les noms des deux auteurs qui Pont décrite pour la première fois. Incontestablement, la comm
ongueur situé à peu près sur une ligne droite transversale au lieu de décrire l'arc normal que décrit le sourcil droit. Au-dess
sur une ligne droite transversale au lieu de décrire l'arc normal que décrit le sourcil droit. Au-dessus de ce sourcil gauche,
pect général rappelle, à s'y méprendre, le type acromégalique si bien décrit par M. Marie. Toutefois, certaines particularit
jambe saine ; puis elle jette en avant la jambe paralysée et lui fait décrire un mouvement de circumduction, d'arc de cercle. »
lle traîne le membre paralysé après elle comme un corps inanimé, sans décrire aucun mouvement de circumduction, sans faire aucu
ble. Pour déterminer l'état particulier des yeux que nous venons de décrire , il faut solliciter plus ou moins fortement la co
ipitent alors beaucoup plus rapidement que dans la forme précédemment décrite , empiétant les uns sur les autres pendant un temp
œdème considéré comme trouble trophique hystérique. L'œdème blanc est décrit par Sydenham. L'œdème bleu est encore à peu prè
73 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
nce grise. C'est là justement le cas des affections que nous allons décrire . Toutes sont déterminées par une lésion qui siège
paralysie infantile spinale, la para-lysie générale spinale récemment décrite par M. Duchenne (de Bou-logne) et qui n'a pas reç
u corps et reconnaître les mo-difications importantes que nous allons décrire , c'est-à-dire les conséquences d'une paralysie do
une aiguë. La première de ces affections a quelque rapport avec celle décrite par MM. van Lair et Masius, et mérite de nous arr
marquée à la guérison. Telle est, en résumé, la nouvelle affection décrite par MM. van Lair et Masius ; son individualité se
M. Woillez est parvenu à faire avec son simple ruban. D'abord il a pu décrire ma-gistralement une maladie naguère obscurément i
alades, salle Sainte-Pauline, n° 21, le 14 dé-cembre 1871. Avant de décrire l'affection qui a motivé son admission, l'opé-rat
e fille, avons-nous dit, est rentrée à l'hôpital en 1871* Nous allons décrire son état actuel (janvier 1872). Ce qui frappe t
t des cicatrices. (Voy. Planche IV.) De ces cicatrices, la principale décrit une ligne sinueuse en S, laquelle part de la comm
rge graisseuse, se surajoutent habituellement aux lésions qui ont é!é décrites plus haut. Des amas de granulations et de gouttel
ire exactement ce qu'on observe dans la période ultime de l'affection décrite par 1 Volkmann, loc. cit., p. 5. 2 Voir à ce
et des noyaux des gaines vasculaires, telle, en un mot, qu'elle a été décrite par Frommann et par Mann-kopf. L'existence de foy
, p. 440). II. Note sur la. tricoptilose, affection des cheveux non décrite , par M. A. Devergie. — Madame X... présente un be
ait de nouvelles. Il est grand, gros, fort, de ce tempérament qu'on a décrit sous le nom d'arthritique. Il a eu pendant longte
» L'auteur termine son intéressante communication en disant « qu'on décrit sous le nom de molluscum des tumeurs dont l'appa-
ît être une tumeur à cytoblastions d'après Verneuil ;— cas de Guibout décrit sous le nom de fibromes généralisés ; — cancer mo
du cerveau distendu par une hy-dropisie ventriculaire. Après avoir décrit la méningocèle, Spring pense que la méningo-encép
me soumettant de la façon la plus absolue au mode opératoire que j'ai décrit dans mon livre. — J'évite le bulbe en découvrant
axe par la voie colloïde des anneaux constric-teurs des tubes nerveux décrits précédemment par l'auteur (Acad. des sciences, 15
rand soin de faire de la compression sur le trajet que nous venons de décrire . 11 mars. — L'état du malade est resté le même,
rien de remarquable, si ce n'est les veines volumineuses précédemment décrites . Il n'en est pas de même de la troisième couche c
ions nom-breuses de la diathôse, on est peut-être encore trop porté à décrire une marche spéciale, et toujours la même, à l'inf
uite les coulisses tendi-neuses du cou-de-pied. Lespéroniers latéraux décrivent la même courbe que les muscles postérieurs mais l
ue Morgagni connaissait l'élongation du col de l'utérus. En effet, il décrit nettement, chez une femme de vingt-cinq ans, un c
ntes formes que peut affecter le col de l'utérus hypertrophié ont été décrites d'une façon remarquable par Scanzoni. — Avec lui
e l'auteur n'avait pas d'abord trouvée dans ses observations et qu'il décrit , d'après Frerisch, mais qu'il décrit ensuite à la
e dans ses observations et qu'il décrit, d'après Frerisch, mais qu'il décrit ensuite à la fin de son travail d'après Rokitansk
a photographie ne pouvait pas rendre et ce que nous allons essayer de décrire . Si on examine attentivement la surface ulcérée,
nagent dans le liquide. Telles sont les formes spéciales qu'on peut décrire . Il va sans dire que 1 II est impossible de con
connaître sur une partie de ces cellules les irrégularités de contour décrites par Max-Schultze et qui les ont fait désigner sou
des prodromes constitués par l'aura hystérique telle que nous l'avons décrite . Cette aura, en général de longue du-rée, occupe
sibilité cutanée est abolie en certains points sur les bandes de peau décrites plus haut. A la circonférence ou plutôt à la base
ître l'ennemi auquel on a affaire, le rapport de M. Bergeron, où sont décrits , avec autant de précision que de sobriété, les ef
de la tâche que nous nous sommes imposée; il nous reste maintenant à décrire les résultats que l'on a obtenus par l'em-ploi de
tre fait. De plus, l'existence des lacs vasculaires, tels que les a décrits M. le professeur Broca, est assez improbable si n
u'il y avait en ces endroits de véritables lacunes telles qu'on les a décrites , et que ces bosselures étaient plutôt constituées
eur dans cette région. Les formations intermusculaires doivent être décrites sous la dé-nomination de lymphadénome caverneuse,
ntérieure du rectum sur une longueur de 8 centimètres; nous venons de décrire la perforation existant dans cette paroi. Latér
une dé-générescence kystique. — Ovaire gauche. L'abcès que nous avons décrit plus haut arrivait latéralement jusqu'à l'ovaire,
de la face et les paralysies du membre supérieur sont successivement décrites . Chacune de ces paralysies est divisée en trois v
médication topique de l'u-rèthre, M. Mallez fait un peu d'historique, décrit les bougies médi-camenteuses, les instillations,
un col hypertrophié dans tous ces éléments, tel que nous venons de le décrire , présen-tant les particularités suivantes : plusi
evand reprend à nouveau l'action physiologique de la di-gitale, qu'il décrit d'après les leçons du professeur Sée ; il range c
iencieux et répétés, il demeure dans cette conviction que le pro-cédé décrit dans le rapport ne permet d'obtenir que fort diff
re du Péloponèse, c'est-à-dire 425 ans avant notre ère. Mais la peste décrite si magistralement par Thucy-dide n'est-elle vraim
t. — L'étiologie, la symptomatologie de celte terrible affection sont décrites avec tous les développements nécessaires ; l'aute
74 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ieure, et s'insinuant entre celle-ci et la zone scléreuse ci-dessus décrite . La substance grise ne parait pas altérée dans
intégrité complète. De plus, tout au haut de la moelle, nous avons décrit une lésion dont l'as- pect et la siluation étai
e à croire qu'ils sont la conséquence de la névrite post-variolique décrite par Joffroy. R. Charon. X. CONTRIBUTION A L'ÉTU
de médecine, septembre 1897.) Les troubles vasomoteurs ont déjà été décrits dans la neurasthé- nie, mais l'attention avait
uivants, de l'accès de migraine ophtalmoplégique, et, tel que l'ont décrit les auteur-, notamment en France, Chariot ; persi
as tenu compte de l'ensemble des symptômes nécessaires que l'on a décrit à tort des paralysies générales sans aliénation,
créé la confusion actuelle. Le seul moyen d'y mettre fin est de ne décrire sous ce nom que des' càs semblables, en rapport
de toute l'extrémité supérieure droite. Des cas semblables ont été décrits par Marie et Alaixuer sous le nom de chéiroméga
stantes, nous l'avons vu. Leurs caractères, tels que nous les avons décrits , rappellent ceux de l'artérite et de la phlébit
liées à une altération des organes explorés. Les diverses réactions décrites depuis trente ans (réactions de dégénérescence,
toire ; par F. PETER501. (Jledical-News. 'janvier 1898.) L'auteur décrit avec figures les appareils de Leidbeck et dit en
ente. Hypérémie très accentuée; outre les altérations vascu- laires décrites plus haut, nous voyons à cette hauteur des artère
e. Pas de dépendance entre le canal central et la cavité ci- dessus décrite . La configuration du tissu médullaire reste la
côtés convexes ; la structure de la paroi est celle que nous avons décrite plus haut, sauf que la raréfaction du tissu env
la littéra- ture médicale jusqu'à nos jours, qu'une dizaine de cas décrits plus ou moins sommairement. Impossible de tra
concerne les vaisseaux notre observation reste isolée : les auteurs décrivent les parois vasculaires tout à fait normales, ta
mordiale est celle du terrain. M. GARNIER se demande si le délire décrit par M. Régis n'est pas seulement le délire toxi
pri- mitive des cordons latéraux sans atrophie musculaire. Je l'ai décrite dès 1885 sous le nom de tabès moteur. Les troub
olie transitoire causée par une névrose ou une maladie céré- brale, décrit une manie ou un délire transitoire c qui survient
e localiser primitive- ment sur l'endartère, de sorte que l'on peut décrire à l'artérite vraie un processus toujours le mêm
donné une hémiplégie progressive semblable à celle que nous avons décrite , mais dont la pureté clinique se perdra dans les
- PRÉSIDENCE DE M. BRUNET. Délire de revendication. M. CULLERRE a décrit , en 1897, sous le nom de délire de l'evendi- ca
uses formes plus ou moins dégénérées ou frustes de la lèpre grecque décrite et comprise par lui dans un seul groupe dénommé
à la façon égyptienne. SYRINGOMYÉLIE. 281 Brissaud' a récemment décrit quelques cas de pachyménin- gite cervicale hype
titre : « Propriété de rougir comme affection particulière », il a décrit dans laRevzce de psychiút1'ie, etr ? de 1896, n
r ? de 1896, n 12, une atfection absolument analogue à celle qu'ont décrite MM. Pitres et Régis. D'accord avec ces derniers
(Edinburglt Médical Journal, juin 189î.) Dans cette étude, l'auteur décrit avec détails la structure histolo- gique de la
ar les nouveaux procédés de technique de Golgi et Ramon y Cajal. On décrivait jusqu'ici cette couche corticale comme formée u
2° Un plan de fibres nerveuses tangentielles. Tous les auteurs ont décrit ces faisceaux de fibres à myéline dirigés parallè
isse de côté le type ordinaire de la marche et de la course qu'il a décrit antérieurement; il en donne seulement des schém
siolo- giques incomplètement élucidées que de la nature des faits décrits sous le nom de folie- hépatique. Ces observations
ations successives, il devient évident que Duchenne, de Boulogne, a décrit purement et simplement un symptôme ; l'amyotrop
ence, l'étiologie, le développement de cette affection, l'auteur en décrit les symptômes primordiaux (la dépression, l'emp
là les principaux éléments du foyer que nous nous sommes proposé de décrire . Quant aux cellules nerveuses elles ont subi de
rt grossissement des carac- tères différents de ceux que nous avons décrits pour les mêmes cellules du foyer précédent. Ell
t de noyaux. On trouve ces petits foyers rarement en dehors de ceux décrits sous le titre A et B. Nous les envisageons po
nce grise. En effet, toutes les trois formes de foyers précédemment décrits siègent dans la corticalité cérébrale. Mais la
le de nous prononcer. Les fibres nerveuses correspondant aux foyers décrits ont subi une atrophie très prononcée qui n'est
ation t hyperplastique » donnée par Ilayem à l'inflamma- tion qu'il décrit , provient de la propriété qu'ont les cellules s
iicepliali Lis) ou par plaie aseptique. Voici en résumé comment ils décrivent ce processus inflammatoire. Autour de la piqûre
r une forme d'encéphalite tout à fait distincte de ce qu'on avait décrit jusqu'à ce jour. Nous dirons même que Friedmann
Quant aux foyers d'encéphalites mêmes, voici comment Friedmann les décrit . Le principal élément de leur constitu- tion es
ticalité, mais il présente des caractères un peu différents de ceux décrits plus haut. Comme évolution, Friedmann dit que c
ence l'étude régulière de l'encéphalite aiguë spontanée. Le premier décrit ce qu'il nomme la polioencéphalite hémorragique
queduc de Sylvius et quelquefois le troisième ventricule. Strümpell décrit l'encéphalite aiguë hémorragique qu'il pré- sen
que des auteurs (Jaksch, Pmge1' med. lYochen., 1895, n° 7) aient décrit de simples ramollissements hémorragiques pour d
aiguë en foyer. Cette confusion est surtout possible pour la forme décrite par Wernicke chez les alcoo- liques. Ces dernie
1° de petits foyers de ramollissement; 2° de foyers inflammatoires décrits sous le titre de foyers forme il ; 3° de foyers
sement que l'on observe au sein ou à côté des foyers inflammatoires décrits peuvent être la conséquence de trois processus
'aspect caractéristique des foyers d'encéphalite aiguë non suppurée décrits par Coën. En effet, nous trouvons ici principal
es foyers inflammatoires forme A ne sont autre chose que ce qu'on a décrit sous le nom d'encéphalite subaiguë. OR y consta
les névrogliques dans les cas d'encépha- lite aigué non suppurative décrits ces derniers temps par différents auteurs. D'
des détails minutieux sans importance. Ainsi, la folie morale a été décrite avec ses subdivisions : pyromanie, klepto- mani
ondaires wallériennes et se rapproche au contraire de ce que l'on a décrit sous le terme assez impropre du reste, de dégén
encontre pas toujours dans le sang le bacille spécifique qu'ils ont décrit . Dans quelques cas, en revanche, l'examen bactéri
n segment postérieur existe le - trousseau médian du cordon latéral décrit par moi en 189 et en 1896. Ainsi s'exprime M. d
es des cornes postérieures. Cette partie posté- rieure que M. Bruce décrit comme étant un trousseau spécial est précisémen
oubli dont elles étaient dignes. La neurasthénie M'aie que l'auteur décrit avec une précision parfaite est un état acquis,
75 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rouvons plus la structure de la paroi artérielle que nous venons de décrire . Au niveau des points où se fait l'union de l'a
sait même de dilata- tions miliaires absolument semblables à celles décrites par Charcot et Bouchard sur les artérioles intr
25 tions, elles existent et dès lors méritent d'être signalées et décrites . Il semblerait d'après nos constatations qu'elles
- naît pas la statistique anglaise à cet égard.) M. Wigtesworth a décrit il y a peu de temps deux cas de maladies cérébral
rick l'ETEUsoN de New-York. (Médical zezvs,,janvier 1900.) L'auteur décrit sous ce titre l'Asile de Giessen près de Frank-
cas rentre parfaitement dans l'un des trois types cliniques qu'il a décrits , la lésion centrale ici n'est point nucléaire à
ses. Ici, je me permets de recommander mes appareils, lesquels sont décrits en détail dans mon travail intitulé « Exercices
tant quelques cas que j'ai traités avec la gymnastique passive sont décrits dans la Revue centrale de médecine générale, 18
uliens, point qui est au contraire la caractéristique de la forme décrite par M. Sottas sous le nom de myélite pseudo-tabét
tre part des lésions tabétiformes. Cette association a été en effet décrite par plusieurs auteurs : Kuh, Dinckler et Marine
égie spasmodique forme Erb, avec signe d'Argyll. Le plus souvent on décrit soit des myélites créant la sympto- matologie d
ées de la façon suivante : Les mouvements associés tels qu'on les a décrits jus- qu'ici dans la période post hémiplégique,
cas d'osLroporoes, d'hyperos- tose, et de ramollissement des os. Il décrit les modifications dans la structure de ces os,
e septum, ce qui expliquerait les diver- gences des auteurs qui ont décrit « ce champ ovale », relativement au niveau où o
de de Golgi. P. Keraval. XXIII. Du poids du cerveau le plus lourd décrit jusqu'ici ; par G ? C. VAN WALSEN. (Neurolog. C
ouve trop absolue l'opinion qui consiste à nier l'existence du type décrit par M. Trenel. M. Briand ne voit pas pourquoi,
Ce deuxième phénomène a déjà été vu parWUnDT, Galas- si, GFFOan et décrit en détails récemment et presque à la même époqu
enfin une dégénérescence dans les racines de la IVe paire. Guerver décrit encore une dégéné- rescence du faisceau pyramid
ir son individualité. Au point de vue clinique, aucun des symptômes décrits par Landry n'est fondamental. 1° La paralysie
rande mesure, être regardée comme une circonstance fortuite. On a décrit des cas dans lesquels les membres supérieurs ont
couleur, son con- tenu, mais surtout d'après son évolution. Elle ne décrit plus comme espèces distinctes les diverses phas
beaucoup d'éléments impulsifs; 7° La démence précoce (hébéphrénie) décrite par Kahlbaum et Hecker, se présente sous deux f
6 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. rapprochant de celle qui a été décrite par Kalbaum. Quant à la pathogénie, il faut la
les symptômes cliniques se rencontrent, en pratique, tels que les a décrits Freud, avec une exactitude frappante, chez des
s on les rencontre aussi associés à la neurasthénie, et ils ont été décrits plus ou moins fidèlement sous le nom d'états an
tants officiels de l'enseignement de l'anatomie en étaient encore à décrire les nerfs comme des vaisseaux sanguins de la me
ent des maladies ner- veuses proprement dites - et comme telles, on décrivait surtout des névroses on se mit à étudier, dans
égénérescences secondaires, rattachées ensuite aux scléroses, Tùrck décrivait une sclérose primitive des cordons latéraux; on a
Cependant, comme rapporteur de la Russie, je crois de mon devoir de décrire en quelques mots l'évolu- tion de la question p
rminale de l'organe qui peut aboutir, comme dans le cas récemment décrit par notre camarade Remlinger 3, précisément à la
scientifique que nous puissions trouver de l'affection aujourd'hui décrite sous le nom de microcéphalie. Pinel, dans son
de microcéphalie. Pinel, dans son Traité de l'Aliénation mentale décrit aussi, avec des figures, deux cas de microcépha
ieure que les particu- larités morphologiques de l'encéphale furent décrites , tandis que la structure intime du cerveau a ét
que la région temporo-sphénoïdale et occipitale. Dans les deux cas décrits par Cunningham et Tell'ord Smith (Transac- tion
s intéressant de l'association des deux formes que nous venons de décrire a été publié par le D1' Alexander llill dans le X
la vie d'enfants atteints de dégénérescence cérébrale, comme l'ont décrite Sachs, Ko- plick, Kingdon et Hussell, sont grou
own (Transactions médicales et chirurgiccclas, 1861 et 1866), ayant décrit deux cas d'idiotie dans lesquels le corps calle
mmune de paralysie générale infantile. Depuis que le D1' Clouslon décrivit , en 1877, un cas de l'affection chez un garçon
uvent être sans microgyrie (cas de Meine. Matell). Le premier cas décrit dans la science est celui que j'ai commu- niqué
n vessies à parois minces ; l'épaisseur des hémisphères dans lé cas décrit par Monakow atteignait de l;i à 3 millimètres, et
Monakow atteignait de l;i à 3 millimètres, et dans le cas que j'ai décrit de 16 à 4 millimètres. Dans ce dernier cas, la
330 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. groupe, qui a souvent été décrite comme aphasie motrice sous-cor- ticale, et qui
pide des muscles. Cet ensemble symptomatique correspond au syndrome décrit par Erb et connu encore sous le nom de paralysi
irantes ont un contenu tout à fait absurde. C'est la forme clinique décrite sous le nom de Wahnsinn dépressif. Tout l'entou
, des troubles circula- toires. - La mélancolie telle qu'elle est décrite par Kraepelinest une ma- ladie du début de la s
. En résumé, nous croyons le traitement masso-mécanothé- rapique, décrit plus haut, susceptible de rendre de réels ser-
momètres. La disposition très ingénieuse des fenêtres mérite d'être décrite avec quelques détails. Le modèle en est dû à M.
ttirer l'attention du public. Les deux pavillons que nous venons de décrire (Bamcken) ser- vent de quartiers d'admission, d
s fenêtres présentent les mêmes dispositions que dans les pavillons décrits plus haut; mais elles peuvent, ainsi que les po
on, qui se sont manifestées jusqu'à ce jour à propos des phénomènes décrits par Baillarger sous le nom d'hallucinations psy
lution, mais qui se recourbent plus ou moins brusquement, comme l'a décrit en détail 1-0 Vogt. Avec cette réserve que seul
étudier très facilement en clinique courante avec le petit appareil décrit dans cette note. Discussion. - à. le professeur
de Halle). Je ne sais pas si M. Grasset connaît l'appareil que j'ai décrit sous le nom très phonétique de « Kinesiaesthesi
taire, conservation du mouvement imitatif. Ce syndrome ne se trouve décrit dans aucun traité. Pick l'a trouvé seulement décr
me ne se trouve décrit dans aucun traité. Pick l'a trouvé seulement décrit dans une communication d'Arton sur les troubles
i le font croire à la genèse pathologique de l'autre série des cas, décrits comme état criblé. M. le professeur OBERSTEINER
i- culière du réflexe plantaire rappelant le signe de Babinski et décrite plus haut (voir A, 2°). a). Sur sept malades, p
signer, quand elle est congénitale et, sous lequel Krafft- Ebing la décrit , avec une grande précision, lui convient beaucoup
rganes terminaux des nerfs afférents. Ce sont les organes terminaux décrits par Golgi, lluffini et d'autres. Ces organes pe
e Buck et van der Linden, 221. Cerveau. Poids du -le plus lourd décrit jusqu'ici, par van Walseu, 136. Centres de proj
76 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
DONALD (The Journal of Mental Science, Avril 1901). , Les auteurs décrivent avec soin leurs méthodes respectives, auxquelle
Kyste dermoïde du cerveau; par le professeur J. ÏÏALVA. L'auteur décrit un cas de kyste dermoïde, qui siégeait dans le
férente de l'hémorragie, du ramollissement et des encéphatites déjà décrites . Elle doit être différenciée de l'état criblé d
que n'est pas impuis- sante en face de ces manifestations, l'auteur décrit un certain nombre de types un peu arbitraires,
ire tout à fait analogue à la structure des papilles que nous avons décrites au centre des tubes ; cette pie- mère est recou
alade présentait aussi cette asynergie des mouve- ments de la jambe décrite par M. Babinski. Dans les faits signalés par ce
l'hystérie : pour raconter les événements de cette période, il faut décrire les symptômes de son mal ; ce sont les paroles
aliéniste aurait pu saisir, bien qu'elle néglige souvent de nous-en décrire quelques-uns pour laisser la place aux faits d'
ans le prologue du Château inté- rieur, une de ses oeuvres, Thérèse décrit ainsi son état phy- sique et moral tel qu'il ét
de la confusion mentale. Quand une image est assez nette pour être décrite , on distingue deux principaux genres d'éléments
éments logiques. q M. J. Philippe. J'ai demandé à un étudiant de me décrire une page du dictionnaire de physiologie de Ilie
représentations mentales. Même dans l'expé- rience qui vient d'être décrite , je ne vois que des représentations mentales. E
teur arrive à l'anatomie cli- nique spéciale des centres nerveux et décrit successivement l'ap- pareil nerveux central : I
e l'accommodation. 3° De l'ouïe. Comme à l'appareil visuel, il faut décrire à l'appa- reil auditif des voies sensorielles,
atiques induits, qu'il fut le premier à employer eu Gynécologie. Il décrit minutieusement la nature de ces courants et surto
e le point de départ de ces altérations. Ici comme dans l'ophtalmie décrite sous la désignation de neuro-paralytique, le tr
cin adjoinl à l'asile dc 13ron. Sous le nom de sein hystérique on a décrit les affections les plus disparates n'ayant de c
es, les couches optiques. Ce sont ces hallucinations que Baillarger décrit sous le nom à' hallucinations psychiques et le
ibilité générale, que je crois très rare ; comme elle est très bien décrite par Thérèse, et très importante pour nos études
e, qui fut regardée, dans son temps, comme un miracle : très bien décrite dans ses mémoires, elle est fort intéressante pou
une phase de mélancolie primitive; 20 une période de doute (Vallon) décrite par Lasègue sous le nom de mélancolie perplexe
UES (de Toulouse), rapporteur. I. Historique. Les anciens n'ont pas décrit le symptôme mus- culaire que nous désignons auj
mental me parait mauvais, parce que je ne crois pas que la maladie décrite par M. Brissaud soit un tic, et parce que je ne
pes établis, tandis que les autres s'écartent plus ou moins du type décrit , par un certain nombre de variantes qui en font
elle comme choses pieuses et divines ; états hystériques si bien décrits que les médecins de l'époque, ignorants de cette
ie, et qu'aujourd'hui même, pour L'HYSTÉRIE DE SAINTE THEKÈSE 317 décrire d'une façon parfaite certaines crises, un aliénis
u'il faut placer les halluci- nations racontées plus haut : Thérèse décrit admirablement, pour les avoir éprouvées,- les s
elles, avec hallucinations de toutes sortes, sainte Thérèse nous la décrit comme le sum- mum de la dévotion. Si nous étu
tes réflexes. 1 M. P. HARTENBERG (de Paris). La névrose d'angoisse, décrite par Freud (de Vienne), est caractérisée par les
it être confondu avec le Bacillus fluorescens putridus découvert et décrit par Fiugge dans les eaux corrompues, et dans le
494. Après avoir exalté les avantages du campimètre, l'auteur russe décrit les altérations qu'il pense devoir exister et i
nt des altérations de ces plexus. Ces syn- dromes ne sont nettement décrits que pour le plexus brachial. Ils se rencontrent
ubliées, ne permettent aucun doute à cet égard, que les auteurs ont décrits comme neurogliomes gan- glionnaires (Klebs), co
les avons vus au voisinage de tubercules. Riche et de Gothard en on décrit de fort riches formations au pourtour d'un kyst
r, Schroder, Bruns, P. Lereboullet, Nonne Schlagenhauser) permet de décrire en clinique et en anato- mie pathologique, une
étiologie que par ses symptômes et son évolution, nécessite d'être décrit avec soin ». E6 ? e : Pas d'hérédité, choc émot
bation du délire clinique à évolution sys- tématique, tel que l'ont décrite Magnan et Legrain. Sclérose en plaques infantil
e et anxieuse, ou bien à l'hypochondrie systématique, telle que l'a décrite NI. Sé-las. Dans le chapitre des symptômes l'au
syringomyélie ou d'autres lésions médullaires, renferme l'ensemble décrit par Duchenne et Aran et rattaché à la lésion bi
bre 1899.) L'auteur, dans un mémoire du plus haut intérêt clinique, décrit pour la première fois une forme de troubles de
domaine de la motilité, entre les symp- tômes depuis longtemps bien décrits , d'autres phénomènes clini- ques qui peuvent co
capillaires de la substance cérébrale, mais aucune des altérations décrites comme caractéristiques du ramollissement, et su
trière. Nous avons eu l'occasion, l'an der- 462 ' VARIA. nier, de décrire la matinée dramatique suivie de bal, organisée
, une affection mentale s'est désormais constituée. » Historique. Décrite sous différents noms comme : délire émotif, par
de manie sans délire, de monomanie par Esquirol, Marc et Georget, décrite après Morel et comprise par divers auteurs sous
de trouble, à la fois émotif et intellectuel ainsi M. Régis nous décrit l'éreutophobe : un jeune prédisposé à rougir dans
initivement.. 5 3. -Le 6 avril (un an après la guérison du phlegmon décrit précédemment), -T ? présente le soir une tempér
le thorax les cicatrices des phlegmons successifs que nous avons décrits . Il était intéressant de rechercher ce qu'étaient
tique : par 1. HERMANN (Obozrénié psichiatrii, V. 1900). L'auteur décrit un désordre psychique passager survenant chez l
, l'auteur va au-devant d'une objection : on lui reprochera d'avoir décrit des types bien définis avec altération exclusiv
des cas observés ne présente le type de la manie déli- rante aiguë décrite comme apparaissant en même temps que l'influenz
qui se tra- duit par une auto-épilation obstinée et que Hallopeau a décrite sous le nom de trichotillomanie. R. C. XVII.
eur estime que la plupart des cas de paralysies générales juvéniles décrits au cours de ces dernières années se rapportent
trouver les écrits de Nietzche, il y a quelque exagéra- tion à les décrire comme les écarts d'un esprit égaré, et que même
ont rendus meilleurs par la maladie... « Son état était celui qu'on décrit sous le nom de folie du doute. » Le pouvoir de ra
lés, l'auteur établit des conclu- sions sur la nature de la maladie décrite par Freud : Doit-on, comme le veut ce dernier,
'attention de la Société sur un trouble de motilité qui n'a pas été décrit jusqu'à présent et qui consiste en ce que le su
77 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Les auteurs pensent qu'il y a lieu de distinguer dans l'affection décrite par Brissaud et Meige, deux variétés : congénital
ent unilatéral. Ce sont ces cas seulement, dit l'auteur, qu'il faut décrire comme forme anor- male, car parfois le tremblem
Les auteurs, ayant étudié le noyau de l'hypoglosse chez ce malade, décrivent , dans le présent article, les altérations qu'ils
rès petits, les sinus sphénoïdaux effacés. 2° Dans le deuxième type décrit par Hermann Proesch les sutures du crâne sont o
taire. Avec tous les excitants employés j'ai observé les phénomènes décrits à propos de l'action esthésiogène des métaux, à
leurs conclusions sur 200 cas à peu près de la maladie en question, décrits par différents auteurs, les rapporteurs ont tro
e ans. Certains auteurs (SCHULTZE, Monkemoller, R911ANN, LuCrERATH) décrivent des cas de psychose de KOHSAKOFF sans phénomène
la glande thyroïde. , , 90 BIBLIOGRAPHIE. Chantemesse et Marie en décrivent deux groupes en' rapport avec les deux artères
1° qu'à cette époque les formes fami- liales n'étaient point encore décrites ; 2° que les caractères cliniques de l'hystérie
ières années et combien variés sont aujourd'hui les types cliniques décrits par les auteurs. Il en est un que je veux d'abo
et ratta- cher la maladie de Morvan à la syringomyélie, on a même décrit un type de syringomyélie à forme de maladie de Mo
s les cellules sensitives. De plus, Looft, MM. Jeanselme, Marie ont décrit chez des lépreux une sclérose des cordons posté
identifier les deux affections. En outre, les lésions de sclé- rose décrites au niveau des cordons postérieurs sont trop ana
sublime paria Il exhale son àme en un alleluia ! On ne peut mieux décrire en vers une hallucination psychomo- trice et l'
corps et vont souvent jusqu'à l'orgasme vénérien complet. Elle les décrit : « Deus s'annonce par un état de bien-être parti
dant la seconde bouffée déli- rante. Cam... a pu, à ce moment, nous décrire sa vision et tout ce qui l'avait suivie. A son
tiraillements « fibrillaires », mais présentent le tableau clinique décrit par SCHULTT,E sous le nom de myokymie. Le rappo
classe des phobies sociales ; et comme telle, elle mérite d'être décrite à part. SOCIÉTÉS SAVANTES. VIVE CONGRES DES
TÉS SAVANTES. il semblerait, d'après cette définition, qu'on dût en décrire autant de types qu'il y a de psychoses pouvant
mence paranoïde (démence paranoïde simple), qui comprend les formes décrites en France sous le nom de délire polymorphe des
ectitité est absente. Ces états de stupeur, comme ceux d'excitation décrits plus haut, peuvent s'observer en dehors de la d
de conserver les démences consécutives aux états dits dégénératifs décrits sous le nom de délires d'emblée ou polymorphes,
nsacré presque exclusivement à une forme psychopathique nouvelle, décrite récemment nous le nom de démence précoce, par la
forme cellulaire, avec chromatolyse légère) et les lésions que j'ai décrites dans la confusion mentale (tuméfaction, gonflemen
noyaux cellulaires sont infiniment plus nombreux que ceux que l'on décrivait autrefois, c'est-à-dire les quatre groupes anté
les quatre groupes antéro et postéio-interne et postéro-externes décrits par Waldeyer, et que chaque noyau, loin d'être co
é de la démence précoce, ne manque pas de venir rappeler ces faits, décrits par If,ohlbmanu dès 1874, comme des symptômes d
tion est à rapprocher de celle publiée par Gayet en 1875 et des cas décrits depuis le tra- vail de Wernicke sou,s le nom de
du système psychique inférieur. A côté de la douleur d'habitude, décrite par Brissaud, des tics d'habitude de Meige et F
gmates de dégénérescence du cheval -et ceux que Morel et Magnan ont décrit chez l'homme. Ces signes n'acquièrent, chez le
âne. 268 SOCIÉTÉS SAVANTES. De nos jours encore, nombre d'obsédés décrivent avec un grand luxe de détails des sensations de
vir. Le lendemain, il recourut au procédé de la serviette mouillée, décrit par sa maîtresse, car l'obsession de la fustiga
les phénomènes qui caractérisent son sommeil ordinaire, et que j'ai décrits , se reproduisent. Il est impossible, dans cet é
arde aucun souvenir de ce qui s'est passé. Les rêves que nous avons décrits ne sont donc le fait ni du sommeil normal ni du
sie qui. par ses variations détermine et règle les rêves que j'ai décrits 1. De sorte que, en résumé, nous croyons avoir
'altération secondaire occupe en outre un noyau autonome non encore décrit . Ce noyau existe au niveau du noyau réticulaire
el- leuse, des orties tout à fait semblables à celles qu'Apàthy a décrites chez les invertébrés. 3t2 REVUE d'anatomie ET D
procheraient plutôt du feutrage des cellules nerveuses de la rétine décrit par Uogiel. Les raies parais- sent formées des
très souvent de disparition de ces réflexes. Silvestrini a du reste décrit un cas de myoclonie pure où les réflexes palell
e qui souffrait de ce que je croyais être jusqu'ici une maladie non décrite , que j'ai dénommée infalll- lisme pancréatique.
e, la taille, le poids, etc., dans le cas d'infantilisme pancréatique décrit dans le texte, (i différentes dates, avant et a
oxications, etc. Quant à la symptomatologie, elle est soigneusement décrite , appareil par appareil (troubles sensoriels, se
omme un malade ordinaire. ' Caractère qu'il faut, par conséquent, décrire avec soin dans les ouvra- ges classiques. ' /
ervatiens est due à Oppenheim Les symp- tômes présentés dans le cas décrit par cet auteur montraient l'existence d'altérat
. Ces faits semblent en contradiction avec les cas précé- demment décrits de Nothnagel et de Gowers qui ont observé la pa
s d'irritation. « La tumeur de la couche optique (dit Yimoucopoulo) décrite par Nothnagel a, par son grand volume occasionn
t et au tapetum, se dirige, à la partie supérieure de l'arc qu'il décrit , de dedans en dehors, à la partie externe du même
nts. Six expériences et une expérience-étalon sont minutieusement décrites . L'auteur conclut que les rayons du radium augm
me psycho-patholo- gique autonome; par le Dr SOUHI1ANOF. L'auteur décrit l'état mental des sujets obsédés. Il étudie les
Il en serait ainsi si l'évolution symptomatologique que je viens de décrire , ne répondait qu'aux cas dans lesquels la cataton
ination de délires atypiques il faut entendre les formes séparément décrites de l'ivresse pathologique et du délire subaigu
ont la forme, la coloration et les dimensions se rapportent au type décrit par MM. Lannois et Paviot dans leur étude sur l
on ne trouve aucun élément microbien. » Il n'y.a donc pas lieu de décrire , comme l'a fait M. Bra, un streptocoque de l'épil
e ou telle démence, M. Bridier a cherché, dans ce nouveau travail à décrire des types anatomiques différents de lésions cér
le de médecine de Lyon. 14 décembre 1903) D'après M. Destot on peut décrire deux formes de troubles tro- phiques tabétiques
énés. PSYCHOLOGIE DES émeutes. - A. Manzoni,' dans Ses Fiancés, a décrit avec un grand soin l'état mental des foules dur
III (p. 48), Pt.. IY (p..1,9) ont été intercalées dans le texte et décrites dans la relation de l'au- topsie. Planche Y.
78 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
papillaire. La même année, Siemerling en trouvait 6 p. 100. Klein décrit en 1887 une rétinite paralytique 18 fois sur 42
lcooliques, 2 étaient syphilitiques. Les lésions que nous venons de décrire brièvement ne sont pas absolument nouvelles ain
LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 7 part des auteurs qui y sont cités ont décrit comme nous, l'atrophie grise et l'atrophie blan
que l'autre S... présentait simplement l'état flou que nous avons décrit ; comme chez l'un et l'autre l'oeil gauche était d
long des travées conjonc- tives, sont, comme celles que nous avons décrites plus haut, pourvues d'un noyau de 8 environ, d'
de laquelle elles sont en certains points plus accusées que celles décrites pour l'oeil droit. Raréfiées en certains points
t très riches en cellules de névroglie, ces cellules que nous avons décrites plus haut, sont, pour la plupart très développé
ivement une existence tout imaginaire de véritable prostituée. Elle décrit toutes les scènes érotiques qu'elle aurait accomp
s délires revêtent la forme que nous avons 42 CLINIQUE MENTALE. - décrite sous le nom de variété psycho-motrice des délires
t susceptibles des différentes transformations que nous venons de décrire . D'après Pitres et Régis, les formes qui abouti
ns dites intellectuelles et, en particulier, les différents types décrits sous le nom général de maladie du doute. Je ser
s a été observé depuis longtemps : Duchenne de Bou- logne l'a vu et décrit , depuis il a été étudié sous le nom d'hypotonie
usage, sur le névraxe d'un sujet dont l'existence biologique a été décrite dans des articles antérieurs, ont conduit les aut
même point de départ aux différentes variétés cliniques qui ont été décrites . Elle a un deuxième avantage, celui d'être géné
s diverses dans la vie psychique normale. I. Le délire à deux fut décrit pour la première fois par 13aill,argerl en 1857
en '1877, reprenant les idées éparses sur la contagion de la folie, décrivent la folie à deux ou folie communiquée. Ils mette
tes ou des espérances conçues pour l'avenir. M. Régis6, en '1880, décrit un genre de folie à deux, qu'il dénomme folie s
à deux. C'est à M Marandon de Montyel que revient l'honneur d'avoir décrit les différentes variétés cliniques de folie à d
me, créé par Ballarger, avait été repris par Lasègue et Falret pour décrire une forme de folie à deux que M. Marandon appel
u délire. Comme ce dernier, il reconnaît les trois formes cliniques décrites ; mais pour lui la folie imposée se distingue d
ns à des phénomènes suggestifs d'ordre divers parles trois facteurs décrits : imitation, persuasion, action inter- mentale.
de cette forme de folie par contagion. Elle a été d'abord la forme décrite par Lasègue Falret, sous le nom de folie commun
Il lui semble voir au clair de lune un fantôme qui la regarde, elle décrit ses vêtements (il avait un gilet noir et une ch
indication qui a sa raison d'être dans toutes les formes que l'on a décrites . Nous avons vu, en effet, qu'elles relèvent des
rés). Par le Dr SOUTZO (fils), (1(,- Bucarest. La dégénérescence, décrite par nlorel, mais surtout bien définie de nos jo
pouvoir sortir. » Elle raconte toute sa vie telle que nous l'avons décrite Elle présente un carac- tère mobile et émotif.
a- tions qu'il a reçu de la part des aliénistes. Falret père, qui décrivit la folie du doute pour la pre- mière fois, d'un
1901.) Deux observations de déformation de la main, selon le type décrit par Duchenne, de Boulogne, dans la rétraction de
es les observations qui précèdent, l'oedeme présente les caractères décrits plus haut par Meige. Vit. Sur une forme d'hyper
.) ` M. Josserand présente un cas typique de l'affection qu'Erb a décrite sous le nom de paralysie bulbaire asthénique. Ell
e interne des joues des taches ardoisées, comme celles que Gublec a décrites chez les ouvriers qui manient le plomb. Le diag
. Rappelons que l'hypersécrétion lacrymale et sous-maxillaire est décrite parmi les symptômes courants de l'affection. Ma
la méthode recommandée en. matière de psychologie par M. Lazoursky. Décrire le plus complètement possible dans le cours d'u
loppée dans la cavité crânienne sous la dure-mère. Ces tumeurs sont décrites sous le nom de tumeurs du nerf acoustique et il
Feré. {Revue de médecine, août 1901.) L'adipose douloureuse, déjà décrite par Dercum, peut se pré- senter sous deux forme
senté une même affection nerveuse et dont les troubles ont été déjà décrits par MM. Klippel et Durante. M. H. L1V. Une form
symptôme d'une lésion en foyer, identique au trouble d'orientation, décrit par d'autres auteurs. L'alexie dans le cas II e
iminution de la durée de l'impression. Une alexie de ce genre a été décrite par GRASHBY (le maladie pouvait lire le mot s'i
récautions préliminaires que comporte cette gymnasti- que, l'auteur décrit d'abord les attitudes à prendre, ce que l'on po
ces mouvements sont nombreux, variés, et l'auteur, après les avoir décrits , indique pour 1 Ce mot, ainsi que ceux de Trait
é passable, il se forme chez elle des abcès du foie, dont elle nous décrit la marche inégale, les alternatives de reprise
s d'embarras de la parole. Nous revenons sur l'examen physique pour décrire une parti- cularité tératologique importante qu
MM. Marie et Crouzon ont pu, par l'ensemble symptoma- tique qu'ils décrivent , dépister quatre fois la sclérose combinée chez
uivi de la bibliographie de la question. A côté de Vidiotie qu'il a décrite avec tant de soin, M. Rour- neville étudie Vidi
langage, l'écholalie, la coprolalie sont tour à tour minutieusement décrits . Nous ne saurions non plus insister sur l'évolu
is bien que certains auteurs, tels que IIeclter, Kaan, Bouveret ont décrit l'an- goisse comme un des symptômes de la. neur
Gilbert Ballet ont reconnu l'existence du syndrome tel qu'il a été décrit par Freud et observé par moi-même. Enfin, dans
té des stigmates physiques et des stigmates mentaux, il y a lieu de décrire des stigmates obstétricaux de la dégénérescence,
ff envisage comme « neurasthénie psychique » ce que les rapporteurs décrivent comme constitution des obsessions morbides, et
es troubles. Si on peut même admettre une constitution particulière décrite par les rapporteurs, c'est seulement comme une
à Charcot que revient l'honneur d'avoir démontré et magistralement décrit l'hys- téro-traumatisme, que l'on a appelé à to
mis en communication avec les pavil- lons n° III que nous venons de décrire par un couloir bien éclairé, assez court. Il es
et à la disposition de ses fibres à lacirconvolution sous-angidaire décrite en 1895 : toutes deux -acquièrent leurs manchon
veux central, M. Piltz en vient au phénomène pupillaire en question décrit par lui, Stras- burger, Saenger et Nonne, auque
tude de ces quatre cas personnels et les compa- rant avec huit cas, décrits par d'autres auteurs, dont deux ont été suivis
arfaite imprégnation suffisante de leurs dendrites. Les rapporteurs décrivent les résultats des investi- gations (par la méth
nce et en revenant à elle, elle se trouva complètement guérie. Elle décrivit son vertige, dit avoir perdu connaissance un mome
t ce pays, on soit embarrassé de mettre un nom. Mais Zola, quand il décrit ses Rou- gon-Maquart, sait bien qu'il s'agit d'
e. Cet état purement transi- toire, devient définitif. 111. Dromard décrit cette phase, et il le fait avec une clarté et u
79 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
ose qu'une description magistrale et prophétique de l'ctdéiioïdisme décrit par Meyer il y a seulement 40 ans. Ce fait est
tes minces et ondulées que plusieurs auteurs déjà ont retrouvées et décrites dans l'oxycéphalie et qui, selon moi, répondent à
ondants, surtout dans le quatrième ventricule, et offrent l'aspect, décrit par tous les auteurs comme indice d'une hypersé
s. Recklinghau- sen (1) dans l'un des cas d'hydrocéphalie chronique décrites par Rehn, considère comme cause principale de l
ses. Loeper, dans son travail sur les plexus choroïdes, après avoir décrit leur structure et en étudiant séparément l'axe
mploma- tologie tenait il la fois des diverses entités initialement décrites . Il en est résulté, dans ce territoire de la Pa
e J... se rap- porte hien au syndrome d'héréclo-ataxie cérébelleuse décrit par P. Marie, el, chose digne d'être soulignée,
nullement fibreuse. La section portant sur la saillie précédemment décrite montre l'intégrité absolue de la muqueuse et de
pris au début, a bien pu favori- ser les phénomènes de régénération décrits dans les racines postérieures par Marinesco. C'
avis, écrivent-ils, nous sommes convaincus que la plupart des faits décrits sous le nom de crises gastriques essentielles o
erfs périphériques des membres ; à l'inverse de la lésion analogue, décrite par J. Ch. Roux, dans le sympathique, lésion se
ée et debout en arrière et placée entre les deux person- nages déjà décrits ; presque de face mais tournant la tête à gauche
e de troubles cérébraux intéressants, il nous a paru mériter d'être décrit . Le 17 août 1911 aux exercices de tir effectués
ent à l'exa- men de la région anale une sorte de vestibule spacieux décrit autrefois par Tardieu sous le nom d'infundibulu
ne saurions revenir sur cet état menta que nous avons suffisamment décrit plus haut. Nous nous contenterons d'ajouter qu'
ement t'anaphrodisie du sujet qu'ils ob- servent, tels sont les cas décrits pal' Alibert(1), Tanzi (2), E. Villiers (3), Kl
as une raison pour écarter le diagnostic d'achondroplasie, car on a décrit l'achondroplasie partielle ; tel le cas de Char
en. Notre malade rappelle très étroitement ces cas de lèpre blanche décrite dans les races noires et dont Wurtz et Thiroux
s glandes endocrines (1) lui consacre un chapi- tre et s'efforce de décrire les symptômes de l'hyperpinéalisme, Mais si ell
aisonnable, et qu'il la joignit à ce corps en certaine façon que je décrivais . » Le Traité de l'Homme, auquel Descartes avait
ment l'on peut fort bien comparer les nerfs de la machine que je vous décris . aux tuyaux des machines de ces fontaines ; ses
aque particule éprouve une suite de déplacements assez difficiles à décrire , parce qu'ils sont es- sentiellement irrégulier
constaté les mêmes structures granulaire, fibrillaire ou réticulée décrites par différents obser- vateurs dans les cellules
e substances colorées. Les granulations colloïdales dont nous avons décrit plus haut les pro- ESSAI DE BIOCYTONEUROLOGIE A
Nissl dans les cellules des ganglions spinaux correspondant à ceux décrits par Lugaro et moi-même dans les types cellulair
ion correspondent assez exactement à celles que Lugaro et moi avons décrites a l'état normal dans les pièces fixées par le sub
n électrique. Comme exemple de sels de métaux bivalents,nous allons décrire les modi- fications produites par le chlorure d
moins résistantes analogues aux cellules hydrophobes que nous avons décrites plus haut (fig. 18, Pl. XXVIII). On peut ralent
vons rapprocher l'aspect de leur cyloplasma de celui que nous avons décrit dans celles traitées tout simple- ment par le c
15) (caractères du crâne visi- bles sur les photographies, mais non décrits par l'auteur), Schermann (16), Cross (17), J. H
âgé de 40 ans présentant les princi- paux symptômes de l'affection décrite par Marie et Sainton sous le nom de dysostose c
rent également notées chez un enfant appartenant l'une des familles décrites par Pierre Marie et Sainton, qu'un malade de Sche
Marie) (33). En outre dans ces cas les auteurs se sont contenté de décrire l'état des clavicules, des insertions musculair
e qui s'était passé durant son court séjour à l'école, elle pouvait décrire l'extérieur du maître d'école et nom- mer par l
ouzaine de camarades qu'elle n'avait plus jamais revus; elle savait décrire minutieusement la route à suivre pour aller à l
t voir que ces questions ne lui plaisaient pas. Elle ne pouvait pas décrire ses senliments au réveil, mais raconta qu'elle av
n entourage était d'avis qu'il était « comme autrefois »). Gadélius décrivit ce malade comme un cas de stupeur en donnant une
ériphériques ? Doit-on y faire rentrer les observations qui ont été décrites sous le nom de névrite in- terstilielle hypertr
e conceplion a été celle de Hoffmann et de ceux qui, après lui, ont décrit et délimité l'atrophie musculaire neuro- tique.
(1), ou familiales ou encore maladies d'évolution, les divers types décrits les premiers gardent la valeur que leur donnent l
e de ces dégénérescences comparativement il l'intensité dos lésions décrites . Les faisceaux antéro-latéraux présentent sur t
utant fortement la tête et les pieds sur le lit, de manière à faire décrire à son corps un arc de cercle très marqué. Les m
e mûr. Or, dans le cas d'hémi-dystrophie musculaire que je viens de décrire , il suffit d'ad- mettre que, par suite d'un fai
rnée en dehors : la cuisse et la jambe paraissent ne faire qu'un et décrivent ensemble un arc de cercle, de sorte que le malade
- senter aussi quelques dissemblances avec l'aspect que nous avions décrit dans les os pagétiques typiques. Dans la mala
IE et CHARLES FOIX PREMIÈRE PARTIE Lorsque Duchenne (de Boulogne) décrivit l'atrophie musculaire qui porte son nom, il la
ssus et nous nous proposons d'y reve- nir plus loin. Il nous faut décrire maintenant les lésions que l'on observait clans
ives qui se terminent en culs-de-sac, à, l'extrémité delà fente, et décrivent des anses très profondes (VC). Enfin là où les
s de fureur, des accès convulsifs revêtant le même type que l'accès décrit ci-dessus. Chaque attaque convulsive est suivie p
roit a) En plaçant les segments du membre dans la première position décrite et en percutant sur les points indiqués pour la r
coup plus accusée à droite, l'impuissance sexuelle. Nous avons déjà décrit en détail tous ces symptômes et nous n'y reveno
à sentir une impression désagréable à la tête, qu'elle ne sait pas décrire , et une sensation de froid au front. Les moindr
suivie dans les interventions de ce genre sera celle que cet auteur décrit , confirmant la technique réglée déjà par Proust
ue notre malade représente un exemple du trouble que l'un de nous a décrit sous le nom de paranoïsme métaparalytique, termes
ités tégumentaires segmen- taires ou localisées il y aurait lieu de décrire des hypoadiposités tégumen- taires de même ordr
a thèse, à savoir que les tumeurs du genre de celles que nous avons décrites reconnaissent une origine musculaire. Cette hyp
80 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, nous allons trouver les mêmes stratifications que nous venons de décrire , mais avec interposition d'une nouvelle couche
ut faire abstraction dans cette étude. » De même lorsque l'auteur décrit la manière dont se comporte la substance grise.
cébien, il reproduit très exactement les dispositions précédemment décrites , et ne présente de remarquable que le grand dév
e les diverses parties de la formation ammonique. Cette formation décrit donc un fer à cheval complet à conca- vité anté
singe, représenterait le trigone, et en effet tous les anatomistes décrivent la bandelette du trigone comme faisant suite au
les, c'est-à-dire qui portent sur la partie moyenne du fer à cheval décrit par la corne d'Ammon ; quant aux coupes vertica
uant à la disposition des parties chez l'animal adulte, Kupffer les décrit d'une manière singulièrement compliquée; car, s
ère de haut en bas les différentes couches; il en compte sept qu'il décrit laborieusement, sans même tenir bien compte de
n compte de ce qu'une même couche, par le fait de la courbe qu'elle décrit ( par exemple, le stratum granulosum) se présen
ue combien cette couche se teint énergiquement par le carminé et il décrit com- ment elle coiffe, sur une coupe, le stratu
z le lapin; pour désigner les deux circonvolutions que nous avons décrites , il emploie les expressions de lamina superior
copiques localisés dans le tronc du nerf auditif que nous venons de décrire .. , Rien de nouveau, que les cellules ganglionn
t à désirer toujours voir (rien de plus) des hommes nus.» Tels sont décrits par le patient qui en a pleine conscience les c
donne des malades un tableau fidèle et sai- sissant, où l'on trouve décrit dans toute sa netteté cet oedème spécial, solid
uvant subvenir chez les femmes à l'état adulte. L'auteur se borne à décrire très nette- ment ce qu'il a observé, laissant à
cas de myxoedème. Quoiqu'il en soit, à côté des symp- tômes déjà décrits , tels que la sécheresse et la rudesse particuli
rt avec des lésions médullaires analogues à celles qu'il avait,déjà décrites dans certaines affections cutanées. Il a eu l'o
gal degré de développement tous les phénomènes que nous venons de décrire comme se rattachant à cet état nerveux spécial
ividuelles que pour la plupart il est possible de rattacher au type décrit dont elles ne sont que des atténuations plus ou
ordinaire, mais de cet oedème spécial, solide, dont nous avons déjà décrit les carac- tères. Cet oedème peut être d'ailleu
aussi des séries de mouvements analogues à ceux que nous venons de décrire et se succédant avec une régularité d'au- tomat
Henri HUCHARD, médecin de l'hôpital Tenon. Tous les auteurs qui ont décrit l'hystérie, s'étendent avec un soin jaloux sur
re dans ses accusations de viol portées contre M. La R...'. '. Elle décrit avec les moindres détails les sensations, tac-
la ménopause, et souvent accompagnés de tendances érotiques si bien décrites ' par M. Noël Guesneau de Mussy . Enfin, nous
ation avec une minutie extrême du squelette crânien ? L'observation décrite en détail par le Dr Jensen démontre qu'il exisl
, tient lieu de corps strié; en arrière un autre renflement arrondi décrit une courbe inféro-antérieure, donnant la sensat
tiques, il ne se passait rien d'anormal. M. REMAK, rappelant le cas décrit par lui dans la séance de novembre (hémianesthé
). Séance du 14 mars 4 88 Présidence DE M. Westphal. M. BENNRARDT décrit un cas d'hémiathétose chez une jeune fille de v
rd une courte esquisse d'une obser- SOCIÉTÉS SAVANTES. 239 vation décrite par lui il y a neuf ans, dans laquelle à la suite
a désigner sous le nom de rétrotoncs. Le Dr vorr HOFFMANN (de Bade) décrit au Congrès deux cas d'élongation de nerfs cépha
trique; par A. GUERTIN. Thèse de Paris, 1881. En 1846, Dubini avait décrit sous le nom de chorée électrique, une maladie c
u sommeil nerveux, bien distinct de cet autre mode que nous avons décrit sous le nom de léthargie hystérique provo- qité
bien certainement il s'agissait de la catalepsie que nous venons de décrire . ÉTUDE DE L'HYPNOTISME CHEZ LES HYSTÉRIQUES. 31
ente, à peu de chose près, la plupart des caractères que nous avons décrits précédemment; mais nous constatons en outre une
cataleptique véritable ; mais d'une sorte d'état' cataleptique déjà décrit par l'un de nous, et qui ne saurait être considér
aire dans son état complet de développement, tel que nous l'avons décrit , ni l'état cataleptique parfait, dont nous avons
ès accusée, qui est en rapport avec la torsion que nous venons de décrire ; cette région présente, à la palpation, un empâte
s, durent 20 ou 30 minutes et sont identiques à ceux que nous avons décrits . Depuis la crise de juin 1880, modification con
e d'établir l'autonomie trop souvent mé- connue de cette affection, décrite d'ailleurs depuis longtemps sous des noms diver
est l'accident qui se surajoute le plus fréquemment aux phénomènes décrits plus REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 353 haut,
ls consécutifs aux traumatismes du crâne. Vennaue : D'une forme non décrite d'hallucinations panoramiques. - DEBACHER : Des
81 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
yons pas pouvoir déterminer la nature de l'affection que nous avons décrite , et il nous suffira d'avoir mis en relief une for
ètre de large. Un peu plus tard que les eschares que nous venons de décrire , il en survint une autre qui se produisit dans
par la balle et les eschares telles que nous les avons précédemment décrites . , Lorsqu'on examine l'enfant au lit dans le dé
'autre, et la jambe gauche, qui est plus spasmodique que la droite, décrit un mouvement de circumduction, en même temps qu
réunis, des conclusions analogues. Voici, en substance, comment il décrit l'évolu- tion des accidents nerveux consécutifs
zone qui 58 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. vient d'ûtrc décrite ; elle dépasse à droite le bord droit du sternum.
les traits principaux assignés à cette affection par ceux qui l'ont décrite . D'après Kahlbaum2, dont le travail sur ce suje
MÉLANCOLIE CATALEPTIQUE. 71 nomènes particuliers que nous venons de décrire . Les idées religieuses et érotiques sont très f
spasme des autres muscles de la face, du même côté. M. P. Richer décrit encore une troisième forme de blépharospasme hy
elles des doigts pliés en marteaux. La poitrine dont la forme a été décrite plus haut présentait de chaque côté, au niveau
gèrement incliné à droite, de telle sorte que la colonne vertébrale décrit une double courbure latérale, concave à droite,
côté gauche raidis et comme soudés dans l'attitude que nous venons do décrire ne se meuvent que lentement, péniblement cl par
irectement appelée du côté du spasme glosso-labié si magistralement décrit par 11111. Charcot, Brissaud et Marie et dont l
omène de même nature) dans les diverses contractures que nous avons décrites . Rappelons-nous que les muscles de la face et d
orbides particulières qu'il y a de spasmes. Le blé- pharospasme est décrit à part dans les Traités, de même le torticolis;
nsibilisent la région contracturéc. - Dans les cas que nous avons décrits , les troubles de sensibilité sont in- dépendant
nur dire qu'il n'est pas facile d'en déterminer la quantité. Burk a décrit un cas de macroglossile dans lequel il a réussi
tout opposé. Weber est le seul auteur qui dans la macroglossite ait décrit des couches de fibres muscu- laires de récente
les différents os du squelette qui méritent d'être particulièrement décrits , en commençant par la tête, on trouve ceux du crâ
à indiquer les phases du processus morbide telles qu'elles ont été décrites plus haut. Au point de vue de la cause de ces a
urs analogues dans les états expérimentaux hypnotiques longue- ment décrits par M. Charcot et par moi sous le nom de contract
des variées imprimées aux membres diffèrent d'or- dinaire de celles décrites généralement dans la forme spinale. Elles sont
ne forme pasun angle secontinuant avec la portion horizontale, mais décrit une courbe qui se rehausse vers la pointe du me
t été impossible à fournir avant 1887, époque à laquelle M. Charcot décrivit pour lapremière fois le spasme glosso-labié des
gence. Une demi-heure plus tard survenait l'accident que nous avons décrit . Une fois entré Li l'hôpital, l'état persista t
ement l'attention, c'est que nos trois malades, à l'inverse de ceux décrits par M. Babinski, offrent tous les trois des con
ant fait pour la névrose l'avait parfaitement remar- qué, car il le décrit en ces termes 1 : « L'affection hystérique, dit
es mémoires particuliers, et il faut t arriver en 1880 pour le voir décrit à nouveau dans une remarquable observation de M
exemples de ce phénomène pathologique qu'il croit être le premier à décrire . Le 28 juin 1889, M. le professeur Charcot, dan
ès des mouvements de circumduction des bras, à grande amplitude, il décrit un arc de cercle, couché sur le flanc droit, le v
mier a traité la question avec quelques détails. Plus tard Zunker a décrit minutieu- sement le phénomène qui nous occupe à
ette atrophie musculaire et les autres symptômes que nous venons de décrire , le malade se porte très bien. Les organes thorac
NOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE.. phases à la grande attaque hystérique décrite par M. Charcot chez ses pensionnaires-femmes de
us nettement la forme de la grande attaque typique si admirablement décrite par Charcot et P. Richer. Le caractère de ces
t de la précédente, le malade exécute des mouve- ments difficiles à décrire et lance ses membres avec une force extrême, le
rainure et qui se continue en avant avec la surface olfactive déjà décrite . Ces trous op- tiques sont en somme fort rétréc
tit en se rétrécissant (5 mill. de large) à la petite apophyse déjà décrite en dehors de la facette costale. Son extrémité
nflés et poreux, la branche ischio-pubienne, elle aussi spongieuse, décrit une courbe à concavité postéro-interne. Hauteur
82 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
itale aucune modification ni de l'impuissance ni du délire expansif décrit ci-dessus, tandis que le malade se lamente de n
En outre, la lésion de l'articulation thoraco-claviculaire n'a été décrite que par Luun (Clinical Sociely of Lotzdoit, Lan
ment atteintes dans la syringo- myélie. Comment expliquer qu'on ait décrit si rarement les altéra- tions de l'articulation
. A.-W. TI3fOPEIEV (Oboz/'énié psichiatrii, III, 1898.) Après avoir décrit tous les essais faits à la maison de santé de 5
e genre. 11 observait déjà à cette époque les phénomènes somatiques décrits par Charcot ; la cata- lepsie et le somnambulis
t paraissant d'origine pure- ment nerveuse. ' Le cas que l'auteur décrit dans le présent travail est tout diffé- rent :
uand ces réflexes cessent d'être normaux. Quant au réflexe inguinal décrit chez la femme par von Gehuchten il ne serait pa
1. (Rlllielino délie Science )MC6c/tC, 1900, juillet.) . L'auteur décrit et figure quelques cas d'anastomose entre cel-
e granuleuse du cervelet et la seconde couche du bulbe olfactif. Il décrit en outre les diverses formes des cellules mitra
x, vient encore plaider en faveur de l'étiologie syphilitique. On a décrit plusieurs formes de folie syphilitique ; celle-ci
schémiques puisque les oblitérations vasculaires font défaut. Ils décrivent deux types histologiques principaux. Dans l'encé-
à corps granuleux. L'autre type, encéphalite aiguë hype1'plastique, décrite il y a déjà près de trente-cinq ans par le prof
eur som- meil normal, je les ai suggestionnés, suivant la technique décrite par M. Paul Farez. La guérison, obtenue en une
par la sugges- tion une petite tumeur de la région axillo-mammaire décrite jadis par Potain sous le nom de pseudo-lipome d
me nerf, s'étendre un peu plus bas sur celui du onzième nerf : elle décrit une bande en arc de cercle à concavité supérieu
de Babinski ni de signe de Schoeffer. Dans la marche, le membre ne décrit pas d'arc de cercle, il traîne sur le sol au nive
lagement. III Ces hallucinations terrifiantes, que nous venons de décrire , semblent ne s'être développées que depuis le m
ce mo- ment, si nous lui demandons ce qu'elle ressent, elle nous décrit parfaitement son hallucination, nous dit ce qu'el
on motrice que précédemment, et les phénomènes que nous venons de décrire , recommencent jusqu'à ce qu'une nouvelle périod
ssignerait dans ce cadre nosologique. Une variété nosologique a été décrite en Allemagne et dans laquelle nous devons nous
t pas être placé. C'est la pamnoia aigue. Sous ce nom les auteurs décrivent des cas, dans lesquels on observe des hallucina
les qu'on voit dans le cas de paralysie agitante. Les modifications décrites par Dana rie sont nullement différentes de cell
rement dans la cachexie. De telles altérations ont été maintes fois décrites par des auteurs allemands qui n'y ont atta- ché
core le nom de l'auteur de cet article, maladie de Dercum, fut déjà décrite cliniquement un certain nombre de fois; dans de
t dans le lobe droit » L'observa- tion clinique de cette malade fut décrite , il y a deux ans, dans le même journal américai
nes dilatées, mais d'un calibre bien moins fort que celle qui a été décrite . L'examen microscopique de la moelle n'a rien r
otre ardeur à chercher la vérité était sans bornes, et, après avoir décrit les principales découvertes qui vous étaient du
ntoxications. Ces troubles sont constitués par la confusion mentale décrite d'abord par Delasiauve, puis par Chaslin, Ségla
basant sur cette manière de voir, Schiile 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. décrit trois formes du délire aigu suivant qu'il y a oed
mie du cerveau. Tous les observateurs après Calmeil ont retrouvé et décrit la teinte hortensia de certains points de la su
dansl'intoxication alcoo- v hyperhémie. Ces lésions sont les seules décrites avec précision jus- qu'aux-reeherches de Cristi
des globules rouges et la présence de bactéries. Rezzonico en 1884, décrivit dans un cas de délire aigu des embolië"s*"de ?
e trouve pas dans tous les cas de délire aigu le bacille qu'ils ont décrit . Dans sept observations qu'ils rapportent, ils tr
le sari,, et les centres nerveux le bacille particulier qu'ils ont décrit . Rasori en 1893, dans un cas de délire ailu tro
bouffées délirantes d'emblée, à apparence systématique, qui ont été décrites chez des déséquilibrés, en France par Magnan et s
, sont également différentes suivant les cas. En outre, les délires décrits dans les maladies toxi-infectieuses, dans la pn
énistes M. Régis, en se basant sur des obser- vations personnelles, décrit un type clinique qui est le suivant : un fond d
t pu être repoussés lentement par elle sans donner lieu au syndrome décrit dernièrement, par M. Babinski. 270 SOCIÉTÉS SAV
e ; Par MM. A. TITRES et J. ABADIE (de Bordeaux). On a signalé et décrit , après les injections de cocaïne dans le cul-de
e d'apparition, durée, localisation, intensité, etc.) à la céphalée décrite par tous les auteurs à la suite de rachicocaïni
plus rarement encore dans le cervelet. L'auteur s'attache ensuite à décrire les lésions non spécifiques qui résultent des l
il est rare de rencon- trer des cas présentant les quatre périodes décrites par les auteurs français et fréquent au contrai
angoisse : par HAMEMBERG. (Revue de Médecine, juin 1901.) Frend a décrit déjà sous ce nom un syndrome qu'il sépare fran-
t ensuite la physiologie des réflexes tendineux et cutanés; puis il décrit les réflexes pathologiques (réflexe fémoral, de
ité de plusieurs systèmes médullaires, et il semble que l'on puisse décrire trois étages de neurones intervenant dans la ma
emps que l'absence d'inflammation des grandes cellules pyramidales, décrites pour la première fois par Al. Ballet et consist
mimique faciale. Paris, Baillière, 1900. SOCIÉTÉS SAVANTES. 353 a décrit , comme on sait, en 1874, un état pathologique con
rt, je lui suggère l'analgésie, en suivant à la lettre la technique décrite par M. Farez. Au réveil, l'amnésie est' complèt
eur. Au cours de ma séance de suggestion, j'ai observe le phénomène décrit par lI. Farez : pendant que mon sujet dormait,
culier, étudié avec détails pour la première fois par Gull en 1859, décrit minutieusement en z1875 par Zunker, qui consist
ur impor- tance psychologique. C'est Guislain 1, qui le premier a décrit des cas semblables dans sa leçon sur la « folie
Séglas nous offre un exemple typique de la marche qui vient d'être décrite . B..., est entré en 1891, comme délirant, persé
alade du service, qui réalise bien le type du gémisseur tel que l'a décrit Morel. 1 De Sanctis. Idées de négation. (Il Man
sl ne vient-il pas d'affirmer qu'aucune des altérations cellulaires décrites en grand nombre n'est spécifique, qu'il n'exist
ement à une variété de sarcome à petites cellules rondes. Virchow a décrit sous ce nom une tumeur composée de tissu analogue
83 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tre avis, un de ces individus ressemblant, à s'y méprendre, au type décrit sous le nom de persécutés persécuteurs. Cette t
provisoirement, le nom de stéréographie cutanée. I. L'érythrasma, décrite comme une dermatose parasitaire distincte, par
e selles intermit- tente. B. Symptômes 7égati/s.- Après avoirdéjà décrit les divers groupes de symptômes positifs, dont
ormaux. Nous sommes naturellement amené, après avoir spécialement décrit chaque symptôme de ce syndrome, à l'étude du dé
sol et porter en avant son membre inférieur droit qui à ce moment décrit un léger demi-tour en frottant le sol : son souli
n complète ; 2° qu'une fois arrivée aux stations que nous venons de décrire , alors l'évolution ultérieure, dans la majorité
ître que le siège de la lésion initiale du cas que nous venons de décrire longuement est extra-spinal, extra-myéli- tique
ômes sont absolument analogues à ceux que nous avons minutieusement décrits . Chez aucun des malades vivants dont nous avons
nous semble donc indiscutable que la forme d'idiotie que nous avons décrite sous le nom d'idiotie c2,éli- noïde avec cachex
aralysies, des troubles divers de l'intelligence. Cet état nerveux, décrit avec soin par un médecin anglais, Braid, fut ét
térisé par les trois états que nous 100 REVUE CRITIQUE. venons de décrire , constitue ce que M. Charcot appelle le ' Grand
atalepsie conserve les caractères qui lui sont propres. M. Pitres a décrit une dé- viation dans laquelle il a observé l'ét
erve de parler ailleurs de ce cas. Quant à la collec- tion que j'ai décrite , il est vrai qu'elle n'est pas con- sidérable ;
ui se rapporte à l'exactitude du diag- nostic du tabes dans les cas décrits plus haut, c'est à peine s'il peut naître le mo
e dans une quantité d'autres tableaux pathologiques. Dans les cas décrits , le diagnostic a toujours été basé sur l'en- se
eux des cas de tabes observés chez des hommes et des femmes et déjà décrits dans la lit- térature, peut à peine être de que
s chez le mari et la femme tous deux syphilitiques - que vient de décrire Strïiempell), l'âge (par exemple, le cas de Ber-
lle. Dans les dernières an- nées, diverses formes d'aphasie ont été décrites par Wernicke', et auxquelles Kussmaul ensuite d
quoiqu'il ne leur eut pas donné un nom spécial, il a entièrement décrit ces singuliers troubles psychiques, ainsi que l
t le sujet est encore entouré d'une telle obscu- rité que, avant de décrire les symptômes cliniques de la surdité verbale,
a été complètement effacée et n'existe plus dans son cer- 1 J'ai décrit dans lotis leurs détails les symptômes observés c
NSITOIRE. Les paralysies qui appartiennent aux différentes formes décrites jusqu'à présent sont plus du moins durables. Le
les étudier systématiquement, il nous faut tout d'abord examiner et décrire les cas pathologi- ques qui sont d'une simplici
ntes phases présentant des carac- tères déterminés, tel qu'il a été décrit magistralement par M. Charcot. c Le type parf
magistralement par M. Charcot. c Le type parfait de l'hypnotisme, décrit par .M. Charcot, et observé par des cliniciens
ien que sa structure histolo- gique. MM. AdamkiewitzetBabès avaient décrit dans la moelle un corps appelé par eux substanc
orga- nes, appelés tubercules nerveux, découvert par Schultze et décrits par Leydig, sont, suivant lllitrofanoff en connex
chir la cuisse sur le bassin, on voit survenir le mouvement associé décrit ci-dessus ; mais. quand le pied vient à s'appuy
és hydrothérapiques et à comparer avec le coup de soleil électrique décrit par M. Defontaino. ()oc. cle cleineer,yie, 188a
u de l'épilepsie (épiphé- nomènes ou équivalents), on n'a jusqu'ici décrit dans la folie pé- riodique que la manie et la m
r ces trou- bles de l'ouïe, observés chez les animaux, que Munk a décrits sous le nom de surdité psychique, et qui per- m
able ; ainsi, outre les 2 cas de Juives atteintes de tabes qui sont décrites dans ma statistique, j'ai eu encore 3 cas de ta
s arrêter qu'à un cas d'ataxie aiguë après la fièvre intermittente, décrit par Kaher et Pich 9. Cependant, ce cas lui-même
ature n'a plus remonté. Et maintenant, voici comment Kahler et Pick décrivent leur cas : « Le 1ex août, le malade, étant alor
le tome VII des Archives de Neurologie. Nous n'avons justement pas décrit une « fausse sclérose», mais une 'fausse scléro
nt précisément les intéressants cas de tabes causés par l'ergotisme décrits par M. Fuczek\ ils n'ont pas été. relevés par M
itions de travail; il est par conséquent tout à fait inutile de les décrire . Etat actuel (15 août 1884). Rien. Il entend pa
tincelles} étaient parfaitement semblables à celui qui vient d'être décrit , à savoir : exaspération brusque des bourdonnem
fait. G.- FORME C&RBBRO-SPINALE. , Nous avons jusqu'à présent décrit les différentes formes des accidents spinaux et
du sol 'et porter en avant son membre inférieur gauche qui alors décrit un demi-cercle en frottant de temps à autre le so
mposée par des symptômes qui appar- tiennent aux différentes formes décrites . C'est ainsi que la surdité, par exemple, que n
se des formes simples et typiques que nous avons déjà si longuement décrites . C'est d'ailleurs la manière de procéder pour t
ement; il en résulte une asphyxie céré- brale qui amène les lésions décrites . Influence de la nicotine sur les centres nerve
re ; leur nature est purement atrophique. Les mêmes lésions ont été décrites à la suite de différentes causes débilitantes a
son mémoire sur les troubles intellectuels du cocaïnisme, ont déjà décrit des symptômes du cocaïnisme. Les manifestations
corticales. Une dysestésie spéciale précède souvent les spasmes. Il décrit des cas de tumeurs sous- corticales opérées, ay
n 1617, Wircungavaittraité del'ivro- gnerie, maladie terrible qu'il décrivait immédiatement après la perte. L'auteur, avec
ême, les idées de persécution avec des sous-idées de grandeurs sont décrites de main de maître. Dans ce chapitre, l'auteur r
coordination des mouvements volontaires, ressemblant à l'hémiataxie décrite par Grasset. Le Dr lnapp pro- pose de donner à
84 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'a signalé depuis Bichat. » Plus récemment, M. Ranvier avait bien décrit , dans le sciatique du cobaye, le mode de ramesc
les vasa nervorum. . D'autre part, l'un de nous avait découvert et décrit 1 Probablement dans ses cours, car nous n'avons
jamais sans une artériole satellite, et l'on peut tout aussi bien décrire l'artère du musculo-cutané ou du saphène intern
ogastrique et au sympathique : chacune de ces artérioles afférentes décrit donc une anse à con- vexité interne, et le sang
récurrents, qu'après s'être détachés des thyroïdiennes, ils doivent décrire un assez long trajet et se recourber en dehors
rement, mais toujours suivant une incidence oblique, ou après avoir décrit un trajet récurrent ; " b. Une artère ne plon
S NERFS. 15 5 d'y pénétrer, suivant l'un des modes que nous avons décrits ; c. Les branchioles, nées de cette bifurcation
antérieure. par cette longue branche, à peu près constante, qu'on décrit sous le nom de canal collatéral. C'est à ce canal
plaintes formulées dans les mêmes termes, les mêmes hallucinations décrites dans le même style imagé, et enfin et par-dessu
i le syndrome présenté par Lamb. est analogue à ce que M. Charcot a décrit sous le nom d'astasie choréique et ne présente
ne trouve de zones hystérogènes. Les symptômes que nous venons de décrire ne se sont pas toujours montrés avec ce dévelop
e de Moscou, 1890, na 22.) M. le professeur N. Popoff (de Varsovie) décrit un cas d'hémia- trophie faciale progressive che
itution robuste en apparence, ne peut en réalité se tenir debout et décrit des zigzags comme un homme ivre. Deux autres id
t des mois. On voit par ce court résumé des symptômes que les cas décrits appartiennent bien au groupe qui a été désigné
tes et conscientes doivent prendre place à côté des autres variétés décrites d'onomatomanie. M. FaLnET. Dans mon rapport au
ue, mais aussi clinique ; les méthodes d'investigation s'y trouvent décrites avec assez de détails. A signaler particulièr
troubles oculaires dans l'hystérie. On y trouvera minutieusement décrites l'amblyopsie hystérique, les modifications du cha
ine hystérique, mais qu'a-t-elle de commun avec l'athétose double décrite par Clay Shaw, et à quel titre peut-on bien la cl
de médecine n'entendait assurément pas demander aux concurrents de décrire une à une des folies diathé- siques à une époqu
n jour, une attaque à laquelle sa tante a assisté et qu'elle nous a décrite ainsi : Tout à coup il est devenu très rouge, i
es accidents divers, comme les accès de folie qui viennent d'être décrits , comme des crises de delirium tremens fébrile,
ceux que nous avons pu étudier réunissaient les symptômes cardinaux décrits par Friedreich : caractère familial de l'affectio
n verbale psychomotrice y est signalée, mais la malade elle- même décrit très nettement ce qu'elle ressent. 111 ? P...,
que des extrémités a présenté très exactement le tableau clinique décrit jadis par Maurice Raynaud ; il est à remarquer to
ctobre 1888.) Il s'agit d'une affection que Griesinger a le premier décrite dans les Archives de Psychiatrie de 1868 et don
ans la constitution chimique du sang chez les mêmes malades; il les décrira . Quelles que soient les espèces morbides qui pa
ires de diverses sortes. Discussion : M. FLEINER. - Les altérations décrites par l'orateur dans les ganglions semi-lunaires,
se guérir de son redoutable penchant pour l'opium : la jeune malade décrit , d'une façon très imagée, les états douloureux
tz. On peut écrire un livre sur cet établissement sans arriver à le décrire . Tous les organes d'hygiène médicale rela- tifs
rgique, et ne différa en rien de celles que nous avons précédemment décrites , à cela près qu'elle se ter- mina à 4 heures au
la spéculation abs- l' 326 ' CLINIQUE NERVEUSE. traite. Je vous décrirai des faits et je vous en montrerai; ce n'est que
Soyez certains, messieurs, que je n'ai pas la prétention de vous décrire tous les caractères cliniques de cette anesthésie
e absolument anesthésique pour tous les autres. L'automate, si bien décrit par 'M. Mesnet, ne voyait que son allumette et
ent présentées par d'autres per- sonnes 2. Une somnambule, que j'ai décrite , voyait fort bien 1 Sur les anesthésies systéma
calisées, nous insisterons surtout sur celles qui ont été autrefois décrites par M. Charcot, sous le nom d'anesthésies en se
tôme particulier du tabes, que M. Charcot a été l'un des premiers à décrire , et qu'il a appelé le masque tabétique. Les mal
mais chez, elle une jeune femme de vingt- deux ans que j'ai souvent décrite sous le nom de Lucie. Elle avait à peu près tou
que qui se prolongeait plus de cinq heures. Per- mettez-moi de vous décrire en deux mots cette attaque inté- ressante à plu
r toutes ces expériences et bien d'autres encore. J'en ai étudié et décrit autrefois, en 1887 et 1889, cinq de ce genre qu
nir des indications quant à l'étude de son état mental. Ensuite, je décrirai les symptômes présentés par A... depuis qu'il e
leurs on signale pour des hallucinations des phénomènes qui sont décrits dans les observations comme des illusions ou des
fait rentrer dans la mélancolie, les cas de stupeur hallucinatoire, décrits jadis par Baillarger et que l'on tend aujourd'h
s'il s'agissait de groupes mus- culaires ; il les distingue et les décrit avec une minutieuse précision. On ne peut que d
'ANATOMIE ET DE~ PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. projection précédemment décrites forment un éventail dont les tiges, constituées
ce en plaques et en cordons de la couche blanche des hémisphères, décrite par Friedmann, et les altérations de la couche op
ment remanié l'étude qu'on est tenté de croire que vous les avez décrites le premier. Aussi l'Ecole de la Salpêtrière, où
85 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ropre à la femme. Il affirmait qu'elle existait chez l'homme; il la décrivait avec soin; il montrait les phé- nomènes communs
on de boule qui montait à la gorge et l'étranglait, était très bien décrit par lui. L'accès dura de vingt à vingt- cinq mi
é en avant, se met à balancer la tête par un mouvement impossible à décrire . Il semble que les vertèbres du cou n'existent
ns les auteurs de notre siècle et des siècles pré- cédents. D'abord décrite sous le nom d'epilepsiaprocllr- siva, puis sous
, il le laissait bientôt échapper involontairement. En marchant, il décrivait toujours un arc avec le pied gauche, tournant l
tres. » De plus, il montre que « l'état qui peut, avec vérité, être décrit sous le nom de perte du sens musculaire ou de c
formes de paralysies par suite de névrites multiples n'ont pas été décrites systématiquement dans les livres classiques, qu
ue du Sud sous le nom de beri-beri ou kakké. Dans l'Inde elle a été décrite sous le nom d'ignipédités et en France sous celui
chymateuse qu'on trouve dans la névrite multiple que nous venons de décrire . On a remarqué que la névrite parenchymateuse n
le, celle de grouper d'une façon rationnelle les différentes formes décrites de la folie.More ! avait déjà fait'cet essai. S
ons d'aliénés des zemshwa. Le rapporteur SOCIÉTÉS SAVANTES. 125 a décrit la situation anormale des maisons d'aliénés et de
légie. Reste la moelle. S'agit-il d'un des faits d'hémiparaplégie décrits par Brown-Séquard ? L'auteur discute gravement ce
adie, dont le substratum ana- tomique est encore à découvrir, il en décrit avec précision les symptômes, la marche, les te
ticle Paralysie générale que mon col- lègue Ritti et moi nous avons décrit pour le Diction- naire encyclopédique des scien
ui se pose est celle-ci : la pa- ralysie générale n'étant connue et décrite que depuis 1822, en faut-il conclure qu'elle n'
inférieurs, le voile du pa- lais, etc. Ces paralysies généralisées, décrites pour la 222 2 PATHOLOGIE MENTALE. première fo
e ses accès procursifs, Car... avait des accès rotatifs : tantôt il décrivait des cercles à court rayon, qui se terminaient s
se terminaient souvent par un accès convulsif ordinaire; tantôt il décrivait des cercles irréguliers à grand rayon, évitant
plus fréquents, Alép... a eu souvent des accès; voici comment on décrit le premier : Etant debout, on s'aperçut que sa fi
tique, ayant en somme le même mécanisme que le rêve. Ce mémoire les décrit avec une grande richesse d'expressions et de co
e délire des persécutions de Lasègue en souvenir de l'homme qui a décrit le premier lapériodeprédominante du délire, la pé
peux me dispenser de répondre à la qnestion de responsabilité, je décris l'ensemble de l'état mental, en insistant plus pa
ette déviation n'est pas due à l'hémi-spasme glosso-labié récemment décrit par M. le profes- seur Charcot. En somme, cette
on histoire. L'école de la Salpêtrière a magistralement étudié et décrit les caractères somatiques fixes de ce que l'on
ères somatiques fixes, indépendants de la suggestion; qui sont ceux décrits par M. Charcot pour la léthargie, la catalepsie
et leur description présente encore quelque confusion. Briquet en décrit trois espèces qu'il considère comme des degrés
reste, un caractère capital montre que les attaques de contractures décrites par Richer ne cor- respondent pas exactement au
oduit absolument le premier type de sommeil spontané que nous avons décrit . Elle dort l'oeil fermé, avec une anesthésie de
grand hypnotisme, 346 CLINIQUE NERVEUSE. magistralement étudié et décrit à la Salpêtrière. Un premier caractère capital,
Il y a chez F... deux éléments qui n'existent dans aucun des états décrits à la Salpêtrière et qui par con- séquent la dif
e professeur Kahler fut plus heureux : chez le ma- lade qu'il avait décrit dans la Prager lVledicinische Wochensclarift (1
trophie de l'olive gauche. L'année suivante, rürstner et Zacher 8 décrivirent un cas plus compliqué, suivi d'autopsie ; mais
déve- loppé dans l'espace de deux ans et demi. Remalc (1884.) 19 décrit un fait clinique de gliomatose centrale, carac-
du toucher était altéré à un degré très insigni- fiant. Enfin Freud décrivit en 1885 un cas « d'atrophie musculaire avec des
une population de 50,000 habi- tants, 15 cas de la maladie qu'il a décrit sous le nom de parésie analgésique, et caractér
s se rapportant aux formes cliniques d'apparences les plus variées, décrites à cause delacombinaisonextraordinaire dessymptô
dans la littérature deux cas que leurs auteurs identifient à ceux décrits par Morvan; le premier, celui de Guel- liot 19
t être pas à notre maladie ; le deuxième, celui de Broca '' a été décrit sous le nom de panaris analgésique. Chez ces au
plus précoces l'analgésie et l'anesthésie thermique, avaient été décrites jusqu'à ce dernier moment, comme une complicati
trois ans, il serait sujet à de petits accidents cérébraux que l'on décrit ainsi : yeux fixes, perte de connaissance, parf
en avant et la tête s'incline, l'avant-bras est relevé également et décrit des oscillations. Quand Dern... veut prendre sa
e en oscillant. Quand D... veut prendre une cuiller, la main droite décrit des oscillations assez grandes, avec conservati
Derno... Quand Lem... veut prendre un verre, les membres supérieurs décrivent 404 RECUEIL DE FAITS. - DEUX CAS D'ATHETOSE DOU
) L'auteur fait remarquer ce qui suit sur les deux observa- tions décrites . Dans ces deux cas, on constate de la micro- my
sch. f. Psych., XLIII, 3.) , L'auteur a inventé un piézomètre qu'il décrit , et à l'aide duquel (nous passons la partie tec
86 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
de mieux mettre en relief les phénomènes multiples que nous aurons à décrire chez les autres malades. Sommaire. — Antécédent
es sont précédées d'une aura, offrant tous les caractères qui ont été décrits par M. Charcot : a) douleur siégeant à la région
bornerons-nous, ici, à rappeler les causes présumées de sa maladie, à décrire ses attaques et, enfin, à mentionner les modifica
offrent des formes assez nombreuses et qu'il serait bien difficile de décrire clairement et d'une manière trèsexacte, si nous n
gures2et 5 donnent une idée suffisante pour qu'il soit inutile de les décrire . On observe ensuite de grands mouvements avec p
onstituent de véritables attaques démoniaques. Celles que nous allons décrire et qui sont très-rares ont un caractère tout à fa
Alors, Louise Lateau offre l'attitude du crucifiement que nous avons décrite chez Rosalie, chez Madeleine. Nous avons mis hors
uerelle avec tout le monde. Mai. — Les accidents que nous venons de décrire ont disparu dans les premiers jours d'avril; puis
stons à une attaque précédée des modifications de la physionomie déjà décrites (Pl. XV) et qui se compose, suivant la règle : 1°
e, entre autres, est plus prononcée que dans celle que nous venons de décrire ; les yeux se dirigent à droite au lieu de se p
M. X... et se livre en conséquence à des actes qu'il est difficile de décrire ... On la comprime, elle se calme. Une heure plus
corps, l'ovaire correspondant fut pris à son tour. — Enfin nous avons décrit trop minutieusement les effets de la compression
ève ; nous avons fait le tableau d'un certain nombre de ses attaques, décrit leurs périodes et leurs variétés qui permettent d
ns, les hystériques prennent des attitudes très-variables. Nous avons décrit les extases de Geneviève (Pl. XXIV), l'attitude d
ore peu éloignés de nous, les derniers phénomènes, que nous venons de décrire chez Geneviève, auraient eu pour elle des conséqu
ecousses dont nous avons parlé à diverses reorises. M. Briquet ne les décrit pas dans ses articles consacrés aux convulsions,
sant retomber la tète et le tronc [grands mouvements clo-niques, déjà décrits ). Dans les intervalles de repos qui séparent le
che (forme hémiplégique). L'attitude du bras est celle que nous avons décrite plus haut (Pl. XXVIII). L'attitude du membre infé
grimaces, une nouvelle attitude, des tortillements, enfin la position décrite plus haut et figurée dans la Pl. XXXVI. A ceci
inaire du corps qui, ne reposant plus que sur les talons et la nuque, décrit un arc de cercle, presque un demi-cercle chez Gen
ut au moins, chez les femmes atteintes d'hystérie grave. Avons-nous décrit toutes les formes que peuvent revêtir les attaque
87 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
recherches aux grandes cellules motrices de la corne antérieure et décrit les altérations de ces éléments dans les intoxica
es grandes cellules motrices présentaientla modi- fication spéciale décrite , sous le nom -de pyenomorphen Zustand (Nissl. N
lepsie et comment se comportent les pupilles. M. SCHULTZG. Gelineau décrit sous le nom de narcolepsie une névrose spéciale
s renseignements plus précis sur l'hérédité des délinquants. On a décrit un grand nombre de signes spécifiques de la crimi
es et intellectuelles. Ensuite, après un résumé historique, ont été décrites les méthodes proposées : pour les sourds-muets,
e cette question. II. Kôlliker1, Ramon y Cajal 2, van Gehuchten 3 décrivent aux racines postérieures deux branches, une asc
adie, son évolution', la nature histologique 8 de la tumeur ont été décrites par nous ailleurs ; nous ne ferons que rapporte
Eisenlohr 2,dans une méningite chronique de la queue de cheval, et décrit au contraire comme ayant subi la dégénérescence
ieure une région médiane et garnie de tubes il myéline ; cette zone décrite habituellement par les auteurs comme cornu-commis
, que voyons-nous ? une dégénérescesce en virgule semblable à celle décrite par Schultze, dégénérescence qui s'arrête assez
des- pendante. Fibres à long trajet. Jusqu'ici les auteurs n'ont décrit que des voies commissurales courtes ; le deuxiè
e, redevient angulaire pour se terminer en forme de triangle médian décrit par 11OI. Gombault et Philippe. Donc faisceau
unanimité, pro- clamaient les anciens auteurs qui l'avaient si bien décrite au commencement du siècle (Pinel, Nosographie P
s connaissances sur la nature et la signi- fication de ce signe, et décrit les procédés qui doivent être em- ployés pour l
revanche, il faut admettre aujourd'hui les quatre périodes si bien décrites par M. Magnan. Mais ce délire de persécution cl
e juger au milieu même de son époque. C'est cette époque que nous décrit magistralement M. le profes- seur Raymond, en u
otation du pied dans l'articulation tibio-tarsienne. Le malade doit décrire un cercle avec le bout du pied; 3° Flexion du g
890 dans le service de Charcot, qui observe sur elle l'oedème bleu, décrit par lui chez d'autres malades quelque temps aup
a distinction des hallu- cinations proprement dites, des phénomènes décrits sous les noms de fausses hallucinations (Michea
empêcher de penser que la plupart des phénomènes que notre collègue décrivait comme autant de caractères d'une hallucination
terait à confusion avec des phénomènes analogues, mais dis- tincts, décrits par Kandwisky. Ce sont pour Kandwisky des repré-
les diffèrent également ; c'est ce qui est arrivé à Baillarger, qui décrit ensemble ces deux ordres de phéno- mènes sous l
s de phéno- mènes sous le nom d'hallucinations psychiques. Celles décrites par Séglas correspondraient plutôt aux hallucina-
sur l'acrocyanose que nous reproduisons in extenso : .- Avant de décrire le syndrome que nous désignons sous le nom d'ac
Charcot. Raynaud, dans sa thèse inaugurale, en 1862, a le premier décrit une série de troubles circulatoires aboutissant à
bles menstruels ont paru en être souvent la cause. L'oedème bleu, décrit pour la première fois par Charcot, en 1884, déb
r Lucien LAMACQ. - On dit qu'une partie du corps tremble quand elle décrit une série d'oscillations rythmiques de part et
u'il y a de nombreuses formes de transition entre les divers -types décrits , parce que certaines formes sont encore mal défin
y recevoir de traitement sérieux est démontré par l'asylum dementia décrit par les auteurs anglais et le réveil des malades
on d'en parler longuement avec les troubles moteurs que nous allons décrire . Les phénomènes spasmodiques qui constituent l'
u en dedans; toutefois la série des mouve- ments à grande amplitude décrits par l'àvant-bras droit, n'existe pas à gauche.
type le plus fré- quent et qui est celui que nous avons longuement décrit , d'autres modalités peuvent être observées. C
s susceptibles d'agir sur les phénomènes moteurs que nous venons de décrire , figurent en première ligne les in- fluences mo
onge naturellement à la maladie des tics convulsifs telle que l'ont décrite MM. Gilles de la Tou- rette et G. Guinon. De no
langage articulé dans la pro- duction des troubles moteurs. On a décrit des tics hystériques et leurs apparences sont des
s ils présentent des rapports avec les mani- festations convulsives décrites par Gilles de la Tourette et comme dans cette d
in sur lequel se sont développés les troubles divers que nous avons décrits n'est pas d'ailleurs un terrain hysté- rique. O
e qui préside à la production des troubles complexes que nous avons décrits , on ne peut en risquer qu'une explication tout
jacksonienne soit par définition symptomatique, c'est le mécanisme décrit pour cette affection que nous allons avoir en v
mbre de carac- tères qui les éloignent beaucoup des types connus et décrits ; c'est pour cela que nous avons pensé qu'il y a
pos, selon vous, d'avoir un corps de médecins con- sultants ? 27. Décrire la marche suivie habituellement à l'admission d'u
tuel est-il la première attaque ou d'autres ont-elles précédé ? 1 Décrire les crises précédentes ? Le développement a-t-i
citations que le sein hystérique a été depuis longtemps observé et décrit . C'est Wilis le premier qui, en 1678, en a trac
nc un souffle nerveux, pour lui le coeur est sain. Il a précisément décrit le souffle nerveux dès 1878. L'oedème également
igine à l'altération des centres nerveux. Ensuite Korsakoff avait décrit trois formes, d'ailleurs ordinaire- ment coexis
ème nerveux l'on doit attribuer la pro- duction du nouveau syndrome décrit par Korsakoff. En fin de compte, conclut Ferrar
uidique, sa forme biométrique, Carré éd.) Dans l'iconographie qu'il décrit , il a trouve avec la plaque une nouvelle méthod
rmes corticales sont les plus fréquentes. L'aphasie sensorielle fut décrite , pour la première fois, par Wer- nicke en 1874.
u comparatif de l'évolution parallèle des deux variétés de psychose décrites par les auteurs précédents. 1° Période commune
urer dans leur extase la manne céleste. Les auteurs reli- gieux ont décrit ces goûts et odeurs mystiques qui accom- pagnen
déclare qu'une telle prétention serait ridicule, la céphalée qu'il décrit n'a de spécifique que la nature de sa cause; el
es interpariétales, toujours d'après l'auteur, n'ont pas encore été décrites chez l'homme, cette disposition a seulement été n
rniers au système ner- veux périphérique, il semble très commode de décrire la marche de chaque faisceau en le suivant à tr
88 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sive de l'imagination y jouait le rôle prédominant. Plus tard, il a décrit une folie à double forme, étudiée déjà et dénom
tase, il ya des intermédiaires nombreux. Ces états mixtes, que j'ai décrits sous le nom d'extato- cataleptiques, marquent b
er les centres de perception. Les noyaux qu'on y a minu- tieusement décrits existent peut-être, moins individualisés toutef
vers la pointe du lobe occipital, et celle d'un autre tractus, déjà décrit par Gratiolet, sous le nom d'expansions cérébra
s, à fonctions précises, que Ferrier, Munk et quelques autres ont décrits chez les chiens et chez le singe. Entrons dans
u sensitif, au niveau de la capsule interne, nous avons constaté et décrit , après Gratiolet et Meynert, un double tractus,
veau déjà enflammé est loin d'être la iènle, témoin doux autres cas décrits par lui dans lesquels des paralysés généraux in
çue non seulement du malade, mais encore du médecin : M. Fournier décrit cinq procédés pour découvrir l'ataxie naissante :
nos connaissances sont bien loin de cette perfection relative. On a décrit avec soin la mé- lancolie simple, la mélancolie
t sous le nom d'hyl)ochoj2(irie morale par AI. J. Falret, qui l'a décrite avec une exactitude minutieuse. Les mélancoliqu
sédée jour et nuit par une voix qui lui lisait son arrêt de mort et décrivait les supplices, t I l * « qui lui étaient rése
chez la femme, en se rangeant à l'opinion déjà émise par Azam', qui décrit quarante cas d'autopsie de femmes aliénées avec
réunies depuis 1876. Les pièces provenant d'une nommée C... ont été décrites par M. Charcot'. ( ? '7 7 et 8.) Une autre pi
pathie du coude, qui a été donnée au musée par M. Alph. Robert, est décrite en détail dans les bulletins de la Société anat
t résulter d'une usure. 5° Hanche droite. A. Os iliaque. Avant de décrire l'état de la surface articulaire de cet os, nou
forme anatomique de cette fracture se rapproche de celle qui a été décrite par Duverney sous le nom de fracture en tra- ve
xe transversal 30. Cette saillie était en contact avec la concavité décrite au niveau de la surface poplitée du fémur. A l'
e supérieur. ( ? 14.) Cette fracture rappelle celles que nous avons décrites sous le nom de fractures par torsion de la part
t à de longs intervalles et pouvant revêtir la forme des paroxsymes décrits plus loin. Dans les cas les plus graves, la pos
lète. L'autopsie n'a révélé aucune lésion constante. M. Pierret a décrit parmi les symptômes céphaliques de l'ataxie locom
remier lieu l'identité des conceptions irrésistibles et de l'entité décrite sous le nom de : 6' ? 'K&e/sM<;At (manie
krnicke rappelle que de vieux auteurs, Roustan, Durand- Fardel, ont décrit déjà des ramollissements du cerveau sans altéra-
tion qu'on les lave auparavant à grande eau. A ce propos, M. MENDHL décrit son procédé. Les cerveaux qu'il enlève subissen
M. Westphal, M. Mendel conuent que cette méthode a été employée et décrite par les Français. M. vol DEN Sieinen fait sa co
s témoignent d'une irrita- tion cérébrale avec laquelle les lésions décrites n'ont rien avoir. M. 13r.van rappelle que des p
en avoir. M. 13r.van rappelle que des phénomènes semblables ont été décrits par Fiirstner à la suite de la pachyméningite h
ié droite de telle manière que la scissure longitudinale antérieure décrivait un arc. de cercle'autour d'elle. La)tumeur s'ét
> ! L'iiT'ij ? , .1, 1, ...... i ? 1 - éléments 1. ÿrlayère céja décrit plus haut. ? ,1 m : ! 1 1 i ( 111 111 I rit il
ont on peut sûrement tirer des conclusions absolues. Ainsi le cas décrit plus haut nous donne quelques aperçus intéressa
a réaction par le viole,t de gentiane, que J'ai très minutieusement décrite plus haut, prouveque cette dernière substance a
uvent suppléées par les parties similaires. Dickinson' a d'ailleurs décrit dans le système nerveux des diabétiques des lés
t3) ou bien relève-t-elle d'une lésion de l'oreille ? M. Raynaud6 a décrit l'otite moyenne survenant à la période ultime d
et leur importance. A Desmares revient l'honneur d'avoir le premier décrit et figuré les lésions de la rétine observées da
eux sont iné- galement atteints. Le professeur Panas ' a le mieux décrit cette forme d'amblyo- pie et démontré sa nature
d'une hémorrbagie cérébrale. Des troubles oculaires pareils ont été décrits dans la plios- pbaturie, l'hippuric, l'oxalurie
e Coma diabétique observé par von Stosh et Prout a surtout été bien décrit par Kussmaul ; il n'a guère été étudié en Franc
Il emploie seulement une nomenclature différente. C'est ainsi qu'il décrit : 1° sous le nom d'artère de la fissure (arieîia
é'cizlaiî,e. Ce nom est à conserver : mais, nous aussi, nous avions décrit ce vaisseau : « A la partie postérieure, il con
(Cenlrabl. f. 7te7'v., etc., 1880, n° 17, 1er sept.) Le phénomène décrit sous ce nom par Westphal, consiste essentiellem
89 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
si qu'on peut rencontrer les altéra- tions spinales que nous allons décrire chez des sujets n'ayant présenté aucun signe cl
re les cas où nous avons vu nous-même cette lésion, on la rencontre décrite par d'autres auteurs, dans des maladies à vrai
encore que ces lésions ne sont pas sans analogie avec ce qui a été décrit dans le début des myélites aiguës, si elles ne
cette maladie, des figures semblables à celles que nous venons de décrire comme caractérisant la première phase des scléros
rencontrées au début des processus chroniques de celles qui ont été décrites par d'autres auteurs dans un grand nombre d'emp
, 28 juin 1895.) L'auteur, groupant un grand nombre d'observations, décrit suc- cessivement, avec photographies à l'appui,
1895, XIII, 2, 3.) Il s'agit d'une variété d'aphasie que Wernicke a décrite sous le nom d'alexie et Déjerine sous celui de
ance de Jackson. Ce malade présentait aussi le trouble que Freund a décrit sous le nom d'aphasie optique et qui consiste dan
les cellules endothéliales. Toutes les lésions qui viennent d'être décrites sont généra- lisées. Elles ont été retrouvées u
iences de laboratoire et pour l'électro-diagnostic ; l'appareil est décrit dans les Archives d'électricité médicale du pro
n satisfaisante des lésions neuro- musculaires qu'il a observées et décrites . 'La prédominance des lésions dans les portions
z sin- gulier, et correspond assez exactement à 1' « état de rêve » décrit parHuphlings Jackson ; il est seulement plus pr
initial des typhiques au poison spécifique de la fièvre typhoïde et décrit ce délire parmi les psychoses toxiques. Lieberm
se et la substance blanche. C'était Vierordt', qui le premier avait décrit un cas pareil. Il avait constaté dans son obser
et antérieurs (observ. IV). En comparant les cas de la polynévrite décrits dans la mo- nographie de Pal2, se jette aux yeu
ans divers cas. Le cas de la polynévrite alcoolique que nous allons décrire nous sert d'exemple très visible des lésions ai
La région dorsale présente les mêmes altérations que nous venons de décrire , avec la seule différence que la lésion des cordo
s mêmes anomalies, qui sont analogues à celles que nous venons de décrire . Renflement cervical '. Sur les préparations mi
estes de la résolution d'hémorragies périvasculaires. L'état criblé décrit par Durand-Fardel est commun chez les athéromat
z commun chez les aliénés, et qui, à sa connaissance, n'a pas été décrit . Cette pigmentation ne parait spécialement liée à
r section. Chaque section comprend, outre le dortoir précédemment décrit pour 14 enfants, une salle de réunion et une sall
vec écoulement sanguin peu abondant qui se traduit par les troubles décrits plus haut (syncope, vomissement, refroidissemen
ans ces dernières années, le domaine de la tétanie, telle que l'ont décrite Trousseau, Dance, Corvisart, Steinheim et d'aut
travail : 1° tout ce que nous savons sur la pathogénie de l'état décrit sous le nom de compression cérébrale - aussi bien
agit là d'une différence sans importance, puisque les deux variétés décrites se rattachent à une lésion unique, la différenc
lepsie sensorielle, pL l'épilepsie larvée, aussi bien que les états décrits sous le nom d'équivalents psychiques de l'épile
epsie psychique. L'épilepsie psychique pure, l'épilepsie procursive décrite par Mairet, Bourneville, Ladame et d'autres auteu
remplacé par un trouble d'ordre absolument différent, que l'auteur décrit , mais ne se charge pas de définir : dans le tro
l très distinctement. Sur certains cerveaux comme chez un Américain décrit par Benedikt cette partie est au contraire très
ale). 1 La troisième scissure de Leuret est complète chez le narval décrit par Turner, pour la partie temporo-pariétale et
un nombre restreint des cerveaux, comme par exemple chez un Feilah, décrit par Benedikt. C'est alors un arc horizontal sus-s
suite d'un traumatisme. Signalés pour la première fois par Brodie, décrits ensuite par Duchesne et par Robert, ces trouble
remonte pas au delà de 1889, quand Charcot a pour la première fois décrit ce complexus symptomatique et lui a donné son n
is Archives, 2e série, t. I. 21 322 ) ANATOMIE PATHOLOGIQUE. de décrire un cas que j'ai eu l'occasion d'observer, d'autan
ocale; le cas de Rosenbach (Cent1'GltJl, f. Nerven., 1888, ne8) qui décrit un oedème d'une moitié du corps et la cyanose d
présence des stigmates carac- téristiques de l'hystérie, je devrais décrire mon cas aussi sous le nom d'oedème bleu d'origi
écuteurs raisonnants, ou persécutés persécu- teurs, a été très bien décrit par Lasègue ; ces aliénés commettent souvent de
ent; quand elle existe, elle est mo- dérée et irrégulière. L'auteur décrit ici avec soin les altérations anatomiques obser
! /ttWt ? te<<6) ! , t. XXVII, 1. 2.) Depuis Friedreich on a décrit un grand nombre de maladies dont le symptôme fo
be pariétal que .partout ailleurs. Parmi les nombreuses anomalies décrites , une des plus fréquentes est l'isolement superf
s médullaires. La comparaison des racines de cinq malades permet de décrire , outre la disposition d'ensemble correspondant
et cependant elles sont identiques avec celles que le Dr Nageotte a décrites comme étant la cause immédiate du tabès. (Revue
Weigert et Pal. Puis décoloration et différenciation, ainsi que l'a décrit Pal. Les gaines de myéline sont bleues; tout ce
t examinés, appareil par appareil; l'astasie- abasie hystérique est décrite après les paralysies. L'auteur envisage ensuite
des neurones polyneuriques où celui-ci est multiple ; c'est le type décrit par Cajal. i Si le prolongement nerveux est trè
ulièrement à chacune de ces éventualités. Chacun de ces types a été décrit en clinique comme évoluant isolément bien avant
- mêmes partie. Dans ces cas, on a toutes les lésions qui ont été décrites dans le neurone de la sensibilité et de la motili
par rapport à la moitié supérieure du tronc. La colonne vertébrale décrit une légère courbure à convexité dirigée à droit
jambe est iléchie à angle droit, c'est à peine si on peut lui faire décrire un angle de quelques degrés dans le sens de la fl
atteint notre malade et qui paraît répondre à la paréso-analgésie, décrite par M. Morvan et à laquelle on donne généraleme
'abord, les troubles de la sensibilité sont ana- logues à ceux qu'a décrits cet auteur. Notre malade a une anes- thésie, un
urent tout le long de la moelle et forment l'aire de dégénérescence décrite dans le cordon antéro-latéral. La dégénérescenc
90 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
lication du microscope à l'étude des tumeurs, les épithéliômes furent décrits et séparés du carcinome par Muller, Hannover, Leb
is le mal avait bientôt récidivé et menaçait la vie de l'enfant. Sans décrire le manuel opératoire, la tumeur fut circonscrite
ve de l'enfance. — L'atrophie musculaire progressive, lorsqu'elle fut décrite pour la première fois, était considérée comme une
essivement et prit, en quelques mois, l'expression que nous venons de décrire . A cinq ans, amaigrissement du tronc et des membr
seudo-hyper-trophique; janvier 68 et suivants. trophique, récemment décrite par M. Duchenne de Boulogne (i), a été confondue
des détails suffisants pour bien faire connaître l'affection curieuse décrite sous le nom d'atrophie musculaire progressive de
i en i852 que se montra la tuméfaction sous-mentale que nous aurons à décrire . i° Groupe occipital. — Au niveau des insertion
froid extérieur. Malgré l'arrêt de développement que nous venons de décrire la jeune fille qui en est l'objet a su, sous l'in
de la circonférence de l'organe. Dans le sillon médian que nous avons décrit , et à trois centimètres environ de la base du gla
tate après un examen attentif, est affectée des vices de conformation décrits ci-dessous : i° L'adhérence des paupières, que,
édical de Madrid, en 1865, il fut fait mention du cas que nous allons décrire par un professeur portugais, Augusto de Macédo.
mineux. Les cas de tératologie du genre de celui que nous venons de décrire sont assez rares, et c'est surtout à ce titre que
c la petite vésicule contenue dans la grande, remplie du liquide déjà décrit . Un mois après l'opération, Auguste Jugan était
s faits analogues ont été signalés chez l'homme, mais on ne les a pas décrits scientifiquement, surtout au point de vue de la d
e la démarche de l'enfant. Le cas de tératologie que nous venons de décrire rapidement nous a été communiqué par le docteur P
ion caractérisque des pieds et présentant tous les symptômes que j'ai décrits . « Je ne suis pas encore assez complètement édi
ithélium des papilles linguales et par un parasite végétal non encore décrit . Ce dernier consiste en spores rappelant celles d
onde partie ne le cède en rien au mérite de la première et l'auteur y décrit , par régions, les modifications que peuvent offri
, elle perdrait cette qualité essentielle. Le toit qui vient d'être décrit présente, dans son milieu et dans toute sa longue
ion principale appartiennent à l'ordre des dégénérations secondaires, décrites avec soin dans cesderniers temps par M.Ch. Boucha
une figure plus ou moins semblable à celle que le professeur Nœgelé a décrite sous le nom de bassin oblique ovalaire. » La pl
ibution. Tous suivaient invariablement la routine des devanciers et décrivaient dans une même série de chapitres les mêmes élémen
e sagacité. Pourquoi, dans nos traités d'anatomie, s'obstine-t-on à décrire les articulations avant les muscles, alors qu'on
91 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ition des lésions irré- médiables. Cette forme a été magistralement décrite par Fournier dans son traité de la syphilis cér
la forme suivante. Cette aphasie transitoire, intermittente, a été décrite pour la première fois par Mauriac ', et après l
te de la base. Les anévrismes des artères cérébrales ont été bien décrits par Spillmanu=. Pour compléter cette symptomato
dilatation anévrismale anté- rieure. Il ne peut être question de décrire ici tous les ramollisse- ments d'origine syphil
ejeter l'hypothèse de gomme ou méningite. Il n'y a donc pas lieu de décrire avec Charrier et Klippel. la forme paralytique
' Loc. cil., p. 607. 12 '2 CLINIQUE NERVEUSE. Charier et Klippel' décrivent de plus une forme intellec- tuelle c présentant
s lésions artérielles, mais plutôt des lésions interstitielles bien décrites par Raymond2. Les troubles intellectuels que no
en décrites par Raymond2. Les troubles intellectuels que nous avons décrits plus haut, dès la première période, évoluent so
es dans la paralysie générale. M. Auguste Voisin', dans son traité, décrit les moindres signes et signale les troubles tro
du renvoi de plusieurs infirmiers violents ». L'otliématome a été décrit pour la première fois par Bird (1833). On l'a c
nesthésie. 7° En arrière du territoire radiculaire qui vient d'être décrit dans le noyau de Burdach et aux envrions on ren
n'est pas rare qu'elle voie dans sa chambre son propre frère ; elle décrit sa figure, son attitude, décrit son habillement
sa chambre son propre frère ; elle décrit sa figure, son attitude, décrit son habillement, montre la place où il s'est as
s par les amputés. Dans la première partie de son travail, l'auteur décrit les sensa- tions illusoires dont se plaignent l
petits tuyaux. Il n'y a d'après l'auteur que Loewenfeld qui les ait décrites (Studien über Gehirnblutung, Wiesbaden, 1885).
uentes dans la paralysie générale. Les dents n'ont pas le caractère décrit par Hutchison. Ne serait-ce pas tout simplement
riode, l'évolution peut aussi être rapide, aiguë; et il y a lieu de décrire successivement deux formes, aiguë et chro- niqu
s générales donne la soi-disant paralysie générale proprement dite, décrite comme type. Et nous sommes amené, par suite, à
du problème a été donnée par M. le professeur Fournier, quand il a décrit , sous le nom de a pseudo- paralysie générale sy
s un hôpital à la suite d'une rixe. L'expert, chargé de l'autopsie, décrit une lésion de la fosse iliaque résultant- d'une
continuait à droite et à gauche par l'organe cylindrique plus haut décrit , occu- pant la situation du ligament large. Le
les rapports et la disposition anato- miquedes différentes parties décrites . Il n'y avait en outre nivési- cule séminale ni
ne datait de un mois et l'autre de deux ans. D'autres auteurs ont décrit diverses lésions de la moelle dans l'anémie per
de Deiters peuvent jouer un rôle analogue. Les phénomènes qu'il va décrire sont tellement évidents et aussi tellement comm
ire qui a été suivie de toutes les complications syphilitiques sus- décrites . P. KERAVAL. REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
tion thyroïdienne dans la jeunesse ; trois variétés peuvent en être décrites : 1° le cré- tinisme congénital correspondant à
ire. Cliniquement, cette affection s'est écartée du type du genre décrit par Raymond en 1875, par les points suivants : l'
es conditions anatomiques et de don- ner une autre appellation pour décrire les conditions cliniques. (The alienist and Neu
ents chromatophiles : on retrouvé les trois espèces de chromalolyse décrites par M. Marinesco, chro- matolyse périnucléaire,
érés, laquelle n'est qu'un syndrome de dégénéretice analogue à ceux décrits par Magnan, avec lesquels il peut coexister. Ce
e de transition entre l'béréduataxie cérébelleuse et les affections décrites sous le nom de sclérose en plaques ou diplégie
ge. Il n'y a ni aphasie ni agraphie. Des cas analogues ont déjà été décrits par quelques auteurs, entre autres par Kussmaul
t traités dans un asile spécial, l'Asile Saint-Claude, que l'auteur décrit . 7. Essai sur les hypermnésies. Etude de psycho
s plus géné- rales, qui sont les suivantes : Jusqu'ici il avait été décrit , sous le nom d'hypermnésies, trois ordres de ph
éfistiquesdes diverses formes de syphilis cérébrale dont l'au- teur décrit les trois types suivants : la méningite syphiliti
xamen des matières fécales se fera suivant le procédé de Simon, que décrit l'auteur. Des observations de Simon il résulte
sont pour la plupart subjectifs et que d'autre part, on a souvent décrit sous le nom de neurasthénie des symptômes nerveux
GNIER. Ce travail, consacré à l'étude de la très curieuse obsession décrite par MM. Pitres et Régis au congrès de Nancy, dé
s rappellerons la possibilité de troubles trophiques graves. On a décrit , en effet, des gangrènes, des éruptions, du pemph
ne peut se convaincre de l'existence des fibrilles que Flemming y a décrites . La substance fondamentale aurait une structure
tement échoué contre l'affection. Il n'y a pas lieu de s'attarder à décrire les légères anomalies de conformation crânienne
ssi pouvoir relier cette amaurose à la même cause que les accidents décrits au début de cette observation, à la même cause
température, ni des différences de durcissement des coupes. Sfameni décrit minutieusement la méthode et les procédés qu'il a
épinière, nerfs périphériques, terminaisons nerveuses). Après avoir décrit toutes ses expériences et classé leurs résultats
es femmes qu'il a eu à observer. M. A. Voisin expose qu'il a déjà décrit , il y a environ vingt-cinq ans, les lésions don
sur les planches de M. Ballet sont comparables à celles qu'il avait décrites , en employant uniquement l'hématoxyline comme p
ante des faisceaux fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux, décrite par M. Werziloff dans son cas, s'observe égale-
oint de vue du trajet des voies sensitives intramé- dullaires et de décrire une forme particulière de dissociation de la se
brilles granuleuses, dont la nature nous échappe. Que ces fibrilles décrivent un tourbillon ou affectent une disposi- tion ra
res, soit des parties centrales nécrosées. On a vu que nous avons décrit macroscopiquement et his- tologiquement ces pet
aboratoires. Aussi peut-on affir- mer que les névromes de la moelle décrits par Raymond (Archives de Neurologie, XXVI) et p
noyau moteur. Ce sont peut-être les fibres des pédoncules cérébraux décrites par Meynert qui relient le noyau du trijumeau à
plus loin, après s'être détaché en dehors, aux fibres précédemment décrites qui viennent du ruban de Reil latéral. P. Kerav
partie la plus curieuse de l'étude de M. Walsh est celle où il nous décrit les progrès les plus récents de l'alcoolisme chez
92 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
e-t-il, un lieu d'élection pour la méningite tuberculeuse en plaques, décrite par M. Ballet, et ensuite et surtout par M. Chant
ent aux lois de la pesanteur, vers le sinus longitudinal supérieur et décrivent , avant de s'y jeter, un coude très accusé. Discut
complètement perdu. — L'anesthésie cutanée est telle que nous l'avons décrite plus haut. Relation des expériences instituées
provoque instantanément une attaque du genre de celles que nous avons décrites plus haut. Sens de Vouïe. — Diapason à l'oreill
e de notre précédente malade, nous nous contenterons pour celui-ci de décrire en quelques mots les scènes auxquelles il assiste
igne ainsi l'une des trois périodes du grand hypnotisme tel qu'il l'a décrit chez les hystéro-épileptiques. On l'obtient, cons
térique admet un nombre extrêmement varié de formes — dont nous avons décrit quelques types — mais qui toutes représentent une
te, toujours en rapport avec l'idée dominante. Il est impossible de décrire mieux les caractères qui distinguent le somnambul
rsaire de son accident, il était pris de crises de nerfs qu'il nous a décrites , et qui sont, à n'en pas douter, des attaques hys
terrifiantes reparurent, avec le même caractère que celles qui seront décrites plus loin. Etat actuel (janvier 1890). C'est en
r. On profite de ce moment pour lui faire prendre du lait et la scène décrite plus haut se renouvelle). « ..... Oh ! les voil
3). M. Mesnet, dans son mémoire si éminemment suggestif déjà cité, décrit un fait absolument identique (l). Après avoir enl
ui avaient cours à cette époque, considérait le somnambulisme par lui décrit comme une névrose à part et ne l'avait pas réduit
rer, sans trop s'aventurer, à l'aura céphalique de l'attaque normale, décrite par M. Charcot ? Joignons à cela les caractères d
onsidérations, nettement formulées. On nous dira que le somnambulisme décrit par cet auteur ne se rapporte pas toujours exacte
que pendant cet^acte. Au repos il n'est pas appréciable. Le malade décrit ainsi une de ses crises nerveuses, d'après le réc
feuillets de papier, composant une sorte de prologue à son roman. Il décrit la consultation externe de l'hospice un mardi mat
otre jeune journaliste. Dans la plupart des autres cas que nous avons décrits , la succession des hallucinations spontanées ou p
rogènes, les caractères du délire, tels que nous les avons longuement décrits , l'influence des impressions sensitives et sensor
'une perversion complète du sens génital. Les attaques que M. Vizioli décrit comme accès d'hypnotisme spontané (accessi di ipn
n fiancé s'aperçut par hasard qu'il pouvait l'hypnotiser. M. Ladame décrit , ainsi qu'il suit, les caractères qui distinguaie
uelle se présente toujours sous la forme typique de la grande attaque décrite par M. Charcot, ou bien succéder à une attaque de
ncore un cas de M. Bianchi (1). La brièveté avec laquelle l'auteur le décrit ne permet malheureusement pas d'en tirer grandes
normal, condition seconde, état de vigilambulisme). Je commence par décrire cet état parce que c'est celui dans lequel la mal
'Esmark. De lààl'hyper-excitabilité neuro-musculaire que M. Oharcot a décrite dans la léthargie, il n'y a qu'un pas. Ce n'est p
l successifs dont a souffert Marie H... à cette époque et qui ont été décrits plusieurs fois par M. Charcot dans ses leçons cli
t-hypnotiques. A cet égard, l'expérience de la photographie, que j'ai décrite en détails à propos de Marguerite D..., réussit p
éristique d'hystérie, mêlée de phénomènes hypnotiques, que nous avons décrite avec détails au cours de l'observation. Chez la j
passage d'un état dans l'autre, et au début de l'état second il nous décrit bien nettement l'aura céphalique hystérique, tand
e relation de cause à effet entre le tabès et la présence du sucre et décrit celle-ci sous le nom de glycosurie d'origine tabé
s ceux que nous avons pu étudier réunissaient les symptômes cardinaux décrits par Friedreich : caractère familial de l'affectio
iprésentent. Elles n'ont pas de membrane d'enveloppe, et on peut leur décrire une partie centrale et une zonefpériphéi*ique.';L
u point de vue clinique. Or, aucun cas de ce genre n'avait encore été décrit jusqu'au jour où M. Brissaud, en 1890, en observa
ement les plus atteints dans la paralysie pseudo-hyper-trophique pure décrite par Duchenne, de Boulogne (2), à savoir : tout d'
1872, p. 595 et suivantes. non, constaté chez ses malades lorsqu'il décrivit la forme infantile héréditaire de l'atrophie musc
tatistique. Il comprend non seulement les observations que nous avons décrites ci-dessus, mais encore celles où l'aura manque co
'y a rien ajouté de bien important depuis, ce me semble. Cet auteur décrit trois formes d'encéphalopathie saturnine; ce sont
as ceux de l'épilepsie saturnine. Jamais les malades, dans ce cas, ne décrivent d'arc de cercle dans leurs mouvements, comme cela
le jusqu'à un certain point, mais c'est une anomalie prévue, classée, décrite par MM. Ballet et Crespin, dans leur travail sur
r le compte du saturnisme ; car, outre les troubles de la sensibilité décrits par Beau et Manouvrier, et consistant en plaques
93 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
el sur lequel l'aboulie a pris naissance. Voici comment les auteurs décrivent ce mode do b5 REVUE DE THERAPEUTIQUE. traitem
sme ne paraît jouer qu'un rôle étiologique assez effacé. L'auteur décrit ensuite longuement les symptômes de la mala- di
t brusque ou si elle a été précédée d'une lente agonie. Nos auteurs décrivent le manuel opé- ratoire à suivre pour faire cett
pplicable du fait de son énormité. Un auteur russe, Pomialowski a décrit la vie qu'il a menée lui- même dans un séminair
03 amaigri. Il ne pèse que 48 kg. 500. Je n'ai pas l'intention de décrire avec détails les mouvements desordonnés et incess
cinquième ou au début du sixième mois de la vie embryonnaire. On le décrit habituellement comme une incissure légère, entr
noyaux des cordons de Goll partent encore des fibres dégénérées qui décrivent des arcs de cercle plus brusques pour se rendre
e l'étage supérieur des pédoncules cérébraux, le faisceau de Gowers décrit une courbe brusque pour pénétrer en plein dans
M. TRÉ1VEL. L'étude de l'hérédité familiale permettra peut-être de décrire en pathologie mentale comme en pathologie nerveus
ente, Brunet et Vigouroux, Pain, etc. MM. Bourneville et Séglas ont décrit une idiotie familiale. Les faits rapportés ici
n certain intérêt, même au point de vue pratique, à rechercher et à décrire ces psychoses qui, selon le mot de More), « sem
s présentant le phénomène des orteils. En pratiquant la manoeuvre décrite par Schaefer, j'ai obtenu comme lui la flexion
e de petits tronçons qui s'émieltent progressivement. Ce type a été décrit sous les noms les plus divers, notamment par M. J
bilatérale et homonyme. Dans le chapitre de l'audition, M. J. Soury décrit avec les plus grands détails les voies centrale
modifications de la fonction et les troubles ainsi produits ont été décrits par M. J. Janet sous le nom de troubles psychop
faits de ce genre ne sont pas nouveaux. Depuis que les Anglais ont décrit et étudié l'irritable bladder, on a rapporté bo
es, mortelles, très rares, il existerait un bacille spécifique déjà décrit par les auteurs. * J. SÉGLAS. XV. Singulière
ies différentes, indépendantes, telles qu'on les a con- sidérées et décrites depuis longtemps. J. Séglas. XVIII. L'alcalinit
dans les descriptions des maladies communes, et que l'unique forme décrite jusqu'à ce jour, présentant des caractères clin
- tent les mêmes caractères cliniques fondamentaux que la maladie décrite par Hecker. J. SÉGLAs. XXI. Deux cas d'idiotie
énital doit actuellement com- prendre les cas congénitaux autrefois décrits sous le nom de ra- chitisme congénital. Il peut
inisme vrai, sont très difficiles à classer. L'auteur va essayer de décrire quel- ques-unes de ces formes spéciales et de m
bles bacilles. Le tableau clinique rappelait absolument ce que l'on décrivait naguère sous le nom de phthisie catarrhale aigu
suffisamment de la simple lecture de la classification d'Arnaud qui décrit une forme démente (sans délire); une forme ambi
s, en effet, dont l'état mentol est fort bien et fort soigneusement décrit par l'auteur relèvent de l'Asile-Ecole et peuve
rtains auteurs pensent que la déformation des den- drites ci-dessus décrite peut être quelquefois comme le résultat des mod
le a subitement mis dans sa bouche et avalé. Les parents ne peuvent décrire exactement cet objet dont les dimensions seraie
langue, perte de connaissance. La crise été précédée d'une aura que décrit assez bien le malade ; il lui semblait avoir quel
s qu'avant l'accident, toujours précédées de l'aura auditive déjà décrite . · Malgré les nombreuses lacunes que présente n
restreintes. Le caractère des crises, telles qu'elles nous ont été décrites , est suffisamment net pour qu'on puisse porter
ion. Etant donné la variété d'aura sensorielle (auditive) si bien décrite par le malade, et l'affaiblissement notable de l'
t l'inverse. P. KERAVAL. LV. Sur un phénomène pupillaire non encore décrit ; par A. WESTPHAL. Nouveaux phénomènes pupillair
scussions. Trois questions se posent à ce sujet : Il, Les symptômes décrits sont-ils uniformément associés ? 2° Manquent-il
tion l'auteur rapporte six obser- vations présentant les caractères décrits par Kahlbaum. Quant à la seconde question, sa c
and nombre de cas qui ne présentent pas les symptômes mus- culaires décrits par Kahlbaum et, néanmoins, sont réellement de
-ci restant adhérente à la méninge (altération très caractéristique décrite par Baillarger en 18 ? et attribuée par lui à l
mande si des cerveaux de paralytiques généraux peuvent permettre de décrire des cas d'une telle netteté. M. DËJEtUNE reco
signalées Sans accorder, et j'en suis bien loin aux hyperesthésies décrites par Héad la précision topographique qu'il leur
eflet de cette sollicitude dans les quelques lignes où, après avoir décrit avec une émouvante simplicité les souffrances d
u pouls et de la respiration, la froideur des extrémités. marche3 décrit avec beaucoup de détails les divers symp- tômes
psie ; elle ne manque presque jamais, et de quelque façon qu'ils la décrivent , les malades la rapportent toujours à la môme p
pie-mère et le tissu cortical sous-jacent, atteint de la sclérose, décrite plus haut dans sa variété diffuse ; cet état an
ent psychique de la folie délirante. M. STADEL3fANN (de Wurtzbourg) décrit , sous le nom de folie SOCIÉTÉS SAVANTES. 451
appliquées le long des parois vasculaires. Ce que nous venons de décrire pour la circonvolution frontale ascendante droi
petites avec lesquelles elles affectent les mêmes rapports que ceux décrits plus haut à propos de l'écorce cérébrale. Noton
e la bave, le gâtisme, le balancement du tronc, les tics, les accès décris , etc. IV. Sous l'influence de la tuberculose, l
onlal; cas de paralysie bulbaire progressive infantile et familiale décrite par Hoffmann. Remak, Bernhardt, Fazio, Londe, e
iétés ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 519 de méningite qui furent décrites : La pachyméningite externe et interne; la lépt
a méningite, et durant une dizaine de jours. 3° Méningite séreuse décrite par Quincke, quelquefois très aiguë, mais quelq
uve sur les coupes de M. Lesage des altérations médullaires qu'il a décrites dans la lèpre avec M. Jeanselme, altérations qu
uvre scientifique du médecin, je leur dirais que je me suis borné à décrire l'homme, tel que je l'ai connu, tel que je l'ai
tenu. Nous trouvons repro- duite ici la méthode d'enseignement déjà décrite à propos des dégénérés inférieurs, avec quelque
, par 1111nrazzini, 313. I'UPILLIIIi. Phénomène -, non en- core décrit , par Westphal, 313 ; par l'eltz, 313, Pwmues.
94 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nent toutes deux de jeunes gens intelligents, instruits, et qui ont décrit eux-mêmes, d'une façon très exacte et vraiment
ssionnable, sujet aux palpitations, est atteint d'éreuthophobie. Il décrit ainsi lui-même sa maladie : Je me souviens d'av
depuis son apparition, je passe sur ma vie de lycée, et je vais la décrire dans ses généralités en prenant des exemples de s
e connaissance, de me reposer, de mourir. L'accès que je viens de décrire est un accès aigu. Généralement il est moins fo
eption de Morel, ce clair génie de la psychiatrie fran- çaise qui a décrit en 1866 les obsessions sous le nom de délire ém
se, p. 481-482, DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 33 Ailleurs, la sainte décrit un état qui est à rapprocher de l'automatisme g
distingue nettement quatre degrés d'oraison, comme les bouddhistes décrivent quatre degrés de contemplation dans le Nir- vàn
e se gonflant d'air et répétant tous les mouvements que je viens de décrire . Elle est convaincue qu'elle passe ainsi une part
s des aliénistes et neurologistes de Bordeaux, le docteur Pailhas a décrit sous le nom de « états monomaniaques liés à une
st presque le seul remarqué. A côté de ce tremblement l'auteur en décrit un autre qui, s'il n'est pas absolument spécial a
es spasmodiques, pouvant aller jusqu'à la contracture et qui sont décrits depuis longtemps dans la paralysie générale. Les
er les diverses variétés cliniques de la folie telles qu'elles sont décrites en France d'une part, en Allemagne de l'autre.
enté les cellules à deux ou plu- sieurs prolongements cylindraxiles décrits par Ramon y Cajal. Il est indubitable que ces p
tant dans la vision de fantômes qui gesticulent entre eux aient été décrites , leurs attitudes et mouvements manquent de vale
it, par un procédé analogue à celui employé en 1894 par M. Ferrant, décrire les six - 2 formes fondamentales et.les nombreu
oiie du doute ou du toucher et toutes les phobies variées qu'on a décrites sous le nom de syndromes épisodiques ; ainsi que
nous rappellerons'que Schule, parmi les para- noïas dégénératives, décrit une forme onanistique du délire religieux et qu
l'idiotie et l'imbécillité et pense que si l'imbécile anti-social, décrit par M. Sollier correspond bien en réalité à un
dinairement le pre- mier symptôme qui attire l'attention ; l'auteur décrit avec soin la forme de la tête et les autres sym
leur appli- cation à la pathologie mentale; et dans lequel aussi il décrit quel- ques-unes des méthodes appliquées par le
iguë hém01'- ragique. - L'auteur rappelle que cette affection a été décrite pour la première fois par Strùmpel (1889) et ét
ise n'est sans doute pas sans présenter des analogies avec ce qu'on décrit sous le nom de coryza spasmodique, de coryza de
fibrillaire a été observé par Schultze, Ranvier, Flemming, Dogiel, décrit par Cajal, s'étend vers le cylindraxe et les pr
andrait la lymphe. `3° Cellules de névroglie péri-vasculaires. Bien décrites par Golgi, elles se trouvent seulement à proxim
taux, qui ne vont pas jusqu'à la folie, qui sont assez difficiles à décrire , mais qui pré- sentent néanmoins une physionomi
L'auteur n'ignore pas que la plupart des phénomènes qu'il vient de décrire se rencontrent dans la neurasthénie et dans l'hys
xiste entre les phénomènes d'agitation nerveuse qui viennent d'être décrits et l'état d'apathie mentale des myxoedémateux : u
de la paraly- sie spastique familiale ; le cas 2 rappelle les faits décrits par Hoffmann comme un complexus symptomatique s
e spastique des membres inférieurs) ; il se rapproche aussi des cas décrits par SeeligmÜlIer sous le nom de sclérose latéra
ique que de voir les stades de ramollissement rouge, jaune et blanc décrits comme caractérisant la myélite aiguë, être cousid
les cérébraux graves. Damsch a observé la catalepsie, et Dischkin a décrit une psychose polynévri- tique dans l'ictère. M.
pileptiques morts en état de mal des hémorragies analogues à celles décrites précédemment et siégeant dans la subs- tance gr
ns le sens contraire, il sont aussi formés de la même manière, déjà décrite . La cellule pyramidale projette un prolongement
du pouce. M. Marina revendique la parenté de cette réaction qu'il a décrite dans l'hystérie. (Rivisladi freniatria, 1887, X
ns, Gombault et Philippe, grâce auxquels Tootk et Schultze ont pu décrire et localiser le faisceau GO en virgule » qui s'ét
alysie progres- sive, et prenant le mot dans ce sens il s'attache à décrire quelques- nnes do formes les plus communes qui
lié par un journaliste expérimenté : les aberrations mentales qu'il décrit ont précédé un accès de manie aiguë dont il est
iguës de la paranoia. Il en est de même de la conscience alternante décrite par Siemerling, qui est observée aussi dans les
l'état de mal, inefficacité du bromure, évolution identique à celle décrite plus haut. Il faut signaler, parmi les autres sym
rôle prépondérant : l'isolement est souvent nécessaire. Fiirstner décrit ensuite des cas dans lesquels on voit survenir un
eaux et de la substance voisine. Vorster présente des préparations, décrit en détail les modifications histologiques, et i
roit et les tubercules quadrijumeaux du même côté. On a cherché à décrire les troubles psychiques caractéristiques des tu
ntérêt, à la fois théorique et pratique. Mon intention n'est pas de décrire dans son ensemble la période terminale de la pa
teurs sagaces se soient trompés d'une manière absolue. Ils ont bien décrit ce qu'ils ont vu, mais ce qu'ils ont vu tenait,
onnus dans la para- lysie générale, et les premiers auteurs les ont décrits très nettement. Mais je ne sache pas qu'on les
s notable, c'est son inclinaison en forme de toit, déformation déjà décrite par Foville et appelée plus tard par Topi- nard
Médical Journal, 4 juillet 1896.) Les auteurs se proposent : 1° de décrire un cas de paralysie ascendante aiguë, principal
peuvent être soumis aux mouvements volontaires. C'est ainsi qu'on a décrit des cas, où certaines personnes pou- vaient à l
ose au lieu d'une couleur rouge, cette espèce mycotique n'a pas été décrite par personne jusqu'à présent. Concernant la com
« les deux jalons directeurs de l'étude des psychoses », M. Magnan décrit le délire chronique à évolution systématique. Le
95 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
c., leur sont consacrés, presque exclusivement. Je n'ai pas ici à décrire tous ces troubles inflamma- toires. Ceux-là seu
sans doute « amaurose cérébrale >, car les deux sortes de cécité décrites par Munk, en tant qu'elles résultent d'une lési
ié avec prédilection, on sait avec quel succès ', c'est l'affection décrite d'abord parAVernicke (1874), puis par Kussmaul
ées pour expliquer la formation de tumeurs musculaires douloureuses décrites par MM. Rameaux et Bucquoy. « Ces tumeurs ne
vent être attribués les accidents que nous avons déjà si longuement décrits ? La clinique déjà seule suffit simplement à y
il primitivement employé. Procédé opératoire. Voici tel qu'il a été décrit par M. le ..professeur Charcot dans sa leçon du
sillon précentral, les mouvements latéraux de la tête et des yeux, décrits par Fcrrier, commencent nettement. L'ablation d
on bord supé- rieur. Les effets produits par l'excitation sont ceux décrits par Fer- rier : ouverture des yeux, dilatation
lade. Il manquerai t le syndrome ectrololie pour constituer le type décrit par M. Gilles de la Tourelle et qui n'est lui-m
communiqué dans la dernière séance par M. Bernhardt, M. OPPENIIEIM décrit une observation accompagnée de pièces microscop
ysies générales qui tiennent aux campagnes militaires. L'orateur en décrit trois observations caractérisées par plusieurs
logie générale » et Wundt dans sa « Psychologie physiologique ». Il décrit les différentes modifica- lions que peut subir
veaux d'idiots; ils paraissent un début microscopique, de ce qu'ont décrit MM. Bizzozero et Golgi sous le nom de porose cé
ersions successives agirait au même titre que les trois autres déjà décrites , c'est-à-dire en favorisant le développement de
gaz devenus libres lors de la décompression, nous n'avons plus qu'à décrire celle qui agit, suivant toute probabilité, dans
cinq cas de cette maladie observés par lui; maladie qu'il ne trouva décrite nulle part et qui s'exprimait surtout dans deux
et chimiques aux mu- queuses. L'auteur observa, outre les symptômes décrits par Gull, encore les symptômes suivants : chute
de rapporter en ordre chronologique autant que possible. Savage 2 décrivit un cas de myxoedème chez un homme, accompagné d
d'un cas de myxoedème chez un homme. 1 la même époque le Dr Thaon décrivit un cas de myxoedème chez une dame qui lui fut r
mais en revanche le myx- oedème empêche la conception. Dans les cas décrits il observa les symptômes suivants : gonflement
de froid, de langue lourde, gênant la parole; voix voilée. Lunn 3 décrit deux cas de myxoedème, dans l'un desquels le ma
e de la glande thyroïde. Un cas bien intéressant de myxoedème fut décrit par IIamil- ton. Le malade avait une hérédité p
des leucocytes, sur- tout dans le voisinage des vaisseaux. Warfwing décrivit un cas de myxadème où le malade se remit entièr
ions : 1° Avez-vous eu des hallucinations ? 2° Si oui, veuillez les décrire . De cette façon on pourrait se rendre compte de l
er sur ce qu'on a appelé le rail2ua-spine ou )'o ! Mn/-6)'a : H. Il décrit brièvement les symptômes que l'on observe cbez
oup trop compréhensif. Il y a des troubles semblables aux symptômes décrits chez les traumatisés et que l'on rencontre fréq
ur de cet organe. On en fera des coupes après durcissement et on la décrira en détail. M. S1GMERLING. Etude clinique et sta
Mental Science, janvier 1886). La colonie de Gheel a été souvent décrite et nous ne suivrons pas M. Rack Tuke dans la de
330 pathologie NERVEUSE. débilité intellectuelle, elle a pu nous décrire avec la plus grande précision, et qui s'est con
rêtant à différentes interpellations. On sait que f3atty Tuke ayant décrit une sclérose miliaire de l'écorce chez les épil
ccipital, au niveau d'un foyer plus étendu que celui que nous avons décrit sur le frontal, montrent des lésions absolument
es deux lésions. CONCLUSIONS. On voit que les lésions qui ont été décrites dans les observations qui précèdent portent sur
points, puis de taches qui peuvent devenir confluentes. Nous avons décrit , en regard de ces alté- rations névrogliques, l
anée et musculaire. Il avait pu vérifier l'existence des phénomènes décrits par Munk; seulement, ces paralysies de la motil
lle opposée, quelquefois aussi du même côté, etc. Quand Ferrier a décrit ces mouvements, il les attribuait, on le sait,
e myxoedème jusqu'à présent. Prenant pour base les cas de myxoedème décrits et ceux que nous avons eu l'occasion de voir pe
cas me parait être assez intéressant pour que je me permette de le décrire en détail. Relativement aux quatre premiers cas
de ces cycles qui constitue à son tour le phénomène que l'auteur a décrit sous le nom de « rythme respiratoire ascenso-de
lque confusion de cette svnonvmie inexacte. Le phénomène clinique décrit par l'auteur est le suivant : la respiration d'
re 1. Séance du 10 juin. - Présidence de M. JOLLY. M. Euumcaaus`, décrit , pièces et plans en mains, la nouvelle Cli- niq
de cellules. Les dipnes, - chez lesquels Fulliquet a tout récemment décrit quelque chose de - semblable à une écorce, form
qu'en pense M. Jolly', rien n'est plus simple que d'apprécier et de décrire la modalité de ce mécanisme. Prenons un inculpé
96 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
médicale, nous devons prévenir le lecteur que notre intention est de décrire une installation en quelque sorte modèle, dans la
vitré; 2° le laboratoire noir ; 3° le laboratoire clair. Nous allons décrire l'organisation de ces diverses pièces; nous étu
vent se faire dans des locaux spécialement appropriés, nous allons en décrire l'inslallation et l'agencement. L'impressionnem
obtient le même résultat qu'avec la chambre double que nous venons de décrire . Chambre d'atelier. — On entend par chambre d'a
la quantité d'acide pyrogallique et l'on fait le bain comme il a été décrit plus haut, mais sans bromure. Au lieu d'ajouter l
PHOTOGRAPHIE PENDANT LA VIE. PHOTOGRAPHIE POSÉE. Nous venons de décrire l'installation d'un laboratoire de Photographie m
que travail sur Y Anatomie artistique ({). Dans cet Ouvrage, l'auteur décrit , avec le talent qu'on lui connaît, les formes ext
ns reliefs. Dans un atelier vitré organisé comme celui que nous avons décrit , on obtiendra de bons résultats; il suffira, si l
itude caractéristique dans la station debout, altitude que nous avons décrite précédemment; puis, le voici en pleine marche, le
ectifs. Au moyen d'un dispositif électrique qu'il serait trop long de décrire ici, le disque qui tend toujours à tourner sous l
ra grand avantage à employer la chambre à double corps que nous avons décrite , mais cet appareil, si perfectionné qu'il soit, n
nt en même temps que l'on vise le sujet à reproduire. Aussitôt ment décrits qui prennent un certain temps, car la condition d
PHOTOGRAPHIE A LA LUMIÈRE ARTIFICIELLE. Jusqu'à présent, nous avons décrit les résultats que l'on peut obtenir, soit dans l'
lentille divergente dont nous venons de parler. Nous croyons devoir décrire également le modèle que viennent de créer MM. Bez
hèse une application de la méthode de la surexposition que nous avons décrite dans le Chapitre TI. Méthode d'Ehrlich. — On co
s centres on emploie plusieurs méthodes de coloration que nous allons décrire . A. Méthode au picro-carmin. — On laisse séjour
ion du papier sensible derrière le négatif, opération que nous allons décrire dans un instant, il est indispensable que le néga
trer des présentations, des observations ou des thèses. Nous allons décrire le matériel qui est nécessaire dans l'espèce et q
ra employer avec succès un photomètre analogue à celui que nous avons décrit pour le procédé au charbon. Une fois la planche
en en train, le tirage s'effectue rapidement. Nous avons cru devoir décrire tout au long le procédé de Photocollographie, car
r en taille-douce. Similigravure. — Les procédés que nous venons de décrire donnent d'excellents résultats, et, suivant les c
97 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
des cas pathologiques remarquables. Le premier, en effet, qui voulut décrire une altération d'organe sentit la nécessité du se
neal, et sic obliteranlur non solum minora verum eliam majora vasa. décrire , prouvent .manifestement que tout le temps que le
s en place, permet encore de douter si les tumeurs que nous venons de décrire sont réellement formées aux dépens des ganglions
le le rectum présente un trajet semblable à celui du canal accidentel décrit plus haut, ouvert immédiatement au-dessous du gla
s que par une trentaine de pages sur les villosités intestinales, l'a décrite avec beaucoup de soin. Suivant lui, chaque villos
à la peau, ainsi qu'aux membranes muqueuses, les ouvertures qu'avait décrites Leuwenhoek. Enfin Fohmann dit avoir vu les chylif
ils ? la première fois qu'on rencontre l'altération que je viens de décrire . Mon collègue et ami M. Andrai, à qui j'ai fait p
n enfant nouveau-né, venu au monde dans la même position que le fœtus décrit planche 11, figure 1. On voit l'astragale A, défo
aphoïdes appartenant aux mêmes sujets que les astragales précédemment décrits . On peut juger par cette image fidèle quel est ce
ble déviation, son axe antéro-postérieur, dirigé de dehors en dedans, décrit une courbe à convexité antérieure ; son axe trans
r la question de savoir si ce ligament de nouvelle formation que j'ai décrit est constant 5 je puis répondre qu'au moins il n'
quels naissaient évidemment la troisième paire 3e P, dont les racines décrivaient une courbe manifeste pour arriver jusqu'à eux. La
gné dans les Bulletins de la Société anatomique; M. Bérard aîné avait décrit , dans sa Dissertation inaugurale, un autre cas pa
t l'œdème lobulaire, bien distinct de l'œdème interlobulaire, si bien décrit par Laennec. Y a-t-il quelque rapport entre l'œdè
elle a une bien grande affinité avec celle forme d'apoplexie si bien décrite par IYTIVI. Lallemand et fiostan sous le nom de r
donc rapprocher de la description qu'on vient de lire un cas analogue décrit avec une rare exactitude par M. Fauconneau-Dufres
s de médecine et de chirurgie, i8»4« « être la matière précédemment décrite divisée en molécules extrêmement petites, il en r
et a donné les mêmes résultats. Par les expériences que je viens de décrire , il est bien constaté que la pellicule des surfa
ien différente des incurvations ordinairess dans lesquelles le rachis décrit des courbes régulières à diamètres plus ou moins
n corps et dans son col, double vagin. — Ce cas (demi-grandeur) a été décrit et figuré par le docteur Cassan (*). L'utérus éta
né, double vagin. — L'exemple le plus remarquable est celui qui a été décrit et représenté par Eisenmann (**) et qu'a reprodui
purulens que M. Dance a rencontrés dans presque tous les cas qu'il a décrits et qui ressemblent exactement et pour l'aspect, e
sseur des organes; 3° la phlébite capillaire. La première seule a été décrite . Le système capillaire veineux est le siège imméd
encore subi qu'un commencement d'atrophie. La forme que je viens de décrire est peut-être la plus fréquente de toutes celles
e cas représenté figure i comme devant être placé à côté d'une lésion décrite par Bayle sous le titre d'angine laryngée œdémate
rose du cartilage cricoïde trait pour trait, telle que je viens de la décrire , mais moins avancée : le pus s'était fait jour en
ces d'aliénations mentales. C'est dans cet ordre que je me propose de décrire et de figurer successivement les lésions du cerve
u cellulaire sous-arachnoïdien de la moelle épinière. J'ai coutume de décrire cette masse de tissu cellulaire comme le centre d
s graves. Je suis donc porté à penser que la plupart des observations décrites sous le titre d'hydropisie aiguë des ventricules
nature, et ce dernier communiquait par une large ouverture , si bien décrite par M. Magendie, avec le tissu cellulaire sous-ar
dans son siège et dans ses caractères anatomiques, mais parfaitement décrite dans ses symptômes parles anciens sous les titres
age qui fut accueilli avec défaveur dans le temps où il parut (1804), décrivit assez exactement les caractères anatomiques de l'
itive aiguë est le caractère anatomique le plus constant des maladies décrites sous les noms de fièvres muqueuse, lente nerveuse
est la forme anatomique la plus simple; c'est celle qui a été si bien décrite et même figurée par Rœderer et Wagler, qui en ont
, simulant une éruption, en sorte que quelques observateurs les ont décrites comme un exanthème, une éruption intestinale vari
est consécutive; elle est primitive dans les formes qui me restent à décrire . VIL La forme ulcéreuse, terminaison commune de
ues, laissaient presque toujours après elles la lésion que nous avons décrite , il dut se présenter cette question : Cette lésio
ous la forme typhoïde, les autres sous la forme ataxique. (**) J'ai décrit les traits principaux de cette épidémie, en 1817,
ufrée. Peyer a en outre le mérite d'avoir regardé les glandes qu'il a décrites comme spécialement affectées dans plusieurs malad
é sur un fait qu'il eut occasion d'observer, prétendit que la maladie décrite par Louis, sous le titre de fongus de la dure-mèr
ance, que certains même l'ont niée tout-à-fait. Indépendamment du cas décrit par moi, « elle avait lieu dans ceux de Baillie e
C'était à priori et l'articulation du poignet sous les yeux que je décrivais ainsi les mouvemens de cette articulation, et que
poro-maxillaire, présentent de semblables usures. J'ai eu occasion de décrire ailleurs un «rand nombre de variétés d'usure des
Hun ter, absorbé par ses recherches sur la digestion, se contenta de décrire l'altération matérielle qu'il compare à celle des
i prouvé que les perforations spontanées aiguës de l'estomac, si bien décrites par Chaussier et Percy, ne sont que le dernier ef
tantes de l'anatomie pathologique. XIII. Eh bien, le ramollissement décrit par M. Carswell ne me parait pas être le ramollis
a face interne. C'est cette altération que M. Louis a très-exactement décrite sous le titre de ramollissement avec amincissemen
ux que j'ai eu occasion de rencontrer appartenaient à l'espèce que je décris . VII. Il arrive souvent qu'en même temps que l'
es denses, d'un rouge foncé, tout-à-fait semblables à celles que j'ai décrites sous le titre d'Apoplexie de la rate. C'est le pr
issent avoir désignée sous le nom de tubercules du joie que Laënnec a décrite sous le nom de cyrrhose, et qu'il considère comme
déformation du foie, est à peu près constant dans l'altération que je décris . Le tissu du foie est également beaucoup plus den
e grasse, cristallisable, découverte par Poulletier de la Salle, bien décrite par Fourcroy sous le nom d'adipocire, et que M. C
fiel, il est presque impossible qu il traverse la courbe spiroïde que décrit le col de la vésicule, ou qu'il franchisse les va
is observé d'ictère. XIX. L'étendue de l'altération que je viens de décrire , m'a porté à donner une grande attention aux cana
Les poumons m'ont offert une altération singulière, que je n'ai vu décrite nulle part et qui figurera dans une prochaine liv
uveau continent, i° avec le choléra signalé par Hippocrate et si bien décrit par Arétée , i° avec le choléra épidémique qui ra
ines qui emportent la malade dans un état de marasme aigu difficile à décrire . Il est extrêmement probable que la malade aurait
ur est le thermomètre le plus sûr de ces forces épigastriques si bien décrites par Lacaze et Bordeu, forces qui attestent elles-
aurait méconnaître dans l'altération du gros intestin que je viens de décrire , les caractères inflammatoires de la dysenterie.
œuf (Dict. deMédec. en 11 vol.), a rapporté à l'hypertrophie les cas décrits par Morgagni, Iluisch et autres observateurs, cas
e réduit à sa trame fibreuse. C'est cet état du placenta qu'on trouve décrit dans les auteurs, sous le titre de placenta squir
ttes de sang. Réflexions. — La forme de péricardite que je viens de décrire est assez fréquente et donne lieu à plusieurs réf
ouvraient tout l'abdomen. N'est-ce pas une disposition semblable qu'a décrite M. A. Séverin, lorsqu'il parle (de Absc. recoud.,
La fait observer judicieusement M. Ménière, une disposition veineuse décrite par Jacobson dans les ophidiens, les sauriens et
. Il ne m'a pas été difficile de reconnaître l'aspect du tissu cutané décrit fîg. 4, pl. III. En outre celle des tumeurs TC, q
e et le tissu osseux tout à-la-fois; tandis que dans les cas que j'ai décrits et figurés, la lésion serait limitée à la membran
ng. 2i° Sous le point de vue de la consistance, l'altération que je décris offre également des nuances ou degrés très pronon
ts jaunes : les circonvolutions postérieures à celles que je viens de décrire présentent un ramollissement amaranthe très super
98 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rfois assez fins pour s'immortaliser par la vérité des types qu'ils décrivent , mais ne procédant pas de la mé- thode scientif
mot du trouble intel- lectuel en question. Mais nous n'en avons pas décrit par le menu les ressorts. Normalement le méca
e, 1 ? mars 1899.) L'auteur rapporte une observation de l'affection décrite en 1895 par Bernhardt sous le nom de paresthési
omme M. Régis, je crois que les caractères men- taux de l'affection décrite par ICorsakoff sous le nom de psychose polynévr
97. Dans le premier chapitre de ce livre de 184 pages, l'auteur a décrit l'idiotie et l'imbécillité en général avec les re
plus tard que dans la 14° année. Dans le second chapitre l'auteur a décrit les arriérés, qu'il a examinés dans les écoles
es causes de la maladie. Dans un autre chapitre (p. 92), l'auteur a décrit l'idiotie myxoe- démateuse (l'idiotie crétinoïd
malgré une forte inclinaison du tronc vers le côté opposé, le cône décrit par le bras reste orienté en avant, en dehors et
pas d'oligodactylie cubitale, mais l'axe des deux der- niers doigts décrit une légère concavité qui s'oppose à une conca-
mité toute pareille à celle de Chen... On en peut voir des exemples décrits et figurés dans un travail récent de P.-S. de M
te, l'observation actuelle n'est pas absolument iso- lée. M. Féré 2 décrit chez les hémiplégiques infantiles des arrêts de
ces malades et de conserver la calotte crânienne pour bien voir et décrire les lésions. Bourneville. REVUE CRITIQUE. 1.
e l'oeil d'un Cajal a contemplé à son tour ces ré- gions qu'avaient décrites à leur point de vue, avec les secours de la tec
deux (couches des grandes et des petites cellules étoilées),et d'y décrire : 1° des cellules étoilées géantes ; 2° des cel
ires définis, à fonction également distincte et déterminée. CAJAL décrit encore deux types cellulaires nouveaux qu'il a
asser et à classer judicieusement des faits exacte- ment relevés et décrits . Du nombre et du caractère de ces faits se déga
ée. On sait que Bail, dans son étude de la folie tuberculeuse, en décrit trois formes qui répondent aux conditions suivant
des yeux associée il l'hémianopsie latérale. Cette forme n'est pas décrite iso- lément dans les traités classiques : cepen
parfaitement -vu .tout l'intérêt du tableau clinique que nous avons décrit . Il assimile absolument ces troubles aux paraly
om d'apoplexie progressive « ingravescent apoplexy ». Fletcher 1 la décrit en 1846 et William Gull 2- en relate plusieurs
mais il croit que l'étroitesse du capuchon céphalique, observée et décrite par Uarestc dans les cas de cyclopie, défend de
nèse s'explique naturellement par le méca- nisme que nous venons de décrire ; 2° l'irradiation des tractus conjonctifs, pro
face rectangulaire, recouverte d'une mince membrane, que nous avons décrite en avant de l'urèthre ; le méat n'existe pas, e
males, sont représentées par les deux replis cutanés que nous avons décrits , et qui ne rappellent vraiment que de très loin
ouvons point chez M... quel- qu'une de ces grosses lésions comme en décrit M. Bourne- ville : porencéphalie vraie ou fauss
naire. M. Lermoyez en a observé un troisième type, qu'il n'a trouvé décrit nulle part, dans lequel les fosses nasales étai
crate, Erasistrate, Rufus Soranus, Galien, Arétée, etc.), ont vu et décrit les divers accidents que l'abus du vin peut pro
entaient des altérations rappelant tout il fait le type des lésions décrites par M. Marinesco sous le nom de lésions seconda
eil) mais d'une somnolence permanente; d'une léthargie d'Afrique, décrite par Gowers d'après Gore, Gulrin, Mac Corthy. Il n
n'y a qu'a confirmer les détails de Lenhossek ; les nuances qu'il a décrites quant à leur constitution intime, tiennent aux va
s cette monographie intéressante, à plus d'un titre, le Dr 'l'rénel décrit une forme de délire assez rare et dont la plupart
... s'arrête au diagnos- tic d'encéphalite, et notamment à la forme décrite par Leyden et Goldscheider sous le nom d'encéph
uteur croit qu'il s'agit ici d'une polyencéphalite analogue à celle décrite par Oppenheim, par suite d'empoisonnement pto-
c Nult, Sachs, Freud, Raymond, Massalongo), considèrent l'affection décrite par Little comme un simple syndrome laisant par
'affinité des cellules pour le bleu de méthylène et l'on pourrait y décrire tous les degrés de piknomorphisme et de chromat
apparences sur lesquelles la technique a une si grande influence. Décrites d'abord par OEltinger et Marinesco puis par un
nsent de chercher, parmi les lésions cellulaires que nous venons de décrire , les critériums qu'on a donnés de la réparabili
lus de netteté que la méthode de Nissl, les modifications qu'on a décrites comme appartenant à des processus réparables ou
ur n'ayant pas donné de subs- tratum anatomique à l'affection qu'il décrivait , puisqu'il croyait à l'intégrité du système ner
es et les progrès de la méthode anatomo- pathologique ont permis de décrire sous le nom de maladie de Landry ou de paralysi
ant remarquer l'invrai- semblable diversité des lésions médullaires décrites dans celte affection en concluaient au peu de v
iques assez différents et des lésions anatomiques multiples ont été décrits sous ce nom qu'il est peut-être un peu tard de
s. - Elles jouent le plus grand rôle chez T... Voici comment il les décrit lui-même : « J'entends comme un souffle, un flu
, traitement moral. ' Février. Le 10, trois attaques. - Le 13, une ( décrite ci-dessus). - Le 14, trois Le i 5, deux. Le 17,
le faisceau 412 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. décrit par de Soelder provient en partie d'une région pl
chiasma de l'autre côté, tandis qu'une petite partie de ses fibres décrit , sur le côté, un arc de conversion accentué pou
des relations intimes avec la femme de ce dernier, relations qu'il décrit avec force détails. Le malade vit constamment d
un paralytique géné- ral l'hallucination motrice verbale aussi bien décrite que chez le délirant chronique qui a conservé t
ations de chorée; par Couvelaihe et Croupon. En 1890, M. Brissaud décrivait à côté de la chorée mineure et à côté de la cho
ment, seule- ment l'omoplate exécute une forte rotation lui faisant décrire un angle de 45°. Or il est classique, que, dans
bulbe. Les auteurs insistent, avant tout, sur une lésion non encore décrite ; une méningite corticale intense, surtout fibro
explosion d'énergie accumulée sous pression dans le cerveau. Il en décrit plusieurs formes variant suivant les tempéramen
99 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
r, com- parer les faits et formuler des lois. Il est classique de décrire la sclérose en plaques sous quatre formes : les
ues, que la méprise a été maintes fois commise et que nombre de cas décrits sous le nom de « pseudo-sclé- rose » ne sont au
sont là des nuances délicates, plus faciles à saisir peut-être qu'à décrire . Quoique bien souvent elles ne puissent pas à ell
laléraux, comme dans le type premier, classique, de l'unité morbide décrite sous ce nom; les cordons postérieurs doivent êt
- motrice. De là une de ces formes mixtes qu'il est toujours bon de décrire quand' on les rencontre, car le mélange des sym
présentent la question sous un autre point de vue. On a observé et décrit des altérations non plus de la forme, mais de l
Les diverses scléroses, celles que Iiourneville a étudiées et bien décrites sous le nom de sclérose cérébrale tubéreuse hyp
s étroites avec certaines variétés de tremblements vibratoires déjà décrites (tremble- ments alcoolique, de la paralysie gén
es groupant d'après leurs analogies avec d'autres tremblements déjà décrits et classés en pathologie nerveuse, les ramener
dique. Parmi ces types de tremblements hystériques que nous allons décrire , il en est un qui reproduit trait pour trait le t
tremble- ment hystérique rémittent-intentionnel, que nous venons de décrire , et l'on est bien fondé à dire que ce trembleme
répondant au type ré- mittent-intentionnel généralisé précédemment décrit . Cette trépidation hystérique se reconnaîtra to
é opposé. Elle respecte ainsi les organes génitaux et le sacrum, et décrit un double V sommet pubien en avant, à sommet co
s oscilla- lalions sont au nombre de 6 1/2 à 7 par seconde. La main décrit dans son ensemble des mouvements de flexion et
e la ligne de descente, indiquant ainsi le mouvement elliptique que décrit le poignet. ' L'avant-bras placé en demi-pronat
s trembleurs répondant au type rémittent- intentionnel précédemment décrit . IV. 13 186 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
périeur droit. Le tremblement dont il est animé, et que nous allons décrire , entre aussi pour une bonne part dans l'inhabil
très fort. Qu'elle « avait fait le pont », c'est-à-dire que son corps décrivait un arc de cercle en avant, tandis que sa tête e
Le tremblement du membre supérieur droit que nous allons maintenant décrire est resté exaclement tel qu'il était lors de notr
enfin les mouvements de la main sont composés et le poignet semble décrire un mouvement de rotation en ellipse. C'est autour
ropagea symétriquement aux bras comme dans le type scapulo- hmnéral décrit par Vulpian. Début par l'amyotrophie. Parfois l
exécuter qu'à l'aide d'artifices de mouvements que nous ne saurions décrire ici en détails, mais qu'il est bien instruc- ti
ieure du noyau oculomoteur deux amas de cellules ganglionnaires non décrits jus- qu'alors. L'an dernier' Westphal revint à
qu'alors. L'an dernier' Westphal revint à nouveau sur ce sujet et décrivit les altérations suivantes comme appartenant à la
près complète des cellules compo- sant les amas ganglionnaires non décrits par les auteurs et qui se trouvaient dans l'ent
ha- giques de la polioencéphalite ai-ïie et subaigÜe. Elles ont été décrites avec soin par GJ\.¥.e.l,-=-Wernicke, Thomscn, K
lé des altérations identiques de nature et de siège à celles qu'ont décrites Wernicke et Thomsen : cette fois les hémorrhagi
ntrent parfois chez les Européens et l'état congénital particulier, décrit sous le nom d'épicanthus, n'est autre que la brid
'ailleurs rangées régulièrement sur l'arcade des deux mâchoires qui décrivent une courbe égale et dans le même plan, la bouch
t à quel degré. S'il y a de l'her- maphroditisme, il sera bon de le décrire et d'en indiquer la nature. Enfin on devra note
tée et d'autant plus grande que les détails en seront soigneusement décrits sous leur aspect actuel et analysés sous le rap
moins pro- fondément incurvé dans sa partie moyenne ou inférieure, décrit ainsi un arc de cercle à concavité antérieure;
n Luschka serait le même que celui cité plus haut. En '1870, Eggel, décrivit le premier en Allemagne avec quelques détails l
des mensurations complètes. Poitrine en entonnoir analogue aux cas décrits ci-dessus, sauf au point de vue de la profondeu
l. XXXV). Le petit doigt est, en outre, le siège d'une malformation décrite par Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière T.
THÈSE DE CONTRACTURE. 345 contracture. C'est elle que M. Brissaud a décrite chez les hémiplégiques d'origine organique sous
s. Dans l'hystérie, il est souvent remplacé par cet autre phénomène décrit par Wetsphal sous le nom de contraction paradox
nations que nous avons proposées, M. Charcot et 1. M. P. Descubes décrit ces procédés sous la dénomi- nation d'excitatio
créé la dénomina- tion univoque de « pseudo-tabes ». Ainsi on a pu décrire les pseudo- tabes diabétique, cérébelleux, éthy
sset a a consacré une longue série de leçons. M. Weir-MitcheIJ 10 a décrit aussi sous le nom d'ataxie motrice hystérique u
n de com- bler. Nous croyons simplement que l'on peut sans témérité décrire aujourd'hui, il côté de la forme primitive, une
lus grave que l'amyotrophie pure et simple du « type myopathiques » décrit par M. Babinski. Et cependant celle-ci peut dur
ie est identique. (Bien plus, Jacoby2, Berger cité par Ziclll3, ont décrit l'existence de la disso- ciation syringomyéliqu
a névrose; elle s'y présente d'habitude sous deux types : 1° L'un décrit par M. le professeur Titres sous le nom de </t
le pince ou si on le pique'. » 2° L'autre étudié par M. Charcot et décrit par lui sous le nom de type syringomyélique : s
sif d'oedème bleu du dos de la main. Or, Schültze et Kahler avaient décrit déjà dans la syringomyélie un oedème violacé du
de nuit. Assez souvent, à la suite du début partiel que nous avons décrit , le malade, au lieu de tomber en convulsions gé
au 5 avril, puis s'efface graduel- lement ; il répond à ce que j'ai décrit sous le nom d'apathie épileptique i. La maladie
tails de l'expérience ne différaient en rien de ceux que nous avons décrits plus haut. L'examen du cerveau de ce chien mont
100 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
arcot, concernant Y épilepsie hémiplégique (2). En 1876, M. Charcot a décrit avec le plus grand soin Y épilepsie partielle d'o
lières. De 12 à 22 ans, les accès épileptiformes que nous venons de décrire sont revenus fréquemment, quelquefois au nombre d
aise général assez vague, difficile à bien définir et que les parents décrivent plus ou moins incomplètement, quelquefois sans pr
convulsif; 2° Y Hémiplégie consécutive et Y Athétose, il nous reste à décrire les caractères particuliers des accès d'épile
de 10 centimètres ; S... marche tout à fait sur la pointe du pied qui décrit un léger arc de cercle. La déambulation s'accompa
rd cubital. Les mouvements du poignet sont très-limités. — Les doigts décrivent un demi-cercle à concavité regardant vers le bord
-lombaire (Fig. 3). Au bout d'une, deux ou trois minutes, la malade décrit un mouvement de rotation en sens inverse du précé
t. 5 février. — La malade se trouvait encore dans la situation déjà décrite quand, à 10 heures 55, elle a poussé un cri prolo
a rigidité n'intéresse que les membres du côté gauche; les phénomènes décrits durent environ 30 secondes et la malade revient à
bres du côté gauche sont souples ; tantôt, ils offrent la contracture décrite à maintes reprises. On note des craquements très-
s caractères qui autorisent à considérer les accidents que nous avons décrits comme appartenant à une forme spéciale de l'épi -
ngé ; la période clonique est beaucoup plus accusée que dans la série décrite plus haut : mouvements du ventre qui se soulève b
res habituels. Le plus souvent, elles se composent des trois périodes décrites à maintes reprises : 1° période épileptûïde ; 2°
qui semblerait indiquer qu'elle n'a pas eu de prodromes. Nous allons décrire aussi complètement que possible ses attaques. S
les repos. La reprise des attaques est annoncée par les phénomènes décrits plus haut : fixité du regard, plissement du front
y a une sorte de folie de la jambe, semblable à celle que nous avons décrite pour la langue. 9 juillet.— L... a été tranquil
— Nous retrouvons la jeune malade avec les mouvements que nous avons décrits . Le nitrite d'ample (l) Charcot. Leçon sur la c
s (Pl. XVI), position qu'ils prennent soit d'emblée, soit après avoir décrit un mouvement de circumduc-tion. A la phase téta
sur coup, également durant un long temps. — Le délire que nous avons décrit était lui-même constitué par des attaques se suiv
t et non pas d'uue attaque de délire semblable à celle que nous avons décrite plus haut (p. 186), car le désordre le plus compl
faire remarquer qu'on y retrouve tous les caractères que M. Charcot a décrits dans les leçons (1) qu'il vient de faire à la Sal
on (1).» Les hallucinations génésiques, que nous avons signalées et décrites avec discrétion chez Geneviève, se sont repro
ons d'amour que je recevois de » ce Bien-Aimé de mon âme et que je ne décris pas » ici, il me dit que j'avais grand sujet de m
/ 195